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Ir. 2 ver eu MM EEE
NOUVEAU DICTIONNAIRE
PORTUGAHS-FRANGAIS.
Paris. — Imprimerie ei Konderie de BMENOUX, rec Mensicer-Ie-Prince, 31.
NOUVEAU DICTIONNAIRE
PORTUGAIS-FRANGAIS,
coMross
SUR LES PLUS RECENTS ET LES MEILLEURS DICTIONNAIRES
DES DEUX LANGUES;
auvommurs
de Dis ‚de 10,000 mots nouveaux, et d’un grand nombre
de phrases familitres, idiolismes, 'erbes ‚ eic.; ‚enrichi des nomenclaturen et des termes
d’Bistoire naturelle et de Botanigue, d’apres BROTERO ;
des termes de Marine, de Commerce, etc., selon les Dictionnaires polyglottes
et speciaux de J.-H. RODING et de P.-A. NEMNICH,
et dun tres-grand nombre de termes de sciences, d’arts et de mätiers;
conranınr
ies nems des principalcs villes ot tens los tormes do göegraphie,
IE? SOIWI D'UN VOCABULAIRE DES AONS PROFRES FORTOGAIS ET FRANGALS;
Dipık
A L’ACADEMIE ROYALE DE LISBONNE.
Par 3.-I. BOQUETTE,
MENBRE CORBESTOHDART DE LA MÄNE ACADdnız.
‚Le vocabulaire d’une nation est ume table ausez
Ad2le de toutes ses connaiseances.
Röfleions wur len lapquss.
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» 1,8. .
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PARIS.
V’" LeP. AILLAUD, MONLON ET C!* "LIBRAIRES,
RUR SAINT-HONORE, 334,
1853
Ss. 1. K5h
TEL ıU
A T’ACADEMIE ROYALE DES SCIENCES
23 LHIUSYBONNE.
Ss vassons ger en end engage' a enhupiendie o
diclonnace, ed ga 4 "enhase dans da far. vond das |
emänes gas me font um deueii Fin fiir hammage
aux chi me dell dag, 1% malt on op
ek mon dat, dealer mon Aevadl, bad impasfait gu 24
el, au Dass Jauant zu‘ Äonote & nalon fotlugacse
es dont dis uoun onk doupouts eh dl emesutagen da Giketalure
mahonalk, c ed un devas auquel je une ctacs edlige, ed
dan! 4 sus Keuteua de omas m aoquekker dans ce mo-
erenT.
Aue dl Aoademiz daigne agteer mon dommage, de
sera four mac .da las dauce veomfiense. |
Daris, le 19 mars 1841.
Jost Isnacıo ROQUETE.
PREFACE.
wa langne portugaise, fille alnde de la langue latine (1), cultivee
depuis quatre siöcles par des &crivains de tout genre (2), r&pandue dans
les quatre parties du monde au bruit des armes victorleuses des navi-
sgateurs conqu6rants sortis du Tage (3) ; cette belle langue, dans laquelle
tant d’historiens et tant de poßtes illustres () ont transmis & la post£rit
(1) C'est lo jagement qu’en porte le pere Vielra ( Approvapäo da Parte III da His-
teria de S. Dowingos, por Fr. Luiz de Sousa ), le Portugals , aprds Camödes, qui a
ke sieax connu , le mieux parl& et le mieux &crit sa langue. La langue portugaise ss rap-
woche tellement de la langue latine, que plusieurs auleurs se sont meme exercds A
tutmposer des morceaux qui sont ögalement latins et portugais. Yoy. Ferdinand Denis,
Risum# de Phistoire litidraire du Portugal, pag. & et 603. Paris, 1826. Consulter
Jguiemnent & co sojet le morceau inlitul6 : Memorlas e louvores da lingua portugueza,
gi pr&ctde le grand dictionnaire de l'’Academie de Lisbonne , p. 21,239, 26 et 38.
(1) « Les bommes distingnds que ie Portugal a produlis, dit M. de Sismondi, omt
» pris ä täehe de donner & leur patrie toutes les branchss de liltörature ; ils se som! eesayde
» dams tous les genres, pour ne lnisser & leurs volsins aucun avanlage sur omg... La litö6-
» rature portugaise est complöte, on y trouve de tout. » ( De Ja Littäraturs du miäs
de? Europe, t. IV, p. 963. )
(3) « La langue portugaise, dit M. Sans, n’est pas restreinte au peupis qui la parle ;
» elle si encore la langue du commerce asietigne; elle est söapandue depuis ie cap Nom
» jasımu'saz Nies du Japon, et depuis 1iie de Madre jusgu'au Bresil : d’eiiieurs, cette
» langue est helle, sonore, nombreuse , affranchie de cetts aspiration gulturele que l'on
» reproche A l'espagnole, elle a taute la doussur et la souplesse da l'itallenne, ia gravitö
» et les couleurs de la latine. » ( Podsie Iyrigus portugalee, introduction , pag. KC ı
Paris , 1808.)
(5) Volci les prineipaus po&mes portugais ‚avec le nom de leurs auteurs :
Os Lasiadas. — Luiz de Camöes. Destruicko d’Hespanha. — A. da Silva Masce.
Segunde eereo deDio. |--Jeronimo Lorte-| reomhas.
Naufragio de Sepulveda. Real, Henriqueida. — D, Franeiseo Xavier de He
Elegiada. — Luiz Pereira Brandäo. .. nezes,
Lusitania Transformada. — Fern. Alo. dO| Afonsiada.—M. A. J. Osorio de Pina Lei-
Orients 20.
0 Condesiabre. — Francisco Rodrigues Lobo. | | Coramuru.— Fr. Josd de Bania Rita Du-
Bionso Alricano. — Vasco Mousinko de Que- rdo,
Elieaee. — Gabriel Pereira ds Lasiro, O Uraguay. — Basilio da Gama.
Malaca Conquistada. — Francisco de Sd e ee: — Josd Agostinho de
Benezes. AV ogem Es tatioa, acedo.
Ulysipe. — Antonio de Souza de Macedo.
- Donpa Branca ou A Con vista do Algarve, —
Lasitania Restaurada Vieents Gosmäo 7. B. d’Almeida 2
Dn'est peut-£tre pas une nallon qui possöde autant de poßmes Epiques; et nous croyons
us si les personnes qai lesliront ne trouvent pas dans tous les beautds de Camses , elles
mu PREFAGCE.
les exploits et les hauts faits des heros leurs compatriotes; la langue
portugaise, enfin, qui inspira A CAMÖEs (1) les doux accents d’/nez de
Castro et le magniflque €pisode du geant ddamastor, n’stait, pour
ainsi dire, pas connue en France, faute d'un dictionnaire (2).
ll existait, il est vrai, un dictionnaire portugais-frangais-latin, par
M. Joaquim Jose da Costa e Sa, imprim6 a Lisbonne en 179%; mais
sans parler des döfauts communs & tous les dictionnaires de cette &po-
que, sans parler de cette multiplicitö de pretendus synonymes qui
s’appliquaient indifferemment & toutes les acceptions du verbe, du
nom, de l’adjectif, ce dictionnaire fourmillait de barbarismes et d’i-
nexactitudes, &tait absolument nul pour les articles des sciences et des
arts, et manquait de plus de la moiti& des mots usuels de la langue
portugaise. Cet ouvrage n’avait pas eu de seconde 6dition, et la pre-
miere,, quelque imparfaite qu’elle füt, etait devenue fort rare et par
oonssquent trös-chöre.
En 183% , M. F.-S. Constancio fitimprimer, & Paris, un nouveau dic-
tionnaire portugais-francais, en 2 vol. in-12; plus tard, parutcelui de
M. J. da Fonseca, qui n'est que le r&sume du premier; mais ces deux
seront au moins disposses & les Juger comme le pieux et savant traducteor de !’Einfante-
ment de la Fierge: « Il est A remarguer, dit-il, que toutes les &pop6es de ce peuple res-
» pirent le petriotisme le plus vrai : ses poötes sont en quelgque sorte ses historiens. »
(Note 5, peg. CXxX.)
(1) Camöses est le premier &pique des temps modernes ; il composa ses Lusiades avant
que ie Tasse eht publi6 sa Jerusalem, laquelle n'a paru qu’en 1580, un an aprös la
mort de notre poöle. « C'est le premier epique, dit l’abb& Andres , parmi les modernes,
» qui ait entraind les applaudissemenis de toutes les nations, et le premier qui merlie
» l’6tude des vrais poßles. » ( Deil’ origine dei progressi dello stato attuale d’ogns
iitteratura, t. IV, p. 261.) « Son poöme seul, dit un savant allemand ‚ forme une litte-
» rature toul enliöre. » ( Schlegel, Histoire de la Littdrature ‚t. I, p. 113.)
(8) Ce que nous avancons ost si vrai, que mö&me des lilterateurs d’un haut merile se
sont souveni möpris sur le verilable sens des mols et des phrases portnugalses. Nous ne
citerons que deux ezemples ä l’appul de ceite assertion :
M. de Sismondi, voulant traduire un des sonneis de Sd de Miranda, qui com-
mıunce par Ces deux vers :
O sol he grande, casm co’ a onlma as aves
Do tempo, em al saxdo, que soe ser fria, etc.
a dit : « Le solell grandit sur I’horizon, l’alr se rafraichit, les vents se calment et
» les olseaux se talsent, elc. » Le poöte ne dit rien de tout cela, nous traduisons
Htteralement : « Le soleil est brülant, les oiseaux #touffent de chaleur ( c'est-a-dire,,
» il fait une chaleur excessive ), dans une saison de l’annte qui, ordinalrement , est
» froide. » ( Yoyez Sismondi, t. IV, p. 206. )
M. Ferdinand Denis, en traduisaat une #giogue du m&me poßle, a rendu le vors
saivant :
Nam ja ho o quo ore almalko,
par cock : « J1 n’est plus ce qu'il stail m&me sous le jong. » Ici encare le eontre-sens est
PREFACE. oo. IX
suvrages , outre leurs döfauts et le grand nombre de fautes (1) qui les
parent, ne sont que des dictionnaires portatifs, qui peuvent tout au
plus servir pour indiquer les mots, et qui ne sauraient jamais faire
connaltre le g&nie et les beaut6s d’une langue aussi riche (2) et aussi
&minemment po6tique que la langue portugaise. Ces dietionnaires
sont aussi nuls pour les articles d’histoire naturelle, de botanique
et surtout de marine, et ne sont en aucune facon & la hauteur des
stiences.
Un dictionnaire complet portugais-francais 6tait donc encore & faire:
nous nous sommes propose de remplir cette lacune qui existait dans la
littörature des deux nations. Cette täche &tait sans doute rude et difficile,
et bien au-dessus de nos forces; mais apr&s plusieurs annees d’un travail
asidu, A force de veilles et de recherches, et avec l’aide de plusieurs
littörateurs portugais et francais (3), nous sommes venu & bout de le
manifeste. Le po&te parle d'un baeuf, et il dit que quand il vieillit il n’est plus ce qu'il
4ait &tant jeune taureau. ( Foyez F. Denis, Resum£ de l!’histoire litteraire du Portu-
gel , p- 56. ) Avec un bon dictionnaire sous les yeux , jamals pareilles erreurs n’auraient
pa tchapper ä ces &crivains distinguts, appröciateurs si &clair&s de la litt6rature portugalse.
(1) En voici quelgues-unes :
AsıLapa, terrier de lapins. Popznco , chien couchant.
ALusıLuo, aumailles. PoLvo, polype (animal).
ALGUEBRAR , s’ouYrif. PORQUETE, croix, potence.
ALgugıvE, jachöre. Posr£ana , partie de la jambe (d’un cheval,
Auzıno , ail-de-christ ( plante). eic.). '
Auvanso, revers des me6dailles. Postiga , pi6ce d’un vaisseau,, etc. ( Fons.).
Basnaca , carotie. RAMALHAR, d.:n. bruit des branches agildes
Gaxzoras (au liew de GAxEras,, anneaux | (Fons.).
qui attachent les voiles aux vorgues. RoSICLER ‚ incarnat.
Manra de toucinho,, barde, tranche de lard. | Rosmanınno, romarin (plante).
MuLzan , caret. SıLEMa , stokfiche.
Muatıos, cordages d’anore. SAMBCCA , saquebute.
Mımi, millet sauvage. SıquiLnio, piece d’une charrue (Fons.),
Mostnanox de relogio , aignille de cadran. SeL£a, char russe.
Moana , tache de feu ( Fons.). SENMIDITONO, tierce majeure ( Fons.).
PıcaPsicHe , sorie d’oiseau qui mange le pois- | VaccaLovrA, cantharide.
son. Zaco ‚le pape des bonzes (Fons.).
Pısco, sorte de gros pois.
Comparez ces articles avec cenx de notre dictionnaire, et remarquez la difförence.
(3) Notre Dictionnaire eontient environ 56,000 mots, non compris les participes et
un grand nombre de superlatifs, d’angmentatifs et de diminutifs.
(3) Nous manquerions a tous les devoirs de reconnalssance en ne döclarant pas que la
partie la plus Importante de notre travall, c’est-a-dire la revision schentifique et litteraire,
est due a M. le docteur C. L. de Moura,, dont les savantes öludes ont constamment &clair6
et rectifie les nötres ; que c'est ä un de nos amis et compatriotes M. A. E. de Lemos,
kabile et brave officler de marine, que nous devons presque toutes les recherches qui
avalent rapport & la science nautique, et que c'est Loujours d’apr&s son avis que nous
arons r&dig6 les articles qui s'y rattschent. Enfin nous avons &i6 a m&me d’appr&der le
soin serupuleux et 6clair6 qui a &i4 apporis & la correction typographique , partie aussi
ptnible qu’essentielle d’un diclionnaire.
x PREFACE. .—
terminer, sinon d’une maniere complete et satisfaisante, du moins avec
la pleine conviction de notre bonne volonts, et avec la certitude d’a-
voir fait tout ce qui dependait de nous pour que notre travail füt con-
sciencieux.
Nous avons dono rödig& notre dictionnaire comme s’il n’existait pas
d’autres diotionnaires portugais-francais ; nous avons compos& tous les
articles sur les dictionnaires de la langue portugaise, en mettant A
profit les travaux de l’acad&mie de Lisbonne, de Moraes, de Constancio,
et sur ceux de la langue francalse, en prenant surtout pour guide ceux
de l’Acade&mie, de Laveaux et de Boiste (1\. Voici le plan que nous avons
suivi :
1° Nous avons admis dans notre dictionnaire tous les mots usuels de
la langue portugaise, tous les mots de litt6rature ancienne et moderne,
tous les termes göneraux des sciences et des arts avec leurs definitions
owleurs explications, et avec toutes leurs acceptions anciennes et mo-
dernes dans leur ordre rationnel et logique, presque toujours autori-
s6es par des exemples puises dans les meilleurs &crivains. Nous avons
täch6 de rendre les mots portugais, non pas par des p6riphrases et des
circonlocutions comme ont fait souvent les lexicographes dont nous
avons parl& plus haut, mais par des &quivalents , autant que cela &tait
possible, et ainsi de m&me pour les phrases familieres , los idiotismes ,
les proverbes, etc.
2° Nous avons conserv& tous les vieux mots du moyen äge, selon l’E-
lucidario, et grand nombre de locutions aujourd’hui inusit6es, mais qui
se trouvent dans nos anciens auteurs , afin que les litt6rateurs francais
puissent comprendre nos anciennes chroniques, et &tre a.m&me defuger
les maurs , les coutumes et la littörature des anciens Portugais.
3° Nousavons ajout6 la nomenclature d’histoire naturelle, que notre
savant BROTERO a fournie au traducteur portugais de M. Cuvier (2),
comme aussi la nomenclature et tous les termes de botanique qu’il
nous a laisses dans ses pr&cieux ouyrages sur cette science (3), avec leurs
(4) C'est la hultiöme #dition, revae, corrig6e et oonsiderablement augmenite par
M. Charles Nodier, Paris, 1836, que nous avons suivie, laquelle est infiniment supe-
rienre & toutes les ddilions pr6osdentes,
(8) Quadro elemeniar da historia natural dos animass, por M. Cuvier, traduil
en porlugeis par Antonio d’ Almeida, imprims ä Londres en 1815.
Yoy. les articles de notre diclionnalre :
Ao6phalos, Agami, Agria, Aguia, Andori- | Esquillo, Graculina, Gralha, Gröu, Grypho,
nha, Anomia, Antilope, Asteria, Ave, Borbo- | Hesperidas, Infusorios, Lagria, Lacinivo, Lar-
leta, Carnivoro, Carocha, Chamaia, Coati, | va, Lemure, Lobo, Lucano, Mante, Manuco-
Cobra , Conchellos , Cariphena ‚ Cotia , Contin- | diata, Mergulhäo, Mono, Morcero, Mosca,
ga, Cotovia, Cucujü, Döninha, Escorpena, | Naveia, Nerite, Palpo, Papagaio, Peixe, ste.
(8) Eldments de botanique, Flore portugaise. etc
PREFACE. — zI
aquivalents en frangais d’aprös le dictinnnaire polyglotte d’histoire nakı-
turelle et de botanique du savant allemand P. A. Nemnich, et d’aprös le
supplöment de Boiste, contenant la nomenclature de ces deux sciences
selon les derniöres olassifications. Il est A remarquer que ces noamen-
elatures manquaient tout A fait dans les dictionnaires portugais pubhliss
jusqu’ä ce jour, et o’est pour la premiere fois qu’elles y trouvent place.
Nous avouons A notre honte qu’il nous a fallu avoir recours au diction-
nsire d’un Allemand (M. Nemnich) pour y trouver le nom de Brot&ro cit&ö
avec Aloge , ettouta la nomenglature portugaise de oe savant botaniste,
tandis que nos lexicographes, d’ailleurs si faciles & admettre tant de
mots francais souvent contraires au genie de la Jangue portugaise, ont
lsins6 dans l’oubli les termes de deux sciences aussi importantes que
’histeire naturelle et la botanigque, termes si conformes d’ailleurs au
siaie de notre Jangue (1), et pour la citation desquels ils pou-
valent s’appuyer sur l'autorit& d’un nom aussi illustre que coelui de
Brot£ro.
4 Nous avons aussi enrichi notre diotionnaire d’un vocabulaire com-
plet de termes de marine, que nous avons puis6s dans le dietionnalre po-
Iyglotte de marine de Rönpme (9), termes qu’on cherchera en vain dans
les dietionnalres portugais, ou qu’on n’y trouvera que tr&s-incorrecte-
ment, et souvent de manisre A induire en erreur (3). Cette aoquisition
(1) M. Constancio, dansson Dictionnaire de la langue portugaise (Paris, 1836),
a admis , sans s’appuyer sur aucune autoril6, eomme termes de botanique, Scaule et
Asiaseiforme, ei bien d'autres termes que nons ne ollerons pas, et qui n’ont aucun rap-
port avec la langue portugaise. N'surait-il pas mieux fait de nous donner les termes de
BaoTkao , Desoaulina ou Destronquecida (plants), et Alfanjada ( folka) ? Ne
sont-iis pas plus conformes au genie de la langue, et ne sont-ils pas plus expressifs ?
Pourquoi chercher chez les &trangers ce que nous avons chez nous ?
Yooy. les articles de notre dictionnaire :
Abarscante, Acacia, Acampainhada, Acarna,
Arsfräo ,Acerosas, Aclavado,,Aculeado, Aru-
, as, Agärico, Alabardinas,
Alame, Alcanna, Alecrim, Alequeadas, Al-
fsce, Albo, Alterne, Ameixa, Amendoim,
Amentülbo, Amentilhosas, Amomeas, Ana-
earde, Antmona, Anthyliis, Apediceladas,
Arvore, Bigumeo, Cedro, Cha, Codeco, Coni-
See , Conselda, Cauvo, Cysano, Desvenosas,
Desvolvado, Diolynämos, Dracunculo, Esca-
riola, Espicinardo, Espinheiro, Eupatorio,
Garinhoso,Girasol,Goiveiro, Graciola, Grama,
Groselheira , Hell&bro, Herva, Hortelä, Hor-
tencia, Iva, Jalapa, Junco, Labaga , Labia-
das, Laserpicio, Leonpödio, Liliäceas, Lirio,
Livrilho, Losna, Macella , Magnölia, Malva,
Marroyo, Melindre, Musgo, Nardo, Orelba,
Päo, Perpetus, Rainunculo,, Rosa, 610.
(8) Pour les termes francais, nous avans consull& la Dictionnaire de marine fran-
gaise,, par Charles Ramme; le Dickonnaire historique, thdorique ei pratique de
„asrine, par Saverien, et ie Manuel des marins, par Bourd£.
(3) Nous ne citerons qu’un exemple. M. Constancio , dans son dietionnalre de la lan-
gue portugaise, guide par une fausse &tymologie, dit que AHUSTAR vient de l’an-
glais co hoist, ou du francais Aausser, et que ce mot signifle Aisser. Celte significe-
dien est erronse et eoniraire au langage vivant de nos marins. Ce verbe vient toul
.-e
xn PREFACE.
est d’autant plus importante, que la nation portugaise a &t& de tout
temps une nation maritime, et que son ancienne gloire est due & ses
flottes, A ses marins et ä leurs expeditions sur mer. Nos meilleurs &cri-
vains, nos historiens d’Afrique et d’Asie, nos po&tes, sont pleins de lo-
cutions et de termes de marine (1), et ce ne sera pas sans utilit& que
les amateurs de notre belle litterature les trouveront recueillis dans
notre dictionnaire (2).
5° Les termes d’arts et metiers ont &t& de notre part l’objet d’un
grand soin : convaincus par experience que cette partie des dictionnai-
res est ordinairement la plus imparfaite , nous nous sommes impos& le
devoir de ne pas admettre un seul mot sans verifier par nous-mömes
s'il &tait le vrai mot, le mot technique. Aussi avons-nous pris souvent
le parti d’aller nous-m&mes dans les boutiques et dans les ateliers pour
demander le nom de plusieurs outils et ustensiles, et ce n’est qu’ainsi que
nous avons &vit6 les erreurs si communes & tous les dictionnaires portu-
gais-[rancais.
& De l’aveu de tout le monde, l’usage des verbes et les pr6positions
qu’ils regissent sont ce qu’il ya de plus important dans une laugue : 16
sens de la phrase, la force de l’expression et la beaut6 du style en d&-
pendent ; c'est lä le pivot de toute la grammaire, etc’est l& aussi la plus
grande difficult€ qu’on rencontre dans l’&tude d’une langue. Or, cette
partie si essentielle avait &t6 tout & fait n&gligee par nos lexicographes;
nous ayons täch& d’y rem@dier. Nous avons commence par s&parer les
verbes actifs des neutres et des r&ciproques, nous avons mis entre paren-
thöses les pr&positions qu’ils rögissent , nous avons montre& leur usage par
des exemples, et nous avons r&solu grand nombre de difficult&s que la
langue portugaise pr&sente sous le rapport de ses verbes(3). C’est la par-
“ naturellement du verbe espagnol ayustar, et du francais auuster : il signifie auuster,
episser, unir deux cordes par leurs bouts en entrelapant les fils.
(1) « Les €piques portugais, dit M. Sans, sont surtout de grands peintres de ma-
» rine, co qui ne surprend point chez une nation qui avalt alors l’empire de la mer, et
» dont ses poötes avalent souvent fait le voyage d’Amerique, d’Orient, des indes,
» comme guerriers ou comme observaleurs. » Voy. Coup d’eil sur la littdrature por-
tugaise, premier volume du Mercure &tranger, publi& par M. Amaury-Duval.
(2) Yoy. les articles de notre dictionnalre :
Agulha, Amarra, Amura,, Ancora, Appare- | Cavilha, Escota, Esceteiras, Escotilha, Ester,
ho, Arriar, Arriba, Arribar, Banda,, Bandei- | Fundo, Gavea, Largar, Lastro , Mar, Masta-
ıa, Barquilha, Bateria, Bogas, Boia, Bolina, |reo, Mastro, Moutäo, Navio, Talha, Tire,
jormba, Bordo, Botäo ,Bracear, Braco ,Cagar, | Vela, Vento, Verga, etc.
(3) Yoy. les articles de notre dictionnaıre :
Abrir, Agradecer, Andar, Armar, Assegu- | razer, Fugir, Ganhar, Gostar, Ir, Lancar, Lar-
ror, Assentar, Bater, Beber, Colher, Comer, | gar, Lembrar, Levantar,Levar, Melter,Morrer,
Concorrer, Contar, Dar, Deitar, Deixar, Dever, | Mudar, Mover, Nadar, Olhar, Pagar, Parar,
Dizer, Dobrar, Doer, Dormir, Empenhar, En- | Passar, Peccar, Pegar, VPerder, Persuadir,
tender, Enirar, Errar, Estar, Fallar, Faltar, | Pertencer, Por, Saber, Salr, Tomar, Tratar, ote
PREFACE. x
tiequi nous a donne le plus de peine; souvent un verbe seul nous a
oecap6 plusieurs jours : nous avons consacr6 une semaine entidre au
verbe Dar. Qu’on lise cet article avec attention, qu’on le compare
avec celui de Moraes et de Constancio , et que l’on juge ensuite.
7° Lesadages et les proverbes, les idiotismes et leslocutions familieres,
sont sans contredit l’une des parties les plus essentielles d’un diction-
naire, parce qu'ils sont le genie m&me de la langue. C’est pr&cisement
ca qu’on ale plus neglig® dans les dietionnaires des deux langues, oü ils
ne figurent presque pas du tout ou fort incorrectement. Nous les avons
rötablis et en avons peut-#tre decupl6 le nombre, ainsi que les locu-
tions familiöres qu’on rencontre le moins dans la litt6rature,, et que par
cons6quent on a besoin de trouver recueillies dans un dictionnaire (1).
& La difference des genres etant si fröquente entre les noms des deux
langues, et &tant, pour ainsi dire, la pierre d’achoppement pour les
Portugais qui veulent parler ou &crire en frangais, nous avons pens&
qu’il ne serait pas hors de propos d’etablir un signe pour marquer cette
difference , ce qui eviterait souvent la peine ä nos compatriotes d’aller
feuilleter les dictionnaires frangais pour trouver le genre des noms ; ainsi,
nous avons adopt& l’ast6risque (*) pour indiquer cette difförence. Ce si-
gne, plac6 devant les noms francais, indique qu’ils sont d’un genre
difförent ; et comme dans les deux langues il n’y a que le genre mascu-
lin et f&minin , il est &vident que la oü nous aurons fait usage de l’astö-
risque, sile mot est masculin en portugais , il est föminin en francais, et
vice versd. Nous n’avons cependant 6tablı cette r&gle que pour les mots
principaux, pour ne pas trop charger la composition typographique.
Nous appelons mots principaux le premier mot frangais de chaque arti-
cle, et tous ceux qui reprösentent une acception tout & fait difförente,
et qui, d’apres notre systöme orthographique, commencent par une
lettre capitale (2).
(1) Yoy. les articles de notre dictionnalre :
äbarcar, Aduella, Agua, Ajuda, Amigo,
Ancas, A , Argueiro, Arteiro, Asno,
Alsleiro, Azeite, Bala „Balde, Baraco, Bara-
te, Barba, Barriga, Beber, Beico, Bemfazer,
Berliques, Bilha, Boca , Bocado ‚ Bochecha,
Bem, Bota, Braoo, Bruxa, Cabea, Caixza,
Cajadada, Caldeiräo, Caminho, Camisa, Can-
deia,CBo, Capa, Cara, Caranguejo, Caridade,
Carze, Casa, Caso , Castello, Cavallo, Cego,
Ceo, Certo, Chaga, Comer, Concha, Conhe-
cer, Conta, Contado, Corda, Correr, Cörte,
Corvo, Cozido, Cravo, Custar, Dado, Dar,
Dedo, Deitar, Deixar, Demanda, Dente, Deos,
Dengraca, Despedir-se, Diabo, Dormir, En-
eazar, Kucambar, Bacher, Encospas ‚„Enfor-
cado , Entendedor, Envolto,, Escapar, Eseo-
Iher, Esconder, Escusar-se, Esfolar, Espelho,
Espinho, Estado, Estöpa, Estrella, Falla,
Fallar, Falta, Falter, Fama,, Fazer, Feio, Fel,
Ferro, Ferreiro, Filho, Fonte, Frio, Furäo,
Fuso, Gallo , Garganta, Garra, Gato, Gosto,
Graca, Homem ‚„Hospede, Inimigo, Irmäo, Je»
juar, Ladrar, Lams, Lanca, Langol, Lebre,
Lei, Levantar, Levar, Lingua, Lobo, Louco,
Lusco, Madrugar, Mal, Manha, Mäo ‚Mio,
Mare, Martello, Mosca, Nadar, Necessidade,
Ocioso, Ouro, Ovelba, Pagar, Palha, Päo, Päo,
Parede, Parte, Passaro ‚Paz, Ps, Pedra,
Pelle, Perna, Perola, Pesar, Peso ‚Remolho,
Reca, Sacrisıäo, Sapato, Telbado, etc.
(2) Un signe pour connsitre 1a A’fMircnce des genres est d’autant plus nöcessalre,
xıv PREFACE.
% Un vocabulaire de g6ographie est chose indispensable dans un die-
tionnaire de deux langues en le plagant & la fin ; mais nous avons penns6
qu'il serait plus utile de l’intercaler dans le corps du dictionnaire, noh-
seulement parce qu’on pourrait donner plus d’&tendue aux articles,
mais parco qu’il en r&sultersit plus de clart6 pour les adjeotifs qui sont
derives de tel ou tel nom geographique.
10° Nous avons ajout6 & la fin un vocabulaire eomplet des noms pro-
pres portugais et frangais, et, pour &riter toute €equivogue, nous
avons mis les noms latins dont les noms portugais sont form&s.
Nous croyons ayolr rendu un service & la litt£rature portugaise en
composant et en publiant un diotionnaire qui püt faire mieux connaltre
notre langue; mais nous sommes pourtant bien loin de crolre que notre
travail solt parfait et exempt de fautes. La critigue y trouvera beaucoup
ä censurer ; nous ne nous en ©tonnerons pas, et nous serons les pfe-
miers & blämer nos fauıtes si elles sont l’objet d’une critique &quitable :
seulement, nous prions nos censeurs, avant de porter leur jugement,
de se rappeler que nous n’avons fait que d&fricher un terrain extröme-
ment aride,, et que les ouvrages philologiques, m&me les plus profonds,
n’ont pas 6t& toujours A l’abri de la critique.
Nous esperons que les litt£rateurs francais nous sauront gr& de kur
avoir facilitö les moyens de connaltre et d’appr£cier la langue et la litt&-
rature d’un peuple qui jadis a rempli le monde de sa glotre, et qui a ou-
vert les portes de }’Orient au commerce, aux sciences et & la civilisation.
qu’en francais il y a des noms gul sont masculiss au singulier ot Fminiasau pluriel.
Woy. Amor (d la fin), Delicia , Orgäo.
= 6
AVIS INDISPENSASLE,
La virgule (,)sert & indiquer les synonymes, ou presque synonymes.
Les deux points (:) indiquent la döfinition ou l’explication da mot qui les
pweobde. it. Foy. & la lettre Q.
Le point et virgule ( ;) indique une acception differente da mot portugais,
mais toujours sous le premier mot francais, ou sous le mot principal qui pr&-
c&de.
Le point final (.) et une lettre capitale au mot suivant indiquent une accep-
tion tout & fait differente, et n’ayant aucun rapport avec le mot frangais ui
est en tie de l’article. \
Le — tient fonjours la place du premier mot portugais ou francais, selon que
la phrase est portugaise ou francaise.
+ Ce signe designe les mols nouyeaux qui ne se trouvent dans aucan die- *
Gennaire portugais-frangais.
*Ce signe, place devant un mot portugais , indique qu'il est inusitö et qu'il
a vieilli ; plac& devant un mot francais, il sert & marquer qu'il n'est pas du
meme genre que le nom portugais. /oy. plus haut n> 8.
Le guillemet (»), plac& devant le ch , indique qu'il sonne k.
Les parenthöses ( ) ranferment : 1° les prepositions que r&gissent les verbes
oa leurs perticipes ; 2° le compl&ment des verbes, les substantifs avec lesquols
Tadjectif semploie, rösiproquement, etc. ; 3° les differents styles, familier,
figure , eic., et les abräwiations qui suivent.
ABREVIATIONS.
Adj. . adjeetif. Iron... . 0... . Ifonique.
Ad}. ey sen... « .„ adjectif 6 deux genres, | Irreg. . ... . . . irregulier.
masculın et f&minin. I..2220.... item.
Adj.eis...... adjectif && substanti. La... .... . termetire du latin.
Ade. . „0... . adverbe. Loe. ade... ...» locution adverbiale.
Ant... ..... . terme d’antiquitö portu-| Loc. prov..... locution proverbiale.
gaise (*). M.. .:.... +. masculin.
art. - 2.2... . article Mi... ..... . milltaire.
Aug. . „on 000. augmentatif. N. . » 0.0.0. . Deutre.
4uziü. ..... . auxiliaire. Num. . ..... numeral.
Bui........ burlesque. Num.ord.....- numeral ordinal.
Eslleel...... . oollectif. P.&. ..cre er. participe actif.
Comig... 0... comique. P.P. . 0... . „. parlicipe passe.
Cmj. oo. r00 conjonction. Part... ...... participe.
Conj. ng... -. conjonction negalive. Partic.....».. particule.
8. 0 0 0.0. . derisoire. Partie. nfg. . . . parlicule negalire.
Dideel. .... . didaclique. Pi... ..e.0... pluriel.
Dim. ....... diminutif. Poll. ...... . poetique.
Ez...... ... exemple. Pröp...».... preposition.
Fam. ....... familier. Pron. . .. .. . pronom.
F...2.2.0.. figure ou figur&ment. Pron. pers. ... . pronom personnel.
Id ........idem Pron.relat. ... . pronom relalif. 1y
impers. .. . impersonnel. Pron. relat. ind. pronom relatif indefini.
Impre&..... . imprecation. Prov....c 2... proverbe.
Isjer. . ..... injurieux. Provime. .... “. provincial.
Interj. ...... interjection. IP.us... cv... peu usit& (terme).
Inmus........ inusile. Recipr....... reciproque.
(*) Nous arons adoptä cette abrärlation, ponr &tablir une diff&rence entre les mots d’antiquite poriugaise et
ics mots d’antiquitd en general, qui sont Indignes par 2. d’ant. Elle sert aussi & Indiguer Ics locutlons gu ont
zappogt am useges ancions, ei quianjaurd'kul sar' "
P)
xVvi
Belat. - . . . . . relatif.
Bust. „oo. . +. Fusligue.
eo 0.0. . substenlif.
S.f- » 0.0.0. substantil f&minin.
S.M. ....0.0. . substantif masculin.
Sup. ....... superlaüf.
T.bok.... .. . terme de Bohemiens.
T.d’agr... . . . . terme d’agrieulture.
T. d’anal. . . .. lerme d’anatomie.
T.dant. .... . terme d’antiquite.
T.darch. . . . . terme d’architeciure.
T.darith... . . terme d’ariihmetique.
T,d’artil. „.. . verme d’artillerie.
T.d’ast. .. .. . terme d’asironomie.
T, d’astrol.. . . . terme d’astirologie.
. .„ terme de blason.
T. de bot... . . terme de botanique.
T.du Bres. ... . verme du Brösil.
T. de charp. . . termede charpeniier.
T. de chim. . . . terme de chimie.
T.dechir.... . . terme.de chirurgie.
T.decomm. . . . terme de commerce.
T.de const. ... . terme de construclion nA-
vale.
T. de cwis. . . . . terme de cuisine.
T.de diplom. . . terme de diplomatie.
T. d’eser. . ... . terme d’escrime.
T. de fauc. . . . terme de fauconnerie.
T.de fort... . . terme de forlificalion.
T.de geog.. . . . terme de geographie.
T.degeom. .. . terme de geomötrie.
T. de gramm. . „ terme de grammaire.
T.d’hist.net.... . terme d’histoire naturelle,
T.d’impr. .... . terme d’imprimerie.
T.de jur. ... . . terme de jurisprudence.
T.de bit, oe... terme de Jiturgie-
ABREVIATIONS. IE
T. de log. . . . . verine de logique.
T.de man... . . lerme de mandge.
T.de mag... . . lerme de maconnerie.
T.de mar... . . terme de marine.
T.de math. .. . terme de malhtmaligue.
T.de med... . . terme de medecine.
T.de min... . . terme de mineralogie. '
T. de wor... . terme de morale.
T.demus. .. . . terme de musique.
T.de myth. . . . terme de mythologie.
2 de not. . . . . terme de notaire.
T.d’opt. .... . terme d’optique.
T. de peini. ... . terme de peinture.
. terme de pbarmacie.
phil... . . . terme de philosophie.
phys.. . . . terme de physique.
..... terme pvpulaire.
al. . + . . terme de pralique.
0. . terme de relieur.
. . . „ terme de rhetorique.
. «. . ferme de scolasligue.
... . terme de sculpture.
I. . . . terme de theologie.
«+. . lerme de venerie.
veler. .. . terme de vettrinsire.
comp. . . . terme en composilion.
“0 0... terme familier.
“000. . terme obscene.
“oo... voyez.
0... terme vulgaire.
00... verbe acf.
02... verbe auxiliaire.
0... vieux mot.
V.®n. 2.0.0.0... verbe neulre.
Ver. 20.0.0... verbe reciproque, reflschi
os pronominal.. .
ars
:F3
;.
!
SSSSSSS NSS!
HH
22
Sabe
33
Sb
>
}
Rprd:p
2,
CLEF DES ACCENTS.
a,€,1,6, { repond, en francais, & {
1, 6,1,0,0
idem.
a, &, 1, d, od.
4, 6, !, 6, 00.
a, 6,1, 6, od.
La diphthongue nasale do est breve quand elle est &crite avec le til sur l’s (do), comme
duns oregdo, örgdo, etc. ; elle est longue quand elle est dcrite avec l’accont aigu pur Fat ie
ul sur lo (di), comme dans coragdö, peixds , eic.
I GE Tl
.DICTIONNAIRE
PORTUGAIS-FRANGAIS.
A.
ABA
A, lettre voyelle yui forme seule un mot pre-
sentant plusieurs acceptions.
ä,8.m, premier caract£re de l’alphabet de.la
portugaise.
A,abreviation de appr6oo (dans les examens
«es candidats); st. d’auteurs. AA. aulores.
A, keure numserale chez les anciens Romains,
pow designer 500, et avec un petit trait dessus,
Sam.
in ert. fem. Ex. Acidade, a casa, la ville,
maison. —pron.rel. f., la, le, celle; pl. as
kes , oelles. f.,la, le, pr. as,
A, particule qui dömontre le regime direc
ou indirectdes verbes. Ex. Deia Pedro a minha
beisa, j’ai donnö d Pierre ma bourse. Amo a
Dess , j'aime Dieu:
A, prep., 2, au,aut; en,äaveo, vers; jusque;
ser;de,par,pour. Ex. A’umahora,dune heure:
&larde, au soir : äs ‚aux eauxX: passar
a Portugal, passer en Portugal : d falsa fe,
seec perkdie : amor ä palris, amour vers ou
enosrs la patrie: de pelamanh# änoile, depuis
le matin jusqu'au soir : 4 bocca da noile, sur le
seit : äminha, & Iua, ü vossa vonlade , de mon,
de ton, ds votre consentement : & forfa, par
force : e & omusa d’estas cousas, et Pour Ces mo-
is.
A (contrastien de e prep. et a art. f.), d, Ala,
au; en, dans, avec, etc., comme ci-dessus.
A,conj. oa plutöt adv. devant un infinitif,
equivaut ä si, dans ls cas : a saber isso, si j’a-
vais su cela : a ser assim, dans ce cas, si cola
etsit.
(as) L’ancienne orthographe employait deux
ss au lieu d’un d avec accent aigu; v.g. amas-
rde, amärko; esieo, estä : inusitce aujour-
A’sa,s. f. " bord, extremite. — do vestido,
pan d’un habit, d’une robe. — do chapdo,, bord
dan chbapeau. Chapeo d’abas grandes, cha-
peau & larges bords. — do rio,i. e. borda,
nargem, rivage, bord d’une riviere.—do forro
(1. de charp.), bordure de bois. — do Lelhado,
rebord d’un toit, avant-ioit, subgrande ou se-
verande. — d’uma janella, d’uma porla, petit
PORT.-FR
ABA
toitpourgarantirdela pluie, auvent d’une crol-
see, d’une porie. ( lg.) Protection, faveur,
gräce, eic. Au plur., Abas d’uma cidade, les
environs, les alentours d’une ville. °
AB ABRUPTO ow Ex ABRuPpTO, adv. sur-le-
champ, sans pr¶lion.
Asica, s. f. "Abaca: lin, ou chanvre des iles
Manilles. 6. Bananier des Indes.
f Anıcanino, a, adj. basane, & teint noi-
rätre, hale, brüld.
«ApBicano, s.m. ef. Abacare, peuple de V’A-
merique meridionale.
ABACELLADO, 04). 9.p. d’
ABACELLAR, ©. a. planter de la vigne (ferme
de jard.); buter, entourer de terre (une plante);
enfouir en terre les racines d’un arbre.
Anico,s.m.(t.d’arch.) abaque, tailloir de
eolonne, la partie superieure ow lo couronne-
ment du chapiteau de la colonne.
ABACOT, 8. m. ornement de tete des rois d’An-
gleterre,, qui avait par en haut la forme de deux
couronnes.
AnACTOR , s. m. voleur de bestlaux.
Asipı, 8. f. toutce que peut contenir le pan
d’un habit, d’une robe. Encher uma abdda de
flores, remplir les plis d’une robe de’fleurs. it.
Abade , femelle du rhinoceros,
ABıAn210,s.m. " merluche, poisson. if. Insecte.
V. Vacca lowra.
Asıvennas,s. f. pl. (i. de mar.) Abadernes:
pelites cordes qui servent pour fortifier et afler-
mir les grands cäbles.
ABAFADIGO, A, adj. renferme, qui a besoin
d'air ; etouffant, chaud, ardent, brülant. Casa
abafadica ‚maison oü on &touffe.
AsırAnDo, A, adj. p. p.d’Abafer.
ABAFADOR, 3. m. 6touffoir: ustensile pour
etouffer le charbon; petite soupape, languette
de drap pour temperer les sons dans le meca-
nisme du piano.
ABAFAMRNTO, 8. m. "suflocation, chaleur ex-
cessive,, &touffement,
ABAFAR, dv. a. bien couvrir pouf Cconserver la
chaleur.—as terras,, herser les lerres labour&es
pyurempecher leur dessechement. it. Duffoquer,
2 ABA
&touffer —umnegoeio, impedir uma pretenglo,
etouffer une aflaire. — uma vela ( i. de mar,)
etrang!er une voi®. — v. u. eire suffoque, res-
pirer avec peine ‚eloufler, n’en pouvoir plus de
chaud. — de gordura, &toufler d’embenpoint.
— decolera, etisuffer de eolere.
Auivas, ©. f. pl. Morrer d—, mourir de
frayeur.
Asiro „s. m. *chaleur etouffante.—do corpo,
cu para 0 corpo, chaleur du corps maintenue
par des couvertures, es de remede pour
certsines maladies. Casa d’abafos, eluve.
ABAINHADO, A, 0dj. P.p. d’
AsaInnar, v. a. ourler: faire un ourlet ä du
linge ou 4 quelque autre &toffe.
ABalonETaR, v. a. meltre la balonnette au
bout d’un fusil, armer de balonnette; tuer &
coups de baionnette.
ÄABAIRRAR, ©. a. diviser en quartiers.
ABAIXAMERXTO, s. m. abaissement, diminution
de hauteur .(fig.) "Bassesse, humiliation volon-
taire ou force ; diminution de credit, d’hon-
neur, eic.
Asııxan, o. a. baisser, abaisser, rabaisser ;
decrottre. (Ag.) Humilier, deprimer, ravaler,
avilir. Abai a soberba, lui abaisser l’or-
gueil. — vo. n. descendre. — se, vo. r. s’bumi-
lier, se degrader, s’avilir, s’incliner devant quel-
qu’un. — a supplicas,, s’abaisser a des prieres.
Asııxo, adv. a bas, en bas, au bas, sous,
dessous,, au-dessous ‚par-dessous, ci-dessous.
ABaJ0UJar-SE. V. Aloleimar-ıe.
AsaLiva,s. fı ( 6. de chasse) direclion du
vol d’un oiseau; trace, vestige, que lo gibier
laisse & l’endroit od il a passe.
AsıLlpo, A, Pp.p. d’Abalar.
ÄABALANENTO, 8. m. *secousss,, ebranlement,
d£part subit. Ce mot commence & vieillir.
ABALARCADO, A, P. p. d’ 0, adj.
resolu,, determine, Lardi , courageux.
+ ABALANCAMENTO, s. m. 6&lan, mouvement
subit avec eflort.
ABALANGAR, D. 6. meiire une balance en equi-
libre ; s’elancer, se debattre pour aller & quel-
qu’un. 0 menino 30 corpo porairaal-
guem, l’enfant se dehat pour aller & quelgu’un.
ÄBALANGAR-SE, 9. r. se mouvoir d'un cöte ei
d’sutre sur une corde, se balancer ;s’“lancer, se
jeter impetueusementenavanti.(fg.) S’oxpeser,
se hasarder, entseprendre une chose avec au-
dace. «st. Quitter une chose pour une auire,
changer.
ABALAR, 9.8. socouer, ebranler queique chose
pour la changer de place, meltre en mouve-
ment; fig. &mouveir quelqu’un, l'inciter l’in-
duire&; ul inspirerdessoupgons, des crainles;
le deiourner de son propos, dessein, resolu-
tion, etc. is. Eblouir. 4A luz absle os olhos, la
lumitre eblouit les yeux.
AsıLar, v. w. branler, vaciller ; partir subite-
ment. —o arraial, o campo ‚d6camper, deloger,
partir. Abaldo-me os denies,lesdenisme branlent.
ABALAR-SE, ©. r. etro emu ‚surpris, interdit
de quelque chose.
ABA
AsıLatstrar, v. a. balustrer, orner de ba-
lustrade.
AsıLpear. V. Baldear.
ABALTENAGÄO, s. f. (1. de prat.) abaliena-
tion , alienation de meubles , hestianx,, eic.
ABALIZÄDAMENTE, adv. aveo Eclat, d'une ma-
niere distingude.
ABALIZADISSIMO, A, superl. d’Abalizado, tres-
distingue ou cel&bre.
AsıLızipo, A, adj. borne, mesurs; qui a des
balises. (#g.)Celtbre,renomme; parfait, achere,
complet.
ÄBALIZADÖR , 8. m. arpenteur, homme qui
maesure les terres ei plante des bornes, des ba-
ises.
ÄABALIZAR, ©. a. arpenter, metire, poser des
bornes dans les champs, ou fonds de terre.
(fig.) Signaler, monirer. (4. (1. de mar.) Baliser
une passe, un canal, une rividre, pour indiquer
los &cueils ou les endroits dangereux pour les
batcaux.
ABALIZAR-SE,, ©. r. 50 distinguer, so signaler
par quelque action d’eclat; aoquerir de la r&-
putalion, de l’estime, du eredit.
ABÄLO ‚,s. m. mourvement, agilation ; ebran-
lement, secousse. (fg.) Mouvement, perturba-
tion , trouble „ &ınotion de l’esprit; changement
d’opinion, d'avis. Sentir abdlo, se troubler, s’6-
mouvoir, se sentir trouble. — de dosnga, de
febre , attaque de maladie, de Rövre.
+ ABALOFiDO, A, adj. p. p. de Abelofar-se,
chose bouflie, enfi6e, ampoulee.
ABALOFAR-SE, ©. r. se bouffr.
AsıLonas, V. Balonas.
AnııaÖa, 8. f. "grappin d’abordage de main :
espece d’ancre & quatre becs dont on se sert
pour grappiner ou accrocher un vaisseau & l’au-
ire dans le moment d’abordage.
AsaLnoAcköd (4. de mar.), ou
ABALROADA, 8. f. "abordage,heurtiement d’un
vaisseau aveo l’auire.
ABALROADO, 8dj. P. 9. d’
ABALROAR, d. m. (4. de mar.) jeter le grap-
pin de main ; se heurter (les vaissesux); appro-
cher d’un vaisseau forlement, menter ä l'’abor-
dage.—alguem, (fig.) s’approcber, aborder quel-
qu’un pour lui parler. —cem al. disputer,
else en question, en differenoe, en debat, en
dispute aveo quelqu’un.
ABALSADO, A, 6dj. 9.9. d’
f AsıLsaR, ©. a. encuver la vendange, mel»
tre dans la cuve le raisin.
AsıLtäatipo, A, adj. bastionne, imitant un
bastion, p. p. de
+AsaLuiatan,v. a. bastionner, fortißer; for-
mer des bastions autour d’une place.
ABANADO, A, p. pP. d’Abanar, adj. secoue.
ABANADOR, 3. m. svontail, Eventoir; van &
vanner; celui qui souffle, qui vanne, qui agite
l’sir, qui chasse les mouches.
AsAnapürı, 3. f. ventilation ; agitalion, 50-
cousse.
ABANANÖScAs (molcompose), castigo de—, pu-
nition l&gdre (fam.).
ABA
äsaxAR , ©. a. Öventer : faire du vent avec un
erentail ou arec quelque autre chose.—o Jume,
e fogo , soufller le feu, Yexciter avec un 6ven-
ir. — uma arvore, ebranler, secouer, agiter
ua arbre pour faire tomber ses fruits. —as
oreikas, dire que non, sa refuser & [aire quel-
que chose (pAr. prov.). — 0 trigo, vanner le
bi& pour le neltoyer.— es moscas, chasser, faire
fair es mouches.— se, v. r. s’öventer.
ABANAR,, ©. ». vaciller, n’&ise pas lerme. —
com a cabega( fam.) laire un signe de L£te. (Ag.)
Rıre agits, troabld par quelque passion.
Assscip0,A,adlj.p.p.d’
B-5E, ©. Tr. 8’asseoir sur un bano, dans
Finiention d’y demeurer longiemps.
ÄABANDALHAR-SE , U. r. &ir6 ou se rendre ridi-
eale par sa mise. (fig.) Se dögrader.
Asaupaınan. V. Embandeirar.
„ABARDEIADO, a,adj. ayant la forme d’an pla-
u.
ABANDOAR, ©. a. röunir en bandes.—se, v. r.
se reunir en bandes, en diverses factions.
ÄABANDONÄDAMENTE, adv. A l’abandon, sans
frein „ sans retenue.
ARANBONIDO „A, adj. abandonne, isole, es-
seule, solitaire. Causa— a, cause abandonnde,
inseutenable,que personne ne delend. Doente—
des medicos , malsde abandonn6 ou delaisse,
disesper®. Homem — corrompido, un aban-
denne, un homme perdu, d&bauch£. p. p. d’
ABANDONAR, ©. a. delaisser, abandonner;
gsitter. Livrer, melire au pouvoir, en la pos-
session de queiqu’un. — a cidade, abandonner
larille, en sorlir. — a sus profisedo, abandon-
Ber, quitier, renoncer ä sa prolession. — se,
e.r. sabandonner, se livrer &; laisser aller les
cheses au hasard ;perdre courage. Se prostituer.
ABASDONÄVEL, adj. 2 gem. qu’on peut aban-
denner; digne d’ötre abandonne.
Ausze0n0, s. m. abandon; action d’aban-
donner; abandonnement d’un herilage, d’un
parti, defeclion. ° Privation ; dslaissement,.
tAsinca, s. m. [ruit d’une espöce de pal-
mier.
Asasico, 5. m. pelit erentail, dim. d’Abano.
Faller por abanicos, faire des jeux de mots.
Asino,s. m. eventail, &ventoir; BECOusse. —
pare encholar as moscas, un chasse-mouche,
ce qui sert a chasser les mouches.
" Asanıksma,, corruplon populaire de Fan-
lasma,. V.
FäAsıQquzripo, A,adj. qui ala forme de ba-
gmeite de Lamnbour. |
Asin, v. a. relever ics bords d’un chapeau,
un chapeau.
AsasıriDo, A, adj. V. Barsto.
ÄBARATAR, U. G. rabaisser; metire plus bas,
dininuer le prix. —os mantimenlos, diminuer
le prix des vivres, faire baisser de prix les co-
mesübles.— ev. n. ou A e,v. r. baisser
de son prix. O Irigo abaralou, le Iroment, lc
bie est A meilleur marche.
Asınaipo, A, adj. qui est bien proche, face
ä face, (fig.) Occup6 & une grande multitude
ABA 3
d’affaires ; surcharg6 , accabl& d’un grand nom-
bre d’alfaires A la fois. Estar — com a morte,
etre ä toutsextremile. p.p. d’
ABARBAR , ©. a. &tre face A face de quelqu’un,
s’approcher barbe äbarbe. (Ag.) Braver le dan-
ger; &ire ou se voir en danger.—se com amorte,
s’exposer & la mort, la braver.—com os peri-
gos, s’exposer au danger ou se metire en dan-
ger.
ABARBARIZADO, A,adj.p.p. d’
ÄBARBARIZAR-SE, ©. r. devenir, se rendre
barbare.
FABARBETAR ,v.a.(l.demar.)brider,genoper.
Asirca, s. f. chaussure rustique de peau de
bauf non tannde,
ABanciD0,A, adj. p.p. d’Abarcar. it. qui
porte une chaussure rustique de peau de basuf
non tannde.
ABARCADÖR, A, 3. accapareur, monopoleur;
celui qui embrasse, qui etreint.
"FABARCADURA, 8. f. "ombrassement, &treinte;
l’action et l’effet d’embrasser, d’ötreindre.
ÄABABCAMENTO, 5. m. V. Abarcadura. it. (Ag.)
Accaparement, monopole sur les denröes.
f ABARCANTE, adj. 2 g. V. Abarcador,p. a.
d’Abarcar. Folha—(t. de bot.), amplexicaule :
feuille qui, parsa base, embrasse le tour. de la
tige.
ABARCAR , v. a. embrasser : ceindre quelgue
chose avec les bras; environner, entourer, O
mar abarca a terra, la mer environne la terre.
Abarcar tudo, entreprendre toute sorte Jd’al-
faires. (Ag.) Accaparer, contenir, renfermer,
comprendre. — com 0 pensamenlo, compren-
dre, concevoir dans l’esprit.(f.de chasse.) En-
tourer l’endroit oü est le gibier pour s’en assu-
rer. Quem muilo abarca pouco aperta (prov.),
qui trop embrasse mal etreint. -
f ABAREMO-TRMO, 5. m. esp&ce de mimosa du
Bresil, plante.
*" Anänca, 8. f. "Nlet, etc., pour la p&che dea
aloses, lamproies, etc.; l’endroit oü !’on fait.
cette peche.
f AsanıLAM, imprecalion employ6e par les
anciens, laquelle voulait dire : Englouti par la
lerre comme Abiron et Dathan.
ABARRACADO, A, 9. p. d’Abarracar.
ABARRACANENTO, 6. m. lieu couvert de tentcs,
barraques, pavillons, surtout de soldats; cam-
pementmilitaire; caserne.
ABARBACAR , v. a. faire lever des tentes, des
barraques pour loger des soldats.— se, v. r. 58
barraquer, se hutter;se loger dans des barra-
ques, huttes, pavillons, etc.
ABARRANCIDO, A, adj. 9.9. d'
ÄABARRANCAR-SE, ©. T. se ravincr, tomber,
entrer dans une fondridre. (fig.) Se fourvoyer,
se melire, s’engager dans des dificulies, dans
des embarras.
* ABARREGCAMENTO, ABARREGAR-SE. V. Amam
cebamento ‚, Amancebar-se , elc.
ADARNEIRAR, ®. a. meitre des barrieres ; en-
tourer d’enceintes une place, un lieu quelcon-
que,
g
m
& ABA
ABARRETADO, A, adj. p. p. de
ÄBARRETAR-SE, OD. T. eouyrir sa tete d’un bon-
net, mettre le bonnet & la töte.
* ABARRISCO, ade. indistinctement; inconside-
rement; en grande abondance, & foison.
AsanaoiD0, A, adj. (f. pleb.) entEts, obsti-
ne , opiniätre.
t Asaraorino, A, adj. p.p. d’4berrolar.
Navio-, vaisseau trop charge, charge jusqu’au
bor
ÄBARROTAR, u. a. barroter, arrimer. (1. de
mar.) Remplir toutes les parties vides d’un b4-
fiment, —se, v.r. (fg.) manger ä n’en pouvoir
plus ‚ regorger.
ABASBACAR-SE, ©. r. nigauder. V. Eunbas- | d’
-.6.
* AnısMaR. V. Despreszar.
Apıssı ou ABASSıSs, 5... * monnale d’argent
qui a cours en Perse.
TAsussüs, s. m. (1.de mar.) "fosse aux lions,
ÄADASTÄDAMENTE, adv. amplement, large-
ınent, copieusement,
ABASTADISSIMO, a,adj. sup. d’Abasiado, trös-
riche, tres-abondant.
ABASTÄDO, A, adj. riche, abondant, bien
fourni, qui a de tout en abondance. Fiver— ,
eire riche, sis€, vivre ais6ment.
° ABASTAMENTE, V. Bastantemente.
ABASTANENTO, s. m. "abondance, afluence.
Anıstinca,s. f. abondance, suflisance, ai-
sance.
* ABASTANTE.
* ABASTANTENENTE. V. Bastante...
ÄBASTAR, ©. a. apporter de ’abondance ; ras-
sasier, remplir abondammment; approvisionner.
— o.n. ötre suflisant, suflire, @tre capable de
suffre & quelque chose.—se, se rassasier ;s’ap-
provisionner abondamment.
ABASTARDÄDO, A, adj. P. p. d’
ABASTARDAR, v.a.abätardir, faire degenerer.
V. Bastardear. —s0,v.r. fig. s’abätardir, per-
dre de ses facultes; degenerer, en parlant de
la conduite, de Porigine de quelqu’un.
+ ABASTECEDÖR,, 3. m. fournisseur, approvi-
sionneur, pourvoyeur, celui qui fournit des
vivres et d’autres choses necessaires.
ABASTECER,, ©. a. approvisionner, pourvoir;
fournir les choses ne&cessaires; avitailler, mu-
nir, ralraichir, ravitailler, introduire des vi-
vres , des munitions dans une place. Assorlir,
fournir de toutes sories de choses une bouti-
que, etc.
ABıstecioo, a,adj.p. p. d’Abastecer.
ÄBASTECIMENTO, 5. m. approvisionnement,
avitaillement; fourniture.
Asisto,s.m.V. Abaslanga.
‘ AnASTÖSAMENTE, adv. V. Abastadamente.
ABASTOSO, A, adj. V. Bastante.
ABiTE, s. m. *° diminution de prix, rabais.
sem dar nada de—, sans diminuer rien du
De; & prix fixe. Com grande —, au grand ra-
s.
ABATEDOR, 8. ım. abattcur: celui qui fait des
dimiioulions dans les prix des murchandises.
ABB
ig. Abaledores das honras, dos ereditos, dos
merecimenios alheios, oeux par envie ra-
baissent et ravalent Phonneur, le credit et los
merites d’autrul.
ÄBATER,v. a. abatire: jeter parterre, renver-
ser, jeterbas, fairetoımber,demolir, ruiner, faire
cesser, detruire, faire descondre. (fig.) Abaisser,
deprimer, rabaisser, humilier, intimider, aoca-
bler, terrasser, ravaler ; döduire; ternir, affai-
blir, diminuer Peclat, faire pälir. O solabate as
estrellas, le soleil fait pälir les dtoiles. — a
poeira, 0 pP, borrifando o ch&0, abattre lapous-
siöre en arrosantlaterre.—abandeira, erredie,
baisser le pavillon.— asoberba, o atrevimen!o
alguem , abaisser, abattre l’orgueil, l’audace
de quelqu' un.— a fortuna d’alguem , abaisser,
humilier la bonne fortune, la prosperites de
quelqu’un. — a forga, o vigor d’alguem,, debi-
liter, d&sanimer, affaiblir quelqu’un. — 0 ere-
dito d’alguem, diminuer, retrancher, amoin-
drir, abattre ie erddit de queiqu’un. — da som-
ma, delalquer, diminuer du prix, faire un ra-
bais, diminuer de la somme. — vo. n. 50
calmer, s’apaiser. O venio abate, le vent so
calme. if. Deriver, s’öcarter de sa route, en
parlant d’un vaisseau.
ÄABATER-SE, vo. r. s’abaltre, se renverser,
tomber par terre. (fig.) S’humilier, devenir
humble, quitter son orgueil ; «s. s’absttre, per-
dre courage,, caur, 56 d&courager, avoir moins
de vigueur.
ABATIDAMENTE,, ado. bassement : d’une me-
niöre basse,, abjecte.
ABATIDISSIMO , A , adj. superl. d’
Asırivo, A ‚adj. p. p. d’Abater, abatla, ren-
verse, tombe, mis par terre. (Ag.) Humilie,
vaincu ; faible, d&courag6, qui a perdu ses for-
ces, Bon Courage, 6lc.
ABATIMENTO, 3. m. abatiement : l’action
et l'effet d’abattre; d6molilion, renversement,
ruine, destruction d’un bätiment. (Ag.)"Humilia-
tion, abjection, abaissement, depression. —
d’animo, de spirito, abattement, faiblesse,
manque de force, de courage. — d’esiado,
disgräce de la fortune, adversitd. —na somma,
V. Abate.
fAsıTınino, A, ady. p. p. d’Adalinar-se.
Sobrecasaca abatinada, redingote en forme de
soutane.
f ABATINAR-SE, ©. r. s’babiller en soulanc;
mettre la soutane.
fABAULADO, A, 0d/. V. Convexo. Rus, esirada
abaillada,rue, route bombee, qui a la forme
d’un dos d’Ane.
f ABAULAR, dv. a. donner la forme de bahut,
de dos d’äne; "bomber.
fAsivo, s. m. (8. de bot.) abavo : grand
arbre d’Ethiopie dont le fruit ressemblo & la ci-
trouille.
Asixaa. V. Abaizer.
ABBACIAL, adj.2 gen. abbatlal, qui appartient
& un abbe ou & une abbesse.
*ABBADADO, A, adj. qui a unabbe. /greja —a,
€glise gouvernee,, reglee par un abbe,
a Gr VE | 5 BE
ABE
+ Annapäicıo, s. m. grand goßter quo los an-
eiens abb#s exigeaient de leurs paroissiens lo
jeur quils prenaient possession de leur dignite.
Assapio,s. m. aug. buri. grand abbe.
® ABBABAR, ©. 6. pourvoir d’un abbe.
Ausipz, 5. m. abbe : chef d'une abbaye. On
denne aussi co nom aux pr£&lais des moines, et
äAquelgques eur6s inamorvibles de Portugal et
Anzantssa, 5. f. abbesse : supericure d’un
menuastöre de religieuses.
Ansapzssipo, 8. m. ° dignitö, charge, Juri-
dietion d’ane abbesse; #lection d’abbesse; fes-
tin dess lo jour de son 6leclion ; durde de son
geurernement.
Assıpiı,, s. f. abbaye : dignite, droit, pro-
prietös, privilöges d’un abb6 ou d’une abbesse.
st. °Monastäre dereligieux ou dereligieuses di-
rig6 par un abb& ou par une abbesse. il. Cure,
dent le cure est inamovible, et qui a ordinaire-
meatplusieurs vicaires. i1.* Presbytöre : maison
de eure.
° Ausanıan0. V. Abbadia.
+ Az2ıDınE0, s.m.dimin.d’Abbade, petitabbe.
Ansırına,, s. f. V. Batina.
4,B,C,s.m. alpbabet de la langue portu-
giise. O — d’uma seiencia, d’uma arte, d’um
sogecio „ le rudiment d’une science, d’un art,
d’sao affaire.
Asczoen. V. Aposiemar.
Ancisso. V. Abscdsso. ,
TAsoxLirvı, s.m. abdelavi : melon d’Egypte.
Aspıcacid, s. f. abdication : resignalion, re-
soncement volontaire au pouvoir souverain.
AnpKcı20,A,9.7.d
Aspican, v. a. abdiquer: renoncer volontai-
rernent au pouvoir souverain. 4. Abandonner,
tenoncer, se dömeltre librement du droit qu’on
yet avoir k unechose quelconque. 54. Annuler,
abolir la facult€ accord&e & quelqu’un.
ABBICAHVEL, adj. 2 gem. qu’on peut abdiquer.
Ansousu,s. m. (d. d’anas.) abdomen, bas-
venire.
TAsomımizs, s.m. pl. (tl. d’hist. nat.) abdo-
sılnanz : poissons A nageoires sous le ventre.
AspouıniL, adj. 2 gen. (1. d’anat.) abdomi-
sal, du bas-ventre.
Aspucciö, 8. f. (1. d’anat.) abduclion : V’ac-
tisn de mouvoir en dehors.
Aspucrör, s. et adj. m. (F. d’anat.) abduc-
teur : muscle qui fait mouvoir en dehors les
parties auxrquelles il est attache. Musculos ad-
ductores, muscles qui agissent dans l’abduction
sur tous ives membres du corps.
+ AsneırTino, a. 0dj.p.9.d’
ABEATAR-SE, v. r. devenir bigot.
Astuzna. V. Böbero.
fAutuerRADO,A, p.p. d’Aböderar, dquiona
denns & boire. Sopa ab#berada, soupe bien
. trempee.
ÄBEBERAR,, v. a. abreuver, donner & boire;
faire boire, mener boire (les bestiauxr). is.
Tremper.
Asscepinto,s.m. ABC : abecedairc: ordre
in ABE 5
des letires sulvant l’alphabetdechaquelanguc ;
‘6. petit livre qui sert A montrer A lire aux en-
fanıs.— adj. alphabetique, mis par ordre alpha -
betique.
AnzcÄ0, s. m. domestique d’un fermier; chef
de ceux qui travaillent avec les baufs ; con-
cierge, &conome,, qui a soln d’une maison de
CaMpagne.
Asecarla. V. Abegoaria.
Asecöı, 8. f. fermidre, mötaydre, elc. V.
gäo
ABECOARIA, 8. f. (f. d’agr.) maison rustique,
ou Pon garde tout ce qui concerne le labou-
rage; train n&cessaire pour le labourage; lout
c6 qui concerne une mölairie , une ferme, com-
me baufs, charrues, etc.
* ABEGOURA. V. Abegoaria,
ABEJARUCO. V. Abelheiro.
Astına,s. f. abeille, mouche & miel: insecte
de l’ordre des hyme@noptöres , de la famille des
mellites, qui produisent le miel et la cire. —
mesira, abeille qu’on nomme reine, et qui est
la mere de toutes les autres. (fig. fam.) Femme
trds-astucieuse, Tus6e, eic.
As£ıua-FLÖöR, 8. f. (t. de bof.) *"orchis papi-
lionac6 (plante).
Aszıuiö, s. m. bourdon: espäce de grosse
mouche qui fait un bruit continuel et monotone
avec sa trompe.
ABELHÄR-SE, ©. 7.86 presser: agir avec acli-
vits, diligemment.
ABELBARUCO,. V. Abelheiro.
‚ABtınasinua, s. f. dim. petile abeille.
AseLu£ına,s. f. *essaimd’abeilles (pose6 dans
le tronc d’un arbre).
f Assıukına, s.f. (6. de bot.) *orchis papilio-
nace.
f ABELH£IRO 0% ABEJARUCO, 8. Mm. INETOpS,
mesange bleue, gu£pier : petit oiseau de plu-
mıage gris, ray& de noir, de blanc et de jaune,
qui mange les abeilles. i6. Gouverneur des mou-
ches ä miel, celui qui prend soin des ruches.
ÄABELHINHA Ou ABELHITA. V. Adelhasinha ;
‘4. plante. V. Abelha-flor.
ARELHUAR-SE. V. Abelhar-se.
ÄBELBÜDAMENTE. V. Apressadamente. it. In-
discretement.
ABELHÜDO, A,adj. [ortdiligent ‚tropempresse.
st. Qui se me&le de ce qui ne le regarde pas; in-
discret.
Apeuicea,s.f. abölicde: grand arbredeCre&te,
f ABELIDADO, A, pP. p. d’
} ABELIDAR-SE, v.r. avoir des laies dans los
ycux.
Aseııkıra. V. Avelleira.
ÄABELMELUCHO,, 6. m. espece de raisin ou de
palme de Christ, qui crolt aux environs do |:
Mecque.
ABELNÖSCO o% BELMOSCHO, 8. m. "ambrotte :
petitc fleur d’une odeur agröable et qui sent le
musc. Ketmie musquec, herbe au musc.
ABELOTAMENTO. V, Abolelamenio.
ÄABELPRAZER, adv. bien & son aise, sans la
moindre gene,
6 ABE
Astu, ade. en bonne part, faverablement.
AszNOoLinDo, A, p. pP. d’Abemolar (1. de mus.)
en bemol; suave, doux. (Ag.) Afleet#,, trop re-
cherch6 ; eff&mine. "
ABENOLAR, v. a. ($. de mus.) mettre en b#-
mol: baisser une note d’un demi-ton ; id. Adou-
cir, assouplir, flüter la voix.
Asancoapkıaa, s./. femme gui b£nit.
ÄBENCOADO, A ,P.P. d’Abengoar :quia recu la
benediction. (fig.) Heureuz, favorabie, propice,
bon. —sejas no que inlenias, que Dieu benisse
vos entreprises,, vos desseins.
ÄBENCOADOR , A, 5. celui, celle qui donne la
benedietion , qui souhaite du bien ä quelqu’un.
ABENCOAR OW ABENDICOAR, v. a. benir; ap-
prouver ; favoriser ; souhailer du bien & quel-
qu’un.— ss, v.r. se benir: recevoir, prendre
la benediction.
Aunzuusses. V. Benesses.
T Aszatua, s. [.(t.de bot.), aber&me : plante
de la Gwiane,.
Asznnıciö,s.f.(l.d’astr.) aberration : mou-
vernent apparent et fort petit qu’on observe dans
les etoiles. (Ag.) Action d’errer en morale, en
politique,, etc.
ÄBERRADO, A, P.9.d’
ÄBERRAR, v. ». s’6carter du bon chemin. —
dos diclames da razdo, s’€&carter du bon sens.
— da [@, renier la foi, renoncer & la foi. — da
materia , s’scarter de son sujet.
Astatı, 5. f. ouverture, l’action d’ouvrir;
trou, fente, troude. (fig.) Occasion, conjoncture,
avantage. A itar-se , ou lansar mdo d’uma
—,profiter de l’occasion, prendrel’occasionaux
cheveux, ne point laisser &chapper l’oocasion.
Perder «—, ndo se aproveilar d’ella, perdre
Poccasion favorabie.
ABERTAMERTE, adv. ouverlement, clairement,
manifestement; en public, publiquement, de-
vant tout le monde. (fig.) Franchement, sans
döguisement.
Ankarıs, s. f. plur.* canaux „rigoles pour
conduire freau. i4. Aberlos , blancs qu’on laisse
dans P’öcriture pour remplir apres.
Anßato, A, p.p. d’Abrir. Ourvert, expose.
Portas, janellas aberias , portes, fenttres ou-
vertes. Porta aberia em dwas, porte ä deux
battants, qui s’ouvre en deux. Cavallo — dos
peilos, cheval demis, boiteux. Homem de peito
aberto, ( Ag.) homme franc, sincere, ingenu;
sans döguisement, sans finesse. if. Large, vaste,
spacieux. Campo ou campanha aberia, rase
eampagne. Credilo—,, credit illimite. Risco— ,
danger &vident. Obras, negocios em — , OuYra-
affaires en suspens, pourterminer, achever.
AnErTÜRA, 8. f. l’action d’ouvrir. Ouverture,
percement: fente, crevasse, ouverlure en long.
Breche , bäillement: ouverture & la suite d’un
tremblement de terre. Epauouissement: action
par laquelle les fleurs commencent ä& deployer
leurs feuilles. (Ag.) Franchise, sincerite,, inge-
nuite, nalvets, simplicit£. df. Ouverture d’une
assembiee , d’un concile,, d’une universite, des
tribunaux, des sceaux, des tombeaux, d’un
ABI
testament; des ballois dans ia demane. — de
pulso , do peilo, douleur trds-vive au peignet
ou & la poitrine, & la suite de grands effeorts.
U.(fg.) "Epanchement: l’actiondes’tpancher on
d’ouvrirson caur aree sincerile, avec temdresse,
avec conflance. — do etsio da garen (l.de mar.)
trou de chat.
*Aucsina, 8. f. "attelage de baufs qui la
bourent.
ÄABESENTABO, A, 9.P.d’Abesoniar (1. de blas.)
besante, orne de besants.
ABESENTAR „O.a. meltre des besants (dans un
€&cu\. V. Besante.
ÄBESOTRO,.
ÄABESPA.
ABEsPio.
ÄABESPINHA.
+ ABESPINNÄDAMENTE, ade. avec acrimonie,
äcrete : comme une guäpe irrilee.
+ ABESPINBADO, A, adj. agace, irrile : p.p. d’
} ABESPINBAR-SE,, €. r. s’agacer, siirrler
comme les guepes;; entrer en fureur. V. Espi-
nhar-se.
+ Anessıno. V. Abexim.
+ Astsso, s. m. "mechancele, malignitö en-
vers quelqu’un. ( Viewr mot.)
ABESTIM.
ABESTO. | V. Asbesto.
ABESTRÜZ OW AYESTRLZ, 8. m. autruche : le
plus grand des oiseaux, fort baut sur jambes,
qui a le cou fort long, les pieds faits comme
ceux du chameau, etquin’a presque de plumces
qu’au bout des ailerons el de la queue.
Astra, s. f. dim. d’Aba, petit bord.
ÄABETARDA, 8. f. outarde: oiscau de passage
de l’ordre des echassiers, bon & manger, gros
comme une oie sauvage.
ABETARDADO, A, adj. couleur d’oularde.
ABETE, 5. m. avet, sapin : grand arbre r&si-
neux et toujours vert.
AsETERno, V. Eterno (ab).
+ Astro. V. Abete. — ntgro, le fanz sapin;
sapin rouge. — do Canada, petit sapin de Vir-
ginie;; &pinelte, sapinelle.
ABETUMADO, p. p. d’Abetumar. V.(fig.,elen
style burlesque ) severe, austere ; triste, sombre.
ABETUHAR. V. Belumar.
” ABETLN, 8.m. secours. (Fieux of.)
AseExım, adj. Abyssinien.
+ Anıpe, 3. m. vanneau : oiseau de rivasc.
* ABIBLIOTBECADO, A, P. p. d’
“ ABIBLIOTHECAR , c.a. meitre, garder, placcr
des livres en bibliotheque.
Asıcano, A, 9. p. d’Abicar. (fg. Estar — a
alguma dignidade, etre a la veılle d’obicnıe
une dignile.
Asıcar, 0. a. (1. de mar.) arriver, aborder;
mouiller l’ancre.
ABIETINO, A, adj. (f. poel.) dusapin.
ABIGEÄTO, 3. m. abigeat : vol de betall.
+ Asııpcaan, s.m.(l.d’hist.nat.) abildgaar:
espece de spare d’Amerigue (poisson) du genre
des iboraciques.
AsıLe. V. Abil.
V.sans A initial: Besowro,elc.
ABJ
"ASILBAURNTO, 8. m. Ornement, parure;
mise.
" ABILHAR, ©. 6. OrDEr, parer.
+ Asımma , s. f. dim. d’Aba.
+ As-mırıo, loe.ado. d&s le commencement;
it. depais un temps trös-recule.
AsNTEsTAnO, A, adj. ab intestat, intestat. Se
dit d’ane personne mortle sans faire de testa-
ment,
Anscorrap0, A,P.P.d
Asıscorrar, ©. 6. cuire le pain jJusqu’& le
dessecher, en le soumettant & une double
caissen.
AusuapO, a, P.P. d’Abismar. Abim6, jete
dass un abtime. Navio — nas ‚nomar,
vaisseau coale & fond dans la mer, abime, en-
gieati par les flots.— de dividas, (fg.) charge,
perda de dettes. —, admirado, &tonn6, plein
d’sdmiration.
+ Anısmar ou ABYSWAL,ady.2 gen. quiap-
partient & P’abime; tr&s-profond.
ABISHAR Ow ABYSMAR, ©. a. abimer, renver-
ser, pröcipiter. (fig.) Plonger, perdre, ruiner en-
tierement, confondre,, humilier. it. Etonner
qeeiqu’un, lui causer de Padmiration. — se,
«.r.tomber, se plonger dans un abime, se
perire , se noyer. (fg.) wos diverlimenlos, na
der, nos vicios, sabimer dans les plalsirs, dans
la douleur, dans les vices, s’y plonger,, s’y
abandonner.—diante de Deos,, s’abimer devant
Dies „ shamilier profond6ment en sa pre
sence.
Asısuo ow ABYSMO, s. m. abime, gouffre,
ipi fondeur, trou sans foüd : ilse dit
Dani des choses irös-profondes. (fg.) Abime :
tut ce qui est immense, incomprehensible.
Um — chama ouiro , un abime atlire un au-
we „ dit-on proverbialement, quand d’un mal
ea tombe dans un autre plus grand. Os oternos
ebismos, Yenfer. it. Le dernier degreö de deca-
dence. O0 abismo da miseria, da desgrapa, un
abime de mistre , de malheur.
+ AsıspapO, A, adj. soupgonneux, deflant;
prudent, avise.
Ausso, s.m.(1.podi.)V. Abismo.
+ Asrıano, A, p- p. d’Abilar.
* AuıraLHan. V. Abitualkar.
Asıran,v.a. (f. de mar.) bitter, rouler le
autour des bities.
Asitas,s.f. (l. de mar.) pi&cesde bois rondes
pour amarrter l’ancre mouillee, bittes.
Anıtoziö, s. f. abjection, avilissement, me&-
geis,, abaissement.
ABSÄCTANENTE, ade. avec me£pris, d’une ma-
mitre basse , mieprisable.
Asstcrissino, A, adf. sup. d’
„Antcro, A, adj. abject, meprisable, vil,
Anızıcio. V. Abjecrdo.
AsstoıcaD0,A,Pp.p2.d’
ABICDICAR , 0. a. prendre par Justice, d@pos-
stder quelqu’un d’ane propriet6 pour la don-
ner A un aulre.
Auscaacid, s. f. abjuration, l’action d’abju-
u ®
ABO 7
rer, la formule ou les termes qu’on emploie en
pareils cas.
ABIURADO, A,P.p. d’
ABJ0RAn, vd. a. abjurer, renoncer solennelle-
ment & quelque doctrine, ä quelgue opinion
regardde comme fausse et pernicieuse, se T&-
tracter. Elle abjurow, il a change de religion.—
a poesia, abjurer la poesis, y renoncer.
f ABJURcAR, ©. a. querelier, gronder, r&öpri-
mander.
Asuactacid, 8. f. (l. de m£d.) ablactation ,
cossalion d’allaltement; if. le sevrage des en-
anis,
ABLACTAR, ©. a. V. Destelar, Desmamar.
ABLaquzcer. V. Excavar.
ABLATIVO, 3. mı(f. de gram.) ablatil: ie
sixiöme cas des noms dans les langues oü ils se
deelinent.
AsLecagid, 8. f. ablögation : sorte de bannis-
sement prononce par le pere dans l’ancienne
Rome.
ABLEGADO, A,adj.p. pP. d’
ABLEGAR, v.a. ableguer, bannir. V. Ablegardö.
ABLEITADO, V. Ablactado.
ApLvciö, s. f. ablulion, action d’abluer. Co
mot est particuli&rement consacre aux cer&mo-
nies de la messe. Il signifie le vin que le pretre
prend apres la cömmunion, et le vin et P’cau
que l’on verse sur ses doigts et dans le calice
apres qu’il a communie. Dans l’anciönne me&-
decine et chimie, c’etait une sorte de lavage
par lequel on pretendait purifler certains me-
dicaments. On se sert aussi de ce mot pour ex-
primer la cer&monie du bapt&me,
Asıufa. V. Lavar.
Asnecackö, s. f. abnegation: renoncement &
soi-meme, et detachement de tout ce qui ne
regarde point Dieu.
ÄBNECADO, A, p. P. d’Abnegar.
ABNEGADOR, A, adj. abnegateur.
ABNECAR, ®. a. mepriser quelqu’un me&con-
nallre. — 3e, v. r. renoncer volontairement ä
ses desirs ou & ses passions, se mepriser soi-
meme,
ABNETA,s. f. troisi&me petite-Nlle.
f Auto, s. m. troisieme petit-tils.
A’soA F£, loc. adv. en veriis,, sincerement,
de bon caar, avec sincörite.
* ABOAR, U. G. avouer.
ABÖOBADA, 8. f. voüte. Cerrar ou Fechar a—,
placer,‚dans la construction d’une voüte, la clef
oula pierre du milieu. (Ag.) Metire la dernidre
main. A un ouvrage. Cerrar a— das culpa:,
commettre le dernier peche, nn combler la
mesure.
ABOBADADO , A,P. 9. d’
ABOBADAR, d. a. voüler, muvrir avec une
voüte, faire une voüle.
ABÖBADASINHA, 8. f. dim. a’adobada, pelile
voüte.
ABOBADILEA, 8, f. voQte en plätre.
}AnosiDO, A, adj. celui qui a l’air sol,
niais. Cora abobdda, air niais, nigaud.
+ AnopAR, vd. @. ebabir etonner, rendro in-
8 ARO
terdit,, stupeller. it. Entretenir, distralre. — se,
v. r. devenir sot, nlais, nigaud.
+ AB6BORA ou AuOpRa, 3. f. citrouille, courge
(le frwit de ceite plante). —menina, poliron,
pepon. — geromun, giraumont. — carnfira
ou de carn£iro, calebasse, gourde, flacon,
calchanse d’herbe. — silvestre, V. Cologuin-
AsoporÄL, s. m. lieu some de courges.
Asosorar. V. Abeberar.
Anoponkıra Ou ABOBREIRA, 8. f. Courge, ci- | pdo
trouille ( plante rampante de la famille des cu-
eurbitactes).
ABOBORINHL Ou ABOBRINHA, 5. f. dim, d’4-
obora , petite courge.
AB0CADO, A, p. p. d’Abecar.
ABOCADURA, 3. f. ouverture, embrasure oü
Fon place les canons ‚sabords. if. Eimbouchure,
ouverture des canons.
ABOCAMENTO, s. m. l’aclion de prendre avec
la bouche; rencontre de deux canaux, veines,
eto. (%g.) Abouchement, entrevue pour parler.
ÄBOCANBADO, A,P. pP. d’
ABOCANHAR, ©. G. mordre, serrer quelque
chose avec les dents. (fg.) Decrier, ternir la
röputation de quelqu’un, medirc, reprendre ,
eritiquer; censurer avec malignite.—em lingus
esiranha, estropier une langue eirangere. —
muilas cousas a um lempo, entreprendre plu-
sieurs choses & la fois.
ABOCAR, v. a. gueuler. Il se dit des chiens
qui prennentencourantlegibieravec la gueule.
Commencer & entrer dans un detroit, barre,etc.,
en parlant d’un navire.—umarus, enüler une
rue. — os canhöes pelas portinholas, braquer
les canons dans les sabords. (flg.) Obtenir,
reussir A avoir une chose (fam.).
AB0OCAD0,A,p.p.d@
+ Asocan, vo. a. (f.de mar.) atlacher avec
des cäbles, bosser. — as vergas com ,
de ferro, bosser les vergues avec des chaines
de fer. .
ABOCETADO , A, adj. en forme de bolte, ar-
rondi. Rosto —, visage rond.
° ABOCHORNADO,, V. Calmoso.
+ Asot, s. m. (1. d’hist. nal.) abo& : poisson
holocanthe des indes Orientales.
ABOFETADO, ABOFETAR.
AnorsteADo, Anorerean. | \- Zibofelsar.
ABOIADO, A,P.2.d’
Asoıan,v.a.(4. de mar.) melire, attachor
une bou6e pour faire flotter quelque chosc. Alta-
cher un morceau de bois, de licge ou un baril
vide, ä un cordage qui flotte au-dessus d’une
ancre ou de toute aatre chose pour ınarquer le
lieu oü elle se Irourve. dt. Attacher ainsi avec
des bouses differents objets pour les jeter & la
mer en cas de necessite. — v. w. flotter, sur-
nager.
Asoıs ow Anoız. V. Bots.
AB0LADO, A, P.p. d’
AsoLar,, v. a. bosseler. V. Amolgar.
AsoLeımino, A, adj. (1. burl.) stupide, lourd,
qui a le visage plat.
ABO
ÄABOLETABO, 9. P.d’
ABOLETAR, v. a. donner des billets de loge-
ment(& la troupe), loger les soldais dans les
maisons des particuliers.
Asouicäö, s. f. abolilion, abolisseınent,
anetantissement, exlinction d’une loi, etc. ; re-
siliation ; cassalion, r&solulion ; abolilion d’un
acte,
ABOLIDO, A, P.p. d’Abolir.
ABOLIMENTO,, s. m. action d’abolir. V. Aboli-
AsoLınan. V. Bolinar.
ABoLIR, v. a. abolir, casser, annuler, efla-
cer, r&voquer, öter, invalider. (1. de barreau)
Resilier, casser un acte. —um crime, absoudre
le coupable, remettre la peine d’un crime por-
tee par la loi. — se,v.r. s’abolir, se passer,
s’annuler, s’effacer, se detruire, perir.
AsoLLar, etc. V. Abolar, etc.
ÄAÄBOLORECER, vd. ®. chancir, moisir. — v. a,
A hkumidade abolorece o pdo, le pain se moisit
dans les lieux humides.
ABOLORECIDO, A,P. p. d’Abolorecer.
® ABoLöR10 , 8. m. les anc£tres.
AuoLsino, A, adj. fronce, bouffant, plisse
comme une bourse, ou qui a plusieurs godrons
en forme de bourse.
AsoLumino, A. V. Avolumado, Empachado.
+A»oua,s. f. (il. d’hist.nal.)" aboma,ser-
pent monstrueux de la Guyane.
ABOMINACAO, 5. f. abomination , deleslalion,
execration , aversion quo nous inspire la pre-
sence vu le souvenir d’une personne,, ou
chose.
ABOMINADISSIMO, A,8up. d’
ABOMINADO, A, pP. p. d’Abominar.
ABOMINADOR, A, 8. celui ou celle qui de-
teste.
ÄADOMINANDO, A, adj. abominable , detes-
table.
ADOMINAR, v. a. delesier, exe&crer, abhorrer,
avoir de l’aversion pour quclque obose, l’avoir
en execration, en horreur.
ABoNınÄavEL, adj.2 gen. abominable,, detes-
table, execrabie; qui merite d’eire deteste;
ir&s-mauvais.
ABOMINÄYELMENTE, ade. abominablement,
detestablement, execrablement, d’une maniere
abominable, otc.
ABOMINAVILISSIMO, A, sup. d’Abominarel,
trös-abominable, etc.
+ Anoxınöso, A, V. Abominavel, ül. (I. de
pods.) Superstitieux, qui chesche & &riter les
choses omineuses.
A-DOM-RECADO, (loc. adv.) assur&ment,, aver.
assurance, avec securite. Pör uma cousa a
bom recado, meilre une chose en lieu de sürele,
Aponaciö, s. f. caulion, garantie. (fig.)
Recommandation, louange, approbation.
+ ABOXÄDAMENTE, ade. d’une manidrc digne
de foi, avec de la r&putalion, du credit ; assu-
rement; richement.
ABONADISSIMO, A, sup. d’
ABONAnO , A,@dj. p. p. d’Abonar; accrediie,
ABO
riche, qui a da credit et de l’argent. Teste-
nenba abonade, un tömoin irreprochable, di-
ce de foi. Mercador —, marchand solide, fort
nche.
ABOSADOR, A, 3. caution, garant, r&pondant,
velui qui repond, qui s’oblige pour un autre.
+ Asonam£wro, s. m. l’aclion diacerediter,
d’assarer; cautionnement, garantie. V. Abo-
napdo.
Apoxauca,s.f. V. Bonangs.
ABONANCABO,P. p. d
ABOSANGAR, ©. @. calmer, tranquilliser, mo-
derer. — e. ». se rasserener, devenir serein, en
partant du temps , d’une tempete. (1. de mar.)
ollir, se calmer, en parlant du vent.
one v..a. accrediter: donner de l’auto-
rite, de la r&putation, du eredit; faire jouir de
Festime , qualifier une chose de bonne. i$. As-
saurer, avouer, autoriser une chose, un fait,
use sction; porler en compte, inscrire la somme
que Fon doit ou que queiqu’un a payee; cau-
Gonner, se rendre caulion, Fepondre pour
queilge’un. (£. de com.) Bonifier, faire bon.—
em conss (f. de com.), metire en credit, cre&-
diter.
ABONAR-SE com alguem de, v. r. se vanlier
derant quelqu’un, parler de soi-m&me avec
vasiie , ostentation, eic.; se piquer de.
„Jossinca, „Asonnan.V. Abundancia, Abun-
A20n0, s. ms. Paction d’accrediter, 'd’assurer;
canlisanement, garantie. (flg.) " Approbation,
kouange,, recomimmandation. V. Abonardäo. Abo-
nos, pl. (f. de jew) enjeu, Jetons. Fallar em —
dalguem, parier en faveur de quelqu’un.
Asoscan. V. Bolkar, Arrevessar.
Anonpapa. V. Abordagem.
ABORBABO, P. pP. d’Abordar.
Asonsısön, A, 5. ((.demar.)oeluiqui aborde
un vaissesu.
ABORDpicEN, 8. f. (t. de mar.) "abordage : ac-
usa d’aborder ; choc de vaisseaux.
Asoxpar, v. @. (t. de mar.) aborder, se tou-
eher, choquer, s’approcher dans quelque des-
sem que ce soit, en parlant de deux embarca-
tions. Aller a bord ; prendre terre. — alguem,
aborder, approcher de Tuelqu’un pour lui par-
ler. — om, v.». aller ä& Pabordage,, atiaquer.
V. 4belroar. Aborda ! (1. de mar.) acosie! —
peio gorupes (id.), aborder de franc etable.
ABORBO, 3. m. (1. de mar.) abord. V. Abor-
ABORBOADO, A,P. 7. d’
ASORDOAR, v. a. layer, soutenir avec un bä-
sa. Tster le pav6 avec un bäton,, comme font
es a .— ume vinha, tchalasser une
vigue. (6. (famil.) Donner des coups de bäton.
— ss, u>r. marcher appuy6 sur un bäton.
ABORICENES, 5. m. pl. aborigänes : premiers
habitants d’un pays.
ABORRASCADO, A, P. pP. d’
ABORBASCAR-SE, ©. T. devenir orageux; me-
nacer la tempete,
ABORRECHBOR, A, 9, halnenzx ; velui qui halt,
ABO 9
qui deieste, abhorre et a en horreur une chose,
ou personne quelconque.
ABORRECER, v. a, abhorrer, hair : vouloir du
mal, avoir de la haine, de l’aversion,, de la re-
pugnance, avoir en horreur. — de morte, hair
ä la mort. —v. n. causer de la haine, de l’aver-
sion, del’horreur ; deplaire, ennuyer quelgqu’un.
— s6, vd. r. eire & charge A soi-meme, 50 depi-
ter, se fächer; s’onnuyer.
ÄBORRECER , av60 les pron. me, l6,86, 008,
vos, Ihe, Ihes, causer du deplaisir,, du degoüt
(si ce verbe est & la troisidme personne du sin-
gulier ou du pluriel). Ex. Aborrece-me isso,
cela me deplalt, cela me dögoüle. Aborrecem-
le meus conselkos,, mes conseils te deplaisent.
ÄBORRECIDAMENTE , adv. odieusement : d’une
maniere odisuse, haissable. A contre-caur,
avec degoüt.
ÄABORRECIDISSIMO , A, adj. sup. d’
ÄBORRECIDO, A, adj. v. p. detants, detestabie,
las, lasse, fatigu6; malvoulu,odieux, ennuyant,
fächeux, hat. V. Aborrecer. — de viver,, las do
vivre.
ÄABORRECIMENTO , 3.m. *aversion, haine, ini-
miti6 ; deplaisir, eonui.
ABRORRECIVEL, adj.2 gen. haissable, odieux,
detestable, abominable ; ; qui exeite Paversion,
la haine, Pindignation.
ABORRECIVELMENTE ‚ adv. V. Aborrecida-
mente.
ABORRIDANRNTE,, adv. avec degoüt, avec hu-
meur.
Asonrino, A, adj. plein d’ennui, de degoüt:
ilse dit d’une personne qui est mal ä son aise,
souffrante, qui se degoäte de loul, qui ne
trouve plaisir a rien. On le dit aussi des choses
qui sont accompagnees d’ennui ou de quelque
incommodite quinouschagrine, commo la vieil-
lesse, les inßrmiles, elc. p. p. d’Aborrir.
ABORRIMENTO, s. m. degoüt: ennui, chagrin,
souci, lassilude, langueur, fatigue ou inaction
d’ esprit causee par une chosc qui deplalt par
elle-meme ou par sa dur£e.
ABORRIR, v.6. ennuyer; rebuter. V. Abor-
recer.
ABORRIVEL, adj. abominable, detestable ; qui
cause du deplaisir, du degoüt.
Asonso, V. Aborto.
ABORTADO, A, 9.9. d’
ÄBORTAR,v. a. et n. avorler,accoucher avant
terme, en parlant des femelles de l’esp&ce hu-
maine, et mettro bas par rapport & celles des
autresanimaux ; faire une fausse couche, mellre
bas avant terme. (fig.) Ne pas r&ussir, &chouer,
teurner mal,
Asoarivo,A, adj. aborlil: ne, venu avant
terme ; avorte, qui n’a ni perlection ni malu-
rite. (t. de med.) Ecbolique : medicament qui
cause l’avorlement. .
ABönTo, s.m. avortement : fausso couche,
accouchenent avant terıne. Avorlement: ne
s’emploie guere qu’en parlant des fenelles des
animaux.(fig.)” Production qui est venue avant
le terme, imparfaite, trop pre£cipitee. it. * Pro-
53 a>R AER
>
Adnan eLrielname. nur, ui” Semuca, U chris.
geuw. ! anımam. 2 a. PP. WAbrander.
- lanırziumn.a. ud a5 f >» "BERSRIAEETTT. zZ m. zunellissernent ; adou-
TÄBInTZ aa 2, 7 7 se saure daR BE- | Smemenc.
Inins. ! Aaımak_4.@ zer. rendre mon, affıi-
7 Asırsaas.a. ei al er Turms de gufire. zur zinumr. "untre meins dur. (g.) Adeucir,
Betune. mnlmer. ınaser. — un kamen: irads „apaiser
Fasırrazı9. 8 ff. rt debef "isn de m aamma zum de nelere.— es elkes, adoucir
beutsuner. ie zuusser des DGUTZEUEE. EU DEE- as regaris. ZIEEmEr unpeurensemment j65 YEUX,
amt des zuantes, eis. . a /amei. zıre es ven deux. — as leiras, adou-
Asıımasdıma, s.f. ums qui int ou aiuehe Sr 2 srenemn.rzum — e. m. calmer, s’abatire ;
des 300.18. ämmnuer a ere. Tziensite. O vente abranda,
Ak.tıan..ı.087.P9 v. £ SBetser. Boatırıme. se went $abaL. se cable.
garz. ie Beiwas. 2lı7ıe zuee !es Teams: un yaanaz. er. S’zmollir, #adoucir, de-
».2 22 Baurr>023. de Baninns. For— ea. ferur nn ’ ”
ae an apasan Gerne, uapr, Tour Emma. Derire S ders. (fg) Sadoucir,
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w’arsı7 pas de purspeeaniie: Sie bee. Frei ya, wmacıe TV. Embrendecr.
en earet, epre lermi:nze par un bouma farm ueu,uma,ee renfermer, conlenir.—e. ®.
‚E. . on sufire , eize ser suisaet. Isto ndo abrange a
Pre beutsunier. celai qui BR „ins cein me su pas pour tous. Ald onde a
De . . . eistz ebrenge „janzu #a les yenx peuvent aper-
j AB. »ızcaa, 8.f. "assortimment, garniture ER ugip em jusqw’oa a vee peal porier. it. Se
our s zouır um babit. cemmuniygwer, sietendre. A lanio ndo
’ ar n a passer In basten a razio kumena, ka rasen humaine ne s’etend
3.13 ‚uwsanitre ; atiacher aver beu- pas jesque-lä
tors. — r.». se couvrir de bouisus, POGEEET, Aemıucıao enger
des borıınas : il se dıt des arbres, des plantes & ! . app ale t v
l’epao:ue de ia Beraisen. ' ussrsinaukrıe, . ardemmenl, avec ar-
AsuTurıDBO, A, ahj.P.P-.d a,mp.d
ÄABOTOCAR, ®. a. bondonner : beucher avec s
un bondon le treu par o& Fon remplit (les Asnısano, a,edj. p. pP. d’Abraser. h
tonneaux , les fatailles, etc.) Anarsında, a, eh. brülant; qui brüle, qui
Asoromino, ete. V. Absiomer embrase. ‚Ag. Consamant, qui consume. Sol
Asocsan-se. V. Abober, Apatster-we. —, soleil brulant. Zeie —, zele ardent, brü-
+ Asowna, s. [. &ioffe de laine fabrigquie a | at Foge —, [eu consumanl.
Abberille, en France. ABRASABENTO, 2.0. emhrasement, grand in-
Asovapo, Asovar. V. Abeier. cendie.
u ABRASÄNTE, adj. 2 en p. a. d’Abrasar,
Annucabisaa. s.m. abracadabra : mot caba- | Prülant, qui brüle, uiembrase.._—DO
listique qui, disaiton, guerissait les malades Asnasıö,&f. (1.de mdd.)abrasion: irritation
qui le portaient autour du con. a here des inlestins, causee par un Te-
ABRAGADO, A, adj. p. p. d’Abragar.
AnnACADOR, A, s. celui qui embrasse, entoure Flag nraise son h Deren eur 7
.1 it d ire u.
un objet quelconque. Il se dit dempersonnes et | Ton 2 terre, en detruire Phumidit jus-
des choses. n , »
* ABRACAUENTO. V. Abrago. qu'& ce qu’elle devienne sterile. (ig.) Dissiper,
ABRACÄNTS, adj. 2 gen. V. Abragador. prodiguer, dilapider, oonsumer son bien. 4.
ABRACAR, 0.6. embrasser, serrer, &treindre Exciter lardeur, V’envie, la Jalousie, la haine de
avec les bras en signe d’amitie. (Ag.) Environ- | Juelqu’un ; lui faire honte, !ui donner du res-.
ner, ceindre, entourer. it. Entreprendre une | senliment. — a algusm com palauras, in-
affaire,s’en charger, en prendre soin. it. Suivre | Jurier quelqu'un grievement, le piquer jusqu’au
un parti, un conseil; s’adonner & une profes- vif. it. Detruire,ravager, faire du degäl,ravage.
sion. 41. Contenir, renfermer. — a vida reli- | Ascabrasabrasdrdo as searas , leschevres firent
giosa, embrasser l’etat religieux, renoncer au | de grands degäts dans les plantations.
siöcle. — 0 estomago o alimen!o, digerer bien | ABRASAR-SE, v. r. s’embraser, so brüler,
tel ou tel allment. — 0 parlido do povo, se | prendre feu, s’enflammer. (fg.) Etre agits de
tourner du cöts du peuple. quelque passion violenie. — em colera , s'en-
ÄBRACGAR-SE, ©. r. s’embrasser bras dessus, | flammer, s’embraser de coläre.
brasdessous. —com alerraoucosianavegando, | + ABRasEinO,A,adj. rouge comme la braise;
oötoyer, raser la cöte. — com a virlude, suivre | ardent, enflamme; plein de rougeur, de cha-
la vertu, se regler d’apr&s ses maxiınes. leur :p.p. @’
AsrÄco, s. m. * accolade, embrassement,, | + Annaszar, v. a. reduire en braise ardente;
embransade. chauffer & blanc. V. Abraser. — se, s’enllam-
A’snı,s.f. baie, havre, rade.
ABR
mer, dovenir rouge A cause de la grande cha-
sur oa de is proximits du feu.
ABREBÖCA , 8. f. " pas-d’äne : Instrument avec
iegeel les mar6dchaux ouvrent la bouche des
cheraaz , et ia iennent ouverte pour la consi-
derer interieurement.
’Ann2co, 5. m. autan: vent du midi ou sud.
Annzuuan-eg. V. Embdrenkar-se.
Asaestcuciö, s. f. Pacle de renonoer. V,
ABREXUBGUR, ©. a. Fenoncer avec dösappro-
bation. — a Salanaz, renoncer & Satan.
Auresöxco, daterj. (mot latin par lequel on
wargue de Faversion) loin de moi! Dieu m’en
garde' me pr&serve!
Asazrricıo. V. Possesso.
Asaerucid, s. f. abröriation, retranche-
ment , abrege. V. Epitome, Compendio.
ABREVIADAMENTE, adv. en abrög6, sommal-
rement, en peu de mots, en peu de temps.
Asaevıäno, A, adj. p. p. d’Abreviar.
ABREYIADOR, A, 5. abreöviateur, celui qui
raccoureit, qui abrege. .
Aszcgvıapöra. V. Abrevialura.
ABRENIABÄNTO,s.m.V. Abreviardo.
ABREVIAR, ©. a. abröger, accourcir, racoour-
eir: rendre pluscouri,retrancher dela longueur.
Coaper court, acc&lerer, depecher, häter, pres-
ser, diligenter, augmenter la vitesse; serrer,
redeire , melire & l’etroit.
AsarVıaTcra,s. f. abreviation, abregement,
abregt. —i. e. palavras abreviadas, mots &crils
en abrege* ou par abrege, paroles abregees, re-
tranchement de quelques lettres dans un mot
pour &crire plus vite ou en moins d’espace. Par
ezernpie, lorsqu’au lieu de monsisur, mar-
chand, vötre, on &crit:M., Md., Vre.
Asuıchte,, s. m. abricot.
Askibo.V. Aberto.
ABRIDÖR, 5. m. Ouvreur, Ccelui qui ouvre;
graveur.
Assıcipi,s.f."abri, lien & couvert du vent,
de la pluie. (2. de mar.) Galangue ow carangue.
ABRICADISSIMO, A, Sup. d’
AsaiciDo, A,p. p. d’Abrigar, ady. fourre,
garni, couvert de hardes qui garantissent du
froid ; eıpos€ au soleil.
Azsıcido',3. m. V. Abrigada.
ABRICADÖR, A, 8. protecteur, en parlant des
personnes, et en parlantdes choses, tout cegui
ahrite etprotege contre l’intemperiedessaisons.
AzRIGAR, v. a. abriler, mettre & l’abri. is.
Echauffer, tenir chand. (Ag.) Döfendre, prote-
ger, soutenir les inter@is, prendre la delense,
metire sous Sa protection , accorder asile.
ABRICAN-SE, ©. r. chercher de Pabri ; se tenir,
se mettre au soleil dans Fhiver. — a alguem,
ehercher la protection de quelqu’an.
Asrico,s.m. abri: lieu A couvert du vent,
de froid et de la pluie, et tout ce qui garantit
des injures du temps. (fg.) ” Defense, protec-
ton, asile, refuge, appul. A solidäo € um bom
— contra os roodzes da forkuma, la solitude est
wa bon abri contre los ooups de la fortune,
ABR 11
Aufl, s. m. avril, le quatriäme mois de
l’annee solaire.
ÄABRILHANTÄDO, A, 9.9. d’
ÄBRILBANTAR, o. a. brillanter, facetter, tail-
ler les diamants & facettes et les faire devenir
brillante. (4g.)— 0 estylo, brillanter le style ‚ie
remplir d’ornements recherches, de faux eclat.
ABRIMENTO, 8. m.° ouverture,, Paction d’ou-
vrir. — de boca, bäillement.
ABRIR, ©. a. ouvrir : faire que oe qui est forma
ne le soit plus. Rompre, percer: faire une ou-
veriure de part en part; fendre; corever;; divi-
ser; Separer;traoer; labourer; pratiquer; frayer,
en parlant des chemins ; &clore, s’«panouir, en
parlant des fleurs; developper, graver, d6bou-
cher, d&oouvrir. (fg.) Commencer, &tendre,
€pandro. — ums carla, um lestamenio, döca-
cheter une lettre, un testament. — a veis a al-
guem , saigner quelqu’un.—os eadaveres , disse-
querlescorps.—osspirito ‚ sclairer, former’es-
prıt, le rendre capable de mieux penser. — sew
corapdo , ouvrir son cur, d&clarer ses plus se-
crets sentiments. — os olkos sobre alguma cou-
sa , s’aviser de quelque chose,, s’en apercevoir.
—0: olhos a alguem, dessiller les yonx A quel-
qu’un, le d&tromper, le desabuser sur quelque
chose. it. Ecarquilier les yeux, faire de grands
yeux A gueigulun. — amöo , [aire des largesses.
—mäo cousa, so desisier, se dtpartir
de quelque chose, yrenoncer.—o riso, arisade,
sourire, faire un sourire.—prego,metire & prix,
fixer le prix d’une chose , convenir de prix.—
caminho, sefaire jour, frayer ie chemin, faciliter
la r6&ussite de quelque chose. 4f. Faclliter les
moyens d’offectuer le passage d’un endroitä& un
autre.— elaros (I. mil.), ouvrir les rangs pour
laisser passer la cavalorie et V’artillerie. — o
olho (fig. fam.), se tenir sur ses gardes. —
a cabera,, fendre la t#te.— a vontade de coomer,
ragoüter, se ragofter, röveiller Fappetit, l’ex-
citer, reprendre son appetit ordinaire. — as
mäos,, recevoir des presents ; donner liberale-
ment. — a porla, acheminer, faciliter, mettre
en #tat de reussir.— 08 oweidos , &couter allen-
tivement. — os olkos, s’orienter, ouvrir les
yeux, voir les choses telles qu’elles sont, re-
oonnaltre sa faute. — pass, se faire jour.
— prepo, $iablir le prix de quelque mar-
chandise en ouvrant la vente. — lende , ouvrir,
etablir une boutique. — corda, faire la ton-
sure. — irincheira, ouvrir la tranchee. 4o
— de porlas, & porte ouvrante. Meio —, en-
trouvrir.—peize,, vider, effondrer un poisson.
—ımdo d’um negocio, se desister d’unsaffsire,
Pabandonner. Em um-—e fechar d’olkos, en un
clin d’@il. Näo— boea, ne point desserrer les
dents. —as escolilhas , ( (. de mar.) commenoer
& d6charger. — uma porla na parede, petcer
une porte dans le mur.
ABRIR, ©. #. s'ouvrir: s’6panouir, se deplier,
6clore, se dit des Neurs; commenzer, &clore;
se fendre, s’elargir. Paraitre,, se manifester. —
o dia, reparaltre apr&s avoir ct& cach& par des
nnacae . an parlant du soleil. il. V. AmanAscer,
12 ABR
— 0 lsmpo, se meltre au beau,, dervenir serein,
en parlant du temps. —a cor, devenir plus
claire, plus vive, en parlant d’une couleur.—dos
peilos, devenir d6mis, boiteux, en parlantd’un
cheval. Ainda se Ihe näo abrirdo as feicdes, les
traits de son visage commencent & se former.
ABRIR-SE , d.T. s’Ouvrir; crever; 6clater ; cre-
vasser ; se fendre; s'entr’ouvrir; rouvrir.— com
‚(Ag.)s’ouvrir & quelqu’an : :luideclarer
ses senliments, et tout oe qu’on a dans Päme.
* Annıxan, V.
ABROCADADO, A, adj. qui imite le brocart.
ABROCHÄDO, A, 9. p. d’Abrochar.
ABROCHADOR, A, 3. tire-bouton : instrument
pour boutonner, agraler ; agrafe.
ABROCHADÜRA, 8. f.“ resserrement, l’aclion
d’agraler, de serrer avec un crochet, une agrale.
ÄBROCHAR, v. a. agrafer, boutonner; lacer;
boucler, atacher avec une agrafe, une boucle,
un lacet.
Asnocagäö, ®. f. abrogation; annulation;
revocation, suppression, derogalon.
Asa0gino, A, 9. p. d’Abrogar.
AsroGanoön,A,s.abrogateur : caluiquiale pou-
voir d’abroger, ou qui Pexerce. V. Abrogaiorio.
ABROCAR,, v. a. abroger, annuler, r&voquer,
supprimer, deroger; detruire, casser par un
acle positif.
ABROGATÖRIO,A,adj.abrogatoire: quialaforce
d’annuler, rävoquer, abolir, mettre horsd’usage.
ABROLBÄDO, A, adj. (4. d’agr.) bourgeonne,
plein de bourgeons, de boutons, p. p.d’
ÄBROLHAR, ©. 9. ( l. d’agr.) bourgeonner, je-
ter, pousser des bourgeons, en parlant des ar-
bres, des arbrisseaux et sous-arbrisseaux.
Pousser. As arvores do cravo comepdo a abro-
Ikar em. fevereiro, les girolliers commencent
& pousser en fevrier. st. Herisser de clous ou
pointes de fer, de tribules, herses.
ÄABROLEINHO, 3.m. dim. d’
AsnörLuo, s. mw. tribule, herse : plante qui
crolt parmi les bles. Chausse-trape; macre;
croix-de-chevalier, plantes. if. Les pointes dont
le fruit est garni. «6. (t. mil.) Chausse-trape :
petite piöce de fer & quatre pointes dont on se
sert A la guerre conire la cavalerie; cheval de
frise. (g.) Abrolkos, plur. &cueils, brisants
tres-dangereux, que !’on rencontre dans cer-
taines mers. Il se dit aussi au ligurö, et signifie
tout ce qu’il y ade plus douloureux et diflcile
dans quelque entreprise ou chose. Os abro-
Ihos da dor , les epines de la douleur. O mundo
€ cheio d’abrolhos, le monde est plein d’&pines.
ABAROLHOSINHO. V. Abrollunho.—doschercos,
(#. de bot.) macre flottante; tribule aquatique,
macle,cornuelle, chätaigned’ eau, truffe d’eau,
corniche, saligot, escharbot, tribalorde, irape.
ÄBRONZÄDO 0 ABRONZEADO, A,adj. bronze:
couleur de bronze.
ÄABROQUELADO, A, 9. P.d’
ABAOQUELAR, ©. a. couvrir d’un bouclier.—
se, v. r. 56 couvrir d’un bouclier. (Ag.) Se ga-
ranlir; se servir de quelque moyen pour de-
fendre sa personne ou son opinion.
ABS
ABROTAL, 8. m. lisu couvert d’asphoddles.
+ Aurötıno,s.m. (£. debof.)* aurone : plante
vivace de la famille des absinthes. — femea ,
V. Santolina. — macho , armoise citronelle ;
aurone des jardins, citronelle, garde-robe.
ABROTAR. V. Brotar.
Asnöteı, s. f. (t.de bot.) asphoddle : plante
& fleur en lis, & racine farineuse, nutrilive,
en forme de navet; bAton royal. — de Sicilia,
asphodele jaune, vulgo, verge de Jacob. 14 Nom
d’un poisson.
ABRÖTEGA. V. dbrötea.
ABRUNBEIRO,, 8. m. prunier : l’arbre qui
porte les prunes. — bravo ‚ prunellier, pru-
nier sauvage, epine noire, crequier.
ABRUNHO, 8. m.* prune, fruit du prunier. —
bravo, prune sauvage, prunelle.
ABRUTECER. V. Embrutecer.
* ABRUTELA. V. Arrotea.
Azsctsso ‚s. m. (1. de med.) abce&s , aposieme
ou apostume : lumeur causee par des humeurs
corrompues.
Asscıne. V. Apside.
Asscisa, 8. f. (1. de gdom.) Abscisse : porlion
de l’axe ou du diamätre d’une courbe comprise
entre son sommetet la rencontre de l’ordon-
nee.
Anscısiö, s. f. (1. de chir.) abscission : re-
tranchement,.d’une partie molle.
* ABSCONDER. V. Esconder.
* ABsconpıto. V. Escondilo, Occullo.
ABSENCIA. V. Ausencia.
ÄBSENTADO. .
ABSENTAR-SE. | V. Ausenlar-se, etc.
ÄBSENTE.
Assıne. V. Apside.
AssımiLe. V. Dissimilkanle.
+ Assintuio, s.m. (1. de bot.) " absinthe
plante vivace, amere, d’une odeur forte, medi-
einale. (g.) -Douleur, amertume. —do Ponto ‚
armoise pontique, .vulgo, petite absinthe, ab-
sinthe pontique, absinthe de Hongrie.
} Assıt, loc. lat. qu’& Dieu ne plaise : loin
d’ici, loin de nous.
ABSOLTO. V. Absolvido.
AssoLucäö. V. Absolvigdo.
AusoLv£a, v. a. absoudre, pardonner, inno-
center, delivrer, decharger un aocuse : d&cla-
rer juridiquement un homme innocent du crime
dont il etait accuse , exempt de paycr une
detie ; le rendre libre, lui faire gräce. ü. Ab-
soudre ( en confession), remettre, pardonnet
les peches. Relever, delier : dögager d’un Ber-
ment, d’un vu, etc. «t. Finir, terminer, ache-
ver entierement, perfectionner.— da inslancia
(1. de prat.) mettre hors de cours et de proces,
ABSOLYER-SE, ©. r. obtenir l’absolution „
prouver son innocence, se so laver d’un crime,
s’en purger, s’en justifler.
AusoLvicäö, 3. f. absolution : pardon, re-
mission des peches. u. Sentence , jugement qui
absout ou declare innocent. st. Qualite d’abso-
lu, d’independant. — geral, absoute : absolu-
von »ublique, coer6monio qui se fait le Joudi—
ABS
Sıist au malin ou le Mercredi-Saint au soir
darı les cathddrales.
"IBOLVIMESTO, s. m. l’aclion d’absoudre.
T. Adsslrigdo.
ABSOLÜTANENTE , adv. absolument : parlaite-
zent, entierement, resolument ; d’une maniere
ıbsolue; sans restriclion, sans bornes, sans
partage : tout & [ait, enlidrement, sans re- |&
serve : independamment; avec inde
d’ene maniere souveraine. ( Ag.) Sans rapport,
sans relalion.
t AssoLöras (flores) (#. de bot.) V. Bis-
sezudes, Hermapkhroditas.
ABSOLTTISSINO , adj. sup. d’
AssoLfro, a, adj. absolu: independant, des-
poügue. Ce mot a les m@mesacceptions dans les
deux langues.
AssoLrrözı0, ı, adj. absolutoire : qui porte
absolution. Brere—, bref absolutoire.
Assoxso. V. Dissonante.
ABSORBENCIA. V. Absorcencia.
Azsoarciö, s. f. absorplion : action d’ab-
sorber.
ABSÖRTO, A, adj. transpori6, saisi, frapp6
dewanement; extasi6.it. Absorbe, englouti par
la mer. Ficar —, tomber des nues. it., p. P.
isregulier d’Absorrer. V. Absorvido.
AzsoavEncıa, 8. [. (l. de phys.) absorption:
Facton d’absorber ; la facult# ou proprietö ab-
sorbante.
AssonväutE, adj. 2 gen. p. a. d’Adsorver,
absorbant. 11 est aussi substantif; on Pemploie
ordmairement au pluriel : Os adsorcentes, les
absorbants. Forme de medecine et de pharma-
cie. Substances qui ontla propriets de neutre-
kser les acides en 8’y unissant. Substances
absorbanies , pores, etc.
Apsonv£z, v. @. absorber, engloutir; de-
vorer, avaler, consumer; (1. de med.) des-
secber Fhamidite , Pattirer, la dissiper , la
consuuser. (g.) Emporter ; entrainer; endurer,
supporter avec patience, avec fermets, avec
conslance.
ABSORYIBO, A, P. P. d’Absorver.
ÄBSORVIUENTO, 5. m. V. Transporte, Extasi.
” Asstäuıo, A, adj. abstöme : qui ne hoit pas
de vin.
Asstencid, s. f. abstension : Yaction de s’ab-
sienir ; acie d’un berilier qui rejette un heri-
tage, de celai qui refuse un legs. Ou mieux:
disistement ,„ renonciation, repudiation d’un
beritage par I’'heritier testamentaire.
* ABSTESER. V. Abster,
äAssr£a, ©. a. relenir, moderer, röprimer,
agreter, fixer, borner, empecher. — ss, v. r.
s’abstenit, se priver, se contenır, s’emp£cher,
se passer, se donner garde; se garder.
ÄABSTERANENTE. V. Ausieramente.
ÄBSTERGENTE ,P.a.d’Abslerger, et adj. 2 gen.
ei subst. (6. de phys. ei de med.) abstersif, ab-
t: propre ä neltoyer et & dissoudre les
dureies et les Epaississements.
ABSTERGCER,, o. a. (I.de med. ei dephys.) ab-
iierger : essuyer, nelloyer,
ABU 13
* ABSTERIBADE , Ansteno. V. Ausieridade,
Austero.
ABSTERSIVO, A, ady. (l. de mdd.) abstersif :
propre & absterger, nettoyer.
ADSTINENCIA , s. f. abstinence , privalion:
P’action de s’abstenir, de se priver de quelque
chose. it. Temperance,sobriet&:vertu qui porte
se moderer sur l’usage d’une chose. — de
‚| carne, privation de manger de la chair. Dia
d’—, jour maigre.
ABSTINENTE, adj. 2 gen. p.a. d’Absier-se,
abstinent: quis’abstient. dt. Modere,continent,
sobre.
Asstınzntissıno, A, up. d’Abslinente.
Austracchd, 8. f. (1. de melapk.) abstrac-
tion : action d’abstraire ; idee abstraite. if.
* Isolement : &tat d’une personne qui vits6paree
de la societe.—d’espirito , abstraction, distrac-
tion de Pesprit; rapt, ravissement.
ABSTRÄCTAMENTE, adv. abstraitement, aveo
abstraction, abstractivement,
ABSTRACTISSIMO, A, sup. d’Adstraclo.
Anstrictivo,A,(t. de melaph.) abstractif:
qui exprime les abstı actions, qui abstrait.
ABSTRÄCTO,A,P.p. irreg. d’Abstrahir, ab-
strait ; adj. separe par abstraction. Em — ,
abstractivement : par abstraction. Il est quel-
quefois substantif, ex. 0 absiracto e oconcrelo,
Pabstrait et le concret.
ÄBSTRAHIDO, A,p.p. d’
Anstrauin, v.a. (t. de melaph.) abstraire:
faire abstraclion ; considerer separement des
choses r&ellement unies ; separer par la pensee ;
considerer une qualite essentielle separement
de son sujet, ou le sujet d&pouille de tel ou tel
sttribut. if. v. n. omelire,laire, passer sous Si-
lence. — se, v. r. se recueillir, rentrer en soi-
meme ;s’abstenir.
ABSTRÜSO, A , adj. absirus : cache , difflcile &
penetrer, A comprendre. Se dit des choses.
ABSÜRDAMENTE , adv. absurdement : d’une
maniere absurde, imperlinente.
ABSURDIDÄDE, 5. f. absurdit6.
ÄABSURDISSIMO,, A, 84p. d’
Apsünno, A, adj. absurde: contraire au sens
commun, äla raison. Homem —, homme ab-
surde, sot, qui dit des absurdiles. Systema—,
systeme ridicule, deraisonnable, qui n’a pas de
bon sens.
Ausirpo, s. m. absurde, absurdits, ineplio,
discours, aclion, opinion contraire & la raison,
au sens Commun.
fAssis, s. m. (1. de bot.) absus : espece de
casse,qui crolt & Ceylan et en Egypte.
tA2ö,s. m.(t.debot.) abu : especo de bana-
nier, dont le fruit se mange röti ou frit.
+ Asccaröxıa, 8. f. (.d’hist. nat.) abucalu-
xia : poisson-Coq, espece de z&e ou gal.
f Auunings,s.m.(l.d’hist. nat.) abouhannes;
oiscau d’Egypte, de Pespece de Pibis.
Asuız. V. Armadilha.
AstJiö, corruption populaire de Yisdo. V.
16 ACA
AcaxaLLino ‚4, adj. cannele : qui ressenbie
& une tuile creuse ou & un canal.
+} ACANALLADÖRA , s. f. cannelure ; creux en
facon de canal.
+ AcanALLAR , v. a. canneler: faire un canal;
donner une forme cannel6e. Creuser : faire des
cannelures. Conduire par un canal. V. Enca-
nar.
ACANAYEÄDO, A,p. p. d’Acanavear.
ACANAYRADÜRA , s. f. l’aclion de ficher entre
les ongles et la chair des pointes de cannes ou
roseaux.
ACANAYEAR, ©. 6. ficher entre les ongies ot
Ia chair des pointes de cannes ou Tos6auX.
(fig.) Tourmenter, maltraiter, vexer, charger
d’injures , d’opprobres , de reproches.
+AcınczıLino, A, adj. ( t. de bot.) treil-
lisse , mailie.
Acınza. V. Hacansa.
AcınzLipo, A, adj. de oouleur de cannelle.
p.p.d’
ACANELAR, ©. G. p. us. donner, imiter la cou-
leur de cannelle.
ACANBÄDANMENTE,, adv. d’un air timide, avec
crainto, contrainte, sans hardiesse ; mesqui-
nement.
ACANHADISSIMO, A, superl. d’
AcANBÄDO, A, adj. craintil, timide, mes-
quin ; gend. Homem — , homme de petit esprit,
sarıs caur. Alma —a , esprit bas et lAche,
un petit esprit. Luger —, lieu etroit, resserre,
petit. Engenkho—, faibles.facultes. Zstou mwilo
— neslo assenlo, je suis assis A l’ötroit.
ACANHADÖR, 8. m. qui rend timide, craintif.
ACANHAMENTO, #. m. raccourcissement,
mesquinerie. ( ig. ) Decouragement; honte,
timidite ; abattement d’esprit , contrainie ,
gene.
ACANHAR, ©. @. serrer, rendre e&troit; rac-
coureir. (fig.) Decourager; rendre craintif,
poltron, etc. it. Mepriser, abattre, deprimer,
affaiblir. — se, v. r. se decourager, pordre le
courage, avoir Crainte. «6. Se serrer, s’eirdeir,
se raccourcir. —a alguem, s’'humilier devant
quelqu’un.
ACANHOAR,
ACANMONEAR. } V. Bater, Cankonear.
AcaNTHABÖLO, 3. m. acanthabole : pince de
chirurgien pour enlever les esquilles , les
«chardes.
AcäinTHıco, A, adj. de Pacanthe.
f Acinraıos, s.m. pl. (6. d’hist. nat.) acan-
thies : insectes hemipteres (les punaises).
ACÄNTHO, 3. m. acanthe, branche-ursine :
plante emolliente: (4. d’arch.) ornement qui
imite les feuilles d’acanthc. En mythol., c'est
un jeune homme qui fut me&famorpbose en oi-
seau.
Acantnöno, s. m. (l.d’Mst. nat.) acanthure :
genre de poisson & @pines sur la queue. — mo-
reno , acanthure noiraud.
AcanTıLävo, A. V, Alcantilado.
ACA
Aca#T0AD0,4,9.92.d’
ACANTOAR, ©. a. meltre dans un coin. (fg.)
Sequestrer, st#parer de la conversalion du
monde. — se, v. r. se melire dans un cein.
(A4g.) Chercher une retraite; se separer de la
conversation du monde.
ACANTONÄDO, A, p. P. d’Acanloner.
ACANTONAMERTO, 5. m. cantonnement : l’ac-
tion de cantonner les troupes ; s6jour de Irou-
pes cantonndes.
ACANTONAR, ©. a. cantonner: @ire, mellr®
on cantonnement les troupes.
ACAPELLADO, A, 9. 9. d’Acapellar, adj. (t. de
Bot.) en forme de cuculle.
ACAPELLAR, ©. a. couvrir la t£le avec un Ca-
puchon; (f. de mar.) ensevelir, engloutirdans
les eaux,, submerger, noyer. — se, v. r. sense
velir, s’englouüir, @ire noye, submerge.
AcAPITULÄDO, A, 9. pP. d’
ACAPITULAR, ©. a. diviser en chapitres.
fAcanamöco,s.m. (1. d’hist. nal.) balisie
licorne, poisson cartilagineux du Brösil.
* Acari0, ade. V. Cardo (a).
ÄCARAPUCAR-SE,, U. r. V. Encarapugar-se.
} Acariuna-sıconipa, 3. f. griselle : poisson
du Bresil, de la famille des chetodons: la moi-
ti6 anterieure de son corps est blanche , la pos-
t#rieure rouge et la queue blanche.
+ ACARDUMADO, 9.p.d’
+} ACARDUMAR-SE, ©. r. se reunir on lroupe.
Il sedit des harengs, des sardines et d’auires
poissons qui voyagent en grande multitude.
Acırzıckd, s. f. (1.de prat.) accaration, con-
frontation : Paction de confronter les temoins
avec les aceuses.
ACABEADO, A, 9. pP. d’Acarear.
ACAREAMENTO, 5. m. V. Acareapäo.
ACAREAR, 9. a. (f. de pral.)accarer, conlron-
ter : melire en presence les t&moins et Ics accu-
ses. Comparer, confronter deux ou plusieurs
choses. V. Carear.
A’carı. V. Acaro.
+ Acinıaow Acarkıa, s. m. acarla: poisson
de mer du Bresil.
+ Acanıciaa ,s. f. (4. de bot.) hydrocotile ;
plante medicinale du Bresil.
AcARICIADO, A, p. P. d’Acariciar.
ÄACARICIADÖR, A, 8. Caressant:: celui qui ca-
ress06,
ACARICIAR,, ©. 8. Caresser : faire des caresses.
(fam.) Cajoler, mitonner, mignarder, ama-
douer, flatter, dorloter.
ACARICHTIYO,A,adj. V. Carinhoso.
T Ananıcösa, s. f. (6. de bot.) hydrocotie om
hydrocotyle, globei; &cuelle d’eau ; herbe des
Patagons.
ACARIDAR, ©. a. traiter, accueillir que)-
qu’un avec charitö; se montrer charitable.
f Acarinıos, s. m. pl. (1. d’hist.nat.) acan-
dies ou acarides : mitles, liques.
f ACARIMA, 8. m. acarima : quadrupede du
‚genre des singes.
m m Am MN Am A mn m — — 0 —_
— 1 an
ACA
ÄACAHRINHABO, A, 9. P.d’
ACARINHAR, ©. a. caresser; gätor. V. Acari-
er.
+ Aciana ,s. f.(t. de bol.)"cnique, enichaut:
plante cynarocephale. — de Creia, carthame
grille; chardon prisonnier; fusel6e. — de Hes-
penks , carline vulgalre.
+ Acausino ow ACARNO, 8. m. ACarne , Acar-
nen : poisson de mer blanc du genre du rou-
+Acano, s. ws. acarus, milte:: ver qui vit
daus le
® ACAROABO. v. dcardo.
+ Acason , s. m. myrie sauvage.
ÄCARnACänO, A, adj. attache comme la tique.
Os ie dit aussi au Asurt.
ÄACARRABO, A, P. p. d’Acarrar.
}Acannararäpo, a, adj. a manitre de ricin.
R,®. ». ötre ivre; dormir profond6-
ment. — s., v.n.5s0 meure al’ombro, & Pabri
da seteil,, eu parlant des bötes & laine.
Acanazıan, V, Acarreiar.
"hcannecı. V. Carge.
ACARRETÄBO, A, P. 9. @’Acarreiar.
ACARRETADOR , A, 3. porleur, voilurier, fou-
Ber, charretier : colui qui charrie, qui Irans-
ports des effets, des marchandises.
ACanEETADERA, s. f. " cbarriage, charroi,
renlage, portage : Yaclion de charrier, de
porter.
ACABRETAR, ©. a. charrier, volturer, ohar-
ACA 17
ÄCATADISSINO, A, super!. d’
AcaTa00, A, 9.p. d’Acalar.
Acıtapuna. V. Caladura.
+ AcaraLtras,s. f. (1. de med.) acatalepsie
maladie du cerveau qui prive de l’intelligence;
impossibilit6 de savoir une chose. (fig.) ( !. de
phil. anc.) " Doute : scepticisme universel.
ACATALEPTICO, A, adj. acataleptique : priv6
d’intelligence. Philosopko — ‚ scoplique, qui
professe l’acatalepsie.
ACATAMENTO, 8. m." venetralion , respect, hu-
milit, röverence,, &gard , crainte respeolueuse,
consideration. * Presence, vue. V. Semblanie,
Caladura,.
ACATAR, ©. @. saluer, faire la röverence. V6-
nerer, honorer, reverer ; avoir de la von6ralion
pour quelqu’un, lui rendre hommage,.
ACATARRADO. V. Encatharroado.
ACATASOLADO, A, adj. moir6, onde6; de cou-
leur changeante. (he. ) Inconstant, changeant.
ACATBISTO , 3. m. acalhiste : f6te que les Greos
oslöbraient A Constantinople en l’honneur de la
sainte Viorge.
ACAUDELÄDO, A, 2.9. d’
ACAUDELAR Ow ACAUDILHAR, ©. 4. Conduire,
gouverner, commander des gens de gueorre.
ÄACAUDBLÄDAMENTE, OU
ACAUDILUÄDAMENTE, adv. en bon ordre o6
discipline (dans le combat).
ACAUDILUADO , AcaupıLuan,. V. Acaudelar.
AcauLs, adj. 2 gem. (l.de bot.) V. Descau-
royer : wansporier dans une voilure ou Char- | no
riet; peorter sur les &paules. (fg.) Entrainer,
amener, atlirer,occasionner ; {re cause de quel-
que chese,, y donner occasion; porter avec
sei. — fezios, senlengas,, eic., alleguer con-
fas&ment un grand nombre de lextes, sen-
wwmces, etc. — es arlilkeria, monter l’artil-
lerie
Acaraero. V. Carreio.
Acıso,s. m. basard ‚casualits, forlune, sort,
cas fortait. Ester aparelhado para lodos- 08
acasos da forluns, &Lro prepar& & tout dvene-
ment, & loui ce qui pourra arriver.
Acäiso , ade. par hasard : peut-ötre. Dans une
phrase interrogative, il &quivautä, est-oe quo?
V. Porvsnturs.
ACASTANHÄDO, A, adj. chätain, conleur de
Acasreımasipo, A, adj. qui sentie Castillan;
sttacht aux Espagnols.
AcasteıLivo, A, adj. accastilie, defendu
des chälesur, en parlant d’une ville. ss.
forußs dans un chäteau pour se defen-
dre. (Ag.) Relagit, aocueilli. p. p. d’
AZASTELLAR , 0. a. fortifier, munir de lours un
ehöteau ou une ville, &tablir les gaillards d’a-
vans et d’arriere d’un vaissesu. — se, rentrer
dans un chätsau pour se delendre.
® ACASTIGAR-SE , ©. T. devenir chaste,
® Acascsa. V. Acaso.
ACATÄDANENTE , adv. Tcespeclususement ,
kusmblement , avec uns crainte respectucise.
PORT.-FR.
ACAUTELÄDAMENTE, ado. avec precantion 08
eirconspection, prudemment, sagement.
ACAUTELADISSIMO, A , super. d’
AcautzLipo,, A, pP. p. W’Acauielar, adj.
axisd, circonspoct, pradent; prövoyant.
° ACAUTBLAMRNTO, 8. m." aclion de precau-
tionner, prevenir, etc.; prövoyance, precau-
tion. V. Caute
ACAUTELAR, o. a. pr&cautionner, prevenir,
prendre garde &, avoir soin de, garantir.—se,
v. r. prendre des Pprecautions; so tenir sur ses
gardes; so garanlir.
AcaVvALLÄDO, A, 9. .d’
ACAVALLAR,, ©. a. ötalonner, saillir : couvrir
une jument, en parlant d’un cheval. On dit
baudouiner, en parlant des änes.
+ AcavaLzınäpas, adj. f.pl. Folkas—, t. de
dot. feuilles en recouvrant.
f Acavıkco ow ACAVIAQUE, 8. m. acaviacı
oiseau huppe de la Nigritie.
+ Acaröına ,s. f. "acajou : anacardier : arbre
de ’Amerique.
° Acaacapon. V. Acacalador.
* ACAALMADO. V. Apalmade.
Acasancan. V. Apambarcer.
® ACACAL, 8. m, porteur d’eau.
ACACALÄDAUENTE, adv. avec du lustre, avos
peliment.
AcacaLi00,A,p. pP. d’Apacalar.
AGACALADÖR, A, 3. celui qui polit les arınasy
fourbisseur,
48 ACG
AGACALADÖRA, 8. f. * poliment, fourbissure :
action de fourbir des armes.
AGACALAR, ©. a. fourbir leg armes; polir,
nettoyer, rendre uni et luisant avec l’ömeri, etc.
* ACACANHÄÖd, s. m. celul qui foule aux pieds.
® ACACANHAR, ©. G. fouler aux pieds.
Acarita, s. f. dame d’atour ; Jomme de qua-
lite qui habille et accompagne la reine, etc.
ACAFÄTE, 3. m.“ corbeille : petit panier d’o-
sior; dventaire : plateau d’osier qui sert aux
usages de la maison.
Acarırinno, 8. m. dim. d’Acofate,, petite
eorbeille.
Acirri. V. Cafra.
Acarri6,s. m. (1. de bot.) salran, crocus :
plante vivace, & racine tubesreuse, liliacte : les
fleurs sont employdes dans la teinture, dans
la cuisine et dans la medecine; sa couleur est
jaune ;(!. de chim.) preparation rouge, brune,
jaune, fsite aveo du fer. — dos prados,, colchi-
que de Fautomne, tue-chien. — da India, cur-
oama, safran des Indes, curcumin, terre-ıne-
ste „ souchet d’inde. (#. de mar.) La partie la
plus large du gouvernail attenante & la fläche,
" ACAFRAR , vo. n. devenir dödaligneux, reve-
ch, etc. ; dificile, rude,, d’un commerce difi-
o.
Acırröa, s.Y. ” carfhame offieinal, safran
Miard, salran d’Allemagne.
sarnoino, a, adj. safrant, couleur de sa-
an.
AcarnoiL,s.w.“ plantatien de safran.
ÄACGAFROAR, ©. a. safraner : appröter, jaunie
avoo du safran.
Acarrotına, s.f.” safran (da plante). it. Ar-
bre du Bresil, & fleurs blanches : le tube de la
earolle fournit une eouleur jaune sormblable &
celle du safran.
* Acarnoı. V. Acafroa.
ACAINADO ou ACAMADO, 9.9. d’
ACAIMAR Os ACAMAR, ©. a. emmuseler : met-
tse uno muselidce aux animaux pour les empt-
cher de mordre ou de paitre.
AGAINO ou ACAMO, 4.9." museliöre. V. Acat-
mar.
AcıuBHar, V, Salkar.
* ACALMADO, A, 9. 9. d’Apalmer.
® ACALHAMENTO. V. Apalıno.
° ACALMAR, 0.4. avitailler.
AGANBARCADO, A, 2.9.’
ACANBARCAR, ©. G, (imus.) accaparor. (f.)
Conclure.
AcınHar. V. Assankar.
+ Acanıımipo, A, adj. (8. de do8.) croise.
Acciö,s. f. action, acte, fait: operation d’un
igent.(t.de morele) Teut co qu’on fait, bon ou
nauvais. Faculte, possibilitö d’agir.“Maintien ,
tontenance , gesie; tout 08 qui regarde la con-
tenance, le mouvement du corps et los gestes
de V'acieur, eo en gendral de oolui qui parle.
(£. mil.) "Combat, bataille: rencontre entre des
troupes ennemies. Demande en justieo,droit.(8.
ds pois.) Principal evenement qui fait lo sujet
d’une pidce de theätre ou d’un potme &pigue.
ACO
(t. de pewmi.) Atitude, situation, position da
corps. (#. de comm.) Part dans une entreprise
ou dans les fonds publics. — de gracas, re-
merciment, ttmoignage de reconnaissance ,
actions de gräces. — d’amigo , trait d’ami. Fa-
zer una— insigne, faire un beau 00Up, un Coup
d’eclat. POr, ow intenler uma — em jJwizo con-
tra alguem, intenter, [aire , susciter un proc&s
& quelqu’un ; P’appeler en Justice. Teer, ou ndo
ter—de fazer ma cousa, avoir ou n’avoir
pas le droit, la liberts, le moyen de faire quel-
que chose. Ter acgöes, avoir un proctde noble,
desinteress6, genereux.
+ Acczptntz, p. 0. d’4eceder (4. de dipl.)
acotdant : qui accede.
Accepfr,, v. ®. (tl. de dipl.) aoodder, adherer,
entrer danslesengagements oontractes dejä par
d’autres puissanoes : entrer dans un traite. if.
Croltre; survenir. — ao dielame d’alguem, @ire
de Fopinion de quelqu’un. — aos rogos d’el-
guem, se pröter aux priöres de quelqu’'un.
Acceırar. V. Acsitar.
AcceLeracid, s. f. acckldration : augmenta-
tion de vitesse. is. Prompte expedition (d’af-
faires, ete.).
ACCELERÄDANRENTE, ade. vite, preeipitam-
ment : aveo aoc#löration.
ACCELERADISSIMO,, A , suporl. d’
Acceızrinvo, A, pP. p. d’Accslerar, adj. ac-
eelere. (fg.) Emporte, qui s’irrite, se fäAche fa-
cilement.
ACCELERADÖR, A, adj. et 8. accälerateur
celui qui accölöre (muscles, forces).
ACCELERAMENTO, 3. m. V. Acceleragdo.
ACCELERÄNTE, 2.0. d’
ACCELERAR,, ©. a. accelerer, häter, presser ;
augınenter la vitesse ; faire & la häte, anticiper,
devancer.
ACCELERAB-SE, ©. r. S’accälerer, so häter, se
presser. (fig.) S’irriter, se mettre en colere.
Acceızaaraiz, adj. eis. f. acctleratrice.
ACCENDÄLBA, 3. f.* copeau: toute malidre s&-
che, susceptible de s’allamer promptement,
(fg.) * Aliment. Ex. Dar owoidos aos praguenios,
6 dar accendalhas a suas mäs linguas, preter
Foreille aux disceurs des medisants, c’est
fournir de nouveaux aliments & leur medi-
sance.
ACCENDEDÖR, s.m. allumeur: celui qui allume
le feu,, les hougies, les lampes , etc.
ACccENDER , 0. a. allumer, meitre le fen. In-
cendier, embraser. Echaufler, brüler, renäre
chaud. (fg.) Enflammer, irriter, exeiter, ani-
mer. Fomenter, encourager, en pariant d’une
querelle, d’une faction. — 0 forno, chauffer le
four: y mettre du bois pour qu’il derienne
chaud.
ACCENDER-SE, 9. r. s’allumer, s’enllammer,
prendre feu.—orosto,, rougir do honte, de co-
lere, etc. A vergonha Ihe accendia as faces, la
bonte lui faisait monier la rougeur au visage.
ACCENDIDO, A. V. Acceso.
ACCENDIMENTO , 8. m. l’aslion d’allumer, de
ACC
neäre le feu & queique chose; embrasement,
rwendie. “ Ardeur : chaleur vehemente, tere,
posante ;inflammalion. (Ag) Ardenr: vivaciis,
srande aetivits, violence d’uns passion.
ACCESSiö ‚.f. (t. de mid.) ardour. V. Enoem-
dimenie.
sorens0s,8.@. Pl. (L. lat.) aovenses.
Acctsro,s.m. accent. Il a tou!es les ac0sp-
ons du mei francais.
ACCRNTOs,s.pl.(flg- ‚)Acoents: chant, module-
usa , ınnsique, ie.
ACCESTTACAO, s. [. accentaation : systöme de
rerles pour placer les acoents ; !’art de les pla-
cer; ka pesilion des aecenis.
ACGERTEIDO,, A, 9.7. 0’
ACTCEITEAR , 6.8. accontuer: mmeiire des at-
eents. (f. de gram.) Prononcer les mots comme
ils deivent &tro prononckts; faire sentir les ac-
ea.
Acckrci6, s.f. (f. de gram.) acception, signir
: sens regu d’un not. — de pessoas,
scception de aAn0S : un certain dgard qu’on
a pour quelques personnes plutöt que pour
d’autres.
"Accurracä0. V. Acesitapdo.
* ACCEPTADÖR, 8. m. Celui qui fait acception
: personnes.
’acczeran. V. Acllar.
ACERSO, A, np De d’4ccander, allume, en-
Sasımd. (Ag.) Exci
Acczssa6, 8. f. eoesslon, aoeroissement ,
ammentstion. -— de febre, acets de Aövre. ii.
L’action d’sortder. (4. da dipl.) —, oonsente-
ment par lequei on entre dans un engagement
4) contracie par d’autres dans un tralts.
MOCESSIORAL, adj. 2 gen. (1. de mid.) acces-
‘e
Acızseiver., adj. 2 gen. accessible : qui peut
&tre aberds, dont on peut approcher. On le dit
des lieux et des personnes. Mwi —, de facile
abord „ parlant des personnes.
Acctaso ‚s.@. aocds ; abord : l’action de s’ap-
precher de quelgqu’un, de quelque chose, d’a-
berder queigqu’un ou quelque chose. Il se dit
des choses et des personnes dans les deux
iangues,, et il est toujours joint aux adjectifs
feril oa dißeil."Copulation charnelle. * Entree,
(Ag) —, mouvement Interieur et pas-
sager (de folie, de rage, etc.), en consöquence
duquel on agit.—do sol, (f. d’astr.) mouvement
par lequel le soleil s’approche de l’&quateur.
—de ffbre (1. de med.) " acces, retour periodi-
que de la f&vre; paroxysme de la Aövre.
Acczsson. V. Assessor.
ACCESSÖRLANEBNTE,adv. accessoirement: d’une
manitre actessoire.
ACCESSÖRtO, A, adj. accessolre, seoondaire,
sddıtionnel : qui n’est pas le prineipal.
ÄACGDENTAL, adj. 2 gen. accidentel :co qui
nest point essentiel & une ehose. Contingent,
casgei, fortuit : qui peut arriver, ou ne pas
irmiver.
ACCIHENTALNENTE „ adv. accidentellement :
Jar accident, par hasard. °
ACC
ACCHERTARIAMENTE. V. Accidenialmente.
ACCIBENTARIO, A. V. Accidental.
ACCınENTE, 3.m. accident: ce goi n’appar-
tient pas essentiellement au sujet. Accident s
cas fortuit. (6. de med.) Attaquo subite d’une
malsdie qui prive de Pusagedes sens, it. Symp-
tömes de lamaladie ; tout ce qui surviont d’la-
prevu. (#. de thdol. la dgure, la couleur, la
saveur, eic., apres la oonssoration. De.por—,
par accident, aocidentellement; par hasard.
Accmta. V. Acidia,
Accıoma. V. Auloma,
AccıoniB0, 9.9. d’Accionar, ady. 000 Ppa-
gene de gestes, U, 9.0. " gesticulation, Panto-
AcczONADOR, A, 5. gestleulatsur.
ACCIONAR , v. ». gesticuler : aooompagner la
voix de gestes et de mouvements dans la döcla-
mation.
Accıonista 0% AOCZONARIO , 8.0. actionnaire :
celui qui a une ou plasieurs actions dans une
entreprise, dans les fonds publics.
Accıamaciö,s. f. acclamation: cri de joie,
d’allegresse, d’applaudissement. Por —, par
acclamation : maniere de donner son suffrage
& haute voiz ; nominatlon & Punanimits , appa-
rente ou reelle.
ACCLAMÄDO, A, 9. p. d’Acelamar
ÄCCLAMADOR, A, S. acclamateur ; qui fait des
acclamations.
AccLamänTE, p. a. d’Acclamar. V. Acela-
mador.
19
ACCLAMAR, 0.0. applaudir, donner des ap-
plaudissements approuver par acclamation.
roclamer:con frer & baute voix et d’un com-
mun accord un emploi ou des honneurs & quel-
qu’un. Proclamer, publier hautement, avco
solennit& (roi, une ordonnance, la paix). it.
Demander ä haute voix. V Clamar.
ACCLINADO,A,9.p.d
ACCLIMAR, D. 0. Be matar : accoutumer &
un nouveau climat. Il se dit des plantes.
ACCLIMAR-SE, u. r. s’acclimater : saccoutu-
mer &ä un mauvais climat. ll se dit des per-
SoNnnos.
ACcLivg, adj. 2 gen. en pente.
ACCOMMETTER, etc. V, Acommeller.
ACCOuMoDACAd ‚s.f.” accommodement:l’ac-
tion d’sccommoder, d’ajuster ; accord , Fecoh-
ciliation; logement commode. (fg.) Adapia-
tion, application d’une maxime, d’un pessage,
d’un discours, et en general d’une choso & une
aulre.
ACCOMMODÄDAMENTE, ado. commedsment,
Justement,, convenablement.
ACCOKMODADISSINO, A , adj. superl. d’
ACCOMMODÄDO, A, P. 2. d’Accommodar, adj.
s000mmod6, approprie, qui convient, Conve-
nable, proportionne, bien arranged, qui & uno
bonne place ; commode, aise, s6ant, sortable,.
(fg.) Pacifique, trangquilic, paisible. En parlant
du prix dcs choses, equivaut d Moderado.V.ce
not,
>
20 ACC
ACCOSNODARURA. V. Accommodamenio.
ÄCCOMMODAMENTO, 8. m. l’action et Vellet
d’aocommoder. Aocommodement, ajustement:
moyen, expedient pour concilier on terminer
une affaire & l’aınlable.
ACCOMMODAR, ©. a. a0commmoder, arranger,
#tablir, assortir, accorder, ajuster, mettre dans
un &ist convenable, mettre en erdre. Adapter,
approprier (fables, lois, passages, lextes, etc.).
Placer une personne; loger queiqu’un conve-
nablement. Ajuster, arranger : melire d’ao-
cord , terminer quelgue difförend.
ACCOMMODAR-SE, ©. r. S’accommoder, s’ajus-
ter ;s0 oonformer, se plior & l’usage, aux cou-
tumes d’un pays, au caraciöre, & l’opinion, au
sentiment de quelqu’un,, aux circonstanoes, au
temps, eio.; cesser de disputer.
ACCOSMODATICIO, A, adj. (1. de thdol.) qui peut
s’acoommoder, s’approprier; allögorique. Sen-
tido —, sens figure dans lequel on prend cer-
laines expressions de la Bible, et on les appro-
prie & difförents sujets.
ACCOMMODATISSIMO, A, adj. superi. d’Accom-
ÄCCOMMODÄYEL, adj. 2 pn. accommodable :
qui peut s’accommoder, s’ajuster.
Accöunuono. V. Apto,
Acconno. V. Acordo.
Acconnen. V. Soccorrer
Accazriö,s.f. (tk. demed. )acer&tion, accrois-
sement,
} AccaEschncıa, 8. f. augmentalion, accrois-
sement. Accrue : augmentation des droits de
pr6sence dans les chapitres ecclesiastiques.
ÄCCRESCENTÄDAMENTE , adv. avec augmenta-
tion, accroisserment.
ACCRESCENTADISSIMO, A, adj. superl. d’
ÄCCRESCENTÄDO, A, 9.P. d’Acerescenlar.
ACCRESCENTADOR, A,s. celui quiaccroit, qui
augmente.
ÄCCRESCENTAMENTO, 8.0. a0croissement, Sur-
erolt, redoublement. V. Augmento.
ÄCCRESCENTAR, ©. G. accrolire, augmenter,
agrandir, rendre plus grand, plus etendu ; join-
dre, ajouter. — um crime a ouiro, sjouler un
crime & un autre. — a vida, prolonger la vie.
niar-se, v.r. prosperer, s’enrichir.
ACCRESCER , v.®. Croitre ; survenir; s’ajouter.
Accazscioo,, A, adj. P.p. ‚d’äccrescer. Accres-
eidas, i. e. Cuslas —, (8. de prai.) frais survenus
dans le procts.
ACcakscivos, 8. m. pl. lerrains accrus ou
torrains d’alluvion.
ACcakscıuo ,s. m. surcrolt, ajoulage. V. Ao-
io
Accöaıto,, s.m." action d’ätre couch6 ou assis
pres de quelqu’ un. i$.* Espece de lit o& les Ro-
mains s’asseyaient quand ils mangeaient.
AccumuLaciö, 3. f. accumulalion : amas de
plusieurs choses ajoutsdes les unes aux autres;
action et l’effet d’accumuler.
ACCUMULÄDANENTB,, adv. en las, en mon-
ceau.
AccusuLanissıx0, A, superl. d’Accumulado.
ACE
AccusuLipo, p. p. d’Accumular.
ACCUNULADOR, A, s. accumulation : celui qui
accumule.
ACCUMULAMENTO, 8. m, entassement: amas de
choses entasstes ; (Ag.) d’aflaires, d’id6es, etc.
ÄCCUMULAR, ©. 6. accumuler. amasser, en-
tasser, amonoeler. — crimes a crimes, SCCUME-
ler erimes sur crimes.
ACCCMULAR-SE, o.r. sS'’accumuler, s’sntasser,
s’amasser, s’assembler.
Accumularivo, a, adj. cumulalif : qui se
fait par accumulation.
Accoran,, popw. V.
ACCURÄDANENTE, ade. soigneusement, dill-
gemment.(fg.) Exaciement, parfaitement.
Accvunipo, A, adj. p. us. exact, fait aveo
soin.
Accunatissımo, A, adj. super!. d’Accurado.
AccusaGäö, 5. f. accusation , denoncialion :
action par laquelle on accuse ou on denonce
quelqu’un. i6. Confession des p6ches. (Ag.) Tout
reproche ou imputation que Pon fait & quei-
’un.
Accusin0, A,P.p. d’Accusar.
Accusino, 8. m. accus6, prevenu : celui qui
est accused en justice.
Accusapön, A, 3. accusaleur, dönoncialenr z
celui qui aocuse, qui denonce. False —, im-
posteur, calomniateur, qui accuse faussement.
u ost aussi adjecuif. Pe e8, COR-
—a, p6chö, conscience accusatrioe.
ACCUSANENTO, 5. m. V. Accusapdo.
ACcuSÄNTE, p. a. d’Accousar. V. Accusador.
AccusaR, 9.6. accuser, denoncer, delerer
quelqu’un en justice: rendre une plainte en
justice contre quelqu’un. Blämer, reprendre,
inculper, charder, | taxer, faire un "procks; im-
puter, reprocher & quelgu’un quolque faule,
quelque defaut. — o recsbimento d’uma caria,
accuser reception d’une lettre : döclarer qu’on
Pa reque.
ACCUSAR-SE, U. r. s’sccuser, se döclarer cou-
pable. — em confissdo, declarer ses peches au
pretre dans lo tribunal de la confession.
Accusativo,Aa,adj.V. Accusalorio.
Accusarivo, s.m. (l.degram.) accusalif:
quatrieme cas.
ACCUSATÖRIAMENTE, adv. avec un espril d’a
cusateur, en accusateur, en formed‘ accusalion.
ACCUSATÖRIO, A, adj. (4. de prat.) qui appar-
tient ä l’accusalion.
AccusäveL, adj. 2gen. (I. de prai.) accusa-
ble, qu’on peut accuser; qui mörite d’ötre ac-
cus®. (fg.) Blämable, digne de bläme, repre-
hensible.
Acgar, eic. V. Aceiar ei Asseiar, eic.
ACECALADO, 4.7.4
* ACEDÄRES, 3. m. pl. Nleis pour pecher les
sardines.
Actoıa. V, Acidia.
* ACEDRENCHADO , A, V. Acolchoado.
AceraLo. V. Acephalo,
Actıado, Aczeıan. V, Asseiado, eic.
Ackıo,V. Asscio,
ACE
kKarmiso, A, adı. gami d’acier. (Ag.) For-
,delendu,P.p.d
MEIRAR, e. s. prendre & bail. V. duugar.
BR. Actrer : garnir d’acier. ‘4. Detruire les
beissons, les ronces sur la lisiere d’une foröt,
d’en bois, pour le preserver du feu.
"Actıno,s. m. acier. il. Champ, lisiöre de-
pouilise des berbes , des ronces pour preserver
da feu une forei, ei. .
Acutaci6, s. f. acceplalion, admission :
Factien d’accepter, de recevoir, d’agreer. Ap-
probalion., » applandissement, röussite, — de
pessons. V. Accepgdo. II. Predilection,, partia-
tite. Julger sem — das partes, juger sans par-
ualitd poar les parties.
ACEITADO, 4, P. p. d’Aceilar. V. Aceilo.
ACHITADOR, A, 3. accepteur:: celui qui accepte,
regeit. (Ag.) — de pessoas, celui qui se parlia-
lise, qui s’attache aux interets d’un parti ou
d’une personne, par preference ä une autre.
ACHTANENTO. V. Acsilagdo.
Aczurrinte, 8. (f. decom. ) accepleur : celui
qui une letire de change. if. Celui qui
Vepait le prix stipule.
ACEITAR , ©. G. accepter, admeltre, recevoir:
serter ce qui est offert, propos& ou donne. if.
Consenlir, approuver, acquiescer d. — P6885008,
avoar un certain &egard pour quelques personnes
que pour d’autres, partialiser. — uma
frs , accepier une lettro de change, s’obliger
au paiement. id. Becueillir.—no seio da familie,
receueillir quelqu’un chez soil.
AcgıtivEL, adj. 2 gen. accepiable : qu’on
pent accepter : qui est digne d’etre accepte;
agreable.
Ackrıe, s.m. (f. decom.) * acceptation (d’une
ketiee de change): formule d’acceptation.
Aczrtissıno, A, adj. superl.d’
Ackıro,&, adj. agreable, bienvenu, regu avec
plaisir, agree; admis dans un college, une
sociele, etc. ‚ apprauye, p. p. irreg. d’Aceilar.
Acerrösautuıs. V . Insidiosamente.
* Acarr0so. V. Aceilo.
+ ıcaıcaı, 8. f. (t. de bot.) poir&e blanche;
beue hianche, beite reparee. — brava ou bas-
serda. V. Limonio.
* ACENAMRNTO. V. Aceno.
Aczsan, v.n. faire signe de la L£te, des yeux,
des mains, etc. (fg.) Menacer ruine; provoquer,
ineiter, exciler.
AczupäLna, s. f. tognures; broutilles, menu
‚ } V. Aeendelke,
ÄCHNDEDOR, ACENDER, etc. V. Accendedor, etc.
AcznBai00,p.p.d’
ACENDRAR, U. 6. purifler, afliner : &purer les
beisux, les coupeller, passer, meitre & la cou-
eiie pour les aflincr. V. Affinar, Apurar.
Aczumı.V. Azenha.
AczsmeıRO. V. Azenheiro.
+ Actmıs, 8. f. (l. de bot.) acane : plante san-
grisorbe.
Ackso, 8. 9. Signe, mourement qu’on fait de
ACE 21
la tte, des yeux ou des mains, pour marquer
sa volonte. Conforme o— dalguem, selon la
volonte& de quelqu’un.
TACENOSso, A, adj. (t.de bot.) qui penche
(autans),
T AcepHaLisu0, e. m. achphalisma : scote des
ac&phalites.
ACEPHALITA, 5. m. actphalite : sectaire gui
w’adınet point le concile de Chalcedoine.
AC£PHALO, A, adj. acephale : qui n’a point de
tete. (fg.) Sans chef : qui meconnatt l’autorit6
de son superieur.
f AcE£rHALOS, 5. m. pl. ackphales : anciens
heretiques eutych6ens qui ne suivaient aucun
parti. ds. (1. d’hist. nat.) ac&phales : mollusques
a töte cachee.
AcerıLmiDo, A,p. p. d’dcepilhar.
7 ACEPILHADOR, s. m. celui qui rabole, elc.
ACERILHADÜRA, 8. f. l’aclion et l’effet de ra-
boter, corroyer, etc. Polissure ; copeaux.
ÄCEPILHAR,, v.a. raboter, doler, corroyer,
rendre uni et poli avec le rabot. (Rd. ) Degour-
dir, faconner, polir, debourrer : former quel-
qu’un.
: " AcEQDA. V. Acequia.
Acequia, s.f.*canal, naville, rigole : condalt
artificiel par oü l’eau passe.
Acen. (£. lat.) V. Bördo.
ÄACERAR, ©.6. acerer : ajouter de l’acier au
fer pour le faire mieux couper.
ACERBAHENTE,, adv. Aprement, durement,
rigoureusement, sevörement.
AcernipÄne, 3. f. acerbite, aigreur, duret6,
Aprete. (Ag.) Rigueur, cruaute.
ÄACERBISSIMO, A, adj. superi. d’
Acern0, A, adj. acerbe, aigre, Apre, rer&che.
(Ag.) Rude, rigoureux, cruel ; ennuyeux, f4-
cheux.
A’CERCA,, adv. et prep. V. Cerca.—de, & 1'6-
gard de, quant ä, relativement &, concernent,
sur, au sujet de, quasi.
ACERCADO,A,P.P.d’
ACERCAR, v.a. approcher ; rapprocher ; avan-
cer aupres, mettre pres. V. Cercar. A Iristeza
se acdrca lanto da loucura como a alegria,
la tristesse tient de la folie autant que la galte.
ÄCERCAR-SE,, ©. T. S’avancer, se rapprocher.
Accoster, aborder, s’approcher de quelqu’un
pour lui parler.
ACEREIÄADO OW ACEREIJADO,
de cerise. p. p. d’
ACEREJAR , ©. a. donner & quelque chose le
brillant, la couleur de cerise; polir. —, 9. %.
mürir.
ACERRJAR-SE, dv. r. prendre,, recevoir la cou-
leur de cerise.
ACERO. V. Acoro.
+ Acanösıs, adj. f. pl. Folhas —, 1. de bot.
feuilles en epingle; feuilles menues et pointues
du piu, elc.
ACKRRIMAMENTE, ade. superl. avec le plas
grand acharnement; tr&s-virement ; aigrement,
A,adj. couleur
‘[ aclivement, coursgeusement, severeinent ‚&
oulrance.
23 ACE
Ackunıno, A, adj. superl. trds-violent, tr&s-
impötueux; 'acharne; tres-vif, Irds-octif, trds-
courageux, Irös-sövöre, Irds-ferme, Ires-obsll-
nö ; tenace.
ÄCERTÄDAUENTE ‚„ adv. convenabloment, &
propos, habllement, adroitement ; avec pru-
dence; avec succes, .
ACERTADISSIMO, A, adj. superl. d’
AcErrinpo,A, adj. prudent, s sage. p.p. d’A-
ceriar.
ÄCERTADOR, A, 8. celui qui touche au but;
qui devine, qui juge par conjecture de ce qui
doit arriver.
ÄCERTAURENTO, s.m. V. Acorio, It. Hasard,
cas fortuit, casualite.
ACHRTAR, o.a. toucher, atieindre, donner,
frapper au but. Deriner : trouver, expliquer ce
qui est obscur ou cachd; Juger par conjectures;
Pressentir. AJuster les parties de quelque ve&te-
ment. Rencontrer, trouver. Ex. Acerlou com a
essa, il trouva la maison.
ACERTAR,, ©, ®. arriver, survenir sans qu’on
s’y attende. (fig.) Reussir, aroir du succds.
er uma cousa a acerlar, dire quelque chose
au hasard, & tout hasard.
ÄCERTAR-SE, v. fr. se irouver present par
hasard, p. us.
Actaro, s. m. l’action de donner au but.
"Reussite. Ag.)° Prudence, sagesse, assurance,
tact, adresse dans tout ca que l’on fait. Hasard,
cas forait, casualits. Succds. Por —, (loc.adv. )
par ba
Ackavo, . m. amas, monceau de choses de
ımtme espäce,
Aczsckscıa, 8. f. (f. de chim.) acescence :
disposilion NY Pacidiis; qualits de ce qui devient
algre et acide.
ACESCENTE, adj. 2 gen. (1. de chim.) acescent:
au tend & Vaeidils; qui tient de l’acide,
CESOADO , ACESOAR.
ACESONADO, ÄCESONAR, } V. Sasonar, eic.
Acastan, V, Assesiar.
AcsrisuLo ‚s. m. (1.d’anas.) acetabule : ca-
vild des os qui regoit un aulre os.
tAcsriro, s.m. (4.de chim.) acdiale (de
pomb, de for, eto.).
Aczttn. V. Pucaro.
Actrıco,a,adj. (tl. deckim.) aostique. Aei-
de—, acide concenire de vinaigre; combinai-
son de l’oxygene avec les eiömenis contenus
dans le vin, la biöre,, ste.
Acgrite, s. m. (l.de chim.) acttlıe : sel forms
rl’union de l’acide acöteux aveo differentes
ses , sel de vinaigre.
Acero, s. m. vinaigro distill6.
AceErösa. V. Azedas.
AcerostıLa.V. Aredinke.
AceEr0S0, A, adj. aigre, atide, acdteux : pi-
quant au goüt. (1. da chim.) Actteux : : quia le
goät du vinaigre, qui en tient. Acido —, vinaigre
disulle, moins oxygene que l’acide acligue.
ACRVADADO, & ‚p.p.d
ACHYADAR, ©. @, engralsser avec de l’orge
ACH
(les heraus). (fig.) Rassasler. V. Farlar, En-
gordar
Acevo, V, Asseio, etc.
A’caı, s. f. petite büche, mercean de beis
fondu A brüler. it. * Fanal; torche. (anf.) it.
bache d’armes.
* AcHuaapa, au liew d’AcHäana, ÄCHANADA.
V. Planice.
* AcnÄanO, AcHäır. V. Achanar.
AcHıcanıco, A, adj. V. Achacoso.
Acuacipo, A, adj. infirme, maladif, souf-
frant, valetudinaire.
+ Acaıcina, s. f. achacana : espöce de cacte
ou cactus du Potosi.
AcHACAR, ©. a. impaulter, attribuer, p. us.
vn. Devenir infirme, tomber malade.
® Acuacer. V. Acaecer
Acmacöso,A, adj. maladif, inärme, mal-
sain, valdtudinaire, grabataire : qui est sujet &
etre malade.
Acuipa, 3. f. trouvallie ; action de trouver;
decouverte.
® ACHADEGO OW ACHADIGO. V. Achddo, s.
Acuapico,A, ed. aise, facile A wouver.
Acaivo, A . d’Achar. Näo se dar por—,
faire Pignorant; alrc semblant d’ignorer. — no
delicto , surpris, pris sur le fait, dans un crime.
it. Propre, apte, convenable, trouve choisi.
Ex. Homem ac para esse emprego , homme
propre, eto., & cet emploi.
AcuAano, s.m.” decouverle ; r&ecompense &
celui qui rapporte la chose trour£e, gratifi-
cation, pourboire,
AcuapOr, A, 3. celui qui a trouve une chose;
inventeur.
ACRADÖURO, #. m. lieu oü on a trouv6 quel-
que chose.
+ AcHacvan,s.m. achagual : poisson extra-
ordinaire des oötes de la Nouvelle-Hollande.
ÄCHANDOADANENTE. V. Grosseiramente,
ACuAMBOADO. V. Grosseiro, Achavascado.
$ ACHAMBOAR-SE, v.r. (4. burl.) (Ag.) Devenir
grossier, brut, rusire, impoli, rude.
ACHANENTO,, s. m. *trouvaille, decouverie,
invention : action de lrouver, d’inventer quel-
que chose. V. Descodrimento.
Acuanica, s.f. plante des Indes dont le fruit
se nomme alfard „ bonne pour le mal venerien.
"ACHANADO, Acuanan. V. Alkanado, eic.,
Aplamado, etc.
ACHANAMASI, 8. m." priere du sodr des Tures.
ACHANTADO, ACHANTaR. V. Chanlar.
+ Acuaranrino, A, adj. abougri, rabougri.
il se dit des arbres et des plantes que la mau-
vaise nature des terres ou les mauvais venis
emp£chent de profiter. (Ag.)—, trapu, rabougri.
N se dit d’une pelite personne tr&s-grosse , de
mauvaise conformatlon et de mauvaise mine.
AcHÄQUE, 8. «2. * infirmite : maladie habi-
tuelle. Desculpar-se com os seus —s, s'excuser
sur sa mauvaisc santd, sur ses maladies. (Ag.)
* Excuse, pretexte, veile dont on couvre les
choses, it, Defaut, vice, passion dominante,
ACH
MEAGURZTNEO, ÄCHAQUILNWO, ACHAQPINUO,
sm. dim. d’Achaque.
Amar, u. @. trouver, rencontrer. Decouvrir,
wsenter. Voir, trouver, observer, remarquer,
jager, entendre, penser. V. Averiguar. — uma
beils oacasicdio , trouver une occasion favorable.
— bom ou bos una cousa ‚ approuver, trouver
bon, donner son approbation sur quelquechose.
— que dizer, que censurar, trouver A redire, A
klämer. — com frabalko, trouver, obtenir quel-
gue chose zyee peine. Quem busca acha, qui
cherche iroure. Acho quo lem razdo, je pense
qu'il a raison.
ACHAR-SE, ©. 7. se Irouver, se rencontrer
—, arriver inopin&ment. Se trou-
rer bien ou mal, se plaire ou deplaire dans un
endroit. Se trouver, se sentir, &tre (indispos6,
malade,, affligö, etc.; en danger, en peine, en
qeelque besoin ‚ etc.).—bem com alguma cousa,
&tre content d’une chose, s’en tronver bien. —
com cousG, se trouver avec une chose,
la posseder. Ndo se achar, ne point se trouver.
-com alguma terra ou ilha, ölre pres d’une
terre ou Ile.
Acyan,, 5. m. (4. d’Asie) espöce de racines,
d’berbes ou [ruits qu’on met au vinaigre pour
manger ; une vinaigrette. Melange de sel et de
vissiere qui sert & confire et mariner des plan-
tes, des fruits, du poisson et de la viande. if.
Les memes plantes et fruils conflts au vinaigre
eisel
Acsanio. V. Xardo.
ACHAROADO , ACHAROAR. V. Axaroar.
+ acmania, s. f. (1. de bot.) acharie : planto
herbacte da cap de Bonne-Esperance,.
ACHATADISSIMO,, A, adj. super!. d’
Ackarioo, A, 0dj.p. pP. d’Achatar.
Acuırınüra, 5. f." aplatissement : !’action et
Teflei d’aplatir.
AcaiTautxto, s.m. V. Achaladura.
AcmıTAR, v. a. aplatir : rendre plat.
Acuarzs. V. Agalha.
Acaavascivo , A, adj. grossier, rude, rusli-
que, impoli, sans education.
A'caz, s. ın. (fam.) bobo: petite blessure , 16-
gere, qui ne donne qu’un petit mal, une petite
douleur.
Acukca, s. f. augmentation, accroissement,
addition. (fig.) Aide, sccours; celui qui aide.
Achegas , plur.” materiaux , comme pierre , bri-
que, bols, chaux, sable, etc., r&unis pour la
wonstruction, d’un bäument. (fg.) Aides, so-
esurs , assistances.
*Acuzcäpa, 5. f. atlaquc de pres.
ACBRCiÄDANMENTE, adv. de pres.
Acuecino, A, p. p. d’Achegar, et adj. ap-
prochet.
AcuzcidO, s.m. proche, parent, alli6; voisin.
° ACHECADOR. V. Chegador.
ÄAcHEcAwenTo, 3.m." proximits.
°* Acuzcaucas. V. Perienzas.
Acuecan, etc. V. Chegar, etc.
Acserönrz , s. m. (1. de myik.) Achäron : un
des Beuves des eniers ; Penfer ; la mort.
ACI 23
Acnerönrico, a, ( 04.acherontique: del’A-
ACHEaONTIO, A, chöron, qui appartient A
l’enfer.
Acuerösa, s. f. (l. de myth.) Acheruse.
f Acntros, s. m. pl. (t. d’hist. nat.) achätea:
genre d’insectes orthoptäres.
Acnia, s. f. canne des Indes que }’on conlit,
ÄCHICAR , v.a. etn.(f.de mar.) baqueter: öter
Feau d’un bateau avec une Ecope, elc.
+ AcmııL£ı, 5. f. (t. de bot.) achillee : plante
corymbifere, espece de Jacob£&e ; millc-Teullie.
—de S. Jodo , achill6e visqueuse, vulgo eupa-
toire de Mesue.
AcnıLıtma,s. f. Achiliöide :po&me Inacher&
de Stace, dont le heros est Achille.
Acını.es,s.m. Achille, prince grec, fils de
Thetis et de Pdlee. (Ag.) Brave, vaillant, grand
homme de guerre. Tenddo d’—, tendon form6
par l’union des tendons des quatre mmuscles ex-
tenseurs du pied.
ACHILLES, 8. m, (f. d’ecol.) achille : argument
sans replique, argument principal de chaque
secte.
AcuıM, 8. m. ($. asia.) piment de l’Inde.
+ Acuiung, s. f. (t. de bot.) colamnee, plante
scrofulaire.
Acaınipo, A, adj. somblable aux Chinois.
ACHINCALHAR, 0.0. (8. burl.) balouer. V. Cha»
colear.
ACHINELADO, ACHINELAR, V. Acalcanhar.
Acusöta, 8. f. * fruit de Pachio.
f AcsıöTE , s.m. achlo, achiot, roucou, rOu-
couyer : arbre de la Nouvelle-Espagne, et la
teinture rouge qu’on tire de son fruit.
ACHÖRES,, 8. m. pl. (t. de mdd.) achores : pe-
tits ulcdres a la t4te,aux joues ; gourme, espdce
de teigne humide des enfants.
AcunouÄtico,A, adj. (!.d’opl.) achroma-
liquo : qui laisse voir les objets sans couleur
&trangdre et sans iris.
+ ACHRÖNICAMENTE, adv. (f. d’astr.) dans un
lieu oppos# au soleil dans son lever ou son
coucher.
Acurönıco, A,adj. (l.d’astr.) achronique:
oppost au soleil dans son lever ou son coucher.
Acutu“pÄiDo, A, adj. de couleur de plomb;
pesant comme du plomb ; plombe.
+ Acıkno, s. m. bluet, aubifoin, barbeau:
planto & fleurs bleues qui croit dans les bies.
AcıcaLADO, AcıcaLAR. V. Aracalar.
Acıcite, 8. m. eperon turc. Bater 08 —t,
donner des coups d’eperon , appuyer l’&peron.
(Ag.) Stimuler, inciter, exciter, alguillonner.
Acıcöca ,s. f. herbe du Perou.
+ AcıcuLar, adj. 2 gen. aciculaire:semblable
& des aiguilles.
Acıntz, s. f. acidits : qualit& de ce qai est
acide.
Acivıa, s. f. paresse. V. Preguiga.
Acıpırıcackö, s.f. (l. de chim.) acidißcatlon:
oxygenation d’un combustible au point de le
rendre acide.
Acıpırıcinte , adj. 2 gen. et Acınfrıco, A, adj.
(t. de chim.) acidiflant: qui change en acide.
24 ACI
FAapırıcır, v.ca. (f. de chim.) acidifier :
rondre acide.
pos& ä l’acide.
Aapıöso, A, adj. paresseux.
A’cmo, ı, adj. acide, aigre , sür.
A’cıo,s.m.(t.dechim.) acide : subsiance
oxygendo au point de devenir aigre au goüt,
äcre, caustique, et de pouvoir former des sels
avoo les bases salifiabies. — carbonico, acide
carbonique. — muriatico, acide murialique, etc.
Acmaipo, A, adj. couleur de cedrat.
AcıpuLino, R ‚adj. etp.p.d’
AcıpuLan, v. a. (t. de pherm.) aciduler:
rendre acidule.
Adburo, A, adj.( I. dem£d.) acidule, ai-
erelet, qat dent de l’acide ; lögdrement acide.
Acig,s.f. p. us. vue perganie, vivacite des
yeux, perspicacite, penetration de l’esprit.
Acua, adv. ei prep. au-dessus, ci-dessus,
sur; en haut, au haut.
* ÄcımADo, Acımar. V. Acabar.
® ACIMENTO. V. (imo , Cume.
+ Acıniczsow Acınice, 3... acinaces : sabre
des anoiens Parthes et des Perscs.
+ Acınacıroaue. V. Alfanjddo.
+ kcınksıa, s. [. (i.de med.) acinesie : repos
du pouls ;intervalle entre la contraction et la
dilatation de l'artere.
+ Acımırörug, adj. 2 gen. (1. de bot.) acini-
forme : en grappe.
+ Acıno, s.m. " baie, graine de grappe.
Acınöso „adj. compose de bales , cn grappe.
AcintE, s.m.* provocalion , taquinerie. Fazer
—s, laquiner : contrarier, causer des contra-
rieiles.
AcınTE, ACINTEMENTE, adv. A dessein, ex-
pres ; de propos delibere; taquinement, pour
contrarier quelqu’un, pour l’impatienter.
Acıntöso, A, adj. taquin, mulin, contra-
rient , malicieux , espitgle.
Acintao, s.m. V. Absinthio , Losna.
Acırirg ,s. m. morceau, mels friands, frian-
dises : des viandes exquises et delicates pour
exeiter l’appetit. Amigo d’—s, qui aime & faire
bonne chere , qui aime les bons morceaux.
Acırırkıno, A, adj. qui aime les friandises,
qui les pre&pare.
Acırazstäpo ou ARCHIPRESTADO , 8..." di-
gnite, juridiction d’archipretre.
Acırasste, V., Cypreste.
® Aciqua, s. f. bourse.
ACıRAnDAR, etc. V. Cirandar, etc.
® Acirana, s. f. couverture de sclie, housse
de cheval. is. * Voile de couvrir (chose d ‘eglise).
ACITRINADO , A. V. Acidrado.
ACLARA OU A'scLaras. V. Claramenie.
Acıaraciö, s. f.” eelaircissement; l’aclion
d’eelairer.
AcLariD0, A, adj.p.p.d’Aclarar.
Acranautxto. V. Aclarapdo.
Acıarar,o.a, 6clairer, illuminer : Jeter, r&-
pandre de la clarte. Eclaircir : diminuer le
nombre. Dömeler, eclaircir, debrouiller, d«chif-
ACO
(rer, d&nouer, manifester, expliquer. Clarißer,
rendre clair ce qui est trouble ou obstur. —e .
AcıpırıciveL, adj. 2 gen. acidificable : dis- | gerdada
‚ verifier : faire voır la verils d’une
chose;; en öler tous les doutes. — uma diflewi-
dads , expliquer une chose, en Öter toutes les
obscuriläs, la döyelopper. — & vor, a visla,
&claircir la voiz, la vue.
ACLARAR, v. #. s’öclaircir, devenir serein,, 56
remelire, en parlant du temps.
ACLABAR-SE , o. r. Il a les m&mes acoeptions _
que les deux pröctdenis. A verdade se aclara
com o disputar, la verils s’eclaircit par la dis-
pute.
tAcLaväno , Aa,.adj. (4. de bot.) en forme de
massue (style, peliole, ote. ).
ACLERIZAR-SE,, ©. r. devenir prötre.
ACLIMADO , ACLIMAR , etc. V. Acclimar, olc.
Acuistico, a, adj. (1. de med.) acmastique.
Il se dit d’une fiövre gei, ‚depuis le commenoe-
ment Jusqu’& la fin, n augmente pas d’intensite.
* Acö, adv. ici, par ici.
AcoaLnan. V. Coalkar.
Acoar. V. Coar. .
ÄACOBARDÄDAMENTE , adv. avec crainte, aveo
€pouvante, timidement; sans esprit, sans cou-
rage ; lächement,
Aconanpino, A, adj. p. p. d’Acobardaer.
ACOBARDANENTO, 8. m." crainte, manque de
courage , limidit& ; poltronnerie.
ACOBARDAR, U. a. decourager, rebuter, intimi-
der, d&coontenancer : abatire l6 courage, rendre
timide,, degoüäter.
ACOBARDAR-SE, ©. r. se decourager, s’inlimi-
der, s’abattre, perdre courage, craindre, s’6-
pouvanter ; s’amollir, s’enerver. V, Acankar-se.
AcosErTÄDO,A,P.p.d’Acobertar.adj.nippe,
habille, chaudement v&tu. Il est aussi substan-
tif, et signifie l’armure complete d’un homme -
d’armes et d’un cheval de bataille.
ÄACOBERTAR, dv. a. Caparaconner, harnacher :
mettre le caparacon, le barnais & un cheval.
Acocano, ACOcaR. V. Acossar.
ACOCHADO , ACocHAR. V, Agacher.
ACOCORADO, A, adj. p. p. d’Acocorar-se.
ÄCOCORAMENTO , 5. m. accroupissement : tat
d’une persomne accroupie.
ACOCORAR-SE, v. 7. B’accToupir : 56 baisser,
le derritre prös des talons; s’asseoir sur ses
talons; se tapir ; se blotüir ; se cacher en se te-
nant courb6 (contre un mur, dans uncoin, eic.).
Acovır ‚etc. V. Acudir. Quem me acode! &
l'alde! au secours!
ACOCOMBRADO, V. Apepinado.
AcocvLan, etc. V. Acugular, eic.
Acoımino,, A,0dj. p.p. d’Acoimar.
ACOINADOR, 8. m.celui qui condamne & l’a-
mende; qui punit.
ACOIWAMENTO, 8. m. "amende, chäliment, pu-
nition.
Acoısan,v. a. oondamner & l’amende; sur-
rendre, prendre sur le fait; saisir tes bes-
tlsux. (Ag.) Chätier, censurer, reprocher; se
venger par soi-meme de quelque dommage
Tegu.
..— --_ _ -
ACO
MONNAR-SR, U. 7. S'ACCUSOE ; 50 TO6ORNAlLTE
wdätclerer coupabie.
° KCOEELANENTO. V. Sesmaria.
° ACDITAR-SE Os ACUITAR-SE , ©. r. sallliger ;
sapüsyer.
Acaeran, Acorran-se. V. Acoular.
Acoe.i, ade. ih, en ost endrolt.
“Aomceraa. V. .
+ Acoucmoantına, s. f. femme qui ouate, qui
AcoLcmoint, s. m. piqus (ötoffe). ül. adj. p.
p. d’Acolchear.
AcoLcmoaBER, A, 3. coluı, colle qui fait le
pigut, es onuries-pointes.
ÄCDECHOAR , ©. @. ouater, matelasser, piquer:
metize de la ouate ontre deux dtofles, ot les
Piguer.
AcoL 2108, 3. m. pl.” herbe medicinale.
A<cOLxTADO, A, adj. qui a la forme d’ungllet.
AcoLaznön, A, 5. celui qui accueille quel-
qu’un, qui regoit chez lui.
Acoamtrıı , s. f. * refuge, retraite, asile:
faction d’accueillir. V. Acolhimento.
° ACOLBEITO. V. Acolkido.
° kcormzuca. V. Acolheita, Acolkimenio.
AOLEBR , v.6. accueillir, recueillir, recevoir,
admetire quelqu’un chez soil, le loger, V’heber-
ger. V. Colker. (fg.) Prot&ger, secourir, defen-
dre ; mmetiresoussaproteclion.
ACcouBEn-SE, 0. r. se relugier, se meltre &
cauvert : se relirer en quelque lieu ou aupräs
de quelgu’an pour £@ire en sürele. Fuir, se
sauver.— falle, se taire, cesser de par-
lee. — eo sagrado, se relugier & l’autel comme
«m un liea sacre. — d Igreja, embrasser l’&tat
religieaz ou ecclesiastique.
Acoımida, 3. f.” accueil, r&ception, traite-
ment. Betraite, asile. Protection, defense. it.
Afftaence , abondance , augmentalion, crue des
esux d’en ruisseau , d’un fleuve.
ACOLEIOO , A, P- pP. d’Acolher.
ACOLIMMENTO ,3.m. V. Acolhida.
AcoLırino ow ACOLYTHADO, s. m. acolytat:
le plus baut des quatre ordres mineurs dans
Ffglise catholique.
Acörrro ou ACOLYTHO ‚s. m. acolyto : clerc
au plus haut des quatre ordres mineurs,
qui sert la messe en surplis sans &tre
tensure. (fam.) Compagnon : camarade qui
abde A faire quelque chose.
ACONMETTEDOR, A, 8. aggresseur, assaillant :
esiai qui attaque, qui assaillit.
ACONMETTER, 9. 6. atlaquer, insulter, assail-
Er:csmanencer une attaque. Entreprendre,com-
muncer, enlamer. — 0 inimigo, atlaqucr l’enne-
mi, le charger.— ds pedradas, attaquer ä coups
— com ro ,dadivas, etc., tächer
ds corrompre quelqu’un avec de Y'argent, cic.
Acowmertiıpa,s. f. V. Acommellimenlo.
ACOSNETTIDO, A, adj. p. p. d’Acommelter.
ACHONNETTINENTO, s. m." attlaque, charge :
assaut, Invasion , choc de deux personnes ou
de desz troupes qui en viennent aux mains. it.
Essai. V. Tensaliva. — que far a oulro 0 que
= ACO. 35
‚ allaque: ooup pori& par l’une des
deux personnes qui font assaut, s’escriment.
— subilo, insulle,coup de main : atlaque im-
prevue. — d’uma enfermidade, allayue d'une
maleadie, acoös.
. ACOMMETTIYEL, adj. 2 gen. allaquabio : qui
peut dire atlagud.
ACONMONAR-SE, V. Hancommunar-se.
ACONPADRADO, A, ad. p.p.d’
f Acowrapaaıa,v. a. faire compöre un ami. '
ACOMPADRAR-SE , d. r. prenüre pour comp&rc
un ami. (fig.) Se familiariser, contracter de la
familiarits ; ötre compere.
ACONPANBADKıRA, 8. f. femme qui accompa-
gne une aulre. V. Acompanhador.
ACOMPANHÄDO, A, adj. P. p. d’Acompanhar,
ÄACONMPANHADOR , A, 8. OL adj. accompagnant,
suivant : qui accompagne. (}. de mus.) Accom-
pagnateur : celui qui accompagne la volx avec
quelque instrument.
ACOMPANHAMENTO,, 8. m. accompagnement:
Paction d’accompagner. (4.de mus.) Accompa-
gnement : accord dont on eccompagno la voix
qui chante le sujot ou l’instrument qui le joue,
mparse : suite de personnages muels qui ne
font que figurer au th&ätre. * Suite, corl&ge:
ceux qui accompagnent quelqu’un par hon-
neur. Convoi : cori&ge fun&bre.
ACOMPANHÄNTE, adj. 2 gen. p. a. d’Acompa-
nkar. V. Acompankador.
ÄCOMPANHAR,, v. a. accompagner : aller de
compagnie avec quelqu’un, marcher A cöte de,
tenir compagnie d. Conduire, accompagner
quelqu’un par honneur, civilite, occasion ou
par sürets. Suivre la m&ıne direclion de l’objet
qui se meut ; avoir la meme situation ou gise-
ment. (fig.) Unir, joindre, ajouter, marier, as-
sortir : allier une chose avec une aulre, accom-
pagner une chose d’une autre. (l. de peins.) —,
ajouter des ornements & une peinture. (S.de
mus.) jouer les parties de l’accompagnement.
Ce verbe est employ& quelquefois neutrale-
ment. Ex,— com alguem , tenir compagnie, fr&-
quenter, aroir des relations avec quelqu’un. 4
ndo acompankhou com as oulras, Io valisscau
marcha aussi bien que lcs aulres.
. ACOMPANHAR-SE, 0.T. S’accompagner, se faire
accompagner de quelqu’un, prendre dans sa
compagnie ; mener quelgu'un. (f. de mus.) Ac-
compagner sa propre voix avec quelque Instru-
ment, (fig.) S’accorder, se concilier ensemble,
compatir. Serrir a Deus e ao mundo ndo sdo
cousas que possdo acompanhar-se, ce sont des
choses incompatibles que de vouloir plaire &
Dieu et aux hommes.
adj.(i.demed.)com-
plezione : qui est
ACOMPLECIONADO, A, d’un certaintempe.
ACONPLEXIONADO, A, rament.!i setrouve
° ACONPREICIONADO, A, \ toujoursjoint, dans
les deux langues,
aux adr. dien. ou
\ mal.
ACOUPRIDAR-SE , d. r. p. us. s’alionger.
® ACOMPREIGOADO, A,
26 ACO
Acoupıcıonipo, A, adj. 9.P. d’Asondieienar.
Pessoa bem —«, personne de bon caractäre,
affable. Mai —, humoriste, qui a de l’hurmeur,
intraitable , avec qui il est difieile de vivre.
ACONDICIONAR , V. 4. Conditionner: mettre les
marchandises en lieu de süreis ; les arrangen,
les placer en bon ordre.
ACONFEITADO, A, adj. pP. P2.d’
Aconreıtar. V. Con .
ACONHECER ou ACONBESCER, V. RecomÄscer.
Acönıro, s. m. (t. de bot.) aconit, tue-loup :
plante veneneuse.
ACONSELHÄDAMRNTE, adv. prudemment, sage-
ment, avec conseil.
ACONSELHÄDO, A, adj. P. p. d’Acomselkar.
Mal —, inconsidere, mal avise, 6tourdi : qui
agit imprudemment ot sans conseil. _
ÄACONSELHADOR, A, 8. conseiller : celul qui
conseille.
ACONSELHAR , 9. 6. conseiller : donner o0n-
ACONSELHAR-SE , U. 7. 86 conselller : prendre
eonseil ; consulter. — melhor, se raviser.
* ACONTECEDEIRO, A, adj. qui peut arriver,
survenir,
ACONTECER, ©. #. arriver, avenir, survenir.,
Como aconlece ordinariamente, comme il arrive
ordinairement. Fazer e —, (idiot. pop.) on s’en
sert pour faire de grandes menaces.
ACONTECIDO, A, adj. P. P. d’Aconlecer.:
ACONTECIMENTO, 8. m. 6vönement, issue,
succ&s bon ou mauvals d’une ohose, Fait, accl-
dent, aventure, incident remargquable.
* Acontıipo, A, adj. & quion a donnd un do-
maine ou pension. Qui a achei# des fonds. Pro-
prietaire. Anciennement les acontiados ötaient
oblig&s d’avoir un cheval et des arınes pour
aider le rol dans le cas de guerre.
* ACONTIADOR, 8.m. reconseur qui imposait
aux aconliados l’obligation d’avoir certaines
armes et un cheval d’aprös lours domaines ou
pensions. V. Aconliado.
* f ACONTIAMENTO, 3. m. "estimation, svalua-
tion des doınaines de chacun pour lui imposer
Pobligation d’avoir un cheval et des armes, it.
Enregistrement des pensions que le roi donnait
& cerlains sujets (aconsiados) pour qu’ils eussent
un cheval, etc,
® + ACONTIAR, ©. a. recenser, övaluer les do-
maines de chacun pour lui imposer l’obligation
d’avoir un cheval 6: certaines armes, comme
lance, arbalete, eto. i$. Faire une pension &
quelqu’un & la condition d’avoir un cheral, etc.
V. Acontiado , Aconliamento.
"FAconTıoso, A, adj. V. Aconliado, Abas-
Aconto.V. Conto.
* Acöro, s. m. " fomentalion chaude,
® ACORCOBAR,. V. Corcovar.
ACORDÄDAMENTE, adv. d’accord, d’un com-
mun accord. Avec reflexion, mürement, avec
dessein pr&medite , de propos delibere.
ACORDÄDO, A, 9.P. d’Acordar, adj. öveills,
qui aacheve de dormir;; vigilant. i#. Fait müre-
ACO
met, aveo röllexion. (Ag.) Prwdent, aviss,
sags. Decid6, statud par arröt de la Cour de
Justice, etc.
® ACORDANKNTO, 3. m. röveil ı l’aclion d’e-
veiller.
* ACORDANGA. V, Consonancia.
* ACORDANTE, 9.0. d’Acordar,adj.V. Acorde.
Acöapio, 8. m. arröt, jugement d’ane Cour
de Justice,
AcorpaR, v.a. öveiller, r&veiller une per-
sonne qui dort, interrompre son sommell. —,
v.”. s’eveiller, se r&veiller, revenir,
Aconpar 0% plutdl Acconpar, v. &. (l.de
prat.) arreter, decider,, d6cröter, determiner
apres avoir recueilli les voix. (f. de mus.) Ac-
corder, mettre d’accord des instruments, des
voix.
ACORDAR-SE (COM), ©. r. B'accorder : @tre, se
mettre d’accord, d’intelligence, de concert.
— (de), 58 Souvenir, s6 rappeler : avoir m&moire
de quelque chose.
Acönpe, adj. 2 gen. conforme, assorti, pro-
portionne. (f. de mus.) Accordant, consonnant,
d’acvord,, qui s’accorde bien, qui r&sonne d’ac-
cord. (f. de peint.)Quiade l’accord, et oü regne
’barmonie entre la lumiere et les couleurs.
(fig.) Conforme, d’accord, d’une m@me opinion,
d’un möme sentiment,
Acörpe, s. m. (f. de mus.) accord : union de
plusieurs sons entendus & la fois et formant
barmonie,
ACÖRDEMENTE, adv. d’un cCommun acoord,
uniform&ment, unanimement.
Acöapo, s.m. accord, conrention : union de
senliments sur une chose. «4. * Attention, intelli-
geno®, precaution, bon sens.’R&solution, d&-
termination. Nös estamos d’— nislo , nous som-
mes d’accord lä-dessus. Elles vivem com um
grandissimo —, ils vivent d’un trds-bon accord,
Perder o—, perdre connaissance. Ndo dar —
de si, ötre sans connaissance. Ter prompfo —,
avoir de la presence d’esprit. Estar em seu —,
etre dans son bon sens.
AcoRDOADO, A, adj. cordonnd, en forme de
cordon. (f. de mar.) Garni de cordages. p.p.d’
ACORDOAR, d.G. (f. de mar.) garnir un navire
de cordages. #6. Arpenter, mesurer un terraim
& cordon.
Acöro, s. m. (ti. de bof.) acore ou acorus :
plante aquatique, medicinale. — edlamo ou
cana cheirosa, acore odorant.
ACOROGOADO, A, adj. p.p.d’
Acorocoar. V. Aleniar, Animar.
+ ACORRENTÄDO, P. us. adj. p.p.d’
} ACORRENTAR, v.a. P. us. enchalner : lier,
altacher avec dos chalnes (les captifs, les for-
gats, 01c.).
* ACORRER, ©. a. accourir, venir vite, &A la
häte; aller promptament vers.
ACORRILHADO, A, adj. 9. p.d’
AcorRıLHAR. V. Encurralar, Acanloar.
* Aconnro. V. Soccorro, Recurso.
AcoatcHäpo,A, adj. scmblable A un pinacle,
® AcosıpÄng , etc. V. Aquosidade, etc,
—— u nn A a non n
ACO
Apssino,, A, adj. p. p. d’Acossar.
Achssap6R, A ,S. celui qui poursuil.
AcOSsauRRTO, 3. m." poursuite : l’action de
pearsaivre avec "acharnement.
ACOsSAR, €. a. poursuivre avec acharnement
(le gibier,, les betes feroces, etc. ; lennemi, les
navires, eic.). (fg.) Persecuter, pousser, offen-
ser, chogaer, importuner, faliguer, presser,
r.
* Acostino, A, adj. p. pP. d’Acostar.
” Acostaminto,s.m.l’action d’accoster, d’ap-
procher. (44) Salaire, solde, gages, appointe-
ments, paye.
* Acosran, v. a. acchler, approcher de la
eöte. V. Arrimar. Appuyer une chose contre
une autze, i$. Longer la cöte, s’en approcher de
bien pres, la raser.
ACOSTAR-SE, ©. r. s’appuyer sur quelguo
chose „ s’y adosser ; semettre au lit. Acoslar-se a
elguem , entrer au service de quelqu’un, soit
comme domestigune, soit comme homme d’ar-
mes, et ($g.) &ire de sop parti, suivro 368 opi-
niens. (i. de mar.) S’approcher de la cöte, la
Faser de pres, la longer.
ACOSTUMAÄDAMENTE, adv. selon la coulume,
Tusage,, d’apres Pbabitude, babituellement.
Acostuuino, A, p. p. d’Acostumar, adj. 20-
osstaune , habitae a. Bem —, morigene: qui a
Id bonnes maurs, de bonnes babitudes. Mal
—,quien ade manvaises ‚eic.
AR, 9. 6. accoutumer : faire prendre
uns coutume , une habitude. V. Costumar.
ÄCOSTOMAR-SE (6), v. r. s’accoutumer, 5’ba-
» prondre uns coulume, conlracter une
“Acoran, ete. V. Cotar.
“ ACOTE, adr. tous les jours. V. Cote (a).
’+ Acorıan, v. a. fr&quenter journellement;
porter was los jours, en parlant d’un babit, etc.
Acoricipo, A, adj. (i1.de blas.) colice , charge
de cotices.
AcorToano, A. V. Acolonado.
+ Aooroxipo, A, adj. qui a, qui fournit du
duvet; qui en est couvert,
AcorovsLino,A,0dj.p.p.d’
ACOTOVELAR, ©, a. coudoyer : beurter quel-
quw’un da conde.
ACOTOVELAR-SE, 9. T. 50 coudoyer : se heur-
ter mutsellement du coude.
+ Acorrıtoome,, adj. 2 gen. (4. de bot.) aco-
tylsdone : plauste dont le germe, sans lobes, n’a
que ia plumule ot la redicale.
ACOUCEADO,, A, P. P. d’Acoucear.
Acooczapon. V. Escoucsador.
ACDOCEAR , 0. 0. V. Conseor‘, Euousar.
AcouserLın,. V. deaudilkar
AcosriB0, A,adj.p.p.d Acoutar.
ÄACOUTADOR, A, s. celui qui donne Yasile A
queilge’un.
+ Acouramänıo, s. m. l’sclion, l’eflet de
donner asile; liou d’sssurance.
ACOUSAR, ©. &. donner asile & quelqu’un, le
recevoir dans un liou d’assurance. if, Aocorder
aan lieo la franchise ou droit d’asile,
ACO 27
ACOUTAR-BR, v.r. so rölugler, se retiror dans
un asile,
* AcoutEza, 8. f. V. Acoulamento.
ACOVARDADO, ACOVARDAR, Elc. V. Acobardar.
Acoxar, V. Acochar.
A’co,s.m. acier:fer raffine, trös-pur et trös-
cassani, endurci par le melange d’une certaine
portion de charbon et par l’operation connue
spus le nom de frempe. (fig.) Fer: loutes sortes
d’armes blanches, particuliörement l’&pöe. it.
Courage, valeur, vigueur, intröpidits, foroe.
Este homem 6 um —, cet homme a un lemp6-
rament de fer. Peilo d’—, un caur & toule
€preuve, etc. Ilse prend aussi aa figur& pour
de la p&netration, de la perspioacitt,de Posprit,
Homem d’um engenko bolo e sem — , hommes
d’un esprit rude et sans penttration.
ACODÄDAMENTE, 'adv. pröcipitamment, avos
precipitation. Correr —, courir ä perte d’ba-
eine,
Acopino, A, adj. pröcipits, rapide, acodıdrd,
haletant, häle. p. p. d’Acodar.
Acopa MENTO, s.m.’häle, precipilallon, grande
diligence, acc&leration,, courte haleine.
AGODAR, v.a. presser, accölörer, faire agir
avec pröcipitation ou & la häte; diligenter, pre-
cipiter, meitre hors d’haleine.
AGODAR-SE, DO. Tr. 50 presser, se häler, elc,,
somme leo. a. So melire hors d’baleine, ha-
eter. .
Acokıno, s. m. autoursier : celal qui dresse
les autours.
ACOFAR, s. m. laiton ; metal.
Acortıra, 8. f. jujube : fruit du jujubler.
- + Acoreırkıra, s.f.*jujubler:arbredeGröce,
d’Arabie, naturalise, plante rhamnolde.
AcöR, s. m. aulour, oiseau de proie plas
grand que l’&pervier, et qui lul ressemble. Arte
de criar e ensinar 08 agores, aulourseris,
*Acornino,4,P.9.d’
® AcORAR, ©. a. Inspirer un desir inquiet;
irriter, causer une inquietude ontinuelle. lest
aussi röcip. ot dans le me&me se
Acönpa ‚s.f. panade:soupe & Pal et äl’huile,
i$. Soupe & la reine ou doröe.
ACOREIRO, V. Apoeiro.
Acoatnua, 8. f.° oiseau de proie plus petit
que l’autour, mals de la möme espöce.
Acotkı,s.f. Verrasse, plate-forme, belveder;
espece de galerie couverie ou döcouverte, pra-
tiquee au haut d’une maison.
Acoucada, V, Arougaria.
>} Acoucioem, s. f. ancien impöt sur les
viandes, l&gumes, etc., qu’on vendail au mar-
Acovcaria,s.f. crialllerie, tapage (dans la
boucherie).
Acöucug, 3.0. " boucherie, 6tal : lieu od l’on
tue les animaux, oü l’on arrange et debite ia
viande. (Ag.)* Tuerie, carnage, massacte ; COIM-
bat, bataille sanglante,
Acovooı „s. m. espöce d’etal (anciennement).
Acouranico, A, adj. sujot au fouet, qui mub-
rite le fouot; habitu6 & eire fouelts.
28 ACR
Acorrino, A, p.p. d’Aroular, adj. Touelld
le criminel qui a &t6 fouelt# par ordre de la
justice. (Ag.) Qui a appris A ses d&pens ; perse-
cuts. (fig.) Secous, agile. Arcore dos venios
ocoulada , arbre agits ou secoußd des venls. i#,
Instruit, Ex. Acoulado da experiencia, instruit
par l’experience.
ACOUTADOR, A, 8. fouelleur: celui qui fouette.
Acovranöra, 3.f. fustigation, volde de coups
de fouet.
ACOUTAUENTO , s.m. * flagellation : l’aclion de
fouetter.
ACOUTAR, Od. ©. fouelter, flageller , donner le
fouet. Fesser, foueller, frapper sur les fesses.
(Rg.) Chätier, persecuter. — o ar, (loc. prov.)
battre l’eau, se fatiguer en vain, se donner de
la peine pour rien. if. Gauler, abattro les frults
&coups de gaule.
AGOUTAR-SE, v.r. se fouelter, se flageller, se
discipliner.
AcöuTE, s. m. fouet : instrument pour fouet-
ter. —, coups donn6s & un enfant sur les fesses,
soit avec un fouet, soil avec la main. (flg.)
Fleau, calamite, afflicetion, grand chätiment.
‘. L’ebranlement, Yagitation occasionnee par
des flots , les vents, la pluie, la grele, etc. On
donne aussi ce nom & celui qui en est l’instru-
ment. v.g. Atila— de Deus, Attila, fidau de | A
Dieu. Afoutes, plur. peine du fouet infligee aux
criminels. Levar agoules pelas ruas da cidade,
@tre fouette publiquement. Dar uma lunda ou
gibäo d’apoutes, donner une volde de coups de
fouet,, de coups de bäton.
Acquırir , etc. V. Adqwirir.
Acquisıcäö, s. f. acquisition :
querir ; la chose acquise.
* Acauısto. V. Acquisipäo.
+ Acricıa, 8.f. (t.de med.) acratie : falblesse,
debilits, impossibilits de faire un pas.
Acravino,A,adj.p.p.d’
ACRAVAR, ©. 6, enfoncer (dans un bourbier,
dans le sable, etc.).
ACRAVAR-SE,, 0. r. s’enfoncer. V. ev. a.
A’cnE, adj.2 gen. &cre, sigre, mordicant: qui
a quelque chose de piquant, de corrosif, etc.
(fig.) Aigre, rude, acariätre, fächeux, rigou-
reux, sövere, dur, en parlant du caractere, du
nalurel, etc. Acüif, diligent, fougueuz, im-
patient,
ACRECENTAR, elc. V. Acresconlar.
Acrecer, eic. V. Acrescer.
ACREDITADISSINO, A , adj. superl. d’
Acreoıtino, pP. p. d’Acreditar, adj. acort-
dite , jouissant du credit, de r&putation.
ÄACREDITADOR,, A, 3. celui qui donne du er&-
dit. V. Abonador.
ÄACREDITAR, ©. @. croire quelgu’un ; accredi-
ter, achalander, mettre en credit, en r&puta-
ton, donner da credit, de Pautorils, de l’os-
time, etc. — a alguem em conla, (1. de comm. )
erediter : porter au ertdit, passer & credit,
ACREDITAR-SE (COM, para com), v.r. B'aC-
ertditer. Acquerir du eredit, de la r&putation.
Yaction d’ac-
ACR
(de) So falro passor pour. — para com alguem ,
s’accrediter anpr&s de quelqu’un. — de louco,
se faire passer pour un fou.
Acn£nörR, A, (de) s. cr&ancier, cröditeur,
celui & qui il est da de ’argent ou autre chose.
(a, de) (fig.) Digne de quelque bonne chose, y
ayant des droits, la merilant,
A’CHEMENTE, ade. aigrement, äprement.
ACREMENTO. V, Augmento, Accreseimo.
* Acr£o. V. Incredulo.
ACREPANTAR. V. Quebrantar.
AcrıanciDo, A, adj. enfantin : qui a les ma-
nieres d’un enfant.
f Acaipıo , s. m. acridie: insecte, sauterelle.
Acrınınar, V. Criminar, Accusar.
AcrıröLıo. V, Aquifolio.
ACRIMÖNIA, s. f. acrimonle, äcrels : qualiis
de ce qui est äcre, acrimonieux. (fig.) Force,
energie, ou plutöt 'vehemence, chaleur, impe-
tuositd.Efcacit&, propriete dans la maniere de
parler. it. Dureie, rudesse, aigreur,, mordacitö
dans les expressions, dans le caracidre.
ACRIMÖNIO,, A, adj. acrimonieux : qui a de
Pacrimonie.
Acaisıa,s. f. (f. d’anc. med.) acrisie: crudit#
des humeurs.
AcrısoLi00, A . d’Acrisolar, et
mizade — 6, imilid a ä Pepreuve. erad.
ACRISOLAR, v.a. affiner, purifler par le feu ou
par quelque autre moyen un metal quelconque,
le coupeller, le nasser par la coupelle. (g.)
Meitre dans lout son jour : &claircir, purger,
purifler, &purer quelque chose,comme la vertu,
la verite, etc.
A’crO ow Acno ‚adj.m. (lerro—) fer de mau-
vaise qualit6, cassant. On le dit aussi de l’or,
du platine, etc.
AcnoiuMa, s.m.p. us. chant, etc.,agreable &
Poreille.
AcroÄTIco, A, adj. acroatique :
entendu qu’arec des explications.
AcroBiTA, adj. 2 gen. acrobale :
danseur de corde parmi les anciens,
ACROCERÄUNIO, A, adj. Acrockraunien: habi-
tant des montagnes de l’Epire.
ACROCERÄUNIOS (monles), plur. aujourd’'hui
mont de la Chimere, dans la Moree. Acroctrau-
niens (monts), dleres et sujets A £ire [rappds
de la foudre.
ACROCHÖRDON, 3. m. (4. de med.) acrochor-
don : verrue pendante par un flet.
Acnocöma, adj. 2 gem. acrooome : chevelu
par devant, & cheveux longs.
T Acrocöeno, #. m. ($. d’hist. nal.) acro-
chorde : serpent de Java.
Acrömıon, s. m. (f. d’anaf.) acromion : le
haut de ’’6paule; apophyse & laquelle s ’attache
la elavicule.
Acröstıco, A, adj. acrostiche. On le dit d’un
ouvrage compos# d’autant de vers qu’il ya de
lettres dans le nom qu’on a pris pour sujet, et
dont chaque vers commence par une des lelires
qui n’est
voltigeur,
‚de ca nom prises de zulte.
2. 2022 2.
EEE EEE GE EEE ee Gy VE
ACT
$icaderıco , 8. m. acrostigne (plante) : es-
pie de fongäre.
Amorkaııs 0% ACROTERIOS, 8. (4. d’arch.)
woitres : piddestaux dans la balustrade, ct
i seyarent les balustres;; petit piedestal sur
ourunnement d’un Edilice pour porter une
Hatae, etc.
dcta, V. Auto.
keıas, s. (. pl. "actes, calılers : decisions de
Tantoris publigne ou de quelque commu-
zauit redigtes sur les registres publics. —,
dälibtrations des Conciles, des Chambres, etc.
_. vies des Sainis. .
TAcısa sarıcana , 8. f. (l. de bot.) actee &
tpie; euige Iberbe de Saint-Christophe ou la
ne,
Acrsırıo. V. Authenlico.
fAcnzo, s. m. "mesure qui est la dix-sept
sent vingt-huilieme partie du pied geome-
Fäcrimna, s.f. (1. d’hisl. nat.) aclinie : 200-
Phyte connu sous le nom d’anemone, ortie de
ir.
„Aaeriso, s.m.(f.d’hist.nal.) acline:insecte,
"imo. V. Aceio.
"ikmow. V. Arioma.
komme. V. Alittude.
Acrivantsıg,ado. aclivemen!: d’unemaniere
ive, avec aclivite. (4. de gram.) —, dans le
mode aetif.
icnraa, o.a. acliver : mettre en activite;
denner plus d’activite.
kcnvivipe, s. f. activite : facult& active :
verta d’agir. (Ag.) Diligence, promptitude, vi-
raeite,, ardeur, activite dans l’action,, dans lo
mail, iniensit6. Pör em—, activer.
kcıvissmo, A, adj. superil.d -
kcrvo,1,adj.actif : qui agitou qui ala vertu
@’agir. (#9.)Empresse, diligent, agissant, labo-
Neus;qaiagitavec promptitude, avec force. EM-
eace: qui produit son eflet avec promptitade. (8.
degram.) Actif.1ise ditdes verbes qui expriment
Fatlion. Ter vidaacliva, faire beaucoup d’exer-
cite, SOceuper corporellement. Ter vox acliva
tpawiss, avoir droit de donner sa voix pour
deelion et de pouvoir &tre &lu. Pela achiva
(ghr. gram.), activement : d’une manidre ac-
fire , dans une signification active.
‚Acro, s.m. acte : l’action d’un agent, opera-
fen.—, uns des parties principales d’une piece
de ibeäire. —,, en termes d’ecole, se dit d’une
dspaie pablique od l’on soutient des theses,
Ea-, en attitude, en posture; sur le point
de. ctes, pl. V. Aclas, Autos. it. —, falls,
wüens des ds hommes ; les belles ac-
Ion, les faits memorables. Actos grandes,
Yezamen prive, et les Ih&ses qu’on soutient en
pablic pour acquerir quelque degrö dans les fa-
altts, eic. — de commumidade,, tout ce que fait
ws commaunauts r6unle, Comme prier, MAR-
bet, ee. — dos apostolos, acles des apölres ;
canonique qui contient quelques- uns
es fsite des spötres.
ACU 29
* Acro. V. Apfo.
ACTOR, s. m. acleur : celui qui represente un
personnage dans une piece de Iheälre. — Ira»
gico ,tragedien : acteur tragique.
s. f. actrice: cells qui reprösente
Kram ’ | un personnage dans une piöce de
Acruagäd, s. f. V. Auluagdo. it. Activities,
energie.
AcTuipO, A, adj. exerce, accoulume. p. P.
d’Acluar.
AcruaL, adj.2 gen. actuel, effectif, r6el,
present, existant.
AcTtALipÄDE, 8. f. actualils : &tat prösent ot
actuel de queique chose.
ACTLALISSIMO, A, adj. superl. d’Actual.
ACTUALHENTE , adv. actuellement : presente-
ment, & present.
ACTUÄNTE, adj. p. a. d’
Actuar, v. a. rendre aclif, activer. V. Au-
loar.
ACTUÖSAMENTE, adv. Energiquemen!, aYe6
vigueur.
+ Actuosıpine, 8. f. vigueur, Energie, acti-
vite , vivacile d’action.
ACTUOSIssIıMO , A, adj. superl.d’
Acru6ös0, A, adj. diligent, actif, soigneux.
Actan0,A,adj.p.p. d’
ACUAR, d. a. acculer : pousser quelqu’un , le
reduire en un coin ou en un endroit d’oü il ne
puisse plus reculer ; poursuivre le gibier, l’ac-
culer, eic.; metire aux abois, en parlant d’un
cerl. j
ACUAR, ©. n. el ÄCUAR-SE, U. Tr. 8’855601F BUF
les fesses. (fg.) Rester interdit. O cavallo
ocuou, lecheval recula et lonıba sur les han-
ches, i
Acupertan. V. Acoberlar.
AcucuLar, etc. V. Acugular, etc.
+ Acövıa, s. f. acudie : insecto Jumineux de
‚PAmerique meridionale.
Acupipo , adj. p.p. d’
Acupır, ©. ®. aller, venir, coufir, accourir
au secours de quelqu’un. Assister frequermment
& quelque chose ; fröquenter quelque lieu. Re-
courir : avoir recours & quelqu’un. Aider, se-
courir. Produire,, donner des fruits, en parlant
de la terre. — por alguem, delendre, proteger
quelqu’un. — por si, se menager, pourvoir,
veiller Asa röputation ‚a son avantage. — a ai-
logar, venir en foule, on abondanoe, a0-
courir, aborder de toutes parts. — a quem man-
da, obeir au commandement. — a quem chams,
repondre. -— 0 navio ao leme, o cavallo d espö-
ra, obsir (le navire)au gouvernail, (lecheval)&
l’&peron.— 0 jogo, &tre heureux au jou.
ÄCUDIR-SE, 9. r. p. wa. s’alder, So BeCcoufir,
ee.
ACcuctLADO ‚A, adj. p. p. d’dcugwlar.
ACUGULADOR , A, 8. celui qui comble une me-
sure.
AcvcuLadura.V. Cugulo.
ACUGULAR, U. a. combler : remplir un vase
par-dessus les bords.
30 ACU
® ACOITADO, A,P.p.d’
® Acuıtar et Acuıtan-sK. V. Affligir, cic.
Actızino, A,adj. aigu. if. Aiguillonne. (Ag.)
Excite, intrigu6. (4. de bol.) Aiguillonne: muni
d’aiguillons.
Aciızo, s. m. alguillon, pointe. (fig.) "Insüi-
gation.
+} AchuE, s. m.” points : bout piquant et algu.
(Ag.) *Subtilite.
ACUMINADO, A, ady. acumine, pointu.
ACUMINAR. Y. Agusar.
ACUMULADO , ACUMULAR,, etc. V. Accumular.
ACUNHADO, Aconnan. V. Cunkar.
ACUPONcrURa, 8. f.(t. de mid.) acupuncture:
pigqüre aveo des aiguillcs pour lirer du sang.
* Acunan. V
® ACURRIMENTO, V. Recurso, Soecorro.
® ACURTAR, eto. V. Enourtar, etc.
Acusvino,A,?. pP. d’Acurver.
ACURYAMENTO, 5. m. l’action de se courber.
(Ag-) * Humiliation.
ACURYAR, v. a. courber : rendre courbe une
chose dreite ; donner une figure, une forme
courbe. Plier, abaisser, incliner avec queique
poids. (fg.) V. Acurver-se.
ACURVAR , v. %. Il ala meme signiflcation que
le suivant.
ACORYAR-SE, 9. F. se courber: se hbalsser,
s’Incliner, se pencher en avant; devenircourbe,
prendre la figure, la forme courbe,, etc.,
oomme le v. a.(Ag.) S’humilier devant quel-
qu’un; cöder & la volonte d’un autre. Acurvar
on Acurvar-ıs debaixo do peso, courber, se
coourber sous le poids.
ACURYILHADO, A, 9. P. d’
ACURVILBAR, ©. G. 86 courber, flöchir : on ne
le dit qu’en parlantdes bestiaux.
AcusuÄta, 0. m. acousmate : bruit imagi-
naire de voix et d’instruments dans les airs.
}ActusmÄrico, A, adj. acousmalique : qui
entend sans voir; enlendu sans @ire vu (con-
cort, chanleur, eic.).
Acdsrıca , s. f. arousliquo : Ihdorie des sons.
Acösrıco, A, adj. acoustigue : qui conserve
Youie, qui augmente le son. Insirumenie —,
trombeia — « ‚ instrument acoustique ; cornet
acoustgque.
Acorı. V. Salla-rogra.
AOUTAnGuLLDO, a,adj. (t. de geom.) acutan-
gule.
ACUTANGTLAR, adj. 2 gen. (1. de giom.) acu-
tangulaire : ä angles sigus.
AcytingcuLo, a, adj. (1.de gdom. et de bot.)
acutangle : & angles algus,
Acureıan, V. Aeutilar
+ AcuraLLivas, ad). f. pl. (folhas—, 8. de
bot.) en oouteau ( feuilles).
+ Acvricußro , s.m. ( .de bof.) Thalia gewi-
culala, Lin., thalie, plante amomee.
ACUTILADIKO. V. Acutilador.
ACOTILADISINO,, A , superi.d’
AcuriLipo, A, adj. p.p. d’Aeutilar.
ADA
AcvriLapOR, s. m. qui donne dcs ounps de sa-
bre; spadassin.
AcvTiLän, ©. a. sabrer, öcharper, taillader,
estaßlader, balafrer, d&chiqueter, donner des
coups d’epee, eic. ; blesser de laille. Passer au
Nil de l’epee.
Acurissımo,, A, adj. superl. trös-aigu.
Acucan oW ÄSSUCAR, 8. M. SUCHE : SU0 d'une
esp&ce de cannes qui viennent dans les pays
chauds. Päo d’—, sucre en pain. —
sucre brut, cassonnade jaunätre, — cande,
sucro candi. — rosado , sucte rose.
Agucarino, A,adj. sucrd: qui a du sucre,
qui en a legoüt. (fig.) Doux, affable, mielleux.
Versos, palabras —as, vers, propos douc®-
reux, ‚Baroles musqudes, d’une galanterie fade.
Fercanan, v. a. sucrer : mettre du sucre,
assaisonner avec du sucre. (fig.) Bucrer, adou-
cir, confire au sucre.
+ ACucaRAR-SE, v. r. devenir sucr&, se can-
dir,en parlant des fruits. (fig.) Parler avec
douceur.
ACGTCARBIRO, 8. m. Sucrier : vase ou pidce de
vaisselle od l’on sert du sucre.
+ Acucantıro „A, adj. qui conlient du sucre.
Acuckna,s. f."lis blanc : plante et fleur.
AGUCENAL, #. m. camp, vallde, parterre avos
des lis.
Acupa. V. Apude.
Acupipa, s. [. chaussee d’ötang. V. Sargenta.
Acöpe, s. m. "levee de moulin ; chaussee,
&cluse, &cluse de chasse; jeice, batie.
Acursırkıra. V. Acofeifeira.
ÄGUGENTADO , AGUGENTAR , ic. V. Swjo, Su-
Jar, etc.
AguLAaD0, A, pP. p. d’Acular.
ACULADOR, 8, celui qui hale les chieng,
AGULAMENTO, s.m.l’aclion d’exciter los chiens.
(Ag.) "Instigalion.
Agutar,v. a.irriter,inciter, baler, animer los
chiens pour mordre. (Ag.) Inciter.
AcumacaE. V. Sumagre.
Acvpasste. V. Cypreste.
ÄACYROLOGIA , 8. fı (tl. de gram, an.) phrase,
terme impropre.
ADAGAMA ou ABACEMA. V. Asafams.
+ Anarina,s. f. "ragoüt autirefois en usage
parmi les Juifs d’Espagne.
Anica, s. f. dague, sorte d’6pee courie ei
large, ospdce de poignard.
Apacipa, 5. f."ooap, blessure de dague.
ADACHAL, "adj. 2 gen. proverbial.
Anicıo, s. m. adage ; proverbe,, maxime,
Anicıo ,ado.( f. de mus.) adagio : lontement,
meins oopendant que largo.
Anacvinna , s. m.dim. d’Adaga, petitedague.
® Anaıäno, s.m. V. Deado.
Auarkd,c. m. V. Dedo.
ApalL,s. m. eommandant, chef de gens de
guerre snciennement.—mor, mestre-de-camp-
general, offieier de l’ancienne milice porte-
waise,
nn
MU RN -— un MO
PO” Zp \ -.
ADD
Auamino, A, 9. p. d’Adamar-se, adj. efis-
mins : qui Lient du caraciere, du physique et
de la (aiblesse de la femme. st. Doux, delicat,
mou. ’
Apıminzs, s. ze. plur. * timbales indiennes.
.Ademdes.
ADANANTINO, A, adj. V. Diamanlino. Les
po&tes se servent plus generalement du pre-
mier.
ADANAR-SE,T.r. se parer comme les dames;
faire fe dameret, s’adoniser.
Apamuascibo, a, adj. damasse : fait en facon
de damas. ii. Damasquine; le premier en par-
lant de linge de table, et le second en parlant
d’ane &pee, ete.p.p.d’
ÄADAMASCAR, ©. a. damasser ot damasquiner: | portö
faire en fscon de damas,.
ABamıino, A, adj. et ADANTTAS, 8. m. pi.
adamites : seciaires qui, pour imiler Adam,
alsient tout nus.
Anarraciö, s. f. adaptation : action d’a-
dapier.
tAnarripaueure, ado. justement, propre-
ment, convenablement.
ABaPrTäno,A, adj. p.p. d’
Asırran,co.s. adapter : appliquer, ajuster,
atosınmoder une chose & une autre.
ÄADAPTAR-SE, v. r. s’adapier, S’acooımmoder,
# ABAPTAVEL, adj. 2 gen. qui peut @tre
Apansz, V. Adervs.
Aninca, s. f. adarca : 6oume salde ou eolon
des roseanx qui s’attache en forme de laine aux
berbes durant la söcheresse.
TApinco, 5. m. chemin cache.
Aninca, 8. f. *&ca: petit bouclier de cuir,
arme defensive,
Avımciso, 1,adj.p.p.
Abancar, 0.0. couvrir de P&cu ou du bou-
eier. (Ag.) Defendre, proteger.
ÄDARCAR-SE, ©. r. se couvrir de l’&cu, etc.
(Ag.) Se mettre & Pabri, s’armer. Adargar-se
de peeiencia , sarmer de patience.
Anancufino, s.m. celui qui fait des boucliers.
t Anazcvinma, s.f.dim. d’Adarya, tres-petit
bouclier.
Apiaue, 8. m. demi-gros ou la seizi&me
pertie d’une once ; calibre de balles de mous-
juet. (Ag.)Chose tr&s-pelite. Por adarmes, trös-
Besquinement.
Apırofına. V. Daroeira.
* ADARYADO, A, adj. p.p.d’
"ABARVAR, 0. a. faire des murailles.
® ADAR VE, 5. m. Vespace qui rdgne dans le
baut des murailles, et sur lequel s’ölövent les
ertneauz.
Apistaa, 3. f.* tribouiet: outil d’orferre pour
arrendir les bagues.
+ ABatcro, 4, adj. augments, agrandi. p. us.
Aposınsan, V. Adensar, Condensar.
Anpen. V. Addir.
Apvıcad, 9. f. addition, augmentation. ad-
ADE 91
jection, supplöment : ce qui est ajont& & quel-
que chose. (1. d’arithm.) La premiere regle de
V’arithmetique. Note, remarque que l’on met
danslaredaction des comptes. "Surcrolt. Pobre
com — de soberbo, pauvre et pour surcrolt or-
gueilleux. is. Parcelle.
ADDICIONADO, A, adj. p. p. d’Addicionar.
ADDICIONADÖR, A, 8. celui qui additionne.
AppicionaL, adj. 2 gen. additionel : qui est
ajoute, qui doit &tre ajouts.
ADDICIONAR, ©. a. (1. d’aritkm.) additionner:
mettre plusieurs nombres ensemble pour en
avoir lo total. Faire des additions, mettre des
additions & un livre ou &crit quelcongue.
Anniero ‚ &, adj. attache, deroue, inclind,
ADDIDO, A, adj. p. p. d’Addir, attache, ad-
joint &.
ADDIıMENTO. V. Additamenio.
AppiR, v. a. ajouter. V. Addicioner.
ADDITAMENTO, 3.m. "addition, augmentation.
Appıraa. V. Acerescentar.
AppıTo. V. Accrescenlamenio.
Appucgäd, s.f. (1. d’anat.)adduction: l’aelion
des muscles adducteurs.
ADDUCTIYO, A, adj.(t.de Iheol.) adductif : qui
apporte.
Appuctör,, s.m. (l. danat.) addueteur: nom
de differents musecles. .
ADDrZIR, ©. a. porter, apporter, conduire;
ajouter. Alleguer, produire.
Ape. V. Adem.
ADEANTE. V. Adiente.
Anzcan, elc. V. Adeqguar.
Antca,s. f. cave : lioa creux el souterrain
‘Tot Fon met le vin et les aulres provisions.
Cellier 4 melire du vin. — do azeile, cellier &
mettre l’huile.
Apecutıro, 8. @. celui qui garde une cave
qui a soin du cellier & metire du vin; som-
melier.
Antıs, plur. d’Adel.V.
ADEIADO, A,adj.9.p.d’
ADEJAR, v.G. prendre le vol, battre les alles
pour s’envoler, voltiger.
+ Aptıo, s. m. batiemont d’ailes, voltige-
ment : action, effet de ce quivollige. -
Apzı. V. Adelo.
Antıa, s. f. fripiere : fomme qui achete et
vend de vieux habits.
AnkLrA ou Aneıro. V. Loöadro.
+ ApgLraL, 3.m. terrain peuplö de lauriers-
roses.
ADELCAGCÄDAMENTE, ado. d’une manidre mim
09, amineie, delide.
ApsLoacanissıno, A, adj. superl.d’
ADELcAGADO, A, adj. p. p. d’Adelgapar, (1. de
bot.) efüile, aminci.
ÄDELGAGADOR, A, 8. qui amincit, qui ame-
nuise.
ÄDELGACAMENTO, 8. m. amincissement : l’ac-
on d’amincir, d’amenuiser.
ADELGACAR, dt. @. amincir, amaigrir, amenul-
82 ADE
ser: rendrc plus mince, moins €pais. Attönucr,
suhtiliser, purifier: rendre plus luide, plus sub-
til, plus delie, plus penetrant, moins grossier.
(Ag.) Penser, raisonner avec beaucoup de subti-
lit6. Analyser, examiner & fond une question.
ÄDELCACAR-SE, ©. r. s'amincir, maigrir, de-
venir mince, maigre, efile. (4g.) Se raffiner,
devenir plus poli, plus fin, se purifler, se ren-
dose moins pesant, en parlant de l’air.
Apdıo, s. m. [ripier, revondeur des meu-
bles, etc.; marchand de vieux habits, qui achete
et vend dans Ics places ot dans les rues d'une
ville. (g.) Procureur.
A'DEM, s. f. "ladorne : oiseau aqualique du
genre du canard.
+ Apeman, s.m. *aclion, gesie,air,semblant,
mine, grimace, signe exteriear par lequel on
marque quelque aflection intörieuro. Ademdes,
. Adamanes.
* AnEuta,s. f. terre entre une monlagne et
une plaine, bonne ä culliver.
ADENMZINHA, &.f. dim. d’Adem,, petit Ladorne.
ADENXOLOGIA,, 8. f. (tl. d’anat.) adenologie:
th6orie des glandes-
ADENOSO,, A, adj. V. Glanduloso.
ADENSAR , eic. V. Condenser.
Apentino, a, adj. dents, dentels, qui a des
poinies en forme de denis.
ÄDENTAR, v. a. denteler : faire des entailles
en forme de dents, de petits angles. —, 9. ®.
pousser (les dents).
ADEntao. V. Deniro (a).
Ankos, s.m. et ade. (fam.) adieu : facon de
parler elliptique, cn prenant cong6 les uns des
autres. V. Deos. plur. Adeoses. Dar —, faire
ses adieux.
ADEOSADO, A, adj. p. p.d’
ADEOSAR 04 Adzusan. V. Endeosar.
® A-DE-PARTE, adv. V. A’ partie.
Av£rro, s. m. adcple : celui qui est inilie
dans les mystöres d'une secie,, d’une science.
Apeqracid, s. f. l’action d’adapter. j
ADEQUÄDAMENTE, adv. avec jusiesse, Conve-
nablement,
Apzquino, A, adj. convenable, adapte.
ADEQUAR, dv. a. adapter, proporlionner. -—36,
v.r. s’adapter, se conlorımer.
ADERECiDO, A, adj. p. p. d’Aderezar.
ADERECAMENTO. V. Aderego.
ÄDERECGAR, dv. G. arranger, OFNET, Parer, eIn-
bellir. Adresser, diriger. V. Enderegar.
® Anznfco,, 3. m. arrangement, ornement,
parure,, embeillissoment. — de mulher, orne-
ment de femme. — de cavallo , harnais de che-
val.— de casa, mobilier. — de mesa, service
de table. — de diamantes, de perolas, otc.,
assortiment, garniture de diamants, de per-
les, etc. — de espada, etc., la poignee et la
garde d’une &p6e, etc. — de navio, agr&s.
Apzaenca. V. Adherencia.
® ÄDERENCADO , ADERENGAR. V. Diligenciar.
ÄDENENGaR-sE ‚vo. r. aller A, se diriger ; s’a-
r
ADH
ÄADERENCIA,, ADERENTE. V. Adhorencia, eic.
* Anvencan. V. Aceriar.
Aderın. V. Adkerir.
ADERNÄDO, A, adj. p.9.d’
ADERNAR, v. on. (4.de mar.) s’abaltse; pen-
cher de cöts, en parlant d’un bätiment, d’un
navire. j
t An£ano, s. m. (t. de boi.) alaterne : espece
de nerprun. — bastardo : flaria eu phylaria:
plante jasminde.
ADESTRÄDAMENTE , adv. adrollement : avec
adresse, finesse,
ÄDESTRÄDO, A, adj. pP. p. d’Adestrar.
ÄADESTRADOR, A, 8. conduoteur, guide : celui
qui dresse, qui instruit, instrucieur.
ÄDESTRAMENTO, 3. m. l’aclion de Conduire,
de guider, de dresser, eic.
ADESTRAR, v. a. mener un cheval en main,
le conduire, guider. Enseigner , instruire,,
former, faconner, dresser. — um cavallo,
dompter, dresser un cheval. — os falcöes, ap-
privoiser, dresser, gouverner les [aucons.
ÄADESTRAR-SE, ©. T. S’sxercer, s’instruire, 86
former.
* Apzsta0. V. Adexira.
Angvinua ow Apıvınna, 8. f. devineresse:
femme qui se donne pour predire les choses
futures et ddcouvrir les choses cachdes.
Apgviınuaciö, s. f. divination : l’aclion de
deviner, l’art de deviner, de predire. Enigme.
ADSVINBÄDO, A, adj. p. p. d’Adevinkar.
ADEYINHADOR, A. V. Adevinko, a.
ÄDEYINHAR 0% ADIYINHAR „ ©. a. deviner:
predire les choses ä venir. —: dire, Juger, as-
surer par voie de conjeclure.—: trouver le sens
cachö d’une chose,comme le motd’uneenigme,
d’an logogripbe, etc. (fig.) Pronostiquer ; pres-
sentir, avoir du pressenliment. — 08 pensa-
menlos aalguem , prevenir, deviner par avance
la pensee de quelqu’un. —0o ido, deviner
apres coup. Adevinkhasie, vous avez devine,
vous avez mis le doigt dessus. C'est cela. O Ao-
mem prudente adivinha o que deve »
’homme prudent pronostiquo les erenements.
Eu jd adivinharva esia desgrapa, j'avais un
pressentimentdece malheur. Fallar «—, parior
A lort et & travers.
Apgvinno,A, s. devin : celai qui predit ou
qui se donne pour predire tes choses fulurcs
et decouvrir les choses cachees. —: celui qui
assure, qui Juge par conjecture co qui doit ar-
river. Devineur.
ÄDEXTRADO , Anzxrrur. V. Adesirar, eic.
Apcenzaachd, a. f. pP. us. deuxidme göns-
ration.
ADGENERADO, A, P. p. d’.
ÄADCERERAR, dv. a. faire crolire.
Anozascid. V. Adgeneragdo.
ADHERENCIA, 5. f. adherence : lien , con-
nexion, union d’une chose & une aulre; pa-
renuis, * Credit, favcur, protection.
ADuER&xTE, odj. eis. 2 gen. p. a. Ö’Adie
rir. Adberent, parent, allie. ami, proche,
De
ADI
stsche &. (Ag.) Accessoire. Il est Ir&s-sourent
pis sabstantivement. Adherentes, plur. garni-
tare, fourniture, et tout ce qui est n&cessaire
poar le complement d’une chose. \V. Ingre-
ABuerin, 9. m. adherer : ötre attache A quel-
que chose, contre quelque chose ; @ire du sen-
üment ou du parti de quelqu’an, s’attacher &
en i
Apuzsäö, s. f. adhesion, attachement, adhe-
rence : Taction d’adherer, etc., union, jonc-
den entre deux corps.
Asmorran. V. Exhorlar.
AuıiDo, a, adj. ajournd; fixe. p. p. d’Adiar.
f Astra, s.f. (fam.) pourboire. il. * Repas
que l’on donne aux ouvriers quand ils finissent
quelque ouvrage. — da ceifa, la passte d’aoüt.
tApıamantivo,a,adj. qui a la durets ou
“ute autre qualite du diamant.
fADramenTo, s.m.* fixation de jour; ajour-
zenent.
ÄDIANTÄDANENTE, ADIANTADO, adv. d’a-
vance, par anticipation.
+ ApıanTino, s. m. Cetait anciennement le
geuverneur civil etmilitaire d’une proviuce.
ABIANTÄDO , A, adj. p. p. d’Adiantar , avance;
‚paye avant le temps ordinaire. Hardi;,
imprudent, petulant, effronte, impudent, in-
solent ‚sans reienue. Pagar—, payer d’avance,
asliciper le paiement. Estiar miilo — n’uma
ssieneis , etc. , aller bien loin dans une science,
eic.
tADIANTADOR, A, 5. celul qui avance, qui
salicipe,, eic.
ABIANTAMENTO, 3. m. avancement, progr&s,
anticipation : l'aclion d’avancer, d’anticiper.
{}g.) Aceroissement, amelioration, progres,
perfeetion.
Aptastan, 9. @. avancer, anticiper, acceld-
rer, bäter : pousser en avant, porter en avant.
— , payer par avance. Devancer : gagner le de-
vant. (fg.) Ameliorer, augmenter. Perfection-
ner, inventer, raffner, faire des decouvertes,
faire des progres. Mettre en avant, devancer,
surpasser. — alguem nas as, digmidades,
eie., avancer, augmenter quelqu’un; le faire
entrer dans les charges, les ini procurer, l’ele-
ver & la dignite. — 0 passo, cami , häter,
Goubler le pas, marcher vite, aller en avant, se
käter. — terre ou lerreno, gagner pays.
ÄADIANTAR-SE, ©. r. s’avancer en marchant,
marcher en avant; passer outre, aller au delä.
Surpasser, faire des progres. —, dire, ou faire
eo chose au delä de ce que l’on doit, de
Farbe erdres, plus qu’on n’a ordre de dire, de
Apıixte, adv. avant, devant, en avant, plus
lsin. Apees , par la suite, Al’avenir, desormais.
Em dianie, para adianle, desormais, ä l’ave-
hir. De hoje em diante, dorenavant. Hais —,
avant, en avant. Levar — uma cousa, pousser
une chose jusqu’au bout. Passar mais—, pas-
ser outre, avancer. Mandar alguem —, se faire
prdotder de quelqu’un.
17 57 Su
ADJ 33
ADIANTES. V. Adiante.
Avdıknto, s. m. (t. de bol.) adiante : plante
eapillaire, pectorale, sur les feuilles de la-
quelle !’humidil& ne se fixe jamais. V. Avenes.
+ Apıiruono ,s. m. (1. de l’ancienne chim.)
adiaphore : esprit de tartre.
Apıiruono, A, adj. adiaphoriste; indifi6-
zent.
ADIAR, v. a. fixer le jour; ajourner.
+ Anise ou AnıBO, s. m. Chacal : animal car-
nivore qui tient le milieu entre le chien et le
loup, en Afrique.
+Avıciö, s. f. (1. de praf.) adilion : accop-
tation d’un heritage.
" AvıccÄo, s. f. V. Diepdo.
*Avıckiro, 8... ou adj. qui explolte les
mines.
Adıfra. V. Diele.
ADIETADO, p. 2. d’
ADIETAR,, 0. a. meltre & la didte, prcscrire um
certain regime.
ADIETAR-SE, ©. r. faire diete.
ADINHRIRADO. V. Endinheirado.
ADINRO, 8. m. dim. d’Adem. V. ce mot.
A'nıre. V. Gordura.
Apıpöso, A, adj. (£. d’anel.) adipeuz. Il se
dit de cerlains vaisseaux et de certaines meın-
branes qui se distribuent dans la graisse.
+ Adıspia, s. f. (1. de med.) adipsee ou adip-
sie : inappetence des liquides.
Apıque. V. Dique.
ApıR, v. a. (l. de prat.) Il n’est usile que dans
ceite phrase : Adir a heranga, admettre l’heri-
tage, le recevoir.
ADITADO, 9. pP. d’
ADITAR, v. a. rendre heureux.
A’pıro ,s. m. V. Enitradae.
*+ AbıvaL,s. m. corde: mesure agraire de
douze brasses.
Apıyınua, ADIYINHAR, elc. V. Adevinkar.
ADsackncıa, 3. f. contiguile, proximite , voi-
sinage de plusieurs choses.
ADJACcENTE, adj. 2 gen. adjacent, contigu,
proche, situ& aupr&s, aux environs.
Adssccäö,s, f. adjection : jonction d’un corps
&a un auire ; addilion ‚accroissement,
+ Andsecrivacäö, s. f. (I. de gram.) l’acliom
de faire aocorder l’adjeclif avec le substantif.
ÄDJECTIVADO, P. p. d’Adjeclivar.
ÄADJIECTIVAMENTE, ade. adjectivement : en
maniere d’adjectif.
AÄNIECTIVAR, v. a. (f. de gram.) faire accor-
der Padjectif avec lesubstantif.
ADJECTIVAR-SE, €. r. s’accorder, se confor-
mer, s’associer.
Adsecrıvo,s. et adj. (t.de gram.) adjectif:
nom que l’on joint aux substantifs poyr les
modilier ou les caractcriser.
ADJECTO ‚A, adj. joint, proche; uni; allie.
ApsupA, Anıupan. V. Ajuda, otc.
Ansuvicagäö,s. f. adjudication : acte de jus-
tice par lequel on adjuge, de vive voix ou par
ecrit, une chose mise en vente.
ApstpicAno, A, P- pP. d’Adjudicar.
8% ADM
} Anstoicandör, 3. ws. adjudicateur : celui
qui adjuge.
ÄADJTDICAR , ©, 8. adjuger : attribuer, dölivrer
Aquelqu’un par autoritö de Justice un bien-
meuhle ou immewuble qui se vend A l'enchöre.
adfudica algume
Pessoa a quem se cousa, ad-
judicetaire.
ADIUDICAR-SE , ©. r. s’adjuger, s’altribuer,
s’approprier quelque chose,
Ansnicaränta, a, f.y Adudieataire : & qui
ADJODIcATÄRIO, 6. m, ron aäjose, A qui Yon
+ Ansupscarivo,a, adj. adjudicaif : qui ad-
uge.
tApsupıcarönıo, A, adj. (f. de praf.) qui
enluge ı l'acte par lequel en adjuge quelgque
* Adsupoıao, V. Adjutorio.
f Ansuncciö, s. f. (t. de praf.) adjonction :
jenction de juges, decommissaires, & un autre
pour Faider en quelque affaire.
ADIUNTADO, Apıunran. V. Ajunfar, etc.
+} ADIönTo, e. m. adjoint : personne choisie
pour assister aux Fepports, et pour aider les
juges par ses observations.
ADJUNTO Oo ADJUNCTO , A, adj. ci-joint s joint
&uneautre chose, qui aocompagne"une autre
chose. A carla adjunfa, la letire ci-jointe.
Apsunacid, s. f. adjuration. V. Impreoakion.
Anıuripo, 4, p. p. d’Adjurer.
ÄDIURANTE, adj. 2 gen. (t. de Ikdel.) adju-
ran
ÄADIURAR, ©. a. conjurer : peler instamment.
ADıuTtör, s. m. coadjuteur : oollaberateur.
ADIUTÖRIO, 8.m. "aide, Becours.
ADMINIıCOLÄDO, A, 9, p. d’Adminiculer.
ÄADNINICOULÄNTE, adj. 2 gen. P. us. qui Bou-
dient par des adminicules,.
} AnsiınıcuLaa, o. a. aider, soutenir par des
adminicules. ll est peu usils hors da barreeu.
In TDMINICOLAR „ adj. 2 gem. V. Adminic-
te.
ApsımfcuLo, s. m. adminicule : secours, aide,
appui, assistance,, soutien : tout ce qui sert ä
feire r&ussir dans une affaire, ä faciliter une
chose, et particulierement & faire preuve dans
une affaire civile ou criminelle.
Anınkıstaaciö, s. f. administration. Il a
toutes les acceptions du mot francais.
ADNTINISTRÄDO , A, P. P. d’Administrar.
ÄADMINISTRADOR, A, s. administrateur. 11 a
toutes les acceptions du mot francais.
ADMINISTRÄNTE, adj. 2 gen. celui qui admi-
nistre. p. a. d’
ÄDNINISTRAR, ©. a, sdministrer. Il a toutes
les acceptions du mot frangais.— mal, mal-
verser.
ADNInISTaarlVo, A, adj. administratif: de
celui qui administre : charge de l’administra-
tion.
TADNIRISTRaATORIO, A, adj. qui appartient ä
Padministration ou & l’administrateur. V. Ad-
minisiralivo.
ADM
AUMIRABILIDÄDE ‚ 5. f. qualit& admirabic. p.
ws.
ApmırasiLissıuo, A ‚adj. superl. Irös-adımi-
rabie.
Apsıracä0, s. f. admiration, eionnemen!,
surprise : le senliment de celui qui admire.
Ponto @— (1) point admiralif : signe de pono-
taation qui margue ladmiration. Faser —,
olkar com —, avoir de l’admiration pour. 2’
ums—, c’est une merveille, c’sst une chose
dtonnante.
Apwıminpo,A,Pp. p. d’Admirer. adj. dtenne,
frappe d’&tonnement, d’sdmiration. Ester ad -
mirado do que um homem diz ou fax, (fam.)
&tre &tonne, surpris, scandaliss de cs qu’un
homme dit ou fait.
ADMIRADOR, A, 5. admirateur : oelui qui ad-
mire ou qui a l’habitude de s’admirer.
Apuıninno, A, adj. (4. podt.) digne d’etre
sdmird : admirable.
ADMıRÄNTE, p.a.d’Admirar, adj. et s. admi-
rateur, celui qui admire.
ADMIRAR, dv. a. admirer : considerer avec
surprise , avec dtonnement, ce qui paralt mer-
veilleuz. Etonner, &merveiller ı donner de
l'admiration. .
ÄDEIRAR-SE, ©. r. s’adınirer, s’6tonner. Bo
faire admirer de quelqu’un.
} ADBIRATIVAMENTE, adv. avec sdmirallon :
admirablement.
ADMIRATIVO, A, adj. admiratil ı qui exoite,
qui cause de Yadmiration. Etonn&, emerveille.
Anuıniver, adj.2gen. admirabie, diennent,
merveilleux, surprenant : qui atlire l’admire-
don, l’&tionnement, etc.
ADMIRAYELISSIMO,, A. V. Admirabilissime.
ADMIRAYSLMKENTE , adv. admirablement, mer-
veilleusement, &tonuamment, d’une maniere
surprenant®, &ionnanie, & merveille.
Anuıssäö, s.f. admission, röoeption, enir6e:
l’action par laquelle on est admis.
ApuissiveL, adj. 2 gem. admissible, reoo-
vabie , valabie : qui peut #ire admis.
ADBNITTIDO, A, 9. p.d’
ADNITTIR,, u. «@. adımelire , accepler, TEOBYOIT,
agreer, approuver, permeltre, soullrir. — @
kore prätioa, (1. de comm.) admetise & libre
pratique.
ADMIXTO, A ,ady. möle.
ADMOESTACAÖ,, s. f. admonition : l’aotien
d’admonster. * Avis, averlissement , Temen-
trance, reprimande.
ADMOESTADISSIMO, A, P. 8. adj. supert.
ADNMOESTÄDO, A, P. p. d’Admosster.
ADMORSTADOR, A, adj. qui admoneste. 4. Atl-
moniteur :celui qui avertit, quiadmoneste, qui
rsprimande,.
* ADUOESTAMENTO ‚ s.m. V. Adımoesiapie.
ADNORSTAR,, dv. a. admonester, averlir, faire
une remontrance & Quelqu’un ; röprimander.
Apuonıtor. V. Admoestador.
ADMONITÖRIO , A, adj. qui avertil, s. “"Admo-
nilion.
ADO
isaiTäa, 8. f[.(f. denat.) conjonclive : mem-
krane qui forme le blanc de Fsil.
ApnoracäoO, ApnorTano ei Anxoran. V, Am
Anoscke. V. Doapio.
*Apösı,s.f.* fers qu’on met aux pieds des
criminels.
Antsg , #. m.” brique croe.
Asocscin0, A, adj. douceätre, p. 9. d’
ABoGCAR, 9. 6. sucrer lögörement.
ABOCTRINABO Doutrinado
ADocin0, A,P. p. d’Adopar. .
ADOGAMEnTO,, s. m. adoucissement : l’action
d’adoucir. (Ag.) Soulagement, diminution de
peine, de douleur, des maux, des malheurs.
‚, adj. 2 gen. adoucissant, qui
adoscht. (Ag.) Qui mitige, qui soulage.
ADOGAR, 9. 6. sucrer, adoucir, rendre doux,
meins aigre, moins äcre ou Inoins amer. (fig.)
Adoscir, moderer, calmer, apaiser, rendre
moins lächeux et plassupportable. (1. de peint.)
Adoucir, affaiblir les teintes d’un tableau.
ADOGAR-SE, v. r. sadoucir, devenir .doux,
meins &cre, moins rude, Moins amer, 6tc.
($4.) Se moderer, se temptrer, s’apaiser.
Auoscke, 0. ». tomber malade, etre malade,
indispose „ incommode, (g.) Eire en butte ä
queigue passion. — d’amor, languir d’amour.
Aposcipo, 9. p. d’Adoecer. Tinka — muila
gende, beaucoup de monde £tait tomb6 ma-
ABOECIMENTO, s.m. l’action de tomber ma-
iade.
f ABoenTADno, A, adj. souffrant, mal portant,
Ester —, &tre mal ü son aise. p.p.d’
f Anorstar, 0.0. p. us. rendre malade, in-
er.
Anossrapo, ADORSTAR. V. Doesiar, etc.
ApoLzsckncıa, 8. f. adolescence : le premier
äge apres lenlance.
ADOLFEScHuTE, adj. 2 gen. adolescent: qui
est dans l’sdolescence. .
AnOLESChuTULA, 8. f. dim. trös-jeune. p. us.
ADOLESCHR, v.n. V. Croscer.
+ Avörıa, s. f. (£. de bot.) adolia : plante du
Malabar.
Abonxıı, s.m. C'est parmi les Höhreux un des
noms de Dieu, qui siguiße proprement Sei-
gaeur.
Apospe. V. Onde.
ABönıCco , adj. m. (. de poes.) adonien. On le
dit d’une sorte de vers consacres aux [dies d’A-
donis , autrement vers saphiques.
Asösıo , 5. m. vers adonien ou adonique.
Asönıs, s.m. (f. de mıylh.) Adonis : jeune
bemme joli, beau, bien fait. Feito um — , ado-
zise. On le dit ironiquement d’un homme qui
se pare aveo affeciation.
T Anösıs, s.m. (8. de bof.) adonis : plante ro-
sacte. 8. (4. d’hist. nat.) —, papillon du genre
derb
. ADOORARO, a, adj. plein de douleurs , ma-
N ADO 83.
Anorcid,s. f. adoption : Yactiom d’adepter.
ADOPERADO, 9.9. d’
ÄDOPERAR, v. a. melire on @uvre, Opörer
employer, pr&parer.
Avorraciö,s, f. V. Adopedo.
Aborrino, A,Pp.p. d’Adoptar.
ADOPTADOR > A, #. celai qui adopte.
ADOPTÄNTE, adj. 2 gen. qui adopte. p. 6. d’
Aportar, v. a. adopter, afflier ı choisir
quelqu’un pour son enlant. (Ag.) —: consid6-
zer, regarder comme sien; suivre, ombrasser
ene opinion , l’approuYer.
t AnopriveL, adj. 2 gen. adoptable : qui
peut s’adopter.
Anoprivo, A, adj. adoptif : qui est adopie.
Apozaciö,s. f. adoration : l’action par la-
quelle on adore.
ADORADISSIMO , adj. superl. d’
ADOrRÄDO,A,P.P. d’Adorar.
* ADORADÖIRO, A, adj. qui merite d’&tre adors,.
ApdonADÖR, A, 3. adorateur: celui qui adore.
* ADORAMENTO,. V. Adorapdo.
Aporixpo, A, adj. digne d’adoration.
ÄADORÄNTE, adj. 2 gen. p.e. d’Adorer, ado-
rant: qui adore.
ADORAR, v.a. adorer : rendre & Dieu le culte
qui lui est dd. ($g.)—: aimer avec une grande
passion.
t ADORATÖRIO, 3. m. nom quo les Espagnols
de l’Amörique donnaient aux tempies des
idoles.
AporivEL, adj.2 gen. adorable: digne d’etre
adore.
ÄDORAVELMENTE , adv. avec adoration.
ÄBORMECEDÖR, A, 8. assoupissant, qui Sait
dormir.
ÄADORNECER, ©. a. Ondormir, assoupir : faire
dormir. (fg.)— : apaiser, adoucir, 6tourdir,
distraire. v. a. Dormir.
ÄDORMECER-SR , v. r. s’endormir, s’assoupir,
commencer & dormir. S’engourdir, devemir
comme perclus, on parlant d’une partie du
Corps qui rests PFesque Sans mouvement ot
sans senliment. (flg.)— : croupir dans la vo-
luptö, les vices, etc. On l’emploie aussi quel-
quefois neutralement. 0 mer ‚lamer
s’endort.
ADORMECIDO, A,P.p. d’Adormeeer.
ADORMECIMENTO , 8. m. assoupissement , oR-
gourdissement. (g.) * Inactivits, negligenee,
insensibililö, assoupissement de Pesprit, i4-
thargie de l’ame.
ÄDORMENTADOR, A, 3. endormeur : qui fait
dormir, soporifere. (fig.) —: enjoueur, flateur,
enjoleur.
ÄDORMENTAR. V. Adormecer.
* ADORMIDO, ADORMIR, eie. V. Adormecer.
ADORNÄDAMENTE, adv. eldgamment.
ADURNADISSINO, A, adj. superi. d’
ÄADORNADO, 9. P. d’Adorner, adj. oru&, pare.
F ADORNADÖR, A, s. celui qui orne, qui par&ı
qui embellit, etc.
ÄADORNAMENTO. V. Adorno.
36 ADS
+ AnORNnänTE, adj. 2 gen. ornant, parant,
embellissant, etc. p. a. d’
ADORNAR, ©. 6. orner, parer, embellir, d&co-
rer, enrichir, ajuster, faconner , enjoliver, ha-
biller. (fig.) Orner. li se dit des avantages, des
gräces que l’on recoit du ciel, de la nature.
ADORNO, 3.m. * parure, embellissement, or-
nement, ajusternent, decoration, enjolivement,
agencement, agr&ment, broderie, alour.
Apörtan. V. Adoplar.
Avouväino, A, adj. ecervele, dtourdi ; incon-
sidere, imprudent.
* Anovvan. V. Endoudecer.
* Anourar. V. Adoplar.
" Anöva,s.f." salon d’uneprison, d’uncachot,
ADQUIRENXTE, p. a. d’Adquirir. s. Acquereur:
celui qui acquiert.
Aparırıgäd. V. Acquisipdo.
Apgtirıno, A, p. p. d’Adquirir.
Apquiaınör, A, adj. et s. acquereur : celui
qui acquiert.
ADQLIRIR, v. a. acquerir, gagner, acqueter:
faire Pacquisition de quelque chose. (fig.) Con-
tracier, gagner une maladie, une habitude
bonne ou mauvaise.
ApgtikiveL, adj. 2 gen. qu’on peut acquerfir.
Apgtısıgko. V. Acqguisipdo.
ADRAGÄNTO O4 ADRACANTEO, 5. m. adragant:
gomme de la barbe-de-renard de Crete, medi-
cinsie. «f. La plante, l’arbre qui la produit. V.
Drago.
Anpraco. V. Drago.
* AnREDE, adv. A dessein, expres; droite-
ment,
Ad reui,ade. (locuf. lal.) a propos, convena-
blement; categoriquement.
AprıäTtıco,, adj. et s. Adriatigue. On le dit de
la mer et du golfe de Venise.
Aprıca. V. Driga.
A’DRO, s.m. parvis d’eglise. Espace autour du
tabernacle des juifs.
Aprocaciö, s. f. adrogalion : espäce d’adop-
tion qui se praliquait dans l’ancienne Rome &
l’6gard d’une personnc libre.
+ Ansckıpricıo, A, adj. admis, regu.
+ ADsckıPTo, A, adj. admis au nombre, in-
scrit, regu. .
ADSTIPULADO,A,P. p. d’
ApstıruLar. V. Estipular.
Apstaiccäö, s. f. adstriction ; (4. de med.)
resserrement d’estomac.
+ ADstrıcrivo, A,.adj. (1.de med.) astrin-
gent : qui resserre, qui a la propriete de res-
sorrer.
ADSTRICTO, A, 9. p. d’Adstringir, adj. force,
oblige, astreint.
ABstnıncEncıa, s. f. (tl. demed.) astriclion:
propriet# astringente ; effel d’un astringent.
ADSTRINGENTE, p. a. d’Adstringir, qui com-
prime, qui resserre. (tl. de med.) Asiringent:
qui resserre. Il est quelquefois substantif.
ADSTRIXCIDO, A,P.p.d’
ADSTRINGIR,, ©. a, (8. de med.) resserrer, ser-
rer, comprimer.
° ADU
ADSTRINGIR-SE, ©. T. SO FesserTer, 86 COM
primer,
Apstaıxctrivo, A. V. Adstringenfe.
"Apri ou ATi. V. All.
° And, adv. oü.
+ Anta, s. f. ant.* troupeau de groß betail
appartenant & difierents particuliers, qu'un
homme pay& par la communauls möne paltre.
* Paturagecommun pour lesbestiauxd’uneville,
vaine pätare. "Service fait par les bestiaux des
parliculiers dans lestravaux publics. La meute
de chiens pour la chasse. Distribution, partage
des eaux d’irrigation parmi les voisins.
Anuina. V. Alfandege.
ÄDUANADO, A,P. pP. 4’
ApDvanar,o. a, douaner. V. Alfandegar.
ADUANEIRO ‚3. m. douanier : commis pr&pos®
pour visiter lesmarchandises dans ladouane, et
pourrecevoirlesdroitsqu’il faut qu'elles paient.
Apvan, s. m. * horde : sociel# ou peuplade
d’Arabes.
+ Apuan, v. a. (4. anl. des provinces du nord
du Portugal) faire la division, le partage des
eaux d’irrigation,, pour arroser les terrains
voisins. ,
ApuBino, A,p. p. d’Adubar.
ADUBADOR, A, 8. assaisonnenr : qui &s8äl-
sonne les viandes ‚etc.
ADtsaR , v.a. assalsonner : accommoder, &0-
compagner d’ingrödients les meis pour les
rendre agreables au goüt. —as terras. V. Es-
irumar.
Apustäno,p.p.d’
+ Anustar, o. a. ant. raccommoder, faire des
reparations dans les chemins, ponis, maisons,
vaisseaux, eic. it. Cultiver les champs, les vi-
gnes;; en recueillir les fruits.
Aptsio, s. m. radoub : reparation faite au
corps d’un vaisseau , & un pont, un chemin. st.
*Culture des champs, des vignes.
Antso, s. m. assaisonnement. Adubos, plur.
ingredients, toutes sortes d’€pices qui servent
ä assaisonner les viandes et les rendre plus
agreables au goßt. (Ag.) —, ce quirend agrea-
ble, qui rel&ve (le discours, les actions). As
boas palavras como 0 — da conversapäo,
les hons mots sont comme l’assaisonnement de
la conversation.
* Anugoıno. V. Adubio.
ADUCHADO, A, p. p. d’
ADUCHAR, ?. @. (L. de mar.) lover un cäble.
AnUcHAS, 8. f. plur. (t. de mar.) ‘ plis d’un
cäble roue.
ADUci00, 4,9.p.d’
Anccın,, v. a.( t. de metal.) amollir : rendre
mou, maniable; affaiblir, adoucir.
* Anino. V. Addido.
Anukıro ,s.m. herger qui garde le gros be&-
tail d’un village. it. Celui qui fait le partage
des eaux publiques pour arroser les terrains.
ApDvELLa, 3. f. douve, douelle:: planche de
tonneau. — de baloque , douve de bondon.
Faltalke uma —, ou lem uma— de menos,
(fam.)ilmanquc un clou & son casque. Aduellas
ADu
principaes, maltresses piöces. — spara loneis,
bois 3 quatre pieds.
Anöra, s. f.digue, ecluse ; bAlardeau, bonde;
aavent; abatiant.
ABUFÄDA „adj. f. Janella —, croisee garnie
d’un auvent.
Andre, s. m. espece de sistre. V. Pandeiro.
Aprrtıno, 3. m. celui qui fail des sistres;
jeueer de sisire.
* Anccen. V. Aduszir.
AbuLaciö,s. f. adulation,, cajolerie, encens,
Bagornerie, flatterie läche et hasse.
AbvLio0, A, p. p. d’Adular.
Apcrıapör, A, s. adulaleur, cajoleur, Dagor-
neur, encenseur, flatteur; celui qui .prodigue
des louanges & une personne qui ne les merile
pas.
ABCLANTE , adj. 2 gen. V. Adulador, p. a. d’
ADCLAR, €. a. aduler, encenser, flagorner,
eajoler, flatter bassement.
ÄADCLATÖORIAMENTE ,„ ade. avec adulation;
Aatteusement.
ÄAÄBULATÖRIO 0% ADOLATIVO, A, adj. adulatif :
Balteur, qui adule, qui flatte.
* ADCLÖSAMENTE , adv. avec ou par flatlerie.
Asrıren. V. Adultero.
Apcıreraciö, 3. f. adulieration, Talsiflca-
tion, sophistiquerie , frelaterie : l’aclion de
gäter, de depraver et de falsifier ce qui est pur.
ÄBULTERÄDAMENTE, adv. V. Corruplamente.
ABULTERADO, A, 9. p. d’Adulterar.
ÄDULTERADÖR, A, 5. celui qui adultere, al-
tere, falsifie; sophistiqueur, falsificateur.
+ ADULTERAMENTE, adv. avec adultere.
ÄDELTERÄNTE, p. a. d’Adullerar, adj. et s.
sdultere : celui qui commet un adultere. Qui
adultere, qui falsile.
ÄDULTERAR,, ©. a. adulierer : commeltre un
aduliere; (Ag.) falsifier, sophisliquer, corrom-
pre, [relater.— ve. n. Commettre adultöre. 11 se
ditde P’homme et de la femme.
ÄDCLTERAR-SE, v. r. &ire corrompu par adul-
tere. (fig.) Se corrompre, s’allcrer, se [alsifier.
f ADULTERINANENTE, adv. avec aduliere.
ADULTERINO, A, adj. adulterin : qui est n&
de Fadultere. (Ag.) Adultere, falsilie, [relate,
sophistique.
ABCLTERIO, 3. m. adultere : violation de la
foi conjugale.
ADULTERO,A,s. et adj. aduliere : qui viole
la foi eonjugale. (fig.) Faux, falsiie. Declarar
judieialmente adullera uma 'mulher, authenti-
quer une femme.
+ ApcLrTEa0so, A, adj. qui tient & Yadul-
wre qui en partlicipe.
Apdıto, A, adj. adulle : qui est parvenu &
Padolescence, ä l’äge de raison.
+ Ancnszar, v. a. meitse & l’ombre; tracer;
erayonner.
+ Apcunaacäö, 8. f. (. de peint.) ombre:
eouleur obscure dans ui? lableau. Premiers
Lails.
ÄAÄDUKELRAR, U. G. P. 48. imiler.
ADV -97
ApunAn0,A,Pp. p. d’Adunar. adj. (1. de bot.)
Conne.
ADUNAR,v.a. 9. us. unir, röunir, joindre,
rassembler.
AnUnco, A,adj. crochu, recourbe; croche ;
toriu.
* Aptnıa, adv. abondamment, en abondance;
de loutes paris. C’est un mot arabe.
* ADUR,, ade. avec peine, difficilement,
ADURENTE, adj. 2 gen. adurent, brülant;
eaustique.
*Apuro. V. Adur.
* Anüssıa , 5. f. grande nef.
Anustäd, s. f. adustion : Y’aclion de brüler.
— ,etatdece qui est brüle; brülure.
+ ADUSTIVEL, adj. 2 gen. ce qui peut dire
brüle, combastible.
ADUSTIYO, A,adj. qui a la veriu de brüier ;
adurent, combustible.
Apisto, A, adj. brüle, aride, en parlant des
pays tr&s-exposes aux ardeurs du soleil. (1. de
m£d.) Aduste : qui est brüle. ll ne se dit guere
que des humeurs du corps humain.
* Anuzer. V. Aduzir. .
Aptzıvo , Anuzıa. V. Adduzir.
A’DVENA, 3. m. Elranger. 9. us.
ie ADvERDıGO e ADVENEDICO. V. Adrenticio.
ADVENIDA. V. Avenida.
ÄADYENTICIAMENTER , adv. (f.de prat.) par do-
nation de personnes etrangeres ; accessoire-
ment.
ADVENTICIO, A,adj. (1. de prat.) adventice,
adventif. Il se dit des biens qui arrivent ä quel-
qu’un, soit par succession collaterale, soit par
la liberalit6 d’un etranger.
ApDYENTO, s.m. Avent : les qualre semaınes
avant No8öl. Ultimo ou o segundo —, le juge-
ment dernier.
f Apveapıino, A, (l.degram.) adverbialise:
pris dans la signißication d’adverbe.
ADYERBIAL, adj. 2 gen. (1. de gram. ) adver-
bial : qui tient de l’adverbe, qui appartient &
P’adverbe.
f ADVERBIALIDÄDE, 8. f. (f. de gram.) adver-
bialit6: qualitö d’un mot pris comme adverbe.
+ ADVERBULMENTE, adv. & la maniere d'un
adverbe.
f ADVERBIAR, v. 0. (f. degram.) adverbia-
liser : faire passer le mot (l’adjectif) &la valeur
et & l’emploi de l’adverbe en lui donnant la
desinence adverbiale (mente).
Anv£rsıo, 3.m. (f.de gram.) adverbe: partie
indeclinable du discours.
* ADVENRSAIRO. V. Adversario.
ADVERSAMENTE,ado. d’une maniere contraire
adversc ; contradictoirement.
+ Anversiö, s. f. Opposition, ıımpugnalion ;
combat contre l’adversaire. V. Arersdo, Ad-
verlencia.
+ ADVERSAR, U. a. s’opposer, resisier, Con-
Lrarier, contredire.
ADYVERSÄRIO, 8. m. adversaire : celui qui est
oppose Aun autre ; anlagonisite. Üsadrersarıos,
zlur., tes cnncmis, les contraires. — ou adver-
”
38 AER
seriss, m&morial, agenda, tablettes, registre,
r&pertoire,, livret oü !’on prend des notes.
ÄADVERSanıO, A, adj. V. Adverso.
ADVERSATIVO, A, adj. adversatif: qui marquo
Fopposition, la diff&rence.
* ADvEasıa, 8. f. inspiration diabolique.
ADYERSIDÄDE,, 8. f. adversit6 : accident fä-
cheux, malheur, “at malheureux, condition
ou sitaation malheureuse; mauvaise fortune,
calamite.
Anv£nso, A, adj. adverse, contraire, döfa-
vorable, malheureux, sinistre.
ADVERTENCIA , 8. f. * averlissement, conseil,
instraclion,, avis qu’on donne & quelqu’un. Ad-
monition,, remontrance. Remarque, attention,
röflexion , observation , prudence.
* ADYERTENDO. V. Advertencis.
ÄDVERTIDANENTE ‚ado. aveo attention , A des-
sein, de propos delibere,, sciemment.
ADVERTIDISSIMO, A, sup. d’
Apvsarino, A, 9. p. d’Adoerfir, adj. avise,
elairvoyant, circonspect, qui ne fait rien sans
yavoir bien pense. Mei —, imprudent, incon-
s .
° ADVERTINENTO. V. Adverloncia.
ÄDYERTIR, 9. &. avertir, preövenir, donner
avis, instruire, 6clairer, informer quelgu’un
de quelque chose. Conseiller, remontrer. —,
®. #. feinargquer, 8’aporcevoir.
ADYRATIR-SE, 9. r. s’aperosveir, se melire
au fait, noter, remarquer, observer, 56 Fapp®e-
ler, 56 ressouvenir.
Apvocaciö,s. f. invocation: titre sous lequel
un tempie catholique a 6t6 consacre.
Apvocacia , s. f. prolession d’arocat.
* ADYOCADO, Apvocar. V. Avoear, eto.
Anvocarörıo, A, adj. V. Avocalorio, Convo-
calorio.
Anvocaröns. V. Pairoeinio,
Apvocacıa, V. Advocavia.
Anvocäpa, s. f. protectrioe,, mediatrice.
ADYoGinO, 8. m. avocat : oelui qui defend en
justice ; defenseur ; qui interc&de pour un
autre. Proteoteur, mediateer.
Anvocin0,4A,2.p.d’
Apvocan, v.0, et m. plaider, defendre en
Justice, de vive voix ou par &crit. ( fig.) (por)
Interc#der,, varler,, prier, sollieiter pour quel-
qu’un.
* Anvocarıı. V. Vigeris.
* AnvuLTar. V. Avultar.
f Aur, s. f. (t.de bot.) ady, palmier qui pro-
duit V’abangu.
Anrnium, s.f. (£. de med.) adynamie :: fai-
blesse caus6e par quelque maladie; #tat d’a-
tonie.
Aprniusıco,, A, adj. (i.de med.) adynamique.
Febre adynamica, fitvre adynamique :: pulride,
qui cause l’adynamie.
A’orro, s. m. lieu secret; sanctuaire, (g.)
Secret, chose occulte, cache&e.
Azıro,. V. Eito (a).
AEREO, A, adj. adrien : de la nature de Pair,
qui vit dans l’air, appartiont & l’air. (Ag.) Vain,
AFA
fantastique,, chimerique, futile, frivole, denue
de fondement. it. Qui s’elöve dans Pair.
} Atnireno, a, adj. atrifere : qui porte, qui
conduit P’air.
T Arsırıcacäö, s. f. atrification : l’action de
convertiren air une substance.
ALRIFORME, adj. 2 gen. atrilorme : quia les
proprietes physiques de Yair.
AEROCRAPHIiA, 8. f. atrographie : deserig-
tion , theorie de Pair.
AtaoLııraz ow AfROLITHO, 8. m. atrolilhe:
pierre tombee du ciel.
+ AtroLocia, 8. f. atrologie : traitö sur Fair
ot sur ses difförentes proprietes.
AEROMANCIiA, 3. f. a6romancie : divination
par l’air et ses phönomöncs.
+ AEROMÄNTICO, 3. m. aeromancien : qui Se
dit initi6 dans l’aeromancie, qui apparilient &
colie prelendue science.
A£ROMETRIA, 8. f. atrometrie : art de mesu-
rer Pair; science, connaissance, Ih6orie de
Pair, de ses proprietes.
ARRÖMETRO, 5. m. adromeälre : instrument
pour mesurer la densite de l’air.
f AtromÄäura, s. m. ou f. atronaule : navi-
gateur aerien : qui narvigue dans les a&rostals.
t A£aonäuTico, A, adj. qui apparlient & la
navigation acrienne. Arle—a, art de la naviga-
tion adrienne.
+ A£RÖPHANO, A, adj. aeropbane :
parent & Vair.
+ Agrörn0n0, A, adj. (1. de mid.) aerophobe:
qui craint Vair.
Atnoruonia ,s. f. (#. de mdd.) aörophobie :
crainte de l’air, espece de maladie frenelique.
t AEROPHÖNIO, 8. m. aerophone : nourel in-
strument de musique & vent et & clavier.
+ AtaörHoRo, A, adj. a6rophore : (trachee)
qui porte !’air dans l’interieur.
+ Atnosrutra,s. f. (l. d’astr.) a&rosphere :
atmosphere des planttes, d’eiher ou d’air pur.
+ Aenostaciö, s. f. Paction de narviguer
dans Pair, navigation dans un aerostat.
Atnostitico, A, adj. atrosialique : des
aerostats, qui a rapport aux a@rosiats (machine,
ballon, etc.).
+ Aktnostäto,s. m. adrostat : machine ou
ballon plein de fluide plus leger que Y’air, et
qui s’el&ve dans l’atmosphere.
t Agaosteıno, s. m. aerostier : qui fait ma-
nauvrer l’a6rostat.
Azswo. V. Esmo (a)
f Alsna,s. 1.(6. d’hist. nal.) aesne ou wene,
nevroptere, libelluline.
+ Arrıres. V. Etites, pedra d’agwia.
* AFAACAMENTO. V. Afago.
* ArıseEL, Arasır. V. Affacel.
ArADIGADO, A, 9. pP. d’Afadigar.
AFADICADOR , A, 5. qui faliguo, qui donne de
la faligue.
AFADICAR, ©. a. faliguer : donner de la fa-
ligue, de la peine. (Ag.) Ennuyer, importuner ;
tourmenler, vexer quelqu’un.
AFADIGAR-SE, ©. r. se [aliguer, travailier ä
trans-
AFA
ouirance, avec une grande dlligenes. Be konr-
menter, s’affliger, ne 56 donner aucun repos.
Arapıcosissıuo , super!. d’
Aransc680, A, adj. [atigant,, penible , labo-
riesx.
Asacapäıno, A, adj. caressant. V. Afagador.
Avaci2O, A, 9.9. d’Afager.
Avacap6ön, A, adj. qui fait des Caresses , ca-
ressant.
Ayıcauöuto, s. m. Y’aotion de caresser.
AvıacaR, 0.6. Carösser : faire des carenses,
ehtrir queiqu’un, l’attiror par des saresses,
Fenjeler. V. Aesrieiar. Flatter , mignoter, dor-
leter. popul.
Arico, s. m. bon aceuell : caresse, t&moi-
gnage eritrieur d’affection, de bienveillance,
d’une amitie tendre qu’on a pour une personne.,
Com efagos,, d’une manidre caressante, pleine
d’attraits etdecharmes. Fazer afagos a alguem.
V. Afagar, Acariciar.
Aracoso. V. Faqueiro, Afagador.
Avıcuzıro. V. Fagueiro, Lisongeiro.
Ararsano, Arııman. V. Esfaimar.
AyaLLiB0,A,P.P.d’
ArALLAR, v.s. parler & l’animal pour lo faire
travailler.
AFAUÄDANENTE, adv. avec renomme6e, d’une
manidre c&löbre,, fameuse.
Arasanpissıno, A, superl. d’
Arıwino, A, adj. fameux, cöl&bre, renomms,
iDustre, recommandable. Fameux : fort eonnu ;
insigne dans son genre, en bien ou en mal. 9.p.
d’Afamaer.
ArauapOn, A, s. quirend fameux.
ArıNAR, v. 6. renommer, donner de la ro-
nommee : rendre fameux , cöltbre, en bien ow
en msl.
AVAHAR-SE, ©. r. 56 rendre illustre, c&iäbre,
s’acquerir deals oslebrit#, de la reputation.
Arin, Ario ow Arino, s. m." sollicitude,
anzietie, faligue, souei, peine, mal. Ahan:
travail corporel excossif.
T ArFANÄDANENTE, adv.avoc inquistade, aves
un soin penible, avec anxiött.
AFABABO, A,P. p. d’Afanar.
tArasanOn,A, s. celui qui se fatigue trop
dans queique travail, qui se donne trop de
ArAHAR, 9.0. se donner da mouvement, la-
‚peiner, se tracasser, se donner beau-
coup de peine. On le dit au propre et au figurö.
AFANAR-SE, 9.7.20 faliguer : se donner beau-
coup de peine, se donner du mal en falsant
quelque chose ; se tourmenter,, so lasser pour
Fobtenir.
AFANCHONADO, A,P. pP. d’
T AFANCHONAR-SE, v.r. se donner & la p6-
derastie.
Aranöso,&a,adj.penible, faligant, laborieux.
Avio ow Aram, plur. Afäcs. V. Afan.
AFASTADO,A,P. pP. A’Afaslar.
AsastaDor, A, s. celui qui dloigne.
Arıstas£ıto, 5. m. l’action d’eloigner. it.
AFE 39
V. Aparlamento. Eloignement,, distance entre
deux corps.
AFASTAR, v. a. Scarter, €loigner; meitre une
ehose lein d’une autre. — alguem, &loigner
quelqu’un,, Penvoyer loin. — os kombros ao
trabalko , ne vouloir pas se donner au travail,
ne pas s’en charger, fuir le travail.
ArFASTAR-SE, v. r. s’eloigner, se retirer loin
d’un lieu , d’ane personne. — do costume ordi-
nario, delaisser, quitter son aneienne habitade.
— do parecer d’alguem, rejeter le sentiment de
quelqu’un, s’en &carter. — mwilo pouco ou
quasi neda, nem sequer uma unka, s’tloigner
d’uns chose ie moins du monde, pas meme de
la largeur d’un ongle. — d’um navio, (1. de
mar.) delourder, s’&loigner d’an vaisseau.
AFATIADO,, A, adj. Coup& en tranches.
ArızEnpipo, A, P.P9.d’Afasender,adj. riche
en proprietes rurales; bien fourni de mar-
chandises.
T ArFAZENDAR-SB, o.r. aequerir des champs,
domaines, terres, eto., devenir riche.
AFAZER Ou ÄFFAZER, ©. @. Secoutamer, ha-
bituer, dresser,en parlant des animaax domes-
es
ArAZER-SE, dv. r. 8’accoutumer, s’habituer;
se conformer.
® Ayızıntnro, s.m. Paction de s’accoutu-
mer, etc. ; coutume, babitude.
Art, adv. certainement, ma fol.
TArt, s.m.(t. dMst.nat.) als, polypode de
PInde.
AFEADO, Argıar. V. Afeiar, etc.
Arzcio. V. Affecgäo, Affeiräo.
ArPEIÄDAMENTE, ade. vilainement, desagrda-
blement;; avec mauvalse mine.
AFEIADO, A, 9. P. d’Afeiar.
Arzıandör, A ,s. quienlaidit, qui defigure.
AFBIANENTO, s. m. enlaidissement : action
d’enlaidir. (4g.) Denigrement, blame.
Arsıan, v.a. enlaidir, defigurer,, deformer,
rendre difforme, deparer, contrefaire, rendre
laid. (ig.) Biämer, denigrer, reprendre, cen-
surer, ceitiquer, ternir, flötrir.
AFEIAR-SE, v. r. enlaidir, devenir laid, se
defigurer, perdre sa beaute, son lustre, se
gäter.
AFEICOADO, A, p. p. d’Afeicoar.
T ArEICOADOR, A, 3. celui qui donne la fa-
con, la forme.
AFEIGOAR, 0.0. fagonner : donner une forme
quelconque & un Corps.
* Argıtacko,, AFEITANENTO, V. Enfeile, Or-
nato.
ArFEITADO, Argıtan, Arkıız, V. Enfeilar,
‚Enfeite , etc.
Argıro,s. m. V. Affecto.
Aseıto ou AFFEITO, p. p. irr. d’Afarer, et
adj. accoutume, babitaß.
* ArßLHAS, adv. popul. par ma foi.
Artıır ei Ar8ııo.V. Aphelia, etc.
AFELLEADO,A,9. 9. d’
AreLLEAR, vd. a. meler du flel; le fairr hoire
a quelqu’un ; tremper dans le fol.
40 AFE
AFEMEADO OW AFEMINADO. V. Effeminade,
AFEMINACAÖ ,s. [. mollesse, faiblesse propre
d’une femme ; l’aclion de rendre, de devenir
ou d’etre eff&ming : l’etat d’un homine eflemine.
ÄAFEMINÄDAMENTE , adv. mollement, volup-
tueusement, d’une maniere efl&minee.
AFEMINÄDO, A, p. p. d’Afominar, adj. ellö-
mine, mou, voluptueux, amolli par les plai-
sirs : qui tient de la faiblesse de la femme. On
le dit au propre et au Ügure.
AFENMINAMENTO. V. Afeminagdo.
AFEMINAR, v. a. efl&miner : rendre faible
comme l’est ordinairement une femme, On le
dit au propre ei au figure.
* AFERES, 3. m. plur. affaires.
ÄFRRESE. V. Apherese.
ArFERIADO. V. Feriado.
AFERIGÄÖO , 5. f. " etalonnement des poids et
mesures : l’aclion d’etalonner.
AFERIDO, A, P. p. d’Aferir.
AFERIDÖR, 5. m. &lalouneur : oflicier qui dta-
lonne les poids et les mesures.
*f AFERIDÖR,, s. m. 6talon : mod&le des poids
ei mesures lix& par la loi. V. Padräo.
AFERMENTADO, AFERMENTAR, V. Fermenlar.
AFERMOSEAR,, EiC. Aformosear,, cic.,
AFERMOSENTAR, elc. ir rmosenlar, ciCc.
AFERRÄDAMENTE , ade. obstinement, opinid-
tir&ment; & tue-löte,
AFERRADISSIMO , superl. d’
AFERRÄDO,, A, p. p. d’Aferrar, adj. (ig.)
Entete. Estapr —ao seu parccer, abonder en son
sens.
AFERRAMENTO, a. m. l’aclion de saisir, de
lier, d’attacher; d’aborder, de jeterle grappin,
parlant de navires. (fg.) Aheurtement,, entete-
ınent.
AFERRAR, t. a. prendre, saisir, lier, altacher
fortement ; accrocher. Il est aussi neutre. (l. de
mar.)Ferler, graller, bitter, serrer; jeter le
grappin, lancre.
ÄAFERRAB-SE,, t. r. S’altraper, So saisir avec
lamain,avcc un crochci de fer; se cramponncer,
s’accrocher fortement. (l.de mar.) Aramber,
aborder, s’altacher, en parlant de deux bäti-
ments. (fig.) Se buter, s’opiniälrer, s’obstiner.
— 6 sua opiniäo, so coiffer d’une opinion, s’y
ent£ter, s’en enlicher, familierement parlant.
AFERRETOANDO, A, P. P. d’Aferreloar.
AFERRETOADOR, A, 5. Celui qui pique, qui
aiguillonne, stimule, etc.
ÄFERRETOAR, D.Q. "aiguillonner, piquer avec
un fer aigu ou poinlu, et avec l'aiguillon ou
petit dard, en parlant des mouches ä miel, des
guepcs ci des [relons. (fg.) Inciter, exciter, ir-
riter, aigrir, meltre en col@rc, fAcher quelqu’un.
AFERRO, s. m. allachement, tEnacils, adhe-
sion ; ent@tement, obstinaton ‚ opiniälrete,
AYERROLUADO,A,P.P.d
ÄAFERKROLHAR, v. a. verrouiller ; fermer au
verrou; enchainer, meltre aux fers.— 0 dinhei-
ro, fermer Vargent (au verrou), en coflre-fort.
— em masmorro, mellre au fond des cachois.
— arazao ’fig.), enchainer la raison.
AFF
T AFERROLRAR-SE, ©. r se verrouiller :s’en-
fermer au verrou.
ÄFERVENTADO, A, P. p. d’Aferventar.
. AFERVENTAMENTO, V, Fervor.
ÄFERVENTAR, ©. a. faire bouillir, echauder.
(fig.) Häter ; &chaufler, animer, exciter & quel-
que chose.
ÄAFERVENTAR-SE , U. T. V. Afervorar-se.
ÄFERVORÄDANMENTE, adv. avec ferveur.
AFERVORADISSIMO „ swperi. d
AFERYORÄDO, A,P.9.d’
AFERVORAR,, u.a. inspirer (erveur; mellre en
action , en mouvement. Inciter, pousser, porter
quelgu’un & quelque chose ; &mouvoir, euflam-
mer, exciter, encourager, animer, donner le
branle aux autres, les aiguillonner, les exciler.
ÄAFERVORAR-SE, u. r. Se häter, se presser,
s'exciter, s’everluer, s’ellorcer de, agir avec
ferveur. 5 inciter, Se pousser &, elo.
AFERVORIZAR. V. Afercorar.
AFFABEL 0% AFFABIL. V. Affavel.
ÄFFABILIDADE, 8. f. affabilite, civilitc, urba-
nite, amabilits, cordialite, abord facile, popu-
larite : maniere douce et honndte de parler aux
gens , de les recevoir.
AFFABILISSIMO, A, super!. d’Affavel.
ÄFFACAMADO, A, 9.79. d’
AFFACAMAR, ©. a. Pop. V. Envergunker.
* Arrım. V. Afan.
ArFÄVEL, adj. 2 gen. affable, liant, douz,
agreable.
AFFÄVELMENTE, adv. affablement, civilement,
d’une maniere aflable.
AFFECCAÖ, 3. f. affeotion : modificalion du
corps et. de esprit occasionnee par Pimpression
des objels exterieurs. ( . de med.) —: impres-
sion fächeuse, morbifique ; &tai de melanco-
lie, etc.
AFFECTACAÖ, 8. f. affeclalion : attachement ä
dirc ow faire queique chose d’une maniere sin-
guliere ; maniere affectec,, vicieuse, pcu natu-
relie, trop &tudiee, dans le parler, les actions ;
preiention, affeterie, recherche, purisme, en
fait de langage.
AFFECTÄDAMENTE , ade. avec affeclalion.
AFFECTÄDO, A, 9. 9. d’Affeclar, adj. allecie,
trop &ludie, trop recherche, maniere.
AFFECTÄNTE, adj. 2 gen. qui allecte.p. a. d’
ÄAFFECTAR, v. a. aflecter, desirer, aimer,
souhailer quelque chose avec einpresscinent,
la rechercher avec Lrop de soin, presque inus
—: meitre irop de recherche, d’ostentaiior
dans ses discours, dans ses aclions.— :feindre.
— galantaria, [faire l’agreabie.
ÄAFFECTAR-SE, d. r. s’allecter, se feindre, se
contrefaire.
AFFECTATIVO, A, ?. us. V. Desejoso.
+ AFFECTIVANENTE, adr. avec alleclion , alla-
chemertt, amour, amitie, teudresse.
Arsecrivo, A, adj. aflectif : qui alfecte,
touche, smeut ‚ inspire de lallectiox.
AFFECTO, 8. m. * affection ; passion. Senti-
ment, attachement, amsur, amilie, te ndresse,
bienveillance, (Wi, de peint.) * Expression, re-
AFF
prisentation vivo ei nalurelle des passions, la
persionoınie, le geste, le silence meme des
personnages. Cheiv de affeclos,, passionne. Ter
—, affectionner. Dar, causar—, passionner.
Div. m. meus— 5 a, presenlez mcs amities a.
Arsicto, a „adj. aflectionne , passionne, af-
lectif , tendre , altsche. Affect&, desline, appli-
que & un certain usage. Uni, annexe. (t. de
ned.) Affecik,, offense , sfilige.
AFFECTUAR ou ÄFFEITUAR. V. Efeituar.
AFFECTCÖSAURLNTE „ adv. afleclucusement ,
cordislement : d’une maniöre aflectueuse, cor-
diale.
AFFECTLOSISSIMO,, A , adj. super. d’
Arsscro0sO, A, adj. allectaeux, passionne,
teuchant, cordial, senlimental; plein d’affec-
Gen, qui margue beaucoup d’affection, aima-
bie, tendre, caressant.
Arszıciö, s. [. alfection , amour, amilie, in-
elination ‚ attachement. V. Affecto, s.
APFEICOADANENTE, adv. avec afleclion, alta-
chement, amilie, inclination, ‚penchant.
AFFEIGOADISSINO, A ‚adj. super!. d’
AFFEICOADO, A, adj. allectionne, altache,
ineline. p.p.d’
AFEIGOAR , 9. a. aflectionner, ınspirer de
Famser, de laffection & quelqu’un; avoir de
Famsar, de V’affection pour; incliner quel-
qe’un & notre opinion, avis, etc. it. Orner,
embellir ie style, donner un lour agröable ä
une röponse, A une informallon ou enqueie,
pour [avoriser une partie aux depens J’une
autre. Colorer, donner une beile apparence ä
quelgee chose de mauvais. Affeicoar 0 engano,
csierer la fraude.
AFFRIGOAR-SE (a), vo. r. s’afleclionner, aimer,
avoir de l’affection, de l’inclination,, du pen-
chaat pour, prendre de l’altachement pour.
Arsuıruchö,s. f. V. Enfeite.
Arvsıraz, etc. V. Enfeilar, etc.
* Anrisıo,, s. otedj. V. Affeclo,, 8. et adı.
Arriıro, a, Pp.Pp. irreg. d’Affaser, adj. ha-
bitas, accoutume.
ArFEITEOSO. V. Affeciuoso.
Arrzatsııe, adj. 2 gen. afferent : qui revient
a chacen des interesses dans un objet in-
diris,
* AFFICADANENXTE. V. Affmeadamenie.
° Ayrıcanse. V.A 66.
ArrıcenADO, Arsıcuran. V. Aflgurar.
Armin, etc. V. Aßlar.
tArrıLsacko, s. f. affliation : espece d’adop-
Lion d’une communaut4, d’une societ® par une
autre,, d’an individa par une societ& secräte.
+ArsıLıADO, 2,9. 9. d
TArrıusıa, v. e. aflllier, adopter : associer
une communauis & une auire, un individu &
une societe. .
T Arrınzaa-sE, vo. r. s’aflllier : s’associer ä une
eommunaule.
Arrın, @dj. 2 gen. parent par aflinite.
" Arrısento. V. Termo, Limite.
Arrınıao, Aysınan.V. Aßnar, Aferir, Aflar.
AFFISCHDAMENTE, adv. opiniälrement: avec
opinidtreis, fermels; ave.
ment. Olkar — , regarder fixe...
AFFINCADO, A, 9. p. d’Afincar.
AFFINCAMENTO. V. Affinco.
Arsıncar.V. Fincar.
AFFINCO, 8. m. * tenacile, instance, ellicacits
empressement, soin, diligence, ardeur, vif de
sir; sollicitation efficace, ou mieux pressante,
AFFINIDÄDE, s. f. aflinilö: parents par al-
liance. (lg.) —, analogie, ressemblance , con-
formitö, rappori. it. (1. de chim.) Sorte d’at-
traction qui s’exerco entre des molecules höte-
rogenes.
Arrırsaciäö, s. f. affirmation, assertion :
action d’affirmer ; expression qui affirme.
* AFFIRMÄDAMENTE,, adv. fermement, solide-
ment; avec certitade.
AFFIRMÄDO, A, P. p. d’Afirmar.
ÄFFIRMADÖR, A, 8. Celui qui affirme, quı as-
sure.
* AFFIRMAUMEXTO. V. Affırmapdo,
AFFIRMÄNTE, p. a. d’Afirmar, qui aflirme,
affirmatif.
AFFIRMAR, ©. @. aflermir, raffermir, assurer,
fortiier : rendre ferme, stable, solide. (Ag.)
Affirmer, assurer, attester, certilier, soutenir
qu’une chose est vraie. Por um que 0 ofirma,
cem 0 negdo, gontre un qui V’aflirme, cent le
nient, '
AFFIRMAR-SE , vd. r. s'affermir, se ralfermir.
(fig.) S’aflirmer, s’assurer, se conflrmer, se cer-
tifier, sinformer & fond d’une affaire ; regarder
attenlivement, ötre persuade de quelqne chose,
la tenir vraie ou pour vraie. — d’alguem, pren-
dre quelqu’un & foi et & serment.
Arriruariva, 8. f. (l.de log.) affirmalive:
proposition par laquelle on affirme.
AFFIRMATIYAMENTE, ade. alfirmativement :
d’une maniere alfirmalive.
AFFIRMATIVO, A, adj. aflirmatif: quiafirme,
qui sonlient une chose comme vraie.
Arrıxacäd, s. f. Vaction d’allicher.
AFFIXÄDO,A, P. p. d’
ArsıxaR, v. a. allicher : attacher une ou plu-
sieurs affiches, un placard.
Arrixo,A,.adj.(t. de gram.) affixe : attache
4 la fin d’un mot.
ArFLÄNTE, adj. 2 gen. qui souflle.
ÄFFLAR, ©. a. soufller ; inspirer.
+ Arrıito, s. m. souflle; inspiration.
Arrsuiccäö, s. f. affliction, desolation, peine
deplaisir, abattement d’esprit.
+ Arruicrissimo, A, superl. d’4fflicto.
+ AFFLICTIVAMENTE, adv. d’une manidre al-
fictive.
Arruicrivo, A, adj. aflliotil : qui cause afflio-
tion, desolation. Pena— a, peine corpurelle
infligee par Justice.
ArrLictO, A, p. p. irreg. d’Afligir.
+ AFFLIGBNTE ou AFFLICINTE, p. a. d’Afligir,
adj. 2 gen. qui afflige, qui fait de la peine.
AFFLICIDAMENTE,, sdv. avec aflliction, avec
neine.
43 AFF
ArrLiapissıNo, A, adj. superl. d’
AFFLICIDO, A, p. p. d’Afligir, adj. dolent,
abattu, triste,, allig6,, plaintif.
AFFLIGIDÖR, A, 3. celui qui afflige.
AFPLICIUENTO. V. Afficgdo.
AFFLIGIR, v. a. allliger, peiner, tourmenter,
molester, chagriner, desoler; causer de la dou-
leur, de la peine.
+ AFFLIGIR-SE, v. r. s’aflliger, s’inquieier, so
d&sesperer.
* AFFLOXAR, V. Affrousxar.
AFFLUENCIA , 5. f. affluence, abondance, mul-
ülude,grand concours. (fig.) Facllit€ d’elocu-
tion, gräce du debit; abondence, affluenoe
d’expressions.
AFFLUENTE, p. a. d’Aflluir, adj. 2 gen. abon-
dant, qui a un courant rapide. (fig.) Riche en
expressions , disert, eloquent.
t AFFLUENTE, s. m. affluent : riviere qui se
jette dans une autre ; confluent : lieu oü se joi-
gnent deux rivieres.
AFFLUENTEMENTE , ade. avec afflluence, abon-
damment.
AFFLUENTISSIMO. V. Abundanlissimo.
AFFLUDO,A,P.p.d’
AFFLUR, 0.9. affluer : se rendre au m&@me
canal.(fg.) Abonder ( les eaux, les richesses,
6ic.); survenir en grand nombre (les biens,
les vivres, les voyageurs, etc.).
AFFLUXO, s. m, (4. da med.) afflux : ’abord
du sang ou des humeurs dans une partie ir-
ritee.
* Arrom. V. Afan.
AFFRETAMENTO.
AFFRETAR , elc. | V. Afretar, eic.
* ArrnıccKko. V. Afflierdo.
* Arrnıcın-s£. V. Affligir-se.
Avrnöntı, s. f.* affront, injure, outrage, in-
sulte, mauvais traitement de fait ou de paroles,
&. L’&touffement ou perte d’baleine qu’&prouve
celui qui vient de courir ; lassitude, faligue.
* Combat, bataille, danger, embarras. Desagra-
var uma—, reparer un affront. Ndo poder ol-
vidar uma— , ne pouvoir digsrer un affront,
Beber, coar uma—,, subir un aflront.
ÄFFRONTÄDAHENTE, adr. avec force, durc-
ment. Chaudement. Avec affront, injure, ou-
trage.
AFFRONTADISSIMO, A, adj. superl. d’
AFFRONTÄDO, A, 9. p. d’Affroniar, adj. (fig.)
Qui est en danger, en peine, en souffrance.
AFFBONTADOR, A, 3. celui qui fait un affront.
AFFRONTANENTO, 3. m. * faiblesse et change-
ment rapide de couleur, eblouissement, feu
qui monie au visage; anxieie. Eiouffement,
mouvementd’indignation qu’inspire un alfront,
une injustice.
AFFRONTAR, ©. a. aflronter : allaquer de
front; avec hardiesse, intrepidite; braver le
peril;rappeler quelqu’un A son devoir, l’exhor-
ter. Placer une chose vis-A-vis d’une autre, la
meltre en face. Combattre, r&duiro l’ennemi &
AFI
Pextrömits. (Ag.) —: outrager quelga’un, lul
dire des injures,. P’insulter de paroles. — o
campo do campo inimigo , placer son camp em
face de celui de l’ennemi. — uma ‚pres
ser le siege d’une place , ’assieger.
ÄAFFRONTAR,, ©. 9. et AFFRONTAR-SE, v.r,V.
Anciar, Abafar.
AFFRONTINHA 0% ÄFFRONTAZINHA, 8. [, dimwim.
d’Affronta.
ÄAFFRONTÖSAMENTE , adv. outrageusement,
d’une maniere ontrageante.
AFFRONTOSISSIMO, A, adj. superl. d*
AFFRONTOSO, A, adj: ignominieux, outra-
geant.
Arıuciö, s. f." aigulsement : P’action d’ai-
guiser.
Arıinpo,A,9.p. d’Aflar, ady. tranchant ; re-
passe, aiguise.
ArIADÖR, A, s. dmouleur, repasseur, aigui-
seur.
Arıaıncino,A,p.p. d’Akanger.
Arıancanon. V. Abonador.
Arııncan. V. Abonar.
ArıaR, v. a, alguiser, affier, affüter,, &mou-
dre,, repasser : rendre aigu, plus pointu, plus
tranchant.— a lingus, se disposer a parler mal
de quelqu’un. — 0 entsndimento, aiguiser l’es-
prit. — 03 denfes, manger avec une grande ari-
dits d’un premier plat. — 08 deseyos, exciter les
desirs, les röveiller.
AruR-SE, vo. r. s’aflller , s’aiguiser, devenir,
se rendre algu.
* Arıcaz. V. Eflicas.
AFIDALOÄDAURNTE. V. Fidalgamente , Nobre-
mente.
AFIDALCIDO, A, P.p. d’AAdalger, et adj. qui
joue le gentilhomme, qui en a les manieres;
noble, illustre.
AFIDALCANENTO, 5. m. V’action de se donner
des airs de gentilhomme,
AFIDALGAR, ©. a. anoblir, donner la condi-
tion de gentilbomme, 6lever au rang de la
noblesse.
AFIDALGAR-SE, v.r. V. Ennobrecer-se. (fam.)
Se donner des airs de gentilhomme.
Arıcunsciö, s. f. image, Imagination.
ArıcuaäDO, A,p. pP. d’Aflgurar,adj. Bem -,
bien fait; qui a bonne apparence.
APIGURAR, ©. a. Ägurer : donner la forme &
quelque chose.
ÄFIGURAR-SE, 9. Tr. se Ägurer, s’imaginer, se
ropresenter, se former Pidde ou PFimage d’une
ost.
AFIGURATIVO. V. Figurslivo.
ArıLano. V. Aferido.
AFILADO, A, ?. p. d’Aflar et ady. eis, en
parlant du nez, du cou ei de la figure.
ArıLanor. V. Aferidor.
ÄFILAMENTO. V. Aferimenio,
ArıLan. V. Aferir.
AFILAR-SE, v. 7. (fg.) devenir eis ‚en par-
lant du nez, de la figure du moribond.
AFILHADO, A, s. filleul,, 0; favori, protege.
*" AFILBABOR „&. m. colul qui halo les chiens.
AFO
"irımar. V. Aflor, Agular (css).
inu, eonj. afln.
Arısacaö, s. f.* raffinage, depuration (des
meiaux), perleclion : la derniöre main donnde
äan ourrage. (}. de mus.) " Accord des insiru-
ments, justesse des voix, grande regularitö &
chanter ou & jouer d’un instrument.
AFINÄDANBERTE, adv. (£. de mus.) avoo jus-
tesso, en parlant des voix et des instruments.
— , aimer extirömement, & l’excös, deli-
catewmen!.
AYIBADISSINO,, A, adj. super
Arınioo, A, 9.P. dähner. ei. qui chante
avec jastesse.
Arınapön, A, 8. (if. de mus.) accordeur:
celai qui aocorde un instrument de musique.
it. Accordoir : outil pour accorder les instru-
ments de musique.
Arınamtaro. V. Afınazäo.
Arınar, v. a. afliner (les mötaux. (g.)
les expressions, etc.). Perfectionner, moltre la
derniere main & un ouvrags. Accorder les in-
straments. (g.) Epurer, purifler. A desgrasa
afıns a virtude , Pinfortune epure la vertu.
AFISCÄDAMERTE, Arıncar „etc. V. Aflincar.
ArıamADO, ArıkMAR, etc. V. A
ArsTOLÄDO, A „ad. Aistuleux. P-P. d’Aßstu-
ler. Consciencis—s, conscience ulceree.
AFISTULAR , 0.0. (f. ‚de ındd.) rendre une plaie
Sstuleuse. Il est communement reciproque,
Amtinısente, ade. firement.
Asırano, V. Filado, Filo.
"Arıtado,A, adj. ’orne, par&e de rubans.
Fix. Ter os olhos ehtados n’algum olbjocio,
avoir les youx fixts sur quelque chose, ou
personne.
Arrrısento. V. Afllo.
Amar. V. Filar.
Arıtar, v. a. donner la colique.
Arıro. V. Indigestäo.
* Arıro. V. Fito.
* Arıuza. V. Fiuze.
Arıtzipo,A,9.p.d
* Arıczar , v.a. [aire espörer, donner de l’es-
peir, de la securite,, de la oonfiance.
* AFIUZAR-SE, v. Tr. se confier, avoir de l’es-
AFIYELLADO, A, 2.2. d
ArıvgLıLar, 9.6. boucler : fermer, attacher
avec une boucle.
tArLANENGCÄBO, A, adj. qui imite les ıma-
niöres, qui a un visage de Flamand.
AFLAUTADO, ArLAUTAR , etc. V. Flauler.
Arızımas. V. Fe
AMETEADO,A,P.P.d
+ Arızomar, o. a. donner, causer le fegme.
+ ArLZumAR-SE, 0:r. devenir logmatique.
* ArLoxan. V. Afrouzer.
APOCINRADO, A, 7.9. d’
AFOCINHAR, 9. a. donner des coups de groin,
de museau, de bec, en parlant des animaux.
Beurier le navire de la proue, de la poulaine
eontre quelque 6cueil.—,v.n.lomber sur le nez.
Ar0or450,4,9.2, 4
AFO 43
APOFAR, 9. a. rendre mollet, on parlant du
pain; rebattre, en parlant de matelas. (Ag.)
Remplir de Yanite.
AFOFAR-SR, v. Tr. devenir mollet. (Ag.) Se
reımplir de vanits ; n’avoir pas de franchise. Se
rendre vain.
f Arocinaninte, adv. aveo empressoment,
bäte, precipitation ; pr&cipitamment. En sooret,
secrdiement, & Y’insu de tout le monde.
Arocıpico,A,adj. quialaoourtehaleine ; qui
(sit des choses & la hate, on parlani des per-
sonnes.
ArOocApiLHO , 8. m. 6ınpressement, häte,
Ar0ocipo,A, 9.9.d’Afogar, adj. tous, sul-
foque. On le dit des lieux oA Psir ne circule
point librement. Carne efogade, ou simplement
afogado, viande & l’etuvde. ( lg.) Estar —, ou
vor-s0 — , eiro accabl6 d’aflaires , d’occupa-
tions, de sollicitations et de toutes sortes de
soins. (t. de mar.) mang6 par la ner, tan-
guer.
ArocÄnO, 3. m. noy6 : dtouffs par l’sau.
Ar0GADöR, A, 8. colui qui dlouffe,, qui suf-
foque, qui noie. «4. Collier de fornme.
AFOGADÜRA, 8. f. ou
AFOGAMENTO, 3. m.” suffocation, &touffement:
Paction de suffoquer, d’stoufler.
ArFOCAR, 9. a. noyer : faire mourir dans l’eau
ou dans quelque autre liquear. Etouffer, sulfo-
quer, #trangler : faire mourir en privant de la
respiration ; metire presquo hors d’haleine par
un mouvement violent. (4g.) On ’omploie dans _
ie memesens; ainsi on dit afoger os lalentos,
suspiros, gemidos, «touffer les talenis, les sou-
pirs,, les gemissements, eto. dt. Gäter. yr gran
des chuvas affogdrdo as sementes,, les grandes
pluies ont gät6 les semailles. st. Oier Vussge. A
dor Ikeaffogou « vox,, la douleur lui 6ta Yusage
de la parole. R&primer, opprimer, suffoquer,
fourmenter, faliguer. Eleindre » dtoulfer le feu
en le privant de /’air.
Arocar, vo. n». V. Abafar.
AFOGAR-SE (sm), €. r. se noyer, s’asphyzier.
Se presser, faire les choses & la hate. Rester
embarrass&, interdit, troubi6, deconcerte.
— de calor, (fam.) &touffer de chaleur. —
de genie, e&touffer de chaleur & cause du
grand monde. — (0 gräo semeade), mourir ä
cause des mauvaises herbes. — em poucs agua
(fig. fam.), se neyer dans un verre d’eau, se
noyer dans son crachat ou dans un crachat.
— de rir, #toufler de rire. Afogdo-se-iIhe na
boca as palavras , les paroles lui mearent dans
la bouche.
Ar0c0, 3. we. ötouffement, presse, sulloca-
tion, contrainte, oppression, violence. ( fg.)
° Affliction, angolsse,
AFOCURÄDANENTE, adv aveo ardeur, Avce
shaleur.
Arocurin0,A,P.9.d’
AFOCUEAR, 9.a. enflammer; faire rougir au
feu. Brüler de la poudre dans une arme & feu
pour la nettoyer. Echaufler au moyen d’une
fomentation, etc. Faire rougir quelgu’un , lui
4 AFO
faire monter Ic rouge, la couleur, la rougeur au
visage.
AFOGUEAR-SE,, v.r. s'embraser, s’enflammer,
devenir rouge au feu. (fg.) — o rosio, rougir,
se teindre en rouge : avoir honte, confusion.
Aroıro. V. Afoulo.
AroLan. V. Folar.
AFOLHÄDO, A, p. p. d’Afolkar.
AFOLHANENTO, s.m. (l.d’agr.) assolement ;
action, maniere d’assoler.
AFOLHAR ‚v.a. (fl. d’agr.) assoler : diviser les
ehamps en soles ; #tablir un systeme d’assole-
ment, de rotation.
* Arom.V. Afon, Trabalko.
Aromantan. V. Fomentar.
° APONCINHADO. V. Afoucinhado.
Aronia. V. Apkonia.
Arörı, adv. exceptö, hormis, hors, oulre;
dehors.
* AFORACOM. V. Aforamento.
AFORÄDAMENTE, adv. avec cens.
AronipO, A, P. P. d’Aforar.
AFORADOR,, A, 5. celui a qui on paie le cens,
le bail, la rente d’un fonds ; censier, fermier,
rentier. it. Celui qui prend & cens, & bail, &
rente, la jouissance d’un fonds.
AFORAMENTO, 5. m. cens, eımphyle&ose : Pac-
tion de donner ou de prendre & cens un fonds;
la rente ,„ ia somme d’argent qu’on doit payer
pour la jouissance d’un fonds, d’une terre.
AFORAR, v.a. acenser: donner ou prendre
dcens un fonds, une lerre, etc.
+ AVORAR-SE ( de fidalgo), v. r. s’arroger,
s’attribuer la qualits,, le droit de gentilhomme.
dt. Prendre P’habitude de.
A rorca, ade. V. Forga (d).
® ArORcıaR. V. Forgar.
Arorcunipo, A, adj. allaire. p.p. d’
AroncunaR. V. Apressar, Afervorar.
AFORGURAR-SE. V. Apressar-se , Aferco-
rar-se.
Arorıswo. V. Aphorismo.
Avorısta. V. Aphorista.
AFORUMENTAR. V. Fermenlar.
AFORNOSEADO, A, 9. p. d’
AFORNOSEAR, ©. a. embellir, rendre bcau,
orner, approprier, decorer.
AFORMOSENTÄDO, A, 9.9. d’
AFORMOSENTAR. V. Aformosear.
* Aröno. V. Foro, Desaforo.
AvonquiLnino, A, adj. fourchu : soutenu
par des fourches (arbre). it. En fourche,, bi-
furqu&, en parlant d’un arbre. p. p. d’
AFORQUILBAR, dv. 0. Appuyer, soutenir par le
moyen d’un appui, etayer avec des bätons
fourchus.
t AFORQUILHAR-SE, o. r. se fourcher, se bi-
farquer, prendre une forme fourchue.
t} AronkiDAauMenTE ‚adv. librement, sans dif-
Dcults,, sans obstacles. Economiquement; ex-
pöditivement, sans suite nı bagage.
Aronkino, A, 9. p. d’Aforrar, adj. libre,
exempt de tout obstacle, debarresse ei A la !e-
gere, sans suite ni bagage.
AFR
T ArOnRADOR, A,s. oelui qui Epargne. Celui
qui affranchit un esclave. V. Forrador.
ÄAFORRAMENTO, 3. m." &pargne, &conomie.
Affranchissement d’un esclave.
AFORRAR, ©. Ga. epäargner, mönager, &cono-
miser, Affranchir un esclave. Trousser, retrous-
ser les manches d’un habit.
AFORRAR-SE,, ©. r. s’tpargner. Se presser;
s’habiller ä la l&göre, ala hate. — com alguem,
prendre sa revanche de quelqu’un. Ndo — com
ninguem, nemarchander, n’epargner personne,
dire franchement sa facon de penser & tout le
monde. Ne consulter que son intertt.
AFORRO, s.m.” &pargne , &conomie: parcimo-
nie , m6nagement dans la depense.“ Manumis-
sion : affranchissement d’un esclave.
AFORTALECER. V. Fortalecer.
* AFORTALEZAR , etc. V. Forti
ÄAFORTUNÄDAMENTE , adv. heureusement :
d’une manidre heureuse ; avec bonheur.
AFORTUNADISSIMO, A, adj. superl.d’
AFORTUNÄDO, A, adj. fortune, heureux. Mus
—, bien heureux. Il signifie queiquefois le
contraire. p. p. d’
AFORTUNAR, ©. a. faire prosperer : rendre
heureux, enrichir.
+ AroucınHäno, A, adj. qui a la forme de
faucille.
AFOUTÄDAMENTE. V. Afoulamenle.
AFOOUTADISSIMO, A, irds-hardi, adj. sup. d’
ArOUTADO, A, 9. pP. d’Afowtar. V. Afoute.
AFÖUTAMENTE , adv. hardiment : avcc har-
diesse; sans hesiter.
AFOUTAMENTO. V. Afowieza.
AFOUTAR , d. 4. encourager,, animer, enhar-
dir; inspirer du courage, dc Ia hardiesse,
donner du caur, du courage.
AFOUTAR-SE, v.r. oser, aller sans crainte,
ne pas craindre de faire.
Arouttza,s. f. hardiesse, audace,, courage,
aasurance, intrepidite.
AröutT0, A, adj. hardi, resolu, entreprenant,
audacieux, (Emödraire, decide.
ArkaciDO, A, 9. p. ü’Afracar.
AFRACAUMENTO, s.m.* faiblesse, diminution de
forces. p. us.
AFRACAR, v. a. affaiblir, debiliter. 1] se dit
des facultös du corps et de cellcs de l’esprit.
v. ». faiblir, perdre de sa force, de son cou-
rage, de son ardeur, ferveur, etc. Afracar-se,
v. r. s’affaiblir, se rendro faible.
AFRACASSAR. V. Fracassar.
AFRAMENGADO,. V. Aflamengado.
AFRANCEZÄDO, A, adj. francise : qui imite
avec allectation les maurs, les manitres fran-
caises. it. Partisan des Francais. p p.d’
AFRANCEZAR, ©. a. [ranciser : donner une
terminaison , une inflexion francaise. — : dun-
ner le ton et les manieres francaises. — e lin-
gua, introduire des termes et des locutions
francaises, ou gallicismes.
+ AFRANCEZAR-SE, 9. r. sc franciser:prendre
le ton, le mainlien , les manieres [rancaises.
® AFRAQUENTAR, V, Enfraquecer.
.- m —_ u As
“..o
AFR
TAFRECHÄDAS, adj. f. pl. ( Folhas, eie. -,
I. de bet.) en fer de Niöche (feuilles, etc.).
AMRECTEZÄDO, A, adj. achalande. Loja bem
efreguezade, boulique bien achalandde, qui a
beaucoup de pratiques. P.9.d
ÄFREGEEZAR, v. @. achalander : procurer,,
donner des chalands „ meltre en vogue une
bouligue , etc.
ÄFRECUEZAR-SE,, ©. r, s’achalander, faire ve-
bir les chalands ; acquerir beaucoup de prati-
ques ; contracier !’'habitade d’acheter & lamerme
personne.
Ayseımar, V. Afleimar.
” AFREIMAR-SE. V. Angusliar-se.
"Araestan.V, Entlestar, Estremar.
"Arasscın. V. Refrescar.
tTArsisoo, ade. (1. de peint.) Pinlura a
freseo, peinture ä fresque : sorte de peinture
appliquee sur une murailie (raichement en-
duite.
ÄAFRETAMENTO. V. Freismenio.
Araerın.V. Freier.
Arascı,, s.f. Afrique : une des qualre parties
de monde.
Amnıcino,A,adj. et s.
os chose d’Afrique.
"Arzıcio. V. Afficdo,
Arco , s.m. (l. podt.) aulan : vent du midi,
vu sud.
T ArRISOADO, A, adj. qui ressemble au che-
val frison.
Arao,A,adj. eis. Alricain.
AFRODISEO,, AFRODISIACO. V, Aphrodiseo, eic.
Araoızan. V. Afrouxar.
t Arzossino, A, adj. (i.de bot.) pulvinatus,
en forme de coussin, d’oreiller.
AFRONTA, AFRONTAR. V. Affronla, eic.
tArsorsı, s. f. (1. de bot.) afrousa, fraisier
des Alpes.
AFROTZÄDO, A, 9. p. d’Afrouzar.
AFROTZANENTO, s.m. relächement, affaiblis-
sement : T'action de relächer, d’alfaiblir. (g.)
" Tiedeur, diminution de zeie, de [erveur.
ÄFROTXAR , D. a. relächer, detendre, desser-
rer, delacer : faire qu’une chose soit moins
€tendue (une corde, un ressort, etc.). (g.)
Alfaiblir, diminuer la force, la vigueur, le cou-
raze.—,c. ». mollir, calmer, s’adoucir, dimi-
nuer, se moderer, 8’apaiser. Se ralentir. ( ig.)
Se relächer, se refroidir, perdre, diminuer de
sa premiere ardeur, agir avec moins d’ardeur
et dactivite qu’auparavant. — em suas preien-
röes, se relächer de ses prötentions. ( fam.)
leise de l’eau dans son vin,
AFROCZAR-SE, ©. Tr. se relächer, s’aflaiblir.
V. 4frouzer, v.n.
tAFROCXELIDO, A, adj. oourert avec le du-
rei, plein de darvet.
Arsoxan, eic. V. Afrouxar, etc.
Ara010, adv. V. Froxo, et Flur.
"ArRCITADO, A, p.p.d’
"Aratıran,, vo. a. donner, avoir du fruit. V.
Fructificar.
Africain : personne
—— m 8. 0.
AGA #5
* APRUITENECAR O4 ÄFRUITITICAR „ o. a. faire
fruciifler.
ArTA.V. Aphta.
AFUGENTÄDBO, A, P. 9. d’Afugenlar.
AFUGENTADÖR,, A, 8. qui met en fuile.
AFUGENTANENTO, 3. m. l’aclion de faire fuir.
ÄFUGENTAR , U. a. mellre en fuite, fairo fuir,
chasser, faire prendre la fuito, faire tourner le
08.
Arumino, A, 2.9. d’Afumar, et adj. plein,
couvert de fumee. (fig.) V. Toldado, Offuscadg,
Desvanecido.
tArusMaDo,A, p-p. V’Afumar, et adj. V. Es
Irumado,
Arumanüra. V. Defumadura.
AFUMAR, v.a. [umer, enfurmer, fumiger; cx«
poser & la fumee pour faire secher. — :jeteg
de la fumee, exhaler des vapeurs.
TAruUmAR,v.a.V. Estercar, Estrumar.
AFUNDÄDO, A, P. p. d’
AFUNDAR,v.q. faire couler A fond, plonger,
enfoncer dans l’eau; creuser profondement.
Mettre un fond ä un tonneau.
AFUNDAR-SE, o. r. couler bas, couler & fond.
(fig.) Dechoir, evanouir. Ex. Afunddräo-se as
minhas esperangas, mes esp6rauces se sont
evanouies.
AFUNDIDO, A, P.92.d’
Arunpir, Arunpın-se. V, Afundar et Fundir.
* Arcnno. V. Fundo (a).
AFUNILÄDO, A, adj. en entonnoir : qui a la
forme d’entonnoir. Infundibule ou infundibeli-
forme. (t. de bot.) p. p. d’
fArunıLin, vo. a. donner la forme d’en
tonnoir.
AruR0ino, A, adj. (fg.) Cherch6 avec beau-
coup de diligence. p. p. d’Afuroar.
T AFUROADOR, A, 3. fureteur : qui furdte, qui
chasse aux lapins avec un furet, (fig.) Curieux
qui chercbe partout, s’enquiert de tout.
Aruroir, v. a. (l. de chas.) fureter:: chasser
au furet. (ig. fam.) Fouiller, chercher partout
avec soin. — : chercher & savoir toul ce qui se
passe.
ArusipO, A, 9.9. d’Afusar, ady. qui a la
forme de fuseau.
ArusiL,s.m. deux livres de lin briss pour
Siler.
Arusin, vo.a. tailler en fuseau, donner la
forme de fuseau.
TArUSÄn-sg, v. r. devenir aigu, poinlu,
mince, en prenant la forme d’un fuseau.
ArusiLino, Arusitar. V. Fusilar, etc.
AFUSTÄR-BE. V. Ahuslar-se.
tA’ca, 8. m. piment des indes, poivre de
Cayenne.
Aci,s.m. aga : oflicier, commandant turc,
seigneur tarlare.
tAci,s. m. nom de la letire
Portugais.
AcaBiDO, AcaBan. V. Gabar, etc.
Acasio,s.m.V. Gabdo.
ACACHADINNHO, A , adj. dim. d’
AcacuiD0,A,P.P. d’Agachar-se.
H chez les
% AGA
AcıacHia-sE, v. r. so tapir, se blottir, s’ac-
croupir : se cacher en se tenant dans uns PoS-
ture raccoureie et resserree. (flg.) Se rendre,
se soumetire. Se tenir ooi, attendre patiomment
pour tirer un meilleur parti des ceirconstances.
Acicno, s. m. accroupissement : Paction de
Y. s’sccroupir. Pescar d—, tromper secreiement,
sourdement. Ester d-, (fam.) @tre mis en
prison.
Acicıa. V. Pege.
Acıpansioo,A,P.P. d’Agadeankar.
AGADANBADOR, A, s. oolui qui agriffe ; eseroc,
Aion:
AGADANBÄR, v. a. agriffer ou s’agriffer : at-
traper, dechirer avoo les griffes ; prendre, em-
paumer, saisir avec la main. ( fg.) Rarvir, en-
lever, escroquer, flouter.
+ Acarrannir ou ACAFANBAR , 9.0. ({.burl.)
tgraffigner, &gratigner ; attraper, empaumer.
fäAcauicra, s. f. (t. de mdd.) agalactie:
defaut de lait,
AcaLanido,A,9.2.d
AsaLaniR, vo. .. vehäre beau, joli, galanı.
AGaLAnan-sE, v.r. s’habiller "galamment.
° AcaLaapoir. V. Gelardoer.
Aciına. V. Galke,
+ AcaıLiro, s. m. (1. de chim.) gallate : sel
forme par la oombinalson de l’acide gallique
avop difförentes bases.
ACALLEGADANENTE, ade. A la manidre des
Galioiens. (Ag.) Grossiörement.
AGALLEGÄDO, A, adf. qui a les manidres et
l’aooent des Galiciens. (Ag.) Grossier, rustre.
+ Ackıuıco, adj. (£. de chim.) gallique. H se
dit d’an acide qu’on tire de la noix de galle.
AcALOADO, A,9.9. dA A
AcaL0apüra, 5. f. ohamarrure, passement,
garniture de galons.
AcaLoia, ©. e. galonner : orner,, border de
gelon.
AcaLöcaz, V. Calambuco.
AcaLorir, V. Geloper.
T AcasatmoLıtea, 8. f. (1. d’hist. nal.) aga-
matholithe: pierre de lard de la Chine.
+ Aciue, Aciua ow AciMO,s. m. agame:
lezard d’Aınerique & ecailles 6pineuses.
+ Acaui, s.m. (l. d’Msl. nat.) agami, echas-
ster, hylebates, caracara, ami de l’homme;
olseau trompette, poule peteuse d’Afrique et
de l’Amerique.
+Aciuıa, s. f. (t. de bot.) agamie, cryplogs-
mie : classe de vegetaux dont les organes
sexuels sont cache&s.
+ Acanipe, s. f. (t. d’Msi. nal.) aganides:
genre de coquilles, nautiles & cloisons feuille-
tses ou lobtes en zigzag.
+ Acanippe, s. f.(t.de myih.) Aganippe:nom
@’une fontaine en Beotie, que le cheval Pfgase
Ri sortir de terre d’un coup de pied.
f Acınippenzs ow Acanıppenis, adj. plur.
(l. de myth.) Aganipnpides : surnom donne aux
Muses, parce que la fontaine Aganippe Icur
&tait consacrte.
AGA
+ Acanirreo, a, adj. (1. de mylA.) qui appar-
tient & Agsnippe.
fAcarintna ow Acarintuo, s. (l. de bof.)
agapanthe : plante liliacee ; crinole , maulhie.
Acäirasow Acipzs, 8. f. "glur. ag gapes: repas
gue les premiers ehrötiens faisaient dans les
ises.
AcirEtas, 5. f. plur. agapeies: vierges qui
vivaient en communauie sans aucun vu.
T AcanExıAnos, s.m. plur. agaröniens: secie
de chretiens apostats qui se sont rendus mu-
sulmans.
Acartno, A, adj. et s. descendant d’Agar.
V. Mahomeiano.
Acizıco, s. m. (Lt. de bot.) agaric: champi-
gnon polypode ; plante perasite du chene. — dos
campes. V. Cogumello.— bastardo, champignon
poreux et visqueux aultumna). + — mineral,
s.m. (1. de chim.) agaric mineral : substance
analogue ä la craie ; lait de une, de montagne ;
moelle de pierre, guhr calcaire,, chaux carbo-
natee.
+ ACARNACBÄBO, A, adj. & la maniere de
robe de magistrat. p. p.d’
+ ACARNACHAR-SE, v.r. s’babiller en robe de
magistrat ; prendre, metire la robe de magistrat.
Acanneı. V. Garmel (e).
AGARRADO, A, 9. p. d’Agerrar, adj. saisi,
agripe, pris. Mesquin, tenace, dur, chiche :
qui donne ou qui fait une depense bien au-
dessous de son bien et de sa condition. — comes
o chdo , rampant,, en parlant des plantes.
ÄACARRADOR, A, 3. colui quisaisit, qui prend.
(fam.) Archer, sbire, sergent, recors.
+ AcannÄnTe, adf. 2 gen. qui prend, gai
saisit, etc. 9.0. d’
Acarnir, v.&. prfendre, empaumer, saisir
avec la main; agripper,cramponner, accrocher,
attacher. Arrtter, saisir au collet.—, v.n. (8.
de mar.) mordre le fond, en parlant de !’ ancre.
Acarrin-sE,v.r. se cramponner, s’atlacher,
s’unir eiroitement, s’accrocher. — aum cabello,
tirer parti de la plus petite circonstance, du
pfetexte le plus leger.
ACARROCHÄiDO, A, 9. p. d’Agerrochar.
+ AGARROCHADOR, A, s. celui qui blesse avec
un javelot.
AcannocHirR, v.a. piquer, blesser avec un
dard ou jarvelot appele V. ce mot.
ACARROTÄDO, ACARROTAR. V. Garrotar.
Acaarvcaino, 4,2...
AGARRUCHÄR, v.a. (l.de mar.)serrer avec des
poulies, des cordes de bouline. V. Garruche,
ACASALHAD£EIRO. V. Agasalkador.
ACASALHADISSINO,, A, superi. d’
ACASALHÄDO,, A ‚p. p. d’Agasalhar.
AGASALHÄDO, 8, m. V. Gasalhado.
ACASALHADÖR, A, 3. hospitalier, prevenant,
officieux : celui quie exerce!' hospitalite, qui fait
bon accueil. Il est aussi adjectif. Palarras aga-
salhadoras , paroles bienveillantes.
Acısaunin, c.a.rccevoir, lorer un amıi, vn
höte chez soi, lui faire bun accueil, accuciliır
AGA
ae amilie ,Isaiter avec bienveillanee. Metire
a'zstrı, er.feriner, garder (marchandises, etc.).
Placer quelqu' un,iai donner un &iat. Marier
‚au üls, eic.), 9. us.
ÄAcASALBÄR-<E, c.r. renirer au logis pour y
passer la nuit, se coucher, se r&fugier, se loger;
se savTir, se garanlir du froid.— com mulher,
se marier, p. us.
Acısi1so, s. m. beberzement, logement;
bon aczueil, prövenance, caresse , honnttets.
Con — „obligeamment, gracieusement. Agasa-
ihos enganasse, (ausses amities : blandices.
AcASTipaukste, ade. en colere, par colere,
par depit.
Acasrapico, A, adj. qui se fläche aisement,
eslerique , emport£, irritable, susceptible.
ACASTADINO, A, adj. dim. d’Agastado, un
yeu läche.
AcastaDissıno, A, adj. super. d’
Acısrin0, A,Pp.P.d’Agastar.
Acıstascna. V,
AcASYANENTO, 5. m. mauvaise humeur;
eewille,, Lüchberie ; emportement, colere. — de
corapde , mal au caur, anzieie.
Acısrär, v. e. faire metire quelqu’un en
coltre , je fächer, provoquer, indisposer.
Acastin-sE, e.r. se fächer, s’estomaquer ;
beaffer de colere, montrer de l’humear; s’in-
diguer,, s'emporter, se metire en colere. Se
Burmenter Pesprit, se chagriner, @ire devor6
Acastüna. V. Agasiamenio. j
A’cıra,s.f. agate : pierre precieuse, demi-
transparente.
ACATARBÄDO, A, p. p. d’Agalankar.
AcaTasmapüna, s. f. €gratignure : blessure
Yegtre (alte en egratignant.
ACKTANHÄR , ©. @. €gratigner, &grafligner :
dechirer un peu la peau, la superflcie.
A'carzs. V. Agala.
+äAcırzisıos, s. m.pl. (t.d’hist. nal.) agathi-
dies : genre d’insecies col6opteres.
+ Acari, s. m. (1. de Bot.) agali : genre
de planies lögumineuses, qui comprend les
berbes et quelques arbres exoliques.
F Acarina, s. f. (8. d’hist. nal.) agatine, uni-
valre , bulle de Madagascar et de l’Amerique;
perdrix.
+ Acarızipo, A, adj. agatißd, agalis6 : 00n-
ver, change en agate (bois), qui en a les qu&
Nike, qui en imite Ja oonleur. p.p. d’
t asarızinse, o.r.(1.d’hist. net.) s’agaliser:
prendre la transparence et l’aspoci de l’agaie.
TAcıtr,, s. on. (8. de bot.) agaty, arbre, FO-
binia du Malabar.
Acıvsıia,V. E
tAcirzs, s.m. (6. de bei.) agäaves s gente
de plantes monocotyledones de l’Amerique
mtridionele.
Acıztıa. V. Gazile.
Acızda. V. Gazue.
+Acazoino, A, ads, on [ofıne de papse-paf-
"ut, de rossiguel.
AGG
* A’GE , corruption d’Agil.V.
* Acgızino. V. Ajaezado.
* Aceınin. V. Amonioar.
Acerripautnte, adv. commodement, & I
portee de quelgw'un; de manitreä ne pasgenes
AGEIıTÄDO, A,P.p. d’
Ackırik, v. a. plscer commodement; ar
ranger avec gräce ; meltre & la portte de que
qu’un ; s’adapter.
* AczıTÄr-SE, ©. r. se placer commodement,
® ÄGEITIVAR. v. Adjectivar.
* Acsırivo. V. Adjectivo.
Ackıcıa,, 8. f. agenoe , gestion : lacharge, la
fonetion de Pagent et son bureau. Diligence,
industrie, sollicitude, affaire.
Ac£ncıänO, A, P.P. d’Agencier.
Acancina. V. Genciana. i
AGENCIÄR, ©. 6. procurer, solliciter, faire ob-
tenir. Se charger d’une affaire.
+ Aczncıös0, a, adj. diligent, actif. Officieux,
obligeant.
Acknpa,s.f. "agenda : notes de choses A
faire ; petit livret de ces notes.
Acznssıa, s. f. (t. de meöd.) agenesie : im-
puissance, sterilite.
ACGENTE , 8. m. agent : tout ce qui aglt, qui
opere. —, celui qui fait les affaires d’une per-
sonne. Negociateur : solliciteur.—de negocios,
agent d’affaires.
ACENTE, adj. 2 gen. actil, energique; plein
de force, d’energie. p. ws.
AczOoLHÄrR. V. Ajoelkar.
+ ACEOMETRIiA, s. f. ageomelrie ou agkome-
iresie : ignorance des &löments de geometrie.
+ Acerito , s.m.(i.debol.) ageratouagetrate,
plante corymbifere d’Amerique et de !’Inde.
ACERMANADO, A, P. 2.d’
Acenmanir. V. Irmanar.
+ AGERMANÄR-RE, 9. r. 8’associer fralernel-
lement; se lier intimement.
+ Acer, s. m. (1.de bot.) ageru, heliotrope
des Indes.
+ Acestipo, A,.adj. (qui se joint loujours
aux adverbes bien ou mal) de bonune ou de
mauvsise mine.
Acsustia, s. f.( t. de med.) ageustie om
agueusiie : privalion, aflaiblissement du goüt,
maladie.
ACGLOMERACAO, 3. f. sgglomeration : röu-
nion en masse de parties (de sable, de neige,
et0.); action d’agglomerer.
ACCLOwMERÄDO,A,P.P.d’
+ ACcLoumnÄr, o. a, agglomerer, rennir en
masse, en peloton. — se, v. r. s’agglomerer,
etc. plus usilt.
AccLutinackö, s. f. agglutination : reunion
des chairs, des peaux ; l’action d’agglutiner.
AccıurniDo, A,Pp. p. d’Aggluliner.
ACCLUTINÄNTE, P. a. d’
ACCLUTINÄR, 9. 6. aggluliner. V.Congiulinar.
AGGLUTIRÄR-SE, v. r. s’aggluliner;; se coller.
+ AcoLutinarivo,&a, adj. agglutinatif: qui
rapproche, unit.
47
48 AGI
Accnıpvir. V. Graduer. .
Accravagiö,s. f. l’actıon d’aggraver. (flg.)
Augmentation du mal, de la peine, etc.
ACCRAVÄDANENTE, adv. V. Pesadamente.
ACGRAVADISSIMO, A, superl. d’
Accravipo,A,Pp.p. d’Aggravar. adj. (t. de
pra£.) Celui contre qui on a prononce un arr£t.
On le dit subst. Offense.
AGCRAYADÖR, A, 3. el adj. celui qui aggrave.
® AGGRAVAMENTO. V. Aggravo, Gravame.
AcGraAVÄNTE, s. (4. de pral.) appelant : celui
qui appellc, qui interjetie un appel contre un
juge inferieur devantı un juge suptrieur. Ndo
€ aggravado o—,l’aggravant n’est pas aggrave6.
ACGRAVÄNTE, adj. 2 gen. aggravant : qui
rond plus odieux , plus coupable. p. a. d’
ACGRAYÄR, v.a. aggraver : rendre piusgrief,
plus grave. Offenser; irriter. Surcharger, oppri-
mer. Exagerer. Ajouter & la faute coınmise. —a
ena,o crime, aggraver la peine, un crime:
"augmenter , le rendre plus grief, le charger.
— o mal , augmenter le mal, Yaigrir, l’irriter.
Accravir,o.n.(4. de pras.) faire ou inter-
jeter appel d’un arre&t rendu dans le cours du
proces.
AGGRAYÄR-SE, U. 7. S’aggLaver, S’exasperer,
s’augmenter; empirer.
. aggravani : qui
t Accravarivo,A, 0% Trend plus grief,
f AGGRAVATÖRIO, A, adj. ( plus grave. (4. de
pr.y”,quiaggrave.
AccrAVvista, s.m. juge de la cour supr&me
de justice ( en Portugal) qui döcide sur un ap-
pe) de proc&s.
Accrivo,s.m.* offense, griel, injure, preju-
dice, tort, dommage. (1. de prat.) Appel äun
juge superieur contre un juge införieur. V.
Appellagao.
Accaavöso. V. Gratoso.
Accrepia. V. Acommelter.
Accazcacäö, 3. f. agregalion , adjeclion,
eoaptation.
ACCRkECiDO, 8. m. agregat, assernblage, reu-
nion de dilförentes choses, amas.
ACGRECÄDO, A, adj. adjoint, annexe. Destine.
p.p.d’Aggregar. Flores—as, (t. de bot.) fleurs
agregees.
ACccrEcÄR,v. a. Rassembler un troupeau , al-
trouper. Agreger, aflecter, unir, coapter, an-
ncexer, assembler, joindre, associer. Destiner.
ACCRECÄR-SE (q), v.r. s’agreger, so joindre,
s’associer A quelque oorps. — a alguem, 8’88-
socier & quelgu’un pour voyager, s’allier ä lui,
devenir son commensal, suirre sea sentiments,
son parti.
ACCRECATIYO, A, adj. qui agrege, qui unit,
etc.
AGCRBCATO. V. Cumulo , Aggregado.
Accnzssiö, s. f. agression. V. Acommeli-
menio,
Accazssivo, A, adj. qui allaque; offensif.
Accrassön,, A, 5. agresseur : celui qui alla-
que le premier. Assaillant.
° Acıazipo, Acıazan, V Ajaszar, olc.
AGI
ACICANTÄDAMENTE, ade. comme un geant;
d’une maniere giganlesgue.
AGIGANTÄDO, % , adj. gigantesque : qui lient
du geant. (Ag.) Extraordinaire , prodigieux,
enorme. p.p.d’
ACICANTÄR, ©. a. agrandir, accrolire, exage-
rer. —se,v. r. grandir considerablement; se
distinguer, se signaler, surpasser tous les
aulres.
A’cıL „adj. 2 gen. agile, l&ger, prompt, leste,
erpeditif, degage.
AcıLıpine, s. f. agilile, legereis, prompül-
tude, prestesse.
AcıLissıno,A, adj. superl. d’Agil.
AcıLıTÄDO ,A,p.p. d’
AcıLıria,t. a. degourdir, rendre agile, ex-
peditif. Faciliter, disposer a.
ACILITÄR-SE, v. r. se dögourdir, se rendre
agile.
A'CILMENTE, adv. agilement : avec agilile.
* Acinua. V. Asinha.
A’cıo, s.m.( t. de comm.) agio : l’excedant
qu’on prend sur une somme pour se dedomma-
ger des chances; inter&t d’argent pre&te ; specu-
lation sur la hausse et la baisse des ellets pu-
blics. V. Agiolagem.
Acıöcraro. V. Hagiographo.
° Acıoınär. V. Ajoelkar.
AcıoLöcıo. V. Hagiologio.
AcI0sımÄndao, s. m. agiosimandre.
Acı0TADOR, 3. m. agioleur : celui qui fait
l’agiotage.
Acıoriceu, 3. f. (1. de comm.) " agiolage :
commerce usuraire. Agio, escompte. il.—, "Ira-
Sc sur l’argent, sur les effets publics ou de
commerce.
Acıorir, v. ®. agioter : faire l’agiolage.
Acıorista. V. Agiolador.
Acıaonino,A,Pp.p.d’
+ Acıronär, o. a. dechiqueter une &tofle ::
e’etait anciennement garnir un habit de piöces
dechiquetses.
Acırackö, s, f. agitation : ebranlement:
mourement en sens oppose. ° Batlement, se-
cousse, frötillement. (Ag.) —, fermentation ,
division des esprits, des partis. if. Emotion,
alteration , inquietude de Fesprit, trouble.
Acırapissımo, A,adj. superl.d’
Acırioo, A, p. p. d’Agilar, adj. (fig.) Fluc-
tueux,, agitö, trouble, battu,, combattu, excitc,
pousse, discats, examine, debaltu. Questdo
bem agilada,, question bien debattue.
ACITADOR, A, 8. agilateur : celui quiagite, qui
‚fait mmouvoir, courir, qui excite A travailler.
Acırtante, adj. 2 gen. quiagite. p. a. d’
Acıria, v. a. agiter,, secouer, baitre, ebran-
ler, remuer en divers sens. — uma questäo ‚um
negocio, agilar une question, une aflaire : la
discuter, etc.
AGITÄR-SE, d. r. s’agiler, se remuer, se Iroü-
bler. (fg.) Se tourmenter, s’inquiöter, se Irou-
bler.
+ AcıräveL, adj. 2 gen. qui peut @ire agile.
AGITÄVELMENTE, adv. d’une maniere agilc
AGO
u, 8. f. (1. de mdd.) sgiatistion.
4 Ari ‚ ef (1. de med.) aglutition :
impossibalite d’avaler.
Acnicid, s. f. agnation : qualits des agna®,
fen de consanguinile entire eux.
Acsino, A, adj. agnat:collatsral descendant
par mäle d’une meme souche masculine.
TAcsırmas, s.f. pl. (1. d’hisi. nal.) agnathes
ou bacelles : nerropteres.
AcyıTicıo, £, adj. agnalique:qui appartient
aux agnals.
Acsetixıs (moldas), s. f. pl.° agnels: an-
eienne monnaie d’or de France; elle portait
pour empreinte un agneau.
Acnıcıö,s. f. (l. pol.) reconnaissance, l’ac-
tige de reconnaltre une personne; peripelic. Il
ne se dit que des changements qui se reucon-
trent, solt dans les po&mes dramatiques , soil
dans jes po&mes Epiqucs.
Aı'c0. V. Cordeiro.
Acno-CisTO, 8. m. agnus-Castus, vitex : ar-
buste d’ornement, odorant; espece de gatilier.
ACNÖHE, 8. @. surnom.
+ AcsomınaCiö,s.f. allusion au nom, simi-
ltade de noms ‚de mots. V. Alcunka, Appellido.
Ac .0-PÜRO. V. Agno-easio.
f Acxo-scrstico, s. m. (f. de Bol.) agnus-
seysticus,, plante de la Tartarie.
tAcnosterıo, s. m. lieu de purifkcation,
sanciaaire. Inus.
Acsts-Dei, s.m. agnus : eire benite par le
pape, sar laquelle est imprimec la figure d’un
agnesu. Ancienne monnaie d’Espagne.
A’coa, elc.V. Sgua,eic.
Acuce 8. m. agoge : rigole pour l’eau dans
es mines.
+ Acucaco , adj. Sentido —, clair (sens), pa-
tent: qui se presente naturellement,
Acbıao, eic. V. Agouro, etc.
AcoLrEiso, AcoLrzia. V. Golpear, eic.
ACOMABO, Acomin. V. Abrolkar,
Acoula, s. f." couteau des Alricains.
Acosiı. V. Gomil.
7 AcowıL.inpo,sdj.quia la lorme d’aiguldre.
Acousino, Acouuin. V. Engommer.
TAcon,s. m. (l.d’ent.) combat, jeu public.
(8. de bot.) * Bugrene, plante.
Acosiszs, 3. et adj. f. Pi. agonales : fütes en
[henneur d’Agonius ou Janus.
AcöEE , 8.0. sacrißcateur. (1. d’hist. nel.)
Agene : esp&ce de pelite alose,
TAcosconi00, A, adj. Estilo —,, pindarise
(style), aflecıs, enlie, qui imite le style de Gon-
gesa (peöto espagno! ). V. Gongorista.
Aconia ,s. f. agonie : le dernier oombat de la
asture contre la mort ; lat d’un malade & l’er-
wienits.(flg.) — ‚ affliclion extreme, angoisse,
grande anxiele, peine d’esprit,
Acomıkp0, A,adj.p.p.d
AcOmıÄR, ©.@. chagriner, causer du chagrin,
sürister, afläger queigu’un.
ACONIÄR-SE, ©.r. &prouver des angoisses ‚se
FORT.-FR,
AGR “
senlir oppresat ; se chagriner, s’MMlliger. — com
alguem , se fächer avec quelqu’un , lui montree
de l’bumeur.
ACONISIDAMENTE, ado, avec angoisse,
AconısiDo, A, adj. p. p. d’Agoniser,
AGONISÄNTE, adj. et 8. agonisent : qui est &
l'agonie. p. a. d'
Acoxısir, o.a. aider un moribond & bien
mourir, & mourir en paix.
AGONISÄR OU AGONIZAR, ©. 9. agoniser : ötre
äl'agonie. (4g9.) V. Agoniar, Agoniar-se.
T Acomistäncna,, s.m. (Lt. d’ant.) agonistar-
que : president des combats, des gymnases,
Avuxistica, 8. f. agonislique : partie de la
gyınnastique relalive aux combats.
Acosistico,, adj. m. agonistique : mission-
naire des donatistes,
AGONOTRETA, 8. m. (1. d’anf.) agonothöte:
president des jeux sacres,
AcÖRA ‚ade. maintenant, ä present, presen-
teınent, dans ce moment. (conj. distrib. ant.)
Soit que, ou bien que; tanıöt. Ex. — venhas,
—ndo venhas, solt que tu vicnnes, soit que
tu ne viennes pas. — quer uma cousa, — quer
owira, tantöt il veut une chose, tantöt il veut
une aulre. — mesmo, tout ä l'heure, & l’heure
qu’il est. Por —, pour le prösen!, pour le
moment. Desd’— em dianie, dorenavant. Ald u
jasqu’& present. Maintenant, au lieu d’agora,
on dit ora avec les memes acceptions.
ACORENTÄDO, A, adj. p. p.d’
ÄACORENTÄR, ©. &. Couper tout aulour. (fg.)
Economiser, röduire, retrancher.
Acosrinno, a, adj. qui suit la regic de saiut
Augustin (moine, religieux, etc.).
Ac6ö$T0, s. m. aoüt : le huitidme mois de .
Pannde solaire. L’aoüt : la moisson, le teınps
de la moisson.
Acorin. V. Esgolar.
ACOCRÄDAMENTE, adr. par augure.
ACOURADISSINO, A, adj. sup. d’
AcouaiD0, A,9.p.d'
Acorrin, o. &. augurer : prädire l’avenir
suivant les regles de la scienceaugurale ; de-
viner, pronosliquer, pr&voir,, pressenlir, 00R-
jecturer. Intimider avec des augures. —revdzes,
damnos, redouter des accidentis.
Acovkir-sE, v. r. prendre augure, s’inli-
mider soi-meme avec des augures.
ACOUREIRO, A, 3. augure, devin : celui qui
devine, qui predit; qui croit aux augures.
ACOURENTO, A, adj. presageant , qui annonce
les choses omineuses ; superstitieux.
ACÖTRO,, 8. m. augure, Presage : signe par le-
quel on juge de l’avenir; divination; tout ce
qui presage (sinistre, bon, maurais—).
"Acna. V. Agro,
Acrıcanimpı,s. f. agra : bois de senteur de
la Chine.
ACRACIÄDO, A, adj. gracieux. V. Engragadao,
p.p.d
ACRACIHÄR, ©. @. avanlager : donner de la
Btäce,, cmbellir, rendre gracieux, agreable,
5 AGR
Gratifier , faroriser, seoorder une gräce, falto
une liböralitö,, un don.
Acrico, s. m. verjus : raisin cuciiH avant sa
maturits et le jas dece raisin. Rm — (loc. ade.)
hors de saison, prematureınent. Longar 0 — no
olbo, (Ag. et prov.) trailer quelqu’un avec
amertume, lui faire de la peine, lui eauser du
deplaisir.
+ Acrico, adj. augm. d’Agro, Ires-algre.
P. us.
ÄACRADABILISSIMO,, A, adj. sup. d’Agradavel.
AcrADÄDO, 4,9. p. d’Agradar, adj.satislait,
ravi, charme, enchante, centent (de quelque
personne ou chose). Estouw mui — d'isto, cela
m& platt beaucoup.
Acrapin. V. Gradar (a terra).
Ackıpir(a),v.n.plaire, agreer, complaire,
@tre agreable;; #tre bien venu ou bien accueilli ;
prendre plaisir, trouver bon.
Acrapin-se (de), v.r. prendre du goüt pour,
&tre content de, aimer A voir, se complaire.
ACRADÄVEL, adj. 2 gen. agreable, beau, dour,
reereatif, avenant, gracieux, qui platt. Il est
aussi s. L’agreable, tout ce qui plalt. Misturar
o wtil com o — , meler l’utile ä lV’agreable,
AGRADÄVELMENTE, adv. agreablement, d’une
maniere agreable.
ÄGRADECER (a), ©. a. reconnaltre un bien-
feit, un service, remercier (de), s’acquilter,
rendre gräce , savoir bon gre, etre oblige,, 1&-
moigner sa reconnaissance. — a Deos os sous
dons, remercier Dieu de ses dons. Agradego-
Ihe muito 0 seu favor, obseguio, je vous re-
mercie beaucoup de votre complaisance. Eu
ndo IN’o agradero, je ne lui en sais aucun gre.
ÄCRADECIDANENTE, adv. arec gralitude, avec
retonnaissance.
Asrıpezcipissıno , A, adj. sup. d’
ACRADECIDO, A, P. p. d’Agradeoer, adj. sen-
sible, oblig6, reconnaissant.
AGRADECIMENTO, 8. m." gratitude,, reconnais-
sance, remerciment.
ACRADECIVEL, adj. 2 gen. digne de remerci-
met,
FACRADEClVELMeNTE,ade. de manidre & me-
riter du remerctment.
A0oriDO, s. m. ayrement, douceur, bonne
gräce, obligeance, affabilit6; consentement,
approbetion, volonte, plaisir, gott, bienveil-
lance. Com —, graciensement, obligeamment,
Serdo--d’alguem,plaire,conrenirä quelqu’un.
Acgapuaci6, AGnadOAR, eic. V. Gradue-
go, ete.
A’GRANENTE, adv. aveo algreur, durement,
söverement, tadement.
* kanid.YV. Agrido. |
Acrapim, #. m. espece d’agrafe. V. Alamar.
Acrinıo, A, adj. agraire: qui appartıent aux
chatmps, aux terres. Lei —a, lol qui regle la
distribution, le partage des terres. Loi des
Bontains relativs & la distribution des lerres
conquises,
Aunısso, V. Agrago.
"hanis, V, Agro, dgrego,
AGH
A'oae,. V. Ayro.
" Acr£ıLa. V. Aspereza.
Acktsre, adj. 2 gen. agrent£, rastique , Bau-
vage, champ£tre. (fg.) — , grossier, dur, sau-
vage, rastaud, paysan.
TA’crıa, s. f.(l.de m£d.) agrie, herpäs :
dartre corrosive ; pustule maligne. it. (t. d’hist.
nat.) " Agrion : insecte n&vroptäre de la famille
des libellules ow demoiselles.
Acnıiö, s. m. Ackıögs, plur. cresson d®
fontaine. Chapelet (maladie du chevat).
* Acrıästıco, A. V. Agreste, Campesire.
AcricoLA, 3. m. agricalteur:: celui qui 8’
donne & Yagricaltare; homme des champs
tullivateur. dt. adj. 2 gen. Agricole : adonne
Pagriculture. Poro, napdo — , peuple, natiom
agricole.
tFAcrlcorin, adj. 2 gen. qui appartient &
’agriculture ou aux cultivaleurs.
AceicuLTiD0,A,P.9.d’
AcricuLrir, v. a. cultiver la terre. (Äg.)
Gapner, obtenir, profiter.
AckicoLrör, s. m. et adj. agriculleur, culü-
vateur : celui qui cultive la terre.
AcricuLrüra, s. f. agriculture : l’art de cul-
tiver la terre.* Labourage, culture de la terre.
AGRI-DÖCE 0% ACRIDULCE, adj. L gen. aigre-
doux , qui a un goüt meld d’aigre ei de doux.
Acrırörıo. V. Aquifolio.
AcrıLH0iD0,A,9.9.U
ACRILHOÄR, v. a. enchalner, meltre les lers
aux pleds A quelqu'un.
AcrımEnsäö, s. f. agrimensalion : arpentage
des terres.
AGRIMENSÖR, 3. m, agfimenseur, arpenteur,
oerquemaneur : celui qui arpente , qui mesure
les terres.
ACHIMENSÖRA, 3. f. * arpentage, cetqucma-
nage : mesurage de la terre; art d’arpenter.
Acrımönıs, 8. f. (t. de bot.) aigremoine ;
plante rosacee , medicinale.
+ Acnıon. V. Agria (1. d’Nsl. nat.).
T Acrıönıas, s. f. pl. agrionies : feles de Bap-
us.
A0RtÖPBACO, 8. m. et ady. agriophage : qui
ange les betes fEroces.
Acaröra, s. f. agriote : espece de cerise sau-
vage. j
AcrıriLua, 8. f. (1. de dot.) agripaume :: cat-
diaque , plante labide , me&dicinale.
Aorirrı,s. m. (4. de chir.) agrippa : chfaufs
venu par les pieds.
AcRISALmÄDO,A,9.2.0 -
AcakisaLHan. V. Grüalhar.
A’oRO , 8. m. fonds de terre en rapport. (Ay.)
Champ, terrain.
A’GRO, A, ady. aıgre, acide, achteur: pi-
quant au goüt. (Ag.) Apre, douloureux, fü»
cheux ; choquant, offensant; raboteux ‚ m&ef;
pierreux,, en parlant des ckhemins,
Pe V. Agridoes,
ÄCRÖGRAPHO, 5. m, agroppaphe alwur
gui ecrit sur l’agrieultere,
AGROMANCIA, 9, / Agtomancie,
AGU
tAmözzWO, 8. u. agramene : celui qui ha-
bir acampagınc.
4.20s0uUi4, 3. f. agronomie : th£orie de l’a-
erirailure.
ACRONUNICO, A, adj. agronomique : qui a
1apport 3 lagronomie.
ÄCKUNONO, 5. 8. agronome : bomine verse
czus la theorie de l’agricullure.
Aaupılt, s.f. ° agropile : bezoard des cha-
mans , des cheires.
Aceoziıno, 3. m. din. d’Agro, s. et adj.
dım. d’Agre ‚adj.
AcacHıl150,4,9.p.d’
ACaCTzELir, ©. a. grumeler : reduire en
grumeaar.
ACECHKLiR-SE, ©. 7. 86 grumeler : devenir
en gramescx.
ACRCHETIAB0, A,P.p-d’
Acztöugtir, ©. a. (1. de mar.) fournir un
valsseau de mousses.
Acalri00, A,Pp.p.d
Aatrin,c.a. (l.de peinl. ei sculpt.) grou-
Fir: mellre en groupe.
dasas,s. f. aigreur: le suc aigre de quel-
ques fraits ei de quelques plantes. (Ag.) * As-
senblage darbres qui portent des fraitsaigres;
apret& d’onterrain, d’une montagne.
Acaypsia, 5. f. agrypnie : insomnie.
J’ica ou AcoA,s.f. eau: un des qualre pre-
teudus &lements , corps fiuide et Iransparent,
sans odeur et sans couleur. On le dit dans los
deus langues : de l’eau naturelle, de l’eau ar-
ußceielle ou composte , du suc de certains fruits
et de certaines plantes. —doce, eau de riviere;
— salgsda, eau de mer; — naliva, cau de
scaree ; — circa, eau courante;— depe, cau de
source; — worfa, eau dormante, siagnante;
— de chucs , ea pluviale; — regia, cau r&gale;
— erdenie, esu-devie; — rosada, eau rose;
— benis, ean bezite ; — do Spirilo Sancto, eau
baptismale ; — d’alleluia, eau benite le Same-
d;-Saint; — forte, eau forte; — de cheiro , eau
de seniear; — ferrea, sulphurea, cau ferree,
salfareuse ; — ras, esprit de ter&benthine ; —
eberla,(£. de mar.) voie d’eau : ouverture par
eu Irau entre dans un navire;— cdi! gare
Fezu! a0 dume d’—, & Nleur d’cau; — abaixo,
aralant, a vau l’eau: en suivant le courant;
-trriös , amont, contre le courant. (fig.) Diff-
cilemeut; tesa ou leso d’ —,(1.de mar.)courant
dene riviäre ; d lingua d’—, au bord de l’eau;
abrir, fazer — um navio, faire eau, avoir une
voie d’esu, en parlant d’un navire; como —,
\ fan. en grande abondance. Entre acruze a
—benis, expose A un grand danger. Estar em
all 0 pescogo, oucom—pela barba , setrouver
ea granf peril. Estar todo em — ou larado em
—,!fam.) eire tout en eau , en sucur. Sem di-
ser agua-vei, (fam.) sans dire gare. Trazer,
ker — no bico, (fam.)it se dit d’une pro-
wsiton adroite, captieuse. Vir a — d bcca,
feaa Ini viens A Ja boucbe : Eprourer Ice de-
sr, avoir Venvie de. Suar sangue e —, suer
Jung ei can, faire dem efloris exiraordinaires.
AGU
Ndo dar nen uma stde d=, ne pas dos-
ner le moindre secours. Estar como 0 peine
w’— ,ötre comme le poisson dans l’ean, ötze ä
son also, ne Manguer de rien. Saber Jovar a—
eo seu moinho, avoir l’adressea de faire son
proßt, eio. V. Moinho. Afogar-se em poua—,
se noycr dans un verre d’eau. —s, plur. eau:
lustre, brillant des perles, des dianrants et de
queiques auires pierres. —, urine. Verter —,
uriner , pisser. — falsas, eaux qu’on trouve en
creusant la surface de la terre, et qui ne pro-
viennent d’aucune source, — menores, (i.de
mar.) le flux et reflux quotidien. — morias ou
quebradas,, morte eau:: les plus petites mardes,
— OIDGS, CAUX vIves, vivos eaux, Brandes ma-
r6es. — verientes, les. eaux de pluie qui des-
cendent des miontagnes, et le lieu ou elles
tombent.-—— aorinhas, aigues-marines : pierres
precieuses qui ont la couleur de l’eau de mer.
— furladas, galetas, mansarde. Estar enire
duas —, (fig. fam.) nager entire deux eaux:
eire irr6solu. Pescar em— envollas , p&cher en
eau trouble ; faire son profi pendant les Irou-
bles, la division et les malheurs publics, — do
rosio, cosmetiques.
fAcui,s. m." orapaud du Bresil.
tAcuacirg, s. m. fruit des Indes qui rep-
semble ä la poire. Laurieravocat,
Acvacir.V. Pantano.
Aovackina, 8. f. V. Agoaceiro. it. Boisson
aqueuse.
Acuac£iRO, 5. m.“ averss, ogılde : plule su-
bite et abondante.
Aovackxro, A, adj. marecageux; fort Ins-
mide.
tT AcauscHitra, 5. f. (f. Pop.) piquetie : Ia-
vage, cbasse-cousin: mauvais vin, mauvaise
liqueur,
A’rcvina,s. f.(t. de mar.) aiguade : prori-
sion d’eau douce pour un vaisseau." Liea d’ai-
guade. (t.de peint.) Aquarelle, laris, camaloe.
it. Peinture en detrempe.
Acuad£ıno, 8. m. porteur d’eau.
AGuaD£ıno, A, ady. qui garantit de la plate.
Capo —a.V. Gabäo, Croga.
AcuapiLHA, 3. f. scrosit®, hameur clatre et
Quide dans Ics plaies ct les boutons,
Actino,A, p.p.d’Aguar. adj. mels d’eau,
od il ya de Peau melce. Fourba. Il se dit des
chevaux ättaques d’une fourbure. G6sto—,(lg.)
plaisir ınel& de qucique disgräce. Tedos os
gostos desta vida sdo —s,iln’yapointde plat-
siren ce monde qui ne solt mel& de quelque
adversite,
AGUADOR, 3. m. arrosoir. ff. Gehui qui arrose,
V. Regador.
Acvapüra. V. Aguamento.
ACtÄGEM ou Acvacs, 8. f. (f. de mar.)* co»
rant rapide dans la mer ; mouvement continusl
des vagues.
Acvami,s. /. nom d’as poisson que !’on p®-
che sur la cöte do Cezimbra { entre Lisbonne et.
Setubal),
52. AGU
AGU
Acvamie ou Acua-Mmiı, 8. f.(t. de chim. | regarder attentivement. — os dentes, aiguiser
esu-mere.
f Acvassir ,s.m. animal maria.
Acva-meL, s.f.* hydromel : breuvage fall
d’eau et de mıel.
ACUANENTO, s. m." fourbure, efllanquement
(maladie des chevaux').
AcuaNTaR ‚etc. V. Aguentar.
+ Acua-P£, 5. f. piquette. it. s. m. (1. d’hist.
net.) Aguape : nenuphar du Bresil.
AGUAR, v. a. arroser d’eau, moulller, meler
d’oau. ( Ag.) Troubler un plaisir ; frusirer,
wraverser. — um ca ‚ rendre un cheval
fourbu. — 0 oinko, Iremper son vin. — 0
azer, troubler le plaisir. — ascores, amortir
es couleurs , les deiremper.
Acvirn, v.». ou AGUAR-SE, do. F. se remplir
d’esu , en parlant d’an lieu quelconque. Deve-
nir fourbu, en parlant des bestiaux, surtout
des chevaur.
+ Acvani-ronpi, 8. f. (1. de bot.) aguara-
ponda : herbe du Bresil , qui s’eleve considc-
rablement : ses fleurs ont la couleur et ’odeur
de la violette de mars.
® Acuanpa. V. Esperanga.
AcuanpänO, Acuandan, etc. V. Esperar, etc.
® Acuanpeckn. V. Agradecer.
ACUARDENTE, 8. f. eau-de-vie : liqueur forte
tiree par distillation du vin, ducidre, du bie,
da riz, des figues, etc. — de cabera, la pre- | P
mietre et la plus forte eau-de-vic qu’on distille.
-— de herve dssa, fenouillette, anisette : li-
queurs. —d’arroz, arak. — d’assucar, tafla.
ACUARDENTEIRO, 8. m. marchand d’eau-de-
vie : brandevinier.
+ Acvanpo,s. m. (l.de chasse, allüt : licu
o& l’on attend le gibier.
AGUAR£LHA ou AQquan£ıra, 5.f. (f.de peint.)
aquarelle : peinture en couleurs & l’eau.
f ACUARELLISTA 0m AQUARELLISTA, 5. mM.
Pintor — , aquarellisie: qui peint & l’aquarelle.
ÄACGUARENTAR, etc. V. Agorenlar, etc.
Acuäsıco,. V. Agarico.
" Acvasır. V. Guazil et Aguazil.
f Actaxıma,s. m. (fl. de bol.) aguaxima: es-
pöce de poivre du Bresil.
° Acuca. V. Pressa.
® ACUCÄDAMENTE. V. Apressadamenle.
Acrcapkıra, s. f. picrre & aiguiser. dl. A
V’huile. it. adj. f. Qui aiguise. (fg.) Qui excite
(Vappeut).
GUCADEIBINBA, 8. f. dim. d’Agugadeira.
AcutiD0,4A,Pp.p. d’Agurar.
AcucaDör , s.m. aiguiseur: celui qui aiguise.
AGUGADURA, 3. f.” aiguisement : l’aclion d’ai-
guiser.
ACUGANMENTO. V. Agupadura.
AGULGAR, ©. a. aiguiser : &moudre : rendre
aigu, plus pointu, plus tranchant. (Ag.) Sti-
muler, inciter, exciter, animer. — a lingue.
V.Aflar a lingua. — v engenho, 0 jwizo, ai-
guiser l’esprit, le rendre plus subtil. S’appli-
quer attentivement & connaitre quelque chose
ou & sortir d’une difliculie. — a risie, ( fig.)
les dents : se preparer & bien manger. A netes-
sıdade aguca 0 eniendimento, la necessitd al-
guise l’csprit.
Acucir, v. #. monter, pousser. As folkas
das arvores para cima, les arbres
poussent leurs feuilles vers le ciel.
+ Acucia-De-Lö (i. demar.) aller au vent,
naviguer sar le vent. V. Barlaventear.
+ Actgin-sE, v. r. s’aiguiser,, s’affiler, s’&-
mouvoir, se rendre plus diligent. it. Se forına-
liser, resister &.
® Actcösamente,. V. Diligenfemente.
* Actcosissımo, A, adj. sup. d’
* Acicöso, A, adj. diligent, applique, at-
tentif.
AGUDAMENTE, ade. en pointe, de forme aigud.
(fg.) Finement, ingenieusement, adroitement,
spiritucllement.
* Acvoar-Sse, V. Ajuder-se, Agupar-se.
Actoe ow AcioraA, s. f. fourmi allee.
Acvofzı,s.f. Ancsse du fllou de la pointe
d’un instrument pergant ou tranchatıt. ( 19.)
Vivacits , perspicacite , penetration , esprit.
Pointe, saillie, bon mot, rencontre, esprit,
dit; force , inesse d’esprit, du discours, d’un
mot. Dizer —s, dire des bons mots. Vender—s,
se donner pour homme d’esprit, qui dit de bons
mots. Posta d’—-s, poäte qui ne fait que dcs
ointes.
ActnıLuo. V. Agudinho.
Acipinuo, A, adj. dim. d’Agudo.
Actpissımo, A, adj. sup. d’
Acipo, A, adj. pointu, aigu, lermine en
pointe tres-Iine. (fig.) Fin, delie, subtil, spiri-
tel, ingenicus. Joli, saillant, & propos, en
parlant d'un mot, Penetrant, aigu, vif, pi-
quant, percant, poignant, en parlant de la
douleur. Aigu, en parlant d’une fidvre violenle
et dangereuse qui se termine bientöt. Percant,
fin, en parlant de la voix,, de l’ouie, de la vue.
(fam.) Prompt, expeditif. Accenlo—, (’)accent
algu (de droite a gauche en portugais). Som —,
son aigu clair, pergant. Malesiia —a, maladie
aigu& : violente ei dangereuse. Fenlos —s,
vents froids et pergants.
Acuposıxuo, V. Agudinho.
+ Ace£ıro, 5. m. rigole pour condulre les
eaux de pluie dans les routes ou dans les
chanıps.
ACUEXTÄDO, A, 9. pP. d’Aguenlar.
ACUENTADÖR, A, 8. celui qui supporle.
ACUENTAR, ©. @. supporler, essuyer, endu-
rer, souflrir, porter. Soulenir, maintcnir; tenie
bon ou tenir ferme. — as bigolas, (I. de mar.)
amarrer les caps de moulon aux haubans.
— um moildo (id.), estroper une poulie.
AGCRNTE ou AGUANTE, s. m. (I. de mar.)
force du navire pour resisier au vent; charge
qu’il peut porter.
ACGUERREAR, lc.
ACUERREIRAR, Eic. } V. 4guerrir.
ÄACUERRIDO, A, P. P. d’Aguerrir.
ACTERRILHADO, A, P. p, d’Aguerrilhar,
AGU
}ÄSCERRILEAR, 9. a. former en gueerillas.
V. Saerrühks,
TACCEREILBAR-SE,, ©. r. 30 [ormer en guer-
riss. V. Guerrilke,
ACTERRIR, €. 8. aguerrir : accoulumer & la
pierre ,ä ses [aligues, a ses dangers; (fig.) ä
ka fatigue, ala peine, eic.
A’ccıa,s. f. "aigle : oiscau de proie. —, mon-
nare d’er qui avait cours sous Charles V.—,
priacipale enseigne des arımees Fomaines. —,
comsiellsion de I’hemisphere septientrional.
($#9.,; — beume d’un genie, d’un lalent, d’un
esprit superieus. — imperial, aigle imperiale,
les; armes delempire, qui sontune aigle a deux
iies. — brence, ordre ıwilitaire de Pologne.
— asgre, ordre militaire en Allemagne. Olkos
d-. yeaz d’aigle,, tr&s-pergants. —sTOmanas,
sigles romaines.
+ Acrıa 20 Baaırır. V. Caracara.
+ Acrıa ounınarıa (f.d’kist. nal.) aigle com-
wen.
+ Ascıa resguzıaa (t. d’hisl. nal.) aigle pe-
chear , "balbuesard : aigle demer,craupöcherot,
cerbean p£chenr,, oiseau de proie.
t Asuıı BRARALYA OU DE CAUDA BRANCA (1.
F’hist. nat.‘ pygarzue om aigle A queue blanche
et & jambes nues, oiseau de proie.
$ Actıa-REAL Ol GRANDE AcUIA DA EUROPA
(1. Ehist. nei.) grand aigle.
} Acruas SE ps ENMPLUNADOS (Il. d’hist. nal.)
+ Acrus-UESORES DE Pils nüs (f. d’hist. na.)
agies aulours.
® kcerLanixto. V. Guia, Dirscgdo.
’ Accıid.V. Guido.
* Acerıanım0, A, adj. qui a des trous, des
euvertares ; übchire.
Acııtıno,, s. m. pieces de charpente.
Aıbra, 8. f. dim. d’Aguia, petit aigle,
A'crıLa , 3. m. alo&s : arbre des Indes, ä bois
ederilerant et lourd. if. Plante d’Arabie, medi-
enake.
" ACCHERBO, A. V. Agwilino.
Acıınmisa, 5. f. aiguillade : gaule pointue
pur piguer les bauls.
Actınaö,s.m.aiguillon, dard: petit piquant
des mouches & miel, des gu6pes, des fre-
lsas, ete. ° Aiguillade, aiguillon : pointe de fer
gsi est au bout d’un bAton, et dont on se sert
poar piqzuer les baufs. (fg.) ‚Aiguillon, €peron:
tout ce qui incite. V. Estimulo.
AcınnÄozismo, 8. m. dim. d’Aguilhdo,
* Ace mar. V. Aguilkoor.
Accumo. V. Agulkele.
AcııımoaDa ,s. f. " coup d’aiguillon.
ACCtLmOADO „A, pP. P. d’Aguilkoer.
ACKILBOADOR , A, 8. ei edj. celui qui aiguil-
“Ane, igur.
+ AziLBOANESTO,, 3. mw. l’aclion et l’offet
daguillonner.
ALEILNOAR, ©. . aiguillonner, piquer aveo
nn signilion. Ag.) — , exciter, inciter, stimuler.
AHl
® Acvlutı. V. Asinke.
® Acuisa. V. Gwise.
* Acuisinpautnte. V. Ordenadaments , Dovi-
53
* Acvısino, A, p. p. d’Aguwisar, adj. Juste,
rsisonnable, conforme & la raison.
° ACTISAMENTO. V. Gwisamento.
° AcuISAR, 0.4. pr&parer, arranger, disposer.
+ A’cuira ow A’cuinua, s. f. dim. d’Agua.
Acöına, 3. f. aiguille : outil d’acier lonk et
pointu & tdie perc4e. Echoppe : pointe de gra-
veur. —, Döche : clocher d’eglise extir&mement
pointu. —, obelisque, pyramide. Alguille d’hor-
loge. —, une des eötes de devant d’un animal.
— de tloucar, aiguille de I£te : grande aiguills
dont les femmes se servent pour arranger leurs
chevenx. Peize — , aıguille : poissen de mer.
colehoeiro ou albardeiro , carrelet : grosso
aiguille & pointe angnlaire dont se serveont les
selliers, bourreliers, etc. — de lerdear,, lar-
doire : instrument pour larder. — de ponla de
diamansts, degorgeoir : outil avec lequel on
nettoio et "Yon degorge la lumiedre d’un canon.
-— de pastor, aiguille de berger, bec-de-grus,
plante. — de fazer meia, aiguille & tricoter.
— de marear, aiguille aimanıte , aiguille ma-
rine : lame mobile de la boussole, compas d’a-
zimutb. — ferrugenta ( ig.) V. Mexeriqueire,
enredador. — de verrume (1.d’erti.) degor-
geoir A vrilles. — de goivs , (id.) dögorgeoir &
talon. — da bilacula, (1. de mar.) compas de
route, boussole. — da cdmara, (id.) compas
renverss. —s d’entralkar, (id.) aiguilles & ra-
lingue. —s de palomber, aiguilles ä @illot. —s
de coser, aiguilles A coudre. Buscar —cem pr
Ikeiro. V. ce mot.
AcvıHipa,s. f. aiguillee : piqhre d'siguille.
Acvıniö, s.m. augm. d’Agulhs, grande,
grosse alguille.
Acunnar. V. Agwilhoer.
+ Accıntıra (berva), #. f. (fl. de bot.)* cerleuil
& aiguillettes, peigne de Venus, aiguillo de
berger.
AcuLufıro, s. m. alguillier : diui A melire
des aiguilles. —, ouvrier qui fait des aiguilles.
‘6. Trou.
AcvLnfra,s. f. aiguillette : cordon, ruban,
tissu , iresso, etc., garni de mötal en pointo par
le bout.
AGULBETBIRO, 8. m. alguillier : celui qui faiß
ou qui vend des aiguilles.
Acoısinua, 3. f. dim. d’Agulhe.
Aciua. V. Agomia.
® Acuona. V. Agora.
+ Acuri ow corıa Do Baazır.,, 8. m. (f. d’hist.
nat.) agouti ou acouti, quadrupede rongeur
de ’Amerique meridionale.
° AcuzO. V. Jus0.
AcvYnıÄnos, s. m. pl. agyniens, sectaires qui
ne voulaient de fommes.
Au! inter). qui sert & ımarquer la joie, la
douleur, Y’admiration, l’amour, eiec. Al! oh!
helas !
Ani, adr. 1ä, eh cet endroit. = mesmo, ei
54 AIR
mems lieu. D’— a alguns diss, quelques jours
apres, dans quelques jours.
- +äAmoi,s. m.(t. de bol.) ahoua : graine d’O-
rient, pour les couleurs.
‚ ydovis, em. (ti. de bot.) ahouai : arbro
da Bresil, apooyne. — menör , abouai des An-
tlles.
Auusrino,4,p.p.d’
Auustir,v. a. (i.de mar.) avuster, &pisser,
wnir deux oordes par leurs bouts en entrelagant
les fils : apister.
“+ Audere,, s.m.(l. de mar.) "6pissure, avusle,
s4uste : entrelacement de deux bonts de corde
an lieu d’un nasud ; cAble d’ajuste.— d’amarras,
pissure de cäbles.
AL. V. Aki.
A, 5. m. gemissement, soupir. — Jess, io
benjamin. Dar dis, gemir, pousser des gänis-
sements. Dar grandes-—s, se lamonter, jeter de
grands cris.
Art interj. ba! ba!alo! beias! — de mim
— de fi! pauvre de moi! pauvre de toi! je suis,
tu os pordu !—dos impios? malheur aux impies!
Ara ,s. f. gouvernante, femme de chambre.
» Ataıa,s. f. joujou d’enfanis.
"+ Amsecxa, inter. peste ! poste soil de!
+ Amunanci ‚s.m.espece de raiequivit dans
ja mer du Bresil.
AlnpA, adv. encore. — nd, Pas ENCOTe. —
mais, de plus, encore plus, davantage. — ago-
ra, dans ce moment möme, tout & l’heure, &
present meme. — assim, nonobsiebt. — mal,
albeureusement, par malheur. — dem, & la
Byamno heure , heureusement.
sr. „.INDA-QUANDO , conj. quand meme.
"* AINDA-QUE , Conj. quoique, encore que, bien
que. Lorsquo celie conjonclion est jointe a
Fimparfait du subjonclif d’an verbe, elite dis-
parait dans la traduction, et le verbe se rend
on francais par le conditionnel present, et quel-
quefois par le plus-que-perfait du subjonctif.
Bx. 46 me comprasse milhares d’ellas
(laranjas, etc.)näo Ih’as daria mais baralas,
vous w’achtteriez des milliers (d'oranges , elc.),
je ne vous les donnerais pas ö meilleur marche,
Ainda-que fizesseis milagres, ndo vos darido
eredito,, eussiez-vous fait des miracles on ne
vous en croirait pas.
A’10, 6. m. gouverneur,, pröcepteur. — d’ele-
ghanse , cornac : conducteur d’elephant.
Aupım, Aıpıt, IMPIM, s. m. (i.du Bresil) ma-
nioc doux qu’on mange röti. Il y en a de plu-
sieurs especes.
+ Aıpıni, s. m. (1. du Bresil) plante bresi-
lienne qui donne un fruit comme les petits pois.
ArPo, s. m. ache : sorie de grand persil, ce-
leri non cultive; persil des marais. — de Mace-
donia. V. Salsa de Macedonis,
* Maano. V. Irado.
Aırkö, s.m. "aigrette de diamants, perles, etc.
di." Plumes, fleurs, parare,, ornement de la t£le.
(1. d’kist. nat.) Heron , grand oiscau aquatique,
et son plumage.
* AtRAR-sEe. V, Ärar-ıs,
AJO
Autına , 8. f. (1. de def.) airelte oumyrlälles
arbrisseau de la famille des bruyeres.
+ Ai, s.m. (1. du Brisil) espece de co-
cotier.
+ Aual-ruche, s. m. (t. du Bresil) "Gcello&
pecher faite de !’ecorce du cocotier-eiri.
AIRÖSAMENTE, adv. avce gräce, adroitement,
el&gamment, agreablement. (fg.) Noblement,
avcc honneur.
Aırosipäne, s. f. gentillesse. V. Garbo, Gs-
@
Ihardi
Aınöso, A, adj. bien tournt, bien [ait, de
bello taille, quia de la gräce, de la noblesse
dans ses manieres. (fig.) Vainqueur, triem-
pbant, victorieux.
+ AısLäpo, A, adj. isole, seul, separe. V.
Isolado.
® Aıyica. V. Aiteca.
Awivo.V. Alcado.
+ Aıviö, s. m. martinet noir, oiseau sylvain
(espece d’hirondelle).
Amvtca,s. f."versoir, creille de charrue.
+ Aizöi, Aızoon nIspanıcom , 8. f. (1. de bot.)
* aızoone : plante ficofde.
+ Aızöa BasTarpa, 8. f. (f. de bot.) espice de
joubarbe.
* ArıeEz. V. Jaez.
AlıEziÄDO,A,P.P.d’
+ Asıezir, v.a. harnacher, metire le harnals
& un olıeval ; caparaconner. Orner, paror.
+ AsıxTarino, A, adj. qui tient lieu de
diner. Almoco— , dejeuner-diner, ou dejeuner
dinatoire.
+ Arınnınäpe, A, adj. qui imite le Jardin.
"Ayr.V. Ani.
AIFTIVÄR. V. Adjecliver.
+ Asıcöoa, s. m.(!.de bol.) ajicuba : arbris-
seau du Japon: on 'mange le fruit,
Aroaca. V. Enzoada.
+ AloanETÄno, A, adj. qui a de gros ertells,
de grosses chevillcs ou ıualldoles.
Ascsınar. V. Josirar.
Ayosınackd, V. Genuflexäo.
AJOELNÄDO, A,P.p. d’
ArorLuÄR, v.n. s’agenouiller : teucher la
terre avcc le genou, plier le genou jusquw’ä
terre.
AIOELHÄR-SE , v.r. S’agenouiller, se meine &
genoux. (fig.) S’humilier , siabaisser devanı
quelqu’un.
Aroı. V. Sargo.
+ Asonca ou Axorca, #. f. "bracelot, bague,
annoau que ics Maures porient aux bras, au
cou et aux jambes. Hl se dit ordinairement au
pluriel, ajorcas.
+ Asorncino, A, 0% AXORCADO, adj. Orm6,
pare d’ajorcas. V. ce mol.
AsonnaLino,A,P.P.d’
AIORNALÄR, ©. a. louer & la fournee pour
travailler A tant par jour.
AJORNALÄR-SE, ©. r. convenir de travafller &
la journde.
Arovsk00, A, A. P. d’Alowjar,
PD
AJU
Astrauänro, s. m. Halson, aoceupioment ,
Taction d’accoupler.
Locsin , ©. 6. sceoupler, Jolndre par cou-
Bes; mettre deux & deux (les bestiaux , los
eiens de chasse , ete.).
Arötıo ‚s. m. " accouple ow couple: lien pour
stacher les chiens de chasse, ete.
’kyovıido,A,Pp. pP. d’Ajoviar.
. AsOvIANENTO. v4
“ kyovuam. V. Aesombrer, Alroar..
Asöpa, s.f. aide, secours, assistance, fareur,
sppsi, encouragement, protection. *Lavement,
diystere : remtde donn6 par l’anus. it. s.m
Aide, second : celui qui est auprös de quel-
qu’um pour servir conjointoment avec lui ei
sous Iui. (1.de mar.) Braguetie.— da camara,
valet de chambre. — de eusto, gratiliestion,
imdemmnite, Irais de route. Com ade, moyen-
nant, & lade de. Com a—dos eisinhos, (fam.)
avec le secours des autzes. Com a — de Doos,
svee je secours, ä Yaide de Dieu. Ndo busquss
— 10 que possas fazer #6, no vous faites point
aider dans ce que vous pouvez faire tout senl.
"+Ascpapkıaa. V. Ajuda de custo. it. Femme
Aıwin0,2,Pp.p. d’4yuder.
Ascpıpör, A, 5. Celui qui aide, qui seconde.
Alle, appni, protecieur, celui qui aide, quise-
do parocho, vicaire : preise adjoint
su cure pour l’aider dans son minisiöre. — do
delicte , complice.
* Aıcpanöuro, V. Adjwlorio.
Amrpixte,s.m.(t. mil.etdschir.) adjudant:
oficier subordonne & un aulre pour l’aider.
— de campo , aide de camp. — de sargenio mör
ou major, side-mäor.
+ Aıcpäntg, adj. 2 gen. aidant : quialde &
un aulre.p9.0.d’
Arcvan,e.c. aider, seeonder : seceurir, fa-
voriser, assister , preier Ja main, 6en60ourager,
protöger. — d missa, servir la messe. — abem
sorrer, sider un moribond & bfen mourir, ä
mourif, en paix. Assim Deos me ayude, sinsi
Dieu me solle en aide ({ormule de jurement).
Ascpan-sE (de oucom), dv. r. s'sider, se se-
eourir. Prendre, chercher les moyens convena-
bies pour parvenir & quelque but. — um ao
ontro, s’aider !’un Yautre, s’entr’sider. Ndo se
d’algum de seus’ memdros, ne
pouroir s’aider d’aucun de ses membres.
Asıcan. V. Adjudicar.
* AICDÖLRO Ow AITDOYRO, V. Adjetorio.
Asıtca, 8. f. (8. de bei.) bugle, bugrande,
plante Iabide vivace.
AltizänamÄnteE, ade. avec prudence, aveo
diseretion , sensement, judicieusement, sage-
ment
Asvizino, A, adj. avıse, sens6, prudent.
P. p. d’Ajuızar.
Astizapon, s. celui qui juge, appre&ciateur.
Ascizie,v.a. cin. juger: faire, porler, ren-
dre un Jugement sar une chose.
AseLır, v.a. (1. de mar.). V. Sotfavenfksar.
AIGLATENTO, V. Julavenio,
AJU
Aruurinsmönse. 7. Junelomsmie,
Asıurinn,A,P.n. d’Ajunlar.
Asuntanor, s. m. collecteur, assemhleur.
ASUNTADOURO, s.m. lien ou l’oau de pluie sg
rAMASSC.
„AJUNTAMÄNRTO, sm. * eomjonetisn , union
liaison de choses ; r&union, comite. , Grandd
multitude degens dans un Ileu ‚rassemblement ;
societe , assombiee de personnes. Mariage, o
pule charnelle.
* AJUNTANCA. V. Ajuniamento.
AIUNTAR, v. a. joindre, unir, assembler. ke-
cumuler, Tamasser, rassembler, Accou
— as camas, coucher onsemble. — as lstiras ,
assembler les leitres : &peler. — um exerallo,
lever des troupos ‚ faire des lev6es.
amasser de Pargent, des richesses. — a as
com 0 valor, ou a manka com a forga, jeindre
la force & laruse, coudre la peau du renard &
celle du lion.
AIUNTAR-SE, ©. r.'se r&unir, se rassombier
dans un endroit, s’unir. Se joindre, s/appre-
cher; s’associer. Avoir commerce &v66 uns
femme.
AlUNTÄVEL, ady. 2 gen.
ASUNTÄVELMENTE, adv.
AIURAMENTÄDO, A, adj. asserments, qui a
prets serment, conjure. p.p.d’
AJURAMENTAR, d.'a. assermenter, obliger par
serment, faire pröter serment; aflirmer avea
serment.
AJURAMENTÄR-SE,0.r.s’ongager parsorment.
— conira algusem, conjurer, sonspirer contz®
quelqu’un.
Arusante. V. Vasanfe (da mars).
AIUSTÄDAMENTE, ade. juslement : Avo0 fülS-
esse, proportion, edgalit#; exzactemeni, au
uste
Pin peut sfassembler.
osiavelmemtie:
Asustapfssimo, A, adj. sup. d’
Asustipo, A, ?. p. d’Ajuslar, edy. arılld,
accorde, convena , ajusie.
ASUSTAMERTO, 8. m. STTangement : CORYEN-
tion, accord , accommodement. V. Ajusie.
Asustir,v. a. regler, conformer & la rögle,
en parlantde la conduite , de la vie , des mars,
des actions. Ajuster, assortir, proportionner,
egaliser, accorder, faire cadrer, adapter, coß-
former. (fig.) Traiter, arrauger, accomınoger.
Goncilier, terminer, convenir, oonoerter. B4-
gler. liquider un compte. Marchander, faire le
prix, convenir du prix de quelque chose. Ber-
rer, resserrer. Louer un homme pour travail-
ler ä&un prix oonvenu par jour. — eonfas, (1.
de comm.) ciore, fermor un compte. — da
empreilada ou por um lanto, traiter & forfalt.
A)DSTAR-SE (00m.), v. r. COMposer, conve-
nir, s’accorder, faire un accord , une conven-
tion, so concerter, se concilier, terminer & l’a-
miable. (a) S’accommoder, se oonforıner, adhe-
rer Al’avis,, opinion, goüt, volonts de quel-
w’un. — com sua consciencia , agir d’apres sa
conseienoe. — ou avir-se no prero, (#. de
comm.)conrenir du prix.
6 ALA
Asiste, u. m. eohtrat, pacte, j
accommodement, aecord,, marchs, concilie-
tion, transsction.—de conias , arröts de compte.
Conforwe ao-—, selon qu’on est convonu. Que-
brar o— , rompre l’accord.
*.AIUSTGAR, ©. 6. jusüfler. «4. Exöcuter.
TV. Jushrar.
+ Autzair, 8. f. (f. d’hist. nal.) akeesie : bel
arbre savennier d’Alrique. On mange les fruils.
"AL, pron. ind. autre, autre chose, divers,
eontraire. Al poursel,au ,
" hri. V. Li, Acold.
Ara,s. f. aile : döcoration des chevaliers de
Yerdre de Ssint-Michel. Aile d’une armee; file,
rangee de personnes ou de choses. " Corps de
cavalerie qui couvro le flanc d’ume armee.
*Flanc d’un bastion. il. Flamme,
* kı1. V. Enulacampans.
* aAranin. V. Gabar.
Auasancıöso. V. Jaclancioso.
Auaniö, s. m. ou adj. (gado —) brebis qui
donnent du lait ( pour faire le (romage).
° ALABANCA. V. Alavanca.
ALanın-se. V. Jaclar-se.
* Auanaaca. V. Abarca.
Araniapa,s. f. ballobarde : pique avec un
croissant de fer ä la naissance de la lame.—,
arme que porte le sergent dans l'infanterie.
AuanarnÄpa ,s. [. ° coup de hallebarde.
AuLasanptıno, 5. m. hallebardier : garde ä
pied qui porte la hallebarde.
+ArLasanninas, adj. [. pl. (follas—, t. de
bot.) hasices (Teuilles), imitant un fer de
lance.
+ ALasastaisa. s. f. lame d’albätre dont on
se. sert ä la place des vilres.
Auasastaino, A, adj. (!. depoes.) d’aibäire,
comme l’albätre.
ÄLABASTRITO, 3. m. alabastrite ; faux albätre.
Aussisrao.s. m. albätre : espece de mar-
bre, transparent, veine. (fg.) Blanc pur ; grande
BMancheur. Peito, eollo d’—, sein, oou d’albätre,
wres-blanc.
Auican, V. Loera et Lacre.
Auacır. V. Alaeir.
+ Arıcia,s.m.(t.arab.) jus des ralsins ou
des olives.
+ Auscoino, A, adj. rubicond otgras, qui a
- Ja couleur du Jambon.
Auscor. V. Carltamo.
Aracrai. V. Alserdo.
® ALacaano, ALacaan. V. Lecrar, cic.
ALACRÄO, 5. m. Scorpion : insecle venimeux.
ALıcripäpe, ©. f. alacrild, galte, jolo ou-
verte ; pr&sence d’esprit, aclivite.
ALipo,A,adj. aild: qui a des alles. O mogo
_. Cupidon.
ALapa0iDO, A, adj. inclin6 A voler; qui vole.
Peso — ‚faux pold3.
® A-La-r£ (6 fe), adr. a la bonne loi,
*ALArEMm, adv.V. Alkım, A-la-fe.
Arıcapkırı, adj. f. prodigue. p. us.
+ ALacapıckiro, A, adj. (1.us.dans le Bres.).
| sm
ALA
Boi =, qui pälure (befuf) dans ics tessains
maredcageux.
Auacapico „A, adj. marsengeux : facile &
inonder. On le dit du terrain.
ALıGÄDO, A, p. p. d’Alagar, adj. submerge,
convert d’oau ; trempe ; tout mouille. (Ag.) Ploin
de; ruine, renvorse, abattu.— no mar, coulc &
fond,submerge. Navios—se comidos das ondas,
des navires submerges etengloutis dans la mer.
ALAGADOR, A, 8. dissipaleur, prodigue, qul
mange lout; gaspilleur. adj. Qui inonde.
* AULACANAR. V. Lagamar.
ALACAMENTO, s. m." inondalion , döborde-
ment; submersion.
Aracar,s.m. V. Lagar ei Alger.
AuAcAR,d. a. inonder, ceuvrir d’eau, sub-
merger, enfoncer, noyer dans l’cau. (ig.) Inon-
der: envahir un pays. Dissiper, dilapider ; du-
per, ruiner. p. us.
ALAMGAR-SE, vr. sinonder, so remplir, ss
eouvrir d’eau ; se noyer, couler & fond. (fg-)
Se plonger (dans les vices, etc.).
Auaıcha.V. Lagda.
Auscdasinna, s. f. dim. d’Alagda.
+ ALıcöso, A, adj. qui inonde, qui deborde.
A-LA-GRBANDE ‚gßv. en grand seigneur, Ma-
gnißquement.
ALıcina. V. Laguna.
Araınea , ALaseı.a. V. Alkella ou Alfella.
* A-LA-BUMA,, ade. a la lois,, en möme lenıps.
A-LA-LANGA 0% A’LARCA, adv. au large, lar-
gement.
A-LA-LHANA. V. Chamente.
Auirın,s.f. (1. de med.) alalie : impossibilite
de parler. .
+A-ıı-uar, ade. & la mer : loin de la cöle.
Aramir, s. m. brandebourg, gansc ; espeos
de boutonniere ; cordon entrelace.
ALASMARAÄDO, A, adj. avec des brandobourgs.
ALiusan. V. Alamdre
ALANBAZÄDAMENTE ‚adv. (l.pop.) avec gour-
mandise, rgoinfre. (Ag.) Tres-grossierement.
ALANnAZADO, A, adj. ($. Pop.) gourmand,
goulu, goinfre, malotru. (flg.) Grossier, rustre.
p.p.de Alambazdr, v.a. (1.de mar.) fauberter:
balayer avec ie faubert.
ALAMSAZÄR-SE, ©. Tr. (l. Pop.) se rassasior;
manger excessivement, avec gourinandiso.
ALAMBEL, 3.1. tapis de coulours unia'ou ray6
pour couvrir les tables, etc.
ALausicioo, A, adj. (fig.) alambiqus, Irop
subtil, trop raline. p. p. d’
ALANDICAR, v.c. alambiquer : disüiller par
alambic. (Ag.) Subtiliser. — 0 juizu, o cerebra,
mettre l’esprit ä la torture.
Aususiguz, s. m. alambic : appareil de dis-
tillation. Por —, ( ig.) mesquinement : en pe-
title quantit&, peu & peu.
* ALAmBaOR,s. m.V. Escarpa.
ALAMBORÄDO, A, adj. (f.de for!.) en escarpe,
voüle, en voüle. p. p. d’
ALannonarR, 0.4. (L.de fort.) faire une es-
earpe & un mur; donner la forme Je voüte, de
dos d’äne.
ALA
ALA 37
kuiwana, 8. f.*peuplier noir. dt. La resine ; de mar.) haler le canon en dedans. — deniro,
qu'sa cılrait du peuplier commun et d’autses
arbres.
4LisuRE, a.m. ambre: sabsiance rösineuse,
edorante,, inflamınable; succin. (fg.) Homme
in. E'’ um —, ou fino com o — , homme fin
comme lVambre : Ir&s- peneirant, tres-delie.
F um —, ifam.\ c'est un neclar: en parlant des
vins et des Iiqueurs agreables.
ÄALAXDBEEADO, A, adj. ambre : coulear de
Yamhre , qui a de llambre.
Arımina,s.f. lieu plante de pcupliers. Allee
de peupliers.
ALSNEBIDO, A, P.9.d’
ALawrpir, o.a. disposer des arbres en are-
200, eu allee.
” ALAWENTAR, ALAMENTO, V. Alimenlar, Ali-
men!o. ‘
ALımir,s. f. piece de harnais.
*A-ı1-Niri,esier —, adv. guclier.
+ Arauınk,s.m. (l.de mus.) a-mi-la, ton
de la , qui donne le ton ä tous les instruments ;
ia : ia sixi&me note de musique. il. Diapason :
oaul d’acier a deux branches, dont so servent
es musiciens, les Sacteurs d’instraments, pour
prendre le ton : Il donne le la de l'orchestre.
Atsso om A'LENO, 5. m. peuplier : arbre.
— brancu. peuplier blanc. — negro, peuplier
per. — libyco ou elpino, peuplier do Libye ou
wennble.
* Aranopnas, 5. f. pl. modes nouvelles.
ALäupıpa,s. f. lainpe : vase pour mellre de
Vbuile et une meche pour eclairer.
ALANFABARIO, 8. m. °chandelle, girandole.
ArLasrap&ıno. V. Alampadario,
ALASCEADO, P. P. Ö’Alancear.
+ AUASCEADOR , 3. m. celui qui frappe, qui
biesse avec la lance.
ALANCEANE.NTO, 5. m. l’aclion de frapper, de
biesser avee une lancc.
ALANCEAR,, v. a. blesser, frapper avcc la
lance. (Ag.) Mortißler.
ALASTLAR-SE, v. Tr. se blesser avcc la lance.
ALANDRO, ALAaxpaufıno, V. Eloöndro.
ALASBADO, A, P.P.d'
ALASHAR,,t.G. nelloyer du poisson, le laver,
Feventrer, l’etriper, lui öter les entrailles,
+Arinos,s.m.pl. Alains : nom des bar-
bares qui envahirent l’Espagne au oommence-
ment du cinquicme sieclc.
Ausstenna. V.Lanterna.
ALantenxtino. V. kanlerneiro.
Aus, s. m. alain, alan, dogue : gros chien
&a chasser lo sanglier.
° k-La-ran, adv. Ggalement ; & cOld de,
ALuspanpiDo, A,P.p2.d’
ALAPARDAR-SE, ©. FT. s’accToupir, se lapir, se
kenie eoi. (lg.) Se cacher.
Aungceca. 7. Laquequa.
Arıan,rvr.s. haler, enlever, soulever, üirer
avee unc corde; bisser, hausser les voiles;
monuier,, mettre cn Sie, en rangee, les troupes,
des arbres, cic. —, ou meller a ooca dentro, (1.
(id.) haler un cordage & bord.
Auin-se,v.r. se haler, se soulevor, etc.
(Ag.) S’diever aux bonneurs. Grimper, monter
par les cordages.
° ALaRaABK. V. Arabe.
ALARANIÄDO, A, adj. orange : conleur d’o-
range, qui a la couleur d’arange.
* ArLanpin. V. Lardsar e Alardear.
Aruinpe. V. Alardo.
+ ALınpeankıra, 5. f. oslenlatrice ; flagor-
neuse.
ALARDEÄDO, A, P. P. Q’Alardear.
ALARDEADÖR , 5. m. osienlateur, glorieur,
superbe ; flagorneur.
:ÄLARDEANMENTO. V. Alerdo, Osteniapdo.
ALARDEAR,, D.a. passer des troupes en revue
(ant.). —, v. ». (fig.) Se glorißer,, faire parade,
faire monire. V. Ostentar.
ALinno, s.m."monire, revue, parade de sol-
dats. (fig.)*Ostentalion, etalsge, vanite. Fazer
—,se vanier, se glorißer, faire parade, faire
montre , faire ostentation d’une chose.
*+ A-La-nE, ado. exaciement, au jJuste.
+ ALinzs, 3. m. pl.* piege de crin pour ar
traper les perdrix. Leurre.
Auanca. V. Largo.
A’Lanca, adv. largement.,
ALancino,A,Pp.?p.d’Alargdr.
ALARGADOR, A, 8. celui qui elargit, qui rend
plus large.
ALARCANENTO, s. m. dlargissement : aug-
mentation de largeur; action de rendre plus
large.
ALancir, v.a, Elargir:rendre plus large (un
babit, un sicge, etc.) ; allonger, prolonger, don-
ner plus d’etenduc. —, v. a. s’clargir. — o
venlo,(l. de mar.) adonucr, en parlant du
vent. — as redeas ao cavallo , lächer la bride &
un cheval.—uma ferida, agrandir, Jilater une
plaie. — o passo, enjamber , allonger le pas,
marcher plus vite. — a bolsa, ( ig. fam.) pre-
parer de l’argent pour unc grande depense.
ALanGÄa-SE, dv. r. seloigner, s’en aller;
s’ccarter,, s’elendre, s’elargir, devenir plus
grand , plus large ; &tre genereux. (I. de
mar.) S’alarguer, pousser au large. — n’um
discurso,, s’&tendre sur quelque sujet, discou-
rir longuement. — com alguem , s'’ouvrir libro-
ment & quelqu’un. Oser lui parler avec hars-
diesse et sans ınenagement. V. Adianlar-se.
ArLanipa, 8. f. ° vacarme : bruit confus de
plusieurs voix.
ALsniDo, 3.m."clameur, burlement, cri que
l’on falt dans l’alliclion, dans la douleur, dans
la colere. — de marinheiro. V. Faina , Celeu-
ma. Faser —s, faire du tumulite, du trouble.
Der —s, jeter les hauls cris.
* ALarire, s. m. architecte : celui qui czerce
Part do bälir, et qui a l’inspection des bati-
ments, Maltre macon.
Arirnwa,s.f. ($. mil.) alarme : cri, signal
pour faire courir aux armes. (fig.) —, frageur,
&8 AL®
“ponrente sublte. Tocar —, alermer : demnar |
l'’alarıme.
Arınvanla, s. f. brutalitö, grossiereie.
ALiave, e.m. Arabe bödouin. (fig.) Grossier,
rustre, Savoyard, brutal, qui a le sens de Ira-
vers.
Auarnvia, s. f. multitude d’Alarves.
ALASTRAÄDO, A, P.P. d’Alastrar.
+ Ausstaaner, s. m. (l. de mar.) arrimeur:
celui qui arrime la cargaison d’un vaisseau.
Auastran,o.0a. (l.de mar.) lesier un vais-
seau, meltre du lest. ( ig.) Joncher, parsemer,
couvrir (de morts, de Beurs, do paille, etc.).
4. Demolir, abatırc.
ALATINÄDAMENTE, ade. imitant le lalin.
ALarıni00,A,P.Pp.d’
ALırınir, o.e. laliniser : donner une termi-
naison latine a un mot d’une autre langue.
+Auatuı, 5. m. (1. d’hist. nat.) alatli ou
schalslaclli : marlin-pecheur du nouveau CONn-
ünent.
ALito,p. us. V. Alado.
+Aırüste, s. m. (I. d’hist. nal.) alouatte:
singe d’Amcrique.
+ALAVoipo, A, adj. quia la forme d’un luth.
ALAUDE, 5. m. luth : instrument de musique
a cordes. (tl. d’hist. nat.) Luth : tortue de Mer-
cure.
* A-ı1-ina, ade. A la fois, au m&me temps.
ALavänca ,s.f.* levier : bäton,, barre propre
& soulever, remuer les fardeaux.
ALAväö, s. m. troupeau de brebis qui don-
nent du lait (pour le fromage).— de gallinhas,
multitude de poules. V. Alabdo.
* ALAYERCÄDO, A, 9. p. ’
° ALAVERCÄR-SE. V. Agachar-se.
ALavoßıro, s. m. Derger d’Alavödes. it. Pätre
d’Alavöes. V. Alaräo.
ALaziö, a, adj. alezan : de couleur faurve
tirant sur le roux. Il ne se dit ordinairement
qu’en parlant des chevaux.
Aunacid, V. Dealbagäo.
+ Ausacia, s. f. Porta d’— , porte (dans les
placcs marilimes des Maures) du cöte de la
terre, par laquello les böles A cornes entraicnt
et sortaient.
+° Aınacini, s. f. tour, dans les anciennes
fortiflcations.
" ALDACEA, 5. m. exdculeur testamentaire,
ALnacörA, s.f. albicore :poisson de V’ockan,
semblablc & la bonile.
ALnarin ou ALRAFÖR, 8. m. sorte de jonc
dont ta racine est odoriferante. V. Junge.
+ ALsarüra ou ALBAFÄR, 5. m. nora d’un
grand poisson de mer, dont le foie sert & faire
de I’huile.
Ausaneır.V. Alvanel.
Aunantz, A,adj.ets. Albanaf?personne ou
chose Je P’Albante, dans l’Epire.
+Aınino, A, adj. ets. Alban : persone ou
ohose d’Alba-Longa, ville d’ltalie.
Ausira. V. Pacirira.
Ausanuzes. V. Alvarases.
Ausanca. V. Abarcn.
_... ALB
Ausinpa,s.f." bit: selle poyr las hules de
sommt.
* ALnarpapeıno. V. Albardeiro.
AızsanpinDo,A,Pp.p. d’Albaurdar.
ALBARDADURA,S. [."appareild’un bät; l’actien
de bäter.
ALpauniö, 5. m. augm. grand bät; hät de
mulet. Panneau : espöce de bät.
ALBARDÄR, v. a. bäter : meltre le bt & une
bete de somine. (fig.) Couvrir un mets de farine
delayce avec de l’eau, des mufs, etc., poar le
faire frire A la poe£le. if. (fig.) Tromper quel-
qu’un grossiercinent.
+ ALsanoEına, s. f. femme qui fait des bäts.
(Ag.) Ouvriere qui travaille grossidremens.
Rosa — , rose sauvägte.
ALBARDEIRO ,s.m. bälier : artisan qui fait des
bäts. (fig.) Ignorant (dans son meiier).
ALBARDILHA 0% ALBARDINHA, 3. f. dim. bar-
delle; petit bat.
ALsarntina, V. Albardadura.
+ Aısanrinıa, 3. f.* vase pour meltre des
roscs et d’autres fieurs. if. Canette : pot ä l’eau
(dans le refectoire des communautes reli-
gieuses\.
* ALDARRÄDA,, 3. m. mur de pierre sans mor-
tier; enclos, clos. Retranchenent d’un camp.
+’ ALsanrido, A,ad). pourvu d’aldberradas,
Aurannä‘ ou ALnanran,s.f. Ceböla —, scile
0% squille: plante qui tient du lis et de l’oignon.
f° Aıparni ou ALBARRANA, 3. f. four oü
l’on d&posait anciennement Fargent des gere-
nus de la couronne qui restail des depenses de
l'annec.
+ Auparndz,s. m. (I. d’hist. nat.) albatros:
oiscau de l’ordre des palmipedes.
+ ALBENCALA, 8. f. lofle de lin irös-HUne dont
les Maures ormaient leurs Lurbans.
Ausenca. V. Oriela.
ALgencogte. V. Albricoque.
ALBERCADO, A, p. p. d’ Albergdr.
ALBERGADÖR , A, 3. celui qui loge, qui ac-
cueille quelqu’un chez soi.
"+ ALBERLÄGEN , 8. f. * droit qu’avaient les
anciens Seigneurs d’dire loges gratullement
dans les couvents,, dont ils elaient les patrons,
et chez leurs vassaux.
ALBERGANENTO, s. m. hebergement, loge-
ment.
ALBERGÄR , ©. a. loger, recevoir, accueilr,
beberger quelqu’un chez soi.
ALBERCAR, ©. 9. ei — SE, v. r. se lager,
prendre un Jogement, s’accucillir, chercher un
asile.
ALBencaria, s.f."auberge, bötel garni pour
les voyageurs. Höpilal.
+ ALvercäTEs. 8. m. pl. ° chaussure en ına-
roquin des Maures d’Afrique.
ÄALBENCUE 0% ALVERGLE, 5.m. auberge, hölel-
lerie, hospice, ou queiquo autre licu oü les
passaniı» et Ics voyageuss sont logcs. ( fig.)
Maison, habitalien, logis, licu J’asile. Hospice
(pour les malades, elc.), — dos animaes, das
ferae, gite, sepairo, lanierc,
AIG
"ınuucufßsan, 3. m. aubergiste : calel qui
ke, qui accueille , qui regoit obes sol.
Aussanoz. V. Albormos.
Ausäsco, 3. m. peisson semblable au ihon,
sait les navires.
° Aınsröca , e. f. petit vaisssan.,
* Ausıcöace. V. Albricoque.
Auswicachö. V. Deelbardo,
+ ALsscknse, adj. 2 gen. d’Albi (ville de
France).
Aınıcänszs, s. m. pl. Albigeois : nom de cer-
taıns seciaires qui s’eleverent au douzieme
sitele dans la ville d’Albi.
+ A1L2is0, a, adj. et s. albinos , negre blane:
bomme estremement blanc, ne de parents
Deers.
* kımsrae. V. Alcilre.
ALsögte ou ALBOGLE, 5. m. espece de flüle
de berger.
Auste. V. Aloer.
ALsoacino, A,p. p d’Alboredr.
ALBORCADOR , s. m. brocaniour.
ALsoscik, v.a. (fam.)iroquer, brocanler,
, permuter.
“ A'LBORE. V. Arcore.
+ ALSORSOT, 5. m. albomoz : espece de drap
de laine grossier et non teint. dt. Manteau ä ca-
puchen (de drep albornoz ) pour se garanlir de
ia pluie ei de la neige.
ÄLBOROTÄDAMENTE. V. Alvoroladamenle.
ALBOROTÄDO, ALBOROTAR. V. Alvorolar, ele.
ALsou6to. V. Aloorote.
ALsuaguE, #. m. {roo : tchange dc meubles,
berdes , eic.
ALskıcönce, s. m. abricot : ruil ä noyan.
Assnscouskıno, s.m. abricolicr : asbre Fo-
ssee qui produit les abricols,
+" kusupıtca, s. /. pasteyue.
+ Auscr£ira,s. f. "marc d’olives.
Ausertiaa, s. f. Jagnne, lac formö por l’cau
de la mer. it. Lagune, otang d’eau douce.
Ausscen, s. f[. teie de l’ail. it. Blanc d’auf.
Auscciser, 3. f. ( d. d’anal.) albuginee ou
dibegine , ano dies luniques ou membranes de
Yeil.
Ausecinso, A, adj. albugine, albugineuzx :
qui ost de coulear blauche.
Aısucınöso, a. V. Albogineo.
Asüco ,s. f. (1. d’anas.) slbugo : laie, tache
Blanche sur Yınil, & la cornde.
+ ALzauan, s.m. albumen : l’un dcs prin-
eonstitgasis dw corps des animaux.
Auscuına,s. f. (1. deehim.) albumino : sub-
flaneo eonereseible par le feu, semblable au
blane d’auf.
Auseuwmnöse, A, adj. (1.duchim.) albumi-
neax : qui ressemble au blanc d’muf.
+Aısennäre, s.m. (L.dhist. mat.) able,
ablette : petit poisson de riviere.
Aınöano, s.m. (}. de bot.) aubier : couche
eizcalaire de bois impasfait, lendre, enire l’e-
korce ot lo vrai bois, dans tous les arbres dico-
syledones.
t Arca,o, m. (d Ehist, nat.) alquo ı elscau
ALG. >}
peimipäde, Pingoufn. = grande do norte, grand
pingouin.
. Aucasits. V. Alsarala.
* ALCABELLA, .
© ALCABILLA. | V. Cabilda.
* Aucannauino, Arcapnauia. V, Acabre-
mar, eic.
Aucican ow Arcicen, s.m. chäteau fortifid;
ciladelle, forteresse. (fig.) Palais, chätesu d’es
souverain. Temple.
t AıcacarEıno, 5.1. celui qui garde l’aloe-
gar, qui en a soin.
Arcacasia, 8. f. V. Alcagar. ti. Tannerie.
ALcacärıco, A, adj. de l’alcdcar, qui sppar-
lient a l’alcägar. V.ce ınot.
AuLCsckL om ALCACER, 5. m. eCOurgeon, £S-
courgeon , dragee : bl& au orge en herbe qu’on
fait manger en vert aux chevaux.
ALcicer ow ALckceng, V. Aledcar,
Arcicava. V. Alcdgora.
ALCACHENCHE. V. Alquequenge.
ALcäAcHörFA 0% AscacHürka, s. f. ja pommmeo
des arlickauts ei des gros chardons. — kortes-
se,” arlichaut coymmun : planie polagere.
ALCACHOFRÄDO, A, adj. en farme d’arlichgut.
ALCACHOFRÄL, 8. m. lorrain planie d’arti-
chauts,
+ Aıcacnorntına,, 8.5. "articheut : plante
potagere.
AuMicova, s.f. forteresse, citadelle ; chAlsayı
de vaisseau (autreleis),
Arcaguz, s. m. "reglisse : plante mödicinsle,
— bastardo. V. Astragalo doce.
ALcADEEE, 8. m. vase en lerre sur lequel las
cabarwtiers ınesurent le vin, V’huile, etc.
+ Aıcakst, s.m. (i. d’alch.) alcahest : ınons-
true ou dissolvant universel, imaginaire.
ALCAFORABO, V. Alcanforado,
Aucaicnas,s. f. pl. ($. de mar.) espace enisp
les bandes ou preceintes d’un vaisseau.
ALcisco , adj. m. (I. de pocs.) alcaique : e$-
pece de vers latin et grec, invenle par Alcec.
ALcaIDania ,s. f." eiuploi, dignite de l'alcaide
et son ressort; chälellenie.
ALCAIDE , 5. a. oxeinpt de police ; alcade, a)-
caide; chätelain. — mör, grand alcaide : gou-
veroeur d’une [orleressc ; seigneur’qui a lerro
ci} maison seigneuriale avec droit de juslice.
Ter 0 pai —, avoir de puissanles proleclions.
(fam.)
Aucäipessa ,s. [. femme de l'alcaide.
ALCÄIDEZINBO, 5. m. dim. d’Alcdide, petit
alcade.
Auciıpla. V. Alcdidaria.
ALCAWTE. V. Alcorsteiro.
AucaLpän. V, Hercadejar.
ALCALESCENCIA, Ss. f. (4. dechim.) alcalescence:
putrefaction, effel des alcalis; elat des alcales-
cenis; fermentation alcaline.
ALCALESCENTE ‚adj. 2 gen. (t. de chim.) alca-
loscent : qui contient de l’slcali, qui tend & la
fermentation aloaline.
A’rıcari,s.m. (il. de chim.) alkali : sulsiance
&cre, d’une Saveuz urineuse, qui vordis les
1) ALG
. oauleurs bleues vögetales , et forme des sols en
se combinant avec les acides.
Aucaricrnine, 8. f. (I.de chim.) alcalieile:
naissance de la propriete alcaline.
Auciuıco. V. Alealino.
tAucaLiceno, a, adj. (I. de chim.) alcali-
göne : qui engendre l'alcali.
+ ALcaLiMeETRo, 8.m. (4. de chim.) alcali-
smdtre : instrument pour mesurer l’alcali.
AucaLino,A,adj. (t.de chim.) alcalin : qui
a des proprictes de l'alcali.
Arcarissacä0,s. f. (t. de chim.) alcalisation:
opcration qui communique, developpe, extrait
"alcali.
ALcALISÄDO, A, 9. p. d’Alcalisar.
+ AuLcıauisinte, adj. 2 gen. (il. dechim.) alca-
Sant : qui change en alcali, qui lo forme.
.a.d’
ALcatıisar, v.6. (l.de chim.) alcaliser : tirer,
par le moyen du feu, l’acide d’un sel neulre,
ne laisser que l'alcali.
fALCALISÄVEL, adj. 2 gem. ({. de chim.) alca-
Hßable : (substance) convertissable en alcali.
ALCANONiA. V. Alcomonia.
+Aıcina,s.f. V. Alkanna.
Aucanavv. V. Alcaneos.
Aucincana,s. fx especo de tambour de bas-
que.
+ ALcancaniuo, A, adj. facile & obtenir, &
atteindre. (fig.) Expose a tomber dans la mi-
sere, ä devcenir pauvre; trouble, interdit.
Aucancino, A, p. P. d’Alcangar, adj. reli-
quataire. Estar ou andar —, Cire arriere,
avoir des deties, &#tre cribl& de dettes, #tre
obere. — do somno , accabl& de sommeil.
ALcanGAaDOR, A, 5. celui qui atleint, qui ob-
tient ; il est quelquefois adjecüf.
Aucansapina, 8. f. (d.de veler.) alleinte,
entre-taillure : blessure aux jambes du cheval
qui s’est entre-taille.
ALCANGAMENTO, 5. m. laclion d’atleindre,
d’obtenir. p. us.
ALCANCÄR,, v. a. atleindre, poursulvre, at-
traper, joindre. Eire contemporain d’une per-
sonne ou d’unc Chose. Ex. Alcancei a meu bis-
avs, je connus mon bisaleul. —, avcindre,
‘prendre une chose en dtendant le bras. Oble-
nir, acquerir, r&eussir,, arriver &.— com 0 en-
fendimenio,, coınpreudre , entendre une chose.
— a alguem de ou em cunlas, @ire creancier
d'un reliquat de compte. — alguem em razöcs,
metire quelqu’un au pied du mur, le reduire &
De savoir quo repondre.
Aucangin,v.n. regarder, apparienir, s’eten-
dre, concerner. Suffire. Porter, cn parlant des
armes ä fcu:el( fig.) de la vue. Sua vista al-
canzsa muJilo, sa vue porte Join.
ALCANCÄR-SE, v.r. s’alteindre, s’enträtailler,
en parlanı des chevaux. Se joindre, se re-
joindre.
Aucixce, s. m. l'action d’alteindre. Debet,
reliquat, defieit d’un compie.* Portec, distanoe
& laqueile le bras peut atteindee.” Port6e d’uno
ame quelconquc.* Atteinte, eniretaillure (de
AlG
chevai). Courrier extraordinaire envoy& pour
Tattraper un courrier ordineire. (&g.) Talent,
capacite. Ir no — de quem [foge, poursuivre,
courir apr&s quelqu’un pour l’attraper. Ho-
mem de cur!os —s , homme de faibles facultes.
Isto ndo estd a nosso —, cela n’est pas A notre
portce.
* + ALCANCE, adv. pres, auprös, environ.
+Aucinco, s.m. debet, reliquat, deficit d’un
compte.
ALCÄNGOS, s.m. pi." serres ou grifles des fau-
cons, des oiseaux de proie.
Aıcinpana ou ArcinnoraA,s.f."blot,perche,
chevalet oü se reposo Poiseau de fauconueric.
ALCANDORÄDO, A, P. p. d’
ALCANDOnÄR-SE, ©. r. se Jucher, se percher
sur un bälon, sur l’alcdadera,, en parlanı de
faucons. (fig.) S’dlover, s’enorgueillir.
ALCANBvE. V. Cdnamo.
ALCANFÖR, 5. m. camphre, gommec aroınalique
d’une espöce de laurier des Indes.
} Aucanronäpa, s. /. camphree : planle che-
nopodee , medicinale.
ÄALCANFORÄDO,, A, adj. camphrö : qui a du
camphre. p. p. d’
ALCANFORÄR, ©. a. camphrer :
camphre.
ALcanrontıra, 8. f.’camphrier : espece de
laurier du Japon qui donne du camphre.
ALCANFOREIRO, 3. mi. va66 avco du camphre.
it. V. Alcanforeira.
+ Awcinna, s. f. (1. de bot.) * hennd : plan’a
polypetalee. — bastardas , buglosse teignanic,
vulg. orcanclie. — de Virginia, apalanche :
espece de sapotille.
ALCANTIL, 3. m.” penle escarpte, precipice,
ALcantıLipa ‚5. f. hauleur escarpee.
ALCANTILÄDO, A, adj. escarp6, d’un acces
difBcile, rude. p. p. d’
ALCANTILÄR , 0.4. escarper : Couper droit, de
baut en bas (un roc, un fosse).
ALCANTILÖöSO, A , adj. plein de penles escar-
pees, de precipioes (lieu). -
Aucaxzia ou ALcancia, 8. f. boule creuse de
terre remplie de cendres ou de fleurs qu’on se
lance mutuellement en courant ä cheval dens
le jeu du carrousel. — de fogo, pot-d-feu : es-
pece de grenade.
Aucanzıäda, s. f. coup d’aleanzia.
ALCAPÄRRA, 8. f. cApre : petit fruit vort.* CA-
prier : arbrisseau qui porle des cApros.
+ Aıcaranripo, A, adj. preparö avoc des
cApres, en parlant d’un mels.
AucaranniL, 5. m. terrain plante de cä-
priers.
Aucaranntıra, 8. f.* chprier : arbrisseau
qui porie des eäpres.
Aucarannkıno, A, 3. celui qui vend des
cApres.
Arcir, s. m. espece de ciste (plante).
Aucanaväö, 3. m. butor : oiseau de marais ;
canepetiöre. — pernallo do Egypto, (1. d’hist.
nat.) echasse.
TAıcansvandıno, adj, m. Fakdo —, on le
melre du
ALC
ALG 6
üt de faucon habitue a poursuivre les butats. | . Aucins, 8. f. " Areitde justise; diendue de la
Aucamavia, 2 f. (l. de bot.) "cami: plante, et
se graine ; cuımin des pres.
Acanaviz 08 ALCARÄYE, 6. m. tuyau de
ssufllet de [orge.
ALCARCOYA , 8. f. mare : aınas d’eau dor-
mente , bourbeuse.
* Aucınia. V. Alqueris,
* ALcanaidas, 5.f.pl.V. Arrecadas, Brincos.
Aucarkı ow Aucaräıa, s. f. bande (de loups,
de brigands, eic.). Zetar, ander d’— , eire, se
lenir sur ses gardes.
Aucarira, s. f. "tapis fin, couverture brodee.
Al£ATITA0O, A, P. P. d’
ALCATIFÄR, ©. a. lapisser : garnir de tapis.
- Aucarırkıro, 5.1. lapissier : qui fait des
lapis.
Aucıtiaa. V. Alguilira,
‚Aucataa, 8. f. culolte de bauf, derriere du
cimier.
Aıcırsiö, 3.9. goudron : composition de
geiınme, de poix, d’huile de poisson, de suil,
ete., pour en imbiber les eloupes et callater.
Aucıraite, s.m.(i.de mar.) plat-bord d’un
vaıssesu.
Täıcaraäz, 5. m. manve, gotland : oiseau
de mer ; pelican da Chili, cormoran , calao des
Melogues. — das Antilhas, onocrotale, grand
gosier : oiseau de marais.
Aucırnaz. V. Algebista.
Aucarafıno, Aa, adj. quia de grosses hanches.
+ALCATROABO, A,9.p.d’ .
+ ALcarnoia, v. a. goudronner : enduire de
TALCATROEIRO, 3.m. goudronneur : qui gou-
dremme. is. Qui vend le geudron.
Aucatadz, 3. m. godet : vaso atiachd A une
ruue pour diever l’cau.
« Aucararzipo, A, ady. garni de godets. ( ig.)
Courbe,, voate: on le dit d’un vieillard qui ne
peat se temir droit. p. p. d’
ALcarsuzia, %.6. gamir de godels. (flg.)
Courber, voßter. — 30, v. r. se courber & cause
de vieillesse.
Arcavira „3. f. "droit sur tout ce quo I’on
vend. Droit d’entzee. V. Sisa.
Acavis ou Arcassıra. V. Alcabella ei
Cabilde.
Aucıvartino, 9. m. fermier ou administra-
teur des alcaselas. Percepteur, receveur des
alcavelss.
Auchzas, s. f. pl. (1. de mar.)*espaoe entire
es petceintes d’un vaisseau.
" ALCAYTOTA, ALCATOTE, ALCAYOTAR. V. Al-
essileirs, etc.
Aca,s.f. (1. ds cordon.) allonge de !’om-
peigne ; bausse : meorteau de enir qui sert ä
rendre la forıne d’un soulier plus haule ou plus
large. — d’um moildo ou cadernal, (1.de mar.)
drope d’ane poulie. — do esidi, (id.) collier
"ALcscoRLLo ,s. m. hausse-col.Collet monte >
Sorte de collier que les femmes portaicnt autre-
feis, et qui gervalt A relever Ia tete,
‚"Pouvoir, ressort. Isto perlence d min
jarisdiction ; pays od elle s’exerce. Commission
de magistrats pour faire une enquete. ( fg.)
ha—,cetle
alfaire est do mon ressort, de ma connaissand.
‚ugäno, A, p. p. d’Alkar. V. Levaniado,
4A to. Pr
Aucapör,s. m. celui qui hausse, — de for-
gas, redresseur de toris.
Aıcapera. V, Alcamenlo.
Arcark, 5. m. vase pourdonner ä boire aux
pauvres aux porles des couvenls.
ALGAMENXTO, 5. m. l’action de hausser, de
lever, etc. Haussement. — de degredo, ruplure
du ban.
Aıcariö, 5. m. "trappe : sorte de porie au
niveau du plancher; son ouverlure. °Herse,
sarrasine, conire-porie , sorle de porle cou-
lisse dont on se sert dans les chäteaux,, les
forteresses. Piege dans une [osse. ( Ag.) " Four-
berie, artifice,, piege qu’on tend. — dos calgöes,
pont-levis, petit pont (des culottes, des pan-
talons).
ALCAPE, 8. m. panneau pour prendre le gi-
bier. Lacet pour prendre les oiseauz.
ALGAPERNA, 5. f. "croc-en-jambe,
Aıcapatua, s. f. "levier, pied-de-cherre,
pince, barre de fer propre äsoulever eu & re-
mueor quelque fardesu. ° Davier : instrument
pour arracher les denis. it. "Piege pgur altraper
les animaux.
ALCAPREMÄDO, A, 9. 9. d’
ALCAPREMÄR , v.a. lever, soulever un fardeau
avec un levier, une pince.
ALcas,v.a. bausser, lever, dlever, rebausser,
meitre plus haut, Assembler des feuilles d’im-
pression. — o degrede,, rompre le ben. — wm
moiläo , estroper une poulie. —, v.m. encherir,
haussor, augmenter le prix d'une chose. p. us.
ALCÄR-SE, ©. r. se soulover, se re&volter, se
lever, s’ameuler. — a alguem, se lever devant
quelqu’un. — com dividas, faire banqueroule
frauduleuse. — em seu coragdo. V. Ensuberbe-
cor-8.
+ ALcavıäqug, s. m. (l. d’hist. nal.) alcaviak:
oiseau du Senegal.
A’ıca, s. m. alce, lan : quadrupede du nord,
plus fort que le cerf.
+ Aıcka, s. f.(t. debot.) alcee rose : culgo
mauve rose, la passe-rose, rose Ireınidte. —bas-
tarda, mauve alcce.
+ ALczin, v.0.— um moildo, (}. de mar.)
estroper une poulie.
ALC&DoNE. V. Alcyon.
+ AucHaz, s. m. " &toffe de soie grossiöre.
Aucherivia. V. Cheritia,
+ ALcnıuzrech, s. m. (1. de bot.) alchime-
lech :.espece de trigonelle d’Egypte.
Aıceimıa ow Arquimıa, s. f. alchimie : chi.
mie des anciens qui s’orcupaient de la lrans-
mutation des metaux, et de la decouverte della
pierre philosophale.
+ Aıcnıniapo, a, adj. faux, adulidre, falsl-
| ie (l’or, largent, etc.).
>) ALU
Auonisıcauterte, ade. seldn l'alckimie. .
mıco, A, adj. alchimigue : de Palchimie.
ALCHIMILLA, 8. f. (t. de bot.) alchimille : pied-
ion, plante.
venmista, 5. m. alchimiste : celui qui
exeroe Palchinrie.
TAıcamivia,s. f. V. Alcaravia. — horiense,
(l.de bot.) panais, panais ordinalire des jardins;
pastenade ; grand chervi; racine blanche.
Aıcuisena. V. Rabaca hortense.
AtLctio, ALcıonz etc. V. Alcyön, etc.
ALcipes, 8. m. (t. de myth.) Alcide: nom
d’Hercule. it. (t. d’Aist. nat.) alcide : grand sca-
rabee des Indes.
+ Aucina ,s. f. (. de bot.) alcine : plante co-
rymbifere.
ALcMÄnıO, adj. et s. (1. de po&s.) alcmansien:
vers.
"Aıcösa. V. Alcöva.
* Aucockıra. V. Alcouce.
ALCcOFA, s. f. sorte de cabas de palmier ou de
sparte. (fig. fam.) °Maquereau, maquerelle.
ALCÖFAZINHA ow ALCOFINHA, 8. f. dim. d’Al-
cofa. ,
Aıcorör. V. Stibio ,„ Anlimonio.
Aucoronino, A, adj. enduit d’Alcofor.
ALCOBOL, &. m. (4. de chim.) alcohol : esprit
de vinpur ; fluide löger, transparent, penetirant,
indammabie,.
ALconöLico , A, adj. ($. de chim.) aloeholi-
que : qui tient de l’alcohol,
ALcomoLızacäö, s. f. (4. de chim.) alcoholi-
sation : l’action d’alcoholiser.
ALCOBOLIZIBO, A, P. p. d’Alcoholisar.
ALCOHOLIEADOR ‚5. m. colui qui aloabolise.
ALCOHOLIZÄR 0% ALCOHOLAR, v. a. (. de
ehim.) alcoholiser : reduire a P’etat d’alcohol;
purntier les esprils.
+ ALconömerno, s.m. (l.de chim.) alcoho-
mötre : instrument pour mesurer la force de
Palcohol.
* ALcoma, V. Alcunha.
ALcowonia, s. f. "gäteau de farıne et de miel.
Auco6r. V. Alcohol, etc.
Aıcoräna, s. f.tourd’oü les religieux turcs
sppellent lo peuple & venir entendre PAlco-
ran.
Arconanista, s. m. alcoraniste : sectaire et
aussi docteur de la loide Mahomet.
ALcoriö, s. m. Alcoran, Coran vu Koran:
le livre de la loi de Mahomet.
Aıcörce ou Auchaca,s.m. ou f. päle tres-
blanche de sucre et d’amidon, dont on fait
toutes sortes de figures. Figure ou morcean de
cette päte.
Aıconcöva. V. Corcöva.
Aıconcovino,A,P.p.d’
Aucoacovär-se,v.r. se faire, devenir bossu.
} ALconnöque, s. m. liege : arbre, espece de
chene vert.
Aıconorla,s.f. (t. de bot.) V. Alcaravia.
Auchnaur, 3. m. "sandale Aveo la semelle de
liöge, 16, Sandale do chanyre,
”
AD
Auobtos, e. m. bordel.
A Anoöuckino, 4,5. eelei, celle qui lient ber-
el.
ArLcdva,s. f. alcöve : ehambre A coucher;
piece pour meltre un lit.
* ALCOV£S , ALCOVETA , ALCOYETAR,. V. Aleo-
vileiro,, Alcovilar, etc.
ALCOVINHA, 5. m. dim. pelite alcove.
ALCOVITADO, A, 2. 9. d’
ALCOVITAR, v. a. faire maquerellage,, debau-
cher une femme. (fig. fam.) Insulquer une
chose agre&able ou utile, engager queiqu’un &
la prendre, & s’en servir.
ALcorıtaria, s. f. "maquerellage : metier de
prostituer et de debaucher les femmes.
Aucovirtiaa ,s. f. magterelle : femme qui
tient un bordel ; entremetteuse, appareilleuse.
ALCOVITEIRINBA, 8. f. dim. petil® maquerelle,
ÄLCOTITEIRINBO, 8. m. dim. d’
ALcovıTßıno, #. m. maqucreau : celui qui
debauche ct prostitue les femmes, les filles,
Maquignon , mercure,, entremetleur.
ALcovITicE,, 8. f. "maquignonnage, maque-
rellage. (fg. m inirigue ; Commerce se-
cret.
TALCREBITE, 6.m. V. Enzofre.
Aucünsa,s. f. * sobriquet : &pithäte burleg-
que etordinairement injurieuse. Anciennemens
c’etait le nom de famille.
+Aucisciz,s. m. "päle de farine dont les
Maures font un grand usage.
ALciz, s. m. espeoe de camphre.
ALCYON ow ALCYONE, 5. m. alcyon : olsong
de mer.
ALCYÖNEO,A, adj. alcyonien : qui appastiens
& Y’alcyon.
TAıcröno, sm. (1. d’hiss. nal.) alcyem,
salaugane, polypier, ruche de polypes tres-
variös.
tALCYONiTE, 8. m, (#. d’hist. nal.) aloyem
fossile.
A’LDA , 8. f. anoıenne mesure (des draps).
ALvisa e ALpava. V. Aldraba.
Aıpka ou Aupkıa, #. f. "kameau, village : pe-
tite population.
ae u»sino ou ALneuino, A, ad. 2. p. d’Al-
ar.
ALDEÄMENTE OW ALDBÄNAMENTE , ade, d’une
maniere villageeise: selon la coutume ville-
geoisc. Rustiquement, grossierement.
ALDEÄ 04 ALDEina,s. f. villageoise, ferne
de village.
Aınzid, I, adj. ot s. villageois, campagnard,
paysan, et ce qui appartient au village. (Ag.)
Grossier, rustigue,, impeoli, rastre.
AuBElO2INGO, 5. m. dim. d’Aldeso.
Aıpeir, ©. a. reuniren hameaux (les sau-
vages, les Indiens, etc.); diviser par villagts.
Arpkarınua, a. f. dimin. d’Aldta.
ALDEBARAN , ÄLDEBÄRA, AILDEBRAN, 8. m.
(#. dastr.) aldebaran : etoile fixe de la pm
stellation du Taureau, l’une des Hyades,
Aupzinna, V, Aldeiazinhe,
ALB
+iändi,e. f. ( t. de bot.) aldel :
raginee da Perou.
Auns-uLs0os,phr. ade. au moins.
AveöLa, ALdeüra, ALDEÖRIO, 8. f. ou Mm.
petit hameau, mais plus considerable que Al-
dsiszinhs. On le dit aussipar mepris d’une ville
ea d’un village qui a ete reduite & une pelite
population et A un petit nombro de meisons.
+Aıpisa, s. f- aldine : arbre de la Jamaique.
Ausiso, a, adf. (k.d’impr.) aldin : italique
(lettre, &dition).
AıpaisaowALnrÄVA, s. f. "marleau de porte,
keurtoir. Verrou : barre de fer pour fermer les
plante bor-
pories.
Arpasınipa, 8. f. "coup de heurtoir. (fg.)
*"Seisıssement, [rayeur; avertisscement.
Aıpeacano,,A,P9.p. d’Aldrabar.
Aıpasasaö,s.m. aug.d’Aldraba, gros heur-
teir, gros verrou. Crochet, main : anse de for
aux deuz exircmiles d’un coffre, (4. de mar.)
Arganesu.
ALpnasäR, 9. a. fermer au vorrou; [rapper
sonrent avec le hourtoir.
Aınzore. V. Gualdrope.
Autı,s. f. allee d’arbres, avenue.
Asınipo, A,p.p.d’Alealddr.
ALFALDABEXTO, s.m. V’aclion d’Aleeldar.
AlzıLDär, v. a. declarer sous serment & la
denase que les objets sont A l’usage personuel.
Arzin. V. Adejar.
ArzaTörıo, A,adj.(l.deprat.) aleatire. On
le düt d’ane eonvenüon qui reposc sur un eyd-
nement incertlain.
+ Aızcaiu, s. m.(t. de bei.) romarin, en-
esusier : arbusie aromatique. — das parfdes,
eitrine : immortelle jaune. — das
ertiss „ gnaphaie des sables.
+Aıtcro, s. f. Alecion, une des trois furies
de la fable.
Axsıcrössı,, s. f. pierre alectorienne : pierre
qu’on trouve dans le foie du ooq.
+ ALscronoumantdia, 6. f. alesteromaneie :
dirination par le coq.
+ ALscronorsosfei, s. m. alectoropho-
newse - chant de cog.
+ AL£crao, 3. m. (l. de bot.) alectre : plante
monspetals bypogyne.
ALurrises, s. m. pl.(l. de mar.) entaillure
dans la quilie d'un vaisseau.
Arzcaino, A,P. pP. ü'Alegrär.
ALzonınön, A, s. celui qui dgale. adj. R&
Arzcrautnto. V. Alegria.
+ ALEGRANTE, adj. 2 gen. Ögayant: qui egak.
p. 0. d’ Alegrer.
Auzrcaiö,s. m. aug. d’Alegria, grande joie,
allegresse soudaine. Dar um — ou um grande
— ,annoncer une nouvelle Inopinee qai donne
une grande joie,, une joie &clatanie.
Arzckin, v. a. dgayer, r&jouir, divertir, des-
esnuyer : donner de la joie. Dilater une bles-
sare. Conper ie sabot aux chevaur. — os olhos,
pemener la Tue dans quelgque Jieu delicleuz, I
AlE 0
—as.sedras, os prados , fortiliser lea ohamps,
les prairies, en parlant du soleil, de la piuie,
— 0 ourido da pega, oavrir la lamisre du oa
non.
ALEGRÄR-SE, v. r. se rejouie, s’6gayer, avelr
de la joie. Ktrecharmö de quelque chose. (faw.)
Se griser, noyer son chagrin dans le vin.
ALBGRE, adj. 3 gen. gai, riant, onjous, r6-
joui, content. Joyeux, jovial, plaisant, r6jowis«
sarıt,, &veille. (fan.) Gris, gdi per le vin. (Ag.)
Vif, gsi, eh parlant de oonuleurs. Novas —s,
nouvelles beureuses, . favorables. Horas —e,
moraents de plaisir, heureux , agröahles.
ALFICHENMENTE, adv. gaiomeı, gal, Joyoupe-+
ment. Alegrement.
ALEGRETE, 5. m. plate-bande ( powr 1e8
fleurs ).
*+ ALECRE£TE, s. m. halecret : aneien bett“
cHier.
ALBOn£TE, adj. 2 gen. (fam.) un peu Kal, eto.g
un peu gris.
* ALECRß2ZA, 5. f. all6gresse. V. Alegria.
Aueonia, s. f. gaiet#, joie, rejonissance, &l-
legresse. Com — , Joycusement. VY4—, faussd
joie. Fogo d’—, feu J'arlifice. Alegrias ‚pl
Tejouissances publiques.
+ ALecnixno, A, adf. dim. d’Alögre. Follet,
ALEGRISSIMO, A, adj. sup. d’Alegre.
+ AL£cro, 3. m. (ti. de mus.) allegro : MOB-
vementvilet gai.
* ALEGUANTE. V, Allegante.
ALtlADO,A,P. p. d’Aleljar, adj. estropit,
perclus.
Ausuks „s. m. delaut oorporel; memhre pef-
clus,
ALEUÄR, c. a. esiropier: Öler l’usage d’am
membre. —,v. ». devenir estropi6 (dans la
guerre, elc.).
fTALEDÄR-SE, ©. r. s’esiropier so-mämeg
feindre d’ötre esiropie.
ALtıvE ,s.m. fausse accusation , ealomnie,
trahison,, perlidie. Levaniar —s, ealomnier,
accuser faussement.
ALEIVÖSAMENTE , ado, en iraltre, en trehisen,
faussement,, perfidement.
ALEWOSIA, &. f, wahıson, perfidie ; eaiomäıs
alroce.
ALEIVÖSO, A, adj. perfde, traitire; caloımnia=
teur, calomniaux ; faus.
" ALEIXAR. V. Afaslar, Deseier.
+ AL£-Lanca, 8. f. (tl. de mar.) Cubos du
cAbles pour falre la manautre de Adler Jurke,
ALtıı ou ALn£uı, s.m.V. Goivkiro.
ALBM, adv. etprep. au delä, outre. iso,
en outre, au delä, hormis, excepts, par-des-
sus, de plus, outre cela. —do que, 'W’ailleurs.
+ "ALEMÄNICO, A,uadj/. Allemand : de l’Alle-
magne.
ALrwiö, X,adj. Allemand : de l’Allemagoe,
ALENBRAR. V. Lembrar, etc.
ALeuf£oa. V. Alameda.
ALku-wan. V. Ultra-mar,
ALEX, Y. A’lamo,
6 ALE
. ALENTÄBANENTE, adv. courageusement, vi-
geureusement , hasardeasement, valllamment.,
ALENTADISSIMO, A , ady. sup. d’
ALENTÄDO,, A, adj. courageux, valeureax,
vaillant; fort, robuste. p. p. d’
ALentän, o. e. euhardir, encourager, ani-
mer ; ranimer, forlißer. _
- $ ALENTAR, ©. ®. rospirer, prondre haleine.
aleter
R .
ALtnto,s. m. "haleine,, rospiration , soullle.
"Vigucur, force, cuurage. Aldntos, pi. lesguim-
pes des religieuses. #4. L’oriiee Interieur des
nascaux du cheval. O-tilal, le souffie delavie.
Der — , remeitre sur pied, retablir, redenner
des forces ä une personne qui a dis malade.
Tomer -— comendo , se Testaurer.
TALEıTOso, a, adj. courageux, valeureuz,
fort, brare.
AL£o, s. m. mail: esp&ce de petite masse de
bois dont on se sert pour pousser une boule de
buis. it. Le jeu du mail.
ALEONADO, A, adj. fauve, roussätre.
. TAıtrıpa,,s. f.(t. de bot.) alepide : plante
d’Afrique,
TALErIDÖTE, 5. m. (1. d’kist. nal.) alepi-
dote : poisson sans ecailles.
TAusouzidas, adj. f. pl. (folhas— ‚1. de
Bot.) en eventail (feuilles).
"Arta (ti. demar.).V. Aquem,
} AL£ace, s. m. meldze, larix : arbre.
ALEntiÖ,s. m. (1. de bias.) alerion : petit
algion sans bec ni pieds. it. Martinet noir.
A’utarı , adv. alerte : debout, sur vos gar-
des. Estar — , &tre sur ses gardes. Eslar com o
olko—,avoir ’ail au guet. Aleria!’garde A vous!
fAıtarı ,s. [.“slarme. Dar uma —, crier
sur arımes.
ALERTÄDO, A, 9. p. d’Alerldr.
ALERTANENTE, ade. attenlivement , vigilam-
ment, d’une maniere alerte.
tAıraria, vo. a. esciter guelqu'un & etre at-
tentil, vigilant : donner l’alerte.
TALERTÄR-SE, ©. r. se precautionner, se lenir
sur ses gardes : @tre alerte.
ALkuTo, A, adj. alerte, vigilent, eveilie.
ALlstan0, A,p. p.d’
ALzstin, vo. a. rendre quelqu'un leste; pre-
Parer quelque chose pour l’avoir prete. ( d. de
mar.) Alester, s’alestir.
AL£To ou Arno, s. m. alals, aldthe : espdce
de faucon du Perou, oissau de proie des Indes
pour la perdrix.
A Kuda „ade. Alalettre, liliäralement,, mot
MO oe
Augraia, s. f.vermicelle: espece de päte en
Alamenis pour les potages.
t ALktaıivo, A, adj. qui lient du vermi-
celle, qui Imite les Hlaments du vermicelle.
ÄLETRIEIRO, 8. m. vermicellier: qui fait et
veond le vermicelle , les pätes de farine.
ÄLKVADÖURO, 5. m. piece d’un moulin & bras
( pour soulever la meule).
"F ALEVANTAPRIRO, 5, m. celuiqui löre , qui
souleve,
ALF
f ALRvANTADIco, A, adj. tumultueur, sedi-
tieux : sujet ä se revolter.
ÄLEBVANTÄBO, A, pP. pP. d’Alsvanter, adj.
&eurdi , fier, orgucillenn.
ÄALEVANTADOR, A , adj. qui löve, qui souleve.
3. Moteur, auteurde seditions. Celui quibausse.
ÄLEVANTANENTO, 8. me. *elevation, exbausse-
ment, Soulevement, sedition, rebeilion. "Bubli-
mite , eievation.
ALEVANTAR, o. 6. lever, bausser, elever.—,
dresser ce qui elait couchd.— , construire , bä-
ir. (Ag.) Soulever le peuple, exciter des scdr-
tions. st. Iımputer, attribuer faussement. V. Is-
voniar.
ÄLRYANTAR-SE , 9. T. s6 soulever, se rcheller.
V, Levantar-se.
ÄALEVANTE ou ALEVANTO. V. Alevaniamento.
ALsvepin,V. Leveder.
ALEXANDRINO, A, adj. d’Alexandrie en
Egypte. it. D’Alexandre. ( t. de pors.) Alexan-
drin : vers francais de douze syllabes au mas-
eulin , treize au feminin.
Arzxirniamaco, adj. m. (t. de med.) alexı-
pharmaque ou alexilöre : remöde contre le ve-
nin, qui pousse & la peau.
TALEXIPYRETICO, A, adj. (1. de med.) alexi-
pyretique : febrifuge.
Arts, ce. m. (tl. d’hist. nal.) alezis : pa-
pillon hesperie.
ALzxıT£nıo, adj. wm. (I. de med.) alexitere :
remede en general. Alexipharmaque (remede).
Aura. V. Alpha.
"t ALrasın, 3. m. * couverture de laine (de
lit) rouge.
Aırastro, elc. V. Alphabsio, eic.
Auricg ou ALraca, s. f. laitue: herbe pota-
gere. — romans ou urelka de muls, ehicon,
laitue romaine. — de cordeiro , doucelle, mä-
che. — repolküde, laitue pommee. — brara,
laitue vireuse.
+ Auracinua, s. f. dim. d’Alfece,, petite lai-
tue. —dorio. V.
+ Auracinua, 3. m. et f. epithöte injurieuse
qu’on donne aux habitents de Lisbonne, &
cause de ce qu’iis mangent besucoup de lailue,
Aıricos, s. m. pl. espece de champignons,
Auripo. V. Al .
ALFAGENK,, 5. m. fourbisseur« celui qui four-
bit les &pees.
* ALrackue. V. Alfange.
Aırila ou ALrava,s. f. (plus usitd au plu-
riel) "meuble, meubles, ameublemeat. "Bijou,
effet precieux. ( Ag.) "Ornement, Agures qui
embellissent lc discours,
AuLrauipo, A, adj. p.p.d’
ALrarin,v. a. garnir, meubler, ameubler;
orner, parer, embellir.
+ Aıraän-se, o.r. se meubler, se mellre
dans ses meubles ; se parer, s’orner, s’ajusier.
ALrasita, 8. f. couturiere; la femme du
tailleur. — d’encruzilkada, femme qui oflre
ses services pour rien ou a bon marche.
Auraite, s.m, tsilleur d’habils,. ss, Tailleur
j pour fernne,
ALF
Ausssarinno, 8. m. dim. d’Alfaiale.
*Aırissa,s.f- “ quartier habits par des Maures
ou des Juils. * Asile. Certain quartier de Lis-
boaune.
*ALriusan, 5. m. “couverture de laine rouge
gressiäre.
* Arramspanßıno, 5. m. celui qui laisait des
elfambares.
fAurauia, s. f. ’arabe oerrfompu quo par-
laient les Maures d’Espagne ; nom qu’ils don-
naient & la langue castillane.
+ Ausauista, s. m. ot f. oelui qui habite le
quartier d’Alfdme (& Lisbohne).
Ausısozı. V. Alphamoxa.
Auranino. V. Alfenado.
Aırinesch, a f. douane : bureau pour la
risite des ballois et l’acquit des droits d’entree
ei de sortie. (fig. fam.) Maison ouverte & tous
allants et venants.
ALFARDEGAÄDO, A, adı- döpeche & la douane.
9.7 d’
ALFANDECAR, ©. s. douaner : depöcher ä la
deusne; deposer (les balloıs, ete.) dans la
dousze.
ALYANDECUÄLRO, 3. m. douanier : commis de
la douane, qui visite les marchandises & la
dousae et qui regoit les droits. p. ws.
ALFARLQUE, 8. m." oreoorelle:oiseau de proie,
espece de faucon.
Aurantre. V. Alfındte.
ALrincz, 3. m. Coutelas, cimelerre : sabre
(ture) court, large et recourh£.
+ ALrangere, s. m. dim. d’Alfange.
Aıransa ou ALrance. V. Alfange.
+ Aısassäna, 5. f." coup de ooutelas ou de
+ Ausansipas, adj. f. pl. Folhas—, (1.de bot.)
fewilles aecinsciformes, en forme de sabre.
+ Aırınsiö, s. m. aug. d’Alfange, grand
coutelss, etc.
° ALragtaaur, 3. m. celui qui rachete des os-
ddaves.
ALFAQUES, 5. ws. pl. (l. de mor.) bano de sa-
bie, bes-fond, barre, syrte.
+ Auragti, s. m. lfakir : prötre turc.
ALrsquim, s. me. Coq (poisson).
+ ALraniz, adj 2 gen. On le disait de cer-
tains cbevauı de la cavalerie maure. Alfara-
zus, .
* ALrantue, 3. m. ° coiffe, voile (des Turcs).
Aıranio, A, adj. V. Brincdo.
ALrannäsıo, 5. m. bouquin, vieux livre.
ALFARRABISTA, 6. m. bougquiniste: marchand
de Iivres vieux, de hasard.
4 Ausanıcöquz, 6. m. (f. Pop.) petit komme.
ALsaandsBa, 8. [. “ caroube ou carouge: fruit
da caroubier.
+ ArLrannosiL, 3. m. terrain plants de ca-
roubiers.
ALFARROBRIRA, 3. f. ° caroubier ou carouge :
urbre.
+Auravica, s. f. * (t. de bot.) basilic, basilic
seamun. — de cobra, paristaire portugaise.
de rio, liihymale (plante).
FORT-«-FR, Be
ALF
ALrava, etc. V. Alfdia, eie.
f ALrazar, 5. m. chemin large, spacieux.
Auraztma, s. f. lavande, spic, aspie, nard
commun : plante aromatique.
Aurtca, s. f.” outil de forgeron.
ALF£IRE, 8. m. troupesu de brebis qui n’dnt
pas encore eu de portee.
ALFERLIRO, 8. m. berger d’un alfeire. V. cs
mot.
ALrsırio. V. Alfario.
Aurßiao, A, adj. Gado—, troupeau de bre-
bis, vaches, juments, etc., qui n’onf pas eu eim
core de portee.
Aurtızia, s. m. piöce de la sole d’un char-
penuer.
AuLr£LoA, 8. f. melasse en caramel.
ALFELOBIRO, 8. m. celui qui fait et vend l’al-
feloa.
ALFENA, 8. fı (t. de bot.) * tro&ne : arbrisseau
et sa fleur; frösillon; puine blanche. Poudre
de tro&ne.
ALFENÄDO, A, 9. P.d’
+" ALFENAR, o. a, teindre avec de la poudre
de troöne.
+ Arrenutına. V. Alfena. Il signifle seule-
ment l’arbrisseau. '
+ Arrenıcäno, A, adj. lust, delicat, de fair
ble complexion, douillet. p. p. d’
F.ALFENICAR-SE, d.r. (fam.) fatre le douillet,
le dölicat.
Aursuiu, 5. m.” pAte faile avec du sucre et de
P’buile d’amandes douces, (Ag.) Fiuet, douillet,
delicat, de complexion faible.
ALFENBTE. V. Alfinbie.
Aurzuıninpo. V. Alfenıcado.
Aırzace. V. Enxadäo.
ALrtazs, s. m. (f. de mil.) enseigne, pofte-
&tendard , porte-drapeau dans un reögiment.
Sous-lieutenant. — d’EI-Rei, c’&lait ancienne-
ment celui qui portait l’etendard royal dans les
armödes. — mör,, oflicier de la maison du roi
qui porte l’ötendard royal le jour de l’acclama-
tion du roi. — menor, son suppleant. — d’uma
cidade, porte-ttendard d’une ville.
"+ Aureaßza, s. f. femme qui porte un eten-
dard.
“+ Aurerüna, s. f. discorde, guerre.
*+ AurıL ow Aurın, 3. m. (ou : pi&ce du jeu
d’öchecs qui repreösentait un diephant.
Auris, adv. enfn.
+ ALringtipa, 3. f. * coup d’epingle.
AuLFINgTE, s. m. " epingle:: bout, pointe de fil
de laiton ou de fer avec une petite töte. — de
freirs, camion : petite &pingle. Alfindles, pi.
(fg.)* envie, jalousie. Picerem os—a alguem,
6tre jaloux, aroir de la jalousie. Os—, ou pera
08 seus—, &pingles : ce que los maris donnent
& lears femmes pour leur tolletie et lours me-
nus plaisirs. Estar, ir, pOr-se, com lodosseus—8,
ou de vinle e qualro—s, (fig. fam.) ötre tir6 &
quatre öpingles. Ndo estar com os seus—s, ötre
de mauvaise humeur. Alfindtes de dama, pl
(1. de bot.) esptce de geranium ou de geraine
(Geranium fulgidum), 5
66 ALF
ÄALFINET£IRO,, s. s. &pinglier : fahricant d’ö-
pingles, velnl qui Ic vead. (t. de bot.) Göra-
nium , geraine, e gzue ou de e.
. Arrır. V. All. e on
ALriıtetg,, 3. m, ° espece de semoule. ( Ag.)
*Gourmandises.
Arrirra. V. Asaqwi.
ALFOBRE OU ALTÖRBE, 2.10." oouche, planche
de Jardın.
ALFÖNBRA, 5. f.° tapis, drap de pieds.
t Auronsi, adj. 2 gem. alphonsin : apparte-
nani aux rois qui ont ports le nom d’Alphonse.
ALFONSIM,, 5. m. * MOonnaio anoienne.
Aurönsa. V. Alforoas. u
‚ ALFÖRBE. V. Alföbre. st. (1. de bot.) V. Zw
phorbia das boticas.
Aurönras. V. Alforvas.
ALrorrıäd. V. Euphorbio.
” ALFORFILBHAB , (6. popul.) V. Fugir.
ALFÖRGE, s. m." besace : sorte desac, fendu
par le milicu ot formant deux poches, servant
aux mendiants et aux voyageurs. (fam.) * Pro-
vision d’alimenis, de vivres pour un voyage.
liest plus usitö au pluriel : Alforges. —s do
navio, (4. de mer.) bouteilles d’un vaisseau.
— iingidos , (id.) sacs , bouteilles.
t ALronakıno, s.m. faiseur ou vendeur de
besaces. Besacier : celui qui porte la besace.
ALFORGEZINIO Ou% dim. d’4l
ALFORGINHO ‚Ss. IM. | m forge.
ALFORIA , 6. f. C’ost la meme chose qu’Alfor-
es,’ senögre, trigonelle.
Aurorsina, s. f. besaoo pleine,
ALFORIÄDO, A, p. 2. d’
ÄALFORJÄR,, v. a, melire dans In besace.
" ArLronnas. V. Alforvas.
ALFÖRRA, 8. f. orente de lait: maladie des
enlants nouveau-nds. «6. Nielie, rouille des
8.
ALFORRADO, A, P. p. d’
ALFORKÄR, ©. a. nieller, roulller. o. n. de-
venir niell®, rouill6, en parlant des bies,
mais, eic.
ALFORRE. V. Alforre.
ALFORRECAS , 8. [. pl. (1.d’Mst. nat.) ındduses:
moliusque, polype,, zoophyte.
ALronalia, s. f.* effranchissement d’un es-
elave: l'action de lei donner la liberts. Carta
d’—, instrument, t6dmolignage de Paffranchis-
scmentqu’on donne Aunesolave. Dar cartad’—,
affranchir un esolave, lul donner la liberte.
Aurönvas, s.f.pl.* fenugrec, sönegr6 : es-
pece de tzigonelle.
A’ıros, s.m. (t. de mäd.) alfos ou alphos:
lache blanche et Itpreuse de la peau.
T Aurösreca ow Ausöstica, s. [. pistache :
fruit du pistachier.
ALröstıco eu Aurösrico, 8. m. pistachier:
ALG
+ ALraidänia , 3. f. (4. d’asirei.) prötendue
influence des astres ä oerteines Epoques.
Aıruckna,
Ausisa ou } 38. f. ruelle, pelite rue sale.
4,
A’ıca, s. f. algue : plante marine. V. Alges.
Arualun, s f. (1. de okir.) algalle : instru-
ment de chirurgie, sonde, catlıöter. Civelte ı
liqueur &paisse et odoriferante qu’on tire de la
oivetie. Galo d#’— , eivetie : chat musque.
+ ALCANÄuE, s. m. maitre-berger.
ALcia, s.m."antre, cavome, grotte; eraläre
des volcans.
Aıcika, s. f. troupe & cherval qui falsait des
incursions dans les pays ennemis pour y voler
et piller. &6. Incursion de troupes ä cheval dans
un pays ennemi pour piller.
Aucanavia, s.f."arabe: langae, jargon ara-
bique. (fg. fam.)*Baragouin, gallmalias.
ALCARAYIABO, A, 9. p. d’
+ ALcARAVIÄR, o.a. — uma lingua, iniro-
duire dans une langue de l’algaravia ; des mols
inintelligibles. o. ». Parler le jargon arabe.
ALcanavio ow ALCARAViO, A, adj. et 8. de
l’Algerve.
Aucanaviz. V. Alceravis.
ALCaAnismO, 8. m. chiffre arabe : caractäre
qui marque un nombre. ° Ecriture, langage
sccret.
ALCARÖTE,, s.m. (1.de chim.) algerot : poudre
6meliquo.
ALGÄRYE, s. m, Algarve » prorinoe la plus
occidentale du Portugal.
+ ALcanvE, adj. ei a. de l’Algeres.
+ A’rcas, 8. f. pl. (t. de bot.) algaes : plantes
cryptogames, dans lesquelles on ne voit point
los organes soxuels.
ALciz, s. m. fruitd’une espece de palmier ,
petite datte.
ALcaziara,s.f. "hurlements ge les Maures
poussent en sortant d’une embuscade pour
tomber sur l’ennemi. * Vacarıne ; cris confus de
joie.
+ Arcazer, s. m. (8. W’hist. nat.) algazel:
genre d’antilope.
Aucazt. V. Gazüa,
Auazrattee. V. Algibebe.
ALoEBEIRA. V. Algı .
Aucesista, s.m. (4.dechir.) bailleul, re-
nousur : chirurgien qui remet les membres
rompus ou disloques.
A’ıczuna, 8. f. algebre : science du calcul
des grandeurs en gentral, representees par des
lettres de l’alpbabet; langue du calcul. (f. de
chin.) “Artde remettre les membres distoques.
ArLoßsnıco, A, adj. algebrique : de Yalgehre.
Aıcesaista, 5. m. algebriste : celuf qui sait
da qui professe l’algäbre. is. Bailleul. V. Alge-
fa.
arbro d’Asie, da genre des tiröbinthes, qui | dis
porte les pistaches.
ALrostisutıno. V. Alföstieo.
ALFÖUFE , 3. m. petite porlion de terrain.
pn ALFöz, 5. ©. camton, conireo, district.
aine,
ALczsatzir, 9. w. (fam.) algöbriser : &tndier
l'algebre, en parler, l’employer.
ALo8po, 8. m. ( t. de mid.) alg6&do : engorge-
ment, indammation dans la gonosthöe viru-
ente,
m 1m Mn m
AUG
Austıa, 5. f." camp oü il ya peu de monde; |
yet campeıment.
dıctma, 3. f. Il est plus usit& au pluriel.
= ı, menotlies, manicles : fers ow liens pour
ts prisonniers. (fig.) Tout ce qui empäche
dıgir. Pör—, mettre des menottes ; empecher
dagir.
ALGENÄDO, 4,9. 9.0’
Aucemis, 9. a. emmenötter : meiire des ıme-
noltes, des fers aux mains.
ALczsis, 8. f. nom que donnent les Maures
aux langues europeennes. * Jargon arabe möle
de castillan et de portugais.
° + ALcEMIADO, A, adj. qui parlo l’algemia.
+ ALceuto, a, adj. V. Algemiado.
ALGEnTE, adj. 2 gen. regelö, träs-froid,
f ALczaerıa 0% ALJARAVIA, 8. f. espäce de
robe de chambre & demi-manchcs et & capu-
chon.
* ALGERIFE, 5. m. grand filet de p&cheur.
* ALcEniräıno, 8. m. celui qui p6che avec
Falgerife.
auge” 8. a.” Lullooreuse pourlesgout-
AıcıRöz , ‘
Achse, 3. m.” cllerne : r&öservoir d’eau de
Reie eu de riviere.
ALcıs£sz, 8. m. tailleur qui vend des habits
faita. Fripier.
Arcıpiına, 8..f. poche : sac qui tient au v&-
tement. — dos calcdes, * gousset.
ALcıntra. V. Aljuböta.
Arcıngrania. V. Jubeleria. .
ALcmi6, s. m. ouverture dans le fllet par oü
enisent les thons.
” A1c0, pron. quelque chose, s. m. Biens, ri-
ehesses, avoir.
Arcoeiß, 5. m. (f. de bot.) coton : espece de
duvet enfermet dans la gousse du cotonnier.
— do maio, iromager pentandre.
f ArLc0D0450, 4, adj. cotonne, Colonneux :
esuvert de coton, qui a du colon.
ALcopoiL, 8. m.“ cotonnerie : lieu plants
d’arbustes & coton.
+ ALcoboania, s. f. planlation de cotonniers;
grande quantite de coton.
ALconokızo, s. m. cotonnier : l’arbre du
colon.
TAıcorasÄÖ om ALconouvid, 5. m. espece
de grue, oiseau de passage. V. Alcaravdo.
* ALconSu, adj. quelque chose.
Aıconısun. VaAlgarismo.
Aıcorista, 5. M. calculateur.
ArLcdso, a, adj. plein d’algues.
Auchz, s. m. bourreau : exdcuteur des hautes
eavres. (fg.) —, cruel, inbamain. Chose qui
Wsrmente, remords de concieuce, etc.
Asozania, 5. f. eruaule ; boucherie, action
disne d’un bourreau.
ALcoziı ow ALGuazıL, s. m. alguazil, archer,
sergent, sbire : bas officier de justice pour
eizcuter les decreis d’arrestalion et autros;
bafssier.
- > -
AUll 67
ALcodm, pron. rel. indef. m. quelgu’un,
quelque personne. (fig.) Personne de conside-
ion.
ARCDERGADO, V. Enzadrezado.
GU£RGUE, 8. m. jeu du petit palet, bran
dale de pressoir ä Phuile. RÜp ü.
ALCUIDÄR , 3. m. grande ierrine evasee, — de
Massa, peirin. V. Amassadeira.
ALCLIDARINHO 0% ALGUIDARZINHO .. 8. m. dim,
d’Alguidar. ’
ALGUM, A, pron. et adf. quelqu’un, quelgae,
aucun. — fanio, quelque peu, un peu. Em —
lugar, quelque part. Algums vez, adv. quel-
quefois, parfois, par-ci par-lA; aucıme fois.
Aıcuns, pl. quelques, quelques-uns, quel-
ques personnes.
* Arcuo. V. Algo.
*" ALcöR, adv. quelque part, en quel-
® ALGURES, | que endroit," rn
AıHipa ,s. f. alllade. (Ag. fam.) Conlusion ;
intrigue ; brouillerie.
* ALnima. V. Alzdima,
ALHANÄDO, A, p.p. d’
ALHANÄR, 0.0. aplanir. (fig.) —, vaincre,
lever une difficulte,, un obstacle. Faciliter, pro-
curer les moyens de parvenir ä quelque chose.
ÄLDANAR-SE, ©. r. S’humaniser ; devenir
plus familier.
* ALHANSE. V. Tortuoso,
*TAıHärca, s. f. reunion de Maures pour
une expedition militaire.
AuHas, adj. f.pl. palhas —, (fam.) chose da
nulle valeur.
ALHEAGCÄÖ, 8. f. ali6nalion, transport, cession
de biens. V. Alienagdo,
ALHEiDO,A, 9. p. d’Alhear.
ALBEADOÖR, A, 8, aliönaleur.
ALBBAMENTE 04 ALHBıAmEnTE,ado. V. Es-
Iranhamente.
ÄLHEAUMENTO. V. Alheagäo.
ALHEANAR, ALHEAR, V. Alienar,
ALBEÄVEL, adj. 2 gen. alienable : qui peut
etre aliene.
Aunkıra. V. Alliaria,
ALHßiro,s. m. celui qui vend ou cultive des
aulx.
Aınto ow ALußıo, A, adj. d’autrul, qui est
& un aulre. — de si, hors de Iui-m&me, aliene.
Estar — em alguına cousa , &ire toutäfait &iran-
ger ä une chose, ignorer compl&tement.
Auutra, s. f. fort ourlet que !’on mettait aux
manches des anciens pourpoints, & l’endroit de
Fentournure. —s, pl. (1. de mar.) fesses du
vaisseau. Ir ou vir na—, (phr. de mar.) sui-
vre la m@&me route.
* Aıutro. V. Alhite.
ALHINHO , 8. m. dim. d’ "
Aıno, s.m.(t. de bot.) ail: orte de petit
oignon d’un got tr&s-fort. — porro, poireau.
— de Hespanha, rocambole. —de raposa, ail
ä tete spherique. — victorino , all serpentin
des Alpes; faux nard ; ail de cerf.—das vinhas
ou porros dravos, ail des vignes, aifteretie,
68 ALI
— d’urso, ail sauvage, ail d’oure, all de bois.
Dente d’—, gousse d’ail.
* ALHÜR ou ALHÜRES, ade. allleurs.
Aui ow ALLi, ade. lä, dans cet endroit ; plus
loin. D’— a dous dias, deux joursensuite, dans
deux jours.
Auıir. V. Alksar.
Auıis, adv. autrement ou sinon, Sans quoi-
Autrement dit.
Ausazar, s.m. V. Mouchäo.
Auıpanıas, s. f. pl. alibanies: toiles de coton
des Indes-Orientales.
Aussı, ade. (8. de prat.) alibi, ailleurs.
ALisıLe, adj. 2 gen. (t. de mdd.) alibile, qui
nourrit, s’incorpore (substance).
A’ııca, 8. f. " alica : espöce de bouilfie faite
avec de la farine d’&peautre.
+ Auıcalno, A, adj. (6. de pods.) avec les ailes
abattues. (Ag.) Faible, abattu, debile. Dechu
d’un &tat florissant.
+ ALıcanco-c&co. V. Amphisbena.
+ Arıcintara, s. f. espece de petit l&zard
dont la morsure est mortelle.
+ ALICNTE, s. m. serpent trös-l&ger , trös-
venimeux, trös-gros et trös-long.
Auıcantina,s. f. (fam.) Ruse, tricherie, as-
tuce, finesse, que !’on emploie pour tromper ou
pour ne pas ötre trompe.
ALICANTINADÖR, 0%
ÄLICANTINEIRO, A, 8. tricheur, Anaud.
ALICÄTE, s. m. sorte de pinceties qui a les
pointes aigu&s ou plales, dont on fait usage
dans plusieurs metiers; petites tenailles ; b6-
quettes.
ALickce, s. m. fondement, fondation :
ALiceacE 04 } Tfosse, fouille qu’on fait pour
ALICESSE, commencerä bätir, etla ma-
connerie qui se fait en terre jusqu’au rez-de-
chaussee pour &lever un bätiment. —., (fg.)
principe, base. Abrir 0s—s, creuser les fonde-
ments. Langar os —s d’um edifcio, jeter les
fondements d’un edifice. (fg.) Commencer une
chose.
+ ALıcönpa, s. f- * aliconde : arbre de la Ni-
gritie; on en file l’dcorce.
* ALICORNE, ALICORNIO. V. Unicornio.
Auıcöta. V. Aliquola. ,
ArLıpäpa 0% ALipine, 5. f. (6. de geom.) Ali-
dade: rögle mobile plac&e sur le centre du gra-
phometre ; aiguille du cadran & canneler.
+ Auipaa, s. f. (1. d’hist. nat.) alidre : espdce
de couleuvre.
ALIENAGKO, 5. f. alienation : vente, transport
de la propriöte d’un fond. (fg.)“ Etunnement,
distraction. D&sunion, rupture entre amis, re-
froidissement. — menial, alienation mentale,
folie.
ÄLIENADISSIMO, A, adj. sup. d’
ALisnino, A, p. p. d’Alienar, adj. (Ag.)
Aliene:contraire, oppose, eloigne dequelqu’un,
desuni.
+ AuızNapOR, A, 6. alienaleur ; celui qui
alidne. n
u
ALI
ALIENAMENTO, 5. m. * aliönation : l’aclion d’a-
liner. (fg.) Ravissement d’esprit, extase.
ALIENÄR, vo. a. aliener : vendre, transferer la
propriet6. (Ag.) Transporter, aliöner, metiro
quelqu’un hors de lui-meme, lui faire perdre
l’esprit. Donner de !’arersion, du mepris; des-
unir despersonnes, mettremal ensemble; faire
perdre l’estime, l’affeetion de quelqu’un.
ALIENÄR-SE, ©. r. se brouiller, rompre aves
uelqu’un. (Ag.) Perdre la t&te, I t,
(de) Feloı u erdro la töte e jugement
TALIENATÄRIO, A, 3. aliönataire : celui ou
celle & qui l!’on fait des ventes, & qui on alidne.
ALIENÄVEL, adj. 2 gem. aliönable : qui peut
eire aliöne.
ALIENIGENA, 8. m. ötranger.
ALIFÄFR, 8. m. "courbes, eaux aux jambes,
enflure qui survient aux jambes des chevaux.
(fam.) * Maladie habitueile. (Ag.) Delaut.
*" ALirante. V. Elephanis.
ALIGRIRADO, A, 2. p. d’
ALıckırär, v. a. allöger,, soulager, allegir :
rendre plus leger, diminuer dans tous les sens
le volume d’une chose. (fig.) Soulager, aflai-
blir, temperer, moderer, adoucir. Abreger, &0-
celerer, se häter. (6. de mar.) Alestir, alleger.
— um cavallo, rendre un cheval plus leger.
ALIGRIRÄR-SE, v. r, s’allöger : se rendre plus
leger. V. Apressar-se. — de roupa, de veslido,
se degarnir.
ALiGERO, A, adj. (f. de pods.) ail6: quia des
ailes. (Ag.) Tres-ieger, prompt, qui a de la ve-
locite.
+ AuıcuLipa, adj. f. Corollula—, (t. de bot.)
Ligulee, (fleurette) en languette.
ALlsiDo, A, P. p. d’Aljjar; adj. (l.de mar.)
Lege, sans surcharge. '
+ Aruapoe, 5. m. celui qui allöge, qui Kou-
lage un navire de sa charge.
ALUAMENTO, s. m. allegement : l’action et
Yeffet d’alleger (un navire).
ALuir,v. @. (6. de mar.) alleger, soulager
un navire de sa charge; jeter une portion des
marchandises dans la mer pour le rendre plus
leger. .
ALuir-sK, o. r. s’alleger, se decharger.
+ ALiso, s. m. (t. de mar.) allegement d’un
navire. 44. * Allege: petit bategu qui vaälasuile
d’an plus grand, et qui sert & le döcharger de
ce qu’il a de Irop,
ALımärıa, s. f. " animal, bete (de loule es-
ptce.) Ä
} ALtmärtazinHa, s. [.dim. d’Alimaria.
ALtMEnTAcäd, 3. f. alimentation : !’action et
l’effet d’alimenter ; entretien.
ALIMENTÄDO, 4, 9. p. d’Alimenidr.
ALIMENTÄL, adj. 2 gen. alimenteux : qui
nourrit.
ALımEntän (de, com), vd. a. nourrir, alimen-
ter. Entretenir : fournir tout ce qui est nöces-
saire A la subsistance d’une personne. Cultiver,
vivißer, donner, entretenir la vie, en parlant
des choses qui ont besoin de nourriture pour
‚eroltre, comme les planies, eic. (fg.) Alimen-
m sn m
AuI
tes, aeurrir, entretenir, fomenier quclquo pas-
sos,une vertu ou un vice.
täuısentan-se (de),v.r.s’alimenter, se nour-
nr. — d’esperangas, se repaltre d’esperances.
AuwestTänıo,A, adj. alimentaire. Pensdo—a,
ku:ion alimentaire : deslinee pour les ali-
"+ ALısenteıRo,s. m. celui qui donne, qui
fegrnit les alimenis.
ALısswricıo, A, adj. alimentaire : qui con-
terne la subsistance, les aliments. Alimenteux:
qui nourrit.
+ Auımesvista, s. m. pensionnaire : celui &
qui on fait une pension pour vivre. On dit apa-
nagiste, en parlant d’un prince qui jouit d’une
peusion.
Auutsto, 3. m. aliment, nourrilure, p&-
tore , sustentation : ce qui se mange, se digere
etentretient la vie. —, tout ce qui sert & entre-
tenir certaines choses, comme le feu, les ve-
geiaux, etc. (flg.) —, ce qui entretient, fo-
mente une passion, un vice, une vertu. Ali-
mente, pl. aliments, pension alimenlaire : ce
qum donne & une personne pour son enire-
tien
Aumzsıtöso, A, adj. (8. de med.) alimen-
%eex, nutritil : qui nourrit.
tAuiwra, s. f. coupe d’arhres, do foräts;
nelloiement,, eurage.
+Aumrantına, s. f. femme ou chose qui
Betloie.
ALıgPADO, A, P. p. d’Alimpar.
Aumsrapör, &A,3. Ccelui qui nettoie. — de P6-
gos, eureur de puits.
ALıspapcaa, 5. f. V. Alimpa. st. Saletö :
erdares qu’on Öle de ce qu’on netloie. Alim-
paduras , pl. du fourre, les criblures du ble.
Auywrautıto,s. m. nelloiement : Vaction et
leflet de nettoyer. Y. Limpeza.
Aunmria,c. a. nelloyer, curer, öler la sa-
let. (Ag-) Purifier, rendre pur. if. Purger un
peys de brigands, la mer de pirates, etc. (fam.)
Voler. Detacher, öter les taches. Gagner, attra-
per. — as chaminds, ramoner les chemintes.
— 3 arcores , tlaguer les arbres. —a conscien-
eis, se confesser. — asperas com polvora,
seuffier les canons. — as peras com a lanada,
teouvillonner.
AUMPAR-SE, v. r. se laver, s’essuyer; se
parger d’une accusation. — da f£bre, se de-
barrasser de la fiövre.
+Auıurarivo, a, adj. propre & nettoyer:
dätersif , gai purifle.
+ AumrivsL, adj. 2 gen. qui peut ötre net-
toys, purifie.
AusBipo,A,Pp.p.d’
Aumpin, v. e. embellir, enjoliver, rendre
joli. Arranger, orner, parer, perfectionner.
Aumpir-se. V. Enfeilar-se, Adamar-se.
+ Aumtcno, A, adj. (t. de poes.) d’ailes
Beires.
+ ALmzv6so, a, (f. de pods.) qui a, qui porte
de ia neige dans les alles.
f Auıucogränas, adj. f. pl. ( folhas —, 1. de
ALI 69
bof.). linguiformes (feuilles), on forme de
langue.
ALIXBÄDO, A, 9. p. d’Alinhdr.
ALINHADÖR, A, 3. celui qui aligne.
ALINHAMENTO,, s. m. alignement: ligne drolte.
pour aligner, P’action d’aligner.
ALINBÄR, v. a. aligner : ranger sur une meme
ligne droite. (fig.) Parcr, orner, enjoliver, em-
bellir. Gouverner, administrer.
ALıinuÄr-SE, vo. r. s’aligner, etc. (Ag.) Faire
sa toilette, s’habiller proprement; se parer,
s’orner, etc.
ALINHAYÄDO, A, 9. p. d’Alinkavdr.
ALınaaviö, 8. m. aug. d’Alinkovo. V. oe
mot.
ALINHAVÄR, v. a. baguer, faufller, bätir un
habit, etc. (fig. fam.) Disposer, preparer. it.
Brocher : &crire, composer & la häte.
ALINHÄYVO, s. m. bäti, faufilure : fausse cou-
ture & longs points.
ALinEO, s.m.“propret&, ornement, arrange-
ment, parure, nettete.
* AuLınt£ıro. V. Alanterneiro.
* Auınreönna. V. Lanterna.
Auıowino. V. Aleonado.
TAurita,s.f. (1.de bot.) *alipata, arbre des
Philippines : il crolt sur lebord de la mer ; son
omabre est nuisible , la fumee de son bois aveu-
gie.
ALiPEDE, adj. 2 gen. (tl. de poes.) alipdde:
qui a des alles aux pieds. ( Ag.) Leger ä& la
course. 3.m. (1. d’hist. nat.) alipede : chauve-
souris.
Auıpivae. V. Nigella, horva,. .
+ ALIPOTERTE, adj. 2 gen. (1. de pods.) aux
siles puissantes, qui a beaucoup de foroe dans
les ailes. (Ag.) Sublime: qui s’el&ve rapidement
aux sommites du Parnasse (poöte).
ALIPTES, s.m. pl. aliptes: ceux qui frottaient
d’huile les athletes.
ALıquinta (parte), adj. f. (f.de math.) partie
aliquante.
ALIQUEBRÄDO ‚A, adj. (4. de pods.) avec Valle
cassee.
Auıqtöta (parte), adj. f. (1. de math.) partie
aliquote.
r Auisıos, adj. m. pl. venlos —, (1. de mar.)
alises : vonss reguliers entre les tropiques, V,
Gerass.
+Auiswa, s. f. V. Tanchagem aqudlica,
ALıstÄpo,A, 9. p. d’Alistar.
f ALISTADOR, 8. m. enröleur, recruteur,
ALISTAMENTO, s.m. (1. de mil.) *leveeo : enr®-
lement de tronpes,, de soldats.
AuISTÄR, ©. a. enregistrer, melire quelqu’un
sur une liste. Engager, enröler des soldais, des
troupes.
Auıstär-sg , vo. r. s’enröler: se faire soldat.
— ‚se faire recevoir dans une socidte.
ALıstaädo. V. Lisirddo.
} ALIsTRIDenTE, adj. 2 gen. (i. de peds.) qui
fsit du bruit avec los ailes.
Autöncıco, adj. m. die —, allturgigue:
(jour) od !’on ne fait aucun office.
70 ALL
* + Auıvandıra, 5. f. ancienne barque pour
la charge des navires,
ALIVELÄDO, ALIYELAR. V. Anivelar, etc.
ALIvELOZ, adj. 2 gen. (8. de poes.) d’ailes
veioces.
ALıwvıÄno, AuLıvıka, etc. V. Alliviar.
Auızina, 3. f.* habit moresque.
ALIZADO, A, p. p. d’Alizar.
+ Auızapös, A, 3. polisseur : celul qui polit.
Polissoir.
ALızapüra, 8 f. polissare, lissure : Paction
de polir.
Auızin, v, a. polir, lisser : rendre une chose
unie dans sa superficie. Planer.
ALIZÄRES, 5. m. pl.° garniture en bois ou en
earreaux vernissds, tout autour d’une salle,
d’une chambre, ete. Lambris de carreau de
Hollande.
Ausiea. V. Alyava.
Ausas£aa,s.[.lalemme de l’algibebe.V. co mot.
ALsanEne. V. Algibebe.
"Auıiua. V. Alfama,
. Ausauia, s.f. ’arabe corrompu que parlaient
les Maures d’Espagne; nom qu’ils donnaient ä
la langue castillene,
7" Ausauıioo, a,0d). On le dissit de celui
que parlait l’aljamia.
Ausiva, s. f. ° carquois, trousse : diui &
Auızaöz. V, Algerös,
ALsoskra. V. Alfübe.
AuLsOrAR ou ALIÖFRE, 8. m. pelile perle, se-
mence de perles, (!. de pods.) Goultes do rose.
(#g.) Larmes d’une dame delicate,
+ Ausoras ou ALsorantına ,s. f. (1. de bot.)
"gremil, herbe aux perles ; graine perlöe (herbe
aux poules),
Ausörsnino, A, adj. perie : garni de perles.
On le dit ordinairement des pidces d’un scu.
» 9. d’ N
Ausöranin ou ALIOFRAR, ©. a. garnir de
perles; faire queique chose qui ressemble & la
perle appelse Aljöfar.
Ausöras. V. Aljöfar.
ALsösa, s.f.* vetement maure quo les Espa-
gnols portalent aussl.
A ‚s. m." prison ecclöslastique.
Ausustino, s, m. geölier de l’Aljübe.
fAuıostra, s. f. dim. d’Aljuba, V.ce mot.
+} ALSUBETEIRO,, 5. m. celui qui fait des alju-
las
Austz, s. m.*rösine d’une espäce dechardon.
BAKENGI OU ÄLKEKENGE, V. Alquequenge.
Aukauı, eto. V. Alcali, etc.
} ALkaste, s.m. (f. d’hist. nal.) alkast:
oiseau des Toyaumes du Congo et d’Angola.
Auztnuns, V. Alquermes.
Ara. V. 4a.
Aush. V, Ald.
Arad, V. 4lacil.
Arıacin. V. Alagdr.
t ALLA, 5. m. Allah: cri de guerre des ma-
bomstans. (Nom de Dieu en arabe.)
ALL
TALLAnöNDA, s. f. (1. de bof.) allahonda ;
plante grimpante de Ceylan.
fAırauinpa,s. f. (ti. de bot.) Hane A lalt.
fAırania, s. f. piöce de harnais de cheval,
espece de brandebourg.
ALLANTöDE, s.f. (i. d’anat.) allantolde ow
allantois: une des membranes qui enveloppent
1 fotus ; sac d’urine du fatus ; vösicule ombel-
icale,
t Aırisıa,s. f. (1. de bot.) allasie: grand
arbre de la cöte de Mozambique.
ALLATOÄDO, A,p. p. d’Allatodr,
ALLATOAMENTN,, 8. m. ornement de laiton
ALLATOÄR, v. a. Orner de laiton.
ALLECAGÄO, 8. f. allegation,, plaldoyer.
ALLECÄDO, A, 2. p. d’Allegar.
ALLEGÄNTE, 8. (t. de prat.) allegateur : velui
qui all&gue. it. p. a. d’
ALLECÄR, v. a. allöguer, citer,, avancer , d&-
duire, apporter des raisons. Onl’emplole aussi}
en terme de barreau. — servigos, merilos, elc.,
exposer Bes Services, ses merites, cic., les
faire valolr.
Artecoria,s.f. (t.derhedt.) allögorie : dis-
cours, image, figure , tableau qui exprime ow
represente une chose et en fait cniendre une
autre,
ALLECÖRICAMENTE , adv, allegoriquement z
d’une manidre allegorique.
ALLECÖRICO, A, adj. allegorique : qui tleut
de !’allegorie. (Sens, discours, tableau, etc.)
ALLECORISTA ‚3. m. allegoriste : qui explique
dans le sens allegorique ; qui explique les all6-
gories,
ALLEGORIZÄDO, A, P. p. d’Allegorizar.
ALLEGORIZADOR, A, 8. allegoriseur : qui alle-
gorise.
ÄLLEGORIZAR, v. a. allögoriser : expliguer
selon le sens all&gorique;; donner un sens all6-
gorique. v. %. se servir d’allegories.
t ALLEGRETO, 8. m. (4. de mus.) dim. d’
ALL£cro, V. Alegro
ALLELI. V, Goico, >
ALteLöta, s.f. * alleluia : terme dont l’Eglıse
sö sort pour exprimer sa jole. * Mot hebraique
qui signifle louez le Seigneur, Sabbado d’— ,
Samedi saint. As —s, le temps de Päques. if.
(1. de bot.) —, surelle, petite plante pour les
maladies inflammatoires.
ALLELVITICO, A. V. Laudatörio.
tAıLemänna, s. f. danse allemande de deux
ersonnes.
AuLzuio, Ä,adı. allemand : d’Allemagne.
Ai. V. AH.
ALLiiceo, A, adj. qui a l’odeur et Ic goüt de
Pail.
ALLıkDO,A,p.p. d’Alliar-se, adj. el s. allie,
joint & un autre par affinite ; confedere.
+Aıuica,s, f. *jonc, ajonc, brue-de-Pro-
vence : plante.
TALLIACÄR, 8. m. terrain plante d’ajoncs.
Aruticeu, s./.’ alliage: melange, union (de
metaux, de matidres, eto.). V. Li
‚„s. f. alliance : union par mariage,
ALL
wailidration, union, ligue des Kiats. " Paote,
coawention.
Auramcäno, Auzsancia. V. Allidr, eis.
Air, v. a. allier : faire des alliances; m&-
ler, cambiner, incorporer ensamble; unir par
marlage.
AuLtin-sE, 9. r. s’allier : s’unir, se liguer
peur l’inter&t commun , en parlant de prinoes
et d’Eusts. S’allier, s’unir,sejoindreä un autre.
Arıtkaus, s. f. alliaire : herbe aux aulx, de
la famille des juliennes, & odeur d’ail: plante
metdieinale.
Auuscıaciö, s. f. sedustion : l’aclion ot l’ es
de seduire (les soldals, etc.).
ALLEZÄDO, A, pP. p. d’Allicidr.
ALLKIABÖR, A, 5. s6ducteur : celui qui seduit.
ALLICHAR, ©. @. allirer, gagner aveo des pro-
messes (des soldats, des femmes, eic.); seduire,
carrompre.
ALuıcıtstg, adj. 2 gen. sedulsant : qui s6-
dait, teuche, charme (personne, discoours,
air, ete.). 38. Seducleur.
ALLscäPo, A,P. 9. d’Alliger.
ALıscaußnto. V. Ligacdo.
Arucan. V. Ligar.
ALuoaapo. V. Alsonado.
Ausrzzacäd, 8. f. (1. de rkdt.) allitöration :
conseanance de mols; zepslition afleciöe des
mtmes syllabes.
“ ALLıvaDo, ALLivan, V. Alliviar.
AuLwırsch6. V. Allivio,
f AuLıvıipamtuıg, ado, avec soulagement,
sec sdoueissement.
ALLIYIADISSIMO, A, superl.d’
ALLVIADO, A,P.P. d’Alliviar.
ALumiande, 5. celui qui soulage, qui allöge,
qui delasse. Conlesseur extraordinaire (dans les
communautss religieuses).
ALLINIASENTO, 3. m. l’action et l’eflet de sow
lager, d’allöger, d’adoucir.
Auırıia, vo. a. alleger: adoucir , soulager,
dtlasser ; decharger. V. Aligeirar. — o Into,
prendre je demi-deuil ow lo petit deuil, — sua
pena, suachlera, adoucir un chagrin, 6vaporer
sa bile.
ALLIVIAR-SE, U. T. 50 Soulager, recevoir des
soulagements. S’allöger , se delasser, se da-
Da YO SE
Aımvıo, 8. m. allögement : soulagement,
s4oucissement; reläche ; allegeance; decharge;
rafrsichissement ; repos. Tomar-, so delasser,
se repeser. Berco d—, (1. de mar.) * allöge.
* aııö, ade. lä, y. Alors.
Auocociö, s. f. allocution : harangue des
generaux, des empereurs romains aux soldats;
da pepe aux cardinaux.
ALLopiäL, adj. 2 gem. (ti. de praf.) allodial. Il
se dit des terres qui &taient en (ranc-alleu.
ALLOBIALIBÄDE, 8. f.(t. deprat.) allodialite:
qualit6 de ce qui est allodial, franc, libre de
dreits.
ALM
® ALLOCHMENTO. V. Alojamento.
ALLon, inter}. fam. allons,
ALLORCAR,, etc. V. Alongar, etc.
TALLöNYmO, Aa, adj. allonyme : anteur qui
prend le nom d’un autre,, pseudonyme.
TALLöraTLo, s. m. (4. de bot.) allophyle :
arbrisseau de Ceylon.
fAuLzoraıornacia, 8. f. (8. de mdd.) allo-
triophagie : faim, app6tit de suhstances non-
alimentaires.
} ALLOTRIOPRAGO , 5. m. ( 1. de dd.) allotrio-
pbage : malade du pica, atteint de Palletrio-
phagie.
Aruvcıusciö, Arıuvcınar. V. Halluoinagde,
elo.
71
ALLTDIDO ,A,p.P.d’
ALLopir, o.n. alluder : faire allasion.
ALLulpo, AuLufe. V. Aluir, eto.
} ALLUMIÄDANENTE , ade. d’une manßeo
6olairee.
ALLumıipo,A,Pp. p. d’Allumiear.
ALLUMIADOR, A, adj. ots. qui Eclalre, Illu-
mine; 6olatant.
ALLÜMIANENTO, s. m. * illamination ; l’action
d’eclairer ; solairage.
ALLÖMIÄNTE , adj.eLs.2gew. &olatant, imisant,
qui öelaire, illumine. 6. p. a. d’
ALLuMiiR, v. a. eclairer, luire, illuminer s
donner de la lumiere. Eolairer gquelgu’un. As-
sister avec un cierge allum6 a quelque oere-
monie de l’Eglise. (}g.) Dettomper, instruire,
tclairer quelqu’un, lui dessiller les yeux.
AuLusäö, s. f. allusion : relation, rapport,
eonnexion que deux choses ont entre elles.
ALLUSIVAMENTE, adv. par allusion.
Anıvsivo, A, adj. qui fait allusion; qui
allude.
AuLvvıiö, s. f. crue d’eau, debordement.
Terra, terr nos d’— , alluvion : accroissement
de terrain occasionn& par les eaux qui se retl-
rent, ou forme6 par les debordemenis.
A’LnA,s. f. Amne: principe simple, immatk-
riel, imperissable de lavie, du mouvement,
de le passibilit6 et de l’activits; de la sensibi-
lit6, de Pintelligence et de la volontö chez les
hommes; principe d’existenee ohez tous les
ttres vivants. (ig.)—, personne, individa.
tt. —, ce qui maintient principalement uno
ehose, ce qui la fait subsister et sur quali elle
est fondse. —, ce qu’il y a de plus interessant
dans uno chose. —, le creux d’un canon, oü
Fon met la poudre et le boulet. —, petit mom-
teau de bols droit que l’on met dans le oorps
d’un instrument & oordes sous le chevalet pour
soutenir la table. -—, conseienee. --, vivacit&,
expression, feu, energie, force, cmur. -— ds
Deos, bda—, bon diable, bonasse. — de ca-
vallo, ( fam.) bomme sans foi ni lol. —de
edntaro ‚niais, sot, stupide, hutor, imheöeile.
— minha, minha —, mon amour, m’smour.
C'est une expression d’amiti6, de tendresse,
+ Auıönto, s. m. franc-alleu : bien libre, ı Ser a— d’um negoecio ,etre le chef, le dire
kkans de tous droits seigneuriaux,
* kLrocgia. V. Allojar.
| teur d’une affaire, d’une entreprise. N4o ha —
viva, nen vie, iln’ya Ame vivants; pear-
72 ALM
sonne , absolument personne. Com — e vida,
(fam.) du mieux de l’Ame, de tout caur, avec
beaucoup de plaisir, tr&s-volontiers. Dar a —
a Deos, rendre l’äme , mourir. Dar a— por al-
guma cousa, ou chorar-iIke a — por, (fam.)
soupirer apr&s uns chose. Ter a — na gargan-
ia, avoir l’Ame sur les lövres. Offciaes d’— , les
pretres, les cures. — do botdo, le moule de
bouton. — do pe, le creux du pied. — d’um
eabo, (ti. de mar.) Ame ou me&che d’une corde.
As —s samlas , les Ames du purgatoire. —s do
oulro mundo, * revenanis.
Aımäceca ow ALMÄGEGA, 8. f. petit elang.
ALuapia,s. f. almadie, cantimaron : petite
barque (creuse) de la cöte de Guinde et de
Finde. * Radeau. * Canot. .
Auuipara. V. Almadrava.
* ALMADRÄQUE , 3. m. malelas; coussin,
oreiller.
* ALMADRAQUETA 0% ALMADRAQURXA, 8. f.
dim. d’Almadräques.
ALMADRÄVA, 8. f. madrague : p&che du thon
ot l’endroit oü elle se fait. Combriere : filet
propre ä prendre des thons. — , enoeinte falle
de cäbles et de filets pour prendre des thons.
+ ALMannavRıRo, s. m. pecheur de Ihon;
bomme qui travaille dans les almadrdvas. V.
ce mol,
°F ALMaADREnuA, s. f. ” sabot : chaussure de
bois.
* ALmaraniz. V. Almofariz.
ALNMiFECA, s. f. stoffe grossiöre et claire.
* ALmärne. V. Morriöo.
ALMAFRSIXE. V. Almofreize.
ALmiceca. V. Almdcega.
ALMACESTO, 3. m. almageste recueil trös-
ancien d’observations astronomiques, par Pto-
lemee.
ALMÄGRA 0% ÄLMAGRE, 8. m. ou f. rubrique:
ocre ou ochre rouge.
ALMACRÄDO, A, P. p. d’Almagrar.
+ AumacräiL, s. m. endroitoü il y a de la
terre appelde rubrique.
ALMAGRÄR, v.a. teindre avec de la rubrique
ou ocre rouge. V. ce mot.
* ALMAHÄLLA, ALMAFALLA 0% ÄLMOBHALLA,
s. m. (mot arabique) * armee, campement.
* ALMAInHA, 8. f. V. Quinta, Quintal.
*+ ALNALÄQUE, 8. m. manteau maure.
ALMÄLHO, 3. m. jeune taureau ou bauf.
ALMANACH 0% ALMANAQUK, 5. m. almanach,
eslendrier. dt. Catalogue nominal des employ&s
publics, civils, militaires, commergants,, etc.
— de marinha, " sphsmerides.
+ Aumanagutıro, 3. m. oelui qui fait ou qui
vend des almanachs.
+ ALNAncHÄR, 3.m.” aire pour ötendre et 5&-
cher les igues (dans les Algarves).
ALmanpina , s. f. almandine : sorte de rubis.
* ALminnaa. V. Colcha.
Aıuansinra,s. f. piöce de bois tortu d’un
moulin & bras,, d’une machine & tirer de Peau,
ot Pon aliache l’animal pour faire tourner la
roue. (fig.) Chose d’une extraordinaire gran-
deur et pesanteur. i$. (par derision ) * Homme
grand, mal bäti.
fAımaripa, s. f. espece de stylet.
ALMARGEÄDO, A, 9. p. d’Almargear.
ALMARGEÄL, 8. m. terrain martcageux de
päturage. " Prairie.
f Aumancein, v. a. abandonner (les bes-
tiaux) au päturage des champs. (flg.) Jeter,
abandonner quelque chose & cause de son ins-
tilite.
ALMÄRGEN, s. m. ° herbe d’almargedi. V. oo
mot.
ALMARGIO, A, adj. qu’on a mis dans l’almer-
gedl ou au vert (cheval, bauf, etc.).
ALMARINHO ‚5. m. dim.d’
ALMÄRIO, s.m.* armoire: enfoncement dans
un mur avec des tablettes pour la vaisselle,
etc. it. Sorte de meubie en buffet pour garder
deshabits,, des papiers, eic.—d’igreja, chapier.
fALMaRRÄxA, s. f. sorle d’arrosoir en forme
de bouteille.
} ALMÄRTACA ou ALUÄRTECA, 8. f. scorie de
Pargent fondu; litharge,, glette : oxyde du
plomb demi-vitreux.
ALMASINBA , 8. f. dim. d’Alma.
ALMÄSTICA ou ALMASTICA. V. Alme£cega.
*Aumäreca, Armirtica. V. Dalmalica.
fALMATRIixA, 3. f. couverture de cheval : on
la meltait atlachede avec une ventriere au liew
de selle.
ALMAZEN, s. m. magasin : lieu oü l’on garde,
ou l’on röserve toutes sortes de marchandises,
d’effets. Amas de munitions de guerre.
fALMAZENÄDO, A, P. p. d’Almazenar.
f ALMAZENÄGENM, s. * f. magasinage : teınps de
sejour dans le magasin.
fALNAzEniR, u.a. magasiner, emmagasi-
ner : entreposer : melire en magasin.
f ALMAZENSıRO,, 5. m. garde-magasin.
ALMAZONA. V. Amazona.
fAınta,s.f.fluteau, damasonie:genre de
plantes. V. Alisma. it. L’&corce du storax apre&s
qu’on lui a enlev& toute la resine.
+ Aıutce, s. m. Ju lait clair, petit-lait: co
qu’il y a de sereaux dans le lait.
ALMtceca,s. f." mastic: gomme du lentisque.
ALMSCECÄDO, A, 9. p. d’
ALMECECÄR,, ©. 6. parfumer avec du mastic.
+ ALwececutiro, a, adj. qui appartient au
mastic.
Auutıa. V. Almda.
Aıutipda, s. f. (f.de mar.)*espace occupe par
la barre du gouvernail ; voüte ow grande voüte
de la poupe. — do jardim, (id.) petile voüte.
ALMEIRANTE. V. Almirante.
Aımeıniö, s,m.(t.de bot.)"chicoree sauvage,
endive. — branco, barbe de capucin (plante).
+Arutında, s.f. (l.de bot.) chicoree sauvage
eultivee.
+* Arutırica,,s. f. petit dejeuner qu’on don-
nait & certains portiers, receveurs de four-
rages, ec.
+" ALMEIZÄR, 8. m. ancienne Couverture des
Maurss.
ALM
AUNEJABO, A, P. p. d’Almejdr.
Ascrsinte, adj.2 gen. p. a. d’
d4ısgsir,o.e. (fam.) dösirer avec ardeur.
(4g.) Kire & Pagonie.
Auutsı. V. Amdijon.
d4ıuzxina, s.f.° falot: espece de grande lan-
ierne & plusieurs möches.* Fen allums sur une
sur pour servir de signal. —s, pl. feux pour
annencer Papproche de l’ennemi.
ALuenpoa. V. Amendoa.
"Arunwiımas, s. f. pl. ancienne garniture
ur gri en forme de creneaux.
Auszsucotina, 5. f. (1. de bot.) *lentisque.
V, Zretire. Zu ”
ALuttz ou ELMETE, 5. m. armet : armure de
te. it. Le soldat ow le chevalier qui faisait
usage de Y’armet.
f ALuexia, s. f. espäce de vetement ancien.
ine derise que les Maures du Portugal
&asient obliges de mettre sur leurs vötements
pour &tre eonnus.
ALuzya. V. Alma.
+ ALuiz, s. m. adonier, micocoulier : arbre.
Aussca, ALuice, V. Alme£ce.
(1. d’astr.) almican-
tAuncamraninas oy) rat, almucantarat:
Ausıcantanırs, s.m, | Peüts cercles de la
sphere paralieies &
P’horizon.
ALziıma, 8. f. chemisette, camisole, gilet.
Ostie d’armas qu’on portait sous la cuirasse.
Ausiuwa, s.f. diem. d’Alma, Ame d’un enfant.
Amıninza,s.f.(i.de mar.) amiral:vaisseau
que commande ou que monte l’amiral. i#. La
ferame d’un amiral.
ALEIRANTADO,, 5. m. amiraule : jurisdiction
des alfaires marilimes; siege du tribunal des
affaires maritimes ; territoire compris dans la
jerisdietion de Yamiral. .
ALMmÄNTE , 3. m. amiral : grand oflicier de
arındes nayales ; commandant d’une flotte. ss.
Ornement de 1£te que les femmes portaient an-
ciennement. Ndo — , V. Almiranta,
+ Aımrinte,s.m.(t.d’hisi. nal.) amiral:
comet, coquille univalve; beau papillon de
jeer.
ÄLMIRANTEÄR, ©. w. exercer la charge d’a-
t Auısızanria, s. [." amirautö : ötat et ofice
Famiral.
ALNIRES, 5. m. mortier : vase pour piler.
Arniscan, 5.0. musc : parfum que fournit
Fanimal (moscus) de ce nom.
FAıwıscanino, A, 9. p. d’Almischrar, adj.
Cheiro — (1. de bot.) ambrosiaque (odeur),
qui tient de Yambroisie.
ALNISCARÄR,, U. G, MUSQuET, parfumer avoc
du muse.
ALNISCARÄR-SE,, 0. r, Se parfumer avec du
mause.
Aruıscastıra,s. f. (l.de bof.) ambreite ou
aiguille de berger, cenlauree musquäe (plante).
f ALMISCARKIRO, 3. m. vasc ou flacon pour
ALM 73
garder le musc. dt. (ra5o), rat d’sau qui sent
le musc.
ALMISCRE,, te. V. Almiscar.
T ALMISCHENHO oW ALMISCRENTO, A, adj.
musque : qui a l’odeur du musc; il se dit de
certains [ruits.
A'ıLMo, A, adj. (1. de pods.) nourrissant,
cre&ateur. it. Saint, vendrable.
ALmo,s.m. V. A’llamo.
ÄLMOCADENM, 8. m. capitaine d’infanterie dans
Pancienne milice. Oficier (espagnol ) qui com-
mande un detachement pour soutenir les four-
rageurs & Ceuta. ‚
ALMOcäFRE,, 5. m. (4. dejard.) hoyau, plan-
toir, sarcloir : instrument qui sert & saroler, &
planter, ä donner de petits labours autour des
plantes.
* ALMOCARlA. V. Almocrevaria.
ALNOCÄVAR, 5, m.ancien cimetiöre des Maures
en Portugal.
ALMOGÄDO, A, p. p. d’Almoger, adj. qui a
dejeune.
ALMOCADÖR, A, 5. celui qui a P’habitude de
dejeuner ; qui ne jeüne pas.
ALMoGin, vo. a. d6jeuner : manger quelques
heures avant ie diner, le matin.
fALmocEııa, 8. f. * bonnet en forme de ca-
puchon.
ALMOCÖOYVAR. V. Almocdvar.
* ALMOCOUVAR ‚3. m. pätre : pasteur qui garde
les troupeaux de baufs, de chevres.
Aumöco, s. m. dejeuner : repas que l’on fait
le matin avant le diner. (4g.)” Chose facile ä
faire.
f ALMOCRÄTE, s.m. sel ammoniac.
ALMOCREVÄDO, A, 9.P.d’
ALMOCREVÄR, v.a. transporier quelque chose
sur les betes d’an muletier. o. n. faire le
muletier. .
ALMOCREYARIA , 8. f. melier de muletier;
grande quantit& de muletiers r&unis.
ALMOCRE£VE, 8. m. muletier : qui soigne et
conduit les mulets.
ALmospa, 3. f.* encan : vente & l’enchere.
(fig.) Fazer —, metire au grand jour, publier .
les fautes ou faiblesses de quelqu’un.
ALNOEDÄDO,A,P.p.d’
ALMOEDÄR, ©.a. vendre & l’encan ou ä l’en-
chere.
Armorica, s. f. etrille : instrument pour
gratter la peau des chevaux.
ALMOFACÄDO, A,P. pP. d’
ALMOFACÄR,v. a. 6triller: frotter avec l’etrille.
ALuorice. V. Almofdgea.
ALMOFACILBA, 8. f. dim. &loupe pour courrir
la gourmette.
Aruoripa, s.f.” oreiller :coussin de lit rem-
pli de laine, de crin ou de duvet, Taie ou t&
d’oreiller : le linge qui sert d’envelopve A un
oreiller. * Carreau, agenouilloir : coussin sur
lequel on 8’agenouille.—de porla,(l.de menuis,)
un panneau, bossage de bois. —s das abiles, (1.
de mar.) coussins de bittes.
ALMOFADADO, A, 2. P. d’Almofadär.
78 ALM
+ Aımorsbin,o.a. garnir de ooussins. if.
Tailler (la boiserie, les pierres) en oreiller,
faire des panncaux, des bossages.
ALNMOFADINHA, 3. f. dim. d’Almofade, petit
coussin, coussinet A Coudre.* Matelas d’une vor
ture. Bosse : pierre saillante (ou bois) d’un ddi-
fice, taill&een oreiller. —de sangrie, compresse.
tALMOorÄR, s. m." partie de l’armureancienne
qui sauvait la tete, et sur laquelle on posait le
cabasset.
ALMOFARIZ,s.m. mortier de metal. Mäod—,
piton.
‚ ALNOFÄTE,, s.m. emporte-piece:: outil de sel-
tier pour faire des trous dans les &triviöres.
ALnoria, s. f. jatte de falence: cuvutie ronde.
ALMOFBEIXÄDO, A, 9. P. d’
+ ALMOFREIXÄR, v.a. emmaller dans l’!almo-
freize.
ALMOFREIXE ‚a. m. sac de toile grossidre pour
porter un lit de voyage, espece de porie-man-
teau.
+ ALMOFREZ, 8. m. emporte-piece : outil de
sellier et de cordonnier pour [aire des trous
dans le cuir.
Aıuocima,s.f. (l.de mar.) piece de bois au
bout de la poupe et de la proue d’un vaisseau;
cale d’un narire.
ALMOGARÄVE, 8. m. V.
ALMOGAYÄR, 3. m. militaire ou paysan (Ppor-
tugais) qui faisait des incursions conire les
Maures.
f ALuocavaria, s. f. troupes d’elmogoravss.
V. ce mot.
T ALUOGAVERiA 0% ALMOGAYRIA, 8. f. pro=1-
fession et exereice d’almogavar. V. ce mot,
ALMOCÄYRE. V. Almogavar.
Auuoinsa. V. Almainka.
ALMOJÄYRNAS, 8. f. pl. tourte de fromage et
de farine. Espece de beignels.
ALnöNnDEcA, s. f. boulette: masse de chalr
petrie en rond.
Aruonsiva,s.f.* hachis demonton ‚ eio.
ALMmoqueıre. V. Almocreve.
} ALMORAVIiDES, 8. m. pl. nom de cerlaine
raoo de Maures.
ALuörco, etc, V. Almöeo, etc.
* ALMmorqukıro. V. Almocreve.
* ALMORRÄS ou
ALsorrtimas,s.f. pl. V. Hemorrköidas.
ÄLMOTAGÄDAMENTE , ade. avec poids ei me-
sures ;selon l’ordonnanoede l’almosacel. V. os
mot.
ALMOTACADO, A, 9.9. d’
ALMOTACAÄR, v. a. taxer, ixer le prix des
denröes ; veiller sur leur qualit ; verifler, exa-
miner les poids et mesures. (flg.) Apprecier,
qualifler une chose ou une personne,
Aımoragaria, s. f. charge de l’almotacdl ;
taxe : röglement pour le prix des denrees, eto.
Aınorackı o% ALMOTACH, 8.18, officier civil
charg6 de fixer le prix des denrees et de veri-
fier les poids et mesures, elo. — mör,
seur, intendant de la maison du roi.
ALuoToLla,s,f. * huilier : cruche & I’huile.
ALO
ALNOXAR{rÄDO, 3. m. omplol, Jurktiotion de
P’Almoxarife. V. ce mot.
ALMOXARIFE , 5. m. reoeveur des impöls sur
grains, ete. is. Surintendant, administrateur
de queiques domaines du roi ou des grands
seigneurs,
ALMOXÄTRE, 5. m. sel ammoniso,
rt ALMOZARÄBE, s. m. chretion sujot aux
Maures.
* ALmucasäLa. (f. arabe) V, Algebra.
* ALMUCELLA 04% ALMUCALLA, 8. f. 00UVer-
ture de lit.
fAımupina, 8. f. *espace de terrain od l’on
peut semer un almude. V. ce mot.
} ALuupino, A, P.2.d’
+ AınuDan, 9, a mesurer par almudes (le
vin, V’huile).
ALMÜDE, s. m. almoude : mesure de grains
et de fruits (anciennement) en Portugal; me«
sure de liquides (anjourd’hui), qui dquivaut &
dix-sept litres.
ALMURLLA. V. Almucella,
Aunulnua. V. Almainha,
* ALmuinHßıro. V. Horteldo.
* AL mönıa 8 ALuuya. V. Almainkha.
Mına,sf. aune.
+ALntoo, s.m.* aunaie: lieu plant& d’aunes.
ALno, s. m, aune, peuplier noir.
*ALö, interj. allons ; adv. la, alors.
ALok, s. m. espdce de eonfiture en Orient,
Dans le Bresil, c'est une boisson falte de ris
avec du sucre ferment dans l’eau.
ALopıir. V. Allodiul.
ALo& ou A’Lots, s. m. (8. de bot.) aloös : ar-
bredes indes, ä bois odorifsrant etlourd ; plante
d’Arabie, de beaucoup d’espöces, medicinale.
ALotnpeo, V. Lodadro.
ALofrico, a, adj. alostique : od il entre de
ALOGEÄR, etc. V. Alojer.
+ Auöczs ou ÄLOGEANOS ‚8. m. P). al ı
secte d’heretiques qui niaient la divinite et P&-
ternits du Verbe.
ALocia,s.f. alogie; absurditd,, Impertinenoe,
ALole. V. Aluir.
ALosıcäkd. V. Alojamento.
AL0J400,4,9.p.d’Alojar.
ALOSAMENTO, 5. m.logement: lieu ob l’onloge.
Auosin, v.a. loger:donner logement. — Iro-
pas em quarleis, osserner des troupes. — pdo,
ceredes , serrer le bi& dans le grenier, le meitre
en reserve.
ALoJaR, 9.». habiter dans une maison; cam
per, ötre camp€, log6, etc.
ALOJÄR-SE, ©. Tr. se loger, prendre logement.
ALOMBiDO, A, P. p. d’Alombär.
+ ALOMBAMENTO ‚sm. Paetion ei V’elfet d’&-
reinter.
ALousin,v.a. V. Derredr.
ALousorRÄ0O, ALowsonän. V. Alamborer.
ALONCÄDAMENTE, adv. longuement, de loie,
longitudinalement.
ALONGÄDO, A,P.P. 0’A
ALONOANENTO, 8. Mm, allongement : Paolion,
2 on.
PIE” EEE ee EEE
ALP
ufıllet d’allonger. it. Distanes , separalion,
dsignement.
"ArLoncinca.V. Alongamenio.
Aroscie, v. a. allonger : rendre oa faire
paraltre plus long. Kloigner , söparer , &carter.
— ‚difförer (un proc&s, ete.).
ALoncin-SE, vr. sallonger, s’etendre,, de-
venir plus jong. S’eloigner, so s&parer, s’scar-
wer.
ArLorzcia ‚3. f. (f. de möd.) alopecie , pelade:
maladie qui fait tomber le poll. Döpilation :
Taetion ei Feffat de döpiler.
+ ALortcıo ow ALoP&£Tico, A, ady. döpilatif :
gei Lait tomber le poil, les cheveux.
Arorschaa, 8. f. (f. do bot.) olopeoure :
gueue de renard, plante.
ALosna.V.
ALoccino, A. V. Adoudddo.
AL0o0sipo,A,p.p.d
ALovsir, e.a. daller: : paver avec des dalles.
+ ALrico ow ALPAQUE, 8. m. alpac, alpaca,
alpaga, alpague , alpaque : quadrupdde du P#-
reu , lama ssuvage, portant laine
*"ALPARAVÄZ, 5. m. ospöce d’ornement pour
les chapeaux,, pour te lit. V. Sandfa.
Aırimca ow ALrıancita, 3. f. sandale :ı s0u-
lier de coräes faıt avec du ehanvre ou dusparte;
alpagattie.
ALPARCATE, 8,.m. V. Al
+ ALPARCATERIA, s.f. boutique o& Pen vend
des .V. 08 ınot.
ÄLPARGATEIRO O8
ALraaQu8ıno, s. m. oelai qui fait ou qui vend
des , V. ce mot.
. ALPARYOSO, a, adj. V. Parvo, Apearve-
ikado.
*Ar-vuLo. V. Pelio.
* ALrtupen , ALPENDERE. V. Alpondre.
AL PENDORÄDA ou ALPENDRÄDA, 8. f. ° porche
diendo, qui a beaucoup de pliliers ; kangar, re-
mise.
ALPENDRE, 8. m. porche : lleu convert & l’en-
irde d’une #glise, d’une maison de campagne,
#'une hötellerie. Hangar, remise.
ALrtuse. V. Alpino,
ALPERCÄTE, 8. m. (1. de cord, ) "ouverture en-
tre la pale er l’orellle d’un soulier au-dedans
de la rosette.
Aır£acue, s. m. alberge : petite p£che pr&-
ooce , dont la chalr eat jaune et ferme.
+ ALrache, 5. m. petit porche, appentis,
Ranger, abat-vent.
ALPERCHRIRO, 8. M. albergier ı arbre qui
porte les alberges.
ALrtstre, adj.2 gen. V. Fragoso. .
ALp£staıco ou ALPESTRINO. V. Alpesire.
ALraa,s. m. alpha : premidre letire de V’al-
phabet grec. (Ag.) Premier, commenoement.
— 6 Ome£ga , le oommencement et la fin.
ALPBABETÄDO, A, 9.9. d’
ALPEABETÄR, v. a. disposer par ordre alpha-
e.
ALPEABSTICHHENTE, adv. atphabe ß
dune maniteo elpbabötigee. Hauement
ALQ 7
ALrnapfrico, A, adj. alphabötigue : de !'n!-
phabet, selon son 'ordre alphabätique ( Inble,
liste , eto.).
+ AuPuaBKrista, s. m. celui qui traile de Fal-
pbabet ou qui l’ötudie.
ALrnanfro, s. m, alphabet : ensemble des
lettres d’une langue; livret, tableau, qui les
eontient. V. Abecedario.
+ ALPSANPgTE ou ALPRANETO, s.m. (I. d’hist,.
nat.) alphanet : oiseau de proie de’ Barbarie.
ALPBAVvÄCA. V. Alfavace.
+ ALraßos, s. m. pl. (1. d’isl. nat.) alphees ı
genre de orustaots des Indes-Orientales.
tALrpninea, s. f. (8. de bot.) alphinge : plante
aromatique d’Am6rique.
+ ALPRITIDON, s. m. (6. de chir.) alpkitiden :
fracture des os du crAne reduits en (arine.
ALrino,A,adj. Alpin : des Alpes.
ALrista, sh bl6, graine des Canaries,
Aıpiste,s.m. ) pbalaris, alpiste ı graine
dont on nourrit les serins et autres olseaux,
Aupist£ıno. V. Apisteiro.
AuLristo.V. Apisto.
ALPÖNDRA „Ss. f. petit pont de pierres sur les
rivieres.
Aurönck. 8. f. plus usild au pl. &erouellcs:
tumeurs, abc&s souvent indolents & la gorge,
aux glandes; scrofules, humeurs froides.
ALPpoaciv0,A,9.p.d’
ALrorncin, v.a. ($. d’agr. el de jard.) mar-
eotter : coucher des branches ou des rejetons
en terre pour leur faire prendee racine. On dit
provigner, en parlant des vignes.
ÄLPORQUENTO, A, adj. Ecrouelleux : qui ap-
partient aux &crouelles, qui les a; sorofu-
eux.
* ALQUANTO,, adv. un peu.
* ALquein, V. Alquilar,
ALQUEBRÄDO, A, P. p. d’Alquebrar.
} ALgoznramento (d’um navio), s. m. (8. de
mar.) arc d’un vaisseau, V. Alquebre.
ALqusanir, v.n. ($. de mar.) #’arquer : so
coarber en arc, en parlant de la quille d’un
vaisseau, et du vaisseau lui-me&me.
+ ALqufang, s. m. (l. de mar.) courbement
de la quille ou du vaisseau qui est devenu ar-
que. V. Alquebrär.
T ALQUEIRAMENTO, 8. m. mesurage par al-
res.
ALqutiae, s. m. alquier, mesure portugaise
(pour les grains) : 13 litres. — dazeile, c’ast
un demi-almonde, V, Almude.
ALODEIRINHO, 8. m. dim. un peu plus qu’un
demi-alquier.
ALgqueivipo, A,p.p. d
ALQUEIYÄR , v. 0. N ehbrer, labourer des ja-
chöres : donner le premier labour aux terres
qu’on a laisse reposer.
AuQükıyE, s.m. premier labour qu’on dogme
& une terre en Jachere. Gudret, recassis : terre
labour6e pour dire ensemencke.
f ALquequänor, 8. f. (t. de bot.) alkekenge,
cooqueret offieinal, ooquerelle, berbe & cio-
ame,
=...
16 ALT
f ALOURQunncHata, s. f. (6. de bot.) alkeken-
gäre : arbre du Perou & fruit vensneux.
* Arou£r. V. Alquöire.
Arqueaia,s. f. p. us. maison oü l’on garde
les instruments aratoires.V. Abegoaria, Granja.
ALqueaıvıa. V. Alchirivia.
ALQUERNES, s.m.(l. d’anc.m£d.) aıquermes:
eonfection de kermes, d’alo&s et d’autres in-
gredients.
Augquiin. V. Alguilär.
” Arguic# , ALquic£L ow ALguickz, 8. m. ve-
tement maure en forme de manteau. * Kioffe
dont on faisait des tapis de table.
"Arqui£r. V. Aluguel, Alqwie.
ALguıfs, s.m. * mesure de tanneur.
+ ArouıröL, s. m. (1. de min.) alyuifoux :
plomb mineral ; mine de plomb.
ALQuıLi0oo, A, P.p. d’Algwidr.
ÄLQUILADOR,, A, s. loueur de montures.
7° ALQUILAMENTO, s. m. louage : P’action de
louer des montures.
ALquiLir, v. a. louer des montures ; les
donner et prendre & louage.
T AuquiLir-s£, vo. r. selouer, s’engager,
s’obliger & servir quelqu’un pour un ceriain
temps, moyennant un prix convenu.
ALgtiL£ ou ALquiLäa, s. m. louage : prix de
louage d’une monture.
tf ALotiuE, s. m. ° imitation de l’or.
Argrimia, etc. V. Alchimia, etc.
ArquimiLra. V. Alchimilla,
ALquiaivia. V. Chirivia.
T Augquirika, 8. f. (8. de bof.) * tragacanıhe,
&pine de bouc, barbe de renard de Cräte. it.
Gomme adragante.
Arguırriva. V. Archilrave.
* ALQLÖRQUES,, 3. m. pl. anciens patins.
T ALRETE, s. m. oiseau de proie qui ressem-
ble au corbeau.
ALROTÄDO, ALROTÄR, V. Escarnecer, etc,
Aırotaria. V. Escarneo.
ALRÜTE. V. Abelheiro.
A’LTA , s. f. danse ancienne d’Espagne. (t. de
milst.) Reintegration dans le service mililaire.
Dar —: il se dit d’un militaire qui a &t6 malade
et sort de I’höpital pour rentrer dans son regi-
ment. Fazer —, faire halte : s’arreter dans la
marche.
A’LTABÄIXO, 8. m.
de haut en bas,
‚, ALTArönsa, s. f. "oiseau de proie, esp&ce
de crecerelle.
“ ALTAMÄLA ou A’LTEMÄLA , loc. ade. sans
; choix, bon et mauvais : l’un poriant l’autre.
A’LTAMENTE, adv. hautement : par[aitement,
excellemment. Haut, ä haute voix; dans une
situation 6levee. Profondement, vivement.
” ALTAMIA , s.f.* vase de terre vernisse.
T ALtauısa , s.f. (6. de bot.) allamise : plante
du Peron , espece de coreope.
ALranipo, a, adj, alier, bautain. V. Alta-
neiro.
(alto a bäixo) coup d’epee
ALT
ALrantiao, A, adj. On le dit de l’oiseau de
proie de haute volerie. (Ag.) Hautain, orgueil-
leuz, fier, superbe, arrogant.
ALTANERIA , 5. f. haute volerie, * Oiseaux de
proie. (fg.) Hauteur, orgueil , arrogance. st.
—s, pl. pensdes sublimes.
ALTAR, 8. m. autel : table pour les sacrifices,
(Ag.) La religion chrelienne. — mör, maltre-
autel, grand autel. Pd d’—, casuel des curds,
des prötres.
"Aıraria, V. Alterdr.
ÄLTAREIRO, 5. m. celui qui pare et embellit
les autels; döcorateur d’öglise. Celui qui a une
voix claire ethaute,
* ALTAREZA. V. Alliveza.
ÄLTARINHO, 8. m. dim. d’Aller.
t ALTanista, s. m. chanoine (& Rome) qui a
soin du grand autel du Vatican.
ALTARZINHO. V. Allarinko.
ALTEÄDO, A, 9. p. d’Altedr.
f ALTEAMENTO, s.m. exhaussement: l’actiom
et l’efiet d’exhausser; elevation.
ALTEÄR ,v. a. exhausser : 6lever plus haut,
rendre plus eleve. vo. ». Crottre ; agrandir.
ALTEÄR-SE, o.r. V. Klevar-se,
ALTENARIA. V. Allaneria.
Auteaäsır. V. Alterdvel.
TALTERABILIDÄDE,, s. f. alterabilits : qualite
de ce qui peut @tre alter6, ce qui constilue une
chose alterable.
ALTERACÄO, 3. f. alteration : l’action et l’eflet
d’altrer. — ,, agitation dans le pouls. —, mou-
vement de colere ou d’une autre passion. (fg.)
—, &meute, tumulte, inquietude,, romuement,
desordre public. Emotion. — dos precos, (1. de
comm.) fiuctuation de prix.
ALTERÄDAMENTE,, adv. d’une voix mal assu-
ree , confusement.,
ÄLTERADISSIMO, A, adj. sup. d’
ALTkaino,A, 9. p. d’Alterer.
ÄLTERADOR, A, 8. celui qui altöre.
ALTERÄNTE, adj. 2 gen. p. a. d’
ALTERÄR, v. a. altörer : changer l’ötat d’une
chose,, particulierement de bien en mal. Trou-
bler, &mouvoir, ameuter. —, inquieöter, fächer.
Falsifer.
ALTERÄR-SE, vo. r. s’altörer, se changer, se
gäter; se troubler. ( Ag.) S’enorgneillir, se f&-
cher, se mettre en colere.
ALTERATIVO, A, adj. alteratif : qui alteöre,
employe pour alterer.
ALTERÄVEL, adj. 2 gen. altörabie : qui peut
ötre altere.
ALTERÄVELMENTE, ado. d’une manidre alte-
rable.
ALTERCACÄÖ, 8. f. altercation, dispule, 00n-
tention, debat : conteslalion entire deux ou
plusieurs personnes.
ÄALTERCADISSIMO,, A, adj. sup. d’
ALTERCAÄNO, A, 9. p. d’Allertar.
AÄLTERCADÖR,, A, 8. ergoleur, pointilleux;
contentieux,, disputeur, querelleur.
ALTERCÄNTE,, dj. 2 gen. qui dispule.p. a. d’
ALTErcÄn, v.a. debattre contester, dömeler
Bu ri ri - m
ALT
(me question, ele.). v.». Alterquer, disputer;
urgster, pointiller. — de palarras picanies com
slzuem, se prendre de bec avec quelqu’un.
ALTsasacäd, s. f. alternation : !’actioneil’ef-
Mtd’alterner.
ÄLTERNÄDAMENTE, adv. alternalivement: our
ätour, l’un apreös l’auire.
ALTERNÄDO, A, 9. p. d’Allerndr.
ALTERNAMENTE. V. Alternadamenie.
ÄLTERRÄNTE, adj. 2 gen. qui alterne. p. a. d’
ALreanaa, 9. a. alterner. Il a toutes les ac-
oeptions du ınot frangais.
ALTERNATIVA, 5. f. “alternat : action, liberte,
droit d’alterner. Alternative : option entre deux
proposilions, entre deux choses.
ALTERSATiVvamenTe. V. Alternadamenie.
ALTERRATIVO, A, adj. alternatil:: qui alterne.
ALrtano, a,adj.(l.degeom.) alterne. Angulo
—, angle alterne; c’est l’angle forme& par une
Egne qui coupe deux parallöies. Fdhas —as,
(£. debot.) feuilles alternes, sont celles qui nais-
sent seule & seule, des deux cöt&s de la tige,
sans se eorrespondre.
ALTERÖSANENTE, adv. avec hauteur.
Aırzaöso, A, adj. eleve, fort haut. (.demar.)
Enhuche. Navio—, vaisseau enhuche: haut sur
l'esu, de haut bord.
“ AL rzvıpäne. V. Alliveza.
Aırtza, s. [. haulesse, hauteur. Altesse:
itre ge’on donue aux princes. Anciennement
en le donnait aux rois de Portugal jJusqu’ä D.
Sebastien. Hautesse : titre que l’on donne au
grand-seigneur. (Ag.) Elövation , sublimite,
ezzellence.
Aırmta, s. f. (tl. de bot.) guimauve : plante
medicinale.
ALTIBAIXOS, 8. m. pl. terrain inegal. (fg.)
° Vieissitude, fux et reflux des choses hu-
maines.
* AL rımtano- V. Alto bArdo.
+ Aırica,, s. f. (t. d’hist. net.) altise : petit
insecte phytophage.
Auriroco. V. Alte le.
ALrıLogußncıa, s. [.locution elevee, sublime ;
elevation, sublimite de style.
ALTILOQu&NTE, adj. 2 gem. (t. de pods.) subli-
me, eleve; qui parle, qui &criı dans un style su-
blime, love.
ALriLoguo. V. Alkiloguente.
Aırıuzreia, 8. [. (1. de gdom.) altimetrie :
partie de la geometrie, mesure. des hauteurs.
+ ArLrimerno, s. m. (d. de gdom.) allimeire :
Iustrument pour meosurer la bauleur des objets
sarf’borizen.
TALriserao, A, adj. (I. de geom.) de l’alti-
metri
e.
ALrıuuräBO, A, adj. (1. de pods.) avec de hau-
tes murailles.
ALrırorancıas, 3. f. pl. bautes puissances.
ALtiana, s. f.“ velement asialique.
ALTISORÄNTE, adj. 2 gen. (1. de pods.) On le
dit d’un style, d’undiscours pompeux,suhlime.
ALtisono, 4, adj. (l. de pods.) pompeux, su-
blime. V. Altisonanie.
ALT 77
Autissıuo, 3. m. le Tres-Haut. adj. superl.
ao. un
ALTITONÄNTE, adj. 2 gen. (f.. de pods.) qui
tonne en haut.
ALritipe. V. Altura.
R ALTIVACO, A, adj. (1.de pods.) qui s’agite dans
air.
ALTIVANENTE, adv. avec hauleur, artogam-
ment.
* ALrıvän-se. V. Ensoberbecer-ss.
ALtivkz ou ALTıv£za, s. f.*orgueil, hauleur,
arrogance, superbe, fierte.
Aırivo, a, adj. hautain, haut, imperieux,
altier, orgueilleux.
+ ALtıvoLinte ou ALTiVOLO, A, adj. (i. de
poes.) qui vole haut (aigle, etc.).
ALTO, A, adj. haut, elevd.—, en parlant
d’un pays, d’une province, d’une contree.
Grand, haut, d’une taille avantageuse,, d’une
grande 6levation. (Ag.) Difficile a obtenir ou &
comprendre. it. Eminent,, elev6, en parlant
de personnes, d’emplois et de digniles. «4. Su-
perıeur, excellent. «4. Grand , &norme, alroce.
Profund,, baut, en parlant de la mer. Cher,
haut, excessif, par les nues, en parlant du
prix de quelque chose. Haut, en parlanı des
riviöres et des fleuves,, lorsqu’une cause ex-
traordinaire les a fait monter. Haut, tardil, en
parlant des fötes mobiles. — dördo, haut bord
— dia, plein jour. —a noite, le milieu de la
nuit. O mais, — le maximum. — mar, mer
haute, pleine mer. Arvore-a, arbre de haute
futaie. Lid do—, d’en haut. Esle anno vem ou
cdi a quaresma—o, le cargme est haut, est
tardif cette annde. — som ommell profond.
Altos e baixos, V. Altibaixos.
ALTO, s. m. "hauteur. V. Colina, (tl. de mil.)
Halte ( faxer—): pause que font les gens de
guerro dansleurs marches. i6. Halte, terme dont
les commandanis so servent pour faire arröter
les soldais. ($. de mus.) Dessus. V. Contralio.
Passar por— , oublier, ometire. Tirar por—,
V. Contrabendo (por). Levar ou alcangar por
—, par une faveur particuliöre, par proiec-
tion, en parlant des emplois , des gräces, eic.,
que l’on oblient sans suivre la marche ordi-
naire des affsires. Os altos, pl. lieux eleves,
cötes; chausses anciennes, haut-de-chausse.
Os altos d’uma casa, le dernier 6tage d’une
maison.
A’ıro,adv. haut, & haute voix. Faller —,
parler haut. D’—a baixo, de baut on bas. Em-—
e bom som, (fam.) tout haut. — id, inter).
halte-iä, c’est assez, arr&tez-vous la. —e mdlo,
(popwl.) l’un portant l’autre.
* ALTön. V. Alturs,
* ALTO-sös, interj. V. Eia, Süs (ora).
ALTOZINNO, 5. m. dim. d’Alto. Monticule.
Aıraiz. V. Alimentoso.
Autüna, s. f. hauteur, elevation; profondeur,
—, une des trois dimensions geomötriques. La
haute region de Pair. — colline, terire. (Ag)
»
78 ALY
Proedritö, diövation, &minenos. — de pölo,
hauteur, elövation du pöle. — meridionel,
hauteur meridienne. Zstar om grande —, etre
en grande &levation. Tomar—,(t. de mer.)
prendre hauleur. —s, pl. le ciel, les cieux.
Deos das —,, le Tr&s-Haut, le Tout-Puissant,
Auvino, A, adj. Iunalique. (fg.) Etourdi.
(pop.) Qui a lerut, qui est en chaleur, en par-
lant des animaux.
+ ALvite, s.m.( 6. hist. nal.) alouate :
singe hurleur.
+ Aucogı, s. m. ( (. de chim.) aludel : espöce
d’allonge pour les sublimations.
® Arucacom,. V. Locapfo.
ALuciD0,A,p. p. d’Alugdr.
ALucandn, A, 3. loueur : celul qui loue.
ALUGAMENTO. V. Alugudi.
Auvcir,v. a. louer : donner et prendre ä
louage.
ALOGÄR-SE. V. Algwier-se.
* ALucukıro. V. Alugedor.
ALvoutı ou ALucu£n, s. m. loyer : le prix
- dulouage de quelque chose. Lonage : l’action de
ALUDO,A,P.p.d’
Auvir, o. a. ebranler : secouer, donner des
secousses et rendre moins ferme. V. Abalar,
Escavar '
® ArLunia. V. Ululdr.
Auusanor. V. Langerote,
fALumsainos, s. m. pl. noms de ceriains
hördtiques de Serille, condamnss en 1627.
* ALumania. V. Alumior.
ALuusino, ALußein. V. Allumiar.
TALÖMEN, s. m. (6. de chim.) alun : sel
Boutre,, compos6 d’acide sulfurique et de terre
argileuse ou alumine,
Auummipo, ALumıan, eto. V. Allumiar,
t Audsım, s. f.( 6. dechim.) alumine : terre
argileuse, l’une des lerres primitives; argile
pure, base de l’alun ; oxyde de ’aluminium.
ALummapo, V. Iluminado, Allumiado.
TALuumano, A, (. de chim.) alumineux :
qui est d’alun, de sa nature.
Kama. V. Allumiar, üluminar.
LUMINICO, A, adj. ($.de chim. i cOh-
tient de l’oxyde eelarninlam. "
ALvninireno, a,adj. (1. de chim.) alumini-
före : qui contient de l’alumine.
T ALuminıo, s. m. (. de chim.) aluminium :
metal qui donne Poxyde dit alumine.
Auumımöso, a, adj. (1. de chim.) alumineux :
qui ade Yalun, de la nature de l’alun.
* ALoxınöso. V. Zuminoso.
ALtuno, s. m. &leve, disciple. (4g.) Nour-
Fisson.
Auutino, Awvria. V. Eniutar.
LUZIADO, ALUZIÄR, .
Auuzino, ALUZIR. | V. Luzir, etc.
ALva,s. f. aube : la pointe du jour. —, long
vAament on toile poür les pr@tres; i4. pour les
ALV
condamnes & mort (en Portugal). — do olko,
le blanc de all. Ao romper d’—, au point du
jour. Estrells d’--, la plandte Venus quand
elle devanoe le soleil, l’aurore. Quarlo d’—,
(4. de mar.) apr&s souper, jusqu’au premier
quart.
Aıvaciö, adj. V. Aloacento.
ALVACENTO,A,0w% }) blanchätre, tirant sur
ALvaDiO, A, adj. le blanc.
ALvipo, 3. m." cavit£ : il, ouvertare qu’on
trouve dans plusieurs instruments ; entree
d’une ruche. —s dos dentes , tes alvsoless.
* ALvarapiD0,A,9.p.d
*Arvarapin, v. a. blanchir avec du blanc de
plomb.
Aıvarine, 8.m. * cöruse : blanc de plomb;
massicot.
*AıLvard. V. Alvard.
* ALYAMRNTE. V. Palidamente.
* ALVANECA, 8. f. coiffe de poup6e.
ALVANn&L, ALVANZO 0% ALYANIL, 8. m. MA-
gon: artisarı qui fait les bAtliments & chaux,
pierres, plätre, ciment.
Avid. V. Aiodo, Gaivdo.
+ ALvaguirua, s. f. (t. de bot.) * alvaquilla :
arbrisseau vulneraire.
Avira, adj. 2 gen. blanc, blanchiätze. (Ag.)
Niais,, stupide, bete.
ALvani,s.m. edit, c#dule, letires-patentes
du prince; privilege, brevet , decret d’un sou-
verain.
* Auvaripa. V. Alvorada.
ALvaris, ALvariz ou ALvarico, &
keuo6 : Iöpre blanche : maladie cutande. _
+Aıvanizes, 5. m. pl. espece de figues
d’Europe. '
Auvinazs. V. Chiekarros.
- ALvanıcöqus. V. Albricoque.
ALYVARINHO, A , adj. dim. d’Alver.
+ Aıvarızino, A, adj. attaque de la löpre
blanche.
ALvarnninpa. V. Albarrdda.
+ Aırvırni, 5. f. (6. de bof.) — narilime,
scille, oignon marin, scipoule, charpentaire.
— reinol, scilie du Portugal.
ALvanaiL, s. m. tamis grossier, raro; Eros
sas de crin.
Aıvannaz. V. Zalapkysagria. "
AıvasiL ow ALvaziı, s. m. V. Vervader,
Juwiz-ordinario.
Aıvzinıo,s.m. V. Colmeis.
+ Aıvsinno, 5. m. (4. d’anal.) atvöole. di.
* Cavite de V’oreille.
ALvzprio, s. m. libre arbitre : feculi6 de
P’äme pour se determiner A une chose ptaldt
qu’ä une autre. Arbıtre, caprioe, voloms, gr6,
fantaisic.
r ALvkıro, a, adj. de souleur blanche.
ALv£ıno, s. m. borne de pierre blanche.
ALveıtäa, s. m. martchal, medeein vettri-
nairo. (fig.) Mauvais chirurgien.
Auvgıraala, 5. f. art vöterinalre,
ALYZJi00, 4,2. p. d’Aloger.
ALY
MAUEJänte, adj. 3 gen. qui blanchit, blan-
chütre, pP... d’
Auvasin, o. @. blanchir : meiire du blanc,
kire devenir blanc. Frapper au but. vo. m.
Blanchir , devenir blanc ; se montrer blanc ä la
vee.
AuLvera, se. f.* milan : olseau de proie.
ALvtıoa ow AnvsLoa, 5. [. boche-queue :
eisen qui remue sans cesse la queue; lavan-
diere, ımotacille. — amarella, bergeronneite
©.
ALvtzı, V. Alfena.
Auvsmanla, 5. f. magonnerie ı ouvrage de
wnacen ; moellon ; pierre A balir.
Auvansa. V. Alvandi.
A’Lızo, s. m. lit de riviere.
+ ALırzoLäne, A, adj. A la maniöre d’alveole.
ALYEOLAR , adj. 2 gen. alveolaire : des al-
veoies.
ALYEOLO, 8. mi. alveole: cavile oü est la
dent; erenx intsrieur de l’oreille; cellule de
l'abeille.
Aıvkaca,.s. f. rigole par oü coulentles eaux.
‚ reservoir. * Terrain marecageux.
ALTBacäDo, ALvEacia. V. Albergdr, eic.
Aıvud, 3. m." houe, hoyau, meigle.
Auvicanas, 5. [. pl. etrennes que l’on donne
d ceizi qui apporte une benne nouvelle. Aloi-
garas! alcigarası! eri de jole qui annonce une
beane neuvelle. Ganhar as —, annoncer le
presise une bone nouvelle.
ALvıcanıze, a, adj. qui donne une bonne
nouvelle et en demande la gralilicalion. 3. m.
(ea Portugal) c’est un homme qui annonce
Fasrivee d’an valisseau,, et court demander &
sen maltre des ötrennes (alvicaras).
ALvıczaas. V. Alvicaras.
ALTBEIECTÖRIO, A, adj. (l.de dd.) qui ex-
cite les digestions alvines ; purgatif.
ALvıpaaper. V. Louvado.
ALVIDAAHEKTO. V. Avaluargdo,
Auvımaie. V. Avalidr.
* ALvıpaio. V. Alvedrio.
* ALvipno. V. Arbitrio, Alvedrio.
* ALvıpaöso. V. Arbifrdrio.
tALrıDuco, A, adj. (1. de mödd.) cathartique:
t.
pergau
ALvinzo. V.4Aloino.
ALvızwo, A, adj. dim. d’Alco.
TAıvino, a, adj. (l. de med.) alvin: qui a
Tapportau bas-ventre. Dejecröss—as, dejecliong
avines : lux de ventre.
Ayvıa. V. Aleir.
Auvissanıs. V. Aloicaras.
Auvissro, A, adj. sup. d’Aloo.
ALvrrina, 8. [. grand fllet. it. Brise-vent :
diötere pour arr£ter Veffort du vent.
tALvıranipo, a, adj. serrö, &troit. V. Aloi-
Sans-
ALvire, 8. m. bigoi maure.
Arvıraia. V. Avaluar, Arbitrar.
Auvirag, s. m. conseil qu’on donne pour la
direction de queique affaire ; projet, dessein,
rangement de moyens de succ#s; plan.
”
ALV 79
ALvrTaıao, 0. m. projectenr : qui forme des
projets, qui donhedes oonseils. Ordinairement .
on le ditironiguement et en mal.
Auvırnista. V. Alvisreiro.
A’LYO,s. m. blanc: but oü l’on tire. ( Ag.)
But d’une action , objet d’un desir. Pör os
olkos em —, toumer les yeux de manidre &
n’en laisser voir que le blano. Dar no—, (Ag.)
frapper au hut, mettre la main dessus, trouver
co qu’on cherche, &claircir un point douteax,
obscur. Ser o— de, (flg.) re en hutte A.
ALY0, A, adj. blanc : couleur de lait, de
beige; contrasie du noir. (Ag.) A cheveux
blancs (homme).
ALvöa,s.@. V. Alva, Aloure. O primeiro—
do dia, la premiöre pointe du jour.
ALvoracäin,eic.V. Al „etc.
ALvoripa,s. f. aube:la pointe du jour. (4. de
mil.) Diane - battement de tambour, coup de
canon ä& la pointe du jour pour &veiller les sol-
dats. Aubade : concert vocal ou instrumental
que l’on donne vers !’aube du jour, & la ports
ou sous les fen&tres d’une personne. —de firos,
oombat, bataille, man@uvre militsire & la
pointe du jour. Tocar a—, sonner la diane. 4H-
voradas , les matindes. Estrella da —, V. Alva.
ALvoninpo, ALvoris. V. Arvorar e Alvore-
cor, eit.
ÄALVOREC£R, v. n. commencer & faire jour.
ALvoricin ou ALVORIZAR, 9. #. fulr, se
sauver, s’en aller. Il se dit des abeilles quand
elles abandonnent une ruche.
* ALvorizo, V. Alvorogo.
ALVOROGÄDAMENTE, adv. avec ravisscment,
avec ömction, hors de soi-meme; avcc preci-
pitation.
ÄALVOROGADISSIMO, A, adj. superl. d’
ALYOROCADO, A, 9. P. d’Altorogar.
ALVOROGADOR, A, 5. V. Amolinadör. ii.
Pr A qui dgaie, qui ravit, qui donne de la
oie.
ALYoROGÄR, v. a. dnouvoir, exciter, inciter
quelqu’un dans l’espörance de jouir de quelgue
avantage. Hejouir, donner Je la joie, Surpten-
Fa troubler. Faire, causer du tumulie.V. 4-
tar.
ALVOROGÄR-SE , ©. T. S’EMOUVOIF, so trans-
porter de joie; se häter, se precipiter, Se tron-
ler. S’eıneuter. V. Alboroter-se.
ALYORÖGO, 8. m. transport de joe, dmotion ,
ravissement, enjouement. * Emeute. V. 4lbo-
rolo.—de since, carillon. —do povo, "emeute,
sedition. — de guerra , alarme.
T ALVOROTÄDAMENTE, adv. turbuiemment,
avec turbulence ; tumultucnsement.
ALvoroTiDo, A, P.p. d’Alvorotar.
ALYOROTADOR, A, #. turbulent: crieur, criail-
leur, degaineur, tapageur, seditieux.
ALVOROTAMENTO. V. Alvoroto.
ALvororir, 9. a. troubler, inguidter, soule-
ver,ameuter.
ALYOROTO, 8. m. tumulle, sedition, 6meute,
beuit, crıaillerie, vacarme, rixe, fracas. * Alter-
cation, Causar- s, jeter des alarmes,
80 AMA
Aıvösa,s. f. blancheur parfaite, de neige.
"Aubier : ie bois tendre et blanchätre qui est
entre Fecorce et le cmur de l’arbre.
* ALxaıma. V. Aduar.
Auxarıre. V. Xarife.
f ALYSSO DOS JARnıns, s. m. (4. de bot.)
alysse jaune;; corbeille d’or (des jardiniers).
ALZABAK. V. Azougue.
+ ALziruza, s. f. (1. de bot.) alzathee : arbre
du Perou.
Arzımir. V. Azınhaore.
AMA, s. f. maltresse d’une maison, d’une
propriete. Madame : la maitresse de la maison.
Gouvernante, menagere, femme de charge;
bonne. — de peilo ou de leile, nourrice, mere
nourrice : celle qui nourrit un enfant.
*Auasıt. V. Amavel. .
AuasıLipäpe,, s. f. amabilitö : caraciero
d’une personne aimable.
AMABILISSINO, A, adj. superl. d’Amabil.
® Amacacarin. V. Remexer, Revolver.
* AuaciO. V. Mapd.
AMACAROCIDO, A, ady. en forme d’epi de
mals.
AMACUÄDO, A, 9. p. d@’
AuACıÄR, ©. @. assouplir : rendre souple,
mou, flexible, docile. — o genio,, (fig.) assou-
plir le caractere.
+ Ausacösague, s. m. (1. d’hist. nal.) amacoz-
que : oiseau du Mexique.
Auipa, s. f. bien-aimee, tendre amie ; bonne
amie,, maltresse.
AMADEIRÄDO, AMADEIRAR. V. Emmadeirdr,
eic.
Auapias. V. Amavias.
* AMADIÖSAMENTE. V. Maviosamente.
* Auapıöso. V. Marioso.
ANADISSIMO, A , adj. superl. d’
Auino,A,p.p.d’Amaer.
* AmADOIRO 0% AMADOURO, A, adj. digne
d’etre aime. V. Amarel.
ANADOR, A, 8. amant, amoureux, SOUpi-
rant. — (de), amateur: qui-a beaucoup de
goüt, d’attachement pour une chose, un art,
une science, etc.
AMADORA, 8. f. amateur, femme amateur.
AMADORNADO, AMADORNAR. | V. Amodorrar,
AMADORRADO, AMADORRAR. etc.
AMADÖUROS. v.A
Auapriapas, s. f. pl. Hamadryades : nym-
phes fabuleuses des bois.
Außpunivo,A,P.p. d’
ANMADORÄR, v0. n. mürir : devenir mür.
AMADURECER, v. a. mürir un abcös : bäter la
formationde la matiere purulente. (Ag.) Dis-
poser les moyens necessaires au succ&s d’une
entreprise. o. n. mürir, devenir mür. On le dit
des fruits et d’un abces. (Ag.) Mürir. On le
dit. de la reison, du jugement.
‚AMAESTRAR. V. Amestrar.
+ Amica, s.m.(f. de bot.) amaga : petile es-
pece d’ebenier des Philippines,
AMA
ABACO, 5. u. caur d’en arbre. (Ag.) Fond,
interieur d’une chose.
+ AuacorTäpo, a,0dj.(t.de mar.)\. Lesmarins
dennent ce nom & une montagne escarpee domt
le sommet est plat.
AMAINÄDO, 4, 9. 9.d’
Ausınia, dv. 0. (l. de mar.) ferler , larguer
amener, carguer, plier les voiles enlidrement
oa en partie. (Ag-) Se moderer, se departir, s®
relächer,, se desister , c#der,, s’adoucir, Sapai-
ser, plier. v. ». se calmer, en parlant du vent,
de la coltre, etc.
AMALDICOABO, A, 9. P. d’Ameldiroar.
AMALDICOADOR, A, $. celui qui maudit, qui
donne des maledictions, qui fait des imprece-
tions.
ANMALDICOÄR,, v. a. maudire quelqu’un, le
charger de male&lictions. Faire des impreca-
tions , avoir en ex6cration queique chose.
ANALECITAS, 5. m. pl. Amalecites : nom de
peuple qui s’etendait depuis le desert de Pha-
ran jusque sur les bords de la mer Rouge.
Auarciua, 5. f. (l. de chim.) " amalgame :
union d’un metal avec le mercure.
Amarcamacid, s. f. (f. de chim.)amalgama-
tion : l’action d’amalgamer. (fg.) Union , me-
lange (d’idees, d’opinions, etc.).
AMALCAMADO,A, 2.79.’
ANALCANÄR, ©. @. ( . de chim.) amalgamer z
unir des metaux au mercure. (fg.) Mölanger,
unir intimement; faire un amalgame (d’opi-
nions ‚d’idees, de lois, de meurs, eic.).
Anaınipo, 4,P.p.d
AMALHÄrR, ©. a. parquer les troupeaux. V.
Apriscar. v. ». passer la nuit (un ronpean)
dans le bercail,
° AuaLnoin. V. Demarcar.
*+ AMALHAICA, ade. pop. grossierement ,
rustiquement.
AMäME, adj. 2 gen. tachetö de blanc et de
noir ( cheval).
f ANANMELLIA. V. Homamsllia.
ANANENTÄDO, A,P.p
u MAMENTÄR, e. e. ker : nourrir de son
k.
* auinca. V. Amör , Namorogdo.
ANMANCEBÄDO, A, P. 9. d’Amancebar-se, adj.
amouräch&; concubinaire. (fig ) Trop attach6 &
quelque chose. Estar ou viver—, vivre em
concubinage. Bster—com os livros, papeis,
etc. (fam.) n’aimer que ses livres , ses papiers,
y ötre livr& entirement,.
ANANCEBAU£ERTO, 8. m. Concubinage : coom-
merce illegitime de gens non maries des deux
sexes, vivant comme s’ils !’&taient.
ÄAÄMANCEBÄR-SE , v. r. vivre dans le concubi-
nage. S’amouracher, devenir amoureux.
ANANGADO, AMANOaR. V. Manger.
AUANGERONA. V. Mangerona.
AMANHÄDO, A, P.9.d’
AMANHÄR, v. a. (f. d’agr.) culliver, labourer.
Refaise, rascamoder, retablir, röparer. Ar-
msi, ingenieusement.
[ANANHÄR-SE, ©. r. S’arTanger, 50 PR&
nt; shabituer A.-—(a), se menager les moyens
@ariver facilement & son but.
ANANBECANTE, adj.2 gen. qui apparalt,qui
arive, qui se manifeste au point du jour.
sad
ANANHECER , 9. ®. commenoer & faire jour.
Arriver, se trouver ä un endroit & la pointe du
jeur. Paraltre, apparaitre au point du jour.
(Ag.) Commencer ä se developper, & se mani-
fester, en parlant de la raison dansles enlants,
de la prudence, etc. Commencer & exisier, en
perlaut d’un royaume. Com bsm amankiga v.
m. ou Deos amankhtca av. m. com bem, (fam.)
ji vous soubaite une bonne nuit : que le jour
mus treuve bien portant. Em amanhecendo,
quand il fera jour. 4o amandecer, & jour ou-
vrant, au peint du jour. Anies d’—, avant le
ANANBECIDO , A , P. p. d’Amankecer.
Auinno,s.m.’reparation. ({.d’agr.)"Culture,
labour. — es , pl. les instruments nöcessaires et
eenrenables pour quelque ouvrage ou travail
zaunuel.
+ ANANITEADO,A,P. P.d’.
fAsunmmär, v. a. rendre sterile. p. us.
FAusuınnan-se, vo. r. devenir sterile. V.
Aususipo,, A, pP. p. d’Amansar.
Auausanon,A,s. dompteur : celul qui ap-
I „qui rend moins farouche.
Auıssapöna, s.f. ou] ° Apprivoisement :
*ANANSAuENTO,s. m. | Paction d’apprirvoiser.
Auansan, 0. a. apprivoiser, adoucir, rendre
deux. Bendre moins farouche, en parlant des
aniınauı Adoucir, apaiser, calmer, mitiger.
+AUAESAR, 0.9. else, v. r. sapprivoiser,
devenir plusdoux etmoins farouche. Secaimer,
g’spaiser, so mitiger, en parlant du vent, de la
coltre, d’ane douleur, etc.
+ Auinsıa, s. f. (tl. de bol.) amansio ou
amansia : espece d’algue.
Auıutipo, A,P.9.0
“+ ANANTÄR, ©. @. couvrir d’un manteau ou
de quelque autre veiement large et aise. j
Auintz, ?. 0. d’Amer. (de), adj. 2 gen. al-
mant : qui aime.
Aulkurs ‚e. m. amant, ami, amoureux. —i-
mide ou
bersger.— dasoliddo, hommeretire. Os—s, pl.
les personnes qui s’aiment, qui se font la cour.
ABANTEICAÄBO, A, adj. qui a la consistanoe et
le ge&t du beurre, (Ag.) Mou,, douz.
20,4,P.2.d
R, 9. @. entourer de murailles.
Auintzs, s. m. pl. (1. de mar.) ötagues d’un
pelam.
+ AuANTIFÖRNE, adj. 2 gen. qui imite, qui
sessernble & Famour.
Ausasntmımin0, A,P.p.d
+ Ausntınmin (a5 vörgas) v, 0, (4, de mar.)
DURTpFR
AMA HI
belancer les vergues: los lenir en dguilibre
avec les balancinos.
ANANTIiLBOS, 3. m. pl. (1. do mer.) * balanci-
nes : corde qui va du mat & la vergue (pour la
tenir en &quilibre).
AusAnTiSsıNO , A, adj. superl. d’Amanie.
Auinto. V. Amianto.
AMANURNSE,, 8. m. oopiste : &crivain & qui on
diete,, ou qui copie pour un autre.
AMAR, o. a. aimer, aflectionner : avoir de la
tendresse, de l’amour, de la passion, de l’atta-
cheınent. Estimer, apprecier, priser, consid6-
zer; avoir de l’estime, faire cas, avoir honne
opinion, honorer. Desirer, vouleir, choisir,
suivre de preference.—exziremosamente ou por
exiremo , adorer, cherir.
AMARACINO, adj. m. (1. de pharm.) On le dit
d’un onguent fait aveo l’essence de marjolaine.
Auanico. V. Manjeröna.
}Auınino, a, adj. (if. de mar.)p. p. d’4-
marar-se. Navio—, navire pouss6 au large,
qui s’tcarte de la cöte, qui vogue en pleine
mer.
ANÄRAMENTE. V. Amargamentie.
T ANMARANTÄCEAS, 8. f. pl. (1. de bot.) ama-
rantacses : famille des plantes dicotyledones,
fAnARANTe£z,adj. et s. m. de laville d’Ama-
rante (en Portugal).
TAuanuntin, s. f.
an&mone (amaranthine).
AMARANTINO, A, adj. (t. de pods.) de l’ama-
ranthe; eouleur d’amaranthe.
AuarninTo, s. m. ($. de bof.) amaranthe s
plante tres-beile d’automne, dicotylödone,
rouge de pourpre. — papagdio , amaranthe tri-
colore ow de trois couleurs ; fleur de jalousie.
Auanir,v.a.(f.de mar.) gouverner le na-
vire au large , !’&carter de la cöte.
AMARÄR-SE, ©. r. (4.de war.) prendre le
large, voguer en pleine mer; s’slever, s’alarguer.
AMARAVILNA. V. Maravilka.
+ Auantııa,s. f. (6. de bot.) amarella: es-
pece de gentiane.
AMA ‚„A,adj. jaunätre : qui fire sur
espöch d’amaranihe;
le jaune.
ÄMARELLECER,, 9. 6. jaunir : rendre jaune;
teindre en Jaune. v. ». jaunir : devenir jaune.
ÄMARELLEJAR, 9. %. biemir, pälir, devenir
bl&me. Parattre jaune, laisser apercevoir une
couleur jaune. Avoir la couleur jaunätre. Blon-
dir, jaunir, en parlant des moissons.
ÄNARELLENTO, A, adj. un peu jaune; bleıne,
päle. V. Amarellado.
AMARBLLEZA, .
Auaseıtiniö, 2% f. jaune: oonlear jaune.
AMARELLIDEZ,
AuARELLINHO, a, adj. dim. d’Amarello.
AuanfıLo, A, cd. jaune. Biöme, päle. Tini
gir, pinlar d’—, jaunir : rendre jaune. —de
escambroeiro, stil de grain ow de grun.
AMARCÄDAMENTE. V. Amargamenle.
Auancivo,A,p. pP. d’Amaryar et adj. plein
d’amertume. V. Amargurado.
AUÄRCAMANTE , adv, amörement, (fig.) Doie
6
52 AMA
leurwuserment , avoc amertume, d’une manlöre
sensible. Malignement : avoo malignite.
Amaroir, 9. a. (Ag.) oauser de Yamertume,
affliger, faire de ia peine. p. us. v.». @iro amer,
lavoir de ’amertume.
AuARCÄn-SE, v. 7. (fig.) se donner de ’aner-
tume, s'affliger soi-meme. 9. we. V. Amargu-
vr.
A’uinoEu, ve. adv. V. Margem (d).
Auineo, a, adj. amer : qui a de Yamertume.
(Ag.) Amer, fächeux, douloureux, chagrinant,
deplaisant; penible, eruel. V. .
AMÄRGO ou AHARGOR, 5.0. * amertume,amer:
Free W# de 08 qui est amer, au propre et au
Auincos, s.m. pl. (t. de nöd.) amers: medi-
Baments amers.
AMARGÖBANENTE , ado. amörement : avec
amertume.
+ Amancostıra, s. f. (d.de bot.) * az&darac
bipiond.*Lilas des Indes ;margaisier ;sycomore
faax; arbre saint;; Paternotre des Italiens.
AMARCOSISSIMO,, A, adj. sup. d’
Auancöso, A, adj. amer:: qui a de l’amer-
tame au goßit. (Ag.) — , fächeux, sensible, dou-
loureux, deplalsant. Plein de fiel, d’aigreur,
en parlant d’un &crit, d’an discours. Suavizdr
.—_ gorriger yanertume.
® Auıanodz. V. Amargör et Amargöso.
® AMARCUEZA. V, er. et ae
Auanchna,s.f. V. Amargör. Il estir&s-usitd
au Ügurt. — do corapfo, affliction, peine d’es-
prit; douleur, ressentiment. No As praser
sem—, il y a dans tous les plaisirs quelque
amertume.
AMARCURÄDANENTE, adv. V. Amargamenie.
(fig. ei plus usitd.) Avec afliolion, avec peine
d’ssprit; douloureusement.
ANMARGURÄDO, A, 9. 9. d’
, Auanctaiz, o.a. (Ag.) donner, oauser de
Vamertume ‚du depleisir, dal’efliotion ; peiner,
chagriner.
ANARGURÄR-EE, U. r. Be ® r6
ee #’affliger, Per ua prood
ANMARICADO, adj. u. ( fan.) poupin , olld-
mind : qui imite les manitres des femme.
Auanıpad, s, f. grande amertume.
Auanınnivo,A,P.p.d
Auanmnin, v. a. (f. de mar.) amariner:
garnir un navire de marins ; sccoutumer & la
mer, aux man@urres. Manwuvrer. V. Marear
(ando).
AHARINRÄR-EE, 0.7. (£. de mar.) so mariner.
V, lo pröcddemt.
ANABINKEıRÄNO, Auanıntızına. V. Amari-
AnMıniasıno, A, adj. sup. d’Amarge.
Auanırdon ou AukatünNE. V. Amargurs.
AuınLorino, Auanrorin. V. Amarrolar,
ww.
Amino, a, adj. (f. de poes.) wuer. (fg.) P6-
nibie aan Avalon (A)
AMA
Aulnna, so. f. (f. de mer.) AMEPTO ı gros
eäblo A attacher un vaisseau. if. —, alirape,
attrapage : oordage qui sert & plusieurs usages
dans les valsssaux. — de sobreesllenie, (d4.)
le mattre cAble. — segunde , Te cAbte ordinaire.
= terceira, lo oAble d’affourche.— de lancha
on do escaler, *oablot. Pier a ——, osuper les
amarres, le gros coäble de Pancre. Levar—t,
hausser, iever les amarres,, jes ancres. Esier
sobre a —, #tre mouille (le navire). Largar a—,
filer le cAble. Arrier mals —, filer sur Yancre.
Abitar a—, bitter ie cable. Aducher a— , over
te cAble, rouer le cAble. A — fen ma coce ,
le cäble a une coque. Aboiar a —, allöger le
cAble par des futalltes. A — dix pela proa,\e
cable appelle de Pavant. A — estä rossumdo
nos escovens, 16 cAble se ronge dans les &cu-
biers. A— estd mdito täss, ie cAble appelle.
Longurs da— ‚un cäble, une encablare. Faser
costura na—, öpisser ie cAble. Estar a duas
—t, (fig. fam.) eire sur: avoir de la proteo-
tion, avolr plus d’un appui, plus d’une res-
source. V. Ancore.
Auınnaciö,s.f. (l.de mar.) ’amnarrage : an-
crage d’un vaisseau ;mouillage. * Lien, attache.
— de anilho,, (1. de mar.) ancrage & demeure,
corps mort. u
AMARRÄDO, A, 9. p. d’Amarrör, adj. ( lg.)
opiniätre, obstind, invariable, indbranlable.
— 508 lieros, fort applique, trös appligue ä la
lecture. Estar — a dous ferros a vorle geio,
(1. de mar.) affoarcher, moniller en barbe.
ÄAMARRADOR, 8. 9. el adj. celui qui lie, qui
attache, Recors.
Amankapöna, s.f. *lien:ce quilie, attache,
unit ; l’action de lier, d’attacher.
Ausanin, 0.0. atlacher, enchalner : lier
aveo des cordes ou des chalnes. (1. de wer.)
Amarrer : atiacber AYoc uno amalTE.
AMARRÄR-ER, u. r. s’auschor, s’enchalnez.
(g.) S’attacher fortement, opinistr&ment, V.
Aforrar-e.
Auannfra, s. f. dim. d’Amerre, petit oäble;
cAble de tousde. Amarre de barque. st. Grand
marteau pour Gasser les pierres. V. Merr6ie.
AMARROTÄDO,A,P. pP. €’
AMARKOTÄR, ©. 6. Ohiffunner :« bouchonner,
froisser uno ötoffe.
ANARROTÄR-SE, 9. r. so rider : devamlr ride;
perdre !e lustre, la fraicheur.
AMARTELLIDO, A, 9. p. C’Amarteller. Ester
— dums mulker, &ire epris d’une femme, en
ötre perdument amoureuX.
Auırnrkuda, v.a. V. Martellär. (fig.) Teur-
menter, importuner. Courtiser, falre Panıenr.
+* ANMARTELLÄR-SE, 0. 7. Samourscher, ötro
&prin d’ane fomıne, en devenir [ollement aunou-
amertume legere ; suveur
un peu amöre,
AMARÜGEN 0%
Auındız,e.f.
AMARUJÄDO,A,P. p. @
ANMARUJÄR, ©. 9, avolf une savear qui ient
de Tamertume,
AMA AMB 83
ANMESO , 8. m. V. Amarugem, "Amis. V. Amasis,
„A,alj. p.us.trös-amer; plea| *° AuazıLnino, a, adj. piein d’teorchures,
danerune, d’uledves, (Ag.) Imapur, obscäne,
fäsaryııs, 5. f. (6. de bot.) amaryllis: | Auizıo. V. Amasio.
Paste parcisshe. AMAZONA, 8. f. amazone : femme d’un con-
"Auis, a... amas. V. Moniäs. rage mäle et guerrier. is. adj. Qui n’a qu’une
Auima,s. f. SEROuremse, maltzesse. mamelle. (f. #’hist. nai.), s. m. amazone ä 1dte
TAwassan-ee. V. Asigar-se. blanche, esp&oe de perroquet des Antilies.
Auisıo, &. 25. AMAN!, amloureux; ami, c008- Auazömco 0% AMAZÖNIO, A , ad/. d’amazone,
Te. qui appartient aux amazones.
tAmasbuu ‚af. (4.dsbei.)amasonie:plante | + Aypiors. s.m. pl. circniis ; d6tours F’un
kerbacde de FAmirique meridionale, ehemin, (9.3 Ambages : circuit et embarras de
Amassapfını, s. f- pötrisseuse : fernmıe qui paroles; circonloculiong.
Ne an one,zmeie, pötzin, oofre oh Pon pöteit | 4 Ausacıöso, A, adj. piein d’ambigaltäs,
Sın0. V, Amassader. d’obscurit&s, de dötours, d’ambages.
t Au2alsi, s. f. (6. de dos.) "ambajba : arbre
urtice,
T Ampaltınoa , s. f. (4. da bo.) * ambaltinga :
espece d’ambaiga du Bresil.
tAusiro, sm. (1. d’hist. nat.) ambaje :
chat de la Chte-d’Or.
T AusaLid, s.m. (6.de of.) ambalam: arbre
des Indes & sue nutritif: imbecile,
tAusapiıa, s. f. (8. de bos.) * papayer ou
papou : arbre eucurbitace des Indes.
Ausan, s.m. ambre : substance rösineuse,
odorante et inflammable. — amarello,, succin,
carabe. — facticio ou falso , * ambröade. V.
Alambr
(2
+ Ausanin, v.a. ambrer : perfumer avec de
Pambre. V. Alambredr.
f Ausire, s.ım. (t. debol.) ambere : grand
arbre de Pinde.
fAuBARiLEA ,s. f. ambrette : flour de grand-
Ausssip0, 4, 9.9. d’Amasıdr.
AMASSAPOIRO OW ANASSADÖTRO, 3. m. p6trin.
V. Amassedeise. it. — de ce} . bassin oü l’on fait
le mortier avec la chaux et le sable.
Auassan6a, s.m. petrisseur:celui qui petrit.
ANASSADÜRA, 5. f."pötrissage, l’aclion de p6-
fir; portion de p&le pour faire du pain. * Mor-
bez, diment,
T Asıssurtuto (d’um navio) „s.m. (6. de
mer.)"renisde du vaissssu.
Aussein,o.a,. pötris ı faire la p4te pour le
pain. Gicher du plätre, du mortier. Malaxer:
pitzir des es. Masser;; bosseler ; öcraser,
feuler. (Ag.) Möler ; manigancer.
Amsssin-sE, 0. r. se p6triner. (fg.) Se oon-
alier : @ire bien ensemble. S’amasser.
Ausssania, &. f. Yendroi ou Fon pörk le
pein
Auassıine „Auassıin. V. Asasiar selgaeur, potite Bear qui sent Fambre.
ANASEEmO, s.m, Tayslhheerrung ‚te. ANBARINO ‚A,adj. ambresin : de Fambes.
sam Pp.d Aupanvizs, s. f. pl. (ti. d’emb.) Amıbarvales:
föte de Cerds (powe ebtenir une rioelie faun-
rable).
} AMBARVÄTE, 5. m. (6. de bei.) ambarrats ı
+ur. (& de mer.) so pow-
zur . vivres, eo. S’associer ( Pour manger)
. f . de Mad .
Ausrin,o.e, V.dsiär, (fg.) Eleser, faire arbro do nm li.de bet.) ambei ı espten do
disparaßtre. nenuphar de l’Inde.
ANATILMÄR, ©. 8. ameuter : meitreo les chiens
eu maus,
Auırisra. V. Amethiste,
Auırivo, a, adj. (1.de ihöol. 2.%e.) qui alme.
A, ed. qui a du rapport avec
Famsur, qui’ Yinspire, qui traite 66 Yamoar:
ar 0m Amaundenn, ®. f. (8. de med.)
> 4 ®
aub2uro00 > gont sereine; cöcit6 par une pa-
Amiver, elf.2 on. almable ; digne d’%ire
Auni,e.m. (f.de hir.) ambi : nsirumnskt
pour reduire la luxation du bras, de Y’humnteus,
+ Amsıs, s. m. ausbia : bitmne des indes,
odoriferant.
Ausıcäö, s.f. ambidon : destr Immoders
d’bonneurs, de gloire, d’sl&vation, de powvpir,
de fortune, eto. V. Cobips. Covar 4 —, aeearir
Yavarice.
kusıciozfuna , 3. f. dim. d’AmDigko.
AuMBIicıAR. V. Ambicloner.
Aumasnise, 1,9. d
AENCHEAR , 0.0. amlilloaner » sochesther
avcc ardeur, avec empressement ; silver auss
ambilion.
AUBICIÖSAMENTE, adv. auıbllionsernemt +:2080
arsibitben,
Ausıcıosissıuo, A, adj. sup. @’
ANBICIHSO, A, adj. ambitiewx : qui a.de Kaıi-
pition - Galmi qui desise quelqun chese auao
vun
i 3
Ausvlas,s.f. pl. philtre ameusenr :
Auaroe em N brewrage , dsegue,
Ouppe6 propreä )
DT an Brugrei Gonner del'umser.
Ausvı650. V. Mavidso.
"Autumn, 3. Ämtiimer-ss,
8 AMB
* AMBIDEXTRO,A, adj. et s. ambidexize : qui
se sert ögalement des deux mains.
AMSIEnTE , adj. 2 gen. ambiant : qui enre-
loppe, qui entoure.
AwsıtnTz , s. m. ambiant : Pair ambiant. n
se dit de Pair, des fluides elastiques. 6. de pAys.
« AMBIESQUERDO. V. Cankoto.
AMBIGUAMENnTE , ado. ambigument : d’une
maniere ambigud.
Ausicvinipe, s. f. ambiguits, &quivoque,
doute, obscurits, incerlitude. Ander com —$,
squivoquer, user d’quivoques.
Ausicuo, A, adj. ambigu, douteux, eqyui-
voque, obscur, incertain, louche. Razöes —a#,
saisons cornues.
Ausiaı. V. Embire.
Äusıto , s. m. contour, circuit, circonfe-
rence : P’enceinte d’un espace quelcongque. * In-
trigue, cabale, recherche.
ÄAMBLICÖNIO OW
AMBLY’CONO, adj. m. | gone, obtus-angle.
Ausıyoria, ». f. (f. de med.) ambiyopie:
obscurcissement, affaiblissement de la vue des
vieillards,, sans vice apparent.
Äuso, s. m. ambe : combinaison de deux
numeros ä la loterie. if. (1. de chir.) V. Ambi.
+AusOm, s.m. * tribune, jube (pour chanter
ä l’öglise).
Ausön , s. m. (t. de bof.) ambon : arbre des
Indes orientales.
+Äusona, s.f.(t. de bot.)"ambora :arbre de
Madagascar.
AusonuaL. V. Embornal.
Aunos, as, adj. tous les deux, les deux,
Yun ot l’autre.
Aunax. V. Ambar.
Ausakipa. V. Ambar-falso.
Ausazivo,A,p.p.d’
Ausazin. V. Ambardr.
Ausatra. V. Ambarilha.
+ Ausnatvanı, s. f. (6. de bol.) ambrevade:
oytise des Indes.
Ausnosia, 5. f. (4. de mytk.) ambroisie:
nourriture ordinaire des dieux. (g.)" Meis ex-
is. «4. (8. de bot.) Armoise, plante; th6 du
zique.
AuBROSlACO, A, adj. ambrosiaque : qui tient
de l’ambroisie.
Ausnosıäno, A, adj. ambrosien : de saint
Ambroise.
+ Ausnosinia, s. f. (4.de bot.) ambrosinie:
plante de la famille des gouels.
$ Ausnösıo, A, adj. parfums d’ambroisie.
+ Aunnösuıa, 5. f. (4. de dot.) ambrosmie:
plante arolde.
Aund. V. Bambü.
Aunuir. V: Bambudi.
Aunviıa, s. f. joueuse de flüte (chez les an-
eiens Romains).
« auscoz, V. Ferrälko.
Ausoıa, s. f. amponle; fiole, pelite bou-
teille. — do sacrarie , ciboire, — samola (de
($. de g&om.) ambiy-
AME
Reims), sainte ampoule, !’hulle d’onetion, le
vase qui servait au sacre des rois de France.
AusuLincıa , 8. f. (8. de mil.) ambulance:
höpital ambulant.
AusuLinte, adj. 2 gen. ambulant : non Axt.
Amolador — , gagne-pelit, r&mouloun.
ANBULASINBA , 8. f. di. d’Ambuls,
AusuLativo, a, edj. ambulant. On le dit des
por sonnen qui sont toujours par voies et par
e
ANBULATORIO, A, adj. ambulatoire : qui va
etvient; ambulant.
AusuLnina. V. Ambulasinha.
+ AusöLıa, s. f. (6. de dot.) ambulle : plamte
aquatigue du Malabar ; Iysimachie.
+ Ausöra-Eupö, 3. m. (6. de bol.) ambuya-
embo : aristoloche grimpante du Bresil.
Autı. V. Ameis,
AMEÄiCA, 8. f. menace : parole ou geste pour
menacer.
ANMBACÄDANÄNTE,, adv. aY06 Nenaces; d’une
AMEACADÖR,, A, 5. menaceur : oelui qui me-
nace.
AMEAQAUENTO. V. Ameapo.
AMEACÄNTE , adj. 2 gen. qui menace. 9. a. d’
AuzACÄR, u.6. menacer : faire des menaces.
i.—, pronostiquer du mal, faire eraindre.
— ruina, menacer ruine : #tre sur le point de
crouler. Amsapa a tempesiade „ la foudre
gronde.
Auxicia-SE, ©. r. so faire des Menaces.
- Auzico, 5...“ menace. Annonce de mal
€minent. *Commination. — da doöngs , rossen-
timent d’une maladie qu’on a eu ; atteinte d’une
maladioe. Ameayos da barba, le davet, le pre-
mier poil qui vient au menton et aux jJomes des
ANEALHÄDO, A, 9. P. d’Amealhär.
AMEALHADOR , A, 8. Celui qui lesine. V. For-
röta.
ANEALHÄR,, v. a. lösiner : user de I6sine;
amasscr avec avarice.
Auzis. V. Ameiar.
Auento,A, adj. amebee, (po&me) & deux
interlocuteurs.
Autoo. V. Medo (a).
ÄNMEDRENTÄDAMENTE , ade. craintivement s
avec craintle. .
AMEDRENTÄDO, A, P.P- d’
ANEnRENTÄR, v.0. intimider,eflrayer, &pou-
vanter, donner de la crainte, faire peur.
ANMEDRONTÄR, etc. V. Amedrentär.
° AMECADO, Amzcan. V. Amolger, etc.
° Auscza. V. Am6ijos.
Auxoo. V. Amago.
Autu, s. f. (1. de fort.) oontze-bretesse,
merlon , cr&neau de ımur, barbacane.
Autıino,A,P.p. d’ .
Autıia, 0.0. oscmeler: gurals de cröneauL.
AME
AumcAR , ets, V. Afager.
Ast ou mytule, selline : coquillage
Antıoa, s.f. } bivalve.
iszıoipa, 8. f. päture qu’on donne la nuit
at troupeaux. Grosse perio au jeu dans une
zance de nuit.
ANZUOADO, A,P.P. d’
ÄANELIOAR, ©. 6. parquer, paltre. v. ». et
-,v.r. V. Amalkar. (fig.) Passer la nuit au
"Ausısorir. V. Ameijodr.
tAxtına, s. m. (8. d’hist. nal.) ameiva:
esptce de lezard.
Astıza, s. f. prane: fruit du prunier. —tem-
pord, prune bätive. — saragordna,, prune
grosse , longue et tr&s-douce. — reinol, prune
de Portugal. — passada, prune söche, pruneau.
Arsmir „3. m." prunelaie : lieu plant& de
pruniers.
Augıxıfına ,s. f. "prunier : arbre qui porie
des prunes.
Autsa ou .
nf. | V. Ameijoa,
TAmtına, 5. f. (8. hist. nal.) amelie:
agren.
+ Auiırno, s.m. (8. de bot.) amelle:: arbuste,
plante corymbifere. — de Virgilio , astere
amelle
AuzLoino ,a, adj. quia la forme du melon;
qui en a je goüt.
f Autıro, s.ın. (8. de bot.) amelpo : arbre
da Malabar.
Autıroino, A,ady.couleur demerle (cheval).
Aufßu ou amen.Ainsi soit-il. 1] est aussi
Außtu, ade. I interj.ets.m. Dizer—a tudo,
consentir a tout. Dar os —s a alguem , latter
queiqu’un ‚, approuver tout ce qu’il dit ou fait.
. iczm, V. Homendgem.
Außacı.V. Demsöneia..
Außu2poa, s.f. amande : fruit de l’amandier.
-— ie dedans des noyaux des fruits,. —, dia-
mans taillö en forıne d’amande. —s de cristal
on pingeniss em forma d’—e, pendeloques.
= cobertas, amandes lisses.
Auzu»oina, 3. f. amandee : boisson faile
aves du lait et des amandes hroydes. Boisson
ealmamte , soporative : lok. " Lait d’amandes.
+ Auzapoino, A, adj. amande : qui tient de
Tamande, qui en a le parfem.
Aussmmoit, s.m. terrain plante d’amandiers.
Auzusoßına, s.f." amandier :arbre quidonne
les anmandes.
Auszsolu, 8. m. (t. de bot.) arachidne &
qusire feuilles : pistache de terre,noix de terre,
plante bulbeuse du Bresil et d’Afrique.
AuzupUinas. V. Amondoim.
ANZSIDADE, 8. f. amönit# : beaute, agröment
d'un site delleleux, @’un beau paysag®. (fig.)
- , agrement du varactäre,, du style, elc.
Auzsmino, A, adj. enfantin, comme un en-
Eant, & maniöre d’enfant; faible , delicat.
AKBENIBÄBO , A, P. P. C Amenisar.
AME 8
ANENISÄR , o. 0. donner de l’amenite. On le
dit au propre et au figure. — um discurso,
€gayer un discours,
ANENISSINO, adj. sup. d’Am4no.
ÄMENisTA, 8. m. oelui qui dit amen
autre. V. Amen (dixer RN ım
AUßNO, A, ady. agreable & la voe, beau,
charmant, frais, delicieux, qui a de Pamönite:
plaisant, delectable, divertissant. On le dit au
propre et au figure.
AMENORRfA,s. f. (1.de med.) amenorrhee.
interruption du flux menstrusl.
AuE£NOS, adv. au moins, pour le moins, da
moins.
ANMEnOösissımo. V. Amenissimo.
" ANENTa. V. Emmenia,
AMEXTÄDO, A, 9. p. d’Amenfar . eD-
chants ‚ charme. ‚MP all. en
AMENTADOR,, A, 8. enchanteur, magicien.
AMENTAR, v. q, (4. ruslique) ensorceler,
charmer, eroquer, faire venir par enchante-
ment (les animaux). ‘‘. Rappeler, faire res-
souvenir les noms des decedes;; dire le Me-
mento pour leurs Ames.
AUENTE,p. us. V. Demenie,.
TAMENTILBO, s. m. (1. de bot.) chalen : ee
qui renferme la coquille du gland, de la noix
et la graine de tulipe.
T AMENTILnöSas, adj. f[. pl. ( Plantas, flo-
res —, . da bot.) amentac&es (plantes).
“ AMENTRE, ade. tandis que.
Au2os, s. m. pl. (. de bot.) ammi: plante
ombelliföre; sa graine, chaude, aromatique,
entre dans la Iheriaque. V. Ammio,
" Auznack. V. Mercd (d).
* AMERCEADÄR-SE. V. Ameorcsar-se.
* AMERCEADOR. V. Compassivo , Piedoso.
* AMERCRAMENTO. V. Compaisdo , Piedade.
" AMERCEAR-SE. V. Compadecer-se, Apie-
dar-se. "
" Autaczn. V. Abaixar.
AMERGULNAR, etc. V. Merguihar.
Au£rica, s. f. (6. de geog.) Amerique : une
des cing parties da monde.
AMERICINO, A, adj. ots. Am6ricain : d’Ame- .
rique.
fAuezricıua, s. m. (t. d’hist. nat.) americi-
ma : ospece de I&zard d’Amerique.
ÄAMESERAR-SE. V. Amiserar-se.
AMESQUINHÄDO, A, adj. malheureux , desol6.
p.p-.d
AMESQUINHAR, U. 8. donner avec mesquine-
rie , avec lesinerie. if. Reduire 4 un tat mise-
rable,, rendre malheureux. V. Amofinar, Apo-
quentar.
ANESQUINHAR-SE, vd. r. tomber en misere; se
reconnatltre ıniserable, malhegreux, digne de
compassion. Se plaindre, se desoler, sc lamen-
ter, so desesperer, se ronger le cur.
ANMESTRÄDO,. A, adj. instruit, dresse, forme.
p. p. WAmwsirer,
88 AMI - AMM
Auzernasön, A, s.colni qui Instruit, dreuse, gi Falme. adj. V. Amigevel; Amamendede. it.
forme, ete. avorable, propice. — d’ulma, ami du cur,
ÄNMESTRAR, ©. @. insiruire,, dresser, former. | ami intime. —de fara, de cöpo, ami par intt-
V. Ensinar. ret.—de si mesmo, €golste, personnel. — de
saurar. V. Mesurar, Medir. dar conselhos, donneur d’avis. No aperto e
Auzaanan > no perigo se conhece 0—, (pro®v.) on connalt
* Aueraı. V, Metade. les amis au besoin. Amigos come d’anies,
amis comme auparavant. * Amigos, —s, negoeio
#4 parte, (fam.) ami jusqu’a la bourse. Faxer
ou lorner amigos (os que esiaodo desavindos) ,
rapatrier. Como amigos, A l’amiable. Ter care
de poucos —s, avoir le visage negatif. Ter mui-
los —s, avoir nombre d’amis.
AuIcOTE, s. m. (fam.) V. Amigwinko.
ANIGUinHA , 8. f. dim. d’4msige. -
AmuıcUinno, 5. m. dim. d’Amigo, Petit ami;
ami tendre.
Auıcvissımo. V. Ausicisssmo.
Auımino, a, p.p. d’dinimdr. adj. Caresse ,
mignots; choy6, gäte.
* AMSTALLÄnDO, A, adj. garni de mıstal; mel&
avec du metal; de eoulsur de laiton, desuivre
jaune.
AMETEYSTA,, ANETEYSTO, s.m. amöthyste :
pierre precieuse, cristal de roche, pourpre-
violet. is. (& d’hist. nat.) —, oiseau-mouche
de Cayenne.
ANMETISTA , ANETISTO. V. Amelhysia,
Austpe , AuEöparR, etc, V. Amiudaer, eic.
ANSZENDADO,9.9.d’
ANEZENDAR-SE, v. r. (f. fam.) s’asseoir en
fauteuil bien & son aise; s’asseoir negligem-
ment.
Auszılnnanon,. V. Mözinheiro. ÖR,A, .et adj. caressant, qui fait
Autzınnan, etc. V. Mäsinkar. des caresses.
Auszio, V. Omixio Aufmän, v. 6. cajoler, amadouer, flatier, ca-
+ Ana, s. m. (1. d’Mst. nat.) "amie : poisson
resser, mignarder, amignoter, dorloter ;choyer,
abdominal, osseux. .
gäter
AuIALoW ANIRIRAL, 8...’ aunale: lieu plants | Awımcoar. V. Mingoer.
d’aunes. AuınfcoLo,s.m."preuveindirecie. V. Indieio.
Auıinro, s. m. amlanie : mineral fbreux | Auımmsraan. V. Adminisirer.
dont on peut fai:e de la tolle incombustible. ANISERAR,, eic. V. Amesquinkar, etc.
2,0.0.(-aamerra, t.demar.)| °Awıssiö. V. Perda.
ANICHRLIÄ
saisir lo oAble aveo ies garoettes de la tourne-
vire.
AuıSsivEL, adj. 2 gen, amissible,, qu’on peut
perdre.
* Auııcıcıa. V. Amisade. * AMISTANCA. V. Amizsade,
Auıdssiuo, A, adj. sup. d’Amigo, trös-ami. | *Auıstan. V. Reconciliar.
Aufcızs, s.m. ancien habillementde femmes. | Auıro. V. Amicto.
Auicro, s. m. amict: linge benit que le prö- | * Auırria, etc. V. Admitlir, eto.
tre met sur latste ou sur les 6paules quand il | AmIöDÄDANANTE, ade. V. Amidde.
s’habille pour dire la messe, Auröpino, A, adj. fröquent, redoubls, rei-
Auıcrönıo, s. m. fichu des dames romaines. | törd. p. p. d’
Auıpiö, V. Amido.
AuıöpaR, vo. @. redoubler ; r£pster, reiterer,
faire souvent la meme chose.
ANTÜDAR-BR , ©. r. se redoubler, se faire son-
vent, repeter, devenir plus fröquent, croftre
de plus en plus.
Auıöne ou Aurdoo, loc. ade. sourent, Mr6-
quemment, plusieurs fois.
Auızipz, 3. & amitie, union, affeotion que
Fon a pour quelqu’un, et qui d’ordinaire est
mutaelle. Gräce,, lfaveur, honnstets , bienveil-
lance. Assistance gu’on donpe Aun ami, bon
ofüoe qu’on lui rend. — ülicita, ooncubinage.
— falsa, 0 engamosa , amilis de cour. Es boa
— ‚de bonne amitie. Quebrar « —, rompre I’a-
mitie. Trevar —, oontracter amitie.
Auino, 3. m. amidon : päte de fleur de bi6
söche dont on fait la poudre; f&cule blanche ti-
ree de la farine du froment.,
Auıkına,s.f. ow Auıkıno,s.m. aune(arbre).
— pr£to, bourdaine. —bronoo. V. Alamo.
uerias, s. f. pl. amiesties : toile de coton
des Indes.
Auicı, s. f. amie; bonne amie, maltresse.
wiatcino, &, P: P. d’Amigar-se. V. Amancı-
ANICAMENTE, adv. avec amitie, en amf.
Auıcar, o. a. unir par Pamiti&, rendre ami,
lier d’amitie.
ÄMIGAR-SE, v. r. s’anir par P’amitid; se re-
Amancebar-se
eoncilier. it. V. . AMızaDiuma, 5. f. dim. d’Amisade.
AuıcÄvEL, adj. 2 gen. amical, amiable : qui| Auızıano. V. Homsziado,
part de l’amitis; doux, gracieux , bon. ANIZIDADE. V. Amwizads.
Aumarıs, V. Zmmarer,
T AMMIO, s. m. (f. de bot.) ammi: plante om -
belliföre. — mener oa verdadeiro. V. Am£os.
— moior, ammi commun 08 ordinaire. — dos
antigos, "lagocie cuminolde.
+Auuitzs, 0. f. (6. de mindr.) ammites
ovaire, pierre ovaire,
ANIGÄTELMENTR,, ado, amicalement : d’une
maniöre amicale.
AuicoaLas. V.A .
Auico ‚a, &. ami : celui ou oelle avec qui on
ast ii d'une affection röeiproque. (Ag.) Ama-
qui a de Yattachement, du penchant pour
30 chose, qui est port# & quelque chase,
AMO
+lımocnayse, s. m. (1. de miner.) Mica
irilsnt jaune, or de chat, ammochryse.
fAumonrız, s. m. (1. d’hist. nal.) ammo-
te: apode, anguille.
+Auuds, s.m. (1.d’Mst. nat.) ammon : belier
Ausoniı, 3. f. (1. de chim.) * ammoniac ow
s alcali, combinaison d’azote ei
dhydrogine.
Auuossackno, A, adj. (f. de chim.) ammo-
niach : qui eontient de F’ammoniaque.
AuwonucaL, adj. 2 gen. (f. de chim.) am-
moniacal : gsi tient de ’ammoniaque.
Aumwozisco,A, adj. (1. de chim.) ammonla-
que. V. Selammoniaco, Gomma ammoniaca,
Ammosis.
+ Auurısinı, s. f. (f. de bot.) amımyrsine:
planfe de FAmerique du nord.
Aunzsia ‚8. f. (4. de med.) amnisie: perte de
la mämolire.
+ Ausıowanclı, s. f. amnlomancle : dirina-
don par Famnios.
Aumıos, s.A. (t. d’anal.) amnios : membrane
qui enveloppe le fatus.
Ausısris , s. f. amnistie: pardon göndral ac-
oord& parie souverain aux rebelles ou deser-
tsurs
Ammmipo,A,p.p.d’
Aussstıir , v. a. amnistier :accorderun oubll
partiel ou general aux rebelles ou döserteurs.
Äwo, s. m. maltre : chef d’une maison, d’une
famille. —, propristaire. —, patron : celul qui
a des sujets , des domestiques. Päre nourricier;
precepteur, gouverneur. V. Aio.
AuosıLıpäne, s.f. amovibilit : qualitö de ce
qui est amovible.
+ Auosvpö, s. m. prätre africaln.
Awoczcan 0% AuOSSECAR. V, Amolgar, Amos-
ser.
+ Auosfra. V. Ammodyte.
AMOBORRÄDANENTE , adv. EYec assoupisse-
ment ou l&thargie.
AuO0PORRiD0, A,P.9.d’
Amoponkir, 9.8. causer un profond asson-
pissement, produire une löthargie.
ANODORRAR-SE, ©. T. B’aSs0upir, tomber en
AuozsiD0,A,p.p.d’
AmNOxDÄR, U. 6. monnayer:batire de la mon-
naie,, Yui donner empreinte. —dinheiro, gar-
der de Fargent monnaye.
Amoxstaci0,. V. Admoestardo.
AUOESTAR , ote. V. Admoestar, etc.
Awovrısıci6,s.f. “ennul,tracas, peine, tour-
ment ; chagrin, aflietion, inquietude.
Auormipo, 2,9.9.d’Amofnar.
ABOrNADOR, A, adj. qui depite, qui lour-
mente, qui tracasse.
ABOFINAR, ©. 0. chagriner, fächer, Irriter,
eßßenser, faire bouder ; depiter, ennuyer, tour-
menter,taquiner, vexer,tracasser, [aire enrager.
AuosInan-sE, o.r. se d£piter, so Tächer, s’in-
agner, s’aflliger, so tourmenter, so Chagriner,
Fiaquifler.
“ AMO 87
® Amomid.V. Amido.
AMOJÄDO,A,P.P.
Auosik,v.a. ein, se remplir de lalt,
Au030, s. m. * abondance de lait (aux ma-
melles).
AuoLino, A, 9. p. d’Amolar.
AMOLADOR, 8. m. &mouleur, remouleur : veluı
qui falt le metier d’&moudre toutes sortes de
ferrements. — ambulanfe, gagne-peilt,
AMOLADURA,, s. f. “aiguisement: Y’action d’al-
guiser, de rendre algu. Amoladuras, pl. petit
sable qui se dätache de la meule ou d’une autre
pierre & aiguiser lorsqu’on s’en sert, boue de
remouleur.
tAuöLıco, s.m. (1. de bo4.) amolago : espöce
de poivre du Malabar.
ANOLAR , v.a. ömoudre, römoudre, repasser,
alguiser.(fg.)V. Agugar.(Ag. fam.) Tarabuster.
‘6. Aiguiser, dans le m&me sens qu en francais.
AMOLDIDO,A,P.p.d’ .
AMoLDÄR, v. a. mouler:: jeter dans le moule,
(Ag.) Faeonner l’esprit, les moaurs, paur l’in-
struction , pour l’usage, etc.
AMOLDAR-SE (0), d.r. 56 Conformer, s’ajuster
aux usages, aux goüts de quelqu’un ; s’habi-
tuer, s’accoutumer.
AuoLsstäir. V. Molastar.
AMoLciDO, A, p. p. d’Amolgar, adj. bes-
sel&ö, &corche, froiss6, aplatl.
ANOLGADURA, 5. f. * froissement , froissure,
aplatissement.
AMOLCAMENTO, 8. m. V. Amolgadura.
AMOLCAR, ©. a. bossuer, froisser, &corcher,
bosseler ; &craser, aplatir. (%g.) Vaincre, plier,
courber, &mouvoir, faire Impression.
AMOLCAR, v.». c&der, ‚plier, s’affaiblir, se
rendre.
* AMOLHAR. V. Amolgar.
* AuoLnoaR. V. Amalkoar.
AMOLLECEDÖR ‚A, adj. et 3. qulamollit, au
propre et au figure.
ÄANOLLECER , ©. a, amollir: rendre mou ce qul
est dur, V. Abrandar.
AMOLLECER,, 9.9. et AMOLLECER-SE, U. f.
s’amollir, devenir mou, perdre sa durete. (Ag.)
S’effeminer : perdre l’energie, la vigueur, le
courage; attendrir, toucher, &mouvoir & com-
passion.
AuoLLzdoo, A, p. p. d’Amollecer et adj.
attendri. (fg.) Attendri : sensible A la pitie. if.
Corrompu par le luxe, l’oisiveis, les plaisirs.
} ANOLLECIMENTO , 5. m. amollissement:
action de mollir, d’amollir ; ses effeis.
ANOLLENTÄDO, A, 2. 9. d’
AMOLLENTAR, ©. 0. V. Amollecer, Abrandar.
+ Auoukas (plantas), s. f. pl. (f. de bot.) amo-
mees : famille de plantes du genre de l’amome.
Auönmo, s.m. (£. de bot.) amome : fruit d’une
plante du genre des balisiers; drogue qui entre
dans la theriague ; arbuste solan&, plante odo-
riferante des Indes. —d’Allemanka,* berie aro-
matique. —cardamomo, V.Cordamomo menot,
—daJomaica, V. Pimenta da Jamaica,
* Auonsa, V. Admossiar.
8 AMO
+Auonczisa, 8.f. (1. de bei.) * ammengeaba :
espöce de plante graminde du Bresil
Auontipo, A, 9.9. d’Amontar. adj. relu-
gi6 dans les montagnes. Lugar —, terra —@,
pays montueux, terre montueuse coup6e par | d
des eollines.
Auontar,o.n. V. Monter, v.".
ANONTAR-SE, ©. r. s’en aller, s’enfair dans | PfC
les montagnes; s’enfoncer dans un bois.
Auontoickö, s. f. accumulation, agglom&-
ration, entassement, amoncellament, monceau,
amas ,tas. (fg.) Conlusion de mots ou d’idees.
AMONTOÄDAMENTE , adv. par las, par MOn-
G8aux.
AuonToipo,A,P. pP. d’Amonloar.
ANONTOADOR, A, 8. ramasseur : celui qui ao-
cumule, qui entasse, qui amasse de l’argent ou
toute autre chose.
AMONTOAMENTO, 3.1. V. Amonloagdo.
Auonroir, v. a. accumuler, amonceler, en-
tasser, conglomerer, empiler, tasser. (fig.) En-
tasser, confondre, en parlant d’id6es, de cite-
tions, de mots, etc.
ANONTOÄR-SE,, ©. r. crollte 60 MOonceaux.
(Ag.) S’accumuler. V. Accumuler.
20,4,9.p.d
+ Auonrunin, v. a, tassor les ordures, le
fumier.
° Auooran. V. Amorer.
Auör, s.m. amour, aflection : sentiment par
Tequel le cur se porte vers ce qui paralt aima-
ble, et en fait Pobjet de ses affeolions et de ses
desirs. Il a toutes les acveptlions du mot fran-
tais.* Passion d’un soxe pour Fautro; penchant,
inclination.*Douceur. La personne, !’objetaime.
*Dilection. i4. Cadeau, don. V. Mimo. Meu—,
mon c=ur, mon amour. — proprio, amour
propre, philautie. — plafonico, amour plato-
nique (sans dösir ; pur). — com smor se Pags,
AMO
Auörı,s. f.“ müre : frult du märler. —e de
silva, müron : fruil des ronces; müre sauvage
qui erott sur les buissons.
„Amorioo ‚A, adj. couleur de müre. ül.9.9.
Amorar.
* AMORANGA. V. Awor.
ANORAR, v. a. cacher;; reienir, arröter, eın-
er.
ANORAR-SE, ©. r. so Cacher: stabsenter, 8’6-
loigner.
AuoRivEL, adj. 2 gen. almable, amourenx ;
doux , caressant.
ANORAVELNENTE , adv. amoureusement, tem-
drement, avec amour.
Auontına, s. f. (l.de bot.) "mürier: arbre qui
pırte les müres : amentacte , nourritle ver A
sole. —dranca, amomie: mürier blanc. — fram-
boeza. V. Silva frambosztira. — lalaibs, bois
jaune du Bresil.
ANMOREIRÄL, 8. m. champ plants de müriers.
f Auönzs, s. m. pl. (6. de bot.) " bardane,
glouteron : herbe aux teigneux, plante medi-
AuonfrE ‚s. m. dim. d’Amor, * amouretias
amour passager, de pur amusement.,
Auonicos ou AMORINHOS, 8. m. (fam.) Vu
Auoniyeao, A, adj. qui a de l’amour, qui
inspire , qui excite ’amour.
Auoais, adj. f. pfra—, espöce de poire Iräs-
fondante.
*Auonio,s.m. V. Amor, Amizade.
Auoanuino, A, adj. morveux : qui ala morve,
on parlant d’un cheval. 7
AMORNÄDO, A, 9.9.d’
Auoanir, v. 6. atti6dir : chauffer un peu,
rendre ti6de. u.a. et — se, v.r.tiedir, sattiödir.
+ Auoanuscha ,v.», devenir tidde, s’sttiedir.
Auorösa, s. f. chanson accompagnee de la
PFamour ne se paio que d’amoar, ou amour par | gnitare
amour; & bon chat, bon rat. c0mo por
— de Deos, donner de mauvalse gräce. Em
—s compankis, en bonne intelligence. Por —
de Deos, au nom de Dieu. Por — de mim ou
por — d’isto, ä cause de mol, & cause de ceci,
de cela.Adoscer d’—, languir d’amour. Estar
ebrasado d—, &tre en prole & P’amour. —s,
pl. amours: amour, Inclination, attachement,
galanterie. On le dit ordinsirement de ’amour
ıllicite. Mon amour, mon omwur : expression de
tendresse dont se servent les amants.” Amours:
tout ce qu’on alme avec passion. —s Rovos,
nouvelles amoaurs. I amores ! cris des
anciens cavaliers quand ils rentraient dans la
lice. Do mil —e, de bon omur, trös-volontiers,
avoc le plus grand plaisir. Carte, escrilo ds,
billet doux.
Audn (8. de mytk.). V. Cupido.
Auön-p’uorrzLiö, 8. m. (4. de bo.) grate-
ren, callle-lait, gallium.
+ Auör-rzartıro,, s.m. ° pensde (plante et | peint
leur). * Violette de trois oouleurs ; herbe de la
Trinits. — dos vsihos,* ancolie, dglantine; o0-
Iombine; galantine; gants de Notse-Dame.
ANORÖSAMENTE, adv. amoureusement, avos
amour.
AuonosissıMO,, A, adj. sup. d’
Auonds0, A, adj. affectueux, sensible, ai-
mable, amoureuz, tendre. Qui concerne l’a-
moaur, d’amour. Tempere, doux, possible, en
parlant du temps.
Auönrno, A, adj. (1. d’hist. nal.) amorphe :
irregulier. s.m. (6. de dot.) amorphe : arbrisseau
d’Amerique & fleurs trös-irrögulieres.
ANMORTALHÄDO, A ,P. p. d’Amorlalker.
ANORTALHADOR „A, 3. oelui qui onserelit les
morts.
ANORTALEÄR, ©. 6. ensevelir : envelopper
un oorps mort dans un drap, dans un linceul,
88, 9.7. (fig.) S’envelopper dans un velement
grossier pour faire penitence.
AnOarEckk , ov. a. faire amorlir, engourdir,
endormir, causer de l’engourdissement. (Ag.)
Temp6rer, modeörer, amortir, ralentir. (1. de
.) Amortir, en parlanı des couleurs dont
on saffaiblit la vivacits, l’öclat, par des cou-
leurs sombres ou autsoment, Il est aussi Deu-
tse et z6ciproque.
Auterstino „A, pP. 9.@’Amerleoßr.
* Aussrırıcan „eis, V. Mortifcar.
"’ ABORTIGUAR „ etc. V. Amorieser.
immerrzackö, s. f. * amortissement : rachat,
ulinstion d’ane pension, d’ans renie. * AmOT-
isseıment : Yaction de translörer, de denner
des iumenbies qui alent appartenu & des lal-
ques ‚ ä des oommunaulös religieuses, qui ne
AHORTIZAR,, U. e. amortir : donner la Posses-
siom d’une terre, d’un fief, & des gens de main-
mamie. —, des rentes, des Ponsions,
eie. ‚en peyant ou en d6dommaygeant cosXx On-
vers qui Fon ost oblige.
AMORTIEAVEL,, adj. 2 gen. amortissable : qui
peut ötre amorti (rente, pension).
AUOREINNO , s. =. dim. d’Amor, petit-amour.
Auderna ,3.f.” 6chantillon, montre; essai,
dpreure. (#2. ) "Signe, indice, preuve. %.(fg.)
* Echentillon : partie, passage pour faire con-
saltze le tout. #4. (4. de mil.) V. Hostra. Dar—,
marguer, tdmmoigner, prouver. — do pamno,
(Ag) $ehantillon : chose qui fait juger des au-
ires de ia mıösme Sspece.
Auosrasciö,s. [.Vactionet l’effetde montrer.
* ANOSTRAMENTO, AMOSTRÄNCA. V. Amosira-
* Auosrain, V. Mostrar.
Auoersinna, s. f. diem. d’Amosira, pelit iron
dchantlien. Tabac räpe trös-fin et fort.
Anuöra,s. f. motie. H Mota.
Au0TiD0O,A,2.p.d
ABOTAR, .. e. (6. dagr.) bulter, garnir de
terre une plante.
Auorısacäö,s. f. mulinerie, revolte, s6di-
ken , duseute , soulövement.
- AmoTInäDa „s.f. V. Amolinagdo.
AuormiBO, A,P.P. Q’Amoliner.
„ &, #8. mutin, seditieux, fac-
sex.
ASOTISÄR, o. a. ameuter, soulever, exciter &
ia rövolte. V. Alvorogar, Sublevar.
f ANOTINAR-6E, ®. Tr. s’ameuter, se soule-
ver. (Ag.) S’agiter, se remuer, se troubler, s’in-
quidter, em perlant des faculiös de l’äme, des
passious , eic.
Amoscipo, A, adj. d6vous & la mort (dans
bataille ).
Amscco,s.m.($. d’Asie) amoque: naire qui
se d6veue ü la wort.
+ Asooasscäno, A, adj. qui ressemble aux
Mauzes.
Ausrrin. V. Amotar.
Auovsa,, v.0.\V. Apartar, Remover.
Asovissupäng, s. f. amovibilits : qualit6 de
ee qui est amovible.
Anovmo,&A,Pp. pP. d’Amover.
ANOViTKL, adj. 2 gen. amovible : qui peut
re 016 d’ane place ‚d’un poste.
° ABOIAMADO, 1,ad. 560, maigre, dechar-
me.9.p. d’
ABOLAHAR,, 0. a, secher la viande ou le
poissen au soleil,pu A la fumte,
AMP ss
°f Aura, 2. f. (1. de bof.) "ampa: Bgmier de
Madagascar.
+ Aurac, s.m. (1. de dof.) ampao : arbre des
indes Orientales; sa resine.
AMPARÄiDO,A, 9.p. d’Amparar.
AMPARADOR, A, s. et adj. dölenseur, protec-
teur : colui qui defend, qui protege ; quiabrite,
en parlant de la pointe d’une Ile, terre, et,
* ANPARAMERTO. V. Amparo.
AMPARÄR, U. 4. appayer, soutenir ; protöger,
döfendre , seoourir, favroriser, garder; prendre
soussa protection.
T AMPARAR (com), %. n. raltraper quelqu’an
qui allait on avant. Rtre gal, assorti, appa-
reill6. Aller de pair avec.
+ AUPARAR-SE (de), ©. r. se metire sous la
protection de quelqu’un. Se defendre, se ga-
rantir.
Auriro, s. m.” faveur, protection, appui,
defense „soutien, support, &tai, ombre, rem-
part, &gide, aile. "Asüle, ref[uge.
+ ÄMPELITE, ..f.(t. de miner. )*erayon noir,
ou pierre noire des charpentiers.
f Aurnacinto, s.m. (1. d’hist. nal.) am-
phacante : poisson des cötes d’Arabie.
AuMPHIÄO, 8. m. opium. V. Opio. C’est le nom
qu’on lui donne aux indes Orientales. Amphion:
musicien, virtuose. On le dit ordinairement par
ie
Aupnisıo , adj. amphibie : qui vitsur la terre
et dans Feau.
ANMPHIBIOLITRES, s. m. pl. amphibiolithes :
amphibie, ou partie d’amphibie petrifie.
+ AurHısöLta, s. f. amphibole : pierre oris-
tallisee, autrement appelee schor] noir.
AMPHIBOLIA, s. f. ambiguite.
ANMPHIBOLO. Y. Ampkibolögico.
AMPHIBOLOGIA, 3. /. amphibologie : ambi-
gufts d’une phrase, discours obscur & double
sens.
AMPHIBOLÖGICAMENTE, adv. amphibologique-
ment : d’une maniere amphibologique.
AMPBISOLÖGICO, A, adj. amphibologique ; -
obscur, ä double Sons, ‚ambigu.
ANMPHIBRACO, 8. m. (4. de pocs.) amphibra-
quo : pied de vers latin compos6 d’une longue
entre deux breves.
AMPHIDRÄNCHIAS, 8. f. pl. amphibranchies :
espaces aulour des glandes, des gencives, pleins
de salive.
ANMPHICTYÖES, 3. m. pl. ampbictyons : depu-
tes des villes grecques au conseil general.
ANMPHICTYÖNICO, A, adj. amphictyonique :
d’un amphictyon (suffrage).
+ Aupnıpeiö, 3. m. amphideon : orifice de
Puterus.
+ Aupumrouia, s. f. amphidromie :
pour la naissance.
+ Aupuisacro, 8.m. (4. de pods.) amphima-
cre : pied de vers latin oa greo d’une bröve en-
tre deux longues.
} Aurnıönıo, A, adj. qui appartient & An»
phion, Lyra ampMiänia, Iyre d’Amphion,
f&tes
Ammisreni, 9. f. * amphiptäre : serpent ä |’
deux ailes.
Aurmsstna, s.f."ampbisbene :ı double mar-
cheur, serpent d’Amerique & qui l’on suppose
deux tötes.
Aurmiscıos, s. . pl. Amphisclens : habi-
tants de la zone terride, dont Pombre tombe
tantöt au sed, tantöt au nord.
fAurnsusLo,s. m. (t. de ahir.) amphis-
möle : scalpel & deux tranehants.
} Aurnistomo, s. m, (4. d’hist. nal.) amphis-
tome : ver intestinal.
ANPHITHRATRAL, ad/. 2 gen. qui OOMEETRO
Fampbithöätre, qui en a la forme.
ANPEITHEÄTRO, 8. m, ıhektre : chez los
Romains, ddifice bati en rond destine aux apec- | deri
tacles publics ; portion d’un thöätre; vaste
enceinte ronde avec des gradins pour les fätes
publiques; lieu garni de gradins, oü se don-
nent les cours publics.
AuPpurraite, 5. f. (6. de myik.) deesse de
Iamer. (fg.) La mer. (k. d’Mst. nal.) Ver ma-
t AurnıTaizEs, s. m. pl. (1. d’hisl. nat.)
amphitrites : vers ou mollusques de couleur
vert pomme,
tTAurHITaYÄd, 5. m. tsyon : gui donne
& manger, qui pale poür les autres la döpense
de plusieurs prise en coommun.
HORA, s. f. amphore : vass antique de
vingt-Quatre pintes, ä deux anses.
ANPLANENTE, adv. amploment, largement,
Auruisrico. V. Emplastico,
ANPLEXICAULES. (f. de bot.) V. Abarcantes.
AurLtxo. V. Abrap.
Aurıcuciö, s. f. amplification , aocroisse-
ment, agrandissement , augmentation.
AMPLIÄDO, A, 2. 9. d’Ampliar.
ANPLIADOR, A, s.celai qui amplifie, qui
agrandit, qui augmente.
AurLiin, v. a. agrandir, amplifier, augmen-
ter, dtendre ; reculer les bornes; enrichir, en
parlant d’une langue,.
Auruurivo, a, adj. ampllatif : qui aug-
mente, qui ajoute.
Aurımiö,s.f. ampleur, dtendue.
Auruiricaci6ö, s. f. augmentation, accrois-
sement, (6. de rhet.) Amplilication : discours
par lequel on &tend le sujet qu’on traite; exa-
geration, hyperbole.
AurLirıciDo, 4,9. p. d’Amplificer.
AMPLIFICADOR,, A, s. amplificateur : celul qui
ampilfe, qui etend ‚ qui augmente. Exagera-
ur.
ANPLIFICAHR, 0.6. V. Amplear (1. de rh6i.)
smpiifler : paraphraser, ötendre, augmenter
par le discours,
AurLirico, A. 7. Amplo.
AuPLIissino, A, adj. sup. d’Amplo.
AurLıröpe, s./. ampleur : ötendue de ce qui
est ample. — ocrcidua, ( 6. d’asir.) amplitude
occase. — orfiva , amplitude ortive. V. Ortivo.
AurLo, a,ad/.ampie,long, large, stendu.(Ay.)
Ports hors de la mesure oommune; abondant.
--a— ..
AuroLnan. V. Enpolkar.
AuroLutra, s. f. fole. (4. de mer.) Ampeu-
lette, emponulette , sablier : horloge de sable
que Fon tient dans la chambre oA est la bous-
sole. — da dergqwinkhe , (id.) horiege de lock,
sablier de minute et de demi-minute.
AuroıLa. V. Empolla ; it. Ambuls,
° kupnom. V. Adianis.
* AupuLa. V. Ambula.
Aururaciö, s. f. (6. de hir.) amputallen «
retrenchement d’un membre.
Aururi20,A,P.p.d \
Aururia,v. e. (1. de chir.) aunputer : Freiraum
cher un membre.
Auvipautute, adv. en beudant, par ben»
®.
Auuino,p. p. d’
Auvin , v.u. etw. beuder.— se, u. r. bouder:
faire la moue par humeur, saprice, ransune ou
mecontentement. Se fächer, en parlant des
personnes ; arröter,, disoontinuer de maroher,
en parlant des montres, eto., etc. id. Endur-
eir, se terminer par Pinduration, en parlant des
tumenrs.
AuuLaripo, A, adj. qui a la oouleur de mu-
&
tre.
AuvıL£rico, A, adj. d’ammulette.
AuuL£to, s.m. " amuletie: caraciöres, figure
qu’on ports sur soi, auxquels la erddulii6 ou
la superstition attribuent beaucoup de vertus.
+Auumipo, a, adj. ala maniöre de momie,
dessöche comme une momle ; txös-mmaigre.
ANUNICIAR , etc. V. Municiar.
Auto, 8. m. * bouderie : action de bouder ;
manvaise mine; dtat de celui qui boude; fäche-
rie, mauvalse humenr apparente.
Auürı, s.f. (t. de mar.)” oouet, 600868 : nom
de quatre cordes amarr&öes au bas des
voiles d’un vaisseau. ii. Mesure d’un vaisseau
au quart de sa longueur du od1# de la preue.
da bujarrons, amure du grand foc. — de-
brdda , &couel & bressin. Durace de —, tzou ,
dogue d’amure. Amuras, pl. amures : sous
dans le plat-bord pour amurer. i$. Joues d’un
veisseau. Larger as—+, larguer les amures.
Castanhat ou das —s , dogues d’amures,
Auunipa, s.f. (t. de mar.)" vibord: planches
qui entourent le pont d’en haut et servent de
parapet. Forro das —s, (1. de mar.) veigres.
Auuninpo,A,Pp.p.d’
Auurin,v. 0. (i. de mar.) amurer : bander
et raidir quatre oordages appelss oewels; lan-
dre un coin de la voile. — a beijar, amurer teu®
+ Auuntra, s. f. (1. de bot.) amurelis: a0-
brisseau “pineux d’Amerique.
* Auuntsar. V. Marejar.
* Auuya. V. Alnatahe.
Aurno. V. Amido.
ANYCDALAS, 8. f. pl. (t. d’anat.) amygdales x
glandes pres de la racine de la langue, sous ia
luette, en amandes.
+ Auvovairus, 8. f. (d.demdd.) amygdalite,
inlammation d’amygdales.
ANA
+ASsBALhTE, 8. f. (1. FMel. nal.) amys-
deliihe : pierre en amande.
TAUTGBALOTDE, adj. 2 gen. (1. E’Mit. nal.)
qiressemmble & ’amande, qui en a la forme.
s. f. amygdaloide : pierre qui ressemble & une
smande,.
-tAutLiczo, A, dj. amidigque: de l’amidon;
ürö de Famidon.
Aus, s. f. aune : mesure de plusieurs pays.
. Vera.
Ani,s.f. (1. depherm.) ana : quantit&dgale
de drognes möltes : on V’öerit ainsi 46. dt. Mon-
male des Indes, 15 sous.
Asi ou Aniı, 5. f. naine.
Auısarrisue, s. m. anabaplisıne ; keirösie
des anabaptistes.
ABABAPTISTAS, 8.8.9]. anabaptistes: sostaires
qui ne baptisent qu’ä l’äge de raison.
täAnasis, s. m. (8. d’hist. nat.) anabas:
Peissen rapprochs des kurtes.
ANABROCRISNO,, 8. m. (#4. de chir.) anahro-
chisıne : operation de la ligature du poll des
qui offense les ysuz.
ANA |
ANACHORWTIEMO, o.m.* vie solltefre, reiirde du
monde.
ANACHRONISWO , s. m. anaohrenisme : erreur
de date ; faute contre la chronologie.
Anıcuärico, adj.m. (canto—) anaclätique:
chant des Grecs en pourselrant Fennemi.
fAnacumöraLa, 0. f. anselinople : Iatie
d’athlötes qui talent conch6s sur le sable.
Anuico,, 3. m. chevreau de deux ans,
Jh ANACOLETRA , s. f. anacoluthe : esp6ee d’el-
ipse.
AnachnDa, s.f. (1. E’hist. nal.) Anaconda
Mh Python: serpent de Geylan, esp&ve de grand
® ANACOADO, A, adj. de nallan : de nature.
ANACRBÖNTICO, A, adj. ansordontique : dm
genre des odes d’Anacr&on ; consacre ä V’arnout,
au vin.
+AnACaBOoNTisuo , s.m. anacrdontisme : M@-
niere de vivre d’Anacr&on ; sa manidre d’sorire,
* Auspprr. V. Aoorsscenfar.
* Anınzan. V. Alizar.
+ Anan£L, s. m. capitaine de l’ancienne mi-
Anısaösz ‚5. f. (£. de med.) anahrose : oorro- | lice
sion des solides par une humeur äcre.
TAxıcıa, s.m. (i. dhist, nal.) anaca ı Peiru-
che du Brösil.
7 Auscamniıa , 8.[. (l. d’hist, nat.) * anacan-
ment de Surinam d’environ 30 pieds
Anacanino, u Baar nacr6& : blaue comme la
nsere; qui imite la Na0Te.
+ Auscazstin0o, 3. m. anacardier. V. Aue-
AnACaRDINA,, 5. f. confection d’anacarde pour
fertifier la memoire. it. (1. de bot.) V. Anacerdo
de Orients.
Auacaapixo, A,cdj. quia de l’anacarde.
Ausciano, 5. m. anacarde : fruit, noix en
cwear de Tanscardier, grand arbre des Indes,
ressemblant a Yacajou et qui donne un poison;
[eve des Molaques. — d’America , acajou, ana-
cardier : arbre de l’Anärique. — do Orienie
ou do Maelabär, avicenne cotonneux.
+ AÄNACATARSE, s.f. (1. do mdd.) anacatarse:
er pectoration de la Iympbe ; purgation par en
ut.
ASACATRÄRTICO, A, adj. (f. de möd.) anaca-
thartique: qui iprodaltFexpeetoration (remede).
AnaCiBO,A,p.p.d
Amann. a. möler les liquides en les bat-
tant ensemble ; los kreuflier les uns avec los
autres.
ANSCEPEALRÖSE , 8. f. anaeöphalöose : r6ea-
pitulation des principaux chefs d’un discours,
t Axscmarıs, s. m. (1. de bot.) anacharis:
plante aquatique du Bresil.
ANACHORBTA ow Anıcortra, s.m. anacho-
rete „ bermite : moine qui vil seul dans un d&-
sert; komme pieux qui vit retire da monde.
ANACHORETICLHRNTE ‚ ade. eomms Panacho-
röte : & la manidre des anachorstes ; solitaire-
mes.
ANACHORETICO, A, adj. d’anachoröte s solitaire,
+ Anınema, s. f. * anaddme : omement de
(6te semblable aux fanons d’ane mitre.
AnADIPLÖSE, ©. f. (1. de rhet.) anadiplese:
fikure formee par la röpetition d’un mot qui
finit une proposition et en oommence URS
auire.
*+ Anıpövıa ow AnanUva, 5. f. obligatien
des vassanx de contribuer ä la röparation des
fossös ot des murs des anoiens chAteaux.
+ Air, s.f. "melilot : plante qui ressemhle
au tree, et erott beaucoup.
Anırino, a, 9.p. d’Anafer, adj. gras, lui-
sant de gralsse ; dodu.
+ Anarita, s. f. sorte d’etoffe que l’on fabri-
queä Valenoe, en Espagne. Bourre de sole.
ANAVAR, ©. a. lisser le poildu obeval; en:
graisser, rendre luisant de graisse
Auirzca,,s. f. "jujubier : arbre de Syrie qui
denne les jujubes.
Anıriı, s. m. sorie de trompetts droite en
usage chez les Maureos.
Arıriı, adj. Irigo —, espeoe de bid A bares
Bir, dont la semence est venue d’Anaf6, en
+ Ananııtıno ‚s.m. celui qui jouait ou son-
nait de Yanafl). V. ce mot:
Auırım. V. Ans.
Auacica. V. Negars.
Anıcan , AunsckLLma 08 ANackLLipe, V.
Murrido (1. de bot.)
Aniooa,s, f. * cotillon : Jupe de dessous.
Anıcocia, s. f. (1. de thdol.) * sens spiritwel
et mystique de l’Ecriture sainte.
Anscöcicauturs , ade. d’une manidre ana-
go
Da bcıco „A,ad. anagogigus : qui &ppar-
tient & Panagogie. Sontido —, (8. de I )
sens spirituel et mystique de Feriture selnte,
ANACBiNHA, 5.0. ADagramıme : sone ollert
par la transposition des Istizus d’am uot,
ANA
ANAGRANMATISNO, 8. m. anagrammalisme :
divination par les lettres du nom de celui dont
on eherchait la destinee ; l’art de trouver un
anagramme.
ANACRANMATISTA , 5.0. anagrammatisto: qui
fait des anagrammes.
ANAGRANHMATIZAR , ©. 6. anagrammaliser:
faire des anagrammes.
+ ANAGYRO DOS ALPES O0 BASTARDO, 5. M.
(1. de bot.) V. Codesso dos Alpes. — de Hospa-
she, anagyre [ötide, vwig. buis puant.
+AniLı20, s. m. " dtole des moines grecas.
AusLtcro, s.m. analeotes: [ragments choisis
d’un auteur ; collection de morceaux difförents.
AnıLtua, s. f. ” analdöme : projection oriho-
graphique de la sphöre sur le colure des sol-
stioes.
AnusuLzrsia, 8. f. (6. de med.) analepsie : em-
ploi des restaurants, rocourrement des forces
apres la maladie.
ANAL&PTICO, A, adj. (1. de dd.) analeptique:
restauratif, qui fortifle.
- Auäuıse. V. Analyse.
AnasLocia, s. f. analogie : conformits, rap-
port ; proportion, ressemblanoe. (#. de gram.)
—, fapport que divers mots d’uns langue ont
ensemble pour leur formation.
ANALÖGICAMEHTE , adv. analogiquement :
d’une manidre analogique.
AnaLöcıco,, A, adj. analogique : quiadel=-
nalogie.
AnaLocismo, #. m. analogisme : argument
de la cause & l’effet, comparaison de l’analogie
qu’il y a entze diverses choses.
AnaLocistico , A. V. Analogico.
AuäLocO, a, adj. analoguo : quia de l’ana-
logie aveo, qui a quelque rapport ou conYve-
nance.
ANALTSÄDO, A, P. 9. d’Anelyser.
ANALTSADÖR, A, 3. colui qui analyse.
ANALTSÄR, v. a. analyser : faire analyse.
AuäLYseow AniLYTsis, s. f. analyse : röduc-
tion , resolution d’un corps, d’une chose dans
ses principes, ses &löments ; (4. de log.) m#-
thode de r&soudre par laquelle on remonie des
oonsequences aux principes, des effets aux
eauses, du particulier au gen6ral, du ooncret
a l’abstrait, du compos6 au simple; l’oppusd de
synthöse ; (£.de math.) " art de r&soudre les pro-
bl&mes par l’alg&bre ; methode par laquelle on
eberche une verit6 inconnue ; (8. de chim.) art
de d&composer les corps; (4. de litidr.) extrait,
resum6 d’un disoours, d’uno dissertalion. (fg.)
“ ==, 6xamen d’un ouvrage, d’un discours.
ANALTTICAMENTE, adv. analytiquement : par
analyse, par voie analytique.
AnaLYTIoO, A, adj. analytique : de l’ana-
Iyso, de sa nature, qui lui appartient, qui se
falt par elle.
T Auaunärıco, 8. etadj. anamnötique : re-
mede qui fortiße la msmoire.
ARANORPRÖSE, 5. f. anamorphose : tableau
changeant suivant les points do vuo ; art de les
faire; ztumion bizarse de couleuss, de traits,
ANA
offrant un tableau rögulier dans un ımireir 60-
nique;; projection d’un dessin; representalien
vague et confuse vuo de prös , ot rögulidre vue
deloin.
Anın, V. And.
r Ananaczı-cavii,s. m. (.de bot.) anana-
chi-caviri : palmier &pineux du Bresil. .
tAnanirLa, 5. f. (£. de bot.) "ananapla : e&-
pöce d’acacia des Philippines.
Ananiz, s. m.ananas: fruit delloieux qui a
la forme d’une pomme de pin.
ANANAZEIRO , 3. m. ananas : plante des Indes
originaire du Perou, et qui porte Yananas,
frait tr&s-estime. V. 08 nom.
+ Ananıcipo, A, adj. A manidre de nein.
pP. p.d’
TAnantcik, v. a. faire petit, nala; dimi-
nuer, abattre.
*Anino.V. Ando.
Aniö, s. m. et adj. nain : qui est d’une taille
au-dessous de la mediocre; petit.
AnaPistıco, A, adj. (#. de poes.) anapesti-
que : vers o& l’anapeste domine; (mot) de
deux breves et une longue.
Anap£ito, s.m. (8. de pods.) anapeste : pied
d’un vers grec ou latin de deux bröves et d’une
longue.
Anäpuora,s.f. (8. derkdi.) anaphore : B-
gure de rhe6torique, r&petition du meme mot
au commencement des phrases ou des mom-
bres d’une periode.
+ AnAPHÖRICO,, A, adj. anaphorique : qui se
ment par l’eau (horloge, orgue). Periodo —,
periode dont les membres commencent par eo
meme mot.
Anarnnopisia, 8. f. (8. de mdd.) anaphrodi-
sie : suppression de Y’appetit vendrien.
AN&PHRODIiTO, 8. et adj. anaphrodite : qui
n’est pas propre & la generation.
+ Anartenörico, A, adj. anapleretiique :
remöde externe qui cicatrise et fait revivre la
ohair
+ ANAPNEUSE, 5. f. anapnouse : respiration.
+Anaruna, 8. m. (.d’hist. nal.) anapura :
perroquet multicolore des Indes Orientales.
“ AnaRANTE.V. I fe.
Anancnia, 3. f. anarchie : dtat sans chef,
sans gouvernoment ; grand desordre, confusiom
de pouvoirs.
Anäacnico, A, adj. anarchigne: sans chef,
qui tient de l’anarchie.
+ Anancuisuo, s. m. anarchisme : systeme „
opinions anarchiques.
Ananchista, 3. m. anarchiste : partisaı de
Panarchie, fauteur de troubles.
+ AnÄRcTRO, 3. m. anargyre : Sans argent.
+ Anannnoria, s. f- (4. de mdd.) anarrhopie
tendance du sang vers la töte.
Anasinca,s. f. (1. de med.) anasarque : en-
flüre o@demateuse du corps; bydropisie du
tissu cellulsire r&pandue sur Lout le oOrps.
Anasinrtico, A, adj. (1, de med.) qui a une
anasarque,
ANG
AxıschtE, 8. ı. anasoot ou Mambe : diofle
Timiens.
SNASTONÄTICO, A, adj. (t. de med.) anasto-
setiıgue : medicament contre la rupture, l’en-
gergement des veines.
ARASTOMOSAR-SE, ©. r. (l. d’anst.) s’anasto-
messer : seımnboucher, se joindre par les bouts.
H se dit des veines, des nerfs.
Axsstonmösz ou Ausstouösıs, 8. f. (1. da-
nat.) anasternese : oonfiuent des veines, leur
embouchure.
Auksraorm, s. f. anastropho : vice de con-
strwetion de phrase par inversion inusitse.
Ansıriao, a, adj. couvert de cr&me; couvert
de lkmen.
? Auise, s. f. anate : sorte de teinture
souge de l’anate ; arbrisseau des Indes.
ANÄTEENA,s. m. anathöme , excommunica-
Gen, retranchement de la communion del
glise. (Ag.) ” Exelusion , malediction.
AHATBENATISMO, 3. m. (1.de ih£ol.) anathe-
mafiszne : canon porlant anathäme.
AnATEsmarızaciö, 8. f. l’action et lVoflet
@’smathimaliser ; escommunicalion.
ARATEEMATIZÄDO, A, 9. P.d’
ANATEEHATIZAR, ©. a. anathömaliser, ex-
cammmier : frapper d’anathöme. Faire des
Imgrecations contre quelgu’un ; maudire.
f Asırira, .L (8. d’hist. nal.) anatife:
e.
Ana 0,4 ,adj. anatifdre, anatif.
f Auurocisuo, s. m. analocisme : usure par
la retenue de YPinter6t de l’interet; sa conver-
sien en principal.
Anaıtouia, s. f. analomie : dissection du
corps animal ou vegetal, ou de ses parties. —,
art de dissequer. —, corps dissöqu6, squelelte
naturel ou artificiel. (Ag.) Discussion exacte et
partienlitze; analyse. (fg.) Faser na vida
d’umns PEs008, eplacher la vie , les aclions de
r.
»
Juusröscautnte,, adv. anatomiquement :
d’une manitre analomique.
Anırömıco , adj. anatomique, de l’anatomie.
s. Analemiste : celui qui ost vors6 dans l’ana-
Ismie.
Auasronista, s. m. anatomiste : celui qui
pestique l’anatomie.
ARATONIZIDO, A, 9.9. d’
ARATONIZAR , 0. a. anatomiser : faire l’ana-
tsenie,, Ölss6quer. (fg.)—, examiner en detail,
veir av00 soin toutes les parties d’un ouvrage,
«um diseours.
TäAsavaımino, A, adj. quia la forme de
cosktan, d'un rasoir; qui coupe comme un
oowteau , comme un Tasoir.
® AnAXAR, ANAXATRE, 5.m. (4. de pharm.
ame.) sel ammoniac.
fAnizz, s.m.(f. de bot.) anaze: arbre de
l’Inde , ea Ik gohrde.
Ascı „s.f. banche, croupe. —s, pl. la crou
du cheral. Doancas ou nas —, en croupe, en
troasse. Levar d’— ,porter en trousse. Ndo
soßfrer ou näo der —.On le dit des chevaux qui
ANG
nesouflrent pas qu’on mente Sur eux en Croupe,
It. (Ag. fam.) Avoir les reins faibles. Sofrer ou
dar ancas,( fig. fam.) avoir les reins foris, Tre-
zer ou levar ds —, (fig. am.) avoir toujours
aux trFousses, avoir quelqu’un sur son dos.
+ Anucino, A, adj. Cavallo u (8. de eier.)
maledie des chevaux, qui oonsisie dans une
forte contraction des nerfs.
ANGARINA. V. Anserinhe.
Anctıo. V. Enstjo.
ANcHO, A, adj. large. (fig. fam.) Enid , su-
perbe, fler. i$. s. m.“ Largeur.
* ANCHORA. V. Ancora.
AncHOvA ow EncHova, s. f. " anchois : petit
poisson de mer sans 6cailles, osseux,, abdomi-
nal, du genre du clupe; trös-bon.
"Ancaura. V. Largura. (fig.) Vanite, or-
gueil, fierte.
ANCHUSA MEDICINAL. V. Buglossa.
ANCHYLOSE ou ANKYLOSE, 5. f. (4. de med.)
anchylose : union, soudure des articulations.
NCIA, 8. f. angoisse, anxiet&, naus6e; peine,
embarras, fatigue,douleur de corps ou d’esprit.
Avidits, convoitise, desir vehöment, grande
envie de posseder une chose. Com —, avide-
ment. Tirar ou fomar com—, agripper (fam.).
Estar com ancias, avoir Penvie de vomir. Ancias
da morte, l’agonie.
+} AnctÄDAMENTE, adv. avec angoisse , ave6
nauste.
Axcıivo,A,p.p. d’Anciar.
Ancıanfa. V. Ancianidade.
ANcCIANIDÄDE, 8. f. anciennet6 : qualit# de ce
qui est ancien. Longevitö, grand Age.
Ancıano. V. Ancido,
Anci0,X, adj. ancien, vieux; ägö; usö, em,
parlant des habits et autres offets.
AucıAö, s.m. vieillard. Ancien : un des plus
vieux individus d’une communauts dans un
ordre militaire : doyen.
Ancıän, v.a. causer de l’angoisse, de l’anxie-
46, etc. Desirer avidement, soupirer apres une
chose, convoiter.
ANCUR, ©. R. 8 — se, v. r. 6prouver des
naustes,, de l’anxiöt#, des serrements de caur.
(fg.) S’aflliger, s’inquidter.
AnciLias, s.m. pl. (t.d’ant.) anciles: boucliers
sacres & Rome.
AncıLLA, s. f. esclave; servante.
+ AncuLirıo, s. m. (8. d’hist. nal.) ancil-
laire : mollusque de la Chine, trös-rare, de la
famille des olives.
ANCINHO ow ENSINHO, #. m. räleau : instru-
ment d’agriculture etde Jardinage & dents pour
ratisser, ramasser le fourrage, etc.
ANCIÖSAMENTE , adv. avidement, ardemmen
passionnement; avecanzidts. Il ost plus usit6
a premidre acception.
AncıösO, A, dl. afflig6, chagrin, triste, sou-
cieux, inquiet, agit6, qui est en peine. Desi-
reux, aride, convoltear, qui desire aveo ar-
deur.
Anco. V. Canto, Angwlo,
98 '
9% AND AND
Äueona, s.f. ({.demer.Janore:instrumentde | Anvanira, s.m. (4. @eni.) andabate : gladia-
for a branches aiguds, Jet6 au fond de F’oau 04 | feur qui combattait les yeux bande&s et & cheral.
enfoncösurlesbords, pourarröterlesvaisseaux. |] Anvico, s.m.* epid „ maladie qui court
(Ag.)’Refuge, asile ; roeours, ressouroe, seule | dans vertaines saisons.
esperance qui reste. Langer —, anerer, jeter,| Annipa, s. f. *chemin, voyage; action de
mouiller Yanere. Losvar ou lovaniar as —s, | marcher. Course de Phuissier.
lever Yancre; (au fig.) abandonmer une entee- | Anupapkıras, s.f. pl. Hisiöres d’enfent: bras-
prise, quitter un desseim. Bstar sobre a —, | siöres, bandes, oordons attachts A Y’epaulo
eıre & P’ancre. Estar sogure a duss —<s , avoir | d’un enfant pour Faider & marcher. Paswar ou
deux cordes ä son arc. — de meonlante, Vancre | ander sem — , ( ig.) n’avoir pas besoin de Hi-
Auli est jetse du oöt4 od la marde monte. — de | siöres, marcher sans lisieres.
Ihussante,, celle qui est du odt6 oü la marde des- | Anpankıno, a, ad: faciie & parcourir, aoces-
tond. —derespeilo,, ancre de cale. —erceirs, | sible, en parlant d’an Heu quelconque® ou dan
ıncre d’afflourche.—eobre a bogsdaumka, ancre | chemin. Bon marcheur, d’une marche aisse
& la veille. — sagrede ou da salvapäo, la plus | (cheval, etc.).
grosse anere d’un valisseau, ancre de salut,] Anpino,A,p. p. d’Ander, adj. battı, en
maltresse ancre : ancre dont on ne se sert que | parlant d’an chemin ; parcouru. .E’ meto
dans la derniere extrömite. ( Ag.) La derniere | caminko —, c’est molti6 chemin de. 11 se dit
ressource, seule esperance qui roste. Estar com | d’ane chose tr&ös-avancee pour sa conclusion.
— apiqus, etre pr&t A couper les cäbles. Astea] Anpanon,A, 8. et adj. bon marcheur, bon
da — , vorge; vwigo vergue de l’ancre. Segurar | pitton, qui marche beaucoup et vite. Vaga-
a —a bordo com a bora da unka, brider Fancre Bond ‚qui est continuellement par voies et par
contre le bord aree le serrebosse. Arriar a —, | chemins. if. Semonneur de confrtrie.
larguer le serrebosse, faire pennant. A— estd] Ampanonta, s, f. charge de !andador.
quasi a pique, le cable est & peu pres A pic ow| Ampanüna,s. f. allure : facon de marcher,
& long pic. Orelkas da —, tenants de Pancre. | surtout des chevaux. La distance que Fon par-
Cruz da —, collet ou croisde de !’ancre. Unha | eourt en marchant. (fg.) Demarched’un homme
ds—,bee de Yanere. Brass da—, bras de | diligent; proc6de, maniere de se comporter,
Yancre. Sepo da —, jas de l’ancre. 4 — largos | d’agir.
o fundo, Tanore a quitt6, Pancre est d&plantte.| +Ampammania, s. f. *&chafaudage : construc-
Estar sobre as —ı de poppa e prös, moviller | tion d’&chafauds pour b&tir.
en eroupiäre. Tirar a— d’outronavie, pecher | Anpaıme ou Anpaımo, s.m. echafaud : plöoes
Pancre d’un autre vaisseau. A— esiä unhada, | de bois formant plancher, od les ouvriers mon-
Fanore tient. Levar a — por via do eriague, | tent pour travailler. Chemin pratiqus sur le
Jever l’ancre par Tarin haut d’un mur, d’uno fortification. V. Passs-
Anconsciö,s. f. Yaction d’ancrer. ff. V. An- | digo.
coredeure, Anpima,s.f. file, rang, rangeo; dtage,, ali-
Ancoripo, A, adj. p. p. @’Ancorer. gnement. — d’artilkeria, rang de eanons ou un
ÄNCORADGOURO, 3.0. moulllage, ancrage: lieu | cöt& de 1a batterie d’un vaisseau.
ed Yon peut Jeter Fancre. * Anpäseu , s. f. maison d’un seml tage.
FAnNcORÄcEN, s./.“ancrage, moulllage:Pac-]| + AnnaLlz, A, adj. et s. andalous : de FAn-
tion d’ancrer, et le lieu propre et commode pour | dalousie.
ancrer. * Droit d’ancrage. + AnpaLuzia, s. f. (f. de göogr.) Antalousie:
Ancorir, v.n. (?, de mar.)ancrer, moailler, | province d’Espagne.
jeter Yancre. (Ag.) Fonder, faire fond sur,| Annamänto, s.m. preckde, maniöre de se
compter sur, conlier en. — pela poppa, crou- | oomporier, d’agir; marche, dömarche. — dos
Piader. — se, o.r. (Ag.) s’ancrer : s’ttablir avec | negocios, marche, progres, direefion des affki-
tenacit# dans une maison, aupres d’un prince; | res, demarche. — da musica, mesure plus ou
s’affermir dans un emplol. (id.) Se fonder | moins vivo pour le mourement de la musique.
Sur, eic. (Adagio, Andante, Alegro, etc. V. ces mots.)
tAncorörg, s. m. dim. (1.demar.)"empen-| ° Anpimo. V. Passagem, P
nelle : petite ancre. &. Espöce de baril.—des-]| Anninca, s. f. aventure; fortune. Bis om
piar, (1. de mer.) ancre ä jet ow de tonte. und — , bonn ou mauvaise fortune.
ANcYLOm8LO, 3. m. (f. dechir.) ancylomäle:| Anpänts, p.e. @’Ander, allant : qui va om
sonde courbe. qui vient, adj. 2 gen. Allant, errant, qui aime
fAncrLöromo, s.m. (f.d’anal.) ancylotome: | & aller, ä conrir, qui erre de cöt6 ei d’auire;
Mstouri courke pour couper le flietde la langue. | aventurier. Bam ou mal andants (entig.), bou- .
ÄNCYRODOTIE,, a). ats. f. (f. Kanal.) ancy- | reux ou malheureux. ,
rodolde : (apophyse ooraoulde) en Lorme d’an-| f AnDintz, s.m. (f. de mus.) andante : d'un
de crochet,
ere, mourvement modere; du lent au vif.
Änpa,, interj. alles! va! tu meTe paieras! + Anpanrtsco, A, adj. chevaleresgue : qui
+ Ani, s.m. (6. de bof.) anda : grand arbre
appartient & la chevalerie,, qui tient de la che-
gu Breeil; Finfusien de son 6oarce est sopori- | valerie, des cheraliers errants.
que,
AnpiR, v.«, parouurir, visiier, = as Selle
pertiius de une‘, les quatre par-
ties da monde. Cheminer: falre du cbemin. Er.
— inte Iögune ende die, faire vingt liones par
Yasin, ©. %. mercher : s’avancer d’en llou
tum antze par le mouvement des pieds. Aller:
en parlant des machines, comme une montre,
ua moulin, etc. Ktre, exister, ooexister ( V. Es-
ker). Ex. Ander deenie, —frisie, &tre malade,
ze triste. Anddo junias em Dove 6 jusfipa e =
missriceordis „ ia Justico et la mis#rioorde
auxinant on Dieu. S’doouler, en parlant du
teınps. Se montrer, se conduire,, agir. Er.
Andar bes oa wel , ander ‚como &8-
ellsire, se mentrer, agir bien ou mal, 56
mentrer predent, noble, eto. Ander, joint an
purtieipe present ot au gerondif, no sert qu’ä
marguer m. Ex. — „os A
chasser, &tadier. TI peut aussi se rendre
#öre & : &tre & chasser, ä etudier. Jotat & la pre-
pesition d ou de, il &quivaut & se battre. Ex.
ds fucadas „se balire & coups
Fe u ä coups de eoutean. — aos murros,
se denner des coups. Joint & la preposition
am oa som, il prend la signification du nom
qpi vient apres. Ex. — com medo, craindre:
— m mede,, no pas cralıdre. Joint & la
prepositien pers, il signifie &tre sar je point
de. Ex. — pars se embarcar, @tre sur le bien,
de . Andar, (#nterj.) C'est
ben, fert bien. Amdito —,au long aller, — 4
use delgumas couss, pourchasser welgue
chess. — com furdo mörio dcays, pe
temps, solliciter inutilement. —
s’occaper do bagatelies, de fatilites. TR Ber
dans le demier tat de misdre. — d
marcher de cöiö,, en parlant d’un cheval. ns
piugeds Eelguem, (fom.) gueller quelquun,
le suivte, Tebserver secrötement. — sobre al
guma © eouss, avolr queique chose en vue, et
fairo des demarches pour Pobtenir. —amonie,
cesser d’aller dans une societs oü Fon allait
ifröqusmmment; fuir, so relirer & la campagne
peur se soustraire aux poursuiies de ia Justice,
— com 0 lemgo,, 56 Conlormer au temps, aux
eircenstances : &tre toujouss de Pavis du riche,
de Fhomme puissant. — de forlo em tranen
aller de mal en pis. —de odca om mudca , (fam.)
errer ch et li. —em pleitos, em demandas, 5’00-
cuper de precds. —de caps, porter le manteau.
—de Herode para Pilatos, aller d’un cöts 6
@autre „et Ioujours de mal en pls. —por Serra,
marcher sur terre. — ds caparsvollas, qual de-
Bein qual de cima ‚fam.) lutter, se quereller,
sehatire. —o mundo ds aoessas, (Ag. fon.) on le
dit Jorsqueo tout va de travers, 0 diabo solto,
(Ag. fom.) &tre en combustion, sens dessus des-
as. — nos alcancsı salguem, dire auxtrousses
de quelqu’un, Pipier, le poursuivre de prön
Amesis —, & la häte,ä toutes jambes. — gela
rama , s’arreier ä des vötilles ‚„ace quilyade
meins essentiel dans une affaire, dans un dis-
@surs , eic. — de aller. Tan aller ä
lahäte. — om mo Or, = COM G (=
AND 9
dogs aroda a algusm , (fg. fam.) tourner ia löte
& quelqu’un. — de las , aller & itons.
Com 0 —de tempo, par la sulie. Anda od, viens
id.O — — de navie, (1. de mer.) airo on erto du
vaisseau; train, allure.
* ÄNDAR-SB, 9. r. S’000Rper de.
Anpin, s.m. " allure, maniöre de maarcher,
d’sgir de quelge‘ ung marche, € s direction,
gisoment. Le milieu d’un ap ment, Tu6,
No mesmo --do Tajo, suivant la direc-
ton du Tage. Pfr alquem no da rus, metire
qaelqu' un & la porte.
* Aupantıo. V. Andeje.
* ANDARENOO. V. Andader.
Ausarlumo,, 5. m. ooarenr :ı honme ldger
la course; qui vaet qui Ti; alt ge aut rt
devant rn voitare, fait prompternent
sages.
Anpınre, e. wm. V. Anderilko.
aus, 2.f.p. * brancard sar ioquel on porie
es reliques, des statues de saints, ot. Civiere
bar ng Anhang
® ANDAYEL. V, Andejo.
Anpzcaa. V. Endsche.
Awpeıno. V. Andejo , Andadeiro.
Anafkıo,&A, ud. et 5. marcheur, ben Mar-
cheur, qui marche vite, bon pi6ton ; batieur de
pav6, ooureur, qui aime & courir, & royager.
T Aupzs, e. m. p6. Andes : grande chaine de
montagnes de l’Amteisue me6tidionale.
+ Aunicona, 5.2 gen. habitant des Andes.
Ausımas, 5. f. pl. solle de cheval pour
feınme,.
+ Ammıni-Ach, s. un. (8. d’hist. nat.) andira-
| aea, petite chauve-seuris du Brösil.
Änprro, &. m, treiteir, banguetis : endroit
relerb d'un chaanin, d'un post pour us guns &
Annen,s. m. kranserd you? porter les Immages
en processions.
Auponistta ‚2. f. hireudelle ı eisen de pas-
sage. —, chelidoine (plante). — selangıma ds
Chinese, „ordinaria do mar, "pletto-
garin. — fusca do mar do Pard, “noddi.
f AmormmAG , s.m. mertinet neir.
ANDORInKO, s. m. dim. petits hirondelte.
(6. de mar.) Estrope. —s des estribos ver-
gas (id.), estropes ou etriers de marche-pied.
7 R Anoonlraon, « m. pl. (4. de mer.) petits
cabillots.
Ca ANDORZUINO, sm. dim. d’Ander, petit bran-
Anpxi10, s. m, chififen, halllen, geenälle,
penaillon.
r » adv. on guenilles, en
haillons.
ANDRA)0SO, A, adj. deguenilld, depemallie :
qui a les habits en lambeaux.
„1 Anne „s. f.(t. d’hiet, nat.) andnime
tere, ion.
rl & f. (4.de bot.) andetell»
the : byacnithe blanche, oruciforme.
06 ANE
+ Ampnuina, s. f. andrioane : robe de fomme
abaltue, avec des parements.
Anpaino, A, adj. couleur de oerise noire.
* ANDRIO , 8. m. 08p&0e de serpent.
ANDRÖCYNO, A, adj. androgyne : qui est de
deux sexes. (ti. de bof.)—, plante qui a des
‚eure mäles ot femelles.
Anpaöına, s. m. andreide : automate & figure
kumaline.
AnNpROMaAnNiaA, 8. f. (1. de mdd. p. us.) andro-
manie : amour insens6 pour les hommes; fa-
reur uterine.
ANDROMANiACA , 6. f. femme malade de l’an-
dromanie, nymphoınane,.
AnpRöMEnA, 8. f. (i. Wastr.) Andromede :
constellation N. de trois &toiles de la seconde
grandeur, en ligne droite.
TANnDnÖöNıNA, 8. f. (Pop.)*mensonge, conte,
histoire, fable. Com bellas —s nos vem V. M.,
vous nous faites de belles histoires.
f ANDRONICIÄNOS , s. m. pl. androniciens :
sectaires qui attribuaient & Dien la or&ation de
la partie superieure de la femme, au diable
Fer la partie inferieure. (Andronic, leur
ehe
f Ampaosice, s. m. (1. da bof.) androsace ou
androselle : genre de liseron.
AnDROsÄcEA, 8. f. (1. de bot.) androsacte.
ANDROSEMO, 8. m. ( 6. de bof.) * toute-saine
(Hypericum Androsamum).
} ANDRO-SPRINGE , s.m. (8. d’higl. nal.) an-
dro-sphinx : sphinx ögyption qui avalt la töis
d’un homme.
f Anpxorouia,, s. f. anatomie de l’homme.
} Anni ou GuanDd, 8. m. ldgume du Bresii.
"+ AnDUsOos, 8. m. pl. testicules.
ÄNDURRIAES, 8. m. pl. lieux 6cartes et sans
chemin).
Anscnöra , s. f. aneedote : particularitö his-
torique peu connue.
f ANECDOTISTA, 3.!. oollesteur d’anoodotes; ;
oelui qui oonte des anecdotes.
AnsbıAno ‚„‚&ä, adj. gras, luisant, uni. p.
"Ananıin, ®. 6, ongraisser, rendre luisent,
uni.
Anzcica. V. Negaca.
ANECiDO,A,P. 2. d’
” Anzcin, v. a. noyer, inonder : plonger;
submerger.
Anzoocıino, A, adj. aflairö: qui a beau-
coup d’affaires.
Antı, Anzıia. V. Annel, etc.
Annıin. V. Ankslar.
AnELScTRKCO,, a, adj. (1. de phys.) aneleciri-
que : qui ne peut etre dlectsis6 parlaitement,
mais par contact,
Antıno, A.V. Annefo.
Antıo. V. Ankelo.
Auzuia, s. f. (6. de med.) antmie : privation
desang apris Phömorragie.
ANG
ANEMOCORDE, 8. ms. (4. de mus.) an&mosopde e
clavecin & vent qui imite tous les sons.
ANEMOGRAPHIA, #. f. ansmegraphie :
eription, science des vents.
} ANEMÖGRAPEO, s. m. andmegraphe : gui
est charg6 d’observer les vents, qui &orit sur
Panömographie.
An£uoLaA. V. Andmona.
ANEMONMETRIA, 8. f. anemomeötrie :
mesurer le vent.
ANENMÖNMETRO, 8. m. (1. de phys.) anememd-
tre : machine qui indique la force, la direelion
du vent,
ANEZMONA, 0% ANEMONE, Ow ANEMOLA,S. f.
anemone : plante et fleur printanidre Irds-
belle , espdce de renoncule. — singells , passe-
Neur.—jaspeoda , “limousin. — pulsatilla,, co-
quelourde.—sveludada , clitie, existee, briolle.
— dos jardins, anemone des Reuristes. — ho-
pdäiica , höpatique des jardins. —dos bosques,
anemone des bois,
ANENMOSCÖPIO, 3. m. (L. de Phys.) anemos-
cope : machine qui indique le poids de l’air. V.
Barömetro.
ANEPICRAPEO, adj. ot s. anepigraphe : sans
titre, sans inscription.
. (4. de mdd.) anepithy-
art de
ption
T ANEPITHYMiA, 8.
mie : perte de l’appe6tit sensilif.
Anggruım. V. Enequim.
ANESTHESIA, 8. f. (t. de med.) anesthösie ;
privation du act.
+ AngßTe, s.m. (fl. de mar.) * emboudinure :
sorte de garniture en bouts de cordes tr&s-ser-
res, que Fon fait A la cigale ou arganeau d’une
ancre.
Anttuo. V. Endro.
Anzunisua, s. m. ou f. (f. de chir.) ane-
vrisme : tumeur sanguine contre nature Causee
par la dilatation ou la rupture d’une artere.
ANKURISMÄL, adj. 2 gem. (1. de chir.) andvris-
mal : de l’andvrisme ‚qui en tient.
Anzxiu, s.w. * raillerie fine et delicate.
* Anresto. V. Acima,
Anrıiö. V. Ampkiäo.
Aurisıo. V. Amphibio, etc.
Anrräcto, s. m. ° anfractuosit& : courbure,
sinuositö, detour d’un chemin mauvais, diff-
ANFRACTOßSO, A, adj. anfractueux : plein
d’inegalites , de detours.
+Anci, s. f. * fruit du Bresil & maniere de
füre.
} Ancaui, s. f. (1. #’Mist. nal.) "angaha: ser-
pent de Madagascar.
AncanıiDO, A,P2.9. 4’
ANGARIAR, d. @. cajoler, amadouer; seduire.
+ ÄNGARIARI, 8. f. (Pdo de —) nom dun
webre d’Angole, en Afrique.
Ancaaiıma ‚se. f. chemise en osier (des va-
ses, etc. ).
AnczLino. V. Angelieo.
Anckuicä,s. f. angelique : plante odorante.
—hortense, angelique des jardins ou de Bo-
hdme , archangelique, racine du Saint-Esprit.
ANG
= (fier des jerdins) V. Tubeross. — iloesire,
sauvage.
Auszıscar. V. Angelico.
AustLschuänte, ade. angeliquement, inno-
eummsent , avec candeur.
Amcııco, A, adj. angelique : de Yange, qui
sesseınble & Yange. —, verlueux, innocent;
excellent , parfait, suptrieur. Os espirilos — s,
les anges. Pdo— , la sainte eucharistie. Dowfor
—, seint Thomas d’Aquin. Saudasdo —a, !’Ave
Maria. Agua —e, eau angelique : espece de
wurgatil.
Anczus,s.m. angelin & grappes ou andira :
srand arbre de l’Inde et du Bresil, legumineux,
& bois et 4 [reits noirs,, bois de charpente. —da
Indie , angrec emousse.
AsszLias, s.m.pl. angelites : sectaires ado-
rateurs des anges. ef Angelolätres.
ANGELOLATRIA , 8. f. angelolatrie : adoration
des anges.
*Amcko. V. Anjo.
Anczzito. V. Achilita de S. Jodo.
+Ascuntmo, s.m. (f.de bot.) angianthe:
plante du cap de Bonne-Espetrance.
Ascinı,s.f. (1. de med.) angine : maladie,
inflammation de la gorge qui retr£cit lo larynx
et le pharynz ; esquinancie.
ANGENEO ou ANSINHO, s. m.dim.d’Anjo. Petit
ange. ‘$. Un enfant mort; enfant habill6 & la
mmaniere d’ange dans une procession.
TAncınöso,a,.adj. (1. de med.) angineux:
de Fangine.
Ancıocaapeia, s. f. (1. d’anat.) angiograpbie:
description des veines.
AucsoLocia, 5. f. (t. d’anat.) angiologie :
wraite des veines.
Ancoscörio,, s. m. (I. d’anal.) angioscope :
malerescope pour Observer les veines.
Anaosstaus, adj. 2 gen. ( Planta —, t. de
Bo8.) angiosperme : (plante) A graines rev6tues
d’unm pericarpe distinet.
+ Ancıosruauia, s. f. (8. de bof.) angiosper-
mie : 2« ordre de la 14* classe des vegetaux, ä
semencen cachbes.
T Ascosriamo, A, adj. (4. de bot.) angio-
sperme. Plenis —a, plante & graines rev&tues
d’sa distinct. Fructo —, fruit re-
@eta d’an pericarpe distinct.
T Ancaorenıco, a, ad. (1. de med.) angiote-
Zique : inßammatoire.
AncıoTogis, 5. f. (6. d’amal.) angiotomie :
Bssection des veines.
* ANGIPORTO, 5. m. cul-de-sac, ruelle.
o,s.m. anglicanisme : reli-
gion pretestante de F6tat en Angleterre.
Aucıcino,ı, adj. anglican : de la religion
protestante d’Angleterre.
AuGLKISUO , &. m. anglieisme : locution an-
gieins.
„ Ämcuıco, a, adj. qui appartient ä PAngie-
Ancımo. V. Anglieo.
ni Aucıo,s.m. Anglais, Il n’ost usitögqu’en
PORT, -F R,
ANG 97
TAncLOANERIchnO , A, adj. ei s. Anglo-
Americain : des Ktats-Unis d’Amörique.
ANCLOMANiA, s. f. anglomanie : affectation
Aimiter, ä admirer les Anglais; atiachement
aux maurs et aux manieres des Anglais.
ÄANGLOMANIACO O8 ANGLONÄNO, A, 3. anglo-
mane : imitateur zele, admiratsur outre des
Anglais,
ANcOosTURA. V. Angusturs.
Änora, s. f. (t. de mar.) anse : petit golfe;
erique , petite baie.
+Ancd, s.m. (t. da Brisi) päte de farine
bouillie en sau.
Ancvia. V. Engwis.
TANGUIFORME, adj. 2 gen. (1. d’hist. nal.) qui
a la forme d’un serpent.
FAnGuinBA, s. f. (l.d’hist. nat.) "orvet : ser-
pent oviparo, anvoie, aveugle.
ANGUIiPEDE,, adj. 2 gem. (4. de poes.) qui a des
pieds de serpent.
+ AncuLipo, A, adj. qui a des angles. V.
Esqwinado,
ANGULÄR, adj. 2 gen. angulaire:: quia un ou
plusieurs angles. Pedra —, pierre angulaire,
fondamentale, & l’angle d’un bätiment.
AncuLÄRI0, 8. m. angloir : instrument d’&be-
niste pour mesurer les angles.
ANGULÄRMENTE , ade. angulairement : en
forme d’angle, en angle.
coLo, s.m. (ti. de math.) angle : espace
entre deux plans ou ligaes qui se coupent, 5®
joignent;; leur rencontre. —, coin d’an bäll-
ment, d’une chambre, d’une table, etc. — ayı=
do, angle aigu. —recto,, angle droit. — oBiuso,
angle obtus. — curoilineo, angle curviligne.
— enirante, (1.de fort.) anglerentrant. — wixte
ou miziilineo, angle mixtiligne. — odliquo,
angle oblique. — morto. V. — entrants. — de
altar, corne de Y’autel. — do olko, (1. d’anas.)
le coin de Popil.
ANGULOSO, A, adj. anguleux : qui a plusieurs
angles.
ANGULOZINBHO , 8. m. dim. petit angle.
Ancönrıa , 3.f. (1. de med.) retention d’urine,
difficults d’uriner.
Anctstia, s. f. ° chagrin, tourment, peine
d’esprit, ennui, inquistude, aflliotion, an»
goisse.
ANCUSTIÄDAMENTE, adv. avec chagrin, aveo
inquietude, avec un soin penible.
AnGustıäpo,, A, adj. chagrine, afflige, desole,
triste. p. p. d’
ANGOSTIÄR , d.@. tourmenter l’esprit, inquie-
ter, chagriner, attrister, serrer le caur, affliger.
ANGUSTIÄR-SE, v.r. avoir de Pinquiötude,
de la peine, s’affliger ; stennuyer.
+ AncusticLivıa,, s. f.“angusticlave : tunique
ow.bande de pourpre des chevaliers romains.
ÄNCUSTIOSAMENTE. V. Angustiadamente.
Gustı0s0 , A, adj. affligeant, fAcheux, cha-
grinant, qui donne de linquietude, qui cause
de la peine. Inquiet, agit6, en peine, sur les
*pines, rong& de soucis.
ANGUSTO, A, adj. etxoit, sorze.
7
”s ANI
Ancustöra, 8. f. * &iröcissement : diat de oo
qui est ötroit. * Pas, passage &troit entre deux
montagnes.
f Ancustüna, s. f. (f. de bof.) angusture :
arbre de Y’Amörique, dont l’6corce remplaoe
le quinquina.
Anuzıicid, 3. f. (1. de med.) anbelatien :
courte haleine.
ANHELÄDO, A, 9. 9. d’Ankelar.
ANBELÄNTE,, adj. 2 gen. qui desire ardem-
ment, qui respire, qui soupire apres. p.e. d’
AnBRLÄR (por), vo. n. desirer avec ardeur.
Respirer, soupirer apr&s. Essoufller, haleter,
“re bors d’haleine, respirer avec peine. Il est
quelquefois actif, et signifle : Ambitionner,
s’efloroer de parvenir.
ÄNBHELITO, 8. m. souflle , haleine; respıration
aaakıo, s.m. desir ardent,, vehömente ari-
TANnnmiMA, 8. f. (6. EMst. nat.) "anhima : ka-
michi, grand olssaa d’Amerique, dont la 1äte
zessomble & ceile d’un serpent.
TAnuınsa,s.f. (8. d’hist. net.)*anhinga : oi-
soau palmipäde.
Anno, V. Cordeiro.—.casto, V. Agno-casto.
Ann6r0, a, adj. (nevio —, 1. de mar.) qui
N’avance pas (vaisseau, ete.).
fAwuumi, s.m. (4. de bot.) anhuiba : Iaurier
du Bresil.
TARuTERO, A, adj. (1.de chim.) priv6 de
Feau.
TAni,s.m. (1. Ehist. nat.) ani: oiseau du
mobveau oontinent,
GEM, 8. f. " canevas : grosse tolle claire
Post faire la tapisserie. Aniagens erdas, co-
+ Aniae, s.m. (6. debot. :
PA er ue ) anlbe : grand arbre
Em i, wonn.an. V. Amiquilar, etc.
8. m. anicille : poi
yique , A poivre de PAme-
Auman. V. Aninker.
AnmwıLsciö, AnımıLar. V. Aniquilar.
AuwiL, s. m. anil : plante de PAmörique et de
Kinde : on en fait Pindigo; f&cule bleue qu’on
re.
*+ Am .2gen. de la vieill
ea al gen la vieillesse ou des
en A, adj. teint, mis dans l’indigo.
AnıLin, ®.«. teindre dans Pindigo.
AnıLtıra, .f. "indigotier : arbuste des deux
indes et de l!’Afrique qui donne Findigo.
"AnıLnacie ,v.a. attacher avec des anneaux.
+ AniLno, s. m. dim. d’Annel. petit anneau,
Chalnon ; anneau d’une chaine; auneau des
ıinenoltes.
Anmaciö, s. f. animation : union de l’änse
au Corps. (fig.) Action, force, vivacii& ex-
pression.
Anınipo,a,p.p. d’Animer, adj. (fig.) ani-
md, excl, encaurag6
ANI
ÄnıuanoR, A, s. ot ady. colui qui anime, qui
exhorte, qui encourage,
"ANINADYERSÄÖ, 8. f. animadversion : ven-
sure verbale.
* ANIMADYERTIR, eic. V. Consurer, Bepre-
kander
Anısiı, s.m. animal : dire organisd et son-
sible, dou6 d’instinct pour sa conservation et sa
reproduction ; corps anime qui a le senliment;
@tre qui orolt, vitet sent. (fig.) * Böte : persenne
stupide, grossiöre. Animdes (pl.) infusörios,
(1. d’Mst. nat.) infusoires : animalcules qui se
developpent dans les infusions vögetales et ani-
males.
AnımiL, adj. 2 gen. animal : qui appartient
& l’animal.
ANIMALÄCO 04 ANIMALAO, 8. 00. augm. d’ Assi-
mal, grosse bete. (Ag.) Grand lourdaud.
+ AnımäLcuLo, 5. m. dim. (t. d’hist. nal.)
animalcule : animal microscopique, Ovipare,
viripare,, ou Se propageant par division.
ANıMALEIO, s. m. animalcule, bestiole : petite
bete. ( fg. few.) Personne stupide, grossiöze ;
bete.
ANIMALIDÄDE, 8. f. animalite : dat de l’ani-
mal ; ce qui constitue l’animal.
ARIMALINHO, 8. m. dim. d’Animal, bestiole.
ANIMALISMO, s. m. animalisme : qualit6, na-
tare, 6tat de l’animal.
GAö,s.f. (1. de med.) animalisa-
tion : changement des aliments en la substanoe
de P’animal.
ANIMALIZÄDO, A, 9... d’
ANINALIZÄR,, ©. e, animaliser : rebaisser au
rang des animaux; (t. de mid.) combiner la
nourriture avoc des principes qui ne se frou-
vent que dans les corps vivants, avoc l’azole.
+ANINALÖCHO, s.m. animal hideux, difformne
et peu connu.
ANIMALZINHO , s. m. dim. d’Animel, animal-
cule , petite bete.
ANIMANTE,, 9. a. d’Animar, qui anime. Il est
aussi s. V. Vivente.
ANIMAR, v.. animer : donnenle prineipe de
la vie d un corps organise. —, enbardir, en-
courager, exciter. ]l est aussi r&ciproque. (fg.)
Animer : donner de l’action, de la foroe, de la
vivacii6 aux parsonnes, au stylo, aux ouvrages
d’agrement. Il est quelquelfois reciproque.
ANIMÄYRL, adj. 2 gen. qui peut &ire aniınd.
ANIME, 8. m. anime : r68iR6 Jause odoranie 5
arbre resineux ; sa racine. .
i + Anımcipa , s. eladj. (1. de thdol.) qui tue
’äme.
+Anınisuo, s.w. animisme : systäme des
animistes.
Anınisra, s. m. animisie : philesophe qui
rapporte & une facult& d’animation matsrielle
tous les phenomdnes de P&conomie animale ;
materialiste.
Änıno ,s. m. esprit : äme de l’honame. Des-
sein, volonts, intenuon, projet de faire une
chose.’ Valeur,, courage, bravoure."Allenlion;
penseo, Grandesa d’—, maguanimite, 6ldva-
ANI
Gen, grandeur d’äme. Porder o —, perdre
courge. Näo estar d’—, n’ätre pas dispos6 &.
Hite ma echo com — de... , je ne me sens pas le
ssurage de...
Ammo ! infor). courage! forme ! or ch !
ASINÖSsauEsTE, ade. Courageusement, valeu-
nuusement, hardiment.
Anmmosipäpe, s. /. hardiesse, courage , va-
leur. Animosite.
Aurmosissımo, adj. sup. d’
Anımöso,&a, adj. courageus, hardi, valeu-
reux, brave, fatr&pide, plein de courage.
Äsıma, s. f.* besant,
Anwip0,4,9.p.d
Anınia, e. 6. (faw.) endormir un enfant en
chbantant. — uma cavile, (1. de mar.) sivex,
clareter wme cherille sar virole.
T ANINCA-IBA 04 ANINGA-PERI, 5. m, (1. de
bof.\ aninga-iba : arbrisseau du Bresil.
AnısBiD0,A,P.9.d’
Auwmir,o.a. (Ag.)accueillir, recevoir chez
ss. V. Agasalhar.
AsummiR, ®.=. nicner: faire son nid, en
parlaut d’un oiseau. (Ag.) Loger, habiter. Il est
aussi recipsoque ei signifle, se nicher ; #’abri-
ter. (Ag.) Se coucher, se fourrer dans le lit.
ÄNISEO , 6. m. agnelei : petit agneau d’un an
: peu pris. Lä d’— ou aninka, agnelin : laine
Amgwıacid, s, f. annihilation, andanlisse-
ment: reduction au neant, —, Epuisement :
dissipation de force, de finances, eic.
AmugemLi2o, A, P. 9. d’Aniquiler.
Anfgunapon, A, s. destructeur : celui gui
ditreit, qui andanlit.
Asßgenswewro. V. Aniguilanio.
AnioviLie, v.s. annihiler, aneantir : rödulre
au nö6ant. (Ag.)—, dissiper, consumer los biens,
ls forteme, ote. 46. Antantir, &craser, extermi-
ner, detraire entiörement.
AsiquiLin-se, v.r. s’andantir, se dissiper,
we detruize, se deliriorer, en parlant des biens,
de la sants, eic. (9.) — , s’humilier profonde-
ment; moarir pour le monde,
Anis,a.m. anis : plante et graine aroma-
üques. V. Herva döes.
Assipo, A, adj. qui a de l’anis. Aguar-
de „ femeuilleste , anisette ; liqueur,
».2.€
T Amsin,9.a. aniser : umer avec de
l’anis : reeouvrir d’une couche d’anis.
tAmmtına, V. Heros d6ce. — da China, *ba-
dian de la Chine ; anis dtoil6 de Ja Chine, se-
mence de Zinghi,
+ Amısarza, s. f. aniseite : liqueur faite avec
de Fanis.
Anveıino, A, p.p. d’Amineldr, (4. de bot.)
dere en niveau. V. Copddo.
ANIVELÄR, u. @. niveler : mesurer avec le
nie. Meitze de niveau ou en &quilibre, V.
ANN 99
Anixo,s.m. (1.de mar.) erochei de fer on
forme de $ attache & un cäble.
ANIINBO. V. Anginko,
Änıo, 8. m. ange : ersature spirituelle ot in-
tellectuelle. —, tout esprit bienbeureux on
bienfalsant. (Ag.) —, personne bonne, inno-
cente, de maurs pures. — dom ou ds kuz, bon
ange, ange delumisre. — custodio ouda
ange gardien. —mdo ou de irdvas, mauvals
ange, ange de tendbres. — „ ange au
dehors et diadle au dedans. Z’um — ou como
um anfo, (fam.) c’est un ange.
Anıo vo man, s.m. (1. d’hist. nal.) ange,
squale : poisson de mer qui ressemble & la
raie.
* Ansr. V. Enire,
Annipa. V. Anndia.
Annäzs, s. m. pl. annales : histoire qui rap-
porte les6v&nements annee par aunde.
ANNAL, adj, 2 gen. annal : qui ne dure qu’un
an. Jl est aussi s. Annal de missas, messes
qu’on dit tous les jours pour un mort durant
une annee : annuel de messes,
ANNALISTA, 8. m. annaliste ; historlen qui
ecrit des annales,
AnniTa,s. f. annate : droit du pape du re-
venu d’une anne&e sur les bulleg des beneficiers
des ev&ques. Meia —, moitie du revenu d’une
annes qu’est obligd de payer au roi celui qui
est nomm& & un beneflce ecclösiastique,
ANNATISTA, s.m, employ6de la dateriechargs
du registre das annatas,
Anno, A, adj. sujet aux vicissitudes des
seisons de Yaunde; dventuel,
AnNn®IO,adj.d’unan,quia un an (animal).
AundL,s.m. anneau ı gercle d’une matiöre
dare,ot qui sert & altscher quelgue chosez
mobile d’une chaine; bague. — sstronomico,
anneau astronomique : instrument pour mean-
rer ia hauteur des astres. — do oabello, boucle
de oheveux. ——do pesoaddr, anneau du pecheur:
s06au du pape. real, anneau royal: Scasu du’
Fol. — de Saturno,, annsan de Baturne ; bande
ciroulaire, double, opaque , autour de Balurze.
Bispo d—, dvöque ooadjuteur. Mäns d’enndis,.
mains dölicates, d’une dame noble, distinguse.
— dagua, mesure d’sau coulanie , oontient
quatre plumes. V. Ponns (d’ague). de ondeia,
chainon, — de oasamento,, "allianos.
ANNELiDO,A,P.P. d’Annelar. af. boncle,
en boucles.
AunzLir, ©.a. annoler: boucler los obeveur.
T Aun&LıDoOs, 5. m. pl. (1. dsl. nal.) annd=
lides : animaux sans vertöbres.
ANNELINHO 0% ANNELLInHO, 3. me. dim. A’ At
nel, annelet petit anneau ; pelite bague; petii®
boucle de cheveurx.
Aundxı, s. f. annexe : öglise qui Atpend
d’une autre ; succursale.
Annexıci0, se. f. annexion : union; Fastion
d’annezer.
Aumxip0,A,9.9.d’
ANNEXAR, 9, 9-AnnOxer, uhir, afacher. Hi 66
kW)
3
100. ANN
dit plus particuliärement des bensfices ecole-
siastiques.
Ann&xıpinpes, s. f. pl. annexes : depan-
dances.
Anntxo, A, adj. annexe : attach# : uni A une
autre chose et qui en depend. (Ag.) Sujet, sou-
mis &, oxpos# A; qui suit, accompagne quelque
ehose.
ANN£xO, 8. m. annexe : bendfice eccldsias-
üque uni & un autre plus considerable. V. An-
nexa. Annezos, pl. compagnons instparables.
Annireao,A, adj. (8. de pods.) qui produit
teute l’annde.
AnmiqviLaciö, etc. V. Aniqwilapdo.
Annito. V. Manes.
ANNIvERSÄnıa. V. Anniversario, 8.
ANNIVERSÄRIO, A, adj. anniversaire, annuel.
ANNIVERSÄRIO, 3. m. bout de l’an : obit: ser-
vice pour le repos de !’Ame d’un mort le jour
qui complete l’an depuis son deces. Jour de
f6te, anniversaire, qui 56 fait tous les ans en
me&moire de quolgue &dvenement. Jour de la
naissance.
ANNO, 3. m. an: psriode du Cours apparent
du soleil dans le zodiaque; 12 mois; duree de
la revolution de la terre autour du soleil.
* Annete : Pespace d’an an’ — tropieo , annde
tropique : cours du soleil & partir du point sol-
sticial; il dure 365 jours 5 heures 48 minutes et
48 secondes. — astronomico, astral ou sideral,
annee astronomique, cours du soleil & partir
d’un point du zodiaque. — lunar , annde lu-
naire, 12 ow 13 r&övolutions de la June. — embo-
Iismal, 13 r&volutions de la lune. — civil, an-
neo civile adopiee par les peuples civilises, de
35 jours. — bisser to , annde bissextile, aug-
mentse d’un jour : elle rovient tous les quatre
ans. —climaterico, annde climaterique. — sab-
batieo, ann6e sabbatique : chaque septidme
annede chez les Juifs. — do Nascimenito, deN.S.
3. C. — da Rodempgöo, !’an du Seigneur, du sa-
lat, de gräce, depuis la naissance de J. C. Dis
de amao ou de anno movo, le jour de Van.
Cada —, par annde. Bom —, mdo —, bonne an-
nee, mauvaise annde. Hd um — a esia parte,
ha dous —s,eto., depuis un an, depuis deux
ans eneä, etc. — de lieo, annde de jubile,
V. Jubileo. — fatal, (1. de prat.) terme d’un an
aooord6 & celui qui a perdu un procds, pour
faire appel dans certains cas. — #000, nouvel
an, le jour de !’an. — politico, V. — civil.
— sanio, V. Jubileo. — usual, — vulgar , an- | ferio
nee oommune. —- e die, toujours. De
por — eo die, ( 1. de prai.) exil& pour toute la
vie. Annos, pl.le jourde la {te d’une personne.
Die &—«, jour de la naissanoe. Dar os bons —s,
sauhaiter la bonne annse, la bonne föte. Fazer
+, compiöter certain nombre d’annees le jour
anniversaire de sa naissance. Tonros —s, l’en-
fance. Flor dos—, la jeunesse. Homem jad’—s,
enftrado em —s, homme Age, d’un certain Age;
vieillard. Ter 20 ou 24—s feilos, avoir 20 ou 24
ansaccomplis. Viva V. M. ndilos—s, expres-
sion dont On 50 BeKtpour romercier ;io voussuis
)
u *
ANN
bien oblig&, je vous romereie. Larges dies (dm
com —s , expression familiere dont en se sort
Bons indiquer qu’une affaire promet un grand
ai.
AunosiL, adj..2 gen. Loite—, lait öpals, d’un
an,
Ann650, A, ady. anteannalire : qui a un at.
V. Annejo.
ANuN6IO, A, 3. veau d’un an.
} Annosıpipz, s. f. Age avanos, vieillesse.
p
. u.
Annöso, a, adj. charge d’anndes, vieux ; an-
cien
Aunoracid, s.f. annotation, note, remarqus
sur un livre. * Emargement: note en marge d'un
compte. Annotagöes, pl. &rudition : recherches
Savanties sur quelque ouvrage.
Annorino,A,p.p. d’Annoldr.
ÄNNOTADOR,, A, 3. annotateuz : colui qui fait
des notes, des remarques.
Annoriz,v.a. noter : faire des notes, des
remarques.
ANNOZINHO , 3. m. dim. K’AnNO.P. us.
+ Annua, s. f. letire 6erite & la fin dechaque
annde, rapporiant les &vönements et lestrans-
actions de toule l’annde. —s, pl. lettres que les
Jesuites de chaque ",covinoe dcrivaient tous los
ans au general d’, leur ordre A Rome.
AnnuÄL, 0/,. 2 gen. annuel : quizevient tous
Ies ans.
fAr.oaLıpÄne, s. f. annualits : qualit6 de
e ai estannuel. Annuits : rente annuelle.
‚, AnnuiLmenTE, adv. annuellement, tous les
ans, par annde, chaque annde, d’annde on an-
nee
ANNUENTE , p. a. d’Anmwir.
} Annupipe, s. f. annuite : rente, pension
sunuelle.
AnnulD0,9.p.d’
Annufa, o.a. faire signe d’approbation. —(@),
u. ». consentir (&): acquiesoer 4 quelquachose;
trouver bon, vouloir bien. Accorder : demeu-
rer d’accord ; conceder, reconnaltre pour vrai.
ANNnULÄRn,adj.2 gen. annulaire: de l’anneeu;
em forme d’anneau. Dedo —, doigt annulaire:
gei porte !’anneau.
AnnuLLacäÄd, 3. f. annulation, abrogation.
AnnuLLiDO, A, 9. P. d’Annullar.
ANNDLLADÖR, A, s. celui qui annule,
abolit, annulatif. Il est aussi adj. V.
ANNULLÄNTE, adj. 2 gen. annulaiif, qui an-
nele. p. a.d’
AnstLıia,o. a. annnler : rendre nul; cas-
ser ; abolir (un oontrat, une lol).
ÄNNULLATÖRIO, adj. annulatif: qui annule.
+ AnnuLLävsL, adj. 2 gen. qui peut e@ire
senules, aboli.
ÄnnuLo. V. Annei.
TAnnuL0s0, A, adj. (E. d’kist. nal.) aunu-
igux : en anneaux, compos6 d’annoaux. (1. de
bet.) Vertieilld : quiforme des anneaux rayon-
rantsau@wurd’unaze. (Fleur—e, feuilles —es.)
ee ANO
AKNCHERAR , 0t6. V. Numerar, Enumerer,
Ansuncıaciö, s. f. V. Annuncio. Annoneia-
Use : (te de PAnnoncialion.
ANSUNCIÄBA, 5. f. annonciade; annonciation.
ANEUNGÄDO, A, P. P. d’Annunciar.
ARNNENCIADÖR, A, adj. eis. Celui qui annonce.
AKNBUSCIANTE, 9. 48. Qui a000NCe. p. 6. d’
ASNURcıÄR , 9. #. anhoncer : donner la pre-
miere nouvelle d’une chose. —, faire savoir,
pablier, predise. —, presager, augurer, pre-
dire „ pronosliquer, prevoir, pressenlir, con-
Anuumcrive, A, adj. qui annonce.
ANSCHCIO, 8. We. ANNONCE , augure, PröSSKE,
ptessestiment, indice , prediction,, avant-cou-
reur. Bons —ı, signes de reusair dans une en-
"Foo |
„A,edj.p. us. V. Annual.
As0, s. m. anus, fondement : orifice du rec-
tam par lequel on expulse les excrements.
+Axönı0 , s.m. (f. Mist. nat.) * vrillette, co-
lkeptäre,, ptiniore.
tTAnopen, s. m. (fl. d’hist. nat.) anodon :
serpent dents.
t AnOp&uTEE , s. m. (1. d’Mst. nal.) anodon-
he : mellusque acephale.
TAsosontiras, 3. [. pl. (1.d’hist. mas.) * ano-
destites : mollusques ac&phales.
TAROBYEADO, A, pP. 9. d’Anodynar, adj. sol
gn6 avec des remödes anodins.
fAsopysun, v. a.(t. de med. ei de chir.)
sppliquer des remedes anodins,
fAnooysia, s. f. (6. de möd.) anodynie : in-
Densibilite, absence du sentiment de la dou-
Anbevno, A, adj. (8. de mid.) anodin : qui
optre doucement, adoucissant; qui calme 1es
deuleurs (remede , purgation, etc.).
*Anocan.V. Anojar.
ANOCTEIRADO , a „adj. couleur de noyer,
Anoıtzchk , v.». faire nuit, faire brun, se
faire nuit. Arriver ä l’entr&e de la nuit. Ao—,
& la Aeune, sur le soir, A jour fermant, & la nuit
lembante. — a alguem n’alguma parle (fam.),
€tre surpris par la nuit.
+ AnorrEckk, v. 6. pP. ws. couvrir de tend-
bres , sobseurecir. (fg.) V. Enlutar.
Anosanıco. V. Agastadigco.
Axo0JäDo, A, adj. qui est en deuil; irrite,
triste. (8. Ennuye, las; nause.
ANO 101
AnomaLı, 3, f. (f. de gram.) anomalie : ir-
regularitö dans la conjugaison des verbes. (1.
de med.) —,, irregularits dans les fiövres ou
dans le pouls. (4. d’astr.)—, distance angulaire
d’une plandte & son aphelie ou & son apog6e.
(8.d’Mst. nal.) —, monstruosite.
* ANOMALIDADE, 3. f. irrögularitö; illögalite.
Anowaristico (anno), A, adj. (#. d’asir.)
enomalistique (annde), terrestre, revolution
de 1a terre, son depart et son retour au meme
point.
ANnöMALO, A, adj. anomal, irrögulier : il se
dit des conjugaisons, des döclinaisons, du
pouls et d’une classe de plantes. En termes de .
palais : exception dilatoire et p&remptoire.
Anoumear. V. Nomear.
+ Anöma,s.f. (t.d’hist. nat.) anomie : co-
quille bivalve & e&cailles indgales. Testacke :
mollusque ac&phale. — sellim ou ajaezada,
pelure d’oignons. — em forma de patella, ano-
mie sillonn&e.
tAnöutas, s. f. pl. (1.d’hist. nat.) anomies :
coquilles fossiles, petriflcations sans analo-
gues vivants.
+ Anöumas, s. m. pl. (t. d’Mal. nal.) ” ano-
mides : insectes orthoptöres & corps trös-al-
longe.
Anont. V. Restab6i.
ANÖNIMO, A, adj. anonyme: qui est sans
nom.Il se dit des auteurs dont on ne connalt
pas le nom,et des &crits dont on ne sait pas
Yauteur. Il est aussi employ6 comme substan-
üf.
+ Anönımo, s. m. (f. d’hist. nal.) anonyme :
petit quadrupdde singulier de Libye, & longues
et larges oreilles : vit sur les palmiers.
Anxonıs. V. Ononis.
Anoque. V. Cortume.
ANORDESTFÄR, v. a. et n. (4. demar.) nor
dester : tourner au nord-est.
AnorExia, 8. f. (f. de med.) anorexie : de6-
gott des aliments, defaut d’appetit.
+ AnoRrMAL, adj. 2 gen. (4. de science) anor-
mal; irregl&; contraire aux regles.
ANORTEAR , ©. a. et n. (}. de mar.) tourner
au nord.
Anovar, V. Innovar.
ANOvYEÄDO, A,adj. mulct6 en neuf fois la
valeur d’une chose volee ; multiplie par neuf.
Anosap6a, A, adj. et s. chagrinant; fächeux. | P. p. d
Anosauiuto. V. Nojo, Enfado.
Auosar, v. a. fächer, irriter, mettre en co-
Möre ; ennnuyer, molester.
AR-SE, ©. r. so fächer. V. Agaslar-se.
Se mettre en deuil, prendre le deuil, se rem-
pr de tristesse, d’ennui. Avoir du degoüt pour
queique chose.
Anu6}0, s. m. ennui, chagrin, fächerie; de-
geät, repugnance, aversion.
} Anos6so, a, adj. ennuyeux, fächeux, dö-
plaisant , degoütant.
+ Anoıus, s.m. (1. d’hist. nat.) anolis: petit
lizard d’Amerigue trös-Tamilier.
ANOVEAR, o. a. mulcter en neuf fois lavaleur
d’une chose vol&e.
AnovEAS, V. Noveas.
ANOVELLÄDO,A,P. P.d’
ANOVELLAR 0% ANOVELAR, d, a. devider;
meitre en peloton, faire un peloton. (fg.)
Amasser diverses choses en confusion; en-
tasser. .
ANOYRLLAR-SE, ©. T. se tasser, 56 preSSer, 5@
serrer, se rendre & quelque lien p@le-mele.
Anquııia, 8. f. (i.de P’Universild de Coimbre
avans la rdforme) quatre conclusions choisies
par le defendant.
102 ANT
+ Angvinkas,, e. f. pl. bouffantes : espöce de
paniers que portaient les femmes surles hanches
en dessous dela robe, poer y donner un oer-
tain #talage. Au lieu de cela, on met aujour-
d’hui la tournure, qui ost un bouffant, pour
soulever la robe y la ehute des reins.
+ Ansiquz, 5. m. (f. de mar.) orin : corde
attachee par un de ses bouts A la eroisse de
Yancre, et par l’autre & la boude.
Anszitıco. V. Hansestice
ANSARINHA 0% r.} (8. de dot. ) a pe
Anszaina, uf. tentille, beo-d
Ansuso. ı V, Ansier, etc,
ANSIAR,
ANSIADADE. V. Anzisdade, A
Ansrecipa, 5. m. (8. de mil.) 1) anspessade :
bas officier d’infanterie, sous le caporal.
Änta,s. f. (4. d’hist. nat.) * anta ow tapir,
quadrup@de du Paraguay qui a une trompe;
&lan , buffie. V. Alce. Peau d’€lan, de buffle ou
d’auires animaux, appretse de manidre & imi-
ter colle de buflie.
Anricmo, A, adj. (f. de möd.) antacide:
anti-scide (remdde).
+ Antipo, a, ( Bezerro—) adj. tannd (vean)
£gomme la peau d’anta. Jaune p4le de la cou-
leur de peau d’elan , de daim preparde.
ANTAFROPISIACO. V. Antaphrodisiaco.
AnTaconista, 5. m. antagoniste; adversaire ;
eppos6 ; &mule. (4. d’anat.) —, muscle attachö
A la möme partie qu’un autre, ot qui la tire om
sens contraire. Il est aussi adj.
AnutiLcico. V. Anodyno
+Antıupi, s.m. (l. h Chist, nal.) antamba :
animal de Madagascar ä töte grosse : ressemble
& un l&opard.
Anranacriss, s.f. (t. de rhdt.) antanaclase:
röp@tilion d’un m&me mot en sens difförenis.
ft ANTANnO, s. m. (fam.) annde precedant
oelle qui court. Autrefois on disait en France,
anlan, oh le proverbe se soucier comme des
neiges, d’anlan.
Anti0.V. Enido.
Autarunonıslaco, A, adj. (1. de mid.) an-
taphrodisiaque (remöde): qui calme Kamour.
ANTARÄRES, 5. m. pl. antarares : Indiens
qui fondent des 'principes manicheens dans le
mahometisme,
Antiscrico, A, adj. (8. d’astr.) antarctique
(ptle) : meridional : oppos& au pöle arctique.
+Antinzs, s. m. (il. d’astr.) Antares : ötoile
Axe dans lo cur du scorpion.
Auvauce. V. Perihdlio.
ANTE ‚ prep. devant, en pr&senoe. Ante fodas
as coueas, avant tout, "prealablement, d’abord.
— mim, devant moi. — fempo, avant Terme,
Do—mäo, d’avance.
+ Anrzaunörk,s.f. aube : la pointe du jour.
Artzsnico, s.m. (1. d’anal.) avant-bras :
partie du bras depuis le ooude jusqu’au poignet.
Antecimana, s. f. antichambre: pidce avant
la chambre,
ANTEcEptncHa 5. f " antsotdent :; ce qui a
ANT
‚ou est fait avant. Com, (’avancoe,
de longue main.
ÄNTECEDENTE, 9. a. Ü’Antoseder, adj. proob-
dent. Ant&ctdent : qui pr&cdde en temps.
ANTEGEDENTE , 5. m. (8. de log.) antectdent:
premiöre partie d’un enthymöme ou d’an argu-
ment quia deux p . (1. de gdom. et
d@’arith.) —, premier terme d’un rapport, d’une
ÄNTECEDENTENENTE, ado. antiohdenment:
ment, avant.
ANTEcEDER , v.». prec#der, aller devant, de-
vancer, prendre les devants. V. Proceder. (fg.)
Burpasser.
ÄNTECESSÖR , A, 8. predtcesseur,, devancier:
qui pr&öc&de en temps. Antscessores, pl. anch-
tres, devanciers , aleux.
ANT£CIOS ow AnTcos ,s.m.pi. (1. de geogr.)
antisciens : habitants dans le meme meridien
et au meıne degrö de latitude ; mais les uns au
nord et les autres au midi.
ANTECIPACAO,
ANTECIPADO,. V. Antieip...
ÄNTECIPAR.
+ Antecorıcid, s.m. (1.de odlEr.) avanı-
cur : fumeur au poitrafl u cheval.
ANTECORO ,s.m. avant-chaeur : piöce qui pr6-
cöde le chmur.
Awrtecöco , s. m. (burt.) cornard.
Aurapirn, s. f. antidate : fausse da!e ante-
rieure & la vöritable.
ANTEDATADO,A,P.9.d
ÄNTEDATAR, .. a. antidater : meltre une anti-
date.
+Anteoia, 5. m. avant-jour : temps avant lo
tever du soleil.
ANTE-DILUVIÄNO,, A, adj. antödiluvien: qui a
prec&de6 le deluge.
Anutererıa. V. Preferir.
+Anterinwa,s. f. les termes de politesse qui
doivent prectder la signature d’une lettre mis-
sive.
Anrerösso , s. m. ($. de fort.) avant-fosse ı
fossd antonr de la contrescarpe, au pied du
glacis,
+ANTEciLHA, 8. f. (f. de mar.) corde qui sert
4 diminuer les volles latines du cöt& de la pointe
des vergues pendant la tempete ; pointure.
ANTECONISTA. V. Antagoninia.
ANTECUARDA. V. V
ANTEBONTEN , adv. av nt-hier: le jour qu
prec&dait bier.
Antzuiciö, s. f. anl!riorit6 : prioritö dh
temps. V. Preferencia.
AxTELOCIO. V. Prodmür.
AxtzLögvIo, 5. m. avat-propos, pr&lace.
AursumannX, adv. avantle jour.
ANTzuÄO (DE), adv. d avance, par avancı
par anticipation.
ÄANTENERIDIÄNO, A, ad). qui est ou qui Se la
avant midi.
+ ANTEMURÄDO, A, ad). entour6 de remparts.
(Ag.) Protöge, däfend
ANTEHURAL, 8. mM. rerapart: lev&e naturelle
a nn —
. ANT
su sstäsielle qui anvironne et difend une place,
($g.) Ce qui delend.
Ayrssunanma. V. le pröcddent et lo subseq,
Astım6ro, 8. m. (1. de forl.) avant-mur ı
mur plac& devant un autre, fortification avan-
ne.
Ayrtuua, 8. f. (6. de mar.) antenne : longue
vergue mebile et soutient A voiles, td.
(ti. dkist. nal.) anlennes : lets trös-vari6s dans
leuzs ferınss , gui accompagnent la tölo des
imsootes ; orgeme auxiliaire du taot, suivant la
upart des naluralisios; agent exterieur de
organe audi
+ Arrzaulno, A, adj. (1.d’hst. nat.) qui ost
poutrva d’anisanes.
Aurzunir, s.m. (4. dkist. nat.) antennale,
albatros : oiseau de mer:
+Amresmiıma, s. [. espöce de bois du Brösil
ires-dur et irös-fort.
ANTENSuR, 5. u. nom Qui pröodde le nom
prepre ou de bapiöme d’une personne; titre
d'une personne quo Fon met avant le nom. v.9.
L ‚io gentral. -
ANTEOCCHPANTE , adj.2 gen. P.48. qui 0000pe
deranıe , qui pr&oocupe.
ANTEPLACAR , v. @. payer d’avanoe.
Aunsrınriö, es. f. passion qui procdde la
reisen.
f Aurzrina, s. f. (t. de mer.) clolson , fron-
un. —6 das escadas , (id.) capot d’schelles.
ARTEPARÄDO, A, 9. P.d’
Aurepranir, v.0. entraver, arr&ier lo mouve-
ment, ernbarrasser la marche de quelquechose.
Bemparer , fortifier, garnir detout co qui est
nteesssire pour la conservation et pour la de-
fense. (Ag.) Empö6cher, embarrasser; if. abri-
ANTZFARÄR-SE , 0. T. Se remparer, se forti-
Ser, se munir. (fg.) S’abriter, s’accueillir A, se
mettre ä coavert. S’arröter spontandment, en
parlant des animanx.
Anrerino, 3.m. rempart, retranchement,
ont ce qui sert dedelense et Ad emp£cher quel-
que effort. id. Contre-porte pour se garantir du
veaL
AXTSPARTO,, 3.m. avanl-couche.
AntEPAssiDo, A, p. p. d’Antepassar, adj.
passe, ecoul&, en parlant du temps.
‚Anrgrassipos, 5. m. pl. ancötres, devan-
ders.
Aytgpassar. V. Preceder.
ÄNTErASTO, 3. m. hors-d’@uvre : petits plats
qw'on seri avec le polage.
Autzrt. V. P& (ante).
ÄNTEPENÜLTIMO , A, adj. anl&pönaltidme: qui
pr&cdde le penultidme.
ANTEPILÄNOS, 5. m. pl. ant£pilanes : soldats
vestrans d’une legion romaine ; reserve.
ÄsterıL£PrIco, A, adj. (1. de med.) antöpi-
kptique : contre l’&pilepsie.
"ÄNTEPOIMENTO, 3.0. ce qui est mis devant,
Aurzrörra ,s. f. (l. de mar.) avani-poupe,
R, 9.0, meitzo devanı, donner la pre
ANT 103
färenos. ( Ag.) Pröförer, estimer davaniage,
pre&poser.
' ANTEPÖRTA,s. f. * paravent, Contro-porie,
ANTRPORTARIA, 8. f. pidce contigus A l’entröe
d’un couvent,
Antzrosıgkd. V. Preferenoie.
ANTEPOSTO, A, 9. 9. d’Antepör.
ÄNTEPREDICAMENTÄRS, 3. m. pl. (1. de log.)
antsprödicaments : questions preliminaires.
ÄNTEPRINKIRO, A, adf. avant le premier, pe-
* ANTEQUANTO, adv. le plus tt possible. V,
ÄNTERIOR , adj. 2 gen. antörieur : qui est
avant; quipr&cdde en ordre de temps, de lieu.
ÄNTERIORIDÄDE , 3. f. anttriorite : priorits de
temps, de position, de droit, d’existenoe.
ÄANTERIORMENTE, adv. antdrieurement , pr&-
ceddemment.
ANTERLOCUTORL, V. Interlooutorie.
ANTES, prep. avant. ade. Piutöt. Ex. : Anios
morrer que ser traidor d sua palria, plutst
mourir que de trahir sa patrie. Proosdenment,
prealablement, auparavant. Ci-devant. Quanfo
— , au plus töt, ie plus töt possible. Desde
muito —, de loin, de longtemps. Poweo —,
naguöre. Antes, — bem, au oontraire, plutöt.
D’antes, d’auparavant.
ANTESACRISTIA , 8. f. piöce avant la sacristie,
ARTESiLA, 8. f. autichambre : pidce qui est
avant la salle.
Anrescıos. V. Anlecios.
T AnTEsicma, s. m. *lettre que l’empereur
Claude a voulu, mais en valn, introduire dans
Palphabet avant le S ou sigma des Grecs.
ANTESIGNÄNO, s. m. soldat romain qui dtait ä
lagardedel’stendard ou du drapeau, qui mar-
chait devant pour le defendre. (fig.) Celui qui
marche devant , precurseur.
+ Aurnstaröna,s. f. (8. de fort.) anteste-
ture : retranchement fait & la häte avec des ga-
bions.
}f ANTETEMPLO, 8. m. parvis d’un temple. V.
ANTET£MPO, adv. avant le temps, avant
terme.
ANTEYÄR, ©. a. prövoir, conjeoturer par
avance 00 qui peut arriver. V. Prever.
ANTEVSSPERA, 5. f. avant-veille : le jour an-
ttrieur & la veille.
ANXTEVIpEncIA, V. Provideneia,
ANTEVIGILIA. V. Ante
ANTEVISTO, p. p. d’Antever.
Anrusılz, s.m, (8. d’anet.) antheliz ı eircrit
interieur de l’oreille externe,
ANTHELMinTICO (remedio), A, adj. (4. de
med.) anthelmintique (remöde) + contre les
vers.
AntHenuıs, V. Macella.
Antara, e. f. (t. de bot.) anthöra : Jjaune da
milieu de la rose. Anthäre : sommet des dte-
mines, capsules en forme d’outre qui conlien-
nens le pollen ou poussidre '
Aurukaco, 8. m. (6. de bet.) anthirie ı plante
108 ANT
liliaode; asphoddle du cap de Bonne-Espt-
rance,
f Anruenino ow ÄNTHERRINO, 8. m. (I. de
bo4.) muflier: genre de la famille des person-
nöes.
Antnise, s. f. (8. de bof.) anthöse : temps ol
tous les organes d’une fleur ont pris leur par-
fait accroissement.
+ Anrmasistas, s. m. p8. anuthiasistes : seo-
taires qui condamnaient le travail.
ANTHOLOGIA, s. f. anthologie : reeueil de pe-
Gtes pidcos choisies de po6sie.
ANTBÖLOCO, s. ws. anthologe : recueil d’ofi-
008 grecs ;son auteur, auteur d’une anthologie.
ÄNTBONTEN. V. Ante honiem.
+ Antnörnucos,adj.ets.m.pi.(t.d’cMst.nat.)
anthophages : insectes qui mangent les fleurs.
tAnTmörmLos, adj. et s.m.pl. (1.d’Msi. nat.)
anthophiles : inseeles vivant sur los fleurs.
TAnTmörzoRos, adj. eis.m. pl. (6. d’hiss.nat.)
antkophores : genre d’apiaires.
Autuöna,s. f. (t.de bot.) " aoonit salutifäre;
anthore , maclou.
+ Anraaacıinos, adj; ots. m. pl. (t. d’hist.
na$.) anthraciens : famille d’insectes.
Antuniz ou ANTERAX,, 5. m. (f. de med.) an-
thrax : charbon, babon tnös-enflamme, irds-
douloureux. (1. Est. na£.) Anthrax : insocte
ANTERRNO, s. m. (1. d’hist. nat.) anthröne:
insecte stsrooöre.
+ Anruxino, s. m. (6. d’hst. nat.) anthribe :
inseste ool&optöre.
AntunörmıLo. V. Pklilanthrope.
f AntunororönuE , adj. 2 gen. antkropo-
forme : ä igere humalne,
+ Autunorocania, s. f. anthropogenie : oon-
naissance de la gönsration de !’hemme.
} ANTEROPOCLYPEITE, 5. f. anthropogiy-
pbite : pierre reprösentant quelque partie de
Vhomme,.
+ AntuaOoPOchArmia, 5. f. anthropograpbie :
description de ’homme.
+ ANTERORÖCRAPEO, 8. m. anthropographe :
qui &erit sur /bomme.
} AnrteaoroLocia, 8. f. anthropologie : dis-
cours figure qui attribue & Dieu des membres,
des organes, des afleotions , des actions ha-
maines. (t. d’anat.) Diseussion sur l’homme.
+ Aurznorouanda, 8. f. antkıropomandde :
divination par Ulnspestion des entrailies des
victmes humalines, et par l’apparition des
+ N nTwnorOwernia, s. f. anthropometrie :
no d’anatomie qui: s’o00upe des proportions
“ ÄNTEROPOMÖRPHOS, sm. pl. (tl. Ehisk.
nat.) anthropomorphes : animaux qui ressem-
bient en quelque partie & Fhomme,
$ ANTEROPOMORPEISMO, 5. m. anthropemmor-
phisme : errour des anthropomorphistes.
T ARTHROPONORFRISTA, 5. m. anthıro
ANT
antkropemorphite: reptile testao6 pötriit qui
represente d’an cöte la face de !’homme.
fTANnTBROPOrATBIiA,s. f. anthropepathie: dis-
cours qui attribue ä Dieu ce qui ne eonvient
qu’& Phomme.
}ANTRROPOPHAGIA, 8. f. anthropophagie :
action, habitude de manger les hommes.
ARTRROPÖPHACO, a, adj. anthropephage :
mangeur d’hommes, de chair humaine.
+ ANTEROPOSOMATOLOGIA, 8. f. autkropose-
matologie : description du oorps humaln , de sa
structure.
+ ANTEROPOSOPRIA, 8. f. anthrepesophie :
oonnaissance de la natare de !’homme.
+ Anruaororouia, s. f. anihrepetemie : dis-
section anstomique de l’bomme,
ANTRUStÄsM0. V. Enthusiasme.
yAmrmvınıs, s. f. (6. de bot.) anthylide :
plante legemineuse,. — meior, anthylide ar-
gentede ou barbe de Jupiter. — mıener, anıhy-
lide heterophylie. — basterde, germandree
musque6e , ivette de Narbonne.
Anrtı, pr&p. qui entre dans la composition de
queiques mots. Anti : contre, contraire.
ANTIARTERITICO, A, ady. (t. de dd.) antiar-
thritigue : oontre ia gontie.
Aurmäiccnıo, s. m. ( Pd, „de pad. jet)
antibacchigue : pied de vors coompose de deux
longues et d’une bröve, formosa.
+ Anrısaucmiu, od. 2 gen. (t. dansl.) an-
übrachial : de l’avant-bras (nerf).
+ ANTICacRäcTıco, A, adj. (t. de mdd.) anti-
cachectlique : (reme&de) contre la cachexie.
T ANTICARDEAL, 5. m. cardinal schismalique.
f Anticzırico, A, adj. (6. de med.) anlisy-
philiique : contre le mal vönerien.
+ AnrıcnoLkaıco, A, adj. (1. de mdd.) anti-
cholerique : contre le cholera-morbus.
+ Anrıcuatsis, s. f. (1. de prei.) antichräse :
convention par laquelle on abandonne les
fruits d’un bien pour les intereis d’un em-
prunt.
Antıcakıstiö,ä, ady. anlichrötien : oppos6
au christianisme.
ANTICHRISgIANISMO , 5. m. antichristianisme :
religion opposte au christianisme.
ANTICHAISTO, 3. m. antechrist : appose & J&-
sus-Christ. — , s6ducteur qui, d’apres 1a
croyance de l’Eglise, viendra & la fin du monde
pour oorrompre los fideles.
ÄARTICHTEÖRES, 8. m. pl. antichthones : an-
tipodes, habitants d’un autre hemisphöre.
Anrıcmwaciö, s. f. anticipation : Vaction
d’anticiper, de prövenir, d’avoir ou de faire
par avance; prevention de temps; prfessenti-
ment, connaissance anticip£e. (4. de rhdt.) Re-
futation anticipde. Com —, d’avante.
ÄNTICIPÄDAMENTE, ade. avec anticipalion ,
par anticipation, preliminairement, d’avance,
Anrtıcıwipo, A, adj. anticip6 : qui vient
avant le temps ; prevenu , pr&coce. p. 9. d’Anti-
te : hirdtigue partisan de Panthropologie. ANTICIPADOR, A, adj. & 5. celuı qui antich
pl ändane para de Fantasie. qui preoveit, qui annonte, dal prövient: r
ANT
ANTIKSPAR, %. @. anliciper, devancer, avan-
eer, prevenir, prendre ow faire par avanoe;
prendre,, gagner le devant.
ANTICIPAR-SE, ©. r. S’anticiper, s’avanoer, al-
ler le premier, aller devant, pröc#der
ANTICOR
+ STTTUCIONAL ‚adj. antioonstitation-
nei : eomtraire & la constitution.
Autmara. V. Aniedala,
Auftıpzos, s. m. ennemi de Dieu.
+ Axrıntauo, s. m. (1. de bot.) antiderme :
cantre-venin, plante de ’la dimcie; alexiiäre
da Malsbar.
Anrmoruıı. V. Remuneratorio.
ARIO , $. m. antidoteire : recuell des
zemeddes de hons medecins ; livre od Fon daorit
les antidetes ; beite & antidotes.
Auriporo , s. m. (4. de pharım.) antidote : re-
möde qui preserve du poison, de la peste, du
venin ; speeique contre... (fig.) —, contre-
peison : remdde pröservatif oonize une passion,
un vioe, etc.
Aurıpaörsco. V. Antikydropioo.
* Antıyaar. V. Antphonario.
ANTITACE , 8. m. volle pour couvrir la gure.
Aurıranalı, , adj. 2 gen. (1. de mid.) antile-
brile : contre la Rövre.
Aurıan ow ANTIPHEN, 5. m. antipben : signe
de cerrecteur d’imprimerie pour indiquer la s6-
Perstion de deux mots qui sont unis.
ASTIFISSCO.
ASTIFLOGISTICO.
V Antiph... eie.
Auzivona, etc.
6. de mar.) V. Antegalke,
. ansiennemen
ÄNTIFRASE.
AutıciLm0, 8. M.
ade t; autrelois;
Aur
dans les siöcles passte ; jadis.
Autico, a, adj. ancien : qui exisie depuis
kengtemgs. Antique, fort ancien. — ‚gothique:
trös-vienz , qui n'est plus de mode. Meis— qui | timo
& €i6 roga avant un autre. 5. Personne de Van-
Gquitd. —e, pl. les anciens : ceux qui vivaient
iongtemps avant nous; vieillards. 4’ antiga, &
Tantique,, ala mode des anciens, & l’ancienne
mode. O antigo dos dias, (expression hiblique)
Aurıcöai0, 8.0. 41..3 Gmail des falenciers.
Auricnaro ow AnTicRAPHO, 6. m. anligra-
pe : correcteur des ‚oıhptes A Alhönes.
Aurouino. V. Ansiquado, Velko.
Aurıcuiiza, 3. f. antiquites : monuments,
me6dailles , statues, de Yantiquite. Antiquaille :
«hose antique, usde, de peu de valeur. v.g.
Viegz meubles, vieux tableaux. Usages an-
ciens maintenant abolis , vieillerie. Antiquaille::
ierne de m6pris dent on se sert en parlant de
eertaines choses antiques et de peu devaleur.
Asrıovıpäae, s. f. anliquiis, anciennete :
qualitt de ce qui est antique, ancien. Ancien-
news receulte ; les siöcles recules; les anciens
; 0» qui reste d’eux ; los dvönements de
Tamtiquiie. —e, pl. monuments , temples an-
üques; choses, vasen, meubles, medaillons
Aurıouissino, V, Antiqwissimg,
ANT 108
Anmevo. V. Antigo.
NTIBECTICO, A, adj. (8, de .
tique:: Conire Felikia "möd.) antiheo-
t ARTIBEMORROIDAL, adj: 2 gen. (4. de med.)
antihömorroidal : contre les hemorrofdes,
TANTIBERPETICO, A, adj. (8. de mid.) anti-
heepötique : contre les herpes.
T ÄNTIBYDROFHÖBICO, A, adj. (4. de mid.)
antihydronhobigue : contre la rage.
T ANTIaTDaÖPICO, A, adf. (8. de mid.) anti»
hydropigque : contre l’hydropisie.
T ANTIRTPOCOnDRiaco, A, adj. (1. de mid.)
antihypooondriaque : eontre les affections hy-
pooondriaques.
ANTIEYSTERICO, A, adj. (4. de med.) anti-
hysterique : contre les vapeurs ou hysterie.
tAnTiLBas, 8. f. pl.(1.de gdog.) Antillen,
vingt-huit les du Mexique.
ÄANTILOGARITENO , 5. m. (8. de malhdın.) anli-
logariihme : complement du logarithme d’um
sinus.
AnrıLocia, s, f. antilogie : contradiction dans
un discours.
f AnrıLolsıco, A, adj. (ti. de mid.) antiloi-
mique : antipestilentiel. .
TAntiLore, s. f. (1. d’hist. nat.) antilope :
quadrupdde mammifdre, ruminant, A cornes
creuses ;la gazelle, le chamols ,le bubale, le
gnou, elo, — albipede da India, * nyl-ghau. —
@ }
‚"gnou.
} Antıuereirtico, A, adj. antimephitigue :
contre la mauvalse odeur, le mepbitisme.
+ ANTIMINISTERIÄL, adj. 2 gen. antiministd-
riel : contre le ministöre.
ÄNTIMONÄRCHICO,, A,adj. antimorarchique :
contre la monarchie.
+ ANTIMONLÄDO, A, adj. qui a de l’antimoine.
ANTINONIÄL ‚adj. 2 gem. antimonial : de l’an-
ine.
ANTIMÖNIO, 8. m. ($.de chim.) antimoine :
metal blanc, lamelleux, friable. Sulphureie
d’—, sulfure d’antimoine : ce me&tal combine
avec le soufre. — fartarisado,, tartre eınetique.
ANTIMORAL, adj. 2 gen. contre la morale. V.
Immoral.
ANTINACIONÄL, adj. 2 gen. antinational : op-
pos6 au goüt, au caractöre national ; äl’esprit,
aux interets nationaux.
Antınomia, s. f. (. de pral.) antinomie :
contradiction r6elle ou apparente entre deux
lois; contrariöte.
+ Antınowıino, s. anlinomien ou anomien :
ennemi de la loi; qui n’en reconnalt pas.
Antınöuıco,, A,adj. quia de l’antinomie.
AnTinoo , s. m. (6. d’astron.) Antinoüa : con-
stellation N,pres de la voie lactde,, sur l’tqua-
teur, sous l’Aigle. on
ÄNTIOCHENO ow ANnTIOQURNO, A, adj. d’An-
ü
oche.
+ Anrıocuia ‚3. f. (f. de geog.) Antioche, ville
de Syrie.
+ ANTIODONTÄLCICO, A, adj. (f. de med.) an-
tiodontalgique : qui s’omplole contre le mal
de dents.
106 ANT
+ Antiora, e. f.(6. dat. nat.) "Demi-denll:
esp&ce de papilion.
Antioncistico, A, adj. (6. de mdd.) antior-
gastique : qui calme l’orgasme, l’ollervesoence
des humeurs,
Antırira, 6. m. antipspe, fauz Pape.
AnTIıPAPÄDO, 5. m. gouvernement, dignits
usurpee de l’antipape.
"+ Antırias, 5. f. "$cran, paravent, ettout
ce qui sert au meme usage. Ankiperes, pi. sorte
de gu£tres qui ne oouvraient que le devant de
la Jambe et du pied.
TARTIıPARALLELO, A, adj. Linhas =as, (fd. de
geom.) lignes antiparallöles qui font aveo deux
autres lignes des sections oontraires.
ÄNTIPARALY’TICO, A, adj. (1. de medd.) anti-
paralytique : contre la paralysie.
t Antıranistasıs, 8. f. (d. de rhdt.) antipe-
rasiase :igure par laquelle un acouss veut prou-
vor qu’il merite des &loges plutötque du blame.
} Antıpästo, s. m. ( 6. de pods.) antipaste ow
antispaste : pied de vers latin compose de deux
syllabes longues entre deux breves.
AnTıPATBia, s. f. antipathie : aversion, rö- | |
Pugnance naturelle et non raisonn6de que l’on
a pour quelqu’un , peur quelque chose.
ANTIPÄTNICO, A, adj. antipathique : oon-
traire, oppos®#, qui a de l’antipathie.
+ Antirarno, s. m. antipathe : corall noir;
z00phyte.
Aurirzpe.V. Anti
ANTIPERISTÄLTICO, A, ad. (1. d’anat.) anti-
peristaltique : oppose au mouvement peristalti-
que; (mouvemen!) irrögulier des intestins, de
bas en haut.
AntıPEenistase ow Anvıpanistäasis, 5. f.
(8. de phil. anc.) antiperistase : angmentation
de forces, de l’activitö d’une ohose & l’approche
de son contraire. v.g. Le froid ranime le feu.
ANTIPESTILENCIÄL, adj. 2 gen. anlipestilen-
tel : bon contre la peste.
TAÄNTIPBILANTRÖPICO, A, adj. eontraire, Op-
pos6 & la philanthropie. '
AnTIPmILOsÖöPmICO, A, adj. antiphilosophi-
que : contraire , oppos6 & la philosophie.
+ AnrıentLösorno, s. m. antiphilosophe: en-
nemi de la philosophie.
ho aisrico, a, adj. (1. de möd.) an-
tiphlogistique : qui calme l’ardeur de la fiövre;
salratchissant,
Antiemona, s. f. andenne : debut du chant;
verset preliminalre d’un psaume. Levantar—,
(famn.) röpandre une nourelle triste ‚fächeuse,
mauvalse, contre la r&putation de guelqu’un.
ANTIPBONÄRIO, s. m. antiphonier, antipho-
naire: livred’öglise oü sont lesantiennes notdes.
ÄNTIPHONRIRO, 3. m. celui qui entonne les
antiennes.
ANTIPHRASE, 8. f. (4. de rhdi.) antiphrase,
Ironie, contre-verit6 : emplol d’un mot, d’une
locution en sens inverse du naturel (v. g. bon
eye
ANTIPHRASBÄR, c. 6. antiphraser : faire des
phrases contraires A la grammaire.
ANT
AnrwLauairioo, A, adj. (i de mid.) anli-
pleuretique : contre la pleuresie. .
ANTirODA, 5. m. antipode : celui qui habile
dans un endroit de la terre que l’on considere
par rapport d un autre endroit diameötralemenst
opposö. (Ag. fam.)— , oppose,, oontzaire,
ANTIPODÄCRICO, A , adj. (4. de dd.) anlipe-
dagrique : contre la goutie.
ANTIPODAL, adj. 2 gem. antipodal ı qui use
des antipodes.
Autirope. V. Antipode.
ANTIPOLIORCETICO , A, adj. qui traite de la
defense des places.
Antıroulrico, A, adj. amtipolitique ; con-
traire & la politique.
+ Anrırrnöstatas,.s. f« Pl. (t. d’anas.) anli-
prostates : deux potits oorps glanduloux devant
les prostates.
Antietose ou Antietosis, 8. f. (f. de.grem.)
antiptose : position d’un cas pour un aulre.
ANTIPÖTRIDO, A, adj. antiputride : oontreire,
oppose & la putrefaction. -
ANTIPYRETICO, A, adj. antipyrötiqus : contre
a üövre.
Antırraörscos, s. m. pl. otadj.(1.de med.) an-
tipyrotiques : contre les caustiques, la brülure.
Anrıquädo, 4, adj. ancien, surannes, hors
d’usags, vieilli, inusite. p. p.d’
ANTIQUAR, 9. a. rendre ancien, antique; abe-
lir, abroger un usage. —a linguagem, imiter
le langage des anciens derivains. (4. de relisur)
Antiquer : vieillir un marequin, une dorure,
pour se rapprocher du bon goüt des relieurs
anciens. "
ANTIQUAR-SE, 9. r. devenir anclen, vötdran ;
passer de mode.
Antıquinio, 5. ws. antiquaire : qui oonnalt
bien les antiquitss, los statues, los medailles ,
etc. ; puriste attache & l’ancienne langue.
ANTIQUissIMO , A, adj. aup. d’Ankigo, irös-
ancien.
f ANTIREVOLUAONÄRIO, A, adj. antirdvelu-
tionnaire : oppos6 & la revolution.
ANTISÄTTRA, 3. f. antisatire : röponse A une
satire.
Antıscıos. V. Anteclos.
ÄANTISCORBÜTICO, A, adj. (tl. de mid.) antis-
corbutigue : contre le scorbut (remede).
TArtıscnoruLdso , A, adj. (l. de mid.) an-
tiserofuleux ; contre les &crouelles.
Anrıserrico, A, adj. (f. de med.) anlisepti-
quo : oonire la gangr&ne (remedde).
ANTISIPHILITICO. V. Anticeltico. .
f Anrısoctar , adj. 2 gen. antisoclal : coom-
traire A la sociei&, A son urdre, quitend & la
dötruire, A la dissoudre.
T ANTISOPBIisTA, s. m. antisophiste : ennemi
des sophismes.
f Antispase ow Antispasıs, 8. f. (1. de med.:
antispase : r&volution, oours des humeurs de-
tourndes.
Anriepasmönıco, A,adj. ei a. (f. de mid.)
anlispasmodique ; remdde contre le spasıne,
los conrulsions.
ANT
Awrmpisteo, a, adj. (1. de mdd.) antispas-
‚ügee : qei op&re par r&volution.
Auristıre, s. m. prelat, dreque ‚prötre.
Aurisraorse , s. f. antistrophe : la seconde
Stance de la poesie lyrique. (4. de gram.) Ren-
verseunent de deux termes. ©. g. Le serrileur
ds maltre ou le maltre du serviteur.
Autwraruarıco. V. Antiscrofuloso.
+ Auıırzrinico, A, (f. de mdd.) antitötarfi-
qua : contre le
z AurmauriL, adj. 2 gen. antithöätral :
qui zul west pasihäätra), qui ne convient pas & la
ertruzsz, s. f. (t. derket.) antilhöse : op-
position de pensöes ou de mots. (f. d’alg.)—,
transposition d’un terme, d’une &quation, d’un
nambre dans un autre. (t. de gram.) — , figure
par r Iaquelle on met une lettre & la place d’une
ertronz. V. Antipoda.
AsTIraistrÄrıo, 5. m. antitrinitaire : sectaire
qui rejetie je mystöre de la Trinite.
ÄNTITYPFO, 8. m. anlitype, Ägure, type.
AuTırznärgo, A, adj. (1. de med.) antiränd-
rien : contre le mal vönetrien (remede, ti-
sane, ec.
+ Asııyaawndso,, a, adj. (1. de med.) anti-
verminenx : contre les vers.
AnrtıveröLıco, A, 0dj. (#. de mid.) antivero-
üque : contre la petite verole.
ASTOJADIGO, A, adj. fantasque, capriclenx,
Bizarre.
Antosivo,&A, adj. qui a le desir, V’envie de
queique chose. P- PP.
Astosik, v. a. convoiter, desirer avec ar-
dear et par caprice; avoir une fanlaisie, une
envie.
AXTOIÄn-SE, v. Tr. 56 persuader lögörement ,
se Sigurer, simaginer. — 6 alguem alguma
cowse , jogerd’une chose sans fondement, sans
se ooiffer, s’engouer d’une idee ‚etc.
Ant0J0 , s. m. "envle: desir ardent: caprice,
fantaisie. *Opinion , jagement mal fond6 : en-
Ipnement, pröocenpallon. *Enrvie de fenmeen-
Tor maBico. V. Aniojadipo.
Axrs0oınivo,A,P.P
ANTOLHAR, U. 0. Pa devant les yeux, vol-
ler, eoavrir les yeuz.
ÄNTOLMAR-SR, eo. r. so fägurer, s’imaginer,
se ter.
AntöLzos, 5. m. pi. * ailldres : petites pidces
de cuir attachees ä la tätlöre d’un cheval pour
lai ceayrir et garantir les youx. (fg.)" Fascina-
tion.
+ Asronıino, s. m. Antonin : moine de Saint-
Antoine.
fAwıonico ow AnTONinHo, 5. m. Antonin:
meine de l’ordre reform# de Saint-Francols .n
Portagal, qui a pris pour son patron saint
Anseine de Lisbonne.
+Asxtonouisıa, 8. f. (f. de rhdi.) antono-
mase : substitution d’an nom appellatif & un
Dem propre,
ANZ 107
ANTONONÄSTICAuARTE, ade. par anlonomase,
ANTONnowmÄsTıco, A, adj. quiarapport & !’an-
tonomase.
AnrontEu.V. Anls-Aonlem.
* ANTORA, ANT/HORA, adv. avant l’heure.
T Antöna, s. f. (t. de bot,) *anthore, anıhera,
aconit salutaire.° Maciou,, plante & leuren 0a9-
que.
* ANTORCHÄDO, 8. m. ancien ormement dans
les robes.
* Antae. V. Enire.
* ANTRRCAMBAR. V. Mesclar, Misiurar, oie.
* ANTRECORRER. V. Incorrer, Contrahir.
* ANTREDANHA, V, Entranke,
* ANTREDICTO. V. Interdicto.
* ANTREDOZIR. V. Introdusir.
* ANTREFEITO, A, adj. fait entre deux per-
sonnes.
ÄNTRELIAR.
ANTRELINHAR.
ÄNTRENMETTER.
ÄNTREMEZ.
ÄNTREPOR.
ÄNTRESACHAR.
ANTRESEIO.
ÄNTRESOLHO.
ÄANTRETALHO.
ANTRETANTO,
ANTREYALLO.
AÄNTREVIR. V. Inter... etc.
Äntno,s.m.(t. de pods.) * caverne, grofte,
antre.
Antaonucgi06. V. Introduerdo.
® AntrörıLo. V. Pkilanthropo.
Antropöraco,. V. Anthropophago.
+ Antovıipo, A, adj. faltaveo pr£cipitatiom.
r.r7.d0
. fi Antuviia, v.a. V. Adianlar, Anticiper.
Frapper subitement ‚ frapper le premier. Il ost
aussi r&ciproque.
AnuvıÄDO,A, 9. P. d’Anuriar et adj. nebu-
leux, couvert de nuages. (flg.) Triste, accable
de pensees lugubres.
ANUVIADOR, A, adj. qui obscurelt, gul col-
vre de nuages.
ANUYIAR , v. a. couvrir de nnages, obscurcir,
rendre sombre, brouiller. Il est aussi r&cipro-
que. (fig. ) Ternir, obscurcir, fletrir.
ANYERsO, 5. m. le cöt6 de la monnale qui
orte le buste du sourerain qui la fait frapper:
ace.
Änxru.V. Ancia.
ANXIEDÄDE, 8. f. anxiöte, angoisse, peine
d’esprit, grande ingnietude, soin inquiet,
Anxıöso. V. Ancloso
+ AnzıRUTO,s. m. (1. "de PInde) *nöfte(fralt).
*® Anzına. V. Ensinha.
AnzınHEınA. V. Azinheira.
AnzöL, 3. m. hamecon : petit crochet de fer
er prendre du poisson. (fg.) —, attrait,
V Enire... eic, .
u; Arzouivo, 4, adj. garni d’hamegon ; pris
& Phamecon; quien a la forme.
ANZOL&IRO, 5.0. celai qui fait des hamecons.
108 APA
ANZOLINSO 04 ANZOLZINHO, 5. m. dim. d’An-
sol.
® Anz6öLo. V. Anzol.
+ AnzöLos, s.m. pl. (1. de lacöte d’Afrique)
bracelets que portent les noirs d’Afrique.
40. C'est l’union de la pr&position d avec
P’article masculin o: &, & la, au. 4o er, ä
Pair. 4o relento, au serein, & la belle &toile,
‚do mais, au plus, tout au plus, do meu ver,
Amon avis, selon mon avis. Ao pd, auprös.
4o presents, ä present. 4o redor, autour, ä
l’entour. do, d&sinence portugaise qui corres-
pond & la dösinenoo espagnole ado, alo, et ä
la desinence latine adus , alus.
Äo, diphthongue nasale portugaise.
AöNDz, adv. oü, en quel lieu, en quel pays.
TV Onde, quei pay
TAösınzs, s. f. pl. (t. de myth.) Aonides,
los Muses.
TAönıo, A, adf. Aonien: de l’Aonie, pro-
vince de Pancienne Beotie.
Aonistıco, a, adj. de Ja nature de l’aoriste.
Aoaisto ow Ausısto, 8. m. ($. de grammaire
groeque) aoriste : preterit ind6fini.
Aöıta,s.f. (tl. danat.) aorte: artere , canal
qui s’ölöve du ventricule gauche du cur, et
porte le sang dans tout le corps.
tAöRTIco, a, adj. (1. d’anat.) aortique : qui
appartient & Yaorte.
tAos. C'est la preposition d jointe au pluriel
de Y’article o, aux. Aos arredores da cidade,
aux environs de la ville.
* Aosinas , ado. hardiment, certainement.
Ara,s. f. (i.d’Asie) espöce de gäteau fait de
la farine du riz et de l’huile du cocotier.
APACENTAR. V. A
Aracaoanipo. V. Pachorrenio,
APracipıLidane. V. Affabilidade.
Aracırıcar ‚etc. V. Paeificar.
APADESSAR , 6tc. V. Empavezar, etc.
APADRINHÄDO, A,P. pP. d’Apadrinkhar ei adj.
(Ag.) Protöge,, alde,, secouru.
APADRINHADÖR , f\ ‚ s. protectieur, defen-
seur.
APADRINHÄR, v. @. servir deparrain dans cer-
taines cer&monies, jeux publics, ou combats
singuliers. (Ag.) Protöger, defendre.
fArapuanäno, A, adj. ala manidre des ha-
bitants de Padoue.
Aracino, A, 9.p.d’Apagar et adj. &teint,
en parlant du fou ; ray6, rature. (Ag.\ Inanim6,
rer sans courage,, läche, mou; frustre, mi-
ArACADöR, s. m. oelui qui &teint. Fteignoir :
eöne creux pour #teindre les chandelles, les
bougies. Il est aussi adj., qui dteint. (Ag.) Qui
obseurecit, qui öteint.
+ Aricaranöns ou APÄcAPENOES, 8. m. pl.
(1. de mar.)"cargues, cargues-bonlines : cordes
qui servent & accoureir et & trousser les voiles.
APACANSıTO, s. m. l’action d’eteindre : ex-
Winction.
Aracas, v, @. Kieindre, Il a les mömes ac-
APA
cepiions quo ie mot francais. — a sede,
(Ag.) &tancher la soil, V’apaiser ; desalltrer, se
desalterer.—a cal, &teindre la chaux. —s v0z,
meitre une sourdine & un instrument. —s odie,
(6. de mar.) &gorger, ötrangler une voile.
Aracia-6E,9. r. s’dteindre, s’ameorlir; ose-
ser d’e xister.
A’race! interj. hors de IA, no m’en parlez
pas; pouah!
* Arackin,v. @. faire los fonotions de page.
Arıcoclı ,s.f. apagogie : preuve d’une pro-
position par " Pabsurdits du contraire.
ArıınzLipo, A, 2.p. d’Apainelar.
ArAINBLAMENTO, s. m. ornement de pein-
tures, decoration. * Soffite : lambris, plafond de
menuiserie avec cadres et ornements,
APAINELÄR, 0. a. lambrisser, orner de pein-
tures ; döcorer. Construire en forme de soflte.
Araıan. V. Pairar. ,
APAIXONÄDANERTE, adv. passionn&ment, aveo
passion. Amar—, aimer &perdument, mourir
d’amour.
APAIXONADISSINO, A, adj. sup. de
Arııxonipo, A, P. p. d’Apaizoner et adj.
passionne ,„ amoureux, soupirant. Possed«
d’une passion. Fäch#,, plein de chagrin , qui est
en coleöre.
APAIXONAR, ©. a. passionner : &mouvoir l’es-
prit, toucher le cur de quelqu’un. Rendre
passionne, exciter une passion.
APAIXONAR-SE (a, de, por), v.r. se paß-
sionner, s’attacher. (Ag.) S’affliger, se fächer.
APAIZANAR-SE,, ©. r. devenir paysan.
APALANCAR ‚etc. V. Trancer, eto.
APALANQUETAR , ©. @. employer des beulets
rames.
APALAYRÄDO, A, adj. accorde, convenu,
dont on a pris parole, dont on est convenu,
ob !’on s’est engagd r&ciproquement. — para
casar, Nancd, promis en mariage. p. p. d’
APALAYRAR, 9. 4. Convenir, promelire ou
s’engager röciproquement, se donner ou pren-
dre parole. (Ag.) Traiter une affaire verbale-
ment, de vive voix. — para casar, flancer, ac-
corder on ınariage son Als ou sa flle, donner
parole de mariage.
APALAYRAR-SE, ©. r. donner rendez-vous
pour une affaire, s’engager de parole, donner
sa parole pour une affaire.
+ ArıLito, s.m. apalaton : arbre de P’Ame-
rique.
ArıLzino,A,Pp.p.d ear.
APALEADOR, A,t. Sell qui donne des coups
de bäton.
APALEAUENTO, 3. m. " bastontiade.
AraLEir, 0. a. bätonner : donner des Coups
de baton , battre avec un bäton.
+ APALESTRÄDO, 4, adj. instrult, exero6 &
la palestre.
"+ APALHAR, v. 0. V. Empalker.
+ AraLminas,ad). f. pl. (folhas—, I. de bot.)
palmees (feuilles), en &ventail, en palme.
APALPADELLA,, 9. f. " attouchement, manic-
APA
ment; Fection de tätonner. 4’s —s, (loc. ade.)
& tätons, en tätonnant. Andaer, ir ds —s, aller,
marcher ä tätons ; (g.) aveugiöment, sans di-
rertion certaine.
AraLriDo, A,P. 9. d’Apalpar.
AraLpapOn, A, 6. täteur : quitäte.
APALFANEKETO, 5. m. tätement : action de
ußer.
Arınrin,v.c. täter: toucher, manier dou-
eeıment une chose pour juger de sa consistance,
de son &lat physique. Tätonner : täter avec les
meins. (fig.) Agir avec timidit6; sonder quel-
qu’un ; tächer de connafire par !’exptrienoe. il.
Veir, oonnaltze elairement, toucher au doigt.
-— ode , sonder le gu6.
Arıu. V. Concha.
Arınicıo, 8. m. 8 ge: terres ou rente
viagere donnees par un souverain & ses puln&s.
Douaire : ce que le mari donne & sa femme en
se mıariant, pour en jouir en cas qu’elle hai
e.
AraıspıLnip0,A,P.p.@
+ APANDILHAR-SE, ©. T. 86 röunir en clique
cabaler, tromper.
Me rarmino. DD. d’Aponkar et adj. attra-
p%, amasse, cueilli, recueilli. Pris, enlev6;
interceptö, pris par surprise. Ceint, trousse,
relert. Abröge, raccourci. (4g.) Convaincu de
son erreur, do sa faute. Bsiilo —, style con-
cis, serrö. Homem — de coragäo, homme
sans omur, de peu de caur.
APANHADOR, A, 3. celui qui prend avec la
main, qui recueille, qui recolte.
Arımmandna ‚s.f. Vactiondeprendre;recolte.
* APANHANENTO. V. Colkimento , Apanko.
Arınsan, vo. 6. Cueillir, recueillir, amasser.
Saisir, prendre avec ia main. Prendre,, enlever
quelque chose,, s’emparer. Intercepter, pren-
dre par surprise, sarprendre. Lever, relever,
trousser. V. Arregager. — uma doengs, COn-
tracier, aliraper une maladie. — a quem vai
dienie, aos que [ogem, attraper, atteindre
quelgu’un qui a pris les devants, attraper les
fuyards. — elguem d’improviso, surprendre,
au d&psurru, saisir. — em fragante
delicto, attraper, prendre sur le fait. — por
forgs ou por desireza, attraper, prendre par
force ou par adresse, escroquer. —, pegar
com o bichsiro, (#. de mar.) gaffer.
Araumin-sE, o.r. se trouver inesperöment ;
Se resserrer, se raccourcir; deperir, se Consu-
mer.
Arinmo, s. m. Paction de cueillir, de re-
cueillir, d’amasser; röcolte.
Arımauino, A, adj. commensal; protöge.
(Sg.) Camarade, compagnon, ami intime, par-
dee
° Arınraoria. V. Misunthropia.
Arınruräpo,. a, adj. fait en pantoufle, en
perlant d’un soulier.
Arsın, ode. pris, auprös, proche; de pair,
en somparaison de.
4 Aran ou Arina,s.m.(t. d’hist. nal.) ta-
eu & trois banden.
APA 109
Arinı,s. f. Fognure, retaille, morosau oou-
pe ‚ recoup®, copean.
Arırino,A,p.p. d’Aparar.
AranapOr, s. m.dressoir : buffet pour lo
service d’uns table. 5. Celui quicoupe du pain,
i rogne.
AraraLripo. V. Aperallado.
APARALYTICÄDO, V. Paralysado.
ATARAMENTAR, 6t0. V. Paramentar, etc.
APARÄR, ©. a. Couper &galoment, rognerz
tailler des plumes; peler du fruit. Pareruncoup,
se defendre de quelgueconp qu’un autre porte.
— em, tendre les mains, le chapeau, un mou-
choir, le manteau, pour recevoir quelque chose,
APARATADO, A. V. Aparaloso,
Arıniro. V. Appardio.
"AranciD0,A,P.p.d’
* APABCAR, ©. 9. S’associer aveo d’aulres
pour un inter&öt commun.
APARCELÄDO, A, adj. (mar —) plein de ro-
chers, rempli d’ecueils, couvert de rochers,,
de brisants.
APARCELAMENTO, 8. m. fond plein de ro-
chers,, etc.
APARCELLÄDO, A,P. P.d’
APARCELLAR, ©. a. parceller : diviser par
parcelles.
t+Arantı ou Arenka,s. m. (1. d’hist. nal.)
cobaye, cochon sauvage de l’Amerique.
APARECER, 0lC.
V. Appar... etc.
APARELHAR,OlC.
APARELHO, etc.
ATARENTÄDO, A, adj. apparente, allie. Bem.
ou mal—, bien ou mal appareni&e : quia des
liaisons de parente plus ou moins honorables.
(fg.) Joint, li6.p. p. de
APARENTAR, ©. a. apparenter : donner des
parents par alliances ; 'unir par alliance. €.
Feindre, faire semblant, simuler.
APARENTAR-SE (com), ©. r. sS’apparenter &.
quelqu’un, sallier A... (lg.) Se ressembler.
° APARENTELLÄDO, A. V. Aparentado.
+ Arincı ,s. f. (f. de bot.) &perviere : plante
chicoracee, pulmonaire de France.
® APARICIO, 8. M. V. Apparisäo, Epipha«
® APARICOM , 8. f. nie. j
Ariro, s. m. "taille (de plume).
Ararnnıpo, A, adj. On le dit de certains ar-
bres qui sont pelits et tortueux. V. Rasteiro,
Homem— , homme petit, gros, rabougri. Il se
dit des hommes et des arbres.
APARREIRÄDO, A, adj. environnd de treilles,
& maniere de treilles.
ÄAPARROCHIAR-SE, ©. r. devenir paroissien,
#’6ablir sur une paroisse.
" APARTA , 6. f. separation.
* APARTADA, 8. f. V. Apartamento.
APARTÄDAMENTE, adv. söpardment, en pAf-
tioulier, & part,
Arıntind, A, P. P. d’Aparlar et adj. dis
tant,lointain, #loigne. Different, divers. Re-
tire; solitaire.
APARTADOR, A, 8. Colui qui dcarte, qui 86-
pare, qui dloigne. Il gt. aussi adjoctif.
113 APE
+ Arznocir, v. e. donner la forme, la con-
leur, le lustre des perles.
APERREIDAMENTE, ado. cruellement, dure-
ment, avec contrainte.
ArERASÄDO, A, 9. p. d’Aperrear.
ÄPERREADOR, A , 8. Celui qui teurmente, qui
aigrit, qui opprime, qui vexe quelqu’un. adj.
Fächeux, importun.
+ APBRREAMENTO, 8. m. l’action de tourmen-
ter, de vexer; &tat de colui qui ost tourmente,
vex6, ol0.
Arzangir, ©. a. tourmenter, walter dure-
ment, vexer,affliger quelqu’un, lui öter toute
la liberts, le tenir dans l’esclavage, sous une
dare servitude.
Aruaripı ..s f- (— de genie) foule. V.
perto.
APERTÄDAMENTE, ado. etroitement, & l’ötroit,
d’une maniere serree.
APERTADISSIMO,, A, adj. sup. d’
ArERTÄDO, A, P. pP. d’Apertar et adj. serre,
li&, presse, etreint, contraint, bien attach6;
etroit. (Ag. fam.) Chiche, avare, serre, mes-
quin, irop menager. — da necessidade , acca-
bie, plein de mfsere; contraint. —da fome, da
söde, da necessidade,, contraint, presse par la
faim, par la soif, par la necessite,, eto. Estor
muilo — ‚Eire en grand danger, setrouver dans
un cas difficile. Lance, caso, trance— , Ca8, tir-
eonstance difcile.
* APERTADOIRO. V. Cinio.
APERTADOR, 5. m. celui quiserre, qui etreint,
qui presse. Serre-tte, bandeau. V. Cinto.
Arertiö,s. m. aug. d’Aperio. — de genie,
*foule, presse, oppression : multitude de gens
qui s’entrepoussent.
Aventir, v. a. etreindre, presser, serrer
avec force; attacher, lier ensemble. Retrecir,
resserrer, mettre ow tenir & P’etroit. (fig.) Pres-
ser : poursuivre sans reläche. Affliger, chagri-
ner, tourmenter, faire de la peine; metire dans
Pembarras. Agir areo plus d’activit6,, de oha-
leur. Presser: solliciter avec instanoe.1l estaussi
neutre, et signifle ordinairement augmenter de
force, de vitesse, d’intensit6. Aperia, (fam.)
eours , marche vite, häte-toi. Aperier 0 pass0,
doubler, redoubler le pas. — os punhos, a
frenie para, hander tous les ressorts pour.
0 argumento ou a dificuldade ,avoir une s0-
lation diffcile, en parlant d’un argument,
d’une dificults.— a mdo, (Ag.) lösiner. — 08
, metire du soin, de Yactivit6 dans
Pexsculion d’une chose.— as redeas, tenir la
bride haute, retirer la bride.— 0 iniasigo ou
com 0 inimigo , pousser, presser vivement l’en-
nemi, lo poursuivre de prös. — a oorrer, se
mettre A courir, prendre la course. — com al-
guem, assaillir, attaquer quelgu’un, le serrer
de pres. E mwito — os cordeis, (fg. fam.) c’est
trop eziger.
ÄPERTAR-SE, d. F. Söserrer, s’ötreindre, se
resserrer, se lier, se presser, s’sltacher. (fig.)
S’ajuster, se parer pour plaire & quelqu’un.
= 9 ooraplio ‚, s’aflliger, 50 trouver mal,
ADH
ArfarTo, s. m. &tat d’une personne pressee
dans la foule. (Ag.) Peril, risque, danger, ex-
tremites ‚grande aflliction, grand embarras, cas
difficile. * Indigence, disette de biens, besoin,
dure necessit#, &iat malbeureux, pauvreid,
dernier point de necessite. Ver-se em grande
— ‚se wouver aux abois. Anudir a alguen ne
— , sooourir, assister quolqu’un dans une pres-
sante necessite. — de corapdo , resserrement de
omur, angoisse. Com —, loc. adv. instamment.
APKRTO, A, adj. ouvert. V. Aberte.
*Ariaro. V. Perto.
Arzatünı, s. f. "lieu stroit, V. Aperte.
Arzaröıxa. V. Periuxe.
APESARADO, A. V. Pezar6so.
AriserßıLo, adv. Vira —, marcher na»
pieds ; (fem.) ciopin-Clopant.
ArEsSsoino, A, adj. d’une hauts stalure, de
bonne prestance. Bem —, d’une taille avanta-
geuse. Mal —, de vilaine taille, de vileine
figure.
Arsstan, etc. V. Empestar, eic.
ArttaLo,a.V. Despetaleado.
APRTECER, eic.V. Appelecer.
Arzx. V. Apice.
+ Apmica, 5. f. (8. de bot.) gesse sans feuilles.
+ Arnfuıa, s. f. ou ArH£LIO,s. m. (f.d’astr.)
aphelie : point de l’orbite d’une plandte od elle
se trouve le plus loin du soleil; cet etat. ll est
aussi adj. Planelsa—, plandte aphelie : qui est
dans son aphelie.
Arutnsse , s. f. aphörese : suppression de la
premiere syliabe d’un mot. Ex. Temnere pour
conlemnere.
+ ArmınıÄnos, a. m.pl. (6. d’hist. nal.) aphi-
diens : famille d’insectes.
+ Arnipivoro, a, adj. (8. d’hist. nat.) apbi-
divore : qui mange les pucerons.
+ ArgLocistıco , A, adj. (t. de med.) apblo-
gistique : qui ne peut s’enflammer ; contre l’in-
flammation.
+ Aruönıos, s. m. pl. (1. d’hist. net.) apho-
dies : insectes coldopteres, voisins des sca-
rab6es, qui vivent dans la fiente des ani-
maux.
Aruonia ,s. f. (t. de med.) aphonie : extino-
tion , privation de la voix par maladie.
APHÖNICO , A , adj. (6. de med.) prive de voix.
V. Aphonia.
APHORISMO , 3. m. aphorisme : sentence,
maxime generale, proposition önoncete en peu
de mots.
Aruonistä , s. m. auteur d’apborismes.
APHORisTIcO, A, adj. aphoristique : de Va-
phorisme , en aphorismes.
APHRODISEO O% APHRODISIACO, A, adj. (fd. de
med.) aphrodisiaque : de Venus, qui excite &
Pamour.
+ Armaopısıilsuo,, s. m. aphrodisiasme s
ooft,
+ Armropita, s. f. (1. d’hist. nos.) aphrodiie ı
insecte, espece de chenille de mer. adj. 2 gem.
Qui se reproduit sans acte exterieur de gänera-
tion (animal, plante).
Ey GE EN
API
+ Arzaonirro, s. m. (t. de chim.) aphroni-
tze : deume subtile de nitre.
Arutı ow Arurua,,s. f. (8. de mdd.) aphthe :
pet uleere rond superßciel qui vient & la bou-
che
+ Aruröso, A, adj. (t. de me£d.) aphtheux :
qui a des apbihes. Feure —a, itvie aphtheuse,
ds l’enchanthöme.
AruvYLLo, a, adj. (I. de bot.) aphylie ow in-
fenille : qui w’a pas de feuilles.
täArı, s. f. (8. de bot.) espöce de pommes
reugeätres.
Arıapan. V. Apiedar.
TAruinios, s. m. pl. (tl. d’hist. nal.) apial-
res: genre d’insectes ; famille des abeilles ;
insecies porte-aiguillon.
Arusssao. V. Herva-cidreira.
A’PICE , 8. m. sommel, pointe, cime de quel-
que chose que ce soit. (fig.) La partie la plus
petite d’ane chose. Le point de la difficults.
Apiess, pl. irema, dier&se : signe orthographi-
que.
"täArıcaoL.ino, A, odj. de differentes cou-
tArscunüsa, s. f. union de deux pointes
formant un lacet. ,
Aricceıa, s. f.ow AricuLo, s. m. dim. d’Apice.
Arıgsino,a,p.p. d’Apiedar..
Arıspıpön, A, s. celui qui a piti6,quia
ePnpassion : compatissant. p. us.
tArızBaR, v. a. (p. us.)regarder, traiter avec
pilie, avec compassion. Exciter la pitie, la
tArmspan-se (de, a) v. r. avoir pilie, pren-
dre pilie, compatir, s’attendrir sur les mal-
heurs des autres. , .
tArıroauz ‚adj. 2 gen. ( I. d’hist. nat.) qui a
la forme d’une abeille.
Arısarntivo, A, adj. poivre6, assalsonne
avec da peirre.(fig.) Piquant, friend, qui ex-
cite Fappetit.
+ ArısceıLLipo, A, adj. (8. d’hist, nat.) quia
la forme d’un pinceau, et p. p. d’
Arınczınia. V. Coiar.
APISCESTÄDO, A, adj. (8. de bijows.) qui imite
les pendants d’oreille.
Arınnino ow APınHoiDo, A, adj. groaps,
isuffu. Qui a la forme d’une pomme de pin.
.P.dE
Arınzın ou Arprsttoina, ©. @. grouper, Ten-
dre wufle ; presser, serrer, entasser, accumuler,
amasser.
Arısuır-sE ou AÄPINHOAR-SE, 0. r. pommer,
se grouper, devenir touffu ; se serrer, s’a0cu-
muler, samasser.
* Am. V. Opio et Alpe.
Arıripo, a, adj. qui a la forme d’une pipe
(grande fataille).
Amgug, loc. ade. V. Pique (a).
ArmsoinDo, A,p. pP. d’Apisoar.
Arısoanor , 3. m. foulon. V. Pisoeiro.
Apısoir, co. a. fouler : donner un appret aux
@olles de laine;; fouler les draps pour Ics affer-
wir, les degraisser, les blanchir.
VORT-FR
APO 113
biberon : petit vase & bes
boire (aux malades ). v.
Apisto,
APISTO, 8. m. consomme : le suc de la chair
hachee ou beaucoup cuite, que Pon donne A un
ınalade qui ne peut pas manger. (Ag.) ’Conlor-
talton a u agement ‚confort,
PITÄR, ©. a. sifller: faire, donn i
avec le sifflet. ’ run signal
Arito, s. m. siffiet : petit instrument avec Ie-
quel on siffle dans les vaisseaux de guerre pour
donner quelque signal aux marins.
*ArpLacacäd, APLACAMENTO ‚ef. ou m
l’aclion d’apaiser. — da ira, das dores, adoa-
cissement de la colere, des douleurs, etc.
APLAcÄDO, A, P. p. d’Aplacer,
ÄPLACADÖR, A, 8. celui gui' apaise, qui fie-
chit. Il est aussi adj.
Apracia, 0. a. apaiser,
adoucir, calmer, defächer.
APLACÄR-SE, ©. r. s’apaiser, se calmer, deve-
nir moins violent, s’adoucir, se tranquilliser,
se moderer, se döfächer.
APLACÄVEL, adj. 2 gen. qui peut @ire apaise
facile aflechir. u a
ÄPLAINADISSIMO,, A, adj. sup. d’
APLAINÄDO, A, p. p. d’Aplainar ot adj. V.
ade rd, pP. pP. dAp als
APLAINAMENTO, s. m. aplanissement ; Pao-
tion d’aplanir.
APLAINÄR, 0.a. (l. demen.) raboter : planir,
polir avec le rabot. Aplanir, rendre 6gal et uni,
Il se dit d’un lieu, d’un chemin ‚ d’un pave.
(Ag.) Aplanir. V. Apl .
APLANÄDO,A,P.p. d’
APLAniR, v. 0. aplanir, rendre ögal et uni.
Ilest plus usitö au Ag. Aplanir, vaincre, lever
une dificulte, un obstacle. Faciliter, procurer
les moyens de parvenir & quelque chose,
* ArLaso, adv. V. Aprasimenso (a).
tfAPLEBEÄR-SE, v. r. p. us. prendre les ma-
Arıstkıno, s. m.
pour hoire ou faire
desarmer, flechir,
‚| niöres , les habitudes du bas peuple. (Ag.) S’a-
vilir, devenir bas , abjecı.
+ Arıestia,s. f. (l. de med.) aplesiie : insa-
tiebilite, faim qui ne peut etre apaisee,
APLUMAR.
APLUNO. | V. Aprum... eto.
T Arır'sıos,s.m. pl.(t.d’hist. nal.) aplysies ı
mollusques gasteropodes.
Arnka, s. f. (8. de med.) apnde : manque de
respiration.
TAroa,s.f.(t. Ehist. nal‘ apoa seruext:
du Brösil,
APOCALY’PSE, 8. m. apocalypse : res Aation,
On appelte ainsi le livre canonique qui con-
tient les revelations faites A saint Jcan Evan-
geliste.
APOCALY’PTICO, A, adj. apocalyplique : de
Papocalypse.
+ Arocenöse, 8. f. (l. de med.) apocenose s
Gvacualion contre nature, sans irritation : h6&-
morragie sans fievre.
Arücorr, 5. fı (t. de gramm.) apocope : reiran-
8
118 APO
chement d’une lelire ou d'une syllabe & la fin
d’un mot.
APÖCKYTFBANENTE,, adv. d’une manidre apo-
eryphe.
APÖCHYPEO , A, adj. apocryphe, inconnu,
douteux, cach&, fabuleux, suppo@s.
+ Aröcrno, s. m.( 4. de bot.) apocyn,soyeuse,
ouate,, plante. —de Monpelher. V. Escammo-
ea.
? Aropa. V. Apodo.
Ar0pin0,&A,P.p.d’ .
ArOpanda,A, 3. celui qui dit des plaisante-
ries ; railleur ; persiffieur.
Aronanüna, s. f. V. Apddo.
Aropin, v. a. plaisanter, railier agrdable-
ment, se jouer, folätrer, Comparer;; donner des
sobriquets , apostropher. V. Avaluar, Esmar.
TArone,s. f. (t. d’hist. nat.) apode : hiron-
delle de mer & pieds trös-couris. if. adj. Sans
pates, sang pieds. —s, s. m. pl. (t. d’hist. nal.)
apodes: poissons & squelette osseux, sans na-
geoires ventrales.
ArODErÄDO, A,cadj. qui est en possession,
qui s’est empar6 de quelque chose; muni de
procuration , de pouvoir par un autre. 9.9. d’
APODERAR, ©. G. mettre quelqu’un en Ppos-
session de queique chose. i4. ani. Acquerir,
prendre possession du legs.
APODERAR-SE (de), v. r. s’emparer, se salsir.
Envabir, occuper. il. anti. Devenir puissant,
fort. — 0 cavallo do freio, prendre (le cheval) le
mors aux dents.
‚Arooicrico, a, adj. apodictiqgue, demonstra-
tif, evident.
T AropıoxE ou Aponıözıs, s. f. (1. de rhet.)
apodioxis : figure par laquelie en rejetio avoo
indignation un argument comme absurde.
t Aropıent, s. m. apodipnd : chant grec
apres lo souper.
Ar0po, s. m. sobriquet : surnom donnd &
quelyu’un par derision, *Raillerie ; bon mot.
ArÖnosE, #. f. apodose ı seconde partie
d’une periode.
APODRECEB, v. 6. pourrir : allerer, gäter, cor-
Tompre.
ÄPODRECER, ©. 0. e8 — se, ©. r. pourzir, 86
pourrir, s6 gäter, se corrompre. (fig.) Languir,
perdro courage.
Aropascioo, A,9.p. d’Apodrecer.
u APODRECIMÄRTO, 8. m, *putrelaction, corrup-
on.
APODRENTAR. V. Apodescer,
Arorise. V. Apophise.
Arocko, s. m. (1. d’astr.) apog6e : point de
l’orbite d’une plandte le Dlus eloignd de la
terre ; cat 6tat. (Ag.) Le plus haut dogr& d’el6-
vi) (de la fortune, de la gloire, du pou-
voir ).
f Aroc£rico, A, adj. apogetique : qui tient
du doute, du pjrrhonismer -.
ArÖcaAPEO , 8. m. apographe ; copie d'un li-
vre, d’un original ; Popposd d’autographe.
Aroıkno,A,9. 9. d’
APOIAR, ®, @. Appuyer, souleniz avec un ap-
APO
pui, elayer. (fg.) —, alder, favoriser, secon-
der, prottger.
APOLAR-SE, ©. r. s’appuyer, se souichir.
(fg.)—,s’assurer, faire fond sur queigue chose,
sur quelqu’un,
° APOIMENTO. V. Apposigßo.
Ar0i0, 8. m. appui, soutien, support, a000-
tvir. (fg.) —, faveur, aide, elai, protection.
Ser o— da velhice de algusm,, (fig.) ire le ba-
ton de vieillesse de quelqu’un.
AP01an0 ow APEJADO, A, adj. plein de alt.
Arosapüna, 5. f. affluence, abord du lelt
dans les organes mammaires des femmes e6
des femelles des animaut.
+ APOJECTURA, 5. f. (1. de mus.)"port de voix:
agr&ment dans la musique.
APOLAIMAR, ©. a. Chausser des guttres ;
donner la facon de gu£tres A quelque chaus-
sure.
AroLazipo,A,9.P.d’
APOLAZAR, v. a. plisser ä l’aiguille.
AroLoaino, A, adj. Egua —s, jument avec
son poulain, et peut-@ire jument-pouliniere.
APOLEÄDO, A, 9.9.d
Aroteir, v. a. pilorier: mettre au pilori, &
la poulie. Estrapader : donner Pestrapade.
AroLzcino,,A,P. p. d’Apolegar.
APOLBCADOR, A, 5. celui qui Wuche, täte
aveo les doigts.
APOLEGADORA , 8. f. "maniement : l’action de
manier.
APOLEGAR, ©. @. toucher souvent, manier,
t4ionner, täler.
APOLENTÄDO, A, 9. p. d’Apolenlar.
APOLENTADOR, A, 5. celui quinourritavec de
la polenia.
ÄPOLENTAR, d. a. nourrir avec de la polenta;
engraisser, assouvir. (fg. p. ws.) Elever, in-
struire.
ApöLıce , s. f. police (d’assurance) , assignat.
+ APOLLINARISTA, 5. m. apollinariste : sec-
taire d’Apollinaire.
AroıLingo ,A, adj. (l. de poes.) d’Apolion,
qui appartient & Apollon.
AröLLo, s. m. (t. de mytAh.) Apollon : dieu du
Parnasse ; le soleil.
° APOLO, adv.V. 5.
ArorLocaciö, s. f. V. Apölogo.
APOLOGETICAMENTE, adv. d’une maniere apo-
logetique.
AroLocKrico, a, adj. apologetique : qui con-
tientune apologie. s. m. ° Apologie.
Aroxocia, s. f. apologie : discours ou Ecrit
ustiflcatif.
AroLöcıco, A. V. Apologelico.
ArOLOGISTA, s. m. apologiste : celul qui fait
l’apologie, qui prend la defense, qui Justifle.
AröL0co, s. m. apologue : fahle, histoire
feinte, morale et instructive.
AroLtnonind,4,P.P.d’
+ APOLTRONAR-SE, v. r. SK’acagnarder, crou-
pir dans P’oisivet£.
Arongvröse,s. f. (I.J’anal.) spon6rrose : oX-
pansion membraneused’un muscle,d’untendon.
APO
AP0OZETRÖTICO, A, adj. (1. d’anal.) apendvro-
ügse : de ’apone&rrose.
+ APOXEYROTONIA, 3. f.(}.d’anal.) aponeıro-
komie : dissection des apon&vroses.
APOXTÄDAMENTE, adv. oexaclemert : avec
exzetitade,, nomme&ment.
Arostino, A,p. p. d’Apontar ei adj. ob-
serve, remarque, considere; & qui on fait at-
“nuon, rellexion; poli, elegant, recherche
dans sa mise, dans la manidre de s exprimer
pre, dispos6 A, exact; signale avec
hg mi Qui a un alguillon, des pointes, des
piquants, des &pinos. Stimulant.
ÄPONTADOR , 8. m. pointeur: celui qui pointe
le canon. Chanoine qui pointe ceux qui ne sont
pas presents & Pofüice. Celui qui prend des no-
tes. Ceiui qui pointe les ouvriers dans les tra-
vauz publics. Celui qui accouple l’&talon aveo
la jument. — de comedia , souflleur de thöätre :
cekzi qui souflie quelgu’un qui parle en public.
— ds relogio , aiguille d’une montre, d’un ca-
dran solaire.
APOKTAMENTO, 3. m. *annolation, note, ob-
servation ,„ marque, remarque. L’action de
peinter, de designer. Rendez-vous. Aponla-
mentss, pl. repertoire, regisires, tableltes ; no-
tes, remarques ; instructions particuliöres pour
guelgue affaire diplomatique ou commerciale.
Arcstin, ©. a. pointer, mirer, viser, bra-
quer : diriger vers un point; melire en prise;
esuchker en joue. Marquer, noter: mettre
des marques „ des notes par £crit. Poin-
ter : dans les eglises, meitre en &crit les cha-
neines non prösents A Yoflice. (Ag.) Designer,
isdigeer. Montrer avec le doigt ou avec autre
chose. Insinuer, toucher legerement. Meltre
ne quastil6 quelconque d’argent sur uns
carte au pharaon. Soufller : lire bas & quel-
qu’en qui parle en public les endroits de son
discours o& la memoire lui manque, Aiguiser :
denner la pointe & un outil, & une epte, & un
ooutesu , eic. Aponidr I ( 1. weil.) en joue!
AFORTAR,, ©. ®. Poindre : commencer & pa-
raltre, A pousser, en parlant du jour,del’herbe,
des Seurs, du poil, du jugement chez les jeunes
gens , oic. — 0 jogo, poindre, pointer aux
jeux de basard. — de dirsito, (1. de prat.) ci-
ter des lois,, des autorilös. — genie de guerra,
enröler. As — do dia, au point du jour.
APORTAR-SE, 0. r. (f. de mer.) mettre le cap
ä ou au. i$.S’enorgueillir.
ArcarEan. V. Aponioar.
Aroetoipo,&A,P.P.d
Aroutoik, 0. a. &tayer, soutenir. is. Accou-
pier, assembler, ooudre ensemble les pieces
da linge qu’on veut donner & blanchir.
Arorurutcha ou APOTECHA, 3. m. apoph-
thegme : dit notable d’une personne illustre de
; senlenee, Maxime,
t Aröenvss, s. f. (1.d’arch.)apophyse : place
ob la colenne sort de la base,
+ Aröruıse, 3. f.( 6. d’anal.) apophyse ı
sallie, dıninence d’un os. (1. de bot.) —, 6x-
‚enllement.
APO 115
Arorıäcrico, A, adj. (1. de mdd.) apoplecu-
ques de l’apopiexie; qui en menace, en est
menacö; qui en est attaqıgb , en guärit.
Arorpızxia, s. f. (4. desned.) apoplexie : mr
ladie du coerveau,avec privalion da moure-
ment et du sentiment,
Arornzaa. V. Apophihegne.
ArOQuEnTipo,A,p.Pp. d’
APOQUENTÄR, v. a. V. Apouquentar. Mi n’ess
usit6 qu’au Ag. Vexer, iourmenter. V. Ass-
brunkar
Aroripo,A.V. Apurado.
Aroarıan, etc. V. Porflar.
* ArORIsMAR, etc. V. Aposiemar, etc.
ArOnaEiD0,A,P.P.d’
APORREÄR, ©. a. (fam.) rondiner, rosserz
battre violemment ; donner des coups de zon-
din. (Ag.) Vexer ; tourmenter.
"+ Arorrina,s. f. l’arrivage d’un vaisseau
an port.
ApoatiD0, A,P.P. d’Aportar.
f APORTALECER, 0. 9. commencer ä parallre
Alavue du port. Il se dit des vaisseaux qui
s’approchent d’un port.
APORTAMENTO, 8. m. arrivage au port, l’a0-
tion d’aborder, de prendre terre.
AroaTia , v. a. conduire, apporter & un port
ou & queiquo autre endroit. v. ». aborder,
prendre terre, d&bargquer, arriver. st. Arriver
dans un lieu quelconque oü !’on se dirigeait.
+ AroaTELLiÄnO , s. m. juge ancien qui sie-
geait aux pories des grandes villes pour adıni-
nistrer la justice aux villages ot aux bourgs des
environs.
APORTILBADO, P. P. d’
APORTILHAR , v. a. falro une ouverliare & une
muraille pour pouvoir y passer. Faire des em- ’
brasures pour le canon.
Arcarınsaa. V. Aporlülker.
APORTUGUEZIDO, A, adj. qui a pris les cou-
tumes et les manidres des Portugais. Traduit,
mia, faiten portugeis. p.p.d’
APORTUCURZÄR , ©. a. rendre portugais; don«
ner une terminaison, une inflexion portugalse
& un mot d’une autre langue ; donner le ton et
les manieres portugaises.
t APORTUCUEZAR-SE, v. r. prendre le ton, ie
maintien , les maniöres portugaises.
* APORTUNAR. V. Imporiuner.
* Arorruxas. V. Perluchas.
Arös, prep. aprös, depuis, derriöre. — iss0,
puis, ensuite; apres cela. Correr — alguem,
courir apreds quelqu’un.
APOSENTÄDO, &, ?. 9. d’Aposenlär et adj.
loge; admis Ala reisaite, Emerite; renvoy6,
romerci6, d&place.
APOSENTADOR, 5. mı. celui qui loge. Celui qui
marquait le camp que devait occuper une ar-
mee dans l’ancienns milice. Fourrier, marechal-
des-logis : offleier ebarg6 de marquer les loge-
ments , soit des gens de guerre „ soil. de la suite
du souverain. — mör, grand marechal du pa-
lais. —do arraial , mar6chal de camp,
116 APO
Arosentanorla , 3. f. "droit d’hospitalits : 1e
privilege de prendre pour sol le logement d’an
autre ; charge et juridiction du grand marechal
du palais.
APOSENTANRNTO, a. m. logement : P’action de
loger. V. Aposento.
ArossnTän, v. a, loger, donner ä loger. Ren-
voyer d’un emploi avec la pension de retraite.
($g.) Accusillir.
ÄAPOSENTAR-SE, ©. F. 80 loger : prendre une
habitation. Avoir son cong6, se relirer d’un
emploi.
APOSENTINHO, 3. m. dim. d’ to. Cham-
breite, reduit, petite chambre. Logette : petite
oge.
APOSENXTO, 8. m. appartement : logement de
plusieurs piöces.°Chambre d’une maison. * Loge
des theätres. Auberge , logement. — da cörie,
logement des personnes attachees & la cour.
Arösıma, etc. V. Apözema , etc.
Arosıor8ss os APosioP&sıs, 8. f. (f. de rh£t.)
aposiopese : reticeno®.
} Arösp&LLo, ade. contre la direction du
poil : & contre-poil. (fg.) Violemment, aveo
contrainte; & rebours , a l’envers, & revers.
Arossino, A, 9.9. d’
APOSSAR, v.G. melire en possession.
APOSSAR-SE (de), v. r. prendre possession, 56
mettre en possession. S’emmparer, se saisir d’une
chose comme y ayant droit.
APOSSEAR, etc. V. Apossar, ele.
Arösta,, 3. f. gageure, pari : l’action de pa-
rier. De,ou por—, loc. adv. V. Apostadamente.
A’ — ou d’—( fam.) en oonourrence, en preöten-
tion d’egalite, Al’envi.
ÄPOSTÄDAMENTE , ado. exprös, A dessein ‚de
propos delibere ; avec prämeditation,, avec re-
Nlexion.
ArostiDO, A, p. p. d’Aposier, et adj. r&so-
iu, delibere, determine, ferme dans sa r6so-
lution , attach€ & son opinion.
* APOSTANENTE. V. Concertadamente.
* APOSTAMENTO , 5. m. air, maintien , port
d’une personne. V. Adorno, Compostura. -
ArOSTAR, dv. a. parier, gager, faire un pari.
Defier, faire un defi. Poster du monde dans un
lieu. Parer. V. Adornar, Compor. ll est vieux
dans cette acception : Apdsto que ndo ds capas
de... je vous defie de... Aposto que ndo ade-
vinhas quem m’o disse, jo vous defie de deri-
ner qui m’a dit telle chose. .
APOSTAR-SE, d. r. 56 piquor d’&mulation, ri-
valiser ; s’engager, deliberer, se determiner,
prendre la ferme resolution de faire quelque
chose. Se parer, etc.
Arostasia , s. f. apostasie : abandon public
d’une religion pour une autre. Il se prend en
mauvaise part, et sedit plus particulierement du
renoncement & la religion catholique romaine.
—, renoncement d’un religieux A ses veux.
AröstaTra, 3. m. apostat : celui qui aban-
donne sa religion. —, religieux qui renonce &
ses vaur.
APOSTATÄDO, A, P. p. d’Apostater.
APO
Arostarin, o. w. apostasier : abandenner sa
religion. —, Fenoncer ä ses voux, en parlant
d’un religieux.
Arostkua ,s. f. ((.dem£d.)" aposiöme , apos-
thume, abces : enflure exterieure avec putre-
faction.
* Arostsuacil,. V. Apositme.
ArOSTEMÄDO,A,P.p. d’
APOSTEMÄR, ©. a. Causer un apostöme, un
abcös.
APOSTEMAR-SE , ©. r. apostamer, abobder ı
se r&soudre en abo6s. (fig.) Sefächer.
APOSTENÄTICO , A, (6. de med. p. us.) contre
P’aposteme.
Arostzutıro, s. m. (1. de chir.) bistouri
pour ouvrir les apostemes.
+ Arosteu0so, A, adj. de Papostöme.
* Arostia ow ArostiLua. V. Imposturs. Per
— ‚calomnieusement,
APOSTILLA, 3. f. apostille : petite note & la
marge d’un dcrit.
AroSTILLÄDO, A, 9.P.d’
ArostıLLir , v. a. apostiller : metire des
apostilles & un &crit.
Arosrtısso. V. Postigo.
AP0sTo, A, adj. bien place; par, bien mis,
bien equipe.
AröstoLa, s. f. femme apötre.
ArosTOLÄDO, &. m. apostolat : congregation
des apötres; ministere d’ap6tre. Les images
des douze apötres r&unis.
APOSTOLÄR,, ©. n. exercer le ministöre d’a-
pötre. “ .
* ArostoLicaL , adj. V. Aposlölico. it. s. pr&-
tre , ecclesiastique.
APOSTÖLICAMENTE , ado. apostoliquement : &
la facon des apötres. Conformement & la’ pau-
vret& apostolique.
ArostoLicıpäne, 8. f. apostolleite : oonfor-
mite d’opinions avec l’Eglise, de maurs aveo
les apötres. (1. de (heol.)"Caract£re, note de
veracite de l’eglise catholique, d’etre fondee
par les apötres et de conserver leur docirine.
+ ArostoLicisuo, s. m. apostolicisme : doo-
trine apostolique.
ArostöLıco, A, adj. apostolique : qui vient
des apötres ou du pape, qui leur appartient.
Notario — , notaire apostolique: qui fait des
expeditions pour Rome. s. m. —, qui fait de
Papostolicisme. it. (an$.) Le pape.
APöSTOLO ,s. m. apötre : chacun des douze
disciples de J.-C.—, premier missionnaire d’un
pays. On donne quelquefois co nom & un mis-
sionnaire zeie. Aposiolos, pl. (ant.) lelires ac-
cordees par les juges occlösiastiques & ceux
qui appelaient de leurs sentences. *£. " Dimis-
soire.
APOSTOLORUM (unguenfo), (4. d’ancienne
pharm.) nom d’un onguent pour guerir les
plaies.
APOSTROFAR, eo. V. Aposirophar, eic.
APOSTROPRBÄDO, A, P.P.d’
ArOSTROPLÄR,, d. @. aposiropher : se delvar-
ner do son discours pour adresser la parole
APO
avec rähtmence & quelquo personne ou & quel-
que chose.
Aröstrorme, 8. [- (1. de rel.) apostrophe :
tere de rbetorique par laquelle on adresse
mementan&ment la parole ä des choses ou &
des personnes, auxquelles ne s’adresse pas di-
reeteınent le discours.
APÖSTROPHO,, 5. m. apostrophe : signe en
ferme de virgule, qui indique l’&lision d’une
voyelle.
*Arosrönı, 5. f. gentillesse, air, maniere :
maintien agreable d’une personne. *Ordre,
benne dispesilion , arrangement.
TAarosteras, s. f. pl. (l. demar.)"porques :
pieces de bois postes sur la carlingue, et pa-
rallöles anz verangues, sorvant A lier les pieces
gei forment le fond du vaisseau; membres sur
erai
ValgTage.
APOTECHA.
APOTECHATA. | V, Apophihegm... etc.
APOTENA.
APOTENTiDO,A,P.Pp. d’
APOTENTÄR, 0. a. rendre puissant.
APOTENTÄR-SE, v. r. devenir puissant,
ArTEOSE, ete. V. Apotheose, etc.
Arorstua, s. m. (1. de geom.) apothöme :
perpendiculaire mende du centre d’un polygone
regalier sur un de ses cötes.
Arorneosar. V. Divinizar.
Arorwtose ou Arormtosıs, 8. f. apötheose:
@eiication d’un heros , d’un empereur mort,
Geremonie pratiquee par les Romains.
tAroroumo, s. m. ( f. d’algeb.) apotame ;
diätrence de deux quantiles incommensura-
Dies.
APOTCAÄDANENTE , adv. pelitement, basse-
ment, läcbement , avec pusillanimite; mesqui-
Dement,, avec parcimonie.
Aroccim0, A, pP. p. d’Apoucar et adj. pusil-
lanime, faible; abject, meprisable, vil, bas.
Homem —, komme sans cur, timide, meli-
euleux ; qui n’a pas de talent.
Arovcaner, A, 3. celui qui amoindrit, qui
diminue , qui rabaisse,, oie. ]l est aussi adj.
APOTCABENTO, 3. m. * diminulion ,amoindris-
sement, retranchement, döcroissement. * Pusil-
ianimitt, honte, bassesse, lächel#, decoura-
gement.
Aroccar, 9. e. diminuer : apelisser; rölre-
«ir ; ameindrir; reduire; restreindre; resser-
ser. (Ag.) Bavilir ; abatıre l’esprit, le courage.
ArPOBCAB-SE, 0. r. s’amoindrir, deoroitre , di-
inner, se rendro moindre, plus petit; s’abais-
Ber, ve ravaler, s’humilier ; so decourager, s’a-
bandsnner, se negliger, s’arrierer.
Arourin , ete. V. Poupar.
APOBOUENTÄDO, A,9.P.d’
APOOQUENTÄR, 9. & reduire A pen, diminuer
de neenhre; exienuer, opprimer, vexer.
* APOUSENTANENTO, eic. V. Aposenlo , eic.
Arortip0,A,P2.9.d
+ AroutaR, 90. a. ein. p. us. jeter une pierre
(qu’en appelle pouia) attachee au bout d’un
«ible pour anorer un bateau.
APP
Arovan, etc. V. Apoiar.
APOzEMA ow Arozima, 4. m. (l. de pharm.)
apoz&me: potion faite d’une coclion d’herbes
medicinales.
ArPARÄDO, A, P.p. d’Apparar et adj. par,
concert&, orne. (fig.) Elegant. ‘
ÄPPARAMENTAR , etc. V. Paramentar.
APPARAR. V. Apparelher.
APPARATÄDO, A, 9. pP. d’
APPARATÄR, vd. a. garnir, orner: faire de Y’ap-
parat, de l’eclat.
ArrariTO, 3. m. preparalif, disposition,
appr£&t.° Pompe, appareil, ostentation, apparat,
eclat.
APPARATÖSAMENTE,, 0do. avec apparat, avec
de grands pre£paratils, aveo pompe, magnill-
cence,, somptueusement, splendidement.
APPARATOSO, A, adj. pompeux, splendide,
magnifique, grand; superbe, bien ordonne,
ajusie
” APPARECENCA. V, Apparigdo.
* APPARECENTE. V. Apparenie, Visivel.
ÄAPPARECER, ©. %. apparaltre, se imonlrer, se
presenter, @tre vu, se faire volr d’une maniere -
imprevue. Paraltre : se montrer quelque part;
se troureren quelque endroit. —emjuizo, com-
paroir : comparaltre en justice, devant le tri-
bunal. Quem ndo apparece esquece , los absents
ont tort.
APPARECIDO , A, pP. p. d’Apparecer et adj. qui
vient de paraltre. Seja bem —! expression fa-
miliere qu’on emploie & l’arrivee d’une per-
sonne que P’on.ne voyait pas depuis longtemps:
soyer le bien-venu.
APPARECIMENTO, 3. m." apparition, l’action de
paralire, de se faire voir.
APPARELHÄDO, A, P. p. d’Appareihar et adj.
ajuste, approprie, propre, assorti, propor-
tionne, convenable; prepar6, dispose, pre&t ä.
APPARELHADOR, A, 8. appreteur: celui qui
appr£te, qui pr&pare, qui dispose. Appareil-
leur : ouvrier qui trace le trait, et coupe la
pierre pour celui qui la taille. Contre-malire:
inspecteur des ouvriers.
APPARELHANENTO, 3. m. l’action de preparer,
de disposer, d’appreter.
APPARELHAR (para), v. a. pr&parer, dispo-
ser, appröter. Enharnacher un cheval, une bete
de somme,, embäter. (f. de mar.) Agreer, greer
un navire, le mettre en elat de pouvoir navi-
guer. (f. de peins.) Appräter, imprimer une
toile pour un tabieau. Appareiller : donner des
mesures justes pour tailler les pierres ‚le bois,
suivant les places oü il faut les poser, les tra-
vailler, les pröparer. —a virar, (1. de mar.) pa-
rer & virer. — um masiro, (id.) garnir, ow
greer un mät. .
APPARELHAR-SE, ©. r. appareiller; se prepa
rer & faire quelque ohose , se disposer, se tenie
pröt; s’babiller, se coiffer, se parer.
" APPARkLHO, 8. m. preparalil, sppret, dispo-
sition. Harnais do cheval ou de bete de somme.
(4. de mar.) Apparaux,, agres, volles, cordages,
poulies, et tout co qui est necessaire pour met-
117
118 APP
tre un vaisseau en dat de naviguer; mouffle,
palan, caliorne. (f. de peint.) ° Impression :
premidre couche sur une tolle & peindre. Ap-
pareihos, pl. appareils, instruments, outile
necessaires & quelque art ou melier. (f. de
peint.) Tout ce qu’il faut & un peintre pour im-
rimer dcs tolles et pour dorer. Attirail: nom-
re etdiversit6 dechoses necessaires ä quelque
objet, — da alonia da barcaga, (1. de mar.) ca-
Niorne : haut du mät d’un ponton servant & re-
lever le vaisseau.— real, (id.) Palan & caliorne.
— do ldis, caliorne de bout de vergue. — do
estdi, caliorne d’etai; palan d’elai, ou de
charge. -- com amanle e estralhfira, (id.) Pa-
lan & &lague. ZBlla do —, (id.) Garant d’un
palan & caliorne. Guia do — do convez, (id.)
Draille du palan d’etai. — do turco, (id.) Ca-
pon.
APPARENCIA, 5. f. apparence, air, semblant,
faux-somblant; ce qui paralt au-dehors ; vrai-
semblance, probabiliie. Homem d’—, homme | pe
d’importance , de consideration.
ÄAPPARENCIAZINUA , 5, f. dim. d’
ATPARENTE, adj. 2 gen. apparent, specieux,
faux, faclice. Apparent, visible ; vraisembla-
ble ei paralt verilable, probable, feint, si-
mule,
APPARENTEMENTE, adv. apparcmment, 0M
apparence ; sous couleur, sous pretiexte.
Arpanıcäö, s. f. apparition: manifestatien
d’un objet , d’un ph&nomene, etc. Vision.
AppeLLackö, 6. f. "appel, appellalıon, re»
cours, interjection d’appel.(Ag.) Ressource, re-
möde. Näo ter — nem aggravo, (fam.) N’&-
voir point de remöde, de ressource, d’espoir.
— das gales , (1. de mar.) palamentes ı los Fa-
mes d’un bAliment de mer, eto.
APPELLÄDO , A, P. p. d’Appellar.
. ZyPELLAMENTO, s.m. V. Appellapdo , (t. de
mar.
APPELLÄNTE, adj. 3 gen. et s. appelant, qui
appelle d’un jugement, p. a. d’
ArrELLän (de), v. ». appeler d'un jugemen
6mieltze appel, interjeler appel. — (a, para
(fg.) Recourir & queiqu’un, & queigue expe-
dient: se replier. Appellar o doenie : se tirer
d’une maladie jugse mortelle, €chapper.
APPELLATIVAMARTS, ado. dans l’acooplion
appellative,
ArrzıLarivo, A, adj. (l. de gram.) appella-
uf. Il se dit d’an nom qui oonvient & toutes une
esp&oe.
ArPELLATÖRIO , A, adj. relatif A l’appellation ;
qui oontient les raisons de Pappel.
ArrgLLiveL, adj. 2 gen. (f. de pres.) dont
on peut interjeter appel.
ArPzLLıDino,, A, P. p. d’Appellider, et adj,
dit, surnomme,.
} APPELLIDADOR, A, 3. Oelui qui surnomme;
qui appelle, convoque du monde pour une ex-
pedition.
APPELLIDÄR, ©. 6. surnommer. Prociamer.
peler, convoquer da monde pour une expe-
dition. — por : appeler quelqu’un, le
APP
faire venir, le mander. (fg.)Exciter, 6&mouvelr,
raviver.
APPELLIDAR-SE , ©. r. 56 surnommer, avoie
un surnom.
ArPpgLLino, s. m. nom, surnom, nom de fa-
mille. Le nom particulier que l’on doune@ä cer-
taines choses. Appel, convocalion; cri de
guerre ,„ signal pour se preparer au combat.
4’ voz d’—, par convocalion.
AppkıLLo ,„s. m. V. Appellagäo,
APPENDICE 08 APPENDIX , 6. m. appendice :
sapplement & la fin d’un ouvrage; ce qu’on
ajoute, 66 qui ent ä& une auire chose; (f. de
bot.) prolongement dn petiole.
APPENDICULÄDO, A, adj. (1. de bot.) appendi-
cul&ı termind par des appendices (petiole).
ArPenpicuLo, 3. m. dim. d’A ‚ap
pendicale : petit appendice.
PENDIX, V, Appendice.
APPENSÄDO, A, P. P. d’Appensar. V. Ap-
n0.
Arpunsin, 0. &. (4, de praf.) appendre: pen-
dre, atiacher ; joindre.
Arptuso, A, adj. (4. de pras.) annexe, joint;
pendu , suspendu, attach&.
APPETECEDOR, A, 3. celui qui desire ar-
demment quelque chose ; desireux.
ArPETEcER , v. a. desirer fort, souhalter ar-
demment, rechercher avec passion, aspirer &,
pretendse, aimer, demander, aınbilionner, Ccon-
voiter.
Arrutecioo, A, P. pP. d’Appelscer, ei adj.
(de, por) desir6, recherche, convoite.
APPETECIYEL, adj. 2 gen. appelissant, dösira-
ble, convoitable.
Arperknca, s. f. "appälit: envie, desir, be-
soin de manger. Appslence : aclion d’appeter.
* APPETENTE. V. Appelecivel,
° Arprın. V. Desejar.
+ Arrerırin, 9. a. excilor l’appeüt.
APPETITE, 8. m. appelit : inclinalion,, faculid
par laquelle l’äme se porte & desirer queique
chose. —, desir, envio, besoin de manger. Ce
qui excite l’appetit,
* ArratıtıygL. V. Appslscivel.
APPETITIVO, A , adj. appetitif, concupiscible.
APPETITÖSO, A, adj. appetissant, ragoülan!.
Qui desire ardemment quelque chose ‚, qui en a
l’envie. Capricieuz, qui 36 laisse gouverner par
sos desirs.
* ArpırıveL. V. Appstecivei.
APPLAUDENTE, V. Applaudidor.
ArPLAUDIDO,, A, P. p. d’Applaudir.
APPLAUDIDÖR, A, 5. applaudisseur : qui ap-
plaudit beaucoup.
ArPLaupia, v. @. applaudir, approuver, louor
08 que fait ou dit une personne. ‘
APPLAUSITSL, adj. 2 gen. digne d’ötre ap-
plaudi.
ArpLiuso, s. m. applaudissement: grande
approbalion exprimee par des baltoments de
mains, par des aoclamations, el0.
AppLicacäö,s. f. application: Paotion d’ap-
pliquer. Adsptation. Apposition. Destination.
APP
‚application au travall, ä Pätade, elc.
‚Auachemnent, soin, Contention d’osprit,, alien
tAreuschna, 0. f. (i. de gdom.) ordonnde :
ligne dreite tir6e d’an point de la circon[örence
duns oourbe perpendiculairement & son a1®.
APPLICKDANENTE, adv. arco application d’es-
peit, avec assiduits, avcc Soin.
APPLICADISSINO, A, adj. sup. d’
Arruscine, A,P. pP. d’Applisar, et adj. allen-
er attache,, occup6; studieux, qui aime r6-
tade.
° ArrLicantuzo. V. Applicegäo.
*Arrucizeo, A, adj. qui doit ow peut ötre
pplique.
Arrusciurs, s. m. colui qui applique.
ÄrFLICHR, ©. 6. appliguer : metire une Ohos®
sur une auire de maniöre qu’elle y adhere.
Adapter ; affecter;; destiner;; approprier ; auri-
buer; adjuger. — algusm a uma proßssdo ou
sgercicie , destiner gaslqu’un & une profession
on ezereite. — 0 owoido, präter l’oreille, d00u-
we stientivement.
ÄPPLICAR-SE (a), v. 7. B’adonner, s’appli-
quer, vattacher A, s’occuper de.
+ ArsLıchra, adj. pl. (1. de möd,) applicala :
ehoses appliqutes. Ex. Cosmötlques , cala-
plasınes , etc.
Arruscativo, A, adj. V. Applioavel.
ArruicäveL, adj. 2 gen. applicable : qui peut
&re applique.
ApröR, 9. 6, apposer ı appliquer, mettso
Areosıciö,, s. f. spposition ı l’action d’appo-
ser. (1. de phys.) Jonction des corps. (1. de
gram.) — , union de deux substanüifs.
Arrösııo, A, adj. convenable.
adj. p. ws. appose, ajoute;
adapte. p. p. d’Apper.
« Apraccarivo, A. V. Doprecalivo.
APPREBENDENTE, P. 0. d'
Arspazuznpta, v. a. apprehender: prendre,
saleir, arröter, s’emparer, 80 rendre malire de
u’an ; imaginer, croire sur un leger fon-
dement. (Ag.) Entendre , percevolr, concevolr;
eraindre. — es bens, (1. de prai.) sequesirer les to
biens , los saisir.
APPRanENDIioO, A,P. P. d’Apprehender.
Arsausensiö,s. f. prise, prise de Corp®.
j ‚ pröoeeupation. Baisie de biens.
Osainte, peur. Simple idee qu’on prend de...
ans porier de jugement. Fayer —, (.de pras.)
Jaisir.
+ ArPnEBENSIBILIDÄDE, 3. f. apprehensibilite:
qualitt de co qui peut ötre saisi. ’
+ Arparuensiva, 8. fı (b. de phil. each.) Ia-
euitö apprebensive de l’äme, imagination.
APPREHENSIVAMENTE, ade. avco apprehen-
sion , avec pr&occupalion.
ArFREBENSIVEL, adj. 2 gen. susceplible d’ap-
prebension.
ArPannEnsivo, A, adj. appröhensif, timide,
craintif, quicraint, quia peur sans fondement,
APR 119
Qui congoit les »boses trös-vivament. Qui ap-
partient & l’eppröhsnsion, lacults de ’bomme.
APPREBERSO , A. V. Apprehendido.
+ APPREHENSOR, s. m. Gelui qui salsit, qui
prend,.
+ APPREHENSÖRIO, A, adj. P. us.
saisir, & prendre.
APPREMAR ei APPAENER, V. Apremar, elC.
Arranuıan, oto. V. Prossier, elo.
ArTPREMIR. V. Apremar,
Arpasnei6. V. Apprehonsdo.
* Appnessiö,eh APPRESSO. V. Oppressäo, all,
° Arpnıcan, V. Applicar.
* Apprınır. V. Opprimir.
ArpaoBATivo, A ‚adj. approballf, qui mar-
que l’approbalion.
ÄPPRORATÖRIO, A, adj. qui approave, qu
renferme une spprobalion.
Arrrorınquacaö, 8. f. proximile, rappie
chement.
ArpaorınquAno, A,Pp- pP. ld’
APPROPINGUAR-SB, 6. r. S’approcher, devenie
qui seri &
proche.
APPROPRIAR, ot6. V, Apropiar, Cto.
Arraorackö,s. f. approbalion: l’action d’ap-
prouver;; suffrage. * Consentement, ratiicalon
d’un contrat.
APPROVÄDANEKTE , adv. avec approbalion.
APPROYADISSINO, A , adj. sup. d’
Arprovino, A, P. p. d’4pprovar, ei ad).
avou6 par le gouvernement, par un superieur ;
appronre. Admis, recn, agree,
ÄrPPROYADÖR, A, 5. approbateur : celui qui
approuve.
ÄPPROVÄR, d. &. approuver, agröer; CONSEN-
tir &. Recevoir, admettre. —, Juger louable,
irouver digne d’estime. Entöriner, homologuer
un acte. Allouer une depense.
APPROVATIVO, A. V. Approbalivo.
APPROYÄYEL, odj. 2 gen. digne d’approba»
tion.
ArproxımaGkd,s. f.*rapprochement: Paction
de rapprocher. (f. de malh.) Approximalion s
calcul, valeur inexaote, mais approch6e , d’une
quantits cherchee.
APPROXINMÄDANENTE , ade. par approxima-
n.
Arraoxıuino,A,P.P. 0
APPROXIMÄR, d. &. approcher,
pres. Approximer: ressembler un peu;
irös-voisin.
ÄPPROXIMAR-SE, 9. r. s’approcher; 50 Füß-
sembler un peu; #ire Irds-voisin.
APPROXIMATIYO, A, adj. approximailf : qui
s’approche.
® ApracaR. V. Aplacar.
u ArBAINAR. D. A
® APRAMAR. 7. .
° APRASMAR. V. Drermor, Incropat‘.
® aprasumo. V. Prasme.
Aynazino, A, Pp. p. d’Aprasar.
Arnazapön,A,s V. Em .
APRAZAMENTO, 8. M. sjournement, assigua-
tion , action d’ajournef, Wassigner. V. Prase.
melire al-
dire
120 APR
APRAZANTEIRO, V. Praxenleire.
APRAZÄR, ©. 6. Assigner, marquer, fixer, de-
terminer le jour, le lieu pour faire une chose;
ajourner. 11 est aussi r&ciproque.
+ Araazenön, A, s. celui quicherche & plaire
& quelquw’un.
APRAZENTE,, adj. 2 gen. qui plalt.
ÄPRAZENTEIRO, V. Prazenteiro.
Aprızöa, vo. ». plaire. V. Agrader. Isto me
eprdz, cela me platt fort.
Apnazer-SE, v. Tr. avoir, &prouver du plaisir;
se röjouir.
* Aprazenino, A, adj. donne aux plaisirs,
V. Prazenteiro.
ArkızısıLıpäne, 8. f. afabilil6, doucsur.
APRAZIBILISSIMO, A, adj. sup. d’Aprasivel.
Arkızido,A,P.P. d’Aprazer.
APRAZIMENTO, s. m. plaisir, contenlement;
approbation , agr&ment, consentement, permis-
sion, bon plaisir,
APRAZIVEL, adj. 2 gen. agreable, besu,
charmant, delicieux, divertissant, amusant.
APRAZIVELMENTS, adv. agröablement, deli-
eieusement, joliment, d’une maniedre char-
mante, & plalsir, avec grace, galamment, plai-
samment.
° APRAZNENTO. V. Aprazimenio.
A’raz! interj. fam. pour marquer le dögoät
ou !’aversion. Ne m’en parlez pas, allez, reti-
res-vous d’ici , ötez-moi cola, etc. Dianire!
APRECÄDO, A, P. p. d’Apregar.
t ArRECADOR, A, 8. estimaleur, appröcia-
ter ; celul qui demande le prix d’une chose,
qui la marchande.
* APREGANERNTO,, 5.0." apprecialion,, estime,
“valuation ‚ taux,, taxalion.
+ APREGAR,o. 8. appröcier, estimer, &valuer :
ınettre le prix & une chose. Marchander : de-
mander le prix d’une chose. Il n'est plus usils
qu’& cette dernidre acception.
° Argeciver. V. Apreciavel.
Arnzcıaciö, s. f. appreciation : estimation
de la valeur d’une chose.
ArascıiDo, A, p. p. d’Aprecier.-
+ APRECIADOR, A, 5. appreciateur : qui ap-
ie. Il n’est usit6 que dans le sens mo-
rail. Deos d 0 justo — das accöes humanas, Dieu
ost le jusie apprecisteur des actions humaines.
APRECIÄR, 9. a. appreciär, estimer, &valuer.
Juger du merite d’une chose. (Ag.) Apprecier,
riser, estimer, faire cas. ll n’est usitd que dans
e sens moral.
APRECIATIVANENTE, ade. d’une maniöre ap-
preciative.
APRECIATINO, A, ady. apprecietil : qui mar-
que Peppröclation.
ArnecıkveL, adj. 2 gen. appreciable : qui
peut #tre appröcid. Estimable : digne d’estime,.
Aratco, s. m. "appreciation,, prisee, evalua-
tion, valeur, prix, taux, taxalion: estimation
de la valeur d’une chose. (fg.) * Estime, consi-
deration , &gards qu’obtiennent les talenıs ‚lies
sertus, eic.
APR
ArREcoino, A, 9. p. d’Apregar, et adj.
publi6 & son de trompe, etc.
ATREGOADÖR, A, 3. crieur : celui qui crie, qui
prociame. (i}.) adj. qui publie, qui annonce,
APRECOÄR, ©. @. crier, annoncer la vente
d’une chose. Publier & son de trompe. (Ag.) Pu-
blier, divalguer : rendre public. Dire da bien
de quelqu’un en publie, pnbiier ses beuneg
qualites,
APREGOAR-SE, v. r. se vanter, parler de sol-
möme, faire son propre &loge.
ArrENiDO, A, 9. 9. d’Apremer.
APREMADOR, 4,3. V. Oppressor.
APRENAR, ©. «. V. Aportar, Opprüsir.
Arazuıan , ete. V. Premier.
APRENDER, 9. 4. apprendre : acquerir une
connaissance : mettize dans sa memoire, ap-
prendre par omur. «4. antig. Deoourvrir, con-
en znDipo, A,Pp. p. d’Aprender.
APREnDiz, A ‚s. apprenti : celei qui apprend
un metier, adj. )-—, novice ; peu babile &,
en quelque chose ; celui qui n’a pas scquis de
Pexperienee d’un art, dans la guerre, oic.
APRENDIZÄDO ou APRENDIZAGE,, s.m.ouf.
apprenlissage : tat d’un apprenli ; temps qu'il
met & apprendre son mölier.
Araznsino. V./J
Araensi0. V. Apprehensdo.
Arnunsan. V./ .
*Araıs, adv. V.
+ APRESADOR, ..m.(b. de mer.) capleur, BES-
neur d’un vaisseau,
f APRESAUENTO, 3. m. — d’um navıe, (fd. de
mar.) " vapture d’un vaisseau.
f Arazsin, vo. a. (f. de mer.) caplurer, Pren-
dre un vaisssau.
APRESENTAChO, 8. f. presentation : l’aclion
de presenter. — de la Vierge : f&te cölöbr6e par
l’Eglise. — & un benelice.
APRESENTÄDO, A, 9. P. d’Apreseniar.
APRESENTADOR, A, 5. presentaleur : celui qui
presente & un beneßce. L’introducteur des am-
bassadeurs.
APRESENTÄNTE, 9. a. d’Apreseniar , prösen-
tant:: celul qui presente, ei s. (1. de com.) por-
teur d’une letire de change.
APRESENTAR, ©. @. piösenter : exposer & la
vue ; montrer, faire voir ; introduire en la pre-
senoe de. —, offrir, fsire present. — ‚, nommer
& un böntfice. —, exhiber. — sespade,
as armas, presenter la bataille, l’epse, les
armes.
APRESERTAR-SE, ©. 7. 56 prösenter, Ccompa-
raltre : venir en presence” de, s’oflkir.
ArazsıLnino,A,9.p.d
t ArRESILHÄR , 0. 6. garnir de ganses; alta-.
cher avec une ganse.
° Arntso. V. Apresso.
APRESSÄDAMENTE, adv. ä la häte, en häte,
trop vıte.
APRESSADISSIMO , A, adj. sup. d’Apressado,
APR.
Aranssiso, A, P. p. d’Apresser, et adj.
Prease , prompt, niligent.
APRESSADOR ‚A, s. celui qei presse, qui häte.
id. llest aussi adj. pressant; urgent.
APRESSÄR , ©. &. presser, bäter, acliver, &0-
ellirer, faire & la bite.
APnussin-sE, v. r. se häter, se presser de
sire, s’empresser.
Aradsso. V. Aprendido,, Sabide.
APRESSURÄDANMENTE, ade. vite,
promptement, en toute diligence.
APRESSURÄDO, aA, P.Pp. d’Apressurar, et adj.
se bite, qui se presse, qui fait diligence.
Fresse » diligente, acctlere.
APRESSCRAMENTO, 5. me." pre&cipitalion, promp-
titude ‚diligence, häte. V. Presse.
APRESSuRin ,v. a. häter, presser, acliver, di-
ligenter, accelerer, faire ä la häte.
ÄAPRESSORAK-SE. V. Apressar-se.
ÄAPRESTADO, A, P. p. d’Apreslar.
APRESTADOR, A, 5. celui qui apprete, qui
prepare.
APRLSTANENTO. V. Apresto.
APRESTÄR, ©. @.appröter, metire en &tat, pr&-
parer avec promptitude ; &quiper, faire des pr&-
paratifs, des prorisions.
APRISTÄR-SE,, v. r. s’appröter, se preparer,
ve metire en &tat de ‚et se disposer ä; se pour-
voir de.
*ArRÄsıEunO,
"Arnfstgs,
* APgäsTımo,
Ars£sto,s. m. appareil, appret, preparatif,
piparation ‚ disposition. Aprestos d’umando,
‘quipement d’un valsseau.
APRIBORADANENTE. V. Primorosaments.
Araımonino, A,p.p. d’Aprimorar, et adj.
fait avee genullesse ‚„ #legance, perfeclion.
(49) Insigne, accompli, parlait, acheve.
APRINORAR, v. a. perlectionner, rendre par-
fait, elegant, beau.
APRIMORAR-SE, v.r. exceller dans un art, etc.
V. Esmerar-se.
Arassci80, A,P.P. 4’
Arnısciha, 9.6. &tabler : renfeımer le betail
dans l’etable.
Arnisco , s. m. *bergerie, &lable : lieu od !’on
enlerme le betail. is. Gite, laniere, repaire.
O sagrado —, (fig.) l’Eglise, l’assernblee des
Sdeles.
V. Prest...
Arassıoxino, a, adj. emprisonne, fait pri-
sonnser ; li, attache, assujetli, soumis, en-
ehalne. 9. 9.d’
APRINONAR, v. G. emprisonner, mellre en
prison, faire des prisonniers; enchalner.
* Araısoin. V. Prender.
APn0inO, A, p.p.d
APROAR, e. a. (f. de mar.) metire le cap sur
quelgqus endroit, y diriger sa route; eriter,
leavoyer sur ses ancres.
Arsöcuzs. V. Aprozes.
*"Arnosıaa. V. Proßaor.
*Arnorcupia. V. Profundar.
* Arnör, ade. au profitde.
APR
Arnouprino, A,P.p. d’
AFPROMPTÄR, ©. 4. preparer, appreter, dis-
poser.
APROMPTAR-SE, v. F. s’appreter, se tenir
pret.
fAPRON, s. #t. apron: poisson d’cau doucc,
aa genre du persögue , espece de petile per-
che.
APRONTAR, etc. V. Apromptar.
Arnoposıtlnamente, adv. d’une maniere
convenable.
APROPOSITÄDO, A, adj. rassis, sens6; jusie,
convenable. 9. p.d’
APROPOSITÄR, v. a. faire venir A propos. Ap-
proprier,, proportionner.,
Arrorösıto, V. Proposito (a).
Apnoprıacäö, 8. f. appropriation :
d’approprier.
APROPRIÄDAMÄNTE, ado. jusiemen!, aves
propriöts, justesse ; d’une maniere exacie, con-
venable.
APROPRIADISSIMO,, A, adj. sup. d’
APROPRIÄDO, A, 9. p. d’4Aproprier, et adj.
propre, convenable, utile, accommode, sor-
table.
APROPRIADÖR, A, 3. celui qui approprie ung
chose,.
ArroprıÄn, 9.6. donner en propriele. Ap-
proprier, proporlionner: faire cadrer, rendre
propre & sa destination. (Ag.) Accoınmoder,
appliquer convenablement les circonstances ou
la moralit6 d’un evenement au cas present, le
discours ou les paroles au sujet gue l’on traite.
APROPRIÄR-SE, ©. 7. S’approprier, prendre
pour soil, s’attribuer quelquo chose, s’empa-
rer de.
+ APkÖöUVE, pr&t. ant. d’Aprover, ou Apra-
zer, —aDeos, il a plu & Dieu.
+ Arrovver, fub. anti. d’Aprover ou Apra-
zer. Se— a Deos, si Dieu le veut.
APROYRITÄDANENTE, adv. utilement,, avanla-
geusement, convenablement, d’une manidr®
utile, avantageuse, profitabie 4.
APROVEITÄDO, A, 9. P. d’Aproveilar, et adj.
&conome , mönager, qui proflte de tout. Avanc6
dans V’ötude, dans la vertu, etc. Terreno bem
— ‚ terrain bien cultive.
APROVEITADÖR, A, 8. celui qui proßite, qui
&conomise, qui menage ses depenses.
APROVYEITAMENTO, 8. m. prolit, ulilile, avan-
tage. Avancement, progres dans sa carriere,
dans la vertu.
APROVEITÄNTE, qui profite, p. a. d’
APROYEITAR, ©. a. profiter, metire & profi,
tirer parti de; rendre utile, profitable; ame-
liorer. Mönager ; employer utilement. — a oc-
casido, me&nager l’occasion, en proliter, la
saisir.
APROYVRITAR, ©. ®%. proflter, servir, @tre utile,
avantageux. (em) faire dcs progres.
APROVEITAR-SE (de), v. Fr. profiter, lirer de
l’avantage, de l’utilitö de quelque chose ; s’ac-
commoder de; faire sa maln, se prevaloir. —
121
l’action
daoccasiäo, prendre la balle au bond,.
123 APU
Amavırriver, elf. 32 gen. perltshle,, zei
yet tie peslitt.
* arnavırıdee.V. Prouslisse.
* ara0via, 0.0. V. Apransr.
Araaım03150,1,9-9-@
Arsovımenin, 0. 6. appuovisisnnez : faire
A202130,8,9.9-@
rarsoxis, u.a. (I. de mil.) sppescher :
Seire des spproches,
Arsbıza,s. m. pl. (t. de mü.) spproches :
WATEEE pour BTancer vers uns place
ArRCHiDO,A, ». y.€
AmnzniR, ©. 6. mettrod’splomb , ou em ligne
ieulalse
gerpend .
f Armee, s. m. pl. (1. dastr.) apeiden : les
deu: points de Yorbite d’sn astze jo ples pres
& le plus lein d’un auire asize.
Ayrautste,ade.justement, convensblement,
eonlormtment , suivamt los ConVenances, A PFO-
900,00708
Arrin, V. Adaptar.
Arrtazs,s. m. Pi. (t. E’hist. nat.) aptires :
Imsootes sone alles.
Arrzaopr'ras,, 5. m. pl. (1. #’hist. nat.) aptb-
rodyles : oisesuzx ä siles courles ei Sans pennes,
qui plongent [scilement.
+ Arsınonoros, s. m. pl. (f. d’hist. nat.)
: esp&ces de gymnoles sans nageoire
sdorsale.
Arrıwiö,, s. f. aptitade, disposition ; capaciid
nstarelle ou acquise pour quelque chose.
„A, adj. P. us. rendu apte, V. Ha
BMlllado.
Arsissıno , A, adj. sup. d’Aplo.
Arrırope. V. Aptidäo.
‚adj.2 gen. qui consiste dans
Yaplitude.
dr10, a (pere), adj. apte : propre &, conve-
+ Arvino, a, adj. quia des polnies, cribls
de peintes.
Arun-acra, m. laf. annex6b au procös-verbal.
+ aroß, e.m. (1. d’Mst. nat.) apu6 : esptce de
bodian du Beösil.
Arusapuna. V. Apojadurs.
AruLap6na. V. Palo.
* Arcuuino, A, eie. V. Apinhado, eic. ou
Empunkhado.
ArunmaL.i0,A,P. Pd
ArummaLia, v. 6, poignarder : frapper, bles-
ser, tuer (queiqu’un) avoe un polgnard,
° Arunmin, 9. a. empoigner ı prendre ou
sorrerla polgnde de !’&p4e. is. Donner descoups
de poing.
Arurida, s. f. ’siliement, orlaillerin, hude
usa fail oontre on apres quelgu’un;; chari-
ve ®
Arurino,A,9.p.d'
Arurin,v. 0. eier, orialller, se railler de
ARD
quelqu'un ; kuss „faire des kmdes sgets nal»
gun.
Arte, s.m. V. Agupide.
Aranıcid, & f. purißeatien, tparement ;
, Ngaidatien de camptes. il. Dispais,
‚recherche,
choix, triage, examen, verificatisn ; depura-
tion ; discussion ; larisseweni,
Be ’ .
net, au propre et au figure. Eclaireir, verifier,
rechercher avec soim, faire de rigeurouses per-
quisitiens, examiner ä fond , eplacher. Epuiser,
tarir, consumer. Apurer, rendre net un comple,
Debatire, discuter une queslion, eic.— s parien-
eis, o seffrimenio, outrer, & bout,
lasser la patience, choquer su dernier point,
offenser grievement, vexer, impalienler. — @
mercadorie, vendre la marchandise au plus
bast prix. — com alguem , presser vivement
quelqu’un sur quelque chese. — « .
peindre bien (en &crivant), perfectionner son
tcrilare. — os cosiumes, adoucir les maurs, les
polir. La meme chose se dit des hommes, des
langues vivantes, eilt.
APURÄR-SE, 9, r. 56 polir, se perfectionner,
s’tpurer. — com alguem, se fächer avec quel-
qu’un, se mettre en colere en le grondant.
+AroRATIYO, a, adj. qui purifie. (4. de mdd.)
Detersif, depuratüif.
A’rurinane, loc. adv. V. Puridede (d).
* Aruamir, vo. a. parler & l’oreille de quel-
on.
° Aronısmar. V. Supurar.
+ Ar6no, s. m. &purement: &lat d’une chose
€purte; quintessence; recherche, affectation.
i$. * Detresse, extr&mite : situation fächeuse, an-
goisse , grande affliction d’esprit; dificulte. Es-
tar nos malores —ı, &tre aux abois.
+ Arunrurino, A, adj. pourpre: ooulear de
pourpre ; couvert de pourpre.
+ Arırg-ıusi, s.m. (f. d’hist. nal.) apulö-
juba : perruche d’Amerigue.
+ Arva£crico, a, adj. (f. de med.) apyrecti-
que : sans fiövre.
Arınzzia, s. f. (6. de med.) apyrezie: Inter-
mission , cessation de la fövre.
ArYRo,A, ad/. apyre: qui resiste au few,
qui ne s’y altöre pas; qui ne s’y fond pas.
* 106. V. Agqwi.
® AQUADRELANENTO, 3, m. "oonvocalion des
habitanıs d’un bourg pour leur Imposer des
charges ou des travaux publios.
AQU
® A0uapaELir, dv. a. convoquer les habitants
Fun bourg, d’un village, etc., pour leur im-
yeser des charges, eic.
AQUADRILHÄDO, A, pP. P. d’Aquadrilker.
AQtapriLHANENTO, 3. mw. Paclion de former
des bandes ; attroupement.
AgtapsıLnär, v. s. former des bandes; at-
touper, asseımbler plusieurs personnes en
troupe.
Aquapaınik-sE, v. r. se r6unir en bandes;
Kalireuper.
“ Auvazcen. V. Acascer, Acomiecer,
Aquaxmıiao, etc. V. Acomtiado, etc.
Agriaıo, s. m. verseau , aquarius: un des
doaze signes du zodiaque, Il est aussi adj.
veuz.
fAouanraLinpo, A, odj, Cavallo —, cheral
ramass&
Irapu, .
AquantsLino, A, adj. p.p. d’Aquarlelar.
AQUARTELANENTO , 5. m. l’action de loger un
eurps de troupes dans les casernes, casorne-
ment, campement. (Quartier de troupe, ca-
serne.
AQUCARTELÄR, ©. a. distribuer les troupes
dans les quartiers, les camper, les caserner.
AQUSRTELÄR-SE, D.T. prendfe des quartiers;
se loger.
AgtaatıLaino,p.p. d’Aquarfilhar, et adj,
Vinko —, vin en detail.
AguanrıLmanor, A,detaillear : celui qui vend
ea detail (le vin, Y’huile, etc.).
AQUARTILUÄR, 9.6. vendre parchopines ; ven-
ärs en detail (le vin, le vinalgre, etc.).
Aguirıco, A, adj. aquatique : plein d’eau,
marteageux (terrain, eic.); qui habite, qui
eroit dans }’eau (animal, plante ). Donzellas
equaticas (1. de pods.) les nyınpbes de l’Octan,
Nertides,
Agvirıı,ow AqQuariue, adj. 2 gen. aquati-
que : de Feau. Aquatile: quinalt et vit dans
feau (plante); sabmerge ow flottant dans l’eau.
+ AgQva-TınTa, s. f. (f. de peint.) aqua-linta
os aqua-Unte: dessin au lavis; gravure qui
fimite.
°2ooe. V. Aqwi.
AQuzanantin, eie. V. Qusbranlar.
Aqutcee, v. a. chaufler, 6chauffer, r&chauf-
fer. V. .
Aqutcea, v.». devenir chaud, se chauffer,
«’schaufler,. commencer & @tre chaud.
Agcecen-se, v. r. s’echauffer.
Agtfcivo, A, pP. p. d’Aquecer.
Anttcıu#nto, s. m. schauffement : action
et l'eflet de chauffer.
*kovtcıuturo. V. Acascimento, Aconleci-
weni,
AQUEDÖCTO , s. m. aqueduc: canal souterrain
os exterieur, souvent &iev& au-dessus du sol,
pour conduire les eaux.
"+ Aqusıxipamänte, adv. a la häle; aveo
gene ; peniblement.
* + AQqugıxautnto, s. m. "bäte; excitation,
instigation; chagrin, peine, afllietion, tour-
vor,
AQU 128
” T AQURIXAR, d. a. presser, obliger, forcer ;
aflliger, chagriner, tourmenter, faire de la
peine.
* AQquzıxin-sg, V. Queixar-se.
AQUELLE, A, pron. ddmonst. et adj. co, vet,
eelul, celui-Iä, lui; cette, celle, celle-lä. Tode
— que, quiconque, qui quece soit. Ndo deste,
sendo —, ce n’est pas celui-ci, c'est celui-lä.
— dia, ce jour-lä. — ‚ cet homme-lä.
— que pensa bem, celui qui pense bien. Quel-
quefois il signifie le möme. Jd ndo 4 Us
que era d’antes, il n’est plus le m&me homme
qu’il stait.
* AQueııo, V. Aquello.
AQueLL/OUTRO, A, pron. demonst., et adj.
eet autre-&,, eelui-1ä.
A’quem, adv. decä, au degä, en dech. D’4-
quem, et d’diem, dech,et delä. Ficar —de,
n’arriver pas & son but. Estar — de ‚ &tre inf»
rieur &. Ficar — d’agua, d6choir de sos espt-
Frances.
* AQUÄME , 3, m, gOUYeFNeUr Maure,.
f Agqutnsz , adj. 2 gen. de la ville d’Aiz, em
France,
AQquznrino, A,p. p. d’Aquentar.
ÄQUENTANENTO, 5. m. 6ehauffement : Vaclion
et l’effet de chauffer.
AQnuentin,v.a. chauffer, &chauffer, r&chauf-
fer. (fg.) Ranimer, mettre de la chaleur, de
l’activite & faire une chose.
ÄAQUENTÄR-SE, ©. r. se Chauffer, s’öchauf-
fer, etc.
fAQututesino, A, adf. qui habite en dega
du Tage, au nord du Tage, p. ws.
A’QquEO, A, adj. aqueus: de la nature de
l’eau. V. Aquoso,
° Aqußssg, A, pron. demonst. celul-jA,
celle-lä,
* AQufsta, V. Caso, Aconlecimento,
* AQqutste, a. V. Este, esta.
Aqui, adv. de liew, ol, jei, dans set endroit,
dans ce lieu. -— deniro, edans, ici, dodans, —
Jaz, ci-git. D—,d’ici, de lä, de oela, de oeci-
D’= apouco, tanlöt, A laniöı, dans peu. D’—
por diante ou emdianie, dor6navant, desor-
mais. Bis =, v6s— ,— estd, volcl, voilä. Als
— , jusqu’ici. D’— a alguns dias, dans quel-
ques jours, D’— e d’ali, de tous cölss, de part
et d’autre. D’— para ali, d’un cöt& & l’autre,.
— d’El Rei !ı — da juslica! manidre de deman-
der da secours , comme si l’on disait: Au se-
eours! & la garde! — 4 que 4 ella ou foi ella
(fam.) , c’est, co futlä le naud de Yaffaire. —
fot Troya, il se dit d’une chose dont il ne reste
plus de vestige. — te colho agui lo malo, aussi-
töt pris aussitöt pendu ; on le dit pour marquer
qu’il faut saisir la premiere ocoasion qui s6
presente de faire quelque chose. Ndo passemos
d’-— , demeurons-en IA,
Aguıpucro. V. Aqusducto,
® Aquısro. V. Isto,.
" +Aomssckncıa,s.f. *assentiment, auquiesce-
ment ‚, consenlement,
124 AQU
TAorızscha(a), v.n. acquiescer : defärer ; 06-
der ; se soumelire „ consenlir ä.
AQuisracid, 8. f. *calme, paix,tranquillits,
repos.
AQUIETÄDO, A, 9. p. d’Aquielar
AQUIETADOR, 4,8. pacificateur, celul qui
20.
AQCIETÄR, 9. a. apaiser, tranquilliser, cal-
mer, meltre en repos. Pacifler, concilier.
AQUIETÄR, 0. %.0.—8E, ©. r. 8’apaiser, eic.;
s’adoucir, devenir moins violent.
+ AquiröLıo, a. m. (t. de bot.) chene vert,
yeuse.
A’gquıra. V. Aguila.
f Anvına-aısa, 8. f. (t. de chim.) aquila-
alba : sublims blanc, mercure sublim6 doux;;
Bnuriate de mercure doux sublime.
AquıLäö, s. m. aquilon: vent du nord. Agwi-
iöes, pl. vents froids, orageux. .
AQUILATäDO, 4,9. p. d’Aquilater.
AGDILATADOR. V. Quilatador.
AQUILATÄR, v. a. essayor de l’or ou de l’ar-
gent, en determiner le titre.(Ag.) Estimer, eva-
laer, priser, juger du merite de quelqu’ un ou
de quelque chose.
‚AQUILATÄR-SE , v. r. (fg.) Devenir plus par-
fait. V. Acrisolar-se.
AQUILECIA ‚8. f. (t. de bot.) ancolie ou ancole,
plante vivaco flosculeuse d’ornement, Ires-
belle.
AqtıLHino, A, adj. (Embarcardo —a) qui a
une quille (navire) Folhas — as, ( t.de bot.)
feuillescarenees, qui ont unocarene.V. Quilka.
AQUILIFERO , 3. m. enseigne : celui qui dans
ehaque l&ögion romaino porlait l’aigle.
AquıLino, A, adj. aquilin: courbe en bec
d’aigle. Il se dit du nez et du visage maigre ei
allonge, et aussi des yeux,, en parlant des per-
sonnes qui ont un regard vit ‚Ppen6trantcomme
celui des aigles. Qui appartient & l’aigle.
AquiLLo, pron. neul., el 8. m. co, cela.
— de que havemos fallado, ce dont nous avons
parle. Quero d’—, je veux de cela.
. A’quıLo ow AquıLon. V. Aquildo.
AQUILONAL 0% AQUILONAR, adj. 2 gen. aqui-
lonaire,, septentrional, bordal.
AquıLönıo, A, adj. de l’aquilon. V. Agwi-
lonal.
AQuinHOänO, A, P. pP. d’Aquinkoaer.
AQUINHOADOR, A, $. distributeur des lots,
velui qui partage.
AQUINHOAMENTO, 6. ws. parlage des lots.
AQUINHOAR, ©. a. parlager quelque chose
&galement, faire des parts ögales.
+ Aguigui, s. m.(t. d’hist. nat.) aquiqui:
alouette du Bresil.
Aguızın, etc. V. Adquwirir, etc.
* Anuısıro, A. V. Adquirido.
. Aguısrän, v.0. obtenir, acquerir.
* AQquısto „s. m. V. Ac
} Aquırämma, s. f. (8. de geogr.) Aquitaine:
anciennedivision des Gaules ; Guienne.
Aquträmco, ou De l’Aquitaine ou de
Aqtiräino, a,adj. a. | Guienne.
ARA
° Aotıram.V.
* AQTOGOMBRÄDD, A. v. Acogombrado.
Aqvosıpine, 8. Tr. (1. de med.) Y’humeer
aqueuse , serositö; qualiue aqueuse.
Aquöso,A,.adj. V. Aqueo.
An,s.m. air: fluide &lastique et transparent
qui enveloppe notre globe. Air, vent, et möme
fluide en mourvement; !’un des principaux
agents de la nalure; repats autrefois l’un des
quatre elements. Se dit d’un gaz quelconque,
v. g. — inflamavel, gaz hydrogene. — vital,
oxygöne. — mepkilico, gaz azote. — fixo, gaz
acide carbonique. (fg.) —;, manidre, facon de
parler, d’agir, de marcher, de se conduire, de
se vetir; ressemblance, attitude; taille, port,
mine, physionomle, apparence. Furtar o—de
corpo d’alguem , contrefaire les gestes, la de-
marche de queiqu’un. — estrangeiro, pertgri-
nits: air, manieres &trangeres. — coado, vent
coulis, — encanado ‚ courant d’air, entre "deux
airs. —de peste, air contagieux. Ramo d’—,
paralysie. Pdo do —, cornes des animaux.
Projeclos no —, desseins en l’air. Ester no —,
&tre en SuSpens, en incerlitude; ne faire at-
tention & aucune chose. Tomar o — , pren-
dre l’air, respirer le grand air, se promener au
grand air. Com bom ou mdo —, de bonne ou de
mauvaise humeur, de bonne ou de mauvaise
gräce. Estar com o pe no —, (fam.) &ire sur
le peint de partir. Fazer castellos no —, laire
des ch4teaux en Espagne: former de vains
projets. Avistar no —, apercevoir au milien
des airs. Ares; pl. les vents pr&dominants d’un
pays ; climat. — pairios, air natal. Estrankor
08 —, se trouver mal du changement d’air,
de climat. Ir pelos —, (fam.) aller vite
comme l’air, aller comme le vent. if. (Ag.) se
mettre en colere , s’enrager. Beber os — ou 08
venilos por... (Ag. fom.) soupirer apres uns
chose, la desirer avec ardeur. Dar — a el-
guem ou d’alguem, ressembler & quelqu’un.
Vagar nos auf) circuler dans les airs.
Arı,s. f. "autel: espece de table destinde
aux sacrıfices. Pierre sacree sur laquelle on
etend le corporal.
Ara, [.(t. d’astr.) constellation australe
pres du scorpion.
" * ARABALLE. V. Arrabalde.
+ ARraBATTaA, 8. f. (l. d’hist. nal.) arabalta:
alouette de l’Or&noque.
A’nasE, adj. 2 gen. Arabe : de l’Arabie, et s.
—, habitant de l’Arabie; la langue arabe.
AraBEsco, adj. arabesque: dans legenre des
Arabes. —s, pl. (8. de peint. et d’arch.) ara-
besques : ornements en rinceaux, feuillages,
figures entrelackes.
Arıpl, s, m. ancien magistrat qui gouvernait
tes juifs en Portugal.
Arisıa, 8. f. (ti. de gdog.) Arabie: grand
pays d'Asie.
Arabia, ou Anavia,s. f. "Arabe: langue ara-
bique ; chose d’Arabie.
7 AnasıiDO, 5. m. charge de l’arabl. V. ce
mot.
u >
ARA
AniBıco,
AniBIGO, adj. arabique : d’Arabie.
AuABIO,
ARABISAR, ©. @. arabiser: donner un air, une
krminsison arabique.
AkABISWO, 8. we. arabisme : loculion arabi-
"T Anasuran, sm. (ler. du Brds.) bresillet :
beis du Br&sil.
Anica,s. f."arack, arak ow tafia : liqueur
ürte da sucre aux Indes Orientales. if. Eau-
de-vie de cocolier, eau de riz. (f.de bot.) Gesse:
plante lögumineuse.
+ Anıcasch, s. f. (t. du Bres.) fruit du
Breail.
+ Ansca-wın ou ARACA-CUACU, s.m. (1. du
Dres.) arbrisseau du Bresil, & fruit musque.
+ Anıcäncz, s.m. (i. d’hisl. nal.) aracange:
d’Amerique, variete d’ara rouge.
FAnacami, 5. m. ($. d’hist. nal.) aracari:
twecan du Bresil.
+ Anıcaz, s. m. (l.du Breös.) [ruit du Bresil.
+Anacaztıno, s.m.(t. du Bres.) arbre du
Bresil qui porte l’aragaz.
+ Ansc#s£ınos ou ARACHNIDES, 8. m. pl. (1.
dkist. nal.) arachneides ow arachnides : ani-
mau sans vert&bres aptdres.
+ ArıcHNOIDE, 8. f. (. d’anat.) arachnotde :
membrane du cerveau et de la retine.
fArıcınäre, 5. f. aracinappis : esp&ce d’o-
range de Finde.
+Arıcoi,s. f. ’oiseau de l’Amerique sep-
katrionale.
"Anipa,s. f."terrain, champ labourd avec
la charre.
tAnipa,s. m. (l. d’hist. nal.) arada : four-
milier de Cayenne, celebre par la douceur et la
variet£ de son chant.
Axnino,s. m. araire: instrument arstoire,
machine (sans roues en Portugal) pour labou-
rer la terre (quand il a des roues on l’appelle
cherrue. V. ce nom). (fig.) Labonrage; cul-
ture. Ndo d aki quepega 0 —, la difficulte n’est
»as I.
Aripo,A,P. pP. d’Ardr.
Axınon, s. u. laboureur : celul qui laboure
la terre avec la charrue. V. Lavrador.
Anspörı, 5. f."labourage: V’action de labou-
rer is terre.
AnicE, ow ARAGEN, s. f. ° souflle l&ger du
rent.
Auscontz, A, adj. Aragonais : d’Aragon.
} AnıcuacuA Os ESPADARTE DO BraziL, s.m.
(1. #kist. nat.) araguasgua : poisson du Brösil,
squale seie, diodon orbe.
TAxsceiro,s.m. (tl. d’isi. nal.) araguato:
singe reux de ’Or&noque,
AriLpo,. V. Arauto.
* Anıumk et Anauacas. V. Horamd.
tAnsuiquz, s.m. (l.d’kist. nal.) arama-
@ue : pleuronecie, argus du Bresil.
Aslug,s. mw. sirain, cuivre jJaune; fl d’ar-
chal ; laiten. — para cdrdas ‚(il A carde, passc-
rerie
‘
ARA 123
FAnınita, s.m. (£.d’hist. nel.) aranala :
quadrupe&de des Indes, mandril.
ARANDELA, 8. f. garde-poignet qui s’attache
au gros bout de la lance et qui est fait en
forme d’entonnoir. Bobeche : partie du chande-
lier oü !’on met la chandelle. Sorte de fraises
et de manchettes qu’on portait autrefois,
ARANEA. V. Arachnoide.
f ARANEBIFORME, adj. 2 gen. A la manidre
d’araignede, qui en a la forme.
ArinHA,s. f. araignee : animal invertebre, &
huit pieds, rang6 autrefois parmi les insectes,
tr&s-commun, et d’especes tr&s-varices. — do
mar, araignee de mer, trachine, vive: poisson
de mer dont l’&pine est venimeuse, mais dofit
la chair est estimee. — do penol da mezens
(4.de mar.), branches du martinet de la voile
d’artimon.
ARANH£IRO, 8. m. trou Ooü se cache l’arai-
ee.
ARANHENTO, a, adj. ou l’on trouve des arai-
gndes.
Arınulco, s. m. petite araignde; faucheur,
insecte aptere qu’on nomme improprement
araignde A longues pales. — cornigero, lau-
cheur cornu.
ABRANHOL, 3. m." araignee: sorte de filet qu’on
tend le long des boiset des haies pour prendre
les oiseaux.
f AnANBöSO, A, adj. aralgneux : semblable
& l’araignde, ou & toile d’araignce.
ARANZEL,s. m. tarif: röle qui marque leo
prix de certaines denrees, et le droit sur cha- .
quesortedemarchandises. (fig. fam.)" Kyrielle:
Kongue suite de choses ennuyeuses; longue
iste.
tAriO ou Ano, s. m. V. Jarro (plante).
T Anarasica, 8. f. (t. de bot.) spigelie:
plante annueile, anthelmintique.
t ArarOnca, 5. m. oiseau du Bresil.
Arir,v.a. labourer : remuer la terre avec
la charrue. (4. de poes.) Sillonner : faire des
sillons.
Anirı,s. f. “ara: grand ei beau perroquet
du Nouveau-Continent,, ä queue longue et
etagee.
Arısi,s. f. (8. du Bres.) fruit du Bresil de
la grandeur d’une cerise.
tf Anasani, 5. m. espöce de toucan, oisean
d’Ameörique,.
FARAT, 5. m. (4. d’hist. nal.) arat: oiseau
de la grandeur du heron et A plumage rouge,
en grande vendration parmi les sauvages de
PAmerique.
f Anırıch, s.m. (1. du Bres.) fruit du Bresil.
f Anarıcus£iao, s. m. (l. de Bros.) Varbre
qui porte l’aralicu. V. ce mot. ‘
t AraTıcvach, s.m. (1. du Bres.) espece d’a-
ratieu de saveur aigre-douce.
ARATÖRIO, A, adj. aratoire: qui apparlient
a l’agriculture, particulierement & la charrue.
ni Aniv, 9.m, arau ;gros vaisscau desmers du
ord,
126 ARB
+ Anstciıno, 5. m. (4. de bol.) araucalre :
pin du Chili.
tAnıvcino, A, adj. d’Arauco, dans lo P&-
rom. — , nuöque ou mouton da Chill,
espöce de lama.
Aniuro, s. m. heraut: officier charge des
eris publics,, des proclamations, etc.
Anıvsca,s.f. "arsireä un senl versoir, in-
strument aratoire.
AnivEL, adj.2 gen. I peut ötre labour,
Asıvis,ef. 7.4 ‚(Ag.) °jargo
+ Ausenna, 8. f. (t.d’Mast. ala arbenne ; ’
perdrizx blanche des Alpes.
+ Anstu, s. m. ancienne dtoffe de laine
grossidre que fon portait dans le deull.
Ansıtaackö, 8. f.(t. de prat.) arbitration :
jugement d’arbitre.
ArsıraiDo, A, pP. pP. d’Arbitrar.
ARBITRADOR, 4, s. arbitre : celui qui arbitre.
ÄARBITRAL, adj. 2 gen. (1. de prat.) arbitral :
d’arbitre. Il se dit d’un jugement rendu par ar-
bitres.
ÄRBITRANENTO, s. m. arbitrage : jugement
’un differend par arbitres.
main ev. a. arbitrer : regler, decider en
qualits d’arbitre ; juger ; conseiller.
ARBITRÄRTAMENTE ‚„ adv. arbltrairement :
d’une maniere arbitraire, despotique.
ÄRBITRARIEDÄDE, 8. f. conduite, proc&de ar-
biteaire ou capricieux.
Axsırrirıo, A, adj. arbitraire.: qui depend
de la volonts de chacun. Arbitral : appartenant
aux arbitres.
ARBIıTaKıRO. V. Alvitreiro, Arbitrista.
Arsirkıo (livre-), s. m. arbitre : faculie de
l’äme pour se döterminer & une chose plutöt
qu’ä une autre ; puissance quo la voloni6 a de
choisir. Expedient, moyen. Arbitrage : juge-
ment d’un differend par arbitres. do — de, & la
merci de. -—de cambio ou de banco (l.decomm.),
arbitrage de change ow de banque.
Aasıtaista, s. m. celui qui propose quelque
chose, qui fait des projets en faveur de I’Etat.
V; Prejeclista.
MapıTa0, s. m. arbitre : juge cheisi par les
parlics pour terminer leurs diff&rends. (Ag.)
— maltre absolu
® AÄRBOLARIO. V. Herbolario.
® Annon, ARvVOR. V. Arvore.
ArsÖREO, A, adj. d’arbre: qui conoerne les
arbres.
+ Anponssacäö, s. f. (t. d’hist. nal.) arbor-
sation » dessin naturel imitant unarbre sar une
pieorre.
Annoamwino, A, adf. (L. d’hist. nat:) arbo-
rise. On le dit de certaines pierres sur lesquelles
en voit des represenlations d’arbres.
$ ARBORISTA, 8. Cullivateur d’arbres.
+ AnsfscuLo, s. m. dim. d’Arvore,, pelil ar-
bre. is. (t. de bot.) arbuste, sous-arbrisseau :
petite plante ligneuse qui ne s’ei&ve pas plus
que les herbes,
ARBUSTIFORME , adj. 2 gen. (. de bot.) quia
la forıne de l’arbrissean.
ARC
Ansustıvo, a, adj. de l’arbrisseau.
Ansüsto, s. m. arbrisseau : petit arbee; vo»
getal au-dessous de l’arbre.
Aunöro, V. Medronkeiro,
Auca,s. f. caisse: cofire & dessus plat; ar-
che. — d’agua, chäteau d’eau : röservoir qui
fournit de Deau pour les fontaines. — de pde,
huche pour serrer le pain. — do dinkeiro,, ool-
fre-fort. — do lestamento, arche @allienee. —
de No6 ou do diluvio, arche de Not. — de Ned,
(fig. fam.), arche de No& : maison od Il ya
toutes sortes de gens ou d’animaux ramasads;
coffre qui renferme difftrentes choses. — de
eorpo, Coffre du corps : capacite formee par les
cötes. — de Igreja (fig.) Sein de l’eglise. Lustar
erca por arca com alguem, lutter, combatire
corps & corps. Andar com arcas encoirades,
garder le silence sur quelque chose.
ARCABÖLCO,, 5. m. squeletie,, carcasse; cada-
vre.
Ancınöz, s. m. "arquebuse : arme & feu et &
ronet au lieu de ressort.
ARCABUZÄCO, 8. m. | arquebusade , coup
Ancasuzida,s.f. danquebuse.
Ancas0zipo,A,P.p.d
ARCABUZÄR, 2.0. arquebuser : fusiller, tuer
äcoups d’arquebuse ou de fusll.
ARcABUz£ıRO, 3. m. arquebusier: soldat arınd
d’ane arquebuse. Armurier : ouvrier qui fait
des arquebuses et toutes sortes d’armes & fou
portatives.
Aucasuzenia, s. f. troupe d’arquebusiers.
Escopetterie, fusillade : decharge de plusieurs
fusils & la fois.
Ancipa, s. f. arcade ı longue vohte en arcs;
arceau. — de rabeca, de rabecäo,, coup d’archet:
Paction de lirer ow pousser !archet sur les cor-
des du violon, de la basse, eic. — da
(l. demar.) archipompe. Arcddas , pl. bondisse-
ments de caur, naustes : indices de vomisse-
ment.
Ancine ‚adj. 2 gen. arcadien : de l’Arcadie.
it. Membre de l’academie Intitulde l’Arsadie
poelique.
Ancipıco owAncinıO, A , adj. arcadique: de
PArcadie.
AnciDo,&,P.9.d’Arcar, et adj. courbe en
forme d’arc.
.Ancapüns. V. Argusadura,
+ Ancir, s. m. (. de bot.) espece de ciste
(arbrisseau rosa06), qui vient dans les truf-
res.
ARcARIO. V. Archanjo.
Ancino, 5. m. arcane, mysiöre profend : @-
eret important,
Ancino, A, adj. cachd, mysterieux, obscur,
secret , arcane.
Ancir, v. a. courber, argquer. V. Argquear.
— as pipas, cercler, gamir les tonneaux de
cercles.
Ancin (com), v.n. assaillir, attaquer quel-
qu’un en l’embrassant par le milieu du corps.
—=comuma difficuldade , aborder une dificalte.
ARC
- com alguem, salsir ä hras le corps, (fg.)
psser, solliciter.
Ascınia. V. .
fAncaz, 3. m. aug. d’Arcs, calsson: grande
aisse. — de sacrisfia , chapier.
Aucazıumma, 8. f. dim. d’Arcoo.
Ancı ou Ansı, prös. ani. du conjunct. du
verbe arder (brüler); on dit & present arda,
quiil brüle.
Aucid, s. m. argon : pidce de bois cintree,
partie principale de la selle.
Aucesuripo, s. m. archertche: dignits de
Tarchevögque; l’ötendue du territoire oü l’ar-
cher@que a la Jurtdiction ecelesiastique.
AsczsispaL, adj. 2 gen. architpiscopal , mö-
tropolitain : appartenant & l’archev@que.
ÄRCEBISPO , 8. m. archev&que ; prelat melro-
pelitain quia un certein nombre d’&vequespour
is.
suffragan
Ascesıicono. V. Aresdiago.
ARCEDLACADO, 5. m. archidiaconat : dignits
de V’archidiaere.
AncepıÄco ,s. m. archidiacre : le premier des
diseres. C’est aujourd’hui une dignite dans les
chapitres.
Asczmino. V. Arcediage.
AuczriLaco. V. Archipelago.
Axcaa, s. f. arme en forme de coutelas dont
se servaient les archers.
+Ancmisco, A, dj. (1. de pods.) ancien, fait
ala maniere des anciens.
Azcualsuo, s. m. archalsıne : mot anlique,
tour de phrase surannee.
Auckiso, 3. m. archange: ange d’un ordre
superieur, selon la Bible.
Ancatıro, 8. m. archer: homme de guerre
arme Cun arc. —, soldet de la garde du roi.
. Alsbardeiro.
AxcaRO, s. m. "archee : chaleur interne de la
terre; principe supposs de la vie; prötendue
cause eieciente de tout, Ame du monde; feu
central.
+ ARCHRÖGRAPEO, 8. M. he: au-
teur qui decrit les monuments antigues.
+ AncnzocaArHia, 8. f. archeographie : des-
aiption des monuments anliques.
ArcnzoLocia ‚s. f. archeologie : trait& sur les
autiquit6s; science de l’antiquite, de ses mo-
numents.
+ AucweoL6cıco, A, adj. de Varcheologie.
f Ancuz6L0C0, s. m. archeologue: personne
verste dans Tarchöologie.
Aucatra ow Ancnkıe. V. Arquela, eto.
AucutryYpo, s. m. archetype : original , p&-
tzon, modele d’an ouvrage. — do mundo, ar-
ehttypo du monde : idbe sur laguelle Dieu l’a
arte. 1) est aussi adj. conforme & Foriginal.
Aucaı , pröp. insep. (1. gree) archi : Irös, ex-
: ‚fort grand ‚ indies de superioritd,
ABGHACÖLYTTO , 8. mM. archiacolyie : pre-
mier acolyte.
ARC 127
ARCHIAPÖSTATA , 8. wm, archiapostat s pfe-
mier apostat,
}fAnchiarao, 3. m. archiätre ı medecin par
excellence.
Ancnıninco, 8. m. grand banc.
ARCHICADBIRA , 8. f. la chaise principele.
ÄRCHICAWARISTA , 8. m. archi-chambellan;
grand chambellan.
ARCHICANCELLÄRIO, 8. m. archi-chancelier s
grand chancelier.
ARCHICANTOR , 3. m. premier chantre.
ARCHICHANCELLER, 6. m. archi-chaneselier ı
grand chancelier.
ArcanıcLÄvo, s, m. reeteur d’une dglise,, d’un
monastöre.
+ AncHıconFRanla, s. f. archiconfrerie, pre-
miere confreörie.
+Axcuivıa, 8. f. (fl. d’hist. nat.) archidie :
petite coquille du golfe Persique.
AncHipatipa, #. m. archidruide : chef des
Druides.
AscHınucino, 5. m. archiduchd : domaine,
seigneurie d’archiduc.
ARCHIDUCAL, adf. 2 gen. qui appartient &
Parchiduo ou & l’archiduche.
ARCHIDUQUE, 3. m. archiduc:: titre donnd &
tous les enfants de Pompereur d’Autriche; pre-
mier duc.
Aucaıpuqußza , s. f. archiduchesse : femme,
fille, ete., de l’archiduc.
ARCHIEPISCOPADO , 3. 1m. archiepiscopat,
V. Arcebispado.
ARCHIEPISCOPAL, adj. 2 gen. architpiscopal.s
de l’archevdque.
ARCHIFLANINE, 2.0. premier famino : grand-
pretre des anciens Romains.
AucmıciLLo, s. we, archigalle : grand-prötre
de Cybele,
ARCHIRMANDADE , &. f. archiconfratermils :
premidre oonlreternits.
Ancrimaco , s. m. archimage : chef de la re»
ligion des Perses,
+ Aucntuacla, s. f. archimagie : partie de
Yalchimie qui traite de Part de faire de For ; eat
art.
ARCHIMANDRITA, 8. m, archimandrite : sup6-
rieur de quelques monsstöres de Orient.
ARCHTMANDRITADO , 8. m. archimandritat : die
gnite, juridiction de Parchimandrite.
+ Ascniwıca , s. f. alchimie : chimie appli-
qu6e aux mölaux ; art d’&purer les metaux Im-
parfaits.
ARCHINTNISTRO , 3. m. premier ministre.
ARCHIMOSTEIRO, s. m. archimonastere : MO-
nastöre , chef d’ordre.
AscHiP£LACO, 5. m. atchipel : endroit de la
mer ot fl y a beaucoup d’iles. On le dit par ex-
cellence de la mer Egee des anciens.
ARCHIPERACITA, 8. m. archiperacite: presi-
dent de l’acaddmie juive: interprete des lois.
ARCHTrEnBOLE, s. f. exageralion extraordi-
naire.
Ancmzpolta, s.m. archipodte: premier podle:
128 ARC
ABCHIPRESBT’TERO, 5. m. archipröfre: premier
preire.
ARCHIPROPHETA, &. m. archiprophöte : pre-
mier, principal prophete.
ARCHISÄTRAPA , 6. m. archisatrape : principal
entre les satrapes.
ARCHISYNAGOGO, 8. m. archisynagogue : as-
sesseur du patriarche grec; chef de la syna-
gogue.
ARCHITECTÄDO, A, P. 9. d’
ARCHITEACTAR,, o. a. bätir, architecturer, 9.
us. (Ag.) Elever, ezalter, augmenter.
ARCHITECTO, 8. m. architecte : celui qui pos-
sede et exerce l’arı de bätir. (fig.) Createur, or-
donnsBeur.
ARCHITECTÖNICA , 8. f. architectonique:: Part
de construction.
ÄARCHITECTOÖNICO,, A, ady. archilectonique :
qui appartient & l’architecture.
ARCBITECTONOGRAPBHIA, 8. f. architectonogra-
phie : description d’un edifice; l’art de decrire
les edifices.
ARCHITECTÖR, A, 8. V. Architecto.
ABCHITECTÜRA , 3. f. architecture : l’art de
batir, de construire, disposer, armer les edifi-
ces; ordonnance d’un bätiment. — mililar,, ar-
chitecture militaire:: Part de fortifler les places.
— recla, l’architerture qui n’a pour but que la
construction des murs et des colonnes. — Ay-
draulica, architecture hydraulique : l’art de
construire dans l’eau. — naval, architecture
navale : l’art de construire les vaisseaux.
ARCHITRÄVE, $. [. architrave: principale par-
tie de V’entableinent entre la frise et le chapi-
teau ‚, imitant une poutre Lransversale.
ARCHITRICLINO,, s. m. architriclin : charge de
Fordonnance d’un festin.
ARCHITRÖNO,, 8. m. architröne : le tröne des
trönes.
AscHıvip0,A,P.2.d’
ABCHIVAR, ©. a. garder, deposer dans les ar-
ohives.
AsrcaiviöLa, s. f. archiviole: sorte de cla-
vecin avec un jeudeviole, uneroue tournante;
basse de viole A manche.
AncBıvista, s. m. archivisie - garde des ar-
chives.
AncHivo,s. m. archives: lieu oü l’on garde
des titres, des charies et aulres papiers im-
portants. Depöt d’actes , de lois.
ARCHONTÄDO, 5. m. archontat: dignils d’ar-
chonte ; sa durte.
ARCHONTE, 3. m. archonte: premier magistrat
d’Alhenes , des republiques grecques.
AACHÖTE, s. m. lambeau, torche.
Arco. V. Bardana.
AncıpkLaco. V. Archipelago.
ARCIPRESTÄDO,, s.m.archipretre:dignits d’ar-
shipretre et l’ötendue de sa juridiction.
ARCIPRE£STE , 8. m. archiprätre : tilre de di-
gnite ccclesiastique.
ÄRCITENENTE, 8. m. (1. de po&s.) Apollon. Sa-
gittaire (signe du zodiaque).
Anco, 8. m. (1. de geom.) arc: poriion d’une
ARD
oourbe. —, bois ou fer courbe en demi-cescle,
qui sert & tirer des flöches. Archet : petit arc de
bois, de metal, tendu par du crin ou une corde
pour jouer du violon, etc. Cerseau : cercie de
beis ou de fer pour relier les tonneaus. —
(t. d’arch.\, arcade, arche, cinire; ouverture
en demi-cercle. — d' ‚arceau, cintre,
arc de vote. — diagonal, "ogive, arceau en
forme d’ar6ie qui passe en dedans dans une
voüte d’un angle & l’autre. — iris ou da velhs
(popwl.), arc-en-ciel. — friumpkal, arc de
triompbe. —s de pdo, anneaux de boid; (1. de
mor.) bagues des voiles. —sobreo pinpole (fd.),
dos d’äne.
Ancbsorintg, s. m. arc-boutant: pilier en
demi-arc qui soutient une voüte.
ARCOzinHO , 5. m. dim.d’Arco.
AsCTÄDO,A,P.p. d’
Axcria, v.a. V. Apertar, Cingir, Estreiter.
A’RCTICO, A , adj. arclique, septentrional.
fAncrouvas, s. f. pl. (1. d’hist. nat.) mar-
mottes. V. Marmolas.
AucTos, 8. m. (1. d’asir.) arctos : consiella-
tion de l’ourse.
Anctino, s.m.(L. d’aslr.) arclurus os arc-
ture : ötoile fixe du bouvier; constellation N de
14 etoiles au bout d’uno trainee d’öteiles, en
arc de cercle.
Ascuiı. V. Ar .
ÄARCUMFERENCIA. V. Ciroumferencia.
T Anna, s. m. (f.d’hist. nal.) arda : rongeur
de la taille du chat, & pelage laineux.
Anp£co, A, adj. ardent, fougueux. II se dit
ordinairement d’un cheval Lres-vil. Homem _—
bomme diligent, actif; ardent; susceptible.
Negocio — , affaire diicile, laborieuse.
Anp£ncıa, 3. f. "&tat d’une chose ardente;
qualit6 qui cause l’ardeur; ardeur. V. Ardor.
(Ag.) Violence des passions, de la flövre; ca-
ractöre ardent.
ÄARDENTE, adj. 2 gen. ardent: en fen, de feu,
allume&, embrase ; brülant, (Ag.) Violent, vohe-
ment; actif.
A ARDENTEMERTE, adv. ardemment : avec ar-
eur.
ARDENTIA,, 8. f. (6. demar.) furolles : lamidre
phosphorique que repand l’eau dela mer quend
elle zit agilde, surtout quand il rögne des vents
roids.
ÄRDENTISSIMO, A, adj. sup. d’Ardenie.
T ARDENTOSO, A, adj. (1. ds bot.) qui pique
comme Vortie.
ARDER, ©. ». brüler ; flamber; s’enflammecr,
s’embraser; &prouver une grande chalcur
(em, Ag.) Brüler, en parlant de l’amour, du de-
sir et de plusieurs autres passions. Raneir, se
moisir, oontracter cerieine espöce d’äcrete, en
parlant du fromage et d’autres substauces
BTasses. — por alguma pessos, aimer quelque
personne exter&mement, brüler pour elle. Ester
ardendo conira alguem,, &ire irrit6, ötre en feu
contrs quelqu’un. Ardendo em cölera,, honil-
lanı de colere. Arde-mes a lingua, la langue
sc brüle,
ARE
ARBES-SZ, ©. F. 9. us. so breler, s’enbra-
ser, etc.
daszsı. V. Ardosie,
"Arpıp. V.Ardü.
ÄRBIBANÄNTE, adv.coursgeusement, vaillam-
sent, intrepidement.
Aupipfza,,s. f. valeur, courage, audace, in-
wipidite , bardiesse,
AuDi00, A, p. p. d’Arder, et adj. brüle ‚ete.
Qei a un goüt äcre, en parlant du bie, du ta-
ksc, du Iromage ‚etc. (Äg.) Audacieux ‚bardi,
veurageuz,, intrepide.
ARbıposo. TV, Ardiloso.
AsbiL, 2m. "asiuce, ruse, stralageme, S-
nesse. Srdis, pl. pipeaux : lours de souplesse.
User d—s,raser.
TArmıLfzıa, s. f.* tour de souplesse;; pene-
ration , sagaciie. V. Ardil.
ARBILÖSANENTE , adv. inement „avec finesse,
arte ruse, avec adresse , avec malice.
A2pılöso,A,adj. ruse, fin, adroit; fourbe,
trompeur. V. Astulo.
ÄRMELNTO, 5. m." bravoure, courage, valeur,
awtpidite. Embrasemen: : l’action de s’eınbra-
ser, de brüler, de s’enllammer.
* Ansınco. V. Gerdingo.
Axsıro, V. Ardido, Airevido.
Anpsa ‚s. m. " ardeur : chaleur grande, ex-
weme, Scre, piquante. (Ag.)* Fougue, intensite,
eßervescence, feu, ardeur, chaleur, vivacits;
grande zetivite. V. Ansia, Anhelo. No — dadis-
puia, da batalka , dans l’ardeur du combat.
Axpösıa, s. f. ardoise; ardaisidre.
ARBUANENTE, ade. peniblement, Irös-difüci-
lement, avec beaucoup de peine.
Auprining, 3. f. p. us. grande dificulte.
Musco,a, adj. difliciie, escarpe, malaise,
ardu , &pineux,, penible.
" Anuira. V. Ardör
TAxperisca, s. f.(t. de bot.) arduranga :
plante de Madagascar.
TAzE, s.m.are: unitö dans les nouvelles
mesares de surface, 100 mötres carr&s.
Muza,e. f.aire: place, capaciie; etendue,
Serface, espace termine par des lignes, en par-
last des Sgures de geometrie.
Anfı ow Angıa, 5. f."sable, aröne, gravier.
(Ag.) Aröne: amphilheätre od combattaient les
dadisteurs et les hetes farouches, et que !’on
anırait de sable. — movedica , sable mouvant.
ärtes, pl. petit gravier qui se forme dans les
reine. — gordas, (fg. ei pop.) Venler. Edifcar
sobre —, bätir en Fair.
Arziao, ı,P.p.d’Arser, etadj. sable, cou-
vers de sable. Sablanne, neitoy6 avec du sablon.
tapp€ de quelque mauvaise influence, d’un
manyais vent. V. Paralylico. Eperdu , surpria.
V. Pasnedo
AsziL,s. m. gröve: lieu uni et plat, cou-
vert de gravier, de sabie ; platin ; sablonniere.
Aazin,v. a. sabler : melire du sable, rom-
na, cosvrir de sable. Froiter avec du sable.
&p.us. Ventiler. V. Arejar. .
Ausin, o. m. Fire frappe de quelque mau-
PORT.-FR,
ARE 195
valse influence, d’un manvais vent: @tre attz-
que de paralysie. (Ag.) Se surprendre,, s’dtour-
dir, perdre la raison, le sentiment par queique
accident. V. Pasmar.,
Ardcı,s.f. (tl. de bot.) * arec ou ardque : fruit
des Indes; noix d’ane espöce de palmier; l’ar-
bre qui la donne.
AnzciL, 8. m. lieu plants d’arecs, V. Ardea.
Arep6ma. V. Redoma,
ARELIRO, 5. m. poudrier: bolte, vase & pou-
dre , espece de criblc. * Sablonniere : lieu d’ou
l’on tire le sable. is. p. us. Porteur de sabie.
ARE£NTO, A, adj. plein de sable, rempli de
Bravier, sablonneuz , graveleux.
"AREFECAnO, 4, adj. V. Abatide,
" Angrece. V. Barüto.
T Arkına,, 8. f. (1, de bot.) *molle: polvrier-
lentisque du Perou,
"Arzisco, a,adj. V. Areönto.
Anssido, a, adj. Events: qui a dt6 exposs
au vent, A l’air.9.p.d’
AREIÄR, ©. a.
ventiler.
ABBJÄR-SE, v. Fr,
prendre l'air.
Anßıo, s.m. l’aclion deprendre de eir,d'a&-
rer; ventilation.
ARELHÄNA, $. f. * cordon d’argent ou d’or
pourentourer un chapeau ; ceinturori asiatique.
ARENA, 8. f. arene: amphitheätre oA oämbat-
so melire au grand aır,
aerer: meolire en plein air;
taient les gladiateurs et les betes farodches, et -
quel’on couvrait desable. -
ARENAGAO, 8. f. (1. de med.) arenation : Pac-
tion de couvrir une personne de sable pour la
guerir de certaines maladies , en Vexposant &
Paclion des rayons solaires.
ARENÄCEO, A. V. Arendso,
Anznito,a, adj. Pedra —a, (1. de min.)
pierre siliceuse, quaptz.
Antxca, s. f. barangue : discours. (drem.)
* Discours, bistoire, harangue etudiee pour se-
duire, pour Iromper quelgu’un. Arengas, pi.
“Babil, caquet. «4. Dispute , contention ‚debaı.
V. Altercagäe.
ARENCÄDO, 4,9. p. d’Arengar.
ARENGADOR, A, 3. harangueur : celui qui ha-
Fanguc, qui prononce des discours. V. Aren-
gueiro,
ARENCÄR, c. a. baranguer : Pfononcer une
harangue, un discours en public. (Sam. et plus
ws.) Babiller, caqueter, jaser. is. Ergoter, dispu-
ter. V. Allercar.
ARENGUKIRO, A, 8. (fam.) babillard, ca-
queleur. st. Ergoteur, contentieux, disputeur,
querelleur, rapporteur.
t Aazsireno, A, adj. qui porte du sable.
T Auknırönue, adj. 2 gen. arenilorın : en
forne de sable.
ARENOSO, A, adj. sableux, graveleux,, sa-
blonneux, areneux. Qui participe de la nature
du sable. Torres —as , terres croulieres , 9a-
blonneuses.
ARENUF, 8, m. hateng : poisson du genredu
elupe. — freccal, hareng pec ou pek. — de
180 ARG
fumo, craquelot : hareng saur ob nure. — Ar
canasirado au embarrieado, hareng en vrac,
en lonne, avec du sel.
ArEoLA,s. f. areole : petite aire;; pelile sur-
face ; cercle qui entoure les mamelons; cercle
irise qui entoure la lune, les youx. ss. p. us.
Planche de lleurs.
AREOLAÄDO ‚A, adj. artole: quia une ar6ole.
AREÖMETRO, 8. m. ($. de phya.) ardomeire,
pese-liqueur pour connaitze Ics paids Tespe6-
tifs des fluides.
ARBOPAGITA, 8. m. ar&opagile: juge de Yardo-
page.
AREOPÄCO, 8. m. arcopage : tribunal d’Athd-
nes, c&i&bre dans l’antiquile par sa reputation
de sagesse. (ig.) Reunion desages, de magis-
trass intögres.
ARE0SO, A. V. Arenoso.
Ar£qua. V. Ardos.
AREEUÄIRO, 5. ©. ardque ou aregquicr ı esp&te
de palmier. V. Areca.
r AnzsöL, e. m. (4. de bot.)* centaurde: plante
medicinale.
Anista, s. f. barbe de !’epi de bie, arete;
*pine. (fig. fam.) Petite portion.
AuBSTeıRO, 5. m. avocat qui eite des arr@ts.
ARESTIN, 8. m. (f. develer.)*teignes: maladie
qui consiste dans la pourriture de la fourchette
du pied du cheval.
Arlsto, s. m. arröt, jugement, decision ; r&-
solution prise, qui sert de rögle, et tient place
de loi dans des cas pareils.
ARESTOSO, A , adj. plein d'aretes.
? AnzroLocia, s. f. arstologfe : partie de la
philosophie morale qui traite de fa vertu.
(#. de mar.) "Tangage: ba-
lancement «du vaisscau de
Vavant A l’arriöre, et reci-
proquement.
Anrin, 0.9. (1. de mar.) tanguer. I se dit
d’un vaisseau qui öprouve le balancement du
tangage. — sobre a amarra ‚ tanguer & Pancre.
— 0 cavalio , se oahrer (le cheval). Se balan-
cer, en parlant des sommites des arbres.
+ Axrön,s. m. (1. d’hist. nat.) bec-Aigue d’A-
rabie.
+ AnsiL, 5. m. fon : pldce du jen des dchecs.
*"Ancik,s. f. etoffe grossiere dont les Maures
faisaient des couvertures et des sacs.
Ancico. V. Sargago.
TArcıLa, 0. m. (1. d’Misl. nat.) grand heron
d’Afrique.
TArcauı, &. m. (8. d’hist. nat.) moufllon :
belier sauvage,.
Ancıauica, eto. V. Argamdssa, etc.
+ ARGAMANDEL, 5. m. (t. pop.) bavardı
bomme sans parele , sans cre&dis.
Ancasissa, s. f.' mortier;melangedeterre,
de sabie ou de cimemi aveo de l’eau ou aveo
de la chaux #teintedans l’enu.*Repous, mortier
fait de petits plätras meles avec dutuileau etde
Ja brique concassee. Impastatlion, composition
{aite de substances broy6des et mises en päle.
ANChNASSADO, A, P. P. G’Argamassador.
Auripa, ou
Ausicss, 2.f.
ANG
ARDAMASSASOR, 8. celai Ai pröpare et appfi-
que l’argamassa. V. ce nom.
ARGAMASSÄR, 0. 6. corroyer: battre et peirir
de la terre glaise afin de faire due espece de
massil qui retienne !%au. Faire da mortier, du
repous, de l’impastation pour crepir les mu-
railles et autres pavties d’un bitiment.
ARCANÄZ, 5. m. loir- petit animalmammifdre,
rongeur; liron, marmotie des Alpes. (Ag.)
Homme de grande taille. — dos pomares,
(4. d’Mst. nat.) lerot : espfce de petit loir gris &
taches noires sur l’ail et derriöre l’oreille. —
muscardino, (. d’hist. nat.) muscardin: esp&ce
de petit loir roux. — algalioso, (1. d’kist. nat.)
ondatlra : rat masque.
ANGANEL, 8. ı. petit cercle de metal qui fait
partie de Pastrolsbe.
ARCANEO, 5. m. (l.de mar.) arganeau , orga-
neau : gros anneau defer oA Ion atlache des
cordages. —s da lancha, (t. de mar.) anneaux
de la chalonpe.
ARGANESES 0% ARCANISES, 8. Mm, pl. grosse
tolle de coton (de }’Inde).
*Ancio ou ARcaU, s. m. argaut: sarte de
surtout ancien de drap grossier, Espdce de
pompe faite d’un morceau de canne au roseauw,
dont on a perce les nauds: on s’en sert pour
tirer du vin des tonneaux par le bondon supe- .
rieur.
Anckı, adj. 2 gen. arzel, balzan. On le dit
G’un cheval qui a une marque de paoils blancs
au pied droit. — quadralco, cheval balzau des
quatre pieds. — Iravado, cheval balzan das
deux pieds. droits. — trastrarado „cheval bal-
zan du pied droit de derriere et du pied ga
ehe de devant. — frevalco, cheval balzan des
deux pieds de devant et du pied droit de des-
riere. — manalro , cheval baltan des deux
pieds de devant. is. Homme inertes, indolent,
inactif, paresseux.
ARCEL, $. m. (fam.) bruit, tapace. V. Al-
gazarra. (t. de geog.) Alger.
ABCELINO, A, adj. et s. Algerien : d’Alger.
* AnceaM,s. m. argent, de l’argent.
ARCGENONE, 8. f. (l. de bot.) argemons, pavot.
€pineux: plante de la [amille des papavcrareeı
ARGENTÄDO, A,2.9- W’Argenlar oladj. V.Pra-
feado. Ondas argenladas, (4. de poda.) des lote,
des ondes blauchissantes; des ondes, des Hein
argenics. Voz —a. V. Argentine.
* ARGENTARÖR , 5. we. argenicur : ouvwrier qui
argente.
ARBGENTÄR, v. a. argenter. V. Praiear. —,
(1. de po6s.) donner ä quelque chose la oouleur
e& Y’oclat de Pargent.
Anoentaniı, 8, f. argenterie : vaisselle, u9-
tensiles, ornements, et meubles d’argent. &,
Broderie d’argent dans les robes,, habits, ete.
— dos prados, les eaux argentees des ruis-
| SEauX.
"Ancemränıo, 5. m. armoire, lien oü l’om
garde l’argenterie.
ÄNCKNTEAR, elc. V. Argentar, Pralear,
_ Du a
ARG
Ancäıtee, A, adj. (1. d0 peds.) Wargent, ar-
pentin.
BRSERTIFERO, A, adj. argentifere : qui con-
tea, reccle de Vargent.
‚A, adj. (8. d’alekim.) argenti-
Sque : qui change en argent, qui Ie fait.
Ancasrinı ,s. f.( . de bot. )argentine. plante
a fewilies dus blane d’argent er dessous; es-
piece de girasol blanc. —, (1. d’hist. nat.) pois-
su oweux abdominal. —, (.de chim.) pierre
de chaux carbonatee.
Anceurins, ı, adj. argentin: qui a un son
elsir ct retenlissant. — , (1. de pods.) en parlant
des ondes, des floıs. Vox an voiz argentine.
Arctyto, s. m. (1. de pods.) V. Prata, O
sale —, ka mer.
Ancira, s. f. argile : glaise , terre grasse,
melie, daetile et ne.
AacaLico, a,0s | Argflieox: qui tient de
Ascııödso, a, adj. Il’argile; quiestd’argile.
Ascaro, a,adj. Argien, d’Argos, ou Grec.
A’nco ow Ancos, s.m. (1. d’asir.) argo : Na-
ne, eonstellation S. if. Nom du navire qui
porta les Argonautes en Colchide.
Aschtı, ss. f. "anneau de [er gros et grand.
*Carean, eolller : eercie de feravec lequel on
atische par le cou & un poteau celui qui acom-
mis queique crime, queique delit. Peine du
earcan, (}. de mar.) bagne. i$. "Cercle d’argent
ea d’or qu’on met aux oreilles. — de poria,
"keurteir, ımarleau , anneau d'une porie. —s
yora chaves, ° claviers.
+ AncOLÄBA, s. f."coup de heuttoir. V. Al-
drebade.
4scoLid, s. we. aug. d’Argola,
+ AncoLir, ©. 6. meltre des anneaux.
t Ancoı. kino, s. m. ouvrier qui falt des an-
Beaur.
AscöLo. V. Argioo.
Ancoılıgı ‚s. f. dim. d’Argola, sorte dojen.
ARCONÄCTA, 8. m. argonaule. (Ag.) Le pre-
nier navigateur pour quelque region incon-
nue. (6. d’hist. nal.) Argonaute: naulile pa-
ARCONiTTAS, 8.m. Pl. (l.de myth.) Argonau-
ss: nom sous lequel on designe les jeunes
Grees qui s’embarquerent avec Jason sur le
kavire Arge, et allErent en Celchide s’emparer
de !a tolsen dor.
+ Anconivrica, 5. f. lexpedition des Argo-
Dagles,
Axcos. V. Argo. (fig.) Argus, espion: homme
tres-clairvoyant ou qui a des yeux penötrants.
Axccau, 8. f. argalie : pelite subiilite d’es-
pt, argument sophistiguc, pointilleux.
Axccrcair, ©. a. trailer avec argulic.
+ AncıcaösamExTs, ade. avec argulie, 80-
Rstiguement.
T AuGCG6SO , A,adj. argulieug : quilait usage
Tarzuties; qui en conlient.
Ascrviö, s. m. argoudan: coton de la Chine,
AucCELRKIRO. V. Hinuweioso.
Arcrfıno, 5. m. [elu: petit brin de paillo.
Ag., Petit defaut, (auto Iegere, Ylmos Im —
ww
ART ss
no olho alketo, e no cemor umE Mass oo
#0850 , On ne voll pas une poufre dans som ef,
et Ton voit an fetn dans celui desem
Fazer d’um — um eavalleiro , phr. fu. quo
emploie pour dire qu'on eragtre beaucoup ıme
chose : faire d’une mouche un @l&pbant.
AnGferTE, 8. m. argumentent : celul qui dt-.
gumente dans une these.
Anctıciö, 8. f. action d’argumenter; repri-,
mande, reproche, bläme,.
Anci10o, A,p.p. W’drgülr.
Arcuen ‚A, s. celui qui reprimande, aut
censure, qui bläme. II ost aussi adj., qui Indi-
que, qui prouve , qui marque, fait volr.
ARCHINTE. V. Ärguente.
Anclin, c. a. arguer: reprendre, contredire;'
accuscer. if. Indiquer, prouver, marquer, faire
volr. ©. ». Argumenter, dispuler eo Taison-
nant.
+ Ancltriıvaufstre, ado. en forme d’argu-
ment, en argumentant,
Anctıro. V. Argübo,
* Ancuıno. V. Orgulko.
ARGTMENTACAO, 5. f. argumentallon : action, .
maniere d’argumenter.
ARCUMERTÄDO,A,P. pP. dA tar.
AÄRCGUNENTADOR, A, s. argumentateur: Gel@i
qui aime, qui se plalt, qui cherche & argumen-
ter, qui argumente.
ÄARGUMENTANTE, 5. m. argumentant. V. 4s-
te.
ÄARGUMENTAR, v. ». argumenter : [sire un on,
plusieurs arguments, prouver par argument,
tirer des cousöquences d’uns chose A une All»
tre,disputer en raisonnant.
T ARCUMENTATIVO, A, adj. guk contionk wu
argument, qui a la forme d’argument; qui
fait ’exposition de l’argument.
AMSHRNTO, 5. m. (6. de log.) argument : val-
sonnement par lequel on tise ume
d’une ou de „Blusicun proposiiions. —, sujeh -
abröge d’um lisse. is. Imdise, mapıque, prue,
conjeeture.
ARCUENENTOLINRO, #. m. dim, d’Argumenie,
petit argument, argument qui a peu Je force.
AnchrauenTE, ado. avec argülie, avec sußti-
lite.
Ancorisstwo, A, adf. sup. d’
AnsöTo ‚a, aif. fin, subtil; malfn.
4 ARCYRÖCONO, A, adf. (2. de poeı. etdasfr.) .
argyrocome : qti a les cheveux couleur d’ar-
gont. N se dit de certaines comötes,
A’nıa,s. f. (f.demus.) "air, arleite,
ARTANISKO, 5, m. arianisıne : secie d’Arlus,
les Arien«.
Anıixo,s. m. Arien : sectaire d’Arlus.
Anıpk:, )
ÄARIDETA, a f. aridit6, secheresse,
ÄRIDIDADR, /
A’Rıno, A, adj. aride, sec, sierile. (Ag) Aride,
On le dis d’uu sujel qui ne fournit point au di
ganars, el d’un cspril qui ne produit rien,
Anıpncaa, Y. Aridex,, Secura,
132 ARI
Anızs, sm. (l. d’astr.) aries, belier: le pre-
snier des douze signes du zodiaque.
T Arızı,s. m. (L. d’hist. nat.) heron butor.
‚ARIETA, 8. m. dim, d’Aria.
AriKTE, 3. m. belier : ancienne machine de
guerre.
Anızrino, A, adj. de belier;; qui ressernble &
la töte d’un belier.
+ AxıL.ioo, a, adj. (tl. de bot.) qui al’arille,
pourvu d’arille.
+ AnıLLo, s. m. (8. de bot.) arille : enveloppe
de certains fruits dislincte du pericarpe.
* ARIMONO, 6. m. "chaise ä bras.
f Aringug, s. m. (l. de mar.) orin: cAble qui
Gent & Pancre et & la boude. O — se embarapa
no leme , l’orin est embrass6 sous le limon.
Arinta ou plulöl Arınto,s.f. ou m. espäce
de ralsin blanc. On en (ait un vin qui est ires-
estime& et medicinal.
AntoLo,s. m. V. Adivinho, Agoureiro,
Arıös. V. Arrioz.
Anırir, 0. w. fouiller et tamiser la terre
ur trouver les perles qui sont tombces sur
rivage.
+ Anm£ıino, s. m. celui qui crible la terre
pour trouver les perles. V. Aripar.
+ Axiro, s. m. le travail d’Aripar. V. ce
verbe.
+ Anisıno, 3. m. (4. de bof.) pied-de-veau :
arum, plante.
Anisco, A, ou Ankısco, adj. sablonneux. (fig.)
Bebours, bargneux, farouche ; sauvage, intrai-
table. Un te dit ordinairement des animaux
demestigues qui ne veulent pas se laisser ma-
nier, et quelquefois d’un homme intraitabie.
*Anısu£rica. V. Arithmeitica.
Anista. V. Ardsta, Kıpiga.
} Anısräno, A, adj. (4. de bot.) qui a des
arctes, des barbes comme les gramindes.
ABRISTÄRCHO, 8. m. Afistargue : nOm Propre
qui s’emploie ligurement pour designer un cri-
Uque stvöre, mais juste.
Anısrocascia,s.f. aristocratie :souverainetöde
plusieurs nobles ou privilegies; gouvernement
des grands, des nobies; noblesse, classe privi-
Iögike.
ARISTOCRÄTA, 8. m. arislocrate ; membre ou
parlisan d’un gouvernemen! aristocralique.
ARISTOCRÄTICAMANTE „ ade. arisiocraliyue-
ment; d’une manidre aristocralique.
ARISTOCRÄTICO, A, adj. aristocralique : qui
tient de l’aristocralie , qui lui appartient.
+ ARISTOCRATISMO, 3. m. arislocralie ; Con-
duite, manieres, maxinies des arislocrales.
ARISTODEMOCHKACIA, 3. f. aristodemocralie :
gouvernement des grands et du peuple.
ÄRISTODEMOCRÄTICO, A, adj. arıstodemocra-
dique, de l’aristodemocralie.
AxıstoLöchia, 3. f. (6. de bot.) aristoloche :
plante tr&s-utile, ä feuillcs grasses, racines tu-
bereuses.
AstsrorKuico, A, adj. qui appartient A Aris-
tete. Aristotelicien : partisen de la philosophie
d’Arisiote,
ABM
ARISTOTELISMO , 8. m. aristolelisme: phllose-
pbie d’Aristote; son adoption.
f Asırnmancia, s. f. ariihmancie : divina-
tion par les nombres.
AEITENETICA, 3. f. ariihmelique : ari de cal-
culer; science des noınbres.
ARITBMETICAMENTE, adv. arithmeliquement :
selon l’ariihmetjque , suivant ano proporlionm
arilbmeüque.
ANITBMETICO, A, adj. arilbmelique : qui est
fond& sur les nombres, sur les principes de
Yarithmetique. il. subs. Ariihmeticien : qui saiß
Yaritbmötique, qui l’enseigne,
ARLEQLIM , s. m. arlequin : bateleur, farceur,
bouffon dont le vetement est charge de picces
de diverses couleurs. (#. d’Aist.nat.) Arlequia,
especu de rossignol.
ARLEQUINADA, 8. f. arlequinade : houifonne-
rie d'arlequin, soit dans le jeu, soit dans les
paroles.
ArMA,s. f. arme: instrument qui sert ä al-
taquer ou ä& se defendre. — arrojadira ou d’ar-
remeco ‚arme qu’on jette, qu’on lance, qu’on
darde : arme de trait. — dronca, arıuc blan-
che : tout ce qui composait l’armure des au-
ciens chevaliers. — de fogo, arne & [cu.
Arma! Arma! aux armes. Armas, pl. armes:
profession de la guerre; diverses especes de
troupes, cavalerie,infanterie, arlillerie; entre-
prises , exploits militaires, la guerre. Armees,
(fij9.) Armes : ce qui sert & conıbaltre morale-
ment. — da Igreja , le pouvoir spirituel de U’E--
glise. —, (8. de blas.) armoiries, ecu;; les Ägu-
tes dont ıl est charge, propres & une nalion,
& une famille noble. — falsus, armes fausses,
armes en equerte : armcs qui ne sont pas se-
ion les regles du blason. — fallantes ou par-
lantes , arnes parlantes: celles qui esprimuent
en tout ou en partie je nom de la ınaison.
Tomar as —s, prendre les armes, Courir aux
armes. Afazer ds —s, aguerrir. Depör as —s,
mettre bas les armes. Com as — na mäo, pr&
& [aire la guerre. Passar pelas —s, fusiller.
Homem d’—s, homme d’armes : chevalier arms
de toutes pieces. 11 se dit au ügure d’une feınıne
forte, robuste et laborieuse. Näo fer mais —
que..., N’avoir pour loules armes que...
ARMACAO,s. f. lapisserie, tapis, draperies :
tout ce qui sert & orner une chanıbre, un ap-
partement. — d’igreja, tenture. — de louro,
veado ‚eic., cornes du laureau, du cerf.— de ca-
sas,, edificios, elc. armalure: char) .— da
cama , bois de lit. — de navios, avilaillenıent,
€quipage de vaisseau. — de pescaria, Hlels, cor-
dages , etc., pour prendre le poisson. 4. V. Ar-
mamento ; Esquelelo. — d’uma sarra, monture
ou affüt d’une scie.
Aruiva,s. f. armbe narale, arındo de mer,
Dotte de guerre.
AnmaniLna, 8. f. "engin, Niet pour prendre
des oiseaux.(Ag.)"Trebuchet, attrapoir,irappe ,
piege.V. Raloeira.
ArnsapiLno,s.m. (1. d’hist. nal.) armaditle,
tatou : quadrupede des Indes. — encoderto,
a oh _
a _——_ Mu
0 _ 2 2 2 2 2 u ee —
MU mu I nn 0 39 mM
ARM
wien : quadrupede &dente , cuirasse,, du Bresil.
4aNı1D0, A, P. p. d’Armar, ei adj. (t. de
wer.)artille, equips, en parlant d’un vaisseau-
-d ponio ou Ponla em ‚armö de tou-
ws pi&ces,, de pied en cap. V. Munido.
AREADÖR, 8. m. tapissier decorateur: celui qui
me une eglise, une chapelle pour un jour de
le. Armsteur : celui qui arme ä ses frais un
‚2isteau psur aller en course, ou pour la peche
de la balsine. — de freigdes, qui tend des pie-
ges, qui est au guel.
Arutapöas,s. f. arınuro : les armen defensi-
res qui onmırent et joignent le corps, comme la
euirasse,, le casque, etc. Armalure, charpente:
ouvrage de grosses pitces de bois taillees et
eqearries.
Tixruıamaxı, s. f. *lourgon : voiture d’equi-
pages militaires.
ÄSMABENTO, 3. m. armement : appareil de
geerte. — d’um navio, armement: dquipement
Tun vaisseau. O — de soldado, ( t. de mil.) les
arımes respeclives d’un soldat.
tTAauimso, s. m. (!. de veler.) remetde pour
rendre l’appetit aux chevauz, elc.
Aumiö,s. us. train de devant d’une pidce.
Asuie, ©. . armer: fournir d’armes, rer&-
ur d’armes defensives. Equiper, artiller, en
periaut d’un vaisseau. Decorer, tapisser, en
parlant d’une eglise, d’un apparlement, etc.
‘Ag. [am.) Pr&parer, disposer. Il esı aussi neu- |
we. — eos passaros, tendre des pieges, des
Sets pour prendre les olseaux. — laros, enga-
mes ciladas, (fg.) dresser un piege, des em-
‚ete. — um relogio, uma maquina, elc.,
remonter une horloge, une machine, eic. — de-
nuandss, pleisos, ofc., chicaner, intenter des pro-
eis. — de ponto em branco, armer de pied en
«ap. — em guorva, armer en guerte, en Course
des vaissesex marchands. — o.arco, a besla,
Bander l'are, l’arbalöte. -— a baiondia, mettre
la baionnelte au bout du [usil. — Iraicdo , our-
dir, machiner une trabison. — ums brige, uma
wmicnds, exciter, soulever, reveiller une que-
selle , un differend. — a alguem, chercher
& iromper quelgu’un. — ao dinheiro alheio,
chercher ä svoir V’argent d’autrui. Ndo — se-
udo 00 dinkeiro, ne viser yuel’argent. Sapatos
de — chaussure des anciens cavaliers. — 08
remos, (I. de mar.) border les rames ow les
zriroms.
Arnuan-se (de), v. r. s’arıner, 56 preparer
pour la guerre ; prendre les armes. Se former.
Ex: Armou-se ums Irovada, il s’est forıne un
orage. — de pariencia, de constancia, eto.(flg.)
S’arıner de patience, de constanco, etc.
Anusnia ou AnHERıA,S. [. arımoiries, armes,
Basen. it. "Depot d’armes , arsenal militeire.
ARNARIO, 3. m. armoire : buffei; serre-pa-
Fnusstıro ‚s. m. sorte de filet pour prendre
da poissen.
+ Aaustöste, s. m. instrument avec lequel
«a bandait l’arbalete.
Aruurena. V. Armadürs.
ARM 133
ARMATEN, 8. m. magasin. V. Almascm. — de
deposilu, enirepöt.
ARMEINO, 5. m. armurier : ouvrier qui fabri-
que ou qui vend des armes. Armeiro mir .
grand armur:or, le gentilhomme qui tieni a sa
charge les armes du roi en Portugal.
AnmeLina. V. Arminkha,
ARMELINO, A, adj. de V’hermine.
AnNELLA, 8. f. "cranıponnet; autıcan. pıton,
sorte de elou dont la töte est percee en anneau.
Braoelet , anti.
ARMENICO ou } Armenien : d’Armönie, s.
ARNENIO, A,ady. ) —, ne dans l’Armienie.
ARMENTÄL, adj. 2 gen. de l’armeniio, V. ce
mot,
ÄRMENTIM 0% s.m. dim. d’Armento,
ARMENTINBO, Petit iroupeau.
ANMENTIO, s. m. lroupeau de gros belail,
comme baufs, vaches, elc.
ARMENTiO, A, adj. V. Armenlal.
ARNENTO, s. m. V. Armentio, Rebanho.
tT AnMEnTOso, A, adj. qui possöde beaucoup,
de betail.
ARMEO, 8. m. "quenouillde de laine, de lin,
necessaire pour entourer la quenouille. _
* Ansyenta. V. Armaria. '
ARMEZINM, 5. m. sorte de laffetas indien.
ARMIFERO 0u I guerrier, belliqueux, anıl
ARMIGENO, A, adj. | des armes. s. m. page.
Ansılua. V. Armadilha.
ARNILBEIRO , 5. m. petit fermoir de menul-
sier.
ArsıLLa, 38. f. (Ef. d’architect.) armilles : pe-
tites moulures qui entourent, en facon d’an-
neaux, le chapiteau dorique, immedialement
au-dessous de l'ove.
ARMILLAR, adj. 2 gen. armillaire. Esphera —,
sphere armillaire: vide, compos6 de cercles,
pour representer le mouvement des asires, les
divisions du eiel par cercles.
ARMILUSTRIO ‚3. m. (4. de mil.) "revue genc-
rale.
Anuim ou Ansino, 3. m. "lache (pr&s du sa-
bot des chevaux).
ARMINÄDO, A, adj. tachei6 de blanc et de
noir (obeval).
FAnninsa, s. f. (1. d’kist. nal.) armellina :
marte hermine.
ARMINHÄnO, A, adj. garni d’hermine; blanc
comme l’hermine. (8. de Bias.) Hermine, mou-
chet£.
ARMISHO, 5. m. bermine : petit animal rare,
blane , & Queue noire, da genre de la belette,
ARuinO. V. Armim.
ARMIPOTENTE, adj. 2 gen. (1. de pocs.) beili-
queux , guerrier, puissant en armes.
ARNISONO, A,adj. (Il. de pols.) qui reseune
coınme les armes dans le couflil de guerre.,
ARMiSTA, 5. m. celui qui est verse Jdaus le
blason.
Assısticıo,, s.m. armistice : suspension d’ar- ,
mes pour un temps.
"Anumo.V. Hombro, Brago.
* AnnopärıLa. V. Hermodatylo,
130 ARP
Aauö:s, s. m. pl. roues de devani des affüts
canon.
t. de bot.) arroche : plante
ARNÖLAS OU | ( ’
apettale, potagere, ralral-
Annöizs,s.f. Pl.) hissanie, dmolliente.
Anuonla, eic. V. Harmonia, ee.
+ Arnoricı, s. f. (1. de bot.) cochlearia :
berbe aux cuilläres, bisannuelle, anliscorbuti-
que.
+ kun, s. m. (I. d’hist. nal.) arnab : lidvse
d’Afrique.
*Annino, V. Arndiro.
ARnAcLOSsSA. V. Tanchagem.
* ARNECADO. V. Arnezddo.
Anntınd, 3. m. terrain sablonneux, sterile,
ArneLLa, s. [. "chicot, reste d'une dent.
+ Annto, a. m. (1. d’hist. nal.) arnee : grand
buffie des Indes.
Auntz, s. m. harnals : larmure oompläte
d@’un homme d’armes.
Aanzzinc, A, adj. couvert de harnais,
+ Annica, s. f. (1. de bot.) arnique os arnica,
BMioine des monlagnes.
A’R0,s. m. corceau, cercle. Gros anneau de
fer qui sert au Jeu de l’argollinka. V.ce mot.
— de peneira,, cercle d’un blutesu,, d’un tamis.
— do cubo da roda, [reite, virole.
Anotına, V. Lentisco,
Auöuı, 5. m. arome: principe odorant de
ohaque plante. Aromate : drogue odorilerante.
Parfum, odeur, eshalalion odorifäranie,.
" Arouancla. V. Aeromancia.
® AnOMATA OW ARONATIUDADE, V. Aroma.
Auomirico,A, adj. aromalique : de la nalure
desaromates, qui en a l’odeur ; odoriferant.
AnomarızacÄö,s. f. aromalisalion : l’sclion
@’sromatliser ; melange des aromalos avec des
es
ARONATIZÄDO, A, 9. P. d’Aromaiizar.
ARONATIZÄNTE, adj. 2 gen. qui arumatise,
gui oommunique l'odeur des aromates, p. e. d’
Arowartızia, ©. a. aromaliser, parfumer ;
möler des aromatss avec quelque chose. Il est
quelquefois neutre et signille exbaler une odeur
le.
+ AnöurE, s.m. (1. d’mst. nal.) arompe ou
mangeer d’hommes : ohacal de la chte d’Or.
Aura, s. f. barpe:: instrument de musigue &
cordes de longueur insgale. V. Harpe.
Anrid, s. m. barpon, varre : enpdce de dard
destine & la p£che des cetaces.
Aurin, 0. a. harpenner ; sccrocher.
Ansmiin, 0.0». (f. de mus.) arpeger : falre
une suite d’arpeges.
Axpt3o,e.m. (1. de mus.) arpege:: batteric
successive des notes qui Composent un accord.
Anrenız. V. Geira, Hastil.
Anpto,s.m.(t. de mar.) harpeau:: sorte de
grappin qui sert äaccrocher Ics vaisseaux pour
aller a Tabordage ;grappin.—s, pl grappius de
bout de vergueg; grappius a main
Arpıa. V. Harpia,
Anrısta. V, Harpisie. it, Algisie,
ARR
t Anroıcid, 5. f. Yacllon d’anomse
harponner.
ARPOADO, A, P. p. d’Arpodr.
7 AxroApor, 5. m, harponneurs p6cheur qui
harponne.
t Aasroia, cv. a. harpommer : darder, acero-
cher avec le harpon ; lancer Ic harpon.
Anrokıra,s. f. la corde qui est altachte au
harpon. it. * Harpon.
Arqusagiö, s. [. "jaugcage: aslien, art de
jauger.
ANQUEABO, A,P. P. WArgquear, et ady. er-
que, courb6 en are. Nerie — , vaisseau jauge :
mesurd par le jaugeur.
ABRQUEADOR, 5. m. opiui qui argne, qui courbe
ou plie quelque chose en arc. (1. de mer.) Jam-
geur : oelui qui jauge.
ARQUEADÜRA ‚s. f. courbure, cambrure.
AnQuEir,v. @. arquer , cambrer : oourber en
arc. (4. de mar.) Jauger: mesurer avoo la jauge
la capacii6 d’un vaisseau, — as sobrencelhas,
hausser les sourcils,
T Arqusıo, s. m. l’aclion et l’oflet d’argquer.
(4. de mar.) Jaugeage, Jauge.
Angvtıno, 8. m. celui qui fait des eaisses.
Caissier, en parlant de celui qui tient la caisse
d’une oommunauts religieuso ou d'une
ration quelconque. Archer : home de guerre
combattant avec l’are, N
ARQUESANTE, adj. 2 gen. haleiant, p.e. d’
Angussär, ©. n. haleter : respirer [requem-
ment, peniblement, en soufflens.
ARQUXJO, 8. =. aclion de halcter ; respiralien
laborieuse.
Angreına. V. Mosqusleire,
Asqukta, 8. f. dim. d’Aros, easeelle : petit
collre.
Asguıminco, s. m. eefre long & eomparli-
ments dont les couvercles servent de siege.
* Angrı.ua. V. Arguinkhe,
Angqriınua,s. f. dim, d’Arce. il. " Siöge de co-
cher, —, (1. d’kist. nal.) arche,, coquille bi-
valve de mollusques ectphales. — navieular,
(4. d’kist. nat.) arche de Noe.
Augtixyo, s. m. dim. d’Ares.
ARQquıTscTo, eto. V. Archilecte, et,
Ana. V.
Arsi,V. Rd,
Aunaıar, V. Arrabalde.
ARRABALDE, 5. m. faubourg : la parlie d’une
ville qui est an deiä de son enoeinte; ses en-
virens.
Aunasüca,. V. Robeea,
Annıst. V. Aradi.
Annapdıcan, etc. V. Arrebicar.
+ Aunisıno, adj. eis. m. moine de Fordre
de Saint. Pierre d’Alcantera. On lui deune ce
nom 3 cause d'un courent que cet ordre avsil
dans une montagne pres de Setubal dite Serra
d’Arrdbide.
ARRARIL, 5. m. espe&co de vielle en usage chez
ten Maures. Petit voolin dos borgors.
Annapıı£ino, s.m.Joueurdeviellermoresgue,
ANRABIGUR. V, Arrabimes.
un.
ARR
* ARRASTIAR-SE , v. r. se remplir de gale, en
yerlanı des chiens. (Ag.) Eire de mauvaise hu-
mar.
tARRACIHÄDO, A, adj. en grappe. p. p.d’
TARRACIHÄR-SE,®. 7. ve coavrir de grappes;
pendre la forme des grappes.
Asrac0oiD0,A,p.p.d
ARRACOAR, 9. a. parlager en ralions; meltre
ä laration.
Anzıss. V. Arrais.
*Aunnizzas, pi. V. Arrdıs.
Anriıı,s. f. raie: poisson plat du genre des
squales. Il yen a plusieurs especes. V. Raia,
Anzirı, s. f- frontiere. V. Rdia.
Anzutano, A. V. Raiado, Listrado.
ARrıLaL, 5. m. camp, campement. V. Jcam-
° ARRAIAMENTO , 5. m. meubles , tapisserie.
Annsıino, A „adj.de la frontiere du royaume.
Aznssio, 8. m. V. Hurtla.
Azaasan. V. Baier.
$ ARnAIGÄDANÄNTE , ade. d’une manidre sta-
bie, Are, permanente.
AnasscänO, A, adj. enracine. (fg.) Envieilli,
esracine, inveldre (en parlant des habitudes).
„€
Ansuscia, v. a. jeter, prendre racine, s’en-
raciner.
ÄABRAICAR-SE, ©. r. s’etablir, se domicilier.
(Ag.) S’taablir, s’enraciner, s’inveterer. Il se dit
duao coutume #ablie, d’uno habitude contrac-
We de longue main.
kann, A,Pp. p.d
Arasin, 0. 6. (£. d’agr.) tailler la joune vigne.
Anniıs, 5. m. (Li. demar.) palron de bar-
que ;pilete , nocher.
"Annas, pl. V. Arrdı (pannos d’).
*Annsıua, 5. f. genisse de deux ans,
*Ankıuipo, A. V.Enr 0,
ArsıELLmÄDO,A,P.p.d’
AununaLmar, ©. 0. agiter les branches d’un
arbre; faire du bruit en les remuant.
Annıman,eic.,o.a. V. Enramarrı Derramar.
ÄARnANın, 9. Rn. el —AE, ©. r. pousscr des
trsuches, en parlant des arbres. (Ag.) So rö-
pandre,
Annıncipa ‚s. f. “arrachement: l’action J’ar-
rarher. "Terrain o& on a arrache des racines
d’a:bres ou d’arbrisseaus pour le eulliver "De-
part sortie brusque, essor en parlant das Oi-
seaur.” Elan. Do —, V. De vencida.
+ ARRAMABANENTE, ade. iimnpälueusement,
avec eßort; brusquersent,
ARBANCADO, 4,9. P.d’Arrancar.adj.Voga—a,
(l. de mar.) le plus grand ellort et le plus uni-
forme que Jes rameurs font pour imener Une
barıne. De coga —a, & force de rames.
ÄRRANCADOR „S. MM, arracheır ; Celui qui ar-
racbe. ,
Azzaxcapuna, 5. f. "arrachement : l’aclion
d’arracher; portion (le choses arraclıdes.
ÄBRRAICABENXTO, 6. m. V. Arrancadure.
Arnancin,r. a. arracher: detacher, dich,
Süparor par force d’un" place, —, expecioref ;
ARR 135
eracher avec force. (fig.) Avoir, obtenir aveo
peine; extorquer , obtenir par force, par vio-
lence, par importunite. — de raiz, deraciner,
exlirper. — a espada, degainer l’6p&e pour se
battre. — as heroas nocivas , sarcler : arracher
les mauvaises herbes. — a voga, (1. de mar.)
ramer avec le plus grand eflort et le plus uni-
forme, faire force de rames. — odios , extirper
la haine. — 0 ultimo suspiro, rendre lo der-
nier soupır.
ARnANcaR, ©. m. prendre sa course, s’dlan-
cer. (fam.) Partir, sortir: quitter un lieu, ga-
gner au pied.
ÄABRANCAR-RE, u. 7, s’artacher: se tirer avec
elfort, s’arracher quelque chose qui blesse; sa
relirer avcc peine, chagrin ‚d’un lieu, d’auprös
de.quelqu’un. — a elma, 0 corapdo, as en-
tranhas,(fig.) rendre l’äme, dechirer le caur,
arracher, döchirer les entrailles: expressions
qui exagesent la douleur. — a algusm a almıa,
mourir dans d’extr&mes angoisses.
ABRANCHÄDO, A,P..d’
ARRANCHÄR, c. a. distribuer par chambrees
(les soldats, les matelals); heberger. — 05 ua
rinheiros, (l.de mar.) distribuer l'öquipage en
gameliss.
ÄARRAKXCHAR, 9. 9 ei-—$E, 0, r. chambrer : se
reunir en chambree , on parlant de soldals, ma-
telois , eic.
ARRÄNCO , 8. m. arrachement, V. Arrancada.
it. Mouvement impötueux, 6lan ; ellort pour
vomir ; räle. O ultimo —, le desnier soupir.
® ARRANGOAR. V. Resgalar.
* ARRANCORAR-SE. V. Qusizar-se,
ÄRRANHADRLLA. V, Arranhadura.
ARRANHÄDO,,A,P. p. d’Arrandar.
ÄARRANHADOR, A, 3. ögraligneur. — de viola,
räoleur : mauvals Joueur de violon.
‚ ARRANHADÜRA , 8. f. €gralignure:; blessure
faite en &gratiguaat, 11 se dit de toule blessure
Iögere ; sa wmarque.
ARRANRAR , 0.6. egraligner : dächirer leped-
rement la peau avec les ongles , avec une &pin-
gie, eis. (Ag.)Jouer mal un instrument A cor-
des ; savoir mal un meöller, — a lerra, peler la
terre, labourer trds-Iegdrement, id. Gauner
peu de chone. Ndo haahi que —, il n’y arien
& gagner.
ARBANHAR-SE, ©, Fr. S’6graligner : se dechiter
lögdreinent avec les olzley, avec une epil-
gle, eic. ‚
ARRANUÖSA, 8. f. plante epineuse.
ABRAXIÄDO, A, pP. p. Ü’Arranjar.
ARRANJANENTO, 5. m. arraugement: Ordre,
«tat de ce qui est arrangt.
AnnınsÄir ‚v. a. arranger. V. Ordenar. Ran-
ger, etablir, acronımoder, terminer & l’amiübie.
Arranycz, V. Arrancdda, Arrancamento.
* Anaad. V. Ra.
ARRAPAZÄDANENTE, adv. 3 maniere d’enfant,
sans rellexion.
AurarazÄu0, A, adj. quial’air, les manid-
ren d’enfant; qui ne convient qu’d un enfant,
* Annarıia. V, Arripiat. j
136 AauR
Annarınuän. V. Rapinar.
AunAP0SAD0, A,P.p.d’
ARRAPOSAR-SE,, d. r. faire le mort comme le
renard.
“Annir. V. Errar.
* Annanin. V. Harefazer.
A’nras ou Annas, s. f. pl. arrhes, denier &
Dien : argent qu’on donne pour zssurance de
Yexecution d’un marche. (!. de prat.) Somine
d’argent que !’homme promet & la feınme qu’il
doitöpouser, douaire. "Gage, assurance. Dar —
a alguem,, (fig.) @ire superieur A queiquw'un, le
surpasser.
AnrısinO,A,P.P. d’Arrasar.
ARRASADOR, A, 8. destructeur, qui renverse,
qui ruine, qui met sens dossus dessous. #4. Rä-
cloir de mesureur.
Aurasapüaa, 8. f. l’action de räcler. (Ag.)
Destruction.
ÄARRASAMENTO, 8. m. d&mantelement, rase-
ment : demolition des marailles d’une ville,
d’une forteresse.
ARRASÄR, o. a. aplanir : rendre une surfece
*gale. Demanteler, raset, dögrador : demmolir un
edifice quelconque. Räcler — a vista, regarder
tout droit devant soi.
ADRASAR-SE ,ov. r. s’aplanir. (Ag.) S’abattre,
«’humilier. Se couvrir la surface, se remplir
de, v0. g. Arrasarem-se os olkos d’agua, avoir
les larmes aux yeux, les yeux gros de larmes.
ARRASOAR, 6lc. V. Arrazoar,, etc.
+ ARRASTÄDAMENTE , adv. pitoyablement, en
pariant du genre de vie qu’on mene. (fam.) A
bas prix.
AKRASTADEIRO, A, adj. qui traine.
ARRASTADO, A, P. p. d’Arraster, et adj.
mepris6, miserable,, avili. Vida —o, vie mal-
heureuse, mistrable. Ander —, vivre errant,
fugitif, missrable ; souffrir une dure, une In-
supportable fortune. Sentido —, sens force,
detourne de sa veritable signification. Vonder
por prego —, gächer, vendre & vil prix. Traezer
a alguem —, (fig. fam.) faliguer quelqu’un,
le presser, le vexer.
rampement, entral-
ARRASTADÜRA, 8. f. ou \nement:: }’action de
ÄRRASTANENTO, 5. m. \ramper, de trainer,
d’entrainer.
Annıstiö,s. m. effort que fait la personne
ou la chose qui traine. «4. * Vigne qui traine.
AnnASTÄR, ©. a. trainer, entrainer : lirer
apres soi, avec soi. Entrainer par la persua-
sion, par les charmes; attirer ; &ire la source,
la cause de ; reduire quelqu’un & un 6tat mal-
heureux, le vexer, le persecuter. —o povo a0
seu parlido, attirer le peuple dansson parti, !’y
engager. Fazer alguma cousa arraslando,
(fam.) (sire quelquechose de mauvaise gräce.—
coche,rouler voliture. Arrastando otrazeiro (ig.
fam.) a &corche-ul.Andararrastando, ramper.
ARRASTAR, 9. ». trainer, pendre jusqu’älerre.
ARRASTAR-SE, U. ®%. Se trainer, ramper: mar-
cher, se glisser en rampant ; avancer avec
peine, au propre et au Agure.
v.y
AUGR
ARRASTO, 8. m, Naclion de ktutuer, de .auı
er.
Anrısrriß
ARRASTRAR. V. Arrasta...
ÄRRATADERA. )y
AnRATAR. } V. Realter, eiec.
ARRATEL, 8. m. "livre , poids de 16 onces.
ArnıteLino,A,p.Pp. 4’
ARRATELAR, tr. o. diviser en livres; vendre
par livres.
Annavaune. V. Arrabalde.
ARRAYFSSAR © ARRAVEZAR. V, Arreresser.
ARnAYA,
ARRAYIDO. V. Arrai... Raia...
ARRATYAR.
ÄRRAZOÄDAMENTE, ade. raisonnablement :
avcc ralison , conforınement & la reison, con-
venablement.
ARRAZOÄDO, A, 9. p. d’Arrazoar,, et adj. rai-
sonneble : conforme & la raison, convenabie ;
juste; equitable. Prouv& avec des raisons, ap-
puy6 de raisons et de preuves.
ARRAZOÄDO, 3. m. plaidoyer : discours pro-
nonc6 & l’audience pour defendre une cause;
defense, justification. * Dispute, contestalion ,
discours prouve par des raisons.
ARRAZOADÖR,, 8. m. raisonneur : colui qei
raisonne, qui importune par de longs, demau-
vais discours. ll se prend plus ordinairement
en mauvaise part. Plaldeur.
ARRAZOAMENTO, s. m. raisonnement, dis-
cours , Paction de raisonner sur quelque chose.
V. Arrasoado, ».
Araazoirn, v. a. plaider. — um feilo, alle-
guer des raisons pour appuyer la defense, la
justification d’un proces.
" ARRAZOÄR, o. w. raisonner: faire usage de sa
raison ; faire des raisonnements Jusies sur quel-
que sujet. Discourir, discuter.
ÄRRAZOAR-SE, ©.r. 56 rondre raison ; Se con-
former & la raison.
Anne! inierj. pop. Dia! hale: eri pour ani-
mer les chevaux.
ArREÄR, eic. V. Arriar, ete.
Anneis. V. Arreaz.
Anreita, s. f. corde,etc., qui attache plu-
sieurs chevaux & la queue les uns des autres ;
licol, chereire.
ARREATÄDO, 4, 9. p. Ü’Arreatar.
ARREATADURA, 8. f. corde avec laquelle on
attacho ou ratiache queiquechose; l’aclion d’at-
tacher, de rattacher. (1. de mar.) Rousture :
liüre pour xer une piöce de boiscontre une au-
ire. Fazer ums —, rouster, rousturer.
ARREATÄR, v.a. atlscher des cheraux, etc.,
ä la queue les uns des autres. Ratlacher: atte-
oher de nouveau. (#. de mar.) Rouster: faire
des roustures.
Anreiz, s. m. boucle des #iriers.
ARREBANHÄDO, A , 9. 9. d’Arrebankhar.
ÄARREBANHADÖR, A, 3. celui qui rassemble un
rau pean ; pasteur.
RREBANNÄR, T. a. rassemblier en Irou
(Ag.) Attrouper. pean.
ARR &
ÄRREBANBAR-SE, ©. r. s’allrouper : S'ap5eım-
Mer en troupe, tumultueusement,
AnagnaTacid, V. Arrebalamento.
ÄAREBATÄDANENTE, adv. precipitamment, in-
ansider&ment ; brusquement, avec coldre, em-
a
jerlemen
ABREBATÄDO, A, 9. p. d’Arrebalar,, et adj.
(Ag.) Emporte , outre, vif, en parlant du carac-
tere d’uuie personne, Precipite , veloce, impe-
tseux, en parlant de la fuite de quelqu’un,
d'une mort subite ‚du courant d’une riviere.
ABREBATABOR, A , 8. ravisseur : celui qui ra-
vit, 1l est aussi adj. Ravissant, qui charme.
Annzssrınöna, 8. f. Yaction et l’ellet d’enie-
ver. V. Arrebsiamento.
ARRESAYTANENTO, 5. m. enlevement. V. Rapto.
(ßg.) Transport, d6chatnement, ravissement;
inoonsideration, precipilation ; exces de Jole
ou de coltre. — dos sentidos,, oxiase , Tavisse-
ment.
ÄARREBÄTA-PUNBÄDAS, 5. m. (1. dur.) homme
ülrıisonnable, emporte, violent, extravagant,
ARREBATÄR, Od. a. enlever, ravir, emporter,
eatrafner, arracher une chose des mains de
queige'un, prendre avec precipitation. (fg.)
Ravir, euikousiasmer, transporter. Il se dit du
powveir de la beautd, de V’eloquence, de la
potsie.— a vida, ter la vie, arracher la vie.
ARREBATÄR-SE, ©. Tr. se precipiter, en par-.
lant du courant d’une riviere. So dechatner,
semporter, se meltre en oolere, en furie. S’en-
“susiasıner, s’extasier.
Aunzaste. V. Aebate.
AskEBATıyHa. V. Rebetinha.
"AnnznarO. V. Mebate, Repente.
Annssecan, olc. V. Arrevessar.
AnRER£N, 5. m. ($. de mer.) rabans:: pelites
eordes pour ferler, amarrer. Petit cAble pour
foueller les matelots et les forcats.
ÄRRSSENTA-DIABO, 5. m. (1. P0p.) un verre
de vin aprös le repas.
ARREBESTABO, A, P. P. d’Arrebentar.
ÄRREBENTANENTO, 5. m. Paction et l’effet de
ererer, eic.
ÄRREBENTAR ‚©. 6. briser, casser, meltre en
pieces , rompre ; tuer ou faire mourir de fati-
gse, crever. — um cavallo, crever un cheval.
ÄRBEBENTÄR , ©. ®. tclater. V. Estourar.
Germer, pousser, bourgeonner. V. Rebentar.
- por alguma cousa,, (fam.) desirer une chose
stdesmment; avoir un grand besoin de. — de
ro, «ionlier, crever de rire. — de inveja,
ser, soberbs, crever de jalousie, d’orgueil, de
deeizur
Anazazıto. V. Reben!o.
” ÄRREBESSAR. V. Arreressar.
AsRgRIchADO, A,P.P. d’
Asnzsıchn, ©. @&. [arder : metire du fard.
ÄRREBIQCT., 8. m. fard : poudre, päle pour
peindre la peau, l’adoucir, la blanchir; rouge.
ÄRREBISTADO, A, adj. tourne dans la pointe.
Seriz —, nez retrousse. Ter o nariz —. Il se
kt d'une personne dedalgneuse, difficile, re-
„che,
.
ARR 437
ARREBITAR, ©. G. river, raballre: recoursber
la pointe d'un clou sur Fautre cöle du corgs
qu’il perce. Dresser, redresser.
ARREBITAR-SE, ©. r. 8’onorgueillir; prendre
un ton arrogant.
ARREBÖL, 8. m. rouge: couleur que prennens
les naes frapp6es des rayons solaires pendant
les deux crepuscules. Rouge de fard : compasi-
tion que les femmes mettent sur le visage.
ÄRREBOLÄDO, A, P. P. d’
} ARREBOLAR-SE, ©. r. se farder : moltse du
rouge sur le visage.
” ARREBONLIAR. V. Arrankar.
ÄRREBURRINNO, 3. m. bardel (jcu de gar-
cons).
ARRECABE, 8. m. corde pour tirer Ic traincau
dans la peche.
Annzcapiaciö,s. f. levee de deniers, exac--
tion des dettes. Pereeption, receite; certilicat,
declaration du payement des droits. — militar,
magasin oü l'on garde les effets d’un regimment,
d’une eompagnie, etc.
ARRECADÄDO, A, P. p. d’Arrecadar, et adj.
depos6, gard& dans l’Arrecadapdo. V. ce mol,
(Ag.) Exact ‚diligent, soigneux ; parcimonieux.
ANRECADADOR , 8. m. Teoeveur, perceveur,
eolleoteur. Y. Cobredor, Recebedor. (Ag.) Eco-
nome, menager.
ÄRRECADAMENTU, 8. m. V. Arrecadagdo.
ÄRRECADAR,, U. @. Fecevoir, rocuuvrer, leire
un Fecouvroment : percevoir les impöts,. V. Co-
brar. Ramasser, garder. "
ARRECADAS, 5. f. pl. "pendans, buucles d’o-
reilles.
* AnnEciGcA. V. Recaga.
* Anreceıin, etc. V. Asceiar , ele.
ARREcıFE. V. Recife..
* AnrEcovA. V. Recova,
Aunrecrin. V. Recuar.
T Ansfna,s. m. (8. de prai.," esclusıon de
Pheritage. it. interj. A bes ! bors d’ici!
ARREDÄDO, A, P. pP. d’Arreder.
ÄARREDANENTO,, 8. m. eloignemcri, öcarle-
ment : l’aclion d’eloigner, d’ecarter.
ARREDÄR,, ©. a. Eloigner, ecarier, dälourner,
separer. Il csl aussi reciproque.
ARNEDIO, A, adj. eloiyne, ecarte, qui s'esk
separe, au pfopre et au ligure. Ander —, ne
plus frequenter les memes lieux, les m&mes
sorieles que l’on [reyuenlait auparavanı,
” Anr£oo,. V. Longe.
Aurepöua. V. Redoma.
” ARREDUNDA , ade. V. Redor (ao).
ARREDONDÄBO, A, P- p. d’
ARREDONDÄR, ©. @. arrondir, rendse round.
Annepön, adv. V. Redor.
AUREDOURES, 8. m. pl. environs : lieux d’alen-
tour, circonvoisins ; banlieue d’une ville.
AuaeEbouga. V. Redouga.
ARREDOUGAR-SE, Clc. V. Redougar-se , elc.
Arrekıro. V. Arrieiro.
ÄRREFANHÄR, v. a. (I. do prov.)arracher des
meins avec force. V. Arrebalar.
* Aunzracan. V. Abeler.
188 ARR
“Annzrirr, adj. 2 gen. et ade. & bon mar-
eb6. V. Barato.
Anner£cka,v. a. refroidir : rendre Troid ce
qui 6tait chaud. (Ag.) Ralentir; calmer.
ARREFECER, 0.8.04 —SE, ©. r. se refroidir:
devenir froid. (fig.) Diminuer d’ardeur, d’actj-
vie. V. Esfrior.
ARBEFECIDO, A, P.p. Ü’Arrefecer.
ÄRREFECIMENTO, 3. m. refroidıssement : di-
minution de chaleur, (fig.) de passion , d’ami-
ds, de zele, eic. Decouragement.
ARREFRM ei AnnKrFENs, pl, V. Befens,
* ARREFENTAN , elc. V. Arrefecer, Esfriar.
ARRECACIDO, A,P.9.d’
ÄRRECACAR,, v. a. lrousser, reiröusser, Fe-
plier, relever en baut.
ÄARRECACARSE „©. f. 86 relrousser :relrousser
une robe, les manches d’une chemise,, etc.
Ansecico, V, Hegap.
ARREGALÄDO , A, P.p. d'
ArreEcaLin, ©. a. (08 olkos), fam. ocarguil-
lor les yeux.
ARRBCANHÄDO, A, 0dj. qui se rit de tout; 00-
I#rique , menacant. 9. p. d’
ARRECANHÄR,, 9. &. — 08 deniss para al-
guem,, montres les dents & quelgu’un, soit en
rient,soit en le menagant; braver; menaose;
grimanoer, Fioaner.
ÄRREGANEÄR-SE, 6. r. montrer les dents, etc.
— com frie, so glaser de froid, #tre perclus,
engourdi & cause du [rold.
+ AnnEcinnO, 6. m. sernblant fier. — mili-
ter, l’air martial d’un soldat.
* AnBEGEITAR, V. Rejeitar.
ARRECOADO,A,P.P.d’
Annecoir, v. a. sillonner : feire des sflions
dans la terre.
ARREIÄDO, A, 9. 92. d’
Anatıan,v. a, harnscher, en parlant d’un
cheval. Orner, parer, on pariant des femmes.
ARREBIAR-SE, 9. f. S’Ornofs, 80 Parer.
Annzıciva ,s.f. — da lingua, rıcine de la
langue. — da unks , racine de l’ongle. —s, pl.
(4. demer.)haubans de revers, gambes de hune,
6chelle de corde qui conduit des mäls aux
bords des hunes.
Aurzroän, eio, V. Arraigdr, ete.
Anntıo, s. m. ornement, pärure, ajustement,
sccoutrement d’une fenme. Arreios, pl. bar-
nais de cheval. Attilets d'une femme.
* Annsıo , adv. V. Arreo.
ARREITÄDO, A, P. 2. d’
ARREITÄR , 9. a. exciter lV’appetit venerien.
Annerrtra. V. Almotolia.
ARRELA! ARRELATAS! inlerj. pop. hors d’ici!
V.ärre, Fere.
ARRELEQUIM. V. Arlequim.
ARRELNWÄDA, 8. f. cuvelte : instrument de fer
pour Pextraction de la terre qui srengage dans
le soc de la charrue.
AnneLtguanıo. V. Reliquario.
* Annnuigtia. V. Reliquia,
ARAEMARGADO, A, P: pP: @’dArremanyer.'
a AnRA
ARRENANCGIR, v. a, trousser, retrousser, Deo
plier, relever, lever.
T ARREMANCAR-SE, ©. r. (fg. fam.) Se re-
soudre,, sedeterminer, prendre & car.
f ARREMÄNGO, 8. m. retroussement : l!’aclon
de trousser, de retrousser.
ARREXATACAO, 8. f. enchere, adjudicalion au
dernier ench£risseur.
ARREMATÄDO, 4, P. p. d’Ärremalar.
ÄRREMATADOR, A, 5. encherisseur, adjudica-
taire.
ÄRREMATANTE. V. Arremaladör.
ARREMATÄR, ©. G. vendre ou acheter & Pen-
chere. Finir, achever. V. Remalar. — a quem
mais der, adjuger au plus ollrant.
ARRENMATÄR-SE, v. r. seterminer, s’achever,
se linir; @tre adjuge au plus oflrant et dernier
encherisseur.
ARREMECAR,, elc. V. Arremessar, elc.
ARRENEDÄDO, A, 9. 9. d’Arremedar.
ARREMEDADÖR, A, 8. singe: qui imile, qui
contrefait les paroles, les gestes.
ARBEMEDÄR, ©. 6. jouer, imiter, copier, sin-
ger, contrefaire quelqu’un ;suivre son exemnple,
marcher sur ses traces. Arre ‚„u.n. res
sembler A quelqu’un; avoir de la conlormile,
du rapport avec quolqu’un, aveo quelgue
chose.
* ARREMEDILRO, V. Fargs,
ARnREN£DO, 3. m. "imitalion, copie ; singerie,
oontre-fagon.
ARRENSSQUINEOS, s. m. pi. fard, TLouge.
V, Arrebique.
AanEuessinautute, ade. V. Precipiiede-
menie.
ÄARRENKSSÄDO, A, 9. 2. d’Arremessar, el adj.
jete, lanc& avec la main. Cavallo —, chevallu-
rieux , quia pris lo mors aux denis. Homem —,
bomme p£tulant, emporis, mechant, quiaun
air dur. — no fallar, inconsidere, qui parle
sans refloxion.
ARRENFESSADÖR, 4. m. lanceur de javelois,
celui qui lance des dards; celui qui allaque,,
qui insulte.
ARREMESSAMENTO, 5. m. jel, l’aclion de jeter.
AnrENEsSÄÖ,s. m. aug, d’Arremesso. Dard,,
javelot, trait.
ARRENESSÄR, o. a. Jeter, laucer avec effort,,
pousser loin de soi, darder, menacer de frap-
per. — 0 cavallo, pousser le cheval & toute
bride.
ARREMESSÄR-SE, ©. y. s’elancer, se jeter,
fondre sur quelqu’un; s’exposer, braver. (Ag.)
Agir inconsidereınent.
ARREMESSO, 8. m. jet: l’aclion de jeier, de
lancer; clan: P’action d’attaquer, de (rapper ;
menace; attaque ; trait. Armas d’—, trails, Be-
ches, dards , javelots, des arıncs qu’on peut
lanrer ou darder. (fig.) * Audace, tenıcrite. En-
trar de —, entrer avec impetuosile. Faser —
de ‚ faire scııblant de vouloir se porier &. — de
po<la, veine poelique. — do carallo, elan,
mouvement subit avec cMort que le choval fait
en prenent la course,
ARR
ARR 139,
ÄRRENETTEDÖR, 8. M. agsosseur, asseillemt. ABGEPATMÄDO A, P-P- 4
- ARzEBETTEDCRA. V. Arremellide.
ARRSuErTewte, adj. 2 gen. qui assaillit, qui
unse. Ledo— , (1. de bias.) lion qui ost dans
Tauitude d’asseillir.
ÄRRENETTER, u. &. aliaquer, assaillir. ©. #.
smber brasquwemment sur quelque chose, alla-
quer brusgsement; 50 jeles sur, fonılre avoe
kmpeluosite sur l'’ennemi.
ARESETTIBA, 5. f. allaque, irruplion, l'a0-
Von dassallir, diatiaquer; combal, chos,
charge , assaul.
ARRERETTBORAE |. Arremetiida,
ANSENETTIBENTO,
AKRENIRIDO, A, Ed. (d. Pop.) colörique,
kargnem. p. p.d’
ARNRENSNAR-SE , ©. Tr. (d. POP.) 66 melire om
coldre.
f Aununea (das viahas), s. f. (& d’egr.; " bi-
zoment , binage : secoude fagon qu’on donne A
is tere.
AznzuBAaCcA6, V. Arvrendaminio.
ARRENBÄDO, A, 7. pP. d’Arrendar ‚el adj. On
k ditd’un cbeval qui est decile am drein. (Ag-)
Modesie, parlent d’un Bsınme,p. we. il.
Garni de denielies, de la fagon des demiwiles.
AnnExmanön, 3. m. fermier. V. Rendeiro.
Benlier, qui prend ea donne & fermc, a lousge.
— des tributos , fermier gemesal.
ABREIDAMENTO, s. m. (ormage, arrenloment,
ımedistien,, beil, lauage. Prix de ferms.
ARRANDÄR, 9. a. arsenter, allerımer, amıo-
dier; donner ou prendre & ferne. — um massa,
aflermer om tetslile. — em rameos , allermer par
Iais, portions. Ndo Ihe arrendo 0 ganko, a mic-
dre, ee. (fam. fig.) Je nasuis pas jaloux de un
sort.
+ Annzaaan, ©. 0. (l.d’agr.) biner : donner
ums seconde [lagen aux vignos, au mals,
ARRENKCAGÄÖ, 8. f. apostäsic, reniement,
AnREYECIDA, 5 f- "hombre : jeu de carles &
weis dans legnel on denne neul cartes A cha-
gue jousur.
AÄRRENSCÄIDO, A, 9. p. Ü’Arrenegar, ei adj.
michent, fächt, mis en colörc. Renegat. V. Re-
ÄRREBECADOR , 8. m. aposial, Ecnegat: cclui
gei a reni6 sa religion. Benieur, blasphema-
kegr, jureur.
ÄBBENESIR, ©. a, aposlasier, renier; deles-
ter, abborser. V. Ranegar.
ÄRRSNECAR, ©. ». Fenier, tenoncer & Dicu, &
sa religion „ prendse le lurban. Blaspheiner, ju-
rer, mandire. (Ag.) Dölester.
ARRENEGAR-SE , 0, Tr. se [ächer, sc ınclire en
Anngutco, 6.0. *execralion, imprecalion, Ju-
mment.
* ABRESBANSNTO. V. Arrunhamento, Ruina.
ARBESCHCHÄR. V. aciar.
* kunto ou Aratıo, adv. (L. fam.) succcssi-
‚ment, de suite, sans Interruption, Ds arı co,
Terraskıo- pisd.
ARREPANHÄR, 9.0. (f. P0P.) agrippar : Pien-
dere ‚ saisir avidament.
AnnzreLlagid, a. f. l’aclion d’arsacher los
ebevoux, ,
* AxREPRLLÄDG. V, Arrepellde,
* ARABPELLÄBO, A. P. P. d’Arrepellar.
AnsspgLLiß, s. m. l’action de liren, d’arra-
oher les cheveux, Tiraillement. V. Kopelids.
Fazer alguma oousaa — davoniade, [site yucl-
que chosa A couiro-caur, & regret,
ÄRRETELLÄR, 9, a. decheveler ı ascacher la
poil et surtout les chavauız lirer aycc violenee.
ÄARREPELLAR-SE, U. 7. 90 deeheveler, s’arra-
cher les eheveus.
ÄBRAPENDER-+SE (de), u. r. SB repenlis, 56 re-
connaltre coupabie , zegreller : Aveir.une Tori»
table douleur, un verilable regsei d’aveir fais
ou de n’avoir pas Sail une chose, (Ag.) Changer
d’opinion, se rölracier. Tempo vird em quo
elle so asrependa, ıl aura Lowt lo loisir de sen
repentir,
f ARREPENDIDA, 5. [. fenıme ropsatite : lemnme
qui, voulant se corriger de sa maniere de vie,
so relire dans un couveot founde pour Loules
' celles qui voudrons prendre Ic möme pagti.
ARRBPENDIDO, A, P. P. d’Arsepender-se, eb
adj. repenti, conlrit, repentant.
ÄRHEPENDIMENTO, 5. m. Fepenlir: ragret sin-
cöre d’avoir fait ou de n’avoir pas fait quelque
ebene; reponiance : dauleur qu’an a de ses p&-
chös,
* Anuspaso,s. m. V. Arrependimento, el adj.
V. Arrependido.
Ankerii,s. f. chanson libre.
ABRErIA-CABELLO, adv. ü vebsousse-poil.
ARREPIAR, elc. V. Arvripiar , elc.
* Aunkpıcan, elo. V, Repicar, eie.
ARKEFOLBÄDO, A, adj. (1, burl.) A maniire
de clhou pomnıe,
AUREPRRUENDER. V. Reprehonder.
AunkPricıo ,A. V, Abrepticio,
ARREQUENTAR.V. Requonlar,
AnRESAR,ele, V. Arrazoar,
ARRESTAR,elc, V. Embargar.
* AnRESTO, 6. m.arräl, arreslalion. V. Zn»
90.
AUREVECAR. V. Arrcresser.
Aunavssän, eis. V. Arrerezar,elc,
ÄRREVESSADO, A, P. p.d’
ARREYESSÄR, v. a. vomir. V. Vomitar. (fg.)
Repousser de l’amilie ; hair, detesterquelyu’un.
— a alma, expirer, raudre l’äme, le dernier
soupir.
Annsvesso,A. V. Reresso, Diffcil.
ASREVEZADAMEXTE, adv. de lravers, A TC-
bours, & cuntre-sens. Tour & four, recipraoyue-
ment.
ARREVEZÄDO, A, P. P. d’Arrerezor, cL.adj.
toriu : quin'est pas droit; dilficile, eunbrouile,
obscur, inintelligible.
Anıkvykzan. V, Revezar,
AnrEro,2.m,eladr.YV, Arreio, drreo.
ARRIADO, p. p. d’drrier
140 ARR
+ Arnnıino, 8. m. (8. d’iesl. nal.) arrien:
vautour des Pyrendes.
Anrıın,v. a. ($. de mer.) caler, baisser, ar-
risser amener, on parlant des voiles. (dd.) Filer
le cable, lächer la corde, le cAble peu d peu. —
bandeirs,, baisser pavillen. — a esc#la, lächer
le couet. — as gavsas, riser los huniors. — a
amarvs por mäo, larguer ou fller le cable. —
« amarre pouce & Pouco , larguer, Bier lo cAbie
en douceuf. — as gaveas por mio, amenor les
huniers en paquet.— as gevens sobre a pega,
amener les buniors sur le ton.
Anntara, etc. V. Arvreaia,
Aruriz, .. m. V. Arroas.
Anninı, ade. dessus, ci-dessus ; en haut.
Au-dessus,, au delä. Arriba / Arribs/ en haut
tout je monde! voiz pour 6veiller ooux qui dor-
ment; eri des marins pour appeler los mousses,
pour les faire monter; st. pour faire aborder,
prendre terre. — ! arrive! — todo! arrive tout.
Be baizo --, contre-bas; de haut eu bas; della
wete aux pieds ; du commencement & la fin.
dig —, d’amont. De pdlas ou pernas—, sons
dessus dessous. Voltar de baixo pera-rıle,
meüre tout sens dessus dessous. Negocio,
couss de costs —, alaire dificile, epineuse,
ptnible. Dar comsigo de pornas —, se pordre,
se ruiner.
Anuısaciö,s. f. "aurivage, arrivde. V. Arri-
bada. Avcs d’— ‚ olseaux de passage.
Aunısipa, 5. f. (f. de mar.) " abord, arrivee,
arrivage, reläche : entrde d’en vaisseau dans
un port. Reläche occasionnee par lo mauvais
temps. O leme d’—, (t. de mar.) arrive!
Aunısip0,A,P.p.d’
Annınir (a, Para), v.». (1. demer.) arriver,
aborder,relächer, prendreterre. Relächeräcause
du mauvais temps ou d’un danger quelconque.
— soöre, avancer, tomber sur. Exoeder en
nombre, en valeur. (Ag.) Rötrograder, changer
d’opinion. ü. Se remeltre, se rötablir, en par-
lant de colui qui a &i6 malade. — governando
& bolins, (. de mar.) bouter le lof. — sobre
alguma maleris, revenir sur une malidre, en
reparier. — pouco a pouco, (1. de mar.) arri-
ver en dependant, en rondissant. — Sodo, (id.)
arriver lout plat. — para correr vonlo em
popps , arriver vent arriere,
AURIBMR , v. a. monter en haut; porter, con-
duire.
Annıcan,etc.V.Amarrer.il.Ourigar, Ericer.
® ÄRRICAYEIRO, 5. m, milicien ä cherval.
Annicora, s. m. (. burl.) V. Altmaria.
Annıtıro, 3. we. muletier, conducteur de
betes de somme.
AnnıfL, s. m. anneau d’oreille ; anneau d’or.
Levier. V. Alavanca.
Arnımän,ele. V. Rifar.
* Anzırz. V. Rocife.
*Anauan,. V. Enriar.
* Annıınipa. V. Arreihdda.
Annımanıco,A, adj. Ilse dit Agurdment de
celui qui s’attache & une personne pe "m in-
tere particulier.
ARR
ARRINADO,A,P.P. d’
ARRIMAR, ©. a. approcher : metise, placer
contre , melire pres. Metire de cötd, cesscr de
so servir d’une chose. (Ag.) l.aisser, abandon—
nor, quitter, renoncer. it. Deinettre, destituer
d’un omploi, privor de la faveur, de l’autorite
qu’on avait. — 43 eos muros, adosser
les schelles aux murailles. — a cabers, s’acco-
ler. — as coslas, s’adesser. — ss csporas ao
onsallo, chateuiller, piquer lögerement le cbe-
val. — 0 crevo, eneleuer un cheval en le fer-
rant.—os hombres (ig.)‚travailler avce activile,
avec zöle A une affaire, y donner leus ses soins
AnnımÄir-se (6), 9. r. S'appuyer, se soulenir,
so roposer en s’appayant. S’agröger, se joindre,
se reunir & d’auires personnes peur ne faire
qu'un möme corps. (Ag.) S’ötayer de la protec-
tion de quelqu’un. — ao ponte de dificuldade,
commencer ä saisir le point d’une dıfficalie. —
ds parddes, s’appuyer contre .a muraille, en
parianı d’un homme soül. — es parccer, d
opinido d’ouirem , adherer A opinion, au parti
d’un aulre. — conire ums par6de, s’acouler.
— dlerra um nauie,, alterir. — a um
s’accrocher & un bomme puissant, riche, etc.
AreimOo, 5. m. appui, soutien, accotoir, os
tout ce qui seri & appuyer. (Ag.) Appui, faveur,
protection. Felteu-me o meu meihor —, celwi
qui me portait le plus, manque.
Annıncar , etc. V. Arrancar.
* ARRINCOAR-SE,V. r. se rolirerde la seciete :
fuir, eviter le commerce des hommes , so mei-
tre dans un coin.
Axninno, s. m. lieu ou l’on pöche des aloses.
+ Ansıösca, s. f. (8. burl.) ruse, wur d’a-
dresse, osc ; piöge
AnnıÖzES, sm. pl. petites billes de pietre
pour Jouer ä la marelle ; chıques,, merbres.
Anaırıipo,A,P. pP. @’Arripier, et adj. he-
riss# ; tremblant de froid ; malpeigne.
Ankırıapüna, 8. f. l’aclion et l’elfet de heris-
ser lescheveuz.
ARRIPIAMENRTO,, 3.0. frisson, frissonnement :
löger tremblement cause par le froid qui pre-
cede la fitvre.
Arnırıir, o. a. faire frissonner, faire trem-
bler de froid, de peur; faire dresser lescheveuz,
les rebrousser. — a carreira , rebrousser che-
min, et au ligure, se repeter, tonıber dans des
redites.
ARRIPIAN-SE, ©. r. [rissonner, avoir des fris-
sons, trembler de froid, de peur;; avoir horreur,
s’eflrayer, craindre, &ire saisi d’horreur; etre
€pouvante. Arripidräo-se-Ihe oscabellos na ce
bera , les cheveux lui dressörent ä la tete.
ARRISCIDAMENTE, ado. hardiment, leınerai-
rement , audacieusement ; hasardeusenent,
avec peril.
ARRISCADISSIMO,, A, adj. sup. d’
ARRISCADO,, A, P. p. d’ärriscer, etadj. haut,
elevs, basardeux,, aventureux, riscable, Dan-
gereur, perilleux. Fortuit, imprevu, inopine,,
qui arrive par hasard. Estar -, pericliter, Are
en danger, se trouver en peril, courir ris'fue.
ARR
Ho deinade ser dd —, IL n’csi pas Abeaucsup
es sans danger.
AaRISCAR,, ©. a. Fisquer, hasarder, exposer,
susturer, metire en danger.
ARBISCAR-SE, ©. r. se hasarder, se melire en
peil, s’exposer & la fortune, s'exposer au peril,
aserir risque, risquer.
Arrırano. V. Arribddo.
AntızisO, A,P.79.4
+ Aunızia, vo. a. (1. de mar.) rider. prendre
des ria, sccoureif une volle avec des plis. 4.
Mettse la chaloupe dans le vaisseau et !’y amar-
ber avec des dormantis.
* ın20. V. Lama, Lodo.
Azusöaı, s. f. arrobe: poids portugais de
32 livres, de 36 onces chacune, qui valent 14 ki-
logrammes et demi. il. Mesure ancienne de li-
quides dent la capacits varialt dans dilferentes
prorinces. C’etaii ä peu pres 6 almudes. \V. ce
met.
ALRORADO, A, P. P. d’Arrober, ei adj. pese
par arrobes, en gtos. il. Asssisonn6 aves du
vun cuil.
+Arnonaueato on Annonıcäö, 8. m. ou f.
Tscion de peser, mesurer par arrobcs.
ARLOBÄR, TO. 8. peser, mesurer par arrobes.
it, Assaisomner avec du vin doux cuit, avec du
rassine.
ARcöBE, 5. ms. vin doux cait, raisine ; rob.
+ Aunontu, 3. m. (I. de mar.) rubans ou
temmandes : sorte de cable lail a la main.
ARROBCSTAR-SE, T. r. devenir robuste.
AssocHäpa, 5. f. coup de bille, de bälon, etc.
AREOCBABO, A, P- P-4’
Arcocsir, ©. @. biller: serrer un ballos,
kasdre des peaux avec Ja bille ; donner des coups
de bille, de biton. (Ag.) Serrer oxcessivement.
ARROCHAR-SE, D. T. (1. fam.) se serrer trop.
BD se dit des femmes qui serrenLirop lours cor-
seis. .
ARA0CHEIRO. V. Arridiro.
ARROCHBLLAR-SE. V. Acasiellar-se.
Ana6cno, 3. m." bille : gros bäton pour serrer
kesballets, tordreles peauz, ou lorsoir; Karrot,
leurmiquet, cheville A tlourniquet. —, trongon de
beis nom Aravaille. —s, (1. de mar.) cordes
neutes au bout. Propender para aparle do —,
(Für. fam.) ll se dit des personnes qui ont de
Fanelination pour le mal.
Anuoezir. V. Rodear.
+ ARROBELLÄDO, A, 9. P. d’Arrodellar, et
adj. armb de bouclier. ( !. de bot.) Scutiforme :
ier.
ARROBELLÄR , 9. @. armer, couvrir de bou-
eier, meltre un bouelier au bras. Il est aussi
steigregue. S’iarmer et meiize un bouclier &
son beas.
* ARBOBILEAR-SE, etc. V. Afoslhar-se, ele.
Ann090, 5. m. irou au izamail.
Ansocıcid, s. f. l’action de starroger. ( 1. de
prei. enc.) Adoption. ,
AuR0CiS0O, A, P.P- d'Arroger.
+ Anaocanoa , 5. m. celui qui s’arroge, gai
Fassriäus quelque char. .
ARR 141°
Annocäncı, 8. f. arrogance, Bert, sull-
sance, presomption ; hauteur, insolence.
ARROCÄNTE, adj. 2 gen. arrogant, fier, or-
gucilleux, rebutant, rogue ; haulain, insolent,
Courageux, vaillant, intrepide, brave. (Ag.)
Superbe,, beau.
ARBROGANTENENTE,, adv. arfogamment, aveo
hauteur. .
ARROCANTISSINE , a, ady. sup. WA nie.
ANROCÄR, v. a. arroger, attribuer & auiroi co
qui ne lei appartient pas.
ARROGAR-RE, ©. r. s’arroger, s’atlirer, usur-
per, s’appliquer, s’sttribuer, se [sire un me-
rite, prendre avaniage de.
" Annosar. V. Brolar.
Araoino. V. Arrwido.
* ARROINMANENTO. V. Ruine
* Annoianaa. V. Auinar.
Anni, 5. m. Fuisseau : petit courant d’eau.
Annoıos, wi. V. Marröios.
ArnOJÄDANkuTE, ade. audaclensement, in-
trepidement, hardiment.
ARROJADIGO, A , adj. qui peut ötre facilement
jeie, lanc&, qui est fait pour öire jete, lance.
V. Arrojado.
ÄARROJADISSINO,, A , adj. sup. d’
ARRO:ÄDO,A, 9. p. d’Arrojar, ot adj. (Ag.)
Determine, intr&pide, oourageux, impelusuz.
ARROJADOR, 8. m. celui qui Jette , qui lanee,
qui darde.
Annosapöra, 8. f. piece d’un moulin & bras.
ARROJAMENTO. V. Arrajo.
Annoräö,8.m.V. Empuchdo, Tirdo.
Annosin, v. a. lancer, pousser, jeter, d&eo-
cher; chasser, rejeier, expulser, debusquer.
Trainer. V. Arrestar. — de si, (ig.) Repousser,
rejeter, dearler, rebuier.
ARROJÄR-SE, ©. r. so lancer, se jeter, se pr&-
cipiter, 8’&lancer. (g.) Oser, se hasarder, s’a-
venturer, avoir la hardiesse, prendre la liberie,
ne pas craindre de, presumer, entreprendre, se
lioencier. Se trainer par terre, en parlant d’ua
epileplique,, etc.
Annt1o,s. m. "audace, hardiesse, intrepidite,
presomptiion ; debardement. —- impeluoso, 6lan.
— desesperado, coup de desespoir.
AanzoLin0,P.P.d’Arroier.
ARROLADOR, 5. m. enröleue ı: gelui qui falk
l’enrölement.
ARROLANENTO, 8. m. enrölement; relere.
ARROLÄR, ©. a. enröler : meltre, dgrire sur
le röle des gens de guerre ou de mer, etc. Iu-
ventorier.ii. Rouler, enrouler, plier en rouleau,
V. Euroler et Roler.
ARROLEBAÄDO ow Annoıuarn, V, Rolhar, efe.
AnaoıLLo. V. Arruiho.
ARKOMANCABO, A, P. P. d’
2.
ARRONANCAR, ©. a. dcrire, traduire en lan- _
gage portugais. V. Romancear.
Annöusa, 8. f. (1. Pop.) ‘air que l’on jeue
sur une es de guitare et qui fall besucoup
de bruil. Couse d’— , chose dionnanie.
AsagupAps, Y, Armdo, Ratura,
138 ARR
Aunoupinss, Pl: (1. de mar.) V. Arrumba-
ARROMBinO, A, P. P. d’Arrumbar, et adj.
(fig.) Casst , brise; penelre; en deserdre.
ARRONBABOR „5. m. emionceue : qui enlonce.
ARROMBAMENTO, 6. m. enfoncement : eflrac-
tion ; l'action d’enfenoer. " Fraciure, ruplare
des portes, des [enetres, elc.
ARBONSÄR, 0... rompre , briser, mern en
pitces les portes, fenötres, enfonoer.
(fig.) Vainere, abattre , humilier. — as prisdes,
fosoer les prisons.
° Annourin. V. Arroßer, Romper.
+ AunaonyY,s. m. (1. de bei., arreny : sensi-
tive du Madagascar.
ARROSTÄDO,A,P.p.d’
ARROSTÄR, ©. a. 20 meitre vis-d-vis; se pre-
senter, enireprendre aveo bardiesse. u. ». ( M,
com) braver, affrenter, faire (&te, se raidir.
com 0 inimigo, faire face Al’annemi, le com-
baure , ’atlaquerde front. Il est quelqueleis re-
eıproque.
* Annösto. V. Defronte.
* Aunostaan. V. Arrostar.
AELROTADO, A, P. p. d’Arrotar.
ÄRROTADÖR, 8. m, roleur: oelui qui role.
(Ag.) Fanfaren,, rodomoni.
ARROTADÜRS, (4. de mar.) V. Arreale-
dura. (id.)
ARROTÄR, v. ». roter: laire des rots. (Ag.)
Blasenner, faire parade.
Anaorktı,s. f. novale: terre nouvellement
defrichee.
Ana0TEiDO, A, pP. pP. d’Arvrolsdr.
ARAOTEADOR, 5. m. defrichenr : qui defriche
une terre.
Aunotein, vo. a. defricher : meltre en valeur
une lerre incalte.
ARRÖTO, 8. ms. Fol, eruclation: voniesikt; va-
peur qui s’eleve de l’estomae.
ARBOUBAUENTO, 3. m. "oxlass, vavissernent
d’eaprit, transport , suspensiou des sens cau-
s6e par une forte contemplation de queique
objet oxtraordineire ou surnatarel.
ARROUBAR-SE, ©. r. s’exlesier, tonıber en eX-
tase. —, tiro saisi d’admiratien.
Arxourir, etc. V. Enrouper, ete.
ARROYO. V. Arreio,.
+ Annoxino ou AAROXEÄDO, ady. de eonleur
violetie, qui lient du vieler,
Aarös, s.m. ri. plante graminde, aquati
que ou de monlagne, qui prodait la graine
du meine nom.
f Aua0z-DUS-TELBADOS OW BOS-RATOS, (6. de
bei.) polite jeubarbe; trique-mademe,, trippe-
madarme; l&tc de souris; orpin blane.
ArnoziL, 8. m. *Tiziere: campagne samee de
2,
Annözes, pl. d’Arroz.
AnsUi0D0,A,P.p.d’Arruar.
° Aansavon. V. Vadio, Valenido.
ARRUANENTO, 5. m. alignement en rues.
Anntirn,o. a. diviser, separer en ruc#, en
quarliers, faire ia division d’une ville 9,
50 prarmener pause faire je oser ü me dee. if.
ant. Groguer d’une maniere partiewliöre, em
pariant du sanglier lorsqu’i) se voll peursuivi.
Anrcoa, 5. f. rue: pisnte aııdre, vivace, r&s-
yon on medeerine. — des mures, (1. de
bot.) dorodille des murs, vulge,, la sauve-vie
la rue des murs. ”
ArateıLa.s. f. (i. debies.) "besant, lourteau.
(t. dorf.) * Morceau d’argent brat de la fagen
d’une omsseroie. (1. da star.) Virele.
AnaURLLiÄBO, A, adj. ( t. de bias.) basamid r
do besants.
ARRUFADICO, A, adj. quise fäche fasilement;
boudeur.
ARROFABINEO, A, adj. dim. d’
Anuuri20, A,p.p. 6
Arnzdrin-se,o.r. gronder, montrer les demis,
en parlant d’un chien en eolöre ; herisser ie pla-
mege, en parlant d'un dinden. (Ag.) Se rider,
en parlant de la surface des eaux. So lächer, se
d3piter, stestomaquer.
Araumınkeo, A, adj. qui a lesmanitres, Yalr
de rufien ; peu honntte.
Anzüro, s. m. depit 16ger, mdignation, em-
portement, mauvalse rumeur. — de namers-
dos , depit amoureax. Os —e des amanles sie
ums de amer , \es piques des amants
sont renouvellement d’amour. .
Anntcino, A, 9. Pp. d’Arregear, et ab.
ertspe ; ride. Cära mais —a que ums wre Pas-
sada,, visage plus ride qu’an raisin call.
ARRUGADÖRA. V. Arrugamenio.
Annccautıro, s. m. Paction de rider, de se
rider; etat d’une chose rid6e, quf a des plis, ete.
Anrtcir, v. a. rider, froncer, racormir, gre-
silter. Faire des plis dans des hardes , dans de
papier, etc. — a frenfe, (fig.) froncer le sour-
eilt : avoir l’alr Petre fache , d’&ire en colere.
Anntcha-SE, o.r. se rider. V. Enruger-es.
Annuino, s. m. bruit, tapage; tumulte.
ARRCINADO, A, P. p. d’Arruinar, et ad}.
grele, flambe, confisqu&, ruine, perdo.
Anktitanpön, A, 5. celul qui detruit, qui
mine, qui delabre, ravage. Il est aussi ad).
Annttvir, o. a. ruiner, detruire, ravager,
desoler, delabrer, &craser, rompre, tenverser,
abimer, d«molir, bouleverser.
Anntixär-SE, v0. Fr. se ruiner, se demelir,
tomber en ruine. —, perdre tout son bien, le
dissipcer.
* AuRUINHÄR , v.4. V. Arrunlar, Arruiner,
Rachar.
ARSUIVASCÄDO, A , adj. FOUX, FOUSSOBE.
ARRULNADO 0W ARKELLABO,A, P. 2.d’
Aunuızin ou AnavLLin, 9. a, Derusr: vo-
rmuer le berccau pour endormir un enfant, -
V. 4sslanter. Rousouler, caracouler, bouler.
Il se dit du son que les ns et les toure=
relles produisent avec le gosicr. On ie di wasıt
de deux amants qui se font iaeour.
AnnüLno ou Anadıı.o, 8. m. roncoulernent ;
son que les pigeons et les tourierelles produi+
sontaveclegosier, L’aciion debereer
ART
TAracua, 8. f. (li. d’hisl. nat.) "arrouma :
bihal des Antilles.
Jasiwagiö,s. f.(l. de mer.) "arrimage, Ar-
rumsge : arrangemeni de la cargaison d’un
rasscau. id. " Groupe demusgesdans l’horizon.
it Position geographique dans la carte, — de
miss „ (6. de comm.) tenue de livres: Ecriture
de regisire ou livres de commerce par dois et
reif.
ARRCHhCOS, 2 m. Al. (td. burl.)" bouderies
d’snanis.
Arauuino, A, 9. P Ü’Arrumär.
AURUEADOR, A „Ss. Colui qui dispese, qui met
en ordze,, qui ssrange, (ui rFegie. if. (d.de mer.)
V. Alasirader.
+ Anarmica, 8. f- (ti. de mar.) V. Arruma-
Ararmäs, oa. (t. da mar.) aurimer : placer
et arranger d’une manitre convenable la aas-
gaison d’um mavire. Arzanger, esr, Sisposcr, placer,
metise en ordre quelque cheso.
+ AaRUmÄR-a8, 9. Fr. sarranger, Sajusler, Se
melire en omdse; se placer, s’etablir. (4. de
mar.) Metize locap ä la route, on parlant d’un
vaisscam.
+ Aunnmnänas, 4 s.f- pl. (1. de mar.) romba-
Eisen : pianches du bordage d’une galere.
Arzuuo, 3.0. V. Arrumagio, A
+ Aurnunnän,ele. V. Arrsiser, Alir. (1..de
crd.) Rogner (lasemeile).
Arıüvıpaö. V. Nerrugem.
Ausa6, V. Asia.
ARSENÄL ‚3. m. arsenal : magasin d’arımes et
de Iauigs sortes d’insiruments de guerse, soit
poor la teste, soil pour la mer.
ARSBIEACO, adj. arsenique, arsonical. Asidao—
(t. da chim.) arsenic satıc6 d’onygöne.
Ansaaıın0, A, ad, (4 de chim.) arseniö:
comhine avec l’arsenie. -
Ansmpıare, 5. u (d. de chim.) arseniale : sel
forme par la combinsison de l'acide arsenique
aves differemtes banes.
ARAEIICHL , adj. 2 en. (1. de chim.) arsd-
nisal : gei wenäde Farsanic.
AnsenıcO, 3. m. umkemio: mudtal aigso, CAS-
sant „ volatil au [eu ; poison viejent laraqu’il est
seblum£.
ARSENIOSO,, A, adj. Acido —, (4. de chim.)
arsenieux (scide) : araenic avec une faible por-
bon d’orygene.
+ ArsEnite, s. m. ctadj. 2 gem. (I. de chim.)
arsenite : sels formes par l’acide arsenieux et
les terres,, les metaux, les alcalis.
+ Ass, s.m.(t. de dot.) arsis : arbrisseau
de la Ooehinchine.
+ Arraurra. V. Päo de pörco.
Aare, 3. f. "art: methode pour bien faire un
mge selon certaines rögles; collection de
ees regles ; ensemble de moyens, d’experiences,
„de procki&u pour feussir. —, tout
ee qui est fait par industrie. Ruse, artifice, fl-
ART 443
de naturel. De —, de maniere que, de sorte
que. D’esis— ainsi,de coste maniere. De dal,
de telle manitre. Homem sem —, bomme zung.
axt; inepie; ruslique, grossier. Obra primo-
rosa da — ou prisur d—, chef-d’aurse de
l’art, ouvrage bien faitouqui a coüle besucenp:
de poine & faire. Ariea, pl. MEnGeS, TUSSS, IMBri
nö6es sourdes. Gurso d’—, cour& eu l’on nmel”
gne la philosephie, la physique, les leitres, ots.
Boas —,les humanites. Bellas —, les beaum
ans, los asts libtraux. Artee, pl. (1. de mar.)
filets pour pecher les sardines.
+ Arteoıa, 8. f. (8. de bot.) arıddie ; ombeb«
Idöre de Liken.
ABTEFÄCTO, 8. m. ouvrage : chose falle part
autz un prodait quelsontuue da l’art. 1 oss aussi
adj. fait avec art. i
* Aurarıcıkı, s.m. V. Arlißce, Arsiufe,
ARnTRIRICE, s. f. astuce, sagapitd, Mucsse,
ruse, ar&ßoe , mende
ARTEIRO, A, adj. zuss, astesieur, fripams.
Dos escarmoniados se farem os arteivos, les
dupes deviennuentdes fripons, ou on conmenee
par etre dupe, on fnit par €tre fripon.
ARTEINOSO,, A, adj. V. Arteiro, Memkhose.
AnTRLETES, #. m, pl. sorte do ragont fait aves
des cuisses de volaille.
ARTELBARIA, etc. V. Arttiherla, etc.
ARTELHO, S. m. "oherilte du pied, malitelb.
ARTEMÄORTO, V. Mayico.
Artzuiö, 5. m. (.de mar.) ° foule: volle
qu’on mettait anchönnement aux galtres. Arti>
mon, ıuät de l’arriere.
ARTEIISH. Ol ÄNTENIIA ‚ef. armele, herbe
de la Salntı-Jean : plane rampanlie.
Arränna,s. f. (1. d’kist. nal.) artenne: +
sezu agnatique pahnipede.
ARTEQCIM,, 3. m. fruit de !’Inde.
Anrtatı, s. f. (8. d’anal.) artörn: valssean
du corps de l’anima) qui portelesang du ewur:
vers les extremilts. Anpera — ou Iraca: trfa-
ch&e-artere : le eanal qui porte l'atr aux pou-«-
mons. V. Trackh4a.
AnrentäL, adj. 2 gen. (f. d’anat.) artöriel r
qui appartient & Partere.
ARTERIAZINHA,s. [. dim. d’Arleria, arteriöter-
petite artere.
+} ARTERIOGRAPBIA, 8. f. arteriographiie: deu«“
cripklon des arteres.
AnterlioLa. V. Arteriasinhe. s
AnrerıoLöcia, s. f. ameriolögie : trait& des,
arleres.
Anterıöso,A,.adj. (I. d’anat.) arterieur: de‘
la nature de l’arlöre.
Antenıorouia, s. f. arteriotomie: ouvertufe
d’une artlere.
+ ANTESANO ou AnTEEÄO, 5. m.’ artisarı : :00-
ui qui exerce un art mecanique.
+ Antesıäno, A, adj. d’Artois, vie en
France.
Arrerıco, A, adj. (t.de med.) arthritiqe,
ause, intrigere. Le itvre qut renferme Tcs prö- | Use dis en "merecine des meladies qui alt=
tepies d’un art, ei par ercellenoe lo Iirre dies |
Tutkzasmis on gramummise latino, — ‚ l’oppos6
quent les Jointures, et des medicaments qui y*
sont propres.
148 ART
Anttza, s. f."petrin, huche : coffre dans le-
quel on petrit et on serre le pain.
Anteziö, s. m. *söbile : valsseau de bols qui
sert aux boulangers pour melire leur p&äts apr&ös
Pavoir petrie.(8. darch,) "Soflüte : plafond, lam-
bris forme de pouires croisdes de corniches vo-
lantes avec des oompartimenis et des renfonce-
ments eurichis de peintares et de seulptures.
‘6. V. Artesano,
ARTEEOADO, A, adj. fait en forme de sofäte.
s.m. (£.d’arch.) Yassomblage des ormemments de
la seflite. 9. p. d’
Axtzzoin, v. a. (l. d’arch.) consiruire en
ferne de sollte.
Aurmäinıca,, s. f. (8. de bot.) arthanite : pain
de pouroeau, plante medicinale.
+ Aarmairıco, a, adj. (1. de mdd.) arthriti-
que : qui attaque les jointures. V. Artetieo.
f Aarmsirtıs, s. [. (t. de med.) arthrite : deu-
leur externe ; goutie aux jointures,
ArtuaöpıA , 8. [. ( t. d’anat.) arthrodie : arti-
euistion läche des os A Lete plate dans une ca-
vit6 peu profonde.
f Antunopr'nu , 8. f. (t. de med.) arthrody-
nis : espöce de rhumalisıne ; douleur chroni-
quo des articulations,
Axrice, V. Arteirice, Astuca.
AatıcuLacäö, s. f. articulation : jointure des
68. —, prononciation distincte des mols; (4. de
prat.) deduetion des [alis, des allögatiens par
arlicles. (t. de bot.) —, jonction des parties
bout & bout,
ARTICOLADANENTE, adv. distinotement, clai-
rement, d’une maniöre artieulee ; par articles.
ARTICULÄDBO, A, P. P. d’Ariiuler, et adj.
articule : garni d’articalations ; Prononos Dei-
tement.
} AuTIcuLAnTE, adj. 2 gen. qui articule, qui
Sait articuler, p. a. d’
AxricuLia, 0. @. articuler, prolerer, parler,
prononcer distinetement les mots; (4. d’anat.)
jeindre un os & un autre, (1. de pres.) Deduire
articles, articuler des fails, les proposer
par ordre interrogatoire pour oxaminer des 16-
Arricu.ir-sE, vo. r. (8. d’anai.) s’articuler,
80 joindre,
ArticvLin, adj. 2 gen. articulaire : quia Fap-
port aux articles, aux Jointures.
AaticuLo, 8. m. ( 6. d’enat.) article : jointure
des os, (4. de bot.) —, jointure, entre-naud.
ü6, V. Artigo.
" ArtıcuLdso. V. Artihcıöso.
ANTIFICE, s. m. artiste, artisan, ouvrier, fai-
seur. (fg.) Auteur.
TARTIFICIHADO, A, 9. P.d’Arlifcier, ol ady.
fait avec de l’art.
AurırıcıkL, adj. 2 gen. artifielel, faclice :
qui se fait par art. il est oppose & nusural, na-
surel.
ÄARTIFICIALUENTE, ade. artificiellement ; avec
art, artistement.
Anrtıricıir vo, e. faire une choseastigiemen!;
ars ar.
ART
Anrıricıo, s. m. artifice, art, industrie, m&-
thode, science, habileis,, Anesse, delicatesse
d’art. (Ag.)— ‚subüilite, ruse, fourberie, ma-
nege, feinte, fard. Machine ingenieuse , meca-
nique propre & faciliter l’exerciee d’un art.
Fogo d’—, feu d’artiice. Artifcios, pl. tours de
souplesse.
ARTIFICIOSAMENTE , ade. artificiellement, par
art, avec art, artisiemen!, ingenieusement.
(Ag.) Artißcieusement, adroilement!: d’une me-
niere artilicieuse , avoc ruse, avec fourberie.
Arrıricıosissino, A, adj. sup. d’
Auriricıös0, A, adj. artißciel, lait Bar te
moyen de l’art, d’apres les rögles de l’art. In-
genieux : fait avec goht, de main de malire.
(fg.) Artißcieux, adroit, accort, avis6, asiu-
cieux, cauteleux, malicieux, feurbe, trom-
ur.
Aarioo, s. m. article : partie d’un torit; oha-
pitse,, soetion , division, ımembre d’un discears.
—, chacune des demandes faltes daus un in-
toire. —, chacun des points d’un traite
de paix , d’une capitwlation. ($. de gramm.) —,
particule qui precäde les noms designes, em
determine le genre , lo nombre. — de fd, article
de foi. Il se dit de chaque point de la creyance
en matiöre de religion. — da morte, arlicle de
la mort: dernier moment de la vie.
ARTILKAÄDO, A, P. P. d’Artilkar , adj. (1. de
wer.) artill6 : garni de canons (vaisseau).
ArrtıLuia, v. a. garnir d’artillerie (une place,
un valisssau , ei0.).
Arnrı.narla ow AnrtiLuenia,s. f. artillerie >
canons, mortiers, obus, elc., et teut ce qui y
a rapport; ceux qui les dirigent. —, Yart gai
donne des regles pour Fusage du canon et dos
machines de guerre. — moniade, arüllerie a
cheval. Parque d’—, parc d’artillerie: lieu des-
tin6 a rassemblier l’&quipage d’artillerie. 48. Ar-
tillerie d’une arınde. Trem d’—, train d’artille-
rie : tout Y’attirail qui compose l’artillerie. As-
sesiar toda a —, (fig.) faire tous ses efforts,
tout son possible, employer tous sos moyen»
pour obtenir quelque chose.
ARTILBLLRO, s. mw. artilleur , canonnier: celmä
qui sert dans l’artillerie. Artillier : ouvrier qui
travailie & Partillerie. — epontador , ofliei
pointeur: offieier qui pointe le canon.
Arrıminua, s. f. industrie; fourberie, as-
tuce, rase , malengin.
Astımid. V. Artemdo.
Antista, 5. m. arlisie, arlisan : celui qui
exerce un art; qui cultivo les arts liberauz;
potte, musicien, peinire, sculpteus, archi-
tecte , etc.
" Anrısta, adj. 2 gen. V. Arteiro, Asluciose.
Arrive. V. Päo.
" Autızie, v. 6. faire avec art. (fg.) Agir ar-
üßcieusement,
T ARTOLITBO, 5. m. (8. d’ hist. nal.) artelitbe
ou pain peiriße, concerelion en pain.
tAaraE, 5.0. (4. d’hist. nal.
dem „ul ) artse ı espece
ARY
+ Aaröno, 5. m. ı & de bot.) arturo : celsic de
Candie,
AnTce, 3. m. pl. (1. ant. d’anal.) les bras, Ics
junbes , les membres.
tAarır,s. m. (1. de bot.) arty : quamaoclit du
Nalabar
+ Anulius, 8. f. (8. hist. nal.) aryana: che-
iwdon de ia mer des Indes.
Arisa,s. f. (t. de bot.) arube : arbrisseau de
Guiane , quassie.
Anüca,s. f. canal souterrain des mines,
Auula,s f. dim.d’Ara. Petit autel.
+ Astuaria (do Brazil), s. f. (t. d’hist. nat.)
" soldat: insecte de l’ordre des orihoptiäres.
V. Manse gigamiesca.
tAndsco, s. m. (1. d’hist. nal.) arunco : es-
Pece de erapaud. (1. de bot.) Barbe-de-chevre.
ARCNDIFERO, A, adj. gui produit des ro-
seaux.
> ARUSBINACEAS, adj. f. pl. (1. de bof.) arun-
dinaodes. Il se dit des plantes qui ont la forme
da roscau.
TARUNDINACcEO, adj. qui ala forme de roseau,
t Asumpımäana, 8. f. (i. de bot.) arundinaire:
graminee , Iadolphie, miegie.
ARUNDINEO, A,adj. de Foseau; [ait de roseau;
semblable au roseau.
Axcapınöso, A, 0dj. fertile en roseaux, plein
de roseaux.
tAnüsı,s. f. (1. d’hist. nat.) arusa : labre
girelle.
ARÜSPICE , 8. ms. aruspice : devin qui consul-
tait Jes entrailles des victimes pour pronosti-
quer l’avenir.
Antspıcina ‚5. f. femme qui se möle d’arus-
pices. Aruspicine : science des aruspices.
;„ A, adj. qui concerne les arus-
Autspiao ,, s. m. * divination des aruspices.
7 Auvar, adj. 2 gen. qui conoerne les terres
enitivdes. Arodes , pl. Irmdos —, douze prötres
de Corts et de: Bacchus qui oflraient le sacri-
Gce appele Arvalia.
AxviLoa. V. Alveioa.
Anvkzse , adj. 2 gen. (t. de bot.) arvien : qui
areit dans les champs lahoures.
AavicoLa ,„ adj. ?2gen. laboureur; qui habile
la campagne.
"Arvıno. V. Arbitro.
ARVOADO, A, P. p. d’Arooar, et adj. etourdi,
ARVOAMENTO, 3. m. elourdissement: affai-
biissement du cerveau, &vanouissement de
tes.
Akvoia, v.o. tourner latele d quelgu’un;
troab;er la raison.
Autoan-3E, v.r. s’övanouir: s’affaiblir de la
i&te, tomber en faiblesse, en delaillance.
ArvoL 08 Arvor
Avon. | v. e.
Anvoripa. V. Alvordda.
Aav0oRiDdo,A,7.9.4
AnvVORAR,o. a. arborer:: planter un eten-
dard, une eroiz, ws draveau haut eı droit,
woaTeFR
ASA 145
comme un athre. v. m. (1. de mar.) mäter:
garnir de mäts un vaisseau. Fuiren forcant de
voiles.
"Anvoninıo. V, Herboldrio.
A’RVORE, &. f.' arbre: plante ligneuse dlerde,
nue & sa base et oouronnde de branches ei de
feuilles & son sommet. (I. de .) mät. V
Masiro.— de carogo, arbre de [tuit ä noyau.—
d’espinho , on donne ce nom aux orangers, ei-
tronniers, eic., & cause des pointes que porient
ces arbres. — de regadıo, arbre arrose. — de
sequeiro, arbrequi n’est pas arrose. — de cons-
Irucgdo, arbre de haute futale. — do paraiso,
el&agnus : olivier de Bobh6öme. — ooral, ery-
ihrine corallodendron. —da coros d’espinkhos,
bourg-öpine. — dragdo. V. Dragosira. — di
incenso. V. Zimbro de Lycia.— dos sombreiros,
coryphe de Malabar. — iriste. V. Furabordäo.
—de Diana ou philosophal, (1. de chim.) arbre
de Diane. — de gerardo, arbre gendalogique.
— dacrus, arbre de la croix. — da Judea,
V. Olaia. — de pädo, arbre ä pain ou rima des
Pbilippines. — s6cea, (i. de mar.‘ mät sans
voiles, avec les voiles ferlees. Correr « —
söcca, naviguer & sec, sans volles. —dacas-
tidade, agnus-castus ou vitex. — (1. de me-
nuf. ei des arts.) arbro:: ie fuseau ou l’axe sur
lequel une maschine Wurne; pidce principale
d’une machine.
T ARVORECER O4 ARVORESCER, ©. ®. (d. de
bot.) croltre jusqu’au point de devenir arbre.
ARVOR£DO, 5. m. lieu plante d’arbres; bo-
cage, bosquet, verger.
ARVORETA, 8. f. dim. d’Arvore. Petit arbre,
plus grand que l’arbrisseau,
ARYVORzZiNHA, 8. f. dim. d’Arvore. Jeune
arbre.
* ARVOREZINHO. V. Arvorezinhe,
f Aarrzuöings, 8. f. pl. (8. d’anat.) aryi&
noldes : petits cartilages pairs et symetriques
du larynz.
f AnrYrenolpxo, a, adj. (f. d’anas.) aryıs-
noldien : des aryiönoides.
ARYTENO, 3. m. (il. de mdd.) aryihme : irr6-
gulariiö du pouls.
Arzt (Cavallo.—).V. Argel.
ARZEREFRE,. V. Arsenico.
T Arzimno, s. m. dim. d’Ar. Petit air. (fg!
Apparence legöre.
AnzöLLa, s. [.l’amende avant d’avoir allein
sa maturile.
A’, s. m. as : monnaie des Bomains ; me-
sure hollendaise ; poids, 4/5« dugrain. V. 4’z.
As, ort. f. pl. les.V. A, article.
A’s, contraction de «, pröp., et as, art. fem.
pl. V. A, article.
Asa. V. Aus.
ASABENDAS. V. Sabendas (8).
AsaL01äno, A, adj. V. Asseloiado.
ASALVAJAR-SE, etc. V. Aselvajar-se, etc.
f AsaLvzino, a (corola —), adj. (1. de dot.)
hypocrateriforme : en soucoupe.
ASANMBENITADO, A, adj. avec le san-benito,
Asır, V. Azar, Azo.
[}
186
ASC
+ Asanamacch 08 Asanankccänı. V. A’saro.
+Asanina ,& f. ( 4. de bot. ) asarine : plante
medicinale.
Asino, 3. m. (8. de bot.) cabaret ou oreille-
d’hemme : espdes de nard sauvage,
A’s avitusıs. V. Audssas (ds), Avesse (00).
ASBESTINO, A, adj. qui appartient & Pasbeste.
Asstero , s. m. asbeste : sorte d’amiante en
Blets, modification du mica.
Arsca, e. f. aversion: degoüt.
+ Asci.aPu0, 3.m.(f. d’hist. mat.) ascala-
phe: : fourmi-lion , Jabellolde
° AscaLvano, V. Rscaloddo.
+ Ascauönta. V. Brcammonia.
ASCARENTO. V. Asquerdso.
Ascinıpas, s. f. pi. ascarides : pelits vers
ronds aux intestins, & la matrice.
FAscanina, s. f. (8. de bot.) ascarine: arbris-
soau des Indes et de la mer du Sud.
ASCENDENCIA , 8. f. ligne ascendante : extrac-
tion : origine d’une famille. Ascendance, su-
periorits ; ’action de s’dlever.
ASCENDENTE, adj. 2 gen. qui s’eiere, qui
monte. (f. d’astr.) Ascendant. 11 se dit des &toi-
les ou des degres des cieux, etc. , qui s’elövent
ser !’horizon , dans quelque parallele & Fequa-
war.
ASCENDENTE ‚3. m. asoondant, sup£riorit& sur
un autre. V. Predominie. (8. d’astrol.) Ascen-
dant, horosoope. —e, pi. ancttres (en ligne ige
Arolie )
® ASCENDER , 9. ». monter, #’tlever. V. Subir.
ASCENDIMENTO. V. Subida, Eleuagdo.
. * Aschno. V. Acno.
Ascensiö,s. f. escension : l’action de mon-
ver, de s’tlever, son effet ; 6l&vation. ( 8. d’asir.)
— ‚art compris entre le point equinozial et oe-
lui de P&quateur, au lever d’une dtoile. —, jour
de l’ascension : fölo des catholiquesen m4meoire
de l’ascension de Jesus-Christ.
AscensıoniL, adj. 2 gen. (f. d’asir.) ascon-
sionnel : qui s’ölöve. Diferenga — , (id.) diffe-
rence entre l’ascension dreits ot Yascension
oblique d’un astre.
Ascknso,s. m. (l.d’astr.) * asoonsion : ölöva-
tion des astres. — obliguo, astensien oblique.
— roelo, ascension droite.
‚auckt A,0.M. as00t6 :ı vous aux exercices de
piels.
AscaTıco, A, adj. asobtique : qui a rapport
aus exorcices de la vie spirituelle. Il est aussi
+ Ascisus ,s. f. (t.d’hist. nat.) aschdie: outre
de mer, mollasque ac&phale.
A’scı0s, e. m. otadj. pl. asciens, sans om-
bre : habitants de la zone torride qui ont un
jour le soleil perpendiculaire sur leurs i#tes.
* Ascırkaıo. V. Mesieire.
Ascites, 8. f- (I.de med.) asolte ı hydiropisie
du bas-ventre.
Ascttıco ‚A, adj. (4. de med.) asciligue: ma-
lade d’une ascite; qui concerne l’ascite.
AsCLEPIADKO, adj. m. (cerso —) asciepiade:
vers grec ou lalin compose d’un spondee,
ASI
d’un dactyle , @’ane syliabe Iongue ei de deux
dactyles.
+ Ascızrias, 6. f. pl. aselöpien : fötes ’Kocm-
lape.
+ Ascıämas, 8. ım. (8. de bot.) V. Hürundina-
ria.
A’sc0, 8.0." nausde ‚ ddgont,, souldrementde
cur. (fg.)* Röpugnance, aversion, döge@t,
horreur.
Ascona, 8. f. (l. d’ager.) petite oomdte &
queu® o bieue.
* Asconoer, efe. V. Esconder, efe.
® Asconso, V. Esconso.
ASCOROSIDADE, 8. f. CH qui provoque des nau -
s6es, saletö degoütante.
Ascor680, A, adj. dögoütamt ı quifalt soule-
ver le caur.
Asc0so, V. Ascoroso , Asquer008.
* ASCREVER. V. Escrever.
Ascaipriao, A, adj. foro6 & laboure? une
terre, eto. — , ötranger naturaline.
+ Äscaıprivo, A, adj. remplacant, surnu-
maeraire.
Ascaipro. V. Inseripio, Registrado.
A’scu, s. f. braise, cherbon ardemt. V.
* Ascuma. V. Ascunke.
Ascöuna, s. f. petite lance de jet, trait.
+ Ascrao, s. m. (8. de bot.) millopertnis &
carröe
A secunno. V. Segundo (a).
+ Asmısans, 6. f. (1. scholas.) existence in-
döpendante de Dieu,
* Aszı0 ou
AsRıo. | V. Ensayo.
Astına. V. Auslke.
+ AstLEOs, 8. m. pl. (E. d’Mel. nal.) aselles :
Insectes isopodes.
Asırran. V. Sellar.
AstıLos, 8. m. pl. (t. d’asir.) deux dtolles du
signe du Cancer.
ASERRILEÄDO, A, adj. semblable & une goer-
melte,
* Astro. V. Acerio.
Aserıın. V. Asselear.
Asevia, s. [. imande : petit polssen plat du
genre du pleuronecte.
Asrıxta, etc. V. Asphyzia , ele,
ÄSFODELO. V. Asphodelo
Asır, s. f. Asie: une des trois parties de Yan-
cin continent. — menör, Asie mineure : Na-
tolte.
Asıino. V. Asidiico.
T AsıancHA , s. m. ssiarque : revätu de Pa-
siarchat; president annuel des joux sacrer.
magistrat romain en Asie.
+ ASIARCHÄDO, 8. m. asiarchat : magistrature
sacerdotale grecque en Asie, avec la presidence
des jeux.
Asıärıca, 8. f. (8. de bol.)espece d’andmone-
ASIATICO, A, adj. et s. Asiatique: d’Asie.
Luso —, {ßg,) luxe excessif. Kslile —, sıyla
diffus , charge d’ornemenis inuliles. Cosiumes
m 0 -
PER EEE EG N
ASN
„u, mmers eBöniinden. O3 4, pl. les peupies
€
*Asivo. V. Agerrado, Pr&so.
tA'sıLo, s. m. (8. d’kist. nat.) asile: diptöre.
= m forma de crabo , asiio fr6lon.
AsiLo. V.
‚Amir, A, al. d’äne : qui eoneerne los
nes
Asinma.V. Aztahe.
Astıraa ou Euzrums. V. Arinha et Astaheira.
Ferie. aA, adj. d’äne : qui concerne les
imes. (fig.) Bete, stupide.
Askure,. V. Assinte.
* Asin, 0.. saisir, prendre , empeigher.
* Astro , adj. ou. ( Castöllo —) bien sitad; qui
peut se däfendre,.
Asus, ei6. V. Asthma.
* Asmin , te. V. Esmar, Avsliar.
Asukato Asthndsioo
Asuo,, A, adj. azyme : sans levain; qui n’a
point 668 fermente.
Asuonto , s. m. (6. de le bible) Asmodee : de-
nen d’impuret£.
+Aswooto, s.m. (tl. d’st. nat.) asmodee:
serpent du Japon.
Asnı, 8. f. Anesse: la femelle de Fäne.
V. Burra_
Asza, s. f. (f. de eharp.) ° chevron : beis
eqaarri f\ moins de six pouces d’€paisseur, qui
perte los laties du teit; (f. de bias.) deux piöces
Pates assemblees en angle.
Assana, 5. f. tronpeau d’änes. Änerie.
ASRÄL, adj. 2 gen. ssine : d’Ane, qui con-
cerne les änes. (Ag. pop.) Brutal, böte, ani-
mal.
AssaLutute, adv. betoment, stupidement,
selternent. (fams.) Montö sur un äne.
Assın. V. Asnel.
Asmanlı,s. f. (tecto a) P’onsemble des che-
vrons qui soutiennent le toit.
Asntına, s. f. änerle : grande ignoranee de
ce quW’on devrait savoir; bötise, platitade.
Assuusiö,s.m. aug. d’deno, grand Ane.(flg.)
Exeessivement betie, stapide.
Asuzınona, s. f. da proesdent. V. Tolei-
Tons.
asino, s. m. Anier : celul qui conduit des
enteo, A, adj. d’tme.: qui concerne les
inee. Mala — a, macho —, mulet qui provient
den ine et d'une juament,
AsEiCE 08 D
os | 8. f.quallis d’äne. V. Ameiro,
Amsiuns, s. f. dim. d’Asme.
Asuiumo , s. m. dim. d’Ame. Änon : petit
One.
Asue, 5. ı. An, baudet : bete de somme,qui
a de fort grandes oreilles. (Ag.) Äne: son le dit
den esprit lourd et grossier, d’an ignorant qui
te ssit pas les choses qu’il devraii savoir. —
Bontez , Ano sSuYage,, Onagre. A — morlo ce-
tale as rabo „(pro®.) donzer du secours ou du
yutde quand il mo poui plus @ire utile, Anrds
Asp 187
fa mort le medeein. Deiameutarde aprds diner.
Assim era eu — , pas siböte.
* Asnoca. V. Esnoga et Synagoga.
Aso. V. Azo.
Asos. V. Sob, Abaiao.
* ASOLTO,
V. Absol... efe.
AsoLas. V. Solas (6).
AsosLa10. V. Sosiaio (8).
Asrı,s. f. piöoes de bois jointes en sautoir.
— de moinho, volant, obacune des alles d’um
moulin. — de Santo-Andre, croix de Baint-An-
dre , en forme de X. — de brasäo ‚* sauteir,
Asrino,&A, 9.9. d’Aspar. (fig.) Tourmentb,
martyrise.
ASPALÄTEO, 5. m. aspalathe : bois sdorife-
rant, approche de l’alods. —d’ America. V. Era
no bastardo. — espinhoso , gen&t pimeux.
+ AsrıLito, 8. m. (1. de bot.) aspale!:
plante lö&gumlueuse.
AspÄR, tv. a. crucifier : attacher quelqu’un .
une croix de Saint-Andre. Devider : mettre en
€cheveau le Al qui est sur le fustau. Biffer,
rayer. (fig. fam.) Mortifier : faire de la peine,
faire souffrir ; vexer.
ASPÄRACO. Y. Espargo.
* + ASPARGEL, adj. 2 gem. Ineulte : qui n'est
spide.
a ASPE, m. (6. d’Mst. nal.) asps: cyprin du
or.
. AsrscrÄvsı, V. Visioel.
Asp£crO, 5. m. aspect: vue d’un objet —,
perspective que presente un Neu, une situation,
un edifiee. —, face, semblant, mine, conle-
nause, alr. (#4. "Fastr. — ‚ situation des pland-
tes les unes & P’egard des autres. (Ag.) " Appa-
rence. Ao — ‚au premier aspoct, ä la
premitre vue. Debaizo d’este — , sous ce point
de vous. Ter bom ou mdo — alguma cousa, (fig.)
avoir un bon ou mauvais sspect, en parlant
d’une affaire, d’une enireprise „ eic. Por todes
08 —s, dans tous les sens.
Asp£ıto , 6. m, aspect, face , semblant, mine,
contenance, air (d’une personne). U. V. Res-
peito, Altenpdo, (anfiq.).
ASPERANMENTE , adv. Aprement, ausiöremem
rudement, durement, ser „ seche-
ment. Apresss uni
ASPERRZA , Sf} qualitö de ce qui est
üpre. Asperi h 16 ‚ AÄndesse, Imegalite : gualits de
ce qui est raboienn. (4g.) Austeritö, rudesse,
algreur, stvörit£, dureis, döso
gueur. — dum caminko, anfractuosits d'un
chemin. Com —, rudement. 1 das sciencins,
ste., tpines des sciences , eie.
ASPERGER, ©. 8. asperger : faire aspersian.
Arroser, kumecter, Jeter ou faise rejsillir ums
ligueur.
Asr£iacas, 8. m. (exp. lat.) aspersion de
/’eau benite. Copa d—, serie de chasuble de
prelat, pluvial, chape : large et long veteınent
d’iglise, en manleau , avec agrales.
148° ASP
ASPERCIDO, A, P. p. d’Asperger.
* ASPERGIMENTO. V. Aspersäo.
AspErciR. V. Asperger.
ASPERIDÄDE. V. Aspereza.
+ ASPERIFÖLIO, A, adj. ( 6. de bot.) qui a les
fuilles Apres au toucher, rudes,
ASPERISSIMO, A. V. Asperrimo, adj. sup. d’
A’SPERO ‚A, adj. Apre, dur, rabotenx; qui est
rude autoucher, quifait quelque impression in-
commode ou fächeuse sur lesorganes du tou-
cher. Rude, anfractueux, Apre, raboteux, en
parlant d’un chemin. (Ag.) Äpre, äcre, acerbe,
aigre, rev&che ; rude au goat, & l’oreille. 8.
Brusque, oru, dur, agreste, bourru, d6sobligeant,
röbarbatif, maussade, acariätre, loup-garou ,
ausiere.
t A’spsno, 5. m. aspre : monnaie du Levant,
qui vaut 9 deniers tournois.
ÄASPERRIMAMENTB, ado. sup. d’Asperamentie.
ASPERRINMO, A, adj. sup. d’ o. V. ce mot.
Asrersiö, s. f. aspersion : Paclion d’asper-
ger.
Aspinso, A,p. pP. irreg. d’Asperger.
ASPERSÖRIO, 5. m. asperges, aspersoir : gou-
pillon & jeter de l’eau benite.
+ Asr£ruLi, 8. f.(t. de bof.) asperule odo-
rante : le muguet des bois.
A’spEs, s. f. pl. "rais dela roued’une machine
ä sucre.
FASPHALTITE, adj. 2 gen. Lago-—, lac asphal-
te, debitume.. -
ASPHALTO, 3. m. asphalle: bitume solide,
dur, noir, luisant, tr&s-fusible, inflammable,
denne un ciment insoluble ; bitume des Indes,
liquide,, grossier ; karab6 de Sodome.
Aspnontıo, s. m. (#. de bot.) asphodedie:
plante & fleur en lis, racine farineuse, nutri-
tive, en navet. V. Abrotea.
+ AspnopeLolpzs, 8. f. pl. (plantas —, t.de
bot.) asphodeloides : famille des asphodeles.
Aspurxia, s. f. (l. de medı) asphyxie : priva-
tion subite de tous les signes exterieurs de la
vie, de pouls, de respiration,, de mouvement.
ASPHYXIÄDO, A, P. P. WAsphywiar, et adj.
asphyxie : attaque, frappe d’asphyxie.
ASPHYXIÄNTE, adj. 2 gen. qui asphyzie,
r.a.d
ASPHYZIAR , v. a. asphyxier ; faire perir par
ı faut d’airrespirable.
ASPHYXIAR-SE, ©. r. s’asphyxier : se donner
a mort par defaut d’air respirable.
Aspnyxıöso, A, adj. asphyxique ou asphyc-
ve.
ASPICIENTE , adj. 2 gen. (I. d’anat. anc.) du
‚ront. Veias —. V. Temporaes (veias).
A’spin ou A’SPIDE, 8. m. aSpic : petit serpent,
espöce de vipdre Ir&s-venimeuse. Sorte de cou-
leuvrine ancienne d’un calibre plus fort que
celles d’aujourd’hui. (Ag.) Aspic, medisant,
mauvaise langue, mordant, caustique, vipere,
langue de vipere. (#. de bot.) — : espöce de la-
vande d’une odeur tres-forte.
AsrıRacäd, s. f. aspiration : l’action d’aspırer;
Vaclion des pompas aspirantes. (1, asodt.) Aspira-
ASS
tion de l’äme & Dieu. (t. de gram.) — , maniere
de prononcer en aspirant; (6. de mus.) prolon-
gation du chant de la note inlerieure & la sup6-
rieure ; agr&ment sur le claveein.
} AsPıRÄDAMENTB, ado. en aspirant, avO®.
sspiration.
Asrinin0O,&A,p.p. d’Aspirer.
Asrırir. V. Espirdl.
AsPıRÄNTE, 5. m. aspirant : oelai qui aspire &
entrer dans une sociei# quelconque. —s de
merinha real, corps des aspiranıs de la ma-
rine. adj. Qui aspire. Bombs —, pompe aspi-
rante : qui souleve leau en l’altirant par ie
vide. p. a. d’
Aspıräa, ©. 6. aspirer: atlirer l’air avec la
bouche. (#. de gram.) —, prononcer de la
gorge, en sorte que la prononciation soit for-
tement marquee. (fig.) Exhaler, embaumer.
' AspırÄr (a) , dv. ®. aspirer : buter, preötendre
&, avoir des vues sur ; desirer ardomment,
Asrınarivo,A, adj. aspiratif : que l’on pro-
nonce en aspirant (letire, etc.).
Aspıs. V. Aspide.
AsprE. V. t Aspero.
Aspa£no, 8. m. asprede: poOisson du genre
du sitare.
Asotzin0, A,9.p.d’
ASQUEAR ,v. a. avoir mal au caur. liest aussi
neutre. V. Nausear-se.
ASQUEROSAMENTE, adv. avec degoüt. V. No-
jentamente.
Asquerosinpine, 8. f. V. Ascorosidade. Salo-
perie, salet#, grande malpropreis. (fg.) Tur-
pitude, tache.
ASQUEROSISSIMO , A, ady. sup. d’
Asquznöso,, A, adj. V. Ascoroso. Sale, mal-
propre, degoütant, repuussant, saligaud,, sa—
lope , pouacre.
Assa, 6. f. (— duleis, t. de bot.) V. Beiyoim,
Assı, adj. 2 gen. (ti. de l’Inde) negro—,
V. Albino. Os assas, s. pl. les albinos.
* ASSaBENDAS. V. Sabendas (a).
ASSABORÄDO, A, 9. P. d’Assaborar, el adj.
qui savoure, qui s’amuse, quis’endort, en p9r=
lant de celui qui se laisse arr£&ter par le plaisır.
ASSABORÄR, ©. G. assaisonner : accommoder
les aliments. (Ag.) Savourer. V. Engodaer.
AssasonEan. V. Assaborar.
AssaciDO, A, pP. p. d’Assatar.
ASSACADOR,, A, s.(— d’aleives). V. Calum-
wiador.
AssacıLADO , etc. V. Aracalddo, eie.
ASSACÄR , ©. 6. impulter calonmieusement,
Assicı0o,s, m. (.depharm. anc.)" coclion des
medicaments et des alimentis dans leurs pro-
pres sucs sans addition d’aucune liqueur.
Assınkına (de casianhas), s. [. rölisseuse :
femme qui rötit des marrons.
ASSADEIRO, A, adj. qui est propre a @ire rö6li,
et s. V. Assador.
Assino, e.w. föt, röti, viande rölie a la
broche ou autrement, ot adj. p. p. d’Asser.
AssaDOR, 3. m, FOlisseur: Oelui qui Fölıt.
oo 2020.
ASS
Breche. V. Esp#lo. Rötissoir : pot A rötir des
merrons , elc.
Assa-DuLcıs. V. Benjoim.
Assaptra, 3. f. " morceau de viande rötie, on
qwon peut rötir d’une fois. "Rötissage : Paction
“röur. Ter parte na —,(flg.) avoir part au
au.
Vsartrroa. V. Canafrecha da assafttida.
ASSALARIADO, A, P.P.d’
AssaLanııR,, Oo. a. salarier, gager : prendre &
gages , donner un salaire. it. V. Peitar.
+ AssaLzoibo, A, adj. saumon6 : qui ala
chair rouge comme oelle du saumon. Trufa
— 4 , treile ssumonee.
AssaL01iDO, A, adj. qui a les manidres de | nato
yaysan ; grossier, rustique.
AssıLräpa, 8. f. irruption, course imp6-
tueuse et violente de voleurs,, de brigands;; sur-
rise.
AssaLräpo, A,Pp.p. d’Assallar.
ASSALTADOR, s. m. assaillant: celui qui as-
saille, qui attaque inopinement, subitoment,
mement.
AssıLzär, ©. a. assaillir : attaquer inopind-
ment , subilement, vivement; donner assaut,
monter ä Passaut; surprendre. On le dit des
choses qui exigentousupposent une resistance,
comme: Assaltou-o a enfermidade, a fempes-
Isde , a morte ‚il a &i6 assailli par la maladie,
par la teınp£te , par la mort.
Assıırzan. V. Assaltdr.
AmsiLTO, 9. m. assaut : allaquue pour empor-
ter de vive force , soil physiquement, soit mo-
zalement. Tomer d’— ou por — ‚ prendre d’as-
seut, emporter d’assaut ; brusquer une place,
Pemporter d’emblee.
ASSaALYAJADO. V. Asselo...
Assautsto, s. m. rötissage : action do rö-
Ur er detre röti. V. Assadura.
ASSANHADO „A, P. pP. W’Assanhar-se, et adj.
(4g.) Aigri, irrite.
ÄSSANHANENTO ou ASSANHO, 8. m. l’action ei
Teßßet de Faigrir, de s’irriter ; rage, coufroux.
Assınmir, ©. @. irriter, meitre en colere,
es {ureur; zsigrir, augmenter la douleur, le
mel, eic., au propre et au figure. Il est aussi
ue.
Assiswo. V. Assankamenlo.
Assin, o. 6. rötir: faire cuire de la viande &
la broche,, en la tournant devant le feu, sur le
gril oudans une casserole.Caut£riser. Engenho
€, warne-broche : machine servant & faire
twarner la broche.— na ponis do dedo, rötir au
bont da doigt. Joc. famı. pour indiquer qu’une
chese est impossible.
Assın-sz (de), v. r.(fig.) Griller : &prouver
une chaleur excessive. Brüler, se consumer par
ie feu des passions. — vivo, griller, ötre cuit,
röui par le soleil.
CCA,
(1. de bot.) V. Assaro.
Assinus, 5. f. pl. (wvas —) espöce de raisin
3 gros grains.
ASS
Assınima. V. Asarina.
Assis.V, Assaz.
ASSASOAR 0% ASSABONAR. V. Sazonar.
ASSASSINÄDO,A,?.P. d’
ASSASSINÄR,, ©. G. assasginer, massacror , ho»
micider, &gorger : tuer de guet-apens, de des-
sein forınd, en trahison. (fig.) Tromper : trahir
quelqu’un dont on avait la conllance;; impor-
funer excessivement.
ASSASSINÄTO, 3. m. assassinat: meurlre en
trahison et de guet-apens. (fg.)* Trahison, per-
üidie envers une personne dont on avait la con-
Nance.
ASSASSINIO O5 ASSASSINAMENTO. V. Assassi-
189
Assıssino, 3. m. assassin : meurtrier de des-
sein premedite, de guet-apens et en trahison.
(%g.) Traltre, perfide : celui qui trompe unse
personne dont il avait la conflance. it. Signe
que les femmes mettent au coin des yeux. Il est
aussi adj. Qui assassine, etc.
Assıtivo, A,adj. (1. de pharım. anc.) qui est
'r6ti dans son suc. V. Assacio.
Assiz, adv. assez, suflisamment.
ASSAZOAR el Assazonan. V. Sazonar.
+ Assazo&, s. m. (1. de bot.) assazo& : plante
d’Abyssinie, dont ’ombrage engourdit les ser-
pents.
ASSEÄDANENTE, adv. proprement, blanche-
ment, elegamment.
AssEiDO,A,9.p. d’Assear, adj. prepre ‚dle-
gant. Estamds —s! (fam.) nous voilä dans de
beaux draps!
AsseiR, o. 6. Orner, approprier, parer, agen-
cer, ajuster : mettre dans un &tat de proprei6;
netioyer.
ASSEAR-SE,, ©. r. meilre des v&lements pro-
pres, s’habiller proprement, &l&ganıment.
A’SBECLA, 5. m. 9. us. V. Sequdz.
* Assgcunacäö,s. f. V. Asseguragdo, Seguro.
ASSEDADEIRA, 8. f. seranceuse : femme qui
passe le lin par le seran.
AssepiDO,,A, pP. P. d’Assedar.
ASSEDADÖR , 5. m. seranceur : celui qui passe
le lin par le seran.
ASSEDAR,, U. 0.— 0 linho, serancer : passer le
lin, le chanyre, etc., par le seran. Rendre
soyeux, doux comme la soie.
+ ASSEDENBADO, A, adj. (S. dechir.p. us.) A
maniere de seton, qui seri de s6öton,
ASSEDIÄDO, A , 9. p. ü’Assecsar.
ASSEDIADOR, A, 8. et adj. assiögeant: qui as-
siege.
ASSEDIAR, dv. a. assieger. V. Sikier.
Asstpıo, s. m. siöge: 6tablissement d’une
armee pour allaquer une place.
* ASSECUNDAR, elc. V. Segundar.
* Assecunacäö. V. Seguro.
ASSEGURÄDAMENTE, adv. aveO Assurance,
ÄASSEGURADO, A, P. 9. ü’Assegurar.
ÄASSEGURADÖR, A, 3. celui qui alirme, qui
assure. (1. de comm.) V. Segurador.
ASSECURAMENTO. V. Seguro.
ASSECURÄR, ©. 4. assurer, afferımır, rassurer,
150 ASS
raffermir, ötayer, consolider. Mettre en süret£,
s’assurer de quelqu'un, Farr&ter, l’emprisonner.
(Ag.) —, aflirmer, appuyer, tmoigner, soule-
nir, certiller, donner pour certain, rendre t4-
molgnage d’une chose. (id.) —, preservor, de-
fendre, mettre & couvert. (fd.) —, garanlir,
nantir, ötre caution, donner des Aassurances.
—,‚garantir moyennant une cerlaine somme de
marchandises dont un vaisseau est charge, ou
autres objets. Promettre. — uma embarcapdo,
(1. de mar.) amarrer un navire avec des cAbles,
des cordes.
ASSEGURAR-SE (de), ©. Tr. S’assurer, elo. iÜl.
V. Segurar-se.
Asstıan, otc. V. Asssar, eic.
Asstıo, s. m." proprot£, nettes, toilette sim-
ple et öl&gante. Com —, proprement, blanche-
ment. (ig.) D’ane maniere parfaite.
Asszıstaväno, V. Seistauddo.
® ABSEITAMENTO, V. Insidia, Tenlagdo.
” Assgıranca. V. Clade, Engano.
* Asseıtar. V. Insidiar.
” ASSELLAR, otc, V. Sellar, Ralificar.
ÄSSELYAJÄDAMENTE, adv. & la maniere des
sauvages, grossierement, brutalement.
ASSELVAJÄDO , A, adj. grossier. V. Abruiado,
etp.p.d’
ÄASSELVÄJAR-SE, ©. r. devenir sauvage; pren-
dre des maniöres grossidres, brutales.
Assku, s. mw. Carne do —, morceau de la
surlonge d’un bauf.
ASSEMBLEA, s. f. assembiede : nombre de per-
sonnes r6unies dans un meme lieu. (4. de mil.)
— ‚signal donns avec le tambour ou la trom-
peite pour assembler los soldats,
ASSEMELHÄDO, A,P. P. d’
ASSEMELHÄR, vd. 6. assimiler ; rendre, faire
ressemblant, conforme ; comparer, imiter, o0n-
förer.
ÄSSEMELHAR-SE,, ©, r. ressembler, avoir du
rapport, de la conformite avec quelqw’un, avec
queique chase,
ÄASSENDENCIA. V. Ascondencis.
AssentHa. V. Axonka.
ASSERHORAR, eic.
ÄSSENRORBAR, 6lc. | V. Senhorear, ote.
Asetuo. V Acdno.
* Ausunöna. V. Urne.
ASSENSO, 3. m. assentiment, consentement.
Assentipa, s. f. (t. de prat.) chaque fois
que le notaire s’assied pour Interroger les t&-
moins. D’uma —, (espr. proo.) d’un seul ooup,
d’une seule fols , tout d’un trait,
ÄSSENTÄDANMENTE, adv. pos6ment, aveo tran-
quillii£, aveo repos ; formement.
ASSENTÄDO, 4, 9. p.d’Assentar, et adj. situe,
plac#. Rassis, tranquılle, paisible. Convenu ,
conclu, resolu, ordonne, arretie , deoide, sta-
tue, regle. (Ag.) Ferme, söolidement #tabli. Pa-
laoras bem — as, das mots pleins de circonspec-
ASS .
tion, sages, judicleux, dits avec prudence, 52
gesse.
ASSENTAMENTO, s. m. l’aclion de s’ssscoir,
V. Assento, Situardo, Sitio. Enrezisirement.
(Ag.) Accord ; base,
ASSENTÄR,, v0. a. asseolr: mettre sur un sidge.
Il est ordinairement reciproque. Bupposer,
presupposer. Assurer, affirmer, donner pour
certain. Convenir de quelque chose, faire um
arrangement, un pacte. Noter, enregistrer, im-
scrire, coucher par e&crit. Assurer, affermir.
rondre sollde; poser, mettre dans le lieu, dans
Pendrolt convenable; asseoir, distribuer les
couches de couleur. — 05a, se mcitre en me6-
nage, lever maison. — o p£, (Äg.) marcher
ferme , marcher droit. — s vaza, prendre les
levdes qu’on a faites au jeu, les meitze de son
cöte. — praga, s’engager, s’enröler comme sol-
dat. — norol, istrer, inscrire. — so pa-
pel, prendre note, marquer. — uma bofelada na
eara,appliquer, plaquer un soufllet sur lajoue.
— 6 a, porter en depense; &crire sa de-
pense. — se om alguem, donner des
coups d’&p6e & quelqu’un. (Ag.) Reprimander
söverement, ($. d’esor.) Poser son &pte ou son
euret apr&s avoir tird.— a mdo, faire une
bonne &criture. (Ag.) Se perfectionner. is. Ch&-
vier, corriger quelqu’un. — as costures Pam
vesfido, presser avec un fer chaud les ooutures
d’un habit. — o flo d navalka, d facs, ekc.,
donner le fill au rasoir, au couteau, ec. — ums
partida nos lioros, (6. de comm.) ooucher une
partie sur les livres, passer öcriture de confor-
nie. — commercio, &tablir un commerce , 8’6-
P.
ASSENTÄR, ©. ®. conrenir, cadrer, seoir, dire
convenabie & la personne, au lieu, ä la oon-
dition , au temps, etc. Devenir raisonnable, se
rasseoir, en parlant des personnes ; s’6claircir,
deposer, en parlant des ligqueurs; se calmer, en
parlant des passions. Aller bien, en parlant
d’un habit, etc, On le dit au figur6 des emplois
etdes dignites quand Ils sont donnes A des per-
sonnes qui les meritent. Fixer sa residence, s’&
tablir quelque part.— que,se persuader, croire,
juger, penser. — n’uma cousa, convenir d’une
chose,, s’en tenir & une chose, prendre une
r6solution , se decider ä une chose. — no did-
rio, (f. de eomm,) passer un article au journal,
ASSENTÄR-SE, v. r. s’asseoir. S’enregistrer,
s6 faire inscrire. Ndo — no es ma
cousa, peser sur l’estomac, en parlant d’un«
chose que l’on ne peut pas bien digärer. As-
snlou-se ‚(pret. impers.) il fut convenu ou ar-
ASSENTE,, adj. 2 gen. assis, ferme, solide,
repond; rassis, pose. (fig.) T. Cordato, Si-
ASSENTIDO, A, 9. 9. d’Assenlir.
ASSENTIN&NTO, 6. m. V. Assenso.
ASSENTIR,, v. ». @tre d’avis, deldrer au senti-
ment, se rendre & P’opinion de quelqu’un, cen-
venir avec qwaigu’un; approuver, acquiescer ä.
ASSENTISTA , s. m. assentisie : financier, four»
— [nn .
ASS
de virres ; oelui qui s om’
gage ımers Ja gouvernement A approvisionner
uns ville, ane place, une armde, eio. Inten-
dest dala beulangerie mililaire ; diapier.
Assturo, 5. m. si6ge : meuble fall pour s’as-
meiz.° Entroe, sbance : placequ’on a dans une
usenbiöte. * Demeure, residence, assiette, 6ia-
Nissement. Lion, enoeinte qu’oocupe un peu-
sie, une ville, um ddifice. " Considence, repes ı
d’ane ok3me sur une autse. " Base:
is partie sur lagselle ropese un vase. ° Lie, d“
miltaige ; enızep6t de denrdes pour l’approri-
sisnnement d'une place, d’une armeöe, Bl6.
Vr2 „Pradenos, eiroonspeotien , tonus. (pop.)
de meelin, montiee et preöte dä mendre. Tomar
- nes sausus, rögier les choses, les r&tablir
dans Ferdre qu'elles deivent avolr. Bıtar d’—,
fazer — ‚resider, &ire fix dans un endreit. —
Tem nerio , assietie d’un valsscau. — dos &s-
Selle, berdement des dmaux. — de ponte Is-
je semmier du pontlevis : pidoe de bois
qui parte is plancher du pont. — de praps, en-
grgement, enrölesnent, eu parlant des soldats.
— su liste des presos, dcrou : registre des em-
prissznements. — d’um ionel, boissiere : le
reste du vin quand il approche de la lie. — do
freie, embeuchere du mors. Assontos do ca-
valöo, barres : partie de la mächoire du coheval
var laquelle s’appuie le more. — d’um ode
tsssement. Fazer —, eto. 11 se dit de la solidite
qu’sequiert un edifioe par P’allaissement des
mautrisux qui le oomposent. Fazer — comal-
guem , touvenir aveo quelqu’en , B’accorder.
Ter — em vorlas, avoir s6ance aux elals, —
de tribumal, de cortes, ele. arret d’un tribunal,
arroid den Busse du royaume, eto. De — ou
aveo attention et röflexion.
"hnsuseo, 4. V. Apto, Idöneo,.
* ÄSSEPTENAR, 9. 8. OU 9. payer sopt fols.
Asszncio, 8. f. u , afürmation.
ASSERENi2O, A,P. P. d’
‚9.0. exposer au serein. Il. V. Se-
roner.
Assenılse, A, P. pP. d’
AsszaliR, 0. 6, melire en serie, p. us.
ASSERTIVANERTE, ade. V. Aflrmalivamenie.
t Asszaııvo, a, ad/. qui aflirme,, qui con-
AsskarO, A, adj. 07. P. d’Assegurar.
t Asstaro, s. m. (6. de phil.) " assertion, pro-
position.
Auszayöa,, s. u. Calui qui aflırme, qui sou-
Siezt ans propesition; qui Lraite une question
ä lond ; delenseur, protecteur.
Assextönto, A. V. Affrmalivo.
* Asszsoın. V. Sazonar.
"Ansısezsan, V. Socegar, elc,
Auszssön , 8. m. 85S00seur, oflicier qui esi
adjeint ä un juge principal pour Juger oonjoin-
ASS 151
tement avec lui. Gelui qui oonseille, qui donne
des conseils.
f Asszssonia, s. /.’ emploi, place de Passo
SBur.
ASSESSORIAL OW ASSESSORIO, dj, qui H6M-
cerno l’assesseur,
AssastiBO, A, P. P. d’Assestar.
f Asszstanöna, 6. /. Paotion de placer Jos
canons, les viser; braquement.
ABSESTAR,, d. @. Metro, plaoer, poser , sie
tuer, poster, &tablir ; viser, peinter , melire en
mise, diriger une chose vers un point, vers un
but. On le dit ordinairement des armes & fon
ou de trait. (Ag.) Dirigerses coups contre quel+
qu’un, cbercher & lui nuire. — a pers, a arli=
Ikeria, affüter le canon, l’artillerie.
Assästo, s. m. (— d’ertüheria, I. de mil.)
Affütege, Pastion d’aflüter Vartillerie.
Assetrino,
Asserin,eio. } V. Assetea... ele.
ASSETEÄDO, A, p. p. d’Asselear.
ASSETRADOR , s. tireur de caups de Aöches.
Assurein, v. a. blesser,, uer A coups da
üöches. (Ag.) percer.
ÄSSETINADO , A, adj. satind , doux _sormme le
satin, qui ale reflet du satin. p. p. d
+ AssETnaR, o. 0. satiner, donner l’eil du
satin.
Assevan : pedra d’ —. V. Cevar.
Assevanaciö,s. f. afirmation, assurance »
Y'action d’assurer, d’affirmer.
ASSENERADAMENTE,, adv. alfirmativement ,
fieio, | avec affrmation.
ASSEVERÄDO, A, P. P. Ü’Asseverar.
ASSEVERADÖR, A, 8. celul qui aflirme, qui
assure.
ASSEVERANTE. V. Asseverador.
ASSEVERANTEMENTE. V. Afiirmalivamente.
ASSEVERAR, ©. @, armer, assurer , 1Emoi-
gner, certifler.
ASSEVERATIVO, A. V. Afflrmalivo.
ASSEYAR, eic. V. Assear.
"Assı. V. Assim.
ASSIDENTE , adj. 2gen. (1. anc. de med.)
v. Concomitante
° AssıDıaR. V. Assedier, Silier.
4 ASSIDUAMENTE , adv. assidüment, avec assi-
uile.
AssıpViBape, 8. f. assidults : exaclitude de
colui qui est assidu; application continuelle;
frequence.
Assınuo, A, adj. assidu, altach6 : qui ost
exact A 50 trouver od son devoir l’appelle Con-
tinuel, frequent,
Assıcnaciö, s. f. assignation : l’action d’as-
signer;; atıributllon,, sppoinlement, assignal:
destination de fonds pour le payement ; cou-
stilulion de rente sur cerlain fonds; exploit,
eitation devant le juge.
ASSICHÄDAMENTE, ado. V. Deierminada-
menie.
AssıcnÄno, A,9. 9. d’Assioner
ÄAssıcnÄäDo, 8. m. Assignat, billet, oblıgaılon
par ecrit. Seing, signature.
152 ASS
AssicnAbön, A, 8. signataire , sousoripleur :
celui qui signe, qui souscrit.
+ Assıcninos, s. m. pl. assignals: papier-
monnaie, billet d’etat primitivement hypothe-
que sur un bien.
Assıcnapöna. V. Assignalüre.
ASSIGNALÄDAMENTE,, ade. remarquablement,
svoo 6clat, d’une manidre remarquable , illus-
tre, distinguee,, 6olatante. Expressement, nom-
möment, spöcialement.
ÄSSICHALADISSIMO , A ,adj. sup.d’
AssicnaLiDpo, A, P.p d’Assi ‚er ad.
marqu6, signale. Assigne, arr&i6,, marque, de-
signe, determine. Insigne, remarquable, illus-
tre, signale , distingue, celebre, fameux, &cla-
tant. No dia -—, au jour nomme, au jour mar-
qu6, convenu. — da mdäo de Deos ou pela na-
tureza , (fam.) qui a un delaut corporel , qu’on
eroit signe de delauts moraux.
ASSICNALADOR , A, 8. celui qui signale, qui
wardque.
ASSICHALANENTO , 8. m. l’action de marquer
Pheure, le jour ; rendez-vous; assignation.
. Assi .
ASSIGHALÄR, ©. 6. marquer : meilre une Mar-
que. Parafer un acte. —, indiquer, montrer, de-
signer, donner a connaltre. Dire en termes ex-
pres , formels. —, assigner !’heure, le jour d’un
rendez-vous, etc. Balafrer, devisager : faire
une blessure au visage. —, laisser une marque.
Elire, marquer, preudre par prel&rence. Ren-
dre illustre, distingus, celebre. — com 0 d4do,
montrer au doigt, au propre et au figure.
ASSICNALÄR-SE, v. r. so signaler, se distin-
guer, se rendre cölebre.
Assıcnam&nto, s. m. Paction d’assigner, si-
gnature. V. Assignapdo et Comsi .
ASSIGXÄNTE , 8. souscripteur : celui qui si-
gne, qui souscrit. Abonne : qui a fait un abon-
nement pour un Journal, pour une suite de re-
presentations thestrales. (Ag.) Qui Ir&quente
beaucoup une maison, et0.
ASSICNAR „ ©. 6. signer : melire son seing au
bas d’un acte,, d’une lettre, eic.; soussigner,
souscrire. Designer, assigner, fixer, delerminer
le jour, le lieu pour faire quelque chose. Assi-
gner par huissier. V. Assignalar. Prendre un
abonnement, s’abonner. — de cruz, faire une
eroiz + au lieu de son nom, pour les personnes
qui ne savent pas &crire.(fg.) Ne connaltre
rien d’ane affaire, se oonlormer ä ce que disent
les autres. — em blanco, approuver sans exa-
men.
ASSIGNAR-SE, ©. r. faire son seing, dcrire son
Bom, apposer sa signature ; signer, soussigner,
Assıcnatüna, 8. f. signature, Souscription :
Yaction de souscrire, de signer dessous. * Abon-
nerzent,
AssıcniveL ‚adj. 2 gen. assignable : qui peut
ötre assigne.
+ AssıLencıan, ©. a. Imposer silence, faire
ire.
Assıu,, adv. ainsi, comme tela, donc, parlä,
e’est pourquoi, de oette manidre. Aussi, dgale-
ASS
ment, pareillement. Assim— 1A 1ä, oouol-oouel,
tel quel , tellement quellement, tant bien que
mal. — como, de meme que, autant que, aussi-
töt que. — que —,— como — , quei qu’il en
soit, de quelque manidre, de toutes lesmanie-
res. — uma como ouira cousa , tant Nun que
Pautre. — que, comme; sitöt que, desorte que,
o’est pourquol. Tanto faxs—como assado,. fam.)
o’est &gal, d’une manidre ou de l’autre. Como
—? pourquoi dono cela? comment? — mesmo,
semblablement, de meme, tout de meme; nom
obstant, oependant, — pois, dene, ainsi donc.
— sıja, ainsi solril. A cousa ou 0 onso ndo ca
— ‚oetie affaire n’en demeurerä pas !ä. Göslo
d’elle—, je ’aime commecela. Por — dizer, par
maniere de dire. — como o ar vivifica os seres,
— 0. amor 08 ‚tel que Vair vivifie les
ötres , tel P’amour les reproduit.
Assıua. V. Acıma
AssımıLacäö, s. f. assimilation: action par
laquelle les choses sont reondues semblables,
V. Similkanga.
ASSIMILADO, A,p. p. d’Assimiler.
f AsSınıLADOR, A, 8. et adj. assimilateur
qui assimile.
ASSIMILAR, ©. 6. assimiler : rendre semblabie
ou prösenter comme semblable, Il est aussi u,
ei r‘.
Assıumı.naciö. V. Assemelhardo.
ASSIıMILHAR, etc. V. Assemelher.
Assınatan. V. Assignetar, eic.
Assınan, otc. V. Assigner.
Assıntz. V. Acinte.
AssıainO, A, adj. sonst. V. Sisudo , Cordalo,
.p.d
Assısin , v. a. rendre sense.
Assisıo, s. mw. chanoine A demie. V. Teresme-
rio.
ASSISTENCIA , &. f. assistanoe : presence. Alde,
secours, faveur, proteclion, service. ° Concours,
presence personnelle ,„ interveniion. Resi-
dence, demeure. 4. Les rögles des femmes. —
conlinua, assiduite. — do medico, soins du
medecin. — divina, la gräce de Dieu.
f Assıstanta, s. f. femme de l’assisiente,
premier magistrat de Söville. Dame d’honneur
qui demeure dans le palais de la reine (en Es-
pagne). Servante, femme de chambre dans un
couvent de religieuses.
ASSISTENTE, adj. 2 gen.p a. d’Assisfir. As-
sistant : qui assiste, qui alde, qui protöge. De-
meurant, qui demeure. Garde: l4 personne qui
est aupre&s de queliqu’un pour le garder, le soi-
ener. Ereque qui assiste au sacre d’un auire
$röque, qui alde A 1a o6r&monie. Presbylero —,
pretre qui assiste le c&lebrant dans les grandes
solennites, habill6 en chape. Medico —, mede-
cin assistant : oelul qui soigne effectivement un
mealade,
ASSISTENTE, &. m. assistant: religieux, moine
adjoint au general de son ordre pour l’aider
dans ses fonctions, Procureur d’un proces. Do-
mesligue qui accompagne un personnage sur
la scöne. — de Sevilke, le premier magistrai de
u A A Ar he...
m Mn En
— a —
ASS
Strille, dont la charge repond ä celle de corre-
dor.
AsSISTIDO, 4, P. p. U’Assistir, et adj. Estar
sssistida , avoir ses reglea, en parlant d’une
ASSISTIR, ©. @. Ei "%. 35Sister, ACCOMpagner
quelqu’un, lui servir de temoin dans un acle,
dans ane etrömonie publique. Seoourir, aider,
isvoriser, proßöger, assisier. — 4, #0, assißler,
conceurir, @ire present. —a umenfermo,garder
seigner, gouverner un malade. — como medico,
trailer un ©.— COm 0 necessario , enirele-
nir : pourvoir & l’eniretien de quelqu’ un. — 6
um moribundo, soigner quelqu’un dans ses
derniers moments, lui fermer lesyeux, les pau-
pieres. — com fre ‚ fr&quenter. — a ra-
zöo salquem,, avoir la raison de son cöle. —
em Iuger douirem, remplacer quelqu’un dans
ses fonctions. — a alguem, faire la courä quel-
qu’un, courtiser.
Assıstır (@), ©. ®. assisier, @ire preseni.(om)
demeurer, habiter, loger.
Assızrıpo. V. Assisado.
Assoipa. V. Assudda.
ASSOALEBAÄDO, A, 9. P. d’4ssoalhar, et s. Plan-
cher ; parquotage.
ASSOALHADO DA COBERTA,, (f. de mar.) bor-
dages des ponts.
ASSOALHADOR, Ay adj. et s. qui publie, qui
drulgue, qui manifeste.
ASSOALHADURA 64 Ar V. Divulgagto.it. Assoa-
ASSOALHAMENTO. ) Ihado,s.
ASSOALHÄR,, 0. @. exposer au soleil pour s#-
eher. (fig. ) Divalguer, manifester, publier, faire
yablic. -— uns casa ; plancheier, parqueter.
ASSOALBÄR-SE, ©. r. s’aANNOoncer, se donner
peer(savant, litt6rateur, etc.).
Assoaute, adj. 2 gen. (t. de po6s.) assonant,
Ose dit des mots Fr ont un son final sppro-
chant.
ABSOAR, ©. a. moucher. —#8, . r. se mou-
cher: s'essuyer le ner. — d mange,, se moucher
sur sa manche.
AssosancAn0, A, 9.p.d
Assosancan, td. a. lever quelque chose de
terre, et la mettre sous le bras. (fig.) Vouloir
tout embrasser, tout entreprendre, accaparer.
AssoszasinO,A,P.P. d’Assoberbar.
ÄSSOBERBADOR , s. m. celui qui domine.
ASSOBERBÄR,, ©. a. trailer avec meEpris, avec
orgueil ; insulter, vexer. Dominer, intimider,
menacer.
Assosıapkına ‚8. [. (1. d’hist. nal.) “siflleur :
oiseau du genre des tourpiades.
AssosıiDoO,A,?. p. d’Assobiar.
Assonıapör, A, s. siflleur : qui siflle. (6.
Ehist. nat.) —, monax, beizebut ow singe vol-
ügeur d’Amerique.
AssomaR, 0. a. et. sifller : produire un sif-
fement. Desapprouver avec derision. — ds
beias, ( fam.) jouer un tour ä quelqu’un, le
womper avec finesse. -
As50si0, s. m. sifflement : bruit aigu fait en
sifflant, Siffiement des serpenis,, des oics, elc.;
ASS - 153
— ‚bruit aigu que [fait le vent. Sifflet : instru-
ment pour sifller ; coup de siflet.
ASSOBRADÄDO, A, P.p. 4’
ÄSSOBRADAR, ©. a. parqueter :
parquet; plancheier.
ABSOcEcAR. V. Socegar.
AssociaGäö, 8. f. association : union de por-
sonnes pour ua interöt, un but commun. Ad-
jonetion.
AssocıanO, A, adj. associe. V. Membro, So.
ei0.9.p.d
Assocıia, v. a. associer, agröger, coopter,
adjoindre. — (com) v. n. avoir liaison, com-
merce avec quelgu’un.
ASSOCIAR-SE (G, c0M ), v. Tr. 8’associer : se
joindre & quelqu’un, avec quelqu’un;; prendre
pour compagnon, faire une soci£t£ ; se lier. en-
trer en soci6ts d’interet it. avec, V. Mancom-
nunar-se.
Assortıra. V, Apofeifa.
ASSOGUILHAR,, 6lc. V. Acairelar.
AssoLacäö, s. f. desolation, ruine, ravage.
. Desso
AssoLino, A, p.p. d’Assolar.
AssoLADOR, A, 8. et adj. desolateur, devas-
lateur, destructeur ; qui ruine, qui ravage.
AssoLau£nto. V. Dessolagäo.
ASSOLAR, v. a. ravager, desoler, devaster,
ruiner ;rendre desert; piller, saccager, dötruire
de fond en comble.
ASSOLDADÄDO, A, 9, P.d’
ASSOLDADAR, ©. 6. gäger, prendre & gages.
V. Assalariar.
ASSOLDAPÄR-SE, u. r. sd mellre A gages.
AssoLDAR , etc. V. Assoldaddr.
ASSOLHAR , eic. V. Assoalhar, Assobradar.
* AssoLro, V. Absolto, Absolvido
AssoLven. V. Absolter.
Assosipa,s. f. apparitıon subile et courle;
hauteur, &minence. Lieu d’oü l’on commence
& deeouvrir un lieu quelconque. Faite. V. Fas-
Hgio.
ASSOMÄDAMENTE, adv. ( fig.) Hörement, brus-
quement.
AssoMÄDO, A, p. P. d’Assomar et adj. em-
porte, impatient, vif, qui so fäche aisement,
ASSOMAMENTO. Y. Assömo.
ASSOMAR, dv. #. poindre : commmencer & pe-
ralire ; se faire voir peu & peu. Monter au son
met. Il est aussi r&ciproque.
AsSsoMÄR, v. a. montrer, faire voir, faire pa-
rattre. —a cahbeca d janella, ınettre la tete A la
fenetre. it. Irriter. V. Apwlar. Evaluer en gros.
faire un apergu , eslimer au premier coup d’@i
äcombien se montera la depense, etc. Abre-
ger, r&sumer, r&capituler.
ASSOMÄR-SE, v. r. se melire en colere, se
fächer un peu. V. Assanhar-se.
* Assosar. V. Sommar, Resumir
ASSOMBRAÄDO, A, P. p. d’Assombrar, adj.
sombre, ombrage&; stupelait, &pouvante, sur-
pris, effray&; frapp& de la foudre ou de toute
autre chose. Bem ou mal — , d’une mine ou
meltre Ju
158 ASS
d’un aspeet ben ow maurais, Falcdo — , (1. de
fauconn.) faucon hagard.
ÄSSONBRAMENTO, s. m. stonnement; dpou-
vante, terreur. La lournure que prend uns al-
faire. V. Assombdro.
Assonsaän, v. a. ombrager : faire, donner
de Pombre. Epouvanter, effrayer, glacer d’el-
froi , causer de la terreur. (fg.) Eionner, 6tour-
dir, rendre immobile de surprise, stap6ßer,
faire merveille. ll ost aussi reciproque. (#. de
peint.) Ombrer.
ASSONERO, 5, m. &pouvanie, terreur, frayour,
veur, effrol. Etonnement, prodige, miracle,
surprise, merveille.
+ AssowenösauentE, adv. ttonnamment,
merreilleusement, d’une maniere #tonnante,
merveillouse.
Assouenöso, A, ady. dtonnant, merveilleux,
sdmirable, surprenant,
Ass0mo, s.m. l’action de commencer ä& se
montrer, & se falrevoir. *Marque, indice, signe,
ombre , apparence.
Assonäncıa ,s. f. (t. de pods.) assonance :
approximation, ressemblanoe imparfalte de
sons dans la terminalson des mots.
ASSONANTE. V. Assoanie.
Assonxia , s. f. harmonie mötrique.
Assonso. V. Caladüpae.
ASSOXORENTADO. V. Somnolen!o.
Assorzan, etc. V. Sopear.
Assoraipo,, A, pP. p. d’Assoprar.
AssorrADöR, A, 3. souffieur. (fg.) Boute-
feu : qui souflie le fau de la disoorde, attiseur.
Assoraanöns, 8. f. "soufllage. V. Assopro.
Assorair, v. a. souffler : faire du vent avec
3a bouche, arec un soufllet. —, dloigner avec
le souflle. Faire enfler en soufllant (une outre,
etc.) (Ag.) soufller aux oreilles de quelqu’un.
ü. Sou quelqu’un : lul dire tout bas
quelque chose. Favoriser, exctier, .
suggerer. id. —, prendre une dame du jJeu des
dames , la souffier. ”
Assopaan,, 9. ». soufller. On le dit du vent.
— sfortuns, eire favorable &, en parlant de
fortune.
Assorainko, s. m. dim. d’
Assörro,s.m.l’action de soufller. Souffie : vent
on fait, air qu’on chasse en soufllant, (fig.)
vis donn6 secretement. id. *Delation , denon-
eiation , rapport. id. Moment, Instant. V. So-
pro. Podem derribäl-o com um — , on peut le
senverser d’un souflie. On le dit d’un homme
trös-faible.
AssoR.
ASSORDA. V, door.
ASSORENHA.
® Assonvan,, ol6. V. Absorver, oie.
Assosszcan , eis. V. Socegar, eic.
°® AssorıLan, eis. V. Sudtilizar.
AssovsLino, A, adj. piqu6, perc6 avec une
alöne. p. p. d’Assovslar. Assoveladas, pi.
folhas, raizes, etc. t. de bot.) subuldes : se
(erminant en polnies träs-Anes faltes en alöne
(feuilles, racines, et8.).
ASE
ASSOVELÄR,, u. @. percer avec une aldne. (fg.
pop.) Asticoter, taquiner.
Assovıan , etc. V. Assobiar.
Assovınipo, A,P. pP. d’
ASSOVINÄR, v. a. piquer, enloncer un instsu-
ment algu. -— a paoleneis, (Ag. pop.) asticoter,
Assovumarn. V. Assovinde.
Assuisa, s. f. cohue, rassemblement tamul-
taoux; crialllerie. *Tocsin.
* AssuAR , ®. s. rassomblier tamulineusemen!
de monde pour oommetire des hestllitts , Po?
troabier l’ordre puhlic; faire eohue.
Assusensan. V. Assoberbar.
Assucan , etc. V. Arucar, ele,
Assuckna. V. Acuoöne.
Assope. V. Apude.
® Assutro. V. Sudlo.
Assusentar. V. Sufer.
AssuLan. V. Ayular.
Assumapa. V. Assuade,.
ASSUMACRÄDO, 9.9. d’
ÄASSUMACRÄR,, U. 6. pröparer avec du sumac.
Assumino, A,p. p. d’
‚Assuufr, v0. 6. prendre sur sol ou pour ®oi.
Elever, porter quelqu’un & certalnes dignites,
comme & Tempire, au pontificat, par election
ou par acclamation. Evoquer & soi , s’arroger.
* AssumMapa. V. Assudde.
* Ausuumäpausurs, adv. V. Juniamente.
Assunrciö, s. f. Assomption : apeih6ose de
la Vierge ; fette de lV’Assamption parmi les
eatholiques. Elsvation A une dignile. (4. de
log.) —, ow mineure, ‚deuxidme propositien
d’un syllogisme.
ASsSuMPTivEL, adj. 3 gen. admissible : qui
peut ötre dvoqu6.
Asscurrivo, a, dj. ca qu’ea prend du de-
hors; arroge.
ASSUNPTO,, s. m. sujet, ihdıne : malidee zur
laquelle on derit, sur laquelle om parie; arge-
ment, sommaire.
AssuuPto,A, 9. 9. w., d’Assumir. V. Bie-
* kusunins. V. Assudde.
Assuncis,
ASSUnTO, etc. } V, Assump... eic.
ASSUPERIORAR-SR, 9. F. devenir superieur,
se faire superieur.
ASSURGENTE, V. Remonianie.
+ Assund, s. m. (4. de bof.) assourou: myrte
des Antilles.
} Assusräpaunte, ade. oraintivement, aven
erainte,
f Assusrinico, A, adj. crainlif : sujet & la
eralinte.
ÄSSUSTADISSIMO , A, adj. sup. d’
Assustino,, A, adj. timide, peureux. 9. p.
d’Assustar.
Assostanon, A, ad). alarmant : qui cawıe de
P’inquietude. —, s. alarmiste.
Assustär, ©. @. alarınor, &pouranier, faire
trembier, effrayen.
——— DM _ ur "Er re
—— u 1 a,
AST
ÄSSUSTAR-SE, v. r. s’effrayer, s’alarmer, s’&-
posvanter, prendre l’&pouvante.
AssurıLar. V. Subtilizar.
Assuxan. V. Alargar.
Assv'nıa, 8. f. (4. de geogr.) Assyrie,, Syrie :
porince d’Asie.
1 mie] } Syrien „Assyrien ı de Syrie,
Asrı,s. f. V. Hasta, Haste,
+ Astacırzs ow ASTOCALITEES, 8. m. pl. (tl.
Ehist. nat.) astacites : 6crevisses, orustachs
pütriäiss.
V. Bast... etc.
ASTEAR.
+ Asrelsmo, s. m. (1. de rhel.) astsisme :
ironie delicate.
Asreııa, s. f. (1. de chir.) atielle : appui
avec des bandages pour les fractures des 08.
ÄSTEREÖMETRO, 8. m. astörkometre : instru-
ment pour calculer le lever et le coucher des
asires.
Asrtatı , 2. f. (t. E’hist. nal.) asterie:: nom
doune par quelques auteurs ä une ospece d’o-
pale qui, plac#e au solell, offre l’image d’une
tioile. Asterias, pl. astöries : zoopbytes &chi-
nodermes ; insectes , vers, petrification en
teile. V. Estrellas do mar.
ASTERISCO, 5. m. astörisque : petile marque en
ferme d’&toile(”) qui se met dans l’impression
des livres , pour indiquer un renvol ou quelgue
sutre chose
+ Asrznısco, s. m. (8. de bei.) asterisque :
plante radiee.
Asrzrismo , 3. m. (f. d’asfr.) astörisme, 60n-
sutllstion : assemblage de plusieurs 6tolles.
Asreanir, adj. 2 gen. ($. d’anat,) asiernal ı
«wi ne s’articale point avec le sternum. Cötes.
+&Amao, s. m. (f. da bot.) aster ı il de
Christ, plante & fleur radiee, vivace.
+ Asrzaoıpe ‚adj. 2 gen. (1. de bot.) &toil6 ı
en forme d’stoile. a. f. Asterolde: plante radiee,
+ Asrazula , s. f. (1. de med.) asıhenie : d&-
fsillance „ faiblesse,, döbilitd extreme.
+ Asretnıco, a, adj. (1. de med.) asthönique :
«ans force , infirme, impuissant.
Asruwa,s. f.(t. de meöd.) asthme: respira-
ksa Irsquente et irös-penible cansse par l’ob-
siraction du poumon.
Asruuirıco, A, adj. asihmatique : qui a un
asthme ; sujet & l’asthme.
ASTIL,.
ASTILEA. V, Hast...
Astım.
Astıncar. V. Eslingar.
* AsrırcLar, V. Estipular.
+ Astoncano, A, sub, et adj. d’Astorga, en
e.
AsrnicıaLo,s. m. (L. d’arch.) astragale: or-
nement, moulure ronde des chapiteaux,, des
eerniches ; baguette , petites boules on chape-
lei; (6. d’anat., osselet des üssipedes; gros os du
tarse. (6. de bei.) — , fausse röglisse,, plante 16-
guminense & racine vulnsraire.
AST 135
AstRiÄL, ady).m. asıral: qui appartient aux
asires.
Asträncıa, 8. f.(1. de bof.) astrance : genre
de la famille des ombellifercs.
f AATRANTE, s.m. (1. de bof.) astrante : ar-
ige de la Cochinchine.
* Asıre. V. Successo, Lance,
Astaka,s,f. (6. demyik.) Aströe ı nom Bis .
tique de la jJustioe. (4. d’kist. nal.) —, polype
ä rayons ot &toilos s&pardes.
A’/STREO, A, adj. (4. de pods.) qui appartient
aux astres, quia des asıros. —a abobada , la
voüte c&leste.
„Asarro. V. Adsirieto,
Astaı .
ASTRICTO. | V. ddstr... .
AsTairgro, A, adj. (. de pods.) qui porte des
astres, dtoile.
ÄASTRINGENTE,
ÄASTRINGENCIA, } V. Adstring...
* ASTRINGIR, ©. G. F6SSerrer, Sserrer, e0mpH-
mer, foroer. V. Adstringir.
ASTRO, 8. m. astre: luminsire,, steile ; corps
cöleste lumineux. (Ag.) °Beautd, personnage
Selatanı, - do dia, le soleil. — da wolle, la
une,
* Asraocıan, V. Batrugır.
+ Astnolu, s. m. (1. de bo$.) astroin : arbre
glutineux du Mexique.
+ Asmmöırz, 5. f. (4. d’hisl. wel.) astrolte:
fossile «tolle.
AstnoLiBio, 3. m. asirolabe ; instzumens
dont on se sert pour obseorver la hauteur des
astres. .
AstaoLociA, 8. f. astrologie : art chimerigus
selon lequel on oroit connsitre V’avenir par
Finspeotlion des asiros,
ABSTROLÖGICAMENTE, adv, selon les rögles
d’astrologie.
AstanoLöcıco, A, adj. astrologique, quı ap-
parlient & l’astrologie.
Asta0Loco, 5. m. astrologue, qui pralique
Pestrologie.
* ASTROLONIA. V. Astromnomia,
FASTROMANCIA, 8. m. astromanclie ou astro-
manlie : prödiction d’apres les asiros,
* Asraouo. V. Aströnomo,.
: Asrronomia, s. f. asironomie: science du
eours, de la grandeur et de la position des
astres.
ASTRONÖMICAMENTE , adv. astronomique-
ment: d’une manidre astronomique; selon les
principes de l’astronomie.
Asraonöico, A, adj. astronomique, de
Pastronomie.
ASTRÖNONO, 8. m. astronsme ; qui sail, qui
pratique l’astronomie.
+ ASTROPRYTE, 8. f. (4, d’hist. nat.) asiro-
pbyte : steile de mer arborescente.
® Asrnosia. V. Travessura.
Astaöso, A, adj. (}. fam.) malencontreux,
malbeureux, infortune. /l, V Desatirado,
Vü.(p. ws.}
156
ATA
Astöcıı , s. f. asluce, artifice, subtilit, ruse,
eautdle, finesse. Usar d’aslucias, ruser.
ASTLCIÄDO,,A,P. P.d’
} ASTOCIAR,, v. a. invenler une asluce, une
finesse, etc.
ASTUCIOSAMENTE , adv. astucieusement, d’une
maniere astucieuse.
ASTUCIOSISSIMO, A, 0dJ. sup. d’
ASTUC1650, A, ady. astucieux : qui a de las
tuce. V. Astwio,
Asıta, s. m. oiseau de proie, espöce d’au-
tour.
Asrörıino, A, adj. et s. Asturien, des As-
turies.
+ Astürıas, s. f. pl. (1. de geog.) Asturies :
province d’Espagne.
ASTÜTAKENTE, adv. astucieusement,
astuce.
ASTUTISSIMO, A , adj. sup. de
AstüTo,A, adj. astucieax, ruse,, intrigant,
sagace, fin, finaud, pate-pelu ’ preneur de
taupes.
AssuaR. V. Assumar-se.
Asupioa. V. Acrudada.
Asunapa. V. Assudda. .
Asv’Lo, 5. m. asile: lieu de refage pour les
debiteurs et les criminels. Refuge: lieu de s0-
rei od !’on ne peut @tre saisi. Port: lieu ou les
valssesux sont & l’abri des vents. *Protection,
faveur, franchise, immunite.
ASYMETRIA, s. fi (1. de mathedm.) asymetrie:
qualit& d’un nombre dont il est impossible de
trouver la racine carree ; defaut de proportion;
incommensurabilite.
ASYMETRICO, A, adj. asymeötrique : sans sy-
metrie.
Asvurtöta, 3. f. (tl. de gdom.) asymptote:
ligne droite dont une oourbe 8’approche conti-
nuellement et A !’infini, sans jamais la toucher.
ASYMPTÖTICO, A, adj. asymptolique : de l’a-
symptote. Espace —, espace entre une oourbe
et son asymptote.
AST’NDETON, 3. m. asyndeton : figure d’6locu-
tion qui retranche les conjonctions copulatives
pour rendre le discours plus rapide.
"Aari.V. All
ATABACÄDO, A
du tabac.
ATABAFÄDO, A, 9. p. d’Alabafar er adj. bien
couvert pour conserver la chaleur. Negocio—,
allaire mise en oubli. /sto estd—, celle affaire
est assoupie.
ATABAFADOR, A, 8. Celui qui couvre bien ; qui
cache.
Arızaräa, v. a. bien couvrir pour Conserver
la chaleur. (Ag.) Cacher, dissimuler, celer.
Btouffer, em eınp6oher quelqu’ un de parler. —uma
salummia, assoupir, T&eprimer, relenir la ca-
lomnie, ie bruit repandu.
ATABAL OW ÄATABALE, 5. m. alabale : cspece
de tambour dont se servent les Maures. V. Tim-
dale.
avoc
‚adj. oouleur de tabac, qui a
ATABALAQUE. V. Alabale.
* ArasıLan. V. Engodar, Illudir,
ATA
AtısaLtıRo, s. m. limbalier . celui qui joue
de l’atabale.
ÄTABALHOÄDAMENTE , adv. inconsider&ment ;
&tort et A travers, sans ordre, confusäment;
ab hoc et ab hac.
ATABALHOÄDO, A, adj. inconsider&, brouil-
ion, etourdi. Bredouille.
+ ATABALHOAMENTO, 8. m. Inconsıderatiom s
Paction de parler ä tort eb & travers;; bredouil-
lement. V. Alabalkoar.
ATABALHOAR , 0.8. — 86, 9. r. agir en dlour-
di. Bredouiller : parler d’une maniere peu dis-
tincte et mal articulee.
ATABALINBO , s. m. dies. d’Atabale,
Arasiö. V. Tabdo ou Tacdo,
ATABAQUE, 8. m. espece de tambour dies
Indes.
Aramaokıno, ‚s. m. celui qui joue de !’sse-
ce
Arasinnpa,s. f. V. Tabardo.
Arısüa. V, Tabüa,
* Arasöcin. V. Engodar, Illudir.
Arica, s. f. courroie, laniere, siguilletie
pour attacher le haut de chausses, les calegons
ou la culotte. Isto ndo vale uma—, il n’importe,
cela ne vaut rien.
Artıcipo, A,Pp.p. d’Alacar et adj. lack, at-
tache. Attaqud, assailli par l’ennemi. Vender
—, vendre en gros. Kspingarda —a, [usil
e.
ATACADOR , 3. m. cordon, lissu ferr6 par les
deux bouts, qui sert ä atlacher;; aiguillette, la-
cet ; baguette de (usil. Agresseur, provocaleur,,
assaillant : celui qui attaque.
+ Arscanöna, s. f. l’action et l’eflet d’alta-
cher, d’agraler, ete.
ATACINTE, adj. 2 gem. et s. assaillant, alta-
quant.
ArTıcär, vd. a. altaquer : assaillir, @ire agres-
seur. Attacher, agrafer, lacer, ajuster un vete-
ment. Bourrer, refouler la charge dans une
arme ä [eu. (flg.) Atiaquer, serrer de pres,
combattre quelqu’un par le raisonnement.
ATACAR-SE, dv. r. s’altaquer. V. Inrestir. st.
Alestar-se.
ATAGALHÄR, ec. V, Alassalkar.
ATAc0iD0, A,P.P9.d’
ATACOÄR, v. a. mettre des lalons; ralaoo-
ner.
ATADINHO, A, adj. dim. d’
ATtino,A, p. p. d’Atar ei adj. borne, em-
barrasse : qui est propre & peu de chose, qui
s’embarrasse de per; timide ; ind6cis. Attache,
lie. — d cams, retenu dans le lit. — nas mdos,
gauche, maladroit, qui manque d’adresse et
d’energie. Ficar com as mäos aladas,, se tirou-
ver dans l’impossibilıtö d’agir, de prendre un
parti, une resolution ; #tre astreint, assujetti
aux ordres d’un autre.
+ ATino, 3. m. faiscoau, botte, fagot, pa-
quet; lien, hart,
ATaDOR,A, 5. celuiquilie, qui attache. TI
n’est usil6 quo parmi los faucheurs, pour des)-
ATA
gues sur d’enise eur qei ne [ont que „or des
Ayındıı ,s. f.attache, nmud, lien, bandage,
Den. (Ag.) Union ; tout ce qui lie, at
Arariı, s. m. * eroupiere,bateuil : longe de
«ir que Fon passe sur la croupe, sous la
jueue, ei qui ent au bät, ä la selle, etc.
"Araszcan, etc. V. Afadigar, etc.
Atarsaa, 3. f. bande de sparte
Arırösa,s.f. "moulin dä bie mupar des be6tes;
meulin & bras. Mogo da —, gargon meunier.
Arırontma, s. /. meuniere: la femme du
meunier.
Arasostıno,s. me. meunier : celui qui gou-
verne an moulin & bras ou & be£tes.
ATAFTLEADO, A, P. pP. d’
Ararcımia, ©. @, (f. Pop.) bourrer d’ali-
wents; empiffrer,
"Aracantın. V. Tegantar, Flagellar.
"Araımäno, A. V. Astülo, Velhäco.
"Ari, ade. pourvu que, & condition que.
Ararisa, s. f. echauguette: guetrite, petite
lage en un liew &minen‘“ , dans une place forte,
peur deoouvrir ce qui se passe aux environs.
Une petite rodoute sar quelqueöminence; tour
sur les cötes de la mer, et sur la frontiere d’un
pays, pour y faire le guet; befiroi. =. m.
L’bemme qu’on place ä l’echauguette ou au
ATALAIÄBAHENTE , ade. vigilamment , avoo
AYALALADO, A, P. P. d’Alalmer.
” ATaLAIABOR, 3. m. P’homme qui guelte sur
ie beflrei, ou sur l’echauguelie. (Ag. fam.)
Celsi qui guetie , qui &coute, qui veut tout sa-
veir. p.u8. j
AtaLatamftnto, 3. m. l’scliön de guetter.
AraLaııö,s. m. aug. d’Alaloia.
AraLasın, ©. s. Guelier, €ire en vedette
pour la garde d’une place, d’un campement,
Etre poste sur le beffroi, sur l’echauguette.
ıg.) Observer, öpier les actions des autres.
ATALAIAR-SE, ©. r. avoir l’@il au guet. V. A-
(suielar-m8.
ATALAINHA „5. f. dim. d’Alalaia.
+ AraLanın, 8. f. (1. d’hist. nat.) atalante:
papilion, aussi appelö vulcain.
AtaLmipa, s. f. V. Aceiro.
Araısano, A, P.Pp. d’Alalkar, et adj. em-
asse, interdit.
ATALmADOR , 5. m. Celui qui arrete, qui ferme
ie passage. Exrplorateur : celui qui va & la de-
courerie d’un pays, d’un poste. li est aussi
f.
Arıımautnto, s. m. out co galarrete, qui
erz, odj. 2 gen. qui arıöte, qui ferme
e pessage.
Ataınan, ©. a. arreier, barrer,, couper che-
min; separer par une cloison, renfermer, rö-
äuire & une moindre etendue. (fig.) Arreter le
wars , les progres, les effets de quelque chose.
Embarrasser:rendre conl[us, muet, inierdit,
ATA: 137
ernbarrasse. Jt. Inlinider. — aquem falle; — a
palarra a alguem, interrompre, oouper, rom-
pro le fil du discours & celui qui parle.— 0 mal,
prevenir le mal. .
ArıLaän, 0. ®. prendreun chemin de tra-
verse , un cbemin plus court,
ATALBAR-SE, 0. r. rougir : devenir rouge par
honte; devenir, paraltre embarrasse, resier
court.
" ATALBE. V. Compendio.
ATÄLHO, 8. m. sentier qui raccourelt le che-
min qu’on ad faire, la distance qu'on a & par-
courir, Accourcissement. (ig.) * Abreviation.
accoureissement d’une affaire, mesures oue
Pon prend pour la terminer plus 1öt, pour cou-
per court. Emp£chement, obstacle, opposi-
tion. Dar ou por — a alguma cousa, Couper
court, abreger la fin d’une affaire. Tomar peio
— ‚prendreun parti, choisir un moyen d’abre-
ger une affaire ,-prendre le plus court chemin.
Sair ao — a alguem, interrompre un discours,
devancer celui qui parle par une exposition
abregee de ce qu’il aurait dit. Ndo ka — sem
trabalko,(prov.) il n’ya pas de plalsir sans
peine.
ATAMADO. V. Alacado.
ATAMANCÄDO, A, 9.9. d’
TATAMANCAR, ©. a. (8. P0P.) Fataconet : rac-
commoder grossierement. .
ATAMARADO, A, adj. couleur de datle.
Arauaon. V. Tambeor.
ATAMENTO, s. m. V. Ligamento, Ligadurs,
(Ag. fam.) * Timidite, pusillanimite. * Obliga-
tion , engagement.
ATANADO, 8. m. cuir lannnd. V. Corti.
ATANÄDO,A,2.p.d’
ATANÄR, 9. @. lanner : pröparer le cuir aveo
ie tan.
ATANASIA, V. Alkanasia.
Aranazan.V. Alenazar, eic.
* ATANGIMENTO, s. we. l’aclion de toucher, le
toucher.
* ATANOR, 5. m. vase; platcreux, profond.
ATÄQUE, s. m." attaque : charge; offensive;
assaut, invasion. (#g.) —, acces, en parlant de
certaines maladies. —, qyuerelle, dispule de
paroles. — falso ou fingido, fausse allaque.
— repenlino ,coup de main.
ATAQUBIRO, 5. m. faiseur ou vendeur do la-
ceis. °
Aria, v. a. attacher, lier, lacer, serrer. (Ag.}
Lier, assujettir, gener, euchalner, empecher,
convaincre.— 03 bois a0 jugo, atleler los baufs,
— 0 discurso, lier le discours. — com forca,
etreindre. — as mdos ou a lingua, (fg.) emp&-
cher d’agir ow de parler. — uma ferida, ban-
der une plaie. Ao — das feridas,(fam.\ & la
fin,& la fin du compte. Ndo dia nem desdla.
( fam.) Il se dit d’une personne irresolue, in-
decise.
Arır-se, eo. r. (fg.) sembrouiller, siembar-
rasser, ne savoir comment sortir d’affaire.
— (a),(fig.) s’attacher, s’astreindre. —d4 leitra,
s’attacher & la letise ; s'assuietlir au sons lilte- '
158 ATA
rail d’un texio. — as mdos, se lier ion main,
s’öter la libert& d’agir.
Atarantibo, A, adj. ınordu, piqus de la
tarentulc. (ig.\ Trouble, hors de sol; qui a
perdu lacarte, qui ne sait ce qu’il fait. p. p. d’
ATARANTÄR, v. a. &tourdir, troubler, em-
brouiller.
ÄATARANTAR-SE, ©. r. se troubler, perdre la
earte, la tramontane, lo fil du discours, les
voies d’une affaire.
Ararıxiı, s. f. alarazle: calme, tranguil-
lit& de l’äme.
a, adj. affaird, embesogne.
ATAREFÄDO,
p.p. d’
ATAREFÄR, ©. 0. donner une läche & des ou-
vriers, & des enfants. Outrer, surcharger de
travail.
f ATAREFAR-SE, o. r. se livrer entidrement ä
une affaire, & l’dtude, au travail, etc., s’en
oceuper fortement.
t ATanoucioo, A, (esiylo —) adj. alecik ;
de mauvais gott (style).
ÄTARRACADO ,A, 9.9. d’
AtTırracin, v. a. Visser, lier, serrer, atta-
cher, presser fort quelgque chose. — as ferra-
duras, donner au fer & cheval la forıne conve-
nable. (Me. ) Afliger, vexer, embarrasser quel-
’un.
ATARRACHÄDO, A ‚p.p.@
„ATARBACHAR, v..a. visser : attacher avoe des
vis,
Arınrırı. V. Terrafe.
}ATARRAFÄDO, A, adj. couvert d’un tramall;
& manidre de wamail. Caps —« ‚ manteaa pieln
de trous.
Arasucan, ste. V. Taruger, ote.
* ATis. V. Ale.
ATASCADEIRO. V. Aboleiro, Lodapal.
ATASCÄDO, A, 9.9. d’
ATASCaR-ss, v. 7. sembourber.V. Aloler-se.
ÄTASSALRADO, A, P. p. d’Atassalhar.
ATASSALBADOR, 4, 3.celul quieoupe un mor-
ceau . qui dechire.
ATASSaLHABURA, 8. f. Paction de couper un
meorceau, de dechirer.
ATASSALHAR ‚vo. 6. comper la chair en mor-
eeaux pour la [aire saler; deehirer, meitre en
piöoes. Au propre et au Bgure.
ATAÖDE ou ATaöp, 5. m. "biere, cercuell.
Sorte de mesure ancienne pour les grains.
(fg .) La mort.
+ Arıtpino, a, adf. falt en forme de cer-
oueil, de bitre.
Arıuzıa, eie. V. Taunia, ete.
Arıvanino, A,adj.en forme de taoı. C#-
vallo—, cheral chätain fonc&, mouchels# de
blanc.
Atıvid, V. Tavdo.
ATAYERNÄDANRNTE , adv. A maniöre de caba-
rel; en taverne.
Atavranido, A, adj. qui sejourne dans une
taverne, qui s’y vend en detail. On le dit du
vin. 9. p. d’Alaverner,
ATE
ATAYERKÄR , U. &. vondre em lavaine,a0 62-
baret (le vin).
ATAVIÄDAMENTE , @do. avec pature.
Arıvıloo,A,P9.p. d’Alaviar.
ATAVIADOR, A, 8. celul qui pare, qui arrange,
qui embellit.
Aravinuento. V. Alavio.
Arıviia, 0. 6. parer, accoutrer, alouruor,
arranger, embellir.
ATAVIAR-SE , ©. ?, S'orner, s'’embellir, se pa-
rer, s’ajuster, s’habiller soigteusement, faire
sa toilette.
Arıvio, s. m. accoutrement, alonr, parure,
ajustement. (Ag.) Ornement, parure, grande
toilette.
ATAVONADO, A. V. Alavanado.
Arıxia, s. f. (t. de med.) ataxie: irregularit&
dans les crises et les paroxysmes de la fiövre.
ATixıco, a, adj. (t. de med.) Febre—a, iävre
ataxiqud, maligne, Irreguliöre.
Ars, prep. jusqu’ä, jusque, jusques; ade.
möme, aussi. — rebenlar , — aos olhos, — nd
poder mais, jusqu’au naud de la gorge. — ndd
mais, jusqu’a n’en pouvoir plus. — 03 sabios o
ignoravdo , meme Io savauts }’ignoraient.
Arzivo,A,p.p-.d’Aledr.
Arzinon, A, s. celui qui allume, eic.
ATEiR, 9. a. "Allumer, enflammer, embraser ;
mettre en feu. (flg.) Soufller le feu de la das-
oorde, exciter, 6chauffer.
ATEIR, ©. 9.9. us. V. Alear-se.
ATEiR-SE, ©. F. s’allumer,, otc. (Ag.) Se r&-
pendre, seo glisser, s’&couler, savancer, s’&-
fendre peu & peu, gagner (lo mal, le peste).
Faire des progr&s. Se melise en colire, s’ım-
flammer, s’irriter , etc.
ATEDIADO, A, P. p. d’
Artspıia ,v. @. Ennuyer, degetter.
ATEDIÄR-SE, er. s'ennuyer, ‚se degetter.
V Enfartiar-se.
Arzıckvo ,p.P9.d
* Arceıcha, v. a. priser A vue d’eil le rapport
d’une moisson sar pied.
ATEIMADO, ap. p. d’ Aleimar. V. Teimöso.
Ateımin. V. Teimar.
+ Arzıılnas, s. f. pl. atellanes: espöces de
farces en usage sur le theätre des anciens Re-
mains.
f ArtıLo, s. m. (l. d’hirt. nal.) atdle : singe
de ’Amerique meridionsle.
"Arku.V. Ale.
ATENORIZÄDAMENTE, adv. crainlivement, li»
midement,
ATENORIZADISSINO,, adj. sup. d’
ÄAÄTEMORIZÄDO, A, P. p. d’Alemorizar.
ATENORIZABOR, A, s. alarmiste; adj. alar-
mant.
ATENORIZANENTO , 5. m. l’aclion d’eflrayer;
alarme.
Arsuorizia, v. @. Inlimider, alarmer, ef-
frayer.
ATEBORIZÄn-IE (de, por, com), vo. r. sinti-
mider, s’alarıner, s’effraycer.
ee A DE a DL In
- N - A "N _. „N
DE Tg BT BT GE
ATE
Araurscä6, 5. f. (ti. de prai.) ° ajourmement:
Faetion et Peflet d’ajourner.
ATZMPiADBO,A,P.P.d’
ATKMPAR , ©. 6, (l. de pral.) ajourner. V. 4-
peer. -
Atsurin 68, ©. F. convenir du lemps avos
quelqu’un.
ATENAZÄDO, A, P. p. d’
ATEsaAzaR, ©. 0. lenailler : arracher & un
crimimel des morceaux de chair avec des te-
nailles ardenies. (f#g.) Pers&culer, importuner,
wurımentes.
ATENGA ,s. f." sujet de conflance ou despoir,
aucnte. Beiar ds alencas de, se confier A, se
prendre & quelqu'un, &ä quelque chose, »’y
appuyer. .
ArsızssiB0,A,P.p.d
T ÄTENEBRAR-SE, v. r. s'obscurcir, manquer
de lamidre.
Arsuntan. V. Tentar.
* ATENTE,, edy. 2 gen. qui son tientä,Pp. @.
dAler ee.
"ATENTEGO,. V. Allenlo.
*ATEnto. V. Tente (a).
Astarı, ade. contraclion d’ald aqwi, jus-
qwici, jusqu’ä present.
Arta-ız (a), v. r. s’stlacher, s’appuyer,
sveir conßance en; s’en lenir & ; se rapporter
ö. — 0 parecer d’elguem , suivre l’avis, l’opi-
nien de quelqu’un.
"Arsnzche, V. Inleirigar.
Arzacıi0o, A,9.p. d’
Arzrıcıir , v. a. Donner , causer la jaunisse.
ÄTERICIAR-SE, ©. Y. avoir, gägner, prendre
le jannisse,, les päles couleurs ; devenir icte-
Arsaipo, A. V. Inteirigdde.
Arzauis0,&A,7.p.d’
Arsamia, ©. a. borner, limiter; d&. V. 4-
Prasar.
ATEsaiDO, A, P. P. d’Alerrur, adj. (tl. de
mer.) atierri, atterrö, qui a pris terre , qui est
senire terre „ prösde larre, en parlant des vais-
sesux. Frappe d’epouvante, de terreur, Coh-
ÄATERRAR, v. a. alterrer,, terrasser, abalire,
Fenverser par lerre, faire mordre la poussiöre.
Epouvanter , consierner, eflrayer, remplir de
sereur , d’elfroi.
AYERAAS-&E, 0.0. (l. de mar.) atierrer, al-
terrir, promdre terre , aflaler. Se lerrer : se ca-
cher sous terre, comme font plusieurs ani-
mauzr. S'engioutir: s’onlerrer, en parlant des
rien , des malsons. ii. V. Alsmorizar-se.
"Arts. V. All.
Arzsipo,u, 2.9.4
Arzsin, o. a. V. Entesar. (1. de mar.) Rai-
dir, tendre um cordage, une voile, etc. — 6
enzereis (4. ds mer.), rider les haubans aveo
le mignennet.
Arzsounsn, te. V. Kntkesourar , eic.
Arserine, A, P-
Arsstän, 9. so. emplir, remplir jusque par-
ATI 139
dessus les boards, oombler. V. Eniestar. Faire
le remplissage des cuves ou des tonneaux ä
vin.
T ATESTAR-SE, ©. r. (il. fam.) se gorger, se
farcir, se bourrer, s®’empiffrer: manger ow
boire avec excds.
Aruanisıa, s.f. (1. de bot.) athanasie: plante
corymbifere.—bastarda.V. Tanasia. (1.d’imp.)
Saint-Augustin : caractöre qui tient le milieu
entre le cic&ro et le gros-texte.
ATBEIS4O, s. m. atheisme : opinfon qui con-
siste Ane point reconnaltre de Dieu.
ATBHEISTA, s. m,athee : celui qui ne reconnalt
point de Dieu.
Artrelstıco, A, adj. atheistique : des athdes,
Arutnas,s. f. Athänes: villedelaGr&ce ;(fg.\
demeure des sciences , des lettres.
FATBENBAS, 8. f. pl. (f. d’ant.) Athdndes:ı
fetes de Minerve.
Arsento, s. m. Alhön6e : socidte Ilttäraire.
ATHENIENSE ‚adj. et 5. 2 gen. Alhönien : d’A-
thönes.
Artuto. V. Alheista.
Arurafina, s. f. (8. d’hist. nal.) atherine;
espece de bareng.
+ Arsenuasia,s. f.(i. de med.) athermasie ;
exces de chaleur , chaleur morbifique.
Atusxöma, s. m. (1. de med.) atlıerome :
abc&s enkist& ou aposthöme ; loupe pleine d’une
sorte de bouillie.
f Armzaouat0so, A, adj. (1. de med.) athö-
romateux : de la nature de }’atherome.
ATHLETA, 3. m. athldte : celui qui combalfait
dans les jeux solennels de l’ancienne Grece,
(fg.) —, homme robuste et adroit dans les
exercices du corps ; martyr de la foi catholıque;
celui qui combat pour un parti.
AraLfricä, 8. f. athletique:: art des alhlätes,
brancbe de la gymnastique des anciens.
ATEL£TICO, A, adj. alhletique : qui appar-
tient, qui a rapport aux athldtes. (Ag.) Fort,
robuste , vigoureux, membru.
Arunaıckna, V. Alragena,
AriBıip0,A,2.2.d’
Arısıin. V. Entibiar, Amornar.
ArliciDo,A,P.Pp- d’Allgar.
ATIGABOR, 5. m. alliseur: celui qui allise,
Tiseur: oavrier qui a soin d’entretenir le fen
dans les fours de manufactures de glaces. Atti-
sonnoir : outil crochu dont on se sert pour alli-
ser le feu. V. Espivitadeor. ( ig.) Perturbateur,
instigaleur.
ATIGANRNTO, s. m. l’aclion d’atliser, au pro-
pre et au figure.
ATIGAR , 9. 6. atliser, ratliser : rapprocher les
kisons pour les faire mieux brüler. (flg.) —,
fomenter, allumer les passions; aigrir les cs-
prits doja irrites les uns contre les autres;
exciter, allumer; metire le feu aux &Etoupes.
— a lampada, a is, arranger la lampe,
disposer la m&che d’une manidre convenable
pour quelle brüle mieux. — a oela ; noucher
la chandelie.
Arıcvino,A,p. p. d’Alipoer,
163 ATR
ment, ei-devani, en parlant du temps, aprös.
Fazer-ss — rötrograder , reculer. Ficar-ss =,
rester en arriöre‘, savoir moins qu’un autre, ne
pas comprendre une chose. Deizar alguem—,
s’arantsger A queiqu’un. Voller com a pala-
ora —, se dedire, se retracter, manquer k 88
parole. Desde mul —, de longue main.
ATRASADISSIMO, A, adj. sup. d’
ATRASiDO, A, 9. P. d’Alrasar et adj. arriäre.
— nos ssiudos, qui n’a pes proßts, qui n’est
pas avano6 dans ses ötudes. — om conlas, qui
doit plus qu’il ne peut payer; demeurs en
reste ow en arriöre. — em meios, arriere, eourt
d’argent. Il se dit principalement de celui dont
la fortune a diminue. Afrasddos, s. pl. arrera-
ges: co qui est dA, echu, d’une rente, d’un
revenu quelconque. Les rudiments, les pre-
wiers prinoipes de la grammaire. Recordar os
—, recorder, repasser dans la memoire les
rudiments ; if. le passe.
ÄTRAZADOR, A, #. celui qui cause, qui ap-
porte du retard. Le retard d’une montre, d’une
pendule.
ATRAZAMBNTO, s. m. retard. V. Alrdso.
Arnısin ou ATRAZÄR, v. a. laisser, mellre
en arriere. Retarder, reculer. Suspendre, ren-
voyer, remettre, diff&rer, &loigner une chose,
comme la vendange, le voysge, eic. — o relo-
gio, relarder une montre. — um negocio , Lral-
ner une affaire. — uma dala, antidater : mar-
quer un jour anlerieur & celui auquel un ac
a 616 passed, ou uno letire a &l6 &crile.
ATRASÄR-SE, ©. r. rester, demeurer on af-
riere ; tarder,, s’arriörer.
‚Araiso, &. m. relard, reiardement, &ölai,
arrierd:« laction et l’effet de reiarder. (Ag.)
*Decadence ( des lelires, des sciences, des
arts, etc.) it. Perie, demmages; diminution
‚des biens.
ATRASSALHAR, etc. V. Alassalhar, ete.
* ATRATO, A, adj. on deuil.
Araavanci90,A,P9.p.d’
ATRAVANCIR, 0. . encombrer : embarsasser
de döoembres , de gravois.
Arzavss. V. Trauds (s).
ATRAVYESSADICO, A, adj. qui traverse, pone
en travors; de travers. Gentrariani.
ÄTRAVESSÄDO, A, 9. 9. d’4diravessar, en-
orout, oblique, croist. ll se dit de la persenne
qui regarde um peu de iravers, mais qui n’as
pas tout & fait louche : & demi louche. On le
dis da ehien metis, de deux races. Mulätre,
metis. ( y.) Traltre : de mauvaise foi, de mau-
vaises intentions, Cde —, chien bätard. Andar
— son alguem, dire en mesintelligenco avec
quelqu’un. Ter alguma gpessoa —a na gar-
„ Avoiz UN ramcume contre quelqu’un.
er a alma —a na garganla, ne pouveir ren-
dee läme.
ATRAYESSADÖR, 5. m, celui qui se mei ä la
traverse. Aecapareur :: celui qui acheie en gros
pour 66 rendre malire du prix des marchan-
dises. Mouopolsur.
ATR
} ATRAYESSADOURO,, 3. m. ehermin de ira -
verse.
ATRAVESSÄR,, ©. @. metire des traverses , t7a-
verser, peroer,, transpercer, Couper. Traverseor,
pessor A travers, d’un 06046 A l’autre; ereiser;en-
jamber. Enferrer,, percer ave6 une pique, une
ep6e,, ots. ( ig.) Paralyser, apporler dus obsis-
cies & une chose ; eontrarier. (4 de mer.) Metire
on panne. — 0 corapdo, ( ig.) perser le cwar :
etre &ma A Faspect du malheur. — os generos,
aecaparer des marchandises. Näo — os um-
brdes, ne pas melire les pieds dans une mai-
son. — ums coria, oouvrir une carte en jouant
un stowt plus fort.
ÄATRAVYESSÄR-SE, 9. r. sin ser, se melire
en travers devant quelique chose, et servir
obstacle. ( Ag.) Interrompre la oonversation.
S’immiscer, intervenir dans une affaire. Arriver,
survenir pour emp£cher queique chose. (1. de
mar.) S’entraverser : presenter le travers, se
mettre en travers, en panne. — no lanfo d’ou-
fro, courir sur le marche d'un aufre.
Arrıviz. V. Traods (4).
* ATRAZER. V. Altrahir.
* Arnenir. V. Acostumar, Afaser.
Aragrino. V. Atarefddo.
ATRECOADO, A, 9. pp. d’
Arrecoin, v. n. accorder, faire tr@ve.
ATREIGOAR,, etc. V. Atraigodr, etc.
+ Aratıro, A, odj. habitae,, acceutunn? ; en-
clin, portö 4, sujet &.
ATRELLIBO, A, P.P.d
ArazıLir, vo. a. mener, tenir en lalıse ( les
chiens, les bötes, etc.).
Arazmin. V. Alindr.
* Araenın, ete. V. Triplicer, ete.
Arazrir,etc. V. Trepar, etc.
ÄTREVER-SE (4,com), v.r. oser, s'enhardir,
avoir la hardiesse, l’audace de; se hasarder,
ü. V. Confar-s. — a alguem, s’sttaquer &
quelqu’un, l’attaquer, l’offenser ouvertement,
se mesurer avec ini. — em alguem, faire fond
sur la protection de quelqu’un pour dire ou
Iaire queique chose.
ATrevipäco, A, adj. aug. d’Alrevido (1.
burl.) twes-hardi.
ATRAEVIDAMENTE, adv. hardiment, audacieu-
sement, courageusement, intrepidement, e[-
[roniement,
ATREVIDISSIMO, A, adj. sup. d’
ATREVIDO, A,p. p. d’Alrever-se, el adj. hardi,
andacieux,, enireprenant, Lemdraire; effronte,
impertinent.
ATREVIMENTO, 0. m." hardiesse, audaca; ef-
fronterie, imperlinence Alrevimentos, pl. li-
beries : manieres trop libres,, Irop familieres.
AraısuLackö,s. f. V. Tri .
ATRIBULÄDAMENTE, ade. avec Lribulation:
sflliotivement.
ATRIBULÄDO, A, 9. p. d’Alribular, et adj.
afllige , peins.
ATRISULADOR, A, adj. et 8. qui cause des Iri-
bulations; aßligeant,
u a 0 ma —.. -
ATR
aysisuı.in, u. so. oauser des tribulations;
ger ’ tourmehlter, chagriner, inquiedter, cau-
ser peine d’esprit.
Arsızu.ia-sS (em, com), o.r. s’aflliger, se
Arziscrir, etc. V. Aliributer, eio.
färzıcane, A, adj. couleur de bie; p4le &
anse de maladie.
"Arnican-sE, eic. V. Apressar-se et Tri-
ger.
Aracukınd, a. m. faiseur de iheriaque.
fAirziL, s. m. pupitre ı lutrin ; porie-missel.
ArTaıncHEmas, eic. V. Entrincheir... , ei.
A’TRIO , 5.58. portigque : vestibule d’an palais,
d’une maison. Parvis : place devant la grande
porte d’une €glise, espace autour d’une eglise.
AraısoLia.V.T: .
Arastria , ote, V. Entrestechr, eic.
Ata0o, a, adj. (t. de pods.) noir, lugubre.
{Ag.) Teatbreuz ;
Araoisa,, s. f. grand bruit; tapage.
AmR0in0,A,P.Pp. d’Alrodr.
Araoan6e, A, adj. bruyant, s. celui gal
«dsardit, qui &pouvante par un grand bruit;
triailleur, brailleur.
.ATROABKETO , 5. m. ° explosion du fonnerre.
Eisurdissement caus& par quelgque coup, par
un grand bruit. (i. de vdidr.) * Atteinte, en-
te-taillure.
Arscka, vo. @. fairs un bruit semblable & ce-
lei da tonnerre. Rompre la i6te, &lourdir par
ws grand bruit; rendre stupelait, dpouvanier.
Arnöce. V. Alröz.
Arzocmiäpe, s. f. atrocits: dnormils d’un
erime ‚cruautt; acte d’une möchancets relld-
chie. — des tewpos, malheur des temps. das
ondas , impetuosit6 des Nots.
* Arascınan. V. slorpaldr.
Arzocissızo,, A, adj. sup. d’Alndz.
Arzorlı , oe. V. Atropkhia, etc.
f Arrousetripo, A, adj. qui a la forme de
ArROPip0,A,P.p.d
ATROPÄR, 9. 6. arouper, ameuler : rassom-
bier des hommes sans ordre ; lever des Irou-
yes, eartgimenter.
ATROPELLADANENTE,, ade. brusquerment, tu»
mullgueusement, sans ordre, hurluberlu.
ArsoreıLido, A,Pp. p. d’Alropellar et adj.
qui parle , qui agit arec irop de precipitation.
ATROFELLANERTO, 5. m. action de fouler,
de brusquer. ° Offense , passe-droit.
AtzorsıLin, vo. a. fouler, faire ehoir, passer
beusquement par-dessus quelqu’un. Brusquer:
n’avoir aucun mensgement pour rien, ne faire
sitention & riem. (fig.) Offenser, negliger, ıne-
ATROPELLin-TE (em), ©. r. 30 pröcipiter : se
heurter, se häter op,
Ferteution d’une ohose. —, se brouilier em
partzut.
ArsortıLo.V. Atropellamento.
Arzorula, 5. f. (tl. de mdd.) atrophie : oon-
sanption ; extreme znalgreur, dessöchement
se prosser irop dans | y
ATT 168
d’yn membre, du Corps, consomption par exces
een
TROPHIÄDO, A, adj. (t. de medd.) atrophie:
tombe& en atrophie "Bına A ?
ATROPBIÄR, ©. 6. Causer de l’atrophie.
ÄATROPRLAR-SE, ©. 7. V. Definhar-se.
ArRöpsıco,A,adj. ($. demdd.) atrophique :
de l’atrophie, de la nature de P’atrophie.
A’rnoros, s. f. (t. de myih.) Atropos : nom
d’une des trois Parques.
Arnöz, adj. 2 gen. &norme, grave ; atroce,
cruel , sanglant, inhumain, barbare ; horribie,
terribie.
Araözutete, ado. d’une manidre atroce,
eruelle , outrageante , avec atrooite.
*Arriı. V. td.
f ArT£La20, 3. m. (1. d’hiss. nat.) Autslahe:
col&optere.
ATTENPERAR, eto. V. Temperar, Moderer,
etc.
Arrencid,s, f. attention, application , &iude;
€gard, respeet,, honnetete, eonsideration, gra-
cieusele. Em — a, eu tgardä, ayant egard dA,
en consideration. Sem —, par megarde. Alten-
gdes , pi. bontes.
ATTENCIOSO,, A, ady. plein de bontes, preve-
nant, obligeant ; afeble, poli.
*ATTENDA , 8. f. attente.
Arrenntn , v. a. aoeuelllir avec attention ;
&couter attentivement.
ATTENDER (8), v. #. &couter: pre@ter Y’oreilie,
preter attention, ötre attentif, Considerer, avoir
&gard, prendre garde, menager. Remarquer,
faire attention. Prendre soin de quelque chose.
Attendre. Altendendo d kumana fragilidade,
vu l’humaine faiblesse.
ATTENDIDO, A, 9. p. d’Altender. Seu reque
rimento foi —, sa demande [ut octroyde.
ATTENTÄDANRETE, adv, prudemment, 501-
gneusement, märement.
ATTENTADISSIHO , A , up. d’ \
ATTERTÄDO,,A,P. pP. d’Allenlar ‚et adj.sage
avis6, prudent, judicieux, diseret, rellöchi,
cairme, ient. Mei-—, imconsidere, Wimaereite,,
mal avise.
AtrantinO, 8. m. ationiat , subrersion, Tah-
versement, en parlant des lois, de l’ordee pu-
blio , de ia oonstitution de l’Etat, d’an juge qui
v’arroge la juridiction qu’il n’a pas. —, enire-
prise hardio, t&metraise, grand crime, grand
delit.
ATTERTAMENTE, ade, altenlivement, avec al-
tenlion.
* ASTENTANENTO ‚0.0. * considerailon, ögard,
respect.
Arrawtäa, 9. @. prendre en consid£rallon
une chose ; ’examiner mürement, rellechir et
faire bien attention. Altenter : former un®
entreprise, un projei conire les lois, commelire
un crime capital. it. V. Tentar.
ATTENTAR, ©.%. faire altention A; allenter
dä; avoir dessein de, faise une lentalive. Täter,
t4tonner, aller & tälons.— por Si, por sus
164 ATT
cabeca, öire sur ses gardes, se lenir en garde.
— em uma mulkor,, convoiter une femme, ia
courtiser dans le but de la seduire. — com ss
mdäos, täter „ tätonner.
ATTENTATÖRIO, A, adj. (f. de praf.) attenta-
toire : qui aliente, qui va contre Yautoritö
d’une juridiction , contre les lois,, etc.
ATTENTISSIMO, A, adj. sup. d’Altento.
ÄTTENTIVANENTE, adv. V. Altenlamenie.
Arrkıro, A,p. p. ir. d’Allender, et adj. at-
tentif, &veill6, qui fixe son attention, quia de
Pattention, de l’application. Honnete, cour-
tois, puli , obligeant, complaisant. Attenlo que,
attendu que, vu que, eu &gard ä.
ATTENCTACAÖ, 8. f. atienuation, affaiblisse
ment, diminution.
ATTEXUADO, A, P. pP. d’Alienuar,, er adj. at-
tönu6 : rendu moins grave ; aminci.
ATTENUANTE, adj. 2 gen. atlenuant: qui al-
tenıue. (l. de med.) Attenuant, incisif. Il se dit
des remedes propres & diviser, & atienuer les
bumeurs grossiöres. Qui mitige, qui diminue.
p.a.d
ATTENUVÄR, ©. a. atienuer, affalblir, dimi-
mer. (f. de mdd.)—, donner de la Buidils aux
humeurs. (1. de prat.)—, rendre moins grave;
adoucir.
„Arranoinee, v. vr. s’affaiblir, maligrir , d6-
perir.
ATTER-SE. V, Ater-ss.
ÄTTERRACAR , eio. V. Alarracar,, eio.
ATTERBAR, eic. V. Alerrar, etc.
ATTESTAGÄO, 5. f. altestation, tEmolgnage,
deporition des tömoins. *Certificat : tömoignage
donnö par 6erit.
Artzstido, A, 9. pP. d’Alleslar.
ATTESTÄDO, s. m. certiflcat: t&moignage par
ecrit.
ATTESTANTE,, s. m. (8. de prat.) celul qui at-
teste , qui certifie par ecrit, et adj. p. a. d’
ÄTTESTAR (que), v. a. altester: certißler de
vive voix ow par ecrit; temoigner, assurer,
prendre & t&moin.
ATTICAMENTE , adv. attiquement: A l’attique.
Arrıcisuo, s. m. alticisme: delicalesse, -
nesse de goüt particuliere aux Athöniens; la-
conisme.
A’TTICO, A, adj. attique : qui vient des Ath&-
giens ; ä la facon du pays d’Athenes. (fig.) De-
dcat, fin, pur, e#lögant en parlant du style.
Sal —,sel attique: raillerie fine.
A’rrıco, s. m. (l. d’arch.) attique : petit &tage
qui est au-dessus de tous les autres, ei quia
ses ornemens particuliers. — falso, piedestal
sous la base de la culonne.
Arrıcöncas, s. f. pl. (l. d’arch.) atticurgues:
colonnes carr&es employees dans les edifices
d’Athenes.
ATTINENTE, adj. 2 gen. V. Tocante, Per-
lencente.
Artıncioo,A,p.p. €
fArrıncik, v.a. taucher Iögerement, ma-
nier. Appartenir , concerner. Toucber les points
ATT
prineipaux ; saisir lo point capital.(fg.) Venir
& boat de quelque chose, atieindre.
} ATTINCivEL, adj. 2 gen. qui peul &ire al-
teint ; qui peut @tre compris ; & la portöe de.
Arrıröpe, s. f. attitade, posture, situation,
position, disposition.
ATTÖNITANENTE,, ade. avec dionnement.
ATTÖNTTO, A, adj. stupefait, &tonne ; sur-
pris , interdit.
Arrricgid, s. f. attraction: sction d’atlirer;
#tat de ce qui est attire. Puissance, force in-
oonnue qui atlire les corps terresires ei c&-
lestes les uns vors les aulres, cause de la pe-
santeur. ( 4. de chim. ) Affinite. ( Ag.) Sympa-
thie,
Arraacriva, s. f. V. Altracgäo.
Arrracrivo, A , adj. attraclif: quiala fore
d’attirer. ($g.) Attirant, attachant, atirayanl,
piquant, engageant, seduisant, ravissanl.
ÄTTRACTIVO, 5. m.altrail, appas. (Ag.) Amorot,
le goüt de la noix. Alirachivos , pi. es.
" Artaacro, A, adj. V. Encolhido, Con!
ATTRACTICE, 0% attractrioe. On le dit de
Arrnacraiz,adj. f.\ la force qui allire.
ATTRAHENTE,, adj. 2 gen. Attirant: qui atlire.
.a.d’
p Arraaute. V. Altrahir.
ATTRABIDO , A, P. p. d’Alirakir.
ATTRANIDOR, A, adj. atlirant, engageanl,
s4duisant , ravissant.
ATTRANINENTO , 3. me. l’action et l’effel dal-
tirer. V. Enlevagäo.
Artaauia, v. a. allirer, tirer A sei. (Ag-)
Gagner par adresse ; avoir par adresse, allra-
per Änement; gagner par dos manitres Enge”
geantes ‚‚flatteuses , agröables.
ATTRABIR-SE, ©. r. s’allirer r&ciproqueimenl.
Artaautivo. V. Altraclivo.
Artaıeuigäö, s. f. attribution, privilege : ©OR-
cession d’une prerogative. Altribwiges,
droit, pouvoir, Juridiction d’une autoritd quel-
conque.
ATTerBUlDO, A, 9. p. d’Altrebwir.
ATTRISUIDOR , A, 5. celui quiatisibue.
ATTRIBUIR (0), v. o. attribuer, impuler,
calper, donner, röferer, rapporier , impoSt! ,
appliquer.
ATTRIBUIR-SE , v. r. s’attribuer,, s’appliguet,
s’approprier , somparer.
+ ArtaısuivgL, adj. 2 gen. qui peut ölre a
tribue.
ATTRIBLTÄDO, A, P. p. d’Aliribulor.
ATTRIBUTADOR, A, #. celui qui rend tribu-
tairc. oo.
ATTRIBUTÄR, ©. a. rendre tribulaire, IM
poser un tribut. V. Avassallar , Domina.
ATTRIBUTIVO, A, adj. attribuuf- qui auriboe.
ATTRIEÜTO, 8. m. attribut : propriete parüich”
liere d’une chose; ce qui est propre, Park
lier A un sujet, A un @ire; ceque l’onaflıme
ou nie d’un sujet. (1. de peint. el sculp!-)—»
symbole qui caracterise les personnages OU
gures, comme Ja palme, lo laurier, ei.
AUD
Arrasgi6, 8. [. attrition : regret du p6che par
kscraınte des peines. (4. de m/d.) Crispation de
Isstomac.
Artaito, 5. m. "altritıon : frotiement de deux
corps qei s’usent, occasionnant alt£ralion, di-
minution & la auriace.
Arrairo, A, ady. quia de Yattrition.
ittino „A, pP. pP. d’Aludr.
Artapön, A, 3. tuloyeur : qui Lutoie habi-
tsellement.
AttärR, 0. a. tutoyer : user des mots iu et
si en parlant & quelgqu'un. ll est aussi röci-
oe.
ArcLai00,9.p. d’
Artımäia, v.a. Presser, fouler en remplis-
sant ; remplir, emplir, combler. st. V. Eniu-
ihar.
Aröu, s. m. thon : poisson de mer, du genre
du scombre. Armapdo do —, madrague:: en-
ceınte faite de cordes ot de fllets pour prendre
des (bons.
ATCHULTOAR , elc. V. Amolinar , eic.
+ Arcnzinno, s. m. dim. d’Alüm, cordille:
jeune tbon sortant de !’oauf.
Arcpin. V. Entupir.
ATURÄDANENTE, adv. sans reläche ‚avec per-
sererance.
ArvaiDo,A, pP. p.d’Alurdr, et adj. assidu,
perseverant „ qui eonlinue.
Arcaapör, A, adj. qui estdur au travail,
qui endure le travail.
Artair,v. a. souffrir, supporter, endurer
emment, ne dire mot, ne se pas plaindre.
assidu au travail, inlatigable, s’endurcir.
ATCRAR, 9. ®. durer, continuer d’etre. Per-
sixerer dans quelique chose ; se prolonger,
setendre. Ndo Ihe atura criado, les domesti-
ques ne font pas long s&jour chez lui.
ATURAR-S8, D. Tr. se souflrir, se supporter
so-meme.
ATuRDiBO, A, P. p. d’Alurdir et adj. etourdi,
chaabi , desorient£ , frapp6 d’&tonnement, d’ad-
nirstion , stupefi®.
AttapıunTo, s. m. 6tourdissement, &babis-
sement: impression, &branlement caus& par
queique chose qui &tourdit. (Ag.) Eionnement,
surprise.
ATTRDIR, v. @. dtourdir. V. Atordoar. (flg.)
Abasourdir, consierner, stupefier, etonner.
"Atcaaa. V. Esirugir.
° kocası et Aucid,. V. Acpdo.
° sucgid. V. Almodda.
* Aucto.
ALCTOR. V. Aus..., otc.
Accrosia.
* AucruaL. V. Acksal.
+ Aucisa „s. f. (1. de bof.) aucuba : petit ar-
bre du Japon, rhamnoflde.
*+ Auchrio, s. m. chasse aux oiscaux, olsel-
kerie. Ge qu’on prend ä cetie chasse.
Arpace,. V. Audds.
Arpäcıa , 8. f. audace : hardiesse oxcessive.
Impertinenoe. Com —, audatieusement,
ÄUDACIHSSINO,, A , adj. sup. d’Audaz,
AUG 165
Aupiz,adj.2 gen. audacieux , hardi : qui a
une audacc tömeöraire. (g.) Impertinent, inso-
lent.
Aunizmente , ado. audacieusement, avec
audace, leınöritö, avec trop de conflance.
Aupscäd, 5. f. audition : Paclion d’ouir; fa-
cults auditive; frequentation d’un cours; le-
cons d’un malire. — , l’action d’entendre des
t&moins.
Aupiäncıa , s. f. audience : temps donnd par
un homme puissant, un superieur, ä entendre,
& recovoir les inferieurs; seance des juges;
lieu de la seance. —, nom de divers tribunauz
&tablis en Espagne pour l’administration de la
Justice. * Auditoire : le lieu oü l’on plaide dans
les pelites jJustices. Dar —, donner, accorder
audience. —d porta fechada, audience & huis
clos. Dia de—, jour d’audience, jour plai-
dable.
Aupitivo, A, adj. audilif : qui appartient ou
sert & l’oule.
* Aupito,s. m. le sons de l’oufe.
Audıtög , 5. m. auditeur : celui qui &coute,
disciple. — do exereilo, juge qui connalt en
premiere instance des causes relalives aux mi-
litaires. — de marinha, juge qui connalt en
premiere instance des causes relalives & la
marine. — da nuncialura, assesseur du nonce
du pape, qui connalt des causes ecciösiasti-
ques en seconde instance. — da rola, anditeur
de Rote : chacun des douze docteurs qui com-
posent letribunal supreme do la Rote, a Rome.
Aupıroria ,s.f." emploi de l’auditeur ; tribu-
nal de l’auditeur.
AUDITÖRIO, A , adj. audilif. V. Auditivo.
Avpırtöaı0 , 8. m. audiloire : l’assembl6e de
tous ceux qui &coutent quelqu’un qui parle en
public. —, lieu oü P’on plaide dans les petites
justices ; tribunal.
AupiveL, adj. 2 gen. qui frappe P’oreille, qui
peut ötre oul.
" AuGaDkıR0, 3. m. fagot de lin trempe dans
Peau.
* AUCAMANIL. V. Gomil.
Avuce, s. m. apog6e, falte de la gloire, des
honneurs, eto. (1. d’astr.) Apogee : le point od
une plandte se trouve dla plus grande distance
de la terre.
+ Aucia, s. f. (t. de bot.) augie: arbre qui
donne le vernis de la Chine.
AUCMENTACÄO, 8. f. augmentation : V’action
d’augmenter ; sccroissement par addition d’une
chose & une autre de meme nature. Pontode—,
(1. de mus.) point: marque ronde (.) plac&e
aprds une note, qui augmente ceite note de la
moiti6 de sa valeur.
AUGMENTÄDO, A, P. p. d’Augmentar et adj.
accru : paragogique; ajouts, augmentd.
AUCHENTADOR, A, 3. augmentaleur : colal
Qui augmente.
* AUCHENTAL. V. A avel.
AUCHENTÄNTE, adj. 2 gen. qui augmente.
p.a.d
AUCHENTÄR, v. a. augmenter, äccroltro,
166 AUG
arrandir, aJouler, grossir, rehausser, Ampli-
Hur, paraphraser.
AUCHENTAN, 9. #. Croltre en quantils ou en
qunlite , axrandir, grossir. = 0 progo, renche-
sir.
AUHMENTAR-IE, ©. 7. Surctolise, GrOssir,
grandlir, orolieo.
AUUMENTANVO, A, adf. (l. de gramm.) aug-
wontatif : yul augmeonie le sons.
AUUNENTAYEL, ad/.2 gen. qui peut ölre aug-
mente,
Arusknto, 8. m. "augmentallon, acorolsse-
ment, agrandissement, rebaussement, Crolt:
multiplination, on parlant des troupeaux. Ron-
vherisanmont, (S Prourös. Augmenlos, pl.
Yalın, prollis , avancoımont on grade, on hon-
naurs, on furtune. Ir om —, aller un auginen-
lau, loujours on vroinuant,
A’vuun, 4. m. augure ı parınl los anciens Ro-
mains, oolui qui linalı Pavenir daus lo vol, le
ohant, lappeuli des olasaux.
Auutnabo, A, P. p. d’Auguraer.
Avuundt ‚adj. U gen. augural ı qui appartient
& l’auyure,
Avbuunan, 9. @. augurer ı liter une 00nj00-
lu, un prosage, un augure do... HA Augurer.
\, Awwurer.
Avudap, 4, Wi. AUGU, PIESAEV : aigne Bat
loyuel un Juge de larenie; dırınatioa par le
ehant, iv vol ou la manidre die nauger des ei-
MaUN.\. Ayasew.
t Avurırar , ad. U gen, d’Augusie, qui ap-
Hieni a Uemperaur Auguste, 3. oe. Augustal :
Inne aaa tea Rusuanın. Auyusldes, pi. (8.
Hund.‘ augustauı, & Rune, ullisters des pie
miete tauga de larınae, prateta dig) pe; al-
viera du palaın mpertal vitarensıle la Jeunıdmne
vlaune ılaua Iva vulnuıca, Aires WAuguste di-
Vinia,
? Atvrrrauure, ade. augusiumen: Kane
|. ELF TITN ir
KUUNUENO A, a. qui appartient & ha ville
WAngıdunıy. “
t Arassıınn. a f. fOye cine Is Damme em
TE TEN
TArwauiee, sm | Sumgpr.\ sainl-as-
Bus . Saiten Watte Ai
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Tiweswura, & f Pace de ceat qui e- '
OO and ie grade du ducanar en
Kae de \uialee .
? Anarıuım, a, a augunlmen die
OO Augsnisie. Asus UL dr nam Am
| Yosamaen sup. Kenne >
Denen. via Z Aagusüo. Ju Wu
ruuagne Lak
AUR
+ Acctstöna, s. f.(t. de bei.) augustura ı
arbre d’Abyssinie ; Ptcorce suppi6e le quin-
uina.
' Avıa,s. f. salle, classe : lien ol s’assem-
blent les &coliers qüi prennent la möme lecon
sousunmeme maitre, *Palais, courd’un souve-
raın, d’un prince.
+ Auugres, s. m. (f. d’hist, ane.) aulöte :
joueur de flüte.
+ Auustica ,s. f. (l. d’hist. ane.) suldtigue:
art de jouer la Nüte;; joeu de fiüte sans chamı,
A’tLıco, s. m. Ccourlisan. adj. Aulique : ui
apparlient & la cour, au palais.
AuLipo, s. m. hurlement: Paction de hurler.
Aruista, s. m. eludiant qui suit une classe.
colier, eleve.
AUMENTAR, 64. V. Augmenier, eic.
Auna,s. f. aune. V. Ana,
Aini0o,A,Pp.p.d’
AUNAR, v. 6. unir, reunir, associer, 25sem-
bler. Meier plusieurs choses pour m’en former
qu’un tout.
AUNAR-SE (com), ©. Tr. se r&unir, s’aSS0cCier.
Comploter.
Avaa,s. f. (1. de pods.) " vent, seufie doux
et ieger, air subtil, souffie da zephyr. Ag.)
popular, voiz publigue, apprebation gen.-
rale.
Taraa,s.f. (I. dsl. nal.) "hecce : eiserne
da Mexique.
tArnanuz, s. m. (L. d’Rist. nel.) belecantıbe
du Bresil.
+ Acazııamtııg,, ey. ? gen. ZOrliaas , en
A'caso, A, od. (. de peds.‘ qui est der. oa
dere; conleur d’or. — zumere, nemäre \i or;
eycie Iunaire ; periode de dir-weef ans.
ArasoLa,& f. aureole ‚nienbe : cercie de !u-
miere Que les peinires et les seulpäzurs met’ cat
auwer de la Wie dessamts. —, degree de „!uıre.
AURKALLD 08 ACKTIILIO, & ME eripeas:
cuiıre munce et poli qui 2 Fexlat de Fer.
Aranımın „Ss. f.cupafıte de ar.
AranvVuı20, A,al. L. de gesz. 4 la che»
weiare Jeree.
TAcauımo, a, a. L dr peik” quı 2 ka
chevelure deree.
A:cınure, a T. es Jesu precediente
Tiuarııa.a f. L Zamnk umlietie. an-
meau 4 srwenie. —e de ureght , unmlikties . ca-
van) Ju vuree.
riruwusmas ef We —L dee"
suruuees> Ale „ Ei uk 2 SuE Ber 103
kt» ers fu Dnyue.
Alteitir,. ag : ze zurmeilite. ZI re-
gem "weıln Tetemunis, nf —.
Zaun. Sue uriumne Mb —, kusucı
Um WELT w un ul I 2 mus.
Atıpasa.nza 7 larrem
Auruny.a 27 . Amer. nf. 5 38 wer.’
AUrIUDE dm write Ju muste. zu "marrısi ge
ır. Qu si amnnaTe
- ammmn,& . ur ar Impaier mu ır I
Freie
AUS
Aukinich, A, ady. aurifique : qui a la puis-
sance de faire de Por, de changer en or.
ArkırLäuMa,s. f. orillamme : etendard des
ancıens rots de France.
Araıpaısıo. V. Brile-ossos.
AURIFULGENTE , adj. 2 gen. (. de pods.) qui a
Pielat de For.
Arvaica , s. me. (8. de pods.) aurige : conduc-
teur de char, cocher, paiefrenier. ( . d’esir.)
La charlot,, eonstellation. (6. de chir.) Auriga :
Sandage pour les eölös.
+ Acniczeo, A , adj. couvert, vöota d’or.
+ Avascınöso,, A, adj. couleur d’or. Febre
«6 , (1. de mid.) Bövre aurigineuse,, aocompa-
gnce d’zlöre.
AramosiDO, A, adj. ( 4. de pods.) oonleur de
rose et d’or. .
AuRISPICE „ etc. V. Aruspice , otc.
Arab. V. Abroteno.
Acrörı, 8. f. aurore : Iumidre qui pareit
avant que le soleil soit sur Phorizon ; le levant,
; (Ag.) — , les premiers temps , le com-
mencernent, les premitres annees de la vie,
4 la durde d’une chose. — ou edr d— ‚aurore:
esuleur d’aurore, jJaune dore, — boredi, au-
tore boreale : phenomene iumineux dans lo
cat au polo N. — ausiral, aurore australe :
pecnemdue luminsux au pöle S. — divine, la
sıinte Vierge.
Araöspıce. V. Aruspice.
Arstecıı , 8. f. absence, non-residenoe, &loi-
gnement. —, le lemps qu’on est absent. Fazer
boss ou de —s d’alguom , faire den bons recits
de quelqu’un, ou decrier quelqu’un en son
absence
ACSENTÄDO, 4,9.p2.d
Arscwria-se (de), v. r. s’absenter, s’6loi-
gaer, ätserter, s’eziler, quitter un lieu quel-
congue.
Arsturz, adj. 2 gem. absent : qui est elolgnd
de sa demeure, de sa place, d’une personne;
nen present. (fig.) Inatteniif, distrait. Os au-
senies , m. pl. les personnes absentes.
"2umo. V. Ousadia.
AcsoLcro, ete. V. Absoluto , etc.
Ars6ena , s. f. (fig.) Italie.
Avspıcia. V. Agourer.
A’cspice. V. Augur, Aruspiee.
Arspscını. V. Divinaloria,
Acsricao, 3. m. auspice : augure par le vol
des oiseauı , leur chant, leur app6tit, ote. (fg.)
, prediclion,, prophötie; protection,
farenz, Debaise dos —ı das musas ‚ sous
la condeite, bes auspices, la prolection des
muses.
Afsyz, etc. V. Abüste, ete.
AUSTERANENTE, adv. austöremeni: Aveo aus-
riss ; darement.
Acsrentzaow | s. f. austärit6 : qualits de oo
AUSTERIDADE, } qui est ausidre. —, rigueur
qu’on exorce sur son eorps; mortiflestion des
sens ei de l'esprit. —,, rigidit&, sererite, inte-
grite.
Ausreaissıno,, A, adj. sup. d’Austero.
AUT 167
Aust@no, A, adj. austöre, Apre, algre, as-
tringent. Penitent, austere, solitaire qui morti-
N ses sans ei son esprit. Austöre, seräre, ri-
gide.
AustriL,adj. 2 gen. ausiral, meridional :
du Midi (terre, pöle). .
+ Austniuıa ow Austnaräsıa, 8. f. (8. de
geogr.) Australasie : Ocdanie,, la cinquiäme
partie du monde.
A’ostnıa, 8. f. Autriohe : empire d’Autriche.
Ausraiaco, A, adj. ets. Autrichien : de PAu-
triche , naturel de ’Autriche.
AUSTRINO, A, adj. (. de pods.) austral,, du
midi ; pluvieux.
Austro, 3. m. auster : vent trös-chaud du
midi. V. Sul. Autan : vent da midi.
"Aura. V. Acta, Auto.
Aurutntica, s. f. authentique : oertifiest,
t&moignage de la verits, de Pidentit# d’une
relique on miracle.—, original, copie certiflee,
Iegalisee. —s, pl. authentiques : nom de cer-
tains recueils de constitutions, de lois romai-
nes, fait par ordre de Justinien.
+ Aurntuticaciö, ». f. P’action d’authen-
tiquer.
AUTBENTICÄDO,A,P.P. d’Authenticar, adf. au-
(hentique. Mulker — a, ( . de prat.) authenti-
quee , femme oonvaineue d’sdultere.
AurBtnticamtnte, edv. autbentiquement,
@’aune maniere authentique.
AUTHENTICHR , 9. @., authentiquer, rendre
authentique, legaliser, mettre l’attestation des
magistrats et le sceau publio & un acte. —
uma mulker, authentiquer une femme, la
declarer convaincue d’adultere.
Avrıtnricıipe, 3. f. authenticite, qnalils
dece qui est authentique, l&galisation.
AUTBENTICO, A,adj. authentique,, qui a Pau-
torit& et les formes exigees par la lol; c&lebre,
notable, solennel, qui fait preuve; certiße
legalise.
AUTHOR, etc. V. Aufor, eic.
Aurivo. V. Actioo.
Auro, s. m. acio; procös-verbal ; ancienne
piece dramatique. ’Posture, V. Aclo, Aclitude.
—da-fd, auto-de-f&, jugement de l’inquisilion
ex6cuts en public. —sacramental, piece drama-
tique dans laquelleonintroduit des personnages
allegoriques. Aulos, pl. proces, acies, in-
stance devant un juge sur un differend enire
deux ou plusieurs parties , pi&ces d’un procds,
‘procödure ; dossier.
* Auto,A. V. Apto.
AUToCkPEALO, s. m. aucsphale: dr&que grec
qui n’stait pas sujet & la juridiction du pa-
triarche. Il est aussi adjectif.
+ Aorocaacia, s. f. autocralie : gouverne-
ment absolu d’un despote, sans le frein d’au-
eune Hoi.
+ AUTÖCRATA , s. m. aulocrate . titre de l’om-
pereur de Russie.
+ AcrocräÄrrız,s. f. aulocratrioe, sonversine
absolue de Russie.
168 AUT
AtUTöCTHONE „adj. 2 gen. autocihone : abo-
+ Aurocaıpsir, v. e. autographier : imiter
et multiplier les exemplaires d’un £crit par
Pautograpbie. V. Autogrepkhia.
+ Aprocaarnia, s. [. autograpbie: connais-
sance des lirres autegrapbes;; qualits de ce qui
est autographe ; art d’imiter et de mulliplier an
corps d’&criture par une sorio de lilhograpbie.
+AvrTocaäirsıco, A, adj. autographique , de
Yautograpbie.
AUTÖGRAPEO, A , adj. el s. autographe, derit
de la main de l’autesur.
Avromirico, A, adj. (f. de mid.) automa-
tique: machinal (mouvement), auquel la vo-
lonte n’a point de part.
AUTONATISMO, 8. m. (4. de physig.) auloma-
tisme : mouvemen! machinal auquel l’äme par-
tiecipe sans y faire aliention.
AUTÖNATO, s. m. aulomale: machine qui a
en soi le principe du mouvement, et qui imile
celui des corps animes. (Ag.) Personne stupide.
Avröno. V. Outono.
Auronouia, s. f. autonomie : droit d’ötre au-
tonome , sa jouissance ; Connaissance par soi-
Aut6s0uo, a, adj. Autonome (ville grecque)
qui se gouvernait par ses propres lois.
Avropsia,, s. f. sulopsie : vision intuitive des
mysteres ; conlemplation de la divinite; inilia-
ton & cotie oontemplation ; aclion de voir une
ehose de ses propres yeux. (1. de mdd.) — cade-
verica ou do cadaver,, autopsie cadaverique:
ouverture d’an cadavre dans le but de con-
naltre Jes causes de la mort.
Aur6n ew Aucron, s. m. auleur, inventeur,
moteur : celui qui est la premiere cause, le
prineipe d’une chose, qui la Irouve ou qui la
produit. —, celul qui compose un livre; dcri-
vaın. Demandeur en justice, plaignant.
Aurönı, s. f. V. Autor. Femme auleur.
Demanderesse.
Auronia, s. f. actioh de celui qui demande
en justice.
Auroarsipe,, 3. f. autorilö, consideration,
pouvoir, superiorits , credit, droit. “Comman-
dement. Majeste, grandeur. ° Temeignage. —,
texte, passage d’un auteur qu’on cite pour ap-
puyer ce qu’on dit. Ostentation, frein. ” Credit,
r6putation , renommee.
Avrorısaciö, s. f. autorisation : Paction
d’autoriser, l’acte par lequel on autorise. Ho-
mologation, approbation, teonfirmation par
autorite de Justice.
AUuTOnIsÄnauRnTE, adv. avec autorils, d’un
ton d’autorits.
Aurorisadissıuo, A, adj. up. d’
Auronısin0o, A, 9.9 d’Autoriser, adj. qui
a de lautorit, de la representation , respec-
table, recommandable. Lögalise, en bonne
forme. Autoris# : muni de pouvoirs, de faculies
pour reprösenter quelqu’un. Notarie : passe
devant notaire.
AUTORISADOR, 9. ı. volul qui autorise.
AVA
Avronısamäntro, s. m. V. Auforisecke.
ASTORISÄNTE, 5. ot adj. autorisen!: qui au-
torise. p. a. d’
AuTorısin, v. a. autoriser: donner autorit&,
revetir de pouvoir. Authentiguer, legaliser
bomologuer. Confirmer par autorits. Approu-
ver, avouer une chose. Rebausser, rondre su-
perieur, illustrer, acorediter.Conlirmer par des
autorites. .
AUTORISAR-SE, 9. r. s’auloriser: acquerir de
Fautorite, de la consideration,
f A0TORrATIVAmSuTE, ade. avec auteritd,
d’autorits.
+ AurosısävsL, ady. 2 gen. qui pout £ire au-
torise.
Autonızar, etc. V. Auterwar, eic.
®° Autas. V. Odre.
Avrviciö, s. f. l’aclion, ow la maniedre de
reduire & forme d’un proces, proc&dure.
Autvipo,a,p.P. d’Auluer.
Autvar, V. Actual.
Autuin, o. ae. dresser proce&s-verbal , verba—
AUTUMNAL, adj. 2 gen. aulomnal : d’au-
lomne.
*Aufuuxo. V. Outöno,
+ Avvsanılno, A, adj. ei 3. Auvergnat:
d’Auvergne, qui apparliient ä l’Auvergne (en
France).
AuxıLıipo,A,Pp. p. d’duzülier.
Auxilıapon, A, 6. et adj. celui qui aide, qui
donne du socours.
ÄUMLIANTE, qui alde, qui donne du seceurs.
».0.d
ArzıLıka, ©. @. alder, seoourir, favorıser, se-
eonder, assister, proteger. — alguem com ar-
mas, pröter main-forte ä quelqu’en.
AuzıLiaa, adj. 2 gen. auxiliaire: qui aide,
qui serourt (troupe, armee; verbe; remede ,.
AvxXıLtanıo, A. V. Auzilier.
AuxiLiO, 6. m. secours, assistance, aule,
protection. Der —, pröter secours, donner
main forte.
+ AuxÖNETRO, 5. m. auxomölre : insirument
pour connaitre la force des luneties.
Avı,s.f. ava: liqueur enivrante d’Otalti.
TAvacipo, A, adj. qui lient de la vache,
qui lui ressemble.
?” Avacna, AYACHS, ou AYECHE, inlerj.
“quivaut ä oma Id : prenez. j
* Avıcuan. V. Evacuar.
*Avıula, V. Avaris.
TAVALANCHA, s. f. avalanche, ow avalange:
masse de neige qui roule des monlagnes.
Avauıciö, s. f. estimation, appreciatien,
&valuation ; prix, valeur, taux.
AvaLlip0O, A, 9. P. d’Avalier. ady. (Ag.
estimö, r&puls. Esier bem ou mal—, etre loue,
0“ blamd: avoir une bonne ou maurvaise re-
n.
AVALIADOR,, 5.m. osumalcur, apprecialeur,
priseur.
ÄAVALIAMENTO.
AYALIANGA,
| V, 4valiard.
AVA
AVALIÄR (om), v.a. @valuer, priser, ostimer,
uire & un prix determine.
ATALIÄR-SE ‚v. r. s’evaluer, s’apprecier.
AvaLvir , etc. V.Avsliar, eto.
Avasir, "etc. V. Abanar, eic.
"Avanenkcos, 5. m. pl. avant-bras : piöce
da kransard de F’armure ancionne qui couvrait
lavant-bras.
Avamcıba, 8. f.(1. de med.) atlaque , irtup-
ten. * Assault, charge ; grande garde. Dar ums
— salguem, (Ag. ) aborder queiqu’un pour lui
parler d’ane affaire.
AvascaB0, A, pP. p. d’Avangar. adj. avanck.
Ds idede — a, ou — om idade, d’un Age avancd
ou avance en äge. Sentinellas, portidas, iro-
pas —as, sentinelles, piqueis, troupes avan-
codes.
ATARGANENTO „5. m. (1. d’arch.) saillie tout
ce qui avance hors le corps du bäliment. Avan-
cement. V. Avango.
ATANGAR,, U. G. avancer, investir, assaillir,
peusser en avant, gagner chemin, pays. ll se
dit au propre et au figure.
Avancan, 9. m. ($. de mil.) atlaquer, enga-
ger Faflaire, marcher & Pennemi. Avancer:
aller en avant, @ire on avant; sorür de Y’ali-
guement.
AYANGAB-SE , 9. T. s’avancer : se molire, aller
en avant; faire des progres. — a alguem, at-
iaquer, se jeter dessus, courir sur, insulter
un.
"Avasce. V.4A
Avasco, s. m. gain, profit avantage ,utilitö;
avance ; avancement, progres. D’avanıo, adv.
davance; par anlicipalion, avant lo temps;
par avance,, & l’avance.
Avasctıno. V. Evangslho.
Avascuäapa. V.YV
Avıma, s. f. avanie: vexalion exerode par
les Tures sur les chreuiens, eic., pour les ran-
genmer; mauvals traitement; insulte faite &
dessei
D.
Avino. V. Abano.
Avautaces. V. V.
AVANTAJÄDAHENTE , ade. avanlageusement:
svec avanlage.
ANVANTAJADISSIMO, A , ady. sup. d’
AvANTAIADO, A, P.p. d’Avanlajar, ady. a-
vantageuz ; grand. Excellent, superbe, bean
Avıurasin, 9. a. avaniager : avancer, ame-
liorer, meitre en meilleur &tat, accorder quel-
Que avantage, quelque prörogalive. Preferer,
deuner la preference. v. ». Avancer, faire
des progres , s’ameliorer.
ÄAVARTAJIAR-SE (a), v. Tr. devancer, Surpasser,
le dessus ; exceller.
Avasta0so , eic. V. Vaniajoso, etc
Arastıı. V. Avental.
* ANANTAMENTO. V. Adianiamenio.
° AVANTARTE, adj. 2 gen. qui est, qui va en
avani.
AYANTE, ade. avant, en avant. V. Adiante
& Arribe. "Passar — ‚avancer, aller en avant.
A odre xai — „l’ouvrage s’aronce fort, il va.l oiseau noctusne, oiseau de null. —
AVE 169
re ini. Lover a sua— , aceomplir, exdcuter
ses desseins, röussir dans ses projets. Carlello
d’— ‚(t. de mer.) gaillard de proue. Tirar—,
voguer.
AvANTs! (nferj. en avant
ANANTEJABO, eto. V. Avanlajado, elc.
+ Avasıızs, s.m. pl. (t. de mar.) le chanlier
& commettre.
AvAquEınino, A, adj. a manidre de vacher,
( ig.) Rustigue, malhonntte.
+ Avanıma, s. m. (6. de bol.) avarama : poll,
arbre du Bresil.
AVÄRAMENTE , dv. avarement : avoo avarice
* Avınca. V. Alparee.
ÄVARENTANENTE. V. Avaramenie.
AYARENTO, a, adj. avaricieux: qui a de l’a-
varice. Avare. ( ig.) Ambilieux, avide.
Avıntıa, s. f. avarice: amour excessif des
richessos. Viver com — sördida, vivre dans la
crasse.
* Avanca. V. Vargae.
® Avancan. V. Vergar, Eneurvar.
Avaria,s. f.( t.de mar. ei decom.)avarie:
dommage arrive & un vaissesu, & des mar-
chandises. ( ig.) Detörioration d’une machine,
de denrees dans un magasin. — grossa, avarie
grosse ou commune. — ordinaria, avarie mC-
nue. — particular, avario simple ow partieu-
liöre.
AvanıkDo, A, p.P. d’Avariar et adj. avarik,
gäte, endommage en voyage, sur l’eau os en
magasin. Fazendas -—-as, marchandises mari-
nees.
AvARıÄR , 9. @. avarier : causer de l’avarie.
AVARIÄR-SE, v. r. s’avarier; so gäler, s’al-
terer,, s’appiötrir, se detsriorer.
Avanicıa ‚pP. us. V. Avareza.
Avınissıno, A, adj. sup. d’
* Avino, A, adj. avare: qui aime trop l’or et
ne lo döpense pas. Qui est excessivement atta-
ch& aux richesses. ( 4g.) Qui dunne peu, qui
ne donne pas assez. Ambitieux, avide @’hon-
neurs, de gloire. ( Ag.) Sterile, ingrat. Ser —
de,n ’aimer pas & donner, etre bon meönager,
en parlant des dons, louanges, du temps, etc.
AvıssıLLipo,A, pP. p. d’Avassallar, et adj.
soumis, assujetli. Ter alguem —, avoir quel-
qu’un sous sa doınination.
AYASSALLADOR, A, 8. celui qui soumet, assu-
jettit, etc. ; dominateur. Roma —a do mundo,
Rome maltresse du monde.
AVASSALLÄR, v9. a. assujetlir, soumelire,
dompter, reduire, mallriser, ranger sous sa
dominalion , sous 5a puissance. ( Ag.)Captiver,
rendre, conquerir un caur.
AVASSALLAR-SE,, 9. r. se rendre vassal, sujet
d’un roi, d’un prince. V. Vassal
Avg,s. f."oiseau: animal & deux pieds, ovi-
pare, ayanı un beo, des plumes et des alles.
— brava ou siloestre, oiseau sauvage. — do
paraiso ou ma , oiseau de paradis,
— de rapina, oiseau de proie. — noclurna,
de arrıi-
AVE AVE
|
Bugs _ asmmn de pemumge. — de Sams. ' 2. de met vent, qui dans l’origine n’dtail qu’un
ya. zum. — de Hinssres, = pens-dee. | ro5eau peroe de plusieurs trous; üle de ber-
ie Ausser "ze. Aus dememteens ou de ı zer. fig.‘ Style, iiees ei po6sie pastorales.
uEnTE. Wuälı.e —i GREFTTEE, CE Gi | AYESABO. V. Auoidde.
prosmm 'zumr. — muindksusen £ diast| + Avtscı, s. f. — ordinaris (1. de bei.)
mu. . &5 mammmpmirn. — edisurunbas. «i., ei- | " adkanihe & feuilles de coriandre , owigo le ca-
BEEBE dr USER. GB SERENEER. — gullundasee, | pillaise de Mentpellier, ebeveux de Venus.
qulinsmes. gumemars — trepmluren , bes | — de Canedd, capillaire du Canada. — negrs,
deradiie neire. — branca. V. Arrude dos
Ama m Arm. a f um:
zmures.
mE <E GER JENE. qm: zuuE amlimzmemsent & ia | Avsmcandaa, V. Ovencadurs.
BEmar-- ur RS Tint= Eu. fArescäö, s. m. (. de bot.) "doradilie po-
"Au _ 2 a pam June. lütrie.
A’inmı T. Summe , Atmen.
A’ie, & I "Zusmnse : Bse SERRiE d’a-
k
|
Avtuca, s. f. convention, pacie, accord,
eentrat, traits,, prix (ait, abonnement. Ser de
bes —, re accommodant, docile; avoir des
zsanieres deuces.
AYgucAB0, A, p. p. d’Acengar. V. Ajusiddo.
AVEXCAL, 8. m. ouvrier ä gages.
AVENCAR-6E (com),e. r. convenir, &ire d’a0-
osed. V. Ayustar-se.
A-ı1/.ı. UV msn
"oe amp me au AUCHSER?, A, a. digse
dem panseer.
sıı.1.& /.T. tun As. pop.‘ Bemme
unümeenens amd
Alısa eur T, Asui, 8
"Arc zuaa TV Znesuber, - * Avzusnin, etc. V. Krnosmenar, eic.
"Amannlnndg, © F. Se Funde cogmin, | ° Avszuin. V. Acir, Ajuslar.
unbe. Avasisa, s. f. avenue: endreit par oö l'oa
arive; passage, enirte. — dervores, allöe.
* Avazılkucıa. V. Acsmpa.
AvanTi2O, 4, p. pP. d’Avenidr, et adj. trenik,
wrapert, au propre et au Hgure.
* Avanraıno. V. iInventlario.
Avswrasän, eio. V. Acanlajar. .
Avasriı, s. m, tablier : morcesu d’stolle
qu’en met devant soi. .
Avaıria, v. @. öventer : donnör de Fair.
viele | Vaaner. ( Ag.) Exciter, provoquer. il. Flairer:
sentir par Y’odorat. ( Ag. fam.) Pressenüir, pre-
veir; drenter la mine ou la mäche; deeoernif
une affaire seerete. Il est aussi Feciprogue.
Avamrıco. V. Advensicio.
Avtsro. V. Adrento.
Avanıöna, 5. f. aventure, accident, dröne-
meat inepind. ° Hasard, cas fortuit, V. Risco,
ArEaETTp. 2.P. 9 d Seelen.
ASAHEIELDÖER , 2, Of gi Fund TiSEL
JNZLESITAR, & a FunÖRt WERE Zrami MEIRS.
AULEEERAR SE, €. ?. wende: drtemit VisuL,
Aussıkına, s. f. "swelinier, neisetior, cou- | Perige. Entreprise hasardeuse ow galanle.
ar, arbre qui ports les neiseltes. | Groesse —, grosse areniure. Andar a Deos & d
VRaızınäı, s. m. "ooudraie : kon plants de | —, errer & Paventure, A tout hasard. Cavelleire
d@—, chevalier errant, aventurier.
AvERTORiDO, A, 9. p. d’4veniurar ei ad).
hasardeux, risquabie, perilleux. Hardi, t&me6-
raire. Bem —, bien heureux. Mal — , malbeu-
reux. V. Vonturdso, Desdilöso.
* AVENTURANGA. V. Bem-avenfurangs.
AvEnTuRniR, 0. 6. avenlurcor,, risquer , basar-
der , mettre en danger ow courir les risques.
AVENTURÄR-SE , ©. r. s’aventurer, so hasar-
der , risquer. — a muilo, jouer gros jeu.
+ AVENTURkIRANENTE, adv. paravenlure, En
aventurier; par hasard , par acciden!.
AvENTuR&Ino, 3. m. aventurier, chevalier
errani ; celui qui court, qui cherche des aren-
tures. —, komme sans fortune qui vit d’ialfi-
gues. Pirate, Qibustier, beucanier,
ssuörters.
Avsıllzinua,, s. f. dim. d’4eellä.
Avsındaros, 8. m. pl. *verroterie : menus
marchandise de verre. (Ag.) Chose de peu de
Avaı.veiso, A, adj. velouts : labriqus
comme lo velours; qui en a l’apparence. 9.9. d’
+ Avgı.ooia ow AVYELLIDÄR, ©. 6. velnuter:
deaner un air de velours.
AvsLurino. V. Arelludddo.
Avg-uaria, 3. f. avo, avo-marla : salutation
derl’Ange & la Vierge; invocation & la Vierge.
Avo-marias, angelus: priöre des catholiques
oommengant par ce mot; son de la cloche qui
lennonoe. 4’ —s, & la brune, & jour fermant.
AYana, 8. f. (£.de poda.) "chalumeau : instru-
’
AVE
AvearenkıRO, A, ady. aventurier, t&mdraire,
inconsider& : qui s’aventure, qui hasarde, qui
seıpose temerairement au danger. Soldddo —,
aventurier, volontaire, soldat de fortune. Nau
—#, vaisseau aventurier: qui trallque sans
permission. .
Avegurueina ,s. f. aventurine : quartz,, pierre
ronge, jJaune-brun, brillante, demi-transpa-
rente et comme semede de paillettes d’or.
AVZSTUROSO, A, adj. aventureux. V. Arri-
. Avea, V. Haver.
TAYzaino, o m. (1. d’hist. nal.) colinga du
Bresil.
Arsasido0, A,9.p.@
Arzuasin, vo. a. verbaliser: dire des raisons
#8 des faits pour les faire meitre au proods-
verbel ; dresser un proces-verbal.
AVER-D0-PE80. V. Haver .
Avsapocisa, s. f. "vertugadin : bourrelet &
ls ceinture de l’habillement des femmes, qui
seutenait les japes.
ÄrTERDUCIDO, A, adj. garni de vertugadin.
"Avznupöcas, s. f. pl. V.4
’ Avamcan, etc. V. Vergar, etc.
AVERSOADO,A,P.p. d’
TAYERcOiR, ©. a. sangler: faire des san-
Bades. V. Flagellar.
AVERGSOWNHAR, elo. V. Znvergonker, 6io.
’Avsunia. V. Avaris
Avsnscuaciö,s.f. “eLamen, 6elsirchsserment, |
recherche exacte, perquisition, enqu6te, in-
v tion.
AVRRISULADAMÄNTE, ade. cortainement, AS5u-
rement ; avec connaissance de cause.
AVERICUÄBO, A, adj. avorh, Tevonnu.p. P.
d’4wwriguer.
AYERIGUADOR, 5. m, investigatsur, verifiea-
war, examinateur, enquätsur, inquisiteur
gei fait des recherches, qui oherche & d6oou-
vrir. Fareteur.
AYBRIGUAR,, 9. 6. avörer : S’assurer d’un fall,
‚ rechercher, examiner, enqudter,
sire recherche, perquisition.
AVERBELNÄBO, A, ady. rougeälre: qui tire
sur ie rouge. 92.9.4’
+ AVERMELHÄR, %. 6. Tougir: rendre rouge.
ATERMELRÄR-SE,, v. r. rougir : devenir rouge.
v AY&Rno, s. m. ( 6. de pods.) Aveme, Tönare:
enler
Avtano, a, adj. (2. de pods.) de Penfer, in-
iernal. ( Ag.) Tenebreux.
Avzganccia, etc. V. Enserrugar, etc.
’Avgasauanto. V. Contrerisdade
Arzasiö,s. f. aversion, degoät, anlipathie,
repugnance ; opposition. Haine, inimitlie.
tArveasıas, adj. f. pl. (Tolbas —,t. de bof.)
feuilles retournses, lorsqu’olles sont tourndes
vors le sud.
* Avansia. V. Aversdo.
Avanso, A.
ATERTENCIA. |v. ddveri....
Avssınza ow Avszinwa, 3. f. dim. d’4os.
Petit eisesu.
AVI An
AveBsino,A,p. p. d’Avessar, et adf. qui fait
les choses & rebours.
AVY£SSAu£nTtE, adv. V. A’s avdssas. Mal; mal-
adroitement,
"Avessän,v.e. V. Transiorner, Corromper.
Avessas (ds), adv. & rebours ‚tout autrement,
tout au contraire. Tomar ums cousa ds —,
prendre une ohose & contresens, lui donner
une explication contraire. Virar alguma couse
ds —, relourner d’un cöls, a rebours. Succedse
Iudo ds — do que se tinha dilo, tonı arriva aw-
trement qu’on ne l’avait dit.
" Avsssia. V. Perversidade,
* AVESSIMÄO, 5. m. mauvais augure.
" Avgssio, A. V. Avdsso.
Av&sso, s. m. envers : le 0o6t6 le moins bea
d’une &toffe; sens contraire. 40 — ou do— ,ä
Penvers, du cöts de l’envers; en sens oontraire,
le dessus dessous. — da medalka, revers Ber
d’— com alguem, reiner quelqu’un de fon en
comble. Naö ter —, nem direilo, 6tre d’un oa-
ract£re bizarre, inegal, quinieux.
Avtsso, A, adj. relourne, mis & Penvers;
d’un sens eontraire ou © ; eontrariant,
contraire. ( lg.) Inforiune, adverse; mechant.
em um genio mwi —, il a un möchant sarac-
Avzstatz. V. Abesirüz.
* Avgtin. V. Eoiter.
AvzxAChO,
AVEXAR, 016. |v. Vox... eic.
AveziD0,4,P.p.d’
Avszin, ©. a. habituer, accoutumer. Il est
aussi r&ciproque. V. Acostumer, ei6.
Avgzinua, s. f. dim. d’4os. Petit eiseau.
AYZZINBÄDO, A, adj. voisin, proche. 9. p. d’
ÄAVEZINHAR ou Arisinkar, v. a. avoisiner,
approcher , meitre une chose pr&s d’une autre.
— bem com alquem, faire bon voisinage avec
quelqu’un.
AVBZINEAR, V.8, el SE, 0. 7. S’avoisinor,
se rapprocher; s’approcher. Avssinka-es «a
noite, la nult s’approche.
Avıkno, A, ?. p. d’Avidr et adj. Estdmos
bem —s, ah! nous voll dans de beaux draps,
Bem ou mal —, (fig. fam.) bien ou mal ajusts,
bien ow mal outille.
AYIADOR, A,s. celui qui prepere, qui dispose
queique chose pour un voyage.
AYIıAMENTO, a. m. "expedition, arrangement,
disposition ; fourniture. —s, pl. attirail : nom-
bre et diversits de choses nöcessaires &.
Avıkr, ©. a. pr&parer, disposer quelque
chose pour le chemin, r, prosser l’exe-
eution d’une chose. Yamıos aviando, ou aviar /
finissons , dep6chons-nous.
AVIÄR-BE, ©. r. 86 disposer, 86 preparer,
s’appröter, se lenir pre&t. ( fg.) Se presser, se
depe£cher.
Avıiaıo,s. m. *vollere: lieu ou l’on dire des
oiseauz ou de la volaille.
+ AvıcErroLocia, s. f. aviceptologie : traits
sur l’art et la maniöre de prendre des oiseaux.
AvıcruaLaiD0, A,P. 9. Ü’Avichualher.
172 -. AVI
ANICTUALHAR , v. &, avilailler : fournir de vi-
“ vres un camp, une place.
“ Avicuza. V. Auszinha.
+ AvicuLinua, s. f. (8. d’hist. nat.) aronde:
mollusque ac#phale donnant les perles, la
nacre.
A'VIDANENTE, adv. avidement : avec avidits,
f Avınkz ow Avıntza, s. f. avidiis : desir ar-
dent, insatiabie, immodere.
Avmissıno, A, adj. sup. d’
A’vıno,A,ad/. avide: qui a un desir immo-
dere de quelque chose; tr&s-interesse.
Avınon. V. Avindor.
Avızızipo, A, adj. (t. de bias.) quia des
Alons. .
*ıvıL.V.: ivel.
° AvıLivo. V. Aviliado, Ewoilecido.
Avı.anäpo, A,adj. ignoble, vil, bas: quia
les maurs des roturiers; roturier. p. p. d’
f Avızanin-se,o.r. siencanailier, s’avilir,
. devenir canaille, rustre.
* Avııtza. V. Vilöza.
* AvıLıraao, V. Aviltado.
AVILTÄDBANÄNTE, adv. vilemen! : d’ane ma-
niere vile. .
AYıLTÄDO, A, 9. pP. d’Aviller.
AVILTADOR, A, 5. ot adj. avilisseur, avilis-
sant.
AVILTAMENTO, 3. m. avilissement : &tat d’un
&tre avili.
AvıLräa, vo. a. avilir: rendre vil, abject,
meprisable; döprecier.
AYILTÄR-SE, o. r. savilir : faire quelque
chose de vil; devenir vil, & bas prix.
* AVIMENTO. V. Advento, Vinda.
AvınacräDo, A, adj. acdteux: qui a le goht
du vinaigre. ( Ag.) Acarlätre, dur, rude; d’une
humeur lächeuse, intraitabie. p. p. d’
Avınacaln, 9. a. rendre algre, aigrir, vi-
naigrer.
AYINAGRAR-6E, vo. r. s’algrir. V. Azeder-se, au
propre et au figure.
AvıncuLia, etc. V. Vincular, eic.
* Avınca. V. Avonpa.
* Avımotıro. V. Avindor.
* AvınBıco. V. Findigo.
Avinpo, A, p. p. d’Avir, et adj. converie,
d’scoord. Bem ou mal awindos. On le dit des
personnes qui vivent en bonne ou en Mmauvaise
intelligence.
+ AvınDor, 5. m. meödiateur ; arbitre.
Avınnipo, A, adj. envine: qui sent le win;
vineux: qui a le goüt da vin, oü il entre du
vin. Agua —a, vin trempe, eau rougie. Homem
—, homme avins: qui boit beauooup. p. p. d’
Avınala, v. a. aviner : imbiber de vin.
AVvIıNBÄR-SE, dv. r. prendre le goüt du vin; s®
sotler.
Avio,s. m. V. Avlam£nto.
AvıoLano, A, adj. (4. de pharm.) fait avec
des fleurs de violeties. it. Qui tire au violet. ss.
Qui a la forme d’ane guitare.
AviR, v. a. accommoder, arTanger, accorder,
remettre en bonne intelligence.
AVO
AviR-SE, u. r. s’accommoder,, s’enlendre,
tomber d’accord ‚ compalir ; s’ajuster, convenir.
” AVIR, ©. 9. SUrvenir, avenir, arriver.
AVISÄDANENTE, adv. prudemment,, diseröte-
ment.
AVISADISSINO,, A, ady. sup. d’
AvısiDo, A, p. p. d’Avisdr ei adj. avise,
prudent, clairvoyunt, qui a l’esprit An, pene-
trant. Adroit, fin. Mal—, malaviss: oelui qui
agil sans röllexion, sans examen.
AvısapOR, A, 8. celui qui averüit, qui Jait
part de.
" Avısamenrto, V. Aviso, Advoriencis.
* Avısanca. V. Aviso,.
Avısia, v.a. avertir, donner avis, annon-
cer; laire savoir. Semoncer, fairo une repri-
mande. Conseiller.
AVISAR-SE, 9. r. penser, faire reflexion sur
quelque chose. V. Instrwir-se. S’entravertir.
Se rappeler de quelque chose, s’en ressou-
venir.
Aviso, s. m. avis, avertissement, * Vigilance ,
soin. *Semonce , röprimande. * Prudence, cir-
conspection. Ordre signe par un ministre d’etat
au nom du roi. "Embarcation legere, paquebot,
aviso. Estar ou andar de sobre — , ötre sur ses
gardes. Corta d— (1. de comm.), leitre d’avis.
Avısrino, A,P.9.d’
Avıstia, vo. . d6oouvrir, spercevoir de loin.
AVISTÄR-SE, vo. r. s’enirevoir ‚ s’aboucher.
Avirq, A, adj. (. de poes.) qui vient des
aleux.
AYITUALBAR, 60. V. Avichualkar, etc.
‚AıVÄDANANTE, adv. vivement: aveo viva-
eite.
AvıviD0,A,P.2.d’ "
ArvıYia, v.6. exciter , animer, ranimer, bä-
ter, diligenter. Al’umer,, altiser, on parlanı da
feu. Aviver, rafraichir, en parlant des couleurs.
Aviver 0 passo, redoubler de Jambes; aller
plus vite.— 0 cavallo, exciter un cheval & mar-
cher en le piquant avec les &perons.
AVIVÄR-SE, ©. r. se ranimer, se virifler.
” AVIVERTADLIRO, 5. m. celui qui ranime.
AVIVENTÄDO, A, pP. P. d’Aviventär.
* AVIVENTAMENTO, s. m. l’action de rahimer.,
AYIYENTÄR, ©. a. prolonger la vie; l'’encou-
rager.( Ag.) Ranimer, fortifier, vivilier.
Arvızaa, et0. V. Avisar, eic.
Avızinnin, eto. V. Avezinkdr, etc.
Av, s. m. aleul: grand-pere; pere de la
möre ou du pero. Auds, pi. aleux, devanciers »
anc£ires, ascondants.,
Avö,s. f. aleule: grand'märe ; möre du pre
ou de la möre.
A’v0, s. m. terminaison des noma [rac-
tionnaires. Ex.: 3/8 == irts oitavos, trois hui-
tiämes; 1/12 = um ddzavo , un dousieme. Avss,
pl. denominateur des [raclions,
* Av6a. V. Avd.
Avoacan. V. Esvoagar.
* AVOAMEnTO. V. #60.
Avocacäd, s. f. (i. de prai.) &vocation ı Fao-
Uon d’eroquer. #4. V. Invocardo.
AXI
ArOC4B0, A,P.p.d’
Avocar (a, para), v. a. (I. de pral.) evo-
guer : lirer une cause d’un tribunal, et ia por-
ier a un tribunal superieur.
AYOCATÖRIO, A, adj. (t. de pral.) svoca-
ksire, avocaloire : qui sert & &voquer (mande-
ment, lettre, ete.).
Avocırüna,s. f. l’aclıon d’evoquer.
+Avoctra ow Bico-aEVoLTO, 8. f. (l. d’hist.
nal.) avocetie : olseau aquatique, palmipedo,
teretrirostre, blanc, gros comme le pigeon, &
long bee, pointu et recourb6 en haut.
ATOKIAR. V. Adejar.
"Avokaca. V. Avb.
Avoe@nco, A, adj. qui vient des aleux.
Avo8scos, s. m. pl. ancktres. V. Avös.
Avotscutıno, A, adj. des aleux: qui a dt6
posstde par les encetres.
Avocacia. V. Advoeacia.
Avocän, ete. V. Advogar, etc.
+Avoıma pe Guine, 5. f. (1. de bot.) avoira
de Guines : palmier &pineux. Son fruit donne
de Phuile.
“ıvor,edj. m. V. Vi, Mdo, Ruim.
AvoLeuca. V. Avofnga.
" AvoLzza. V. Vildza, Maldade.
° AvoLro. V. Enoolto.
AVOLUMiBO, A, p. p. @’
AVOLUHÄR, 9. 6, obstruer (un vaisseau) de
ballots ; faire croltre en volume.
AVOLUMAR-SE, e. r. devenir
FSagrandir.
’ AvoL.ven-se. V. Revolver-se.
° Avonpa l inferj. assez !
volumineuz ;
* Avoano, #. m. V. Abaslanga , Abundancia, du
° AVONDOSAMENTE. V. Abundanlomente.
Avtım, A, adj. arrache, Öle, söpare, de-
tache ; depareilie. Noticias _u, nouvelles
douteuses, faux bruit.
AYULTADO, A, adj. grand „gros, volumineux.
12.2.0
ÄVTLTÄR, ©. 6. sugmenler, accroitre, agran- | 46-
dir, grossir. Rencherir, amplifier, exagerer.
Avuıria, €. ». grossir, devenir gros; crol-
we, augmenter, ayrandir. Relever en bosse,
en parlant des ouvrages de sculplure, donner
&u reliel.
AvuLrdso, A, adj. volamineux ; oorpulent.
Ax(4Actziz) V. Xiz, letire.
*Axı,ou Ama,s.f.(t. arab.) une telle.
Azan0iB0,&A,P.P.d
Axınoia, v. a. vernir du carton, du for-
blanc, etc., ’ jmitant le vernis de la Chine.
Axz. V. Ache. It. Axis.
"Axg.V. Eizo.
® AXEDRECHE. V. Xadrez.
* AXENTE. V. Argenlo, Prala.
+Axzıu, s. f.(t. de bot.) axie: arbrisseau
rampant de la Cochinchine ; medicinal.
Axıroco, A, adj. axiluge : qui s’öloigne d’un
as,
AZA 478
T AxıLE, adj. 2 gen. ( t. de dot.) axile : atta-
che Ala columelle.
AxiLzr,e.f. V.Sovaco. I. (I. de bot.) ais-
selle : angle forme par la queue, la base d’une‘
feuille, etc., avec la lige.
Axıı.in, ady.2 gen. (8. @anat.) azillairex
qui appartient ä Vaisselle (6. de bot.\— , qu!
nalt dans l’angie entre la branche et la Lige.
Axınioo. V. Achinado.
Axıöma,s. m. axiome: proposition gendrale,
cleire, &vidente, regue et incontestiable dans
une science,
f AXIÖNETRO, 8. m. (1. de mar.) axiomötre
o% axomötre: machine qui indique la position
de la barre du gouvernail.
Axıpariö, s. m. (4. de P’Inde) jubild des
Gentils.
fAxiPETO, A, adj. axipdte:: quitend ä 8’ap-
procher de l’axe de sarevolulion, de son mou-
vemment.
TAxıs, ou AxE, s. m. (1. d’hist. nal.) axis:
quadrupe&de du genre des cerfs.
" Axöıne, 8. f. (td. d’anal.) axoide : seconde
veriöbre cervicale.
TAxoguem, s.m. (t. d’hist. nal.) axoquen:
grand oiseau aquatique ( du Mexique.
*"AxoriD0,A,p.p.d
* AXORÄR, v. a. emmener de force : mener,
chasser devant soi, faire deloger. (fig.)Defaire,
detruire. 11. V. Afferrar.
Axüncı. V. Ajörca.
t Axuncia, s. [. (t. de med.) axonge : graisse
eondensee dans les follicules adipeux.
+Arırina, s.f. (8. d’hist. nal.) eupatoire,
Bros ®
Ar.
Ayo.
Araiö, etc.
fArai, s. m. (1. de bof.) ayri: palmier da
Bresil.
Az, 8. m. as: point seul marqu6 sur une
carte, sur la surface d’un de; cette carte, ce
V, 4... eto.
az, s.m.V.Ala, Fileira. It. troupe. Emdsz,
devant, & lavue, en presence; en troupes.
Azı,s. f. aile: membre des oiseaux, des in-
secies , garni de plumes ow de mernbranes pour
voler. —s, pl. (lg.) encouragement, libertd que
donne la protection, P’amiti6, ie pouvoir, etc.
(1. de po6s.) velocite, legöretsd. — dando,,
voiles d’un vaisseau. Dar —, eneourager. Dir
de — , (fam.) batıre de l’aile : dechoir.
Ası ,s. f. anse : saillie en arc du vase, elc.,‘
qui sert & le porter, le saisir, etc.
Azısönno. V, Zaburro (milho).
Azivo, A,ddj. alle: qui a des alles. V. Ald-
do. it. Anse: garni d’une anse.
Arivo, A, P. pP. d’Azdr, adj. commode,
qui est propre d; agile, adroit.
Azipo,, s. m. pot & deux anses. il. anl. * Op-
portunitd.
*AzınOr, A, 8. V. Facililador.
178 AZE
Asiraua, 0. f. oohue, presse, empresse-
ment,
AsarasÄBo, A, adj. presse, afeire, tout en
meuvomen!.
Azaraäö, etc. V. Apafrıde.
Araskıa, 0. f. zagale , Javelot: sorte de dard
arımd d’un fer dentel6 qui rend los blessures
uxtrömement da uses.
Azıcarkda,s. f. coup de zagaie.
Araualio0, A,9.9.d
Azacalla, ©. .. biesser, tuer & o0ups de
sagale. FÜR
ALACUNCH
Asacuncme, [v. Zogunch... ei.
Anımnoloo, a. V, Escebr6ss,
ArANBÜJA.
ASANRUIAL. } V. Zanbujel.
Arımaı. V, Arsmel, “
Azıori, s. mw. ancien tribat (ta dime de
fralts‘ que los Maures payaient au rei de Por-
lugal,
Azin, s.m. coup de malheur, accident fä-
cheux. Guignon : malhear au jeu. Toat ce qui
cantrarie au Jeu. L’as au jea de des. Hasard.
Ter — a alguem ou com elguem,, avoir de lan-
Upathie pour quelqu'an. Ter—a ou com alguma
vousa : phrase qui repond em framgais A: telle
chose porte malhenr, aveir da malhenr en
quelque odese.
Ausn,s. m. (8. dire) menneie asialigue,
qui vaut & peu prös 3 (r. T5 c.
tAsanı,e.f. (de bei.) azara : arbrissenm
0a Pros,
ALAR-BRANCO , 8. m. sipdce d’andıneme.
» Arıacad, V, Lerede.
TAzantını, m ) L. de bei.) Azarere: lsn-
Asındıao, 5. m. ) rier-corise de
° Azanıa. V. Zsseremups, Corveris.
Azıserr,s f. om) ‚2. de bei, sauzele : pe-
Auuaero,s m. tie cerise de Tazereier,
romge ei achde, & prüts movaer.
„es. m... 6. de bet.‘ auzreber : au-
Iee , eupire de neuer qui porte [azıreie.-
Asıuicma, 6. f. V. Berdads.
° Asaave. 7, Aderes.
Asncıaa, \. Ausume.
Astzas. V. Aurere.
t Auinee, a un. autbre : eheeai dÜuspie.
i
Amcae. V. Ausnieche.
AZE
Aztdar-sE, v. r. s’sigrir, (Ag.) s’algrie, vier-
riter.
Arteas, s. f. pl. Osetlle : plante peiagäre,
etc.
Arsotına. V. Azödas.
AZEDERÄQUE, se. m. (6. de bot.) axbäsrach:
acacia d’Egypte ; lilas des Indes.
Arkpärz, adj. 2 gen. un peu aigre.
Azeola, 8, f. acidite : qualii de ce qui est
acide,, aigre. ($g.) Rudesse, aıgreur.
Azkpinua, s.f. (t. de bot.) alleiaia ; sarelle
petsllde, surelle blanche, pain de ceucon,
oxalide ‚ petite oseılle, horbo de baeuf, iröfle
aigre.
Arsninmo, A, adj. dim. d’Azddo.
Arzvissımo, A, adj. sup. d’
Artpo, a ‚adj. acide, aigre, ackieux : qui a
queique aigreur. Str: quia an go@t acide ei
aigret, en parlant des [raits. Bude, äpre su
geüt. (Ag.) Revöche, rede, pen traitable, re-
berbatif, om parlant des personnes.
Azt2o, s.m. V. Aysdie ; Azsdame.
ArEDÜNE, 8. ©. * aigreur, acidile: qualile de
ce qui est aigre, aride. | Ag.) " Rudesse. V.
Arimönia.
Arzpuna. V. Azedie. -
Auzızar, etc. V. Acsirdr, ee.
Arkıno. V. Aceire, Ace.
Autıne, 5. =. pitge pour premdre da peis-
son.
Ausıräsa, 8. f.(k pep.) heile repemdens ;
grande quantite Chuile dams je manger, ein.).
Arxzrri20,4,9.P-@
Artırız, v.a. kaiter, freier, emper zwer
de Theile; jeter, verser, rtgandre de Tiumile
Gesses.
Artırz, s. m. * beaile : ligqueur grasse et onc-
tuense. — dice „ baue d’eirres. V. O’ies. / Ape-
gar o foge com —, pres... jeter de Tumile sur
le feu: exrıier ia caiere, les pamsiems. Mister
cm —E5, PP. Fire rıre,
Anrrirı,s f. "beier benkiöre, eruche,
vase a ihusse. V. Almmaians.
Arırrtro, s m. vendesz dIade. Halter :
|vase a Tin:ie. Par. es passen, curmet &
Mele. To zemi ab. Nora — , vaisseam
poar .ı pfchhe de !a balt.me. Pienis — se, plants
ci Jene de Thanien
: frei de Teivier —
paupstruws, olve gtte qm 3 ! edtzur de mir.
Arssresıne, &, af. aim: james en ba-
? Aut»a. V, Ausdes. — Vermeike. 7. Lebugs ı szune. de venirur Tr» ve
von, — ups, jeuzm smase frwee,
< ArET 205 me Hasasın, a f ‚2. de bs.)
«erde russ. — punisuein. U. Zunberts des gazeirr pamie Buanee.
mungee.
um, 8.,9.9. d Aunder.
ArmwWia, 2... Se. un
Auinnu6rtT, an. 3. eri, Irre.
Anumeiw. 2m 2m a :I- _. 7
Aral 8 Bit. zu ier mn.
u.
| ALTE. 2.0 em Ta sale, qui
Yırzer2. u cn ven dann
x eu, . 2 gem. V. zrurasde ,
zE.rnr m.
ae 1. Mieazr Te nigra og
Dr 2 202m a Ne
a. 2 RM wu ter wen de nn
Arı ma.6 ’” "ar Tr Terme Se.
Aria. .s um De nr
A2I
Arewir., s. m. muletier, conducleur d’As6-
males. V. ce nom.
Arkueıs. V. Aztmala.
AZEWELEIRO, #. m. surintendant des bötes
de somme.
ArzuıLıa, 8. f. dim. d’Azömala,
ArtuoLa. V. Azemala.
tAzensores, s. m. pl. peuples ma |
kahitent les Dee an Peop Bra
Aztxuı, s. f. “ moulin & eau.
ATENBAYRE. V. Azinhaore.
* ArEO, s. m. grain de raisin.
Azıgrıu. V. A4cequia.
Azzzır, 0. @. (1. de relieur) donner la cou-
leur d’scier ä Ia tranche d’un lirre.
‚Ärtuse, 5. m. paravent, pour garantir les
ares contre je vent.,
TAzER2DO ow Azanfno, s. m. hols d’Azdre-
ro.
Ammeıno. V. Azareiro.
OLA.
Armnoızıno. | V.Asarol..., eie.
Azeıvipa ,s. f. V. Trenqueirae, Sobe,
ÄAzERvE. v. yrah
Arzs, 5. m. pl. escadrons; ambesas (des
des). V. Az.
*" ÄZEUMA.
-erid } V. Chupo, Lange,
*Arkvar. V. Azeore.
* AZEYEZINNO. V,. Bichino,.
„Arevia ia , 8. f. limande : esp£ce de sole (pols-
Arsvıcnäno, A, adj. conleur de jals. p. p. @®
tAxzvıcmäR, ©. s. donner la couleur de jais.
äıxvcae ow AzEvıxE, s. m. jais: bitume
fossile ires-noir et solide. (fg.) Chose tres-
keire. Negro como — , noir comme de Penore.
u Arevıtıno, A, adj. fin, mechant, rus6,.
malicieax „ fourbe. it. Impudique, lascif.
t Azzriwmo, s. m. (£. de bot.) houx, je grand
‚ Fagron, le grand pardon, le bois
Caroline, hoax ü fouilles de lau-
nier. Le koux d’Abon.
Ausvumos. V. Asovezinkhos.
Aztvae. V. A’loe.
Azia,s. f. aigreur d’estomae.
Azussi. V. Aziahaga,
Azıico, 4, adj. malheureux, funeste, de
Deuvais augure.
Azıın, s. m. merallles, torche-nez : pinoes
joar sersur le nes des chevanı difeiles.
* Azisan. V. Azeure.
"Ancire.V. Acicdie,
Azioue, s. m. ’eraio des cordonniers. V.Ca-
Aztuzıa. V. Astmale.
TAzmfno, s. m. (1. de bot.) azimöne: ar-
Irissseu du Madagascar, voisin du volkameres.
f Aumo,s. m. (1. de bot.) azime : arbuste de
Ausru, 8. m. (1. d’sslr.) azimat ı eercle
qui ceupe Fhorizon & angle droit ei passe par
AZO 175
le point vertical;arcde !’horizon compris entre
le meridien et le cercle vertical; ce cercle;
compl&ment de l’amplitude orientale ow ocei-
dentale, au lever ou coucher du solell. — ma-
gnetico , azimut magnetique : mesure de la d&-
clination de l’aiguille.
„ Azınuralı, adj.2 gen. (1. #asfr.) azimutal :
qui represente les azimuts. Compasso — de
aley, compas de variation de Yaiguille ai-
mantee. Agulha ou mostrador —, cadran azi-
mutal, & style perpendiculaire ou plan de l’he
rizon
° AzınHa, ade. vite;; bientöt, sous pen.
Arinnı, s. f. dim. d’Aza.
Azinaa, s. f. fruit de P’Azinklira.V. ce nom,
Azınnäca, 8. f. "sentier, chemin etroit, cavde.
Arımmico. V. Azidgo.
Azınnin,s. m. bois plante d’yeuses.
AzınaÄvag, s. m.verdet, vert-de-gris ; rouilie
de cuivre, d’airain.
AzInBEmA, s.f.
AZINH£IRO ou
AzInnO, 8. m.
+ Azinno-praino, s. m.(1. de bot.) chene &
feuilles de chätaignier.
° Arıntir. V. Occidental.
Azia. V. 4sir.
* Arıöman. V. Azeddr.
Azıöuz. V, Azedüme,
Azıvıßıno. V. Azevieiro.
Azıvinuo.V. Azevinho.
Aro,s. m. *oceasion, motif, pretexte; ma-
nköre, moyen de faire quelque chose; alde,
intervention. Dar — d liberlinagem , etc. , don-
ner pied au libertinage, otc.
Az0ıniD0,A,P.9.d’
Azoınär, v. a. 6tourdir, abasourdir, faire
finter les oreilles.
f AzoLorr, s.m. (1. d’hist. nat.) azolotti s
salamandre du Mexique.
® Azorfıra, 8. f. foret, bois,
f AzonfıLLa, & f.($. de bot.) azorelle : plante
ombeiliföre. "
Azonnacisa, 8. f. coup de fouet, angull-
chene vert; yeuse.
‚lade; coup d’escourgee.
AzoarAa0iB0,A,P.p. d
AzunkacäR,o.a. fonelter : donner des coups
de fouet , des coups d’escourge&e.
Azonnkcus, 5. m. *esoourgee : sorte de fouet
de courroies de cuir.
ALORRAGUINHO, 3. m. dim. d’Azorrögue.
Azorino, A, adj. (1. de ehtm.) azol6 s
contient de l’azote,
Azöts ou Azör,s. m. (1. de chim.) azote:
(gaz —), Auide dlastique qui entre pour 4/6"
dans la composition de l’air de l’atmosphere,
inutile & la respiration et & la combustion: au-
trefois air phlogistique, mofette atmospherique.
Azötug, s. m. (1. d’alehim.) azoth : pretendu
principe des metaux.
Az0ouci80, A,Pp. pP. d’Azougär, adj. inquiet,
tarbulent, qui n’a point de repos.
f AZOUGAMERTO, 8. m. agitation extröme,
conrulsion oooasionnee par le mercure, Kia-
176 BAB
mage : Yaclion et Pelle d’&tamer une glace, un
miroir avec du mercure.
AzovcaR, vo. a. Etamer : meitre au tain les
glaces & l’aide du mercure; appliquer, meler
du mercure. (Ag.)Rendre inquiet ,etc.—s cal,
&teindre la chaux avec de l’eau.
AZOUGÄR-SE , d. r. (fig.) @lre inquiet, trouble,
sans savoir co qu’on fait ni ce qu’on doit faire.
Azöucuk , 8. m. mercure, vil-argent: metal
blanc, Auide & la temperature atimospbörique.
Ser um —, ( ig. [am.) eire vil comme le sal-
peire, comme la poudre, etc.
+} Azoccutıao, s. m. celui qui dirige l’amal-
gamation des mines d’or et d’argent avec le
mercure pour en extraire ces melaux.
Azüpe. V. Arüde.
+ Arüra,s. f. (1. dhist. nal.) azoula : hyene
d’Afrique.
Azöı, adj. 2 gen. bleu: qui a la couleur
bleue.
AzüL, 3. m. bleu : couleur. Pierre bleue sem-
blable au lapis-lazuli. — celeste , bleu celesie,
azur. — ferredie, bleu fonce, obscur. — claro,
bleu clair. — turqui, bleu turquin. — Iöio,
bleu de safre. — de Provenga, pastel : [euille
pour teindre en bleu, reliree de la gudde. —
d’ssmalle , bleu d’azur, bleu d’empois.
AzvıiÄdo,A, 9.P. d’Arular, adj. bleudtre :
tirant sur le bleu.
AZULADOR , 5. w. celul qui bleuit.
AzöLia, o. a. bleuir : rendre bien.
t AzöLzia, o. n. tirer sur le bleu, @tre
bleuätre.
BAB
Aruızsino, a, adj. fait ou orne de caR-
reaux de Hollande. p. p. d’Azulgyar.
AzuLKJapor, 5. m. celui qui fait. qui place
les carreauz de Hollande.
AzuLgsän, 0. @. Orner, oeuvrir une muraille
de carreaux de Hollande.
AzuLkıo, s. m. carreau de falence color6 &
vernisse,, carreau de Hollande.
+ Azuınina, s. f. (i. d’hist. nal.) azulhina ı
bengali d’Angole.
+ Azumsripo, A, adj. un peu courb£.
+ Azur, s. m. (I. d’hist. nat.) azur : gobe-
mouche des Philippines.
+Azuaim, s. m. (tl. d’hist. nel.) azurin : &8-
pöce de merle de Cayenne.
AZURRÄCHA, 5. f. nom d’une sorte de bargue
au Doiro (riviere de Portugal).
Azuanacvinno. V. Asorregwinko.
Azunrin. V. Zurrär.
+ Azuai, s. m. (1. d’hist. nal.) aruroax -
bruant bleu du Canada.
Arvcos, s. m. ou f. (I. d’anal.) Veia-— , azy-
gos : trolsidıme rameau du tronc de la veine
cave,, sans parallele.
Azvıo. V. Asylo.
Azvymista ow AzYMita, 5. m. azymite : qui
se sert du pain azyıne; qui communie avec 06
pain; nom que les Grecs schismatiques don-
nent aus catholiques.
A’IYuoO,A,adj. azyme : sans levain. Il n'est
employ6 que dans la phrase : Pdes azymas,
peins asymes , comme les hoslies.
B.
B, b, s. m. la seconde lettre de l’alphabet
portugais, et la premidre des consonnes. B si-
gnifle 2 au bas d’une feuille d’impression ; se-
conde lettre dominicale.
Baaitas, s. m. pi. baaliies: adorateurs de
Baar. V. Bar.
Baza, 8. f. bave: salivo qui decoule de la
bouche. — ‚ &cume : humeur visqueuse do quel-
ques animaux , comme les mollusques.
Bısioo, A, p.p. de Babar, et adj. plein de
bave:; sale.
BasaD0uRO ‚a. m.“ bavelle: pidce de toile sur
l’estomac, surtout des enlanis, pour Fecevoir
la bare.
basanca. V. Böbo.
Bisi0, interj. pop. bernigue,, rien! C’en est
fait, l'aflaire est perdue.
Basid. V. Baböso.
Basir,v. a. baver, &cumer : jeter de la bare,
de l’&cume.
Bapin-se, u. r. baver, jeter de la bare. Bal-
butier, hredouiller. — por, (fig.) s’engouer
de, se passionner pour. — por ums mulker,
se radoucir pour une femme.
Basanf, s. m. (4. de l’Inde). V. Rebais.
Bananf0 ,,s. m. ( 1. burl.)caquet, bavardage
malicieux. Charivari. .
Bastıaı, s. f. mentonniöre : partie d’un cas-
que sous le menion.
Bastıao,. V. Babadouro.
Bas£ı (lorrede), s. f. tour de Babel : grande
confusion de langues ( Ag.) et d’opinions.
+ Basntıa , s. f. ( . de bot.) babela : acacia de
Pinde.
BasıLonta , 8. f. (1. de geogr.) Babylone : ville
de Chaldee. V. Babel.
BasıLönsco, A, adj. Babylonien : de Baby-
lone.
BanıLönıo, A, s. Babylonten, Bahylonienne :
homme ou femme de Babylone.
+ Basınnosa, 8. m. (1. d’hist. nal.) babir-
roussa : sanglier des Indes orientales; oochon-
cerf.
*Basöcı, s. m. (6. duri.) dandin, nigeud,
idiot, stupide, badaud.
2 u a u TU 9 [LE nn a nn
BAC
+ Banozcanns, s. m. (1. d’hisl. aai.) babon-
card : martin-p6cheur d’Afrique.
* Banöno. V.
Banösa, s. f. Horva —. V. Lloe.
Banteo, a, edj. baveux:: qui bave. Bredonil-
ker : qui "parie d’une manitre mal articulde,
peu distinete. ( Ag.) Niais, stupide.
Bandcz ou „s T. V. Babe. Bavo I6-
gire. Vir, aeudir d —, se donner beaucoup de
peine pour des riens.
Baztiu. V. Bugio-Mendril.
Bacaızio,s. m. ° morue: polsson de mer;
werluche. — frescel, ımorue Iraiche, ow verte.
— sscco, bacaliau ou moruo söche. B
pi. rabel : ermement de toile que les magistrats
portent sous le menion, eic.
BacaLwoßrno, 5. m. navire de la pöche de la
morue; marchand de morue.
BacamiaTe,s. m. "espingole : fusil & canon
caust et Grast; ton.
+ Bacantsa ow Bacanua, 8. f. plante medi-
cinale qui ressembie au bonillon (berbe).
+ Bäcano, s. m. bscebaris ou bacchar : sorte
de plante & laquelle les anciens attribuaient des
que sur lo berd da Douro.
+ BaccaLiwmeo, a, adj. (4. de pods.) qui
& Bacchus.
Baccmanın, 6. f. (1. de point.) bacchanale:
tablean d’une danse de bacchantes et de sa-
tyres; cette danse. (fig.) Debauche bruyante.
Becchandes, pl. bacchanales : fötes de Bacchus.
BaccmanaLıas, 8. f. pl. V. le precödent.
Baccmanıe, s. f. bacchante : pretresse de
Bacchus qui oblöbrait les bacchanales. ( fg.)
Fermme empertöe , farieuse. (1. de bot. et d’hist.
nat.) Piante eseymbilire,; papillon de Jour.
+ Bicamo, s. m. ($. de po6s.) bacche,
ehieue: pied de vers greo om lalin compose
d’une hrövre ei de deux longues.
+ Bioamco, a, adj. bachique : qui appar-
BAC 117
Bac£ııo, s. m. jeune vigne; plant de vigne,
Bäicua , Bicno. V. Baiz...
Bıcui, s. m. bacha, pacha ow bassa : of-
Ncier da grand sultan; commandant, gouverr
neur, etc.
nacnauia. V. Bacharii.
ACHANAL, @lc.
Bäcnıco, etc. [Y- Bacch... etc.
Bacnantı, s. m. bachelier : celui qui es
promu au baccalsurest en quelquo faculis,
(fam.) Discoureur,, bavard , grand parleur.
BacnaRzLiDo, 3. m. baccalaureat : degrd de
bachelier.
BacnARELiDBO, A, 9. 9. de
BacnanELin, 0. n. (t. burl.) bavarder : par-
lor beaucoup ei indiscrötement ; discourir sams
rien dire de solide.
BacuaRELiTo. V. Bacharelado.
BacHaAnBLIicE, 5. f. " babil,caquet, habillage,
bavardage.
+Bacaz, s. m. (1. de bei.) bache : palmies
de la Guiane.
Baca, . f. "bassin : plat rond et profend;
bassin & barbe, plat a barbe; cuvetie. Pierre
creuse servant de bassin. —, vasie pleine en-
tourde de montagnes et ol coulent des fleuves,
(t.d’anat.) —, partie inferieure da tronc, de
Yabdomen , formee par les hanches ‚le sacrum,
6. Bolte de queteur ; petit plat pour demander
Paumöne,.
Bacıipa, s. f. une pleine cuvetie; lo liguide
qu’elle contient.
Bacıazinma,, 8. f. dim. de Bacia,
* Bıcıcaa. V. Vaoilar.
+ Bacıl.Aaua, s. f. (6. d’hist. nat.) "baceilaire:
yte.
Bacmtra. V. Beciaxinka,
Bacınkte,, s. m. bassinot : chapeau de fer des
anciehs hommes d’armes,
Bıacmica. V. Baciazinkha.
Bacınico, s. m. dim. de Bacio.
Bacio , s. m. pot.de chambre ; bassin de garde-
Gent & Becchus ; oa Yon boit beaucoup ( föte) ; | robe.
ei esläbre lo vin (chausen).
Baccaisza , 6. m. grand buveur ; amaleur de
vin.
Bacıno , s. m. B s. m. Bacchus : dieu da vin. (g.)
Le vin. As ormidas de —, ( fam.) les cabareis,
les tammpies de Bacchus.
Baccireno, A, adj. (1. de bot.) haccifäre : qui
porte des baies (p lsnie).
Baccısösue, ad. 2 gen. (1. de bot.) bacei-
forme : en baie (fruit).
Backzma, 3. f. (t. pop.) opllation, obstruc-
tion de la rate: maladie causde par excds de
beissen , particuliärement dans le betail.
+ Bactıno, a, adj. de la rate : qui appartient
Ala rate.
Bacanıana, 8. f. ow ; Terrain plants de jeu-
° BacRıLan,s.m. | nes vigbes.
Baczıran, v0. V. Abscellar.
Baczııtıno, 5. m. celal qui plante des vi-
ges ; qui les garde.
*Baczıın. V. Bacellade,
FORTPR.
* Bacınaino. V. Caudaldrio.
Bico. V. Baccho.
+ Baconxismo, s. m. baconisme : philosophie
de Bacon Oppos6e A celle d’Aristote.
+ Baconısta,, s. m. baconiste : celul qui par-
tage les opinions de Bacon.
Bicona, s. f. jeune trule.
BACOREJÄDO, A, p.p. de
+ BACOREIÄR, e. n. (6. burl.) pressentir, pr6-
voir queique ohose.
Bacorımuin, V. Bacorejar, Palpilär.
BaconixRo, & m. dim, de Bäcoro. Cochon de
ait.
BicoRo, 8. m. jeune porc d’un an.
Bacoaote, s. m. petit oochon, entze le @-
chon de lait et le jeune porc d’un an.
Bico, a, ad/. brun, chätain ; qui tire un peu
sur le jaune. Basans. Terne, sans transpe-
rence, sans &clat.
“eo em, "rales visckre mou situs dans
178 BAE
I'hypucondre gauche, entre l’estomac et les
(ausses eötes.
+ Bacreıs,'s. m. ( £. de bot.) bactris: palmier
d’Amerique.
Bacvrin. V. Bajuler.
BicuLo, s. m. bäton : canne qui sert & s’ap-
puyer en marchant. ( fg.) Appel, soutien,
ouusolation. — pastoral, ° crosse: baton eourbe
d’an dvöque ou d’un abb&. — da velhkice, ( fig.)
käton de vielllesse.
+ BacvLouzraia , s. m. (1. de gdom.) beenlo-
metrie : mmesure avec des bälons.
‚Bana. V. Abada.
” Bıapiso, s. m. V. Baddlo. (ig. pop.) Par-
leur ennuyeux, assommant, moulin & paroles.
Basir, eo. m. ((1. de chir.) speculum oris:
Instrament pour ouvrir la bouche et voir le
gosier.
BavaLipa, s. f.coup de cloche. ( ig, fam.)
‚eoq-A-l’Ane : discours sans fiaison ,
betise, niaiserie. Dar badaladas, copter: fsire
beitre lo batianı d’ene cloche seulement d’un
chW.
BapuLipo, A, P. pP. de
BasıLia, ©. m. oopter. (I. pop.) Disesurir
kasucenp ei betement : jaser, dire un moulin &
nazolen.
Banaußina, 8. f. grOS anneau pour sontenir
# beitant d’une cloche.
BaBALBJÄDO, A, P. 2. de
BapaLesin, e. n. V. Badalar, fig. — com
#rie, greioter, trembier de froid, claquer des
lents pour la m&me cause.
BapiLo, s. m. batlanıt d’une cloche : espdce
% marteau qui pend dans le milieu d’une clo-
Ihe et qui la fait sonner.
BinaMEco, s. m. (corruplion de esde-
Becum ) porteleuille d’ecolier. (fig. es buri.)
Ereluquet, damoiscau.: homme leger, friwole
et sans merilc.
Bavina,s. f. brebis vieille et raaigre. ( Ag.)
Viande maigre. Basane.
BAnkıo, 5. m. "morue: poisson de mer au-
ehenoptere, du genre du gade.
t Banerna, s. f. (1. de mar.) haderne : petit
cordage Iress6 ; Grosse Iresse pour garantir les
eäbles,
t Bavıina, s. f. *badian ou badiane: arbuste
aromalique, dont le Lruit est connu sous le
nom d’anis de la Chinese ou eloile. On en fait
l’anisctte de Hlollande, le ratalia do Boulogne.
+ Bapıncniz, s. m. salran de Perse.
+ Banuzza ,s. m, (t.de boi.) espece de o&-
prier des Indes.
+ BanpuLiö, s, m. (1. de bot.) badulam : ar-
buste de Ceylan.
BaporLÄgve, s. m. mon: fricassce de mou de
veau , d’sgneau, etc. Hachis de foie, etc. (fg.)
® Bagatelle, chose de peu de valeur.
Bau om Bank, s. f. (4. de U’Inde) femme
ehr&lienne d’un Indien.
aautra ou Baıtra, s. f. haistte ı sorte d’stelle
ne.
Bantir. V. Faleota.'
BAG
Bacrti6, 5. m. aug. de Batie. * Castorine :
etoffe de lafne, sorte de dvap
+ BıeTiLna, s. f. dis. de Batts. Fiauslle.
BaricEn, s. f. itges souflle de vont. V. Ars-
gem.
*Bıran. V. Bofar, Bufer.
Barvıni. V. Bakari.
Bırzsi0o, a,p. p. eo Bafdfar.
BarRıanen, A, 5. coli qui haldte, qui seuf-
fie, qui inepire.
Barzıir, o. a. soufller : peusser son baleime.
(fig.) Encourager, faveriser, seconder. ©. ®.
exhaler de l!’odeur, sentir, fumer.
Bartso. V. Bäfo.
Barerä. V. Bofeld. .
Bario, s. m. moisi :odeur, geht de meisi,
de chanci. Ter— , sentir le meisi, le chanel,
Fenferme.
Biro, s. m. *haleime, halende : Yair que Fon
soufflle par ia bouehe, lorsqwil est actempagne
d’odeur ; vapeur, exhelaisen. Brise Iögere. (Ag.)
Abri, proteetion, [aveur. - rim, mauvaise
haleine. — de vento, souflic de vent, brin d’aiz.
00 — da mäi, dans le sein , dans les bras de sa
möre.
Barorina ‚s. f. bouffse , exhaleisen, balunde.
Langar--s de vinho, jeter au nez de quelqu’an
des halences de vin,, aveir Yhaleime vineuse,
sentir je vin. .
Barorpir, v. a. jeter le defürdo. V. es met,
" Bar6nne, s. m. espeee de lanoe eourie.
Burortina, adj. f. Fiqueird—, Sgwier suw-
vage, dort les fruits ne mürissent jameis.
Baroninua. V. Bofarinhe.
Barücem. V. Bafdgem.
Bica,s. f. baie, graine : poit frait iseld eu
pou serre, mou, palpeux, seceulent, & neyas
on pepins; pericarpe renfermant wee paips et
des semenoes. ( ig.) Gontte de sueur.
Bacackına, 3. f. lieu oü Yon jeite le du-
gago. V. co mot.
Bacackıro,s.m. V. ‚adj. qui 6te
ia marc du pressoir apr&s le pressurage ; Fasi-
mal qui se nourrit des dilftrents maros, et quö
les aime.
Bacaco, 8. m. marc: ce qui reste de pfus
grossieret de plus terrestre de quelque [ruit, ou
d’autre chose qu’on a presse pour en reirer'le
sut.
BacaAckıno , 6. m. conducteur de bagag® ;
muletier.
BıcÄicesm, 8. f. *bagage : &quipage de guerre
ou de voyage. * Sommier, bete de somme,, che-
val de bät.
+ Bacancar,s.m. (f. de Pinds) *boutique,
magasin de marchandises.
Bacinna, s. f.capsulequi renferme la graine
de lin.
f Bacassamo, s,. m, (1. de bot.) bagassier :
ir&s-grand arbre ä pisogues de l’Amsrique
meridionale, & suc laitsox et Irös-agueuz.
‚Baesrtsza, & f. bagstelle, minute, Sati-
lits ı chose frivole, de pou de valsmr.
x
BagıTzLLfıao,s. m. qui Koco., e de baga-
telles.
Bacixa, a. m. bardache : celui qui se livre
au pederaste.
Bacz, ow Baczm. V. Vagem.
Bıco, s. m. grain de raisin. V. Baga, petit
grain. — de Bispo. V. Baculo.
+4 Bacoipo, A, odj. a maniere de baies.
BicRE, s. m. bagre : poisson du genre du
siture. —da Europa , mal vu melli. — cinzento
do Brazil, scherlan. — elecirico,, trembleur.
BActıHiD0, ou ) adj. qui a beaucoup de
BACTLBENTO, A, ) pepins.
Bıcöıeo, s. m. grain, pepin de raisin.
Bauin,s.m. poids asiatique de 300 livres &
pea pres.
Bansni,a.m. ou adj. ( Falcdo —) ballarin,
fourcheret , oubier: faucon de moyenne taille.
. Bamua,s. f. baie:: petit golfe oü les vaisseaux
sont & I'abri de certains venis; rade.
Banınnna. V. Bainilha.
+ Bano, s.m. (4. de bot.) manguier des Phi-
Bawö,s. m. babut: coffre A couvercle rond,
vsüte , recouvert de cuir ei do clous; malle.
Biwüı. V. Bahu.
BawöL£ıno, 5. m. bahulier : faiseur de bahuts,
de malles ; coffretier.
Bil, s. f. barres ,„ longues pitces de bois
rondes pour separer les chevaux dans les
deuries.
BisLı, ow BaıLma, 5. f. V. Baile, Dansa.
(g.) Vir d —, Irazer d — , melire quelque
e&aose on quelqu’un aur le tapis, tenir quel-
qu’un sur le tapis.
kına, s. f. femme qui gagno sa vie &
danser dans l’Inde , bayadere;; danseuse.
YalLınöz, a. s. danseur:: qui danse , qui est
sccoutume & danser, qui en fait profession.
BaıLid.V. Bailador.
Barin,o.». danser. Il est quelquelfois sc-
if, camme dans: — uma coniradanga, danser
une conıredanse.
BusLazis. V. Bailarino, Dangarino.
BasLarino, A,s. danseur: celui qui danse;
i (sit le melier de danser, qui professe l'’art
la danse.
Bäuız, s. m. ° danse, bal, assembl&e pour
danser ; ballet. .
BıaıLko, 8. m. echafaud,, galerie decouverte ;
plate-forme d’une grue ä elever des fardeaux,
($.de mer.) Passe-avauis.—do poräo, [aux pont.
Bııına, .
Buılsan. | V. Bailla, etc.
* Bauıntıao. V. Boiante, Leve.
Bas ‚es. f. "bailliage: ressort, territoire od
sttend la juridiction d’un bailli. * Territoire
Ö’une commanderie.
Bau1apo, s. m. bailliage: dignits de bailli
dans l’ordre de Malte.
BınLio,s. m. bailli: dignite de Malte au-des-
sus du commandeur.
"Bao. V. Barle. .
Balnza,ı..f. * Inurtenu, gelnad’une epte,eic.
BAI 179
“Qurlet. —dos iegumes ‚eic., cosse, gousse,
silique, pericarpe qui enveloppe oertaines
graines. — d’uma vela , d’uma bandeira, (t. de
mar.) gaine d’une veile, d’un pavillon. Näo
caber nas —s, crever d’orgueil, presumer
trop de scs talenıs. Ndo coriar as —s, &lse
d’un esprit borne , &tre de ceus dont on dit que
la lame n’use pas le fourreau.
Baixuir. V. Embainhar.
Balzu£ıro, s. m. celui qui fait des fonr-
FCaux; gainier.
BaınıLna , ou BaunıLHa. V. Baonilhe.
* Baıno. V. Banho, Pregäo.
Bito, a, adj. ( Cavallo—),bai ( cheval):
Fouge-brun. Baio-escüro , miroite, bai-brun.
Bio, s. m. (8. de bot.) baio: arbre du Ma-
labar.
T Baıöco, s. m. baloque : pelite monnaio
d’ltalie.
Baıon&ta, 3. f. baionnette : esp&co de poli-
gnard ou d’epee qui se met au bout d’un fusil.
Calar —, croiser Ja baionnelle. — calade,
baionnette croisee, baionnelte en avant.
+ Barongräna, s. f. coup de balonnetle.
Baınkö, ou Baınam, s. m. bairam ou bei-
ram : föte turque A la fin du raınazan.
BAIRRISTA, 8. 2 gen. habitant du meme quar-
tier.
BAıRnOo, 8. m. quartier : partie d’une ville
qui comprend un certain nombre de rues ot de
malsuns.
Baiöca, s. f. * cabaret, taverne; gargote.
Baıcqukıno , s. m. caharetier; gargotier.
Bi:xa,s.m. baisse, abaisseınent,, diminu-
tion de prix , rabais; dechet. ° Conge, renvoi,
licenciement d’un soldat. Ancienne danse que
les Flamands introduisirent en Espagne. Der
— alguma cousa. On s’en sert pour dire qu’uns
chose a perdu de son mörile, de sa valeur,
qu’elle cst tombte dans le diseredit. Dar— aos
soldados, congedier, donner cong&, Jicencier
lcs troupes. — das mulheres , (ant.) r&gles des
femınes.
Burxa-mÄr, s. f. fonde, basse-mer : reflax
de la mer, l’e&tat oppost Ala pleine mer.
BaIXAMENTa, adv. bassement, aveo basseosse;
humblement.
Baıxiö, s. m. aug. de Baixo, besson : in-
strument & vent et A anche, basse du haut-
bois;; celui qui en joue.
Baıxin, 0. a. descendre : porter en base,
Baisser, incliner, pencher Diminuer, d&eoomp-
ter, rabaltre du prix. Reduire & moindre ve-
leur. Humilier, rabaisser, ravaler, abaltre. V.
Abaixar.
Baıxir,v.n. baisser, descendre ; döcreitre,
diiminuer, dechoir. Etre expedie, envoy6, ar-
river, en parlant d’un ordre superieur, d’un
deeret, etc. Refluer en parlant de la mer.
Baıxän-SE, 0. r. se baisser, s’incliner. V.
Abaizar-se.
Buıx£ı,s. m. vaisseau, navire: grand Irlti-
ment de mer.
Baıxsıra ,s. f. valsselle ; argenterie,
180 BAL
Baıztre, s. m. dim. de Baixo, basse-taille.
Baıxtza, s. f. bassesse , turpitude : action
vile ot meprisable. (flg.) Petitesse de la crea-
ture eomparee au cr&alear. Endroit bas , pro-
Sond , bas-fond.— d’animo,, servilite , bassesse
d’äme, lächett. — de nascimento, obscurite,
hassesse de nuissance , basse exiraction. .
Barzia. V. Bairamar, Vasante.
Barxinuo,A, adj. dim. de Baixo, de basse-
tsille.
Baıxio, 8. m. (8. de mar.)basse, bassier,
syrte, banc de sable, de rochers, bas-Iond,
rocher cache sous l’eau.
Baıxissımo, A, adj. sup. de Baixo.
Baızo, a, adj. bas, rampant, peu elere&, qui
a peu de hauteur, baiss6, petit. Profond, en
parlant de puils, de caves, etc. De petite taille,
en parlant des personnes. De basse condition ;
sans naissance (homme). Bas, plat, en parlant
du style. ( Ag.) Bas, vil, abject, servile, ram-
pant, blafard ; läche, qui a des sentimenis
bas. — prepo, vil prix. Ouro — ow de lei,
or do bas aloi.— reldvo, bas-reliel. —a esla-
Sura, petite taille.
Biıxo, 8. m. (t. de mus.) "basse, basse-taille.
Bas-lond , terrain bas. V. Bairio. Baizos,, pl.
pieds du cheval. Bas de robe. Les parties infe-
rieures. Allose —, incgalite dans le discours,
dans la conduite. Os — d’uma casa, rez-de-
chaussee.
Raıxo, ado. bas, tout bas, sans bruit; A
voix basse;; bas, pres de terre ; sous , dessnus.
V. Abaizo , Debaixo. Por —, par-dessous. Por
— de mäo , sous-main, avec dissimulalion , se-
ereötement ‚encachette. Agua que corre para—,
l’cau qui coule par-dessous.
+ BaıxöTe, adj. m. Un peu bas; hasset:
petit homme & cuisses et & jambes courles.
(1. d’hist. nat.) Basset ow terrier: chien & jam-
bes couries et m@me lortues.
Baıxüsa, 3. f. lieu, endroit bas, bas-fond.
Base. V. Bajem et Vagem.
Bas0. V. Baju.
Barorcice, s. f. hetise.
Basöuso. V. Toleirdo, Baböso , Estupido.
Bart, s. m. sorte de peignoir court de femme.
BasuLacid, s. f. basse adulalion, flagornerie.
BasuLAn0, A,9.p. de Bajular.
BayuLanon, A, 8. Magorneur, adulateur ,
rampant.
BasuLän, ©. @. Nlagorner : flatter souvent et
bassement pour obtenir des gräces, des fareurs.
BisuLo. V. Maridla.
Baxxa, s. m. (. de bot.) bakka : chanvre dans
Pinae.
Birr, s. f. balle : petite boule de plomb dont
on charge les fusils, les arqucbuses et les pisto-
lei. * Boulet de canon. * Ballot, balle : paquet
de maschandises enveloppe de grosse toile et
lie de cordes pour &tre transporte. Ce nom est
donne particuli&rement aux balles qu’un em-
barque , parce qu’on les serre beaucoup. Balle
creuse de cire remplie d’eau de senteur ou
d’cau Commune qu’on se Jette r&ciproquement
BAL
dans le carnaval. Balle : outil d’imprimeur, en
entonnoir, emmanche, plein de lsine, enve-
lopp® de cuir, sur lequel il dtend dgalement
une tr&s-legdre couche d’encre qu’il transporte
ensuite sur la forme. — ‚(t.dartel.)
balle ramee: boulet coupe ou ramd. — roxe ou
vermelha, (id.) boulet rouge. — incendieris
(id.), bouletd’arlifice, boulet incendiaire, — dos
{dd.) , bouletcreuzx. Como uma —, (fam.) comme
un £clair, tres-vite. (Ag.) Ev&nement imprevu,
eionnant, accablant, coup de foudre, de mas-
sue. Esta nova [oi bala que me deo nos peiles,
ceite nouvelle a &i€ pour moi un coup de fou-
dre, etc.
BaLÄicHe. V, Balax.
Baraco. V. Baldzio,
Bıariva. V. Baldta.
BaLipo,A,p.p.de Baldr.
BaLADOR, A, s. animal qui bele souvent.
f BaLacitr, s. m. toile grossiere de l’Inde
bleue et blanche.
Bıriıo,, s. m. panier d’osier noir, haut et
rond, oü I!’on met des fruits pour les vendre
au marche.
BaLaıs. V. Balax.
BaLinca , s. f. balance : instrument form
d’un arbre,, d’un ficau et de deux bassins pour
peser. (fg.)Comparaison , jugement : fonclion
de l’entendement; incertitude, irresolulion.
—romana, * peson, romaine. Estar em —, &ire
en balance, en su3pens, irresolu. Juiz da — ,
ajusteur : qui ajuste le flanc des monnaies.
— d’ensaio, * ajustoir. Cuia, praio da—, bassin
de balance. — para pesar ouro ou diamanles,
” trebuchet.
BaLANCADO, A, 9. p. de
BaLancan, 0. a. balancer : meltre, lenir en
*quilibre dans la balance; faire mouvoir en
balangant. (A4g.) Tenir en suspens; examiner,
peser le pour et le contre.
BaLancan-SE, ©. r. se balancer : se pencher
d’un et d’autre cöte ; se faire hausser et baisser
alternativement; planer, se lenir suspendu en
Vair sans remuer les ailes. (4g.) Eire en sus-
pens , irresolu , indetermine; hesiter.
Baranch, s. m. balance: pas de danse oü le
corps sc balance en mesure d’un pied sur
Yautre.
BALANCEÄDO, A, 9. p. de Balancear.
BALANCEANENTO, 3. m. balancement : mou-
vement alternatif d’un corps qui balance; ac-
tion de balancer ; roulis, tangage. (g.) * Hesi-
tation.
BaLancgar, v. a. V. Balangar, v. ». (8. de
mar.) rouler, tanguer, en parlant da roulis
d’un vaisseau agit& par .es vagues. (Ag.) Dou-
ter, @tre irresolu, perplexe , indetermine.
TBaLancim, s. m. balancier : piece d’une
pendule qui balance et regle le mourement du
pendule; bäton de danseur de sorde pour gar-
der !’öquilibre,
BaLANcixBA, 8. f. dim. de Balanpa.
t BaLiwco, s. m. avoine follette , follo-
avoine, aröron, avron, areneron,, barorfon.
BAL
Baranco,s. m. batanceınent :: l’aclion de ba-
Isucer. Roulis : balancament d’un vaisscau.
Balancier. Balangoire. * Balance : resultat «la
commerce actif et passil d’une maison. (g.)
Douts , perplexite. — de contas , (8. de comm.)
bilan : etat de Faolil et du passif d’un nego-
eisut; etat du doit et avoir. Dar —, (id.) faire
le bilan.
Baräupaaı, 3. f. balandre : cutter, sorte de
vaisseau & un mäl.
BaLanpaio, s. m.balandran ow balandras :
soutane plus ample que la soutane ordinaire;
vetement des conireres de la Misericorde en
Portugal.
FBaunita, s. f.(. d’hist. nat.) balanite :
gland de mer fossile.
Barintz, p. a. de Balar, belant ;: qui bele,
en parlant de l’agneau.
*Bıariö, 3. m. espece de drap bleu.
Bariö, 5. ms. ballon : vaisseau & rames sur
les Beuves du pays de Siam.V. Balldo.
BaLir,v. m. beler. Il se dit du cri naturel
da mouton, de la brebis et de l’agneau. Andar
belendo por alguma cousa, (fig.) soupirer
apres quelque chose.
"Bıarira, s. f. ballade : ancienne po&sie
francaise A refrains semblables ; ancienne chan-
raa de danse.
# BaLaTas, 5.m. (k. de bot.) balatas : arbre
dämerique; eouratari, sapotilier.
+BaLiro, s. m. belement : cris des brebis.
BaLnösta. V. Belaustia.
BıaLsisre. V. Balaustre.
balauste::fruitos fleurs
Baunea Ta, 8. [- | du grenadier sauvage
auk ‚Mm. PI-U ou balausiier.
Basststeioa, s. f. balustrade : assemblage
ou iravece de balusires pour clöture ou orne-
ment; decoration d’architecture sur le haut
d’un edifice.
BıLststaipo,A, adj. balustire: [ait en forme
balustres; forme6, om6& avec des hbalustres.
».p. de
+ BaLaüsıräk, v. a. balustrer : former, or-
ner avec des balustres.
BaLaösraE, 5. m. balustre : petit pilior fa-
gonne qui sest d’appui ; pelite oolonne.
BaLax, 5. m. balais, rubis balais : rubis
couleer de vin fort paillet.
Henri: s. m. ooup de balle, de boulet
pousst par une arme & [eu; sa blessure. (fg.)
Conp de loudre ; dommage subit.
BiL2o,A, adj. V. Balbueiante.
Baısoanı. V. Balbürdia.
Bıısvaacid, s. f. "balbutiement : l’action de
beibutier ; dificults qu’eprouve la langue &
azteuler les mois.
BaLzocıido, A, p. p. de Balbuciar.
Barsocıants, adj. bögue : qui balbutie, qui
bigaie,, qui artcule les mols aveo peine.
LBUCHÄR , v. G. balbutier ;: prononcer mal,
en hisitant, sans articuler. (Ag.) Parler ton-
BAL 481
fusömeut, sans connaissance sulfisante. v. ®.
pronoucer avec Reine, begayer.
.f. balbutie: mauvaise pro-
nonciation; hesitation en
pazlant. (fig.) Parlage irre-
flechi , sans ordre.
BaLBucı£nte. V. Balbuciante.
BALBURDIA, 8. f. (fam.) conlasion, desordre«
tummulte, bruit, tintamarre.
* BALBUTIAR. 'V. Balbueiar.
Baıca. V. Balsa,
BaLciö, s. m. balcon : petite saillie attachde
& un bätiment, et entourde d’une grille ou tra»
vee d’appui. —de loja, comptoir, montse de
boutique.
* Baıcanzıkva ow Baconnuipa, V. Falas:
Baıca.
BaLcid, V. Bals...
BALCEIRA.
BiıLpa, s. f. defaut babituel de quelqu’un,
son faible. Renonce,, couleur dont on manque
au jeu. Dar na — a alquem, decouvrir le fai-
ble de quelgu’un.
BaLDÄpaMenTE, ade. inutilement, en vain.
BaLnäno,A, 9. p. de Baldar. adj. inutile,
frustre, qui ne sert ä rien. Estropi6, entrepris,
perclus: qui a perdu usage d’un membre,
d’une faculte. 11 est peu usit6 dans Co sens.
em sus esperanga , frustr6 de son esp6rance.
BaLniö, s. m. reproche, imputation injustO;
opprobre, affrons, outrage , m&pris, injure.
+ BaLoaquiu, s. m. baldaquin: sorte de dals
au-dessus d’un lie, d’un tröne, d’un autel.
BaLpin,o. a. frusirer, rendre inutile; per-
dre, employer en pure perte. Empecher, pro-
hiber, rendre insuflisant. Estropier, entrepren-
dre, rendre perclus, priver de l’usage d’un en
plusieurs membres. p. us.—0 irabalko, perdäis
son temps. — 0 seu dinheiro , depenser son a#-
gent inutilement. — a dal
frustrer l’attente de quelqu’un, ow frustrer
quelqu’un de son atiente.
BaLDan-sg, v. r. (6.de jew) se d6lausser :
jeter, &carter ı une carte inutile.
BALDE, 8. m. seau : vaisseau de cuir ow de
bois propre & puiser et ä porter de l’eau. On
s’en sert particulirement & bord des bAliments.
it. * Pelle de fer, de bois pour battre la terre,
faire des rigoles , etc.
BALDE (DE om EM), ade. en vain, nutilo-
ment. Trabalkar —, perdre son temps ,
donner de la peine cn vein.
BaLnEacäö, 8. f. action de transvaser; db-
charge des marchandises d’un navire dans un
autre. L’action et la peine de laver un vaisseau.
BıLvdzino,A,p.p. de
BaLpgir, v. a. survider, transvaser : yerner
des iiqueurs d’un vase dans un autre. (8. de
mar.) Laver un vaisseau. — as velas, (1. de
mar.) empeser les volles, les moailier lors-
qu’eiles sont trop olaires , et que le vent passe
au travers.
BALDEÄR-SE, u. r. se jeier, se pröoipiter.
BaLbücız ou
BALBCCIENCIA ,
483 BAL
"TALDIAMENTE,
ment, oisivement.
BaLdıo, A, adj. qui est een friche, inculte
(champ). (Ag.) Vain, sans motif, sans fonde-
ment, sans but, Terras baldias, terres en fri-
che et vagues; terres inutiles, incultes, qui ne
rapportent rien.
Bawpio, s.m. V. Baldias (lerras).
BiLoo, a, adj. V. Fallo.— a üm naipe,
(8. de jew) qui n’a pas une couleur au jeu de
carics. Estar —ao naipe, (fig. fam.) n’avoir
pas lc sou.
BıLnoäno, A,P.p. de Baldodr.
* BaLpoiıno, 3. m. ancien livre de prieres.
* BALDOAMENTO, 8. m. mepris, oulrage, in-
jure.
BaLpoirn,v. a. injurier, mepriser en lace:
outrager.
* BaLpre)ino, A, adj. V. Palpddo, Ma-
nuseado. p. p. de
* BALDREJAR-SE, 9. Tr. se prostituer.
BıLpaku, s. m.sonat : peau Ge mouton pas-
866 en mögie, qui sert & faire des gants. De ses
effilures on fail de la colle.
Baıoaöca , 8. f. (l. pop.) troc de chose vile.
BaLprocivo,A,P.p. de
BaLDROCAR, v. a. changer, troruer des choses
viles, comme vieux habils, vieux meubles, etc.
Bıronogcas. V. Beldrorgas.
BaLka ou Baukıa, s. f. baleine : le plus gros
des animaux qui habitent la ımer, enorme c&-
tac& mammmifere : ses fanons (barbes de ba-
leine ) servent & garnir des corsets,, etc.
+ BaLkinıco, A,ow} apparienant aux 1Iles
BaLrzınıo, A, adj. Baleares.
BaLzito, s. m. dim.de Balda, baleineau,
baleinon : petit d’une baleine.
T BaLetıno, s. m, et adj. ( Navio —), balei-
nier ( navire ): pour la p£che de la baleime;
pecheur de la baleine.
* BaALECÖES, 3. m. pl. sorte de chaussure an-
eienne.
+ BıueLa, s. f. (1. fam.) "bruit sans fonde-
ment et que \quefols par plaisanterie.
BaLzöte. V. Baledio.
BEALESTEIRO, V. Bestliro. (1. de mar.) V.
0.
BaLestiiua, s. f. arbalestrille, radiometre :
instrument pour ınesurer la haulieur des astres.
Flamme, instrument d’acier dont on se sert
pour saigner les chevaux.
“Bıızstra. V. Ballista.
Barcontra, s.m.(1.d’hist. nat.) balgonera:
mpereau d’Amerique.
irua. V. Bdila,
BıLrin. V. Baildr.
* Bıınira. V. Baldta.
*Barutsta. V. Bosta.
* Bıınesteir. V. Baltestar.
* Baınesteino. V. Besteiro,
"Biıno. V. Baile.
? But, s.m. bali ow balis: langue savante
des Chinois. it. ( 4. d’hist. nat.) Bali : coulcuvre
plicatile.
adv. vainement, inutile- |
BAL
BaLia,
BaLıino, } V. Boll.
Rıılno, s. m. belement : lo cri des moutons
et des brebis.
BıLio, V, Bailie.
Barista, s. f. (1. de mil.) baliste : machine
de guerre pour lancer des pierres , des torches
allumees, etc.
T BaLista, 8. m. (#. d’hist. nat.) balista:
squale marteau ; baliste,, poisson cartilagineux
thoracin.
BaLıstinıo, s. m. balistaire : qui avait son
des armes de jet, des balistes ; lien d’exercice
de ces armes.
Baistica, 8. f. (4. de mil.) balistigue : art de
calculer le jet d’une bombe, d’un projectile;
machine pour exercer les eleves artilleurs.
Barıza , ou BaLisa, 8. f. (f. de mar.) balise,
marque, boude : pieu, fascine ow tonnesu,
pour indiquer les &cueils ow l’cntree des ports.
il. Borne, limite , terme. —s, pl. (fig.) Region,
maximes, dictamons.
BaLızapon, s. m. baliseur : oelui qui Powe
des balises , des bornes.
BaLızan, v. a. baliser : mettre des halises,
des bornes.
BarLiö, s. m. ballon : vessie pleine d’atr et
courertc de cuir pour jouer ; corps spherigue
gros ei creux.
BALLESTAR, 0% BALLESTEAR, 9. ®. tirer de
l’arbaldte.
BaLristica. ]
Baunıstarıo. \ V, Balist...
BALLıstica.
Biıo.V. Balido.
BaLLöTa,s.f.ow
BALLÖTB, se m. V. Harroio negre.
Baröro, A, adj. bouM, boufle, souflld,
boursouflld; apparent.
BıaLöniA,s. f. "rabat, collet d’homme.
*+BaLörno, s. m. balourd: personne gros-
sitre,, stupide; butor.
BıLöre, s. m. ballot: gros paquet de mar-
chandises, de livres, etc., emballes.
BaLouciDO, A, 9. p. de Baloupar.
BaLougADOR, A, 8. el adj. qui balance.
Barougar, etc. V. Balangar, eic.
BarLorgo, 8. m. balangoire : piece de bols en
‘quilibre, ow corde attachde läche par !es
bouts, pour se balancer.
BaLRAvenTo, etc. V. Barlavento, ete.
BauröaA. V. Abalröa.
Bıısa, s. [. baie: elöture de ronces d’dpines
ballier,bois fourre. Envetoppe de paille; cuve,
marc deraisin. *Radeau : assemblage de pieces
de bois qul forment une espece de plancher
mobile sur Peau. Almadie : bateau d’&corte
chez les negres et les sauvages. Ancien @ten-
dard des Templiers. V. Balsdo.
Buısäsıco, A, adj. balsamique : qui tient de
baume, embaumse,. "
Baısamina,s,. f.
BaLsatinno, 8. m. V, Melindre.
BAM
+ Baısımira, s. f. Ct. da bot.) balsamite:
vog-des-jardins ; coq, herbe au coq, menthe-
eoq, grand baume, tanaise baumiere ; päll,
past. — bastardo, balsamite du l.evant.
Birsıuo, s. m. baume : liqueur, suc 0do-
rant gai decoule de certains arbres; onguent,
päte, liqneurs balsamiques. — do sangue ‚(!.
de nöd.) la partie la plus pure du sang. — de
Cepsibs, copahu : baume que !’on lire par in-
eision d’un arbre du Brösil, appele& copaiba.
Eum—,c’cst du nectar. On le dit du vin ou
des liqueurs qui sont Ir&s-gen&reux ou qui ont
une odeur exquisc.
Barsina, s. f. bolzane :marque blanche aux
pieds des chevaux. *Ourlet dans les habits dcs
meines.
+ Baısiö,s. m. aug. de Balra,ancien grand
&tendard des Templiers , appel& en vicux fran-
gais bau ceant, balcani[er.
Bııstına,s. f. hallier: buisson fort Epais.
st. V. Belseiro.
Baıs£ino,s. m. *hallier, bois fourre, etc.:
lien ombreux. "Curve de pressoir. il. (t. du
Bres.) Celui qui conduit les radcaux.
Buaıstıno, A, adj. plein de haies, de buis-
sons, de broussailles. Cdo —, chien qui va
dans les broussailles.
Bııs£kıuo. V. Bolselho.
+BiLso, 3. m. (1. de mar.) — de eslafate,
tapecul de callal.
BaLtanöocı, s. m. Baltadgi : chef des Bos-
tangis chez les Turcs. ,
+ Bııran, adj. 2 gen.( Cipa —, t. d’agri.)
ceps de vigne infructiföre, ei qui ruine les
anires.
BiLreo, 3. m. * &charpe d’officier ; baudrier,
baadouliere, cein!uron.
BiLrıco (mar), s. m. (1. de geog.) mer Bal-
Ugue.
+Bııraucäö, s. m. baltracan : plante ali-
menteuse de Tarlarie, & fruit d’une odeur d’o-
range.
Baruiate, s. m. (f. de fort.) boulevard,
tout le terrain d’un baslion ou d’une courline.
(Ag.) Bempart, ce qui defend, ce qui protege.
it. Boulevard : place forte qui couvre un pay8.
Bıröcas, s.m. pl. V. Borzeguins. .
Barösa,ou BaLuMBA, 8. f.(}. de mar.) ba-
lingue de chute.
+ Burcna,s. m. (l.d’hist. nal.) Baluna :muge-
le des Indes Oricntales.
Baröapo. V. Balördo.
BawsuLzino, 7. p. de Bambalear.
BamsaLcante, adj. 2 gen. chancelant, qui
brimbsle. V. Bamibo. »
BausıLziR, 0.8., et — 86, 0. r. se brandjl-
ler, se balancer ; se brimbaler, s’agiter, se s6-
eouer ; se meitre en branie, se dandiner, se
meuvoir on balangant , pencher d’un cöt# et
@un autre. (Ag.) Vaciller, chanceler. Fazer—,
ebranler, donner des secousses.
Bausırniö, —ıLaönA, adj. trös-flasque.
+ Bausıiva, s. m. (l. d’hist. nal.) bambiaya:
eiseau de Cuba ; bambiale,
BAN 183
+ Bauoınäılas, s. f. pl. garnitures de ri-
deaux de croisees, etc.
BasB0, 4, adj. läche, deband6, detendu‘,
flasque.
+ Bampocnära, s. f. bambochade : tables
dans le genre grotesque ou bas; comjosition
de sujets populaires et d’une nature basse,
BaunouEän, elc. V. Bambalear, etc.
BıssoL£ıo, s. m. dandinement, branle,
brandillement,, balancement.
+ BausoLina, s. f. piece de toile peinte qui
ferme la partie superieure d’une decoration de
theätre,
BausoLıns,s.m.pl. *garniture de robes, etc.
V. Bambinellas.
Baund, s. m. bambou : plante graminde,
esp&ce de roseau des Indes; canne de ce bois.
Bıupüir,s. m. * for&t de bamhous.
Bıust£ına,s. f. (f. de bot.)* roseau d’Iinde,
bois de bambou, bamnbou, mambou. V. Bambü.
7 BawsüLa, s. m. bamboula , tambour d’Hal-
ii, fait d’un gros bambou.
BAMBURRÄL, 8. m. pre, pätis, päturage.
Baundz. V. Bambu,
+ Bımüres, s. m. pl. (1. dhist. nal.) ba-
mours- abeilles de Coylan.
Banina, s. f. banane: frult du bananier,
E’ um — ‚(fig.) il se dit d’un homme dnerv&,
negligent, nonchalant, qui n’a pas de vigueur.
Banantıra, s. f."bananier, Oguler d’Adam
ow des Indes, plante musac&e.
BANANISTA, s. m. (f. de bot.) bananlste : su-
crier de Saint-Domingue.
+ Baxanivoro,s.m. (Ef. d’hist. nat.) banna-
nivore : oiseau vivant de bananes. ,
Bananzöra,s. m. (f. burl.) homme mepri-
sable, un dröle,
Banäza,s.m. quadruptde du Pfgu de la
grandeur du cheval.
Binca ‚s. /. banque, table, burcau. Jogo da
— ‚bassette, pharaon.
Bancäipa, 5. f. rangee de bancs ; banc-d’@u-
vre; les personnes qui y sont assis®s.
BANCiL, 5. m. lapis pour couvrir une table;
mis sur un hanc.
Bancania,s. f. agence des banquiers de la
cour papalec.
Baxcirıo, A, adj. concern,nt la banıque.
BANCARRÖTA, s. ). banqut route: faillite par
insolvabilits feinte ou verita Jlc.
Binco, s. m. banc: long siege sans dossier
ot peuvent s’asseoir plusieurs personnes,
*Banque : caisse publique & Jaquelle chacun
peut s’intöresser. Banc de galere. Etabli de
menuisier, de marechal ferrant. Siege de ma-
gistrat; graduation, grade des magistratS.
Fazer — roto, faire banqueroute. FLeranlar ®
— ‚s’enfuir avec l’argent des aufres. —dertıa,
ensablement, banc de sable sec : amas de
sable form6 par un courant d’eau. — da pa-
eiöncia, (1. de mar.) banc de patience, dans um
vaisseau. Esfar no — da paciencia, (fig.) soul-
frir palicmment. Razdo de pe de —, bervue, sot
raisonnement. —de pincher, machine milltatte
a
18% BAN
dent on eouvrait le belier.— mdsire ou domeio,
. 1. de mar.) traversier, ou banc du milleu.
— ds poppa, il. twaversier de poupe. —s dos
vemos da lancha, töstes do chaleupe.
* BancöA - CARRAPICHÄNA „ 8. f. ancionne
«tolle de laine rayee.
+ Bancöpü, s. m. (1. de bot.) bancudu : arbre
des Moluques : employ& contre la colique.
Bınva,s. f. * oöte. Ex. Da outra— do rio,
de Y’autre oöte de la riviöre. Bande : morceau
d’stofle pour bander , bandeau. ($. de weil.)
rpe, csinture, avec pendants ou naud
saillant. (f. de mer.) Bande : cöte de vaisseau.
(1.de bias.) —, une des pidces de l’&cu qui va de
baut en bas et de droite ä gauche. Bande,
tFoupe,, compagnie ; parti, ligue; troupe d’ol-
seaus. — d’artilkerie,, bordee de canon. — do
westido „ passe-poil. Da— de cd, de co oöte-ci.
De — de ld, de co oöt4-lä. Dar d—, (1. de mar.)
metro lo vaissesu & la bande, sur le cötd
pour #tre radonbe. De banda a—, de part en
part. Ter-se d—, s’attacher opiniätrement &
ses opinions. P6r d—, mettre ä part, de cöts.
Banpina, 8. f. bande, nude, troupe.— de
vos, troupe d’oiseaux. A ou em bandadas, en
foule, par bandes.
Banvipo, A, p.p. de Bandär, adj. quia des
Landes, des rales; qui a l’echarpe, la bande
militaire.
BauniLno, A, adj. ( f. famil.) petit-mattre
ridicule, freluquet; vaurien,, dröle.
Bınpin, vo. a. (t.de blas.) orner de bandes
un 6cu ;mettre des passe-poils & deshabits, etc.
Banpira, s. m. (I. d’Asie) gouverneur A Ma-
laca
Banparie, s. m. (1. d’Asie) celui qui extrait
dans }’Inde le sac du palmier.
Banpiara, 8. m. (t. buri.) faindant.
Banpınazar. V. Vadeer.
Banpannicg, 8. f. faindantise.
BANDARRINEA, s. m. dim. de Banddrra. V.
Vadio.
Banpeipo, A,p.p. de
BANDEÄR, ©. a. ranger sous 869 drapeaux, at-
tirer au parti ; faire rövolter, so faire des par-
D8.
Banpzin,v.a. etn.cabaler, animer les partis,
les factions. Embrasser, tautöt un parli , tantdt
un autre. Etre dans l’incertitude, changer ä
tout moment d’opinion.
Banpzia-sE, v. r. s’associer, 56 liguer ; em-
brasser, suivre un parii.
Banpkına, s. f. “drapeau, bannidre, enseigne
@#infanterie ; pavillon : sorte d’&tendard qu’on
met a un des mäis d’un vaisseau. Troupe qui
combat sous un drapeau.— de candierio, abat-
jour de lampe. Firmer a —, assurer son pa-
villon :tirer un coup de canon en arborant le
Beinen de sa nation & bord d’un vaisseau.
iliter debaixo da — d’alguem, (Ag.) marcher
sous les ensceignes de quelqu’un, embrasser
son opinion, sulvre son parti. Levaniar —, se
faire chef d’un parli. Arrier a—(I!. de mer.)
baisser pavillon, (Ag.) se reconnatire inferieur.
—- BAN
don ds bandeiras despregädas,, (fg.) ouver-
tement, librement. — colkida,, (f. de mar.) pa-
villon en berne. — a meio pdo, parillon & mi-
mät. JIcar—, hisser le pavillon, deployer
os faire le pevillon. Comprimento e largura
dums — le batiant et Ice guindant d’un paril-
lon. Salvar d —,, saluer le pavillon. —de com-
beste, pavillon de guerre.
+Banotinas, s. f. pl. (t. du Bresil.) On
donnait ca nom aux associations d’hommes
entraient autrefois dans les bois du Bresil pour
shercher les Indiens et les capturer; aujour-
d’hul on le donne A ceux qui vont chercher les
mines d’or.
Banpkıninua, s. f. dim, de Bandeirs. Ban-
derole. ( ig.) Girouelte. °
Banntıno, A, adj. factieux, cabsleur: qui
est attach€ & une faclion, & un parü, qui le
suit. Inconstant, volage, variable; capricieux.
BanpesnoLa, s. f. banderolie: morceau de
talfetas avec [range.
Banntsa, s. f. *cabaret : plateau & rebord oA
l’on met des verres, des tasses, etc. it. Es
de van plat pour vanner le bie. «#4. (6. de mar.)
Gamelle.
BanpzJän , v. @. vanner : nettoyer le bild avec
un van.
Banptr, s. m. (f. d’Asie) quartier fermö pour
les #trangers ( dans les villes asiatiques).
Banvino, A. V. Banido.
Banpino, s. mw. bandit, brigand:: voleur de
grand chemin. V. Bandolsiro.
Banpınna ou Banpıra, 6. f. dim. de Benda,
Banpin. V. Banir.
Binpo, s. m. ban : cri public qui annonce un
mandement, un 6dit. Edit, loi, ordonnance,
mandement publi6 par ban.° Bande, faction,
parti, ligue. V. Banddda. — de perdizes, etc.,
compagnie de perdrix, etc.
Banpoßao. V. Bandeiro.
Banp6La, 8. f. ceinture ow bande de cuir qui
porte le pulverin, la giberne, etc. Banddlas,
pl. ( 6. de war.) mäts de fortune.
BanvoLkına, s. f. bandoulidre : bande de
cuir, eic., pour porier le mousqueton.
BanpoL£ıRo, 8. m. bandoulier: brigand des
montagnes ; qui vole par bandes; fripon,
gueux. it. Volage en amour.
BanpoLiy, s.w." mandoline : petite mandeore,
* Banvonia, 8. f. sedilion , emeute,
BanponniLna. V. Bandurrühe.
* Banpousa. V. Rodenko.
BanDöLuo nn (6, burl.) "panse, bedaine,
gros ventre. ° lle. Bnoker o—, (am.
Forcir ia bedaine. (m)
Banpinna, s. f. mandore: esp&ce de luth.
BınpunniLua OW BANDURRINEA, 5. f. dim. de
. 64. (4. burl.) joueur de mandore;
homme ridicule.
+ Bincz, s. m. bang: arbre d’Afrique dent
on lire une espöce de vin.
t Bancuz, s. m. bangue : chanvre des Indes,
dont la graine procure une irrosse gaie ‚et domt
les fouilles exoltent l’appetit.
BAN
*Bascrtıo. V. Thelamo nupcial.
Bizea, s. f. graisse des animaux; saindoux.
= para oe cabello, pommade. — de flor, pom-
made de senieur.
Banmäno, &A,p.p. de Banker. adj. Monille.
— ım ldgrimes, (fig.) noy6 de larmes. — em
zur, Weut en nage. — d’slegris, tombis de
jeis , nageent dans la joie.
Banmin, ©. e. baigner, arroser, mouilier,
bumestez, tremper. (i. de point.) Glacer : ap-
päquer une coulour brillante et Iransparente
zur une properation faite expres pour la-roce-
veir. O rio benha as muralkas,, la riviäre bat
ou lave les murs.
Basımin-z, e. r. se balgner, prendre un bain,
se mettre dans l’ean , nager. (fg.) Se delecter
&.— om debicias, em prazer, nager dans la
jeie.— em pranto, fondre en larmes. — em
sauber, Oz tout 00 nage.
+Baumtına, s. f. baignoire : vaisseau dans
loquel en se baigne.
t Baustıno,, s. m. baigneur : celui gui tient
des bains , qui sceompagne les personnes dans
iss keins de mer.
fBanzisra, s. m. ou f. qui prend les bains
de mer ou les caux minerales sur les lieux.
Bisme, s. m. bein: Paclion de se haigner ;
fosa ou teute chose dans laqueile on doit se
beigner ; endroit ed l’on se baigne. (1. de peint.)
L’sctiom de glacer une couleur. Bagne : lieu od
les Maures ot les Turcs renferment leurs es-
daves; prisen des forgats. ( 1. de chim.) Bain :
Äqueur ou substance dans laquelle on place
wu valsseau re faire quelque digestion ou
üstillation. meris ou — de maria,
hein-marle : eau bouillante dans laquelle on
met quelgue vase pour laire cuire les viandes
et toutes sortes de choses, ou peur distiller et
tvaparer wme substance qui ne demande pas
beauceap de chaleur. — de pds, pediluve.
Bankss, pl. bains : caux nalurellement chau-
ou Fon va se baigner; #tablissements pu-
oa Yon se baigne, soit en riviere, soit
des malisons dont les appariements sont
en petites chambres & baignoire. — de
‚„ beins & la vapeur. — de casamenso,
: groelamation d’un mariage.
Baminos, s. m. pl. banians : idolätres des
Ines qui creient & la metempsyooae. ,
Bunino, A, p- p. de Benir.
Rıuin,, o. «. bannir : condamner par autorits
de Justice & sortir d’un peys, d’uno ville, d’an
“at, «te. ; chasser d’an pays, €loigner de sol.
(Ag.) Exelure , chasser, interdire, defendre. Il
est aymi röeiprogue. Ex. : — #0 do mumdo,, 56
bannir, se retirer du monde.
+ Beuiver, adj. 2 gen. qui peut &tr6 banni,
alnasn. V. Banque
Baugus. V. .
Bangetzao, s. m. banquier : qui fait la ban-
que, qui la tient; qui [sit oommeroe d’argent
de piaca en place. —, ea oous de Rome: qui
un fait venir les bulles,, ete. (4. de jeu) —, oe-
lei qui Lait la mise et joue oonire tous.
HER
1
«0,
BAQ 185
Baxocera, s. f. banguette : petit banc ; les
six chandeliers d’un autel. (t.de fort.) mar-
che en pierre oa gazon derriöre le parapet, ou
dans les revers d’une tranchee; appui de pierre
dans los fen#tres.
NQUETAGO , s.m.aug. de Bangutte, * Lom-
bance, grand festin. un ü
Bangußtg, s. m. banquet, festin, s ma-
gnifique. O sagrado— , la sainte eommunlon.
BAnQUETEÄDO, A, p. P. de Banquetear.
BANQUETEADOR ‚A, 8. donneur de banquets.
BAnQuetEir,v. a. donner un banquet, un
festin.
BANQUETEÄR-SE, ©. r. banqueter, faire bonne
chere;; faire un banquet.
BANQUINEO, s. m. dim. de Banco, bancelle,
sellette , escabeau.
Bantim, s. m. (4. d’Asie) petite barque asia-
tique.
Bantıntıno, 3. m. maltre, pilote d’un ban-
kim. V. ce nom.
Binza. (6. dburl.) V. Vila.
Banzapo, A, 9. p. de
Banzir, o. n. ( fam.) ehrager, so desespe-
rer ; ne pas revenir de son &tonnement.
Banztıno, a,adj. (ti. de mar.) peu agitde
(la mer); faibie et variable (le vent). Jogo—,
jeu balance.
Binzos, s. m. pl. — d’escada (de mdo), mon-
tants, branches d’une 6chelle. — de serra,
bras de scie.—de bastidor ou bordador, ensou-
ple du metier & broder.
tBaosis, s. m. (1. de bot.) baobab : arbre
immense d’Afrigue,, qui vit plusiours sidcles.
Vulgo, pain de singe. Calebassier du Sönegal.
Baontza, adj. f. Hapd— ‚varieis de pom-
mes de Bayonne.
+ BaoniLma , s. f. ( t. de bot.) vanille : anıgreo
aromatique.
Bargpnlu adj. ?2 gen. baptismal : qui ap-
partieft au baptöme.
Barrisuo, s. m. baptöme : sacrement qui
rend chreien et elface le peeh6 originel; sa
ctr6monie. (fig.) — de ‚le martyre. —
de »fogo , desir ardent d’etre baptise. Certiddo
do — ‚extrait baptistaire ow de bapt£me.
Barrist£aıo, s. m. baplistere : partie de l'e-
glise, local od Pen baptise, oü sont les fonts
baptismaux.
Barrızino, A, p. p. de Baptisdr.
Barrızipo,, s.m.* cer&monie du baptöme; le
festin que donnent les parents de l’enfant a
cette occasion.
Barrizautnto. V. Baptismo, Baptizddo , s.
Bartizante, qui baptise. p. e. de
Barrızis, v. a. baptiser : donner lo bapteme,
un nom. (fg.) —, donner un sobriquet ä quel-
qu’on. — um ,„ umnavio, eto., benir une
cioche, un valsscau, etc. —0o vinko (fam.)
baptiser le vin, y mottre de l’eau. (4. demar.)
Arroser d’cau. Il est aussi röciproque.
Bigte, s. m. bruit quefait le coup que donne
un corps en tombant : fyacas, chuie.
BaQtKAno, A, p. p.de Baquear.
186 BAR
Baquzin, v. a. abattre, renverser. V. Derri-
bar. — 0 peilo por lerra, se prosterner la face
contre lerre.
Bagtein, v.n.et—se, v. r. wmber, choir,
se renverser, sabaltre par lerre, s’sorouler
avcc [racas ; se prosterner devant quelqu’un.
Baaqu£ra, s. f. baguciia de !ambour.
Bia. V. Bakdr.
Barica,s.f. "ruban, eic., pour altacher le
lin & la quenzuille.
Baricua,s. f. fosse dans les salines.
BAaRACinnO, 8. m. dim. de Barago.
Bıraco, s.m."corde, lacet, lei. Por o— na
garganla a alguem, prendre quelqu'un & la
gorge, lui tenir Io poignard sur la gorge : le
contraindre par violence ä faire quelque chose.
Estar com o — na gargania, (fig.) &ire reduit ä
la dernidre extremile.
Barıarönpa, s. f. cohuc, tracas, oonfusion :
assemblde ou tout le monde parle confuse- | ga
ment ; mouvement acoompagu6 de trouble,
d 'embarras.
Bararustino,A,9.p. de
BarArUsSTaR,, v. ». se debattre.
*Barirı. V. Baralha.
* Basarin. V- Baralkar, Allercar.
Raniıua,s. f. (l. de jew) *talon. (fig.) Que-
relle, troubie , rupture do la paix. Pör, ou
meter ns — , forcer queiqu’un ä se de-
sister d’une poursuile ou pretenlion. Meiter-se,
ou recolher-se na— , se departir J’un projet,
d'une entreprise commenucee, y renoucer. Jo-
gar com a — , [aire jouer toute sorte de
ressoris.
BıraLnaiDo,A,p.p. de Baralkar.
BanaLuADOR, 3. m. celui qui mele les cartes
au jeu. (fg.) Perturbateur ; embrouilleur.
BanaLHär, ev. a. baltre, meler les cartes au
jeu. Rompre le de au Lrictras ou & d’autres
jeux. (Ag.) Brouiller, confondre, meler‘: met-
tre en conlusion , troubler la paix, le bon or-
dre. — cöres, barioler : peindre de diverses
couleurs mal aysorlies. — um nE900i0, eM-
brouiller une affaire. — a alguem ums pre-
lengdo , \raverser les desseins de quelqu’un, le
croiser dans ses prölentions. — una proposi-
plo, rejeter une proposilion, n’en pas faire cas.
RıriLno, s. m. jeu de cartes.
Bariua, ow Banampäz, s. m. ((. burn.) oboso
qui pend.
f Baaancäv, 5. m. valsseau, barque A rames
en usage chez les Indiens.
ARANCO, 3. m. barange : ches les Grees
du Bas-Eınpire, officier qui avait soin des clefs
de la villo od se trouvait l’emperenr.
Baniö, s. ıı. baron : titre de noblesse, in-
färieur & celui de vicomie. V. Yardeo.
Basita,s.f.(i.d’kisl. nat.) blatie: Inseete
ortkoptöre.
*Bıarita,s. f. ° dchange, troc : vente.
Bansrino, A,P.p. de Barater.
Bunstaußare, adv. A bon marche, & bon
oomple.
+ Banarin, o. a. 6ohanger, troquer. Prendre
BAR
ou donner une chose pour un prix inferleus &
la valeur reelle, lo depröcier. — share per
(dinheiro, vendre son honneur.
BARATAR-SE, . r. se vulgariser, devemir
commun.
Banatariı,s. f. (raude ; tromperie dans ie
commerce. (£. de mar.) Baratierie :
d’un patron de navire par deguisemeni de man
cbandises ou fausse route. ° Echange, Iren.
BaRATzÄnO, A, P. p. de Beraiser.
BARATEANENTO, 5. m. ° dimination de prix,
rabais. Faser —, baisser le priz.
BarıTEıAn, vo. a. ei n. marchander. Donner
une chose & bas prix; diminuer de prix, ven-
dre au rabais.
Baaartıno, A, adj. qui vend ou achdte & bom
marche, & bas prix.
BAnAT£ıRO, s. m. celui qui dans les tripete
recoit la prime ou rötribulion da jouesr ei
gne.
BARATEzA, 8. f. bon marcht, bas peim, vil
x
BARATINBO, A, adj. dim. de Barate, pas
cher.
Ranarissımo, A, adj. sup. de
Barito, A, adj. ben marcb6 : qui se vond
au-dessous du prix ordinaire. (fig.) Fachie, ni
coüte peu. O— sei caro, on u’a Jamais bom
march& de mauvaise marchandise. Nöe As
cnusa mais —@ gie a que se compra, les dons
et les services coülent ordinairemens plus cher
que les choses acheises.
BaRiTO,s. m. prime que paient les jeweuss
dans une maison de Jeu, pour les cartes, eis.
Pör, meiler a—, vendre a ben marche. Bur
de —, accorder de bon gr&, adınetire sans die-
cussion. Fazer Jom — de vide, da honre, tt.
exposer la vie, l’'honneur,eto.,ä vil prix. Temar
por —, prendre son parti.
BıriTto, adv. a bon marche, & bas prix, pasS
cher.
BiRrATERO, 3. m. gouflre, ebme, liege pre»
fond et escarp£. (1. de pods.) Enfer
* Baraza. V. Braga. dt. Corda,
Birsa,s. f. "nmıenton : parlio du visage suuB
la bouche. Barbe : poil des joues et du menten.
Barbo de chörre , de boue. (Ag.) Figure, faee.
Barba a,;—, adv. face & face. Andar, estar
(com), trazer a — sobre o kombro, re sur ses
gardes. Aponlar as —, poindre, en parlant de
la barbe. A ponta da —, le has du menien. ka»
zer 0-- ‚Taser, barbifler. ir com 0 — sobre al-
guem, suivre quelqu’an de pres. Ter 8 — (us
a eiguem, rösister courageasement & quel-
qu’un. Fazer — medross, moniser de la pear.
— de com#ia, chevelure, rayons des comdtes.
Yirer d custa da — longa, vivre, manger aux
depens d’autrui ; ecorniler.— de baleie, fanen
de baleine.—de bode (4. da.bot.) salsifls sauvage
ou des pres; barbe de vieillard ou se bouc ee-
dinaire. —— de bods heriense, V. Sersifm. —de
dose (id.) ebene de Creie, barbe de Jupiter.
Barbas , pl. barbes, chevelu : amas de rasines
ires-minces des planies. Filets de l'öpi, de la
ge
=. _ _
BAR
piume. —de gallo, barbes de coq: morcoauz do
chair pendants dans le beudu o0q.— honradas,
(#g.) personne respeclable. A’s — ou nas —
Celgusm, sur la moustache de quelgu’un, en
sa presence et malgr6 lui, & sa barbe. On dit
ussi en francais : & hout poriant, a brüle-
pourpoint. Ter bdas— , (fam.) avoir une bonne
mine, une figure agreabie, £ire jolie, en par-
lant d’une femme. Ter poucss — ,(id.) eire un
enlant, un merveas, un blanc-bec. Tor — para
fazer ou emprehender alguma cousa, aveir du
courage , da talent pous [aire eu enireprendre
queique chose. Fazer-s0 as — um 00 ouiro,
(Ag) s’aider mutuellement.
Bazzıci ou Barmacan, s. [.(i.de fort.) bar-
bacane , fausse braie : seconde enceinte dont le
ia touche A l’escarpe de la premiere.
* Parapei : muz & hauleur d’appui autour d’une
place , elc.
+ Bazsacksu, s. f. (t.de bof.) barbacenie ;
Pante da Bresil, voisine do la jussi@nie.
+Buansach” s. m. (1. d’hist. nat.) barbacom :
coucou noir de Cayenne.
Bırsicas, s. m. barbon : homme & longue
barbe; vieillard severe.
Buzsagöte, s. m. (f. de fort.) espäce de bar-
kacane
BAnsacüno, adj. m. barbu : quia une barhe
paisse.
Bıanipa, 3. f. ganache : extremits de la
mächoire inferieure du cheval, ou l’on place la
geurmelle.
Bınzapiö , s. m. aug. de Barbädo.
Barssnixno , adj. m. dim. de Barbddo, qui
s peu de barbe, qui commence & avoir de la
barbe. it. s. et adj. Capucin : religieux relorme6
de saint Prangois qui porte la barbe longue.
Baanino, A, ad). barbu : quia de la barbe.
V. Barbdio,p. p. de Barbar. E um homen—,
c'est un bomme portant barbe.
Bızniıuo,s. m. chevelu : fillament des ra-
eines des plantes. —s, pl. les premieres racines
que jettent les arbres et les plantes.
*+ BARBALHÖSTE,, adj. 2 gen. qui ne sertä
rien.
Eıasaxtz, 5. m. "ücelle : petite corde de fil.
Bınsan, 9. Rn. commencer & avoif de la
barbe; & pousser des racines, en parlani des
plantes et des arbres. .
+Binsans, 5. f. (n. p.) Barbe. Sanla —,
t$. demar.) sainte-barbe : endroit d’un vais-
seau od l’on met la poudre.
Banzınamente, adv. barbarement, rude-
ment, grossiörement, cruellement, furieuse-
ment.
Bınzanftsco, A, adj. barbare : qui appar-
tient aux barbares. Barbaresque : des peuples
de 1a Barbarie.
Baasanescos, s. m. pl. barbaresques : habi-
tants, peuples de la Barbarie.
Banazaniı, s. f. barbarie, cruaute. Troupe,
multitade de barbares. —, mant&ue de civili-
sation „de polilcsse, de civilite: rusticite, Fu-
BAR m
° Banzaniez, V. Barbarla, Berbaridade.
Banpänıco, A, adj. (6. de pods.) barbare.
Bannanıpipe, s. f. bearbarie, cruauts, inhu-
manite. Temedrite, audace. Grossierets6, delaut
de politesse et de eulture dans l’esprit.
Bansanisco. V. Barbareseo.
Bansinıe. V. Barbaria,
BARBARISMO, 5. m. (l. de gram.) barkerisme:
faute contre la pureis de la langue. V. Barbe-
ria,
BARDARISSIMO, A, adj. sup. de Bärbaro.
BARBARIZADO, A, 9. 9. de
Bansacızir, v. a. rendre barbare, grossier.
— a linguagem , os coslumes ,gäter, cofrOMmpr®
le langage, les maurs. llest aussi »., et sigui-
fie parler barbarement,
* Rassaanızo. V. Barbarinho, Sussurro.
BirnınO, A ,adj. barbare ,cruel , inkumain.
Lestrigon. Hardi , temerairc,, audacieux. Groß-
sier, barbare, sauvage, Visigoth, saus poll-
tesse.
Banpıannäd,. V. Barbapas. i
Birpas, s. f. pl. pailles (dans une piöse
fondue ).
Bansisco. V. Verdäsco.
Barsita. V. Bravala.
Barnaränı ,s. f. Dageoira: membraeue ( des
poissons)) qui sert A nager.
Baasıtean. V. Bravaledr.
BarsiT0, 8. barbu (frere lai).
+ Bınsito, adj. m. Comela —, chevelu. Om
le dit d’une comete qui a une espece de chore-
lure formee par la lumiöre.
BArBEiDO, A,p. p. de Bardsar.
BınpEAnüna, 5. f. action de faire la barhe.
BARDRÄR, dv. @. raser quelqu’un, lui faire ia
barbe, barbifer. it., o. n. (l. de mar.) abriver
aller prös du rivage, en parlant d’un bateau,
Raser, passer pres. Barbeando, hord & bord.
BıaneiR-SsE, ©. r. se raser, 56 barbifler.
Banpzaria,s. f. barberie: metier de barbier;z
piece, dans les couvents, oü P’on fait la barde
aux moines. -
BARBECHADO, A, P. P. do
BanBECcHÄR, v. a. jacherer , labourer des ja-
ehöres : donner le premier labour & des terres
qu’on a laiss6 reposer.
BAnBfCHO ‚3. m. premier labour qu’on donne
ä une terre en jachere. Gueret, recassis : terre
labouree pour Etre enscmencke.
Barpkıra, 5. f. feame da barbier; femme
qui fait la barbe.
Banssıninno,s. m. dim. de Barbfiro. Per-
roquier, pelit-maitre.
Bann£ıro, s. m. barbier : qui fait la barbe.
Banpeıro. V. Barbecho , Alqueice.
Bans£ıLa, s. f. "fanon d’un beuf ı ce qui int
pend sous la gorge. Gourmelie : chalnetle de
fer ettachee A la bride, qui passe sous la g&-
nache.
+ Rınnera, s. f. barbette : plate-forme sans
&paulement, oü l’artillerie est & d6couvert.
‚t BansiBLanco, A,adj. quia la basbe blan-
che.
188 BAR
Bansıcicmo, 5. m. licou : corde gue !’on met
par-dessous a mächoire des beies pour les
kouverner. Pör o— a alguem, tenir quelqu’un
en bride.
+ Bansıcixo, A, ad). (1. ds pods.) grison:
qui a des poils blancs dans la barbe.
T BansıwEıto, A, adj. qui vient d’4ire rase.
f Bansıronuz, adj. 2 gen. (1. de bot.) en
forme de barbe, de moustache.
t BarsıLımpo, A,adj. qui apeude barbe:
imberbe.
BARBILRO, 6. m. *museliere : petit sac qu’on
met & quelques animaux pour les empöcher de
palıre. * Bourre de soie. (fig.)
mordre ou de
Empöchement , obstacie, entrave.
Bannixur, s. [.dim. de Barba, petite barbe,
poil follet. Le bout, l’extr&mite du menton.
t Bansın£cno, a, adj. qui a la barbe noire.
BARBIPOENTE, adj. 2 gen. qui est en Age de
puberte, a qui le poil follet vient.
Banpıauivo,A,adj. qui a la barbe blonde
ou Fousse. }l se dit aussi des oiscaux qui ont
le plumage roux.
Banpınisso, A, adj. grison : qui a la barbe
grise par le melange de poils noirs et blancs.
Bansita. V: Barbinha.
BanBırtso, a ‚adj. qui a la barbe dure.\4g.)
Dur, fort.
Binso, s. m. barbeau : poisson d’sau douce.
— do mar, barbonne : poisson de mer. — ma-
rinko ‚ sarmulet : poisson de mer. It. adj. et s.
cheval de Barbarie.
BansoLtra. V. Borboldia.
Bannöneo. V. Barbadinko.
° Bansorinua, 8. f. V. Borborinko.
BARBUTE, 3. m. " mentonniere : partie d’un
:n@ud,
morceau de laine que les tondeurs lövent de
casque qui courre le menton. Nope
dessus les draps.
Barsorina, s. f. barbotine : semence menue,
chaude et amere; remede, poudre contre les
vers.
+ Bar2nozinno, s. m. dim. de Barbo. Bar-
billon : petit barbeau (poisson). Barbes : ma-
ladie de la langue des oiseaux, des chevauz,
des beufs.
Barsüpa, FR f. ancienne monnale d’argent
portugaise, qualre sous & peu pres.
Baasipo, A,adj. barbu : quia besucoup de
barbe. (1. de bot.) Barbu , ariste.
Bansuzino. V. Pdo-ferro.
Binca, s. f. barquo: petit bateau. *Bac, ga-
barre:: bateau plat qui sert & traverser les ri-
viöres. — do norie,, la grande ourse , constella-
von N. — de Charonie, (t. de poes.) nacelle
dans laquelle les Ames passaient le Styx pour
entzer en enler. — de Pedro, ( fig.) L'eglise.
Sabor bem governar a sua —, ( fig. fam.) sa-
voir bien oonduire sa barque; conduire, gou-
verner une aflaire. — ira, (8. de
mar.) galiote ä bombes, bombarde.
tBancica,s. f. aug. de Barca. Grande bar-
qu9; ponton. .
Bancipa, 8. f. batelee, naveo: la charge
BAR
d’un bateau, d’ane gebarre.* Voyage, iraversse
que fait un bateau sur une riviere d’unbord ä
l’autre.
BarcÄcEm,s. f. "naulage: ce qu’on paioä un
batelier pour passer une riviere.
BancanoLLA, 5. f. barearole: chanson ita-
lienne des gondoliers ä Venise.
Bäinca , s. f. chemise d’osier pour couvrir les
vases de terre. V. Balsa.
Barc£ıno, s. m. colui qui fait des barpas.
V.ce nom.
BancELonfz, a, adj. barcelonais : de Baroe-
lone, qui appartient ä Barcelone.
Biscua. V. Barca,
RancHörz, s. m. dim. de Barco.
* Bancıa. V. Barca.
Bänco, s. m. * barque, bateau ä& quille: peti
bateau qui sert sur mer et sur les rivieres. —
costeiro,, cabotier, bätiment caboteur. — erw
söiro,, batiment croiseur. — coberto ou de co.
Berta, batiment ponts. — lado, bäti-
ment dösempare. — da carreira, batiment de
traverse, do voyage public; bateau de Passage.
— velfiro, fin vollier. Governar o —, mener,
conduire la barque (prop. et ig.).
BancöLas, 2. f. pl. (1. de mar.) — das esco-
ilhas, vassoles de l’&ooutille d’un vaissean.
BARCOLONcO. V. Galiota.
ärDA,s. f. barde: armure en lames sur le
poitrail , les flancs et la croupe du cheval.
Tranche de lard mince, sur une volaille. *Cha-
peron demur fait deronces ow de paillecimentse
avec de la terre et des pierres; haie d’epines.
* Houssage : fermeture d’un moulin ä vent. (g.)
* Monceau, pile, tss. Em— , ade. pop. on as,
en grande quantite.
t Banpicna, s. m. bardache : sodomite, qui
se livre au giton.
Barpino,A,p.p. de Bardar.
Banpina, 8. f. (1.de bot.) bardane ‚ Blou-
teron, herbe aux teigneux, herbeaux Punaises,
tignon ; napolier, lapourdier. — menor, lam-
pourde, pelit glouteron , glaiteron ; petite ban-
dane, grapelles.
Banpan, v. a. barder: armer, couvrfir (um
cheval)de bardes. Couvrir les murs des jardi
des vergers , etc. , avec des ronces ‚de la paille
cimentöe avec de la terre ‚pour les conserver.
Clore de haies vives un jardin, un champ, ete.
+ Barpito, s. m. bardit: chant de guerre des
Germains.
Barno, 3. m. V. Barda. it. Barde, poßte eg
pretre gaulois ou celte, qui chantait les heros,
etc. Parc, clöture faite de claies, od !’on en-
ferme les moutons en ete, quand ils couchens
dans les champs.
T Banbococdııo, 8. m. sorio de manieau
d’eioffe grossiere , avec un capuchon.
Barkıa. V. Vareja.
* Barera. V, Barreie.
* Barca. V. Palhoga.
Bancapa. V. Bragada.
BARGANHA , 8. f. ((t. fam.) *&change, tror.
Barcaxuar. V. Trocar, Negocier.
BAR
BaRGANTACO, 3. m. aug. de
BancasTE, adj. 2 gen. et m. vagabond , li-
bertin,, vaurien ; coquin ; effronte, impudent,
‚polisson ; brigand.
BaasasTEAD0O, A,P. pP. de
BARGANTEÄR, 0. #. vivre en libertin, mener
une vie dissolue.
Bazcastreria, s. f. infamie, coquinerie; li-
bertinage,, d&bauche. it. V. Velhacaria.
+Bunczıac, s. m. (1. d’hist. nat.) bergelach :
eisesu de la Tartarie.
Barcusıno. V. Fargueiro.
Bancviıma. V. Braguilka.
+ Bauıchrz, s. m. baricot : fruit et boisson
de
Bazııma. V. Gramdia.
"Barnim. V. Burll.
Baaınäı, s. m. ancien petit vaisseau de la
Siöditerrande
+Bizıo,s. m. (1. de chim.) base metallique
de la baryte.
Barırow. V. Berylono.
Bougelie, havresac : sac
de euir od l’on porte des
effets sur le dos en
voyageant & pied.
BARLAVENTEÄADO , A, 9. p. do Barlaventedr.
BaRLAVENTEADOR,, A, adj. Navio—, (. de
mer.) qui prend le dessus du vent, qui gagne
bien le vent ( vaisseau).
BanLAVESTEÄAR,, o. n. (. de mar.) gagner le
weat; slier au vent. Il est aussi r&ciproque.
BıaLav£uto, s. m. (tl. de mar.) le cöte, le
dessus du vent ; lieu , point d’od souffle le vent.
li se dit relaiivement & la position des vais-
BEIUX SUF Mer. 0—, prendre le dessus
du vent, gagner le vent. A —, au vent. De—,
du vent.
+ Baxızais,s. f. (8. de'bot., barleria: plante
de l’Azıerique.
Barıtre. V. Variete.
BasLovenrzin „etc. V. Barlaventsar, eio.
Bannuasira, s. m. barnabite :'clerc regulier
de Seint-Paul.
+ Bannacız, 5. m. (l. d’hist. nal.) barnache:
sie de mer, oie de passage.
"BaaseciL, s. m. ancien vase pour les li-
BausoL£Ta, ou
BansuLtra,s.f.
guides.
Baroäno, s. m. dignits, litre de baron; ba-
.V. Baronia.
“Banolı. V. Veromil.
* Baseı. V. Bolor.
Banoutraıco, A, adj. barometrique : du ba-
romttre.
Bauömerno, s. m. (1. de pAys.) baromtßtre :
instrument qui marque la pesanteur de l’air et
indique par Iä les variations atmospheriqucs.
T Banosurrnöcaarno, 3.m. (l. de phys.) ba-
remötrographe : baromötre adaptö & une pen-
dule avec crayon, qui marque les hauteurs du
mercere.
t Banouzraocnarmia, 5. f. baromeirogra-
pie : art d’observrer l’atınosphere A l’aide du
beromtire ; description du baromötre,
BAR 189
t Barontrz, s. m. baronnet : diguitd, en An-
gleterre, entre te baron et le chevalier.
Basontza, 5. m. baronne : la femme dus
baron.
Baronia, s. f. baronie : seigneurie et terre
d’un baron.
t Barosantwo, s. m. (1. de phys.) barosa-
neme : machine pour connaitre la force de
vent, sa pesanteur.
t Barnoscörıo, s. m. baroscope , barometze.
Barqu£ıro, s. m. batelier, passeur : cold
qui conduit un bac, un batelet. Maitre, patrom
d’une barque,, d’an bateau.
Bargqussäno, A,p. p. de
BARQUEJAR,, ©. a. conduire, transporter dans
une barque. v.». aller et venir sur une bar-
que, la conduire gä et la.
Barquera, s. f. dim. de Barca. Petite
barque.
+ Barqufte, s.m. dim. de Barco.* Chaloupe,
esquif, petit bätiment l&ger.
BunquiLua, s. f. (t.de mar.)"bateau de loch:
triangle de bois jets A la mer avec une ficelle
pour mesurer la vitesse d’un vaisseau. Deitar
& — , jeter le lok. Carritel da —, four de lok.
Barguinua, s. f. dim. de Barca. Petite bar-
que; bachot; petit bac. Zt. V. Barquilha.
Barqrinuo,s. m. dim. de Barco. Petit ba-
teau.
Binra,s. f. barre: pidce de fer, de bois, eie.,
longue et ötroite. * Lingot:: masse de metal qul
n’est pas mis en @uvre. Barre: banc de sable
qui barre une riviöre ou un port; enirde d’um
port, embouchure. "Bord d’une robe, d’une
jupe, bordure, bande. *Bois de lit; grabat. (1.de
blas.) —, piece de l’&cu, trait perpendiculaire
ou transversal. Sorte de jeu, qui consiste &
jeter une barre de fer au loin. De — a barra,
de part en part, d’un bout & l’autre. Jogar ou
atirar d —, jeter la barre, lancer la barre.
(fig.) Faire des efforts d’esprit. Deilar « —
mais adiante que oulro, (fig.) s’avantager &
queiqu’un, le surpasser. Estirar a— , ( fig.)
faire de grands efforts pour obtenir queique
chose. Bärras, pl. les planches d’un lit. Barres:
on appelle ainsi les limites du jeu de l’anneau.
—s do cabrestante, (4. de mar.) barres du
cabestan. — de moldura, file. — do rosto,
echauboulures qui viennent & la figure de celus
qui commence ä se raser.
Barnica,s. f. tente, pavillon, baraque; ca-
bane , chbaumiere, hulte; maison de peu de va-
leur.
BArRACHEL, 8. m. chef de sbires.
Bannino,A,p.p. de Barrar, et adj. barr®
qui a des barres, des bandes, en parlant d’une
robe, jupe, £tc., ou de !’ecu.
BARRAGANA.
Banracäo. | V. Barreg...
+ Banriı, s. m. terrain argileux, gras,
+ BaAnRAMAQUE, 8. m. ancienne &tolfe riche,
dont les ev&ques faisalent lours vetements
pontiflcaux.
Bansamtına. V. Ribsmeire.
19p BAR
Barninco,s.m. ravin, fondriäpe : lieu cav6 |
par tes eaux de pluie; precipice, chemin creux
et profond. ( fig.) Obstacle , emp£chement, dif-
NAcalıe, embarras; precipice. Consequir uma
cousa por (rancos e —s, obtenir une chose par
des moyens difficiles et extraordinaires.
BanrıancösOo, A, adj. creux,, creuse, plein de
erevasses, d6 [ondriercs, en parlant d’un ter-
rain. ( fg.) Plein de difficultes, d’abstacles.
Bannınniö. V. Alguidarinho,
Barniö,s.m. V. Yarräo.
Barraquin,s.m.,et | dim. de Barrace.
Burnagrinua, s. f. Petite baraque.
BaRRäR,o.a. enduiro de terre grasse, luter.
dt. Fondre le metal en lingots. Meltre des roues
Gans des japes; des barres dans l’&eu. Etendre
du beurre sur des tranches de pain.
” Barnirıo. V. Bairrista.
* Banrıza. V. Baraca, Corda.
RAnREDOR.
Banneöuna. | V, Varred..., etc.
BAnREDUÜRA,
BanneEck ou BanREcAN, 8, f. femme entre-
Wenue : concubine qui deıneureit dans la mai-
son de l’entreteneur. Anciennement, en Espa-
gne, cC’elait : [cmıne marige qui ne jouissait pas
des droils civils.
" BARREGANENTO. V, Barreguice.
Bunrecäna, s. f. "bouracan : &ioffe, sorte de
gros camelot.
Barreciö, 5. m. V. Amancebado. It. ami.
compagnon. Celibataire,, garcon.
Barrecär. V, Berregär.
Barrecugına. V. Barregd.
Barrect£ıro, V, Amancebado.
BarrEcvice, V. Mancebia, Coneubindio.
Baunfına, s. f. barriere: pieco de bois pour
fermer un passage ; pieux enfonees en terre et
garnis de traverses pour fermer le passage;
porte do ville od se paient les entrees; en-
ceintes pour les tournois, joutes, elc.; tout ce
qui sert de borne ou de delcnse Iransversale-
ment. Barricade. V. Estacada. (fig.) *Obstacle;
borne; delense ; empächement.* Blanc, but oü
Yon tire, qu’on plagait auirefois dans les pa-
lissades des lorteressos. Meller cira em —,
Irapper, atteindre au but. Ficar mais em —,
&tre plus A decouvert. plus expose. Sallar as
—s, franchir les barridres, au propro et au f-
gure. Tirar alguem d --, delier quelqu’un,
le forcer & montrer son savoir-[aire. Bar-
Teiras , SUTMESUrc.
BARREIRADO, A, adj. qui a des harridres.
p. p. da
BARREIBAR, v. a. faire, melire des barriäres.
Banakıro,s. m. *glaisiere : lieu d’oü l’on tire
de la glaise pour la poterie ei pour d’autres
usages.
° Banresän. V. Incadir, Espiar.
Banntıa, s. f. lessive : eau chaude que l'on
verse sur du linge couvert d'un lit de cendre.
Eau rendue delersive par quelque ingredient,
(Rg.) * Savon, savonnade, reprimande.
BARnELLIRO, s. zu. lacendre dont on fait ja
BAR
lessive. Chaftier : grosse talle pour les eumdres
dans le cuvier ; ce cuvier,
*BARBENBÄÖ, s. m. bassin,, terrine: vaisseau
de terre destine aux ugages domesüiques.
BARRENTO, A, adj. argileux, gras, glaiseux.
BanrEr, eic. V. Varrer, eic.
Barr£ra. V. Barrete, Casquete.
BarasTana, 8. f. bonnelade: salut, reve-
rence, coup de bonnel; courtoisie avec }e
bonnet.
* Banrerir. V. Barrejar.
BAnrBte, s. m. bonnet : vötement de tBte
rond ou carrö sans rebords ; lout oe qui couvre
ia partie superieure de la tie. (EL. de fort.)
*Bonnelte: ouvrage compose de deux faces qui
forment un angle saillant avec un parapet et
une palissade au devant. — de cardeal,, la bar-
reite. — de malka, espece de casque ancien.
— de dormir, bonnet de nuil, serre-ile.
Homem de muilos —s , bonneteur.
BARRETEIRO, s. m. bonnetier : merehand,
faiseur de bonnets.
Banaerina,s. f. "schako: coiffure militaire
de la cavalerie lcgäre et dos fantassins.
BARRETINBO, s. m. dim. de Barrete.
Barrica, s. f. barrique, tonne, boucaut:
sorte de gros tonneau; fulallie. —s ou jarvas
d’agua, (t. de mar.) * cherniers.
Banrıcipa, 8. f. barricade. It. V. Estacada.
Bannıckr. V. Embarriedr.
* Barrıtra, s. f. peigne garni de pierreries.
BARRica ‚s. f. * ventre, bas-ventre, abdomen.
Grossesse ; porise. (fig.) Panse, bosse,, renfle-
ment; grosseur ou capacit6 d’un ionneau, d’un
vase.—da perna,'mollet: legras de la jambe.
Fazer uma par&de— , faire le ventre. On le dis
d’une muraille qui bombe, se dejete en de-
hors et menace ruine. Eslar, achar-se com &
—d bocca, ou ler a — d boeca, avoit le venire
aux dents : @tre pres d’accoucher, #tre grosse
a pleine ceinture.
Banrıcina, 8. f. panse pleine, creveliile,
franche-lippee.
Barnıckö, s.m.aug. de Barriga, bedaine,
panse. It. adj, V. Barrigudo.
Banrıcino, A,adj. pansu , gros bedon, ven-
tru : quia un gros ventre.
BAnRıcrinHa, 8. f. dim. de Barriga, it. &-
pece de poisson des rivieres du Cuama, Te”
semblant au hareng.
BarkiL, s. m. baril, füt, petit tonnean: vals-
seau de hois destine A garder et & Iransporter
des liquides. Barris de fogo, pl. (tl. de mar.)
barriques & feu, pots ä feu, baril ardent, baril
foudroyant. — com booca de coiro ,(it.) banil &
bourse.
BarsıLEre, s. m. dim. de Berril, berillet.
(. de menwis.) valet: instrument de fer en
forme de 7, quisert aux mer ıisiers & tenir lo
bois sur Y’etabli. (4. d’horl.) Barillet : ambour
du gcand ressort, sur Inquel se roule la ehalne.
(1. d’anat,) —,cavikh derrierse je tambeur de
‚Yoreille.
FEDER |
BAS
Banniıma, s. /. *kali: plante dont !es cendres
dsıimsur 60 1a sonde.
Baansixzo , s. m. dim. de Barril ‚ plus petit
que berröäßte. Bariquean ; barilion.
Baauiuma ‚s. f. dim. de Barra.
"Bannisco ou Bonatson ‚adv, A—, abondam-
ment, en grande sbendauce, k foison.
Banairo, s. m. dim.deo
Baano, s. m. "argile, lorre glaise, terre A
petige ; fIimen , bone, crotie. Il. ant. habitation
rustique. Lancar — d parede, (loc. prov.) faire
ses rn ‚ smettre tout cn @uvre pour
reuseir.
Bannos, #.. pl. “schauboulures , bontons :
petites #levares rouges qui viennent sur la
pean, pusticuliörement au visage.* Tumeurs gui
visunent aux vaches.
Baandcs, 5. f. ravine que font les eaux im-
‚fosse, creuz ; glaisiere.
anocäı ,s®. m, serie de ravines.
BOCO „I... use: perle informe ; petit
beruque: pe p
Bannöso, a,adj. V. Barrento. It. qui a la
Sgare couverte d’6ohaubeulures, de bouions,
Basaowäno, a,9.9.de
Banzorän,v. a. poser des solires. it. V. Abar-
BarköTE, 8. m. petite poutre, solive; soli-
vese.
geaaovisno, & m. dim. de Barröfe.
AREFÄR.
amirdı | V. Borrif... etc.
Basauntin. V. Suspeildr.
Bunaösro. V. Conjectüra, Suspeila.
Binsa. V. Barca, Balsa.
Bartınöcao, 8. m. (l. de mar.) ecope ou es-
cope, gueridon: pelile pelle creuse pour vider
sa mouiller je navire.
* Bareir. V. Varonil.
Baatı5i00, 4,2. 7. de
tBancıeiz, v. a. embrouiller:confondre,
weite en desordre. V. Enreddr. II est aussi
Tec. e.
Bırcımo, 5. m. *bagarre: tumulte, bruit,
querelle brayante de plusieurs personnes;
eohze tumultueusc.
TBaxörd, s. m. (1. d’hist. nal.) barouton :
isurterelle de Cayenne.
Baarrzs, s. f. (1. de chim.) baryte : oxyde de
am „ eonsider6 autrefois comme l’une des
sept lesres primillves; terre pesante, alcaline;
terre de spaih pesant; la plus pesanie des bases
sslifiables,, lerreuses et alcalines.
tT Baay'tono, s. m. (f. de mus.) baryton:
Woix entre ia taille er la basse-taille ; espece de
hasse de riole que l’on Louche avec un archet
& les deigis en meıne temps.
Bassı,s. on. (6. de bot.) basal ow basaal :
ste loujours vert du Malabar.
BasäLrz ou BasäLro, s. m. (f. de min.) ha-
ale soste de marbre noir, fusible; lave Irds-
[Rasluruco, a, adj. de basalte,
Y, Baar,
BAS 191
‚Baspägus, s.m. (1. fam.) badand,, nigaud,
niais,
Bassagvice,, s. f. badauderie; badaudage,
Basco. V. Bascon gado.
BascoLksan ‚etc. V. Vascolejar.
Bısconcano, s.m. Basque: le natif de la Bis-
caye.
+ Basconco ou } Basconade, Basque : lan-
BASCUENCE,s.m. $_ gue basque.
Bise, s. f. base. Il a lcs m&mes acceptions
dans les deux langues.
BasıLir, adj. 2 gen. (f. d’anat.) basilaire. On
le dit de l!’os de la 1&te qui occupe la partie su-
perieure de la bouche. Arteria, vela—, basi-
laire:artäre, apophyse de la tele. (f. de bot.)—:
de la base, tout ce qui est fixe.
tBasıLka, s. f. (8. de geogr.) Bäle : ville et
canton de Suisse.
BasiLıca, s. f. basilique : ternple en carr& long
termine en demi-cercle par une de ses extr&-
mites ; eglise royale;; eglise principale; ancien-
nement palais, maison royale. (ant.) Veine de
la partie intericure du bras. .
Rasırıciö, s. m. (1. de pharm.) basilicon :
onguent suppuraiif. (4. de bol.) V. Alfavaca.
BasıLıcirıo, A, adj. basilicaire: pretre qeai
assiste le pape ou l’ev&que A la messe.
BasiLicos, AS, adj. pl. basiliques, (livres,
lois romaines) de l’empereur Basile.
f BasınıpıÄnos, s. m. pl. sectaires de Basi-
lides, her&tiques du 2* siecle.
+ BastLiense, adj. 2 gen. ets. quiappartiient
ä la ville oucanton de Bäle.
Basırisco, s. m. basilie : serpent fabuleux
qui, selon !’opinion populaire, tue par son re-
gard.Lezardä cr&tcen eventail.—,ancien canon
de gros calibre et tr&s-long. (f. de dot.) V. Al-
faraca.
Basiw, s. m. toile de coton des Indes.
+ BasıocLosso, adj.m.(t. d’anat.) Musculo
— ‚basioglosse : muscle abaisseurde la langue.
Basıs. V. Base. ,
Bısörıa, etc. V. Bazofla, elc.
f Bassanko, adj. ım.(t. de myth.) &pithöte
de Bacchus..
Bassanınes.V. Bacchanfes.
Basso. ( f. demus.)V. Baizo.
Bassouna. V. Yassoura.
BAsTA,s. f. "points, pigüres que Pon fait de
distance en distance & un matelas pour y rei®-
nir la laine. .
7 Bista! inter). et adr. assez! d’est assez,
Bastanca. V. Abastanga.
Bıstante,p.a. de Bastdr, adj. 2 gen. suf-
sant, bastanı. — bem, passablement, assez
bien. il. adv. Assez,, suffisamment. Mais que—,
plus qu'il n’en fallait.
BASTANTEMENTE , adv. suffisamment, assez.
BasTanTissımo, A, adj. sup. de Bastanle.
Bastiö, s. m. bäton, canne: morceau de
bois long et rond, termine d’un bout par me
pomme, et de l’autre par une garniture de m&%
tal. Il sert principalement pour s’appuyer. Bi-
ton de oommandement, canne que portent Jos
192 BAS
militaires comme une marque de distinction
de leur grade. (Ag.) Commandement, aulorite,
specialement dans la hiörarchie militaire. —de
maorschal (de Frangs) , bAton : bois cylindri-
que , court, sculpis et peint, marque distinc-
tive d’un marechal de France. Meiter o—, (fig-)
terminer, finir un döbat, se meler dans une
dispute. Langer 0 — no meio, s6parer les com-
batiants , les contendantis.
Bastian, v. ». sufüre, &tre assez. (g.) Avoir
de la capacit#, des moyens pour faire queique
chose. Basta! assez! c’est assez.—de palavras,
c’est assez dit. Baslaos para isto..., il ne fal-
lsit pour cela que... Isto baslavs pare..., c’en
&tait assez pour...
Bastanpeip0,A,P.p. de
BastanDEin, vo. w. abätardir, s’abätardir,
degenerer, en parlant de la conduite, de Y’orı-
sine de quelqu’un.
Bastanpia, s. f. bätardise : &lat, qualild de
batard ; descendance par bätardise.
Bastanpissımo,, A,adj. sup. de
Bastäapo,, a, adj. abätardi : qui degendte
de sa nature, de son origine, de sen espece.
En terme d’kist. nat., il est souvent rendu
par fauz. Ex. : Acacia —a, laux acacia. Le-
ira —a, bitarde : deriture entre la ronde et
Pitalienne. Porta —a, porte bätarde : qui n’est
ni pelite, ni cbarretidre. Artilkeria —a, piece
d’artillerie de la troisitme classe. Lima —a,
sorte de lime, lime douce. Sella —a, sorto de
selle, qui n’est ni trop plate ni trop enfoncte.
Bastäinpo, s. m. bätard : enfant ne hors du
mariage lögitime. «s. Variete de raisin noir
pröooce et tr&s-doux, morillon.
BastEipo, A, p. p. de
+ Bastzin, v. 0. piquer un matelas de dis-
tance en distance pour y retenir la laine, la
bourre ou le crin.
Bastzczo6a, s.m. fournisseur, munitionnaire.
Basteckr,, v. 6. avitailler, munir, pourvoir
abondamment. Il est aussi reciproque. V. Abas-
iscer, eit.
Bastecioo,, A, p. p-. de Bastechr.
BasTEcıutuTo, s. m. ° provision : amas de
choses n&cessaires pour la subsistance d’une
ville, d’une place, d’une arınee; avitaillement,
peovision de vivres et de munitions.
Basrıiö,s. m. bastion. V. Baluarte.
Bastina, s. f. * palis, palissade, reiranche-
ment. ° Mantelet : ancienne machine de siege
od le soldat &tait A convert.
Busrıwid, s. f. $paisseur d’une fordt, etc.
Bastino, A, adj. brode dans le melier ä
broder. Ouate. V. Acolchoado. it. V. Basto,
Bastıpon, s.m. metier A broder. * Coulisse de
theätre : volet qui va et vient dans ses rainures
pour faire jouer les decorations.
Bastiuua, s. f. bastille : chAteau fort , Dan-
que& de tours; prison.
* Bastıınid. V. Basiido.
Bastıu&nto. V. Baslocimdnto,.
Bastissiuo, A, adj. sug, da
BAT
Bistro, a, edj. öpais, condenst, dra , teufle,
sertd. (Ag.) Copleuz; nembreux ; abendemi.
Folhas —as,, (t. de bot.) feuilles entasades.
Bisto,s. m. l’as de tröfle da jeu do cartes.
Bastonipa, s. f. coup.de häten. Falsea:
bastonnade que les Algeriens donnaient aux
captifs sur la plante des pieds.
Bastonipo, 4,9. p. de
Bastonir, 0. s. basionner : donner la has-
tonnade; bätonner.
* Bastoninıo, s. m. bätennier. V. Bedil.
Bastüna. V. Bastidäo, Erpesshre,
+Bira, s. f. robe dochambre. --assichsnde,
douillette : robe ouatse.
Bariıma, s. f. bataille, oomıbat. (amf.) Le
centre d’une arınde , le corps de bataille; divi-
sion, corps d’armee. (fg.) Agitation, inguid-
tude. —, jeu de cartes entre deux. — campsl,
bataille rangse. Exereito formado em — ,at-
möe rangee en bataille, en forme de bataille.
Apresentar —, livrer bataille. Toocar dbetalhe,
sonner la charge.
* BaraLnipo, 4,9.9.do Befalkar..
BATALHADOR,, 5. m. guerrier, combeitamt,
homme de guerre, batallleur : surnem qu’an
donnait &ceux qui avalent livrö plusieurs be-
tailles.
BATALEANTE, adj. p. a. de Balalher.
BaraLniö, s. m. bataillon : oorpe de tzoupe
d’infanterie de 5 A 700 hommes environ.
BataLnia (com), v. ». batsiller : donner ba-
tsille; combattre, se batıre, en veniraux meins.
(Ag.) Contester fort, disputer contre quolqu’un ;
lutter contre le sort, ete.
Bariö, s. m. pas de danse (jet6 battu).
Batiapa. V. Abeldrde,
Batania. V. Baterie.
Batannisa. V. Beierräbe.
Bırira (ordindris), s. f. batate: sorte de
racine feculente. — ingleze,, pomme de terre;
morelle tabereuse. -— de purgs, le jalap. — de
Brasil, topinambour. —doce ou das ülkas , pa-
tate,, racine d’une espece de liseren.
Barırina, s. f. conßture de patates.
+ Barartıra, s. f. batate ou patate : Ba
plante qui donne les pommes de terre.
+ Burartıriı, s. m. lieu plante de batateg,
Barırinna,s. f. dim. de Balata.
+ Barivıa, 8. f. (1. de geog.) Batavie : nom
ancien qu’avaient les Provinces-Unies de Hol-
lande. Batavia : ville d’Asie dans l’ile de Java.
+Biruvo, a, adj. et s. Batave, Hollandais :
de la Batavie, de la Hollande. _
Barta,s.f.V. . Au Bresil,, c’est un
vaisseau en forme d’entonnoir, qui sert & lever
la terre qui contient des particules d’or.
BıTEino, 8. f. co que peut contenir une bs-
4a. V. ce nom.
BATEiDO,A,9.p. de .
Bırzia,v. a. laver dans une Batda. V. cs
nom.
° Barkca, s. f. esptce de courge. ii. Pastöquwe.
Barach, s.m. (1. pop.) chuts au dezriäre.
BAT
Barenon , s. m. batlsur:: colui qui [rappe,
gi aime & battro. Traqueur : l’homme employ6
traquer, ä balire, ä cerner les beies fauves
pour les faire passer sous le coup des chas-
seurs. Batteur d’estrade , 6claireur : homme de-
ische pour aller explorer les routes et les
campagnes, pour s’assurer de la position de
fennemi; guide. Garde du corps qui preocdde
le carrosse du roi. — de modda, monnayeur ı
qui frappe, qui bat la monnaie. — d’ouro , bat-
teur d’Or : ouvrier qui passe les flleis d’or sur | (
le moulin pour les aplatir.
Batssörao, s. m. “aire, lieu od Yon bat
quelgue chose.
Barzudnı, s. f. "battement: l’action de
battre;, palpitation ; choc. *Batlage.
Barersıma,, s. m. balleur d’or ou d’argent.
Ourrier qui travaille au laminoir, qui &cache
au moulin,, qui lamine un mötal quelconque ;
tracheur.
Birzrca, 3. f. cuveite, bassin, grand plat
ereuz ; grand verre ou tasse pour boire. — d’a-
gus, pluie battante.
Bargına , s. f. grande barque : bateau de ri-
viere.
Battı, s. m. bateau, chaloupe, esquil, ca-
not, petit bAtiment pour naviguer sur les ri-
vieres.
Barzıipa, s. f. batel6e : charge d’un bateau.
Barzıiö, s. m. aug. de Batei, grand ba-
leau,, grosse barque. .
BıreLkıRo, s. m. bateller : qui eonduit un
beteau.dim. de Batlel, petit bateau, batelet.
Bartuıe, adj. 2 gen. et p. a. de Bater, bat-
aut: qui bat.
Bartıte, s. m. *feuillure, entaillure dans
laquelle les portes et les fenetres s’enloncent,
et contre laquelle les battanis frappent quand
on les ferme. Baltant : chacun des deux cOl#s
d’une porie qui s’ouvre en deux. Bande de hois
garnie de drap qu’on met sur les TaTRauS gun
fort#-piano r les arr&ter et modifier la v
bration des Cordes. Batentes das portinkholas,
(.de mar.) seuillets de Jabords. —s inferio-
res, senillets d’en bas. —s superioros, seuilleis
d’em haut.
Barta ‚v. a. batire, frapper, taper, donner
des coups; canonner. —, remuer une chose
pour la condenser, pour la rendre homogäne
ou pour ia dissoudre. Corroyer le fer, la terre
glaise, 16 sable, dans le sens de battre, petrir,
broyer. Il est aussi neutre. — o campo, baltre
Vestrade , battre la campagne : courir de gä ot
de lä pour avoir des nourelles de ’ennemi. —o
maeio, traquer : enlourer un bois ot faire une
battue. — folka , battre un metal, le laminer,
le röduire en lames. — a muralha ou a praga,
battre ane forteresse , une place forte : tirer sur
elies avec de Partillerie. — mofda, moßnayer :
Ira ‚battre monnaie. — as azas, haltre de
Yaile , en parlant des oiseaux. — 0 leite, barat-
ter :batire le lait dansune baratte pour faire du
beurre. — ovos ou nala ‚fouetter les aufs ou Je
ka creme pour les faire mousser, — 08 ilhaes,
. PORT.-FR,
BAT 193
Jonner des coups d’speron dans les flancs
dun cheval pour „animer & la course. —d
poris, Irapper & la ports. — 0 queizo ou os
denles, irenbler de froid, faire oraquer ses
denis. — o panno, (1.de mar.) barbeyer, fa-
sior. —com as mdos, battre des maius, applau-
dir. = nos peilos, so [rapper la poltrine.
Barta-sz, 0. r. so battre ; combattre.
Barzaia, s. f. batterie : plusieurs canons
reunis et places pour tirer; le liou od ils sont.
t. de mar.) —, assemblage de canons placds
de l’avant ä P’arriere des deux cöt4s du vais-
seau ; l’assemblage des instruments et des ou-
iils de quelque melier; ustensiles de cuisine en
cuivre,, batterie de cuisine. — ‚l’actlion et l’elfet
de battre; deöcharge; coups de canon 'ä la fois;
combat avec des armes de jet. (4g.) V. Acom-
meilimento, tt. Batterie :moyens employ6s aveo
importunit6 pour r&ussir dans une affaire,
pour- obtenir quelgue chose. (id.) Chose qui
fait une grande Impression , qui trouble, qui
consterne. Primeira — ou — dacoberia, (1. de
mar.) la premiere batterie. — do conoes, la
deuxidöme batterie d’un vaisseau & deux ponis,
ou la troisiäme d’un vaissoau ä trois ponts. —
da tolda e castello de pröa, batterie de gall-
lards. — afogdda, hatterie noyde. Ficar mais
em —, iro plus expos® aux coups de canon.
Barrsinna, 8. f. (£. burl.) coup au menton.
(fg.) Reprimande, debats,, altercation, dis-
pute.
Birica, V. Balega.
Bartiva, s. f. battue, traque, chasse cia-
meuse : chasseurs qui battent les bois pour en
faire sortir le gibier, qui l’entourent; leur ac-
tion. (f.de mil.) L’action de baltre Jacampagneo.
Barivo,A,p.p. de Baler, adj. battu, Iray6,
en parlant des chemins ; defait, en parlant
d’une arm&s, de l’ennemi. Rota —e, en droi=
ture, sans relächer, en parlant d’un valsseau.
Baripuna. V. Batedura.
Barınento. V. Embäte.
Barina, s. f. soutane : Irabit long des pr6-
tres, etc. Andar de —, porter la soutane.
+ Barıs , s. m. (1. de bot.) batis : arbustod’A-
merique, dont les fleurs n’ont ni calico ni co-
rolle.
Barisuo, etc. V. Baptismo, etc.
Barista. V. Cambräia.
BiTo,s.m. sorte de jeu d’enfanis.
BaT0ocin0,A,Pp.p. de Balocar.
Batocia, v. a. bondonner : boucher avec un
bondon.
Baröque, s.m. "bonde d’une futaille, bon-
don : bouchon de hois ou de liege qui ferme la
bonde.
+ BAtoouzs, pl. (1. de mar.) cherilles dcs
haubans.
BarTongıLna, 8. m. (. burl.) V. Basbaque,
Ameirdo.
+ Barnachitzs, 8. f. batrachite : pierre verte,
creuse, repr&sentapt dans le milien un eil;
pretendu specilique contre les venins.
+ BATnACHOMYONACHIA, 5. f. batzachomyo-
194 BEA
machie : combat des grenouilles et des rals,
po&me burlesque d’Homere.
+Barnäcıos, s. m. (t. d’kist. nat.) batre-
eiens, quatrieme ordre des reptiles (la gre-
nouille, le crapaud, etc.).
+Birtnaco, s. m. (4. de mdd.) batracus : fu-
meur inflammatoire qui vient sur la langue.
BıtroLocia ,s. f- ($. de gram.\ bauologle :
röp6tition inutile; redondance.
Batucivo, A, 2. 9. de
+Buıtccha, ©. m. (4. fam.) [rapper, laper
ssuven!.
*Baröpo. V. Batido.
+ Baröta,s. f. (1. de mus.) bäton de mesure,
sorte de bagustie courte dont un chef d’or-
chestre se sert pour indiquer la mesure & ceux
qui executent sous sa direction.
BAUNILEA. V, Baonilka.
AUTISMO. .
Bavrızan, eic. } v, Bopti... ) etc.
.* Bauzzan. V. Balanpar.
Rivano, A,adj. eis. bavarois : de Baridre.
Bavkına. V. Babeira.
Rıxi.V. BHacha.
+Baxina, s. m. (i.de bot.) bexans : arbre
de !’Inde; fournit un antidote contre le poison;
son ombre est mortelle.
Bazar ,eio.
V. Baiz..., eio.
Bax£ı.
BıxgLua.
Barancı. V. Quebräda.
Barnald. | V. Bai..., etc.
+Barac, s. m. bazac: coton fild trös-An,
qui vient de Syrie ; tolle du m&me colon.
Bızin,s. m. bazar : cloitre A coupoles seor-
vant de marche public; lieu oü l’on enferme
les esclaves en Orient. En France et en Angle-
terre: lieu d’exposition ot de vente d’objeis
d’art ei d’industrie.
Bazir,s. m. ou adj. f. Pddra —, bezoard :
(pierre de —) ow caloul animal, concreuon
pierreuse dens le corps de ceriains animauz.
I y en a plusieurs especes.
Bazanüco ,s. m. basse monnaie de l’lade,
Bızoin. V. Bazar (pedra).
Bızörıa, s. f. jactance, forfanterie. if. *Grail-
lon, regrat : les resies ramasses d'un repas.
Bızorıivo,A,p.p. de
Bazorlir, 9.9. se vanter, faire le glorieux.
Bazörı0o , s.m. fanfaron, glorieux.
BazuLiguz. V. Baduldque.
RoELLıo, s. m. bdellium: arbre des Indes,
d’Arabie. —, sa gomme pour la toux, je pou-
mon.
B£, cri d’une brebis qui bele.
B£ , s. m. nom du b en portugais.
Bzita, s. f. femme pieuse ; femme b&sufide
le saint pontife. Bigote, cagole, beguine,
ausse devote. Nonne, nonnetie. Ce mot se
prend le plus souvent en mauvaise part.
Beitiö, 5. m. aug. de Bedio,cugot, faux
@övot, hypocrite.
Beatania. V. Beatice.
Bzartıno , A, e. bigot,, qui fröquente les de-
votes, cagot.
Beatinıo. V. Beatice. il. Recolkimenio.
BEATICK , 8. f. bigolerie, pruderis, cagolerie;
Jevotion outree,.
Bearıricackö, 8. f. bealißcation ; acle par
lequel le pape , apres la mort d'une personne,
dsclaro qu'elie est au nombre des bienbou-
rous.
Beatırıcioo, A,p. p. de Beatificar.
Bzarırıcanor,, &. m. celui qui beatifle.
+ BEATIFICAMENTE, adv. (1. de Ihol.) & la
manidre des bienheureux.
Beartıricir,, v. a. beatifier : melire sur le ca-
talogus des bienheurenz; rendre heureux. Il
est aussi r&ciproque.
BeaTirico, a ‚ adj. beatifique : qui rend bien-
heureux.
BeatiLua, s. f. tolle de lin tr&s-fine et Irds-
claire.” Bonnet, coiffe de religieuse,de paysanne.
Beitissıno, A, adj. sup. de Bedio. —padre,
trös-saint pere : litre qu’on donne au pape.
+ Bearırung, s. f. beatitude; fälicits eter-
nelle. V. Bemaventurange, Felicidads.
Beito, A,s. bienheureux : qui Jouit de la
beatitude eternelle. Beatiid. V. Beatifchdo.
L’eglise catboligue donne ce lilre aux moris
qui ne sont que beatifies. Devot. Bigot, caget,
beat, fauz dörvot. Homme pieux, relire.
Brarona, s. f. böguine: bigote, fausse de-
vote.
Bzarönno,s. m. V. Bealdo.
Bzaraia. V. Behetria.
B£sano, A, adj. soül, ivre, imbriaque ; qui
a le cerveau trouble par les vapeurs du vin ou
de quelque passion. Ivrogne : sujet & s’enivrer.
On le dit de ceux qui ont l'esprit trouble par les
passions, particulitrement par la colere ou l’a-
mour.
+Beszpeına, s. f. ivresse : &lat d’ane per-
sonne ivre.
BEBEDICR, &. f. "enivrement, ivresse: &iat
d’une personne ivre. Ivrognerie : habitude ou
aclion de s’enivrer. ( ig.) * Enthousiasme poeli-
que ou des passions ; eyaltalion, delire.
BEBEDINBO, #. m. dim. de Bebado.
BEBEDOR ,A, 8, m. ou f. buveur : celui qui
boit. On le dit ordinairement de celui qui boit
beaucoup de vin.
Besenöuno, #. m. abreuvoir : lieu oü V’on
mene boire les animaux. Augel: vaso dans le-
quel on donne & boire aux oiseaux et Ala vo-
laille. Endroit ou les oiseaux vont boire.
Bes£a, v. a. boire : avaler un liquide. (fg.)
Absorber. — folgadamente, boire & son aise,
tranquillement et avec plaisir. — @ vaso cheio,
boire A rouge bord, & plein verre, boire rasade.
— emroda, boire & la ronde.— 0 espirilo ou
a douirina d’alguem, (fig.) se peneirer de l’es- _
prit de quelqu’un, sucer la doctrine , les prin-
eipes de queiqu’un. — 0 ve @ ouirem;
querer beber-Ihe o sangue , (fig.) dötester quel-
qu’un au dernier point, vouloir se venger de
lui. — as palavras, as acpdes de alguem, ne
point perdre un mot de oe qu’uns personne
dit, Pdcouter alienlivement, — 08 venlos por
eigu6m, simer &perdument quelgqu’un; desi-
ser ardemment possöder Vobjet aime. — om
dremceo. On le dild’un cheval qui a le tour de la
bouche blanc. — lagrimas, retenir, devorer les
lerımes. — trabalkos,, &ire en butio aux coups
de lafortune. Absorber. As terras seqwiosasbe-
vom num slomo as aguas das chuvas, lesterres
seches absorbent les eaux de la pluie. S’eten-
dre, tenir un certain espace. Terras que vdo
‚beber ao mar, region qui s’&iend jusqu’&a la
mer
"Bestazs, 5. m. pl. festins ou l’on holt beau-
eoup.
Bässaı, s. f. espece de figue hätive.
Benenicem, 8. f. boisson, breuvage.
Bassetına,s. f.* fguier qui porte les bederas.
V, ce nom.
Beuzafrz, 5. m. "r&union pour boire, ralrat-
ß
Bazuzaniö, Oma, s. m. ou f. buveur, biberon :
gel alme & boire, qui bolt beaucoup ct long-
temps , qui boit sec.
Bassanäiz. V. Bebderrds.
Beuzarica. V. Beberricadör.
BeszanıciDo,A,p.p. de Beberricdr.
BzuganIcADOR , 3. m. celui qui buvote.
Benenatcin, v. a. buvoter, gobeloter, si-
roter: boire souvent et & pelits coups.
Bezznnonia, 3. f. ivrognerie; reunion d’i-
vrognes. Ribote :exc&s dans lebolre, debauche
proiongete.
Busipa, s. f. boisson, breuvage : liqueur &
koire, ce qu’on boit. Loge de bebldas, cafe:
lieu public od l’on prend toutes sories de li-
queurs fortss ou ralraichissantes.
Buaino , a, p. p. de Beber.
Becı, s. f. robe de magistrat, toge; robe
longse que portentles &eoliers descollöges, ete.
Anciennement o’&taient des bandeletles que por-
talent les ecciesisstiques comme une margue
de distinetion, et qui descendalent du cou
jusqu’aux piods. (#g.) Place, emploi d’un ma-
gistrat. Os becas,, m. pl. les gens de robe.
+ Becı , 3. f. petit verre de vin que les j&-
saites Gonnaltent & leurs novices convalescents.
TBecasönca , 5. f. (f. de bot.) becabunga ow
ı veronigue squalique; cresson & la
veche.
Bazmico , a, adj. (l. de med.) böchique om
pesteral va : bon pour la poitrine,, latouz,, et pour
Be&co, s. m. * ruelle: petite rue. — sem salda,
sul-de-sae.
Bauozinuo , s. m. dim. de B£co.
Bzpiue, s. m. fermoir : oulil d’arlisan pour
t Brvucin, 8. m. (t. de bot.) bedegar: &ponge
de l’öglanuier ; galle chevelue du rosier, causee
per un cynips.
Bent, s. m. bedeau :officier muni d’une
baguetie et charge de la police des &glises, des
universiläs.
BEI 195
Beotıno, 5. m. (4. dejeu) petit aloul; ar-
goulet.
+ Beveria, s. f. charge, emploi de bedcanu
dans une universit#, dans une &glise.
Beneuso, V. Badllio.
BEDENM, 8. m. manleau maure.
+ Beorinos, s. m. pl. Bedoulns : arabes du
dösert, sectaires d’All.
Beesta, Bersteino. V. Bisla, etc.
Beerafa.V. Beheiria.
T Be-ra-mı,, s.m. (1. de mus.) befa-sl : Lerme
de musique qui distingue le ton de si.
F Iaeräco, s. m. quadrupöde de somme
"Asie.
+ Becinpas, s. m. pl. begards : sectaires de
Begard, au 3° sidcle, parlisans d’une perfec-
von extröme qui permettait ensulte lous les
excäs,
Decvina , s.f. beguine: religieuse en Flandre,
V. Recolkida ; Bedia.
BECUINARIA , 8. [: *beguinage : couvent de
beguines. V, Recolkimento.
Becvino, A, s. beguin: nom de cerlains mol-
nes qui sulvaient, au 3« sidcle, la doctrine de
ard. V. Bedio.
Ri Becön, s. f. begun ou bögum :titre des
princesses de l’Indoustan.
t Beneuots, s. m. b&hemoth : animal dont
parle le livre de Job : l’hippopotame ou le rhi-
noceros; mammouth.
Bentu, s. m. (f.de bot.) behen,, beehen : nom
de plusieurs especes de plantes du Liban;; leur
racine. — branco, behen blanc du mont Liban.
_ ‚beben rouge : cucubale parrvi-
dore.
+ Beuerafı, s. f. population dent les habl-
tants staient libres, et pouvaient choisir qui ils
voulaient pour seigneur. (fig.) "D&sordre, cou-
fusion. (id.) Petaudiöre : maison sans ordre:
lieu o& cbacun veut @tre le maltre. — d’enire
parentes, ville qui avait ie drolt de choisir son
seigneur parmi certaines familles de l’endrolt.
— de mar a mar, ville qui avalt le droit de
choisir son seigneur, sans #tre assujettio & le
prendre dans une famille determine. Lugar
de —, ville, village oü l’on ne reconnalt polnt
de nobles.
Btı, s. m. bey : gouverneur d’une province,
d’une ville turque.
Beıca , s. f. (1. burl.) lippe, moue. Faser —,
ou cair a—, (fig. fam.) faire la lippe.
Beiciva, 8. f. (1. burl.) lövres grosses ei
trop avancees.
Bzicina,s.m. V. .
Beicınua, #. f. dim. de Beica.
Beicinno, s. m. dim. de
Brıco, s. m. *lövre: partie qui forme Fouver-
ture et le contour de la bouche. —, bord d’une
plaie. Levar ou trazer alguem pelo —, mener
quelqu’un par le bout du nez. Pör mel pelos
sa algyem, passer la plumepar mbecde quel-
quun. Morder os —s, se mordre les doigts, les
lövres : @tre fäch6 de ne pouvoir faire une
chose,, ou marguer du Fasseutiment, Fazer —,
196 BEL
faire la lippe. (4. de charp.) Faire saillie, d&-
border, en parlant de deux planches dont la
surface n’est pas de niveau.
° Beıcoirıo. V. Inventdrio.
+ Baıcöte, s. m. anneau que les Indiens
portaient & la lövre inferieure.
Beigöno, A, adj. qui a de grosses lövres.
Bzuiodo, A, p. p. de Beifdr, et adj. baise.
De mäo —a ou de beijado, gratuitement, sans
retribution.
BEIADOR, A, 8. balseur : celui qui se plalt &
haiser.
Bzuauiö, 8. m. nalse-main : cer&monie en
usage dans certaines cours.
Beuir, v. a. baiser : appliquer ses lövres ou
sa boucbe sur le visage, sur la main de quel-
qua’un, par amitid, par amour, par civilite, etc.
(Ag. fam.) Il se dit aussi de deux choses qui se
Wuchent. — com carinho, baiser on godinelte.
= scoorreis, venir A jube. — o aroute, (fig.)
Fecevoir une peine, un chäliment, avec resi-
gnation. — a mdo ou as mäos, baiser la main:
expression d’honndteis dont on se sert en par-
lant ou en &crivant & quelqu’un.
BEISÄR-SE, v. r. se baiser,, se donner des bai-
sers röciproquement. (fg. fam.) Se toucher, 36
joindre,
BEııinHo, 8. m. dım. de Beijo. (Ag.) La fleur,
le plus fin, la cr&öme. Beijinhos de freira, sorte
de plante grimpante.
B£uo, s. m. baiser : l’aclion de celui qui
baise. V. Osculo. — de Judas, baiser de Judas.
On appelle ainsi le baiser d’un traltre. Dar um
= ‚no jarro, (fam.) boire un coup.
Beisöca,, 8. f. (1. burl.) aug. de Beijo.
Bzuocivo,&A, 9. 2. de
Beuocir, vo. a. freg. (1. fam.) baisolter:
baiser souvent, sans cesso.
Beisoim, s. m. (4. de bot.) benjoin : gemma
aromalique, d’une espece d’alifoufler inflam-
mable.
Bensoqußıro, A, adj. (1. burl.) qui aime &
baisotier, tr&s-caressant.
Beisb, s.m. (4. du Bräsil) päte de tapioca
euite au four.
BeıLnd. V. Belkd.
B£ıra,s. /."bord : extr&mits d’une surface,
ce qui la termine; bordure. Rive, rivage. — de
telhddo, Yextremits des tuiles dans le toit,
avant-toit. Ndo ter leira nem — , ne posseder
rien. 4’ — de,äcötö de, pres. 4’— do rio, sur
la rive du fleuve, aupres de la riviere.
Beınamin, s. f. les cötes de la mer, bord de
la mer. 4’—, adv. sur le bord de la mer.
Bzırauin, adj. 2 gen. voisin de la mer, ma-
zitime.
BzınÄme,, s. m. *toile de coton des Indes.
Beınauinno, s. m. dim. de Beirdme.
Beınäö, s.m. V. Bairäo. It. Habitanı de la
province de Beira, en Portugal.
u BEıisan. V. Bear. '
"Beır,s.f. (t. de mar.) pont d’un vaisscau.
B£L, A, adj. V. Bello. A — prazer, avco
gtand plaisir, & souhait.
BEL
+ BELADANBOC, s.m. (8. de bot.) beladam-
boc:: liseron vivace de Malabar, & suc lsiteux
äcre.
BELDÄDE, 8. f. beaul£. V. Belldza.
BELDRO&CA, 8. f. (t.de bot.) "pourpier: plante
potagere, annuelle, rosacee,, rafraichissante,,
antiscorbutique.
+ Beızunita,s. f. (t. hist. nat.) belemnite ;
fossile calcaire.
Beioaos. V. Bredos.
BeLro, a, adj. lippu:: qui a la lövre d’en bas
trop grosse et irop avancee. Dente —, dent qui
n'est pas egale aux autres.
+ BeLca, adj. ers. 2 gen. Beige: homme om
femme de la Belgique.
+ Beicıco, A, s. et adj. Belgique : de la Bel-
gique. ,
Beınid. V. Bilhdo,
B£LHO, 8. m. pene : morceau de fer qui sort
d’une serrure et ferme une porte.
BELRö. V. Füho.
BELicH®, s. m. (l. de mar.) * cabane : pelit le-
gement sur un bateau ; cajute.
BeLina, s. f. taie de Ponil.
BzuinctLa. V. Beringela.
BeLis ou Beuız. V. Agüdo, Esperfo.
BeLLacissino, A, adj. sup. (1. de poes.) r&s-
guerrier, tres-brave.
BeıLanöna, s. f. (t. de bot.) belladone rul-
gaire. Yulgo, la belledame, le bouton noir,
plante. — das Antilhas, amaryllis &carlate; lis
du Mexique.
BeıLacänca, 8. f. Dom d’un oiseau d’Asie.
BELLAMENTE, adv. fort bien, superieure-
ment, excellemment, parfaitement, ä mer-
veille, joliment.
+ BeLLa-monacäö, s. m. (1. de bot.) beila-
modagam : arbre du Malabar, & feuilles diure-
tiques et emme&nagogues.
* BeLLiRtg, s. m. sorte d’ancien drap irös-
n.
BsıLataice, adj. f. (. de poes.) guerridre.
BELLECUIN , 3. m. exempt de police : recors,
sbire, archer, sergent.
BELLEGUINÄCO, 8. m. aug. de Belleguim.
* BELLEGUINS, s. ım. pl. pantoufles maures-
ques.
Beıutza, s. f. beaute. * Agröment. Amenite.
On le dit des personnes et des choses. ( Ag.)
Beaut, jeune merveille, en parlant d’une
femme. Dizer —ı ou fallar com —, dire de jo-
lies choses, parler avec gräce, aveo amönite.
— sem sondo,, beaute accomplie. Dar —, jeter
de P’agrement,
+ BeıL£zas, s. f. pl. des favoris : barbe pres
de l'oreille.
BELLICAMENTE, adv. d’une maniere belli-
queuse.
B£uLico, A, adj. belliqueux,, guerfrier, mar-
tial: qui appartient & la guerre.
BELLICOSAMENTE , adv. en brave, eh guuf-
rier. V. Bellicamente.
BeLLicosıssı80, A , adj, sup. de Bellicoso.
BEM
BeLLschs0, A, adj. beiliqueux, guerrier,
mariial.
BeLLIGERÄNTE, adj. 2 gen. belligerant : qui
est en guerre,qui la fait (peuple, puissance).
BzLuiceno, A, adj. (.de pods.) belliqueux,
guerrier, brave.
BELLIPOTENTE , adj. 2 gen. (l. de po&s.) puis-
sant & la guerre.
BaLuscino ‚A, 9. p. de Balliscdr.
BeLsıscapüna , s. f. V’action de pincer. * Pin-
gon : marque laissee sur la peau de celui qu’on
a pinee. Pelite egratignure.
BaıLsciö , s. m. aug. de Belliscadüra.
Bauzsıscir, ©. a. pincer: serrer et tordre la
superficie de la peau. (Ag.)— , saisir delicate-
ment. (id.) Manger peu : ne faire que toucher
aus mels.
BsıLisco, s. m. V. Belliscadüra.
BsıLisoxO,Aa,adj. (f. de poes.) relenlissant
du son des armes.
BeLLissımamMente, ade. sup. do Bellamente.
Beırissıno, A, adj. sup. de Bello. Bellis-
sime : tr&s-beau.
+ Bio, s.m. (1. de pods.) V. Guerra, Com-
dste. It. beau : tout ce qui est agreable, excel.
Jent dans son genre. — ideal (1. d’aris) , beau
idesl : les plus belies formes;; les formes di-
vines; (&g.) le plus haut degre& de perfection
morale ou Fimagination puisse atteindre.
B&£ıLo, A, adj. beau, bel, gentil, parfait, ac-
compli, qui a tout ce qu’il faut pour plaire.—,
agreable, quiade l’amenite.Commode ‚propre,
ben, conrenable, avantageux. — lempo , beau
iemps, un temps superbe.—dia, belle journee.
Querer, preiender alguma cousa por sus
elhos—e, pretendre A une chose sans y avoir le
meoindre droit.
BzıLöua, 3. f. (l. de myih.) Bellone : döesse
de la guerre. (fig. et podi.) La guerre.
BeiLos-nicos, s. m. pl. espece de gäteaux.
BaıLvulno, A, adj. bestial ; föroce. V. Ferino.
BzıL06so, A, adj. (4. de poes.) qui abonde
en bötes feroces.
Barıuiz, s. m. nombril.
Beımäz, adj. n’est employ6 que dans ceile
phrase: pregos beimazes, clous de cuivre..
+BzLomancia, s. f. belomancie: divination
per les fle&ches.
BaLora. V. Bolota.
BELYEDER ou
Aurvgape. Iv. Valverde.
Bearzunte, s. m. beiztbuth : le diable. ss.
(t. hist. nat.) —, singe de la famille des sa-
Pajous.
Btu, 3. m. bien:ce qui estbon, ulile, avan-
tsgenx , convenable.—, utilitö, avantage, profil.
Bienfait, gräce, service, bon oflice. Amour,
atachement. Tera—, daigner. Levar a—, ap-
prouver, donner son consentement. Homem de
— , honntte homme. Faxer—a alguem, rendre
service & quelqu’un. rer —a alguem ‚aimer
quelqu’an,, avoir de la bienveillance pour quel-
qu’un. Mou —, (express. de lendresse), mon
amour, ma chöre amie. Bens, pl. biens, ri-
BEM 197
chesses. — da fortüna, biens temporels, for-
tune, avoir. — de raiz ‚biens-fonds. — moveis,
biens-meubles. Contar ou dizer mil —, dire
beaucoup de bien. Nadar em —, nager dans
V’opulence. Bens de sacristdo canlando vom
canlando vdo. V. Saeristäo.
B£u, adv. bien : comme il faut. Bien. Il sert
ä marquer un certain degr6 de perfection, un
certain &tat heureux et avantageux dans la
chose dont il s’agit. Honnetement.—,aveo plai-
sir, de bon caur, volontiers. Tres, beaucoup,
fort, extremement. —, fort bien, oui.—, cer-
tainement, assurement. Bem,—,c’est bon, c’est
bon. —que, bien que, encore que, quoique.
Näo —, & peine. — mais, beaucoup plus, bien
davantage. E—PEh bien? E— he bien! Ora
—, h6 bien. Bem.assim. V. Assim lambem. Aco-
Iher, recober —, agreer. Estd —, c'est bien,
c’est bon. — pouco, assez peu. Ainda —, äla
bonne heure.
BEMACONDIGOADO, A, adj. de bonne cor
tion; fertile, en parlant d’un terrain.
BEMAFORTUNADAUMRNTE. V. Felizmeönte.
BEMAFORTUNADO, A, 9. 2.de
BEMAFORTUNÄR, dv. a. rendre heureux.
Bemauino ,A,adj. bien-aim6 : qui est cherl,
aime de preförence & tout autrc.
* BEMANDANGA. V. Venfüra.
BEMAVENTURÄDAMENTE, adv. houreusement,
avec bonheur, & souhait.
BEMAVERTURÄDO, A, P. P. do Bemavenlurdr.
adj. bien heureux, fort heureux, extrömemene
heureux ; prospere. Benin.
BEMAYENTURÄDO, s.m. bienheureux : celuı qui
jouit de la beatitude &ternelle.
"BEMAVENTURÄNGA, &. f. beatitude, felicite,
gloire eternelle. * Bonheur, prosperite. As—$,
»l. les huit beatitudes Evangeliques.
BEMAVENTURÄR, v.G. rendre leureux, biew-
heureux.
-+ Bemsäze, s. m. (f. d’hist. nat.) bembdou-t
insecte hymenoptere.
* BEMCHEQUERO (mof compose), Je le YOy,
du bien.
° Beupäno. V. Affavel, LhAno.
BENDITISSIMO, A, sup. de
BENDITO, A, adj. beni, benit. p. p. de Bem-
dizer.— seja Deos, Dieu merci; que Dieu soit
beni. A—a alma, l’äme bienheureuse.
+ Beupito, s. m. motet que chantent les
catholiques quand ils accompagnent le saint
sacrement en viatique, es lorsqu’on le ren-
ferme. ,
BEuDıT6S0. V. Felız.
BENDIZENTE, adj. 2 gen. qui dit du bien, qui
fait de bons recits de quelqu’un. p.a. de
Beupiz£r, v.a. benir; louer, exalter.
+ Beuestäir, s. m. bien-@ire.
'BeuraztI0, A, ads. bienfaisant, qui
BEMFAZENTE, adj. 2 gen. fait du bien,
portö A rendre service, obligeant.
Beumraz£rn, ©. ". faire du bien, obliger, ser-
vir, rendre service, ou faire plaisir. Por bem
fazer mal haver, (loc. prev.) faites du bien,
198
« vONS SEuEE Wujsus mel nissmpunnd: =!
faisaat da bien om fait des Ingsa0E.
Bempazin, sm.
“Bewer ‚om. | T. Bunsfeis.
Bumrerröe , s. m. biesfziteee.
Beusurstas , 8. f.
Gamserrosis,
Baurersenszise,, 21,9... de
Beurerronzin, e. =. amiherer, benuilber.
*"Buwceinsa. 7. Vi
Beuusgeizss, 8. m. /t. de bet.) ” margueriäe
Brande ; grande piqnerene, ei-de-bunf, ari- 2
Feesscise ‚A,0dj. |) bien nd, diliestre
Bausino,, a, adj. naiısante.
Bewör, s.m. (1. de mus.‘ bemei (petit dB}:
earaciire de musigue qui abaimse ia nein Fun
demi-ien
BeuoL ano,
BauoL ar, ete. | V. 4bem._., eic.
Baupanzcieo. V. Forms.
Bzur6östo, a, adj. bien Leit, qui a une benne
eurnure.
Bamgez, conj. bien que, oncore que, qusique.
Bawcreatsca, 5. f. bienveillanee. V. Amer,
Cerinko.
Beuorsnturs, af. 2 gen. 7. Benteeis,
Affeissade.
orsate, v.a. aveir de Famitid, de Yaf-
fection poer queiqu'un, ini venleir da
Beuguzain, s. m. *kienveillanee
“ BENOUERIAS, 5. m. pl. V. Ameres.
Beuoristipo, a, 9.p. de
Bengcistan, ©. 6. metire dans les bemnes
gräces , (aire regarder avechienveillance. Coa-
eilier, faire la psiz.
BENGCISTAR-SE ‚u. r.gagner la bienveillance.
Beugristo, a, adf. bien-voulu, bien-aime,
estime de tout le monde. — com elguem, qui
est dans les bonnes gräces de queiqu’un. Ser
ou estar — com o rei, &tre fort bien aupres du
roi.
Bausunipo, a, adj. komme intelligent et
sage, qui fait bon ussge de son saveir.
Beusolute ‚adj. 2 gen. qui sonne bien, m6-
lodieux, harmonieux. ( Ag.) Qui se conforme &
la raison (proposition, ete.).
BEuteRE, s.m. (1. des Br&s.) nomd’an olseau
de la grandeur de Petournean.
Beuvinpa, p. us. V.
Beuvindo, A, adj. bienvremu : ; qui est arrive
heureusement; "bien rega.
Beuvista, 8. f. * Jugement prudent, jadi-
cieux ; avis bon et
Keuvisto, a,0d. bien vu; bien-voula.
+Bün,s. m. V. Behe
Bancio, ef. bönsdkaion : Vaction de benir;
paroles pour benir; gräce, faveur du ciel.—da
nesa, bensdiclts. Filhe ou fructo de—, enfanı
Wgltiime. Benpäoe , pl. bensdiction noptiale.
Banoa, Benpir, etc. V. Vend..., ete.
Freie nu. (1.@’ Asie) gauverneur d’une
v er Ase
Bye... 12 Beugbs.
tIrswemsine, s. m. bemedietionnzire ı
sure der’ise qui eantirnt les benedielion.s.
Basac,2ın „ete. 7.
kKenfzuriee. |
5. f. "keemlait serviee, ben ef- Bevezen,. ete. V. Bradiur et
re. Amikisrztien d une proprieie rurale, be !
miieziien.
Basanıcrrg , expr. kat. par laquelle ler veii-
siexz drmemdess une permission & lcars supe-
neurs_
Basnnitra. 5. f. t. de pharım. me.) bind-
dcte : electz.zire pargatif deux.
Baysapeerive, a, ech. bentdistin : reli-
Basırain, ve. a bien faire, faire du bien.
‚faire valeir une lerre, une
mine. Conferer un bindäce us.
tBzssırıaino, s.m. (1. de prai.) lenda-
taire, osmcessiomnaire : celui qui possöde un
bien en fiel, vu par osncession du seigneur.
Berdeiro —, hMritier par bentfiee d’inven-
taire.
Bzuzricıo, s. m. bienlait, bien, obligation.
Bentfice : pririlöge, droit, avantage accorde
par la loi ou par le souverain. "Culture, ezplol-
tstion : Paction d’erploiter des mines, de culti-
ver des terres. Bendßiee, utilite, prodi, provenu,
gain. A—, au moyen de. A-— des pobres, au
proßt des pauvres. — erslesiastice, benkiice :
titre ei revenu ecclesiasliique. — ourado au com
cura d’almas, benefice a charge d’ämes. -— da
natureza, benefice de nature : &dvacuatien ex-
traordinaire,, favorable. — do venire, dracus-
tion sivine. — do inoentdrio,, benefies d’inven-
taire. Nöo ter ofleio nem — ,, n’avoir ni olfice
ni benefice.
Bsnerx:080, A, adj. utile, bon, avantageux.
Banerico, a, adj. bienfaisant : qui fait du bien,
qui aime & faire du bien ; obligeant ; liberal.
"Benzuerkncıa, s. f. ° merile; service,
BENEn£aıTO, A, adj. digne, meritant. Ser —
da pairia, do prineipe, eio., möriter bien de
la patrie, du prince, etc.
BEenEPrLÄcıTO, 8.0. agrement, consenlement,
permission , bon plaisir, approbation.
Bansguz 3. m. sorie d’aneienne diolfe.
PER Fe SER re Er Te 3
PRFEEE?” VE? Tre GE DE Gr" ee" VE
Baufzss , s. m. &snolaments des cur6s ei des
viesires ; casuel ; don gratuit, offrande.
BenzvoLauturg, adv. aveo- bienveillance ;
de bonne volonis, de bon caur.
BanzvoLtncu,s.f. bienveillance : disposition
laverable envers quelqu’un ; bonne volonte.
Baztvoro, a, adj. blenveillant: Fi veut du
bien & quelqwun. (Ag.) Benin, affable, bien
ärs, 8. m. (t. de geogr.) * Bengale
royaume dans les Indes. is. Mousseline de co-
ion de Bengale. it. Badine, canne mince et
legtre.—d’estoquie, canne & dpse.
tr Bawcaıkına, 8. f. ( . de bot.) * balisier de
Yinde; eulgo canne de l’Inde, ou baroulou.
BescaLtıno, s.m.celui quivond des cannes,
des teile de Bengale.
BauscaLiuna , s.f. dim.de Bengdla. it. ° Ben-
gali : petit pinson d’Asie et d’Amerique.
Baucz ow Besencı. V. Bange.
+Bencını ,s. m. (6. de bot.) bengiri : arbre
du Malabar, de la famille des euphorblactes.
Bunccarapa. V. Vanguarda.
Beucotııa, 8. f. (1. de geogr.) Benguela:
royaume, et ville d’Afrique.
Benıcnamtnte, adv. benignement, debon-
nairement, avec benignile, avec bonte.
Beuıcnmäpe, s. f. benignite, bonte, indul-
gence, bumanit£. ( fig.) Douceur de l'air, du
temps, de la saison.
Besickissino,, A, adj. sup. de
Beniguo, A, adj. benin, alfable, Ikumain,
douz. (Ag.) Doux, temper6, en parlant de Pair,
du iemps, de la saison.
+ Bexıssa, s. f. (8. de bof.)*euphorbe de
YInde.
BENIVOLENCHA „6. f.
BesivoLo,A, Pe IV. Benev... ‚etc.
TBemasin, s. m. (fig.) Benjamin : enlant
pesiere, le cadet.
ozlro, et 2.
Bawıoin, &. m. | V. Bejoim.
+Beuuotnsa, s.m. (4. de bof.) benmoenja:
arbte du Malabar.
Bens, s. m. pl. de Bem. V.ce nom.
Bassiıno. V. Venceiho.
f Bext£auz, s. m. (1. de bot.) bentäque: ar-
hre toujours vert du Malabar.
Bastinno ‚s. m. scapulaire : morceau d’etoffe
benlie,
Btxzo, A, adj. benit: qui a eie beni; consa-
ert aa eulte religieux. Benedictin: moine de
Salat-Benott.
Bexruntına, 3. f. femme qui prötend guärir
des maladies avec des pridres el autres prali-
. superstitieuses.
ERZEDEIRO, eb
Benzzoon, s. m. IV. le pröckdent.
Benzendaa, s. f. formule superstitieuse des
Benzedtiras. V. ce nom.
Banztn,, v. a. benir: eonsacrer au culte avec
des etremonies; donner la bentdiction. V.
Abendipser
Banısa-sB, v. r. faire lo sigue de la croix.
BER 199
_ dealguem ‚(loe. fam.) avoir en horreur quel-
qu’un.
Benzioo, a,p. p. de Benzer. V. Bönto.
Benzıu&nTo, s. m. Paction de benir.
+ Benzoitg, s. m. (1. de chim.) benzoate ;
sel form& par !’union d’acide benzoigue aveo
differentes substances.
+ Benzöico, adj. m. ( Acido —, 1. de chim.)
benzoique (acide), tir6 du benjoin, du siorax,
du baume du Pe&rou.
B£ouväono,s. m. (f.de mus.) becarre : carac-
töre carr6, qui retablit dans son ton naturel
une note hauss6de ou baissee d’un demi-ton.
B£qus, s. m. (8. de mar.) colti, collic : re-
tranchement au bout du chäteau d’avant; bec,
poulaine, &peron.
* Beneid. V. Rifäo.
BERBEOCIM, &. m. vilebrequin : outll pour
percer,, lrouer.
Bzaseria,s.f.(f.degdog.)Barbarie:: vastecon-
tr&e de !’Afrique septentrionale. It. V. Barbarie,.
Benpeniz, s. m. (4. de bot.) &pine-vinelie,
vinetier (erepinidre).
Bensenisco. V. Barbarisco.
BErBiM, s. m. nom qu’on donnalt ancienne-
ment & une sorte de drap ; sa marque , qui &tait
nB.
Bercäpa,s. f. coup de bergo,, ancienne pidce
d’artillerie.
Beaco, s. m. berceau : lit mobile d’enfant ä
la mamelle. (lg.) °Enfance, bas-Age; patrie,
pays natal. Berceau : conımencement d’une
chose , lieu od elle a commence. — da aurora,
Porient. —do rio,, source d’une riviere. Conhe-
cer alquem desds o —, connaltre quelqu’un
des sa plus tendre enfance. (If. d’artil.) anclen
canon court. (t. de jard.)— ,voüte en treillage,
voüte en plein cintre.
Benzutne,s.m. (l.d’Asie) paralysie bätarde,
rhumatisme chronique.
BEREBERES ou BERBERES , 5. m. pl. habltants
de Barbarie.
Bercauöra, V. Vergamdla.
Bercante. V. Bargante.
Bercantim, s. m. brigantin, brick, sorte de
vaisseau & deux mäls,
BercentiL. V. Bretangil.
BeriLLo. V. Beryilo.
Benmckua, s. f. ( 6. de bot.) melongäne : me-
rangene, malenue, aubergine, berengene, vie-
dase.
Bensacörz, s. m, V. Boroajöte.
NSERLENGÖCHE, s. m. (#. burl.) homme du
ord.
Bernina ow Berriuna , 8. f. berline : sorte de
voiture. *Berlingot.
+ BeaLiquzs, 8. m. escamoleur; Imposleur,
Artes de — oe berloques, (phr. burl.) tour de
ass0-passo, escamolage. Por artes de —
loques, ( fam.) par la vortu de la poudre &
perlimpimpin.
BenLöQuss. V. Berliguss.
Beaua, e. f. (1. de fort.) berme, relais : che-
min entre lo pied du rempart et le fosse.
900 BES
Branica ou Bernicha, s. f. bernache : oie
des mers du Nord.
+ Bennicıa, s. f. (l. d’hist. nat.) bernacle::
eoquillage de cing piöces.
Bernß ow Beanto, s.m. drap fin &carlate.
v4. Manteau long et grossier ; couverture de lit.
Bennicna. V.B
. Bernaca.
+ Banoz,s. f. (t. d’hist. nal.) "berod: ver
marin, radiaire.
Be£RRA, 8. f. "rut: le temps oü les be£tes
fauves sont en chaleur. Andar na —, @irc en
rut. (Ag.) Eire en voguc.
BearäDo,A,P.7: de Berrar.
BernninpörR, A,s. qui beugle. ( fg.) Qui jette
les hauts cris,
BerrÄn,v.n. mugir, beugler, en parlanı de
veaux el d’autres animaux ; raire, r&er ou raler,
en parlant des cerfs. (Ag.) Jetor de hauts cris.
Benngcär, v.8. freg. beugler, reer souvent.
Bean£ıno,s. m. les cris redoublis d’un en-
fant qui pleure; hurlement, cri lamentable.
BERRO, 5. m. mugissement, beuglemenf, en
parlant des veaux et de quelques autres ani-
maux. (fg.) Cri &pouvantable.
Bünsa. V. Versa.
Bentancıı. V, Breiangil. .
TBERTNOLLETIA, 8. f. (4. de dot.) bertholletie:
grand ärbre du Bresil.
Benrotsa. V. Brototja.
Beavza. V. Valvirde.
BeavL.o, s. m. beril : algue-marine : pierre
precieuse,
+ Besantino, a, adj. (Escudo —, t. de blas.)
besante (6cu), charge debesants.
Besanız, s.m. besant : monnaio d’or an-
cienne de l’empire grec;; monnaie d’or ou d’ar-
gent. (t. de bias.) V. Arroela.
Bess&Lno, s. m. (1. bas) cul, l’anus.
Besazı.gortina. V. Bisbilholeira.
Besoiarrtıco. V. Bezodriico. -
Besöuro,s.m. V. Escaraveiho.
Besra, 8. f. gu@pe
jaune, hymenoptere, pierodiple.
Besriö, s.m. augm. de Bespa, [relon.
f Basr£ıno, s. m. guepier : nid, gäteau de
gu6pes.
Bssrinna, s. f. dim. do Bespa.
B£srona. V. Vespora.
Bista, s.f. bete, animal brute,, quadrupede.
Gr&o-besta. V. Alce. ( ig.) Animal, bete, Ane,
lourdaud, stupide. — mudr, mule, mulet. — de
sella, mule, cheval, jument. —de corga, beie
de somıne,, sommier. —de roda, bete ämuulin.
Besta,s. f. (1. de mil. anc.) arbaldte : arme
de trait; arc d’acier monte sur un füt.
BestaLniö, V, Bestarräo.
* Bestarn ou BestEArR. V. Asnear.
Bestania, V. Besteria.
Bestanniö, s. m. augm. de Bisla, grande
b#ite ; bestiasse.
Besteıira, adj. f. Herca—. V. Helleboro.
Besteiro, s.m. arbaletrier : soldat qui tirait
de V'arbalete. Celui dont le melier est de faire
des arbalties,
: mouche carnassiere ,
BET
Bestenia, s. f. compagnie d’arbalätriers;
exercice d’arbalete.
BestıÄL, adj. 2 gen. brutal, bestial. V. Irra-
eional..
BesTiaLivände, s. f. bestialite. V. Brulslidade,
Irracionabilidade. (fig-) Stupidite; brutalite.
BESTIALMENTE, adv. betement, bestialement,
} BEsTIÄmE, s. m. assemblage de sommiers,
Bestıä0,. V. Bastido.
f Bestiägs, s. m. pl. bas-reliel representant
des animaux.
BestiÄrıo, s. m. bestiaire : gladiateur qui
eombattlait contre les betes dans le eiryue, &
Rome.
BESTIDÄDE, 8. f. b#tise, stupidile.
BestiLua, s. f. dim. de Bösta.
Bestinga, s.f.dim. de B4sla, bestiole, pelite
monture.,
BesrıöLa. V. Besiinha.
BEsTÜNTO, 8. m. (8. pop. ei burl.) esprit
borne.
Bzsüco. V. Vesögo. .
BesuntiDo, A, 9.p. de
Besuntar, v.G. oindre, [rotter, enduire de
graisse, graisser.
Berti, s. f. veine, fiion (dans les mines);
raie. V. Lisira.
Bera,s. f. nom du B dans l’alphabet grec.
BErinpo,A, p.p. de
Berin. V. Listrar, Malizar.
Berannisa,s. f. (1. de bot.) beiierave : beite
ägrosses racines de rave,bisannuelle, Apetale;
on en tire du sucre.
BerTeL,s. m. (1.de bot.) arec de l’Inde.
BE£Ten ow Bataz, V. le suivant.
7 BertLe, s. m. betel : espdce de poivre des
ndes.
Bertsca,, s. f. ruelle, cul-de-sac ; bouchom,,
cabaret ; corridor noir.
Berner. V. Bild.
}Beraremita, s. 2 gem. de Beihldem, en
Judee. Bethlöemite : religieux qui sert les ma-
lades aux Canaries.
f BernLeuirico, A, adj. qui appartient & la
ville de Bethidem.
B£Tico, a, adj. Betique : de la Betique ( An-
dalousie).
BETILRO, s. m. morceau de corde ou de fi:
museliere. V. Barbilko.
Berönıca, s. f. (1. de bot.) betoine : planıe
medicinale. ,
BerriL, s. m. lieu plants de betel.
f BeruLa ow B£toLLa, 8. f. (1. de bot.) *bou-
leau, bouleau commun. "Bouillard, bois blanc,
arbre de la sagesse, sceptre des maitres d’ecole.
t BeruLa nasTanna. V. Carpe.
+ BeruLo, s. m. betyle : pierre employse &
faire des idoles, auxquelies on attribuait des
vertus merveilleuses.
BEruuino,A,p. 9. de
Berumin, v.a. bituminer : enduire de bi-
tume.
BETÜNE,, s. m. bitume : matiere liquide,
$paisse, noire, huileuse, inflammable, qui se
u .. _ a _- an
BIB
trouve dans le sein de la terre ; limon gras,
sısqeeux,, adherent. Mastic de fonlainier. — de
Judea , aspbalte : sorte de bitume solide.
Bzrowısöso, A, adj. bitumineux : du bitume,
qui en eonlient, qui a ses qualiles,
+ Beun& , s. m. sorte de vin d’Aragon en Es-
PegnEe.
Bevsniceu. V. Beberagem.
Bexino. V. Bichdno.
Baxica, 5. f. vessie : sa6 membraneux qui,
regoit VYurine. Vesicule da fiel. Vessie : petite
ampoule sur la peau, &levure. Bexigas, pi.
pelite verole : maladie qui couvre la peau de
pustules. — doudas, varicelle. Nadar sem —s,
( Ag.) nager sans nageoires.
Bexıcöso, a, adj. grare, gröld, margus de
ka petite verole.
Bzxıcctnro, A, adj. qui a la petite verole.
WV. 9680.
+ Baxüco,,s. m. (t. de bot.) bexugo : racine
da Perou ; elle purge.
Ber. V. Bei.
Beraute. V. Besonte.
Baxkanı, e. f. genisse : jeune vache qui n’a
pas .
Bezzaninna , s. f. dim. de Bezerra, genisse
de lait.
Bzzzaninno ‚3. m. dim. de
Beıtano,s. m. veau : le pelit de la vache
qui a & peine un an. On l’appelle aussi anndjo.
V. ce mot. Veau : peau lannde d’un jeune veau.
P6de — , mufflier, muffie de veau : plante.
t Bzızstas, s, m. bezestan : march6 public
en Tarquie.
Beıoar ,s. m. bezoar. V. Bazar (pedra).
Bezoianıco ou bezosrdiqueowbezoar-
Bezoiatıco, A, adj. ) lique : du bezoard.
Bemedio —, remeöde bezoardique; cordiale,
alexitere.
+} Bıssr, s. m. (8. de bot.) bibby : palmier
d’Amerigue ä bois noir, fruit huileux.
Bing, V. Abibe.
Bınzzigoe. V. Berbequim.
T Bınıöa , s. f. (t. d’kist. nat.) "bibion : genre
d’insectes dipteres de la famille des sarco-
Bisuıa, 5. f. bible:: livre qui comprend l’an-
cien et le nouveau Testament, — sacra,, l’Ecri-
kure sainle.
f Basusitaıca, s. f. biblietrique : art de res-
taurer les livres.
Biausco, a , adj. biblique : qui appartient &
bible. Soeiedade —a, sociöt& biblique : qui
publie ics bibles dans toutes les langues con-
Bues.
+ BiıaLıoczostia, s. f. bibliognostie : science
des livres.
Bısusocaarmıa , 8. f. bibliographie : science
du bibliographe.
Bauen aico „A, adj. bibliographique ;
de la bibliographie.
Binuıöcaarno , s. . bibliographe : qui con-
nalt les livres, leur prix et leurs &dilions, ei
forma des catalogues,
BIG 201
+ BıpLioL.ätua, 8. m. et adj. bibliolathe : qui
posscde beaucoup de livres sans les connaltre.
t BisLioLitass, 5. f. pl. bibliolithes : pierres
lamelleuses qui porient l’empreinte de feuilles;
incrustations sur dos feuilles.
t BısLiowancia , s. f. bibliomancie : dirina-
tion par labible, par un livre.
BipLiowania, s. /. bibliomanie : manie, pas-
sion excessive des livres , de les entasser.
BipLioMariaco,, #. m. bibliomane : qui a la
passion des livres, qui les entasse,
f BinLiomäntico, a, 8. bibliomancien : qui
predit par les livres.
t Bipuıomäpra, s. m. bibliomappe : livre
compos6 de cartes geographiques, accompagne
d’un texte explicatif.
1 t BıpLior£a,, s. f. bibliopee : art de faire un
irre.
BipuörgıLo, s. m. bibliophile : celui qui
aime les livres.
BıpLiöroLa, s. m. bibliopole : marchand de
livres.
t BiısLiörarno, s. m. bibliotaphe : quı ne
communique pas ses livres rares.
BisLiotu£ca , s. f. bibliothögue : lieu ou il y
a beaucoup de livres en ordre. —, compilation
d’ouvrages de m@&me nature, recueil des au-
teurs d’une nation. — viva, (fig.) bibliotheque
vivante : homme tr&s-savant.
BisLiorazcäinıo , s. m. bibliothecaire : garde
d’une bibliothdque,, qui en a soin.
}BinListas, s. m. pi. biblistes : höreliques
qui n’admeitent que le texte pur de la bible.
} Biariocuiamncia, s. f. bibliuguiancie : art
de restaurer lcs livres gätös, endommages.
+Biso, s. m. (f. d’Asie) anacarde : före de
Malaque.
Bisona. V. Vibore.
BisuLo, A ,adj. qui boit (papier, etc.).
Bica, s. /. *tuyau de fontaine. Estar d —, at-
tendre son tour & la fontaine, en parlant d’un
porteur d’eau.(Ag.) Eireä la veille, sur le point
d’obtenir quelque chose. Sangue, suor m —,
sang, sueur ruisselante.
Bica ,s. f. (6. d’Mst. nat.) bica : poissen de
la cöte de Biscaye et de Portugal, du genre du
Pickcano. V. Recdeko.
Bıcipa , s. f. le pied d’une montagne, eic. it,
Coup de bec des oiseaux;; la portion de duves
ou d’autre matiere qu’ils portent dans leurs
becs pour faire leurs nids.
BıciL, adj. 2 gen. qui a uno protubärance
pointue; aigre-doux (fruit).
BıcaLADO, 3. m. espece d’oiseau aqualique.
+ Bıcangipo, s. m. (1. d’hist. nal.) centris-
que : poisson branchiostege. — ordinario, he-
cassc ordinaire. — coberlddo, becasse bouclee.
+ BıcarsuLir, adj. (4. de bof.) bicapsulaire :
& deux capsules (pöricarpe—).
Biga ,s. f. (£. d’Asis) polds asiatique de deux
livres et demie.
+ BiceıLurie , adj. 2 gen. (l. de bot.) qui a
deus cellules.
203 BIC
+ Bıcars ou Bıc#rso, s. m. (4. d’anat.) bi-
ceps : muscle ä deux branches,, ä deux tötes.
Bicna, s. f. sangsue; couleuvre. (fg.) Cou-
leuvre artilicielle. Bicha d’agua, bydre : serpent
d’cau douce. —de sells cabepas , hydre, serpent
fabuleuz & sopt Iölos renalssantos. Hervada-,
V. Aristolöchta.
+ Bıcuacap£ııa, 8, f. (1. d’hist. nal.) perce-
oreille, forbicine, oreiliöre, furlicule, hemi-
re daugereux dans FPoreille. L’'huile d’olive
’y fait perir.
+ Bicnägo ‚a. m. aug. de Bicho. (fig.) Homme
tr&s-riche, tr&s-savant ou Irds-Äin. V. Astato.
Bıcnäncaos, s. m. pl. (£.burl.) * minauderies:
mines, facons , manidres exterieures ot afleo-
tees pour plaire.
Bıcuäno, s. m, jeune chat.
Bıcnaria, s. f. vermine; multitude de vers.
(Ag-) Multitude.
BicuaR0öcO, 3. m. gros ver : animal degoü-
kant.
+ Bıcatıno,, s.m. (t. de mar.) *gaffe : perche
arınde d’un oroc , halle-croe. i4. Grande multi-
tude de vers. V. Bicharia.
Bıcukıao, A, adj. minutieux : qui s’occupe
de bagatelies, de niaisories.
Bıcainno, s. m. dim. de Bicho.
Bicno , s. m. insecte, ver ; vermine ; bestiole;
bete feroce. — da coxinks, marmiton : bas va-
lot de cuisine. — do maio, (fg.) farouche , in-
sociable; misentrope. O0 — homem, (fam.)
l’homme consider6 comme animal mechant.
Todo coberio, cheio de —s, fervendo em —s,
tout grouillant de vers, do vermine. Casa dos
—s, menagerie.
+ Bicno-DE-CONTA, 5. m. (8. d’hist. nal.) clo-
porte : insecte aptere , polygnathe, annele, se
roulant en boule. (fig.) Homme rus6.
+ Bicuo-vznconn6s0, 5. m. (1. d’hist. nal.)
pangolin : quadrupdde vivipare, fourmilier
tcailleur.
Bıcnöca , s. f. (8. pop.) petit luroncle.
Bıcw0s0, A, adj. plein de vers; vermoulu.
Bicıa. V. Biza.
Bıclerra , adj. 2 gem. (. de pods.) qui a deux
wsles
&a lolseau, compos# de deux mandibules de
c0rn#; points; bout. Beo d’une siguiäre, d’un
alambic. (Ag.) bec de plume, pointe de cha-
poau ‚oto. (id.) bouchede l’homme.—do peito,
mamelon.— dacandsis ou candisiro, lamperon.
—dasmo, bes d’Ane: outil de menuisier,dechar-
peutier, etc.,pour faire des mortaises ; burin &
deux biseaux.—dando,beo d’un vaisseaa.- do
ps, do dede, bout du pied, du doigt. Calar o
—, fermer la bouche, garder le silence, Meier
cousa #0 — a alguem, (fg. fam.) com-
muniquer un secret & quelqu’un. Pessoa de —
revollo „ personne orgueilleuse „ insolente.
Ander noo—ı dos p6s, marcher sur la pointe
du pied. Pör-se nos—e dus pes, (fg.) regim-
ber, &tre röcalcitrant, se levor Sur Bes ergots,
monter sur ses ergots. Chapdo de Irds—s cha-
peau Atsois oornas. Bicos , pl. latıgueties tail-
i6es en forme de petite langue, au bord d’une
tolle, ou #tofle. ( Ag.) V. Pontinkos. Bico-
de-Cegonka, (1. de bot.) g6ranion, gersine, bee
de cigogne. — de grow, beo de grue. — de
pombe,, boc de pigeon.
+ Bıcocrossöoo, s. m. (f. d’hist. nal.) gros-
bec : genre d’oiscaux de la famille des grani-
vores.
BıcoLör, adj. 2 gen. de deux couleurs.
+ Bıconsucivas, adj. f. pl.(i. de bot.) bicon-
juguees, (feuilles) dont le p£tiole oommun se
Tino en deux rameauz obarges de deux [o-
oles.
Bıcönna. V. Bigornas.
Bıcöaus, adj. 2 gen. (l. de pods.) bicorne :
ui a deux cornes, deux bras, deux pointes om
enis, (4.de bot.) V. Bigorme.
Bıcörnzo, a, adj. V. Bicörne. Argumenic—,
dilemme.
BıconnicEro, A , adj. (1. de pods.) qui a deuz
cornes.
Bıcöpa, s. f. sorte de poissen du Brasil.
+ Bıcöno, s.m. nom d’un olsesu (gros-bec)
du Bresil.
Bicipo, A, adj. qui a un bes pointu ; pointu.
Bıcufva, s. f. noix huileuse du Bresil.
Bicufvtıra, s. f. arbre qui donne la dicwiva.
V. oe mot.
+ Bıchseme,, adj. 2 gen. qui a deux pointes.
(t. de bot.) Bicuspidee, (feuille) fendue au
sommet et terminde par deux pointes,
f Bın&nte, s. m. (1. de pods.) hoyau, houe :
instrument & deux fourches propre & fouir la
terre.
TBıntıteo, a ,odj.(t.de bot.) bidente (calice)
dont le bord a deux denis.
+ Bipt-sinı, s. m. (l. d’kist. nat.) bidi-bidi »
petit rat d’Amerique.
Binuo, A, s. m. deux jours, l'espace de deux
jours.
BıennäL, adj. 2 gen.biennal : qui dure deux
ans. ($. de bot.) Bienne, bisennuel.
Bı@nnıo, 8. m. espace de deux ans.
+ Bırärıo , A, adj. double.
+Bırz, s. m. bifsteck : tranche de baul
Bico, s. m. bec : membre qui sert de bouche | grill6e
Bırenofvo, a ‚adj. fendu en deux.
+ Birzno, a, adj. qui porie deux fois l’an.
*Birsa,, s. f. ancienne dluffe de laine.
Birıvo, A, adj. (t. de bot.) bilde : decoupe
profondement en deux (feuille—).
t BırLöa0, A, 0dj. (1. de bot.) biflore:: (lige—)
gel ports deux fleurs, ou des fleurs deuı &
eux.
BıroLco, e.m. V. Lavrador.
+ BıroLiino ow BıröLıo, A, adj. (8. de bot.)
qui a deux feuilles.
Bıröanne,adj. 2 gen. biforme: de deux formes,
Biraonte ‚adj. 2 gen. quia deux faces, deux
visages.
+ Bıronino, A, edj. quia deux trous,
Bıruncacäd, s. f. (f. d’anet. et bot.) bifurca-
tion : division en deux branohes,
BIL
Buruncino, A, adj. (i. de ber.) bilurqus : qui
se dirise en fourche. p. p. de
fBırcacia-se, e. r. se bilurquer : se diviser
ea deux, en fourche.
Bica, s. u. (f. de pods,) bige : char altelö do
deux chevauz de front,
Bıcauia, 6. f. bigamie ı mariege avec deux
personnes en tm&me lemps ; Clat du bigame,.
Bicamo, s. m, bigame : marlö & deux per-
sonnes en m&me temps ow deux fois; qui a
eP0US6 UNE Teuve,.
Bıcarim. V. Mariöla.
T Bıctuzus ow Bıckumas, ad/. f. pl. (lolbas
—, 1. de bot.) bigdmindes, (feuilles) dont le p&-
tiole soutient deux [olioles.
+ Bıckurro, A, adj. engendr& deux fois.
f Bıcıe, s. m. bigle : chien de chasse anglais
pour le lidvre et lo lapin.
Bıcönz, 3. m. " moustache : barbe qu’on laisse
su-dessus de In l&vre supcrieure. (4. Nom d’un
jeu de cartes. Homem de—s, celui quia de la
fermett, da caraciere. Ter bons—s,ilse dit
une femme qui estbien, qui est jolie.
Brcopeino, A,p.p. de
Bropzir, v. a. (1. fam.) semoquer de quel-
qu’sn. Tromper, jouer.
Becoptına,, 3. f. sorte de pelite bourse & en-
fermer les moustaches. *Strapontin de voiture.
Becöana, 5. f. enolume, bigorne : masse de
fer sar laquelle on bat les metaux.
T Bucbanz, adj. 2 gen. (#. de bot.) bicornu :
varoi de deuz comes.
+ Bıoönnzs, adj. pl. ( Aniheras —, 1. de bot.)
biesrnes, (antheres) A deux pointes.
Bıcoaaiıma, s. m. (f. buri.) homme de rien;
peutse , gredin.
Bıchras, s. f. pl. (1. de mar.) "bigots : bois
trou£ pour passer les cordages ;cap de mouton.
— ferradas , cap de mouton ferre.
Bioörz, s. m. bigot. V. Bedio.
Bıcnrzais, s. f. higoterie ; fausse plötd; hypo-
erisie
Becorisuo,, s. m. bigotlisme : caraci&re du
bigot ; dgolsme divinise.
Bıcuaraım. V. Maridla ; Covarde.
+ Bıchuxo, Aa, adj. (Troneo—, folhas—as, t.
de bot.) ancipit& : comprim6, & deux bords op-
posts et tranehants.
+Buucivas, adf. f. pl. Folhas —, (t. de bot.)
Bijuguses, ( feuilles) composees de qQuatre
folioles deux & deux sur un petiole commun.
Bua.V. Bilis.
? Buazıäno, a,adj. (1. d’anas.) qui a deux
I .
+ Brıuaumöso, A, adj. (4. de bot.) bilamelld:
sompos& de deux lames.
BııLöne. V. Fogo d’alsgria.
Biwws, s. f. cruche: vase de terre A anse et
& ventre large. Der— de leits por — dazelle,
denner un auf pour avoir un bauf.
“ Bıunarriö, s. m. aug. de
* Bruwarasg. V. Milafre.
Bızkö, s. m. billon : monnale de cuivre pur
on mele d’argent
BIM
Biıui6, (4. dariih.) V. Bilde.
Bırsir, s. m. billard : jeu de billes sur une
table drapee ; cette table; lieu od elle est.
BıLuÄana, s. f. jeu du batennet ; le bAtonnet
de ce jeu,
BırHanpÄd, 8. m. joneur de bilkarda (bA-
tonnet),, vagabond.
Bıruaspir, vo. a. billarder : toucher deux
[ois sa bille, pousser deux hilles A la fois,
Bırnaadkıro. V. Bilkarddd.
Bunte, s. m. hillet : petite leltre, missive.
’Gedule, scrit, billet sous seing-prive, par lo-
quel on reconnalt devoir quelque somme. Pass#-
port : marque pour entrer dans une reu-
nion, etc.; rouleau de papier pour lirer la lo-
terie, ou au sort; eflet public, de banque, de
commerce. — de visita, de boas feslas, carte
de visite. — amatorio, billet doux, billet de
galanterie , poulet.
BiLneTInHo,, s. m. dim. de Bühste,
Bıınöstae. V. Biltre.
BıLtirıo, A, adj: (1. d’anat.) bilisire. On le
dit des conduits de la bile, et de certaines
pierres qui se forment dans le foie.
+ Bırısainos, s. m.(t. de bot.) carambolier
oylindrique : arbre terebinthacd des Indes.
Bilimbi, arbre du Malabar qui a toujours des
fleurs et des fruits,
BıLincog,, adj. qui a deux langues, en deux
langues. (Ag.) Double, qui a deux paroles,
fourbe.
BıLı680, A, adj. bilieux : plein de bile, chez
qui la bile domine. (Ag.) Colerique, irascible.
Biuıs, s. f. bile: humeur du corps animal
separde dans le foie. (Ag.) Maurvaise humsur,
colere.
Bıris ow BıLiz. V. Bells.
BııL, s. m. bill ; projet de lot du Parlement
en Angleterre.
BıLLörto,, s. m. billot : trongon, morceau de
bois gros et. court. V. C4po.
BıLosipo, A, adj. (t. de bot.) bilob# : & deux
lobes.
BıLripo, A,p.p.de
Bıırin, 0. 9. trevailler avec le bilro. V. os
mot.
BiLxo, s.m. füseau pour la dentelle. *Quille:
morceau de bois long et arrondi qui sert &
jouer aux quilles.
Birne, 8. m. (£. injur.) belltre ı coquin,
gueux , misörable, homme de ne6ant.,
+ Bımänz, adj. 2 gen. Animal — , (l. d’hist.
nal.) bimane : ’homme et ses vari6les,
Bısia, adj. 2 gen. (. de pods.) entre deux
mers.
Buuniına, V. Bimbirra.
BınsaLnina „s. f. Faction et l’effei de brim-
baler (les cloches). Grosse sonnerie.
Bıuninna, s. f. longue barre de hois en
forme de levier pour remuer les canons, eio,
(t. de mar.) Boute-hors ; anspeot.
+Biusas, s. f. pl. (1. burl.) la partie ints-
rieure des cuisses pres des ainos.
Bıugunan, adj. 2 gen. quia deux membres.
203
204 BIR
BımXstag, 5. m. ot adj. 2 gen. bimestre :
deux mois, de deux mois.
+ Biuo, a, adj. de deux ans, qui a deux ans.
fBınipas, adj. f. pl. Folkas —,(t. de bot.)
Binees, gemindes , doubles (feuilles).
Bınärıo,A, adj. (#. d’arith.) binaire : coom-
pose de deux unilds. Ce de mus.) —, mesure ä&
deux temps.
BınocuL.är, adj. 2 gen. binoeulaire : qui sert
aux deux yeux.
+ Bınöcuro, s. m. binocle : Iunetie ä main et
& deux branches pour voir des deux yeux & la
fois,
Binöuıno ou qui a deux noms. s. (1.
Bınömio, a, adj. | d’alg.) Binöme : quantite
algsbrique compos6e de deux termes unis par
un signe. EL.:A+B,C—D.
+ Bıntasand, s. mw. (t. de bot.) hintabaru :
plante du Malabar et de Ceylan.
+ Bıntancen, s. m. (8. de bot.) calaba & fruits
ronds, grand arbre & fruits en noix : donne la
gomme tescamaque.
Bıoic. V. Bivae.
Bı6co , s. m. affublement : air de pruderie,
pruderio.
Bıocaırmia, s. f. biograpbie : histoire de ta
vie des aliers.
Bıocairnıco, A, adj. biographique : gui
ent de ou & la biographie.
Bı6öcaarH0, 3. m. biographe : auteur d’une
ou de plusieurs vies particulieres.
Bıöm2o , s. m. paravent,
Biranfoo. V. Bigenito.
Bırantino, A, adj. (t. de pods.) partage,
divis6 en deux parties. ($. de bot.) Biparti
fendu au delä du milieu (calice, feuille, etc.).
+ BıpantivaL, adj. 2 gen. bipartible (ovaire,
valve): qui peut ötre divis& en deux parties.
BipaTknte, adj. 2 gen. (f. de pods.) ouvert
de deux cölds.
BirzoaL, adj. 2 gen. bipedal : long de deux
pieds.
Bireoe, adj. 2 gen. bipdde : qui a deux pieds,
qui marche sur deux pieds. —e, s. m. (1. d’hist.
:aat.) bipedes : fonre de roptiles A deux pattes,
de la famille des lezards.
Birkuns, s. f. (4. d’ans.) bipenne : double
hache.
+ Birmono, s. m. (1. d’hist. nal.) V. Salpa.
+ Bırimwunino, adj. (8. de bot.) bipinne
(feuille —): » dont le petiole soutient d’autres
tioles,
BıquapriTıco, A, adj. (t. d’alg.\ biquadra-
tigue ı ( puissance) du quatridöme degre ; carre-
carre.
Bıqufıra ,s. f. gouttiöre : canon, tuyau pour
les eaux de pluie des toits;; bec.
Bıquinno, s. m. dim. de Bico.
+ Bıaumrır, adj. m. (1. d’asir.) biquintlle :
(aspect — ) de deux plandtes &loignees de 144
degres os des deux cinquiemes de 360.
Bıaninte , adj. 2 gen. (6. pop.) vaurien , va-
gabond, homme Sans NMUTS.
Bıakur, adj. 2 gen. biröıne : valsseau ancıen
‚BIS
& deux rangs.de rames de chague cöl# ; barque
& deux rames.
t Bisıni, s. m. biribi: nom d’an jea (fran-
gais ) ae hasard que !’on joue avec des boules
et un tableau numerotes qui se correspondent.
BirımBio, s. m. "guimbarde os trompe : es-
pece d’instrument d’acier en demi-cercle, ä&
bouts prolong6s et rapproches le long d’une
languette mobile, que !’on tent et frappe entre
les dents. Bertiques
BırLiougs. V. .
Bınö6. V. Bocddo.
Binna, s. f. * entötement, pertinacits, opinia-
trete; haine. s$. * Tio : maladie des cheraux.
Bıarin. V. Embirrär.
+ BıantnQuEas , adj. f. pl. Folkas—, ( t. de
bot.) doubles, binees (feuilles).
BıiaR£NTAMENTE , adv. avec enittement.
Bıankntro, A, adj. ent#t6, perlinace , Opi-
niätre; enrag®, furieux. De mauvaise humeur.
Bıaruo, V. Byrrho.
Binre, s. m. ancien chapeau ; bonnet carıe
rouge que portent les cardinaux.
BırvLLo. V. Berylio.
Bıs, adv. (8. de mus.) bis: indique la repe-
tition on morceau, d’une partie, etc.
+ Bisäco,, s. m. (e d’kist. nat.) bisaco : qua-
drupede du Päron.
Bısicaa, s. f. charniere,, gond, penture.
BısaLno. V. Saquinho.
BısiLuos, s. m. pl. V. YVidrilkos.
+ Bisinnuo, A,adj. (#.de bot.) bisannuel :
(plante) qui dure denx ans.
Bisinte. V. Besante.
Bisinua,s. f. guisarme: hache & denz tran-
chants. Bisarme : : esp&ce d’arme offensive. (fig.
et pop.) Choso gigantesque.
Bısavo , s. m. bisaleul.
Bısavo, s. f. bisaleule.
BisBILmoTBIRA ‚se. f. bararde intrigante;
femme de rien, meprisable.
BiSBILHOTRIRO, sm. brouillon , intrigant,
bavard. «6. V. Pasife.
Bıssonnia, 3. m. (6. das)
ble, miserable.
Bisca , s. f. brisque : sorte de jeu de cartes &
deux personnes,
Bıscära , 8. f. (6. de gdog.) Biscaye : province
d’Espagne.
Bıscainno, 8. mw. et adj. Biscayen, de Bis-
caye.
Bıscäto, s. m. *bequöe. V. Fragmenio , Pe-
Bıscorro. V. Biscoulo.
Bısconne. V, Visconde.
Biscouräno, A,p.2.de
Bıscourir,v. a. faire cuire comme le bis-
euit.
BıscovT£ıno, 8. m. celui qui fall, qui vend
du biscuit.
Biscourinno, 8. m. dim. de
BıscöuTo, 3. m. biscuit : pain cuit deux fois;
malotzu, möprisa-
sortv de pälisserie de farine ou fügıle, et de
sucre.
BIT
* Bısnösıa. V. Bisand.
* Bısp6no. V. Bisavd,
Istcaz , s. m. biseigie : outil de cordonnler.
Bıtı,s. m. (1. d’impr.) biseau : long bois
en tales.
Bısuimncua. V. Hypoglosse,
+ Bıswurm ow Bismürno, s. m. bismuth : m&-
ul fragile d’un blanc Jaunätre, fort pesant et
dspos6 en grandes lames; marcassite d’etain,
&ain de "
. TBaszica,s. f. (1. de bot.) * ammi visnague :
berbe aux curo-dents; herbe aux gencives,
rısnague.
Bısutro, A, 8. m. ou f. arriere-pelit-ls, ar-
riere-petite-Alle.
Bısoxzuania ow | pas de clerc, pas d’öoole;
Bisoumica, s. f. manque d’experience.
Bıs6zn0, a, adj. neul, recrae : on le dit du
seldal qui est au service depuis peu de temps.
(#g.) Apprenti ; on le dit d’une personne peu
habile dans les choses dont elle so mele. (id.)
Ineongru, bejaune, sot, niais. — na arte da
guorre, neuf au metier de la guerre.
+Bısonte, ( 1. d’hist. nat.) V. Gebo.
Bıssrno. V. Besturo
Busrino,, s.m. episcopat:: dignite del’eväque.
Ersche , diocdse.
Bseir. V. Episcopal.
Bassin, ©. @. entrevoir au loin.
Bıspin , o. ». obtenir un &vöche : devenir
er&gue; faire los fonclions, exercer le ministere
deregee.
Bispo,. s.m. dvöque: pr&lat du premier or-
dre „chef d’un dioedse. — auxiliar nu d’annel,
ertque im pertibus, charge d’en aider un
suire dans le soin de son diocese. Bispo da
gellinka, le eroupion d’une poule.
Bıspörz, s. m. pot de chambre.
Busstcrib,, s. f. (t. de gdom.) bissection :
bipartities (d'un angle, d’une ligne).
Bıssexriı, adj. m. bissextil. V. Bissexto.
Bıssgzro, adj. m. Anno —, bissextile (annde)
ohserencontre le bissexte. On ledit des anndes
de 365 jours , qui viennent de quatre en quatro
"sszutizs, adj. f. pl. (t.de bot.) V. Her-
Bısso. V. Bysso.
Bisroai. V. Bisteri.
Bısröara , 5. f. (t. de bot.) bistorte : plante &
ratines tortues , repliees : medicinale.
Bisrax , s. m. bistre : sule cuito et dötrempee
pour peindre au lavis.
i, s. m. bistouri.: instrument de chi-
rurgie pour faire des incisions.
BisoLcino ou BisuLco, A, adj. fourchu,
fendu en deux peinles.
Brericora, s. f. " habitacle: armoire de la
boussole ; gingeole : plan de la boussole d’une
*"Birärs. V. Pdcha, Titulo.
tBrrirszs, s.m.pl. (1. d’hist, nat.) bitafres:
oiseaux de proie d’Afrique,
* Beriunı. 7. Yıilualkn,
BLA 205
TBırzanipas, ady. f. pl. Folhas, flores— (1.
de bot.) biternees (feuilles,, fleurs) dont 1c pe-
ttole a trols rameaux termines par trois fo-
lioles.
+Bırı, s. m. (i.de bot.) biti: grand arbre
toulours vert du Malabar.
Bıröra, s. f. * modele; 6talon.
BıroiLna. V. Vilualhe.
Bıröus. V. Betüme.
Bırunınöso ‚A. V. Beluminoso.
Bırac, s. m. (1. de mil.) bivac ow bivouac:
garde extraordinaire de nuit dans un camp et
en plein air.
TBıracin, v.n.(t. demil.) bivaquer, bıvoua-
quer: passer la nuit A Pair.
BıviLve, adj. 2 gen. (t.d’hist.natl. el de bot.)
bivalve : coquillage &A deux parties jointes par
une charniöre. —, ä deux battants, & deug
valves (fruit).
tBiviinıo,A, adj. biviaire : (place, ville)
sitade oü deux chemins aboulissent.
Bivıo, s. m. bivoie : chemin fourchu.
Bivora. V. Vivora.
Bixa. V. Uruei.
+ Bızanrino, a. V. Bysantino.
Bızinua. V. Bisdrma.
BizannamE£nTE, ado. Cavaliörement, gend-
reusement, noblement, Valeureusement, cou-
rageusement.
Bızararip0, A,2.p. de
Bızanneir, o.n. faire ostentation de valeur,
de courage, de generosile,
Bızannia, s. f. "courage, valeur, bravoure;
generosite, noblesse, magnanimite ; galanterie.
Belle sante& ; taille avantageuse ; maintien no-
ble; el&gance de manieöres, bonnes gräces;
elegance d’ajustement. Il se prend aussi en
mauvaise part,et dans ce casil signiflemorgue,
arrogance.
‚ Bızanice. V. Bizarria.
BIZARRISSINO, A , adj. sup. de
Bızinro, A, adj. courageux, valeureut,
brave, gaillard. Gendreux,, magnifique, noblc,
grand, honorable. D’une heile sante ;, d’une
taille avantageuse ; &l&gant, galant.
Bıztone. V. Bisegre.
BLanpicıas, s.f. pl. caresses, flatterics, pro-
pos tendres , paroles doucereuses.
+ Buampiciöso, A, adj. caressant, tendre,
doux.
+ BLampirLuo, A, adj. (f. de pods.) qui eoul
avec douceur.
* Buanpıa. V. Brandir.
Bıio, adj. m. (1. de bias.) bleu, azur.
+Brarz-ui-rina, s. f. (1.d’hist.nat.) *blapt
porte-malheur : insecte coleoptere.
Brasszuan, etc. V. Blasphemar, cic.
*° BLisuo, s.m. bläme,
Brasäd, V. Brasäo.
BLASONADO, A, P. p. de Biasondr.
BLASONADOR, A, 8. gloricux, vantard, plein
de vanite, celui qui fait parade.
BLASONÄNTE, adj. qui se vante, qui fait pa+
radc. p.a. de Blasonar.
206 BOA
RBıasonan (de), ©. ». se -vanter, so flatter,
s’afficher pour faire parade. — do arnfz, con- | do
ter ses prouesses,, faire le fanfaron, dire des
fanfaronnades,, faire blanc de son &pee.
BLaspnzuA00, A, 9. p. de Blasphemar.
BLasPueMADOR, A, 5. blasphömateur.
BLAsrB£MaNEnTE, adv. avec blasphöme. In-
jurieusement ; outrageusement. .
Bıaspnezuin (de), vo. ». "blasphemer : profe-
rer un blasphdme, Maudire ; faire des impre-
cations contre quelgu’un, contre quelgquechose.
Medire : dire du mal de quelqu’un, le döpre-
cier.
BLASPRENATÖRIO, A,adj. bıasphematoire: qui
contient des blasphömes.
BLasrußnıa, s. f. blasphöme : parole impie,
discours tenu contre la divinits,la religion, etc.
Injure gravedite & quelqu’un, ou de quelgu’un.
*"Discours injuste, indecent, deplace.
BLasrußuo, A, 8. et adj. blasphömatlenr :
qui biesphöme. Blasphematoire : qui contient
des blasph&mes.
tBristeuo, s. m. (8. de bot.) blastäme : la
radicule et la plumule de l’embryon des
graines.
Bu£upa, s. f. (t. de mındr.) blende: fausse
galdne, substance minerale; vraie mine de
zinc, sulfure de zinc,, zino sulfure.
+ Bıennio, s.m. (1.d’hist. nal.) poreo-pierre ;
fenouil marin, passe-pierre; blenne. — en-
eristado da Europs, coquillade : poisson du
genre du blenne.
t Bıennonnnacla, s. f. (1. de med.) bien-
norrbagie : calarrhe de l’urätre.
t Buennonauta, 8. f. (1.demdd.) blienner-
rbee : dcoulement inflammatoire du mucus.
Bızrnanöorıs, s.f. ((.demdd.) blöpharotis:
inßammation des paupiäros.
Bıtso. V. Gdgo.
Bıocia. V. Bloquedr.
BLoobzino, A,Pp. h de
BLoqueäin, v. a. bloquer : faire un ow le
blocus.
BLogu£o ow BLoqußıo, #&. mw. blocus : &tat
d’une ville cernöe, action de la corner; defense
d’entrer dans un port, d’aborder une cöte.
*Bör,s. f. V. Bens , Heranpas.
Boa, adj. f. V. Bom, bonne, belle.
mos de —, nous l’avons &chapp6 belle. Boas
diz este homem , cethomme nous en conte de
belles, il nous en dit de bonnes. Vir ds—s, en
venir & un accord, s’arranger & l’amiable.
Böas noiles, bonne nuıt, bonseir.
BöA (serpente). V. Giböie.
BoiL, s. m. variete de raisin biano Ires-
oux.
BöAmente , ado. sans detours, franchement;
tout bonnement. De —, volontiers, aveo plai-
sir, de bon caur, de bonne volonte. A’—, sin-
cerement, ingenuement, de bonne foi , naive-
ment.
BoinaA ,s. f. V. Cardums.
BöA -nova, s. f. espöce de papillon blanc.
JoA0. V. Ballze,
BOC
TBöus-noırzs, 5. f. (1. de bei.) V. Hereviläe
Perü
Boiro, s. m. brait (qui court), rumeur, noe-
vele. £ un —, semer un bruit.
BöA-vında, 3. [. bienvenue : heureuse arrivee.
*Compliment sur Pheureuse arrivee de quel-
qu’un.
Boäz. V. Bose.
Bosics, 3. f. bouffonnerie.
BösautnTE, adv. &ä maniere de bouflon.
Bönsin, o. m. bouffonner : agir ou parler
pour faire riro; faire le bouffen.
Böszpa. V. Abobada,
tr BontLuss (de —), eupr. ado. burl. A ma-
niere de bouffon; inconsideröment, dteurdi-
ment,
+ Bosics, s. f. * caractöre, röle de boaffon ; la
qualiis d’etrc bouflon. Niaiserie,, bölise.
Bön0, s. m. farceur, bouffon ; miais, nigaud,
dandin,, grue.
Böcca, s. f. bouche : la partie Inföneure de
la töie par oü l’on parie, par od l’on mange;
organe du goüt, composs de iövres, de dents,
degencives, des deux mächoires, da dedans
des joueset du palais. Il se dit du cheval, du
singe, sic. —, ouvertare da canon ; enirde
d’un abime, de l’enfer, etc. ; embouchure (d’um
fleuve, d’une rue, d’un port de mer, ete.);
trou, ouverture (d’un four, d’un vase, e16.).
(Ag) "Commenoement d’une chose. Ex. 2° — de
noite , ä la brune. 4’ — de inverno, & l’ontröe
au commencement de l’hirer. (id.) Personne i
nourrir. Bröche au tranchant d’un couteau, etc.
— de lobo, tr&s-obscur, ires-noir, en parlanı de
la nuit. — de fogo , bouche A feu,, canon, piöce
d’artillerie. —da meiriz, l’orißoe de la matrioe.
— do estomago,, le oreux de l’estomae. — de
verdades , Saint-Jean-Bouche-d’Or. — de rise,
celui qui a l'air rient, agreable. 4’ — da neite,
entre chien et loup; & l’entr6e do la neit. 4’ —
cheia , (ig.) ouverioment, sans deiours. Dizer
de —, verbalement, en lace. A pedir por —,
(%g.)& bouche que veux-ta ; completsement,
au gr6ö de ses desirs. Andar de — em —, ou
andar nas boecas de todos, aller de bouche en
bouche , devenir public, connu de tout le
monde. Andar nas —s do ‚avoir une
mauvaise r&putalion. Mandar eslar a — ,, im-
poser silence : faire taire. Por a md na—,
ou lapar a — aalguem, fermer la bouche &
quelqu’un, le forcer & se taire, ne lui laisser
rien 4 r&pondre. Der um ponto na — , se Laire
par force. Dizer alguma cousa pels-— poqwena,
dire une chose tout bas & l’oreillede quelqu’un.
Estar com a— aberia, rester labouche beante,
extasi6 devant quelque chose. Guerder a —,
ötre sobre; (g.) taire ce qui peut nuire. Fa-
Z0T-38 G — EM -agus, OU OFEICEr G Gqus NE —,
venir ’eau & la bouche. Fugir a — pers s
verdade, de l’abondance du caur la bouche
parle. Ndo abrir —, avoir la bouche olose, la
bouche cousus. Ndo ler — para dizer que ndo,
ne pas avoir lo courage de reluser oe qu’on de-
mande, Ndo tens — para fallar? oü as-tn la
Pe En | Ep Zur — Zur 7 Se
a
[nn
bouche ? n’as-iu pas une bouche? Tirdi-o da—
para o dar a outrem,, s’öter les morceaux dela
beuche : se priver da n&cessalre pour secourir
un autre. Tirer a palaura da —, couper la pa-
role & quelgu’un, anticiper sur ce qu’il allait
dire „le devancer. Ter bda —, se contenter de
wutes sortes d’allments. Todos por uma —,
enanimement, & une seule voix. Pdr a — om
dgquen , medire , mal parler de quelqu’un par
malignitt. — d’um navio, (t. de mar.) largeur
Fun vaisseau. — de lobo, (1d.) gueule de mie.
—de lobo de carangutya, (id.) corne de vergue.
Vir &—, rerenir, en parlant d’an aliment ven-
teux. Ouem (em — vat a Roma, qui langue ad
Rome va.
Bocica , s. f. eug. de Böcca. Grande bouche;
gueule.
Bocıchs, s. m. boueassin : &toffe de coton
dent on fait des douhlures. Toile gommee,
lisste et luisante.
Bocapinmo , s. m. dim. de Bocddo. Petit mor-
ceau. — de gente, (fam.) bout d’homme.
Bocipo , s. m. *bouchee : portion d’aliments
gue Fanimal prend dans sa bouche pour ava-
ler. Morceau : partie separee d’une chose solide
etbonne A manger. "Lippee, goulde ; bouchee,
presse bouchde. Morceau emport& avec les
denis ou avec l’instrument appel& emporte-
ice. Frein, mors, embouchure; partie de la
qui entre dans la boucbe du cbeval. (fg.)
*Piöce, morceau, fragment de quelque chose
que ce soit. Petit espace do temps. (fam.) Go-
bet: morceau que l’on gobe. Estar com 0 — na
bscca ou na gotla, avoir le morceau au bec:
veair de manger, sortir detable. — sem 0850,
(em. fig.) sinecure. On le dit d’une place lu-
erative qu’on remplit sans se donner trop de
peine. Ser amigo de bons —s, almer les bons
morcesus, les friandises. Conlar 08 —ı a al-
guem, compter les morceaux & quelqu’un, re-
greiter ce que l’on mange.
Bocantaı, s. f. bouche du canon.
Bocir,,s. m. ° ouverture d’un vase. Bocal:
embouchure, partie d’un instrument & vent
qu’sn met dans la bouche pour en jouer. Mors.
V, Bocado.° Bouche de canon. — de pogo,” mar-
geile. — de seringa,, canon & seringue.
+ Bociı ow BuccaL, adj. 2 gen. (1. d’anat.)
besccal : qui a rapport & la bouche.
Bochuuente. V. Vocalmente.
+ Bocausıa, s. f. (1. d’hist. nal.) bocamdle:
belette de Sardaigne.
f. pl. bokas: toiles de coton de
Surate. .
Bocıxim. V. Bocacim.
Bocar , adf. 2 gen. et m. nedgre nouvellement
arrirö de son pays. Provincial : personne qui
arsive d’une province dans la capitale du
royaume. Saurage, Indompt&,en parlant des
ehevauz, etc. ( ig.) Apprenli: novice dans une
facaltt, dans un exereice quelconque; Idiot,
sunple , beie.
+ Bocan, v. 6. (— 8 mierrs, I. de mar.)
bosser lo cAbie,
BOD
Bocinpas. V, Bugardas.
BögAs, 8. f. pl. (t. de mar.) bosses, cravates.
— para amarrar o escdler, cap de remorgue
d’une chaloupe. — de galo para pear a lancha
dentro do navio, risses de la chaloupe. — da
ancora, bosses de l’ancre. — de rabicho,, bosses
& fouet. — da amarra, bosses & rubans ou ai-
guillettes. — da unha da ancora,, serre-bosses.
— do turco,, bosses de bout. — de ferro ( para
as vergas ou ancoras) chalnes des vergues,
chatnes de l’anore. — da carangueja, faux
martinet,
Böcca (meil. orth.) V. Böea.
BocgıAD0,A,p.p. de
Bocesir, v. m. bäiller : ouvrir involonlaire-
ment la bouche en respirant et expirant avec
force.
Boctro,s.m. baillement:: action de bälller.
O ultimo —, le dernier soupir. O — do mundo,
la fin du monde.
Boc£ı, s.m. (f. d’arch.) bosel,, tore: mem-
bre rond; moulure qui embrasse l’extremite
inferieure de la colonne. C&po —, rabot pour
faire des moulures sur le bois. Meio —, mou -
lure en demi-cercle. — d’uma pera, bourrelet
d’un canon. — da bolada, (1. de mar.) astragale
de ceinture. — da culalra, astragale de la lu-
midre. — da garganta, astragale de volee.
BockLino, a, p.p.de
BoczLin, v. a. (t.d’arch.) faire le bose! d’une
colonne. Faire le bord d’un vase, d’or, d’ar-
gent, etc. Faire des moulures & un ouvrage.
BoczL&te ow | dim. de Bocel. On l’amploie
BOCELINO, s. m. ! quelquefois au lleu de Boodi.
Boctra, s. f. bolte. — de joles, * &erin.
® BoceTe, 8. m. piece d’armure,
Bocerinna, s. f. dim. de Bocdta.
Bocht£cHa , s. f. grosse joue; joue enfide ow
gonfl&e d’air, de vent. Com uma — d’ j
(fam. et fam.) facilement, sans peine, als6-
ment. Dizer-INo na — ‚( loc. fam.) dire quel-
que chose contre quelqu’un devant lul, & lui-
meme. —s do navio, (tl. de mar.) Joues du
vaissean.
Bocuecuipa, 8 f. ce que la hbouche peut
eontenir en remplissant les joues; Coup sur les
joues gonfl&es de vent.
BocuecHäd. V. Bofeldo, Sopdpo.
BOcHECcHÜDO, A, adj. joufflu : qui a de grosses
oues.
BocHoanÄtL, adj. 2 gen. tr&s-chaud et seco
(vent).
BocHörno, 3. m. häle : air chaud et sec.
Forte chaleur developpee par un [eu artificiel,
et celle qu’on €proure dans un temps orageur.
Böcıo, s.m. V. Popfira.
BönA ,s. f. *mariage, noce; festin de noce.
Conviddr&o-me para a — on m’a prie do la
noce.
Bovirua,s. f. V. Leilda.
Böpe , s. m. bouc : le mäle de la cherre. Dar
com 03 —ı na areia , (fig. fam.) donner du nez,
se casser le nez en terre.
Bontca, s. f. gargote, cabatet, bouchon »
207
eu en Pen Jsume ı baiza ei 2 munger 2 kmies
Sazına de PaREIEEREN gene de VaEEmS-
Bonscı£ın®. 2. 2. CEREERIGE „ GEERELSET - OR-
ba qm tem m calbanet.. iR.
T onmgun, 2m. L Zins. ant., benmein : ı
Leuz zuuvage JE Aıpen.
BuniıJ. a m. Isis - SERBENEB
Bomsu „=. mm. pas mumnlet zurın de gend pen |
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Bine, x m. Dunn: rapes Juume zu2 pamseres
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gunumee.
Brouges.& u jnist upier de cmillun zeo-
pe ı -tre iamee reg (uumieie Beste da —.
ade 2;
Suna.z V. BuidirW.
Zuc. U. Oöwe.
Buxinı sstvedin —'. TV. dus Bodies, pi.
ie er. ” . waren.
de weres.
Besrı. TV. Bueiin.
Borums,a,ap &
Bogaz, e. a. erkuler du peumaem. I st basm
sauvent weuize, et abses saynılle : s eamter em
pr, Bulw. «n pertami da sang. fg. et m.
u
ARLSRAS.
Boraumine, | T- Beferik_
*Besıs.V. Befi.
Dre, m
giesL, principal ergane
decsmupese
: visedre men, SpEm-
u
Böfes, pl. nee, peumen de baui, ven,
On le dit aussi de Fhesamne. Ag. Omen. Evan
de mdes —e, bemmme michent, vexdicatil
et gommee.
Boszripa, 8. f. "soufllet: da plat de la
main sur la jowe. ( Ag.) "Insulte, injure. Der
ums —, souflleter : donner un soufflet. (Ag.) | de
Mortißer quelqu’un, le tromper dans son atiente,
+ Borztriö,.s. m. grand soufllet ; soufliet
donne avec grande force.
Borstiözinno, s. m. dim. de Bofeldo.
Bortte, s. m. buffet : table de salle & manger
ot l'’on pose ce qui doit servir pour le repas.
"Table, comptolr. — do orgäo, buflei d’orgue:
menuiserie de l’orgue.
Burtre. V. Bofetdo.
Borzrzin. V, Bsbofelear.
Boronpan, V, Baforda.
ergame de In rerpiralen, qui
Yaız et seuspere de Texszeme. |
B01
Bıca .s f. begme: peissen de mer, du genre
spare.
Bisazı 7. Hogerim,
* Biczzıı. TV. Sedemis.
Basz.ı. 7. Bages.
Baczirm ı, 5. f. treu ed se cachent les bogues.
Beaczume ,s. m. fiet & prendre des bogucs.
t Bunt , s. m. surte de Ihe veort.
+ Bantmuı, s. f- (£. de göegr.) Bohtme:
1
il
|
|
Ah
eupr. ie ii d'un komme pos6, re-
Bechı . «t qui umat besstsup auL Inmurs an-
eizumes. Onde rd oe — qus ndo larre? ( prov.)
ca est [ine qui ne perte pas son bät? BE meilkor
ser quelle gar —, ü vant mieux Eire mariscau
enchume.
+ Btı,s. m. \t. d Asis) damestigue ou esclave
i ie
w parasel.
Bra, f. de mar.) "benneau, boude :
bege, cu wate autre chese Boltants, qui in-
duee ou sont mmewillces les ancres. Chacun des
zuumesamx de bege qu’ent les Biets de pecheur,
‚beuee : margue fioltanie qui
per .n icweil. — de sulvagio, bouse de
suuvetage. A — wigis il. de mer.) la boute
vesile. 4— ade eigie, la boude est noye.
Botama, 5. [. " treapeae de bauls.
Boupo,ı,p.p. de Beier.
Bouiste „adj.2 gen. Betten! : gui flotte. (fig.)
fertumd , qui est dans la prosperite.
Beier.
ö, s. m. becal de grös, pot pour des
Botin , o.. m. se soulever, surnager, flotter.
. On ie dit d’un vaissean gei, apres avoir die &
sec, est sonleve par l’eau et remis & lot.
Bone, e. a. parler aux bauls, les exciter.
+Bouz»o, 3. m. beiard:: seigneur ou sena-
eur rasse.
+Buısi,s m. (.du Bresil) espece de ser-
pent du Bresil.
+ Bawmnsısca, 5. f. (li. du Bresil) espece de
serpent & sonnelles, venimeux , de cing pieds
Di
ir
+ Borcrasi, 8. [. (tl. d’hist. nat.) "boicuaba «
serpent non venimeux du Perou, do 10 & 20
pieds de long. On mange sa cbair.
+ Boscrrecinca, 8. f. (1. d’hist. nal.) * boicu-
pecanga : serpent du Bresil.
Bowäna ow BoIBaxHa, 8. f. planle grimpante
des vignes.
Boitına ‚adj. f. (estrella — ) boolds : cons-
tellation.
Boıtıno, s. m. bouvier : conducteur ct gar-
deur des vachcs,, des baufs,
1 2 a ba 2
ka. 2 = _ _
BOL
+ Borca, 8. f. (. Phist. nen.) bolgaı oonlen-
ve d’Ametrique.
+ Borcvach, 8. f. (4. d’hist. mas.) * boiguace ı
serpeat prodigieux du Bresil et d’Alrique.
+ Borquina , 3. f. (4. d’kist. nat.) * boiquira s
de sorpent & sonnelios,
* Bosöno, a. V. Vacclm.
Boiz. V. Aboiz, Armedilhe.
Bo,ino, A, p. p. de Bajar.
Bosan6a, & , adj. qui saillit, qui s’avance en
«ehors , qui fait ventre, ll so dit d’un cap,
d’une monlagne, elc. .
Bosiurs, adj. 2 gen. V. Bojadör. p. a. de
Bosir,v.6. (}. de mar.) gonfler, enfler les
voiles, en parlant du vent.«£. Faire lo tour d’une
Ile, mesurer la circonferenoe d’une 1le,d’uncap.
Bosän, v. 9. (f. de mar.) avoir tent de tour,
i cs , en parlant d’un cap, eic.
Böso, s. m. veutre, capacild d'un vase, d’un
savire; panse; saillie, avance. (Ag.) Cour,
&me; disposilios & endurer ou & dissimuler.
Faser—, saillir, avancer. Homem de grande—,
komme magnanime,quiaun grand caur ;dis-
simule. Ter pequeno—, avoir un eur pelit,
re impatient, ne pouvois souflrir.
Bosinpa , 8. f. espece de poire de Portugal,
lente et savoureuse.
+ Bosyanadaa, 8 f. (l. de mar.) grand foc.
+Bososi , s. m. (8. du Bresil ) serpent vert,
de bea
Bos6no, A, adj. ventru, qui fait ventre.
Böra, a. f. beule, pelote:corps sphörigue.—,
globe de bois pour jouer aux quilles, au jeu
ner beules. Bille : boule d’ivoire pour jJouer au
BoLicaa, s. f. *biscuit de mer.
Borscninua, 3. f. dim. de Boldcha. — doce,
sorte de pälisserie faile avec de la farine, du
sauce etdu beurre. "Biscuit, petit biscuit.
BoLina,s. f. coup de boule: Jeu qu’on fait,
point qu’on gagne en jouant aux boules, aux
quilles, aa billard. (fig.) * Trait, fois, occasion.
D’esta — consegwio o inlento,, de celte fois-cı
ila reussi. .
BoLipo,A,Pp. p.de Bolar.
BoLunvas (em), adv.(expr. pop.) en volant,
en laute häle,
Boranptına, 8. f. roue priacipale d’un mou-
lin a sucre.
Bousstım. V. Volantim.
BoLiö ,s. m. aug. de Bola.
BoLin, vo. a. renverser les quilles avec la
boule, (Ag.) Viser juste; avoir du succös en
gueique affaire douteuse.
T BoLin ,adj.2gen. Terra—,lerroargileuse,
qui contient des oxydes de fer.
Barsris. V. Volantim et Bolelim.
+Boısirzno,A, adj. Tronco—, (f. de bot.)
bulbilere : qui a des bulbes.
+ Boısısönme,, adj. 2 gen. (4. de bot.) bulbi-
forme : en forme de bulbes.
+ BoLsiıno, s. m. (1. de bot.) pelitc bulbe.
BoLso, s. m. (1. de bot.) bulbe : piguon de
note.
POBT «FR,
BOL 209
Borndso,,A, adj. (i. de bo.) halbenz : de'ia
naturo des bulbes, qui en vient; qui a Ja raeine
en bulbe,
Boıca. V. Bolsa,
BoLgip0, A,9.9. de
Boıgäa, 0. ®. rejeter lo lait, em parlant des
enfants & la mamelle.
Boıpasz, s. m. baudrier : large bande en
$charpe pour porter l’öpee.
BoLtı ow Boukia, s. f. volde, palonniers
pidce d’un carrosse qui est jointe au train de
devant, etälaquelle sont atteles les chevaus du
second rang, ou les tirants du ohoval de solle,
BoLzino, A,P. 2. de
BoLzia, v. a. arrondir, donner une fgurg
ronde; mener en postillon.
t BoLetıno, s.m. celul qui mene une voi«
turo en postillon.
BoL£ıma, s. f. gäteau grossier. (fig. burd)
Homme mou.
BoL£o, s. m. "volee de la balle au jeu de
paume; coup qui renverse.
BoLßrta. V. Bolöta.
BoL£ris, s. m. bulletin : nouvelle, eiat de la
sittlalion journaliere d’une armee, J’un nıa-
ade.
BoL£ro, s. m. (t. de mil.) billet de logement,
+ BoLtTo-Da-ısca, 8. m. (4. de bot.) bolet
amadou, amadouier ; morille de bouleau ; bole$
ongle de cheval,, espöte de champignon. \.
Böiuna, s. f. bulle, globule qui s’el&ve sur
Peau agitde ou bouillante; ampou!e sur la
peau. V. Empöla. (1. d’hist.) bulle. V. Bullite.
f BoLaintg, adj. 2 gen. bouillonnant, eou-
meux , quulorme des bulles.
+ BoLnäö, s. m. aug. de Bolkha.
BoLair, ©. 6. ou m. bouillonner, former des
bulles.
BoLußLuo, 8. m. pain de mais rond et long;
salete des mains.
- Bouigo. V. Bulicio, Reboligo.
BoLigöso,A, adj. [retillant, semillant, re-
muant, inquiet, turbulent, seditieux, factieux,
brouillon, propre ä exciter des troubles. Agilee,
en parlanı de l’eaude la mer.
+ BoLines, s. m. pl. bolides : piesres, corps
tombes du ciel.
BoLipo, 4,9. p. de Bolir.
Bouı£ıro. V. Boletiro.
Bou.ina, s. f. (tl. de mar.) bouline : corde
amarree au milieu de la voile pour lui faire
prendre le vent de cöte. — de barlavento, hou-
line du vent. — de solavento, bouline de re-
vers. —s de velacho, boulines du petit hu-
nier. Ir d—, ou com vento d—, aller ä& la
bouline, de cöt#.
BoLINADO,A, 9. 2.de
BoLınär „v.a. et n.(l. de mar.) bouliners
aller & la bouline; prendre le vont de cöle.
BoLintıno, A, adj. (Navio—, I. de mar.) qul
va bien & la bouline (Yaisseau); boulinier : qui
va ä boulines häldes.
Bouixete, s. m. (l. de mar.) cabestan \cK-
tical ; vındas, viverant. |
14
+
20 BOL
Boumtre. V. Balde.
Beorinua, s. f. dim. de Böie.
Bouinno , s. m. dim. de Bölo.
BoLısuörLo. V. Bolinko.
Bouır, v. a.remuer, agiter.
Bon, 9. ®. toucher, remuer, mouvelr. —
eom as cabecs, remuer la Wie. — com alguem,
, chercher noise & quelqu’un. — se,
©. r. se mouroir, se remuer; frötiller, s’agiter,
Ötre sans cesse en mouvement. Ndö te bilas
#’eki, no bougez pas de 14.
+ BöLızsöLLe, e. m. (f. de bot.) brize & gros
öpilieis, plante graminde.
BöLo, 8. m. gäteau , galeite. Bo! : petite boule
tomposte de drogues medieinales. —armemio,
bol d’Armenie. Bolo (1. de jew), l'argent qui est
sur la table du jeu; enjeu.
t BoLonma, s. f. (1. de geog.) Bologne : ville
@Ttalie. Boulogne : ville de France.
+ BoLonstz, a, adj. bolonais, de Bologne.
Bor6nto ,a,ad/. (f. fam.)niais,, benet, E’ um
Bolomio , c’est une cruche, c’est un Ignorant.
Borör, s.m. * moisissure, chancissare, moisi.
Bororzckk, 9. ». chancir, moisir; se chan-
or, semolsir.
BoLon&nto, a, adj. chanci, moisi. (Ag.)
Viellli, suranne.
Boröra, s. f.*gland : fruit du chene; sorte
@ornement suspendu qui Pimite, qui a sa
forme.
+ BoLoTinpo, a ‚adj. engraisst avec du gland.
BoLoriı. V. Auinhdl.
ıra. V. Börla.
Boısa, e. f. bourse : petit sac poar mettre de
Yargent. — do cabsilo, bourse : sac de talletas
noir pour enfermer lescheveux.Poche, godage,
vu godete : faux pli d’un babit mal taille. (6. de
ekir.) °Sac: sinus qui se fait dans une plaie.
(Ag.) —, quantit d’argent contenue dans une
bourse ; fortune, bien - &tre d’un individu.
Bourse,, en parlant des palements qui se font
en Turquie, se d pour une somme de 500
piastres (1781 fr.); maison de change, liea de
ssunion de banquiers, negociants, eic. Saca
de cuir pr&s de la selle. Peau des testicules.
na —, mettre & Famende. Ter ou
levar a — bem provida, avoir la bourse bien
ie, bien ferree. Tor 6 — varia, avoir la
urso plate. Bolsa-de-pastor, se. f. (t. de bot.)
beurse & pasteur, tabouret : espece de thlaspi.
Borsa , e. m. boursier : celul qui garde Yar-
gent pour faire la d&penze d’une societs.
BoLsino, a, p. p. de Bolsdr.
Borsi0, s.m. aug. de Bolsa.
BoLsan, v.w. goder, faire des poches, en
parlant d’un babit mal fait, qui ne va pas juste
au corps. On le dit aussi de toute autre chose
faite avee de !’&toffe, quand celie-ci fait des
plis. v. a. V. Bolser.
BoLsania,s.f.bourse d’anecommanauts, etc.
Boısazinna, s. [. dim.de Bolsa.
BoLstiıno, s. m. boursier : faiseur de bour-
05: qui Salt Ja depense. Caissicr.
BoLsinno,, s. m. dim. do Bolso. *Cassetie du
rol : fonde, sommes d’argent quo ie rel a A va
disposition pour les depenses partiouliäres.
Faser—, garnir sa poche, s’ongraisser dans
une affaire, falre sa main. — das sspiges. V.
Capodie,
B6ıso, s. m. boursen, pocheiie: petite pe»
che; gousset : petite de culotte. Bein de
la volle d’un navire,, fond , ereuz de voile.
BoLYEnoouao. V. Envolssdouro.
Bow , 04, adf. bon:qui a de la bonted; par-
fait, qui a toutes les qualitäs vonvenables & se
nature, & sa destination ; qui prodeit son efet;
qui a les qualit&s propres, n6oessaires; exoel-
ient, fort, vigoureax; utile, propre & certalns
usages; agreable, armusant.—, qui peut encore
servir. Estd—, vollä qui va bien, c'est bon. —
successo,—exito, reussiie. Asler—, 50 r
bien. Nd& se sentir —, ötre mal A son alse. —
komem, bomme plein de bonte. Homem —,
homme de bien, d’honneur, bonnete komme. A
dom lempo, a b6as horas, (loc. ade.) dans un mo-
mentopportun , convenable ; per Ironie, signi-
Rlant le plus souvent : c'est trop tard. — anno,
une annde abondante. Anno—, la nouvelle
annde. — fsmpo, beau temps. Nd6 fazer nada
que — seja, ne faire rien de bon. BE bbar dbsa!
Ce n’est pas mauvais! pas mauvais! Bons (pi.)
dias, bonjour : salut familier que Y'on fait le
matin. Bdas tardes, bonsoir : salat familier
apres midi. Biss noites, bonsoir, bonne nuit :
salut & la nuit. V. Bde. ass bons sords
um d’elles, (prov.) hante lies bons etim soras
bon.
Böu,s.m. bon, borme qualit#, ve quilly a
de bon dans une personne, dans une ohose.
O — d que, le bon est que, etc.
+ Bou ou Böwma, s. m. (6. d’his. nal.) serpent
d’Angola et du Bresil.
Böusa, s. f. bombe : grosse beule de fer
crease rermplie de poudre pour metire dans un
mortier, et qui öclate en tombant. Pompe : ma»
chine pour €lever l’eau. Dar d—, pomper:
&puiser avec une pompe. —de mid, (l.de mar.)
pompe & bäton, pompe & main. — para apager
fogo, pompe & fen. Buraco da—, (id.) lumiere
de la pompe.
Bousichas, s. f. pl. large pantalon.
+ Bouzafe, e. m. (4. de gdog.) Bombay : ville
de !’Hindoustan.
Bouzinpa, s. f. bombarde : canon gros,
oourt ettr&s-bruyant.
Bousaapeipo, A, p. p. de Bombardsar.
BOMBARDBAMENTO, 3. m. bombardement :
Paction de bombarder.
Bousanpeir, 0. o. bombarder : Jeter des
bombes.
Bousarptına, 3. f. canonniere, petite em-
brasure oü Fon met une bombarde. it. (1. de
mar.)Galiote & bombes , bombarde : batiment
de guerre destino & Jeter des bombes.
Rossanneıro, s. m. Bombardier : qui tire
des bombes. (1. d’kist. wat.) Brachine, bom-
bardier : insecte carnassier.
BousaanXTa, s,. f. pette bombarde.
BON
Bowsaris, s. f. grande quantitd de bombes,
de bombardes,
Bowasazina „ 8. f. sorte d’&tofle de colon, es-
pics de velours de colon.
Bosazino, A, 9. 9. de
Bouszin, o.a. V. Bombardeor.
Bonszıno. V. Bombardeiro. it. pompier.
+BomstÄrz, s. f. (t. de chim.) bombiate : sel
formt par Funion d: l’acide bombique avec
äfftrentes substanoes.
Böuuco , adj. wu. Acido—, (1. de chim.) bom-
bigue (acide) extrait de la chrysalide du ver &
+ Bönso,s. m. V. Zabümba.
Bousönn0, s. m. (I. de mar.) bAbord , bas-
bord : oßte gauched’an vaisseau ä parlir "de la
Poupe
+ Bousos, sm. (f. E’hist. nat.) bombos :
eroeodile d’Alrique.
Böusvez, s. f. (4. d’hist. nat.) bombyce :
Insecte lepidoptäre. — ds cauda forcada, bom-
broe ,petite queue fourchue. — pavda ,bombyce
grand paon
+ Bomay’Lio, s. m. (1. d’hist. nat.) bombylie:
inseete solerostome.
*Bona, s. f. biens, revenus, richesses. —
eirs, bonne .
Bonacmi0, Ona , adj. eis. bonasse : sans ma-
Eco E um — , c’est un bon enfant.
Boxscuzinäd, 2.
Bouaczo, A, u) V. Bonachäo.
Bonänca, 8. n calme, bonace, tranquillite.
Il ne se dit guöre que de l'ötat oü est la mer
quand elle est calme. Vento —, (1. de mar.)
armngan : temps propfe pour la navigation.
(44-) Bonbeur, prosperite. Passar a vida em—,
vnte en 16. se
Boxıugap0,A,P.P-
Bonascin,o.%. eire en calme. V. Abonangar.
Bosascöso, A, adj. calme, tranquille, qui
n'est point dmu. (fg.) Prospöre ‚ favorabie,
+ er !- (i1.de bot.) "bonda: arbre d’A-
(rique, le ples gros, le plus haut des arbres.
Bonpipe , s. f. bonte : qualit& de ce qui est
ben dans son genure.—, qualil6 morale qui
porte & faire du bien. Bonte de cur, douosur,
amakbilite. — natural, bonhomie.
} Bomaneno, A A, ‚ad gracieux, doux, hon-
nette ‚ plein de
"Fhemsom, « 8. n ( 1. de bot.) honduo : ar-
brissesu tpineux des deux Indes.
Bontca , s. f. poup6e : pelite figure de femme
pour servir de jouet. (Ag.) Marionnette,, petite
femme. °Mouet : linge non dans lequel on a
mis chose pour tremper, bouillir, etc.
— spare o sino, (1. de mer.) polence au Inon-
tanı de la cloche. —ı para as anienas, (id.)
potenes,
Boutco,s. m. petite Ägure d’homme en bois,
en carton, etc. : marionnette. (fig.) Homme ef-
fümine oa petit. Marmouset, petit gargon.
Fe | V. Boneca, eic.
’ Bontsa. V. Amiga, Meretriz.
Bontrs. V. Barröte.
Bonicos, s. m. pl. (6. Pop. et bas) exenömene
d’äne, de chamean,
Bonirıcia ‚etc. V. Bemfsllorizar, eic
BoniwaäTe, 8. m. poupard, marlonnette,
(#g.) Freiuguet, damoiseau.
Bonina, ef. (a de bot.) ‚päqueretie virace;
marguerite, pelite jmarau uerite; petite consire.
BorniL.e a a. lieu od se trouvent beaucoup
de bonımnas
BORISSIMO, A, adj. sup. de Bom.
BonitamentE, ado. gentiment, bellement,
joliment. Tout beau.
Bonıttrs. V. Bonitofe.
Bonırtza , s. f. beauts , gentillesse.
Bonırinuo , A, adj. dim. de Bonito. Joliel,
bellot.
Boxito,&A, adj. joli, gentil, mignon, agrea-
ble, frisque.
Bontro, s. m. * bonite : poisson de ner, es-
pece de scombre.
+ BourLannıa, s. f. (6. de bot.) bonplandie :
grand arbre de ’Amesrique meridionale, cupu-
aire.
Bonzo ‚s. m. bonae ;ı pr&tre chinois ou Je-
ponais.
Po, &ı , (ane.ortih.) V. Bom, Böse.
+ Boöpz, 5. m. (1. d’hist. nat.) boope ; sorie
de thon du Brösil, & trös-grands yeux.
* Boösa. V. Embörs,
Boötss, 5. m. hootös , bourvier, chövre : 00R-
stellation boreale.
Boqusina. V. Boc4jo.
Boqusin, etc. V. Bocajdr, etc.
Boqusiräd, s. m. aug. de Bocca, grande
breche, grande ouverture. Goufire, irou pro-
fond.
Boguzsino, & „pP. p. de
Booussan, v. 0. V. Abocankar, au propre ot
au figure. o. m. V. Boosjar. it. Parler bas,
murmarer entre ses dents.
Bogqutızo, s. m. petit trou pres de Fourer-
ture d’un four.
BooviastaTo, A, adj. (fam.) bayeur : qui
baye ou regarde la bouche ouverte.
Boquianpturz, adj. 2 gen. qui a la bouche
trös-sensible, en parlant d’un oheval.
Bogvscatı0, A, adj. avec la bouche ourverte.
Boquvipöno, A, adj. fort en bouche (cheval).
Bogqvirananuzino, A, adj. (fam.) qui retroeit
la bouche, qui fait des grimaces avec la bouche.
+ Boquirenpino, a, adj. On le dit du oheval
qui a une grande bouche.
+ Boguiratsco, a, adj. qui a la bouche Ifral-
che (cheval).
+ BoqauıLinoo, A, adj. gei & la bouche large,
Bagvim,s. m. "embouchure : partie des in-
struments & vent od l’on applique les l&vres.
° Enguichure : entrde de la trempe de chasse.
Bouquin : le bout de la canne qu’on met sur
les lövres pour soufller io verre,
au
212 BOR
BoquimöLLe, adj. 2 gen. On le dit du cheral
qui a la bouche tendre et Lrop delicate.
Boquintcao , A, adj. qui a la bouche noire.
+ Boovinna, s. f. dim. de Bocca, nom d’un
poisson de la riviere de Couama. Boquinkas,
pl. petits baisers.
Boqvırascanpo, A, adj. quia fa bouche trop
fendue (cheval).
Boqtıinöto, A, adj. bavard, häbleur, babil-
lard ‚qui ne sait pas se taire.
Bontisscco, A, adj. Il n’est employ6 que
dans la phrase suivante : Ficar boquisecco,
restor la bouche close.
Bogisumipo, A , adj. qui a la bouche enfon-
Booquıtönto, A, adj. quiaa la bouche de tra-
vers.
Bonäcıco , adj. m. Acido —, ( 1. de chim.) bo-
racique : du borax (acide —).
Borite, s. m. (t. de chim.) borate : sel,
combinaison de F’acide borique avec diffören-
tes bases. ‘
Borax, s.m.(f. de chim.) borax : borate de
soude, sel mineral, forme de l’acide borique
avec de la soude.
BorsaviLuo. V. Bordadilko.
BorBoL£ta,s. f. V. Rainunculo.
+ BorsoLtra, s. f. (1. d’hist. nat.) "papilion :
insecte & quatre ailes poudreuses, colorees,
venant de chenille ou ver. — diurna, papilion
du jour. — antiopa, deuil. — ida ou de olki-
nhos de pavdo, paon du jour. — dos cardos,
belle dame. — alalanla, vulcain. — da couve,
papillon du chou. — de nabo redondo, papil-
lon de la rave. — d’Apollo, l!’Apollon. — me-
chaor „ porte-queue du fenouil. — argos, l’ar-
gus. — marchelada, damier. — malizade, pa-
pillon panach#. — nacardda , petit nacre.
BoasoLnäd,.
BoRBOLHAR. } V, Borbuilk...
Borsoninua ou BORBORINRO, 8. m. ou f.
murmure, bruit confus de plusieurs personnes
qui parlent ou qui grondent.
+ Bonsorrcno, 8. m. (1. de mdd.) borbo-
rygme : vent brayant dans les Intestins.
‘Bonsotiö, s. m. bouillonnement,, bouillon :
cat, mouvrement de l’eau qui bouillonmne;
abondance, Aux, jaillissement de leau, du
' sang, etc. A borboides, & gros bouillons.
Borsors, s. m. V. Barbote.
BORBÜLHA, s.f. "bourgeon, ail; bouton, pus-
tule.
Boas0LBÄDO, A, pP. p. de Borbulkar.
BonBULnANTE, adj. 2 gen. bouillonnant, qui
beuillonne.
„nonsuLni6 ‚es. m. aug.de Borbulka.V. Bor-
BonBULBAR, ©. w. bouillonner : s’dlever en
bouilions , en parlant des ligquides, comme de
l’eau des fontaines, du sang qui sort, etc. if.
V. Abrolkar.
BonsöLno, 8. m. V. Borbulhlo.
Borcivo, etc. V. Brooddo.
Boncan. V, Emborcar.
BOR
Borcarir. V. Brocatidi.
t Boaczı6rz, s. m. variöid de figuos de I’Eu-
rope.
Bosckıo. V. Fragmento , Pedaro.
Bönco, s. m. de —, la face contre terre.
Bönna, s. f. "bord : extrömits d’une surface,
ce qui la termine. Rive, rivage. (. de bot.)
Lisiöre, pourtour ou marge. A’— , ade. (fig.)
sur le point de, pres de. — falsa, (1. de mar.)
faux cöl£.
Boapina ,s. f. (.de mar.) bordde : route
d’un vaisseau qui louvoie. — d’artilkeria, —,
decharge de tous les canons d’un bord du vais-
seau. Böa — , un bon bord ow un bord qui al-
longe.
Borvanerna. V. Bordadöra.
Bonpino, A, adj. p. p. de Bordar. s. m.
*Broderie: ouvtage de brodeur. V. Bordadüra.
Borpapon, A, s. brodeur : celui qui brode.
Bonpapöra,s. f. broderie : ouvrage de celui
qui brode. (4. de blas.) Bordure:: sorte de cein-
ture pos&e de plat au bord et en dedansde P’&cu.
+ Bonpice, s. f. "bordage: reveiement exied-
rieur en planches d’un vaisseau.
BornaLßnco, A, adj. grossier, ignorant,
stupide.
BorpäLo, s. m. espece de goujon de ririere
(poisson).
BoRpamenTo. V. Bordädo,, Bordadura.
Borpiö, s. mw. bourdon : bAton de pelerin.
—, ia corde la plus grosse qui sert de basse
dans les instruments de musique.
BorpiAozInH0 ,s. m. dim. de Borddo.
Borpvän (de, com), o. a. broder : tracer des
Aigures en relief & l’aiguille, etc., sur des etof-
fes. Border : garnır le bord.
Borne. V. Moldüra.
* Boapzir. V. Baforddr et Bordejär.
Bonpeciö,s.m. V. Rustico, Vil, Zöte.
BonpzJin0, A,p.p. de
Bonpzsin, vo. a. ein. (8. de mar.) bordayer :r
courir des bordöes, aller d’un cötE, d’un au-
tre, quand le vent est contraire ; louvoyer.
Borp£r, s. m. bordel : liou de debauche, de
prostitution.
+ Borpgos, e. m. (t. de gEog.) Bordeaux: ville
de France.
Börpo,s. mw. (f. de mar.) bord : un navire
ou ses cötes. (fd.) * Bordee : route que fait un
vaisseau qui est oblig& de louvoyer. Bord, ex-
tremite. V. Borda. Ira —, estara—, aller &
bord, etre & hord, sur le vaisseau. Pra—,
mettre &ä bord. Navio dalto —, vaisseau de
baut bord. — curio, mauvais bord. Faser —e
curios, courir &ä petites bordees. Cousa d’ei-
to — (fig.), chose excellente , extraordinaire ,
digne d’envie. (4g.) Humeur, resolution, avis,
Aisposition d’esprit.
BöRno, s. m. &rable : grand arbre; robre.
+ Bonvoipa, s. f. coup de bourden ou de
bäton.
+ Borvoipo, A, adj. (t. de blas.) Il so dit.des
croix garnies sux exir&miles de porımmes ou
bötons semblables & ceux des pelerins,
BOR
BorEziL, adj. 2 gen. boreal : qui est du cöl6
du nord, qui appartient au vent du nord.
Böngas , s. m. ° Boree: vent septentrional,
bise.
+Boadı, s.m. ({.de mar.) * &pissoire de bois.
Bonsıuo. V. Borreiko.
Boasonnäö,öBA, |) „et adj. Bourguignon
Bonconulz, A, de la Bourgogne. j
Boacriamiö, ONA,
BoacemmoTa , s. f. bourguignotte : espece de
easıque de Ser sans visiere,
Borir. V. Buril.
Borsica, s. f. sac de chaudronnier ambu-
lant.
Borsschrs. V. Borcejöte.
Bossortra. V. Barjolkta.
BörLs , s. f. houppe : touffe de fils en bou-
quet , boule sur un bonnet. Campane : bouppe
de soie, d’or ou d’argent, fil& aveo de petits
ormnements en forme de cloche. Bonnet de doc-
teur.— do pdo da bandeira ou de flamula, (1.
de mer.) pomme de pavillon ow de Dammes,
Borsar. V. Burnal.
Boruzan0,A,p. p. de
BoawsiR, 0.0. — as pecas, (1. d’artil.) bra-
quer les canons en les soulevant avec la pinco
e les anspecis.
Boau£ıo, 3. m. mouvement circulaire , tour ;
peinie de la leance dont on se servait dans les
joutes et tournois.
+Bonu£ßıra, 3. f. pierre noire dont on fait
des meules pour les moulins; meulidre.
+ Boautıno, adj. (trigo —). On le dit du bl
meulu avec la Borneira. V. ce mot.
Borzto. V. Borneio. |
Boni, s. zı. sorte de faucon de Guinde dont
la plume ost bleuätre.
Boazır , etc. V. Brunir.
Boata.V. Bröa.
Boxor.V. Bolör.
* Bosortoo. V. Borco.
+ Boaguinnas, s. f. pl. (4. de mar.) fourches
car&ner.
Bönas,s. f. lie : depöt que [ait une liqueur.
— ds id, bourre lanice. — de söda, bourre
de soie,. — d’aleaträo, (4. de mar.) rache de
geudron. ( Ad. fam..) Chose de rien.
BonnaczıRo, 3. ms. petite pluie fine.
Bonnacäl, 5. u. marecage. V. Ponlano.
Boasäcua, 8. f. pelite outre pour y melire
da vin. Gemme elastique, caoutchouc.
Bonnacniö, s. m. augm. de Borracha ‚ petite
yeau de bouc & metire des ligueurs. ( fig.)
Ivregae, biberon : sujet A s’enivrer, qui aime &
beire, sec ä vin. — de cam V.Forrisl.
Bonxacntıaa,s.f. "enivrement, ivsesse: dtat
d’une personne ivre. (Ag. am.) Betise, bövue,
hisiserie.
BOR 243
qui ale cerveau troubl& parles vapeurs du vin.
BoRRÄCHO, 8. m. petit pigeon, pigeonneau.
Borrino, A, p.p. de Borrar, adj. bilfö, ef-
fac6, en parlant d’un &crit, d’une inscription.
BoRrAnOR, s. m. brouillard : sorte de regis-
tre des marchands; brouilion. V. Borräo. it.
Barbouilleur, griffonnier; mauvais peintre.
BonnAnOR, adj. Il n’est d’usage que dans
cette phrase. Papel —, papier brouillard ‚ sorte
de papier qui boit.
Borrapöna,s. f. raldre, effacure.
Bonricenm, s. f. (t. de bot.) bourrache ;
plante potagöre, annaelle.
Bonaiıma,s. f. V. Borröna.
BORRALBEIRO, A, adj. qui ne quitte point le
coin du feu; frileux.
BORRÄLHO, s. m. cendre chaude ou il reste
quelques ötincelles de fen.
Bonräö, 3. m. pätö : goutte d’encre tombee
sur le papier. Brouillon : ce qu’on jette d’abord
sur le papier pour le mettre ensuite au net,
Brouillon : nom qu’un petit nombre d’auteurs
modestes donnent & leurs &crils. (1. de peint.)
*Ebauche, crayon, croquis, esquisse : premiere
idee d’un peintre. Canevas : premier projct de
quelque ouvrage d’esprit. (fig.)* Tache, fletris-
sure, obscurcissemen! ; defaut, imperfectlion.
BorrÄr, v.a. effacer, rayer, croiser, barrer,
biffer : tirer des traits de plume sur quelque
ecrit. Salir, tacher; barbouiller. (1. burl.)
Foirer.
BorRrAScA, 8. f. ” orage, tourmente, bourras-
que, tempette, vent impelueux, grosse pluie
mel6e de grele, de tonnerre, etc. (Ag.) Contra-
rieie, difficulte; peril, danger; grand srouble,
sedition.
BORRASCOSO,, A, adj. orageux, tourmenteux:
qui cause des orages,, qui est sujet aux orages.
(Ag.) Violent, [urieux.
Bonrass£ıno. V. Borrackiro.
Bonatco, s.m. belier qui guide les autres.
Borr£ro, s.m. poussin : petit poulet nog-
vellement &clos. j
Borntca ,s. f. agneau femelle.
BoRrEcäDa, s. f. troupeau d’agneaux.
BoRr£cO, 5. m. agneau antenois.
Bonaecufıro, 8. m. celui qui prend soin des
agneaux antenois.
Bonrectinno, s. m. dim. de Borr&go.
BoartLuo,s. m. *loulque, poule d’eau d’un
plumage noir.
Bonr£na,s.f. "troussequin : piece de bois
cintröe qui s’eleve sur le derriera d’une selle,
Boantnto, A, adj. plein de lie.
BoRagTEinO, A, p.p. de Borvetedr.
BORRETEADURAS , 6. f. pi. V. Borradura,
Bonascatır0, 5. m. colui qui fait des outres, | Emenda
Bonnacasıa ou BORRACHINHA, s. f. dim, de
Bonascaich , s. m. (1. burl.) ivre; ivrogne.
Bonnscuicz. V. Borrachtira,
Bonsicao, a, adj. soül, ivre, imbriaque :
BORRETEÄR. V, Borrär.
Bonaırino,A,P. p. de
Bonsırin, v. 6. arroser lögörement, asper-
ger. .
Bonxiro, s. m. * aspersion, arrosement ldger.
213 BOS
Bonriscipa, s. f.”orage avec de la pluie et
du vent.
Bonnisco , s, m. " averse. V. Aguackiro.
BörRo, s.. agueau qui a plus d’un an,
mais qui n’on a pas encore deux,
+ Bonau, s. m. (1. de dot.) borrou ı arbre des
Indes, &corce purgative.
Borroßsa. V. Brotolje.
Boadso, V. Buruso.
Borzecuikıro, s.m. eelui qui fait des bro-
dequins, des bottines,
Boazecuim, s. m, brodequin : obaussure an-
cienne. Bottine : petite botte.
BorzoL£ra, s, f. bourse de ouir & fermeture.
V, Barjoleia.
Boscicz ow Boscicem, 8. f. *bocage : bos-
. quet, petit bois, (4. de peint.)* Paysage.
h BoscanBıo, a, adj. booager : qui habite les
ois,
Bösco, V. Bosque.
Boszipo,A,Pp.p. de ,
Bosein, v. a. parler, crier aux animaux.
Bosiı, s.m. (1.d’arch.) bosel,, Lore. V. Boodl,
Bössono, V. Bösphoro.
Bosina. V. Buzina,
+ Bosxiaco,a, adj. et s, bosniaque : de la
Bosnie. |
Bösruono, s. m. (ti. de geogr.) bosphore ı
detroit qui separe deux continents et falt cam-
maniquer deux mers.
Bösaquz ‚s. m. bois : lieu plant& d’arbres sau-
vages. * For6t: grande dtendue de terrain cou-
verte de bois, *Futaie: bois compos6 de grands
arbres,
Bosgunsano, A,P. p. de
Bosqugisin, o. a. ($. de peint.) &baucher,
eroquer, effumer, esquisser : commencer gros-
siörement un ouvrage de peinture, lui donner
les premiers traits. Ebaucher un ouvrage quel-
eonque. (fig.) Douner uns idee confuse de
quelyus chose.
Bosquß1o, s. m. (8. de point.) " esquisse, äbau-
che, crayon , croquis : ouvrage de peinture qui
n’est que grossiörement commence. *Ebauche:
ouvrage qui n’est que commencd. (fg.)" Ebau-
che, canevas, On ledit figur&mentdesouvrages
d’esprit,
Bosqutte, s. m. dim. de Bosque. Bosquet,
bouqueteau, petit bois, touffe de bois.
Bosquszinno, s. m. dim. de Bosque, et plus
petit que Bosqudie.
SSAR.
aan } V, Bog..., ele-
Bosstrz. V. Boodie.
+ Bossr', s. m, (£. de bot.) bassy : arbre d’A-
frique, Alfruit on prune allonge6e.
Bösra, s. f. fiente, bouse de bauf ou de
vache.
Bostipo, A, p.p. de Bostdr.
BostiL, s.m. &table pour les baufs et les
v .
+ Bostancı, s. m. bostangi : Jardinier turo ;
Intendant des jardins du sultan en Turgnie.
} Bostän, v, @. jeter la bouse, la fiente,, en
BOT
parlanı des baufs et des vaches. (Ag.) Dise des
mots degoütants.
+ Bosttıro, s.m. (1. d’hist. nat.) bousier:
genre d’inseotes col&optäres.
Bosr£Lıa. s.f. pustale : &chauboulare.
BOSTELLENTO , A, adj. pustaleux : convert de
pustules.
* Bost£ıLo. V. Bosque£ie.
BostTzLL080, A. V. Bustellente.
+ Bösron, s.m. boston ı sorte de jeu de
cartes.
+ Bostaicno, s. m. (1. d’Mst. nal.) bostrich:
insecte xylophage.
Böra, s. f. botte : chaussure de cuir qui en-
ferme le pied, la Jambe, et quelquelois le ge-
nou. Petite outre. V. Borracha. Cuve, tonnesu
pour metire da vinet d’autrea liquides, Bötss
de cankäo, boties A revers. —s de monler,
bottes fortes. —s d’agua, grosses bolles qui
montent jusqu’& !’aine pour entrer dans l’eau.
—s joelktiras. V.ce mot. Tirer, descalper as
—s, debotter : öter les bottes. Estar com as —s
calcadas, dire tout boti6 : &izs pretä partir pouı
un voyage. Au fgure, il signifie &ire pr&t, dis-
pos6 & faire une chose. Assobiar as —s, (ewpr.
burl.) frustrer l’attente de quelgu’un, le trom-
per.
+ Boräina, s. f. coup de botie.
Borinpo, A, p.p. de Botär.
+ Boraner,, s. m. (1.de mar.) ’ rebousse: ou-
til de fer pour repousser les chevilles.
Boraröco , s. m. (4. d’artül.) boute-feu : bi-
ton , foarchette aveo une möche pour allumer
le canon ; incendiaire; (Ag.) celui qui exeile
des discordes, des querelles. EB’ um boie-foge,
c'est un brülot, un boute-fen.
BOTAFöcO , adj. 2 gen. qui Jeite du feu.
+ Böraröna, s. m. * sortle d’un vaisseau da
port; festin, repas que donne le coapitaine 4
cette occasion.
+Borir,s.m. (i.dechir.) botal:: trou, canal
pour le passage du sang dans le ftus.
BoraLös, s. m. pl. (1. do mer.) boute-hers:
pelites vergues pour porter les bonnelies en
6tai ; longues perohes arm6es de orocs.
Borinıca , s. f. botanique : solonoe qui Wwalle
des plantes oonsidördes comme #ires natureis,
ei de leurs propriötös.
Borinıco, A, adj. botanigue : de la bols-
nique. e. m. Botaniste : qui s’appliquo & la bo-
tanique.
+ Boramoerarnlia, 3. f. botsnogrephie : des-
cription des plantes.
‘+ Boranorocla , s. f. botanologie ı trails
raisonne de la botanique.
+ Boranouanda, s. f. botanomancie : art de
predire par les vögölaux.
+ BoranöptıLo, s. m. botanophile : qui aime
la botanique.
Boriö, s. m. bouton : bourgeon des arbres;
la fieur avant son developpement; petit rond
ou plateau pour attacher les vötements; eo qui
en a la forme, —, babe, ioflanımallon, dlevure
sur la peau. — de fogo (4. de chir.) bouton de
lea : bouten de fer rougi au feu, dont las ohi-
rurgiens se servent en plusieurs opäralions,
— despada preis, bout de fleuret. — de cabo
(1.de mar.) amarrage ä plat. — om orüsz, amar-
rage en &iriere ow bride. — dos ovens,, amar-
rage & plat des haubans. — pora alracar dows
esbos, amarrage ä [faire approcher deux grosses
cordes. — de cabo delgado, aiguilleites.
BoTÄ0ziun0, 3. m. dim. de Botso.
Boriß, oe. e. lancer, jeter, avancer, s’dten-
dre. Butter. V. Deiser, ri, usser,
rebrousser, Öter la pointe ou le tranchent,
— 03 denies, agacer les denis, V. Embotar.
— os mssiardos d cunka, (i.de mer.) guinder
les mäts dehune. — a lancha, 0 bote föra, (id.)
mettre la chaloupe, le canot & la mer.
Borla-ez, o,r. se jeter, se lancer. V. Dei-
Jar-08. . 66. S’dmousser. V. Emboter-
s.
Borarto „ s.m. (4. d’archit.) aro-boutant ı
pilier de vote termine en demi-aro.
BoTa-SELLA, 5. m. (6. mil.) boute-selle : si-
gnal pour seller les chevaux.
Börz, s. me. petit bateau,, canot, st. ° Bolte;
evup de lance, de pique; etc.
Bortıza , s. f. bouteille, vaso & large vontre
et & goulot, pour les liquides ; son oontenu ;
ampeule.
Borsıutıno, s.m. bouteillier, boutillier : qui
a soin des bouteilles,
Borzıuiama , 8. f. dim, de Botelha.
Borzguiu, s. m. calö : eu public oh l’on
prend toutes sortes de liqueurs.
Borzoumssıno, s. m. colui qui a un cafe;
lmonsdier , colui qui fait et vend des rafral-
chissermenis
Borica, s. f. pharmacie, apothicairerie ı lien
oü Yon garde et vond les remeddes.
Borncib ,s. os. davier : instrument, tenaille
de dentiste, r
Borıciaıa, 3. f. apothiealresse ı femme qui
vend , qui pr&pare des remödes.
Borscinıo, 5. m, apothicaire, pbarmacien ;
celsi qui prepare, qui vend des remödes,
Borlsa, s. f. "flacon : jarre, dame-jeanne ;
sorte de vase de terre a anse at A goulot. u do
esiai, (k. de mar.) pommes d’etai. —s de cabe
Cy , (dd.) pommes de la tournevire.
BorrLuio. V. Alge.
Boriw, s. m. brodequin, V. Borzeguim,
Borisa, s. f. dim. de Bola. botline : petite
Boriquzıno. V. Logista,
Borges. V. Botequim.
Bormis, s. m. "nasse en forme d’entonneir
pour p&cher les lamproies.
BörTo ‚9. m, poisson de mer qui ressemble au
Boro, a, adj. dsnousse. (Ag.) Obtus: quia
esprit peq pen6trant; paresseux, negligent.
V. Ewbotdde. N
Boroapo,
Borotına,
„,
V, Aboton... ,ete.
BRA 315
Boroıao, 5: m, boutennier ; celul qui fait
des boutons.
Boröogue. V.
Ri Börays, 5. mfLt. do Bot.) "anserine botridet
x,
RorroR, s. m. pl. prötses de Buddha dems
"Asie.
Bousas, s. f. pl. uledres veneriens, ohan-
ores
Boustxro, A, adj. obanereuz ı qui a un
ohanere.
Bovca ‚a. f. terre ineulte, störile.
4 Bonckina, e. f. la premiöre dtoupo quı’en dte
a lin.
BoucHa, #. f. broussailles brüldes.
Bouszear. V. Bosear.
:*Bovrıgaa. V. Baptizar.
* Bouzzar, ote. V. Bosear, ete.
* Bövzpa. V. Abödada,.
Laorino, A, adj. (4. de pods.) borvine, de
uf.
umoxl, s. f. petite malle usilse entre les
Bo
Boran. f V. Boi..., ei.
Boyz.
Bozmaia. V..Voxeria,
Bozını , ete, V. Burine.
Brası. V. Brava, Bravia.
BRABANTE, 5. m. V. Borbante. It. brabame ı
tolle d’dtoupe de lin fabriquee A Gand.
+ Baasantks, A, adj. et s. Brabangen : du
Brabant.
Brasosınine. V. Bravosidade , Braudia,
Brasöna. V. Bravöra,
+ Brasyıa ow BaazıLon, 8. f. ou m. (#. de
bot.) "brabei & feuilles en ötoile, plante protse.
BRACAMÄRTE, s. m. braquemart : öpte court®
ot large qu’on portait le long de la culsse.
Baica, s. f. brasse: mesure de deux bras
@tendus, 8 pieds : 2 mötres 3 cent. (en Por-
tugal). '
Bnruckpa, s. f. brassse: contenu entre les
deux bras. A’s bracadas, (loc. adv.) k grands
pas, ä pas de geant.
Bracapkınas, s. f. pl. les courroies mises om
aro par ol se metient les bras, V. Embraga-
deira. — de ferro, ( t. de mer.) ötrieux de fer.
— da espingarda, capacines : pidoes du fusil,
anneaux qui embrassent le bois ot Je canon.
Bracino, s. m, V. Brardda. It. Fascicule :
certaine quantit& de plantes lides ensomble.
Bragige ou Bracaces, 6. f. "service, travail
des bras;; ce qu’on peut gagner dans son &tat,
dans son mötler. * Brassage : droit du malire
pour la fabrivation de la monnaie. .
Bracir, s. m. brassard : partie d’arınure qui
couvrait le bras.
Braciı, adj. 2 gen. brachial : qui a rapport
aux bras; tir6 A bras.
+ BaacaLörzs, 8. m. pl. (f. de mar.) pen
deurs de bras.
Bnaczino , A, PP: do Drawer.
Baacricau, s. f. "monnayage
brication de la monnaie. V. Br
Braczir, 0.» mouvoir les bras. V. Brace-
jer. v.a. (1. de mar.) brasser : faire la ma-
nauvre des cordages. — por barlavento, bras-
ser au vent, faire bon bras. — por solarento,
brasser & porter, decharger les volles. — as
oergss ao comprimenio do napie, meitre les
vergues en pantennes. — por bombordo , bras-
ser bäbord. — por estibordeo,, brasser tribord.
— avanle por bombordo , e ard por estibordo,
brasser bäbord devant, et tribord derriöre.
= vor barlavento , hrasser au vent. — em re-
dondo,, brasser en croix. — para alravsssar 'o
navio, brasser sur le mät, brasser & ooiffer,
conire-brasser.
Baac£ıao, s. m. celul qui donne & un aufre
son bras pour s’appuyer. On lo dit plus commu-
nement de celui qui donne le bras aux dames.
Journalier : homme qui travaille & la terre. Celui
qui tire bien la barre , qui a bon bras & ce jew.
Baackıno, A, adj. de bras : qui appartient au
bras. On le disait autrefois des armes qu’on li-
rait avec le bras, telles que la lance, le
dard, etc.
BaacgıiR,v. ®. mouvolr, remuer les hras.
(g.) Lutter avec peine.
BracEL£TE, 8. m. brocelet : bijou que Y’on
porte au bras; ce qui couvre, garantit le bras.
* BRACELÖES ou BRACELONES, 8. m. pi. bras-
sards : sorie d’armuro pour couvrir les bras.
+ Bracuantnse Yu BAACARENSE, 8. et adj.
de Brague, qui appartient & Brague, grande
ville du Portugal.
Baäcaı , s. f. accent bref (v).
BaachıäL, adj. 2 gen. brachial : qui arapport
au bras.
+ Baucnıöno, s. m. (4. d’ist. nat.) brachion :
scorp@ne, polype.
+ Baacav'ceno, 5. m. (l.d’hist. nal.) brachy-
eöre : insecte coltoptöre. — achalado , aplail.
f Baacurorapuia, 3. f. brachygrapbie: art
d’ecrire par abreviation.
+ Bnacur’cnarno, 3. m, brachygraphe : qui
derit par notes abregetes.
BracuvoLocia, s. f. brachyologie ; manidre
de s’exprimer par sentences.
+ Baacnıeuka,s. f. (1. de med.) brachypnee ;
respiration courie et lente, ou presste.
. PBracıcänpıno, A, adj. (1. de pods.) quia
les bras tres-blancs.
Bracinuo, s. m. dim. de Brago.
Bracueng. V. Brahmene.
Brico, s. m. braque, braquet : chien de
chasso & poil ras, oreilles pendantes.
Baico,s. m. bras : membre du corps humain
qui tient a l’epaule; ce qui en a la forme. ]l se
dit du cheval, du singe, elc. (1. d’anat.) Partie
du bras de l'’epaule au coude:: le reste prend lo
nom d’avant-bras. Flöau : verge de [er oü sont
attach6s les deux bassins d’une balance. ( Ag.)
"Branche, rameau. (id.) " Valeur, courage;
puissance, aclion, pouvoir, autorite, juridiclion,
„ creisilion, traverse, hras d’ane
‚ brassage, fa-
BRA
eroiz. — de Deos, bras, main, puissance de
Dieu. — de mdr, bras de mer: partie de la mer
entre deux lerres voisines et paralldles, — da
nobreza , deputes de la noblesse aux Glats du
royaume. — erelesiastico ou do clero, deputss
du cierg6 aux €tats du royaume. — do poro,
tiers-etat:: les depules du peuple aux diats du
royaume. — do reino, chacım des ordres du
royaume depul& aux etals. — secular, hras se-
culier, puissanoe terrestre. — real, puissance,
magnificence royale. — da rabeca, eic., man-
ehe d’un violon, etc. Brapo a—, ou — por —,
bras & bras, corps & corps, avec des armes
egales. Com o — ao peito, le bras en echarpe.
Homem de — e de saber, homme vaillant et
savantı. Ser 0 — direilo d’alquem, (fig.) etre
le bras droit de queiqu’'an; e@tre son homme
de conflance. gar ao — secular, livrer au
bras seculier, au propre et au figure. — de can-
dieiro,, branche de fiambeau. Ndo dar 0 seu —
alorcer, (loc. fam.) ne se laisser pas violenter.
— dencher, (1. de const.) allonge de remplis-
sage. — postigo , ( id.) allonge postiche. —, om
forro do farol, aiguilles de lanal. Bragos, pi.
(Ag.) pouvoir, danger ; jouissance. Ex.: Salver
alguem dos — da morie, sauver la vie & quel-
qu’un, Farracher & la mort. Nos— dos
zeres, dans la Jouissance des plaisirs. Ander
a — com, lutter : oombaltre contre ou avec, au
propre et au figure. 4’ forga de —, & force de
bras. (fig.) A force de merite, de travail, de
peine. Com os — abertos, & bras ouverts, cor-
dialement, avoo joie. Dar-se 08 —, s’embrasser.
No ter sendo os seus —, ne vivre que de son
travail. Ester com os — runados, @tre oisif,
paresbeux ; se tenir sans rien faire. Faser cair
08 — a alguem , dbeourager enlidrement , cau-
ser l’&tonnement, la stupeur, Fimmobtlite.
Langar-se nos — de..., se jeier dans les bras
de... se livrer, s’sbandonner ä&... — do esver-
name, (1. de const.) allonges. — dos prodi
do pordö, (id.) allonges de porques. — da via
grande, (1. de mar.) bras grands, bras de la
grande vergue. — de gavea, bras du grand hu-
nier. -— do joanefe grande, bras da grand per-
roquet. — de barlavento, bras du vent. — de
sotlsvenio , bras de dessous le vent. — seccos oa
da verga secca, bras de la verge söche. — dos
mancos , allonges de corniere.
Bracrzino, a, adj. (4. de bot.) bracteiläre :
qui porte des braciees.
tBracreines, adj. pl. (glandulas —, I. de
bot.) glandes dans les bractdes.
BaictEas, a. f. pl. (6. de bot.) bractses : ex-
pansion qui accoınpagne les fleurs & ia base
des pedoncules ou feuilles florales.
Bracino, A, adj. quia des bras vigourenr.,
Beapino,Aa,p. p. de Bradär.
Baanino, 5. m. V. Bredo. It. celoi qui,
quand on chante la Passion, chante le plus
baut, im#ant les cris de Ja synagogue.
BrADADOR, A, 8. crieur, celui qui crie.
Bravin, 9.0, otm. crier fort; declamer avec
feu; vociferer. — for alguem, appeler quel..
BRA
qu’oa & grands oris. — d’alguem, crier oonire
queiqu’en.
Baa0o, 5. m. cri, clameaur, grand bruit. V.
Grite. Dar —, faire du bruit. Il se dit de l’eclat
que font certaines choses dans le monde. —s da
der, da afliegde, pleurs, lamentations. Dar
—, pousser de grands cris.
+Baapırarsia, s. f. (1. de med.) brady-
pepsio : digestion lente, faible et imparfaite.
+Bauprro, s. m. (1. d’hist. nat.) bradype:
aimal du genre des paresseux.
+ Baapr’r0no, A, adj. (f. d’hist. nal.) bra-
dypode : qui marche lentement.
Bassontına , s. f. (. d’anc. mil.) armure qui
couvrait la partie superieure du bras. Dans les
yabils, e’etait une bande ou bourrelet qui em-
brassait la partie superieure Ju bras.
Baaca, 5. f. "alganon : petite chalne pour les
Iorcats qui sont en ville. * Lange, eloffe dont on
enreloppe les enfants en maillot. * Pans d’une
chemise. ( 4. d’imgr.) Braie: le parchemin que
Fon eolle au grand tympan quand il est use.
(t.de mer.) Brague. Bragas, pi. bragues : cu-
löttes ıres-amples.
+Baacäpa, 5. f. la partie ınlerieure des
esisses d’an choral.
"Bascapıca,s.f.valeurd’un bragal. V.cemot.
TBaacäpo, A, adj. On le dit des animauzx,
eparticalierement des bauls qui ont destaches
de differentes couleurs enire les Cuiss6S.
Bascapdaa, 3. f. enfourchure : partie du
eorps entre les cuisses. Le dedans des cuisses
dans ious les animaux.
DasciL, s. m. sorte d’ancienne toile gros-
sitre; drap pour couvrir la farine pötrie. Um—,
e’ütait anciennemen! qualire aunes A peu pres
de la toile gu’on appelait dragal.
Baacanıe. V. Bargante.
+ Bascizca, s. f. (1. de göogr.) Bragance:
ville du Portugal. Casa de —, maison de Bra-
ganoe, la famille regnante en Portugal.
$ BaacanTınO, A, adj. ei s. de Bragance:
Estirpe —e , la race do Bragance : la famille
roysle du Portugal.
*Baıckı. V. Bragal.
* Bascutıno, s. m. brayer: bandage pour les
bernies. * Drague : gros cordago qui sert sur
les vaisseaux & arreier le recul des canons.
— grende,, (1. de mar.) brague & lirer un vais-
seau A terre. u
*"Barcıeı. V. Tıra.
Baacutz. V. Bracharense.
Bescriıma, s. f. brayelie: fente de devanı
d’un baut-de-chausses.
+ Baanna, s. m. Brabma, Bhiham ou Brihm :
divinite des Indes orientales.
Basnuangs, s. m. pl. bracmanes, bramins,
bramines : pretres ou philosophes indiens.
Baiua, s.f. V.Börra. (l.d’hist. nat.) breme:
peisson d’eau douce, large et plat, du genre
eyprin.
Baımapkıno, 5. m. lieu oü les bites fauves
se rassemblent quand elles sont en rut.
Baauino,A,p. p. de Bramdr.
BRA 217
DBRAMADOR, A, 5. et adj. mugissant : gui mu-
git. Il se dit au figur6 des flots et des vents.
BRAMÄNTE, qui mugil..9. a. de
BRANÄR, v. ». bramer : mugir, crier. Il se dit
de3 bauls, ot, au figure, des vents et des flois,
V. Bramir. — (de), ( ig.) se fächer a l’exoos,
devenir furieux.
BrauiDo, 8. m. mugissement, beugloment :
eri du bauf. On lo dit, au figure, des vents et
des vagues. Rugissement : cri du lion. Cri : volx
forte et confuse d'une personne en colere,
Brauınor. V. Bramador.,
Baauın. V. Brahmane.
Baauin, v. 9». crier, jeter des crig &pouvan-
tables; hurler ; tonner, gronder;; rugir ; mugir.
ll esı plus usit6 au figure qu’au propre.
Bramüra. V. Bramido.
Bränca,s.f. (6. de mus.) blanche : note de
musique qui vaut deux noires, ou la moiti6
d’une ronde. ( 4. de jew) Carte blanche.
*Branca. V. Braga, Grilhäo.
BruncacenTo. V. Alvacento.
" Baanciceu, s. f. aucien droit sur le pain
quel’on vendait dans les marches publics.
* BaancäL. V. Esbranquigado.
Brancas, 3. f. pl. cheveux blancs ou gns
d’une personne.
BRanca- URBiNA , 8. f. (t. de bot.) branch
ursine , acanthe. — bastdrda. V. Canabrdz.
+ BaancmäL, adj. 2 gen. (tl. d’hist. nat.)
branchial : des branchies.
Bräincuus, s. f. pl. (t. d’hist. nal.) bran-
chies : oufes, organe respiratoire des poissons.
Bainco, a,adj. blanc: couleur de lait, de
neige. Albugineux. farineux. Ropa —a, linge,
tolle coupee pour differents usages,, soit de la
personne, soil du mönage. Armas —os ‚ arımes
blanches; &pee, pique, eic. Mdgica —a, art
d’escamoteur. Carla —a, carte blanche : plein
pouvoir.
Baänco, s. m. blanc : coniraste du noir;
couleur blanche ou qui en approche. —, e8-
pace qu’on laisse dans un &crit sans le rem-
plir. — de ovo, fard : blanc de fard fait aveo
des coquilles d’auf. Madeira em —, bois tra-
vaille qui n’est ni peint ni verni. Assignar ens
— , donner son blanc-seing. Cedula ou palente
em — , blanc-signe, blanc-seing. Pör os olhos
em — , tourner lesyeux de maniere a n’en lais-
ser apercevoir que le blanc. Beber em —. Il se
dit des chevaux qui ont des Laches blanches sur
les lövres. Deixar alguem em —,(fig. fam.)
refuser & quelqu’un ce qu’il damande, oublier
sa demande, tromper, trahir ses esperances.
Deizar om — alguma cousa, (fig.) oublier,
omettre une chose. Ficar-se em —, (fig.) dire
oublie , &ire fruströ dans son attente. Ndo dis-
finguiro — do prelo, (fig.) no pas distinguer
le blanc du noir : @tre ignorant, stupide au
point dene pas savoir, de ne pas comprendre
les choses les plus simples,
Baancöna,s. f. blancheur ; la couleur blan-
che.
*Brinpa. V, Yardında,
218 BRA ne
+ Baınnizs, s. m. pl. (t. de mer.) galau-
bans ow galhaubans : cordes pour affermir
les mäts. — volantes, galaubans volants.
BRANDAHRNTE , adv. mollement, douoement,
deölicatement. (fg.) Aveo douceur, aveo doci-
ll, avoo affabilite.
Baaupaö, s.m. "torche , lambeau , brandon.
Baampüza. V. Brandüra.
f Baanmtngog, &. m. nom qu’on donne aus
soldats qui defendent les fronlieres de la pro-
vines de Buenos-Ayres.
Baanpioo, A, p.p. de Brandir.
BRANDIMENTO, s. m. action de brandir.
JR AANDINNO, A,adj. dim.de Brando , mol-
Baanpfr, vo. a. brandir, vibrer, en parlant
d’une lance , d’une &p6e, etc.
BaANDISSIMO , A, adj. sup. de
Bainpo, A, adj. mou , mollet, doux, douil-
let. (Ag.) Mou, douillet , commode, trop indul-
gent, trop faclle; doux, suave, agreable, alla-
ble; temp6re6 , moder&, leger. — da bocca. ]l se
dit des chevaux qui ont la bouche sensible,
dölicate , qui o&dent, qui obeissent & la bride.
Tempo —, temps mou, tempere. Homem —,
(fg.) homme effemine, qui n’est pas propre au
unvall; persoune qui a un caraciöre doux, fa-
e.
" Branpöuro. V. Varadouro.
Branpüna, s. f. mollesse, douceur : qualit&
de ce quiest mou ou de ce qui est doux au
toucher. (g.) Amenits, affabilits, bont6, ama-
bilitö, douceur ; benignite, moderation. V. De
teile, Regalo , Delicadeza.
* Bainua.V. Brönha.
Baangueino,, A, pP. p. de Branquedr.
BRANQUEADOR, A, 3. et adj. qui blanchit,
qui erepit.
BranQugapdna , s. f. * blanchiment : Yaction
et l’effet de blanchir ; blanchissage.
BRrANQUEANE£NTO. V. Branqueadüre.
Baanguräir, v.a. blanchir : mettre da blanc,
faire devenir blanc. (4. de charp.) Dögrossir,
raboter une planche.
Baungueir, v. m. blanchir : devenir blanc.
(fig.) Vieillir.
Baangueanla, s. f. blancherie, blanchisse-
rie : lieu od l’on blanchit les toiles.
BRANQUEJÄR,, v. n. blanchir : devenir blanc;
eommencer & devenir blanc. V. Alvejdr.
BaAngQußTa, 8, f. (l.d’impr.) "blanchet: mor-
ceau de drap, de molleton sur le tympan, Drap
blano pour filtrer. Tissu grossier de laine,
dont ceriaines rellgieuses faisalent des che-
mises.
BRANGUIDOR ‚s. m. celul qui, dans les nötels
de monnaie, est charg6 de blanchir et mettre
en couleur les pieces d’or et d’argent.
BRANQUIMENTO, 8. m. blanchiment : Y’action
de blanchir les monnaies avant de les frapper.
Baquet oü les orfövres font blanchir la vais-
selle. Melange d’eau forte ei d’eau commune
dans lequel les orf&vres font bouillir Pargente-
Flo.
BRA
Baanguinuo, A, adj. dim. de Drameso.
BaAnquissımo, A, adj. sup. de Brameo.
Bräcaı ou Baiza, s. f. braise : charbon ar-
dent. Ferro ew—, fer rouge. Bstar m —,
(Ag.) ötre en oolöre, trös-irrits. Kstar feile
uma — de ouro ,(id.) &ize dore oomme un ca-
lice , brillant comme l’or. Como galo por —,
(fam.) comme chat sur braise. Ficer —, rou-
gir de honte, de oolöre. Maar @ —, sur-
passer.
Brustirinno, s.m. dim, de Braseiro. * Chauf-
fereite : pot rempli de feu, que les fommes
mettent sous elles.
Braskırno, s. m. brasier : bassin de metal
plein de braise pour chauffer une chambre.
Bücher : tieu od !’on brüle les eriminels.
Bausivo , s. m. brasier : feu de charbons ar-
dents.
BausiL, s. m. (f. de geog.) Bresil: empire
d’Amerique. Pdo —, bois de Bresil. Couleur
rouge qgu’on tire du bois de Bresil. Brasis, pl.
Bresiliens : les habitants indigenes du Bresil,
que !’on appelle Indiens.
BaasıL£ıro, A, adj. et s. Breösilien: du Bresil.
BrasıLtro, s. m. brösillet: bois du Bresil,
d’une qualits inferieure au br&sil An.
Baısiö, 3. m. blason : armoiries, assem-
blage de tout ce qui compose l’&ca armorial.
* Heraldique : Part d’expliquer, de deerire les
tous d’armes. (fig.) "Honneur, polnt d’hon-
neur.
Brasonin. V. Blasondr.
Brässıca-marinna. V. Soldanelle.
+ Brartnitzs, s. f. (1. de min.) brathite :
pierre qui repr&sente les feuilles de ia sabine.
BRÄVAMENTE ‚adv. bravement, vaillamment;
cruellement, terriblement ; üerement.
Bravania. V. Bravdia.
Bravita, s. f. bravade : action ou parole
par laquelle on brave , oa P’on prötend intimi-
der quelyu’un. Rodomontade, fanfaronnade.
BrAavATsiDpo,A,p.p.de
Bravarein,v. n. faire des bravades; faire
le fanfaron.
Bravartıno, s. m. fanfaron, rodomont , cex
lui qui fait des bravades.
Bravssir. V, Esbravejar.
Bravtzı,s.f. V. Bravüra, valeur, courage.
Furie, courroux : colere du clel, de la mer,
des elements et aussi des bötes.
BravinBo, A, adj. dim. de Bravo.
Bravio, A, adj. farouche, feroce , sauvage,
indompts, qui n’est point apprivoise, en per-
lant des animaux. (fig.) Sauvage, agreste , en
parlant des arbres, des plantes, des fruits.
(id.) Sauvage, rustre, en parlant des personnes,
(id.) Rudanier, brusque, prompt : rude & ccux
a qui il parle. O gado — ‚les laureaux et les
beies feroces.
+ Brivıo, s. m. prix des jeux publics, r&
compense du vainqueur.
Bravissımo, A, adj. up. de
Briävo,A, adj. brave, vaillant, courageur.
Feroce ‚ cruel, farouche, sauvage. V. Bruvie.
1
BRE
Ben, exosllent, parfalt. Agit&, houleux, Ina-
bordable , en parlant de la mer. Äpre, inculte,
raboisux, escarpe. Somplueux, magniflque,
superbe. Cräne, fanlaron , rodomont. Poreo—,
sanglier. Brdco! inlerj. bravo! mot dont on se
sert paur fdmoigner son approbalion, pour
applaudir un acleur, un chanteur, etc.
Baavosınips, s. f. V. Bravdıs, Bravüra,
Bravöso. V. Brävo.
Basvönı, s. f. ferocit6 d’un animal. Bra- | Caf
voare , oourage, valeur Eclatante.
Bräiza, oic,
i Y. Bras... b} etc.
Baaziö.
Bauzıı, ete.
Bazipo,4,p. p. de Bredr.
Bazındaa, s. f. couche de goudron.
Bazir, e. a. goudronner ; enduire de gou-
dron. V. Aleafroar. — as cosluras, (1. de mar.)
brayer les coutures.
„s. f. pelade de chövres et d’autres
animaux. (Ag.) Humeur, colere. Estar levado
da — avoir de l'bumeur, &tre en colöre.
Batcona, s. f. bröche : ouverture faite de
force & un rempart. —, ouverlure, trou fait &
une haje, A un mur. (fig. fam.) — , dommage,
tort qui est fait & l’honneur, A la fortune de
quelqu’un. (dd.) Impression que fait dans l’es-
yit la persuasion d’autrui. Bater em — , battre
en bröche. (Ag.) Poursuivre quelqu’un.
Bazcuiı, s. m. lance courte de cavalier asia-
que.
* Batco. V. Bergo.
+Batvos, s. m. pl. (1. de bot.) amaranthe
verte. — vermöihos, amaranthe mölancolique
“strieolore suisse.
Bazpofca. V. Beldrodge.
*Batoa. V. Briga.
Buscino, A, P. p. de Bregar.
Bazcanrım. V. Bergantim.
"tBancis, vo. a. p6trir les päles, le pain.
Brigtiro. V. Broeiro.
Bazcua ow BRECHATE, 8. m. (fl. d’anat.)
bregma : sineipat, partie de la 186 qui, dit-on,
est toujours humideo chez les onlants.
Bascraciö , s. m. V. Bribigso.
Batıtına ,s. f. polissonne ; coquine.
Batıtınäö, s. m. aug. de Bräjfiro.
Batıkınlcz , 8. f. polissonnerie,.
Batıtıno , 5. m. polisson , mauvais dröle,.
Batıo, s. m. marstege. V. Paniano.
Baz)öso , A, adj. marecagoux. V. Panianoso.
Balz , s. m. caillou.
* Bazıogun „s. m. V. Bagatells , Friolera.
Batusı. V. Broma ( poisson).
+Batuı, s. f. (ti. de gdog.) Bröme ı grande
ville d’Allemagne.
+ Baxutz, A, 0dj. et s. de Bröme.
Batuua, s. f. * buisson : touffe d’arbrisseaux
tpineas, Terrain raboteux, crevasse , 6ca-
breux , rempli de ronces.
Bazunöso, a, adj. bulssonneux : plein, cou-
vert de buissons.
*Baznstoa, s. f. V. Nebrina.
BRI 219
t Brönto,s. m. (4. d’Aist. nal.) brente ı co-
l&optere rhinocdre.
Br£o ow Breu, 5. m. coudran, coudron :
sorte de goudron pour les cordes. Brai : me-
lange de gomme et autres matidres rösineuses
pour calfater.
t Bazauinna „s. f. barres de fer rondes, fer
ron e
Bretanciı, s. m. tolle de ooton [alle par les
res.
Baxtinnua,s. f. (f. de geog.) Bretagne: pro-
vince de France. it. Toile de Bretagne.
Breriö, s.m. Breton:: le natif de la Bre-
tagne.
Ba£TE , s. m. piege.
Baxroßıa. V. Brotofja,
Brerönıca. V. Belönica.
BaßvE, s. m. bref : lettre pastorale du pape.
Breve : syliabe dont la prononciation n'est ni
longue ni douteuse. Bröve : note de musique
qui vaut deux rondes. Breves, pl. abröviations
dans l’öcriture,
Bre£ve, adj. 2 gen. brief, court: qui a peu de
durde, d’etendue. Em —, sous peu. Em —s
dias., dans peu, bientöt.
Ba£VvEM£NnTE , adv. brievement, promple-
ment, lestement, vite, vitement; dans peu de
temps, bientöt.
Baetvıa,s. f. t6crkation dans une commu-
nauls, vacance.
Bazvıino. V. Adreviddo.
Brevıinıo, 3. m. br&viaire : livre d’olfice de
chaque jour pour un prötre, un beneficier.
Caraciöre d’imprimerie tres-petit, qui sert &
imprimer les bröviaires. Abr&ge d’un ouvrage.
Bazvınioe,, 8. f. briövete, l&egerete, vilesse,,
peu de durde d’une chose.
BazvıLoqußncıa,, 8. f. brievets, conclsion
dans un discours,
BABVILOQUENTE „ adj. ? gen. concis : qui
parle aveo cancision.
Bneviörıo. V. Brevidrio.
+ Bagvirzpes, s. m. pl. (4. d’hist.nal.) breri-
pedes : famille des oiseaux qui ont les pieds
courts et peu propres & la marche.
+ BaEvipennes, s. m. pl. (b. d’hisl. nal.)
brevipennes : brachypteres, ä courtes alles -
ordre des gallinac&es (l’aulruche, etc.).
+ Baevınostaos, s. m, pl. (1. d’hist. nal.)
brovirostres : oiseaux & bee court ol gros.
BREVISSIMO, A, adj. sup. de Breve.
Bazvista, s. m. ou adj. celui qui est intelli-
gent sur les breis apostoliques.
Brıir, 5. m. * Jjupe de soie ou d’une autre
etoffe riche. Partio de la cotie d’armes, depuis
la ceinture jusqu’au dessus des genoux.
Brianto,s. m. (4. de myih.) Briareo : geant
qui avait cent bras.
Brıpanze. V. Birbante.
+ Brinıchö, 5. m. (t. d’kist. nal.) bucarde ;
mollusque ac&phale ; testace bivalve. — grande
eoraguda, caur de Vönus. — ordinario comes-
tible ‚la coque. — acosielddo ou acostilhado , le
caur A cötes. \
2% BRI
Brica, 2, f. (1. de blas.) espace dans !’-
eusson.
Bnicue, s. m. sorte de drap en laine sans
etre teinte.
Brichöte, s. m. lerme de mepris donne par
le peuple aux dtrangers.
Bripa , s. f. renes : courroies de la bride.
Bride : partie duharnaiscomposee de la töliere,
des renes et du mors. A’—, phr. adv. maniere
de monter A cheval. A foda— , au grand galop.
Baıäino, A,p.p. de Briddr.
Brıpiö, 8. m. augm. de Brida. it. Bridon:
ont mors brise au milicu. Serie do pelite
ride.
Baınir, v.a. meitre la bride ä un cheval, etc.
( Ag.) Reprimer. V. Refrear.
Baica, s. f. melee : vive dispute entre plu-
sieurs personnes; combat, querelle, batterie,
brouillerie.
Baıcäpa, 8. f. (£. mil.) brigade : plusieurs
betaillons ou escadrons commandes par un
officier superieur.
Baıcapkıno, 8. m. ($. mu.) brigadier: general
de hrigade.
Baıcanor ou Bricäiö, 5. m. celut quı aımo les
rizes , les querelles ; querelleur, tapageur.
+ Bnricanpina, s. f. brigandine : cotte de
mailles , haubergeon.
Baıcaö. V. Brigador.
Baıcan (com), v. n. lutter, se debaltre, so
demener, s’agiter, combattre,, se quereller.
Baicöso, A, adf. qui aime & se batire, &
quereller. V. Brigadör.
+ Beicug , s. m. brig ow brick : petit navire &
deux mäts, arme ou de commerce.
Bricußnto, s. m. querelleur, fier-ä-bras,
räne.
Baıcuıcäd. V. Bribigdo.
BrıLninpo, A, pP. p. de Brilkär.
BaıLBADOR, A, 3. qui brille.
BRILHANTAGO , A, adj. aug. de Brilhante.
BasLminte, adj. 2 gen. brillant, s&clatant,
luisant. p. a. de Brilhar.
BaıLuÄnte, s. m. brillant : diamant taill6 &
[faceltes par-dessus et par-dessous.
BRILBANTENENTE,, adv. brillamment : d’une
maniere brillante. .
BaıLnant£z. V. Brilko.
BRILHANTISSIMO, A, adj. sup. de Brilhante.
BrıLsän, 0. #9. briller, eclater, luire,, reluire.
(Ag.) Briller, marquer, se distinguer, se mon-
iger.
BriLuo,s. m. 6clat, etincellement, brillant.
Baiu, s.ım. "noyale : toile ä voile, toile &crue.
Baıncankıra,s. f."badinage, plaisanterie,
amusement, divertissement.
BaıxciDo, A, p. p. de Brincdr, adj. en-
jolive.
BrıncaDoR , A, ou Brinciö, s. et adj. fola-
we, badin, enjous, plaisant; qui saute, qui
bondit.
Baıncir, v. a. enjoliver une chose. V. Or-
nar.v. ». folätrer, badiner, plaisanter ; jouer,
s’amuser ; sauter, giguer, bondir.
BRI
Bainco, s. m. jeu, plaisanterie, badinage,
divertissement, amusement, jouet, joujon.
Boucle,, pendant d’oreilles; bijou. ( Ag.) Chose
tres-jolie,, tr&s-mignonne; 4. jouet. Estar au
ir feito um —, @ire endimanche, @ire beau,
bien bahille. /sto ndo d — de criangas, co n'est
pas un jeu d’enfants.
Baınco , 3. m. ( t. de bot.) armarinthe :: plante
vivace, ombellif&re , aromatique.
Baınvino,A,p.p.de
Brınpär, 0. a. olfrir, presenter, inviter &
prendre quelque ohose; faire un cadeau, un
present. — (d), v. ». tosier : porter une sanle,
boire & la sant& de quelqu’un. Il est aussi reci-
proque.
Baınpe, 8. m. brinde : toast ou sanlt, ce
qu’on boit ä la sani#; cadeau, present. Fazer
—s, porter un toast, une sant&; [sire des ca-
desux, des presents.
* Brınce, V. Brinde.
Baınc£ıa. V. Beringdla.
Baıxıe, s. f. viande cuite aveo du riz.
BaınseLLa. V. Beringela.
+ Brınqu£oo, 3. m. jeu d’enfants; bimbelot :
jouet d’enfants.
+ Bnıxquinuania, s. f. bimbeloterie : fabri-
que ‚commerce de jouetls.
Brixguinmtıro, s. m. bimbelotier: qui fait
des jouets d’enfants.
Braıngrinno, s. m. dim. de Brinco. Joujon,
jouet, petit bijou.
+ Brinza,, s. f. ($. de bot.) peucedane oflei-
nale: queue-de-pourceau.
Brio, s. m. * force, nerf, vigueur. * Valeur,
oourage, bravoure, vaillance, Energie, fer-
mete. *Honneur, point d’honneur; caur ; deli-
cateste ; probite ; generosite.
Baıözs, s. m. pl. (l. de mar.) Breuils : petits
cordages pour carguer les volles, vwlgo car-
gues fonds.
BaiösamenTe, ade. courageusement, vail-
lamment, önergiquement; en homme d’hon-
neur ; genereusement.
Baıosissımo, A, adj. sup. de
Baıöso, A, adj. courageux, vaillant, fort.
Qui a de la delicatesse; ir&s-suscepüble sur le
point d’honneur ; genereux.
*Brisca. V. Bisca.
+ Brisso , 3. m. ($. d’hist. nal.) brisse : 200-
pbyte dchinoderme.
BaısroL, s. m. drap de Bristol.
Baträno, A,P9. p. de Britar.
* Brırapor. V. Quebrador, Quebranlador.
* Baıtamento. V. Quebra, et Ag. Hompi-
menio.
Baıtinnico, A, adj. Britannique : qui ap-
partient & la Grande-Bretagne.
Brıtino ,A, adj. eis. V. Brildnnico,
Baıra-ossos. V. Xofrango.
* Brıtir. V. Quebrar, Quedranlar.
* Brivıa. V. Biblia,
Baizı, s. f. brise : vent frais et periodique.
*Rrızar, v. a. bercer: remuer le berceau
d’un enfant.
BRO
+ Baızomamncıa , s. f. brizomancie ou oniro-
erkigue : divination par les songes.
Baöa, 3. f. nom qu’on donne au pain de
mals eu de millet en Portugal.
Baöca , s. f. tariöre, archet (pour percer),
tsrasd , foret. it. Paille (de metal fondu). Bro-
che de la serrure qui ost regue dans la fozure
de la elef.
BROCADILEO,, 8. m. ospece d’etoffe de soie.
Baocano, 3. m. brocard ou brocart: etoffe
brechde deseie, d’or ou d’argent. — d’ouro,
"belaslie.
’Baocir,a m. (f. de bias.) filet d’arier qui
gamit le tour d’un &cu d’armes.
+ Baocar ,v. e. faire des tzous avec une ta-
nere ; forer.
t Baocazno, 8. m. "sentence, axioıme lögal
rega parmi les professeurs de droit.
Baocır£ı, s.m. "brocatelle: sorte de brocart
do meindre valcar;; &tloffe qui imite le brocart.
+ BaocarELLO, 3. m. " brocatelle : variete de
uarbre jaune, violet ou rougeätre; marbre
nuance de diverses couleurs.
Basczı, 5. f.. petit clou de cordonnier;
agrale, fermoir de livre; crochet. Brosse : gros
Pinceau.
Brocain0, A, p. p. de
Baocaan, ©. a. brocher : coudre un livre
sans nervures; le couvrir de papier. Agrafer,
’Baocmisa ,s. f. couvre-pied de brocari.
Baocuazinma, 5. f. dim. de Brocha.
Baocaz , s. m. petile broche :erochet, agrafe.
Baocsüna , s. [. brochure: livre broche ; petit
sevrage ae peude leuillesou de valeur, broche.
BaöcoLos, 3. m. pl. brocoli : chou d’Italie.
BaocosczLLa. V. Bronchocelle.
Baöoces. V. Bröcolos.
Borvauturo. V. Bordadüra,
Baöpıo „s. m. * [ripe : restes de lable reunis
et sauces dans du bouillon , qu’on donne ordi-
nairemens aux mendiants. (fig.) Festin , grand
Tep3S.
Baopista, s. m. mendıant qui demande les
debrisde ia Lable aux portes des couvents. (flg.)
Cetai qui donne des [estins, qui les aime.
Bapıman. V. Abrolhar.
Baöua, s. f. partie d'un fer & cheval. Ta-
nıere: ver rongear qui perce le bois, les vais-
seaur.
Baözı , adj. 2 gen. lourdaud : on le dit des
personnes ennayeuses dans la-conversation.
Baomiso,A, ?. p. de Bromar. adj. On le
dit da vaissesu qui a &t6 endommage par le
ver nenms tariere. (fig.) Gäte.
Baouis, o. a. fonger, percer, vermouler. Tl
se dit du ver rongeur nomme tariere. (flg.)
Gäter;; bräler le sucre.
+ BaosatoLocia , s. f. bromatologie : traite
sur les substances alimentaires.
tBaöduz, s. m. bröme : corps simple non
metalligue , nouvellement decouveri.
+ Baöwıco, a,0dj. deido —, broruique (acide),
de kröme,
BRO 21”
T Baömıo, s. m. (£. de myikh.) sumom de
Bacchus. .
t Baomocrarsia, s. f. bromographie : traite,
description des aliments solides.
T Bröncha, s. f. sorte de poignard ancien.
*" Broncuäd, s. m. aug. de Broncha.
BroncHiäL, adj. (t. d’anat.) bronchial : qui
appartient aax bronches.
Baöncnico, A, adj. (f. d’anat.) bronchique,
bronchial.
Bnönchıos, 8. m. pl. (f. d’anat.) bronches :
vaisseaux de la trachee-artöre, du poumeon,
qui regoivent l’air.
f Bronceitzs, s. f.(t. de med.) bronchite :
maladie, irritation des bronches.
f BnoscnoctLLe , s. m. (1. de med.) broncho-
cele : tumeur au cou; goltre entre lg Feau et
la trachee-artere.
+ Baoxcuorouıa , 8. f. (f. de med.) broncho-
tomie 0% laryngotomie : ouverture faite & la
trachee-artöre.
Baönco, a, adj. Apre, brut, rude, brusque,
maussade. (Ag.) Grossier, rustre, stupide,
bouche.
*Bronco. V. Bronze.
“ + Baonguipipe, s. f. rudesse, duret&. (fig.)
Rudesse , Apretö de caraciere; stupidits, pla-
titade.
+ BröNTEO , adj. m. (1. de myth.) sumom de
Jupiter.
+ BrönTEo, s. m. (8. d’anlig.) " hrontte, bron-
ton : grand vase de cuivre dans lequel on agi- '
tait des cailloux pour imiter le tonnerre.
+ Baöntıa, s. f. "brontias:: sulfure de fer
radie6 et globuleux, pyrite que l’on a cru®
longtemps produiie par la foudre.
Brönze, s. m. bronze : melange de cuivre,
d’etain et de zinc. Ser de— , ou ter um corrapdo
de— , avoir un caur de roche : @tre insensible,
dur, inflexible. Ser um—, ötre de fer: etre
infatigable,, r&sister au travail. Cdo de—, ciel
d’airain.
BronzEino, A, pP. p. de
Bronzeir,v. a. bronzer: peindre en bronze,
orner, garnir de bronze.
BrönzEO,, A ,adj. de bronze,, d’airain bronz6,
Brönzo. V. Brönze.
Bröque, s. m. soufflet de forge.
Baoqvsino, 4,9. p. de
BroQuEÄR, v. a. forer, percer. V. Brocdr.
Broqu£L, s. m. bouclier : arme defensive
que les gens de guerre portaient au hras zau-
che, et dont ils couvraient le corps. (Ag.) Bou-
clier, &gide, appui, defense. Dar no seu—,.
se decrier soi-m&äme. Dar nos broqueis, 56 -
prendre, s’attacher aux branches, s’arreler
aux circonstanccs inutiles d’une chose dont on
neglige le fond.
BroqteLano, etc. V. Abroquelddo.
+ Brogtsutina, s. f. (l. d’hist. nat.) * bou-=
clier : insecte col6optere.
BnoqQueLßıro, s. m. celui qui fait des bou-
cliers,, ou qui s’en sort.
BRU
4, adj. pailleux : qui a des
Baoguänto,
puilles (metal).
BROSLADURA,
BaonLausur0, V. Borda..., vie.
‚BrosLaR,
Baorine, ann. de Bro Broidr.
+ Baorautro , s. m. (1. de bei.) " germins-
tion : ’aclion de germer ou de pousser des
bostons.
Brorin, 0. a. et ». bourgeonner, pousser,
germer, em parlant des plantes. Pousser de
/’berbe, etc., on parlant de la terre. Jaillir,
seillir : sortir impetueusement, Il ne se dit
proprement que de P’ean. (Ag.) Pousser, sortie,
en parlant des beutens de la pelile verele et
autres. (id.) Se d6velopper, paraltre, se mani-
Toatar, surtoat en parlant des choses immald-
os.
Baorotsa, 8. f. (l. de möd.) abullition de
sang avec d
+ Bauica, 5. m. ° malle de cuir non anne
pour eonduire des habits, de la marchan-
dise,,ote., usit6e au Bresil.
+ Batnad, s. m. (8. d’kist. nat.) brubru s
pie-griöche d’Alrique.
+ Baucno, 3. m. (£. Ekist. nat.) bruche : in-
seote col6optere. V. Puigdo,
Bnöcos (de), adv. courbö en devant, courbe
sur ie vente, la face oontre terre, a plet-
ventre.
Baoßca, &. f. ondde, piuie qui dure peu de
temps. (fig. es fm.) Ivresse.
Baöco. V.
Bauıma,s.f.V. Escudäte.
BauLörg, s. m. (t.de mer.) brülat : batiment
lein de malitres combustibles , destind & brt-
d’autres bälimenis.
Badma, #, f. brume:brouillard 4pais. (pedt.)
L’aiver.
BeruiL, adj. 2 gen. brumal : qui vient de
(biver, qui appartient & l’hiver.
Bann io, 8 ner brumalre : : second mols du
ealendrier ica ui oommengsit ie
2 repa ‚4 Yal
+ Racımöso, a, adj. brumenuz : couvert de
beame.
Rarnaerıo, a, adj. (f. burl.) meslancolique,
unse, de mauvaise kumeur.
Barnutıne. V, Abrunkero,.
Bacautre, 6. et adj. 2 gen. brunet. if. Sorte
öde visya de laine de couleur brune.
Rırnein, etc. V. Brusir,
Karyao, T. Abrunke.
austeo, s, m, " polissure, branissage, four-
bissere : isstre , de ce qui.a &t6 poll,
Raumee, „PP. de Brusir.edj. Lisse, poli.
armsr, 8, m. brunissent, polissenr : ou-
ver gei poiR. Pelisseir, runisseir, lissoir :
nstreunemt puut polir. Freien : halle avec Ia-
Quelie Ios Ares frettent ies cartes & jouer.
Are : Wuuiruiment gei wert & brenir l’or.
BRY
Baunin, 9. e. brunir, polir, lisser, fourbir -
rendre uni et luisant & force de frotler. (Ag.}
Se farder.
Badno, A, adj. p. ws. brun : de couleur
brune.
+ Bausca, 8. f. (4. demar.) Yaction de chauf-
fer un bAtiment pour le car&ner.
BauscamenTE, ade. brusquement; gressi&-
rement.
+ Badsco, s. m. (4. de bot.) brusc ow bruse :
espöce de bruydre; brasque: arhrisseau qui
tient du myrte et du houx.
Badsco, a, adj. hrusqus, rade, sauvage,
qui a l’air fäche.
+ Baöra, s. f.(f. de bet.) bruta : arbre co-
niföre
‚Baurir, adj. 2 gen. brutal : tenamt de la
brute. (fg.) Emport#, brutal, föroce.
BavraLıniae, s. f. brutalit# : qualitd osmsti-
tutive de la brute. (Ag.) Brutalite : vice du
brutal, parole, action, passion brutale ; abru-
tissement, stupidits grossidre.
BRUTALISSINO, A, adj. sup. de Bruiel.
Baurauızia. V.E Eimbrulecer.
talite.
Baurssco. V. Grutsseo.
Baurtza , s. f. V. Brufalidade. Qualits de
ce qui est brat, non travailie.
Bavrınine.
BauripaDeE. | V. Drultza,
Baurinmo, s. m. dim. de Brute.(Ag.) Bes-
tiole: jeune homme sans esprit, sans dducatien.
Bavrissıno, a, adj. sup. de Druso.
Baörto, s. m. "brute, be6te : animal Kraisen-
nable. (Ag.) Beta, böte, abet,
Brut: qui n’est ni travaili6, ni poli. Zu —,
brut, en brut, en gros.
BaucHA ,„s r. soreiöre : femme qui, suirant
le peuple, a fait un pacie avec }e diable pour
faire des malefices. Couvet ‚, chasfferette : pet
rempli de feu, que les femmes metient sous
elles. Veilleuse. Orfraie, fresaie : eisese de
nuit, Z uma —, ou parecs ums, (fam.) c’esi
une sorciere. On le dit d’une vieille «6 me-
chante femme, et d’une lemme tres-laide.
Meiter a crianga nas mäos das —ı, ( ig.) mei-
tro queiqu’un & la gueule du ieup.
Bauxania, s. f. sorcellerie ‚ art de sorciise,
operation de la sorciere.
Bauxkipo,A,P.p. de
Bauxzan, ©. m. faire des sortilöges, des
maltlices.
Batzo, s. m. sorcier : celui guia an pacie
suppost avec le diable, pour faire de pretendes
malefices, pour produire un efet surnaturel
on empöcher un effet naturel. (fem.) Viesx
sorcier, vieillard mechann
Barxoızino, 2,9.P
BauxoLkaR, a Fa ses cartes : fes de-
couvrir iemtement ot peu & peu. (fg.) Deiner,
Antır : as 05 ui aest au cordennier A lisser | conjecte
wer
Bermeröna., o.[. pellssere. V. Brumide, s.m.
rer.
Bavnctıa. V. “
+ Baromıa LU de bek) kerenne enee-
BUE
lsarree, beyonne blanche ; vigne blanche ; navet
du diable, plante grimpante : purgatif violent.
Bü, a. f. (6. d’enfant) de l’eau.
Brima, s. f. nom d’un pelit poisson de mer.
Bin. V. Cardüme.
Braiö, s. m. bubon : tameur maligne qui
vient en certaines parties du corps.
+Braagur, 5. m. (1. d’kist. nal). bouback :
qusdrupdde de la Moscovie; espece de mar-
mote du Nord.
Btrarı, s.m.(f. Ehist. nat.) boubil : olscau
aqsatique C’Amerique, de la Chine , merle.
+ Bine, s.m. (8: d’hist. nat.) bubo : oiseau
de preise noeturne.
+ Busömo, s. m. (f. de bot.) * inule & feuilies
de saule.
f Braonoctıız, s. m. (l. dechir.) bubono-
edle : hernie inguinale causse par la chute de |
Ftpiploon ; tumeur ä Yaine.
+BösuLa. s.m. (f. d’hist. nat.) boulboul :
; de linde.
7 Bocano, s. m. boucaro : espöce de terre
Dee, rougeätre,, qui vient des Indes et du
Becianas, 8. f. pl. (1. de mar.) guirlandes.
= des sscoudns, guirlande des &cubiers. — do
gurupds, geirlande de beaupre.
tBocczLLizıo, 5. m. serviteur, vassal qui
«tnowrri dans la maison du malire. —e ‚pl.
becesllaires : gasde des empereurs grecs; four-
Buseurs de pain aux soldats.
t Beccmires, e. m. (1. d’Mst. nat.) bucei-
nites : buceins fossiles. .
Becaxräuno ,s. m. Bucentaure : vaisseau que
mentait je dogo de Venise pour faire la edrs-
mente d’tpouser la mer. ’
Boctruaro, s. m. Bucöphale: nom du cheval
@Alerandre ; cheval de parade.
Beau, s. f. bourre d’une arme ä feu; tam-
pon. Alurar & —, (fam.) avaler la pilule.
= doe esconens, (1. de mar.) taınpons d’scu-
biers. —e des emborndes, (id.) tamponsowtapes
des seubiers. —s de pdo para meller nos rom-
bes, (id.) Tampons.
}Bocmina , s. f. (fam.) ce qu’on peut con-
tenir dans la bouche et avaler & la fois.
Bucutra , 5. f. (8. de lapid.) tenaille de bi-
jeutier pour sortir les pierres.
Böcao, a. m. Jabot: poche que les oiseaux
ent sous la gorge. Ventricule de quadrupede,
de peisson. *Panse: vontrede l’homme; la par-
te grosse de la jambe, du bras. ( Ag. fam.) Le
sein, ie cwur, considäres oomme les deposi-
tsires des socreis. Tirer do — , faire jaser, ti-
ter ie sseret de quelqu’un.
* Böco. V. Casco ( de navio).
BOObLäC . & f bucoliqus, pastorale 8 potsie
„Bocbucn, a, adj. hucoligue (po6sie ), pasto-
Bico, s. m. poil follet.
Bccas ou Bucax, s. m. boucle do cheveuzx.
Brouuö, V. Bodido.
Bicıno, V. Cantiro,
.B06 2
+ Bußna-pıcna ‚s. f. (fam.) bonne-aventure:
Ler «—, dire la bonne-arventure.
Böra,s. f. vesse : ventosit6 puante qui sort
sans brult par le derriere de Yaniınal. — do
lobo (t. de bot.) vesse-de-lIoup, faux champi-
gnon.
Burino, A, p. pP. de Bufär.
BuraLıno, A, adj. qui appartient au buffie.
BöraLo,s. m. (8. Whist. nal.) buflle : espece
de baauf sauvage.
Buriö, s. m. bouffon : personnage de theätre
qui fait rire; celui qui fait co röle en societk.
Facetieux, plalsant, farceur.
Burin, vo. n. bouffer : souffier par l’effet de
la colöre, en parlant de certains animaux. —.
fumer de colere, en parlant de ’homme; @tre
de fort mauvaise humeur.
Börara, s. f. la feımelle du buflle.
Buraninua , s. f. boutique ambulante.
Burarınatıno, s. m. colporteur, marchand
ambulant.
Bürano,. V. Büfalo.
Burriö. V. Bufao, Bobo.
Burrongipo, A, p. p. de
‚ Bursonkir, o. n. babouiner : faire le bouf-
on.
Burronzuia, s, f. bouffonnerie : arlequi-
nade, pantalonnade, turlupinade. Plaisante-
rie, badinage.
Bur&rg, etc. V. Bofdte.
Burivo, s. m. souffle d’un animal qui bouffe.
Buro, s. m. (1. d’hist. nat.) hibou, chat-
huant, grand-duc, oiseau de Minerve : oiseau
noclurne. (Ag) Hibou : melancolique, qui fuit
la societe. (id.) Cagou : homme qui vit mesqui-
nement, qui ne veut voir personne. Eum—,
c’est un hibvu : c’est un homme qui fuit la s0-
eiöt£ ; c’est un avare, un chiche.
B6FO-MEDIOCHRE , 8. m. ( 1. d’hist. nat.) hibou
» Büro. V. Bufido.
Burongar, eto., V. Buffonear, eto.
Buronınntıro. V. Bufarinktiro.
BuciLno, s. m. noix de galle : fruit d’une
sorte de chene. — do olko, prunello de l’azil.
Bucia , s. f. (4. dsl. nat.) guenon : singe [o-
melle.
Bucia ‚ s. f. bougie : chandelle de oirc. * Bou-
geoir : petit chandelier & manche.
BucıäDoO, A, 9. p. de
Bucıir, v. n. faire des singeries. Handar —
alguem „ envoyer paltre ou promener quel-
qu’un.
Boucıanias, s. f. pl. singeries, grimaces, ges-
tes, tours de singe. (Ag.) Jolivetes, babioles,
gentllesses, bagatelles, [rivoliles.
Bucıcänca , s. f. mascarade que font la nuit
les corps de metiers, et oü l’on se däguise sur-
tout en animaux. Chose ridicule, faiße pour’se
moquer de quelqu’un. Momerie.
Bucınico, a. m. (1. burl.) petit garcon re-
muant, inquiet, vif.
Bucio,s.m. (1. d’hist, nat.) singy ı animal
anthropomorphe et quadrumane, d’ospeots
228 BUL
tr&s-varices , multipli6es par leur mölange.
(#g.)—, personne qui contrefait, imite. — man-
dril, babouin, mandrille. — marinko ou chi-
mera, le roi des harengs du nord (poisson).
BucLösa, #. f. (t. de bot.) buglosse : plante
burraginee , medicinale.
+ BücuLa , 6. f. (4. de bot.) bugle rampante;
consoude moyenne.
Bvipo, A, p. p. de Buir.
, Buinno. V. Juneo.
Buta. V. Puir, Polir, Apacalar.
Buis ow Buis. V. Aboiz.
Buitra, s. f. pi&ce d’une presse.
Beitrag. V. Abuire.
Busauz,s. m. fils d’une mulätresse et d’un
negre.
+ Busiö, s. m. (1. de mar.) foret, cheville de
boıs pour fermer un trou (dans le cöts du vais-
seau, dans un lonneau, eic.).
Buenias,. V. Bugiarias.
BuLeirero,
BuLsıronmE, V. Bolb..., etc.
BULBOSsO, etc.
BuLciö, s. m. nuage sombre qui menace
tempete. (g.) Pensees lugubres. V. Volcdo.
BüLe, 5. m. "theiere : vase ä bec pour faire
infeser le Ihe.
BöLestıe. V. Bollebolle. (Ag. fam.) V. Buli-
goso , Inquielo. Hurluberlu. Ser um —, aller et
venir comme pois en pol.
+ BüLcano, a, adj. Bulgare: de la Bulga-
tie.
BöLua,s. f. "train, tapage, cancan, branle,
boucan, bruit confus, bourdonnement, Foule,
toncours de monde. (Ag.) Contestation,, debat,
querelle, differend, rixe. Melter a —, rompre
les chiens.
BuLnipo, A,p. p. de Bulhär.
BuLnärae. V. Milhäfre.
BuLsi6. V. Borbuilhäo.
BuLuir, 0. n. se chamailler: se battre pele-
mei & grand bruit; disputer , contester avec
ruit.
BoLu£nto. V. Brigdo.
Burnom. V. Bilhao.
Buuicıo, s. m. bruit de gens assembles. Trou-
ble, desordre , bruit, emeute , s&dition. Tracas,
remue-menage, [retillement.
Burico. V. Bulicio, Reboligo.
+ BuLigösamente , adv. turbulemment, avec
‚jarbulence.
BuLıc6so. V. Bolig6so.
BuLivo, A,p.p. de Bulir.
Beuimon. V. Buligoso.
+ BuLimo, s. m. (1. d’hist. nat.) bulime:
genre de mollusques gasteropodes. — espi-
#%h6s0, bulime &pineux. — orelhiforme, bulime
sreille. — listrado como zeöbra, bulime zebre.
Bun, etc. V. Bolir.
BöıLa, 8. f. bulle: lettre du paope, expedide
en parcheniin et scellee en plomb. — da cru-
zdda, bulle par layuelle le pape accordait des
indulgences A coux qui se devouaient & faire la
guerto aux inüdeles , et aujourd’hui A ceux qui
BUR
donnent de l’argent pour le m&me objet. Con-
tar —s, faire des contes. Fi is, se don-
ner pour homme de vertu, faire I’bypocrite.
Ter — para iudo, avoir carte blanche; faire
tout ce qu’on veut sans scrapule de con-
science.
+BuıLLino, a, adj. (1. de liturg.) bulle:: en
forme authentique; muni de hulles.
+ BoLLirıo,s. m. bullaire : recueil de bulles.
BuLıerim. V. Boletim.
+ Buluire, s. m. (1. d’hist. nat.) bulle : li-
mace, mollusque gasitropode. — oval, bulle
auf.— listrdda, bulle muscade. — como apdra
dos lenhos, bulle oublie. — corcovdde do Bra-
sil, bulle & ceinture.
* BöLna. V. Burla, Fraude.
*Buızid,. V. Burlador, Dolöso.
* BoLLarR,elic.
en | V. Burl... ‚etc.
Böusa, s. f. V. Baque, Pancada, Tunde.
Bumba! interj. poul:
+ Bunoa, s. f. (1. d’Angole) fesses Ir&s-gros-
ses. Lingua —, la langue des negres d’Angole,
en Afrique.
+Bunco, s. m. (1. de bot.) bungo: carmen-
tine de l’Inde.
+ Bopntste, s. m. (fl. dhist. nat.) richard,
bupreste : insecte alle.
Bunacäa. V. Esburacar, Furdr.
Bunäco,s. m. trou, cavile; creus, fosse,
caverne. —s do cabesianle onde se mellem @8
barras, (1.de mar.) morlaines du cabesian.
BURAQUINBO, 8. m. dim. de Burdco.
BuniTto, s. m. burat : grosse eiofle de laine.
BursuLHa, etc. V. Borbulha, eie.
Bor£L,s’m. bure ow bureau : grosse &toffe
de laine.
Buncatz. V. Burguex. it. Burgalais : de
Burgos.
BuscaLuiö,s. m.
mer).
+ Buncanpina, s. f. burgandine: belle naca
ecaille du burgau.
Buncgı. V. Burgu&z.
Bünco,s. m. bourg : faubourg; bourgadı
petit bourg.
+ Buncö ow Buncäö, s. m. (. d’hist. nat.
burgau : la plus belle nacre ; limagon & houch
ronde. V. Turbilho.
Bunconßstns,s. m. bourgmesire: premie.
magistrat d’une ville, en Flandre, en Alleına-
gne, en Hollande.
BurcoNxBEZ, A, adj. eis. V. Borgonkhez.
Buncaavz ou BuRcRAYO, 3. m. burgrave: seı-
gneur d’une ville, d’un chäleau (en Allemagne).
Vicomte.
Burcußz, s. m. bourgeois: habitant d’une
ville.
Bunir , s. m. burin : Instrument d’acıer pour
graver. (Ag.) L’art de graver ; plume d’ecrivain.
BurıLipa, s. f.coup, trait de burin. Essai :
portion d’or ou d’argent qu’on coupe d’uns
masse de ces metaux pour on faire l’essai.
N
fond de coquillages / em
BUR
BerrLipo, A, pP. pP. de Burildr, adj. burine :
ve avec le burin.
+ BurıLapdaa, 8. f. Paclion et Peffet de bu-
riner.
BrasLir, © e. buriner : graver, neltoyer au
barin. (Ag- ) Grarer fortement dans la pensce.
+ Benrri „ga. m. (. de bot.) esp&ce de palmier
du Bresil.
Roura ‚s. f. moquerie, tour, piece, badinage,
derision , plaisanterie, raillerie, mystification,
jouet, malice, camoulßiet, goguenarderie, gaus-
serie , fable, parole ou action par laquelle on
se moque. "Jouet, fable, dupe : personne dont
on se moque. Tromperie, duperie. Faser —
d’alguem, jouer quelqu'un, se jouer de quel-
qu’un. Fazendo — de, au mepris de. Homem
de —s, railleur. Ndo ser homem de --s ou ami-
go de —,ne pas entendre la plaisanterie, ne
pas aimer & plaisanter.
BraLino, A, p. p. de Burldr, adj. dupe. Fi-
eer —, prenäre le change.
BerLapoR „A,8. eur, railleur, plaisant,
mystißlcaleur, contempleur : qui se moque ou
qui mystiße.
Borriö. V. Trapaceiro.
BraLin, v. a. tromper, decevoir, [rustrer,
paisanter, touruer en ridicule, mystißer.
BeaLan-se (de),o. r. se railler,se moquer, 56
nire ‚se jouer, se gausser. — do credör, payer
ea moansie de singe, en gambades. — do que
dirdo, se moquer du qu’en dira-i-on.
Bratania, s. f. womperie, moquerie, plai-
senterie, dedain, illusion.
BunLksCAMENTE ‚ade. burlesquement.
Braı£sco, a, adj. buricsque, comique, plai-
sant, propre & faire rire.
BERLESQURADO, A,?.p.de
+ BcaLssorEir, v. a. raconter, reprösenter,
peinäre d’une maniere burlesque.
BraLtra, s. f. pelito piece comique ita-
lienne.
Bennäzs. V. Emborndes.
+Böno, s. m. ( t. d’hist. nat:) buro : poisson
des Indes, voisin des polyndmes.
Birna, s. [. Anesse : la femelle de l’Ane. Cof-
fre-forl, rssor.
Bernina , 5. f. troupeau d’änes, &table od ils
sereürent. (A. ) Änerie, betise.
Beraiö, s. m. aug. de Burro. ( ig.) Grande
beuderie.
Bearica , s. f. dim. de Burra.
Beasıcipa, s. f. troupeau de petits Anes,
esvalcade & Anes. (fig.) Änerie, betise.
BrazscaL, adj. 2 gen. d’ane. TV. Amndl.
Beaaico, s. m. dim. de Burro.
Boraıyar, etc. V. Borrifar.
Beraisma. V. Burrica.
Branixuo. V. Burrico.
Beasıoctıno, 5. m. Anier : conducteur d’&-
nes.
Beaao, s. m. Ane. V. Asno. Baudet : treleau
que [ont les seieurs de bois pour assujellir la
piece qu'ils veulent debiter. Jeu de cartes, qui
eonsisie 4 donner trois cartes Achaquc joueur,
PORT.-FR.
BUT 225
& retourner la derniere du jeu, restant pour
servir d’atout, et ä faire le plus de ler&es qu’on
peut. On appelle aussi burro celui qui perd.
(fig.) Stupide, ignorant; travailleur infatigable,
constant dans le travail. (dd.) “Bouderie. Ester
com 0 —, bouder. V. Amüo. Bürros, pl. (1. de
mar.) ourses.
+ Bunno, s. m. (1. de bot.) burro :
d’Afrique & suc jaune : violent purgatif,
f BonsiL, adj. 2 gem. bursal (&dit): pour
ürer de l’argent,
+ Bunsinıo , s. m. (8. d’hist. nat.) bursaire
ver amorphe.
Buassouıkoa (d’agus), s. f. averse.
Buntso, a. m, marc de ralsins, d’olives.
Bös. V, Büz.
Busino. V. Gusano.
Bösca, s. f. quete, recherche : action de
ehercher; fouille, visite. Chien propre & la
quete.
BuscA-AMANTE, 8. f. femıne qui cherche des
hommes.
Busca-CÄrxas, s. m. verificateur des mar
ques.
Buscivo, A, p. p. de Buscär.
BuscapOr, A, s. celui qui cherche, qui fal,
des recherches.
* BuscanTe,, s. m. ancien serviteur du rol.
Buscart, s. m. serpenteau , vetille : fusee
qui va par lerre en serpentant.
Buscin, v. a. chercher, rechercher, quer:
se donner du soin pour trouver. — rodeios
chercher des detours. — a vida, chercher d g=
gner pour vivre. — forluna, chercher, teniei
la fortune. Quem busca acha , celui qui chercm
trouve. Ndo busco eu oulra cowsa, je ne de
mande pas mieux.
Buscavipa , s. m. (1. d’artil.) instrament d’ar-
tilleur pour ouvrir la lumidre du canon. —s,
(1. de mar.) croc a quatre branches, chat &
quaire branches.
Busiuis, s. m. (1. durl.) *diflcultd: ce qui
rend une chose difficile. Aki sido —, ( fam.)
voila le bio.
Bussir. V. Bogdl.
BössoLa, s. /. boussole. V. Agulka de ma-
rear.
BuSSOLANTE , 3. m. serviteur du pape.
Bösto ‚s. m. buste : representation d’une tet e
avec Pestomac, les &paules, saus bras. it. anf .
Eiable,, &curie, bergerie.
+ BusraörnEnA, s. m. bustrophe ou botstro»
phedon : ecriture qui marche alternativomend
de droite & gauche et de gauche & drolte, sans
discontinuer le sens.
+ Busruinıo, s. m. sculpteur qui fait des
bustes. it. ( 1. d’ant.) Bustuaire : gladiateur qul
combattait pendant les funerailles.
Bur£nco, s. m. (f. d’Asie) commandant do
cing canonniers, en Asie.
*Buripo,A,p. p. de Buür.
+ Bürtro,s. m. busurd , buse: olseau de proie,
UV Canido,
arbre
‚226 CAA
+ Burıqußıro, s. m. (4. de d’Inde) bouliquier.
endeiro
Burs , v. 6. buter : frapper & hut.
* Burınäna, s. f. pain couvert de heurre.
Botaz. V. Abuire.
Börus, &. f. "oep de vigne sauvage.
Burraöso, 4, adj. butyreux: qui est de la
nature du beurre,
Böxa. V. Büche.
Boxis, &. m. lien plante de buis.
Böxo, s. m. (1. de bot.) buis » arbrissenu tow-
)eoszs vert. — ds sapaleire, billei A Joimdre :
@util de oordonnier.
+ Böz, e. m. baiser donns sur ia main d’une
personne par pelitesse. if. Bruit que font les
eiseaux de proie.
+ Böz, inter. silence! palx? chut!
tBözı,s. f. bouzas: breuvage enivrant de
Serine d’orge, d’eau, etc., en Egypte.
Buzino. V. Gusano.
Buzarite, s. m. V. Fdmo,.
Buztno. V. Buzio.
Bözzo.V. Büzio.
Buzina, s. f. trompetie,cor de chasse. * Porte-
veix: trompe. *Cornet: petit cor, pelite treanpe.
(4. dastr.) Petite ourse : constellation.
r BuzzuaR, 0. &. COFRer : senzer d’un oernel
C,s. m. troısidme leiire de Palphabet, et Is
seoonde oomsonne. (’ost aussi une letire nums- | herbe
zalo qui vous 100.
*Ci, conf. eur. V. Porgqus.
Ci ‚ade. ici, ence lieu, ch. V. Agwi. Vem—,
heit, vones ich. De -—-, ede Id, decä et de la,
de tous cöt6s, de toules paris, des deux cöt6s,
de cöt£ et d’autre. Ha cinco annos pera—, de-
puis cing ans en ch, il y a oing ans. Zu dizia
4 mise, (eapr. fam.) je diseis en moi-
meme.
T Car-ama , 6 f. (f. de bot.) eaa-apla: plante
du Brosil.
TWua-arisı, a f. (tk. de bo.) oam-alaya ı
plante du Bresil , esp&ce de gretiole.
+ Cas-tica, 5. f. (6. de bot.) caa-eica : plante
nis-coommune du Brosil.
fECsacarruro, s. m. (f. de bot.) caachyuyo,
plante du Bresil ressemblant & Yairelle, me+-
lastome.
7 Caa-zrrisat, s. m. (8. de Bot.) caactimai:
senecon du Bresil.
* Gair. V. Candi.
TCaap£pa, 3. f. (t. de bot.) liane & caur,
liane & glacer l’eau, liene & t&te de serpenı.
FCasma ou Cazomea , 5. f. (4. de dot.) mille-
pertuis bacciföre.
CAB
ou d’une corne. ( Ag.) Crier fort oreilles aux de
quelqu’un.
Büzıo,, s. u. (6. d’hist. nat.) buccin , cauris,
coris : genre de coquilles; testactes en volutes,
en trompe. L’animal donne la pourpre. — bas-
tardo, casque. Plongeur, urinateur. il. as.
Ancienne mesure en Portugal. V. Fange.
Bözı0, A, adj. noirätre, sombre, qui tire sur
Buzıoainno , s. m. dim. de Bäxio.
* Brarau. V. Beheirie,
Broac. V. Bioss.
Brad. V. Bire.
+ Branno, s. m. (4. d’hist. nat.) Byrrbe:
genre de eoldopieres ; inseole olavicorne.
Braansino, a, edj. de Bysance, de Consten-
tinopie : qui oomcerne l’une on Yautre.
Braso, s. m. (1. d’ens.) Bysse: lissu pröxienx,
lin tres-An; fAlaments d’une de soie
brune par iesqueis la pinne marine sattache
aux rochers. (1. d’hist. nat.) byasus: planie de
ia famille des algues, ospece de mouse; de la
+ Brssouımass, s. f. (1. d’kist. nal.) hysae-
lithe : vegetation minerele en forme de swies
selatantes.
+ Brröno, s. m. (6. d’kiet. nei.) byture : im-
seote olarinorne.
C.
+ Caaromönca , 3. f. ($. de bei.) dentelnine :
sux cancers.
+ Cauronca, 8. f. (8. de bei.) amerantkine
vermiculaire, pourpier voln.
Cazica. V. Abobora Carneire.
Casackıra, s. f. "calebassier: plante qui
porte les calebasses.
Capacinua,s. f. dim. de Cobars.
CaBacinzo, 8. m. dim. de
CaBico , s. m. *gourde, citrouilte, ealobasse,
oourge söche. it. Fruit du Bresil.
Cusuptıa. V. Cobiddle.
Capira, 3. f. " pekin : dieffe de sole de la
Chine; tanique de soie qui descend jusqu’& }a
moiti6 de la jambe, chez les Orientauz.
CasiL, adj. 2 gen. Jaste, complet, qui a la
justesse convenable. (fg.) Paffait, accempfi,
juste, loyal, plein d’honneur, de probits. Por
seus cabdes (pl.), pour son juste prix , suivamı
sa valeur. Por seus justes cabdes , solon V’ordre
etabli , selon les r&gles. .
CasiLa, s. f. cabale parmi les Juifs, tra-
dition sur l’interprötaiton allegorique de la
Bible. —, art pretendu de commercer avec les
esprits, oa de devines.-—, brigue, iniriguc,
complot. .
Caraıin 9,0, cabaler. V, Iniriger, Me-
chinar.
GAB
Cansrista, 8. m. oabaliste : qui prefesse la
esbale des Juils.
Gasaulsrıco, a, adj. cahalislique : qui ap-
pertient & Part de la cabale.
A, 6. f. la Sontaine caballine, ou
CaBALLINO, A, adj. (t. de pods.) appartenent
ä ia Sontaine d’Hippocrene.
CasaLutxtE, ade. ‚röcisement, justement,
estitrement, parfaiteinent.
Casina, s. f. cabane, chaumiedre, joge da
. Casawtına ‚& f. geurgandine : coureuse ru»
üque.
Casaztmo, s. m. berger qui babite une ca-
bane ; calei qui fait des cabanes. Journalier.
Casino, ı, adj. qui a les cornes horizontales
(beuf); qui a les oreilles pendantes ıcheval).
Cagarzınna. V. Camarabando.
Caziz, 5. m. cabas, petit panier de jonc,
Cazuzfauo,, 3. m. dim. de Cabdz.
*Cassaır. V. Cabedal.
* Casuer. V. Cowdel, CaudiTho.
Ciuz, s.m. (1. de jew), Yespace qu'il ya
entre les deux boules, qui est de la longueur
de la palette; coup d’une hboule contre une
asıre. Der —, (Ag.) frustrer.
Guntca , 5. f. töle: partie de l’animal qui
dent au Corps par le cou, qui renferme la cer-
velle ,ies yeur, eto.; sa representation. ° Chef:
he premier d’un corps, d’une communaut£. —,
extremiss superieure de quelque chose;; cime,
fstte. (äg.) —, esprit, jugement; lieu, siege
de la pensse, de la memoire, des facultss in-
teBecinelles.—, personne,individu.—, sommet,
ie de clon, d’epingle, eic. Source, origine,
eoimmencement. — de javali, hure. Homem
de — hommes de töie. Tanio ou a lanlo por—,
tant par i#te, A pique-nique. Subir d— , mon-
ter & la tete. Encachar -se na — ‚se melire dans
la ste. Cobssa de casal ou de li ‚ chef
dene maisen, d’une famille. — d’alhos, läte
Fail.— da igreja, ohef de Föglise, en parlant
du pape. — de monis ou surre, sommet d’ane
menlagne. — de comarca, ehef-lieu. —de per-
ide, chef de parti. — maior ou de gado meior,
we de gros betail. — mıenor, i#te de petit be-
isil. — susreus, cheval gris, töte-de-more. —
de imperio, de reine, ets., capitale de l’em-
pre, ds royaamıe, etc. — de vonlo, (Kg. fam.)
esurdi , exiravagamt ; qui oublie tout, &vapors.
— ronds, (id.) böbett , stapide , grossier.
Aprender de — , apprendre par eaur. Com ae
dos aa —, humiti6, mortiß6, Ta Wie baissde;
16. &powwants. Dos pers d—, du baut en bas,
de pied en cap. Langer de — vides # ouires
plantas „ provigner des vignes, enterrer des
branches pour faire des boutures. Por ma —,
de sa propre ite. Ter mä— ,(fig.) avoir une
Mauvsise 1£te, &tre un ecervele. Aprender em
—slbeis, devenir sage aux depeng d’autrui.
com a — pelas paredes, s’emibarguner dans
une affaire , prendre un parti nuisible; derenir
CAB 277
lou. Levaniar couss de sun =, larger
Quelque chose de sa t£le: ara—a 6-
guem, rompre la t6ts, les oreilles & quelqu’un,
Metter na — a alguem. V. Permadir. »
lar —, (Ag.) se lover, s’ölever, parvenir & une
grande fortane. Aguardenis de -—, eau-de-vie
de la premisre qualitd. Ndo ter pls mem—,
ötre un &cerveld, un brise-raison, en parlant
des personnes; @ire sbsurde, en parlant des
thoses. Enitrar por --, faire bourse commune.
lade de primeira —, \öse-majeste
au premier che[. Fazer — por si, traiter ses
affaires par sol-meme. Direito de — , capita-
tion :taxe par tete. Fazer alguma cousa de
sus —;, faire quelque ehose de son chef. Alt-
rar-00 de —, so jeter la t£te la premidre. Pör
@ — sobre alguma cousa , parier sa Iöle , melire
sa te A couper. Caberas das plantas, (1. de
bot.) V. Bolbos. Tantas—ı Ianias sonlongat ,
aulanıt d’homınes, autent d’avis differents.
Caszcipa ,s. f. eoup de 1#te, coup A la iöte.
Tötiöre, cäevätre : vartie de 1a bride qu’on
met ä la Ste d’an cheral; trancheßile. (fig.)
Extravagance, soltise.
CABEGAL, 8. m. oreiller, chovet. * Compresse:
Iimge repli6 plusieurs fois sur Iul-meme , qu’on
met sur une plaie.
CABEciLEO, 8. m. timon, fläche d’un chartot,
d’un char; avant-train d’une voiture. “ Hune
d’une cloche.
Caszci0, s. m. collet d’un habit; col de che-
mise, Cavesson : sorte de bride poar domptet
les chevaax. "Capitation : taxe par töte: r6le
des impositions. ° Vignette.
Caseczino, A, p.p. de Cabecedr.
+ CABECRANMENTO, s. m. Paction de hocher la
tete, branlement de l£te.
Caszceir, v. n. branler, agiter, hocher !a
tete. Pencher de sommeil la tete sur la poitrine.
Pencher plus d’un cö16 que d’un autre,en part“
lant de ce qui devrait &tre en equilibre.
Caseckıra, 8. f. "chevet du lit; le baut d’une
table. *Commencement, frontispice, titre. ‘Chef
d’une famille, d’une maison. Andar, esiar na
— dorol, avoir le premier lieu, eire Io pre-
mıer. Estar, assistir d—d’um en[ermo, assister
un malade. Zstar com padres d— „eire ago-
nisant,
Capeckı. V. Pessofiro.
CasecisHa, 8. f. dim. deCabega. — leve,(g.)
täte legere.
Cantco, 8. m. sommet d’une mMonlagne,
pointe de rocher. Petite bauteur, pelite monta-
gne. —s, (ti. de mar.) \eles d’alonges de revers.
t Caszcöano, 5. m, aug. de Cabera.(pop.)
Grosse caboche, grosse t&le.
CAsecbpo, A, adj. qui a une grosse läle,
(Ag) Tetu, entet#, obstine.
CasediL, 3. m. argent, biens, richesses.
Fonds, capital. * Abondance, au propre ei an
figure. Cas, estime. Faser — d’alguma couse,
faire cas de quelque chose. Cabedass, pl. res-
SOUrTCE,C6 & quoi On a Fecours pour se lirer de
quelque affaire. Jiem, deux Jongues regles
230 CACc
Cacanbs0, s. m. elossement: eri naturel de
la poule. On le dit aussi du coq.
Cacankos, s. m. pl. vieux meubies.
+ CacastoL, s. m. (l. d’hist. nat.) cacastol :
sorte d’&lourneau du Mezique.
CAcatü, s. m. ( 4. d’hist. nal.) cacalou ou Ca-
catoös : sorte de perroquet blanc du Br&sil.
Cica , s. f. chasse , partie de chasse; le gibier
qu’on prend ou qu’on va prendre & la chasse.
—, poursuite. — grossa, gros gibier. —
meüda,.
menu gibier. — d’altenaria, chasse & l’olseau,
au vol. — de montaria, chasso au cerf, au san-
glier, ete. Dar —, ( f. de mar.) chasser, courre
sus. Dor -— ao inimigo, donner la chasse &
l’ennemi, le poursuivre, Levantar « —, faire
tever le gibier ; il. (lg. fam.) lever le lievre,
&tre le premier & proposer une chose. Espantar
«—, (id.) &chouer par trop de precipitation.
Andar d— de gangas, (id.) vagabonder sans
rien faire de bon.
Cica, etoffe. V. Cässe.
+ CaGäBE ou CASSABE, 8. Wi. CASSAvE : sorte
de farine et de pain [alt avec de la racine de
manioe.
Cacina, 8. /. partie de chasse; le gibler pris
dans une partie de chasse.
CaciB0, A,P.p. de Cegar.
CACADOR, 5. m. chasseur: celai qui chasse
vu qui aime A chasser ; (f. de mil.) soldat arme
A la l&gere ; grand laquais qui se tient derriäre
le carrosse et fait les commissions. — mer,
grand veneur. — furtivo, braconnier.
CacapOnA, 5. f. chasseresse, chasseuse,.
Cucamtoscas. V. Papamoscas.
Rh Cacanir, s. m. (1. d’Asie) prätre du Ma-
r.
+ Cacara. V. Naicorena.
CAcanTE , adj. 2 gen. (animal —, I. de bias.
qui est dans l'attitude de chasser (animal).
Cacid, s. m. squale: poisson chondroptery-
gien. — malhado, "roussette. — azulado, squale
Bleu ou glauque.
Cacapin. V, Acapapdr, Agachär.
CAcaPriNHO, 8. m. dim. de
Caciro, s. m. lapereau. ( fig. fam.) Pataud.
Cacir, v. a. chasser : poursulvre toute sorte
de gibier. Giboyer: chasser avec l’arquebuse.
( Ag. fam.) Altraper, obtenir par adresse. — as
escolas, (t. de mar.) häler, border les 6ooutes,
— 18 gavess e os Jjoameles, (id.) accoster ou a6-
coter les huniors et les perroquets, -—-as eseolas
das gaveas a beijar, (id.) border les «ooules
des huniers ä plat ou tout plat. — kedres, ie-
vretter. — com redes, tirasser, tonneler. — com
reclamo, piper. — ralos, rater. — em defeza
ou vedado, braconner. — moscas, (Ag. fam.)
s’occuper de bagatelles, de betises.
Guczir. V. Casssar.
CAckra, s. f. petit po@ion de cuirre jaune ä
Yusage des pharmaciens.
tCacerina, s. f. conp de Cac#te. V. ce mot,
fTCactre, s. m. bäton gros et court; casse-
tete. V. Porrete.
CAC
@icnı, s. f. dissimulation, (einte. d4. Toile
de coton de Tinde.
CacHica, s. f. eau-de-vie de melasse.
CacHacAö, 8. m. coup de poing au chiguon,
+ Cacnackına ‚s. f. gros chignon.
Cacnico, 3. m. chignon : le derriere du cou.
* Cacnipa ‚8. f. V. Alqueive.
Cacsino. V. Oceulto.
° GCacaıcens. V. Ventas.
CACHANORRA. haporra
CAcHAMORRÄDA. | V. Cac n
Cacuiö, s. m. gros bouilion. Ferver m —,
bouillir. «6. V. Cdixdo.
CacuaPpöana, s. f. ınassue : bäton houeuzx
fort gros par le bas.
CAcHAPORRÄDA, 8. f. Coup de massue.
CacHik, ©. a. trownper, dresser des pieges;
feindre.
CACcHAR-SE, 9. r. V. Entonar-se.
Cacsari. V. Carll.
CAcBEADO, A, P. p. de
+ Cacazir, v. n. [rucliler en grappe, en
parlant de certains arbres et plantes,, comme
le bananier, la vigne, etc.
CAcakına, s.f. "gourdin: bäton gros et court
avec un renflement & son extremite inferieure.
it. anf. Habillement d’une &tofle grossftre de
laine A longs poils.
Caeneınina, s. f. coup degourdin,de b4ton.
Cäcreıro. V. Caizöiro.
CAcH&TE, 8. m. coup de poing donne sur la
joue. is. V. Cac#ie. Dar de —, redoubler les
coups.
>
Cacn£rıco, A, adj. (t. de mdd.)cachectique :
d’une mauvaise constitution; malade de ca-
chexie.
CacHexia, s. f.(f. de mid.) cachexie : mau-
) | vais effet de la depravation des humeurs.
+Cacni, s. m. (8. de bot.) cachi:: arbre du
Malabar : on mange les amandes; jaquier.
CacHia, 8. f. (4. de bot.) Deur de l’acacie de
Farnese.
+Cacaımd, s. m. (4. de bot.) cachibou : ga3-
langa jaune.
+ Cacmıciuo, s. m. (t. d’hist. nat.) cachı-
came : tatou A neuf bandes.
CacHımÄänBA, 8. f. (f. pop.) cabale: trom-
perie, ruse.
CACHIUBÄCHES, s. m. pl. (l. pop.) petils objeis
(couleaux, Ciseaux, &luis, etc).
CACHıIUBÄDO, A, 9. p. de Cachimber.
CACBIMRADÖR,, 5. m. furmeur.
Cacuiusar, v0. a. fumer : prendre du tabae
en fumede par uno pipe. (fg. et burl.) Raßler,
se moquer, duper.
Cacriu2o, s. m. ° pipe & fumer, calumet.
Cacnımönıa, 8. f. (. burl.,* jugement, ca-
boche, sagacits, penetration.
Cacnımonra.V. Cachlira ‚Cachaporra.
TCacumäpa, s. f. ris oxcessil, &clat derire.
CacHinuo , s. m. dim. de Cdcho, *grappeleite.
Ciczo,s m. "grappe: assemblage de grains
en bouqueis pendants. (fg.) Assemblage de
choses en forme de grappe. Cachos d’aljofar,
CAC
pelites perles en grappes. i#. Gros cou de tau-
rese. it. V. Cochü. —s de telhado, Joubarbe
des tolts. —e de iriyo, los €pis de bi6 non
Cacsotına, s. f. eataracte, chute d’eau. V.
Cstsduspe.
CacnöLa „8. f. (4. buri.) caboche, nuque,(fig.)
jsgement. s. m. (4. burl.) Cagol,—s, pl. ($. de
ner.) violons.
CacsoLkra, 9. f. taloche : coup de main sur
la tie.
Cacsoricz, s. f. (. dur.) bigoterie.
Cıacmosckıra. V. Cachonrlire.
+ CamsoLorR ou CACHALOTE, s. m. (1. d’hist.
nal.) cachalot : genre de c&lacds.
Cacaomme, s. m. cachond6 : päte de cachou,
de graine de baugue, calamus et terre argi-
keuse : donne une bonne haleine.
Cacmowptıra, 8. f. P. us. chevelure, perru-
Cıcmora. V. Raperiga.
Cucmorannid. V. Moceldo, Rapazäo.
CGacnoricz. V. Rapazidda.
Cacaorinna , 8. f. dim. de Cachöpa.
Ciczorinno, 3. m. dim. de
Cıcaöro, 3. m. garcon, petit garcon. V.
Rapaz.
Cucaöros , 5. m. pl. (1. de mar.) &cueils, bri-
sans.
+Cucmordcao, s. m. (fl. dAsie) nom d’une
dsogne de Guzarale.
Cıcatana, 5. f. petite chienne. Espäce de
tben, poisson de mer. (fig.) Negresse.
Cacmoaninpa, 8. f. troupe dechiens; (fig. 8.
de mar.) grande quantit6 de pelits vaisseaux
de guerre. dt. (Ag.) Canaille; action vile. Les
pierres dont se compose l’architrave, qui sont
postes immediateınent sur le chapiteau des co-
ionnes ou pflastres. .
Cocmonatına. V. Cachonreira.
CAcBORRimuO, 8. m. dim. do Cachörro, petit
chien de dame.
Cıcmöano, 5. m. jJeune chien. On appelle de
meme les petits de quelques aufres animaux,
comme le lionceau , le louveteau,, ’ourson, etc.
On denne ce nom par ınöpris aux nögres. Ca-
chorres de prös, (tl. de mer.) deux pidces de
canon dans le gaillard d’avant d’un vaisseau:
«anons de proue, canons de chasse.
Cacaovıa. V. Cachöla.
Cıaas, s. m. oachou : substance vegdtale ex-
traite de difförentes parties du mimosa ca-
echn,.
+ Cuasteno , 5. m. espöce de cocotier.
+Cucserin, 5. m. Espagnol europten qui
Size sa residence dans les colonies espagnoles.
Cacia. V. Cachia.
Ciaa,V. Qudssia.
Cacarkıno, s. m. chanoine tresorier du cha-
pitre, eu certaines metropoles de Portugal.
Cacdiro , s. m. coffret. it. V. Celamim.
Caciuss,s.f. (1. ds Brösil) fosse que l’on
fait ä cöi4 des rivieres, er dans les lieux ma-
tecageas pour recevoir Poau. 4. Plus usilden
CAC st
Por ‚ rosöe, petite plule Ane et froide,
surtout au point du jour.
+ Cacıustıro, s.. celui qui fall des fosses
qu’on appelle Cacimba. V. cs mot,
Cacique, 3. m. cacique : prince des Indiens.
en ‚ pl. personnes, familles prinoipales d’une
ville.
Cacis. V. Cassis.
Caciz, s. m. caciz : docteur de la lol maho-
metane.
Cico, 5. m. it ou tesson, vieux vase de
terre; morceau de vaso Cassd. Cdcos, vaisselle
de cuisine, vieux meubles casses, de peu de
valeur. Faser em —s, briser, casser, molire
en piöces.
Cico, s.m. (4. burl.) *udte. Tor mutlo —, avoir
beaucoup de jugement.
+ Cacocuouia, s.f. (t. de med.) cacocholie ı
deöpravation de la bile.
CacocHrmıa, 5. f. (f. de med.) cacochymie ı
abondance de mauvaises humedrs; d£prava-
tion des humeurs.
CACöcHYNO , A, adj. (f. dendd.) cacochyme s
malsain, d’une mauvaise complexion; plein
de mauvaises humeurs.
Cacotıro. V. Cacaofiro
Caco&rz, 3. m. tio, habitade plus ou muolns
ridicule que l’on a oontract6e sans s’en aper-
cevoir.
Caco£rıco. V. Cacheiico,
+ Cacoonarsia, s. f. cacograpbie : maniere
d’6crire contraire A l’orthographe; morceasz
mal oribographiss & dessein, que l’on denne
& corriger.
+ CACÖGRAPHO, 8. m. Cacographe : qui Orth»
graphie mal.
+ CacoLim, 8. m. (8.
caille du Mexique.
+CacoLocia, s. f. cacologie ı manidre de
parier contraire & la grammaire.
+ Cacorarsia, s. f. cacopalhio ı mauvalse
passion , mauvaise aflection.
CACÖPHATON O8 cacopbonie ı renconire
Cacopnonıa, 8. f. | de sons, de roix de»
sgröables ; assemblage de syliabes ou de ınots
mal sonnants.
+ Cacornönıco, A, adj. quilient de la oaco-
phonie.
+ Cacoraacia, 8. f. caoopragie : d&pravation
des visceres.
+ Cacosıria, &. f. oneositie ı dögont des
aliments.
+ Cacosravzia, s. f. catosphyzie : irrögula-
ritö du pouls.
+ Cacoruvuia, s. f. cacolbymie ; disposition
vicieuse de l’esprit.
+ Cacorao ‚s. f. eacotrophie : nutrition
depravde.
Cico, s. m. po@lon, casserole. “ Puiselle ou
puisette : sorie de cuillere de metal & iong
manche pour puiser de l’eau dans les cuves,
dans les seaux, eic., ow da bouillon dans les
des marmites.
+ Cagoipa, s. f. (1. burl.) plaisanterie gros-
d’hist. nat.) caoolin ı
232 CAD
siöre; raillerie indöcenie; charivari. Por —, en
badinant.
Cagokpı 4, 28 de Cepar.
ACOADOR, A .0% .
+ co Ana. adj. 2 gen. } piaisant, railleur.
+ Cacoir, v.0. —alguem, (1. fam. el burl.)
dire des plaisanteries & quelqu’un; donner un
charivari ä... u. ». Plaisanter ; bardiner.
Cacoasia,s. f. grande quantil€ de squales;
les difförentes especes de poisson.
CıcoLtra, s. f. batterie : pidce d’acier qui
couvre le bassinet des arınes & feu oü est l’a-
ınore, et contre Iaquelie donne la pierre qui
est au chien. 11. Coupelle.
Cacöre, 5. m. (8. d’ant.) ancien habit de
guorre des Romains (sdgulum). Sorte de jus-
laucorps-
Caodura, 5. f. cassolelte : vase A parfum, &
eaux de senteur, que l’on fait Eraporer, son
odceur.
CAcdURO, 5. m. rond de quenouille.
Gina, adj. 2 gen. vhaque. — ve que , toutes
les foıs que. A— passo , & chaque pıs. 3 ehaque
instant. & tout bout de champ. —vez mals,
—dia mais, de plusen plus. -vez melhor, de
mieux en mieux. — vez peior,de mal en pis,
de pis en pis. — um, — qual, chacun. — anno,
tous les ans. 1l est invariable. Cada quatro,
einoo, sols horas, mezes, @0n0s, etc. , toutes
les quatre, cinq, six heures, tous les mois,
toutes les anndes, etc.
Capico, 5. m. ruban de fil, sole ou laine, or-
dinairement #trolt. dt. V. Cadargo.
CadariLso, 8. m. Schafaud : theätre et char-
pente dress6 pour l’execution des eriminels
nobles. .
Cınantras. V. Cadenelas.
* Capinno. V. Cada anno.
* Capıgque. V. Cada-vez-qus.
CaDaRcO, 8. m. contailles, capiton, Ötrasse,
cardasse ; bourre de sole, filoselle.
"Cıavannid. V. Celerrhfire.
CADASTE-DA-POPPA, 8. m. (. de mar.) dtam-
bort ou etambot : piece de bois qui soutient le
gouvernall.
Capistao, 8. m. cadastre : dtat, regisire des
biens-fonds d’un pays, de leur valeur, de leur
«tendue,, de leurs proprietaires.
CavdA-Um, A,pro®. chacun.
CABi VER, 5. m. cadavre : deponille mortelle,
corps humain mort.
CapavEaro, A, adj. de cadavre, qui ressem-
ble au cadavre.
Capavkaıco, A, adj. cadavöreuz , radareri-
que; irös-päle et trös-maigro, en parlanı d’un
hommie.
CaDAVER6S0, A. V. Cadavdrico.
Capavzz, adv. chaque [ois, toutes les fois.
— mais, de plus en plus.
Capta ou Cadkıa, 3. f. chatne , cadne. (fig.)
Sörie d’evenemenis. Prison. Esiar na—, eire
en prison, & la chatne. — de montanhas , suite
de montsgnos. Cadsias, pl. ceps, fers. (fiy.)
Eschavage. Ponchant irrösislible ; lions «Pamanr,
CAD
bras de la personnes aimbe.— de rolagie, chalne
de montre
CADEADO, s. m. cadenas : sorle de serrure
mobile , avec un anneau.
Capzıaziuua, s. f. dim. do Cad£a,
Capkıaa,s. f. chaise, siege; chaire de pro-
fesseur.— de dragos, * fauteuil. — fureda ou de
reir&te, chaise perc6e. — d’arruar, sorie de
palanquin (au Bresil). — de rebuge, chais
fermee, poride par deux hommes. — de pro
fessor, (fig.) chaire : place, charge de profes-
seur. Ler de—, (fig.) @ire profond dans une [a-
culte, parler en malire. — evangelica ou da
verdade, chaire: tribune de predicateur.—redl,
V. Tirono.— de S. Pedro, chaire de saint
Pierre; saint-siege. Cadeiras, pl. hanches,
fesses. Dores de —s, mal aux reins.
Capeıainua,, 5. f. dim. de Cadeirs, petlite
chaise ; chaise & porteur. Mogo de —, por-
teur de chalse. —s pl. siege que forment deux
personnes en se tenant par les mains.
CApkıxo. 5. zn. bouquin. V. Bacamarte.
Captra, s. f. chienne : la femelle da chıen.
V. Cachorre.
Caverıinua, 5. f. dim. de Cadells, petite
chienne; jeune chienne. Cadellinhas, pl. tel-
lines : coquillage bivalve, ac&phale.
+ Capeuäco, s. m. (tl. de bot.) aleiris de
Pinde.
Capencıa, 8. f. (8. de mus.) cadence : termi-
naison harmonique d’une phrase par un repos.
—, mesure du son qui regle le mourement de
la danse. (f. de litler.) —, terminaison,, chute,
fin d’une periode; mesure harmonieuse d’un
vers. (8. de mandge) Mouvements dgaus ei gra-
cieux du cheval. Fallar com — , cadencer ses
periodes avec afloctalion.
CADENCIÄDO, A, P. p. de
+ Capsncair, vo. e. cadencer : faire des ca-
dences.
CADENCIÖSO, A, adj. en cadence,, nombreux,
agısable, en parlant d’une periode.
CADENETAS, 8. f. pl. points de chalnelte : eı:
broderie, c’est un ornement courant qui forme
une espece de lacs conlinu.
CADENETILBA, 8. f. dim. de Cadendta. V.
Trancelim, Canotilko.
CaveniLHa. V. Espiguilke,.
+ CADENTE, adj. 2 gen. tombant : qui menace
de tomber. Cadence : qui est cadence, nom-
breux, harmonieus.
Cav£ana. V. .
CAaverniL, s. m. moufle : assemblage de
poulies. — de dous gornes, ( I. de mar.) poulie
double, poulio & deux rouels. — de paloma,
(id.) poulie de drisse.
CADERNINHO, s. m. dim. de
CADERNO, s. m. cahier : feuilles de papier ou
de parchemin reunies par un bord. — dos
quartos, (t. de mar \livre de loch.
CaDere, s. m. cadel: jeune gentilhomme qui
sert comme simple soldat;; fils cadet, puine.
Canexo, 3. m. echeveau de fl, de soie; bou-
cie de chevrux,
CAF
Capi,s. m. cadi: Juge chez les Tures.
*Canı£ızo ow CudkilEino, s. m. geölier. V.
Carcertiro.
Capinnos, s. m. pl.bord, bas-bout, ou frange
d’une dtofle ; les premiers ls de lachaine d’uno
töile sur le melier.
Capino ,s. m. adroit, fin, consomme, flefit.
CADINHO, 8. m. Creusel : v856 pour fondre
les melaux.
+Cuapuis, s. f. cadmle : calamine purc, ou
pierre calaminaire; suie melalliquo quı s’at-
tasche aux fourneaux dans lesquels on fond les
melaux.
tCapeio, s. m. cadmium :corps simple,
mötallique, solide, blanc d’elain, sans odeur
ni saveur, brillant, susceptible d’un beau poli.
tCäoo, s.m. grand vasc de terre dans lequel
les anciens metlaient leur vin; mesure altique
pour les liquides contenant pres de 42 pintes.
CGusödz, 3. m. trou, dans le jeu de la paume.
"Retraite, asile cache.
+Capöz,s. m. (f. d’hist. nat.) chabot, tötard,
peisson Ihoracique.— dos rios, goujon, gobie,
gardon.— negro, boulereau.
tCavozere, s. m. (1. d’hist. nat.) loche, |Ca
quaire-gil ow anabicps, poisson du genre du
eyprin.
Gdccipo,A,p. pP. de Caduedr.
CADUCAMENTE, adv. faiblement, debilement,
CaDCcANTE , adj. 2 gen. (l.de pods.) decrepit.
Radotant.
CapuciR , v9. ®. &tre decrepit, devenircaduc.
Radoter : tenir des discours incoherents par
suite de Valfaihlissemen: de l’esprit dans un
ige avance. S’user, deperir, toucher & sa lin,
en parlant dcs choses. — 0 legado, (1. de pras.)
N sedit d’un Hdeicommis, d’un legs qui s’e-
teint dans le dernier fidöicommissaire, faute
d’beritier.
Cusccirto, A, adj. leis—as, (f. de pral.)
lois qui marquent la caducits des deicommis,
V. Caducar.
Capccganor, 5. m. Caduckaleur : heraut qui
annonceit la paix chez les Romains.
Capccko, 3. m. Caducke : verge accolde de
deux serpents, que la fable donno & Mercure;
biton fleurdelise des herauts d’armes.
+Capucipäne, s. f. caducite : vieillesse de-
bile; deerepitude ; Etat de ce qui est caduc.
(£. de prat.) * Deperissement : decheance d’une
chose ; perte,, exlinclion d’un droit antiquc.
Capöco, A, adj. caduc, cass6, vieux, sans
foree. Fragile, peu durable. Folkas, coröllas
—as, (1. de bot.) feuilles, corolles caduques :
gui tombent avant les aulres. Calis—, (id.) ca-
liescaduc:quitombe avant la corolle. Mal—,
(. de mdd.) haut mal, mal caduc, Cpilepsie.
Gazeico.V. Caidigo.
* Catupas. V. Calendas.
Cizs ou Caıs, s.m. quai:leree cn pierre, Ic
long de leau, pour la contenir, &ic.
*Caranz. V. Cafre.
Caranatıno, s. m. ZOOgreur du Cafärro.
®. ce me,
CAG 233
Carirnro, 8. m. tribut exige par los Turos des
chretiens qui habitentla Terre-Sainte.
CAFATÄRES, 3. m. pl. Maures de Mascate,
Care, s. m. calö: [dve du cafler.—, boisson
qu’on fait par la digestion ou decoetion des
[&ves du cafier rölies ; momumt oü elle se prend.
CArE£ıno, s. m. (l. de bot.) caller ow caleyer:
arbuste de la famille des rubiactes, originaire
de l’Arabie Heureuse; le fruit renferme deux
demi-[örves.
CareLir, V, Acafeldr.
CArEtiö ou Carsran, s. m. Cafelan:: robe de
distinction en Turquie.
CAaretkıra, 3. f. caleliöre :vase pour faire
le cafe.
+ CArEziL,s. m. lieu plante de cafiers.
CirıLa,s. f. caravane :: troupe de marchands
en voyage dans le Levant. (fig.) Foule, Iroupe,
rassemblement, assemblage de personnes,
d’aniınaux ou de cboses. Train : gens de mau-
vaise vie. — de disparaltes, lirade de sotlises.
Cariz.V. Cahiz,
Cirri, s. f. femme de la Cafıcrie.
TCAFRALNENTE, adv. p. us. ä maniöre des
Carrania,s. f. (t. de geog.) Calrerie, grand
pays de i’Alrique meridionale. it. Troupe de
Cafres.
. Cirre, s. m. Calre: habitant de la Cafrcrie.
(fg.) Homme barbare, cruel, rustre, grossier ;
mesquin ‚ avare, chiche.
Carrice, s. f. action de Cafre. (Ag.) Brutalite,
grossieret6; mesquinerie, avarice.
Carainuo, s. m. dim. de Cafre, jeune Cafre.
++ Cartan, s. m. cafıan : pclisse d’bonneur
donnee par les sultäns.
Carta. V. Fürna.
Caront, 5. ın. claquement des doigis sur la
iste (au Bresil).
Caciva, 8. f. (1. bas) cacade : decharge dk
venire.
Cacap8ıLa, 8. f. dim. de Cagdda. Chiureı
excrement des mouches el d’auires insectes.
Cıcäino, A, p.p.de Cagdr.
CicApo, s. m. "bourbeuse : tortue d’eau.
CacıLniö, s. m. (l. bas, Etron : malicre fö-
cale solide.
CicaLtae. (1. pop.)V. Lumieira, Pyrilampo.
Cacankına, 8. f. ({.pop.) diarrhee, cours de
ventre, foire.
CAGaNiTas, 8. f. pl. (l. pop.) crolies de chö-
vres, cic.
CAcaö, öna, s.m. et f. chieur, foireux. (fg.)
Pusillanime,, limide, poltron.
CacAr, dv. 6. chier, embrener, decharger le
ventre.
CACiR-SE, v. r. 80 salir de ses excrämenik
(fig. fan.) — de medo, foirer de peur, se con+
chier.
CAGARÖLA, 8. m. (l. burl.) peureux, poltron.
+ Cacanniö,s.m.aug.do Cagädo. it. (1.burl.)
Prison, cachot. Melter no —, claquemurer :
renfermer dans une &troile prison.
Cacanräz. V. Herquihdo 'siseau).
2% CAl
+ Cacanninna, e. f. "fral: petit polsson.
+ CacaTönıo, 5. m. latrines, lieux prives,
commoditss.
+ Cacut, s. m. (l. d’hist. nat.) cagul : singe
du Bresil, sakis.
Cazin , etc. V. Cair.
Caniz, s. m. mesuro imaginaire de la conte-
Bance d’un peu bunded de douze boisseauzx.
Cinos, 8. m.
Casapkıaa, 8. [. femme qui blanchit une mu-
raille & la chauz.
Caripo, A,Pp. p. de Caidr.
CaıapdOR, 3. m. colui qui blanchit aveo de la
ehaux.
Carapöra, s. f. Yaction et V’effet de blanchir
&la chauz.
Carina, v. a. blanchir une murailie & la
chaux. — o rosto, se farder.
Cirpa. V.
Ciınra, s. f. crampe: sorte de contraclion
convulsive et douloureuse de la jambe, etc.
Cilanos, s.m. pl. "charpente d’un toit; petits
soliveaux.
Ciıcaıua. V. Canigdiha.
Calpa, 8. f. chute: action de tomber. Des-
cente:: penie par laquelle on descend. (fg.)
Decadence, ruine; chute, disgräoe. V. ie
mento.
Cafoico, A, ady. caduc, fragile: qui tombe
facilement.
CAalno, A, p. p. de Cair, et adj. tombe,
€boule. (Ag.). Tombe, disgracie. ARosto, sem-
blanie —, visage, figure triste, abattue. Ant-
mo —, esprit abattu, decourage. — de cör,
blöme , päle. — em sorte, loti, echu en partage.
Calnos, 5. m. pl. arrerages : co qui est dchu
d’un revenu quelconque.
Castıra, 8. f. p. us. "four & chaux.
Carkıano, s. m. chaufournier : faiseur de
chauz.
+ Caısacin, s. m. calmacan : lieutenant du
grand vizir.
+ Cammät, s. m. titre des princes du Malabar.
TCamiö, s. m. (1. d’hist. nal.) calman:
espece de crocodiie d’Amerique.
Carunı. V. Camba ou Cäibe.
CÄıusar , etc. V. Cambiar, etc.
Caıu2o. V. Cambio ou Cambo.
Caımana. V. Cälba ou Camba.
CAImSnTO, 8. m. affaissement, affaiblisse-
ment. (fig.) Abattement, abaissement. -— do ca-
dasie de poppa, (1. de mar.) gite de l’6tambord.
* Calnutza. V. Miseria, Mesquinh£z.
* Calnno. V. Misero, Tacdnho.
+ Gaıröra,s. f. (t. du Bresil ) lumitrephos-
phorique qu’on voit dans les bois.
CAlosE , 8. m. (l. de mar.) qualiche : petit bA-
tment dır Tage, de la cöte du Portugal et de la
Manche,
Cala (a, para, de, em, por, sobre), v. n.
tomber, choir. (flg.) —, decholr. tomber dans
l’erreur, dans Pignorance. Tomber, &choir, en
parlant du terme d’un palement, etc. oir:
arriver par sort, par hasard, ou autrement.
CAI
Survenir, arriver. Concevoir, p6nötrer. Donner
dans quelque erreur ou piege. — om lerra , —
no chdo,tomber par terre. — nas mdor do vm-
esdor, tomber entre les mains da vainqueur.
— na razäo, entendre raison, tomber d’ao-
cord. — em das mds linguas,, {aire jaser
sur son compte, donner prise. — dentro,
deverser. — em grara , donner dans la visiäre,
trouver gräce devant quelquun. — ben ou mei
um vestido, aller bien ou mal (un habit).
—_ ums feste em dia, tomber un tel
jour, en parlant d’une föte. > redondamenis
ou redondo , tomber raide. — a prümo,, tom-
ber & de’ aplomb. — debaizo do anno do nasci-
mento, ( am.) toımber sous l’autorits de quel-
quun, &tre soumis & sa juridiotion. — de
golpe, tomber subitement, tout & coup. — de
graca d’alguem, (ig-) &tre dechu de la farenr
de quelqu’un, peräre ses bonnes gräces. — 0
‚o sol, a tarde, ( fig.) tomber, en parlans
du jour, du soleil, A la nuit. — em al,
cousa, ( lg.) comprendre quelque chose, se
mettre au fait de queique chose. — ns cama ou
— enfermo,, tomber malade. — no chiste, (Ag.
fam.) saisir le fin mot, s’apercevoir du bout ca-
ch& d’une chose. — no laso, na esparrälla, eto.,
(Ag.) donner dans le piege, dans le panneau.
— na conla, revenir d’une erreur, — na len-
tardo, succomber A la tentation. — s meldigie
em casa d’alguem, (fam.) ®tre malheureux,
$chouer dans toutes ses entreprises. 40 — de
folha, & la chute des fenilles, & la fin de Pau-
tomne. Estar a— instonies, etre sur le
point d’arriver, de survenir.'\- 0 eoraplo aos
Din, (fg. )perdre tr. — da memoria, s’ou-
lier. — de maduro, (fig. fam.) tomber de
vielllesse, de decrepitnde. — com ou de somno,
tomber de sommeil. — a sopa no mel, (Ag.
fam.) r&ussir mieux qu’on ne s’y attendait. — a
alguem as faces de vergonha, (id.) rougir jus-
qu’au blanc des yeux. Ndo ter onde — morto,
Öire sur la paille, @tre dans une extr&me pau-
vrets. — sobre um navio, (l. de mar.)s’aborder,
deriver sur un valsseau. —'a r6, (id.) culer.
— para solavento,(id.) tomber sous le rent,
deriver,
Caıakı, s. m. galen de chapeau; garniture
de robe en forme de frange. — unhas
orasse des ongles.
CammzeLi00,A,P.p
CAammsLÄn, v. a, Eder de galon ; garnir de
franges le bas d’une robe, etc.
CAıno, s. m. fllaments du coco dont on fait
des cordages; cordage de ces fllaments. (. de
geog.) Caire : ville capitale de !’Egypte.
Ciixa, s. f. boite, cassette, layette, e&tui.
Caisse de trösorier. "Tambour, caisse : instru-
ment militaire. Casse d'imprimerie. * Serron :
botie od l’on apporie des drogues @irangeres.
— d’oculos, &tui & Iunettes. ( Ag.) Fameux vau-
rien. — de fabaco, tabaliere. — de rebeca, 6tul
& violon, —dorgäo, buffet d’orgue. — de coche,
coffre de carrosse, hateau. Despedir alguem
com —s desiemperadas, (fig. fam.) chasser
.’
CAL
tambour battant, Livro de — , !ivre de compte.
Ter —,(lg.) avoir beaucoup de Jugement, de
prudence. Ser 0 —,(1d.) ötre le caissier. — de
sıerinheiros, (1. de mar.) coffre de bord. — do
moitäe,, (id.) corps ow calsse de poulie.
Gmxid,s. m. aug.de Caixa.Caisson : grande
caisse, "Caisse : coffre de bois oü l’on met des
marchandises. — d’estante, espace Compris
entre les rayons ou lableites d’une biblioth6-
que. — de defunto, *biöre, cercueil.
Carzariı, s. f. grande quantitö de caisses,
de bottes. Fonctions d’un commis, d’un gargon
de boutigue. Confas de —, arithmetique com-
nerriale. .
+Curze, s. m. (f.d’Asie) monnaıe d’etain de
Malaca.
Curztmro,s. f. layetier: ouvrıer quı fait des
caisses de hois. Caissier : celul qui tient la
eaisse d’ane maison de commerce, d’un ban-
quer. Commis; gargon de boutique.
Cuixtra,s. [. dim. de Caiza.
CuxErim, s. m. (1. d’impr.) cassetin : com-
yartiment de la casse; pelite casse A leltres.
+CuıxiLno, s. m. chässis : ouvrage de me-
nuiserie formant cadre pour des vilres, etc.;
embrevement, entaillure, tout ce qui enchässe
queique chose. — de livros, bibliotheque
— deslampa, etc., encadrement.
Cazisua,s. f. dim. de Caizöia.
+ CaıxörE, s. m. * caisse de moyenne gran-
deur. Coffre ouvert par le haut oü !’on met des
arbres, des fleurs, elc.
+Caıxorinuo, s. m. dem. de Caixole.
Gyi,s. m. [ruit d’Amerique qui ressemble
aux prunes.
+Casacıa, s. f. (4. de bot.) cajatia » plante
nutriüve de l’Inde.
Cusapinı, s. f. coup de houlotte. Malar com
ums — dous coelhos, (fig. fam.) faire d’une
pierre deux coups.
CusanixRO, s. m. dim. de
Casino, 3. m. "houlette: bäton de berger. il.
V, Basido.
*Cai6, s. f. V. Occasido , Desasire.
CaJaztıno, 5. m. arbre du Bresil, qui donne
le Cayd. V. oe mol,
Clö,s. m. .
TV. Ackfän, BIO.
Casuni, 3. m. espöce de palmier d’Asie dont
os fait uno espöce de vin.
Casustıno. V. Cajufiro.
Cir, s. f. chaux : metaux, pierres calcaires
inses ; terre calcaire alcaline.— viva, chauz
vive. — amassada , mortier. Ser de pedrae —,
(4g.) “re fort, dur, solide, durable. Estar de
pedra oe —, (id.) etre ferme dans un propos,
bien convaincu d’une chose.
*Cir,s.m. V. Algeröz.
Ciza, s. f. coupe: entallle qu’on fait A un
freit pour le goüter avant de Yacheter. * Trou
fait ıı2c une sorte de tariere pour sonder un
meion, un fromage, etc. Entamure que les
macons font & un mur pour en reconnaliro 1’6-
tat et Fepaisseur. V. Cdlha, Colkla
CGAI, 235
CaLapıcıa. 7. Cabdea.
CALABOUGO, 8. m. cachbot : basse-fosse.
CALÄBRE, 8, m. gros cAble goudronne.
Carasreloo, A,p.p.deC .
CALABREADÜRAOUCALABRIÄDA, 2. f. " mölange
de differents vins. (Ag.) Tromperie, fraude.
CALABREÄR, o. a . meler differents vins , me-
ler difförentes choses. it. V. Adubar, Tempe-
rar.
TCarszetz, A,s, et adj. Calabrais : de la
Calabre.
+ Carisaıa, s. f. (t. de geogr.) Calabre:
province du royaume de Naples.
CaLaBaüTE, 3. m. dim. de Calabre. (1. de
mar.) Cäbleau, chäbleau, petit cAble,
TCarasöro, s. m. (1. de bof.) calabure : ar-
bre tiliace.
TCaric, s. m. (t. de bo$.\ calao : arbrisseau
des Indes.
"Carica, s. f. cöteleite de porc.
CaLacania, 5. f. paresse, faindanlise, ca-
gnardise.
CALACEÄR, 9. 8. mener une vie oısive.. dere-
glee ; cagnarder.
CALACEIRO, 8. m. paresseux, faindant; gour-
mand ; debauch6.
*Cäiricönpa, 8. f. (t. mil. ane.) coup de
tambour pour faire une decharge.
Carina, s. f "silence: cessation de bruit, de
vent, etc. Pela—, en secret, sous ınain, se-
cretement, & l’insu; sans bruit. Pela — da
notte, dans le silence de la nuit. — do remo,
vogwe faible, lente.—de vento, bonace, calme.
CALÄDAMENTE, adv. en silence. V. Caldda
pela). .
+ Caravärıs, s. m. (tl. d’Asie) toile de coton
de Bengale.
TCarıvıckö,s. m.(1.de laChine.) tribunal od
P’on juge les criminels.
TCaranıiö, s. m. (t. de bot.) caladion :
plante du Bresil, culcasie.
CaLipo,A,p. p. de Caldr, adj. silencieux;
discret ; r&serv6, cach&, dissimule.
Carapöra. V. Cdla.
CaLarÄTE, s. m. calfat, calfateur : celui qui
calfate un vaisseau.
CuLAarEtaciO. V. Calafslamento.
CALAFETÄDO, A, 9. p. de Calafetar.
TCALAFETADOR, 8. m. instrument de tonne-
lier pour calfater les tonneaux.
CALAFETAMENTO, &.m. callat : ouvrage de
calfat. Calfatage.
CALAFKTÄR, v. a. calfater : garnir de poix et
d’&toupes les fentes, les coutures d’un vais-
seau. Calfeutrer : boucher les fentes d’une [e-
netre, elc., avec du papier, etc.
CALAFETEAR , olc. V. Calafelar.
CaLarkro, s. m. calfat; calfatage : action de
calfater.
Casin, s. m. ötain tr&s-än de l’Inde.
CaraLüz, s. m. ($. d’Asie) peiit bäliment &
rames dans l’Inde. j
Caramkco, s. m. *calmande ; Stoffe de Jains
lustree d’an cöt#,
286 CAL
TCarauir, s. m. calmar ou cornet, ou &cri-
toire : polssun c&phalopode, animal marin du
genre des söchga : lourmit une espece d’encre
noire.
Caramsi,s.m. (6. d’Asie). V. Aloe.
CALAMBÜCO, 5. m. calambac, calambouc : es-
pece d’alods.
+ Caraunöno, s. m. calambour : bois des
Indes, verdätre, odoriferant : sert aux lable-
tiors.
TCarauentaa,s.f. (1. de boil.) melisse ow
citronelle, calamneont, herbe de citron, ponci-
rade : planto labieo qui sent lo citron, medici-
nale, vivace.
CALAMENTO, 8. m. V. Caldda. — da verdade,
nc dire pas la verits.
Carasıpäng,s f. calanıite. II a les m&ämes
acceptions que lo mot francais.
CaLauina, 8. f. calamine, cadmie : pierre
ealaminaire ,oxyde de zino natif.
Carauınär, adj. 2 gen. calaminaire : qui ap-
partient & la calaınine.
CALANINTHA. V, Calamtntha.
*CALAMISTRAR , v. a. calamistrer :
poudrer.
Carasita, s. f. calamıte : nom ancien de la
pierre d’aimant, Je la boussole. (4. d’Aist. nat.)
calamite : espece de crapaud ‚ crapaud vert &
lignes- Jauncs sur le dos et verrues rousses.
CaLauita, ady. 2 gen. Estoraque —, storax
calamite, on larınces.
CALAMITÜSAMENTE , adv. avec calamild, mal-
heureusement.
CALANMITOSISSIMO , A, adj. sup. de
CALAumösO, A, adj. calamiteux, malheureux.
CALANO, 8. m. tuyau de bie, tige de paille
quı soutient l’epi. * Flüte, chalumeau. "Pluine &
ecrire. Calamo currenle, (ezpr. lat. et fam.)
sans preparation. — aromdlico, (1. de bof.) V.
deöro.
Carawocipa , 8. f. (8. P0p.) coup sur la t&te,
(Ag) * Doınmage, tort, detriment.
Caramocipo, 4,p.p. de
CaLauocik, v. 8. (1. Pop.) frapper ä la läte;
meurtrir de coups. (fg.) Endommager, faire
tort & quelqu’un.
+ Carauörg, s. m. ($. d’Asie) sorte de vais-
seau de la cöte du Malabar.
Caranpin,s.m. (f. d’Asie) calender : reli-
gieux persan ou turo,, mahometan vagabond.
Carinpaa, s. f. calandre : machine pour
presser et lustrer les &toffes.
CaLanpaino, A,p.p. de
CaLanpair, v. a. calandrer : lustrer areo la
ealandre.
Caranpakıno, 3. m. calandreur : celui qui
ealandre.
CaLantin. V. Acalanlar.
CaLid, 8. m. (f. de mar.) grando felouque de
la cöte des Algarves, en Portugal. is. (1. d’Asie)
Vase de terro pour porter de l’eau.
140,3. m. (l.d’hist. nat.) calao : gros
oiscau dentirosire, A beo en faux, &uorme,
surmonie d’un easıue Osseux,
friser,
CAL
CaLir, v. a. taire, cacher, omeltre, dissimu-
ler. v. n. Cosser de parler, de cbanter. (1. de
pods.) Se calmer, s’apaisor, eu parlant des flois
et dcs vents. — o bico, (fig. faan.) garder le si-
lence. Quem cdla consente, qui se lail consent,
ow qui no dit mot vonsent. Ndo ha cousa como
o—,iln’y arien de tel comme de se taire.
Se queres a vida bem passar, has de owvir, ter,
0 —, si lu veux parlout vivro en paix, &coule,
regarde et le tais, Caldr-se, v. r. 56 laire, gar-
der le silence.
CaLir, v. a. (l. de mar.) caler, arriser, des-
cendre, amener, baisser, en parlant des voiles
d’un vaisseau. Penetrer, imbiber, percer, mi-
tonner, tremper. (fig.) Penetrer, saisir. — 6
ponte, baısser un pont-levis. — 0 meldo, son-
der, entamer un melon pour Jo goüler. — &
baionela, V. ce mot. — a viseira, baisser
la visiere. Galdr. v. n. fondre, s’aballse,
tomber subitement. Il se dit de l’oıseau de
proie qui fond sur l’anımal qu’il veul preü-
dre. S’imbiber, se penetrer, en parlant de lat-
tion des liquides sur les solides. S’ıntrodulre
dans quelques endrolts. Il est quelquefois rE-
eiproque. aan:
CALATRÄVA, 5. f. Calatrava : ordre milllalte
en Espagne.
Ciica , s: f. action de fouler.
Caucioa, V. Pelsija.
CaLcän0,A,Pp.p. de Calcdr.
CaLcapör, s. m. celui qui foule; fouloit,
foulerie : outil pour bourrer le canon. —de t#-
reis, gros bout d’une baguette de f[usil.
CaLcADöuRO, 3. m. "aire oü l'on depique i
bie; quantitt de blöd que l’on depique chaque
fois, airde.
Carcapöra, s. f. Paction et l’effet de foulet,
foulure. .
Carcamin, s.m. (1. Phist. nal.) calcamaf:
manchot du Brösil. %
CaLcine0, s. m. (1. d’anat.) calcandum:
deuxi&me ot le plus grand os du tar$®.
CALcANBÄR, im alon ; la partie posterieare
du pied ; (Ag.)du soulier, Dor aos ealcankartı
(ezpr. fam.) s’enluir, se sauver en courun
Tirer ses guätres. Este homem ndo ch h
es d’vulro, cet homme ne va pas Jusll
jarreiiere d’un autre. Al
CaLcaxmin, 0. a. V. Acakanhar. (anltd.)
teindre. , „itre
Carcir,v. a. fouler aux pieds, piler, ba
& force de passer souvent dessus, LasBeT:
medidas, remplir, combler les mesüres- on-
CaLcin,adj.2gen. | calcaire: ce qui ©
CaLcäREO, A, adj. tient de la chau8-
Carcataira, 8. f. (1. de bot.) V. Bspot
Carga,s. f. "chausson. it. V. Care" 1
Cagiva, s. f. chaussee; chemin PAY“;
pave.
Caıcino, A,p. p. de Caledr. adj. P ee
parlant des olseaux qui ont des plumes Jus1
sur les pieds. van met auf
CaıcÄno, s.m. "chaussure : ce qu OR nen
pieds et aux jambes pour les couYfif-
CAL 237
halzan : celoi qui & les pieds blancs et le reste! CaAkCULADÖR, s. m. esiculateur : celai qui
du corps d’une autrecouleur. Ser — dealguem,
se Iaisaer mener par au !qu’un.
Carganön, 5. m. chausse-pied : morceau de
eur ou de corne, qui sert pour chausser les
sonliers. — de botas, tire-bottes.
Caigıpürı, 5. f. V’acllon de chausser, de
botier. 11. V. Calgado.
Carciö, Ss. m. * culotie: haut-de-chausses.
Emp'or& le plus sousent au pluriel. Caicdes.
Catgir, v. a. chausser, bolter, meitre des
bas. des souliers , des boltes, des pantalons,
des ganis ; donner des chaussures & queiqu’nn.
—, aler : mettre une cale. Garnir, renforcer
%es erirömites des chbosrs qui Lravallient le
plus, comme outils, ferrements, eic. — as
ruas, as pontes, paver les rues, les ponis. —
a roda, enrayer une roue. — d’aco, garnir
d’acier.— fantos pontos,(t.decord.' chausser
d tant de points : perter des sonliers d’une telle
ou telle Iongueur. — um eixo de ferro, rechar-
ger un cssieu.
Chigan-sE, Y. r. se Chausser, se botter, etc,
Gaigas , 5. f. pl. chausses, pantalon. Fer-se
en—perdas, (fig. fam.\tire dans un grand
embarras, &ire en danger. Dar —, (id.) pour-
seivre,serrer de pres.
Circe, 5. m. "cale : morceau de bois pour
meitre de niveau, d’aplomb une table, etc.
CaLcevönta. V. Chalcedonia.
Carckra, s. f. "alganon; fer aux pieds; les
galires. —s, pl. chaussettes.
+ CaLcKTaRiä, 8. f. quarlier des paveurs.
Carcztriıro, 5. m. paveur. ant. Culotiier,
faiseur de bas , marchand de bas.
Cauckz,, s. m. (tl. de mar.) ton, tenon : bout
. d’une piece de bois, qui entre dans une mor-
laise ; calcet du mät.
+ Carcdirraca, 8. f. (f. de bot.) V. Saxifraga.
— de Lob£lio, bacille maritime ou criste marine,
euig. la passe-pierre, !’herbe de St.-Pierre, le
fenouil marin.
Curcmaciö, s. f. calcination : l’aclion de
esleiner, ses effets.
CauasäAD0,&A,P. p. de
Carcswän, ©. a. calciner:r&duire en chaug,
en cendres, en poudre, par le feu.
GaLcmaTörıo, A,adj. (l. dechim.) qui cal-
Gine, qui sert pour la calcination (vase, elc.).
CuLcmävsL, adj. 2 gen. qui peul Etre calcind.
+Circıo, s. m. (f dechim.) calcium : metal
souvellement decouvert dans la chaux.
+ Cuıcires, s. m. (l. dechim.) calcite : sul-
fate de cuivre calcine.
+Cıarcırnäpa, 8. f. ((.de bot.) centauree &toi-
ee. eulg. Le chardon etoil6, la chaussetrape.
Carerrmin. V. Recalcitrar.
CaLco.
na. } V. Chalco ‚etc...
Gaıco,. V Calce.
"ayora, 5 f. dim. de Calga.
CuLcoTe, sm.
Carcrracäd, s.f. "calcul: Paction de calculer.
CaLcuLa0o, A, P. pP. do Calculär.
CarcuLir, adj. 2 gen. V. Caleuldso.
CALcULÄR ‚©. 8. calculer, suppuler, compter.
Speculer, möditer, combiner. (fig.) Reftchir ;
peser, Juger ; conjecturer, prevoir.
CALCULkVEL, adj. 2 gen. calculabie : qui peut
se calculer.
TCaLcuLista,, s. m. qui caleule, qui specule.
CiLcuLo, s. m. calcul : supputation, compte.
(fig.) * Balance, estime, spprecialion. (4. de
med.) —, pierre dans les rcins; concreiion
pierreuse,, inorganique ‚dans le corps humain,
gravelle.
+ CaLcuLirkaco, A,adj. (l. de med.) calculi-
frage :: lithontriplique, qui resout le calcul (ro-
mede).
CaLcuLöso, A, adj. (4. de med.) calculeux,
graveleux, pierreux ; qui a la piorre.
+ Carcunniäna, 8. f. (f. fam.) course acck-
leree, longue trotte.
CALCURRIÄDO, A ,P. p. de
CALCURRIÄR , v. @. ou 9. courirvite, trolter.
CiLoa, s. f. sucre fondu et &pais pour les
conlitures. Doces de —, conftures liquides. —,
pl. bains thermaux, bains qu’on prend dans
des eaux thermales.
CaLpAıco,, A. V. Chaldaico.
CaLoärıo. V. Thermal.
CALDEÄDO, A, 9. p. de
CALDEÄR , v.a.— 0 ferro ‚rendre le ferrouge
au feu pour le travailler, l’affiner, le tremper.
— a cal, gächer la chaux, faire du mortier.
Möler;; souder. (ig.) Rendre homogene, amal-
gamer.
CaLpkıra, 8. f. chaudiere : grand vase pour
faire chauffer,, bouillir ou cuire. Marmite. — de
eisierna, "sas de citerne. — de arvores, [0S50,
bassin , retranchement autour des arbres pour
recevoir de l’eau. — de de comporia,
(t. d’hydr.) " sas d’Ecluse. — para recolher em-
barcagöes , gare, möle, bassin : lieu de sürete
pour les bateaux. Senhor de penddo e —, gen-
tilhomme ancien qui avait le privil&ge de suivre
le roi & la guerre, et de porter devant lui un
drapeau et una marmite. — de Pedro boidlho,
(fam.) l’enfer.
CaLpeirkpi, $. f. chaudronnee : le contenu
d’une chau:iere. V. Batega. Sorte de ragoüt
que font les p@cheurs avec du polisson frais,
Matelo'e.
CaLoEıRBÄd, Ss. m. aug. de Caldeira. it.(t. de
mus.) Po:ul d’urgue, suspension ä volonte. if.
Espece de dauphin, poisson de mer. Nom J’un
jeu d’enfant. A corda mais o —, Saint Roch et
son chien. On le dit de deux p:rsonnes qu’on
voit toujours ensemble.
CALDEIRARlA , s. f. cbaudronnerie : boutique
de chaudronnier, quartier des chaudronniers. ”
CALDEIRFIRO,, 8, n. Chaudronnier : qui fall,
vend et raccomınode des chaudrous, des usien-
siles de cu sine.
Carpeininsa,s.f.dim.de Culddira.—d’agus
benla, * benitier : vase a l’cau benlle,
«
238 CAL
+ CuLn&sn0o, 3. m. obaudron ; petite chau-
diöre;; seau d’airain A puiser de l’oau dans un
uils.
? CarL2inRo ‚s. m. die. de Calde. Petit bouillon
Savoureux et elair.
CiLno, s. m. bowillen, potage, Jus. — de
susiancie, consomme. ou enlorner
0o—,(fig.) brouiller les affsires. Melter elguem
em —$, (id.) susciter de grands em-
berras & queiqu’un.
* CiLpo, a, adj..chaud.
FCaı20so, a, adj. qui a trop de bonilion,
qui est dtendu de bouilion.
t CaLpöcHa ,s.f. (t. pop.) bouillon clair, eau
de vaisselle.
CaLsca ‚es. [. ealäche :sorte de voiture coupse
& deux roues et ä deux chevaux pour voyager
(en Portugal).
Carectino, 8. m. condueteur d’une caldche.
V.Calera.
CALEDONIO, A , adj.de la Calsdonieow Ecosse.
Animal —, l’ours.
TCarzraccäö, s. f. cal&faction : chaleur cau-
s6e par Paction du fen.
TCALEFACHENTE, adj. 2 gen. (1. de mdd.)
tbermantique, qui rechauffe, qui ranime la
chaleur naturelle.
t CaLeractönıo,s. m, chauffoir: lieu od Fon
»’ethauffe.
CaLzrerir. V. Calafstar.
CaLErnios ou CALArRıos, 8. m. pl. frissons.
Cartıno, 8. m. V. Cailiro. it. * Gouttidre,
cernidre : nolet, canal qui est Ala r&union des
deux pentes d’un toit pour recevoir les eaux.
CaL£ia, 8. f. petite rue.
CAaLRsino, A, p. p. de Calejar. adj. calleux.
(Ag.) Endurei au travail; accoutume, insen-
* sıble aux maux ; invelere.
Caresin, o. a. faire venir des cors, des du-
rillons ; (Ag.) endureir.
CaLEsir, o.n.et— se, vo. r. (fig.) s’endurcir,
@tre endureci an travail, aux malheurs, vieillir
dans les vices.
TCaLtnpa, s. f. legon, chapitre da marty-
rologe romain.
CaLenpinıo, 5. m. calendrier, almanach,
annuaire; bref. — reformado , n0v0 ou grego-
riano , nouveau calendrier : oelui qui est con-
forme & la r6formation falle par Gregoire XIII
en 1582. V. Folhinha.
CALENDARisTA,,s. m. celui qui fait les calen-
driers, les brefs ecelöslastiques.
CaLenvdas, s. f. pl. calendes : premier jour
du mois cl. :zles Romains.
CaLenptn.V. CC. .
TCarkmura 8. f. (8. de bot.) V. Marevilka
baslarda
tCaLzrino, s. m. calepin : recueil de notes,
de mots, d’extraits, fait par quelqu’un pour
n usage. Vocabulaire.
"Ciizs. V. Cdlis.
"CaLtre. V. Temperamenio, Compleicäo.
CALEO, s. m. nom d’un animal sauvage
'. .
CAL
CaLkzz ou CaLücus, s.m. °oalöche : carrense
löger, coup6 et Arideaux.
-
CiLua,s. f. rigole; anche, reilläre. — de pdo, .
enehenat.
CaLnasöuco. V.
T CiLuaLtıre, s. m. (1. de bo8.) galllei jsune ;
eaille-lait, petit muguet.
CaLHAauico. V. Cankamöge.
CaLnaum6La, 8. m. (1. dus Bresil) esclave
fugitif dans les bols , nögre marren.
Caruinpea,s. f. (t. Est. nat.) calandre ı
grosse aloustie imitant differents sons.
Caugnampetiea, 5. f. videuse de pots de
chambre.
CALBÄNDRO, 5. m. pot de garde-robe.
Caıni0 , 8. m. gros calllon.
*+Caınin,o.%. ouvrirchemin. (Ag. pop.)
Se mettre au fait, au courant, devenir adroit
dens quelque metier.
Cine. V. CAlha.
Caıntra,s. f. cale: abrientre des roches,
des pointes de terre. Crique : petit port natu-
rel, petite baie.
Carıima „ss. f. (1. d’Asie) sorle de pipe chez
les Persans.
Carısaipo,A,Pp. p. de Calibrär.
CALIBRADÖR,, 8. m. calibre : oulil, instrament
pour calibrer.
Caursrär, ©. a. calibrer : mesurer le calibre
d’aune arme & feu, d’un cylindre queleongque.
CaLipee, s. m. calibre : diamätre d’une arme
a feu, d’un cylindre; grosseur de la balle pro-
portionnee & cette ouverture. (fg.) —,, valeur,
qualit&, &tat des personnes , des choses com-
pardes.
Cariga, s.f. "plätras: debris de vieux plätres;
gravas, gravois.
Cärıce. V. Cdlis.
TCauıcıipo, a, adf. (t. de bot.) calicd : en-
vironne d’un calice (fruit).
fCauıcmiL, adj. 2 gen. (t. de bot.) calici-
nal : qui appartient au calice.
+CauıcuLinpo, a, adj. (6. de bot.) calicule :
qui a un petit calice. ‚
7 GuricuLo, s. m. (8. de bot.) calicule : dos-
ble calice; rang de petites &cailles autour da
grand calice.
CaLiwäipe.V, .
CALIDISSIMO, A , adj. sup. de
CiLipo, A, adj. chaud : qui communique de
la chaleur.
CaLira, s.m. calife:: souverain mahomötan
arabe, successeur de Mahomet, qui reunit les
pouvoirs spirituel et temporel.
CaLırivo, 8. m. califat : dignits du calife ; sa
duree, ses fonctions.
Cauıricar. V. Qualificar.
fCaumsörma, s. f.(t. de geog.) Californie;
province du Mexique.
+ CALIFÖRNIO, A,adj. et s. celui qui habite la
Galifornie. j
+Cäuıca, 3. f. ealige: bottine, chaussure
dessoldalsromains, garnie declous wut autour,
CALicEM , &. f. (1. de med.) caligine : obscur-
’
CAL
eissement de la vue. (4. de peds.) Obseurilö,
ünebres, brewillard.
Gauscınöso, A, adj. caligineux ı obscur,
sembre, tänebreux.
+Guuls, e. wm. calin : metal chinols compos®
de plouzb et d’stain, eiqui ressembie & oeux-ci.
Guirmıco, adj. m. Periodo —, (1. d’asir.)
«llppigque : (periede ) de 76 ans pour corriger
ferreur du cyele lunaire.
Ciuss ow Cauıx, 5. m. calice : vase ; Coupe
pour Peucharistie.(i. de bot.) — , ou perienthe :
eareloppe extärienre de la leur. (Ag.) Coupe
demertams. —, tristesse, afliotion, douleur
accablante. Beber o—d’ aldds f
beire la coupe d’amertume jusqu’ä la lie.
ah } V. Calka, Calktta.
Gurscein. V. Calacedr.
"Gurıumioine. V.S
+Guıimo, s. m. (ti. d’hist. "ni,) eallidie :
Insecte lignivore.- — ariele, callidie belier. —
neequeade , callidie lidie bariole.
t CaLLıcrapmia ‚s. f. calligraphie : eonnais-
sısce, description des anciens manuscriis ;
art de calligraphe.
tCaruıcairmco, A, adj. ealligraphigue :
de la calligrapbie.
TCazıicaarE0, 5. m. calligraphe : copisie
sueien ; qui a une belle deriture.
+ Carriorz, s. f.(t. do myik.) Calliope ;
muse de la po4sie herolque.
+Grımepıa, 3. f. callipedie : art supposs
‘es Lzire de beaux enfants.
tCaLısraicee, s. m. (£. Ehist. nat.) calli-
fiche : guenon verte d’Alrique.
+ CALLITRiCHE DO OUTONO ‚s. m. ($. de bot.)
esllitrie d’automne, plante aquatique. — da
primssdra, callitric printanier.
CiLLo, 3. m. cal: oor, durillon qui se forme
par le frettement do la peau. (4. de mid.) —,
subsisnce osseuse qui reunit les fractures.
(Ag.) Iasensibilit6 habitaelle. Criar, ter ealos
ns porieneia, (dd.) s’endureir aux malhours,
les endurer sans s’impatienter.
Garossipäpe, s. f. eallosit# : petit ealus;
chair durcie aux bords d’un uloöre; renfleinent
aux plantes.
CaLıös0 , A , adj. calleux : oh Il ya descals,
des cors. Corpo —, (I. dans.) corps calleux :
qui eouvre los ventrioules du cerveau.
TCaLıwönrwo, 9. m. (1. d’hist. nat.) callio-
kyme : genre de poissens jugulaires.
Cisma,s. f. chaleur, chaud, ardeur. Ter—,
avelr chand. Abafarcom—, stouffer dechaleur
Cosmcom—asaoes, ilfsitunochaleurexoessive
Ciwma ,s. f. * calme, benace, tranquillite.
(A9.) Cessation, Suspension, Stagnation. Mer
m—,(i.demer. ) mer calme.
Caıuino, A. p. p. de Calmdr.
Caumimz, edj. 20m (1. de mdd.) calmant,
adoneisssnt. ı p. a.de
Carsin,v. a. calmer. V. Acalmaer. it. fam.
bettze ‚ donner des eoups.
Catania, s. f. "calmme: mangque de vent sur
CAL 239
mer. = pödre ou eslanhada. (4.demar.)il se dit
quand il n’y a pas le plus l&ger souffie devent,
et que la mer est couleur d’etain: calme plat.
CiLm0, A, adj. p. us. calme: trangquille,
sans agitation.
CALMORREÄDO, A, 9. 9. do
CALMORREÄR, .. @. battre, donner des coups.
(fg.) Tromper.
CaLuöso, A, adj. chaud; ardent, brülant.
Ciro. V. Callo.
Carorane.V. Colophonia,
CAaLdıno, 8. m. Hovice : nom qu’on donne A
Puniversit# de Colimbre aux &tudianis de pre-
midre annde. if. Caloyer : religleux grec de
saint Basile ; derviche,.
CALOMELÄNOS, s.m. pl. (1. de pharm.) calo-
melas ow calomel : muriale de mercure doux
0% proto-muriale de mercure.
* CaLonea. V. Calümnia.
Carön, 3. m. °chaleur, chaud ; ardeur, effer-
vescenoe. (fig.)" Ardeur, vivaciie, aclivite; cha-
leur, ardeur, feu d’une discussion, d’une dis-
pute, d’une melde. Dar —, (fig.) auimer,
encourager. Tomar —, (id.) s’eehauffcr. Com
—,(id.) chaudement, d’une manidro animee,
aveo vehemence, passion.
f Caroxicıpäne, s. f. (4. de chim.) caloriciie:
facults de ohaleur vitale plus forte que cellc de
Patmosphöre.
CaLörıco, 8. m. (t. de chim.) calorigue : feu;
Auide imponderable, trds-subtil, trds-rare,
trös-$lastique , trös-syınpatbique, non pesant,
vepandu dans tout l’espace, principe de la cha
eur
Carorireo, a, adj. (d.de chim.) calorifque
qui donne de la chaleur.
CALORINETRO, 8. m. (8. de chim.) calorime-
tre: instrument pour mesurer le calorigue sp€-
eifigue des oorps.
+ Carorımeraia, s. f. calorimetrie : methode
pour se servir du calorimetre; art d’estimer Io
calorique des corps.
CaLonOsamenTE, ade. chaudement, areo
chaleur, ardemment,
Carondso, a, adj. chaleureuz, chaud, ar-
dent. (fig. ) nersiqu; ardent.
CALOSIpÄDE.
Cab... } V. Callos...,eie.
Carösrao. V. Colosiro.
CALÖTg, s. m. "escroquerie : action d’eseroc,
Pregär, ferrar um —, (fam.) faire une escro-
querio.
CaLorzin0,A,Pp. p. de
CALOTEAR,, ©. 8. escroquer. — alguem, faire
une escroquerie & quelqu’un. Calofdouo n’u-
ma moetda,, il lui a escroqu& 30 fr.
CALorgıRo, A, 8. el adj. escroc,, escroqueir.
En portugais, il ne signifie que celui qui eın-
prunte de l’argent dans l’intention de ne pas
payer.
CALoTISMO, 3. m. " astuce , ruse d’un eseroo,
CaLo0Ro. V. Caloiro.
+Cainöno, s. m. (1. d’hist. nal! canrude :
espece de räle de Ja Guiane,
240 CAL
+CaLrni, 5. f. (f. de bot.) V. Malmequer
dos bre&jos
+ Caröva! interj. silonee! point de bruit!
+ CaLußte 0% CALOETE, 8. m. pal : pieu per-
pendiculaire aiguis6 par un bout, instrument
de supplice en Turquie.
+ CaLtusa, s. f. (l. de bot.) *calumbe: racine
des Indes, jaune, contre la colique, les indi-
gestions ; racine de Colombo.
CALUMmIA , 3. f. calomnie : fausse imputation
qui blesse l’honneur. (1. de .) Malice,
mauvaiso foi, fausse allegation pour allonger
un proces. Aflangar, jurar de—, (id.) s’enga-
ger & prouver ce qu’on avance contre quel-
qu’un, sous la peine imposee par laloi, sila
preuve n’est pas suffisante. Ser alvo da —, eire
en butte ä la calomnie.
CALUNNLıÄDO, A, 9. P. de Calunnidr.
CALUMNIADOR, A, 3. et ady. calomnlateur :
quı calomnie.
CALUNRIÄR, v. a. calomnier : biesser l’hon-
neur par de fausses imputations.
CALUMNIOSAMÄNTE, adv. calomnieusement :
avec calomnie.
CALUMNIöSO, A, adj. calomnieux : qui con-
tient des calomnies.
CALuRö80 , a. V. Caloroso.
CaLva, s. f. partie de la töte qui est sans
cheveux ; t£te chauve; calvitie.
CaLvivo,A,Pp.Pp.de
CaLvän, ©. a. donner, causer la calvilie.
v. n. devenir chauve. V. Caloejar.
CaLvärıo, s. m. Calvaire : montagne de Pa-
lestine. —, petite elevation oü l’on place une
croix. Subir ao —, (Ag.) chercher des peines,
des mortilicstions. Levar acrus ao —, (fig.)
achever un ouvrage penibie.
CaLvzsino, A,p. 9. de
+ CaLvssan, v. n. perdre les oheveux de la
160 , devenir chauve.
CaLväte, s. m. dim. de Caloo, un peu
chauve. it. V. Caludte.
" CaLvkz, | s. f. chauvets, calvitie : eiat
CALvicie, d’une tete ohauve.
+CaLvınıkno, A, adj. de Calvin, qui appar-
tient & Calvin, au calvinisme.
CALYINiSMO, s. m. calvinisme : secte de Cal-
vin qui nie l’eucharistie ; ses opinions.
CALYINISTA, 8. m. calviniste: sectateur de
Calvin.
CaLvissiso, A, adj. sup. de
CALvo, A, adj. es s. chauve: qui a peu ou
point de cheveux. Aride, en parlant des ro-
chers , des montagnes, elc., depouilles de loute
vegetation , et meme de terre. Roch@dos —s, ro-
chers arides. Mentira —a, (fig. fam.) men-
songe ellronie , sans deguisement. P£cego —,
sorte de p£che sans duvet,
CaLypeino, A. V. Chalybeado.
CaLrccLADoO,.
CALrcuLo. } V. Galie..., etc.
CaLys. F
= CaLYcos ‚a. m. pl. (6. d’hist. nat.) calyges
‘
.
«
‘
CAM
ınseeies adherents au bouclier et &ä plusiours
autres poissons ; crustaces parasites.
Cam. V. Cdo.
Ciua,s. f. "lit, couche, grabat, gite. Couche :
partie d’un fruit qui repose sur terre, comme
le melon, et qui est päle et quelquefois gätee.
Reposte : gite, terrier, lieu oü une böte faure
repose. — de lebre, muetie. — de campanla,
lit de campagne, ou brise. — de iöaa, lit de
sangles. — d’esiado, lit do parade. Fazera —,
faire le lit pour se coucher. Ficar, esiar de —,
s’aliter, garder le lit. Ao sair da — au saut da
lit. Vollar, tornar, para a —, se recoucher.
Voltar d—, retomber malade. Tirer a ouiro
a — , decoucher : faire coucher quelgu’un hors
de son lit. Fazer a — aalguem, (fig. fam.)
faire de mauvais rapports de quelqu’un, P’ac-
cuser devant son superieur, cabaler contre lui.
Frula da prımera —, [ruit hauif.
T Cauacanı, s.m. (l.de bot.)camacari: arbre
du Bresil. Sa gomme tue les vers.
Camipa, 3. f. couche. ]l se dit des choses
mises par lit, par superposilion. Jonchee:
herbes, leurs dont on jonche les rues. Repo-
see: gile, terrier, lieu oü une beie fauve re-
pose. — de sarna, de bezigas, de lepra, de
gallico, eic., eruplion sur lout le corps de la
gale, de la petile verole, de la l&pre, de la
syphilis, eic. (ig. fam.) Grande quantite,
grand nombre. Pör ds —s, liter.
CAMarFEO, 5. m. Caınee : pierre composte de
couches de diverses couleurs, que l’on sculpte
en reliel; pierre fine gravde ou sculplee; c-
ınaleu. Sceau : cachet des rois de Portugal, an-
ciennement. is. ant. L’efligie du roi dans les
monnaies.
* CAMAFETO,
* Camaırgu. | \. Camafeo.
Cauir,s. m. V. Capacdie.
CAmäLpuLas, s. f. pi. espece de chapelei &
gros grains.
CANALDULENSE, adj. 2 gem. qui appartient ä
l’ordre des camaidules. s. Camaldule (reli-
gieux ).
CauaLzid. V. Cameledö.
CauaLnÄö, 8. m. ( . d’agr.) terre entire deux
sillons. .
Cauiıuo. V. Camdl.
CaminpuLas. V. Camdldulas.
"Eauinno. V. Quamanko, Tamanko.
Cauiö, s. m. (tl. d’hist. nat.) poule sultane.
Ciuara, s. f. chambre, salle: piöce d’une
maison, d’un appartement. Chambre d’un na-
vire. Chambre d’un canon, d’un morlier;; bas-
sinet d’un fusil, d’un pistolet. Cour du roi ow
de quelque auire souverain. Chambre & cou-
cher. Corps municipal d’une ville. — opustolice,
chambre apostolique,, conseil du pape. — real,
palais, maison Ju roi. Mogo da —, gentil-
bomme de la maison du roi. — ecelesastica „
secretariat de l’evechd; tribunal ecclesiastigue.
Casa da — , hölel-de-ville. — eseura, chamnbıg
noire. — Öplica, chambre obscure. — de cima
(l.dc mar.) chambre de conseil, de baize,
CAM
(id.) grande chambre. Cdmaras, pi. diarrhöe,
Sur de ventre, dysenterie. — legislativas,, les
ebambres iegislatives : assemmblee de pairs, de
deputes.
+ Cuuani, s. m. (6. de bol.) camara: ar-
beissean da Bresil & feurs jaunes ; lantane.
CAMARABÄNDO, 8. m. (4. d’Asie) V. Cinto,
Faza.
CamarADA, 3. m. camarade, COMpagnon,
mi. i. aut. "Compagnie, asseınblöe de cama-
zades.
CAsRADAGEN , 8. f. societ& de camarades.
Causaaucaiö. V. Caramanchdö.
Casuriö,s.m.(t.d’hist. nal.) "creveite, ou
salicoque, om chorrette : dcrevisse de mer,
erusisct , arthrocephale, ä yeux sessiles.
Camsainıo, V. Camarliro.
+ Cauaxita, s. f. compagnie, assembiee de
ismarades. ° Dortoir d& college, de pension, etc.
Casarızinua, 8. f. dim. de Cdmara.
CGauanciö,s. u. bocage, bosquel.
Cawixco, 8. m. (1. de jew) capot. (lg.) Mal-
beur; infortune. Ficar —, rester, demeurer
eouri; n’avoir pas occasion de se justilier.
Camaakıra ‚s. f. lle de chambre d’un grand
persoanage ; dame d’honneur. — mör,, la pre-
miere des dames allachees au service de la
reine.
Guaaıno, s. m. chambrier : officier claus-
tal de queiques monasleres ou chapitres. Ca-
merier: officier de la chambre du pape. Chu-
marier : dignit6 de l’öglise de Lyon. ss. amt.
V. Camarista. — mör, (id.) archi-chambellan,
grand chambellan.
Guaatıao, s. m. (8. pop.) V. Bacio, Bis-
Pöle
CauanturO, A, adj. quia la diarrhee.
tCauanznia, 3. /. chamnbrerie : oflice du
ter. Chambellanie.
Cauariu,s.m. dim. de Cdmara. Boudoir;
jeli petit cabinet. " Chambreue. Cabinet de toi-
letie,
* + Camanina, s. Sf. Il n’est usild que dans
eeie phrase : Mover a —, faire une chose dif-
ale.
CuuarısuÄDo , A, ady. en baies perlees.
+ Camaninmas ou CAMARINUEIRA DO BRAZIL,
s.f. (1. de bot.) geofirwa : plante legumineuse.
— de reino,, camarignc ow camarine & [ruils
Manes; genievre doux.
Camanisra, s. m. chambellan : oflicier de la
chambre du roi. Merubre du corps municipal.
T CANLRELENCADO, 3, m, camerlingat : dignile
de ca .
T CasıaıEnco ,s. m..camerlingue : cardinal
qui preside la chambre apostolique. Cham-
beilan: dans ia maisou des rois d’Aragon, c’6-
it an oficier de la chambre du roi.
TCauanokıRo, 5. m. sorle d’&puiselte pour
Ftendre des creveities ; pecheur ou vendeur de
creveiies ; lieu , trou oü on les atirapo.
CGausnörz, 5. m. “loge de comedie; cabanc
de vaissesu;; esjule. —e sobre o tombadilho,
(1. de mer.) logements sur Ja dunetie,
FORT. - FR.
CAM u
CANARTELLÄDA, 8. f. coup de Camartälle,
CamantiıLo, s. m. marteau de tailleur de
pierres, marteau l&tu,
TCawicao, s. m. bonnet da pape; calotte &
oreilles.
T Camand,s. m. (1. de bot.) camara : plante
du Bresil.
Causa ou Ciına, 8. f. jante: piece de bois em
arc de cercle place A l’extremits des raies
d’une roue. Cambas, pl. ° chanleaux de man-
teau. * L&s d’une jupe.
Caupipa,s. f. enfilade de pelits poissons,
d’oiseaux, etc. Petils poissons. (4. de iS.
Tas de canaille. —s du freio, les branches da
mors.
"Causipe, imper. de Cambar, changez. V.
Cambar.
, CampapfLLa ‚2. f. V. Cambalkola, Cam-
apd.
Cauzind,A,p.p.de Cambär, ct adj. cui a
les jambes de travers.
CaunapdoR. V. Cambiador.
TCaueisco, A, adj. qui appartient dä Cam-
baye, dans l’Inde. Costa —a, cöte de Cam-
aye.
Cam2pil0, A, adj. cagneux : qui a les genoux
ct les jambes tournes en dedans.
CAMBÄL, s. m. "piece de bois autour d’une
meule & moulin pour empecher que la farine
toınbe dehors.
CaugaLicHa, 8. f. (. fam.) *iroc ‚ &change.
it. V. Engano, Tramdia.
T CANBALACH£IRO, 5. m. brocanteur.
CANBALEÄDO, A, 9. p. de
CANBALEÄR, ©. ». Chanceler: n’etre pas ferme
sur ses pieds; aller de cötle ei d’autre comme
si P’on allait tomber.
CAMBAL£IO, 8. m. chancellement: action de
chanceler; l’etat d’une personne chancelante.
CAMBALUÖTA, 3. /. culbute:: saut fait cul par-
dessus t&te; chule. Dar uma tremenda —, faire
une grande culbute.
TCausiö, s. m. "pidce de bois qu’on ajoute
au timon d’un chariot quand on veut atteler
quatre baufs.
CAMBAPE, 6. m. croc-en-jambe. (fig.)* Trome»
perie, fourberie. Armar —, donner un cr00-
eu-jambe ; supplanter.
Causir. V. Cambiar, Cambelear.
CAMBARCÄDO, A, P. 2. de
" CANBARCAR, ©. a. meltre des barres dans
une porte ; meltre les sceaux de la justice.
CAuBaS,
CAuBASES. } V. Cambe.
Caus?ra, 8. f. * cbancellement, branlement
de corps. V. Cambaleio. Fazer —s, chanceler.
CAMBETEADO,A,P.p. de
CAMBETEÄR, dv. n. chanceler d’avoir bu, V.
* CAMBHEAR. V. Cambiar.
* CAMBBEA, 8. f. V. Cambio.
CAMBıAnO, p. p. de Cambidr.
CAMBIADOR , 6, m. changeus, Iroqueus, if. V.
Cambis ik
240
+ Cars
dos brrej«.
Ca:
+cCa:
pendicı'
de sup;
tCaı
des Iı
Bestin:
Ga
qui ı
Man.
un Pr
Ber
qu'
pr:
en
C
BO.
mt
2470
vd
De. (id.)
“we Change:
„un, DanQUue,
.- ent change;
s „eiargent, de
says, de letat,
yo ou des billels;
went. Zellrade —,
- por lstiras, change
xx asnge. — 0cto, change
3 bot.) cambium : sub-
„saique du bois.
_ w. cambiste : Changeur, ban-
a. "gaulo pour battre les arbres;
” Ausser les branches des arbres ei
it. V. Cambdda.
na. 5. f. bordigue: enceinte sur le ri-
we prendre d
nwıra, sm. (fl. du Bresil) espece de
mon d’rau douce du Bresil.
rcamsdı, s. m. (f. du Bresil) fruit du Bresil
‚ mwesemble au raisin noir.
PCausöck, 5. M. (1. de bot.) camboge : arbre
‚Je finde ; fournit la gomme gutte; magoustan.
Cawsorin, 3. m. 6toffo grossiere de laine de
cbamean. V. Burel,
Camsöra, s. [. courbe de bois. —s de poppa,
(1. dewer.) courbes de vohte. Vollar —, (fam.)
faire la oulbule.
Casa. V. Cdidre.
CAawaRA, CAusnüns, Camerokino, (1. de
hot.) V. Kıpinheiro camdra
Cauandı,s. f. (l.de
France.
gdog.) Cambrai, ville de
Camanäta, s. f. tolle de Cambral. — transpa-
rende , *" linon.
Gaunnamra,s. fı dim. du pröckdent, toile
de Camhrai moins fine; linon.
+Cıunnotına nastanna, 8. f. (t. de Bot.)
Itetetı planto solande,
TAMunURR, 2.0. pl, V, Zapinkelro camdra,
Gamntark-nn-Rnariı, V. Holoceniro,
Canntnn, A, adj. ( Narig—) camard (ner).
Cammındna,s. fi ( fam,) multitude de cho-
ara ul ur iennent.
Cıammıria, V, Onmbollm,
Cmennın, V, Chamedrys.
Cana, fı Isınello du ohamean,
CAM
.urıt, 9m. camelot : dtoffe de poll de
. Je chamean, melee dd laine, de sole.
. „sad, 3. m. canıdleon : reptile; lezard
‚ce de couleur et prend, dit-on, celle
= „sjets environnants. (fig.) Homme ohsn-
„staugre de la fortune. — brance, (1. de
ai.) V. Chameledo branco.
CINELEIRO, s. m. chamelier : conducteur de
chameaur.
CAuELite, 8. m. dim. do Camflo, petit canon.
CauELisa, s. [. (t. de bot.) cameline : plante
crucifere.
CauELino,A, adj. de chamean , qui ressem-
bie au chameau.
Camera, 3. fı (1. de bot.) * camelia :ı flieer
(rose du Japon).
Cau£ıo,s.m.($.d’hist. nal.) chamean : qua-
drupede. Ancienne piece d’artillerie. ( Ag- )
Honme stupide, tr&s-bdte. — pardal. V. Gi-
rdfa.
Cau£Lo-ranpar. V. Girdfe.
Cauenas, s. f. pl. les muses.
Cixera.V. Cdmara.
CANERÄNIAMENTE, adv. en consell prive.
Cauerinıo. V. Camardrio.
TCANERiNAS, 8. f. pl. camerines : numısna-
les, pierres lenticulaires ; fossiles lentioalalres.
CAMERLENGO. V. Camarlengo.
Cauiıua ,s. f. dim. de Cama, ’lit de repos.
Cauinua, s. f. dim. de Cama, petit lit ; pau-
vre lit.
Caxınnida, s. f. longue course ou marche;
trotte.
CAuMıxnÄDo, A, Pp.p. de Caminkar-
CAMINHADÖR , 8. m. pieton : homme gui va &
picd. Bon pieton, grand marcheur, velocip&de.
CANINHANTE, 8. m. voyageur ä pied; passant.
Detöm-te, —! passant, arrete!
CAasiıxnär (a, para, por), v. ». cheminer,
marcher, voyager. (fig.) Avancer, aller en
avant, en parlant des plandies,'des rivieres,
etc. Il est quelquefois actif. Ex. : — muita
terra, muilas löguas, faire beaucoup de che-
min, besucoup de lieues. Parcourir. O vento
caminha com o sol, le soleil chassıe avec le vent.
CAauınatino, 8. m. courrier & pied, commis-
sionnaire ; bon marcheur. V. Caminkador.
Cauinuo,, #. m. chemin, voie, reule. —,
voyage. Voyage de porteur d’eau, de eroche-
teur, etc. (fig.)—, conduil, voie, moyen qui
mens & un but. — pädlko, grand chemin. —
calcado, ehemin pav6. — fundo, "caves. — de
carro ou de carreias, grand chemia A voitures.
— lorluoso, chemin anfractueux. —toberte, (4.
de fort.) chemin couvert : ouvrage de fortilica-
tion. Tureer — , so detourner. Perder-se no—,
s’ögarer. De —, en passant, chemin feisant.
Ir — direito, aller chemin droit. Faser d’um
— dous mandados, ( am.) faire d’une pierre
deux o0ups,, profiter d’une ooeasion peur faire
deux choses & la fois. ir fürs de —, (fig.)
se fourvoyer, #’*garcr. Ir cada qual por sen — ,
(flg.) n’etre ‚Point d’aecord, diffeser d’epinien.
ir su —, aller son chemin, aa propre ei au
CAM
igurt. Nie levar —, ir fürama .:-,ıhg.) n'a-
voir pas de fondement, ni de zaluon, Em loda
a porle ha um pedago de mdo —, (fig. fam.) en
isst pays, il y a une lieue de mauyais chemin.
Näo sei qua — leodrdo asses papkis, jo ne sais
pas ce que sont devenus ces pepiers. Ter o
— 6 algusm, couper lo chemin A qüelqu’un.
Ander muilo — , faire beaucoup de chemin.
Sigs 03 vd andanda seu —, passez votre Glıe-
Zain.
Cauis, s.m. pl. raco des rois du Japon qui
ont meriis une apolheose.
Caxisa, 8. f. chemise : v@tement de toile
qu’on porte sur la peau. ({. de fort.) Chemise:
la murailie de naconnerie dont un ouvrage est
zeveia.(Äg.) "Crepi d’une muraille.—de cobru,
depouille : peau de la couleuvre et du serpent.
— do mılko, membraue : peau, enveloppe du
fruit de mais. — alcatroada, breada ou de fogo,
teile goudronnee,dont on fait usage & la guerre
pour incendier difitrentes choses. Dar ou 4o-
mar ung mulher em — ‚(lg. fam.) donner ou
preodre une [eınme sans dot. Deixar a alguem
sen —, on näo Ihe deixar nem a —,(fig.) laisser
quelgu’un sans chemise , le d&pouiller de tout.
Jogar, empenbar, vender aldE a —,(fig.) jouer,
enzager, vendre jusqu’& lachemise. Em fralda
&—, (fam.) eu chemise. Meller-se em — de
unse vargs, (fam.) se deballre, disputer de la
chape a Pev&que ; sembarquer sans biscuit.
Cauisipa. V. Encamisdda,
Caussiö, s. m. aug. de Camisa, chemise
longue.
Guuisöra, s. f. camisole : esp&ce de tunique
Iu’on mettait sur les v@lements ; blouse.
Gsisötz, 3. m. "chemiselte: chemise fine,
garnie d’un jabol, qu’on met sur une aulre
plus grosse. it, anl. Chemise de mailles.
TTuumwccs,s. m. pl. grandes jarres oü les
Indiens d’Anıerique ensevelissaient leurs caci-
goes.
Cunofz , Cımo£za, s. et adj. calville: esp&ce
de pomıne.
s. f. (t. de bot.) matricaire
CABonSLE, N eamonılte; camomille vul-
CawosiLLa, gaire.
Causrcos ‚s.m. pl. JI n’est usit& que dans
eetie phrase : Pör em —, enlasser.
Ciwri,s. f. pierre du sepulcre ou tombeau.
Tombe. it. Petite cloche de communaut£. A to-
que de —, ou a — langida, au son Je la cloche.
Der de — , sonner l’alarme.
Caurino,ı,p.p. de Campdr.
Cısraiuta, 8. f. clochette, sonnette. — da
kingua, luette : morceau de chair & V’entree du
gosier. if. Campanule ou gantelde (fleur). —, pl.
shapeaa chinois : instrument de musique au-
@sel pendent des grelots, des sonneites,
+ Cawraimmas amarkıras, s. f. pl. (tl. de
bot.) trompette de Meduse.
Erurıtuhäö ou sermonneur de con-
Cauraisutro,s. m. [rerie.
Gmrir ‚adj. 2 gen, champtire, Bafalha —,
batsille rangee.
OAM
Campaukaro, V. Aosmpamenie.
Campina. V. Inula campana.
Caypaxänın, 0.0, clocher : balimanı oü sont
las cloches.
Camränus, 8. f. campagne: plaine, pays plat
es decouvert. (1. mil.) —, le temps que les
ITOUPES sani en Campagne.
CANPANHISTA, adj. el a. soldat veteran habil»
tu6 & faire a guarre,
CAMPANIFORME. V. Campanulado,
„CAMFANIL, s. m. melal bon & faire des clo-
ches.
FCauraninua, 8. fı (4. de bot.) digitale,
plante. Campanelle ; liseron, liset, cognelourde,
hulbocode. /
F CAnuRANSDP, A, adj. gonfid, en parlant des
babits d’une femme. ( Ag.) Ende, beursoufle,
en parlanı du style,
TCaurinouLs, s. f. (t.de bos.) campanules
genre de plantes dicgtyladanes.
T CAMPanULäckas, 8. f. Pl. (f. de bot.) call
punulacees : famille de plantes dicatylödones.
TCAuPANıLÄnO, A, adj. if, de bof.) campa-
nuld: en cloche (corollo, calice).
CANPANULATA (flor). V, Campanulddo.
Caurän,0,0,V. Acampdr, —, vo, n. briller,
se targuer. (ig.) Eire haureux, avoir une bonne
toile,
CAMPARESCO, A. V. Compesire, Compesiug,
GANPEÄDO, A, 9. p. de Campedr.
CAMPEADOR, 5. m. celui qui se signale par
des exploits. V. Canıpeäo, Surnom donnd par
excellence & l’Espagnol Cid Ruy Diaz de Vivar,
Cavallo —, cheval piaffeur.
Caupeiö, 3. m. chaımpion ; celui qui com-
battait en champ clos pour lui ou pour autrui,
Heros fameux.
CawpEin,v. ». battre, courir la campagne
avec des troupes, (!. mil.) Camper, etre en
campagne. Sortlir de la garennec et se promener
dans les champs, en parlant des betes sau-
vages. Surpasser, exceller. Pioffer, en parlans
d’un cheyal. Dominer sur, en parlant des lieux
eleves d’oü l’on d&couvre une grande elendue
de pays.
CAMPECHE (pdo), ou | (#. de bot.) camp£che:;
CAMPECHEIRO, 5. 1m. \ arbre epineux d’Ame-
rique, & fleurs legumineuses; bois dur pour la
teinture noire et rouge, la menuiserie,
* Caur£ıno. V. Campainheiro.
CAMPESINBO, V. Campestre, et
CAMPBSINO, A, adj. champetre: qui appar-
tient aux champs; campagnard.
* CAaNrESTnÄn. V. Campedr.
CANMTESTRE,adf.2 gen. champ£tre, rustique.
Bato —, campagno!.
Camrpezino. V. Campesino.
Cäupnora,s. f. (1. de bot.) campbre: prin-
cipe immediat des vegetaux que I’on trouve
dans le laurus camphora.
+ Cimenoräipa, 8. f. (l. de bol.) camphree:
plante atriplicto.
Canruorino, A. V, Alcamphorado.
+ CaurHoniTto, s. m. (t, de chim.) campho-
243
2. CAM
rate : sel formö par Tunion de !’acide campho-
rigue avee diflerentes bases.
+ Guurmontıno, s. m. V. Altanforeire.
+ Canrmönıco, A, adj. (deido —, 6. de chim.)
campherique (acide), de camphre: acide ni-
trique distils sur le camphre.
+ Caurmü ,s. m. camphou : sorte de ih& de la
Cau Pina, 5. f. campagne; plaine.
Caurinno, s. m. dim. de Campo.
CAuPino,, 5. m. pätre:: gardien d’un ireapeau
qui resie toujours dans les caamps. V. Campo-
ner. it. adj. V. Compesino.
Caurin, v.0. ı I. de peint.) degrader , dimi-
nuer insensiblement la Jumiere ou la couleur
d’un tableau ; faire les enloncements ou les
leintains dans les tableaux.
Ciuro, s. m. champ: eiendus de terre Ia-
bourable; plaine. (Ag.) —, occasion, sujet,
matiere, carriere pour Pimsgination. (id. —,
“endue qu’embrasse un corps quelcongue.
*Moisson:: fruit de la terre. "Campagne, plaine,
grande etendue de pays platetdecourvert. * Cam-
pagne : les champs, par opposilion & la ville.
Champ : fond d’une etofle brodee ou brochee.
(1. de Das.) Champ: fond de !'cea. (1. weil.)
Camp : l’armeo campte; —, lice od entraient
les champions pour vider leur differend par les
armes. ((. de peint.) Champ: fond sur lequel
en peint, on grave, on represente quelque
chese. — ineulio, champ en friche. — de
tele, champ de bataille. Döno, senkor do —,
zualtre du champ. O — Acow por elle, le champ
ini est demeure. — cerredo, champ clos.
— plano, " plaine. Em — res, a decouvert, en
raso campagne. (Casa de —, maison de camps-
guv. Aouem — aberio, en plein champ. En-
frar eu — ( cum‘, rivaliser,, entrer en compe-
tonce. Der — francv eos soldades , ahandonner
lo butin aux soldats, Deiser o — aberto ou
Ikore , \ Ay.\ Naisser fo champ libre, se desister
de ses pretenlions. Mumem do —, laboureur,
campapnard. Katrer eu —, se baltre en duel.
Eur 00 — , rester sur le carreau , @ire lud sur
la place. Sure —, se rendre au lieu maryue
par un cartel; entrer en lice, siengager dans
une coniestation, Brscudrir — ‚täler, recon-
Raltre lo terram. Faser —, faire place; se
battre ou duel. Murcer o—, (1. ml.) marqu
We vanıp. Ira de — jour de conge pour les eco-
Ina, ot jour de racrwalion & la campagne pour
fun autıva vlannes de yens. —s salgados, 1. de
..'plaine nalen. —s cerüleos,, \ id ) la plaine
ru. . a uctuanles, id.) la mer agitee.
AuMronss, A, 3. 0 adj). paysan, campa-
unarıd , komme qui habite toujours la campa-
Yu, champelre.
inrontd, so. u. (4 fa.) fustique, Campa-
una, ,
Ursrasino. V, Cumpmsinde.
!tunraon. V. Bunyudıro,
Gruraomlanrana, 3 /. "chamois: espdce
in alorıo sausaue. Poau Je oBaındis preparde.
"Kanes. V, Gapda,
CAN
Causzino ou Cauuncino, A, adj. de Cou-
ivur de chameis.
Can. V. Cass.
Cina, s. f. eanne : reseau & nauds; bäton
de roseau pour s’appuyer en marchant. — da
Indie. T. ira. — dassicar, canne ä&
sucre , espece de roseau dont la moelle fournit
le sucre. — do mdio, canne de riviere. — de
.V. Tebüe. — de frigo , tuyau de bie. —
da perna. V. Tibia. — do leme, barre du gou=-
vernsil. — de pastor, iitte rustique. Ter ums
eoz de — rachada, parier comme un potcass®.
+ Canasünce, s. m. (I. de bot.) canneberge .
coussinet des marais. ’
+ Canasir, s. m. canabile : terre medicinale.
Canasräz, s. f. (t. de bot.) berce; branche-
ursine bätarde,, ou fausse.
CANAaCAPFOLE,, 5. m, espöce d’administrateur
spiritael et temporel dans Peglise du Mala-
bar
Canipa, s. f. mesure portugaise de liquides,
eontient un peu plus d’un litre : 12 font un
aimude. V. ce mot. it. Rue etroite. V. Car-
reiro.
+Canap£La, 3. f. ancienne mesure portu-
gaise de grains, eontenail & peu pres trois
quarts d’Alqueire. V. ce mot.
CanaristuLa, 8. f. (f. de bot.) casse de bow-
tiques ou casse solutive, vmigo le caneficier,
casse fistule.
Casarascua, 8. f. (t. de bot.) ferule com-
mune, plante ombellifere.
Canal, 5. m. canal: conduite d’eau pour fa-
eiliter la navigation dans l’interieur des lerres.
—, lieu o& la mer se resserre entre deux ri-
vages. Chenal : courant d’eau borde de lerres
par oü un vaisseau peut passer. Cheneau : con-
duit qui porte les eaux du toit dans la gout-
tiere. \l.d’anat.) Vaisseau du corps de l’animal.
(Ag.\ Moyen, voie; mediation. — de columma,
*cannelure: creux, petit canal le long du füät
des colonnes, des pilastres. Canaes, pl. V.
Estries. Canses de chumbo nor envernaes, (1.
de mar.) dalots & tuyaux de plomb.
*CanaLtca. V. Camb6s , Cantiro.
CaxaLna, 5. f. canaille,, populace.
+ Canauicria, 3. f. (8. de bo$.) canalicule:
petite rognure sur les feuilles.
+ CaxaLıcvLino, A, adj. (l. de bot.) canali-
cul6 : creuse en goutliere.
+ Canauıssackö, s. f. canalisation : aclion de
faire des canaux; &lablissement d’un canal;
systeme de communicalion dans un pays par
le moyen des canaux.
CanaLısiD0, A,p.p. de
FCanalısär, v0. a. canaliser : ouvrir des ca-
naux dans un pays, le couper par un grand
nombre de canaux deslines aux transports;s
transformer en canal (une riviere).
} CasaLISAYEL, adj. 2 gem. canalisable : qui
peut ötre canalise (pays, riridre).
Canautıao, 5. m. lieu plante de chanvre,
Cinaso, s. m. chanvre : plante urticse.
tT Cananko,Ra, adj. chananden ; do Chanaan,
CAN
TCaninco, 8. m. Cauang : arbre aromalique
Cisie ei d’Ame£rigue.
Cunsp£ , s. m. canape : long siege A dossier,
tCanari, adj. 2 gen. du royaume de Bis-
nagar (dans P’Inde).
Gnirsa, 6. f. canari femelle : serine des
Cananim , s. ms. paysan des environs de Goa.
Canizıo, 5. m. canari, serin des Canaries.
Natif des lies Canaries, *Canarie : sorte de
danse ancienne.
Cinıs, s. f. pl. ancien jeu, que l’on jouait
avec des cannes.
Canästes, s. f. bannette : sorte de panier.
Manne : panier d’osier pour mettre le linge,
la vaisselle, etc. — encoirada, panier couvert
d’ane peau.
t Canustriö,s. m. aug. de Canasira,* banse :
grande maane carree pour le transport des
marchandises,
Canasrabıro, 5. m. qui fait des bannettes,
des mannes ; vannier.
Cusastafı. V. Canisirei.
Guxsstainna, s. f. dim. de Camdsira, * ban-
Beau , pelite banne.
Unuve,s.m. etadj. linho—.V. Cdnamo.
CasavzäL,s. m. "cannaie: lieu plants de
eannes et de roseaux.
Cavavkz,s.m.V. Cdnamo et Canameiro.
TCanaxi, 3. f. grand arbre de l’Inde &
freits en amande ; son fruit.
"Cannı. V. Tröca.
Gunsis, s. m. sorte de piquet de grosse toile
peur mettre sur la poitrine, ei Tesister aux
teups des armes blanches.
"Caysnan. V. Trocar.
Cascas0nnina ‚8. f. &quipee, sottise. V. Ca-
esborrada
Cascani,s. m. (1. d’Asie). V. Braceldte,
Cascaco.
Cuncano. V. Cansa..., etc.
Caxciö, s. f. chanson: piece de vers qu’on
ebante; piece de po&sie composee de stan-
es egales qui se nomment couplets.
Caxcır, etc. V. Cansar, ec.
Canckiza, s. f. V. Cansago. (fig.) Occupation
faligante; (fam.) faliguo quo cause un im-
portan.
Caxckııa, s. f. berse, porte grillee.
GxzıLino,&,p.p. de Cancelldr.
CaxcgıLapönas, 8. f. pl. "traits, barres pour
canceller.
CaxczLLaEnTo, s. m. "cancellation: radia-
ion , Yation de rayer, canceller ;son effet.
Casczılir, v. a. (l. de prat.) canceller,
Tayer, annuler un acte cn le biffant.
xıo, 8. m. chancelier d’universite,
Cascsıuinna ,s. f. dim. de Cancdlla.
CaxctıLo,s.m. V. Cancella.
Cixcer,s.m. (I. d’asir.) eancer; dcrevisse ,
en des signes du zodiague. di. V. Canero et
Coreinoma.
(aycErin0o,A,p.p. de
Caxcenin,o.n. ei— se, v.r. (t. de med.)
CAN 2345
Eiro altaqus d’un cancer dens quelque partie
du corps. Devenir chancreux, en parlant d’un
ulcere, d’une blessure, etc. .
CANCERÖSO, A, adj. canc6renx, chancreux :
qui tient de la maliguits du chancre.
tCancai, s. m. arbre du Japon dont l’&coroe
seri de papier pour ecrire.
Canaon£ıro, s. m. chansonnier ; recueil de
chansons, et d’autres compositions poetiques.
Cancıonista, s. m. chansonnier : faiseur de
chansons.
Cangonfra, s. f. dim. de Cancäo. Chanson-
nette.
T CANCRESCENTE, adj. 2 gen. (1. de med.) quk
tend & devenir chancreux.
Cincro, 8. m. (f. de med.) cancer : ulcdre
malin qui ronge les chairs. (1. de bot.) —,ma-
ladie des arbres qui les ronge. (fig.) Mal cach6
qui ronge, quidetruit Petat,la republique, eic.
T CANCROMA, 5. m. (1. d’hist. mat.) savacou ;
oiseau &chassier, latirostre. j
CANCRÖSO, A, adj. cancereux :de la nature
du cancer, qui y a rapport.
Canpär , adj. 2 gen. Pedra— sorie de pioere
ferrugineuse.
Cine, adj. m. candi.Onle dit du sucre.
Canp£a ou Canp£ıa, 8. f. lampe de fer blanc
avec un crochet pour suspendre au mur, etc.;
sa lumiere. — de garavdio. V. ce mot. — de
castanh£iro, fleur de chätaignier. Apagar-se
a—, (fig. fam.) ire pres de la mort, sur le
point de. s’6teindre. Estar com a — na mdo,
(d.) on le dit d’un malade quitire Asa fin.
Obra feila d—, oavrage qui a coüts beaucoup
de veilles. Estar de —ı ds auessas com alguem,
(fam.) etre brouill6 aveo gaelqu’un. Herva das
—s. V. Candelläria. Cand£as (as), pl. chande-
leur: fete de la presentation de J. C. au temple,
et de la purification dela sainte Vierge.
Canpeipa, s. f. ’huile que peut contenir
une cand£a.
Canprania, s. f. les bougies, etc., qui eolai-
rent une piece.
CANDEBIRO OS CANDIEIRO, #.m. "lampe ; quin-
guet. Chandelier: qui fait, ou qui vend des
chandelles. —s, pl. (t. de fort.) chandelier :
machine pour se mettre ä l’abri de la mous-
queterie.
Canpeinua, s. f. dim. de Candea. Petite
lampe. —s, pl. lumieres phosphoriques. Fa-
zerem 08 olhos—, ou irazer — nos olhos, voir
des Iumieres multiplieesä cause de maladie ou
d’avoir bu. Fazem-Ihe os olhos—, (fam.) il voit
mille chandelles, ou des etoiles en plein midi.
On le dit d’un homme qui est entre deux vins 3
ou qui est pris d’un eblouissement. Müitas —
fazem um cirio paschal, (fig. fam.) les petils
ruisseaux font les grandes rivieres.
CanD£ı0, s. m. pharillon : petit phare; feu
pour atlirer le poisson , les perdrix,
t Ganoeıa. V. Guapariba.
CANDELABRO , 5. m, candelabre : grand chen-
delier A branches.
246 CAN
CanpneLint. V. Candeas (as). it. (1. de bot.)
V. Verbasoo branco.
+ Canpeuiza, s. f. (1.de mar.) "palan simple.
+Canpencıa, a. f. (f. de pAys.) incandes-
cence : &tat d’un corps Echauffö et pendtr& du
feu jusqu’& devenir blanc.
CANDENTE ‚,adj.2 gem. incandescent:allumd :
qui est en incandescence. Ferro—, fer ardent.
Canp8o. V. Candkio.
*Canokv. V. Condeta.
Canoı. V. Cande.
CawpıiL ou Canofr, adf.2 gen. Trigo—, on
Mn dit du froment, du pain de premiere qua-
ite.
CÄNDIDANENTE , adv. candidement: avct can-
deur.
Campdıniro, 8. m. eandidat : celui qui, chez
les Romains, aspirait A une charge. —, celul
qui aspire ä un grade, A une dignite, au doc-
torat.
Canpıpez ow Canpintza , s. f. blancheur.
(fig. et plus wsild) Candeur, ınnocence, in-
genuite;; inexperience , simplicite.
CARDIDISSINO, A ,adj. sup. de
Cinpıpo, A, adj. blanc. V. Branco. (flg.)
Candide , naff, ingenu ; simple, innocent.
Canoıeınäna, 8. f. V’huile que peut contenir
une lampe, un quinquet ; quantit€ d’huile que
par hasard on r&pand ou on laisse fuir d’une
lampe.
CAnpıtıno. V. Candediro.
CanpiL, s. m. (1. d’Aste) candil : mesure au
Bengale, 14 boisseaux. #1. Monneie d’Ürmur,
10 centiincs ä peu prös. dt. Petit baril de soldat.
CanpiL, adj. 2 gen. V. Candidi, It. Cande. .
Canpis,s.m. V. Candil.
Cinro, s. m. porlion du sabot d’un cheval,
la couronne.
CanpoönoA, 8. f. (t. durl.) feinte, finesse,
Magornerie. Plaisanterio, badinage.
CANDONGUEIRO, A, adj. (t. burl.) doux, dou-
cereux, enjöleur, seduisart, flatteur, aslu-
cicux. Plaisant, taquin, farceur.
Canpör,s.m. | extröme blancheur. (fg.)
Canpöra, 8. f. I Candeur, naiveis, since-
Tits. Com —, naivement.
Can£ca, s. f. canelte : pot pour les liquides.
+ Cantco, s. m. broc : vase de bois & anse,
garni de cercles de meötal pour le vin.
Can£ca. V. Caneja.
Cartıro, s. m. chemin, canal par oü le
poisson entre dans le treillis qui est dans une
riviöre. €1.* Palissade pour emp£cher le passage
d’une riviere; diguce. (f. de fort.) Corridor
entre deux parapets ; chemin couvert, * Trainde
de poudre & canon pour faire sauter une mıine.
Chemin tres-etroit. — d’ ‚none: tuile en
canal! pour @goutter l’eau; pierree : conduit en
terre, ä pierre seche, pour l’&coulement des
eaurx.
Cantya , s. f. esp&ce de squale tachete.
CantJo, A, adj. qui ressemble au chien. it.
Qui a les jambes mal faites, Jdefeetueuses.
GaußLıA, a. f. cannelle ; soconde dcoroe du
CAN
cannelier. — silvestre, " escarisson. Agua de—,
eau de cannelle : boisson faite par l’infusion
de la cannelle. — de Ceildo ou vuigar, can-
nelle. — do Malabar, laurier casse. — dranca
ou de winter, wintera aromatique. Canella da
perna, "tibia : os principal de la jambe.
— do brago , * cubitus : os principal de l’avant-
bras. — de flado, petite bobine qui porte la
trame dans la navette du tisserand.
CANELLÄDA, 8. f. coup str letibia.
CAneLLino. V. Acanellado et Canalado.
CanerLidö, 8. m. celeri sauvage. Bonbon de
sucre et de cannelle. if. V. Canelldda.
CansuLfıra, s. f. "cannelier, arbre aroma-
tique des Indes, qui donne la cannelle.
CAntLo, 3. m. morceau, ou partie d’ım fer
ächeval. E feito de can£los, il se dit d’an
homme tr&s-robuste.
CaxeLörs, s.m. pl. cantelas : dragee falte
avec de la cannelle.
CAnENuO.V. Cdnamo.
+ Canernonas, s. f. pl. canephores : jeuney
fillesqui portaientdans des corbeillesles choses
destinees aux sacrifices des anciens.
+ CAXEPHÖöREAS,, 3. f. pl. can&phorles : fätes
de Diane oü de Jeunes vierges demandaient &
la deesse qu’elle les relevät du vu de virgi-
nite.
CANEQTiM, 8. m. canequin : tolle de colon
blanche de PInde.
+ Caxera, s. f.dim. de Cana. *Porlte-crayon.
CÄNENE, V. Cdnamo.
Caxrön. V. Alcanfor.
Cixrora. V. Alcanför et Cdmphora.
Cixca,s. f. * joug des baufs.
Cancäco. V. Engago vu Bagdro.
+ Cancacdgs,s.m.pl.(f. du Bresil) vilains
vieux meubles d’un pauvre, d’un esclave.
Carcino, A,P. p. de Cangar.adj. Autache
au joug. (fg.) Dupe.
CANGÄLHAS, 8. /. pl. fauchire, panıers de
b&te de somnie. (fig. fam.) Besicles.
CancALUEIRO, A, adj. qul apparlient aux
Cangalhas. V. ce mot. Besta—a, bete qui
portc des paniers.
CaxcäiLno, 8. m. petite branche d’arlbire
charg6e de fruits. (fig. fam.) * Patraque:: j :r-
sonne, corps use , faible. —s, pl. V. Canzis.
Cancän, v. @. accoupler des beufs, Ies
mettre ensemble sous le meme joug. (Ag. es
burt.) Tromper , duper.
CancarıLuÄDa,s. f.(t.bas) V. Trapdra.
Caxcica , 8. f. bounllie de farine de mais.
Caxcıräö, 8. m. *cruche ou pot pour porter
des liquides ou de l'cau.
Cancokıra, 5. f. (f. du Dresil) Nte des sau-
vages americains, faites du tibla des morts.
Cancösta, s. f. chemin 6troit, petite rue.
" CANGREIJO. V. Caranqueijo.
*Cancno.V.Cancro.
} Caxctod, s. m. (lt. du Bresil) espcce de
panthere du Bresil. °
+ Cancurd, 8. m. CaNcoRtzES, pl. (1. Whigt,
nat.) kanguroo : mammilere ınarsupial.
CAN
Casa, V. Canko.
CAsHAuicO, 3. 90. "&toupe do chanyre. Cari-
sel: toile d’emballage.
CannausöLa. V. Calhamböla.
CASHANEIRÄL, 8. m. lieu planie de chanvre.
Cıxuaueraa, s. /. (1. de bol.) V. Allhea.
- brera, mauve alcec.
+ Canuawica, s. f. paille du chanrre.
Cixuıuo. V. Cdnamo.
Caxuiö, s. m. canon: piöce d’arlillerie.
Plume naissante ıJes oiseaux. — da bola, revers
je bottie. — do veslido, parement d’un habit.
Canhöes do freic, canons d’une embouchure
de mors.
Cinsas (ds), dde. & gauche. (Ag.) d’une
manitre contraire & l’usage.
CAxu8suo, 5. m. agenda, tablelles ; livret de
memoire.
*Cınn£smo, A, | gauche : mal fait, mal
CaXuo, A, adj. ) tournd; gaucher : qui se
sert ordinairement de la main gauche. Mdo
— a, la main gauche.
Cuxaonigo, s.m. coup de canon.
Cusmosäna, s. f. canonnade: döcharge de
eanons ; suite de Coup$ de canon. .
CAXHONEADO, A, Pp. pP. de
CuruoxKir, v.a. canonner: batire & Coups
de canon.
Cannon£ma, s. f. canonnıdre : embrasure
pour le canon, le fusil, Je mousquel. —,
(Barca —) canonniere : embarcation garnie de
canons.
CuxnöTo,s. m. morceau de bois irr&gulier el
plein de nauds. adj. Gaucher. V. Canho. 4
tanköia , la main gauche. .
+ Cusısär, 5. m. cannibale: nom generique
ancien des peuples d’Amerique au moment de
la döeouverte ; saurage qui mange do la chair
bumaine; (Ag.) adj. homme feroce.
Caxıcapa, e. f. claie de roseaux, trelllis,
treillage „ terille.
Canıcar, s. m. lieu plant6 de pelites canrıes.
Camcäıua, #. f. grand nombre de chiens.
(fig.) Populace; canaille.
Casıcıa ow Canıug, s. [. chevcux blancs;Ca-
Bitie. .
+Casico, s. m. *canne, roscau trös-delle.
— dos brejos, roscau plumeux ; lEche.
Caxiccza,s. f. (1. d’astr.\ canicule : le grand-
ehien , 1a constellation la plus brillante. Elle se
re avec le soleil du 24 juillet au 23 aoüt;
temps de son influence süpposee.
Casıco.in, adj. 2 gen. caniculalre : de la
eanicule.
CamcsL.Anss, 3. pl. caniculaires. Il so dit des
%aurs od le soleil est en conjonstiou avcc la ca-
wieule.
Canımniz, adj. 2 gen. (1. burl.) qui a les
jembes sewmblables ä celles d’un chien. V. Ks-
eanifrado.
Cazir. V. Canzil.
Caniıma, s. [. petite bobine qui porte la trame
dans la navelte du tisserand,.
Casisua, s. f. dim. de Cana.
CAN 7
Canino,Aa, adj. canin, de chien. Dente —,
dent canine, dent @illdre. Fame —s, faim cA-
nine.
Canıp£. V. Canape. \
+Casırrtro, a, adj. (Cavallo —), cheval
qui a les tibias noirs jusqu’aux cuisses.
Canıstr£u, s.m. "corbeille, corbillon: esp&ce
de panier ordinairement d’osier.
CAXISTRELZINHO, 3. m. dim. de Canistrel.
CAXIVETR, 3. m. canif : petite lame pour tall-
ler les plumes. (1. dechir.) V. Bisturi. Espirre
—s. (loc. fam.) 11 se dit d’un homme trös-fäch6
et qui menace.
Cansa, s. f. cr&me de riz; biberon pour la
verser dans la bouche des malades.
Cansino, A, p. p. de Canjar.
CARJANTE ‚adj. 2 gen. moire. V. Cambiante.
Cansir, v. a. (l. de mar.) avancer.
Canna , etc. V. Cana, elo.
CanNARO. V. Cdnamo.
Cinuavean. V. Acanavear.
CansıpaL. V. Canibdl.
Cixo, s. m. tube: tuyau. Ruıssean: canal
par ou l’eau coule. Mine: chemin souterrain.
(ig.) Canal: la voie, le moyen, l’entremise
dont on se sert pour quelque chose. — de lim»
ptsa, "cloaque, &gout.— do telhado,*gouttidre.
— da columna , füt d’une colonne. — de espin-
garda, etc., canon de fusil. — d’orgdo. V. Ca-
f- |nudo. —s das bolas, * liges des boties. — da
penna, tuyau de la plume.
Cino, a, adj. (1. de poes.) blanc: qui ost
blanc. Chenu, couvert de neige, en parlaut des
montagnes et du sommet des arbres.
CanöA,s. f.”canot: bateau des Indiens : 05-
quif, pirogue.
Canöcvro , a. m. * lunette d’approche.
CAxox, s. m. canon: decret, decision d’un
concile touchant la fol et la #isciplinede ?’E-
glise. Canon des &critures: catalogue des livres
inspires. Liste, cataloguo des saints. Canon de
la messe. Canones, pl. droit canon.
Cixone. V. Canon.
Caxoxıchh, adj. 2 gen. qui appariient aux
chanoines.
CAnonıckLM£NTE, ade. & la manleredes cha-
noines;; en corps de chapitre.
CANÖNICAMENTE, adv. canoniquement : selon
les canons.
CANONICÄTO, s. m. canonicat. V. Conezia,
Canosıcıväug, 8. f. canonicite: qualit& de o@
qui est canonique.
CAXÖNICO, A, adf. canonique » conformo aux
canons. Direito —, droit canon. Liore —, livre
canonique : compris dans le canon de ’dcriture
sainte. /greja, casa —a, eglise, maison cauu-
nicale , affect&e aux chanoines.
CANONISTA , 3. m. canoniste : savant en droit
canon.
Canonxiza, 8. f. chanoinesse: religleuse de
Saint-Augustin.
Canoxızackö,s.f. canonisalion : acte qui de6-
clare saint; c6remonie qui l’accompagtıc.
28 CAN
Canoxsin0,A,p. p. de Canonizdr.
CANONIZADÖR , 8. m. el adj. qui canonise.
CANONIZÄR, ©. a. canoniser : mettre,, inscrire
au rang des sainis. (Ag-) Approuver une chose,
yapplaudir; louer avec excds. Il est quelque-
fois r&ciproque.
CAnoNIZzÄVEL, adj. 2 gen. qui est digne de la
®anonisation.
Canorka,s. f.ow I (f. d’astr.) canopus:
CANÖPO, 8. mM. etoile.
Canö20,A,adj. melodieuzx. Ilse ditdu chant
de certains oiseaux, et de ces oiseaux eux-
mömes.
CANOTILHO, 8. m. "cannetille: petite lame, il
d’or, d’argent tortille sur un laiton.
Canöura, 5. f. tr&mie d’un moulin.
Cans ou CAs, s. f. pl. cheveux blancs.
TCansicEnTo, A, adj. qui est malade de
lassitude,, de faligue.
Cansico, s. m. "lassitude, fatigue, abalte-
ment, soit qu’il ait ou non pour cause l’action
et le travail.
T CAnsäpauenTe ‚adv. importungment, en-
nuyeusement.
CANSADINIO, A, adj. dim. de Cansddo. Un
peu fatigue.
CANSADISSIMO, A, adj. sup. de
CANsÄnDO, A,p.p. deCansdr.adj.Froid,ralenti,
en parlant d’une balle ou de toute autre chose
lancee qui perd de sa vitesse. Use, emousse,
en parlant des gravures et des caractdres d’im-
primerie. Las, fatigue , &puise, rendu , harasse,
(fig.) Lasse, ennuye&, importune, assomine ;
fatigant, lassant, assommant, ennuyeux. Olkos
—s, des yeux, des regards languissants.
GANSAMENTO. V. Cansapo,, Canchira.
CansiR, dv. a. lasser, fatiguer, barasser. En-
nuyer, imporluner. Vener, chasser, courre une
hete pour en attendrir la chair. /sso & o que me
cansa, (ironiquement) c'est le moindre de mes
soueis, le cadet de mes soucis.
GansaR (de), v.n. cesser de faire (quelque
chose, s’en lasser. Ndo cansa de obsequiar, il
ne cesse d’obliger.
CANnSAR-SE (de, com,em),v.r. se faliguer,
se lasser, s’efforcer, &tre las. ( lg.) Se rebuter,
se faliguer, se lasser, s’efforcer, s’ennuyer.
— em vdo , perdre son latin.
CANSATIYO, A, adj. fatigant, lassant, assom-
manl, ennuyoux.
Canseıra. V. Cancdira.
TCANTAAR,, s. m. poids fare de 110 livres.
+Cantäsnıa, 8. f. (t. de geog.) Cantabrie:
nom que les Romains donnaient & une contree
de !’Espagne. Biscaye.
tTCaAnTänrıco, A, adj. Basque: de Biscaye.
Cantabrique : de la Cantabrie.
CANTÄBRIO, A. .
CANTÄDRO, A. | adj. et s. Basque,
Cantaoeıra. V. Cantöra.
CAnTÄpO,A,p. P. de Canlar. adj. Mıssa—a,
grand'messe. Quer que Ih’o diga — ou rezadop
(fam.) m’avez-vous entendu? de quelle ma-
niere faut-il que je vous le dise?
CAN
Cantanda. V. Caniör.
CANTÄNTE ‚adj. 2 gen. qui ehante. p. a. de
Cantar.
tCantiö, 5. m. canton: etendue de pays;
certaine partie d’un pays, d’une province. En
France, reunion de communes qui aun juge
de paix ; partie de Parrondissement,
CanTär, v. a. chanter. (t. de pods.) —, louer,
celebrer. Ramager, chanter, en parlant des
‚oiseaux. (fg. fam.) Crier : faire un bruit aigre
et percant, en parlant d’un essieu, d’une
roue, eic.— a sallos, chevroter.— o grüllo,
gresillonner. — a palinodia, chanter la pali-
nodie. — de repenle ou sem ensaio, chanter &
livre ouver. — a vicloria, chauter victoire.
— missa, dıre la premiere messe, en parlant
d’un nouveau pretre. Isio & outro —, (fam.)
c’est une autre paire de manches.
CANTÄR, 5. m. V. Canldres.
CÄnTaRa. V. CAnlaro.
Cantartına, s. f. endroit oü l!’on met les
eruches remplies d’eau.
CAnTARRI30, s. m. l’aclion de chanter. Fazer
abalos por — de gallos, (fam. et fig.) faire
beaucoup de bruit pour rien.
CANTÄRES, 8. m. pl. cantiques, hymnes ;
chansons. Livro dos —, cantique des cantiques
de Salomon.
CANTARiA, s. f. art de tailler les pierres. Ou-
vrage en pierres de taille. Pedra de —, pierre
de taille.
Cantärıpa. V. Cantihdrida.
+ Cantarııno,s.m. (i.d’hist. nat.) V. Es-
corpena parda.
CANTARINA, 8. f. cantatrice : chanteuse,
femme qui chante par &tat.
CANTARinnA, s. f. * cruchon : petite eruche.
CANTARINDO, s. m. dim. de Cantaro.
CÄNTARO, 8. m. "cruche, seau. (fig.) *Cru-
chee: ce qu’une cruche peut contenir. Mesure
du vin,de l’huile. V. Almude. Um — d’agua,
une cruchee. Chover a—s, pleuroir ä seaux,
äverse. Alma de —. V. Alma.
+ Cantanöıa, 8. f. “chant, chanson quı n'est
pas juste,
+ CantaroL.in, 0.9. (2. burl.) chanter faux
ei sarıs reläche ; fredonner. j
CANTÄTA, 8. f. cantate: sorte de petit podme
lyrique en recitatlifs, et chants en musique.
Cantarriz. V. Canlarina.
CANTAYEL,adyJ. 2 gen. chantant: qui se chanie
aisement.
CAxTäina,s. f. carriere: lien d’ou l’on tire
la pierre. V. Pedreira.
CAnT£ıRO, s. m. marbrier, tailleur de pierre ,
carrier. — de jardim, couche, planche de jar-
din. — de adega, chantier, poutre, gros bois
de charpente sur lequel on range les tonneaux.
—s dos toneis da aguada, (1. de mar.) aquets
des futailles , pailles d’arrimage.
* CanrT’eu, phrase elliptique. Quant ä moi.
Cantnärıpa,s. f. caniharide: insecte col&o-
ptere Eepispaslique,
cAO
*Cismica, 6. f. * chant de poöme; chanson
satirique.
Cixtıco, 3. m. cantique: chant d’aclion de
ä la gloire de Dieu.
Gurtıpäne. V. Quantidade.
Castıca , 8. f. chanson.
Canrıccinua, s. f. dim. de Canlıiga. Chan-
seanetie.
CuntiL, s. m. (1. de menuis.) bouvol : sorte
de rabot pour pousser les rainures ct los lan-
gueltes.
Casrıı&ni, s. f. chansonneltte. Pastorale.
Repttlilion ennuyeuse. — das aves, " Tamage,
gazouıllemeut des oiseaux.
CustımrLoaa, 8. f. "vase de cuiyro pour Te-
froidir Veau, eic. * Siphon: tuyau recourb6 &
deux branches inegales, pour transvaser les
ligauides sans les agiter. "Conduit pour les jeis
d’ese.
CustıxHo,s. m. dim. de Canto. Pelit coin,
Fecoin.
Cisto,s. m. angle, coin, encoignure; bloc,
(ragment de pierre non taillee; bord, exire-
mie. Estar ao — ou poslo ao —, @ire mis de
obie, meprise, en parlant des choses et des
personnes. Jogo dus — , jeu des quatre coins.
Cisto, s. m. chant: elcvation et inflexion de
veix sar differents tons, avec modulation. Ra-
mage des oiseaux. —, division des po&mes
tgiques. — de pädo, croülon. — chdö, plain-
chanı, chanı gregorien. — das aves, Tamage,
chant des oiscaux.
Castodina, 8. f. " crampon ; equerre.
Castoxäına, 3. f. sorte de bullet ou d’ar-
meire dans l’encoignure d’une salle ä manger.
ü.. pop.) Rarcrocheuse, coureuse, prosliluee.
Cantöx ‚s. m. chanleur: celui qui fait metier
de chanter. Chantre. ( ig.) V. Vale, Puela.
Castöna ,s. [. canlatrice : chanlcuse.
Carroria,, 3. f. musique, chant; Yaclion de
chanler.
CirTos-REDÖNDOS, $. m. pl. sorte do limes
pour arrondir les fusils.
+CanscnLia, s. f. (1. d’Asie) sorte d’inpst
guen payait & Goa.
Castpinuo,,s. m. dim. de
Caneoo,s. m. tube, luyau. — d’ärgdo ,tuyau
Wergue. — de soldar, chalumeau ä souder.
Cixcra,s. f. canule : instrument de cbirur-
gie , mıyau inser& dans une plaie qui suppurc,
getit tuyau au bout d'une Seringue.
*Canrso. V. Cdnamo.
+Canzınriö,s.m. aug. de Cdo. Gros chien.
Camzis, 3. m. pi. °chevilles du joug des heufs.
+ Caszoipa, s. f. (fam.) grande quan'ite de
chiens. ( ig.) Canallle.
Ciö,s. m. chien : quadrupede dom "stique
qui aboie; de beaucoup d’especus. — r!agua,
eaniche , barbet.— de Kila , boule-dogue. — per-
digueiro, chien d’arret. — de busca, chien de
Baut nez ou de guette. — de gado, mälin. — de
qwinia, chien de basse-cour, Je smelairie.
.— fraldeiro ou de manga, chien de manchon.
et de (raser d mdo ou quilsdor, chien qui rap-
CAP 29
porte. ( Ag.) Chien : nom qu’on donne par me-
pris; tetu, opiniätre. — ou cdes de pedra,
morceau de pierre saillent pour soutenir des
balcons, etc. Corbeau pour supporter les pou-
tres d’un bätiment. — da espingarda,, chien du
fusil. Cdes de chamind, chenets : ustensile de
cheminse, en fer, etc., qui porte le bois.
— maior, — menor , grand-chien,, petit-chien :
constellations de Il’bemisphere meridional.
— marino, chien de mer. — ladrador nunce
bom mordedor, ou — que ladra ndo morde,
chien qui aboie ne mord pas. Desperlar 0 —
que dorme, (prov.) &veiller ie obat qui dort.
Ser conhecido como 0 — ruivo, Eir6 0ONDU
comme le loup gris.
Caok. V. Cafe.
Cios. V. Chdos.
CiozinHo, s. m. dim. de Cäo. Pelit chien.
CAra, 8. f. cape, manlieau : völsment sans
manches, fort ample et long, qui se porte par-
dessus los autres. Manteau de religieux. ° En-
duit, couche de chaux, de plätre, eto. ( lg.)
Ombre, manteau, faux semblant. (id.) "Pre-
texte, apparence, tromperie, deguiserment, etc.
* Couvert,, enveloppe , courerture. (l. de mar.)
Cape : voile du grand mät. — d’asperges ou
plwial, chape. — aguadeira, manteau pour la
pluie. — magns, chape d’eveque. — do leme,
(l. de mar.) braye du gouvernail. —s das velas,
ötuis des voiles. Por baizo ou de baizode —,
'sourdement, secretement. Bstar, por-sed—,
(t.de mar.) se tenir Alacape; \ Ag.) attendre
une occasion favorable. Homem de — ‚
campagnard, paysan, laboureur. Homem de
bos — ‚ personue qui a une bonne mine. Hon-
nete homme. Com — de ‚sous le
voile de la devotion. Miwistro de — e espada,
conseiller non gradue qui sitge l’&pee au cöl£.
Minisiro, juiz de— e volla, jugederobe courte.
Ser — de ladröes, ( ig. fam.) protöger , favori-
ser des coquins; cacher leurs friponneries.
Homem de — em collo, vagabond. Puxar, tirar
a alguem pela —, (fig.) inviter quelqu’un en
secret, ordineirement ä de mauvaises choses:
söduire. Debaizo d’uma ruim — se acha mwi-
las vezes um bom jogador, (prov.) un man-
teau dechir6 couvre souvent un bon vivant.
CAPACKTE, 8. m. morion, cabasset, sorte de
casyue.
CAPÄCHA, 8. f. V. Capacho. Ordre de la Cha-
rite ou de Si..Jean-de-Dieu.
CAaricno, 3. m. paillasson pour meltre les
pieds. Sorte de cabas pour transporter du fruit.
Religieux de la charite.
CaPAcıDäDE, 8. f. capacitö, contenance, lar-
geur et prolondeur, ötendue d’une chose qui
conlient, qui peut contenir. (Ag.) —, intelli-
gence; babilele ; &tendue, portee de Pesprit,
des talenis, des faculies; suflisance. — pars
ser eleilo , eligibilite.
CAPACISSIMO , 4 , adj. sup. de Capds.
CAaPACITADO, A, P- p. de
Caracıtaa,v.a. persuader, convaincre ; den-
ner dela oapacils; rendre capable. .
30 CAP
CAPACITAR-SE, V. r. 88 convaldere, se p&t“-
suader.
Carıptına, 3. f. sorte de couteau pour ch4-
trer.
Caravkıao, V. Capader.
CAPADINBO,, 5. m. dim. de Capddo. Castrat.
Gapino, A, ?. p. de Capar. adj. Chätre;
animal chätre, s. m.—da capella real ‚castrat:
chanteur chätr6 des Yenfauce, pour qu’il alt
une vois ä peu pres semblable & celle d’un en-
fant, d’une femme.
+Caranöcıa, s. f. (1. de gdog.) Cappadooe :
province d’Asie.
+ Garıpöcıo, A, adj. de Cappadoce.
CAraDöR, 5. m. chätreur : quichätre les anı-
maux.
Carapüna, 8. f. castration : ampulalion des
testioules.
Cariö, s. mw. chapon : coq ohätr6; cherval
coupe.
*CarardiLe, s. f. sorte d’ancien manicau
double de fourrures.
Carir,v. a. chätrer, bistourner, emasculer.
(l. d’agr.) Pincer certaines plantes, comme les
melons. (fig. fam.) Ecorner : diminuer les pri-
vileges , l’autorile ,cto.— um gallo, chaponner.
CAPARAGAÖ, 3. m. Cäparacon : sorie de tou-
terture qu’on met sur les chevaux.
CAraRAö, 8. m. chaperon : camail de reli-
gieux; coifle de cuir dont on enveloppe la löle
des oiseaux de proie.
Caparaziö. V. Caparardo.
CaparofıRro, A, adj. Falcdo —, faucon qui
a un chaperon, qu’on commence ä apprivoiser.
CÄrınnösa, 8. f. @aupe-rose : fer dissous
par l’scide sulfuricgue. — verde, sulfate de fer.
— azul , sullate de cuivfe.
CAPATACO, 3. m. coup au sabot d’an cheral.
Caratiö,s. m. muge ou chabot : espece de
poisson de mer.
Caratiz, se. m. chef d’un corps de medtier.
Chef do meute. Condacteur ou garde de gale-
riens.
CAPATAZAR, (f. burl.) V. Governar.
+Caratazia, s. f. charge, emploi, place de
Capatdg.V.ceınol.
Caräz (de, para), ad).2 gen. capabie : quia
les qualiids requises. —, hahlio, suffisant,
instruit, intelligent. Spacieux, ample, suffisant,
ötendu en parlant des lieut.
CAPÄzMERNTE, adv. capablement : avec Capa-
eile.
CAPCIÖSANENTE,, adv. captieusement : d’une
maniere caplieusc.
Carcröso, A, adj. captieux:qui tend A trom-
per ; propre & surprendre, & induire en erreur
par une belle apparence.
* GarpaL. V. Cabedal.
+Carzipauiete, adv. sourdemen!, sechd-
tement, en cachette.
CarEiDo,A,Pp. pP. de Capear.
CAPpEavdon, s.m.filon qui vole des manteaux.
GAPEiR, 9. 8. (li. de mar.) capter - mellrc
nn vaisscau & lacapo, Voler des manioaux,
CAP
Dans les courseB, c’est esquiver lc laureau en
le distrayant avec un petit manteau. (flg.)
Tromper, decevoir. (id.) Cacher, pretexter, dis-
simuler ses vues.— em arcore secea, (t. de
mar.) capeer ä sec ou & mäts et ä cordes.
+Carepa, s. m. (l. du Bresil) plante du
Bresit employ&e contre !’hydropisic.
CAPEıRÄÖ, 8. m. grand manlcau.
° CAPEIRETE,, 5. m. pelit manleau.
CArELHÄR, 8. Mm. velement ample que les
Maures mettaient sur les autres dans les jeux
publics.
Cartıra, 8. f. chapello : petit edifice con-
sacre & Dieu ou A un saint; partie d’€glise, lieu
oü l’on dit la messe; corps des chantres, des
musiciens d’une eglise, d’une chapelle. Bene-
fice simple dans Icquel le titulaire est oblig&
de faire dire un nombre determine de messes.
— mör, sancluaire : endroit de V'&glise oü est
le mattre-autel. — real, chapelle du roi. — de
fiores, guirlande, couronne de fleurs. — do
olho , paupiere. — de cheiros, (t. de cuis.) gat-
niture de fines herbes.
CAreLLinas, s. f. pl. courroies des claques
de femmes; morceaux de cuir ou de velours
pour couvrir les fontes des pistolets.
CAPELLANIA, 8. f. chapellcnie : benefice d’an
chapelain.
CareıLiö, 8. m. chapelain : beneflcier titu-
laire d’une chapelle: aumönier : pretre paye
pour dire la messe dans une chapelle parlicu-
liere. — mör , grand aumönier.
* CAPELLEIO , 5. 1m. ancienne coiffure.
CAPELLIGO, 8. m. *relingote, robe dechambre
& capuchon.
+ CareLLina, s. f. capelline: sorte de casque
de fer.
CArELLINBA, 3. f. dim. de Capella. Petite
chapelle.
CaregıLinto, s. m. dim. de Capello.
+CareıLista,s. m. elf. marchand de nou-
veaules et de modes ; mercier.
CArßı.LO, 5. m. capuce, Capuchon; ancien
casıue. Ancienne coiffure de veuve, ressem-
blant & celle d’une religieuse. — de cardeal,
chapeau de cardinal;; ( fig.) dignite de cardinal.
— de doutor, bonnet de docteur,chaperon.
CAPELLEDO, A , adj. encapuchonne, qui a un
capuchon; huppe, en parlant de cerlains
oiseaux. Gallinha —a, poule huppee.
CAP’EMCÖLLO, 3. 12. celui qui n’a qu’un seul
habit; vagabund.
Curexoüa, s. f.(l.de bol.) " capendu: pomme
Touge [ort douce.
CAPEROTADA, 8. m. sorts de capilolade de
volaille.
+ Carısäna po Baazır, 8. m. (1. d’hist. nat.)
eabiai : porc de riviere, demi-amphibie, res-
semblo au cochon W'Inde, dans l’Armerique da
Sud : maınmilere rongeur.
CAPICROLA 0% CAPICHUELA, 8. f. sorte d’%
teffe de soie, dont an falsait les“capuchons.
FCarıcorräd,s. ın. (fam.) olsif, vagalond,
CAP
CGiere goal 8 recu les quatre ördres mineurs, et
De veul pas receroir les majeurs.
Curıı£, s. m. "boisson de sirop de capillaire,
+Curiıuas, s. f. pl. (f. d’impr.) chapelle:
les deux premitres feuilles d’un ouvrage qui
sort dela presse, et qu’on donne aux composi-
teurs, etc.
Carıran, adj. (f. d’anat. et de bot.) capil-
kaire:delie comme descheveux (racinc,feuille,
veine, tayau).
Carrrıinua ou CapıLLöa. V. Avenca ordi-
waria.
7} CarıLiarınine, s. f. (l. de phys.) capilla-
site : nature des tubes capillaires; propriets
dont ils jouissent de pomper les liquides.
Carıtito. V. Cabellüdo.
Cariu, s. m. (4. dw Bresil) sorte de foin d’A-
zaerique.
CarıxäÄno,A,9.P. de
TCarızin, v.a.(t. du Brösil) couper, fau-
eber le capim. V. ce mot.
tCarınkıro, s. m. celul qui coupe et vend
du capfm. V. ce mot.
CarinnA, 3. f. dim. de Capa. it. (fig.) celui
qui dans les courses esquive le laufeau en le
distrayant avec un pelit manteau.
CaPınötE, 8. m. chaperon dont on couvre les
yeuz de l’oiseau de proie. V. Capello.
*Carısiio, 8. m. cape : ancien manleau &
eaputhon.
"CariscöL, 3. m. Cchantre:dignilaire d’une
eath£tdrale ; celui qui dirige le chant.
* Carısteino. V. Crivo, Jocira.
Carpıtacäö, s. f. capitalion : laxe par löle.
V.Cobegdo, Derrama.
Carıtir, s. m. capital: fonds, sommo d’ar-
gent qu’on possede. —, principal d’une dette,
d’une rente. —, fonds, valeur disponible. s. f.
Capitale : ville principale d’un Etat, d’une pro-
vince.
CapıräL, adj. 2 gen. capital: qui appartient
& latete. Principal,grave,remarquable,graud.
Letira—, letire capitale, majuscule. Inimigo
—, ennemi capital. Erro —, faute capitale.
Pena —, peine capilale. Peccados, vicios ca-
pildes,, päches, vices capitaux.
CAPITALISSIMO,, A, adj. sup. de Captlal.
CarıraLista, s. m. capitaliste:: qui possede
de fortes sommes d’argent.
+Cartauızaciö, 5. f. capitalisalion : l’ac-
tion de capitaliser.
GaPITALIEADO, A, P. P. de
+Carnranızin, 0.0. cspitaliser : conrerlir
en capital (les rentes, eic.).
CAPITALMENTE , adv. capilalement : d’uns
manitre capitale.
CıPıtisa 0% vaısseau de guerre montd
Carırinsi,s.f. ) par V’amiral : vaisseau
amirk
CaPITANEADO, A, P. p. de
CAPITANEAR, ©. a. commander des troupes.
Guider, conduire plusieurs personnes, Cire &
leur tele par un moti? quelconque, 14 est quei-
CAP 251:
quefols neutre et signifle : se donner des alrs
de mattte, prendre un ton absolu, etc.
Carpıtania, s. f. capitainerie: charge, grade
de capitaine. *Gouvernement militaire et civil
de quelque contre&e. Capitanie : ancienne divi-
sion territoriale du Brüsil; son gouvernement.
Capıranıa. V. Copilanla.
Gapırkö, 8. m. (t. mil.) capitaine : chef,
commandant d’une compagnie. —, göntral,
chef :; commandant en chef. — bard, pacha.
—de fragata, capitaine de fregate : lieutenarrt-
colonel dans les troupes de terre. — das guar-
das, capitaine des gardes-Jdu-corps.—doporto,
capitaine de port: celui qui commande dans
un port. — de mar e guerra, capitaine de
vaisseau de guerre : colonel dans les troupes
de terre. — de navio, capitaine de vaisseau.
— general, general en chef; gouverneur chil
et militaire d’une province. — mör, general en
chef. — mör do mar, amiral. — dos gintles,
g“neral de cavalerie. — fenente, officier de !a
marine porlugaise au-dessous du capitaine de
Ircgate. — de ladröes, capilaine, chef de vo-
eurs.
Carırkr, s. m. (1. d’arch.) chapiteau : partie
du haut de la colonne qui pose sur le füt.
CarıtE£o. V. Chapiteo.
Carıröa,s. f. capitainesse, capitane , femme
du capilaine.
CarıroLino, A ,adj. capitolin : qui appartient
au Capitole.
CArıtöLio, 8. m. Capitole : anclen temple de
Rome consacre ä Jupiter. (fg.) Edifice grand,
majestueux.
Carırtöso. V. Cabcfudo. it. (t. de bot.) capite:
en forme de t£te.
Carituvra, 8. f. (lt. de lilhur.) capitule: pe
tite lecon A la fin de chaque partie de l’office.
CarıtvLagäö, 8. f. capitulallon : traite pour
la reddition d’une place; clause, article d’on
contrat quelconque.
CarırcnÄna, s. f. articles d’accusation, plain-
tes contre un fonctionnaire public. Intrigues,
cabales dans les elections capitulaires des
moines.
CAarıtuLÄDo,A,Pp. p. de Capitular.
CarıruLADön, 3. m. celui qui signe les arti-
cles d’accusation.
CAPITULÄNTE, ?. a. de Capituldr, qui capi-
tule. i$.s. V. Capitulador et Capilular, s.
CAPıTULÄR, adj. 2 gen. capitulaire : qui ap-
partient & un chapitre de chanoines ou de reli-
gieux. Casa —, la maison centrale d'un ordre
religieux ou on c&lehre le chapilre. Aclas — es,
acles , r&solutions capitulaires.
CapıtuLäa, 5. 2. celui qui a voix dans un
chapitre, soit de chanoines, soit de religieux.
CAPITULÄR , ©. @. circonslancier, faire le de-
tail historique ; reduire en articles les accusa-
tions contre quelqu’un. — (de), accuser, char-
ger un fonctionnaire public, deposer contre
lui.
CArıruLan (com), vo. n. capituler, parle-
menter : traiter do la reddition d’une place.
252 GAP
Traiter, convenir, converter, venir A un accoom-
modement. i$. Chanter les capitules de l’office
ocelesiastique ; oficier.
+ CarıtuLÄaes, 8. m. pl. capilulaires : or-
donnauces des anciens rois de France en ma-
tiöres civiles et ecclösiastiques, redigees par
chapitres.
CAMTULÄRUENTE, adv. capitulairement : en
chapitre, en assemblede generale.
T CarıruL£ıno, s. m. livre qui contient les
capitules que les pretres chantent au chaur.
CAPiTULO, s. m. chapitre, chef: division d’un
livre, d’un compte. —, sujet, matiere. * Accu-
salion, grief, deposition, charge. —, assem-
blec de religieux;; it. de chanoines, V. Cabido ;
la salle oü ils tiennent leurs reunio.
Carıvana. V. Capibdra.
+Carxowmancia, 5. f. capnomancie : divina-
tion par la fumee de l’autel, etc.
t CAPXOMANTE, 5. m. celui qui devine par la
fumee.
+CAPNOmÄNTICO, A, adj. qui appartient ä la
capnomancie.
Carokıra, s. f. mue: cage & poules; poulail-
ler. (6. de fort.) Caponnitre : logement de sol-
dats au fond d’un foss6 sec , d’oü ils lirent &
couvert ; double chemin couvert. #4. Petit bois.
Carotıriö, s. m. vieillard tres-tranquille.
CAPOoßıro , 8. m. voleur de poules.
Caro£ıno,A, adj. qui appartient & un petit
bois; quiyvit.
+ Carogt£ıro, 8. m. ((£. de bot.) capoquier :
arbre des Indes; fournit le capoc.
Caroräu. V. Cabo d’esquadra.
CAPOTE, 3. m. capot, manteau. V. Capa. (1.
de jew) Capot : toutes les levedes A un Jeu de
cartes. Lerar —, @ire capot : perdre toutes les
levees en jouant aux carltes. Dar —, faire ca-
pot : faire toutes les lev&es, elc.
CAPOTINHO, a. m. dim. de Capole , petit man-
teau ; manteau Court.
+Carra,s.m.(t.d’hist. nal.) cappa : Qua-
drupede plus grand qu’un &ne, föroos.
*Carnaziö. V. Coparagdo.
Cipaeo. V. Capro.
Cara£oLo, V. Cabrilo.
CAPRIBARBÜDO , A, adj. (6. de pods.) quia des
Barbes comme le bouc.
CAPRICHÄDO, A, ?. P. de
CAPRIicHÄr (de), v. n. 56 piquer d’honneur,
avoir la [antaisie.
CaPricno, 3. m. caprice, fantaisie : idee,
goüt, volonte deraisonnabie. * Boutade: saillie
d’csprit ou d’honneur. (f. de mus.) "Composi-
tion gracieuse, mais bizarre. — da nalureza,
jeu de la nature. Homem de — , homme fantas-
que, qui est sujet & des fantaisies, ädes ca-
prices; qui se pique d’honneur.
CAPRICHÖSAMENTE ‚adv. capricieusement, bi-
zarrement. dl. et plus usild, avec honneur, avec
generosite.
CAPaıcHOsissiMO , A, Qdj. sup. de
GaPRIıcHösO , A, adj. capricicux, bizarre,
Gap
fantasque. di. et plus usist ‚quise pique d’hon-
neur ; qui cherche & £tre parlait.
CaPaıcöanıo, s.m. (1. d’asir.) capricorne :
signe du zodiaque sous la figure d’un bouc.
(8. #’hist. nat.) —, coleoptere xylophage.
CaPnıcöanıo, A, 0dj. (f. de poes.) quia des
cornes de bouc.
TCaraırıcaciö, s. f. (8. de bot.) caprifica-
tion : maniere de rendre les fgues sauvages
bonnes A manger avec le pollen des figues cul-
tivees, & l’aide de petils insectes qui passent
de PFune & Pautre; art d’avancer leur malu-
rite.
TCarniceno, a, adj. (l. de pods.) engendr&
d’une chevre.
“ Carrino,A,adj. (f. de poes.) de cherre ow
de bouc.
CAPRIiPEDE, adj. 2 gen. (l. de poes.) capri-
pede : & pieds de chevre;; cherrepied, satire.
T CAPRISALTÄNTE, adj. 2 gem. (l. de pods.)
qui saute comme les chevres ow les boucs.
+ CAPRIZANTE, adj. 2 gen. Pulso—, (tl. de
med.) pouls toujours emu, rebondissant,.
Cirno. V. Böde.
TGrsı,s.m.(t. d’hist. nal.) capsa : oiseau
d’Afrique, gris.
*Cars£La, s. f. petite bolte ronde.
CursöLa, 8. f. (1. de bof.) capsule: enveloppe
composee de panneaux €lastiques, qui ren-
ferme la graine, pericarpe sec et creux qui
s’ouyre en une ou plusieurs valves. \#. d’anat.)
—, membrane, qui tapisse les cavites articu-
laires. (4. de chim.) —, vase de chimie en ca-
lotte.
CırscLir, adj. 2 gen. (l. de bot. et de chim.)
capsulaire : zoophyte en capsule.
+ CarsuLinıa, 8. f. (f. d’hist. nal.) capsu-
aire.
+Carraciö, s. f. captation : Yaction de
capter; emploi de ruses, d’arlifices pour ob-
tenir un legs, etc.
CAPTADO, A, P.P. de Captar.
CAPTADOR, A, 8. (f. de prat.) captaleur : qui
surprend par ruse, par adresse une donalion,
un legs, elc.
CaPtän, v. a. capler : allirer, gagner, ob-
tenir, chercher ä oblenir par insinuations.
+ CAPTATÖRIO, A, adj. (f. de pral.) capta-
toire : obtenu par captation (legs, etc.).
* CaPTELa. V. Caultla.
CaPtivÄr, etc. V. Cativar, etc.
* Caprıvörno. V. Calivdiro.
Captünı,s. f. capture:: prise au corps; bu-
tin. V. Apresamento et Pr£sa.
CAPTtkir, v. a. ($. de praf.) capturer. V,
Tomar, Aprehender.
+Carccira, s. f. nom d’un frait du Bresil et
de l’arbre qui le porle.
CA PücHA , 3. f. Capucinidre : couvent de l’or-
dre des capucins.
CAPUCHINHO, A, 8. m. el f. Capucın, Capucıne :
religieux, religieuse de l’ordre reforme de
Ssint-Francois.
CarücHo, A,ady. ( Frade — ) capucın : reli-
CAR
gieur reform& de Tordre de Baint-Francois. En
Portugal, ils ne portaient pas de barbe. (g.)
Homme tr&ös-severe, tr&s-austere. A’ capüche,
sd. A la maniere des capucins,, sans ostenla-
ion.
Cardıno. V. Capsüla et Casülo.
+ Carur-wortuou, s. m. (1. de chim.) capul-
mertuum ‚ t#te-morte : parties terrestres et in-
sipides d’un corps distille.
+ Carv-uräsa, 8. [. (8. de bot.) capu-upeba:
plante du Bresil, barbon.
Caröz, 5. m. capuchon,, capuce ; sorte d’an-
eien mantese & capuce.
+ Carrsins-po-Baazıı. V. Copibdra.
Cagveırina, 3. f. Coup de tesson.
Cagrtıno, s. m. vaisseau de terre bris6, tes-
son. V. Caro.
Cina, s. [. "visage, figure : face de l’'homme.
V, Semblante. —, mine: l’air du visage. (lg.)
Apparence, aspect; presence d'une personne.
Cered — ‚face a face. — de pascoa ou de riso,
gure agreabie, riante; visage de prosperite.
— de poucos amigos, homme de mauvaise mine,
uiaune figure negative. — de condemnado,
mine patibulaire. — miseravel, chiche face.
— atanhada , effronte, &honte,, impudent. Ter
— ısianhada, avoir un front d’airain. Bia —,
bonne mine. Md — ou — feia, vilaine figure.
X — descoberia, ouvertement, en presence de
set le monde. Andar com a — descoberia,
aller i6te levee. Dar a alguem com as posias
n0 —, (fig.) fermer ä quelqu’un la porte au nez
os sur le nez. — d’assucer, gros pain de sucre.
Assscer de —, qualite de sucre tres-blanc.
Heller a — a alguem, (fam.) regarder au nez
de quelqu’un. De cöra, de front. A — 0 diz ou
ne — se conhece , ( fig.) sa figure parie. Fazer
—, wnir tete; il. desapprouver. Mostrar bda
ounmd— a alguem, faire bon ou mauvais ac-
eueil ä quelqu’un. Virer a—, refuser. Näo ter
riste — eo inimigo, m’avoir jamais vu le feu.
Näo sabe onde iem a—, il neconnalt pas sa
main gauche d’aveo sa main droite. Näo ter —
pers dizer uma cousa, n’avoir pas le courage
de dire une chose. Ndo voltar — alrds, ne point
demordre, ne point se desister. Vollar a — ao
inienigo , faire volte-face. A — ndo 0 ajuda, il
a une figure negative. A— defende a pousada,
(proe.) Pair du visage fait connaltre les maurs.
Ficar com um palmo de —,(fam.) avoir un pied
de nez. Homem de duas —s, (fig.)homme & deux
fsces , double et faux. Faser —s, faire des gri-
maces , des mines.
Caxi,s.m. (8. de Brösil) espäce d’igname
da Bresil.
Carane,, s. m. carabe: ambre jaunc , sucein.
Cananina,s. f. carabine,, pistole : petite ar-
guebuse qu’on porte & cheval; if. carabine
tayoe. E o mesmo que —s d’Ambrosio, ( fam.)
e’est une chose qui ne sert & rien.
Caranınida, 8. f. coup de carabiae; bruit
qulil Salt.
Carasıntiro, s. m. Garabinier : cavalier arme
Tune carabine,
CAR 258
+Carick,s. f. (f.de mar.) bourbe petrifiee
dans le cöt6 d’un vaisseau.
FCaraciı, 5. m. (8. d’hist. nal.) caracal :
guide du lion ; ressemble au loup-cervier.
+ Caracari,s. f. (. d’hist. nal.) ° caracara :
trös-beau faisan des Antiles; esp£ce de [au-
con du Bresil.
Carica, s. f. aug. de Cära. it. Figure laide;
masque de theätre. Estar —, ( loc. fam.) &ire
pris de vin.
+ Caracntra, 5. m. (t. d’hist. nat.) cara-
chupa : singe dw Perou, sarigue.
+ Carico, 5. m. (ti. d’Mst. mal.) caraco ı
mammifere rongeur, rat.
+ Caracöa, 8. f. caracove: sorte de bäti-
ment des Philippines.
CarıcöL, s.m. 4. Ehist. nal.) *helice , lima-
con, colimagon : limace & coquille, mollusque
rampant, gastöropode, visqueux, & deux cor-
nes oculaires, rötractiles. — ordinario dos po-
mares ‚ limacon des vignes. — dos bosques, ia
livree.— rangente, la lampe antique. Caracdes
planos, planorbes. Caracdes oblongos. V. Bu-
limos. Escada de — , escalier en limagon. (f. de
man.) Caracole : mouvement circulaire d’un
cheval. Ndo vale dous caracdes, cela ne vaut
pas tripette, ou deux saus. Caracdes, pl. (1. de
bot.) caracoles : les fleurs du Caracoleiro. V. ce
mot.
CARACOLÄDO, A, p. p. de
CARACOLÄR, d. a. ou ®. caracoler: faire des
caracoles.
+ CaracotL£iRo, s. m. (f. de bot.) caracole ı
haricot A grandes fleurs; haricot-föve ow d’Es-
pagne.
CARÄCTER, 5. m. caractöre,, esprit, ensemble
de penchants, de qualils, qui dislingue une
personne d’une autre. —, marque, empreinte,
particulirement les figures dont on se sert
dans l’&oriture ou dans l’impression. —, tilre,
dignits, rang. Air, maniere, fagon, caractere.
Caractöre sacramentel. Caracieres, pl. types
d’imprimerie. — magicos, caracl£res,, leltres,
figures auxquelles le peupleattribue une vertu,
d’apr&s un pacte avec le diable.
+ CaracTERiSsTIca, 8. f. (8. de math.) carao-
teristique:: premier chiffre d’un logarithıne,
qui exprime Pordre des unites.
CARACTERISTICAMENTR , adv. caracteristique-
ment.
Caracrealstico, A , adj. caracieristique: qui
caraci£rise.
+ CaRAcTERisTıcos, 8. m..pi. caractöres:
marques distinclives, signes distinctifs, indi-
viduels, des @tres naturels, des plantes, des
animaux, 6lc.
CARACTERIZÄDO, A, adj. distingue& par son
caract£re, par sa dignite, par son posle. P. P.
de
CARACTERIZÄR,, v. a. cAracleriser ' marquer
le caraciere d’un e@tre; designer une chos6
quelconque par ses caracl£res. -
CARACTERIZÄR-SE, 9, FT, 59 caractöriser ;
254 CAR
montrer sa qualits, ec que l’on est; il so dit;
aussi d’uno maladic.
Cararlz ‚adj. 2 gen. (4. burl.) qui a la figure
brune , noirätre.
CARAGOATA ow CaRaHuATi, 8. f. (fl. de bof.)
caragate ı plantenareissoide ;ananas des hois.
+ Canalsa, s. m. caraibe : insulaire de I’A-
merique, jadis antıropophage.
+Canalpa ,s. f.(i. de bot.) *caraipe : arbre
de la Chine.
TCARAlSNO, 3. m. carsisme : secie, doclrine
des Caraites. :
+Carsita, s.m. Caralte : Juif qui s’attache
a l’Ecriture, et rejelte les traditions, le Tal-
miud, eto.
CARAMANCHÄÖ, 3.m. "tonnelle:; bercaau cou-
vert de verdure; terrasse,
CAnaManNcHEL. V. Caramanchäo.
+ Cariuna! inter). pop. malepeste!
CARANDÄNO, 8. m. glagon : morceau de
CARAMBINA , 8. f. glace ; pelotede zeige.
CarıuBüLı, &. f. carambole : maniere de
jouer au billard. *Carambolage : sorte de coup
au billard. (Ag. fam.) Piece : tour qu’on joue &
quelqu’un; tromperie, fourberie.
+ Caraupöta, 8. f. (l. de bot.) * carambolıer
sıillaire, carambole ou chamarottie, pommier
& fruit anguleux : arbre des indes et son Sruit.
CARAMDOLÄDO, A,P. 2. de
CARAMBOLÄR, v. #. caramboler s toucher les
deux billes avec la sietine.
CARAMBOLEIRO, 3. m. celui qui carambole
favilement au jeu de billes; (fam.) faisenr de
eontes, d’intrigues.
GARAME£LCA. V. Tremelga.
CARANELLO, 3. m. caramel: sucre fondu,
durci, brüle.-"Glace, glacon.
° CARANILHO, 8. m. V. Enredo, Eımbuste.
CARANINHÖLA, 3. f. petit toupet; houppe de
cheveux attachee avec un ruban Fouge. (fg.
fam.) V. Patranha, Calumnia.
Caräupa, s. f. lanterne de presse d’impri-
merie,
Canampiö, s. m. "piöce d'une presse
TCARA=MUCAL, 3. m. caramoussal : vaisseau
marchand turo ä poupe Ir&s-haule.
Caruso , s. m. limacon de mer.
VARAMUNDA, 8. f. (fl. burl.) grimace, moue;
plaintes feintas. Fazer —s, se plaindre, faire
des plaintcs,
j Caxzsaulau, 5. m. (f. du Bresil) homme de
eu.
TCarinca, s. f. carangue : poisson blanc et
plat des Antilles.
+ Carancıtua,.f. (l.de mar.) vergue ä
corne.
CarangumlÄin, v.9. (f. burl. et fam.) mar-
eher comme le crabe; ne savoir pas se r&sou-
re.
T CARANGUEJSEIRO, s. m. celui qui prend, et
vend des crabes.
CARANGUENO, 3.m.(1.d’Aist. mal.) crabe, &cre-
visse de mer. — das conchas, ermite bernard
ow soldat, Ander para Irds come 0 —,( fam.)
CAR
faire P’öererissa, aller A ronmlans camme les
&crevisses. — signo do zodiaco. V. CAncer.
CARANGLEJÖLA, 8. f. aug. de Carangueije-
Grand crabe. Sorte de halustrade autsur
d’une chaire de professeur.
TCARANTOREA, 3. f. mine hideuse, vilaine
Sgure. (Ag. ant., Masque hideux de carton.
5, pl. grimaces.
* + Carintuuas. V. Carncleres mdgieos.
Caniö,s. m. teint du visage. A — , adv. en
face, vis-d-vis, tout sanise. Cilieio a — da
oarme, eilice sur Ja peau.
+Caräpa, s. f. (1. de bos.) oarapa : "arbre de
la Guiane, des Moluques; huile et son £rono
pour des mAts.
+ Canarani, 0. m. (d. du Brig.) gros cousin
a longues jambes.
+ Carıra0, 8. m. (4. d’hist. nat.) epinoche
0% &pinocle : tr&s-petil poisson ä epines latera-
les, mobiles, du genre du gasire. O — de Ir&s
espinhos, le trois-öpines. O-— ds des espinhos,
P&epinoohe proprement dit.
+ Canapisa,s. m. poisson du Bresil, large
et plat, Ires-bon & manger.
CARAPETA, 8. f. polit sabot, petile toupie.
+ CarnıaPETaAL, 8. m. sorle de sac oü les
Maures d’Alrique portent leurs provisions en
veyagc.
f Canareriö, s. m. grand conte, grand
mensonge.
CAnaPEriißo, 3. m. aspece de poirier sau-
vage.
CaRAPETO, 5. m. poinies du poirier sauvage.
+ Cararina, 6. m. (I. du Bres.) V. Carpis-
leiro.
Cararinua, 3. f. cheveux d’un nögre, che-
veux Crepus ou laineux.
+Cararınuäna, s. f. sorte de sorhei ou de
glace.
CAnarınima ,s. f. nom d’un arbre du Bresil.
+ CaRAPO ELXcTRIcO DO PanA, 5. m. 1. Cd hist.
nat.) anguille electrique.
Canapöcı, s. f. bonnei de poil, de drap ou '
de peau.
Carapuciö, s. m. aug. de Cerapügs, granı
bonnet meoresque.
„CAnAPuckiro, s. m. bonnelier : [aiseur, ven-
deur de bonnets,
CanAP0Lo,s. m. calice du gland ei d’autres
fruits sernblables.
+Cırard, s. m. (l. de bei.) cararı ı amarante
verte.
CARÄTER, 5. m. marque infamante.
*Carittıes, adj. f. (leftras —) caractdres
typographiques.
CArAvÄNA, 8. f. caravane : troupe de mar-
chands, de pelerins, en voyage dans le Le-
vant.—s, pl. course en mer des chevaliers de
Malte. Fazer —s, faire des choses difliciles ;
faire des exces de jeuncsse.
t CARAVANEIRO, 3. m. caravanier : qui coB-
duil les beles de sommms dans les caravanes.
TCARAVANISTA , 8. mi. CATAVANOUE : VAISKSUN
m u
GAR
de Marseille, qui fait d’schelle en *ehalle le
commerce du Lcvant.
ChRAVANSERA OU CARAVANSÄRA , 8. M. Cala-
venstrail : hötsllogie des caravanes.
CanaveLı, 8. f. caravelle ; moyen navire
rond .
Canavsciö, s. m. aug. de Caravela, grande
caravelie. (Ag. 08 burl.) Homme demerure,
inis-grand,
T Caaavei£ıno, 8. m. marin d’une caravelle.
Garsviıma, s. f. cheville d’instrument &
vordes. Aperier a — a alguom, (fig.) serrer le
beuton & queiqu’un.
Carıvisı, etc. V. Cerabins, olo.
Canivo ou CARLO, 5. m, peiile earavello de
la Mediterranee.
Carısonipa , s. f. carbonnade : viande gril-
ide sur le charbon. ,
Carzanganı. V. Caravanserd.
Cianaso,s. m. lin ires-An dont on Saısait
des voiles pour les vaisseaux. (podt.) Voile de
karire.
tCarB0nADO,A, adj. carbon : qui tient du
charbon ou du carbone,.
TuRrBOonARıIos,s. m. pl. carbonari : membres
me socitö secreie d’ltalie, devenue curo-
peenne , conjuree contre le pouvoir absolu , Je
posvoir legitime et tous les pouvoirs aociaux.
tCARBONARISuQ, 3. m. carbonarisme : le
sysiemes de la societ6 des carbunari ; oelle 80-
ee,
TCaRsoniro, 3. m. (4. de chim.) carbonate ::
nom generique des sels formes par l’union de
Yacide earbonique avec les bases.
tCansöne, s. m. (td. de chim.) carbone:
charbon pur que l’on ne peut d&composer.
+ Gaasoönıco, adj. m. Acido —,, ( I. de chim.)
«arkenigus (acide): gaz, resullat de l’union
du earbone avec l’oxygene.
Can5081z41640 , 8. f. ( t. de chim.) carbonisa-
tion : Vaction de reduire en charboı ; ses effets.
CARBONIZÄDO ,A, P. p. de
CarB0BızÄr, v.a. (4. dechim.) carboniser :
räluire en charbon.
CARBUNCLO OU } escarboucle, carboucle:
CARBCHCULO, 3. m. J rubis rouge fonc6 Ires-
“elstant. (. de med.) V. Anthrar.
+ CaastncrLöso, A, adj. (t. de med.) de la
natare du carbonate; charbonneux.
Cassus£ro ou ($. de chim.) carbure :
+Cunsino,s.m.| combinaison du carbone
mon oxrygene avec des bases meialliques.
Ganca. V. Silva.
GarcacoLa. V. Sarcocola,
TCaacasaö, s.m. (4. d’hist. nad.) carcajou :
gloulon du Canada.
+Cuxcio, s. m. matrice de l’or dans les
mines de ce metal.
CancuazJan. V. Cacargjar.
Cancis os Carncäz, 8. ın. carquois : trousse,
etui & Slöches,. V. Aljdva.
Cancissa, 5. f. carcanse : sorte de bombe en
eercies.—, Ossemenis decharnes encore r&unis
«un animal; carcasse de vaisseau. (4. burl.)
GAR 255
Sebriquet qu’on danne aux vıeilles femmes,
"FCärcava,s. f. * fosse pour servir de de-
fense. Fosse pour enlerrer.
CancamiB0, A,P.P.de
Caacavin, 9. a. fossoyer, olore avec des
fosses.
CARCERÄGENM, 5. f. "geßlage: droit que payo
au geölier cbaque prisonnier avant do sortir de
la prison ; l’aclion de mettre en prison,
CanceriR. V. Encarcerdr.
CÄRcERE, 8. m. *geöle, prison , maigen d’ar -
rät. Chassis : pidee de la presse d’imprimerie.
(fg.) Emprisonnement : etat de celui qui est
emprisonne. — privado, ohartrc privee.
CAncEREIRO ‚8. m. grölier, morgueur : celul
qui ala garde d’une prispn. Fiador —, (1. de
praf.) caution : caluj qui repond d’un prisan-
nier mis en liberte sur parole.
CARCINOMA, 8. m. ( i. de med.) carcinome:
tancer, tumeur charnue, heterogene,
CARCINOMATÖSO, A, adj. (4. de med.) carci-
nomateux : de la nature du cancer.
TCaucöA,s. f."hateau A ramces, en usage
chez quelques peuplades d’Indiens.
CARCcONA, 8. m. arlisap, artoison ou arluson :
ver qui rouge les &toffes et le bois, " Vermau-
lure : poudre qui sort du bois que les vers ont
ronge.
CAncoME£r, v.a. carier, vermouler, en par-
lant du ver qui ronge le bois. Ronger, consu-
mer lentement une chose. (fg.) Ronger, dela-
brer, consumer.
CARCOMER-SE ‚©. T. Se vermouler, en parlant
du bois. Se gäter, se piquer, se carier. (fig.) S&
cher, se consumer d’ennui, de Ilristesse; s®
morfondre, faire du mauvais sang.
CARCOMIDO, A, 9.,p. de Carcomer, adj. ver-
moulu, artisonne, piqu&; gäte, carie.
* Cancöva,s. f. chemin couvert. di. V. Cor-
c0va.
CArCünDA , 8. f. boßse : grosseur osscuse au
dos, &?’ estomao , par leforınation des 08. adj.
2 gen. ou s.m. Homme hossu.
Cirpa, 8. f. carde : sorte de peigne pour
carder; seran, chardon dont on se sert pour
carder les dräps.
fCanpina, 5. f. cardee : morceau de laine
cardee; coup de carde.
Carpapäına, 8. f. cardeuse,
CARDADO, A ,P. p. de Lardär.
CARDADÖR , 5. m. cardeur : ouvrief qui carde.
CARDADURA. 8. I. l’action de carder ; oardee.
CarDäL, 5. m. " obardonniere: : champ plein
de chardons,
Carpauina, 8. f. (b. de bot.) cardamine:
cresson des prös.
CARDANO OW CARDAMÖNO MENOR ,s. m. (i. de
bot.) amome & grappes. Cardamomıe de la odie
da Malabar. — maior, cajeput; le bois hlanc,
"3
+ Canniö (do Brazü), s. m. (4. de bei.) "ra-
quette & longues öpines. Paleturier.
Caapir, v. a. carder, cbardonner la laine
ou les draps. — alguem, (Ag. fam.) gagner A
quelqu’un beaucoup d’argent au jeu, ft. Faire
2356 CAR
a quelqu’un une forte r&öprimande, le kous-
piller.
CanpeiL,s. m. cardinal : un des 70 prelats
du sacr6 collöge. —, oiseau d’Amerique meins
gros qu’aun merle, & t#te d’an roux 6clatant,
espece de gros-beo.
CarpeiL ,adj. V. Cardidl.
+ Canpzauina, s. f. (&. de bot.) lobelie car-
dinale; la cardinale.
CarpEALiDO, 8. m. cardinalat : dignits de
cardinal.
CaapkıRo , s. w. cardier : celui qui fait des
cardes.
Cunvenitno. V. Vordete.
Chnaso- A . A violet, livide, plombe.
+Cinpia, 5. m. (fl. d’anat.) cardia : orilice
suptrieur de l’estomac.
Canpiaca , (f. de bot.) V. Agripalmae.
Canpiaco , A, adj. (tl. de med.) cardiaque. Il
se dit des maladies du cour, et des remedes
propres ä les guerir.
+ CanpıacaarHia, 8. f. cardiagraphie : des-
eription du caur.
CanpısaL, ady. 2? gem. cardinal : principal.
On le dit des vents, des nombres, des points,
des vertus.
CanpıiaLcia, 8. f. (t. de med.) cardialgie:
picotement dans l’estomac, & l’orifice supe-
rieur, avec douleurs violenies, ou douleurs
avec nausees et defaillances.
+ CanpıiLcico, A, adj. (tk. de med.) quia
rapport & la cardialgie.
+ CanpıaLocia, s. f. cardialogie : traits des
parties du caur.
+ CanpıatoMia, s. f. cardiatomie : dissection
du caur, de ses parties. °
CanDice , 8. f. ” camee reprösentant un caur
noir.
Canpınir. V. Cardidi,
CARDINALADO,
CARDINALÄTO. | V. Cardoslädo.
+ CaapımaLicıo, A, adj. cardinalice ; qui
mene au cardinalat.
tCanpınaLista, 8. m. cardinaliste : parli-
san, domestique des cardinaux.
Carpinno, s. m. dim. de Cardo,, cirse.
Cinno,s. m. (4. de bot.) chardon, cardoir:
plante. — asnil, cbardon aux Anes. — corre-
dör, chardon-roland,, cent-töles. — da isca ou
isqueiro, cbardon lanugineux. — korlense ou
Manso,, arlichaut commun. — mariano , char-
don Marie, chardon de Notre-Dame. — pinto
ou malacdö, carline sans tige, chardon nain,
chardousse. — morlo, senegon commun, le
pelit senegon.— Denleador, chardon & foulon,
cardon A carder, cuve de Venus, bain de No-
tre-Damec. — sanguinko, carthame laineux,
— sanlo, centaurde sudorilique om chardon
denit. — süoestre, chardonnelte, vardiere.
— leiteiro, eaille-lait.
Cannüca „s. f. cardasse: grosse carde.
Canpıcino, A, 2. 2. de Carducar.
CAR
Canpocapen, A, 5: cardeer : euvrier qui
carde avec une cardasse.
CARDUGAR , ©. 8. cander avec une cardasse.
CARDÜNME, 8.9. "troupe de qui voy»
gent ensemble. ( Ag.) Essaim ; multitude.
Carzacäö, 8. f. caresse, alirait, allöche-
ment.
CanEiDO, A, P. P. de Carsdr,
CAREADOR, A, s. el ady. caressant: qui attire,
qui engage par des caresses.
CAREiR, v. a. atlirer, engager par des ca-
resses; allöcher, seduire; gagner l’amitie de
quelqu’ un, conduire un troupeau vors un cu»
droit determine. «4. V. 4carsar.
Cantca , 8.. (6. g0p.)iäte chauve; leigneux,
CARECENTE , adj. 2 gen. qui manque de.
p. a. de
CARECER (de), v.#. manquer, avoir faute de,
N en quelquefois reciproque. Carecs-se de
sts prudenciae, il laut aveir beauceup de
rudene.
’ CAaREci0o, A, P. p. de Carecer, qui manque
®.
CARECIMENTO. V. Cartacia.
CAREIO ou CaRko. V. Careapdd.
unkıno, a, adj. (fam.) cher : qui vend
er.
Cantuı. V. Querena.
Car£ncıa, 3. f. manque, absence, dönue-
ment, defaut, privation. (t. de praot.) Carence.
CanEra,s. f. ordure de la tele; parlie rabe-
teuse du bois. — da frula, ” duvet des fruits.
TCAREPENTO, A, adj. couvert de crodtes, de
duvet, lanugineux (frait).
Cantsa os disetie, rarete, mangque
Canzstia, s. f. ) des choses necessaires,
surtout de vırres. Cherie „ oncherissement :
haut prix dece qui est a vendre. Anno de —,
chere annee.
CanEstiöso, A, adj. cher, de chert£.
Cartra, s. f. * masque; grimace. Fazer —®,
faire des grimaces.
+ Cantro, a, adj. On le dit d’uncheval qui
a le chanfrein blanc.
Cantvo. V. Caravo.
Cartza. V. Carestio.
+ Cänrıa, s. f. instrument de supplice chez
les Turcs.
Cinca, 8. f. charge, fardeau, faix. —, ©8
que peut porter un homme, un animal, etc.
Somme : charge d’un cheval. Cargaison : mar-
chandises qui font ja charge d’un vaisseau.
(fig.) °Fardeau, cmıbarras; charge, obligatiom,,
condition onereuse. —,ce qu’on met de pou-
dre et de plomb dans ı une arnıe & feu. (8. de
veler.) —, sorte d'emplätre pour les chevauz,
Decharge simultande de plusieurs armes ä feu.
—, le choc de deux troupes yui en viennent
aux mains. — de ‚anee. — de caralla-
ria , charge de cavalerie. y — cerrdda, ( ig.)
sans reflexion, sans consideration. Besta de—,
sommier, bete de somme. Por que — dagua?
(fam. ) pour quel motil? Nario quo estd 4 —
vaisscau & la morte-charge. Dar com a — em
CAR
res, seuccomber sous le faix, au propre et su
ügur6. Langer a — a euro, jeter la faule sur
un autre. Lencer a-—de si, s’aflranchir d’un
dereir. Nario de —, bätiment de transport.
—s garnel, (1. ds mar.) charge en grenier.
-ı da vide, (fg.) eroix, afflietion, peine, sou-
eis, sesus: tribulations.
Cınco „3. m. "charge. office, emploi. Chef,
charge „ article, point d’une aocasation. (fg.)
Qurge, obligation, devoir. —, oommission ,
esnduite. — de conscieneis, cas de conseienoe.
V. Encergo. Faxer-se — d’elguma couse, 56
charger de geique ohose , prandre sur soi.
Canchso. V. Carregöso.
+ Canccino, A A .0dj. qui porte une charge.
Besta — a, böte de somme.
+ Casctzum, v. 8, (1. us. au Bresil) trans-
porter en beies de somme ; conduire des betes
de somme,
7Caaucd, 3. m. (t. d’hist. nat.) carlacou :
cerf de Cayenne.
Caxsä20,&,p. 9. de Cariar.
tCanıisa, s. m. (i. d’hist. nat.) cariama:
ksmiebi d’Amerique, oisean.
Carıia, ©. 6. carior, gäter,. pourrir.
Carıia-sE, ©. Tr. 56 carier, en parlant des 08.
Cursirıpes. V. Cary..., etc.
tCaaısör, 5. m. ($. d’hist. nat.) caribou :
renne da Canada, tres-Iöger, cerf de PAme-
nque septentrionale.
Canscarüna, s. f. carieature: charge en pein-
tus, en gravaro, etc.
Canscıam. V.
Caniaas, 5. f. pi. caresses: temoignages ex-
lirieurs. — enganosas , blandices.
* Ganıcı680. V. Carinkhoso.
Canmwinz, 5. f. eharitö: une des vertus theo-
ogales. —, aumöne. Fazer a — a alqguem,
‚Ag. reniquemeni) arranger quelqu’un. —bem
urdenada com6ra por nös mesmos, charite bien
ordennde ammence par sol-möme.
Canıa6s0, ı. V. Caritafivo.
Cänıs ou Canızs, s. f. carie : pourriture des
os, des dents, des bles.
Cazir. ou Canni, 5. m. carri : assaisonnerment
ındien, compos6 de piment en poudre, d’e-
piees, ete.
Canmmä, s. f. (t. da Bresil) sorte de gäteau
fait avec de la farine de manioc.
T Canmid, s. m. (1. de bot.) "noix vomique.
+ Caxmtca0, A, ad. brun, basane.
Caniumı, s. f. dim de Cara. — d’anjo, petit
ringe angelique. — bonila, (fam.) minois.
Caxfuno, s. m. ° afleclion, tendresse, caresse,
amitie.
+ Caumuubsautnte,, adv. alfeclueusement,
wndrement, cherement.
Caasıam6s0, A, adj. affectueux, tendre,, ex-
pressil; amoureux.
fCanıöso, Aa, adj. carieux : qui se carie.
+ CARImEDBONDO ‚„A,adj. qui ale visage rond.
CaRısua,s. m.(. de tk£ol.) gräce, don deDieu.
CarısıöcHo, a, adj, qui a une vilaine Ägure.
CAxISSINo, a, adj. sup. de CAro,
PORT,-FR.
CAR 37
CARITATIVANENTE, adv. charitablement : ause
harite.
Carırarivo, A . edj. charitable , secourable.
CARITEL, 8. m. * voig, cris de dötresse.
"Canıränuo, adj. mw. ( Brevierio— ) petit
brevisire.
Cariz ow Caris, 8. m. (— do cdo) apparence
de l’atmosphöre.
Canık, s. m. (f. d’Asie) sorte d’etofle asia-
tique.
CABLEQUIM, 8. m. crio : instrument compos&
d’une roue de fer dentito et d’une tige pour le-
ver des fardeaux.
TCanLiu ow Caxuino, s. m. carlin : monnaie
d’argent frappte sous le r&gne de Charles-
Quint, toujours courante en Italie.
Carina, s. f. (4. de bot.) V. Cardo-pinto.
Caruinga, s. f. (t. de mar.) carlingue : pidce
de bois le long d’un vaisseau , au-dessus de la
quille, oü porte le pied du mät. — do cabres-
tante, &cuello du cabestan.
TCaxrovincıos, s. m. pl. Carlovingiens,
mieus Garolingiens : deuxiöme race des rois de
France.
Canue. V. Posma.
Canuezantira, 8. f. peigneuse de laine.
CARMEÄDO, A, p. p. de Carmear.
CARMEADÖR, 8. m. peigneur de laine,
CAruEiR, v. a. peigner la laine.
+Carueıina, s. f. carmeline : seconde laine
que Pon tire de la vigogne.
CanMELIiTA,s. et adj. 2 gen. carmelite, carıme:
de Fordre du Mont-Carmel. —s descalgos, car-
mes dechausses.
CARMELITÄNO,, A, adj. carme. V. Carmelila.
Caru£Lo, 5. m. Carmel ow Mont-Carmel :
baute montagne dans la Palestine.
Canuzsi, 8. m. ou cramoisi : touge fon-
CARnueEsim, adj. 2 gem. Ic; couleur pourpre
du kermes.
CarMiM, 6. m. carmin : couleur d’un rouge
vif, tiree de la cochenille, du bois du Bresil,
aveo de Falun. Liguido — ; (express. podti.) le
sang.
CARMINATIVO ‚A, adj. carminatif : contre los
maladies venteuses.
Cannicaı , s. f. aug. de Carnne, (fem.) abon-
dance de viande; excroissance de chair,
Carnapüra , s. f. charnure : la chajr, qualiis
de Ja chair de P’homme; teint. Ter bos ou
md—, avoir bonne ou mauvaise chalr.
Carnäcsu, s. f.salaison : provision de viande
salece qu’on met ä bord d’un vaisseau. (Ag-) V.
Carniceria, Malangs.
CanniL, adj. 2 gen. charnel : qui appartient
ala chair. Sensuel : qui aime les plaisirs des
sens. Venörien : qui a rapport au oommeros®
charnel. (Ag.) —, tertesire, par opposilion &
spirituel : qui est attach6 aux biens do la terre,
suivant le langage des moralistes religieuz.
CannÄL, 8. m. charnage : temps od il ont
permis aux chretiens de faire gras.
CuaxaLipäpe, 6. f. plaisir de la chair, ven-
sualite. 7
usg can
Cihniimente, adv. charneliement : selon la
cheir.. .
" Finunxaiega, s fa (1. de bol.) * carmauba :
pawier du Bresil; cire de son Irone dont on
ait des chandelles.
CABNAYÄL, 3. m, earnaval ı Ics Lrois Jours
qul preeädent le mercredi des cenires. —,
temps Jegtine aux divertissernenls depuis l’d-
pIphanie Jusqu’au mercredi des cendres.
„.CAnnavaLksco, A, adj. du oarnaval, qui a
rappor au carnaval (bal, danse, festin, ete.).
nnäz, s. m. le cöt& d’un cuir opposs &
Pepiderme, le revers.
anne, 8. f. chair : substance fbreuse ,
molle, humide, sanguine, organique,, du Corps
animal ow vegelal ; muscles; viende; la peau,
le teint. ( fg.) —, concupiscence ; l’humanite,
les sens, la nature humaine, ’homme terrestre.
(fam.) Gras, par opposilion A maigre, suivant
P’usage des chrätiens; charnage. — salgade,
Viande salee. — da perns, tranche de bauf.
Em—vica,loschairs ävif. Ter —decäo, (fam.)
P£iro de fer: &tre fort, resister aux maux, auX
intemperies. — e sangue, (fig.) [röres, parents.
Sdodpeizenem —, (1d.)il n’estnichair ni pois-
son. — sem 0520, viande desossee, sans 08. (Ag.)
Sin&cure : emploi lucratif et peu penible. Ser
de — e sangue, (fig. [am.) &ire de chair et d’os
comme les autres : &ire scnsible, susceptible.
Ser unka com — d’alguem, (fig.) &ire ami in-
timede quelgqu’un. Tomar —s, engraisser, pren-
dre de !embonpoint. Perder as —s, ramaigrif :
redevenir maigre. Tremerem as—s, avoir peur.
Ser alguem em —, etred’uneressemblance frap-
pante. —,carne cria, la chalr nourrit la chair.
Cannzcörta , s. f. esp&co de prune de Portu-
gal. de couleur tr&s-foncee.
Gannecid. V. Carnicdd.
Canntına,,s.f. basane : peau de mouton tan-
nee pour la reliure.
Carntırina, a. f. tfoupeau de moulons. Sorte
de dyssenterie &pidemique sur la cöte d’A-
tılque. (£.de mar.) Flots moutonnds.
CARNKIRBIRO, 5. m. pälre: celui qui garde un
troupeau de moutons.
+ CuRnzIRiL, adj. 2 gen. Il seditduchampoä
paissent les troupcaux de moutons.
CARNEIRO, 8. m. mouton , belier. Charnier :
jieu oouvert oü l’on met les ossements des
worts;tombeau de famille. i#. V. Ariete. — de
guia, mouton qui sert de guide au troupeau.
— montez ,argali ou moullon. — de cinco quar-
tos , moalon & grosse quene, et qui n’a pas les
cornes aussi relournees que les aufres. — cas-
tie ou de semente, belier : mäle de la brehis.
— dos legumes , bruche des puis.—s, pl. ondes
moutonntes. j
1 Chameo ‚Aredj. qui ade lacheir, qui es
TCaanerino,, a, adj. oouteer de chalr. Pe
dre=a, pierre cernaline.
CARNESTOLENDAS , 8. f. pl. V. Cornaval.
zoncle, et0,
Caaxıckö, 3, m, c}0ou : Obalr dure dans un fa- |
CAR
Caanica , 2. f. (fam.) chalr morte: abondanc
de viande. *Rebut de boucherie. ’Massarre,
carnage, grande tuerie.
CanxıcAL,, adj. carnassier.
Canwicanis, s. f. “abettolr, boucherie. tuerie:
endruit od l’on lue les animaur dont on appro-
visienne une ville. (Ag.) Boucherie , massacre,
carnage , destruction qu’on fait & la guerre ou
aitleurs,
Carnichinamtnte, ndo. & manidre, comme
les animauz sarnassiers.
CAannıcßinO,, A, adj. cartassier: qui ne se re-
palt que de chair crae. V. Carnivoro. (/ig.)
Ceuel, sanguinsire, iIuhumain. Animaes —s,
(1. d’hist. nat.) les carnassiers : ordre de mam-
miföres A dents canines, incisives et molaires ,
esiontao simple, ongier sigus: famille des co-
l&optöres pentamercs , les carabes,, ec.
Oarmckıno, 8. ms. boucher : celui qui tue des
animaux eien vend lachair.
Cannıceaia. V. Carkicdrie,
TCanmwıcagid, 0 f. (8. dechir.) varnilloa-
tion : changement des os en chair, ınaladie.
Carnırickn0, A,P. p. de -
t Cannırican-SE, ©. r. (4. de chir.) se caral-
fier : se changer en ehair.
TCaARNirIce adj. 2 gen. quitourmente comirke
le bourreau. On l’omploie quelquefois substan-
tivement. V. Algoz, Verduge.
CARNIFICINA, 6. f. * CRZIAGE, TNASEROTE,
+ Cannıröane, adj. 2 gen. camiforme : qui a
la forme, l’apparence , la nature de la chair.
Cannita,s. f. la partie concave ou faselte
earticulairo des os dm tarse des beuls, ayce
laquelle les enfants font un jeu.
CARNiYORO, A, adj. carnirore : quise neur-
rit principalemenut de chair (animal); qui menge
beaucoup de viande. —s, pl. (1. d’hiss.) carni-
vores : digiligrades, sous-ordre des oamas-
siers, sans pouce spare, ei dont les pieds
n’appuient que sur les doigts.
Carnosinäne,, a. f. (4. de chir.) camesite:
excroissance charnue dans une plaiu; serie de
vegetation calleuse qui selorme dans Pardire
ä la suite des gonorrhees virulentes.
Caanöso, A, adj. charneux : compos& prın-
cipalement de chair ; charnu.
CAan6no, A, adj. charnu ; bien fourni de
ohair. Il se dit aussi des fruils.
Cino, Aa, adj. cher : qui coütp beaucoup. —
tendrement aimd. UOnereux ,difüicile. adv.Cher,
chdrement : & haut prix; avec beaucoup de
peine. Caro boecddo, (fig. [am.) plaisir, caprice
qui coüte cher. O baralo sai —. V. Barato.
Canoati ow CaBautä, 5. f. (b. du Brasil)
pite du Brösit.
*CaroiveL,adj. 2
+ Caröca,s.f.—
loppe de Fepi du mals. u
+Canscua, 2. f.(f. d’Atist. nat.) *earabe: in-
secte eoleoptere, carnassier. — sycopkanla ou
framdulenta, carabe sycophante,— crepilanie,
carabe pilard. — lunulada, carfabe ä 3jx ta-
ches — or de cöbre, rarabe suiveh, H. Sor-
n. aimant, ami.
milko, (fam.) lenve-
En
>_._aM 2. er ". . m
Ve
CAR
ötre. «it. Sorte de mitre de carton qu on mel-
tsil & certsins condanınes de l’inquisition. Pa-
rece que o hdo chypado @s—s,(/am.) on le dit
d’un bomme exir&memeni maigre ei päla-
Caröco, 5. u (f. de bpl.) noyau.: gapanle
neuse ei dure qui renferme l’amande, P,
mar de-—, verger d’arbres ä noyaa. Ter muilo
-,ıfam.) avoix ‚baaucoup d’argent. —, (f. de
med.) slande ende,
Cızöus, 5 m. (L, burl,). biget, Gag0t; auper-
sitieux. it, Tötelegöre. Em »— , (fam.) nu-isie.
CaRoLicg, s, f. bigoterie, calarderie; super-
sütion. ,
+ CanoLiu ou ande, s. m. (ld. de bot.)
räpo : aze höriseh de dentcules qui soutieht
Papi da [tomenı, de mais, etc. it. Coup de ba-
ton ä la läte.
T Canosäpa, 2. f. (il. de mar.) earonade :
serie de canon osurt.
+ CaröTıDas, 8. fl. pi (1. danat. ) oarotides :
les deux artdrgs qui conduisent le sang au cer-
veau.
CasoccHa, V. Caroche,
GAaretczinnA, 8. f. dim. de Caroucha. Con-
les da — ,(fam.) contes de Peau-d’äne; pu6-
rilitds.
Caara, 8. f. carpe: poisson d’esu douce de
la farnille des gymnopomes.
tCiape , s. m. (1. de bot.) charme commun :
arme ameniace.
Carrzar , eic. V. Carmedr, eic.
t Canrzsär, 5. m. "charmaie : lieu plantö de
es.
GenrauTaniı,s. f.cherpenterie, menuiserie:
Vart de tcavailler le bois. * Atelior de charpen-
Ders de menuisier. Charpente : ouvrage lait en
18.
Carresterno. V. Carpinteiro.
Caarzatsjin0, A,Pp. p. de
CARPENTEIÄR „: 9. ». charpenter, menuiser :
sayailler en charpenterie, en menuiserie;
lasse le menuisier.
tCanrsorocha, 5. f. (f. de med.) carbholo-
gie , erocidisme : espece de conralsion symp-
lemalique , voisine de la mert, dans laqnelle
ca semble vouloir prehdre, arracher de la
kaine, de la paille, etc.
Carrınkına , 5. f. plenreuse : feniins qu’on
PaTait pour pleurer aux (undräilies.
Cause, A, P. p. de
‚&,8. plenseur ı gei pleure; qui
phase pour peu de chose.
Ganttues, a. me. pl. pleurs, Jamentations.
Gaanıfknro; V, Prante, Chöro.
Caurrınos. V. Excarpins.
Daasine, V. Cärpe.
Carpisrania. V. Gorpensiarie.
Geneurstıno, 5. m. ebarpenlier, Mieriuisier :
zsiean quätravallig jo built. — de sasar, obtar-
pretiee,de taablagem , menaisior. — de sar-
TOs ou carrötas , ehatrou. — de adges; carrof-
siert. zu. de nackado ou da ribeira „shatpentier
de vaisseau.—demasiros, mäteur, Bieho— ad.
CAR 959
d'une Personne qui est toujonts en MouYe-
ment, qui n’est Jamais teangaille,
Canpin, %« 1%, #gratigner; dechirer aveo les
ongles, s’arracher les cheveux do donleur.
(fg.).Däplorer : pleurer, regreiter ia mort de
0- | quelqu’un.
CARPIR-SE, 0. r, 86 lsmenter;. .. plaindre. :
CARr0, 3. m. (l. Wonsi.) carpe, poignet :
partie qui Age eniro les bras et lä paume de la
main.
CanroBiLsayo, 5. m. varpobalsame ou car-
pohalsamum : fruit da baumior os du paimier
de ia Mecque.
+C RPOCRACIÄNOS, 8. m. pi. Carpocreliens :
höreiiques du 2« siöche, qui nialens la cr6atiom
par Dieu lui-meme, l’attribuant aux anges , F&-
jeseient la divinits de J. C. et admettaient la
communauts des fernmes.
CarroLituns, 8. m. Pl. (1. d’Mst. nat.) car-
politbes, fruits pe6trifies.
TCÄRPO-METACARMIO, ad). 6 8. m. (f. E’-
net.) carpo-mätscarpien : qui a rapport au
carpe et au ınetacarpe.
t Canromonpuirgs, =. m. ‚pi. (4 de windr.)
carpemorphites : pierres ä figure de frait.
tCaarüruaos, a,udjı carpophage: frigirorer.
* CARQUg , 3. 0, 0% espece de gendt du
Cangussa. uf Portugal (Genista ri
deniaia) ; ser) A aliumer du few.
Oannica, s. f. carayue : espede de vaisseak
grand et d’une marche lente.
Canaiga, 8. f. mile : insecte trös-petit ; sp-
re, acaride. — dos edel, tique. — das aves,
tnite des oiseanx.
Cannıganla, 8. r- grande quantit& de mites,
de tiques.
Cannivda, 2. f. charretse: charge d’une char-
reits. — de lenhu, voie do bois. A’s—s, adv.
& foison , abondamment.
CARKinca; ‚®. f. erimace, viloine mine, aik
triste, sobre. “ Visage relrogne, froncemeit
de sourcil. (fig.) "Aspect sombre, menacant.
* Collier de chien arme de pointes de fer. —s,
pl. tetes d’unimaux sculptees. #4. V. Biocos.
CARRANCODO, A, adj. qui a Fair sombre, qui
est de mauvaise humeur, qui a un visage re-
fregne, mauvaise mine.
CARRANQUiNHA, 8. f. dm. de Carrante.
+ CaRRAO, 8. m. grand Ccarrosse, grande vol-
ture beurgeoise.
+Cannaräta, 3. f.( pop.) maladie grave &
longue.
GankAaPATLıro, 8. m. ( f. de bot.) ricin ordi-
nalre, palme @6 Christ, figuier infernal; faux
cafö; pignon d’Inde.
Gannapiro, sg. m. (4. Ahist. nal. ) tioin , m-
seote mandibufs ; tique if. Fere du ticin om
palme-christi, dont an fall une hulle Irds-
pargative.
CARRAPiTO, 5. m. petit toupet.
GAannasciL, 3. m. lieu plaritö Ü’yeuscs,
chöneie.
TCannaschd, adj.m. (Tinko —, fam.) fort ;
V, Garsöma. Ter biche —, (oe fam-) I se dit |Apre au goüt (vin), ,
un Dan en -..
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, . . se .
CAR
CaaRtäcEN, 8. f. V. Carrelägem, Carr£io.
Caanıkö, s. m. essieu A deux roues dont 56
serrent les foulons.
Carxasca , 3. f. V. Carricinka.
CaaxıcäL, 3. m. lieu plants de roseaux de
marais ; de glaieuls.
+ Carxıcinua ,s. f. (i. d’hist. nal.) — crüs-
kids, * roitelel. — escondrigtira, troglodyte.
+ Caraico, s. m. (1. de bot.) laiche coupante,
earet aigu. — Öastardo, roseau de mrarais;
gisieul, sorte de jonc. — grande do Norte,
6. d’hist. aal.)* fauvette : oiseau sylvain chan-
kcar.
CARRIChcHE, 8. m. chariot, brouelte. Carrosse
dc corderie.
CarsiL,3.. ° orniere : trace profonde que
laisse la soue d’une voiture. Chemin par oü ne
peut passer qu’une charrette de front. Seguir
e— ,suivre le pave&, la voie.
Cararıniö,, s. m. carillon : horloge qui sonne
des sirs; machine & clavier pour faire sonner
iss eloches en musique. .
CarsiLmo, s. m. " mächoire. Comer a dous—s,
(Ag.) manger & deux räteliers; tirer d’un sao
deeble mouture.
Caraiyno, s. m. dim.deCarro. Petit chariot
d’enlant ; cabriolet.— descoberto, char-A-bancs.
— de mdo, * brouette : petit tombereau & uno
neue, pousse ou traind par une personne.
Cazsırar. V. Rolddna, Carreiei.
Canxo, s. m. char, charretie, guimbarde.
V. Carrfis. — triumphal, char de triompbe.
Unter o—, ( ig. fam.) graisser la patte A quel-
qu’un , Iui donner de l’argent pour le corrom-
pre. Andar o — adianie dos bois, mettre la
charrue derant les baufs. — da poppa sobre a
almeidea,, (1. de mar.) V’arriere d’un vaisseau.
Canaöcı, s. f. "carrosse; chariot, charretie.
Canaocisı, 8. f. charretee.
Canxockıro, 5. m. charretier, voiturier.
Caznociıe , s. m. dim. de Carroga. Charretin;
eabriolet.
GARRONATO,S. mM.
ments,
GAracicEN, 8. f. voilure, Carrosse, chariot.
Ciara, s. f. lettre, epitre, missive. Charte.
Leütres de chancellerie, etc. Carte & jouer. Acie
devamı notaire. — do ABC, alphabet, abece-
daire pour montrer ä& lire. — de pesame ,leitre
de condoleance. — de parabem, leitre de feli-
citaion. — d’oßleio , d’ordem, lettre oflicielle,
mandement; lettre adressante. — de marear,
errte de marine, carlaux. — Dranca, carte
Blanche, au jeu. — credencial, leltre de
ereance, — de seguro , sauf-conduit. — de com-
misado, (4. de prat.) delegation d’autorite faile
Par un tribunal superieur en faveur d’un tri-
banal inferieur pour agir dans un cas particu-
lier. — de creditlo , lettre de credit. — de guia,
passe-port. it. Feuille de route que l’on donne
aux malbeureux, eic. — de ezame, lelires
d’eramen,, d’approbation,, d’admission. — d’al-
forris, tettre d’affranchissement. — de naltu-
relisardo ‚lettres de naturalisation , de natura-
"voiture de demenage-
u CAR 261
lit. — de favor, de recommendagdo , leltre ‘de
recommandation. — revogasoria, leitre de
revocation d’un privilege, d’une exemption.
— de venda, contrat de vente. — falsa, fausse
carte, au jeu. — palente , leitres patentes ; de-
eret, edit general. — cerrada, leitre close.
— cilaloria, assignation en juslice. — regia,
decret,, edit du roi.— partlida, charte-pariie.
— de parlilhas, acte ow extrait de partage qu’on
donne & chacun des heritiers. —d’alfineies, pa-
yuet d’epingles. — de marca,, lettre de marque.
Perder com boas —s, ( ig.) perdre & beau jeu.
Perder por — de mais ou de menos, manquer
pour plus ou pour moins. K melhör perder por
— de monos que por —de mais, (fig. am.) il vaut
mieux perdre par modestie quo par hardiesse.
CARTABÜCHA,, 8. f. sale Ow Saye : brosse d’or-
fEvre.
CARTABUCHÄDO, A, P. p. de
CARTABUCHÄR, U. a. saleter,, brosser avec la
saie. '
CÄRTAMO ou CÄRTHANO,, 0. m. (4. de 508.) V.
Arafröa.
Cartiö,s.m. aug. de Carla. Grande, grosse
lettre. ($. d’arckit.) Carton: modele de cor-
niche, panneau, etc.
CARTAPÄCIO, 8. m. cahier : registre. Cahler,
pancarte d’ecolier.
CanTasina, 3. f. cartisane : carlons, Fou-
leaux entoures de hils de soie, eic., falsant re-
lief dans les broderies ‚etc.
+Cartrixo, s. m. (tl. d’hisi. nal.) traquet:
petit oiseau brun du genre du bec-figue.
*CARTALRO. V. Archivo, Cartorio.
Cartiz, s. m. "affiche, placard : &crit ou im-
prime6 qu’on affiche dans les places, etc., pour
informer le public de quelque ohose.
CaArtEiDO,A,P.p. de Cartedr. Jogo —, adj.
jeu de cartes oü chacun a soin de rassembler
ses levees.
CaArTEirR, v. a. calculer la longitude et la
latitude sur une carte marine.
CARTEÄR-SE , ©. r. suivre, entretenir une
eorrespondance &pistolaire. — com alguem,
avoir commerce de lettres avec quelqu’un.
Canrtına, 3. f. porte-feuille, porte-letire,
cartero.* Pupitre portatifowävoyager.” Bureau
ä ecrire et & garder des leitres.
Carr£ırno, s. m. factenr : distributeur des
lettres qui arrivent par la poste. Fabricant de
cartes & jouer. it. Partisan de la charte (en
Portugal), chariiste.
CAnTEıRnÖLA. V. Carluxeira.
CARTeL, 3. m. cartel, appel : d& par &crit
pour un combat singulier. "Affiche, placard.
Cartel : röglement entre deux partis ennemis
pour la rangon ou l’6change des prisonniers.
+ CARTESIANISMO, 3. m. oamibsianisme : phi-
losophie de Descartes.
+CARTESIÄNO, A, adj. cart£sien: partisan de
la philosophie de Descartes, qui admet des
tourbillons d’atomes comme principe des mou
verments celestes.
Cant&ra ,s. f. sorle de jeu de cartes.
208 uAaR
+Cartuickua, s. f. (l. de geog. ) Carthagene:
Ville maritime d’Espagne.
+ CARTBAUINENSE, adj. 2 gem. carthaginois :
de Caribage.
TCanruacıntz, a, adj. ei s. de Carthagene,
on Espagne.
Quuruico, 8. f. (f. de gdog.) Caribage : an-
eiewue ville d’Afrtqud.
CARTEANMO. V. Acafröda.
CaurıLieeu,s.R(i.d’anes.)*cartilage: partie
biauelse da oorps,, ®ure, insensible, elaslique,
uniforme, polle, molns sompaote que Pos etä
son extrömit6.
CARTILACHROSO,, A, adf. (.d’anat.) cartila-
Kineut : de la nature da cartilage ; compose de
cartilages. Kior —a, (1. de bot.) leur esrtilagi-
neuse , a bourreliet. Peizes —s, (8. #’hiat. nal.)
cartilagineäz ı classe de poissons quin’ont que
des cartilages au lieu d’aretes.
Cantiıua, 8. f. ° syHiebaire, ab&oddaire. V.
Abseedario, * Catschisme: Ler a elguha—,
(fam.) avertir quelgu’un de son devoir. Näo
“—, we savoir nl a nid : dire trös-igno-
rant. Cousa que ndo esidäna —, (fam.) cbose
qui u’est pas dans
‘ GARTILICO, A. V. Gariilagindso.
°CaxrıupöLo. V. Canheaho, Begisiro.
Charinwa , s. f. dis. de Garta.
+ Caantouancia, s. f. carlomancie : art pre6-
terrdu de Iiee dans Yavenir sur la disposhlon
des cartes ou en los tiramt.
+ CarTomäÄnteE, 8.2 gm. oartomancien : : gai
exe6roe la ehrtormancie.
CARTORÄRIO, V. Cartulario ot Ar-
CARTOREIRO, 8. mM. ehivista.
Cartörıo, s. m. archives, chartrier ; &tade
de notaire; cartulaire.
CARTUCHÄNE, s.m. "provision de cartouches.
CarTucukıra, 3. m. * cartouchier : coffret aux
cartouches; giberne. — das espoletas, (1. de
war.) sa0 poris-$loupilles, sac & etoupilles.
CARTÜCHO, 3.m. "carlouche:: charge d’un ca-
von ‚d’un [usil. *Gargousse : charge de poudre
pour un canon, enveloppee dans un Carion.
— de dinheiro, rouleau d’argent. —s de meirg-
Ika, pyraınides, charge 3 mitraille.
* Cartlio, V. Cartüxo.
CantuLirıo, 8. m. cartulaire, chartulaire :
rooueil des charies d’une dglise, d’un mona-
stereo. ib. V. Archivista.
Canzöxa,s. f. Chartreuso : couvent de char-
treux. Ordre des chartreux.
CARTöxO, s. m. chartreux : religienx de l’or-
dreo des chartoux.
Canöcem. V. Garöncho et Cardma.
* GancLa. V. Carsche.
Ganöncuo,, 8. m. V. Garcoma.,
CARUNCHÖSO, A, adj. vermoulu ; artisonne ;
mouline.
CAanöncuLa, 8 f. (b. denat,) caroncnle:chair
glanduleuse,
TCanind, m, (4. du Brde,) plat d’herbes
frinasagos au Broösil,
pas
+ Carus, s.m. (1. de mäd.) carus : maladin
öthargique. .
- CARvaLHiL,s. m. ° chönaie : lien plante de
chanes.
CARVALHEIKO. V. Carvdlko.
CarvaLninna, 3. m. (1. de bot., germandrte
ofcinale, petit chene , ch@nsau , chenette;
calamendrier; herbe de fiöyres.
CARVÄLBO, 8. m. (4. de bot.) chene. — cerqui-
nko ou roble, chöne commun, chene robre ow
roubre, & feuliles garnies de duret. — om:inho,
v. Asinhöira,
Carvanseri. V. Caravanserd.
Carviö, s. m. charbon : bois p6ön&trö de feu
et dteint, ou brülant sans flamme ; bois eteint
avant sa parfaite combustion. — mineral ou
ds podra, eharbon fossile, charbon de terre.
Canviözinno , s. m. dim. de Chrudo.
Carvirı. V. Gravdia,. j
Canviz, s. m. (t.d’Asie) pecheur.
Cauvoaniı, 3. f. obarbonniere : Heu od V’on
fait le charbon. Houilldse : mine de eharben de
terre.
Canvotına, 8. f. “ oharbonnier : lieu od V’on
met lo oharbon. if V. Carosarie.
Carvotıro, s. m. charbonnier : qui fait,
vend ou porte du charbon. —s, adj. qui porte
du charbon (bateau, charrelie, Ol6.).
CARVORJÄBO, A, 9. P. de
CARYORJÄR, dv. a. 09u ®. faire da eharbon;
exercer le metier de charbonnier.
CARYATIDES, 8. f. pl. (t.d’archit.) cariatides:
figures de femme, d’homme, etc. , soutenans
unecorniche,, un balcon, eto., sur la tete.
CARTBDRS OW CARYRDIS, 8 f. Carybde : gouf-
fre sur les cötes de Sicile. Ir, dar em Scylia
eh evilar —, ( lg.) tomber de Carybde en
lla : d’un peril en un autre, de mal en pis.
H Canvocan. s.m. (tl. de bot. ) cariocar: grand
arbre de !’Amerique meridionale.
+ Carvocöstıno, A, adj. (Electuario—, t. de
pharm.) caryocoslinum : : dlecfuaire purgatif.
CanvoprıLipa , 8. f. V. Cravoilha.
CAarvorsılLidas, adj. [. pl. ( Plantas —,
bot.) caryophyliees: en eillet; famille des
illets: plantes dicotyledones, polypstales, a
tamines hypogynes.
CARTOPRILO 04 CARYOPHYLOS. V. Cravo.
Santa. V. Sarca.
Cis. V. Cäsa.
Cis ow Cins,s. f. pl. tes cheveux blancs,
(Ag.) La vieillesse.
Cisı,s. f. maison, logis, habitation : bäti-
ment pour loger; piece, chambre, antichambre.
— , ceux qui composent une meme familie. —,
en parlant des princes ei des grands seigncurs: 5
tes domestiques, les revenus, les etats, Ilcs
terres, elo. —, race : en parlant des familles
illusteos. —, Vespace du zodiaque qu’occupe
chaque signe. Case: un des carres de l’echi-
quier aan du damier. Tribunal. — do botde,
boutonniöre. — de correcrdo, maison de force,
—— forte , ohäteau ; maison de detenlion. — ou
quinla de recreıo, ou de campo, msison de
FANINAENR, de plaisanep, = real, maison dy
’ 7 .
CA35
rel; weisen royale, pelais da roi. — @& dou-
des, petiteb malsons. — d’orafes , höpital des
ives. (fig.) Maison de fous. — dos seguros,
chambre d’assurdimee. — de Deos, do Senhor,
munpde , dgiise. — da modda, hötel de la mon-
nsie ou des monneies. — publica, tnaison, !ieu
pablie, mawrais Hen.—de'jogo, tripot,, maison
de jeu.— röubeda, ( fam.) meison nial meu-
Nee. — santa : on donne ce ubm par etcel-
lenee au tempie de Jerusdiem , bü est le tom-
besu de J.-C.,qu’on appelle aussi sainte maison
de Jerusalem. Aparier — , se s&parer , faire
menage A part. Pör — , lever maison. Ter —
posts, zvoir maison montee. Filho de — tllus-
ire, enfanı de bonne maison. Fazer — ‚caser,
au trietrac. Ndo ter — nem vida, n’avoir ni leu
ni lien. Ser de — , (fam.) #tre P’ami de la mai-
son, virre en grande familfarit& avec quel-
quim. fr, vollar para sua — „regagner son
domicile. Ter as — s pagas, (fam.) Eire en licu
de strete, en prfison.
Cusica, 8. f. casaque, Justaucorps, habit,
frae : serte de vetement. — anfiga, mandilfe.
Folter a — „ (fig.) tourner casaque, changer
de parti. Abas da— , pans, basques d’un habit.
Gssaci6, 3. m. grande casaque, surtout.
?Casico, s. m. surtout, redingote.
Casıpaıaa, adj. f. mariable, nnbile: qui est
en ige de se mariet; qui cberche & se marier.
CusipO,, A, pP. p. de Casar , adj. et s. marie.
(Ag.) Atache , li6.— de pouco , nouveau marie.
Casıp0uRO , A, adj. mariable, nubile.
Casir, s. m. * metairie; hameau, maison de
eampagne. Les deux epoux ; couple d’animaux.
Um— de pombos, une paire de pigeons.
+ CasaLtıao; 5. m. celui qui habite un ba-
EMeau, une malson de campagne.
CasıLinno, s. m. dim. de Casdl, petite m6-
tairie, petite ferme.
Casamita, 8. f. (4. de fort.) casemate : lieu
vote sous des ouvrages de fortification , pour
defendre la courtine, les foss6s ; batterie cou-
verie, äl’epreuve de la bombe.
+CasamaTino, A, adj. (t. de fort.) casemate
(bastion) : avec casemates.
CASANENTRIRO, A, 3.2 gen. marieur : feiseur
de mariages ; courlier de mariages. "
CAsauEinto, s. m. mariage, noce. Dot pour
se marier. Ndo perderds por isso — ‚(fam.)
cela ne nuira point & volre r&pulalion.
* Casinte, 8. 2 gen. flance ; qui est ä la veille
de se marier.
Casiö, s. m. augm. de Casa, grande, grosse,
ferie maison.
Casio, 8. m. Aucion Canon.
tCssaguinua,,s. [. dim. de Casaca, * casa-
gein. — de senhora ipara monlar acavallo),
kabit de cheval, habil d’amazone
” Casin, s. m. bameau.
Cusär , v.. marier : joindre par mariage.
(Ag.) Assortir, äjuster, marier, joindee, unir
des choses ou des personnes qui 50 convien-
Bent. (}d.) Joindre, uni.
Lasin (com), v, m. se marier ä ou avec. (a-
.
’
U
GAS 263
sardse amansaräs,, (fam.) phrase dont on sq
sert pour marquer que par le mariage en s’im-
pose des obligations graves.
CASÄR-SE, 9. r. se marier ; s’accorder. — e973
seu parecer, opinido,eic.,tenir & son opinion 04
yeıre fortementattache. Jdade de— ‚Age nubile.
" Casania, 8. f. suite de maisons.
Casca, 8. f. &corce , pelure; cosse , erote.
(ig:) Apparence, dehers des choses. * Tan:
€cörce pour tanner les cuirs.—dooro, da möz,
coquille, coque. — das sementes, epiderme,
peau mince. — dos frulos, balie des grains.
— de carvalha, tan brut. Sair da — , eclore.
Morrer na—, au propre et au flg., avorler.
CascanULno, s. m. * balle : enveloppe de
grains de bie, d’avoine, etc.” Avelandde : cosse
du gland.
CascäiDe, A, P. 9. de Cascär.
CAScALBEına, 3. f. endroit ou il ya beaucoup
de pierraille.
CASCÄLHO, s. m. pierraille, gravier : amas de
pelites pierres. Recoupe : ce qui s’emporte des
pierres en les taillant. (4, burl.) De l’argent.
* Scorie.
CascaLH0s0, A, ) adj. plein de pierraille,
CAscaLHino, A, | de gravier.
TCasciLvo,a, adj. ( Cavallo — ), quia um
ou plusieurs sabois blancs (cheval).
Cascid, s. m. augm. de Casca.
Cascär , v0. a. (8. burl.) battre, cogner, don-
| ner des coups, houspiller , Srapper quelqu’un.
+ Cascariuua, 6. fı (8. de bot.) cascarille :
ecorce febrifuge; croton & feuilles de ehaleb.
Cascänaı , 5. f. espece de squale , poissom
dc mer. It. V. Cascarrilha.
Cascaarid, adj. m. Vinho — „vin Fouge
tres-fort et fonc& en couleur, gros vin.
CASCARRILHA, 8. [. dim. de Cascarra, (t. du
jeu de l!’hombre) * talon.
CAsCAsinBA, 8. f. dim. de Casca.
CASCATA, 8. [. cascade ,„ saul, nappe d’cau :
chute d’eau bruyante. (burl.) Vieille gargouille.
CASCAYEL , 3. m. grelot : sorte de pelile son-
nette spherique. Cobra de — „V. Cobra. (8. de
mar.) Bouten. Langar ou sollaro — , (Ag. fam.)
jeier quelque propos en avant pour sonder les
esprits. A—sürdido,, (id.) & la sourdiue, sans
bruit. Ter—, (Ag.) avoir de l’inquiöiude , avoif
quelque souci. Ser um — , (fig. fam.) @tre un
eWwurdi, un dcerveld. Quem perd 0 — ao galo,
(loc. fam.) Qui doitaltacher le grelot?
"CAscAYßL, 5. m. employ6 de la douane qui
met des cerceaux aux Caissos de Sucze. .
Cisco, s. m. cräne : Loile osseuse du 08
veau. Casque: armure delensive de la Löte. (4. de
blas.) Timbre : casque qui ost au-dessus de
l’ecu. Eclat : partie d’une bombe ou d’uas
pierre rompue. ° Corne, sabot : partie dure qui
est au pied du cheval, de l’äne, ete. " Peau
d’oignon. Tonneau, (utaille. (4. de mer.) Coque,
carcasse d’un vaisseau. — & pl. (4. P0P.) ca-
boche ‚tele. — ds casa, maison non meublee ;
fonds, partie principale d’une maison. —d’eser-
eito, cadre d’armeg. — d’um navio, OOFPS, CAr-
264 CAS
Casse d’un vaisseau. Qusbrar 08-0, rompre la
töte. Ligeiro dos —e, stourdi. Ter a
ou —e de cabara, (fam.) n’avoir point de cer-
velle, &tre un ecerveldö, &ire une mauvaise
tie. Metter-se alguma cuusa nos —ı, V. En-
casquelar-#e.
Cascös0, A, adj. on le dit des animaux qui
ont la come des sabots tr&s-forte. is. Couvert
d’6cailles, qui a la coquille, l’&corce fort
€paisse. (fg.) Homme d’une apparence gros-
siöre , non polie.
CascöLuO, s. m. * cosse semblable ä celle du
gland, chälaigne , etc.
f Caszantına, s. f. boutonnidre : femme qui
fait des boutons et des boutonnieres dans les
kabits.
Caszino, 4,9. p. de
Caseir, v. a. faire des boutonnidres.
CastsaE, s. m. (fam.) taudis : petit loge-
maent en desordre, malpropre; vilaine petite
maison.
t CABEIFöRNE , adj. 2 gen. qui a l’apparence
de fromage.
CASEIRAURNTE , ado. domestiquement,, bour-
gcoisement, familidrement, sans ceremonie.
Castıno, A, 3. m. ou f. fermier, mötayer;
celui qui est charge de l’administration d’une
maison. Regisseur : oelui quia lesoin et P’ad-
ministration des biens que quelqu’un possede
4 laville ou & la campagne. if. ant. V. Ingui-
kino.
Castıno, A, adj. casanier, attsch& A son me&-
nage. Domestique : qui est de la maison ow
qui appartient A la maison; familier, sans c6-
remonie. Exemplo —, exemple familier, tir6
des choses les plus ordinaires. Remedio —
remedde fait & la maison. (fg.) Simple, sans
pretention , ni ornements.
+ Case6so , a,adj. caseeux:de fromage, qui
concerne le fromage, dc la nature du fromage.
Caszaia. V. Casaria et Hospedaria.
Caseana, 8. f. caserne, logement de soldats.
+ CASERNLIRO, 3. m. celui qui a soin des 0a-
sernes.
°Cası. V. Quasi.
Cisıa ow Cassıa , 8. f. cannelle odoriferante.
Casımsiaa, s. f. "casimir : drap tr&s-mince.
Casinua, 8. f. dim. de Casa. Maisonnette.
Bureau d’octrol. — s. pl. cachots de l’inquisi-
tion.
Ciso , 8. m. cas, ciroonsiance, occasion,
aventure „ conjoncture,, oocurrence, &vene-|g
ment, scene, accident. — , fait, action en ma-
tiere criminelle. — , esiime d’une personne.
Hasard, cas fortuit. — ‚, matiöre & consulter , &
proposer. ( f. de gram.) — , differentes desi-
nonces des noms dans les langues oü ils se
de6clinent. — grave, cas enorme. — reservade,
eas röserv6. — de Aonra, point d’honneur. —
de menos valer, action deshonorante. — favo-
ravel ‚ cause qui a ia loien na faveur. — for-
twilo , hasard , cas fortuit. — que , en cas que.
Em todo — „ dans tous len cas. Dado ou de-
MOSE — ‚supposs que, Supposons que. De —
CAS
ponsado, aves prömkditstion, de propos “>
liböre. Estar no—, etre au fait. Ester ne —
de, ire ä meme de. Fazer — delguom, d’al-
guma couss, faire cas de quelgqu’un, de quel-
que chose. Fazer «0 —, vir so —, venir & pro-
pos, convenir, importer. Pelo mesmo —, pour
la möme raison. VYamos ao —, (/am.) venons
au fait. O—d que, le fait est que. Eis aqui
COMO pass0u 0 —, voilä oomme les choses se
sont passees. Isso ndo fasao—, cola ne fait
rien & la chose.
° Casöra. V. Lagada.
Casosar. V. Casodr.
t Casörı0, s. m. (fam.) mariage inoonsidere.
Cispa, s. f. crasse farineuse qui tombe de
la töte, etqui se forme gur ‚les plaies quand
elles sont gueries : furfure.
+ Cispıo, adj. m. Mar —, (1. de geogr.) Cas-
pienne, en parlant de la mer qui se irouve
dans V’int6rieur de V’Asie.
Casp6s0, a, adj. plein de crasse A la töie, ä&
une plaie.
Casqugjr0, 3. m. Jieu oü l’on doorce du beois,
CasQquEsÄDO, A, 9. p. de
Casqussirn, v.n. (1. de veler.) se cicatriser,
se couvrir d’un nouveau sabot.
CASQuUENTO, A, adj. qui a une grosse dcorce.
CAsSQUATE, 5. m. "calotte, bonnet en cuir ou
en drap, casquette. Vieux chapeau. Emıplätze
pour les teigneux.
+ Casquisninpo, A, adj. On le dit d’un che-
val qui a le sabot tendre. -
CasquicorinO, A, adj. qui a le sabot coup6
(cheval).
Casquicußi0, A, adj. qui a le sabot plein
‚I (cheval).
CASQUIDERRAMÄDO, A, adj. qui a le sabot
trds-large (cheval).
CasquiLmirn, vo. %. faire le pelit-maltre.
CASQUILHARIA, 8. f. parure recherchee.
CAsQUiLHO, A, 8.2 gen. petil-maltre ; elegant,
coquet; recherche dans sa parure.
7 CAsquiLno, 3. m. dim. de Casco. Bout de
can.ıe, de lauce, de timon de voiture.
CAsquiLöcıo, A, adj. guilleret: qui a la t&te
l&ögere, qui est toujours gai.
CasqtinHa , s. [.dim. de Casca. Ecorce minoe.
*Plaque. Ecorce du cedrat confite.
Casquistcco,, A, adj. (. de veier.) qui a les
sahots defectueux (cheval).
Cissa, s. f. mousseline : tolle de coton tres-
ne.
Cassacäö, s. f. cassation.
Cassir. V. Annullar, Quebrer.
CassarÖLa. V. Casseröle.
Cassein. V. Cassar ou Cacear.
CAssErÖLA, 8. f. casserole ı ustensile de cui-
sine, sorte de po6lon.
Cissıa. V. Canafistula,
Cissıpa, 8. f. (1. d’hist. nat.) casside: colde-
ptöre dont le corselet et los &iytres s’avanconk
au delä du corps.
+ Cassinza, 5. f. (8. d’hist. nat.) "oasque:
genre de mollusques gasteropodes.
a a 3 Mu
PIE SR VE GE" GE Be GE
AM ao _ - —_ _.
_- PS: FG
CAS
+ Gasenmoun , 8. f. (6. de mindr.) cassidoine:
pierre pröcieuse irisde.
Cassiu , s. m. °po8le de teinturier.
+ Cassina, 3. f. (6.de bot.) *houx & feuilles de
laurier ; houx d’Abon.
Cassino, 8. m. sorle de jeu de carles.
Gassemörpe, 8. f. (t. de maih.) cassinolde :
eswrbe te per Cassini pour reprösenter
ie mouvement du seoleil.
Cassıorta, s. f. ($. dastr.) oassiopee: Con-
stellation N.,composee de cing &toiles en M.
+ Gasaörıo, adj. m. Nö —, noud facile &
delsire
Cassis ‚s.m. V. Groselhtira pr£la. ül.Cassis :
rakaßa fait da [ruit etides feuilles de cassis.
Cisso, s.m.V. Cdco. adj. V. Irrito, Nullo.
7 CassoıLos, s. m. pl. (1. de mar.) " pommes.
— da Iroga, poınmes de racage. — da enzarcia,
pommes gougtes.
CA250L£T4.
CassorLa. v. Caro...
Gassuä, s. mw. (1. du Bresil) * corbeille de
ligne ou ipecacuanba.
Cista,s. [. race, lign6e, espöce. (fig.) Espäce,
qualit£. Caste : les tribus dans lesquelles sont
divises les idolätres des Indes. Race, esp&ce,
en perlant des animauz. Engeance, en parlant
de certaines especes de volatiles. De böa —, de
bonne espece. Fem-Ihe de—, il chasse de race.
Seir d—, avoir les lraits, le caractöre de ses
parenis.
+Castiımo, A, yck de poes.) qui appar-
Castalıo, A, adj. J tient & la fontaine Casta-
iienne, au pied du Parnasse, consacrede aux
Nuses.
CASTAu£NTE, adv. chasiement.
Casrinma, 3. f. chätaigne : fruit du chätai-
gnier; marron. — pildda, chätaigne seche,
— rebordä, chätaigne sauvage. — de cabello,
chignen , ügnon : cheveux que les fernmes re-
troussent sur le derriere de la l£ie. —s, (1. de
ser.) galoches. —s de ferro, (id.) galoches ow
mains de er.
GustausiL, 5. m. "chAlaigneraie : lieu plants
de chätaigniers.
Cassanutına, 3. f. \ (ti. de bol.) chätai-
GCastamıstıno , 3. | gnier; chätaignier cul.
Casrasıo,, s.m. tiv6 0% marronnier.
Castankfire ou bravo, chälaignier
Sauvage.
Gastauutras, s. f. pl. castagnelles : deux
morcesux de bois en forme de coquille qu’on
lient enire les doigis, et que l’on frapje l’un
cantıe Fauire en cadence; bruit que P’o:ı fait en
frottant fortement le pouce contre Ile (!oigt du
millen , en imitent les castagnettes.
CastanueTriDo, A, P. 2. de
CASTANBETEÄR,, ©. m. jouer des Castagnettes.
SAstänno, A, adj. chätain,, bai-brun. s. V.
Castankeiro
"GsrannöL, 5 m. sort de paille ou
shaume,.
Gusruswörss, s. f. pl. V. Casianktlas: (1.
CAS 265
Met. nat.) Spondyles : testacds hivalven,
— espinhosas , pieds d’äne.
TCASTANnOS0, A, adj. oü il ya beaucoup de
chätaigniers ( bois, etc.).
Castiö, 3. m. * pomme d’une canne.
CasteLHino, a, adj. ets. Castillan : de Cas-
tille. Espagnol. if. Langue castillane.
CastreıLa, s. f. (1.de geog.) Castille: pro-
vince ow royaume d’Espagne.
CasteLLino, V. Acastellddo.
CASTELLAnia, 8. f. chätellenie : seigneurie et
jJuridiction du seigneur chätelain.
* CasreLLiö,s. m. chätelain : celui qui com-
mande dans un chäteau. if. Variöts de raisin
blanc et noir.
CASTELLas, 3. f. pl. ancienne monnale por-
tugaise du temps de Jean ].
f Castzruärico, 3. m. ancien tribut que
payaient les vassaux pour la r6paration des
cbäteaux.
Casteri£ıno. V. Castelldo.
CASTELBIO, 0% Dans l’ancienne fortifi-
CASTELETE, 5. m. ) cation, c’etait la partie
la plus dlevee d’un chäteau. Chätelet.
Castzııinno, s.m. dim. de Castello, petit
fort, petit chäteau.
CAstT£LLO, s. m. ohäteau : forteresse. * Tour :
piöce du jeu d’öchecs. Tour qu’on mettait sur
le dos d’un 6lephant arme en guerre. Chäteau,
palais : demeure du roi, des seigneurs. — ro-
queiro, chäteau bäti sur un rocher. — de pröda
— de poppa, (t. de mar.) gaillard d’avanı
gelllard d’arriere. —e de vento, (fg. fam.)
choses en V’air. Fazer — no ar, (id.) faire des
chäteaux en Espagne.
Casteviı. V. Castelläo.
Gastıcino,, A, P. p. de Casticar.
Castıcir, 5. m. chandelier, Aambeau.
Gasricän, o.0. ou ". engendrer, propager
la race. Couvrir, en parlani des animaux.
Casrıco, A‘, adj. de bonne race; de bonne
qualite. Chäti6, pur, correct, naturel, en par-
lant du langage, du style. Cavallo —, &talon :
cheval entier pour sa:llir les Juments.
Castıpäpe , 3. f. chastete. — conjugal, fld6-
litö conjugale.
CastiricäpoO, A, 9. p. de
+ Castıricär, v. a. rendre chasle, pur. .
*Casticacäd, 8. f. oorreciion dans les li-
vres. V. Casligo.
*CASTIGÄDAMENTE, adv. correctement.
CasTıcäno, A, p. p. de Castigar. adj. Puni.
Näo —, impuni.
CASTICADOR, A, 3. et adj. qui punit, qui
chätie; qui reprimande, qui corrige quel-
qu’un.
Castıcär, v. a. ohälier, punir, corriger. —,
polir, en parlant du style. Punir, aflliger, mor-
tißer. (ant.) Blämer, reprendre, donner de
sages conseils, instruire, averlir. (Ag) Cor-
riger, chätier un ouvrage. — um marı
com merguihos no mar, (t. de mer.) donner
la cale,
3
®
CASTIGAR-SE, 9. F. 56 00rriger. ıs. V. Kssar-
wonlar-se
CASTIGAYgL, adj. 2 gen. chätiable : qui doit
Otre chätie.
Castıco, 3. m. chäliment, correclion, peine.
u.V. Boprakonsdo, Admoestagäo ; it. Ensino,
(o. Sem —, impundment.
TCasrınciı, s. m. bois de chätaigniers sau-
vages.
fCastmckına, s. f. " chätaignier sauvage.
a at adv. sup. de Caslamenie.
CASTISSIMO, A, adj. sup. de j
Cisto,a, dj. chaste" pudique. Pur, parfeit
dans son espece. En parlant du style, V. Cas-
Gaston, 4. m. (6. d’hist. nal.) castor : qua-
drupede mammilere de la famille des ron-
eurs: en fait des chapeaux de son poil. Sorte
’ttolfe de laine.
Castor E'PoLLcx, 8. m. (8. de myih. ot
d’ast.) Castor et Pollux, Qls de Jupiter ei de
Leda; feu Saint-Elme : meitore igne, double
gerbe de feu qui s’attache aux mäts ; consiella-
tion : les gemaux.
CASTÖREO, 8. m. caslordum : liqueur onc-
tueus6 qui se Lrouve sous le ventre du casier.
Castaacid, s. f. 6mmasculation, castration.
CasTaipO, A, 9. p. de Castrer. Estames—s,
(8. de bot.) &lamines störiles.
CASTRÄDO, 8. m. castret : chanleur qu’on &
chätr6 des l’enfance.
TCASTRADOR, 5. m. chätreur:: celui qui ch&-
tre.
tCastnanörı, s. f. V. Castragäo. Plaie, ei-
eatrico que laisse la castration.
CASTRAMETACAÖ, 8. f. castrametation : l’art
de camper des anciens. L’art de disposer les
camps militäires.
Custrir, vo. a. chätrer, mutiler, emaseuler :
ser los testicules. Emonder un arbse. — col-
meins. V. Cresiar.
CASTneusk, adj. 2 ges, milılaire: qui con-
cerne la guerre. Corde—, couronne caswense,
donnde ä& oelui qui penetrait lo premier dans
un canıp ennemi. Psewlio—, pecule castreuse:
biens acquis dans l’armee. Peculio quasi —,
(4. de prat.) pecule quasi castrense : biens ac-
quis dans les charges civiles.
CasvÄL, adj. 2 gen. casuel , fortuit, acciden-
tel, contingent.
CASUALIDÄDE, $. f. casualile, contingence,
aventure , cas fortuit, &v&nement inopine. Por
—, par hasard, occasionnellement, &rentuel-
loment.
CASUALHENTE, ade. casuellement, Occasion-
netlement, eventuellement, par hasard. ,
CAsUista, s. m. casuiste : th6ologien qui r&-
sout les cas de eonscience.
Casuferico, A, ady. qui concerne les cas de
concience.
Gasina, s. f. chasuble : ornement que le
pretre met par-dessus l'aube et l’etole pour
fire la messe. '
Bawiıo, s, m. "balle ; gloumo ou glunie: pel-
. .GAT
licule qui envaloppe le graiu. — de biecho de
seda, Cocon.
Cira,sf. V. Busca. Ander em — d’elguma
cousa (fam.) fureier pariout, rechereher soi-
gneusement.
TCATABAPTISTAS, 8. m. pl. oste
herötiques qui nient la ndcessits du baptsme.
Catacaness, s. f. (tl. de rhöt.) ostachröse =
metaphore par abus des termes.
CATACLY’3NO, 6. m. calaciysme : deluge,
inondation,
Caracöunas, 8. f. pl. catacombes : grottes
carridres od l’on entcrrait les morts, gurtout
les martyrs, ä Rome.
t Wrachstica, s. f. catacoustique ou cata-
phonique : science des &chos ou sons reflechis.
TCaraDıörrRica, s. f. catadioptrique: science
des elfets de la catoptrique et de la dioptrique.
CATi0o, A, P.p. de Catdr.
tTCaTÄpromo, 3.m. (4. d’ank.) caladrome :
corde sur laquelle on dansait.
CATApöra, 5. f. caladoupe ou Caladupe:
chute bruyante d’un fleuve, etc. Cataracte.
CArapöra, 8. f. “air, mine, aspect, semblant;
hameur, caractöre d’une personne; regard.
Md—, regard affreux, ınenacant, farouche.
Estar de md—, eire de mauvaise humeur;
mettre son bonnet de travers. Olharcom md—,
regarder affreuseınent.
CATArFÄLCco, s. m. calafalque : decoratinn
funebre au-dessus d’un cercueil, au milieu
d’une eglise.
CATarracto. V. Calaphracto,
TCartacuäirıco,A, adj. (t. de mdd.) catag-
| matique (medicament) : quisoude les os brises.
+ CaTAcöcıas, 8. f. pl. calagogies : [les $i-
ciliennes en !’honneur de Verus, de retour de
voyage de Libye.
?CatiıLiö,a, 8. etadj. Catalan : de Cata-
logue.
CATALECTICO,, adj. m. Verso —, catalectique,
On le dit d’un vers qui a une sylfabe demoins.
tCATAaLEcTos, 8. m. pi. catalectes : recueil
de morceaux detaches ; fragınents, petites pie-
ces d’auteurs anciens.
CAararersia, 8. f. (1. de mid.) catalepsie : es-
pdce d’apoplexie avec immobilitö du corps ou
d’un membre, la respiration restant loujours
libre. —, etat d’une plante, de l’ure de ses
parties qui reste toujours inclinee ou placce
comme l’on veut,
CATAaL£PrIco,A, adj. (1. de mid.) catalcp-
que : attaqu& de catalepsie.
CaraL£to,s.m.V. Eca de defunlos.
CATaLd,(l. d’Asie) V. Canape.
CATÄLOCO, 8. m. catalogue, liste, denom-
brement.
+ CATALdTIco, A, adj. Bemedio -,, (1. de
med.) catalotique : reındde qui elface les cica-
trices.
tCartärra, s.m. (tl. de bof.) eatalpa : espdce
do bignone, grand arbre & fleurs en grappe,
longues goussen.
CAT
+Carantanı, 8. f (1. de göog.) Catalogac :
prormee d’Espagne.
Carauärıa, s. f. * taffetas double fagonne.
Carina, a. f. "coutelas. V. Alfange, Torgado.
Ser —, (Ag. fam.) &iro uno mauvaise langue.
Cıvanını, 3. f. coup de Caldna. V. ce mot,
Caranzıa, ste. V. Aoutilar, etc.
+Carima,s. f. (6. de g6og.) Catane : ville
de Sicite.
+Griö,®
de chien.
Cırkö, e. m. Caton:homme sage ou qui
aflecte de letze.
+Cararisuo, 5.1. (l. de med. anc.) cala-
pasıse : remede exterieur en poudre.
CaTAPsREıRO, 3. m. espöce de poirier sau-
vage. \
Cararsönıca. V. Calacüslica.
Carapssicrı, 3. fı (6. d’an!.) cataphracte:
armure, veicment des cataphraclaircs; ban-
dage en ewirasse pour le Lronc du corps.
CATAPHRACTÄRIO O8 CATAPHRÄCTO,, 3. mM.
(1. dent.) cataphractaire : cavalior arme de
wuwespiödes.
Cırapaisına , s. f. " cataplasıne : remede ex-
ierehr.
CırapLasmÄnDo „ A, adj. couvert de cata-
plasmes. (fig.) V. Achacöso.
+Cararıexia, s.f. (t. de med.) cataplexis:
estourdissement, insensibilit& soudaine dans
les membres.
+Cararıcıa-MENOR, 8. f. (tl. de bot.) cata-
pute : euphorbe &sule;; Epurge. — maior, ricin
ordinsire.
Cararöıra, s. f. catapulte : machine de
guerre des anciens pour lancer des pierres.
+Curirn, 5. m. sept beles de somme atta-
chtes Tune apr&s l’anıtre (chez les Arabes).
Latin, vo. a. chercher, solliciter, rechercher.
— a cabörs, cpouiller. — pulgas, piolhos, etc.,
chereber jes poux, les puces, elic., pour les
wer. it. Voir, examiner, regarder, observer.
Penser, croire, juger. it. V. Asatar.
Catar-seE, v. r. chercher ses puces, elc.,
pour les tuer. i6. V. Acautelar-se, Precalar-se.
— respfilo , se respecter, se Irailer muluelle-
ment avec consideration, en parlant de deux
qui se trouvent ensemble.
Cararicra, s. f. V. Cufadüpa. —s do cdo, ca-
taractes : nuages charges d’une grande abon-
dance d’eau.
Caranıra, s. f. cataracle : opacit& da cris-
taltia ‚qui obseurcit ou fait perdre la vue. Ex-
trair, deprimir ou abaizar a—,cnlever, abeis-
ser la ostaracte. Tore nos olkos, (fam.) ne
pas voir clair, ne voirgoutle. Tiror a —s a
siguen (fig. fan.) lairevoir clair äquelgu’un.
Ciriratkıro, s. m. oculista qui fait l’opera-
kon de la eataracie.
Caranisa,s. f. Roda—, (4. d’horl.) roue de
rencontre (d’une ımontre).
Carırmmar ,adj.2 gen. (1.de med.) catarrhal:
aui tient du catarrhe. g. f. Pöripneumonie,
Atvm egtarıhale. 1
m.(t. de mar.) naud de jambe
CAT 267
Caranasiına, 8 f. . s rhume, ca-
tarrhe sans hövre. rtpep.) 50 ’
CATARRHENTO, A, adj. tatarrhal : sujet aux
calarrhes.
CATÄRANO, 5. m. catarrhe: Auxion d’humeurs
deres sur une partie du corps, gros rhuıne.
CATARRROÖSO, A,adj. ratarrbeux : qui tient
du catarrhe,, avec catarrhe; sujet au catarrbe.
Caränrıco. V. Cathärtıco.
+ CaTascörıo, s. m. ancien brigertin Irds-
r.
CarasöL ,s.m. *etoffe trds-brillante ; couleur
changeante.
CaTista, 3. f. *chevalet : instrument de sup-
plice; lit de fer oü l’on attachait pour brüler,
ou pour donner la question du feu.
+ Cartistase, s. fi catastaso : ponction de
l’ail. —, acte: parlie du po&me dramatique
qui renferıne le n&ud de l’intrigue; nature,
etat habituel d’une chose.
+ Cıtastätıco, A, adj. (t. de med.) catasti-
que: qui depend de la constitution, du teni-
perament.
CATÄSTROPIIE , 3. f. ou m. Catastrophe : der-
nier et principai evenement d’une tragedie;
övenement [uneste. ( fig.) Fin malheureuse.
CATario,s. m. (t. burl.) * flamberge. Fazer
o — aalguem, (pop.) rosser : battre quelgu’un
violemment.
Catatui. V. Cacald,
CATAVENTO, 5. m. *girouelle; ventilatcur.
— de pennas, (t. de mar.) plumet de pilote,
penon.
Cite,s.m. polds d’Asie, ? livres environ.
— de ouro, 250 eruzados : 825 francs.
Cırecatse, 8. f. * catechisme : insteuclion
verbale.
CATECHIZÄDO, A, 9. p. de Calechizar.
CarscHızagäö,s, f."catechisme : l’action de
catechiser.
CATECHIZANTE, P. a. de
CarscntzÄr, v. @. cattchiser : Instruire des
mystöres de la foi, de la religion. ( lg.) —;, t8-
cber de persuader quelque chose & quelqu’un;
exhorter; endoctriner, instruire.
CATECHISTA, 8. m. catschiste: celui qui en-
seigne, qui fait le cal&chisme.
CATECHISUO, 3. m. "cat&chism# : instraclion
sur les principes, tes mystöres de la foi; livre
qui les contient. —, livre 6crit par demandes
et r&öponses.
CATEcHistıco, A, adj. catechistique :
forme de catechisme.
+ Errecuueina. V. Artca, Mimdsa Cate-
chueira.
+ CATECHUMENÄDO ou —ÄTO, 5. m. cateehu-
menat : temps d’instruction du cat&chumene.
+ Catecuumsnia, 3. f. calechumenie : galerie
d’eglise destinee & Pinstruction des catechu-
menes.
CATECHÜMENO,, 5. m. calöchumene: que lan
dispose au bapt&me en l’instruisant,
CATECISNO, |
CATEEUMENO. V, Calechn
en
288 CAT
CATECORiA , 8. f. calögorie : rang ‚distinction,
ordre, classe de choses ou personnes. —s @4-
ristoleles, (1. de log.) catsgories d’Aristote:
classes dans lesquelles ce philosophe range
toutes les idees.
ÜCATEGÖRICAMENTR, ade. cat#goriquement:
d’une manidre precise.
CATEGÖRICO, A, adj. calögorique : dans l’or-
dre precis, ä propos, selon la raison.
Cireı. V. Catle et Catre.
CArznirıs, s. f. (1. de math.) courbe formse
par une chatne metallique tres-Iexible.
CATEQUESE.
CATEQUIZAR,, etc. | V. Calech...
CATERVA, 8. [. foule, multitude, troupe.
CAat&ter. V. Catketer.
tCitna,s. m. (8. de bot.) catha: arbre de
P’Arabie.
"TCATBÄRMA, s. f. victime expialoire.
* CATHARISTA. V. Purificador, Expiador
zpt .
CATBÄRTICO,, A,adj. (1.de med.) callsartique:
purgatif.
CATHECHESE, etc. V. Colechdse, etc.
CÄTHEDRA, 8. f. chaire: tribune &levee d’un
professeur. —, siege apostolique ou de saint
Pierre.
* CATHEDRÄDECO, 8. m. cens que les edglises
payaient & leurs &v@ques.
CutuepriL, s. f. cathedrale: principale eglise
d’un evöche. Il est aussi adj.
t CATHEDRALIDADE, 5. f. la prerogative qu’a
une e&glise d’eire cathedrale,
CATHEDRÄTICO, 8. m. ( anf.) cathedratique :
droit dü aux &veques. Professeur : celui qui
enseigne une science, un art.
CATREDRILHA, 8. f. dim. de Cdthedra. Chaire
peu lucralive et de peu d’importance dans
quelques universites.
CATBECORIA , etc.
CATBEQUIZAR, etc. | V. Cate..., etc.
CArnenfrıco, a, adj. (1. de phar.) cathere-
Uque: medicament qui ronge les chairs fon-
gueuses.
$CaruH£trer, s. m. (4. de chir.) cathöter:
sonde creuse et recourbee, instrument de chi-
rurgie que I’on introduit dans la vessie pour
en.retirer les urines, dans la dysurie.
CATHETERISMO, s. m. (ti. de chir.) cathöts-
risme : operation de chirurgie pour injecter oa
vider la vessie.
CATHETO, s. m. ($. de geom.) cathete: en ge-
neral, toute perpendiculaire abaissee d’un
point sur une ligne; cöt£ d’un Lriangle rectan-
gle perpendiculaire & l’autre. (4. de catopt.)
—,rayon ou ligne perpendiculaire de Pail &
la surface qui röflechit. (4.d’arch.) Axe perpen-
diculaire imaginaire, ©. g. d’une colonne, etc,
CATHÖLICAMENTE,, adv. catholiquement.
TATHOLICKO ‚ 3.m. aug. de Catholico. it. (1. de
pharm.) Catholicon : reme&de compose de plu-
sieurs ingredienis; eleciuaire purgatif, uni-
versel.
CATHOLICHADE,, 8. f. catholicit& : universalits
do ’Eglise,
CAT
CATROLIKISSIMO , A, adj. 9up. de Csiholice,
Calholicissime.
CATHOLICISEO, 8. m. calholicisme , estholi-
cit6 : la religion catholique; les personnes, Ies
pays catholiques, “
CATHÖLICO, A, adj. catholique, uniwrsel,
r6pandu partout (religion, &glise).—, st taonı,
titre qu’on donne aux rois d’Espagne.
CarRöLıco, 8. m. catholique : colui qui pre-
fesse la religion catholique.
CATHOLICON. V. Catholicäo.
CATiLmärıa, 8. /. calilinaire : discours de
Cicöron contre Catiline; (fg.) accusation öner-
gique.
Carımzio, 8. m. (ti. burl.) bomme ridicale,
meprisable; pipe en usage au Bresil.
ATIMPLÖRA. V. Cantimplora.
CATincA, 8. f. mauvaise odeur quexhalent
les negres; gousset. s. m. (4. burl.) Avare,
mesquin, chiche.
T CaTinca, s. m. (4. de bot.) catingue : arbre
de la Guiane.
CAaTıvipo, A, 9.9. de
CATIVÄR 0w CAPTIVÄR, ©. a. captiver: rendre
captil; assujetlir; se rendre maitre de, gagner
(l'esprit, le c@ur, eto.). s£. p. ws. gener. v.®.
(ans.) devenir captif. j
CATIVAR-SE, ©. r. 86 captiver, s’assujelür,
s’attacher ; se g@ner beaucoup.
CATIVEIRO, s. m. "captivits, esclavage. (A4.)
Grande sujetion.
CAtıvipäde, s. f. V. Cativeiro.
CATivo 0% Cartivo, A,0dj. captif, OBCLBVE.
(fg.) Assujetti. Sujet ä Quelque redevance, qu!
doit un droit, qui depend d’autrui. Fazonds
—s, marchandise qui doit acquitter les droits,
les droits de douane compris. Cores —ss, 00U-
leurs gui passent facilement, qui ne sont pss
solides.
CATLe. V. Casre.
TCiTo, 8. m. (1. d’Asie) cachou : terre da
Japon. V. Ardca, |
CATOBLErA, 8. f. qusdrupdde sauvage d’I-
frique.
TCAToLe, s. m. (1. das Bresil) petit coto
d’un arbre qui porte le meme nom et donlon
fait de l’huile.
t CaTonönte, 8. m. catodon : sorte de ba
leine qui n’a de dents qu’& la mächoire inle
rieure,
CaTöpa, s. f. arbre d’Asie.
CATÖPTRICA, s. f. calopirigue : science, tralte
de la reflexion de la lumiöre, de la propridle
des miroirs.
Carörraıco, A, adj. catoptrique : quia rap-
port & la catoptrique.
CATOPTRONANCIA , 5. f. Catoptromancie : divi-
nation par le miroir.
CATORZE.
CATORZENO. | V. Quat...
T CATRARıRo, 8. m. oelui qui gouverne ud
petit bateau.
CATaAı0 , 8. m. petit bateau,
CAU
Grasrös, (P0p.) ir eu vir & —, aller ou
renir su galop.
Cirag, 3. me. petit lit, lit de camp.
TCatra, 3. f. oiseau de passage d’Arabie.
GrviLl, s. m. gouvorneur, au Malabar.
CirvLo. V. Cachörro.
tCarurınäca Das sennas, 5. f. (1. de bot.)
Iponas campanulata , ipomee campanulee.
ara, 3.m. petit vaisseau de guerre, dans
CATuRakıno, s.. capitaine d’un Cafür. V.
re mel.
Carcazı, s. m. bouffon, farceur ; petit
homme.
Carranipo, A, 9. p. de
CATERRÄR , 9. a. ei n. tourner en ridicule, 56
jouer de; faire le bouffon , bouffonner.
Cattanicg , 8. f. bouffonnerie, farce.
tGösna, s. f. kahouanne: sorie de tortue
de mer.
Circäd, 5. f. eaution : assurance qu’on donne
» qu’on prend pour queique chose; r&öpon-
pen qui s'oblige pour quelqu’un. i4. V. Pre-
e
tCasciszeo, a, adj. du Caucase.
Tüscaso, s. m. (4. de gdog.) Caucase : mon-
tagne d’Asie.
Goaomi20, A, p.p. de
UGmonin, o. 0. (1. de pra£.) cautionner en
jestiee. Eviter, se precautionner contre. Il ost
Jassi reciproque.
CGrpa, 5. f. queue : extrömits du corps des
s, des olsosux, des poissons; polls,
plumes qui la garnissent. Queue trainante
dune robe, d’ane soutane, etc. (Ag.) Fin,
ste, boat; derniöre partie de quelque chose.
(f. de bot.) —, tige, support des fleurs, des
fenilles , des fruits , oto. — do dragdo (1. d’asir.)
Tueue de dragon : naaud austral d’une plandte.
— de comsis,, queue d’une comöte.
Girpir,, adj.2 gen. V. Caudaloso. Abondant.
dgeia — , grand aigle.
? CaovaLösamentk, adv. abondamment,
Spieusement.
uU DsLosıssEM0, A, P. p. de
GarBaL6so, A, adj. On le dit d’une riviäre
“a d’un fleuve od il y a beaucoup d’eau.
Cursaränıo, 5. m. caudalaire : celal qui
porie la gueue d’un #veque.
Gvsiro, A, adj. qui a une queue, & queue
‚semence).
Gostı. V. Coudöl,
-Gwmsıin, etc. V. Caudilhdr.
Camzz. V. Troneo.
Gmnsipo, A,p.p.de
Caronuia. V. Copilanedr.
Cursiımo, s. m. chef, general, capilaine,
Ommandant de gens de guerre.
tGminas, adj. f. pl. (Forens —, I. E’hist.
enc.) Feurches-Caudines : gorge de montagnes
Vis de Bönsvent, em Italie, ainsi nommee de
aville de Caadium, ot fameuse par la delaite
des Romains,, que les Samnilos y firent passer
us ie joug.
CAU 269
+Caupino, A, adj. fait d’un tronc d’arbre.
+CivLe, s. m. (1. de bot.) ige. V. Talo,
Hastea. .
+ CAuLicoLo, s.m. (i. d’archit.) caulicole,
tigette:: tige qui sort d’entre les (euilles d’acan-
the, et qui est roulde en volute sous le tailloir
du chapiteau corinthien.
+ CauLino, a, adj. (. de bot.) caulifäre : qui
porte une tige. Caulinaire : qui appartient & la
tige.
Caömmo. V. Canko. .
CAuriL ou cauris, coris:coquille uni-
CAURIM, 8. m. ) valve, qui sert de monnaie
dans quelques parlies d’Alrique, d’Asie. dt. (f.
burl.) V. Calote, Lograpdo.
+CADRIMEIRO, 8. m. Escroc ; Coquin, vaurien.
Ciusa, 8. f. cause : principe ; ce qui fait
qu’une chose est. —, fin, motif, raison, but ;
pretexte, occasion. —, intöret. (1. de prai.)
—, affaire, procds. — prima ou primarise,
cause premiöre : qui agit par sa propre vertu.
— segunda ou secundaria , cause seconde: qui
agit par l’impulsion de la premiere. — final,
cause finale : fin par laquelle une chose est
falle. — impulsioa ou molioa, cause determi-
nante, qui dötermine & agir. — pwblice , cause
publique, bien , intsr&t commun. Fazer — com
alguem, suivre le parti de quelqu’un, passer de
son cöte. Fazer em alguma —, plaider une
cause. Por minka — ou por amor de mim, ä
mon Occasion.
Cavsino, A, pP. p. de Causdr.
CAUSADOR, A, 8. 2 gen. cause, auteur, oelai
qui est la cause d’une chose.
CausiL, adj.2 gen. causal, causatif.
CausiL, s. f. raison, motif.
CAusaLmäne, s. f. causalit# : qualild, ma-
niere d’agir d’une cause; rapport de la cause &
Veffet.
Causinte, 9. a. de Causar, causant : qui
cause. 3. V. Causador.
Causir, u.a. causer, produire. (a), —, occa-
sionner, ötre cause. — medo, vergonha, lastime,
(faire peur, hontie, pitie.
CausaTivo, A, adj. causatil : qui rend raisen
de ce qui a 6t6 dit (particule, conjonction).
CaustLa. V. Caizinha.
Causinıco, A, adj. (4. de praf.) qui concerne
les causes, les procös. 3. m. Avocat.
CaustıckÄno, A, p.p. de Caustichr.
CAUSTICANTE, p. a. de
Causticäir, ©. a. mettre des cautöres. (fig.
fan.) Importaner.
Cuusticınine, s. f. causticitä : qualit6 de ce
qui brüle, qui corrode, gai est caustique. (flg.)
— , malignits, penchant A mordre , & critiquer.
Ciustico, A, adj. caustique : corrosif, brü-
lant; (fig.) mordant, satirique. s.m. —, pr&
paration qui brüle les chairs inutiles ; sel
alcali. (4g.) Importun, ennuyeux.
CAUTANENTE, adv. avco precaution , pru-
demment,
CAurtıa, s. f. pröcaution,, prevoyance, pru-
denoe, Astuoe, zuse, f ig , inosse, arti-
270 CAYV
fice, p. us. dans ce sens. Andar, eslar com —,
se lenir sur 568 gardes.
CAUTELAR, et0. V. Acaulelar, etc.
CAUTELÖSAMENTE „adv. prudemmeni, avec
precaution. Artificieusement.
CAurELöSO, A, adj. avist, prudent, cifton-
spect. Fin, rus®, cauteleux.
CAUTERBTICO, A, adj. (t. de mid.) cautere-
tique : qui brüle les chalrs.
Caut£rıo, s.m. (6. de med.) caut£re : bouton
de feu. —, ouveriure faite aveo un causlique
ou avee un bouton de feu. Remede Caustique.
(fg.) Remede, preservatif contre un vioe, une
passion, eic.
CAuTErızacä0, 8. f. caut#risation.
Caurerızino, A, pP. p. de Cauterizar.
CAUTERIZADOR, 8. m. celui qui cauterise.
CAUTERIZÄNTE,, 9. a. de
CAUTERIZÄR , ©.. cautöriser : faire ou appli-
quer un cautere; brüler les chairs avec un cau-
were. (fig.) Corriger avec aigreur, aveo durete.
CAUTISSIMO, A, adj. sup. de
CiAutTo, A,adj. prudent, avise, circonspect,
Civa, s. f. faeon qu’on donne aux vigno®
avsco lahoue ou avec un autre outil. Sommel-
lerio du palais. it. V. Fosso. adj. Veia —,
cave : on le dit d’une veine.
Cavica, s. f. croquignole : pälisserie cro-
quante.
Cavacin, ele. V. Escavacdr et Desbastär.
Cavico, 5. m. copeau, 6clat de bois.
Cavacö (t. du Bresil). V. Covoeco.
+ CavaneLa, s. f. 00up de houc, de böche.
Cavapico, s. m. On le dit de ce qu’on tire en
ereusant (terre, sable, etc.).
Cavino, A, 9.9. de Cavdr, adj. V. Exes-
‚ Concavo. Mar —, mer creusde. Olkos
—s, yeax enforods, it. Arrach6s. On Femploie
aussi substantivement.
CAVADOR, 8. m. celui qui oreuse, qui fönit,
qui remue la terre.
CAvADüra, 3. f. action de creuser, de fouir,
de remuer la terre.
CavaLcipa, 8. f. cavalcade : marche pom-
peuse et röguliere de plusieurs personnes &
cheval ; course, promenade A cheral. Incursion.
CAvALCÄDO, A,P. pP. de Cavalgdr.
CAvaLcapoR,, 8. m. V. Cavalleiro.
CavaLcanöra,s.f. monture, bete de somme,
CAYALCÄNTE, p. a. de Cavalgdr, qui monteä
cheval, qui va ä cheval.
GavaLcirn,o.@. ot n. monier A cheral, che-
vaucher, enfourcher un cheval. Aller, se pro-
mengr & cbeval. Saillir : couvrir la femelle, en
parianı da cheval, da laureau, eic. — ums
popa d’artülkeria, ınonter un canon.
Cavaınäna, s. f. "carrousel, joute & cheväl.
4. Troupe de chevaux. .
CAayamanica, 8. f. &curie : lieu destind A lo-
CAT
preux. Un ie dit aussi du gentilbomme pauyts
qui erre gäetlä. Meiter-sea— ,fasır «e-;
trancher du grand seigneat. Viver comes — ou
d --a, vivte noblement.
Cavınukıno, A, adj. noble, distingut; gb
nereug.
GAVALHEIRORNO. V. Cavalleiroso.
CAYALHEIRÖTE, 8. m. gentillätse s pelit gen
tilhomme.
Cavirra,s. f. ’ maquereau : poisson du gene
du scombte, phosphorigque dans j'absverite.
Cavarıico, 5. m. augm. de Cavallo, grand
cheval. . .
CavaLLipa, 8. f. (6. pop.) grande bötise,
. CavaLLipo, A, adj. E’goa — a, jument eou-
vertie.
CavaL.ioem, 5. f. l’action da cheral qui
saillit une jument, une änesse, ete., ei ce gu’sa
paie pour los faire couwrir.
CavaLLÄö, s. m. augm. de Cavallo, On ne
s’en sort que pour marquer du möpris.
CAYALLÄÖ-NECRAL, 8. mm. jJeure thon qui no
passe pas un an, poisson de mer.
CAVALLÄR,, adj. 2 gen. qui appartient au che-
val. Besta —, bete chevaline,
Cavarıania, s. f. cavalerie : los gens de
guerre ächeval. —, grade, dignil#, erdre de
chevalier ; prörogatives dont jeuit um ebera-
lier. L’art, Padresse de bien gouverner un ch*-
val, de manier toute sorte d’armes, etc. Selde
que les grands seigneurs donnaient auı ehr
vallers qui les suivaiont & la guerre.
ditd, courage. — andanie, chevalerie ertant.
Faser —s, faire des actions de valeur. °
CavaLLarıca. V. Covelkaripe.
CavarLanico, 8. m. ecuyer; Intendant de
P’ecurie. — mör d’El Rei, grand öcujet.
CavaLıtınÄno,A,P.2.de .
CAYALLEIRÄR , ©. #9. accompagner & cherak
+ CAvaLLEınATo, s. m. * dignite , statde che
valier. Droit qu’a un s6culier mari6 de poss#-
der, moyennant dispense , des pensions ech»
siastiques. .
CAYALL£IRO, A, 8. et adj. cavalier : qei18d
cheval. V. Cavalktiro. (1. de fort.) Cavalier:
terre 6levee pour placer l’artillerie. — de #®
tia. V. Acontiado. — de mesnada. V. Mesnade.
— despora dourdda, c’&tait anciennement I
gentilhomme arme solenwellement eberaliet
— fidalgo, grade de noblesse au-demsons
o cavalleiro , noble de seeond
— donzel, chevalier qui n’avait pas läge de
porter les armes. -— novel, chevalier neYK®.
—de bemfeitoria,de mercs ou willdo ; —
roturier qui, par conoession du roi, jowit 08
privileges de la noblesse. A —, au-dessus. Fi!
a —, dominer sur, en parlant des lieux dleTös.
CAVALLEIRÖSAMERTE „ ade. noblemen!, gea%
reusement, cavalierement, en chevalier,
ger des chovauz. —, train, &quipage, dcuyers, | prea
ets., d’un prince, d’un riche particulier.
CavaLınkıno, 8. m. chevalier, gentilkemme
d’extreeuuon noble. —, membre d’un ordre de
shovalorie, > andanie , choralles orrani;s
2.
CavaLLzındso , A, adj. chavaleresges, mebie,
göndreux, qui a les mears, les manidres dur
chevalier, d’un geutilkomme. Qui
eux obevaliors,
Car
Cıvarızafı. V. Covallaria.
CavaLıtre, s.m. chevalet : anclen supplice;
support de bois sar lequei les peintres posent
teurs tableaux. Banc en dos d’Ane sur lequel
on pose les selles. Treteau.—, support des
eordes & violon, etc. (. d’impr.) chevalet da
_ ‚ &pine du nez.—do te-
üsdo , garniture de tailes qu’on met au haut
de toit, des chemindes; faltage des maisons.
CavaLılmma , s.f. (t.de bot.) prele, quene de
cheval , aspreile, chaguene : plante vivace.
Cavauılmo,s.m.dim.doe
Caviııo, .P cheval : mammifdre solipdde,
domestique, ä longue ceriniere, qui hennlt.
(Ag.) Soldat A cheval. Cayalier, chevalier: piöce
da jeu des ächecs. Treleau. Chancre, ulcere
venerien. — corredör, guilledin.—pai, &talon.
— da posta, mallier. — de ironco, timonnier.
— empinado ‚ cheval cffard. — marinho , hip-
me: cheval marin,—da pessoa, palelroi.
— da regalo , cheval de maitre. — de Barberia,
cheral barbe. — obediente, docile: cheval qui
repond aux aides. — rijo da bocca ou rebelläo,
cheral qui est fort en bouche ou qui n’a pas de
bouche. — espantadigo, cheval craintif, timide.
_ , resfriado ,cheval morfondu. — de
friss (1. de fort.) cheval de [rise. — de pdo,
(pop.}cheval debols.Ondonne aussi ce nom, fa-
militrement parlant, Aloutes sortes de navires.
Passsar um — , degorger un cheval. Soldado,
komm a —, cavalier. A—, A cheval. Fugir a
anhas de —, se sauver a toule bride. Ir, vir,
ander no — de S. Francisco, (fig. fam.) aller
ea venir sur Ja haquenee, sur la mule des
cordeliers : battre la sernelle. Correr a mala—,
csurir ä toute bride. A— dado ndo se Ihe olha
# dente, (prov.) ä cheval donne on ne regarde
point Is bride.
Caramtıo. V. Cösto.
Cavaocinno,, s. m. dim. de Cavdco.
Gavin, o.a. louir, creuser la terre ; böcher,
heuer, labourer; faire une [osse, une rigole.
— os olkos, crever ow arracher les yeux. Tra-
vailler, se donner de la peine pour obtenir
quelque chose.
+Cavin, o.n. creuser, approfondir, pene-
ter. (em) fig. Penser prolondement A une
chose. Becher, etc. Näo se pide — na vinha e
ne bscello, (prov.) on ne peut pas sonner ei
aller ä la procession.
Cararina ,„ 3. f. (4. de mus.) cavaline : air
GMrıriaı „a. f. V. Gova, Kzcavapädo.
Cave, , s. m. outil d’arıyurier.
Cirtına, s. f. Löte de mort decharnee.
Carzındso , A , adj. cadaverique.
Cavkası, s. f. "antre, oaverne. (}. de mar.)
Varangue. — ehala, varangue plate. — mesira,
mettresse varangue de fond. —sdvenlee ard
da — mösira, varangues demi-acculees. —e
prozimas d roda de pröa 6 ao cadasie, varan-
gwss soouleen. — dos prödigos do pordo,Ya-
Faugons de poigues-
CAZ 71
CAvzandso, A, adj. caverneuz : plein de
cavernes.
+Cavi, s. f. cavi, oca : racine d’une plante
du Pörsu, bonne pöur les ragoüts. -
+ Civia,s.m. (t.d’Mbl nal.) cablai : marı-
miftre rongeur.
+ CavıaL Om CAvıar , o. m. caviar . mets falt
aves des aufs M’esturgeon sales.
Cavıpioe, 5. f. " creux, cavitE.
* Cavınia. V. Acauteldr.
Cavine..V. Cabide.
* Cavı00so. V. Acaulelado.
Carina , s. f. cherville. —e da ferro dds
abifas, (1. de mar.) pailles des bitte. —s da
amurada,(id.) chevilles & boucle es A croe.
— dargando, cheville & boucle. —de olhal,
cheville & aillet. — de cabepa ou de boldo,
cheville & töte ronde ow de bouton. — de
escatel, cheville A goupille. — de gafo, che-
ville & eroc. — farpada, cheville & grille ou &
barbe. — de aninar, cheville clavette sur vi-
role. — quadrada,, "boulon, etheville carree.
— de cabera de diamanie, cheville & tete de
diemant. — de repucher, *boulon. —s de esta-
telar, chevilles a goupille, _
CavıLaino,A,p.p. de Cavilkdr.
CAVILHADÖR, 3. m. celui qui fait des che-
villes.
Cavınuia, vo. @. cheriller : mettre des che-
villes; attacher, assembler avec des chevilles.
CavıL.agkö, 8. f. cavillation : sophisme ;
fausse subtilite,, raisonnement caplieux ; ınau-«
vaise chicane ; derision, tromperie.
CAVILLÄDO, A, p. p. de Cavilidr.
CAVILLADOR,, 5. m. sophiste ; trgmpeur.
CAVILLÄR , v. n. user de sophismes, sopbis-
tiquer. Chicaner. Railler, moquer, plaisauter.
CAVILLÖSAMENTE , adv. caplieuscınent, sul”
tilement. Aveo preoccupalion;
CAVILLöSO , A , adj. caplieux, sophistiqueur.
Chicaneur, qui use de supercherie, joue de
mauvais tours. .
Civo,A, adj. creux, concave, Cavd, PFo-
fond. Veia —a, (tl. anal.) veine cave.
Cavoccin0, 4,P.p. de
CAvoucäirR, v.a.travailler dans les carritres.
Cavöuco, 5. m. " carriere : lieu d’od I’on tire
la pierre. Fosse , fondement.
CAvoTQu£ıro, 8.m. carrier : ouvrier qui Ira,
vaille dansles carrieres. (Ag.) Mauvais ouvrier.
Cixa.V. Caixa.
Caxtıaa, V. Cachfira.
Cixßıro. V. Caiztiro.
Caxstim , 8. m. (4. d’impr.) cassetin.
CaxiLuo. V. Caixilko.
Carina, eic. V. Caier.
CAYRA ou (QDAYRA, 8. f. ancienne mesure de
grains en Portugal, Ooutenait trois quarts Je
Palquier.
Ciza,
Cazir, eic.
Caztana.
+Cazoir, 5 m. (1. d’hist, nal.) CASOar,
oisem megistane.
V. Casa..., et6.
473 CED 'CEG
CazöL u.m. espsce d’antimeoine d’Asie. Cexiteı, s. f.om }) cedille : petite virgule
ET m. (8. #hist. net.) cazou : mam- | CspiLuo, s. m. qu’on met au-dessous
mifödre voisin du blaireen. du’ pourlui donnerlesonde l’ Sdevant “,0,%.
Cara, Cararo, et d’autres mols qui com- Cepimanto. V. Cessho.
mencent par + il faut les chercher par 8. Cepinuo,ade. dim. de Cddo. Un peu de bonne
CR, interj. h6! hola ! ho! Nom de la lettre e. heure.
C£a ow Ckıa, 5. f. c&ne : dernier souper de CAUEDITRL, adj. 2 gem. cessible : qui peut @tro
&. aV00 SeS apütres. Souper ou Soup& : Tepas
nn ars du soir. por . Ck20, adv. de bonne heure; bientöt, sous
Czipo,Aı,9. p. de pou. T4o — ? de si bonne heure? Mdito —, de
CEiR, 0.8. souper : prendre lo repas ordi- | tropbonne heure, debien bonne heure. Cm—,
naire du soir. (1. de mar.) V. Cier. dans le meme sens.
C$24. V. Cebols ordinaria. CäprE0,A,adj. V. Cedrino.
T CusıPina, s. f. (. de dot.) cöbipira : arbre | + Cora, s. f. "oedrio: gomme qui deconle
du Bresil, &corce amäre et astringente dans les | du grand cödre.
bains. + Cepxıno, a, adj. de cödre, qui appartiemt
C£20. V. Sdbo et S4vo. au cödre.
CEBOLA ORDINanıa, 8. [. (4. de dot.) *oignon, | Cipro,s. m. (1.de Bot.) c&dre : arbre coni-
oignon de cuisine, plante potagere. — cec6m. | [äre, toujours vert, pyramidal, & bois odori-
V. Apucöna. — alvarrd. V. Alverrd.—s, racines | ferant. — do Libano, pin du Liban. — de Hes-
panka, genevrier oxicddre; petit oddre d’Es-
Pagne. ouig. lo cade.
CepuLa, s. f. cedule:petit billet ; &crit, billes
sOuSs Seing-priv6 par lequel on se reconnalt de&-
biteur d’une somme. — de banco,, billet de bam-
que. — de lestamento. V. Codicillo.
* Getıno. V. Porgusiro.
CBraLalcia, etc. V. Cepkalalgia, etc.
Ceca (do arado). V. Sega.
° CEcA, 5. f. serpent aveugle du Bresil.
CEcÄDo, 4,P.p. de Cegär. adj. Assable, rem-
pli de sable. On le dit d’un port, d’un fosse,ote,
CECANENTE, ade. aveuglöment; (fg.) sans
reflexion,, sans examen.
CECANMENTO, 5. m. areuglement.V. Cogubire,
CEcÄR, v. a. aveugler, Öter la vue. Combler,
remplir un puits, un foss6, un port. (Ag.)
Enivrer, aveugler; il se dit des passions,
Eblouir. — os canos, as Passagens, 08 cami-
nos, eic., engorger un canal, un tuyau ; bou-
cher le passage, le chemin, ete. — as istiras,,
effacer les caractäres.
CEGAR, ©. #. devenir aveugle, perdre lavue.
CEcÄR-SE, 0. r. s’aveugler, s’eblouir ; sabe-
ScT,se tromper; ne pas voir ses propres defauts.
CECARREcA, 8. f. cigale; oliquette.
Cdcas (As), adv. A l’aveugic, aveuglement,
sans rellexion, inconsiderement. (Ag.) En
bulbeuses.
t CzsoLipa, 8. f. "ragoft fait avec des oi-
gnons.
CEBöLAL, 8.0. *olgnonidre: terre somse d’oi-
gnons.
CesoLinna, s. f. dim. de Cebola, ciboule;
Oignonnetie.
CEBOLINHO, 8. f. dim. de Cebola, graine d’oi-
8non; pelils oignons avec leurs tiges encore
tres-jeunes.
t CesoLino, A, adj. bulbeux : qui a pour
racine des petites bulbes, des oignons.
+ C£ca. On dit Andar de — em meca, (fam.)
aller par monts et par vaux.
CgcEino,A,9.p. de
CECERÄR,, v.a. susseyer:prononcer les chuin-
tantesen sifflantes; articuler les sifllantes d’une
maniere vicieuse.
CEC£M. V. Apuelna.
Cec£o ou CEckıo, s.m. susseyement : l’aclion
de prononcer le z et lo g comme les Castillans
en parlant portugais.,
GEcEösO, A, adj. qui prononce le x et le £
comme les Castillans en parlant portugais.
‚Gectar, etc. V. Cecedr, etc.
+ Ceciuia, 8. f. (1. d’hist. nat.) eccilie : pois-
80n apode, murana caca.
Cecıo. V. Seeio. aveugle, & tAtons.
GEELLA. | V. Sede..., etc. C£a0, A, adj. ets. aveugle : privö de la vne;
(fg.) —, quia lentendement aveugli6 par une
passion. Inoonsiders. Obstrus , bouche , em
parlant d’un canal, d’un condait, ete. Efiäet ,
en parlant de caractdres, d’soriture, Obscur,
noir. — de nascänes, aveugle nd.— d’um olke,
borgne. Intestinko—, (1. d’anat.) cacum, ie
premier des gros intestins. Em terra de —s 0
torlo ou quem lem um olko 6 rei, (prov.)
dans le pays des aveugles les borgnes sontrois,
CEOONHA, s. f. cigogne : oiseau tchassier,
herodion. — marabüta, * marabou. (Ag.) Me-
chine & tirer de l’eau d’un puits.
CEGÖNRO , 8. m. cigogne male.
ÜEGÖDE ORDINARIA om TERRESTRE, 9. [. (4.do
CEDENTE, adj. et s. 2 gen. cödant : qui ce&de.
p- a.de
Cen$k (6), v. a. cöder, laisser, abandonner,
transporter, trans[erer, renoncer a. Cedo-Ihe 0
proveito, je lui en laisse Phonneur, le profi,
Gebt (s, de), v.». ceder, se rendre, se sou-
meitre. (6. mil.) Reculer, plier. is. Obeir, plier.
Tourner au proft, ä Pavantage ou au desavan-
tıge de. Se relächer, se ralentir, diminuer.
Ecouter, consenür &, acquiescer. — de seu.di-
reilo, renoncer au droit qu’on peut avoir. —
com dificuldade , se faire tirer l’oreilie,
Cepivo,a,p.p,
en O8 a Re
2 a u.
-CEL
bot.) eiguE ordinaire, la grande cigud, plante
ombelliftre. — aqudlica, ciculaire ow cigu&
ayualııue.
Cesrkiaa, 8. f. cecite, aveuglement. (Ag.)—,
trooble, obscurcissement de la raison ; erreur,
enrement, illusion ; aveuglement.
*CECCIDADE. .
*Czeciäd. V. Cegutiro.
Otcuinno, a, adj. et s. dim. de Cego. Pauyre
areugle.
Ctia,ete. V. Cka,elc.
Criavoca. V. Ciavoga.
+Ceısa,s. m. (1. de bol.) ceiba ou selba :
arbre d’Alrigque d’ane grosseur dnorme. (id.)
Fromager, bombax : arbuste.
Ceickiro. V. Cinceiro ou Salgutiro.
Ckıra,s.f. moisson, recolte. (fig.) ° Massacre:
proseriptien.
CEıriD0O, A,p.p. de Ceifär.
Cewiö. V. Ceifeiro.
Caırär, ©. a. moissonner, seyer, faire la
moisson.
CaIrärno, 3. m. MOissonneur, Seyeur : Qui
coupe les bles, etc.
Cärmı, s. f. " cabas de sparterie.
Ceımid, s. m. aug.de Ceira, grand cabas de
jene ou de sparte qu’on met sur les betes de
sotnme pour porter des provisions, etc.
Cemmiuna , 3. f.dim. de Ceira.
Carra,s.m.(f. de geog.) Ceuta, ville d’A-
frique. $6. Ancien droit que payaient les habi-
iants des provinces du nord de Portugal pour
ne pas aller servir & Ceula.
CaırıL, s. m. obole. V. Seitil.
Gıva. V. Seiva ou Sove.
"Cain, o. a. lächer, detacher. — os bois,
deteler les beaufs , les taureauz.
Cksz. V. Sege.
Grui.V. Sald.
Carina, 5. f. salade, heaume : ancien ha-
billement de tEte pour la guerre.
"FCzıicem, 5. f. nuances qu’on apergoit
aux extremites des nues. Celagens, pl. groupes
de nuages colores on rouge qu’on apercoit au
lever et au coucher du soleil.
Garauiu. V. Selamim.
Cruat6ra. V. Gravürs.
Gau. V. Seid.
+ CELzs@aRIM0, A, adj. sup. de Cdlebre.
Carzsnacäö, s. f. celöbration. Acclamation,
spplaudissement.
CHLEBRADISSIMO , A, adj. sup. de
Caız2nipo, A, p. p. de Celedrar.
Caızsnunda, 8. m. celui qui applaudit, qui
ctiebre, qui loue. ”
ÜSLEBRANTE, 8. m. celebrant : prötre qui of-
ficie,, qui dit la messe. —, qui celebre, p. a. de
Caızanir, v. a. cdlebrer, ezalter, louer avec
tciat; solenniser une fäte. —, coniracter ma-
fage. —, tenir une assemblee, un concile ,eto.
—, dire la messe. Applaudir : marquer son ap-
ion d'une manitre quelsongue. — em
eompankia , oonc#iebeer.
PORR „us
- CEL 973
CELEanÄvEL, adj. 2 gem. digne. d’ätre cels-
bre, louable.
CELEBRE, adj. 2 gen. celdbre, renomme , au-
thentique,, fameux. (Ag. fam.) Plaisant, agrea-
ble, enjoue, divertissant, badin; original.
CELEBREIRA. V. Extr ancia.
CELEBREMENTE , ado. avec celshrite. Plal-
samment; drölement, d’une maniere dröle.
CELEBRIDÄDE, 8. f. celebrite : grande repu-
tation. V. Celebragäo.
CELEBRIZÄDO, A, . p. de
t CeLeBnIzar-sE , o. r. se faire celöbre, a0-
querir de la renommee.
CELERÄDAUENTE. V. Acceleradamente.
CELERIDÄDE ‚8. f. celeritö,vitesse, diligence,
promptitude.
CELERIPEDE, adj. 2 gen. (4. de pods.) qui a le
pied leger, l&ger & la course, coureur.
CELESTE 0% celeste : qui appar-
CELESTIAL, adj. 2 gen. 1 tient au ciel, qui
appartient au sejour des bienheureux. (flg.)
—, divin, excellent, parfait, merveilleux. Azul
celeste, bleu celeste.
CELESTIALMENTE ‚adv. parinspiration divine,
par la volont& du ciel, par une gräce celeste.
(fig.) Divinement, merveilleusement, parlaite-
ment.
CeLestina,s. f. femme rusee ; maquerelle
CELESTINO , 8. m. celestin : religieux qui
porte ce nom. adj. Celeste.
+ Ceıfte, s. m. (f. d’Asie) bätiment de p@-
cheurs.
CeL£uma, s. f. sorte de ori ou de chant des
matelots pendant la manauvre.
CELEUMÄR, ©. n. faire Coleuma. V. ce mot.
C£ıca. V. Acelga.
C£ına. V. Sobranckika.—e,(t. de bot.) * cils:
poils au bord des feuilles, bract6es, et autres
parties des plantes.
h CkıHaA,s. f. * baquet : cuvier de bois petit et
as.
+ CeLneino, A, adj. (t. de bot.) clli6: garni
au bord de poils comme les cils.
+ CeLfaco, a, adj. (t. de med.) cölisque, qui
a le flux celiaque, qui appartient & celte ma-
ladie, dans laquelle les aliments sortent mal
digeres. Arteria —a , artöre c&liaque.
CeLisino. V. Celibdto.
CELIBATÄRIO, A, adj. et s. oblibataire ; nubile
et qui vit dans le celibat.
CeLisiro, s. m. celibat : &tat d’une personne
non mariee.
Ckuisg. V. Solleiro, Celibatdrio.
C£uıco. V. Celeste.
CeLicoLA, adj. 2 gen. (f. de pods.) habitanı
du ciel.
CzLınönıa ,s.f. (6. de bot.) chelidoine : plante
papaveracde. — maior, &claire, grande cht-
lidoine. — menor, scrofulaire, pelite cheli-
doine. df.—, pierre ronde, plate, qui se trouve,
dit-on,, dans l’estomao des hirondellos.
+CeLirLuo,a, adj. (8. de pods.) qui coule
du ciel,
18
278 CEM
+ CaLfceno, a, adj. (1. de pods.) enfante par
le ciel, d’origine celeste.
+ CELIPOTANTE,, adj. 2 gen. (I. de pods.) qui
regne dans le ciel.
Carıi, s. f. cellule : chambre d’un religieux ;
dt. V. Aposento. — , alv&ole : petite cavile oü
es abellles font leur cire.
CerLanı. V. Cellularia.
Cerrinio. V. Cellertiro.
CeLLkıao, 3. m. ceilier, grenier.
CELLERBIRO ou CELLkınkıro, A, 8. m. oelle-
rier :religieux ow religieuse qui a soln des
provisions „des &penses debouche ;titre claus-
tral.
CaLiinna, s. f. dim. de Cella.
* Czıroncıid. V. Cirurgido.
CerLura.V. Cellinha. (t. de bot.) cellule : ca-
vite, loge, alv&ole, separation.
GeıLuLir, adj. 2 gen. (1. d’anat. et de bot.)
eellulaire: qui a des cellules ; enveloppe cellu-
laire ow tissu reliculaire. Premidre peau sous
rtpiderme d’une plante. Cellulares, pl. (1.
d’hist. nat.) cellulaires : genre de zoophytes &
eellules.
+ Cerrurirıa ou CaıLara, 8. f. (tb. hist.
nat.) *cellaire : polypier cellulalre.
CRLLULAZINHA , 8. [. (4. de bot. ei d’enal.) pe-
title collule.
CeLLuL6so, A, adj. celluleux. On le dit des
fcuits divises intsrieurement en plusieurs cel-
lules. V. Cellular.
CeLsıtüps, 3. f. excellence, sublimits, gran-
deur,, &lövation.
Ceıso. V. Excelso.
CELTA, 8. m. Celte : habitant d’une partie de
l’ancienne Gaule.
TCeırisgnıa, 6. f. (6. de geog.) Celtibörie:
“ aujourd’hui l’Aragon et une partie de la Cas-
Vlle; pays habils par une colonie celte.
CELTIBERICO, A. adj. et s. Ceitibere, Cel-
CELTIBERIO, A. tiberien : de la Celti-
CELTIBERO, A. berie.
CELTico, A, adj. celtique : de la Gäule cel-
Ligue. #. m. Celtique : langue dos Celtes.
+ Cu, s.m. mesure de vingi brasses carröes,
daus le royaume de Siam.
Cu ,adj.2 gen. numeral. cent; une cenlaine.
CeuponaaR. V. Contuplicar.
Ceuentacäiö,s. f. (6. de chim.) cömentalion:
action d’exposer au feu les mötaux dans un
melange de seis, soufre, charbon, cendres,
briques pilees , etc. Caleinalion ; espece de stra-
tilication.
CEN&NTÄBO, A, P. pP. de
Cementän, vo. a. (8. de chim.) c#menter:
faire la o4mentation , purifier l’or, ete., par la
cörauntalion. V. Cimentar.
t Cumentatrönıo, a, adj. (8. de chim.) c#-
mentstoire : qui sert & la cömentatien.
CEutnto, 8. m. (1, de chim.) odment, poudre
oementatoire.
CExıtzaılL, odj. 2 gen. cimetärial ; qui col-
cerne le cisnotiäre, qui y est situe,
CEN
Cexırärto, s. m. eimetiöre : lieu & d&couvert
destine A enterrer les morts.
CenäcuLo, s. m. cenacle: salle A manger,
selon I’Ecriture , particuliörement celle o&
Jesus-Christ c&l&bra la päque.
+ CENATORIO, A, ady. qui concerne le souper.
+ Cenco ow Cancro, 8. m. (tl. d’hist. nal.)
cenco : serpent mince, brun, tachels; vou-
leuvre d’Amerique; cenchris. ü
CenpiL, s. m. stoffe de sole ou de lin trös-
mince et transparente. "Ceinture, bande, ban-
sau.
CenoripO, A, P. p. de Condrar. T. Acand...
adj. Pur.
CEnBO, 8. m. "morgue : Contenance sörleuse
et fiöre; aspoot fächeux, desagreable, trisie,
effrayant. (6. de veler.) Sorte de bouriet qui se
forme autour du sabot d’un cheral.
+ Cenisuo, s. m. cönisme : vice d’dlocutien
greoque, en employanı conlustınent tous les
dialectes.
Ckno, s. m. bourbier, bourbe.
„ÜRNOBLÄLNERTE, adv. A la manidre des c&ne-
bites.
t Canösıanco, s. m. c&nobiargue : sup6rieur
d’un monasi£re,
* Cenösı0. V. Convento,, Mosteiro
Cznosita, 5. m. cnobile : moine vivanı ea
comununaute.
Cgnositico, A, adj. cenobitique : du c&ne-
bite, des moines.
Canoına,s. f. (1. de bot.) carolie:! genre de
la famille des ombellifäres. — de Crdla, atbs-
mante de Cröte.
Csrosıpäns, 8. f. * margouillis : gächis plein
d’ordures.
Canöso, A, adj. vaseux, fangeux, boueux,
bourbeux , gächeux, plein de bourbe.
CenoräPeio, s. m. cönotaphe : Lombeau vide
dresse & la m&moire d’un mort, de quelgu’ua
dont on n’a pas lo corps.
Cenouna. V. Conoire.
Cennipa. V. Barrel, Decodda.
Cenagıaa. V. Senreira.
CENSATÄRIO, 8. m. censilaire : celui qui pay®
des cens et des rentos.
CENSIONÄRIO, A, adj. qui paye cens.
CENSO, 5. m. cens : redovance annuelle et en
argent de certains biens au seigneur. —, de-
nombrement : dtat que les censeurs romains
faisaient tous les cing ans des personnes et des
biens. Ancien impöt. Recensement. — reser-
valivo, albergeage. — \ ‚cens par
lequel on rogoit une somme d’argent, pour la-
quelle on est tenu de payer une pension au-
nuelle. — remivei ou redimivel, cens racheta-
ble. — oilalicio, cens & vie, renie viagere.
— sorpihu , rente perpttuelle. Dar ou famar
0 — , acenser. Sem — , quittement. Pager 0 —
d morie ou 0 —commum, (fg.) IDeuris. — Ber»
petuo , rente perptinelle.
Censön, 3. m. censeur, dans {eules les au-
ceptions des deux languwes.
CansönI0, 4, adj. de conseur, Me a.
CEN
‚ncien teibunal du Portugal pour censurer les
mes.
Cansuär, @dj. 2 gen. censuel: qui a rapport
au cens.
t CaxsuaLista, s. m. censier : celui A qui le
cas est dü.
CENSUALHENTE , do. censivement, avec droit
cons.
t ansuiaıo, 3. m. censier: qui tient une
ferıme & oens, un cens & ferme.
Cansuas, s. f. censure, dans toutes les ac-
ceptions des deux langues.
CEnstaiB0, A, p. pP. de Censurar.
CERSURADER, 5. m. Crilique, CENSeur, Con-
tröleer : oelai qui Criligque, qui censure.
CEsscaÄR , 9.4. o0nSurer: reprendre ‚faire
la censare, la eritigse de... ; blämer. — „porler
queigue jugemen! sur un ouvrage qu’on a
analyst, le condamner.
CansunävEL, adj. 2 gen. censurable, crilica-
De: qui peut @ire censur6, qui mörile censure.
Castar6ıno „ 3. m. (raise,, Ineseniere de
beaul, eio.
Camriö, 3. m. "eouverture falle d’une &loffe
farte pour los machines de guerre.
Canräunga, 5. f. (f. de bot.) — meior, CoR-
keurds ooınmune ou grande cenlaurde. — Me-
ser, gentiane centaurelle , la petile conlaurde;
Biel de terre.
CAnTäugo, 5. m. centaure : monsire fabg-
louz, meitie homme etmoili6 chaval. —, con-
stellstion meridionale.
CenrtıaL, s. m. seigle: champ some de seigle.
CGawrtıo ,„ s. m. seigte : sorie de bi6 A &pis
berbus.
Caurtıma „ s. f. etincelle, blustie : petite
parcelle de feu. Foudre, Yivo como uma—,
(fem.) vif, prompt comme l’&oleir.
„s. f. eentaine : nombre cellectif de
eent units.
Canrenin , s. m. containe : särle de oent uni-
us. Acsnlonares, par cantaines.
CESTENÄRIO , 8. m. eont ans. V. Contondr.
adj. contenaire : qai a cont ans, qui content
cent ans.
Gerrto. V. Conttio
Czrrtns 08 } "et. omtiöme : nombre
Gyrtsımo, A, 9 ordinal de omt. s.m. V.
Cantılaza, s. f. cenliare ı mosure de super-
Seie #gale A fa centiäme partie de Yare.
GurmöLıo, s.m. (1. de bot.) V. Rosa de
com- .
CewrcaiDo, A, adj. oontigrade : divis6 en
cent degr&s (ligne, taermomitre).
Casrı.an, ee einftliar.
amd, ..m. ouvrage qui conlient
cent parties ou cent pr&septes.
Czstıuino, a,0dj. (t. de pods.) centimane :
qui a cent meins.
Carrinerno,, 8. m. centimätre : sontieme
partie du möte : slignes ıf2.
arrino, 9.0, ventimte ı schtliäuie yartie du
6,
CEN
CentıntıLa. V, Sentindlla.
Centınönıa. V. Semprenoica.
CEnTiPenA. V. Centopla.
CEXTIPEDE, adj. 2 gen. qui a cent pieds.
CENTO, 8. m. *centaine, cent. Aus—s, par
centaines. Jogo dos —s, piquet : jeu.
CENTöC0LO, adj. m. (t. de pods.) aux cent
yeux.
CERTÖES, 8. m. pl. centon : po&me rempose
de vers pris de cöt& et d’autre ; rapsodie.
CENTÖLA, 8. f. grosse ecrevisse de mer. V.
Sanlola.
Cextor£a,s. [.*millepieds, cloporte , scolo-
pendre; centlipede : insecie aplere.
CENTOS , s. m. pl. piquet : jeu de cartes.
CENTRÄL, adj. 2 gen. central : qui est daus le
centre, qui lui appartient,
CanTrauızacäö, s. f. centralisalion: reunion
des pouvoirs au cenire.
CENTRALIZÄDO, A, 92. 9. d
CENTRALIZÄR, ©. G. cantralise : rdunir am
cenire.
CENTRÄLNENTE, adv. au centre.
CEntrico. V. Cenirdi.
CENTRIFUCO, A, adj. (1. de phys.) centriluge:
qui tend & s’6loigner du centre.
TCEnTRina, s.f. centrine:: espöce de squale,
poisson de mer.
CENTRiPETO, A , adj. (f. de phys.) centripäte:
275
.qui tende & gagner le centre.
} CENTRISCO, 5. m. centrique. V, Bi
CENTRO, 8. m. ceuire : point du milieu d’un
cercie, d’un globe, d’une figuse en general;
ooncours des diamötres d’une courbe; milieu ;
point de tendance ; point aulour duquel les
demeurent. Cour : nıilieu d’une ville,
d’une cite, etc. — de ezercilo, (t. mil.) corps
de batailie. Biter em seu —, Oire dans son
eentre, dans son &löment. Eire oü }’on se plalt.
3 CENTROSCöPIA, s. f. centroscopie ı trail&
des centres, des grandeurs.
CentöuviR, & m. contumvir : magistrat,
Yage eivil romain.
CENTÜMVIRÄL, adj. 2 gen. contumviral : qui
viont des comamvirs ‚de leur ressert.
CENTUMVIRÄTO, 8. m. oontumvirat : dignits
de eentumvir; sa durde ; les cenlamvirs.
CENTUPLICKDAMENTE, ade. au centuple.
CENTUPLICÄBO, A, 9. P. do
Centürnscik ,„ 9.6. temtupler : röpöice Cumt
fois ; rendre cent fois plus grand.
CENTOPLO, #.m. ot adj. eentuple : ceu; fols
aultant.
CEnTörIa, s. f. comurie, centaine : chea les
Romains, ie de cent soldais. \ lg.)
Division d’un GuYrage 6m ccnt parliee.
TCEnTORIaDOR, s.m. centuristeur: historien
qui divise son ouvrage par siecies.
Cewröniö,s. m. centarion : commandant
de cent hommes, & Rome aneienne. Centsuier:
centurton dans V’evangile.
+ Cantönıo, s. m. On denne ce nom & relui
qui dans la procession de lenterreinent do
d.-C, ropresente lo venlurion romalı.
2776 CEP
CENTURIONÄDO,, 8. m. dignits : grade de cen-
turion.
CEenzitLa. V. Senzdla.
Cko,s. m. ciel:: l’espace qui contient les as-
tres, orbe, region du ciel there; les astres;
Patraosphere ; air, les nues; climat, pays.
(fg.) Le haut d’un lit. — ‚sejour de Dien, des
bienheureuz ; le paradis. fi ig.) Dieu, la provi-
dence, la volonts divine ; Pinfluence suppos6e
des astres, les dieux, la fortune. — da bocce.
V. Paladar. Do — ‚e en haut. Conguistar,
ganhar o—,( ig.) acheter, gagner le ciel par
debonnesauvres. Estar feito, serum-—-aberio,
(fg. fam.) On le dit d’un lieu quelconque ma-
gnifiquement illumine et orne avec goüt. O —
aberio na terra, (fig.) tr&s-grand bonbeur,
tr&s-grand plaisir. Sobir-se alguem ao —, (flg.)
s’enorgueillir. /sto d t&o facıl como dar ums
palmada no —, (id.) ce serait vouloir l’impos-
sible, prendre la lune avec les dents. Tomar 0
— com as mäos, (id.) jeter feu et flammes.
Pör a böca no —, (id.) parler des choses qui
sont au-dessus de nous. — enajado ou irado,
ciel en courroux.
C£ra, s.f. "cep: pied de vigne. Souehe:: par-
tie du tronc qui reste apres que l’arbro a &t6
coupe®. (fig.) Souche : celui d’ed& sort une sulte
de descendants.
Certira, s. f. "cep de vigne. V. Videire.
. CerkınÄr. V. Sinceiral.
+ CzruaLacrkapHia, 8. f. (1. de med.) chpba-
legrapbie : description de la t6te, du cerveau.
GeresaLalcia,s.f. (1. demed. } cophalalgie :
vive douleur de tete.
T CerBALaLocia, 8.f. (f. de dd.) o6phalalo-
gie : trait& du cerveau, de la t#te.
+ CEPHALÄRTICO, A, adj. (t. de mdd.) ctphba-
lartıque : qai purge la t&te.
+ CarnaLaTouia, 8. f. cöphalatomie : anato-
mie du cerveau, de la i#te.
Ceruarta,s. f. (t. de med.) osphalte : dou-
leur de t#te inveteree.
CarmiLico, A, adj. ( £. de mid.) cAphaligue:
qui appartient & la t£te; pour le mal de t#te
(tomedde, etc.).
+Cersauitıs, 8. f. (t. de med.) cöphalitis:
inflammation du oerveau.
+ CeruaLdıne, adj. 2 gen. cöphalolde: qui a
la forme d’une t£te.
+ CEPHALÖNMETRO, 8. m. (6. de chir.) ospha-
lomeötre : instrament chirurgical pour mesurer
la t#te du fwtus.
+ CermaLonouancia, 8. f. o&phalonomancie ;
divination avec la töte cuite d’un Ane.
TCzrnaLöronss,, s.m. pl. (8. d’hist. nei.)
lopodes : mollusques ä manteau ‚en sac,
bouche entour6e d’appendices servant de pieds.
+ Cepmaroronia, 8. f. (t. de mdd.) cotphalo-
ponie : doaleur vire, mal de töte.
+ CRFRALOSCÖPICO, a, adj. otphaloscopique:
(eolleetion) de cränes humains A observer.
Ceruto, s.m. (tl. d’asir.) cöphe6e : constella-
con septentrionale de trois #toiles en ligne
ro1te,
CER
CEPILEADURAS , 8. f. pl. " copeaux : 6clats que
detache un rabot de menuisier.
CrrıLnän, etc. V.
CEPIiLBO, 8.m. petit rabot: outil de menuisier
pour aplanir le bois. it. * Lime d’armurier.
CEPiNRO, 8. m. dim. de Cepo, petit tronc.
C£ro, s. m. tronc d’un arbre coupe, souche.
Billot : troncon d’arbre sur lequel est pos€ une
enclume. Ceps : deux piöces de bois entailldes
entre lesquelles on met les jambes d’un pri-
sonnier ; assommoir. Tronc : botte fendue pour
les aumönes, les lettres. enard :
pour les loups. Essieu d’une pidce d’artillerie
mont£te. ( Ag.) Loudeau. — revesso , rabot
courbe. — de jarre. V. Japre.— da ancora, (1.
de mar.) jas de l’ancre. — de tanoeiro, .
+ CeroLa, s. f. (t. d’hist. nat.) chpole : pois-
son petalosome. — ‚"ruban de mer.
+ Car0nR0, 3. m. (P0p.) vieux cep qu’on ar-
rache pour brüler.
Chaı,s. f. cire: matiöre jaune, presque in-
sipide, compacte, s’amollissant par la chaleur,
produite par les abeilles; bougie, cierge, chan-
delle de cire. — dos ouvidos, cire, o&rumen :
humeur des oreilles. — bella, eire-vierge. P4o
de — bella, marquelte. — de dowrar, oolle ä
dorer. Ser ums — , sor de — ou como ume —,
(ig. fam.) ötre souple comme un gant, docile.
Ceraiun, 3. m. sorte de plancher fait sur
quatre troncs d’arbres coouvert de feuilles de
palmier, chez les Arabes
+ Curniuzs, s. m. pl. ( I. d’ani.) ctrames ::
vases en terre cuite dont les Grecs se sorvalent
dans les repas.
+ Czniuıco ,, s. m. obramique: lieu des fune-
railles publiques militaires & Athönes, od ily
eut une tuilerie.
+ Cenauita, s. f. ctramite : pierre pröcieuse
d’une couleur de brique.
Ceaar£r. V. Carol, Ceroto.
Cerista, s. f. ceraste : serpent A oorne; vi-
d
CERATOCLOSSO, 8. m. (L. Fanat.)otraloglosse ?
muscle qui retire la langue
+ CERATOPLÄTO, 5. m. (e. d’hist. nat.) cöra-
topogon : insects tipulaire.
+ CenatöruYTos, s. m. pl. (1. @’hist. nei.)
c#ratophytes : zoophytes ou polypes dont Paxe
est solide , transparent comme la corne.
CenÄuma, s. f. "o6raunias: pierre de foudre,
pierre de tonnerre.
? Cekiumio, s.m. cöraunion : note gramma-
tcale sinsi Agurte +, qui, placde & cöt6 d’un
vers , marquait quil dal defectusux ; signe
marginal d’improbation.
C£eszno, s. m. (L. de myih.) cerbere : chien
des enfers & trois tötes. (fig.) Homme groseicr,
intyaltable: mauvaise langae.
Ckacı, s. f. enceinte, mur, enclos, elöture.
Jardin.
Czaca, ade. prös, auprös. Environ, au:our.
— de, ä odt6 de, proche, tout contre, appro-
ehant. Deo— , de pres. 2 — de, ä Pigard do,
quaut &, relativement,A ‚„oonoernant, Sur.
CER
CERCADO, A, p. p.de Cercar. s. m. Encios,
eios, clöture : enceint de ınurs, de haies.
CERCADOR, 3. m. celuiqui fait une clölure. |
Assiegsant.
CERCADÖRA , 3. f. enceintc, siöge; bord, bor-
dare,, garnilure ; bord,, exircmile.
CERCAMENTO. V. Colgadura.
Cancaxisas, 8. f. pl.V. Arredores, Vizinhan-
pas.
DEBCANTE. V. Cercador.
Czsciö, adj. voisin, proche.
CeRCcAR,v. 8. ceindre, entourer, clore, en-
elore, enceindre , parquer, murer. Assieger :
cerner, faire le siöge d’une place. Environner,
enlourer quelgu’un.
"Cencan-sE. V. Acercar-se, Aprozimar-se.
Cärce, edv. court, ras.
CERCEADO, A, p. p. de Cercear.
CERCEADÖR , 5. m. rOgneur : celui qui Togne,
gei retranche.
Cznceapiaa,s. f.l’aclionde rogner;rognure,
retranchement.
f ÜSRCEAMENTO, s. m. retranchement : di-
minution d’une chose. V. Cerceadura.
CERCEÄAR,, ©. a. rogner : retrancher quelque
chose des exiremites. Retrancher, Jdiminuer.
Abreger. Chätrer : retrancher le superflu.
Cercto ou CERCEIO , s. m. V. Cerceamenlo.
Ciecgo,A,adj.ras, tout couft.
Cerctra, s. f. sarcelle, cercelle, judelle : oi-
seau aqualique. u
CRACILBÄDO, A, p. pP. de
+ CarcıLuär, v. a.. faire la tonsure d’un
meine.
CzaciLn0, 3. m. " Wwnsure de moine.
Cäxco,s. m. cercle, circuit, enteinte , tour,
enWwarage , oeinture. Siöge d’une place. Em—,
aulour.
tT CzacosiTHEco , s. m. cercopitheque : singe
& longue queue non prenante.
Ckapa, s. f. * crin. Soie de sanglier.
Cirpo, s. m. cochon , pOFC , pourceau; San-
Czan080, A, adj. couvert de crins ou de
sales,
+Czazizs, s. m. pl. coreales; les bles. s. f.
Files de Ceres.
Canzir , adj. 2 gen. cereale.
Carza£ıLo , s. m. (I. d’anat.) cervelet : par-
ie posiärieure du cerveau.
Czazsaär, adj. 2 gen. cerebral : qui appar-
tient au cerveau (Nievre, inflammation, etc.).
+Cassnnırönme, adj. (8. de path. cerebri-
forıme (cancer) qui ressemble & la substance
etrebra
le.
tCexzaaino, A, adj. ($.d’anat.) cerebral,
etr&breux.
(Sarsa0, s. m. cerveau.(fg.) Esprit, juge-
ment; imaginalion.
CaRLFöLIO oW CEROFOLHO, 3. m. Corleuil:
scandix, plante polagdre. — de cheiro, cerfeuil
sderani ou musque&; cerfeuil d’Espagne; fou-
£fte musgu6e.
Cratja,s. f. guigne: fruit du guignier ; cerise.
CER
277
CereJiL,s. m. lieu plante de guigniers, de
merisiers. '
CEREJEIRA ORDINARIA OU GALLECA,, 8. fı (8.
de bot.) *merisier. — pedral ou de sacco, gui-
gnier. — preia, merisier & fruits noirs. — bra-
va, "cornouiller mäle; cornier, acurnier.
CERENÖNIA, 5. f. cör&monie. (fig.) —, civi-
lit6 outreo. —da lei antiga, observance. De —,
en c#remonie, solennellement. Por —, par
cer&monie. Sem —, sans compliment, sarıs
facon , saus c&r&monie.
CEREMONIÄL, 8. m. cerömonial : livre qui
contient l’ordre et les regles des c#r6monies.
—, Usage d’un pays pour les cöremonies reli-
gieuses et politiques.
CEBENONIÄL, adj. 2 gem. qui appartient aux
cer6monies,
CEREMONIÄR, ©. a. faire des cör&monies ; 06- *
lebrer avec c&römonie, solennellement.
CERENONIÄTICAMENTE, adv. Buivant les o&re-
monies. "
CEREMONIÄTICO, A, adj. cerömonieux : qui
fait trop de c&r&monies. Qui observe cxacte-
ment les c&r&monies,
f CEREMONIÖSAMENTE, adv. avec cärdınonie.
T CEREMONIOSO. V. Ceremonialico.
fC£reo,a,adj. de cire, couleur de cire,
Nexible comme la cire.
+ Cercıpeiras, 8. f. pl. (8. de mar.) cargues-
boulines.
f Ceriaco, s. m. ($. de bot.) coriaca : arbre &
fleurs blanches.
C£axs, s. f. Cörds: d6esse de 1a fable qui
preside aux moissons.
T Cerıkıra, s. f. (ti. de bot.).ceriere : arbris-
seau d’Amerique N.; espece de gal& dont les
fruits bouillis donnent une cire.
CERILIRO, 8. m. cirier : ouvrier en cire.
TCerirero, A, adj. qui donne la cire. Ar-
vore —a. V. Cerilira.
+ Ceririco, A, adj. qui appartient aux por-
traits en cire.
CExiNHA, 8. f. dim. de Cera.
+ Cerıxtaa. V. Chupamel.
+ Cerıo,s. m. cörium: nouvelle substance
metallique.
+ CERIROSTROS, s. m. pl. (tl. d’hist. nat.) c&-
rirostres : oiseaux & bec garni d’une mern-
brane.
T CERMENBEBIRO.
Ceausuno. | V. Soramenho, etc.
CERNÄDO, A, p. p. de
CERNAR, ©. a. couper un arbre jusqu’au
caur.
CERNE, 5. m. cur d’un arbre.
CernıLaa,s. f. (1. de veler.) croix sur le
cheval, etc.
* CERNILHEIRA. V. Cachfira.
* Cernin. V. Peneirdr.
+ Crröcowma, 8. f. (1. d’hist. nal.) ce&rocome:
col&optere epispastique.
CEROFERÄRIO, 5. m. CEroleraire : celui qui
porte un cierge.
CEROFOLHO. V. Corefoske.
278 CER
CerÖL, 5. m. composition dont se servent les
cordonniers, (vulg.) polx de cordonnier, blan-
che ou noire.
+CERoManciA, s. f. c&romance, cöroman-
eie : divinalion par des figures de cire.
CanönE, 5. m. manleau nauresque.
+ Canon, s. f. ($. d’hist. nal.) espece de
trichocerque.
+ CeaorLäistica , s. f. seroplastigue : art de
mouler les corps , les membres en cire.
CERr6T0, 5. m. cerat: pommade ou Onguent
oü il entre de la cire.
CenövLas, a. [. pl. "calecons: sorte de culotte
de dessous , en Loile, elc.
Cerguäıaa, 3. f- religieuse qui a soin du
clog.
CERQUEIRO , 8. m. moine jardinier.
CERQLINHO,, A , 64). (cavallo —), fort comme
un ch@ne (cheva!).
Cenraciö,s. [. grande obscurits# provenant
d’un orage, d’un nuage, etc. : brume. — do
geilo, enrouement; suffocation , etouffement,
aphonie.
CERRADAMENTE. V. Simuladamente. it. Obs-
linadamenle.
CERRADISSIMO, A , adj. sup. de
Ceraäno, A, 2. p. de Cerrär. adj. Serr6;
touffu, &pais, bien garni. Obstine. Qui a un
fort accent &iranger.—da barba, qui a la barbe
forte et epaisse. — da moleira, ineple, igno-
rans ‚stupide, Carallo —, cheval qui rase, qui
ne marque plus. Dia—, ar—, temps couvert,
Poria —a, porte fermee, maispas ä la clef. 4’
carga —a, en aveugle, sans relloxion,, obsti-
nement.
Cerrido,s. m. V.Cercddo, s.
CERRADOUROS. V. Cerrdes.
Cernaneri,s. f. V. Cerca, Tapada.
tCerRies, s.m. pl. ( — da bolsa), cardons,
fermoirs (d’une bourse).
CERRALHAS- V. Serralhas.
ERRALHEIRO.
uanaınEino. | Y, Serralh..., oi6.
Cexrän,v. a. fermer: clore ce qui est ou-
vert. Serrer, eireindre, presser. Enfermer.
Clore, enclore, parquer, enceindre. Barrer :
fermer un passage; barricader. Clöturer, ter-
miner, arreter, en parlant d’un inventaire,
d’un compte, etc. V. Fechar.— os livros, (1.
de comm.) balancer, solder les livres.
Cenräx (com), v. n. föndre sur quelgu’un,
laltaquer, lo serrer de pres.— 0 carallo,, raser.
CennÄn-sE, v.r. sc fermer, so serrer, eic.
(fig.) Tenir ferme, persister. Se reprendre, se
rejoindre, cn parlant des chairs coupees. Se
buter, se fixer. Ne plus marquer, en parlant
des chevaux, eic. — amoleira,, se fortifier, se
consolider, en parlant des 95 parietaux. (19.)
Avoir lo jugement forme. — o c#o, se couvrir
de nuages, cn parlant du ciel. — o die. V. Ob-
scurecer-se. — a noile, so faire nuit. — a cha-
gs, a ferida. V. Cicalrizar-se. — banda,
(Ag.) seenister, s’obstiner, ne pas demordre
d'une opinion. Cerrarem-se lodas as portas,
CER
(Ag.) trouver toutes les portes fermtes, man-
quer de toute ressource. Cerrarem-se 03 espi-
ritos, perdre haleine , 6touffer.
CERNL. 1 Y. Serr...,eic.
Cenri. V. Sarlä.
CERTÄHE, s. m. duel, cartel, defi, combst.
(fg.) Combat, dispute litt£raire.
CRRTAMENTE, adv. Oertainement, äassure-
ment; avec certitude, Ndo —, non certes.
CentTi6, V. Sertäo.
Certar. V. Contender, Pelljar.
Czat£ıro, A, adj. qui ajuste, qui pointe
bien, qui vise juste.
Ceattza, s. f. certitude : assurance pleine et
entidre.
+ Cartata ‚s. f. *grimpereau. V. Trepadeira.
Carrıpiö, 3. f. "certificet , attestation. — de
baptismo , extrait de baptöme. — d’obile, ex-
trait mortuaire.
Certiricacäö, 8. f. certification : attestation,
assurance par &crit en affaire.
CEATIFICÄDO, A, pP. pP. de Corlifiear. s. m.
Certiflcat. — d’uma fianga, oontre-pieige.
CERTIFICADÖR 0% } certilicatsur: qui oer-
CERTIPICANTE, 8. M. tie.
CERTIFICAR , v. a. certifler : tEmoigner, assu-
rer la veritö d’une chose. —, attester de vive
voix ou par ecrit.
CERTIFICÄR-SE , U. T. S’ASSUTEr, 58 CONvaincre.
+ CERTIFICATÖRIO, A, adj. qui certifle, qui
est bon , qui sert & certifier.
CERTISSIMAMENTE , adv. sup. de Cortamenle.
CERTISSINO, A , adj. sup. de
CeaTo, a,adj.certain, sür,indubitable ;assure.
—, prelx, determine. Justo, exaot. V. Cer-
teiro. — de, instruit, averti de. Um — homen,
un certain homme. Awigo — ‚ ami fiddie. Fa-
ser —, certifier. Estar —, etre sür. O relegie
estd —, la montre est bien regl&e. Ter mdo
—&, ttre un habile tireur. —s 380 os fouros,
(fam.) ilne faut pas douter de cela, la choss
est trds-certaine. Por certo, de certo. V. Cerio,
adv.
CerTo,s. m. certain : chose certaine. O— i,
le fait est que. B— que, il est certain que. O—
da renda, ie tixe de son revenu. Ndo deixer o
— pelo duvidoso,, no pas quilier le certain pour
Pincertain. Ndo saber 00—, ne saveir pas pre-
cis6ment.
CERTO, ade. certes, certainement. — que sim,
— que nädo, oh! quesi, oh! que non. Ir so-
bre — , öire sür de son fait. Fallar sobre —,
parler avec certitude.
GentvA, 8. f. V. Celidonia maior.
CeRÜLEO, A, adj. azure,, bleuätre. Bieu.
+ CauLi-caınite, A, adj. (l. de pods.) qui a
les cheveux bleuätres,
CeruLo, 8. m. sable indtallique qu’on
(rouve dans les mines d’or et d’argent , 08 dont
se sorvent les peintres. —, a, adj. V. Ce-
rüleo.
CERÜME 0% CERUMEN, 5. @. cörumen : hy-
mcur jaune des oreilleg,
GES CET 279
lat. interdit, censure ecclesiastique. — dar-
mas, suspension d’armes.
CEssÄDO, A, 9. p. de Csssar.
CESSÄnTE, adj. 2 gen. eessant, qui CES8®.
9. a. de Cessdr.
Czssiö, s. f. cession, abandonnement, To-
nonciation, transport, demission, abandon.
CEusÄr, u. ». cesser, s’arr&ter, disconlinuer.
N&o — de chorar, de [allar, eio., n6 pas CEsser
de pleurer, de parler, eto. Sem — , SaDS COßS6,
continuellement, assidüment.
Czssionärıo,, 5. m. cessionnaire : oelui qu-
fait une cossion et celul qui l’accepte.
Cessivgr, adj. 2 gen. oessible : qui peut dire
Cesso. V. S4sso.
Cesta, &. f. corbeille : espöce de panier, or-
dinairement d’osier.
+Cestäna, s. f. ce que peut eontenir une
eorbeille.
Cestiö, s. m. aug. de C£sto. (8. wül.) Gabion :
panier rempli de lerre, pour couyrir les hom-
mes de service et former un parapet. $#. Soris
de radeau ou almadie pour Lraverser une Fi-
viöre.
+ Cestanfa , s. f. impöt sur les corbeilles de
poisson (A Lisbonne).
Cesr£ıro, s. m. vannier : ouvrier qui fait
des corbeilles. — que faz um cesio [az um
cenio, (adage) qui a bu boira, qai avole volera.
C£stımna, s. [. dim. de Cösta.
CESTINHO, 3. m. dim. de
fOsavınnöso, A, adj. chrumineux : quitient
delaeire, du oörumen.
tCandsa, s. f. ceruse. V. Alvaiade.
Gtava,s. f. biche: femelle du cerf.
Csarär, adj. 2 gen. qui appartient au cerf,
guiient da cerl. Lobo —, loup cervier, Iynx.
S. .
CERVATINBO ‚s. m. dim. de Cervo.
Caaväro, s. m. daguet:: jeune cerf qui estä
sa premitre tete. Broquart: böte fauve d’un an.
Cenvtıno , A, adj. Cd —. V.Cerbero.
Caavtsı, s. f. bidre, cervoise: boisson faite
avec de Forge et du houblon. — forte, ale ou
site. Fehrica de —, brasserie.
+ Cunvsstina ou CERVEJARIA ,s. f. brasserie:
lien od Fon fait la biere.
+Czavastıno, s. m. brasseuf: colui qui fait
ou qui vend de la bidre.
Caavsıno. V. Cerebro.
tlaevıchana, 8. f. cheyrette : fernelle da
eberreuil.
Garıcir, adj. 2 gen. (1. d’anat.) cervical::
quiapparlient au COU.
Orricz. V. Cerviz.
Czanıımas. V. Servilkas.
tCaavıımtıra, s. f. (tl. d’anal.) ancienne
armure pour garantir la t£te et le cou.
Czavino, A, adj. qui appartient au cerf.
Czaviz, s. f. cou, Chignon, nUqU®.
dera—, (Aig.) tre incorrigible. Abaixcara—,
(dd.) sbumilier. Levantor 0 —, (id.) s’enor-
geeillir, se remettre.
Ckavo. V. Veddo. CEsTo, 8. zn. panier, manne, — vendimo,
Gaza. V. Corckia. noguet. — da gavea, (f. de mar.) " hune. — da
Czazın ‚etc. V. Serzir, ete gavsa da gata, hune d’artimon. — da gaves
grande, hune du grand mät. Ser — r6to, eiro
incapable de garder un secret.
Cesto,s. m. coste : gantelet de coir garni
de plomb, dont on se servait dans les combais
du pugilat. «4.* Ceinture de Venus.
Castöns, pl. (4. de fort.) V. Costdo.
Cestov. V.Cesto, Pelrina.
Cesrao, etc. V. Sesiro.
Cesüna, s. f. ossure : dans la poesie por-
tugaise, repos dans un veis, a la 4° ou
6° syllabe; dans la poesie grecque et latine,
syliabe qui finit un mot et coommence un pied.
CETÄcKO, a, adj. cötach : ilse dit des granas
poissons.
+ Crriceos, s. m. pl. (1. d’hist. nal.) chtaces:
famille d’animaux mammiföres qui vivent dans
la mer (la baleine, le narval, le dauphin, (ete.).
+ Cerznigus, 3. m. (1. de bot.) ceterach : de
radille ou herbe doree des Espagnols.
Crrim. V. Setim.
C£ro. V. Baltia.
+ Carönıa , s. f. (6. E’hisl. nat.) cdtome : n-
secte lamellicorne.
+ Cerna, s. f." &cu 0% bouclier de euır des
Lusitaniens. is. * Chiffre.
+ Curmania ,'s. /. dessins falls & la plume
dans Yancienne &criture avant lart typogra-
Cessaciä, a. f. cessation ‚intermission, dIs- | pLique. il. Fauconnerie : art de gouverner 66
eontinuation. — ow crssalio d dirinis, eXpr.! de dresser joute sorte d’oiseaux de proie,
+ Csaid ou Crzid, s. f. ° accas de örre in-
lermittenie.
+Cssan, s. m. Cösar:nom qu’on donnalt
aux empereurs TOMAins; (fg.) homme tres-
brave. Ou —, ou nada, ou Cesar, OU rien :
mazxime des ambitieux.
Casiazo, A, adj. qui appartient a Yempe-
reur, ä Pempire ou & la majest6 imperiale.
Operaräo cesdrea, (1. Kanal.) cesarienne : a0-
oouchement arlificiel par une incision prati-
qade au-dessous du nombril.
+Casan-aucostäno, A, od. ei subs. P’habi-
tant de Pancienne Cosar-Augusta, aujourd’hul
+ Casanıkno, a, adj. qulappartient & Pannde
jelienne ow au calondrier de Jules-CEsar. s. m.
Partisan de Chsar.
tizsanıtnse, adj. 2 gen. Cösareen : ce qui
est de Cisaree ou ce qui lui appartient.
+Ceszutz, A, adj. 2 gen. de Cesene (Etat
Casuanla, eto. V. Sesmaris, eic.
Cäsrzazs, s. m. pl." moltes do gazon.
* Cssrırka. V. Embicar.
+Czsmröso, a, adj. gazonne. Planlas —as,
(4. de bot.) plantes qui ont plusieurs rejetons
a leurs racines (Cespilos®).
280 CEV
Ceratıro, 5. m. celui qui connalt la Saucon-
nerie; qui chasse avec des faucons.
CETRINO, V. Cilrino.
Cärno. V. Sceptro.
Ckura. V. Coita.
Ckva,s. f. "engraissement des animaux ; en-
grais pour lavolaille. * Appät, amorce : päture
pour attirer les animaux au piege. Amorce d’un
fusil, d’un canon. *° Butin. (Ag.) "Aliment d’une
passion.
Cavipa, e. f. orge : sorte de grain ; la plante
qui le porte.—möchs ,* &courgeon : orge Carr6.
— distieada ou sanla, orge & deux rangs; pau-
mette; haillerage. Asno morlo — ao rabo,
(fam.) apr&s nous la fin du monde. V. Asno.
CavapiL, 5. m. "orge: champ qui en est
seme.
*Cevapkına, s. f. besace de voyageur. Ser
ea — dalguem, 6ire entreienu par quelqu’un,
etre son oommensal.
CEvapkına ,s. f. (1. de mar.) civadiere : voile
de beaupre.
Cevapkıno, 3. m. celui qui est charge de
fournir de l’orge pour les &curies du roi. Fau-
connier.
CEvapico, A, adj. qu’cn peut engraisser, qui
est bon & Ongraisser ; qui proflte biemde l’en-
grais.
7 CevapiLma, s. f. poudre d’ellebore.
+ Cezvapinua, s. f. dim. de Cevada. Orge
perle.
Ckvino, A, 9. p. de Cevdr. adj. Mis & l’en-
grais; (fg.) amorce, attird par l’amorce. 3. m.
Cochon engraisse.
CEVADOR, 5. m. celui qui fait engraisser des
animaux.
CEVADOTRO, 3. m. " mue: lieu, cage oü l’on
engraisse la volaille. Engrais : herbage ou l’on
engraisse le betail. Corne d’amorce.
CEYADÜRA, 8. f. nourriture, päture des ani-
maux; curee, debris de la proie; butin, sac;
amorce. (ant.) Decharge d’armes & feu. (fg.)
L’aotion de blesser ou tuer par vengeanoe;
f&rocits, acharnement.
CEVANDIJA, etc. .
CKVANDILHA. | V. Sevandija, etc.
Ceviö, s. m. porc, cochon engraisse, ou
qu’on engraisse pour tuer.
CEvVÄR,v. @. engraisser : faire devenir gras
des animaux. Amorcer : affroler, appälcr, at-
tirer par l’amorce, par l’appät ; (fig.) allöcher,
aıuorcor, altirer parleplaisir, la seduction, etc.
Appäter : donner certaines pätes & la vulaille
pour Pengraisser. (4g.) Entretenir, maintenir,
nourrir, conserver, en parlant du feu. (id.) Fo-
menter, en parlant des passions. Il est aussi
reciproque dans cette acceplion. Amorcer :
garnir d’amorce une arme & feu, une fusee.
Mctire le feu & une fusce, eic. Acharner : don-
ner aux b6tes le goüt de la chair. — com gräo,
engrener. — de gente, (flg.) envoyer des ren-
forts, des troupes fraiches. — a guerra, pour-
suivre la guerre. — com benefcios, dadivas,
CHA
allirer, gagner par des bienfalts, par des dons.
Pedrade —, aimant.
Caväa-SE, v. r. s’cngraisser, se rassasior;
s’assouvir; s’acharner. Se deleeter, avoir du
plaisir. S’entretenir, se nourrir, en parlant du
feu.— nos vicios, se plonger dans les vices;
s’y adonner enlierement, s’y livrer.
C£vo,s. m. appät, amorce : pätare pour at-
tirer les animaux au piege. (fig.) Aliment d’ane
passion. (id.) Allechement, attrait, appät,
amorce. V. Ceba, (bo.
N. B. Leck sonne k dans tous les mots pre&-
cedes du «,etch(comme dans chose) dans tous
lies aulres.
Cui, s. m. (li. de bot.) th& : arbrisseau de la
Chine et du Japon, de plusieurs especes; ses
feuilles, et la decoction ow infusion de celles-
ci.— bohy, th6 bou, bohda, roux, seche au
soleil. — preio,, Ihe noir. — verde, Ihe vert:
sech6 au four sur le cuivre. — perola, the
perle. — chim, poudre & canon (the). — eljo-
far ou imperial,, th& imperial.
Cai , Cuia ou CHan, s- f. V. Planicie.
*Cukipa. V. Chantza, Planicie.
TCuaBanDirn, 5. m. (ti. de Perse) mallre,
seigneur d’un port de mer.
CHABUCO, 3. m. louct asialique.
+ CuuciL,s.m. (1. d’hist. nat.) chacal : ani-
mal carnivore qui tient le milieu entre le chien
et le loup, en Alrique. — da cosla da mina,
arompe, mangeur d’hommes : chacal de la
Cöte-d’Or.
Cakcara ow Cuicaa, 8. f. (1. du Brisil) mai-
son de campagne, maison de plaisance; bien
de campagne. is. *Cabanage : lieu oü campent
les sauvages des Indes. is. Chanson enjouee,
de fete.
Cnaca, 8. f- chasse : au jeu de paume, c’est
le lieu ou la halle flnit son premier rebond.
—s, pl., injures reciproques, outrages muluels.
Estar ds— com alguem, se disputer avec que
qu’un, s’echanger des injures. Fazer —s, faire
des pelils sauts en avant, en Se soutenant lou-
jours sur les pieds de derriere, en parlant d’un
cheval.
Cnacäd. V. Chassona.
CHacirn, v. n. chasser : renvoyer la balle
avant qu'elle ait gagne la chasse. Marquer les
chasses. v. ». Eviter le chasseur, en parlant
des perdrix, etc.
* Cuacim. V. Porco.
Cuacina,s. f. chair de saucısses ; viande sa-
lee. (Ag.) * Massacre.
Cuacınino,A,p.p. de
Cuacınäa, v. a. charcuter : decouper de la
cheir ; saler et fumer de la viande. (fig.) De-
chirer ; mettre en pieces.
Caacörta, s. f. *badinage, jole bruyante, cris,
&clats de rire de gens qui se diverlissent. Fa-
zer — de..., (fam.) tourner une chose en plai-
santerie , sten moquer.
CBACOTEADO, A, 9. p. de Chacolear.
CHACOTRADOR, #. m. badin, railleur, mo-
queur.
CHA
GuacoTsan, 9. ». badinar, se rejouir, s’a-
muser d’une maniere bruyante; railler ; lächer
des mois piquanis.
Cuacorkra, s. f. dim. de Chacoia.
Guuco, s. m. V. Chaga. (1. de tonnelier)
(basseir : outil pohr repousser, refouler les
tercles des tonneaux.
fGutıra, s. [. (t. de bot.) the, Varbre. V.
ONd.
+ Caatu,s. m. magistrat du premier rang
dans la Chine.
Cuararzi. V, Galkofeiro.
Caiaraınia.V. Galhofar.
Guaraaiz, s. m. fonlaine publique; chAleau
deau.
Cuaranktz, s. m. sorte de jeu de lrictrac.
Cuarbapı, 8. f. V. Chiqueiro, Posilga.
CHArRBÄDO, A A,P.p.de
än,v.», barboter, plonger dans la
boue, se vaulrer.
CHAFURDEIRO, 3. m. gächis. V. Chiquäiro.
Caica,s. f. plaie, blessure. (Ag.) —, dou- |
leur, sliclion. A — sinda esid fresca ou gole-
jendo sangus, la plaie est encore loule Bai-
gmaste. —s de 5. Francisco, "stigmates de
sakat at Prangois.
Guucivo, A,P-.p. de Chayar. adj. Couvert
ai pisies, d’ulcäres. (fe. ) Navre,, dechire; ai-
"ÜxaGaBoR, a, s.et adj.celui ou ce qui blesse.
Cuucin, v. a. blesser : faire une plaie;; ul-
cerer.— 0 ) coragdo, navrer le caur.
Cuaci2-SE, D. Tr. 56 couvrir de plaies; deve-
nir ule&reux.
Cuigus, s. f. pe eb CHAGUEIRA, ($. de bot.)
Y. Mastrupo do P
CHAGAZINEA ‚8. Fr dim. de Chdga.
Cascuento, A, adj. couvert de plaies, d’ul-
ceres ; sujet & des plaies,, & des ulceres.
CHACUßaES, 5. m. Sorte de vase de cuir pour
meüre de Peau & boire , ayant la qualite de la
refroidir.
Guacvinma , 3. f. dim. de Chaga.
rt Caainua, s. f. varietö de pommes d’hiver.
+ Guaioug, s. mw. cheik : chef arabe.
CuaLavaci6, s. m. (i.d’Asie) grand bäliment
ä deux rangs de rames.
T« GuaLcrnontuse, adj. 2 gen. de Chalce-
doine.
f« Gusrcepoma „5. f. (f. de geog.) Chalce-
doine, ville de Bithynie. it. — , ow Calc&doine :
agaw "oouloar blanc de lait. — encarnada,
cornaline.
+ e Gasıcaoömo, A ,ad/.V. Chalcodonense.
ü. Calobdeineux : : qui” a des taches blanches
(pierre).
te Caaschee,, s. f. (8. E’hist. nat.) chalcide:
espöce mon.
« CaLcocaapaia , 8. f. Chalcographie : art de
Praver sur’airain , sur les mölaux.
« ÖNALCOGRÄPBICO, A, adj. chalcographique:
de nl naloographie, ‚ Qui concerne la chalco-
CHA 281
« ÜNALCÖGRAPHO, s. m. Ghaloographe : gra-
veur en airain , sur mälaux.
«CuaLvitco, A,.adj. Chaldalque : des Chal-
deen» de Babylone.
T « CuaıLdka,s. f. (6. de geog.) Chaldde : an-
eienno contree d’Asie.
«CHALDEO, A, adj. Chaldsen : de Chaldse.
sm. Chaldeen : :langue chaldaique.
CHäLg, s. m. chäle ow Schall; vetement de
femme.
CuaLz ‚s. m.(#. d’Asie) village ou demeu-
rent les ouvriers en Asie.
CaaLkıra, s. f."vase A bec pour houillir de
Peau A faire du th6;; sorte de bouillolie. —s das
balas, (ti. de mar.) "parquets ä boulets. — da
amurada, (id.) * equipet.
CaaLran. V. Pairar.
CBALUPA ‚3. f. chaloupe : petit bäatiment des-
| tind au service des vaisseaux.
CHALYBEÄDO,, a, adj. (. de phar.) chalyb#:
fait avec l’acier, charge d’acier.
CuauaA, 8. f. chanterelle: oiseau qui sert
d’appelant. V. Chamma.
* CHamaciö. V. Chamada,.
CHauackiras. V. Chumaceiras.
Cuamipa, s. f. Vaction d’appeler, appel.
Marque, renvoi, reclame : trait de plume mis
A la marge d’un livre. (4. mil.) * Appel : signal
donne6 avec le taınbour ou la trompette: cha-
made.
CHaMmipO, A, p. p. de Chamar. adj. Dit, sur-
nomme. s. m. V. Chamame£nio.
CaauapOn, 5. m. colui qui appelle.
Caamanörı. V. Chamamenio,
+ « Cuauinr,s.f. (1. d’MMst. nat. ) came : genre
de coquilles bivalves, mollusques. —de folke-
tos lacerados, gäteau feuillete. — gigantesce
ou pia d’agua benta, tuilde. — cordiforme,
caur de bauf.
CHAMALÖTE, 8. m. maire :
onde6e et serrede; camelot.
CHAMAMRNTO, s.m. "convocalion : l’action de
convoquer, d’appeler. (Ag.) * Inspiration, mou-
vement interieur de la gräce.
CHAMAR,, 0.0. appeler. Citer, convoquer. —,
mander, faire venir. —, nommer, designer.
(fig.) Altlirer ; invoquer. —nomes a alguem ,
dire des noms injurieux & quelqu’un. — Deos
a alguem, (flg.)ötre inspire de Dieu pour chan-
ger de vie. — Deos alguem para si ou a Jwizo,
etoffe de sole
‘(fig.) mourir. — um navio d falla, (1. de mar.)
heler un vaisseau. — para 0 quarlo, (id.) ap-
pelcr au quart.
CHAMÄR (por), v. n. appeler ; invoquer. —
por alguem , appeler quelqu’un. — por Deos,
por Nossa Senhora, invoquer Dieu, la sainte
Vierge.
CHAwÄn-SE, d. r. s’appeler, se nommer. — d
jusiiga, avoir reoours & la justice. — d posss,
allöguer la possession. — a0 engano, allöguer
la fraude. Como te chamas ? Comment vous ap-
pelez-vous? votre nom?
CnANARiz, 5. m. petit loriot, oiseau. Appe-
2382 CHA
lant: olsesu qui sert d’appeau, chanterelle.
tt. Pipeau , leurre.
+ Cuauiz, s. m. nom qu’on donne dans l’A-
sie portugaise aux ordinands.
CHAuMBACAL. V. Girasol,
+ Cuausiö, s. m. (1. pop.) morceau de
viande qui a plus d’os que de chair. adj. (fg.)
Maladroit; lourdaud. V. Aehamboado.
CHuauaanıL. V. Gerrocho:
CHAMBOADANENTE. V. Achamboadamenis.
CHAMBOIcE ‚3. f. grossidret6.
CHAMBRE, 8. m. ° robe de chambre.
Caauzan. V Chammejar.
« CnaueEoavs. V. Carvalhinha.
m TANEIRA, s. f. femme qui porte le pain au
er.
Caauzsin, etc. V. Chammejar, etc.
+ CHAMELEÄÖ-BRANCO, 5. m. (4.de bot.) "car-
line sans tige; ohardon nain.
CHAMELOTE. V. Chamalote.
CuinenTE ou CHÄANENTE, adv. sincörement;
franchement, rondement.
+ Cuauin, es. m. (4. d’Asie) cbaman : preire
indien ; gymnosophiste; pretre des Kamischa-
dales, medecin et sorcier.
« Cnau£onıos. V. Chamedrys.
+Cuuueritg, s.m. ($. de bot.) “ ivetie; Ivo
moschate. '
Caasica,s. [. espöce de roseau des ötangs.
‘4. Ficelle de sparterie ou de gen#t.
CHAMICEIRO, 3. m. celui qui recueille ou vend
chamiga ou chamigos. V. ces deux mots.
CnANIıCos, s. m. pl. menu bois see, brindel-
les, broutilles , ramilles pour faire da feu cleir
et prompt; bois arsin.
Cuauın2, s. f. chominde : le foyer et le fuyau
pour la fumde.
Chiuwa,s. f. lamme : partie subtile et lu-
mincuse du feu. (fig.) Violence, ardeur d’une
passion , surtout de l’amour.
CHAMNEJADO, A, p. p. de Chammejar.
CHANMEJINTE, adj. 2 gen. ardent, brülant,
qui jette de la flamme. Olkos —s, (fig.) yeux
6tincelants, qui @tincellent.
Ouauuksir, v.». jeter des flammes, &tince-
ler, flamboyer, flamber. v. a. V. Dardejar.
*CHau0nnO, A, adj. tondu. Sobrigaet inja-
rleux que les Castillans donnaient aux Portu-
geis, et que les Portugais donnalent A coux
qui sutvaleat le parti de Castille au temps de
ie,
Cuauoriu. V. Cafun£.
CuauraA, s. f. "plat de !’epte.
+ Cuauracid, 3. m. (6. de bot.) champacam:
grand arbre touffu de Malaca ; donne une sorte
de chötsigne.
TCnmamräcch, a. f. (4. de bot.) "champao:
arbre dos indes.
Caauräna, s.f. "champan eu champane: na-
wire du Jagen.
Caauriö,s. m. V. Champäna.
+ Cauurin, 9.0. (1. de chasse) piece d’un
trebucher sur laquclie on met l’appät pour at-
jraper les oiscayz,
CHA
Cuaurontin. V. Misturar.
Caauösca , 8. f. Pactien de flamber.
CHAMUSCADO, A, 9. p. de Chamuschr.
CHANUSCADOR , 8. m. oelui qui amıbe.
Cnauescapöra ,s. f. l’effeti de Bamber; br&-
lement löger.
CHawvscin, o.@. Siamber : panser lgtre-
ment sur le feu; roussir.
Cuau6sco, s. m. V. Ohamusca. it, Odent de
bräle ; roussi. Cheirar a —, (fig. fom.) senfir
le brüle, friser la corde. On le dit aussi d’une
dispute qui a l’air de devenir seriense.
Crinca,, s. f. (Pop.) grand vilnin pled, patle.
—do sapato. V. Chanqudia.
CHANCAnONA ‚ e. f. * pagre sale.
CHANGA, 6. f."sarcasme ‚ raillerie insultenie,
broeard.
* Caancaatı. V. Chancellör.
Caınczipo, A,P.p. de
Cnanczin (de, sobre, com), ©. m. piaisanter,
badiner, bouffonner; railler, brocarder.
Cranctıno , s.m. bouffon, badin, plaiszut;
railleur, brocardeur.
CHAncEıLa, s. f. * parafe, seeau, cschel.
CHANCELLÄDO, A, 9. p. de
CHancgtLän, ©. a. parafer, appaser fe
sceau , sceller; coucher sur le registre de la
chancellerie.
CaanceLtanfa, 5. f. chancelerie : tribanel,
maison du chancelier ; lieu ou Fon scelle les
lettres. P6r embargos na —, s’Opposer au Scedl.
EnancerL£n, s. m. chancelier : celui quiak
sceau. — mör do reino, garde des sca0f;
grand chancelier de la couronne.
CIHANGON&TA, 8. f. chansonnelle.
Crane. V. Chdle.
CHantza, e. f. plaine, rase campagne; Suf-
face plane. (Ag.) Ingenuits, nalvetd, franchise.
Cuanrina , s. f. *mou : fricass6e de mou de
veau, d’agneau, etc. Ratatoutlle. V. 2
+ CHANFAnBIRA, 8. f. gargotiere ; femme IV
fait et vend de la chanfane. V. co mol.
CHANFRADO, A, 9. p. de Chanfrär.
CHANFRADOR,, 8. m. outil pour sohanor!.
CHaWFraADORA, 5. f. Schancrare.
Cuanrrän, 0. a. Schanerer : tailler, vider,
oouper intsrieurement, en arc, en demicert;
chanfreiner.
Cuausrttäs, s. [. pl. nieiseries; bedinsf?:
folies , folätrerie.
CHANFRO, 5.m. * Schancrure; entaille, anlal
ur®.
Cuanissıno, a, adj. sup. de Chip.
CHANQUETA, 8. f. savate, vieux SO
en panteulles. Andar em — , mells®
liers en pantoulles.
CHanTta. V. Tanchädo.
CaAKTÄcEN. V. Teuchagem.
ANTid,
CHANTAR, etc. } V. Tonch..., ©.
CHANTEL, s.m. (1. da Ionnelier) chanlaal!
derniöre piece du fond (d’un tonneau).
* Cuanto. V. Pranto.
Cuantoan. V. Toncher,
Jiors mis
des #00
CHA
+ Cuıntetira, 5. f. lieu plante d’&chalas.
Caantnipo, s. m." chantrerie: benefice, di-
gnit& de chantre.
CHANTRE, 5. m. chantre : dignitö dans une
esthedrale ; chanoine qui preside au chant.
Guanraia. V. Chantrddo. -
Gui6,s. m. sol, terrain. Deilar no —, jete
par terre ; renverser, meltro ä bas.
Caiö,i, adj. uni, 6gal, plat. (flg.) Bas,
kumbie ; simple ; nalf, franc, rond. Plebeien :
retyrier. Terra chd, pays plat. Estado chäo,
tiers etat.
« Caios, s. m. chaos : confusion de toutes
choses avant la ertation; 6diet de tenebres ;
melange confus de la matiere, sans ordre ni
regularite, (Ag.) —, confusion : choses con-
fases , embrouilltes.
Caira, s. f. feuille on lame de metal; pls-
que. "Rouge quw’on met aux joues.Planchegra-
v6e. Jeu de pile ou face. —ı das Aivellas, chapes
des boueles. — do cdchilho,, gache. —s das bi-
gelas das ensareias das ganeas, (l. de mar.)
landes eu iaties des hunes. —s dos baloques,
(dd.) "Mtriers de chaines des haubans.
Caariva. V. Planura.
OmrapO, A, P.Pp- de Chapar, adj. consom-
me, parfait, maltre en son eiat ; Neffe. (ig. )
Sense. Homem — , komme de sens, homme
sense. Ladrdo — , voleur Ani.
Casrino, 3. m. ancienne garniture de völe-
ment en plaques.
Guarir,o.ca. plaquer. V.Chapedr. -
CGuarania,s. f. "plasage (en lames de metal);
wsement, garniture de vötement en plaques.
+CaaranniL, 5. m. lieu plants d’yeuses ;
baisson, hallier : touffle d’arbres sauvages,
ur.
ÜHAPARREIRO, } * yeuse: osp&ce de chene;
GusPaaRO, 8. M. jeune chene.
Camino, A,p.p. de
Cuarzin , o.a. plaquer : appliquer une chose
plate sur uno autre ; garnir, orner de lames de
mötal
+ Caareıniö,s. m. chaperon ; grand vilain
chapeau.
tCuareikıra , s. f. boito, 4tui A ohapeau.
ü. Femme d’an chapelier.
Guaraıkıao, s. m. chapeller : qui fait et
vend des chapeaux.
Cuareıkra, 8. f. petit chapeau. Soupape.
*"Rieoehet; bourrelet. — do Rado e junco da
Iombs, (1.de mar.) clapcts do pompe, soupapes
de pempe.
CaarzL£re, s. m. dim. de Chapeo.
Casrzıinno, 8. m. dim. de Chapdo, chapeau
da dame.
Gurto, s. m. chapeau: coiffure d’bomme et
de femme , de feutre, de paille, eic., qui a une
Isrme ronde et des bords. — de chuvs, para-
Buis, — de sol, parasol, ombreile. — dos
fungos, (1. de bot.) cbapeau, partie sup£rieure
das ehampignons. — dos lelkädos, ( id.) V.
Conchilo. Com 0 — na do, chapesu bas.
(aurtozinno , s. m. dim, do Chapdo,
CHA 283
Cnarim, s. m. chapin, chausson, mule, cla-
que : chaussure sans quartier & Yusage des
femınes ; patin. — da rianha, sorto de droits
que !’on levait & ’uccasion du mariage du roi.
t Crarim, s. m. (t. d’hist. nal.) "mesange :
petit olseau Je passage. — azulado, mösange }
tete bleue. — cinzenfo ,„ nonneite cendree.
— rabtlongo , mösange & longue quoue.— pen-
dulino , remis.
f Cmarınänva,s.f. coup de chapin, de cia-
quo, de patin.
CHAPINBIRO, 8. m. qui fait ou vend des cha-
pins.
CaApinuA, 8. f. dim. de Chapa.
CuarınHÄn, o.n. barboter : agiter l’eau avea
les mains ou les pieds.
Caarpırer, s.m. V. Chapitdo.
Crapıtko, s.m. (t.d’arch.) chapitean : partie
superieure d’une colonne posee sur le füt. (8.
de mar. anc.) * Corniche, ornement superieur
du chäteau de poupe et de proue d’un vals-
seau.
GHAPODANO ou CHAPOTÄDO,A,P.P. de
+ Cnarovir ou Cnapotin, ©. a. chälrer,
&barber, ebrancher,, ebourgeonner : Öler lcs
rejetons superflus aux arbres.
CaaPptz,s. m. piece de bois fixe dans le
mur pour y enfoncer des clous. *Jumelle: piece
de bois pour renforcer les mäls. —es da curva
do beque, (t.de mar.) tambour d’&peron, mou-
choir ou remplissage sous les jottereaux.
f Caaore, s.m. Nom qu’on donne au girofle
dans les Moluques.
+ Cnaqvina, s.f. Nom que les P£ruviens
donnent & la semence des peries, aux graitis
de verre ou de jais que les Europ6ens vendent’
aux Indiens.
CHARACINA OU CHARACHINA , 8.f.(d—, 1.d’A-
sie), A lachinoise, A la maniere des Chinols.
+ Cnanıcino, s.m. (t.d’hist. nat.) characin:
dermopte£re, voisin du saumon.
Crarina, s. f. charade : sorte d’enigme dans
laquelle chaque partie du mot & deriner forme
un mot.
+ Cnarapfsta, s.m. charadiste : qui 8’occupe
a faire ow ä deviner des charades.
Craram£La, s. f. sorte de trompelte droite ;
chalumeau.
CHARANMELEIRO, 5. m. Joueur de charam£la.
V. ce mot. .
Cnanid, V. Xurdö.
Crasavıscir. V. Chavasedi.
CGairco, s. m. "mare, lagune: amas d’eau
dormante. "Mare: margouillis, gächis pleın
d’ordures.
Cuartı. V.Xairel.
CHARELETE, 8. m. dim. de
CHAr£o, s. m. sorte de poisson du Bresil
* CHARETE,, 5. m. promesso bienveillante ;
belles paroles.
« CHARIDADE, etc. V, Caridade.
«Charisma. V. Carisma.
+ Cmanıa, s. f. (fam.) "babil, bavardagp,
causerie, verbiage,
285 CHA
Caunuınön, 5. m. babillard, bavard, dis-
ooursur.
CaarLAR,, 0.». bavarder, babiller, verbiager,
vaqueter. V. Palrar.
ARLATAnBaR, v. 9%. V. Cherlar. Charlata-
ner ı fains le charlatan.
CuanLataneria, 3. f. charlatanerie ; action
de oharlatan ; tout 08 qui a pour but de trom-
per.
+ Cuanzaranßsco, A, adj. charlatanesque:
de charlatan.
CuaaLatanismo, e.w. charlalanisme : carac-
tere de charlatan , moyen de charlatan; affec-
tstion de mörite, eto.; hypocrisie de l’igno-
rance, de l’incapaciis, etc.
CuanLariö, s. m. charlatan : vendeur de
drogues , d’orviöten dans les places publiques;
medecin häbleur,, imposteur;; celui qui trompe
par de beiles paroles, de beilles apparences ou
par lo faste de ses actions, de ses dorils, de
ses recits publics,
Cuannica, 8. f. ande, terrain sablonneux.
Cuanntıra,s. f. charnidre : pidces de metal
enolavdes par uno broche et mobiles, servant
& maintenir un couvercle, etc.
«Cuano, V. Caro, Querido.
CuanoaR, olo. V. Xaroar, etc.
Craanöpos, 8. m. Pl. (d.d’Asie) Indiens d’une
race Inlörieure,
Caanöra,s.f."brancard de procession ; niche
pour placer lesi des saints.
Cairra, s. f. Soharpe ; ceinturon, baudrier.
CuaaQusıakd,s. m, augm. do Charco.
CaaRRO, A, adj. pilaud, paysan, rusire,
grossier, lourd.
tCuaanois, 3. m. pi. tribu d’Indiens qui
babitaient les rivages du Rio-Grends-du-Sud
au Breeil.
CuanalA, 8. f. charrue : instrument ara-
teire , machine pour labourer la terre. (8. de
mer.) Fiute : navire & fond plat; vaissoau de
charge; corveiie de charge.
« Ünanıapzs. V. Caryödes.
Caasco, a. m. deniasement, ter, bricole,
attrape , malice, mystificalion,, niche, paquet,
wat düsbileie, de ruse,eic. Sarcasıne, lardon.
Der —, jouer un eur.
Gun, a. m. verden : variät# du verdier,
eisean.
OuaseEin0 ‚a, ad). dupt, mysüßd. p.p.de
ÜBasQrEis, *.0. ei m. railler, brecarder.
Msvstiüber, deper, deniaiser : abuser de la ert-
dause de queige un, be iremper. — fürs de
gropunbı , rauker barı de Saigen.
Osassa. TV. Chegs.
"Ouassöna,s.f. Henem de md, bemıne
&firie a eamkenker.
+ Onasses , s. mn. pl. (. ds esnst.) elela, m-
urmmses.
"Gira, af... dAsie) * ner, vepas ie
jeuz da Tenterrememi ches ias habiksnts de
Die Saims-Thesnes‘.
*’Osaran. V. Acheter,
CHA
Cuariu, s. m. (t. d’Asie) marchand, com
mergant dans YInde. Finesu.
Cuarınia. V. Mercadejar, Traficar.
Cuarınania. V. Mercancia, Trdfioo.
CziT0, 4a, adj. plat, aplali, epaie. Naris—,
nez camard. Homem ds nariz — , camus, Cä-
mard.
CHAvp£L, s. m. sorte de toile de coton Tori
belle, de Bengale.
CuÄvanı ow CuAVENA, 8. f. tasse & thö, &
cafe.
Cuavid, 3. m. augm. de Chave. it. Moule,
forme pour empreindre sur la päte. (fg.)
Forme usitee.
7 Caavanaiı, 8.0. (l. d’hist. nal.) chavaria:
olseau &chassier de l’Amerigus, qui defend la
volaille oontre les oiseaux de proie.
CHAYASCÄL, 5. m. mauvais terrain.
*Cuavascan. V. Alamancar.
* CHAVASCO, V. Achavascade , Be-
* CHAVASQUEIRO, A. N monde.
* Cuavasotıca. V. Rudeza, Grosserie.
CGaivz, s. f. clef de serrure. Clef de lit. Gel
de robinet. Clef de harpe, de claveein, eic.,
aooordeoir. Detente d’une arbalöte. * Bobinel.
Clef : instrument pour monter une pendale,
une montre, eic. Cief de route. (Ag.) Ge:
moyen pour decouvrir ce qui est cache. (1.)
—, principes qui conduisent & une scienoe.
— mislra „ passe-partout. — de perafwe,
tourne-vis. — d’sfinar iastrumenlos, a0c0l-
doir. — falsa, lausse clof. — de ımdo, largeır
de la paume de la main. — do pe, distance
depuis le coude-pied jusyu’au bas du taloa.
— de reino, clef du royaume, place frontitre.
4’—, debeiro de — ‚sous la cief. Dor dus
vollas 6 —, former & doubie tour. Poder das
—s, clofs de l’eglise, puissance des cieis, ju-
ridiction eoclesiastique. Preseniar as —s, Pi
senter les olefs : acle d’obeissance rendu Pal
une ville & un souverain,, etc. .
+ Cmavico, s.m. chabec ow chevec: bill
ment de guerre & voijes et Arames sur laMe-
diterrande.
Caartıaa,s. f. femme qui est chargee des
elefs d’un couvent, d’ane maison ; porteciek,
portiöre. it. (1. de med.) "Claveau ou clavelee:
maladie contagieuse des brebis , en bostons.
Caarkıno, s.f. celui qui est charge des cleb:
perüer, cencierge, po „ caissiöt, ew.
V, Despenssire.
Caavsın6so , a , adj. attagud du claroal.
Caariıma, e. f. cherille.
Cuavzımaö, s.m.eu sm. de Chauslks, gr
cherille de fer, piece ..e charrue.
Gaartımo, 3..." c ne de bauul.
Caavtra, os. f. lang 'etie; clavetie. —e sar®
os carkas, 1. de mar.) pointes de
Opavarase,&A,p.p. de
CaAvETAR, €. &. ausurer avec une langutllt-
e.n. Passer la 6
Caavızma om CRavszisa, 5. f. di.
CHE
Guiz, mot qui imite le bruit d'un coup.
CaazEınos,, s. m. pi. V. Chedas.
Casa. V. Chtia.
Ortauexte. V. Plenamente.
Cutpas, s. f. pl. piöces des deux cöt6s d’une
charreiie
Cutre, s. m. chef: celui qui est & la t#te
de...; designe la superiorite, le commande-
ment, la primaute ; general d’armee.
*’+Gnriı, s. f. residence d’un chef quel-
conque , sa dignite, sa charge.
Curciva, 8. f. arrivee, venue, approche.
(Ag.) V. Alcance.
Cuecavico, A, adj. qui arrive par hasard. V.
Adrenticio.
Guscioo, A, p.p. de Chegar. adj. Voisin,
contigu, proche. Bem —, bienvenu. Estar —,
“re proche. Estava —a a ceifa, la moisson
etzit proche.
* CHECADOR „ s. m. (4. de prat.) V. Cobradör.
OISGaKNnTO ‚8. m. rapprochement.
* Cascanca, 8. f. V. Chegamento.
°+Curzcancas, s. f. pl. anciennes chansons
barlesques
Guscia, v. a.approcher une chose d’aneanutre.
Ag.) Mener. — alguem a fazer algumacousa,
obliger quelqu’un & faire quelque chose. — a
reupaeocoirosalguem,(fam.)battre quelqu’un.
Cuzcia,, v. ». arriver:: venir dans un endroit,
. Durer pendant un temps determine. Atteindre:
toucher au but. Se suivre, arriver & son tour.
8'elever, parvenir, arriver, r&ussir. Suffire ‚ ötre
sufäsant. Toucher, atteindre , aboutir. Se mon-
ter, aller. Monter &.— a ourvir, a eniender,
cemmencer ä entendre, A comprendre,;ete. —ds
mäos, en venir aux mains, se batire. — ds do
esbo, venir aux gros mots. — a hora, a sua
kors a elguem , mourir. — @ fempo, arriver au
moment. Este quadro näo chega d quelle, ce
tableau ne vaut pas celui-lä. Vem chegando a
noite, la nuit s’approche. — a0 cabo com al
coues, venir ä ses fins. Os clamores dos affliclos
ches ao cdo, les cris des afflig6s montent au
Guzcär-SE, ©. r. s’approcher, s’avancer,
s'ceoster. S’unir. ( ig.) Implorer le secours,
la protection de quelgqu’un. — a alguem,, abor-
der qeeigu’un.
Gutco. V ,
Gutıa, s. f. crue, inondation,, debordement,
Catıo, a, adj. empli, rempli, plein. (lg.)
Bempli ; couvert;; charg6; accable. Ex.: TAea-
ro — de ‚theätre rempli de monde. — de
feridas, couvert de blessures. — d’annos,
charge d’anndes. — dafficsöes, accabld de
peines. Em — pleinement,, tolalement; entie-
tement. Estar —, ( fam.) tre riche. — de vi-
eos, donne aux vices. Homem —, homme gros,
gras. Pulso — (1. de med.) pouls plein. Lua
—$, pleine une. Voz —a, voix de hasse, voix
Senore ei forte. 4’ boeca —a, & bouchc ouverte;
ourertement. Com mdo —a ou ds mdos —as,
largement, avec magnificence.
Casımıno, 4, p. p. de Cheirar.
CHE
CHEIRADOR, s. ıh. Naireur : qui flaire.
CuEIRANTE. V. Cheiroso. .
CHeınin, v.a. flairer : sentir par l’odorat;
approcher son nez de... et respirer en asplrant
par lui. (fg.) Decouvrir ce qu’on croyait ca-
chö; pressentir, prevoir.
Cuzırir (a), v.». sentir: avoir de l’odeur,
r&pandre une odeur. (fig.) Ressembler, parai-
tre, avoir apparence. — achamusceo. V. Cha-
musco.— a hereje, etc., sentir ’heretique, eic.,
en avoir les apparences. Näo — bem alguma
cousa, (g.) &ire suspect. — bem, sentir bon.
— mal, sentir mauvais. — a vinho, sentir ie
vin.
CHEIRÄR-SE, vo. r. se flairer les uns les autres
(les animaux).
Caßiro, 3.m. "odeur, sentcur; odorat. V.Ol-
fato. ( Kg.) —, reputation (de saintete); indice,
reclame ; soupcon. —s, pl. bonnes odeurs. i!.
herbes aromatiques pour la cuisine, comme
persil, cerfeuil, etc. Ndo poder soffrer os —s,
craindre les odeurs.
+ Cazınöptenos, s. m. pl. (1. d’hist. nal.)
cheiroptöres : mammiferes carnassiers volants ;
les obauves-souris, etc.
CREIROSISSIMO,, A , adj. sup. de
Cazınös0 ,„ A, adj. odoriförant, parfume,
odorant.
Catıı. V. Regdias.
CuzLınoöma. V. Celidonis maior.
CHzLidkO 0oW CHELTDRO, 8. m. (1. d’hist. nat.)
chölyde : serpent aquatique.
+ Cuzılu, s. m. chelin, schilling : monnaie
d’argent, en Angleterre, qui vaut ı fr. 20 cent.
Cuzuınt. V. Chamind.
+Cazuösıs, s. f. (1. de med.) chemolsie :
maladie inflammatoire de l’@il, le blanc se
gonflant autour de la prunelle.
+ Grsnorönı0 ,s. m. (4. de bof.) "anserine :
plante atriplicde. — verden£gro , anserine rou-
285
gums | geätre; patie d’ole rougeätre. — vermifugo,
anstrine vermifuge.
Cuantar, otc. V. Chanlar, otc.
Cato. V. Cheio.
Catquz. V. Xequs.
+ Cunrautia,s. f. (8. de bet.) "carambolier
& fruits ronds; pomme acide.
Crerirg. V. Xerife.
CuzaınöLa. V. Chirinola.
Cazaivia, s. f. (1. de bot.) V. Alchiriwia.
CH£nna,s.f.ow | espece de turbot , polsson
CuRang, 8. m. de mer.
+ Curanita ou Cuxanitz, s. f. chernite:
marbre qui ressemble & l’ivoire.
+ Cuznsonsso, s. m. (f. de gdog.) Chersondse :
presqu’ile, dans l!’Asie. Aures —, nom que les
anciens donnalent & Ceylan.
+ « Cuzaünco, A, adj. de cherubin.
« CHERUBIM , 3. m. cherubin : ange du se00nd
chaur de la premiere hierarchie.
Cuesumts,s. m. (6. burl.) " piste, trace.
Cazrım. V. Chatim.
+Cuzronönte, (l. Dhist. nat.) chatodon
ow bandoulier : polsson leptosome. — bicldo,
286 CHI
bandoulier & bec. — bico de folle,, le soufflet.—
dourade, * dorade de plumier.— do imperador
do Japdo, VYempereur du Japon.
Cuıäpa, s.f."cris de plusieurs olseaux. — de
carro ou chiado, s. m. bruit aigu des roues ou
de Yessieu d’un chariot.
CnıäDo, A, P. p. de Chiar.
CatapöR,A,s. eh adj. qui fait un bruit algu.
Casapüna, s. f. V. Chidda. Bruit aigu et des-
agretable de plusiours charreites.
Cmıär, 0. ». crier, en parlant d’une roue.
Piauler, piper, p£pier ; bruire.
+ Cuisı,s. f. chevre.
Cuısi0o ‚A, p. p. de Chibar.
+ Cuısinca, s. f. fanfaronnade; fausse bra-
voure.
CHıBÄntg,s.m. rodomont, fanfaron.V. Guapo.
+ CHIBANTEÄR, v. n. faire le fanfaron.
+ CBısantick, s.f. “air, manieres, habitudes
de fanfaron. st. V. Guapice.
+Cnızantısuo, s.m. V. Chibanpa, Cibantice.
Gaisir,v.n. (8. burl.) faire le rodomont.
CHtBARRÄDA, 5. f. " troupoau de chevreaux,
de boucs.
Caısanntıao. V. Cabreiro.
Caiaiano, s. m. jeane bouc chätrö.
Cnisäta, s. f. baguctle.
CuisaTipa, s. f. coup de baguelie.
CH1BATÄDO,A,p. pP. de
+ Giısatir, vo. a. bagueiter : frapper d’une
baguette; donner des coups de baguetto (ch4-
timent des soldats).
Cuisatinua, s. f. dim. de Chibala.
Cuıpäto, s. m. bouc de trois ans et au dela.
Cuiso, s. m. jeune bouc, chevreau qui &
moins d’un an.
+ CHIcALHAR, ©. a. V. Achincalhar. v. ®.
S’occuper de bagatelles,, de niaiseries.
Cuicina, s. f. chicane.
+ Cuicara , s. f. tasse ds ih6, etc. ; ce qu’elle
contient.
CuicHa, 8. f. (t. pop.) nom qu’on donne & la
viande en parlant aux enfants.
Cuicuano 0% CriicHeno, 3. m.(t.de bof.) gesse
eullivee ; gesse A large silique ; sar, cerre,
pois cerro, lentille d’Espagne, pois carre. —
de cheiro , gesse odorante, pois de senteur.
CHIcHÄRRO , 8. m. sorle de gastr6, poisson de
mer, de la grandeur du maquereau.
CuicnELäDA, 8. f. Coup de savate.
CHIcnELO, 8. m. savalo, vieux soulier.
Caicuenos, pl. V. Chicharo.
CuicHiMeco , adj. m. chiche face. V. Mofno.
} CuıcHisBRÄr, o.#. mugueter, faire le mu-
guet, le galant.
Coicaisako, s. m. sigisb6 : galant assidu; te-
nant d’une femme ; muguel.
CHICHÖRRO,, 8. m. ancien Canon.
CHICHORROBIO. V. Bicudo.
Cuico, s. m. (£. burl.) nom qu’on donnait ä
une petite monnaie d’or de deux francs et demi
environ.
GacoLate. V. Chocolate.
Rrugönka ou Cnicöria, 8. f. (1. de bot.) chi-
CHI
corde : plante polagere rafraichissante. —
brava. V. Almeiräo.
+ Cnıconziczas, 3. f. pl. (. de bot.) chioo-
reactes : famille de plantes dicotyledones.
+ Cuicorzaceo ‚A ‚adj. (1. de bot.) chicoracs:
de la chicoree, qui en a legoüt.
+ Cuıcoräpa, 8. f. coup de fouet.
CBICOTADO, A, pP. p. de Chicolar.
Cuıcotir, v. a. fouelier : donner des coups
de fouet.
CHIcöTE , 5. m. fouel. "Queue de cheveux. (#.
de mar.) Bout de cAble, de corde.—eom que ss
castigdo os marinkeiros, (id.) dague de prevät.
+ CeıcorinBo, s. m. dim. de Chicote. ” Cra-
vache : fouet court, d’une seule pidce, pour
les chevaux de selle.
CHiranöte, s.m. braquemart : &pede courte
et large qu’on portait le long de la cuisse; sa-
bre, cimeterre.
Cuirra,s. f. "racloir de relieur.
CBırnäpo,A,P.p.de
CnıraAaR, vo. a. gratter, racler.
Cniraz, s. m. ° corne des animaux.
CHILACA1IOTA , 8. f. V. Gilacsiöla.
+ CuiLg, s. m. ($. de geog.) Chili : r&publique
de ’Amerique meridionale.
+ CuıLtno, A,adj. et s. du Chill.
+ CuıtiancHa, 5. ww. chiliarque: chef de mflle
bommes chez les Grecs anciens, et chez les
modernes, colonel.
+ Cuısastas. V. Millenarios.
Cuıuımpaiö ‚s. m. hoc: sorte de jeu de oartes.
« CuiLo, eto. V. Chylo, etc.
Cuu.ripa, s. f. *gazouillement : ramage des
oiseaux.
CuıLaiö, s. m. filetpour pöcher des crevettes.
CuıLrin, v. m. gazouiller, en parlant du ra-
mage des oiseaux.
CuıLRaana. V. Chilrada, Gorgeio.
CHILREADOR ‚A, 8. cladj. gazouillard ; criard,
brailleur.
CuıLagar. V. Chürdr.
CHiLRO ‚3. m. gazouillis: ramage des olseaux.
CRIıL80, A,adj.insipide. Agua —e, sau FOusse.
Caıu, adj. ers. pl. chints. Chinois:de laChine,
Cuımaco. V. Chumago.
CHıMB£O, s. m. roussin. V. Rossim.
« Cnım£na, 3. f. chimere: monstre fabuleux,
& buste de lion, corps de chevre et croupe de
dragon. (flg.) Imagination vaine et sans fon-
dement. is. Dispute , querelle capricieuse.
(#. d’kist. net.) Chimere, poisson. V. Bugio
marinho.
« CHIMERICAURNTE, adv. chimeriquemente:
d’une maniäre chimörique.
« Caıs£nıco, A, adj. chimdrique : imagi-
naire, insense , sans fondement; vain.
+ u Cumgnista, s.m. qui aime les choseg
imaginaires, fantasliques, valines.
« Caimıca , s. f. chimie : art de d6ecomposeg,
d’analyser, purifler ei recomposer les corps,
analomie des corps naturels inorganiques.
« Cuimicauente , ade. selon la d’une
maniero obimique.
2 oo 2 1 _L .n
BO, #
a GE rd
CHI
« Ouimıcd, A, adj. chimique : de la chimie;
qui est l’objet de la chimie. s. m. Chimiste: qui
seit, exzerce la chimie.
« Caiuo. V. Chymo.
Casupin, u.a. V. Mergulhar, Pespegar.
Cuina, s. f. (1. de geogr.) Chine : grand
empire d’Asie. (Pop.) Argeni. s. m. Chinois.
Guıncipa. V. Cinca,
Guxch00, A,p. p. de
Omscäan,v.a. (fi. burl.) goüter. it. V. Cincar.
Camcua. V. Chinchörro.
CaıscHavaRELLa, adj. 2 gen. puant. (g.)
Qui ne resie pas en place, qui se fourre par-
out.
CHISCHAYARELLO, 8. m, petit olseau blanc
tachete de noir.
Cuiscas. V. Porsevejo.
Cuıscatıro. V. Chimbeo. .
Cawcniısa, s. f. chinche, chinchille : ani-
mal du Perou, ä fourrure estimee, gros comme
un deureuil ; sa fourrure. (8. burl.) Importun,
faligant, accablan!.
Gumcnöaro, s. m. boulier : filet de p£che.
Sorte de bateau de p£cheur. (fig.) Lent, tardil.
Cancnaöso , A, adj. plein de punaises.
Guxzıno, a, adj. richard.
Onntıa, s. f. mule, pantoufle.
QusgLipa, 5. f. coup de mule, de pantoufle.
GuıseL£ıno, 3. m. faiseur de pantoußles; qui
aldhabitude de les porter.
Cussuinua, 8. f. dim. de Chinela, petite
pantouße de dame.
CumtLo , s. m. "savale, vieux soulier mis en
pantoufle. Metter alguem n’um —, ( fig. fam.)
melze quelqu’un au Sac.
CGaıntz, A, adj. chinois:de la Chine; qui est
dans le goüt des Chinois.
Gusraäö, 3. m. ancienne monnale portu-
gaise , 10 centimes environ.
+CuncauLis, s.m. pl. Nom d’une nation
d’Asie.
Cmxou£. V. Chinchorro.
Guio, a. m. guilleri : chant des moineaux;
eri aigu de cerlains animaux et Olscauz.
° Guorg. V. Saio.
Gurinte, 3. m. sorte d’ancien baleau long.
Cairo, s. m. huitre qui produit les perles.
Caıraıino. V. Chypriano.
CaiQukıro, 8. zu. toit ä porcs , 6table aux co-
ehons. Maison sale. V. Posilge.
Gnortı. V. Odre, Borrache.
Cuiaa. V. Xire.
eCunicaa , 3. f. (t. de med.) chiragre:
goalie qui aliague les nains.
Caraınöra „ s. f. badinerie, faribole, babiole;
tnigıne „ chose inintelligible.
Cmaspos. V. Tamancos.
+ Camaıvıa, s.f. (f.debot.) *carvi, cumen des
pres. — aqualica , berles des potagers ‚ chervis.
— horionss, panais ordinaire des jardins, pas-
tsnade, grand chervis, racine blanche. — de
Candia. V. Cenoira ds Creia,
Gumrin, etc. V. Chirär, ele.
f » Caınocaarmänıo,s.ın. (f. de prat.) chi-
cHo 987
rographaire : er&ancier en vertu d’un billet
sous seing privö, sans hypolhdque. ,
‚t« Cuınöcaarao, s. m. chirographe : &crit
signö de la main de celui qui s'engage.
+ « CuıaoLocia, s. f. chirologie : art de s’ex-
primer par des signes avec les doigts.
« Caaomancia, s. f. chiromancie : divina-
tion , prediclion par l’inspection de la main,
des lignes de la main.
« CHIROMÄNTE , 5. m. chiromaneien :
exerce la chiromancie.
+ « CuinomÄnTico, A, adj. de la chiromancie,
qui concerne la chiromancie.
+ Cuınönıo, s. m. (4. de bof.) chirone: plante
gentiande.
Cun6nomo. V. Chironio.
IRRIAR , etc. V. Chilrar, etc.
Caıröng. V. Churume.
Cuiauncia ,eic. V. Cirurgis, etc.
CaısMo. V. Persevejo.
Coispa, s. f. etincelle, bluette; pailletle d®
fer rouge que Y’on forge. r —s, (fig.
fam.) pester, jeter fou ei lamme , bisquer.
CHISPAR, ©.0. ölinceler : jeter des ölincelles.
(fig.) Bisquer.
Cuispo. V. Pezunho.
Cuiste, s. m. badimage, plaisanterie, joyou-
sets. Bon mot, saillie; sel, piquant. —s, pl.
joux d’esprit. Dar no —, (fam.) toucher au but,
etre au fait, trauver la difliculis; saisir le An
mot. Com —, plaisamment,. Ter —, avoir du
sel, du piquant. |
Cuıstöso, A, adj. pleisant, agreable, facd-
deux, qui divertit, qui fait rire.
CHita, s, f. indienne : toil6 do coton peinte;
chite.
Cuıtiö ow Caıron, iulerj. st! chut! paiz!
mot qu’on emploie pour imposer silence.
+ Cuırömo, 3. m. (1. d’hist. nat.) ascabrion:
coquillage ‚ löpas : lient des limaccs.
Cairo (.d’Asie). V. Escripto.
-«CaLinvog , s. f. chlamyde : manteau des
anciens ‚retrousse sur l’epaule ; habit milıtaire
des patriciens.
CHLENA. V. Lena.
+ « CuLöno, s. m. (l. de chim.) chlore : corps
simple non mötallique; gaz deleiere, desin-
fectant, d’un jaune verdätre.
+ Cuosunfto, s.m. (l. de chim.) chlorure :
combinaison du chlore pur avec une base.
Caö,s. m. V. Ichö. it. ant. V. Aquillo.
Cuö, interj. ho ! cri dontse servent les char-
retiers et autres conducleurs de chevaux pour
les arröter.
Cuöca ,s. f. boule ; sonnaille. il. V. Chocas.
Cuocino,A,Pp.p. de Chocar.
‚Caocarzsir. V. Chocalhir.
CuocaLHiDa, s. f. * bruit de sonnailles.
CROcALUADO,A,P. pP. de
CuocaLHik, ©. a. faire sonner des Soll-
nailles ; agiter uno liqucur dans un vase."
CuocaLnir, v. ®. faire du bruil avec des
sonnailles. (Ag. fam.) Nirc & granda 6elals;
rapporter, bavarder,
qui
288 CHO
-CHOCALUBIRO, A, 8. rapporieur; bavard.
CHocaLnice, 8. f. * babil, caquet, loquacite,
eomme6rage; recit indiscret.
CnociLuo, 8. m. ” sonnaille: sonnette quo
porte le Delier, le bauf, etc., qui est & la tete
d’un troupeau ; clochette attachee au cou des
betes. (fg.) Bavard, rapporteur.
Cuocik, vo. a. heurter, choquer. Couver, en
parlant des poules. (fg.) Mürir un projet.
Caocir, v. ». choquer, heurter, briser con-
tre. (com) Se choquer, combattre, en venir aux
mains. — com alguem,, rompre en visiere.
CHOCARREÄDO, A, P. ?. de
CHOCARREÄR , ©. ®#. bouffonner : faire ow dire
des bouffonneries. Baguenauder, s’amuser ä
des riens.
CHOCARREIRAMENTE, adv, en bouffon ; par
bouffonnerie.
GBOCARREBIRO, A,adj. ets. bouffon, saltimban-
que, plaisant, fac6tieux, turlupin, goguenard.
CHOCARRERIA 0% beuffonnerie , turlupi-
CHocarsicE, 5. f. ) nade, scurrilit6, go-
guenarderie.
Cuöcas, &. f. pl. boue qui s’attache aux ve-
tements ; taches de boue, &claboussures. Cheio
de — , crolie.
Caöca, s./. hutte, cabane, chaumidre, loge.
Caöcum, COCBiNA, 8. m. (POPp.) avorion;
pauvre here.
CHöcHo, A, adj. gät&, corrompu ; faible.
000 —, auf cours. Homem — , radoteur.
CaocaoRRoBio. V. Chichorrobio.
Cnöco, s. m. (1. d’kist. nat.) calmar, ow cor-
net, os &critoire : poisson c#phalopode, animal
marin du genre des söches : fournit une espece
d’encre noire.
CHöco, 3. m. action, au temps de couver;
courvee. Gallinha de —, poule qui couve. Estar
de —, couver.
Caöco, a, adj. qui n’est pas frais; gäte.
Poo —, auf coure. Gallinha chöca , couveuse.
Agua —a, eau croupie.
CuocoLäte, s. m. chocolat : cacao et sucre
auxquels on ajoute quelquefois de la cahnelle,
de lavanille, eic.,misen päte : leur dissolution.
CrocoLatkıaa, 8. f. chocolatiere: vase A faire
du chocolat.
CBocoLAT&ıno, s.m. chocolatier : qui fait et
vend du chocolat.
CHOCORRETA, 8. f. (t. burl.) coup de vin.
Cnorkipa,s. f. coup soudain.
CHOFRÄDO,A,P.p. de
CaorrÄr, v.a.tirer au vol,ou soudainement.
( ig.) Blesser, offenser.
CHöFRE, s.m. coup de queue (au billard);
coup soudain. De —, adv. A l’improviste.
Cuorrtıro, adj. quitire & l’improviste (chas-
seur). Qui fait tout A la häte.
CHorripo, a, adj. boudeur, qui boude pour
pou de chose.
Caoısa. V. Chouse.
«+ CmoLacöco, A, adj. (t. de med.) cholago-
gue: qui fait coulor la bile par le bas (renıdde).
* CaoLoasöLna. V. Balborda.
CHO
« + CHOLEDOCO, adj. ou s. m. (1. dienal.)
choledoque : canal de la bile, du fole dans le
duodenum.
«+ CHoLeoocrarmia, 3. f. cholddographie:
description, traite de la bile. BE
«} CHoLeDoLocia , 8. f. choledologie: taitt
de la bile.
«CHöLERA,s. f.(i.d’anat.)bile, fiel. V. Cölere.
« CHOLERA-MÖRBO ‚3. m. ($. de med.) cholerz-
morbus : &panchement subit de la bile par los
selleset les vomissements.
« CHoLärIco, A, adj. et 8. (4. de möd.) che
lerique : atteint du cholera.
+ « CHoLErina, 8. f. (1. de mdd.) cholerine-
affection analogue au cholera, moins Intense,
moins dangereuse.
CHouskaca. V.
CuonpaiLLa, 8. f.
plante chicoracee. .
+ Cuonpnoprerr’cios, 8. m. pl. (1. Eh.
nat.) chondropterygiens : ampbibies nageanis.
Cmöque, s. m. choc, heurt de deux Corps.
(6. mil.) Rencontre „combat entre deux iroupes
de gens de guerre. (Ag.) V. Contenda, Dispule.
Cuogutıro, s. f. nid de poule.
CHuogo&nto, A, adj. couvert de boue, croll,
gät , pourri. (%g.) Indispos#, pas bien poriaßl.
CHorapkına, 5. f. pleurs suivis, plaintes. U.
V. Carpideira. (1. dhist. nat.) V. Salgutı
de Babylonia.
CHORADISSIMO, A, adj. sup. de
Cuorino,&A,p.p. de Chorar.
+ CHORADOILOS, 3.0. p. ws. (fam.) pleureit:
qui pleure continuellement sur ses disgrä-
cos, etc.
CHORADOR, 5. m. pleureur : celai qui pleure.
CRORANICADOR, A, 8. pleurnicheur : qui fein!
de pleurer, qui pleure sans cesse ot sans rais@0-
CHORAMIGAR, v. ®. pleurnicher : feindre de
pleurer;; larmoyer. lan
CHorauicas, s. m. (fam.) pleurnichent;
pleureux ; pleurard. un
Cuoräö, s. m. pleurant, plenreur; geinest
jamais content. Pleure-misere, pleurard. \N9-
Amoureux tr&s-passionne. (1, d’hist. nal.)
Saule pleureur. V. Salgweiro de Babylors.
CHorÄr, v. a. pleurer quelqu’an ow quelgü®
chose (son p£re, ses pöches, etc.).— lagrimei;
rcpandre des larmes. — lagrimas de sangW,
(fig.) Etre vivement affects de quelque chagt!"-
— miserias, lastimas, pobr&za, ezagerer 59
malheurs, sa pauvret£.
CHorÄR,o.R. pleurer : r&pandre des larme*.
(Ag.) Deplorer, se lamenter, se plaindre. AN
ter d’ötre pauvre, mis6srable. (Ag.) —; degoal-
ter. On le dit de la vigne fraichement teile.
—;, jeter de I’'humidite. — por, ou — ®
por...,(fam.) soupirer apres... Regreiier. Chors
0 tempo perdido, il regrette le temps perdu.
Cuorir-SB, v. r. se plaindre, se lamenlkfi
oXagerer sa pauvrets, sa misöre.
« Cuonda. V. Corda.
«Cnor£a, 8. f. (t. de pods.) chorde : dan#
accompagnee de chant.
(6. de bot.) cbondrille:
I
CHO
}<CmonksisrO,, $. m. choreröqee : prölat,
dyen rural.
"Corzcka. V. Vier.
+«Cmontco, s. m. chorege : directeur des
spectaeles; celui qui conduisait les chaurs.
t-Cmonzonarmia, s. f. chor6ögraphie : art
de noter les pas, les Bgures de la danse,
t«Czonlcaarn0, 3. m. choregrapbe : celui
gai note et trace les pas, les figures de la
danse,
Cmonicas, s. m. V. Choramıgas , Chordo.
Caoainı, s. f. vieille perruquo, tignasse;
s.m. celui qui la porie. .
« Cuörıox, s. m. (}. d’anat.) chorion : l’une
des membranes extörieures du fostus.
« Cnorsra, etc. V. Corisia, eto,
Ca6ro,s. m. pleurs, larmes.
« (2020, etc. V. Cöro, etc.
Cuonözs, s. m. pl. amaranto & fleurs en
queue. (Ag.) Sorte de plumes qui penchent,
pour la coiffe des dames.
«CmoRoGRArHiA, 8. [- chorographie : des-
eription , representation d’un pays.
«MOROGRÄPRICO, a, adj. chorographique :
de lachorographie.
f«Cuonöckarno, 5. m. chorographe : qui
terit sur la chorographie.
«Cuonöıpe, 8. f. (tl. d’anat.) chorotide : tu-
nique de Fazil od est la prunelle.
Caoaomıcan. V. Choramingar
(Guonona, s. f. demoiselle, femme quipleure
tssjeurs;; pleureuse.
+CmoRösamanıe, adv. avec pleurs, avec
larmes.
Goadso, A, 2dj. pleurant, larmoyant, qui
repand des larmeı; qui cause des pleurs, qui
fait verser des pleurs. Com os olkos—s,
larınes aux yeux. Todo —,, tout en pleurs, les
ae beiguds de larmes.
RRAR 68
CHoRnKAR. | V. Jorrar.
Caoraıad. V. Cherrido.
CaosaıLnin. V. Tagarellar.
CuonaiLmo,, s. m. dim. de Chorro. Decoule-
ment, Sux; multitude. Um — d’ameiras, de
menliras, un tas de belises , de mensonges.
Caskao, s. m. jetde quelque liquide. — da
co , tclat de veix.
Cuoaupo ‚A, adj. gras, succulent.
Cuoxöug, 5. m. jus, suc; (Ag.) richesse,
CeoruutnTO, A, ady. qui a du jus, succu-
lent.
Caooco. V. Chouse.
Catcra, s. f. petit poisson de mer. Fer de
javelot, de dard ou de lance.
Caovrina, s. f. cabane, hutie , chaumidre.
TOaoupantıa0, 3. m. celal qui habite une
‚une chaumiere.
Caouraninna, 8. f. dim. de Choupana.
Casuro, 3. m. ($. de bot.) peuplier noir:
arbre amentaed, dianch, a hois blanc. —balsd-
micro. V. Tacamaqusiro, — iremedor, iremble.
PORT.-FR,
CHR 289
Cuovaica, s. f. sadfaası ‚, andouilie ; boudin,
ce qui’a sa lorme,.
Cnovaıgapa, 8. f. enfilade de saucisses ; coup
de boudin.
Cuouaictiao, s. m. charcutier : qui fall oe
qui vend des andouilles,, des boudins.
CHOURICINNO „3. m. dim. de
CmoTRIgo, &. m. sorie de saucisson ou de
cervelas qu’on fait en Portugal. — de sangue,
boudin. Ag.) Boudin, ce quien a la forme,
i ons ‚6. f. petit Jardin. V. Pomarinko.
OUSÄL, 8. m.
Cnouso,s. m | V. Chouse,
Cuousena. V. Cerca.
CaouraDoR,A, 0% CHOuTÄd, adj. choval uf
a le trot rade.
Caourär, v. ®». secouer beaucoup, avoir le
trot rude, en parlant d’un cheral.
Cuourkıao, A, ady. V. Choutador.
C#00r0 , s. m. Irot rude (des chevaux).
*Cnouvıa. V. Fechar, Tapar.
Cuovspico , A, adj. de pluie.
CHover, o.®. "pleuvoir : tomber, en parlant
de leau. (Ag. )—, tomber, survenir en grande
abondance. Il est quelquefois actil. — sobre o
molhado ‚(fig.) arriver coup sur coup, en par
lsnı des malbeurs. — a cdnleros , pleuvoır &
verse, tomber ä seaux. Ndo ter sobre
Ihe ch6va. On le dit pour ezprimer l’extr&mne
psuvret# de quelqu’un. — sareiva ou pedre,
groöler. Chovs, il pleut.
Caovinoo,A,Pp. p. de Chover.
Cnoviscär,,v. ». pluviner, pleuvoir ä pelites
gouttes , bruiner.
Cuovısco ‚ Cuovisna. V. Chuoisco.
Caovısmin. V, Choviscdr.
Caoz. V. Ich6.
+ « Cuazstouarmıa, 3. f. chrestiomathie ı
&crils instruciifs, moroeaux ohoisis de diff-
ronts auteurs.
«Cariseo. V. Chryse
a CHRISMA, 3. @. ehröme : : huilo sacree. s. fı
Le sacrement de la confirmalion.
« CHRISMÄDO, A, 9. 9. de
« CHRISMÄR, 9. @. confirmer : donner lo sa-
erement de la conlirmation. (fig.) Casser, rom-
re lat&le a quelqu’un ; donner des souflieis,
esser.
« CHRISTÄMENTE ‚„ adv. chreiiennement :
d’une maniöre chretienne.
« CHRISTANDÄDE, 5. f. chretienie: les chre-
tiens, leur pays. Observance de la religion da
Christ. Chrötiens soumis & un cure chrötien,
dans la Chine, dans l’Amörique.
« CHRISTANMENTE. V. Chrisiämenle.
«Caristäö, Ä, adj. et s. chretien: qui pro-
fesse la religion du Christ, qui appartient & la
religion chretienne. — n000, nouveau chre-
tien , nouveau converti (du judalsıne). — velko,
vieux chretien , dont les aleux ons constamınent
profess6 le christianisme. 2 ki,dfed—,
foi de chrötien.
* a CHRISTENGO, A, adj. qui apparlieni au
chreiien.
290 CHR
Te Canıstiantsco, A, adj. On le dit de quel-
ques ouvrages faits par les Maures, & la ma-
»itre de ooux des chretiens.
« CHRISTIANISMO , 5. m. christianisme : loi et
Religion du Christ; religion chrötionne ; son es-
prit, ses mazimes.
« CHRISTIANISSIMO, A, adj. sup. de Chrisiäo.
Trös-chretien. On le dit par excellence du roi
de France,
« CHRISTIANIZÄDO,, A, p. p. de
. «GRRISTIANIZÄR, v. a. rendre, faire obrötien;
rendre conforme & la religion, au rite chre-
tien. Il est aussi r&ciproque.
T « Curisticioa, s. m. qui a assassind le
st.
}«Caaısticinto, 8. m assassinat, meurtre
du Christ.
t«CarısticoLo, a, adj. christicole : adora-
teur du Christ.
«Cunistirgao, A, adj. qui porte un Christ,
un crucifx.
te Cunıstirana, s. f. la Vierge, mere du
rist,
«Cunisto, 3. m. Christ, Messie : nom qui est
devenu propre & Jesus. Erucitix. Oint. Nem por
um — ,(fam.) pour toutau monde. Ordem de
— ‚ordre du Christ en Portugal.
T «CmRomiricamentE, ado. (1. de mus.) | pri
ohromatiquement: par demi-tons.
- «CaRomÄTico, A, adj. (I. de mus.) chroma-
tique : qui proc&de par semi-tons. (t. d’opt.)
— , colore.
Te Cuxomarısuo, 8. m. (1. de mdd. et d’opt.)
ehromatisme : coloration (du sang)-
T«Canöuıoo, A, adj. ohromique: duchrome,
dont le chrome est la base.
T«Canomo,s. m. chrome: metal trös-fragile,
blanc grisätre, infusible, fixe : donne au ru-
bis, & P&meraudo, eto., leur oouleur.
«Curönica , 8. f. chronique : histoire selon
l’ordre des temps.
: «Carönco, a, adj. (1. de med.) chronique :
de longue durse, que le teınps a rendu difficile
& guerir (maladie).
.. _ _«Curonista, s. m. chroniqueur : auteur de
ohronigque.
« CHRONOORÄNMA, 8. m. ohronogramme : In-
soription en chiffres, ow dans laquelle se trou-
went les lettres numerales qui, prises ensem-
ble, font la date de ’evenement rapporie.
«CHRONOGRAPBiA, 8. [. chronographie: des-
eription qui caracterise P&poque d’un erene-
ment par ses circonsiances.
« CBRONÖGRAPRO, 3. m. chronographe: &ori-
vain sur la chronologie.
«CEroNoLocla, s. f. chronologie : science,
dootrine , ordre des temps; art de rapporter
les &v&nements & leur veritable dpoque, de
falre concorder les falts sous le rapporı des
temps; traite de cette science ou de cet art.
* @CHROROLÖGICANENTE, adv. chronologique-
ment: selon l’ordre des temps.
* «CmnonoLöcıco, A, adj. chronalogique : de
la chronolegie.
CHU
« CARONOLOGISTA ou ) ehronologisie: quisait,
« CHRONÖLOCO, 8. m. ) enseigne ja chronolo-
gie, &crit sur ja chronologie.
« CHRONÖBETRO ‚8. 8. ohronomätre : Insire-
ment pour mesurer les temps dans la musique,
les plus petites fraclions de temps en asirobe-
mie. Montre marine : garde-lemps.
+} « CBRYPTOCHPHALOS , 3. m. Pl. ( hist.
wat.) gribouris : col6opteres ohrysomelines.
« CuavsiLıpa, 3. f. (t. d’hiss. nat.) chryss-
lide : aurelie, nympbe, före, &iat de la che-
nille, de l’iinseote qui passe du ver au papil-
lon, & la mouche, etc. : se dit particalieremen!
des chenilles.
+ «CHRYsänTtHENo, 8. m. (f. de dot.) "margue
rito Jaune, double; la leur doree des jardins.
+«Cuav’sına, 8. f. (1. d’hist. nal.) chryside:
insecte bymenoptöre pupivore. — afogusade,
chryside bleue et rouge. — anuleda, chryside
verie et bleup.
«Canysma,elc. V. Chrisme, et.
« CHRYTSÖCONO, 8. m. (£. de bot.) chrysocome:
plante de la famille des corymbilöres.
+«Cuntsocharala, s. f. chrysugrapbie: ar
(perdu) d’&crire avec l’or.
« CHRYSOL,, 8. m. Crauset : vAs6 pour fondre
les metaux. (g.) ° Epreuve de la veria, dele-
L
«Curvsöltwua,s. fe „chrysolithe : piefte
« CHRYSÖLITHO, 8. m. } precieuse,jauned of
mel& d’une teinte de vert; cristal Lopase.
+ « CHRYSöLocO, A, adj. chrysologue: Les
&loquent.
+«Cunvrsomgıa, 8. f. (. d’hist. nal.) cry
somele : col&optöre phytophage.
+«Cunysortia, 8. f. chrysopse : science de
faire de Vor.
t« Cunysörta , 5. f. (6. de bot.) chrysepie:
grand arbre de Madagascar, millepertais ä 50
jaune.
+ « CurYsöpraso ou }chrysoprase : pierf®
«CHaYsopisıo, 8. m. } precieuse ‚ven de
poireau.
CuvBinsa, 5. f. espöch d’arbrissene du
mont Calpe, en Espagne.
Cruca , 8. f. V. Chnigo.
Caucipa, s. f. coup d’une arme d’hast.
Cuucino, A, p. p. de
Caugan, v. a. blesser avec une arme d’basl:
donner des coups de pique.
+ Cavc£ıro,s. m. soldat arme d’une halle-
barde ou d’une perluissne.
+Cubcua-aLipa (d), adv. (fam.) & la de
robee,
CRUCHÄDO, 4, 9. p. de Chuchär.
CaucHaueı. V. Chupemii.
CHUcCHÄR, ©. a. sucer ı attirer avec lesleıres,
en aspirant forlement une liqueur, ele.: (ai
fondre en remuant dans la bouche, en frotian
avec la langue. V. Chupär. Ficar
no d#de, (fg. fam.) &tre Lruströ dans queig«®
attente, ou n’avoir qu’s s’an löcher les barb@®
CHUCHURREÄDO , A, P. p de Chuchurreat:
CHU
Grecauanzir, v. #. buvotier, Loire ä petits
toups.
Grego,s. m. $pieu, pertuisane, pique, espon-
ion ; arme d’bast.
Caot, adj. 2 gen. (pop.) mesquin, mal tor-
che.
Gröra,s. f. gausserie, raillerie, moquerie,
e. por —, je Vai dit en badi-
mai,
Caurig. V. Mofar, '.ogar.
* Cuuıva. V. Chuoa.
tGstua, s. f. chanson, danse burlesque,
laseive.
Fehkpreighey] } mot, ton grivois.
CacLista, s. m. grivois, gaillard, bon dröle.
* Cabısı.V. Chusma,
CacLo, 4, adj. grivois, burlesque; lascil.
Cucuackımas,s. f. pl. pieces d’un moulin &
sucre; moroeau de bois sur lequel s’appuie
Pessiea d’un chariot. (f. de mar.) Porte-bou-
lets ou bol&tidres.
Catuickte, 5. m. plumasseau de charpie;
pelite compresse.
ÜSTEACIHBO, 5. m. dim. de
Cstuico, 5. m. "compresse : linge en double
sat une plaie. if. ant. Traversin de plumes.
Geuusiva, s. f. plomb dont on garnit les
Slets qui servent & la p£che; charge de ploınb
dans un fusil.
Caczsioo,A,p.p. de
Carmsir, ©. a. plomber : souder avec du
Memb; couvrir, reveür de plomb; remplir de
plomb une cavit& quelconque. —,garnir de
Memb ou d’un plomb un ballot, etc., & la
e.
Cauuszas. V. Chumdas.
Guvustına , s. /. filet plombe pour la peche.
(Ag. burl.)* Jugement, sagesse; aplomb.
tıno, 3. m. plombier : qui trayaille en
Pemb; qui exploite les ınines de plomb.
tOscmeim, s.m. magistrat du premier rang
‘es les Chinois.
Grüwso, s. m. plomb : metal mou, tr&s-fusi-
bie, blanc-bleuätre; ce qui est en plomb. —,
mercesus de plomb pour les lets & p£cher.
(#4.) * Gravits, poids, reflexion. — caleinddo,
andres de plomb. Andar ou ir com pesde —,
ptocdder avec lonteur, rellexion,
TGrvusir, v.0.— um masiro , (l. de mar.)
jumeller : soutenir (un mät) avec des jumelles.
Crutas, 5. f. pl. (i.de mar.) jumelles :
pitces de bois pour fortifer la carlingue du
Iond du vaisseau.
Gruze.V. Chamind.
}Urorantııa, s. f.“ sucement, succion: l’ac-
ion de sucer.
(aurino, A, pP. P. de Chupar. (fig.) adj.
‚maigre,, oxtenud.
ADOR, A, 3. suceur. Sucoir.
‚Gurrasöna, 5. f- V. Chupadella, io jus ou
Iquide qu’on suce d’une fois,
GurasLonzs. V. Picaflores.
f Cnurautr, s. m. (4. de dos.) melinet, co-
CHY 291
rinthe, plante borraginde; chevre-feuille, (L.
d’kist. nat.) Colibri: espece d’oiseau-mouche.
— maior, topaze. —menor, oiseau-mouche,
CHUPANENTO, 3. m. V. Chupadella.
Caupid, s. m. sucon : marque rouge, eie-
vure faite & la peau en la sucant.
CaurÄin,, ©. a. sucer. Pomper, en parlant des
arbres ot des plantes. (fg. fam.) Sucer : tirer
peu & peu /’argent ou le bien de quelqu’un.
(id.) Absorber, eonsumer. —o sangus ou 08
08808 a alguem, (fig. fam.) sucer quelqu’un
jusqu’& la moelle des os. — os dedos, (id.) 16-
cher les doigts. Il est quelquefois r&ciproque.
Chupar-se a perdiz, se motier (la perdrix).
}Caortra, s. /. On ne l’emploie que dans
veite phrase familiere: Ser de—, pour mar-
quer qu’uno chose est delicate ei d’un bon
goät.
Cuvpfsta, s. m. (burl.) llüteur, ivrogne.
Cuvpistärn, v.9. V. Beberricar.
tCaupona, s. f. courtisane qui depouille
ses amanis,
CuörnO, A. V. Churro.
Cadaua. V. Chusma.
CHunrıÄö, 3. m. char-A-bancs , grande voi-
ture A quatre roues.
Cuörao, A, adj. On le dit des troupeaux
qu’on ne fait pas voyager, et de leur laine,
laquelle est d’une qualite inferieure.
CHURUMR, s. m. V. Chorume.
Cuös, ado. Il n’est usit# que dans celle
phrase : Näo dizer — nem ‚ (pop.) ne
point desserrer les dents , ne dire mot.
Cnüsma, s. f. chiourme : tous les rameurs
d’une galere. Populace : r&union de gens de la
lie du peuple. V. Multidäo. — de criados, vale-
taille.
* Cuusuir. V. Tripolar.
* Causöra. V. Clausüra.
Cavva, s. f. pluie: eau qui tombe du ciel.
(Ag.) Ce quitombe comme elle; grele de coups,
etc. — de pedra, gröle.
Cavvazinaa, s. f. dim. de Chura.
Cauvkıno, s.m. " averse. (fig.) *Grele de bal-
les, etc.
Cuuviscar. V. Choviscar.
Cavvisco, 8. m. petito pluie.
Cauvöso, s, . pluvieux : abondant en pluie.
Caiz. V. Chus.
« CHYLIFERO, A, adj. (tl. d’anat.) chylifere :
(valssoau) du chyle.
« Cuyuiricacäö, s. f. (t. d’anst.) ahylilica-
tion : formation du chyle.
« CaYLırıckDo, A, adj. p. p. de
« CHYLIFICAR, ®. a. convertir en chyle.
« CuY’Lo,s. m. (8. danat.) chyle : sue blanc,
extrait des aliments diger&s, qui se change eu
sang.
+ «Curıöso, A, adj. (f. d’anat.) chyleuz :
du chyle, qui en a la qualit£.
« Cuv’no, s. m. chyme : bol alimentaire r6-
duit en masse pulpeuse dans l’estomac.
f « Carmöss, s. fı (1, de med.) cbymose :in-
293 CID
Sammation des paupidres qui se relournent;
eoction dans le corps humain.
Cuvyprıino,A, adj. ei s, de l’ile de Chypre.
ip0,A,9.p.de
CGir,v.n. (8. de mar.) scier : voguer & re-
eulons, ramer & rebours. — a rd, scier A cou-
ler. v. a. Bire jaloux de quelqu’an. Il est aussi
röciproque dans cetite acoeption.
Güirıca. V. Seialica.
Ciavöca,s. f. ({.de mar.) l’action de ramer en
arriere , de faire virer de bord une galdre,, etc.
Cısa. V. Siba.
Craiıno. V. Cibato, Alimento.
„Tuninoo, s.m. grand oiseau qui se bat avec
l'aigle.
T Cıaino, a, adj. On le dit des lois et des
reglements des Romains, qui concernaient les
repas et les festins du peuple.
CısÄto, s. m. "päture des olseaux ou betes
sauvages.
CistLes, etc. V. Cybelen
Giso. V. Comida,
}CisoLo, s. m. tsuresu du Mexiquo. qua-
drup£de de la Nouvelle-Espagne.
Ciaönıo, s. m. ciboire : vase pour les hosties
consacrees.
tCicära, s. m. (burl.) chiche, mesquin,
avare, vilain, trop menager.
+Cicateir, v.n. (fam.) lesiner : &pargner
sordidement , user de lesine.
+ Cıcateria, s. f. lesine : &pargne sordide,
mesquinerie , chichet®,, avarice.
Cicatriz, s. f. cicatrice : marque des plaies
et des ulcöres gueris. (fg.) Reste d’une injure,
d’une calomnie.
Cıcatrızackö, 8. f. cicatrisation : fermeture
naturelle d’une blessure.
CICATRIZAÄDO, A, P. pP. de Cicalrizar.
CICATRIZANTE, adj. 2 gen. cicatrisant : qui
eicatrise ; cicatrisalif. p. a. de
Cicaraızir, v. a. cicatriser: faire des cica-
trices.
CICATRIZAR-SE , v. r. se cicatriser : so former
en cicatrice , commencer & so joindre, se fer-
mer, en parlant des levres d’une plaie. Il se dit
aussi au moral.
Ciczno, s. m. cicdro : caracidre d’imprimerie
au-dessous du saint-augustin.
Gceznonino, A, adj. ciceronien. On le dit
du style de Ciceron et de celui qui l’imite.
Gran, eto. V. Cocsar, etc.
TOcinneLa,s.f. (1. d’hist. nat.) cicindele :
eeldoptäre carnassler.
Gxcı0s0,, a, etc. V. Coceoso , etc.
Gcıo , eto. V. Cyelo, etc.
Cicöra, 8. f. (t. de bot.) V. Cogude. Cicuta,
ombelliföre.
FCıcoränıa, s. f. (1. de bot.) cerfeuil sau-
vage. Cörofle, persil d’Ane.
Cıop,s. m. mot pris de l’arabe : cid, chef,
eoınmandant. E’ um —,(fig.) c'est un Cesar.
Copapi ow Cmapia, s. f. bourgeoise, ci-
löyenne, citadine.
Gpapiö, u. m. citoyen : habitant d’un &tat
[2
CIG
libre. Citadin : bourgeois, babitant d’une cile,
d’une ville. adj. Civil : de cits, de citadin, de
citoyen.
Cipäpe, 3. f. cite, ville; les habitants d'une
en Corps des officiers municipaux dans une
ville.
Cıvap£ıra, s. f. (t. de fort.) citadelle : for-
teresse qui commande une ville.
CipanöaA, 8. f. p. us. V. Cidadä.
Cıpiö, s. m. (1. d’Asie) espece de zente fon-
ciere.
Cora, s. f. * cedrat : frult odorant qui res-
semble au citron. V. Cidreira. * Cidre : boissen
faile de jus de pommes.
Cioriva, s. f. conflture de c&drat.
CıpriL, s. m. terrain plantö de cddrats.
Cıoräö, &. m. c&drat, poncire: seorce de c&
drat ou de citron conät.
Cipr£ına,s.f. it. de dos.) "chdratierou cddrat:
arbre qui porte les cödrats, esp&ce de citron-
nier. Herva —, melisse, citronnelie : plante
labiee.
G£ıRo, 8.m. "gercure des lövres, eie. Ter —
nos beipos, avoir les Idvres .
Cira ,s.f. * sable d’orförre. (t.de mar.) ’ En
duit fait avec de l’huile de baleine.
Cirar, ©. a. enduire un vaisseau de cife
V.ce mot. .
Cirra, s. f. "chilfre : caractöre qui marqa
un nombre. * Zero. V. Zero. —, ecriture, lat
gage secret. —, leitres initiales des noms en
trelacees. * Parafe ou paraphe. " Abrege.
CırriDo,A,p. p. de Cifrar. un
Cırräö, s. m. chiffre qui marque les millil-
mes.
Cırrir, vo. a. chiffrer : marquer avec des
chiffres ; &crire en chiffre. Abreger. Conletir,
enfermer.
CırRÄän#E (em), o. r. se röduire a, Se Te"
mer, consister uniquement en ou dans.
CıciıHo. V. Bocadinho, Migalhe.
Cıcina, s. f. Bohemienne. (Ag.) Femme
ressante.
Cıcanania, s. f. troupe de Bobsmiens. (44.)
Fourberie.
Cicanice , s. f. flatterie, cajolerie, caress®
pour tromper quelqu’un.
Cıcing,A,s. Boh@mien,
vagabonds qui vont disant la bonne art
ture, etc. (Ag.) Homme fin, russ, difieile 4
tromper, eic. (id.) Endormeur, Natteuf, enjd-
leur : celui qui attire, qui seduit par de belle!
paroles. Casa de —s, maison de Bohöme , mar
son dereglee.
Cicärra, 8. f. cigale : insecte hemiplert,
«ollirostre, qui produit un bruit alga en nr
tant deux membranes oontre les asperitds @*
son veulire.
+ Cıcanrär, 9.0, fumer des cigarres.
} CıcanniLna, 3. f. feuille do tabao roakt
pour fumer. ,
+ Cıcanninnas, s. f. pl. (1. d’hist. nal.) A
delles : hemipiöres sernblables en petit 3"
cigalcs. —a escumoss , eicadelle ecumcus-
Egyptien : sorte de
GIM
= de nallkas sanguinses, cicadelle ensanglan-
ke. — corwieulade, le petit diable.
+ GsanRista , s.m. qui [ume trop.
Gcizro, s.m. " cigarre : [ouille de tabao rou-
lie, propre & famer. Tabac hache, roul6 dans
de papier, propre & [umer.
Gens. V. Cyms.
Gens. V. Cogüde.
Gcuakıza. V. Segurelka.
Gıina, 8. f. surprise, piege, emhbuscade,
Guxacoha. V. Tortülko,
Ciima,s.f. sangle, ventriöre. "Collier, marque
natarelle en forme de cercle, qui se voit quel-
quefois autour du cou et du corps des ani-
maur.
Cuumi20, A, p. p. de Cilhar. adj. Bdcoro —,
eoehon ä eollier.
Guıniö, s. m. aug. de CGilha.Grosse sangle.
(ıLräa,o. a. sangler : ceindre, sorrer avec
des sangles ; attacher la sangle.
Cruiin, adj. 2 gen. (t. d’anat.) ciliaire: qui
fe rapporte aux cils, qui soutient le cristallin.
Guicıo,, s. m. cilice,, sac. —, tissu de crin ou
defide fer qu’on porte sur la chair par mor-
tüßcation. — de cabello, " haire.
Canmpao, etc. V. Cylindro, etc.
Cua,s. f. cime, haut, croupe,, sommet: la
partie la plus elevee d’une montagne, d’un ro-
cher, d’un arbre. ( Ag. ant.) Fin, terme, ache-
vement, derniere main. Em —, sur, dessus;
par-dessus ; en baut, au haut; de plus, en ou-
wre, ensus. A—, en haut, au haut; par-dessus,
au delä. Ds —, de dessus,, du haut, d’en haut.
Ficer de —, rester en dessus ; avoir le dessus.
De — baixo, sens dessus dessous, de
ind en comble. Dar —, (ant.) metire & fin
une chose. Por —, en outre. Ir sempre de —,
aveir eujours l’avantage.
Guigo,s.m.($.d’arch.) abaque, cimaise :
Parlie sup£rieure d’un chapiteau de colonne.
GsiLsa, s. f. cimaise, corniche.
+Cmannid, s. m. marron. On le dit dans
TAmerique des nögres ei des animaux qui so
sont enluis dans les bois, oü ils sont devenus
säuvages.
Gusa. V. Barca.
GusaLo. V. Cymbalo.
Gusag, s. m. (1. d’arch.) cinire : arcade de
beis pour soutenir et bAlir une voüle.
Ciusaico, A,adj. ets. des Cimbres, aujour-
Fbui du Jutland.
Gusaos, s.m. pl. les Cimbres: peuples de
I bersonese cimbrique,, aujourd’hui du Jut-
Curtına, s. f. "eimier : ornement sup6rieur
da easque. (#4. de bias.) —, figure sur le
tGwtıno, A, adj. d’en haut, qui est au
beat, & l’eztrömits d’une chose Cleve&e.
Gnestino,A,Pp.p. de
Gusxtar, v9. a. cimenter, fonder : jeter les
fondements d’un edifice. (ig.) Poser les princi-
pers, asseoir les fondements d’une science, eic.
CIN 293
Cıu£uro, s. m. eiment: sorie de mortler;
fondement d’un ddifice. (Ag.) Base, fonde-
ment. R
Gustänka, s. f. cimeterre: grand coulelas
ou sabre recourbe.
Ciuo, s.. sommet, cime, falte
CanÄaRı0, 8. m. cinabre : mineral rouge colb-
pos4 de soufre et de mercure; vermillon, sul-
fure de mercure.
Cınam6mo, s. m. V. Canella de Ceiläo.
Cinana. V. Cardo hortense.
Cinca, s. f. chou-blanc. Der —, (1. de jew)
faire chou-blanc. ( Ag.) Faute,, berue.
Cıscia, vo. ». s’6garer, so iromper, fsire une
bevue; perdre cing points au jeu de boule,
Ciuckino, etc. V. Sinceiro, etc.
+ CincsLtre, s. m. sorte de furban des
Maures de Mombaca.
CINCHADO, A, p. p. de
CıncHär, ©. a. clayonner, &gautter les fre-
mages, les jeter en ınoule.
CincHo, s. m. clayon: &clisse & egoutter den
fromages,, moule du fromage.
Cınco, adj. 2 gen. cinqg : nombre ordinal
form6 de 2 et 3 ou de ı et 4; s. m. cinq,
chiffre (5); carte, des, marque&s de 3.
CINCO-EM-RAMA Os RANO. V. Potentilla.
Cıncoßnta, adj. num. et ord. cinquanie ı
eing dizaines.
Cıncosutävo, s. m. le cinquantiäme : cim-
quantidme partie.
+ CıncoentenÄrio, A, adj.
F CINCOENTENO, A, adj.
Cinenacid. V. Incineragdo.
Cınerialo, A, adj. cineraire: qui contiens
les cendres.
CınBnzo, A, 6d}.
Cinenıcio, A, ad).
CınceL. V. Singel, .
Cıncıptıras, 5. f. pl. griffes du milleu des
oiseaux de proie.
CınciDo, A, 9.2. de Cingir. adj. restreint,
reduit, Jimite.
Cıncınduro,s. m. * ceinture : ruban, COf-
don, elc., avec quoi on se ceint les reins.
Cıncir , v. a. ceindre,, entourer, environner,
borner, embrasser, renfermer, ressörter, s0r-
rer. (fg.) Beduire, abreger, raccourcir. — @
espada, porter l’&pee au cöt& ‚la ceindre. — 0
vento, (4.de mar.) pincer le vent, brasser au
plus pr&s, ralinguer en tenant le vent.
CıncıR-SE, ©. fr. se ceindre, se serrer le
corps. (a) Se borner A, s’astreindre &, se ren-
fermer, so restreindre, se r&duire dans de
certaines bornes. S’approcher de Irös-pr&s, 5®
serrer contre; raser la terre, lacöte, en par-
lant d’un bAtiment.
Cincero, s. m. V. Cingidouro, Cinlo. Cordon
d’aube.
+ Cinmwur, s. m. ciniphe, cousin: sorte de
moucheron piquant et fort importun.
Cınısmo.
CINOSURA. V. Cyn..., eis
compos6
de cinquante,
cinquanie.
cendr& : couleur de
cendre.
2 GR
Gmosaı. V. Conoira.
Cınguinno, 5. m. ancienne monnaie poria-
gaise, trois cenlimmes environ.
Cirta, s. f. ceimture, bande, öcharpe. V.
Cintura. Pör a espdda d — , oeindre l’tpee, la
mettre au cöls. — de azulejos, "soubassement,
rang de carreaux de Hollande. —e, pi. (1. de
mar.) ’ceinirage : tous les qui enri-
ronnent le vaisseau ; ceintes, carreaux, pr&-
ceintes.
f Cıntir, v. a. bander, lier avec des bandes,
entourer do bandes.
Cıxtankco, 3. m. ooup d’ .
+Cıxtsipo, A, adj. (1. de bot.) entoar6 de
bandes.
CixT£iro, 8. m. ceinturier: oelui qui fait et
vond des ceintures, des ceinturons, etc.
CinrEMEnTE, adv. & dessein.
CINTILAR. x
CINTILBAR. ! V. Seintilkor.
CınriLuo, s. m. petit cordon , petite ceinture.
Jone garni de diamants.
Cixro, 3. m. oeinturon , oeinture de cuir.
GsTo,A,Pp. p. irreg. de Cingir.
Cmr6aa, s. [. ceinture : la place du corps oü
Fon attache la ceinture.
Cıxrunäö, s. m. ceinturen : sorte de ceinture
& pendanis pour soutenir l’&p6e.
Cınöna. V. Communa de Judeos.
Cinza ‚s.f. oendre : poudre qui reste des ma-
tieres brüldes. —s, pl. cendres : restes d’un ca-
davre humain. Quarla feira de —, mercredi des
cendres. Reduzir a —s, ıneltre ,r&duire en cen-
dres : ravager, brüler une ville, un pays, otc.
Cınz£ıno, s. m. cendrier:: endroit oü l’on met
des cendres, od elles tombent.
Cınz£L, etc. V. Sinzdi,
Cınzänto, 4‘ adj. cendr6 : couleur de
oendre.
Cio, s. m. rut : chaleur des betes fauves.
Bıtar com o — , ötre en rut.
" Cıoino, 5. m. troupeau de cochons.
CıösanEnte, adv. avec jalousie.
Cı6so, a, adj. jaloux : qui a de la jalousie.
Cırö , s. m. ( f. de bot.) liane : esp&ce d’ipeca-
cuanha. — de cobras, cunvolvulus colubrinus.
— de cobras do Brazil. V. Caapeba.
CiroiL, s. m. lieu couvert de lianes.
+ CıroLino, a, adj. (Marmore —) cipolin:
marbre verdätre.
Cipro, s. m.cippe: demi-colonne sans cha-
piteau.
CiPnEstE, etc. V. Cypreste, etc.
Cırinva, s. f. "van & vanner; claie, sas,
eridle.
Cınanpino,A,p.p. de Cirandar.
CıraNDÄGEM,, 8. f. ordure qu’on Öte en van-
nant; Paction de vanner, la portion de chose
vannee.
CiRANDÄR, dv. a. vanner : neltoyer le grain
avec un van. Passer du plätre au sas.
Cirita, s. f. * bord d’une selle.
+ Cuacassıaxo, A, adj. et s. de la Circassie.
Gixcka, s. f. (ti. de bot.) circde: berbe de
CIR
saint Etienne, herbe aux magielens, herbe en-
chanteresse.
Circ&sse, adj. 2 gen. On le dit des Jeux du
eirgue.
+ Gncko, a ,adj. trompeur, feint,, seductenr.
T CırcınäL, adj. 2 gen. ($. de bot.) roule, en-
tortille.
f Cincao, s. m. (1. d’hist. nal.) circio: oiseau
des Indes, qui apprend facilement & parler.
Gxco, 8. m. eirque : lieu destine aux jeux
publics, aux courses. Gercle imaginalre. V.
Cireulo.
Gracuıcäd, 8. f. tour circulaire, eircuit.
° Ciacofa,, ©. a. enceindre, entourer, euvi-
ronner.
Cıecöıto, s. m. circuit, contour, enoeinte,
eiroonference. —s, pl. ambages , deöloars, eir-
cuit de paroles.
Ciacviaciö,s. f. cireulation : mourement de
oe qui circule.
CiacvLipo, A, 2. p. de Cirewlar.
CiacuLinteg, adj. 2 gen. circulant: qui eir-
eule. p. a. de Cireular.
Cırcurir, adj.2 gen. circulaire, rond: qui
va en rond, du cercle, qui y a rapport, gui
en fait partie. Carla, aviso — „lelire, avis cir-
culaire, par lequel on informe plusieurs per-
sonnes d’une meıne chose.
CıacorAn, v9. @. gamnir autour; enlourer,
environner. ©. ». circuler : se mMouvoir en
rond, en ligne courbe; passer de main en
main: so dit de l’argent, des billets, d’une
nourelle qu’on repand. — 0 sangue, circuler,
en parlant Jdu sang.
CiacoLanutntg, adv. circulairement: en
rond ; en circulaire.
CiacuLarTörıo ‚a, adj. cireulatoire. Morimen-
to —, mouvement circulatoire d’un corps qui
tourne autour d’un point. Vaso —, (l. de chim.)
vaisseau eirculatoire , pour la circulation.
CircuLo,s.m. (4. de geom.) cercle : suite de
points & dgale distance d’un seul centre; sa
figure, le plan qu’il renferme; eirconfereneo
de cercle. Cercle magique. * Assemblee, com-
pagnie. —, nom qu’on donne & plusieurs prin-
cipautes, villes et &tats qui font ensemble un
corps polltique en Allemagne. — vieioso, ceruiw
vicieux : vice dans le raisonnement.
CıacumcıpiDO, A,p. p. de Circumcidar.
CiRCUNCIDÄNTE , qui cifconcit. 9. a. de
CIRCUMCIDAR, v. a. cifconcire: couper la
peau du prepuce. (fig.) Retrancher tout au-
tour; reprimer.
Gırcumcısiö, s. f. circoncision : l’action de
eirconcire. Fete de la circoncision de Jesus-
Christ.
CIRcUNcısO, 8. m. circoncis: celul A qui l’on
a coupe le pre&puce.
CHRCUNDAMENTO. V. Cireuilo, Cerco.
Cırcuupar. V. Cercar, Cingir, Rudear.,
CiRcumptcTAR. V. Annullar.
Circompucro. V. Annullado.
CIRCUMFERENCIA, 3. f. circonference : tour
d’un cercle; enceinte.
gr 1 BL a 90 hl
a KL. a2 2 a 7 A m 4
aa u u Lan
CIR
tOncamrınaid, s.f. "tour, eircuit, conlour,
Gamma „adj. circonflexe. On le dit d’un
accent qui est fait comme un v renverse (A).
+ GiacuwrLuncıa, s. f. "mouvement d’eau,
d’aır autour de...
+ CIacomrLußnTE, adj. 2 gen. qui court, se
repand auloar, qui affiue. p. a. de
GacvusurLoie, v. ». couler autour, se repan-
dre de toutes parts.
Gscusronineo, A, adj. qui va de place en
place, de march# en marche, pour debiter sa
marchandise ; eharlatan.
Gacunröso ‚A, adj. repandu, vers6 aulour.
Guacruiciö, v. Circwigäo.
T GscumlacenTg, adj. 2 gen. circonjacent,
environnant (pays ).
CiacomLoctcäö, 8. f. ciroonlosulion : detour,
eircnit de paroles, peripbrase.
G 0o,.m.V. Ci in. Par-
is de la conjugaison des verbes lalins qui re-
poud au futar passe de l’infinitif.
LUACHNLUCENTE, adj. 2 gen. qui brille au-
f incszıunano. V. Cireumvallddo.
tGncummavzoackö,s. f." voyage auteur du
monde.
TGaCEENAVECADOR, 4. m, navigsteur qui
fait ie (var da monde.
ÜBCENSCHETER , ©. a; oirconscrire, borner,
Iimiler, terminer, restreindre dans des bornes,
CBCOWSCRRYER-S2 (a), v. r. se bomer, so
lumiter, se restreindre dans des bornes.
acouscarciö, s. f. eirconscription : l’ac-
lisa de eirconscrire; ce qui limite la eirconfe-
Tence.
Gacesscaıprivo, A, adj. qui ciroonserit, qui
boras, qui limmite, gai restreint,.
CacHuscaı Pro, A,P Pp. de Circumscrever.
Oscvuszssiö, #. f. (1. de iAdol.) existenoe
intime des trois personnes divines.
+GaccssonÄutz, 6dj. 32 ge%. qui sonne au-
Cactusrkccäö,s. f. circonspeetion , disere-
ken, röserve, judicieuse retenue, eondaite
„ prudence, gravit& dans le maintien,
dans les paroles ‚dans les actions.
Gm NOINSPÄCTAMENTE, adv. aveo ciroonspec-
Oncousp£cro ,A,adj. circonspect, prudent,
sensd: qui prend garde &cequfil dit, & cequ’il
kit. Grave, seriaux , respectable.
Oxceustäincıa, 8. f. eirconstance , parlicu-
isrit€ d’un fait, d’une nourelle, eic.; occasion,
“currence , conjoncture ; condition requise.
$ Uacuusrancıknamene, adv. en detail,
d'une manidre circonstanciee.
ÜURCumsTancıa00, A, 9. p. de Circumsian-
TÜBCCuSTancıADoR, 8. m. qui rapporte,
qu raconte en detail.
ascrusranait, adj. 2 gen. ciroonsian-
E13 29)
gramm.) qui indique les modißcations du
"rnenusranciin, va. circonstancier : dire,
marquer les circonsiances.
CIRCUMSTANCIONAR , elc. V. Ciroamsian-
ciar, ete.
CIRCOMSTANTE, adj. 2 gen. qui ost aulour,
qui environne. —s. pl. prösenis, assisiants.
Cırcumstar. V. Corcar.
TCIRCUNVAGÄNTE, adj. 2 gen. qui erre au-
tour.
TCiacöuyaco, A, adj. qui roule, tourne
autour.
CıacumvaLLacid, 8. f. V’action d’entoarer,
d’environner. ($. de fort.)Circonvallation, foss6
que les assiegeants font aulour de leur camp,
avec des redoutos, &to.
CIRCUMVALLÄDO, A, P. P. de
CIRCUMVALLAR, ©. G. Onceindre, enlourer,
environner, inrestir. Faire la eirconvallation
d’un camp.
f CiacomvizinBÄnga, 8. f. * contour, banlieue
d’une ville.
CIRCUMYIZINHO, A, adj. circonvoisin, proche,
contigu , environnant; qui est auprös, autour.
GhacumuvorLuciö, s. f. ciroonvolution : chacun
des tours que decrit une courbe autour d’ua
centre commun; tour de spirale; rövolutien
d’une ligne.
Ciacom..., etc. V. Ciroum,.., el6.
Cinca , eto. V. Sürgs,, ote.
GROILIN. V. Gergelim.
IRGIR, 010.
CIROUEIRO. } V. Sirg..., eto.
CıasaL, s. wi. candelabre : grand chandelier
d’öglise,
Cıaımonta , eto. V. Coremonis.
Cmmınko. V. Cyrindo.
Gino, s. m. cierge : ohandelle de cire & Yu
sage des sglises. (Ag.) Pelerinage. -
Cıang. V. Cysne.
Ciaao, V, Sehirro.
+Cinsıo, 3. m. (f. de bot.) * quenouille ow
enique, plante de la syngendsie. — de Mom-
pelher , chardon de Montpellier.
Crasockıa. V. Varicocels.
Cıauncia,, s. f. chirurgie : art d’operer dela
main surle corps de l’homme, pour gus6rir les
blessures , les fraotures , les contusions, etc.
CırunciiL ou CiruncicäiL, adj. 2 gen. V. Ci
rurgico.
CıauncıAd, s. mw. chirurgien : qui fait pro-
fession de la chirurgie, qui l’oxerce. — per-
feiro,, accoucheur.
Cıröacıco, A, adj. chirurgical : de la obi-
rurgie.
CinviLatßıra. V. Corvilhöira.
Ciazır , ete. V. Serzir, etc.
Cısa. V. Ciss et Size.
CısaLpino, A ,adj. ers. cisalpin : qui est em
degä des Alpes.
CısB6rno. V. Bisbördo.
CISCALHAGENM , 8. f. balayures , ordures.
: qui indique les oirconstances; (4. del Cıscäa-sg,v. r. ($. burl.) filer, se sauver.
296 CIT
Cisco, s. m. poussier : poussidre de charbon.
Casua.
au | V. Seism.., etc.
T Cisuontano, A, adj. qui est en-decä des
montagnes.
Cisuz. V. Cysme.
Cıso , Gs6no. V. Siso, eic.
CIssauTuEuo. V. Pdo-de-porco.
Cista, s. f. urne pour recevoir les votes.
+ Cıster, s. m. ordre de Citeaux ou de Saint-
Bernard.
CSTERSIENSE, adj. 2 gen. qui appartient &
V’ordre de Clieaux. 3. m. Cistercien : moine de
Clteaux.
Cisteanı, 8. f. citerne : röservoir souterrain
d’eau de pluie.
CISTERNAZINHA ou ) dim. de Cisierne. 'Ci-
Cıstzaninua,s.f. ) terneau.
yCisto, s. m. (t. de bot.) ciste :genre de
plantes dont les esp&ces porient leurs graines
dans des eapsules.
Cistao. V. Sistro.
Cira, 5. f. citation : allögation d’un passage,
d’un fait.
Crraciö, 8. f. citation : V’action de citer,
d’assigner; Ajournement, assignation devant
un juge. V. Cie.
Grapdtıa. V. Cidadells,
Cırapo, A, pP. p. de Cildr.
+Cıranöa, 5. m. citateur: qui cite des pas-
sages pris dans les auteurs ; qui assigne.
°* CITAMENTE, adv. prompiement, en peu de
temps ; volontairement, spontanement.
GITanTK, adj. 2 gen. celul quicite, qui as-
sigue. p. a. de
Cıraa, vo. @. (l. de prai.) citer, assigner,
ajourner ä comparaltre par-devant la justice.
—ı, rapporter, alleguer un passage, un au-
teur, etc. Convoquer, faire assembier par au-
torits juridique.
Cirara. V. Cithara. il. Acitere.
Cıratöaıo,&a, adj. (tl. de pre.) eitatoire :
qui concerne la citafion en Justice.
GTERIoR, ed. 2 gen. cilerieur : en-decä, de
notre cöl&, pres de nous.
Ciruara, s. f. citbare : iyre & 7 ou 8 cordes,
des Hebreux, des Grecs; sistre des Italiens ;
luth , harpe.
CıTBAReDicO, A,adj. citharadigue: qui con-
cerne la cithare, la harpe.
CITHRAREDO, 8. m. celui qui chante en 8’ac-
compagnant de la cithare , de la harpe.
tCıtnanista, 5. m. joueur de cithare, de
harpe.
Gıriso. V. Cytiso.
Grockcıo, s. m. (f. de bot.) * camelde, oli-
vier nain, bois gentil.
CıröLa, s. f. *claquet, cliquet, traquet: dans
un monulin, petite lalto quiest sur la trömie,
ot qui bat avec bruit.
u Gıtörs, s. m. (fam.) * inlimation , assigna-
n.
Graauonrino. V. Cismoniano.
Orainu. V. Volsteria.
CLA
tCraito, s.m. (}. de chim.) eitrate : sel
d’acide de citron. —s, pl. sels formes de la
sombinaison de Yacide citrique avec difförentes
ases.
Cıratıno, s. m. fauconnier.
Citaeo,A, adj. (6. de pods.) de citron; de
ctdrat,
Citaıco, a ,adj. (1. de chim.) eitrique (acide)
extrait du citron.
+ Cırammıra ,s. f. (1. d’hist. nat.) * braant:
genre d'oiseaux de l’ordre des passereaur.
CGraino, a, adj. citrin, oouleur de citron.
f GrnonfıLa-uenon, 8. f. (tl. de bot.) V.
Cidrtira (kervs). — meior, armoise clärenelle,
zuge aurone des jardins, citronelle, garde-
Göuz,s. m. *jalousie; envie. Ter —s da
guem , &ire jJaloux de quelgu’un.
CiveL, adj. 2 gen. civil, non criminel. anti.
De basse extraction, vil dans les actions.
CGiveL, s. m. tribunal civil, juridiction civile,
* CivgLoane. V. Vileza, Indignidade.
CGivico, A, adj. civique : qui concerne le ci-
toyen, du citoyen. Cords —a, couronne ci-
vique, dövern+e pour avoir sauve la vie & un
citoyen.
Cıvin, adj. 2 gew. civil : qui regarde er con-
cerne les eitoyens, la cit#; honnete, poli,
courtois, bien &lere. Norte—, (f. de gras.)
mort civile : effet d’an jugement qui prive de
tous les droits civils.
" +Grvir, s. m. civil: Popposs de Petat mili-
taire , dtat de ciloyen, profession eivile.
GvıLıoäog, 3. f. eivilit6, honnetel6, cour-
toisie, politesse.
Gviıuzaciö, s. f. civilisalion : action de ci-
viliser, ses elfets ; &tat de ce qui est civilise.
Cıvı.ızido,A,p.p.de Civilisar. adj. Poli,
honnette, courtois.
CiVILIZADOR, A „adj. et 3. oe qui civilise.
GivıLızir, v. e. eiviliser : rendre eivil , hon-
ne6te , sociable;; 6clairer; polir les maurs.
}GwvırızäveL, adj. 2 gen. civilisable : qui
peut ötre civilise,
CiviLme@nte, adv. eirilement, honnetement,
avec politesse ; (f. de praf.) en matiere civile,
en proces civil.
Cıvismo, s. m. civisme : zele, patriotisme
dont le citoyen est anime&.
*Gıvoino,. V. Moniado,. _
Gıza, etc. V. Siza, etc.
Cızinta, s. f. ivraie : mauvaise graine qui
croit parmi le bl6. (fig.) Zisanie, discorde, di-
vision; vice qui se möle aux vertus, aux bon-
nes actions. (id.) Chose nuisible. Metter ou se-
mear a —,, brouiller, meltre ou semer la ziza-
nie, la discorde.
Gızıräö,, s. m. (t. de bof.) *gesso saurage.
Cuicıa. V. Classia.
* Cape. V. Malanga.
Camino, A,p. p.deCiamer.
CLANADOR, A, adj. ei s. crieur; brailleur,
criallleur.
CramÄr, 0. a. invoquer, Implorer, demander
eV Va "ee 8
La a KL
CLA
a grands eris, d’une manidre plaintive. (fig.
Eıiger, demander; crier. Este delito esid ola-
mando vinganca, ce crime crie vengeance.
CLANAR, ©. n. corier, 8’terier. — d’alguem,
erier contre quelgu’un. — por alguem, appe-
ler quelgqu’un & bauiscris.
„aauarönıo, 4, adj. quise plaint aveo vio-
ce.
Cuauıns. V. Chlamide.
Guu6r, s. m. ° clameur, ori. Cri plaintif,
gemissement, dol&ance. Rumeur, bruit public.
Os elamores dos aflicios chegdo ao cdo, les cris
des aflliges montent au ciel.
Guamordso, A, adj. plaintif.
Cuamos. V. Reclamos.
CLANDESTINAMENTE, adv. clandeslinement,
& la derobee, secr&tement.
Cuassestinmänpe, @. f. clandestinite : vice
du mariage,, de ce qui est clandestin.
CLanpgstino, A, adj. clandestin : secret;
fait en cachetie et contre les lois; (fig.) cache,
secret.
Cuanchn, 5. m. (f. de pods.) bruit, son aigu
de la trompelie.
+CrincuLa, s. f. (1. d’hist. nal.) "garrot: oi-
sean de passage,, enpece de canard.
Cıiaa-p’ovo, s. f.* aubin, blanc d’auf.
Crinandıa, s. f. claire-voie, ail-de-bauf :
pelite Incarne ronde et ovale.
Crananoıan , (4. burl.) V. Luzir.
CLÄRABENTE , ado. clairement, evidemment,
manifesternent. — , d’une maniere intelligible.
— ‚neilement , dislinctement.
Gusiö, s. m. aug. de Claro, *lucur, clarte,
telat, grande splendeur. Ä
+CLARAVALENSE , adj. 2 gen. de l’ordre de
saint Bernard.
Gaza, s. f. boisson compos#e de vin blanc,
de miel , de cannelle, elc.
CLaneiR , 9. n. commencer ä& faire clair, &
fsire jour. 8’6elaircir, en parlant du temps.
+Caantıaa, 8. f. (1. dagr.) clairiöre : espace
dögarni d’arbres dans un bois, oü on a dejä
esupt la moisson.
Crantıno. V. Clareira.
CLantre, adj. 2 gen. clairet. V. Palhele.
CLantza , s. f. clari6: qualitö de ce qui est
deir (du style,de lavue, de la voix, etc. );
neteie. (fig.) Reputation, renommee, nom,
eiltbrite. —s, pl. documents, titres. Com —,
disinetement. Fallar com —, parler avec {ran-
chise , sans detours.
CLanınans,s. f. clarle ‚lumiöre , splendeur;
perspicuite,, netiete d’esprit. — , chez les chre-
tens, une des qualitss des corps glorieux.
Dar —, &clairer.
CLarırıcacäö, s. f. clarificalion : aclion de
elariier ( une liqueur) ; depuralion.
GuarıwıckDo, A, P.p. Je ,
Cunıricäa, vo. a. clarifier : rendre clair et
setun liquide. Eclaircir la vue. Afliner, puri-
ker. (fg.) Eclairer, illustrer.
CLARIFICAR-SE, ©. r. so clarifier, se purißer.
(Ag. ant.) Se Justißer do quelquc imputation,
CLA 297
‚rCuanıricarlvo, a, adj. bon, propre ä cla-
rifier, & eclaireir, A purifler.
TCuanirico, A, adj. brillant , 6clalant, ros-
plendissant.
Crarim , s. m. clairon : trompetie & son aigu
et porgant. Trompelie : celui qui sonne da
elairon. Ander nos clarins da fama, (fig.) avoir
beaucoup de renommee;; jouir d’une grande
reöputation , &ire prön& comme savant, comme
po£ie, etc.
CLarındra, s. f. clarinelte : instrument de
musique ä anche et & clefs ; sorte de gros haut-
bois ; eelui qui en joue.
CLarıssıno, adj. sup. de Claro, tres-illus-
tre, trös-noble.
Cuanissas, 5. f. pl. claristes : religieuses de
Sainte-Glaire.
GLiro, A, adj. clair, eelatent, lumineux,
qui jette de la lumiöre; qui recoit beaucoup
de jour. —, luisant , transparent. ( £. de peint.)
— ‚il se dit des couleurs lorsqu’elles sont peu
foncees ou qu’elles approchent du blanc. —,
qui n’est point trouble. —, serein,, sans nuage,
en parlant du temps. —, qui a peu de consis--
tance, en parlant des liquides. —, qui n'est
pas bien serre. V. Raro. —, net, aigu, haut,
sonore, en parlant de la voix et des sons. —,
distinct, intelligible, aise & comprendre.—,
&vident , manifeste. —, libre, franc, saıus de-
tour. (flg.) Penötrant, perspicace. it. V. IHus-
ire, Insigne, Famoso. Agua —a, esau pure,
Semeado — ‚clairsemt. — esid, c’est clair, cela
est clair. Ser mais —, ou ldo — como a .
ou como 0 sol, &tre clair comme le jour ; sauter
aux yeux. Qudrem-no mais —? est-ce clair?
4’s claras, a decouvert; clairement, sans 6
gener, vertement, sans deiour ; manileste-
ment, evidemment.
Cräno, s. m. intervalle, clair, espace vide.
* Lacune : ce qui manque dans un &crit, dans
un discours. *Clart6, lumiere, jour. Entre-co-
lonnement : espace entre deux colonnes. In-
terstice, intervalle, espace, clairiere. —s, pl.
(t. de peint.) les jours, les parties eclairdes,
ce qui rebausse les teintes. — e escuro, (t. de
peint.) clair-obscur. (fig.) Melange de bon et
‚de mauvais. Passar em —, ne faire pas men-
tion, oublier une chose ‚la passer sous silence,
Passar a noile em —, passer la nuit blanche,
sans dormir, sans fermer l’wil. Por em —, li-
rer au clair. Pelo —, clairement, manifeste-
ment, sans detour.
CLiro, adv. clairement, franchement, sans
detours, sans reticence. Fallemos —, enten-
dons-nous, parlons franchement.
*Cıarom. V. Clardö.
° CLaror. V. Resplandor, Claridade.
Cıassir. V, Classificar.
Cuisse, s. f. classe : ordre, rang de porson-
nes ou da choses, rang donne au mörile com-
par6; salle de college. V. Aula. —, premiere,
principale division, dans un sysieme, um.
methode, une science, des etres dont ils s’oC-
cupent ; los &tres qu’elle comprend.
298 CGLA
Crassia. V. Fondipäo.
Crissıco, A, adj. prineipal, grand, netable,
&norme. Classique, approuv6, qui falt autorit6
dans une certaine matidre, en parlant d’un
auteur; qui 2 rapport aux Classes. Autor —,
auleur classique : du premier ordre , servant
de moddle. Lioro —, livre classique : omploy&
dans les classes des colleges.
+Cuassırıcackö, s. f. classification : ordre,
distribution par classes ; l’action de olasser.
CLassirIcäDO , A,P. 9. de Classificar.
T CLassırıcapOn, s. m. celui qui classe.
Guassıricir,, v. a. classer : ranger, distri-
buer par classes.
Cäista. V. Crdsta.
Craupicacäö, s. f. claudication : Paction de
boiter.
CLatpıcipO, A, p. p. de Claudicar.
CLAUDKANTE, adj. 2 gen. qui cloche, qui
bolte. p. a. de
Craupicär, v. ®. bolter. V. Cochear. (fig.)
Clocher, 6tre döfeotueux, n’aller pas droit dans
une affaire,
Guaustaa. V. Clausiro.
CLAUSTRAL, adj. 2 gen. claustral : apparte-
nant au cloltre, au monastere. On donne ce
nom & certains ordres religieux et & leurs
moines,
CLAUSTRALIDÄDE, 8. f. "relächement des clol-
triers.
CLäusteo, s. m. cloltre : galerie d’un mo-
nastere, d'une öglise. — ‚monastöre, vie rell-
gieuse. La reunion des membres dignitaires
d’une universite. (Ag.) "Cavite, enceinte. On le
dit surtout du ventre d’une femme enceinte.
CLäusuLa,, 8. f. clause : disposilion particu-
liöre d’un traite, d’un contrat, etc.; artiole
d’une convention, etc.
- GriusuLido,A,p.9. de
CLiusuLir, v. a. röduire en olauses, en ar-
ticles; finir, terminer une phrase, une periode;
restreindre, r&duire A moins,
CLausöaa, s. f. clöture: circuit d’une maison
roligteuse. —, obligation que les religieux
s’imposent de ne point sortir de leur mo-
nastöre.
CLavustrino, A, 9. p. de
CravsurÄn, ©. a. cloitrer: enfermer dans un
eloltre; y faire enirer de force.
CLAUSORÄR-SE, ©. r. se cloltrer: s’enfermer
volontiers dans un cloftre.
CLiva, s. f. massue, bäton noueux.
Cravania, s.f. "office, garde-manger des
religieux. i£. Bureau du Clavario. V. ce mot.
CLavärıo, s. m. celui quiaa la clef d’un lieu
de confiance; dignit# dans certains ordres re-
ligieux, espece de ir&sorier. V. Claveiro.
CLÄve, 3. f.(t. de mus.) clel:: signe, marque
qui sert & faire connattre Pintonation des
notes par rapport & leur position. V. Chave.
Crav£ıao, s.m. olavaire: gardien de titres.
V. Clavario,
CLaverıma, (4. de do1.)V. Cravina.
CLAYERia. V, Clavarla.
CLE
FCLAvSguE, s. m. stras : composition in-
ventee par Stras (allemand), qui imite le dia-
mant,
Cuavßta, 8. f. (. de mus.) clavelts: pelile
clef.
CLAVicÖRDIO , 8. m. clavioorde : sorte de cla-
veein.
Cravicu.a, 5. f. (. d’anal.) clavicule: 06
antörieur, latöral et superieur du sternum.
tCwavicuLivo, a ‚adj. (1. d’amat.) clavieuld:
ce qui tient & Ja olavicule.
CravıcuLir , adj. 2 gen. (1. d’anat.) olavica-
laire : de la clavicule.
CLAVICULÄRIO, 8. m. tr&sorier : colui qui tient
les clefs d’un coffre. .
+} CLavi-CYLinpno, 8. m. (4. de mus.) olavi-
cylindre : clavecin aveo un cylindro de verre
qui frotte les cordes et prolonge le son.
+ Cavıröaue, adj.2 gen. claviforme: clard,
en Inassue.
+ CLavicero, adj. m. qui porle une dlel ou
une massue. Surnom de Janus et d’Hercule.
CLavisa, s. f. cherille, chevilleste : morceau
de bois ou de fer qu’on fait entrer dans un
trou. V. Cravija. ,
+Cıaviına,s. f. (.Pontode—, t.de ch.)
Suture , couture double d’une plale.
Cuavina,s. f. carabine.
CLAYINBIRO, 8. #a. carabinier.
CLavıöncio, s. m. clavecin organisd : Insirt-
ment de musique.
CLEMATITE-BRANCA, 5. f. (1. de bot.) clömallie,
herbe aux gueux, viorne des paurros, plane
rosaote.-— bastarda. V. Aristolochia ordinerte.
CLEMENCIA, 8. f. clörnenoe : verta qui porle
un sup6rieur ä pardonner les offenses ei d 0-
derer le chätiment. (Ag.) Amenils, douceuf de
climat. ndels
CLEHENTE, adj. 2 gem. olöment : quiade
clömence. .
CLEMENTENENTE, ado. doucement, palsible-
ment, aveo clöınence, douceur, calme, bume-
nite.
CLEmEnTinas, s. f. pl. clementines : denne”
tales de Clöment V;; lettres apocryphes de sa
Clement.
CLEmenTissıno, A, adj. sup. de Clemenit.
+ CL£önzo, a, adj. (it. de myih.) de Cldons,
fils de Pelops. n
+ CızömıA, 8. f. (8. de bot.) cl6onie: plan
labiee. Vogl
CLEPSY’DRA , 5. f. "ciepsydre: horloge d’8U»
machine hydraulique des anciens. 2
+Cıtrid, 5. m. (1. d’hist. mal.) claife .
eoleoptere. —das colmöias, clairon des ruche®:
— mulilador, clairon de bois.
CLenzzia, s. f. *clerge: Pordre eociösiastigue:
le corps des ecclesiastiques.
Cuenicit, adj. m. clerical : qui appartien? &N
clerc, & Pecciesiastique. d’une
CLERICALMENTE, adv. clöricalement :
maniere clöricale. ndi-
CLenicäTo, s.m. "clöricatare: !’ötal ou c9
tion du clerc,de l’occlesiastique. — da
GLU
elärieat: Paiice de elere dans la ohambre apos-
tolique de la cour de Rome.
*Cıenıca. V. Religiosa.
CLöaıco, s. m. clerc, ecelösiastique, petit
collet, abb6, pretre. — da camars, colul qui a
un clericat dans la cbambre apostolique. — de
tonsura,, elere tonsure. — de menores, olerc
qui a rega les ordres mineurs. — de missa,
preire.
CL£aıcvinHo , 3. m. dim. de Cldrigo. (fam.)
Prestolet.
CLino, s. m. clerge. V. Clerexia.
Cuikxte, adj. et 8. 2 gen. client: personno
sous la protection d’une autr&; celui que de-
fend un avocat, un procureur.
Cussriııa,, 5. f. clientelle : protection que
le patron accorde & ses clients; les clients.
Crina, s. m. (6. de geog.) climat: partie du
globe comprise entre deux cercies paralleles &
Fequateur; ligne qui marque ceti espace.—,
region; pays, eu #gard A la temperature de
Yairet ä ses effets ; &tat habituel de l’atmosphere
dans un pays. Acostumar-se ao —, saccli-
mater.
Cusattaıco, A ,adj. climaterique (an), tous
les sept ans de la vie ; la 63" ann&e climaterique,
fatale. (Ag.) Malsain, dangereux, en parlant
du temps.
+Cımirıco, A, adj. inconstant, variable.
TCumax, s. m. climax, figure de rhetori-
que, gradation dans le discours.
Cum. V. Crina.
Cuimıca, s. f. (t. de med.) clinique : mäde-
eine gui se fait au lit des malades.
Crixıco, a, adj. (f. de med.) clinique : on le
dit des medecins qui visitent les malades, et
de la medecine exercee par ces medecins.
+CLinorönio, s, m. (tl. de bot.) clinopodium
ou elinopode : faux-basilic, plante labiee.
CLio, s. f.(t. de myth.) Clio : la muse qui
preside & V’histoire.
CListeL os CrısteL. V. Clyster.
Cuırönss, 3. m. (f. d’anat.) clitoris : partie
prominente ei superieure de la vulve, en
forme de gland ; @stre venerien.
+CLıvöso, A, adj. penchant, en pente.
Coica, s. f. "cloaque : egout. (fg.) Sentine
de vices, d’impuret&s; maison sale, infecte;
Neu puant.
CrosciL, adj. 2 gen. de cloaque.
+CLoacinıo 08 cureur d’dgouts, qui
+CLoaQusıno, s. m. } mettoie les coloaques,
les 6gouts.
+Cıörno, s. f. (1. de myth.) Clotho : la
plus jeane des Parques, oelle qui tenalt les
is des destindes.
+CLos ow CLuse, s.m. clab : assemblee po-
liäque, philanthropique, etc.
1 Cuusista, 5. m. olubiste : membre d’un
e
+ CLUmIACENSE ou CLUNIANENSE, adj. 2 gen.
de Clany, qui concerne Pordre de Cluny, de
Seint-Brano,
004 29
ULYPEO, s.m. (f. de pods.) &cusson , cu.
CLyster,s. m. olystere,, lavement.
+Cıyrna,s.m. (f. dhist. nal.) clytre: co-
l&optere tetramdre. .
+Cö,s.f.(t. debot.)co, cor&the de la Chine
plante qui fournit une espece del.
C’o , contraction de com 0, avec le.
Chi, s. f. action de couler.
+ Coi, s. f. (£. de bot.) coa : plante toujours
verie d’Amörique.
Coscgiö, s. f.eoaction : contrainte violenoe
qui öte la libertö du choix.
Coaccusino. V. Correo.
Coscervir,etc. V. Amonioar.
Coacrivo, A, adj. coactif : qui a le droit de
contraindre.
Coicro, A, adj. forc#, contraint.
Coiva, s. f. puree; lessive.
Coaptıra. V. Coador.
COADJUTÖR, A, 3. coadjuteur, adjoint: per-
sonne quien aide une autre dans ses fonc-
tions. —, prelat adjoint A un ev@que, et de-
sign6 son successeur. Vicaire d’un cur&.
CoApıuroRia, 8. f. coadjulorerie : charge,
dignit& du coadjuteur.
COADIUYADO, A, pP. p. de Coadjuvar.
+ COADIUVYANTE , adj. 2 gen. qui aldo. pP.
e
+ Coıpıuvir, v. a. alder ensemble, secon-
der ; coop£&rer, contribuer.
Coapminıstracikd, s. f. administration co!-
lective, partagee entre plusieurs.
COADMINISTRÄDO, A, P.p. de Coadminisirar.
COADNINISTRADÖR, 3. m. celui qui adminisire
en commun avec une ou plusieurs personnes.
COADMINISTRAR, ©. a. administrer collecli-
vement.
Coino,A, p. p. de Coar. adj. Ar—, vent
coulis. Ferro —, fer fondu, fonte. (Ag.)Päle,
bleme; saisi.
CoADÖR 0% COADOURO, 8. m. couloir, cou-
loire : vase pour passer.
CoaprıLna. V. Quadrilha.
Coanunagäö, s. f. "melange, union.
+ Coanpunino, A,p.p. de Coadunar. Folhas
—as , adj. pl. (t. de bot.) feuilles connees, en
paquet sans se toucher ä la tige.
COADUNAR, d. a. meöler, melanger, unir, join-
dre, accorder, Incorporer. ll est aussi reci-
proque.
CoApGrA, s. f. colature : Rltration grosmiere,
liqueur filıree.
+ CoAcHENTÄR , d. a. p. ws. assembier, unir,
joindre ensemble.
CoscuLagäö, s. f. coagulation : action de SC
coaguler, ses effets.
COACCLÄDO,A,P. pP. del
COAGULANTE, adj. 2 gen.
coagule les Duides. p. a. de
CoactLär, v. 0. coaguler: ger, cailler; öter
la fuidite.
CoACULAR-SE, ©. r. se coaguler ı perdro la
Auidite ‚ s’cpaissir.
+ Coxiri, s.m. (1. d’hist. nal.) coalta, Coualaı
coagulant : qui
300 COB
sorie de grand sapajou ,ü face et oreilles nues.
Cosrnäva,s. f.* caille, caillebotie.
CoaLHiDO, A,p. p. de Coalkar. adj. (fg.)
couvert, plein. ,
COALHADURA,&. f. coagulation, fige-
COALHANENTO,, 8. M. ment.
CosLus-Leite. V. Calhaleite.
CoaLBir, v. a. cailler, coaguler : ger. (fig.)
Charger, couvrir un habit de broderie, etc. (ig.
fam.) Amasser, en parlant do l’argent. Näo
puss0 — dinheiro, je ne puis pas amasser d’ar-
gent, rien mettre de cüte.
COALHAR, ©. n.el— 86, d.r. 56 cailler, se
figer, s’&paissir, se congeler, se prendıe.
CoiLuo, s. m. caill6: lait en grumeaux qu’on
trouve dans l’estomac des animaux qui tettent.
Caillement : &tat de ce qui se caille. Pressure,
caillette. (Ag.) Accord, convenance d’humeurs
et d'inclinations.
fCoauıciö, s. f. coalition : re&union d’oppo-
sants, de puissances, elc., conlre une aulre.
— ‚reunion de parties separdes auparavant.
r Coauızir, o. a. coaliser. V. Ligar, Confe-
derar.
T COAMANTE, adj. 2 gen. qui aime quelqu’un
et qui en est aime.
tCoannd-Do-BraziL, s. m. (8. d’hist. nat.)
porc-pic & queue prenante.
f Coäpua, s. f. (t. de bot.) *hypericum de
Cayenne.
CoAPÖSTOLO,, 8. m. apötre avec un aulre.
Cosrraciö, s. f. (l. de chir.)coaptalion :
r&union exacte des bouts d’un 08 fraclur6; re-
placement d'un os luxe.
Coia, v. a. couler, passer, filtrer. Percer,
pen£trer, en parlant de l’air, du vent. —, fon-
dre et Jeter en moule (les mötaux). ant. Cha-
trer. (fg.) Endurer, supporter. —a roupa,
lessiver, faire la lessive. — ferro, etc., fondre
du fer, otc.
Coir, vo. n. et—se, o.r. se couler, se fil-
trer; s’&chapper. (ig.) Pälir.
Coaactacäö, a. f. " retr&cissement;; resserre-
ment,
Coancrina, 6. f.(t. de prai.) excuse, justi-
Ncation.
CoarctÄ00, A,9. 9. de
Coarcrik,t. a. restreindre, limiter, borner.
f COARRENDADOR, A, 8. fermier avec un
autre.
CoaaTapı, eic. V. Cosrclada, etc.
TCoati-bo-BaaziL,, s. f. (tl. E’hist. nat. )
ooali : petit quadrupdde roux, voisin des ours,
de la taille des fouines. — de fecinho curto,
‚raton. — laorador, raton ordinaire.
fCoatiL,s. m. (1. de bot.) coati ou coatli:
grand arbrisseau dela Nouvelle-Espagne ; donne
le bois nephretique.
tCoaxacid, s.f. *coassement: cri desagrea-
ble des grenouilles,
tTCoaxir,o. ®. coasser. ll se dit du cri des
grenouilles.
T CoBiLos ou CoBaLss, 5. m. pl. (1.de pols.) !
COB
cobales : gönies malins, trompeurs, bouffons
et voleurs, de la suite de Bacchus.
CoBÄLrTo,s. m. cobalt ow cobol : metal dur,
pesant, friable, peu fusible, d’un blanc rose,
sentant l’arsenic.
Cosinde ow COYAnDE, adj. 2 gen. läche .
poltron, coion; timide, couard.
COBARDEMENTE, adv. lächement; timide-
ment.
Cosanpia , s. f. lächets, poltronnerie, pusil-
lanimite, couardise, coionnerie. Timidite.
Cosaano, A. V. Cobarde.
TCopara-no-BraziL, 5. m. (I. d’hist. nat.)
cobaye, cavisi os cavia : cochon d’Inde.
t Contuas ou Conenkina, #. f. (1. de bot.)
cubebe ou quabebe : esp&ce de poivre de l’Inde.
TCostı, s. m.(#. d’hist. nal.) cobel ow co-
belle : couleurre d’Amerique.
CossıLo. V. Cubello.
COBERTA, 8. f. Couverlure : tout ce qui sert
&couvrir; toit.( 6. de mar.) Couverte, pont,
tillac. (Ag.) Couverture, pretexte. — da cama,
courte-pointe, couverture. —de carla, enve-
loppe de letire. — de mesa, tapis de table. it.
Service : nombre de plats qu’on sert & la lois
sur table. — corrida, (1. de mar.) pont entier.
— levadiga,, ponrlevis.
*CosertäL. V. Cobertor.
CoBERTÄDO. V, Acoberiado.
COBERTAMENTE,, adv. couvertement , secrete-
ment, en cachette,
Corertas ,s. f. pl. couvertures ; housses,
Coserrkıra. V. Tampa, Coberta.
CosERTo,A, p. p. irr. de Cobrir, adj. cou-
vert. Cache. Obscur. Vetu. Delendu. Fonc#, en
parlant des couleurs. (%g.) Embourse des d«
penses avancsdes. Barco — , bäliment ponie.
COBERTOR ‚8. m. *couverture de lit.
Copentüna , s. f. couverlure, enveloppe.
Cosıca, etc. V. Cubiga, etc.
? Cöuıo. V. Titkymalo.
+ Cosıte. V. Cadozeie.
+ Cöona, s. f. (4. d’hist. nal.) couleuvre,
serpent. —de capello, serpent & luneltes. —
eolleirada, couleurre A collier. — cerasta ou
eorniculada, ceraste. — liza de pinlas aller-
nas, lisse. —verde de malhas amarellas, la
verle-el-jaune. — de cascarel, serpent A son-
nettes ; boiquira. (f. d’agr.) Corde avec laquelle
on atlache les bötes employses A fonler le bie,
pour separer ie grain de la paille. (s£.) Juments,
au nombre de trois ou eing, employees & fou-
ler le ble.(Ag.) Tout ce qui a la forme d’une
couleuvre, d’un serpent. Dizer d’elguem —s e
lagarlos, ( fam.) dechirer quelqu’un , dire
beaucoup de mal de lui.
* Copräpa, 5. f. paire, couple.
CosrÄno, A, 9. p. de Cobdrär.
COBRADÖR, 5. m. receveur, collecieur.
COBRAMEXTO, 5. m. recourrement, percep-
tion.
Conninca,s. f. *recouvrement, receite de
deniers.
Cosriö. Y. Cobrdio.
COG
Cosair (de), v. a. percevoir : toucher, rece-
voir des deniers dus. Recouvrer, acquerir de
neureau uno chose qu’on avait perdue; la re-
prendre. Aoguerir. — m#do, s’eflrayer. — an
me, valor, etc., s’enhardir. — alento, repren-
dre baleine, courage. — forgas, se rötablir,
reptendre des forces. — amizade, inclinardo,
efeigdo, se prendre d’amilie, s’affectionner a
Connan-sE. V. ar-se.
COBRAYEL, adj. 2 gen. recouvrable.
CORE, 5. m. Cuivre : melal rougeätre, tr&s-
sonore,, ir&s-dur, ductile, fusible et malleable.
— smarelle, cuivre jaune ow laiton. * Baiterie
de cuisine en cuivre. (fg.) * Monnaie de cuivre.
+ Cosazıiıra, 5. f. (l. de bot.) " bois de cou-
Cosatıo, s. m. espece de herpes. il. — que
dradigo, (1. d’hist. nat.) orvei common.
Cosasciua, s. f. V. Cobertor.
+ Cosaıciö, s. f. "accouplement: l’action de
s'accoupier, en parlant des animanx. Epoque
propre & l’accouplement des animaux.
Cosssuinvo. V. Coberlüra.
Comainna, s. f. dim. de Cobra.
Comın (com, de), v. a. couvrir : meltre une
chose sur une autre, pour cacher celle-<i, la
eonserver, l’orner, eic.; metire une chose en
grande quantite sur une autre (d’or, de pierre-
ries,eic.);revetir.(Ag.)—,cacher, voiler;cacher,
dissimuler, deguiser. —, defendre, proleger un
powe.—, se ditdu mäle qui s’unit Ala femelle.
—oroslo, (fig.) cacher, dissimuler une action.
— 6 conis, ajouter Aun article de compte*
d’autres parties, jusqu’A concurrence d’une
somme due. — 0 campo de mortos, joncher le
ehamp de bataille de morts. — 0 lango de ow-
fro, couvrir une enchere, encherir.
CosniR-SE (com), dv. r. se couvrir: meltre des
esareriures Sur 601. —, melire son chapeau.—,
S'obscureir, en parlant du temps. —, se meitre
äoouvert de l’ennemi. —, se payer : relenir
use somme due. — de suör, se couvrir de
sSueur, eire toul en eau,, ölre trempe. —o cora-
güe , aveir le cmur navre& de lristesse.
CösR0,s. m. " sürele : lieu ou l’on garde une
&hose, oü on la met en sürete. Asile:: lieu de
sürete. ans. V. Cobranga. Pör em —, melire en
srete. Pör-se em —, chercher un asile, un
lieu de süret6. Ter — em si, so menager;
prendre garde A soi. Pör —, reprimer, arreler.
Cöca, s. f. (. de bot.)"coca, cuca : arbrisseau
du Perou et sa feuille. Coque du Levant.
Cociö, s. m. bois jaune du Bresil.
Cocin, s.m. "aigrelie : panache d’un casque,
#un cheval,, eic.; plumet.
CöcaRaS, r. f. pl. * accroupissement. Estar
em ou de“ ‚ S’accroupir.
Giga, 5. f. (4. burl.) vol6e de coups.
290, &,P. p- de Cogar.
una ow Cocankııa, 3. f. l’aclion de
gratter.
Cocin, 9. a. gratter; stimuler. if. (4. P0p.)
Denner une volde & quelqu’un.
-5£, 9. r. se gratier. (fam.) Hesiter.
COC 301
Cöcgid, 3. f. coction : l’action de cuire et ses
effets. (6. de m#d.) — , digestion des aliments.
FCoccımeura, s. f.(t. d’hist. nat.) coccinelles
beie ou vache A Dieu , coleopi£re, trimere.
Coccin&o , A, adj. V. Purpurso.
Cocce. V. Gre. it. Cdeo.
Cöccıs, 8. m. (f. d’anal.) coccyx : os & Pexire-
mite du sacrum,, en beo de coucou.
* CÖCEDRA, 3. f. eouverture ouatee.
CöcsGAs, 8. f. pl. "chatoulllement. (Ag.) En-
vie, desir de quelque chose. Faser —, cha-
touiller. Ter —, etre chatouilleux, @tre sensi-
ble au moindre chatonillement.
CocEcUENTO, A , adj. chatouilleux : fort sen-
sible au chatouillement.
T CöcaHa, s. f. (tl. de mar.) *lors d’un com
dage. Dar—n’um cabo, commeltre un cordage.
Cockıra,s.f. demangeaison ‚prurit.
TCocnar ou Cucsar, v. 0. (8. demar.) com-
mettre (un cordage) : r&unir plusieurs fils en
les tortillant.
Coc#irza, s.f. (t. d’art.) °chargeoir : cuiller
& poudre pour charger sans gargousse. (I. de
mar.) Lanterne de cuivre.
CoCHARRÄDA, 8. f. ce que peut contenir une
eocharra. V. ce mot.
CöcHE, s. m. coche, Carrosse,, esp&cc de Yoi-
ture & quatre roues.
CoCHECBA, 8. f. la joue d’un poisson.
CocHEirRa,s. f. remise de carrosse.
Coca£ıro ,s. m. cocher : qui mene un car-
rosse , un coche.
+ CocaznıLHkıra , 8. f. (4. de bot.) "cactier &
cochenilles.
CocRicHADO ,A,P. 9. de
CocHıcuHÄR , v. #. Chuchoter.
CocHicH0, s.m. (1. d’hist. nat.) * alouelle des
champs ; cochevis.
Cochienöro" vr f- } maisonnelle, bicoque.
+ CocsıcäTo, 8. m. (. d’Mst. nal.) cochical :
toucan & collier du Mexique.
+ Cockim,s. m.(1. de mar.) paillet. — fel-
pudo , paillet larde.
CocHiXO,, 3. m. cochon , pourceau.
CöcuLea, s. f. (t. danal.)cavite dans l’oreille.
+ CocrLeipo, A, adj. fait en forme de lima-
con. Columna — a, colonne torse.
CocuLeäirta, 8. f. (t. de bot.) cochlearia :
herbe aux cuiliers, premier antiscorbutique.
+ COCHLEIFÖRME, @dj. 2 gen. (1. de bot.) co-
chleiforme. Folhas —s, feuilles cochleiformes,
qui s’enveloppent en spirale comme celles de
la fougere.
Cöcno, s. m. planche carrde pour porler ie
mortier aux magons.
CocHONiLHa, s. f. cochenille : progallinsecte,
hymenoptere, plantisuge, Wun blanc sale ı
donne une teinture d’un rouge vif, l’&carlate,
le carmin.
Cöcıro. V. Cocylo.
Cocıvarino, s. m. (t. de PInde) impöt sur
les laboureurs Goa.
Cöco , s. m. coco , noix d’Inde; fruil du cooe-
902 COE
tier. V. Cogueiro. Croqus- mitaine , moine
bourru. Expression dont on se sert pour faire
taire lcs enfants qui pleurent, en leur faisant
peur.
CocopaiLLo. V. Crocodilo.
Cocözs, s. m. pl. les quatre piöces qui sou-
tiennent l'essieu d’un chariot.
Cocöuano. V. Pepipo.
Cöcoras. V. Cöcaras.
Cocoußrs. V. Cossoldte.
Cocouro. V. Cossouro.
Cocuutıo. V. Cogumelo.
Cocunöra, 8. f. 0% CocuaUTo, 3. m. (4. pldb.)
eime , sommet,
T Cocdıo , s. m. espöce de ver luisant des
Indes.
Cöcrro, s. m. Cocyte : fleuve de l’enfer, s0-
ion la fable.
Cöpda, 2. [. p. us. V. Cduda
tConid, s. m. glagon.
Coniste, s. m. (. de mar.) &tambot ow
&tambord ‚ capion.
CöpzaA, s. f. croüte : partie exierieure, so-
lide, du psin; surface durcie, “corce. (fig.)
®Debors, exterieur,
Copzin0, A,p.p. de.
Copein, v. a. ($. burl.) manger du pain, des
Bonbons, etc. Croustiller.
Copeazinua, s. f. dim. de Cödea, petite
oroüte,, croüte mince.
‚Copsckıra, s. f. "terrain oü il y a beaucoup
de cytises.
Copsciino. V. Codicillo.
Coptco, 3. m. ( 4. de bot.) cylise: plante 1&-
gumineuse. — dos Alpes, aubours , öbönier des
Alpes, faux &b£nier.
‚Cöusoo. V. Codigo.
Coveuim. V. Codilim.
Codex ou registre, recueil, manus-
-CODICE, 8. m. crit de choses m&morables,
manuscrit ancien.
CopicıL.ir, adj. 2 gen. codicillaire : contenu
dans un codieille.
CopıciLLo, s. m. codicille : addilion, dispo-
sitlon &crite ou cbangement & un lestament.
Copıgo , Copıckıno. V. Codeoo.
Cöoıco, s.m. code: recueil, compilation de
lols , constitutions, rescrits, eic.
GopıLHÄDO, A, P. p. de
: CoptLBÄR, %. e. gagner le codille.
CopiLuo, s. m. codille : terme de jeu de
Phombre, da tri, du quadrille.
CopiLnos, 5. m. pi. partie de la jambe de
devant d’un animal, depuis l’öpaule jusqu’ä la
jeinture. .
CovıLis, s. m. (4. d’Asie). V. Picdd.
’ 0000, s. m. V. Gedda.
CoponaTinıo, 8. m. codonataire : associe
dans une donation.
Coponniz, s. f. caille : oiseau de passage.
+ Coponnıziö, 8. m. (t. d’hist. nal.) räle de
terre ow de genet : oiseau.
CoODORNO, 3. m. varicie de poire du Partugal.
"CORFFICIEATE , 6. m. (1. d’algäb.) coeflicient :
C0G
nombre eoanu, plac6 devant une quantiie ex-
primee en lettres et qui la multiplie.
Cotıaa, s. f. lapine, hase : femelle du lapin.
(Ag. fam.) Femme qui fait souvent des onlanis.
Coxıakıaa, 8. f. "clapier; garenne.
Coxıetıro, A, adj. te dit du chien ou
de la personne qui fait la chasse aux lapins. s.
m. Celui qui &i&ve des lapins ou qui en vend.
COELBINBO ow COBLBITO, s. m. dim. de Coelho,
lapereau.
Cotıno, s. m. lspin : petit quadrupdde ber-
bivore. — manso ou domestico , clapier, lapin
de garenne. — bravo ou do malo, lapin buis-
sonnier.
+ Corurciö, s. f. (6. de prai.) coeınplion :
achat r&ciproque.
Coentrina, 3. f. (i.decwis.) sauce de c0-
riandre.
Coentreııa. V. Pimpinella.
CotutRo, s. m. voriandre cullivee.
CoEPiSCoPO , 8. m. cosre&que : dydque Aare6
un autre.
+ Cuzecäö, s. f. (f. de praf.) coereition:
pouvoir, droit, action de contraindre au de-
voir, ä la croyance, d’empöcher de s’en &car-
ter.
CoRacrrivo, a. V. Coorcivo.
+ ConaciveL, adj. 2 gen. coereible : qul
peut @tre contraint; qui peut @ire rassembi6
dans un cerlain espace. .
CoERciVO, A, adj. coereltif : qui a le pouvoif
de contraindre, qui en renferme le droil.
+ ConssencıA, 8. f. essence associee, simul-
tanee.
+ CorssencıäL, adj. 2 gen. qui a la meme
essence qu’un autre.
Co£sso , 5. m. sorte de poisson de mer.
+ CozstÄno, 8. m. co-ttat : pays dont la sou-
verainet6 est partagde entre plusieurs.
CORTÄNEO, A, adj. contemporain : qui est du
meme temps,
CoRTERNO, A, adj. costernel : qui existe de
toute &ternitö avec un autre.
Co&vo,A.V. Coelaneo.
Corxıstencıa, s. f. coexistence : simults-
neits, existence dans le m&me temps$.
CORXISTENTE,, adj. 2 gem. coezisiant. p. a. d®
CoEXISTIR , ©. n. coexister , exister enseil-
ble, dans le möme temps qu’un aulre. _
FCOEXTENDER-sE, 0. r. s’ttendre en meme
temps qu’un autre.
CörrRB, 8. m coflre : meuble en caisse, d
couvercie, pour serrer les hardes, l’argent, el»
capacit& d’un corps animal. .
COFFAEZINHO ou Corrainho, s. m. dim. de
Coffre, coffret.
Cöro, s. m. (t. d’Asie) bouclier persan.
COGITABÜRDO, A, adj. pensil, reveut.
Cocıraciö, 8. f. cogitation : meditatioR,
pensee, idee, reflexion.
CoGıTAno, A,9.p. de ,
Cocıtir, v. ». penser, reflöchir, mediler- ;
CoCITATIYO, A, adj. pensant : quia la facull
de penser.
COH
Cocaaciö, 8. f. cognation : parents des co-
grals, dcs descendants d’une m£ıne souche.
Cocnino, A, 5. cognat : parent, descendant
d'une meme souche.
Cocxirıco, a, adj. cognatique : de la cogna-
ie
D.
Odsxicid, 8. f. V. Conhecimento.
Cöckıro. V. Conkecido.
Cocrömz, 8. m. surnom , sobriquet.
CocnouRnTo, s. m. sobriguet.
Cocnowınacid. V. Denominazdo.
Cosnommino,A,?.p. de
Coczowısir, v. a. surnommer. Il est aussi |.
sbriproque.
CocsosasıLipine, 8. f. facultö de connaltre.
Coczoscırivo, A, adj. qui peut connalire,
eapable de connaltre.
Cocaosciveı. V. Conhecivel.
*Cocnosguno ‚ Cocnoscer. V. Conhecer, etc.
Cocomsnäı. V. Pepinal.
"Cocowsao. V. Pepino.
Cocörz, 3. m. (8. pop.) occiput : le derriöre
de la tkte.
Cocda, 8. f. euculle ; vätement de dessus
de benedictins ei d’autres religieux.
CoctLioO, A,P.7.de
Cocr.ir, v. &, combler : remplir un vase
per-dessus les hords.
„8. m. comble : ce qui depasse une
Besure, un vase plein de solides.
Coctmtro, s. m. (1. de bot.) agaric comesti-
Ble, champignon des couches. — dos sabugos.
V. Orelka de Judas.
Conasiracäö, s. f. cobabitation. ‘
Conasıräa, v. ». cohabiter : vivre ensemble
semme mari et femme.
CoBzapKın0, A, 8. cohöritier : celui qui be-
file avec un aulre.
Conzagncıa, s. f. coherence, connexion,
D.
ConzatntE, adj. 2 gen. coherent:: qui a de-la
sebtrence.
COUERENTENENTE, ade, d’une manidre cohe-
Inte; consequemment,
Couzsiö, 3. f. (1. de phys.) cohtsion , adbe-
fence: force qui unit, rend compactes lescorps,
leurs parties.
Couzsivo, a, adj. quia lacohesion,
Goumsicäö, 8. f. cohibition : empächement,
Cessation d’une action contre la voloniö; re-
Ression.
Cosısido, A,?. p. de
Conmir, ©. @. reprimer, contanir, r&lräner.
D est aussi reciproque.
Conizmid. V. Co-irındo.
Conosacäö,s. f.(t. de chim.) cohobation :
üstillation reitöree de la möme malidre, ou
@une matitre semblable reiteree,
Conozino,A,p.p. de
Conosir , oa. (8. de ohtm.) cohober : distil-
ler plusieurs fois une liqueur sur son residu.
Coronzstacid, s. f. l’aclion de colorer, de
& une action l’apparen«e d’honnetele,.
Cououzstino, 4,2. 7. de Cohopssiar,
COL 303
ConONESTÄR, ®. 6. colorer : donner A unc ac
tion ’apparence de l’honnetet£.
COBÖRTE, s. f. cohorte : corps d’infanterie
romaine de cinqg & six cents hommes; troupe.
Coıce. V. Couce.
Cörra, s. f. coiffe Areseau, rösille,
CoırinHa, 8. f. dim. de Coifa.
t ColcuaL, adj. 2 gen. (1. de th£ol.) codgals
entiörement ögal avec un aulre.
Coma, s. f. amende pour des dommages
faits dans un champ par des bestiaux.
Coımipo,A,9.p. de
Coısir, ©. a, melire ou condamner & }’a-
mende pour des dommages faits dans un
champ.
Cofneri6,A, adj. et s. de Coimbre, ville de
Portugal. Estrada — &, ( Ag. [am.) le pont aux
änes : "usage commun et ordinaire.
CoıMBıro, 8. m. receveur des amendes. V.
Coima. adj. Defensable.
Coixcımencıa,, s. f. coineidence : diat de °
choses coincidentes.
CoincıDENTE, adj. 2 gen. coincident : qul
coincide, tombe avec un autre au meme point.
p.a.de
Cofncivir, ©. n. (8. de malh.) coincidere
s’ajuster l’un sur l’autre et se confondre. (fg.)
Arriver en m&me temps : se dit des &venc-
ments. ,
7 Cofnnicagkö,s.f. (1. demed.\coindication.
COInDICANTES,, 8. m. pl. et adj. (tl. de med.)
colnudicants (signes‘, qui concourent avcc les
signes ordinaires de la malsdie.
Coinguınia, V. Macular, Manchar.
° Goıöo. V. Desasire.
Corräca. V. Couraga.
Coraima. V. Courama.
Coıräd, 8. m. aug. de Coiro. (£. bar.) vieille
coureuse.
CoIRELLA, etc. V. Courella, etc.
Coinuiö, a, s. Primo —, cousin-germain,
Prima —4 , cousine-germaine,
Cöıno , etc. V. Couro. .
* Coıta, s. f. aflliotion, peine, chagrin; pau-
vreie. .
*° COITADAMENTE, adv. avec peine, aflliclion.
* Coıtadice. V. Coila,
CoITADINBO , A, adj. dim. de
Comipo,A, adj. aflige, malleurcux, cha-
grin , pauvre; insortune, digne decompassion.
— de mim! pauvre de moi! malheureux que
je suis!
* Coıteıuo. V. Cerradinho ei Coulelho.
Cöıro. V. Couto.
CöıTo, 3. m. coit: accouplement dcs scxc9
pour la gene£ralion,
Coıxa. V. Coxa.
* CoıxöTE, s. m. cuissard, piece d’armure
des cuisses.
Coıza. V. Cousa.
Cöra, s. f. queue. V. Cauda, {fig.) rasto,
iugada. it. V. Colla.
Corarızar. V. Colaphizar. u
CoLio, 3. m. (l. de la Chine.) col:o : ministre
30% COL.
d’eiat chinois & qui les Portugais ont donne
le nom de Mandarim. V. ce mot.
CoLaPHızÄipo, 9. p. de
+ CoLarnızia, v. a. colaphiser : souflleter.
CöLcka , s. f. courte-pointe, lodier, couver-
ture piquee.
CoLcHiö, s. m. matelas. — de pennas, lit de
plumes.
Coıcaka, 8. f. (f. de mus.) croche : note de
musique qui a un crochet : elle vaut la moiti6
d’une noire.
CoLcakıao, 8. m. faiseur de lodiers, de
couries-pointes.
CoLcHETE, s. m. agrafe. Filmes do —, porie
de Vagrafe.
CöLcnıco, s. m. (t. de bot.) colchique , tue-
ebien : plante liliacee, ven&neuse.
CoLcuVADo. V. Acolchoado.
CoLcHo8ßıa0, 8. m. matelassier : qui l[ait ou
vend des matelas.
CoLcotHaR, 5. m. (l. de chim.) colcotar : sul-
fate de ler calcine.
CöLoaEs, s. m. pl. * fontes de pistolets.
Cougar. V. Collear. ”
* CoLica. V. Colheila,
COLEGATÄRIO, 5. m. co-l&gataire : qui a part
aux legs d’un testament.
Corkına,, etc. V. Colleira.
CoLennıssımo. V. Hespeilabilissimo.
+ CoLeörreaus, s. m. pl. (i. d’hist. nal.) co-
l&optöres : insectes A ailes recouvertes d’dtuis.
CöLera,s. f. bile : humeur du corps animal
stparde dansle fuie; (Ag.)—, colere, ompor-
tement. V. Cholera. Transporte de —, bouflee
de colere. Impando de —, bouffi de colere.
Deizar-se levar da—, se laisseraller Alacolöre.
CULE£RICAMENTE, adv. avec colere.
CorL£aıco, A, adj. colerique, eınports, bi-
lieuz ,colere, enclin & la coldre. Bsiar —, #ire
en colere. Ser —, avoir le sang chaud, &tre
colerique. V. Cholerico.
CoLzsızan-se. V. Enoolerisar-se.
CoLC4D0, A, p. p. de Colger.
CoLcaDüra, #. f. tenlure : cerlain nombre
de pieces de lapisseries pour döcorer un ap-
partement. (Ag.) "Present fait, envoy& & quel-
qu’un, le jour de sa fete.
CoLcän, v. a. suspendre, pendre, accro-
cher, attacher, appendre. Tapisser un apparte-
ment. — a alguem, (g.) envoyer un present &
quelqu’un le jour de sa föte.
CoLcAR, ©. R. 085 —se, dv. r. pendre, ötre
suspendu, pendant; (fg.) dependre de la vo-
lonıe d’un autre.
"CoLHano. V. Oulsiro.
* CoLHir,s.m.V. Colher.
Cornantıno. V. Colhertiro.
CoLuzpäina, 5. f. (f. de peint.) feuille de
corne pour ramasser les teintes sur la pierre &
broyer.
CoOLBEDOR ‚A, 8. Celui qul cueille. Collecteur,
receveur.
1 CoLmenönes, s. m. pl. (l. de mar.) rides:
Petitos cordes pour ferler les volles.
»
COL
TCoıuscüaa, s. f. Paction de caeillir, la
portion cueillie.
° Corseickıro. V. Collector.
Coıntita, 3. f. recolte, levee, depouille,
moisson , cueillette : l’action de recueillir les
fruits , son produit, son &poque et sa duree.
(Ag.) Moisson, abondance de vertus, etc. if.
V. Abrigo, Refugio. Ter alguma cousade sus
proprie —, avoir quelque chose de son propre
crü.
* Coıntıro,A. V. Colkido,p. p. de
CoLmta, v.a. saisir, prendre avec la main,
empoigner. Cueillir, ramasser, recolter, mois-
sonner, depouiller. Trouver, rencontrer, al-
traper. Surprendre, en parlant de la nuit, de
la pluie, de l’orage, etc. Surprendre, attraper
dans une fourberie, etc. Accrocher, atiraper
par adresse , gagner par finesse.— (de) inferer,
conclure. ii. V. Acolker.—agua em cesio, (ig. )
travailler en vain. — correndo, altraper. —
de baixo, accabler. — pelos cabegöes, melire
la main sur le collet & quelqu’un. — lowros,
(Ag.) cueillir, moissonner des lauriers. — =
com as mäos na massa , (fam.) prendre
quelgu’un sur le fait. — palarra d’alguem,
tirer parole de quelgu’un. — forgas, reprendre
des forces. — as velus, (l. de mar.) ferler les
voiles. — os cabos, (id.) rouer les man@uvres.
CoLnßR-SE, v. r. V. Acolher-se.
Coru£a, s. f. euiller ou cuillere : ustensile de
table, etc. — de chd, petite cuiller.
CoLHERÄDA ‚s. f. cuilleree : plein une cuiller
Dar, metier a sua—, (loc. fam.) s’immiscer, 86
meler. .
CoıLueriö,, 3. m. aug. de Colhir.
CoLNEREIRO, 5. m. celui qui fall ou vend des
ouillers.
+ CoLaextıno, s. m. (l. d’hist. nal.) spatule :
oiseau & bec en spatule.
COLHERRTE, 8. m. coup de balle de paume.
COLHERINBA, 8. f. dim. de Colher.
CoLxninö, A, ?. p. de Colher.
COLBIMERTO, 3. m. * cueillette, recolte.
CöLıca ,s. f. colique. Dores de —, tranchtes.
CoLırLoa. V. Couveflor.
+ CöLıo, 8. m. (8. d’kist. nal.) Coliou : passe-
resu d’Alrique.
CoLirıca ‚s. f.(l.de mdd. anc.) *vomissement
de la bile.
CoLısto ou CoLissko, s. m. colisee : ampbi-
theatre A Rome.
CöLLa, s. f. oolle: malidre tenace pour coller.
Queue. —de peize, colle de poisson : sert d
&elaireir les liqueurs.
CoLLaBonacä0, s. f. collaboration, coopera-
(ion; action du collaborateur.
COLLABORADO, A, P. p. de Collaborar.
CoLLABORADOR, A, 5. collaborateur : qui
travaille de concert avec un autre & un ou-
vrage, & un livre, otc.; qui l’aide dans ses fono-
tions.
+CoLL.asoria, v. n. travailler de concert
avec quelqu’un; l’aider dans ses fonctions.
CorLaciö, 8. f. collation : droit, action de
COL
tonferer un bendfice ecciesiastique. -—, repas
kger qu’on fait au lieu de souper les jours de
jetne. Comparaison, parallöle. —, l’action de
tenferer la copie d’un ecrit aveo l’original.
CoLuacia, s. f. liaison entre les Iröres ou
seurs de lait.
CoLLAcıONÄBO, A, 9. p. de
COLLACIONÄR, ©. @. collalionner : oonlerer
des ecrits; veriler un original et sa copie;
comparer. ’
(pLLico, A, 8. [röre, saur de lait.
Coins, 3. f. gorge : defild entre deux
montagnes,
CorLipo,a,p.p. de Collar.
CoLLanea, 5. me. collateur: celui qui a le
droit de conferer un beneflce.
7 Gızirso, s. m. (— das folhas, t. de bot.)
sommeil: &iat d’une fleur, d’une feuille qui
sest fermee. (.de med.) Collapsus, prostration
des forces.
Corrin, s. m. collier: ornement autour du
au. i.V. Golilke.
Cotzia, v. a. coller: conferer un benefice
ertiesiastique.
CoıLir, v.w. se couler; passer par un lieu
&irvil (fam.) Passer pour bon ou pour vrai
sans Petre, en parlant des choses. Venir ä bien,
teussir, en parlant d’une chose difficile.
fCoıLuatıe, s. m. diem. de Collar. Collet.
COLLARINRO, 8. m. dim. de Collar. Col de
chemise; colleg.
CsureriL, edj.2 gen. collateral, On le dit
des parties d’un edißice placdes & cöts de la
Pecpale. —, parent hors de la ligne di-
Corarivo, a, adj. collatif: qui confere (un
benefice),
Corıatön. V. Collador, Padroeiro.
WLız,s.m.p. us. V. Ouleiro.
CoLizino. V. Conluiado. it. p. p. de
"CoLızir, v. n. branler la t£te.
ourtcciö, s. f- collection, recueil, assem-
age.
Coı£era, s. f. collecte : levee de deniers.
-,oraison avant l’*pitre ä Ja messc. Dans l’e-
glise primitive, r6union des Adeles pour cele-
hrer les offices divins. *Impöt sur les revenus
des benefices ecclesiastiques.
CoLLectano, A, P. p. de Collectar.
TCoLLzcrängas,s. f. pl. "recueil, collection
de choses analogues.
CoLLecrineo, A, adj. recueilli de divers ou-
Trages,
tCoLLecrir, o. a. melire des impöts sur
revenus des benefices ecclesiastiques, les
Cıeericıo, A, adj. ramassö de cold et
@autre, sans choix. Genie —a, armee com-
Poste de troupes levees A la häte.
COLLECTIVAMENTE, ade. collectivement, en
Kommun, dans un sens collectif.
CoLLecrivo, a, adj. collectif: qui presente
Adee d’un tout (mot —). Ex.: peuple, armee. | p
Wıuscro. V. Colligido,
VORTrTR
COL 3
CoLLzcrör, s. m. colleoteur : celui qui lait la
loves des impositions; qui fait une oolleclion.
— de sua santidade,, personne commise par Io
roi et le pape & la recetie du droit d’annata et
autres revenus de la chambre apostolique.
Corızcronia. V. Recebedoria.
CoLLEca , s. m. collögue : compagnon en di»
goite, en fortune, en occupalion. Confrdre.
Corzecıipa, 8. f. eglise collegiale, od il y
a des beneficiers qui disent l’ofice tous les
jours.
CorzeoriL, adj. collögial : du collöge, qui
concerne le college.
COLLEGIAL , s. m. collegiat : boursier dans un
college ; compagnon de college ; collegien.
COLLEGIÄLMENTE, adv. en Corps, cn coM-
munaute.
COLLEGIATURA, 8. f. bourse : place dans un
college.
CoLL&cıo, s. m. collöge: communaute de
personnes qui s’appliquent & l’etude des scien-
ces, etc., 50us des superieurs; liou desiine &
cet enseignement. Maison d’educalion. —, cer-
tain corps ou compagnie de personnes qui ont
la meme dignite. — apostolico , college aposto-
lique. — dos cardeaes, sacr& college, college
des cardinaux. — maior, grand college, dont
les membres sont specialement appliques &
l’etude des hautes sciences. — menor, petit
college, par opposition & collegio maior. —
militar ou dos mililares, college pour les
membres des ordres militaires. — dos nobres,
college destine exclusivement pour les nobles.
CorLkiaa ,s. f. "collier de chien; carcan.
CoLLeißipo,A, adj. (t. de bias.) avec un
collier. (#4. d’hist. nat.) A collier, qui a un col-
lier (oiseau,, etc.).
CoLLEirinHo. V. Collarinho.
CoLLeitor. V. Collector.
CoLL&tE, s. m. gilet. — de mulher, corset,
CoLLETInuO , &. m. dim. de Collete.
*CoLıtro, s. m. collet de buflle, buflle:
espece de justaucorps de peau de buflle.
CoLLicacäö, s. f. ligue, conlederation. Com-
plot. Union , enlacement.
CoLuıcino, ‘a, p. p. de Colligar-se. adj.
Alli6, uni, confedere, coalise.
* CoLLicApüra, 8. f. union, enlacement.
* CoLuicäncıa, 8. f. Cconnexion, Fapport,
liaison.
CoLLicäir, v. a. liguer, former une ligue.
COLLIGAR-SE (com), v. r. 36 Co-liguer, 80 li-
guer, s’unir, s’allier, se confederer.
CotLicivo, A,p. p. de
COLLIGIR , v. a, recueillir, ramasser, rassem-
bler. — (de, por), deduire, conclure,inferer. 11
ost aussi r&ciproque.
+CorLımaciö, s. f. (1.de phys.) collimalion:
ligne par laquelle on vise ä un objet & Iravers
les pinnules d’un graphomeire; axe optique
de la lunette.
CoLLimttäno, A, adj. conlinant, limitrophe,
.p. de
CorLimıtan. V. Demarcar.
»
306 COL
Corıfma , s. f. ooltine, monlicule, eoteau.
Corımöso, a, adj. od il y a des collines,
des oolsaux.
CorLıquacid, s. f.(l. de mdd.) resolution,
ddcomposition du sang.
CoLLiquarivo, A, adj. (l. de med.) oelliqua-
tif : qui rösemt ou est zesous en liqueur; qui
indique la deeompesition du sang; qui le de-
sompose ; qui fond les hamears.
Coutinıo, eto. V. Collyrio,, eto.
. + Coruaöstaos, s. m. pl. (1. d’Mst. nat.)
vollirostres om auchenoringues, insoctes be-
-miptöres.
Coruisid,s.f. collision : choc de deux corps.
(fg.) —, &boo des partis politiques; lutte,
combat;; oontrarietd, opposition d’interets.
CoLLirisäDo, A, p. p. de Collitiger.
COLLITIGANTE, s. 2 gem. oontendant : celui
qui plaide aveo un autre contre un tiers. —®,
Bi. colligants : coux qui plaident Pun contre
autre.
+Couurmicar, vo. m. plaider Fan contre
Yautre.
CöLLO,s. m. cou, col: partie da corps qui
fein! la töte aux &paules. (g.) —, eol, goulot::
a partie supetrieure d’une bouteille, d’un ma-
tras, eto. it. V. Cerviz. —da beziga, col dela
vessio.— da mäo, Jointure de la main. Levan-
tar o—, (fg.) etre dans un dtat de prosperite.
Bein : partie du corps depuis le cou jusqu’au
ereux de l’estomac. Ao —, dans les bras, sur
les genourx.
“ CoıLocagiö, s. f. position, disposition, as-
siette ‚ situation, place. *Emplacement: Paction
de placer. * Arrangement des mots.
CorLociD0,A,P.p. de
CoLLocär, 9. a. placor, poser, planter, pos-
ter, arranger, ranger, disposer. (fig.) Etahlir,
placer : donner une place. 1l est aussi reci-
proque.
CoLocvror. V. Interlocutor.
*CoLLönHO,&A, adj. Carga —a, charge que
Pon porte sur !a tete.
CoLLöquro, 3. m. colloque, entretien, con-
versation, devis.
CoLLudenTe, adj. 2 gem. colludant : qui
prend part & une collusien.
CoLLupir, ©. w. colluder : s’entendre avec
son adrersaire pour tromper un liers; tromper
un üers par collusion.
CorLusiö, #. f. collusion : intelligence se-
ereie entre deux on plusieurs pour iromper un
ers.
CoLLusivo, a, adj. V. Collusörio.
COLLUSÖRIANENTE , adu. collusoirement : par
vollusion.
CoLLusönı0,A, adj. collusoire: fait par col-
" Rasion.
CorLruvrid. V. Alluvido, I .
f CoLLuronıo, s. m. (l. de med.) collutoire :
liqueur pour laver la bouche,
Corudro. V. Conluio, Collusio.
CoLLYRo, 8. m. (1. de med.) coliyto : reinede
ezterieur pour les ycux.
COL
CoLuip0,&A,9.9.do
CoLmir, v. a. eouvrır de chaume, de patlie,
eornbler.
CoLmta ou Conutıa.. s. f. ruche. Tor a casa
0omo uma —, avoir la maison bDIEn appforı-
sionnee de tout. ER
COLMEÄL, 3. m. ruoher: Heu od Il y a beau-
osup de ruches.
COLMEIRO, 3. m. celui quis soln des ruches,
gouverneur des mouches & miel.
Cormtıro, A, adj. de la nature da chaume.
s. m. Couvreor en chaume: botte de chaume,
CoLuiLno, 3. m. "dent canine: dent de Joup,
defenses du sanglier.
CoLnıLn0so, A, adj. qui a les dents canines
trös-grandes ei ir&s-Krosses.
CoruıLuöpo, A. V. Colmilkosu.
COLNO, s. m. chaume. (fig.)" Chaumidre.
Cöro. V. Colle, -
CoLöB1o, s. m. sorte de lunique sans man-
ches. '
CoLosrfra, 3. f.el ) anctenne machine de
CoLOSRfTE, 8. m. guerre.
CoLoprino, eto. V. Colubrino. etc.
Corocäsıa,, s. f. V. Inkame do Egypto.
CorLocynTeR. V. Cologuyntida.
”+Coröpra, s. f. grand vase pour le vin,
V. Cabaga.
CoLoronta. V. Colophonia.
COLOMBÄcEO, A, adj. de la nature des pi-
geons.
+ Corousina, s. f. *colombin : pierre nıine-
rale d’oü Fon tire le plomb.
CoLowsino, A, adf. colombin : de pigeon , de
colombe ; qui en a la forme. la couleur; qui lul
ressemble.
T CoLONBO, COLUMBO ou COLUMBA, 8. m.
ou f. colombo : racine amöre, astringente, des
Indes.
Coroufm ow Corumım, s. m. (f. du Bresil)
garcon qui est au service de quelqu’un.
CoLön,s.m. (8. d’anat.) colon : le deuxieme
des gros intestins. (6. de gram.) Memhre prın-
eipal d’une p&riode. Comma : espece de ponc-
tuation.
CoLönta , 8. f. colonie : nombre de personnes
des deux sexes envoy6&es d’un pays dans un
autre pour l'habiter; peuplade d’emigres; le
pays oü ils se sont etablis; pays habit€ par une
portion s&parde de peuple; ces habitants.
+ CoLönıa, s. f. (f. de geug.) Cologne : ville
d’Allemagne. Agus de —, eau de Cologne.
gorostin, adj. 2 gem. colonial: des colo-
nies.
+ Coxonrtnse , adf. 2 gen. de Cologne.
+ CoLonızacäd, s. f. velonisalion : action de
coloniser.
CoLonızino, A, 2. p. le Colonizar.
+ COLONIZADOR, A, ag. et m. celui qui celo-
nise ; qui envoie, qui anne des Colonies.
+ CorLonızär, ©. a. seloniser : #tablir une
colonie.
CoLöno, 8. m. cofon : qui oultire une terre;
eultivateur, habitanı des colonies.
COLL,
COM 307
Qromönta, s. f. volophane :: sorte de r&sine | composite. -- eorintkis , colonne Eorinthienne.
pas frotier l’archet du violod.
CeLoour'ntida, 8. f. (4. de bol.) coloquinte :
ekronille, concombre du Levant.
'Ous. V. Cor, Pretssto.
CoLorsnimente, adv. sous Ccouleur, S0us
pötezte.
(urip0, 4,9. P. de Colorar.
adj. 2 gen. colorant: qui 60»
kre. p. @. de
CoLorär, 9. &-Colorer: donner de la o0u-
kur, teindre en couleur. ( lg.) V. Colorsar.
Cororzin0, a, p. p. de
Cororzir, 9.6. (ig.) Colorer : donner une
' belle apparence A ce qui est mauvals; couvrir
de queigue preioxte.
CoLoaiao, 1, p. p. de Colorir. s. m. Coloris,
tolorisstien, ( Ag.) * Gouleur, prötexte.
1 aLaino, 4, 0dj. colorifique : qui produit
eur.
Cororie, v. . oolorier : donner les cou-
. kun; metire les coulears & une enlaminure,
kte esizmpe, un dessin; employer les cou-
kurs dans un tableau.
Coraista, s. m. coloriste : peintre qui en-
ind bien le coloris; celul qui colorie les
y. Hampes,
tWuorizicid, a. f. (1. dechim.) colorise-
Ken che nt de eouleur des substances.
en ıL, adj. 2 gen. colossal : de grandeur
gen
„. Wussto,s. m. oolossde, colysde.
CoLösso, 5. m. colosse : statue om (Ag.)
‚> gigantesque. Il se dit d’un homme,
‚. Con tat puissant.
" t@rosmucid, s. f. coolostration: maladie
„. Nusee 4 lenfant par le colostre.
Ion Gusto, s.m. colostre: premier lait aqueux
bs femmes apr&s Paccouchement.
„ntlemaina, s. f. couleuvrine : canon Irds-
. @ (1. de bot.) Racine de serpent. ” Muncos,
„Mo, mangouste : valeriane de Guzarale.
n*
Gun, a. f. (t. de bot. ei d’hist. mat.)
„„..Muella: axe Interieur d’une coquille, d’un
a BR. Colamelle : eylindre qui contient la pous-
„.W® Seminsle des mousses. Pellicale du pa-
:. „ Benflamme,
{ok FCoum ; .
2 ELLÄDO,, A, adj. columelld : pourvu
Becolumelle.
Luna om Corina, s. f. colonne : pilier
ja Per soutenir, pour orner un bAtiment;
„0: Pat, sa representation ; portion de page,
# feuilleldiviss perpendiculairement. (4. mul.)
is. pr de troupes qui presente peu de front,
al qui est ires-profond. (fg.) —, appui,
Dre — mcenada, colonne cannelee. —
A eu sella, colonne isolee. — abalails-
fr: 4, colonne qui ost plus large du-'haut que
‚= allica ou .guadrada ‚colonne atique
are, pilastre. — ooimposila, colonne
D
%
pie #
ch
— dörica, eolonne dorique. — jönies, coloune
ionique.— lorsa ou salomömiea , colonne torse. :
— loscana, colonne toscane. —s das abilas,
(t. de mar.) * montants,, piliers des bittes.
+CoLvunir,adf. de colonne, qui ena la
forme.
T CorLvuninıo, A,adj. on le dit de lamonnaie
espagnoled'argent frappede auxIndes aveo deux
colonnes et les mots latins : Nam plus ulird.
CoLuunita, s. f. colonnade : rangee de co-
lonnes.
+ Cortano, s. m. (4. de bof.) noisetier nein,
de Constantinople.
CoL6ao, 8. m. (1. d’astr:) oolure : chacun des
deux grands cercles qui coupent l’&quateur ä
angles droits et en 4 parties ögales.
Corörea , s. f. (1.de bo8.) * baguenaudier oom-
mun, baguenaudier & vessies, faux send. —
bastarda , coronille G0uronne6e.
+Corr'vıo, s. m. (t. d’hist. nat.) colydie
colöoptäre tötramöre.
+ Corza ou Corsa, 8. f." colsa ow colza, es-
p&ce de chou sauvage irds-utlle, cultiv6 en
Fliandre : on tire de Y’huile combustible de sa
graine; le r&sidu nourrit les bestlaux.
Cou, pr6p. avec. En. Sur. De. Parmi, entre.
Voici quelques exemples de la traduction de
cette pr6position en francais. Jantar — elle,
diner avec lui. Cortar — ums faca, couper
aveo un couteau. Estar — capule, Eire on
mantesu.— a nolicia de sua vinde, sur lo
broit de sa venue. O dinheiro, papeis, ec.
tiaha — sigo, Vargent, les papiers qu’il
avait sur sol. Olkar—mdos olhos ,regarder de
mauvais il. — este tempo, de ce lemps-Iä.
Gankou nome— os estrangeiros ‚il s'est acquis
de la r&putation parmi les etrangers. Lorsque
com est joint & un infinilif, celui-ci se rend
en frangais par le participe present; ex. : Com
vencer conclulo s guerra, en vainquant il ter-
mina la guerre. Quelquefois il disparatt dans
la traduction; ex.: — as la nos olhos,
les larmes aux yeux. —a espada dcinia , l’6pte
au cölö. — sor meu amigo ‚tout mon ami qu’il
est. — que, tal que,— ano que, pourvu que,
& condition de; dono, ainsi, de sorte, de ma-
niere que. — Iudo, — fudo isso, cependaot,
n6anmoins, avec tout cela. Commigo, comligo, .
COMMOSCO , C0OMOOSCO, avec moi, avec toi, avec
nous, aveo vous. — grande trabalko,, cuslo, ou
difficuldade, A grand’ peine.
Con, s. f."crin, oriniere, longs poils des
animaux ; chevelure; feuillage touffu. (fi. de
me£d.) Coma : maladie soporeuse.
CoMino, A, adj. qui a uns longuo cherc-
lure ; couvert d’an feuillage touffu.
CowÄDRE, 8. f. commere; sage-femme, ac-
coucheuse ; bassinoire. (fam.) —, noın que Ics
femmes du peuple donnent aux voisines, lcurs
amies. Quinia feira de —s, le jeudi avant lcs
trois jours gras, le jeudi gras.
ComÄntE, adj. 2 gen. ($. de pods.) avec ung
chevelure.
308 COM
Comärca, s. f. contree; district, canlon;
departement. * Confin. Cabega de —, chef-lieu ;
(fig. fam.) t&te demesurec. ,
+ COMARCANTE, adj. 2 gen. Conlinant : qui
confinc.
Cowarciö, A, adj. circonvoisin, conligu,
limitrophe.
COMARCÄR, 9. B.confiner , ötre circonvoisin,
limitrophe.
fComari, adj. f. Piments —, petit piment
du Rresil.
+Cöwmaro, s.m. V.Comoro. (tl. de bot.) Co-
maret, quintefeuille rouge, argentine & fleurs
rouges, plante fosacce.
f Couarö, s. m. certain bois du Bresil, tres-
dur, bon pour les chariois.
Comito,A.V. Comddo.
CosmAT6s0, A, adj. ($. de med.) comateux:
qui produit ou annonce le coma. V. ce mot.
COMBALENGAS, 8. f. pl. (6. d’Asie) calebasse,
courge de l’Inde.
CossALiDo,A,P.p. de Combalır, adj. ma-
lingre, infirme; indispose, mal portant; qui
commence & se gäler.
CosmsALir, v. a. ebranler; changer de son
elat [erme , sain , tranguille.
COMBALIR-SE, v. r. 8’aflaiblir; se gäter.
Comsanıa. V. Combalir.
+ Cousasü,s.m. (f. d’hist. nal.) combason :
espece de moineau du Senegal.
CONBATE, 8. m. combat. (Ag.) —, trouble,
agitalion interieure ; contrarieles ; Opposition;
dispute , contestalion,, lutte. —s, pl. combats :
jeux publics. — singular, duel. Ter —, €ire
attaqusble. A praca sö6 tinha — pela parle do
poenie , la place n’etait attaquable que Ju c6te
du couchant. Rede de—, (1. de mar.) ület de
bastingage.
COMBATEDÖR, A, adj. ei) combattanı, celui
CONBATENTE, adj. et s. qui combat; sol-
dat & l’armee;; tenant d’un tournois.
CONBATER, v. a. combaltre, balire, atta-
quer. li a les me&mes acceptions dans les deux
langues. On dit battre, en parlant Jes vents,
de la mer, de la tempete, des vagues.
CONBATER (com, confra), vo. ». coınbattre. Il
a tWoules les acceptions du mot frangais.
COMBATIDO, A,P. p. de Combater.
- TCOMBATIVEL, adj. 2 gen. qui peut £tre
combattu. ,
Comsinaciö,s. f.combinaison. (f. de chim.)
—, union intime des parties formant un nou-
veau corps; combine. (t..d’algeb.) —, maniere
de prendre les donnedes mathematiques, des
quantit6s representees par des lettres deux &
deux, trois A trois, etc. Concordance de diff6-
rents textes. Comparaison.
CoOMBINäÄDO, A, p. p. de Combinar. adj. com-
bine: composee de differentes nalions, en
parlant d’une armee, d’une cscadre.
Comsıinanon, 8. ın. combinaleur : celui qui
combine,
ComsımÄa (com), v. a. combiner. Coipparer.
N
COM
COMBINÄR-SE (com), v. r. 56 combiner : se dis
des choses et des personnes.
CONBINATÖRIO, A, adj. On le dit de l’art de
combiner.
CoMBınÄvEL,adj.2gen.combinable: qui peut
eire combine.
CowBör 0% COMRÖIO , 8. mM. CONYoi : transport
de provisions pour un camp, uno place; ce£
provisions, leur escorte; vaisseaur, soldals
qui escortent; flotte marchande escori£e.
COMBOIADO, A, P. pP. de Comboiar.
COMBOIÄNTE, convoyant: qui convoie. 9. a.
de
COMBOIÄR, ©. a. CONYOyer, 6SCorler, a0coIM-
pagner pour delendre.
COMBOLLIRO, 3. m. directeur d’un convoi au
Bresil.
*Comsöncaı ,s. f. rivale d’une femme mariee,
d’une malilresse.
* COMBÖRGO, s. m. Fival du mari de la mal-
tresse; homme qui a une [emme maride pour
concubine.
+Cousna£ro, s. m. (1. de bot.) chigomier:
espece de myrte.
Cöuseo. V. Comoro.
+ CosnuR£xTe, adj. 2 gen. comburant : qui
a la propriete de brüler les corps combusü-
bles.
Cousustäö, s. f. combustion. " Embrasement.
(Aig.) Grand desordre, grand tumulte dans le
peuple, dans une assemblee. (I. dasir.) —,
conjonction d’une planetie aveo le soleil.
CONMLUSTIVEL, adj. 2 gen. combustible : qui a
la proprieie de brüler. s. m. —, tout ce qui sert
& entretenir le feu.
+ComststisiLwäng, 5. f. combustibilite :
propriet& qu’ont la plupart des corps de s’unir
a l’oxygene.
Coxssisto, A,adj. V. Abrazddo. Pienela —,
(1. d’astr.) planete qui est en conjoncion avec
le soleil.
CoscAusA,s. f. Cause concomitante,
Cose. V. Sersifim.
CONEGADO, A,D. p. de Comesar.
CoNL.;ADÖR,A, s. Celui qui commence.
COMESÄR, t. a. commencer: [airc ce qui doit
etre fait d’abord ; enlamer. — a campanka , ou-
vrir la campagne.
COMEGAR, vd. N. commencer: prendre com-
mencement; debuter. E necessario — por este
assumplo, il faut que ce sujet marche le pre-
mier.
Com£co, s. m. commencement; debut.
CowkEoıa, 8. f. comedie: piece dramatique
de theätre. ( fig.) Action plaisante, ridicule.
CouMEdla , 5. f. V.Comedoria, Bendimenio.
COMEDIANTA, 8. f. comedienne, actrice.
COMEDIANTE, 8. 2 gen. comedion, acleur.
COMEDIDAMENTE, ado. sagement, modere-
ment , honnetement, civilement.
CoNEDIDO, 4,9. p. de Comedir. adj. Sage,
modere, honntte, civil, retenu.
COMEDIMENTO, 3. m. * retenue, moderalion,
discretinn. modestie, honnetele.
COM
Cowenir , ®. a. contenir, retenir, möderer.
Coxspin-SE, v. r. se relenir, se moderer, se
regler, se contenir, se conformer.
COWEDOR, A, s. grand mangeur, gourmand,
glouton.
Cowevoria, 8. f. ration, frais de table. V.
Alimento.
COMENÖTKO, 5. m. auget, Mangeoire : petit
rase oü l’on met la mangeaille des petits
eiseanx que Yon nourrit en cage. adj. Man-
geable : bon & manger.
* Conenüra. V. Comedoria.
Coweworäin, etc. V. Commemorar, etc.
Cowenpi,ete. V. Commenda, etc.
Contnos, s. m. Nesie —, sur ces entre-
faites.
Couswtär, etc. V. Commenlar, elc.
*CöwEos. V. Com£nos.
Coser, s. m. le manger, la nourriture, les
aliments. Ser de bom —, avoir ordinairement
bon appetit; @tre bon, agreable & manger.
(fig.‘ Se contenter de tout.
Contra, ev. a. manger. (fam.) —, depenser.
(Ag.)—, dissiper, consumer son bien. (id.) Pi-
quer, demanger. (id.) —, rouiller, ronger. (id.)
Prendre une piece au jeu de dames, aux
echecs. Engloutir, en parlant de lamer. —a
dous cerrilhos , manger A deux räteliers ; mel-
tre les morceaux doubles; tirer parti de deux
complots differents; menager la cherre et le
chou. — bem, faire chere-lie, ou bonne
chere.— mal, ne manger que des carottes.
— como um boi ou como um lobo, manger
comme un ogre. — ds migalhas, pignocher.
— a c6r, decolorer. — com ansia, devorer.
—de ınöfo, {fam.\ piquer llassiette : manger
aux depens d’un autre. — 0 pdo d’alguem,
(fam.: manger le pain de quelqu’un, @tre ä
son service. — päo com cödea, ! fig. [am.) sa-
voir manger son pain, n’avoir besoin de per-
sopne.— e ralar. On le dit pour marquer la
deference, la soumission qu’on doit avvir pour
les personnes qui nous nourrissent. — as unhas
de alguem „ devorer, dissiper tout le bien de
quelgu’un. Ter que —, avoir de quoi vivre.
Fazer — terra a alguem, opprimer, vexer
quelgu’un , le reduire au dernier tat. — as pa-
letras, manger les mots, ne les prononcer pas
bien. Näo ter que —, n’avoir pas ä manger.
O—- eo cogar ludo estd no comegar, l’appetit
vient en mangeant.
Cou£r-SE, ©. r. se manger. — d’alguma
eossa,ne pas endurer unechose.—d’inteja, st-
cher d’envie. — de piolhos, de miseria, elc.,
(fg. fam.) eire dans la derniere misere.
— uns aos oulros, ( fig.) etro en discorde per-
pttuelle.
COMERZINGO, 8. m. dim. de Comer.
TCöoues, s. m. pl. (fam.) Il n’est usite que
dans cette phrase: Gastar ludo em — e bebes,
mettre tout par ecuelles.
‚ Gosasinuo, A, dj. bon Amanger; ( ig.) ais6
acomprendre.
COM 309
UDMESTIVEIS, s. m. pl. comestibles, vivres.
COMESTIVEL, adj. 2 gen. comestible : qui
peut se manger.
* Comksto, A. V. Comido.
Contra, s. m. (l. d’asir.) "comete : corps c&-
leste que l’on croit de la nature des plandtes,
extraordinaire, lumineux par reflexion, suivi
d’une queue , barbe ou chevelure lumineuse, et
s’ecartant de l’Ecliplique selon une ellipse Ir&s-
allongee, Ires-excentrique; preiendu presage
de malheur. (t. durl.) Gros maugeur, gour-
mand. .
+} CoMETÄRIO, A, adj. comeölaire: des Co»
metes.
+ CoMETOGRAPHiA, 8. f. (. d’asir.) oomeöle-
grapbie:: traild sur les comeötes.
* Combvos. V. Comenos.
Comszinı ou Comzziına, 8. f. (fam.) ei»
paille, bombance.
CouEzinHo. V. Comesinho.
COMGALARDOAR, V, Galardoar.
"Cousa. V.Loma.
CÖMICAMENTE, adv. comigaement : d’une
maniere comique.
CosicHäö, s. f. demangeaison, picotement,
(fig.) —, envie immoderee.
ComicH6s0 , A, adj. chatouilleux ; difficiie &
contenter.
+ ComicıaL, adj. 2 gen. comicial: fait en
commun & la diete de Ratisbonne.
Conuicıos, s. m. pl. comices : assembl&e du
peuple romain.
Couıco, A, adj. comique : de la comediez
plaisant, risible. — keroico , herof-comique. 8.
V. Comediante.
CouipA , 3. f. nourriture, manger; viande,
mangeaille, subsistance; repas. — de bodega ,
gargolage. Boa ou md — , bonne ou mauvaise
chere. — delicada , exquisila, chair angelique,
mets exquis,
Coxipo,A, P. p. de Comör. adj. Rassasie,
repu.
ComıLAö, ONA, 5. 2 gen. bäfreur, glouton,
grand mangeur.
+ Cominza ou Cominia, 8. f. ( l. de bot.) *su-
mac: plante lerebinthacke.
COMIixGE, 8. m. (f. d’artill.) comminge': sorle
de gros moriier.
CosınBos, etc. V. Cuminkos, elc.
Cox-ırmÄd. V. Coirmdö.
Cowrtiva, s. f. suite, monde, train, cori&ge.
CösMıTRE,s. m. (t. de mar.) comite : officier
de la chiourme des galeres.
Couma,s. f. (t.d’ortk.) virgule : peiite mar-
que de ponctuation. (1. de mus.) "Comma: in-
tervalle entre une note diezde et la note imme&-
diatement superieure bemolisee; quart de ton.
Sem descrepar uma — ‚tr&s-exactement, tr&s-
Justement.
COMMANDAnDO, A, P.p. de Commandar.
LOMMARDAMENTO. V. Commando.
COMMANDÄNTE, s. m. commandant: celui qui
commande. —em chefe ou geral, comman-
310 COM
dant gönöral. — om sogunde, oommandanı en
second. General — d’uma divisdo, ete., gend-
ral commandant une division, ots.
CoNMANDÄR, ©. 6. eommander : #tre ehel;
conduire ; avoir Pautorits, le droit de oomman-
der; mener & la guerro une troupe comme chef.
— , dominer sur ow & Ventour.
Couminpo, #. m. oommandement : erdre du
ecommandant; autorit#, pouvoir, maniere de
oommander.
CONNARCA,, ol0. V. Comarca, etio.
CONMENORACAO, 5. f. commemoration, m#-
moire d’un saint le jour de la föte d’un autre;
mention, souvenir de. — dos defunlos, com-
m6smoration des morts.
CONNMEMORÄiDO, A, p. p. de
COMMEHORÄR, d. &. o0mme&moret ı faire me-
moire d’une chose, s’en souvenir; faire men-
tion de.
CoMMENORATIvYO, A, adj. oommemorelif :
qui rappelle le souvenir de.
CONNMENORAYEL,ad/.2 gen. diene dememoire.
Couutupa, s. f. coommanderie : benefice al-
fect& & un ordre militaire.
Couweupackö. V. Enoommenda ou Reoom-
“ Comusnnapkına, s. f. damıe pourrus d’une
commanderie.
CONNMENDADOR, 5. m. Commandeur : cheva-
lier pourvu d’une oommanderie.
Couuenpanoria, 8. f. charge, omploi du
commandataire.
Comuenpin. V, Enoommendar ou Resom-
mendar.
COUMENDATÄRIO, A, adj. Abbade —, abbe
commendataire,qul possdöde en commande.
f Coumesnparicıo, A , 0dj. On le dit des let-
tres de reoommandation donnses par quelques
prelats.
+ Couuenpatörıs, adj. f. (fam.) Corte —,
lettre de recoommandalion.
f CouuenneLa, s. f. dim. de Commenda.
CoNMENSiL, 0dj. 2 gen. oommensal. On le
dit de ceux qui mangent & la meme table.
CoNMENRSALıIDinE, 8. f. Commensalits : so-
ci6tö de ceux qui mangent & la meme table;
droit de oommensaux.
CONMENSURABILIOADE,, 8. f. (f. de gdom.)
commensurabilit# : rapport entre Jeax gran-
deurs qui ont une mesure oommune.
TComuansunacäd, 8. f. (4. de gdom.) com-
mensuration ; acion de mesurer deux choses
ensemble.
Comuensurino, A,p.p. de
CONMENSURÄR, ©. 6. COmparer, mosurer.
CONNENSURÄR-SE (com), v. r. 86 Comparer,
s’&galer, se mettre on parallele avec...
CONMERSURÄYEL, adj. 2 gen. commensurable.
Se dit de deux grandeurs en rapport de nom-
bre ou d’une mesure commune.
Couwentino, A, p. p.de Commenlar.
CONMENTADOR, 5. m. oommentaleur : qui
seit un commentaire, qui oommente.
GouusuTär,, v. @. oommenter : fsire un
COM
commentaire, ajouter & un röeit, & une nou-
velle.
COuNENTÄRIO, 6. m. commentaire : interpr&-
tation, selsircissement, remarques, observa-
tions sur un livre pour le rendre intelligible,
pour en faire sentir les beautts ou les d6fauıs,
le comparer, eie.—e, pl. commentaires : bis-
wire, mömoires nu (— deCssar, d’Ar
fonse d’Albuquergque).
Couuenticıo, A, adj. imagind, invents &
plaisir, feint, faux, oontzouv6, 09 qu’on avanoe
de son chef. .
+ Comneuto, s. m. petit commentaire. Inter-
preötation ordinairement maligne d’une action,
d’un discours.
* Couukos. V. Comönos. .
Couugacıino, A, p. p. de Commercier.
Commäncıau, adj. 2 gen. oommercial : da
commeroe. .
CONNSRCIÄNTE, 3. m. commergant : qui Com-
meros, qui traßque gm gros. ll est aussi ad).
Cidade —, ville commergante, oA l’on fait du
commerce.
CONMERCIÄR, ©. n. commercer : trafiquer,
negocier; faire le commerce.
ComuErcıiveL, adj. 2 gen. commergable:
qui peut &tre facilement commero6 (effet).
CONNMacıo, 8. m. commerce, trafic, n&gooe
de marchandises, d’argent, soit en gros, soil
en detail. —, le corps des commergants, des
negociants. —, fröquentation; societe; com-
munication ei correspondance; pratique peu
bonndte, secrete ot lucrative. — d’alborgue,
commerce en troc ou par &change. Praga do—,
bourse ; l’endroit le plus fr&quents d’une ville.
— de n£gros, " traite de negres. Faser —de si
mesma, 86 prostituer. Sem —ndo ha riquesza,
point de commerce, point de richesse.
* Coumtssaa. V. Commenda.
CoONMETTEDOR, 5. m. Celui qui oommet un
crime,
+ CoNMETTENTE, 3. m. (8. de com.) 00m-
mettant : qui a confi6 ses inter&ts commerciaux
& quelqu’un ; qui charge un autred’une affaire.
Couuerren (4), ©. a. commeltre, confer,
proposeor, donner connaissance &. Entrepren-
dre, commencer, proposer. V. Inientar, 4c-
commelter. —, faire une faute , un crime.
CONMETTER-SE, v. r. se livrer, so oonfiler &
quelqu’un.
Couuwrtiva, s. f. V. Commeitimenio.
Couuertino,a,p. p. de Commelter.
CONMETTINENTO, 8. m. "entreprise ; altenta!;
charge. V. Accommetlimenio.
Couußvos. V. Comenos.
Comuıc0 ou CoMico, doc. ade. avec mol; en
moi; & mon dgard. Para —, envers moi. —
MEesmOo, en Moi-menıe,
Counumaciö, s. f. menace, intimidation.
Couuınino, a, 9. p.de Commindr.
CONMMINADOR,, 8. m. qui menace. —, A, adlj-
V. Comminatoriv.
Couumän,o. a. faire de grandes menaoes;
comminer.
COM
TCONMINATIVO, 4, adj. menagent.
CoMMINATORIO, A, adj. oomminatoire : qui
eonljent une menaoe dans le cas do oontraven-
Von.
Conumvis. V, Bemiuger, Rımigalkar.
Coumusssaclö, s. f. commiseration, pitid,
COMPaSsion.
CONHISERADO, A, 9.9. de Commiserar.
‚Counisunanen, 4, 8. oompatissent, qui a
p
ONMIEERANTE, adj. 3 gen. V. Compassivo.
».0.de
CouuIszaıR, ©. a. oxciier la commisesralion,
la piüe , Vinspirer & quelqu’un.
Coswseris-se (de),v.r. avoir piti6, oom-
passion de; compatir aux maux de, s’apitoyer.
Cousmsamania, 8. f. charge de ooımmis-
sionnaire de marchandises, d’sffeis, etc. it. de
eommisseire religieux ou ecolesiastique. V.
Couuissiö, s. f. commissien , action, fait;
chess, fauis oommise. —, charge denne A
queiqu’un de faire, de porter, de dire quelque
chese; droit pour la commission. —, r&unlon
dindividus charges d’examiner quelquoaffaire,
de faire quelquo chose, oto.
COWEISSARIADO, 8. m. commissarlat : ernplol,
fonctions du Commissaire; oorps des commis-
saires de l’armee; bursau central de cette ad-
mieistration.
COuNISSARIO, 8. m. oummisssire : offloier,
juge sommıs par un superieur, pour exeroer
wae fonction, maintenir la police, surveiller,
distribuer, etc. — oolante, (I. de comm.) com-
mis voyageur. — de guerva, oommissalre de
guerre. — gerdl do exereito, eommissalre g6-
neral de guerre.—gerdi da Terra Santa, moine
serdelier qui, & la cour de Madrid et de Lis-
bounne, «tail procureur gen6öral des maisons de
son erdre dans los Saints lieux. — gerdi da eru-
zade , commıssaire göneral de la cruciade : ec-
elösiastigue qui rögle tout 08 qui oonoerme la
belle de la crucıade.
T CoNEISSIONADO, A, adj. et 5. dsputs et
GeEnmmisssire
+ Coxmmssionısta, 8. m. commissionnalre :
agent charg6 d’une oommission.
Comurs0 , 2. m. ( 6. de pras.) dedit; peine.
T Ooumssorıo, A ‚adj. (#. de prat.) oommis-
seire : domt Pextcutlon annulle un contrat
(dause).
Cowmıssönä, 8. f. oommissure ı fente, ou-
verture. ( £. d’anaS.) —, jonetion, point d’union
des parties.
CONNITEITE, 8. m. Commitant : qui envoie
des ministres. V. Commeitenie,
Couwockö, 8. m. commollon, SOCOUSS®,
tbranlement violent; dmeute. (fg.) —, agita-
som des eospriis ; ingulötude, agitation d’es-
pr
COEMODA, 3. . commode : meuble carr6,, &
Pasieurs tiroirs, pour le linge, les habits, etc,
CbUNODANERTE. adv. commodement ı dune
maniese sommode, aves oamınodits.
COM 311
rt Coumopanre, s. 2 gen. celui qui pröte
“quelque chose.
COMMODATÄRIO, A, 8.2 gen. commodataire :
qui a regu le commodat.
Couwopiro,s. m. (. de pral.) commodat:
pret gratuit d’une chose qu’il faut rendre en
nalure ; pret A usage.
Coumopmine , s. f. commodits, alsance,
aise, interet, utilild, avantage. Occasion faro-
rable; opportunits, loisir. Com —, a l’aise.
Com toda a minha —, tout ä mon alse. —s da
vida, commoditss de la vie : toutes les choses
ne6cessaires pour @tre A son alse.
Cowwonissıno, a, adj. sup. de Cömmodo,
tres-commode,.
CöuMono, a, adj. commode, alse, propre,
convenable, dont Pusage est utile et faclle,
Prego —, prix modere, ralsonnable.
CÖMMODO, s. m. "utilitö, profil, Gonvenance,
ocommodite; loisir.*Place,, emplol. A seu—, &
son aise. V. Commodidade.
Couumove&r, v. a. &inouvolir, aglter, &branler;
attendrir, affecter.
CONMOVER-SE, 9. r. s’ömouvoir, s’attendrir,
Couwovino, A,p.p. de Commover.
Cowmüa, s. f. commodites, lieux d’alsance.
CoOMNMUAMENTE. V. Commummente,
Couwöu, adj. 2 gen. ou Comuda, f. 00M-
mun : & quol tous partieipent ou peuvent par-
tieiper ; propre & differents sujets; d’un usage
general ow appartenant A plusieurs. — , uni-
versel, gönerai, vulgaire, ordinaire. —, qui est
de peu de valeur; qui se trouve alsöäment eten
abondance. — de dous, (1. de gramm.) mascu-
lin et feminin sous une seule terminalson. Em
—,en commun, en communauld. Senso —,
sens commun : facultd, jug&e commune, de
juger sainement. '
Conuöm,s. m. commun : ce qui appartient
en commun ; la plupart, la plus grande partie
des hommes; corps des habitants d’une ville,
etc. —, office general des saints (apötres ,
martyrs, vierges,, etc.), pour lesquels Y’Eglise
n’en a point dtabli de particulier. Cdmara dos
Communs,chambre des Communes en Angle-
werre.
CONNUMMENTE, adv. communement, ordi-
nairement, generalement; en commun ; selon
Popinion commune.
Coumöna,s. f.— de Judeos, de Mauros,, ics
Juils, les Maures, autrefois tol&res en Portu-
gal, ot qui faisaient une espece de commune.
* Comuuuniı. V. Commum, Universal.
* CoumumaLista, 8. m. membre d’une com-
munaute.
Comuuntıno, A, adj. populaire, qui n'est
pas noble; qui se ooncilie l’affection du peuple
et de la multitude. Qui concerne les faclions -
qui eurent lieu dans la Castille, sous Charlcs-
Quint, ‘
Conuuntınos, 3. m. pl. faclieux castillans
sous Charles-Quint.
CONNUNGÄDO, A, p. p. de Commungar.
CONNURCANTE, ad). 2 gen. commemiant ; qui
312 COM
communie,, qui regoit la communion. p. @. de
CoMMuNnGÄR , v. a. et Rn. communier: TOCEroit
Peucharistie; administrer co sacrement. —pela
oa da resurreicdo, faire ses pAques.
+ CoNMmuncaTörıo, 3. m. lieu oü l’on donne
la communion aux religieuses.
Cosuunniö,s. f. communion : participation
mutuelle & une chose commune. —, union de
plusieurs dans une m&me foi; action de com-
munier, röceplion de l’eucharistie; partie de la
messe ; verset ow antienne chantes pendant la
communion. — da Igreja ou dos fleis, commu-
nion de I’Eglise catholique.
Cossunıcacad, 5, f. communication : action
de communiquer, ses effets; commerce, fami-
liarit&, correspondance ; moyen par lequel
deux etres se communiquent; moyen de com-
fnuniquer. Participation , avis.
ComMunicino, A, p. p. de Communicar.
CONMUNICADOR , A, 8. 2 gen. celui qui com-
munique.
* CONNUNICANTE. V. Commungante.
+ COMMUNICANTES, 8. m. pl. communicants :
anabaptistes du seizieme siecle, qui possedaient
en commun leurs femmes et leurs enfants.
COMMUNICAR, 9. a. communiquer : faire part
de, transmeitre, donner communication de
quelque chose;; apprendre, declarer. (0), —,
rendre commun & (la chaleur, le mourement,
eic.).
Comuunıcin (com), ©. ®. communiquer :
avoircommerce , relation os passage commun.
Dans ce sens, il est aussi reciproque. Conförer
avec quelqu’un sur une affaire, le consulter.
COMMUNICAR-SE,, U. Tr. se communiquer, &iro
contigu. Se donner, en parlant des maladies.
V. Pegar-se. Eire familier, communicatif.
CONMuNnIcATiVO, A, adj. communicatif : qui
se communique facilement.
+ Coumunıcaröaıa, adj. f. (carts —) qui
fait part (lettre).
COMNUNICAYEL, adj. 2 gen. communicable :
Gui peut se communiquer ; dont on peut faire
Yart. Sociable, affable, traitsble, communica-
6, abordable.
COMMUuNIDADE, 8. f. communauts : qualits
qui rend commune la participation d’unechose;
socielö de personnes religieuses ou lalques vi-
vant sous une me&me regle commune ; Corps
d’habitants d’une ville, bourg, eic. Commune.
—s „pl. (actions, dans la Castille, sous Charles-
Quint. V. Communeiros. Em —, en commun ;
en corps.
CONMMUNISSINO ‚A, adj. sup. de Commmum.
CONNMUTAGÄO, 8. f."troc, 6change. Commata-
tion (de peine), changement.
Co4sUTiD0,A,Pp.p. de Commular.
+Couuotapor,A,s.2 gem. celui qui fait un
troe, un changement; une commutation de
peine,
Couuorin (com, em), v. a. &changer, tro-
quer. Commuer : changer la peine.
CONMUTATITO, A, adj. commmutatif : qui peut
.COM
Etre change. Justiea —a, Justice commutative :
commerciale, ot il s’agit d’echange.
+CouuurivgL, ady). 2 gen. schangeabie :
qui peut @ire change ( objet). Commuable : qui
peut @tre change en l’adoucissant (peine).
T Counösco, pour Com nos, avec nous, en
nous-möiınes.
Cöuo, conj. lorsque, quand, dans le temps
que, pendant que. Puisque, vu que, atteadu
que. Parce que, de ce que.
Cöuo, adv. comme, de ın&me que, dela ma-
niere que, ainsi que. —, en qualit6 de. —,
parce que, vu que. — ‚tant que, aulant que;
selon que, suivant que. —, au möment oü.
Comment, pourquoi. Comment, dans qual &lat,
en quelle forme, en quelle manidre. —, en
sorte, de facon, de maniere que. Como, pre-
otd& d’un adverbe de comparaison, se rend
par que. Ex. : Tonio um — owiro, aussi bien
l’un que l’autre. A viriude & do _o
vicio 6 feio , la vertu est aussi belle que le vice
est hideux. Assim —, comme. Como !—assim !
oomment! eh quoi! est-il possible! A — ? com-
bien? A — valem as laranjas? combien, quel
prix valent les oranges ? — quer que seja, quoi
qu’il en soit, de quelque fagon que ce puisse
ötre, Sem saber -— nem quando, Balıs Savoir Ni
pourquoi, ni comment. —c6go, en aveugle.
Morrer— militer, mourir en militaire : passer
par les armes. Como! ndo ka mais que isso?
quoi! ce u’est que oela? Ferido — estavs, fal-
low, tout hlesse qu’il &tait, il parla. — se, de
meme que si. — se föra enirada a cidade, de
meme que si la ville eht &t& prise.
COMORO , 3. m. terire ; 6minence de terre.
+ Couöso, A, adj. (#. de bot.) chevelu : garni
de feuilles ou de branches.
f Comracipäne, 5. f. compacite : qualitd de
ce qui est campacie.
Cosräicro,s. m. V. Paclo, Ajuste.Compact ;
convention.
CoMPÄCTO, A, sdj. compacle: serte, con-
dens#; qui a beaucoup de substance sous un
petit volume; pesant et peu poreux.
COMPADECKDÖR, A, adj. qui compatit, com-
palissant.
COMPADECER , ©. a. souflrir, supporter. p. ws.
COMPADECER-SE (de), ©. r. compatif : avoir
pitie, compassion de, @ire sensible &; s’alten-
drir, s’apitoyer. (em, com) Convenir, comp#-
ir, sıaccorder, @ire compatible.
COMPADECIDAMENTE, adv. aveo sonsibilitt,
avec bant6, avec lendresse. .
CoMPADECIDO, A, pP. pP. de Compadscer-es.
adj. Compatissant , bon, sensible.
COMPADECIMENTO. V. Compaixdo.
COMPADRÄDO, 3. m. Compörage : qualite, re-
lation de compere. adj. p. p. de
f COMPADRAR, 9.9. ei—36, v. r. conltracter
comperage. (fig.) S’accointer : contracier aıın-
tie, se Samiliariser ; devenir compere, ami.
CONPÄDRE, 8. m. compere : celui quia wenu
un enfant sur les fonts avec une personne;
compaguon, ami gaillard. Ndo sstar — com
COM
,„tAg-) m’öire pas d’ancord ares quel-
qu’un. Quinis feira de —s, le jeudi qui pre-
cede la sexagesime.
+ CONPADkice, 8. f. “ comperage : intimite de
eompere; ce qui se pass6 el co qui Se lraite en-
ire comperes et amis.
Compacinackö, 3. f. "arrangement, Asse
blage,, liaison, enchatnement, structure.
COMPAGINÄDO, A,P. p. de
+Cowracınir, vo. ao. assembler, disposer
avec ordre, arranger, lier, enchalner.
Cowriıxiö, 5. f. compassion, misericorde,
pitie. Ter — dalguem, plaindre queiqu’un,
avoir pitid de quelqu’un. Fazer —, (airo piti6.
Morer « —, exciter la compassion.
Cowriyna, s. f. les mariniors d’une barque.
is. ant. Compagnie, troupe.
*Cowranuiö, s. m. V. Compankeiro. it. Tes-
CowrantHär, etc. V. Acompanhar, elc.
COMPANHRIRA, 3. f. compagne; epouse.
Minkha — , ma femme.
COMPANHRIRO, 3. m. COoMpagnon, camarade.
Confröre , coll&gue; qui est joint avec quel-
quun; assur6; qui accompagne. Gompagnon
de fortune. Collaborateur. Meus —s säo os li-
eros, mes livres sont ma fiddle compagnie.
Comranmıno, A, adj. a8sociö; pareil, as
sorti.
Cowrasnia, 5. f. compagnie, socielö; asso-
eiatien commmereiale ou financiere; personnes
qui conversent, se promenent, vivont, travail-
lent, eic., ensemble. °Compagnon , camarade :
celui qui accompagne, qui va, qui est avec.
Compagnie de soldals sous un mäme capitaine.
Troupe de comediens. Union. "Cortege. — de
Jesus, compagnie de Jesus : ordre religieux.
Os padres da —, les jesuites.
*Compasnnöa. V. Companheira.
°’COMPANHOM. Y. Companheiro.
Comparacäö, s. f. comparaison, parallele,
similitude. Em — de, & l’egard de, en compa-
raison de. Sem — ou ndo ha—, iln’y apas de
comparaison, sans comparaison , hors de com-
parsison, incomparablement. Iso ndo ad-
mille —,cela n’entre en comparaison Avec
rien.
CourariDO, A, 9.9. de Comparär.
+ CoOmPARADOÖR, 8. m. instrument pour Com-
parer avec exactitude les dimensions de deux
CourAaaäR, v. a. comparer, conlronter, com-
biner, conferer, collalionner.
CONPARATIVAMENTE, adv. comparalivement,
Courararivo, A, adj. comparatil : qui peut
üse compars. (t. de gram.) —, intermediaire
entre le positif et ie superlatif. 11 est aussi sub-
stantif dans celle acception. Analomia —a,
anatomie compar6e.
ComrasiveL, adj. 2 ger. comparable : sus-
eeptible de comparaison;; qui peut la soulenir.
Comranzckncia, s. f. V. Comparecimento.
T CourarzchuTe, s. m. (1. de pras.) compa-
rant : qui comparali devant un juge. j
COM 313
Couranscka, vo. n. (1. de prai.) comparoir :
comparalire en justice; paraltre, se presenier
devant les juges.
COMPARSBCIMENTO, 5. m. * comparution : l’ac-
tion de comparaltre en Justice.
Comparıcaö. V. Comparecimento.
COMPARSA, 8. 2 gen. comparse : au Iheätre,
les personnages muets qui ne font que figurer.
Figurant.
COMPÄRTE, 3.2 gen. (f. de pral.) partie plai-
gnante ou demandante avec une aulre dans un
meme proces. adj. Qui a part & quelque chose,
COMPARTIDO, A,P.P. de Compartir.
COMPARTIMENTO, 8, m.’ division, distribulion,
r6partition. Compartiment.
TCoMPARTiR, v. a. repartir, diviser, distri-
buer. Compartir, parlager.
TCOMPASSÄDAMENTE, adv. avec mesure, avec
ordre, suivant les regles.
CoMPAsSSäDO, A, p. p. de Compassar. ad).
(fig.) proportivnne; fort exact, fort regle dans
ses actions, 6lc.
COMPASSAGEIRO , 3. m. Compagnon de voyage
sur mer.
COMPASSÄR, d. a. COmpasser : mesurer au
compas. (fig.) Bien proportionner, regler.
COMPASSÄR-SE, v. r. Se MOUVYoir avec nIesure.
+ COMPASSIVAMENTE, adv. avec Compassion,
avec sensibilite.
+ "CompassiveL, adj. 2 gen. piloyable :
digne de pitie. st. V. Compassivo.
CoNPASSiVO, A, adj. compatissant, sensible,
secourable. Tendre, caressant.
CoMPÄSssO , 8. m. compas : instrument de ma-
thömatiques, d’aris et metiers, & deux bran-
ches r&unies et mobiles, pour mesurer, pren-
dre des distances, tracer des cercles, etc. (fig.)
— ,, ordre, circonspection,, mesure. (l. de mus.)
*Cadence, mesure : mouvement qui sert & mar-
quer le temps ot les intervalles qu’il faut gar-
der dans le chant, dans la danse, eic., et la
figure qui le marque sur le papier. Mouvement
mesure (de celui qui marche, qui escrime,
d’un vaisseau & la voile). — de proporgäo. V.
Pantömeira. — curvo, compas d’epaisseur, &
branches courbes. — qualernario, binario,
terndrio, (i. de mus.) mesure & qualre, ä deux,
& trois temps. Balier, fazer o—, batıre la me-
sure. A —, en mesure, en cadence ; de distance
en distance. Ao —, & mesure; en proportion
de. /rcom o— na mäo,(fig.) aller par com-
pas et par mesure. Sollar palarras por —,
parler lentement, laisser lomber les mots.
Metler alguma cousa a —, reduire quelque
chose & ses justes proporlions. Do —, en pro-
portion de.
+ COMPATERNIDÄDE, 5. f. compalernil6 s
alliance spirituelle entro les parrains, mar-
raines et les parents d’un enfant.
COMPATIBILIDADE, 8. f. compalibilile : qua-
lite, etat de ce qui est compatible, peut 56
concilier, s’accorder.
COMPATIVEL (com), adj. 2 gen. compatible s
qui peut cumpalir; qui peut convenir, 8’a0-
318 COM
corder ave6 un autre; qui peut @tre posssde
avec un autre (ben#ßoe, charge). iS. p. us.
Pitoyable,
CoOMPATRIÖTA, 8. 2 gen. compatriote ı de la
meöme patrie, du m&me pays.
tCowuratraöno, 8. m. patron oonjointement
aveo un aulre.
+ Coupe, s. m. (8. d’hist. nat.) conops ı dip-
tere conopsaire. — pungenie, conops piquant.
* CoupEcAR, eio. V. Comeyar, et0.
* ComPscÄr, u. 6. manger da pain avec auire
ehose.
COMPELLIDO, A, 9. P. de
CONPELLIR, ©. @. contrsindre, astreindre,
forcer, obliger, pousser.
CONMPENDIÄDO, A, P. p. de Compendiear. adj.
Abrege.
COMPENDIADOR, 8. m. abreviateur.
Cowraspiin, v. a. abröger, resumer, r&-
duire.
CourEnpıirto. V. Com
Comp&enpıo, 8. m. abrege,
sommaire, preeis.
COMPENDIÖSAMENTE, adv. en abrege, SOM-
mairement.
CoNMPENDIöSO , A, adj. abrege,, succinot, res-
serre.
Cowrensaciö, s. f. oompensation, r&oom-
pense, dedommagement, reparation. (f. de
comm.) Balance.
CourEnsino, A.p.p. de Compeonsar.
COMTENSADOR , A, adj. qui compense. 5. Com-
pensateur : qui donne une compensation.
Courensir (com), v.a.compenser, balancer,
oontrebalancer, r&compenser, dddommager.
Cowrznsär, v. ». faire oompensation. 11 est
aussi röciproque. — se uma cowsa com owira.
On le dit d’une ohose qui est comıpensde par
une autre.
+Cowrensarivo, A, adj. compensatoire :
qui fait compensation.
+ CourEnsävEL, adj. 2 gen. oompensable
qui peut &ire compense.
Cosrertncıa, s. f. compeötenee : droit de
oonnaitre, de juger de. «#. * Conflit, contesta-
tion , concurrenoe. 4’ —, A l’envi.
COMPETENTE, adj. 2 gen. competent : & qui
appariient, & qui est dä; qui a droit de juger,
de connaltre. Sufisant, oonvenable, propor-
tlonne, da.
oompendium,
COUPRTENTENENTE,, adv. compelemment :
d’une manidre competente. Buffisamment ‚con-
venablement , coongrument.
Caurgrigäö, 3. f. concurrence, rivalit.
CourErindo, 4, P. p. de Compelir.
COMPETIDOR, A, 8.2. gen. compelileur, con-
current, rival, &mule, contendant.
CoNPETIMENTO, s. m. V. Compelencia.
Courgtin (com),v n.demander, poursuivre,
briguer en eoncurrence, et avec pretention
d’egalitd. Rivaliser : disputer de merite, de
talent avec quelqu’un. (a) Competer &, ötre de
la oompetence de, appartenir &. Il est quel-
quelois re&ciproque etsignifie rivaliser-
COM
Commuaciö, s. f. oompilation : recuell de
morcesux empruntes & differents livres, ot
r&unis en un corps d’ouvrage.
CoupiLipo, A, p. p. de Compiler.
ComriLAp6R, s. m. oompilateur : qui Oom-
pile, qui fait une compilasion.
CosriLin, o.a. oompliler : [air une oompi-
lation,, un recueil de morosaux &pars.
+Courırizs, s. f. pl. compitales : fötes &
Home on !’honneur des Penatos, des Lares.
+ CourrtaLico, A, adf. compitslice : on le
dit des jeux, des f&tes oompitales.
CoMPLacencıa, 8. f. complaisance : douoesr
et facilits d’esprit ; deförence aux Sohtiments,
aux volontds, aux goüts, aux opinions d’au-
trai ; facilit# de caractöre , con
pour. "Goüt, satisfaotion, plaisir, conlenle-
ment.
+ CoOMPLACENTE, adj. 2 gem. complaisant :
qui a de la complaisanoe pour les autres.
*CowrLanin. V. Aplaner ; Inteirer.
* COSPLAZER. V. Compraser.
CONPLECTAMENTE. V. Juntsmenis.
Cowrıeıciö, s. f. oomplexzion, nalurel,
termperament, oonstitution ; bumeur; inclina-
tion. — fraea,, dölicatesse de temptrament.
ComPLEIaOonino, A, adj. eomplezionne :
qui a telle oomplexion,, tel temp6rament.
Bem ou mal —, bien ou mal oompiexionne,
constitue. .
+ Comrzicıoniı, adj. 2 gen. qui appartient
& la complexion.
+ COMPLEUENTÄRIO, A ‚adj. complömentaire:
qui sert A compleöter.
CoONrLEMENTO, 5. m. complement : ce qui,
etantajouts ‚termine, porfactlonne , rend vom-
plet, rend plus grave, plus grand; co qui sert
& completer, & determiner la signifeation d’un
mot. (t. de gdom.) —, portion qui manque &
un angle ou & un are pour arriver & 90°.
Achtvement.
CourLEnte , adj.2 gen. Mard-- ‚marde men-
tante.
CourıEripo, A, pP. p. de Completär.
COMPLETANENTE , 0dv. oompletement : d’une
maniere complete; entiöremen?., tout & faitz
pleinement, parfaitement.
CoxPL£rÄir, v. a. completer, terminer : ren-
dre complet.
CowrL£ras, s. f. pl. oomplies : derniöre
partie de l’office' divin apr&s v&pres.
CoueLETIYO,A, adj. (4. de grem.) compleuif:
qui fait os annonce, oaractsrise le oompi6-
ment.
ComrLfTo, a, adj. complet; entier; acheve ;
parfait; ä quoi il ne manque rien de n6osssaire
ow aucune de ses parties; Mai.
Courrexiö, etc. V. Com: ‚eto.
+ Comrıexipipe, s. f. oomplexits : qualitö
de ce qui est coomplexe.
CourL#xo,A, adj. (t.de gram. et de log.)
complexe (terme, id6e, proposition, sujet) :
qui embrasse plusieurs choses, l’eppess de
simple; ou plui6t qui renlorme en Soi-ıname
COM
pinsiours modifications essentielles, quolque
simple grammaticalement parlanı , l’opposd
d’ncompleze.
CourLixo, 3. m. assomblage, union, liaison
de plusieurs choses.
Comrricacäö, s. f. complication : assem-
blage, ooncours de choses da dıfförenie na-
ture.
CoNPLichDissiMo, A, adj. sup. de
Cowrıscipo, A, adj. compliqu6 : mel& avec
d’autres (maladie); embrouill6 (affaire), mel6
ä d’auires; qui n’est pas simple (machine). Il
se dit au (Ag.) d’une piece de theätre, d’un
potme, etc., Irop chargö d’6venements, d’in-
trigues, d’incidents. p. p. de
Coyruscin, v. a. compliquer : meler, r&unir
ensemble plusieurs choses; embrouiller (des
afaires).
CONPLICAR-SE,, %. r. 3e compliguer, en par-
laut des maladies, des affaires, etc.
CöKPLICE, 8. et adj. ? gen. complice : quia
part au crime d’un autre.
CourLicık00,A,P. p. de
COMPLICIAR , 0. @. rendre oomplice; accuser
de complicite.
CONPLICIÄR-SE,, d. r. serendre complice.
CoseLicıpÄnE, 5. f. complicitö : participation
au crime d’un aulre.
Conroenös. V. Composilor.
°Coupotr. V. Compor.
CONPONREDOR , 5. m. ($. d’impr.) compos-
tsar : oulil d’imprimeur.
+Comrontnpa, s. f. componende : 00mpo-
sition sur les droits de la cour de Rome pour
les dispenses.
+Comroxfnte, adj. 2 gen. qui fait partie
@un eompos6; composant.
*COMPONDOR ,A, 8. 2 gen. amiable compo-
siteur.
Coup6ß ‚v. a. composer:former, faire un tout
de plusieurs parties; faire un ouvrage d’esprit,
un air. Inventer, forger, feindre. Arranger,
raceommoder, restaurer, rötablir, reparer,
mettre en ordre. Arranger, decorer, enjoliver,
approprier, ajuster, orner, embellir. Arran-
ger, r6coneilier, rapprocher, accorder, meitre
d’aecord. Accommoder une affaire aveo des
dons , l’&touffer de quelgque maniere. Moderer,
lemp6rer, corriger, contenir.— , rögler les ges-
lies, l’sir conformement aux situalions, aux
intentions. (4. dimpr.) —, arranger les leltres
pour former des mots, des lignes. Pris abso-
uament il signifle, faire un ouvrage, faire des
vers. — o semblanie, 0 roslo, Composer son
air, sa mine, son geste, son maintien, sa fi-
gure , ss Contenance. — uma polencia , (l. de
math.) elever une quantit6 algebrique, etc., &
une de ses puissances. — uma hislorio, um
poems , etc., faire une histoire, un po&me, etc.
CouPöR-sE, v. r. s’accorder; S’accommoder
sur un differend. S’orner, se parer. Prendro
un air grave, serieux, convenable aux situa-
ons. cotnposs de: ex.: O anno compöe-
se de dias, Yauınde est composte de jours.
COM 315
Cowpönra, s. f. Soluse : porte pour retenir
ot lächer & volont# Peau d’un canal. (8. burl.)
" Air qu’on chantait aecompagnd de la guitare.
CONPORTADO, A, p. 9. de Comporlar.
Bem ou mal—, de bonne ou de manvaise
conduite.
CoOMPORTAHENTO, 5. m. " condnite : maniere
d’sgır, de se gourerner, de se conduire dans
la eours de la vie, eto. ; maurs.
ComrorTÄn, ©. a, Comporter, permettre;
souffrir, supporter, tol6rer.
CoMPORTAR-SE, ©. r. se Comporter, so
duire. V. Portar-se.
COMPORTÄVEL, adj. 2 gen. supportable, to-
lerable, qu’on peut supporter, souffrir.
Comporte. V. Comportamento, Porte.
Comrosıckö, s. f. composition : action de
composer quelque chose, ses effets, son r&-
sultat; arrangement, accommodement, &C-
cord , capitulation, ajustement. Modestie ,
maintien. V. Compostura. —, mölange, incor-
poration de certaines drogues. (t. diimpr.) —,
arrangement des lettres en typographie; art,
action de composer un ouvrage d’esprit, son
produit; accommodement par des sacrifices
mutuels ou d’un seul. Bulla de —, bulle de
composition.
Compösıta, adj. f. Ordem—, (t. d’arch.)
composite, compos& de l’ionique et du co-
rinthien ou de plasieurs ordres.
COMPOSITÖR, 8. m. compositeur : celai qui
compose en musique; qui arrango les leitres
pour former des mots ; auleur.
Cowmpösta. V. Composila.
+ Compostautxte. adv. avec modestie, re-
tenue, maintien.
CouPpösTO,A, pP. p. de Compör. adj. Com-
pos6, fait de diverses choses; —, &cril, Ira-
vaille. (Ag.) Grave, modeste, retenu. — de,
consistapt en.
CoMPÖöSTO, 5. m. compose : ce qui räsulte de
Passemblage, de l’union de plusieurs parties.
Il se dit au physique et au moral.
Comrostüra, 3. f. composition, construc-
tion , structure. Proporlion ‚regularite. Modes-
tie, circonspection, retenue, maintien. \.
Composigdo.
Coupöta, s. f. compote: frults cuits Icnte-
ment aveo du sucre.
+Courortıra, s. f. "compolier : vase pou
mettre les compotes.
Goupaa ,s. f. "achat, march6, emplelie; ac
quisition.— mwilo bareta,degrasa, un march
donn®.
Compnadigo, A, adj. qui peut dtre achel£.
V. Vonal.
CoMPRADO, A, 9. pP. de Comprär.
COMPRADOR, A, 8. 2 gen. achelsur: qui
achete. Domestique charges de faire achat des
provisions ; mattre d’hötel.
COMPRANTE, qui achöte, achcteur. p. a, de
Comprär, v. a. acheter : acquerir ä prix
d’argent, etc. Gagner, subomer. ( Ag.) Se pro-
curer au prix, au moyen de; obtenir avec
con-
316 COM
peine. (#. de jew) Prendre des cartes au talon.
— nabos em sacco, acheter chat en poche.
f CoMeRÄVEL, adj. 2 gen. qui peut öfre
achete.
COMPRAZEDÖR, A, 8.2 gen. accord, complai-
sant.
COMPRAZER (2,com), ©. n. complaire:: s’ac-
commoder au goüt, au senliment, & l’'humeur
de quelqu’un pour lui plaire; acquiescer ä sa
volonte. Quem quer — com lodos a ni
contenla, (prov.) qui cherche & plaire & tous
ne doit plaire ä personne.
CoMPRAZER-SE, ec. r. se complaire, se plaire.
— (de,em), etre charme de.
COMPRAZIDO, A, p. p. de Comprazer.
COMPRAZIMENTO, s.m. V. Complacencia.
FCOMPREBENDEDÖR, A, adj. et 3. qui com-
prend, qui embrasse, qui contient, etc.
COMPREBENDER, ©. a. comprendre, enfer-
mer, renfermer, conlenir. S’ectendre. —, con-
ceyoir, entendre, saisir.
COMPREHENDER-SE, U. r. elre compris. V.En-
eerrar-se.
COMPREHENDIDO, A, 9. pP. de Comprehender.
adj. Complice.
Compreuensäö,s. f. comprehension : facultö
de comprendre, de concevoir; connaissance
parfaite (des ınysteres). —, intelligence, en-
tendement; totalit6 des idees renfermees sous
un nom appellatif ou generique.
+ ComMPreuensiniLiväne, 8. f. comprehensi-
bilitö : aptitude & @irc compris.
+ ComPrEueNsiva, 8. f. comprehension : la
faculte de comprendre; comprehensivite: apti-
tude A comprendre; organe de la coımprehen-
sion.
COMPREHENSIVAMENTE, adv. d’une maniere
comprehensive, .
COMPREBENSIVEL, adj. 2 gen. comprehensi-
ble : qui peut &tre compris, entendu.
7 COMPREHENSIVELMENTE, ade. d’une ma-
niere comprehensible , concevable.
COMPREHENSIYO, A, ad/. comprehensif : qui
est propre, destine, appeld ä comprendre; qui
a l'aptitude de comprendre, de concevoir.
COMPREBENSÖR, A, 8. 2 gen. (l. de theol.)
bienheureux, saint,
* Compreıckö. V. Compleigdö.
COMPRENDER, etc. V. Comprehender, eic.
Cowpn£ssa,. 8. f. (f. de chr.) compresse :
linge en double sur une plaie, etc.
COMPRESSÄÖ, 8. f. compression : l’action de
comprimer, de reduire A un moindre volume
en pressant ; ses effets dans le corps comprime.
(1. de med.) —, &tatde gene d’umviscere com-
prime ; forte pression pour arrätec l’heınor-
rhagie.
COMPRBSSIBILIDÄDE, 8. f. compressibilits :
qualite de ce qui est compressible.
COMPRESSIVEL, adj.2 gen. compressible : qui
peut etre comprime.
COMPRESSiVO, A, adj. compressil: qui scrt ä
comprımer ; qui compriue,
COM
Courrisso, A, pP. p. irreg. de Comprimir.
V. Comprimido.
CouPpreEssör, s. m. (t. d’anal.) compres-
seur: muscle prostalique superieur.
"Courkına, 5. f. Fazer — de, completer le
nombre de.
Comrrıpico, A,adj. aug. de Comprido. (.
burl.)
COMPRIDAMENTE. V. Complelamente.
*Cowerıwäö. V. Longura, Comprimento.
Courpaip£iro. V. Compridouro.
COMPRIDETR, adj. 2 gen. dim. de Comprıdo.
COMPRIDINHO, A, adj. dim. de Compride,
mais plus petit que Comprid£te.
COMPRIDISSIMO, A, adj. sup. de
CoMPnipo, A, adj. long, etendu ; large, am-
ple. (fg. 1 Diffus. do —, tout du long. Longite-
dinalement, en longueur.
CoMPRIDO, A, P. P.de Comprir. adj. Accom-
pli, effectue, complet. Pourvu de. V. Cum-
prido.
Coupaıoon. V. Cumpridor.
* COMPRIDÖURO, A, adj. qui accomplit.
COMPRIMENTÄDO, 4, ?. p. de
COMPRIMENTÄR , v. a. complimenter, f6öll-
citer : faire compliment.
CONPRIMENTE, adj. 2 gen. qui eomprime.
COMPRIMENTEIKRO, A, 8. 2 gen. ci adj. com-
plimenteur, ceremonieux, qui fait des com-
pliments.
COMPRIMENTO, 3. m. "longueur, etendue en
longueur. Compliment, eivilits, politesse , a#-
tention. Compliment, fagon, ceremonie. Ac-
coinplissernent , execulion. Perfection. Comple-
ment. *Abondance, provision, anf. Sem —, sans
facon. Yisilas de —, visites de pure cere-
monie. Offerecer por —, ollrir pour la forme,
dans l'intention d’eire reluse. Ndo faga —, ne
vous genez pas.
CoMPRINIDO, A, 9. P. de
COMPRIMIR, ©. @. COmprimer: presser avec
violence, resserrer ; ( Ag.) empecher (une fac-
tion, un parti, etc.) d’eclater, d’agir ; contenir,
reprimer, relenir.
Coumprik. V. Cumprir.
CONPAONETTER, dv. @. compromalire: 00nR-
venir d’arbitres; faire passer un compromis,
Obliger, engager, rendre responsable. —, com-
meitre, exposer.
» COMPROMETTER-SE (em), dv. fr. Se Compro-
mettre : s’exposer inconsiderement. Compro-
mettre : convenir d’arbitre. (a) S’obliger, s’en-
göger, se rendre responsable.
COMPROMETTIDO, A, P.p. de Comprometter.
COMPROMETTIMENTO,3.m. ce Quicompronict;
l’action de se compromettre; responsabilite de
la personne compromise.
CONPROMISSÄRIO, A, ad). et 8. Compromis-
‚saire, arbilre; compromissionnaire (arbitre),
par compromis.
COMPROMISSO, 5. M. COmpromis : soumission
& l’arbitrage; acte qui la contient. Statuls de
confrerie.
CON
COsPRONISSÖRIO, A, adj. qui renlerme un
e0ınpromis.
COMPROMITTEXTE, adj. 2 gen. qui S’cst rap-
porte & des arbitres.
+ COMFPROTECTÖR, A, 8. 2 gen. prolccteur
avec un aulre.
ComprovAaciö, s. f. confirmalion, verifica-
ion, preuve. L£egalisation.
CospRoväno, A, 2. a. de Comprovar.
COMPEOVADÖR , A, adj. Qui confirme.
COMPROYANTE, adj. 2 gen. qui prouvc, qui
confirme. p. p. de
CowPRoVir, ev. a. confirmer, veriler, prou-
ver.
+ CowPTastLiDäDE, 8. f. comptabilite: obli-
gation de rendre compte; etat du comptäble;
ordre dans les comptes.
CosruLsino,A,p. p. de Compulsar.
tCowrcisavör, 5. m. (1. de prat.) compul-
seor: celui qui compulse.
+Cowroısiö,s. f. (t. de prat.) contrainte.
Action, eflet de compulser. ü
CO8PtLSir, v. a. ($. de pral.) compulser:
parcourir un registre, un livre, en prendre
eommunication en justice. V. Compellir, ant.
COMPULSÖRIO, A, adj. ets. (1. de prat.) com-
palsoire : ordre & un oflicier public de commu-
Diquer des pieces.
CosmrunccAö, s. f. componction : douleur,
regrei d’avoir offense Dieu; remords, douleur
des pech&s.
Cowrexcino, A, P. P. de Compungir. adj.
Repeniant, contrit.
COUPENGIMENTO, 85. m. V. Compuncgäo.
COuPrUNCiR , dv. a. einouvoir, toucher; causer
des remords.
COHPUNGIR-SE, ce. r. avoir de la componc-
tion.
Courirucıvo 0% COMPUNCITIVO, A, adj. qui
exeite Ja componction.
Cowrcracäö, 5. f. supputalion du temps.
"Comput. *Calcul.
COMPCTADO, A,p.p. de Compular.
COMPETADÖR, A, 5. 2 gen. calculateur. V.
Compuiista.
COMPCTAR, v. a. supputer les temps. Calcu-
ler, denombrer.
Cowrurista, 3. m. celui qui suppute les
temps. Compuliste: qui travaille au coınput,
au calendrier.
CöuPUTo, 5.m. *supputation, compte, calcul.
CGomput : supputation des temps pour le calen-
ärier de l’Eglise. j
Comsico ( pour com elle), avec soi. — mesmo,
arec ou en Sol-Meme. — Mesmos, avec EeUuX-
memes. Trazer —, ramener.
CouTico (pour com tu), avec toi.
Comuu, etc. V. Commum, etc.
f Comvrösco ( Ppourcom vos), avec vous.
"Cox. V.Com.
Coxa (pourcom a), avec la.
Conito, 8. f. effort. * Tentative.
Coxca,s. f. *palet: pierre plate ct ronde avec
laquelle on jJoue eu la jetant en l’air pour la!
CON 317
placer le plus pres qu’on peut d’un but;ce jeu.
Ecuelle de bois, soupiere.
CONCATEXÄDO, A, p. p. de Concalendr.
TCOScATEnAGAÖO,s. f. "enchainement,liaison,
enchainure. Concal£nation.
T COXcATENAR, o. a. (inus.) lier, enchatner,
unir des idees, etc. V. Encadear.
CoxcAYIDÄDE, 8. f. concavit6 » Jo concave
d’un corps; creux rond; cavitd d’un corps
rond ; &tat de ce qui est concave.
COncAYO A,adj. concave: creux et rond en
dedans. s. m. "Concaril£, ,
T CÖNcAVo-CÖNCAYO, A, adj. CONCAYo-CuN-
cave : concave des deux cÖt&s.
F CONCAYO-CONYEXO, A, adj. CONCaYO-Con-
vexe: concave d’un cöte, convexe de l’aulre.
F COXCAVO-PLANO, A, adj. concave d’un
cöte, uni de l’autre.
CONcEBEn, v.a.( fg.) Concevoir; compren-
dre, bien entendre; imaginer , inventer.
CONCEBER, ©. n. concevoir: devenir feconde,
grosse d’enfant.
CONCEBIDO,A, P.P. de Conceber. adj. Congu,
COXCEBIMENTO, 3. m. V. Conceigdo.
COXCEDENTE, ?. a. de Conceder. Qui ac-
corde,ete. _
CoNtEDER (a), 0. a. accorder, octrfoyer, coN-
ceder, donner. —, reconnaltre pour vrai quel-
que chose‘, en convenir.
CONCEDIDAMBNTE, adv. par concession.
CoxcrDipo, A, p. p. de Conceder. Dado 6
näo —. On le dit, dans les &ecoles, d’une pro-
position qu’on laisse passer san« s’y arr£ter,
comme indifferente au sujet que l’on Lraite.
CONCEDIMENTO, 3. m. V. Concegäö.
CoxcepivEeL, adj. 2 gen. accordable : qui
peut @tre accorde.
Coxceickö, s. f. conception:: action par la-
quelle un f@tus est congu dans la matrice. —,
f&te des catholiques, de la conception de Ma-
rie. V. Concepeäo.
+ CoxceiteAr, 9.9. trouver, dire des bons
mots, des saillies. ,
Coxc£ıro ,s. m. concept: idee, simple vue
de l’esprit. *Sentence, saillie, bon mot, pointe
d’esprit. *Idee, opinion. Jugement. Esprit: lo
sens d’un auteur, d’une loi, etc. "Idee, inven-
tion d’un tableau. *Estime, reputatıon, credit.
Perder o—, se decrediler.
CoxcEıTtVÄDo, A, considere,regarde. Bem—,
qui jouit d’uno bonne re&putation. p. p. de
CoNcEittir, v. a. juger, penser, estimer;
former une opinion sur quelqu’un, r&eputer.
+ CoNcEITUÖSAMENTE, adv. ingenieusement,
finement, sentencieusement.
ConNcEıtt6so, A, adj. sentencicux, Saillant,
ingenieux,, spirituel.
+ CoxceLesragäö,s. f. action de concele-
brer.
COXCELEBRÄDO, A, P. 9. de
CoxckLerrÄn, v. a. concelchrer : eelebrer
conjointeınent, en commun.
CONcCELNEIRAMENTE, | V. Conselk...
CONCELUEIRO,S. M«
318 CON. CON
Conckıutird, A, adj. munlelpel : qui appar- | mar.) radouber un valsseau. == 0. #. Cadter,
tient & la municipalite. convenir, s’accorder.
Conctıuo, s. m. conseil de ville, municipa- CONCERTAR-SE, 9. 7. s’arranger, Se parer,
lit6 , corps municipal, commune. Distriet com- | s’ajuster. (com) Se concerter : conferer ensem-
pose d’un certain nombre de bourgs ou villa- | bie pour lo succ#s ; faire un concert avoc.— no
ges, gouvernd par des juges &lectifs. ° Maison | prego , convenir du prix. — com alguem , s’ar-
ow salle de conseil ; consell, assemblde. — su- | TAnger, g’accorder avoc queiqu’un. — 0 tempo,
premo , haute cour. — pleno, cour plöniöre. | se rassurer, en parlant du temps.
ConcknroO, 8. m. accord, Concert, CONSON- CoNcRRTO, s. m. arrangement,, disposition,
nance musicale. ordre. Ornement; r¶tions , raccommodage.
Comcantaacäß, 8. f. concentration : action | Concert : aocord, convention,, union; bonne
de concentrer, ses effets. intelligence de plusieurs pour un but; pacie.
ConcEnTrÄno,A,P.Pp. de Concert : harmonie de voix, d’instruments;
CONCENTRÄR, ©. a. Concentrer : r&unir au | CONcerto. (t. de prat.) Vidimus : tilre oolla-
centre, ä un centre. (4. de chim.) Rendre plus | tionne. De —, de concert, d’accord, unani-
actif un sel, etc. mement, d’intelligence.
CONCENTRAR-SE , ©. r. V. Roconcenfrar-se. Concessid, s. f. concession : action de c&-
Conckuraico, A, adj. (f. de geom.) concen- | der, chose cedte; don , octroi fait par un sou-
trique. 11 se dit de divers cercles ou figures qui | verain, un seigneur;; figure de rhetorique par
ont meme centre. laquelle on accorde un point contestable pour
Conckrciö, s. f. conception. V. Conceipäo. | ep retirer de l’avantage.
—_, (scult& de eoncevoir, de comprendre, 508 * CoOncEssindo. V. Farto.
elfels; pensee ,id6e que l’esprit formo sur un CONcEssıonÄnıo, A, 3. Concessionnaire : qui
sujet. a obtenu une concession.
+ Concrrcioxinio, s. m. conceplionnaire:| ? ConcsssivEL, adj. 2 gen. qui peut Etre con-
partisan de l’immacul6e conception. cede, octroye.
+ ConczpriveL, adj. 2 gen. conceptible : qui| oncksso, A, adj. V. Concedido. s. m. V.
est propre & @ire conca. Concessdö.
+Coxcerrivo, A, adj. congeptif ı qui est + Concessön, A, s. celnä qui a concede, qui
propre & concevoir. fait une concession. V.Oulorgante.
CONCERNENTE, adj. 2 gem. concernant : quij COöncHA, 8. f. coquille, ecaille : enveloppe
eoncerne ; touchant. No — a, au sujei de, sur. | dure,, calcaire des limacons, des testackes.
p. e.de * Bassin : lieu od les vaisseaux jettent l’ancre.
ConcERN£R, 9.9. (pP. 43.) concerner, regat- (Ag.) Toutce qui a la forme d’une coquilk.
der, appartenir, avoir rapport ä. — da balance, bassin. — do saleiro, " saleroß.
CONCERTADAMENTE , adv. avec prudence, & — da alafona, "giie.—sdo gurupes, (1.de mar.)
point nomme&; d’une maniere convenable. Avec | "taquets ou violons du beaupre. Ter — ou mur
ordre , en ordre. tas conchas , (fig. fam.) eire fin, ruse, difficile '
Conczaripo, A, P. p. de Concerlar. adj. | & penetrer, reservo. Meller-se nas —s , renlre!
Raccommode, r&pare ; arrange, concerte. (fig.) dans sa coquille; se retirer des affaires. — das
Modesie, retenu , prudent. Convenu; rögle. | romeiros, (4. d’hist. nal.). V. Pentoöla.
Assaisonne, en parlanı de mets. + ConcHaciL, s. m. (4. d’Asie) juge daus les
CONCERTADOR , A, 8. raccommodeur. Qui | causes criminelles ( dans la Chine).
concerte , qui convient, qui regie, etc. Mödia- ConcHiDo, a, adj. ecaille : couvert d’ecailles;
teur, conciliateur. &cailleux, compose d’ecailles.
* CoOncRatamento. V. Concerlo, Apercebi-| T CONCHALIM, s. m. magisirat dans la Chine.
menio. + ConcHania, s. f. "coquillage : amas de oo
CONCERTANTE, 3.m. V. Liligante. quilles.
+ COnCERTANTE,, adj. 2 gen. (1. de mus.) COn- ConcHavinD0,A,Pp.Pp. de
eertant : qui fait sa partie dans un concert ConcHAvär, ®. a. unir, joindre. (4, burl.)
@’instruments (partie); qui a un chant & ex6- | Concerter, convenir de. .
euter. Symphonia —, sympbonie concertante, CONCHAVÄR-SE, 0. r. (fam.) se liguer, s’unif.
dont les parlies r6eitent, chantent. suriout pour commeltre une mauvaise acUoN.
CoNcEaTin, ©. a. arranger, ordonner, regler, | Conniver, eire de connivence.
metire en ordre. Raccommoder, reparer. Ar-| +Coxcnivo, s. m. (fam.) *connivence.(4-
ranger, parer, ajusier. (com) Traiter, convenir | bale , ligue, complot; grande intimite.
du prix d’une chose. Concerter, se concerier : CONCHBiDO, A,P2.p2.de
eonferer ensemble pour executer un dessein, + ConcHRir, %. G- couvrir, garnir, OrnCt de
pour convenir des moyens de faire r&ussir une | rocailles ( une grotie, etc.).
affaire, une intrigue, etc. Concilier, sjuster, CORCHEGADINSO , A, 0dj. dim- de
arranger, accommoder, accorder, metiroe en CoNcR&CÄD0, A, adj. proche, rapproche; co
ponne intelligence. Gomparer, conferer. (4. de | mode, qui adescommodites pour lavie. p-p-“"
prat.) Vidimer : collationner & P’originsl, met-| ConcHzcia, v. @. rapprocher une chost de
tr le vidimus & un acte. — um nario, (1. de | Yautre; fournir lescommodites de la vie.
CoON
OUBEGin-EN , 9. r. B’approcher, se Tappro-
commode.
cher; re
‚s. m. röconfort, refuge, soutien;
° Oowcmusca. V. Conckinka.
+ ConcmtıLas, s. f. pl. ou
„0. m. ou
COscatLLoS , 8. m. Pl.
munes.
Oorcutuma , 8. f. din. de Conche.
Cöuceo, a, adj. qui se repose sur son Opl-
ulen , su sur colle d’autrui.
+ Ovwenomar , adj. 2 gen. concholdal : de la
eeuchekde.
Cowcnsıpe , s. f. conchofde : Iigne eourbe qui
s’approche toujours d’une ligne droite sans la
oonper.
Cowca6so ou Conchuno ,A.V. Conchado.
+Coscarınivo, a, adj. (f. dkist. nal.) con-
ehrliföre : (mollusque) qui a une coquille.
+Cosanrıniceu, s. f. (1. d’hist. nat.) * co-
geillage : mollusques testaces.
Oxzr'uo,s.m.(t.d’hist. nat.) conchyle:
poissen, coqufllage qui fournit Pecarlate, la
pourpre.
7 CosarııoLocia , s. f. conchyliologie :
selsnce qui traite des coqlıllages en general.
+CoscavLıoLöcıco, a, adf. conchyliologi-
que : de la conchyliologie.
+ iwscarLioLocista,, s. w. conchyliologiste :
gui sait la eonchyliologie.
+ COxaTLiorTPoLıTe ‚adj. 2 gen. (8. Phist.
ast.) eonchyliotypolite : ( pierre) qui porie
Pempreinte exterieure d’une coquille.
+Cosarre, s. f. (1. d’hist. nal.) conchyte
os venckite: coquille bivalve, fossile, p£trifiee.
Comcmapid, Ä, 3. concitoyen : citoyen d’une
meme ville qu’ane autre. V. Compalriota.
Cowcrsncı, etc. V. Conseiencia.
CosauıiseLo, s. m. conciliabule : assembide
de prelats heretiques, schismatiques ou de
prelats NMiegitimement convoqües; assemblee
iNtgale, irr&guliäre, ou de gens qui complotent.
Corauackd, s. f. eonciliation : action de
ooneilier ; reunion de personnes divisdes ; con-
eerdance de lois, de textes, de passages qui
paraissent contraires. —, accommodement,
rtcsaeltistion.
DoxıLLn0, 4, P.P. de Conciliar.
Command ‚A, adj. ets. qui concilie ; con-
TescaLıaure, adj. 2 gen. conciliant : pro-
pre i la oonciliation,
.2 gen. ooncilisire : de con-
k au concile. s. mw. Membreo
Concuun, 0.8. concilier : accorder ensem-
bie des personnes ou des choses qui talent ou
semblalent @ire contraires; acquerir, gagner,
attiser (Pestime,, la faveur, eic.). —, 0 somno,
(Ag.) provoquer le sommeil.
ine, v. r. se concilier, s’accorder;
Ga@carder sur un dilferend.
(1. de bot.) coty-
let ow cotylier
ombelique. Le
sembrii de Venus. Eseudes, escuelles com-
CON 319
f Corcttärıo, A, adj. conciliaire : de com-
cile.
+ ConcıLiaamente, ade. concilisirement s
en concile; en conseil.
ı ’ Conatisrtivo, A, adj. conciliant : qui con=
cllie.
ConcıLiarönio, A, ad. conciliant : propre &
la conciliation.
+ ConcıLıkvsı ‚adj. 2 gen. conciliable‘ qui
peut se concilier avoc.
CoxciLio , s. m. concile : assemblee lögale de
prelats catholiques pour deliberer, decider sur
des questions de doctrine, de discipline ; son
local ; ses decrets. * Assemblöe,, reunion pour
traiter de quelque affaire.
+ Concıonanor, s. ım. prödicateur, baram-
gueur.
+ Concionar,v. m. baranguer, pröcher. 9. u.
+ ConcıonaTörıo, A, adj. de harangue, de la
chaire,
CoNcisam&nTteE, adv. d’une maniere concise,
en termes concis , briövement.
Concisiö, s. f. concision : qualit6 de ce qui
est concis.
Conciso, A, adj. concis : court et sorr6
(style).
+ Concırackö, s. f. emotion, agitslion, in-
quietude, trouble; instigation,, incitation.
Concıtäp0,, A, P. p. de Comeildr.
CONCITADOR, 8. m. agitateur, boute-feu , in-
stigateur, faclieux. adj. Qui instigue, qui im-
cite.
Concıtir, 9. @. exeiter : instiguer, pOuSser,
inciter, animer. Solliciter, provoquer. Susciter
des troubles,, des s&ditions , etc.
Concıtän-sE,, 0. r. s’agiter ; s’irriler.
+ Concırarivo, A, adj. qui est propre ä ex-
eiter, & inciter, & animer.
+ Comcuamaciö, s. f. conclamation : appel
d’un mort A grands cris et au son de la trenı-
pette ches les Romains. .
ConcLAYE, 8. m. conclave : assembite de
cardinaux pour £lire le pape ; local od se tient
cette assembi6e, le temps de sa duree.
ConcLAvista,, &. m. conclaviste : qui suil un
cardinal au conclave, s’enferme avec lui.
* ConcLUDER. V. Conciwir.
CONCLUDENTEB, adj. 2 gen. concluant : qui
conclue, qui prouve bien (raison, argument,
etc.).
CONCLUDENTEMENTE , ade. d’une maniere
cuncluante.
CONCLUENTE 0% CONcLUmTE. V. Concludenie.
Concıuloo, A, 9. p. de
CoNXcLuiR, ®. @. conclure, achever, änir, ter-
miner, depecher, vider, mettre & fin; juger,
determiner, döcider, arreter, resoudre, conve-
nir de. (de) —, inferer, deduire, resulter, tirer
une consequence. Convaincre, forcer d’avouer,
de reconnaltre, de maniere a ne rien laisser ä
repliquer (p. us.). Ir-se concluinde ou eslar 6
concluir, s’en aller, &tre prös de mourir; tou-
cher ä sa In.
ConcLvla-sE, v. r. se terminer; ötre r&solu,
330 CON
decide, en parlant d’une deliberation prise en
conseil.
Coxcıusiö, s. f. fin, terme, achtvement,
clöture. Conclusion, deltiberation,, resolution
finale. Conclusion,, fin d’une affaire, resume,
fin d’un discours; consequence d’un raisonne-
ment, d'un argument en forme; action de
eonclure ; derniere proposition d’un syllo-
gisme. ( . de prat.) Conclusion : demande faite
aux juges apres l’expose; ce & quoi conclut un
rapporteur, un avocat, Em -—, enfin, äla fin,
finaloment, pour conclure, donc. Homem
de —, un homme resolu, decide. Cousa föra
de —, chose contre le bon sens,, hors de raison.
Conclusöes, pi. ihöses , propositions, questions
& discuter publiquement. — magnas, grandes
theses, les derniöres que soutient celui qui
veut eire regu au doctorat (& l’universits de
Coimbre ).
CoxcLusiozinaa, s. f. dim. de Conclusdö.
7 ConcLusıvamentE,ade. d’une maniere con-
clusive, definitivement.
+ ConcLusivo, A, adj. conelusif : quitermine,
conclut, finit.
ConcLiso, A, adj. conclus, fini, termine;
r6solu, decide, arrete.
Concocgaö, s. f. concoclion: premiere di-
gestion des aliments.
Concocrivo, a. V. Digestivo.
Concocrtriz, adj. 2 gen. V. Concoctivo.
ConcoMıTÄncıa, 8. f. concomitance: union,
simultaneit& d’une chose accessoire aveo la
principale.
CONCONITÄNTE , adj. 2 gen. concomitant: qui
accampagne (gräce). °
CoXcoRpADo, A, P. p. de Concorddr.
CONCORDÄNGA Ow concordance : rap-
Concornpäncıa, 6. f. | port ; convenance.
—, (ti. de gram.) accord regulier, parliculier
des mots, selon les regles. —, index des mots
de la Bible.
CoXcORDÄNTE, adj. 2 gen. Concordant: qui
concorde, qui est conforme. V. Concorde.
CONcoRDAR, 9. a. accorder, concilier, acoom-
moder, conformer; faire convenir selon les
regles de la grammaire. Accorder des voix, des
instruments, etc.
COXcoRDAR (com), ©. #. concorder : conve-
nir, &ire d’accord; @tre conforme, semblable;
s’accorder.
CoONCORDÄR-SE, d. r. 8’accorder, S’accommo-
der. — com alguem, eire d’accord avec quel-
qu’un, &ire de meme humeur, du meme ca-
raclere.
Conconpita,s. f. "concordat : transaction,
eonvention , accord en matidres ecclesiasti-
goes ; trailc entre le pape et une puissance.
CoNCcorpÄYEL, adj. 2 gen. conciliable, ac-
gommodabie : qui peut s’accorder, se conci-
ier.
Coxcörne, adj. 2 gen. d’accord, du m&me
evis, unanime. Conforme, uniforme.
COXNCÖRDENMENTE, adv. d’un comman accord.
Coxcönpia, 8. f. concorde; union, confor-
mite de volontös, de caurs ; peix, benne in-
telligence. De —, unanimement, d’un commun
accord.
+ Concoarönso, A, adj. (.de Iheel.) On le
dit de celui qui perlicipe au corps de Jesus-
Christ par la communion.
Concoraßntre, s.m. V. Concurrenis.
CONCORRER (a), v. ®. se rendre, se joindre,
se reunir dans un me&me temps. Assister, aider,
secourir. (@ ou para, com) Contribuer & une
bonne @uvre par le don ou le pret d'une somme
d’argent, etc. Concourir ä,avec. (em)S’accorder,
eıred’accord sur quelque chose; (i.) coexisier:
se r&unir dans un m&me individu (differentes
qualit&s).—com alguemparaobter..., concourif
avec quelgu’un, &ire en cöncurrence pour ob-
tenir... — no mesmo volo ou diclame, @tro du
meme avis, de la m&me opinion. Concorrd-
rem varios sujeilos d prelengäo d’ums mesma
cousa, @ire en concurrence, @tre concurrenis,
compeiiteurs, en parlant de deux ou de plu-
sicurs personnes. — uma feslicidede com
oulra, se rencontrer, tomber dans le meme
jour, en parlant de deux.fetes. Por n’elle con-
correrem.as parles, os requisilos da lei, paros
qu’il a ou poss&de toutes les qualit6s requises
par la loi.
+ Concreicäö, s. f. Vaction de concreer, de
cr6er deux choses en meme lemps.
+ Concrkeivdo,A,p.p. de
+ Concreia, v0. a. concreer : faire, cröer,
composer deux choses en meme temps.
Concrscäd, s. f. concrelion : amas de parties
r&unies en masse solide; adherence vicieuse
de parties; aclion par laquelle des corps mous
ou fluides deviennent solides. ,
+ CONcRESCivVEL, adj. 2? gen. concrescible:
qui peut devenir concret.
CoNCRE£TO, A, adj. concrel : joint; composs;
fire, coagule; unie au sujet (qualite ) ; l’oppose
d’abstrait (science, idee).
* ConcRupıa ow Concrtie. V, Concluir.
Coxcusina, s. f. concubine : femme qui co
habite avec un homme sans €ire son Epouse
femme d’un &tat inferieur, sans droits civils ni
avantages dolaux.
CONCUBINÄRIO, 3, 9. concubinaire : celui qui
a une concubine,
CoNcuBInÄTO, 8. m. concubinage : commerce
illegitiime de gens non mari6s, des deux sexes,
vivant ensemble comme s’ils P’etaieut,
CoNcuBino, 8. m. giton, sodomise.
Coxcisıto, s. m. union charnelle, colt,
CorcuLcADO, A, 9. p. de
CoNXCuLCAR, dv. a. fouler aux pieds,, au Propr®
et au figure.
+ Coxcunnino, A, s. On le dit des freres qai
ont &pouse les deux sa@urs, et des s@urs qui
ont &pouse les deux fr&res.
CONCLPISCENCIA, 8, f. concupiscence : penie
au mal, aux plaisirs illicites et sensuels ; desif
deregle ; convoilise, desir de posseder. Concu-
piscence de la chair,
CON
TConcvrischurz,, adj. 2 gen. coneupiscent:
qui a de la concupiscence, V. Libidinoso.
Coxcvrisciver, adj.2 gen. concupiscible: qui
porie & desirer un bien, un objet qui plalt.
Coxcunatacıa, s. f. "concours, abord, af-
fluence de personnes ; rencontre. Concur-
rence: prelenlion de plusieurs ä la meme
chose; Iutts commerciale ou industrielle; ac-
tion de concoarir & un but; reunion de deux
lttes.
ConcuaantE, adj. 2 gen. concurrent: qui
conceurt. Linhas —s,, lignes concurrentes, qui
tendent ä se reneontrer. Polencias —s, puis-
sances Comcurrenies, qui tendent & produire
un effet.
CONCORRENTE „ 8. 2 gen. concaurrent : qui
conoouri pour la meme chose, dans lo möme
temps; competiteur.
Conciaso, 5. m. concours, abord, rassem-
blement, monde, affluenco de personnes; ac-
lion de concoarir. —, lutie, dispute de concur-
Fenis pour une chaire, un ben£fice, un prix.
P6r —, metire en concurrence.
Concussiö, s. f. secousse, &branlement,
commotion. Concussion : vexation, exaclion
commise par un superieur.
Coscussıonänto, 8. m. concussionnaire : qui
exerce des concussions.
tCoscusson, a, adj. qui exerce des concus-
sions.
CoxBiDo, 5. m. comte6 : titre d’une terre pos-
sedee par un comte ; dignite de comte.
Cos2iö, s.m. *excellence, prerogative, pr&d-
minence, privilege. Varinha de —, baguelte
divinatoire.
’Coxpkrnaciö
"ComBAran. eic. | V. Condemna..., etc.
"Conpania. V. Condado.
Conpe „ s. m. comte: qui possdde un comie;
titre de noblesse au-dessous de marquis et au-
dessus de vicomte.
Comptza,s. f. sorie de panier d’osier, rond
ou ovale „ d couvercle. V. Condessa.
"Conpegan om Conpessan. V. Deposilar,
ConDscenDer, etc. V. Condescender, etc.
* CONDECILEO. V., lo.
tConpecosucäd, s. f. decoralion : marque
@bonneur, de dignite. Illustration.
Conpeconin0,A,9.p. de Condecorar. adj.
Decore. Homem —, & qui on a confer6 des
konneurs, une dignite, un titre, une decora-
ion. — com 0 häbito de Christo, ete., decore
de Fordre du Christ, etc.
CoxpeconÄn, ©. a. decorer : conferer des
konneurs, une dignils, un titre, une decora-
tion & quelqu’un. Illustrer. — com a sus pre-
senura , bonorer do sa presence.
Conveunacäd, s. f. condamnation : jugement
qui condamne, qui blame; ce ä quoi on est
eondamnd. Damnation : peine eternelle.
Conpzunino, A, p.p. de Condemnar. adj.
Condamne ; desapprouve; rejet& comme inca-
pabie, bors d’dtat. — a mulcla, amende. Ser
PORT.-FR,
CON 321
— na8 cuslas, re condamnd aux depens, aux
frais d’un procds. Os —s, s. m. pl. les damnes,
CoXDENNADOR, 3. m. celul qui condamne.
COXDENNAMENTO, s. m. V. Condemnacdo.
Conpennir (a), v. a. condamner: donner,
rendre un jugement contre. —, rejeter, r&-
prouver; blämer, d&sapprouver, improuver, re-
prendre. Damner. —a pagar mulcla, amender.
— nas cuslas, condamner aux frais et de-
pens.
CONDsMNÄR-SE, ©. r. se condamner : avouer
sa faule, s’avouer coupable. Se damner, aller
en enfer.
CONDENNATÖRIO, A, ady. condamnaloıre ı zul
condamne, qui entraine condamnation.
COXDENNAvEL,adj.2 gen. condamnable:: qui
merite d’etre condamne & une peine ; blämable.
Damnable.
tCondensasıLmäne, s. f. condensabilit# ;
propri6td du corps qui peut @ire condense.
ConpEnsacäö, 3. f. condensation : action de
condenser, de rendre plus compacte, de se
condenser; son effet.
CONDENSÄDO, A, pP. p. de Condensar.
CONDENSADOR, 5. m. ( 6. de pAys.) condensa-
teur : machine pour condenser Pair, Pelectri-
cite, la vapeur.
T CONDENSÄNTE, adj. 2 gen. condensant : qui
condense. 9. a. de
CoNDENSÄR, ©. a. condenser : rendre plus
serre, plus dense. Il est aussi r&ciproque.
ConDEnsativo,A, adj. quia la vertu de con-
denser.
ConpensäveL, adj. 2 gen. condensable:: qui
peut &tre condens&.
CONDESCENDENCIA, 8. f. condescendance : de-
ference aux sentiments, & la volonts d’un
autre.
CONDESCENDENTE, adj. 2 gen. condescen-
dant;; qui a de la condescendance.
CoONDESCEnDER (a, com), v. n. condescendre :
so rendre & la volonts, aux sentimenis d’au-
trui ; avoir de la condescendance pour...
CONDESCENDIDO, A, p. p. de Condesconder.
* ConpesıLı0. V. Deposito.
+ Conpesinno, s. m. dim. de Conde. Le flis
atnd d’un comte, qui a dejä le titre de son
pere.
Conp8ssa, s. f. comtesse: femme d’un comte; |
femme qui possede un comt£.
* ConpessiLno. V. Condesilio.
Conpessinua, 8. f. dim. de Condessa. La fille
ainde d’un comte, qui a dejä le titre de son
pöre.
CONDESTÄBLE , 8. m. connetable : ancienne
dignite militaire ; chel des armeöes.
CONDESTABL£SSA ‚8. f. femme du counelable.
+ ConpestasLia, #. f. dignils, charge du
connetable. Connetablie : tribunal des mare-
chaux de France.
° CONDESTABRB 6l CONDESTÄYEL, Plus usild,
V. Condestdble.
Convigäö, s. f. condition : nature, qualilö,
etat des personnes, des choses; qualite re-
3
223 CON
quise, nöcessaire. "Genie, caraclöre ‚nalurel,
complexion. —, lat d’un, homme consider
quant & la naissauce; noblesse; &lat de vie;
profession, &tat dont on est. Condigöss, Pl.
clauses, charges, obligation d’un trails, etc.;
Tormule, chose ä observer pour la validile. —
tdcita, condition taciie, sous-enlendue. — sine
qua non, condition sine qua non, de rigueur.
— necessarie, condition necessaire pour la
validit d’un acte. Pessoa de —, personne de
oondition, de qualit#. Com — que, ä& condi-
tion que. Por nenkums —, en aucuns MA-
niere, pour rien au monde.
* ConvicıLLo. V. Codicillo.
Conpicıonino, a. V. Acondieionddo.
CompicıonäiL, adj. 2 gen. conditionnel : qui
renferme une condition ‚une olause pour l’ox&-
eution, qui y est subordonne.
CORDICIONALNRNTE, ado. oonditionnellement:
ae condition, avec clause:: sous oertainecom-
on.
* Compıgoia. V. Conoeneionar , Esfipular.
ConDIcNAmenTE, ade. condignemeat : d’une
maniere condigne.
Coxpicniping, #, f. condignits ; qualit& de
08 Gui est oondigne.
Convicno,, a, adj. condigne: egal au mörile,
& la faute.
Condınento, 3. m. condiment : assaisonne-
ment, appret.
Conpinuo. V. Condesinhe.
Conpia, v.@. p. us. assaisonner, &0C0mmo-
der, appröäter. .
ConpiscıruLÄDO , 8. m. *"sociöts d’&tudes,
temps que l’on ötudie ensemble.
ComiscıeuLo, 6. m. condisciple : compagnon
d’&tudes, de collöge. — do curso, compagnon
de olasse.
CoNDIZENTE, adj. 2 gen. qui s’accorde bien;
bien assorti, p. e. de
Conpizka (com), ©. ®. convenir, cadrer;
s’accorder, avoir de la oonformils ; se marier
Bien ensemble.
monnohr, ®. 6,9. ws. compatir. V. Compe-
CoNDoza-as (de), v. r. coompatir, s’aliendrir,
avolr piti6, prendre part & la doulsur d’un
autre.
Conpoloo, a, p. p. de Condosr. adj. Emu
eompatissant. ‚PP m ’
COnpolnenTo, 5. m. * piti6, compassion.
* Coxptıto. V. Conduto.
CompoL&nucıa , s. f.condolsance : Lınoignage
de douleur, d’affliction , de regret.
fConsonackö, s. /.*pardon, remission.
Conponino, A, 9.p. de
Conponäa, v. 6. p. us. pardonner, remelire,
tenir quitte, faire gräce , relächer.
TComper, s.m. (l. d’hist. nat.) condor ou
contour : esp&ce de vautour, le plus grand des
Oiseaux, de 25 pieds d’envorgure : il est assez
vigonreux pour enlever un mouton : habite
les montagnes du Perou.
CON
Conpai, ComBaLLo, (. de bot.) V. Chon-
drille :
Conpucgiö, s. f. condulte : Yaction de oon-
duire, de mener, d’aocompagner ; transport.
CoOnDucknTE, adj. 2 gem. qui oonduit; ten-
dant d; avantiageuz,, utlle ; oonvenable.
Conpöcra , s. f. "transport sous escorte. —,
gouvernement, direction, gestion. —, C0M-
portement : mauidre d’agir, de se gouverner,
de vivre. «4. aut. V. Soldo. ‘Reservoir d’sau.
Troupe de recrues que les ofliciers mönen! &
leurs regime ıts. On donneit oe nom ancienne-
ment & une baire secondaire & l’universite de
Colmbre.
Conpucrä 10, adj. m. Lents —, prolesseur
qui tenait la chaire appelde Conduele. V.oo mot.
+Conpec ısıLioipe, #. f. eonductibilils :
propriets q ront certains corps de lransmetiee
’6lectricit& ou d’autres Nuides.
+ Conour rivo, A, adj. qui sort, qui est bom,
qui est pro wo ä conduire.
Connecr ı, 8. m. conduit, canal, tuyau,
pierree. V. Condüto. adj. V. Conduzido.
ConDuctOR, s. m. conducteur : celui qui con-
duit ; guide , directeur.— eldcirieo , (4. de phys.)
eonducteur e&lectrique : corps qui iransmeot
Pelectricäte.
Conpero,s. m. "pitance: ce qu’on mange
avec le pain.
* CONDUZIMENTO, 3. m. V. Conducla.
Conpvaino, A, P. p. de
Conpuria, 9. @. conduire, mener, guider,
accompaygner; mener, diriger. Louer, pren-
dre & feıme, convenir d’un prix. Amener. (a)
— , portes, transporler.
Conpusin (as, para), convenir, $ire utile,
avanlageax; oontribuer d. —s6, 9. T. 50 C0B-
duire , s0 comporter.
Conprıo, a. m. (i. d’anst.) condyle : dmi-
nence d’une arliculation ow au heut des 085
jointure des: loigts.
tConpyıö oe, adj. 2 gen. (f. d’enel.) oen-
dylolde, en « andyle.
Conpyıöui , s. m. (1. de cher.) condylome :
excroissance de chair ä Pinterieur de l’anus,
causee surtor t par la syphilis.
Cönz, 8. aı (l. de geom.) cöne : pyramide
ronde; corps solide forme& par la superpo-
sition de cero es conoentriques, toujours dimi-
nuant jusqgu‘ ıla cime ow pointe; sa ligure, sa
forme.
Cöneca, s. f. chanoinesse : religieuse qui
suit ia rögle des chanoines räguliers; (emme
aul possede ane prebende dans un chapitre de
es.
CönEcO, #. m. obsneine : qui a un can“
nicat, uns prebende. — regular, chanoine r&
lie
guter.
Cönszia, 6 f. chanoinle, canonicat : bendäice
de chanoin®.
Consxiö, ste. V, Connexdo, cie.
ConrauvLagä6, s. f.confabulation: entrelien
familier.
CoXFABULÄBO,, 4, 9. p. de Confabular.
CON
CONFABULADOR, A, s. Confabulateur : qu
s’eutrelient familidrement.
ConrapuLia (com), ©. mw. confabuler : s’en-
tretsuir [amilidrement.
Conrarid. V. Gonfaldo.
+Cossannzıciö, s. f. canfarröation : me-
riage qui se contractait ä Rome en parlageant
entre les Tuturs un meme gäleau qu’ils man-
gesient.
Cosrecıosnino. V. C:nfeicoado.
+° Cosrtcro, A, adj. abattu, languissant,
as#, tpuise. —de annos, accabld de vieillesse,
casse.
Coarspericiö, 3. f. confederation : ligue,
alliance d’elats,, etc. Liaison, union.
Coxsrzverino, A,Pp. pP. de Confederar. s.m.
Confederet : celui qui est alli6 par conledera-
tion.
T CoxrvenerapoR, 5. m. celul qui fait une con-
federation.
COXFEDERANENTO, 8. m. V. Confederaräo ;
alliance par mariage.
Coxrepenin, vo. a. liguer, eoaliser, confede6-
ser. — se (com), v. r. so confederer : se Ii-
guer ensemble; faire une confederation.
+ Comreveritivo,a, adj. confederatif : de
la eonfederation.
Cowrzeiciö, 8. f. (l. de pharm.) eonfection :
composition de drogues pour medicaments ;
ration pour bonifier le vin. VFinho sem —,
du vin naturel, qui n’est pas frelate.
Cosraı0AD0, A,p. 9.de
Conrzigoin, v. a. preparer des drogues m&-
dieinales, faire des confeetions;; boniflerle vin.
COWFEITaAnO, A,P.p.de
Conreırär, 9. a. confire, couvrir de sucre,
faire des conälures, des sucreries. (fig.) Adou-
cr, temperer.
Conseıtaria, 8. f. boutique, magasin de
eonßseur ; confiturerie. Rue des confiseurs.
Cosrgırtına, s. f. confiseuse : femme du
confiseur; femme qui fait, qui vend des con-
fitores.
Conrerrtino, s. m. confseur : qui falt ou
vend des confitures,, des dragees.
Courtrros, s.m. pl." graines d’anisoouvertes
de sucre; dragdes.
Conrzaßncıa, 3. f. conferenoe, eolloque :
entretien entre plusleurs personnes; discus-
sion. V. Cottjo. — academica, * debat, coniro-
verse littöraire. — de meddicos, consultation de
medecins.
CONFERENcıÄDO, A,P.p. de
CosreasncıäAn (com), 0. ». conferer, parler,
raisonner, dedliberer ensemble. Il est quelque-
fois actif, mais tr&s-peu usite.
CoxrEn&xnte, adj. 2 gen. qui prend part ä la
eonfsrence ; qui confere, qui donne, qui con-
tribue ; qui compere, qui onllationne.
Conssafste, s. m. conferencier : qui pre-
side a une conförence, qui propose, explique
les matieres.
Conrgkino,A, pP. p. de
Coxrznin (com), v. a. conlörer, Comparer,
CON 323
sollationner. (com, enöre) —, deliberor, parler,
raisonner ensemble. Il est aussi ncoulre dans
ceile dernidre aoceplion. #$. Conferer, donner,
accorder. — Aonras, delerer Cos bonneurs.
TConrtava, s. f. conferve : files verts et
delies sur l’eau. Algue.
Conrgssino, A, 9. p. de Confessar. et adj.
Ser — de... etre penitent de... E’ minka—a,
c’est ma peuilente.
*Conrzssapon. V. Confesser. adj. conles-
sant : qui confesse, qui avoue.
Convsssin,, v.a.confesser, avouer, convenir,
declarer. —, reconnaltre. —, oulr un penitent
en confassion. — de plano, conlesser, avouer
ouvertement. — sem Slormenio, avouer Sans
dificults, volontairement.
CONFESSAR-SE ‚U. 7. 80 reconnalire, se decla-
rer, s’avouer (coupable , debiteur, vaincu, etc.).
(a,com,de) se conlesser : dire ses pöchts ä
un prelre. /r —, aller A confesse. — ao menus
uma cex cada anno, se Confesser au moins une
fois l’an.
CoNFESSIONÄRIO, 5. m. confessionnal : siege,
cabinet du confesseur; le ministere de confes-
seur. anf. Livre de confession.
CONFESSIONIiSTA, 5. m. confessionniste : Iu-
thörien de la confession d’Augsbourg.
Conr&sso, A, adj. (}.de prat.) On le dit de
colui qui a avous en Justice tout ce qu’on lui a
demande, Moine, fröre convers, lai.
Conrtsso, s. m. (fam.) confesse : confession
faite & un prötre. Ir ao—, aller & confesse.
Conrsssör,s.m.confesseur:pretre qui a pou-
voird’entendre en confession et d’absoudre; qui
confesse; directeur spirituel; celui qui con-
fesse la foi de J.-C.: dans ce sens on le dit aussi
au femiıfn (Confessora); qui a souffert pour
elle; saint qui n’est ni apölre, ni martyr.
CONFIÄDAMENTE , adv. avesconfiance; hardi-
ment, audaciousement; imperlinemment, avco
impertinence.
CoXFlADISSIMO , A , adj. sup. de
Coxnä0o,A,p. p. de Conflar. adj. presomp-
tueux , hardi, conflant; imperlinent; a rogant,
insolent;, prövenu en sa faveur.
Conriänga, s. f. conflance, assurance, 56=
curit6; espoir, esp&rance. Hardiesse, pre&-
somption, conllance. * Traitö, accord , conven-
tion secröte, familiarite. Imperlinence , au-
dace, insolence. Em —, en confidence, sous
le secret. Dar em —, donner une chose & quel-
u’un sur sa bonne fol. Com —, sans reserve,
er — em Deos, prendre confiance en Dieu.
Em vös pfe loda a sua—, il ne compic yue
sur vous pour toutes Choses.
CONFIANTE , adj. 2 gen. conßant, qui conflo,
qui se confie. p. a. de
Coyrıän (a, de), v. a. confier : commeltre ä
la Adelite, A la garde, & la disoretion, au soin
de queiqu’un.
CoxriÄr, 0. n. et-se (em, de) v. r. seconfier,
s’assurer, prendre oonflance en, faire fond sur.
Nada se pöde — na amisade de..., On ne pous
324 CON
compier sur l’amitie de... — d’elguem,, comp-
ter sur quelgu’un.
Conricıonin, etc. V. Confeiper.
Coxripäncıa, s. f. confidence : coommunica-
tion donnee ou regue d’un secret; confance,
assurance ; bonne opinion qu’on a de quel-
qu’un. Fazer — d’alguem, avoir conflance en
quelqu’un, se conlier en lui. Faser —s a el-
guem, communiquer des socrets ä quelqu’un.
CONFIDENGIAL , @dj. 2 gen. confideniiel : dit,
fait en conßdence.
ConFipEscıaLmentE , ade. confidentielle-
ment : en confidence.
Conripäntg, adj. 2 gen. qui confie, & qui
l’on confie ses secrets ; fidele, sür.
CONFIDENTE, 8. 2 gen. confident, a qui l’on
confie ses secreis. Maure espion.
t Conrinentemänte, adv. confldemment,
en confdence. Fidelement.
Conriournacäö, 8. f. configuration : forme
extsrieure ; ordre, disposition de surfaces.
CoxrıcuniD0, A,p.p. de
Conricunir, v0. a. configurer : Agurer l’en-
somble; donner une cerlaine forme.
Conrim, s. m. limite, lisiere, borne, fron-
tiere. Confins , pl. conüns. adj. 2 gen. V.Con-
finante.
Conrinäno, A, p.p. de Confndr.
T ConrıniL, adj. 2 gen. des confinants, des
äimitrophes. .
Courininte, p. p. de Confindr, confinant::
qui confine. adj. Limitrophe, voisin, confl-
aant, aboutissant.
Conrınaa (com), v. wm. confiner, avoisiner,
toucher par ses limites , @tre limitrophe.
Conrinipäne , s. f. confinit6 : voisinage,
proximite, rapport de deux pays qui se tou-
ehent.
Conmir. V. Conferir.
Conrinuacäö, s. f. conflrmation : co qui
rend plus ferme, plus sür, plus certain, plus
stable; assurance expresse (d’une nouvelle,
etc.). (l. de rhet.) Partie du discours qui ren-
forme les preuves. —, sacrement de l’Eglise
qui conlirme dans la gräce da bapteme. Esta
nobieia carece ou preciza —, cette nouvelle
merite confirmation.
ConfiawÄiDaMenTE, adv. sürement, sans le
moindre doute, avec assurance.
CONFIRNADISSIMO, A , adj. sup. de
Connanino, A, P. p. de Confirmär. adj.
Qui a regu la confirmation. — em graca, pre-
serve de p6ch& par une gräce speciale de Dieu.
CoNFIRMADOR , s. m. celui qui conlirme.
Conriamänts, adj. cenfrmant : qui con-
firme. p. a. de
Conriamia, ©. @. confirmer : rendre plus
cerlain, plus ferme, plus stable, plus sür.—,
valider, affermir, prouver davantage; donner
des preuves, des assurances, des raisons
nouvelles. —, donner le sacrement de la con-
Armation.
Conrinuin-sE (em), ©. r. se conürmer : se
rendre plus ussure , plus ferme, plus ceriain.
CON
Conrinuariro, A, ou eonfirmatil : qui
ConsIaMATöRı0, A, adj. { confirme.
Cosriscaciö, s. f. confiscation : action de
confisquer, adjudication au fisc.
Conrisci0o0, A, p. p. de
Corriscir , 0.@. confisquer : adjuger au lise
par condamnation.
ConriscäveL.,adj. 2 gen. confiscable : qui
peut &tre confiscable.
Conrissiö, s. f. confession, aveu (de ses
fautes); sacrement de penitence, aclien de
faire ou d’entendre l’aveu des peches ; conlesse,
declaration de quelque chose, de la foi que
l’on professe. *Conflteor : priöre avant la con-
fession, ä la messe, eic. — geral, confession
generale. — d’Ausburgo, confession d’Augs-
bourg. V. Confessionista. — publics do delilo,
amende honorable.
Conrita, s. f. Il n’est usit6 que dans celle
phrase : A cerla —, le moment venu. .
Cosritaute. V. Confesso.
ConrLacracid,s. f. conflagralion : embra-
soment general, incendie. (fg.) Guerre gene-
rale ; conflagration politique.
CONFLIiCTO,, 8. m. conflit, choc , combat, fort
de la melde, contestations entre les juridic-
tions sur le droit de juger une cause. (fg.)
Affliction,, peine, combat Interieur, embarras,
perpiexite.
ConrLußncıa , s. f. * oonfluens : jonclion de
deux rivieres; lieu oü elle se fait.
CONFLUBNTE, adj. 2 gem. confluent : qui 008
flue. Bexiger —s, (1. de med.) petite verole
confuente, fort abondante. Folhas —, (1. de
bot.) feuilles confluentes qui paraissent s6 (00°
cher sur la tige.
+ CoxrLuln , vo. ». couler ensemble, joindre
ses oaux, faire un confluent, en parlant des
riviöres.
ConronmaGäö, 8. f. conformation : maniört
dont un corps organise est conforme.
ConFoRNADO, A, adj. conforme : qui a tele
conformation. 9. p. de
COXFORMÄR, ©. a. conformer : rendre CON-
forme ; donner la forme.
CORFORMÄR (com), v. n. convenir, dire COl-
forme, cadrer. —, etre du meme sentimenl,
du meme arvis.
CoNFORMÄR-SE (com), u. r. se conformer, 5
resigner, se soumeltre. S’accorder. — cum @
voniade de Deos, se resigner & la volonle Je
Dieu.
CoxrörnE (a, com), adj. 2 gen. conlorrme:
semblable, qui a la meme forıne, qui a de ia
conformits, du rapport; analogue , en barımo-
nie; uniforme ; pareil. Resigue , patient, 500“
mis.
Conrörme, ado. conformısment, selon, SU!
vant, suivant que. pr&p. Selon, d’aprös.
CONFORNENENTE, adv. unanimement; J'UA
commun accord ; conforme6ment. ı
Conrorsinäps, s. f. eönformile : FapPOTı
ressemLiance entre des choses conforan
Union, cenoorde, burınonie, Lonne ini“
CON
gence. Symötrie, accord , proportion. —, resi-
gnation , soumission,, pationce. De — , de con-
eert, d’un commun accord. Em —, conforme-
ment, suivant, selon; en consequence, cela
+ ConFORmISTA, s.m. conformiste : celui qui
professe la religion dominante en Angleterre.
Ndo — „ non-conformiste : qui ne professe pas
la religion anglicane, en Angleterre.
Cosrortackö, s. f. confortalion: corrobora-
ion du corps; aclion de fortißer, ses eflets.
CosrorTtino,A,p. P. deConforlar.
CONFORTADÖR, A, 8. el adj. celui qui console,
sonlage, etc.; qui conforte, qui corrobore.
CONXFORTANTE, adj.2gen.quiconfortw. p.a.de
CONFORTÄR , v. a. conlorter, Fanimer, COFTO-
borer, fortiier. Rassurer, consoler; animer,
encourager.
COXFORTATIYO, A, adj. confortatif : qui cor-
robore, fortifie, aide, soulage.
COxFöRTO, s.m. ° confortation ; soulagement,
oonlort.
Conrox«Toso. V. Confortalivo.
+CoxsaacTönıo, s.m. "priöre qui se ditapr&s
ls fraction de l’hostie dans les messes , selon le
rit de saint Ambroise.
COXFRÄDE, 8. 2 gen. confrere : membre d’une
association religieuse.
Courrachso. V. Fragoso, Aspero.
CONFRANGER , d. G. vexer, Opprimer quel-
qu’un; rabattre Porgueil.
CONFRANGER-SE, v. r. se plier par la dou-
leur.
COXFRANCIDO, A, P. 2, de Confranger.
COXFRANGINENTO, 5.m. "contraction par l’el-
fet de la douleur. (Ag.) * Contrainte.
CossRaria, 3. f. confrerie: association reli-
gieuse pour des exercices pieux.
CONFRATERNADO, A, P. p. de
+Comeaatennäß, v. e. fraterniser, unir en
confraternite.
COSFRATERNIDÄDE, 8. f. Confralernit6 : rela-
tion ow qualit& de confr&res, de collögues.
CONFRATERNIZÄDO, A, 9. P. de
+ Cosraateaxızir, v.a, ein. [ralerniser.
Conrakıne, s. m. confrere d’un ordre mili-
keire,
CONFRONTAGAÖ, s. f. confronlalion : action
de eonfronter, de metire en presence des t&-
moins , des accuses; examen de deux &critu-
res, de deux passages que l’on confere. Con-
froniagöes, pl. demarcations, limiles. " Signa-
lement.
ConrRontäDno, A,Pp. p. de Confronlar.
COSFRONTADÖR, A, 3. celui qui confronte.
CoOuFRonTtäR(com), v. @. confronter : mellre
en presence, vis-A-vis. (fg.) Comparer les
ehoses entre elles. —, opposer les Lemoins &
Yaccuse ; meltre en pr&sence pour interroger.
Conrnontin, ©. n. (flg.) cadrer, convenir,
sympathiser. Confiner : &ire conligu, voisin,
limitrophe. Etre semblable , s’accorder, se con-
venir. Eire en face ou vis-ä-vis, en parlant
d’un edifice
CON
CoxFuGipo,A,p.p. de
CONFUcir, v.n.p. us. fuir en compagnie. it,
ant. V. Recorrer.
CoxrunDiDo,A,?2.p. de Confundir.
CONXFONDIDOR, A,adj. quiconfond, qui cause
confusion.
Conrunpir, v. a. confondre: meler, brouiller
des choses ensemble ; ne pas distinguer ou dif-
ferencier un &tre d’un autre ; prendre une chose
pour une autre; troubler, abatire; meltre em
desordre;; convaincre en couvrant de honte;
causer confusion,, donner de la confusion ; re-
duire ä ne pouvoir repondre. Fondre ensemble
des me&laux. .
CONFUNDIR-SE, ©. Tr. se confondre : se c0u-
vrir de honte, se troubler, se brouiller. — ne
seu nada ‚ s’aneanlir, s’humilier.
CONFUSAMENTE,, adv. confusement : d’une
maniedre confuse.
Conrusiö, s. f. confusion : melange conlus;
embrouillement ; desordre; trouble (au mo-
ral); honte,, pudeur; obscurit6, desordre dans
la maniere de s’expliquer; grand nombre,
grande mullitade.
ConFuso, A, adj. confus, eonfondu; mele
ensemble; indistinct; brouill6, sans ordre;
obscur, embrouille ; bonteux , embarrasse, de-
concerte, troubl6; incertain.
Conrutacäö, s. f. confutation, relatation.
Conrurino,A,p.p. de Confular.
CONFUTADOR, 5. m. qui confule, qui refute.
Coxrurir, v. a. confuter, refuter, impw-
gner.
+ ConrurÄveL, adj. 2 gen. qui peut &tre
confute.
* CoNnGEcTo, s. m. V. Conjeclura.
Concgıackö, s. f. congelation : action da
froid quigele les liquides , ses effets ; ctat d’un
fiuide gele.
ConGeLiDO, A, p. p. de Congelar.
CONGELADOR,, A, ad. qui congele.
CONGELAMENTO, 5. m. V. Congelardo.
ConGeLÄnTg , adj. congelant : qui congele,
p. a. de
CoxcerÄrR, v. & congeler, geler ; conrerlir
on glace; coaguler, figer. Il est aussi reei-
proque.
+ CoxceLarivo, A, adj. propre A congeler, &
eler.
+ CoxceLivst, adj. 2 gen. congclable : qui
peut @tre congelc.
+Coxceuunaciö,s.f. (L. de scien.) conge-
mination : formation double et simultande.
CONGEnerE, adj. 2 gen. congendre : du meme
genre (plante, animaux , etc.); (fg.) du m&me
caractere. Musculos —s, (If. d’anat.) muscles
congenöres : qui concourent au meme mouve-
ment.
+ ConceniÄL, adj. 2 gen. qui a le meme na-
turel, le meme caract£re.
+ CONGENIALIDADE, 8. f. conformild de ca-
racteres, d’inclination3, eic.
+ Concksıto,a,adj. ne, produit, engender
avec, ensemble,
325
326 CON
Goxcestiö, 8. f. (t. de mdd.) cengestion :
anıas progressif d’bumeurs dans une partie
solide du corps.
Coxciärio, #. m. congiaire : distribution
d’argent, de denrees au peuplo, ä Rome, par
orılre des cmpereurs.
ConcLosaGAö, 8. f. "peloton , monceau , tas
en rond. (fg.) Conglobation : r&union, accu-
imulalion de preuves, d’arguments multi-
pli6s, ete.
CoxcLoOBANnO, A, 9. P. de Gonglobar. adj.
eonglobs. Glandulas —as, (1. d’anat.) glandes
conglobees : röunies en une, sous une peau
unie. Folhas —as, (1. de bot.) feuilles conglo-
bees : ramassees en boule.
CONGLOBÄR, v9. a. oonglomörer, reunir en
rond, en peloton.
CONGLOBAR-SE, 9. r. se r6&unir en boule, en
peloton. "
CoOnGLoueracäö, 8. f. conglomeration : ob-
jeis conglomeres ; leur etat.
CoxGLomenino, A, p. p. de Conglomerar.
edj. (1. de bot.) Conglomerd : amasse en rond,
rassembl&, group.
ConcLomeznÄr, ©. a. conglomerer : r&unir,
mettre ensemble ; amasser en peiotons.
ConcLörınaciö,s. f. oonglutination , aggin-
tination.
CORGLLTINÄDO, A , P. P. de Conglulinar.
+ ConGLurımÄnTE, adj. 2 gen. (1. de med.)
conglutinant ; qui aggluline, consolide lcs
plaies (remede).
ConcLurinän, ©. a. conglutiner : rendre
glaant et visqueux ; Cimenter avec une maliero
gluante ; agglutiner.
ConcLutinin, v. 9. Il. —se, v. r. se oonglu-
tiner, s’agglutiner.
CoRcLUuTINaTivo, A, adj. conglutinatii: qui
rend visqueux, glulineux.
ConcLurmOöso, A, adj. gluant, conglutinatif,
glutineux, visqueux.
ConconHA, 8. f. (t. da Bresil) plante aroma-
tique de l’Amörique du Sud, dont on fait une
boisson ou une eau de senteur. it. V. Congosss.
Concönsa ow Comcössa, 8. f. (1. de bot.)
— maior, la grande pervenche, le grand pu-
celage. — menor, la pelite pervenche, ie petit
pucelage, violetie des sorciers , vence.
Concosta. V. Cungosta,
*Concoxa.V. Angustia, Afficrdo.
* CONGOXÄDAMENTE. V. Angustiadamente.
*Concoxin. V. Vexar, Angustiar.
* Concocuöso,, A, adj. inquiet ; angoisse,
sfflige, peine, chagrin, triste,
ConorAaciD0, A,p. p. de Congrardr.
CONGRAGADOR, A, adj. propre, tendant ä re-
eoncilier.
Coxaralir, v. a. faire rentrer en gräce; rö-
eoncilier.
ConcragÄn-SE (com), v. r. regagner la bien-
veillance, la fareur de quelqu’un; se recon-
eilier.
Concaacir, elc. V. Congrarar, etc.
-qu’elle gene le libre arbitre.
CON
ConanaruLagkö ‚s. f. oongratulation, feliel.
tation.
CONGRATCLADO, A, p. pP. de Congretuler.
+ ConcRATULÄNTE, s. 2 gen. calui yui con-
gratule, qui felicite.
ConckatuLia, o. a. eongrataler : fäliciier
quelqu’un , se r&jouir aven lui de son bonheur.
ll est aussi r&ciproque.
CONGRATTLATÜRIO, A, adj. oongratulatoire :
de congratulation, de felicitalion, qui lacon-
cerne.
Conckzcacäö, s. f. Congregatlon : röunion
de personnes pour une affaire; reunion de
plusieurs monasteres sous un superiour gene-
ral; compagnie de personnes religieuses vivant
Sous une ıneme regle ; assembide de prolats et
de cardinaux dans la cour papale. ° Chapitre:
assembiee de religieux pour traiter de leurs
affaires. —- dos dis, congregation des Nddles,
?’Eglise universelle.
CoxGaecäno, A, 9. pP. de Congregär. s. m.
Pere de l’Oratoire ; membre d’une congregalion
religieuse.
CoNGREcÄNTE ‚8.2 gem. congreganiste: men-
bre d’une congregation laique dirigee par des
proires.
Coxcnzcin, vo. a. ausembler, rassembler,
r&unir. Convoquer, reunir. Il est aussi reol-
proque.
+ ConontssionäL, adj. 2 gen. da congres,
qui appartient au congres.
Coxcnesso, s. m. congres : assemblde de
souverains, d’ambassadeurs pour traiter de la
paix, des affaires de leurs etats; assembl6e de
representants d’une nation. "Copulation char-
nelle.
CONcRO, 8. m. congre, anguille de mor (pois
son).
CöncavaA, 8. f. portiom oongrue : revenu d’un
cur6 d’apres les lois ecclesiastiques.
CONGRUANENTE, adv. congrüment, Oppofu-
nöment , convenablement, d’une maniere con-
forme, convenable. .
Coxcrvirıo, adj. m. congrualre : & porlioa
congrue (cure6, vicaire).
Coxcru£ncıa, 8. f. convenance,accord, Pre .
portion, conformite. V. Congruwidade.
COXCRUENTE, adj. 2 gen. congru, congruanl,
convenable, proportionne , comme il faul,
comme il convient,
CONCRUENTENRNTE, adv. congrüment: COR-
venablement,, opportunement.
CONGATEXTISSIMO, A, adj. sup. do (0W
gruente.
Conoruinäne,s. f. congruits : convenancc;
(8. de theol.) eficacit£ de la gräce de Dieu sans
+ Concroisuo, s. m. (f. de IAdol.) con-
gruisme : opinion sur la gräde efficace, expli-
quee par sa congruite. am
+ Concrufsta, s.m. (f.de theol,) congruisie:
rtisan du congruisme.
P Cöxcnno, A, adj, congru : suffisant, conre-
noble. Merecimento ou merilo —. V. Merile.
CON
ConcvtLca, s. f. V. Concheio.
+ Coscvtz, a, adj. du Congo, royaume de
Pafrigue meridionale.
ÜORBECEDÖR , A, 3. COnNalsseur : Qui 86 Con-
nalt A ou en quelgue chose.
*Counsckuca, 8. [. V. Prowio, Reconkheci-
uonto,
*Coxuschute, ady. 2 gem. qui connalt, qui
est connu de. V. Conkocido.
CoxnEcka, 9. 8. connaltre : avolr dans l’esprit
une notien, une id6e d’un ötre; avoir des habi-
tudes, une liaison avee quelqu’un;; discerner,
distinguer les objets; reconnaltre; cohabiter
avec une fomme, en jouir. Remercier. — al-
guom sou pe ‚reconnaltre, avouer sa faule,
son ptche. — a ferra que piza, 0 lerreno,
avoir ia earte du pays. Ndo — a cara ao medo
on d ‚ be connaltre la peur ni le
besoin. Dar-se a — , se (airo connalire. Ndo —
es leiiras, ne connaltre dans un livre que le
blanc et le noir. Quem le ndo — que le compre,
portez ailleurs vos ooquilles , & d’autres. — al-
guem pelo andar, reconnaltre quelqu’un Asa
marche.
Conusck (de), v. ». connaltre de. — d’uma
esuse ou pleite, (1. de praf.) connalise d’une
affaire, avoir droit de la juger.
R-SE, dv. r. se oonnalire : se bien ju-
ger sei-meme,.
* Conusckza, 5. f. V. Conhecimento.
CoxuzcipautnTe, ade. clairement, mani-
festement,, &videmment.
Consscınlssıu0, A, adj. sup. de
Coswscipo, A, P. pP. de Conhscer. Connu,
rseonnu ; distingu® par sa naißsance, par sa
science, par son emploi. Ser mais — que o edo
suseo ou do — como a arruda, (fam.) @ire
conna comme le loup gris.
CoRwEcıo, A, 8. Connaissance : personne
que Pon eonnalt. E pessoa minha —a, v’est
un6 personne que je connais ow de ma connais-
sance.
CONBECIMERTO , 8. m. ° connaissance : Idee,
sotion d’un &tre. —, (i. de praf.) juridiction
pour decider cortaines causes; liaison peu
intime, habitade, relation que l’on a avec
gaelqu’un. (£.de com.) ° Connaissement: recon-
nsissance sous seing priv6, contenant la de-
daration de la charge d’un vaisseau, du pro-
pristaire, de la destination, etc. Comprehension.
it. aut. V. Roconhscimenlo, Agradecimento.
Conhecimöntos ,„ pl. connaissances : savoir.
Cheger ao — d’alguem, venir & la connaissance
de quelqu’un. Tomar — com alguem, faire con-
aaissance avec quelqw'un ow la Connaissance
de quelqu’un. Ter, adquirir —ı na corte, na
eidade, etc., avoir, s6 faire des habitudes A la
cour, & la ville, etc.
ConnzciveL, adj. 2 gen. connaissable : qui
est ais6 & connaltre.
Cosmıauäd. V. Comirmäo.
Cörno, s.m. roo iold au milieu d’une Fi-
vitre.
CON 397.
Cosico, A,adj. conique: en formıe de cöne;
du cöne.
fConirsno, a, adj. (8. de bot.) conilere ou
strobilifere (arbre, fleur, plante): qui a son
fruit, sa fleur en cöne.
+ Comımnsnıcknse, adj. 2 gen. de Colmbre;
qui appartient & l’univorsit# de Colmbre.
+ Conıaösraos, s. m. pl. (4. d’hist. nal.) co-
nirostres : passersaux & bec oourt et conique.
* Conızccid. V. Condiodo,, Clawsula. .
ConstcrorR. V. Conjecturadör.
Coxstcröna, #. f. conjecture : jugement pro-
bable sur une chose obscure, incertaine, *Soup-
D.
Coxs&crunÄDAMENTE,, adv. par conjeoture.
Cons£crunino, A, p.P. de Conjechurdr.
CONJECTURADOR,, A, 8. OOnjeoturateur s celui
qui conjecture.
ConszcruräL, adj. 2 gen. conjectural: qui
n’est fond6 que sur des conjectures,
CONIECTURALMRNTE, adv. conjecturalement s
par conjecture.
Consscrunia (de, por), v. a. Conjeoturer s
former des conjectures ; inferer sur des proba-
bilits; Juger par conjecture. Soupgonner.
f CONJECTURÄVEL, adj. 2 gen. qui peut @ire
oonjecture.
*Conserro,s.m. V. Permissäo.
Consvoacäö, 8. f. (f. de gram.) oonjugalison :
ordre, classement des verbes suivant leur na»
ture ot la terminaison de leurs principaux
temps ; serie complete des infiexions et terıml=
naisons d’un verbe,.
}Consucino, A, P. P. de Conjugdr. adj.
Conjugus. Nervos-—«, (8. d’anat.) nerfs conju-
gu6s : doubles, qui conoourent & la möme fono-
tion. Folha —s, (1. de bot.) feuille oonjugude :
ailee, en deux folioles. Hyperboles —as, (8.
de geom.) byperboles oonjugutes : ä axe com-
mun.
CONSUCAL, adj. 2 gen. conjugal : qui con-
cerne l’union par mariage , le mari et la fomme
reunis.
ConJucÄLM£NnTE, adv. conjugalement : selon
P’union conjugale.
Coxsucia, v. a. (f. de gram.) conjuguer:
marquer les inflexions et les terminaisons des
verbes selon les rögles. Il esı aussi reci-
proque.
+ ConstcäveL, adj. 2 gen. conjugable: qui
peut &tire conjugue.
+ Consufz, s. m. juge adjoint A un autre pour
juger une affaire.
Coxsuncciö 08 CONJUNgAD, s. f. conjonclion,
union; proximite. —, (6. de gram.) mot qui
joint les membres du discours; (l. d’astr.) ren-
contre apparente des astres, de deux asires vus
de la terre. —de nervos, conjonction des paires
de nerls. Conjuncpöes mazimas, (4. daasir.)
conjonctions de Jupiter et de Saturne tous les
huit A neuf cents ans. — magnas, (id.) CON-
Jonctions de Jupiter et de Saturne tous les dix-
neuf ans.
328 CON
+ Consunctauente, ade. conjointement,
ensemble, l’un avec l’autre.
CONIENXCTAR, ©. @. conjoindre : unir, joindre
ensemble.
CONJIUNCTISSIMO , A, adj. sup. de Conjunclo,
Consuncriva, s. f. (f. d’anal.) conjonclive :
membrane, le blanc de l’eil. Albuginee.
Consoxctivo, A, adj. conjonctif : qui con-
joint; (4. de gram.) qui sert Alier, ä joindre.
Modo — , ou — s. m. (id.) subjonctif, mode ac-
compagn& d’une conjonction.
Consöncto,, a, adj. joint, conjoint, uni, at-
tache. (fig ) Proche, allie, uni par les liens du
sang ou de l’amitie. Mele , incorpore avec une
autse chose.
CONJIUNCTO ‚3. m. assernblage : amas ‚, r&union
de plusieurs Choses ; melange.
Coxsunctüra, 3. f. conjonclure : conjono-
tion, union ; occasion , rencontre d’affaires, de
eirconstances; disposition, &tat de plusieurs
ehoses au möme temps.
Cossöna. V. Cunjuragdo et Conjuro.
Consuaacid, s. f. conjuration :conspiration,
complot contre l’etat, le souverain. si. V. Con-
juro, Exoreismo.
Consunino,A,P.p. de Conjurar.s. Ligueur,
eonjure, conspirateur, conjuraleur. 8. adj.
Ventos —s, vonts mutinds.
+ CoONJuRADOR , 3. m. oxOrcisie : qui fait des
exoreismes, qui conjure. Conjurateur.
+ CONsURANTE, adj. 2 gen. qui conspire, qui
eonjure, p. a. de
ConsuRÄR, 9. a. Conjurer, exorciser, &carter,
deötourner par des conjurations.
CONJURÄR,, 9. 8. Conjurer, conspirer ; former
un complot, une conjuration ; agir de concert
avec d’autres contre les inisreis de quelqu’un.
Il est aussi reciproque.
+CONJURATÖRIO, A , adj. quia rapport A con-
Juration.
Conxsöa0, s. m. " conjuration : paroles magi-
ques. —, exorcisme.
CONLUIÄDAMENTE. V. Conluiosamenis.
ConLvıADO, A, pP. p. de
COXLUIAR , d. @. colluder, tromper par collu-
sion.
CosLtiÄR-SE (com), v. r. colluder : s’enten-
dre avec un auire pour Iromper un tilers. V.
Mancommunar-se.
CoxLdio, s.m. °collusion, connivence; In-
telligence secrete entre deux ou plusieurs,
entre deux plaideurs pour tromper un tiers
ou A son prejudice.
CONLÜldSAMENTE, ade. collusoirement : par
eollusion ; de connivence.
Coxtvıöso. V. Collusörio.
+ Cöusano, 8. m. (t. de bot.) connare : bal-
sarnier.
Coxnito, a. V. Inndio.
COXNATtRAL, adj. 2 gen. nalurel: propre,
conforme & la nature.
+ COXNNATURALIPÄDE,, 8. f. conjonction, con-
nexion naturelle.
COSXNATURALIZÄDO, A,P.P. de Connaluralizar.
CON
}CONXNATuRaliziR, v. a. nalaraliser : don-
ner & un &lranger les droits des nalurels.
+} CONNATURALMENTE, adv. d’une manicre
conforme & la nature.
Connexiö,s. f. connexion » liaison, rapport
de choses ; d&pendance.
ConNExıDÄnDE, 8. f. connexite. V. Connezde.
COnsExivo, A, adj. quilie, joint, unit.
Connexo, A, adj. conneze : qui a Je la liai-
son , de la connexion avec un autre; li6, Joint,
Conxıvencıa, 8. f. connivence : complicits
par tolerance et dissimulation du mal qu’on
doit et peut empeöcher.
ConxıvEnte,, adj. 2 gen. complice de conni-
vence. (l. d’anat. et de bot.) Gonnivent: rap-
proch& au sommel.
° +Connoragiö, s. f. * rapport , dependance
connue entre deux ou plusieurs choses.
* + COnnoTATivo, A, adj. qui indique la 36-
pendance relalive.
° Cono , pour com 0 (avec l’).
Cöno, s. m. (1. sale) les parties honleuses de
la femme.
* Conocenga, 8. f.V. Confissdo , Reconkheci-
0.
+ Coxomär, adj. (l. de geom.) conoldal : qui
apparlient au conolde.
Condıne , s. m. (fl. de geom.) conoide : Corp
ä base elliptique, en forme de cöne & som
en pointe ou arrondi. , |
+ Conoiozo, A, adj. (4. de geom.) qui a Mh
forme d’un cöne.
+Conop£o, s. m. 6onopee : pavillon couire
les cousins.
Coxqu£ıao, s. m. celui qui fait des &cuelles
de bois. u
+ CongviiL, s. m. (4. d’Asie) moine clol
dans la Chine. £
Comquista,s.f. conquäte: action de congU
rir, ses effets; contrde, chose, personne gr
quise; (Ag.) guerre pour oonquerif. V
quisicdo.
Conauistagäd. V. Conquista.
Coxaquistäno, A, p. p. de Conquisier. Igel
COXQUISTADOR, 3. m. conquerant: celu
a fait ou qui fait des conque£les. ,
Conarısrän, v.0. Conquerir : acquörif +
les armes; (fig.) gagner (les caurs , les EP ce
Il est queiquefois neutre avec F’acception
dominer.
+ Coxquistäven, adf. 2 gen. qui
eonquis.
° Coxarania, s. f. charge da Co®
* CON&kisıo, 5. m. chanoine FEgU
de l’administraiion de ce qui appaf
chanoinesses.
* Conaztıno. V. Conredrio.
+ COxREımÄnTg, adj. 2 gen. regnant
ble, qui rögne avec un autre.
+ Conncınan, 0. . regner ensembiP,
un aulre. ,
+ Consanenör, A, s. qui seit arc© d’autreh,
peut dire
rearıo. V:
lier charge
tenail auf
ensem-
aveo
! qui partage la connalssance.
CON
T CONSacERDOTE ‚8. m. COmpagnon , collögue
dans le sacerdoce.
Consacascäö, 8. f. conseeration : aclion de
consacrer, par laquelle une chose est Cconsa-
cre2; action par laquellc le pretre consacre le
pain et lo vin A la messe.
TConsacrÄDANMENTE, adv. d’une maniere
‚wusacree.
VOXSAGRÄDO, A, 9. P. de Consagrär.
" CONSAGRANENTO, 8. m. ancien serment sur
Thastie consaoree.
CoONSACRÄNTE, 3.2 gen. cons6crateur, Con-
Sacrant. adj. Consacrani:qui consacre.p. a.de
CoxsaGrÄr (8), v. a. consacrer :: oflrir a Dieu
avec des eremonies. —, prononcer les paroles
de la conseeration ä la messe. Sacrer : confe-
rer, avec des cör&monies, un caracldre de
saintelt & un roi, & un ev&que, etc. —, sacri-
fer, devouer. — a vida, 0 lempo a alguma
profissdo, sciencia, elc. (fig.) consacrer sa vie,
son temps & une profession , & une science, etc.
"COnsaCcRkÄR, ©. 9. jurer, pr6ter serment sur
Vhostie consacree.
Cossacaän-SE (@), ©. Tr. se consacrer: so
gersuer, se donner tout entier &... stemployer
COXNSANCLINEO, A, adj. consanguin : de meme
sang, race, parenie.
CONsanctinno. V. Ci InsO.
CoxsaxcuinınÄne, 8. f. consanguinils : pa-
rent£, proximite de sang.
CoxsancıniDo, A, adj. p. us. empaquet#;
couse. (Ag.) Recueilli, compile.
Gonscrtncia, s. f. conscience : lumidre, sen -
timents interieurs naturels du bien et du mal;
strupule. —, connaissance d’une verit& par le
sentiment interieur. A’— , en Conscience, avec
vonsciemce. Em —, consciencieusement,, en
eonseience ,„ avec Cconscience, sur Ma COn-
seienee. De — larga, qui a la conscience large,
peu serupuloux. — calejdda, conseience cau-
lirisee. Encarregar s—, mellre, laisser sur
la conseienee. Ndo ter —, n’avoir point de
conseience, n’avoir point de probit. Ter a—
eıtreila, avoirla conseience delicate.
t Conscıencıösautnte, adv. consciencieu-
sement : en, avec conscience, d’une manidre
eensciencieuse.
TConscıencıöso, A, adj. consciencieux : qui
a la conscienoe delicate.
Cöxscıo, a (de), adj. qui a la conscience ou
cennaissance de...‘
Cosscrpcäö , s. f. conseripllon : enrölement
fixe par la loi. .
Coxscripto, A, adj. conscrit. Padres —s,
pres conscrits : s6naleurs rFomains. 8. m. Con-
scrit: clioyen ports au rölo militaire a l’äge
sie ringt ans ; celui que le sort designe pour le
s’rsice (en France).
CHxsecrante, adj.2 gen. V. Consagrante.
T Cossecratiro, a, adj. qui a lo pouvoir,
leificacit& de consaerer.
(ONsEcRATÖRIO , A, adj. qui concerne le
sscre d'un erdque, d’un roi,eic.
CON
Consucrärıo. V. Corolarto,
Conszcuckö,s.f. V. Conseguimenio.
CONSscUTIVvAmenTE, adv. consecutivement,
de suite; immediatement; & peu d’intervalle ;
selon l’ordre du temps.
CONSECUTIVO,, A, adj. oonsecuiif.: qui est de
suite, qui se suit immediatement dans l’ordre
du temps.
* Conseeria. V. Conrearia,
ConssctiDo, A,P. p. de Conseguir.
CONSEGUIMENTO , s. m. l’action et l’effet d'ob-
tenir, d’impötrer ; r&ussite.
ConsEcuinte, adj. 2 gen. V. Consequente.
Por —, par consequent.
CONSEGUINTEMENTE, adv. Consöquemimnent,
en consequence.
Consecuir ,v. a. oblenir : parvenir &, venir
& bout de. Emporter, rapporter. Perseverando
Iudo se consegue,, la perseverance vient ä bout
de toutes choses.
+ Consecviver, adj. 2 gen. qui peut etro ob»
tenu.
* Consera. V. Ambula, Pixide.
* Cons&LHa, s. f. "conte; fable.
ConssıLuarR,, eic. V. Aconselhar, ele.
* COXSELHEIRAMENTE, adv. adroitement, fi-
nement; ä dessein , expres.
ConseLntıao, s. m. conseiller : qui donne
conseil; membre du conseil; membre de la
cour supröme ow d’une cour royale. adj. Tout
ce qui nous sert d’avorlissement ei d’exemple.
ConstLu0, 3. m. Conseil, avis, sentiment;
rösolutlion, parti pris. (Ag.) Jugament, con-
naissance. Ndo saber dar-se a —, ne savoif
quel parti prendre. V. Concelko.
Conseuos. V. Conchelo.
+ConsemeLBänga, 5. f. ressemblance de
deux choses entre elies.
CONSENSIENTE, adj. 2 gen. consentant: qui
consent ; du meme avis.
CONSs&nso ‚3. m. assentiment, consenlement;
accord d’avis , d’opinions.
CONSENTANEANENTE , adv. convenablement ;
conformement.
CONSENTÄNKO ‚A ‚adj. convenable, conforme
ä la raison.
+ Consentes, adj. ou s.m. pl. consentes : les-
grands dieux chez les Romains.
CoONXSENTIDO, A, p. p. de Consenlir.
CONSENTIDOR, A, 3. qui consent. Tdo bom
ou do criminoso d o ladrädo como 0 — , (prov.)
autant pöche celui qui tient le sac, que celui
qui met dedans.
CONSENTIMENTO, 8. m. Consenlement : äc-
quiescement 4..., action de consentir, d’ao
quiescer ä...; agröment, avou.
COxSENTIiR, v. a. permeltre, souffrir, suppor-
ter. (em) v.n. Consentir, acquiescer & ; trouver
bon, vouloir bien ; adhörer ; tomber d’accord.
COnsEQußxcıa, 8. f. consequence : conclu-
sion tiree de propositions; suite des choses,
des actions ; ce qui r&sulte, ce qui suit de...
(fig.) Importance. Em —, en consequence,
consequemment, Por — par consequent, Ser
329
980 CON
ou ndo ser alguma cousa de — , dire de oonze-
quence,, d’importanoe ‚de poids. Traxer com-
sigo mılilas —s, avoır des sultes, en parlant
d’une affaire, d’ane aclion, sic.
CONSEQUENTE ‚adj. 2 gen. sulvant, qui vient
apres, placd & la suite. Ser —, &ire conse-
quent. Ndo ser — na sus oonducle, n’avoir pas
de suite dans sa conduite.
COXSEQUENTE , s. m. ( 6. de log.) consequent:
deuxiöme proposilion d’un enthymöme; (#. de
mnath.) deuridme terme d’un rapport.
CONSEQUENTENENTE, adv. consöquemment,
par constquent.
Constao. V. Conreario.
Consänva,s. f. conserve : conliture de fruits,
d’herbes, etc. *Cornichons,, piments, carolles,
etc. , confits dans du vinaigre. (d. de mar.) —,
route d'un navire avec un aulre pour s’enire-
secourir.
Consernvaciö,s. f. conservalion : action par
laquelle onconserve ses effeis ; &lat de ce qui
est conserre. ’Maintien. .
ConsErväDO ,A,p. pP. de Conservar.
CONSERYADÖR, A , adj. qui conserve, qui garde
avec soin, qui maintient. s. m. Conservateur ;
defenseur, protecteur (juge).
CONSERVÄNTE, adj. 2 gen. Conservant, qui
conserve. p. a. de
CONSERYÄR, ©. a. conserver : garder avec
soin , empecher l’slieralion , le deperisse-
ment; garantir du dommage ; garder, ne pas
perdre, mensger; maintenir dans un &ist; ne
pas se defaire de... — a memoria d’algume
cousa, conserver le souvenir d’une chose, 56
la rappeler.
Coxsenvativo, A, adj. qui conserve, qui a
la propriet& de conserver.
CoONSEnvaToria, s. f. autorils, juridiction
d’un juge conservateur. —s , pl. lelires aposto-
liques qui donnaient pouvoir & ceriains oorps
de se nommer des juges conservaleurs ; letires
que les juges conservaleurs exp6dient en fa-
veur de ceux qui sont sujets & leur juridiction.
CONSERTATÖRIO, A, adj. p. us. Oonservatolre,
qui conserve. 3. m. —, dcole gratuite de musi-
que, de peinture, etc., en France. Reservoir
de’eau.
+ ConsgaväveL, adj. 2 gen. qui peut ötre
conserve&.
COnsenv&tao, A, 8. qui fait des oonserrves;;
conflseur.
Consenvo, A, 8. esclave aveo un aulre, Com-
pagnon d’esclavage.
Consinderacäö, 8. f. consideration : aclion
de considerer, d’examiner; atlention , re-
flexion, meditation ; raison, molif, &gard,
vue; discretion, attention dans la conduile,
circonspection. —, @gard, estime, r&pulation;
importance. Em — a, en consideralion, eu
egard dA, allendu.
ConsipERÄDANENTE , adv. considersment :
avec prudence, circonspection „ discrötement.
ConsipznÄpo, A, P. 9. de Considerar. adj.
CON
Pradent, diseret, eirconspect, r&Röchl, conal-
derant, attentif, senst.
CONBIDERADOR „A, 3. qui eonsidäre, conside-
rant.
CousipernÄn, ©. @. oonsidörer : regarder,
examiner atienlivement; peser, appröcier. —
(em), v. ». röfiöchir, mediter sur...
CONSIDERÄR-SE, ©. 7. se röputer, S’estimer
soi-meme.
CONSIDERÄYEL, adj. 2 gen. considerable, re-
marquable , important, de consöquenoe, digne
de consideration. —, grand ‚excessif.
CONSIDERÄYELMENTE, adv. considerablement,
beaucoup, notablement.
Consıcnacäö, 8. f. consignation : depdt Juri-
dique d’argent ou d’autres choses. Somme des
tinespendant un cerialn temps ä faire un paye
ment quelcongue.
Consıcnino, a, pP. p. de Consigner.
t Consıcnanon , s. m. (1. de comm.)negoclant
qui envoie des marchandises & d’autres, sün
qu’ils les vendent pour son compte.
CONSICNANTE, 8. et adj. 2 gem. qui consigne.
Consionän, e. @. oonsigner ; döposer Juridi-
quement. Assigner une somme quelcongque, un
fonds pour le payement d’une dette. (1. ds
comm.) Remettre, adresser, envoyer & quel-
qu’un des marchandises, etc. , pour les nego-
cier, ete.
CONSIGNÄR-SE, ©. r. p. us. se signer, faire le
signe de la croix. .
CONSICNATÄRIO, 8. m. consignataire : d&post-
taire de consignation ; creancier & qui on assl-
gne une somme queloonque pour !e payemen!
de sa dette. (4. de comm.) — , nögociant qUi
repoit des marchandises en consignatlon.
+ Consıonävaı, adj. 3 gen. qui peat Air
consigne.
CONSIONIFICiÄDO, A, 9.9. de ,
+Consıoniricka, o. «a. signifer conjoln!®
ment,
N ConsicviporR0, A, adj. que l’on peut obi®
nir.
Consmän. V. .
* Consıiracäö,
° CONSınaR ‚etc. | V. Connider..., el.
Consistencıa , s. f. consistance, stabilil?, ker
met#, solidite. On le dit au propreet au Arar.
CONSISTENTE , adj. 2 gen. consistant, solide,
fixe , stahle,, ferme, alfermi. 208
Consıstin (em), v.n. consister : arolf ae
essence, ses proprisiss dans... ; etre de !
ou telle matidre, nature, forme, proporlion.
eis. Tudo consiste em saber se... , le tout €
siste A savoir si... . da
ConsistoriiL, ady. 2 gem. oonsistoriel :
consistoire. Casa —, maison de ville, ma
commune.
COnsisToRsÄLBenTE , ade. coonsistorislemenl:
en consistoire; selon les formes-
Consisrörio, s. m. consistoire:
du pope et des cardinaux. Consei
conseil munieipal; maison de ville,
I de ville.
mein
CON
temmene. — divino ou de Deos, {fig.) iröne,
tribunal de Dieu.
‚Cossoipa, s. f. collation, petit souper.
Eirenne : prösent le jour de No&l (en Por-
tagal).
O0ns0iB0, A, P.p. de Consodr.
Consoiute, adj. 2 gen. qui sonne avec un
autre. Leiira— , consonne : leitre qui n’a point
de son sans le secours d’une voyelle.
CöxsoinTE, 5. m. °rime : mot qui ost en COn-
Sonnance avec un autre. 8. f. Consonne. As—-s,
consonnantes.
COHsoanTENEnTE,, adv. aveo conformits,
daceord. .
Corsoir, v. a. etn. faire collation.
Corsair , eie. V. Associar, etc.
Consöcı, 8. m. compagnon , collögue, 4330-
eie, eollaborateur.
Consocripo ,A,P. pP. de
Consocrin, ev. ®. devenir mutuellement
keau-pere ou beile-mere.
ConsöcakOo, ÖGRA, s. la mere ou le pere du
mari ou de la femme, par rapport au pere ou &
is möre du mari ou de la femme.
ConsoL.scäö, s. f. comsolation : soulagement
donns A Yaflliction,, & la douleur, au deplaisir;
ee qui eonsole.
Consorschözimma, s. f. dim. de Consolagdo.
CoOnsoLiÄDAuENTE, adv. avec salisfaction,
COnsoLADissıMO , A, sup. de
ConsoLino, A , p. p. de Consoldr.
ConsoLanoR , A, adf. et s. qui console, quı
soulage ; eonsolaleur.
tTCoxsoL.inte, adj. 2 gen. consolant: qui
console. p. a. de |
ConsoLin (com), ©. @. consoler : soulager,
sdoneir, diminuer l’sffliction , la douleur par
des diseours, des soins, des reflexions, des
penstes, des exemples, etc. Fortifier, confor-
ker, animer.
ConsoLartvo, a, adj. consolatif : propre &
tonsoler,
ConsoLar6nto, A , adj. consolaloire , conso-
lanı; destind A consoler.
ConsoLiveL, adj. 2 gen. consolable : qui
peut Etre console. Consolant, consolateur : qui
eonsole, qui peut oonsoler.
t ConsoLAvELMmeRTE, adv. avec consolation ;
dane manidre consolante.
TConsöLna , s. f. (#. de bol.) consonde :
plante borraginee. — mator, grande consoude,
oreille d’Ane, langue de vache, herbe & la cou-
pure. — menor, brunelle, prunelle,, bonnette,
Petite consoude, herbe aux charpentiers. —me-
diena, bugle rampante, consoude moyenne.
—redl, dauphinelle des bies, consoude royale,
herbe Sainte-Othille. —dos sarracenos ou sar-
racsning , verge d’or, verge dor&e.
CoxsoLspacäd, 8. f. consolidation : dtat d’une
those consolidse ; action qui cause cat &tat, au
Propre et au figure. (1. de chir.) —, &tat d’une
paie qui se cicatrise. —, action par laquelle
une geue est consolidde.
LIBÄBO , A, . 9. de Consolldär.
CON 331
CoxsoLipänte, adj. et 3.2 gen. consolidant ı
qui affermit et cicalrise les plaies (remdde).
CoxsoLipÄr, v.@. consolider: rendre solide ;
rendro ferme. (fg.) Affermir. —, assigner an
fonds en payement d’une dette publique.
CONSOLIDÄR-SE, dv. r. se consolider : devenir
solide , etc. (Ag.) —, s’affermir, en parlant de
l’amiti6, d’un traits, eto. (4. de prat.) —, en
parlant de Pusufrait et de la proprieis.
+ ConsoLipartivo, A, adj. oonsolldant : pro-
pre & consolider.
ConsöLo, s.m. "consolation; douce jouis-
sance.
Coxsonäno, A, p. p. de Consondr.
CONsonAncıa , 8. f. consonnance : acoord
agreable de deux ou plusieurs sons; reSSsemM-
blance de deux mots dans leur terminaison.
(Ag.) Correspondance, accord, conformite, as-
sortiment, concordance; conformite.
CONSONÄNTE, adj. 2 gem. consonnant; har-
monieux. (fg.) Conforme.
+ CONSONANTENENTE , adv. avec CONSON-
nance.
Consonir, ©. #. sonner avec, sonner en
consonnance, former des accords, en parlant
d’un instrument.
CONSsono, a, adj. V. Consonanis.
ConsorcıÄnO, A, p. p. de
+ ConsorcıÄär, v. a. associer par le marlage;
unir en sociöl£. Il est aussi r&ciproque.
Cossörcıo, s. m. ötat, union conjugale; s0-
ciet#, union de gens qui vivent ensemble. *Par-
ticipation , assoclallon au m&me sort.
CONSÖRTE, 8. m. consort : participant, qui
artage, associd, compagnon. Le mari ou la
ermme, l’&poux ou l’&pouse.
CoONsPectTo, 8. m. * predenee,, vue.
° Conspeiro. V. CC 10.
+ Consriıcumipe, s. f. la qualit6 de ce qui
est visible, (Ag.) de ce qui est noble, distin-
uß.
Conusricvo, A, adj. visible, apparent, remar-
guable. (Ag.) Illustre , distingue.
Coxspiragiö, s. f. Conspiration, aveo leg
me&mes acceptions dans les deux langues.
Coxsrırino, A, pP. p. de Conspirar.
CONSPIRADÖR,, 8. m. Conspiraleur,
+ ConsPırÄnTE, adj. 2 gen. (1. de phys.)
conspirant. Il se dit des forces, des puissances
physiques qui concourent au meme effet; agis-
sent sous la m#me direction, dans le möme
sens.
Conspırär (confra), v. n. conspirer : faire
une conspiration contre l’Etat , le prince; oom-
ploter contre une personne. (em, a) —, coü-
tribaer, concourir au menie but, au meme c/-
fet.
Conspuncan. V. Infcionar, Sufar.
* Cussta, Consti. V. Cösta, Encösla.
Constino, A, 9. p. de Conslar.
Consräncıa, 8. f. constance, fermele, cou-
rage d’äme; vertu qui afferımit contre la dou-
leur, l’adversits, etc. , os dans ses r&solutions,
ses projeis, olc.; persövärance.
832 CON
CON
+ Constanaßnse , adj. 2 gem. de Constance, | rangernent, nature d’une chose, ce quila con-
qui apparlient ä Constance.
CoNsTÄnTE, adj. 2 gen. constant : qui a dc la
constance, de la fermet6; persöverant, qui ne
change pas; invariable, qui reste loujours o%
longtemps dans le meme &tat. E’ voz—,il est
manifeste , il est constant.
CONSTANTENENTE, adv. constamment : avec
eonstance ; assurdment, indubitablement; cer-
tainement, invariablement.
+ CONSTANTINOPOLITÄNO, A, adj. Constanti-
nopolitain : de Constantinople.
CONXSTAnNTissıMO,, A, adj. sup. de Constanle.
Constan (de, por), v.». imp. consier, appa-
roir, &ire cerlain , constant, &vident. (de) Eire
. coınpose de; consister en. — dos autos, (1. de
prat.) conster des actes. Consiae, il est con-
stanl.
CossteıLLacäö, s. f. constellation : assem-
blage d’6toiles, &toile representee par une ül-
gure ,„ et designee par un nom ow astie-
risme.
+ ConsteLLipo, A, adj. orn6 d’etoiles; plein
de constellations (ciel).
Constennacäiö, 3. f. consternation : &lonne-
ment avec abatltement de courage; frayeur
muette.
CONSTERNÄDO, A, P. p. de Consternar.
Coxstennap6s, A, adj. quiconsterne, qui
eausc consternalion. s. Alarmiste.
CONSTERNAR, €. a. conslerner : &lonner ei
abalire le courage.
CONSTERNÄR-SKE, ©. r. perdre Courage, 36
laisser abatıre.
Constiracäö, s. f. "resserrement des pores ;
refroidissement, rhume; courbature. — de
venire, constipation : dificulis d’€&vacuer les
excröments.
Cosstirino, A, p. p. de
ConsTIPAR, ©. a. resserrer les pores; Causer
une courbalure ; enrhumer. Constiper.
CONSTIPAR-SE, dv. r. se refroidir, gagner une
ceourbature ; s’enshumer.— 0 venfre, 6tre con-
slipe.
+ Constırativo, A, adj. enrhumant : qui
enrhume, qui resserre les pores; qui con-
stipe.
Coxstircecionäpo, A, 9. p. de Constlilueio-
nar.
CosstitucıoniL , adj. 2 gen. constitulionnel :
de la constitution d’un Eist; conforme A la
constitution, & ses lois (acte, etc.).s. m. —,
partisan de la constitulion.
CONSTITUCIONALIDÄDE,, 3. f. constitutionna-
lit6 : qualits de ce qui est constitutlionnel.
+ COnSTITUCIONALMENTE, ade. conslitulion-
nellement : selon la constitution.
+ CONSTITOCIONAR, ©. a, constiluer un pays
sur des bases constitutionnelles.
CoNnstitußnte, adj. 2 gen. constituant : qui
eonstitue. Assemblda —, Constituanis : pre-
midre chambro legislative de la revolution (en
France). V. Constituinte.
Constitvigiö, s. f. constitation : ordre, ar-
stitae ; lemperament, complexion de ’homme.
— ‚le corps des lois fondamentales qui eon-
stituent le gouvernement d’un peuplc; regle-
ments, ordonnances; pacie social qui regle ei
garantit les droits de ceax qui l’ont consenti.
— do mundo, la creation du monde. Consli-
Iuicoes apostolicas,, constitutions apostoliques,
röglemenis pour l’Eglise, aitribuss aux aps-
)
Cosstıruldo, A, p. p. de Constituir.
ConstirvipoR, 5. m. celui qui oonstitue.
CONSTITUINTE, 8. 2 gen. commelttant : qui
charge un autre d’une affaire. adj. V. Consti-
Iuente.
CoNsTtıTUia, ©. a. constituer, metire, etablir
en charge, en dignile; instituer, creer, [aire,
former. —, faire consister en. (ant.)
CORSTITOIR-SE (em), ?. r. prendre , s'arroger
la qualit& de... se constituer, se donner une
constilution.
t ConsTiırutıvamEnıe , ade. d'une manidre
constituanie.
Constiturivo, A, adj. constilulif : qui c0ß-
stitue essentiellement une chose; qui etabli
un droit.
CONSTRANGEDOR,, A, 8. qui contraint.
CONSTRAnGerR, v. a. contraindre, foroef,
obliger.
CONSTRANGIDAMENTE, adv. avec conlrainie
et violence, &troitement.
CONXSTRARCIDO, A, p. p. de Consiranger, &
adj. Estar — diante d’alguem, n’oser branler
devant quelqu’un.
CONSTRANGIMENTO, 8. m." contrainte, violenc®
exercde contre quelgu’un ; gene.
Constaccäö, 8. f. constriclion : resselte-
ment des parties du corps.
+ Constaicrivo, A, adj. constringent:: qu
lie, serre, presse , resserre. -
+ Constricron, 5. m. (f. d’enas.) consirk-
teur : muscke qui resserre.
t ConstaınGEnTe ‚adj. 2 gen. constringenl:
qui lie, serre,, presse. j
CONSTaINcir, ©. a. resserrer, retreeir. ll est
aussi reciproque.
Construcciö, s. f. construclion : aclion de
construire ; bälisse. (l. de gram.) —, attanke-
ment des mots d’une phrase; (1. de mar.) la-
tion, l’art de construire des navires.
tConstaucrivo, a, adj. qui sert & coß-
struire, & bälir.
Constauctön, 3. m. (fl. de mar.) consirüc-
teur : qui sait et pratique l’art de construif®
des navires; qui construit, qui bätit.
CoNSTRUIDO, A, p. p. de ,
Cosstacia, 0.0. construire, edißer, bit,
6lever. (4. de gram.) —, arranger les mois,
les phrases selon les rögles et l’usage ; traduire,
selon les rögles de la grammaire, du latin en
portugais. Interpreter.
CONSTUPRADÖR . -
CONSTUPRÄR ‚ eic. ' (inus.) V. Esluprar, ei
Coxsussrancıacid, 4. f. consubstantialion.
-CON
COmsuBsTancıäl, adj. 2gen. (1. de Ih£ol.)con-
substantiel : d’une seule et m@me substance.
CONSEBSTANCIALIDÄDE, 8. f. (I. de theol.)con-
substantialits : unile et identlitö de substance
de la Trinite.
CONSUBSTANCIALUENTE, ade. consubstanliel-
lement : d’une maniere consubslaniielle.
COXSUBTUDINÄRIO,, A, adj. consudtudinaire :
qui a coutume. Ordinaire , habituel, usite.
COnsuL, s. m. (fl. d’ant.) consul : l’un des
deux premiers magisirats romains, annuels;
envoye d’un Etat dans un autre pour le com-
merce, pour juger, prolöger les negociants.
—€3 ‚pl. consuls : les trois premiers magistrals
en France vers l’an 1800, &tablis par la consti-
tution de Fan VIII.
CosstLin0,, s. m. consulat : dignite , emploi,
office, charge de consul; sa duree. —, tribunal
de commerce dans quelques villes maritimes ;
commissariat, place, emploi, residence d’un
eensul ou commissaire des relations commer-
eiales.
ConstLir, adj.2 gen. consulaire:duconsul,
des consuls.
TConsouLaaum£nte, adv. consulairement : &
la maniere des juges-consuls.
ConsuL&nte , adj. 2 gen. qui consulte.
CoxsöLta, s. f. consultation, deliberation,
esnlerence sur une affaire; avis donne, rap-
port fait au roi par quelques Iribunaux su-
premes pour la decision d’une affaire ou pour
la nomination d’un individu A une place.
ConsuLracäi6, s. f. oonsultation : conference
pour consulter sur une affaire, une maladie.
. Consulla.
CoxsuLTino, A, P. p. de Consuliär.
+ ConsuLTanpoR ,s. m. celui qui consulte.
+ ConsuLtinte, adj.2 gen. qui consulle ;
gei prend conseil. s. V. Consullador.
CoxstLria, v. a. consulter : prendre con-
seil , avis ou instruction. (com) — , deliberer,
examiner, conlerer, tenir conseil; prendre
conseil. Il est aussi neutre dans celle accep-
ion. (para, em) Proposer au roi une personne
pour une place, lui faire un rapport sur quel-
que chose qu’il doit decider. — com a bolsa,
(fam.) consulter sa bourse. —com o seu Ira-
vesseiro, (fig. fam.) consulter son chervet.
CosscLrivo,A, adj. on le dit des aflaires
sur lesquelies il faul (aire des rapporis au roi
pour qu’il les decide. VYölw —, voix consulld-
üve : droit de dire son avis.
CousuLTöR, A, s. consulteur : qui conseille,
gai donne son avis. —do Santo Ofleio, consul-
teur (de Saini Office), docteur commis par le
pape pour donner son avis sur des matieres de
lei, de diseipline.
Consemschö, s. f. peine, chagrin, ennui,
koarment.
ConsumindO, A,P. p. de Consumir. adj. Con-
sıme , exitnud, maigre, sec. Qui s’afllige, qui
srauriste , qui se fäche de tout : morfondu.
UonstmınOR,A,adj. consumant, destrucieur,
CON 333
qui eonsume, mine ou ruine; allligeant, fä-
cheux.
CoNsumıDöR, A, 3. Consommalcur : qui Con-
somme les denrees, etc.
Consusia, ©. a. Consumer, detruire,, user,
dissiper, reduire , absorber, devorer, engloutir,
Consommer «les denrees, etc. ; detruire par l’u-
sage. Consommer : communier ä la messe, en
parlant d’un pretre. (fg.) Aflliger & l’oxcds,
tourmenier sans cesse.
ConsuMir-SE, ©. r. Se Consumer, secher,
languir, brüler, se morfondre,, se consommerz
s’aflliger, se tourmenter, s’inquieter. — d’an-
gusiias, de cwidados, de irisieza, se consume
d’ennuis, de chagrins, de tristesse. — em des-
pezas , se consumer en [rais.
+ ConsumivEL, adj. 2 gen. qui se consume,
s’use, se detruit.
Consummacäö, s. f. consommation : aclion
de consommer; achevement, perlection, &0-
complissement.— dos seculos, fin des siecles,
du monde. — do malrimonio, consommalion
du mariage : premiere cohabitation des &poux
apres le mariage.
ConsUMMÄDANENTE, adv. parfailement, ©
perfection; entiörement.
CONSUMMADISSIMO, A, adj. sup. de
CONSuMMÄDO, A, p. p. de Consummar. adj.
(em) Consomm6, parlait, accompli.
CONSUMMADÖR, 8. m. consommaleur : celui
qui consomme, qui perfectionne, qui achöre
une chose.
ConsumMmÄr, ©. G. consommer, perlection-
ner, acherer, nir, terminer, accomplir, rendre
parfait.
+ Consumsmarivo, A, adj. qui consomme,
qui perfectionne, en parlant du sacrement de
l’eucharistie.
Coxsüno, s. m. *consommalion , consomp-
tion , debit, distribution ; debouche&,.
ConsuurcÄö, 8. f. consomption : ediat des
choses qui se consument; sorte de phthisie qui
dessöche tout le corps. * Deperissement.
Consuuptivo, A, adj. (l. de med.) consomp-
tif: qui consume les humeurs, les cbairs, etc.
° CoOnsuuM, adv. conjointement, d’accord,
de concert.
Conta , s. f. ° compte, calcul, supputation,
nombre. Evaluation, estime; somme , nombres
comptes. —, recit de ce que l’on a vu, fail ow
entendu. (fig.) *Soin ; cas. —s, pl." grains d’un
chapelet, chapelet. — corrente,compte courant.
4’—,ä compte. A’—de...,ävaloir sur... Dar—s,
rendre ses comptes. Pedir—, demander coınpte
ou raison. Levar em —,, tenir compte de. Por
minha—, pour mon compte, sur ma responsabi-
lite. Cair ou dar na—,comprendre une chore,
s’en apercevoir, se metire au fait d’une chose.
Lancar —s, calculer. Fazerde —, faire Etat,
supposer. Fazer — com a bolsa, compter aveo
sa bourse. Dar — d’alguma cousa, (fam.) de-
truire, consumer, voir la fin de quelgue chose.
Genie, homem, pessoa de — , personne de dis-
tinclion, de margue. Zor-os em — de grande
334 CON
komm, se donner de grands alrs. Ter —
aberta com alguem, ötre en compie ouvert
avec quelqu’an. N&o ler em — algume couss,
ne compter pour rien une chose. Segundo esia
—, &. 08 compte-lä. Tem-me —, }’y troure mon
compie. Tudo islo entre em —, tout ceci fait
nombre. Ter — oom..., faire attention & quel-
que chose, ou en avoir soin. Fexer —
couss, 4ire utlle, avantagenz, convenable.
Tomar, levar #91 — , prendre A compte , passer
en compte. Ester em — , dire A bon compte, &
bon marche. Yamos sa —s, entendons-nous.
Näse er —s 00m alguem, ne vouloir rien
avoir & d&meler avec un autre. Enirar em —s
comsigo, deliberer, röflöchir sur ce qu’on doit | Di
faire. —s de gran-capiläo, (fam.) memoire
d’apothicaire. Por im de —e, au bout du
compte, enfin, aprös tout. Mwi erradas Ihs
sdem as —s, Il est bien loin de son compte.
Dar —s a Deos, (fig.) mourir.
CONTABILIDADE,, 8. f. V. Compflabilidade.
Conticro, s. m. contact : attouchement de
deux corps.
tConTäpamente, adv. par numeros; d’une
maniere calculde; au juste.
Cortipo, A, p. p. de Conter. adj. Compts;
nombre. De —, adv. tout de suite, & l’instant,
sur-lo-champ, immediatement. Dinkeiro de
—, comptant, argent comptant. Ser dem ou
mal —, &ire bien ow mal röpute. Ndo ser bem
— um faclo , uma acıdo a wma pesson. On le dit
d’une action blämable. $do favas —as ( fam.).
On le dit d’un nombre connu et invariable,
d’une chose certaine. Do — come o lobo, a bre-
bis comptöes le loup en mange bien une.
CONTADOR, A, 3. compteur, calculatear, chif-
freur. Caissier. Contröleur des Anances. Per-
sonne nommee juridiquement pour liquider
un compte. Comptoir : table pour compter de
Pargent chez les negociants et les banquiers.
Casier : sorte de bureau A rayons ou Lableties
pour y mettre des papiers. Conteur ; faiseur de
nouvelles, de contes.
Conraponia ,s. f. chambre des comptes; bu-
rean destind & tenir un compte exact de tout ce
qui concerne quelques branches de finances;
bureau d’un contröleur des finances. — do
ezercilo, bureau du tr6sorier de l!’armee. — de
provineia, bureau de contröleur de contribu-
tions.
ConTacıÄpo,A,p. p. de Contagiar.
Contacıäö, s. f. contagion: communication
d’une maladie par le contact ou les miasınes,
par des sorpuscaies pestilöres; peste. ( Ag.)
Communication d’un mal, d’un vice, d’une
heresie,
f Conracıin, 9. a, empester, infecier de
contagion, de peste. (fig.) Corrompre, infec-
ter, pervertir.
Contäaıo, s. m. "infeotion, peste, conlagion.
V.Con .
ConTacıöso, A, adj. contagieux: qui se rd-
pand,, se oommunique par contagion, par Ic
contact. —,(Ag.) qui gäte l’esprit, les maurs.
CON
Se dit du vice, de l’erreur, du mal qui se com-
munique.
Coxntanmaciö, s. f. contamination, tache,
sonillure. Profanation. Contagion, Infeetion.
CONTANINÄDO, A, p. p. de Conlaminar.
CONTANINADOR, 8. m. qui corrompt, infecte,
pervertit; qui gäte.
ConrasınÄr,, o.6. contaminer : tacher, souil-
ler, salir; gäter, vicier. Infecter, empester.
(%g.) Corrompre, infecter, pervertir, souiller.
Enfreindre, profaner, violer.
t CostawıniveL, adj. 2 gen. qui peut se
contaminer, se corrompr®, eie.
Contänte,s. m. comptant,, argent comptan!.
‚moedda —, argent comptant, argen!
sec.
Conrir, 0.6. oomptiss: nombrer, calcaler,
supputer; avoir, trouver dans le nombre; esti-
mer, r&öputer. —, dire, rapporter, raconier.
—, croire, se proposer, avoir l’intention de.
ll est plutöt neutre dans cette acception : Conlo
parlir d mankd, je comptie partir demain.
— com alguma pessoa ou cousa, ( fam.) Comp-
ter, faire fond sur quelqu’un, sur quelque
chose. — com alguem para janter, etc. , allen-
dre queiqu’un pour diner, etc. — por couss
nenkhuma, compter pour rien. — por miüdo,
detailler, circonstancier. N&o ss pöde — com
isso ou sobre isso, on ne peut pas compter lä-
dessus.
Contecee. V. Aconlecer.
* CONTEENGAS, 3. f. pl. meubles menus d’une
maison.
Conttiına,, 8. f. bouterolle : bout d’un four-
reau d’ep6e. "Bouton de la oulasse d’une piece
d’artillerie.
Coxttiao, 3. m. patenötrier : qui fait et vend
des chapelets.
ContzurLaciö, s. f. contemplation : action
de contempler Jdes yeux ow de l’esprit. (Ag. )
Complaisance, condescendance.
" ConreurLi0o, A, P. p. de Contemplar.
CONTENPLADOR, A, 3. contemplateur : qui
contemple,, surtout par la pensee.
ConTeurLÄr, 9. @. contempler : considtrer
attentivement avec les yeux ou l’esprit; admi-
rer. Complaire, flatter, condescendre, mena-
ger. — (em), v. n. mediter, penser (& Dieu, &
ses perfections, etc.).
CONTENPLATITAMENTE,, ado. avec contermpis
tion.
CoNTenrLaTivo, A,adj. qui appartient & la
contemplalion. Contemplaiüil : adonne & la con-
templation par la penste.
CONTBMPORÄNRAMENTE,, adv. A la meme &po-
que.
CONTENPORANEIDÄDE, 5. f. contemporeaeil£:
exisienee de personnes, d’&venemenis dans 6
meme lemps.
CONTEMPORÄREO , A, adj. contemporaiu : du
meme temps.
CONTENPORIZÄDO, A, P. 9. de Coniempo-
risar.
ConTEuronızapon, A, 4. Complaisant, coN-
desoundant; qui se rögle sur la volontd des
gens influents.
ConrzurosızÄär (com), v. ». oomplaire : @ire
eomplaisant, avoir de la complaisance, de la
eondescendance; s’accommoder & l’hameur, &
la volont#,, au caprice; &ire accommodant. Se
eenformer aux temps, se plier aux circon-
Slances.
* Conrzurnin, etc. V. Contemplar, etc.
CourzurriveL, adj. 2 gen. möprisable, vil.
Cowrangiö, s. f. contention : dispute,, debat.
COsTENCIÖSANÄNTE,, adv. contentieusement ;
avec contention , opiniätret#, dispute,, debat.
Conxtexcıöso, A, adj. contentieux: qui est ou
peut #ire dispute; qui est en discussion ; litl-
gieux; qui aime & disputer, ä contester.
Cosrtssa, 3. f. dispute, debat, querelle;
effort pour obtenir une chose.
CostEndenör. V. Contendör.
+ ConTEnDente, s. m. contendant, concur-
rent, competiteur. adj. 2 gen. Combattant, qui
combat, qui se bat, qui se dispute. p. a. de
ContzNnDer (com), v.n. combaltre, se batire,
se quereller. (com, sobre) ( ig.) Disputer, de-
baitre, eontester.
CosTEnpino, A, pP. p. de Conlender.
Coxtenpdör, s. mw. combattant; contendant,
concurrent, compötiteur.
* Contenenca. V. Semblante , Rosto.
Costanznte (em —) V. Conlinente.
+Costensiö, s. f. grand effort pour obtenir
une chose. — d’ o, contention : forle ap-
pication d’esprit.
Coutentino,, A, pP. p. de Conlenlar.
CORTENTANENTO, 5. m. contentement, jole,
sstisfaclion,, plaisir.
ÜDRTENTAR, ©. 8. conienter, satisfaire, ren-
dre content, plaire.
CosTtentin-se (com, 0. r. se contenter de,
re content, satisfait; n’exiger rien de plus;
se satisfaire, s’en tenir ä.
Contturs, adj. 2 gen. content, satislait.
Ser — que, agröer, acquiescer, consentir. Sal-
far de —, tisessaillir de joie. Ninguem d — com
u sus sorle , personne n’est content de son sort.
Eston —, je suis also.
t Contautzußuss, ado, avec Contentement,
avec satislaction.
CORTENTISSIMO , A, adj. sup. de Contonie.
Oourtuto, s. m. *satisfaction, gre, souhait.
4—,ede. a plaisir, & satisfaclion. A meu —,
ämon grö. Ser ds bom ou mdo —, ( fam.) &ire
Iacile ow dificile A contenter.
Conrznrön. V. Contendeor.
Coxrta ‚vo. @. oontenir, enfermer, embrasser,
Comprendre, tenir, porter, renfermer dans un
“psce, dans une &tendue, etc. —, Fetenir,
artter, borner, reprimer, enchalner, assu-
jtir, au pbysigue et au moral, au propre ct
wu figure. Como w’ells se conldm, exaciement,
temme il y est dit, sans plus ni moins.
‚ Cosres-sE, ©. r. se contenir, se moderer,
% retenir; se oontraindre, so cormmander.
CON 335
Conrfnumo, A, adj. limitrophe, conlizu.
s. m. * Limites, confins.
CONTERRÄNEO, 3. m. du meme pays. V. Com-
palriola.
Contestaciö, s. f. contestation : debat, dis-
pute sur quelque chose. (f. de prat.) "Temoi-
gnage, disposition conforme & celle d’un autre.
Sem —, incontestablement.
ConTEstino, A,p. p. de Contestär.
Contestauente. V. Contestemente.
CoNTEstäntg, adj. 2 gen. contestant: qui
eonteste en Justice.
Contestir, v. a. deposer, attester la m&me
chose qu’un autre. Confirmer, prouver, etablir.
Contester : disputer, debattre quelque chose en
Justice ow autrement.
ContsstiveL, adj. 2 gen. contestable : qui
peut Etre conteste.
Conr£ste,, adj. 2 gen. t&moin : qui rend le
meme t&moignage qu’un autre. ,
Contetno, a, adj. V. Contido. s. m. con-
tenu: ce qui est renferm#, compris dans, ce
que contient un &crit.
Contexro,s.m. *conlexture, ordre, serie
d’un discours, etc. Contexte : ce qui pr&ce&de
ou suit un passage du texte.
COXTExTüra, 8. f. contexture, tissu (d’une
€toffe), enchainement de parties formant un
eorps. V. Contexto. ( ig.) Structure des vege-
taux, des animaux,
* Contia. V. Quantiia.
Coxtino, A, 9. 9. de Conter. adj. ( ig.) Mo»
dere, retenu, sobre, prudent.
ConTicuauente, adv. de pres, tout prös.
Conticvimipe, s. f. conligulte : 6dtat des
ehoses contiguds, qui se touchent.
ConTicuo, A, adj. contigu : touchant imme-
diatemment.
Contina. V. Conlinua.
Continencıa , 5. f. continence ; vertu qui
consiste &ä s’abstenir du plaisir de la chair;
cette abstinence. Moderation, retenue, lempe-
rance. (anl.) Contenance, capacite, elendue,
°Maintien, contenance, *° Salut militaire.
+ CONTINENTÄL, adj. 2 gen. conlinental: qui
est du continent, qui a rapport au conlinent, &
la terre ferme.
CoONTIn&nteE, 8. m. Ccontinent : terre ferme
qui contient plusieurs pays non separes par la
mer; grande etendue de pays. Se dit par oppo-
sition aux les. st. (anf.) ° Contenance, air,
maintien.
CONTIN&xtE,adj.2 gen. conlinent: qui a la
vertu de la continence, Conlinuel : qui ne cesse
point. Em —, adv. aussitöt, immediateınent,
tout de suite, & l’instant.
COXNTINENTEMENTE, adv. avcc conlincnce,
Mod£rement, avec retenue.
Coxtisesti (em). V. Conlinenle (em).
CONTINENTISSIMO, A, adj. sup. de Conli-
wentle.
ConTıncencıa, 8. f. conlingence : casualil6,
l'oppose de necessile ; hasard , cas forluit.
Contincknte, adj. 2 gen. conlingent ; ca-
336 CON
suel, eventuel. s. m. —, part de partage eu de
fourniture ä faire.
COXTINGENTEMENTE , adv. casuelloment, for-
tuitement, par basard.
COXTISGIBILIDADE. V. Conlingencia.
CoxtinciveL. V. Factivel.
Coxrinua, s. f. dim. de Conte. Petit compte.
—as , pl. *rosaire,, chapelet & petits grains.
Coxrixo. V. Continuo.
Coxtinua, s. f. idee fixe d’un fou; mono-
manie.
Coxtisuaciö, 3. f. conlınualion : aclion de
continuer; ses effets; sa duree; chose conli-
nude. Com a —, & la continue, ä la longue.
COXT:EUÄDAMENTE, adv. continuellement,
toujour3; continäment, sans Cesse, sans inter-
ruption , de suite.
CONTIXUABo, A, pP. p. de Conlinuer.
COXTINUADOR, 3. m. conlinuateur : qui COn-
tinue un ouvrage commence.
ConTisuamente, adv. conlinuellement : sans
cesse, loujours, sans interruplion.
CONTinuau&nTo ,s. m. V. Conlinuagdo.
Coxtinuir, v. a. Conlinuer, poursuivre c®
qui est o% ce qu’on a commence; prolonger.
0.%. —, durer, ne pas cesser, se prolonger. —
nn mes, ( fam.) perseverer dans une habi-
tude.
ContinuÄn-sg , v. r. se conlinuer, s’stendre,
se prolonger.
? Contınuativo , A,adj. 9. us. quicontinue,
qui poursuit.
?F Continuäne, s. f. continuit6 : liaison
non interrompue de parties ; duree continue.
CoxTisuo, A, adj. continuel : qui dure sans
Ihterruplion; qui ne cesse point; assidu. Con-
u.
Coxtinuo, 3. m. garcon de bureau, bedeau,
buissier d’audience. Celui qui frequento (la
cour, etc.). De—, contlinuellement.
Conto, s. m. conte, fable, bistoriette ;
compte, nombre. V. Conta. Million : dix fois
cent mille. Talon d’une pique, d’une balle-
barde. —de reis, dix cent mille reis (6,250 fr.).
— de ouro, un million de cruzades (2 millions
et demi de fr.). — de conlos, million de mil-
lions. Casa dos —e, Iresorerie. Sem — , innom-
brable. A—, adv. a propos. Kstar ou vir a—,
venir ä propos, Cconvenir, @ire avanlageuxr. —
de velhas ,conte de Peau d’Ane,conte devieille,
conte de ma mere l’oie. Sdo —s largos , c'est
une trop grande affaire. Deixzar-se de —s, aller
au fait, laisser lä tout dötour, couper court,
venir droit au fait. Tudo isto vem a um — ‚tout
ccla revient au meme. Saber 0 seu —, savoir
Bnicux que son pain manger.
CoxtoÄda, 8. f. coupavec le talon d’unelance.
CoxNTOnXeAD0,A,p.p.de
CoxTonnzÄn, ©. a. tourner au tour. Con-
toner.
CONTORNO, 86. m. contour, circuit, enceinte,
envırons, proximite, contree. (F. d’arls) —:
trait, ligne qui termine, renferme une figure.
Em — adv. aulour, 32V - ax environs.
CON
Coxtonsid, s. f. coutersion : mouvemert
violent qui tord les membres et les muscles;
rimace, geste, attitude forche. (tl. d’arls)
tat du cou, du corps, du visage de travers.
CONTRA, s. m. repligue, contre, ce qui est
contraire. Prö e — , le pour et le contre.
ConTRa, prep. contre : malgre, sans avdir
tgard ; vis-ä-vis, en face, & l’opposile; vers.
Arrojar — a muralka, jeier quelquo chose
contre le mur. Em — , adv. contre, en opposi-
tion. — a larde, pres du soir.
TContRa-AsERTönA, s. f. (l. de chir.) con-
tre-iissure, fraoture des os du cränc par un
contre-coup.
CONTRA-ABITAS, 8. f. pl. (1.de mar.) conire-
bittes : courbes qui affermissent les bittes.
CONTRA-ALMIRÄNTE , 5. m. contre-amiral :
troisieme offlcier supericur d'une arnıca nd-
vale; son vaisseau.
+ Contra-ıutüra, 8. f. (1. de mar.) °conlte-
couet : cordage servant & faciliter ei & assuref
les man@uvres des couets.
CONTRA-APRÖCHES,, 5. m. pl. (l. de fort.) con-
tre-approches : Iravaux des assieges opposes &
ceux des assiegeanis.
+ ConTRa-AnMın10s, 3. m. ol. (4. de bias.)
contre-hermine : champ de sable mouchels
d’argent.
CoONTRA-ASTÜCIA , 8. f. contre-finesse : fincse®
opposee & une aulre.
CONTRA-ATAQUES ‚5. m. pl. (1. de fort.) COR-
tre-atlaques : retranchements , tranchees.
Contnasiıxo, s.m.(t. de mus.) la voix I
pius basse;; " contrebasse.
CONTRABALANCÄDO, A, P. P. de
+ContnasaLancie, v. a. conirebalancet,
compenser.
CONTRABALDÄDO, A , 9. p. de
CONTRABALDÄR,, v. a. et m. (6. de jew) conli®
(ausser.
CONTRABALUÄRTE ‚8. m. contre-baslion : bar
tion oppose & un autre.
Coxtaasinpa, 5. fı (l. de bias.) conire-
bande , barre.
CONTRABANDEÄR, v. n. faire la contrebande.
CONTRABANDISTA,, s. w. contrebandier : celui
qui fait la contrebande.
CONTRABÄNDO, 5. m. *° contrebande : chose,
commerce ,„ introduction de choses dont la
vente est döfendue, ou qui devraient payer des
droits que l’on fraude. (g.) Action suspecie
ou contre l’usage regu. it. ant. Parti coniraite.
CONTRABARATEÄR, ©. #. expression du je4
de trictrac. .
CoNTRAsaTea,v. a. lirer conire une ballcrit.
CONTRABATERIA,, 5. [. contre-batterie : ball®
rie opposee & une aulre.
CONTRABATIDO,. A, P. pP. de Contrabaler.
+ ConTaasATüqurs, 8. m. pl. (i.de mar.)
chevilles des etriers des haubans.
+ CONXTRABUGA-DA-LANCHA , &. [. (4. de mer.)
* cablot ä amarrer la chaluupe.
+ Eontnasosanrosa, 8. fı (ti. de mar.) le
second [oc d’un vaisseau.
CON
+Cosraasaico, 6. m. (1. de mar.) conire-
fanon : corde amarree & la vergue; faux-bras.
+Contnacasatido, A, adj. (t. de blas.)
contre-chevronne : & contre-chevrons.
CONTRACADÄSTE , 5. m. (4. de mar.) conire-
&ambot : piece qui lie ’ötambot & la quille.
COXTRACANBIÄDO, A, 9. p. de
COHTRACAMBIAR, 9. a. contre-$changer.
COXTRACAMBIO, s. m. Contre-tchange; ro-
change.
. Coxraackva,s. f. * conire-foss#, avant-fosst.
Costaacgiö, s. f. contraclion : mouvement
par lequel un corps se raccourcil; raccourcis-
sement des nerfs. (t. de gram.) —, reduction
de deux syliabes en une.
+Conraaceoura, s. f. contreleltre : acie
qui deroge & un autre acte anlerieur.
+ Cosrascıraa, s. f. clef d’un chiffre.
COXTRACOSTA , 8. f. cöte opposee A une autre.
CostaacoriciDo, A,adj. (4. de blas.) qui a
une cotice de gauche ä droite.
Costaacräin, etc. V. Coriralar, etc.
TCostaicrıL, adj. 2 gen. (1. d’anaf.) con-
trsetile. On le dit d’un corps qui a la proprietö
de se retrecir apr&savoir &i6 lire.
+CoxraacrıLipiog, 8. f. (. d’anal.) con-
trzcliliis : propriete qu’a un corps de se con-
Contra acriver. V. Contractil.
Contaacrivo, A, adj. contractil : astringent.
ContRäcto , A, adj. contracte. On le dit ordi-
neirement des verbes grecs dans lesquels deux
syllabes sont röduites en une.
CONTRACUONBAÄDO, A, P. p. de
tComraacunnia, v. a. [rapper la monnaie
arec un Houveau Coin.
Cosraapinsa,s. f. contredanse : danse vivo
altgere entre plusieurs personnes; son air.
SONTRADANSAÄR, v. n. danser des conire-
danses.
TConTrabansista,, 5.2 gen. qui aiıme & dan-
ser des contredanses.
TCoOsTRADIÄNETRO, 8. m. (1. de geom.) con-
Ire-dismetre : arc des abscisses opposees €ga-
les, ayant des ordonnees pareilles.
Contaapiccäö, s. f. contradiction : action
de contredire , de contrarier, de contester ; op-
position aux Opinions, aux discours; paroles
qui l’expriment. V. Opposigdo. Espirilo de—,
esprit eontredisant, esprit de contradiction.
Envoleer —, impliquer contradiction. Sem— ,
establemend. Conitradicöes, pl. contra-
tCoswraaniqug, s. m. contre-digue : double
contre les inondalions.
tCostaanıstınccäö, s. f. distinclion con-
aut, ou collationnde avec une auire dejä
ie,
Costaanistıncuipo,, A,p. p. de
tTCostaanıstıncoia, v. a. montrer la diffe-
tence entre deux eboses dislinctes.
Conraapita,s. f. "contredit, replique; ob-
gcüuon; deposilion contradictoire. Sem —,
ede. sans contredit, sans diculte.
FORTAFR.
CON
CoNTRADITÄDO, A, 9. p. de
CONTRADITÄR , ©. a. contredire, reluler.
CONTRADITO , A, 9. p. de Contradizer.
CONTRADITOR, A, 3. contradicteur : qui o0n-
tredit. adj. Contredisant.
Contravırörsa, 5. f. (4. de log.) contradic-
toire : proposition contradictoire par opposi-
tion A une autre.
CONTRADITÖRIAMENTE,, ado. contradictoire-
ment : d’une maniedre contradictoire.
CONTRADITÖRIO, A, adj. contradictoire : 6p-
pose, qui contredit entiörement, tout & fait
oppose.
ConrratızepoR. V. Contradilor.
CONTRADIZER , v. a. contredire, Contesier :
dire le contraire ; chicaner, dementir, contra -
rier, contre-pointer, contrecarrer. Il osı aussi
reciproque.
* CONTRADIZIMENTO, 8. m. V. Contradicegäo.
T CORTRAEMBUSCADA , 5. f. ombuscade oppo-
see A une autre.
TCoNTRnAENMERCcENTE , adj. (4. de blas.) con-
tre-issant : se dit des animaux adosses, dont
la t£te et les pieds de devant sorlent d’une
piece de l’&cu.
+ Contrasava, s. f. (1. de bot.) dorstene &
feuilles de berce; contrayerva.
Contaazsciarpa,s. f. (. de fort.) conires-
carpe : pente du mur exterieur du loss du
cöt& de la place ; revers du glacis.
+ConTaazschTa, 8. f. (b. de mar.) conire-
6coute : cordage qui sert ä faciliter et & assurer
la man@uvre des dcoutes.
+ ConTRasscorim, s. m. (. de mar.) cordage
qui assure les dcoutes des huniers.
} Contnazscaıröna, 8. f. contre-elire :
acte qui deroge & un autre. .
+ Contaasstiı, s. m. (1. de mar.) faux etai :
cordage qui sert & renforcer les &tais; draille.
+ CONTRAFACTOR, s. m. contrefacteur : qui
contrefait des livres , des &tofles, eic.
+ Contnariıxa ow Contnaraxa, 5. f. (1. de
blas.) contre-fasce : fasce divisde en deux.
ConTaaraıxÄDO, A, adj. (4. de bias.) conire-
fasce : A pidces oppos6es.
CONTRAFAZEDOR, 3. m. Contsefaiseuf, con-
trefacteur.
CONTRAFAZER,, 9. a. contrefaire, copier, imi-
ter. (Ag.) Imiter quelgu’un pour le tourner en
ridieule. —, faire une contrefacon.
CONTRAFAZER-SE , ©. r. 50 contrelaire. V. Fie-
gir-se.:
+ Conraassırco,, 5. m. enchantoment com
traire & un autre.
Contrartito, A, 9. p. ir. de Contrafaser.
adj. Contrefait, difforme , mal fait, en parlant
d’un homme; imite; falsifi6. Sorriso —, sou-
rire force. Ter um ar —, avoir !’air emprunte.
+ ConTRarLoRETÄDO, A, adj. (t. de blas.)
contrefleure , contrefleuronne : & fleurs, & fleu-
rons alternes , opposes dans les couleurs.
CONTRAFÖRTE „s. m. ( I. de fort.) contrefort:
mur contre-boutant,. Renlort de souliers, etc.
337
338 CON
+ Contaarösso, 6. m. ( f. de fort.) conire-
fosse : avant-fosse.
+Corrrırbca,, s. f. (1. de mus.) contre-fu-
kue : fague dont 1a marche est oontraire aux
rögles &tablies; fugue renversee.
or, e. f."rais de !aroue d’an monulin
Asuore.
ContnaGuinpa, 8. f. (t. de fort.) contwe-
Garde : fortiication devant um bastion.
or, 2.2 gen. ( 1. de danss) contre-
®
+ Cowraanınwöntca , adj. f. (8. de mus. ei
d’arith.) oontre-harmonique ( proporfen) :
comme 3, 5,8.
OONTRanenTe , adj. 2 gen. contractsmt : qui
eontracte. —s, Pf. 5. m. conjoints.
°Corrasutn. V. Contrakir.
CONTRABERVA. V. Confroervs.
Contzanfne, A, 9. p.de
Conrrisufa, v. a. contracter : faire oontrat,
une convention, des dettes. — domieilie, enfer-
midade , ‚ porentesco „ acquetrir
domiciie, eontraeter, gagner une maladie,
eontracter mariege, alllanoe, parent£. i$. Res-
serrer, raccoureir, &irecir.
CONTRABIR-BE, ©. r. 58 CBRiTBCteT, 56 Tesser-
rer, s6 raccoureir, s’#trdeir, se retirer. (Ag.) Se
bormer, se retrancher.
4 +oOonraiı, =. m. drap de Courtrei (pour
euil).
+Cowrrsfnprcaciö, s. f. (1. de med.) oon-
tre-Indication : indioe contraire aax prochdents,
dans une maladie.
Conraalnnicipo, A, ». p. de Contreindicar.
T ConTaainpichnte, nf 2 gen. (t. de med.)
vontraire (indice) aux precödemts dans une
maladie.
T Conraalnprcir,, vo. @.[t. de med.) mani-
fester contre-Indication.
* Conrramo. V. Conträrte.
Contaaräes. V. Lass.
ContuaLioa, s. f.ligue formee en opposition
& une aufre.
Conrairtd, T.m. (1. de mus.) haute-contre:
voix entre la taille et je dessus ; celui qui !'a.
Contraito : voix de basse chez une femme.
t ContaaLiz,s. f. *contre-jour: endrolt op-
post au grand Your; jour oppose & celui du ta-
fContaaukıma, a. f. vontre-mallle : maifle
da tranzeil eppeste a unesutse ımaille.
CONTRAMALEÄDO , A, 9.p. Jo
Ooeana
bler les mailles,
CONTRANANDÄDO, 5. m. conire-mandement :
ordre contreise a celui qui a da)a 46 donme.
=, A,P.P. de
Conzasamanpia, v. a. eoniremander : r6vo-
quer un ordre-donne.
T CownrnamänGas, s. f. pl. sorte de manches
trds-larges ei longues que portaient autrefois
les hommes et les [emmes.
ConTramärca, 8. f. comtre-margue : seconde
marque & un ballot, etc.; sevond billet de spoo-
‚©. a. comtre-malller : dou-
tacle ponr sortir ot rentrer; muargue afoutde ä
une medaille.
Cowrrauancie0, A, pP. p. de
Contrauancie, 0. 8. ventre-Mharguer: meine
une conire-marque.
Conraauineni, e. f. ( l. wii.) eontre-mer-
che : marche d’une armee oontraire & celle
qu’elle paraissalt vowleir faire ; dvetution mili-
tsire par iaquelle une oulonne passe de l’ordre
direct & l’ordre inverse,, ei vice versd.
+ Conrnauancuir, 0. ». röirograder, faire
une contre-marche.
+Cowraauan, s. f. contre-marde : merte
opposee & la mar&e erdinaire.
CONTRAMESTRE, 3. m. (#. de mer.) contre
mattre : officier marinier qui commande sous
le maltre ; celui qui dirige et surveille les ou
vriers dans les grandes manufsectures.
Contrauezrtna, 8. f. (1. de mar.) ie mät qui
est aupreös de la poupe.
CoONnTRamina, s. f. (6. de fort.) oontre-mme:
mine pour en €venter uno autre ; mine sous l#s
bestions pour faire sauter los assiögeents. (1.)
* Artiice pour detreire un autre, ou pour de-
jouer ses projets. ’
CONTRANINADO, A, P. P. de Confreminar.
CONTRANIRABOR,, 8. m. contre-arineor : celei
qui fait des contre-mines.
Contramnin, ©. @. ( $. de fort.) contre-
miner : faire des contre-mmes. (fig.) S'opposer
aux mentes, aux intrigues de queiqu’un,, eu
empecher le suceds.
Contaamupaci6. V. Trdea.
Contnauuaipo, A,P.p. de Conframurer.
Oonrnamuaiıma, 8. f. "contre-mur : muf
d’sppui, bäti contre un autre pour le forlißier,
le conserver.
+ Conrrauuria, 0. @. oontre-+murer : forti-
fier par un conire-mur.
CORTRANURO, 8. m. V. Contramuralke.
+ ConrranaroriL, adj- 2 gen. contraire ä la
nature, contre nature.
T CONTRaNATURALIDADE, 8. f. qualitö oppo-
ste & la nature.
} Contranıttnaa, s. [.(e. de phys.) rtar-
tion , force r&pulsive,
CONTRANITenTE, adj. 2 gen. qui viellorce
oontre, qui resiste.
CONTRAÖöRDEN, 3. f. “ oontre-ordre: rerocation
d’un ordre ; contremandement.
CONTRAORDENAR , etc. V. Confremandar, elC-
+ Contnarins, 8. f. (1. de bias.) "contre pal:
pal divis6 en deux.
ContaaraLinpo, A, adj. (6. de Bias.; contte-
pale : avec los pals oppos#s.
CONTRAPARENTE ‚5. 2 gen. parent par affimiik.
ConTRarassiDO, A, pP. p. de Contrapassar.
+ CoNTRAPASsamEnTo, 3. m. (4. de bie.)
1 etat de deux animaux contre-passants.
Contaarassinte, adj. 2 gen. (1. de bias.)
contre-passant : Tun au-dessus de Pautre, A
ietes © ‚en parianı de deux animaur.
+Contaa-rassin, v.w. (£. de bias.) conut-
passer. On le dit de deax amimaux qui #*
CON
treaven! Fan eontre l’autre avec les Lätes op-
posees
Coyraspisso, s. m. sorte de danse ou de pas
de danse.
COXTRAPECONHA, 8. f. V. Contraveneno.
CosTzAPfLLO, 8. m. conire-poil : le rebours,
ksens contraire du poil. A—, adv. & contre-
peil : en sens contraire du poil.
Costkapssino, A, 9. p. de
COxTnarEsir, 9. @. contrepeser, conire-ba-
lancer, servir de cos. repoids. (fg.) Balancer,
tontrebalaneer, &galır une chose avec une
autre.
Corrzartso, s. m. contrepoids : polde qui en
eontrebalance d’autres. ° Rejoufissance: hasse
viande, os que l’acheteur est obligede prendre
arec la bonne et au meme prix. (lg.) —, qua-
Bis qui sertä en contrebalancer une autee.
tCoxraurfste, s. m. remöde, antidote con-
tze la pesie.
fOosraurıListea, 8. f. (f. d’arch.) eontre-
Kastre: pilastre devant un pilastre engag6.
(saraırontino, A, adj. (f. de blas.) contre-
point: : qui a pointe contre pointe.
Costasronteipo, A,P. p. de
Cosrsaronıein, 0.» (4. de mus.) faire le
penlre-point.
Contasrontista,, 8. m. contre-pointiste :
ompositeur de contre-point.
Costaapöxto, 3. m. (1. de mus.) eonire-
Pisi:accord de chanıs differents ; art de com-
biner des chants Jivers qui neanmoins mar-
cheni d’sccord entre eux.
(oataırön (0), v. a. meltre deux choses en
position pour les comparer. (fig.) Confronter,
@mparer, refuter.
ÜORTRAPöR-SE, ©. r. 8’opposer, resister.
Gsrasrosıckö, s. f. l’aelion de mettre deux
ehoses en opposilion pour les comparer. (fig.)
idon, resistance, röpugnance. "Contrasto:
üßtrence de caractöres, de senliments, etc.
Grtaarösta. V. Contraposigds.
Coxrasrösto, A, p.p. de Contraper. adj.
Opposs. (1.de bias.) Contre-pose : pose dans
an sens different,
f Contaarnopucenten (1. de prat.) Mot Jatin
ton se sert pour dire que ce qu’une
wmne allägue ou cite est pröcisement je con-
kaire de co qu’elle vent prouver.
Conrasraöva, 3. f. (1. de prat.) preuve don-
nee & Pimpugnalion de P’auleur; preuve de la
Immei& de Yalltgation de V’adversaire. (1.
deris) Contrespreuve : estampe, dessin tire
Kr une estampe fraichement imprimee, sur
un dessin, Seconde epreuve.
ÜOXTRAPROYADO, A, P. p. de
TTRAPROYÄR, ©. 0. contre-$preuver : lirer
Paria pression une &preure d’un dessin, d’une
Pirare [raichement imprimee.
(orrzuPöuno, s. m. (1. de mer.) cäble atta-
"tt dla pointe de la grande volle, Pour assurer
\amure; palan d’amure.
ER ORTRAgTAR TEL ‚3. m. (4. de blas.) contre-
CON 39
+ ContnaquaarsLino, a, adj. (I. de bias.)
contre-tcarteld.
+ Contragriıma, 6. f. (l.de mar.) conire-
quille : longue pides de hois «gals ei oppasde
& la quilie ; fausse quille,
Coxraanincno, 5. m. * hands, pertl opposs.
+ Conrnanaueinre, ad). 2 gen. (1. de bias.) -
contre-rempent : rampani (acs ä [a0e,
+ Conraazerino, s, m. (f. de fort.) seconde
defense afeutte & la premidre.
fComraanterica, s. [. dupligue : röpense,
röplique & des röpliques,
t CowrzanevoLocio,s.f. eontge-revolulion:
retour au gouverasment ditruit, suspends par
une rörolution.
+ CONTAAREVBLUCIONAR , 9.6, Eonira-TEvolir
tionner : operer une contre-revplution.
} COWrRAREVOLDCIONARIO, A, dj. ennire-
rövelutionnalre, s.m.—, parlisan d’une eonire-
revolution.
ContnanıiD0, 4,P. p. de Conirariar.
CORTRARIADOR, A, 3. contsariant, qui 808-
trarie,
Conrrinıamente, adv. & l’oppens, en san8
contraire.
Conrrausin, vo. s. oonWarier:; refater, V.
Contradizer, Impugnar.
CONTRARIÄR-SE, v.P. 60 somtredire ; se dedire,
CONTRARIEBÄDE,, 8. f. eontrariöts : DPPosi-
tion entre des choses contraires ; obstacle ; ein»
p6chement , dificulte dens la poursuile d’uns
ohese, dans une en
CONTRÄRIO, 3. m. ennemi, anlagoniste ; ad-
verseire, competilenr, eoncurrent, partie ad-
vorse. adj. Contwaire, oppest. (g.) —, aui-
sible. Ao —, pels — , adv. au esulrsire. Do —,
autrement. Em —, contre, en oppositiom.
CONTRAROLDA ou ContassonaA. V. Sobre-
rolda,, ete.
CONTRAROTÜRA, 8. f. (4. de ehir.) ruplere,
bernie opposede & une autre.
T CoONTRARROBA-Bu-rRöA, 8. f. (I. demar.)
contre-tirave interieure,fausse Airare. — do
poppe, (aux dtambord.
CONTRASCARPA. V. Conlrasscarpa.
CONTRASCHEDULA OG-LONT BRA0SDULA. V. Con-
Wraceduls
CONTRASELLÄDO, A, P. 9. de
CONTRAGELLÄR , 9.4. :0ppeser
le contre-scel.
Co#TRAastLLO , 6. m, sonire-scel< Bell SOORU
sur le tiret, ä cöl& du groud.
Contaastnua, e. f.” not de reiliemnemt , ruot
du guet. Contremargus de iheäire.
ContassiniL, se. m. V. Cosirastahe, det,
pl. (Ag.) dtssimmwiation, feinies, dögmisemcnis,
CoutRAsTine, 1, pP. p. de Contensidr.
+ CONTRASTÄNTE,, adj. 2 gen. coniteniami,
rösistant. p. a. de .
Conrrasrin, ©, G. S'OPPOSEr, TERislor, RORr
tredire, tenir iele, reprimer ; conlester, FClu-
ter, disputer. Contr6ler : faire meiize une MAr-
que sur les ouvrages d’er et d’argent, en reriller
lo poids et ie dtge,
340 CON
CONTRASTÄR , U. #. r&pugüner, SUpposer, So
contrecarrer. (1. de peint. et de pods.) Con-
traster , faire un conlrasie. — com os perigos,
affronter, braver les dangers.
CoNTRÄSTE, 8. m. contröleur de matidres
d’or et d’argent. Contröle : dreit, office du
contröleur, son bureau. (Ag.) Bon juge, cen-
seur litteraire. Ser —, (fig.) @ire connaisseur.
Contraste : difference, opposition entre le ca-
ractere des figures, ou entre leurs atlitudes,
entre les parties d’une meme figure, ou entre
les couleurs. C’est un terme de peinture et de
sculplure. (fig.) Debat, contestalion , opposi-
ion, cuntraste. (inus.) Obstecle, embarras. —
de vento, (t. de mar.) changement subit de
vent, tequel devient tout & coup contraire. —
de mar, (id.) clapolage.
Contaastean. V. Conirastar, Aquilalar.
+ Conträra, s.f. °contrat, engagement, obli-
gation par Ecrit, surtout de musiciens, d’ac-
teurs, etc. Musico de — , musicien gagiste.
Contaataciö,s. f. V. Conirato, Negocio.
CONTRATÄDO, A, 9. p. de Coniralar.
CONTRATADOR, s. m. contractant; traitant,
fermier general ; commergant, marchand.
COXTRATÄNTE, adj. 2 gen. contraclant : qui
contracte. Ii n’est usite qu’en diplomaue. V.
Contrakente ou Contralador.
CONTRATÄR, v. a. conlracler : faire des con-
trats. V. Contrahir. vo. ». Commercer, traß-
quer, faire la commerce. — em vinhos, em
„apucar, etc., [sire le commerce des vins, du
sucre, eic.
CONTRATENPO, 5. m. contre-lemps, obstacle,
traverse, accident imprevu, malheur, revers.
adv. llors de saıson, A contre-tiemps, mal &
propos.
CONTRÄTO, 5. m. conlrat, pacie, traile; con-
vention notariee. — real, ferme generale. —,
os carlade afreiamenio, charte parlie, con-
trat d’affretiement.
* Coxtaautan, etc. V. Confralar.
ContaavaLLacäö, s. f. (l. de fort.) conire-
vallation : lignes contre les sorties des assie-
ges.
CONTRAVALLADO, A, 9. p. de
CONTRAYALLÄR, U. 0. (l. de fort.) (aire une
eontsevallation.
CoNTRAvRınÄDo , A, adj. (4. de blas.) conire-
vair6 : & vairs opposes.
+Contaavkıno, a. m. (4. de bias.) contre-
vair : piöce & vairs opposes.
+ Conraavenciö, s. f. contravention : in-
fraction & une loi, un contrat, un arret, elc.
CONTRAVENERO, 5. mM. Cconire-poison : anli-
dote,, remede qui detruit l’effet du poison.
CONTRAYERIENTE, 4. m. Conirevenant, qui
oontrevient.
CONTRAVENTO, 8. m. (i. de mar.) le dessus
du vent; vent contraire; (fg.) contre-temps.
—t , pl. (t. de charp.) contrevents : piece de
bois qui soutient le grand comble.
CoOXTRAvEnton. V. Infractor.
CONTRAYERGENTE. V. Conrergente.
CON
CONTRAVERSÄO, 5. f. version conirelaile,
infldele.
TContaavEatea, v.@. tourner dans un sens
Contraire, une direction opposee. (fig.) Ren-
verser, bouleverser.
TContravinräga, s.f. "contre-chässis:chäs-
sis devant un autre.
CONTRAYinDO, A,p.p. de
CONTRAViR (a), ©. #8. contrevenir : agir eon-
tre une loi, un contrat, une obligation con-
traclee.
° FT Contaecraciö, 8. f. (l.de pral.) "vol.
* GoNTRECTAR, V. Furtar.
* ConTReıto. V. Maltratado, Tolkide.
Costrisuicäö, s. f. contribution : paiement
que chacun fait de sa part d’une imposition,
ou d’une depense commune; quote-part; im-
pois annuels.
CoxtaısVino, A,p.p. de Contribuir.
Contaisuinor, 8. m. celui qui contribuc &
quelque chose.
+ CoNnTRısuinTE , adj. et 8.2 gen. contribua-
ble : qui doit contribuer, qui contribue aut
imposilions, aux depenses communes.
Coxtaistia (a, para, com), contribuer : ai-
der & l’execution, au succds d’un dessein,
d’une entreprise, y avoir part; payer les con-
tributions, les laxes, etc.; concourir a une de-
pense commune. Cooperer.
+ EOnTRınUTärto, A, adj. contributaire:: qui
paie sa part d’un tribut, d’un imp6öt, etc.
fContaızurivo, A, adj. contributif : de la
contribution, qui contribue.
Coxraiciö, s. f. contrition : regret d’avoir
offense Dieu, douleur du repentr, du remords
des peches par amour de Dieu.
* CONTRısTagäd. V. Affliepdo.
CONTRISTADO, A, A. 9. de Contristar.
CoNTRIstanör, A, adj. et 5. qui contrisie;
aflligeant, desolant.
CONTRISTÄR, ©. a. contrister, attrister, deso-
ler, affliger, fäcber. .
ConTaito, Aa, adj. contrit : qui a de la con-
trition.
CONTROVERSIA , 8. f. controverse : debat; dis
pule, contestation sur des questions relalires
& la foi; polemique.
CONTROVERSISTA, 8. 9. controversiste : qui
traite des malieres de controverse; qui s’0c-
cupe de controverse; qui ecrit des coniro-
verses.
CONTROV£RSO, A, adj. controverse : discul£,
contest£,, dispute.
CONTROVERTER, v. a. debattre une maliere;
disputer sur quelque matliere douteuse.
CONTROVERTIDO,, A, p. pP. de Controter-
ter.
TCOoNnTRovERTivEL, adj. 2 gen. contestable:
qui peut ötre contest, Controverse.
7 CoONTUs&anıo, s. m. "habitation en compa-
gnie d’une auıre personne. * Cohabitation illi-
cite.
Contumicıa, 3. f. Opiniätrets ; eniölement,
obslination. (#. de pra#.) Contumace: relus,
2 2.
GON
CON 341
deiast de röpomdre en Justice sur unc impula- | Agre. s. m. —, membhre de la Convention ‚en
ion de crime.
ÜORTUMACISSIMO, A, adj. sup. de
France).
+ CONVENRCIONALMENTE , ade. convenlionnel-
Coxrumiz , adj. 2 gen. opiniätre, entelö. s. | lement: sous ou par convention.
m. \i.de pra$.) Contumace ou conlumax : Ac-
euse qui ne comparalt point sur la citalion.
COsTcHÄzMÄNTE , adv. opiniätrement, obsti-
nment. (1. de pral.) Par contumace.
Costuntiia, 8. f. contumelie: outrage; in-
salte , affront.
CORTUM&LIOSAMENTE,, adv. conlumclieuse-
ment: avec outrage; injurieusement, avec
afront.
ContuntLı6so, A, adj. contumdlieux : qui
eonlient un oulrage; injurieux, insultant.
+ Cosremdänte ‚adj. 2 gen. contondant: qui
blesse par contusion.
N CoxtexBiDO,, A, pP. p. de
Costexoik, v. a. broyer, piler, froisser,
meurtrir.
tCoysunsackö, s. f. inquiötudo, trouble,
ägilation.
Conttasipo, A,P. p. de
Costuasir, dv. a. troubler, inquidter, agiter,
effrayer.
CONTCRBAR-SE ,„ v. r. perdre la töle, &prouver
an grand trouble.
TCORTORBATIVO, A, adj. quı trouble, qui
aite , alarmant.
Coxrösiö, s. f. contusion, meurtrissure,
Coxttso, a, p- pP. irreg. de Contundir. adj.
ei s. Contas : meuriri, froisse, sans entamure,
par un eoup.
Coxsorörn, 3. m. Co-tuleur : tuleur avec u
autre,
ÜORTALECENGA.
Cosy Auecen ec. } V. Convalesc..., etc.
ConvaLzscknga, 3. f. convalescence : pas-
sıge de la maladie & la sante; &tat du conva-
lescent. Höpital pour les convalescents.
CONVALBSCHNTE, adj. el 5. 2 gen. Conva-
lescent: qui releve de maladie et retourne ä la
sante, j
COXTALESCER , ©. 9. enirer, &lre en Couva-
lescence.
CONTALESCIDO, A , P. P. de Convalsscer.
Cosvaıan. V. Lirio-Conwalle.
ConvYaLLEsS, 8. m. pl. vallons entourds de
tellines.
"Couvreuca. V. Convengdo.
tCosvzıLız,v.a. V. Arrancar, Desarrei-
per.
tConvinciö, s. f. convention, accord;
Pacts de deux ou plusieurs personnes ; co dont
va oonvient. —, assembiee de representanis de
la nation (en France), de 1702 & 1795.
Convaxcta (de), v. a. convainere : röduire
Mt le raisonnement, par des preuves &vi-
dentes. —, confondre. Il est aussi reciproque.
CONYEncino, A, P. p. de Convencer.
* ConvEnciuknto, s. m. V. Convicgdo.
Coxrsucıonär, adj.2 gen. conventionnel : de
emreation, qui suppose la convention de gre
CONYENCIONADO, A, P. p. de
CONYENCIONÄR, vd. 6. stipuler, convenir de.
T ConvenciveL, adj. 2 gen. qui peut @irc
convaincu.
* CONYBNENGA, V. Convengdö.
* CONVENENTE. V. Estipulantie.
CONVENIENCIA ‚8. f. convenance , commodit& >
utilite, interät, proßt; rapport, relation, coh-
formits , accord.
CoONnvEnIENcı080. V. Interesseiro.
CONVENIENTE, adj. 2 gen. convenable, son-
gruent, ulile, avantageux, propre, sortable.
CONYENIENTEMENTE, adv. convenablement.
d’une mapiedre convenable ; utilemenk
CONYENIENTISSIMO, A, adj. sup. de Comve-
niente.
+ Convenıo, s. m. *oonvention, conizat,
pacte, arrangement, accommodement.
CONYENTICULÄR ‚ adj. 2 gen. de conventicule::
illegal, illicite.
CONVENTICULO, 3. m. conventicule : petite
assembite ; assemblee secröte et illicite.
CONVENTIinHO, 8. m. dim. de
CONVENTO, 8. m. couvent, monastere : mai-
son, communauts de religieux ou de reli-
gieuses. * Assembide de personnes qui gouver-
nent ensemble. — juridico, tribunal chez les
aneiens Romains pour l’administration de la
Justice. — de capuchinhos, * capuciniere.
CONVENTUÄL, adj. 2 gen. conventuel : du
couvent; qui appartient au couvent; compos&
de toute la communaule. Missa —, grand’
messe , messe paroissiale.
CONVENTUÄL, 3. m. conventuel : moine qui a
fixe sa residence, qui demeure habituellement
dans un couvent. —, religieux de l’ordre de
saint Frangois qui peut possöder des biens.
CONYENTUALIDADE, 5. f. conventualits : 6tat
d’un couvent oü l’on vit sous une rögle; desti-
nation d’un moine & un couvenl,
CONVENTUALMENTE, adv. conventuellement :
en communauts, et selon les rögles du cou-
vent.
Convensäncıa, 8. f. (tl. de malh.) conver-
gence : ötat, position dos lignes, des rayons,
qui vont concourir en un point.
CONVERGENTES, adj. 2 gen. pl. (1. de malk.)
convergentes (lignes, eic.), qui convergent,
tendent au meme point.
CONVERGER, v.n. (1. de math.) converger : se
rapprocher, tendre & se reunir en un point.
CONVERGIDO, A, p. p. de Converger.
Coxvensa, 8. f. V. Conversagdö. it. Saut
converse.
Conversacäö, 8. f. conversation, discours,
devis, entrelien familier. * Commerce, com-
munication, frequentalion.
CONVERSÄDO ‚A, p. p. de Conversar.
CONVERSADOR, 3. M. CAUSCUF : Qui aime ä
causer,
342 CON
Convensänzt, adj. 2 gen. conversant, qui
converse, qui cause.
Convsnsiö, s. f. conversion, trensmutation,
cbangement de forme; ohangement de mamurs,
d’etat avec amdlloration. (8. mil.) —-, moure-
ment qu’ex6oule une Lroupe, N’une des alles
servant de pirvot.
CoNvERSÄR (COM, em), v. #0. converser : B’EN-
tretenir familidrement ; eauser. Vivre, habiter,
demeurer ave6 quelqu’un (anf.). 11 est quel-
quefols aotif, et signifie fr&quenter, lier amitie
(ordinairemens illieite),, aujourd’hui inusite.
CONVERSATIVO, A , adj. V. Conversavel.
ConvensäveL, adj. 2 gen. conversable :
agreab!s dans ja oonversationz; traltable, so-
ciable, doux, d’an bon oommerce. Communi-
cable.
+ ConVERsivEL, adj. 2 gew. vonversible : qui
peut #tre converti.
+ Convensivo, a, adj. quia la vertu de oon-
vertir, de transmuer. °
Convänso, A, adj, oonvarti. On le dii des
Maures et des juifs qui out embrasse la religion
eatholique.
Conv£nso , s. m. fröre convers, lal.
CONVERTEDOR , 8. m. converlisseur, qui con-
vertit.
Convaarün (0m), 9. @. Oonveriir, transınuer,
transformer : changer une chone etı une autte. |
—- , faire changer sa croyance, de sentiments
et de maurs, de mal en bien. —, donner une
difförente destination, resoudre. V. Volver,
Dirigir.
CONvEnTen-sE, d. r. so Oonvertir : changer
de croyance, elc.; devenir, so rösoudra; se
tourner, s’adresser (ani.), —a Dsos , falre un
retour & Dieu.
+ Convaarivas, 3. f. pl. fommes enfermees
dans un couvent par pönitence.
Conveartido, A,p. pP. de Oonverter. adj. Con-
verti & la foi. (Ag.) Unanime en sentimenis.
CONVERTIMRNTO , 8. m. V. Conversäo.
Convsativer, adj. 2 gen. oonvertible : qui
peut &tre converli , change.
Convexıck0,s. f. V. Vexame, Oppressäo.
Convexınände , 8. f. convexite ı rondeur,
courbure exterieure d’un Corps convexe.
Convtxo, A, adj. convexe ı courb6 et ar-
zondi & l’exterieur ; l’opposd de concave.
Convkz ow Convis, s. m. (. de mar.) pont
d’un navire; coursive.
Convicckö,s. f. conviction : preuve dvidente
d’un fait, d’une verite, son eflet sur Posprit;
&tat de repos de l’esprit convaincu par la
preuve.
Coxvicto, 8. m. “Injure, outrage, affront;
vacarme.
+ Convıcıdso, 4, adj. injurieux,, qul contient
outrage,, affront.
°Conviıcro,s.m. V. Trato, Vivenda.
Convicto, a, p. p. irr. de Conventer.V.Con-
vencido,
+ Convicröro , s. m. pensionnat : lleu babite
par les &löves pensionnaires des jesuiles.
CON
't Convicronista, 0. m. pentionnsite, the
les jesuites.
CoxvıpinO, A, 9. pP. de Convider. ad), I-
vite. s. m. Convie, oonvive.
Convınanor, A, 3. eeiul qui Invite, qei aime
& inviter.
+ Coxvipinre , p. p. de Conotder. s. m.Cen-
viant, qui convie.
Cosvivan (4, para), vo. a. inriter, cönrier,
prier, engager. (Ag.) Exciter, porter &.-algurs
com algums tousa , olfrir, donner queique
ohose & quelgu’un.
Convipän-se (a, para), e. r.s’olleir, flar-
sr soi-meme.
+ Canvincknte, adf. ? gen. oonvalacant: gei
a la force de convaincre.
Coxvinodo, A, p.'p. de Coweir. V. Afusiade,
Cone .
* ConvınnavaL. V. Convenienle.
* CONYINHAVELMENTE. V. Razosdemonie.
Convin (com, em), eo. n. convenir : demen-
rer d’accord, s’accorder. S’assembler, se tet-
dre avec d’autres. (ant.)—, arouer, donner
son adhesion. (a) Convenir A : dire oonforme,
avoir du rapport; @ire sorlable, convenable,
@tre propre &. Appartenir ( p. us.). —, &ireeı-
pediont, & propos; importer. Convem 8...
Il est bon que...
Convin-S£, ©. r. convenir, warranger, $%
juster, s’accorder, s’accommoder:
Contirz,s.m. *invitation. Feeiin, repes,
banquet, fete.
ConvıväL, adj. 2 gen. de festin, de bangurl.
+ Convıramcıa, s. f. soelöte de personnes
qui vivent ensemble. \%g.) Familiart.
CoNvıvEnTK „adj. 2 gen. aveo qui Fon ril;
sociable. .
Conviıven (0m), v. %. faire societs are,Yı
vre enseinble; avoir familiarile avec quelqu'ut.
Coxvivıo. V. Convite, Banquele.
+ Convızinuo, A, adj. contigu, proobe, 00%
Anant.
Convocacäd,s. f. convocalion : aclion de
convoyuer. .
Convocino, A, p. p. de Convocer.
„Convocanör, a ,s. velui qui convoque.
Coxvocän, ®. 6. convoquer, appeler, fire
assembler. ,
+ Convocatörıa, s. f. lelire de convocatiol.
CONVOocATöRIO, A, adj. qui eonvogue, Qi!
intime oonvooation. .
ConvoLito, a. V. Enrolado, Envolvide.
Convuısäö, s. f. convulsion ı mouvemen!
violent et foro6, irregulier, contraclion art
socousse involontaire des muscle.
CONYuLsÄR , 0. 6. Gauser une oonvulsioß.
CONVULSÄR-aR, 9. r. se convulser : sagliet
copvulsivement. ,
ConvuLsıonänıo , A, adj. oonvulsionnaift!
quia des convulsions. —, pl. ou C;
nistas, convulsionnaires : fanaliques du dis-
septiöme sidcle qui se montraient en 4tst de
convulsion. j
CoxvoLsivo, a, adj. comvuisif : qui se fall
arce convalsien ( Reuvennent) ; qui ddnete des
conralsiens oala)s qui en doune (liqueur,
eie.).
Gomiıse, A, adj. osmvuls6 ı altaqus de
penvuisions.
"Coosona. V. Coima.
"Coous ‚s. f. moroeas gras. V. Ndeo.
Cooranıcid, s. f. onoptratien : action de
eperer.
ec queiqu'un. Collaberateur.
ou ), u. =
Oöoperer : opörer conjointernent avao quel-
7
Coorzalnıe. V. Cooperader.
tiwersasrivo, A, adj. qui cooopdre, qui
peak cooptrer.
'Coorsardaa. V. Cobertäre.
*"Cooresıren. V. Concurrense, Rival.
+leoeraci6, 8 f. cooptatien : aclion d’»
iger, d’associer ; admissien extraordinaire
dans ın corps avoo dispense.
"Oa_V.Cör.
Cooaumaci6, 8. f. "ardre, arrangement.
TOonsızinas, . f. pl. (1. de math.) coor-
denndes : es abscisses el les ordonndes d’une
coerbe.
Coonmino ,A,p.p. de
Coonsmmir, ®. @. ordonner, arranger, FaR-
ter. Gordenner : oombiner Parrangement, los
rapports , la disposition.
Corı, s. f. coupe : sorte de lasse ou de vase
pear beire. ° Buffet, armoire pour la vaisselle et
le inge de table. — do broguel, milieu salllant
d’un beuclier. — do chapfo, forme d’an cha-
peau. — dung ervors,, toufle, Wöte, oime d’un
arbre.
Coripa, s. [. plein vorre.
‚Coraptssıuo, a, adj. sup. de
Coripo, a, adj. touflu , pais, bien garni,
er serlant des arbres.
°Corın6a. V. Cabelleireiro.
Corıtsa, 3. f. (1.de bot.) " copahu : baume du
‚beame de copalba.
Coraıveıa ow Coraisa, 8. f. (8. de bo8.) co-
mibı ou copaler : arbre da Peron et da Bre-
si: denne le bauıme de copahu.
tCoräsa, s. m. (t. de bot.) copaja : bignone
«lG Guiane.
Grir,s. f.* copal ow copalle : gomme d’un
grand arbre de PAmedrique meridionale.
tCorariaa, s. f. (1. de bot.) oopaline : r&sine
de Iiquidambar d’Amerique.
tGorıLmo, s. m. (t. de bof.) copalme : liqui-
dımber d’Ametrique.
ttoriLxo, s. m. (#.de bot.) copalxocelli :
are de la Nouvelle-Espagne.
rat, v. e. arrondir les arbres, les tailler
es tete. — os enbellos , peigner les cheveux, les
talraichip.
WriRsE, 9. f, (a arvore) devenirtouffu,
GOP 113
en parlant d’un ashre. Copou-se ben osla laram-
geire, cet oranger fait bien sa Löte.
Chris, s. f. pl. "omur :ı uno des qualre cou-
leurs d’un jeu de oertes,
Coraüsa. V. Copaibe.
+Corizıo, s. m. (1. buri.) grand verre, wand
verre plein.
Copazs ow Cortis, pl. V. Copel.
Corkına ,s. f." buffet, armoire pour Fargen-
terie,, je linge , ete.
Corgıno ‚3. m. echanson : celui qui est charge
de servir & boire, qui est obargs da buffer. —
mör do rei, grand 6chanson, grand beutillier,
archi-Schanson.
Corkıin0, A, pP. p. de par.
+ COPEJADOR, s. m. p£cheur qui harpenne,
harponneur.
Corzsin, v. a. (6. de psehe) harponner le
thon , la baleine.
*Cor£L, s. m. osp&oe de sac dans un Alet
pour recevoir le .
CortLua os | coupelle: vase faltde cendres
Cortıra, s. f.) pour purifler les meötauı.
+ Corerricäd, 8. f. coupellation : action de
purißler les metaux & la coupelle.
+ CorzıLino,a,p9.p9.de
+ CoreıLia, 9. a. ooupeler, essayer (For),
passer & la coupelle.
f CorErnıckno, A , adj. oopernieien : de Os-
pernic (sysi&me, ete.). s. m. —, partisan du
systeme de Copernie.
+ Corännıco , s. m. Copernio : oelöbre astre-
nome prussien. (#. d’asir.) —, tache dans la
lane; instrument pour ealeuler le mouvoment
des astres selon lo sysiöme de Copernio.
Cortre, s.m. toupet. V. Topeie. — da sspöra,
branche de l’&peron.
t Corsgr, s. m. copey : arbre des Indes.
Corura , etc. V. Copto ‚ete.
Cörıa , s. f. abondance , grande quantite.
Copie : &orit fait d’apres un aulre; transcrit
d’un autre; imitation d’un tableau original,
d’une statue. Haver ou ter — de confessor,
svoir un confesseur quand on on a besein.
Dar — de si, (Ag.) se faire voir, se monlrerz
recevoir en audience.
Coruino, A, p. p. de Coplär.
CoPIADOR , m. "copiant, qui oople. V. Co-
pista. it. Livre des eopies des letires.
"+Coriir, s. m. (6. dw Bresil) enir6e dures
de-chaussede.
Corıir, v. a. copier, transcrire, falre une
copie, en general. (Ag.) Imiter les actions, le
style, etc. — müsica, copier: noter de la mu-
sique d’aprös un original. — do natural, do
anligo, cupier d’apres nature, Hapres Panti-
ue.
T, Cormörranos, ». et adj. m. pl. Ü E'hist.
nal.) copidoptäres : genre d’olseaux qui ont les
ailes en forme de sabre.
CorıLaciö. V. Compilagdo,, Recopilapdd.
CorrLapon, V. Compilador, Recopiledor.
Corı.ia. V. Compilar.
Corinnuo, a. m. Jim. de Cöpe,
°
A COR
Cömto, s. m. ( I. de pöche\ sorte de Rilet träs-
is.
Corıösameute, adv. copieusemen!, abon-
damment. Chover —, pleuvoir ä verse,'
Copıosipäne, s. f. grande abondance.
COPIOSISSIMO , A, adj. sup. de
Corıös0, A, adj. copieux , abondant.
CoPista, s. m. copisie: qui copıe, qui en fait
son melier; qui imile. — de musica, noteur:
celui qui note de ia musique. (#. burl.) Bu-
vour.
Cörza, s. f. "couplet de chanson, strophe
d’ode,, elc.
Cop.azinHa, s. f. dim. de Copla.
+ CopLista, s. m. faiseur de couplets, chan-
sonnier.
Cöro,s. m. verre A boire, gobelet; co qu’il
eontient. it. de p&che) La partie la plus grosse
ou la plus spaisse d’un filet pour p&cher. Cor-
net: pelit vase de corne ou d'Ivoire oü l’on re-
mue les des. (Ag., Flocon de neige. —s de
espada , garde de l'epee. (anf.) Quenouille : lin,
laine dont une quenouille est charg6e. Pouco =
pouco ha a velha 0 —, (prov.) V. Pouco.
+ CoroLinas, adj. f. pl. (Folhas —, ı. de bot.)
en forme de coupe, de tasse (feuilles).
Coroziuno. V. Copinko.
° Cöpra. V. Cöpla. it. (1. d’Eikiopie) moolle
de la noiz du 00c0.
Copriö,s. m. V. Gualdräpa.
* COPRAR 0% COPREJIAR, ©. m. [aire, chanler,
röciter des couplels.
° Corainna. V. GCoplasinhe.
+ Coraörnacos, 5. m. pl. (1. d’hist. nal.) c0-
prophages : coldoptäres, pentamöres.
COPROPRIETÄRIO, 3. m. Co-proprietaire : qui
possöde par indivis (une maison, elo.) Aveo
un autre ou avec plusieurs aulres.
CöPTIco ow CÖPBTICO, A, adj. coplique om
cophtique : des Coples.
Cöptp, s. m. Cophte ou Copte: chretien jaco-
bite ou eutycheen; ancienno langue d’Egypte.
Cörura, s. f. liaison, lien. *Coit, accouple-
ment, auvre de la chair, copulation charnelle.
(4. de log.) Copule : mot qui joint l’attribut au
sujet (est).
+ Coru.ino, A, 9. p. de
+ CoruLaa, v. 6. (inus.) joindre, unir, lier,
allacher. v. #9. ou —-se, v. r. S’unir charnelle-
ment, s’accoupler pour la generation.
CopuLariva, adj. eis. f. (4. de gram.) copu-
lative (conjonction).
CoruLarivo, a, adj. copulatil. qui lie les
mols; qui unit.
Cöqug , s. m. " taloche, tape.
Cogusipa. V. Cuquidda.
+ Coqutıriu, 3. m. lieu plant& de cocoliers.
+ Coausıno, s. m. (4. de bot.) cocotier : arbre
qui produit le coco ; esp&ce de palmier & leuilies
silees. — da Indie, cocotier des Indes. — pin-
dova,, cocolier du Bresil.
Coquizuo, s. m. dim. de Coco, fruit d’une
espece de palmier des Indes.
Cor, s. f. couleur : modification des rayons
COR
de Iumitre : Impression que falt sur l’ail 1a
lumiere reflöchie par la surface des corps.
"Rouge: espöce de fard. —, (fig.) masque, pre
texte, apparence, ombre. — do roslo, rou-
geur du visage; teint. Vestido de —, habit de
couleur, habit qui n’est pas noir. — de rosa,
couleur rose. — cerüles, azur. — de cobre,
rougissure. Cöres, pl. couleurs: matieres qu'on ,
emploie pour peindre. —s primwilioas, eouleurs
primitives. —s da eloguencia, les ornements du
style. Ndo saber de que — d uma couss, n'avoir
aucune notion d’une chose, y #tre tout & fait
dtranger.
*Cöa,s. f. "desir, enrvie; larme. De cör, edr.
par caur, de memoire. Kster de —, (fam.) kire
distrait.
Corıciö, 5. m. caur : musele creuz et
charnu qui imprime le mouvemeni au sang;
(Ag.) tout oe qui en a la forme; partie sensible "
de l’äme ; siöge, foyer des passions , des afleo-
tions; facult6 d’aimer; pensees socrötes; l'in-
terieur, le fond, les dispositions de l’äme;
inolinatlion de l’Ame ; sentiment interieur, Cou-
rage, honneur, sensibilit6, delicatesse ; bien-
veillance, affection ; force, vigueur. (9):
milieu, intsrieur d’un &tat, d’une ville, d’un
arbre, d’une saison, d’un fruit. Dizer, annun-
ciar 0 — alguma couse, avoir un pressenlimenl
De —, de bon caur, cordialement. Home
de — ou de grande —, homme de cmur, vail-
lant, courageuz. Ter 0 — nas mdos, avoir le
caur sur la main. Todos n'um —, tous dun
meme senliment, unanimes. — de ferro, (43.)
caur de bronze, de diamant, de roche, de
marbre, d’airain. (Juebrar-se a alguem 0 —,
avoir lo omur brise, dechirs; navre. Ter ee
bellos no —, (g.) avoir beaucoup de courage,
de fermetet, de oaraci&re; it. (plus us.) &ire Me-
ohant, vindicatif. — de n#gro,, sorte de bois du
Bresil tr&s-dur. — de Jesu, (4. de bol.) coras0-
de-Jösus : aristoloche du Bresil.
Coraciözinno, s. m. dim. do .
+ Coraccıpe, s. f. (4. d’anel.) coracoide:
apophyse de Pomoplate, en bec de corbeau.
Cönacöna, 8. f. (1. d’Asie) sorte de fuste
vaisseau asiatique.
ConıcöDo, A, adj. courageux, qui a du car.
+ CöRÄDAMÄNTE, adv. sous un faux sei
blant;; ( Ag.) sous couleur, sous pröteale.
CöriDO, A,P. p. de Cörar. adj. rouge, Yel-
meil; ( ig.) colore, specieux.
Cönapön ,s. m. qui colore, qui donne de 12
couleur.
CORACE 0% °courage, valear, bfe-
Conäcsu, s. f. ) voure.Coläre, animosild,
emportement.
* Coracıöso. V. Soberbo, Allivo. 1
“ Conastxto, A, adj. furleux, colöre. V. X
T0J080.
+ Corasösauente, ado. courageusemenl,
avec courage, hardiesse.
Conasös0 ‚A, adj. courageux : qui a du coU-
rage, de la hardiesse ; ferme dans sa rösolulion;
hrave ; irrite,
GOR
: Conkr., s. m. oorail : sorte de planle, d’ar-
krisseau pierreux ow ruche marine produite
par le suintement des gorgones ou polypes qui
Phabitent, le plus souvent d’un rouge vermeil.
(1. de comst.) Massif. — bruto, toraille. Cordes,
A. eollier de corail. — de jardim, corail de
jardin, piment. Beigos de —, lövres de corail,
fraiches et bien oolordes. Fino como um —, ou
mais imo que um—, ruse ‚exiremement adroit,
ires-An. Cobra —, " corallin: serpent venimeux
& seize bandes rouges.
CorirL, adj. 2 gen. qui appartient au chaur.
Gols —.V. Gota.
+ Conaıkıra, 3. f. coraillere : petit bäti-
ment pour p6cher le corail.
tlossıtıno,s. m. corailleur: qui pöche,
qui travaille le corail.
Cosauina, s. f. coraline: productions ma-
rines & forme Je plantes ou de mousses, for-
mees par les polypes qui les habitent; peigne
sanguinolent.
CoaaLino, A, adj. corallin : rouge comme le
eorail. ‘
tConarituas, s. f. pl. coralithes : coraux
derenus [ossiles.
Corir, v. a. colorer : donner de la couleur,
teindre en coulear. (fig.) —, donner une belle
apparence & quelque chose de mauvais; cou-
wir de quelque prötexte. V. Curar.
Cörir, ©. m. rougir, devenir rouge ; paraltre
tonge. Tirer sur le rouge. Cöröu, la couleur lui
monta au visage. ,
CORÄR-SE, ©. r. Fougir, p. us.
* Coaazir, s. m. flet de cochon, elc.
TCoxira, s.m. (tl. dhist. nat.) coraya: oi-
seau fourmilier de la Guiane.
ConstınA, s. f. corbeille.
+ConsiaiL,s.m. (8. d’hist. nat.) corbivau :
eorbeau d’Alrique.
Cöaca, 5. f. biche : femelle du cerf.
CozcäL, s. m. coursier : grand cheval de ba-
Wille, de tournoi.
Chacaa, 8. f. ecorce d’arbre; liege.
Coacaire. V. Colchete.
+ ConcnaörR0, s.m. (I.de bot.) "corette. plante
üliacde. — baslardo , eperviöre des murs , pul-
monaire de France.
Coxcosa. V. Carcoma.
Coscös. V. Coreovado.
Concöva, s. f. bosse , gibbosite ; grosseur au
dos , a Vestomac.
Concoväpo, A,adj. eis. bossu : qui a une
bosse. p. p. de
Concovir, v.a. courber, plier en arc, arquer.
CORCOYAR -SE,t. Tr. s6 Courber, se voüter,
devenir bossu.
fConcovean, o.n. faire des cabrioles, des
bonds,, des haut-le-corps, en parlant de cer-
tlas animaux
Concövo, s. m. *cabriole, bond, hautle-
oorps. * Courbure.
(öRcO, s. m, jeune cerf.
CoRcoLEere. V. Corsolete.
Corcviuße, 8. f.V. Calhandra ou Cochicho, |
COR 385
} CöncuLo, s. we. (6. de bol.) caur : point de
röunion.
Coacönna. V. Carcunda.
Cörpa , s. f. corde : longs fils entortilles. —,
fil de boyau ou de metal pour quelgques instru-
ments de musique. (8. de geom.)—, ligne droite
dont les deux bouts touchent les deux points
d’une cöurbe. Chalne de montre, corde d’hor-
loge. —d’arcabuz , anciennemeni v’ötait la md-
che pour mettre le feu aux armes & feu. Aper-
tar «— , (fig.) redoubler de vigueur, de seve-
rit6, eto. Afrouzar a—, (id.) lächer la main.
Dar — ‚monter une montre, une pendale,etc.;
(ig.) tirer une affaire en longueur; donner
occasion de parler. Estär d—, (1. de mar.) eire
ala cape, en panne. Dar — para se inforcar,
(prov.) donner des verges pour se faire fouet-
ter. Dar 0 venlo na— a alguem, (fig.) ötre
pris d’un acces de folie. Sobir muwio a —,
faire sonner bien haut. — do sino , (t. de mar.
raban de cloche.— de rabeca, etc., ou de Iripe,
corde & boyau.
+ Conpacismo, s. m. cordace : danse laseive
des ivrognes en Gre&ce.
Conpäcen,s. f. }) cordage : assomblage des
Corpäuk,s.m. j cordes pourla manmuvre
d’un narire,
+° Cönpamtnte, adv. sagement, prudem-
ment, sensement.
ConvÄö, s. m. cordon : petite corde; lacet,
cordelette. * Cordeliere : cordon que les corde-
liors se mellent autour du corps. (f. d’arch.)
— ‚rang de pierres en saillie autour d’un bä&-
timent. V. Bocel.—, suite de postes ımilitaires.
Cordöes da bolsa,, tirants : cordons de bourse,
— de S. Francisco , (l. de mar.) quelques jours
avant et apres St. Francois , le 4 octobre, pen-
dant lesquels les orages sont plus Irdquents
en mer. — de ouro , chalneties d’or.— de cabo,
(t. de mar.) touron. Torcer cordöss al6 que
vpercdo um lerco da longura, (1. de mar.) com-
mettre les cordages au liers lerme.
CorpäTO, A, adj. sage, prudent, sense. Ho-
mem — , homme de bon sens.
+ Conpeagäd, a. f. ’ cordage : mesurage A la
corde.
Conpzin0,A,P. p. de
CunpEia, ©. a. mesurfer au cordeau. — as
vergas , (1. de mar.) brasser en ralingue.
Corptıra, 8. f. Jeune brebis. Peau d’agneau
preparee, avec la laine.
Corpeırinua, 8. f. dim. de Cordeira. (flg.)
Femme tr&s-douce, tr&ös-docile.
CORDEIRINHO, 8. m. dim. de Cord#iro. Agne-
let. (Ag.) Homme exir£mement doux.
CORDEIRO, 5. m. agneau :le petit de la brebis;
(fig.) — , docile, doux, humble.
CoRpEL,s. m. cordeau: sorte de pelite corde;
cordelette. Aperiar os cordeis, (fig.) serrer
quelqu’un de pres, le forcer, le contraindre &
dire ou faire ce qu’il ne voulait point faire ou
dire.
CorpeLf30, 3. m. dim. de Cordel. (fig. et
burl.) * Reprimande.
36 COR
CORDELIKEO 0W CORBELZINNO, 5. u. dim. de
Cordel.
Coxpiica, s. f. maladie qui attaque is smur
des aux.
CornıiL , adj. 2 gen. oerdial : afeciuenz „qui
procöde de bon ewar; qui conferte le omer.
8.9. —, potion qui fertißie le caur.
Conpialipipz, 8. f. oordialite ; alfoction sin-
cöre et tendre.
CoapiaLissımo, A ‚adj. sup. de Cordiel.
ConpiäLuänts, adv. oordisiement : d’une
manidre cordisle, tendrement, de isut som
caur, affectueusement.
Coasicıa. V. Cordiaca.
Coxbiröauz, adj.2 gem. (t. de bot.) oerdi-
forme : quı a la forme d’an cur.
ConpiLua, s. f. oordilie : jeune thon sortani
de Paul.
Conpisutına, 8. f. chaine de Mmontagnes.
Eievation de terrain, eminence prolengse en
igne deoiie,
Eoapinna, s. f. dim. de Corda. Cordelette,
noelle. — umbilical, (1. de bot.) cordon ombi-
ical.
*C6a20. V. Corddso.
Conpoipa, 3. f. coup de oorde, de oordon.—
le S. Francisco. V. Cordäo.
" CORBOAJANENTO, 8. m. lissu de oorde.
CorpoiLna, s.f. (1. de mar.) V. Cordame.
Conpoania, #. f. corderie: fabrique, ma-
gasin de cordes; art de les faire.
Conpotıno, 8. m. cordier : qui fait
des cordes,
Coaponigo,s. m. V. Cordodda.
1 Cönpuva, 8. f. (4. de g6og.) Cordone : ville
gne.
Coaporid, &. m. oordouan : euir de chöyre
ou de bouc tannd de Cordoue.
t Conpovtıas, #. f. pl. veines juegulaires
pro&minentes.
tr Connovtz, A, adj. et s. de Cordoue, habi-
tant de Cordoue.
Conoöna, 5. f. sagesse, prudence, juge-
ment, cervelie.
t CoxoyLo, 5. m. (f. d’hist.
stellion : grand arbre d’Afrique.
Conta. V. Chorea.
+ Cönza, #. f. (1. de bot.) *coris de Mont-
pellier.
" Coaeı ou Cor. V. Cauril,
Conkıxa , s. f. espöce de grue, olseau.
* Coxenta. V. la, .
+ Conss, s. f. varieie de ohon.
’ Corzsua. V. Quartsma.
TCoatro, s.m. dim. de Cöro. Orchestre,
tsibune de musiciens (dans Peglise).
TCorı, s. m. (f. hist. nat.) cori : quadru-
pede de "’Amerigue septentrionale, aperea.
FConıiczo, a, adj. coriace, ooriacd : qui
& la consistance da culr.
TConimsıco,,a,adj. 60mpos6 decoriambes,
TCozıiuao,s.m. coriambe: pied devers grec
ou latin,, de deux
Coaanpa0. V. Cosniro,.
ei vond
nat.) cordyle,
COR ,
TConsäuo, a, adj. etw. de Coris, habitan
de Coria,
Conisanrzs. V. Corybantes.
Conırzu. V. Coryphöo.
Cosir. V. Cewurül.
+ Cöains, s. f. corine : ganelle du Sendgel,
espece d’antilope.
Coainrmo, a, ed/. Ceristhien : de Corinihe,
habitanı de Corinthe. Ordem —e, (1. darch.)
—, quatridme ordre d’srchitestere, le plus
‚Fiche des cinq.
tf Coxiwrno, s. m. (1. de giog.) Coriathe:
ville de la Morde.
Cöxion. V. Chorion. ’
Corıscipa,, s. f. grand nombre @’6olaies.
Corıscia, v. m. faire des #clalrs. v. e.V.
Dardejar.
" Corisco, s. me. 6clair : &clat subit et passager
de Iumidre ; coruscation. ,
Conista, s. m. jeune moline qui apres avoir
professe est encore sous la dependsnce du
maltre des novioes ; qui n’est pasencere prötre;
choriste,
Conıstino, 3. m. tout le temps qui s’scoule
depuis la profession d’un religieux destint au
cheur jusqu’ä ce qu’il dise sa premidre messe;
residence des religienx destines au chaar apr&s
la profession jusqu’ä Pentree da college.
Cönsa ,s. f. (1. de PInde) une vingtaine. (fg.)
Maltitade de gueusaille, canaille, tas.
CoRuE, CORNEIMO, 5.m. V.S
Corna,s.f. V.Coraadurs. * Cornet de berger.
Connica,s.m. (1. d’Asie) comac: conduc-
teur d’elephant.
Connipa, s. f. coup de eorne.
TCornnino, s. m. ancienne monnale d’Es-
pagne dont 204 valaient primitivement un real.
Näo vale um — , (fam.) Il ne vaut pas unliard,
une obole.
Cornapdaa, 8. f. cornes d’un animal. — do
veado , ramure. ,
CoRnaLina, s. f. comaline : plerre pröcieuse
transparente, rouge ou blanche; agate, chal-
eedoine d’un rouge pur ou couleur da chalr.
T Connamenta. V. Cornadura.
Cornnauousı. V. Gaila de foles.
Cörnas, s. f. pl. V. Hornavequss.
CöRnEA, 5. f. (t. d’anal.) cornse: premiere
tunique, la plus ©paisse, la plus forte de l’ail,
et qui le renferme lout entier.
CoRnzin0, A,p.p. de
fCoanein, o.a. donner de la corne. (fg.
fam.) Cocußier : faire quelqu’un coca.
Conntına, s. f. courroie qui sert ä altacher
un bauf au joug par les cornes.
CORNELINA. V. ins.
CÖRNEO, A,adj. come&: qui a le luisanı et
la durets de la oomne.
* Connzaina. V. Cornaline,
Corntra,s.f. *cornel: esp&ce de cor, Instru-
ment & vent ; pelite trompe. * Cornet de vacher.
Trompette de cavalerie; celui qui en joue. —
breves entre deux longues. | de
,„ cor de chasse. — de pusia, cor-
net de postillon. = de chaves, irompelie ä
COR
elels. di. Carnette ı eoifle de femme en desha-
bille ; pavillon carr6 de chef d’escadre.
+Coastrusa,s.f. moroeau du übis debauf
avec Joquel jouent les enfanis.
+Connicäsaas, s. [.(l. de bot.) "törebinihe,
pisiachior sauvage. C'est aussi une variöi6 de
poıres du Portugal.
CORNICHO , 3. 0. vase on [orme de oorne. ff.
V. Corsinko.
CoanicuLa, 8. m. come de mouton aveo la-
quelle jouent les enfants en lui donnant des
coups de pied. V. Corneiula.
+ Coaxırönne, adj. 2 gen. sornilorme : qui
ala lerme d’une oorne.
Cosuice. V. Coraije,
CossıcERO, A, adj. oornu ı qui porie des
cornes.
Coasisa, s. f. (ti. d’arch.) corniche : ome-
men! en saillio au-dessus de la [rise os au-
dessous du bord d’un plafond.
CoxxinBo, 3. m. dim. de Corno. —s, pl. de
„ eic., cornes, pointes, membranes &
la 810 des limasons, eio. Por 09-- ao söl,
(fam.) senhardir.
+Conzino, s. m. dim. de Corno. Petit amu-
kette de corne.
CorsıoLia. V. Cornalina.
Coaniropg, adj. 2 gen. (l. de poes.) qui ades
engles cornes aux pieds, comme le bauf, etc.
rCoaniso, s. m. (i. de bot.) cornouiller:
arbre dur, caprifoliace, qui porte la cornouille.
TCoamısörLa, s. f.ow | comouille : fruit
CoanıöLo, 8. m. rouge du cornouil-
ler, en olive.
* Coau180L0,, adj, V. Cornudo.
CORBITROMBA, 3. f. instrument & vent, sorte
de trompe.
Cbano ‚8. m. "sorne: parlie dure etsalllante,
eıeroissance en poinie conique, qui sort de la
Wie de quelgues animaux; ce qui en a la
forme, la matidre animale dont celte partie
est eomposte. Cornet, trompe. * Alle,cöte d’une
arınde. (fg.) Croissant de la lune; chacune
des extreiniles de difl£renies choses. (Ag. fam.)
Cocu ,cornard ı velui dont la femme est adul-
tere. — de abundancia ou d’Amalihda. V. Cor-
nucopia. — de Amon, corne d’Ammon : co-
quille fossile en spirale. Andar, ver-se ou
deizer nos —s do louro, (Ag. fam.) se trouver
0u meilre quelqu’an & la gueule du loup. Le-
venlar, por alguem nos —+ da Iua, (id.) elever
yuelqu’un jusqu’au ciel, ie porter aux nues.
Pör 06 —s (Ag. pop.) faire porter des cornes,
faire cocu. Depois de — aperreado , (fam.) les
kaitas paient Varmende. .
Coanuchria , 6. f. corne d’abondanoe, come
@Amalihee : grande Agure de corne remplie
de fleurs ‚de fralts, d’argent.
Coanusicen, s. f. eormardise : dtat humi-
lianı des cocus; cocuage.
Cokzino, A, adj. Da qui a des oornes.
(fg.) Cocu , cornard : ä qui sa femme est
intidele. .
Coratra. V. Cordsta,
37
Connöre, a, adj. oornu. Aryumenio —, di-
lemme. Obras —as. V. Hornaveques.
Cöno, s. m. chaur : tzoupe de musieiens,
W’acteurs, de prötzes chantant ensemble; mer-
ceau de ınusique & parties chanides par eur;
ordre d’anges ; partie de l’öglise od se fait l’of-
Bee. Coux qui y sent, qui y ehantent. — alto,
Jube : sorte de tribune, en galerie, oh es’
Vorgue, et eh chantent les musichens. Faxer
—,(fig.) faire cherus : approuver, applaudir,
dire aveo d’autses. Falar, rezsar, caniär a —s,
(fam.) parier, prier, chanier allernativoment,
Conö4, s. f. coufonne : ornement de Wte,
signe d’honneur et de joie. Le sommet de la
tete ; oime d’une moniagne. —, tonsure cleri-
cale.— ‚,monnaied’argent, dont la valeur varie
beaucoup. (Ag.) —, Etat gouvernö par un roi;
les droits, l’autorits, les domaines, ete., d’un
tol; souverainetlö; pr6&minence. Aureole : cer-
cle de lumiere autour de la tete des saints.—,
sorie de chapelet, molti6 du rosaire. (lg.)—,
prix, recompense. (id.) Cerele de gens rassem-
bi6s autour de quelqu’un. (8. dastr.) —, me-
t&ore ou anneau lamineux autour des asıras.
(1. de fort.) Ouvrage a couronne. Cornes des
animaux. Fin d’un ouvrage. — ausitrel, — bo-
real, couronne australe, couronne septentrio-
nale : constellations N. et 8. — casirense,, Cou-
ronne vallaire. — chviea ou eivil, couronne ci-
vique. —de forro,, couronne de for : couronne
dont on couronnait anoiennement les rols de
Lombardie. — do casco, (ti. de veldr.) vou-
ronne : la partie la plus basse du paturen d’un
cheval.—do denie, partie des molaires hors
des gencives. — d’ovepdo ou oval, couronno
ovale : couronne deternee aux gendraux To-
mains qui avsiont soumis les pays, des peu-
pies, eio., sans en venir aux meins, —de areis,
banc de sable. — de rei inodora, (f. de bot.)
ornithope. — de rei odorosa. V. Trevo de
cheiro. — imperial, (id.) fritillaıre imperiale,
couronne imperiale. —s dos masiros, (1. ds
mar.) pendeurs des mäls.
Conoacäö, 8. f. * oouronnement : eörömonie
pour oouronner les souverains.
ConoiDO, A, p. P. de Corvar. adj. de glo-
ria, rayonnantde gloire.
“+ ConOADOR, 8. mw. celui qui oouronne.
Coaoautnto, s. m. (l. d’areh.) eouronne-
ment : partie qui couronne un ediflee.
WROiR, vd. 8, couronner: mellte uns 00u-
ronne sur la 1#ie; (fg.) perfectionner; metire
le dernier ornement; recompenser; honorer ;
acherer. (dd.) —, surmonter; environnef, en-
tourer.
COROAR-SE, 9. f. &tre environne.
CoroAzinna, s. f. dim. de Corda.
Coröca , 3. f. "manteau en paille. Beneflcios
em — , beneflces crosses.
Corocua. V. Carocha.
Conoanaria, eic. V. Chorographia, ec.
" CönoLa. V. Chölera ou Cölera.
CooöLıa ,s. f. (4. de bot.) corolie: la partie
COR
318 COR
la plus apparente des fieurs ; ensemble des pt-'
sales.
Cono:Lirıo, s. m. corollaire : proposition
qui est la suite d’une pröctdente; ee qu’on
ajoute de surabondant apres une demonstra-
tion ; cons6quencs lirde d’une proposilion ma-
thdmatique demontree. it. ant. V. Compendio.
fCoroLLino, a, adj. (1. de bot.) corolle:
pourvu d’une oorolle. V. Pelalino.
Corv.Lirica ‚adj. f. (Columne —, i.d’arch.)
corollitique (oolonne) : ornede de leuillages en
spirale autour de son füt.
CorörruLa, 8. f. (t. de bot.) oorollule : petite
corolle.
Corona, s. f. (t. de mus.) V. Caldeirds.
CoronäL, adj. 2 gen. de couronne. Os —,
(8. d’anat.) coronal: os anlerieur de la t£le;
frontal.
TCoxonänıo, a, ady. quı appartient & la
couronne; qui a la forme d’une couronne. Ar-
lörias —as, (I. d’anal.) artöres coronaires, du
caur, de l’estomac.
CorondL, s. m. colonel : chef superieur d’un
regiment. (f.de blas.) * Couronne (de baron,, de
oomte, de duc, etc.) qui garnit l’ecu.
CoronELia, s. f. grade, charge du oolonel.
ConönnHA, etc. V. Cronha, ete.
Corönno. V. Collonko.
* Corünica. V. Chrönice,.
Cononine, 3. f. V. Remale, Cornya.
T Coronıröaus, adj. 2 gen. quı a la forme
d’une couronne.
CoroniLua, s. f. sorte de perruque ronde
pour les ecclesiastiques.
ConosiL, s. m. esp&ce de chaume.
CorPaziL, s. m. aug. de Curpo.
Coarinno, 3. m. dim. de Corpo. Petit corps;
eorps de jupe; sorte de corset sans man-
ches.
CöRPO, 3. m. corps : substance #tendue, im-
penetrable, divisible, figur6e; portion de ma-
tiere organisdce, ou & laquelle une Ame est
attachee ; tronc qui renferme les parties nobles
entre le cou et les hanches; capacile du corps,
son volume, ses parties; le corps humain;
pariie de l’animal cumpos6e d’os, de muscles,
de.canaux, de liqueurs, de nerls, enycom-
prenant ou non les mombres; cadavre. ( fig.)
—, les sens. Se dit par opposilion & l’Ame, &
Pesprit. (dd.)—, principale partie d’un &tre ma-
twriel ou, par exiension, d’un &tre ahstrait.
—, sociel# , anıon de personnes sous une meme
regle, une m#eme condition, dans un meme
esprit, un meme interet, un meme but. —,
eode, recueil de lois, etc. ; assemblage de par-
ties; union de plusieurs individus; epaisseur,
solidise (d’une dtoffe, etc.); force du vin, etc.
( Ag.) —, figure representse d’une devise. Por-
tion d’arm6e; l’armede; regiment, Iroupe en
corporation distinete. —acorpo, Corps & corps.
— de delicto , (. de prat.) corps du delit. — de
guwarda, corps de garde. — da batalka ou do
exereilo, corps de batallle , centre d’une armee.
A descoberto,, ( Ag.) ouvertement, & decou-
COR
vert, sans defense. Dar com 0 — em ierrs.
(fam.) se laisser tomber. Em —, en pourpoht,
sans manteau ; habill&, en habit; «. en corps
en communaute. Em — e alma, (fig. fam.) va
corps et en äme, sans rien laisser absolument,
Fugir com o —,, esquiver un coup; (fig.) ses-
quiver, eviler de s’engager dans une enireprise.
Ter o diabo no —, (fig.) avoir le diable au
corps. Tomar —, (fig.) augmenter, so forüfßer
peu & peu, prendre consistance. Der do—,
(fam.)aller & la selle. Fazer — conire alguem,
s’unir, s’associer contre quelqu’un. Faser —
por si, ötre, se promener, elc., seul; se gu
verner de son chef. — santo, V. Santelme,
Um — santo, le cadavre d’un saint, — der-
mas, armure entire. — morlo, V. Ladarre.
O — de Deos, la Fete-Dieu.
CORPOFERÄRIO, #. m. porteur des morts;
(Pop.) croque-mort.
CorProracäö, s. f. corporation : association
autoriseo de gens de m#&me profession.
GorPoRÄL, adj. 2 gen. corporel: quia un
Corps ; Qui appartient au corps, qui le con-
cerne.
ConporiL, s. m. (4. de lilurg.) corporal:
linge carre sur l’autel pour poser le calice,
P’bostie. — da Igreja, corps de l’Eglise; st. &-
metidre.
+ CORPORALIDÄDE, #. f. corporeile : qualiit
de ce qui est corporel; ce qui constilue uR
COrps ; corporalite.
CORPORALUENTE, adv. corporellement: d’ade
maniere corporelle ; relalivement au £Cotps,
Foppose de spirituellement.
CORPORATÜRA, s. f. la forıme, le volame d'un
" onrorzminz. V. Corporaliddde
RPORKIDÄDE. V. .
CornröRzo, a ‚adj. corpore. V. Corporäl.
+ Conrorırıcaciö, s. f. (4. de chim.) corp®
rißcation, corporisalien : aclion de rendre aut
esprits le möme corps qu’ils avaient avant leur
spiritwalisation.
f Conronricar, v. a. corporißer : donnet,
supposer un corps ä ce qui n’en a pas; (1.
chim.) rendre le corps aux esprits. ,
+ CoRPoRIFIcäR-SE,, 9. Fr. se corperißer. Ül.
V. Encorporar-se.
CoRPOzZInHo, #. m. dim. de Corpo.
ConruL&ncıa, 8. f. corpulence : taille de
l’homme considere6 par rapport ä son volume:
grosseur d’une personne. i£. (4. de bot.) Poly-
sarcie : gonflement des plantes.
CoaPULENTO, A, adj. corpulent : gros el gTaS,
qui a de la corpulence.
CoRrUsScuLÄR, adj. 2 gen. corpusculaire : 1%
lauif aux corpuscules, aux atomes. Philom-
phis —, philosophie corpusculaire: qui p&-
tond expliquer l’univers par le mouvement des
atomes. 5. m. —, partisan du systeme des
atomes. .
ConpuscuLista, s. m. corpusculaire : parlisal
du systäme corpusculaire.
CORPÜSCULO, 8. m. corpuscule : petit corp$:
atome.
4
COR
+Cöana, 8. f. oAble de sparie pour enlourer
iemarc de raisin quand on fait la pressure.
+CoaziL,s. m. cour pour enfermer le b£-
tsil.(Ag.) Ville, village depeupl6, ruine.— d’»
selhas on vaccas, &table de brebis ou de vaches.
«ie porcos, teil A porcs.
lonnkıa ou COoRREıA, 8. f. courroie : laniere
de euir. Beijer a—, (fig. fam.) se soumettre,
s’humilier par force.
4 Coanzina, s. f. sanglade : coup de sangle,
de courroie.
+LonREicen, s. f- "assemblage de courroies.
Coaaziö, 3. m. aug. de Corröa. * Soupente
@une veoitare.
Connzania, 8. f. rue des corroyeurs.
Coaarcciö, s. f. correction , reprimande,
admenition; peine, chätiment. —, faute indi-
quee: changemment fait vuä faire A une &preuve
d’imprimerie ; Paction de corriger. —(t. de
reih.) figure de r&thorique par laquelle on se
feprend pour dire une chose differente ou plus
forte. Ex. : Hi est bon, que dis-je ? il est excel-
lent. — fralerna,, correclion [raternelle.
CORRECCIONAL, 8dj. 2 gen. correctionnel: qui
apparlient & la correction.
ConREäCcTANMENTE, adv. correctement : selon
les regles ; sans faule.
CORAECTISSINO, A, adj. sup. de Correclo.
CoRREcTIiVO , A, adj. correctif: qui a la vertu
de corriger, de lenıperer. s. m. —, adoucisse-
ment au discours, pour faire passer une pro-
position, une expression, une pensee Irop
forte, trop hardie.
CoRRECTO, 4, 9. p. irreg. de Corregir. adj.
Correet : ou il n’y a pas de fautes.
CORRECTÖR, A ‚5. correcleur : celui qui CoT-
rige des &preuves ; qui reprend, qui bläme,
qui chälie.
Conascronia. V. Corregedoria.
+CanazcröRı0,, 3. m. correctoire : livre de
penitence.
ConrenKıka, 5. [. grand plateau Arouels pour
secher le sucre.
CoraenäLa. V. Corrida.
CORARDENPTOR, 3. m. colui qui rachöte cOn-
jointement avec un autre.
CORREDENMPTÖRA, 5. f. co-redemptrice : la
Yıerge Marie, qui coopera A la redemption da
monde.
Conazvıca , 8. f. coulisse; store. — s. pl. ri-
deanz coulants. — do Ihealro. V. Bastidores.
+ Corazpıco, A, adj. coulant: qui coule ais&
ment.
Coaazpio, A, adj. coulant, en parlant d’an
Beud. Lisse, non crepu ‚on parlant de cho-
veuz. Glissanl,
CoRkEDOR,, A , adj. qui court beaucoup,, qui
aime ä conrir. s. m. Coureur : homme löger A la
course; qui court beaucoup, avec rapidil6 ;
soldat envoy6 A la döcouverte de l’ennemi.
ConnznoR, 3. m. corridor : espöce de galerie
ütreits qui sert de passage. Chomin couvert.
Conazp0Rzinno, s. m. dim, du pröcödent.
COR 349.
CoRREDöURA, 5. f. pidce sous une meule d’un.
moulin. #4. V. Corredouro.
CORREDÖURO, 8. m. lieu od !’on court; car-
rousel , place pour des courses.
CorREDURA. V. Corrida et Correria.
CorRERIRO, 5. m. celui qui fait des oourroies,
des harnais, etc.
CORREENTO, A ,ady. coriace: dur comme 1®.
euir.
ÜoRREFERIR. V. Correlatar.
* CORREGEDÖIRO, A, adj. digne de relorme.
CORREGEDOR, 3. m. corregidor : magistrat en
Espagne et en Portugal.
CORREGEDORIA, 8. f. charge de corregidor.
F CORREGENTE, 8. m. co-regent : r&gent avas
un autre ou d’autres.
Correc£r. V. Corrigir. it. Satisfaire, in»
demniser. tt. (ant.) Pourvoir, fournir.
CoarEcido, A, p. p. de Correger et Cor-
rigir.
* CORREGIMENTO, $. m. " r¶tion; provi-
sion; equipement; satisfaclion, reparalion;
indeinnisalion. Trousseau.
Correeir. V. Correger et Corrigir.
CORRECO, 8. m. ravin. V. Regueiro.
* CORRECÜDO, A. V. Corrigido.
CoRREIGÄÖ, 8. f. visite du corregidor; terri-
toire soumis & sa Juridiction. V. Correcgdo.
CorrE£ıo, 3. m. courrier: celui qui court la
poste pour porter des lettres, des d&peches,
Poste aux lettres, bureau de la poste. Lettres
dont un courrier est charge. — de mds novas,
porteur de mauvaises nouvelles. — mör, sur-
intendant des postes, ancien emploi en Por-
tugal.
+ Corrtıro,s.m. celui qui a soin de la plaoe
os lieu od l’on fait des courses.
CoRrEıToR. V. Corrector.
+ CorresöLa, s. f. (4. de bot.) corrigiole des
rives: plante portulacee. — bastarda. V. Sem-
prenoiva.
CorreLacäiö, s. f. correlalion : relation r&ci-
proque. .
CORRELATÄDO, A, P. p. de
CORRELATÄR, d. a. 6lablir une relation mu-
tuelle. v. n. Se rapporter, avoir corr6lalion.
CORRELATIYO, A, adj. correlatil: qui marquo
la correlalion.
Correnga. V. Diarrhea, Cursos.
Conrentiö, Ona, adj. (fam.) enjou, plai-
san!,gai.
CORRENTE, adj. 2 gen. courant; qui Court;
recu, autoris6, adıpis. En regle, en ordre,
sans difficulie, sans embarrag. Coulant, en
parlant du style; qui coule. Frequent. Prompt,
expeditif; degage, debarrasse; vers6, babile.
Anno ou mez —, annee couranle, mois Courant.
Eıtar — em, &tre au courant de... — o mo@nle,.
(fiy. fam.) couramment : sans hesiter, sans
peine, facilement. Animal —, (1. de blas.).
animal courant. —, adv. V. Correniemente.
CoraßnTE, s.f. “courant: le fil de l’eau; en-
droit de la mer oü l’cau court rapidement d’un
certain cöt#. (Ag.) * Flux, fluxion , övacuation
succeseive. (44.) Mouverment Imptlueur de
gens de guerre, de monde rassembie; se6rie
non interrompue d’&v6nements. (1d.) Courant;
le cours des choses. Chalne tratnante (des for-
gats , des animanz , ete.).—s, pl. ancien tribut
d’entr6e et sortie dans les terres des seigneurs.
Deizar-se levar da —, se laisser entrainer au
courent. Ir com a — ou afrds da —, (fig.) 10
laisser entrainer par le grand nombre, sans
examen ni rellexion, sulvre letorrent, ,
CORRänTEußnTE, ade. couramment, CHU-
lamment.
Connenttza, s. f. "courant d’eau ; fie, sulte
(de maisons, d’arbres , eto.) ; alsance, facilite.
CORRENTISSIMO, A, adj. sup. de Correnie,
Connentona, V. Correntdo,
Oorato, 8. m. (t. de pras.) complice.
Connir, o. a. couris, faire couler, encourir;
courre sus : se jeter sur queiqu’un pour l’arr&-
ter; poursuivre & la course pour alirsper;
parcourir. Laisser courir ou laisser courre (un
chten , ım cheval,, 8tc.). — a campanha, hatire
la campagne, l'’estrade. — a corlina, fermer,
tirer le ridesu. — a linha, (1. mil.) parcourir
la ligne. — a mesma sorte ou forluna com ow-
iros, couris la m@me fortune, avoir le meme
sort. — a posla, courir la poste. — os procle-
mas, proclamer, publier les bans de mariage.
— alerra, 0 ‚ocampo, faire des incur-
sions dans un peys, en parlant ae Fennemi.
— „orihas , aller de pair. (Ag.) On le dit de
deux choses qui se ressemblent, qui ont le
meme merite , qui sont egales. — risco ou pe-
rigo , &ire en danger, courir risque. — lowros.
V. Touro.—o o6o, (Ag.) lever le voile, Je
masıne. — cdca e meca ( fam.) aller par monts
et par vaux. —o pdreo, disputer le prix de la
course. — 0 pano, lovor la tolle. — uma esto-
onde , powsser un coup d’ep€e.
Corner, v. ». courir: aller, marcher avec
vitesse , plus vite quo le pas, sans s’arröler.
— , eöuler, s’&tendre, en parlant des liquides.
— ‚ narviguer. Couler, passer, s’ecouler. Recou-
rir : avoir recours. —, se häter, se presser.
(fig.) Avoir, sulvre son cours, en parlant d’une
affaire; s’elendre d’un lieu & un autre,, se dit
obdtes, des terres , dos rochers , des monta-
gnes , eto. (fg.) Eire en vogue, se dit de la
mode, d’un bruit, etc.; circuler, se dit des
nouvelles. (es, para), — &, sur, s’avancer r3-
pidement vers. V. er ei Decorrer. —a
Su em arvore söcca, ( t. de mar.) aller & mäls
et ä cordes, avec toutes les volles serrdes. —
vente om poppa, (id.) faire vent arriere. — ao
large ,(id.) porter le cap ä la mer, poster au
large. — d rödea solla , courir, aller ventre &
terre, & toute bride, & bride abattue. (Ag.) La-
cher la beide aux passions. — com alguma vcou-
..,ou— ums cousa a0 cwidedo ou pela mdo
d’elguem , etro chargb @’une chose, en repon-
dre. — bem ou mai a sorte a alguem , @ire hen-
reux ou malheureuz. — 0 anno, s'tcouler, sc
passor, on pariant de Yannde. — o oficio,, avoir
de Toooupetion, du profit dans sa profession,
COR
— fans, courig, se repandre, om parlant d’an
bruii. —s mıodds , avoir eeurs, on parlant de
la monnaie, Corrörem as oowsas a lal pröge,
öire A lol prix ou A tel faux. Corrörem as lagri-
mas , couler, on parlant des larmes, plaurer ä
chaudes larmes. — a hinis, souler, on parlanı
de l’oncre Jorsqu’on serit. — a 005 ‚sirculer, so
repandre, devenir public, en parlant d’une
nouvaelle, eie.— por conla d’alguem elgums
Br @tre ä la charge de ee appario-
nis u’un. = sangus ,(fig.) dire saignant,
TEcee m den frundumenien (dd.) lächer la
bride & ses passions. — tal ou tal vente , soul-
fer, regner, en parlant de lel gu tel ven. —
airds d’alguem, courir apr&s quelgu'un. (Ag.)
S’elforcer d’imiter quelqu'un , suivre ses Iraccs,
son esemple. Cörrdo as cousas como correrem,
(fam.) que les choses aillent comme elles pour
ront, A fodo —,avec toutes la velociis, avec
toute la vilesse possible. Deizar — elyuma
couss, permettre,, Lolerer, laisser aller, dissi-
muler une chose. Deizer — a penna, (NJ.)
s’etendre Irop sur une matidre, sur un sujel en
&crivant. Deizdi-o — que elle parard, ([am.)
laissez-ie aller, il faudra bien qu’il s’arröte.
Näo correrd sangue, (fig.) il n’y aura pas grand
mal, iln’y aura pas de sang repandn. Corrs-
rem as guerras, etc., durer, en parlant des
guerres, eic.
Conrtn-se (de), v. r. rougir, avolr honle.
— de vergonha ,rougir, avoir honte, confusion
de. — com alguem, avoir des relations, s’en-
tendre bien avec quelqu’un.
Conneria, 8. f. course, incursion dans uu
pays ennemi. it. V. Corredöra.
CORRESPONDENCIA, 3. f. Correspondance : &0-
tion de correspondre ; rapport,, relation, liai-
son entre les choses, les personnes, entre les
marchands pour le oemmerce ; oommeree , TE“
lation,, entretien par lettres et leurs reponsos:
ces letires elles-memes. — , proporlion, syme-
wte , aocord des parties d’um ddißoe ; oomizerce
mutuel de bons oflices.
CORRESPONDENTE, adj. 2 gem. devl:
se dit des ehoses qui se eorrespondent (angies.
lignes, etc.); convenable, sortable, propOt-
ttonne, eonforme , digne.
CORRESPONDENTE, 8. 2 gen. 00
celui qui correspond aveo un aulre pour
affairos.
Connzeronpentzuäute , ade. eomvenable
ment.
CORRESPONDER (G), d. r. correspondre ı Fe
pendre de son odi4, par sonli „per 00
liens, par lettres. Röpendre par aymmeisis : 5
rapporier symetriquement.
ConassronsER-eE (com), @. r. cornaspondt®
per letises ; ötre en oerrespendande. Baimet
röeiprequement. "
CORRESFONDIRO, A,Pp. P. de Corrssponder:
Conneräoeu, e. [. "oourtage: eniremles, DE-
gociatien , salaire de courtier.
Coareroa, s. m. osurier ı agemt a en
nt:
merse brovatd, par l’entremise duquel se font
les ventes. — de camsbies , agent de change.
Conxeröka , s. f. ceurtiöre,, entremetieuse,
= de amores. V. Alcowiteire.
Conasrönme. V. Correctörio.
TConuxci6, 0. m. TI n’est usit# que dans
seite phrase : Capar perdizes a — , poursulvre
tes perdrix avec lo chien d’arret.
Coramscae, 5. m. chalse de poste, berline
de voyage.
Conifsa, 8. f. course. V. Carreirs, Cor-
rerie. — de fenıpe, (fam.) coars du ternps.
— de eures, oourse , coombat de taureaux. De
— ‚ede.A la häle, en courant, vite, d’embiee.
Coramio, a. V. Corredio.
Coasip0, A, Pp. p. de Correr. edf. V. Perse-
guide. Conles, bonteax, penaud. Roue, Mulher
—s, courtisane impudente et rusee, TACcro-
cheuse.
Coraido, A, P.p.de
CoRzıcıR , ©. &. ger: anander, re-
prendre, chätier, blämer; indiquer, öter les
isutes; adoucir, teınperer, diminuer; refor-
mer (les maars).
ÜBRRIcık-SE, ©. T. se corrıger : stamender,
derenir meilleur, se defaire d’un defaut.
CorsıcivgL, adj. 2 gen. corrigible : qui peut
se corriger, &tre corrige.
CozauöLa. V. Correjöle.
* +ConsıLutıno, s. m. vagabond, sans 00-
enpetiens, qui fait le vaillant.
Cornakzo, s. m. pelit comite. V. Convenft-
eulo. —s, pl. eaqueis.
Conauica, s. f. hute, charivari.
CGoarımio, 3. m. main-couranie, Tampe,
partie d’un escalier pour appuyeria main. —das
trincheiras , (1. de mer.) lisses de bastingage,
lisses d’appul.
Coraminto , s. m. eeonlement, fiuxion sur
les yeux , ete. (fg.)" Honte,, confusion.” Hute.
Gaıbra , s. f. sorte de jeu d’enfants. (fg.)
Tremperie , attrape. Cair na —, #ire atirape,
ire tromp6. (1. de bot.) V. Correjola.
Coraigutino, A. V. Yulger, Trivial.
CHano, s. m. "ar&ne,, cirque pour la course
de taureaux,, etc. Cercle : rö&union de gens qui
se lorme ordimalrement en cercie. Fazer — d
porle, (Ag. fam.) faire bande & part. Sairdo—,
(Ag.) battre la campagne. -
Coraosonagäid, 3. f. corroboration : action
de corroberer ; ses effeis. (Ag.) Confirmation,
borrelle preuve.
(oa2080RADO, A,P. p. de Corroborar.
CoanosonänTE, p. a. de Corroborar, corto-
borant: qui eorrobore, qui confirme. #. m.
Ürreboratif, oonfortalif : ce qui a la vertu de
correborer
WaxosoräR,tv. a. corroborer : fortifier, don-
ner des forces au corps, k Vestnmac. (Ag.) Con-
ürmer, affermir, donner une noavelle force ä
“u raisonnement, dä uns opinion, etc.
ConROBoRATIiVO, A, adj. corroboratif: qui
fortiße , qui oorrobore ( remöde).
(onao8a, v. 8, corroder, ronger, manger.
VOR
Corxofo0, A, p. pP. de Corroßr.
CORRONPEDOR,, A, 3. eorrupteur, debau-
cheur.
Connourfr , v. 6. corrompre, gäler, all6rer,
pourrir. —, seduire, debaucher: (fig.) Porter
au mal, pervertir les maurs. —, subomer :
gagner & prix d’argent.
CORRONPER-SE, ©. r. SE corrompre, se gäler,
se pourrir, s’alterer. (fg.) Se pervertir, so de-
baucher.
CorrouPipautnte, ade. d’une manitre cor-
rompue, vicieuse.
CORRONPIDO, A, P. p. de Corromper.
CoORRONMPIMENTO, s. m. l’action de corrompre.
V. Corrupgpäo.
Corxosi6, 3. f. corrosion : action et effet du
corrosif; &iat des choses corrodees.
CorRROSIBILIDÄDE,, 3. f. corrosivei# : qualils
des corrosifs.
+ ConnosiveL,, adj. 2 gen. qui peut £tre cor-
rode.
CoRROSiVO, A, adj. corrosif: qui ronge, qui
correde les corps par la superfcie. Il est aussi
substantif.
Conaüpa, s. f. V. Espargo dos anligos.
CoxnÜmz ‚3. m. "ouverture canalce dans nno
piece par laquelle doit passer une autre. (flg.)
Cours regulier d’une chose.
Coraurciö ,s. f. corruption : alteration des
qualites principales , au physique et au moral,
de ia substance ; putr£faction , pourriture; ac-
tion de corrompre ; ses effets ; 6tat de ce qui est
corrompu. (fig.) Depravation (dans les ınaurs,
ia justice, eic.); changement vicieux dans lo
texte d’un livre; moyens pour corrosnpre.
CoREBUPIO, 5. M. num — , (loc. fam.)
etre en mouvement continuel, s’agiter en tous
sens.
CORRUPTANANTE, ade. d’une maniere cor-
rompue. .
Cornrrrtia, s. f. V. Corrupgdo. (1. de
prat.)* Abus.
CORRUPTIBILIDÄDE,, 3. f. corruplibiliie : qua-
ine de ce qui est corruptible. .
+CoravpricoLas, s. m. pl. corrupticoles :
heretiques qui croyaient gae le corps du Christ
etait corruptible.
COARUPTISSIMO , A , adj. eup. de Corrupfo.
CORRUPTIVEL, adf. 2 gen. corruptible : qui
peut @ire corrompu, allöre, gätt; sujet & la
corruption.
+ Coneurrivo, 4, adj. corrupüf: qui cor-
rompt. .
CoRRöPTO , A, 9. p. irr. de Corromper. adj.
Corrompu : gäte, altere, au propre et au
figure.
CoRAUPTÖR,, A, 3. corrupteur : qui corrompt
(les maurs, l’esprit, le goüt, les t&moins). 1
est aussi adj.
Coratto. V. Corrwpto
Corsa. V. Cörga.
ConsiRIO, s. m. corsaire : valsseau armd en
course, ecumeur de mer; oommandant d’un
vaisscau arnıd en COUTse.
351
352 COR
+Conszin,o.n. (6 de mar.) faire lacourse,
courirsur les vaisscaux ennemis, &cumer la
mer.
Conseca , 5. f. ( I. de geogr.) Corse : Ile de la
Mediterranee.
°+Constıno, A, adj. vagabond , errant.
Cönso, s.m. (1. demar.) "course: acte d’bos-
tilite qu’on fait en courant la mer. Ander a—,
aller en course, faire la course. V. Corssar. it.
Vie errante, vagabonde.
Cönso, A, 5. et adj. Corse : de la Corse ; habi-
tant de la Corse.
+ Cönsıco, A, adj. Corse:: de la Corse.
+ ConsoLkte, 8. m. corselel: corps de cui-
rasse de piquier;; petite cuirasse. (i.d’hist. nal.)
— , partie du corps des insectes, entre la t£te
etio ventre. V. Thoraclte.
CoRTABOLSAS, 5. m. (fam.) coupeur de bour-
ses ; lou.
Coataptıaa, s. f. instrument pour ouvrir les
boutonnieres ; large lame d’epee.
CORTADISSIMO, A, adj. sup. de
Cortäno, A, p. p. de Cortar. adj. ( ig.)
Affige; opprime, äccable ; confus, trouble. In-
terrompu.
CORTADOR, A, adj. qui Coupe. s. m. Boucher
&talier : celui qui coupe et qui vend de la viande | 8
dans les boucheries.
Duoatänos, s.m. pl. "taillades dans les ha-
is.
Contapüna, 8. f. coupure, incision. (#. de
fort.) Tranchee, retirade , coupure avec Fetran-
chement.
+ ConTa-FERRO, 8. m. (li. de mar.) ciseau &
froid.
+CoatAröco, s.m.* muraille forte et &paisse
qui separe un edilice en deux, pour empöcher
que le feu ne se communique d’une parlie ä&
Vautre, en cas d’evenement.
+Coatamid, s.m."equerre de bois A &paule-
ment: instrument pour tracer desangles droits.
+ CORTANENTO, s. m. " seclion, division, am-
putation, incision.
+ Coatantz,p. a. de Cortar. Coüpant : qui
coupe.
+ Coatario, s.m. nom d’un oiseau du Bresil
qui chante pendant la nuit. V. Picapdo.
-T Contaeiza, s. f. bordure, bande, garni-
ture mise au bas d’une robe, d’un jupon, etc.
Coaräa, v. @. couper, trancher, tailler, divi-
ser un corps conlinu avec quelque chose de
tranchant. —, traveryer, diviser, en parlant
d’une chaine de montagnes, de canaux, de ri-
vieres. (6. mil.) —, se metire entre deux parties
de l’armee de l’ennemi, ou entre son armee et
une place qu’il couvrait. Arröter, couper, in-
tercepter. ( Ag.) Couper la parole, interrompre
une conversation. —, abreger, raccourcir, cou-
per court. (fig.) Abattre, affliger, attrister.
(ant.) Estimer, &valuer, fixer le prix d’une
chose. ( Ag.) Suspendre , interrompre. (id.) De-
cider, etre l’arbitre. — a cabega, decapiler,
egorger, deculier, guillotiner. — cerceo nu
ren!e, ccourler. — de reslir ou — um teslido
COR
e alguem, (fg.) murmurer, medire de quei-
qu’un, le meure en beaux draps blancs; faire
un habit. — « agus, as ondes, couper, fendre
l’eau en naviguant. — 0 da cowversagdo,
(Aig.) couper le fl de la conrversation. — 0 fo
da vida, öter la vie ä quelqu’un, trancher lo Sl
de ses jours. — 0 neipe , (4. de jew) couper les
cartes en jouant. — 0 verse, faire sentir la me-
sure, la cadenoe d’un vers. — a colers, 'I.de
med.) attenuer, diminuer la bile par des rem#-
des. — a cölere a ‚(Ag.) calmer axo-
lere de queigu’un. — bem a lingua porluguese,
lalina, eic., parler bien la langue poriugaise,
latine,, eic. — a raiz do mal, (fg.) arreier au
commencement les progr&s d’un mal physique
ou moral. — as azas a alguem, ( ig.) decoura-
ger; entraver, traverser les desseins de quei-
qu’un, lui öter les moyens de re&ussir. — 08
passos @ alguem, Iraverser les dessems de
quelqu’un, lui barrer le chemin — as unkes
aos ladröes, Öter aux brigsmds tous les moyens
de voler. — pelo pe, couper par le pied. — 0
corapdo, causer grande douleur, navrer ie
caur. — largo, couper large, au propre et au
figure. — lenha, mato, faire du bois. Ar que
cörta, (fam.) vent froid qui coupe la &-
re
ure.
Conrar (por), v. ®. faire le sacrifice de, re-
noncer &. — pelos appelites, ne pas salislaire
ses appelits. — por si, se r&primer, se conle-
nir ; c&der. — pela cars e pelo sangue, ( 9.)
ne pas respecter les liaisons de pareni£.
— por alguem , medire de queiqu’un. — pela
honra. V. Menoscabar.
CornTÄr-SE, v. r. se o0uper, rester court, se
troubler, s’embarrasser. (amt.) Eire fixe, en
parlaut du prix de quelque chose.
CöRTK, 3. m. Fil, tranchant. *Coupure, inci-
sion; l’aclion de couper. ” Coupe : abatis J'ar-
bres; taille, coupe de bois. (Ag.) Moyen adople
pour terminer un differend. — da penna, taille
d’une plume. — de vsstido , etc., quanlilt d’t-
toffe necessaire pour faire un habit, etc. Dar —
a alguma cousa, arröler. empecher une chose.
V. Decepar. Dar — d vida, öter la vie ä quel-
qu’un. Dar um — a um negocio,, arfanger, 3C-
commoder une affaire. — (f.) de pfrcos, d’ant-
maes, etic., toit de porcs, e&table, &curie,
basse-cour.
Cöate,s. f. cour: lieu od est le chef soure-
rain avec sa suite; les oiciers, les principaut
seigneurs qui accompagnent ordinairement un
roi ou autre che[ souverain; suite, cortege.
—, hommage, respecis, assiduil6 qu’on rend &
quelqu’un. (anf.) —, tribunal supr&me de jus-
lice. Fazer a — a alguem, faire la cour ä quel-
qu’un. Dia de —, gala & lacour. Cörtes, s. [. pl.
cortes : assombleöe des etats en Espagne el En
Portugal; les chambres legislativeg. Chamar
@ —, convoquer les &tats du royaume. Ter
assenio em — , avoir seance aux elats. ]l se dit
des villes qui avalent le droit d’envoyer dcs
deputss aux cortes (en Portugal‘).
ConTg1äp0, A, p. p. de Coriejar.
bu 2
COR
CoarEsıder ‚8. m. courlisan : eelui qui Cour-
tise ; sernteur, homme galant.
CortsJir, ©. a. courliser, faire la cour; Ba-
Iuer guelgu’un.
CORTEJÄR-SE , 9. 7. se saluer mutuellement.
Coxrl}o, 5. m. cortege, suite. Bon accueil,
Ionnttetk.
Cort£ıno, s. m. dim. de Cörte (de pörcos).
V. Possilge.
Coxrtz, adj. 2 gen. courtois, poli, civil,
bonntte, galant, obligeant, gracieux.
"Cortrtza. V. Corliga.
Conrkzä ou CORTEZAN, 9. f. courlisane:
ferame prostituee un peu considerablc.
CoRTEzZÄNENTE, ade. poliment, civilement,
honnttement, galamment.
Cortezinia,, 5. f. politesse, civilite, honne-
tele, obligeance;, manieres d’un courlisan.
CoRTEZANice, 5. f. courlisanerie : art, science
da courtisan ; honnetet6 afleciee.
CorTExAö, 5. m. courlisan : personnage alla-
ehe älaconr, qui la frequente ; qui courlise,
cherche ä plaire.
Corzeriö, Ä, adj. qui concerne la cour.
Arise, prudent, polilique; elegant, poli, en
paflant du style, etc. V. Corlez.
CoRTEZia, 8. f. röverence, mouvement du
corps que l’on fait pour saluer. Courloisie, po-
iitesse,egard, civilite. V. Cortezania. * Cadeau,
present. Gräce , faveur. Termos de —, formules
dhonnetete par lesquelles on termine une
leure. Dias de —, (1. de comm.)\ jours de gräce,
de fareur pour le paiement d’une Iraite.
Coxtixueöxte, adv. poliment, civilement,
bonnetement ; courloisement.
CosricaL, adj. 2 gen. cortical: qui appar-
bent ä l’ecorce. Substancia —, (1. d’anal.)
substance corticale : du cerveau, tissu de vais-
seaur.
Corriga, s. f- "liege : &corce de liege; &corce
dsrbre. Plauche de liege pour meltre sous les
Keds et pour d’autres usages. — cheirosa, V.
(snelia. Andar como a— sobre a agua, ( fig.)
(ire wujours dispos6 & se laisser gouverner
par la volonte des autres. Nadar sem — , (fig.
fen.; voler de ses propres ailes ; n’avoir besoin
du conseil, du secours de personne.
a Corrıgapa, 3. f. grande quanlits de ru-
Corricioo, A, adj. couvert, garni de liege.
Grricinna, s. [. dim. de Corliga.
GaTıcinuo , 8. m. dim. de
Coarico, s. m. * ruche Amiel ; sortode barillet
de liege,
+ Wortıcö, 8. f. espäce do grande perdrix ä
esllier noir.
tGoıtı6öso, A, adj. de la nature du liege;
qui en est couvert (arbre).
Garıo, A, pP. P.deCorlir. adj. ( lg.) En-
derei (au travail). Ester —, (Ag. fam.) eire
steutume, rompu & un exercice. Estar — do
si, &ire hale par le soleil. — de desgostos,
(4.) qui a dorouve beaucoup de desapre-
ass; salur6 @s weint,
PORT,-ER, _
COR 358
CortıpöR,s.m.lanneur, corroyeur, hahilleur.
Cortmörro, s. m. *lannerie: alelier, bou-
tique de tanneur.
Corrivüna , s. f. Paction de tanner ; compo-
sition pour lanner;; mac£ration , rouissage.
CORTILHÄR, v. a. dim. de Cortlar.
+ Corrtis, s. m. lannin : substance üibreuse,
insoluble, residu du tan lessive.
CORTIMENTO, s. m. Yaclion de lanner. — do
vinho, cuvage : action de cuver levin. POr o
vinho de — ou dar — ao vinho, cuver le vin.
V. Corlir o vinho.
CoRTIiNA, s. f. "rideau : &toffe suspendue pour
couyfir, entourer. (I. de fort.) Courtine : mur
entre deux bastions. (ig.) "Voile: tout ce qui
sert a cacher, & voiler.* Dais au-dessus du fau-
teuil du roi dans sa chapelle.
CORTINÄDO, 5. m.* tenlure de rideaux ; tapis-
serie; tour de lit.
* Corrixua. V. Corlina.
* CORTINHÄL, 8. m. champ clos qu’on ense-
mence tous les ans.
Cortirg , v. a. tanner, aflfeuter, corroyer.
Dureir, bäler. Endureir a un travail, aA un exer-
eice.— olinho, 0 canamo, rouir du chanvre,
le faire macerer dans l’eau. — 0 vinho, cuver:
laisser fermenter le vin dans la cuve. — dores,
desgostos, etc., (flg.) souffrir, «prouver des
douleurs, des desagrements, etc., conlinuols.
— apelle a alguem, ( fam.) meltre quelgu’un
en Je beaux draps blancs.
+CorTümz, s. m. *lannerie : lien od l’on
tanne; action de tanner;; procede pour lanner.
Tan : &corce de chöne moulue pour tanner.
+ Contusa-pe-ViRcinia, 5. f. petit anis.
CORUCHEO, s.m. sorle de mitre de carton que
portsient les flagellants. *Fleche, aiguille d’un
edifice. — da columna, architrave, &pistyle.
— do ielhado, sommet Ju toit. — d’um templo,
coupe de döme d’un temple.
+Corüsa, s. f. (t.d’hist. nat.) chouelle: oiseau
de nuit, de l’ordre des rapaces. — grande gris-
negra , hulotte. — parda-huirante , chat-huant,
— alvadia chilrante das torres, effraie. — fus-
calva das rochas, chouette grande ou cheveche.
— pequena, cheveche ou pelite chouetic.
CorVJO, 3. m. choucite ındle. V. Corüja.
+ Conönua, s. f. (1. de geog.\ Corogne: ville
maritime d’Espagne,, dans la Gälicc.
Cortscacäö,s. f.(l.de phys.) corusceation >
eclat de lumiere.
CortscäDO, 9. p. de Curuscar.
ConuscänTE, adj. 2 gen. (1. de pofs.) flam-
boyant; brillant, reluisant, 6clatant, dhlouis-
sant.
+ Cortscar, v. n. (1. de pods.) Namboyer :
jeter un grand eclat; briller, reluire, dclater,
eblouir.
+ CoacriLHo, s. m. dim. de Corülo. — das
semenles, (#. de bot.) petit sommet, derniere
pointe des graines.
CoriTto,s. m. * cime, bouquet au haut de la
tige; sommet, cime, pointe de quelque chose
que ce soit.
)
854 008
Chorva,s.f. lemelle du corbeau. (fig. fam.)
. Griailleuse : femme qui criaille.
* CoRvEIRO, 8. m." bergerie de obevres.
COoRYEJADO, A, P. p. de Currejar.
+Convssiö, s. m. (f. de veier.) jarret d’un
animal.
CORVEJAR, 9. 9. tra tenace sur quelque
affaire : croasser. crier comme le corbeau.
+ Coavkra , s. f. corvette : batiment leger de
guerre, & trois mäls, entre la frögate ei le
brick.
Convina,s. f. gros poisson de mer A dcailles,
qui ressemble au congre.
+Coavixo,A, adj. (I. de pods.) qui appar-
tient, qui ressemble au corbeau.
Cöuvo,s. m. ($.d’hist. nal.) corbeau : gros
oıseau A plumaye noir, passereau plenirosire,
sylvain, anisodaciyle, omnivore, qui recher-
che les pays froids. — marine, cormoran.
— noclurno ou noilibö da Europa, engoule-
vent, crapaud volanı, Crie o — tirar-te-ha 0
olko, ( prov.) nourris un corbesu, il 4e crövera
Pal.
CoRYBÄNTES, 6. m. Di. (1. d’anf.) corybantes:
prötres de Cybele qui Jdansaicnt au son des
instruments,
f CorYameireno, A, ady. (1. da bot.) cosym-
bifere : qui porte des corymbes. Planlas —as,
corymbiferes : famille de planıca dycotyledo-
nes, manopelales, A wwralles epigynes et an-
theres reunies.
TCoaYusı6Lo,s. m. (1. de bal.) corymbiole:
plante du cap de Bonne-Esperance.
Corv’usus, s. m. pl. t.de bol.) corymbes:
Nieurs en bouquet horizontal au haut de la Lige.
TCosnrunöso, a, adj. (4. de bot.) corym-
beux : en corymbc, cn forme de coryınbe
( Beur, etc.).
CORYPBEO, 5. m. coryphee : chef des chaurs
au theätre grec. (fig.) Chef d'une secte, d’un
parti, io. ; sujet principal des chaurs & 1’O-
pera.
tr Convrusna, a. f. (1. d’hist. nal.‘ cory-
phene : poisson Ihoracique. — dourads ou
lampuga dos Hespanhdes, dauphin ou dorade
des Antilles. — ozul, rasoir bleu. — poritale-
que , eventail.
Conrza,s. f. (. de med. coryse: &coule-
ment d’une hummeur Acre de la tdie dans les na-
fines; rhume de cerveau.
Conzinur, s. f. dim. de Cör, couleur pcu
vive.
C’os ow Co’os, pour com os, avcc les.
Cos , s.m." ceinture de la culotte, d’une jupe.
Cösco,s.m. te. burl.) argent ımisen reserve,
pecule.
CoscdJas, s. f. pl." anncaux de chacune des
branuches du mors d’un cheval; piece d’une
sellc.
CoscnrÄö, 3. m. espöce de beignet.
FCoscöorna, 5. f. (8. de dul.) "coscorna ! ar-
bro d’Alrique, & pomme d’amour.
’ Coscona, 4. m. ak d’una chose erepte ei
ure.
005
+ Coscoröna, s. u. (4. d’hisl. nal.) cosoors-
ba : oie du Chili.
Goscorräö,s. m. ($. buri.) V. Cardio, Ca
chacdo , chinfreneau : contusion & Ia iäle.
Coscorainno, s. m. (4. fam.)argent mis en
reserve, peeule.
„ Cöscos, s. m. pl. V. Coschjas.
Coscuzkino, A, adj. canique, algu ; em forms
d’entonnorr. Milko —, V. Milko coseusbiro.
+ Co-sEcanTs, 8. f. (1. de gdom.) co-secani :
secante du oomplitmeat d’un angle.
+CoseEpön, A, s. celui qui eoud.
Cosspöna, #. f. action de eaudre & Fal-
guille. V. Costära.
* Coserro. V. Coside.
Co-stxo , s. m. ( 1. de malh.) o0-sinus ı SIRnS
du complöment d’un angle.
Coser, vo. a. eoudre : jeindre des &loffes,
eto., aveo du fil passe dans Paiguille, eit.,
ıßg.) rassembler, ajouter l’un & l'autre (de®
passages de livres ); attaches, tier ; unir, JoiR-
dre, coller. V. Cozer. — a fachdas, ( fan.)
larder, percer de coups. — se com & lerra, 8
parede, etc., (fig.) se coller conıre Ja tft,
contre la muraille.
Cosino, A, P. p. de Coser. adj. (Ag.) Attach6,
li6, colld. — com a lerra, coll& conıre la Ief7t.
CosIMENTO. V. Cozimenio.
Cosıxna , etc. V. Cosinha, etc. , A
Coswärico, A, adj. cosmelique : qui ser
embellir la peau (remede, preparation ).
Cöswico, A, adj. (1. d’asir.) COSMIqUE-
peclo —, aspect cosmique : des piandies m
rappori & la lerre. Nascimenio, a ei
ver, coucher cosmique : d’yg astra av&6
dn soleil. 5. m. p. us. Le gldB0 cöleste.
Cosmoconia, 8. fı cosımogonie : Selenl®,
iöme de la formation du monde. e
. +Coswoconıco, A, adj. de la cosmogeni;
ul apparlient ä la cosmogonie.
' + CosmoconisTa,s. m. auleard’un ayatame
cosmogonie; qui salt ou professe cee Ir rip-
COSMOCRAPRIA, 8. f. cosmograpbie : e ion
tion da monde entier ; science Je 18 situali0",
de la grandeur, de la figure do Funivori.. ge:
COSMOGRÄPNICO , A, adj. cosmogTap q
de la cosmographie.
COSWOCRAPRO, 5. m. sosmograpke: qui Mil
la cosmographie. t
+ CosmoLisıo, s. m. cosmolabe ! ee
de matheınatiques pour ınesurer Nabe
espece d’astrolabe pour maesuref ie g!O co des
CosmoLocia, 8. f. cosmolegie : SCH
lois du monde physique. „de 8
COSMOLÖCICO , all. oosmologig®®: de
cosmologie. , la
+ C05m61000 , s. m. qui sall, qui profess
cosmologic. non:
Cosmop£ia ‚a. f. p. us. fabriqnie du ! gihoyoß
+ Cosmorouira, e. m. cosmopalil® e
du monde ; qui w’adopte pas de PRU?
errant. al »
+ CosmoreLigien, 4, al. onsmopeliWi
qui apparlient au COsm
008
+ CosueroL.rmsuwo, 5. m. eosmopolifisme ı
systeme, maurs du cosmopolite. '
+Cosuorima ,s. m. sans pl, cosmorama :
twblesu du monde ; salte oa il se voit,
Com. V.Cuspir.
Cosgczapöra, s. f. Paction de fusliger.
Cosquzin, ©. a. fustiger.V. Acouter.
Cossägıa, 8. f. (1. burl.) courtisane qui de
poailie les amants.
Cossinıo, s. m. V. Corsario, Pirdis. De— «
— ndo se perde sendo os barris, corsaires con-
ie eorsaires ne font pas, dit-on , bien leurs af-
aires.
Cosse, s. m. mesure aslatlgque de 2,400 ä
2,500 pas geometriques.
CossEgL&TE om COSSOLETE. V. Corselete.
+ Cössıo,s. m. ( 1. d’hist. nat.) cossus : t6-
pidopläre nocturne Slicorne.
Cösso. V. Corso.
‚(ossöua0, s. zu.” molelic : Toue & pointes de
eperan.
Cossbunos , s. m. pl. (il. de wer.) corchen de
fer pour entoures les vergues,
Ger, s. f. V. Costells. Cöte, penchant
dane celline. —, rive qui s’clend au Join le
long du bord de la mer. Etire : outil de oor-
danpier. Bar d — ou na — , sohouer, danner A
la cdte ‚ faire eöte. Ir, andor, navegar casia d.
—, zanger la cöte. Correr uo longo da — ,co-
tsyer. Ir— abeszo, (Ag.) dechoir, aller en de-
esdence. — erriba ol acima, en montant. (ig.)
Aveodißßenkte, avec repugnance,, conire-mont.
Nagooio de — acime , (ig.) affaire tres-diflicile,
its-importause. — da asralhs,, da faca , dos
d'un couteau.—s,pl.reins, Gpaules; eütes; dos,
ever. (Ag.) Appui, fareur, pmteolion. — da
mie, tevers de ia main. Deitado de -——, zenverse
ea amitre ‚ cauckhe sur ie dos. Cair de —, tom-
bersar ie das. A’s— ‚ade. sur le dos, sur les
tgenies. (ig.) Sur les bras, sur son campie, ä
se change. Loner ds — a alguem, porter queli-
an surses +paules. Firar as —, taurner le
bes. Iraas — d’alguem, suivre de pres, aller
spe qualgu’un. Razer —a aiguem ,(fig.) pro-
ieger queigu'um. Tor — am alguem, em algu
ma ou, (Ag.) avois conllance un quelqu’un,
en quelque chose. Ter as — quanios em alguam,
(d.) compser sur la Seveur de quelgu’un; awair
Geeluum dans la manche. Fer ds — 0 inimi-
2 as! f'ennessi sur ins bras. Cöstas com,
"Comf. 7. Cosidi ei Ladeira.
(srioo, 8. m. c0t6 - la partie droite ou gau-
ce @\an arimel depuis l'aisselle jusgu’ä Ja
kınche, (yı) Fianc, nile d’une armee. CHtE,'
fanc , bord d’un vaisscuu. Dos. Dar o— ‚(1. de
er.) pr&senler le cöld pour lächer sa bordee.
=, pl. cötes,, lignes de parente ; quartiers d’as-
ants. Os qualro —s ‚le pere ei la mere, le
trnd-pere et In rrand’mire de quelqu’un.
dreore de —s , arbre gendalogique.
CostäL,s. m. grand sac, suchte: ce qu’on
Mt peut vontenir,
003 838
CosriL, a4. 2 gen. qu’on peut porter nur les
@panles. (p. us.) j
CostaLeıras, s. f. planches de. oßtk.
Costantına, s.f. (I. mil. une.) "Onac, alle
@’unc armee. — de madeira, dosse : premhire
et derniere flanche @une pitee Soboisseies,
— de papel, chacune des deux muins de papier
de rebut yu’on met ordineirement danschaqus
rame.—s,, { f. de mar.) faux haubans, haubans
de fortune. u
Costaxtiıno, 1, adj. Qu eiie extörtenr. Pas
pel—, papier de rebut. j
Costi6. V. Lomöo.
TCostiö,ä,adj. qui appartienr'ä 9a cöte,
qui garde la cöte (soldat, ete.); qui est.In
pente, penchant (chemin, zoute); qu’on ponf
porter sur les &paules (fardeau, ete.).
CosTEiDO, A,p. p. de Cosfear.
COSTEAMENTO.V. Custeamiento.
Costeir,v. a. (f. de mar.\ ranger, cabotter.
cötoyer, naviguer terre & terre. Longer : mar!’
cher ie long. Y. Custeär.
Costeir,0.n.,et—se,®. r. cöloyer. {Ag.)
S’approcher d’un avis, d’une opinion. '
” Costtıra,, s. f. cöte de la mer; rivape. '
Costfıras, 3. f. pl.(t. de mar.) pieces de
bois pour renforcer les mäts.
Costeıro, a, adj. de la cöte; oötier , monta-
gneux. Barco — ‚embarcagäo —a, (I. demer,)
‚cabotier ou caboteur : bätiment pour caboter.
s.m.V. Encosta.
CoSTELLA, 8. f. cöte : os courbe etplat, placd
obliquement sur les cötes du thorax ; ce qui ei
a la forme. Raquette; repuce, piege d’oiselenr.
Podem-se-Ihe conlar as —s, on iui cempierait '
des cötes.
Costeııiwna, s. f. dim. de Cosiella, odte-:
eite. :
Cöstırricıo ow }(t.de bot.) costus: arıris-
Costo, 3. m. seau des Indes et d’Alr-
que; sa racine aromalique.
Cöstra,s. f. croüte (d’une blessure, ele.)4
surface durcie; escarre. V. Crosta.
Costrinpa, 3. f. croßte de päte, ete.
Costrivo, A, adj. convert d’une crotte.
+ Costa0s0, A, adj. qui a une croüte ou des
croötes; qui a la surface dureie.
Costuino, A, p. p. de Costumar. adj. Ao-
Foutume, habitue. ‘
Costuuicen , 8. f. coufumene, Arokt coutu-
mier. .
Costtwir,v. a. V, Aportumaer. v. ». Avoir
Phabitude de...; arriver d’ordinalre; ötre Yu-
sage. —s0,0.T. V. Acoshımar-e. ft. inp. Buy
en usage.
fCostumimo, 1, adj. coutumfer : selon ia
eoutumne.
COSTÜME, 8. m. "coutume, habitude, usafv.
(4.de prat.) "Relation de parentt, d’ariitft, ie,
O — faz lei, la coutume a force de Ioi.
do o—, comme de coutame. Passar @-— ‚vos : -
nir en coutume. —s, pl.” mours. Deprader os
—s, allerer, corrompre les M@urs. =—# Uuanes,
maturs douces. y
856 COT
Costuumina , s. f. V. Costumsgem.
Cosrüna, s. [. couture: assermblage de choses
oousues; rang de points & aiguille; art, ma-
nidre „action de coudre , d’altacher en cousant,
Ouvrags de couturiere. —, large cicatrice. —
da ndo, (1. de mar.) [ente d’un vaisseau calla-
160. — de cabe „ (id.) union de deux cäbles par
leurs bouts, spissure. — redonda, Epissure
sarr6e. — de ‚ epissure longue. Fazer
ums —, tpisser. Rebaler as —e, (id.) pataras-
ser. Meiter-se como piolko em —. On le dit
d’un homme qui veut se melor de tout, Assen-
ter as —ı, (1. de Laill.) presser les coulures.
(Ag) Battre quelgu’un.
Costoatına , s. f. couluriere : femme qui tra-
vaille en coutuse; qui fait des vötements de
femme ; lingere.
Cora, s. f. armure. (ant.) Colte : ancıenne
jupo de femme. — de malka, brigandine; che-
mise, oolie de mailles, jaque de mailles. —
d’ermas, colle d’armes; casaque militaire sur
la cuirasse;; cotte de heraut d’armes. — partie,
v. de faca, d’espada, dos d’un cou-
teau, d’une &pee. il. Cote : marque nume£rale
par l’ordre des pieces ; aunolalion marginale.
CoTipo, A, p. p. de Coldr.
CoranoR, 3. m. annotlaleur; celui qui cote.
Cotautnto , s. m." annolalion ; aclion de
eoter.
CoOTanGentK, 8. f. (l.de geum.) co-langente:
tangente du complement d’un angle.
+ CoraniLno, s.m. (1. de bot.) * bourre, duvet
irös-An. V. Coldo ( lomenium).
COTanıLnöso,, A, adj. ( 4. de bot.) omenteux:
de bourre „gotonneux.
Coriö, s.m. coton : bourre de la vigne, des
fraits, etc. ; duvet, poil follet. it. aug. de Cola,
chemise de grosses mailles.
Corin, v. @. coter : marquer suivant l’ordre
des lettres ou des nombres. (fig.) Emarger,
faire des notes, des remarques dans un livre
ou derit.
Coraıziuua , s. f. dim. de Cota.
+ Corte, s. m. queux : pierre & alguiser. it.
ant. Chose qu’on poris lous les jours (ba-
bit, etc.).
Corzsino, A, p. p. de Colgyar.
Cotzsapon,, s. m. collationneur : qui colla-
Uonne, confere.
Corzıäa (com), ©. @. Cconlörer, comparer,
eollationner.
+Coretıo, s.m. "comparaison, confrontation.
+Cortız, s. m.(t. d’hist. nal.) manchot:
eisean negeur, ptiloptöre,, gorfou , aplenodyte.
Cortto, A, adj. trös-petit, nain.
$ Corzunnipo, A, adj. chausse du cothurne.
fig.) Tragique;; elev&, soutenu,, en parlant du
tyle.
Cornöano, s. m. oolhurne : chaussure anli-
a0, qui venait au milieu de la jambe, dont
#es acleurs se servaient pour jouer les trage-
dies. (Ag.) * Tragedie; ton ou style Iragique,
ou +pique, heroique , eleve. Culgar o— ,(fig.)
ehausser le cothurne, faire Jouer des tragedics.
GOT
prendre un style, un ton &lev6 dans un ou-
vrage. Pessoa, cousa d’allo —, (fig.) haut per-
sannage, chose elovee.
Coria, s. f. (1. d’hist. nat.) *agouli : quadru-
pede du Bresil de l’ordre des rongeurs, genre
cebiai.
Coria ow Coria, 8. f. (f. d’Asie) sorte de bi-
timent dans l’Asie.
Cöricäa, 8. f. (t. de bias.) colice:: bande elroile
qui n’a que les deux tiers des bandes ordi-
naires.
Corıcino, a, adj. (tl. de blas.) cotick:charg6
de cotices.
+CoricuLa, s. f. pierre & toucher, ou de
touche.
Corıpıano, V. Quolidiano.
CorıLaiö, s. m. cotillon : sorte de danse,
son air.
+Corinca, s. f. (.d’kist. nat.) * colinga : es-
pece de merle, 1res-brillant, d’Amerique. —
zul, ow sair& grande do Brasil, le corden
bleu. — vermelha do Pard, l’ouette. — pur-
pures, ou Pompadoura, le Pompadoat. —
chilreira,, le jaseur.
Corio, A, adj. qui cuit ais&ment, on le dit
des iegumes secs. it. De tous les jours, coin-
mun.
Cöro, s. m. bout, extremite d’une chose;
moignon, reste d’un membre coupe, d’une
branche coupete. — de vela, bout de chandelik,
de bougie. — de aza, yros de l'sile.
CoTO ,s. m. 6pee courie.
COTOöNzA ow Cotoxina, s. f. V. Marmelsiro.
Coronia, s. f. * basin: sorte de toile de coleR.
Corovsrioa , s. f. coup de coude.
CoroveLan, etc. V. Acolovelar.
CorovtıLo, 8. m. coude : pli du bras, 54
partie exterieure od il se plie; angle exterieuf,
obtas ou droit; (Ag.) tout ce qui en a la forme.
Levantar o— ‚(fam.) hausser le coude, boif®
beaucoup. Fallar pelos —s, (Ag.) parler beat-
coup et facilement. Metter-se atd a—ı war
cowsa, eire engage Ir&s-avant dans un®
affaire.
+ Corovia, s. f. (1. d’hist. nat.) ° cocheris o@
grosse alouette huppee. — dos pawianos, TOUS-
seline ow alouette des marais. — menor, lulu:
petite alouette huppee. ,
Corkim, s.m. ancienne monnale poriugeist.
+Cörtreo ,s.m. chabot : poisson d’esu döute,
du genre du cotie, & grosse töte plate. — ER
cowrapado „ chabot cuirasse.
+ Cörcıa, 8. f. (1. de bot.) cotula : plante TI-
diee, corymbifere, voisine des camomilles.
— gallega. V. Macella gallege. — baslards,
ctamomille puanie, vulg. la maroulle.
Coruaxo ‚eote. V. Colhurno, etc.
+ Corerör ,A,s. colulaur : charge de la W-
telle avec un autre.
+ CorıL£oo, s. m. (. de bot.) cotyl&don 0%
nombril de Venus : plante des rochers, des
vieux murs, & feuilles en ecuelle.
+ Cotrıänone, 8. f. (1. de dos.) cotyledon:
lobe d’une seimence. —s , pl. cotyledones ı
GOU vun
fenilles seminales; genre de la famille des
Joubarbes.
+Corrı£nöneo, a,adj. ($. de bot.) cotyld-
done : pourvu de cotylödon. Cotylödonneire :
des eotyledons.
+CorrLöne, adj. 2 gen. (t. d’anat.) coty-
leide : de Pos des 1les (cavile), dans laquelle
los du femur s’articule.
Cörvcz , s.m. bout;; queue, exir&mite. V.Cow-
efirs. Coup de pied; ruade. Repoussement.
*Crosse de fusil. Dar —, repousser, en parlant
dune arme ä feu. Dar ou alirar —s, ruer,
lancer des coups de pled, regimber ; (ig.) faire
des betises.
CotcEADOR , A, adj. rueur, qui rue.
Covczis, v. 9. ruer, lancer des coups de
D regimber.
Cocckıra ‚3. f. "gond, pıvot (de porte).
Covckıros. V. Conchdiio.
Corcokına, 8. f. pelit verre. il. Grosses plan-
ches pour des portes.
CorptL, 3. m. chef, capitaine de gens de
guerre. In ur des haras. — , inspec-
teur general des haras, officier de la maison
du roi.
CovupeLaria, 5. f. charge de l’inspecteur des
haras; haras.
CovsiLno. V. Coudilho.
*“+Cövpaa,s. f. ‘lit, matelas, oreiller.
CovLirzon. V. Cowve-flor.
Cöuna ow Coika, 8. f. "gilet en cuir, sorte de
petite cuirasse. ,
Couzica ow Corracı, s. f. cuirasse, plas-
iron : sorte d’armure ancienne; armure Qui
couvre le corps. Soldado —. V. Couraceiro. it.
(1. de fort. enc.) Sorte de chemin oouvert avec
parapet.
Courackıao, 5. m. cuirassier : soldat de ca-
valerie arm6 d’une cuirasse.
Couaima,s.f. "cuirs, peaux d’animaux.
Cowiö, s. m. aug. de Coura. il. aug. de
Couro „ vieille prostitude , garce degoütante.
Countıno, s. m. marchand de cuirs.
CovatıLa, 8. f. piece de terre longue et
&ircite, peu considerable.
*CornzıLkıro. V. Sesmeiro.
Couaisua, s. f. dim. de Coura.
Covaiano, s. m. dim. de Couuro.
Cörgo ow CoIRO, 8. m. cuir, peau. Oulre:
pesu de chevre preparde pour y meltre du
via, de P’huile, etc. (fg. fam.) Ivrogne, sac &
via, grand buveur. Em— ‚adv. tout nu, äcru.
Enirs — e carne, entre cuirel chair. —s com
esbello, cuirs d’abatis. —s [rescos, cuirs verts.
Cöcsa ow Coısa, s. f. chose : ce qui est, eire
physique ou metaphysique, Dieu et meme les
&res animes sont exceptes; possession, bien.
—s, Pi. aflaires. — de, environ, presque, & peu
pres, pres de. — de ver, chose digne d’etre
rue. —de riso, chose risible, ridicule, qui
prevoque & rire. — düra, (fig.) chose dure,
dıfüiciie & supporter. — rara! c’est extraordi-
naire! e’est singulier! c’est dröle! Forte—,
ebose dare, penible. Ndo d— ou grande —, vela
CoY 957.
ne vaut pas grand’chose , cela ııe convient pas-
ce n’est pas grand’chose. Näo ha tal —, cs
n’est pas vrai, cela n’est pas ainsi. Ndo dizer
— com —, dire des extravagances, extrava-
guer. Isso d outra —, cela, c’est uno aulre
paire de manches; c’est bien une aulre af-
faire. As nossas—s, les affaires qui nous re-
gardent, qui Interessent. Este systdma lem
suas —ı b6as , ce syst&me a son bon.
+ Coustıno, s. m. livre de remarguss, d’an-
notations dans le tribunal de l’Inquislition. ,
Covs£LLos. V. Conchello,
* Cousımtnto, s.m. V. Escolha , Yontsde”
CousixHa,s. f. dim. pelite chose ; chose ig-
signiflante.
Couripa, 3. f. parc de be#tes fauves; for@t,
bois reserv&; plaisirs du roi.
Covrino, A, P. p. de Cowldr. adj. Cios,
Km, entoure. (fig.) Protege. it. V. Encou-
* CouraukxTo,, s. m. "döfense de chasser.
Covräa, v. a. defendre (la chasse, etc.);
saisir; (Ag.) emptcher.
Courar-sE. V. Acowlar-se.
CouTania, 3. f. garde des chasses.
Cott&ıro, s. m. garde-chasse. — mör , offi-
cier de la maison du roi au-dessous du grand
veneur pour inspecter les gardes-chausse, etc.
CöuTo, s. m. " clöture : terrain avec une en-
ceinte de murailles; parc. Reunion de plu-
sieurs bourgs, villages ou paroisses qui for-
ment un fief. Asile, refuge; trou, taniedre;
gite d’un lievre. — para caga,* garenne.
+CöuvE,s.f.* chou,chou polager.—crespa,
chou frise. —tronchüda, chou & gronses cötes.
— silvesire. V. Colsa. — verde, chou vert
commun. — gallega, chou vert en arbre , chou
cavalier. — Murciana ‚chou de Murcie. — fran-
jada d’Italia, chou frange; chou frise d’Alle-
magne. — de Saboia, chou pancalier, chon de
Milan ou de Savoie. — repolhäda, chou cabus,
chou pomme blanc. — verm£lha, chou rouge.
— fior, chou-Neur. — dos brocos, broeoli,
chou brocoli. — cacheira, chou-rave, chea
de Siam. -— nabeirs „ chou-navet. — baslarda,
crambe maritime, chou marin.
Cöva,s. f. fosse; antre, caverna, gralle.
*Repaire: retraile de betes fauves. ig.) Petile
cavite. Eslar com os pes para a —, avoir un
pied dans la fosse, eire sur le bord de sa
tombe.
Cövapo, s. m.“ coud6e . mesure d’un pied et
demi.
Coviö,s. m. aug. de Cora. Grande [osse.
— das gallinhas, basse-cour, poulailler. — de
pescar, nasse d’osier pour la pöche. Covöes,
pl. galerie de mine.
Covanng, etc. V. Cobarde, etc.
Coviro,s.m. dim. de Cova. Lieu dans lo
cimetiöre od on fait les fosses; mätier de los;
soyeur.
Cövazinna , s, f. dim. de Cora,
Covsıao, s. m. [0s50your.
Cov&ıLo. V. Cubello.
CRA
’Glsmı. V. Claustra.
*Crıstan, etc. V, Castrar.
"Caisseıno. V. Claustral.
Cristixo, a, adj. (l.de poes.) de demain, du
lendemain.
frıtkco, s.m. (1. de bot.) alisier. ( vulg.)
Alouche de Bourzognec.
fraraı,s. f. coupe, vase A boire; citerne ;
tratere d’un volcan.
Cnavaciö,s. f. sertissure : Y’aclion de $erlir
des pierres ; manidre dont une pierre est scrlie;
serie, enchässement des pierreries; mise en
@urre. Garniture de clous dores, eto.
CRarino,A, P.p. de Cravdr. adj. garni de
clous. Ter os ulhos —s na lerra ou no <hdo,
avoir les yeux baisscs.
Cravapör, s. ms. melleur en @uvre; bijou-
Ger. it. Poincon de cordonnier.
Crarapiaa, s. f. "cloutage pour les navires.
TCnuvicen, s. f. (4. de dos.) maladie des
panies (clarus),
Cravir, e. a. clouer, cogner : chasser, pian-
ierun clou Acoups de marleau ; allacher avec
des eloas. Enfoncer, plonger. Enchässer. — pe-
‚serlir. — 0 coragäo, (fig.) percer le caur.
- 0 olkos em, avoir les ycux lixös, oolles
sur.
Cuvira, e. f. eravate: lingo qu’on met et
Done aulour du cou, (l.d’hist. nat.) —, alouetie
du cap de Benne-Esperance.
Cravkını, s. fı “ dlalon (mesure);toise pour
es recrues, — de sapaleiro, compas de cor-
donnier.
Garrkınas, s.f. pl. *trous,dans un fer äche-
val, peur recevoir les clous.
(Rartımo, s. me. giroflier; miller, plantes.
(Ag.) Pot a aillets. it. V. Claveiro. Renoco
(zurzıRo, a, aalj. conforme & l’stalon portu-
Bis (mesure). Palmo — , palme de 1? pouces.
' —4, brasse de 10 palmes (de 12 pou-
es).
Gursino, Aa, p. P. de Crapejar.
Gurgsapor, s. m. oelai qui fait des clous
Beer les (ers & oheval.
CRıvzsin, ©, 6. atlacher avec des elous an
ker ächeval ; eloner.
CasrsLina. V. Clavellina.
Casvära, s. m. ardillon : peinte de mdtal
fane bouele pous fixer la courrole.
Carua,s. f. cherille de fer ; alteleire, che-
vüle pour atieler les trails. Croiselte.—- mesira,
cerille ouvridre.
TCravina , s. fı (t. de dos.) petit illet, mi-
Fäonnette, — da China ou da Arrabida, millet
6 la Chine. — das arefas, willet des sables.
=barbeila, ailler barbu, aillat de poöte. — so-
berba, eillel superbe, mignardise. #4. V. Cla-
tina.
Casvıno, s. m. dım. de Cravo.
Tiaavmösı, adj. f. (Corolla —, It. de bet.)
tarsophyliee: en @illet (corolie),. —as,s. f. pl.
säryophıylices : famille des willets.
Guvoacäd, V. Claviorgäo.
CRE 359
+ Cnavista, s. m. elavcciniste : qul touche du
tlavecin. V. Peanisia.
Crävo,s. m. clou : morceau de metal qui
une l&le et une pointe. Cor: durilion qui vient
aux picds. Sorte de tumceur qui vient aux che-
vaux. Lumignon : ie bout de fa mäche d’uns
bougie alluınee. Clerage: maladie des oiseaux
de proie. (fig.) Tout ee qui ala forme d’un clou.
Pregdr um — na roda da fortuna, (fg. fom.]
firer la fortune. Dar no —, frapper 4 but,
prendre le bon parli. Dar uma no — e vulrg
na [erradura, (lg. fam.) frapper tantöt sur le
cercle, tantöt sur le Lambour.
Cnävo, s. m. clavecin : espöce de longus
epinette en carre, echancree dans sa lar-
geur.
t Cnivo, s. m. (1. de bol.) — ordinario, ete.,
— saloiv, aillet, @illet A ratatla : leur caryo-
pbyliee. — da India, clou de girofle. V. Cra-
rodrfa. — do Maranhäo, canelle-giroflde.
— felido da Indie, eillet d’inde, rose d’Inde,
fleur de’ Roıne. — de defuncto, Yafricaine.
— romano, slalice, gazon d’Olympe, willet de
Paris.
TCravoinsa, s. f. (8. de bot.)-* girofligr uw
geroflier aromatique : arbre myrtotde. j
TCravoiLua,s. f. (t. de bot.) benolte com-
munv, galinte ow recize, herbe de sat Benolt,
plante rosacee.
CrR£, s.m. * craie : carbonate de chaut, pierre
blanche, calcaire et tendre. V. Gräda. #8. Cr&s
toile dde Morlaix.
CnEACÄÖ, 8. [ creation : action de Dieu tirant
les etres du neant; action de creer, ses effetg;
nouvel etablissement d’offices, de rentes, de
charges, de papiers d’etat, etc. —, nominatlon
que fait le pape de nouveaux cardinaux. 7.
Criagäo.
Creino,A,p.p. de Credr.
CreAnOR, 3. m. crealeur : quicröe, qui tire
du neant; Dieu.
Creir,v. a. creer: tirer da n&ant (un @tre);
donner l’eire; faire; imaginor; Inventer; öt«-
bit (un tribanal, une charge, un papier-mon-
naie ow d’etat, ete.); constituer (une rente).
V. Criar.
CreATöRA, 8. f. erdature: ers ored; per-
sonne; protege, homme qui doit sa fortune &
un autre; hömme d&vous & quelgu’un:
CREATORINHA , 8. f. dim. de Createra. Petite
cröature, petit enfant.
CrEBr0,A,adj. (1.depods.)räpets. V. Amik-
dddo
CrEceR, etc. V. Croschr, to.
*Caentıno, A, adj. confident. V. Urddafo.
CRrdencıa, 5. f. eredence : petite table A
0416 de l’autel ek l’on placo les burelies, %
calice, etc. * Buffet sur lequel on metidit le vin
et l’eau destinds & la table du rei, pour verifier |
s’Hs oontenaient quolque chose oomtraire & ia
sante.
Cnedencıät, ad. H re ce ersen Earie- -
ou Credencttes (s. f. pl) 1€ )
Nastrencıänto, 3. 0 seeristahn «charge de fa
360 CRE
erödence du maltre-autel ; ofßcier du roi charge
de faire goüter le vin et l’eau qui lui devaient
@irc servis.
„Curpene,s. m. V. Tilulo, Abonapäo.
CrEpigiLipäne, 3. f. credibilite : qualite de
ce qui est croyable; raison , motifs pour croire.
Ca£oıto,s.m.* foi, croyance qu’on ajoute ä
une chose. Dar —, ajouter foi. A darmos — a,
ou se havemos de dar — a, s’il fauten croire.
Credit, autoril&, pouvoir, puissance, conside-
ralion; r&putation , renommee. "Creance; con-
fiance. Credit: usage de la puissance ou des
fonds d’autrui. Carla de —, billet, leitre de
credit.
* CrzpıveL. V. Crivel.
‘ Cr&oo,s. m. credo :: symbole de la foi, des
|apötres; croyance religieuse. Com 0 — na
| bocca, (fig. fam.) dans le plus grand danger.
| Em um —, (fam.) dans un clin d’eil.
Cn£oör, A (de‘, creancier, credileur, celui
& qui est dü de l’argent ou autre chose. (a, de)
( ig.) Digne de quelque bonne chose, y ayant
des droits, la meritant.
+ CREDTLANENTE, adr. avec credulite.
CnspuLiping, 5. f. credulite : facilite & croire
sans examen, sur un leger fondement. V.
Crenga.
Cr£ouLo, A,adj. credule : qui croit Irop fa-
ellement.
*CREER. V. Crer.
* Caeıveı. V. Crivel.
* OneLeciastico. V. Ecclesiastico.
* Catuıco. V. Clerigo.
CREME, s. m. ’creıne : partie epaisse du lait.
* CREMENCIA, elc. V. Clemencia, elc.
CREMESiM. V. Carmesim.
+ CREMONENSE, adj. 2 gen. ei s. Cremonais:
de Cremone; Milanais.
Ca£uorR, s. m. "creme: le suc le plus delicat
des choses. — de lartaro ‚creme de lartre.
CrEnA,etc. V. Querena, elc.
f Caenivo,A,adj. (I. de bot.) crene: & denis
arrondies (feuille, corolle).
Crenca,s. f. croyance: ce qu’on croit dans
une religion; sentiment, opinion. * Credit ;
oreance.
CasncHas, s. f. pl. naltes de cheveux. Jube:
plante.
CRENTE, adj. ct 8.2 gen. croyant: qui croil
ä sa religion, ce qu’elle enseigne.
+ CRENCtLADO, A, adj. (t. de bot.) crenule:
qui a de petites crenelures,
CRErE, 8. m. crepe : elolfe claire, frisee;
morceau de crepe en signe de deuil.
+ Ca£pı ow Unkeis, s. m. (1. de bot.) crepide
ou crepole : plante chicoracee.
+ Crxrıracäö, s. f. crepitation : bruit redou-
ble du feu, de la lasıme qui pötille.
CREPITACULO, 8. m. bisire, cymbale, casla-
gneltcs, cliquelies, et lout insirument pour
fairc du bruit.
ÜREPITÄNTE , adj. 2 gen. (4. de pods.) crepi-
Lant ; qui orepite , qui pelille. p. a. de
ORzPITaRn, v. 9. crepiler, peliller; eclater
CRE
avec un bruit reiter€ , en sautillant, comme le
sel dans le feu.
CAEPURINA OU CRAPLDINA „ $. f. Ccrapaudine:
pierre precieuse , supposee Irouvee dans la
ieie du crapaud, bufonite.
CRErUSCULÄR ‚adj. 2 gen. cr&pusculaire : du
er&puscule.
CREPÜSCULO , 8. m. cr&puscule : lumiere,
clart& qui pre&ce&de le soleil leyant, ou suit le
soleil courhant jusqu’ä la nuit close ; sa durve.
(fig. V. Vislumbre.
CRER, v. a. croire : estimer une chose vcri-
table; la tenir pour vraie, juger vrai ; ajouler
foi & ; estimer, penser, presumer, avoir opinion
que. — a olhos fechados,, (fig.) croire aveurlu-
ment. — de ldre, croire lögerement. Vere—,
croire & de bonnes enseignes. — piam£nte,
croire pieusement. Fazer — enganando, en
donner & garder, en faire accroire. — cnusas
falsas, accroire. Näocreia V. M.isso, gardez-
vous bien de croire cela. Sö quando o vir € que
o heide —, je ne le croirai qu’autant que je le
verrai.
Cr£r (a,em),v.n.avoirfoi een, & (Dieu, an
Saint-Esprit , etc.); donner sa conliance &
quelqu’un , sa croyance & quelque chose. Eu
IN o creio, ( fam.) je crois ce que vous dites, je
vous crois. Creio de boa mente ou eu bem ereiv
que, je crois bien,je crois assez. E’ de—ouka
molito para— que..., ily a lieu decroire que...
Catk-sE, v. r. se croire : s’imaginer eire, se
regarder comme; ötre cru. — geralmente, on
croit generalement.
* CrERiA , Creaezia. V. Clerczia.
CRESCENGA, 8. f. croissanco, aceroissemen! ;
erue ; allonge; exc&dant, surcrolt. V. Auf
mento
. [|
CRESCRNTE, adj. 2 gen. croissant:: qui eroll.
p. a. de Crescer. Quarto — da lus, premiet
quartier do la lune.
CaESCEnTE, 3. m. (4. de bias.) croissant: f-
gure de la nouvelle lune, sa forme. Levain.
Faux loupet. s. f. Flux de la mer; accroisse-
ment, crue d’une riviere. .
CRESCER, ©. n. Croltre, augmenter; grandit;
enfler, hausser, grossir ; redoubler. Rester, €lre
de reste, surabonder, excöder. (Ag.) S’agran-
dir, s’ciendre; s’augmenter. — a ou
olko , ( am.) crottre & vue d’al!.—em corcot#,
( fig. fam.) aller de mal en pis. — pers baiz?,
(fam. iron.) diminuer au lieu d’augmenter.
— como a espuma, ( fam.) faire rapidemen! s2
fortune.
CRESCER,, v.@. P. us. augmenter, faire erol-
tre. — coragdo, (ant.) reprendre couragr.
* F Crescks, s. m. pl. accroissement, auf
mentation de volume qu'scquiert le bie, 1e
sel, etc., lorsqu’on les remue avec une pelle.
(fig.) * Augmentation, accroissement, aval-
tage, exces.
+ Caescina, 5. f. "accroissement, crue d’esü.
+ Carscivam£nte, adv. copieuscment, abol-
damment ‚avec augmentalion, avoc accIOls5e-
mei. u.
ERI
CRESCIOIXNO , & ,„ adj. dim. de
CRESCIDU , A,P. P. de Crescer. adj. Grandi ;
accru ; grand ‚ considerable; nombreux. Rio—,
riviere baute.
+ Caescivos, s. m. pi. augmentes : mailles
dont on renforce unbas dans certains endroits.
CRESCIWENTO, 8. m. accfoissement, Cfois-
sance ,„ augmentation. (fig.) Acces de flövre,
redoublement de fi&vre.
Cresriö,s. m. er&pon : &toffe de laine ou de
soie, non croisce ot frisee.
Carspatrüna. V. Crispalura.
Cresriväö, 3. f. frisure ;: elat de ce qui est
fris€ ‚de ee qui est crepu; äpreie au toucher,
rudesse, inegalite d’un chemin.
CresPixa, 5. f. sorte de coifle en reseau.
CRESsPisEO, A, adj. dim. de Crespo, un peu
frise, un peu crepu.
Cr£sro, a, adj. crepu, trös-frise,, cröpe.
frise, en parlant des feuilles de certaines plan-
tes. (Ag.) Herisse , couvert de choses pointues,
raboteux. (id.) Obscur, entortili6 , boursouffie,
en parlant du style. (id.) Irrite, alter6 ; mena-
can Mar —, mer agitde. Nariz —, nez re-
brousse.
Catsta, s. f. röcolte du miel; hrouissure ;
Kapine.
Cagstı-coLutıas, s. m. celul qui recolte du
miel , qui chätre les ruches.
CaRESTADO, A, ?. pP. de Creslär.
Cazrstapüra, 5. f. lögere brülure; broais-
sure , häle.
tCarstamento, s. m. — du sol, ( t. de bot.)
Paction et l!’effet du bäle sur les plantes.
Cazsriö.V. Casträo ou Castrado ( bode).
Cazstiß, v. a. brüler un peu; flamber;; hA-
ler, roussir, brouir. Chätrer les ruches. Il est
quelquefois reoiproque. Ex.: As vinhas crestd-
räo-se com a geada , les vignes ont gele.
Caericeo, A, adj. cretace : de la natare de
ia oraie,, qui en contient.
+CarTEense, adj. et s. 2 gen. de Crete, au-
joard’hui Candie.
Catrumo. V. Crithmo.
+Cz$rıco, s. m. crölique, smphimacre :
pied de vers employ& par les Cretois dans leurs
ehansons , el compos& d’une bröve entre deux
longues.
Carroso , Aa. V. Creidceo.
Cazino, A, p. p. anl. de Crer. V. Crido.
Catvg, 3. m. marin qui [ait transporter du
sel 4 bord des vaisseaux, et en eompte les
mauids,.
Caıa, 5. f. petit d’un animal qui lelte. *Nour-
rissage.
Caıacäö,s. f. "noufrissage, aclion de nour-
rir, d’e&lever. Toute sorto d’animaux qu’on
elive ;couv6e; haras, etc. *Crolt: augmentation
de beiail. Education; politesse , honnetete, ci-
vilits. (&g.) Patrie. V. Creagdö. Bda ou md—,
boune ou mauvaise &ducalion. Dar —, eierer,
prendre soin de l’education. — do bixo de seda,
de animdes , eic., 6ducation du ver Asoie, des
aninauı, olt.
CHI 364
Caıända, 8. f. domestique, servanie. — grave,
femme de chambre.
CGrıapkira, 3. f. nourrice. adj. f. Feconde
(vache , chienne, elc.).
CRıaDiLHA, 3. f. testicule d’animal ; rognon.
—ı da terra, ou simplement —s, truffes. '
CaiaDinHA ou CRraDITA, 3. f. dim. de Criada,
petite fille qui est en service, pelite servante.
Soubrette.
Crıäpo, s. m. domestlique, serviteur, valet.
— grave , valet de chambre. — de prisdo,, gui-
chetier. Todos os meus —s esido doenies , tous
mes gens sont malades.
CrrÄnO, A, pP. p. de Criar. adj. Eleve,
nourri. Bem ou mal —, bien ou mal e&leve.
Fallar como bem —, parler en homme bien
sleve. Estar —, n'avoir besoin de personne,, 80
suffre.
+ Catap6ıno, s.m. * pepiniere. Lieu od l’on
elöve des animaux.
CrrADdOR, A, adj. et s. qui nourrit,, qui &leve;
nourricier. Mattre d’un haras. V. Creador.
Provineia—a, (fig.) province fertile en grains.
* CrıamEnTo. V. Criagdo , Sustento. —s, pl.
V. Afagos, Meiguwices.
CrıiÄncA, 8. f. Jeune enfant. — de peilo,, en=
fant & la mamelle. anf. V. Criagdo. Fazer-se
— ou brincar como uma —, faire V’enfant.
CrIANcCINHA, 8. f. dim. de Crianca.
CrIANTE. V. Criador, ad).
Crıin, v. @. nourrir, alimenter; allaiter.
Blever (des animaux ‚Ges plantes) ; donner de
l’e&ducation ; instruire , &duquer. Acquerir, ga-
gner; pousser, en parlant des cheveux, des
racines. Procreer, produire. (fg.) Eire cause.
V. Crear. —carnes, engraisser, prendre de
’embonpoint. — d mädo, 6lever & la brochette.
— ao peito, allaiter. — um filko a seus peilos,
etre la nourrice de son enfant. Dar um menino
a —, donner un enfant en nourrice. Bstara—,
etre en nourrice. — boldr, gagner du moisi.
— affeicdo a alguem, s’alfeetionner ä quel-
qu’un. /sso eria suspeila, cola donne ou Cause
des soupcons.
Cntär-sR , v. r. se produire. (Ag.) Se former
par l’education.
Crıatüna. V. Crealura, enfant qui n’est pas
encore ned ou qui ne fait que de naftre. (fg.)
Creature : personne favoriste, protögee.
Crica. V. Cliloris.
+ Caıcero, s. m. (t. d’hist. naf.) hamster:
rat da Nord , tr&s-nuisible.
+ Crıcöine, adj. 2 gen. Cartilagem —, (1.
d’anat.) crioolde : ( cartilage) du larynx.
Crido, A,P. p. de Crer. adj. Cru : & quoi on
ajoute foi.
* Crisa. V. Clima.
Crime, s. m. erime : action mechante et pu-
nissable par les lois; faule enorme; grare in-
fraction des lois de la nature, etc. ; tout ce que
la loi punit d’ane peine afflictive ou infamante,
— de ldsa-magestade, crime de löse-majesie.
Escriväo do — ‚ greflier criminel. Sala do —,
tournelle, chambre criminelle.
308 CRI
Crime, adj. 2 ges. criminel (procds ; juridic- |
tion, etc.). Olhos —s, des yeux courrouceR,
Faezer-se —, se courraucer ou en faire seIm-
blant.
GRINSMENTE, V. Criminalmente.
Crım&za,s. f. severile; mine severe.
GRIMINAGAÖ, 8. f. accusalion , inculpalion.
CRIMIXADO,A,p. p. de Criminar.
CRIMINADÖR , A, 8. accusateur; qui inculpe.
CamıniL, adj. 2 gen. criminel : qui a rap-
port au crime.
CRIMINALIDÄDE , 3. /. criminalitö: clat, na-
ture de ce qui est criminel.
CRIMINALISTA , 3. m. criminaliste ; auteur qui
ecrit, ou homme instruit sur les matidres cri-
minelles.
CRIMINÄLMENTE , adv, criminellement : d’une
maniere criminelle ; au criminel.
Caıminäa,v. @. inculper, incriminer, accuser
quelqu’un d’un crime, le lui imputer.
CRIMINÄR-SE, %. r. s’incriminer, se declarer
criminel volontairement ow involontsiremeut.
+ CRININÄVEL , adj. 2 gen. qui peut dire com-
sider6 comme criminel ; oondamnabie.
CRIMINÖSAMENTE, ade. criminellement : d’une
manidre criminelle.
CRImınöso, A, adj. eriminel, coupable; mal-
faileur, en parlant des personnes. —, condam-
nable ; contraire aux lois naturellas ou sociales,
en parlant des actions,
Crina,s. f. "crin: polllong du opu et de la
queue de toutes les belos de somme. Crinidro ı
crins qui garnissent lc cou du cheval et celui
du lion, Agarrar-se ds —ı, (fam.) se prendre
aux crins,
CrınäL, adj. 2 gen. des cheveux, du crin.
CaınÄurEo, a. V. Aurieriniio.
’ Caıne, 8. f. V. Crina.
+ CrınıspÄrso, A, adj. (d. de pods.) aveo les
cheveux &pars.
„Crınito ,a,adj. (6. de pods.) qula une cri-
niere epaisse; chevelu. Comela —, comete
chevelue.
Crino, s. m. (1.de pods. p. us.) V. Cabello.
+ Caino, s. m. (t.de bot.) "crinole ı plante
narcissoide, 6xotique.
‚ Caıöuno , 3. m. ortole : nd en Amerique (Eu-
zopsen ). Esclave nö ches son malire.
CRIQUE, &, m. esp&ce de perroquet.
Cris, adj. 2 gen. eclipse. Si—, ua—,
&clipse de soleil, de lune,
Cnis ow Criz, s. m. "dague , ou poignard des
Malais,
Calsipa ou Cnızipa , 8. f. coup de oris. V. ce
mal;
Crısiuina. V. Crysalida.
Caisz ,s. f. (t. de med.) crise ı okangement
eubit dans une ınaladie; effortde la nature con-
tre elle; (fg.) peril; moment perilleux ow deci-
sif d’une affaire. *Jugement poris sur uns chose
aprös un ınür examen,
fCuist, a.m. sorte d’&tamine,etoffe do laine
klanche ot irös-lino, “
Caisno. V, Chrysso.
CRO
Caıswa , etc. V. Chrisma, eie.
ÜrRISÖL. a. m. creusel : vase pour fondre !=--
melaux. Äg.) —, fpreuve.
Grisonıta „etc. V. Chrysolitha, eic.
Crıspatina, 8. f. crispalion : conlraction in-
volentaire des muscles, etc.
Caista, s. f. cröte : excroissance ebarnue
sur la tete ducog el d’autres oiseaux. *Panache
au haut des cosyues, cröte de casque. — ds
esplandda , (t. de fort.\er&ie da chemin cou-
vert de l’esplanale. Zerastar a—, Ag.) lever
la crüte , s’enorgueillir, s’en faire aoeroire. Jo-
gar &s —e, \td.) se quereller.
CRISTADO, A, adj. crete : qui a une er@le.
Cristal, etc. V. Crystal, ete.
* Crıistäö, V. Grestäo.
T CrısSTATELLA , 8. f. (& d’hist. wat.) orista-
telle : polypier spongiforme. — belorose, cris-
tatelle moisissure.
GRısTEL. V. Clyster.
CrıTERıO , 8. m. erilerium : marque de la v6
rits ; habitude pratigae de connaltre la verite.
Ceıreuo, s. m. (t. de bot.) bacllie mari-
time, ou criste marine, — besiardo, &thise-
phore , porte-epine.
Cairica, 4. f. eritique : at de jJuger d’an
ouvrage d’art ou d’esprit; etude de la liltera-
ture; censure inaligne des ecrits, de ia con-
duite; art, goüt, capaoli6 pour juger d'un ou-
vrage d’esprit,
Criticino , A, P. 9. de Crilicar.
Crıticadön, 3. m, celui qui eritique, qui
alme & oritiquer. V, Critico, 8
Criticin, vo. a. critiqder ; exartıiner un em
vrage; reprendre, Lrouver a redire , cemsurer,
blämer (une personne, une action, eto.).
CriricäkveL, adj. 2 gen. critiquable : qei
peut dire justerhent eritiqu6 (ourrege, per-
sonne, elc.).
Crirco, a, adj. orique : de la critigee.
(t. de med.) —, dangereux, difiele A passer,
penible, qui amene une crise; (Ag. danze-
reux, etc.
Critico, s. m. critique « oalui qui exeamise,
juge, explique, eclaircit los ouvrages d’esprit,
d’arts; censeur qui juge les ouvrages; welni
quiiroure d redire & tout.
* Crıriatizan. V. Crilicar.
+ CriTöpnAGO, 8. m. quise nourrit de palnı
d’orge.
CRIYÄDOQ,A,P. p. de
Crivia, v. a, cribler ı noßtoyer avec le eri-
ble; passer par le criblo; percer comme wa
crible (de blossures, de bailts , etc.).
Criver, adj. 2 gen. croyable : qui doit, gei
peut eire cru.
Crivo, # m. cribla: instrument peres de
irous pour nettoyer le grain, pour le triert
(Ag.) surface percce de trous.
Crizr. V. Crise.
Crö,s. ın. sorto de Jeu do carlag.
TCnoicıa,s.f. \6. de gdog.) Croalio : pre-
vince de la Hongrie.
+ CroActÄnO, CRoAcıo 0% CROATO, A,adfı @&
CHU
s.Crosie, de ls Greatie: kal-tant ıle la Crostie.
Conn,s. fi vece .
Camst, 8. m. guelien. non use salren.
Cana. V. Coruru.
Cauıro, A, adj. safranı , cou eur desalsan.
Cascsiı. V. Cozie.
Caocırıcan , ete. V. Crucificar, el.
+ Caocımo, a. o. enguenilait avec du salran.
(zocı100, A, P. pP. de
Caocstaa, v. 8. croasser. On le dit da 00M-
besu Qui erie.
*Caoco. V. Acafrdo.
t Cuocomuimos, 8. 0.3. (4. d’hist. nal.)
crosediliens ; reptiles saurions.
Caocopi1o, s. m. crocodile :le plus grand
des kzards; reptile saurien,, amphibie, & cou
couvert de inbescules, et eorps formd de sog-
ments, d pieds palınds,, oarnassier. — de Gen-
ges, garial. (Ag.) Mechant, traltre, peorfide.
Legrimas de — , larımes perfdes.
| CaochTa, s. f. quadsupede 26 de lion et
yene.
Caouısrı0o. V., Chromsliise.
(zo , a. f, ezosse de fusil,
t lsoru6ı80 „a. 90, Buvrier qui [sit des cros-
ses de funil.
Caozıca „ @iß.
(a03010614 , el6, V. Chron..., W0.
CRonöusTao,
Caögce, 3. m. croc : longu6 perche armte
dam poinie ei d’un crochel.
+Caogsinmas, s. f. pl. Senlar-so de —, War
ir
Cadsra, s, f. escarse s oroüle noise sur la
peau, les plaies, etc.
Cadsre, V. Colostro.
CaöTaLo,s. m. crotale: lambour, castagnetie
des pretres de Cybele. Serpent ä sonnetles.
} Caotımmıre , s. m. (4. d’anal.) erolaphite ;
musche des tempes , qui relöve ld ımächoire in-
ferieure.
f Caoromire , odj. 2 gen. crotoniate : origi-
naire de Croione.
Cac, a, adj. eru:qul n’est pas cuil; vert,
pre indigeste „ diflicile & digerer.— , qui n'est
point appret , preöpard : on le dit de la soie,
de la toile de lin, etc. (Ag.) Cruel, dur, sans
päi&; rigoureux, dur. (1. de chir.) Qui n’est
Pas eücofs mür,en parlant d’un apostöme, etc.
Cacautıte, adv. crüment, durement, sans
t; cruellemen!,
+ Carczsıcnäto, A, adj. qula la croix pour
devise; marque d’une croit.
+ Caocairo, #. m. croisat ı monnale d’ar-
gent äGenes, 4 Ir. 50 0.
Caruir, adj. 2 gen. (f. de oAir.) erucial :
falte en croix (incision).
Carcıantırı, s. f. (tl. de bof.) oroisetie
ae, erucianelle , plante rublacde,
Cataus. V. Alormentar, Marlyrizar.
Caraito. V, Tormento, Anguslia.
TCacarsnänıo, 8, m. portc-croix.
+Caccirenas,s. f.pl. (t. de bot.) crucifäres ı
plantse A quaite pötales en crolt.
CRU 388
CrrcisERNn, A, adj. crucifäre ; qui parto une
eroit.
allen en. N. danetamo,
erreircad9 A, EP. de Lrucifeur. OO —, 8,
On le dit par excellence de JesumChrist.
CutciricAapöR, 5.1. colui yui crucilie.
CRUCIFICANMÄNTO, 8. m. V. Crucifudo.
CAUGIFICAR , ©. a. cruciüer ; attacher & une
eroix; melire en croix; (Ag.) mortifiersa chair,
ses passions.
Caccırıxäö, s. f. "erucißement : action de
crucifler ; supplice de la aroix; (Ag.) mortifl-
calion de la chair, des passions.
Cauerizo, 3. m. cruciäx : croiz, tablean,
slalue, estampe qui represente lo Christ mis
en croix,
CRtciFÜRME „ adj. 2 gen. oruciiorme : eu‘
forme de croix.
CRUDELISSINO, A, adj, sup. de Crudi,
FT Cavtına, 0. f. (t. du Bresü) partie gros-
siere du manioo qui na passe pas dans lo san,
Crvfr, adj. 2 gen. cruel,; denature, inku- :
main, rude, tigre, barbare, sanguinaire; (flg.)
sanglant, fächeux; mauvalia, insupperiabie,
douloureux.
CnusLpäpe, 5. f. cruauts, Inhumaniis, f6-
rocite; action cruelle.
CaUELISsıINO, A,60dj. sup. de Crudi.
CausLm2ntE, adv. oruellement : aresctusmid;
excessivement.
+ Cuvestagiö,s. f. Y’action d’ensanglantee,
T CRUENTANENTE, ede, d’une manlöre sah-
glante ‚avec eflusion de sang,
CRuEntin, V. Ensanguenidr.
CRUEXTISSIMO,, A , adj. sup. de
Cau£nxto,&, adj. sanglant, ensangleni,
Crußza ,s. f. crudits; indigestion ; humenurs
crues dans l'estomac. Cruaut# , dureis, Inhurt
manite.
CavissıMo, A, adj. sup. de Cr&, et de Orudi.
Caisa. V. Coruje. .
. Causan. V. Chirär. .
° CRUNHAR, olc.
* CHUNHO. ’ | V, Cunh..., et.
Ca0o,4A. V.Crü.
fCauön,s.m. sang qui coule, sang versd,
(1. de med.) CGruor : partie eolorante du sang.
+ CavpeLinıo, s.m. crupellaire : glädisteur,
soldat gaulois arıne de toules pidces.
+ CrvriL, adj.2 gen. (l. d’amal.)crural : de
lajambe, de la caisse.
+ Caunıraäcıo,s.m. l’action et l’effet de cas-
ser les jambes.
Crusan, etc. V. Cruzar, eto.
Causta. V. Crosia, Coödea.
Cavusticgo, A, adj. crustace : (animal) cou-
vert d’ecaillesowd’une enveloppe dare, Bexible
et divisee comme T’ecrevisse, eic. —, 3. m. Pl.
(1. d’hist, nat.) crustaces : famille des crus-
taces.
+ Caustacites, s, m. pl. (1. d’Mat. Aal.) cru
taciles : chustacds fossiles,
Caustnöso. 7, Cosirdsoo,
Catta ‚a.f. orte de polsson de user tls-plak,
388 CRU
Caüz, s. f. croix : lignes formant quatre an-
gles: gibei en croix; sa figure; representalion
de Jesus-Christ en croix; choses croisees;(fig.)
peine , tourment; affliction envoyde parle ciel.
* Garrot de cheyal. (1. d’escr.) " Croisement. —
geomelrica, croix geometrique, bäton de Jacob:
instrument pour mesurer les hauteurs. O s-
gnal da —, le signe de la croix. Grdo —,
grand’eroix. Em—, en ceroix. Estar, ver-ss
enirea — e a aqua benta, (fam.) fuir, @ire &
deux doigts de sa perte. Trazer, ter a — aos
peitos, porter la croix de quelgune ordre. De —
ulcada, la croix levee. Levar a—ao calvdrio,
inir, achever une chose difcile. — de Malta,
(1. de bot.) croix de Jerusalem ou de Malte,
Deur de Constantinople, espece de Iychnis.
Oruzes, pi. eroix : cöl# de monnaie marquee
d’une croix. — ou cunkos ? croix ou pile? sorte
de jeu aveo une monnale qu’on jette en Pair.
Näo ter — nem eunkhos, (fig. fam.) n’avoir ni
croix ni pile. Fazer — a alguem, (fam.) fuir,
eriter quelqu’un. Fazer — na bocca, (id.) etre
a jeüän.
T Carzisıco ‚s.m. (f. #’hist. nat.) bec-croise:
espece de gros-boc , oiseau.
Cavzina, 8. f. croisade : ligue (des catholi-
ques) contre les beretiques, les infiddles; ex-
pedition des chretiens pour conquerir la Terre-
Sainte. Treupe armee de croises. Bulla da —,
cruciade : bulle du pape au roi d’Espagne et
de Portugal.
Cavzipo,A,p.p. de Cruzsar. adj. Croise.
Estar com os bragos —s, (fig.) resier, demeu-
rer les bras croises, sans rien faire. Com as
mäos—as, (fig.) dans une attitude humble,
suppliante.
Cruziso, 3. m. ’cruzade: ancienne monnaie
de Portugal et d’Espagne. — novo, cruzade-
neuve, monnaie d’argent portugaise, 2 fr.94c.
Groise : celui qui prenait la croix pour aller
combattre les infideles ow les heretiques.
} Cruzapön, A, 8. qui croise, qui traverse,
CRUZANENTO, 8. m. cFoisement : action de
eroiser, de se croiser.
Cruzir, v. a. croiser, traverser, meltre, dis-
poser en croix; traverser un chemin; rayer
avec !s plume. (f. de mar.) Genoper, brider.
— acdra a alguem, croiser, couper, balafrer
le visage & quelqu’un. — as ragas, croiser les
races, apparier les animaux de deux races. —
as vergas, (l. de mar.) brasser carre.
Cruzin,v.n. (l. demar.) croiser : aller et
venir dans les memes eaux.
Cavzär-SE, ©. r. se Croiser : 86 Couper; 86
rencontrer, se lraverser, se dit de deux lignes,
de deux chemins, etc. Faire le signe de la
eroix. V. Benzer-se. S’'humilier, se prosterner.
Cruztino, s.m. "croisce: partie d’une &glise,
en croix; grande nel; grande croix de pierre.
(i.de mar.) "Croisiere: action decroiser ;espace
de mer dans lequel on croise; les bätiments
qui font ce service. (. d’astr.) * Groiselte : con-
stellation australe de quatre &toiles en croix.
Ordre militaire au Bresil. (4. de dot.) Cruzeiro : !
CU
plente du Bresil, plus amdre que le quingaina,
Crvz&ıno, A, adj. qui a une croix.
Cauztra,s. f. dim. de Cruz. Croiselie : pe-
tite croix.
Cavzınna, s. f. dim. de Cruz.
+ Cauzıra, s. f. (i. de bot.) eruzite: plante
d’Amerique.
CavPta, s. f. orypte : souterrain , pelite fosse
d’eglise oü l’on enterre. V. Carneiro.
+ CavYrrocasia, s. f. (8. de bot.) orypioga-
mie : classe des vegelaux cryptogames, & Iruo-
tflcation inconnue.
+ Careröcaso, A, adj. (4. de bot.) erypto-
game : (plante) dont les organes sexuels sont
caches, douteux.
} CRYPTOGRAPEIA , 8. f. eryptographıe : erı-
ture de convention. V. Steganograpkhia.
tCrYprockärmco, A, adj. eryptographige”
de la erypiographie.
+ CRYPTöNYMOo, A, ady. eryptonyme (atuteur,
qui cache ou deguise son nom.
Cavsıs. V. Crise.
CkYstäL, &. ww. cristal: pierre transparenie
et dure; verre Ön; ( Ag.) se dit des eaux clai-
res, limpides. — de rocha ou de roca, crisul
de roche. Crysides, pl. cristaux: sabslances
minerales ow salines, eic., qui prennent d’elles-
memes, en se solidißent, une figure constanie
et döterminde. (Ag. podi.) Larmes. Verter —,
verser des larmes.
CaYsTaLLino, A ‚adj. cristallin : transparente
comme le cristal (eau); de la nature du cristal
(corps). —, nom d’un ciel de l’ancien systeme
astronomique. (flg.) Fragile comme Ile crisial;
inconstant (ami).
CarstaLLino, s. m. (4. d’anal.) cristallin:
humeur de !’ail; ciel de cristal ; verroterie de
caistal.
CaYstaLLızacäö, 8. f. cristallisation : action
de cristalliser ow de se cristalliser;; ses effeis;
chose , malidres cristalliseces.
CayYstaLLızipo,A,p.p. de
CKYSTALLIZÄR, ©. a, crıstalliser : congeler,
reduire en cristal.
CRTSTALLIZÄR-SE, ©. r. se cristalliser. Se dit.
des sels, etc., dissous dans un liquide, qui se
r&unissent en solides.
+ CavstaLLocaapnia, 5. f. eristallographie:
connaissance, description des cristaux, des
formes des mineraux.
+ CRYSTALLÖGRAPRO, 3. m. cristallographe:
qui sait la cristallographie.
+ CrvsTaLLoLocia, s. f. cristallologie : traile,
science des cristaux.
CRYSTALLOMANGIA , 8. f. cristallomancie : di-
vination par les surl[aces polies.
T CRYSTALLONÄNTICO,, 3. m. cristalloman-
cien : qui s’sdonne & la cristallomancie.
f CRYSTALLOTECHNIA, 3. f. cristallotechnie:
art de cristalliser les sels , les sucres ei d’autres
substances.
Co, s. m. cul: le derriere, l’anus, le fonde-
ment et les deux fesses; ( Ag.) fond ou derriere
d’un vaso, etc.; extrdmits d’une chose. O3ko
CUC
do —, (burl. et bas) l’anus. — francey, iowt-
nure , polisson (pop.). — da bigola, (1.de mar.)
tete d’un cap de meuton.
Coapa,s. f. casse-cul: coup qu’on se donne
en tombant sur le cul. (4. de mar.) Coup de
sion.
Cosa, s. f. cuve, muid, tonneau, tonne,
pipe.
Cuaenas. V. Cobibas.
+ Custıno, A, adj. qui a &iö dans la cuve,
qui a le gott de la eure (vin).
Ccs£LLo, 8. m. sorte de tour des aneiennes
fortißcalions.
Custara, etc. V. Coberia, etc.
CrBzaTi0o. V. Acabertado.
Crnica, 3. f. cupidite, convoitise, desir im-
modere (des richesses , des honneurs, etc.).
Crs;ivo, A, p. pP. de Cudirer.
Ccosgänte, adj. 2 gen. V. Cubigsso.
Craigä®, dv. a. convoiter : desirer avec ari-
diie, avec une passion deregiee (les richesses,
ta femıne , te bien d’autrui ).
tCusiciveL, adj. 2 gen. convoitable : qui
peat &ire convoite; desirable.
Cisıco,A, adj. (t. de gdom.) cubique : du
cube (Bgure, nombre).
COBICÖSANENTE, edv. avec avidit# , avee con-
voitise.
Craıcös0, A, adj. convoileux : desireux; qui
convoite, qui desire ardemment.
CusIc#Länıo, 5. m. valet de chambre.
CosictLo, s. m. “chambre & coucher; cellule.
Crssııatına. V. Cuvihbira.
CusıriL, adj. 2 gen. (1. d’anat.) cubital : du
coude, qui tient au cubitas (muscle). Qui a
une eondee.
Cösıro, s. m. (It. d’anat.) cubitus : os trian-
galsire, le premier de l’avant-bras. * Coudee
(mesure). V. Cövado
550, s. m. (l. de gdom.) cube : solide & six
faces carrees e&gales; (1. d’alg.) produit du
earrs d’an nombre multiplie par co nombre;
hexatdre. Sceau : vaisseau & puiser de l’eau.
Moyeu de roue. * Tour dans les anciennes mu-
railies. ° Auge, huche, canal; auget d’une roue
hydrauligque.
+ Cöso-c5s0, s. m. (4. de malk.) cubo-cube :
sixkeıne puissanee d’un nombre, carr6 du cube.
r Cosoine, s. m. (I. d’anat.) cuboide : os du
pied en forme de cube.
+Cuso-saua, s. m. chef de toutes les foroes
mılitsires du dapon.
Cornscäö. V. Cobrigdo.
+Cıisnicöunua, s. f. nom d’un poısson du
Bresil.
Coprıa, etc. V. Cobrir.
*Cunrırorn. V. Coberior.
+ CicaxnA, 3. f. mät de cocagne : mät roll
de graisse , au haut duquel il [aut monter pour
avoir un prix. (Ag.) Chose facile & oblenir, pro-
ft, avantage oblenu sans peine ei aux depens
Tun autre. Paizs de —, (fam.) pays de Cocagne,
bondant en toules choses, oü I’on fait grande
e.
Cul 368
+ Codanuttıno, s. m. homme habile ä se pro-
curer & peu de frais ou aux depens d’aulrui ce
qui lui est avantageux.
Cucärng, 8. m. osselet; jeu des osselets.
Cucena. V. Apucene.
vermcHir. V. Cochiehdr.
CocaıMıöco , s. m. (£. d’Asie) lettre de change
delivree par les bonzes aux cr&dules, pour une
somme d’argent, qui sera payde dans l’autre
mon«le avec la prime de cent pour cent.
Cöcao, s. m. (1. d’Asie). V. Liste.
t Cocı, s. m. euoi ow doume : fruit d’un pai-
mier, en orange, & noyau.
Göcıo , s. m. sgnelet : petit agneau.
Cucörera, s. f. doume : sorts de palmier
qui donne le ouci. V. co mot.
Cöco, s.m. (8. d’hist. nal.) couceu : olseau
sylvain. — poupudo ou fourdeo de Guind,
touraco. (fig.) V. Cormudo.
Göco,s.m. (i.d’Asie) quadrupede des Mo-
luques qui ressomble au lapin.
Cucüra, s. f.“ cucupha , cucufe: calotfe , bon-
net piqu& plein de poudres cöphaligues pou® :
l’hömiecranie.
Cucuräte , s. m. ($. burl.) petit homme,.
+Cucusü,s.m. (1. d’hist. nal.) cucujo,cucuju,
<ucujo, cucujos, richard : ool&optere luisant,
qui sert de parure aux dames espagnoles du
Perou.
CucviA ,s. f. V. Cezulla ei Cogulla. Cueule,
iroo, chape.
+ CucuLLino, s, m. (d.d’bist. nal.) cucudlan
ver intestinal.
- CuciLo. V. Cogelo.
CocuukLo. V. ’
Cucönsıta, ef. cucurbite . vaisssau pour la
distillation. #4. V. Cabage.
f Cucunsıtäczas, s.f. pi. (4. de bot.) eucur-
bitscees : famille des plantes diootylsdones ,
diolines.
+CucunecH£o, s.m. (l.d’arch.) clel de voütez
Wrurelle ouverie pour laisser entrer le jour.
+ Cocurtccü, 8. f. (t. de bot.) oucuruou : se”
pent du Bresil.
Coucunöta,s.f. (t. pop.) cime, sommet
CocundTo, 5. m. (d’un arbre, etc.).
Cecuvipa. V. Cuquidda.
Copar, eto. V. Cuider.
Cug£cas. V. Ceroulas.
CougırinHo , s. m. dim. de
Cotıro, s.m. lauge : dtofle donton enve.oppe
les enfants en maillot. Desd'os —s, dds la plus
kendre enfance.
Cußza, 3. f. sorte d’ancienne mesure pour les
grains.
+ Cucuinno, s. m. (1.d’hist.nal.) cougouard
ou puma : grand chat de l’Amerique meridie-
nale.
CuGüLLa , s. f. cuculle : veiement de dessus
de bencdictinset d’autres religieux. "Capuschen.
CiGuninuo. V. Cuminko.
+ Cunick, s. m. (1. de bot.) coubage : fere -
puanie des indes. .
Cara „s./."plat de balance; vasg en ooqguille,
366 CUJ
(4. de bol.) Caidte : calehassicı d’Amdrique;
eeui : san [suil sec ei vide.
Criwacäd. V. Cogilapdo.
Cirıvapausexıs. V. Deiiberadamente.
CuiDApo, 8. m. soin : altenlien, sollicitude.
"Etude, attention. "Affaire. —, seuci,inquiet:ude,
crainie, ombrage. V. Angustia. Esiar dısmie
de =, (fen.) €ire dangereusement malade.
Tor =, se seusier. Pör, ter — em, preisdre
garde de. — csm...! prond garde d, gare!
Com —, V. Cuisladosamenise. -—— somm:igo,
prenga gande A vous. — cam is50, prenez garde
a cela. Estar com — em algusm, tire inquiet
de quelqu’an. Faller de —, parler sagementi,
aves rillerion. Ado serds amado, se de fi Kö
tens —, ( prov.) qui m’aime que Bol, n'est alıme
de pessonne.
CumäB0,A,p. p. de Cuider. ade. N’y man-
yuez pas, sans faule.
FCuwaota, s. m. cplut qui se domne trop de
soucis. Röveur, someieux, pensif (emt.).
Cinpsuösamänre, ado. solgneusement, avoc
sein, avec attemtion. Alerte,
CuiDADosıssıno, A, adj. sup. de
Curvan6so,, A, adj. solgneux, diligent, exact.
Alontf, vigilent.
CupiR, o. &. imaginer, penser, eroire. (uem
tal cusddarie ? qui Yaurait eru? Nunca Lil ewi-
dei, je ne l’ai jamais cru.
Csınis (em), ©. n. ponser &, röflschir sur,
mediter ; songer. (de , Soigner, avoir, preudre
soim de; {aire attention; veiller &. Croire, ima-
giner, penser. Dar que —, donner des ingais-
tudes; donner & penser. — de nde..., se donner
garde de... Näo — de sow alinko, se negliger.
Copia-$2, u. r. imp. avoir, prendre som.
COL
Eala znoge jam - „, celie fille a san zmburent.
CuLirra, 3. f. enssse, culassec eewurbe da
für d’un fusil. (. burl.) Genssen fesses.
CoLcaanı, 8. m. (l.d’Asie) gueflier de vülage.
*Ciussra,s. f.Y. Colehd.
CoLesaına. V. Colubrina.
+Diızo, 5... sulre ; ac de suis des anclens
Romains.
+ CuLisauäö, s. m. (£. de bet.) oulllaban ou
cullawan < arbre de !inde, aspöce de Isurier.
fCuLınarı0o, A ‚, 0dj. qui anmeemme la ceisine.
* Cussse. V.Cums.
CrLuinaciö, s. f. (8. d’astr.) culamimation ı
moment du paszage d’an asire par te ubridien.
CCLSINADO, A, p. P. de Ouiminer.
Curnnlarz ‚adj. 2 gen. Ponte —, (Ldesm)
culminant : (peint) d’an astre, ie plus haut
surl’horizon ; qui est Ala plas grande tlöratien.
Crimnia, 0.0. ((. desir.) oalmimer : passer
per ie meridien.
Cärra, 5. f. famte; peche, eflense; orime;
tort; blame. — juridios, fawte qa'n commei
en negligssnt une afisire dont on est chargf.
— theologies, peche, fauße, transgression de
la loi divims. Lenger a — a oairo, rejeter la
faute sur un autre; sen ä un auffe.
Elie d qusm iem a — ‚c'est Imi qui a tort. B por
sua —, c’est sa faule.
* Corrasıı. V. Cuöpevsi.
CCLPABILISSINO, A , adf. sup. de Ouipabil.
+ CuLräsausure, ade. d’une manitre ea8-
le.
Ccıradissıno, A, adj. emp. de
CrLrido, a, adj. ei s. eoupahle, eriminel:
accuse d’ane faute ‚ isenipe. p. p. de
Ccırin (de,em), v. a. inculper : eocuse®
Penser, imaginer. Cuida-se ndilo da agricui- !| d’ane faule. Blämer.
iure, on a beauconp de sein de l’sgriculture.
Nd6 se cuide a’isse , om ne pense pas ä cela. A
cousa ndö d como se cuida, ce n’est pas comme
on is pense.
Curno. V. Cuidade.
Gn2630, a, adj. attentil ; soucieux ; inquiet.
ü. Qui donne des soucis, des inquiötudes. V.
COidadono
+ Crit, &. m. (4. d4fr.) cuil : 602000 de Me-
dagascar.
+ Cuim,s.m. (4. du Bree.) petit quadrupede CeLTivipe, A, 9.p. de Gulliwer.
' Iopereat 6. Terra —, iorre en valoer.
* du Bresil, de la grandeur da Iaperean.
*"Cuma,s. f. aflliction, peine, chagrim.
Cerriso, a. V. Coitado.
Ente, a. m. (#. du Bres.) sorte de calebasse |'
' Jes soins ne6cessaires peur fertliser
du Bresil.
CrirauLo. V. Outello.
Custgzeına,s. f. (l. dw Bres.) calebassier du |: cultiver quelgu’un, se menager 98 b
Bresil, oulg. couis ou cohyne. Porte le Cuitd.
V. ce mot et Cuia.
usar, etc. V. Swjar, elc.
Coustrz, a» m. (1. de bot.) cujeta : cale-
hassier.
CCLPÄR-SE, ©. 7. se declarer ooupable; Fin
cuiper par ses aveux.
CoLrävaL, adj. 2 900. campable, reprihensi-
bie, erimimel.
CuLrävzLußare, ade. d’une manitre C®
pabie.
+ CoLramenıe ‚ade. öiögamment, purement,
avec soin,, €iögance va ornement.
Cerrivacäö, s. f. culture : l!’aclion decwii-
wer, au pröpre ot au Rgurd. V. Ey +
CULTIVADOR , 5. m. cullivatenr : qui oulivele
Jarre.
Corrivia, o. a. cultiver : deweltr Ia fap0R
ke es.
_ (M-
„amtliorer les produelions. age, (I)
lanoe. — o conhecimenio, 0 Iralo ‚a amisa#t:
fig.) cultiver une oonnalssance, Tramtıie de
; geeiqu’un,, Pentretenir. — oe lalenio, ®
ie
rise ,o ongenko, eic. , (id.) cultirer, exeroet
talent ‚la maenoire, Pesprit, eic. — da Mil)
Ciso, A, pron. rel. et adj. dont, de qui, du- |: as seioncias, as linguas, etc. , cufiref les erid,
qael, de laquelle, do quoi. Em — testemundo, || des solenoes ‚ les langnes, etc. , #7 eXetT
em —a fe, en foi de quoi.
Ceurmia-SE,T. r. se former per f
Olso, 0, (fan ei-P,u6:)} ainent,amoureus. |! par l’&tude ; s’ameliorer.
CUM
+ Corrıvä VEL, adj. 2 gen. cultivable : (ter-
rain | propge a la culture.
CuLrivo, 5.2. * culture. Labourage. V. Cul-
tura. — d’arvores, planlas, education d’ar-
bres, des plantes,
CeLro, s. m. culte : honneur rendu visible-
ment ou interieurement & Dieu, A une divi-
nilk; veneration excessive; altachement A ce
dont on se fait un dieu. * Proprete. V. Asseio.
CiLTO,A,adj. pur, correct, en parlant du
siyle; se at aussi de la personne qui parle pu-
rement et correciement. Cultiv6, eclaire, ci-
vilise, en parlant d’une personne , '@’un peuple,
CoLTOR, s. m. cullivateur. Adorateur (des
tdoles, etc.); amateur (des arts, ete.); qui (les)
fomente, { (les) encourage.
tCeLtRınöstros, 8. m. pl. (4. PRist. nal.)
cuitrirostres : oiseaux Ak bee en couleau.
Curröna, s. f. culture : facuns, Iravaux,
soins necessaires pour cultiver (en general).
(Ag.) Purete , el&gance de style. art. V. Cullo.
+Comarü, s.m.(1.
bre Iögumineux de la Guiane.
+ComancnaR 5. f. (ti. de bot.) " cumaruna:
arbre de la Gulane, coumarouan,, bariosme ot
heinzia.
Cowsino, a. V. Cambüdo, Curvo.
tCums#, s. m. cumbe : danse des negres;
son air.
Cruso. V. Curvo.
Cousöca.V. Fuyambüca.
Cöuz, 8. m, " cime, croupe, sommet d’une
montagne. Ag.) Comhie, apogee : dernier sur- |
eroit, dernier point de quelque chose, parti-
eulierement de I'honneur, de la joie , des de- |
sirs, de l’affliction , des maux.
+Cömıa,s.f. (1. de bot.) *coumia : racine de
Cayenne ; le balsamier ambrosiace : tient lieu |
dencens.
Cımäipa,s. f. Fextension de la cine d’une
monlagne.
Comi£ına,s. f. pointe, sommet, cime d’an
batiment. it. V. Cumidda.
+ Crminmo,s.m. (8. de bof.) cumin : plante
ombellifere. — rustico, laser de Prusse. — bas
tardo ‚ lagocie cuminofde.
+Cczos, s. m. (1. de bof.) couımon : esp&dco
de palmier.
CONPLICAR, etc. V. Complicar, elc.
CompLice, etc. V. Complice, etc.
+ Com PpRA-sE, 8. m. formule employ6de par
les capitaines genueraux dans les brevets et les
conges, et qui signifle A peu pres : Exccutez.
"Leures d’attacho d’un magistrat.
CCuPRIiDdamente. V. Completamente.
Ciurnino,A,2.p. de Cumprir. adj. Execu-
% ,accompli, comme il faut. Accompli, par-
fait. V. Comprido.
Crupzinöp, A, 3. quliaccomplit, qui execute.
(Ag.) Executeur testamentlaire.
" CumPripöura, A,adj. V. Util, Proveitöso.
CUEHPRIMENTO, 5. m. accomplisseinent, erk-
eution. V. Comprimenio.
Couraig, 0. q. accoımplig, zamplir, GE6AUlsE,
bot.) coumarou : ar |
CUN. 30%
s'acqaikter, elfeotuar. Kira ulila; poasvoir aux
besoins de quelqu’un. — a palavra, tenir par
role. — sew desejo,, remplir ses desira, oblenir
ce qu’on desire. —as vozes d’alguem,suppleer,
remplacer quelqu’un,
Cumprir (com), 0. ®. #acquitier de, FO,
plir (ses devoirs, eic.); exöculer. — 9m el-
guem, s’acquilier onvers quelgu’un, — £028 a
preceito da Igreja, faire ses päques. — com
lodies, ne mangqueor A PETSOHRE. — Cora a g4%
desajo. V.—=.a seu desejo. — com a ordem,
executer l’ordre. Eu irei — aım 2 mau dever
au obrigarde, jirai veus rondre mies de-
veirs.
ÜCUMPRIR, 9. (RP. canveniz, importer : Pir®,
imporlant, convesahle, Haje eumpra asteular-
Moss Q 0850 valar, C'est aujourd'hui qu’il fauk
signaler notre valeur.
CUMPRIR-$2, v. r. gaccamplir, g’ellectuer.
CuuuLagäö, V. Accumulagäo.
CustLÄno,A,P.P. do
CusvLir, vo. a. cumuler, assemhler ; com-
bler. V. Accumular.
CUMLLATIVAHENTE, adv. cumulativoment &
par accumulalion.
| " CEMULATIVO, A, adj. cuimulatif : qui se fait
par accumulation. it. V. Accumwlaliyo.
CüMuLo, 3. m. comble, amas, moncgau, taß.
(g.) "Accumulation, foule, multitude, quan-,
Ute; comble. V. Gume, au Igure. Gheger a0
— da imprudencia, pousser l’imprudence jüß«
qu’au bout.
Cumuna ‚etc. V. Commüna, elc.
Cüna,s. f. V. Berco.
Cunca. V. Conca, Tigela,
CusEIFORME. V. Cunkiforme.
CuNEiRöSTROS. V. Cunlirosiros.
CixE0, 3. m. (ancien t. mil,) coupe de ifau-
pes rang6 en forme decoin.
T Cuxpra ,s. f.(t. de fort.) cumelle, ouvells:
fosse dans le milieu d’un auıre. (t. de bot.)
Cunetie ; jambosier de ka Guiane.
Cinta,s.f.‘coin : outil pour lendre; co quk
en a la lorme, la figure, — de canhdö, ehevet.
— de mira.\. Palmeta. — do verso. V. Bipiet
— de tropas, (1. mil. aut.) coin : ecorps d’ım
fanterie en pointe. Batalhdo [ormado em »,
bataillon [orme en pointe. Meiser-se de —, ain-
troduire, se glisser pelitä pelil. 4 — , farch-
ment. (hg. ) Aforce de. —s de falcdo. V. Cober=
leiras. —s das cavilhas de pdo, (1. de mar.)
€pites. — do masterco, (id.) clef de mL. Bolar.
osmaslardosd—, (id.) guinder les mis dehuns,
CunuäpA, 5. f. belle-saur,
Cuxuapia, s. f. parenis qui existe entre
CUnHADIO, 5. m. les beaux-[ceres.
Cuxuino , s. m. beau-f[rere.
Cunuspo, A, p. p. de Cunhar.
CuUNHADOR, 5. m. monnayeur
coin & la monnaie.
CunsäL,s. m. angle, coin d’un ddiflce,
Cuxnir,v. a. balise , [rapper : imprimer le
coin sur de la monnaie 98 zur Hulte chase,
Monnayer : ouvrer, faire de la mapmaie.
368 CUR
CunneTte, s. m. pelit baril; petite caisse (de
fruils secs).
+ Cönnırönue, adj. 2 gen. (1. d’hisi. nal. et
de bot.) cuneiforme : en forme de coin (08,
bec d’oiseau); plus longue que large, ei se re-
trecissant vers la base (feuille).
+ Conuıröstros, s. m. pl. (1. d’kist. nat.)
cuneirostres : (olseaux) grimpeurs a bec en
coin.
-» Cimmo,;s.m. coln : fer gravd pour frapper la
! wonnale ; empreinte que laisse le coin: type;
cachet , timbre. (g.; ° Acception bien fondee
_ d'un mot nouvellement regu dans une langue.
Cunhos , pl. (1. de mar.) — do cabrestante, ta-
quets du cabestan. — de mareapäo, (id.) ta-
nets ä cornes, bittons. — do portalö, taquet
'schelle. — das alpas dos eslais ‚ taqueis des
.näls ou porte-collier. — das bogas da ancora,
taquet de bout. — das carlingas dos masiros,
taqueis des Dasques. — com enlalhes , taqueis
ä manche, —dos mastros,, coins des mäts. Cru-
zes ou —ı ? croix ou pile? Homem sem — nem
eruzes, (fig.) homme exiravagant, singulier,
‘ inexplicable dans sa maniere d’agir. — da
" lealdade, cachet de la loyaule.
Cuntas. V. Conlas (de resar‘).
Crpalsa. V. Copaiba.
Corani,s. m. (6. de bot.) cupani : chätaignier
de Saint-Domingue.
+ Coriva, s. f. (4. de bot.) " coupaya : grand
arbre de Cayenne.
Cupipa, 8. f. (f. de plais.) amoureuse ; amour
femelle.
Curinkz , s. f. cupidite.
+ CupiDineo ‚A, adj. de Cupidon ; amoureux.
+ Corıninno, #. m. dim. de Cupido. (fig.)
Petit dameret; damoiseau , effemine.
CuPIDissimo, A, adj. sup. de Cüpido, tres-
amoureux.
Corino ,s. m. (4. de mythol.) Cupidon : ls
t du Chaos, l’Amoor, la Concupiscence.
CöPıDo, A, adj. cupide : plein de cupidite;
avide (des richesses, ete.).
x +Corim, s. m. (6. du Bres.) espöce de fourmi
da Bresil qui detruit le bois.
«CöroLa ou CöruLa,s. f. döme, coupole.
Goqviina , &. f.(t. de mar.) cri ou signal
pour annoncer la terre; cris d’alarıme.
CörA, 8. m. Cur6 : pretre pourvu d’une cure.
V. Parocho.
Cörı, 5. f. guerison, cure. anf. V. Cuidddo.
— dalmas, charge d’ämes. Melter-se, pör-se,
enfrar em — ‚se meitre dans les rem@des, se
droguer. Ter — , ölre susceptible de guerison.
CGoricäö, s. f. guerison,, cure, traitlement.
Crrapia, 3. f. curatelle : charge et pouvoir
de curateur.
Curipo, A, P. p. de Curdr. adj. Endurci,
forufd. Blanchi au soleil. V. Curtido. Benefl-
cio —, benefice avec charge d’Ames. — ao
fumo, saure.
ConADOR, s. m. carateur : administrateur ju-
dielaire des biens d’an mineur &inancipe, etc.
st. V. Curandeiro.
=
al
CUR
Coranöna, 5. f. curatrice.
Cunanoria, s. f. curatelle; tatelle.
+Crenicua,s. m. (t. de bot.) curagua: petit
mais du Chili.
Curanp£ıRro, s. m. charlatan , empirique.
CerÄr (de), v. a. guerir, traiter une maladie;
panser (une plaie). Fournir tout ce qui estn&
cessaire pour la guerison d’un malade. Saler,
boucaner, saurer. Blanchir des toiles, du Bl,
etc. (ant.) Soigner, avoir soin de. (fg.) Guerir
d’une passion , eic.; remedier & un mal.
Conan (de),v. n. avoir soin de, penser d;
faire attention &. Exercer la medecine.
CORÄR-SE,v.r. guerir: recouvrer la sanlt,
ötre gueri.
CurareLLa. V. Curadoria.
CurATivO, A, adj. curalil : appliyue pour
guerir.
CURATIVO, 8. m. traitement medical.
CuriTo,5.m." cure : emploi ecclesiastique
ayant charge d’Ames. * Paroisse.
CuriveL, adj. 2 gen. guerissable : qui peu
eire gueri. 4
CurBAD0. V. Curvo, Curtddo.
+ Curparil, s. m. (4. de bot.) courbaril : at-
bre legumineux de l’Amerique meridionale.
Concuma, s. m. (f. de bot.) curcuma, SO0D-
chet, safran d’Inde:: plante amomee; sa Tä-
cine.
+ Coecurito, s. m. (l. de bot.) curcurilo :
palmier de l’Orenoque, or&odoxe.
Cörıa,s. f. officialite : cour, tribunal eccle-
siastique. Curie : subdivision d’une tribu 70-
maine, grecque. Cour royale & Rome.
CeriäL, adj. 2 gen. qui appartient & l’officia-
lit6,ä la cour vw chancellerie de Rome. V.
Corlezäo.
CerikL,s. m. banquier en cour de Rome.
Officier : juge de la cour ow chancellerie re-
maine.
CURIALMENTE, adv. d’une maniere legale et
legitime ; selon les usages de la cour.
+ Curıäö,s. m. (1. d’ant.) curion: chef et
pretre d’une curie,, qui avait P’inspection sUT
tous les habitants de son quarlier. .
+ Corrcica, s.m. (t. d’hist. nal.) couricaca :
echassier, falcirustre. u
+ Curıman, s.m. nom d’un poisson de ririere
au Bresil. j lie
+ Corımani, s.m. (1. de bol.) couriman:
grand arbre de la Guiance. ,
+ Corımarä,s.m. (1. dhist. nal.) curimale:
poisson du genre du saumon. u
+ Curıö, s. m. oiseau sylvain du Bresil.
CuRIÖSAMENTE, adv. curieusement, par C0“
riosile. .
Cuniosinäne, s. f. curiosite : desir de volf,
d’apprendre,, de connattre, de posseder ; pä°-
sion du curieux. Proprete, soin. Rarel&, 0"
riosite. Ter — de, Eire eurieus de.
Curiosissımo,, A, adj. sup. de .
CuR1öS0, A, adj. curieux : qui a de la une
site, lP’envie de voir, d’apprendre , de pos°® ne
des choses nonvelles , rares, socrölc. Propt®,
CUR
tlägsni.—, rare; nouveau, exiraurdinaire, ex-
cellent. Soigneux , diligent,
„ Coatso, A, s. curieux; amateur. On le dit
aussi de celui qui connalt un peu un art, un
metier, mais qui ne l’a pas appris möthodique-
ment,
+ Omownf, s. m. (f. de bot.) courondi : arbre
du Malabar.
Coazix, s. u. *bergerie, stable. — da Igreja,
(Ag.) sein de P’Eglise. — do gado, (1. de mar.)
Burc a bostiaux ow A moutons.
TCmansLicen, 5. f. ce qu’on paie pour met-
tre le betail dans une bergerie.
CrasuLtno, A, adj. Gado —, qui couche
dans Y'6tabie ( betail).
CORAB-CTRRE , 5. m. sorte de Jon.
n + Cranıcica ,s. f. esp&oe de cigogne d’Ame-
que.
Ciaascin, 9.0. freg. oourirgä et lä.
vRIRO , A, adj. commun, trivial.
tCoaaöca, s. f.(}. d’hist. nat.) * curruca : fau-
votie d’hiver, gobe-mouche,.
TCuaauch, 3. m. oiseau d’Asie et d’Ame-
rique , voisin de la pie.
Casino, A, 9. p. de Cursdr, accoatume,
kabitu6, rompu & un exercice.
Crasänre , adj. 2 gen. qui fröquente un lien,
qui rögne, en parlant du vent.p. a. de
Corsin, 9. a. hanter, frequenter un lieu,
faire frequemment une chose; suivre un Cours
dans une universite; faire son cours d’ötudes.
Frequentes une personne. Lancer, jeier, por-
ter, en parlsnt des armes & fon.
Coasir, 9.9. Courir, parcourir; naviguer.
Seufller, en parlant du vent. Suivre le cours de
quelgque chose. Avoir le cours de ventre, aller
i la solle. — com alguem, avoir des relations
familiöres, intimes avec quelqu’un.
Crasivzr, adj. 2 gen. qui a cours (mon-
Raje).
Crasista, s. m. etudiant qui suit un Cours.
Urksivo, a, adj. qui court. Leilra —a, ita-
lique : earact&re couche ow cursive.
CinsO , 8. m. COUTS, Course, Carriöre, voyage,
ehemin. ( Ag.) —, marche naturelle, mouve-
ment du temps, des affaires; duree, 65pace.
—, tinde, lopons publiques et suivies d’une
science ‚etc. ; temps mis & l’apprendre; traite,
ourrage qui contient les legons qu’on donne
pendant un cours. —s, pl. cours de venire,
devoiement.
Crasön, 5. m. messager (du pape); dcuyer
qui fait les courses, courear.
Cöntı , s. f. chose courte. Pör alguemd—,
(loc. faus.) denigrer quelqu’un.
CuRTANRSTE, adv. mesquinement; aveo ti-
midite. .
"Currtııo, s. m. V. Pöda.
Cunrtza, s. f. pelitesse,, briövete. (flg.) Ti-
midite , modestie , defaut d’instruction, de
talent. — de meios, defaut, manque de moyens.
Corrinmo, a, adj. dim. de Curto.
Crarıa, eto. V. Cortir, etc.
Corrızsıno, A, adj. sup. de Curto,
PORT.-FR,
CUR 369
Cöaro, A,adj. court : qui a peu de lon-
gueur; bref, de peu de duree. Peu instruit,
sans talent. Qui demeure court en parlant.
Borne, limite. (Ag.) Avare, ohiche, mesquin.
— da vista, qui a la vue basse, myope. — de
palavras, taciturne, qui parle peu. — de mäos,
ent, peu expeditif. — de meios, court d’argent. _
— de juizo, borne. Vestirse —, pOr-se de —,
en habit court. — lalenio, — entondimento,
petit talent, petit esprit.
f Curuärpz, s. f. (8. de bot. ) liane carr&e de
Cayenne.
Curucuko. V. Corucheo.
+ Cunuch, 8. m. (4. d’Mst. nal.) curucu : cra-
paud pipa.
+Cundcucd, s.m. (4. du Brds.) curucucu s
maladie par la pigüre d’un serpent. (1. d’Aist.
nal.) Couroucoucon : oiseau du Bresil.
+ Cunucvi,s.m. (tl. d’Misi. nal.) couroacou
os curucui : oiseau sylvain de Y’Am6rique
meridionale. — verde do Brasii, couröucou
ä ventre jaune.
Conuckıra ‚es. f. V. Pardieiro.
Curdya. V. Coruje.
CuröL, adj. curule. On le dit des chaises
garnies d’ivoire des magistrats romains appeles
&diles, et de leur dignite.
CurumsiM ow Cunumim, 3. m. (f. d’Asie) do-
mestique indien.
* CuRUNHAR. V. Cunhar.
+ Cunuricalsa, s. f. (6. de bot.) "carupıcalba: .
arbre d’Amerique & baume vulneraire.
+Cunurito, s. m. (6. de bot.) oouroupite :
arbre de la Guiane; fruit nomme6 boulet-de-
canon.
+ Curoni, s. m. (6. de bot.) * amarante verle.
Paulinie cururu,, plante saponacde.
+ Curunv’va, s.f. (6. d’hist. nat.) "caruryva:
grand serpent du Bresil.
CurtTa. V. Crula.
Cörva, s. f. (1. de gdom.) courbe, ligne cour-
be. —s, pl. (. de mar.) membrures. —s das
abitas,, (id.) courbes ou courbatons des bities.
—s do beque d’um navio,, " joutereaux. —s a0
alto, courbes verticales. —e superiores das
mesas das enzarcias, oourbes des porte-hau-
bans. Garganta da — , encoignure d’une cour-
be. — da perna, * Jarret.
Curvica, s. f. * Jardon: tumeur calleuse aux
jambes d’un cheval en dehors du jarret.
Curväno0,A,P.P. de Curvar.
Curvapdaa , s.f. courbure. V. Curvalura. '
CurviL, adj. 2 gen. du jarret, qui appartient
au Jarret.
+ CuRvamenTe, adv. courbement, d’une ma-
niere courbe.
CurvÄNE, 5. m. nom d’un oiseau de Sofala.
Curvir, v.a. courber: rendre courbe une
chose droits ; donner une figure, une forme
courbe ; plier, abaisser, incliner. o. n. Plier.
A läbua curoava com 0 sow peso, la planche
pliait sous lui.
CurvAn-sE, v,r, socourber; devenir courbe;
se plier, j 2
370 GUS
Cunvarid, s.m. (1. de mar.) sourbaton :
piöces sorvant de contreloris.
Cuavarüna, s. f. oourbure ; inliezion; pli ;
“tat d’une chose courbee; eaarı d’une osurbe
de la ligne droite,
Coav&ra, s. f. oaurbeiie : mouvement d’um
cheval qui se cabre un peu. (4. de mer.) V.
Corotia.
CuRVvETRÄR, U. a. ein. (. de mandge) cpur-
better : faire des courbetlss.
Cuavipins. V. Curvalura,
+ Cunvırkareo, a, adj. (8. de gods.) om fer
courbe.
CuRVIFRÖNTE, adj. 2 gen. (1. de pods.) guia
le front arque.
Cuavınin&o, A, adj. (1. de geom.) ourvlligne:
forıne par des lignes courbes (figure, angle).
f Cunvinöstno, A, adj. curvirosise ı &
courbe,
CURVISSIMO, A, adj. sup. de
Cirvo,A, adj. courbe ;: en arc (ligne); qui
n'est pas "droit. Madeira —e, piece de tour.
} Cusaunı, s. m. (4. d’Asie) cousambi, ma-
liere vegetale ; on en fail des chandelles &
Timor,
Cuscösi0 , 8. u. agnelet n6 en aulomne.
+Cuscöra , s.f. (t.de dot.) — maier, cuseuie,
barbe-de-meine : plante convelvulaode. -— me-
nor. V. Epithymo.
Cuschz, s.m. pl. cosoessens : sorte de ragoüt
compos# de farine granulde en petils peois
qu’on fait cuire & la vapeur de l’eau cbaude.
Cuscozkıao, #. m. sorte de marmite & euire
les coseossons. adj. En lormeoonique tronguds.
* Cusina. V. Prima.
CusPu-CuspE, s. m. (4. Pop.) On le dit des
petits poissons qui ont beaucoup d’areies.
CospioirTo , A, (f. de bot.) V. Assovelddo.
t Göorın, s. f. (1. de bes.) ouspide : poihte
aiguß,
Cusmatırı,0.f. ‚eraobeir: : vage pourcracher.
Cusrino, A, ‚Pf p. de Cuspir.
Cuspinon. V. Cuspidiire, —, A, adj. cra-
cheur : qui crache souvent.
Cuspipöna,s. f."crachat, salive , flogme.
f Cospinnapor, A, adj. gei crache souvent.
Cusriunin, 9.9. /reg. crachoter « eracher
souvent.
Gusriumo, a. m. dim. de Ouspo.
Cuspin, u.a. et u. oracher ; jeter hors de la
gorge, du poumon, la salive, etc. (ke .) Rejeter
avec m6pris, dödaigner, rebuter. (id.)
lancer, eu parlant d’une chose qui se dötache
d’une autre. (id.) Lancer la foudre, les sclairs,
en parlant d’une nu466 orageuse. use. — as cdra «
» B.) eracher zu nez & quelqu’un,
B’on medguer, le cou 'outrages. — Sungue,
(id.) laire parade de sa nmoblesse, la vanter.
— sangus om bacis d’ouro, (id.) aroiz inde-pon
de sententement au sein des richasses. —
Pr das costuras, (1. de mar.) oxacher los
u
Chapo.s.m. ’salivo: bumenz use qui
voule dans Ja bouche;; crachat, ”
GUT
tr Cowsani, s. m. (1. de 04.) oomessei : asbelt-
soau de la Guiane:
T Cisso, 0. m. (1. de bat.) cusso : arbre d’A-
byssinie,, vormiluge,
Cösta, & f. depense, Sreisı coll. A’ — de
trabalko, de suor, de fadige, eic., ü la sueut
de son froni, en se dennens besucoup de
peine. Viver d — d’outrem, vivre auz ereahels
de quelgu’un. ae Puakiee , aux depens du
publio. —s, pl. (reis, döpens. Condemmar
na — , coudamner a frais.
Custin0, 4, ? ». de Cusiär.
* Costiczu. V, Deopesa, Gusto.
Guszin, 9. n. eodier ; dire acheid & mm oor-
tain prix ; (g.) eire dificiie & leire,& dire, eis;
ötre obtenu A pris de fatigue, de seins, de n-
vauz, vis.; dire eause de depense, de perte, de
peine, de douleur, do soin. — bem ou eare,
coüter cher, os6ter hen. — serer, areiz de la
peine & eroire. Cusla meis a michs que 0
s4bo, (fam.) la sauce est plus chöre gas le
poisson. Cusie o que susie ou —, quoi qu’il em
coüte.
Custzipo, a, p. pP. de Cusiedr.
(aSTBAHÄNTO, 0. dühourses, mise dehers,
ais
Cusrzia , v.e. faire los freis de quelgue d4-
pense.
Cisto, e. m. cool : co qu’une chose seßte;
prix. (Ag.) * Peine, dificulie. —e, pl. V. Gastes,
Desptuns. A—, edv. difficiiement. A— de, &
prix de..; en sacriflant... Ad —, A ih
prix que ce soll, Com grande —, ä grand’
peine.
Cusrope. V. Custsdie.
Custöpis, 8. f. prisen; liou ed l’om garde
queique chose. Garde, osuservaticn,, surveil-
lance. (fg.) Soleil, ostensoir (du Bainı-Sacre
ment). Custodie : sertain nombre de malsons
de franciscains (12 au moin).
CusronıAno, A, p. p. de
+} Custooräna, v. @. melire en prison, en sü-
ret# ; garder, oonserver, prottger.
CGysröpıo , 5. m. gardien, garde.
supsrieur d’une oustodio chez les cordeliers; ;
dignits claustrale ; religieus qui remplace le
provincial absent. adj. m. Aujo —, ange gar-
en.
Custösanänte, ado. obäremeni, & grands
{reis ; aves besucoup de peine-
Custosissimo, A, adj. sup
Cusrös0 ‚A, al. ehar dimpendienz. (9.)
Penible, diffcile. N. Co
„eic. lumagem, elE.
CuTiMBULO, s. os (1. d’hist. are catambules
animal parasite qui Fampe sous
urinzo, a, A, % culane : de la peau mala-
dis, eto.).
+ Curi6 ow Curom, s. m. (£. de bei.) enuton:
arbre du Canada & suc vineux.
Curtis, 0.f.* souperet de beucher. Plane;
couteau de tannsur. V. .
Corzıina. V. Cusildde.
Corauanla, 5. f» coutellerie ; möber, com-
[2
cr6
mree.atelier, boutigue, art, OuYrage, ma-
gasin de couteller.
Crraıtino. V. Cutileiro.
Crrtro ow CurdıLo, s. m. ooutelss; couteau
do chasse ; oouleau de cuisine; comperet de
boacher. (po#t.) Glaive. Senhor de burapp e —,
seigneur qui a lo dreit de vie & de ment; hast
justieier. Cotdlos, pl. (1. de mar.) coulejas,
bonnettes en dai : palite weile je long de da
grande. (f. ds odner.) Kasteaux : les six pre-
mitres peanes du Saucen apıös lo corsa.
CYN 37
fErerinro, #, m. (1. hist. nat.) oyolide:
vor infasoire.
Crew, s. m. (8. de chrom.) eyele, cayele; pi-
riode; rövolulien oontinue d’un cermtein ham-
bre d’anndes. — inner, cycle iumpire, de dit-
neuf ans junalres. — solar, cycle soteire, de
vingt-huit anndes selaires. — dpico, ayele £pi-
que : ensemble de poßmes hiyeizues qui so
fappertent & une mime spotyue historigue ou
mythique, "
Crcromis, adj. 8 gen. cyeleidal : de la cy-
Metter —, e varradeures, (fg.) faine tous les | eluide
eierts „ metire iout en (BUYEB PONTE vapir & bay
de quelque chose.
Uriams, 5. d. (tl. denat.) caligule : &pi-
derme, peau irös-fino; prewiäse neau des
plantes.
Coriwsda, 8. f. coup de couteay, co (.n
pee, etc.; taillade. estalllade. bellfre. f
CorıLÄ6, s. m. aug. de Cutdlo.
CorıLtmo, s. m. CouteNet : faiseur, vendeur
de eouteaux, etc.
rCerıs, s. f. (f. danat.) derme : peau du
eorps hurhaln ; teint.
tCörren, s. m. (t. de mar.) Cutter : bäti-
ment & une volle.
*CuvıLazıraı , s. f. V. Camareira.
Coxia. V. Coria.
TOsxı0o, s.m. (8. d’hist. net.) couste : saki
d’Amerique.
Coyva. .
Coramacca. } V. Cuda..
° Cornma. V. Coima.
*Corra, ete. V. Cotta, Owila, ele.
Crautaı. Pedra—. V. Lapis-Iazuli.
Crisıco. V. Hydrocyanico.
TCräno, s. m. (f. de bei.) — menör, cen-
tzuree des bies. — meior, oewtuurde de mon-
tagne, barbeau de montagne.
+ CTAaNocEngo, s. m. (1.de him.) oyaeogäne:
corps compost de carbone et d’azote, base de
l’acıde cyanique, gen6rateur du bleu de
+Cranunftto, s.m. (l.dechim.) oyanuress
composes formes par la combinaison du cya-
nogene avoc diverses substances.
T Cratzausonun, ad. 2 gen. (l.de hat.) en
forme de cyathe, en coupe (corolle). .
TCYasno, 3. m. (l.d’ami.) cyathe : mesuıre
romaine: coupe grecgque, romaine, que Y’on
peuvsit vider en un Lait, (6. de.bot.) Cyalhe :
+ Cıatızo, Aa,adj. (£. de pods.) de Cybele au
Vesta.
+ Cıasızs,, 2. f. (4.de myth.) Cybäle : la mere
des dieux.
Crosrpas, 2 f- pl..(t. de geag.) Uyclades :
les situees en eorcle.
CrcLamE, Uscamen 08 Cycuayıns. V. Päo-
de-porco.
+ Criczsco, a, adj. gycligue : des cycles.
Podia —, poßte cycliqus, qui compose une
histoire (abuleuse, une porion d’un cycle
epiguo,
CrcLöipe, 8. f. (1. de geom.) cyclolde:ceurke
4 nawds däsrite par uA peint d’apb eisconls-
rence qui reufe sur un plan.
FCroLorz, 0. ws. (1. d’hiss. aut.) eyolope..
bucein, erustac#, lophyrope. .
Cr’aorss, e. m. pl. (1. de myth.et ds pods.)
cyelopes : geants de Siciie qui m’ausient qu’an
wiü au milleu de front ;compagnens de Vulcain.
+CrcLöston0, s.. (1. d’hist. nal.) cybis-
slome : animal entre le poisson et le ver, Jam-
proie et gastrobranehe, sabot.
TCraörouo, 3. m. eyclotome : instrument
d’oculiste pour fxzer le giobe de Yapil et imciser
la oorude.
CrLmoma. V. Colidenia. .
„A, adj. oylindeique: zmi a da
forme du cylindre. (4. de bot.) Cylindraos < an
cylindre.
Cruinano, &. u. cylindre : solide fomm6 par
la revolution d’un parallelogramme reciangte
auleur d’un de ses oßtäs; gros mouleau. Ba-
iflet : eorpe de pompe dans lequal agit de pis-
tem. — da rods do ieme, (. de mar.) matbre
GTLINDRLOrDE , adj. 2 gen. cylindseide : selide
qui approche de la ferne du
+ Crissto, s. es. (1. de bol.) cyliste : arkeis-
seau grimpant de Coromandel.
Crua. V.Cymöira,
Crusa,s. f. bateau, nacelle, esıuif, barque.
CrusaLisıa, 8. f. (t.de bot.) "cymbalaire ı
»aspece de mullier.
Cr’msaLo, 3. w. cymbale : instrument d’si-
rain, creux, & manche.
} CLMBLFÖRME, adj. 2 gen..($. de bot.) cym-
biloıme : imitant une nacelle.
+.Crutıra, s.f. (l. de bot.) cime. sommet :
disposition des fleurs comme celles du surean,
a pedoncules subdivises irregulitrement.
1 Cxrmınosuo,s. m. (f. de bol.) cyminosme:
aan de Ceylan. vo
+ Cru0so, a,adj. (i.de.bot.) cimeux: en .
+ Cımöruoas, s. m. pl. (1. Eh nalen -
mothoßs : cloportes de mer.
+ OrnumöLco ,s.m. cynauıolge : olseau fabu-
leuxd’Arabie qdi tette les chiennes, espöte d’en-
goulevent. ..
Cruancae. V. Esquinencla.
4 Crnasätica, s. f. eyneg&tique:
cernant la chasse,, les chiens ;.tra
nerie.
Cr’nico, 8, et adj. m, cynique ; secte de phi-
ne 6UM-
de la ve-
373 DAG
losophes satiriques et sans pudeur qui 56 de-
gradaient au rang des animaux. (fg.) Bale,
malpropre ; impudent, obscöne, degoütant.
(1. de mdd.) —, imitant le chien qui meonire
les dents (spasıne, oonvulsion).
Cruz. V. Mosqwitos das gdlkas. .
Crnisuo, s. m. oynisme: doeirine, oarac-
wöro des oyniques ; (Ag.) impudence oynique;
effronterie de I’homme profondsment vor-
rompu.
Crnoc#rHaLo , s. m. (. d’hist. nat.) 0yn006-
phale : singe & la t#te de chien, et le museau
prolonge.
CrnocLössa , s. f. (1. de bot.) oynoglosse ow
languo de chien : plante borraginee.
+ Crromönıo, 5. m. (4. de bot.) cynomötre :
plante legumineuse.
CTronamOno, 8. m. (8. de bot.) cynerrho-
don : fruit de la rose de chien.
+ Crnossitos, s. m. (t. de bot.) cynosbatos:
arbrisseau &pineux, aube#pine, rose sauvage.
Crnosöna ,s. f. (l. d’asir.) cynosure : la pe-
tite ourse ; oonstellaion N.
Cratmma,s.f. (1. de myth.) Cynthie, Diane.
Cratuı0, s.m. (t. de myth.) Apollon.
Crrasisso ou 1 (#. de bol.) cyprös: arbre
Crpaksıe,s.m.) coniföre, toujours vert,
amentace, & bois incorruptible. Symbole de la
mort.
+Crrata. V. Porcelana (1. d’hist. nal.).
+Crrmua ‚adj. f. (1. de mytk.) cyprine (V&-
nus).
+ Crannäıco, A, adj. Cyrönalque : de Gyröne.
Seila—s, secte—, dont Aristippe &tait le chef.
+Craauko , s. m. cyrenden : l’bomme qui a
aid6 Notre-Seigneur & porter la croix. (fam.)
Alde, second dans une oocupation ou emploi.
Craor&pıa, 3. f. Cyropedie : histoire de la
jeunesse, de l’&ducation de Cyrus, par Xdno-
phon. .
DAC
CYsuE, 3. m. cygne: olsesu da genre de
’’oie, d’un blanc 6elatant, palmipdde, sern-
rostre. (fig.)—, grand poöte; musicien o@löbre.
P Crarancia, s. f- (4. de mdd.) cystaigie: dou-
leur de la vessie.
‚, Crsrico, A, adj. (4. d’enat.) cystique : (ar-
töre) de l’höpatique ; biliaire (conduit).
+ Crerirmocia, 8. f. (1. de mdd.) cystiphlo
gie: infammation de la vessie.
+ Crsriuz, s. f- (1. de mdd.) cystilie : inflam-
mation de la meınbrane qui tapisse la vessio.
+ Crsrinnmacia, 8. f. (1. de md.) oysüirrha-
gie: maladie dans Iagaelle le sang sort de la
vessie.
+ Crsrorızzia, 8. f. (1. de mdd.)cysteplexie:
paralysio de la veossie.
+Cvsrorrosz, s. f. (6. de m#d.) oystopiose :
relächement de la membrane interne de la
vessie.
+Crsroronia, s. f. (1. d’anat.) oystotomie :
section de la vessie; incision de la vessie.
+Crsröromo, s. m. (1. d’anaf.) cystolome :
instrument pour op£rer la taille laterale.
Crraans, etc. V. Cithera, etc.
Crrumataı, adj. f. (1. de myih.) cyihäree
(Venus).
Crrina , s. f. leur du grenadier.
Crriso. V. Codöpo.
N. B. Les mots qu’on ne trouve pas par C,
il faut les chercher par 8.
Czin, 3. m. czar: souverain de Hussie. V.
Czarina, s. f. czarine: femme de l’empe-
reur de Russie; souveraine, imp6ratrice de
Russie.
CzaROvıTz, s. m. czarowiz : fils da czar.
Czisstär, s. we. (f. d’hist. nat.) caigital : mam-
miföre du genre du cheval; onagre de Tarta-
rie , brun ot blanc.
D.
D,s. m. troisiöme consonne ; quatridme lettre
de l’alphabet portugais. Elie signife don ou
donne ‚ sulvie d’an point, devant un prenom.
C'est aussi une lettre numerale qui vaut 500.
Elle vallait 5,000 loraqu’il y avait un petit tiret
dessus. Elle signifle 4 au bas d’une feuille d’im-
pression.
DD., abrevialion du mot dowtores, docteurs.
Da, Das, contracl. de DE, prdp., et A, AS,
ert. f. dela, des.
+Di ck, imp. du v. dar, et ca, ado. donne
ici, donne-moi ici.
+Dä-ciro, (f. de mus.) dacapo : pour ren-
veyer au commencement d’un air.— !— ! bis!
bist encore uno fois.
+ Dicaa, s. f. (1. de g4og.) Dacie : oontree de
la Scythie europsenne,
DV ns ie
+Dicıco, adj. m. Dacique: vengeur des
Dacesı
+ Dicıos, s. m. pl. Daces : peuple de Dacie.
Dicrrıe, e.. V. Tdmare.
Dacrr’Lico, A, adj. dactylique : du daotyle.
Dicrrıo, s. m. dactyle : pied de vers greseonu
latin d’ane longue et deux broves.
+ Dacrvrocia ou DacrrLoula, s. f. daetyio-
gie ow dactylolie : disoours par les signes avec
les doigts.
+Dacrrromancia, 8. f. dactylomandde : di-
vination par l’inspection des doigts.
+Dacrrronoula, s. f. daotylonemiez art de
compter par les doigts.
t DacrrLönowo, 3. m, dactylonome : qui
compte par les doigts.
+ DactrLöpranos , 8 u pl. (1. Phist. nal!
DAL
asetyloptöres : Poissons ossoux dactyles, subdi-
vision des trigles.
Dapa, 8. f. Vaction de donner; jonissance,
possession d’une chose donnee. ont. V. Dale.
"Dınzco, s.m. V. Daddica.
Dibiva,s. f. “don, present, largesse.
DupıväaL, adj. 2 gen. bon & donner.
tDanıvar, v. a. faire des dons, des pre-
sents, des cadeaux.
DabıvösamEnıe, adv. liböralement, gene-
reuseınent.
tDasıvosımäne, s. f. munificence, libera-
ite, generosite.
Dapıv6s0, a, ady. donnant, quı aime A don-
ner, liberal , genöreux.
Dino, a, 9. p. de Dar. adj. Alfable, com-
municabie. (a) Adonne, incline, livre. Dado
c810, Q4O 65578 SCjG , SUPPOSE qUE, SUPPOSons
que. — que, quoique, bien que.
Dipo, s. m. de: petit solide cube & faces
merguses de points de 1 & 6 pour jouer. Mor-
ceau de fer carr& qu’on met dans les canons
charges & cartouche. — falso, d6 pipe, de
charge. Conforme dir 0 —, ( fam.) selon que
le de tournuera. Deitar, langer os —s, ( ig.)
S’sventurer, se hasarder, se risquer. Lance
de —s, coup, tour de des. Jogar os —s, jouer
aux des. Estd lengado o — , le sort en est jete.
O melkor lancs de —ı d ndo jogdl-os, (prov.)
le meilleur coup de de est de ne point jouer.
+ Dino, s. m. donne, largesse, distribution,
=, pl. (1. de math.) ° donndes : quantites
connues qui servent A trouver les inconnues ;
kg) base d’une recherche, etc.
Danen, A, s. donnear : qui donne. — de todos
os bens, Dieu.
Dancco, s. m. daduque ow dadouque: prötre
de Ceres ; porte-Dambeau.
Dica. V. Adaga.
Dani ou D’ani, adv. de lä, de cet endrolt.
— em ou por dianie , depuis ce temps, ensuite.
Darmäca ow Daınkca, s. f. sorte de barque
sur le leuve Tigre.
+Damagutıno, s. m. pilote qui condult la
inaca. V. 08 mot.
+ Diss ow Dino, s. m. dalri ow dalro,
lama , souverain pontife des Japonais.
Dia, s. f. (t.de mar.) dalle: petit canal sur
le pont d’un vaisseau pour Pe&coulement de
Peau de la pompe.
Dazica,s. f. (1. de mar.) grande harque,
large et plate , dans l’Asie.
Dartu. V. Alm.
tDiıus, interj. fam. aller! encore! — que
dälks on dälhe que dards, (fam.) on le dit pour
exprimer Yennui que cause un imporlun.
Dazı ou Daızı. V. Ali.
tDaumica, s. f. (4. de geog.) Dalmatie:
prorince maritime (de l’empire d’Autriche)
dans F’Adristigue.
tDauuiras, 5. m. et adj. pl. Dalmaliens ou
Dalmaies : peuples de la Dalmatie. .
Dawmirca, s. f. dalmatique : tunıque du
diasre et du sous-disere.
DAM
fDaumirico, a, adj. de la Dalmatie.
Diua,s. f. dame: titre d’bonneur; femme
maride, au-dessus de ia classe du peuple;
femme de qualits. Maltresse, pretendue : filie
ou femme recherchee en mariage, ou simple-
ment aimeo de quelqu’un. Dame d’honneur,
d’atours. Femme qui joue aux theätres les
premiers röles. Concubine. Dame ow reine:
deuxidme piöce des &checs; carte & figuro de
dame; piece ronde et plate qui sert & jouer
aux dames; dame dameeo, piece ä dame, pion.
Soprar a —, soufller une dame, en Jouwant aux
dames. (fig.) Se marier avec une fille courtisee
par un autre, enlever ä un autre sa maltresse.
4s —s, pl. jou de dames. Fazer —, damer.
Dauman. V. Hyrace.
Damania. V. Damice.
. Damascino. V. Adamascddo.
f Damasceno, A, adj. de Damas; habitant
de Damas.
Dawäisco, s. m. (8. de gdog.) Damas: ville de
Syrie.
Dauisco, s. m. damas : &toffe de soie &
fleurs. Abricot, prune de Damas. — de Phila-
deiphia, damas cafard.
t Dauasönıo, s. m. (4. de bot.) damasone ow
damasoneum : fläteau &toile.
Dauasqu£ıro, s.m. (#. de dot.) abricotier,
prunier de Damas.
DamasQuiLHo, s. m. dim. de Damasco. Etoffe
de soie ou de laine damassee. ,
Danasquim, s. m. dim. de Damasco. Etofle
de soie qui ressemble au damas, mais qui est
moins forte.
Damasquino, A, adj. de Damas : qui appar-
tient & la ville de Damas; damasquine. s. m.
Damasquin : poids de 600 drachmes ow 380 li-
vres, dans les ports du Levant.
Daussir. V. Galantear.
Dauice, s. f. mignarderie, minauderie;
affectation,, caprices de femme.
+ Dauıttra ow Damıita, 8. f. (8. de g£og.)
Damiette : ville d’Egypte.
+Dauwina, s. f. (1. de bot.) * dammanı«
arbre de l’Inde & resine blanche.
Daunäca, s. f. petite embarcation de l’Inde.
Daunacäö, s. f. V. Condemnagdö. (Aig.)
Perte ; ruine.
Dauninpo, A, p. p. de Damnar. adj. Mar:
veillant, mechant; damne, gäte. Enrag6, qui »
la rage, hydrophobe.
DAMNADOR, A, 8. qui fait du tort.
DAMNamRnTO, s. m. V. Damno, Damwifl-
cagäo. * Inimitie , malveillance.
DaunÄr ou DanAR, v. a. corrompre physi-
quement ou moralement. V. Conlaminar.
Nuire, porter pr&judice, causer du dommage,
faire du mal. Gäter, endommager, metire en
mauvais diat, deisriorer. Blesser, offenser.
Faire enrager, causer, donner l’'hydrophobie.
Damnir-SE, ©. 7. se.cortompre, so gäter;
devenir enrag6, avoir I’hydrophobie. (Ag.)
S’enrager, se mettre en colere. ,
Daunıricagäö, 5. f. V. Damno, Deierioragdo.
373
378 DAP
DanunwickBo, A, 9. 9. de Damnifeur.
Dauntricanen, s. m. colui qui cause Uu
dommage, qui nwuit.
Dausıncautnto. V. Deirimente.
Dauniricir ,v. &. Leser, nuire, pröjudieler,
offenser, faire tort; gäter.
Dauninno. V, Daninko.
Dinno, s. m. dommage, perie, detriment,
desavantage , pröjudice,, tort. Pens de—, (1. de
&hdol,) peine de dam. Em — d’alguem, en pr6-
judioe de quelqw'un , pour lui faire tert.
+ Dausnösamente, adv. erniciousement :
d’ane manidre dangereuse, neisible,
DARNOSISSEMO,, A , a4}. sup. de
+ Dıunöso, A, ad}. naleible, derhimageabie,
prejudiciable, pernicieur.
Diuo. V. Amasio, Namorad».
+Danäne, s. f. (1. Mat. net.) danalde :
t6pidoplöre, papillen.
Danaıs. V. Tägueda.
Danca, 6. f. danse: mouvement cadencd du
corps au son de la voix ou des instruments;
mahlere de danser ; art de danser. ° Bal: r&union
fe danseurs. — d’espadas , sorte de danso aven
des epees nues; (fam.) dispute, querelle ot il
yYades epees tir&es. — fallade, hallet panto-
mime. Entrar na —, ( fam.) entrer en danse.
Bid vala —, (fd.) on le dit ironiquement d'une
ehose mal concertee. Metler alguem na —, (d.)
meltre quekmi’un en jeu; attribuer A gael-
qu’un ce qu’il n’a point fait. Como, onde vos
4& —? quelle tonrhure pientent les choses? od
en sont les choses? Carra a — ! (Jam.) vive ia
joie !
Dancıpfına. V. Balladeire,
Dancabön, A, s. dansenr: dui danse.
Dancinte, 5. m. danseur dans les fütes pu-
bliques. (fig.) Dessale, dröle.
DangarR, v0. w. danser : mouvoir le corps en
eadence, & pas mesur&s. Sauter, danscr, sau-
tiller, sagiter en sautant.
DaNcAniIa0, a, 8. dansenr de ihtätre. ( fig.)
Mannequin, dröle.
+ Dıma,s. f. (1. du Brent) sorle de noix
purgalive et emädtique du Bresil.
Daxpi6, (TE. burl.) V. Pesaddio.
Damıricar, eic. V. Damnificar, etc.
Daninso, A, adj. nuisible, destructeur. On
le dit surtout de cerlains animaux. Noir, me-
chant, atroce.
Danöso, etc. V. Damnoso, etw.
Se ete. V. Danga, etc.
Duxta,b. f. G d’hist. nat.) * dante : tapir
d’Afrique. —, elan, btori: animal du Chili qui
porte une trompe.
D’AnTE. V. Ante un.
Dixte, p. a. de Dar. Donnant : qui donne.
D’AnTEmAÖ, ado. W’avance,, par Avance.
D’ANTES, adv. auparavant, naguere.
+ Danzica ow Dunzioug, s. m. (1. de gdoq.)
Dantick : capitale de fa Prüsse occidentale.
PDanzıcäno, A, adj. Danızickuis ou Dantzi-
cais : de Dantzick.
"Divxan, etc. V. Damnar, ewo,
DAR
D’raqukn, adv. deca, om dega. V. Agmd.
D’sqtı, ade. de cet endroit, d’ici. V. Agmi.
Dir (6), v. . donner : faire don, faire prö-
sont & quelqu’un, le gratißer de...; livrer,
mettre entre les mains; accorder, oetroyer.
Frapper, donner des coups de bäton, de
fouet, etc. Donner, proposer ; conferer ; appli-
quer. Supposer. Accorder une preposition.
— , rapporter, porter, produire, en parlant des
terres, etc.; rapporter, en parlant des arbres
& fruits, etc. Tenir une affaire pour conciee.
Donner pour. Douner occasion de. Sonner les
heures, en parlant d’une horioge. Faire parta-
ger les oartes entre les joneurs. Faire, occa-
sionner. Joint & certains norns suhstantifs, il
en prend la signification. Exr.: — um abrapo,
embrasser ; — sellos, sauter; — gritos, crier,
etc. — & credito, danner A or&dit. — agus ds
mdos, donner & laver, verser de l’eau pour se
laver les meins. — 4 estdmpe, imprimer.
— alma, donner de l’äme, animer. — s eins @
Deos, rendre l’4me, mourir. — d kus, acosu-
cher, enfanter ; meitre au jour, publier, impri-
mer un ouvfage. — armas oonlre si, (fig.)
donner des verges pour 56 fouolter. — assalle,
donner Vassaut, au propre et au figure. — a
sumpio a..., donner le sujet de... — audiencie,
donner audience. — a um mais as oulro,
avantager. — bordos, (t. de war.) bordayer,
louroyer; (fig. few.) courir d’an o6t6 et de
!autre. — ou md vida a alguem, procurer
une vie ogreable ou fächense, falre bon ou
mauvalis Mensge, Bonner de la satisfsetion ou
du chagrin & queigu’en aroe qui Yon vit. — ce-
berndas, (fam.) pencher la t#te et ia relever,
lorsqu’on a enrie de dormir. — c@r, metire en
Coufeur, peindre; ( ig.) colorer, oouvrir de
quelque pretextie. — conla, rendre Gompte.
— corda, (fig.) donner ooeasion de parler.
corpo, donnet du corps, &paisser : faire
ressortir les figures d’an tableau par le moven
des ombres ; (fig.) exagerer. — cwidado , metire
en peine. — de comer, de veshir, otc.,donner de
quoi manger, de qaoi s’babiller. —o po e o
pdo, (fig. fam.) meltre ä propos la douceur et
la severite. — dia e Aora, assigner le jour et
’heure d’une entrevue. — # mdo s alguem,
( Ag.) Vendre la main, secourir. — o Juger, ce-
der sa place. — o noms, dire son nom. — @
parabem , [eliciter, complimenter. — 0 Pesame,
faire un compfiment de condoldante. — 0 pe 6
tomar a mdo, ( am.) donner Ile doigt, et pren-
dre le bras. — 0 santo, (4. m.) donner l’ordre,
le mot du guet. — o sim, corsenlir, dermer son
consentement. — 0 cofo ou seu volo, donner sa
voix. — enfreda , permettre d’entrer. — seida,
permetire l’exportation ; faciliter la vente.
— baiza a0s marinkeiros, & tripulapdo, (1. de
mar.) congedior l’equipage. — un Imgmo d
amarre, (id.) congreer un cAable. — um salto o
exbo de aleilarga, ($i.) choquer la tournevire.
— o rumo, (dd.) donner }e route, demmer la
prone. — uma bands #’artilheria, (id.) denner
une bordec nu sa bordee K.l'ennomt, — rodogus
‘er’
.
DAR DAR 375
“umnams, (dd.) donner una remorqua d un |certißier le contonu d’an arie, consialer un
vaisseau. —63pego, donner le temps. —espera, | fait. — tempo ao lempo, attenäre l’occasion
alermeywe, osperangas, donner esperance. | pour faire quelque ohose. — tormenio, lour-
— eeledo , donner un lat ä quelgu’un. — es- | menter, aliger. — irotamenio, trailer un
tampido, telaler. — exemplo, donner, Moniror homme selon son rang:-+- fragäs, tracer, dres-
lexemple. — espedienie, expödier. — fama, | ser un plan. — ireguas, ( Ag.) donner du relä-
deaner de le röpulalion,, metirs en röputation. | che. — uma möo, donner une couche de cou-
— faror, praitger, favoriser. — [d 6, ajouter | leur, — uma olkada, douner un conp d’ell.
fol, faipe foi- — fd de, remarquer, faire atten- | — uma funds, donner une yolde de coups de
tion a. — Aador ou Aanga, donner caution. | bäton; rauer de coups. — um ferro, donner
— im a uma couss, meilre une chose & fin. | une facon A un champ. — uma söva, frapper
— funde, (1.da mar.) maulller, jeier Pancre. | quolqu’un. — uma vista d’olhos, donner un
— fundo a vela (id.), mouiller sous voiles, | coup d’eil. — uma yolia, faire un tour. — um
meuilleg äla ıpile. — forragem ou verde, al- | cörie, couper, trancher; (Ag.) trouver un exp6-
fourrager. — razdo a alguem, donner gain de | dient pour termirder une affaire, couper court. -
cause ä quelqu’un.’— fogo, faire feu, tirer. |— umnd, faire un ngeud, nouer. — Um Passo,
— gana cu ganas, (fam.) danner envie, — gar- | faire une demarcha dans uno affalre). — vaia,
role, eirangler. — glarie, glorißer, — golpe, | huer, railler, se moqyer, Jancer des brocards.
($9-) (repper Kesprit, dtonner, surprendre. | visos, ressembler: —: vozee, pousser des
— gragan, vondra gräces, Temercier. —grils, |hauts cris, crier. «m volla , tourner, — vollas,
buar, — ras , delorer des honneuts. — 04
ra. se tourner dang gen Ht. — 6 iqınar, disputer
emberas , Leliciter, complimenier. — a Kora, | aven qualqu’un ee oplnhurer dene son senti-
songer I’henre. — 4 lei, ( Ag.) servir de regle,
ment. Ndo — seu, braro.a torcef, (fig.) ne pas
de modele. — as dos palmatoria, ( Ag. | faire oonnalıre ses besoigs; ne Kr A per-
fam.) baisser pavillon, se recounalire vaincu. | soune. Ndo — uma sede d’agus, (fam.) €ıro
— obediencia, rendre hommage, ob£issance. | extremement mesquin, chiche, Deos le d4 doa
— razdo a alguem, randre raison & quelqu’un. | fortung ou ventura, Dieu vous donne un hen
— eielas, teurner le das. V. Costas. — as Ddas | guecds. Näo poder — um pass0 ‚ne Pou‘ is’pas
foetss, oe bens ammos, souhaiter les bonnes | mettre un pied devant Janire. Mais vafo um
idies, \a benns annke. 4 ultima mäo , meltre | (oma-Id que dous te. darei, un bog Hens vaut
la derniere main, finir. — vide, vivifler, ani- | mieux que denx tu augas. Dia onge der, (fars.)
mer, Sortilst. — a vida por alguem, donner, arrive es qui 'pgurra. Em — atomar 6 facil
sacrißer sa vie pour quelqu’un. — Holo, reciter |errar, & donner et A prendeg, on peut aise-
sa logos, — ii ou Leis, dounsr, imposer des | ment se meprendre. I
init. — iasnen etire. — 0a bons dias a| Dän, oe. n, frapper, dogser des ‚coups; trou-
eiquem, souhaiter le bon jour & quelqu’un. | ver; aveir vue Sur. — tender, donner äen-
— Iugsr, se serser pour faire place; donner le | tendre; faire cpnnaltre. — d banda, (1. de mar.)
temps, permetise. — Zus, eclairer repandre | mettre le vaisseajt A la bande. Y. Banda. — 4
des \usmideos. — malrdcn, railler. V. Zombar. bomba, (ua. 1zahre agir la pompe, pomper. — &
— mestras de, avair Fair de, manifester 808 | costa. V. Cosla.. Ir — 4 prdca, d Igreja, e\C-
‚ses sentimenis, se faire connaltre par |abeutir la place, alKglise, etc., en parlant
ses actions. — nolicias ou noves, donner des | d’une rue. — bem oumal 0 naipe, ölre heureux
zeusellen. — oyeidas, preter loreille. — or- | on malhowreus au jeu, avoir de bennes ou d6
dem , ordonner, donner ordre. — ardem d wide, | mauvaises carles. — Com algums pessoa cm
ehessher beuntismsnt des moyens de vivre. | terre, faire tomber, abautre, terrasser une per-
erdeng, dennss, conferer les ordres ecclö- | sonne. — com alguem ou com alguma cousa,
ianlirgues. —— Banscon, ÄONDEL, dire aon avis. | ransautrer, wseuyer quelqu’un ou uelque
— parte ‚ [sie part. — pondos nas meigs, (fam.) | ehase. — com a cabera pelas paredes, (fig.) n0
ravaudar les bas. — ponio, enirar en vacances, | agvoir qua {aire,oü danner de la tete; brusquer
Mo — quertel, (fj.) ne peini faire de quar- | une affaire. — com 0 poria nos olkos ou na
tier, trailer avec rigueur. — Que fallar, que rir, | cara, former la porie an nea. —- 00% sigo no
quo eniender, faire parler, appreter ä Fire,
desmer I panNet. -— querdlis, rendre, porter
„inkete eu Inslloe sone qualgu’un. — razdo,
yemise reisen , pondze gampie. — rebale , don-
ner Yalarıma. — reodde, aumoncer quelqu’un,
= sorsdes, false des eomplimenis, dire bien
des cboses. — remidio, apporie semeöde.
chdo , tomber, se laisser Lomber. — c0M sigo em
algum lugar, se rendre dans quel endroit,
y aller. — de sspöras, piquer un © eval. — de
mäe, rejeter, laisser, abandonner, meöpriser.
= da si, chder, Ballaisser ; g’etendre, F’allon-
ger, s’ölargir, so dit des tolles, (ies cbaussu-
res, etc. (Ag.) Ayoir des sultes. — d’olko,, faire
signe de ’ail.—em al , battre quelgqu’un,
Ini donner des eoups. — em böhado, s’adonner
an vin, em doudo, devenir fon. — em düro
ou em söcco, (g.) trouver des difßaulies qui
s’opposent & la rensaite d.ung chose. — na mö-
*6, (Ag. fam.) pöuetrer intenban de queir
-
PR)
zanıer de jeie. — signal, danner des arrhes.
= farıno on pres, Öuar un lerme pour UNE
ni, = Msiemunho, Fendre tWmoignags.
376 DAR
qu’an, deviner son secret. — nas mazelas, no
vivo ‚, (fam.) toucher au vif, piquer dans Pen-
droit sensible. — nos olhos, @tre clair, mani-
feste , &vident, frapper la voe. —em mdos d’al-
guem, tomber dans les mains de quelqu’un.
— de rosto, (fig.) Otre contraire. —em rosio a
cousa , reprocher quelque
com
chose & quelqu’un, lui en faire un crime. —
w’um Banco, w’um baizo , (1. de mar.) toucher,
&chouer, parlant d’un vaisseau. — para a rus,
para o jardım, eic., donner sur la rue, lejar-
din , eio., en "parlant de croisdes, etc. Näo
freio, avolr le mors dur, parlant d’un
cheral. Näo — pelo
attention i... — por conchw
falle. — por quite, tenir quitie. — sobre alguem,
se jeter sur quelgu’un, l’attaquer avec furie.
— alrds d
der, um ie em
cerio, poser en fait.
Dir-sz (a),v. r. s’sdonner, s’appliquer; se
livrer. Croitre, venir en abondance, parlant des
;s’attri-
buor ; donner & soi. — a conhecer, se faire con-
plantes, etc. (por) Se donner comme...
nalire ; 6elater. — ao diabo,se donner au diable,
s’irriter, 56 melire en colere. — a partido, (Ag.)
se rendre & conditions, c&der & l’avis d’un au-
tre.— a perros,, [r6mir de rage. — as mdos,
se toucher la main en signe d’amitie, de recon-
ciliation ; se donner, se pröter la main, s’en-
tr’aider. — bem ou melem alguma ports, se
porter bien ow mal en queique endroit, en
quelque pays. — bem com alguem, s’accorder
bien avec quelqu’un. Näo — por eniendido,
faire le sourd ou la sourde oreille. — por ven-
cido , se rendre , s’avouer vaincu. — pressa, se
bäter. — todo .... ., se devouer &... Ndo so me
dd nada, peu m’importe. Ndo le 7) cwidado ,
ne Vembarrasse pas ;tu me le payeras. Quem
me dera ! combien je desire‘
Dan-sE, imp. arriver, avoir eu; se pr&ösen-
ter. —ha-aso? est-ce que par hasard ? sera-H-il
possible? De&-se como cerio,, on l’assure comme
certain.
t Danpasisı, 8. m. espece d’&pervier, oiseau
de proie.
+} Darpina, s. f. coup de dard.
* Daxvaninıo. V. Alravessador.
+} DarpantıLos, s. m. pl. (8. de gdog.) Dar-
danelles : deux chätsaux forts sur les deux
rives du dötroit de Gallipoli ( en Turquie).
Danpinıa, (1. de bot.) V. Cegude.
+ Darpinıo. V. Troiano.
DanpgsäB0, A,P. p. de Dardeyar.
DARDRIANTE, adj. 2 gen. dardeur.: : qui darde
un trait. 9.0. de
Darnpzsir, v. a. darder : lancer un dard
(rapper comme un dar. (Ag.) Dardiller : der-
leme , n’ob6eir pas au gou-
vernail, parlant d’un vaisseau. Näo — por isso
ou por tel, ne s’enapercevoir pas, ne faire pas
um negocio , re-
garder une affaire comme terminde. — por
feila uma cousa, regarder une chose comme
„ poursuirre avec acharne-
ment. — dodla, (. de mar.) faire voile. — ums
,„ etre attaque,
€iro pris d’une douleur, d’an accident. — por
sion. Ex.:
DE
der vite et souvent , se ditdes rayons du solell,
de la foudre, etc. I} est aussi neutre.
Diapo, s. m. dard : long bois ferr& en pointe:
demi-pique ‚ arıme qu’on lance avec la main.
DinES-E-TONARES, 3. m. pl. (loc. fam.) "al-
tercation,, dispute avec quelqu’un. Ander com
—, se meler de disputes, d’altercations, les
aimer. Ter —com alguem, se dispuler avec
quelqu’un. i#. Avoir des relations intimes et
peu honnetes avec quelqu’un.
Dinca. V. Adarga.
+ Daxi, s. m. (1. d’Afrique) espece de singe
du cap de Bonne-Esperanoe.
+ Därıco , s. m. darique : ancienne Monnaie
d’or, d’argent, des Perses.,
Daxoßına. V. Dragofira.
Danvis. V. Dervis.
+ Dasvöna, s. f. (8. d’hist. nat. ) dasyure :
maramiföre marsupial de la Nouvelte-Hollande,
Dita, s. f. date : epoque, chiffre gei Pindi-
que; jour auquel un acie, etc., a €i6 fait, une
leitre a eis ecrite. "Droit, action de donner.
Por a—, dater. Acher olquem.de bos ou md—,
(fg.) trouver quelqu’un de bonne ow de mau-
vaise humeur.
Dırivo,a,p.p.de
DaTär, v. a. dater : metire la date.
+Darar, v. m. dater : avoir pris date &
compter d’une epoque. /sso ddla de longe, cela
date de loin : se dit d’une chose passee il y a
longtemps.
Dartania , s. f. daterie : offios du dataire, son
bursau, son tribunal.
Dartänıo ,s. m. dataire : chancelier deRome,
president de la daterie, qui expedie los acies
de böneflice, de dispense.
Dıtı.ipo,A,adj. qui ressembie ä la dattie,
par sa forme ou par sa couleur
Dirıe,s. m. V. Tdmara. — merinko, (1.
Khist. nal. ) datte de mer: fruit de l’algue ; co-
quille bivalve.
Darııeına. V. Palmbira.
Dırivo, a, adj. (4. de prat.) datif : denne
par le Juge ( tuteur, ete.).
Dırivo,s. m. datif: troisiöme cas groo ou
latin, celul qui marque la personne ou la chose
& laquelie on donne, on attribue quelque objer-
DAvanTE, adv. devant. Dar por—,(#. de
mar.) prendre le vont; obeir au gouverneail.
+ Dıvura, 8. f. (8. de bot.) "darvilla : arbre
du Bresil, rosac6e.
Daraı. V. Deiri.
De , prep. de, particule exirachioe , distino-
tive, desi ignatios, indique la matiöre d’une
chose, la propri6ts, les qualitös personneiles;
pröcdde les adverbes et les ses
adverbiale avec un substantif ; lie les vorbes, los
adjectifs et leurs relatils;; dösigne l’actlon ; ex-
prime la cause , l’origine, le lieu d’oü, comme
Gans la langue frangaise. Entre leverbe Comepar
et un autre verbe, signifie d. Ex. : Comeger de
servir, commencer dservir; entre un adjectif e&
un substantif‘, donne plus @önergie ä l’oxpres -
A velhece da (dea) criada, lafti-
DEB
ponne de servante. Quand elle indique la ma-
tiere d’une chose, se rend souvent par en. Ex.:
Collar de diamanles, eollier en diamants.
Dis, s. f. (t. de pods.) d6esse.
Dsipo, s. m. doyenne6, decanat:: dignite,
jeridiction du doyen.
+ Deuıznaciö, s. f. (t. de chim.) dealbation :
ehangement de couleur noire en blanche par
Fection du feu.
DeaiLnar, etc. V. Branquear, Purificar.
DEAUBULATÖRIO, A, adj. V. Ambulatorio.
s.m. V. Passeio.
Dario, s.m.doyen: dignite de quelques cha-
Deunazzoia. V. Arrazoar, Allercar.
Deurricr.iciö, s. f. articalation distincte,
prononcistion bien nette.
Deartict.ivo,A,p.p.de
DeaarticvL.in, v. a. parler distinctement.
Desiıxo, ade. sous, dessous , par-dessous;
en bas. V. Bairo. Ficar —, succomber. Estar
— da artilkeria , &ire ä couvert du canon.
DksiLpe, adv. en vain, gratuitement.
+Dxsanpioa, s. f. debandade : aclion de
debander. Em — , adv. & la döbandade, confu-
seınent, sans ordre.
Desuspino, A,p.p. de
Desaupin, v. a. debander : r&öpandre en
desordre (les troupes).
Dasumir,o.n.ct—se, o.r. se debander:
fuir, se disperser sans ordre.
Dazsar. V. Dobar.
Desire, s.m. debat, differend, contestation.
DEBATEDURA , s. f. action de se debattre,par-
lant d’un oiseau.
Desatka, v. a. debaltre, contester, discuter.
Dispater les armes & la main. Jl est bien sou-
vent neutre avec la pr&p. em ou sobre, et signi-
fe disputer sur.
Dusatka-sE, v.T. se döhatllre, se dömener.
Dssarmıgo ‚A, ady. qui a V’habitude de se
ätbattre , qui se debat sourent.
Desutıpo , A, P. p. de Debater.
Desirıpcaa, 8. f. } agitation , battement
DEBATINENTO, 8. m. d’ailes. V. Debate-
ders.
"Draixo. V. Debaixo.
DessıLackd, s. f. delaite d’une armee, con-
quete d’un royaume, etc.
Deszııino ‚A, p. p. de Debelldr.
D£22LLA0ÖR , 5. m. vainqueur : qui a vaincu.
Deszrıir, v. a. delaire, vaincre une armce,
esnquerir un toyaume, etc., prendre une ville,
suhjuguer un peuple. —as paixöes, (lg.) vain-
ce, mbjuguer les passions.
Dasıcino0, A, p.p. de
Desscin, 0. ». toucher & peine, pignocher;
DisiL, adj. 2 gen. döbile, faibte; affaibli.
DesiLıping, 3. f. döbilits, faiblesse , affai-
blissemen
ı
DassLiıtacid, s. f. debilitation, affaiblisse-
zzusent.
Desu.rrapissıuo, A, ad/. sup. de Debilitddo.
DEC
DesiLrripo, A, 9.9. de Debilitär.
DEBILITÄNTE , adj. 2 gen. debilitant, qui debi-
lite. 9. a. de
DesiLıtÄn, v. a. debiliter, affaiblir. Il est
aussi reciproque.
DEBILMENTE, adv. debilement : d’une ma-
niere debile,
Desıto, s. m. * dette, le dA : ce qu’on doit.
— conjugal, devoir conjugal.
Desöcnan. V. Corromper, Seduzir.
DEBöcHE. V. Devassidäo.
DesoLirn,o.a.($.de mdd.) ter les croütes
des plaies.
DEBREÄADO, A,p. p. de
Desreir, v. a, dechirer quelgu’un & coups
de verges.
DEBRUÄDO, A, P. p. de
Desnuir, v. a. ourler, faire un ourlet; met-
tre un bord, border.
DEBRUCÄDO,, A, 9. p. de
Desrucän, ©. a. coucher sur le ventre. (fig.)
Courber, abattre, deprimer.
DERRUCÄR-SE, v. r. s’incliner, se baisser, se
pencher sur. — s alguem, s’humilier devant
quelqu’un.
DesrÜcos, adv. couch& sur le ventre, ä plat
ventre.
DEBRÜM, s.m." bordure, ourlet. Galon que
Fon met au bord des habits, chapeaux, etc.
DEnÜLHA, 8. f. * battage du bie; depicage.
DEBULHÄDO, A, p. p. de Debulkär.
DsBULHADOR , 5. m. batteur en grange.
DesuLuin,v.a. battr6 le bl6; depiquer. ss.
V. Desfolhar.
DesoLHin-se, v.r. — em lagrimas, (fig.)
pleurer A chaudes larmes.
DzrsöLHo, 5. m. paille du bilö battu. — de
porco , intestins de cochon.
Desuxipo, A,Pp. p. de Debuxdr.
DesuxAnDOR, A, s. dessinaleur : qui dessine,
DEBUxXÄNTE, adj. 2 gen. qui dessine : dessi-
nateur.
Desuxir, v.a. dessiner : representer par
dessin. ( Ag.) Crayonner, de&peindre. v.n. Pra-
tiquer le dessin. Il est aussi reciproque.
DEBÜXO, s. m. dessin : art de dessiner. *Es-
quisse, croquis. -—-, representation d’un obje
au crayon ou & la plume; plan d’un bätiment.
Dessin d’une &toffe, d’ane broderie. (fig.) "Pein-
ture,, description faite de vive voix. Kum—,
c’est une miniature : se dit d’un visage dont
les traits sont delicats et bien röguliers. Ndo se
meller em —s, ne point se meier dos choses
qui ne nous regardent pas, ou qui sont au-
dessus de nos forces.
Deca , particule, deca: se Joint aux noms de
mesures nouvelles, et signilie dix (ois la chose.
Decana, s. f. decade, dizaine: ne se dit
guere que d’une histoire dont les livrer sont
partages en dizaines. —, espace de dix jours.
+Decanärıo, A, adj. decadaire : de dix
jours; en dix livres (bistoire) ; de la d&cade.
Decapencıa, s. f. decadence : declin,, dep6-
rissement, tendance & la ruine; #tat de Felre
377
378 DEG
qui ylend. Sua foriuna vai em —, sa [orlune
est sur son penchant.
+ DescaDenTg , adj. 2 gen. decadent : qui
tombe en decadence. p. a. de Decair.
+ Decapi,, s. m. döcadi : dixieme jour de la
ade, dans lo calendrier röpublicain fran-
Drckconp, A,adj. et s.(t. de geom.) deca-
gone : & dix angles et dix cöl6s.
Dscacriuu0, 8. m. decagramme : dix gram-
mes.
t Dacasv'sıa , s. f. (I de bot.) deoagynie:
ordre des plantes de&cagynes.
+ Decacr'no, Aa, adj. (t. de bot.) döcagyne:
(plante) a dix pistils ou dix stigmateg sessiles.
Decai00, A, p. 9. de Decair.
DECATMENTO, s.m.V, Decadencia (1. d’estr.).
V, Deciinagds.
Decain (de), v. ». döchoir ; tomber en deca-
dence. V. Descair. — da causa, (1. de prat.)
perdre un procds.
Decanin., „etc. V. Deceir.
DecaLitao,, s,m. decalitre : mesure de capa-
cite egale & dix litres.
DeciL0coO, s. m. de6calogue : les diz com-
mandements de la loi de Moise,
DecaLvinpo,A,P.p. de
DecAaLYär, ©. a. couper le pericräne autour
du cräne.
Decausrid, s.m. döcameron : OuYfage Con-
tenant les evenements de dix jours.
DECÄMETRO, 3. m. decamöire : mesure de
lonugueur &gale Adix meires.
DEcAMPÄDO, A, p. p. d
DEcANPÄR, v. e äscamper : lever lo camp;
deloger.
DECAMPANERTO, 9. m. decampement : Jede
d’un camp; action de d&camper.
Decanino, 5. m, decanat : dignits de doyen.
V. Deddo.
Decinoria, 5. f. (1. de Bot.) decandrie:
dixieme classe des vegetaux hermaphrodilies,
& dix elamines.
+Decinoxo,, A, adj. (Planta, flor —a, I. de
bot.) decandre : (plante, sa fleur) A dix eia-
anines.
Dacania, s. f. döcanie : corporatiou de dix
personnes presid6es par un de6can.
Dscino, s. m. deyen. senieur : le plus an-
cien d’un corps, suivant Fordre de röseption
os d’äge. Decan : chel de dix seldats & Rome,
de dix esclaves & Constautinople, de dix pa-
reisses ; divisien du aodiague en dixiemes,
BDecantacä6, 8. f.(t. de okim.) deoantation ı
aclion de verser doucement une tiqueur en in-
clinant le vase.
Decantino, a,p.p. de
Decantär, v.a. pröner, publier, c&l&brer,
exalter. ($. de chim.) Decanter : verser, en in-
clinant doucement le vase, une liqueur qui a
fait un depöt.
% Deusritaciö,s. f. decapitalion,
-DEKANITaR , 9, 8, decapiter, decoller.
DEG
+ Dscirouis, 3. f. (t. de geog.) Decaple:
coniree de la Palestine.
t Decasteaa, s. [. "döcastöre: dix störes om
cinq voies de bois,
DscastiLıo, s. m. decastyle: edifice A dix
colonnes de face.
+ Decasv’LLano ‚adj. m. decasyliabe : (vers)
& dix syllabes.
Desa voca. 7. Voga.
* Deczoüns, 5. f. V. Pario.
Decgınir. V. Deseindr.
+ Deceunovenär, adj. 2 gen. (1. de chron.)
de dix-neuf ans (oycle).
DecEurırÄL, adj. 2 gen. decemriral :
decemvirs,
DEcauvıRÄTo ,s. m. d6cemvirat : digufts des
deöcemvirs ; sa duree.
DECENVIROS, 8. m- pl. decemvirs : les dix
magisirats suprömes de Rome, qui forent
charges de redig er et de decreter les lois des
douze tables.
Dectucıa , 3. f. decence, bienstance, hon-
nötel6 , convenance, modeslie, pudeur.
DECENDER, etc. V. Descender, etc.
DecenuiL, dj. 2 gen. decennal ; qui dure
dix ans, au qui revient lous tes dix ans.
DECENNÄRIO, A, adj. decennalre : gai pro-
c&de par dix,
DECENNIO , a. m. espace de dix ans.
Deckuna, A, adj. dixiöme.
DEcENTE, adj. Ya decent, seant, conre-
nable, convenant ienseant ‚ conforme & la
decenoe, Juste, honnste. Näo “— a uma dos-
zella, ce n’ost pas beau & une fille.
DECENTEMENTE , ade. döcernmen! : avec de-
conce.
DEcENTISSINO, A, adj. sup. de Decente.
Decerino, a» 2-P. de Dexepd r. adj. Demem-
bre, mutile. ( Ag.) Inhabile, Treliben art
DECKPAURKTO, s.m. * mutilafion.
Decerän, 0.6. tronquer, mutiler, d&mem-
brer. (g.) "Priver de l’exercice d’un membre,
inhabiliter; öter la foroe, Penergie; couper,
renverser, abattre.
Decaa , etc. V. Descor, etc.
Deceanın , etc. V. Discernir, etc.
Decertin. V. Contender.
Decı, particule , deci : se joint aux termes de
mesures, et signiße la dixieme partie.
+ Drcıiaea, 4, f. * decigre : dixieme partie
d’un are.
DECIDIiDAMENTE, ein Gscidement.
Decwipo,A,P.P-
Decipir, v.0. ide, determiner, resoudre,
Il est aussi reciproque.
Decirraciö, s. f. * döchiffrement : explica-
tion , action de dechiffrer.
Decırripo, A, p.p?. de Decifrer.
DEGFRADOR ‚2. m. dechiffreur: qui dächiifire,
qui explique un chiffre, une lettre, un tcrit
obscur, difficile & lire, etc.
Decıraan, u”. dechiffrer : expliquer un
ecrit en chiffres; ( Ag.) ce qui est obscur; lire
yne 6cpilure diMeile; pendiser une chase
obseure ; pöndirer, d6oouvrir les inclinations,
la conduite secrät® de quelqu’un; trouver 16
mot d’ane dnigm>, le deviner.
Deacaiumuo,s. m. döcigramme : mesure do
pesanleur, dixieme partie du gramme.
Dscuirao , s.m. decilitre : mesure de capa-
eit#, dixidıme partie du litre.
Dicıma,s. f. le dixieme. Decime : imp6t,
eontribution de la dixieme partie des revenus.
"Dizain: euvrage da po&sie compose& de dix vers.
Drcsmacäö, 5. f. decimation : action de de-
cimer (les soldats).
Decmino, &,P. p. de Decimär.
Dscuiı, adj. 2 gen. decimal : compose de
dixiemes, cenliömes, etc.; (fraction, calcal)
de ces fractions. Qui concerne les dimes.
Dscamir, v. a. decimer : punir de la mort
un seidat, un individu sur chaque dizaine
d’une masse r&putse coupable. V. Dizimar.
DecimiveL, adj. 2 gen. decimable : sujet
aus decimes.
Deciugtao,, s. m. decimölre : mesure de lon-
gueur, dixieme partie du mötre.
Decıno,A,adj. ord. dixieme; dix.— primeiro,
onzieme. — segündo, douziäme. — lerceiro,
treizidöme. — quarlo, qualorzieme. — quinio,
quinsidwme. — sezio, seiziöme. — seplimo, dix-
septieme. — oilavo, dix-huitidme. — nöno,
dix-neurieme. Em — lugar, dixi&mement.
Leäo, Carlos, etc.,—, Leon , Charles, etc., dix.
Dicıuo , s. m. dixieme, dixieme partie.
+ Deciuo ow Decim, s. m. decime : dixiöme
pertio du france, deux sous.
* Decınaka. V. Descingir.
Decsaö, s. f. decision, resolution; juge-
ment, arret, Senlauce.
Decısivamexte,, adv. döcisivement : d’üne
manisre deoisive.
Decısivo, A, adj. decisil: qui determine,
rösout, döcide. Volo —, voix decisive.
+Deciso, s. m, "decision ; chose decidee, ar-
rest.
+ Dscısön1o, A, adj. ( 1. de prat.) decisoire,
deeisil, qui vide le procs ( serment ).
+ Decist£aıo, s. m. decistöre : mesure 6gale
ä la dixieme partie du slere.
DscLauacäö, s. f. declamation : prononcia-
tion et action de celui qui döclame; piece d’d-
ence qui doit etre declamee; action, art
de declamer ; discours declame; invective
( contre quelga’un).
Dacıauino, A, pP. p. de Deelamer.
DecLautapon, A, s. declamateur : qui de-
clame ; qui re6eite en public.
DscLawär, vo. ». declamer : röciter & haute
voiz,d’an ton oratoire; invectiver, parler avoo
ehsieuz oonire quelqu’un ou contre queiquo
ehose. Il est quelquefois aclif dans la premiere
DeEcLamaTörIamentg, ade. a la maniore des
Geelamiateurs.
DecLauatönıo, A, 0dj. döelamatoire : de la
dbelamation (art); qui ne vonloeme qus des
Göslamnatiens (Style )
DEG 89
Dscuarackö, a. f. declaralion : antion de
declarer; acte, discours pour declarer; ma-
nifestation, &noncs, explication, exposition,
interpretation. —, (f. de pral.) deposition,
temoignage; denonciation, publication.
DECLARÄDAMENTE, adv. clairement, mani-
festement; ouvertement, sans deguisement.
DecLarino, A, pP. p. de Declardr. adj. Trop
franc, tfop sincere, sans deguisement, Amigo
DECLARADOR, A, 8. et adj. döclgrateur: qui
declare, proclame.
DECLARANTE, 5. 2 gen. döclarant: qui de-
clare. p. a. de
DecLarir, v. a. declarer, manilester, &non-
cer, expliquer, #elaircir, exposer, interpreter;
decouvrir, deceler. —, (1. de prat.) denoncer,
deferer en. justice. Prononcer distinctement.
— , nommer publiquement ; denoncer, publier.
— a guerra, declarer la guerre. — seucoragdo,
seu peilo, ouvrir son c@ur. — juridicamenie
uma muiher por aduliera, authentiquer un6
femme. — por bva pr£sa, declarer (un vais-
seau) de bonne prise. Chegou 0 — Me (ul... ,
il vint jusqu’& me declarer que...
DECLARÄR-SE , v. r. se declarer, s’expliquer ;
se monirer, se manifester; se faire connalire.
(por, contra) Se declarer pour, contre quel-
qu’un, un parli, une opinion. (@, com alguem)
S’ouvrir & queiqu’un.
DEcLARATIVO, A, adj. deolaratif ; qui de-
clare; qui sert A öolaireir.
DECLARATORIO, A, adj. döclaratoire : (aote,
sentence) par laquelle on declare juridique-
ment.
DecLina, s. f. piöee de l’astrolabe quı sert &
indiquer les degres , slidade.
Decuinacäö,s. f. declination, deelin, loi-
gnoment; destour ; pente. (fg.) Döcadence
tendance & la ruine, & la chute. (4. de gramm.)
De6clinaison : action, maniöre de decliner les
noms; (i.d’astr.)distanee d’unastre & !’6quateur.
(4. de mer.) Derivation : öcart de la route, du
rivage. — da agülba, declinaison de l’aiguille.
— das cöres, nuance, degradation des cou-
leurs.
DecLinäno,A,p. p- de Declinar.
DacLınapör, 3. m. declinateur : instrument
pour determiner la position, la declinatiom
d'un plan. Celal qei deöcline, qui röcuse.
DECLINÄnTE, adj. 2 gen. deelinant:: qui de-
clino; qui n’ost peint dirig6 vers le sud eu un
autre point cardinal (cadran).
DecumwÄr, ©. @. (t. de gramm.) decliner:
faire passer un noma par les cas. —, (f. de prat.)
ne pas mooewmaltre (une jaridictien, ete.), dri-
ter ; recuser (un emploi, un conseil).
Deciınaa (pors), v. w. penehet. ( Ag.) D&-
eliner, dechoir, pencher vers sa fin. (em) De-
sentrer, s’abätardir, döcheir. —, (t. d’aslr.)
s’eloigner du nord, de l’&qualeur. — & föere,
&tre sur som deschin, en parlant de la flövre.
Deslinarem as cores, s’Alsiblir, on pariani dos
couleurs,
380 DEC
+DecLmarön, 8. f. (1. de pral.) declina-
toire : acte par lequel on decline.
DEcLInATöR1O, A, adj. (1. de pral.) dbelina-
toire: pour döcliner (exceplion, fin).
DscLinarörıo, 3. m. (4. de geom.) declina -
toire : espöce de boussole qui sert A orienter la
planchette pour lever des plans.
+DecLumÄveL, adj. 2 gen. (f. de gramm.)
d6elinable : qui peut @tre de6clind (mot).
DzcLinıo, s. m. declin : &tat de ce qui de
cline , penche vers sa fin ; d&cadence.
+ Dzcuivir, v. n. decliver: pencher, s’abais-
ser graduellement.
DecLivg, adj. 2 gen. declive:: qui penche; en
pente (terrain).
DecLive, s. m. "Döclivits. "Calade : terrain
en pente.
DecLiviäpe, s. f. declivits : situation de ce
qui est en pente.
Dzcrivio, s.m. V. Deelividade.
Decoina, s. f. lessive. V. Conrada.
Decocciö, s. f. (t. de pharm.) decoclion.
V. Cocgdö, Cozimento.
Dscouron, v. a. ($. de chim.) d6composer :
arer les parties qui composent un Corps.
BCOMPOR-SE, d. 7. 36 decomposer, 56 dis-
soudre.
DecomrosıGAö, 8. f. (8. de chim.) d6oomposi-
tion : resolution d’un corps dans ses principes;
action de d6&composer.
DscouP6stTo, A, P. p. de Deeompor.
* Dzconsuum. V. Juntaments.
Dzconaciö, s. f. d6coration,, ornement, em-
bellissement.
Decoripo, A, 9. p. de Decorar.
DeconanoR,, s. m. decorateur.
DECÖRAMENTE, adv. avec döcorum. V. Deco-
rosamenis.
Decoriz, v. a. döcorer, ormer, embellir, pa-
rer. V. Condecorär. it. Apprendre par o@ur.
Decöno, s. m. honneur, respect, veneration,
4gard. Decorum, decence, hbienstance, cir-
conspection, gravits. *Decence, pudeur, mo-
destie. Bonneur, estime. Sem — , malhonntte-
ment.
Dzcöno, a, adj. V. Decor6so.
Dzconösautnte, adv. honnttement, decem-
ment, respectueusement; selon les Cconve-
nances.
Decon6s0, A, adj. decent, bienseant, hon-
nete,, rospectueux ; convenable.
DECORRER,, ©. %. Courfir, parcourir; doouler;
echoir. V. Andar, Correr.
Decoraino, A, pP. p. de Decorrer.
* Decoaatno, A. V. Decorrido.
T Dzcosträr, v. a. Öter les croßtes (d’une
plaie, etc.).
ı Dncorind, A, p. p. de Decotar. adj. Döcol-
eilt.
DecorapoR, s. m. 6lagueur : qui dlague; qui
‘monde.
Dzcorän, o.a. &laguer, deimer, &täter, dmon-
der , tbrancher (un arbre). Döcolleier (une
robe, etc.).
‘ DEC
Decoräa-se, v. r. se decolieler, porter Ye
sein döcouvert.
DECcöTE, s. m. dlagage: action d’dlaguer les
arbres.
Deckzcıpo. V. Mi
DECREM£NTO, s. m. decroissement, diminu-
tion, deöchet, declin.
Deckzripez. V. Decrepitäde.
Decazrrracid, s. f. decröpitation : petilie-
ment, bruit du sel dans le feu, sa calcination ;
separation subite ei bruyante, avec petille-
ment, des particules d’un corps , causde par le
feu.
DecaerıTipo, A, p. p. de
Decrerıtän, v. n. (}. de chim.) decrepiter,
petiller. o. a. Caleiner;; faire secher le sel au
feu de sorte qu’il ne petille plus.
Decaerıtär, v. a. rendre decrepit; vieillir.
Decktrıro, A, adj. decrepit: tres-vieux et
casse. V. Caduco.
+ Decazritüne,, s. f. döcrepitude : vieillesse
extreme et infirme , son effet; etat d’an vieillard
decrepit.
DECRESCENTE , ı.m. V. Minguanie.
Decazscza. V. Minguar.
DECRESCIMENTO. V. Docremento.
* Decazracid, s. f. action de deeröter. V. De-
erdto, Determinapdo.
Decartinpo, A, p. p. de Deorstar.
Dacrzrir, s. f. decretale : &pitre, lettre des
anciens papes pour faire un röglement. Deere-
tdes , pi. recueil des döcr&tales.
DecazraLista , s. m. decretaliste : jarilscon-
sulte expert dans la connaissance des d6ere-
tales.
+ DECRETALMENTE , adv. on forme de döcret,
par deöcret.
DECRETAR, v. a. decreter, decerner, decider,
rösoudre, determiner, deliberer.
Decaerista, 8. m. döcretiste :
expliquait les decrets de Gratien.
Dzcat#to, s. m. decret, arröt, arr@t6, ordre,
ordonnance, decision , determination, rösolu-
tion. —, constitution d’un pape; recueil de ca-
nons; volonts de Dieu. — do papa Figilio,
judicatum solvi.
DECRETÖRIAMENTE, adv. d’ane maniere de-
eretoire ; deeisivement, nöcessairement.
DecazT6RI0, a, adj. (1. de med.) decrötoire :
eritique, decisif.
DecöpsıT0, s. m. (1. de mdd.) decubitus : l’ac-
tion de se coucher, dtat de celui qui est oou-
che.
Decuuino, a, adj. (#.’d’ans.) dixitme. Porta
—& , porie d&cumane : l’une des quatre portes
du camp romain , ceile pr&s de laquelle &tait Ja
dixiöme legion, appelte la lögion deeumanıe.
DecupL.ino,A, 9. p.de
t DecurLin, o. a. decupler : rendre dix fois
plus grand.
Dicurıo, A, adj. d6cuple : dix fois plus
grand. s. m. —, dix [ois autant.
Decörıa, 8. f. döcurie : troupe de dix heun-
mes, de dix soldats romains. Röunion de dix
canoniste qui
DED -
sooliers su environ,, qui röcitent leur legon de
grammaire & !’un de leurs condisciples.
t} DascvusıkDo, s. m. Dans les classes de gram-
maire latine,, chacun des dix 6coliers qui r&ci-
tent learlecon & un de leurs condisciples. Decu-
rionst: charge du decurion, sa durde.
Dscurıäö, s. m. decurion : chef de dix sol-
dats; &eolier qui en surveille dix autres, qul
sar fait reciter la lecon.
+ Dscuaaßntg, adj. 2 gen. (1. de bot.) decur-
rent : ayant un prolongement en saillie (feuille,
pötsle).
+ Decunsiro, a, adj. (1. de bot.) decursif:
i descend en rampant sur un des cölds de
l’ovaire (style).
Dscinso,s.m. cours, &coulement, laps de
temps; durde. adj. m. (1.de pras.) Echu, arriere.
Todo o — do anno, tout le long de l’annde.
No ou pelo — do tempo, dans la suite des
temps.
-Devina, 5. f. ce qu’on peut prendre avec un
doigt d’une chose qui est presque liquide; im-
pression d’un doigt sur un corps mou.
DepäL, s. m. d6: instrument, petit oylindre
creux pour couvrir le doigt et pour coudre.
-d ; ‚(t. de mar.) ” paumelle de
voilier.
+ Deoiızas, adj. f. pl. Folhas— , (t. de bet.)
dedaltes : (feuilles) Jabyrinthiformes (celles de
la chicorte, etc.).
Depautıra, ($. de bot.) V. Digital.
fDaviızo, A, adj. de Dedale, architeste
qui construisit le labyrinthe de Cröte (art, fa-
eulte).
+Depauıkd, s. m. (1. #hist. nat.) dedalion:
epervier-vautour d’Egypte et de Syrie.
Dipzconin. V. Deslustrar, Deshonrar.
Dankına, s. f. * dolgtier : cylindre creux, de
peau , etc., qui couvre le doigt.
Depicaciö, s. f. dedicace : inauguration,
eonstcralion d’une #glise, d’un temple; füte
de la dedicace. i4. V. Dedicatoria, p. us.
DsbıcäAno, A, pP. p. de Dedicar.
+ Depıcanen, s. m. dedicateur : qui dedie
un ouvrage.
$ DaDIcinTe, adj. et s. 2 gen. dedicateur,
&sdiant: qui dedie, p. a. de
Denicäx (a), v. a. dedier: consacrer au culte
divin; meltre sous Finvocation d’un saint (un
teınple , une eglise) ; adresser un livre par une
dedicace. Desüiner, sppliquer.
DspıcÄin-sE (a), 9%. r. se dedier, se vouer, 86
consacrer. S’appliquer, s’attacher, vaquer, 8’
donner, #’oceuper.
Desicatönıı, s. f. dedicace : &pftre pour d&-
dier un livre a quelqu’un.
Dervicnan-se (de), v. r. dedaigner de: ne
pas vouloir par mepris ; ne pas daigner.
DeniLnino, A,p.p. de
Deovıumir, ©. a. pinoer d’un instrument,
doigter.
Depiuuo , s.m. dim. de
DEnO, s. m. doigt : partie longue et mobile
de ia main ow du pied ; petite mesure d’&pais-
DEF. 381
seur d'un pouce, d’un doigt; douzieme parlie
du diamdtre d’un astre. (ig.) * Adresse , dexte-
rits. — annular ou medio, doigt annulaire. —
auricular ou mimimo, doigt auriculaife, petit
doigt. — pollegar, le pouce. — indice ou mos-
trador, doigt index. — de mesire, main de
maltre; ooup de maltre. Levaniar o — para 0
ar, (fam.) prometire en levant le doigt. Con-
tar pelos —s , compter sur ses doigts. Conhego-
0 C0mo 08 meus —s, je le connals comme ma
poche. Derribar com um — alguem, renver-
ser quelqu’un da bout du doigt, ötre beaucoup
plus fort que lul. Mostrar ao —, ou com o—,
montrer au doigt. O — de Deos, le doigt de
Dieu ‚son action. Estar dous —s de faser ow
dizer al cousa, @tre tentö, etre sur le
point, &tre & deux doligts de dire oa de faire
une chose. Lamber 08 —s, se l&cher les doigts.
Os —s das mäos ndo sho iquaes, (fig. Tam.)
on le dit pour marquer la difförence qu’ıl ya
entre toutes les classes dans tous les dtals.
Metter os —ı pelos olhos, (id.) jJeter dela pou-
dre aux yeux. Pör o—na buces, faire sigue
quer se taise en placant P’index sur la bouche.
er sous oinco—ına mdo, valoir autant qu’un
autre, ne lui c6der en rien. Teer mdos —s para
organista, (fg. fam.) n’ötre propre & aucune
chose. —s queimados, (fig.) Il se dit des per-
sonnes qui ont de la Jalousie mutuellement.
Fazer locar cousa com 0 — , [aire Wwu-
cher quelque chose du doigt.
Denuccäö, s. f. Paction d’inferer, de con-
clure. Döduction, diminution, soustraction,
rabais. (£. de mus.)— , suite de notes qui mon-
tent ou descondent par degres conjoints.
DepuccionäL,, adj.2gen. Movimento— ‚(I.de
mus., qui sefait par deduction (mouvemen!).
Depuzioo, a, p. p. de
Depvzir (de), v. a. deduire, införer, tirer
comme consequence. —, rabattre d’unesomme;
faire soustraction (de); &numerer, narrer en
detail. — por artigos , (l.de prai.) articuler.
DenuzIn-SsE, v. r. 56 deduire; naltre.
*“Detıno. V. Dinkheiro.
* Dserante. V. Exiraordi .
*Dexustao. V. Destro ou Dewxtro.
Deraıcan, etc. V. Desfalcer.
Devamin,eic. V. Difamar, Infamar.
+ Derscaciö, 8. f. deföcation : d6puration
d’un liquide par la chute des föces.
Darscino, A, 9. p. de
Darzcir, v. a. defequer : öter les fäces, la
lie ‚les impuretes d’une liqueur. (Ag.) Purißer,
&purer. .
DerscrisiLipiog, s. f. faiblesse, dscourage-
ment.
DekrEcTivEL, adj. 2 gen. qui peut manquer,
qui peut faillir.
Derescrivo, a, adj. defectueux, imparfait.
(t. de gram.) Defectif : qui manque de quelque
chose; qui n’a pas tous ses modes et lemps
(verbe).
-Derzcrvöso. V. Defeituoso.
Dertrro, s. m. döfaut, faute, Imperfeotion ;
989 DEF
vice. On le dit au physique et au moral. — p@-
tente ou de vullo, defaut A vuo d’eil.
DEFRITUÖSAMENTE , edv. deleclueusement.
DerEiıtuöso, A, adj. defectueux : quı a des
defauts; qui n’a pas les qualii&s requlses.
* f Derenpsoigo, A, adj. quipeut so delen-
dre. Tenabl!e. V. Defensavel.
* Derenpzoon. V. Defensor.
DEFENDENTE, 8. m. souteneur de Ihöse; d&-
fendeur.
Dersnp£r, ©. a. defendre, prottger, soule-
nir, garanür; soulenir une Opimion, un SyS-
ieme. —, prohiber, interdire. — en justice,
plaider. — aclo ou conclusdes, soulenir Une
Hhöse. —0J0g0 ou a mdo, Lenir au jeu, Jonir
on.
DerEnder-sE (de, conira), vo. r. se delendre;
repousser la foroe par la force; soutenir, re-
pousser une altague; lenir bon ou tenir ferme,
DEFENDIDO, A, 9. p. de Defender.
DErENDIMENZO, s.m. V. Defssa, Prohibigäo.
Deransa, s. f. delense : action de delendre,
de se delendre.—s , pl. (4. de fort.) delenses :
ce qui met & caurert les assidgös dans une
place. —sredondes do cabo, (4. de mer.) cordes
de delense.
Deransäd. V, Defensa.
* Derensir. V. Defender.
DerensivgL, adj. 2 gen. delendable : qu’og
peut defendre (place, poste, etc.) ; tenable.
DEFSSSÄTELMERTE, ade. d’une manidre de-
fendable.
Derensiva, 8. f. döfensive : lat de defense.
Estar, pör-se na—, eire, sa tenir sur la de-
Sensive, ne faire que se defendre.
Desensiveu, adj. 2 gen. delensible : qui
sen a defendre.
EFENSIYO, A, adj. defenaif; fait de-
fendre; qui sert ä defendre. BORE
Derensivo, 5. m. * däfense, garantie , shreis,
prcservatif. —s. pl. remeödes, topigues eonire
P’infammation.
‚Derexsön, a, s. delenseur :qui defend, pro-
tcge, soultient.
t Dergnänca, e. f. deläzenoe. V. Contem-'
placdo.
Derpadnre, adj. 2 gen. defsrent. Cireulosl
=s, (8. dasir.) corcles delärenis, se dit dens
le systäme de Prol&mse des oercles
tent la planete, et son epicyele. Fasos-—s,
(t. d’amai) vaissoaux deferenis, de la liqueur
söminale.
Dereaıpp, A, pP. p. de
Bazvsaık, v0... A6förer , donner , ddcerner ;.
accorder.v.n.—,cöder, condescendre, aoo6der.'
44. Aborder, ptondre terre.
* DEFERIR-SE, v.r. se rapporter, Condescen-
äre. — a alguem, avoir des ögards enrers quel-
qu’un.
DarzrivxL, adj. 2 gen. accordable.
Dertsa, s. f. V. Defensa. Prohibition. * P&-
tnrage,
qui por-.
DEF
segrairie. —s de cabo, (1. de mar.) defenses de
cordes, colliers de defense.
Derzsia, etc. V. Coular, Vedar.
Dertso, a. V. Vedado , Prohibido.
Dericıtncıa.V. Falta, Quebra.
Dericıentg,, adf. 2 gen. defectueux. (f. de
rilhm.) Deficient, qui surpasse la somme de
ses parties aliquotes (nombre).
+Derıcır, s. m. (4. lat.) deßcit : co qui
mangue.'
Derinar. V. Definhar.
Derınnä0o, A, P. p. de Definhar. adj. che-
U, malingre ; maigre,
+ DerInHAMENTO, s. m. döperissement (d’en
animal, d’un srbre). — da ua, la fin du der-
nier quartier de la lune.
DEFINHAR, d. a. amaigrir. v. n. et — s0,v.r.
deperir ; maigrir considerablement.
Derinigid, s. f. definition :explication claire
et pr&cise de la nature d’une chose ou plutdt
de la classification d’une idee , par son genreet
sa difference ; decision ;röglementd’un coneile.
Derinino ,p. p. de Definir.
Derımıpor, s. m. defniteur : litre claustral;
assistant, conseiller du general, du provincial
des moines. Membre d’une commission daus
les anciennes cortös du Portugal.
Derisin, v. a. definir: marquer, determi-
ner; decider, statuer; expliquer elairement,
exactement la natuse, l’essence d’une chose
ou plutöt sa classification, par son genre et sa
difference; connaltre , devoiler le caractdre de
quelqu’un.
Derınıtivam£nıE, ado. defnitivement.
Derinıtivo, A, ady. defnitif : qui decide,
qui juge le fond (arret); sans recours, sans
appel (jugement). Explicatif, qui conlient ex-
plicalion.
Derinito, A, adj. circonscrit, limit.
EFINITÖRIO, #. m. definitoire : assembiee
de deäniteurs, lieu oü elle se lient.
Derirır. V. Desferir ou Dilatar.
Derıacaackö, 3. [. deflagration : operation
par laquelle un corps est brül&; combustipn
avec Dammes.
DEFLACRÄDO, A, 9. p. de
DerLacair, v.6. brüler avec des flammes.
Derıgcuaciö, 8. f. (. de chim.) dellegma-
tion : action de döllegmer.
DEFLEGNÄR, v. 6. (id. de chim.) dellegmar :
Öter la partie aquouse, flegmatique d’un corps.
Derı£xiö, s. f. dellexion : etat d’un mobile
detourn6 de sa route naturelle par une cause
etrangäre, se dit des rayons.
DerLocıstican. V. Oxygenar.
DerLoaaciö,s.f. delloration, döpucellement.
DerLoRÄnO, A, 9. pP. de Deflorar.
DesLORADOR, 5. wm. celui qui deflore une
Alle; d&puoeleur,
DerLonir, vo. a. deflorer : öter la virginits ;
depuceler. (Ag.) Deleurer: cueillir, extraire iq
fieur d’une chose.
pälis, pacage, varenne. V. Cowlada.| DarLivio, s. m. scoulement des caux. — des
Defense, apologie ; Justilcation, — do concelho, | cabellos, chute des cheveux,
DEG
Benrziö, 8. f. gres rbume, Auzion, de-
Auzion.
DerL.6ro , 3.0. ’ Buxion , rhume.
Deyoain0,aA,P.9. de
Daronir, v. 8. atienter aux droits ou privi-
V. Detaealer
Deronmacid, s. f. attöration dans la forme.
Difoemiıs, enlaiäissement.
Desonuloo, 8,72.p. de
Deroxmir,, v. a. d6lormer, Adfigurer, rendre
difforme; alterer ia forme d’une chose. (Ag.)
Vieier, alttrer.
Deroruin-s2, v.r.se deformer, peräre sa
e.
+ Deroauirönıo, A, ad. qui d6forme, qui
rend difforme.
Davösue , adj. 2 gen. dilforme, ütligurs,
aid; qui a perdu sa furme. (fig.) Grossier,
fmeulte.
Deröasentute, adv. d’une maniere diffor-
me, desagreabie.
Deronuipipe, 3. f. difformite, Jaideur, au
prop. et au fig.
Drsnaıpär. V. Desfraldär.
+Derrawdıack6, 3. f. fraude, usurpation ;
werie.
Dernaupipo, A,P.p. de Defrauddr.
Deyaaupanön, 8. m. fraudeur; trormpeur;
sseroe.
Derasupautnto, s.m. V. Defraudapäo.
Drraıvoin, ©. a. frauder ; escrequer;; en-
lever par fraade. (de) Usurper, frauder, priver,
[frustrer
Devaauno,s. m. *fraude, escrogaerie; pr&-
DeFRORTÄR, 0.9. p. us. Eire vis-A-vis, de-
meurer en face.
Deyaönte, ado. devant, vis-&-ris, en face.
Dernvran. V. Desfrutar.
Darcuwino, a, p.p. de Defamär.
DEFUNADOTLRO, 3. m. V. Fumeiro.
Derunapdaı,s. f. action de parfumer; par-
Derusin, v.a. enfumer, fumer; parfumer.
fl est aussi reciprogwe.
Deruncto, s.m. defant, cadavre; tr&passe.
Ter cara de —, avoir le visage d’un tr&passe.
Deruncro , A, adj. defont, mort. ( ig.) On le
al d’une chose qui a tesse d’ötre co qu'elle
zit, qui a perdu ses proprietes, etc. (id.) Ou-
blie, &teint. —de laverna, ivre-mort. Rosto—,
Visage Adlalt, pie comme la mort.
* Desunno. V. Debatxo.
DuczrLia, v. ». @ögnler : Tondre 1a glace, 1a
weige. (Ag.) V. Desprender, Abrandar. v.n. —,
sesser d’Etre gele.
+ Ductıo, 3. m. dägel : refächement, adou-
eissement de Pair qui fond la glace; fonte des
neiges, de la glace, par Tadoucissement de
Fair ou de la chaleur de la terre.
Deoxnenucid,s. f. ütgendration : action de
Gsg6nerer; ses ellets ; ötal de ce qui est dege-
nere
Percamaivo,A, 9.p. üe Degensrär,
DEI 883
Deognerinte, adj. 2 gen. d6genbtant. qui
j degendre. p. a. de
zuznan (06), 9. n. O6göndter, Webätar-
dir; perdre de ses propres qualitös. ( Ag.) =,
ne pas imiter la vertu,, les bons exeınples de _
ses anc£tres; (id.) changer de bien en mal, de
mal en pis , quelquefois de mal vn moins; se
dit d’une guerre civile qui s’apalse, d’une ma-
ladio qui devient moins vielente. —, ne pas se
soutenir dans le bien. Tl est qguelgnefots actil,
et signifie causer la degeneration (des plantes,
des maus, etc.). Degenerow bem do que era,
1 nen bien dementi de ce qu/il etait autre-
ois.
Decıuriciö, s. f. (t.de med.) degiutition :
action d’avaler.
Decıutir. V. Engulir.
DecoLıagid, s. f. decollation,, derapitatien:
action de couper lecou; martyre de S. Jean;
fäte en m&moire de ce martyre; tableau qui le
represente.
DECOLLADO, A, p. p. de Degollär.
DECOLLADOR , 8. m. bourreau qui decapite ;
decolleur ; egorgeur.
DecoLLidörro, s.m. Echaudeir, taerie. Lieu
oü l’on egorge ; &echafaud oü l’on doit decapiter
un noble.
DEcoLLADÜRA,, 5. f. action de decapiter, d’6-
gorger ; decollement.
DecoLLir, v.a. decoller, d&capiter ; &gorger.
(Ag.) Extirper, deraciner ; detruire. — com
sangrias ou em sanguwe, affaiblir, &puiser &
force de saignees.
De6ruvaci6, 3. f. Aegradation : action de
dtgrader ; destitution honteuse d’un grade,
@’'une fonction ; censure, acte qui la prononce.
Decrapino, A,p.p. de Degradär.
Drcnadantnto, s.m. V. Degredo.
Drorapdir, v. a. degrader : demelire d’un
grade, @’une fonction,, d’un titre de noblesse;
avec ignominie. (fig.) —, deshonorer, avilir.
Extler, bannir, Geporter.
Deonavär-se, v.r. se degrader, se d&sho-
norer, s’avilir. S’exiler volontairenicnt, renon-
cerä la patrie.
Decrino. V. Grädo.
DEGRADULÄDO,, A, ?.P. de
Decnapuir , o.a. dögrader.
Decrio, s. m. degre, marche d’escalier. (fig.)
Moyen de parvenir & quelque emploi; marche-
pied. — d’escada de mäo, echelon.
DECcR8DÄDO. V. Desterrado.
* DecazpiEs. V. Decreides.
Deor£po, 3. m. exil, bannissargent, &por-
talion.
*Decrtoe. V. Deer£to.
*Depı, adv. V. D’ahi et AM.
Desısckncıa, 8. f (1. de dot.) Ashisconce ;
maniere dont on s’ourre une parlie close.
* Deuonrir, V. Dissuadir,
Deicsa , etc. V. Deizc.
Deicioa ,s. et adf. 2 gen. deicide: celuiqui
(ve un dieu ; se dit des juifs, de leur visle.
Danchvıo,, s. m. Aeicide : crime des Julfs en
384 DEI
faisant meurir le Christ; action de wer un
DEIcoL.a , 8. et adj. 2 gen. d6lcole ; qui adore
un seul dieu.
Demwäipe, s. f. deite : divinits, dieu , döesse
de la fable. (Ag.) Beauts, belle femme.
Deirıcaciö , s. f. deificalion,, apotheose ;
scäion de deifler.
Dalrcino , A, P- p. de Deifkcdr.
DeirncapeR , 3. m, celui qui deifle : deiique,
qui fait un dieu.
Deirıcin,, v. a. deifer :ı meltre au rang des
dieux.
Dalvıco,, a, adj. divin : qui appartient ä Dieu ;
deiique.
Deirösue, adj. 2 gen. qui lient de Dieu :
divin.
7 Delrana, s. f. titre de la Vierge, ımöre de
Dieu.
Deisuo, s. m. deisme : croyance ä l’existence
d’un seul dieu sans röv6lation ni culie.
Delista , 8. 2 gem. deiste : qui reconnalt un
dieu, rejetie lo culte et la rövelation ; qui re-
connalt un dieu abstrait, impuissant, inaclif.
Deıräpa , s. f. "ooucher,, Paction de se cou-
cher.
Derrapinuo, A, adj. dim. de Deilado. On le
dit des petits enfanis,
Deiıtan0, A, p. p. de
Derrar, v.a. jeier, lancer ; coucher; verser,
repandre. Pousser des boutons, des fleurs, en
parlant d’un arbre, etc. V. Lengor. —, joint ä
quelques noms, a la signification des verbes
correspondanis & Cos Doms, ou
formes. Ex. — maldioöes. V. igoar.
— sortes. V. Sorteer. —, suivi de la parlicule
a et d’an verbe signifle quelquelols commen-
oor. Ex. — a correr, a fugir, elc., Commen-
cer, ou se mettre A courir, & fuir, etc. ; it. ei
quelquefois &tre cause. Ex. — e perder,, #tre
cause de la perie, gäter, etc. — abaizo, por
lerra ou no chdo, renverser , abattre. — agua
no mar, (fig.) porter de l’oau ä la rividre, faire
du bien & un ingrat, & qui n’en a pas besoin.
— em cÄra ou em rosto, reprocher. — coche,
librd, prendre un carrosse,, une livrde. —
bando , publier un ban. — os bofes. ıg.) de-
sirer, sollieiter uno chose avec ardeur. — espu-
ma pela bucca,, &cumer de rage.— uma bengäo,
fsire la oroix, renoncer pour tonjours A une
chose. — perolas a pörcos,, jeter des perles A
des pourceaux, parler science devant les igno-
rants.— raios, comlelhas, foge , (fig.) jeter feu
et lamme, ötre on colere. — cobras e lagerlus
pela bocca Alfig. fam.) dire des sottises , parler
&tort otä travers. — juizios, SOUPgONner. — @
conta, caleuler. — a rede, (fig.) lendre ses
filets. — remendos, ravauder. — sölas, resse-
meler. — Inmha no fo00, (}g.) jeter de Y’huile
sur le feu. —o ‚guigner.— pouco a poueo,
instiller. — mdo d espada, metire l’&pee & la
main. — d’infusds, inluser.— amäo, se saisir.
—ü möo a alguma cousa, salsir quelgue chose,
reitet, prendre Facine, joter,, pousser des
qui en sont
Amaldi
DEI :
raeines, au Propre et au figurnd. — ums gell
nka, meltre une poule courer. — ums mäe,
porter la main & une chose pour l’emp6cher de
tomber, aider. — um borrdö, (fig-) faire une
tache A sa röputation. — vöz. reöpandıe un
bruit. —as culpas a alguem, inceriminer quel-
qu’un, lui imputer une faute, lui denner le
tort. — sories , lirer au sort-— före, chasser,
faire sortir, expulser; jeter ä la rue. — um
vestido novo, metire un habit neuf.—no leiläo,
falre une enchäre. — d md parts , prendre en
mauvaise part, interpröter en mal.— um narıo
eo mer, mettre A l’oau un vaisseau.—as gaveas
föra dos cestos, (1. de mer.) jeter debors le fond
des huniers. — e lencha föra , (id.) mettre la
chaloupe & la mer. — aqua na bomba, (id.) en-
grener la pompe.—fOre dos rizes, (id.)larguer
les ris. — a eana do leme a barlavento ou s
sofavento, (id.) pousser la barre du gouvernail
au vent ou sous lo vent. — um navio föra do
porio, (id.) piloter un vaisseau hors d’un port.
Deitäin, v. m. monler, s’slever. A
deitard a despoza ? aA combien s’dlövera la de-
pense?
Deirär-sE ,v. r. se coucher, se meiire sur un
lit ou ailleurs. S’adonner, s’appliquer ä quelque
chose, se mettre ä l’ouvrage.— a dormir, (Alg.)
neögliger ses affaires, ne penser & rien. — eos
mares , (id.) so hasarder & des choses difficiles.
— 64 bos vide, s’adonner & la faindanlise „ se
metire & gueuser. — a perder, se gäler, se
ruiner. — e alguem,, se jeler sur quelgu’un;
avoir recours & quelqu’un. — aos pes, se jeler
aux pieds, demander pardon ow une gräce.
— por ierra , se melire par terre, se proster-
ner.
Derxa, s. f. "legs. V. Legado.
Deıxaciö, 8. f. V. Renuncia, Abdicapdo,,
Cessäd. Negligence , mollesse , nonchalance,
indolence. Faiblesse, abattement d’esprit.
Deiızivo,A, p. p. de Deizdr, adj. mou , 14-
che , nögligent, paresseux. Nonchalant: qui
agit lentement et mollement. Abattu, languis-
sant.
Dsixir, vo. a. laisser , quitter, abandonner,
omeltre , passer sous silence. Laisser faire, ne
pas emp&cher, permeitre. —, delsisser, aban-
donner. Valoir, proJuire, rendre, rapporter.
— , confler, recommander. Quitter , lächer,
laisser aller. Quilter, se desister,; c&der. Nom-
mer, instituer. —, donner —, quitier, Ceeser,
en parlant de la fövre, etc. Laisser un ordre,
une instruclion, recommander de faire une
ohose. Laisser en paix, ne point inquidter. —,
l&guer par testament. Renoncer & l’amiti6 de
quelgu’un. Differer, ajourner. — ds boas noites
ou ds escuras,, laisser sans lumidre, dans l’abe-
eurits. (fig.) Jouer quelqu’un , iromper son
attente. — afrdz, laisser en arridre. - com @
bocca aberia (Ag. fam.) laisser dans l’dtonne-
ment, dans l’admiration. — com um palmo de
naris, (fig.) laisser avec un pied de nez, laisser
bonteux, oonfus, trompe dans ses esperancen,
— dity, vscrito , etc., laisser de vivo volx eu par
DER
errit. — 0 sdeulo, enirer en religion. — no lin-
teiro, laisser au bout de la plume : omeltre.,
— em hrranga, laisser en hörilage. — memoria
ou fams, transmeltre son nom & la postörite,
‚- para amanhä ou para ouiro die , remetire
au iendemain, A un autre jour. — a0 dempo,
Jaisser agir je temps. Ndo — ‚suivre
qeelqu’ua partout, ne pas ’abandonner d’un
pas. Ndo— prego nom esltaca em parede, faire
maison nelte, emporter tout. Ndo — de mdo um
Regetio, poursuivre une affaire avec chaleur,
ne pas la perdre de vue. — de lade, ometire,
mettre de eötd. — algusm ne rus, (fig. fam.)
lsisser sur le pav&. — seguro, rassurer. — 0
caminho direito, detourner, quitter le droit
themin. — morte no ehdo, faire mordre la
poussiöre. — cair algume cousa na conver-
sapde , (Ag. foms.) (aire entendre quelque chose
dens la conversation sans avoir Pair de le vou-
leir. Ndo nos deizeis cair sm loniacdo, ne nous
induisez point en tentation. O’ra deize-me,
(fam.) laisses-mei tranquille.
Derzir (de), v.». s’emp6cher de, nögliger
de, omeitre de, cassor de.
Demxia-ez, v.r. se negliger, n’avoir aucun
sein de soi-meme, de ses Intäreis. (de) Cesser
la poarsuite d’une affaire, so dösister d’un pro-
jet; sabstenir de ; renoncer &. Se laisser ; con-
seatir d.—- ao arbitrio da forthma, s’abandon-
ner, perdre courage, ne rien lentor pour Be
iirer @embarras. — dizer, laisser öchapper un
mei par migardeo. — em mdos d’ouiro, se miel-
tre entre les mains de quelqu’un,s’abandenner
4 sa eondzite. — ir, s’abandonner, so laisser
aller. — ssier, rester tranquille. — levar, se
laisser entrainer, sulvre le torrent. — rogar, se
faire prior. — vencer, so laisser vaincre , odder
& la velonts d’autrui. — ver, se montrer, se
isisser volr. — de conios, d’istorias, de ro-
deiss, (Ag. fam.) aller droit au fait. — levar da
«kgria, da colera, se livrer ä la joie, A la co-
lie. — govsrnar, ebeir, cöder, plier. Deize-se
diese, rononcez-y, n’y ponses pas.
Dusananrıa. V. Desjarrotdr.
Dastegiö, 5. f. (1. de mid.) däjection ; selle.
Dasmıuän. V. Desjejudr.
Dawaciö, s. f. delaton : denoncsation , 80-
eusallon socröle.
*Dauarpän, 9.6. döfigurer, mutiler la figure
de queigu’un. V. Aleijar.
Deusuzän-ag, 9. r. V. Lamber-se. (fig.) Se
jour d’aveir &chapps A quelque danger; se
couienter de sel-mäme, monirer de ’amour-
Propte; se pavaner.
„A, 9.9. de Delamber-se. adj.
Homem —, homme 6tudiö, maniere. Mulker
—&, bignenle. Pinturo —&, peinture löch6e.
0.V. 0.
Darapımackd, ete. V. Dilapidapdo.
+ Dauasouas, s. m. (1. de mus.) rö : note de
Musiqus, la deuxiöme de la gamıme d’ut.
Deuarino,A,9.p. de
Dasaris, 9, 6. dönoncer, accuser Booräto-
PORT-FR,
.. DE 985
DelLaväver, adj. 2 gen. qui peat, qal deit
@tre denonee.
DeLaron, A, s. delateur, dönonolateur, ac-
eusaleur secret. .
DELCREDERE. V. Credeore.
* DaLXcro, 3. m. ohoix, elite ‚irlage.
DeLecaciö, s. f. delegation : action de de
ieguer; commission pour comnaltre, juger,
agir au nom de; transport d’une somme pour
acquitter une delte.
DeLzcino, a, 9. p. de Deiegär. s. m. dsle-
gue& : depute ; porteur d’une delögation. .
Deızaintz, 9. a. de Deieger. Doltguant,
qui dölögue. s. m. Commettant.
DaLzcir, v. a. deieguer : döpuler, com-
meitre, envoyer quelgu’un avec uno delöga-
tion , avee pauvolr d’agir, de juger, etc.
.T Daızearäaıo, a, adj. dölögataire : & qui
on deöldögue une chose, porteur d’uns döldga-
on.
Deızcarörıo, a, adj. dslögateire : conte-
nant delögation.
Dausırackö, s. f. delectalion : plaisir qu’on
savoure, qu’on goüte avec reßlexion; sonsation
io prolongee.
DeLeitipo, A, p. p. de Deleitar.
DELEITANENTO, s. we. V. Delsitagdo.
DELsızinte, adj. delecient, qui delecte,
p. 0.de
Deugıräa, v. @. delecter : röjoulr, causer un
sentiment döleetable, du plaisir.
DELEITÄR-SE (com, em), v.r. se deloeter s
prendre beaucoup de plaisir ä... —de si sesmo,
&tse content de soi-meme.
DELEITÄVEL,, adj. 2 gen. delectable : irds-
sgreable, qui plalt; qui donne du plaisir.
+ DELEITÄVELMENTE, adv. avec delectalion.
DeL£iTE, s. m. delice, douceur, plaisir, vo-
lupıe. Plaisir des sens.
DELEITÖSAMENTE , ade. d’une maniöre dölec-
table; delicieusement,, avec delices.
DELEITOSISSIMO, A , adj. sup. de
DaLxıröso, A, adj. dölicieux, agreable.
Dsıgıxacäö, s. f. nonchalance; abandon;
indifförence , insouslance.
DELEIXÄDANENTE, adv. nonchalamment, sans
souci; avec indifförence.
DeLeıxino, A, p. p. de Deleixar.
Dergıxamtnto, s. m. V. Delsizapfo.
Deızıxia,v.a. n’avoir pas sein d’une ohose,
Pabandonner, no pas s’en 00euper.
DaLEIZXAR-SB, v0. T. so wigliger, n’avols aucun
soin de soi-meme, de ses affaires; areir de
lindifference pour; #ire [ainsant, insouciant.
DsL81z0, s. m. " nomchslance, mollesse, In-
soucianoe.
DELET£RE, adj.2 gen. ou DELETRMIO „A ‚adj.
deiötöre : qui cause la mort.
Dauerazin. V. Soleirdr.
+ Daıkver, adj. 2 gen. effacable : qui peut
ötre effack. , ,
Deırıco ow Deırmico, A, adj. delphique;
delphien.
Dsırin ow DELFBIN, 3. m. dauphin : mam-
25
886 DEL DE,
miföre, oMask, Möche de mas; Als atnd de rol | tihle ; dificlie & eantenter; serapulgux. Beau,
de France; constellation bore£ale, bien fait, mignon.
+ Dausınino, 5. u. (1. da gdog.) Dauphind: | Dasion, s fı ° dölice, plaisir, volupi.
ancienne province de France. E’ ums ,c’osh um dalice. —, pl. delices, f.
Dawcagan. V. Adeigaper. objei de P’amour ai cause du benheur publie.
DELCABSMaNTE, adv. delicatement. V. T? Duuscian=sk, eis. V. Delsitar-@ , elc-
nuemense. Deuictösamänte, adv, delieieusement : a6
Dascantza , s. f. Wnuite. Subtilits, inesse,
delices, d’una manidre deliciouse,
(Ag.) V. Agudesa, sublilese. — de vor, graüi- DELICIOSISSIMO , A, adj. sup. de
lite,
Deuicıdsa, A, adj. deligienz ; exirtmmemment
. Dezncanissımo, a, adj. sup. de Deigado. agröable ; volupimonz , qui aime les lioes.
DaLcantO ow Deinabinno, A, adj. dim. de HDauce, a, adj..(i. de mees.) de Dölos, d4-
Daxeino ,A,gdj. mince, suhtil , tenu; debie, | polton. 5 ZZ
transparent; maigte. Peu, petit, modique, Desuicro, 9. m. dejik: faule, action oospable
esurt „ löger. (49.) Pin, subüil, ingenieax. | que punissent les lois, difere du erime qui est
Maigro, Iöger, en parlani d’pn terrain. Dellcat, | beauooup plus graue. — nolaria, dalit comzu
en parlamt.d’en meis. Fiar — , donner avoe .
de tout le monde, -
menis; examiner scrupuleasement. Dariso, A,p. 2.deBelir.
DaLoinos,s.w. pl. (1. de mar.) fagons d’un | Dermzagid,s.f delinsslien ı reprösantalien
bätiment.
au frait; dossin area des traits, des Mgnesi
Burcız ,s. f. (8. de ınyth. or de pods.) la lune. | öbauche, esquisse.
+ Deus, s. f. pl, deliennes : fötes en !’hom | DELINEiDO, A, p. p. de Delinser.
neurd’Apollon. DuunEAUOn, 8.0. dessinaleur ; prejeleer.
Daunmioo, A,p.p. de Deliber. DELINEAMENTO, 8. m. V. Delinsapdo.
DELIBAMENTO, 3. ım. * delibation : aolien de| Dexınzan, v.a.dessiner, osquissen, dbes-
goüter. re (fig.) Tracet, deerire m
+ DELIBAR , 9. a. goüter. pro, . “
Daumenacid, s. f. deliberation, eonsufte- | DeLmzarivo, A, adj: qui tbaushe.
tion ; discussion entre plusieurs personnes | PzLmquänts, adj. ot 6. 2 gen. dölingmande
'pour prendre une re&solation, pour deoider si | qui a eommis un del.
’on prendra tel ou tel parti; resolalion; acte | DsLinauino,p.P. de
‘qui la contient. .
- DELBERÄDIMENTE, ade. avec Asliberation,
de propos deliber6, de dessein premedite ; d&-
tiber&ment, hardiment, resolument.
Deurserino, aA, p. pP. de Deliberar. adj. de-
Niber6; ferme, r&solu, decide; entreprenant,
hardi. Bem ou mal —, bien ou mal arise.
DELIBERÄNTE, adj. et s. 2 gen. dölibörant :
Qui defibere.
DeLiserän, v. a. deliberer, examimer, mettre
en deliberation ; r&soudre, determiner.— sobre,
.v.8:—, comsulter en sol-meme ou arec les
autres (sur une affaire).
„ DEIIBERAR-SE (0), v.r. resoudre, se detet-
miner; se decider. £tre delibere,, r&solu. nor
DELIBERATIVO, A, adj. deliberatif, avec les . er
memes aeceptions dans les deux langues. fondre en attirant ’humidite.- n
. Daufa, v. 4. diisyer, Adtremperj'Nquäßer.
Dasımaaciö,s. f. V. Lioramenio. en; . .
V. Dilwir. Effacer, faie& dißpataltse, almlam
DeLicivantera, ade. delicalement : avec Drumackd, 9. f. el Durtuanfante f6. 8% v.
deiisatsese ; mignonnesaent, mignardement ; | Delteks‘. BE vaııynea
ie pazı, so. f. dölieatemse ; finewses; sub- ee Sara, f te.
| A ‚ef. 186 ; ; DELIRÄNTE, adj..2 gen. gui'
ulis, dbusenr, suaviäb; adresse; » | (R9.) Int @itneer, de Join, etc. Ertrardgint,
nönehalance, indolence;; sensibilits emeesulvs; | singufiet. Ba Se Z >
weibeopitind., Detimär, v. m delirer: ötre ou’ sunnfer em
delire. (Ag.) Extravaguer, Hörer, udani, Biltre
17 campagne. . . PX. ı 5 E06)
Ditind, 4. . delire : Sgareuindar'Kesprit
oausd‘pat ber (Aa: ran an gunene:
exiravagance, , reüelage.. 0”
SEND, Rt Bir, Geh nahe Ic
delige
Deumguin, an. dölinquer, felllär; aumite
veniraäfabii. °
DerLıo, adj. m. de Yile de Dilon, dpihtt
d’Apollon: [| .
Deumtti00,4,9.9.de - '
Deuigein, v.0. (1: de chim.) fi u6ßles : fon»
dre, renäre IkquNde. 3} es yemwl
Derigunsckncha , s. f. (8: de chin
cenee : qualitt de ce qui it deligüemiand:
DELIQURBCENTE ‚ al}. 7 gem. (dı\de ahdur.) db
Hquescent ı se dit d’uale
de pomper I’beräldite.de air, sr de"se >
‘v
Deuiomd, s. in. * defalidnce ‚Taiblemwe, ür-
D£Licapissımo, A, adj. sup. de
Deuicäno ‚A, adj. deicat, dölicieux, exquis,
agresble au goüt. —, qui juge finement de ce
qui regarde les sens ou l’esprit. —, delie, fin,
tdnu; löger, aöroht. —, le, dangereus;
faible; doux, tendre; &pineux, subtil, Ings-
nieux; sonsible; doulftet, efömind; suscop-'
DEM
Dem, V. Jnärepido.
Dsurzschncia, 3 f. (4. de med.) delites
eeoce:reflux d’humeurs morbiliques qui fait
disparelire une Lameur.
Dauno, V. Delicto,
"Deuvnagon „s. f. delivrance, affranchisse-
net,
* DeLıvnamänto , 3. m. dälivrance.
° DELITRAR „ ©. 9. dölivzer, affrancbir.
"DELITRAR-SE, 9.7. accoucher; jeter Far-
niere-faix.
DrLewar. V. Derrsar.
Deutsch, a. f. ° delai, remise, lenleur, Te-
tar dement.
Deossis0 , A, 2. p. de Delongar.
Dswoucapon, 5. m. colui qui allonge, qui
setarde.
Drioscautmto, s. m. V. Delongs.
DaLoncha, 9. a. allonger, prolonger,retarden,
*Disonco „s.m. V. Delonge.
Diırsce, a, adj. Delpbique : de Delphes.
+ Deırmissun.ss, 8. f. pl. (1. d’hist. nat.) dau-
phinules,, genre de mollusques gasteropodes.
Deirösme ou DELZOINER, 5. m. (Il. d’anaf.)
deitside : usısche qui fait lover le bras. adj. 2
gen. —, quia la forme d’un delta. (1. de bot.)
—, en losange, & pointe prolonge£e (feuille).
+DeıLrömss, s.m. pl. (1. d’hist. nat.) del-
twides : l&pidopteres , phalönes pyrales (& ailes
en ferıme de delta).
Deuöpao, s. m. autel, temple d’idole o%
Fidole elle-meme,.
*Dawusig. V. Quebranlar, Illudir.
* Deiuskd. V. Zllusäo,
Deıcson. V. Illusor, Enganador.
Deusro ,s. m. V. Infusäo..
Dautnio. V. Diluvso.
TDemicocia ,s. f. demagogie: faction popu-
lsire; ambitien d’y dominer.
tDenscönco, A, adj. dämagogique : qui
Gent de la demagogie ; Aominalipn du peupie
et de ses Batteurs.
+ Dumacheo , s. m. demagogue ı chef, mem-
bred’une lackon populaire. —s , pl. denago-
gues, partisans de la dömagogie, courlisans du
panpie.
Daukss, adv. de Irop; d’ailleurs, en oulre.
Per — ‚vainement, inulilement ; par pure for-
malt. V. Mdis. Fazer es cousas por —, faire
les choses par maniere d’acquit.
Doulapa, s, f. "procds, action, damande en
justce; sollicitation, pelition, supplication ;
regatte, muppligue; recherche, Perquisition.
* Dimäl6; altercalion. Por —, (1. de prat.) ao-
‚intenler une aclion en justice contre
queisu'un. Kal mais uma und composigdö que
ws bie —,, un mauvais accommodement vaut
mies qu'un bom procäs.
Dayan»i20, A,p. p. de Demandar.
Druanpanon, z, m. demandeur : qui de-
mande on justipe ;qgpıi demande souyenl, (anl.)
Demasn Aurz 9.0. de Demandar, adj.2 gen.
Demandanı ı gi demande ; demiaudenr.
387
a
DEM
Deuanpid,. V. Demandisia.
DEwAnDAR, u. a. demander en Justice ; pidi-
der, etre en procds; —, exiger; ayoir besoln
de; se diriger &. —, ihlerroger, dueslionner.
(ant.) Queter. u.
DEMANDISTA, 3. m. chicäheur, plaldeyr: qui
‚j aime les proc&s.
Dewancagäö, 8. (- Aemarcation : Ifgrie sbr-
vant de limite; rögfement de Iimiteg.
+ DEmARCADAMENTE, adv. saldtı Id demat-
calion, en
Desancino, A, p. p. de Demarkar.
DEMARCADOR ‚5. m. celyi qui etablit ane lighe
de d&marcation.
DesarcirR,v. a. faire la d&marcation, regler
les limites. — 0 berreno, marquer un camp.
DsuaAsia, 4. [. *Exces, superfluite; reste,
exc&dant de compte. —, desordre, enormile.
— ‚debauche, dereglement. Audace,, temerite.
Em —, adv. trop, avec excäs. Adianlar-se em
—, aller trop avant. “
DEMASIÄDAMENTE, ade. trop, avec exchk,
excessivemenk Bu
Deuasıinas, s. f. pl. (1. de jedjntises, fes
joueurs qui ne sont pas assis’A la table. .
DemasıÄDO, A, adj. excessif, trop, superflä ;
inutile; immodere, outre. Fazer — aprego das
disputas, donner irop d’impaxtance auf. dik-
putes. nn un
DemasıÄno, adv. trop, excessiwement. Adiah-
tar — as cousas, pqussof le4 aflaires irop
avant. .
DemasıÄR-sE (em), v. r. oufre-passer, <e
immodere; ne garder aucune mesure ; s’eXe£-
der; 2tre insolent, impertinent, hardl, auda-
cieux. — em vinho, boire lzop.
DeusEino, A, p. p. de
" DEMEAR 0% DEMEIAR , 0. a. diviser par mol-
ti&; occuper fa moitie; &tre au ınilieu de sa
carriere, & moilie de sa vie.
DEussca, s, f. demence, folie, allönation
d’esprit; passion violente.
DEMENTÄDO, A, P. p. de
DeEuEnTÄR, v. 8. faire perdrö le jugemtent,
faire devenir,-rendre fqu.
Dxueate, adj. 2 gen. fou: qui est en de»
mence ; insense.
* DEMENTAR, adv. tandis que.
Den£rıto, s. m. demerite, indignite.
Deuicöra, 5. f. (l. de fort.) demi gorgd:
prolongement de > coyrtine.
Desunufe , elc. V. Diminuir, etc.
Daussäö,s. f. demigsion : Pacte par leqdel
on se dömet d’une thärge, etc. Action de cqn-
gedier (des traupes, eic.), d’exonerer d’üthe
charge, etc. — do animo. v. Abatimento.
+ Dzussionärıo, A, adj. demissionnäfre,
qui se demet d’un emploi. ,
Deuisso, a, adj. balss@, inclind, abatil.
Demissörıa. V. Dimissoria.
DEWITTENTE, p. a. de Demilttir. Dörmettant:
qui se demet; demissionnaire.
DEMITTIDO,A,P.p. de
DesiTtTir, v. a, renoncer, abdiyuer, se de-
’
886 DEL
milörg, oMasd, Asche de map; file eine de vol
de France; constellalion boreale,
DaussnÄno , 8. m. (fr da g6og.) Dauphine :
ancienne province de France.
Daraus. V. 4
DELGARSNRNTE, ade. dölioatement. v. T
Dascantzı, 5. f. tönuile. Suhbtilite, inesse.
&A4.) V. Agudese, sublileze. — da vos, graßni-
N eroseisswo, a,0dj/. sup. de Deigado.
DaLcanero eu Driaaninno, A, adj. dam. de
Daxaino , A, dj. mince, suhtil , tEnu; delie,
transparent; maigre. Peu, petit, modique,
esurt, iöger. (fg.) Pin, subtil, ingenieex.
Maigse, Iöger, en parlant «'pn terraim. Dellcat,
en parlamt.d’un meis. Fiar — , donner avos
pereimenie; examiner scrupuleusement.
DaLoises,s. m. pl. (1. de mar.) fagons d’un
batiment.
Burı2ı, 0. f. (t. de myik. et do pods.) la lune.
+ DeLias, a. f. pl, deliennes : fötes on !’hom-
weur d’Apollon.
Dsunivo, A, p.p. de Deliber.
DELIBAMENTO, s. m. " delibation ı astion de
gotter.
+ Daursan,, o. @. goüler.
Daumznaciö, s. f. deliberation, oonsete-
tion ; discussion entre plusieurs personnes
per prendre une r&solution, pour desider si
on prendra tel ou tel parti; r&solution; acte
qui la oontient.
DeELImeriDanenTE, ado. avec detiberation,
de propos delibere, de dessein premedite ; de-
ti ent, bardiment, resolument.
Deurserino ‚A,p.Pp. de Deiiberer. adj. ds-
liber6 ; forme, resolu, decide; entreprenent,
ven. . Bem on mal) bien ou mal avise.
RLIBERÄNTE "et s.2 döliberant::
qui delibere. N. an
DaLıszrin, v. s.dellberer, examiner, mettre
en deliberation; ;r&soudre, determiner. — sobre,
r.2.-, eomsulter en sol-meme ou atec les
'sutres (sur une affaire).
„ RrLımEnansE (a), vo. r. resoudre, se deter-
niner; se döcider. fıre delibere, rösolu.
Deisunarivo, A, adj. deliberauif, avec les | F@
memes asceplions dans les deux langues.
Dasspaackö,s. f. V. Livremenio.
Deuichpausen, ade. dtlicatement : avec
delicntsese ; mignomnement, mignerdoment ;
inginieusement.
Derıcabüza, 8. 7 del de6iientesse ; inewus; sub-
ulirs, deusenr, saarist; adresse; melleme,
nonchalance, indolence; sensibilit6 eusessire;
Däuicabissımo, ı, ad). sup. de
Deuscino ,A, adj. "Adlkeat, dölicieux, exquis,
agreabie au gem. — ‚qui juge Anement de ce
qui regarde les sens ou l’esprit. —, detie, fin,
lenu; leger, adrolt. —, difficile, "dangereux;
faible; daux, tendre; &pineux, subtil, inge-
nieux; sensibte; douiftet, oftıin etmine; Puscop-
lüble ; dificile A oonienier; sctapuleuz. Beau,
bien fait, mignon.
Dasica, s f. ° dölice, plaisir, voluptis.
E’ ums ,te’esi un dalice. —, pl. delices, f:
objet de ’amour at cause du benheur public.
Dauscian«seE , eie. V. Deleilar-e , ele-
DaLiciösamtknte,, adv, dölicieusement : avo6
delices, d’une manicre delioieuse.
DELICIOSISSINO , A , adj. sup. de
Daucıöao, a, adj. üdlicienz ; axirömement
agröable ; volupiacuz, qui aime los dölies.
F Dane, a ‚adj. (1. de meds.) de Dalos, d’A-
po
Dsuicro,, s. m. delis : faute, action ooupabie
que punissest les loie, diföre du erime qui est
beauooup plus grare. — nolorio, aslis pAnE
de tout lo monde:
Darin, A, p. 2. de Delir. .
Drımzacid, s.f delinsallen ı roprösamtalion
su trait; dossin aveo des traits, des Ngnes;
6bauche , esquisse.
DELINEÄDO, A, 9. p. da Delinser.
DaLInEAnOR , 8. m. dessinaleur ; prejeieuf.
DELINEAu£RTO, 8. 0. V. Delinsagds.
DaLinzan, ©. a. demimer, esgqırisser, dhau-
cher; tracer. (Ag.) Tracet, dierive on astail;
projetet.
Deuımearivo, A, adj. qui sbausbe.
Deumgvenra, adj. et s. 2 gen. döllnquami«
qui a epommis un ge
Deuımgtiso,, p.p. de
Deımauin, an. oelinquer, Islllir; eunäre
vonie a toi. "
DeLıo, aß. m. ‘“ ?ile de Diles, spiiiadte
d’Apollen.
Deumwvino, A, p. p. de
Deugvia, v. .. a ein.) Hauer : fen»
dre, rendre Iiquide. #} ost uasıi r “
Derıgunschncia, uf. (de öliyasn>
cenee : qualith de ce qui Say deiigäeaanin
Deuiguzsckrt,, af. 7 gen. (6. ds ohdun.) >
Hqueseent : se dit d'une vuhsmate SBpoopLihle
de pomper !'bursidite.da Tait, oo ” ‚gib
fier.
DeLiourd , s. m. * döfelildnoe ‚ Taibleune, Ors-
nonissement, pämolsen. (4. de eRdım.) Dali-
um. Coir m —, wmber @n- Uellgohum.i se
fondre en attirant I’homidite.. ...
Daıle , v. a. döläyer, deireimper) Kammäller.
V. Dikuir. Effacer, faire diöpstalse , Andi.
Drunacid, 8. f. « DutnaMemte ; 0. mi V.
Deumise, &, p. 9.40 Deiirer. “
DaLımänte, .2 gen. Glireut, ai Allee.
(Ag.) Ivre „de Jo, elc, at,
singufier. ._
Deimir, u. ®& , deiner: :&tte ou’ Wünber en
delire. (Ag.) Extravaguer, wrer, reist, Bsltre
la campagnei se...
Dirinsd, 7. I. delire : Sgareniiih 'Mesprit
eauss’dar ustedie; (Ag.) our Seh -publune;
extravagance, növerid, reäetagb.-
le, a, a0: Alien, Qu} nase ie
DEM
Ders. V. Intrepido.
Deumseschucia, 8. f. (}. de med.) delites
ceuce : reliux d’humeurs morbiliques qui fait
disperaltze une tumeur.
Dauiro. V. Deiicto,
° DeLıvnagon ‚s. f. delivrance, affranchisse-
meat,
* DELIVRAMENTO, 8. m. dölivrance,
* DELITRAR „9, 8, dölivrer, affranchir.
* DELIVRAR-SE, 9. r. accoucher; jeter Yar-
riere-faix.
Daxeunaz, V. Derrser.
Darsuch,s. f. ” delai, remise, lenleur, tTe-
tar dement.
Desonsin0, A, 2. p.de Delongar.
Dazoucsnön, 8. m. celui qui allonge, qui
setarde.
DzLoncautuTO, s. m. V. Delonge.
DeLoncäa,v. a. allonger, prolonger,retarder.
° Dgı0060 „s.. V. De
Deıruıco, a, adj. Delphique : de Delphes.
+ Deirminunse, e. f. pl. (8. d’hist. nat.) dau-
pbinules,, genre de mollusques gasteropodes.
DeLröıpde ou DELTOIDES, 5. m. (If. d’anat.)
deltside : mnsche qui fait lover le bras. adj. 2
gen. —, qui ala forme d’un delta. (1. de bei.)
— ‚ en losange, & pointe prolongee (feuille).
+ Deırössss, s.m. pl. (4. d’hist. nal.) del-
toides : l&pidoptäres, phalönes pyrales (A ailes
en ferme de delta).
DaLts20, s. m. autel, temple d’idole ow
Fidole elle-meme,
* Daıv»in. V. Quebranter, Illudir.
" Derushd. V. Illusdo,
Deıcson. V. Illusor, Enganador.
Dsuöro „es. m. V. Infusdo.
Daxrsvno. V. Dilunso.
+DewacociA ,s. f. demagogie : faclion popu-
laire; amhilion d’y domiiner.
+ Deruasöcıco, A, adj. d&magogique : qui
tens de la demagogie ; domination du peupie
ei de ses Üatieurs.
+ DERAC060 , ». m. demagogue » chef, mem-
bre d’une laclon populaire. —s, pl. denago-
gues, partisans de la dEmagogie, courlisans du
ponpie.
Damiıs, ade. de trop; d’ailleurs, en outre.
Por —, vainemen!t, inulilemen!;; par pure for-
malite. V. Mdis. Fazer es cousas por — , laire
les choses par maniere d’acquit.
Daminpa, s, f. "procds , aolion,, demande en
justice; sollicitation, petition, supplication ;
reguöte, suppligue; recherche, perquisiliou.
° Demel6 ; altercation. Por —, (4. de prat.) ac-
tianmer, intenter une Aclion en juslice contre
queigu’un. Val mais uma und compasirdö que
uma bis —, un mauvais accommodemen! vdut
mies qgu’un bom procds.
DayausApQ, A,7. p. de Demandar.
Dewannanon, s, m. demandeur : qui de-
Pure om Junlipo qui demande souven!, (antl.)
ur.
Dananpäurz,p. a. de Demandar. adj.2 gen.
Demandant » qui damande; demiandeur.
DEM
Dewanpid. V. Demandista.
DEWANDAR, vo. a. demander en justiee ; plai-
der, etre en procds; —, exiger; ayoir besoln
de; se diriger &. —, inlerroger, ducstionner.
(ant.) Queter. j „
DEMANDISTA, s. m, chicäneur, plaldeur: qui
387
.| aime les procds.
Dewancacdd, 5. (. demarcation :Ifgne ser-
vant de limite; röglement de limites.
+ DemancänamenTE, ade. seloh 1X demat-
calion.
Desurcino, A,p. p. de Demartar.
DemanrcanöR ‚s. m. celui qui etablit une lighe
de demarcation.
Dewarcir,v. a. faire la demarcation,, rögler
les limites. — 0 derreno, marquer un camp.
Deuasia, &. f. "Exces, superfluit£; reste,
eıc&dant de compte. —, desordre, enormile.
— ,debauche, dereglement. Audace, temerite.
Em —, adv. trop, avec excäs. Adianlar-se em
—, aller trop avant, "
DENASIÄDAMENTE, adv. trop, avec 'exckk,
excessivement. en
Demasıinas, s. f. pl. (1. de jedjmises, des
joueurs qui ne sont pas assis’& la table.
DsumasıÄpo, A, adj. excessif, irop, superfiä;
inutile ; immodere, outre. Fazer — aprero das
dispules, donner Irop, d’impaxiange aut dik-
ules. a .
P DenasıÄno, adv. trop, excessinement. Adiak-
tar — as cousas, pqussor les affaires trop
avant. Bu
DawAsıÄa-Se (em), v. r. oulre-passer, Ötre
immodere; ne garder aucune mesure; s’eXa&-
der; &tre insolent, Impertinent, hardl ‚auda-
cieux. — em vinho, boire irop.
DsusAnDo, A, p. p. de
* DEMRAR 0% DEMEIAR,, v. a. diviser par mol-
ti£; occuper la moilic; &ire au milieu de sa
carriere, ä moilie de sa vie.
Deusnca, 8. f. demence, folie, allönation
d’esprit; passion violente.
DeMENTÄDO, A,Pp. p. de
DEMEnTÄR, v. a. faire perdro le Jugemtent,
faire devenir,-rendre fau.
DEmantz, adj. 2 den. fou: qui est en d&
mence ; insense.
*° DENENTAR, adv. tandis que.
DEMERITO, 5. m. demerite, indignite.
DemicöLa, 5. f. (i. de fort.) demi gorgb:
prolongement de la courtine.
Desminufn ‚etc. V. Diminuir, etc.
Dauıssiö, s. [. demission: Pacte par leqlef
on se damet d’une thärge, eic. Action de can-
gedier (des traupes, etc.), d’exonerer d’uhe
charge, ec. — do animo. Y. Abatimento,
+ Deujssionänio, A, adj. demissionnäirt,
qui se demet d’un emploi. u
Denisso, a, adj. balsse, inclind , abattü.
Desussörta. V.. Dimissoria. j
DENITTEeNTE, 9. a. de Demittir. Dömettant:
qui se demet; demissionnaire.
DeuMıTrIDO,A,P.p. de
Desıttin, v. a, renoncer, abdiyuer, se d&-
s
ERP}
_
390 DEN
nhar 00-2 , griheer los dents. Aqui me Nas
eeräo oe —e , J’ai &t6 Hlora ici, j’y suis depuis
mon enfance. Arvrancar as Com 085 —#,
(fg.) faire tous ses efleris „ Lentar Vimpossible
pour reussir. Zmbalor 00 — „ agacer les dents.
Fallar ou. diser enira —e, parler entre ses
dents , murmurer. Afoswar es —+, monirer les
dents , temir site „rieistor. Ado, que le cdem
04, cöla le fera kombar les denis:: maniere
de refuser les bonbons & un enfant qui en de-
mande. Rangör 03 —,, grincar les denis. (Ag.)
Enrager, se desesperer. Tomar o [reio nos—s,
prendre lo mors aux denis, au propre ei au
figure. Tomer ou tor enire dentes alguem, (ig.)
avolr une dent oonıra quelqu’un, lui vouloir
du mal ou en dire de Iui,
Danreioo, a, ad. denwelö: en forma de
dents, de petits angles;; bless& A coups de dents.
pP P: da
Dantzin , o. a. dentelee : feire des ontailles
en forme de dents, de petits angles.
DEnxTEanUn, 8. m. plaubage: espece de den-
telalre,
Danzeränta, s. f. (8. de bei.) dentelaire,
berbe auxcanoers, maleherbe: planie odorante,
amere.
Dawricäö, a f. dentition: serie naturelle
des dents.
DanrıcrLino, a, adj. (1. de bias. er de bof.)
engrei6 : dentelö font aulsmr ; dentionld , borde
de denticules.
+ DenticsLän,, adf. 2 gen. dentel6 « taille an
(orme de dents.
+ DewriouLo, 5. m. (6. d’erch.) denticule :
ornement d’architecture en dents dquarries.
+ Denripta , a. f. ( 6. de det.) dentidio : plante
herbacde & ia Chine.
f Dewrısöaus, adj. 2 gen. dentiforme : en
forme de dent.
Danriraicıo,, 6. m. ( 6. de pherm.) dentifriee:
remede pour neltoyer les demts en les [roltanı.
—, A, ady. dentifrique ( peudre).
Dentiunöss, s. m. pl. (4. d’arch.) " demie-
lure, obose dentelte. 7. Donsiculo.
Danriuno , 8. m. dim. de Denis.
DENTISTA, 8. m. dentiste ; gui arrache ou
soigne los dents.
Dantae (de), prep. dedans, dans, au-de-
dans. (em) Dans l’inwriew de... De —, s—,
por-—, au-dedans,, on dedans, par dedans. Mer
ler as porias — ‚ unfoncer lea pories. Recoiher-
se— em Si, se recueillir en sei-meme. Met-
ser —, introduire. Meiier. sor —, remelire
quelqu’un & sa place, le fercer de se laire, de
se moderer.
Denrao, ade de femps, dans. — em Irds
dias , dans trois joars. i#. adv. de Kiew, ints-
rieurement, dans Finterleur.
Dentöca, 8. f. grosses dents ei grosse mı&-
choire saillante. V. Bentadüra.
Dantöoo, A, adj. qui a de grosses denis
disproportionnees.
Denunacid, 5. f. (1. d’amak) Gbnudatlon ı
eat d’unosä docguvert; etat de nuditg,
DEO
Dentpin0, A,P.p
+Denwia,v. & (1. renct) denuder : d&
pouiller de chair (un animal).
Danöncıa,,s. f. delation, dönomeiation, accu-
sation; publication de bans.
Deruncıachd, s. f. (1. de prat.) dimoncia-
tion, delation, accusation. ” Avis, nouvelle, an -
nonce. V. Denuncia.
DENUNCIADO, A, P. p. de Denunciar.
DENUNCIADOR, A, adj. et s. denonciateur;
qui denonce, qui indique.
DRNUNGIÄNTE , s. de 2 gen. denonciateur, de-
lateur, accusateur.
Deuuncıia, v.a. (6. de pral.) d&noncer, ac-
cuser, döferer en Justice ow secrätement un
coupable; döclarer, publier, faire connaltre.
Annoncer, averüir, donner avis.
DERUNCIAR-SE , d. 7. so denonucer, sS’accuser
soi-meme; s’annoncer, 86 faire connaltre, se
manifester.
+DeEnunGarTivo, A, adj. qui contient denon-
cialion.
+ DENUNCIATÖRIO, A, adj. quiappartient & la
denonciation.
+ DEnuncıÄvVEL, adj. 2 gen. qui peut ou qui
doit &ise denonck.
Deorpınacäd. V. Determinapdo.
Deos, s. u. Dieu : le premier, le souverain
ötre par qui les autres existent, öternel, qui a
er66, qui gouverne tout; (ausse divinite des
paiens. (fg.) Chose ä& laquelle on est fortement
attache. — dard , Dieu y pourvoira, & la gräco
de Dieu. — d grande, Dieu est grand. Expres-
sion de conflence et de consolation. — me d
lesiemunhe, Dieu m’est Iömoin. — guarde 0
que — guarde , que Dieu garde. Expression de
politesse par laquelle les Portugais Anissent
leurs lettres, et qu’ils emploient en nommant
le rol. — estä no ceo, il ya au ciel un Diea quı
me vongera.— haja ou que — haje, Dieu venille
avoir son Ame, parlant d’un defunt. — nöo
meonie, Dieu n’a pas deux paroles. — 0 ougs,
( fam.) Dieu vous entende: souhait pourqu’une
entreprise r&ussisse.— 0 queira,Dieu le veuille.
— medionte , Dieu aidant. — meo/ mon Dien.
inlerjeetion de douleur, d’&tonnement, otc.
— nos liere,, Diou nous en preserve. — sabe ou
— osabe, Dieu le sait. — sabe que ‚ Dieu m’est
t6moin. — sajacommigo , Dieu me soit en aide.
— seja w'esla casa , Dieu soit dans celie mai-
son , Dieu soit osans: sorte de salut pieux. — fe
ajude ! Dieu vous benisse! On le dit & quel-
qu’un qui 6ternue, — 005 guarde ou _
je vous salus: sorte de salut populaire. Se —
för servido,, s’il plalt & Dieu. 4— ,adieu, salut
on se quittant, en psenant conge. A—! adieu:
c’en ost fait de! tout est perdu. A— o dvenfura,
A tout hasard. Assims nos de — ‚ainsi Dieu
nous seit en aide. Como — d servido, comme
ii plalt A Dien. O homem pöe, 6 — dispös,
l’homme propose et Dieu dispose. Em nome ds
—, au nom de Dieu. Gragas a—, gräce ä Dieu;
Dieu merci. Mais pöde — que 0 . On le dis
pour nous animer & la rule d'un enlip-
DEP
prise iesabie, queigue diiitult& qu’'8'y for
contre. Ndo serve a — mem ao diabo , vula n'est
kon ni pour Dieu ni pour le diable. Para ag
epure diaple de —, pour toujoufs, & jamais.
Por —ı par Dieu! pour Dieu! poar l’amıouır de
Dies! Prdss a — Dieu veuille que! Qusira
—, Dieu veuille que. Sö— sabe o que eurd,
seat zalı co qui on arrivora. Tomar-se
(em — ‚ lulter contre Dieu. Valha-meo —ı Dieu
me solt en aide! men Dieu! Yd com — ! Dieu
voms sscempsgne! Veio-As — a ver, Dieu est
venu & sen seeoears. Vive — / vire Dieu ! Sorte
de jurement. Doiando de mäo de —, delaisse,
abandoams de Dieu: se dit d’un homme dere-
gie. Zussogar-se nass mdes de -—- , s’abandonner
& ia Providence. Ir-se para —, mourir. Cha-
mou-0 — para si, Dieu lo sappela & Ini. A — ou
para — nada d impossivel, A \'&gard de Dieu,
Bien fest Impossible. NAo 1er ouiro — que &
sus berriga, se [airs. un dieu de son Yenire.
Deosaı, s. f. d6esse : divinit# fdmihine. (flg.)
Tres-beile femme ; femme IA plus beile.
Deoszs,, s. m. pl. dieux: divimitss fabulenser.
. Daossan. { V. Doest... „ elc.
Daranioo, A, p. pP. de
Deranin, v. a. offrir, presenter, dontier, et-
voyer. Deos sdapeave bin, A la kräce de Dieu.
Deranan (com), ©. m troaver par haserd,
sms quen le cherche. — se, vo. r. s’ofirir, se
Derantanawtar, adj. 2 gen. dhpattemental,
DErPARTANENTO , 5. m. d6pertement.
® Daranrıgiö, 0. f. eonversslien, enireiien
detaille.
“Bar4suriBanänte, ade. söparement,
tinetement ‚en detail.
Deransiso, A, p.P. de Departin.
°Deranrınör, s. m. oelel qui pariage, qui
dirise, qui röpariit.
+ Daranrınänro „u. m. * division , s6pard-
tion; demarcation; entretien, "eonversstior
detailide; detail. V. Inilagardo , Pesgwisa, Im-
dividuapdo.
Derautia, v. &. diviser, otparer, Partager,
reparlir. Enseigner, expliqwer. V v. Demercar.
Deransmn, 0. ", parler, jaser, Gaaser. — se;
©. r. 0 separer, se relirer (da oombat, ete.).
+ Devasctwrs, adj. 2 ge®. qui mange, qui
cansume ; ( fg.) qui mine, qui devore (inus.).
Daraupkmcıa, 5. f. d6pendance,, yujetion,
saberdination: affaire, commission. Apparie-
nanse. Lieison intime, conmwetion.
Dusaunautn, 8. et adj. 2 yon. dependant:
qui Deapond d’un sutre (persons, affaire).
dis-
swrmuihre, dde; open nnont .
avec dtpendanos, d’wno mapiere dependante.
Deranpta (de), 0,@. d6pendio, relöver, pro-
venir de; vu dene ia , sous !au-
woelte, ia donimation; duse suberdokms ä quel-
gen.
„Dermbtas, uf deep suspendus, attachte,
asutchie. Bifär 4 =, Oro A l’eutwönrikd; Hude
sur le point de perdre la vioow d’ötre ponde.
DEP 301
Derentuonino, 1, dB). 9. p. de Dependurtr,
suspendu ; pendu ; (fig.) attenfif aax discoum
de quelqu’un. Olkose—e , (fiy.) youx Utds sur.
Ouvidos —s da bocca d’alguem, oreilles atten.
lives aux paroles de qureigu'un. Zstar — de
dalguom , dependre de la tolonı& d’un
autre.
DaPENDURÄR, ©. a. suspendre, pehdre, 8c-
crocher. V. Pendurar.
DePenIcÄnO, A, 9.7. de
Dersnıchk, d. a. epiler; pignocher; becque-
ter es fraits).
DEPENNäDO, A, P. p. de Depennar. adj).
deplumö: qui n’a plus de plumes.
DEPENNADOR, A, 5. Qui deplume ;{fig.) qal
escroque, escrot.
DErPENNÄR, o. a. deplumer : 6ter les plumes,
(fig.) depeulller; plumer au jen, tirer de l’ar-
gent par des moyens ind¢s. — as barbas ‚«
onbera ‚ arracher les cheveux de la 1&te et Ich
poils da menton.
Drrennik-se, v.r. se deplumet, petäre seh
plumes.
Dernreckin, etc. V. Deflegmar.
Dermoctsricino, a, adj. (k. Ban. chin.)
depblogistigae : (air) prive de prittcipe Inflam-
mable ; gaz oxygend; dit vital.
+ Deritachö, s.f. depilatlon : aclion de dö-
piler, ses effets. -
+ DeriL.ativo, A, adj. depilatit ; : ai fait
twpmber fe poit.
+ DeriLatörro, s. m. (t. de phartm.\ depila-
tbire : drogue, päte pour depllet.dd}. V. Depi-
Iativo.
+ Derronacäö, s. f. deploratiori. (p. 14.)
Derionä0o,A,Pp. p. de Beplorat.
Derrorinön, k, s. qui deplore: qui plaint
Keaucoup.
Drrtonin, ve. a. deploret: Plaindre beau-
conp: avolr grande pitie.
DEPLORAR-SE, v. r. se plaihdre beautoup;
re dsplore.
‚+ DerLonatonto, A,adj. qui extile le com-
passion, la pilie.
DerLonAveL, adj. gen. deplördble : a de-
peter, 3 plaindre; plleax.
DerLonivrsruünre, adv. deplorabldment:
dune manidre Wagigue, deplorable; trea-mal.
DePo#@ntE , 9.2 gen. deposanı, qui depose
ei affirme en Justice. adf. V. Deponenis.
* DeroEr. V. Depör.
Deroinente, 6. n.(1. de ri.) " @bpesilion ı
ce qu’un t&moin depose.
Deröts, ado. et pröp. uprös, depwis, en-
suite. Dows mwezes —, ä deux mnls da la.
DErONENTE , adj- m. (8. de gram.) deponent ı
verbe latin qui & la sighalßcalion sellve et la
terminsison passiro.
DrpopvLaa ‚etc. V. Despovoar, 008.
+ Dewseussnmmän, 9. a, döpopulaniser ı öter
la faveur du peuple.
Beton, as. Obpeow, \alsser, ee ee)
‚ destituer, dömetire. -—, oswlldt &
quen, maisttre u oh A depöt. (1. de ren ,
393 DEP
porter tömeignage oa justloe. — as arınas,
metire bas les armes
Deroatackö, s. f. deportatien, bannisse-
ment, exil.
Derontin, etc. V. Desterrär.
Dsr6nrs, s. m. V. Hocreagdo, Passalempo.
° Derös. V. Apös.
Darosigkö, s. f. deposition : destitstion
d’une charge, eto. (6.de prat.) Action de melire
en depöt.
Derrusıripo,, A, p. p. de Deposildr
DEPOSITADOR, A, 8. celui qui döpose, qui
donne ou met en diper
Derosırinte, adj. 2 gen. deposant, qui met
en depöt. p. s. do
Darosıräa (em), v. a. d6poser : confier, re-
meltre on ow A d&pOt.
Derosıtäaıo, A, s. döposilaire : & qui on a
«onfi6 un depöt; (A. ) un sooret. — geral, d6-
positaire göndral : celui qui est charge du de-
p6tdes sommes appartonant Adesmineurs, etc.
DerosırÄato, A, adj. qui concerne le depöt.
us .) Qui oonlient, qui enferme quelque chose,
„s. m. dep6et: action de deposer
son cheis, 00 qui est mis & la garde de; lieu od
Pon döpese; ioa oü restent des soldais, des
recrues d’un oorps ; ces hommes; coflre i ar-
gent; amas d’humeurs. — d’aguas, r&servoir.
Der6sto, A, p.p. de Depor. di. Destitue,
priv6 d’en emploi.
Deraaca, ade. publiquement. V. Praps.
° Dzraiö. V. Präs, Piano (de).
Darnavackö ‚uf. d6pravation ‚eorruption,
dersglement.
DeraaväpauAnTe, adv. avoc döpravation.
DEPRAVADISSIMO , A , adj. sup. de
Dernavin0,9.P. de Depraver. adj. Döprave,
corrompu ; mechant, pervers.
DEPRAVASOR, sm. oorrupieur, desirucleur.
DEPRAVAR , U. @. döpraver, 00rrompre ; per-
vertir. ll est aussi röciproque.
Derazcacäiö, 8. f. priere, instance,, suppli-
ration. (f. de rAdt.) Doprösation. Commission
rogatoire.
Dzrazcino, A, p. p. de Dopreedr.
Dgrazcinte, adj. 2 gen. priant, demandant,
suppliant. Lo juge qui adresse & un autse Juge.
une oommission Fogalteire. 9. &.de
DirazciR, v. @. prier, demander avec in-
siance, supplier. Adresser une oommission
rogateire.
+ DEPRECHTIVANÄNTE, adv. d’une maniere
suppillante,
Darascarivo, A, adj. döprecatif : en forme
de priere; qui supplie. —s, pl. ot m. prieres,
supplications.
DEPRECATÖRIO, A, adj. qui contient priere,
instance, supplicalion ; deprecatil. Carla —a.
V. Precatörie.
„t,Deranauciö, s. f. depreciation. (Ag.)V.
Menoscabo.
T Dzrascıkn , u. eo. döpröcier. (Ag.) V. Me-
omoscaber.
nospresar,, M
DErREBAGAO, 6. [. deprödatien ; vol, Fuine,
| pillage aves dögät, Salt par des gardiens, des
döpositaires.
Darasvino, A,P.p. de Depredar.
DErazpADeR , s. m. depredateur : qui fait ow
tolöre des deprdalions. ll esi aussi adj.
Darazoia, v. 6. depreder : pilleraveo degät:
ravager.
DEPASRATÖRIO, A, adj. depredalil ; depreda-
tour.
+} Dernzusnsäd, s. f. l’aclion de surpremdre
ow le fait d’etre aurpris en quolque action se-
cröte ou criminelle. Renopntre sur le fait.
DEPRERENSO, A. V. ehondido.
DEPrRESSA, ade. a la hate, on diligenoe.
Dupanssiö, s. f. depression : abaissoment
de ce qui est presse ;absissement. (Ag.) ’Abat-
tement. * Enfoncement.
Dearageso, a. V. Deprimide.
DEPRKSSOR, s. m. colui qui abaisse, qui de-
prime, qui bumilie. (t. d’anat.) Abaissear :
muscle qui abaisse.
Derammino, A, pP. pP. de
Deraınia, 9. e. deprimer, rabaisser, avilir.
(Ag.) Humilier, abaisser, abatire.
Derrzaa,c.m. (8. #Eikiopie) iövite.
Derunacäö, e. f. depuration : action de d«
DarunaneR, 6. m. velui qui depure.
a DeruRAR, ©. @. döpurer : rendro pur; clari-
er.
Darunativo, A, adj. depurstif : propre ä
depurer le sang (remede).
DgruRATöRıo, A, adj. depuratoise : qui sert
& depurer.
Deruragiö, s. f. döputallen : envei de de-
putes,, leur r6union.
DeruTino, 8. m. depuis. adj. et p. p. de
Dsrutär,, 9. 6. deputer : envoyer quelgu'un
avec commission ; onvoyer une doputalion vers
quelqu’un pour... Desliner, desiguer, marquer
pour une fin, un usage.
Drquitän-se ‚,v. r. V. Parir.
Deazıto. V. Direito.
Danzıicro, A, adj. (mol lat.) delaisse,
abandonne. Pro —, ade. & l'’abandon.
Dexısiö,s. f. derision ı moquerie amöre,
Derıscan. V.
Denıson, s.m. V. Mofador, Escarneceder.
+ Dsusöno, A, adj. derisoire : qui est fait
avec derision , par derisien.
Denıvackö, 3. f. derivation : origine d’un
mot. (}. d’kydr.) "Detour des aus. (4. de dd.)
" Detour des humeurs. (fg.) ion, nais-
sance, Origine, SOUFOE.
Desıväno, &,p.p. de Derivdr. s. m. Derive:
mot qui tire sen origine d’ua aulze.
Derıvante. V. Dorivstörio. |
Deuıväa, v. a. deriver, faire deriver.
Daaıvin (de), vo. m. deriver, vonir de, tirer
son origine. Il est aussi röciproque.
DanıvaTıyo, a, adj. qui derive de, dörive.
(6 de med.) Derivatil : qui ser A detoummer bes
humeurs (reındde).
.
x DER
Deamirörio, A , adj. (6. de dd.) derivauit.
Diaus, Dinur ou Diamıs, s. f. (1. d’anal.)
derme : cair de la peau de P’homme.
+ Daauaröronss, 5. m. pl. (1. d’hist. nal.)
dermatopodes : oiseaux & pieds garnis de mem-
branes aux deigis.
+ Drawtsıe, 5. m. (1. d’hist. nat.) dormeste :
scarabse dissöqueur, helocare.
ee bonn. s. f. dermographie : des-
de la
"7 De ’ ns. f. dermologie : traise de la
u.
ee Daamoromia, ef. dermotomie : dissoction
de la peau ; sa pröparalion.
Drxocagäd, s. f. dörogalion : action de de-
roger & un ddit, A une loi, & un aclo, A un tes-
tament; scte qui Pannonce, qui Fopere. Dimi-
nutien, döiärieration.
Dmoci20,A,P-P- de Deroger.
DEROGADOR , A, 5. qui deroge.
+ DrRosauEuTo ‚s. m. " derogeanoe : l’action
de dersger.
Danociure, adj. 2 gen. dörogeant : qui de-
roge. 9. a. de
Denocan, v. e. döroger (&): [airo, staluer
queigue chose de contraire (& un act, ä un
edit, ete.). Dötruire, reformer, Öler, relsan-
Denosarivo, a, adj. qui deroge.
Denocarönm, A, adj. (1. de prai.) döroga-
toire: qui deroge (& un &dit, Ad un acle).
Dannanino, a, p. 9. de Derrabar. adj. Sans
queue; & qui on a coup6 la queaue.
Dannanaptaı, s. f. blessure qui reste ä&
Yanimal auquel on a coupe la queue.
Dennısin, ©. 8. couper, arracher la queueä
un animal, coouriander (un ebeval, etc.).
DennapksnamENTE, sde. dernierement ; en
deraier liou,, enfin, au bout du compte.
Dennapeıno, a,adj. dernier:: qui est apreds
"tous les autres. ( ig.) Dösespere; inlerieur, de
meindro valour. Por —, loc. adv. enfin, ä
la fin.
Drariua,s. f. "impöt, tribut, röpartition;
oote d’ene conträbution, taille.
Dunnauaciö, s. f. V. Derramamenio
DERRAMAÄBAMENTE, adv. avec profusion ou
effusion,
Daanauinpo, A, p. p. de Derramar. adj.
Verse, „ 6gare, repandu; diffus, en
Perlanı da style; &tendu; divulgue, publie.
ü. Eorags, saisi de la rage (chien).
Dannamanon, s. m. celoi qui röpand, qui
verse,, qui divulgue. ( fg.) Dissipateur.
DEARANANEATO, s. m. &panchement, eflu-
sion, seoulement : Paction de r&pandre, de
verser. Dispersion « d’un peuple, d’une famille,
d’une arıneo, etc. “ Rage, hydropbobie. — de
lagrimas, de sangue, effusion de larmes, do
sang.
Dranamin, v. 6. röpandre, verser, &epan-
eher. Disperser. (Ag) — , divulguer, publier.
tür un impöt. V. Desramar. — doufrins,
( Ag.) repandre, semer une docisine. — 0 pen-
DER 393
samenfo, (id.) promener son esprit; räver,
laisser ‚alter son imagination sur des choses
vagues. — grilos, peusser des oris. — cheiro,
exbaler une odear. — luz, söpandre de la Iu-
miere. — dinheiro, jeter de l’argent au peu-
ple, le distribuer aux habitants d’une ville.
lagrimas, repandre, verser des larmes.
—-46 fasenda, (g.) dissiper son bien. — san-
gue, r&pandre du sang, perdre du sang.
DERRANÄR-8E, ©. r. se disperser, se röpandre
9& et lä sans ordre. So stparer en plusieurs
ruisseaux , ea parlant d’une riviere, d’un
fleuve. Enrager, en parlant d’un chien saisi de
la rage. — narrando, &tre trös-diffus dans la
narration.
Denrzancino, A, 9. p. de Derrancar.
DERRANCAMENTO, #. m. event : l’action et
l’effet de corrompre, de gäter. ” Alteration dans
les aliments ou dans les liqueurs qui en de-
truit, en affaiblit ou en corrompt le goüt.
DERRANCAR,, ©. @. Corrompre, gäler, depra-
ver, infecter. Il est aussi röciproque. S’eventer,
so gäter Al’air
DERREÄDO, A,P. p. de Derrsar. adj. Epointe.
qui a la hanche demise (cheval), qui s’est
casse les os des cuisses (chien).
DERREANMENTO, 5. m. tour, rupture des reins.
*Epointure des chevauz, des chiens.
DERREÄR, U. 6. &reinter : fouler ou rompre
les reins, donner un tour de reins.
DERREAR-SE, dv. r. s’6reinter; se courber &
force de l’äge.
Dannenör, 3. m. alentour, circonference,
eircuit, Jo —, em — , ado. A l’enlour, aux en-
virons, autour. On le prend quelquefois adver-
bislement dans le sens d’environ, & peu pres.
DERRECADO, A, P. p. de
DERREGAR, ©. &. (1. d’agr.) faire des sillons
pour Pscoulement des eaux dans un champ
nouvellement semd.
Deanzncan. V. Derrear, Deslombar.
DERRETER, %. Ga. liqueßer, fondre, rendre
liquide. ( Ag.) Autendrir (l’Ame, le cour, etc.).
DERRET£R-sKE (em), v. r. se fondre, se liqu6-
fier. ($g.) S’attendrir. (id. ) S’enflammet, brüler
d’amour, se passionner. (fig. fam.) Simpalien-
ter, se tourmenter.
DERRSTIDO, A, P. p. de Derreter. adj. ( ig.)
Amoureux, languissant, passionne. — no fal-
lar, doucereux, qui dit des douceurs.
DERRETIMENTO, 4. m. *fonte, fusion, liqud-
faction. (Ag.) "Langueur, passion, amour vio-
lent.
DernmmÄnO, A, p. ?. de Derribar. adj. V.
Abatido, Humilkado. —a a viseira, visiöre
baissee. — da esperanga, dechu de Pesps-
rance.
Dernınanon, A, adf. ots. d&molisseur : qui
abat.
DERRIBABOURO. V. Despenhadeiro.
DERRIBAMENTO, 3. m. * demolition : action de
dembolir; destruciion, ruine. —, d&combres.
DERRInÄR, va demolir, abatire. Terrasser,
Jeter de foroe par terre. Renvorser, demonter,
398 DES
jeter sun cavalior par terre. Ronrorser, eultw- |
ter. V. Prosirar, Bonder. (fg.) Metire mel
une POrSOnne Aveo us autee, lui faire perdre
son cridit, sa favenr. — e lange, meitze la
lanoe om are,
DERARTBAR-SE, U. #. so jeler par lerre; so
precipiter ; se prosterner.
DeRRIKGADO, A, P. P. de Derrizär.
DeanıganoR, A, adj. qui döehire aves los
dents. (Ag.) Porsilieer. -
Dunntar, 9. #. allonger, rer on dong aveo
Is deni, dechirer arcs os denw. — om ai-
„( 4.) poreißer, railter, so meqeer de
relta’an
DERRISCHR , 9. Ga. eflacer, rayer; sliminer,
aholir. V. Atteer. Il est auski recipfeqae.
Dennocäno, A, 9, P. & Derrooar:
Dennöcinon. V. Dereibädor.
* Dennocaunto, ed. m. *destrwetion, zulae,
eboulement.
Dennocin, v. a. precipiter da hast d’un ro-
cher. Demolir, renverser, abattre. (Ag.) Faire
dechoir de sa grandeur, de sa fortune. (id.)
Abattre; ruiner, detrafre; -
DenrocäR, ©. 9. el -se, 9. r. lomber, s’&
crouler, s’&bouler, s’abattre. (em) Tomber sur,
falre rarage (dans l’ennemi, ete.) p. ws.
Derroin, etc. V, Derrwir, ete.
Denrörk, 8. f. (I. de mar.) toute par met,
fumb d’un vaisseau, Rotite, chemin, sentier.
(2. mil.) Deroute, deeoniliure, fuite de treupes
defaites, &pouvantöes. Marcar a—,(t.de mar.)
pointer la Carte. - compösta, touße oompii-
qıree. Seguir a mesma —, marcher dans les
eaaı d’un auftre vaissean.
Dennorido,Aı,p.p. de Derrotar.
De RROTADON, s. m. cehi gei met en de-
route.
Drerorir, d.o. m de mar.) Dettrer de sa
route, en parlant d’un vaissean. Nuiner, de-
truirc, appaurvrir. (1. nel.‘ Mettre en deroute,
deconfire, battre & plate couture ‚ d@faire en-
tiäreınent, tailler en piecen.
Dennoran, v.n. (l.de mar.) sulyre sa route,
en parlant d’un taisseau. #. Ärriver en de-
roule, en mauvais eat.
DERROTAR-SE, v. r. (t. de mar.) Perdre sa
rote; se separer tes urs des autres & cause
d’üne tempete (les vaisseaux).
Denen V. Roteiro.
ERROBADO, A, 9. p. de Derruber. Orelhas
—as , oreilles bendantes : : ceffes da obien et du
cheval qui ne les ont pas droites.
ERRUBADOURO. V. Des
Desaunar, v. a. faire ebonfer, detrunte peu
A peu. V. Derribar.
Derptino,Aa,p.p.de
Deärvir, o. a. detruire, rulter, abattre,, d6-
molir.
Deavis ow Denviche, 8. m. 'dervis os derri-
che : pauvfe religieux ture; mahomdtan.
Dis, prdp. ade. des ‚ depuls. — que ‚ aussitöt
up.
Des, particule qui entre dans la Composition
DES.
de pusieurs nastsot indigue, ie plus senuvent,
negatien
Des, etc. V Des, vis.
Diis: Par das, (serment burl.) par Dien; par»
bleu; ma foi.
Desasino, A, P.p. de Desabar. adj. DB
Chapde —, chapena & largss bords,
Desasnaridaneute, ddo. auvorioment, Sans
degalsomenit, & oesar auvert. (Ag«) Sans graimte,
DesaBara0Oo, A, p. p. de. IMesbefar. adj.
Spdelbun, degepe, oavord, d6enmvert; adık.
(fg.) Delivre, degage, debarrasse.
DEsKBArANANTO, e... " actien de .dienn-
vrir, dedonner de l’air; spamahement de eur,
Disabrrhn , v. a. dbeouvris, exposer &, Veit
poar diminuer la ehaleuin (Ag.). Debeuruser
nettoyer, purifier, deblayer. ++ a, sus .onlere,
decharger sa colöre contre au sm quolgu'um.
— os cascos da berts , Barer ies pieda dan,aber
val, le dessoler. wuir
Desaparin, ..% se soulagen, ätebarger son
caur, s’&pancher. — com alguem, dbsemmEt,
deosier ses. sontitnenm, ses (ssseins, ale. n\
quelgu’un ; adoucir, soulager son.taal om Sei-
satıt ses pliintes & queigu'a. ". 1.
DESABAFAR-BE, U. 7. nu: dicsumlir:. - da
roupa , se fafraichir, #6 tnetize.am. Ictiss AAg-)
Se divertir, se distraire.
DESABALÄDANENTE , he. dimmesurdenant ,
outre mesute.
DesasaLin0, A, adj. enorme, dimssert,
d’une grandeur prodigteuse. .
DFESABALROÄDO, A ,P. pp. de
+ DESanae.nOdR, v.a./3. de mer.) tleigner
un vaisseau d'un sure auguet H.Hisk aucıe-
che.
Desäpin, v9. a. faire tomber, :ebafre. 0.
et plus us. Tomber, s’abatıre, 2’derauter.
I DESABASTECER,, ©. @. @epewrroin, degatair
de provisions.
DESABASTECIDO, A, P. P. de Desabneisent.
Desing, s.m. la parlie eeranlöediam ınımt,eie.
+ DESABIıTAR, ve.“ —aamarrs,(1l. de mer.)
debitter le cAble.
Desasıtuar, V. Desacostiiner.
Desasocan. V. Desembarer,
DesaBoniDO, A, p. 'p..de Dosudenar.. ad.
Decrie, decredile, qui a sa repulation perdwe.
DESABONADOR, 4, ad. & 0er qm Adsnbite,
qui fait perdre te oredis, ta eonsituraitien.
DESABONÄR,, v. a. dsersditer, deertet, Ser
le credit, la oonsideralien.
DESABONAA-SE,, v.r.80 asorier, perdru son
eredit.
Desanöno, 8. m. döereditensen : seien de
deerediter; perte da erädk. Prejudice, tert
fait & quelqu' un dans son honneur, dans sa
reputalion. Fallar em — Kalguem, perter au
desavantage de quelgu' un:
DESABORDÄDO, A, P.
Desanonpir, v.&. {f. “ "ner. deticher um
vaisseaw abord#,
Desasorino, a, ad). Insipide , sarın goM. if
V, Desudrido,
Dusssyroän0, A,P. p. de Desabotser.
+ Dssawrossdra, 8. f. Paclion de debou-
tonuer, ses efflets.
+ Dssasoroautnto, s..V. Dessboloadere.
— das flores, (t. de bot.) &panouissement des
Beurs.
Dasanoroin, 9. u. deboutonner : #ter les
boutons des boutonniöres,
Dasasoroar, v9. n.{f. de bo$.) #’6panoulr,
telore, parlant des boutons des fleurs.
Desasoroar-sE, v. r. se döboutonner. (Ag.)
— , faire part de 563 sentiments , de Bes secrots
(& ses amis). Boutonner, se couvfir de boutons.
Desasascado, A, p. p. de
+ Desasascha , v. a. detacher de sos bras la
personne qu’on avant embrassee. 1] est aussi
r6eiproque.
DEsAaBaindautnTn, adv. serdrement, dure-
ment; insipidement.
Dusasaipo, A, p. pP. de Desadrir. adj. insi-
pide, sans goüt. Dur, Acre, severe, de mau-
vaise humneur; intraitable. Rode, parlant du
temps.
+ Desasnıcinaunte, adv. sans ahri, & de-
oouvert.
Desanurci2o, A, 9. p. de Desabriger. adj.
(Ag.) Abandonne, delaisse. V. Desemparado.
Expos6 A tout vent, deconvert. Rade, parlant
du vent.
Desasnmcir, 0. a. öter tout ce qui peut sorvir
d’abri, decourrir; d6pouiller, mettre & nu.
(ig.) Abandonner.
Desasnfcär-SE , 0. r. perdrel’abri, s’expöser
ätout vent. (Ag.) Perdre par sa faute la proteo-
tion de queliqu’an.
Desasnico, s. m. &tat de tout ou qui se trouve
a decouvert , sans abri. (fig.) Abandon , dtlais-
sement.
DesaBaıwento, 5. m. "insipidite. (Ag.)“ Du-
reie, söverit&, aigreur, rudesse de caract£ere,
d’humeur. Deplaisir, peine, chagrin, affliction
interieure. * Duret£, rudesse du temps.
Desansın, v. a. sffadir : rendre fade. — mdo
cousa, abandonner entidrement
une chose, y renoncer, cesser d’y travailter.
DeEsABRIR-SE (com), 0. r. se lächer, s’Iincom-
moder, se mettre mal.
DrSABROCHÄDO, A, 9. p. de
Desauaochir, 9. a. d6boutonner. Degrafer.
Deboucler. (fig.) V. Abrir, Descoser. — a bin-
gua , parier fibrement.
DESABROCHAR-$E, ©. T. rompre avec quel-
qu’un, se r&pandre en injures.
+ Desasusinamente, odo. d’une maniere
desabuste; sans pr&octupations.
Dresustsipo, A,P.p. de
Desasosin, 9. a. desabuser, detromper, ti-
rer de l’erreur.
Desasusin-Se, v. r. se desabuser, so de-
womper ; perdre certaines habitudes religieu-
ses; sulvre une morale reläch£e.
Desanöso, 5. m. desabusement : action de
desahuser, ses effets; etat de lg persunne dös-
DES . 396
TDssacanuiso, a, af. dul a pesda ia timi-
dit&; saıs gene ‚ hardi. p. p. de
tf Desacannar, v. a. Ötor la timiditös; enoou-
rager, denner de l’alsance.
+ Desacannan-eg, 0. 7. perdre la tinsidite,
so montrer libre, actif, dögage; agie, parler
avdo alsance.
Desacanvar. V. Dosacravar.
Desscatinauterz, adv. insolermment, irrd-
veremment, avecirröv&renoe, sans respect.
Desacaripo,A,p.p. de Desacalar.
DESACATANENTO. V. Desacalto.
DesacATÄR, v. a. manquer de respeet, d’6-
gard; profaner.
Desacirto, s. m.” insolenoe, irreverenee,
mandque de respect; prolanation.
DESACAUDELÄDO , A, adj. sans chef, en däs-
ordre (troupe).
} DESaAcAUTSLÄnDAHENTE , ade. sans pr&-
voyance.
DESACAUTELÄDO, A, adj. impr&voyant; im-
prudent; qui n’a pas de prevoyance. 9. p. de
f DESACAUTELÄR-sE, v. r.oublier de prendre
ses pr6cautions ; manquer de prövoyance, de
prusence; negliger de se mettre sur Bes
es
DESACCOMMODÄDO, A, P. p. de Desaccommo-
dar. adj. qui n'est pas & son aise; qui manque
du necessaire. Incommode. Sans emploi, sans
occupation.
* + DESACCOMMODAMENTO, 8. m. ° Incommo-
dite : manque de commodit®.
DesaccoMmopÄn, v. a. Incommoder : metire
mal & l’alse. Priver des commodites. Gener,
contraindre. Troubler le sommeil de quel-
qu’un. |
DESACCOMMODÄRB-SE, v. r. perdre son em-
ploi, cesser d’avoir de l’occupation.
Desaccörno. V. Desacordo.
+ Dssaceıino, A, adj. qui manque de pro-
pretö, malpropre.
DESACERBÄDO, A, P. P. de
+ DEsacErRBiR, v. a. adoucir, temperer, mi-
tiger Pacide , l’aigreur d’une chose.
+ DESACERTÄDAMENTE, adv. inconsider6ment,
mal d propos, d’une maniere peu r£flechie.
DESACBRTÄDO, A, adj. inconsidere, peu r&-
ffechi, etourdi, imprudent, qui erre, qui se
tfompe, qui fait une faute ;chose mal calculee,
faite sans röflexion. p. p. de
DESACBRTÄR „ v..a. errer, echouer, faillir, se
tromper, faire une faule. v. n. Faire une chose
mal & propos; se meprendre, se fourvoyer. Se
fromper; ne point r&ussir, Manquer 80n COup.
Desacgatäin-se, 0. r.V. Baldar-se, Frus
frar-se.
DERACERTO, 3. m. "erreur, faute , bevue.
DrsacunARDADO, A, P. pP. de Desacobardar.
+ DESACOBARDAMENTO, 8. m. Courage, har-
diesse. \
DESACOBARTÄR , U. a. encourager, donner du
courage, enhardir. Il est aussi reciproque.
DesicoımAno, A,p. p. de
DxsacuıaR, dv. q, acqyitier une amende,
DesacorLcneran. V. Desabrocher.
+ DESACONPANHÄDANENTE, ade. SANS CoBt-
pagnie, sans societs.
DESACOMPANHÄDO, A, adj. soul, Isold, s6-
par& de, priv6 de la oompagnie, de la sociöt#
de. 9. p. do
DESACOMPANHÄR, v. a. quilier la sooiöte, la
compagnie de quelqu’un; le delaisser, aban-
denner. Stparer des choses qui &lalent ensem-
bie. ». ». Cadrer mal avec.
DesaconssıuÄDO, A, adj. inconsidere, im-
prudent, qui agit sans &couter les conseils ;
mal avise.P.p. do
DESACONSELHÄR , ©. a. döconseiller, dissua-
der.
Desaconacgoin, eic. V. Desacorgoar ei Des-
corgoar.
Dssaconı0 ,A,Pp.p. de
+ Drsaconia , v. a. apprivoiser les faucons,
les olseaux sauvages. (fg.) Dompter, apprivoi-
ser.
DESACORCOÄDO, A, P. p. de Desacorgoar.
DESACORCOAMENTO , 3. m. d6couragement.
Desaconcoir, v. a. döcourager, faire perdre
courage. v. w. Se d&courager.
DESACORDÄDAMENTE, adj. inconsidörement,
imprudemment.
Desaconpino,A,p.p. de Desacordar. adj.
D’opinion difförente ; discord, dissonnant ; alie-
ne, trouble , imprudent, irreflechi,, oublieux.
DESACORDANTE,, adj. 2 gen. discordant; qui
n’accorde pas. p. a. do
DESACORDAR,, ©. 6. desunir, brouiller; trou-
bler ; faire perdre l’esprit. vo. a. Discorder, @tre
ıliscordant ; n’&tre point d’accord ; ne pas ca-
Jrer;; parler d’une maniere incoherents ; perdre
connaissance.
DESACORDAR-BE, v. r. oublier. Discorder.
Perdre la t£te, la raison; perdre connaissance.
DzsaconpativO, A, adj. dissonnant.
Desacöano, 3. m. " perie des sens, delire;
distraction ;trouble; oubli, negligence ; man-
que d’accord ; brouille ; dissension.
DEsACOROGOAR , elc. V. Descorgoar.
° Desatonaino, A, adj. sans Secours.
DesacostumiDpaM£nte, adv. contre la cou-
tume, usage.
DessacostumäDo, A, adj. desaccoutume
deshabitue, qui a perdu V’habitude; inusite,
qui n’est point en usage,
DESACOSTUMAR , dv. a. d&saccoutumer, desha-
bituer : faire perdre la coutume, P’habitude. 11
est aussi reciproque.
f Desacoroir , v. @. dosserrer la cotte d’ar-
mes.
+ DESACOTOAR-SE, ©. 7. (flg.) perdre toute
pudeur, toute retenue.
Desacovannan. V. Desacoberder.
DESACRAYADO, A, 9. p. de
DESACRAYAR, U. &. desembourber : lirer de
la bourbe.
DESACRKEDITÄDO, A, 9. p. de Desacrediter.
DESACTEDITADÖR,, A, adj. et s. qui decrie,
qui contribuc & faire perdre le credit.
Desacazpıraän, ©. a. discrediler, döcsier;
diffamer, vilipender. Desachalander.
Desackenıtia-8E, ©. r. so decrier : pesdee
son eredit, sa r&putalion par sa faule.
Dasacuran-sE. V. Desoccupar-se.
Desapuozstan. V. Disswadir.
Deaaponıcäö, s. f. haine, aversion.
Desanonipo, A, 9. p. de
Dzsaponir, v. a. refuser l’adoration ; cesser
d’adorer ; detester. v. ». S’indigner; s’impa-
tienter.
f Dasaponuzcea, v. a. 6veiller, s’ereiller.
(Ag. Degourdir, en parlant de l’esprit ou d’un
menmpbre.
DESADORNECIDO, A, P- p. de Desadormecer.
DESADORNENTÄDO, A, pP. p. de
+ DESADORMENTÄR, ©. a. degourdir, faire
disparaltre l’assoupissement.
DEsADORNADO, A, P. p. de
+ Desapoanär ,„ v. a. döparer, depouiller
une chose de ses ornements.
+ DssapOano ‚5. m. mauvaise gräce , manquo
d’ornement, de parure.
+ Dzsanunano, A, adj. (t. de bot.) distinct,
separe.
f DEsaDvEaTipaminte , adv. inconsidere-
ment, imprudemment.
+ DESADvERTIDO, A, adj. inconsidere, im-
prudent, &lourdi. p. p. de
TDesapveatia, 0. a. et ®. (inus.) ne [aire
pas attention, agir inconsiderement.
Desaraımino, A ,Pp. p. de
+ Desaramman, 0. a. rassasier un affamet.
(Ag.) V. jar.
Desarazer,v. a. V. Desacosiumer.
DESAFEITO, A, P. p. do Desafazer.
DasarkaaiD0, A,P. p. de
Desarznrin, v. a. (fl. de mar.) desancrer,
desalffourcher, lever l’ancre. Decrocher, deta-
cher. (g.) Faire changer d’avis , dissuader.
DEsarenrÄin-sK, ©. r. demordre, quiller
prise ; se decrocher, se detacher. (fig.) Aban-
donner une opinion, un avis.
DESAFERROLHÄDO, A, p. p. de
DESAFERROLHÄR,, dv. a. deverrouiller : Öler
les verrous ; döchainer. ll est aussi reciproque.
+ DesarsasıLmide, 5. {. manque d’affabilite.
f Desarrzcracäd, 5. f. la cessation ou l’op-
pose d’aflectalion ; sinceritö, franchise, nai-
veie.
+ Desarrecripamente, adv. sans aflecta-
tion ; ingenument, sincdrement.
+ Desarrecrivo, a, adj. quin’a pas d’afieo-
tation ; sincöre , ingenu, nalf.
Desarr£cro, s. m. V. Desaffeicdo.
+ Desarr£cro, a, adj. coniraire, oppos&,
adversaire , adverse.
Desarreıcäö, s. f. desaffection : la cessation
ow l’oppose de l’affeclion , aversion, mauvaise
volonts, disposiion peu favorable.
Desarrgı;0ADO,, A, adj. desaffeclionne : qui
n’a point d’affeclion; impartial (juge). Ser —
« alguem, en vouloir & quclqu un. 7. p. de
Desaffeiwer.
DES
Desarvrıcoin, vo. a. Atsaflectionner : de-
eurer d’une affection, d’un attachement. Il
est aussi r&ciproque.
Desarrmönta,s. f. röparation d’un afftont.
DeSAFFRONTADO, A,p. p.d tar,
ah. venge d’un affront; Adtivrs, degage, de-
barrass#.
DasarraonrapOR, 5. m. celni qui tire ven-
geance d’un affront; qui en oblent reparalion;
gi dögage, qui debarrasse.
Desarraontär, 9. s. tirer, prendre ven-
grance d’un affront, d’une injure; en obtenir
teparation. Delivrer, degager, döbarrasser.
DESAFFROSTÄR-SE, v. r. se döbarrasser d’une
ckose gei incommode, qui cause de !’etoufle-
ment; se rafraichir ; se vonger d’une injure,
prendre vengeance d’un affront,
Dasavzıran. V. Desenfeilar.
"Dasartackö,s.f. V. Desaflo.
Dasayıapo, A, p. p. do Dosaflar.
DESArLADOR, 1. m, celul qui döfle, qui pro-
wgue un dael. Duelliste, bretteur : celui qui
sbat soavent.
Dasarıluıs, ad. ot 8.2 gen. quı fait un def,
qui prevoque au-combat. p. a. de
Dzsunia, v9. as. appeier en duel, deßer,
provoguer au combat. Deßer & la lutte, ala
warse, ete. Difler, braver quelge’un. Provo-
quer, piquer, deßier de faire une cbose. Emous-
ser les ferrements, eto. (fg.) Provoquer, ex-
eiter, rtreiller (Pappetit, eic.).
ÄR-SE. 9. 7. SB provogquer,
moatuellement ä un duel,, au combat.
Dssarıin, vo. ». perdre le tranchant, en par-
aut d’en rapeir, etc.
Desarıcunin, etc. V. Desfgurar, etc.
Desarıninaukute, adv. (bi. de mus.) Sans
escord , avec dissonance.
DESArTRABISSINO, A,adj. sup
Dasarınino, A, adj. needs, en parlant
d’un instrument. Qui n’a pas la voix juste, qui
ehante fauı. p.p. de
Desarmin, 9. a. (f. de mus.) desaccorder :
ütraire l’accord d’an instrument. v. ». Chan-
“a isux, n’ötre pas d’accord,, ®tre dissonnent.
Des yınaR-SZ,, v. r. se dösaccorder : ne pas
eunserver laccord, en parlant d’un instrument.
Dsurio, s.. den ‚provocation au combat,
appel.— — provocation ı en general. (fg.)V. Por-
As, emulardo. — de gallos, combat de oogs.
Seir « —, enirer en competenee. Conlar a—,
chanter allernativement en compeience avec
“ suite. para 0 —,se meliro en
dereir de combaiire.
Dasavıssan , o. a. faire perdre la contlance
quwme personne avait en une antre. v. m. Per-
die Yespeir.
DeumYELAn. V. Desfivslar.
tDesarocinauanıe, ade. librement, am-
Prment, sans gene; de sang-[roid.
Desarocino, A, p. p. de Desafogar. adj.
Weliere, degage, debarrasse; soulage. Casas
--“, maisens spacieuses, ei ayant une vuo
clendug. Horas ss, heures de loisir. Kstar
s’inciter
DES 397
com 0 anımo-—, avolr Fesprit döbarrasse de
soins.
Desırocka, v. @. ot m. dögager ce qui genait,
ou &touffait; (Ag.) allöger los peines, soulager;
delasser; döcharger. le omur, Fäme, Pesprit
d’une peine , &vaporer le chagrin. — a sus ira,
decharger sa colöre. — s painlio, a sensuali-
dade, s’adonner & la passion, & la sensualite.
— com , ouvrir son omur, confler ses
peines & quelqu’un. Deizar — a sus der,
laisser un libre cours & sa douleur.
DeEsArOCÄAR-SR, ©. r. se soulager ; ne delas-
ser. Se mettre & son aise, en abandonnant, en
quittant ses habits. — em lagrimas, allöger
ses peines en versant des Jarmes.
Dasar6G0, s. m. soulagement; distraelion,
delassement; ressource. Eiargissement, ex-
tension , dilatation d’espace. *° Effusion, &pan-
chement de c@ur. Viver, estar com —, virre
Al’aise, ötre A son aise.
DESAFORÄDANMENTE, adv. elfroniement, in-
solemment,
DeEsAroRADiSsıNO, A, adj. sup. de
Dzsar0oaino, A, p9. p. de Desaforer. adj.
Effronts, impudent, insolent. Eflrene, sans
retenue qui ne oonnalt ni frein ni loi. it. (ant.)
Contre le droit, le privilege de quelgqu’un.
DESAFORANENTO, #3. w. "annulation d’un
bail; action contre le dreit, le privilege de
quelqu’un. dt. V. Desaforo.
Desarorir, v. a. exempter du palement
d’une redevance ; agir contre les droits ou les
privilöges de quelgqu’un, le priver de ses
droits, etc.
Drsuronäk-SE , v. r. renoncer ä ses privile-
ges. (Ag.) Se comporter avec effronterie; faire
Finsolent, s’enbardir; s’eflrener, ne recon-
naitre ni frein ni loi.
Dasar0no, s. m. * insolence, imperlinence,
immpudence,, effronterie ; outrage; injustice.
Desaroarunino, A, adj. malheureus, in-
fertune.
DESAFREGCUEZÄDO, A, 9.9. de
Dusaratcurzin, ©. a. desachalander : faire
perdre les pratiques, los chslands d’uno bou-
tique, etc. Il est aussi r6eiproque.
Desaruuäpo, A, P.p. de
Desarumin, v.0. ter, chasser, dcarter la
fumec.
Desaruscia. V. Dur
DESAGASALHÄDO, A, 9. P. 2. de Desegasalkar.
adj. Sans logement; exposs a V’intemperie du
temps ; lögdrement vetu.
DESAGASALHADOR , A, adj. V. Inkospsto.
DesAcasaLBiR,, 9. G. meitre quelqu’un & la
porte , le chasser de chez lai.
DEsAGASaLHÄn ER, 9%. r. s’babiller lögere-
ment.
DESAGASÄLBO, 3.m. mauvais accueil; &lat
de celui qui est mal oouvert, qui n'a pas assez
de couvertures.
DESACASALBOSO, A, adj. inhospitalier
. Desacastido,A,Pp. p. de Dosagasier. adj.
Apaiss ‚calme ; joyeuz, gai.
Desaass?AnÄnto, 3. m. retour de bonne hu-
meur.
Desanasträr, v. a. apaiser, ealmer, remettre
en bonne kumeur ; desemnuyer, egayer.
Desacasrän-se, 9. T. Teprendre sa bonne
humsur ; se d6senntuyer.
DesaocaAYdpo, A,9. pP. de
DESAGORAVAR, 0. a. röparer une offense, un
tort, domner ‘setiafaelion; venger ume injure.
Soulager, öter une parlie d’un fardeau , dimi-
nuer les imp6ßs. Rendre plus lögere, plus ex-
cusable, une faute on toute autre chose sem-
blabie. Casser le jugerment dont on a interjet6
appel.
DESAGGRAVAR-SE (de), v. r. se venger, tirer
raitson de. — 0 jogador, prendre sa revanche,
se racquitier, regagner ce qu’on avait perdu au
jou.
Desaccrivo, 8. m. * röparation d’un torti,
d’une offense ; satisfaction. Arr&t qui oasse le
jugement dont on a interjete appel.
. DESAGGREGÄDO, A, 9. 9. de
f DesaccrEcir , v. a. söparer, desunir, des-
incorpeorer.
DESAGOAR,, ete. V. Desaguer, elo.
DesacaaDinO, A, p. p. de
DesacaapiR, ©. a. eta. döplaire, desagreer,
mecontenter.
Desaorapin-se (de), v. r. n’ötre pas 000-
tent de; cesser d’aimer, se dögoüter.
DESAGRADÄYEL , adj. 2 gen. dösagreable, de-
plaisant; disgracieux.
DESAORADÄVRBLMENTE, adv. desagreabie-
ment ; d’une maniere desagreable.
DESAGRADECER , ©. a. £tre un ingrat, ne pas
reconnaltre un bienfait, mesonnattre.
TDESACRADECIDAHENTE, adv. aves ingraü-
tude, d’une maniere peu reconnaissante.
Desackınecino, A, P. p. de Desagradecer.
(a) adj. Ingrat, meconnaissant, peu repon-
naissant.
DESAGRADECINENTO, s.m. "ingralitude, man -
que de reconndissance.'
Desacnkpo, 9. m. manque d’aabilit#, de
bonne gräce. Dösagröment, mecententememt,
deplaisance, deplaiste. Com —, disgracieuse-
ment, Cair, incorrer ao — d’alguem , &ire dis-
graei& aupres de quelgu’un, perdre ses bonnes
gräces.
DESAGRAYVAR ‚ et. N:
Desacazcan , ete. { V. Desagg..., etc.
Desiovanfıro, 8. m. * tranchte, fosse que
P’on fait pour faire &conler les eaux d’an
champ , pour dessöcher les marais.
Dasicuino, A, P. p. de Desaguar.
Desicuaoor, s. m.celni qui vide, qui &pufse,
ga demöche Yenu d’am endroit'; vase pour vi-
‚der, etc.
Dasiovautnto,, s. m.“ action de vider, etc.;
oaaal pour Yecoulement des eaux. L’sconke-
ment des eaux & cause de la pente du terrain.
Desiovir, o. @. vider, öpuiser, tarir, desse-
cher Yoau d’un endroit.
Dusicuin (em), u. a. Sremboucher, so d4-
DES
charger, se jeter, parlant d’un fieure, Lune
riviäre , qui entre dans la mer, dans un lac.
Desäcuän-SE, v. r. se vider, se ddcharger,
° DESAGHISÄDANENTE,, ade. injustement, sans
raison. .
.* Dssacuısino, A, adj. injuste, coalre la ral-
son , deraisonnable.
* Duaacuısipo, 6. m. tort, injure, oßense,
injustice.
Desaınivo, A, 9.p. de Desainer.
Desamanöra, 8. f. (1. de oder.) infültratien :
maladie des chevaux trop gras, dont la graisse
fond dans leur cosps.
t Dasawmän,o. a. degraisser : öler la graisse.
(1. de ndner.) Essimer : amalgrir un oistal.
v.0. (fig.) Crier fort, disputer, se fächer, mes
trer de l’humeur.
f DesamÄnbanente, ado. aveo mauraise
gräce, sans gräoe, sans agröment. Gasche-
ment, d’une maniere gauche ol maladroiie.
DesamiDO, 4, adj. sans symdrio, sans
gräce , sans agröment;; mal bäti, mal fait, gau-
che. p. p. de
Dasamär, v. 6. rendre gauche, donner mau
vaise gräce, deparer, enlaidir. (Ag.) Terait.
Desumme, 5. m. mauvalise gräce, mauvais al.
V. Desar.
Desumösamtntz, ado. gauchemen!, de ur
vaise gräce.
DEsAtR0SıSsUMO, A, adj. sup. de
Desaıröso, A, adj. qui a mauraise mmäit;
gauche,, maussade. (Ag.) Qui a mal röussi ; qui
a recu un affront.
Dssas0u3in0, A, 9.9. de
Desasousär, v. a. desacooupler les cieme.
DEsas0nin0, A, pP. p. de
DESASUBAR, u, a. desservir : rendre de wal-
vais services, nuire: refuser sen seeours; @B-
pecher de.
+ Desasumäno, A, adj. qui n’a pas de jagt“
ment, qui n’a pas d’ssprit. "
Desasuntino,A,p. p. de
Desasuntäir ; ©. @. dtjuindre, desuai, *
parer.
DESAIEBSTÄDO, A, P. I. de
Desasusrär, ©. a. d6sajuster : deranget Ct
qui eteit ajuste ; defaire.
DESAJUSTÄR-SE, ©. r. se desajuster: se di“
dire, rompre un marche , une eonrenlöh.
+Dussusösre, s. m. l’aotion de desajust!:
ropture d’an rmarche, d’une eonrenüien (Mu.
DesaLaciB0,A,Pp.p. de
DusaLacin,, 9.0, söober, , fr
&couler les eaux. (f. de mar.) Relerer un ei
vire. (fg.) Dölivrer, sffranchir de queigque M&';
de quelique insommodite.
DESALASTRÄDO,, A, p. p. do
+ DesaLastain, ©. 8. (1. de mar.) dölesier:
öter % lest & un vaissean.
+ DESALASTRAMENTO, 5. me. dolesiage.
DesaLsannDino, A, p. p. de
DesaLsanpir , o. a. debäter, öter le bil.
+ DESALERTÄDANENTE , ado. sans coufäßt
DasaLawrkdo , A, pP. 9, do Doslanlat,
DS
DRSLLENTIR,
@haleine. ( Ag.) Decourager faire pardre ie
osurage, Tabailre.
Tage, se decouragen.
DssaL£ntO, 8. m. dicduragement, abalıe-
mest, Selasllance., eo.
DesuLronsind, A,R.p. de
DrsuLrogsag, d. .: ‚ster ‚bier de la besace,
"DEsaLHRÄn, W.4
Dessuuiänn, A,P. r nie
tDesırrıän, ©. a. rompre ung alliance, 11
esl aussi reciproque.
"Desauuan, elo. V. Despejar.
DEsaummÄoANENTE, ade. negligemment :
aTrec ne ERCe,
Dessuwgäno, A, adj. sans allgnement; sans
gräce, sans ordre „mal arrangk. p. p. de
Des ıxmÄn, o. "a. desajuster : detruire Kar-
rangemenl d’une choge ; deranger l’ordre, eta.;
er.
ESALINRO, 5. m. Manqye de propret& et
dordre dans Ja maniere de s’habiller ; döfaut
darrangement. (Ma: Negligence, manque de
win ,-
DesäLivran, etc, v Alkiviar, eic.
MÄDANENTE, ado..en scelerat; par,
avec gratesse, mechamment.
Drsaumivo, A, pP. p. de Desalmär. «dj.
Sceltgal, eFYers, neohant, inhumajn , däna-
wure.
Drssinaukıto, s.m. "scölöratesse, perrer-
site , möchancets,, Inbumanil£.
Desäumän, v. a. (inus.) faire mourir, öler
lime,.
DesiLmiß-se, v. f. devenit vera, me-
chant, etc.; se perwerir; p räre lout ig respect
qu’on ni Diea, aux Ri etc.
Dessuosino, A, pP. p. de Desalojar. .
DesuLseyento,s. m. Paglion de deloger, de
repousser, delogement.
Drssuosir,v. a. deloger, rechasser : repaus-
ser Fun lien dans un auire. v. n. Changer
de demeure ; decamper. ,
DesaLIERÄDO, A 79, p. de
DesitterÄin, ©. Q. calıner, apaiser. Il est
aussi reeiproque.
Drsauino, A,9. pP. de Desamar.
Desamandn, 5. m. celui qui n’aime plus, qui
cesse d’aimer.
TDasanasgaoanenteE, ado.: sans ordre, ne-
gigemment.
Dasasızuino,A,P- 2. de
Desauasuir, o. 6. deranger ce qui «tail en
erdre, defaire,
*Basanit, ao. U. Longe.
Dasuuin , 0.0. cosser d’akner:; haty, delester,
abhesrer. Il eztaussi rösfiproqus.
Desauanınuäno, A, p. pP. de
tDssauanınmän, v.a. (f.de mar.) desequip- | p
per: desarıner un valsseau, en retirer l’öqui-
pre
Drsanan ano, k,p. 9. de Desamarrär.
DES 999
u. q..essouflier : molsre nora| Desamannin,v.a. dötscher, dömarrer. (fg.)
Dessalair, &carter, &loigner,
Desamannin,Q. 8. (— do porsp, I. de mar.)
lever l’ancre.
DRSANARRÄB-BE, 9. r. (I. de mar.) demssrer :
gulıter l’ancrage. — d’uma orinide , db dötacber
son esprit d’une apinion.
* + DESANASSÄR,, ©. @. repötrir la Ale pour
qu’ella:ne Idve pas trop vite,
DasanitEL, adj. 2 gen. qui n'est pas aima-
ble, qui ne merite point d’etre aime6,.
DesausıcÄkö, s. f, faute d’ambilign.
DESANIGADO, A, 9. p. de
$ DESAMIGAR-SE, ©. r, Cesser d’avoir uns
amitie ; laisser le ooncubinage..
u DESANISTAR-SE, etc. V. Inimisar-ee, eic.
DESAMOoDORRAR. V. Despertar.
DESAMORSTAR, etc. V. Dissuadir, eio.
DESAMOR , s. m. desamour : 08ssalion de l’s-
maur; sefraidissement , manqus d’amour, da-
mitie. *Haine, inimitie.
"+ DESAMORÄDANRUTE, adv. sans amoor,
sans affection.
DESAMORÄDO, A, sdj. qui n’aime pas. 9: P.
de .
T Desamonir, u. a. perdre, faire perdrp
Yamour.
DESAMORÄVEL, adj. 2 gen. rude, desagreabig,
dedaigneux, qui n’aime personne.
DESAMOBÄTRLMANTE, adv. aigrement; dere-
ment..
+ DESAMORÖSAMENTE ‚ado. sans ameur, sang
affection.
DESANOROSO , A, ad. froid, yann mau, gen
affectueux.
DESAMORTALNÄNO ‚Ay P. ».de
+ DESAMORTALHÄR , ©, & Aesemaevelir: dir
06 quienseveligsait.
DESAMOTINADO, A, p. 2. de
+ Desanorında, & 4 apaiset uno emeute,
uaa rövolie.
+ Desamorınin-er, v. r. s’apaiser, cessar
d’ötre en rebeijlien, renwer dans son devair.
DESAMPARASO, A, 2:9: de Dvamı a.
Delaiss@ , abandonn&,, destitue de. esert, ig
oulte, inhabita.
f DESAMPARADOR, A, 8. oelui gei dölaisse,
qui abandanne. .
DESAMPARÄR, ©. a. delaisser, abandonner.
Degemparer : quiiter, abandenzery up Jieg oü
Yon est. 1. Oler les tuleurs aux jewaen grbren, los
&chalas aux vignes. Priver d’ahri, d’appui, au
propre et we figurd.
DEsauPARO, #. m. delaissement, abandon.
Desemparement, Paction de dösemparer. Man-
que de protection ‚ de .faveur, d’appui. Deizar
tudo ao —, laisser tout a Vabandoen. Ester no
maior —, eire dams le dermige, abandenne-
men
Desnutioo, A, adj. qui a Gen de bouder.
€ kumenr,
„ se dö-
Pihmcin ‚u.& remeikko. N)
Desamvän-sB, do. 1.ne plus,
...
fach er, ‘. J
men
100 DES
Drsancinn,A,Pp.p. de
DESANCAR, ©. @, €reinter, rosser, assommer.
Desanconan. V. Desaferrär.
Dssanvino,A,P2.p.de .
Desanpir,v. a. fsire roculer. —uma bofe-
tada, appliquer un soufllet. — o andado, (flg.)
recommenoer, refaire un ouvrage.
Desanpir, ©. n®. rötrograder, rebrousser
chemin, retourner sur ses pas. ( lg.) Tourner
mal. — com ums bofelade, allonger ow appli-
quer un soufllet.
DezsancranEırO, 5. m. * tranchöe, rigole.
Dssancrino, a, adj. a qui on a lir6 trop de
sang; ( lg.) epuise d’argent. p. p. de
Desancrär, v. a. saigner jusqu’ä defaillance.
(Ag.) Affaiblir. (id.) Saigner: lirer peu & peu
l’argent de quelqu’un,, le plumer.
DESANGRÄR-SE, 9. r. perdre le sang jusqu’ä
defsillance. ( fly.) S’affaiblir, se debiliter.
PDasanmmacäd, s. f. "döcouragement, abat-
tement de cour, de l’äme.
DESANIMÄDAMENTE, adv. comme demi-mort,
sans courage.
DESANIMADO, A, 9. p. de
Desanımär, v. a. döcourager, deconforter,
rebuter, abatire,, faire perdre le courage.
Desanımir, ©. ®. el -SE, v. r. perdre cou-
rage.
Dessanınnino, A,P. pP. de
Desanınuär, v. a. Jenicher: öter du nid;
(Ag.) —, faire sortir par force de quelque
poste, de quelque endroit.
DESAnnsxAßo, A, pP. p. de
Desannsxin, v. a. demembrer, detacher.
DeEsanoJAno, A, 9. 9. de
Desanosin, v.a. faire cesser ow suspendre
le grand deuil; desenauyer, ögayer.
DssanosÄn-SE, o. r. se desennuyer ; repfen-
dre la bonne humeur.
DESAPADRINNADO, A, 9. 2. de
t DesarapaınnÄn, v. a. desapprouver, 00n-
trodire.
+ DesaparxonäpamntE, adv. avec desinte-
ressement, sans passion, sans interdt ; de sang-
froid.
Desaraızonäpo, A, adj. qui agit sans pas-
sion ; de#sintsresse. 9. p. de
Desaraıxonia, v. a. deraciner, 6teindre,
faire cesser une passion.
Dasaraıxonin-SE,v. r. noderer, ealmer ses
passions,, rentrer en soi.
DESAPARECER , eil.
DESAPARELHAR, otc. | v- Desappar..., etc.
DESAPARENTÄDO, A, adj. qui est sans pa-
rent6, sans parents.
Desarantan. V. Apartar.
* Desarassıonar, etc. V. Desapaizonar, etc.
Desareconmentän. V. Desenvenenar.
} DESAPECÄDAMENTE, adv. avec indifference,
sanıs atiachement.
DESAPEGADO, A, 9. pP. de Desapegar. adj.
(fig.) Qui n’a point d’attachement.
Desarzcamixto. V. Desapego.
Desarscin,v. 4. V, Despegar.
DES
Desapeain-se,v. r.(fg.) se dötacher, cetser
de tenir A une persenne ou A une chose.
Desartco, s. m. dötachement, renoncement;
tloignement ,indifference ‚ dösinteressement.
Desargaces£a, ©, 6, meltto, laisser au ddr
rvu.
DESAPERCHBÄR-BE, o. r. V. Desprover-te.
DESAPERCHBIDANRNTE, adv. au depourve,
sans ötre prevenu , pr&6par& ow en garde.
DESAPERCEBIDO , A, 9. P. Desapercsber. adj.
Depourru, qui n’est pas pr6venu , prepar& ou
en garde, qui manque de... Bstar — de ludo,
manquer de tout, #tre au depourvu. Tomar
—, surprendre quelgu’un.
ESAPERCEBIMENTO, 8. m. &lat de celui qui
est depourru, qui est au depourva; impre-
voyance.
Desarzarin0, A,9.9.de
Desırentir,v.a. relächer, desserrer, d&ban-
der, detendre; delacer. Il est aussi r6&ciproque.
t Desarkato, 3. m. dtat de co qui est des-
sorre, etc. (flg.) V. .
DESAPIEDÄDAMENTE,, ade. impitoyablement,
eruellement, inhumainement., .
Desarızpino, A, adj. impitoyable, oruel,
inhumalin, sans piti6. p. p. de
DESAPIEDAR , v. a. rendre inhumaln; refroi-
dir la pitie, la compassion,, endurcir le caur.
DESAPIEDAR-SE, v. r. &tre sourd & la pilie.
+ DESAPLUMAR 0W DESAPRUMAR, v. @. Öier
Faplomb, faire perdre l’aplomb. v. ». Perdre
P’aplomb, pencher, n’etre pas perpendieulaire.
T DesarL.umo ou DESAPRUMO, 8. m. Manquo
d’aplomb.
DESAPODERÄDANRUTE, ade. furiousement,
impötueusement,
Desarovenino, a, dj. d&poss6ds, destitue.
— do entendimento , priv6 de la raison , comme
celui qui estivre, fou on niais. p. p. de
DESAPODERÄR, ©. a. d&posseder : dler ä quel-
qu’un ce qu’il possdde, ou la possession de...
DESAPODERÄR-SE, ©. r. se priver de la po
sossion de..., y Fenoncer.
Desar01ip0,,A,p. pP. de
TDesarolir, ©. a. renverser la base, de-
truire les fondements ; öter ’appui, le soutien.
f DesaPoIan-sE, ©. r. perdre l’appui, le
soutien, s’en priver par sa faute.
+ Desaröto, 5. m. mangque d’appui , de sow-
tien. (Ag.) Abandon , delaissement.
DesaroJan, eto. V. Desapoiar, etc.
DESAPOLVILBÄDO, A, 9. P. de
+} DesaroLvınia,, o. a, depoudrer : Öter la
poudre des cheveux.
DESAPONTÄDO, A, 9.9. de
DESAPONTÄR, o. a. perdre ou [alre perdre le
point de mire , se dit d’une arme & (eu. Eflacer
les points marques peur. cause J’absence aux
ofices ou & l’appel,
DESAPOSSÄDO, A,9.p. de
DESAPOSSaR , ©. a. depossöder : dier & quel-
qu’un ce qu’il possdde. Il est aussi r&ciproque-
+ Dasarostüna , s. f. p. #8. gaucherie ; mas-
vaise attitude.
DES.
DESAPPARECER,, vo. n. disparaitre, s’&vanouir,
se derober, s’öclipser. Il est quelquefois re&ci-
proque.
DesapPanEciDO, A, P. pP. de Desapparecer.
DESAPPARECIMENTO, 5. m. * disparition : l’ao-
tion de disparailre.
DEsAPPARELHADO, A, 9.p. de
Desarvaneıuäir, v. a. deteler les chevaux;
debäter ; desaccoupler; deharnacher; desser-
ri une table; deparer, degarnir; depareiller.
— um nevio, (I. de mar.) degreer ou degarnir
un vaisseau.
+ DEsarPARSLHO, 5. m. (l.de mar.) degree-
ment : action d’dter le gr&ement d’un navire.
Desaprarıcäö, 5. f. disparition , se dit sur-
tout des choses ou des personnes qui dispa-
raissent subilement.
t Dessarruicacäö, s. f. inapplication : defaut
d’application , negligence.
TDESAPPLICADANENTE, adv. avec inapplica-
ion , negligemment.
f DesarrpLicioo, A, adj. inapplique, dis-
sipe, qui manque d’application, negligent.
P. p. de
+DisarpLicir, v. a. dösappliquer, dötacher
de application.
tDesarPpLicän-se, v.r. ne pas s’appliquer,
se donner & la negligence.
Desarpnovaciö, 3. f. desapprobation, im-
probalion , desaveu.
Desarrnovino, A, p. p. de Desapprovar.
Desarrnovanon,, A, 8. desapprobateur : qui
desapprouye, qui improuve.
Desappnovär , v. a, desapprouver, des-
avouer, improuver, ne pas approuver.
t DEsAPPROVvATiVO ou DESAPFPROBATIVO, A,
adj. qui conlient, qui annonce desapproba-
lion.
Desarasızn. V. er.
Dasarnscan. V. Desprerar et Desapreciar.
DesarsscıAno, A, 9. p. de
tDesareecıär,v. a. depriser: estimer au-
dessous de sa valeur ; deprecier.
Desapaespe:,v. a. desapprendre : oublier
ce qu’on avait appris. Il est aussi neutre et r&-
eiproque.
DesaPRENDIiDo, A, P. p. de Desaprender.
Dusapresän0,A,P2.p.de-
DESAPrERSan, 0. a. lächer prise, dömordre.
Desapressivo,A,P. pP. de
Desapzsssan, ©. a. delivrer, tirer de dan-
ger, d'inquisiude.
DESAPRESSÄR-SE,, v. r. se döbarrasser, se d6-
livrer, se trouver libre. |
t Desurnisto, s. m. * faule d’appret, de
preparatif.
DasaPRımonÄnO ‚A, adj. qui mangue de per-
feetion ; grossier, inciril.
Desaraorosıräno, a. V. Desproposilado.
t Desaraoeösıro,, adv. mal & propos.
rt Desarnornacäd, a. f. desappropriation :
renoncement & la propriöts , d&pouillement vo-
Iontaire,
Desarsopsıino, A, p. P. de Desapropriar.
PORT.-FR,
DES 401
f DesarnoPrıauento, s. m. V. Desappro-
priagäo. (fig.) Renoncement & soi-meme,.
DESAPROPRIÄR , v. a. V. Desapossar. — se
(de), v. r. se desapproprier : renoncer & la
propriets, s’en döpouiller.
DESAPROVAR , etc. V. Desapprovar, etc.
DESAPROVEITÄDAMENTE , adv. vainement,
inutilement, infructueusement.
DESAPROVEITÄDO, A,p. p. de Desaprorer-
far. adj. Vain, inutile, infructueux. Qui perd
son lemps , qui ne profite point ou qui ne sait
pas profller de; peu &conome, dissipe.
T DESAPROVEITAMENTO, 8. m. "inapplication,
defaut d’application,, de progres. V. Desper-
dicio.
DESAPROVEITÄR,, v. a. mal employer, perdre;
ne pas profiter de ce qui pouvait @tre utile,
avanlageux. v.n. Perdre son temps, ne faire
aucun progres,, ne point avancer.
DESAPROVEITOSO. V. Damnöso.
DESAQUCINHOADO ,A,Pp. pP. de
DESAQUINBOÄR,, %. a. priver quelqu’un d’une
portion, d’une partie qui lui appartenait. 11
681 aussi reciproque.
Desir, s. m. döfaut, faute, tache sur la r&-
putation ; malheur.
DesaräD0,A,9.p.de Desarar.
DESARANHÄDO, A, 9. p. de
DesarınHär, v. a. Oler les toiles d’araignee,
Desarän, ©. m. (f. de oeler.) se detacher,
parlant du sabot d’un cheval.
Desancino, A, adj. enorme, demesur6; mal
bäti.p. p. de
DesarciR, v. a. Öter les cercles des ton-
neaux. Lächer celui avec qui on luttait.
DesarcÄr-SE, ©. a. se disjoindre; perdre
sa facon reguliere.
DesAarEıÄDO, A, 9.p.de
: DesanE:Är,, v. a. Öter, enlever le sahble d’un
endroit.
t Desarıstäno ,A,adj. (6. de bot.) mutique:
sans aröles , sans pointe.
DasarnuApo,&A, pP. p. de Desarmar.
DESARMADOR, s. m. celui qui desarme; noix
d’arbalete. i6.V. Gatilho.
+ Desanmanüaa, s. f. * desarmement : ac-
tion de desarmer ow de se desarmer.p. us.
f Desarmamento, s. m. desarmement : ao-
tion de desarmer une personne, des gens ar-
mes, de desagreer (un vaisseau) ; liooncieıment
de troupes.
DESARMÄR, ©. a. desarmer : Öter les armes,
Parmure; degarnir (un vaisseau) de ses agres,
de son 6&quipage, de son artillerie, etc. —,
demonter, demanteler, parlant d’une fortifica-
tion; debander un fusil, une arbalete, etc
Licencier, congedier, parlant de troupes. (fg.)
Frustrer, —, apaiser, pacilier, calmer (la co-
lere, la vengeance, etc.). Demonter, defendre,
degarnir.— os remos, (l. de mar.) deborder
les avfrons ou les rames.
DESARMÄR,v.n. se debander, se dit d’un res-
sort qui part seul, d’un arc, eic. — com furia,
(fg.) rompre, attaquer, se jeter sur... — em
26
402 DES
edo, (id. se frustrer, n’svoir pas d’effet,
€cbouer. (t. mil. ou diplom.) Licencier des
troupes, ordonner le d&sarmement d’une ar-
mee. (fig.) Se fondre, parlant d’une grande
pluie, d’une tempete. (id.) Ne pas cadrer, des-
ajuster.
Dasarnuin-se, v.r. se desarmer, poser les
armes, Öler son armure; se decouvrir (& l’es-
erime). (fig.) Se frustrer.
Desaruonızar, eic. V. Desharmonızar, etc.
DesarnraıciDo, A, P. p. de Desarraigar.
DESARRAICAMENTO , 8. m. deracinement : ac-
ion de döraciner, ses eflets; &lat de ce qui est
deracine.
Desanraıchr, v.c. deraciner : arracher de
terre avec les racines; (fg.) extirper; Öter,
guörir entiörement (un mal); cerner, couper
autour (un cor, une dent, un arbre). Arra-
cher quelqu’un de sa patrie; l’expulser d’un
endroit qu’il possedait.
DeEsARRACäAR-SE, v.r. se deraciner, parlant
des plantes, des arbres; au fig. des vices, des
prejuges, etc.
DESARRANCHÄDO, A, 9. 9. de
+ DesannancHir, dv. a. defaire la chambrde
des soldats, separer quelqu’an de la chambree.
Desannansino,A,p. p. de Desarranjar.
DESARRANJADOR, A, adj. ots. qui derange,
qui met en desordre.
DesanranJamanto. V. Desarranjo.
Desanramsär, ©. a. deranger, deplacer;
troubler, brouiller, meltre en desordre ce qui
elait en ordre; incommoder.
Desanrninso, s. m. derangement : &tat de
choses derangedes ; desordre ; incommodite.
(Ag-) Fauie d’6conomie, d’ordre dans l’adıni-
nistration ; mesintelligence, discorde civile.
DESAK&RAZOAR, eic. V. Desarrezoar, etc.
DESARRECAGADO, A, 9. p. de
Desannecacin, v. a. detrousser : döfaire ce
qui etait trousse et le [aire pendre.
Desanakıino, A,p. p. de
Desaantıin, o. a. deharner : öter le har-
nais.
*Dusanagıcino, A, ady. qui ne possdde pas
de biens-fonds. V. Desarraigado.
Dasanezıcin. V. Desarraigdr.
Desanagzoinpamänte,, adv. deraisonnable-
ment : d’une maniöre deraisonnable.
DesanaEzoAnO, A, adj. deraisonnable : qui
ne s’accorde pas aveo la raison, l’&quits; qui
ınanque de raison ; injuste.
DESARARZOAMENTO, 8. m. dörsisonnement :
discours deraisonnabie ; chose contraire & la
rsison.
DESARREZOÄR, 0 %. deraisonner :: tenir des
discours deraisonnadles ; ne pas suivre de rai-
sonnements; ne pas conclure logiquement. Il
est aussi r&ciproque.
Desannımino. V. Desamparado.
Dasanaiuo. V. Desamparo.
Desanaurido, A,p.p. de
t Desanavurir, vo. a. faire cesser le depit, la
bouderie.1l est aussi reciproque.
DES
fDesanndro, 5. m. Faction de cesser de
bouder, de reprendre la bonne humeur.
DesaantciDO,A,P.p.de
DESARRUCAMENTO, 3. m.
d’öter les rides, les plis.
DesanruGÄR, v. a. dörıder : öter les rides.
Deplisser, detirer, öter les plis.
Desannumacäd, 5. f. *etat de co qui est de-
range, en desordre, en confusion.
Desannumivo,A,P.p. de
DesanrumÄrR, ©. a. deranger, mettre hors
d’ordre. (#. de mar.) Desarrimer : defaire,
changer l’arrimage d’un vaisseau.
Desarvonino, A, adj. demätE.p.p. de
Desırnvorir, v.a.(l. de mar.) desarborer:
6ter le pavillon , abattre le mät. Abatire ce qui
est leve.
Desanvorin, ©.w. (f. de mar.) se ätmäter;
perdre le mät ou les mäts, rompre ses mäts
par les roulis.
Desasin, etc. V. Desazar, etc.
Desasazonino, A, adj. hors de saison; (fig.)
mal ä propos. _
Desisino, A, 9. 9. de Desasir.
“+ DEsAsımEnto, s. m. dessaisissement : ı'3c-
tion de dessaisir. ( fg.) Denüment, privation;
detachement des biens terrestres.
Desusie, v. a, detacher, dessaisir, lächer.
DESASIR-SE, ©. r. ( ig.) se detacher.
DESASISÄDAMENTE, adv. en fou , en extrava-
gant; sottement.
DesasısÄno , A , adj. extravagant , fou;
&tourdi, sot, &cervel&; imbeeile.
DESASnäDO, A, p p. de Desasndr.
DESASNADOR, 8. m. celui qui debourre, qui
deniaise.
t Desasnameinto, 3. m. döniaisement : l’ac-
tion et l’effet de d6niaiser, de d&bourrer.
DesasnÄr, ©. @. debourrer, deniaiser, fa-
gonner.
+ Desasnia-SE, ©. r. se döbourrer, se fa-
gonner, se former, prendre les maniöres du
monde.
Desiso, 5. m. *nonchalance ; manque d’a-
dresse; mauvaise dögaine; gaucherio, mal-
adresse. V. Desaso.
DssAassannipo, A, 9.9. de
DESASSANRÄR, 0. @. calmer, apaiser la colöre
de quelqu’un.
DESASSANHÄR-SE, ©. 7. apaiser sa colöre.
+ Desassazoino, A, adj. hors de saison
( Ag.) intermpestif, mal & propos.
DESASSELLÄDO, A, 9. p. de
DesısseLLir,, o. a. Öter le sceau.
DESASSEMELHÄDO, A, P. p. de
ar.
Paction et P’effet
+
bie ; öter ce qui faisait une chose somblabie &
une autre.
DESASSEMELHAR-SE, ©. 7. pordre la resseim-
blance; devenir dissemblable.
Dasassevo. V. Desaceio.
DesassınaDdo, A,p.p. de
t Desassınan, v. 6. tor l’assigmatiem,
Desassisipv, a, p. p. do Desassisde,
DES
+ Desassisäir , 9. a. elourdir, rendre fou.
Desassısrino, A, pP. p. de
Dssassıstın. V. Desamparar.
DESASSOCECÄDAMENTE,, adv. turbulemment,
d’une maniere inquidie, avec krouble, agita-
tion de Yesprit.
DesassocscänDO, A, pP. p. de Desassocegdr.
«dj. Inquiete, inquiet, agit6, chagrin, sou-
deux.
DESASSOCECADOR , A, 3. et adj. celui qui in-
quiete,, etc.; inquietant. V. Periurbador.
DEAASSOCKGÄR, v. a. inquieter, chagriner,
rendre inguiet;. troubler. il est aussi re6ci-
proque.
Desassockco, s. m. "inquiötude, trouble,
sgitation.
DesassoL6to. V. Dissoluso.
DesassoLviDO, A, 9. p. de
DssassoLVvÄrR, ©. a. (1. dartil.) debourrer,
dicharger un eanon, en Öter la charge.
DESASSOMBRÄDAMENTE ‚adv. sans pour, sans
ersinte, bardiment, avec Assurance.
DasıssomsriDO, A, p. p. de Desassombrar.
adj. Sans ombre,, expos6 au soleil.( ig.) Ras-
sure ; hardi,, qui ne oraint rien, qui ne s’emeut
+ DESASSOuBRANENTO, 8. m. "action d’öter
Fombre; ‘ig.) de se rassurer, de se tranquilli-
ser; ses effeis. * Assurance, calme, sörenite de
l’esprit.
Desassounair, v. a. öterce qui fait ombre
os ce qui donno de Pombhrage. ( fig.) Rassurer,
tranguilliser.
DESASSOMBRAR-SE, u. r. ( lg.) 50 Fassurer, 56
tranquilliser.
t DusassouBR0, &. m. dtat de celui qui est
rassur&, trenquillise. *intr&öpidits, bardiesse.
TDEsAssUstÄpamENTE, ado, sans 6pouvante,
sans frayeur.
+ Desassostäno, A, 9.9. de
} Desassustäa, v. a. Oter l’&pouvan!e, Vof-
froi , la frayeur. li est aussi r&ciproque.
DESASTRADAMENTE, adv. malheureusement;
par an accident funeste.
Dusastaivo, A, adj. Infortuns, funeste,
malbenreuz , malencontreuz. p. p. 06
f Desastair, v. a. inforlaner; rendre mal-
Dasisras, s. w. dösastre, malheur public;
aceident [uneste, it. *Corne attacheu au bout
d’une perche pour arroser les voiles d’unc
Barque.
Desssraösautnte, adv. deösasireusemen! :
@’une manitre dösastreuse.
Desastnöso, A, adj. desastreux : funeste,
malbeureux.
Dssatacino, A,p.p. de
Desstacia, o. a. detacher, delacer, delier,
desserrer; decharger (un fusil, eic.) aveo le
tre-bourre. — 08 ealcöes, metire culotie bas.
T Desatipauente, adv. librement, sans or-
dre,, sans liaison.
Desarino ‚a, p. p. de Desaltar. ady. Delie,
detache, / 4.) Sans liaison. Defait dissous,
DES 403
delay6, detrempe. — homem, gauche, mal
bäti, mal fait, disgracieux. Estar — com al-
guem, etre brouille avec quelqu’un.
DESATaDURA, s. f. action de detacher ,. de
delier.
t DESATAMENTO,s. m. V. Desaladüra. ( fig.)
Denoüment.
DeEsaTÄR, v. a. denouer, delier, delacer, de-
tacher, dechalner. Dissoudre, delayer dans une
liqueur. V. Desfazer. (fig.) Desunir, separer.
(id.) Resoudre, donner la solulion. — lagri=-
mas, fondre en larmes. — a kingus, parler
librement. — uma düvida, uma difhiculdade,
resoudre une difficulte. — a vida do corpo,
6ter is vie, tuer. — as bandeiras, döployer les
enseignes.
DesaTir (em), v. n. commencer A; se fon-
dre; 6clater ; devenir. — em riso, em risadas,
eclater de rire. — em chöro, em pranto, fondre
en larmes, verser de chaudes larmes. — 0
venio, a mwvormn em chuveiros,:se fondre en
pluie, en averse, en parlant du vent, d'un
nuage. — em furias, em furores,, devenir fu-
rieux, se meltre en colere; jeter [eu et lamme.
— em kicenciosas, dissolutas, devenir
licencieux, dissolu.
DESATAR-SE, v.r. se dstacher, se delier, eic.
— a lingua, ( fig.) parler librement, ä tort et &
travers.
DESATASCANO, 4, 9. p. de
+ Desatascin, v. a. desembourber, depd-
trer, tirer de la bourbe. Deboucher, netloyer,
degorger un canal, ete.
DasaTa0pin0,A,P.9- de
DssaTacoir, v. a. Öter du cercuell.
DeEsATAVIÄDAMENTE,, adv. sans ornement,
sans parure ; sans ordre.
DesatavıÄno,A,p.p. de
DESATAVIÄR , 0. @. deparer, Ötor ce qui pare;
deranger Pordre.
DssaTAvio, s. m. defaut d’ornement, de pa-
rure; d’arrangement, d’ordre.
DESATEMORIZÄDO, A,P.p.de
+ DEsATENOoRIZÄR, v. a. Öter la crainte, la
peur( encourager).
DESATENCÄÖ, elc.
DESATENTAR, etc. V. Desalien..., to.
DESATINÄDAMENTE, adv. inconsiderement,
etourdiment. Outre mesure; excessivement.
Obstin&ment, opiniätrement.
DesATIınino, A, adj. etourdi, inconsidere,
“vapore, fou, insense. Extraordinaire, deıne-
sure „ excessif. p. p. de
DesaTınar, v. a. faire perdre la raison, le
sens. (g.) Etourdir, troubler, mettre quelqu’un
hors de lui, exasperer, inquieter.
Desarınan, v. n. deraisonner, s’egarer, rö--
ver, exiravaguer. Vaciller, cbanceler. — 30,
v.r. so dösesperer, perdro patience, enrager,
etre hors de soi.
DesATino, s. m. " Extravagance, folie, F&-
verie, bevue, bötise. Chancellement.
DESATOLADO A,P.p. de Desatolar.
404 DES
DESATOLIR, v. a. desembourber, depätrer:
tirer de la bourbe.
Desatoxtino, A, p. p. de
t DesıTonTiR-sK, v. r. sorfir, Tevenir d’un|
&ourdisscinent.
DESATRAEÄDO, A, p. p. de
+ Desatnackn, v. a. (l. de mar.) eloigner un
vaisseau d’un autre ou d’un rivage; düborder,
ll est aussi neutre.
Desarrancin. V. Destrancar.
DESATRAYESSADO,, A, 2.9. de
DESATRAYESSÄR, ©. cı. Öter ce qui &lait mis
en fravers,
DesaraeLipo,A,9.7. de
+ Dasarazıir, v. a. :i6tacher la laisse (d un
chien).
‚ Desattrenciö, s. f. inattention,, inapplica-
tion , distraction. Incivilite, impolitesse.
DESATTENCIOSO, A, adj. incivil, malbonnete.
DESATTENDER, v. a. ne point faire attention,
etre distrait. Negliger. Mepriser, dedaigner.
DESATTENDIDO,, A, p. p. de Desallender.
+ DESaATTEnDIvEL, adj. 2 gen. qui n'est pas
digne d’attention.
De: \TTENTÄDAMENTE , adv. inconsiderement,
elourc.iment,
Desattentino, A, p. p. de Desaltentar. adj.
Imprudert, &tourdi , inconsidere.
f Dasarr&stauente, adv. impoliment,, mal-
honnttement, Incivilement.
DESATTENTÄR, ©. a. troubler esprit, faire
perdre la raison ; negliger, perdre de vue. v. m.
Agir inconsid6rement; commelire une impru-
Jence.
DESATTENTO, 3. m. inconsideration ; megarde;
t£merite, imprudence, malhonnetete, impoli-
tesse.
DESATTENTO, A, p. p. irr. de Desatiender et
adj., incivil, malhonnete, impoli. Inattentif,
distrait, inapplique.
Dasaturir. V. Desentupir.
DEsaTURDido ,A,P.p. de
+ Desatunpin , o. 0. faire revenir d’un etour-
Jisserent.
DesaucıÄpo, A, 2. p. de
* Desaucıir, v. a. desesperer : faire perdre
l’esp&£rance. Condamner : desesperer de la vie
d’un malade, l’abandonner.
+ Desauronicäö,s. f. l’action et l’effet de
dögrader. V. Desaulorar.
DesAauUToRÄp0O, A, pP. p. de
DesauTtoRÄR, v.@. degrader, priver du grade,
des bonneurs.
Dssautorıpipe, 8. f. manque, diminution
d’autoril®, d’estime, de consideration.
+ Desauronızacäö, s. f. action de desautori-
ser, ses effets.
DESAUTORIZABO, A, f. p. de
Desauronizän, 9. a. desautoriser : Öter l’au-
torits, Yauterisstion; faire perdre l’autorite,
l’estime, la oonsideration & quelqu’un.
DesautOnızin-e8, v. r. perdre l’estime, la
eonsideration par sa faule.
Desavacıa. V. Desferrar.
DES
Desavantickm. V. Desvantägem.
Desävenca, s. f. broulierie, demelt, que-
reile, dissension, discorde.
DESAVENTÜRA, elc. V. Desventüra, ele.
DESAVERGONHADAMENTE, adv. eftrontement,
impudernment.
DESAVERCONNADISSIMO, adj. sup. de
DESAVERCONHÄDO, A, p. p. de Desaver-
gonhar. adj. Effrontc, impudent, dehonte ;
malhonnete , polisson;; bardi , insolent.
DESAYERGONHAMENTO, s. m. "impudence,
insolence , violence, efironterie. * Parole, ac-
tion impudente, sottise.
DEsSAVERGONBÄR, v.a, faire perdre la pu-
deur; rendre dehonte, elfronte.
DESAVERCONBÄR-SE,’ ©. r. n’avoir pas de
honte, perdre toute pudeur, toute retenue,
devenir polisson, hardi , insolent.
Drsaveziäno, A, p.p. de
DesavezaR, v.@. faire perdre de mauvaises
habitudes.
DESAYEZÄR-SE (de), 0. r. perdre une mau-
vaise habitude ; se deshabituer.
DESAVYIÄDO, A, 9.9. de Desaviar.
DESAYIAMENTO, 5. m. manque du necessaire
pour faire une chose. 4. V. Estorvo.
Desavıar, €. a. devoyer, egarer, delourner
de la voie, du chemin. Refuser ce qui est nc-
cessaire pour faire une chose; frustrer, ». ws.
Desaviin-se, %.r. V. Baldar-se, Molluyıar-
. pp. u.
Desavindo. V. Desavindo.
* DesavıLrano. V. Deshonrado.
Desavinpo, A, adj. brouille; discord, qui
n’est pas en bonne intelligence avec un aulre.
p. p. de
Desavın, v. a. brouiller, indisposer.
Desavıa-8E (com), v. r. 3e brouiller, se bu-
ter, s'indisposer, n’eire pas d’accord.
DESAVISÄDANENTE , adv. imprudemment -
inopinement,
Desavısino, A, 9. p. de Desavisdr. adj.
Ignorant, peu avise, mal avıse.
* DESAYISAMENTO, 8. m. V. Desalleuto, s.
Desaviısan, ©. a. deconseiller :d.uner un
avis contraire au precedent. Contrcmander,
donner un conire-ordre, deprier.
DasAvisär-SE, v.r. ne faire pas altenlion,
ne pas s’apercevoir.
Desaviso, s. m. avis contraire au precädent,
contre-ordre.
Desazipdamente, adv. gauchement, mel-
adroitement; negligemment.
Desazino, A,adj. gauche, maladroit, mal-
habile; negligent. p. p. de
Desazir, v. a. couper les alles. (Ag.) Oter
les moyens de parvenir ; assommer.
Desazia, etc. V. Desasir, ec.
Desizo, s. m. * nonchalance; manque d’s-
dresse; gaucherie, maladresse. * Inopportu-
nit6 ; depourvu,, manque de proyisıons.
Dasazonan, V. Dissaborear.
Desazoucino, A,?. pP. de Desazougdr.
-
DES
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+Desızouc£a, v. a. Öter le vif-argent d’une| + DESRARRIGAR, v. a. {fam.) Eventrer, percer
glacr . efc.
DesgaBino. A, pP. p. de
+ DesgasiR, v. a. Öter la vie (aux limacoıns),
humeur vısqueuse (A cerlaines plantes), en les
faisanı boul!lir, etc.
t Despıcoino, A, 7. p. de
Dessacoin, v. a. egrapper.
DESBAGULHAR. V. Desbagodr.
DESBALISADO, A, P. 9. de
+ Dessauısän, o. a. Öter les balises, les
bornes.
DessaLsipo, A,p.p. de
DespaLsäs, v. a. Couper les ronces, essarler.
Dessancino, A, p.p.de
DEsBascÄR , v. a. Öter les bancs. Debanquer::
faire sauter la banque. (fig.) Surpasser, l’em-
porter sur.
DessaPrızido,A,D. p. de
Dessartızin, v. a. debaptiser : renoncer au
bapteme. _
+ Dsssaprizin-sr, v. r. se debaptiser ; chan-
ger de nom. (Ag.) Se mettre en fureur, en co-
lere, s’irriter, se fächer, s’impatienter.
DESBARATÄDAMENTE, adv. confusement, sang
ordre, mal ä propos.
DassaraTÄDo,A, p. p. de Desbaratar. adı.
delait,, mis en deroule, parlant d’une armee;
depourru, demantele, parlant d’une place. £.
Dissip6, perdu, abtme, ruin€ (fortune,, sante,
beaute); debanche, libertin, dissolu (vie). «t.
V. Disparatado. ant.
DESBARATADÖR, 8. m. celui qui derango, qui
deeoncerte, qui deregle, qui detruit; dıssipa-
teur.
DESBARATAMENTO, s. m. desordre, derange-
ment, confusion. V. Desbardto.
DesBARATÄR, v. a. detruire, rompre, de-
ranger, ruiner, deregler, deconcerter. ($. mil.)
Defaire,, tailler en pieces, parlant d’une armee.
Dissiper, prodiguer tout son bien (an#.). Il ost
aussi reciproque.
DesparäteE,s. m. V. Disparate et Desbarato.
Vender a— , vendre au plus bas prix. — de
venire , devoiement, cours de ventre.
Desparito, s. m. derangement, desordre,
billebaude, renversement. (4. mil.) * Deroute,
delaite." Dissipation, prodigalite , deconfiture.
DessarBiDo, A, adj. imberbe, qui n’a pas
de barbe ; blanc-bec. p. p. de
Dasaaxsir, v.a. (fam.) raser, faire la barbe;
r. .
Dissanzino, A, p. p. de
Dessunzir, v. a. debarrer : Öter la barre ou
na barres (& une porte, etc.); deluter, Öter le
c.
Dessanagtino, A, adj. quiest sans bonnet,
nu-itle, decouvert. p. p. de
Disaunnerin, v. a. öter, enlever le bonnet.
DispanRETÄR-SE, v0. r. Ööter son bonnct; sa-
Iuer quelqu’un.
Dessanrıcino, A, adj. qui n’a pas doventre,
ou Quien apeu. p. p. de Desbarrigar.
ouvrir le ventre.
D+sBıstino, A, P. p-V. Desbastar.
DESBASTADÖR, 5. m. celui qui degrossit, etc.
V. Desbastar. ,
DESBASTADURA, 5. f.
DESBASTASENTO, S. FR V. Desbaste.
DessasTÄR, v. a. degrossir, debillarder, dimi-
nuer la grosseur; elaguer, emonder, Eclaırcir.
(fig.) Debourrer, polır, civiliser, faconner, for-
mer, decrasser.
Dessistarpir. V. Zegilimar.
DEsBÄSTE, $. n. debillardement : action. «ıı:
degrossir. Emondage des arbres.
Desbautizar. V. Desbaptizar.
DrSBEICADO, 1,9. pP. de
DESBEICAR, ©. u. 6guenler : casser le boru
d’un vase.
DespocÄnamentTe, ade. sans frein, sans re-
tenue, sans rTeserve.
DesB0cADo, A, p. p. de Desbocar. adj. (fig.\
Sans frein,, sans retenue dans les propos ; ımal
embouche, meödisant, satirique. Cavallo —,
cheval qui a pris le mors aux dents.
f Despocamanto, s. m. "impudence, mal-
honnetete, defaut de retenue.
Dessocir, v. a. — 0 cavallo, rendre un che-
val fort en bouche.
Despocia-seE ,v.r. prendrele mors aux denis,
se dit d’un cheval. (Ag.) Parler sans retenue,
sans frein, vomir des injures.
DESBOLÄDO,, A, adj. ecorvele, fou
* Des50oxcoLino. V. Desbeigado.
Desporoir, etc. V. Esboroar, etc.
Dess0oRRÄ00, A, 9.9. de
DeEsBorRRÄR, v. a. öter la lie.
Dessotino, A, p. pP. de Desbotdr.
DesBoTanüra, 8. f. ternissure : aclion de ce
qui se ternit, son effet.
DESBoTAR, v. a. decolorer, ternir : öter la
couleur; (ig.) ternir, öter le lustre, l’&clat. —
os denies. V. Embotar.
DESBOTAR, 9. n. ei— 80, v.r. deleindre,
perdre sa couleur; se ternir, perdre son 6clat,
son lustre. (ig.) Se delustrer, degenerer.
DESBRACADO ,adj.m.aqui ona Öle l’alganon
(forgat); (Ag.) dissolu, sans frein, efltonte.
p. p. de
+ " Dessaacäa, v. a. öter l’alganon aux [or-
cas.
Despravän. V. Domar, Amansar.
Desprınchr. V, Desenfeilar.
Desgaochan. V. Desabrochar.
Dessucuär. V. Desembuchar.
*Dessuncınäno. V. Quebdrado.
DESCABEGADO, A, 9. Pp. de Descabegar. adj.
Decapits; &tötö. (g.) Chose commenc£e, en-
tamee; qui commence & descendre, parlant de
la maree. .
+ DESCABEGAMENTO ‚as. m. * decapilalion : ac-
tion de decapiter.
DescasgcÄrR, v. a. decapiter : Couper, tran-
cher la t&te. Eteter, couper la t&te d’un arbre,
dW’un clou. V. Espescogar. (fig.) Commencer,
406 DES
enlamer. —o somno, (fg.) dormir un moment.
DascasecaR, 0. ». (l. de mar.) commencer &
descendre,, parlant de la ınarde.
Descasecir-sE, ©. r. (f. d’agr.) w’tgrener,
parlant des &pis.
DescAs£LLÄDO, A, P. p. de
DescassLLän, v. a. decheveler, deranger,
meler les chereux.
DescaserLär-se. V. Desgrenhar-se.
Dsscacnino, A, p. p. de
+ Descacuan, v. a. (4. du Brösil) purifier le
jus de la canne & sucre pre:surde,, en lui ötant
l’6cume grosse et sale appelce cachaga.
DescanzıaiDo, A, p. P.de
Descapeirän, v. a. ereinter: fouler, rompre,
disloquer les reins, les hanches. V. Derrengar.
Descanin, etc. V. Descair, etc.
Descalda, s. f. chute, ruine. (fig.) Repartie
piquante; bon mot. ” Abatis de volaille. Comer
—,(fam.)ilse dit d’un favori qui a perdu les
bonnes gräces de son prince : @tre disgracie.
Descalno, a, p. p. de Descair.
Descaiuento,s. m. " debilit6, langueur, las-
situde, fatigue, faiblesse, manque de force.
Decouragement , abattement. Declin, deca-
dence, disposition & la ruino,, A la chute. ° De-
generation.
Descain ‚vo. w. ($. de mar.) deriver ; s’apaiser,
parlant du vent. (fg.) Dechoir: diminuer peu
a peu, aller de mal en pis. S’&carter de son
sujet. V. Decair.
DescaLca00, A, 9. p. de Descalgar.
DescaLCADOR ‚s. m. tire-botle, valeı A debot-
ter : instrument do bois dans lequel on engage
le pied pour Öter la botle.
DescaLcapöra, #.f. excalcialion : l’aclion de
dechausser.
DESCALGAR,, ©. a. dechausser : öter la chaus-
sure. Decaler ; öter la rale d’une table, d’une
voilure, etc. —as bolas, debolter, lirer les
bottes. — as luvas, deganter ; se deganter, #’6-
ter les gants. Il est aussi reciproque.
T Descauckz, s. f. nudite des pieds. (Ag.)
*Ordre de religieux dechausses.
DescäLco, A, adj. dechausse : pied nu, nu-
pieds. Decbaux. (fg.) Depourvu, au depourvu.
— de pe o perna , sans bas ei sans soulıers, les
pieds ot les jambes nus. Ndo esier —, (fig.)
ne manquer de rien ; @tre prevenu.
DescaLväpo, A,Pp. p. de
+DescaLvän, vo. a. decouvrir, faire paraltre
les sommets des monlagnes.
+ DescaLrcina, adj. f. Flor —, (1. de hot.)
qui n’a point de calicc (Neur), acalix, ape-
rianthacee.
Descausaciö OU DESCAMBADELLA, 8. f. (t.
durl.) drölerie, repartie piquante, mot plai-
sant, qui porte ä rire.
Descausino , A, adj. tombe, glisse d’en
haut; facetioux, plaisarıt, enjoud, goguenard.
p. p. de
Descamein, v.a. V. Escambar.o. n. Tom-
ber, glisser d’en haut; plaisanter, s’amuser aux
depens des aufres. lest aussi reciprorue.
DES
Desciwsıo. V. Kıcdibo, Tröca , Permuiscdo.
Descaminaino, A,adj. oü iln’ya point de
route, de chemin , inaccessible , impenetrable.
p.p. de Descaminhar. V Desencaminhado.
Descauınnanön,s. m. celui qui egare, etc.
V. Desencaminhador.
Descauınsan. V. Desencaminkar.
DESCANINBO, 8. m. egarement : &cart de son
chemin ; meuvais emploi des revenus publics ;
fraude - soustraction. (fg.)* Inconduilte, dere-
glement ; &garement, erreur.
+ Descamısiva , 8. f. — do milho, (8. d’agr.)
l’action d’öter la membrane du mals.
f Descauısano, A, adj. sans chemise. (Ag.)
Malbeureux , indigent, qui manque de tout;
sans culotte,
t Descamısir, v. a. Öter la chemise ; Öter la
meınbrane interieure du mais.
DESCAMPADO, 3. m. desert, lieu solitaire;
pays plat, uni, decouvert. Em —, en plein
air, en rase cCampagne.
Descangiad. V. Escansdo.
Descancan, etc. V. Descansar, etc.
DEScAnGÄDO, A, pP. p. de
Descancir ,v. a. — os bois, (f. d’agr.) Öter
le joug aux baufs, les deteler.
DESCANSÄDAMENTE, ado. tranquillement, &
l’aise, sans faligue, sans peine.
} Descansao&ıro ‚s. m. lieu qui invite, pro-
pre A s’y reposer.
Descansäpo, A, adj. tranquille, paisible,
calme, repos6&, lent, tardif, Jourd, pose. Fida
—|6, vie oisive. Terra —a, terre en Jachere.
Estar mais —, etre moins faligue. Esieja,
Aque—,soyez tranquille; ne vous inquiciez
pas. Ficar o brago —, fig.) faire avec plaisir
et sans difficulte.
Descansir (de), v. ®. reposer, se reposer,
se delasser, prendre du repos, respirer. Cesser,
faire une pause. Dormir, reposer. Forcer, ap-
puyer, porter, reposer, poser sur, dire soulenu;
sereposer sur. Reposer, @tre place, @tre enterre.
(Ag.) Se tranquilliser, se rassurer. — em ou so-
bre alguem, (fig.) compter, faire fond sur quel-
qu’un. Pör-se a—, se reposer. Sem —, d’arta-
che-pied , sans discontinuer. — em paz, repo-
ser en paix, jouir du repos &ternel. Descansa-
rem as lerras, se reposer, parlant d’une terre
en jachere. — sobre as armas, (1. mil.) se re-
pOser sur ses armes.
Descansin, o. a. donner du reläche, du re-
pos; aider, soulager. — armas/ (8. mil.) repo-
Sez vos armes!
DESCANSAn-SE (de), ©. r. se reposer, prendr®
du repos.
DescansO , s. m. repos , delassement, ralraf-
chissement, reläche. * Aise, oommoditt,, &tat
commode. —, paix,, parlant des morts. ' Chose
sur laquolio s’assied une autre : imposie. Se-
jour, halte : repos qu’on accorde aux soldats
en route. Arr&ı d’armes & feu. (fg.) Tranquil-
lits d’esprit. (id.) Personne sur qui on compte,
on fait fond. Dar — , delasser. Tomar algum
— ‚56 delasser, prendre du repos. Em oucom
DES
=, ise. ade, tranquillement; posement. —do
sure „(6 de mar.) caurbe ou oonsole du bos-
BDlF.
Dsscantipo,A,p.p. de
Dascantir, ©. w. denner une serenade;
ehanter au 3on d’instrumenis de musique.
Descinte, s. m." sörönade, aubade. Sorte
de petite guitare. —s, pl. (Ag.) mauvaises rai-
sons.
DESCARÄDANMENTE, adv. eflrontöment, impu-
demment , bardiment,
Dsscanioo, A, p. 9. de Descarar. adj. Ef-
fronte , impudent ; hardi , dehonte.
DESCARANENTO , 5. m. * elfronterie, impu-
dence , insolence , hardiesse hlämabie.
Descarapici0Q, A, adj. qui a latöte nue,
nu-tiete , sans bonnet. p.p. de
DEscAnAPUGÄR-SE, dv. Tr. Öter son bonnet, se
deeourrir la löle. .
+ Dsscanär, v. a. rendre ellronie, impu-
dent, fsire perdre la pudeur, la retenue.
f Descanär-se, v. r. parler eilronlement,
impudemment & quelqu’un; se debonter, deve-
nir polisson.
DescanneEar. V. Rsquerdear.
Descinca, s. f. decharge, dechargement ::
action de decharger. —, action de decharger
une arme & feu. Eraoualion alvine. (fig.) ° Ac-
quit; delense,, apologie. Dar uma — inleira,
(t. de mar.) donner la borde£e.
Descancan , etc. V. Descarregar, etc.
Descanceo, 3. m. * decharge , dechargement::
asien de decharger. —, ecrit de decharge.
Acquit. Soulagement Je la conscience. ( #. de
pri.) —, justilication. Em — de minha cons-
eiencia „ pour l’acquit de ma conscience.
+ Descarımäos, 8. f. faute de charite.
Descanıp6s0 , A, adj. qui n’est pas charita-
bie.
Descannino, A, 9. p. de Descarnar. adj.
Sec , decharne. (f7.) Detache, qui n’a pas d’at-
tachement,
+ Descannadör, s. m. (t. de chir.) döchaus-
soir: instrument de dentiste pour dechausser
ies dents.
+Descannanüna, a. f. " dechaussemen! : ac-
tion de dechausser (un arbre, une dent, etc.).
Descannin, v. a. decharner : Öter la chair
des os; öter l’embonpoint ; amaigrir. Dechaus-
ser : dögarnir le pied , la base, les fondations,,
Yenveloppe du pied, d’une dent, eto. (fig.)
Rioigner, detscher des chases terrestres.
DuscanmÄr-Sg, ©. r. maigrir, perdre l’em-
bonpoint.
Desckno. V. Descaramento.
Descarocino, A , p. p. de Descarogar.
+ Descanocapör, 3. m. celui qui öte les
graines du coton pour en separer le duvet; qui
öte les noyaux des fruits.
+ DescAaroGAR , v. a. Öter les graines (du co-
ton) ‚les noyaux (des fruits).
* Descänneca. V. Descarga.
DESCARRECADO, A, 9. p. de Descarregar. adj.
DES 407
Vide, döcharge. (8. de prat.) Acquitts. (fg.)
Gai, enjous, joyeux.
DESCARREGADOR , 3. m. dechargeur, oflicier
de port, celui qui d6charge les marchandises.
Debardeur : celui qui döcharge les bateaux.
T DescARRECADÖURO, 3. m. * tape : lieu od
Yon decharge des marchandises.
DESCARREGAMENTO, s. m. V. Descarga, Des-
cargo. — do rösto, (anti.) air gracieux, affable.
DESCARREGÄR, v. a. döcharger : öter, dimi-
nuer la charge, le fardeau. —,,tenir quitie. —,
delivrer d’une accusation. —, tirer, donner un
ceup. Assöner, porter un coup violent. (fig.)
Decocher, lancer des traits de satire, de haine,
etc. — 0 venire,, soulager lo ventre. — a cons-
cioncia,, döcharger sa conseience : se confes-
ser ; faire son devoir. — amdo sobre alguem,
appesantir se main sur quelqu’un , chätier, pu-
nir quelqu’un. — 08 sous negocios oU-
(rem, charger un autre de ses aflaires. — @
euipa sobre alguem, inculper quelqu’un, lul
donner les toris. — uma arvore de ramos mui
bastos, &laguer, ömonder un arbre. —« carne
d’ossos, Öter les os de la viande.
Descannecäir,, v. m. se döcharger, sc jelerı
tomber sur. — em alguem, ( ig. fam.) se repo-
ser sur un autre de ce qu’on a älaire.
DescanrEGär-SE (de), se decharger ; mettre
bas un fardeau. (fi. de prat.)—, se purger
d’une accusation, se justifler. S’acquilter d’uug
dette. Se debarrasser de. Se demettre d’un
emploi. Se decharger sur un autre d’une occu-
pation, d’une fonction, elc. — 0 cdo, a nuvem,
pleuvoir & verse.
* Descanrkco. V. Descargo.
DESCARREIRÄR , eic, V. Extraviar, Desenca-
ninhar.
Descannıia, etc. V. Desgarrar, Descami-
DescartÄDo,A,p.p. de
DEScArTÄR ,o. a. ecarter & certains jeux de
cartes. (flg.) Eloigner, 6carter, rejeier.
Descantän-sE (de), v. r. &carter : rejeter
une ou plusieurs cartes pour en prendre de
nourelles. (Ag.) Se defaire de quelque chose ou
personne ‚s’en döbarrasser.
DESCÄRTE, 3. m. &cart: action d’ecarter au
jeu ; cartes 6oartses. (flg.) * Action de rejeter,
d’scarter, de s&parer de soi. Rebut: chose qui
n’est plus bonne & rien.
Descäisa-casipos, adj. ets. 2 gen. brouille-
menage, qui brouille le mari et la feınme.
Descasäno, A, P. p. de Descasar.
DESCASANENTO, s. m. l’aclion de demarier.
V, Divorcio, Repudio.
Descasär ,v.a. Jeinarier : declarer un ma-
riage nul. Rloigner quelqu’un de sa femine.
(fig.) Desassembler, desapparier, depareiller;
troubler l’ordre de certaines choses. Desunir,
diviser deux personnes, les indisposer l’une
contre laulre.
DEScASCÄDO,, A, P. p. de Descascär.
+ Descascandor , s. m. celui qui &corce;
moulin & ccorcer (le cafe, cic.). .
408 DES
Descascapdüna,, s. f. Pendreit d’un arbre
sans &corce.
DESCASCAMENTO , 5. m. dcorcement : decorti-
eation, aniövement de !’6corce; action d’&cor-
cer.
Descascir , u. a. &coroer : Öter l’6corce; pe-
ler, ecosser, &caler.
Descaschn,, v. n. s’deorcer. (4. de vsier.)
Tomber le sabot & un cheval.
DescaspäAD0,A,P. p. de
+ Descaspin, v. a. dter la crasse de la tete.
+ Descisous,, s. m." action d’ecaler les ar-
bres , particuliörement le liöge.
DESCATIVÄDO, A, 9. p. de
Descatıyan ,v. a. delivrer, metire en liber-
w, tirer d’esclavage. Il est aussi r&ciproque.
+ DescaupäTo, A, adj. ( f. de bot.) saps
queue; dcourte , dcoue.
+ DescavLino, a, adj. (8. de bot.) acaule:
intiige, sans tige, & feuilles contre la terre
(plante).
DsscavaLcino, A,p.p. de
DescavaLcia, ©. a. (—a artilkeria), de-
monter (Vartillerie). vo. #. Descendre de che-
val. V. Apear-se.
Descavär. V. Excavar, Cavar.
Descäveinino. V. Excaveirddo.
DESCEnDEnCIaA, 5. f. descendance, exirac-
tion , estoc , ligne d’extraction.
DescenDenTeE, adj. 2 gen. descendant : qui
tire son origine, est issu d’une personne, d’uno
race. (l d’anal.) Qui descend ( aorte, muscle,
eic.). Nö —, (t. d’astr.) n@ud descendant:
point oü une planeie coupe P’ecliptique. Si-
gnaes —s,(1d.) signes descendants : par les-
queis le soleil paralt descendre. Links —, li-
gne descendante : posterite de quelqu’un.
DESCENDENTES, 8. m. pl. descendanis : posie-
rite de quelqu’un.
Descenpen (de), v. ». descendre: &tre issu
de. Proceder, deriver.
* DESCENDER, v. a. et ®. descendre. V.
Descer.
DESCENDIDO, A, 9.p. de Descender. adj. Issu,
qui tire son origine, qui descend de.
DESCENDIMENTO,, 8. m. * descente : action de
descendre, de mettre plus bas. Se dit ordinai-
rement de la descente de la croix.
Descansiö, s. f. (tb. d’astr.) descension
(Jroite, oblique) d’une &toile.
DESCENSIONÄL, adj. 2 gen. (Differensa —,
I.d’asir.) descensionnelle: (difference) entre la
descension droite et obligue d’une &toile.
Desckuso, s. m. "descente : action de descen-
dre. *Chute d’un rang e&ieve. ( . de chim.)
Descensum : distillation faite en plagant le feu
au-dessus des aromates & distiller.
Descentg, adj. f. — damard. V. Vasante.
DescerLina. V. Disciplina.
Descör (de), v. ®. descendre : ge mouvoir,
aller, s’etendre de haut en bas. (Ag.) S’abattre,
s’abaisser; dechoir de son credit, etc. Dimi-
nuer, baisser, en parlant du prix, de la valeur
d’une chose. —, avaler, en parlant des bateaux
DES \
sur une riviere. (4. de mus.) Abaisser le ton,
(Ag.) Proceder, deriver. V. Descender. Venir
peu & peu au sujet dont on veut parler. —a
miudezas, entrer dans des details, venirä& par-
ler de ehoses minutieuses.
Descer, v. a. descendre : mettre plus bas;
transporier on bas. V. Apear. (fig.) Priver
d’une charge, d’un emploi, d’une dignite.
Abatıre, renverser, faire tomber. Obliger quel-
qu’un N cöder, ä s’bumilier. — rio abaizo as
som d’agua, (t.de mar.) descendre la riviere
en derivant.
Descka-s£, v. r. desoendre; venir d’en
haut. — d’uma preiengdö ‚etc. sedösister d’une
prötention, eic., y renoncer. — da soberbs,
s’humilier.
DasczeciD0, A,Pp. ,. de Descereär.
f DesceacADOR, 5. m. celui qui force l’en-
nemi & lever un siege.
Dascencir,v. a. faire lever un siöge.
Desc£aco , s. m. "levse d’un sidge.
DESCERRÄDO, A, P. p. de
+} Descerrir, v. a. decacheter ; ouvrir; ma-
nifester.
* Descuaun0. V. Descambio.
DESCHANCELLADO, A, 9. p. de
DESCHANCELLÄR, ©. a. decacheter, desoeller.
Descipa, s. f. descente: l’aclion de descen-
dre, pente. ( ig.) * Declin, d6cadence.
Descido, A, 9. p. de Descer.
DesciMBRä00, A, 9. 9. de Descimdrär.
+ DESCIUBRANENTO, s.m. (6. darch.) decin-
trement:: Yaction de deeintrer.
+ Dsscıusrär, v. a. (1. d’arch.) decintrer:
öter le cintre d’une arche , d’une voäte.
* DESCIHENTÄDO, A, P. p. de
“+ DESCINENTAR, ©. G. ruiner, abalire de
fond en comble.
Descıutnto, s.m. V. Doscendimenio, Des-
cida. " Incursion.
Descıncivo, A, p. p. de
Desscıncıa, v. e. deceindre : Öter la ceinture.
— a espada, quitier l’epee.
DescırLina, etc. V. Discipline,, etc.
DescoAcULiÄDO, A, P. p. de
t DescoacuLirn, v. a. faire fondre ce qui
&tait cailld , coagule.
DesSCOoALHÄDO,A,P. p. de
DescosLHirR, v. a, faire fondre ce qui etait
caille ; liquefier, degeler. ]l est aussi neutre ot
reciproque.
Descos&ara, 3. f. decouverte; invention,
Manifestation, revelation d’une chose qu’on
ignorait.
DESCOBERTAMENTE, adv. A decouvert, A nu,
decouvertement, sans voile , ouvertement.
Descos£aT0, A, 9. ?. irr. de Descobrir. ad).
Decouvert. Andar, estar —, avoir la läle nue.
A — , ouvertement, A decouvert. Em lodoo—,
dans tout le monıle connu. Eslar, rare —,
ötre expose aux injures du temps. y peito —, &
decouvert, sans armıes defensives; & cur ou-
vert. Homem — , homme france, rond; inatten-
DES
if. 4’ cdre —s, ouvertement, sans dölours,
sans dissimulation.
TDsscosertöra, s. f. action de decouvrir,
de devoiler.
Descosnıpör, s. m. celui qui decouvre, qui
faü une decouverte, decouvreur, inventeur.
Celui qui decouvre une chose cach&e. On le dit
par excellence de celui qui a decouvert quel-
que pays inconnu. — de campo, (t. mil.) de-
courreur, qui va & la decouverts; coureur,
balteur d’estrade.
DESCOBRIMENTO, 8. m. *decouverte: action
de decouvrir, d’inventer. Dec&lement, devoile-
ment, —, action de decouvrir un pays; le pays
decouvert. — du peilo, (fig.) ellusion, &pan-
chement de cur.
Descosair , v. a. decouyrir : Öter ce qui cou-
wait; Öter le toit, le couvercle, le dessus;
laisser voir, laisser trop voir; manifester, faire
connaitre, röveler, devoiler. —, trouver une
those cachee ou inconnue. —, comınencer a 0%
dapercevoir. —, degarnir. — campo, ( ig.)
decoayrir le terrain;; ( 6. mil.) aller ä la decou-
verie. — 0 corpo, decouvrir le corps, se de-
oouvrir, donner trop de prise ä son adversaire.
(Ag., S’exposer aux suites fächeuses d’une
affaire en la [avorisant.— o Sanlissimo, eXpo-
ser le Saint-Sacrement. — o fio, wmontrer la
corde,, en parlanı d’un drap. (fig. fam.) Mon-
trer le boat de l’oreille; montrer des inclina-
ons vicieuses. — sew peilo, OUVFIr Bon CoBur,
monlrer son caur ä nu.
Descosaia, v. n. se monlrer, se faire voir,
paraltre.
DESCOBRIR-SE, v. Tr. se decouvrir : Öler sa
couveriure , son chapeau; ( fig.) se manifester,
se faire voir, &ire decouvert. — (com', se faire
connaitre ; se declarer a quelqu’un tel que l’on
est, lui faire part de ses projeis caches,, de ses
senliments; devoiler son caraclere; se mon-
Irer, &tre trop frauc, trop ouvert.
DEsCOcÄDAMENTE, adv. (. burl.) effronte-
ment, insolemment, en devergonde.
Descocino, A, adj. et s. devergondo, sans
konte, sans pudeur, effronte , insolent, impu-
dent. p. p. de
Drscocia-SE, v. r. faire l’insolent, parler
avec insolence, perdre le respect. (a) Avoir
Faadace de.
Drscöco, s. m. * effronterie, ımpudence, in-
solence ; audace.
Descopzipo, A, 9. p. de
Descopeir , v. a. &croüter, chapcier.
Dascoweninamente,, adv. immoderement,
au-deiä des bornes ; sans reienue.
VEXOMEDIDO, A, P. p. de Descomedir-se. Im-
modere; emports; qui n’a point de retenue;
effrene , deregle.
Descomenımanto, 3. m. "incivilitö, impoli-
tesse ; d6laut de retenue.
Descouzpır-Se , v. r. s’oublier, manquer de
respect, d’egards, de politesse; n’avoir point
de reienue; faire des excös;; s’cmporler,
‘
DES 409
Descowta, v.». (fam.) &vacuer, döcharger
le ventre.
DEscouuMercıo, 6. m. faute de commerce.
DEscoMMODIDÄDE, 3. f. incommodite, preju-
dice, desavantage,.
DEscöuMoDo, s. m. V. Descommodidade. ad.
Incommode. "
DescommunäL,adj.2 gen. demesure,&norme,
excessil, hors de mesure, effroyable, prodi-
gieux.
* DescommumaLtza. V. Desordenangca.
t DescommunaLMENTE, adv. demesurement,
excessivement, oulre mesure, avec exces.
DESCOMPADRÄDO, A, P. pP. de
DESCOMPADRÄR, v. a. brouiller, indisposer.
DESCOMPADRÄR-SE, v. r. 56 brouiller, ronı-
pre : cesser d’ötre amis.
DESCOMPASSÄDAMENTE, adv. oulre nıesure
excessivement.
DESCOMPASSÄDO, A, adj. disproporlionne;
outre, dehesur6; excessif. p. p. de
Desco=mrassär, v. a. faire une chose sans
mesure, sans les proporlions voulues ; donner
une forme, une grandeur demesuree , exces-
SIve.
DESCOMPASSÄR, v. Rn. el -SE, v. r. exceder,
outrepasser les bornes de la raison.
* DESCOMPENSAGAÖ. V. Compensagädo.
* DESCOMPENSAR. V. Compensar et Dispen-
sar.
DescoMPöR, v. a. deranger, deregler, trou-
bler, demantibuler, desajuster, deplacer, met-
ıre en desordra. Brouiller : causer du trouble,
des brouilleries. ( Ag.) Insulter, injurier, dire
des sottises & quelqu’un.
DESCoOMPöR-SE, v. r. s’allerer, se deranger;
se troubler; se decouvrir trop, faire voir des
nudites; (g.) s’emporter. V. Descomedir-se.
Se dire des sotlises mutvellement.
DescosPosıGÄd, 3. f. *derangement, deregle-
ment, desordre, trouble, confusion. V. Des-
composlura et Decomposigäo.
DESCOMPÖSTAMENTE , adv. en desordre; inso-
lemment; indecemmen!.
DEscoMPösTO, A, p. p. de Descompor. adj.
Confus, en desordre ; indecent.
Descompostüra, s. f. negligence, dösordre ;
indecence , immodeslie; insulte, injures, pro-
pos insultanis.
+ DescouPprAzENTE, adj. 2 gen. qui ne com-
plalt pas, qui n’est pas complaisant. p. a. de
DESCOMPRAZER, v. N. ne pas complaire.
DESCOMPRAZIDO, A, 9. P. de Descomprazer.
DesconceRTÄDAMENTE , adv. desordonnd-
ment, confusement, en desordre, irreguliöre-
ment.
DESCOXCERTADISSIMO,, A, adj. sup. de
Desconcentäno, A, p. p. de Desconcerlar.
adj. Derange ; der6gle; mal arrange; negligent,
qui ımanqyue d’ordre dans ses aflaires.
+ DESCONcERTADOR, s. m. celui qui derange,
qui trouble, qui met en desordre.
DEsconcERTÄR, ©. a. deranger, troubler,
410 DES
metire en dösordre, brouiller. — um pe, etc.,
se demetire un pied , elc.
DESCONCZRTÄR, ©. #. ne point convenir, ne
pas caılrer, n’&tre pas conforme.
DrESCONcERTÄR-SE, o. r. se disloquer, se d6-
melire,en parlant d’un membre. Sortir de la
reple. Se deranger, se desordonner. — com
alyuem, rompre un accord. — na vida, mener
anc vie deregl&e. — no prego, ne pas S’accor-
der sur le prix d’une chose.
Desconctato, a. m. desordre, deröglement,
derangement, confusion. * Negligence : malı-
que de soin, de conduite dans ses affaires.
* Mösintelligence; der&glement de maurs.
DESConcorRpÄDO, A, 9. p. de Desconcordar.
Desconcorpäncıa, 8. f. disconvenance, COD-
trariele, diversit6, discordance, Opposition
d’avis; me&sintelligenoe; dissemblance. — das
cozes, dissonnance.
DesconconpÄnTE, adj. 2 gen. discordant,
contraire, oppos#; dissemblable; contrariant.
Desconcorpär, v. a. faire une faule de con-
cordanco grammaticale. Brouiller les per-
sonnes qui s’accordaient bien.
DesconconpÄR, v. ». disconvenir ; dötonner,
ne pas s’accorder, parlant des voix ow d’in-
struments de musique ; differer, discorder, Etre
discordant; ne pas cadrer.
Desconcörne. V. Desconcordante , Discorde.
DESCONFIÄDAMENTE , adv. avec defiance, avec
meflance: timidement.
DESscoNFIADISSIMO, A , adj. sup. de
DESCOXFIÄDO,, A, pP. P. de Desconflar. adj.
Meflant, oınbrageux, soupgonneux, defiant,
enclin & soupgonner. — dos medicos, aban-
donn& des medecins.
Desconriänca,, &. f. deflance, meflance,
crainte, soupgon. Jalousie.
Desconxrian, v. a. Öler la conflance, d&cou-
rager, inspirer des crainles.
Desconriän (de), v. n. so mefler, se defier,
craindre, soupconner. — com alguem, se [A-
cher avec quelqu’un; bouder & cause de quel-
que plaisanterie.
DESCONFORMÄDO, A, P. p. de
Descossoruir, v. a. faire perdre la confor-
mite, la r&signation.
DESCoNFoRMäR, vd. ». discorder, dtre discor-
dant, n’&tre point d’accord ; disconrvenir, n’ötre
pas conforme.
DESCoNFÖRME, adj. 2 gen. discordant : qui
n'est point d’accord, qu’on ne peut accorder,
oppos6, contraire; different, inegal.
+ DescoxnrörMEMEnTE , adj. avec discor-
dance, avec disproportion,, inegalement.
DescoxronminpÄne, 8. f. discordanee : Oppo-
sition, contrariet& ; disconvenanee. Diff&renoe,
disproportion, inegalite. R
Desconronran, otc. V. Desanimar, Deseon-
solar
D£scoRFörTo,, s. m. d6couragement, abatie-
ment, desolation.
+ DasconczLackö, 8. f.— d’um rio, (1. de
mar.) debäcle d’une riviere.
DES
DESCONGELIDO,, A,p. p. de
t DesconczLin,v.a. degeler,fondre laglace,
ou ce qui est glack. Il est aussi r&ciprogne.
} DESCONBECEDOR,, A, 3. m&connaissant; qui
n’est pas reconnalssant.
Dssconugcee, v.a. meconnaltre , desavouer,
nier, ignorer. Faire semblant d’ignorer une
chose. — o beneficio, ne point reconnaltre un
bienfait.
DESCONHECER-SE , ©. ?. ne pas Se reconnaltre
sol-memo; s’oublier. — com alguem, faire
semblant de ne pas connaltre les personnes de
connaissance; les recevoir comme des incon-
nus. — com Lodos, faire semblant de ne con-
naltre personne.
+ Desconnecinamente, ado. & Pinsu de,
sans connalssance. Ingratement : avec ingra-
ttude.
DesconuxcinO, A, p. p. de Desconkecer. adj.
et s. Inconnu : qui n’est pas connu. fa) Ingrat,
meconnaissant, peu connaissant. Dissimule :
qui se deguise. Obscur, peu connu.—de lodos,
inconnu & tous.
DESCONBECIMENTO, 5. m. "ingratitude;; me-
connaissance , ignorance.
Dssconsunciö ou
Desconsuntacäd. | V. Desiocapäe.
Desconsuntindo, A, 9. p. de Desconjuniar.
DESCONJUNTAMENTO, 3. m. " dislocation ; des
union , separation.
Desconsuntän, o. a. disloquer, debotter un
08; desunir, dejoindre.
DESCONSUNTÄR-SE, v. r. se disloquer; se des-
unir, se d6joindre. —com riso, (fam.) rire &
gorge deploy&e, &touffer de rire.
Desconsuntüra, 8. f. V. Desconjuntamentio.
Desconsacrän, etc. V. Profanar.
DESCONsENTidO, A, p. p. de Desconsenlir.
+ DESCONSENTIMENTO, 3. m. relas, deni; dis
sentiment.
DESCONSENTIR , ©. @. ne point consentir; dis-
convenir.
+ Desconsinerino,, A, adj. Inconsidere,
etourdi. p. p. de
+ Desconsinenin, v.6. ne pas considerer
(un &tre) ; detourner l’attention d’un sujet.
DesconsoLagäö, 3. f. aliclion, desolation,
tristesse ; malaise. (fg.) Personne, chose insi-
pide.
DesconsoLÄDANMENTE, ade. trisiement, aves
peine, sans consolation.
DESCONSOLADISSIMO , A, adj. sup. de
DesconsoLano, A,p. p. de Desconsolar. adj.
Affiige, desole, triste. Fächeunx, aflligeamt. In-
sipide.
DasconsoLaper, A, adj. ets. afliigeant, de-
solant.
DssconsoLin, v.@. allliger, desoler, faire
perdre courage, attrister.
DesconsoLin-sE ‚v. r. s’sflliger, se desoler.
DESCONsoLATivo, a, adj. fächeux, allligeant.
DesconsöLo, s. m. "afllicion, desolation,
tristesse. " Faiblesse , d6rangement d’estomac.
(1. myst.)* Aridite,
DES
DescontTino, A,p.p. de Deseontar.
Dsscontacıino,p.p. de
f Descontacıin, vo. a. desinfecter : öter 1a
eonisgion , V’infection.
* Descontauento. V. Desconto, Desfalque.
Descontir (de), v. a. decompter, rabattre
sur une somme, deduire; retenir, escompter.
(fg.! Rabattre du merite, diminuer le plaisir.
DESCONTENTADICO, A, adj. difficultueux,
difficile, malaise & contenter, facile & mecon-
tenter, & qui rien ne platt.
DEMONTENTÄDO, A, p. p. de Desconlenlar.
DESCONTENTAMENTO , 3. m. mecontenlement,
deplaisir; murmure ,chagrin, ennui.
Descontentir, v. a. mecontenter, deplaire;
fächer, rendre mecontent.
Descontentin-se, © r. $tre mecontent;
s’ennuyer, se degoüter.
f DESCONTENTATIVO, A, adj. propre &4 me-
contenter.
Dzscont@ntre, adj. 2 gen. ın&content, mal
content. Os —s, s. pi. les mecontents : ceux
qui frondent le gouvernement, qui sen plai-
gnent; factieux , seditieux.
DESCONTENTISSIMO,, A, adj. sup. de Descon-
lente.
* Desconteanto. V. Descontentamento.
Desscontinäncıa. V. Inconlinencia.
Dascontinuagiö, s. f. discontinuation,, in-
terruption ; cessation pour un lemps (d’une ac-
tion , d’un ouvrage, etc.). Sem —, sans dis-
continuer.
Duscoxrınuipaußntg, adv. avec interrup-
tion.
Descontinuino, A, p. p. de Descontinuar.
+ Descontmuanor, A, adj. et s. qui discon-
tinue, qui interrompt.
Descontinuir, v. a. discontinuer, interrom- }
pre, ne pas continuer une ohose commencete.
DESCONTINUAR-SE, v. T. pass. se disconli-
nuer, Etre discontinu,.
+ Descontinto, A ‚adj. qui n’est pas continu.
Descöoxto, s. m. decompte, rabais; es-
compte, mecompte, deduction; compensatlion.
Rerers de fortune, conire-iemps.
Desconventencıa ‚s. f. diseonvenance : Man-
que de conrenance; disproportion ; inögalite.
* Prejudice, desavantage.
Dsscoxveniente,, adj. 2 gen. dispropor-
Gonne ,„ inconvenable; discordant , qui ne
s’accorde pas; quineva pas bien avec yuelque
autre chose. '
+ DasconvEntentemenTe, ade. sans conve-
nance,, hors de propos, de saison.
+*Drsconversino, A, adj. V. Desconver-
savel. il. p.p. de
+" Descoxversän, 9. a. 0esser, interrompre
la eonrersation. art. Fuir, eviter les hommes,
leur commerce et leur societe.
* Descouversävet, adj. 2 gen. insociable,
qui n’aime pas la sociele, le commerce des
hommes; rude, fAcheux. Non frequenie, s0-
litaire, parlant d’un lieu. (fg.) Apre, rede;
incommode.
DES 411
DESCONVERSÄYELUENTE ,„ ade. insociable-
ment.
+ Drsconvernrer, vo. a. döconrertir : faire
revenir ä l’erreur, A l’incredulite.
DESCONVERTIDO, A, p. p. de Desconverter.
DeEsconviväno,A,p. p. de
Desconvinär, v. a. deprier : r&voquer une
invitation , une priere.
'Desconvinno, A,p.p. de
Desconvir, v. n. disconvenir; jurer avec,
ne pas convenir; ötre inconvenable ; n’&tre pas
d’accord.
DescoracoÄn, etc. V. Descorgoar.
Desc6ri00, A, p. p. de Descorar. adj. Päle,
bleme.
DeEscörANutNTO, s. ww. * päleur, perte, affai-
blissement de couleur.
Descönan, 9. a. decolorer, ter, affaiblir,
effacer la couleur.
Descöran, 0.9. 06—se, vu. r. perdre sa cou-
our; pälir, blemir.
DeEscorcHÄr, etc. V. Bscorchar.
DesconcoAno, A, 9. p. do Deseorgoar.
+ * DesconcoamenTo, 5. m. döcouragement,
abattement d’esprit.
Descorncoir, ©. a. decourager, inlimider :
öter, abattre le oourage. 9. n. Se decourager,
perdre courage. |
Desconpan, etc. V. Discordar, etc.
DESCORNADO, A, P. P. de
DESCorRNÄR, dv. a. ecorner: arracher, couper.
öter, rompre les comes d’un animal. st. V.
Eseornar.
DESCoR0ÄADO, A, p.p. de
DescoroÄn, v. a. dedcouronner : Öter une
couronne; detröner; deerdter.
DEsCcoROGOAR, ei. V. Descorgoar, etc.
+ DrsconorLLipa ,adj. f. Fior—, (8. de bot.)
apetale, (fieur) sans petale.
* Drsconreser. V. Desordenar.
Desconren. V. Rscorrer ei Discorrer.
DFSCORTEJAÄDO,, A, 9. p. de
Drscorrssän, v. a. faire une impolitesse,,
ne pas saluer quelqu’un.
DescoRte2, adj. 2 gen. inoivil, grossier, im-
poli, malhonnete.
Drsenntezia, s. f. incivilitsö, impolitesse, .
grossierei6,, malhonneteld, defaut d’attention.
DESCORTEZMENTE, adv. incivilement, gros-
siereinent, malhonnstement.
DESCORTIGÄDO , A , P. p. de Descorligar.
° + DescorTiGadeR, s. m. colui qui 6oorce les
arbres.
+ Descorricapüra,s.f. | action d’ecorcer:
+ DesconriGamenTo, s. m. | decorticalion.
Descorrigar , v. a. &corser : Öler l’6corce ;
peler.
DeEscoRTINÄDO, A, 9.p. de
DESCORTINAR , v. a. lirer, ouvrir les rideaux.
(fg9.) Manifester, decouvrir une chose cschee.
it. Voir, decouvrir au Join. (6. de fort.) Abalire
une courtine.
DescorTtixo ,s. m. l’action de voir, de decou-
vrir au loın. (Ag.) * Portee de l’esprit.
412 DES
Descosspöna, 5. f. decousure : endroit de-
cousu.
” Descostıro. V. Descosido.
Descosern, ©. a. d6coudre:: defuire la cou-
ture. (fg.) Rompre l’amiti6, desunir. Couper,
tailler; (Ag.) dechirer, censurer. —o fiado,
(loc. fam. fig.) manilester, melire au grand
jour une cabale, une intrigue, une trame. —
as orelhas a alguem, (dd.) dire des cheses du-
res a quelqu’un,, le reprendre,, lo blämer seve-
rement.
Descoser-sE, v. r. s6 decoudre. (fig.) S’ou-
vrir, dire indiserötement ce quil fallait taire.
Dsscosı00, A, 9. p. de Descoser.
Descosinüra. V. Descosedura.
Desscostuman, etc. V. Desacustumar, eic.
Descostüus, s. m. " perte, defaut d’habi-
tude, de coutume; dösaccoutumance.
Descoroir,v. a. ter le coton.
Desscoutipo,A,Pp.p. do
Descourir, ve. a. öter le privil&ge de la
chasse.
Desscraväno,9.p. de Descravar.
+ Descaavanporn, s. m. lire-clou : oalil de
couvreur pour arracher les clous.
Descaavan, v. a. döclouer, detacher, en
ötant les clous; d&monter un diamant, elc. üf.
V. Desacravdr et Desencravar.
Dsscrsnıtär, etc. V. Desacreditar, etc.
Descagpıto, s. m. discredit, depreciation,
bläme, decri, diminution,, perte de oredit, de
repulation ; deshonneur.
Dsscnzrin, etc. V. Discrepar.
Desca&a, v. a. cesser de croire, deveuir in-
erddule, n’avoir point de foi. N’ajouter point
foi & ce qu’une personne respectable dit. Il est
quelquefois neutre. — & Deos ou de Deos, re-
nier Dieu , renoncer & Dieu. — a viriude ou da
virtude, ne point oroire A la vortu. — da fe,
renier la foi.
* DESCREÜDO, A, P. p. ant. de Descrer. V.
Descrido.
Descazv£r, v. a. decrire, tracer, dessiner,
reprösenter. —, depeindre, peindre, reprösen-
ter par le -discours. —, (#. de geom.) tracer
(une courbe). ll se dit au figure, en lermes
d’astronomie, d’unc plandte, d’une comöte.
Dssceino, A, p. p. de Descrer. adj. Incre-
duie, mecreant, infiddle, qui manque de foi.
DescrıMısÄDo, A, 9. pP. de
+ Dascaıminarn, ©. a. justifler, disculper,
excuser, absoudre d’un crime impute.
Descaıpcäö, s. f. descripuon. ll a toutes los
acceptions du mot [rangais.
+ Descamrivo, a, ady. descriptif : qui de&-
erit.
DescairT0,A,Pp.p. irr. de Descrever.
Descrirtör, s. m. descripleur : auteur de
descriptions; celui qui decrit, qui a decrit.
* + Descrucıricha, ©. a. Öter, descendre de
la eroix.
Descruzino,A, 9. p9. de Descruzdr.
+ Descnuzia, v. a. Öter la forme de croix &
une choso. — as ondas,( fig.) apuiser les flow.
DES
Descuseir, etc. V. Descobrir, etc.
* Descüpo (pop.). V. Descuido.
DesctinaDamEnte, ado. negligemment; sans
recherche; sans curiosite; par inadverlance.
DesctinaDissımO , A, adj. sup. de
Descumapo, A, p. p. de Descwider. adj.
Negligeut, inaltentif, nonchalant, paresseux.
Qui se neglige, qui a peu de soin de sa per-
sonne. V. Desprevenido. Apanhar, colhtr —,
prendre au depourvu, inopinement, sans &tpe
sur ses gardes.
* DescuipamenTo. V. Descuido.
Descuipär, 9. 0. p. us. empecher quelgqu’un
de se tenir sur ses gardes, l’endormir.
Dsscuipar, 9. ®. negliger, se negliger, s’en-
dormir, n’avoir pas soin de, @ire negligent,
manquer de soin ; se ralentir ; tre.distrait,
Dssctivär-sE (de), v. r. s’oublier, oublier,
negliger ; n’avoir pas soin de. V.lev.n.
Descümo, 8. m. "negligence : manque de
soin, d’application. *Inadvertance, oubli; me-
garde. —s, pl. choses dites ou lailes par me-
garde, distractions de l’esprit.— reprehensirel,
oubli, action blämable, bonteuse. Com —, ne-
gligemment, avec negligence. A —, adv. sans
faire semblu.ıt de rien, comme par megarde:
en neglige, sans soins , sans parure.
Descuıp6s0, A, adj. negligent, insouciant.
DEscULPA , 8. f. excuse, disculpation.
*+ DescuLpacäö, 5. f. disculpation, excuse.
DescuLPino, A, pP. p. de Desculpar.
DESCULPADOR, A, 8. Celui qui excuse.
DsscoLrir, v. a. disculper, excuser ; justi-
er. ll est aussi reciproque. — se cum alguem,
s’excusor sur quolqu’un, s’on prendre & quel-
qu’un.
+ DescuLrävEL, adj. 2 gen. excusable.
f DESCULPÄVELMENTE, adv. d’une maniere
excusabie.
DascumunaL, eis. V. Descommunal, etc.
DESCURIÖSAMENTE, adt. sans Curiosite; ne-
gligemment.
DescuriosipäDeE, 8. f. negligence; miaugue
de soin ; inattention , nonchalance.
DsscUuR1680, A , adj. negligent, peu solgncus,
nonchalant, inattentif; qui n’est pas Curıeuz.
Descunso. V. Discurso.
+ Descrru0s0, A, adj. (i.de bol., Ascyphosus)
sans Coupe.
Despipo, A, 9. p. de Desdar.
DsspanBär. V. Desdenhar.
Despir, ©. a. reprendre ce qui aval eie
donn&.p. us. —onö, dölaire un n@ud; delier,
detacher, denouer.
Despe , prep. depuis , des. — entäo, des lors,
depuis ce lemps. — que , depuis que. — agors,
des ä present. — logo, des, aussilöt. — log:
conveio n'isso, il a bien voulu y acquiescer
aussilöt.
* Despecnan-sE. V. Desdenhar-se ot Dedi-
gnar-s.
Despeu, s. m. dedain, mepris, rebut, in- _
complaisance, rebuffade. Neglige: etat, con-
tume d’une personne qui n’est point parer.
DES
Ester a0 —, ötre en neglige. Ao —, adv. nögli-
gemmeni, en neglige elegant.
Daspennino, A, 9. p. de Desdenhar.
DaspsuuapOn, A,®. qui dedaigne, qui me-
prise.
DespzusÄr, v.
buter.
Despznnir, v. ». dedaigner : ne pas vouloir
pır rmepris. — d’alguem, deöprecier, deprimer
guelqu’un.
Despennän-sE (de), v.r. dedaigner, ne pas
daigner.
t Despzxuarivo, A, adj. qui dedaigne; qui
marque du dedain.
+ Despenniven, adj. dedaignable: quimerite
le dedain, qui doit @tre dedaigne.
DESDENDÖSAMENTE, adv. dedaigneusement:
avec dedain.
DESbENUöSO, A, adj. dedaigneur:: quı mar-
que du dedain, du mepris; qui dedaigne.
+ Despaxtäno, A,P».p. de Desdentar. adj.
"dente: qui n’a plus de dents. Os —s,s.m. pl.
1. d’hist. nat.) edentes : quadrupedes sans in-
sısives ni laniaires.
Despanrän, vo. a. ddenter : rompre, user,
arracher les dents.
DespenTär-sE, v. r. perdre ses denis.
Dzspira, s. f. " desastre, malheur, mauvaise
fortune, mauvaise destinse, inforlune, dis-
gräce. Indigence, pauvrets.
Despıtano. V. Desditoso.
Despiro, A,p. p. irr. de Desdizer.
DEspıTosamente , adv. malbeureusement, | mo
par malheur.
Despır6so, a, adj. ets. infortune, miserable,
malbeureux.
Dsspizer, v. a. dedire, contredire, de-
wenür.
Dessıztn,, v. ®. (flg.) s’ecarter, ne point
convenir, ne pas cadrer, n’etre pas conforme,
n'avoir pas de rapport. S’abätardir, dege-
Derer.
Desnızen-sE (de), v. r. se dedire, so re-
cter.
Despızımento, 8. m.
reiractation.
Dasposrive, A, p. p. de
DEsvosRÄR,, ©. a. deplier, derouler, dedou-
bier : etendre ce qui &tait plie. (fg. ans.) Expli-
quer, developper.
Desposkin-sE, v. r. so deployer, se deve-
a. dedaigner, mepriser, re-
"action de se dedire,
per.
Despouninpo, A,p.p. de
Desspouaar ou DESDOIRAR, v. G. dedorer,
öter, enlever la dorure. (flg.) Ternir, noircir,
obscureir la gloire, ’honneur, la reputation,
etc.
Daspouain-sE, v. r. perdre sa dorure. (fig.)
Se ternir, etc.
Desp6cao, s. m. "ternissure, denigrement,
tache ‚üttrissure, deshonneur.
+ Daszocackö, s. f. "dessechement, dessic-
eation: action de dess6öcher, ses effeis; dtat
d’une chose desscch#e.
DES 413
Dessccin0,A,P.p. de Deseccar. adj. (1. de
mar.) Ebasoui, desssch6, fendu par le soleil.
DESSCCANENTO ‚sm. V. Deseccagdo.
DessccäntE, adj. 2 gen. dessöchant: qui
desseche. Dessiccatif : qui est propre & desse-
cher. p. a. Je
Deszccir, v. a. dessöcher, rendre sec.
Dsseccäa-SE, v. r. se secher, devenir sec.
DESECCATIVO, A ,adj. dessiccatif: qui dessed-
che, qui est propre & dessecher.
DesecLıpsA00, A, p.p. de
DesscLipsÄrR, dv. 0. faire cesser l’&clipse. (Ag.)
Faire cesser la cause qui attriste, qui afflige.
DESECLIPSÄR-SE, ©. r. reparaltre, redevenir
visible, en parlant d’un astre.
*+ Deseviricacäö, s. f. d&molition (imus.).
(Ag.) "Scandale, mauvais exemple.
DESEDIFICADO, p. p. de Desedificar.
DEsEDdIFICADOR, A, adj. scandaleux : gal
scandalise; qui donne un mauvais exemple.
Deseviricär, vd. a. demolir, abaitre, renver-
ser un edifice (inus.). ( Ag.) Scandaliser, don-
ner un niauvais exemple.
-FDESEDIFICATIVO, A, adj.propre Ascandaliser.
Deszecunär, etc. V. Dessegurar, etc.
DeEsgsÄn0,A,p.p. de Desejar.
DESEIADOR ‚„ A, s. celui qui desire, qui
souhaite.
Desgıin, v. a. desirer, souhaiter, appeter ;
simer, ambitionner, vouloir, demander. — com
ancia alguma cousa, ne respirer qu’apres une
ehose, aboyer apre&s... Nada desejo tanlo co-
‚je ne demande pas mieux que...
DESEJÄVEL, adj. 2 gen. desirable, soubalta-
ble:: qui merite d’etre desire.
DeseJ0, s. m. desir, envie, souhait. A’ me-
dida do — ou de seus desejos, au gr& de ses de-
sirs, ä soubait. — violento, male rage, passion
violente.
DesEsösantnte, adv. avec desir, avec envie;
ardemment.
DESEJOSISSIMO,, A, adj. sup. d
DeEsEı0s0 , A, adj. "desireux: qui desire aves
ardeur ; avide. Estar muwi —, desirer ardem-
ment, avec passion.
* DRSEMALHERAR, ©. G. reoouvrer 06 qui &tait
aliene.
DEsEMSAinuino,, A, 9. p. de Desembainhar.
DeEseusainuanDüna, 8. f. l’aclion de dögainer
(une &pee, etc.).
DEsEMBAiNHAR, 9.0. tirer l’Epee du fourreau,
degatner. Decouvrir : mettre ä decouvert. 8.
Defaire un ourlet. — a lingua, (fig.) invectiver
contre quelqu’un. — a espada de maior rigor,
(id.) chAtier s6verement. — a lingua cortadora,
(id.) satiriser. — as garras, sortir, &tendre ses
griffes.
DeseunaLino, A, P. p. de Desembaldr.
+ DeszusaLicen, s. f. "deballage: action de
deballer.
' DeszusaLin , v. a. deballer : defaire une
balle.
DESEMBANDEIRÄDO, A, 9. p. de Desemban-
deirar.
44 DES
+ DESEMBANGFIRaAR.. ®. a ter. \nusser le
drapesu.. :e bar..iun. .| 385 aU35i "rLIDFO.:Ue.
Desssaru.ı sn Mr {To ARc se net, :DIG-
ment. sarıs vbstacie: uafttut. 1°.
Dessunanı 230.1. 2. 0. je Dewnnoaricer.
adj. Jesembarrasse. Ichutasee “tn. LI-
barras. Aue. facıle, ubre. Dr a e. icoaf-
rasse. en parlanı d'une nassuon YJımcın —. m
komme acuf, ale, dexzaze, un» „te, durül.
Ester —, eire iıbre,. »wre uurs 1 ıTuıre.
DESEMSARALAmrNTU. s. w. Luz swliemens,
dexaszeınent. V. Desemderu.
De. sämaaaacı.ı, ec. 2 debarrı-er, rer Jem-
barras; Oler vuDriarte, H AnDatan —, de
zauer, evacuer, v'uer. Debrowiler. — ds , d®-
luvrer Je.
DU»EWRAARAGAA-IE ue‘, po. r. 3e Irkurrasser,
erarter ce yuı peut ertıf 1 dumme. se Ir im
vrer. 3@ desäszer de. u. "tur illiuii,
acyuerirf de ı 1550 FÜ1ICe. de 4 dal Mesa.
DESESBARA:.U, 5.8. "ılDef'e. ialtsle, usaflt®,
Debartas, barliese, dssurante. an! E, Viva
eıte. Debit facıiiie de chant, 1 sruuuiL Lums
—, aisement, facılementi, har iı ment. .
DESENBARALHADOU, A, P. p. ie
DEsEmBARALHAR, ©. a. Ieıneier,. debrouiler.
Dassssaacııö,3.f. V. Desemburgue.
DEsEusaacı00,. ı,Pp. pP. de Desemuur-ur.
DasswsascaDdcıo. 5. 9. jenar'aiere: eu
ea l’on debaryue. Debarcaduur.. lieu maryue
pour debaryuer les mur:bandises Jun van
ses.
Deseusancıe. e. a. debarquer : fuıre yortir
Kun varsseau. Jde),c. 8.—. Jesemüdruuer,
sortir J’un vassseau. —, descendre, fa.re une
repuon par mer. 40 —, au Jeberyuer, a la
sortie da vamnau; 4u Diomenl de debar-
NueR.
Duseusincın-se, cr. erelekar ie.
DEsSamSARCcıDıUELNTE, Acc. ufkaurlil, [aei-
lement, sans eıluperDeiucti.
DESEMSaRLIDU , A, p. p- de Dreem'ar ;ar.
Desk W3ıR. 1008, 5. M. senaleurf, jJuse. CUN-
seiller des couss supremes de Jusiscr en Portu- |
gal. — de returio eccienasiice, ofhcıal : Juge
de cour d’egiise.
Disemaanc.ın, o.a.depecher, exprdier: de-
barrasser, öter les obstaı ses, les embarras.
(1. de prat., Lever le seıuestre , donner inaın-
levee d’ane saisıe ; lover l'eımbar.o.
Dese.usanco, 2.m. arrel, decision d'une cour
de justice. * Main-levee : perinission de dıspo-
ser de ce qui etait saısi. Brevet , ceduie du roi.
.” Beponse du roi aux capilulaires Ges cortes.
tice en Portugal.
Dasrnwningie, 8. m. deharquement,, desem-
barquement ; action de debarquer. * Descenie,
irruption par mer. Faser um —, faire une
descente. "
Daszunubıinn,A,P.p. de
f DrarmsalLan, ©. a. öter d’une malle,
d’un coffre.
DaSBuBESEDAD0,, A, 9. p. de Desembebsddr.
DES
DEScCHRERKDAR , vu. @_ desenivrer, pegriser;
dier, \aıre ves=ver |IVreSSe.
Dr st Intsı DAR-SE, ©. r. desenivrer, se db-
tier, vesser d’elre ivre,
Des wesrıne, a, adj. (Ag.) efirene. V. De-
sen’rudu.p. pP. de
Dis weestia,e. a. desscher : tirer, laucer
ne leeüe. e. ». Prendre le mors aux denis,
parrant ı'un cheval. Ag )V. Desenfrear-se,
vun. se precipiler comme un lrail.
Js WDIRRADO, A, 9.2. de
DESCMDIRRAR, 9. a, peseniäter. Guerir du
uc.0.n.21 — 88,9. r. se desenläter.
D+-EwBin. 100, A, pP. p. de Desembocar.
DiveuseLanuna, 3. f. embeuchure : eniree
3’ im Jeuve. d’une rıvıere dans la mer, elc.
se Woucil, 8 8 — 0 astreile, 0 canal,
ie wur. worte ıl'un detros, d’an canal.
ULSEWROCLAIR u... 1. de mar.‘ debouguer:
sorir dan tetronl, d’un canal. Deboucher, son
ir Yın deuie, d'une Jorze, etc. cm) Se de-
egurzer, enizer, ;e 'eter Jans, parlant d’ane
er ere.ew. qui enire dans la mer, dans Un
“ung. Se renure, aboutır, parlanı d’une Tut,
eiw.
DESEWBULSADO, A, 9. p. de
DessxauLsan. 9. a. deboarser : tirer de la
bourse pour paver. jouer de la poche, donner
de l’arzent. ant. Expliquer, manilester.
Prsen30130.5 m. denoursement , debour,
I debuurse . 2vuane®e.
DesEWSORRALHADO, A, pP. pP. de
Dessup0RR CHAR, 9. G. desenirrerf, dessot-
‚ ler: dter livresse. | i. de diyuws.) Blanchir Far-
genterie.
D-seuBoscı0o,i1,p.p. de
Dasewsos.an, e. a. [u.re sortir d’ane ember
cade, Jun vu»; Jebusyuer.
L sswuomAa-58, ®. r. sortir d’ane embur
cas. dus 008.
Desewsaarı00,2,P9. p- de
Tluiseunni,aRr, ©. @. (— 0 osceudo), dit
'e beuctier du Bra, .
bes warıvaLER, 0.4. apprivoiser, PIE
‚ ren.ire doux, moıns farouche; apsiser la 0%
lere. H est aussı reciprogue.
Deseusarvacımo, A, 9. p. de Desembrew
rer.
+ Desausauvscımänto, s. m. Vaction d’ap-
privoser, Je prıver.
DeseuBREeınıDO, A, Pp. pP. de ,
Disswakeızan, ©. @. lirer, arracher, fait
sortir des broussailles, des ronces.
DescussEnnin-se, u. r. so degager des
se delivrer des vices.
Desessrıacin. V. Desembebedar.
DeszuanuLnino, A, p. 9. de Desembrulker.
DessMentLnanoR,A, 5. colui qui debrouille.
qui demele, qui deploie, qui deroule.
Dsseusatıuir, o. o. debrouiller, demeler;
mettre en ordre ; deployer ow derouler, dep&-
queter. (fig.) —, &claircir, demeler ( une inln-
gue, des quesiions obscuses , ©lc. )
— do pago , cour souveraine ou de gräce et broussailles , des ronces. — dos vicios, (f9-)
DES
+ DssemaRÜLno, 8. m. p. us. d&brouillement:
action de debrouiller, de deme£ler; (fig.) d’6-
elaircir.
DsszmsuGgidauente, adj. (fig.) ouvertement,
sans deguisement,
DEsSEMBULGADO,A,P.p.de
DESEMBUGAR, ©. a, ouvrir le manteau & quel-
qu’un, lui Öter Paffublement. (fig.) Decouvrir,
ifester des choses qui &taient cachees.
ESEMBUCAR-SE, v. T. se debarrasser de
cetie partie du manleau qui couyre le visage.
+ Deseusico, s. m. l’aclion de decourvrir le
visage, parlant de celui qui est envelopp6
dans un manteau.
Dsseusccaino, A,p. p. de
Des£eusucHin , v.a. degorger, se dit d’un oi-
seau qui jeite ce qu’il a dans le jabot. (ig.)
Degoiser : dire tout ce que l’on sait, tout ce
qu’on a sur le caur. (fig. fam.) Debagouler::
dire ridiculement tout ce qui vient ä la bouche.
DESEWBURRAR. V. Desamar, Desen[adar.
DeseumaLLÄDo,A,p. pP. de
DESEMMALLÄR, ©. a. Öter du porte-manteau.
DESEUMARANHÄDO, A, 9. p. de
DesemmarınBÄR, v. a. debrouiller : deme-
ler, remettre en ordre, au propre ot au figure.
DesemmassinO, A, 9.9. de
+ Dsssmmassir, v. a. defaire une liasse de
papiers.
Desemmastein 0% DESEMMASTREÄR, etc.
V. Desmalrear, elc.
DESEMMOINHADO, A, P.p. de
Desemuoingar, vd. a. Oter la oriblure (&
Vorge).
DESEMPACHÄDO, A, 9. P. de
DESEWPACHAR, ©. a. debarrasser, degager ;
tracuer, vider ; alleger un vaisseau.
DESEMPACHÄR-SE (de), v. r. se delaire, se
debarrasser de ce qui donnait de l’embarras.
DESEMPACHO , s. m. debarras :, cessation
d’embarras , delivrance de ce qui le causait.
+ Desemrino, a, adj. non Echalasse, qui
n'est pas accolö, parlant d’une vigne. ?. p. de
DEsEMPAPADO, A, ?. 9. de
Deseurarir, v. a. öter les [aux plis que font
les habits mal tailles. it. V. Alizar, Evacuar.
DESEMPAPELÄDO,, A, P. 9. de
DesempapgLir, o. a, döpaqueter, derouler,
defaire une enveloppe de papier.
Dasempig , v. a. döchalasser : Öter les &cha-
las A la vigne.
DisempARÄR, etc. V. Desamparar, etc.
DisgMPARELBÄDO, A,P. p. de
DESEMPARELHAR, v. a. depareiller, desas-
sembler; desapparier; desaccoupler; desas-
sortir.
DESEMPARKLUAR-SE, v. r.(fig.) se mesallier:
se marier A une personne dont l’extraction ow
la fortune n'est pas pareille.
Desemrara0o,A,Pp.p-de
Deseupatin, v0. a. departager : faire cesser
Be partage d’opinions entre les juges, ete.; r&-
Boudre.—umnsgocio, (fg.) döbrouiller, 6clair-
DES 415
eir une affaire ; la terminer. — os volos, d&par-
tager los voix.
+ Deseupite, s. m. Paction dedepartager les
voix; (fg.) d’&claircir, de r&soudre une aflaire.
DESEMPAYEZÄDO, A, P. 9. de
DESEMPAVEZÄR, 9. a. depavoiser : Öter les
pavois, les pavillons d’un vaisseau.
DESEMPECÄDAMENTE , adv. V. Desembaraca-
damente, Correnlemenle.
Deseupecan, etc. V. Desembaracar et De-
sempachar.
+ DEsEMrEcCER, v. a. desembarrasser, debar-
rasser; desentraver.
DesemPEcino, A, 9. p. de Desempecer.
+ DESEMPECO , s. m. debarras.
DESEMPEDERNECER. V. Desempedernir.
DESEMPEDERNIDO, A, P. p. de
f DESEMPEDERNIR, v. a. V. Desempedrar.
(Ag.) Amollir, adoucir.
DESENPEDIR, etc. V. Desimpedir, etc.
DESEMPEDRÄOO,A,9.p.de .
DESEMPEDRÄR, Y. a. depaver : Öter le pav6
place ; &pierrer. (fig.) V. Desempedernir.
DESEMPEGADO,A,P.p. de
DESEMPEGAR, ©. a. Öler du gouflre.
DESEMPENÄDO, A,9.p.de
DESEMPENÄR, v. a. &quarrir; Tedresser une
planche dejelse.
DesemMPENAR-SE, dv. r. se redresser, devenir
droit; se mettre droit.
DESEMPENHÄDO, A, 9. p. de Desempenkar.
+ DesgmPpenHADöR, 5. m. celui qui deyage,
qui relire ce qui elait engage; qui S’acquitle
de..., qui remplit son devoir, ses fonctions, etc.
* DESEMPENHAMENTO. V. Desempenho.
DESEMPENTÄR, v. a. degager : relirer un el-
fe mis en gage. S’acquitter : faire son devoir,
bien faire ; reiuplir lV’attente, —alguem, libörer
quelqu’un de ses deltes, les acquilter. — 0 as-
sumplo, bien soulenir ga Ihese, se lirer d’al-
faire avec lıonneur. — bem o seu papel, jouer
bien son röle. —o promellido , degager sa p&-
role, y salisfaire.
DESEMPENHÄR-SE, dv. r. s’acquilter, payer
ses dettes; faire son devoir, remplir ses obliga-
tions.
DEsEMPENBO, s. m. degagement : action de
retirer un effet engage. Acconıplissement d’une
obligation, d’une promesse. Achevernent, per-
fection , derniere main. Payeınent des dettes.
DESENMPENO, s. m. redressemeni d’une plan-
che dejet&e. —s, pl. regles de charpentier.
DESEMPERRÄDO, A, p. p. de
DESEMPERRÄR, ©. a. desarmer, apaiser la
colere de... ; apprivoiser.
DESEMPERRÄR-SE, ©. r. se desentäter, db
mordre.
DESEMP&STÄDO „A, 9. P. de
DESEMPESTAR , v. a. desinfecter : Öter la con-
tagion , !’infection.
TBSEMPOADO, A,P. P. do
DEssMPOÄR, d. a. Öler ow secouer la poudre,
la poussiere; d6poudrer, 6pousseter, Ilest aussi
röciproqgue.
416 DES
+ Deseurosnechn, v. a. tirer quelqu’un de
l’etat de pauvrei£. v. w. Cesser d’etre pauvre.
DsssmrociD0, A, pP. p. de
DESEMPOGAR, v. a. tirer d’an puits. (fig.)
Tirer d’un lieu profond, cache.
Deseur0oLkiD0, A, 9.p. de
+ DsszmroLeäir, 0. a. (t. de !’Inde) puri-
fer.
DessmroLci0o, A, pP. p. de Desempolgar.
+ DeszuroLcanöra, s. f. l’action de deban-
der, de detendre une arbaldte.
DssemroLcär, o. a. detendre,, debander une
arbalete ; lächer ce qu’on avait saisi.
+ Dassurör, v. a. retirer, Oter, enlever ce
qui etait interpose; (lg.) ce qui fait un ob-
stacle.
Deszeurossin,eic. V. Desapossar, etc.
Deszmpösto, A, p.p. de Desempor.
DEsSEMPRENHADO, A, P. p. de
Deseurnenuan, v. a. v. Parir. (flg.) Dire
avec difficulte ce que l’on gardait en secret.
DesemrPtLaido, A, 9. p. de
DesSEMPULHÄR-SE, dv. r. prendre sa revanche
des pouilles qu’on avait dites en en disant
d’ausres.
DssemPonuADO, A, p.p. de
DeEsgNPUNHAR, ©. a. dömancher; lächer; faire
sauler l’eper.
Desenamoran, etc. V. Desnamorar, etc.
DEsencABaR, etc. V. Desencavar, etc.
DeEsENcABEGÄDO,, A, P. p. de
DFSENCABECAR, v9. a. dissuader; desinfa-
tuer.
DESENCABRESTÄDAMENTE , adr. A toute bride,
a bride abattue; inconsiderement. (lg.) Sans
[rein , sans retenue.
DESENCABRESTADO, A, adj. ( ig.) Sans frein;
!&mieraire; emport&; dissolu. p. p. de
DESENCABRESTÄR, ©. a. delicoter : öter le
licou & un cheval, etc. ( fig.) Lächer la bride ä&
yuelqu’un.
DESENCABRESTÄR-SE ,v. r. sc delicoter. (Ag.)
Se livrer & la debauche.
DESENCACHADO, A, P. p. de
+ DesencacHaR, ©. a. decouvrir ce qui etait
cache. V. Desencaizar.
DESENCADEADO, A, P. p. de
DESENCADEAR, ©. a. dechalner : dler, deta-
cner la chaine ow de la chatne. ( Ag.) Rompre
l’amitie, l’union, ses liens.
DESENCADEAR-SE, ©. r. se dechalner : rom-
pre sa chalne, se Jit au figure des vents vio-
Ients. ,
DESENCADERNÄDO, A, P. 9. de
DESENCADERNÄR, ©. a. defairc la reliure.
DESENCAIXÄDAMENTE, adv. immodereuent.
Rir — , (fam.) rire & gorge d&ployee.
DSsSEncaıxÄiDO, A, 9. p. de Desencaizar.
° DESENCAIXADÜRA , 8. f. deboltement,
DESENCAIXAMENTO, 8. m. luzation , dis-
location. L’action de desassembler, de des-
unir, de d&sengrener.
DESENCAIXÄR, vo. a. disloquer, debolter, d6-
DES
mettre les os. D&sassembler, desunir, stparer;
desengrener. Il est aussi recıprogue.
DESENCAIXOTÄDO, A, p. p. de
Desencarzotik, v. a. decaisser, lirer d’une
caisse, d’un caisson.
DasencaLnino, A, P9.p. de
DesgncaLnin, v. a. (f. de mar.)relever, re-
meltre & flot un navire &chous, le dechoner.
Defaire une obstruction d’humeurs; tcarier
un obslacle.
DESENCALHAR, ©. ®. ($. de mar.) se romelite
4 flot. (Ag.) Se retirer d’un mauvais pas.
+ Diese. scäLue, 5. m. rel&rement d’un vais-
seau. *Re>olution d’une obstruclion,, d’un ab-
ces. Ecartement d’an obstacle. .
DEsEXCALMÄDAMENTE, ade. & sang-lroid,
sans passion ; sans honte.
DESENCALMADO,, A, p. p. de
Desencar.:sin, o. a. donner da frais, de la
fraicheur. (fig ) Calmer, moderer un desir, une
passion ; apaiser, remetire en bonne homear.
DEsencALMär-SE, ©. r. prendre le frais, 9
ralraichir. ,
Desencauınnäno, A, p. p. de Desencami-
nhar. adj. Ir, andar —, s’egarer, perdre le
chemin; (fg.) s’ecarter de la raison, de la
verite.
DESENCANINHADOR, A, adj. et s. qui egare,
qui detourne de son devoir; qui debauche,
pervertisseur. .
DESENCANINHANENTO, 5. m. &garement; iN-
conduite. V. Descaminho.
DESENCANWINHAR, dv. a. &garer, derouter, four-
voyer, &conduire, öter de la route. (Ag.)—;
detourner quelqu’un de son devoir; pervefüf,
debaucher. Soustraire une chose & quelqu’un,
la detourner de son application. — dinkeiros,
divertir les deniers.
DRSENCAMINHÄR-SE, ©. r. s’egarer, se de-
tourner du veritable chemin, au propre ei &U
figure; se pervertir, se dehaucher.
DESENCANISÄDO, A, 9. p. de
Desencawısin, 0. a. — o miülko,, öter Ven!e-
loppe aux &pis de mais. V. Descamisar.
Drsencampipo, A,9.p. de
Dersencaurän, 9.0. redonner, faire repfeü-
dre une chose & quelqu’un malgr6 lui.
DESENCANALRÄDO, A, 9. 9.de
+ DESENCANALHÄR, v. a. tirer quelqu’an de
la lie du peuple; lui faire perdre l’air canaille,
les mauvaises habitudes du bas peuple.
DESENCANDEÄDO, A, P.p. de
t Desencanneär, v. a. faire voir clair.
+ Desencantacäd, 8. [. diligence, soin pouf
desenchanter, pour decouvrir (un tresor, elc.).
DeESENCANTADO, A, p. p. de Desencanlar.
+ DEsencantanorn, 3. m. celui qui desen-
chante; qui decouvre des choses merveilleu-
ses, rares.
DESENCANTAMENTO. V. Desencanto.
DESENCANTÄK, v. a. desenchanter;; rompf®,
detruire l’enchantement. (Ag.) De6couvrir une
chose occulte, rare, precieuse.
Desencinto, s. m. desenchantement, des
DES
ensorcellement : action de desenchanter, de
desensorceler.
DESENCANTOADO, A, Pp. p. de
Desexcantoir, v. a. denicher, deterrer, de-
coavrir.
DESERCAPELLÄDO, A, 9. p. de
DESENCAPELLAR , v. a. Öter le capuchon.
(l. de mar.) Decapeler : öter le capelage d’un
tüisseau.
DesExXcAPOTÄDO, A, P. p. de
tDesencaroTaR, v. a. (inus.) enlever, Öter
ie manteau de quelqu’un. (fig.) Manifester,
Jecouvrir.
+ DESENCAPOTÄR-SE, v.r. Öter son manteau.
ig.) Se manifester. — o cdo, s’&ciaircir, de-
venir serein, parlant du ciel.
DESENCAPRICBÄDO,, A, P. p. de
+DesencarrıcHÄr, v. a. desent£ter, desinfa-
ter. Il est aussi reciproque.
DeSENCARCERADO, p. p. de
DESENCARCERÄR , 0.G. desemprisonner, clar-
tir, mettre en liberte, tirer de prison. (fig.)
Tırer de peine, d’embarras. —a alma, (flg.)
separer l’äme du corps.
TDesencareEcer, v. a.eln. baisser, dimi-
nuer le prix.
DSsEnCcARECIDO, A, 9. p. de Desencarecer.
DESENCARNADO, A, P. p. de
+ DasuncannaR, ©. a. Öterla couleur des
chairs.
DEsENCAnRECADO, A, P. 9. de Desencarre-
gar.
* DESENCARRECAMENTO. V. Descargo.
DesencannecäR , v. a. decharger, liberer
d’une charge ; exempter; desoberer.
DesancaragTÄDO, A,9.p. de
DESENCARRBTÄR , d. a. demonter les canons.
Desencasano, A, p. p. de
T Dssencasän , v. a. döcaser : faire sorlir
de sa case, deloger.
Desexcasqgt£täpo, A, P. p. de
Desescasqugtar, v. a. (fam.) depersuader,
desenteter, desinfaluer. Il est aussi r&ciproque.
DesExcaSTELLÄDO, A, P. p. de
DrsencastELLän, v. a. chasser la garnison
d’un chsteaa , d’une forteresse. (fig.) Chasser
le demon du corps d’un possede.
Desencastoän,, etc. V. Desengastar.
DESENCATARROADO, A, P. ?. de
+ DesuncatanRoin Ou DESENCATARRHOÄR,
v. a. guerir d’un catarrhe.
Daszncavino, A, pP. p. de Desencavar.
DrsencAYaALCÄDO, A, adj. demonte. V. Des-
montado. p. p. de
DesencavaLcäR , ©. a. demonter lartillerie.
Desencavir, v. a. Ötor le manche, deman-
ther, debotter. Il est aussi reciproque.
Desescaxan , etc.
DasancaxOTAR,,cic.
Desuxcerin, eic. V. Desencarrelar, elc.
Dssexcennäno,A, P. p. de Desencerrar.
DISENCERRAUMENTO, 5. m." mise en libert#;
Manifestation.
PORn-FR,
\ V. Desencaix..., etc.
DES 417
DEsSencERrÄR, o.a. donncr la liberts ä ce
qui etait enferme. (fig.) Developper, &claircir,
manilester, decouvrir.
Desencencän-se, v. r. sorlir de clölure;
paraitre, se ınanifestier.
DESENCOIFADO, A, pP. p. de
Desencorrän, v. a. (f. dartill.) decoiffer :
Öter le couvercle d’une aınorce de canon.
DESENCcoOLÄnDO , A, p. p. de
DesexcoLAu, x. a. (1. de charp.) raboter le
bord d’une planche,
DESENCOLERIZÄnO, A, p. p. de
DesencoLerizäu, ©. a. calmer, apaiser la
colerc a quelqu’un.
DESENCOLERIZÄR-SE, ©. r. se calmer, s’apai-
ser, parlant de celui qui est en colere.
DesencoLner, v. a. derouler, deplier, eten-
dre, developper. Degourdir, Öter l’engourdis-
sement.
DEsEncoLnerR, v.n. el —se, vo. r. se derou-
ler, eic. (ig.) Se degourdir : perdre sa timi-
dite ; sortir de sa coquille. — com alguem
(Ag.) se deboutonner & quelqu’un.
Dssexcoı.Hino , A, p. p. de Desencolhtr.
t DESENncoLUINENTO, s. m. (fig.) * bardiesse,
liberte , airais6, sans göne.
DESENCOMMENDÄDO , &, 9. P. de
DESEXCOMNMENDÄR, ©. a. contremander une
coınınande.
DEsENCONCHÄDO, A, pP. p. de
+ DESENCONCHAR, dv. a. tirer, faire sortir de
la coquille. (fg.) Tirer de prison.
DESENCONCUÄNR-SE, ©. r. sortir de la co-
quille;(fig.) d’un lieu cache.
DESENCONTRÄDO, A, P. P. du
DESENCONTRÄR,, v. a. [aire croiser, faire
qu’on se croise , qu’on ne se rencontre pas.
DESENCONTRÄR-SE, ©. T. Se Croiser, se man-
quer, ne pas se rencontrer. (fig.) Disconvenir,
n’etre point d’accord , diverger.
D£.seNcöNTnRo, 8. m. croisement; disposilion
alterne ; le fait de se manıuer. (ig.) * Diver-
gence d’opinions.
DESERCORDOADO , A,p. p. de
DESENCORDOÄR,, v. a. Öler les cordes d’un
instrument de musique.
DESENCOSTADO , A, 9. p. de Desencoslar.
DESENCOSTALÄDO, A, p. p. de
DESENCOSTALÄR, v. a. detacher la charge
d’une b£te de soınme.
Desencostär,v. a. mettre debout, faire te-
nir sans appui.
DESENCOSTÄR-SE, v.r. se redresser ; cesscer
de s’appuyer. (fig.) S’ecarter, s’egarer (de la
vertu, de son devoir, etc.).
DEsencouTär , etc. V. Descoular, etc.
DESENCOVYADO, A, P. p. de
Drsencovär, v. a. deterrer. — as feras,
lancer, debusquer les betes fauves. (fig.) De-
nicher.
Dssencrassär, eilt. V. Adelgagar, etc.
DESENCRAVÄDO, A, 9. P. de
DesencrAvän, vd. a. desenclouer : firer un
clou, parlantdespieces de canon.V.Descravar,
27
418 DES
DESENCRESPÄDO, A, 9. . de
DESENCHESPÄR ‚, d. a. defriser : Öter, defaire
la frisure.
DESENCRESPÄR-SE , v.r. se defriser : s’apai-
ser, parlant de la mer irritee. (Ag.) — a frenle
do homem , se derider le front, defroncer le
sourcil.
DEsSEncORRALÄDO „A, P.P. de
DEsSENCURARALÄR, v. a. faire sortir letroupeau
de la bergerie. Faire sorlir un laureau do sa
loge pour le combattre. (fg.) Degager ; metire
en liberie.
DFESENDEMONINHÄNO, A, 9. p. de
+ DESENDEMONINRÄR, ©. a. chasser le de-
mon du corps d’un posscde.
DESENDEOSÄDO, A, P. p. de
+ Desenpeosir, v. a. (fig.) humilier, ra-
baisser P’orgueil.
DESENDIVIDÄNO,, A, P. p. de
DESEnDivIiDÄR, e. a. liberer de quelque obli-
gation ; payer les dettes de quelqu’un.
DESENDIVIDÄR-SE, ve. r. se liberer, s'acquit-
ter, se decharger d’une detie; payer ses deltes.
DFESENFADÄDAMENTE, adv. A loisir, & son
aise ; d’un air enjoue; sans soucis, de sang-
froid , sans cinolion.
DESFEXFADADICO, A, adj. divertissant , agrea-
ble, recreatif, amusant.
DESEXFADADO, A, P. p. de Desenfadar. ad).
Gai, joyeux, exempt de soucis, que rien n’em-
barrasse.
DESEXFADAMENTO. V. Desenfddo.
DESENFADÄR, ©. a. desennuyer : chasser,
öter l'ennui ; distraire, recreer, delasser ; apai-
ser, Calıner, adoucir la colere.
DESENFADÄR-SE, ©. Fr. se Teposer de ses fali-
gues; se calmer. (ig.) Se desennuyer, se diver-
ur.
Desenrino, s. m. *liberte, franchise, air
aise, delibere6; distraction , r&creation ; passc-
temps agreable; consolation, soulagement;
repos, tranquillite; calme, serenite de l’esprit.
Delassement, menus plaisirs. Por — , loc. adv.
pour s’amuser. Jo mes —, Amon loisir, & ınon
aise.
DESENFAIXÄDO, A, 9.9. de
DESENFAIXÄR, ©. a. demaillotier : ler du
maillot.
DESENFAIXÄR-SE, ©. r. se döployer, se de-
plier, se derouler.
DESENFARDÄDO, A, 9. 9. de
DESENFARDÄR,, ©. a. deballer, defaire des
balles , des ballots.
DESENFARDELÄDO, A, 9. 9. de
DESENFARDELÄR, ©. &. d&paqueter, deballer':
dcefaire un paquet, une balle.
+ Desenränno, 8. m. deballage : action de
Jefaire une balle , un paquet.
DESENFASTIÄDAMENTE , adv. avec appetit;
gaiıment, Joyeusement; avec gräce.
DESENFASTTADIGO, A, adj. app6tlssant; qui
Faniıne, qui excile l’appetit.
DESuNFASTIADO, A, adj. qui a bon appelik,
DES
(lg.) Agrdable, de bon goüt; facelieux,enjoue,
joyeux. 9.9. de
DESENFASTIAR, ©. a. Öter, faire cesser le de-
goüt; faire venir l’appetit. (Ag.) Desennuyer,
reereer, divertir.
DESENFAXAR, etc. V. Desenfaixar, elc.
DESENFRITÄDO, A, 9. p. de,
DesenF£ırTäR, dv. a. deparer, Öter la parure;
depouiller de ses agr&ments. Il est aussi reci-
proque.
DESEnFEITICÄDO , A, pP. p. de
DESEnFEITIGÄR , ©. a. desensorceler : deli-
vrer, guerir de l’ensorcellement.
DESENFEIXADO, A, 2.9. de
DesEn+EIXÄR, v. a. delier, delaire un fais-
ceau, une bolte, etc.
* DESENFERENGAR. V. Differengar.
DESENFERRUJÄDO, A, 9. p. de
DESENFERRUJAR, ©. a. derouiller : Oter la
rouille. —a lingua, (fg.) exercer sa langue en
parlant.
Dssenr£ziDo, A, 9.9. de
DESENFEZÄR, v. a, V. Defecar. (fig.) Faire
croltre.
DESENFEZÄR-SE, v. r. V. Defecar-se. (fig.)
Croitre, s’agrandir, proßter, faire des progres,
se dit des plantes, des enfants, eic.
DESENFIÄDO, A, p. p. de
DESENFIÄR, o. a. defller : öter le fil qui etait
passe (dans l’aiguille, etc. ). Oter, retirer de la
file, de Ja rangee. Couper le fil d’une serie de
choses. (fig.) Faire reprendre sa couleur ä quel-
qu’un qui avait päli.
DESENnFOrcän. V. Despendurar.
DESENFREÄDAMENTE, adv. sans frein, sans
retenue , d’une maniere effrende.
DESENFREA9O, A, 9. p. de Desenfrear. adj.
Effrene, sans frein, sans relenuc; licencıeus,
deregle.
DESENFREAMENTO, 3. m. deregiement, d&
bordement, licence effrenee ; dechainement;
emportement. ’
Desenrreir, v.a. debrider : öter la bride.
DESENFREÄR-SE, v. r. (fg.) se deborder, se
dechainer; lAcher la bride & ses passions, se
deregler ; prendre le mors aux dents ; s’empor-
ter, entreren fureur,
DESENFREIO. V. Desenfreamento.
DesENFRONHÄDO, A, 9. p. de
DesenrronnÄn, vo. a. öter fa taie d’un oreil-
ler, d’un cheret.
DESENFURIRADO, A, P.P. de
f Desenrutiran , vo. a. (— 0 carro) dter les
pieux ou les barres (d’une charrette).
+} DESENFORECER, v. a. Öter la furie, la fu-
rcur, calmer, apaiser. v. ». Se calıner, s'apar-
ser.
DESENFURECIDO, A, 9. p. de Desenfurecer.
DESENGAGÄDAMENTE, adv. Lomer —, ([am.)
manger goulument.
t DEsENGAGADEınA, 8. f. * egrappoir : outil
pour egrapper le raisin.
DESENGACADO, A, P. p. de
DESENGAGAR, 9. a. Ögrapper : detscher eo
EN
DES
raisin de la grappe. (ig. fam.) Devorer, man-
ger avcc aviditc , goinfrer.
DESENGAIOLADO, A „P. p. de
DESENGA1IOLÄR, v. a. faire sorlir de la cage;
(Ag.}) de la prison.
DESENCANADAMENTE, ado. franchement, in-
genument, sans delour; bardiment.
DESENGANÄDO, A, P. p. de Desenganar. adj.
Desabuse, deirompe , revenu de ses 6gare-
menis; sincere, de bonne fol, franc. — dos
medicos, condamn6 par les medecins. — do
mundo, degoüts du monde.
+ Desexcananor,, s. m. oolul qui dötrompe,
qui desabuse.
Daszncanir, v. a. dötromper, desabuser,
desaveugler, dessiller les yeux, &olairer, tirer
d’erreur.
DESBENGANÄR-SE , 9. r. so dösabuser, so d&-
tomper. — d’alguem ou d’alguma cousa , ölre
detrompe de l’estime que l’on avait pour quel-
qu’un ow pour quelque chose. —com alguem,
serpliquer avec quelqu’un. —do mundo, se
deiromper des grandeurs de la vie.
Desencino, s. m. desabusement : action de
dtsabuser, de detiromper; ses effeis, &tat de la
personne desabusee. Ce qui desabuse. * Inge-
auile, franchise, bonne foi. Reproche, verits
dite en face sans menagement.
DESENGARRAFÄDO, A, P. P. de
+ Disencanaarin, e.a. öter (le vin, etc.)
des bouteilles.
DssencastänOo, A, 2. 9. do
DESENGASTAR,, ©. a. demonter un diamanı
ou toute autre pierre precieuse.
+ Desencannösamente,, adv. sottement,
ineptement.
Deszscaxno , s. m. V. Ksiupidez.
DESEXGENBOÖSO , A, adj. sol, born6, sans 88-
prit, sans jugement.
DESENCOLFÄDO, A, pP. p. de
+ DasexcoLrir , v. a. relirer da goulfre,, de-
livırer da danger.
DesuncoumADO,A,p.p. de
DesEncoNMäAR , 9. a. desemposer : Oter l’om-
pois du linge.
Dessncongäpamenre, adv, d’une manlere
degingandee.
DasıxconciDo, A, adj. degingande : dislo-
que, sans conlenanoe ou d’une oontenance mal
assuree.p.p. d
Daszscongan , 0. @. degonder : öter de des-
sus ses gonds; disiouer, dejoindre, desunir,
Atsassembler, d&sengrener.
Dzsgnconcan-SE, v. r. 86 degonder, Otre tout
degingande. (g.) Faire des contorsions, des
Eiouvemenis violenis, exiraordinaires.
Desencönco, s. m. aclion de degonder, d#-
Boltement, dislocation. (fig.) Ddgingandement:
eist de ce qui est ddgingande.
DesExcoRnADO, A, 9. p. de
t DESENCORDAN, o. a, Öter, diminuer la
FTaisse, o.n. Perdre Pembonpoint, maigrir.
zansEsCORSURÄDO, a, pP. p.de Dosengordu-
DES 419
Desencornunia, ©. a. degraisser : Öter la
graisse.
DESENGRACÄDAMENTE, ade. gauchement, sarıs
gräce.
DeEsencrACAnO, A, adj. sans gräce, disgra-
cieux, insipide, sans agrement. p. p. de
+ Desuncrache , v. a, Öter ja gräce ; rendre
insipide.
DeEsenGRAziDO, A,P. p. de
DeEsEencrarän, .. a. döfiler joe grains du cha-
pelet,
Desencnennin. V. Desgrenhar.
Desencrossäd0,, 4, P. p. de
DeEssncrossÄR, v. a. d6grossir, atlenuer.
DeEsenGuIGÄDO, A, p. p. de
Desencuigan, v. a. deguignonner : öter ie
guignon
DEsEnnÄno, A,2.p. de Desenhar.
DesenuanOR,, s. m. dessinalteur :
dessiner, qui dessine.
Dssenuar , v. a. dessiner. V. Debuzar. (g.)
Proieter.
DESENHO, s. m. dessin. V. Debuzxo. (fig.) De»
sein, projet. V. Designio.
Desensuntan. V. Desaffrontar.
DersenLacivo, A, p. p. de Desenlarar. adj.
Denou®, defait, demele.
t DESENLACANENTO, 5. m. dösenlacement :
aclion de desenlacer.
DEsENLACAR,, ©. a. desenlacer, dölacer, de-
faire le lacet , denouer, delier.
+ DesenLice, 8. m.V. Desenlagamento. (lg.)
Denouement, solution : fin d’un poöme, d’une
piöce. .
DESENLANEÄDO ,A, 9. 9.de
+ DESENLAHFÄR, ©. . Öter, enlevor le limon,
la boue d’un lieu; decrotter.
DESENLASTRAR. V. Dosennaslrar.
DESENLEÄDO, A, 9. p. de
Desentein, vo. a. delier, denouer, demöler,
debrouiller.
+ Desenıtıo ou Dasenıfo, s. m. döliement,
denouement : action de delier, de denouer;
ötat de ce qui est deli6, denoueb.
DESENLODÄDO, A,P. p. do
DesenLovän, v. a. öter, enlever le limon, la
boue d’un lieu.
DESENLOTADO, A, 9.9. d
+ DESENLOTÄR ,O. @. quitter le deull.
+ DEsENLUTÄR-SE, 0. r. quitter le deuil. (fg.)
$eclaircir, parlant du ciel.
f Desenmunzckr, 9. a. denouer la langue,
rendre l’usage de la parole. v. ». Rompre le si-
lonce, parler.
DeEsensupgcino, A, p. p. de Desenmudecer.
DESEnNNnAsTRiDO, A, p. p. de
DESENNASTRÄR , v. a. detacher (les chevcux),
delier, denouer.
DESENNEVOADO, A, p.p. de
+ Desennzvoin, v.a. dissiper le brouillard,
les nuages. (fiy.) Eclaircir, enluminer, eclairer.
DESENNOVELÄDO, A, p. ?. de
DESENNOYELÄR,, v. a, döfaire on peloton.
qui sal
120 DES
(?g., Trouver, suivre le fil (d’une histoire,
d’une intrigue).
Destso. V. Dezeno.
Desenguapeı. var. V. Desencadernar.
Di:swuguirtar, etc. V. Desinquielar.
DrsEsnAlA00,A,P.p.de
Desenkaran, ©. @. desenrayer : Öler ce qui
einpechant la roue d’une voiture de tourner.
DESENBEDÄDO, A, 9. P. de Desenrodar.
DESENREDADOR, 5. m. celui qui debrouille,
qui demele.
Desenazoir, o. a. detortiller, debrouiller,
d6meler, mettre en ordre, separer. Denouer,
demeler, developper, au propre et au figure.
DESENREDÄR-#E, ©. r. se demeler, se tirer
d’un embarras; se debrouiller, devenir plus
clair.
DesENA£DO,, s. m. debrouillement; denoue-
ment, solution, Ün d’une piece, d’un po&öme;
demelement d’une intrigue.
DssenaoLäDo,A,P.p. de
DESENROLAR, v. a. derouler: elendre, meltre
en long ce qui &tait roule. (fig.) Expliquer,
developper ; raconter diffusement.
DESENROSCADO, A, P. p. de
DESENROSCÄR, v. a. detorliller : defaire ce
qui etait tortilie; desentoriiller. Devisser : d&-
faire, öter des vis.
Dzsenaucin0,A,p.p. Je
DesenaucäR, dv. a. defroncer, derider, de-
plisser. —o rostv, (fig.) se derider lo front,
defroncer le soureil.1| est aussi reciproque.
DEsEnsaccäDO, A, 9. p. de
DEsEnSaccär, v.a. Öter du sac, vider un sac.
Desensiö. V. Dissensdö.
DESENSERADO, A, P. p. de
+ DEsEnsEBAR, ®. a. degraisser : öter la
graisse.
Dssenseläno, A, p. p. de
DESENSEIÄR, vd. a. Öter, lirer du sein; faire
sortir d’une anse ow de la rade, parlant d’un
vaisseau. if. Elaguer, &monder, parlant des ar-
bres.
DESENSEIÄR-SE , dv. r. sorlir d’une anse, de
la rade, parlant d’un vaisscau.
DESENSINÄDAMENTE, ade. sans insiruction,
par ignorance. ,
DESENSINADO, A, P. pP. de Desensinar.
DESENSInADOR, adj. cl s. qui fait desappren-
dre.
DESENSINAn, dv. a. faire desapprendre , mon-
trer lecontraire de ce qu’on a appris.
+Dssensino, s. m. l’aclion et l’effet de des-
apprendre ; defaut d’instruclion , ignorance.
Manque d’enseignenent.
+ DESENSOBERBECER, dv. a. faire perdre l’or-
gueil, la fierte ; abatıre l’orgueil, bumilier.
f DESENSOBERBECET.-SB , v. r. perdre son or-
gueil , sa fierte.
+ Di.sENSOBERBECIDO, A, 9.9. de Desenso-
berbecer. adj. Qui a perdu son orgueil.
DeEsENSOLYADO, A, P. p. de
DEsexsoLvar, v. a. (6. d’art.) degorger la
lumicre du canon.
ee —— en GMEEEEEEEENSRSEESSEEREE>
Le —— EEE,
DES
DesentanoLÄn. V. Desembararar, Desemps-
dir.
" DesentÄö, ade. des Jors.
DESENTENDER, vo. n. et — se, v. r. faire
Päne, feindre d’ignorer, de ne pas entendre.
+ DESENTENDIDANENTE ‚adv. en feignant de
ne pas entendre.
DESENTENDIDO, A, pP. p. de Desenlender. ad).
Borne; ignorant. Dar-se por —, fazer-#—,
feindre d’ignorer, de ne pas entendre ow com-
prendre ; faire semblant de rien. 4o —, los.
adv. p.us. faisant semblanı de ne pas eniendre
DESENTENDIMENTO , s. m. faule d’intelligence,
d’ignorance.
DESENTERESSE, etc. V. Desinteresse, ei.
Drsentenia , etc. V. Dysenteria, etc.
DESENTERRÄDO,, 9. p. de Desenierrar. adj.
(fig.) Päle comme un mort.
DESENTERRAD®S , A, 2. qui deterre. — de
morlos. V. Dessnterramörlos.
DESENTKUSAMENTO , 5. m. * exhumalion : &C-
tion d’exkumer.
+ D2SENTERRAMÖRF DS, 5. 2 gem. ( am.) 06-
Iui gui dit du mal ”,eceux qui sont moris.
DEsEnTERRÄR,, 0. a. deterrer, exbumer : Te-
tirer de terre. (%g.) — , d6couvrir ce qui &ait
cache. (fig. fam.) Fouiller dans les tom-
beaux, chercher ä connaitre. Tirer de l’oubli.
— 05 08508, (fig. fam.) fouiller dans la geneö-
ICzie de quelqu’un. — os mortos, (fig.) trau-
bler les cendres des morts.
DESENTEsäno, A,p. p. de
DESENTESÄR, v. a. deraidir : Öter la raideur;
debander, detendre.
DESENTESÄR, ©. n. et — se, v. r. perdre la
raideur, se detendre; se relächer.
DESENTESOURAR , etc. V. Dosenikesourer,
etc.
DESENTRESOURADO, A , 9. p. de Desentkesow
rar.
DESENTHESOURADÖR, A, 3. qui tire da tre&sor:
(fig.) Qui decouvre des choses cachees.
DESENTHESOURÄR, d. a. tirer du tresor. if9.)
Communiquer, faire connaltre ( des veriles,
des faits importants,, etc.). .
Desentoacad, s. f. ’action de detonner, dis
sonnance , faux ton.
DESENTOÄDAMENTE, adv. avec detonnalion
bors du ton naturel, faux. ,
DEsenTOADO, A, P. p. de Desenloar. adj.
Dissonnant. Homem —, qui chante [aus.
DESENTOAU£NTO,, s. m. V. Desenloagäo.
DESENTOÄR, v. a. deionner,, sortir du ID.
chanter faux. Klever la voix, parler plus hau!
qu’il ne faut. V. Desproposilar.
DESENTOAR-SR, v. r. parler fort, audacieu-
sement.
DESENTOLBER, ©. @. lirer les membres d'un
etat d’engourdissement ow de faiblesse, leuf
rendre la souplesse habituelle.
DESENTOLBIDO , A, p. p. de Desentolker
DESENTONADO, A, p.p. de
+ Desentonär,v. a. abattre, abaisser lof
gueil, humilier.
DES
Deststonp£cka, v. a. dögourdir, Öler l’en-
gourdissement. (ig.) Acliver, donner de la vi-
gueur, dag mouvement.
DesestonpECcER , ©. n.eL — se, v.r. se d6-
gourdir, perdre Vengourdissement, cesser d’ätre
engourdi. (g.) —, se [aconuer, se foriuer;
prendre de l’activite , de l’energie.
BesentoRPzcipNn, A, P. p. de Desentlorpecer.
DESERTORPECIMENTO, #. m. degourdisse-
ment : cessation d’engourdisscinent.
DrsentaancanO,, A,p.p. de
Desentaancan, ©. a. defaire une nalle ou
ane tresse de cheveux, denalter. - j
DesesTaasBADO, A, P- pP. de
DEsEXTRANHAn, ©. w. arracher les entrailles.
(Ag.} Tirer des entrailles de ıa terre; du fond
du ezur. (id.) Approfondir une maticre.
TSSENTRANHÄR-SE , v. r. se dechirer les en-
'railles. ‚kg.) Se depouiller en faveur de quel-
yu'un.
DesesteesoLnäs. V. Esfolar.
fDessxtrıstecke, v. a. desattrister, decha-
srner, egayer, dissiper la Lristesse. Ji est aussi
reeiprogue.
Dssextaistecino,, A ,P. p. de Desentrislecer.
Disextnonızan0, A, p. p. de
Desestronızän, c. a. delröner ; chasser, de-
posseder du tröne; depouiller de la souverai-
nete.
Disertaouxäno, A, 9. p. de
Desestaouxän, v. a. depaqueter, deballer.
Dessattıaäpo,A,Pp. pP. de
Disesrursäir, v. a. deblayer, decombrer :
der les decombres. — um pogo, nelloyer, cu-
rer un puils.
DrsestöLno, 3. m. enlövement des decom-
bres ou plätras, elc. ; deblai, decombres.
Dssınturipo, A, P. p. de Desentupir.
Deszurumsento, s. m. debouchement, de-
görgement, .
Deszuropn , v. a. degorger, deboucher; cu-
ter un paits.
Deszxvasipo, A,9.p. de
Desenvasir, v. a. (4. de mar.) remeltre &
fot (un navire), Öter de la vase, du limon.
DESENYENCILBADO, A, P. p. de
DESERVENCILHÄR , d. a. dclacher, lächer, de-
ber, denouer.
DesexvuncıLRän-se (de), v. r. se deharras-
ser, se delivrer, briser ses liens.
Disanvene£näno, A, p. p. de
+ Disanvenenäir, ©. a. desenvenimer : Öler
le venin ; guerir Pempoisonnement.
Desenvencäino, A,P.p. de
tDesenvencän, vo. a.(t. de mar.) dever-
guer:: delacher, Öter les voiles des vergucs.
LSSENVERCONNÄDO, etc. V. Desavergunhado,
eic.
Drsanvensin. V. Desinvernar.
"Desenvestin, v. a. Öler l’ınvestiture, 1a
transferer 4 un aulre.
DeszxvioLApo, A,P. p. de
DesesvioL.än,, v. a. purißer une eglise pro-
Otte, larendre au culle.
DES
DESENYISCADO, A, 2. p. de
DESENVISCÄR , v. a. degluer: Öter la glu, de
barrasser de la glu. Il est aussi reeiproque,
DESENVOLTANENTE, Adv. avec aisance, avec
adresse, avec gräce; !rop librement, indecem-
ment; effrontement , impudemment.
DESENvÖLTO, a, ad. adroit,, agile, inconsi-
dere; irop libre, licencieux, liberlin , effronte,
insolent. Aluller —a, femme mise indecen-
ment, immodeste; excessiiement libre, sans
pudeur, coquine.
"DEsENvöLToso,. V. Desenvollo.
DeEsENvoLTÜüRA, 8. f. agilile, dexterite, har-
diesse, liberte, franchise, air aise, delibere.
Licence ; mise indecente. Effronterie, inso-
lence. Gaillardises : paroles, actions un peu
libres.
DesenvoLtcäö,s. f. V .Desenvolvimento,
DESENVoLVENTE. V. Erolvente.
DEsEXNvVoLvER, v. a. derouler, developper,
deployer, deplier. (fg.) Debrouiller, develop-
per, &clairecir.
DESENVOLVER-SE, v. r. se debarrasser, 86
delivrer; se developper, s’accroltre, prendre
toute sa force. (fig.) Perdre sa timidite, s’en-
hardir. — mdilo, prendre trop de libert&, de-
venir insolent. — com alguem, se familiariser
avec quelqu’un, se deboutonner & lui; lui
manquer de respect.
DESENYOLYIDO , A, 9. p. de Desemvolver.
DESENVOLVIMENTO , &. m. dereloppement +
action de d&evelopper ou de se d&velopper eb
general ; progres.
+ DESENvoLVvivEL, adj. 2 gen. (1. de ER
developpable ; explicable, susceptible d’&
dereloppe.
DESENXABIDAMENTE, adv. sans gräce, Sans
goüt, insipidement.
DesenxaBino, A, adj. fade, insipide, sans
gräce, sans sel, sans art; maussade.
DESENXARCIÄDO, A, P. p. de
DESENXARCIAR, v. a. (i.de mar.) degreer un
navire.
Desenzerchr. V. Differengar.
Desserciö,s. f. desertion : action de deser-
ter; abandonnement du service sans conge.
+ Desentacäö, s. f. Ct. de prat.) desertion :
abandonnement d’un appel.
DESERTADO, A,Pp. p. de
Desertär (de), v. ®. deserter : quitter le
service militaire sans conge. (Ag.) —, quitter
un lieu,, se separer d’un corps. (8. de praf.) —,
abandonner l’appel. II est quelquefois actif
avec les mermes acceptions, 1uals p. us.
DESERTO ‚A, adj. desert, inhabits; solitaire;
abandonne;; depeupie.
Des£rto, s. m. desert : lieu desert: terre in-
culte;; pays inhabite ; solitude, retraile.
Desentön,s. m. deserteur : soldat qui de-
serie, qui a deserte. —, qui abandonne une
sociele, elc.
Desenvigö, etc. V. Dessertigu , elc.
DESESCOMMUNGÄR. V. Desezcomm...
Desescunecer. V. Aclarar, Illustrar.
421
422 DES
Dese£seıs. V. Dezascis.
Des£.seistiviAno. V, Dezaseistavado.
Distspaxtäno,A,p.p.de
DESESPANTÄR,, t. @. faire cesser l’ktonne-
ment.
DesEspaxTär-sr., v. a. revenir de sa sur-
prise.
+ Desespänto, s. m. !’action de faire cesser
lretonnement, ou de revenir de sa surprise;
intrepidile.
DEsEspEnAGÄö, 5. f. " desespoir: perte de
loule esperance. —,colere, rage, fureur. Mei-
ler, por em —, faire desesp6rer, faire perdre
toute esperance. E uma—,(fam.) c’est une
chose insupportable.
DFESESPERÄDAMENTE , adv. desesper&ment,
en desespere ; &perdument.
DESESPERÄDO, A, p. p. de Desesperar. adj.
Desesper6 : qui ne donne aucune esp6rance;
qui se desespere, furieux. Como —, & la des-
esperade, en desespere.
Dessspenänca, s. f. " desespoir, desolation.
DESESPERANCÄDO,, A, P. p. de
DESESPERANCÄR, o. a. desesperer : faire per-
dre l’esperance, öter l’espoir.
DESESPERÄR, v. a. desesp£rer, depiter, tour-
menter; affliger vivement ; öter, faire perdre
l’esperance, p. us. (de), v.n. ei plus us. des-
esp6rer : perdre l’espoir; regarder coınme
perdu, detruit, sans espoir. Se livrer au des-
espoir.
DESESPERÄR-SE, ©. r. se desesperer, se Jd-
piter, s’ondiabler, s’impatienter, enrager, se
fächer.
+ Dzsgsptno, s. m. V. Desesperagäo.
Deszsquipipo,,A,p. p. de
DESESQUIPAR, v. @, desagreer un navire.
DESESTEIRÄDO, A, P. p. de
+ Desestgirär,, v.a. dönatter : degarnir de
nattes le plancber d’une chambre, etc,
7 Dsszstima ow | *"mepris,depreciation.
FDsszstıuacäd,s.f. 1 "Avilissement, decri,
perte du credit, mauyaise r&epulation.
DssEsTtınä0o, A,9. pP. de Deseslimar.
Desestımanon, A, 8. celui qui ındseslime ,
qui meprise, qui depreecic.
DESESTIMAR,, ©. a. mesestimer, möpriser, de-
precier. Il est aussi r&ciproque.
DESEXCONMUNCADO, A, P. p. de
DESEXCOMMUNGAR , 9. a. lever l’excommuni-
cation.
Desransiche. V. Arruinar, Derribar.
DESFAGAR-SE, elc. V. Descarar-se, Desarer-
gonkhar-se.
“DessraLciacäö, u. f.
DESFALCANENTO,s. m. | V. Desfalque.
DesvyaLci00, A, p.p. de
DassaLcin, o.a. defalquer, diminuer, re-
trancher; rabattre , deduire , decouptor.
" DesraLdar. V. Desfraldar.
DESFALLECHNTE,, adj. 2 ger. 'qui afaiblit, '
qui deperit. p. a. de
DESFALLECER , 9. @. aflaiblir, diminuer les
forces. p. us. |
DES
DrsraLtechr, vo. ». delaillir, s’affaiblir, de-
perir ; s’evanouir. Ndo — em valor, em pru-
dencia,eic.,ne pas manquer de couräge, de
sagesse, elc.— na paga, ne pas s’acquitier.
— no cumprimentio da promessa, ne pas &c-
complir ses promesses, manquer de parole.
DeEsraLLEcıDO,, A, p. p. de Desfallecer.
DesraLLecımenTo, 5. m. * defaillance, fai-
blesse, langueur, affaiblisseınent, inanition.
Evanouissement. — do pulso , (1. de mdd.) lai-
blesse : defaillance du pouls.
* DesraLLecipo. V. Desfallecido.
DesraLqug, 5. m. * defalcalion , rowranche-
ment , dechet; d&duetion ; decompte.
Desramar, etc. V. Diffamar.
Desranatızino,A,p. p. de
+ Desranarızin, vo. a. delivrer dd fanatisme,
le contraire de fanatiser.
Desristio, s. m. bon appätit. (%g.) Enjous-
ment, galis, passe-temps, menus plaisirs.
Desravör, s.m. dedain , meprıs. *Defavoar,
cessation de faveur.
DesravoriveL, adj. 2 gem. defavorable:
prejudiciable, desavantageux ; qui n’est point
favorable.
+ DEsFAVORECKDÖR , A, 8. celui qui nuıt, gei
cherche & faire de la peine,, qui est contraire.
Desravorecka, dv. @. disgracier : cesser de
favoriser, de proteger. Rebuter, ne point agreer
les services. Nuire, s’Opposer, traverser.
Desravorscin0, A, p.p. de Desfavorscer, ei
adj. — da naluresa ou da fortuna, disgratie
de la nature ow de la fortune; maltraite par
l’une ou par l’autre.
DESFAZEDOR, 5. m. celui qui defait, qui d&
truit. — d’aggravos, vengeur, redresseur de
toris.
Desrazer, v. a. defaire : detruire ce qui est
fait; faire qu’une chose ne soit plus ce qu'ello
etait. (Ag.) Annuler, revoquer, casser ( un c00-
trat, etc.). —, deiruire, abattre, renverser,
ruiner. Eteindre, abolir, aneantir. —, tailler
en pieces , deronfire une arımede, la melire en
deroute. Fondre, liyuefier. Diviser, depecer,
couper, meltre en morceaux. D6layer : deirem-
per un corps dans une ligqueur. Rompre, alt-
rer un traite, eic. Diminuer, amoindrir, allt-
nuer.Licencier,congedier des troupes. Amincir.
(de) Rriver, depouiller de... , delivrer de... —
aggravos, elc., venger, r&parer une injure, I
tort,etc. — a volla ou a meia volla, (1. mil.
faire A l’exercico un mouvernent oppose 4 ceiu!
qu’on a fait. — um engano, desabuser, tire
d’erreur, detromper. — um ewredo ou embusl*,
ıl&couvrir une fraude, une supercherie. — u”
erro ‚ corriger une erreur. Fazere —,\. Fe
ser. —a venda, resilier.
Desrazir, v. n. —em alguem, medire de
yuelqu’un, le dechirer. — em alguma couss,
deprecier une chose, lui trouver des delauts-
— em si, agir contre son honneur, son devoff,
sa dignite; se depräcier soi-meme par humi-
lile ou par ruse.
Desrazön-se (de),o.r. se defaire, se di-
DES
barrasser ; quilier, @loigner, &0arler de sol ce
gai nuit, deplait, eis. Disparaltre, s’&vanouir,
se dissiper. Se consommer & force de cuire. Se
fuondre: perdre la soliditö, la consistance. S’af-
faiblir; se deconcerter. Se d&composer, se de-
coudre, se desasseinbler. — em, avant un sub-
stantif, il en prend la signifleation. Ex. : — em
pranto, em lagrimas,, se fondre en larmes,
p!urer abondamment. — em comprimentos,
(2:re beaucoup de compliments. — em deseul-
pas , faire beaucoup d’excuses. — em injurias,
vomir des inreclives. —como o [fumo, (fam.)
s’en aller en fumee, se Jdissiper, s’evanouir.
— como o sal n’aqua, se fondre comme le sel
dans I'cat, en pcu de lenıps, sans profit, et
sans savoir comment. — de carnes, maigrir.
— d’uma cousa, se d&faird d’une chose. Palie-
ner. — uma cousa enire as mdus , ( fam.ı on le
dit d’une chose qui se dissipe facilement, qui
est bientöt usee,, consumee. u
DESFAZIMENTO ,s. m. Vaction de defaire ; an-
nalation , abolissernent,, aneantissersent.
Desrear. V. Desfeiar.
Desrecnino, A, adj. decoche. Mentira —a,
mensange impudent. p. p. de
Desrecaär, ct. a. ouvrir ce qui 6talt ferme &
la clef. — a espingarda, lirer, decharger un
fusil.— o s@dilo, rompre le sceau. —a sella,
decocher une fläche.
Desrecnan, ©. 8. eclater; se denouer, fnir
par. —em riso ou — a fir, rire & gorge de-
ploy6e. —em pranto, em injurias, etc.V. Des-
fazer-se em..., eiCc.
Desrtcno, s. m. ddnouement. V. Desenlace.
DESFEIADO ou DESFFÄDO,, A, p. p. de |
Desresin, v. a. otllaidir : rendre laid. V.
4feiar.
Dssrtıra, s. f. delaite, excuse ; insulte.
Desseıteido ,A,9.p.de
DESFEITEÄR,, ©. a. faire un affront & quel-
qu’un,, Pinsalter.
DesrEıto, A, p. p. de Desfazer. adj. Defait,
defigur@ ; dissous; violent, fort, impelueux,
furieur, affreux, horrible, continuel, parlant
d’une tempete, du vent, etc. Tormenls —a,
teınptte horrible, tr&s-gros temps. Fugida —a,
fuite precipitee.
Dssrtıro, s. m. hachis de mouton , etc.
Dssrsuido,A,9.p. de
Desserin, o. a.(#. de mar.) deferler: de-
ployer les voiles. Brandir (l’Cpde,un dar, etc.).
e.n.(f.demar.) faire voile, ınettre sous voile.
Desrennäno, A,Pp.p. de
Desrenrän,v. a. ter les fers d’an prison-
nier,!’en delivrer. Deferrer : öter le ferd’un che-
val.‘t. demar.) De£ferler : depaqueter les voiles.
Desferrär-se,, o. r. sc deferrer : perdre son
fer, se dit d’un cheval, etc.
DzsrenroLgär. V. Desaferrolhar.
‚ Drsrt100, 9. p. de Desflar. adj. Qui marche
al hile, Qui defile, qui est eMie.
ı Prsrıioo, s. m. l’aclion d’eMler une &toffe
pria broder 4 jour; cette eloffe efilee.
Dissiia ,o. a, efiler : defaire un tissu fl ä
DES 423
fl. D6dler. (Ag.) Diviser : couper en fileis. (id.)
Analyser minulieusement.
Dssrian-se , v. r. s’elfiler : s’en aller par flls.
+ Dessicuracäö, 8. f. * deligurement : action
de defigurer ; &tat de ce qui esı defgure.
DssriGuRÄDO, A, P-. p. de Desfigurar.
Dezsrıcuramento, s.m. V. Desfigurardo.
Dssricuräir, v. a. defigurer, deformer, con-
trefaire, Öter la forme, gäter la figure , rendre
difforme. (flg.) Deguiser, feindre, dissimuler.
(1d.) Empecher qu’on ne voie les formes , los
objets. (id.) Deligurer, contrefaire, imiter, re-
presenter; en parlant d’un reeit, omettro las
ciroonstances essentielles.
DESFIGURÄR-SE, dv. r. s’6mOoUuvoir, se troubler,
s’affecter, et le faire connattre par l’alteration
des traits; &prouver un changement dans sa
ligure ä cause de maladie, etc.
DusriLipa, 8. f. ınarche de soldais ä la file.
4’ —,ventre & terre, & bride abattue; & la
ßile.
DesrıLaD£ıno, s. m. döfll6 : passage Etroit,
DessiLiÄ0o0o, A, p.p. de
DrsriLin, v. ». defler, aller & la file, Yun
apres l’autre.
DesriLBÄDO, A, p.p. de
+ DssriLuin, v. a. &bourgeonner : öÖter les
bourgeons superfius d’un arbre & [ruits, &mon-
der, elaguer un arbre. Separer un essaim de
vieilles abeilles en lui presentant une nouvelle
ruche. Depeupler.
DESFILHÄR-SE, v. r. se depeupler.
DesrivELiDo, A, p. p. de
DesriveLin, 0. a. debouelor : degager Yar-
dillon d’une bouele.
DesrLeıwaDo, A, P. p. de
DESFLEIMAR , ©. a. guerir de la pituite. #4. V.
Deflegmar.
DesrLoracid,. V. Defloragdo.
DrsrLoripo, A, pP. p. de Desflorar.
DESFLORADÖR, s. m. celui qui defeurit. (fig.)
V. Deflorador. -
De.sfLORAMENTO, 3. m. Yaction et Yeffet de
defleurir. ( Ag.) V. Defloragdo.
DesrLonär, ©. a. defleurir : öter la fleur:,
(ernir, Oter le lustre. Eflleurer. (fig.) V. De-
florar.
Dr.SFLORECER, v. n. defleurir, perdre sa fleur
ou ses fleurs. (fig.) Se ternir, perdre son lasıre,
1l est aussi reciproque.
DEsSFLORECIDO, A, 9. p. de Desflorecer.
Disrrongciv£xto , s: m. * defleuraison :
chute , temps de la chute des flears.
DesrLorido, A, adj. depouille de fleurs.
Drsroconino, A, p. p. de
DESFOGONAR, v. a. briser la lamiere d’une
arme & feu.
+ DesrocoxÄr-sE, v. r. (f. d’artil.) s’user
par l’usage, en parlant de la tumicre d’une
piece de canon.
+ Desröını, 8. f. effcuillaison : temps oü
les feuilles tombent; action de depouiller de
fenilles un arbre, une plente. * Epamprement,,
en parlant de la vigne.
424 DES
° DesroLnacäö. V. Desfolha er Desfolha-
mento.
DESFOLHÄDO,, A, 9. 9. du Desfolhar.
De sroLHADOR, A, 3. celui qui effeuille.
DrsruLnaDüRA, 8. f. elleuillaison : action de
depouiller de feuilles un arbre , une plante.
+ DesroL.HANMENTO, 5. m. p. us. elleuillement:
action d’öter les feuilles; elaı de ce qui a perdu
les feuilles.
DezsroLHir, dv. a. efleuiller les arbres, cpam-
prer les vignes, öter les feuilles, les jets inu-
tiles.
DeksroLHÄR-SE, v. Tr. s’elleuiller. Il se dit des
roses, etc., dont les feuilles, les petales tom-
bent.
} DesröLuo, s. m. la peine d’effeuiller les
arhres, d’epaınprer les vignes, etc.
DESFORGADO, A, pP. p. de Desforgear.
DESFORCADÖR, 8. m. redresseur : celui qui
redresse les toris.
DESFORGAR, v. a. redresser les toris, les re-
parer; venger une injure; ımellre en posses-
sion.
DESFORGAR-SE, ©.T. Teprendre possession ;
venger une injure recue.
Desroumar. V. Disfigurar.
DessunMme, elc.V. Difurme.
Desrörra, 8. f. "acyuit: action de se racquit-
ter ; recouvrement de ce qu’on a perdu. Ven-
geance, salisfaction tiree d’une injuro, revan-
che. Em —, en recompense, en revanche.
Tirar a —, V. Desforrar-se.
Di:5SFORRÄDO, A,Pp. p. de
Disrunrär,v.a. öter la doublure. Indem-
niser d’une perle; recompenser quelqu’un de
ses peries. — 03 cabos, (1. de mar.) defourer les
cordages.
DEsFORRAR-SE, 9%. r. se racquilter : regagner
ce (u’on avail perdu au jeu. Se venger, rendre
la pareille, prendre sa revanche, s’indemniser ;
se Fatiraper sur.
DesFnAaDAnO, A, pP. p. de
DeseraDÄR-SE, v. r. se defroquer : jeter le
fruc aux orlies, en parlant d’un moine qui
abandonne son couvent. V. Secularizdr-se.
DEsraaLDADO, A, pP. p. de
DesrraLpän, c. a. diminuer l’ampleur d’une
robe, etc. — as velas, (1. de mar.) delerler les
voiles.
DeEsrRanziDo, A,p.p. de
f Desseanzın, v. a. deplisser, defroncer une
etofle, etc. ; delaire ce qui etait plisse,, fronce ;
derider. — a ldsta, as sobramcelhas, (fig.) se
derider le front, defroncer le sourcil.
Desvnein-sE, olc. V. Desenfrear-se , etc.
Dssrauncuipo, A, pP. p. de
DesrauncHän, v.a. (f. de chir. ane.) öter le
pus d’un abcös.
Dassaurino,a,Pp. p. de Desfruiar.
DESFRUTADÖR, A, 3. usufruilier : celui qui
pergoit les fruits d’un heritage; qui jouit, qui a
Vusage, la jouissance et la possession d’une
chose;; qui vit aux depens de quelqu’un;; para-
site,
DES
DESFRUTAR,, v. a. recueillir, perceveir les
(ruits d’un heritage. Effriter, user, &puiser un
terrain, en recueillir les fruits sans le cultiver
convenablement. Jouir, avoir usage, la jouis-
sance ei la possession d’une chose. — ‚
sc prevaloir de l’amitie, de l’autorite d’aulrui
pour faire ses aflaires; vivre aux depens de
queiqu’un.
DEsFuxnADO, A, 9. P. de
Desrunpär, v.a. defoncer : Öter le fond (d’un
tonneau , eic.).
DsscABiDO, A, P. p. de Desgabar.
DESGABADOR, A, 5. depreciateur.
Descanir, v. a. blämer, trouver & rodire ä ce
que d’autres louent; deprecier, depriser.
DssCADELHÄDO, A, 9. p. de
DESCADELBÄR, ©. a. 6cheveler, dechereler.
DeEsCaLGiD0, A, 9. p. de
+ DescaLcär, v. a. precipiter, jeter de haut
en bas. (4. d’arch.) Demaigrir » retrancher du
bois, de la pierre.
t DesGaLcaR-sR, u. r. se precipiter, au pro-
pre et au figure.
DESCALHADO, A, 9. p. de
DescaLHir, v. a. ebrancher un arhre; en
couper les rejetons.
Descarräipa,s. f. danse ei chant populaire
(en Portugal).
DESGARRADO, A, P. p. de Desgarrar. ad).
(fig.) Deregle dans ses maurs ‚ libertin , desor-
donne, qui mene une vie licencieuse.
Descannäö, adj. m. qui egare, qui fail ega-
rer ou eloigner.
DescanräR, v, a. detourner du bon chemin,
egarer.
DESCARRÄR, 0. n. (l. de mar.) lever Vanere;
chasser sur ses ancres.
DESGARRÄR-SE, ©. r. s’6garer. (fig.) Seloi-
gner, se separer de quelqu’un, fuir sa compa-
gnie. S’ıadonner & la debauche.
DESCARRO, 8. m. &garement. (Ag.) "Bravoure,
hardiesse; impudence, eflronterie; fanfaron-
nade, bravade, rodomontade. OEillade, re-
gard, coup d’eil gracieux.
DESCASTÄDO, A, pP. p. de
+ DescasTAR, v. a. consumer, miner petit 8
petit, blaser, user. Ronger, detruire. — & cu-
mida , os humorcs, laciliter la digestion, alle-
nuer les humeurs.
DescsLär, etc. V. Degelär, etc.
+} Duscorsano, A, ade. decollete : qui a Ic
cou d£couvert.
+ Descornin, v. a. (l. de mar.) depasser une
man@uvre.
Descostinpo,A,p.p. de
Descostär, v.a. degoülter : donner du de-
goüt. (Ag.) Rebuter, desagrter, fächer, aigrır
causer de l’eloignenient, de l’aversion. (de, t-®-
Naimer pas, n’eire pas content de. Nde —
d’uma cousa, d’uma pessoa, avoir assez de goüt
pour une chose, pour uno personne.
Descostän-sE (de), v. r. se d&gouler: pren-
dre du degoüt pour une personne, uno chose-
Duschsto, s. m. (Ag.) degoüt, desagreiuent.
. DES
deplaisir, chagrin; —, aversion. A — , loc. adv.
äregret, & conire-caur, malgre. Morrer de —,
mourir de chagrin.
DEscostösamantE , adv. A regret, avec r&pu-
gnance.
DescostosissiMO, A, adj. sup. de
Descostöso, a, adj. desagreable au got,
insipide, fade; triste, ennuy6, degohts, me-
content, decourage.
DescoveannäDo, A, pP. p. de Desgovernar.
«dj. Qui gouverne mal ses allaires; qui n’a
point de conduite, deregle; dissipateur. De-
mantibule. ‚
+ Descovexnandaa, s. f. (t. de veler.) * bar-
rement des veines d’un cheval.
DESCOYERNAR, ©. a. ronverser, detruire,
troubler le bon ordre, la bonne administra-
tion ; mal administrer. (1. de mar.) Gouverner
wal un vaisseau , ne pas veiller sur le gouver-
nail. #.de veler.) Barrer les veines d’un cheval::
kes couper ou y metire le feu pour arreter le
eoars de quelque humeur maligne.
Descovkanan-SE, vd. r. 86 conduire mal,
faire des exc&s, se deregler. Se disloquer, se
demelize, se debolter, en parlant d’un meın-
te.
Descovkano, s. m. desordre dans les allaires,
mauraise administration, malversation; in-
eonduite, defaut de conduite; exces, deregle-
ment. . 6. de oeler.) Barrement des veines d’un
cheral. Veia do —, (td.) veine en dedans de
cliaque cuisse du cheval.
Deserica, 8. f. disgräce, malbeur, &chec,
desasire ,accident [uneste, fächeux,, infortune,
conire-iemps. —, perte, privation de bonnes
gräces. Rudesse, mmauvaise gräce dans ce qu’on
dit ou ce qu’on fait. Ser perseguido pela—,
avoir da malbeur, jouer de malheur, echouer
dans ses entreprises. Fazer, concluir alguma
CusG sem —, mener une affaire A bon port.
Por —, par malbeur. Para maior — sua, pour
son plus grand malheur. Nunca uma — vem 50,
{pror.) un malheur ne vient jamais seul. Assim
equiza— , le malheur l’a voulu.
DescRaAciDAMENTE, adv. malheureuserment,
par malheur. Disgracieusement: d’une manıere
dessgreable.
DescnacaDıssımO, A, adj. sup. de
Descaacino, A, p. p. de Desgragdr. adj.
Diszracie; malbeureux, fächeux. — de mim!
msıheur & moi! malheureux que je suis! Fos
tiv — que ndo o achou, il [ul assez malbeureux
Pour ne pas le trouver.
tDescaacar, o. a. rendre malbeureux, in-
fortuner.
tDescaacar-se, c.r. devenir malbeureux;
&rouver du mallecur.
VESGRACIADO, A. V. Desgragado.
Nescaancän,, eic. V. Degradar.
Drscaamino, A, p. p. de
TDescaaman, vo. a. arracher le chiendent
“un champ.
Drasarsın,ete. V. Disgregar, etc.
Discasxnano, A, adj. Echevele, ebourilfe :
DES 425
qui a les cheveux en desordre. (fig.) Triste,
melancolique, defigure. p. p. de
DESGRENBÄR,, v. a. decherveler, decoiffer,
€parpiller les cheveux. Il est aussi röciproque.
DescktpiD0, A,p.p. de
DescaunÄr, ©. a. decoller : detacher ce qui
€tait colle. 11 est aussi r&ciproque.
DESGUARNECER,, v. a. degarnir, deparer : Öter
ce qui pare, rendre moins agreable. (f. mil.)
Demunir, degarnir : öter les munitions d’une
place, affaiblir, diminuer sa force, öter une
partie de sa garnison. Degarnir un oulil de
queiqu’une de ses parties. ( fg.) Priver, de-
pouiller. — as mulas, os cavallos, deharnacher
les mules, les chevaux. — a espdda, Öter la
garde d’une epee.
DESGUARNECER-SE, ©. r. se degarnir; se pri-
ver. *
DESGUARNECIDO, A, 9. p. de Desguarsecer.
Descuennäpda, adj. f. V. Imbelle.
DespanıLıtan, V. Inhabililar.
DESHABITÄDO, A, adj. inhabite : qui n’est pas
habite. p. p. de
DESHARITÄR,, v. a. quitter, abandonner un
pays, une maison, cesser de P’habiter. (fig.
p. us.) Depeupler un pays, le rendre desert.
+ Desnasıtuagäö, s. f. perte d’une habitude,
aclion de se deshabituer.
DESHABITUADO, A, p. p. de
Desuasıtuir, v. a. deshabituer, desaccoutu-
mer : faire perdre une habitude.
DESHABITUÄR-SE , v. r. se deshabiluer : per-
dre ’habitude.
Desuenvacäö,s. f. eıheredation : action de
desheriter ;son acte ; etat de celui qui est d&s-
herite.
DESBERDÄDO, A, P. p. de Desherdar.
DESHERDANMENTO, 3. m. V. Desherdapdo.
Desuernir, v. a. exhereder, desheriter :
priver de l’heritage. — os filkos, (flg.) desheri-
ter ses enfants en dissipant les biens qu’on de-
vait leur transmettre. —os parenles , exclure
d’une succession les parenis qui ne sont pas
heritiers legitimes.
DESBERDÄR-SE, v. r. — em vida, faire lo
partage ow la donation de ses biens pendant sa
vie. (fig.) Degencrer de la vertu de ses anc£tres.
° Desnı, adv. des lors, depuis ce teuıps-lä ;
aprös cela.
DESHONESTADO, A, P. P. de Deshonestar.
DESHONESTAMENTE, adv. deshonnetement,
impudiquement.
Desnungestärn, v. a. deshonorer, diffamer,
decrier, decrediter ; debaucher. j
DESHONESTÄR-SE, dv. r. inanquer aux bien-
seances de son etat, ä ce qu’exige son rang,
sa dignile ; perdre la pudeur.
Desnonsstipäne , s. f. deshonnetel6, saletc,,
tubricite, impudicit6 : aclion ou parole qui
choque la pudeur.
DESBONESTISSIMO,, A , adj. sup. de .
Desnongsto, A, adj. deshonnete, Immo-
deste, impudique, sale , contraire & la pudeur,
ä la biensdance.
426 DES
Desnonon ‚s. m. deshonneur, V. Desdouro,
Deshonra.
Desuönra, s. f.* deshonneur, discredit, ta-
che , infanlie , Netrissure. Violonce faile & une
fille, commerce illicite avec une fonmme.
t Desuoxaäpauente, ade. avec deshonneur,
d’une manidre d6sbonorante , infamante , avi
lissante.
Desnouri00, A, 9. 9. de Deskonrar.
DesnonganorR ‚A, 5. et adj. qui deshonore,
qui outrage, qui diffame.
Desnonrär , v. a. desbonorer, perdre d’bon-
neur, de re&putation, diffamer. Outrager, faire
un affront, mepriser, trailer aveo dedain. —,
abuser d’une femme honn£te, lui ravir l’hon-
neur. — uma donzella, violer, s6duire une
Nlle.
DesuonrÄR-sE, v. r. se d&shonorer : perdre
son honneur par sa conduite, ses paroles; s’a-
vilir.
Destonröso, A, adj. honleux, deshonorant,
arilissant.
* tDessorino, A, adj. malheureux ; qui
vient ä contretiemps. V. Deshoras.
Desnöras (a), ade. Venir a—, venir A une
heure indue, ou mal & propos. V. Föra d’ko-
ras.
* f Desmospenino, A, adj. qui manque de
gite, de logement.
DEsBUMANÄDO, A,p. pP. de Deshumandr.
Desuumanamenıe , ado. inhumainement :
crucliement.
Desuumanäa, v0. a. d&shumaniser : depouil-
ler de ses sentiments humains.
Drsnumanıpäne, s. /. inhumanits , cruaute;
barbarie ; defautd’humanitd ; action inhumaine.
DESHUMARISSIMO,, A, adj. sup. de
Desntmino, A,adj. inhumain : sans piti6,
sans humanit&; dur; cruel.
t Drsnuugorckn, vo. a. secher, dessecher,
öter ’humidits.
*Drsnuneoecioo, A, p. p. de Doshumede-
cer.
* Desi. V. Deshi.
*“Desiciö, s. f.V. Exlincglo, Fim.
Desinıa ‚8. f. paresse, faindanlise, inaclirite,
incurie,, inertie, mollesse, inaction, apathie,
oisivets , nonchalance , negligence. p. us.
T Destniösamexte, ade. nonchalamment ,
negligemment, mollement, lentement , froide-
ment. p. us.
t Desinıöso, A, adj. paresseux, nonchalant,
inerte , negligent, sans activite. p. us.
Desıcnacäö,s. f. designation d’une personne,
d’une chose, par des expressiong, par des
marques qui la font connaltre ; nomination et
destination expresse.
+ Desicxäpam£nte, adv. specialement, nom-
möment.
Drsicxino,A,p.p. de Designar.
‚Desıcxanor,A,s. eladj. indicateur, qui de-
Bigne.
DesicnÄr, v. a. projeter, r&soudre ‚ detormi-
ner inlerieurement, Designer, destiner & un
DES
emplol,; dönoter par des signes precis, par des
marques qui font connatire, distinguer ; Mär-
quer precisement. BR
DESICHATiVO, A, adj. designaul : qui desi-
gne, speciße.
Desicnıo, 3. m. dessein, r&solution,, visee,
vue, intention, projet.
Desicoäı, adj. 2 gen. inögal : qui n'est point
egal. Dissemblable. —, raboteux. Erxcessif,
oxir&me. pP. us. ( ig.) —, Changeant, incon-
stant, variable.
DesicuaLino, A, 9. p. de Desiguslar.
* DesıcuaLanca. V. Desigualdade.
DssicuaLär, ©. a. desajuster, rendre ine-
gal, detruire l’egalite, Ja conformite de deut
choses entre elles, desassortir. o. ». Rire int-
gal, etre dissemblable. Ndo —, #ire Egal,
ötre conforme. ,
DesıcuaLÄB-RE, ©. F. exceller, Stre ou s’le-
ver au-dessus. — om casamenio , se mesalliet :
s6 marier & une personne d’une oondition IN-
ferieure. Inögalitö, disconvenanee
DssıcuaLpÄne, s. f.in it6, diSsconvenani®,
disparits, desavantage, defanı d’egalit; It-
constanoe ‚ lögöreis. Difförence, dissemblanoe.
—do sölo, inegalit& du terrain. — do iempe,
varialion , inconstance du temps.
* Desıcuantza. V. Desiguaidade.
DESIGUALISSIMO, A , adj. sup. de Desigual.
DesıcuaLwente, ade. inegalement, d'une m&
niöre inegale.
DESImAcınÄDO,A, 9. p. de . la
Desınacınar , o. a. effacer de l’esprit, d*
memoire. Dissuader. li est aussi r&ciproqU®.
DESIMPEDIDO , A , 9. p. de Desimpedir.
+ Desımpgoımento, s. m. Paction de debar-
rasser, debarras.
DEStMPEDIR,d. a. debarrasser, desemp£chtr:
öter l’obstacle, ce qui empeche.
DesımpLicar. V. Desembarapar.
DESIMPRENSÄDO, A, P. p. de
Desınpnensär, ©. @. Öter Pappret, delus
trer; relirer de la presse.
DFSIMPRESSIONÄDO, A, 9. 9. de
+ Desınpr£ssionar, ©. @. Öter, effacer un
impression,, ’oppos6 d’impressionner.
DESINGADO, A, 9.9. de
Desınyar (de), v. a. detruire entieremen!,
ansantir. V. Limpar, Destruir. ,
DrEsIncHaGäd, 3. f. desenflure : cessaliot,
dissipation d’une enflure.
DeEsıncBÄDO, A, 9. p. de
DesıncHäin, v. a. desenfler : Öter 'enflurt.
(fig.) Abaisser l’orgueil.
DESINCHAR , v. 9. desenfler : cesser d’#lre ch
Ne.
DESIKCLINADO, A, adj. peu enclin ow porie,
non dispose &. p. 9. de ,
+ DesıncLinär, ©. a. defourner, tourner dun
autre cöte le penchant, l’aflection, les faire
perdre.
DesincLinär-se(de), o.r. V. Desaffeicoar-!.
+ Drsıxconponagäö,s. f. Yaclion de desür-
corporer.
DES
Diuscorrorino,A, p. p. de
+ DssiscurPunAR, v. a. desincorporer : S&-
parer une chose d’un ou de son corps.
3 DISINCORPORÄR-SE (de), v. Tr. se separer,
se desunir, ne plus former un m&me corps.
+ Desisnictan,, v. a. effacer, detruire les In-
ılices, es sSoupgons.
Desıxescıa ,s. f. (l. de gramm.) desinence::
terıninaison des mols.
DESINFATUADO, A, 9. p. de
Desisvaruan, ©. a. dösinfatuer, desabuser,
deiromper, desenteter.
Desixsaccäö , s. f. desinfection : action d’ö-
ter V'ınlection.
Desıstscräno,, A, 9. p. de Desinfeclar.
DesisrectauTtE, adj. 2 gen. eis. desinfecleur:
qui desinfecie. p. a. de
Dssisrecrär , v. a. desinfecter : öter Pinfec-
bon.
Draisrecrip-SB „ ©. r. @tro dösinfecte, se
purißer. .
Desinrestädo, A, 2.p. de
+ Desixrsstän, v. a. delivrer des ennemis,
detruire le brigandage.
Disiyricaonano „ A, P. p. de
Desruricıonan, v. a. desinfecter : öter Fin-
fecion , la peste d’un lieu. (Ag.; Purifier, laver.
+DisissLauwagiö, 5. f. cessation de lin-
lammation.
Desisruaumino , A, p. p:de
DesiurLaumän, ©. a. Öter, apaiser, faire ces-
ser linlammation , r&soudre une lumeur. II
est aussi neutre et r&ciproque.
Disisscrian, etc. V. Desaffrontar, dans le
sens figure.
Destmountracäö, 5. f. inquietude, agitation
desprit; turbulence.
Drsixorietäno , A, P. P. de Desingquiclar.
Desixarittanon , A, adj. et x. qui inquiete,
qui trouble; qui seduit, qui debauche un ou-
rrier, etc. .
Desiyorietär, ©. a. inquidier : rendre in-
quiet; troubler. Seduire (une femme, etc.';
debaucher (un ouvrier, ete.). Importuner, en-
gazer guelga’un avec instance pour le detour-
ner de ses devoirs , pour se donner A des amu-
sements.— as cinzas dos mortos, troubler les
tendres des morts.
Dismotiero, A, adj. inquiet, qui n’est pas
tranquille; remuant, ennemi du repos; turbu-
len; vif, petulant.
+DesinteLLicencıa , s. f. mesintelligence :
defant Funion, de concert, brouillerie, dis-
sension entre des personnes qui ont etd ou de-
vraient &tre en bonne intelligence. Faute d’in-
telligence , de comprehension. p. us.
DESTTERESSADAMENTE , adv. genereusement,
grataitement , sans Inter@t; avec desinteresse-
ment,
Destwrenessino,, A, p. p. de Desinleressar.
edj. Desinteresse : qui ne fait rien, qui n'est
pas ma par interet, par passion. .
„„DEIINTERESSÄL ‚adj. 2 gen. V. Desinferes-
240,
DES 427
FDESINTERESSAR, 0. a. desinleresser: meltre
(quelqu’un) hors d’interet en !’indemnisant.
+ DESINTERESSAR-sSE, vo. r. se desinleresser :
cesser de prendre de l'interät.
DEsıNTER£SSE,,s. m. desinteressement: dela-
cheinent, oubli, sacrilice de son propre inleret,
f Desintuuecer, o. a. dissiper l’intumes-
cence. v.R». eL—se, v.r. sc desenfler.
DESINTUMECIDO, A, p. 9. de Desinlumecer.
DESINVERNADO, A, p. p. de
DESINVERNAR, ©. a. et n. quitter ses quar-
tiers d’hiver ; cesser l’hiver.
+ Desıniido, A ,adj. lenle, oculo —,(t.de
phys.) achromatique (verre, lunelte), sans iris.
DesıRmAanäDo, A, adj. desassorti , depareille.
p.p. de '
Drsınmanär, o. a. diviser, brouiller les [rd-
res, p. us. ( fig.‘ Desassortir, desapparier, de-
pareiller : deplacer des choses assorties, les
rendre inegales ou dissemblables.
DeSIRMANAR-SE, v0. r. ne pas se conduire en
frere, cesser d’en avoir les senlimenis, inan-
quer & l’amour fraternel.
DESISCÄDO, A, p. p. de
Desıscär, ©. a. mancher ou enlever Va-
morce.
Desisteucıa, s. f. * desisiement : aclion de se
desister ; acte qui la constate. — da heranga,
delaissement d’un heritage.
+ DesIısTenTE, 3. 2 gen. celui qui fait un de-
sistement; qui se desıste.
* Desıstıcaö. V. Desistencia.
Desistino, p. p. de
Desistır (de), v. ». däsister, se d&partir, de-
mordre ; se desister, renoneer &; delaisser
(un heritage, etc.). -: do corpo, soulager le
ventre.
Drsistivo, s. m. V. Purganlte.
DESIARRETÄDO, A, 9. p. de
Dessarnerin, v. a. couper le jarret; (g.)
un ınembre quelconque.
+ Dessanrete, s. m. *aclion de couper le
jarret.
DFsIEJUADO, A, pP. p. de
DESIEIUAR, O0. R. et -SB, dv. r. dejeuner, rom-
pro le jeünc.
DeEs)vizindo, A,p.p. de
Desjvizir, v. a. faire perdre Vesprit; bö-
beter.
Dessuncido, A, 9. pP. de
Dessencir, v. a. detacher les baufs du joug;
deteler, desaccoupler.
DesLacipo,A,p. p. de
DrsLacär, v. a. delacer : delier le lacet; de-
nouer. (fig. anf.) Disloquer, debolter (un
bras, etc.).
DesLacenÄr. V. Dilacerar.
DESLACRÄDO, A, 9. p. de
DesLacrÄr, dv. a. decacheter ce qui elait ca-
chete ä la cire.
DesLAnRILHÄDO, p. p. de
DesLanrıLnÄr, v. a. decarreler : öter les car»
reaux d’un plancher; depaver.
Drsı.a0@ADo, A, P.p.de Deslugear.
428 DES DES
DesLaceÄr, ©. a. dedaller : öter les dalles
d’une piece.
DESLAMBER-SE. V. Delamber-se.
Destarınipo, etc. V. Dilapidädo.
DesLasträno,A, 9.79.deo
t DEsLAstRADOR, 8. m. (1. de mar.) deles-
leur: qui Öle, enleve le lest.
DeEsLASTRÄR, dv. a. (l. de mar.) delester : öter
le lest d’un vaisseau.
DESLÄSTRE, s. m. (f. de mar.) delestage : de-
charge du lest; son effet.
DesLavido, A, p.p. de Deslavar. adj. Deco-
lore; delave. (Ag.) V. Descarado. Cara 4,
mine dehonte£e.
DESLAVAMENTO, 3. m. affaiblissement, faute
de couleur, &lat de ce qui esı decolore, delave.
(fg.) V. Descaramento.
DesLavär, v. a. deteindre ow aflaiblir les
couleurs , les rendre delavees;; decolorer. Dela-
ver, trop delayer une couleur.
DESLAVRÄDO, A, p.p. de
DEsLAvRÄR, v. a. donner une seconde facon
& un champ.
DesLEiL, adj. 2 gen. deloyal; perfide; sans
foi ; infidele, qui n’est pas loyal; tralire.
DesLeALDäne, 6. f. deloyaute : inddelits,
hertidie. Felonie, trabison : manque de fide-
qui n’a point de langue. (Ag.) Medisant, mal
embouche. V. Pragento, Desbocado.
t DesLincuamento, s. m. (fig.) Babil, ca-
quel, medisance, p. us.
f DesLincuir, v. a. Öler, arracher, couper la
langue.
t DesLincvär-se, vo. r. (flg.) Parler insolem-
ment, dire des injures, des imperlinences.
“ Desuivaan. V. Parir, ,
DesLızaneıro, 8. m. * glissade , lieu, cbemin,
pas glissant, endroit oü l’on glisse.
DesLızäno, A, p. p. de Deslizar.
t DesLizauenTo, s. m. *glissade : l’action et
l’effet de glisser.
DesLızär, v.n. glisser. (fig.) Dire ou faire
quelque chose par inadvertance, faire un faux
a8.
P DesLizir-sg, v. r. se glisser. (Ag.) Glisser:
passer legerement sur un sujet, etc.; coaler,
glisser doucement, avec facilite.
DeEsLizeE, 8. m. p. us. “glissade. (Ag.) "Chulk,
faiblesse , fragilit& hamaine.
DesLocacäö,s. f. dislocation, deboftement,
luxation : döplacemeut d’un os. ( fg.) "Depla-
cement.
DesLocino, A, p. p. de Deslocar.
DesLocanöna. V. Deslocagdö.
DesLocäs, v. a. disloquer, debotter, dt-
meitre, luxer. (fig.) Faire changer de place;
deplacer ; mal placer.
DESLOCÄR-SE, v. r, se disloquer, se luxet;
changer de place.
DESLOMBÄDO, A, p. p. de '
DesLomsÄr, o. a. ereinter, &chiner, fouler
ou rompre les reins, l’echine.
DEsLourär. V. Desgabar.
DesLumpräino, A, p. p. de Deslumbrar.
TDEsLumBRADOR, a, adj. qui eblouit, eblouir
sant. (fig.) Qui aveugle l’esprit, qui egare la
raison.
DESLUMBRAMENTO,, s. m. eblouissement, ber-
Iue, difficulie de voir, cause par trop de lo-
miere ou par une cause intsrieure. (fig.)" Pre-
venlion, pr&occupation, aveuglement d'esprit,
verlige, folie, egarement de raison.
DESLUMBRÄNTE , adj. 2 gem. eblouissant: qui
eblouit. p. a. de
Desıumsrär, v.a. eblouir: priver de la rue
par trop d’eclat; olfusquer la vue. (fg. —:
suspendre l’esprit par une apparence brillaulc,
specieuse; tenier, seduire; derouter, decon-
Certer. \
tTDesLumröso, a, ady. &blouissanl, au pro-
pre ei au Ägure.
Desutsträino, A, p. p. de Deslusirar.
DESLUSTRADOR, A, adj. ets. qui öte le last,
qui ternit la r&putation ; ltrisseur.
Desıusträß, c.a. ternir : öter le lustre. (f9.)
Fletrir, obscureir, noircir, ternir la r&patation.
DESLUSTRE, 8. m. * lache, ternissure, obscur-
cissement, perie de lustre ou d’eclat. (A4.)
Deshonneur, tache & la reputation.
DeEsLustaöso, A, adj. qui n’a pas de lusire.
(Ag.) Ternissant, honteux , deshonorant,
DESLEALMENTE, ade. deloyalement : avec
peloyaute,, perfidie.
DESLEITÄDO, 4, P. p. de
Desueıtäa, v. a. öter le lait. V. Ordenhar.
DesLeıxär, etc. V. Deleizar.
DEsLgmBRAR, elc. V. Esquecer, eic.
DESLENDEÄDO, A, pP. p.de
T DesLennein, o. a. öter les lentes de la
tete. (fig. pop. p.us.) V. Desingar.
DesLıar, etc. V. Desligar, eıc.
Desuicino, A, p. p. de Desligar. adj. döta-
ch6, separe. Official —,officier en conge, s6-
pare d’un corps militaire.
T DesLicADUra, 5. f. action de delier, de de-
houer, de detacher.
t DesLicauento,s.m.V. Desligadura, (fig.)
Faute de lien, d’union.
DesLicin, ©. a. delier, denouer, detacher.
(fig.) Degager, delivrer. (1. de chir.) Enlever le
bandage. — das censuras, delier: absoudre des
censures ecclesiastiques. — um official do seu
regimenio, separer*un militaire de son regi-
ment, le renvoyer dans ses foyers,
ESLINDADO, A, 9.p. de Deslindar. adj. (Na.
Demele, debrouille, eclairci. “N.
DrsLıxDanorR, A, 8. celui qui debrouille, qui
eclaireit.
DEsLınpan, o.a. borner, aborner un champ,
elc., y planter des borses, p. us. (ig. et plus
us.) Fixer l’etat de la question, lareduire A ses
vrais lermes; la debrouiller, Pexpliquer, Pe-
claircir.
t DssLinoe,,s.m. bornage, abornement. (Ag.)
L’action de fixer l’etat de la question; debrouil-
lement, &claircissement.
DesuincUino, 4, P. p. de Deslinguar. adj.
DES
+DesLuzipamente,, adv. obscurdment, sans
eelat.
DisLgzino, A, p. ?. de Desluzir. adj. Sans
kat; obseur. (Ag.) Sans goüt, sans gräce,
sans agr&ment. (td.) Qui ne rapporte ni hon-
near ni profil.
Desıuzım£ntO, s. m. * obscuritd, manque
Feelat et de lustre. ( Ag.) Deshonneur, honte,
opprobre , ternissure, €clipse.
DssLuzir,, v. a. obscureir, ternir, effacer l’e-
dat, öter le lustre. ( fig.) Ternir, noireir, per-
dre de reputation.
Deswacınir, etc. V. Desimaginar, etc.
tDeswalinamEnTE, ade. faiblement , molle-
ment. Languissamment, d’une maniere lan-
guissanie.
Desmuno, A, adj. päle, &vanoui; terne.
p. p. de
Deswarin, v.G. causer une defaillance, un
tanouissement. Abattre,, decourager.
Deswasar, v. 9. pälir; changer de couleur,
perire l’&clat,, se ternir ; tomber en defaillanre,
stranouir. Se decourager, se deconcerter. Il
at quelquefois reciproque, mais peu usile.
Desmiro, s. m.” defaillance,, pAmoison, eva-
nouissement, faiblesse. Abattement, decoura-
gement. * Päleur, changement de couleur.
DeswaLHäno, A, p. p. de
DeswuLuär, u. a. couper, rompre, defaire
les mailles d’une colie de mailles.
Desvanino, A, p.p. de
Desuanir, v. a. sevrer: relirer de la mıa-
melle. (Ag.) Priver, frustrer de. ll est aussi
eiproque.
Dzsuanipo,A,p.p. de
} Drsuanir ‚,v. a. separer le betail, y metire
le desordre. it. V. Apartar.
fDrsuanin-sE, v. r. se separer du frou-
peau , s’egarer, en parlant du betail.
DesuancHÄDANMENTE, adv. en desordre; sans
gräce. D’une maniere dereglee.
f DesmancHAapAö, s. ou adj. m. aug. de Des-
menchado. ( fam.) Mal gouverne,, deregle; de-
Kingande.
DesmAncHÄDO, A, P. p. de Desmanchar. adj.
Desordonne; trop libre dans ses propos; de-
fange.
DESMANCHA-PRAZERES, adj. ets. 2 gen. trou-
bie-fete,
DesmancHnir, v. a. defaire, demantibuler ;
deranger, d«mönter, demeilre ou disloquer.
it. p. us. Oter les taches. — um navio, demolir
un vaisseau.
DeEsuancHän-SE,t.r. sedejoindre, se defaire,
se deranger. (fig.) Se deregler, se desordonner.
Deswäncno, s. m. renversement, derange-
ment; &cart de regime; faux pas; desordre,
eonfusion; inconduite, deregleinent. Avorie-
went, fausse couche.
Desuanpäpam£nte, adv. en desordre; avec
desob «issance ; licencieusement.
DessanoADo, A, adj. contremande, revoque£.
Rzare , licencieux. Sorti des rögles. Desobeis-
sanı, Soldado —, traineur. p. p. de Desmanddr.
DES 429
DESMANDÄR , v. a. rövoquer un ordre, contre-
mander. Priver du commandement. p. ws.
DESMANDÄR-SE,, v. r. se deborder:: sortir des
r&gles,, s’&carter de la justice. V. Descomedir-
se. Se debander, en parlant des soldats qui
quittent feur drapeau.
+ DesuÄnno ,s. m. desordre, dereglement,
desobe&issance.
DESMANHOSO, A, adj. p. us. V. Desprendado,
DESMANTELÄNDO, A, ?2. p. de Desmantelar.
adj. Abandonne, delaisse, demeuble, mal or-
donne, en parlant d’une maison. Demäte,, des-
agre6, en parlant d’un vaisseau. Demantele,
demoli, ctant question d’une place, d’une
ville, etc.
f DESMANTELAUENTO, s. m. demantdlement:
action de demanteler, son eflet; etat d’une ville
demantelee.
DESuanTELÄn, v. a. demanteler : abatire les
fortications. (Ag.) Abandonner, delaisser. (4.de
mar.) Demäter, desagreer.
DESMARCÄDAMENTE,, adv. excessivement, OUu-
tre mesure.
DESNMARCADISSIMO, A, adj. sup. de
Drsmancino, A, adj. demesure, gigäntes-
que, enorme , hors de mesure.
DESMAREÄDO, A, 9.9». de
DESMAREÄR-SE,D. r.. (l. demar.) ne pas gou-
verner le vaisseau.
DESMASCARÄDO, A, P. p. de
DESMASCARÄR, v. a. demasquer : Öter le
masque & quelqu’un ;(Ag.) le faire connattre lel
qu’ilest ; öter les fausses apparences de vertu.
DESMASCARÄR-SE, ©. r. se demasquer : d&-
couvrir ses defauts, ses projets; se decouvrir,
se faire connaltre tel qu’on est.
DFESMASTRAR,, etc. V. Desmasirear.
DESMASTREÄDO , A, P. p. de Desmastrear.
+ DxsuasTtREaNEnTo, s. m. (l. de mar.) de-
mälage : action de perdre ses mäts; eflet de
cette action.
DesmastazÄR, ©. a. (f. de mar.) demäter:
abattre ou rompre le mät ow les mäts. vo. ®%.,
V. Desarvorar.
Deswavir,etc. V. Desmaiar, etc.
DESMAZELÄDAMENTE, adv. negligemment,
nonchalamment.
DESMAZELÄDO, A, p. p. de Desmazelar-se.
adj. Nonchalant, negligent, insouciani, indo-
lent. Faible, läche, qui se laisse aller. Decon-
tenance : sans contenance. Maladroit.
DESMAZELAMRNTO. V. Desmazelo.
DESMAZELÄR-SE, o.r. negliger ses alfaires;
se laisser aller. Se decontenancer.
Deswmaztıo, s. m. °negligence, nonchalance,
insouciance, indolence. * Decontenance.
DESMEDIDAMENTE „ adv. d6mesuremeut, Sans
mesure, avec EXC&8. _
DesmEpino, A , adj. demesure, excessil, ex-
tröme. p. p. de
DESMENIR-SE, ©. r. sorlir des regles, s’öcar-
ter de la raison. V. Descomerdir-se, Exceder-se.
DrsweprÄnO,A, P. P-. de Desmedrar. adj.
raffaut, parlant des arbres. Decru,, diminue.
430 DES
+ Deswenränga, s. f. perte, dechet, dimi-
nution. * Amaiyrissement, depörissemont,
DiswenrAn, v. a. deleriorer.
Desusorän, v. w. decrolire, diminuer, de-
choir; empirer; maigrir ; deperir.
DESMELANCOLIZADO, A ,P. P. de
DESMELANCOLIZÄR, 9. a. egayer, rejouir; dis-
siper la melancolic.
OESMELANCOLIZÄR-SE, 9. r. chasser la melan-
colie , s’egayer, se distraire.
DESMELUNORÄDO, A ‚pP. p. de Desmelkorar.
DESMELHORADÖR, 8. m. celui qui deleriore,
qui eınpire.
DESMELBORÄR, ©. a. deleriorer, degrader,
enpirer, rendre pire.
DESMEMBRAGAÖ, 8. f. * demembrement, di-
vision.
DESMEMnRÄDO, A, P. P. de Desmembrar.
DESMEMBRADÖR , 3. @. celui qui demeinbre.
DESMEMERAMENTO, 8. m. V. Desmembragdo.
DesmeEuBnÄR, ©. a. deinembrer : separer,
arracher les membres d’un corps; Ag.) diviser
(un lat, etc.); detacher une partie, separer
par parties.
DssuEupaÄR-SE, o.r. eire demembre, di-
vise ; se detacher de.
DESMEMORIADO, A, P. p. Je
fDesursmonıaR, v. d. faire perdre la me-
moire; faire oublier.
+ DESMEMORIAR-SB, dv. r. oublier : perdre le
souvenir, la meınoire.
DusuentTiDo,A, pP. p. do Desmenlir.
DESMENTIDÖR, 8. m. Celui qui deiment, qui
ılonne un dömenli.
DESMENTIR,, dv. a. dementir: dire & quelgu’un
qu’il a menti, faire voir qu’une chose n'est pas
wraie, que quelqu’un n’a pas dil vrai, le con-
iredire ; donner un dementi; dire d’un avis oon-
ırnire; prouver le contraire; parler, agir con-
ie, ant. V. Deslocar. it. —, faire des choses
ı1.!ignes de sa naissance, de son caracicre, de
:.ı profession. — 0 caminho, chauger du che-
inım pour derouler Oeux qui nous suivent.
DESMENTIR (de), ©. ®. 8’ecarler, ne point
convenir, ne pas cadrer, n’ttre pas oonforme,.
S'abatardir, degenerer. Manquer son but.
DESMENTIR-SE, v. €. se demenlir : se dedire;
s'ecarter de son caraclere.
DESMERECEDOR, A, 8. et adj. indigne d’une
chose, qui ne la merite pas.
DesMERECER,, 9. a. d6meriter : se rendre in-
diene, agir de maniere ä perdre la bienveil-
tance, l’estime , ete.
DESMERECER,, ©. #. demeriter de. (fig.) Per-
re de sa valeur. — para com alguem, deime-
riter aupr&s de quelqu’un. Ndo — d’alguem ou
d’alguma cousa, n’eire pas infericur A quel-
qu’un, @ire digne d’une chose, la meriter. —
a cor. V. Desbotar.
DESMERECER-SE, 0. r. perdre son mdrilo.
DESMERECIDO, A, 9. P. de Desmerecer. adj.
Non merite, qui n’a plus de merite. Qui &
perdu l’estime. Qui a chang6 de couleur,
Dssuznzcıußnto, V. Domdrito,
DES
* Desuzswino. V. Desmesurado.
° Desuesüra. V. Descorlezia.
+ Dasuesuninamente, adv. dömesurement,
vutre mesure, Sans Mesure, avo0 exc#s.
DEsursunino, A, adj. demesur&, gigantes-
que, colossal, enorme, hors de mesure, anl.
V. Descortez, Atrevido.p.p. de
f Desumesunin-se, vo. r. parler, agir sans re-
tenue, aveo insolence , s’oublier.
DzswioLioo, A, adj. et s. &cervele, tie sans
cervelle. 9. p. de
DrsvwioLir, v. a. tirer la mie du pain; dter
la cervelle.
Desuivcir,, ote. V. Bemiupar, elc.
DFsuMopzaino, A, p. p. de
tDeswoorrän, o. a. faire une chose sans
moderation , avec exces. llest plus sonen! r&-
ciproque, et signifle agir sans moderalion,
avec exoös. —se em comida, em bebida, em Ira-
balho, etc., manger, boire, travaliler immno-
ılerement.
+ Drsmocnarnia, s. f. (t. d’anat.) desmo-
graphie : description des ligaments.
+ DeswöcaArno,, s. m. desmographe : auteut
d’une desmographie.
+ Deswouocia, s. f. (t. Kanal.) desmole?*.
trait6 des ligaments ; partie de la somatolox".
DeswoxTäpo,a,g. p. de
DESMoNTÄr, ©. a. demonier : öter & quel-
qu’un sa monture. —, desansembler. — , T-
verser la partie superieure d’un &dilice. En-
Icver, transporter des terres. — o male. \.
Desmoular. — a ertilkeria, demonter lar
tillerie : öter la piece de dessus son afül.
Deswontän, o. n. desrendro de cheval, de
voiture, mettro pied & terre. .
DESMÖNTE, 5. m. ce qu'on a Öt6 d’un ter:
en l’essartant. Depouilles d’une foret. L’action
de demonter, d’essarter, etc.
Deswontoin. V. Desmontar.
+ Drsmornocia, #. f. (f. de mdd.) desmo-
phlogie : gonflement inflammatoire des liga-
ments. ,
+Desworanzackd, s. f. demoralisation:
action de demoraliser;; tat d’un peuple, EC
demoralise. ,
DeswmoraLızino, A, p. p. de Desmoralizar.
+ DesmonaLızanOn, A, s. celui qui demora-
lise.
+ DeswonaLızärn, ©. a. demoraliser : ©“
rompre les maurs; rendre immoral; 6ter 4
moralite.
+ Desmoronanıgo, A,adj. chancelant, prei
Atomber, ä se renverser, & s’aballre.
‚Desyoronino, A, p. p. de Desmoronar.
DFSMORONAMENTO, 5. m. cboulement : chal*
de ce qui s’eboule. ,
Drsworoxir, eo. a. faire tomber en roines
un edilice, etc. Miner : detruire peu & pCU.
Desuononar-se, e. r. ebouler, s’cbouler:
tomber en ruines en s’affaissant, se dit des bI-
timents qui se detruisent,, des terre.
+ Desmorowia,, s. f. (1. d’anat.) desmolomie;
dissection des ligamenis,
DES
Desworcsando, A,p.p. de
Dssworcnin, v.a. muliler, tronquer, rogner
par le bout; ötöter, dironconner, 6cimer, re-
ceper, ecaloter, &corner, emonder.
Dssuourävo, A, p. p- de Desmoutar.
+Desuoctanon,, s. m. defricheur. (Ag.) celui
qui a commenc6 & civiliser un peuple.
DssuouTar, v. a. ossarter : defricher en ar-
rachant les bois, les &pines, les Fonoes, 6lc.
V, Rogar, Arrotear.
Dssuouto. V. Desmonte.
Desutrinpo, 9. p. de
+'Deswurir, vo. a. dötruire les murs d’une
ville , d’uns forteresse.
Desuuacnin0, A,P.p9.de
+ Drswencnin, o.a. remetire dans sa fral-
cheur (une plante, ufe fleur). (Ag.) Restituer ä
son eist naturel.
*Dasuösıco, A. V. Desenloado.
Dessacer, etc. V. Desnascer, etc.
*Desnacöra pour DESD’ACORA, ado. des ä
present.
DessauoriD0, A,p.p. de
DesuamoniAn, v. a. faire perdre l’amour
qu’on a pour une femme.
DESNAMORAR-SE, ©. Fr. perdre l’amour qu’on
avait pour quelqu’un, cesser d’etre amoureux.
Dessarıckdo, A,P. p. de
DEsmartcaR,, v. a. couper le nez.
Dassuscek, ©. ». renirer dans la malrice
(Venfant, ete.).
Dessuschho, A, p. p. de Desnascer.
Desnaräno,a,p.p.de
Desmatir, v. a. @cremer : enlever la creme
du lait.(&g.) —, prendre ce qu’une chose a de
meilleur.
+Drssarerino, A, p. p. de Desnalurar.
edj.‘KAg.) Qui manque A ses devoirs envers sa
patrie.
+ DessaturaL, adj. 2 gen. qui n’est pas na-
turel; denature. (fig.) Ingrat & sa patrie. V.
Dematuralizado.
Dessuaturanızackö, 3. f. *depouillement,
privation des droits de citoyen. * Bannisse-
ment, expatriation.
DesnarurAaLızÄDO, A, pP. pP. de Demalura-
kisar.
DiSNATURALTZAMENTO, 3.m. V. Desialura-
0.
Desnatonalızin, v.a. denaturaliser : priver
Ju droit de r&gnicole. Bannir de sa palrie.
{Ag.) Denaturer : changer la nature d’une
ehose.
DESXATURALIZÄR-SE ,o.r.renoncer aux droits
de remicole ; changer de patrie.
Dessatcnauento, 6. m. V. Desnalurali-
zacdo.
Dessatunan, etc. V. Desnaluralizar, etc.
Desnavecäver, adj. 2 gen. innavigable : qui
n'est pas navigable.
" Disug, DEsnEQUE, pour D£s que, Desde
que.
DrsnegcEssinsam£xte., adv. sans necessitd.
DES 431
DESNBcRSsÄrRIO, A, adj. superflu, inutile,
non nöcessaire. BR —, c’est inutile, pas neces-
saire.
Desuscessipine, s. f. superfluite, inutilite,
chose non n&cessaire.
7 Dasuzoin-se, vo. r. se dedire , se rötracter.
° Dusuzunran. V. Desiembrar. .
T Desnenvin0, A, p. p. de Desmerver, et
udj. Estilo —, style läche. Folhas —as, ( !. de
bot.) feuilles &nerves : sans nervures.
Dssnenvir, u. a. enerver : couper les nerfs.
V. Enervar.
Desnevipo, A, adj. froid comme la glace,
parlant de l’eau. On le dit aussi d’un lieu
oü, contre l’ordinaire, il n’y a point de neige.
p. 2. de
DEsxevär, v. a. enlever la neige; la faire
fondre.
DEsnevÄrR, vo. n.et—se,v. r. fondre, par-
lant de la neige.
DESNEvOADO, A, P. p.de
DEsnEvoÄir, v. a. defaire les nuages, dissi-
per le brouillard. Il est aussi reciproque.
Dessınnär. V. Desaninhar.
+ DesxıvEeLÄivo, A, adj. non nivel6, qui n’est
pas de niveau ; penchant, raboteux.
"Drsno, pour Desde o, depuis le.
+ Desxopaecer,v. a. degrader : faire perdre
la noblesse , avilir. Il est aussi reciproque.
Desnopakcino, A, p. p. de Desmobrecer.
Deswocar, etc. (t. popwl.) V. Deslocar ou
Desnucar.-
DEsnonino, ete. V. Denodddo, ete.
+Desnonsdso, a, adj. Tronco —, (f. de bot.)
egal, uni, sans nauds (tronc, tige).
DESXO1YADO, A,p. p. de
+ Deswovin, 0. a. separer des nouveaux
maries; rompre un mariage pret & se faire.
(ig.) Priver quolqu’un d’un emploi recemment
recu ; d£pouiller de ce qu’on aimait.
DEsnorTBÄDO, A,P. pP. de
+ DEsxorTEÄR, vo. a. 6carter du nord ow faire
perdre le rumb marqu® par la boussole. (Ag.)
V. Desorienlar.
* DesxuAr. V. Despir.
Desstci0po,A,?.p. de
Desnucäir , v. a. deboller, rompre la nuque
du cou.
Desnupir, etc. V. Despir.
Desnunez 0% nudit# : manque d’ha-
Dessuntza ,s. f. bits ; &tat d'un @ire nu.
* DesoB, adv. dessou3, SOu8.
DESOBEDECER,, v. a. et n. desobeir:ne pas
obe£ir.
DEsoBFDECIDO, A, p. p. de Desobedecer.
Desopeni£ncıa , s. f. desobeissance : delaut
d’obeissance.
DESOBEDIENTE , adj. 2 gen. desobeissant, qui
desobäit. .
DESOBKDIENTEMENTE, adv. avec desob£is-
sance. .
Desoprica , s. fı "acquit. V. Quitapäo. — da
quaresma , devoir pascal, l’acquitiement de ce
devgir.
432 DES
DesosrıcAchd, 8. f. * affranchissement d’une
obligation, decharge ; exemption.
DESOBRICAÄDO, A, pP. p. de
Desosaıcän, v. a. degager, affranchir d’une
obligation , excmpter.
Desosrıcar-se (de), v. r. remplir ses obli-
gations, ses engagements. il. S’exempter. V
Desencarregar-se. — da quaresma, faire ses
päques. — dos Alhos, ne pas remplir les de-
voirs paternels.
+ DESOBRIGATÖRIO, A, adj. qui degage, qui
affranchit d’une obligation.
Desosstaucgiö, s.f. desopilation : debouche-
ment d’une obstruction.
Desosstructivo, A, adj. desobstructif : qui
guerit les obstructions.
Desonstavencıa. V. Desobstruccdo.
DesoBstrußnTE, adj. 2 gen. V. Desobsirue-
fivo.
DESOBSTRVIiDO, A,p.p. de
DESOBSTRUIR, v. a. desobstruer : detruire les
obstructions. (fig.) — , degager de ce qui em-
barrasse.
Desoccasıonäno, A, adj. Cloigne de Pocca-
sion. p. us.
*+ Desoccupagäö,s. f. desoccupalion, des-
@uvrement.
DesoccupÄDAMENnTE, adv. librement, sans
embarras, ni oecupation.
DEsoccupÄnO ‚A , adj. desauvre, inoccup® :
qui n’a point d’ vecupation. Vide : qui n’est pas
ocoupe. p. p2. de
Desocctpär, v. a. debarrasser, &evacuer, vi-
der, desemplir ; rendre, laisser un endroit ou
quelque chose libre.
DESOCCUPAR-ER. , v. r. se desoccuper : se de-
barrasser d’une affaire, d’une occupalion.
Desorscscädo , A, pP. p. de
Desorruscir, v. a. Öter ce qui oflusque. V.
Desassombrar.
*Desöıe, pour D&s hoje, adv. dis aujour-
d’hui.
DesoLacäd, s. f. desolation, devastalion,
ruine, entiere destruction. — , affliciion , peine
extreme.
DrsoLADO,A,Pp.p. de Desolar. adj. Desole,
ruine, ravage, depeuple. —, afflig6, inconso-
lable.
DESOLADOR, A, adj. qui cause desolation.
Desolateur.
DesoLÄr, v. a. d&soler, ravager, ruiner, de-
vaster, detruire.
* DESÖLTANMENTE. V. Dissolutamenie.
DesoLuro. V. Dissoluto ei Dissolvido.
Desoı.ugäö. V. Dissolugäo.
DESOnERÄDO, A, p. p. de
DESoNERÄR, v. a. priver d’un poste, d’un
emploi honorable. V. Exonerar.
DesorıLAagAö, s. f. desopilation : debouche-
nıent d’une obstruction.
DrsorıLADo, A,p.p. de
DrsorıLÄn, dv. a. desopiler : Öter les obstruc-
tions, les opilations.
DES
DesoriLarivo, a, adj. desopilatif: propre ä
desopiler.
Desoprazssiß, s. f. aise, cessalion de l’op-
pression.
+ Desoppr&ssoRn, A, 8. et adj. qui tire de
l’oppression ; qui soulage.
DESOPPRIMIDO, A, 9. p. de
Desorrkimik ,.v. a. tirer de l’oppression.
Desorävo , etc. V. Dessorado, eic.
DESÖRDENM, s. f. * desordre,, desarroi, deran-
gement , defaut d’ordre ; renversement, confu-
sion. Trouble, tumulte.
DESORDENÄDAMENTE, ade. desordonnement,
sans ordre, avec desordre. Tumultueusement.
DESORDENADISSIMO ‚A,adj. sup. de
DESORDENÄDO, A, P. p. de Desordenar. adj.
Desordonn&, deregl6; demesure, sans ordr
bors de Pordre.
DESORDENADOR, 5. m. celui qui met en des-
ordre.
* DESORDENÄNGA , 5. [. mangque d’ordre dans
la discipline militaire.
Dessonpenär, v. a. desordonner, deranger,
mettre en desordre.
+ DESORDENÄR-SE, v. r. se deranger, se de
regler. Se mettre en desordre. Faire quelque
exc6s.
DESORELRÄDO , A, 9. p. de
DESORELHÄR, ©. a. essoriller : couper les
oreilles.
DesonGanızacäd, 8. f. desorganisalion: &C-
tion de d&sorganiser, ses effets; &tat de ce qui
est desorganise ; destruction de l’organisalion.
(fig.) * Desordre , derangement.
DESORGANIZÄDO, A, 9. p. de Desorganizar.
T DESORcANIzADOR, 8. m. desorganisaleuf:
qui desorganise, qui renverse l’ordre.
Desonganızär, v. a. desorganiser : detruire
les organes; detruire l’organisation; traubler
Vordre ,jeter la confusion dans... JI est aussi
r6ciproque.
+ DESORIENTÄDAMENTE,, adv. d’une maniere
troublee.
DESORIENTÄDO, A, P. p. de
DESORIENTÄR,, v. a. desorienter : faire perdre
la connaissance du lerant, du lieu oü !’on est
ou dont on parle, du chemin & suirre. (fg.)
— , deconcerter, troubler ( queiqu’un).
DESORIENTÄR-SE., v. r. perdre la carle; #
perdre dans des conjectures.
Desornnädo,A,7.p.de
DEsORNÄR, r. a. desorner : Öter l'ornement‘
degarnir.
Desossäno , A , 9. p. de Desossar.
+ Desossame£nto, s. m. desossement : aclion
de desosser.
Dssossir, v. a. desosser : Öter les os de la
chair.
Desoss&co, elc. V. Dessoc&go.
* DEsoOTEnnAR,elc. V. Desenterrar, ei.
+ Desöva, 8. f. * frai :temps oü les poissons
jettent leurs aufs; ces aufs fecondes.
Desövä0o,A,p. p. de Desovar.
Dasövantnto, s. m. frai, temps du frai;
multipliestion des poissons.
Desövin, v. w. &tre dans le frai, parlant des
poissons. v. a. (fg.) Decharger une grande
porlion de sa cargaison, parlant d’un vaisseau.
f Dzsoxypaciö, 5. f.6t. de chim.) desoxy-
daion : action de priver une substance de son
oıygene.
DEsoxYBa00, A,9.9p.de
tDesoxvoäs, v. a. (1. de chim.) dösoxyder :
pfirer un corps de son oxygöne.
’Desor. V. Desdje.
} Despäcna! interj. or cä! allons!
DEsracmÄpau&nTE, adv. d’une manidre ex-
p’ditive, avec promptitude, celerite.
Desraczipo, A, 9. p. de Despacher. adj.
erperlitf, diligent.
DESPACHADOR, 5. m. homme exp6dilif, qui
fait promplement.
Dasracnänte, s. m. (— da alfandegs) com-
nis charge des expeditions & la douane,
Desracnia, ©. a. depöcher, expedier, faire
prompiement. Kxrpedier, vider, finir, terminer
une affaire. Exp6dier, resoudre une affaire.
Dep&cher, enroyer un courrier. — alguem, d&
ferer A la requete de quelqu’un. — a alguem,
donner & quelqu’un sa depeche. — alguem
desia vida, (fig. fam.) depecher quelqu’un,
le taer. — o nario, (1. de comm.) detacher, ex-
pedier un vaisseau.
Deseacnin-sE, ©. r. se dep£cher, se häter.
Se debarrasser, so degager. .
Dsspicao, s. m. “depeche : expedition des
affgires. * Expedition : action de dep£cher.
"Resolution , determination; arröt, decision.
Dar oa dar-se —,, se döp£tcher, se häter. Dar
orei— , travailier avoo les ministres, parlant
da roi. Dies de —, jours d’audience. HJomem
de ndo—, qui n’est pas conient de ce qu'on
ini donne. — do porto,, (1. de mar.) droit d’an-
crage. Bello — ! On le dit ironiquement d’une
reponse dure, d’une r6solution frivole.
DaspaLuino, A,P. p. de
tDzspaLwin, v. a. ter la paille, Oter }’&pi
C> la paille.
DespaLminO, A,P. 9. de
DespaLmän, o. @. (8. de veldr.) dessoler, pa-
ter le pied d’un cheval.
DespaurauäDo, A,P.p. de
Dasrauranän, v. a. &pamprer: Öter le pam-
rre, les fenilles inutiles.
Dzsrarino, A, 9.9. de
TDzspapir, 0. a. porter au vent, se dit d’un
t;eval qui porte la t&te trop haute.
Despanin, etc. V. Dispardr.
Nesparire, etc. V. Dispardie.
Drspanzcen. V. Desapparecer.
Despannino, A, P.p. de
Despaanin, v. a. &pamprer la vigne.
Dasparrino, A, p. p. de Despartir.
Despanrınon, 5. m. pacificateur, concilia-
leur. Celni qui partage, qui divise.
DESPARTIR, ©. @. Separer des gens qui se
battent, les pacifler. Il est aussi röciproque.
PORT.-FR,
DES
Despanzia , eto. V. Esparzir.
Despassino, A,9.p. de
T DespassaR, ©. 0. depasser : relirer ce qui
6tail passe dans un anneau, etc.
Duspastino, A, 9.2. de
T Duspastär, v. a. detruire, devorer les p4-
turages.
Desravoria,, etc. V. Espavorir, etc.
Desreino, A, adj. dösentrave : qui a les
pieds foules (cheval). p.p. de
DESPEÄR,, ©. a, desentraver : 6ter les en-
iraves (& un cheval, etc.).
Despgin-sE, v.r. so dösentraver. it. Se faire
mal aux pieds A force de marcher.
*t Desp&cao, s. m. döpit, colere exiräme,
fureur.
Desp£Dacino, A,p. p. de Despedagar.
+ DESPEDAGADOR, 5. m. celui qui depece, di-
lactre, dechire.
DESPEDAGAMENTO, 8. m. d6pdcement, dilace-
ration ; d&chirement.
DESPEDAGAR, v. a. depecer : mettre en pidces,
Dilacörer, dechirer. ( Ag.) Dechirer.
Dzsreoina, 8. f. action de prendre congs.
* Adieu : salut en se quittant, en prenant conge.
Separation. Audience de conge; licenciement,
conge, renvoi. ( lg.) Fin, conclusion; refrain
d’une chanson ‚ otc. A derradeira —, le dernier
adieu. Por —, loc. adv. enfin, en conclusion ;
en prenant conge.
DESPEDIDO, A,P. P. de Despedir. adj. Con-
gedi6, renvoys. Econduit : refuss avec me6na-
gement.
* Despenientre. V. Expediente.
- Desreoımento, s. m. V. Despedida. Deco-
chement : action de decocher une flöche. Des-
enrölement.
Desreoin, v. a. congedier, licencier, ren-
voyer. Jeter, lancer, darder, decocher.(Ag.) Re&-
pandre, dögager de l’odeur, de la lumiere, etc.
VE ir. — airösamenle, &conduire, au
figure. — a familia, [alre maison nette. — a
vida, a alma, o espirilo, rendre le dernier
soupir, expirer. — de si os mdos habilos, as
mdägoas, etc., chasser les mauvaises habitudes,
le chagrin, etc.
Desrepir, 9. ®. finir, terminer, en parlant
d’un accös ou paroxysme de fiövre. Partir, s’en
aller rapidement, en parlant d’un cheval, etc.
Mettre sous voiles, en parlant d’un vaisseau,
Eıtdr a —, #ire A l’agonie, pr&s d’expirer.
DESsPEDIR-SE (de), %. r. prendre conge, dire
adieu, faire ses adieux. Se quitter, se separer
en se faisant des politesses. S’en aller, cesser,
disparaitre, en parlant d’une douleur, etc.
— em latim, (fam.) brüler la politesse. — da
sociedade, (#. decomm.) se relirer de la soeidts.
DespeonaR. V. Desenpedrar.
+ DespecinaMente, adv. durement, aveo
dedain, avec rudesse. (Ag.) Sans affection,
sans attachement.
DesrecAno, A, adj. (lg.) Rude, dur, d’un
commerce difcile. Libre, independant; qui ne
s’attache A personne. p. p. de Despegär.
28
#38
4A BES BES
Desproin, v. a. decofier, dötacher, Atiater. | la poitrite. ©. #. Cesser de souffrir. — d’esta
(ig.) Faire perdre Yaffection; rendre indiff&- | vida, mourir.
rent. Drserndenör , 3. m. dissipateur, depensenr :
DespeoÄir, v. n. abandonner, laitser }& une | qui depense avec exe#s.
entreprise. Sem —, sans interruption. — do|l Desrempin, v. a. depenser, dissiper, prodi-
irabalko , quitter, suspendre te travail, en par- | Buer son bien. (4g.) Employer, consamer le
lant des ouvriers. temps , ta vie, eie.
Desprcän-ss, u. r. se decoller, se detacher. | Desrenner, v. 9. et-sE (com), eo. r. falre de
( g.) Se detacher. V. Desapegar-se. grandes depenses,, des depenses excessires, |
Desr£co, s. m. detachement. "Rudesse, da- | cause de quetqu’un vu de qeeique chose.
ret& de earactäre. V. Desapfgo. DESPENDIDO, A, P. P. de Despender.
Despeıtäno, A, p. p. de Despellar. Desrp£npıo. V. Dispendio.
Drspeitanon, s. m. celui qui depite. Exac- Dsspennuni00, A, 9. p. de
teur dur, impitoyable. Desrennunir, r. a. descendre une chose
"DERPEITAMENTO, 5. m.*exaction trop grande, qui etait accrochee en haut ou pendne ; deero-
surcharge d’impöts. V. Derpeito. cher.
Desreitär, v.a. fächer, d6piter, irnpatienter, DESPENHADEIRO, 3. m. preeipice: lien for
desesperer. Accabler, surcharger d’impöts. bas, au-dessons d’an liew fort dere et forl
+ DESPEITAR-SE, d. T- desesperer, se Jdepiter, escarpe, oü P’on ne peut tomber sans peril de ia
s’impatienter. vie. (Ag.) Peril, danger extraordinaire, perte
Desp£ito, 5. m. depit, coldre extreme, fü- certaine.
reur. *Repugnance , mauvais gr&. Degoüt,, tris- Despennindo, A, p. pP. de
tesse, chagrin. "Rigueur, rudesse, cruaute. | Desrennir (de), v. a. preeipiter, derocher,
“Langueur, defaillance, abattement. * Inso- | döroquer : jeter de haut en bas.
jence , emportement. Malheur, infortune. "Mo- DESPENHÄR-SE (de), ©. r. se precipiler, se je-
querie, raillerie. A -,em —, adv. en depit de, | ter de hauten bas, en parlant d’une rividre, etc.
malgre. (fig.) —, s’exposer au danger; 36 perdro, $
DesperrorAnDO, A, P. P. de plonger dans les vices, courir ä sa perte.
* Desreitarär, v. a. V. Expeclorar, (fig.)| Drsrenno, s. m. l’actien de preripiter ou de
Desabofar. se precipiter. *Chute precipitöe. *Ruime, perfe,
Desreıtoran-se, v. r. (g.) Se debrailler, se perdition.
derouvrir le sein, montrer la gorge, la poi- | DESPENNAR, etc. V. Depennar, etc.
trine. Drspansa , s. f. depense, olReo, garde-Mal-
Desreıtöso, A, adj. depiteux. V. Indignado , | Ber, lieu od Pon serre le feuit, tes vivres, elt.
Furioso. Provision de vivres.
Despesipamente, ade. sans honte; libre- Drspensia, etc. V. Dispenser, eic.
ment, sans embarras. DEsPENSArRA, s. f. döpensidre : eele ii en!
DesrgsÄno, A, adj. debarrasse, etc. Clair, | chargee de la depense ; celleriere.
net, vif, sans emharras ni defaut. Franc, ou- DEspens£ıro, 8. m. mailre d’hölel, POHT-
vert, qui a des manieres aisees. Clairvoyant, | voyeur, depensier. Celui qui distribue,, qgei fe
vif, penetrant, eveille. Effronte, hardi, inso- | partit des biens qu’on lui a eonfies pour
lent. Licencieux , impudique. p. p. de effet. (1. de mar.) Distributwer, commis de la
DesresÄr ,o. a. debarrasser, deboucher, Öter chambre, maltre valet. — mer, premier maftr“
les embarras. Vider, desemplir; evacuer un
d’hötel de roi (on Bepame).
lieu, en sortir, le laisser libre; demenager. DESPENTEÄDO, A, P. P. de
Rendre effronte, hardi. DESPENTEÄR,, 0. a. defaire la coiflare. j1 est
DESPEIÄR-SE , d. r. se dösemplir, se vider. Se | aussi reeiproque.
debarrasser de ce qui genait, qui embarrassait. + DespentgÄn, v.n.18.de wster.) distoquer
(g.) Acquerir des manieres aisees dans la so- | un ou les deux paleroms, €R pariami dun
ciete. (id.) Devenir effront£. cheval qui bolte.
Desp£o, s. m. debarras, debarrassement: * DESPERGADOIRO, A. V. Desprosivel.
aclion de debarrasser, d’evacuer un lieu; de- ° DEspERGAR. V. Despresar.
menagemert; vidange. ( Ag.) * Vivacit6, bonne | Desrerckeer. V. Desarisor et Desaperrebet.
gräce, manieres aistes; hardiesse, audace,
irn a: 3 . Desrencenimtnto. V. Desapercebimenlo.
ee a ies de oe + DespennıcÄDAMENTE, ade. avec profusioß,
ment. avec prodigalite.
DEsPrENÄDO, A, P. P. de Despenar. DESPERDIGÄDO, A, P. P- de Desperdigar. Gr
+ * DespExanORa,, 5. f. femme qui, par une pille, prodigue , dissip6. Prodigue , Aisaipaleu”
humanits mal entendue, &touffait les mori- Amoureux wansi; favori „ benjamin.
bonds en leur appuyant le coude sur la poi- | DXspEnpiGaBoR, A, 8 dissipateur, prodigü-
trine. Gaspilleur.
DespenÄn, r. a. tirer de peine. (ant.) Ftouf-
DESPERDIGAR, 9. a. prodiguct, diseiper, €
fer un moribond en Iul appoyant le coude sur | ployer mal & propus. Gaspilter : faire des
DES
penses inatiles. — palavras, perdre son temps
en paroles, en discours inutiles.
DespzaDicıO , s. m. "profusion, prodigalit£,
naurais ernploi, degät. Gaspillage; dilapida-
tion ; deperdition.
Disperecir, v. ». deperir. V. Perecer.
DEsPERECIDO,, A, P. P. de Desperecer.
DESPBRECIHENTO , 3. m. deperissement : dtat
de decadenee, de degradation, de ruine.
Despzarntino,, A, 9. p. de
+DrsreariLar, ©. a. deranger ce qui 6tait
en profil. (f. de peint.) Arrondir les conloars
@une figure.
+DespgartLän-SE, ©. r. perdre le profil,
eesser d’ätre en profil.
"Dispgacähn. V. Desprezar.
Dispernıcıutnto. V. Despereceimento.
Dasrexstanivo, A, 9. p. de
+Despersuapin, v. a. Aissuader, deconseil-
ler, faire changer d’avis.
+ DEspensuanıR-SE, ©. r. so desabuser, se
dttromper; connaltre son erreur sur l’atiente
de quelque chose.
+Despenscasid, s. f. dissuasion . action de
dissuader.
Dispertino, A, 9. p. de Despertar.
+ Dispertanon, 3. m. reveil : horloge dont
la sonnerie reveille & une heure marquee. Re-
veille-matin. Celui qui est charge d’eveiller
guelgwun. (Ag.) Chose qui occupe, qui donne
du sonci.
Desperräirn, ©. a. eveiller, röveiller. (fg.)
Exeiter, &mouvoir, &veiller; faire ressourenir
d'une chose oubliee.—a quem dorme, (fig.)
&reiller le chat qui dort. — 0 desejo, ragoßiter::
teveiller le desir.
Desptato, a, adj. quiest &veillde. V. Acor-
dado do sono.
Desptsa ou Desptza, s. f. depense, frais,
eoät. V. Gesto. Deduzidas as—s, (1. de comm.)
deduction faite, tous frais faits. —s miüdas,
menus [rais, [aux frais.
"Despesin. V. Gastar, Despender.
"Desptso, A,p.p. ir. de Despender. adj.V.
Fallo, Desprovido.
} Desperan.zino, a, adj. (4. de bot.) apetale:
sans petale.
Despiapösaußyte, adv. impitoyablement,
sans pilie.
DesrtaDOsO, A, adj. Impltoyable, inhumalin,
erael.
Despicino, A, p. p. de Despicar.
Despicanon, 3. m. celui qui venge une iIn-
jJare.p. us.
‚ Desmicir, 0. a. venger quelgu’un d’une in-
jure.
Despicin-sE, 9. Tr. se venger d’une injure,
prendre sa revanche. ( fig.) Mettre tous ses
ins, donner toute son application ;s’acquitter
üıznement de quelque chose.
Despino, A, p.p. de Despir. adj. Deshabilld,
Bu. (Ag.) Depouilie.
DispreDanamenTe. V. Desapiedadamente.
Dispiepäng, s, m. inbumanite, cruaute.
. DES 435
DEsSPIEDÄDO, A , etc. V. Desapiedado, etc.
DESPIMENTO, 3. m. action de döshabiller , d&
pouillement.
Despintän0, A,9.p. de
Despintin, ©. a. effacer ce qui est peint,
(fig.) Changer, brouiller les choses de manisre
que l’övenement solt le contraire de ce qu’on
attendait. D&primer, avilir, abaisser, ravaler le
merite d’une action.
DESPINTAR-SE, ©. r. (fig.) changer d’appa-
rence, se montrer Sous un nouvel aspeot; #tre
defigure.
Desrigue , s. m. "satisfaction, vengeanee
qu’on tire d’une injure. Tomar — , prendre sa
revanche. Em -—, en revanche.
+ Despigueiso,, A , adj. (1. de bot.) acaule :
sans tige (exlipelalus).
Despir , v. a. deshabiller, metire & nu, Öter
les vetements, l’armure, etc. (fig.) Depouiller
une chose de ce qui l’orne ou la courre. — al-
guem, (fg.) depouiller quelqu’un de tout ce
qu’il possedait. —o homem velho, (id.) de-
pouiller le vieil homme ou se depouiiler da
vieilhomme : quitter ses vieilles habitudes cri-
minelles.
Desrimese , v. r. se deshabiller : Oter ses
habits , sesvetements, sesornements. (de)(Ag.)
Se depouiller de son bien; se detacher d’une
passion, de cerlains sentiments, opinions, etc.
DESPLANTÄDO, A, p. p. de
DespLamtär, v.a. deplanter : arracher pour
planter ailleurs.
DESPLANTE, 3. m. (#. d’eser.) * posture obli-
que.
*DespLecan.V. Despregär as bandeiras.
DespLUMÄDO, A,P.p.de
Despromär, ©. @. deplamer, plumer : öler
les plumes,
* Desposnar. V. Despovoer.
Despas. V. Depois.
Desrosino, A,Pp.p. de Despojar.
DesrosanDoR, s. m. spollateur: qui depenille.
Desrosamento,, s. m. (anl.) depouillement,
DespoJän (de), v. a. depouiller, d&posseder,
denuer, devaliser, spolier ; d&poss&der par vio-
lence, par fraude.
Desposir-sE (de), v. r. se deponiller de;
renoncer ä...; se priver volontairement d’une
chose. V. Despir-se.
Dssp6)0 , s. m. d&epouillement : action de de
pouiller. * Depouille : butin fait sur les enne-
mis; hardes d’un mort. (poet.) * Depoullle :
peau detachee d’une b#te feroce. * Depouille :
le ventre, la fressure,, la tete, et les extremites
des animaux de boucherie. Os —s da vida ou
morlaes , depouille mortelle:corps de ’homme
mort.
DESPONDERÄDO, pP. us. V. Inconsiderado.
Desronsazs. V. Esponsaes.
Desroxtäno,A,p. p. de
Desrontär, ©.a. &pointer, &mousser. (fig.)
V, Embotar. ll est aussi r&ciprogne.
DEspontTÄR, 0. n. descendre, baisser. (f. de
mar.) Doubler un cap. (fg.) Montrer de !’es-
836 DES
prit, de la vivaciis. Eclore : commencer ä pa-
raltre, parlant des boutons des arbres, des
plantes. Poindre : commencer & briller, & per-
eer, ä paraltre.— o dia, a aurora, 0 sol,
poindre : commencer & briller, & paraltre, par-
lant du jour, du soleil, de l’aurore.
Dasrön. V. Dispor ou Depor.
DEsPORTILEHÄDO, A, 9. p. do
DESPORTILHAR, ©. a. enfoncer les portes.
*Dzspoarto,. V. Divertimento.
Dzsp0sip0 ,A, pP. p. de Desposer.
. DESPOSAJAS. v. De
Desrosin , v. 6. Bancer : faire les Rangailles.
Desrosin-sE (com), v.r. se flancer;; se ma-
rier, &pouser. (fg.) Se joindre, s’unir.
Desrosicid. V. Disposigdo et Deposigäe.
* Dzsp0sıcoom. V. Es
DESPOSÖRIO, 8. m. * promesse de mariage,
Bancailles ; desponsation , mariage. Fazer —s,
faire des fangailles ; contracier mariage.
* Dasrosounos, s.m. pl. V.
Desrossipo, A, adj. qui ne possede rien ,
pauvre; qui est dans Limpossibilite de. p.p. de
Dasvossir. V. De
Desrossulnpo, A,Pp.P. de
DeEsPossufn,, v. es. cesser de posseder une
ehose, en perdro la possession;; abandonner.
Deposseder: öter la possession. V. Desapossar.
* Desrösto. V. Disposto, Deposto, Ezposto.
Desrora, 6. m. despote : qui gouverne ar-
kitrairement, au gre de son caprice , sans
regie ni lois; maltre absolu , celui dont la vo-
ionts seule fait la loi. Dominateur.
Desrorz. V. Despota.
DESPÖTICAMENTE ‚adv. despotiquoment: avoc
despolisme ; baut la main.
Desrörico, A, adj. despotique : absolu, ar-
bitraire ; du despotisme.
Desrorisuo , s. m. despolisme ;: pouvoir ab-
solu, arbitrsire, illimite, qui n’a de regle que
la volont& du despote ; domination d’une seule
personne qui n’a de regles que son intertt;
abus de la monarchie ; abus de pouvoir; ty-
rannie ; vexation.
Dssporızipo, A,9.p. de
+ Desrorizin, v. #. despoliser : agir, gou-
verner despotiquement.
Daspovoacäd, 8. f. " depeuplement, d&popu-
.aüion.
DasrovoÄipo, A, p. p. de Despovvar. adj.
Depeuple, desert, inbabite. s. m. Desert, lieu
iuhabile,
DespovoADöR, A, adj. et s. qui depeuple,
acvastateur.
Desrovoär, v. a. depeupler : degarnir un
pays d’habitants. Se dit au figure des haras, des
u0is, elc. if. p. us. Quitter, abandonner le lieu
de sa residence pour aller ailleurs.
* DESPOYOSAGON , eic. V. Despovoagdo,, etc.
Despaarzsipo, A,p.p. de
DespRATzÄR , v.a. desargenter : Öter l’argent
d’une chose argent&e.
Despaazen, s. m. deplaisir, chagrin,, möcon-
Icntement, peine.
DES
Despnaztn, v.w. döplaire : &ire desagröable,
faire de la peine.
* DESPRAZIMENTO,. V. azer.
*Desrraziver. V. Desagradavel.
* DESPRECAR , etc
" DESPRECIAR, eie. v. Desprezar, eic.
t Desranco, s. m. "depreciation. (Ag.) V.
Menoscabo, Desprezo.
DEsParcino, &A,P.p. de Despreger.
DESPREGADRA, s. f. action de declouer; d&
plissement,.
Desprzcia, ©. se. declouer : defaire, deta-
cher ce qui tait clou&. Deplisser: Oter, defaire
les plis. Deployer (lesvoiles, les drapeaux, etc.).
Despascän-SE, 9. r. se delacher; se de-
elouer.
+ Daspaznpino, A, adj. gauche, maladreit;
denue de talents,, de bonnes qualites, etc. ; qui
n’ert pas favoris6 de la nature, l’opposs de
Prendado. V. oe mot.
Dsspnenpea , v. a. deprendre, detacher, li-
cher. (Ag.) Delier ; deiourner (la vue, Palien-
tion).
Despnenpün-sg (de), v. r. se detscher, se
degager, au propre et au figure.
DESPRENDIDO, A, 9. p. de Desprender. adj.
V. Solto, Desaltado.
+ Dsspreoccorachö, 8. f. action de depre-
occuper, &tat de la personne depröoccupcc.
DasPprEoccuUPÄDO, A, adj. sans prejuges. p.
p. de
DesrnEOccupÄR, 9. @. d&pröoccuper : Öler la
preoccupation, la prevention.
+ Despasvenciäö, s. f. manque de pre
voyance, de preparatils.
+ DespnEvEnivamenTE, adv. au depourru,
sans prevoyance, sans preparatifs.
DESPREVENIDO , A, adj. deöpourvu : qui man-
que de choses n&oessaires, de prevoyance; qui
n’est pas sur ses gardes. Deöpröoccupe : sans
pre6occupation. Apanker —, prendre au de
pourru.
Despnezipauente. V. Desprezivelmente.
Despn£ezäino, A, 9.9. de Desprezar.
DESPABZADOR, A, 8. qui meöprise, contemp-
leur.
Desprezauento. V. Desprözo.
TDespazzinse, adj. 2 gen. qui indique,
qui marque du mepris. p. e. de
Desrazzin, v. 6. möpriser : avoir du m6-
pris pour; faire peu de cas, d&priser. — a vide,
faire bon marehe& de sa vie. —a calummis, eise
au-dessus de la calomnie.
Despaszin-se, v. r. dödaigner : ne pas dai-
gner faire une chose. — de elguem, avoir du
mepris pour quelqu’un.
Despreziver. V. Desprezioel.
* DespreEz£a-se. V. Desprazer, verbe.
DESPREZIYEL, adj. 2 gen. meprisable, digne
de mepris ‚vil, abject ; pauvre.
DESPREZIVELMENTE , adv. avec mepris, d’une
maniere möprisable, meprisablement ; paurfe-
ment.
Dzspaßzo, s. m. möpris, dödain ; opprobee »
DES
deriiion; moquerie. * Negligenos, noncha-
lance.
Despacvıcär , ei. V. Bspriguicdr, etc.
Dessamor , 5. m. manque de soins, d’&-
gards, de cur, de delicatesse,, Yoppos6 de
Prisor:
DespaımoriDO, A, 7. pP. de
+ Desspaımorir, o. a. dölustrer, ternir : Öter
ie lustre, 1’6olat, du Agure. Il est aussi reci-
ptoque.
DespaımorÖsamEnts , adv. d’une maniöre
peu honorable , impoliment.
Dsspamonöso, A, adj. impoli, qui n'est pas
obligeant; chose , aclion peu honorable, l’op-
pos6 de Primoröso.
Desmamvido, A, p. p. de Desprivar.
Drspawvinga,, s. f. perte de la faveur, des
bonnes gräces , de Yamitie de quelqu’un.
Daspasvär, v. a. faire perdre la faveur, elc.,
de quelgu’an (imus.).v. ». Dechoir de la fa-
voar, de Pamiti6 de quelqu’un, perdre la pri-
vantd, "
tDespaomöncıa , s. f. (£. de prat.) annula-
tion de la mise en accusation.
DasPaonUNcIaADO,A,p. p.de
+ Despnosuxcıär,, v. @. (1. de prat.) annuler
la mise en accusation, ıneltre hors d’accusalion.
Dsspaoronciö, s. f. disproportion, discon-
waanee: manque de proportion, de conve-
Bance
DisROPORCIONÄDAMENTE, adv. avec dispro-
DesproPoORcıoniDO, A, adj. disproportionne:
qui manque de proporlion, de convenance.
9.2. de
Desproroncionär , dv. a. disproporlionner :
rendre disproportionne ‚ Öter les proportions ,
Be pas proporlionner.
DESPROPORCIONÄR-SE, ©. r. perdre les pro-
portions, cesser d’&tre proportionn®.
Dasprorosıtinauente ‚ade. sans molil,sans
raison;; hors de propos, sans rime ni raison.
Daspaorosıranissimo, A, adj. sup. de
Dısraorosıtäno, A, adj. absurde, hors de
propos, parlant des choses ; imperlinent, &cer-
vel6, extravagant, brise-raison , parlant des
personnes. p. p. de
Desproposırär , vo. w. deraisonncr, extrava-
güer ; s’emporter, ne garder aucune llesure.
Despaorösıto, s. m. "absurdite, imperti-
Bence, extravaganoe, coup de töle,coq-A-l’äne.
*Incartade. A —, loc. adv. mal & propos.
Daspnovär , ©. a. depourvoir, degarnir de
porisions, de ce qui est necessaire. (4. mil.)
Demunir : öter les munitions d’une place.
y Despaovivamnte , adv. au depourvu. anf.
Daspaovioo, 1, P- p. de Desprovtr. ad).
urru.
Despaövmo, A, adj. V. Desacaulelado, In-
tauio.
Despaovıu£nto, s. m. ötat de ce qui est de-
pourvu. *Disette, manque des choses neces-
saires,
DES
DesguiLırıcino,A,p.p. de
t Dssquaisican, ©. @. priver ow declarer
quelqu’un priv6 de sa qualification ; inhahilı-
ter ow declarer inhabile, l’opposs de qualilicr.
Il est aussi r&ciproyue.
* Dgsqguantınar. V. Descortiner.
Desqus pour Desde que, adv. sitöt que; des
ue.
1 Desouzıxino, p. p. de Desqueizar.
tf DesqugıxaDor, s. m. celui qui rompt les
mächoires.
Desqueixik, v. a. demantibuler, rompre Ics
mächoires.
DESQDEnER, v. a. cesser d’aimer.
DEsaueRiDO, A,P. p. de Desquertr.
ESQUIETACAÖ, 8. f. .
Desanuro/ A, ei | V. Inguiet...
Desaquıtacäd,, s.f. p. us. V. Desquile.
Desquıtäpo,A, 9.9. de
DEsQuıTÄR, v. a. divorcer, faire divorcer. it.
Faire racquitter, regagner ce qu’un a perdu au
437
jeu.
DESQUITAR-SE, v. r. faire söparation de corps
‚etde biens. — no jogo, so racquitier. V. Des-
forrar-se.
DESQUIiTE, 8. m. * söparalion de corps et de
biens. 4. V. Desförra.
Dasaauin0,A,p2.p.de
Desnamia,v.a. ebrancher, &laguer, &iöter
un arbre.
Desaazoino, a. V. Desarrazoado.
DESREBUGADO,, A, V. Dosmascarddo.
DESREGRÄDANMENTE, adv. dereglement, des-
ordonn6ment,, sans ordre.
DESREGRÄDO, A, P. P. de Desregrar. adj.
‚Döregl6 : qui a une mauvaise conduite. Qui
mange, qui boit avoo exc&s.
T DESREGRAMENTO, 8. m. deregloment, des-
ordre ; opposition aux r&gles de la morale.
DesaecairR ‚v. a. dereglier, desordonner.
DESREGRÄR-SE, ©. r. so döregler, so meltre
hors de la rögle; se d6ranger.
DesneEvEstino,A,P.p. de
DESREYESTIR-6E,, o. r. so deshabiller : Öter
les habits sacerdotaux.
DESSABER , 0. ». montrer de l’ignorance, agir
comme un ignorant,
DessasorR , etc. V. Dissabor, eto.
Dessasonino, a. V. Insulso.
DessanoRöso, a, adj. insipide, lade, qui n’a
pas de goüt.
Dessasaivdo,. V. Desabrido ou Dessaborido.
Dessancnäin. V. Desangrar.
Dessir, v. a. ($. des prov. du Nord) trem-
per dans l’eau (la viande, etc.) pour Öter le sel,
dessaler.
Dessarin. V. Desarar
DessazonÄno, A, adj. quin’est pas bien as-
saisonne. Vert, qui most pas bien mür, en par-
lant des fruits. p. p. de
Dessazonär, vo. a. d6sassaisonner : öter Pas
saisonnement.
Dessscan , otc. V. Desecar, eis,
* Dasseruan. V. Desaflar.
438 DES
Dessecunino,, A, adj. sans särelb.
Desszinar,, eic. V. Inar, Amansar.
DssseLLino,A,9.p. de
DesseLLän, v. a. desseller : ter la selle du
dos d’un cheval, etc. (6. Oter le seeau.
DzsseMELHiDo, A, p.p. de Dessemslhar.
Desseszıninca, s. f. dissemblanoe : man-
que de ressemblance.
DESSEMELBÄNTE , adj. 2 gen. dissemblable :
qui n’est pas somblable.
DESSEMELHANTENMENTE, ade. dissemblable-
ment : avec dissemblance.
DESssENEBLHÄR , v. a. rendre dissemblabie. 11
est aussi reciproque.
* DESSEMELBAVEL, adj. 2 gen. V. Enorme,
Monstruoso.
Daessenuän, etc. V. Desenhar, etc.
D&ssEnTipo, A,P9. p.de
Dessentia, 0.6. p. ws. ne pas sontir.
Dessäa ,s. m. | V. Sobremesa, Pospdsto,
Dasstara,e.f. Pöstres.
Dessenvico, s. m. desservice : mauvaisoffice.
°Offense, ftlonie, perfidie envers son souverain.
Dassaavino, a, p. p. de Dessereir.
DessErvıpön, 3. m. colui qui mangue & Po-
bligation od il est de servir queiqu’un ; qui
dessert , qui rend un mauvais service.
DesszrviR, 0. @. manquer ä son devoir en-
vers son souvorain. Desservir, rendre un mau-
vais office. v. a. Ne pas servir.
* Desszssönıo. V. Decisorio.
Dessımin,o. a. jeter de haut on bes.
Dassocconaza, ®. 6. Be pas soeourir. V.
Dsssocconnf20, A, p. p.de Dessocsorrer.
Dessoczcun , etc. V.
DessoLacäö. V. Desolagdo,.
DessoLniB0, A,p.p. de
}DessoLsin, vo. a. dessouder : öter, defaire,
fondre la soudure. Il est aussi r6ciproque.
Dassörin0, A, p.p. de
Dassönan-4E, 0. v. so defaire en serosits,
devenir sereux.
Daessorzanar, eic. V. Desinterrer, etc.
* Dessoväno, A, adj. qui n’a pas die batiu.
Dussövir , ote. V. ‚ee.
Dessustrro, A , adj. qui n’est pas assujetli.
DessuLrmurızino, A, 9.9. de
DessuLruunızan, v. 6. (4. de chim.) dessou-
frer : enlever le soulre surabondant du char-
bon mineral.
* Dassuo ow Dzssuum. V. Juniamentie,, Si-
mulianesmenle.
Dastacipo, A,Pp. p. de Desiacar.
Dasracauxto, s. m. detachement : troupe
de soldats detach&s d’un corps pour une expe-
dition,, etc.
Desracik, o. 6. dötacher : faire un detache-
ment de troupes.
* DzsräLno , s. m. sorte de meuble ancien.
T DestaLıncar, ©. 6. —a smarrs, (.demar.)
deislinguer lo cäble.
SSTANPÄSO, A, P. pP. de Desiempar. ad).
V, Desproposilado, .r per. ad)
DES
Destaurie, 9. @. Oxtravagusr, s’emporter.
DESTANPATÖRIO, 8. m. ( £. fam.)* incartade,
boutade,, ooup de Wie, OXlsaragance, Oay-ä-
Päne.
Dastarino,A,P9.p. de
Destarin, v. e. deboucher, decouvrir, de-
boutonner : öler oe qui bouche ou c# qui cou-
vre. — une garrefa, decoiffer une bouteille.
Destannıcair, etc. V. Desatarracher, eic.
+ Dastz, a, Dısto,, contraclions des mols de
esie, de esta, de isio, de celui-ci, de cellexi,
de oeci.
Destzcapüns, s. f. desourdissure : l’aclion
et l’effet de desourdir.
DESTECER , v. a. desourdir, delaire un lisse,
(Ag.) Rompre une irame , un complot ; dejeuer
une cabale.
Destscino, A, 9. 2. de Desiecer.
DestzLEiDo, A, p. p. de Destelhar.
DESTELHAMENTO, 5. mw. l’aclion et l’efet d’d-
ter les tuiles d’un toit.
Destzınin, ©. a. Öter les tuiles d’an toit.
DESTENAR, v. 6. no pas craindre, n’avoir pas
ur.
t DESTEMIDANENTE , adv. sans peur, inlzepi-
dement.
+ Destzumäz, s. f. intröpidite , hardiesse.
DESTENIDO,A, 9.p. de Destemer. adj.Intröpide,
t&mersire, sans pour. is. Que Fon ne craintpas.
Dastrzuön, s. m. * intrepidile.
Dastkurzar. V. ‚Drige.
DESTEMPRRÄDAMENTE , ado. Sans ordre, Bath
rögle, sans mesure ; immoderement, sans fe-
tenue,.
DESTBUPERÄDO, A, P. p. de Desiemperar.
adj. Discordant; detrempe. (Ag.) Döregle: qui
fait des exods, sans relenue; violent. Barrıg
—s, diarrhee, cours de ventre. Clins —, cl-
mat dur.
DESTENPERANENTO, 8. me. derangemen! du
corps , intemptrie de l’air. — da berrige,, coufs
de ventre.
DesrEuranÄnca, 8. f. intemperance , dessr-
dre, exc#s; emportement. * Dertgiement de
meurs. Intemperie de l’air. Inconstance, leg
rets dans les sentiments, eic.
Dasteurerin, ©. a. temperer, diminuer la
force ou la chaleur J’un liquide en y melent ua
autre moins fort ou moins chaud. Deiremper:
öter la trempe & l’acier, etc. Desaccorder: de
teuire l’accord d’un ınstrument de musique,
etc. ( ig.) Deranger, troubler l’ordre, !'harmo-
nie. — o ventre, donner des cours de venlf!.
— o vinho com agua, meltre de l’cau dans s00
vin, le iremper.
DESTENPERÄR, ©. w. oxtravaguer; lenir des
propos insultanis. — com alguem , rompro aYc©
quelqu’un. |
DESTEMPERÄR-SE, ©. r. se desaccorder, 0
parlant d’un instrumen: de musique. Se decon-
certer, en parlant de l’estomac, du ventre. 50
detremper, perdre sa trempe, en parlant ds
l’acier, ete. (Ag.) Sortir des bornes de la modt-
ration, semporter, lairc guelque exc#s.
DES
DestEzur#&no,s. m. "exiravagance, sotlise, bou-
tade. Emportement. (fig.) Desordre, derange-
ment; conduite d&sordonnee. "Iutemperie,p. us.
DistzaniD0, 9. p. de
Dasternir, v. e. bannir, exiler, expatrier.
(4g.) Bannir, chasser, rejeter; &carter de soi.
— do mundo, chasser de parlout.
Desteraia-68, 9. r. s’expotrier, &migrer.
Destreeno, s. m. exil, bamissement; lieu
d’ezil. (4g.)" Solitude , desert.
Destetän. V. Desmamar.
Desrmnonar. V. Desenihronisar.
DesriLLar, eic. V. Distillar, etw.
Desrmmpeza , s. f. V. Desiemor.
Desrinacaö, 8. f. V. Destino.
Dsstısapo, A, p. pP. de Destiner.
Dsstıuapen , s. m. celui qui destine.
Destixir, v.a. (para, a) desliner, designer,
marquer, assigner, appliquer. Il estaussi reci-
proque.
Desrincino, A, p- p. de
Desstincia, o. a. deleindre : Oter la teinlure,
la couleur. u. n. et — se, v. F. deteindre : per-
dre sa couleur;; la deposer sur les vetements;
se deteindre , perdre sa couleur, sa teinture.
*"Destincum, v. a. V. Extingwir.
Destino, s. mw. destin, destinee, sort, fala-
its, asire, etoile. * Disposition, enchainement
des causes secondes ordonne par la provi-
dence. * Destination : disposition faite pour
l'emploi ou l'usage d’une personne ou d’une
chose. Desscin , intention, but; destination.
* Destinto. V. Instinto.
Destiırticiö, s. f. destitution : d&position,
privetion d’un emploi, d’une charge. * Besoin,
privation,, denüment.
Desyıruino, A,adj. dostitu6, depourvu, de-
aue, prive. p- p. de
Dsstıruir, 9. a, destituer : deposer, Öter
Venploi; priver de la function; en general pri-
ver de quelque chosc.
Dsstiıruin-se (de), v. r. se priver, se trouver
destitue.
Destöcän0, A,p. p. de
f Dzrstöcikk , v. a. arracher (d’un champ) les
souches , les chicots d’arbre.
DesroL.dino, A,p.p. de
DestoLvär, v. a. detendre : Öter les hannces
tendues au-dessus des rues par oü passe une
procession, etc., enlever la banne d’un vais-
seau, ete. (fg.) Clarilicr le vin, etc.
Desrorct«, v.a. detordre, detortiller, de-
plier ce qui est tors. (fig.) Redresser ce qui
etsit tortu ; deteurner d’une inclination, d’un
penchant, elc.
TDesroncta-88, 0. r. (1. demar.) deriver, se
deiourner, s’&carter de sa roule, parlant d’un
Vaissenu.
Destoncino, A, p. p. de Destorcer.
Destonroino,,A,p. p. de Destorroar.
Destonnoapen, #. m. herseuf : cultivateur
qui herse,
Dasronnoän , v. a. bersor, briser les moties,
tmelter, ameublir,
DES
Dastoncan. V. Destorcer.
DesToucino, A,P.Pp. de
Destoucär,, v. a. decoiller, deranger la ooil-
fure.
Destaa,s. f. la main droite. V. Dexira.
Destracär. V. Estragar.
Destrasın, etc. V. Distrahir, ele.
DESTRAMÄDO, A, P. p. de
Deastnamuir, v. a. delsire la trame d’uno
toile. (Ag.) Döcouvrir, rompre une lraıne, faire
6ohouer un complot.
DästRamenTE, adv. adroilement, avec dex-
terite.
DESTRANCÄDO, A, 9. p. de
Destaancie, v. a. debarrer : Öter la barre.
DESTRANGAR. V. Desentrangar.
* DESTRANGER. V. Distribwir.
DastnatarR, etc. V. Distralar, etc.
Destaavino, A, 9.p. de
DESTRAVÄR, dv. a. desentraver : 6ter les en-
traves.
® DESTRAYEBSÄnO. V. Enorme, Inaudito,
* Dasraencarn, V. Dispor, Ordenar.
DestrepÄR-sE, vo. r. V. Deslizar-se. Descen-
dre d’oü on &tail grimpe.
Dustekza , s. f. dexierite, adresse, habilote,
savoir-laire. Agilitö du corps, ruse de Pesprit.
Destaısvicäö, etc. V. Distribuigdo , etc.
Destaıcto. V. Districto ou Destrito.
Destaıngan, eic. (ant.) V. Indiwiduar.
DestaıPuLÄDO, A,p. p. de
+ DestripuLan, v.a. (l. de mar.) desequk-
per, desarmer un vaisscau.
DESTRIssım0O ,A, adj. sup. de
Destao,A, adj. adroit, leste, habile. Fin,
ruse, fourbe,, dissimule.
Destro, s. m. V. Dextra. Ter mancedbaa —,
entrelenir une maltresse.
+ Destaoca , s. f. l’action et l’effet de defaire
un troc.
Destrocino, A, p. p. de
Destrocik, v. a. defaire un troc, reprendre
chacun ce qu’on avait troque.
Destrocino,A,p.p. de Destrogar.
DESTROGÄDÖR , A, adj. ei s. qui brise, qui
detruit, destructeur ; vainqueur, qui delait ou
mel en deroute une arınee.
Destaocär, vo. a. briser, meltre cn pieces,
detruire, depecer. Defaire, tailler en pieces,
meitre en deroute une armee. (8. mil.) Partager
les soldats en escouades. — alguem, (g.)
ruiner quelgu’un. — a udo de masiros, (1. de
mar.)raser les mäts d’un vaisseau, parlant
d’une tempete. — a narrapdo, rompre lo fil
du discours, s’ecarter de son sujet.
Destaöco, s. m. action de briser, de dötruire:
destruclion, depöcement; ruine, degäl, ra-
vage. Carnage, defaite d’une armeo, deconfi-
ture , deroute. —s, pl. debris.
Destnonir, elo- V. Desenthronizer, eic.
Destroncipo, A,p.p. de
DESTRONCAR, 9. a. Couper, abaltre un arbre
par le tronc. Tronquer uno statue, un livre,cto.,
439
440 DES
en retranchant quelque parlie. V. Desmem-
brar. (g-) Couper, interronipre.
+ Destrongueeina , adj. f. Planta—, (tl. de
bot.) V. Descaulina.
+ DestauctisiLinäns, 3. f. destructibilite :
qualite de ce qui peut @tre detruit.
+ DestaucTivam&nte, adv. d’une maniere
destructive, avec destruction.
+ DESTRUCTIVEL, adj. 2 gen. qui peut @ire
detruit.
Destrucrivo,A, adj- destructif: qui detruit.
Destauigiö, s. f. destruction, ruine totale,
ravage, desolation.
Destavipo, A, p. p. de Destruir.
Destauvidörn, A, adj. et 3. destructeur : qui
dötruit, fait du ravage.
DESTRUIMENTO, s.m. V. Destruicdo.
Destavir,, v. a. d6truire, ruiner, andantir,
ravager, desoler. Dissiper son bien. (fg.) —,
zenverser un sysiöme,, etc. (fd.) —, ruiner quel-
qu’un, lui öter les moyens de subsistance.
Desstauia-se, v. r. se ruiner, dissiper son
bien. — a si mesmo, so dötruire, se tuer.
Dssraunri00, A,p.p. de
+ Destaunria, v. a. (l. de jew) [airce tomber
les atouts : jouer atout pour les Epuiser.
Desuapın , etc. V. Dissuadir, etc.
Desusstancıdno, A, 2.92. de
DESUBSTANCIAR , v. a. aflaiblir: Öter la sub-
stance, la force, la vertu d’une chose.
+ Dssunaciö, s. f. (b. de med.) desudation :
sueur excessive, symplomatique.
* Dzsum , adv. en sociele,, ensemble.
Desumino, A,p.p. de
+ Dzsuxin, v. a. inlerer, conclure.
Dssunuinpo, A, p.p. de
+ DesunHÄrR,, v. a. arracher les ongles.
+ Desunuän-se, v. r. (1. fam.) se livrer tout
entier ä quelque travail, & quelque chose; y
persister obstinement.
DzsunıAd, s. f. d&sunion, disjonction , sepa-
ration des parties. (fig.) —, division, mesintel-
ligence , desordre.
f DssunidamEntE, adv. separ&ment, sans
union.
Dzsunino, A, p.p. de
Desonin , v. a. d&sunir, disjoindre, separer.
(Ag.) —, diviser, brouiller, mettre en discorde.
Desengrener.
Desuapino, A, p.p. de
t Dzsunpin, o. @. desourdir : delaire ce qui
a 686 ourdi.
DESUSÄDANENTE,, adv. contre V’usage.
Dssusino, A, adj. inaccoutume, inusite.
p.p.de
Dssusir, u. a. dösaccoutumer, deshabituer.
Dasusän-sE, v. r. devenir bors d’usage. (a)
Perdre l’habitude de.
Dasöso ‚s. m. * desustude ‚ NON-USage; Cossa-
tion, defaut d’habitudo, d’usage, d’exercice.
Coir em —, n’6ire plus en usage, tomber en
desuetude.
> Dasusopiro, V, Sobredito,
DES
* De suca ‚adv. ensemble; & la fois, eonjein-
tement.
Desvain-se, etc. V. Esvair-se, etc.
Desvaırino, A, p. p9. de Desvusirer. sdj.
Discordant, discord , contreire, oppose; varis-
ble, inconstant; confus, dissonnant. ( fg.) Qui
s’ecarte de la regle, de l’ordre.
° Desvaınanga. V. Discrepancia.
DESVAIRAR, ©. n. V. Discrepar, Discordar.
#!. Demandor, proposer, accepier des choies
deraisonnables.
+ Desvaınan-se, ©. r. (fg.) S’ecarter de
l'ordre, de la regle.
Dzsvälre, s. m. chemin oppos6 & un auire.
*Desväıno, s.m. V. Desavengs, Discordia;
Discrepancia et Desvario.
DesvaL£äa, v. ®#. n’eire point en lavear. V.
ivar.
DasvaLia, 8. f. V. Desprivange.
DesvaLino, A, 9. »2. de Desvaler. adj. wi
n’est point en faveur; delaisse, abandonne,
destitu6 de tout secours.
DEsSVALIHÄDO, A, P. 2. de
DesvaLısän, u. a. devaliser : voler, dier &
quelqu’un sa valise, ce qu’on porte en voyage.
DESYALIMENTO, 3. m. *disgräce, delareur;
abandon, delaissement,, privalion de toul 5%
cours.
+ DesvaLöR, s. m. * depreciation; dimine-
tion de valeur, baisse, dechet, defaveur.
f Desvasscenön, A, adj. qui frustro, qui
dissipe; qui enorgueillit.
DESVANECER, ©. a. resoudre, dissiper, faire
disparaltre. Dissiper, detruire. Frusirer; laire
avorter ou echouer. Enorgueillir : rendre vaın,
presomptucux.
DESVANECER-SE, v. r. 8’&vaporer : 60 TES0R-
dre en vapeurs. S’evanouir, 56 dissiper, venal
a rien. S’enorgueillir.
DusvAnECiDAUENTE, ado, orgueilleusement,
avec vanite, bautement.
DESVANECINO, A, P. P. de Desvanccer. adj.
Vain, orgueilleux,, haulain , presompiueui,
vaniteux, lier.
DESVANECINENTO, 5. m. °vanile, presomp-
tion, hauteur, superbe. Evanouissement.
DESVANTAGEM, s. f. * desavantage; inferie-
rite , dessous.
f DESVANTAJÖSAMENTE, ado. desavaniagel-
sement : avec desavanlage. ,
DESVANTAJöSO, A, adj. desavantageuf : qul
cause, peut causer du dommage, de la perl,
du prejudice, du desavanlage.
*Desviö os Esväö, s. m. grenier, galeis,
mansarde.
+ DEsvanıkdamente, adv. follement, meld
propos, d’une maniere oxtravaganle.
DesvasıÄ0o, A, p. p. de Desvaridr. ed.
Ervapore, fou, elourdi, dissips. (Ag.) Qui se
carte de la regle, de l’ordre. Inoonstant, chan-
geant; delirant. Different, divers, dissem-
blable.
DESvAnıamEnTo, 5. m. p. us. V. Diversidads,
Differenga.
DES
Desvanıan, v. a. V. Variar, Mudar, Desunir.
o.». Extravaguer, @tre dans le delire. V. Tres-
verier.Radoter ; devier, varier, @ire inconstant.
TDzsvanıckvo, A, adj. (6. de bot.) ecardb,
parlant des branches ou des rejeions d’un
arbre.
Dzsvanio,s. m. delire, transport au cerveau.
Disparate, röverie, extravagance, vertige, fo-
lie, &garement de raison, absurdite. * Inegalite
dhumeur, inconsiance, caprice. * Variation.
V. Discordia , Dissensäo. ant.
DESVELÄDAMENTE ‚ adv. soigneusement, avac
vigilance.
DesvaLino, A, p. p. de Desvelar. adj. Vigi-
lant; z&l6, soigneux. Estar —, veiller : ne pas
dormir.
DesvzLautnto. V. Desvelo.
Desvg.in, ©. @. tenir eveill6, emp&cher de
dormir; soigner.v. n. Veiller. (Ag.) Donner
Wule son attention , tous Ses soins A.
DesveLin-sE (em, por, sobre), v. r. (fig.) &ire
vigilant, soigneux, altentif, s’appliquer avec
ztle, se donner sans reläche.
DesvEeLgJäDO,, A, 9. p. do
tTDesveLesän, 0. a. (l. da mar.) ferler los
voiles ; diminuer les voiles.
DisveLo, s. m. “insomnie, privation de
sommeil. (fg.) " Vigilance, soins, zele, em-
pressement, exactitude.
Desvancıuän-se. V. Desenvencilhar-se.
Desvenpino, a, p.p. de
tDesvennin, v. a. debander : Öter une
ande, un bandeau. D&masquer. II est aussi
reiproque.
Desvenenacäö. V. Irreverencia.
Desvsnerie. V. Desacalar.
+Desvanösas, adj. f. pl. Folhas —, (1. de
bet.) depourvues de veines (feuilles), non vei-
des (avenis).
DESTENTÜRA, s. f. " malheur, infortune, dis-
ce.
TDESVENTURÄDAMENTE, adv. malheureusc-
ment, malencontreusement, par malheur.
Desvsasunäno, A, adj. malbeureux, malen-
watrenz , infortune. p. p. de
tDesventunär, ®.a. rendre malheureux,
infortune.
Desvencönua, s. f. impudence, insolence,
vienie, effronterie. Parole, action iımpudente,
sollise,
DESYERCONIAMENTO, etc. V. Desav..., elc.
Desvssrin, eic. V. Despir, eic.
Dzsvıino,A , p.p. de Desviar. adj. Deverse,
penche , incline. Ecarte, eloignd ; delourne. —
do oriente , desoriente£.
y Desvıau&nto ‚,s.m. dloignement, egaremont.
Drsvıin (de), ©. a. ecarter, detourner, dö-
Touter, eloigner. (fg.) Detourner, dissüader;
esgeiver, eviter adroitementle coup. (f. d’eser.)
Parer une botte. — 0 corpo, se detourner pour
triler. — a ancora do costado,, (f, de mar.) de-
fer ancre de bord.
DET 4
Dasvıan, vo. n. V.Aparlar-se. —se, dv. Tr. 5°0-
garer, s’öcarler ; se dötourner, devier.
Dssvio, s. m. Paction de detourner, de se
detourner de son chemin, etc. Eloignement,
&cart. Lieu &loigne. V. Retiro. *Deviation, de-
tour; sentier ; sublerfuge ; ögarement,
DesviırcÄno, A, ?. p. de
+ Dusvircär, v. a. depuceler : Öter le puce-
lage, la virginite.
DESvIiRTUDE, 3. f. manque de vertu.
+ DEsvituar-sE, v. r. (li. de veler.) se rul-
ner, parlant du sabot d’un cheval.
Desviver,v. n. cesser de vivre. (fig.) Faire
reculer la vie.
+ DesvoLvino, A, adj. Espique —, (tl. de
bot.) d6pourvu de bourse ou volva (avolvasus).
+"DesyrowDes r, adv. apres cela; d’ici,
depuis ici.
DeriLuır, o.a. detailler. V. Circumsitan-
ciar, Deparlir.
DETALBE, s. m. V. Particularidades.
*Derarpanga. V. Demora, Tardanga.
* Detsenor. V. Detentor.
DETENcA , s. f. “retard, delai, remise.
DeTEnciö, V. Reiengdo ot Detonga. Deten-
tion.
DeTEncöso,, A, adj. tardif, lent.
DETENSOR, a, adj. et s. qui arröte, qui re-
tarde, qui suspend. V. Detentor.
DETENTOR, A , s. detenteur : qui relient, Pos-
söde sans droit.
DeT£R, v.a. arräter, retarder, suspendre,
tenir, retarder, empecher d’aller. Retenir, con-
server, garder. V. Reter.
DETRR-SE, v. r. s’arreter, tarder, s’amuser,
demeurer. (fig.)S’arreter pour considerer quel-
que chose; s’allonger dans un discours, el.
S’etendre sur un sujet, en parler au long.
DETERGENTE , adj. 2 gen. (1. de med.) döter-
gent : qui deterge; dötersif.
DETERGIDO, A, 7. p. do
Deteacir, v. a. (1. de med.) delerger; net-
toyer (une plaie) ; mondifer.
DeTerıön. V. Peiör.
DetErıoracäö, s. f. delerioration, endom-
magement, deperissement,
DETERIORÄDO, A, p. p. de
DETERIORÄR,, v. a. deleriorer, gäler, rendre
pire, plus mauvais.
DETERIORAR-SE, d. r. se deleriorer, deperir,
dechoir.
DETERIORIDÄDE, 3. f. 6tat pire; deperisse-
ment.
DETERMINAGAO, s. f. determination , r&solu-
tion, decision. Resolution, audace,, assurance.
Fixation , determination.
DETERMINÄDAMENTE, adv. determindment,
courageusement, hardiment.—,expressement,
precisement.
DETERMINADISSIMO,, A, adj. sup. de
DETERMINÄDO, A, p. p. de Deierminar. adj.
Determine, r6solu, hardi, courageux, auda-
cieux;; fx&, assigne.
DETERNINADOR,, s. m. celui qui determine,
442 DET
qui decile, qui rögle, qui etablit; regulateur.
DETERMINÄNTE , adj. 2 gen. determinant: qui
determine ; delerminatif. 9.a. de
DETERMINÄR, ©. G. determiner, r&soudre,
slatuer. —, fixer, marquer. —, former, pren-
dre ow faire prendre une resolulion ; donner &
un corps des qualits, une maniere d’eire, &
un mot, une significalion precise. —, arröter.
Commander, ordonner, prescrire.
DETERNMINAR-SE (a), v.r. se determiner, se |
decider, prendre un parii. (f. de med.) Se r6-
soudre, parlant d’un abc&s, etc.
DRTERNINATIVO, A, adj. (1.de gram.) determi-
natif : qui determine la signification d’un mot.
Deransiö,s. f.!’action et l’effet de netioyer,
de deterger.
Deraasivo, a, adj. (1. de mdd.) detersif: qui
netioie, purifle.
f Derzasöno, a, adj. (1. de med.) detersil;
mondißcatif : qui neltoie une plaie.
Derestaciö, s. f. detestation, abominalion,
ex6cralion.
Detsstipo, A, p. p. de Detestar.
ve ETäsTänne, A, adj. qui merile d’dire de-
ste.
Derzstir, v. a. deiester, abhorrer : avoir en
horreur.
DETEsTÄvgL, adj. 2 gem. detestable : qui doit
@tre detestö; ex6crable; tr&s-ınauvais dans son
genre.
DETESTÄVELUENTE , adv. detestablement :
d’une maniere detestable.
*Dereöno. V. Detido.
DETBRONAR, etc. V. Desenthronizar,, etc.
aruzino ‚A, P. p. de Deiör. adj. Relarde,
Deronaciö, s. f. detonnation : bruil avec
6&clat, infammalion subite avec eclal.
Deronivo,A,p.p.de
Deronär, e.n. (1. de chim.) detoner : s’en-
Dammer subitement avec eclat.
Derorano, a,p.p. de
DETORAR, €. a. couper, abalire un arbre par
le tronc.
Deraacciö, s. f. detraction, medisance.
t Deraactivo, a, adj. qui delracie, qui ra-
baisse le merite.
DsrRacton, A, s. deiracleur, medisant, qui
dötracte, qui rabaisse le ımerite.
* DETRAHER. V. Detrahir.
DETRARIDO, A, p. p. de
DeTaanuia , v. a. detracier : mödire avec vio-
lence.
Derais (de), adv. et prop. derriere, apres;
par derriere, en arridre. Por —, en abseuce.
DETRIMENTO, s.m. detriment, altenie, al-
taque, dommage, prejudice.
* DETRIMINAnGA. V. Detferminacdo.
Derronan, etc. V. Desenihronizar.
DetRoncioo. V. Desironcado.
T DETUMECENCIA 0W DETtumeschncia, 5, f.
(f. de med.) detumescence ; dösenflure.
* DETORBAR.
* DRTURPAR, } V. Afear, Desfigurar.
DEV
° FDeupo, 3. m. parent, alli6; parents. To-
mar om seu— alguem, s’allier avec quelqu’un,
entrer dans sa [amille, devenir son parent.
Ders. V. Deos.
DEUTERO-CANÖNICO, A, adj. deutero-cane-
nique: se dit d’un livre de l’Ecriture sainte
mis plus tard que les anires dans le canon.
f Deutzrocamia, 8. f. deulerogamie : ms-
riage en secondes noces.
DELTERONONIO, 8. m. deuleronome : cin-
quieme livre du Pentateuquo, dernier ouvrage
de Moise.
+ DevTERoPATBiA, 8. f. (t. de med.) deutero-
pathie : maladie causee par une aulre.
+ Deurenöse, s. f. deuterose : seconde lei
des Juifs. V. Tradigäo.
+ Deutzia, 8. f. (6. de bot.) deutzie : arbris-
seau du Japon.
Devaciö. V. Devoräo.
Devacan, adv. peu & peu, Jentement, dou-
cement, sans se presser. inlterj. Doucement,
ne vous pressez pas, n’allez pas si vile. Ve-
mos— !Doucement! halte-]ä!—se va ao Zunge,
(prov.) pelit ä petit l’oiseau fait son nid.
DevaLtro. V. Devoluto.
DavangziA00,A,Pp.p.de
DEVANEÄR, v.n.rever, radoler, ezisavaguer,
s’cgarer, se iromper.
DEvANE£O ou DEVANSIO, 5.0. "reverie, exira-
vagance, radotage, &garement, erreur." Vanite;
operation vaine, idee creuse.
Devissa ,s. f. enquete : recherche judiciaire
ou civile; information. Mandar lirar —, or-
donner une enqueäte. Tirar —.V. Derassar de.
A juslica estd tirando — , la justice informe.
Devassacäö, 8, f. V. Devassa, Devassiddo.
Devassäno, A, 9. p. de Devassar. adj. Sujet
d’une enquele. Lugar —, lieu que l’on voil de
toules paris.
DEVASSADOR, A, 3. qui ourre, elargit; qui
divulgue, rend public; qui corrompt, qui s6-
duit, qui debauche.
DEvÄASSAMENTE, ade. licencieusement, avec
trop de liberte. (1. de prat.) En secrei.
DEvVASSAMENTO, s. m. V. Devassapdo.
DEVASSÄNTE, 5. m. enqueteur : juge, oflicier
commis pour une enqu&te.
DevassAR, v. a. decouvrir, avoir vue sur les
voisins. Divulguer, rendre public, faire com-
mun: ouvrir, elargir. (fg.) Corrompre, debau-
cher. it. Penetrer dans un lieu defendu, en-
freindre un privilege.
Devassar (de), 0. ». proceder & une enqueie
sur; rechercher, faire une perquisiion, unc
enque&te ; informer, faire une infermalion, une
enquete.
DEVASSAR-SE , ©. r. devenir commun , pablic
ce qui ne l’dtait pas; se divulguer; souvrir,
selargir. (fg.) Se debaucher, se prostituer.
DEVASSIDADE 64 * libertiinage, dissolu-
Devassınaö,s. f. | ion, proslitulion, de-
bauche, licence.
Devisso, A, adj. ouvert, public, non defen-
sable; expose & la viss; large. (Ag.) Beläche,
DEV
licencieax, perdu. Homem de costumss —s,
debauche. Hulker — a, prostitnte.
Devisso, z. m. lieu qui n’est pas clöture.
Deiter em —. V. Deseoutar.
Derastacä0, 3. f. devastation, desolation,
ruıde.
Devasripo,, A, 9. p. de Devastar.
Devastapon, A, adj. et a, devastalenr : qui
devaste.
Davastin, ©. a. devaster, ruiner, desoler,
ssocager, piller, rendre inhabitable (un pays).
Devepör, A, 8. debiteur : qui doit.
Ds venno. V. Vedro (de).
Devsurae. V. Debulho.
Derta, o. a. devoir: @tre oblig6 & payer, &
fstre,ädire, par la loi, la nature, le devoir,
la justice, la reconnaissance, la raison, elc.;
avoir obligation d’un avantage, elc. Avoir des
deties. — de ser, falloir. — os cabellos da ca-
era, (ig. fam.) eıre crible de dettes. Isso
devo-me mwito cuidado , eela me donne du sou-
dä, je seis inquiet de cela. Isso ndo deve admi-
rar, cela n'est pas &lonnant. — mwuilas obriga-
fie s elguem , avoir beaucoup d’obligations A
quelqu’un. Näo ficdo devondo nada um ao ou-
Iro, iis ne s’en doivent guere.
Dırta-se,, vo. r. se devoir. On l’emploie im-
personnellement. Deve-se fazer isto, cela so
doit. Devs-se respeilo aos pais, amor 6 esposa,
en doeit du respect & ses parenis, de Pamour &
son tpouse. N&o se deve julger dos homens
como dum painel, il ne faut pas juger des
hommes eoınme d’un tableau.
Devta,s. m. devoir : co A quoi on est oblig6
par la loi naturelle ou sociale, l’honnetete, la
bienstance, la condition, l’&lat, la place, les
fenetions, ete. (amt.) Respect, &gards, atien-
Von. Cumprir com 08 seus —es, faire son de-
voir. Falter ao seu — , ne pas faire son devoir.
Davtzıs, adv. serieusement, tout de bon,
on verilt, sincdrement. Deveras? vraiment?
Davsarıututo ‚etc. V. Divertimento, ote.
Deviza, s. f. * Päturage, for&t. V. Defeza.
Devsziı, s. m. lieu oü il y a des pätura-
ges, eic.
Devivamtwre, adv. düämenst, convenable-
ment, justement, parfaitement, entitrement.
Dsvivo, a, p. p. de Dever. adj. Dü, jusie,
@geirabie. "
*"Davımman. V. Adivinhar.
Devisa,s. f. (ant.) demarcation,, separation,
üirision. Portion de dimes qui appartenait &
Pheritier d’une beheiria. V. ce mot. Fazer —
em elgum lugar,, ($.de mar. ant.) prendre un
Print comme oertsin pour poursuivre sa route.
V. Dieiss,
Devısanpo, A, p. p. de Devisar.
Devisiö6. V. Divisdd.
Davısig, v0. a. apercevoir; remarquer, disoer-
ner. Designer, determiner, fixer. V. Demarcar.
"+ Devistino, s. m. höritier d’une behetria.
V.ce mot.
Devociö, s. f. devotion, piet# , attachenıent
au service de Dieu, culte qu’on lui rend, ainsi
DEZ 443
qu’& la sainie Vierge et aux saints. (Ag.)—,
alfertion sp&ciale, d6vouement , entidre dispo-
sition & [aire la volont& de quelqu’un. Ester d
— fdalguem,&ire A la devotion de quelqu’un.
Devogöes, pl. devotions : exercices de piete,
priöres.
DEvOcIONÄRIO, 8. m. livre de devotion.
DevoLuciö, 8. f. (f. de prat.) devolution,
acquisition d’un droit d6volu.
DevoLvrärıo, s. m. devolutsire : qui a ob-
tenu un benefice vacant.
DevoLvrivo, a, adj. (4. de prat.) devolutif.
On le dit d’un appel qui salsit un tribunal su-
perieur d’une affaire.
DevoLirto, A, adj. devolu , acquis, &chu par
droit. Vacant, vide, desoccupe. Rendu & son
ancien e&lat. Vacca, egua—a, vache, jument
qui n’a pas porte. Terra —a, terre en friche,
non cultivee.
DEvoLYER (64), v. a. rendre, restitaer, ren-
voyer. Ramener. Rapporter. Commettre, con-
er. (fig.) V. Desenvolver, Soltar, Proferir.
DEVOLYER-SE, 9. r. (}. de prat.) faire retour,
retourner ä& son premier possesseur, parlanıl
d’un flef, d’un droit de patronage. Echoir.
DeEvoLYipo, A, p. p. de Devolter.
Devorino,A,Pp. p. de Devorar.
Drvoranön, A, adj. et s. devorateur, de-
vorant : celui ou ce qui devore. (flg.) Qui con-
sume, detruit rapidement. Fogo —, feu de-
vorant.
DEvOorRÄNTE, adj. 2 gen. devorant, devora-
teur. 9. 0.deo
Devoran, vo. a. devorer, avaler, engloutir,
manger avidement. (fig.) —, consumer, dt-
truire ; lire avidement.
Devöramente, adv. devolement, pieuse-
‘inent, avec devotion.
DEvoTIssımo , A, adj. sup. de
Devuro, A, adj. devot, pieux: qui a de la
devotion. —, qui excite ä la devotion. Voue,
consacre, dedie. Devoue , allectionne.
° Devöoo. V. Derido.
DexTerınÄDE, 8. f. dexterite. V. Desirexa.
* Dexrios,s.m. pl.V. Deziros, Passaes.
Dextra,s. f. main droite, dextre.
DEXTRARIO. V. Adestrddo.
Dextao, A, adj. droit, du cöt& droit, dextre.
+ Dextrock£rıo, s. m.(t. de blas.) dextio-
chere : bras droit peint dans l’&cu.
+ Dextros, 5. m.pl.(ant.) espace de terrain
de soixante-douze & quatre-vingts pas, alle-
nant & une eglise, et dont le produit etait af-
fect£ aux d&penses du culte divin. V. Passaes.
Der, 5. m.chefdu goavernementde Tunis, etc.
Dez, adj. 2 gen. nomb. card. dix : nombre
pair de deux fois cing; unite du second ordre
dans la numeration de&cimale; base de la nu-
meration.
DEzANÖTE , 3. m. el adj. 2 gen. nombd. card.
dix-neuf.
* Dezid ou Dezio. V. Desavo.
Dezaseıs, s. m. et adj. nomb. card. seize.
DEZASEISTAYALO, A, adj. qui a seize cOl&s.
uk DIA
Dizustire , s. m. et adj. momb. card. dix-sept.
Dezemnancanpor ‚etc. V. Desembargador, cic.
Deremeno, 5. m. decembre : dernier mois de
Vannde, le premier de l’hiver, le dixiöme de
l’annde romaine.
Deztua , s. f. dizaine : total compos6 de dix.
ds milhar, dix mille. — de milkdo, dix mil-
lions.
Darkno, a, adj. dixiöme; impöt, droit de
dixidöme,
DEEZBROYR,
DEZESEIS. V. Deza...
DEZESETE,
Darörro, 8. m. et adj. 2 gen. (momb. card.)
dix-huit,
°D’au. V. D’onde, Onde.
*D’1, adv. de lä, de ce lieu, de ce temps.
Dia, s. m, jour: espace de lemps compris
entre le lover et le coucher du soleil; espace de
24 heures; Iumiere du soleil. *Journee. Temps.
— azıdgo, jour malheureux, nefaste. — artif-
eial, jour artificiel : temps compris entre le
lever et le coucher du soleil. — claro, jour
clair, serein; grand jour. (Ag.) Jour heureux.
‚Bello ou formoso — , beau jour. — sanio, jour
de fete. = de trabalko, jour ouvrable, ouvrier.
Ao romper, ao aponlar do —, ä V’aube, au
point du jour, au petit jour. Musto de —, grand
jour. De — em —, de jour en jour. Do — 0 —,
d’un jour & l’autre. Ser de —, faire jour. De
cada—, de tous les Jours, quolidien. — de peixe,
jour maigre, — de sudlo, jour de conge pour
les scoliers ot les etudiants. — defeso ou fe-
riado, jour de ferie, de vacance. — de jwizo,
jour du jugement dernier. — de carne, jour
gras. — do corpo de Deos, la [&te-Dicu. — d’an-
nos, anniversaire de la naissance d’uno per-
sonne. — de jejum, jeüne. — de fölga, jour
qu’un ouvrier passe & se diverlir, & ne rien
(airo; Jour de repos dans les fiövres intermit-
tentos, — de Iribunges, d’audiencia, jour plai-
doyable, jour de palais, jour oü les juges d’un
tribunal se röunissent pour juger une affaire.
-— leclivo, jour de vlasso dans les universiles.
— pardo, temps gris ‚jour obscur oü le ciel est
couvert de nuages. — pesado, temps couvert, pe-
sant. — por —, chaque jour, journellement. No
— per fixo, aprasado, au jour nomme, marque,
convenu, Node hoje, hoje em —, aujourd’hui.
Ouiro —, l’autre jour. Ses —, jour beureux
pour quelqu’un, celui de sa föte, de sa nais-
sance. De — ou entire —, pendant le jour. Meio
— , midi. 4o declinar do —, au jour tomıbant.
Andar em — , avoir ses depenses bien reglees.
Um — sim oulro ndo, de deux jours l'un, tous
les deux jJours. —s, plusieurs jours, &ge,
temps. Ha —s, il y a quelque tenıps, il ya
plusieurs jours. Dar os bons —s, souhailer lo
bon jour. Homem de —s, hommo Ag. Todos
08 —s, Journellement, tous les jours. Ndo em
eus —s, de ma vie ni de mes jours. Em qualro
3, on peu de jours. Ndo se do os —s debalde.
On le dit pour exprimer Y’ellet que font les
jours sur ’homme. Tor —s, (fam.) &ire jour-
DIA
nalier, d’un caracidre indgal. EBtre tres-äge.
Viver a0s —, vivre au jour le jour. Depois dos
—s d’alguem, apres la mort de quelqu’un. Em
nossos —s, de nos jours. —s de corlezia, de
favor, (1. de comm.) jours de faveur, de gräcc.
+ Dia, prep. greceque employde souvent dans
la pbarmacie : elle signiße que liingredient ä
qui elle est jointe forme la base du medica-
ment. Ex.: Diambar ou Diaambra, composi-
tion medicale qui a l’ambre pour base.
+Dıisa, 5. f. (fam.) diablesse : diable fe-
melle. 4° —, adv. & la diable, mal, sans soin
ou sans gräce, eic.
DiaBaLAusTIos, s. m. pl. V. Balaustios.
+Dıusiö,s. m. aug. de Diabo. Grand diable.
( Ag.) Tres-mechant homme.
+ Diaskına, s. f. (t. de bot.) come de cerl,
plantain decoup®, capriole, coronope, sangui-
naire. — do reino,, pied-de-lievre de Portugal
( Plantago lusilanica).
+ Diastre , s. m. (1. de phys.) diaböte : ma-
chine bydraulique, vase muni d’un siphon par
lequel il se vide enti&rement au moment eü on
achöve de le remplir.
Dıiangres, s. m. (4. de med.) diabötss:
frequence, flux involontaire d’urine avec oon-
somplion.
Dıaserıco, A, adj. (4. de mdd.) diabetique:
qui a le diabetes, du diabelds.
Dıasinuo, s.m. dim. de Diabo. V. Diabrite.
Dıäno, s. m. diable, demon, esprit malin,
mauvais ange. ( ig.) —, mechant homme ; per-
sonne extremement laide, fine, rusede, maligne.
— c6x0 , diable bolteux : le plus malin des dia-
bles. — marino, diable de mer: esp&ce de
poisson. O — pregador. On le dit d’un bomme
qui conseille bien et agit mal. Aki d que do—,
(Ag. fam.) c'est Iä le diable. Dar goso ae —,
medire , susciter des querelles. Pobre —, pau-
vre diable : homme sans merile; miserable,
gueux. Levou-o 0 —, le diable s’en mela. Se
dit d’une affaire qui a mal reussi. Näo seja eo
— negro que... On le dit pour exprimer le dan-
ger d’une entreprise, la crainte qu’elle tourne
mal. Por arte do —, Jdiaboliquement: sans sa-
voir oomment. Ter 0 — no corpo, avoir le
diable au corps. Valka-ie 0 —ı (imprec. pop.)
que le diable temporte! O — ndo & Läo feiw
como 0 pinido , (fig.) il n’est pas si diable qu'il
est noir. Foi uma de lodos os —, il y eut un la-
page, une querelle dc tous les diables. Ha
muilos —s que 86 Parccem uns Com 08 oulros,
(fam.) il y a & la foire beaucoup d’änes quı
s’appellent Martin. Ser da pelle do —, (fe.
fam.) eire mechant, pervers, indocile, elc.
Que —! como — I que diable! comment diable:
Dıanöa, s. f. diablesse : fomme m6ohanlc ,
acariälre.
DiasoLicaL, adj. 2 gen. V. Diabulico.
DiABÖLICAMENTE,, adv. diaboliquement : par
une mechancets , d’une maniere diabolique.
DıandL.io, A, ad). diabolique : du diable,
qui en vient. (fig. fam.) — ; ;
nal, wrös-mechant. fam.) —, saanique , iufer-
DIA
+Dussrano, 8. m. (8. de pharm.) dlahota-
num : Jus d’herbes , emplätre pour les loupes.
Dianntrz, s. m. dim. de Diabo, diablotin :
peüit diable. ( fam.) —, mechant petit enfant,
Diuusaiuma, 5. f. dim. (t. burl.) petite die-
blesse.
+Dısasaösz ow Diapaosıs, 8. f. (8. de med.)
diabrose : corrosion des 08, etc., par une hu-
meur dere,
+ Dıusaörıco, A, adj. ( t. de med.) diabroti-
gue : qui produit la diabrose , l’erosion.
Diuasaöra, 3. f. diablerie ; möchancets, au-
dace diabolique , espieglerie.
+ Ducatro os DıiacHYro, s. m. (id. de bot.)
V. Esporas.
Diäcuo, s. m. (8. burl.) V. Diabo.
Ducavrıiö,s. m. (6. de pharm.) diachylon :
emplätre compos6 de mucilage.
Ducmaid,s. m. V. Cidrdda.
Duacönıo, 8. m. ( 4. de pharm.) diacode : si-
top de tätes de pavot blanc.
+ DiacoLoquintaEnos, 8. m. (f. de pharm.)
diacolocynthidos : electuaire purgatif dont la
coloquinte est la base.
tDucommärıca, s. f. (6. de mus.) diacom-
malique : transition harmonique pendant la-
quelle une note monte ow descend d’un com-
ina;genre de musique dans laquelle on em-
ploie des transitions de cette espece.
DiaconäL, adj. 2 gen. diaconal : qui appar-
tientäl’ordre, A l’office du diacre.
DıacoxÄrTo, 3. m. diaconat : le second des
ordres sacres.
Dısconia , s. f. diaconie : chapelle, benefice
de diacre. * Departement ou l’Eglise 6tablissait
antrefois un diacre pour recevoir et parlager
les aumönos entre les fiddles.
Disconisa, s. f. diaconesse : fille ow veuve
destinee, dans la primitive Eglise, ä certains
ministöres eecl&siastiques. Diaconisse : femme
du diacre dans I’£glise primitive et dans P’E-
glise grecque. "
Diicoxo, s. m. diacre : eccl&siastique promu
au diaconat.
tDiscösrica, #. f. diacoustique : connais-
sauce des sons et de leur refraction.
Dupgıroıa, s. f. (4. de bot.) diadelphie :
deuricme classe des vegetaux, A deux etami-
Res reunies.
tDupeLrmco, a, adj. (t. de bot.) diadel-
phique : dont les &tamines sont diadelphes
(deur).
tDuotıraos, adj. m. pl. Eslames — (1. de
bot.) diadelphes : (&tamines) r&unies en deux
eorps par les Hlets.
Dıapiua, s. m. diademe : bandeau royal.
(#g.) La royauts, la souverainets; couronne
toyale. * Aurdole.
Dupeuino, a, adj. (1. de bias.) diademe: se
dit d’un aigle qui a un petit cercle sur la tete.
tDıiADoco, s. m.“ pierre jaune semblable
au beril, Alaquelle les magiciens et les caba-
listes auribuaient des vertus extraordinaires.
Diirs. V, Adiefa,
445
DIA
Dıärano, etc, .
Dıarnicha. | V Diapk... ,ei8.
DiaciLves, 5. m. vari6ets de ralsin blane
du Portugal.
* + Diacancinte, 3. m. anciennes pasilles
pour la toux ou mal de gorge.
Dıachösg ow Diacnosıs, s. f. (td. de med.)
diagnose : connaissance des choses dans leur
6tat actuel.
+ Diacnöstıca , 8. f. (f. de mdd.) diagnosü-
que : connaissance des symptömes des mala-
dies.
Diacnöstıco, A , adj. (4. de mdd ) diagnosti-
que : qui concerne les signes , les symptömes
des maladies. On le prend le plus souvent sub-
stantivemment.
DıiacoxäL, adj. 2 gen. (1. de gdom.) diago-
nal : qui appartient & la diagonale. se, f. Diego-
nale : ligne qui va d’un angle ä& l’autre.
DIAGCONALMENTE, adv. diagonalement ı d’une
maniere diagonale.
DıacrimMA, 5. m. ($. de gdom.) diagramme :
construction de lignes servant & une demons-
tralion. (8. de mus.) —, table de l’e&tendue des
tons,, echelle, gamme, clavier. (4. d’Aist. nat.)
—, poisson de la mer des Indes, esp&ce de
persegue.
+ DiackauuısMo, 8. m. diagrammisme ı @-
pece de jeu de dames grec.
Diacridıo, 8. m. (1. de med.) diagrede
scammonee pr6parde avec du coing et du
soufre.
DıiL, adj. 2 gen. Journalier.
Draugcrica , s. f. dialectique : art de raison-
ner avec ordre et justesse ; scienco sur laquelle
cet art est fonde ; logique.
DiaL&cricamente, adv. dialectiquement : en
dialecticien ; logiquement.
DiaLgcrico, A, adj. dialectique : qui appar-
tient ä la dialectique. s. m. Dialeoticien : qui
sait, enseigne la dialectique; qui raisonne.
Diartcro,s. m. dialecte, idiome, langage
d’un pays, #une ville, döriv& de la langue na-
tionale.
+DıaLocino, A, adj. dialogu6 ı expos6 em
dialogue.
+ DıaLocaL, adj. 2 gen. dislogique: en forme
de dialogue, ou qui lui appariient.
+ DiaLOGALMENTE, adv. en forme de dialo-
ue.
i DiaLocia, s. f. dialogie : r&petition d’un mot
ä double sens dans la m&me proposition et
avoc des signiflcations differentes.
DiaLöcıco, A, adj. dialogique : en forme de
dialogue.
DiaLociswo , s. m. dialogisme ; art, genre du
dialogue,, emploi de ses formes. (1. de rhelor.)
— , sorte de prosopop£e oü !’on introduit quel-
qu’un so faisant A soi-möme des demandes et
des r&öponses.
DiraLocista, s. m. dialogiste : qui fait un
dialogue.
DiaLocistico , a, adj. dialogigqge.
DiaLocızipo, A, p. p. de Dialogizar
446 DIA
+Draröcıeir, ©. w. dialoguer, dlalogiser :
meltre en dialogue, parler en dialogue.
DıäL0cO, 3. m. dialogue, eolloque : entre-
tien de deux ou plusiears personnes. Pör em
— ‚ dialoguer.
DiaLtusa, s.f. (1. de pharm.) dialıhee : on-
guent de mucilage, de racine de guimaure, etc.
DiamANTÄiDO, A, adj. qui appartient ou res-
semble au diamant. p. p. de
Dıawantia. V. Adiemantar.
Diawinte, 8. m. diamant: pierre la plus
brillante, la plus fine, la plus dure, la plus
pesante et la plus precieuse de toutes les ma-
tieres connues. (fg.)* Durets, solidit&, resis-
tance;; insensibilite. ($. de mar.) Degorgeoir.
— de rodella, milieu saillant d’un bouclier.
— brülo, diamant brut, qui n’est point taille.
(Ag.) Esprit, etc., sans culture. Ponfa de —,
diamant : poimte de diamant pour couper Ile
verre; pointe d’acier tr&s-dur dans les poi-
gnards, etc. Travalkar em —, Iravailler sur
des pierres, parlant d’une montre. (fig.) Dige-
rer bien, avoir un estomac d’acier.
Dıamantino, A, adj. de diamant, qui appar-
tient au diamant. (fig.) Dur, impitoyable. Dis-
frieto — ,, lieu od !’on Lrouve des diamants.
f Dıawantista, s. m. diamantaire : qui tra-
vaille et qui vend le diamant;; lapidaire.
* Dıawiö. V. Diamante.
DiameraiL, adj. 2 gen. diametral : du dia-
möätre.
DiAMETRALURENTE , ade. diametralement :
d’un bout du diametre & l’aulre. (fig.\ Directe-
ment,
Dıäuerno, 8. m. (1. de geom.) diamätre :
ligne qui coupe le cercle en deux parties egales,
en passant par son cenire.
tDıamoron, s. m. (t. de pkarm.) diamo-
rum : sirop de müres.
+ Dsawösco, s. m. medicament dont le musc
est la base.
Dıiina, s. f. (. de myih. ei de pods.) Diane:
de&esse fabuleuse. La lune.
Dıänpasa, s. f.(l. de 04.) diandrie: deuxiäme
classe des vegetaux & deux dtamines, selon le
sysiöme sexuel.
Dıänprıco ou Dianpao, A , adj. (1. de bot.)
diandre eu diandrique : & deux dtamines (Nleur,
plante).
DıanTE, prep. et ade. devant, en presence
de. V. Adiante, Aute. Diaqui em —, dorcna-
vant. de —, par la suite. Ir por —, continuer,
poursuivre. Para —, en avant. — de Deus e de
todo mundo, (fam.) en face de Dieu et des
hommes. Deos —, ( fam.) avec l’aide de Dieu,
Dieu aidant. Ir —, devancer, gagner les de-
vants.
Dıantkına, s. f. ” devant; fegade, frontis-
pice ; les devants. (fig.) Premiere tentalive dans
uno entreprise dificile. — do exzercilo, V.Fan-
guarda. Tomar a — a alguem, prendre, ga-
gner les devants; avoir le dessus. Dar a — a
alguem, ceder la premiere place & quelqu’un,
se melire apres lui,
DIA
Dranrtıno, A, adj. qui est ou qui va derant;
qui precdde. Qui avance, parlant d'une mon-
ıre. Porta —a, (fig.) les moyens licites pour
obtenir quelgue chose. Traxer ludo na casa
—6, (flg.) faire parade de ses moyens, etc.
Dıariıma, s. f.(t. de pharm.) * diapalme:
emplätre, onguent et decoction de feuilles de
palmier.
Dıarasid,s. m. (6. de mus.) diapason : clen-
due de voix, de sons, da bas en haut; &chelle
campanaire de fondeur de cloches; table A
l’usage des facteurs, od sont marqudes les me-
sures des instruments et de toutes leurs par-
ties; consonnance de l’octave.
fDiurisuma, s. f. " diapasme: parfum en
poudre.
Dıapeoesıs, 8. f. (t. de med.) diapedese,
€ruption de sang par les pores des vaisseaut;
sueur do sang.
DiaPenTe, s. m. (f. de mus.) diapente : quinte
de musique (anf.).
+ Dıiäpgar, s. m. (1. d’hist. nat.) diapere:
coleoptere. — dos bol#tos, dispere du bolei.
DıAPHANEIDÄDE, 8. f. diaphaneite : transpa-
rence ; qualit& de ce qui est diaphane.
Dıärnano, A, adj. diaphane : transparent
(corps), qui donne passage & la lumiere.
} DiapHAnNöMETRo, s. m. diaphanometre :
Inetrament pour mesurer la diaphaneite de
’air.
Dıiapnönzsıs, 8. f. (4. de med.) disphordse :
€vacualion par les pores de la peau; moyenns
entre la transpiration naturelle et la sueur.
Diapnos£rıco, A, adj. (t. de med.) diaphe-
retique : qui purge par les sueurs.
Dıaruricma , s. m. (1. d’anat.) disphragme:
muscle large et mince , nerveurx, trds-irritable,
entre la poitrine etle ventre quil separe; cloi-
son des narines. (6. de bot.) Cloison qui spare
les graines dans les fruits capsuleux.
DiaPpnnacmäÄTico, A, adj. (4. d’anat.) die-
phragmatique : du diaphragme.
f Diapanacuıris, s. f. (t.de med.) diephrag-
mite : inflammalion du diaphragme.
+ Diaratnöna, 8. f. (i.de med.) diephthore :
corruption des aliments dans l’estomac; cof-
ruption du fotus dans le sein de la mer.
+Diirıa, s. f. diapie : vue trop longue ou
presbytie.
+ Dıarörzsıs,, s. f. diapordse, doute: Bgure
de rhetorique.
+ Dıaprösıs, s. m. (4. de mus.) diaplose :
intereidence, petite chute.
DıaquıLi6. V. Diachyldo.
Dıiärıautnte, ade. journellernent , tous les
jours , chaque jour.
Dıirıo, a, adj. Journalier : de chaque jour.
Dıärıo, s. m. journal; relation, note de ce
qui se passe chaque jour. * Depense journa-
liere. —, &crit periodique ou l’on Jdonne des
nourvelles politiques et auires,, jour par jour.
Dianista, s, m. journaliste : oolui qui fait
un journal.
BIC
Dianaufı, 5. f. diarrhee: flux de ventre,
dövorement.
Diintmnose, 8. f. (t. d’anat.) diarthrose:
arliculation relächee d’un os; articulation mo-
bile formee par des t£tes d’os dans des caviles.
Diascöapio, s. m. (#. de pharm.) diascor-
diem : opiat fait avec la plante nommee scor-
diam , etc.
DıäspEno ow DiÄßPRO, 5. m. diaspre ou dia-
pre: marbre diapre , jaspe, de Sicile.
DustoLz, s. f. (t. d’anat.) diastole : moure-
ment de dilatalion du coaur, if. de dilatation
du cerveau. V. Systole.(t. de gram.) —, figure
per laquelle on fait longue une syllabe breve.
+Disstaornia,s. f. (l. d’anal.) diastrophie:
deplacement des muscles, des nerfs, etc.
Diistıro,s. m.(t. d’arch.) diastyle: edifice
ä colonnes eloiguees de Lrois de lears diamd-
ires.
+ Dıusv’amo, s. m. diasyrme : ironie dedai-
gbeuse qui devoue au mepris.
+ Distessenäö, s. m. (tl. de mus. anc.) dia-
tessacon : intervalle de quarte. (4. de pharm.)
—,sorte de iheriaque, remede de quatre in-
gredienis.
Disrnsse, s. f. (t. de med.) diathöse : affec-
tion de /’homme, naturelle ou non; disposition
d’une partie, constitution du corpa.
Disrngunca. V. Dieletica.
DIATÖNICANENTE , adv. diatoniquement: dans
le genre, suivant l’ordre diatonique.
Diaröxıco, a, adj. (8. de mus.) diatonique :
qui procede par les tons naturels de la gamme.
+ Dıitono, s. m. (1. de mus.) deux tons con-
sseulils.
+ Diutracänto, 8. m. (li. de pharm.) diatra-
gacanıhe : electuaire de gomme adragant, etc.
DiATriße , s. f. diatribe : critique amere.
+ Diatrıtärıos, s. m. pl. diatritaires : m&-
decins qui croient guerir toutes les maladies
per une diete de trois jours.
+ Diäuro , s. m. (1. d’ant.) diaule : flüte dou-
Ne des anciens. «#4. Espace de deux stades,
evarse Jusqu’& l’eztr&mite de la carriere du cir-
que, et retour au point du depart.
tDıärLoprömo, s. m. (t. dant.) diaulo-
Atome ; coureur qui, dans le cirque, parcou-
rail deux stades de suite.
tDıazauxıs,s. f.(t. de mus. anc.) diazeuxis:
ion entre deux letracordes disjoints.
t DisaLaustıcos. V. Balausticos.
tDieartıstas, s. m. pl. dibaptistes : hereti-
ques grecs qui baptisaient deux [ois.
+Disna,s. f. peuplade, horde de sauvages.
Disöxo, etc. V. Debuxo, etc.
Dicaciınine, 8. f. p. us. causticitö, penchant
Ala raillerie, facilit€ & dire des mots piquanis.
Dicacıssıno, A , adj. sup. de Dicdz.
+Dıcastensas, es. f. pl. (1. d’ams.) dicaste-
fies : tribunaux de Justice A Athänes.
+Dicasterıos, s. m. pl. dicasteres : division
territoriale en Pologne et dans d’autres pays.
tDicäz, adj. 2 gen. p. us. caustique, rail-
DIB 4R7
Diciö,s. f. 9. us. V. Dominto.
warcgk6, s. f. * mot, terme. Diction, &locu-
on.
Diccıonänıo, s. m. dictionnaire : recueil al-
phab6tique des mots (d’une langue, d’ane
science, eic.); vocabulaire alphabetique avee
des definitions (historiquo, de marine, etc.).
DiccionaRista , s. m. dictionnariste : lexico»
graphe.
+ Dıc£uras, 8. f. pl. (1. d’ant.) dicelies : far-
ces, scenes libres.
+ DiceListas, s. m. pl. (1. d’ant.) dieslistes :
farceurs qui jouaient les dicelies.
Dıcna, s. f.V. Dita. A buena —, la bonne
aventure.
*Dicno. V. Dito, Palavra.
Dicnöte, s. m. dim. de Dicho,, mot piguant,
plaisanterie , parole grossiere , indecente.
+ Dıcocca , adj. f. Capsula —,(t. de bot.) A
deux cellules (capsule).
fDıcörnıo, s. m. dichorde: ancien instru-
ment & deux cordes.
TDicoromia, s. f.(f. dastr.) dichotomie :
etat de la lune vue & la moitie.
TDicötomo,a, adj. (t. d’astr.) dichotome :
dont on ne voit que la moitie ( lune).
t DicotrL£vones, adj. 2 gen. pl. ( t. de bot.)
dicotyl&dones : A deux lobes (graines, etc.).
tf Dıcr6To, A ,.adj. (6. de med.) dicrote, r&-
current ( pouls).
Dicränpo,A,p.p. de Dictar.
Dicräpo ou Dıtino , s. m. titre d’honneur ou
de dignite. * Dictee : co qu’on dicte pour £tre
ecril. Adage , sentence, proverbe, dicton.
DictanöR, s. m. dictateur : magistrat unique
et souverain de Rome ancienfie.
DicTaDöra, 8. f. dictature : dignitö, fonctions
du dictateur; &poque, durde de ces fonctions.
Dictime, 8. m. avis, opinion, sentiment.,
Diciamen : mouvement, sentiment Interieur
de la conscience. "
DicTäMO-BRANCO , 5. m. (4. de bot.) dietame
blanc ow fraxinelle, herbe vulneraire. — de
Creta, dictame de Cröte,, espece d’origan.
DicTär , ©. a. dicter : prononcer mot & mot
pour faire ecrire. — , inspirer, Suggerer; pres -
crire. — a lei, donner, faire la loi.
+ Dictatörı0,A, adj. dictatorial : du dicta-
teur, souverain , absolu.
DicT£rı0, 3. m. mot piquant, brocard,, rail-
lerie, lardon , sarcasme , trait malin.
Divicrica, 3. f. didactique : art d’enseigner ;
genre didactique.
Divicrico, a, adj. didactique : propre & l’en-
seignement.
DivascäLıco , A, adj. didascalique : qui con-
cerne la doctrine. V. Didaclico.
f Dipeırna, s. f. (1. d’hist. nat.) didelphe :
sarigue.
+ Dıntıra, s. m. (. de bot.) didelta : plante
corymbifere du cap de Bonne-Esperance.
+ Diviıa, adj. f. Les —, (t. d’ant.) didie : loi
romaine qui bornait les depenses des fetes pu
bliques, micux lol Didia,
448 DIF
+ Dipxicuwa, 8. f. didragme ou didrachme:
demi-sicle de cuivre chez les Hebreux ; mon-
naie grecque de deux drachmes.
Dıipräcuo, 8. m. V. Didrachma.
+ Divymaucia, 8. f. (1. de med.) didymalgie:
douleur des testicules.
+ Dipymo, A, adj. (. de bot.) didyme : g&mi-
ne, qui a la me&me origine, se dit des anthöres.
Diıpyniuıa,s. f. (t. de bot.) didynamie: qua-
torziöme classe des veögetaux, composee des
plantes & fleurs hermaphrodites qui ont quatre
etamines, deux grandes et deux petites.
+ Diprnäniıco, A, adj. (. de bot.) didyna-
mique : qui a les &tamines didynames ow dou-
bles.
+ Dirrnäuos, adj. m. pl. Estames — , (1. de
dot.) didynames, (6dtamines) disposees en deux
paires inegales.
Dıirchsz,, etc. V. Dioedse, etc.
+ Dıeono, s. m. (. de gdom.) diedre ou dihe-
dre : angle form6 par deux plans qui se ren-
contrent.
* Ditıxo. V. Dinkeiro.
Dıerzsis, 5. f.(t. de gram.) dierese : signe
(") plac& sur une voyelle pour empecher qu'elle
ne soit &lidde; figure par laquelle on divise
une diphthongue en deux syllabes. (1. de chir.)
—, division de parties unies conire nature ; s0-
ution de continuite.
+ Dıea£rıco, adj. et s. m. (4. de med.) diere-
tique : (remdde) corrosif.
f DısaviLLa, s. f. (8. de bot.) dierville : ar-
brisseau ; chövre-feuille d’Acadie.
Dıesis, 8. f. (4. de mus.) diese. V. Sustenido.
Dıeta, s. f. diete:: regime de vie pour la
nourriture, abstinence totale ou moderee de
nourriture; ce qu’on donne par jour de nour-
riture aux convalescents d’un höpital. Journee
ıle chemin. —, assembi6e, reunion des &tats
en Allemagne.
Distmemica, s. f. (8. de med.) dieltique :
trait& du regime de vie des malades;; Lraite des
aliments.
+ Dier£rico, a, adj. (8. de med.) dietetique:
qui est relatil & la diete. .
f Dızrgristas, s. m. pl. dietetistes : mede-
cins qui n’employaient que la diete.
+ Dırina, s. f. dieline : diete particuliere en
Allemagne, & Cologne, etc.
Dırramacäö, s. f. diffamation : aclion de dif-
‘:mer, ses elleis,
Dırvamipo, A, 9.9. de Diffamar.
DIFraNADOR, a, adj. et s. diffamateur : qui
'.Jame, qui decrie ; calomniateur.
DirramÄnte, adj. 2 gen. diffsmant: qui dif-
“sıne, qui deshonore; qui est fait ow dit pour
„ifamer. p. @. de "
Dırrauin, v. 0. diffamer : deshonorer quel-
n’un; deerier ; calomnier; perdre de reputa-
un ; deobirer. Il est quelquefois neutre.
DIFFAMATÖRIO, A, adj. diffamatoire: qui dif-
ame; dit ow fait pour diffamer.
- r Dırgäua, s. f. diffame, infamie, 0p-
probre,
DIF
+ Divvannzıckö, s. f. (1. d’ant.) diffarte-
tion : sacrifice, offrande d’un gäteau qui op%-
rait le divorce;; divorce.
Dirrerenga, s. f. difference, diversite, dis-
tinclion ; dissemblance; qualits essentielle qui
distingue les esp@ces d’un m&me genre; attri-
but distinctif; excds d’une grandeur, d’ıne
quantite sur une autre. —s, pl. *differend , de-
mele, contestation, altercation , debat. Fazer
—, differencier. Com curla ou powca —, appre-
chant, environ, & peu pres, & peu de chose
pres, ä peu de difference pres. Com « —, lor.
adv. a la difförence. Ha mwila —, il s’en faut
beaucoup.
DarrenenciDo,A,p.p. de
Dirrenengär, v.a. differencier, distinguer,
mettre de la difference. Varier, diversißer.
DiIFFERENGAR- SE, v. Tr. differer: e@tre diffs-
rent, divers, dissemblable. Se distinguer da
ctommun, se singulariser.
Dirrerenceir. V. Differencar.
Dırrenencıacäö, s. f. (1. de matk.) differen-
tiation : action de differencier.
DirrERENcCIÄDO, A, pP. p. de Difforenciar.
DırrgrencıäL, adj. 2 gen. (l. de math.) difis-
rentiel : infiniment pelite (quantite). Caleule
— , calcul differentiel : des quantites diff&ren-
tielles, du rapport entre les differences Anies
de quantites analogucs.
DirrERENcCIAR, v. a. (f. de malh.) differen-
cier : exprimer la difference d’une quantits;
prendre la premiere Jderivee d’une fonctien
algebrique.
DiFFERENCINHAS, 8. f. pl. dim. de Differe-
gas. Petites contestations, etc.
Dirrerentg, adj. 2 gen. different, qui dif-
fere; distinct; divers; dissemblable ; qui n’est
pas de meme. (fig.) V. Disconcorde. Bem — do
que V. M. mediz, bien autreıment que vous me
dites.
DiFFERENTEMENTE , adj. diff&remment: d’une
maniere difförente,, diversement.
DirFEnEnTissımo, A, adj. sup. de Dife-
rente.
Dırreripo, A, D. p. de
Dırrerıa, v. a. differer, retarder ; tempori-
ser, remettro. it. V. Desferir.
Dırrkrın (em, de), v. ». diffärer : &tre diffe-
rent en un ou plusieurs points; &tre divers,
dissemblable, n’&tre pas de meme; @tre d’un
autrc avis, opinion, senliment, etc.
DırricıL, adj. 2 gen. diflicile, penible ; mal-
aise; plein de dificultes. — de contentar, difi-
cile & contenter. ’
DırriciLımo, a, adj. sup. de Diffeül.
+ DırriciLıssımo, a. V. Diffeilimo,
DirFicıLwEnte, ade. difficilement : avec difl-
culis , avec peine.
DirrıcuLpine, 3. f. difficulte: ce qui rend
une chödse dificile; obscurit# ; endroit dificile
Aentendre; ce qu’il y a de dificile; obstacle,
embarras , emp@chement. Repugnance & se de-
eider. —s, pl. difficulies, doutes, objections.
Isso ndo admilte — cela va tout seul. Superar,
DIG
vonter & —, passer au-dessus de a difieuits.
Com grande —, ä grand’ peine. O que com —
se eredilard, #..., co qu’on aura de la peine &
croire , e’est... Fica em pda —, (fig. fam.) la
difßeults subeiste,, elle n’est pas resolue. Por
+, mettre des obstacles; faire des objeotione,
des diicultöes. Buscar —s onde as ndo ha,
chercher midi & quatorze heures.
DirmcuLTäBO, A,p. p. de
DercuLräs, v. e. rendre difficile; metire,
eiever des difficultes. Faire oa proposer des
difieultes. I} est aussi neutre.
DırncuLTin-se,v.r. devenir difieile, par-
lsnt des choses. (=) Faire difficult# de, parlant
des persennes.
DirricoLrösaueute,, ado. dificilement, avec
peine.
DirficoLTOSISStMO, A, adj. sup. de
Diesico.r6so, A, adj. dificile; diffcultaeux.
Dirsrmancıa , s. f. deflance, appröhension.
Manque de fei, infidelile.
Dırsintnte, adj. 2 gen. döllant, soupgon-
seux. Perfide, infiddle.
Dirfininvon.
Dırrınık ‚etc. | V. Defin..., etc.
Dumaia , ete. V. Differir ou Desferir.
tDırrLo&nte, adj. 2 gen. diffiuent : qui
coale, qui se r&öpand de tous cOlds.
Divröaug, adj. 2 gen. qui a deux formes. it.
V. Deforms ei Disforme.
Dirrnacgi6, s. f. (1. d’opt.) diffraction : in-,
fexion , detour des rayons qui rasent une sur-
face.
Dirsundino, A, p. p. de
Dırvenpin, v.«. epaneher,, r&pandre, verser,
&iendre. (Ag.) Repandre, divulguer, publier.
Il est aussi reciproque.
Dirvosauäinte, adv. diffusement : d’une ma-
niere diffuse.
Dırsusiö, s. f. diffusion : action de ce qui
Sepsnd, sietend ; ses efleis ; trop grande abon-
dance, (fig.) du style, d’un sorivain.
Divrusıvo, a, adj. diffusif : qui est capable
de setendre, de se röpandre.
Dırrüso, A, P. p. irr. de Diffundir. adj.
Diffas, prolixe, long, trop 6tendu. Ample,
large. (i. de bot.) —, & pedoncules &caries,
parlant d’une tige, d’une panicule.
Dıciuma, s. f. ” digamma : double gamma ;
la lettre P ou H aspire chez les Latins.
Dicistaıco, A, adj. (1. d’anat.) digastrique :
nom de certains muscies qui ont comme deux
venires.
Diczaipo, A, P. p. de
Diczain, v. 0. digerer : faire la digestion des
aliraents; (Ag.) souflrir patiemment. (id.)—,
mediler, examiner ; arranger, meitre en ordre.
(!. de cd.) —, euire & petit fen.
DcraiveL, adj. 2 gen. qui peut se digerer.
Diczeri6, s. f. digestion : coction, decom-
position des aliments dans l’estomac; (fg.)
ordre dans co qu’on dit, qu’on &crit.(t.de chir.)
— ‚disposition & suppurer, se dit des abcds.
-de chin.) — , cuisson, fermentation iente,
PORT.-IR,
(
pY IE Dur 8 .
DIG 49
A un feu moderd. Homem de md — ‚ komme
dur & digdrer, d’un caraciöre dur, iniraitable.
Negocio de md —, affsire difficile, $pineuse.
Diczstir. V. Digerir.
f Diczsriver, adj. 2 gen. fecile & digörer.
Dicsstivo, 4, adj. digestil : qui a la vertu de
faire digerer. s. m. (1. de cher.) — , remöde qui
fait Jigerer, qui fait suppurer les plaies.
Dicksto, A,Pp. p. irr. de Digerir. adj. Di-
gere: mis on ordre et rödigs clairement,
Dicksto, s. m. digeste : reoueil de deöeisions
de jurisconsulles romains, oompilö sous Jus-
tinien.
+ Diczstör,, s. m. (6. de chim.) digesieur (de
Papin): vase & oouvercle ferme & vis, pour
faire cuire, d6composer los os, en exiraire la
gelatine.
+ Dıcicra , s. f. sorte de baguetie d’or ou
d’argent, dont une exirömits avalt la forme
d’une main, et dont on se servait pour indi-
quer les livres sacr&s dans les mimisiöres ecol6-
siastiques. it. (4. de mdd.) Digitie : dessdche-
ment d’un doigt.
Dierraciö, s. f. (8. d’amat.) digitation : ma-
niere dont deux muscles s’ondentent !’un dans
!’autre ; leur prolongafion en maniere de doigis.
Dıicrräpo, a, adj. Folka —e, (1. de bot.) di-
gitse (feuille),, disposee comme les deoigts de la
main.
+ Dicträinos,, s.m. pl. (1. d’hist. nat.) digitös:
premier ordre de la premiere lasse des mam-
miföres.
DicıriL, adj. 2 gen. digital: qui a rappeort
aux doigts. s. f. (4. de bot.) Digitale pourpr6e,
doiglier, gantelde ‚gants de Notre-Dame ‚plante
personnde.
+ Dıcıriıröauz, adj. 2 gen. qui a la forme
d’un doigt,
+ Dicrıro, s. m. (f. d’asitr.) doigt : dousiöme
partie du diameötre d’an astre,
DıcLapıanon. V. Gladiader.
+ DıcLapıar,, 9. ». combatire aveo l’öp6e et
corps & corps.
+ Dienaciö, 8. f. p. us. condescondanoe,
complaisance , bont& envers un inferieur.
Dıcnino,A,p.p. de Dignar.
DicNAMENTE ‚, adv. dignement: selon ce qu’oR
merite ; d’une manidre digne ; convenablement,
Dıicnir, v.6. estimer, juger digne de; bo-
norer de.
DICNAR-SE (de), v. r. daigner, avoir la bonte,
vouloir bien, avoir pour sgreable. Il se dit
d’un superieur & l’ögard d’un inferieur.
Dicninäde ‚s. f. dignit®, merite, importance;
el6vation , distinclion eminente ; charge, office
considerable ; benefice d’eglise cathedrale au-
quel est attach& une juridiction, une prödmi-
nence, une fonction. *Dignitaire : oelui qui
possede une dignite.
Dieniricipo, A, 9. p. de Digniflcar.
+ Dicnmicinte, adj. 2 gen. qui rend digne.
Un te diten th&ologie, en parlant de la gräce,
p. a. de Dignificar.
=
850 DIL
+ Dianirican, v.a. p. ub. rendre ou juger
digne; &lever & une dignite.
Di6ntssıno, A, adj. sup. de
Dicxo, A, adj. digne:: qui merite quelque
chose; qui a de 1a dignile. —. correspondani,
proportionne, conforme au merile. '
+ Dicono, adj. m. Tronco-, (i. de bot.)
A deux angles (digonus).
Dionessi6, s. f. digression, &cart, hors
d’auvre : eo qui est hors du sujet prineipal.
ct. @astr.)* Rloignement d’un astra d’un point
quelsonque du eiel. V. Distracgde. »
+ Dicnzssionar, v.%. faire une digression.
+ Dicusssivo , A, adj. qui s’tcarte; diver-
gent. .
. + Diontsso, s. m. depart, sorüie. V. Digres-
säo
+ Dicv'nia, 8. f. (t. de bot.) digynie: douxiöme
ordre des treize premieres classes des vöge-
taux.
Dıragid, s. f. * deiai, retardement, allonge-
rzent, temporisation, remise, retard, de-
meure, retardalion.
Drracenacäö, 3. f. dilaceration : action de
dilacerer, ses eflets ; döchirement.
DILACERRÄDO, A, P. p. de
Dıraczrkin, v. @. dilaoerer ; deohirer, meltre
en pidces avec violence. (fg.) Dechirer, ruiner:
Dırarınagkö, s.f. dilapidation :depense folle
et d6sordonnee; vol de deniers publics, eic.
BıLarıBinpo, A,P. p. de Dilapider.
Dirarınanor,, s. m. dilapidateur:: qui dila-
pide.
DILARIDAR, ©. e. dilapider : depenser folte-
ment, avec dösordze; voler les deniers publios.
DiLATABILIDÄDE,, 8. f. dilatabilite : propriete,
da. 00 qui egt dilatable.
Dıiraragiö, s. f. dilatation : extension, &icn-
dus; (Ag-) Kpanchement, effusion de cour, de
’ime, eto. (l. de chir.) Disteusion : etat des
nerfs trop tendus.
DiLATÄDANENTE, adv. amplement, large-
ment, avec dilatation.
DiLATADISANO, A, 0dj. sup. de
DıLatävo, A, p. p. de Dilatar. adj. Nom-
breux. (fig.) Vaste : d’une fort grande &tendue.
(id.) Diffus, prolixe, trop tendu.
DiLaTADOR, s. m. dilatateur :celui qui dilate,
qui etend ; temporiseur.
Dı.arir, v. a. dilater, dtendre, -Blargir :
fsire occuper un plus grand espace. Diffärer,
retarder, suspendre, remettre, allonger. (ig.)
Bıendre, propager, porter au loin la reputa-
tion. (dd.) Dilater le caur, soulager, consoler,
epancher.
DILATAR-@E,, v. r. s’6tendre, se r&pandre; se
dilater, ö&prouver une dilatation.
Druaräver, adj. 2 gen. dilatable : qui peut
©tze dilat6,, stendu.
DiLatörıo, A, adj. (t. de prat.) dilatoire.
Qu: $largit, qui dilate. Excepräo —6, exooption
dilatsire, qui tend & differer le jugement.
Diugcgiö, s. f. dileclion. tendresse, amour,
charite, bonne volonte, allachement. "Terine
DIL
employ6 pat le nepe et l’onpereur d’Alle-
magnsen 6erivant ä certains prinees, suz 4lox
leurs, ,
DiLEcTIssıno , A, adj. sup. de
Dirtcro, a , adj. aime, eheri ; bien-eime.
Diriuua, s. m. (8. de log.) dilenmme ı argı-
ment qui laisse le choix entre deux propss-
tions contradictoires, de charune desqualles
on tire &galement une conolusion irröfragabie.
Diusmwirico, a, adj. du dilemme, gi ı
rapport au dilemme.
DıLivo, A, p. p. de Dilir. \
Dıuicancıa, 3. f. diligenoe, activils, soin,szae
titade,, empressomeni ,„ promptitude; prepie
execution; celeritt, vitesse, demenche. —,
grande voitare publique. Com -—, düligermment,
promptement, vite. Pö6r— no trabelkoe, mr
vailler aveo aseiduil6, avec sein. Fesr a
suas —s, faire ses diligenoes, meilre toui M
auvre pour r&ussir. Ndo he — super flus ns
negocios d’imporlancia, il n'y a pas de pelils
pas sous les grandes allaires.
DiLiGENcIADO, A, p. p. de Diligensier.
DiLiGencıaDOn, s. m. agent actil,
DiLicencıÄR, 9. a. travailler ä& une affeire, Y
donner ses soins, la negecier, Inire des di
marches; diligenter, procurer avec diligenee.
DiLicente „ adj. 2 gem. diligent, atenül,
exact, soigneux, serriable. — , prompt, c1p%
ditif, agissant, empresse.
DiLicentemenTe, odo. diligemment, ar&
diligence.
DILIGENTISSIMO, A , adj. sup. de Diligenle.
+ DiLın£nto, s. m. j'action de delsyer, de
dötruire , @offacer.
Dırız , v. 6. V. Delir ot Diluir. (fig.) Abatlire,
affaiblir.
+ DıLontıa, s. m. (f. de dot.) dilobeia : arbfe
du Madagascar.
DıLosia, s. f. V. Diakogie. .
Dirvanackö, 8. f. * eclaircissement, ep
cation, eXposition, interpretation.
DıLvcımiD0,A,9. 9. de
DiLucıvär,, v.a. 6elaircir, expliguer, dere-
lopper, rendre plus intelligible,
Dıirccıno. V. Lacide.
. TDucuLo,a.. 9. us. point ou poinie da
jour.
DUNRNTE, adj. 2 gen. n.a.de Düwi. De
layant : qui delaie.
fDiwuciö, s. f ° delaiement : Paction de
dölayer. |
DıLvioo,A,p.p. de |
DıLuin, v. a. delayer, deiremper, disseudre
dans un liquide.
DıL.dro, a,P.p.irr. de Diluir. |
1 DıLuviiL, adj. 2 gem. du temps da delarr:
qui ressemble au deluge, parlant d’uge plu:®
ırös-abondantie. |
Dwuviino, Aa, adj. diluvien : qui a rappeıl
au deluge.
Dırövo, s. m. deluge, inondation, deborde-
ment universel des caux; grand debardemen!
W’eau. (fig. [am.) —, abendange egcesitt-
DIM
+Mmunıcid, 8. f.cation de firer sa souree,
son origine, etc.
Dizunivo, A, Pp. p. de Dimanar.
Duusintz , adj. 2 gen. rösultant: quirssulte.
p.0.de
Dass, v. 9. venir, prendre sa source,
parlant d’une eau couranie, etc. (de) (g.) D&-
river, emaner, tirer son origine, venir, de&oou-
ler, r&salter, provenir. Todas as gracas dima-
näo.de Deos, c'est de Dieu que decoulent toutes
les gräces,
Dıuemsiö, s. f. dimension, &tendne. (i. de
g’om.) — mesure descorps, des figures.
7 DınısonaL, adj. 2 gen. qui appartient &
une dimension „ & une mesure.
+ DırzxsivEL, adj.2 gen. p. us. qui peut dfre
mesore,
tDımasörıo,, A, adj. qui a rappori du me-
Serage; qui sert A mesurer (imöthode, instru-
ment, eic.).
tDıueria,, s. f. eomposition po&dtique en
vers dimätres.
+Diurrro, s. m. et adj. dimätre : vers de
deus mesures ou de quatre pieds.
+Dunmıacäö, s. f. " parlage, söparation par
meile,
Dramıano, A, 9.9. de Dimidiar. adj. (1. de
Ist. et Fiss. nat.) dimidie : reduit A moitie.
Diemiär, v. a. diviser par moitie ; pariager
en deux.
Disıwıäto, a, adj. (anf.) partag& par moitie.
6, s. f. diminution , amoindrisse-
ment, rabais, reteanchement, döcreissement,
ralenüssement. ( #. d’aritk.) Soustraction. — de
grendeza, döcadence. Ir em —, alier en dimi-
Auant.
Drauvo, A, 9.9. de
Diumeia, v. a. diminuer, atlönuer, retran-
ser, amoindrir. ( fig.) —, porter atteinte. Alls-
ger: adouchr ie mal. (f. d’arith.) Soustraire :
öter un nombre d’un aulse. — 0 numere,
&claireir.
Dimsufn, u. ». diminuer: devenir moindte.
hr ‚aller en diminuant,
Dunnufa-sg, 0. r. so priver, se degamir; 28
diminser. — em forgas, perdre ,user.ses forcos.
Dıumurau&nts, ade. en dimmusion ; impar- |
Isttement, mesquinement,
Dinuurıvasänıe, ade. (8. de gram.) sous
lerne de dimiawlif.
Diumerivo, a „adj. qui diminue, qui amoin-
drü. s. m. (6. de gram.) dimimuül ; terme qui
Peg ou adouoit la foreo du mot dont il esı
Dıumöro, a ‚adj. döfectueux, imparfait.
Dınısaäö , s. f. dömission : acıe par loquel on
se demet d’une charge, elc.; l’action et l’efes
de tenroyer quelqu’un de sen emploi. Permis-
sion donuse Aum inferieur pour zeoourir A un
Suptrieus.
Dinissörus, 2. f. pl. ou Leftras —, adj, Di-
Missoire : Jeitre d’un 6vöyue pour conlerer ses
Puroirs & un autre qui ordonne A sa plane.
Diuurzigäö, V, Disssde, -
DIO
DıuırrtB0, A,P.p. de Dimmer.
Disrria, v. a. congedier, renvayer. V. De-
mittir. Renoncer, abdiquer, se demeltre.
Dıuıttir-Sse /{de), ®. r. so dömettre, se de-
faire de sa charge, donner sa d6mission.
f Dinamanca, 8. f. (1. de geogr.) * Dane-
mark : royaume du nord de }’Europe.
+Dinawangußr, A, adj. et s. Danelis: babi-
tant, natif da Danemark.
Dinauiıca,
Dinasrıa, olc. } V. Dynam..., ew.
’ Dınnzımäpa, 8. f. chose qui avalt la valeur
d’un denier. V. Dinheirdma.
Dınanmitma, 8 f. (lb. 49p.) grande quantils
d’argent.
Dwmumi6, s. m. aug. de Dinhsiro. V. Di-
nkheirdme.
+Dmetininso, s. m. dim. de Binhsiro.
(fam.) Petite quantite d’argent.
Dınntıro, 5. m. argent ı teule espdce de
monnaie. Denler : monnaie de ouivre qui avait
cours anciennement en Pertugel, valant le
douzi&me d’un son; monnale-de ogmpte. De-
nior de fin ou de loi:: titre de l’argemt. — effer-
fioo ou de coniado , argent comptant. — papel
ou de papel,, papier-monnale. Ter -—, avoir do
Pargent, ötre riche. Comprar com — dvisia,
acheter argent compiant. Dar ou pfr — azuro,
a logro, a interesse, oonsiituer de Vargent &
rente, preter, donner ou meiire A Interet. Por
— a ganhar, placer son argent.
Dıinipane, etc. V. Dignddade.
Dinıcran. V. Deniprir.
Dıocesäno, A, adj. diocesain:: du diocese.
— , övdrmue d’un dioedse.
Diocksz, s. f. dioeöse : dtendue de pays SOuS
la jwridiction d’un &veque. (imus.) Däpaste-
ment, gouvernemsent, ele.
+ Dıononte, s. m. (t. d’Mist. nal.) dioden:
peisson gyınnodonte ; herisson de ner.
+ Dıöscas, adj. f. pl.( Plagtas —, 4. de bot.)
dioiques. Be dit des plantes de la diweie, dans
lesquelles des individus sons mäles ei d’autres
femelles, comme le chanvre. V. ioicia.
+ Dıolaa, a. f. (4. de bot.) diegcie ı 2% classe
des vögstaux A organes sexuels sur deux sujeis.
+ Dıonr'sıa, s. [. dionysia : pierre pröcieuse,
ineonnne.
+ Dıonvsiaca, s. f. dionysiegue: danse qui
exprime les actions de Baochus. —s, pl. diony-
sieques : fötes grecques de Bacchus.
+ Dıonısiavas, s. f. pl. dionysiades : pr6-
ıresses de Bacchus.
Dıöpraa, s. f. (4. d’opt.) * quart de cercle:
instrument pour prendre les hauteurs. Dioptre:
insirameni astronomigque.
Diöpraıca, 3. f. dioptrique : traitö de la r&-
fraction de la lumitre; seionce de la propriei6
des verres ooncaves el CONTEeXes.
Diöprrice, A, adj. diopirique » de la diop-
trique.
+ Dioriua, e. m. diorama : sorie de tabloau
&elaır& comme aux diverses parties du Jour par
une lumiöre mobile.
431
352 DIR
Dıontsis, s. f. | t. de dd. anf.) diordsis.
tr Dıosma, s. f. (t. de bot.) diosma : plante
rutacee.
* Dı6so, a. V. Idoso, Velko.
DirmaLancancnia, 8. f. (6. de mil, anc.) com-
ınandement de deux phalanges.
Dıratnongo, etc. V. Ditongo, eio.
+ Dırsyıro, a, adj. (ti. de bot.) diphylie:
(calice, tige, plante) compos# de deux parties;
qui n’a que deux feullles.
DirLoa,s. f. 1(8. danas.) diplo6 : substance
DirLos , s. m. ) epongieuse entre les deux ta-
bles du cräne.
TDmıöme, s. f. diplolde:: robe fourree des
anciens Orientaux.
Dırıöua, 0. m. dipiöme : charte, chartre;
acte public, lettres patentes; titre d’agrega-
tion & une sooiei#; acte de l’autorite qui per-
met l’exercice d’une profession.
Dırromacia, s. f. diplomacie: science des
rapports, des inter&ts de puissance & puis-
sance, entre los royaumes; prootdure paliti-
que; le corps des diplomates.
DirLouäirıca, s. f. diplomatique : art de con-
naitee les diplömes autbentiques ; trait6 du
droit des gens. V. Diplomacia.
Drieromitıco, A, adj. diplomatique: de la
diplomatie. Corpe —, corps diplomatique : les
ambassadeurs. Ar —, air diplomatique, mysie-
rieux. s. m. Diplomate : qui sait ow pratique la
diplomstie.
+ DırLoria,, s. f. (4. de mdd.) diplopie: ma-
ladie des yeux dans laquelle on voit les objets
doubles.
+ Dirsico, s. m. (f. de bot.) cardere A fou-
ion ; cuve de Venus. V. Cardo penteador.
Dirtsno, s. m. (f.d’arch.) diptere : temple
entour6 de deux rangs de colonnes, et qui en
a huit ä chaque lace.
Diprenos, s. m. pl. (.d’hist. net.) diptöres:
inseotes ä deux ailes nues.
Diericos, s. m. pl.(t. d’ans.) diptyques: re-
sistze des noms des magistrats, des moris.
Dıque, s. m. °digue : chaussee, amas de
'orre, de bois, elc., pour contenir les flots,
(’eau; ( Ag.) obstacle contre les passions, les
'navasions hostiles, etc. (f. de mar.) Bassin de
vonstruction. —s de cavallinkos, (4. d’hydr.)
figues en chevalets ou chevretites. —s de
v@ize, (id.) digues par encaissemenis. —s de
raslos, (id.) digues en gabions. —s pedrados,
‘d.) digues & pers. Romper ou sollar 08 —s,
i‘ Ag.) rompre les digues; laisser l& toutes con-
„ıderalions,, perdre toute retenue.
Diranp£ıra, s. f. boböche : cylindre creux,
»artio du chandelier od se niet la chandelle.
Dinıs, s. f. pl. sorte de po6sie qui contient
Jes imprecations ; ex&crations, impre6cations.
?} Dincko ow Diaceo, A, adj. (1. de poes., de
Tnebes, ot etait la fontaine Diroe. O Cyane —,
l’indare, po&te Iyrique de Thebes.
Dintcciö, s. f. direction, condaite; emploi
ı!e directeur ; administration , reglement. (1. de
phys.) —, ligne droite du mouvement d’un
DIR
. == em C50 preciso ou de neckssidade,
(8. de comm.) adresse au besoin ‚au besoin s’a-
dresser A...
Diascrasänte, adv. directement: en ligne
directe , tout droit; elairement, sans detour.
Diazcrivo, a, adj. direciif : qui dirige ou gai
peut diriger.
Diascro,A, adj. direct: droit, qui va lout
droit. Clair, övident, sans detour, immediat.
Director, 3. m. direcleur. On le dit dans
toutes les acceptions du mot francais.
+ Dinzcronia, s. f. l’aclion de diriger; les
personnes qui dirigent. — geral dos estudas,
junte ou * comit& de membres de l’Universild
(en Portugal) charg6 de la direction des #ta-
des,
Diazcrör1o, s. m. direcloire :livre, &crit, eie.,
qui contient les rögles de conduite; espece de
tribunal ; corps charge d’une direction publi-
que; pouvoir executif de la France en 1195,
compos# de cing direcieurs.
Dinzcrriz , adj. f. directrice : qui dirige. Il
est aussi substantif. ($. de gdom.) Ligne diret-
trice le long de laquelle coule une autre.
Dıatıra, s. f. main droite. La droilte: ia
place d’honneur. Faveur, protection, appu.
4’ — ,adroite. 4’ — eo desquerds, ä tortel i
travers. 4’s—s, droitement, bien, comme ü
faut. Ser homem de bem da —s, Oire un parlail
honnete homme. ,
Diagırauenıe, ado. directement, en dro-
ture. (Ag.) Droitement, judicieusement, prt-
demment. Clairement, sans detour.
Diazırtza, 3. f. droiture. (fig.) V. Reclidde
DirEırissimo, A, adj. sup. de
Direito, A ‚adj. droit: qui n’est pas courbe;
juste, &quitable, sincere; qui est oppose Agat-
che, qui est du cöt# de la main droite ; debout,
sur ses pieds; direct, legitime. Caminko —,
chemin droit; (Ag.) moyens directs poar röus
sir dans une sffaire. /r —, aller droit. Ser —
como um fuso , ötre droil comme un I.
Diatıro, s. m. droit: juste raison; ce qul
est Juste; jurisprudence; justice ; loi ow 60U-
tume; autorits, pouvoir I&gitime; pretenlion
fondee, libertö, facult6s; r&suktat des devoiss
r6ciproques; ce qui appartient legitimement;
prörogative ‚privildge;imp6t, imposition, taxe.
Salaire, appointements. L’endroit d’une etole.
— canönico, droit canon. — civil, drolt civil:
rögles entre les citoyons. — das gentes, dreil
des gens ow public : lois des nations eivilisdes
entre elles. — de padroado ou patromato, droit
de patronage. — hereditario, heredits. — 0
sscrilo ou fradicionel,, ooutume qui a force de
lol. — parochial,, droit, Jurldietion spirituelle
d’an cur6 dans sa paroisse. — de cais, (1. d
com.) quaiage. — d’eslacas,, (id.) droit d’atla-
che. —s de sakida, (dd.) droits de sortir. — ds
tonelladas,, (id.) droit de frei. 4 tor ee —,
ade. A torı et ä travers. De —, ade. de droit,
a bon droit. Como melkor caiba em —, (prei.)
conformement au droit, selon le droit. Obrar
conforme a —, segundo o —, (id.) agir suivanı
DIS
les rigies du droit, de P’&quits, de la justiee.
Ester ou p6r-1e a — com alguem, (id.) compa-
raltreen Justice, plaider personnellement. Dizer
de, (id.) allöguer les raisons de la Justice.
Dizer de facto e —, (1d.) produire les derniöres
alligetions,, parlant d’un condamn6 & mort,
Datıto, adv. droit, directement, par le
plus ooart chemin ; tout droit.
Diagıröaa, s. f. droiture; chemin droit,
alignement. Em —, adv. en droiture, tout
droit, droitement, directement, sans saarr£ter.
*"Diıanıruatıro, A, adj. droiturier : qui aime
Ytquits. V. Justo, Recto.
DıasGipo,, A, p-. p. de
Disscin, o. @. diriger ; conduire; montrer le
ehenin, emp6cher de s’egarer; r6öferer, attri-
buer, rapporter ä une fin; regler, gouverner;
ioumer vers. Adresser, euvoyer; dedier. — 4
onrersapdo ou prälica a alguem, adresser la
parole A quelqu’un. —a pröa a..., dresser la
proue vers.
Diaıcıa-SE (6, para), v. r. aller, s’adresser,
avoir recours, aller trouver.
Diaıs£nte, 9. a. de Dirimir. adj. 2 gen.
Dirmant : qui rend nul, qui empeche un ma-
Dixımino, A,p. p. de
Dirımin, ©. a. diviser, desunir, separer, d6-
tacher, empöcher. Terminer, vider, decider
(un diffteend, etc.). Delivrer, affranchir. — 0
Balrimonio,rompre un mariage,ie declarer nul.
Diaıvar, etc. V. Derivar, etc. .
Dixo, a,adj. (6. de poes.) V. Cruel, Ferino.
* Dıavın. V. Arruinar, Desiruir.
Dıssarite. V. Disparate.
tDisc&rraciö, s. f. controverse : dispute
sur quelque point de doctrine, etc.
DiscEnnänTe, adj. 2 gen. discernant: qui
discerne. p. a. de Discernir.
Disckanipo,A, 9. p. de Discernir.
Discganim£&nto , s. m. discornement ; discre-
(ion, sens, jugement.
Discernir (de), v.a. discerner : distinguer
une chose d’une autre,, en juger par comparai-
sen; envoir,en faire la difförence; saisir les
ressemblances et les diflörences entre les 6tres;
diviser, separer.
Disanxcır , etc. V. Descingir.
Duarrina, s. f. discipline : instruction ; 6du-
estion; institution; r&glement, ordre, lois;
rtgle de vie.” Art, science. —, coups de disci-
pline; fouet de oordeleties, de chaines. —,
ohservation des lois.
DiscarLıninpo, A, p. p. de Disciplinar.
+DiscımLmaDoR, 5, m. instituteur; qui donne
la diseipline.
Disarı.mintes , s. m. pl. flagellants. On le
dit de ceux qui se fouettent publiquement en
faisant leurs stations & la suile des protes-
sions.
7 Ducarımin, adj. 2 gen. diseiplinaire : de
ka diseipline.
+ DiscırLmin, 0.0. discipliner: regler, in-
struire, former ; tenir dans l'ordre, soumelire
DIS 453
.& la diselpline; dönner la discipline. (Ag.) Re-
prendre severement.
DiscipLinaR-SE, v. r. prendre une disci-
pline,, se fouelter soi-m&me par mortiflcation.
DiscıLiniveL, adj. 2 gen. disciplinable :
ais6 A discipliner; capable d’&tre discipline ;
docile.
DıisciruLa , s. f. 6colitre, elöve; femme,
fille qui apprend une science, un art, eic.
DiscıruLAno , s. m. nombre, asaembi6e des
&coliers qui etudient ensemble ; temps, condi-
tion d’un &colier.
fDiscirvr.ir, adj. 2 gen. qui appartient aux
disciples , aux &l&ves.
DıisciruLo, s. m. disciple : qui apprend d’un
autre une science, un art liberal; qui suit la
doetrine de...; colier, eleve. —s, pl. disciples:
les personnes choisies par J.-C. pour precher
Pe&vangile. Les quatre tions pairs des huit qui
composent la gamme, l’octave comprise.
Disco , s. m. (1. d’ant.) disgue : palet que les
athidtes langaient au loin. ($. d’asir.) —, corps
d’un astre, tel qu’il se prösente & nos yeux;
(4. @op$.) grandeur d’un verre, d’un champ.
Plat, assiette.
Dısc62010 , s. m. discobole : athidte qui lan-
gait le disque.
+ Discörpz , adj. 2 gem. ( 6. de bot.) discold& z
en disque.
DiscoLo. V. Dysoolo.
DiscommOnIpaDe , etc. V. Descom..., 680.
DisconröruR, adj. 2 gen. qui n’est pas d’ao-
eord. V. Desconforme.
Disconventencıa , s. f. disoonvenance, diver-
gence d’opinions.
Disconxvın,, etc. V. Desconvir, eto.
-Discorpino, A, P. p. de Discordar.
Discornväncıa , s. f. discordance, contrariete,
diversit6 , opposition.
Disconpänts ‚adj. 2 gen. discordant : qui ne
s’accorde pas; qui n’est pas d’accord.
+ Discornantemente ‚ade. discordamment :
d’une manidre discordante ; sans barmonieo.
Discorvpär,, v. n. discorder : @tre discordant
varier, diff6rer, ne pas s’accorder;; @ire con-
traire ‚ diff&rent , oppose.
Discörpze , adj. 2 gen. qui n’est point d’ac-
cord : contraire, oppose , different. (f. de mus.)
Discord, dissonant, qui n’est pas d’accord.
DiscörDENENTE, ade. sans accord, en dis-
corde, en mesintelligence. .
Dıscönpta , s. f. discorde, zizanie, desunion,
d&sordre, dissension, division. Ser ou
o pfmo de —, &ire ou jeier la pomme de dis-
corde : mettre la dissension.
Disconntr, v. @. courir, parcourir. Exa-
miner, reflechir, peser les raisons de part et
d’autre, tirer les cons&quences d’un principe.
Disconnta, dv. ». courir cA ot lä; courir de
eöt# et d’autre; couler. (Ag.) Discourir, raison-
ner, parler sur une maliöre avec quelque elen-
due. Se mouvoir.
Dıscnasıa. V. Dyscrasia.
Discrgräno, A, P- p. de Discrepar.
454 DIS
Disaagrincıı, s. f. diffätenee, disconYe-
nance, diversile, disproporlion.
Discaspänte, adj. 2 gen. p. a. de Diserepar,
qui difföre, qui n’est pas eonforme; de senti-
ınent Contralre. Nemine —, ( dat.) unanlııe-
ment.
DiscrEpÄR, ©. ®. differer, n’ötre pas con-
forme, ne pas s’aocorder, varier.
DiscR£tan&nıe, ade. diserdiement, sage
ment, prudemment, raisonnabloment, avec
reienue.
DiscahETEÄDO, A, P. P.
DiscaBTEÄR, u. 9. Aaourir, faire lo beau
discoureur, affecier de bien parler, faire de
Pesprit.
Discrerissıfo, A. adj. sup. de
Discntto,A, ad). discret, avis6, prudent,
sage , Judieieux ; Adele au secret. 8 pirlinel, dio-
quent, subtil; bei esprit. (Ag) Fir, ing6nieux,
parlant d’une saillle, etc. Quaniidade —e, (1.
de math.) quanulıs discröte, a parties separdes.
Padre — , madre — a, discrei, te : moine,
religleuse, gal entre dans le conseil d’un su-
srieur.
+ Disca«törıo, s. mw. discretoire : Heu d’as-
sormbide des discrels d’udle oomımunauld ; celie
assembl6e.
:Disoaıci0,s. f. discrötllon, prudence, cir-
conspeclion, jugement, raison. Vivacits, fi-
nesse, [&condits d’esprit ; trait d’esprit. Rallle-
rie üne, saillie ingöniense. A’, & diserötion,
a volenie. Eniregar-se, “ed, 56
rendre ä& disceretion, & la merci du vaingaser.
ddade de — , äge de raison.
+ Discaıcıonänıo, A, adj. disor6lionnalre ı
(pouvoir, peissunos ) d’agir & discretion.
Discaimz ou Discaımen, s.ım. " difförente ,
diversits.
Discrımınäpo, A, pP. p. de
Discamumin, vo. a, diviser, s6parer, dislin-
guer ; disoorner.
DiscuLran, eto. V. Desouiper.
Discunsino, A,p. p. de
DISCURBÄR, v.a. ot 8. disoourir sur une ina-
e.
7 Discunsista , s. m. disooureur : grand par-
leur, sophiste.
Discunsivo, A, ady. discoursif : qui tire une
proposition d’une autre par le raisounement.
Pensif : qui röve profondöment. s. m. V. Dis-
cursisia.
Discönso, s. m. diseoers, ralsonnement.
Usage de la raison. * Reflexion, conjeoture,
ralsoninement. —, PTOPos, raisonnement sur
quelques matieres. —, harangue,‘ oraison,
ö6e ‚ composition sur qguelgue sujet; entre-
tien. Espace, durde Je temps. * Marche, route,
chemin , course d’an endroit A un aulre.
Diacussä6, 8. f. discussion , examen, reeher-
ehe exacte; eontesiatlon, disputs. —de iamor,
(t. de ohir. )rösolation d’une iumeur.
Discussivo , (6. de chir.) V. Resobutivo.
Dıiscutinpo, a, p. p. de
Discurin, v. a. disculef : examiner avec soin,
DIS
exdminer I6 pour ot ik sonire Td’urie Affaire,
ew.\. (8. de med.) —, Alssiper, tesoudre.
Discurin-se, v. r. impers. se disouler : &lre
discute. Tal dis deve — ial prejecio , c'est lel
jour que tel projet dolt se discuter.
r Piscorivaı, adj. 2 gen. qui peut se discu-
ter; qui meörite discussion.
DISENTERIA. V. Dysenteria.
+ DıszruLörıco, A, adf. (t. de chir.) difeile
ä olcatriser ( plaie).
Diseatacgikö. V. Dissertarde.
+Dıstaro, a, adj. disert : qui parle dis‘
ment, ölögamment.
DisraRGÄDAMEnTE, adv. avoc döguisement,
au propre et au figure.
Dissancino, A, as. deguise , travesti. (flg.)
Dissimul6. p. p. de
Disrancan, v. a. deguiser, travestir; mas
quer. (fg.) Dissimuler, cacher, voiler, eonvrir;
donner une autre conleur aux choses. —e Jun
deira,(t.de mar.) masquer son pavillon.
Disrangan-sE, v.r. se degulser ; se lraves-
ir, s6 masquer; cacher son caracidre, ses
vues ; feindre ; se cacher;; se montrer aulre que
Pon est.
Disyince, s. m. döguiserment : &tat d’ene
personne deguisse. (Ag.) * Dässimulation ; ari-
flee pour cacher la verite. — s, pl. masques 2
Poccasion de rejouissances.
Disravon. V. Desfaoör.
Dısroauin. V. Deformar.
Disröruz, ad. 2 gen. difforme : qui n’a pas
ia figure ou les proportions eonrenables ; laıd,
hideux. Fort grand , demesure, enorme, gigan-
ue.
+ Disroaueuente, ado. d’une maniere dil-
forme;; avec deformite.
DieronmpÄne, s. [. V. Deformidäde. Enor-
mit, grandeur excessive, demesurte.
Disronuissıuo , A edf. sup. de Disformt.
® Dissnacar, eic. v. Disfargar, etc.
Disrautar, etc. V. Desfru8er, eio.
Dısoostan, eio. V. Desgoster.
Disonzcackö , s. f. disgrögation : action qui
separe ot $loigne les choses l’une de Paulre.
(8. d’opt.) —, dispersion des rayons.
Dıiscaxcin0,A,Pp.p. de
Disorecir, v. a. disgreget, söparer, d&sunir,
ölotgner. (#. d’opt.) —, disperser les rayons.
Il est aussi r&eiproque.
DisarscATivo, A, 9dj. qui a la vertu de sc
parer, de desagreger.
Dıisıstä6, V. Digesido.
Dissuncckö, s. f. disjonolion « saparation.
Particule disjonctive. Figure de rb&werique qui
donne & obaquo membre du disegurs um SEn3
complet par Iui-möme.
Dissuncta ,s. f. (8. de us. anc.) * change-
ment de ton : passage d’un mode & un aulfe.
+ Dissunorıvantntg, adv. wöperömen!, d
part, en particulier.
Disıcncrivo, a, adj. disjonctif:: qui divise
ou separe (f. de gram.) —, qui exprime lal-
DIS
ternative em la tiigative ( vonjonclion, parti-
eulo— ve). Hovimento--, V. Disjuncta.
Dissuacto, A, edj. disjoint , separe.
Dussungto, 8.9 (t. de log.) vöritö necessaire
de Y’une de deux propositigns contradictoires.
Diaswneino, A,p. p. de
Dissuneia, o. a. deteler (tes baaufeN.
Dosuäre, 8. m. * sottise , exiravagance. V.
Disparate.
Dsswocagiö, eto. V. Deslocapdo. .
’ Dısazuunnänga. V. Desiembranga.
Duspan , auf. 2 gew. dissemblable : inegal.
Dısraninpe,A,p. P. de Disparar.
Deswumanor, s. m. oelui qui decharge une
armo & fon, qui decoehe une fläche, ete. Arröt :
petit moreeau de for qui, dans les armes &
feu, emptche qu’elles ne parient d’elles-menes.
Dans l’arhalete,, c’est la noix, la dötente.
Diısranir, 6, @. Vrer : decharger une arme ä
fous tirer de l’ärc. Döcocher une Nldehe, lancer
un jayelot.— safürias, (R$.) vothir des Ihjures,
u.n.9. us. Semettss en mouvement, parler &
tert ei & travors.
Dısranid-es, 0. vr. parlir d’elle-ındnie, par-
lanı d’une arme & [eu, d’une arbaldla; se de-
bender, se lächer, parlant d’un ressoft, eto.
Dıspanaräpamknte, ade. absurdement, im-
t, hors de raison.
Dıspanaripo, A, adf. stourdi, Scerveld : qui
parle et agit sans tellexion, hors de propos,
sans rime ni raison. p. p. de
Dissanıatär,, 9. W. extravaguer : dire ou
faire des sotlises ; radoler.
DespanäTr, 5. m." sotlise,, oxtravagance, dis-
parate ; etourderio , imprudence, incartade ,
billevosse. Dizer —ı, radoler, exitavaguer.
+ Dispanatönıo, 5. m. *"conversation, dis-
cours plein de sotlises ol d’oxiravagances,
DisparıDpanDg, 8. f. disparits, inegalite, dif-
Itrence.
Despunpen. V. Dospender.
Disrtnnıo, 6. m. depense excessive, profu-
sion ; debourses. ( Ag.) Desavantage ,prejudice,
dätriment.
Dıspennıösamänre, adv. & grands frais.
DisPenpiös0, A, adj. dispendieux ; qui ne se
fait qu’aveo beadcoup de depense, Iräs-coü-
“ax, twes-cher.
Drsrüinsa , s. f. dispense : esemption de la
regle. ° Brei, eic., qui accorde la dispense.
Drsrensaciö, s. f. Alspense : etemplion de
la rögle ordinaire. Dispensation , distribution.
Dreramsino, A, pP. p. de Dispensar.
DispansaBör, A, s. velul qui dispense. Dis-
pensateur : celui qui distribue.
Dievansin (de), ©. a. dispenser, exempler
de. —, departir, distribuer, donner; meltre en
oräre. V. Despender. — honras , Geferer des
honneurs. —com alguem na lei, na regra, elc.,
©. n.dispenser, exempter quelgu’un de la loi,
de la rögle, etc.
Disrensarivo, A, adj. qui dispense vu peut
dispenser : qui distribue.
+DurznsAtörıo,, 3. m. dispensaire : traite
DIS 455
de la preparation des romddes. — pharmaceu-
tico, pbarmacopte : lieu oü Pon prepare les
remedes.
Dispensäver, adj. 2 gen. sujet ä dispense,
qui peut &tre dispense.
Dispenseıro, 5. m. V. Des eiro.(fig.) V.
Dispensador. PR u.
Dispersia. V. Dyspepria.
+Dispunuärıco, A, adj. (t. de bof.) disper-
matique : qui n’a que deux semences (plante).
+ Dısp&amo, a, adj. (1. de bot.) disperme a
(frult) qui renferme deux semences.
Dıspersiö, s. f. dispersion : action de dis-
perser, par laquelle on est disperse; ses efleis.
Dispzasino, A, 9. p. de Dispersär.
Drereasir, v. a. disperser : repandre,, jeter
eä et lä;; mettre en desordre; dissiper (un trou-
peau, eto.). Il est aussi r&ciproque.
Disp£nso, a, adj. dispers6 : separe, r&pandu
de cöt& et d’autre.
Dispuickncia , s. f. * deplalsir, degoüt; cha-
Krin, ennui, souci.
DispLicknte,, adf. 2 gen. deplaisanı, dössa-
greable, ennuyeux ; maussade.
Disenta. V. Dyspneu.
tf Diısronnto,, s. m. dispondee, double spon-
dee, sorte de vers grec et latin.
Dispon&nte,. adj. 2 gen. disposant, qui dis-
pose. p. a. de Disper.
+ Disronssinipane, s. f. disponibilit&: qua-
lite, 6tat, effet de ce qui est disponiblc.
DisponiveL, adj. 2 gen. disponible : dont on
peut disposer.
Dispör, vo. a. disposer, ordonner, appreter,
preparer, arranger, meitre en ordre. Resoudre,
deliberer, regler. — arrures, elc V, Plantar,
Transplantar. — as suas cousas, muclire ordre
A ses affaires; faire son leslameut ,elc.(anl.)
Dıseör (de), v. n. disposer de: cn faire ce
que !’on veut; vendre, aliener, donner.
Dıispörn-sE (a, para), v. Tr. se disposer, se
pr&parer A, se meitre en clat de.
Disposic1ö, s. f. disposition : aclion par la-
quelle on disposo,, ses effels; arrangement; si-
tuation. (£. de rhel.) Arrangement des parties
d’un discours; action par laquelle on dispose
de queique chose; des £@ires, son ellet; etit
actuel; dtat de la sanl&; volont6; dessein; re-
solution ; preparation &... Pouvoir, aulorile;
facults , droit de disposer de... Aptitude; incli-
nation, penchant &, pour... Etat, qualite re-
quise dans une chose pour produire un eflet,
recevoir une forme; preparation, achemine-
ment d...; distribution convenable d’un edi-
fice. —s, pl. dispositions , arrangemenls; pre-
paratifs. 4’—, & la disposilion, dans la depen-
dance, avec pouvoir de disposer. 4° — do
venceder, etc., ä la merci du vainqueur, eic,
— tertamenidria, disposition par teslament.
Eıtar ou achar-se em — ,etre en 6lat, ölre
pr&t. Por — divina, selon la volont& de Dieu-
Dispositivautnte, adv. avec ordre el arran-
gement ; d’une maniere disposilive.
456 DIS
Disposirivo, A, adj. dispositi, preparaloire:
ui dispose, qui pr&pare & queique chose.
I Disrösro , N ‚ n p’de Dispör. adj. Dispos6;
arrang6; ordonne, prepare, pröt. Bem ou ma}
--, bien ou mal dispose,, en bonne ou Mmau-
vaise sanle.
Disrüra, s. f. disceplation. Dispule, que-
relle, rixe; altercation, contention, debat,
contestalion. Pör em —, dispuler, conlesier
sur; meltre en litige. —s vans, disputaillerie.
Dısrurioo,, A, p. p. de Dispular.
DisputaDör, 5. m. disputeur : celui qui dis
putc , qui aime & dispuler, & contredire.
DisPUTANTE,, adj. 2 gen. disputant : qui dis-
pute. p. a. de
Dispctan,v.a. disputer, argumenter, debat-
tre, agiter une question ; conlesier pour em-
porter ou conserver quelque chose; combalire
pour ; tächer de ravir, d'enlever.
Dısputän (sobre, dcerca de), v. w. disputer,
oontssier sur. Quereller. — sobre um cabello,
sobre um nada, vetiller, pointiller : faire des
diffcultes sur des vetilles. — sobre valor, dis-
puter de courage.
DisrurävsL, adj. 2 gen. disputable : sur quoi
Fon peut disputer ; qui peut &ire dispule.
TDisquniciö, s. f. disquisition : examen;
recherche exacie d’une verile.
Dissasön, s.m. "insipidile. (4g.)Degoüt, des-
agrement; ennui.
Dissasoreipo, A, p9.p. de
Dissasorein, v. a. rendre insipide. (Ag. et
Plus us.) Chagriner, meconienter.
Dissasonzän-sE, vo. r. devenir mecontent,
se döplaire. — com alguem, avoir du chagrin &
cause de quelqu’un.
Dissasonipo, A, adj. fade, insipide. (Ag.)
Sans gräce.
Dissasonöso, A, ady. insipide, f[ade; qui
n’a pas de goüt.
Disszcino, A, pP. p. de Dissecar.
Dissecanon. V. Dissector.
Disszcix,o.a.(. d’anat.) dissequer : [aire
l"snatomie d’an corps organise, d’une fleur,
elc.
Diss£cciö, s. f. dissection : aclion de disse-
quer ; söparation meihodique des parties d’un
eorps , ses effets ; etat d’un corps disseque.
DissecTörR,, s. m. dissequeur, dissecteur : ce-
ui qui disseque.
* Dıssecno. V. Desenko.
Disseuinacäö, s. f. dissöminalion : semis
maturel par la chute des grains. fg.) L’aclion
et V’effet de semer, de repandre cä et la.
Dissemınäno,A, pP. p.de
DissEMiNÄR, ©. a. disseminer : semer, r&-
pandro cä et la. (Ag.) Repandre.
" Dıssenno, V. Desenho.
Dissznsiö, s. f. dissension : discorde, yue-
relle par opposilion, diversils de sentiments,
d’intereis ; contrarieis, opposition, diversits
“(d’opinions, eic.).
Dissant£nıa. V. Dysentieria.
Dissantino,A,p.p. do Dissenter,
DIS
DISSERTIMENTO, 3. m. dissentiment, Oppesi-
tion ; seniment, opinion contralire;
bation.
Dıssentis (de), ®. w. 6tre d’avis contaire;
disconvenir.
Dıssentagiö, s. f. disserlalion : examen al-
tentif, de vive voix ow par £Ecrit, d'une quer
tion , ete.; döveloppement d'une question.
Dissertäpo, A, p. p. de Disserlar.
Dissentanor, 5. m. dissertateur : qui dir
serie longuement, souvent. Disserteur.
Dissentär (sobre, dcerca), vo. n. disserler
sur, faire une dissertalion ; discourir.
Dıissıoancıa, s. f. dissidence : s6paralion;
scission , diffsrence grave d’opinion.
Dıssin£nte , adj. 2 gen. dissident: sectaire
qui rejette la religion dominante ; non confer-
miste ; qui fait scission.
* Dıssivio , s. m. V. Di .
Dıissiıminin , adj. 3 gen. (8. de seience \ dissi-
milsire : qui n’est pas de me&me nature, gest
ou espece.
* DıssinıLe. V. Disssmelhanis.
DissimiLuanga,, etc. V. Dessemelhangs, ei.
DissimiLımo, a, adj. sup. de Dissimile.
DissimiLitüpe, s. f. dissemblance , dissimili-
tude, difference , diversite.
DıissımuLackö, s. f. dissimulation, döguise-
ment, feinte. —, art de cacher sa peonste, st3
projets, ete. Tolörance affecise ou qui cacıt
quelque dessein.
DissınuLäADAMEnTE , adv. avec dissimulstien.
DissıuuLäno, A,p.p. de Di . ah.
Dissimul&, fin , couvert, arliicieux,, sourpes,
farde, cauteleux. Gonio — ‚esprit, ca
dissimule. Com er —, ou d dissi
faisant semblant de rien.
DissıuuLinör, s. m. dissimulateur : celuige
dissimule.
DissısuLäa, v. @. dissimuler, feindre, degu-
ser; cacher (sa pensee, ses projeis); feindre
de ne pas voir ou ressenlir ; deguiser, denne
aux choses une auire apparence. Cacher, 00%
vrir. Tolerer, permettre,, excuser. (Ag.) Dort.
DissisuLär, v. ». ne pas faire semblant d’et-
tendre; feindre de ne pas oonnaltre. V. le verbe
actil. — com os mdos, tolerer les möchants, Ne
pas punir leurs fautes. Il est aussi r&ciproque.
DissimuL.ivEL, adj. 2 gen. qui peut se dissi-
muler.
DıssısöLo „s. m. V. Dissimulagdo.
* DıssıncoLär. V. Dissimular.
Dıssıracaö, s. f. dissipalion : action de #
dissiper, parlant des espriis, de dissiper
bien ; ses effets; &tat d’une personne dissipe®.
(ig.) Action de dissiper l’esprit , de se diver,
de se delasser de l’&tude; dvaporation ; der
traction ; Consommation ; oonsomption , d&pe!-
dition.
+ Dissıridauenteg, adv. avec dissipauon,
d’une maniere dissipee. BE
Dissräno, A, 2. p. de Dissipar. adj. Dissipe'
trös-repandu dans le monde, livre auz plaisi#
(hosime) ; $ranoui, zesolu, delait, detrull.
,@
DIS
DisueaB6R ‚5. m. dissipateur : qui dissipe
son bien; prodigue, döpensier.
Dissipin, ©. @. dissiper : consamer (son
bien ); detruire (les forces) ; ecarter (les nua-
ges); delaire, disperser ; faire cesser, apaiser;
deisarner }’esprit de...
Disirin-sg, v. r. se dissiper, s’&vanonir, dis-
paraltre.
t Dısswävezr, adj.2 gen. qui peut se dissiper,
sise h se dissiper.
TDissociugkö, s. f. peu us. dissoriation :
fapture d’une association.
Dissoaino, A, 2. p. de Dissociar.
+ DusssaiL, adj. 2 gen. dissociable : l’opposs
de soeiable.
t DissoauLmente, adv. d’une maniere dis-
sociabie,
t Dissocıär , v. a. s6parbr ce qui &tait asso-
at; desunir. Il est aussi reciproque.
ver. V. Insociavel.
DissoLeciö, 8. f. dissolution : separation des
parties d'un corps en göndral, qui se dissout;
faplare (d’une soci6t6, d’une r&union, etc.);
acion d’an dissolvant; (Ag.) debauche, dere-
glement des maurs, incontinence.
DissoL.6ramente, adv. dissolument : d’une
maniere dissolae,, licencieuse.
Dissourmivo, a, adj. dissolutif, dissolvant;
qui ala vertu de dissoudre.
DissoLöro, A, adj. dissolu, dissous : debau-.
ehe, libertin, impudique; lascif; qui porte au
deregiement; qui y est livre. p. p. irr. de Dis-
DissoLöveL, adj. 2 gen. dissoluble : qui peut
se dissondre,, ötre dissous.
DissoLräurg, edj. 2 gen. dissolvant : qui
dissout, Dissolatif : qui a la vertu de dissoudre
(remöde).
DissoLväa, e. @. dissoudre : penätrer et di-
viser un corps solide; liquefier, fondre; dis-
perser une röunion; devomposer en disper-
sani les parlies (propr. et fig.); declarer nul,
Tompre (un mariage, eic.). (fg.) Defaire (une
diicults). — s alma do corpo, (poet.) mourir.
DissoLvT&a-6g , v. r. se dissoudre : se disper-
ser, se dit d’une sociele; dtre dissous. Se dis-
Siper. Se debaucher, devenir dissolu.p. us.
DissoLvipo, A, pP. p. de Dissolver. adj. Dis-
sus, resous, r&solu, delaye , Sondu; liguefie;
disperse , parlant d’une societe. (Ag.) Annule,
Tompa \mariage, eic.).
Dissonipo, A, p. p. de Dissonar.
Dıssonincıa, s. f. dissonance: [aux accord;
scoord desagreable quand il n’est point amend;
ion dissenant. " Son desagreable ä l’oreille. (Ag.)
Drsconvenance, disproportion, contrarieis. Fa-
är —, repugner, n’ötre pas dans l’ordre.
Dussoninte, adj. 2 ger. dissonant, discor-
dant. (Ag.) Contraire, oppos# : qui ne 8’ac-
“orde pas, qui repugne, qui n'est pas dans
[ordre,, qui ne sied pas bien.
Dissomin, o.». discorder : @tre discordant,
dissensut. (Ag.)Ne point convenir; r&pugner,
tire opposs ‚n’ötre pas dans l’ordre.
DIS
Dissono, a, adj. V. Dissonante.
T Dıssonöno, a, adj. qui n’est pas sonore;
desagreabie & l’oreille.
DissuADino, a, p. p. de Dissuadir.
DissuaninöR,A, 3. qui dissuade.
Dissuanin (de), v. a. dissuader de, detour-
ner queiqu’un (d’un dessein , d’aneresolution);
conseiller le contraire.
Dıssuasiö, s. f. dissuasion : aclion de dis-
suader; avis, discours qui dissuade , son eliet-
Dissuasivo, A, adj. propre & dissuader.
Dissuasor, s.m.p. us. V. Dissuadidor.
t Dissuasönıo, a,adj. quia la force de dis-
suader.
DissY’LLABO, A, adj. ei s. m. dissyllabe : de
deux syllabes (mot).
Distincıa, s. f. distance : intervalle d’un
point & un autre; &loignement, espace entre
les objets; se dit des lieux et du temps; (fg.)
difference (de faculies, de merite, etc.). De —
em —, de loin en loin. Ha grande — de Paris a
Pegquim,il y a loin de Paris a Pekin.
Distancıäno, A, p. 9. de
DISTANCIAR-SB, dv. r. 8’tloigner, se s&parer.
Distinte, p. a. de Distdr. adj. 2 gen. Di»
tant, &loigne, &cart&, lointain.
t Distantentnte, adv. loin, de loin, au
loin.
DISTARTISSIMO,, A, adj. sup. de Distante.
Dıistan (de), v. m. 6trd distant ou 6loigne.
(fg.) Difförer, &tre different.
Distensiö, s. f. distension : &iat des nerfs
irop tendus.
f Disricino, A, adj. (4. de bot.) distique:
plac6 alternativement sur deux tiges et latera-
lement. .
Distıco ow DisticHo, s. m. dislique : phrase
en. deux vers latins ou grecs.
DistiLLacäö, 3. f. distillation : action de dis-
tiülter; chose distill&e; ecoulement, decoule-
ment. i4. V. Estilliceidio, maladie. Semination.
DisrıLLino, A, p. p. de Distillar.
DistiLLapoR, 3. m. distillateur : celui qui
distille (des liqueurs, etc.), qui en fait profes-
sion.
DistiLuar, v. a. distiller:: tirer le suc, V’es-
prit par P’alambic. (fig.) Verser goulte & goutte.
DisriLLar, 0. ». distiller, degoutter, decou-
ler. Suer, pleurer, parlant des plantes ; (omber
goutte & goutte. Il est aussi reciproque.
DisTILLATÖRIO, A, adj. disullatoire: qui sert
a distiller, qui a rapport aux distillations.
Disrincgäö, s.f. dislinction : division; s&=
garation; difference; prefärenee, prerogalive,
singularits avantageuse; explicalion, interpre-
tation. Faxer —, distinguer, discerner, appre-
cier les cboses ce qu’elles valent. Homem ou
pessoa de —, homme ou personne de distino-
tion, distingu6 par sa naissance, par ses di-
gnites.
Disrincrautnre, adv. distinctement, elaire-
ment; neitement; d’une maniere distinotez
d’une maniöre distinguöe.
457
458 DIS
Distiucrissima, A, adj. sup. de Distincto,
Disrincrivo, A, adj. distinclif : qui dis-
tingue.
+ Disrınerivo, s. m. orneinens, decoralion,
marque distinclire. Altribut : proprieis dis-
tinclive, consüitulive d’une chose.
Distincro, A, adj. dislinot : different, se-
par6 d’un autre; clair, nel; exempt de confu-
sion. (lg.) Distingue. (amt.) V. Kxiincto.
* Distincto. V. Inslincto.
Distıncia,, etc. V. Destingir, etc.
Distincvioo, A, p. p. de Distinguir. adj.
Distingue, considere, notable.
Distıncuidon , 8. m. celui qui distingue.
Dıstıncvia (de), v. a. distinguer : diseerner
par les sens, par l’op£ration de P’esprit (les ob-
jeis, eie.); meiire de la difference, de la dis-
tinclhon,, de la prefärence entre (le Lemps, les
qualitds, eto.); diviser; saisir les dißörences,
faire une distinction entre une chose et une
autre qui ressemble & la premidre ; s£parer;
caractöriser avec distinction, marquer la diffs-
rence. — ‚ distinguer quelqu’un, le
traiter avoo distinction; lui oonfsrer une di-
gnitö. Ndo — 0 brance da pr4lo, ne pas disün-
guer sa main droite de sa main gauche, #tro
trös-Ignerant. Distingo,, (1. de log.) Distinguo,
je distingue.
Distiusum-sR, 0. r. so distinguer, so signa-
ler, briller ; 6tre distingue.
DistinculveL, adj. 2 gen. qui peut &re dis-
tingu6. Peroeptible ; susceptible de distinotion.
Disriırufn. V. Destituir, etc.
Distonsiö, s. f. diatorsien : contorsion d’ane
partie du cerps; döplecement d’un membre.
Distuacgiö, s. f. distraction, inattention,
inapplication aux ohoses qui doivent ooouper;
moyen de se distzaire de la douleur, des re-
greis, de l'’ennus ; acle du distrait.
Distaactive, a, adj. qui denne de la distrao-
tion; r6ordatif.
t Distnamivamture, adv. avco distraction,
d’ane maniere distraise.
Distaauino, A, p. p. de Distrahir. adj. Dis-
trait: qui a peu d’attention & co quil dit ow
fait; Inapplique,.
Distaanimento, 8. m. V. Distraccds. *Li-
bert6 : liconce excessive dans les maurs, dans
la condulte.
Dısrnunin (de), o. a. distraire, divertir, dissi-
per, diriger Pesprit vers d’autres objels; de-
fourner de quelque application. Detourner de
la vera ; pervertir. —, endertmir, äuıuser pour
tromper,
Dustnari90,4,9.9. de
TÄR, ©. a. casser, abolit, annuler;
rompre un a000rd, un traite.
Dıstaire ou Disrairo, #. m. *rescision r
oassatlen un &cte; action rescisolre.
Disranmumgiö, s. f. distribution: action de
distribuer, ses elleis; (6. d’arts) ordonnance,
dispositien, artangement des ebjeis, des oou-
leurs, et0.; (1. de rhst.) Hgure qui consiste &
enunmerer par ordro les qualitds d’an aular.
DIT
Disrniaufpo, A, p. p. de Distribeir.
Distrıgufoon, o. m. distributeur : qui distsi-
bue. Dispensateur.
Distainufe, oe. e. distribuer : döperur; parlı-
ger eulre plusieurs; diviser, ranger, dienoser;
mettre en ordre, & la place; dispenser; ri-
pandre.
Disteısufe-se, v. r. se distribuer : &ire dus-
&.
Distaisotivamenre, adv. dietributivemsnl:
dans le sens distributlf; s4paröment, seul &
seul.
Distaısorivo, a, adj. distributif : qui distri-
bue; qui inflige des peines, accorde des rc-
compenses (Justice). .
Disraıcro, s. m. district : tamduede jeridic-
tion ; territoire, contree, etendue de p8Jt.
Distaınzan. V. Desirinper.
Dısturzia. V. Perturber.
+ Dıstöasıo, s. m. troabie , dissensien, diri-
sion, mesintelligemoe,, discorde.
Disöaia. V. .
Disv&ıo, eio. V. Desyela, etc.
Dita, s. f. *bonheur, (slieild, drönsmen!
heureux, dat beursuz, fortune. Bod —, (MM)
debiteur bien cautionne.
Dırano. .
Dıraa. } V Dicta..., efc.
+ Dırissa, s. f. (8. de bei.) ditasse ı planle
de la pentandrio digynie, volsins du mau-
plexis, de Rio-Janeäre.
+ Dırazisuo, s. m. dithöisme : aysiime &
deux principes, Pum bon, . autre maurait, 0%
deux dieux; manichsisme,
Dirayräusıco, a, adj. dithyrambigee: Mi
dithyrambe.
Diruraäuno, 3. me. (6. de pods.) dıthyrembe:
sorte de po&sie Iyrigque en l’honneur de Bat-
chus sur le ınode phrygien ; ode ou siances |
Dıtinno, s. m. dim. de Dito. V. Dieleri.
Diro, a, p. p. de Diser. adj. dit, surnomml.
— u feito, (loc. fam.) sur-Ie-champ, saıs dell,
aussitöt dit aussitöt fait, aussitdt pris aussi
pendu. O dito —, ce qui ost dit est Alt. Odile.-
(8. de ndgoce ) dito ow ditto : susdit, Idem.
Diro, s. m. dit: bon mot; apophthegmei
maxime; sentence ; ohose prononoee, eonclet,
decidee. (1. de prai.) Dire : deposition un !t-
mein. Rapport, relation, r6eit. Röle darkat
dans un drame. — salyrico, dieton , enustkitt,
raillerie,, trait d’ssprit. — agudo, sub! ou arr
sedo, bon mot, facetie, repartie fine. — Pt
sante, ınot piquant, saillie. — graetoso, mol
pour rire. — chulo ‚obscono, polisson-
nerie, bouffonnerie, farce, obsoenite. Por —
de iodes, d’ane voix uhaniche, au dire de tocl
io monde. Provar o seu — , prouver son dift.
Drrönco, s. m. !diphihongue : reunion de
deux voyolles en un son.
DıT6no, s. m. (4. de us.) diton : Intervalle
de deux tons.
; Drtösahänts, ado, heufeusemieht, par boü-
eur.
DIV
Drromsaımo, A, al), sup. de
Drröse, A, adj. heureux » qui jouit du bon-
heur; qui contribue ä la felicitö; fortune. Mwi
—, bien heureux , fort heureux.
+ Drraacmy’canos, 8. m. pi. (1. d’hisi. nal.)
Pilrschyc&ros : genre de vers des intestins.
+ DrramsäctrLos, s. m. pl. (t.d’hist. nat.)
dieisidastyles ı fasaille d’oissaux schassiers A
Irgis doigts en avant, point de doigt derriäre.
t DırascLv’rBo, s.m. (1. d’areh.) ditriglyphe:
espaca entre deux Lrigiyphos.
tDrraocate, s. m. (4. de pods.) ditroch6e :
pied de vers greo ou latin de deux Lrocheeg.
+ Dıöca „se. u. (d. d’hist. nat.) diuca : fringille
du Chili,
Dıönzsg, 8. f. (. de mdd.) diaröse : evacua-
lion extraordinaire de }’urine.
Divaftıco, A, adj. (4. de med.) diurötique !
sperilil, qui fait uriner.
DivaniL , adj. 2 gen. quotidien, de tous les
jeurs. s. u. Diurnal : livre d’eglise pour chaque
jour.
+Dıuaxänıo, s. mw. diurvaire: officier qui
ecrirait jour par jour les actions du prince.
Diiano, A, adj. diurne : d’un jour, de vingt-
guatze heures ; qui a rappert au jour.
Diurussıpibs, s. f. longueur de temps ; lon-
gue durde,
Diurtönsne, A, adj. long ; qui dure longtemps.
Diva,s. f. (l. de poes.) döesse.
+ Drrauagid, s. f. divagaliop : aclien de 8’6-
carier de son but, de son sujät, eic.
Divacino, A, p. P. de Divager.
+ Divacänız, adj. 2 gen. divagant: qui di-
vegue.p. a. de oo.
Divacin, o.n.errarcä et iA. (Ag.) Divaguer ı
s’tearter de son objet, de son but, de la ques-
tion agit6e. v. a. Parcourir.
Dıvin, s. m. divan :» Conseil du grand sei-
gneer; tribunal de Justice turc.
’Drvk2o. V. Parente.
Dırsacäuca, s. f. divergence: &tat de lignes
qui s’seartont, de rayons, de liges qui diver-
gent. (Ag.) — d’opinions, olo.
Dıvssatııtz , adj.2 gen. (6. de gdom. el. d’opt.)
divergent : (ligne, rayons) qui s’6carlontl’un de
Yautre. (6. de bot.) —e, pi. (liges , pedoncules,
ee.) qui s’ecartent d’un peint d’inseruon com-
men. Se dit au fg. des aris, des opinions, des
syslömes.
Divancız, v.®. (4. de geom. ea d’opi.) diver-
ger ı S’6earter, s’tparpiller. So dit au fig. des
aris, des opinions coniraires, des esprils di-
vers.
Diynasameute, adv. diversement, dilferem-
ment ‚en diverses mmanieres.
Divansiö, s. f. diversion ; diverlisserhent.
*Diversin. V. Divisar.
Diversınang, s. f. discordance, dissimili-
inde. Diversite, variete, difference. Quantile,
abondance de choses de differentes esp&oel.
Divaasırıcano,, A, P. P. de Divertifear. .
t Divassırıcknte, adj. 2 gen. ditersillant s
qui diversille. p. 6. de
DIV 459
Divsasırıkar , v. a. diversifer : varier, chan-
ger de plusieurs manieres.
} DivsssırıciveL, adj. 2 gen. diversifiable:
qui pcul se varier, se diversifier.
DiıvensissiMo, a, adj. sup. de Diverso.
+ Dıvzasıvo, A, adj. diversil: qui marque
la diversion , ’opere.(#. de med.) V. Revulsivo.
Dıvaaso, A, adj. divers, different, dissem-
blable ; de nature, de qualites differentes. —s,
as, pl. divers, plusiours. B’couse mw —a,
c’est tout autre chose.
Dıivarsörıo, s. a. *hötellerio, auberge. Re-
fuge, r&ceptacle.
DIVERTiDAMENTE, ado. galment; d’un air
joyeux, joyeusement. Avec disiraction.
DivEatioo, A, 9.p. de Diverlir. adj. Gai,
divertissant, de bonne humeur, aimable, en-
joue. Divertissant, r&ereatif, ravissant, plai-
sant. Distrait, inattentif.
DIVERTINENTO, 3. m. diverlissoment, amu-
sement, distraotion ; inattenlion.
Divertir, v. a. detourner, distraire,, &carter,
#loigner. —, desennuyer, rejouir, &gayor, re-
creer. (4. de mdd.) Dötourner, parlanı du ceurs
des humsurs. — 0 inimigo ou suas forgas,
(#. mil.) faire diversion, attaquer l’ennemi do
differents endroits pour diviser ses forces. Na-
de o diveris , il ne se plalt & rien.
DivERnTin-68, 9.r. se diverlir, S’amuser, sc
rsjöuir, jouer, se röcr6er, folätrer ; se donuer
des divertissements. — d custa alheia ou d.cusin
dalguem, sc rejauir aux depens de quelyw’un.
Diverts-sa em me enganar, il se [all un plaisir
de me tromper.
Divicıas. V. Riquezaa.
Divıoa, 5. f. delte : somme due, ce qu'on
deit. * Poch6, fauie, ollense. — commum, delle
commune, la mort. Conirahir —s, sioberer,
‚s’endetter. —s vargomkhesas, (l. de cumm.) delies
criardes. —s duvidosas, incertas, (1d.) delivs
mauvaises , douleuses , vöreuses. Perduni-
nos as NOssas —s, pardonnea-uous Ros ol»
fonses.
‚ Divivasenre. V. Devidamenle.
Divip&ndo , s. m. dividende : nombre, quan-
sis & diviser; produit d’une reparlilion; inle-
reits d’une action (4. de comm.).
Divimino, A, 9. p. de Dividir.
Dıvınıpon. V. Divisor.
Dıyıoian (em, por), ©. a. diviser, parläger,
stparer par parties. (fg.) —, desunir, mettro
en discorde, V. Reparlir. .
Divipır-sg (om), v. r. se diviser, @ire divise.
(£g.) Se partager, ne pas s’accorder, parlanl
de voix , eio.
* Dıvıno. V. Parentesco.
Divinagäö, s. f. divination: art prötendu de
predire l’avenir.
Dıvınapoa. V. Adivinhador.
Divinan. V. Divino.
DıvinaL.usnte. V. Divinamenie.
Divinam&nte, ade. divinement: par la verlu,
la puissance divine; (fg.) excellemment, pas-
faitement; au-dessus du nalurel.
860 DIV
Dıvinarörto, A, adj. divinatofre : de la di-
vination; qui sert ä deviner.
* Divinpive, s. f. divinit6 : essence, nature
divine ; Dieu; faux dieu. ( ig.) Tres-belle
femme; objet d’une idolätrie.
Divinıssıuo,A, adj. sup. de Divino.
Divınızido, A, p. p. de Divinizar.
+ Divinızinte, adj. 2 gen. divinisant: qui
divinise. p. a. de
Dıvınızäa, v.a. diviniser : reconnaltre pour
dieu, pour divin; vendre divin; (Ag.) exalter
outre mesure. Il est aussi r&ciproque.
Dıvino, A, adj. divin:: de Dieu, qui Iui ap-
partient; qui parait etre au-dessus des forces,
des effets ordinaires de la nature; (fig.) excel-
lent, parfait dans son genre. O — e o humano,
les choses divines et les choses humaines. 4o
— , ayant les yeux en Dieu ; religieusement.
Dıvisa, s. f. (ani.)"divis : heritage ou portion
d’heritage qu’on tient de ses pöre et mere. (1. de
blas.) Devise : marque sur T’&cu ; lögende , em-
blöme, sentence.
* Dıviısagom. V. Devisa, Estrema.
Divisando, A, p. p. de Divisar.
f Divisautnte, adv. divisoment, separd-
ment.
Dıvısiö, s. f. division, separation, partage
d’un tout en parties; (flg.) dösunion, discorde,
mesintelligence. —, rögle d’arithmetique. * Ti-
ret, division, trait d’union. —, partie d’une
armee. —, action de diviser.
Divisir , v. a. V. Devisar.
* Dıvsstino, s. m. heritier d’ane bekeirie.
V, ce mot.
Divisısı.ınkoxz, s. f. divisibilit6 : qualits do
ce qui peut 6tre divise.
DivisionäL, adj. 2 gen. qui concerne la divi-
sion.
Divisivet, adj. 2 gen. divisible : qui peut
eire divise.
Dıiviso, A, . p. irr. de. Dividir. adj. Divise,
söpare, desuni, qui n’est pas d’aocord.
Divisör , s. m. (f. d’arsth.) diviseur : nombre
par lequel on en divise un autre.
Dıivisönıo, A, adj. (8. de prat.) On le dit des
jugerments sur les partages. Qui divise, qui s6-
pare.
+ Divisönıo, s. m. (1. d’impr.) visorium :
planchette sur laquelle, au moyen d’un ou de
deux mordants, le compositeur flze sa copie.
Divo, A,.adj. (1. de poes.) divin : surnom des
empereurs romains qui avaient eu los honneurs
de P’apotheose. —s, s. pi. les dieux.
Dıivoacıä00, A, p.p. de
Divorcıan, v. a. divorcer: prononcer une
sentence de divorce. ( fg.) Separer, desunir.
Divonceär-sK, v. r. divorcer : faire divorce,
Divöncıo, s. m. divorce : rupture de mariage.
*Separation de corps et de bieng entre gens
maries. (fig.) —, separation , renoncement vo-
lontaire ; d6&sunion. * Rupture entre amis.
Divurcaciö ,s. f. divulgation : action de di-
vulguer ; ses effets.
DiYuLcADISSMO , A ‚adj. sup. do Divulgddo,
DIZ
DıivoLcipo, A,9. 9. de Divulgar.
DivuLcapon, A, s. divulgateur : qui divulgue,
publie, proclame. j
DivuLcär, v. a. divalguer : decouvrir A d’ar-
tres , rendre public un secret ; r&pandre.
DivuLcia-sE , v0. 7. s6 divulguer, gevenir ps
blic.
* DixENMEDIXENMB , (loc. beerl.) V. Enrediakos,
Chocalhices
Dıxes, s. m. pl. reliquaires, amuleltes,
jouets,, otc. , qu’on pend au cou des enfants.
Dizepön, A, s. diseur : qui dit de bens mols.
Diztn, v. &. dire : exprimer; enoncer, expli-
quer, faire entendre par la parole; parler; re-
citer; raconter. (ant.) Blämer, critiquer. De-
celarer, d6poser en Juslice. — dem ou mal d’el-
guem, faire de bons ow de mauvais reeits de
quelqu’un. — que ndo , dire non, nier, refuser.
— que sim , dire oui, afirmer, accorder.—com
os seus botöes, (fam.) se dire A soi-meme.
Quer — , ’est-ä-Qire. Isto ndod —, ce n'est
pas pour cela. Que querem — estas palavres?
& quoi bon, & quel propos, viennent oes mots?
Mdito ha que — ‚ilya bien & dire. Näo — sim
nem ndo, ne dire ni oui ni non, repondre en
Normand. Näo ha mais que —, c’est tout dire.
Näo ter — ,n’avoir plus rien & dire, är®
pondre, & repliquer. Ndo saber — que udo , ne
savoir pas reluser. Para meikor —, pour
mieux dire. Diz-que, (pop.) on dit que. 0’
bocca que lal disseste. (fam.) On ie dit pour
exprimer la cormotion soudaine qu’a produite
une chose dite par quelgu’un. Digdo o que dis-
serem, quoi qu’on en dise. Comerow dizendo
que... , il commenga par dire que... Nde de
menos d’isso ‚je ne dis pas le contraire.
Dızea (com), o. w. cadrer, convenir, avoir
du rapport, s’accorder; ötre s&ant, proper-
tionne. V. Condizer. — d’alguem , parler con-
tre quelqu’un, le blämer. —bem a alguem ums
cousa, €tire utile, avantagease telle chose ä
quelqu’un. —a dita bem ou mala ‚eure
favorable ou adverse &ä quelqu’un, parlanı de
la fortune. — a alguma mulher com alguem,
inculper une femme de concubinage. — mel 4
sus vida, ( fam.) se plaindre amdrement.de son
sort. Dizem, on dit; l’histeire dit.
Dizea-SE,, ©. r. se dire, se nommer; se doa-
ner comme..., 36 pretendre. Diz-se , on dit.
+Dizer, s. m. dire : ce que quelqu’un dit.
O meu—, mon opinion, mon avis. Dixdres,
pl. murmures, medisance,, mauvais propos.
Dizıwon. V. Dizedor.
Dizsma, s. f. dime : dixiöme parlie, sorte
d’imp6t portugais sur le poisson , etc. Numeros
de —, (4. d’arith.) V. Decimaes.
+ Dizımnaciö, s. f. decimation : action de de-
cimer.
Dızısipo,A,p.p. de Dizimar.
Dızımanor , e. m. decimateur : qui peut lever
la dime. V. Dizimeiro.
Dizısiı. V. Decimael.
Dizımin, v. a. payer la dime. Dimer‘ lever
DOB
Is dime. —, ddeimer, prendre le dixiöme. V.
Deeimar.
+ Dızızania , 8. f. * lieu of Fon depose la
diae; dimerie, etendue de territoire sur la-
elle on dime. .
Dınutıno, a. m. dimeur : fermier qui re-
eneille , qui Jeve la dime.
Dizmo,a,adj. V. Deeimo.
Diamo,s. m. " dime : la dixidme partie des
tuts dela terre prölevse par !’Eglise, etc.
DiziveL, adj. 2 gen. qu’on peut dire, ais6 &
dire,
Do ,arl. m. contraction de de, prep., et o,
art.m. da, de la, de, et quelquefois en. Ex.:
Yiane do Deiskinado,, Vienne en Dauphine.
Do, s. m. *piti6, compassion. Deuil, habit
de deail. (8. de mus.) Ut: premiere note de
föchelle musicale.
Döa, vieue, 08
Doiciö, 8 f. |
Doss0, A, p. p. de Dodr. r
‚Doapör, a, s. donateur:: qui fait une dona-
uon.
Doimo.V. Rosto, Semblante.
Doar, 9. a. donner : faire donalion.
Dosuntıaı , s. f. devideuse : fomme qui de-
vide,
Dosipo,a,92.9.de Dobar.
Dosinöuna , s. f. " deridoisr : Instrument
pour derider les echeveaux de fil.
Dosir, v. a. devider, bobiner : mettre du fil
en echeveau ou en peloton.
t Dosusre, s. m. (4. de bijout.) doublet:
enstaux doubles, aveo une feuille de metal
enwe deux, imitant les pierreries.
Dosaa ‚s. f. " plid’un habit, etc. * Doublon :
mönnaie d’or du Portugal valant autrefeis
12,800 reis, aujourd’bui 15,000 reis (94 fr. envi-
ton‘. Meis— , demi-doublon, monnaie portu-
kaise d’or la plus connue (6,400 autrefois, 7,500
reis aajourd’hui ). ° Double : ancienne monnaie
dEspagne. — castelhana, double castillan :
monnaie d’or de Castille qui valait 12 reaux.
= de banda. V. — castelhana.
Dossina, s. f. gras double: panse des ani-
maux ruminants.
Dosripamente , adv. doublement, au dou-
bie; de deux maniöres. (Ag.) Avec duplicite.
Doprapkıra, 5. f. ° plioir : instrument de re-
beur pour plier, couper le papier.
Dosaapica , s. f. * pliant, gond.
Doprınico, A, adj. pliable, pliant; souple;
\fg. Nesible.
Dosnädo, A, p. p. de Dobrar. adj. Plie,
tourbe, double; double. Gros, fort, trepu,
Yigogreux. (Ag.) Double, dissimule, traltre.
Double : qui vaut, p&se ou contient deux fois.
Tem —s negocios que eu, il a le double d’affai-
FFS que moi.
"tDosrino, s. m.—de cera, bougie en rou-
leau, rat de cave.
Dosauno, adv. V. Dodradamanie.
Dosaanina, s. f. ° pliage; plissure ; double-
ment, actiou de doubler.
donation : don fait par
un acte public.
“
DOG 461
* DonkaL, 5.0. "bourse, portefeuille de cuir,
Dosaautnto, s. m. V. Dobradura.
Dosniö, s.m. doublon : monnaie d’or du
Portugal, valait autrefois 24,000 reis, aujour-
d’hui 30,000 r&is. —, pistole d’Espagne, il yen
a de plusisars valeurs.
Dosräir, vo. a. doubler, redoubler ı mettre le
double, rendre une [ols plus grand ; plier, met-
tre en plusieurs doubles. Courber, plier, re-
courber. (fig.) Induire, determiner. Fischir,
sttendrir. Dompter, vaincre. Fortifier, renfor-
cer. Sonner pour les morts A toute volde. — a
overviz, (fig.) se soumettre, s’humilier. — a
folha, (id.) briser lä-dessus : remettre une af-
faire & un autre temps; cesser de parler sur
'quelque chose. — o cabo, (tl. de mar.) tourner,
doubler le cap. — a esquina, s’esquiver au
coin d’une rue.-— spardda, doubler le jeu,
doubler l’enjeu , martingaler ; encherir, couvrie
P’enchäre. — o joelho, plier, Decbir le genou,
sagenouiller; (Ag.) s’humilier. — as senii-
nellas , doubler les sentinelles. — as marchas,
doubier la marche, aller & pas redoubles, &
marches forc6es. — o passo, häter, presser le
pas, marcher plus vite. — a oöz, fredonner,
faire des fredons en chantant. — a ganancia,
gagner le double.
Dosrir,v. ». ployer, se courber, plier. fg.)
Ceder, consentir ; cbanger d’avis. Lrolise,, s’aug-
menter. Tourner sur..., se redoubler. (Ag.)S’6-
carter de la justioe, de la raison.
Dosnsäir-SE, v. r.sacourber, se ployeag ;(Ag.)
se plier, se soumeltre aux sentiments d’arui.
Changer d’avis, se laisser suborner, parlant
d’un juge.
Döpre, s. m. le double. Glas : son fundbre
de cloches apres la mort de quelqu’un. Fredon
des oiseaux.
Dösaz, adj. 2 gen. double: qui vaut, qui
pese, qui contient deux fois autant; plus fort,
de plus grande vertu. (Ag.) —, dissimule,trai-
tre ; ambigu , &quivoque. Zspia —, espion qui
sert les deux partis. Traio —, amitiö double
et fausse. Luiz —, louis double, monnsie d’or
de 40 fr.
*Dosatı. V. Saceo , Alforge.
* Donatz, adf. Treio —. V. Döbre.
Donatz, s. f.° pli, repli. p. us. (Ag.etpl.us.)
Duplicit#, mauvaise fol, fausseld. Com —, ar-
tiicieusement, frauduleusement. Sem —, na-
turellement.
Doprtza. V. Dobrex.
D6sx0, 5. m. le double : une fois autant.
Dociıma , 8. f. espece de flüte douce.
Docaımma ou DogaınHo. V. Doraina.
+ Dogamirca, s.f. (i. de bot.) douce-amdre:
vigne sauvage, vigne de Jud&e, morelle grim-
pante, vigne vierge.
*Docan, adj. 2 gem. V. Affeclddo.
Döce , adj. 2 gen. doux: d’une saveur agrea-
ble au goüt, qui n’est ni aigre, niacide; agre&a-
bie, qui n’a rien de rude, de piquant; sucre.
(Ag.) —, humain, traitable, affable, lians,
463 DOOR
eompialsast. —, Serible, wralldable, partant
des metaux. Aise,, fecile ä feine eto. ‘
Döce, s. m. ’confiture, sucrerie, benbons.
*Douceur : quali de ce qui est dom. — de
celda, conßitures liquides.
Döce , adv. V. Docemense.
Doctı, s. ms. dals : esp&oe de poble en forme
de ciel de lit.
DOcCENANTE , ade. douoement : avas doucsur;
amiablement,
Docszinno, A, adj. dim, de Docs. Un peu
deux, un pem sucr6 ; douceätre.
*+DocasLo pour Dovcss-ı0, au lien de
Dow-te-lo , je vous le denne. loc. amt.
Docacivo. V. Gelsso.
Döcıı , odj. 3 gen. doolle : propre A se laisser
instruire ou gouvermer; pliant, souplie,, obeie-
sant, doux, soumis. Manlabie, pariant d'un |
rnetal
DocıLiväsz, s. f. docikte: qualits de l’&tre
doeile, soumis, propre & @ire insteuil, gou-
vorne ; douseur, souplesse.
DociLısseuo, A, adj. sup. de Docil.
DocıLi12zi0oo, A, 9.9. de
Docırızir , v. a. rendre docile.
DöcnLusnte , adv. dooilement: aveo docilil# ;
facilement.
Docımasiı ou Docımästicä, 8. f. docimasie ow
docimastique: art d’essayer en petit les mines.
Docıssino, a, adj. sup. de Docs.
Docro, Docraıma , etc. V. Dout..., elc.
Documeto,, s. m. document, instruetion,
enseignement, pr&cepte. — , titre, preuve par
serit. *Pides d’un proeds. —s justificativos,
($. de prat.) soutönement, pieces justillcatives,
pieces & Fappui.
DocgörA , s. f. douceur : qualitö de co qui est
doux, sucre. Se dit au fig. du style. Suarvit6,
parlant de musique.(fg.) —, ütlices , suavite,
plaisir.
Bopzasteno, s.m. (fl. de gbom.) dodecaddre:
eorps regulier dont la surface est fornıde de
douze penlagoneos Ögauz.
Dosschuono ,s. m. (t.de gdom.) dedseagene:
figure A douze cöles et douze angles; place ü
douze bastions.
Dopscasv'nıa, 8. f. (f. de bot.) doddeagynie:
ordre des dodecagynes.
+ Dovecact'nıo, A, adj. (1. de bot.) dodens-
gyne : yui 4 douze pisiis, styles ou stigmales
sessiles.
Dopscinoria, s. f. (8. de bot.) dodeeandrie :
douziöme ulasse des vögbtemux qui oRL de deuzc
& dix-neuf dtamines. .
+ DopmcarstaLo, A, adj. (4. da dat.) dode-
capttale : & douze petales (corolle).
DODECATENÖRIO, 8. m. (tb. d’aasir.) * dodecate-
morie : douziöme partie d’un cercle du zodia-
we.
1 + Don6 pas Mavricuas, 6.0. (f. d’hist. nal.)
dronte : cygne capuchonnd; oiseau qui lient
de l’autruche.
+ Donönivas, 3. f. pl. (1. de myth.) dodeni-
Ges : les nymphes Attantides qui nourrirens
DOG
Baccohus. —, vieilles qui rendaient les oracle
& Dodone. .
+ Dopönıo,A, adj. de Dodone : rilled’Epire.
T Dopnantän,adj. 2 gen. Castello, Cidade—,
(1. de font.) chäteau, ville dodramtal : dent la
defense est & Ireis quaris de la porise de fusil.
f Dopränte, s. m. les trois qgearis d’une
maccession. Poids de neufonces, cıı supposanı
la Hvre de douse.
Dotaga,a. f. maladie, infrmüse : indisposi-
Yon ; langueur, abattement. -— Angide, ma-
ladie de commande.
’Dosnau,s. f. —da terra.V. Iasalubridade.
*Dosncio,a, adj. V. Dosntio, Anaisonailo.
Doknte, adj. 2 gen. malade, inärme, soul-
frant. (Ag.) Qui seuflre , qui öpronve, qui a(un
defaut physique ou moral).
DOENTINBO, A, adj. dim. de Dosnse. Un pea
malade.
Dcentio, a, adf. maladif: sujet A @ire ma-
lade (personne —ive). Malsain: contreire ä la
sante (aliment, temps, salson,, etc.).
DoENTISSIMO, A , adj. sup. de Doente.
Do£n, v. #. senür, «prouver de la doulerr,
avoir mal &. Röpugner, avoir dela peime & faire
quelque chose. Avoir de fa peine, @lre Sächt,
etre sensible 4. —a alguem a cabera, avoir mal
ä la Leite. Die-me um dente, Yai une dentgui
me fait mal. Ndo— a alquem 0 gasto, 0 dimkeiro,
ne pas plaindrela depense, Pargent.—0o cabello,
(fam.) avoie des so@peons contre quelge’un.
DOER-sg (de), v.r. 6tre [äch6, W8 ressentir,
tire au desespoir de. Rire sensible, compatir
aux maux d’autrui, aveir pitid, sompassion,
deplorer, plaindre. 9e plaimdre, parlant de
celui qui souffre. — da konra d’alguem, avoir
du regret de voir }’honneer de quekqu’un
bless6. — da sua dor, se plaindre,
"Dossta,s. f. V. Dodsto.
DosstÄpo, A, P. p. de Doestar.
*DOESTADOIRO,A ‚ei. injurieux. M&prisable.
Dorstanon, A, ady. et s. qui mjurie; infa-
mant.
Dosstär, v. a. injurier, dire des soflises, in-
sulter ; reproocher, blämer.
Do&sto, s. m. *"injure, &ffrent, Insulte,
bläme.
*Döss. V. Dons, pl. de Dom.
BocAov0, 8. m. dogat: dignit® de doge, Sa
duree.
*D’ocano, de cette annde«i. V. Ogano.
Door, s. m. doge: chef de a r&publigque de
Venise, de Genes.
Döcwa, s. m. dogme : point de doetrine; en-
seignement regu et servant de r&gle en matitre
de religion, de philosophie ; constitution d'une
religion.
Doowiricamtnıe,, adv. dogmatiquement :
d’une maniedre dogmatique.
Docwirto, a ‚adj. dogmatique : quiregarde
le dogme de la religion ‚etc. ; sentencieux .bon,
style, etc.) ; qui etablit des dogmes (theologie ,
philosophie, medecine).
Dosmiticos s. m. pl. dogmaligues : phil”
DOM
sopbes) gai €tahlissont des degmes dans la
philosophie, l’oppose& de scepliques ou d’am-
pirigaes.
Docwarisuo, s. m. dogmatisme : philoso-
phie dogmatique, l’oppos6 de scepticisme, etc.
Docuarısta , 8. m. dogmaliste : qui degma-
tise, stablit des dogmes. On le dis ordinaire-
ment des hatsrodones.
DocuatızÄnpo, A,p.p. de Dogmetisar. -
Dosuarızanda, 3. m. dogmatiseur: qui prend
un ion dogmatique, qui dogmalise.
Dosyarıziuts. V. Dogmalisis. p. a. de
Docmirızin, ©. a. dogmaliser : enseigiier
une doeirine (ausse ou dangereuse,, en matidre
de religion. 9. ». — , parler par sentences ; r6-
genter, dasider d’un ten tranehant.
"Döco. V. Cäo de fila.
Döcaz, 5. m. dogre: vaisseau bollandais pour
la pöche du bareng.
Döcug, #. m. espöce de petit Chien. V. C4o
freldeiro.
Doctzzinmo, s. m. dim. de Dogue.
Dowsutnte. V. Dowdamente.
Doivo,A,p. ?. de Dotr.
Dimo , a. V. Doudo.
DöiL0o. V. Dor, Trabalho, Desgosto.
Dormapfeua. V. Douradinha.
*De:ro. V. Costume, Uso.
+ Dotastıra, s. f. (l. d’hist. nat.) dolabelle:
mollusque esphale de I’Inde.
+ Detasrırörues, adj. pl. Folhas —, (1. de
bot.) dolabriformes : (fenilles) en doloire.
+ DöLico, s. m. dolie: pois amer.
+DöLLar, s. m. dollar: monnale d’or, 5H-
rres 8 sous. On donne ce nom, dans les Ktats-
Unis, aux piastres espagnoles, etc.
Dö10, s. m. * fraude, tromperie. (#. de praf.)
Dol, deception, tromperie, fraude. —s da
guerra , ruse de guerre.
Doroamo, V. Dorido, Doloroso.
DoLorirıco,, A, adj. (inus.) douloureux : qui
auuse de la douleur.
DoLorösamenTe, adr. douloureusement, do-
kemment,, avec douleur.
DoLorosıssımo ‚A, adj. sup. de
Dororöso, A, adj. douloureux, sensible,
desolant, cruel, affligeant, deplorable. —, qui
eause de ladouleur.
DoLösamänte, adv. frauduleusement, avec
fraude, (1. de praf.) Avec dol.
Douosissıno „A, adj. sup. de
DoLöso, a, adj. fourbe, trompeur, arüfl-
deux, frauduleux , oblique. (inws.) V. Roligo.
Don, s.m. den, present, gratißication ; fa-
veur; liberalit6,, largesse: facultö, talent; ap-
tude & quelgue chose; facilit6 de parler, de
pleurer. —, titre d’honneur en Espagne, de
noblesse en Portugal. V. M. tem — de fallar
bem, il vous est donne de parler bien. — de
Profecia. esprit de prophätie. — de conselho ou
scerlo „esprit de conduite.
"Domaunıo, V. Semanario.
"Dowia. V,. Semana.
Dowino,A,p. p. de Domar.
PR)
Douanör, A, 0. dompteuz : qui dempie:
fr Domanöna, s. f. Yaction de dompter.
Douir, 9. a. dompter, assujettir, apprivel-
ses, priver un animal. —, subjuguer, valncre.
(ig.) — ‚ reprimer (les passions, etc.).
Domävsı, adj. 2 gen. domptabie : qui peut
ötre domptö, adouci , assujeWi.
Dosszsticino, A, P. p. de Domssikcar. adj.
Apprivoise, domestique.
Domssticanor. V. .
DONMBSTIcAMENTE , adv. domestiquement, fa
miliörement. '
DoOMESTICÄR , v. a. apprivoiser, rendre doux,
traitable , familier, domestigue. (#g.) Giriliser.
ll est aussi reciproqgue.
DoussticäveL , adj. 2 gen. qu’an peat appri-
voiser ; domptable.
Dowssricipäpe , s. f. domesticitö : dat op-
pose A l’ötat de nature, parlant des anfmaut;
famtliarite ; &tat de domestiqu®.
Don&stico , a, adj. domestique : Intestin , de
la maison, qui appartient & la maison ; de l’in-
törieur, de ta famille, de chez sei; appri-
vois6 (animal). Guerra —a, guerre civile.
—s,s. pl. domestiques : serviteurs,, servanles.
* Douestiquez , adj. 2 gen. V. Domestico.
Doussriqußza, s. f. douceur : apprivoise-
ment d’un animal; intimite,, famiftarite.
+ Douicıa, adj. f. Lei — ‚(1.d’ant.) domilie :
loi romaine conförent au peuple l’&lection des
prötres, mieax loi Domitia.
DomscıLıino, A, adj. domicilig : qui est 6ta-
bif,, ixd dans un domicile. p. p. de
Domicızıär, ©. a. faire prendre domicile &
queiqu’un.
DosmcıLiäs-se, do. r. se domfecilier : s’habl-
tuer, se fixer dans un domicile.
Domicıuıinto, s. m. domiclli& : habitant
d’une ville , etc. adf. Domiciliaire: da domicile.
DomiciLıo, s. m. domicile, habiüilion,, mal-
son ; demeure ordinaire; logis; habltation ;
residence.
° Döuına. V. Dona, Senhora.
Dominacäiö, s. f. domination ; puissance,
empire, autorit& supreme ; ascendant. Domi-
nacdes , pl. dominations : un des ordres de la
biörarchie des angen. .
Dowınino, A, 9. p. de Dominer.
Dowimanön, A,cej. et 5. dominaleur : al
domine, qui a ja souverainets; mallse, 26-
gueur. *
Bouininsz, adj. 2 gen. dominant: qui do-
mine, qui est au-dessus; de qui un awire re-
löve; qui est en vogue. On ie dis en asizelogie
de l’astre qui demihe, qui est ie plus fort dans
un horoscope. s. 2 gen. Dominateur, mwaltre,
seigneur. s. f. (L de mus.) Dominanie: mole
quifait la quinte au-dessus de la fondementale
ou tonique.
Dosinär, v. a. dominer, commander ; avoir
autoril&, pouvoir absolu sur; @tre plus haut,
au-dessus de; tenir en sujetion ;, maltriser,
subjuguer. Acidedella dominaacidade, la cila-
delle commande la ville,
‚
164 DON
Domnar (em, sobre), v. n. dammer sur;
paralire , se faire sentir par-dessus tout, se dit
des couleurs, des saveurs, des odeurs ; (fg.)
des senliments , des idees ; agir plus pulssam-
ment.
Dousmän-sE (de), v. r. (inus.) V. Apossar-
se, Assenhorear-80.
+Dowmarivo, 4, ad). qui domine, qui exerce
domination.
Douinca, s. f. "dimanche de !’Avent, du
Careıme, etc.
Dowinco, s. m. dimanche : premier jour de
la semaine, consacr6ö a Dieu. — da Santissima
Trindade , dimanche de la Trinitse. — de Ld-
zaro „ dimanche de la Passion. — do Kspirilo
Santo, dimanche de la Pentecöte. —de Pas-
choa,, jour de Päques. — de Ramos, dimanche
des Rameaux.
+ Domincos ( $do), s. m. (1. de geog.) Saint-
Domingue : Ile de l’Amerique; ville de ceite
lle.
Doxıncufıro, A, adj. ( fam.) qui appartient
au diımanche, ou qu’on ne porte que le diman-
che. Vestido, fdlo —, habit des dimanches.
DouinıcäiL, adj. 2 gen. dominical : du Sei-
gneur, du dimanche, jour du Seigneur; qui
ımargue lo dimanche (lettre). Oragdo —, orai-
son dominicale, le Pater.
Dosmunıcäino, A, adj. et s. dominicain, de
l’ordre de Saint-Dominique.
Dominıco, A, adj. qui apparlient au Sei-
gneur.
Douınico , adj. et s. m. dominicain , de l’or-
dre de Saint-Dominique (religieux , chant,
ete.).
Douinıo, s. m. ° dominalion, empire, puis-
sance, autoritd ; joug, commandement. Do-
ıwaine : biens-fonds, terre, heritage; patri-
ınoine royal. — absoluto, dowmination, autorite
absolue. —directo , domaine direct : celui dont
jouit le seigneur d’une terre sur les fonds qui
en rel&vent. — witl, domaine utile : possession
reelle, propriöte effective d’un heritage.
Douınıöso. V. Imperioso, Allivo.
+Douınd, s. m. domino : habit de bal pour
se masquer ; sorte de jeu avec des des plals.
D6mo, s. m. "&glise cathedrale.
* Domoca. V. Semans,
Dona, 3. f. maltresse, dame. V. Senkora.
Leligieuse , chanoinesse. * Titre honorifique
ıles femmes en Portugal. Duegne : dans les
«randes maisons, veuve d’un certain äge char-
„8 de la conduite des jeunos servanies; et
«uelquefois aussi de celle d’une Jeune per-
‚anne. — de honor, dame d’honneur chez la
reine, etc.
TDonicu,s. f. (t. d’hist. nat.) donacie: c0-
!3optöre des roseaux.
Donapio. V. Donalivo.
Donätae, 8. m. " genlillesse, gräce, agre-
ment dans ce qu’on dit ou dans ce qu’on fait.
“um mot, reparlie fine, mot plaisant, saillie
agreable. ds. Anrien panier (de fernme).
DOR
Donamein, 9. m. plaisanter, badiner avee
esprit. 9. us.
+ Donamösautnte , ado. agreablement,
plaisamment, avoc gräce.
Dowamöso, A, adj. facklieux, plaisant,
agrgable,, aimable, qui a de la gräce.
Donänıo. V. Donamre.
DonaTäRıo, A, s. donalaire : A quion a fait
une donation. Donateur.
Donastismo, s. m. donstisme : hördsie de
Donat.
Donaristas, s. m. pl. donatistes : sectaleurs
de Donat, heretiques du quatrieme sıöcle.
Donarivo, s. m. donatif : offre, den gratait
fait au roi pour les besoins de l’ötat, ete. (1.
d’ant.) —, don que !’on faisait aux troupes ro-
maines,
Donito, s. m. servant d’un couvent, dont il
porte le costume, mais qui n’est pas prols.
D’onde, V. Onde (de).
Donpo, A. V. Gasto, Safado.
Döninna,s. f.(t. d’kist. nat.) beieite : petit
quadrupede sauvage et carnassier, long, TouX,
& museau pointu, tr&s-agile, tres-vif: il vit d’oi-
seauxetdevolaille. — fedorenia, * pulois: qu*
drupe&de puant.
Döno,s. m. malire, seigneur, proprietaite;
possesseur. Il se dit aussi des femmes.
DonösamEntek, adv. poliment, agr&ablement,
plaisamment,, avec gräce. .
Donöso, a, adj. agreable, poli, galant, &-
joud, charmant, gracieux, gentil, Joli.
Donsinno , s. m. dim. de Dom.
DonzE£L, s. m. nom qu’on donnait aux page
du roi. Damoiseau : gentilhomme qui n’a p3
encore öt4 regu chevalier. Jeune noble. Puceau,
vierge : gargon qui n’a jamais cannu de femme.
adj. Doux, docile; pur, naturel, parlant du
vin.
Donz£ıra, s. f. vierge, pucelle : fille gui 4
vecu dans une conlinence parfaite ; jeune Alle.
Suivante : femme de chambre. — d’koner. \.
Acafala. Fille nubile. Demoiselle : Alle honnel®-
(ig.) Petit meuble pour ınettre une lampe, U
quinquet. Table de nuit.
+ Donzeııtra, s. f. (fam.) donzelle : file,
femme d’etat mediocre et de maurs suspecih
DoNzELLIcE, 8. f. * etat de virginits ; tout le
temps qu’une Sille la conserre.
DONZELLIiNHA, 8. f. dim. de Donzella.
+ Donzeiöna, s. [. aug. de Donzella. (far)
Fille d’un certain Age.
*Doo. V. De.
*Doon, etc. V. Dör.
°Doos. V. Deos.
+ Doro, s. m. (1. d’Asie) sejour, demeurt.
Dör, s. f. douleur, souffrance : mal, peiß®
de corps ou d’esprit. Regret, repentif: — for u
de barriga, tranchees : dechirement d’en-
trailles. — agüda , (fig.) dechirement de c@uf.
Estar alormentado de —, eire en proie & sa dot
leur. Com pena e —, amörement, douloureu”
sement. Dores de parto , doulrurs d’enfanie-
ment, mal d’enfantement. Bstar com —, 4°
DOR
en trarail , sur le point d’accoucher. Tomar as
— poralguem, ( fig. fam.) avoir de la peine &
eause da mal d’autrui.
"Dorino, A, adj. quia de la douleur; ma-
lade.
+Dörıa , 8. f. (4. de bot.) dorie ; cineraire du
cap de Bonne-Esperance.
Dörico, A, adj. Dorien : de la Doride, des
Doriens. ( 4. d’arch.) Dorique : le deuxieme des
eing ordres d’architecture.
Donivam&nTe „ adv. douloureusement, avec
douleur.
+Dörınes, s. f. pl. (1. d’hist. nat.) * doris:
mollusques nus.
Dorino, A, adj. douloureux, endolori. Ge-
missant, plaintif. Emu, compatissant. (A9.)
Triste , afilig6.
Döro,a, adj. Dorien : de la Doride. —,
dialecte grec.
Doris, #. f. V. Dorides. — de muiitos olhos,
Pargus.
Doautnte, adj. 2 gen. dormant, quı dort.
p.a. de Dormir. Endormi; engourdi. (lg.)—,
qui ne enule pas, parlant de l’eau, etc. (id.)
Fire,non ınobile, qui nu se l&ve pas (pont,
eie.\. Ter um pe —, avoir un pied endormi.
Folkas —, (1. de bot.) feuilles dormantes,
fermees a cause du sommeil.
Dorsu£nte, s. m. dormant. (f. d’arch.) —, par-
tie de ınenuiserie non mobile. Os selle —s, les
sept dermants, ınartyrs de la foi musulınane.
DoruExtes, s. m. pl. (. de mar.) * bauquie-
tes : bordage de tribord A babord,, ow levres de
baux sur lesquelles portent les baux.
"rboruiö, s. [. dormition : action de dor-
mr,
Doauina, s. f. * somme : espace de temps
pendant lequel on dort. * Engourdissement des
versäsoie. ” Repaire, gite : lieu oü les betes
saurages passent habituellement la nuit.
Dorumeınas, s. f. pl. (t. de bot.)" pavot des
jardins : plante dont la löte ou Capsule est as-
soupissante.
Doamido, A, P. p. de Dormir.
Doauımoıne, 3. m. V. Dormitörio. Lieu oü le
b:.ail passe la nuit. .
IMEMIDOR, A, 5. dormeur: qui aime & dormir.
"+ Dorwmöna, s. f. l’action de dormir.
tDonufLiö, s. m. et adj. grand dormeur.
"t.d’kist. nat.) Dormilon : singe du Mexique.
Doauınuöco, A, adj. ( fam.) dormeur : ınar-
ınolle, qui aime & dormir.
Dormıure, adj. 2 gen. p. us. dormant, qui
inrt,
Dormin, v. ». dormir : reposer; &tre dans le
"nmeil. (Ag.) S’endormir, dormir : agir negli-
remment. (id.) Se calmer, s’apaiser. —, Cou-
rt, passer la nuit, giter. — mal ou ndo —
bsea,mal dormir : dormir a bälons rompus.
—-@ relento, dormir sur le yazon, a la belle
e:oıle. — de perna eslendida, (fam.‘ dormir
“uns souei, sur l'une et l’autro oreälle. — como
fedre em pogo, dormir comıne ıume pierre,
Fommr un sabot, d'un sommeil profond. —com
PURT.-FR.
DOT 165
:os olkos aberlos,, dormir en lievre , dormir les
yeux ouverts, d’un sommeil löger. — a somno
solto , dormir d’un profond sommeil. — em o
senhor ou com sous pais, mourir.— sobre Ocase,
prendre du temps pour penser ä une affaire,
dormir dessus. —em pd, dormir tout debout,
etre accable par le sommeil. — socegädamente,
dormir d’un bon somme, d’en sonımeil tran-
quille. —com alguem , coucher avec quelqu’un.
Näo—, (ig.) ötrealerte, vigilant; veiller sur ses
interöts, ötre actif, soigneux. — sodre seguro,
se croire en parfaite sürele. — föra de casa ou
ndo — na sua eama,, d&coucher. — no chäo ou
sobre a lerra dura, Coucher sur la dure. Quem
muwilo dorme pouco aprende, (prov.) qui dort
longtemps ne sera jamais savant.
Doruirn, v. a. dormir, jouir du sommeil. —
um bom somno, dormir un bon somme, long-
temps de suite. — a sesıfa, faire la sieste, la
meridienne : dormir apres le diner. — a ma-
nhö na cama, dormir la grasse malinde. — 0
somno do peccado,, da culpa, (fig.) &tre plonge
dans le peche.
DoruMıTÄn0o, A, 2.9.de
Dormitir, v. n. sommeiller : dormir d’un
sommeil leger et imparfait, dormir a demi.
Dorxitivo, s. et adj. dormitif : qui fait dor-
mir (remede).
DORNMITÜURIO, 8. m. dortoir: galerie od sont
les cellules des religieux ou religieuses ; grande
salle oü l’on couche.
DöRNA , s. f. cuve de vendange.
Donntıra. V. Moenda.
Dorönıco,, s. m. (4. de bo$.) doronic, —nice,
planio corymbifere.
* DorösSAMENTE.
. Donöso, A, adj. V, Doloros...
DorsiL, adj. 2 gen. (1. d’anat.) dorsal: qui
apparlient au dos.
Dors£L, s. m. dossier de chaise.
+ Donsirgro, A, adj. (8. de bot.) dorsiföre :
qui porte sa fructificalion sur le dos de sa
fenille.
Dörso, 8. m. dos: toute la partie posterieure
et superieure du corps, du cou, des &paules
aux reins.
Dos pour De os. V. De et Do.
Dösr ow Dosis, s. f. dose: mesure de dro-
gues; prise d’une drogue; quantile en general.
Doracäö, s. f. dotation : action de doter;
fonds pour doter un e&tablissement.
DoTAno, A, p.p. de Dotar. —- (de), adj. dote,
doue. Ayantage. — de razäo, raisormable , doue
de raison.
Dotaoor, A, s. celui qui dote; qui fournit
‚ une dot, etc.
Dortäı., adj. 2 gen. dotal:: de la dot.
DOTAMENTO. V. Dolacdo et Dote.
DoTäin, o. a. doter : donner, ctablir une dot;
assigner un revenu, un douaire ä sa femme.
(fg.) Douer, avantager, pourvoir, orner, par-
lant des dons, des gräces qu’on regoit du ciel,
de la nature.
Dörte, s. m. "dot: bien apporis par la ferame
w
166 BOR
en mariage, ou par une religieuga au rauyent;
douaire. Chacune des quatre qualit6g des corps
glorieux. Don de la nature, ayantage naturel.
* Douc#eLo. V. Dochelo.
DotpAwente, adv. en fou, en insense.
Douoarräö, 5. m. aug. de Doudo. (fam.)
Ecervel&, exiravagant.
Dotpesäno,A,P9.p. de
Dovupesir, 9. w. extravaguyer, faire le fou;
badiner, faire des folies.
Doup&so, s. m. V. Doudice.
Douptrg, s. m. dim. de Doudo. Un pau fou.
Doupice, 8. f. folie, demence; enlantillage,
sollise, coup de tEte.
Dovnixuo, A,adj. dim. de Doudo. Täle 1&-
göre, petit fou, petite folle.
Doupissımo, 4, adj. sup. de Dowdo.
Doupivängs. V. Doudarrdö.
Dövpo,A,adj. fou ; aliene; folätre, tr&s-gai,
qui fait rire par ses folies. — varrido, fou
pomme. — furioso , epimane, fpu furieux.
Douripa ‚a. f. (1. d’hist. nal.) dorade : pois-
son du genre du spare.
DouraninHa, 8. f. (8. de bot.) doradilie ou
doradilla: plante de la famille des fougeres,
ceterac.
Dovsipo, A, 9. p. de Dowrar. adj. Dort.
As —as messes,, les &pis jaunissants.
—s , läge d’or.
Dovuaäpo, 4. m. V. Dourade. * Dorure : l’or
applique. V. Douradura.
* Dourapdına, A. Y. Duradaura.
DourADöR, s. m. doreur: ouvpier qui dage
tes melauz, Olc.
"Douranöka, s. f. dorure: or mince appliqgue
“ur tn ouvrage; couleur qui l’imite ; Jaune sur
ia pätisserie.
Dounaueatp, a. w. Paction de dorer; da-
rure (anf.).
Dovrir,v. @. dorer : enduire, couvrir d’or
ow de jaune; (Ag.) pallier, cauvrir, deguiser,
colorer les defauts. —, eclairer de ges rayons,
la cime des montagnes, etc., en parlant du so-
leil; (Ag-) illustrer, brillanter, donner de P’e-
clat. — a pilula, dorer la pilule; ( Sg.) adoucir
par des apparences specieuses, l’amerlu:ne
d’une disgräce; rendre, par de belles parules,
de beiles esperances, un refus moing desagrea-
ble.
Doöus, Dias, adj. pl. num. deux: un plus
un; nombre cardinal, double de l’unite. s. m.
Le chiffre (2) deux ; carte & jouer. — a —, deux
&a deux: contre deux. Com duas mdos, aA deux
mains. A’s duas por ir6s, sans Crainte, sans
rellexion, inconsiderement.
Doutamente , adv. doctement, savamment.
Dourissıno, a ‚adj. sup. de Doutlo.
D’ovtiva, (loc. fam.) par information; im-
parfaitement. V. Ouliva.
DouUTIivaMENTE. V. D’ouliva.
Dovro, Aa, adj. docte, savant.
Doutor ,s. m. docteur : promu au doctarat;
bomme docte, savant, habile en quelque chose
que ce soil; ( fam.) qui fait le savanı, ’babile;
204
me patyenu au plas haut degree d’pno
Be d'une facylte; litre de quelques BAR
qui ont ecrit sur la religion ; litre qu’on donne
ardipairoment aux medecins, m&me non gra-
ues.
Dovrörs ‚3. [. femme de medecip. (Ag. fen.)
Pimbeche : femme precieuse et impertinenie.
DouToräne, A, 9. p. de Doutprar.s. m. Dac-
torat:: degre, qualile de doctgur.
DoctoräL, adj. 2 gen. dactpral : du dacleur,
qui lui apparlient. @onego — ou — (s), chı-
noine docteur en droit canon. u
Docrorir, s. m. siäge &leye, & Unpirersilö
de Coimbre, pour les docteurs. g. f * Fanonica,
des eglises cathedrales de Portugal ei d’Esps-
gne, qui ne paul &ire ppssede que par un dac-
teur en droit canon.
DourogapKyra, a. m. täreptinp da docieur.
DouToRÄNDO, 5. m. celui «ui est & a vaille
d’ALre ragu dactayr.
Dovrorir, v. a. donner le grade, le honnet
de docteur.
DotroRrÄn-s5, 0. r. reggroir le grade, le ban-
net de dopteur, #tre regu docieur. "
Dusrrixa, a. f. doctrine, savoit, eruditiop;
insiruction, enseignement;; maxime ; principt$;
senliments. ° Discours familier, instruction sur
les principaux articles de la religion. — chris,
docirine chretienne : ce qu’un chretien doit 5t-
voir,croire et pratiquer. Fazer — 005 menın0h
faire le calechisme aux enlants. — comMND,
correntie, doctrine, senliment commun des av-
teurs qui ont ecril sur une ınatiere.
Douraınäno, A,?. p. de Dowirinar.
Douraınapär, 4, 5. colui qui enseigne.
DourrinäL, adj. 2 gen. qui appartient d
doctrine ou & l’instrugtian. Docirinal : se Sl
des aris des docteurg en matiere de docistnt,
de dogma ou de maurs.
DoutaisäL, s. m. livre qui oontient la das“
trine chretienne.
+ Dovrawannkurs, edv. selon la dom;
par le moyen de la doctrine.
DooraınÄäntz , adj. 2 gen. qui enseigne, Mil“
tout la dactrine ohrölienne. p. e. de j
Dourrınär, v. 6. enseigner, endoosriner, IN
struire. — oaonlios, Aresser des chevauı.
+ Dopramänıo, s. m. doctrinaire : partisal
de’ ih6ories politiques, abstraites ei modere-
trices.
Doutaınävau, adj. 2 gen. qui peut dire ©“
doctrine; docile.
Doutaintıao, s. m. oatö&chiste : colui 48!
explique la doctrine chretienne (ar!.).
* Douszıo. V. Dochsio.
* Dövına. V. Duvida.
+ Dövazs, s. f. (6. de gdog.) Douvres, Dorf:
ville maritime d’Angleterre. oo
+ DoxoLocia, s. f. (t. de lit.) dexologie :
dernier verset d’une hyrane; hymne en l’hou-
neur de la Trinits.
* Dozaao. V. Dozave.
Dozivo, s. m. la douziöme partie d’an tül.
Duodeeime,
DRA
Dire, adj. 2 gen.wum. card. douze : nomhre
de deus fois six.
Doztso, a, adj. V. Duodecimo. Pano —,
»ırie de drap dont la chalne est de douze cents
Dls. "
tDaina,s. f- (6. de bot.) drave : plante cru-
cifere.
Dricama , 3. f. drachme : ancienne monnale
grecque et Fomaine. — ou gros, huilidme partie
u» !once.
tDraconicena, ady. f. (A cidade —, . de
p»/s.) qui est n&e d’un dragon, en parlant de
Tbebes, ville de la Gräce.
+Daacöntico, A, adj. du dragon. Mes —,
"1. dastr.) mois dracontique : temps que la
June emploie & aller de son naud ascendant au
meine point du ciel.
+ Daacdmcu1.o, 8. m. (6. de bof.) gauel ser-
peutaire, la grande serpentsire. — horlense.
V. Estragdo. — dos prädos. V. Espirradeira.
(l. d’hist. nat.) Dracuncule, draganneau ou
erinon : petit ver sous la peau.
Daaca6, 8. m. dragon : monstre fabuleux, &
ailes, 3 griffes et queue de serpent; ( ig.) per-
sonne d’humeur fächeuse et-acariätre ; tache
dans la prunelle, dans le diamant; constella-
ton N.de ı3, de 31, de 32 ou de 49 etoiles;
constellation du Serpent; soldat qui combat
tantöt & pied tantöt d cheval; serpent. — in-
fernal , dragon infernal, le demon. — alado ou
lagarto volanie,, dragon, lezard volant, qui a
des especes d’ailes, aux Indes. — marino, dra-
gon de mer, ou vive, poisson du genre du tra-
chine. Sengue de —, V. Drago.
Drico, s. m. V. Dragdö. Sangue de —, sang
de dragon : liqueur ou substance resineuse du
dragonier.
Dascöa, s. f. dragon femelle (p. us.).
Daacokına , s. f. (6. de bot.) * dragonier : ar-
bre des Canaries, des Indes,, qui donue le sang
de dragon. —- bastarda, dragonier plerocarpe.
-morinha da India. V. Dragdo marino.
DracosıRo 0% DracoxEıro, (t. de bei.) V.
Dragoeira.
Daacouixo , 3. m. drogınan : interprele dans
les Echelles du Levant.
Dracona, s. f. epauletie : parlic du costuime
d’un militaire, qui sort a designer le grade, etc.
TDraconirıo,s. m. (4. dhisl. une.) drayo-
naire : soldat romain qui porlait une figure de
dragon pour enseigne.
Drucongts, s.m. (4. de dlas.) "t&le de dra-
gon ou de serpent.
Daucosisrico. V. Draconkico.
+ Daacosite, 8. f. (1. d’hist. nal.) draconite :
suhstance que l’on pretendait exister dans la
Wie du serpent; ımadrepore petrilie.
DascösteaA,s. f. V. Dryöphono.
DracoxTixo, A, ad. do dragon, qui appar-
lient au dragon.
Drisı,s. m. drame: po&me destiug au Ih6d-
tre, representant une action oomique ou IFa-
Bun,
Dusaspeina, s, f. * ecbantillon de balles.
DUA 467
DramÄTrIcamente, adv. dramatiquemamt :
d’une maniere dramatiquo ; en drame.
DRANATICO, A, adj. dramatique:: fait pour le
theätre (ouvrage); dans lequel l’auteur fait
parler les personnages du drame (style),
DRANMATURGO, 8. m. dramalurge: auleyr de
drames.
Daristico, A, adj. (f. de med.) drastique :
purgatil (remdde), actil et violent. j
D’rgro, abr. de Direito.
Drıanss. V. Dryadas.
Driga , 8. f. (1. de mar.) drisse : cordage paur
bisser. — da rabeca, drisse de la voile dötgi
d’artimon.
+ Drıvo,s. m. (ti. dal. nal) Arile: calka-
plere, melyride.
+ Daisıa, s. f. (t. de dot.) deimie : plante
liliac6e du cap de Bonne-Esperance.
Dröca ‚3. f. drogue : toule espece d’epirerie,
surtout des ingredients qu’on emploie en ınede-
cine ou en teinturerie. (ig.) Chose mauvaise;
de rebut. Dar em —, (fam.) perdre sa r£pula-
tion & cause de mauvaise conduite. —4, V. Dru-
queles.
Drocania, s.f. droguerie, taute ggrie Je dra-
gues.
Drocman. V. Dragomano.
DrocuEre, 8. m. droguet: espäce d'clalfe de
laine.
Daocuista, s. m. droguiste: qui vopd des
drogues , marchand de cauleurs.
DROouEDÄBIO, 2. m. dromadaire : espfce de
chameau Irds-leger.
+Daönco, s.m.(1.d’kıst. al.) drouga : gobe-
mouche de Madagascar.
Dr’ro, Dr’eto, Drrrto, adr. de Direito.
* Daoxte. V. Dod3.
* Drvoärıa, s. f. V. Adulldrio.
*Nrüno. V.Amazio, Adultero.
Datioa, s. m. Jruide : prötre gaylois.
+ Druidıco,, A , adj. druidique : des druides.
+ Davinısmo, s. m. dryylisie : dogtrige des
druides.
+ Dauioiza, 3 f. druidesse ; femmg de
druide, prophetesse.
DaveaA, s. f. (. de &o8.) deupe og draupe:
p6ricarpe charnu ou corigce d’uy nayay; fruit
simple renfermant ın seul noyau.
Drupiceo, A, adj. (t. de bot.) drupace: &
Boyau ei couvert d’une pulge gharzaue ei suc-
culente (fruit).
Darv’avas, 3. f. pl. (t.de myih,) dryades s
uyıyphes errantes des bois.
Drvas. V. Dryadas.
$ Daröruono ou DRYORRANG, & m. (f. de
bot.) gale odorant, piment royal, myrie b4-
tard des pays froids.
° Do. V. Duque,, General.
°D’6. V. D’ionde.
DöA. V. Adua.
Dusctuan, ed). A gen. de Douxi, ville de
Flandre. " ,
DuiL, adj. 2 gen. (£ de gram.) duel: qui
sert A dösigner deux @tres.
168 DUl
+ Duarivipe, 8. f. dualite: qualit6 de ce qui
est double, de ce qui reunit deux £Etres dis-
lincts,.
DoaLismo, s. m. dualisme, manicheisme:
systöme des philosophes qui admettent deux
esprits.
DuaLista, s. m. dualiste : parlisan du dua-
lisme.
Dun, s. m. duan : po&me des bardes,
d’Ossian, etc.
Döas, adj. f. de Dous.
* DusanoR. V. Concertador.
Dosiamente, adv. d’une maniere douteuse,
incertaine.
f Dusiedape, s. f.* doute, incertitude.
Disı0, A , adj. douteux , incerlain.
+ Dusıtacäd, 8. f. (1. de rkhdt.) dubitation:
doute feint de l’orateur pour prevenir les ob-
jrctions ; Ägure de rhetorique.
+ Dupttativam£xtE, adv. dubitativement:
avec doute.
Dusıtarivo, A, adj. dubitatif : qui sert &
exprimer le doute; qui marque la suspension,,
le doute.
+ DusıtäveL, adj.2 gen. de qui on peut dou-
ter; douteux, incertain.
° DisLo. V. Dobro.
-*Dusrar, etc. V. Dobrar, etc.
Ducapo, 3. m. duche : terre, Litre d’un duc,
ducat; monnaie d’or ou d’argent dont la valeur
varie suivant les pays. _
DuciL, adj. 2 gen. ducal : qui appartient au
duc, & la duchesse.
Ducarid, s.m. aug. de Ducado. Monnaie;
ancienne monnaie portugaise de 30 et 40,000
reis.
Ducarßııa, s. f. ducatelle : monnaie d’A-
lexandrie, 10 medines.
Ducid, s. m. (6. d’Asie) maison de campagne.
DöcrıL, adj. 2 gen. ductile : (metal) mallea-
ble, qui peuts’ötendre sous le marleau.’
DocriLipäne, 3. f. ductilits : qualite, 6tat de
ce qui est ductile.
Döcro, s. m. conduit, canal. Coup d’encen-
soir. -
+ Ducron, s. m. (f. de chir.) conducteur::
outil de ehirurgien pour la taille. Guide, con-
Jucteur. 9.8.
Duepdznirıo. V. Duodenario.
DusıLista, s. m. duelliste : coupabie de
duel; qui aime & se battre en duel; ferrailleur.
DukıLo, s. m. duel : combat singulier. (aw#.)
V. Pundonor. Fazer — d’alguma cousa, se
ressentir, se plaindre d’une injure.
Duinoe, s. m. esprit follet, d&mon familier,
Iutin, farfadet.
* Duo. V. Duello.
Dueano, s.m.(t. d’impr.) deux feuilles de
papier imprimees, mises l’une dans l’autre.
Du£ro, s. m. (l. de mus.) duo, duelto : mor-
ceau de musique pour deux voix, deux instru-
ments,
tDumäoe,s. f.p. us. sociöte de deux per-
sonnes.
DUP
DöLca. V. Düvida.
DuLcaına. V. Dopaina.
*Dercıäid. V. Dopura.
Durcıricacaö, s. m. duleitication : aclon
d’adoucir, de dulcifier Yacide.
DoLcırıcino, A, p. p. de Dulcificar.
Doxcıricinte, adj. 2 gen. dulcilcatil: qui
adoucit. p. a. de
Durcıricir, d. a. dulcißer, edulcorer. Adou-
cir, rendre doux.
+ DuLciLogco, A, adj. (t. de pods.) quiparle
avec doucear.
+ DuLcisono, A, adj. (t. de pods.) quiaun
son doux , agre&able.
Dri.cissıwo, A, adj. sup. de Döce.
Durcör. V. Dogura, Mimo.
Duia, s. f. Culto de —, (t. de thdol.) dulie:
culte qu’on rend aux saints, aux ange$.
+ Duocaacia, #. f. ” gouvernement d’e-
claves.
* Durt£rto. V. Adulterio.
* Dim. V. Dom. it. pour D’um.
Dünas, s. f. pl. dunes:collines sablonneuses
le long de la mer.
°*Duno, a.V. Dom, Dona. it. pour Dun,
D’uma.
+ Dunxqu£fraue, s. m. (4. de geog.) Dunker-
que : ville de France.
Dvo.V. Dueto. A— , & deux vois.
Duopscicono. V. Dodecdgono.
Duop&cımo, A, adj. num. ord. douzieme:
nombre ordinal; douze. Leio, Carlos —, on,
Charles Xli. Zm — lugar, douzi&mement.
Dvop£cupLo, A, adj. «ui ent le double de
douze. .
DuopeniL, adj. 2gen. (1. d’anat.) duodenal:
du duodenum.
Duopenärıo, A, adj. V. Dozinso.
Duopeno, adj. V. Duodecimo et Duodensl.
s.m. (1. d’anat.) Duodenum : le premier des
intestins gr&les, long de douze travers de doigl.
Durex, adj. 2 gen. double. Dia —, jour de
föte, de gala.
DurLicagäö, 8. f. duplication : aclion de
doubler une quantits owde la multiplier par?
($. danat.) Duplicature : parties repliees, do®-
bles.
DurLicipam£nte , adv. doublement, au det
ble; de deux maniedros.
DupLicioo, A,p.p. de
Dupuicir, ®v. a. doubler, redodbler, &u$-
menter au double, meitre le double. Dire eu
faire deux fois, repeter.
Düruice, adj. 2 gen. double. Feste —, lie
double, dont l’office est plus solennel que dans
les autres. Convenfo —, en donnait autrelois'
ce nom aux monasieres conmıposes de deal
corps de bätimenis, l’un pour les religieut,
P’autre pour les religieuses.
Dupuicınäpe, s. f. duplicits. V. Dobres et
scagdo
Dörto,a, adj. double : qui pöse, vaul, cot
tient deux [ois. s. m. Lo double : une fois au-
tant.
DUV
Degus, 5. m. duc : premiere dignite de la no-
biesse. (ant.) Che[, general d’armee.
Drgitza, s. f. duchesse : feınme d’un due;
fenme qui possede un duche. Sorte d’etolle de
laine.
DiucszixnHo , s. m. dim.de Duque.
Dusı,s. f. duree,, longueur de leınps.
Draagiö, s. [. duree : espace de teinps que
dare une chose. Tenue : duree d’une assen-
blee. De powca — , court, de peu de duree.
Draico. V. Durazio.
Draanövao, A, adj. Jurable :
duree.
Dias-miren, s. f. (b. d’anat.\ dure-möre:
membrane exlerieure , epaisse et dure, qui en-
veloppe le cerveau.
Drasnänıg, adv. durement;; d’une maniere
dure; avec dureie , rudesse.
Draiyıe, s. m. ° calmande : ötoffe de laine
lastree.
Diräsıe,, pren. durant, pendantı.
Drair, 0. a. durer, subsister. Deimeurer,
rester. (ant,) S’etendre , se prolonger. Como te
tures, duras, comme on fait son lit, on se
touche,
Draivat, adj. 2 gen. darable : qui doit ow
peut durer longtemps.
Drasz ,odj. 2 gen. dur et ferme, parlant
Drrizio, A, adj. } du bie ‚des fruits; qui
west plus jeune. Pcego —, duracine : cspece
de peche ä chair ferme.
Denkıro, A, adj. constipe, dur.
Diriza, s. f. durete, fermete, solidite. (fig.)
Fermete, perseverance, obstinalion. —, ru-
desse; insensibilite , endurcisserment. Resis-
lance. —do venire, conslipalion, dureie Ju
ventre. —s, pl. duretes; lumeurs, callosites.
Diniäö, 5. m. sorte de fruit d’Asie, qui res-
sembie auı arlichauls.
fDramina ‚s. f. (6. burl.) V. Espada.
Dixissuo, A, adj. sup. de
Diro, a,adj. dur, ferıne, solide; qui ade
la consistance ; fäacheux, difficile & supporler;
rude ,severe, cruel. Obstine, enlete. —, rude,
difficiie, penible. P&so —, ou Duro, (s.) pias-
ke: monnaie d’Espagne qui vaut eiıviron 5 fr.
"Dissia. V. Ussia.
tDitko ow Dütuno, s. m. dutroa : plante
gui melee dans le vin, cause une joie insensce
ei loubli.
Dremvirät, adj. 2 gen. duumviral : des
duumrirs.
Dirmviräro, 3. m. duumvirat : qualite,
charge de duumvir, sa duree.
Driuvixo, 5. m. duumvir : magistrat, juge
eriminelä Rome.
Deviva, s. f. *doute, incertitude; dificulte
.
pfoposce sur une matiere. Irrersolution. Zstar
en —, &ire en doute, douter. Estar uma cousa
em —, eire douteux, incertain. Pör —, oppo-
ser un doute, une dificulte. Pör em — , mettre
DYS A468
sssur&ment. Ponko-Ihe — , j'en doute. Ter —:
com alguem , avoir des querelles avoo quel-
qwWun.
Duvioipo, A, p. p. de Duvidar. adj. Dont or
doute. ‘
f Duvimanor, s. m. douteur, qui doute.
Duvıpan (de), o. ®». douter : etre incertain,
ötre en doute, irresolu. (ant.) Craindre. Ape-
nas se pöde —, on ne peut guere douter. Näc
ha que —,iln’y a point de doute, la chose est
corlaine. Ninguem duvidava, personne ne dou-
tait. Duoido d’isso, j’en doute. Ndo duvidemos.
il n’en faut pas douter.
Douvipösamentsg, adv. deuteusement : avı'ı
doute.
Duvıposo, a, adj. incertain , irresolu, ind« -
cis : qui doute. Douteux, incertain, probl:-
matıque , ambigu , dont on peut douter. Aind.
0 caso esid mwilo —, on n6 peut encore Comp-
ter sur rien.
Duzäd. V. Dozdvo.
Duz&ntos, as, adj. pl. num, deux cenis.
Dizıa, s. f. douzaine : nombre de douze.
Meia —, demi-douzaine. Cousa das —s, chose
commune, de peu de merite. A’s —s, par dou-
zaines; & la douzaine.
+ DvYnäuetRo, s. m. dynameätre : instrument
pour mesurer l’amplilication du telescope.
Dysäsıca, s. f. dynamigue : science des for-
ces «ui meuvent les corps; science du mouve-
ment des corps qui agissent les uns sur les au-
ires.
DYNAMÖMETRO, 8. m. dynamomiätre : ma-
chine pour comparer la force des hommes et
des betes de trait; pour mesurer la force des
moteurs, lels que la vapeur.
Dvnästa, s. m. dynasle : petit souverain de-
pendant d’un autre, dont le pouveir ötail pre-
caire, les elals peu elendus.
Dvnastia, s. [. dynastie : suite de rois, de
princes d’un pays; suite de souverains d’une
meme famille.
Dy’scoLo, A, adj. dyscole:: insociable; diffi-
cile ei dedaigneux; d’un commerce dange-
reux; (fg.) qui s’ccarte de l’opinion regue.
+ Drscnäsıa, s. f. (l. de med.) dyscrasie :
sante, conslilution nıauvaise.
+ Dysgcea, s. [.($. de med.) dysecee : de
rele de V’ouie.
Dysentenia, 8. f. (l. de med.) dyssenterie :
devoiement avec donleurs d’entrailles.
+ Disenterıco, A, adj. (l.de med.) dyssen-
terique : de la dyssentecrie.
+ DyseruLörico , a, adj. (4. de med.) dyse-
pulotique : qui ne se cicatrise pas (ulcere).
+ Drswenonenka, 8. f. (d. de med.) dysme-
| norrhee : &coulement diflicile des regles.
+ Drsöpıa, s. [. dysodie : puanteur, exbala-
| tion des matieres fetides du corps.
+ Dysörra, s. f. (l. de med.) dysopie : diffi-
ou revoquer en doute, Ficar em —, demcurer | culie de la vision.
’
dans le doute, rester douteux. Tirar, saır da
+ Dyrsorsxia, s. f. (l. de med.) dysorezie:
—, ürer, sortir de doute. Sem —, sans doute, | mauvais ou faible appctit , degoüt.
470 EBH
+ Drsosufa, 2. f. (1. de m2d.) Aysosihle : af:
faiblisserment, difficult& de P’odorat.
Dyspersia, s. f. (l. de med.) dyspepsie : di-
gestion taborieuse.
+ Dysrertico, A, adj. (1. de mdd.) quiala
dyspepsie (malade).
+ Drspenmartismo, ».m. (f. de med.) dysper-
matisme : impuissance par l’emission de la se-
mencd goalse & Koutte, os par sa privation.
ECH
Drernonia, V. Aphonia. -
+ Dysruricta , 8. f. (1. de med.) dysphragie:
difficulie d’avaler.
Drsenza, 8. f. (f. de med.) dyspnee : diffi-
cult& de respirer, respiration penible.
Dysörıa, s. f. (1. de med.) dysurie : difcults
d’uriner, douleur en urinant.
+ Drrisco, s. m. (#. d’hist. nat.) dytigue:
col&optere pentamtre, nectopode.
E.
E,s. m. cinquitme lettre de l’alphabet por-
tugais, et la seconde des voyelles; designe
VEst; cinquieme lettre dominicale; signifie 5
en typographie ; chez les Romains signiliail 250,
et chez les Grecs 5.
E, conj. ei. Mis au commencement de la
phrase, il sert de particule interrogalive pour
r6futer, repliquer. Ex.: E lu ndo fazes 0
mesmoP cl loi, ne fais-lu pas de mäme? Il sert
& ınarquer le peu Je cas qu’on fait, elc. Er.:
E que lemos nös com isso P eh bien! que nous
importe? ll sert aussi & donner plus de pojds,
plus de force & une reponse, etc. Ex.: Com-
meili algum erroP — E mui grande ; ai-jecom-
mis queique faute? — Oui, une tr&s-grande.
BE, prep. lat. qui entre dans la composition
de plusieurs meis, et exprime la separalion,
V’absencoe, la privation, Ex.: Enervar, enerver:
zondre faible, privor de la force.
Eı. V. Eie.
Esanista, 8. m. ebeniste: qui Iravaille en
öböne, en marqueterie, eic.
Esanızivo,A,p.Pp. de
+ Esanızäa, vo. a. öbener : donner au bois la
ecouleur d’öbene.
Enno, 5. m. (t. de bot.) ebene: bois noir,
trös-dur, tres-pesant; db@nier, arbre des Indes
qui donne l’öbene. — basiardo, aspalat & bois
noir, faux &benier d’Amerique.
Eszetan. V. Hebetar. .
tf Esionita , s. m. ebionite: sectaire d’Ebion,
beretique qui niait la divinit# de Jesus-Christ,
Enısco. V. Aybiseo.
At Erontnss, adj. 2 gen. naturel , häbitant
d’Evora, ville metropolitaine du Portural.
+ Esnıatıvo, A, adj. qui donne l’itresse, qui
rend ivre,
EsriEnine, 8. f. irresse. V. Embriaque:.
EBRir£stänte, adj. 2 gen. (8. de poes.) qui
folatre en s’enirrant.
fEprırestivo, a, adj. (f. de pods.) gai. [o-
lätre & cause d’avoir bu.
Ksnıo, A, afj. irre: qui a le corvoau troublö
par les fumdes du vin, etc. ; dont les nerfs sont
agites par le vin; (Ag.) qui a l’esprit troubl6
par la gleire, l'amour, etc.
Eanıöso, A, adj. ivrogne : sujet A l’ivro-
gnerie.
EurisaLrinte, ad. 2 gen. (1. de poes.) qui
s’enivre en saulant.
EavuLnigäd, s. f. ebullition : action de bouillir,
de fermenter. — de sangue, ebullition : maladie
qui cause sur la peau des &levures ou taches
rouges.
EnvLo, s. m. (}. de bot.) yeble, hitble, petit
sureau.
Esünneo, a, dj. d’ivoire; (flg.) blanc comme
de V’ivoire.
Eca, s. f. " c¬aphe : tombeau vide dress
(dans l’eglise) ä la m&moire d’un mort, de
quelqu’un dont on n’a pas l6 Corps ; sarcophage,
catälalque.
* Eccsıcid. V. Excepräo.
ECCENTRICIDÄDE , Bic. V. Excent..., etc.
+ Eccaruöse, s. f. (1. de mid.) ecchymose:
contusion legere, superlicielle, qui n’ollense
que la peau; Epanchement de sang que celle
lesion causc entre la chair et la peau.
Eccuesıastez, s. m. Ecclesiasie: un des livres
de l’ancien Testament.
ECCLESIASTICAMENTE , adv. ecclesiaslique-
ment: en ecclesiastique.
EccLEsIASTICO, A, adj. eccel&siaslique : qui
appartient & l’eglise, qui ysert; du clerge, de
leglise. s. m. Ecclesiastique : livre de l’ancien
Testament. it. V. Clerigo.
Ecco. V. Echo ou Eco.
+ Eccopnörtico, a, adj. (b. de med.) eccopro-
que: remede purgatif, doux ct laxatif.
Ec£terA, du latin ei c@lera, etc., etc., et
autres, et le reste.
° Ecnacörvos, s.m. V. Embusteiro , Impos-
tor. En Espagne on donne ce nom aux predica-
teur. de la bulle de la Cruciade.
* Ecnanıco, A, adj. apost& : envoye pour de-
couvrir quelque chose; espion, emissaire. Ü
est aussi substantif. Repandue avec art et en
secret ; conirefaite, supposee , apoeryphe,
feinte , en parlant d’une nouvelle, etc.
+ Ecuiona, s. f. (t.d’hist. nat.) *fourmilier
6pineux de la Nouvelle-Hollande.
+ Ecnino, s. m. (#. d’arch.) *&chine, ove:
moulure d’architecture dont le profil est taille
en quart de cercle.
+ Ecuınonkanss, s. m. pl. (8. d’hist, nat.)
€chinodermes ; oursins, asteries.
ECO
+ Emıxı'rmonra, s. f. (1. de bot.) * &chino-
phore, panais epineux; plante ombellifere &
fruits epineux.
+Ecmixöro, 5. m.(l. de bei.) echinope ou
bouletie, tete herissonnee.
+ ECBINOREYNCHO, 5. m. (1. d’hist. nat.) &chi-
norbynque: ver inlestinal.
+ Ecaınöso, a, adj. (i.de bot.) echine, heris-
sonne.
+ Ecaııe, s. m. (. de Bot.) ° chite: plante
. dAfrique, du genre des apocynees.
Ecuo, 3. m. Echo : redoublement et r&öpeöli-
tion du son; lieu ou il se fait; (fig.) celui qui
repete ce qu’un autre dil; ı l. de poes.) repeli-
tion des derniers mois ou des dernieres sylia-
bes. ( #. de mus.) —, röpetition du möme son;
jeu d’orgue. .
Ecao, s. f. (1. de myih.) Eoho:: fille de Yair ;
personnage fabuleux.
Ecgörco, A, ad. (4. de poce.) ll se dit des
vers & echos.
Ecuosetria, 3. f. echomelrie : arı de faire
des &chos Yans les edilices.
EcCHÖMETRO, s. m. echomätre : rögle ou
&chello pour mesurer la duree des sons, Con-
Bsitre leurs intervalles et leurs rapporis.
EcLx£ctico, A, adj, eolectique : ( philosophe )
celui qui, sans adopter la banniere d’aucune
secte , choisit ce qu’il peut y avoir de vrai dans
les principes de chacune,
+ Ecıecrisuo, s. m. eclectisme : philosophie
eclectique.
+ Ecızona, s. m. eclegme . medicament pec-
torel, &pais, mou, lok.
Ecuirsäpo, A, p.p.de
EcLirsär, v. a. öclipser, obscurcir, inter-
cepter la lumiere, empecher un asire de parai-
ire. ı 6g.) Obscureir, ternir (la gloire, la re-
Bommeöe, etc.); &clipser, eflacer. Se dit du
merite, du talent qui en effacent d’autres; de
ceux qui les ont.
Ecuipsäa-sE, v. r. ’öclipser: souffrir \’6-
clipse, parlant du soleil, de la lune, etc.; (fg.)
perdre son lustre, son eclat; s’eclipser, dispa-
raltre (du monde, de la societ6ö).
EcLirsz, s. ın. (}. d’asir.) * 6clipse: obscur-
cissement d’un asire par linterposition d’un
autre; (fig.) obscurcissement passager ou en-
tier et total. (ant.) V. Ellipse.
Ecuirtica, s. [. (4, d’asir.) &cliplique : ligne
que le soleil ne quitte pas; cercle que la terre
rcourt, et dans lequel ont lieu les Eclipses de
soleil et de lune. \.
EcLirtico, A, adj. &cliptique : des &clipses.
Ecroca , s. f. V. Egluga.
Ecıösa. V. Compörta.
Eco ,ete. V, Echo, eic.. .
Econowia, s. f. &conomie: ordre, regle dans
la depense, dans le menage; epargne, lopp0s6
de prodigalite. *Economat : charge. Office d’e-
conome dans une eglise. — polilica, economie
politique : ordre par lequel un elat subsiste;
science qui traite de la production ‚de la distri-
bution et de la consommation des ziohesscs.
EDI 471
— animal, vegelal, economie animale, vege -
tale : organisation des animaut, des verelaux.
(Aig.) —, barmonie des parties, des qualiles
(d’un corps); distribution (d’un discours);-
disposition (d’un dessin), relativement ä l'effet;
sage emploi.
Econönıca , s. f. &conomique : parlie de la
philosophie morale relative au gouvernement
d’une famille, d’un dtat. V. Zconomia.
ECOnNÖMICANENTE , adv. &conomiquement :
avec &conomie.
_ Econömico, a, adj. economique: qui con-
cerne P&conomie, le gouvernement d’une fa-
mille, la richesse publique; de P&conomie;
qui tend & l’&oonomie. Econome , mönager.
Econouista , 3. m. 6conomiste : &erivain qui
8’9ccupe de l’&opnomie politique.
Economzino,; a; 9.p. de Eronomisar.
ECONOMIZADOR, A, 5. 66onome, mehager,
&pargnant.
Economizär, vd. a. &conomiser : administrer,
kotrerner avec dconomie ; spargner; mienager.
ECÖN@MO, 3. m. &conome : sorte de r&gisseut,
eelui’ qui a soin de la Uepense d’une maison;
ecclösiastique charge d’administrer les rerenus
d’une abbaye, d’un bentfice,, ktc.
Ecrnristico, A, adj. (1. de mdd.) V. Apd-
ritivo.
Ecstase. V. Extase.
+ Ecrrörıo, s. m. (8. de mdd.) ectropion :
&raillement, renversement de la paupiere in-
f6rieure.
EtüLzo. V. Equüleo.
+ ECuMENIcAMENTE, ade. @edämenigtiement:
d’une maniere atumenique.
+ Ecowentcmäipe, 8. f. @chmenieite: qualii6
de ce qui est @cumenique.
Ecuüe£nıco ‚A; adj. acumenique: aniversel,
de toute la terre (concile).
Eoacmäpe ,s. f. &dacite. Se dit du temps qui
ronge et consume tout. V. Voracidade.
Epiz, adj. 2 gen. (Poei.) grand mangeur,
vorace, glouton. Qui ronge, coOnsume, devore
(le temps).
Eoema, s. f. (1. de mdd.) *@döme: tumenr
molie, blanche, sans douleur.
Eoriardso, A ‚adj. (l. de mdd.) ademateux :
attaqud d’un edeme, ou d& fa nature de l’a-
deme.
+ Eogwera, s. f- (1. d’hlst. nal.) sdömere :
col&optere.
Enssstno, A, adj. de la ville d’Edesse.
+ Eoerrino, A, adj. dd Valence, habitant de
Valence.
Eoıcl6, s. Y. edition : publication d’an livre;
impression ; tous les exemplaires d’un livre qei
ont 616 imprim6s en une fois.
Enıcrar. V. B . .
Epicro, s. m. edit, loi „ordonnzmee, consti-
tatich da souveräfn. Placard , affıche.
Enıricagäd, 8 f. edification : Action de balir,
artätfier; (49.) d’edifier, de donuer te bon
exemple; sentiments vertueux, pieux, fnspirc:
par le bon exompie,, feb dischurs.
412 EFF EFF
EviricaDissiMo, A, adj. sup. de
Eoiricino, A, p. p. de Kdificer. adj. (g.)
Exdilie , touche.
Enırıcanon, a, s. edificateur : qui fait, qui
construit un edifice.
EbIFIcaAu&nto,, s. m. * edificalion : aclion de
bätir.
Eoistaants. V. Edificativo.
Ebvıricar, ©. @, editier, bätir (un tompie,
olc.). —, porter ä la vertu, ä la piete, par les
eıemples ou les discours. Fonder, etablir.
— na areia, (fg. fam.) bätir sur le sable.
Eowricarivo,a,adj. ediliant : qui porte la
veriu, & la piele.
Koviricıo, s. m. edilice: baliment considera-
bie, public; palais, temple.
EbiL, s. m. (4. d’ant.\ edile: magısiral ro-
main; inspecteur des jeux, des 6difices , des
vivres.
t EoıLicıo, a, adj. d’edile, qui concerne Pe-
dile.
+ EoıLinäne, s. f. 6dilite : magistrature de
Fedile; sa duree.
EpıtäL, s.m. "affiche, edit. adj.2 gen. Qui se
fait par affiches.
Evıro, s. m. V. Edieto.
Eoırör, s. m. editeur : qui revoit et fail im-
primer l’ouvrage d’autrui.
Eoırro. V. Edieto.
t Eoönıo, a, adj. (1. de poes.) de Thırace.
Enucagiö, 8. f. education : soin pour in-
struire, former le corps, l’esprit et les maurs;
art de former le caur, l’osprit et le Corps;
exercice de cet art.
Eoucipo, a, p. p. d’Educar.
EoucapöR, A, 8. dducateur : qui donne I’e-
ducation ; qui eleve.
Epucinpa, 8. f. jeune pensionpaire d’un cou-
vent.
Enucia, u. a. dlevor, instruire les enlanıs,
faire leur dducation.
t Eoucciö, s. f. laction de tirer, d’extraire
une chose d’une autre.
EouLconacäö, s. f. (4. de chim.) dduloora-
tion : action d’edulcorer.
EouLcoräDO, A, P. p.de
EouLconär, v. a. (4. de chim.) edulcorer:
enlever les sels des poudres en les lavant;
sdoucir avec du sucre, du sirop, du miel.
t EouLo, A, adj. edule, bon a manger
(fruit).
Eovzivo,a,p.p. de
Eouzia, v. 6. (4. de phil.) tirer, exiraire une
ehose d'une autre.
t Erautr, s. m. f-ut-fa: terme de musique qui
indique le ton ou la note de fa.
Ersso.
ErEMERIDE, etc. | V. Eph..., eic,
ErzsEsino , eic.
ErrscTivanentE, adv. effeolivement, en ef-
fet, röellement.
ErrectivsL, adj. 2 gen. qui peut s’efeciuer.
Ersscrivo,a, adj. effecuif : qui est feelle-
ment ei de fais certain. Efficace, .
Errsitracäiö, 5. f. realisalion : action de
realiser, d’efleciuer. " Effet, execution d’une
se.
Errectuino, A, pP. p. d’Effecluar.
ErFEcTCäLmenTe. V. Effectivamente.
Erractuir, vo. a. effeciuer: metire ä elfet;
meitre en ex:culiou; realiser.
EsFsctuan-SsE,v. r. se realiser; etre effec-
tue; avoir lien.
Errecttöso, a. V. Effectivo , Effcas.
ErrEıTo, 8. m. effei : resultal, produil d’ure
cause ; ex&culion ; chose ellective. ( 1. de com.)
—,billel. —s , pl. effeis : portion des propris-
tes, meubies, hardes, etc. — devolutivo, (1.
de prai.\ effet, fin, but : connatssance que
prend le juge superieur des mesures de l'infe-
rieur sans en suspendre Veffet. — suspensirn,
(id.) oonnaissance que prend le juge supericur
des mesures de l’inferieur en suspendant leur
execution. Receber a appellapdo nos dows —ı,
(id.) recevoir l’appel dans les deux eflets. V.
—devolulivo et — suspensivo. De —, com—, cu
effet, effectivement, reellement. Pers — de,
dans le but de; en ex&cution de.
Errgirtoin, etc. V. Effeciuar, ete.
Erreumacäö,s. f. eff&mination : manieres
de femme; mollesse , vie efeminee.
ErFEminÄDanenTE, adv. efföminement: d’une
maniere effeminde.
Err£uınivo, A, adj. eff&mine : volaptueex,
amolli par les plaisirs; frivole,, faible come
une femme. p. p. de
Erreuınär, o. a. effeminer : amollir, rendre
faible comme une femme. Il est aussi recipro-
ue.
ı Erfgrino ,p. us. V. Ferino.
EFFERVESCENCIA, 8. f. effervescence : mour®
ment, bouillonnement intestin d’une liqueur
par l’action d’un acide, de la chaleur ; legere
ebullition ; (4g.) emotion vive dans les ämes,
dans les t£tes, dans une multitude. 'L. de mrd.
"Orgasme, agitation, nıouvement des humeur:.
Errickcıa, s. f. eflicacite, eflicace; forıe,
vertu pour produire un effet.
ErricacissiMO ‚A, adj. sup. de
Erricaz, adj. 2 gen. eflicace : qui produit son
effet. Homem — , homme d’execution, qui vient
& bout de ce qu’il entreprend. Com ezempl's
eficazes, par des exemplies puissants.
Erricäizuente, ado. efficacement : d’une m»-
niere efficace; avec eflicacite , avec force , avct
succes.
Erricrtncia, s. f. (t. de phil.) action, acti-
vite, force, vertu de produire un effet; eflica-
cite.
Erriciente, adj. 2 gen. eflcient : qui produil
directement certain effet (cause —e). .
ErFiciEnTEMENTE, adv. d’une maniere efiı-
cace,, avec effet.
Erricıäno, A, adj. fait en ronde-bosse. p. p.
de
ErFiciÄR, 0.8. p, ws. efligier : execuler cu
efligie,
EGO
Erriag, s. f. efligie : figure, ropresenlalion
d’une personne; image, portrait. Il ne se dit
guere que des images de J.-C., de la Vierge et
des saints.
Ersuonzschncia, 8. f. (f. de chim.) efflores-
tence : enduit salin semblable & la moisissure,
ou matiöre en flocons qui se forme sur lescorps
gui se decomposent & air; cette formalion;
elat d’un corps qui s’on couvre. (#. de m£d.)
-, tlerures, &bullilions, pustules A la peau.
+ ErrLonescente, adj. 2 gen. (1. de chim.)
efllorescent : qui tombe en efflorescence, qui
se couvre d’eflorescence (Corps).
+ Errioencıa , s. f. (8. de phys.) effluence:
emanation de corpuscules. — eldcirica, el-
fiuence eleetrique : rayonnement d’electricite.
tErLoEnTE, adj. 2 gen. (1. de phys.) el-
fluent: qui emane des corps ( maliere —e).
Errtovio ,s. m. effluvium : &manation des
corpuscules d’un corps. —s, Pf. (8. de chim.)
eflluves.
tErrLuviöso, A, adj. d’oü il sort des el-
flaves.
Ersücıo , s. m. subterfuge, delaite, echappa-
leire , faux-fuyant:: ruse pour s’cchapper, pour
se lirer d’un mauvais pas.
ErsuLcencia (inus.). V. Respiendor.
Errunpica. V. Infundiga.
Erstnpir,, 9. 0. verser, repandre.
Ersusid, s. f. eflusion, epanchement. (flg.)
— de caur, vive ei sincere demonstralion de
conlance ei d’ami äf.
Errüso,a,p. pP. irr. d’Effundir.
Erassı. V. Euphrasia.
Escsar. V. Afusal.
+EcacaörıLa, 5. f. (8. d’anas.) 6gagropile :
peloie de poils dans les intestins des rumi-
nanls.
Ecio, adj. m. Mar —,(t. de geogr.) mer
Egee, V’Archipel.
Eciog, 5. f. (4. de myih.) egide : bouclier ou
rsırasse de Pallas,, couverte de la peau d’A-
waltbee. fg.) — , defense; ce qui mei & cou-
vert (du peril, eic.).
+ Ecınknseg ‚adj. 2 gen. Eginete : habilant de
Iıle d’Egine.
Ecıaa. V. Hegira.
Euoca,, s. f. eglogue : poßme champeire;
üalogue de bergers.
Ecıoccista , 8. m. auleur d’eglogucs.
Ecoa, 5. f. jument, cavale: femelle du che-
v3l.—de cubrigdo , jument poulinitre.
Ecoanico, 3. m. gardien d’un baras. —,A,
ef. qui provient d’un cheval et d'une änesse
inalet, ule ).
ELoasinna , s. f. dim. d’Egoa.
Ecoisyan , v. n. egoiser : parler Lrop de soi;
1" s’orcuper que de soi.
ELoisuo, 5. m. egoisme : amour-propre qui
Tıpporte lout & 80i; opinion qui permet que
| usınme rapporte tout & lui, n’exisie que pour
Ivı seul, aux depens des autres.
‚kuoista, 8.2 gen. Egoiste : qui a le vice ou
"opinion de l’egeisme; «ui ne s’uocupe, ne
u EIV 473
parle que de soi, fait un dieu de lui-möme eı
lui sacrifle tout.
+ Ecuerim, s. m. (1. @kist. nat.) Anon, egre-
fin, morue de Saint-Pierre : poisson du genre
du gade.
EorEcıamente, adv. parfaitement,, oxcellem-
ment; noblement, avec gloire.
Ecr£cı0, A, adj. &minent, excellent, parfait,
insigne; brave, hardi , noble, illustre.
Ecazssiö, s.f. V. Egresso, Saida.
Ecrxsso, A, adj. qui a (uilte, qui est sorli
(d’une coımmunaute religieuse, etc.).
Ecr£sso, s.m. "sortie, depart, issue ; debar-
quement,, descentie.
* Ecr0, a. V. Doente, Infermo.
EcuA , eic. V. Egoa, etc.
+ Ecypcıaco, a, adj. Egyptien : d’Egypte,
habitant d’Egypte. Unguenio —, (l. de pharm.)
egyptiac : onguent detersif.
EcyYPciäno 08 Egyptien : d’Egypie, ha-
Ecr’rcıo,A,adj. bitant d’Egypte.
Ecvptano.V. Egypeio.
+ Ecrtantnse , adj. 2 gen. d’Egytanie, an-
ciennevilledelaLusitanie, aujourd’hui /danka,
la vieille.
+ Ecr’pro, s. m. (1. de geog.) * Egypie : con-
tree d’Afrique.
"Ei, pour Es, moi.
ıa , inierj. courage, bon, sus, or sus, al-
lons! Ca, or cä! Depechons! — pois he bien,
voyons, allons! — , animo/! allons, Courage!
— sus. V.— pois.
* Eısa. V. Eiva.
® EıcnıTaR.
* EıcEsso. V. Exee...
* Eıcmiö. V. Uchdo , Dispenseiro.
° Eıno. V. Eito. it. Ergo, Excepto.
Eıcana. V. Enzdda.
Eır-ı ow Eı-ıa , pour Eis ella, la voici, la
voila.
EıL-0 ow Er-Lo, pour Eis elle, le voici, le
voilä. — que chega, le voilä qui arrive. —s com-
nosco, les voilä qui viennent @ nous.
aA, s. f. airo od l’on bat les grains. dl. ant.
V. Hera.
* Eınantca. V. Eiradiga.
* EIRADECO, 5. m. mmcsure portugaise de 12 0%
24 alquiers.
*EınaDica ‚3. f. ancien impöt sur le pain, le
vin,elc.
Eırino, 8. m. "terrasse, loil d'une maison
en plate-forme. V. Terrado.
* Einer. V. Herdeiro.
Eırnö ow Irö,s. f. poisson qui ressemble &
Panguille.
Eıs ou Eis-auuı , ade. demonst. voici, voild;
tenez. — ali,, voilä. — me aqui, me voici, ne
voila..— 0,—a,(ant.) V. Eil-o, Eil-a,
Eıto, s. m.’ suite, lirade, ordre. A—, de
suite, l’un apres l’aulrc, sans interruption.
Eıva,s. f. felure : paille dans les metaux;
pelite tache dans un fruit qui comınence ä se
gäter. (fig.) ’ Delaut, faible.
Eıvano, A, ad. [ele; vereux, parlant des
474 ELA
ELE
{ruits; d’une mıaurvaise sanıe: qui a un defautı + Erissorueato, g. m. (f. d’hist. nal.) Oas-
physique ou moral. p. p. de .
Bivan-se, ©. r. derenir vercux, parlant des
fruits ; se feler, dechoir, s’allaiblir, diminuer.
° Eıvecer. V. Desmoular, Desmaninhar.
* Eıxeco, V. Enzxeco.
* EıxectTan, etc.V. Bıoecular, etc.
* Eıxenvan, etc. V. Desherdar, etc.
° Eıxengqutına. V. Enzrerqueira.
° EIXERRESTAMENTS, Adv. V. Violenlamente.
* Eıxgre. V. Excepto.
* Eıxioa. V. Saida.
*Eıxivo. V. Cerrado, Horta, Quintal. .
Eıxo, 3. m. essieu : axe, pidce qui \ravorte
les roues. Aze : ligne droite qui passe par le
centre d’un corps rond, d’une courbe, et sur
laquelle ce corps ou cette courbe pourtalent
tourner. — da esphera, axe de la sphere : dia-
mötre autour duquel elle est suppos6e se Mou-
voir.— do mundo, axe du monde : ligne droite
yt’on suppose passer par le centre de la terre
ci se terminer aux deux p6les. — da balanra,
axe d’une balance : ligne droite sur laquelle
eile tourne et se meut. — dplico ou visual,
axe oplique ou visuel: rayon qui passe per-
pendioulairement par le centre de l’eil. Tirar
uma cousa de seus —s, ( fam.) dösordonner,
renverser, bouleverser une chose.
EsacuLaciö, s. f. ejaculation :
(d’un fluide, du pollen) avec force.
EsıcuLino,&A,P.p. de Ejarular.
EsacuLapön , adj. eis. m. ejaculateür : mus-
cle pour l’ejaculation.
+ EJACULAR, do. a. jeter (un fluide,, le pollen)
avec force.
+ EsacuLatörio, A, adj. Canaes —, (1. da-
nal.) conduits &jaculatoires des vesicules s6-
nıinales.
Estcriö, s. f. &jettion, expulsion, dvacua-
tion.
EL, pour ELı®. it. uri. ant. Le. Il n’est usite
qu’avant le nom roi. El-Rei, le roi.
ELaporacäö, s. f. elaboration : aclion de
preparer, d’achever, de perlectionner; son ef-
fei.
ELApOrRÄDO, A, P. 9. do
ErLasoran,v.a. (#. de med.) &lahorer : pre&-
parer graduellement, perfectionner les suc#,
se dit des operations de la nature. Perfection-
ner : achever, lravailler avec soin.
ErAcäd, s. f. hauteur, arrogänce ; elevation
d’Ame.p. us.
ELino. V. Gelado. it. p. p. de Blar.
ELamı, s.m. (f. de mus.) la sixieme noto de
la gammmed’Aretin.
FELANITA, 3.2 gen. Elamite, de l’Arabie heu-
reuse.
+ ELäpuro, 5. m. (f. d’hist. nat.) elaphre :
coleoptere carabique.
+ Erin, v. a. vun. pousser des vrilles, s’at-
tacher avec des vrilles, parlant de la vigne et
de certaines plantes grimpantes. Jl est aussi
reciproque.
“mission
motherium : animal fossile en Siberie.
ELasterio. V. Elasticidade.
ELasticiäne, 8. f. (l. de phys.) clastiriie:
qualite de ce qui » du ressort, de oe quicn,
elastique; propriete qui rend elaslique.
EListico,A, adj. elaslique : qui a du res-
sort; qui se redresse , reagit apres la pression.
Eıiatkaıo, s. m. V. Elasticidade. Elateriam :
concombre sauvage; suc Ju concombre sau-
vage.
tELATERÖMETRO, s. m. (f. de phys.\ elalero-
metre : instruinent pour mesurer la condensa-
tion de Pair sous le reriptent.
+ Eratina, s. f. (6. de bot.) elatine : velvote,
plante aquatiquo caryophryilee.
ELatön , adj. m. V. Levantador, Ererlor.
fELiTRo, 5. m. (1. d’hist. nas.) taupin, er
cärbot Sauterelle.
£ıcur, #. m. apostat, renegat.: celui quia
renonce & la reiigion eatholique.
Pur. V. Elle.
+ EL£ocäinpo, s. m. (t. de bot.) eleocarpus:
arbre de l'Inde, & fruit d’olivier.
+ Eizicxo, s. m. (ti. de bot.) chalef, plante
eleagnoide; olirier de Boh@me.
+ELririco, a, &dj. d’Elde ou Elide, ville de
Grece.
ELECTIVARENTE , ado. par election.
Eiecrivo, A, adj. electif:: qui se fait par
&lection (roi, pape); ou le rei est cleil
(royaume). Remidio —, (1. de med.) purzatil
doux, minoratif.
EL£cto. V. Bleito.
Eu£crricıväne, s. f. electrieite : proprieis
d’attraction ou de repulsion, sympathie, anlı-
pathie des corps froites; Aluide ineoereible,
expansif etir&s-actif, quoique presque loujotrs
invisible, qui se manifeste surtout par le Iröl-
tement, le contact : il forme la foudre.
ELecrricism0, #4. mM. dleetrieisme : systeme
de Yelectricite.
ELecrrico, A, ady. €lectrique : de l'electri-
cite (corps, vertu).
Eıecrkiz, s. f. &lectrice : femme d’un eiec-
teur de l’empire.
ELectrizacäö, 8. f. electrisätion : action,
maniere d'electriser.
ELECTRIZÄDO, A, p. p. de
ELeEctriızär, 0. a. &lectriser : developper,
communiquer la facult& &lectrique ; (Ag. , ani-
mer, enflammer. ]l est aussi reciprogue.
ELectrizäveL, adj. 2 gen. slectrisable : qui
peut ötre electrise.
EL£ctro, s. m. V. Ambar. Eloetrum : mt-
lange naturel ou arüliciel d’or et d’argenl.
Electre : or blanc des Gaulois.
ELecrröusteo, s.m. electrometre : machine
pour mesurer l’electricite.
t Erscrnörnono , s. m. (8. de phya.) Electro
phore : instrument charge de matiöres eieciri
ques , etqui les conserve.
+ ELecrnoscörio, a. m. (6. de phys.) &lo®
ELE
troseope : Instrament pour comnaltze L’tloetri-
cite de V’air.
ELecttirıo, 8. m. 6lecluaire : espece d’opiat
fait d’ingredients choisis.
ELErANTE, etc. V. Elephante, eto.
Eızcincıa, 3. f. Elegance : choix, politesse
du langage ; recherche , gräce ei noblesse dans
kparure, dans les manieres. * Goüt fin et de-
licat dans les ouvrages de peinture, eto. (fg.)
Beaute , aspect brillant.
FLecinTE, adj. 2 gen. dlögant: qui a de
!elögance; qui a de la gräce et de la noblesse ;
ahsisi, Poli:
ELEGANTENENTE, adv. elögamment : avec
ri. gänce.
LLEGANTISSIMO , A , 0dj. sup. de Elegante.
t ELEGENDO, adj. et s. m. celui qui est Ala
elle d’etre &lu.
ELectr,, v. a. elire, choisir, marguer ; pren-
dre par pröference (quelqu’un), le nommer &
ine dighite , elc., par suffrage. On le rencontre
dans les classiques employ6 neutralement
avec la prepositiön em.
Freciä, s. f. elögie: po&me tendre, Iriste,
qui exprime la douleur, los regrets.
Eretiach, A, adj. 6legiäque : qui appartient
äl’elegie.
ELsciapA, 8. f. po&me dlegiaque.
+Euzciertinänk, 3. f. eligibilit6 : capacits
d’&ire elu.
ELecido, A, p. p. He Kleger.
ELzcım&yro, s. m. V. Kleicdo.
ELEcıocaaPp#0, 8.m. El&giographe : qui fait
vu a fait des elegies.
ELECIVEL, adj. 2 gen. &ligible : qui peut @tre
&ld ou choist; qui peut ätre döpute.
ELziciö, s. f. election : action d'elire; con-
eours d® suffrages; choix d’une personne fait
par plusieurs pour une fOnction publiquo. Li-
berie d’agir, deliberation. ,
EitıtO,A,Pp. p. irr. d’Eleger. adj. ets. elu:
teini qui a et nomme A quelgue dignite, A
quelque place. Os — do Senhor, les clus, les
predestines & la gloire eternelle.
Eueitdn, 3. m. electeur : celui qui elil, qui
ena le dreit; mempbre d’un college clectoral;
prince d’Allemagne qui tontribuait & l’election
de l’einpereut.
Eısıroräpo, s. m. e&lectorat : dignite, qua-
lite #’6leetear; territoite d’un electeur, en Al-
iemagne.
ELerrorir, adj. 2 gen. &lectoral : des &lec-
lears ; qui appartient & P’electear.
ELerrvirıo. V. Elecluario.
ELENentar 0% = elementaire : qui
BLEMENTAR, adj. 2gen. | appartient A Pe-
ELguEnTÄrto, A, ad). löement, qui le
eonstitae; qui contient les Elements (ouvrage).
(g.) —, premier, principal.
ELgsento, 3. m. elöment : corps simple qui
compose les mixtes; (fig.) chose, lieu, com-
Pagnie , oecupation, elc., qui platt le plus. Es-
lar no seu —, &ire dans Son &ldınent, dire
son aise comme le poisson dans l’oau, —g ‚pi.
ELI 476
elements : prihtipes d’un art, d’une Scien-
ce, eic.; (flg.) bases, fondements,, principes.
f ELeui, s. m. elömi : resine d’Amerique,
t Eremitına, s. f. (4. de bot.) balsamier ei&-
mifödre : donne la gomme &lemi.
ELENA-CAMPANA. V. Enula.
Eı2nco ou EL£.ncHO, 5. m. calalogue : liste,
denombrement avec ordre. ($. de log.) Sylio-
gisme &lenchlique , qui tombe en controterse.
+ Eigouer:, s. m. el&dmeli : baume huileux,
6pais, doux,, prodult par un arbre d’Asie.
ELEOSÄccHARO, 5. M. elbosaccharum : une
buile essentielle inoorporee avec du suere.
Eıernancia , 5. f. (8. de med.) 6lephantiasis:
löpre qui ride la peau comme celle d’un öle-
pbant.
ELerHänta, s. f. femelle de V’öl&phant.
ELernänte, 3. m. 6löphant: le plus grand,
le plus gros et le plus intelligent des quadra-
pedes, qui a une trompe, des defenses d’ivoire.
— imarino, grand mörse.
Er£ruantia ou ELernantiasıs.V. Elephancin.
ELeruinrico, a, adj. V. Elephantino. Elc-
phantique: qui a rapport & l’elephant; Infecie
de !’el&phantiasis.
f ELEPHANTENA, s. f. el6phanline : Tläte d’i-
voire inventee par les Phenictens.
ELEPRANTINO, A, adj. elephantin:: de l’elc-
phant; d’iroire. Lioros —s , iivres elephantins,
des lois romaines sur des tables d’Yweire.
EırrndaA. V. Elephanta. .
r Ei£enoro,s. m. (8. d’hist. wat.) 6lcphore.
V. Nitidula.
+ ELetrußntas, s. f. pl. eleutheries: föles de
Jupiter-Libtrateur, proletteur de la liberts des
esciaves affranchis. .
ELevacid, 8. f. elcvation, exhaussement; ac-
tion d’elever, ses ellets; situotion &levee; posle
eiminent; ( lg.) constilulion en dignite; eat,
situation, place lie ce qui est eleve;, action d’c-
lever (l’bostie, la voix); hauteur du pöle sur
'lıorizon. —, grandeur, elan, mouvement al-
fertucux de l’Ame vers Dieu ; prieres qui Vexci-
tent: srandeur de courage, noblesse de senti-
ments. Alirar por —, tirer de hauteur, de
sorte «que le corps lanee tombe, en s’elevant, ä
l’endroit oü l’on vise; tirer A toute volee.
ELgvÄnamente, adv. d’une maniöre elevco,
avce el6valion.
Eurvanıco. V. Levadico.
ELEYADO, A, 9. p. d’Elevar. adj. (g.) Eleve,
sublime, grand. Estilo —, haut style.
ELErANmEnNTO. V. Enleramenio.
ELzvrin, 0. a. elever, hausser; mellre, por-
ter, rendre, faire monter plus haut, au propre
et au figure. ( 4. de malh.) Elever une quanlitö
au quadrupie, etc. it. V. Enlevar.
ELevarn-se (a,ale,de, em) v. r. s’elever, se
hausser, se porter de bas en haut; ( lg.) mon-
ter en dignite. —, prendre son vol; avoir dcs
pensees sublimes. dt. V. Enlevar-se.
Eura ,s. f. fosse pour planter la vigne.
Enıixo, A, adj. de l’ordre de Saint-Elie (re-
ligioux ); carıne chausse.
476 ELO
+ Eırnenino, A, ow d’Eivire, aneienne
+ ELisgaıtano, a, adj.\ villedelalLusitanie.
tEuicıro, a,adj. ($. de phil.) qui provient
de l'Ame comme principe actif (acte).
ELiivo,Aı,p.p. de
+ Euiir, vo. a. elider; affaiblir, faire dispa-
raltre quelque chose; (4. de gram.) faire une
elision.
fEuimnaciö, s. f. 6limination : action d’6-
liminer; operation d’algöbre par laquelle on
fait disparaltre une inconnue des &quations.
ELımıniDo,4,9.9.de
Euimnin, vo. a. eliminer : mettre dehors;
chasser, expulser. —, faire l’elimination alge-
brique.
ELioraoro. V. Heliotropo.
Euiöra. V. Eliano.
Euisiö, s. f. elision: suppression d’une
voyelle & la rencontre d’une aulre (da, do pour
de a,deo).
ELixaciö, s. f. &lixation : action de faire
bouillir lentement. 9. us.
+ELıxä00, A, adj. (t. de pharm. p. us.)
bouilli lentement.
Euixin, s.m. elixir : Jiqueur spiritueuse, ex-
traite de differentes substances; quintessence ;
extrait. Alcoolat, dans la chimie actuelle.
EıLi, pron. rel. f. elle; lui.
ELıg, pron. rel. m. il; lui. D’elles , d’ellas,
(art.) quelques-uns, quelques-unes. Que disse
—? que fez —? qu’a-t-il dit? qu’a-t-il fait?
Erg, s. m. nom de la letire L.
ELLEBORÄSTER, 5. m. (l. de pharm.) drogue
medicinale.
Eıesonina. V. Helleborinha.
Eııtsuno. V. Helleboro.
EıLipse, s. f. (6. de gram.) ellipse : sup-
pression d’un ou de plusieurs mots dans une
phrase. (#. de geom.) —, courbe fermee, que
l’on obtient en coupant un cöne droit par un
plan plus incline par rapport & l’axe que la ge-
neratrice du cöne.
EıLLiesonico, A,adj. y(i.demath.) quiala
ELLIPSÖIDE,, adj. 2 gen. forıne d’une ellipse.
Eruiericiväng , 8. f. ellipticit# : (raclion qui
exprime le rapport des deux axes d’une ellipse;
forme constituante de l’ellipse.
ELLiptico, A, adj. (t. de gram.) elliptique :
qui tient de l’ellipse (loculion, figure, etc.);
(1. de math.) conoide (espace).
+ Eıvisıa, s. f. (1. de bot.) "ellisia : durante
de la Jamaique.
* ELLo, varietion surannde du pronom elle,
qui repond au latin illud, cela. Murra por —,
qu’il soit condamnme & la mort pour cela, pour
ce crime.
EL n£ts, s. m. dim. d’
ELmo, s. m. casque, oabasset des anciens.
(fig.) “Crasse qui vient & la Wie des enfants par
defaut de proprete.
LO, s. m. anneau de chalne. Ce qu’on peut
serrer entre l’index ot le pouce fermös en arc.
Vrilles de vigne, nille. V. Gavinha.
EıLocugäö, s. f. elecution, langage; maniere
ELY
de s’eıprimer, choix et arrangement des mels:
diction, style; partie de la rhelorique, yu
traite du choix et de l’arrangement des mots.
ELotuopao. V. Loendro.
Eıociaco, A, adj. qui concerne les tloges.
ELoctApo, A, p. p. d’Elogier.
ELocıaDOR, A, s. celui qui loue ; lovangenr.
ELocıär, v. a. louer, donner des louanges;
vanter.
ELocio ,s. m. &loge , louange.
ELoncacäd, 3. f. (4. d’asir.) elongation.dun
plandte) : difference entre le lieu du soleil ei
celui d’une plandte, tous deux vus de la were.
Eroqu&ncıa, s. f. eloquence: art, talal de
bien dire, de persuader, d’emouvoir, de 8
cher, de convaincre; ce qui Irappe, emeul,
convainc, attire, fixe l’atlention.
ELoQuEnte, adj. 2 gen. eloquent: qui ade
P’&loquence; disert; qui ooncerne l’&loquent:
plein d’expression , de force ( discours, ec...
ELOQUENTEMENTE, adv. dloquemment, a1
eloquence.
ELOQUENTISSIMO „A ‚adj. sup. de Bloguenk.
+ ELoQuio, s. ms. discours, entretien, paroe.
* Expression. p. us.
Eıucıvagäö,s. f. elucidalion, explicalieh,
&claircissement.,
ELucıväno, 4,9. p. de
+ ELocipän,o. a. &lucider, eclaireir ; eıpl-
quer, commenter.
+ Ervcivarıo, s. m. livre qui contient de
€lucidations ; commentaire.
ELvcusaaräö, 5. f. elucubralion : ourraft
d’erudition fait & force de veilles et de waraıl.
ELupipo,, 4,P. p. de
ELvpir, v. a. &luder : rendre vain, Sam
effei ; eviter avec adresse. u
+ ELurweria, 3. f. ( 1. de bot.) &lulberia ‚bei
de crocodile, bois de musc.
+ Euvanpö, s.m. (4. d’ist. nat.) elwandı
singe feroce de Ceylan. ı
Euutaiagäö, 8. f. (4. de pharm.) &lulriauon:
action de transvaser, decantation.
ELuTalap0,&A,p.p. de
Eıurntan, v. o. (8. de pherm.) decanie:
verser, en inclinant doucement lo vase, uneli-
queur qui a fait un depöt.
+ Eıvensg, adj. 2 gen. de la ville dElıw,
en Porıugal.
+ Eıvos, s. m. pl. anciens peuples de
province Narbonnaise qui ont fonde la ville
d’Eivas , en Portugal.
Eıxınz. V. Parisetaria et Fagopyro.
+ ELr'ucos, s.m. pl. anciens peuples dii=
lie qui provenaient d’Eiyme, compagnon d1-
ceste.
+ Eırordöao, s. m. (6. de bot.) elyonat‘
plante graminge d’Am6rique meridionale.
ELr'sıo, s. m. (4. de myih.) Elyste : sejo®'
des heros, des hommes vertiueuz, elc., SP!”
la mort. (Ag.! Lieu de delices. ,
ELrsios vu Cauros—, 5. m. pl. Blysxo.
Champs-Elysees. V. Kiysio.
+EıLvrao, s. m. (1. d’hist. nat.) elyire: et,
EMB rn
alle sollde superieure de l’inseets coldoptöre :
il a deux &lytres qui recouvrent deux ailes min-
ces ettransparentes. -
Eırraopia e6 ELioraopıa. V. Heliol .
Eu, prep. en. Ex.: — 0 inverno,, en hiver.
Dans. Ex. : — o quarlo, dans la chambre A.
rt.:— casa, & la maison, au logis, chez soi,
chez ui. De. Ex.: — nossos dias , de nos jours.
a egaivaut quelquelois a la preposition s0-
're,sar. Ex. : Dormir — terra, coucher sur la
lure. — SU Passagem , Sur son pussage. Jointe
aun parkicipe present, elle equivaut & dogo
ne ‚aussitöt que. Ex. : Em pondo o general os
nes na prdia , dispdra a arlilkeria, aussilöt
ıue le general met les pieds sur le rivage , l’ar-
llerie ire. Em, suivi de Particle o ou a, se
onrertiten », formant une seule syllabe(em o,
w;ema,na;oum'o,na). V.No, Na.
"Eu,adv.V. Bem, Aında.
Rus, s.f. V. Abesiruz. — da A’sia, *casoar.
-do Brazil , "touyon os touyou.
Enscıacäö, s. f. emaciation : amaigrisse-
ment, maigreur. p. 48.
Eustsapo, A, adj. &macie : delorme par la
maigreur.
* En-ıner ou Eu-Eider. V. Accrescentar.
Euıınan. V. Emmalhar.
Eu-auazan. V. Alhear, Alienar.
Euniciö, 5. f. &manation : action d’ema-
ner; ce qui $mane en general.
Euanino, a, p. p. de Kmanar.
rt Emanintg, adj. 2 gen. &manant, qui
tmane. p. a. de
Euanar (de), v. ®. &maner, provenir, tirer
son origine de.
Ewancıracäö, s. f. emancipation : acte qui
tmaneipe ; ses effeis.
EwancıriDo, A, p.p. de
Emancıpin, v. a. &manciper : mettre hors de
tatelle,, hors de la puissance paternelle.
Emancıräin-sE , vo. r. s’emanciper : sortir de
wielle, de la puissance paternelle; (fg.) se
gouverner par soi-meme; prendre trop de li-
berte,, de licence; sortir du devoir, des mesu-
res, des bienseances.
Es-ırciDo, A, adj. enarc. p. p. de
Eu-ıxcar. V. Arquear.
Eu-ıvsssipo ,A,P.p. de
"TEw-avussan, o.0. faire du tort, causer
du dommage, du detriment.
Eusasacip0, A,p. p.de
Eusasacäa, ©. a. amuser, leurrer, enjöler,
empaumer.
Eusscino, A, p. p. de Embarar,
Eunacapon, A, adj. qui etonne, stupeße,
rend interdit.
EusacamenTo, 5. m. ötonnement extatique,
stopefaetion.
Eunacar , o. 6. teindre d’une couleur brune.
Temir, blemir. Opiler, obstruer. (#g.) Etonner,
anmeder, rendre inlerdit; embarrasser, empe-
cher.
es EMB 471
d’&tonnement, etc. (em) Perdre sa force & cause
d’un obstacle, de quelqu’'un;; s’amortir.
EusacELLiDo,A,».Pp. de
EMBACELLAR, v. a. planter une vigne.
EuRActıÄDO,A,p.p. de
EMBACIAR, dv. a. lernir : Öter le lustre, l’öclat
(d’une glace, de l’acier, etc.). (g.) — la gloire,
EumnacrÄn, v.n. et —se, dv. 7. 86 ternir : por-
dre son eclat, son lustre.
Eunaipo,A,2. p. de Embair.
Ewusaindor, A, adj. ci s. emboiseur, enjöleur,
fourbe,, troınpeur : qui cngage par des cajole-
ries, des flatteries, des promesses.
EuBAim£nto, s. m. enchantement, seduc-
tion, fascination *Ruse, artific, tromperie,
fourberie.
EMBAINHADO, A, 9. p. de
EMBAInHÄR, v.a. ourler. V. Abainhar. Ren-
gainer : remettre dans le fourreau, dans la
galııe.
Eusaik,v. a. emboiser, seduire,, tromper,
enjöler.
EusamxÄpa,s. f. ambassade : mission aupres
d’un gouvernement; charge, fonction d’un am»
bassadeur; sa suile; message enire parlicu-
liers.
EmbBaixaDOrR, 8. m. ambassadeur : envoy&
d’une puissance aupres d’une aulre , avec un
caractere public de representation du soure-
rain qui l’envoie.
Eupaıxanora, s. f. ambassadrice : envoyede,
fomme chargee d’un message.
Emsaıxatriz, 8. f. ambassadrice : femme
d’ambassadeur.
EnnaLA00,A,Pp.p. de Embalar.
+ EmsaLadOR, A, s. celui qui berce.
EMBALANGADO, A, pP. p. de
EMBALANGAR, d.@. peser en balance. if. V.
Balangar. 11 est aussi reciproque.
EusaLirn, 0. a. bercer : mouvoir dans et
avec le berceau , pour endormir; (fg.)— de,
amuser par des promesses, de fausses esp6-
rances. it. Inspirer, enseigner (& quelqu’un) des
Penfance (des maximes, des sentiments, eic.).
— alguem com alguma mazima ou douirina,
enseigner & quelqu’un des le berceau , d&s l’en-
fance quelque maxime ou doctrine.
EusaLßTE, 8. m. piece d’une pompe.
EusaLLin, 9. a. emballer.V. Enfardar, En-
fardelar. Bun
EusiLo, 3. m action de bercer; agilation
(de la mer, etc.).
EupaLsino, A,p. p. de Embalsar.
EusaLsaminO,A,p. p. de Embalsamar.
EMBALSAMADOR ‚3. m. embaumeur : celut qui
embaume les Corps.
EusaLsamir, v0. a. embaumer : remplir un
corps mort de baume, d’aromates, pour eımpe-
cher sa corruption ; parfumer, remplir de bonne
odeur.
+ EmsALsAuEnTO, 5. m. embaumoment : a0-
tion d’embaumer un corps mort.
EmsaLsin, 9.6. melire, cacber, fourrer dans
Eusacan „o. m. (Ag.) ötre saisi d’admiration,
478 EMB
une baie; melire dans une cuve, sur un E-
deau.
EubaLsan-se, ve. r. sienfoncer dans un bois;
se fourrer dans un hallier. (4. de mar.) Se met-
tre dans un tapecu de callat. V. Balso.
MBANDAn-SE. V. Bandeir-se.
EMBANDEIRÄDO, A, 9. 9. de
Euaanpälrär, o.a. orner de pavillons, de
drapcaux, pavoiser un navire. Enröler sous les
drapcaux de... Donner une bannicre & une cor-
poralion.
EuBANDEIRÄR-SE, 9. r.— omilko, pousser
lesommet , parlanı du mais.
ENBARAGCÄDAMEATE , adr. avec embarras,
difficilement.
EuBARAGADO, A, 9. p. d’Embarapar. ad).
Embarrasse ; confus. V. Enleiado, Mulker—a,
femme qui a ses rögles.
T Eusanacapon, A, adj. ct s. qui cmbar-
rassc, qui met des obstacles.
EMBARACAMENTO, #. m. V. Embarago.
EMBARACAR, ©. a. embarrasser, causer de
Vombarras, €ire un obstacic, melire des en-
traves, empecher ; meler, embrouiller. ($g.)—,
melire en peine. donner de Yirresolution; in-
terdire ;rendre obscur, embrouille(unc aflaire,
une queslion, etc.).— o commertio, gener la
libert6 du commerce. /sso Bäo embaragu, cela
n’ompeche pas.
EuBanacan#E, ©. r. s'embarrasser, s’em-
brouiller, s’engager dans une affaire diflicile ;
s’impliquer; (Ag.) devenir diflicite a resoudre,
se compliquer. — com alguma cousa, se meler
d’une chose, y prendre part. — com alguem,
avoir des demeles avec queiqu’un. Ndo se em-
baragar com cousa alyuma, ne se meler de
rien. —a mulher, avoir ses re&gles, parlant
d’une fenmie.
Emsanico, s. m. embarras, obstacle, emp£-
chement; (Ag.) confusion de choses difficiles a
dobrouiller; perplexite.
t EMBAUAGÖSANENTE, ade. avec embarras,
d’une manicre embarrassante ; diicilement.
EuBAnnc0so, A, adj. cmbarrassant: qui cause
de l’embarras,, de la gene.
Eusanauuan, V. Baralhar.
* EuBAaRATAR. V. Avenlurar.
ENMBARBASCÄDO, A, P.p. de
Eumpansıscir ,v.a. jeter dans les rivieres la
eoque du Levant, ou des capsules de wolene
pour enivrer lo poisson. (fg) Embarrasser,
rendre obscur, embrouillc. V. Eslonicar.
rasser dans les racines, parlanı de la charrue.
(fig.) S’embarrasser, se troubler, se brouiller. !
Eupaskcacaö,s. f. * bäliment, vaisscau , bar- '
que, , embarcalion , navire en general. * Enıhar- '
quement : action d’embarquer, de s’ermbar-
quer. — daviso, barque d’avis, aviso. — de
EMB
Runancassextro. V. Embarque.
Euparche, ©. a. embarguer : meltre dans
un navire, dans une barque (des personnes,
des vivres, elc.). v. w. et— se (em), %. Tr. Seur
barıuer, au propre et au fig. — w’um megoeio,
sembarquer dans une affaire : se lier, s’enga-
ger dans une aßaire. — w’um discurso, cOur-
ıuencer un discours, enirer en maliere.
Eupancino, A, 9. p. de Embargar. adj.
Saisi; mis en embargo ; paralyse, fIimnpoical
‚membre). — na falla,, begue. — dos memiros,
paralytique.
EMBARGADOR, A, adj. qui embarrasse, qui
gene. s. Celui qui saisit, qui met en ernbarzo.
i4. L’opposant.
EMBARCAMENTO. V. Embargo, impedimenio
EusARcANTE, p. a. d’Embargar. Qui emlıar-
rasse, qui gene. Näo —, nonobstant. 3. 2 ges.
(l. de prat.) Opposant en justice.
Eusancie, D. a. s’opposer & l’execution de,
former opposilion en juslice ; saisir, scquesirer,
meitre en requisition. ( Ag.) Emp£cher, embar-
rasser, relenir, causer de l'embarras. — navios,
meiire un embargo, arretcr des vaisseaut.
EMBARGÄR-SE de), v. r. (arl.) prendre con-
naissance de. Eire saisi, mis en emmbargo: tire
retenu , embarrasse.
+EusarcävEL, adj. 2 gen. (l.de prai.) qui
peut ötre saisi, mis cn embargo.
ENBARCO, s. m. emp@chement, obstacle; op-
position en juslice ; saisie, sequesire; requisi-
uon. ( Ag.) Eınp@chement, obstacie. — de na-
vios, embargo. —s, pl. ı l. de pras.) opposilioa
en juslice, action de s’opposer; pratesiation
contre l’execution (d’un juccmeut, etc. ; actt
qui la constate. Por, rir cunı —, oppör —s, (id.
s’opposer : former oppeilion & Fexecntipn dun
acte. Sem — de, nonobstant, eepeadant, mal-
gre. Sem — do que, quoique, bien que, ei-
core que, nonobstant. Sem — dos —s (1. de
prat.) malgre lous les obstacles, nouobstant
lout empechement. "
EuBÄRnQUE, 8. m. embarquement : action
d’embarquer, de s’embarquer.
EurRARRÄDO, A, adj. V. Barrddo. it. p. p-
d’Embarrar.
EMBARRANCÄDO, A, 9.9. d’
EMBARRANCAR, v. a. embarrasser, traverser.
melire des enlraves ; eimbourbes (une ve:
ture, etc.).
EMRARRANCÄR, ©. N. el -SE, 9. r. siembar-
| rasser, toınber dans des eıubarras, au propre
EUBARBASCAR, v.n.et—se, v. r. siembar- i
et au figure; s’arr&ler toul court. — sempre na
incsma difficuldade , &tre loujours engage dans
les ınames difficultes ; ne point sortir d’affaire.
EmRARRÄR, v. a. enduire deterre grasse , In-
ter. V. Barrar. v.n. Chopper, heurter contre
une pierre, etc.
Eusarrän-se, u. r. grimper. Se dit dela vi-
eoberta, bäliment ponte. — sem cobertn, bäti- |! gne plantee & cöt& d’un arbre sur Iequal elle
ınent non ponie.
Eusancan0, A,P. pP. W’Embarcar.
t EMBARCADOURO, 3. sh. embarcadere : lieu,
post ob Yon embargus. .
grimpe. Gagner les hautcurs ; se jucher.
EMRARRELÄDO, A, . p. de
EMBARnELÄn, 0. a. meltre ä la lessive.
ENBARRICADO, A, 9. 9. d’Zmbarriar.
EMB
+Exmarnicia, 9. a. metira en barrkque (fa-
fine, poisson marine, elc.). — erenques, en-
eagaer du hareng.
ENBARBILÄDO, A, P. p. de
EusanRıLÄr,, 0. a. embariller ; mmettre an he-
ril (da vin, etc.); encaquer (les barengs, la
peudre,, eic.).
EusaspacäAno, A, ad). Ficar —, demeurer
isterdit, ravi d’admiration. p. p. de
Eusaspacär, v. mn. sebahir, etre stupefait,
demeurer interdit; hesiter.
EusastÄpo, A, . p. de .
+Eusastar, o. a. coudre, bätir, baguer, pi-
guer A grands points. Faire des piqüres aux
matlelas.
EusasTEc£R , ©. a. &paissir, rendre 4pais (un
ligaide ).
Eusastecino, A, p. p. d’Embastecer.
Eusastin. V. Embastar.
Eusitg, s. m. heurt, choc impe£tueux (de la
mer contre les rochers , etc.) ; percussipn. (Ag-)
Opposition, resistance. Allaque violente. —g,
Pl. (fg.) coups du sort, du hasard.
Eusaccäipo , A, p- 9. d’Embaucar.
Eussccapör, 3. m. trompeur, enjoleur, 84-
dueteur : celui qui leurre, qui attire pour
womper.
Eusitcän, ©. a. (ant.) leurrer, allirer pour
tromper, enjöler, seduire.
Eusatıkno, A,p.p. de
+EusatcLir, v0. a. enfermer, mettze daua
un coffre, dans un bahut.
Eusixipa, etc. V. Embairdda.
EusgBec£r, ©. a. charmer, eionner, stup&-
Ser, rendre interdit, exciter l’admiralion.
EuseBec£n-s£, c.r. demeurer interdit, ravi,
stupefait.
Euaesecioo,A, p. p. d’Embebecer. Ficar —,
adj. demeurer interdit, ravi, chbagme, stupefait.
EMBEBECIMENTO, s. m. elonnement, exceg
dadmiralion, stupefaclion, rayissement d’es-
prit.
Ewstsepino,A,p.p.de
Eusesgpdar, ©. a. enivrer, gofler: rendre
irre, soül. (äg.) Assoupir, tourpgr la tEle, en-
dormir, ötourdir, troubler.
Eus£ueDÄn-SB, 9. r. s’enivrer, se soüler.
'ig.) Se livrer & des Yransports (d’amour, de
colere, etc.) ; perdre la raison,, la prudence.
Eusep£a, o. a. inıbiber : abreuver, mouiller,
(are penetrer par une liqueur; pomper, atli-
rer Fhumidite,, l’absorber. Introduire, enchäs-
ser. Faire boire une &loffe, la tenir läche en
eousent. Faire bien compreudre, penetrer.
XAg.) Enfoncer (une epee, un poignard, etc.).
(#d.} Consumer, user, absorber insensiblement
(le temps, V’argent, etc.). (id.) Cacher, celer ;
reprimer (ses pensees, ses larmıes, elc.). — um
erco ou a sella no arco, encocher, bander un
are,
Eusrsfr, v. n. se raccourcir, se reirecir. On
€ dit d’une &loffe mouillee.
Euseper-s£,o.r. s’imbiber : devenir imbi-
be, peneirer dans... (fig.) V. Embibecer-se.
EMB 479
(id.) Simstruire radicalement, & fond, de quel-
que chose. ‘
EMBEBERÄDO, A, pP. 2. de
EupzsKaÄR, ©. a. abreuver : faire boire (les
betes) ; mener & l’abreuvoir. V. Abederar.
Eyazsino, A, p. 9. d’Embeber. adj. (Ag.)
Imbu, penetr6 de; tout occup6 de; rarvi. Y
Embotte. °
" Eusesonan. V. Embebsrar.
EuszLecino, A, pP. p. d’Ewmbelscer.
ENMBELECADOR, 3. m. en)öleur : quialtrappe
par de helles paroles. V. Embaucador. u
EMBELECAR,, v. a. en)öler: seduire , tromper
par de belles paroles. V. Embaucer.
* EussLEGAR. V. Alurdir.
EuBELßco, s. m. (an£.) presiige, ruse, arti-
fice. V. Embaimento.
T EMBELLEChR, v. a. embellie : rendre beau ;
pater, enjoliver. .
EuBELLECIDO, A, pP. p. d’Emhellecer.
EMBELLEZÄDO,, A, pP. p. d’Embellezar.
EMBELLEZANENTO. V. Embellezo.
ENDELLSZAR , 0. a. charmer, elanner, stupe-
fier, rendre interdit, exciter ’admiralion. Il ess
aussi reciproque.
EMBELL£ZO, 8. m. transport, enthousiasme,
exiase, ravissement d’esprit, ivresse de joie,
d’admiration, etc. Objet ravissant, charmant.
+ Eunmriza,s. f. (4. d’hist. nat.) emberise,
bruant : genre d’oiseaux. — longicauda, la
veuve & epaulettos.
EusespınHAno, A, ?. p. de
ENMBESPINHAR-SE, ©. Tr. (Pop.) rechiguer,
s’eniporter, prendre la mouche.
“ E“sEstApo, A, adj. arme d’une arbaldie.
(Ag.) Prät pour le combhal.
ENBETERGIDO, A, P. P. de
EuBETERGÄR, v. a. acculer, meitse dans une
ruelle, dans un cul-de-sac. V. Encurralar. I
est aussi reciproque.
Euseromie. V. Belumar.
Eupevecen, etc. V. Eindebecer, atc.
EMBEZERRADO, A, pP. pP. de
EUBEZERRÄR-SE, P. Tr. ( 90Pp.) se refrogner le
visage, on signe de mecontentement.V. Auuar-
se.
Bweiciv0, A, p. p- ’Embicar.
EuBICADOR, A, adj. ets. qui branche (cheval,
eic.).
Kanıcin ‚ vo. ». chopper, beurter, donner
contre; broncher, trebucher. (Ag.) Fire arrdı6
par une difficulte;; faire una querelig. v. @.
Donner la forme d’un bec (aux bords d’un cba-
pean, etc.). 3
EMBICAR-SE (para), 9. 7. so dirigor vera;
viser & (imus.). ,
+ Empıcäiva, 8. f. (pop.) "heurt d'une per-
sonne contre une auirc, en se Inuchant le
nombril mutuellement; scrie de. mauvewent
qu’on fait dans la danse des nögres, etc.
Eupico, s. m. nombril : creux au miliey du
ventre, cicatrice du cordon ombilical; cordon
ombilical; ombilic; enfoncement & cerlains
fruits. Milieu, centre d’une chose. Ter-Läecor-
480 EMB EMB
tado 0 —, (Ag.) aimer tendrement une per-| Eunoro,s.m. piston : eylindre qui se ment
sonne, ne pouvoir s’en a&parer dans le corps de pompe et y fait le vide, cylin-
Eusı0cin0,A,Pp.P. de dre adapt& & une seringue pour pomper l'eau.
Eusıocir, o. a. affubler : v&lir, couvrir, en-| EwroLsino, A, p. p. de
velopper la t#te, levisage d’un voile, ete., d’un| EwBoLsar, v. a. embourser : meltre’en
habillement grotesque. Il est aussi r&eciproque. | bourse ; rembourser.
Eueina, s. f. plante du Bresil A &corce -] EMBOLSÄR-sE, 0. r. se rembourser:: se faire
breuse dont on fait des cordages. payer d’une dette.
EubirniDo, A, Pp. p. d’Embirrar. EumB0Lso, s. m. emboursement: action d’em-
EMBIRRÄNTE, adj. 2 gen. opiniätre, entöt#,, | bourser. Remboursement : action de rembour-
qui s’obstine. ser.
EuBıRRÄR (com,em) o.». s’obsliner, s’opi-| + Empovina, 5. f. (8. de mar.) *radoub:re-
niätrer; s’entöter, se buter. — com alguem, | paration faite au corps d’un vaisseau.
s’emporter fort contre quelqu’un. —com algu- | EumBOoxino, A,p.p.de
ma cousa, se fAcher ä cause d’une chose qui | Eupoxin, (f. de mar.) souffler, renforcer le
sontrarie. — em ou n’uma cousa, s’obstiner ä | bordage d’un vaisseau.
Aire ou A ne pas faire une chose. ENMBONECADO, A, p.p. de
Eusıscan. V. Empiscar, Piscar. EMBONECÄR, ©. @. parer, affeter comme une
EueLtsa, s..m. embleıme : figure symboli- | poupee, atinter.
que avec des paroles sentencieuses; allegorie | EMRONECAR-SE, ©. r. se parer avec affelen,
m general. avoir l’air d’une poupee; s’atinter, faire le da-
EMBLEMÄDO,A,P.p. de moiseau.
+ENMBLEMÄR, v. a. indiquer, designer un su- | EMRONO,s. m. (l. de mar.) soufflage : bois en
jet par un embl&me. dehors du navire pour faciliter lavoilure.
EMBLEMÄTICAMENTE , adv. emblematique- | EmBöQtE, s. m. passage d’une bille, au bil-
ment : par embl&me. lard, par la passe, etc. u
EMsLemÄTIco, A, adj. emblematique : qui Empöras, 8. f. pl. *compliment de feliciia-
tient de l’embleme. tion. V. Parabens. p. us.
Euposonan. V. Embeberar et Abeberar. EmsöRA, adv. heureusement, ä la heise
Emeocivo,A,p. p. d’Embocar. heure, fort & propos: soit. Quoique, quam
EmeocAanürA, 8. f. einbouchure : partie du | meme. Ir-se —, s’en aller, parlir. Seja —R
mors qui entre dans la bouche;; maniere d’em- | ou conforme queres, soit, je le veux.jyon-
boucher la flüte, lecor, etc.; ouverture d’un | sens,, passons cela ; comme il vous plaira, SOU“
canon; eniree d’un fleuve, d’une riviere dans | votre bon plaisir.
la mer. Emnoncicid. V. Embroragäo.
EuBocaAR, ©. a. emboucher : mettre A la bou- | Ewsonci00,A,Pp.p.de .
che {un cor, une trompeite) pour en lirer des | EMBOoRcÄR, v.a. renverser sens dessus des-
sons ; mettre le mors. Faire entrer, faire pen&- | sous; vider jusqu’& la derniere goulle.
trer parun lieu etroit. — a barra, it.demar.)| EwsorniL,s. m. (f. de mar.) dalot, orguc
embouquer, gagner l’embouchure d’un fleuve, | ouverture au tillac par oü l’eau g’ecoule. sl.
d’une riviöre. — a irombeta, (fig.) proclamer. | Sac avec de l’avoine ou de l’orge qu’on altache
— a bola,, pousser dans la blouse (au billard). | aucou deschevaux, etc., vulgairement appel:
= wma ’00e , appäter. muselte.
Eusocäir, v. n. entrer, penetrer dans un lieu | EwBORRACHÄDO, A, pP. p. de
etroit, dans un canal ‚etc. EMBORRACHÄR,v. a. enivrer, soßler:rendtt
Eusocino,A,p.p.d’ ivre, soül.
Eusocäir, v. a. cr&pir : gobeter, enduire de | EMBORRACHÄR-SE, ©. r. s'enivrer, so soület.
mortier un mur. | EMBORRALBÄDO, A, adj. cendreux. p-P- de
Eu20c0, s. m. enduit, crepi, gobet (d’un! EMBORRALHÄR, ©... couvrir de cendres 0?
Nur). de braise.
Emsörta, s. f. V. Logragäo. EMBORRALHÄR-SE, ©. r. se salir de cendris
Emsoriva. V. Balcarridda. ou decharbon;; se vauirer dans les cendre-
EMBOLADO, A,P.p. de se dit des chats, etc.
Emsorir, v.a. garnir de boules les cornes! EmBoscänA, 8. f. embuscade, piege , embl-
jun taureau, les rembourrer pour l’empecher che dans un lieu couvert, dans un bois, pu
je faire du mal. surprendre l’ennemi.
EmsoLprsäir. V. Sujar. EnnoscÄDo, A, 2. p. de
"Eusörna, s. f. grande outre de vin qui} Euwsoscar, v. a. embusquer : mellre en eM
chargeait une bete (le somme. buscade.
EMBOLISMAL, adj. 2 gen. embolismique : in- | Ewsoscir-s£ (em), v. r. s’embusquer : #
tercalaire, (mois) intercal& dans l!’annee lunaire | cacher pour surprendre; se meltre en embur
pour former le cycle. cade.
EMBOLISMO, s. m. embolisme, intercalation; | EwsosTäno,A,p.p. de
mois intercale. Kusostän, v.a.barbouilleravec de lebou®“.
EMB
Ensorastimas, s. f. pl. genonillöres.
Emsorino, A, 9. P. d’Emboter.
Eumwrapdaa ,s. f. l’action d’6mousser, d’6-
ter le dl, la pointe 4 un instrument.
Eusoramento, s. m. V. Emboladure. Riat
d’une chose &moussee. (fg.) " Stupidit6, abru-
tissement.
Eusotär,, 9. 6. &mousser : Ööter la pointe, le
tranchant ; (Ag.) hebeter ; öterla force (de l’e»-
pit, des sens, eto.); önerver, affaiblir. — 08
denies, agacer los denis.—oengenho , hebeter.
ENBOTAR-SE, 9. r. s’tmousser; perdre 5a
force ; s’aßaiblir.
EMBOTELNAR. V. Engarrafar.
Kusaacapkina, 5. f. ano; poignde “un böu-
elier. V. Breosdeira.
EwarıcäDo, A,Pp. p. d’Embragar.
Eupnacapina, s. f. l’action de passer un
bouelier au bras. V. Emdr
Eusnacam£nto, s. m. V. Emdr
Eubaacär , 0. 6. prendre un bouclier, le pas
ser au bres.
Euszanupdecka, ©. a. amollir, adoueir, ra-
wollir. v. ». S’amollir, sattendrir.
EuSRANDECIDO, A, p. p. d’Embrandecer.
Eusnausan, oic. V. Embrenhar, etc.
Eunkasgouscea, v. a. blanchir : rendre blanc.
9.8. —, Jevenir blanc, grisonner.
EUBRARGUECIDO, A, pp p. d’Embranquecer.
EusnarBan-SE. v.E mbravecer.
Eusaavscka, v. a. rondre [arouche, cruel,
ote. ; rendre furieux, irriter, mellre en oolere.
EMBRAYECAR, o.n. et —ee, dv. r. devenir fs-
reuche, cruel , etc. ; devenir furieux , se melre
en coldre, sirriter, so fächer; s’emporier, 56
porter ä des eıxcoös; s’agiter, devenir furieuse,
parlanı de la mer.
Emanavscino, A, 9. P- W’Emdravwcer. adj.
Ondas —as, Nois en oolöre.
EHSRAYVECIMENTO, 3. m. * [erocite, emporte-
ment; rage, colöre violente, fureur.
Rumazan, etc. V. Brear, etc.
Eusascnino, A,P.P. d’Embrecher.
Eusascminos, s. m. pl. "rocaille: cailloux,
esquillages incrustös.
rt An, 9. a. omner d’ineruststions en
reeaille, ineruster de cailloux, de coquillages.
ENBLEWMÄDO, A,p. p. de
Eusaenmin, 9. a. cacher, enfoncer dans un
beis &pais,, dans des buissons,, elc.
Eusruuman-se, v. r. s’enfoncer dans !’&-
paisseur d’un bois, dans des buissons, dans
des halliers.
+ Eunnıacipautnte, ade. avec irresse.(flg.)
Avec extase, avec enthonsiasme.
Empnrackno, a, p. p. de Embdriagdr. adj.
Irre, soül. (Ag. ) Transports, ravi, extasie.
EMSRIAGARTE, adj. 2 gen. enivrant. p. a. de
Euszıacia,v. a. V. Embebedar. (fg.) Eni-
vrer, absorber l’esprit, transporter, ravir, ex-
tasier, metise hors de sei, enthousiasımer. 11
©8t aussi reciprogue.
Eumnıagutz, 5. f. ivresse : tat de oelui qui | cri
PORT.-FR.
EMB sei
ost ivro. (Ag.)-=, extase, rayissoment, enthou-
siasme.
Eusnli6, V. Embryo.
EuasıpiD0,A,P. 9. de
Eusnıpäa, vo. e. brider : mettre la bride.
Emsnrpin, v. w. courber le cou, porter bien
la t&te, parlant des chevaux. —se, v.r. (fig.)
s’onorgueillir, devenir arrogant, insolent.
Eusrocaciö,s. f. (lt. de med.) embrocation :
arrosoment, fomentation avec les mains, une
6ponge , etc. ; ligquide qu’on verse sur une partie
malade.
ENBROCAR , ele. V. Emborear, etc.
* EUBROLAMENTO, s. m. V. B
EMskULHina, s. f. Confasion , embarras , em-
brouillement; intrigue; brouillerie.
EMBRULHÄDANENTE , ado. d'une manidre em-
brouillee,, confuse.
EusauLnipo, 4,9.9.d’Emdrulher.
EMBRULBADOR, A, 8. qui embrouille, qui
brouille, qui met du desordre, de la confu-
sion. Brouillon , tracassier, faiseur de paquets.
EMBRULHAnNÜRA, 5. f. “ enveloppement.
EMBRULHANENTO, s.m. l’action d’embrouil-
ler, d’envelopper. — d’ssiömago, naus6es , nal
au c»ur, envie de vomir.
EmsaULHÄiR, ©. a. envelopper, empaqueter.
(fig.) Embrouiller : meitre del’embarras, de la
oonfusion. Brouiller, diviser, mettre en mau-
vaise intelligence. — 0 esiomago, Ccauser des
naustes,, soulever lo caur.
EupruLBir-se, v. r. s’embronuilier, s’em-
barrasser;; se troubler. Se brouiller, se couvrir
de nuages, parlant du temps. — 0 estomago,
avoir des nausdes, mal au cur. — 0 ospole,
s’envelopper dans son manteau. — fallande.
bredouiller.
+ EusatLno, s. m. paquet, chose envelop-
p6e. (Ag.) Galimatias, embarras, confusion,
embrouillement, imbroglio. (id.) ° Brouillerie,
tracasserie.
Eusauscino, A, 9. p. de
EMBRUSCÄR-SE , ©. r. se couvrir de nunges,
de brouillards, s’obscureir, &tre nöbuleux,
parlant da temps. (fig.) Se fächer;; s’atirister.
— 0 fempo , se couvrir, parlant du temps ; (g.)
tourner mal, parlant d’une affaire, oto.
Eusauran. V. Emdrutecer.
Eusaursctr, v. a. abrutir, höbtter ; rendre
stupide.
EMBRUTECER, 9.%. 6-80, 0. 7. s’abrutir e
devenir gupide, hebei£.
EnBRUTECIDO, A, P. pP. d’ Emdruiecer.
EMBRUTECINENTO, s. m. abrutissement : dit
d’une personne abrutie; stupidiLs grossiöre.
Eusauxino, A,p. p. de .
Eusauxän, v. @. onsorceler. V. Enfeilicor.
Eusaviö, e. m. ombryon : fotus naissant
dans Is matrioe; : rudiment du jeune fruit, des
plantes, des feurs, oto. (fig-) Chose eonfuse,
sans ordre, sans forme. Ester em, n'etre
point sorti de sa coquille.
Eusnvocaarnia, 3. f. embryographia : des-
cription du faatus dans la matrice.
3
482 EMB
t EusnvoLochs,, s. f. embryologie : traild
sur l'’embryon dans la matrice. 0
+ Eusavortouia , s. f. embryotomie : disseo-
tion ow extraction de l’embryon.
+EwsaYvuLQuia, 3. f. (£.dechir.)embryuikie:
extraction forode du fatus.
+Eusoi, s.m. nom d'un insecte du Bresil :
on en fait une masse caustique qui brüle les
chairs.
Eusuckipautinte ,„ adv. V. Dissimulade-
monie.
EuBuGaDßTE ‚adj. 2 gen. dim. de
Eusucino, a, adj. enveloppe, couvert.p.p.de
Eusogin, 0. 6. se couvrir le visage jusqu’ä
la hautsur des yeux. (g.\ Deguiser, oacher ce
qu’on pense, perler on termes ambigus. — @
Eusoucän+#E, vo. r. s’aflubler, s’envelopper
dans son manteau. (flg.) Se masquor, se d#-
guiser ; dissimuler.
Eusucnivo, A, adj. gorge. (Ag.) Interdit.
p.p: de
EMBUCBÄR, 9. G. rassasior, gorger, remplir
le jabot. (Ag.) Interdire.
Eusöco, s. m. la partie du manleau, eic.,
qui sert A couvrir le visage; affublement. Ma-
niere dont quelques femmes se cachent le vi-
sage avec leur volle, en no laissent entrevoir
qu’un @il. (Ag.) Tour de phrase : manidre
adroite de faire entendre sa ponste sans la de#-
clarer ouvertement; ruse, dissimulsation, de-
guisoment.
Eustne. V. Ambusde et Funil.
° Eunufzano, a. V. Curvado.
ums. V. Emboio.
BURILHÄDA.
ENBURILHAR-SE, etc. Y. Embrulk..., etc.
Kusunnieo, a,p. p. de
Eusunräin,v.n. (6. pop.) s’arröler lout court.
Emsnunsıcino, A, p. 9. de
Eusunnicia, ev. a. (l. P0p.) prendre pour
dupe ‚se jouer de, attraper.
EusunuLsina, ote. V. Embrulhdda, etc.
Emsdste, s. m. menterie, mendonge artil-
eienx, fourberie, ruse. —, pl. V. Patrankas.
Eupusteipo, A, p. p. de
+ Eususrain, o. a. trormper par des menson-
ges. V. Embair.v.n. Usersouvent de menteries,
tromper sauvent, [abriquer des mensonges.
EnMBUsT£ıro, A, 8. menteur: qui dit des men-
tert; fourbe,, imposteur, hypocrite; fnaud.
MBUSTERIA 0% :
Emausrioe ;s.f. } fourberie. V. Embuste.
Busurino, a,p. 7. de Embulir. se. . * Mar-
queterie :ouvrage de ımhenuiserie ; incrustalion.
On le dit aussi d’un ourrage en mosafque.
EusUTIDOR , 5. m. duvrier en marqueterie.
Eusuripöaa, s. f. marqueterie, incrusta-
tion ; action d’incrusier.
Eusoria, ©. a. metire, presser une obasse
dans une autre. Marqueter, travailleren mar-
queterie; plaquer; incruster. (fam.) Manger
goulüment, aveo excds. (Ag.) Faire croire un
Bucnsonge. '
EME
Eucmino. V. Encimddo.
Eucoumissan. V. Encommisser.
Eur, 3. m. nom.de la letire M.
EMEnDA , s. f. correction : action de eotrigen,
de's& corriger ; amendement, chengement phy-
sique bu moral en mieux. Resipiscence : r6-
connaissance de sa faute avec amendement,
Correction des fautes d’un ouvrage, obierti-
ton, note sur ses delauts. * Dedommagement,
compensation. chätliment, correction ; amende.
*"Ajoutage, renforcement. Entournufe, fogmere,
öchancrure (site & un babit pour l’ajuster. — da
vida ou costumes, amendement, reforme,
changement de vie. Tomar —, se eorriget. io
ter —, 6ird incorrigibie.
EMENDÄDANMENTE , adv. correciernent, e130-
tement, soigneusement. '
EneEnpi®6, A, P. p. d’Emendar.
ENENDADOR ; 3.'m. eorrecteur : celul qui ee
rige. ' -.._t
Euenpir, v. a. corriger : changer en mieut
ou en bien, öter les defauts; röformer; amen-
der. Dedommager, coinpeniser; repater is dot
mages. (4. de prat.) Amender, corfiger, refo-
mer. — a mmlo, 6 corriger. — a nid, se Corte,
changer de vie. — um vestido, rogner, erider,
schanerer un habil pour l’ajuster. — e recorre?
ma lalha, (1.de mar.) reprenäre un palan.
EMENDÄR-SE, v. Fr. s’amender, renirer dans
son devoir; se corriger, devenir meilleur,
döfatre d’un defaut. Quem erra e se emendi &
Deos se eneommenda, (prov.) celui qui peche
et se Corrige merite que Dien Iui pardonne.
Euenmpivsr,, adj. 2 gew. corrigible : qui peut
se corriger, dire corfige ; r¶bie.
Euenvicar. V. Mendigar.
Euenta, s. f. V. Apontamenio. Tablells,
agenda. * Sominalre, extrait; aperu ( d’un
compte, etc.). Commemoration : priere po®'
les moris.
*Euzntäin, ete. V. Aponlar, Mencioner, tl.
*EMENTÄRIO, 5. m.“ taßlettes, agenda. Ü.
V. Inventario, Rol. ‘
Ewenotnorr , 8. f. occurrence, drönemeni
fortuit, qui derive d’an autre iucident.
Euzncknte, adj. 2 gen. qui proodde, qi
derive, qui provient, qui naft, qui surrient
(1. de phys.) Emergent : ( rayon)) qui traren®
un milien et en sort. Damso oramage >
sultant du delai de payement.
Euzacioo,A,p. 9. de
+Euzacıa, v. n. sortir d’od Fop stait pleugt.
Se lever, paraltre sur l’horizon , parlant du 9°
leil, etc.
+ Euenrrönse, adj. 2 gen. do Merida ( Av
gusia Emerita), ville de I’Estramadare espe-
gnole.
EurıT0, A, adj. $mörite : (professeur) per-
sionne apres un temps i6gal @exereice; qui &
rempli je temps de son service, parlant des
soldats romalıs. '
+ Emzao, s.m. (1. de Bot.) &merus : plane
läguminense.
Euznsi6, 5. f. (1. d’aslr.) dmersion (duM
EMM
nöte) : action de reparaltse en Sortant de
’ombre qui l’&clipsait; &levation d’un solide
au-dessus d’un finide dans lequel il &tait plon-
gs; c't Poppos6 d’immersion.
tEwsriapäns, 8. f.
priete, emploi de P’&mötique.
Eutrico , A, adj. et s. m. (6. de mdd.) ömeli-
que : violent vomitil, antimoine pr&pare.
+Eusrina, s. f. ( 6. de chim.) dmetine : sub-
stance alealine de lip6oacuanha.
+Eusrızano, A, adj. ometist : meld d’dme-
ligue. 9. p. de
+ Eutrızin, vo. a (8. de med.) &mötiser :
meler d’&mttique; purger avec l’6ömetigue.
* Eurarıora , adv. V. Fatiosim (em).
Eurtsto. V. Enfesto.
+Eunastäno, A, adj. arbore (pavillon).
Euszavioo. V. Horvddo.
Bıncnaciö, s. f. emigretion: astion d’eml-
grer ; son effet.
Enıcnäpo , A , adj. et s. dmigre : qui a aban-
denne son pays; qui a ei6 oblig6 d’en sorlir
pour eriter la persscution et la mort. p. p.de
Euscrin, vo. ». &migrer : abandonner son
pays pour so fer, se refugier dans un autre.
Euina ,s. f. &ınine : ancienne mesure pour
les grains; c’ötait un quart et demi de Palquier
(en Portagal ).
Eumipa, s. f. terre qui oontient une mine
de semaille,
Eumitncua, s. f. äminence, hauteur, lieu
&minent. (Ag.) Sublimit# de gönie,, de verlu,
etc.; ei&vation, excellence. —, titre honoriß-
que des cardinaux, du grand-mattre de Malte.
Euınente, adj. 2 gew. &minent, haut, dleve.
(Ag.) Qui surpasse les autres. Virtude—, baute
veria.
‚ verta , pro-
Eımnenveußnte, adv. &minemment, par ex-
cellence , au plus baut point, au suprene de-
gre de perfection ; excellemment.
Emnentissıno, A, adj. sup. d’Bmrinonte.
£minentissime ; trös-&minent; tiire des cardi-
Raux,, du grand-maltre de Malte.
Buin, s. m. &mir: titre des desoendanis de
Nabomet.
ısr&nıo. V. Hemispherio.
Enıssäö, s. f. &mission : action d’ömelire,
de pousser dehors; ses effets.
Euıssinıo, s. m. &missaire : envoy& secret
poar öpier, sonder. Bode —, adj. bouc-$mis-
saire, que les julls chassaient dans le desert
apr&s Pavoir charges de mal6sdictions. Bode,
Cepro —, bouo, pre d’an troupeau de che-
vres
Eurrrivo, A, p.p- de
+ Esırrız,, v. 3. 6mettre, prodalre; publier;
faire cireuler ( papier-monnaie, billets de ban-
que, eic.). Mettre, jeter, pousser dehors.
Eurrria-se ‚vo. r. 6ire mis, parent de bil-
lets de banque, etc.
Euıneacid. V. Alkeapdo.
* Euticom. V. Bleigäo.
Eumansınauanro. V. Madeiramönto.
Euwapsınioo, A, p. p. d’Emmadsirer.
EMM A8B3
EuMmanEIRÄR, v. a. couvrir de planches, de
poutres‘, les toits d’un edißce, et. V. Madei-
rar.
EuwaGrEctR, 9. @. amaigrir, emmaigrir :
rendre maigre. 9. @. —, devenir maigre. Il est
aussi r&eiproque.
Euwacascino, 4,9. pP. d’Emmagrecer.
EuwaGrEcıuäxyo, s. m. l’action de malgrir.
V. Magreze.
ENNALADO,&, 9. 9. de
+ EuuaLia, v. a. mettre en malle, emmal-
ler. V. Enirouxaer. "
ENNALBÄDO, A, Pp. p. de
a uln, v. @. fsire des msilles (A un
et ®
EmuALHÄR-SE, 9. f. Barmer de cotie de
meilles. °
EuusLyering,A,P. Pp. do
EuMALHETAR , 9%. @. enchässer, embolter ;
unir par mortaise.
Euuanguscha, v. ». devenir boiteux.
Euuaripvo. V. Amarddo.
EumaranninO, A, p. p. d’Emmaranher.
? ENMARANHANENTO , s.. seihbrouillement,
ötat d’une chose embrouillede, melde.
Euuananuär, vo. a. embrouiller, entortiller,
meler, en parlant descheveug, d’un echeveau,
etc. (Ag.) Confondre, embrewiller, entortiller,
parlant d’une affaire, eto.
ENMARANBÄR-SE, v. r. s’engager, se ıntler
( dens des proc&s, elc.).
Euuarin-sE. V. Amarar-se.
Euwanarzino. V. Maoreddo et Amarddo.
EnuARzLLEcER. V. Amarellscer.
EumaaLoran, otc. V. Amarlotar.
Euuascanär, eto. V. Mäscarer.
Euwassino, A,9.p. de
Enuuassin, v. a. metire des papiers en lasse.
i$. Arranger les cartes pour trioher.
* Eumastan.
EMmASTRAR. | V. Emmasfrear.
Eumasrazioo,A,p.p. de
Eunuastazin, v. a. mäter un navire.
Eumtoino,A,p.p. de
EuußoaR , 9. &. amoncpler, entasser.
EsuuxıLiÄpo,A,p.p. de
+ EussıLir, 0. a. emmieller: enduire de
mie} ; adoucir, rendre doux avee da miel.
+ EusELLaR-sE, o. r. s’enduire de miel.
Euuznacöco, A, adj. (t. de mid.) emmen2-
gogue : (medicament) qui provoque les rögies.
Euwunpa, etc. V. E „etc.
EuueEninsckn, v. ®. Tajeunir ; tomber dans
Penfance,.
Eumznta, etc. V. Emenia, ot.
* EuNENTES 0% } pendant, en attendant,
* EunEnTaes, adv. tandis que.
Euwonpan. V. Moldar et Amoidar.
Eumorpaci00,A,Pp. pP. de
+ Emworpacär, vo. a. cmbäillonner : meitre
un bäillon. (£g.) Faire taire.
Eumostäno, A, adj. trempe dans ie moüt;
reduit en moüt. Aodte, parlant du Faisin. 9. P&
de Emmostdr.
84 EMP
+ Euwostir, v. a. aohıtter le ralsin, Tui don-
ner la douceur du moüt.
tr Emwostän-se, ©. r. s’adoueir dans du
moüt; s’en abreuver.
Eumovorscee. V. Bsurdecer.
Eusupeckr, v. a. rendre muel, fermer la
houche & quelqu’un; faire taire. (Ag.\ Taire.
9. %. Devenir muet ; ne dire mot.
Esmmupecinn, A, p. p. de Emmuderer.
Esmuncnsckr, v. @. faire faner.v. «. V.
Aurcher.
"Eu ua, Eu no,pour Emo, Ema.V. Em
et No, ne.
* Eunsıxacäö, oto. V. Annexardd.
EuogAö, s. f. $motion : altcration , trouble,
sgilalion ; mouvrement de l’Ame.
EnoLLißnte,, adj. 2 gen. ( I. de mid.) smol-
lient : qui amollit, adoucit (eınplätre, plante).
Euoruin,d. @.(#. de med. p. us.) amollir,
adoukcir.
EyoLumento, 8. m. dmolu’uent: gain, pro-
fit, avantage ; casuel,, surtout d’une charge.
EN-OurIcan-88 , o.r. V icar-se.
Eura, s. f." schalassement : action d’&cha-
lasser, de mettre des tuteurs & la vigne; temps
qui est ä propos pour faire ce travail. Aocolage.
T Empacässa ow Pacassa, s. m. (i. d’hist.
nal.) empacassa ou pacassa : bufllo ou bubale
du Congo.
EmracHino, 4, 9. p. d’Empacher. adj. Sur-
charge d’aliments, parlant de l’estomac ; trop
charge; troubl&, interdit; embarrasse, timide.
Estar — um navio. On le dit d’un vaisseau oü
rien ne peut entrer ä cause de quelque embar-
ras.
EMPACHAu£uTO. V. Empacho.
Euracuir, o. a. empecher ; mettre obstscle.
Surcharger, fatiguer l’estomac. Obstruer, g6-
ner, embarrasser.
EMPACHÄR-SE,, ©. r. se surcharger, parlant
de Pestomac ; s’obstruer ; @iretrop charge, par-
lant d’un vaisseao. (fg.) V. Emberspar-se.
Euricno, s. m. embarras, obstacie, dii-
culis; emp6chement. (Ag.) * Timidits, embar-
ras, honte, troubie. p. us. — d’esiömago, poids
sur l’estomac, coclion imparfaite des aliments.
+ Eupacaöso, A, adj. embarrassant : qui
cause de Fombarras. (4g.) Honteux ‚ timide.
Euräpa, s. f. * pät6, tourte (de viande ou
de poisson ).
Eurapszia, eto. V. Empavezdr, etc.
Eurio0, A, p.'p. d’Empar.
EupaproApo, A,p.p. de
EuPADROÄR, ©. @. recenser, enregistrer les
oontribuables , les mettre sur les röles des im-
positions,
EurapnoAR-sE, o. r. s’enregistrer, s’'inscrire.
EuraLscäö, s. f. * empalement : supplice qui
eonsiste & faire passer un pal A travers le corps
du patient.
EuraLiD0,A,P.p. d’Em .
EmraLauävo ou EMPALENADO, A, adj. (1.
pP.) V. Emplastrado ou Adoeniado.
EuraLia,o.a. empaler: ficher un pal aiga
EMP
dans ie fondement, et le faire sorlir par les
€paules ou la gorge.
EuraLnacid, 8. f. * empaillage: action d’em-
pailler. ( Ag.) * Prötexte, supercherie pour 9»
gner du temps ; palliatif,, faax-fuyant.
EuraLnipo, A, P. p. d’Empaiker.
ENPALBANENTO, s.m. V.E .
EMPALBAR, 0. 6. empailler : garnir de paille,
de joncs; remplir de paille; coucher sar Is
paille (des fruils). ( Ag.) Retarder par rom,
par artifice ; amuser, temporiser.
ENMPALBEIRÄDO, A, 9. 9. de
EMPrALHEIRÄR, ©. &. serrer la paille dans ie
grenier.
EuPaLLmschn, v. 9». pälir : devemir päle.
EurıLwin0, A,p.p. de
+ EupaLuär, 0. 6. ernpaumer : recevoir dans
la paume de la main ; cacher dans la paume de
la main (une carte au jeu, etc.). (fg.) Derober,
filouter, escroquer.
EMrPAMPANiDO, A, 2. 9. de
+ Euraupanir-sE, v. r. se couvrir de pa-
pres, en parlant de la vigoe.
Euranäpa. V.Empdda. it. * Chässisde eroisöt
garni de toile ciree, ete., au lieu dovitres.
ENPANADILBA, 3. f. dim. d’Empemada. Peiil
päle , tartelette ; rissole.
Euranino,A,p. p. d’Empenar. adj. Ternt:
qui a peu d’eclat.
EMPANAMENTO , 8. m. *lernissure: action Je
tirer le lustre, Peclat; ses effews.
Emranin ou EurAnnan, v. a. ternir: rendre
terne, obscar; öter l’eclat. ( Ag.) —, More.
souiller, dönigrer ; 6. masquer, deguistt. Gat-
nir an chässis de croisee d'une toila ciree, Ele.
Euranin-sE, 0. r. se ternir : perdre son eciat,
son lustre.
ENPANDEIRAMENTO,, 3. m. V. Inchapdb.
Emrannzınan,. V. Inchar, Empanlurrat‘.
ENuPANDILBÄDO, A, 9. p. de
EmranDıLHir, 0. a. r6unir deux cares eh
jouant pour faire quelque tricherie. (fam-) Es
porter en cachette, derober adroitemen!.
ENPANDILHÄR-SE,, 9. Fr. s’associer pour dupt!
au Jeu ou autrement.
EMPANDINAR-SE, etc. V. Empanzin.., '%-
EMPANNADO,A,P.p. de
Eurannin, v. a. couvrir de toile ou de rap;
envelopper dans des draps. V. Empenar.
EuPANTaAniDO,A,p. p. de
Eurantania, ©. a. submerger : remplir @8
terrein d’eau. Embourber : meltre dans "4
bourbier.
EMPANTANÄR-SE, 0. r. s’embourber: se mer
tre dans un bourbier, s’enloncer dans un 4
rais; devenir marecageux, en parlant d’u
terrain.
Eupanturin0, A,P. p. de
EwrANTUrÄR-SE , v.r. mettre des panloufle;
( Ag.) faire le fer, se rengorger.
EMPANTURRÄDO, A, pP. p. de
EMrANTURRÄR-SE, v. Fr. Se gorger, se bot“
rer, s’empiffrer, balrer. (fg.) Faire Je gros dot,
devenir fier, orgueilleux.
EMP
Rurınzınino,, A, p.'p. de
Euranzımär,, ©. a. (P0p.) gorger de nourri-
ture. Remplir en poussant. V. Empanturrar.
EurariDo, A,p.p. de
Eurarin, vo. a. imbiber, Iremper, plonger
dans en liquide;; mitonner. ( ig.) V. Imbuir.
Eurapän-se (em), v. r. s’imbiber. V. Enso-
por-s. ( Ag.) V. Embeber-se, Cevar-se.
Eurar£LiDO, A, p. p. d’Empapelar.
tEurarSLADOR, 8. m. colui qui enveloppe
dans un papier.
EurarsLän, 9. @. enveloppor dans du papier.
(Ag) Garder, conserver avec beaucoup de
sein.
EurarsLia-SE, v.r. s6 menager beaucoup;
se soigner, se choyer.
Eurarucän, etc. V. Empanzinar, etc.
Eurän, v. a. schalssser, accoler la vigne.
Euraramentär, etc. V. Paramenlar, eic.
Euranino, olc. V. Amparado, eic.
Eupanalzino,A,P.p. de
+ Euransizik, v. 6. mettre dans le paradis;
eauser les delices du paradis.
Eurarän, etc. V. Amparar, elc.
*Euranpzeino. V. Emparedado.
EuPAREDADO, A, p. p. d’Emparedar. adj. On
le disait des personnes laiques qui vivaient
dans des maisons clolirdes.
ENTAREDAMENTO, 5. m. action d’enfermer en-
tre quatre murailles. Clojtre, en parlant d'un
monastöre.
Emranzpie, v. a. mellre, enlermer entire
quatre murailles,, claquemurer. V. Clausurar.
EupARnSDAR-sE , v. r. s’onfermer dans le cloi-
tse. S’6iever comme des murailles, en parlant
des Bots,
EmpARELBADO, A, P. p. d’Empareikar. adj.
(t. de bot.) G6&mind, double, en pariant des
feuilles.
ENPARBLHAMENTO, 3. m. action d’assorlir,
d’egalisor, d’appareiller; appariement.
EuPARELNÄR, 0. @. appareiller, assortir, &ga-
Iiser, unir ; apparier. (a, com) Comparer, ıneltre
en parallele.
EMPARELHAR (COm), v. ». aller de pair avec,
segaler A; &tre dgal, assorti, appareille. Mettre
au jeu a part &gale ; eire de moilie.
EnrPARELHAR-SE (com), ©. r. sa considerer
egal &; voulois s’ögaler A ow aller de pair avec.
“%. S'aocoupler, s’apparier, se marier.
EuparEıTaR, olc. V. Aparentar, eic.
Eupino. V. Ampdro.
Eursanioo, A, p.p. de
Eupannän-sE, 9.7.86 couvrir de feuilles, en
parlant de la vigne.
Eurınvoscka, v. a. rondre bete, stupide.
tv. n. Devenir sot, bete ; s’abrutir.
EuPARVOECIDO, A, 2. p. d’Emparvoecer.
Eurascoäir, o. n. soleuniser la Päque.
Eupisuo, s. m. empasme : poudre parfumte
guon repanı Sur le corps pour absorher la
eur.
Euristipo,a,p.p. do En:pastär. adi. p.us.
EMP 485
Od il y a pAturage pour les bötes, en parlant
d’un champ, etc.
+ EnPAsTauknto, s. m. empätement : action
d’empäter ; 6tat de ce qui est empätl£.
Eurastäs, v.a. coller du papier; faire des
ouvrages de carton. (#. de peint.) Empäter :
mettre beaucoup de couleurs sur un tableau.
+Eurita, s. f. "embargo; confiscation. u.
V. Empate.
ENMrATADO, A, Pp. p. de
Euratia, v9. a. egaliser, parlager : rendra
€gales les voix, les suffrages dans une delibe-
ralıon. Suspendre,, arröter une r&solution ; sal-
sir, faire arret, söquestrer. ( Ag.) Arröter, em-
ptcher, embarrasser. — os volos, partager le.
suffrages dgalement. — as vasas, contrecarrer,
ögaler les lev6es au jeu. — om al COWSG,
(ve. ». p. ws.) heurter contre quelque chose.
Eurite, s. m. aclion de suspendre le cours
d’une affaire; opposition, sequesire, saisie;
irresolution,, indecision. * Partage: egalit6 de
voix, de suffrages dans une deliberation. — 20
giro, (8. de comm.) inaclion, siagnalion du
commerce.
Eupavanär-sK. V. Apavanar-se.
EMPAVBZADO, A, 9. p. de
EuravEzin, v.a.(l.de mar.) pavoiser : cou-
vrir, garnir de pavois, de paviers un vaisseau
dans un jour de combat. —, garnir un vaisseau
de pavois, de pavillons dans un Jour de rejouis-
sance; baslinguer.
EMPAVEZÄR-SE, ©. Fr. Se pavoiser, so garnir
de pavois, eio. (fg. fam.) Se pavaner, faire le
fer.
Euravorıa , etc. V. Espavorir, etc.
+ Eure, s. m. (1. d’hist. nal.) empis : diptäre
empide. — plumipede, empis pennipede.
EuP£Ano, A, pP. p. de
+EurEin ow Eupian, ©. a. (8. d’agricul.)
donner un second depicage au bie.
Empscäno, A, adj. embarrass6; (Ag.) em-
brouille (style). p. p. de
Eupscäir, v. a. meler, embarrasser ; emp®-
cher. Commencer (inus.). — (em), v.n. V. Em
bicar, Topar.
Eurickr, v. 6. eln. nuite, emp6cher, arı6-
ter, embarrasser, s’opposer ä&.
Emp£cıno, A, p. p. d’Empecer.adj. Lese,
eımbarrass6, arreie. ,
EureciLno, s. m. empöchement, obslacle,
Opposition.
EuPscımEnto, s. m. empechement, obstasle.
Dommage , tort, prejudice.
EuPrzcivEL, adj. 2 gen.
EuPEcivo, A, adj. } V. Noeivo.
Euptco. V. Empecilko, Estorvo; Comero
(ant.).
ENMPECONHAR, 6lc. V. Envenenar, Ir
EMPEGONHENTAR, ElO. fleionar, etc.
Eupengunscee. V. Empedernir.
Eursosanipo, A,adj. (Ag.) Dur, inflexible,
insensible. p. p. de
EuPpapsanin, ©, a. pötrifier; rendro dur
186 EMP
comme 1a pierre. (g.) Endureir, rendre dur,
inexorable.
ENPEKDERNIR-SE , ©. r. se petrifler, devenir
dur comme la pierre. (fg.) S’endurcir, de-
venir insensible, impitoyable, dur, inflexible,
eruel.
EnPEDIBENTO, etc. V. Impedimenio, etc.
EuPreoRÄDo, k, pP. pP. d’Empedrar. s. m.
Pave: terrain , chemin , chaussee , espace pave&.
EMPEDRADOR, 8. m. paveur: celui qui pave.
EnPpeorandra, s. f. mal qui vient au sabot
des chevauz.
+ EsPEDRANMENTO, 8. m. pavement: action
de paver,, empierrement (ant.).
EuPEDRÄR, ©. a. paver: couvrir, yarnir de
pierres (une rue, une cour, etc.). Empierrer.
(fig.) Endureir. — um 920c0, faire la douve d’un
puits.
EumPeDRÄn-SE, ©. r. se petrifier; devenir
pierreux, en parlanı des fruits, etc. ; s’ch-
dureir.
Eur£cin, etc. V. Engolfar, etc.
EmPpriorino, A, 9.9. de
ENMPEIORAR, ©. &. ompirer ı rendre, faire de-
venir pire, mettrs en pire 6lat. vo. n.—, de-
venir pire, en plus mauvals 6tat. Il est aussi
reciprodue.
EwreLLanino, A. V. Eimpalamado. ti. p.2.
e
EupELLAuiR, 9%. 6. mettro los pesux & tan-
ner.
EureLuicino, A, adj. couvert d’une pelli-
cute. Naser —. naltre coiff6, en parlant d’un
"“enfant. p. p. de
EMPELLICÄR,, %. @. pr&purer les peaux finos;
touvrir d’une peau Äne.
EMPELO, 8. m. morceau de päte informe dont
on fait un pain.
+EwpeLöra, s. f. ampoule, flole, petito
bouteille.
Eurtna, s. f. cambrure d’une planche qui
s’est dejet£e. ° Pignon : le haut bout des mu-
railles d’une maison. V. Tacanica.
EurenapiLHa. V. Empanadilha.
Eurenino, A, p. p. de
EupenÄr, 0. n%. 56 döjoter: se ditdu bois, etc.,
qui travaille, qui se courbe, se retire. o. @.
(p- us.) Faire, causer de la peine; chälier.
EMrEnnA, s. f. empelgne : tous lo dessus
et los cöLss du soulier.
+ ENPENBÄDANENTE ‚adv. obstinöment, aveo
opiniätretd; avec sollicitude, efforts.
ENrENHÄDO,A,P. PP. d’Empenkar. adj. Mal-
aiss, endettd; "hypoibeque, mis en gage; inte-
rose, qui s’interesse.
ENPEREAMENTO, s, m. action de meitre en
gage ; dette contracise. V. Empenho.
EMPENHÄR, 9. a. engager : donner, meltre
en gage. —, Contraindre, determiner, forcer &
faire quelgue chose. Faire quelqu’un son m&-
diateur, son intercesseur pour röassir dans
quelque ohose. — a palaora, lohner sa pa-
role, l’engager.
ENPENDÄR-SE, v. r. s’endetter, contratier
EMP
des deties on engägeant os hypoih&4dänit des
hiens, eto.(om ) S’engager &, ou dans ; s'opi-
niatrer, s’obstiner & queique ehose, A vouloir
formement; faire tous ses efforts. (por, a faror
de) Reoommauder, s’inieresser & quelqu’un,
prier d’ötre farorable ä quelqu’un. Braver les
perils , les obstacles, etc., s’y erposer coara-
geusement. — em rasdes, s’engager & faire
quelque chose. — ma#ito , s’engager trop avant.
EurE&nuo, s. m. engagement: l’action d’en-
Kager, de stengager, de recommander. —, pro
messe. — , obligalion de payer que oentracie
celui qui met en gage; dette, gage. Devoir:
obligation que l’honneur, la conseiente ou
quelque autre motlf nous presorirent. (fg.)
Desir ardent de faire on d’obtenir quelge
chose et l!’objet meme de ce desir. (id-)" Ar
deur & continuer dans quelque dessein. (.)
* Sollicitude, soins, z@le, effort; entreprise.
(id.) Protecteur : la personne qui recounmande,
qui prie d’etre favorable & queiqu’un ; protec-
tion, appui. Com —, adv. avee ardeur, are
vivacit6; avec grand inieret os grand dess.
Carta d —,letire de recommandation are
empressement. — amor0so ‚liaison amonreose.
Metter —s, briguer, chercher des protectiens.
Teer — ou em, tenir beauooup, viserd,
avoir un grand desir de. V. Empenhar-s ım.
com iodo 0 — a, se d6Vouer sans rr-
serve, tout entier &.
EurEnHoniDo, A, P. 9. d’ Emponkerar.
ENPERBOhANERTO, s. m. l’actien ot F’effet de
donner en gage.
EuPENnORÄR,, 9. a. donner en gage.
Eurennin0,A,p.p. de
EurennÄn, v. a. emplumer : remplir, garsir
de plumes. 0. ». Se oouvrir, se garmir de pie-
.| mes; commencer & avoir des plumes. 1 es
aussi r&ciprogue
Eursorir, oic. V. Empsiorar, eie.
EurerınäAno,A,(P0p.) V. Teso, Rio.
EupnQusTÄDo, a, (f. da Bresü)V. Enze-
que “
EureranOr, etc. V. Imperador, elc.
EurenLino, A,P.p. de
EursaLin,v.a. (4. de po6s.) garnir, parer
de perles.
* Eupeao ‚conj. mais, cependant. V. Porta,
Todavia.
EurEenRniDaMenTE, ado. obstinement, opi-
niätrement.
EurerRi00,A,92-2.0E
ENPERRAMENTO, .m. “ obstination, opinis-
trete.
EureRRÄR, ©. a. rendre dur, raide. (Ag.)
Rendre opinidire, confirmer dans Pobsuns-
tion ; endurcir (le caur).
EMPERRÄR, vo. n. et — SE, v. r. geniiter,
s’obstiner, se buter; devenir furieux, enrag6
comme un chien,, ne pas vouloir o6der.
Eup£ano. V. Emperramento.
Eurearticino, A, adj. droit comme unl,
raide. p-. p. de
ENPERTIGÄR,, 9. 0. raidir, dresser,
|
Eusaunriein-ez, v. r. se tenir droit comm#
un I; se carrer.
Eursscino „A,P. p.de Empesgar
+Euvsscanöns, s. f. laclion de poisser,
d’enduire de poix,, et Penduit.
+Eurzscäa, 9. @. polsser : enduire, frotter
de poiz.
Eurzssiver. V. Empecivel.
*EMPESSOAKENTO, 5. m. action, acte de met-
tre en possession,
*Eurzssoia, oto. V. Empossar, etc.
Euristipo, A,9.p. de
EuP£STAR, 9. @. ompester : infecier de peste,
de mal contagieux. (Ag.) Corrompre,, contami-
ner.
+Eurtrao,s.m.(i. de boi,) ermpetrum , ca-
marine & fruils blangs „genidvre doux.
EuPEYORAR, olc. V. Empeiorer, eio.
Eurszino, A,P.p. de
EMPEZAR, 0. barfumer avec dela peix ( les
viandes, etc.). dt. V. Empesgar.
+ Empazınyäno, a, adj. poiss6, endult de
poix; noirci de la fumee de la poiz.
MPHASE ou Empnasıs, s. f. eınphase : pompe
affectee dans les discours ‚les 6crits, la pro-
noncialion. .
ENPNÄTICAMRNTE , adv. emphaliquement s
avec emphase.
Euernätico, A, adj. emphatique : qui a de
Pemphase; ampoules.
Euraimzosıs, ao. V. Emphy..., elo.
sPpBRictıco, V. Emplastico.
Euravstua, a. m. (1. de med.) empbysäme :
maladie qui fait enfler ; tumeur, dans le tissu
cellulaire, pleine d’air.
Euruvrosıs, EuPHYTgUSIıS ou EMPHYTEOSE,
s.m.* emphy (8ose : bail & longues annees.
EuPBYTBOTA ou ENMPHYTEUTA, 4. 2 gen. em-
phytöote ow empbyteutaire : qui jJouit de l’em-
phyteose.
EuPHYTEUSIiA ‚8. f. V. Emphyiiosis.
ENPBYTEUTICAÄDO,, A , p- p. de
EMPRYTRUTICHR, v. 0. donner & bail empby-
teotique.
° EuPBYTEUTICÄBIO, A, adj. donne6 & bail em-
phyteolique (terres, biens).
EuPHYTEuTIcO, A, adj. emphytsotique : de
!emphyteose.
Euriaa. V. Empear.
Euricotäno, A,p. p. de
Euricorär, o. a. placer sur la cime, sur le
Sommet; exposer, au pilori, pilorier; attacher
quelqu’ un & la potence.
imrıDnöso. V.Impidoso, Impedido.
Emriema , elc. V. Eınpyema, ei.
Enuricen, s. f, dartre : maladie de la peau.
EuriLnino, A, pP. p. d’Empilhar...
EuP:LHAMENTO, 8. m. empilement : achon,
maniere d’ emgiler (le bois, lea bouleis, eic.).
EuriLuin, o, @. empiler : melire en pile (du
beis,, des boulets, etc.).
EMPINÄDO, 4, ad). elev6, haussd; escarp6
"montazne, elc.); cabr6 Icheval); vide (vorfe).
'7.: Orgueilleux. p. p, de Empiner.
EMP 487
Eurmin,v.a. elever, lever, hausser. Vider
leverre; boire beaucoup de vin, ever, hausser
le coude.
Eurinär-se, v. r.se mettre, se hausser sur la
pointe des pieds pour paraltre plus grand, ou
pour mieux voir les objets. Se cabrer, se dres-
ser, parlant d’un cheral. (fg.) S’elever, se dit
des montagnes , des tours, des arbres, etc.,
lorsqu’ils sont plus hauts que leschoses qui les
environnent. (id.) S’enfler d’orgueil; s’dlever
en dignile.
Emeino, s. m. action d’dlever, des’dlever; dtat
de chose #levöe ; action de se cabrer, parlant
du cheval. Faxer saides de-—-, porter des toasts
en vidant le verre.
Euprmmzo ,eto.
EnmPIREUMA , 6lc. | V. Empy...,eio.
Eupinicamknte, adv. en empirique : par la
seule expörience, par la seule pratique.
Emeinco, A, adj. empirique : (medecin) qui
n’a que l’experienoe, sans 6tude ni methode;
sans theorie. On l’emploie substantirement, et
alors il signiße charlatan. —, experimental, re-
connu per le fait (philosophie, eto.).
EnPiR1ISM0, 8. m. empirisme : caractöre, Con-
naissance pratique de l’eımpirique; medecine
pratiquede d’apres la seule experience, mede-
eine empirique ; se dit (fg.) metaphysique qui
considöre les objets en tant qu’ils existent; phi-
losophie qui ne 8’occupe que de constater des
faite , sans les lier entre eux par une theorie,
sans analyse ni synthäse.
Enrınricarn , oto. V. Emperligar, etc.
Bmeriscir, etc. V. Piscar, etc.
ENPLANTAR, ete.V. Implanier, ete.
EmeLastino, A, pP. p. de Emplastar. adj.
Couvert d’emplätres.
ENPLARTAMENTO, s. m. "omplastration, appli-
cation d’un oinplätre.
EurL.astin, v. a. appliquer, mettre des em-
plätres.
Euruisrico, A, adj. (t. de pharm.) emplas-
tique : emphractique, visqueux, qui bouche les
pores.
EurLisro, s. m. emplätre : onguent etendu
sur du linge, etc., que l’on applique sur...
EurLastran, olc. V. Emplastar, etc.
* EurLacaR, etc. V. Emprasxar, etc.
EnrLumar, etc. V. Empennar, etc.
Euroino,A,P.p. de
Eupoin, ‘v. a. convrit de poussiere; pou-
drer.
Emrosreckk, ©. a. appauvfir, rendre pau-
vre.0.#. S’appauvrir, devenir pauvre.
EMrOBRSCIDO, A, P. p. d’Empobrecer.
EMPOBRECIMENTO, s. m. appauvrissement :
indigenos; #tat, augmentatibn progressive de
pauvreie.
Eurogipo, A, adj. embourbe , bourbeur.
. p. de
Eurogia ‚v0. a. melire ou jeter dans un puits,
dans un bourbier.
Eupocan-SE, 0.7.8 s’embourber.
Ewrußikino, A, p. p. de Ämpesirar,
488 EMP
+ Euroßiria, 9. a. couvrir de poussiere,
(Aig.) Obscureir.
Euröris, s. f. pretexte frauduleux.
EMP
Eup6ssan-sE (de), 9. r. prendre possession;
s’emparer de. V. Apossar-se.
EurossıLcino, A, p.p. de
Euröro ‚s. m. quadrupsde de l’Ethiopie, qui| EmrossıLain, o. a. meitre dans une table ä
ressomble au cheval.
EuroöLa, s. f. cloche, ampoule, bouillon,
grosse bulle d’un liquide.
EumProLApo, A, p. p. de Emposar.
cochons.
Eurösta, s. f. (1. d’arch.) imposte: partie du
pied-droit sur laquelle coımmence un are, une
adj. Cou- | arcade.Chose placee, situee entre deuz aulres,
vert de pustules ; ampoule, enfle. (Ag.) Elevö; | v. g. ınontagne, foret, etc. (Ag.: " Empeche-
riche. Mer —, mer enfide ,agilee,, on courrouz. | ınent, obstacle. Portion de lerrain cullivee qui
Eıtylo —, siyle ampoule.
rapporie un certsin nombre de muids. (exl.)
EuroLia, o. a. faire venir des ampoules ou | Aide.
des cloches. (fg.) Enfler, enorgueillir. o. ». Be
Jever en ampoule; enfer.
Eurostöna, etc. V. Impostüra, ei.
Eurostunin. V. Disfarger, Mascerar ; E
EuroLia-se‘, vo. r. s’enfler ; s’agiter, parlant | ganar. .
de la mer. Devenir riche (p. ws.). Narviguer
vers le p6le ( 8. de mar.).
Eurouzacid.
ENPOLKADO. | V. Apolesa..., eic.
EuroLziDo, A, P. p. d’Empolsar-se. .
ENMPOLEAMENTO.
ENFOLEAR , eic. | V. 4polea..., eic.
Euroraip0,A,p.p. de
Eurorain, v.». ((.de veldr.) B’endureir, de-
venir squirreux, perlant d’une iumeur.
* Empnantar, etc. V. Impienlar, etc.
Euraazino, A, P. 9. W’Emprasdr. adj. is
signed.
Eurnazapör, 5. m. oelui qui assigne, gu
+ EuroLgir-se, v. r. (t. d’Asie). On le dit | appelie devant le juge (amf.). it. V. Enpiy
des Naires qui secroientsouilles en touchant un | Sowie.
adj. (8. de vener.) Qui recounalt le monk
gpoled. V. ce mot. (flg.) Se souiller, se profaner. | pour faire la battue (chasseur, chien, otc.).
EMPOLBIAADO, A,P.p. do
EuPRAZAMENTO, 5. m. (4. de pral.) ajourne-
EupoLgiaia, vo. a. meltre sür un jucheir. | ment: citation devant le jage. ° Assignalion:
(Ag.) Elever 4 une dignits; donner, conlerer | exploit contenant une citation. *Emphyleose.
une charge elevec.
Eurnazia,v.a. (f. de pral.) assiguer: ap
EMPOLEIRÄN-SE, ©. r. se percher, se jucher. | peler devanı le juge; ajourner. Donner & bail
(fig.) Se placer dans un lieu elevö ; s’enorgueil- | emphyteolique. (1. de vener.) Reconnaltre le
lir ä cause de sa posilion 6leve6e.
EuroLcantına,, s. f. * trou, cocbe ou &chan- | sanglier, l’acculer, etc. —
crure od ost fixe la corde de l’arc ou de l’ar-
halete. ncrure de l’essieu de bois des
charreties (en Portugal).
Euroıcipo, A, p. p. d’Empoigar.
tEwroLcanöna, 3. f. action d’empoigner,
mont pour faire la ballue. — a engs, cerner le
, retenir quek
qu’un,, le faire rester chez soi ou ailleurs.
Euraazin-SE, v. 7. se concerter avec quel-
qu’un pour queique dessein. Se donner rende
vous,
Emeazcino, s. m. employ6: qui a un eD-
d’agriffer, etc. "Encochement : acion d’enco- | ploi, une place. adj. Employe , occupe. Bem-,
cher, de bander un arc.
(exp. fam.) c’est bien fait, il le meritail, ‚en
EuroLcäin, v. 3. ampoigner, agrifler, saisir, | suis bien aise. Dar por bem —( ig.) se r&signer
accrocher; aliraper. Encocher : metire la corde | volontiers a quelque &renement desagreabie,
de l’arc dans sa coche; bander un arc , uno ar- | attendu l’avantage qui peut en rösulter, s’en
balete.
EmroLcutıaa, s. f. noix d’arbaldie. V. Em-
polgadeira.
EmuroLman, etc. V. Chocar, Incubar.
EuroLvorızino, A, pP. 7. de
EuroLvonızän, 9. s. pulveriser; poudrer,
jever de la poudre. V. Empoar.
Euronpenia. V. Inoumbir, Encarregar.
consoler. p. p. de
Eurascin (em), o. a. employer A: donner de
Fomploi, de l’occupation, eic.; metire ©&
usage. —, se servir de. —, depenser, 00n50M-
mer (ses renies, le temps, etc.).
Eurrzcäa-sE (em), v.r. S’employer, s’occU-
por & ; stappliquer A; agir pour.
Euraico , s. m. emploi : usage que Il’on fait
Eurör, v. a. babituer, acooutumer (ax$.). V. | d’une chose; fonction, occupalion d’une per-
Impor, Enganar.
Eurongtico, A, adj. emporetique: (papier)
gris pour flltrer; & envelopper des
dises , brouillard.
sonne omploy6e; place, poste, charge, office.
Achat, emplettie. (fig.) L’objet de nos occupa-
tions, de nos desirs, etc.
EMPRSBENDEDOR, A, adj. entreprenant : qui
Eupörıo, s. m. endroit trös-[r&quente par les | entreprend courageusement des choses dif-
negocianıs de differents pays; grand marche,
ville d’entrepöt. ( Ag.) Lieu rendu fameux par | Eurnemennen, vo.
les sciences ou autres choses.
* Eurosissi6. V. Imposipdö.
Eumrossipo, a, p. p. de
Eurossir , o.«, donner la jouissance,
en on,
ciles.
e. entreprendre : prendre
la resolution de faire quelque obose, quelgque
action; faire uno entreprise.
ENPREHENDIDO, A, p. p. de Emprehender.
meiire | Ewuratıra, s. f. bande de sparterie ; tresse de
jonc pour les nattes. — de pdo, Iromager,
EMP
elayon, &clisse (pour le fromage). Tecar —,
haller: Iresser en nalles.
Eurturrina, s. f. täche, entreprise & forfait;
sarrage A un prix Convenu. Action, travail de
jeindre les bandes de sparterie (V. Empreita)
poar faira des naltes, des sieres. Obrade —,
ourrage & la täche os fait & la hate. De —, ade.
ilorfait, ä la täche,
A ENPREITÄDO, A, adj. qui travailie A for-
L
Euraerräiro, s. m. entrepreneur: celui qui
prend un ouvrage ä [orfait.
Eupasmıa, olc. V. Impremir, etc.
Eurneypen, eic. V. Emprehender, etc.
Eurarsnipa, adj. f. (mulher —) enceinte,
grosse (femme).
Enpa&nsipo, p. p. de
Eurazunin , ©. a. engrosser: rendre une
femme enceinte ou grosse ; feconder. v. ». De-
venir grosse, @lre enceinte.
Eurasnuıpi6,, s. f. V. Prenkez.
Euraunsa , etc. V. Imprensa, etc.
Eurnisa, s. f. entreprise : action difficile
qu’on entreprend courageusement; dessein;
action d’entreprendre; ce qu’on a entrepris de
Iaire. Devise : emblöme, figure allegorique ac-
compagnee de paroles. — sem effeito, lev6e de
boucliers.
Eurassän, etc. V. Emprazar, etc.
+ Eurngsarıo, s. m. entrepreneur. On ledit,
en Portugal, sp&oialement de celui qui entre-
prend la direction et l’entreiien d’un theätre
public, d'une fabrique, etc.
Empasstäno, A, pP. pP. d’Emprestar. Pedir,
iomer —, emprunier.
ENMPRESTADOR , 8. m. pröteur : celui qui prete
quelque ehose.
Eurasstär, v. @. pröter. V. Prestar.
EuPasstän-SE, v0. r.p. us. s’aider, se secou-
fir matuellement. j
"Enrasstıno. V. 1 pröt, emprunt: Vaction
Euragstımo, s.m.) de preier et la chose
pretee. — forgddo, emprunt force. De —, por —,
urete. Cowsa de —, chose non propre, prise en
Psssant, ( Ag.) precaire.
Eurssstıro. V. Empreslimo.
Eurazston. V. Empresiador.
Eurnkza, etc. V. Empresa, etc.
EspaicuicADO,A,P.Pp. do
TEwraıcuıcan, 9.6. rendre paresseux, cau-
ser la paresse.
tENPRIGUIGÄR-SE, v. r. devenir paresseux.
Euraımin. V. Imprimdr.
"Esraig. V. Encher.
EMPROADO, A,adj. (Ag.)altier, fier, superbe,
“Tzunlleux. p. p. de
wPrroin, v.a.oin. ($.de mar.) metire le
Sp auowä.
Eurnoir-sk, v. 1. ( fg.) faire le fer.
EuPROSTRÖTONOS, 5. m. (1. de med., empros-
Itotonos : eonyulsion qui fait pencher le corps
en avant.
Euranoviso, s.m. V. Improviso. Responder | qu
086.) zöpondre A Fimproviste, subitement.
EMQ 489
+ Euruszscihoo, 4 ‚adj. (1.de bot.) pubescemee
garni de poils faibles, mous.
EupucHan , eto. V. Empuzar, ste.
EuroLcueira, eic. V. Empolgueirs, etc.
EuPULHÄ00,A,p.p.de
EuruLsäir, ©. a. (pop.) pouiller, chanter
pouilles & quelqu’un; altraper par un jeu de
mols.
EnronHiDo, A, pP. pP. d’Empunhar.
EMPUNHADÜRA, 8. f. poignee d’epse, eto.
EnPunHär, ©. a. empoigner : prendre et ser-
rer avec la main. — o bastdo , prendre ou obie-
nir le commandement. — 0 sceptro, (fig.) com-
mencer & regner. — a espdda, porter la main &
son epee; saisir l’6pee.
t Eupunmmöunos,, s. m. pl.(— dos laises, I. de
mar.) rabans de pointure, rahans de croisure
de ris. .
Empünna ou Empunnacäö, 6. f. corvee, af
faire desagr&able dont on charge queliqu’un.
Eumrunri0o, A, p. p. d’Empurrar.
Espunnäö, s. m. beurt: choc, secousse en
heuriant; action de pousser ou de repousser,
bourrade; coup donne& avec force pour &carter
quelque chose. Aos empurrdes, aveo vyiolence,
injurieusement. Ir ou andar aos —. V. Em-
purrar-se.
EMPURRÄR, ©. 4. POusser, Fepousser avec
force; presser dans la foule. — um negocio a
alguom, forcer quelqu’un de se charger d’une
aflaire dösagreable.
EMPURRAR-SE, ©. r. 88 Presser, se serrer
dans la foule; se debattre pour se dögager de
la presse.
Euruxi0o,A,Pp.p. d’Empuzxar.
EMPUxADOR, A, 3. Qui POUSSe OU FOPOUSSE
avec violence.
Euruxiö, s. m. choc, action de pousser,
d’esarter; son eflet. V. Empurräo.
Euruxir, do. @. pousser, repousser, ecarler
avec force. V. Empurrar. ( ig.) Pousser, exci-
ter 4.
EuPY£uA, s. m. (8. de med.) empyeme : sang
$panche , amas de pus dans une cavitö, dans la
poitrine. Operagdö do —, empysme : operation
qui consiste & faire l’ouverture de la poitrine
pour en öter lo pus qui s’y Irouvo amasse.
EurveuiTtioo, A, adj. (1. de med.) qui aun
empyöme;; ( ig.) hypotheque, maladif.
ENPY’REO, A, adj. empyree : qui voncerne 16
ciel empyree. On le dit aussi du ciel supröine,
appele le siöge et le tröne de Dieu. (Podt.) C&-
leste,, divin. j
EuPY’R£o, s. m. enıpyree: la partie la plus
elevee des cieux oü sont les astres; sejour des
bienbeureux, des dieux. 1
EMPYRBUMA, 5. m. emmpyreume : qualits des-
agr&able, contraciee par UNE drogue, elc.;
brülee; huile brülee, son goüt. j
EMPYREUMÄTICO, A, adj. eınpyreumaliquo:
qui tient de l’empyreume (huile, odeur).
° Ku Que, pour Dem que, Ainda que, adv.
oique. .
° EOURANIÄNTO, s. m. V. Inguirigle,
“
490 ENG
* Euspeunaa. V. Juniamense.
® Eusgıas. V. Insidia.
* Eu sosso, V. Ensosso.
Euravvisciva. V, Entrovisedda,
ENC
. Encaszcieo, A,P. pP. d’Enosbarer. adj. Ea
possession; qui explojte. Couronne de maisens,
parlanı d’une hauteur. Qui porte de gros epis
(bi6, eto.). Encastree (planche), annexe {ler-
EuuLsciö, 6. f. $mulation : desir noble d’4- | rain, etc.). Enists , entiche, Rallermi, parlanı
galer ou de surpasser queiqu’un dans une chos6
lousble; chaleur de l’Ame qui porte & enire-
prendre ce qui röussit aux aulres; rivalitö dans
le bien; noble Jalousie. On le prend quelique-
fois on mauvaise parl.
@’un chevalqui a eu la hanche rompue lorsgue
: le calus se trouve forme.
ENCABEGAMENTO, 8. m. recensemen! : veriß-
cation des contribuables cxistanı dans un pays;
enregistreinent, immatricule. ° Taxe, capils-
EuuLipo, A, 9. p. d’Emular. adj. Rivaliss, | ion, impöt par i6te. * Institulion d’un majoral;
imite ; dont on est jslous, envieux, rival.
EuuLapon, A, 5. ömulaleur : touche, anime6
d’emulatlon ; imitateur ; envieux; rival , concur-
tent.
EsuLir,v. 6. dmuler : imiter par d&mulation.
eo. m. Etre emule; rivaliser de merite, de force,
etc. ; tächer d’imlter, d’egaler, etc. ; porter en-
vie, ötre Jaloux de.
EmuLcents ‚adj. 2 gen. (l.d’anat.) &mulgent:
qui porte le sang dans les reins (artöre —e);
u le reporte des reins au caur (veine —e).
MULO, A, 3. &mule, concurrent; &mulateur;
antagoniste; rival : se dit de deax personnes
d’un mörite &gal dans un art, eic. Adveorsaire,
contraire, ennemi.
Euuısiö, s. f. (l.de pharm.) ömulsion : pe-
tion rafraichissante, blanche.
EuvLsivo, a, adj. &mulsif. Se dit des se-
menoes qui donnent de !’'huile par l’expres-
sion.
Euuncrönios, 3. m. pl. (1. d’anal.) dmonc-
toires : glandes, ouveriures pour la decharge
des humeurs, des excremenis.
Buunnacäö, V. Purificapäo , Pureza.
a valıma #6 Euvasıına. V. Vasilha et Ta-
Euxina. V. Enzara.
Euxzacan. V. Enzercar, Xarguear.
"En pour Em.
* Enapga ow Enapır. V. Acerescaniar.
°Enacenucäd. V. Alienapdd.
*EnaLuzino. V. Alhoddo, Akienado.
*EuALHSAMERTO, a. m. (f. de pral. anc.)
" Aliönation : vente, Iransport de la propriets
d’un fond.
* Enaınzän. V. Alhedr.
EnawLice,s. f. (1. de gram.) enallage:chan-
geınent des medes, des temps.
*EnaLLENAn , eto.V. Alkeur, Alienar, eis.
Enauoran,eic. V. Namorar.
*Ruano et Enid. V. Andd.
TEnäntno, s.m (1. de bot.) “ananıhe: planie
embelliföre. — do Reino , ananthe globuleuse.
Enancäkpo. V. Arqueddo.
Enarmönıco. V. Enharın...
"Enahnacäd, s. f. explieation , interpreta-
tion. V. Narragio.
"Enınnin.V. Narrar, Exper.
Enanranöse,s. f. (1.d’anal.) enarthrose : ca-
vite d’un 08, qui regoit une 6minenoe rende,
*Exanvonan, eic. V. Arvorer.
* EnsoLta. V. Ambula.
" Excapan, V. Ancacaer.
enregistrement d’un fend, d’un höritage pour
l’erection d’un majorat.
Encaszcia, v.a. eriger un fond, un heritage
en majorat; melire en possession (d’un htri-
tage, etic.). Recenser : verifier Je nombre des
contribuables;; enregisirer, immatriculer ; im-
poser, coliser. Persuader. V. Encasgueiler. —
bölas , remonter des boties en enlier.
Encaszcia, vu. n. (i. de vdier.) ralflermi
(parlant du sabot d’un cheval, eto.). —se, ©. r.
V. Encasqustar-se.
EncABBLLADO, A, adj. recouvert de poil, ou
de nouveau poil. Bem ou mal —, (Ag.) do bon
ou de mauvais caraciöre. 9.9. do .
ENCABELLÄR, 9. 9. pousser, parlant des
VeuX; 56 0ouvrir denouvsau poil, parlant d'une
blessure cicatrisee (d’une be6te).
Encasasstino, A,P. P. de Kmcsbrssier.
Encanassranünas, 8. f. pl. enehevätrufe:
mal qu’un cheval z’est fait au piod em s’enche-
vetrant. ,
ENCABRESTAMENTO, 5. m. action d’enchers-
trer, de metire lo lloou aux animanx.
ENCABAESTÄR, v. a. encheretrer : meitre ea
thev£tre, um licon aux animaux. (g.) Assu-
jettir, subjuguer. Conduire un trbupeau de
baufs sauvages & l’zide de hauls apprivoises
qui leur serventde guides.
ENcCABRUÄDO, A, adj. (P0p.) pertinace ‚eniät.
EncacHin0, A, p. p. de
Encachän-SE, ©. 7. 80 Couvrir au -dessous de
la ceinture.
Encicz0, s. m. pagne.V. Tange.
Encapanaoino, etc. V. Enestarrhosde, eic.
EncadEacid,s. f. V. Eneadsamenso.
Encapzin0, A,P. 9. d’Encadsar.
EnNCADEAMENTO, 8. m. enchainement, lii-
son, suite, dependance de ohoses de maemenz-
ture, (propre ei Ag.) “enchainure. —, eistde
ce qui est enchalne.
Encangir, ©. &. onchainer : lier, attacher
avec une chaine ; (fg.) lier, parlanı des idees
d’un discours, eic. ; captiver (quelqu’an), lui
Oter la faculie d’agir. _
ENCADEÄR-SE, ©. r. S’enchainer. (Ag.)
suivre nöcessairement, dire intimensent lır,
connexe, dependant.
Encipzıia, ei. V. Ancodeer, etc.
Encapeinino, A, p.p. de
tEncapgınÄa, ©. @. placer sur une ohaise;
introniser.
Eucapsanacäö, s. f. rellure : maaniere dont
un livre est reli6 ; ourrage d’an roliosf.
Escapeznuino, A, P. p. X’Encadernar.
EmcisRaNADOR, 8. m. relieur : celui qui relie
les livres.
EncanzaniR, 9. a. reller ı ooudre et oouvrir
les feuilles d’un livre.
EnxcarunniDo, A,P. P.d
Encaruanin, d. a. meilre dans une grotte. II
est aussi röciprogae.
EncktsnAno, A, 9. p. de
+ Exckıaaan, v. a. placer, dresser, poser la
eharpente d’yu toik.
EscaıziD0o,A,P. P-. d’Encaizar.
Encatzamento, s. m. encaissement : action
d’encaisser. i4. V. Encaize.
Encarzäin, o. 6. oncaisser : melire on Caisse;
embolter. Enchässer, encastrer : melire en
chasse , unir par le moyen d’une entaille. Pous-
ser : faire entrer de force. Enfermer : metire
dans, renlermer. Emmortaiser, entailler. (Ag.)
Fourrer dans la t#te de quelqu’un, persuader.
(Ag. fam.) Faire, dire quelque chose mal ä
propos. (ia.) Tromper, en fsireaccroire.—bem,
venir bien, venir, #ire A propos. — as barbas a
eiguem,, empoigner la barbe & quelqu’un par
sis.
+ Encarzin-sg (em, por), v. r. se fourrer,
se metise,, peneirer dans un lieu &iroil, dans
une foule, dans un trou, etc. Se fourrer, s’in-
trodeire pariout sans y ötre appele, piquer
Yassieite. — a alguem alguma cousa nacabega,
tsnir fermement & son opinion, 8’y opiniälrer ;
y persister; se melize, so fourrer quelque
Ahose dans la l&te.
Escirxz ou Enciıx0, 5. m. ° enchässure, em-
keilure : action @’enchässer, d’emboiter une
ebose dans une autre. Assemblage, liaison
jeinture. Encastrement. Le lieu, le trou od
queique chose est enchässe. Encaissement :
stlion d’encaisser.
ExcamxıLBino,A,p.p. de
EsCAlXILHaAR, dv. a. encadrer : metire dans
un eadre; enchässer, embeolter.
Escäix0TAD0,A,Pp.p. de
+ EncarxoTär, v. a. meltr6 on Caisson; en-
taisser. Emballer.
EncaLautntos, s.m. Pl. (1. de mar) ° tra-
verse de la cale.
EncaLamocin ou ENCALAMOUCAR, ©. @. (fl.
berl.) Tromper, duper.
° EncaLcäR, ©. a. suivre de prös quelqu’un,
suivre la piste.
*"EncaLco, s. m. Paction de suivre de prös
guelqu’un. Ir no —, suivro la piste, aller sur
les Lraces.
EncaLDEIRÄDO, A, P- p. de
EncALDEIRÄR, dv. a. (l.d’agr.) faire un creux
“zutour du pied d’un arbre pour l’arroser.
Encarmaciö,s. f. " echouement : action d’6-
=houer ; engravement.
EncaLHiDo, A, p.p. do
Encaınis (em), v. a. faire &chouer un na-
Vire; je mettreä& sec, l’ongraver.o.». Echouer:
se briser, toucher, donner eonire un dcueil,
sur ie sable, sur un bas-fond, contre un Fo-
ENG 491
cher, sur un bano, eto., parlant d’un navire.
(t. de mdd.) S’arräter, parlant du sang, etc,
(Ag.) Eire arreöt& dans une affaire, ne pouvoir
passer outre. (id.) S’arreier tout court, rester
interdit,
Enciuue, s. m. (f. de med.) "obstruction,
engargement. (fg.) Obstacle, emp&chemcnt.
EnciLno,s. m. banc de sable, bas-fond : en-
droit od les navires peuvent&chouer.“ Plampure
de fer & cheval. üt. V. Encalhagdo et Encalhe.
EncaLLecea, v. n. avoir, gagner des cors,
des durillons. V. Calejar.
EncaLLEcino, A, p. p. d’Encallecer.
ENCALMADICO, A, adj. qui 6loufle aisöment
de chaleur. V. Encalmddo.
EncALwino ,A,P.p. d’Encalmar. adj. Rtouf-
fant de chaleur, oppresse par lachaleur.
"EncALMaR, etc. V. Acalmar, etc.
EncaLuir, o.a. dohauffer, causer de la cha-
leur. (Ag.) Exciter, enflammer; allumer (une
passion, eto.). it. V. Acalmar.
EncALMÄR, v. n. avoir chaud; etouffer de
chaleur; n’en pouvoir plus de chaud. Faire
chaud,, apres un mauvais temps; s’apaiser, 86
ealmer, tomber, parlant du vent ei de la mer.
V. Acalmar.
TENcALVECER , v. 9. perdre les cheveux,, de-
venir chauve.
ENcALVEciDO, A, 9. p. d’Encalvecer.
ENcAWÄDO, A, 9. p. de
TENncAuÄR, vo. a. liter: meltro par lits. V.
Camdda.
+ Encauankpo,A, adj. (i.dart.) on le dit
des pierriers dont l’Ame cylindrique est ter-
minee par une chambre beaucoup plus &troite.
ENCAMBÄDO, A,P. p. de
+ Encausär, vo. a, enfiler des pelits poissons
dans una bagueltte, eic. {fig.) Commercer avec
profit. Säo mdos de — enguias, phrase [ami-
liere qui equivaut au proverbe frangais: balire
le fer quand il est chaud.
EncaspuLuäpa,s.f. enfllade de poissons,etc.
EncAMsuULHÄDO ,A. P. pP. de
ENCAMDULHÄR, ©. a. atlacher, accoupler;
entiler.
ENCAMBULBÄR-SE, vd. r. s’accoupler, parlant
d’un chien avec unechienne. 4. V. Travar-se,
Enredar-se.
EncämE, s. m. gite (du Sanglier, elc.), bauge.
EncANınsÄADO, A, P. pP. d’Encaminhar
ENCANINHADOR, A, 3. qui achemine; 00ondac-
teur, guide, directeur.
* ENCAUINBAUENTO, 8. m. action de montrer
le chemin, de guider; conduite, direction;
acheminement, voie.
EncawınRäß, %. a. montrer le chemin, met-
tre dans le chemin; conduire, guider, diriger.
Adresser. (flg.) Acheminer: metire (une affaire)
en ötat de reussir, en train, en bon train.
Encasımmär (a), 9. ®. so diriger vers, pren-
dre le chemin de. Conduire, aboutir A un Jieu.
EncauınnÄn-SE (a, para), v. r. se diriger
vers, prendre le chemin de; s’adressor A; s’a-
cheminer.
492 ENC
Encammsapa, 8. f. (f. de mil.) camisade: at- |
taque mililsire noctarne gu matinale, faile par
ENC
EncınzLino, a, adj. Panno —, drap de
qualits inferieure. (Ag.) Mauvais , bon & rien.
des soldats qui ont mis leurs chemises par- ' 9. p. de
dessus leurs habils pour se reconnaltre. Mas-
earade qui avait lieu pendant la nuit avec des
Gambeaux dans les r&jouissances publiques.
Encauısino,A,9.p. de
EncAMssÄR-SE, vo. r. (}. de mil.) se couvrir
d’une chemise pour donner une camisade.
Encamoroucia , etc. V. Encomorouger, elc.
Encauraciö, s. f. " rösiliment : rescision,
eassation d’un acle, etc.
Encaurio0, A, p-p. d’Encampar.
+ ENCANPADOR, A, 3. celui qui rescinde,
easse un acle, eic.
+Encauranino, A, adj. (if. dark.) on le
dit d’un pierrier dont l’äme va en se retrecis-
sant en forme de poire ou de cloche.
Encaurin, ©. 0. rescinder, resilier, casser,
ennuier un acte, etc. Charger quolqu’un d’uns
chose malgre lui.
Encanipo,A,Pp. pP. d’Encanar. Ar — , cou-
rant d’air, vent coulis qui souflie par un pas-
sage eiroit.
+ Encanamento, s. m. action de conduire
les eaux par des canauı, des aqueducs. V.
.— de rio, canalisation d’une Fiviere;
moyen de la rendre navigable en resserrant
son lit, et en y @tablissanı des dcluses.
Encanär, ©. a. conduire l’eau par des ca-
naux, des aqueducs. — um rio, canaliser,
transformer en canal une riviöre. Caneler des
oolonnes. Raccommoder les os [racturös.
Encanäs, 9. m. oroltre, monter en epis, 56
former en tuyau, parlant des bleös; commen-
cer d avoir des plumes , parlant des oisoauz.
EncaANASTRÄDO, A, 9. p. de
EncanasTain, v. @. melire quelque chose
dans une bannetie, dans un panier, dans une
eorbeille.
Encancerin-es. V. Concerar-se.
Encanpsin, etc. V. Desiumbrar, etc.
t EncanpechR, 0. a. chauffer du for A blanc.
. Bucandecer.
EncAnDECIDO, A, 9. p. d’Encandecer. adj.
Chaufid & blanc.
ErcanpıLäpo, A, P. pP. de
EncanpiLir, v. a. faire candir, donner la
oonsistance de la glace (au sucre, elc.). 0. m.
ei—s0,v.r. candir, se candir, se cristalliser,
se dit du sucre.
+ EncanpiLir-sg, ©. r. s’allumer, briller,
s’enflammer, parlant des yeux de celui qui a
top bu, ou qui est possede d’une passion Iu-
brique. .
Encansche, v. w. blanchir, grisonner, par-
lant des cbeveux; ınoutonner, parlant de la
mer. (fg.) —, devenir blanc. (i4.) Avoir beau-
coup d’experience. Il est quelquelois actif.
Encanecinoo, a, 9. 9. d’Encanscer. adj.
Blanchi par l’äge. (Ag.) Vieux, antique; affai-
bli, tombe en decadence. Folhas —as ou enca.
ncscidas, (1. de bot.) feuilles colonneuses, pu-
bescentes,
EncanzLän, vo. 6. bobiner : devider du üil,
de ia soie sur une bobine. Mettre dans le tisya
du drap des bobines d’une qualits införieure
ou de diffsrente couleur.
EnCANGALHADO, A, P. p. de
ENCANGALHÄR-SE,, 9. r. S’accoupler ( le ablen
avec la chienne).
Encancar. V. Cangar, Jungir.
*Encinnas, s. f. pl. V. Moias.
* Encinno. V. Embarapo.
EncanıcAD0O, A,P. p. de
Encanicäß, ©. a. entourer, enclore d’une
claie , d’un treillage;; treillisser.
Encantaciö,s. f. V. Encantamento.
EncantäD0, A, 9. p. d’Encanter. adj. En-
chante : fait par enchantement; gai &preuve
l’enchantement, qui en est domine ; (Ag.) rari,
tres-satislait , transports de joie. Cass —a, pe
lacio —, maison irds-spacieuse, habitee par
peu de monde, ou dans laquelle on marche
beaucoup pour trouver ceux qui l’habitent.
Homem —, misanthrope, homme qui f[uit le
monde. M.. ra —a, (fig.) tresor cache.
Encantanör, A, 3. enchanteur : qui en-
chante. (fg.) Qui seduit. adj. (Ag.) —, sedui-
sant, ravissant, charmant. Formosura —s,
beauts enchar.ieresse.
EnNCANTANENTO, s. m. enchantement : effei
des charmes r6els ou prötendus de la mmagie;
charme, sorcellerie.
Encantär, v. a. enchanter : charımer, ensor-
celer par la magie; (fig.) surprendre,, s6duire,
engager (par de bolles paroles, des attrails,
eic.); ravir en adımiration. — 85 penas, Os cui-
dados , charmer les peines, les soucis. — um
thesouro , cacher un tresor.
EnxcantgıRino, A, p.p. de
Encanteırir, 0. @. encbanteler : metire sur
des chanliers ( tonneaux, eic.). Diviser (ua
jardin ) en planches.
Encantinan. V. Enventaner.
Encinto, s. m. enchantement, prestige,
oharme. V. Encantamento. (Ag.)— , plaisir vil,
ravissement; ce qui est surprenant, wuerveil-
leux; charme ; transport, delice. Bum—, c'est
un prodige,, une merveille.
Encantoino, A, adj. reiire dumonde. p. p. di
Encantoir, v. 6. meilre dans un coin, ren-
oogner. V. Acanioar.
EncAaNnTOAR-SE , dv. r. Be relirer du monde,
s’enterrer tout vif; se confiner.
T ERCANUDADO O4 — TADO, A, adj. en forme
de tuyau. p. p. de
+ Encanupar, v. a. plisser, faire des plı.
ronds. Introduire, faire passer dans un tuyau.
Donner ä quelque choss la forme d’un tuyau.
ENCANZINiDO, A, 9.9. de
T Encanzınan-sE, v. r. s’ohstiner, dispute:
opiniätrement, s’acharner.
+ Encaracnipo, A, adj. (4. buri.) courert.üde
paillassons.
ENC
ExarttLiBo, A, adj. enflö, gros, agitd,
parlanı de la mer, des flots. Mar —, mer agl-
ie, houleuse. p. p. d’Encapellar.
TEscurELLADöRA, 5. f. (1. de mar.) * cape-
see :20lion de capeler, son effet. V. Encapel-
ErurzLıär, 0. a. (1. de mar.) faire enfler
su gonfler ( les fiots); rendre la mer houleuse.
-beas, instituer un majorat avec des charges
>euses. (amf.) V. Amonloar, Acumular. — a
nzereis, (6. de mer.) capeler les haubans;
‚ncapeler le capelage.
Excargzän, ©. ®. e — SE, 0. r. s’enfier,
fire houleuse, grossir, s’agiter, parlant de la
mer, des flots.
Excırogmie0, A,p.p. de
TExcaroßıaän, vo. a. meltre (les poules)
dans la cage ow &pinette.
Excaroßinan-sE, ©.r.V. Acantoar-se.
Exuroräno ,A, p. 9. de
ExcaroTÄR, ©. @. couvrir avec une capote,
"urrir d’en manleau.
Excaporär-SE, v. r. s’envelopper d’un man-
'ssu.(g.) Baisser trop la töte, se dit du che-
sal. Se couvrir de nuages, de brouillards,
sobseureir, devenir noir, parlant du ciel.
ExcaPpRIcHÄDO, A, P. 2.de
tEscaraichan, v. a. inspirer un caprice &
quelgu'un.o. an. V. Cuprichar.
TENCAPRICHÄR-SE,, ©. r. s’opiniätrer, s’ente-
ter, desirer forlement et par caprice, vouloir
salis[aire son caprice.
Excapuziso, A, p.2.de
EncAPUZÄR, ©. 6. couvrir d’un Capuchon.
ENCAPTZAR-SE,, ©. r. s’encapuchonner : se
courrir la töte d’un capuchon.
tExcanacoLino, A, adj. (1. de bot.) entor-
ülle en spirale. p. p. de
TEnCAnAcoLir-SE, ©. r. s’entortiller en spi-
tale, se dit de cerlaines plantes grimpantes.
ExcaniDo, A, Pp. pP. d’Encarar. Bem ou mal
—,adj. bien ow mal face.
EncARANELÄDO, A, P. P. de
ErcARAMBLÄR, ©. a. glacer, congcler, figer,
@aguler; faire du caramel.
ErCARANONADO, A, adj. triste, melancoli-
goe, de mauvaise humeur. 9. p. de
ESCARANONÄR, ©. a. rendre triste, melanco-
lique , de mauvaise humeur.
EncanaonÄk-sE, v. r. (1. durl.) faire la
mine , la moue.
EncansreLimse, (1. de mar.) V. Encapel-
ler-a.
EncARAPINHÄDO, A, adj. frise, laineux, crö-
pa, parlant des cheveux. A moili6 fig6, gru-
mel& (comme le sorbet). p. p. de
Encanurınnäa, dv. a. friser (les cheveux),
es ereper. Figer, congeler, &paissir par le
old.
EncaRAPınmÄR-SE , v. r. devenir friss, lai-
neux, crepu, parlant des cheveux. Se gru-
meier, en parlant du lait.
EnxcanaPrtipo, A, p. p.de
EncanaPIrän-sE (em, sodre), v. r. (4. burl.)
ENC 493
s6 jucher, se placer dans un lieu «levs, sur le
sommet.
EncaraPr0cino,A,p.p. de
ENCARAPUCAR-SE, d. r. se couvrir d’un bon-
net.
EncaRÄR, ©. a. regarder avec attention owen
face ; envisager, regarder firement. — a setta,
a sspingarda, eic., poinler, viser, coucher en
joue. —os perigos, (Ag. affronter les dangers.
EncARÄR (com, em), ©.n. envisager quei-
qu’un, le regarder fixoment, se mettre vis-a-
vis ou aupr&s de lui. Viser, tendro &.
EncARÄR-SE (com), v. r. V. Arrostar-se. it.
Se regarder fixement ei mutuellemena
EncARcRRÄDO, A,P9.p. d’Encarcerer.
ENCARCERAMENTO, 8. m." incarc6ration , em-
prisonnement.
ENCARCERÄR,, 9. @. incarcörer, emprisonner.
ENCARECEDOR,, A ‚8. exageraleur : qui agran-
dit , quiexagere, qui amplifle.
Excansgc£a, v. a. encherir : hausser le prix,
rendre plus cher. (Ag.) Exagerer, louer aves
exces; amplifer. vo. n. Rencherir, hausser le
prix.
rt Encanecia-se, v.r. (fg.) prendre son s6-
rieux; faire le difäcile, le rencheri. Se faire
trop valoir.
EXcARECIDAMENTE , ade. instamment, d’une
maniere pressante. Avec une exag6ration ex-
treme.
ENCARECIDO, A, p. 9. d’Encarecer. Ei adj.
Homem —. V. Encarecedor. j
ENCARECIMENTO, 8. m. * exageration , amplifl-
cation. Com —, instamment, d’une manidre
pressante.
ExcanenTän,o.a.V. Encarecer.
EncARETÄR-SE. V. Mascarar-se.
Encancär, etc. V. Encarregar, etc.
Encinco, 3. m. ° charge: tout ce qui est
onereux ; emploi; imposition ; obligation, con-
dition on6dreuse; commission, ordre; soin;
garde. V. Cargo, Emprfgo.
- Enciana,s. f. enlaille, tenon, mortaise.
Encannacgiö, s. f. incarnation, se dit de
Diea qui s’est fail homme, (t.de peint.) Car-
nation : chairs peintes, leur coloris; me-
lange propre & donner aux statues une couleur
de chair. — de pulimento, ooloris brillant dcs
chairs.
+ ENCARNADTNTO , A, adj. dim. d’Encarnddo,
incarnadin : d’ane couleur plus faible que l’in-
carnat. .
Encanninpo, A, 9. p. d’Encarnar. adj. In-
carnat: de couleur de chair, de couleur entro
le cerise et le rose. Vermeil, rouge. Incarne :
qpi a pris un corps de chair. Diabo ou demo-
nio —,(fig.) diable, demon incarne : homme
tres-mechant. — no somno, enseveli dans le
sommeil.
Encarnäpo, s. m. incarnat: couleur de chair
qu’on donne auz statuos ; rouge, vermeil.
Encannän, v.@. (. de peins.) donner aux
statues la couleur de chair. (f..de vener.) Don-
ner la ourde aux chiens pour les rondre Apres
Er
496 ENC ” ENG
partie (d’un tout); (Ag.) commencer; &prou- ı de la peur, de la frayeur, en #tre salsl, eie.-
ver, essayer. d’animo, deresolug&o, etc., prendre du courae.
Encerän-s8, v.r. ötre lo premier ä [aire ou | —degosto, de jubilo, serejouir, avoir du plaisir,
& &prouver quelque chose. de la Joie. — de ira, de colera, (fig.) se fächer
Encevin. V. Cevar et Encebar. enfin, perdre palience. —de razdo, patienier,
EncHastgus. V. Chaoeco. achevor jusqu’ä ce que la mesure soit comblöe,
EncHACcoTÄDO, A, 9. p. de
ENCBACOTÄR, dv. a. faire cuire la falence avant
de la vernisser. -
Encuiva, etc. V. Enzada, etc.
+ EncnumeL, s. m. (1. de charp.) *charpente:
bois faconne pour soutenir les murs en bri-
que, etc.
EncHARCcÄDO,A,P.p. de
Escnancir, o. a. inonder, submerger; faire
croupir l’eau dans un endroit, embourber.
EncuAancän-8E (em), vo. r. se remplir d’eau,
devenir comme un ötang ; s’embourber. Crou-
pir, se remplir d’eau. — em agua, ig.) boire
beaucoup d’eau, s’inonder l’esiomac. — N08
vicios, (dd.) croupir dans le vioe.
EncHannöco. V. Enzarroco.
+ Enchtuiva, 8. f. (1. d’Mst. nat.) enchelide:
+ Excazatriaıo, s. m. (1. de mar.) Pro
na verga, meltre le racage.
Encnino, A, p. p. d’Encher.
EncHım&uto, s. m. remplage, templissage:
action d’emplir; &tat de ce qui est plein; ou-
vrage fait pour remplir. * Pienitade, aben-
dance. Portefeuille d’&colier. — do estonep,
plönitude d’estomac. —s, pl. (1. de mar.) pil-
ces de bois destindes dans un vaisseau d rem
plir les vides des bordages.
t Encniqurirän, ©. ». on le dit du poisson
qui entre dans une claie.
Encuiaindıo oW ENCHIRIDION, 3. m. enchiri-
dion, manuel; livret de remargues, de pr%-
ceptes, de maximes.
EncnocÄr-se, v.r. se mettre dans une ebar-
miöre,
ver infusoire des eaux mortes. EncHoRICAR-SE. V. Arrigar-se.
Encazmiö. Homem d—, (phrase ueuelle) | EncnoraAR. | V. Enzo
homme de poids, homme consomme®. Excaouvir. " .
EncH&nte, 3. f. action d’emplir, de remplir;
&tat de ce qui est plein, rcmpli. Abondance,
quantit& excessivc. Crue des eaux. * Döborde-
ment, inondation. — da mare, flux de la mer,
haute mer, marde montante. Na — da mart,
ıorsque la maree monte. — da lus, plein
de la lune. — da graga, (fig.) plenitude de la
gräce. — de genie, affluence , grand concours.
— de vieios,, (ig.) inondation de vice. —s, pl.
grande quantits, abondance.
EncHEnTE, adj. 2 gen. et p. a. d’Encher. Qui
emplit, qui remplit.
Encnto. V. Cheio. Por —, (loe. adv.) en to-
talitö ; pleinement, totalement.
Encutr (de), v. a. emplir, remplir, rendre
plein. Romplir : occuper dignement une place,
etc. Remplir un espace, y mettre plusieurs
choses , faire qu’une meme chose 8’y trouve en
abondance. Remplir, eompleter ; accomplir.
Nemplir, rassasier. (fig.) Combler de biens ou
d’outrages, etc. — as modides, remplir parfai-
ment, satisfaire l’attente. — as medidas a al-
juem, plaire, agreer, satisfaire quelqu’un.
— de cheiro, de fragrancia, embaumer.—a bar-
riga, 6 pansa, se [arcir l’estomac, remplir la
hedaine. — a alguem a cdra de bofeladas, (fam.)
souffleter quelqu’un. — a esperanga, repondre
ä Fattente, remplir l’esp6rance. — alguem de
medo, d’ssperangas, de jubilo, etc., (ig.) inspi-
rer de la fraeur, Je l’espeir, de la joie, eic., ä
qaelqu’un. — o numero, completer. —a lei,
observer la lol.
EncH@k, o.». monter, en parlant de la ms-
rce; &tre dans son plein, en parlanı de la lune.
Enchtn-#2 (de), v. r. s’emplir : devenir
plein ; se remplir. (fam.) Se gorger de nourn -
ture. (dd.) S’enrichir par des moyens illicites.
— demeodo, de susio, eto,, se laisser prendre
* Encnumnan. V. Chumbar.
EncHunnapa, eto. V. Enzurroda, ee.
EncıcLor&bia , etc. V. Encyclopedia, etc.
tEnciua, ade. sur, dessus. V. Sobre. Pic
haut, en haut, dans un lieu plus haut, pla
elevre, dans la parlie superieure. Agwi—,c-
dessus. Ainde — , encore par-dessus.
EncımaDO,A,9.p. de
"Encımir, v.a. cxhausser, &lever, melire
au-dessus, en haut, mettre sur. V. 4caber,
Terminar, Finalizar.
Encintino, A,P.p. de
+ Encıntän, v. a, garnir de ceintes, de pr«
ceintes.
Encınzino, A,p.p. de
+ Encınzin, v. a. remplir, couvrir de ce®-
dres; jeter de la condre sur quelque chose.
EncLAUSTRÄDO, A, pP. p. de
ENCLAUSTRÄR, ©. a. clolirer : enfermer dass
un ololtse, dans un couvent,
EncLAYINBÄDO, A, 9.79. de
ENCLAVINHÄR,, ©. a.— 08 dedos, enirelstet
les doigts d’une main avec ceux de l’autre.
* EncLopir. V, Incluir.
EncoB£rnTa, 3. f. cachette : petite cache:
Encoszarino, s.m. V. Tatu.
ENCOBERTANENTE,, adv. secretioment, en c®
chetie.
Encoseatär. V. Acobertär.
EncoB£RTO, A, 9.P. irr. d’Enoodrir. elf.
Secret, cache, oouvert. d6guise.
EnCoBRIDIGO, A, adj. qui peut &tre courert,
cach&.
Encoaxip0, A, p. p. d’Encodrir.
EncosaıpoR, A, adj. et s. qui eache. —
furlas, recölehr, qui recdie un vol.
chose qui cacbe. (Ag.) Dissimulation, feinle:
pretexte, excuse. (dd. Ruse, subterfuge; eilade.
ENC
ExcuserLla, v. e. fortißer, meltre en etat
do delense au moyen des chäleauz.
EncusteL.än-6E (em), v. r. s’onfermer, se
relirer dans um cohätean, s’y fortifler pour so
defendre. (fig.) Se röfugier, se retirer dans
quelgue endroit pour s’y mettre & !’abri de
kuis poursuite. Sencasteler, se dit des che-
vauı qui ont le talon trop serre.
ExcasroApo, A, P. pP. de
Kxcasroän , v. a. enchässer, encastiller ; ser-
kr, monter un diamant.
ERCATARRHOADO, A, 9. p. de
EncaTannmOÄR-SB, v. r. s’ünrhumer; con-
tracler un eatarrhe, un gros rhume,
Ensciostioa, A, adj. (8. de peint:) encausti-
que: (peinture ,tableau, eio. em couleurs pre-
pardes avee ia eire.
+ Excitsto, s. m. (1. d’ant.) * encre de cou-
leur de pourpre ä Fusage des empereurs soul.
Exciva , s. f. " emboltement, enchässure.
Excaväpo, A, p. p. d’Encaver.
Escavarcino. V. Montddo.
EncavaLcandöaa. V. Cavalgadura.
"EncavaLcandaas,s. fı pl. *cavaliers, hom-
mes ä cheval.
EncavaLcäir, v. a. V. Cavalgar. (ant.) Re-
monter la cavalerie, pourvolr de chevaux. — a
bksta, a erlilkeria, otc., dresser, monter l’ar-
balete sur son füt, une piöce d’artillerie sur
son affüt. Tl est aussi reciproque.
Encavis, v0. 4. emmancher ;: melire un man-
cbe. Enchässer.
+ Encavıısis,v.a. —umando, (i.de const.)
suamabler un vaisseau.
NCAZAR , otO. .
Encaxıı gan, eic. | V. Emcaiz..., eto.
* Encankär, etc. V. Encerrar, eis.
Enczäva. V. Ensedda.
Exc#saLo, ete. V. Encöphalo, ete.
Encsırioo, A,p.p. de
Encgınär, ©. a. serrer on meitre dans des
cabas (des figues).
Excsszir. V. Encelar.
Exc&LLiDdo, A, 9.9. de
EuczıLir, v. a. eufermer dans une cellule.
ExcRLLÄR-SE, o. r. se elolirer, se renfermer
en clötore.
EncgLıgıRiDo, A, P.p.d
EncRıLginär, D. a. setrer Cie bie, ete.) dans
greniers;; faire provision d® grains; emma--
Basinder. ( Ag.) Thesauriser.
Encanpen, etc. V. Aceender, ete., ot Incendiar.
"DLÄRIO. V. Incendiario.
t ENCENDIDAMENTE, adv. (fg.) ardemment,
Ares ardenz, d’une maniöre ardenie. .
ENCENDIDISSIMO , A, adj. sup. de
ExcEndıDo ‚A, pP. P. d’Bucender. adj. Qui est
Enno couleur ronge trös-foncke. On le dit zussi
la couleur rouge. ( Ag.) Enflamm$, ardent.
EDIMERTO, 8. m. embrasement, incen-
die: action de s’embraser. * Ardeur: chaleur
„2 &pemente, &cre, piquante ; indammation. (Ag.)
eur, vivacit#, grande activits, vioelenoe
RN uno passion,
ENG 195
Enczwprino, a. V. Acendrade, Apurado,
Encenprär. V. Acendrar, Puriflicar.
Enckmas, s. f. pl. encenies ; fötes jJuives de
la purification du temple, inslitaden par Judas
Machabee.
Enctnıo, s. m. V. Enchnias.
* ENCENSO, ete. V. Incenso, ee. it. awi. T.
Conso.
* Encensörta, 8. f. V. Censo.
* ENCENSORIÄR , ©. a. etahlifrun eens.
T Enemrrin, ©. a melire, üxer dans le
cehtre.
+ EncerriLico, a, adj. (f. Fonal .) enctphe-
lique : qui arapport &1a löle, & l’enotpheie.
+Enceruauitis, 5. f. (k. de mid.) enctpha-
lite: inlammation du corveau.
EnckrnaLo, s.m. (t.d’anat.) enodphale : :le
cerveau. (1. d’hist. nal.) —, ver gai:se döre-
loppe dans le oerveau.
+ EncEPRALOCELO, 8. m. (1. de med.) enod-
phalocele : hernie du cerveau.
ENncERADO, A, P. p. d’Enterar. adj. De cou-
leur de cire. 4. m. "Toile ciree : teils enduite
de cire. Toile, papier cir& ou non cir6 qu’o
met aux fenetres pour se garantir du Teht.
Sparadrap. © ‘para cobrir cargas, eto., 'b4-
che.
EncERADOR , 8. m. frotieur : qui frolte les ap-
parlements on les cirant.
Encesanöna, 8. f. Paction et l’effet de cirer;
cirure.
Encerir, v. a. cirer: onduire de cire; frot-
ter (le Si, ete.) avec de la cire.
Encerän-sE, o. r. devenir opuleur de cire,
en parlant du visage.
EncencaR, etc. V. Contornear, Rodsar.
Encnnaino, a, P- p. d’Exoorrer.
* ENCERRADOR, A, 8. qui renferme, qui res-
serre; qui enfarme.
Encernapöna, 8. f. actign de renfermer, de
resserrer, d’enfermer.
Eucznrsußuto, s.m. V. Encerradurs. En-
clos, clöture; elöture , arröt& de compte, action
de clore.
Enczarin,v. 6. fermer, enlermer, resserrer,
reoeier, metire dans un lieu sür. —, enclore.
(ig.) Embrasser, eontenir, renfermer; pacher.
Ciöorse: achever, fnir, terminer (un acle, Fr
compte,, eit.}. — 08 passaros no iompo de
muda , formuer les olspauz. N
EnCERRÄR-SE (em), v.r. (Ag.) se rostreindre,
se borner &. Se renfermer; s’onfermer (dans
un tlollre ou gouvent).
Enckano, a. m. action de ‚zenfermer, do res
serrer. V. Encerromenio. ’Retraite, solitude.
V. Clausura, Bocoi Miosonio.
* Encertino, A. V.
EncgTtÄDo, A, adj. } p. p. d’Encefor,
+ EnceranoR, s. m. celui qui entame, qui
commence.
Encetapdna, s. f. action d’entamer, de com-
mencer, commencement. Entame, entamure,
Buceräin, 0. s. entamer: faire une pelite d6-
ohiruse, une petite ineision; Öior une peflie
498 ENG
avis.— com 08 tos dalguem, peüser
la meme chose qu’un autre, avoir la meme
penste, se rencontrer, avoir la meme idee. —
nas opiniöes, pareceres, eic.: &ire de dille-
rente opinion, d’avis contraire.
EncönTRo, #. m. *rencontre; heurt, choo,
abord; opposition,, obstacle;; hasard ; conjonc-
tion, eoncours, attouchement de deuz Corps,
etc.; duel non premeditd; choc de deux corps
de troupes; occasion, Conjoncture. De —, de
rencontre. Por —, par hasard. Ir, sair 0 —,
aller au-devant, ä la rencontre de quelqu’un;
s’opposer, resister ä quelqu’un. Ter — com
mulher,, connaltre une femme, en jouir. — de
dividas, conlas, compensation de delies. —,
I. ailerons : partie des ailes de l’oiseau qui
ent au corps; (fam.) les &paules de l’homme.
Encorir. V. Enfunar.
Encöanıo. V. Incordio.
Encoap0iD0, A, 9.9. de
Enconpoir, ©. a. garnir de cordes un in-
atrument de musique; (Ag.) durcir, rendre dur,
EncorpoAR, vo. ». (fig.) bouder, se fächer.
* EnooanzıHino. V. Becornddo, Desken-
T Encorogino, A, adj. annexs A un dröchd
(böndfice).
fEncoxonsino, a, adj. (f. de odler.) quia
le sabot malade (cheval\.
Enconripo, A, p.p. d’Encorper. adj. Qui @
du corps; bien fourni, parlanı d’un drap, eto.
EncoRPADURA,, 8. f[. ou ENCORPAMENTO, s.m.
€paisseur, corpsd’un drap, etc.; corpulence.
EnconPpÄr, v. a. donner du corps & un drap,
ä une 6tolle. o. ». Prendre du corps.
EncorPÄn-se,v.r.selormer, parlantdu f@tus.
Enconpoxär, etc. V. Incorporar, elc.
EucoarEinDo, A, p.p. d’Encorrear.
T EncoRREAnURA, 5. f. armure decuir. —
das esporas, courroie pour tenir et boucler les
öperons.
EnconagÄr, ©. ®. se Crisper, se ralaliner.
v. a. (P. us.) Altacher avcc une courroie.
Enconasa, eic. V. Incorrer, ol.
ENCORRILHÄDO, A, P. p. de
EnconaILBÄR, ©. a. enfermer, enclore.
Excoarigipo, A,9.p. de
EncorTigän, v. a. faire former l’&corce; gar-
nir de liöge. (Ag.) Rendre dur comme lo liöge.
— abelhas , metire un essaim dans la rache.
Enconricir, v. n. et — SE, vo. fr. so former
en 6coroe, gagner de }’&corce;; devenir rabo-
teuX.
+ Encosautntos, s. m. pl. (1. de const.)
* piöces de bois pour renforcer les allonges.
Eno0scorADO , A, 9. P. de
+ EncoscorÄr, ®. 6. crisper, ratatiner. Il est
aussi reciproque.
Encösras, s. f. pl. * embouchoirs de bottes.
Mettor-se nas — „rentrer dans sa coquille.
Enoösta, s. f.* coleau, rampe,, pente, pei-
ehant d’une colline, colline.
Encösrino, A, pP. p. de
Encostän, 9. @. joindre, Fapprocher, ap-
ENC
puyer ; meltre A 06t6 de „ adosser ; deposer.<-6
vara, o bastdo, (fig.) renoncer & une charge.
Encostin-sa (a, em), v. r. s’appuyer, se
soutenir sur; s’incliner; se mettre & cöte de,
Se coucher, se reposer. — d opinido de al-
guem , adherer & l’opinion de quelqu’un.
+ Encöstas, s. m. pl. (t. de mag.)" pilesı
maconnerie qui soutient les arches d’en potl,
d’une voöte, elc. (Ag.) Appui, soutien, preitc-
tion, faveur, prolecteurs.
Enc#sTo ‚6. m. appui , noulien ‚ support, &lsi;
dossier d’un banc. (fig., Soutien, appei, pfo-
teclion.
Encostaäno, A, ady. couvert de ereßles,
d’escarres.
Excovonia.V. Gurver, Deprimer.
ENCOURACADO, A, P. p.de
EncoURAGÄR, ©. @. Cuirasser : armer, vet
d’une cuirasse ; pourvoir de auirasses (la cara-
lerie). Il est gussi feripfoque.
Encourin0, A,p. 9. de
Encousin, %. a. garnir, couvrir de eeir. Bn-
fermer, mettre dans du opir. Faire revenit la
chair, la peau d’une plaie. o. n. Cieatriser, S*
couvrir de peäu, parlant d’une plaie.
Encottipo,A,9.p. de
+ Excouria, vo. e. (1. de prat.) saisir Is
choses defendues par la loi; valuer la ches
saisie eten faire payer la valeur. —as lede
munhass, defenäre aux t&moms de parler 371
personnes qui les avaient produits en Jusitt.
t Encoursino, s. m. celui qui recerait
sollicitait Jos euooufos. V. co met.
+ Escönto,s. m. (i. de prat.) * amande pt
cuniaire qu’on imposalt autrefeis a oeut gul
avaient des ohoses dont V’usage &tait delt"
par les loin (comme arines,, mules, eic. . 0%
qui enfreindraient les privileges des fiefs.
Encovä20,4A, pP. p. d’Bacovar. adj. Mis dans
un creux, dans un trou. Olkos —s , youz ereı!
et enfoncds. Fisar —, (4g.) &ire vainca; oblir
de se taire.
Encovir, o. a. enfouir, mettze dans an Ifel,
eic. — eiguem, (Ag.) aonvainore quelqun,
l’obliger de se taire.
Encoviän-sg,®. r. 00 clapir, se tapir; sei-
foncer, parlant des yeux. (Ag.) Se eneber ; lu!
le monde et vivre en retraite.
+ Encaaritas, 3. m. p}. emoratites ı sectäire®
du deuxiöme sidole, qui soutemaient qu’Adan
n’6tait pas saure, et qui regardaient ie maraf!
comme un #tat de corruption es de debauche.
Encravaciö, 8. f- * onclavement; enciare;
enclouure. (fg. fa.) Tromperie, piege, &”
trape ; mensonge, bourde, defaite.
Encaavipo, A, 9. d’Encraver. adj. B#-
clou6 (cheval) ; convaincu de orimae , v0up3
.) Fix6,, coll6 sur. (6. V. Acrasado.
CRAVADURA , 8. f. 66 ENCRAVamBuTtO „6 9
enclouure ; onclarure.
Encaavia, v. s. clouer:: fixer avoc des olou:-
V. Cravar. Enclouer : piquar le cheval en !®
ferrant; enfoncer un elou dans la lumiere ds
eanon. Enclaver,enclorre, enfermer (une jet?
ENC
dans wneautre, eic.). Compromettre, Impliguer
gqueign'un dans une accusation. (fg.) Tromper,
altraper ; accuser. — WG Mops, remper Un6
demeiselle, abuser de sa erddulits. —os olkos.
V.Cresar, etc.
Enxcaavin-SE , ©. r. s’enlerrer ; s’embourber.
(Ag.) Secondamner par son propre aveu.
Excaivo, 3. m. ° enclouure : hlessure faite
en enelouant (un cheval, etc.).
"Encato. V. Inerddulo.
Eramsscmento. V. Acresceino, Augmento.
EncaespinO, A, 9. p. d’Enorespar. adj.
Gise. Ecumant , parlant des vagues de la mer.
(Ag) Imite,, enrage.
RuczspapOr, s. m. frisoir : pinoe & friser
0 chevonx.
+Escagspandrı, 5. f. frisure : fagen de fri-
ser;chereiunre bouelee, dat de ce qui ast frise.
r ExcazspamintO, 3. m. action de friser. V.
arepedure.
Encazspir,, vo. &. (riser, cröper, boucler, an-
veler (les chevenx). Soulever les flots, em par-
lant de la mer. Hörisser.
Eucazsrän-eg, o. r. no rider, se hörisser, se
dresser. (Ag.) S’irriter, s’emporter ; senorgueil-
ir; senfler, grossir, &cumer, se dit de la mer
en furie. — com eiguem, faire, tenir iöte &
guelqu’un.
Encamsripo, A, ed). bupps, cröte. ( fg.)
Bautain , orgueillenx, er. p. p. de
Encnısyia-se, v. r. lovor la cr&te, la tenir
raide, parlant des oiseaux & or#le,
Excati00, A, 9. p. d’Enervwar.
EnckUANENTO, 5. m. * crudits; mauvaise di-
gestion ; malaise de l’ostomac.
Escatiz , o. a. endureir ; empöcher de ouire;
emp£cher la digestion. (fg.) Rendre dur ou
sans piti6; irriter, exasp6rer, aigrir. — uma
wegocispio, renverser une n6gocialion.
Excavia, v.n. 86 — 88, o. r. acquerir de la
erudiie, parlant des humeurs, etc. S’aigir,
sirriter; sacharner.
* EncaupaLzcea-sE. V. Enfurecer-se.
Eucavzcer, ©. 8. empirer, irriter, envenimor
* une plaie.(fig.) Aigrir, exasp£rer, irriter. Gau-
ser des indigestions , douner des crudites.
Encauzckr, 9. n. et —SE, vd. Tr. Foster sur
Festomac, ne point se digerer. (Ag.) S’aigrir,
Kezasperer, s’irriter.
EncauBGap0O, A, P. p. d’Encruecer.
ENCRGELECER-SE, ©. r. devenir cruel, bar-
bare, inexorabie.
CRUELECIDO, A , 9. pP. d’Encruelecer-se.
Encaustin, etc. V. Incruster, etc.
Excauzino,A,p.p. de Encrusor. Bstar—,
{. de mar.) mouiller entre vent ei marde.
Encauzauanto, 5. m. croiser, action de croi-
ser; &tat de ce qui est croise.
Escauzin, ©. @. cfoiser ; mettre, placer,
entrelacer, disposer en crotx.
ExcapzıLaida , 3. f. ° carrefour : endroit oü
des rues, des chemins se Croisent,
BucauzıLuin,, etc. V. Encruzar, etc.
Escrsino, A, p. p. d’Encubar,
EN) 499
EncusÄrR, ©. 6, encuver : melire on cuvo;
serrer dans le grenier. (£g.) Couvar quelque
dene in, nourrir quelgue passion socröte.
CUBERTA.
Eucusaır , etc. | V, Encob... ) eis,
ENGBOENTAR, eto. V. Swar.
CULCA.
EncoLcan, eio. | V. Ineul.... , el6.
Encumsi00, 4,9. p. de
Encumzir, ©. . placer sur la cime, sur le
sommet. Il est aussi r6ciproque.
EncuansLino, 4, 9: 9. de
EncoaraLie, v. a. enfermer du bötall dans
les &tables; ontoures, serner, acculer.
EncunnaLin-sE,Q. r. s’enfermer dans une
place forte; se röfugier dans un lieu qui n’a pas
de sortie, ou qui peut Atre oeuno par l’ennemi.
Encurtino,&,Pp. p. d’Encuriar.
Eucunranon, s. m. abrervisteur, rogneur;
qui raccoureit.
ENCURTANENTO, 8. m. Faobourolissarmen!t ; aC-
couroissement.
Encurtär, 9%. @. &courter, racgourcir; a0-
eoureir. Ahröger; diminuer. —a md#o, (fig.)
se montrer craintif, timide.
Encuatim-se, 9. T. 56 raccoureir, devenir
moins long.
Encunvino,&A,9.p. d’Encurvar
Encunvapöaa, #. f. courbure
plier, de courber.
Encunvir, ©. a. courber, arquer; plier,
ployer, fl&chir, incliner. V. Acurvar. (Ag.)
Abattre, humilier. —as pranches, (t. deconst.)
plier les planches ou les bordages & feu.
EncunviR-SE, v. r. 856 Voülör, 56 CIEUSEr, 86
courber. (fg.) S’abatıre, s’bumilier.
TEncricua, s. f. enoyclie : cercle qui se
forme daus l’eau lorsqu’il y tombe un corps.
Encr’cLico , 4, adj. encyclique. Carla —a,
lettre encyclique : circulaire eccl&slastique.
EncrcLop&pia, #. f. eucyclopedie : science
universelle; enchatnement de toutes les scien-
ces; livre qui les contient; ouyrage oü Yon cıı
treite.
EnxcrcLor£dıco, A , adj. encyclopedique : qui
comprend toutes les sciences, d’un bomme qui
poss#de toutes les sciences; de l’enoyclopediv.
+EncrcLoPgDista ‚a. m. encyclopedisie : au-
teur encyclopedique; philosophe mat£rialiste.
* Ewe ‚ade. V. Alli; #Alli, d’Aqui,; d’Isto,
Fazer — al, (1. de prat. anc.) laire le contraire
de ce qu’on ordonne. Por —, donc, par conse -
quent, ainsi donc.
Enpecicono, A, adj. (t. de geom.) eudeca-
gone : (figure) A onze angles et & onze cölds.
+ Enpscinputa, s. f. (t. de bof.) endecan-
drie : onzi&me classe des vegelaux, ä onze ela-
mines.
Enpecasv’ıLan0. V. Hend...
Enptcua ,s. f.” chant fundhre A la louange
d’un mort. Sorte de po&sie Sun&bre composee
de stances de quatre vers, chacun de six A sept
syllabes. Complainte.
EnpecHipoa, V. Carpidor,
‚ action de
500 END
EnpecHipöra. V. Carpideira.
EnDECHADO, A, 9. p. de
Exp£cHir, v. a. chanter les louanges d’un
uelunt sur son Corps; chanter des complaintes.
Ennenico, A, adj. end6migae : partieulier &
un peupie ( maladie).
ENDEMONINUÄDO, A,adj. possede du demon.
Endiable : tres-mechant, 9. p. de
+ ENDEMONISnAı, v.@. faire entrer les dia-
bles dans legorps de quelqu’un.
EnDENTÄDO, A, adj. (4. de bias.) endents,
dentel6: compose de triangles alternes, garni
de dents. p. p. de
Enpentär, vo. a. endenter, engrener.
-f ENDENTECER, u. ». commencer & faire des
denis.
ENnDEOSÄDAMENTE, adv. divinement; mer-
veilleusement.
Enprosäno, A, p. P. d’Endeosar. adj. Divi-
niss, deilie, inspir6 ; orgu-illeux.
ENDEOSAMENTO, 5. m. ".polheose, deifica-
tion. Orgueil , presomption, hauteur ; extase,
ravissement.
Enpeosir, 0. a. d&ifler : ınettre au rang des
dieux ; diviniser.
Enpegosin-8£, 9. r. se croire une divinile.
(Ag.) S’enorgueillir, s’enfler. S’extasier : etre
ravi en oxlase.
Enpderschk0o, A, 9. P- d’Enderecar.
ENDEREGSAMENTO, 8. m. "adresse, direction ;
Paction et l’effet d’adresser.
EnDE: :CÄR, ©. a. adresser, diriger, tneltre
sur la voie ; redresser.
Enperzcin (para),v. n. aller en droiture
quelque part. — se (para), v. r. s’adresser ä, se
diriger vers... ; aller en droiture.
Enpsaßco, s. m. " adresse (d’une personne).
Enornengan. V. Enderecar ot Aderengar.
Enptxa, etc. V. Endechs, etc.
Enptz, &. m. nichet : @uf mis dans un nid
pour que les poules y aillent pondre.
EnDiABRÄDAMENTE , adv. diaboliquement; fu-
rieusement, comme un enrage.
Enviaseivo, A, adj. diabolique, endiable;
ınechant, mauvais; (Ag.) [urieux, infernal.
Enpıaco. V. Endro bravo.
TENDIänoao, s, m. (t. de bot.) endiandre :
laurier de la Nouvelle-Hollande.
ENDInBEIRÄDO, A, adj. pecunieux : qui a
beaucoup d’argent;riche. Accompagne& d’argent.
ENDIKEITADO, A,P. pP. de
Enpiaeıtin, ©.@. redresser ; rendre droit;
aligner. (Ag.) Reparer, reiablir, raccommoder,
reımelire en ordre quelque chose. Guider, con-
duire, diriger. (para) o. ». Aller en droiture
quelque part; se diriger sur. — ao alvo, viser,
ınirer, pointer jusle. — com alguem, aller tout
ılroil quelqgu’un.
EnDiREiITAR-SE ,o. r. se redresser, se tenir
ıtroft, s’affermir dans un poste; retablir son
«redit, ete. (fig.) Se remettre en bonne voie, en
hon train, parlant d’une affaire,
Enpivia, 8. [.(t. de bot.) endive : plante po-
'ısero, chicoracde.
ENE
Enpıvmino,A,p.p. de
Enpivivär, v. a. endelter, faire endelier.
(fg.) Obliger quelqu’un.
Enpivinäa-sE, 0. r. s’endelter, so rendelter,
s’obtrer,, s’engager dans des deltes. — com el
quem, (fig.) contracter des obligalions pour
des bienfaits regus de quelqu'un.
* Enpoipo. V. Dorido.
Enpoßngas, s. f. pl. douleurs, souflcances,
Quinta, sexta feira de —, jeudi, vendredi
saint. (g.) Des visites que !’on fait aux dglises
ie jeudi saint.
Enpossipo, A, p. p. d’Endosser.
Enpossaue&nto. V. Endosso.
ENDossänTE,, 8.2 gen. (6. de comm.) endös-
seur : celui qui a endoss6 un billet.
EnDoSssär , dv. @. (f. de comm.) endosser:mel-
tre au dos d’un billet la signature, l’ordre de
payer.
+ Enbossarärıo, s. m. (i. de comm.) porteuf
d’un billet endosse. "
Ennösso, s. m. (l. de comm.) endossemeil,
endos : sipnature , ecrit au dos d’un aote, d'un
billet, quı oblige & le rembourser fautede pai®
ment; action d’endosser. * Cession que Yon fall
d’un billet, d’une lettre de change, eilt.
ENDOUDECER , 9. a. rendre fon. 9. #. Deremt
fou ; exiravaguer, perdre l’esprit, la raison.
ENDOUDECIDO, A, P. P. d’Endoudscer.
"ENDOUTO, a. Y. Acostumado.
+ Enpriö,s.m. (4. de bot.) anet ow anelh
des champs : plante ombellilere.
Enongcar, etc. V. Enderegar, et.
+ Enpaiaco , 5. m. endriaque : monstre Imi-
ginaire qui, disait-on, devorait les vierges.
+ EnpneveLo, s. m. (t. de mar.) bragutl,
guinderesse.
Enpno, s. m. (t. de bo.) anet ou aneih ode
rant : plante ombelliföre. — Draoo. V. Endrdi.
Enpurau&nto. V. Endurecimento.
Enporär. V. Endurecer.
EnDURECER, dv. @. endurecir : rendre dur, c00-
solider. fig.) —, rendre fort, robuste; acoöl-
tumer au travail. (dd.)—, rendre Jur, impitoy®
ble, insensible. —o ventre , constiper le ventre.
Endunzcia, 0.9. et —se, o.r. dureir:de
venir dur; s’endurcir, (Ag.) e’aocoutuıner (ä la
peine, au Iiravail, etc.); s’obsliner. Nevenif
cruel, inaecessible & la piti6, s’enuureir le
caur. — no crime, no vicio ,s’endarcir dans lt
crime, le vice, en contracter l’babitade,
n’eprouver plus de honte, de remords.
ENDURECIDO, A, 2. 9. W’Endurecer.
ENDURECINRNTO, 8. m. endurcissement,(ß4.)
duret& ‘de cour, de conscience); opiniätrel#:
&tat d’une Ame insensible.
Enpunentar. V. Endurecer, Callejar.
"Enopuzer. V. Julgar, Doar, Conceder.
+ Enz, s. m. nom que porte le # portugais
t En£apas, s. m. pl." compagnons d’Enee.
TEntas, 5. m. (n. prop.) Ende, fils dA
chise.
+ Entına ow Entapa, s. f. Eneide: pocıme
heroique de Virgile.
ENF
Ensmco „ otc. V. Inimigo.
Esıuıstan. V. Malquistar.
Euso, a, adj. (poet.) de cuivre, de bronze,
dasirain.
tEnsontwa, s. m. (li. de med.) &necor&me :
subsiance qui nage dans l’urine.
*"Exsorim, s. m. V. Tosguia.
Ensacia,, s. f. önergie: force, eficace ‚vertu;
eoarage.
EntacıcaAmMBntE , adv. eEnergiquement : avec
nergie.
Entacco, A, adj. energique : qui a de l’e-
norgie.
t Enzucızan,, v. a. (pP. us.) energiser: rendre
eneryigae. .
Enzacöueno, A, 8. m. 6nergume£ne : possede
du demon : enthousiaste.
Enzavacaö, 8. f. (tb. de med.) enervation,
sflaiblissemment,
EngkvaDo,A,Pp.p. de
EnenväR, ©. a. enervor : alfaiblir beaucoup
(es lorces, le courage, (fig.) lestyle, etc.),
rendre faible. V. Ennervar.
Ensapapico, A, adj. colerique, facile, port6
äse fächer ; susceptible, hargneux.
EnrapiDo, A, Pp. P. d’Enfadar.
Euranass£nyd. V. Enfado.
Enrapäa, v. 0. fächer, causer du deplaisit,
incommoder. Eanuyer, importuner ; degußter,
Exrapäs-se (com, de), v. r. se fächer; »'en-
nuyer, se degoüter.
Exripo, s. m. ennui; degoüt, deplaisir ; cha-
grin, [ächerie. "Faligue, peine, mal (d’un
Voyage, eic.).
EnFADONHO, A , adj. ennuyeux; fAcheux, im-
portun , qui fAche, qui ennuie.
TERFADOSAMENTE , adv. ennuycusement ;
avec ennui.
fEnran0so, a, adj. ennuyeux: qui cause de
lennui. V. Enfadonho.
ENFAIXADINHO, A, adj. dim. de
Exrasxi00,A,P.p. de
Euraıxin, v. a. emmailloter : melire en
maillot ; bander le ventre d’une femme accuu-
chee.
ExFAIXäR-SE, ©. r. meltre une ceinture.
Eurauan, etc. V. Infamar, etc.
Exrazır, etc. V, Enfastiar, elc.
Exraapipo, A, P. p. de Enfardar.
Exranpapon, 5. m. emballeur : celui qui em-
balle.
Esraapir, v. a. emballer, empaqueter.
ENFARDELÄDO, A, 9. P. de
ENFARDELÄR, dv. a. meltre dans le havresac ;
empaqueter, emballer.
ExraagLiD0, A, P.p. de
EXFARELAR, 0. a. couvrir de son, meler de
son.
ENFARINHÄDAMENTE , adv. (Ag.) V. Dissimu-
ladame nie.
Ewrirrssäpo,, A, adj. (fg.) Enfarine : lege-
rement imbu ow instruil d’une science, elc.
pP. p. d’Enfarinhar.
ENF 501
Enraninuin, o. 0. couvrir, meöler de farine;
enfariner, poudrer de farine,
ENFARINGAR-SE, ©. r. s’enfariner, se pou-
drer; (Ag.) prendre une legere leinture d’une
science, elc. ’
Enräao. V. Asco, Fastio.
ENFARRAPÄDO, A, adj. oouvort de haillons.
V. Esfarrapado.
EnFARRUSCADO, A, 9. 9. de
EnrarnusciR, ©. @. selir de suie, noireir
avec de la suie, avec du charbon, etc.
Envası, ec. V. Emphase, eto.
r ENFASTIÄDAMENTE ‚adv. avec degoüt, avec
ennui.
Enrastıäno, A, p. p. de
Enrastiir, 0. a. degoüter, donner du de-
goüt, de la repugnance ; ennuyar; faire perdre
Pappetit.
EnrasTtıÄn-sE (de), v. r. se degoüter, s’on-
nuyer, avoir de la repugnance 4.
EnraTeötıco, V. Emphyteutico,
EnratıLHin, etc. V. Enfardelar.
Enratuan, eic. V. Infaluar, ete.
Enraxan, etc. V. Enfaizar, elc.
ENFEITADINBO , A, adj. dim. de
EnrEITÄDO, A, pP. p. d’Enfsilar.
EnFEIıTADOR, 8. m. enjoliveur : qui pare, qui
enjolive.
Enreıtän, ©. @. parer, orner, ajuster, enjoli-
ver, embellir, atinter. Donner un faux lustre.
Arranger, orner, parer, embellir. (fg.) Co-
lorer : donner une belle apparence ä quel-
que chose de mauvais; couvrir de quelque
preiexie. — bem um-conlo, broder bien um
compte.
Enr£ite, s. m. embellissement, ornement,
ajustement, atour. —s, pl. " parures : tout ce
qui pare, qui serl ä parer.
EnrEITIGAnO, A, p. p. de
EnFEITIGÄR,, v. a. ensorceler : donner, par
pretendu sorlilcge o« malefice, une maladie
extraordinaire de corps ou d’esprit; (flg.) en-
flammer d’amour ; charıner, enchanter.
EnFEgıTtıcÄR-SE, tv. r. stensorceler ; &lre char-
me, enchante.
EnFEIXÄDO, A, 2%. p. de
ENFEIXAR, ©. @. uclire en faisceaux, botte-
ler; eınpaqueter.
ENF&LUJÄDO, A, 2.9. de
EnxrELusÄr, v. a. noircir avec de la suie.
* ENFENGIMENTO. V. Fingimento.
ENFERMÄDO, A, p. p. de
Enreruän,v.a. rendre malade, faire gagner
une maladie. ( #g.) Alffaiblir.
Enfreauan (de), v. n. devenir, tomber ma-
lade; &tre malade.
Exrermania, 3. f. infirmerie : lieu od l’on
rassemble les inlirmes, les malades dans les
coınmunautss , etc. Salle d’höpital.
Enrerueına, s. /. infirinidre: femme qui
sert les femmes malades dans les höpitaux.
EnrenmeıRo, 3. m. infrmier : qui a soin
d’une inlirmerie; qui sert les malades,
* Enrenuigo, A. V. Achrtcoso.
503 ENF
Enrgaxıpipk, s. f. infirmii, maladie, in-
disposition.
EnrsauisuMo, A, adj. sup. d’Enferme.
Envtauo, A, adj. malade, infirme : qui n'est
pas sain. s, Malade.
Enrernan. V. Inferner.
Enrgantina. V. Infornalidade.
Enrzanızir. V. Alormenlar.
Enreaau3iD0, A, p.p. de
Enrenavskr, d. a. rouiller: faire venir de la
rouille.
ENFERRUJAR-SE,, ©. Tr. Se rouiller:: se couvrir
de rouille.
Enrgsta, s. f. hauleur, sommet, cime.
+ Eurestioo, A, adj. pli6 en longueur. On le
dit du drap, etc. , en piece.
* Enrtsto, a, adj. &leve ; dresse , ralde, es-
carpt. s. m. V. Enfestao.
Enrgupichö, s. f. Inf6odation : action d’m-
f&oder.
Enr£0vip0,A,P.p. de
Enrgupir, v. 8. inf&oder : donner une terre
pour &tre tenue en fef.
Enrtzivo, A, adj. chötif: petit, mauvais
Jans son genre. 9. p. de
Enr£zir,v. a.remplirdelie,def&ces, ete.,g&-
ter. (lg.) Empe£cher l’accroissement, ie äsvelop-
pement(d’une plante, etc.) ; infecter.— alguem,
(Ay.}\ourmenter,taquiner, tracasser quelqu’un.
Enrugid, s. f. action d’enfiler.
Enriina, s. f. " enchalnement; enfllade.
Esrıä0o, A, pP. p. d’Enfar. adj. Enfile. (flg.)
Fix (sur un objet quelconque), parlant des
yeux.(id.) Saisi; delait; pAle, bl&me. Folhas
—43 , (ti. de bot.) V. Perfolhadas.
Exriupüra, 3. f. aiguillde de fil ou de sole;
action d’enfiler.
EnriaM&nto,s. m. V. Enfiagdo. di. Saisisse-
ınent; emportement , colöre.
Exriir, 0.8. enflier : passer un fl par un
trou ; mettre en flle, en rang; passer de part
en part; traverser; — un chemin, le suivre.
(&.mil.) — (un ouvrage de fortiflcation ), te
batire avec le canon, en prenant de flanc ceux
qui le defendent. Fixer, coller (les yeux sur...).
‘ant.) Confer, fer. Cautionner.
Exriän, o. n. changer de couleur, pälir, se
troubler, ötre saisi.— com alguem, 56 jeler sur
quelqu’un.
Enriän-sE, o. r. s’enfller, s’enferrer; se sui-
vre l’un aprös l’autre.
EnriLgıripO, A, p.p. de
EnriLeınin, 0. a. aligner les rangs, ranger
en Sle.
* Enrincıa. V. Fingir.
* Enrinto. V. Fingido.
EnristruLioo , A, adj. fistuleux. p. p. do
EnristuLik, ©. 6. rondre fistuleux.
EurisruLia-s8E , v. r. devenir fistuleux, de-
gönerer en fistule, se dit d’une plale,
Enrtivo,A,p.p. de
Enririr,, 9. a. orner, couvrir de rubans.
Enrireosı. V. Emphyleose.
Enrivsuan. V. Afvıslar.
ENF
* EnrLonEcHR , 9. 9. V. Fioreter.
Enrocivo, a, adj. V. Ardenie. p.p. de
Enrocie, 0. a. (#. d’erkill.) faire rougir des
boulets.
T Enrorurschncza,s. f.($. de bot.)fenillaison:
renouvellementannuel desTfeuilles ;ieaur&poque.
+ Enroncapice, a ‚adj. qui merite d’ötre pen-
du. —, gueux & pendre.
ENFORCÄDO, A, 9. pP. d’Enforcar. adj. Panda;
suspendu. Vinko de —, vin de ia vigne allide
aux ormeaux. Olhos —s, (Ag. fam.) yeux fit,
coll&s sur une croisse of est une porsenne ch&
rie. Em casa de — n&o se [alla em corda, (pros.)
il ne faut pas parier de corde dans ia main
d’un pendu. Confeitos , confortos de —, don,
consolation, bienfait inutile. Correr riso de
ser —, avoir fris6 la corde.
Ensorcik, v. @. pendre , falre pendre : alla-
cher un criminel par une corde & une polent®
pour P’6trangler. Suspendre sux branches (d’un
rbre), & une fourcho, eto. Berrer en dlau. —
em sstalus, efligier : ex6cuter en efligie. -r'*
ma arvore, brancher : pendre & la branche
d’un arbre. — os habitos,, jeter le froc aux or-
ties. —esperangas,, affecios, (g.) renencer aui
esperances , aux affections.
EnronciR-S£, ©. r. so pendre, s’ötrangler
söi-meme. Vai-te enforcar, va-ten au gibel,
puisses-tu ötre pendu!
Envonmacid, eto. V. Fnformapbö,on. —
EnroauiDo, A, adj. corpulent, bien biü
(komme). $. p. de
Enroruin, v. e. mettre dans la forme ou
dans les embouchoirs. o. ». Prendre du o0rp6,
de Pembonpoint.
EnFORNÄDO, A, 9.2. de
‚ ENnFORNÄR, v. 6. enfourner : metize dans |e
our.
Enroania. V. Fornecer.
Enröaro, s.m.* doublure.
EnFRAQUEceR, o. s. affaiblir, debiliter.
ENFRAQUECER , ©. 9. ol -sK, vo. r. s’affaiblit,
s’enerver. ( Ag.) Se decourager, perdre courag®
+ Enrnagvecinauente, ade. faiblemen.
ENFRAQUECIDO, A, P. P. d’Enfraquecer. ei.
Faible.
ENFRAQUECImENTO, 5. m. aBaiblissemen!,
debilitation.
ENFRAQUENTAR, etc. V. Enfraquscer.
EnrrasciDo, A, 2. P. de
Enrrascia, ©. a. verser quolque lique
. dans des flaoons,
Enrrascin-9£ (em), v.r. sa livrer, sienlon-
cer, s’assouvir. (Ag.) S’imbiber ; s’occuper e1-
clusivement d’une affaire, d’une discussion,
etc. B’embarrasser dans des ronces, dans de
broussailles. — em vinko,, boire largement.
Enrazip0,A,P.p. d’Enfrear. |
Enrazanoa, s. m. celui qui bride un cberal;
qui reöfrene, r&prime.
Enrreir ou EnFREIaAR, ©. @. brider : melire
la bride 4 un cheval; le dompter, le faire obeir.
(#g.) Röfrener, r&primer : metire un {rein, le-
nir en bride, ‘
ENG
Ennzin,o.n. — bem o cavallo. On le dit
duncheral gu porte bien la tete. —SE,v. Tr.
sereirener. V. Refrear-se.
EnrrscHapünas, 3. f. Pl. (4. de mar.) enl6-
ehures: öchelles de corde des haubans.
+ExrrEcHÄTB, 5. m. (f. de mar.) chacun des
eäbles qui forment les marches des enflexures.
Err&scän-sE, elc. V. Enfrascar-se, eW.
EısaestäDoO,, A, adj. separ6, peu serre, cre-
rassö, Que tem os denies —s, bröche-dent.
Csps —a , manteau dechird, troue.
Exrnıkn ‚etc. V. Esfriar, Resfrior.
EXFRORHÄDO, A, 9. p. de
ENFRONHÄR , v. a. mettre la taie & un oreiller;
donner une l&gäre teinture ow une connais-
sance superficielle. — as mäos ‚( ig.) se livrer &
loisivet6. — as mAos em luvas, meltreses ganis.
EsrnonHÄr-sE (com alguem), v. r. #’insi-
naer, #Introduire ; s’arreger. — em fidalguia,
blasonner de gentilhomme; faire le seigneur. '
Exrceiräpa, 8. f. pleine charretce.
EvrveırÄDo, A,?. p. de
+EsrteImÄR, dv. a. mettre les ranchers ou les
barres dans une charrelte.
Eromipo , A, adj. (fg.) gonfle, enflö (d’or-
gueil, de vanit&). p. p. de
EsfumäR, 0. a. gonfler ou enfler les volles.
{hg.) Inspirer de Y’orgueil, enorgueillir.
Enrunin-SB, v. r. s’engouffrer, parlant du
vent. (fg.) Se gonfler d’orgueil, de vanitö; faire
I’'homme d’imporlance.
ExrumiLino,, A, adj. en entonnoir. p. p. de
EnronıLir, v. a. entonner : verser & Yaide
d’on entonnoir.
Esrtnecta, v. a. irriter, faire entrer en fu-
reur, en colere.
ENFCRECER, 9. N. et —se, v. r. entrer en fu-
rie, &tre hors de sol, S’emporter. (fig.) Se de-
chafner, entrer en farie, parlant du vent, de la
mer, elc.
Essunzcino, A, p. p. d’Enfurecer. adj. Furi-
Lond ‚ furieux,, enrage.
Exrorıia,, etc. V. Enfurecer, ot.
Exrüsa. V. Infusa.
4 Exruscipo, A, adj. obscurel, trouble. p. p.
e
Exruscix ‚v. a. nolreir. V. Obscurecer.
Exruscin-@E,, ©. f. s’obscurcif, se Couvrir,
parıant du ciel.
ExcagiDO, A, p. pP. de
Encacän, v. a. 6motter, herser.
Excigo ,s.m. *ralle de raisin- #4. V. Bagaro
& Ancinko,
Excipo, A,p. p. de Engör.
Engargcea, 9. n. devenir löpreux. v. 0. Ren-
dseltpreux , rogneux.
Encarscivo, A, P. p. d’Engafecer.
+ Encarin, 0. 6. (4. de mar.) congreer, em-
mieller : faire congreage.
tEnckio, g. m. (4. de mar.) congröage: ligne
tournde en hölice pour fortifler le hauban, eic.
EncaroLipo,A,p.p. de
ExcaioLiR, 0.4. encager, meltre en cage.
ENG 503
(fg. fam.) Emprisonner, metire en prison.
EncatoLÄR-sE, u. r. se mettre chez sol, vivre
solitaire.
Encasir, vo. a. ongager. V. Afustdr, etc.
EncaLido, A, adj. droit, qui va t&te levee
comme le coq. p. p. de
EncaLiR,, v. a. lever la t£te comme le corf.
V. Emproar.
EncaLia-sE, v. T. se rengorger : faire le
beau, le fler. V. Emprodr-se.
ENGALFINHÄDO, A, p. p. de
ENGALFINBÄR, ©. n. et—se, v.r. (l POP.)
tenir au collet, se oolleter.
EncaLein, etc. V. Geiger, etc.
* EncALHÄR, etc. V. Enganar, Sedusir.
ENnGALHARDETÄDO, A, P. p. de
ENGALHARDETÄR , 0. @. (4. de mar.) orner de
gaillardets,
EnciLLaA , s. m. espöce de sanglier du Conge,
+ EnGanaDıgo, A, adj. facile A tromper ou &
etre trompe.
Encanipo, A, p-.p. @Enganar.adj.Estar—,
se tromper, @tre dans l’erreur. Bstar muilo
se tromper fort.
ENGANADOR, A, adj. et s. trompeur : qui
trompe ; fourbe.
Encanäs, v. a. tromper, duper, abuser : user
d’artilce pour induire en erreur; seduire.
Leurrer, attirer pour tromper. — as horas, 0
tempo (fig.) tuer le temps. — 0 päo, (Ag. /am.)
manger aveo le pain quelque chose d’agreable
au got. Ser ımdo de —, (fam.) etre dilficile &
tromper. — as penas, a ddr, etc., ( Ag.) adou-
cir les peines, la douleur, etc.
ENGANÄB-SE, v. r. se tromper : @tre dans Per-
reur; se meprendre; s’abuser. — muilo, s6
tromper fort. — a si mesmo, 58 Womper sol-
meme. — com alguem , se Lromper sur les qua-
lites de quelqu’un.
+ Encancuipo, A, p. p. d’Enganchar. Folhas
— ss , adj. V. Obvolvidas (1. de bot.).
+ EncancHin, o. a. accrocher : prendre avec
un croc.
ENGANGENTO. V. Gongenlo.
Encanipo, a, adj. — de frio, transi de froid.
Encäno, s.m. * fourberie, tromperie : artifice
employ6 pour tromper ; ruse, finesse ; fraude;
möprise, erreur, illusion.
NGANÖSAMENTE , adv. frauduleusement, ar-
tificieusement, captieusement, insidieusement ;
faussement; par erreur; par supercherie, par]
ruse ou finesse.
ENCANöso, A, adj. trompeur, faux, artille
cieux, Insidieux; illusoire, captieux,
Encanzar. V. Engranzar.
EnGÄR, ©. 6, tourmenter, taquiner, fracasser
quelqu’un;; Ini en vouloir, lui chercher noise.
EnciR, 0.®%. 04 —s& (a), v. r. (4. de chasse),
V, Avezdr-se (a).
Encarampin. V. Engarapar.
* ENCARAMPONÄR , v. @. empoigner, agriflur.
it, (pop.) V. Lograr, Fraudar.
ENCAnANBADO, 4 ,(l. pap.) adj. perpleie.
irresolu. |
nn 4
508 ENG
EncaraPip0, A, p.p. de
EntarariR,t. a. donner la garapa. V. ce
mot. (fig.) Passer la plume par le bec de quel-
qu’un, se moquer de lui, le prendre pour dupe.
Encaravırino,. V. Inteirigado.
Encancaipo. V. Encarouchado ei Esgar-
chado.
ENGARGANTÄDO, A, P. p. de
ENGARGANTÄR, v. a. melire, enfoncer dans
le gosier, en parlant surtout des oiseaux qu’on
nourrit ä la becquee. — o pe, entrer le pied
dans l’etrier jusqu’au coude-pied. v. n. Grossir
en forme de gorge, se dit de Ja canne & su-
cre.
ENGARCGANTÄR-SE, v. r. rester dans le gosier
vw dans une embouchure quelconque, ne pou-
voir pas descendre.
EnGaRaRAriDO, A, pP. p.de
+ Encanrarär, v. a. meltre en bouteille (du
vin, etc.).
EnGassin0, A, p. P. d’Engasgar. adj. ( fig.
Jam.) Interdit. Ficar —, (id.) rester tout
oouri.
EncascaLHiDO, A, pP. p. de
ENGASGALRÄR-SE, ©. r. ( {. Pop.) S’accrocher,
s’embarrasser.
Encascär, v. a. etouffer, suffoquer, eiran-
ler.
8 EnGasGÄr-sE, v. r. avaler quelque chose qui
reste accrochee & la gorge. (fig.) Eire serre &
Petroit; s’embarrasser. (id.) Rester tout court,
perdre le Al de son discours.
EnGastino, A, adj. d’Engastar.
+ EnoasTan6n, s. m. celui qui enchässe.
Encastär, v. a. enchässer, sertir, mıonter en
or, en argent, olo. — um diamanle, monter
un dismant.
Encäste ,s. m. *enchässure : action d’enchäs-
ser. Le cercle dans lequel on enchässe, sertis-
sure, chaton.
Encastoan, etc. V. Engastar et Encasivar.
Encati0o,A,Pp.p. de
EnGarTär, 9. a. Craınponner, attacher avec
des crampons; assujettir avec des liens de fer.
Accrocher.
EnGaTınsÄr, v. w. ramper, se trainer & qua-
tre palies.
EncassLiB0, A, p. p. de
EnGABELÄR, ©. a. javeler : mettre en javelles
(le bie) ; engerber.
EnsavoLar, etc. V. Engaiolar.
* Enctina. V. Geire.
Encgıtipo, A, p. p. d’Engeitar. adj. Rejete,
abandonnd ; refuse; expose. s. Enlant trouve.
EnsEITADÖR, A, 3. celui qui rejelte; qui ex-
pose ou qui abandonne (un enlant).
Ensgıramento, s. m. "repudiation; refus,
rebut; redhibition ; action d’exposer ou d’aban-
donner.
Enceıtär ow EniEırar, v. a. rejeter, mettre
au rebut; repudier, abandonner, delaisser;
rendre ou faire reprendre ce qu’on avait
achet€; meitre aux enlants trouves. Reprou-
ver; röcuser, refuser. — de llho, de parente,
ENG
ne vouleir pas reconnaltre comme son fils,
son parent, priver de leurs droits. — uma [a-
zenda, ou genero, (l. de comm.) rebulter une
marchandise.
EnceLBiDo, A,p9.p. de
Encskinir, 0.a. rider : faire ow causer des
rides. (fg.) Resserrer, comprimer.
EnxceLuäR, v.n.et—se, vo. r. se secher, se
fleırir, se faner, parlant des fruits ou des plau-
tes ; se rider.
ENGENDRÄDO, A, p. p. de
ENGENDRÄR, 0. @. engendrer, produire son
semblable. (#g.) Causer, occasionner, former,
produire.
ENGENBADO, A, 9. p. d’Engenkar.
EncEnnAnOR, 8. m. celui qui Imagine, qui
invente des machines ingenieuses.
EncenBin, v. a. tracer, inventer ingenieuse-
ment. imaginer quelque chose d’ingenieux;
adapter; faire avec adresse ; machiner.
EnGENnnÄR-SE, dv. r. s’ingenier: chercher dans
son esprit des moyens de succ&s;; Lrouver des
expedients. — dcondigdo d’ouirem , ae facon-
ner d’apres le goüt de quelqu’un.
EnNGENXHARiA, 8. f. " genie : art de forlifier,
d’attaquer les places, de construire des ponts,
des routes, de lever des plans, elc.; exercice
de cet art; ceux qui l’exercent; corps d’inge-
nieurs.
EXCENBEIRO, s. m. ingenieur : qui invente,
trace et conduit des forlifications, des ponts,
des chaussees, des instruments de mathemat-
ques, elc.
ENGENHO, 8. m. esprit, genie, talent. Genie:
celui qui a du genic. Moyen, ruse, stratagäme
pour reussir. * Machine inventiee par les ıng6-
nieurs. — d’assucar, moulin & sucre, sucrerie.
— de rapor, machine 4 vapeur. Afler, age-
gar 0 — , meltre son esprit & la lorture.
ENGENHÖSAMENTE , adv. ingenieusementi,
avec industrie.
ENCENBOSISSIMO,, A, adj. sup. de
EncenHöso, A, adj. ingenieux : qui a du ge-
nie; plein d’esprit, d’invention, d’adresse; qui
marque, annonce de l'esprit, de l’invention,
du genie dans son auleur (Ouvrage, procede,
expedient, subterfuge, etc.). (Alg.) Inventilf,
qui exagöre, qui multiplie (les sujets de
peine).
* Encto. V. Izento.
EnGEssaDo, A, 9. p. d’Engessar.
EnGEssADOR , s. m. celui qui enduit ou blaa-
chit un mur de plätre ; plätrier.
Enczssanöra, s. f. “enduit de plätre; Pas-
ion et l’effet de blanchir avec’du plätre.
Encessir, o. a. enduire de plätre, blanchir
avec du plätre ; plätrer.
Encıunin. etc. V. Engelkar, etc.
EncLosipo ,A, p. p. de
T EncLosir, v. a. englober : former, r&unir
en globe; donner la forme de globe. V. Agglo-
merar.
t EncLopäpamänte, adv. (#. burl.) glouton-
ENG
nement: (manger, avaler) d’une maniere glou-
konnt.
Exco. V. Engos.
Excopino,, A, p. 9. d’Engodar. adj. Enjöle,
allecbe, amadoue, leurre, cajole, dupe fine-
ment.
Encodanön, A, #. flatteur, enjöleur, cajo-
ker.
Excovär,, ©. 6. amorcer, allirer par amorce;
mjöler, cajoler, all&cher, amadouer, affrioler,
kurrer.
Exconarivo, A, adj. qui amorce, propre ä
amorcer.
Excöpo, 3. ms. appät, amorce; leurre, cajo-
lerie , Natterie,, allechement.
ExcoLribo, A, adj. plouge; en pleine mer.
p. p. de
EscoLrir,, 0. &. meltre dans un golfe ou dans
un gouffre. ( 4g.) Enfoncer, peneirer. (p. us.)
t.». Gagner la pleine ıner.
EscoLFÄR-SE em), v.r. gagner la pleine mer.
(49.) Se plonger ‚dans le vice, etc.) ; s’adonzer
stierement, se livrer, sS'enfoncer.
Escouse , etc. V. Engulir, etc.
ExcuLösınäDO, A, p. p. de
EncoLosinär , v. a. allecher, alfriander,
amorcer : altirer par le plaisir, la douceur.
EncoLosınäß-sE, dv. r. S’accoulumer: pren-
dre plaisir & quelque chose, s’aflriander, se
complaire.
Enxcouaotiaa, 3. f. repasseuse de linge.
Enconipo, A, p. pP. d’Engomar.
Excowapöna, 8. f. action de goinıner, d’em-
peser ; repassage.
Excouan ou ENGOMMAR, dv. a. gommer: en-
Auire, meler de gomme; empeser, repasser (du
Inge).
Esconcip0, A,p.p. de
Excongär, v. a. attacher avee des gonds,
Melire des gonds.
Escoxces, s. m. pl. V. Engongo.
Excöxco, s. m. gond: morceau de fer qui
soutient la penture; jointure. — do espinhago,
vertebre, emboltement des os. Feito d’—s,
'omme une marionnette. Falar pır —s, (fig.
[am.\ parler a double sens, par delvurs.
EncoapäDO,A,p.P. de
Excoanar, ©. a. engraisser : faire devenir
zras; metire & l’engrais. v.». Engraisser : de-
venir gras, prendre de l’cinboupoint. (flg.)
Senrichir, devonir puissant.
+ Encöano, s. m. (t. de bot.) engordo : gra-
kinee du Bresit, pour les chevaux.
EncorLADo, A, P.p. de Enyorlur.
EXCORLADOR , A,8. qui laitcuire A demi,etc.;
Rauvals euisinier.
ExconLän, EXCOROLAR ou EXCHULAR, ©. q.
siüsir, cuire ou rölir & demi. (fig.) Mal reciter,
mal retenir sa legon ; faire a demi.
Exconovinnäno, A, adj. qui.a ‚le [aux plis.
Embarrasse , ınöle, parlanı des cheveux. 2. 9.
Ur
Encorovinuär-sE.V. Enrugar-se.
Exconrär-st, 9. T. ıfam., »'cnfuncer la tete
ENG 505
dans son bonnet. (Ag.) S’insinuer, s’introduire
avec esprit, gagner avec adresse l’amitlis de
quelqu’un.
Encos,s. m. pl. V. Ebulo.
EncoucHän-SE, etc. V. Enconchar-se, 4ga-
char-se.
Encra, 8. [.($.decharp.) * ooin, angle. is
V. Angra (pop.).
EnGRAGÄDANPNTE, adv. avec gräce; avec
enjouement; gentiment, joliment, plaisam-
ment.
ENGRACADISSIMO, A, adj. sup. de
EnGRACADO, A, adj. plaisant, enjous; amu-
sant, diverlissant, gracieux, agröable, gentil,
p. p. d’Engragar.
T EnGRACÄNTE, adj. 2 gen. qui platt, qaı a
du charme. p. a. de
EncracÄR, v. a. rendre gracieux, donner Je
la gräce; rebausser, donner de l’eclat. (com)
v. n. Voir avec plaisir, se plaire, trouver & som
goüt. — com alguem,, avoir da penchant pour
quelqu’un.
EnGracäR-SE (com alguem), v. r. entrer
dans les bonnes gräces de quelgu’un.
EnGracHär, etc. V. Engrexcr.
t Encaapin, v. @. (1. d’artil.) ımonter un
afül.
ENGRADECHR, 9. %. grener : produire de la
graine, beaucoup de grains ; monter en grain.
ENGRADECIDO, A, P. p. d’Engradecer.
EncRAECER, eilt. V. Engradecer.
Encraıxän,elc. V. Engrasar.
ENGRAMPONÄL-SE, v. r. s’enorgueillir, faıre
le fier.
" ENGRANDECER, ©. a. agrandir, accroltre,, ren-
dre plus grand; elever en dignite. (Ag.) Louer
beaucoup; exsgerer, ampliler. (id.) —, rendre
plus grand en consideration, en fortune, etc.
ENGRANDECER , 0. %. et —se, ©. 7. cfolite,
grandir ; saugmenter, s’agrandir.
ENCRANDELIDO , A, P-. pP. d’Engrandecer.
ENGRANDECIMENTO, 6. m. agrandissement,
augmentlation; croissance; elevalion de rang.
(fig.) Exageration, amplification.
ENCGRANZADO, A, P. P. d’Engranzer.
EnGRANZzADOR, A, s. enßleur : qui enfle em
Sl d’archal, etc.
Encranzia, ov. a. enüler (des graıns, des
perles, eic.) dans un fil d’or, d’argent, d’ar-
chal , eic. (4g.) Duper.
Encrassan, etc. V. Incrassar.
ENGRAVESCER, v. 9. empirer, redoubler, 8’20-
orollre. V. Aggravar-se.
ENGRAVESLIDO, A, P. P. d’Engravescor.
EnGRAVITADO, A, 9. pP. de
ENGRAYITAR-SE, ©. r. se tourner en haut,
dresser. (fig.) Regimber.
ENcRAXADO ‚A, p. p. de Engrazar.
ENcRÄXANENTO, 5. m. aclion de graisser, de
eirer (le cuir,eic.). ,
EXGRAXÄR, v. @. Kraisser; cirer {te cuir,elc.)
Encrazan,eic. V. Engranzar ei Eniroseur,
Encreckn. V. Engradecer.
EnuRnEnHino, A, pP. pP. d’Engrenhar.
2
506 ENG
Encasnuin, u. a. arranger, aftacher la oho-
velure,
Encaıri00, A, p. pP. de Engrifer.
+ ENcCRIFAMRNTO, s. . aclion de s’armer de
scs griffes.
EnGRIFÄR-SE , v. r. s’armer de ses griffes.
(Ay.) Se herisser. V. Assanhar-se.
ExcriLÄDO,A,9.p. de
EncasLän-ıR, ©. r. ($. 20p.) rechigner, 56
rebiffer,
EnckiMÄnGo , 5. m. grimoire : maniere inin-
telligible de parler, diseours obseur. * Fraude,
irompeorie; astuce, inesse, ruse.
EneaıupiDO, A, pP. p. de
+ Encaıgrän-sE, v.r. monter sur le fatte.
( Ag.) S’olever au plus haut point. V. Su-
blimar-s6.
EnGaINALBABO, A, 9. P. de
EuncaınALDÄR, ©. @. Ormer, parer, COufonner
de guirlandes.
EncnoLir , ete. V. Engorlar, eis.
EncROS8säÄD0, A,P.p. de
Eugrnossir, o. @. grossir : rendre gros, plus
gros, faire paraltre plus gros. (flg.) Augmen-
ter, grossir, fortilier;, fertiliser; enrichir. v. ».
— , devemir gros ; s’epaissir ; devenir plus gros,
plus considerable.
EnGROssiRr-sE,o.r. devemir grossier. (P. us.)
S’enrichir, devenir riche,, puissant.
* ENCROSSENTAR , eic. V. Engrosser, Ole.
* Encn0Tan , ete. V. Entupir, eto.
Encroviınnin-se, elc. V. Engor..., 616.
Encutiaa. V. Engeira et Enger.
Enctia, es. f. anguille : poisson d’eau douce,
long, du genre des murönes. — bastarda das
erdias, &quille.
Encvicäpo, A, 9. p. de Engwigar. adj. Qui
a du guignon ; obe6lif.
Encuicanon , s. m. porte-malheur.
EnGuigär, 0.6. porler ınalbeur, donnor du
guignon ; rendre ebetil.
Eucuio, 3. m. guignon; chose chetive; ei-
seau de mauvalis augure ; arorion.
Encviaımango. V. Engrimango.
EncvLuipo, a, 9. p. d’Engulhar.
EnctLuasento. V. Engulko.
EncuLnär, 9.9». et —se, v. r. 4prouver des
Rausees, avoir mal au oMur.
Enccumo, s. m. "nausde, soulövement de
caur.—s, pl. (fg.) * propension, inclination
mauvaise.
EncuLip0, A, 9. P. @’Engulir.
EncuLinon, A, adj. V. Tragador, Dewo-
rante.
Encuvipän, (8. dburl ) V. Engulir, Tragar.
EncuLik, 9.4. avaler : faire entrer par le
gosier dans l’estomac. (Ag.) Engloutir, absor-
ber, faire disparattre ; consumer, dissiper (des
richesses, etc.). (dd.) Endurer, souffrir, supper-
ter avec patience, etc. (id.) Cacher, taire (ses
peines, des peches, etc.\.— a pirola, avaler
la pilule. — em secco, endurer un aflront en
faisant semblant de rien. — censuras, ereom-
munhöes, miepriser les Censures ecciesiasu-
ENE
ques, les excommunications.— sem masligar,
avaler sans mächer, tordre et avaler.
Encörau. V. Angurria.
ENGURUNNIDO, A, adj. saisi de [rold.
ENBARMÖNICO,, A, adj. (1. de mus.) enharmo-
nique : (genre) qui procöde par quarts de ton.
Ennastino. V. Emhastado.
Enno, s. m. faon : petit d’une biche, d'un
eherrenuil.
Enicua, #. m. * &nigme : definition ‚ erpoti-
tion en termes metaphoric'ues; (ig.) chose,
discours obscur ; eu que l’on ne powt espiiquer,
comprendre, interpreter.
Enıcuir, v. . rendre önigmatique, &nigms-
tiser (p. us.).
Enıcwäricauente, ade. önigmatliquemant:
d’une maniere enigmatique.
Enıcmärico, A, adj. enigmatige® : qua! tient
de l’önigme,, quien renferme ; ambigu ‚obseut.
+ Enıcuatisra , s. m. qui parle par enigme.
Ensaezin, etc. V. Ajaezar, etc.
+ ExsanciDo, A, adj. li6 comme un radean,
en forme de radeau (bois, etc.).
EnsatLir, etc. V. Engaioler, ei6.
Enseıtän, etc. V. Engeiler, eio.
Ensoino, a, pP. p. d’Enjodr. adj. Qei a mal
au cour. (fg.) Degotte , ennuye , falignd.
Ensoautnto. V. Enjto.
Ensoin, 0. a. causer des nausdes, faire s6®
lever le caur. (fg.) Ennuyer, degoßter. e.%
Avoir le mal de mer, avoir des naustes.
EnsoATivo, A, adj. naussabond : qui cause
des naustes.
Ensöo, s. m. "naus6e, mal au caur; mal de
mer ; degoüt , repugnanoe (propre el fg.).
Enziintno, 5. m. (1. de bot.) enkianthe: #-
bre de la Chıne,, voisin des nyctages-
+ Enxıstivo, a, adj. (1. de med.) enkist:
enferme& dans une membrane.
EnLaBIÄDO, A, p.p. de
+ Enzasıir, o. @. cajoler, enjeler : seduirt,
tromper par de beiles paroles.
Entastsipo, A, p. p. d’Enlabusar.
ENLABUSADOR, A, &. oelui qui barkoule
salit, etc.
EnLasusin, v. &. barbouiiier, sellr, gäte,
tacher (de graisse, d’buile, eto.); delabouseet,
oouvrir de boue.
EnLABUSÄIR-S8 , 0. r. 8’6clabousser; se bet
bouiller le visage. (Ag.) Apprendre superütitl-
lement.
EnLacaD0, A, 9. p. d’Enlarar. .
+ ENLACADOR, A, 5. Personne ou chese qui
enlace, qui He, qui entrelase.
EnLsgapöna, 8. f. mmaniöre d’enlacer; I
gure,, aclion de lacer, ce qui sert ä later.
Enracha (com), v. o. enlacer : lier, aftacher
avoo des lacets. —, entrelacer. Lier, atıscher,
nouer. (g.) Enchainer, lier, unir. 11 est quel-
quefois neulre.
EnxLacir-SE (com), ©. r. s’enlacer, s’entre-
lacer. (g.) Se lier, s’unir. Se prendre (dans u
Nlet,etc.). S’*paissir, se cailler, parlant du lail.
Exticg, s. m. enlacement, enlagure; lia-
ENL
sea, wmnehainement, entrelaocement, union,
jonetion ; lien. (Ag.) Perplexilö; extase.
Estattäpo , A, p- p. d’Enlaivdr.
+BaLaıvin, v. a. salir de Laches l&geres. Il
estaussi rociproque.(fig.) V. Macular-se.
ExLamKkiADO, A,p.P. Je
Erzauain, v. 6. crotter, ombouer, &clabous-
nt.(Ag.) Se döbaucher.
ErLamımÄDO, A, pP. p. de
Ersauisän, u. 0. garnir de lames, plaquer,
embalire. .
RusapiD0, A,P.p. do
ExLapän-Sg , 9. r. se röfagier, se retirer dans
une Caverme; 86 cacber dans un trou, parlant
fun lapin, etc,
Enusstran. V. Lastrar,
tEnLatäno,A, adj. attachd & un treillage,
en treille.
"EnLazar. V. Enisgor.
Enızcer , etc. (pop.) V. Rleger, etc.
EsLgıapinuo, A, adj. dim. de Enleiado. Ti-
nide ; nieis ; inde&cis en tout.
ErLBiapissiMo, A, adj. sup. de
EsLeıäDO, A, adj. timide, perplexe, irre-
wa, interdit; piein de detours; embrouille,
auortille.p.p.de -
Exıgiän, v. a. attacher, lier. (Ag.) Enlacer,
surprendre, embarrasser. Embrouiller, impli-
quer; causer de l’ombarras, interdire. V. En-
krar.
Exıeiin-sE, v. r. s’attacher, se lier, s’en-
lacer. (Ag.) Stembrouiller, s6 troubler, se con-
fondre; rester interdit. .
ExıBıo, s. m. entrelacement. V. Enlace.(fig.)
Eunbarras; trouble d’esprit, perplexit&; attrait.
— damor, passion amıoureuso, inlrigue ga-
lante. Verse em —ı, se trouver dans l’em-
barras, dans une position difücile.
"Enutiro. V. Eleito.
EsL£apinO, A. V. Lerdo. p. p. de
+EsLeaDÄR, o0.a.rendre lourd, stupide, niais.
Esuavaciö, s. f. "ravissement; transport;
eılase , enchantementi. V. Einlevo.
Enızvino, A, 9. p. d’Enlevar.
ENLEVAMERTO, s. m. V. Enlevacdo.
EnLzvär, e. a. charmer, ravir en extase,
iransporter de joie, d’admiration, enlever.
Exalter, 6levor.
EnLEVAr-sE (em), v. r. @tre charme de;s’en-
‚ever, se ravir, demeurer en suspens, etreepris.
tEnL£vo, s. m. charme, enchantement,
rarissement , transport; oxtase; &tat d’une per-
soine charmee, ravie. E’um —, c’est un pro-
dige, une merveille.
Enınear, olc. V. Alheiar, Alienar.
ExLicapo, A, p. p. d’Enlisar.
Enuigapon , 8. m. celui qui lisse. V. Teceläo.
Bauıcka, 0. a. lisser, garnir de lisses ; tra-
mer, passer la trame. (ig.) Machiner, faire un
complot. V. Enredar.
T Esuco, s. m. mauvaise ourdissure. (fg.)
V. Enredo, Trama.
"Enuicom. V. Eleigdo.
Enwopipo, a, p.p. d’Enioder,
" ENN 507
EnLopäx, ©. e, embourber; &clabousser,
couvrir de boue; trainer dans la boue. Il est
aussi r6ciproque.
*Entoıxar. V. Enlouzar.
EnLoquectg, do. a. faire devenir fon, rendre
fou, aliöner esprit de quelqu’un, faire perdre
Fesprit, o. ». Devenir fou, perdre Pesprit, la
raison.
EnLoguscino, a,p.p. de Enloquecer.
EnLovrino,A,P.p.de
EnxLouRÄr,d.a. ormer, couronner de laurier
ErLouRgceR, v. a. rendre jaune ow blond
dore. vo. ». Blondir, jaunir, se dorer, parlant
des bles, eto.
EnLOURECIDO,, A, P. p. d’Enlourecer.
EnLovzino,A,9.p.de
TEnLouzär, v. a. couvrir, fermer (Ta tombe)
avec une dalle; paver avec des pierres carrdes
ou en losange ; garnir de dalles. (Ag ) Tromper
par losangerie (p. «s.).
EnLuri0o, A, adj. vötu, couvert te deuil,
(g.) Afllig6 , lugubre. p. p. de
EnLurär, v.a. couvrir, tendre de nolr, en
signe de deuil. (fg.) Obscurcir; affliger, cha-
griner, desoler.
ENLUTÄR-SE, 0.7. prendre ou porter le deuil,
se couvrir de deuil. (Ag.) Sobscurcir, se cou-
vrir de nuages.
ENnNAnQueEcer, etc. V. Emmanguecer, etc.
* ENMENTRES. V. Entretanto.
EnnAsTRÄn0O,A,P.p.de
ENNASTRÄR, ©. a. natter les cheveux; les or-
ner avec des rubans, etc.
EnnaTino,A,Pp.p.de
ENNATÄR, v. a. convrir les terres de limon,
parlant des pluies, des debordements des ri-
vieres, etc.
Enneicono, s.m.(#. de geom.) enn&agone :
figure & neufcöt6s et de neuf angles; place &
neuf bastions.
Enneinorıa, 8. f. (8. de bot.) enneandrie:
neuvieme classe des vegstaux, & fleurs herma-
pbrodites, & neuf etamines. |
ENNEGRECER, dv. 6. noircir : rendre noir. (fig.)
—, diffamer; obscureir. ©. ». Dervenir noir;
s’obscurcir.
ENNEGRECER-SE, 9. Fr. se noircir, devenir
noir ; s’obscurcir. (fg.)— de crimes ow par des
crimes ; se diffamer soi-meme.
ENNEGRECIDO,, A, P. p. d’Ennegreeer.
Ennervino,A,p.p. de
tEnnenvia, v. a. fortifier, couvrir, garnir
de cuir non tann6 cerlaines pieces d’une selle.
EnnescÄno,A,p. 9. de
+ Ennescär , v. ». avoir la forme de nesge.
V. ce mot,
EnnevoiD0,A,p.p. de
ENNEVOÄAR, ©. 6. couvrir de nuages, de
brouillards. (fg.) Obscurcir; &blouir. fd.)
Noirecir, diffamer.
ENNEVOAR-SE, v. r. sa charger de brouillards,
etc. (fg.) S’obscurecir, etc.
+ Eusıäino, A, adj. d’Ennius, poßdte latin
(vers).
508 ENO
ENNOBRECKDÖR,, A, adj. et 5. qui anoblit ou | j
ı piece qui affermit le mät, stambrais.
ennoblit.
Ennosksckk, v. a. anoblir : rendre noble, .
illustrer. (Ag.) Orner, enrichir, embellir. (id.)
Ennoblir : rendre plus noble, plus illustre.
ExNOBRECER , vd. n. et — SE, o. r. s’anoblir,
s’ennoblir : devenir noble ou plus noble. (fg.)
S’enrichir ; s’illustrer.
Eunosascioo, A,p. p- d’Ennobrecer.
ENNOBRECIMENTO,, 3. m. anoblissement : ac-
tion d’anoblir, ses elfets ; Y’action et l’effet d’en-
noblir. Renom, gloire, &clat, splendeur.
Ennoväin0, 4,9. p.de
Ennopäß, v. a. faire un n@ud, nouctr.
ENnS#000400,4,9.p.de
Ennoboir, v. a. tacher, souiller. (fg., Noir-
cir, diffaıner.
Ensovan, etc. V. Innovar.
EnnovgLipo,A, p.p. de
EnnovELik,, o.a. pelutonner : mettre en pe-
loton , devider. (Ag.) Arrondir (une phrase,
une periode) ; ceindre ‚serrer en s’entortillant.
ENNOVELAR-SE, v. r. se [ormer en pelolons.
(Ag.! S’englober, s’agglomerer.
Ennuvgar,, etc. V. Anuviar, Ennevvar.
” En-0-comEnos ‚adv. V. Comenos (nesle—).
t Enosäpautntg, adv. avec fächerie, ennui,
colere , chagrin ‚ peine.
+ Enosanico, a, adj. colerique, colere, qui
se fäche aise&ment.
Enosipo, A, p. p. d’Enojar.
EnoJapör, A, adj. qui fäche, qui ennuie,
qui degoüte.
Enosau&nto. V. Enojo.
Enosia, v. a. fächer, irriter, mettre en colöre.
Ennuyer, degoüter, rebuter. Causer des nau-
sees. Offenser.
Enosin-se, vo. r. se fächer; s’ennuyer, se
degoüter. (fg.! Se oourroucer, entrer en [urie,
parlant de la mer, du vent, etc. — sem saber de
que ou por cousa nenhums, st lächer a propos
de rien.
Enö0, s. m. ennui, chagrin, fächerie ; tris-
tesse , deuil. V. Naojo.* Colere, courroux.
Enosösamente. V. Enojadamente.
Eno03ö080, A, adj. ennuyeux, fächcux, de-
plaisant; imporlun.
T ExoLocia, s. f. enologie : trailö sur le vin,
sur l’art de le faire.
+ ExoLocista ow EnöLOCO, 8. m. anologiste :
qui ecrit sur l’art de fabriquer les vins.
+ Enomancia, s. f. a@momancie : divination
par le vin.
tEnöMerno, 8. m. @nomölre : instrument
pour fixer le terme de la fermentation,, la force
du vin, la quantil& de sucre dans un ınoüt.
+ Exornönus, s. [. pl. (t. d’hist. anr.) ano-
pbories : feles en Egyple, oü les assistants
avaient un vase plein de vin & la main.
+ Enörpta,s. m. Znopte : couseur des fes-
tins & Aıhönes.
+ Enopromancia,s. f. 6önoptomancie : diri-
nation par le miroir, dans lequel l’imarination
preparee croyait lire les &v6nements futurs,
ENR
Enöras, s. f. pl. (t. de mar.) &ambrale:
Enörue, adj. 2 gen. $norme, demesurt,
excessif. Alroce , enorme, gravo.
ErURMENENTE, adv. dionnamment: eXtessi-
vement.
Enoruiväne, s. f. 6normits : exods de gran-
deur. (fg.) —, indignits : exo&s de möchan-
cete , alrocite.
Enonuissıno , A, adj. sup. d’Enorme. Enor-
missime.
+ Enoauon, s. m. (6. de meödd.) &normon ı
principe vital, archee.
Esovaicar, etc. V. Ouriser, Infeirger-®.
EnpEnHoräR, eic. V. Empenkorer, 6l6.
.” Exauscha ‚etc. V. Inquirir.
° Engtista. BE .
u Exacısa. | V. Inquirigäo, Pesgwise.
Engtistäno. V. Enkistddo.
Enaali00,a,p.p. de
ExrAIÄR , ©. a. enrayer : zer les rayons, les
rais d’une roue, l’en garnir.
EnnAIVECER , ©. a. faire enrager, melire en
colere.
EnrarvEck?,o.0. et — SE, 9. r. onrager, #
mettre en courroux, devenir furieux ou en-
Tage.
EnßalVEcino, A, p. p. d’Enroivecer.
Ennal7i00,a,9.9.de
+ Ennaizär, 0. %. s’enraciner : prendre Ta
cine. V. Arraigar-se.
Ennauipa, s. f. ramee : ornement fait art
des branches d’arbres , ä l’occasion de quelgu®
fete. Hutte : cabane de branches d’arbres peu:
se mettre & l’abri du soleil, de la pluie, elt.
EnkauiDo,A,p. p. d’Enramar, etadj. Bei:
—4 , boulets rames, boulets joints par un:
barre, par une chalne.
+ Enaumanantö, s. m. action d’enirelsc‘
des branches d’arbres pour orner un lieu.
Enranäa,v.6. entrelacer des branches d’ar-
bre pour orner un lieu ou pour se procurer
Pombre; couvrir, garnir de branches d’arbdtt.
— bilas, preparer les boulets rames, les join-
dre par une barre, etc. — lores,, faire des bou
queis.
Ennancino, A, (V. Rangposo ) p.p. de
EnRaNGäR, v. @. rendre rance. vo. n. ei -#
v. r. Rancir : devenir rance ; sentir le rance.
+ EnRARECER, v. m. devenir rare, rareliet.
6elaircir.
* Ensastis. V. Enrister.
Enk£0ino, A,p.p. d’Enreder.
Enaepapon, A, 5. brouillon, tracassier, don
neur de paquets, intrigant ; artifieieux, chır:
Deut.
EnrepÄR, vo. a. prendre, envelopper da:
des reis, dans des fllets. (com, em) Eutrelac .
entortiller, embrouiller, me@ler. Souffier la (i--
corde , semer !a division, brouiller des aın':-
Embrouiller, parlant d’une affaire. : Ag.) Eu:
ger, mettre quelqu’un dans une affaire. '-
Tendre des pieges; machiner, tramer.
EnneDan-se (em), v.r. 86 prendre dans dır
ENR
rets , dans des filets : s’entrelacer, s’entortiller;
s’embrouiller, parlant d’une affaire ; siengayer,
sombrouiller. A innocencia se enreda nos laros
do nor, Finnocence se prend au piege de l’a-
moar.
Enazpinno,, 8. m. dim. de
Enıtoo , s. m. embrouillement, entortille-
ment, enitrelacement; embarras, conlusion.
(4) "Cabale; chicane, trame, intrigue ; con-
dalte artiieieuse ; pi6ge ; supercherie ; trompe-
ne, mensonge arlificieux qui occasionne des
dssensions, dos proc6s, etc. * Intrigue : naud
@une piöce dramatique.
+Esazn6so, a, adj. difcile, embrouille,
plein d’eunbarras , de dificulies, d’obseurite.
EsıscgLipo , A, p. pP. d’Enregelar.
t ErnaGRLAuENTO ‚s. m. V. Congelapäo.
EnascaLan, ©. @. geler, glacer; raidir de
froid. —as, v. r. se glacer, se geler;; &ire transi
de froid,.
Ennssınäipo ,A, adj. plein de resine; frotis
ec de la resiue. V. Resinoso. p. p. de
Exszsınäa, v. a. enduire de resine; nueler
de la resine. ©. ». Se couvrir de resine; s’on-
dareir. .
Ennzsran, v. a. etc. V. Enristar, etc. — ce-
beiss , alkos , metire en bottes, en chapelets,
des oignons, des aul«.
Enskan , etc. V. Enriquecer, etc.
Enaucaa, etc. V. Rigar, etc.
Ensuino, A, p. p. de
Ensuis, vo. a. endurcir; fortißer, affermir;
iendre, raidir. v. m. Prendre des [orces ‚se lor-
ufier
Enausckr, vo. ». V. Enrüar, v.n.
EnkıLnipo, A, p.p. de
tEnzıımin, 0. @. (1. de proo.) constiper le
venire,
ExnkıQqugcka , ev. a. enrichir, rendre riche.
‚89.) — ‚orner, embellir ; agrandir, augmenter.
ENRIQCECER,, ©. 8. 00— SE, v. r. s’enrichir,
devenir riche.
Exiguzcivo ,A,p. p. d’Enriguecer.
" ENRIQUENTAR, etc. V. Enriquecer, etc.
EngıstäD0 ,A,p.Pp. de
Engıstärn, v. a. mettre la lance en arret.
Bander l’arbaldte.
Exeıste,s. m. action de meltre la lance en
arret. \V. Riste.
TENXaOBUSTELER,,v. a. rendre robuste, for-
fer.
Esnoststecido, A,(V. Robusto) p. p. d’En-
robusiscer.
Ennocino, A, pP. p. d’Enrocar. adj. Flor,
planta — a,(t. de bol., en quenouille, en forme
de quenouille (fleur, plante.
Ensocin, o. a. plisser 'des manchettes, etc.)
en leur donnant la forıe d'une quenouille.
{l. de mar.\ Acclamper (les mäts).
t ExeopzLinpo,a, adj.arme d’unerondache,
@un bouclier.
EsronıLHino, A,p. pP. de
KmsopıLnia, v. a. entortiller. V. Zurolar.
ENS 509
* Emnorino, A, adj. (4. da chasse) pris par lo
con.
ENROLADANERTE,, ado. V. Occullamente,
EnaoLino,A,p.p.de Enrolar. s. m. Sorte
d’ötoffe de laine. adj. ($. de bot.) V. Enrosce-
do. — para deniro, (id.\ contourne.
+ EnnoLap6un0, 5. m. noyau, milieu d’un
peloton de fl, d’une bobine.
EnroLir, o. a. rouler, plier en rouleau ; en-
tortiller. (Ag.) Euvelopper, cacher, confondre.
EnsoLäiR-sg (em), v. r. s’onteriiller- s’en-
velopper. Devenir grosse, &tre irös-agitee (par-
lant de la mer).
t Ennoscipamente, ade. en rond, d’une
maniere entorlillee.
EnRoscäino, A, p. p. d’Enroscar. adj. (1. de
Blas.) tortillant, se dit du serpent et de la grive.
(#. de bot.) Entortille en spirale, comme les
convolvulacecs. Cobra —a, serpent louve.
ExROscaDöRA, 8. f. “entortilleıment: action de
sentortiller, son eflet; tour qu’une chose fait
on s’entortillant; replis que [ait un serpent.
ENROSCAMENTO, s. m. V. Enroscadura.
Enaoscär,, v. a. courber, recoquiller, entor-
tiller, plier en rond.
EnROSCAR-SE, ©. r. s’enlortiller : s’attacher
par des circonvolutions. (Ag.) Avoir du froid
ou de la peur.
EnrostiDo, A, pP. p. de
+ Ennostäir, v. a. reprocher, faire des re-
proches & quelqu’un. — bolas, sapalos, melire
des empeignes & des bottcs , remelire des em-
peignes ä des souliers.
ENROUPÄDO, A, P.p. de
EnroupÄr, v. a. bien couvrir, mettre des
Couvertures, des velemenis pour tenir chaud,.
EngourÄR-SE, v.r. se bien couyrir, s’babillee
chaudement.
EXNROUGTECER , 9. a. enrouer: rendre la voix
rauque. v. ». S’enrouer, @ire enroue.
EnrotQuzcıpO, A, (V. Rouco) p. p. d’En-
rouquecer.
ENRODQUECIHENTO, 8. m. enrouement. V.
Rouquiddd.
Enaugectr o% Enntaesckr, 9. a. rendre
rouge, Foux. v. n. Rougir: devenir rouge de
bonte. V. Corar.
EnruBECIiBOo, A, 9. P. d’Enrubecer.
*+ Ennudeckr,v. a. heb£ler, abrutir : rendre
bete, stupide.
EnrtcaDo,4A, P.p.de
Ennucär, v. a. rider : faire ow causer des
rides. v. ». Se rider.
Enzuinin, etc. V. Enrilkar.
+ EnsaBoaDELLA, 3. f. petit savonnage. V.
Ensaboadura, * Frottement avec du savon el de
Veau.
Ensas0i00, A, pP. pP. d’Ensaboar. s. m,
savonnage : netlolement, bianchissage par lo
savon. —e, pl. linge qu’on donne & savonner
ou qui l’est dejä.
Ensapoanüra, 8. f. "savonnage: action de
savonner ; uetloiement par le savon ; can do 5%
von; linge que l’on sawonne d’une [ois,
510 ENS
ENSABOARENYO , d. «a. autonhafe : abtion de
savonner.
Ensasoin, 9. @. savonner : neltoyer aveo du
savon; frotier aveo du savon et de l’eau (la
barbe).
Ensasunnip0,A,p.p. de
+ Ensasunnin, vo. a. (1. de mar.) saburrer,
lester (un vaissesa). Causer de la saburre;
rendre (1a langue) päteuse.
+ Ensasuanän-sE, %. r. se couvrir de s8-
burre; devenir päteuse, en parlant de la
langue.
EnsaciD0, A,p. p. d’Ensarar et adj. Carsıe
=, saucisses, saucissons, etc.
Ensacir ou Ensaccar, v. a. ensacher : mettre
dans un sac. (fig.) V. Encurralar, Encantoar.
(6d.) Saccager, mettre & sac. — carne, meltre
&e la chair hach6e dans les boyaux pour faire
des saucisses, des saucissons, etc.
EnsaräD0, A, 9. p. d’Ensaiar.
EnSAIADOR,, s. m. celui qui essaie. Essayeur :
efficier pr&epos® pour faire l’essai de la mon-
naie. Repetiteur de thöätre.
Ensatauento. V. Ensdio.
Ensari0, V. Saidd.
Ensutir, ©. 0. essayer; &prouver, faire l’es-
sal; tonter. Dresser, instruire, exercer. Repe-
ter: essayer avant l’ex&cution (une piece de
thöätre, etc.). —, faire V’essai, la preuve de
Yor, de l’argent, etc.
Eusarän-SE (em, para), v. r. s’essayer, 8’&-
prouver, s’exercer; se pr&parer &, täter, täton-
ner.
Ensiro,s. m. essai, &preuve, examen; ten-
tative. *Repetition : essai avant l’execution.
— , operation pour Juger le metal. —, ouvrage
de litierature, de sciences; premier travail;
traitd, ouvrage non approfondi ow termin.
EnsALMiDO, A, P.p. d’Ensalmar.
EnsaLmanör, A, 5. celui qui prötend guerir
par enchantement. [\
EnsaLuän, vo. @. guerir par enchantement;
charmer,, enchanter avec des paroles magi-
ques.
EnsiLmo, s. m. maniöre superstitieuse de
guerir avec des priöres, et l’application de dif-
ferentes drogues ; charme, enchantement.
EnsaLmounär, etc. V. Salmourar.
Ensausia.V.E “
EnsasarnÄno, A, adj. vetu d’une simarre.
ENSANMBENITÄDO, A, 9. p. d’Ensambenilar et
adj. —ı da konra. On le dit, au figurd, de ceux
qui portent des d&corations sans les avoir me-
sitdes.
ENnSAMBENITÄR, v. a. mettre le san-benıto A
un criminel condamn& par le tribunal de l’in-
quisition.
EnsausLan, etc. V. Samödlar, etc.
EnsancHÄD0,A,9.9.d’
EnsancHir, vo. a. agrandir, #largir, dlendre;
relargir (un habit, etc.).
Ensincnas, s. f. pl." rempli, elargissure, pli,
fait Aum babit, etc., pour P’elargir au besoin.
Dar — aulyuem, (fam.) donner trop de liberte
ENS
& quelqu’un, Tui lalsser prendre un pled. Bei
tar — ao argumento, amplifier Fargument avet
des raisons surabondantes.
EnsanpaLino, A, p. pP. de
EnSanDALÄR, o. 6. oindre avec du sandal. Il
est aussi reciproque.
Ensanpeckn, v.n. derenir Imbecile , fen. Y.
Enlouqueeer.
Ensangventino, A, adj. sanglant,, seignent:
tach& die sang, ensanglante. p. p. de
ENSANcUENTÄR, v. 6. ensanglanter : seiller,
oouvrir de sang. Il est aussi r6eiproqee.
ENSANGUINHÄR-SE, ©. r. avoit beauemp de
sang.
Ensangan. V. Assanhar.
* ENSAPREAMRNTO, 5. m. action de asieir guet
que chose.
EnsarıLuir, 0.0. V. Sarilkar. — ss urmiaı,
faire des faisceaux de fasils.
+ Ensarnsche, v0. %. gagner la gale.
EnsartipO, A, 9.9. de
Ensantän, ©. a. enfller : passer par m
(des peries, des grains de chapelet, etc.).
Ensayar, eto. V. Ensalar, ete.
Enseipa,s. f. baie, rade, golfe od les vak-
seaux sont & Y’abri.
EnseApinna, s. f. dim. d’Enssade,
EmsEBiD0,A,p.p.de
EnsesiR, dv. a. suiver: enduire de self; be
ter avec du suif. — um navio, onpalmer ur
vaissesu, donner du sulif.
Ensecino, A,p.p. de Enseodr.
+ Ensecador, s. m. (1. d’hydr.) batardess:
cloison, digue de pieux, ais; terre, enceinte
contre l’eau.
Ensecir, v. a. &puiser, mettre ä see. V. Se-
ear, Enchuger. (fig.) —, vider, tarir. /t. dr
mar.) Aborder, prendre terre; faire echoor:
(Rg.) Puiser, rechercher. v. ». Söcher, s’epu:-
ser, ötre A sec. (1. de mar.) Aborder (unrivage,
prendre terre; &chouer.
Enseıiva. V. Enseada.
+ Enstio, s. m. “sinuosit6, petite baie.
Ensgsipo, A,p.p.de
Ensesin, 0. a. epier l’occasion, @ire a0ı
aguets ; tenter.
n Enstjo, s. m. "opportunite, oceasion, C08-
it.
Ensenuonzir, etc. V. Senkorear, etc.
*Ensentir. V. Encetar.
Ensert, s. m. plante d’Ethiopie.
Ensevär, etc. V. Enseber, etc.
yureirano, a, adj. (6. de pods.) ensildre, porie
glaive.
+ Ensırönup, adj. 2 gem. (1. d’anat. et de bei.
ensiforme : en forme de glaive ( feuilles, cart
lage); gladie.
Ensınaciö,s. f. V. Ensino, Kducapdd.
Ensınino, A, p. p. d’Ensiner. adj. Blere,
instruit, enseigne; dresse, en parlanı d’un cbe-
val, eto. Homem bem —, homme honntte , civ1l,
courtois, bien appris. mal —, Incivil,
„ennete , impoll, mal appris,
ENS
mai, A; e. celui qui enseigne, qui in-
Panutrto. V. Ensins.
"Bunninga, a7. *"enseignement, instreetion;
deetrine, ordonnanee, art.
Ensmän ‚©. 6. enseigner, instruire ; monteer,
indiquer, donner connaissance, apprendre.
R-SE , 9. Y. apprendre par sol-meme;
'sccoutumer, s’habituer.
Exsinno 8. m. räteau. V. Ancinko.
Ensino, #3. m. enseignement, imstruction;
kkueation. Bon —, civillti#, polltesse, Mdo —,
mpolitesse, malhonndiett. ss, pl. oonseils,
lirestiens, documents, maximos.
Ensiro. V. Hsipo.
EnsoiD0, A, P.P. d’Ensoar. adj. Accabld par
la chaleur; frapp6, grill6 par le soleil, en par-
lant des fruits. Biouffant; malade.
+ EnsoasenTo, s. m. —das planias, ( !.de
bei.) maladie des plantes qui provient de la s6-
oberesse ( sifis
Exsoir, ©. 9». en ‚o.r. ötre gritlö par le
soleil, parlant des fruits. Attraper un coup de
soleil.
EnsosenBEchR, v. @. enorgueillir : rendre
ergueilleux, donner de la vanite. (Ag.) Agiter
(la mer), larendre furieuse.
EnsusgABECER-SE , u. r. s’enorgueillir; deve-
nir fer, insolent. (Ag.) S’agiter, s’enfler, se cour-
roucer, se mettre en fureur (parlant de la mer).
Ensosza2Ecino , A, P. P. d’Ensoderbecer.
adj. Devenu fier, insolent, haulain.
Ensorrzcino , A, p. p. de
+ Ensomecik, v. a, exciter la gloutonnerle;
rendre envieuz, avide. V. Söfrego.
Ensoısar. V. Assolkar, Sobradar.
+EnsoLvino,a,adj. (1. d’ertill.) engorge,
obstra& (canon).
Ensoripo, A, p. p. d’Ensoper. adj. bien
mouili&, trempe. (fg.) Adonne, livr6 entiere-
ment ä...; imbu (d’une opinion, etc.). Hitler
— em aqua, (fam.) ötre tout meuilid. Carne
4, riande assaisennede Aveo des oignans, &le.
Ensorir, v. a. moniller, tressper, imbiber
(prop. es Rg.).
Ensorin-se (em), v. r. s’imbiber de; deve-
nir imbib6. (fg.) S’instzuire radicalement, &
fond, de quelque chose.
Ensöaso, a
Insulso. Parbde —a, hourdage, moersilie [alte
sans ciment. —, ade. ä la hate, Iögerement,
par maniere d’acquit ‚en passant.
Ensovaınin,, etc. V. Enzovsihar, etc.
Eusgıuntan, ote. V. Saar, eis.
Ensumackin0, A,P. p. de
Ensumaorin, ©. 6. pröparer avoe du sumac,
indre au sumao ou fustel.
Ensunpecka, v. 6. assourdir : rendre sourd.
Ag.) V. Atroer. v. n. Devenir sourd. (MM)
Faire la sourde oreille, feindre de no pas en-
tendre.
Enserpecino, A, P. p. d’Ensurdscer.
ESBERDECIHNENTO, sm." surdits : durets d’o-
ENT
Estanoine,A,9.P. d’Anishonr.
ENTABOAMENTO, s. m. plancher; action de
| panchöier. (#8.) Endureissoment d’une parlie
on V, Entumssimonto.
Entanoir , 9%. e. planchöier : osuvrir, enteu-
rer, assurer av60 des planches. — o costddo de
navio, ( 4. demar.) border un vaisseao.
Entanoin-sR, 9. T. (fig.) s’enduroir, deveniy
dur ou ferme.
EnTaB0LiD0,A,9.p. de
EntasoLir, v. a4. au jew des dohees, des
dames et autres, placer les pieces dans leurs
lienx respectifs pour oommenser & jouer. (Ag.\
Disposer, pr&perer, meiise en ordre, instruire
une affaire. Entreprendre, entamer, oemmen-
cor. — alguem, mettre quelgu’an en stat de
pouvoir r&ussir.
ENTABOLÄR-SE, v. Fr. (Ag.) s’eriger, s’arto-
ger; se donner les airs;; s’impatsoniser.
+ Enträpa, s. f. ( t. de bot.) osp&oe de sansi»
tive du Malabar ( Mimosa eniade).
Entaıpino, A, 9.9. de
Enxtamir, v. a. enclore, fermer de murs;
claquemurer. V. Teiper
EntaLacäkö, s. f. aclion de meitre en diam,
de serrer;; presse. (fg.) Deiresse , embarras.
EntsLiB0, 4, Pp. p. d’Entelar, et ady. Ester
—, ne savoir.ä quoi s’en tenis, @ire indecis,
etre aux abois.
EntaLapina. V. Entalapdo.
EntaLia, v. a. serter en #lau; metire des
attelles. (Ag.) Embarrasser ; meitre dans l’em-
barras.
EntaLÄR-SE, vo. r. semettre dans la presse,
se ıneitre dans l’embarras.
EXTALECER , 9. n. pousser des tiges , des tro-
gnons.
EntaLecino, A, 9. p. d’Entalecer.
EnTALEICÄDO, A,p. p. de
EntTaLzicäk, v0. 4. etisacher : mellre en she.
EnraLzgicin-s8, 0. r. (fig.) fareir Pestomac,
rermplir la bedaine.
Enxriına, e. f. entaille ; ooapure.
EnTaLBADO, A,P.p. d’Enta
Lak TALNADOR ‚s. m. seuipteur, gravsur en
+ Entaunapfna, 5. f. sosiplure, gravare,
eiselurd : aetion de scoulpter, de graver, de ei
511
‚adj. fade, insipide , aans sei. V. | seter
EnraLmär, 9. @. Bouipter, graver en beis ; 6i-
seler.
EntiLEB, 8. m. ouwage de scoulpture,
gravare, de oiselure. — quo se fan w’um edsiro
se ajustar com outro,lioube. -—chanfrdde,
(6. de mar.) enteille a bouts pordes.
EunriLno, 8. m. *emtaille, coobe ; onupure,
entattiure, insisien ; scuiptare, gravure en beis.
YV, Entalkadure. (t. de mar.) °Goujoure.
Entauınoar , eto. V. Talingar, etc.
EmvaLıschbo, a ,adj. serte a Potzoit. p. p. da
ErraLıscha-6E , 0. r. ötre serre entre des zu-
ohers.
Euntancuscka , 9. m. sonderoir par le freie ;
ütso zalde, tsanısi da Fneid,
512 ENT
Entancvioo, A, adj. ralde, transi de froid.
p. p. irr. d’Entanguecer.
Entiö, adv. alors, pour lors ; dans ce temp#-
la. Desde —, des lors, depuis ce temps. Ald—,
jusqu’alors. Para —, pour ce temps-iä. Pois
— „ dans 06 cas; dans celle circonsianoe,
Entiö! islerj. comment! comment done!
Eh quoi! est-il possible! — que d isso ? qu’est-
08 que c’est que cela?
Entarican, elc. .
ENTAPIZAR , 6to. | V. Tapizar, eio.
EntavoLia, etc. V. Entabolar, etc.
Ente, s. m. (t. de phil.) @ire:: ce qui est;
ehose existante ; co qui est ou peut @ire, en ge-
neral, chose, persoune. —s de razdö, chime-
res : co qui n’existe que dans l’imagination;
calculs, conjectures.
EnTeiDo, A, 8. beau-fils, belle-fille : Als, fille
d’un hoınme ou d’une femme remariee. — da
fortuna, (fg.) maltraite par lafortune. it.p.p.de
+EnTeiR, vo. a. lisser : faire un tissu.
* EntsJan, elc. V. Aniojar, etc.
* Entiso. V. Fastio.
tEnTEL£EcHIA , 5. f. entelöchie : perfection
d’une chose, sa forme essentielle; nom qu’A-
ristote donnait au principe du mouvement,
comme eiant le plus parlail de tous ceux dont
se compose la nature.
Entena.
EnTEnäBs. | V. Antena.
* Entenca,s. f. V. Demanda, Letigio.
ENTENDEDÖR, A, 3. celui qui entend, qui
comprend, intelligent; entendu, habile, intel-
ligent. A dBum — meia palavra basla, (prov.)
Abon entendeur peu do paroles : le sage en-
tend & demi mot.
Entennente, adj. 2 gen. V. Intelligente.
s.m. V. Intendente.
Entenoee, 5. m. action d’entendre, de oom-
prendre; sens, penste ; significalion, accep-
tion d’un mot, eic. No meuw—, selon moi, se-
ion ma maniere de voir, suivant mon opinion,
a mon avis.
Entenpär,, o. @, enlendre ‚, comprendre, con-
cevoir en son espril; avoir l'intelligence de;
savoir la signiflcalion ; croire, penser, juger;
prötendre, vouloir; avoir l’intention. (Ag.) In-
terpröter. Dar a —, donner & entendre, laisser
untendre, insinuer. Dar-se a —, ou fazer-se —,
se faire comprendre. Ndo — 0 abec4, (fig.) ne
yavoir ni a nid. —o mesmo, @ire du meöme avis.
Fazer ecada um o que —, [aire chacun ce qui lui
plaira. Zu assim 0 entendo, je l’entends comme
cela. Näo & isso o que eu eniendo, je ne suis pas
de ce sentiınent, de cet avis-liä ; cela n’esit pas
mon intention. Conforme 0 eniendo, comme je
l’entends. Ndo entendo, je n’y entends rien. Jd
le entondo , je Ventends, je devine ton dessein.
Fazer qus ndo eniende , leindre de ne pas en-
tendre.
Entunpen (de), ©. m. entendre : #tre habile
&ow en quelgue chose, en avoir la connais-
sance et la pratique; #ire connalisseur on (un
ENT
art, ete.); #’y entendre, 8’y connalte. (em)
[ravailler A. s’occuper de. Dar em que —, on
que —, donner & penser, embarrasser, melire
la puce & J’oreille, donner de T'ingquietude.
‚— em alguma cousa, s’oecuper de quelque
chose; connatire d’une affaire. Ndo entends
d’isso , je n’entends pas oela, je ne veur pas, je
n’en ferai rien. Eu d’isso ndo ‚nade,
n’y comprends rien. De tudo quer —, il u mes
‚de juger tout. — com alguem , inquitier, cher-
cher dispute, provoquer.
ENTENDER-SE , vo. r. s’entendre,, se ooutehlre
avoir ses raisons pour agir ; dire entendu. (com
S’ontendre avec, agir d’accord; se concerer;
tre d’intelligence avec quelqu’un ; dire dat-
cord, convenir de... — al: COusE COM WM
ou miklus, eire compris dans. On le dit des
lois, des urdonnances. — alguma couss u
ndo se expresss, sous-ontendre : reienir dans
Pesprit, donner & entendre queigae ches
qu’on n’exprime point. — Ihe a alguem um
couss, ( fam. anf.) &ire adroit et connaisstet de
quelque chose. Como geraimenis so mind,
selon l’opinion, l’avis coınmun ; comme ou I
croit comınundment. Cada um ld se oniendk,
chacun sait ce qu’il dolt faire. Zw ben m
eniendo, je m’entends bien. Jsso ndo nr
lende commigo, cela ne mie regarde pas. (om
se eniende issoP qu'’esi-ce que cela veut dire!
Isso jd se entende , cela va sans dire.
} ENTENDIDAMENTE,, adv. sagement, predem
ment, en Connaisseur.
ENTENDIDISSIMO, A, adj. sup. de
ENTENDIDo, A, P. p. d’Entender. adj. Eaten-
du, intelligent. (em, Habile &, connaisseur en.
Cousa bem —a, (fig.) chose bien entendut,
bien ordonnee,, faile avec ordre , avec arl, art
goüt. Cousa mal— a, (id.) chose mal entendit.
etc. Dar-se por —, tömoigner par des paroles,
par des signes, qu’on est au fait de queig#
chose. Ndo se der por —,, dissimuler, fait
somblant de rien. Bem — que, conj. bien eı-
tendu que, & condition pourtant que. Ben-
que, adv. bien entendu , sans doute ; assuf®
ment. 4 viriude mal —a causar laniet
malss como o vicio, la vertu prise de travers
peut causer autanı de mei que le vice.
ENTENDIMENTO , 5. m. entendement : lacali
de l’&me de conceroir, d’entendre, de compfei-
dre; intelligence ; jugement. " Capaciis, talent,
savoir. (ant.) Esprit, interpretation, intell-
gence, explication d’une chose obscure. (i4.)
Accord , intelligence, conformits. —despejeih,
esprit ouvert. Mdito — e pouco juize, besucot)
d’esprit et peu de jugement.
ENTEREBRECER , v. a. obscufcir: remplis de
tönebres ( prop. ot Ag.). Il est aussi rociproget-
ERTENBRESCIDO , A,P. p. d’Enienebrecer.
EnTennEcha,v. a. allendrir, ramollir, rende
tendre et facile & manger.
EnTENaEcioo, A, pP. p. d’Entenrecer.
ENTENSO ‚A.
ENTEBCALAR,, otc. V. Inte..., etc.
EnTERIGaR , olc.
ENT ENT 513
+ Enreaitis, =. f. (t. de mid.) entörite »| KEmrzerin (oom,om),o.n. oonfiner, border;
pblegmasie ou inflammation des intestins. Ötre attenant &, ötre voisin de , contigu & ; &tre
Extzanecka, v. a. (fig.) attendrir, toucher : | sita6 sar les oonfins, ou vis-A-vis, re ä l’op-
rendre sensible & la pitie, & l’amitie, & l’a- | posite.v.«. (p. ws.) Mettre un Courerele.
mour. Entussourino, A,P.p. d’Enthesourer.
Entzanscke-se, vo. a. s’attendrir; devenir | ENTEESOURADOR, 3. m. thesauriseur : celui
tendre,, plus sensible; s’emouvoir. qui amasse, qui entssse des tr&sors, qui Ih6-
ENTERNSCIDAMENTE, adv. tendrement, avec | saurise. ,
tendresse; avec attendrissement. Entuzsourin, ©. a. ibösauriser : smasser,
Extzanzcivo, A, p. p. d’Enternecer. adj. | entasser des trösors.(g.) Accumuler en grande
(Ag.) Altendrissant: qui rend sensible & la | quantits.
ion, ä l'amiti6, ä Yamour (paroles,| Entuısema. V. Enthymema,
plaintes , larmes, etc.). Entuosiasuino, A,P.p. de
ENTERRECHHENTO, 6. m. attendrissement :| EmTHusıasmär, v. a. enthousiasmer ; donner
sentiment de lendressc,, de compassion. de l’enthousiasme.
tEnteaoGrarpnia, 5. f. ($. de med.) entöro- | ENnTRUSIASMÄR-SE (por), o. r. s’enthousias-
graphie : description des inteslins. mer (de ow pour); devenir enthousiaste,
tEntazoLocia,,s. f. (l.de med.) enterolo- | Entuosıisuo, s. m. enihousiasme : exalta-
gie : trait6 des viscöres, des fonctions des in- | tion de l’Ame pr&occupee ; «motion extraordi-
slins, naire , inspiration ; mouvement extraordinaire
+ Enteroromm, s. f. (t. d’anal.) entörole- | del’äme (d’un poöle, etc.) dans le moment de
mie: incision & Pintestin pour en extraire des | l’invention ; sentiment qui l’enlöve au-dessus de
o0rpe ötrangers. Iui-meme; feu, transport bors de soi-meme;
Entennackd, 3. f. V. Enierramento. vive &motion ; sorte de [ureur prophötique;
Entenripo, A, 9. p. d’Enierrar. exaltation d’esprit, d’imagination , de senüi-
Enternaanon. V. Coveiro. ment.
ENTERRAMENTO, 5. m. onterrement: action | Entmusıäista, 8. m. enthousiaste : vision-
@enterrer. V. Enterro. naire, fanalique, qui s’entbousiasme, pas-
Entgarän, ov. a. enterrer : inhumer, metire | sionne pour; admirateur oulr6. —s, pl. en-
en terre un mort; enfouir en terre (des raci- | thousiastes : sectaires qui se croyaient inspi-
nes, etc. „de l’argent, etc.). (Ag.) Tenir cache. | res.
Bufoncer, faire penetrer profondement (l’&pee, | EnrBusiästico, A, adj. qui manifeste !’en-
je poignard, ete.). — alguem, (fig.) causer la | thousiasme, ot il ya de l’enthousiasme, qui
mort de quelqu’an ; enterrer quelqu’un, lui | en est plein ( disoours, paroles, etc.).
survivre, voir sa mort. — no esquecimen!o, EnTnTYußMmA, 8. m. enthymöme : argument
enserelir dans l’oubli. Onde os enterra V. M.P | compos& de l’anteosdent et du cons&quent,
(/em.) maniere de plaisanter ceux qui fonties | Enturutmia,s. f. V. Enihymöma.
fanfarons , qui disent des gasconnades. Entisiäno, A,p.p. de
EnTERRÄR-SE, ©. r. s’enterrer, s’ensevelir; | EnTtistär, o. a. altiedir : rendre tiede. (Ag.)
@tre enterre. S’enfoncer, penetrer bien avant. | Affaiblir, refroidir, rendre moins fervent, plus
Se cscher. — em vida, s’enterrer tout vivant. | froid. Il est aussi r6ciproque.
On le dit de ceux qui renoncent & tout com- | + Enricnirzs, s. m. pl. entichites : sectalres
meree da monde, et surtout de ceux qui em- | qui pratiquaient des sacrilices abominables;
brassent Petat religieux. on appelait ainsi, dans le premier sidcle de
EnTERREIRÄDO, A, 9.p. de PEglise , les sectateurs de Simon le magi-
Enraangınän,v.a. (t. d’agr.) aplanir, for- | cien.
mer une aire. Dire librement. — um negoeio, | ENTIDÄDE, 8. f. entilö: ce qui conslitue !’&-
disposer une affaire, la meltre en train. tre; l’essence de; forme abstraite en general.
Enrtaao, s. m. *inhumation, enterrement; | Cousa de—, (fig.) chose de poids, de conside-
funerailles ; convoi, oort£ge d’un mort qu’on | ration, d’importance,, de valeur.
va enierrer. Tombeau , sepulture (p. ws.). Enritncta, s. f. (l. d’hist. nat.) entiengie:
ENTBRRONMPER, elc. V. Interr..., etc. oiseau du Congo. .
Eıtensacnin „etc. V. Enires..., etc. +EntwoLipo, a, adj. en forme de hrique;
Enrertunsäir, etc. V. Interromper, etc. durcomme la brique,, couleur de brique.
Extgsäno,, A, P. p. d’Entesar. Entisicino,, A, p. p. de
Extgsanöna, s. f. tension, raideur. Enrisicia, v. a. rondre phtbisique ou ötigqus,
Entesan, 0. a. raidir, tendre, bander, ren- | o. ». Tomber en phtbisie.
dreraide ; endurcir, dareir. Ewrisnin, eto. V. Tisnar, eic.
Entesin, o.n.et—sE,o.r.raidir: devenir | Enrtırulan, ete. V. Inlilular, ete. ,
raide ‚se raidir; se dresser. (g.) S’accroltre, | Entoacäö, s. f. inlonalion : action d’enton-
Saugmenter ; souflier avec plus de force, par- | ner ; modulation. .
lanı du vent. —com alguem , tenir t&to A quel- | ExtoAno,A,p. pP. d’Eninar. adj. Resonnani,
qa’un. harmonieux ‚, melodieux. Vow —s, voix claire,
Entastino, A, p. p. d’Enisslär, sonore.
®
— FORT.-FR. ss
318 ENT
ENT
Enroanör, 5. m. celul qui omtonue ew qui | dans un eompie d’une somme passde exacic-
module.
ment en recelte et en depense. — da porla,
EntoiR, ©. @. enlonner : metire sur ie ion, | seuil de la ports. Desd’ a — , d’entr6e ; d’aborü.
donner le ton en cbantant ; chanter juste, avec
art et möihode ; chanler le commencoment d’un
air, eic.
Entoin-ss, e. r. V. Seifear. it. (ami.) V.
nlonar-80
Entosia , ete. V. Antojer, etc.
EntoLuia-se. V. Antelkar-se.
*Extos. V. Entäo.
Entonino, A, 9. 9. de
Entonin-se, v. r. s’enfler d’ergueil, se
ser.
* Entöncks. V. Entäo.
Entöno, s. m. (fig.) orgueil, presomplion,
vanilö, bauteur.
+ Eurontecka, ®. a. rendre imbetcile, stu-
pide, höbster.v. ». Devemir imbecile, stupide,
heubeils ; perdre connaissance.
EnTONnTEcino, A, P. p- d’Entonlecer.
Entonnipo, A,p. p- de Äutorner.
Entonnapöna, s. f. ellusion , epanchement;
action derepandre.
Entonsir,v.e. epancher, rögandre, verser.
(Ag.) Dissıper, prodiguer.
Entoruir-sg, v. r.s’cpanoher, se repandre;
decouler, sortir, tomher en coulant. (fig.) Se
bouleverser.
Entorrzcka, v. a. engoundir, emp6cher le
mouvement des membres. (fig.) Hebeter, en-
geurdir l’esprit, le genie, etc.
EntonrscirR, dv. n. et —e, v.r.s’engourdir.
(Ag.) Perdre la vivacite, l’energie, lo courage.
— 10 solo, cToupir, languir dans l’oisivete.
Entoarzcido, A, p. p. d’Entorpecer.
EnTORPECIHENTO, 3. m. engourdissement :
&tat de ce qui esi engourdi (propre et fig.).
Entortiodo,A,P.p. d’Entortar.
Enronrapöka, 8. f. action de teriuer, d’d-
borgner, son effet.
Entortir, ©. @. tortuer : rendre tortu ou
tortueax. (fig.) Egarer, detourner. — os olkos,
loucher. H est aussi r&cipreque.
Enrouviina. V. Entuoidde.
Entoxıcir, etc. V. Envenenar. p. us.
Enrripa, s. f. entr6e: liou par od !’on entre;
action d’entrer, is. d’entrer solennellement
dans une ville, eto.; reception, s6anoe solen-
nelle, (se dit d’unroi,d’un ambassadeur, etc.) ;
entröes : droits que Fon pale & l’entede d’une
ville. Prise d’une ville, elc. (g.) —, commen-
ceoment; occasion, ouveriure. Amili6, anoueil,
familiarit6 dans une maison, aupres de quel-
qu’un. Nombre suffisant de ogries pour enirer
au jou et faire entrer. L’argent, les fends qui
enirent dans üne caisse. —s, pl. enirees privi-
l&gides dans oertaines obambres du palais du
zoi, accorddes A quelques personnes de dis-
tinction. Chacun des deux angles rentranis que
les cheveux forment dans la partie supericure
du front. (ant.) Pension, rente. — da me£sa,
entree, premiers mets. —do inimigo , Invasion,
irruption de l’ennemi, — por saida, on ko dit
De primeire — , du premier meuvementi. Dar
— na alfandega, wanilester a la douane Ics
marchandises, les eflets, etc., pour en payer
les droits. Direitos de — , entröes , droits d’en-
irde. — franca ‚libre acees. Ter— com alquen,
avoir acces aupres de quelgqu’un. Negar a— no
palacio, interdire l’entröe du palais. Ter chare
de —, dire chambellan, zveir les entrees da
palais. Ter ums cousa—, ou scher — pırs
ella, eıre possible, faisable, parlant d'une
chose. —s, e saidas, (fig.) Intrigues dans ene
affaire. —s, # saidas duma casa, eilc., Issues
d’une maison, etc. : servitude active, dreit
qu’on a de passer par un Champ, eio.
Entaipo,a,p. p. d’Entrar. adj. Dans l-
quel on a penetrd. (Ag.) Mu, persuade; sabi
(de douleur, d’ellroi, elc.)., — em anne,
avancd en äge.
Entrasioo. V. Trejddo.
ENTRALUÄDO, A, 9. p. de
Entrumin, e.a. V. Trailer. is. Prendre
dans des fliets; entrelacer.
ENTR’ANBOS, as, prow. adj. pl. tous deut,
teus tes deux ensemble; entre deux.
* ENTRAMENTES. V. Entrementies.
* Entaautnto, s.m. V. Entrade.
EnTRANCADO, A, p. p. de Entrangar.
ENTRANGADÖR, 3. m. tresseur : celai CU
tresse.
EnTnangapüna, 5. f. action de tresser, d
natter ; entrelacement.
ENTRANGCÄR, 9. a. Iiresser : cordonner MA
tresse. Natter (des cheveux).
Enträncu, 8 f. (f. de prat.) * oommmcence-
ment, entree.
Entrinua,s.f. * viseöre, entrailles : parlio
interieure du oorps, comme le cwur, le pou-
mon, la rate, ele. li est plus usite au plurie.
* Flancs, sein. —, pl. (Ag.) entrailles, ablıne
(de la terre, ete.), les lieuxz les plus profends:t®
qui est au milieu; aflectien,, tendresse, CO-
passion. (id.) Le naturel, le caractere d’unt
personne. Der a8 —s, ou ald as —e, Alte e1-
trömement liberal. De bias ou muds —ı, quä
des entrailles, qui n’en a pas. Isto chega m:
ds —s, cela me deebire le caaur. Langer, 10°
mitar as —s, vomir beaucoup, rendre tripe
et boyaux.
EnTaansÄnOo, A, adj. introduit, peneift
dans les entrailles; (Ag.) profond, penetran!;
enracine, iavetöre.p.p. de
ENTRANBÄR, 9. @. meltre dans les entrailie-
(g.) Penstwer profondement ; introdaire %
faire penötrer. — em si ou na alma a alguem;
#’affectionner & quelqu’un, Paimer tendre-
ment.
Enraammin-sE, vo. r. pöndtrer Jusqu’au fond
du caur. (em) Pönätrer, s’enlfoncer; se penc-
trer; se donner profondement. — d’amir,
s’embraser d’amour.
ENTRANBÄYKL, adj. 3 gen, alleotweus, j1-
‘
ENT
üime; profond, da fond du cowur; oziröme.
Odio —, haine enracinee.
ENTRANBÄVELHENTE, adv. inlimement, al-
feetueusement, oordialement; extrömement,
du lond du eaur.
+EnTRANBinHA, s. f. dim. d’Entranha. Ser
-, woir un mauvais caraciöre; m’avoir pas
d’entrailles.
EsTaanQuzıaÄno, A, 9. p. de
Exntnanguginin, vo. a. barricader, reisan-
cher. 11 ost aussi reciproque.
Eutaaripo, A, pP. P. de Entraper. et adj.
dndar, estar —, eure couvert de haillons, de
guenilies.
Errasria, 9. @. envelopper de chiffons.
Bander ls ıLEte, ou quelque autzo partie du
corps, peur guörir un ooup, une plaie. V.
Enpiasiror.
Entnarän-SE, dv. Fr. se oouvrir de haillons,
de guenilles.
Entaäin, 0.0. enohässer, introdaire, faire
eatser une chose dans une autre. Assaillir,
atisquer et prendre (une ville, etc.). V. /nva-
dir. (Ag.) Faire penetrer, enfoncer (un cleu,
eic.); saisir, atlaquer, causer un saisissernent.
Entaan (6), 9. #. entrer : passer du debors
au dedans; s’engager dans; (Ag.) commencer
(une entreprise,, eio.); pen6öirer dans quelque
chose ; prendre part (dans les projeis, etc.);
servir A la composition, au melange, A la for-
mation de... (flg.); contribuer, dire une das
causes, des motils; &ire parlie de, re com-
pris dans. S’emboucher, se d&charger, se jeler :
so dit d’une riviöre qui entre dans la mer, dans
un ise , etc. Entrer au jeu : faire jouer. (#4. de
sus.) Commencer &ä chanter ou & jouer ä len-
droit marga6. (fig.) Entrer dans le owur ( par-
lent d’une passion, d’un senument, eic.). —,
fsire one invasion, une incursion dans le pays
aunemi; prondre (une place), s’en emparer &
force ouverte. — en Fang, avoir son tour. Än-
trar, suivi d’un verbe & Pinfinitil, signifle le
cemmencement de !’action de ceverbe. Exr.:—
s reinar, commencer A regnear. Suivi de la
pröposition em et d’un nem substantil, il Bi-
gnifle se möler, s’immiscer, entrer dans. Er. —
om conios „em dispulas ‚se meöler de rapporis,
de querelies, de disputes, etc. Suivi aussi de
la meme pr6position em et quelques noms, il
signifie se consacrer, Sadenner A, enirer en,
embrasser. Ex.: —em religido, w'alguma car-
reira ow proflssäo , enirer en religion, 26 [sire
religieux ; entrer dans ane carriere, embrasser
une profession. Suivi de la preposition em et
de queikques noms, il marque aussi un com-
mencement d’action. Ex.: — em receio ou sus-
peils, entrer en soupgen, COmmencer & Soup-
conner. — a olkos fechados, (Ag.) embrasser
une affaire les yeux foerm6s, l’entreprendre
Sau SLAMER. — a sorvir, entrer en condition,
se faire domestigue; entrer au service de quel-
qu’un. — a alguem no coragäo, no peilp, en-
trer bien art dans les bemnes gräces de
quelqu’un. — deniro de Hi, 0m em Sı ME,
ENT 515
(ßg.) renirer en sei-meme. — om 0UmMPO com
alguem, aller sur le terrein, se balire avoo
queigu’un en duel. — em conselho, consulter,
examiner ce qu’on doit faire, enirer en deli-
börstion. — em conla, (fs.) tenir compte,
avoir quelgue chose en gonsideralion pour un
projet, entreprise, elc. — em comlas com sigo,
(fig.) se rendre compie de sa conduite. — em
idede, avancer en Age. — em jwiso com al-
guem, demander compte & quelqu’un d’une
B.— 908 u008, modas, elc., Suivre
les usages, los modes, elc.— em operarsder,
enirer on campagne. — R’ume funpäo , lorneio,
comtdia, eic., €ire acteur dans um oumoi,
ftte, onmedie, etc. — w/m Regecie, ole., 80
charger d’une affaire, eio. — com eiguom, (Ag.)
porsuader, shdulre; vainere (quelgu’en). —
com a espada na mdo, [aike main-basse, alla
quer V'öpte A la main. — som muilker, co-
habiter avec une femme. — a febre, 0 anno,
oic., commenser, parlant do ka fievre, de l’an-
nee, etc. — a pesle, se communiquer, parlant
de ia pesie. — por, entrer par ; p6neirer, s’en-
foncer dans... — uma Ccousa por um osvido 6
sair por oußFo, enirer par une oreille et sor-
tirpar l’autre : ($g.) ne pas faire allention ä
une chose. — por casa, vexir le trouver, venir
& sa renconire, parlant de la fortune, eic. —
de gwarda, ötre de garde, munter la garde. —
de posse, entrer en possession. Ndo — a alguem
uma cousa, (fig.) dessavouer une ehose, ne
vouloir pas la reconnallre, B® pas y mordre.
Agora eniro eu, c'est A präsent mon tour.
” ENTRÄR-SE, 07 r.V. Entrer (0), Becolker-
se, Acolher-se.
Entaiz. V. Authrds.
EnTRE, prep. entre, obez, parmi, an milieu
de, au nombre de, Dans, pendant. — anno,
dans le courant de l’annee. — dia, dans ka
journde. — dentes , entre les dents. — dass po-
redes , entre quatire ımurailies : seul, isol& ohuz
s0i. — mäos,, sous la main; entire les mains. —
tanto ‚ cependant, pendanut cela, sur ces eu:re-
faites. Havia um costume — 08 Alhenienses, il
yavait une coutume chez les Atheniens. Curre
“INS 002 — 0 9000, ilcourt un bruit pammi le
peuple. Trazser alguem — denies, döchirer
quelqwan; parler mal de guelqu’un. — nds
Aqw 0 do, entre nous seit dit. — Jusco
e fusco,, entre chien ei loup, & la brune. Houve
com — mortos e feridos, il y en eut cent de
tues ot de blesses. Por —, A Iravers.
ENTREABRIR, Otc. V. Soabrir, etc.
Enteeicro, s.m. entracie.
+ Entaesrinco, A, adj. blanchätre : tirant
sur le blanc.
Entngzcauin. V. Intercalar.
Entaecausino. V. Enredddo.
EntreEcisca, 8. f. el ENTRECASCO, 5. m. peau
entre le bois et P’&corce.
t Extazcai00, A, adj. qui a un naud, par-
lant d’une piece dramatique.
EutaAca0, #. m. naud d’un drame,
516 ENT
EutRBCHOCciR-ER, 9. r. s’ntre-cheoquet :
se 'choquer Pun Fautre.
+ Entaz-cosaaras, 5. f. (f. de mer.) entre-
pont.
ExTazcoLdumo, 3. m. entre-colonne, entre-
eelonnement : espace entre les colonnes.
ENTRECONNECEE , 9. 6. oonnaltre imparfaite-
ment.
ENTRECONHECER-SE , 9. F. Se TE6onnaltre mu-
tuellement.
ENTRECONNECIDO, A, 9. p. d’ Entroconkecer.
Entrascoarino, a, 9. 9. de Entreoorter.
+ Enrazooarasöna, s. f. intersottion , peint
o& deux lignes 56 ooupemt.
+ Eutascoaria-es , o. r. s’entre-o0uper;
former des interseotions.
Entascosrino, 3. m. (f. de mar.) omvrage
pour renforcer le o81# d’un vaisseau.
Entascösto, 3. m. entre-cöte (de bauf, de
pore). it. V. Entrecdsea.
*+Entaepänna, 5. f. chose trös-cachte,
wrös-socre
te.
EnTREDENTES, loc. ade. en grippe, avec ran-
eune. V. Entre.
Entazpis, ade. pondant le jour, toute la
journee.
Entazvicro. V. Interdieto.
Entrazpızen, 9.6. V. Prokbir, Interdizer.
+ EntazsLoLmER, 9. 8. ohoisir parmi ou en-
tre plusieurs,
Entazgrino,A, adj. qui n’est ni in, ni gros:
de moyenne finesse.
+ EntazsoLugäczo, A, ad» Podunculo —,
(1. de bot.) interfollaceus pedunculus.
Entagrönno, 8. m. V. Guardapd. — d’um
vestido,, etc., garniture entre la doublure et le
dessus d’une robe, etc.
Entatca , s. f. livraison, remise : action de
livwrer, de remetire; reddition (d’une place);
trahison. Fazer —,, livrer, faire remise, re-
metire. Tomar — d’alguma cousa, se charger
d’une chose pour lo compte d’un autre. Armer,
fazer ums —, trabir, faire une trabison.
* Entazchvauänte. V. Fieimente, Cabei-
mente.
Ertascipo, a, p. p.d’Entreger.V. Entrögue.
® ERTREGADÖIRO OU —DOURO, A, adj. quidoit
&tre livr6, remis.
ENTREGADÖR, 5. m. celui qui livee, qui re-
met; treitre, perfide; denonciateur.
Entazcär (a), v. @. livrer : remeitre, meltre
au pouvoir de quelqu’'un. Vendre, denoncer,
trahir; rendre une place. V. Devoiver, Res-
tttir. — algums couss ao esquecimenio, ao
silencio , ensevelir quelque chose dans l’oubli.
— ma liberdade, vendre sa liberie. — ae alma
a Deos, rendre l’äme, mourir.
Entascän-se, v.r. so rendre, poser les ar-
mes. (6) Se livrer, s’abandonner, se meltre en-
tre les mains de quelqu’un;; (Äg.) se livrer, s’s-
donner & une chose, s’en Occuper, s’appliquer
b... (de) Prendre (une affaire, etc.) sur soi,
w’en oharger; s’indemniser, se dödommager ;
"ger, prondre vengeance. Il a vieilli
ENT
dans ces treis dernieres scoeplions. — nos
brapss d’elguem,, se livrer entidrement ä quei-
qu’un, se conßier, s'abandonner ä lui sans rt-
serve. — dalguma pessoa ou couse, (loc. ent.)
s’eımparer, so sSaisir d’une personne, d’am
chose,
Entratcug,, adj. 2 gen. et p. irr. d’Enireger.
Livre; vendu; trahı; mis en possession de;
confie, commis &ä; indemunise, dedommage;
adonne, habitae, sujet a. V. le verbe.
° Entaicteuente. adv. V. Inteiramenis.
+ Enransönta , s- f. (1. de bot.) V. Entreab.
ENnTaELACADO, A, p. pP. de Entreisger.
ENnTRELACANENTO, 3. m. entrelacement: &-
tion d’entrelacer;; tat des choses entrelacte.
EnTRELAChHR,, ©. @. entrelacer : mellse, 68
lecer Yun dans l’sutre ; entremeler.
Entazınipo. V. Entreihddo.
EnTagLınga, s. f. entreligne, interligne : &-
pace enire deux lignes; interposilion, ce IE
est &crit dans cet espace. *Commenlaire, Ur
daction interlinedaire.
ERTRELINRADO, A, P. 9. de .
EntagLınsin,, ©. @. ecrire dans Finleri-
gne.
EntazLocuciö, etc. V. Interi..., eic.
EntrzLöro, adj. m. Navie —, ‘
aveniarier, (vaisseau ; qui trafque en frande-
EnTasıunno. V. Interlunio.
+ EntazLuzin, c. ». luire & demi. Se laisset
voir & travers quelque chose.
+ Enrasutcuas, s. f. pl. (1. de mar.) pour
qui traversent le vaisseau d’un cotl* ä faule,
pour le renforcer quand il est courb£.
Entazubıo, adj. ets. V. Entremeio ei Ir
ENTRENEIÄDO, A, adj. entremele; qui esta®
milieu de, qui est entre deux. p. p. de
ENTRENEIÄR (em, com), ©. a. entremökt:
meler parmi; inserer, meler (des choses) a!%
d’autres.
ENTRENEIAR, ©. ®. #tre entre deux; #°
intermediaire ; sinierposer.
EntREußı0, A, adj. intermediaire : qui
entre deuz. V. / io. s. ms. Chose inlef-
mediaire. Neste —, sur oes entrelaltes.
Entaeuente ou EuTRamEntes, ade. ei. 9
oependant, pondant cela. Nesies —, sur (6
entrelaites.
Entazutßs, etc. V. Entremexz, etc.
+ Entazutsı, ado. pendantı le diner, pe®-
dant qu’on est ä table.
EntaEuKrrän, v. 6. interposer, emtremöle;
faire ıntervenir.
ENTRENSTTER-SE (em), vo. Fr. s’ingerer, Fer
tremelire,, se meler de guelgue chose, sans 60
ötre requis; se fauflier; laire l’intwigant; im
terposer ses ollices, eic. Se metire au miliel,
ou parmi d’autres.
EnTaguRTTiDo, A, 9.P. d’Entremeiter. od).
Intrigant : qui ne mele de oe qui ne lo regard®
pas ; qui se mele de tout.
ENTAENETTINENTO, 6. m. ° emtremise; jnle!-
venlion , bons ofioes,
ENT
Earnzuzvo, ote. V. Ensremeio, ett.
Errazußz, 9. m. oomposilion dramatique
evurte, badine et plaisante, qui sert d’inter-
mede dans la oomedie portugaise ; Intermede,
farce.
+Ertazuzzipa, s. f. chose, ou action sem-
blable ou pareille A une farce.
tEnTaEuzEzista, 5. m. auteur d’intermödes
de comedie.
Eurazutza. V. Entromesa.
Euntnuwicuas. V. Ensremeschas.
tEntazuontino, a, adj. situ& entire des
Monlagnes (campagne, village) ; qui habite en-
ire les montagnes ( peuple, etc.).
tEutnend, s. m. (4. de bot.) entre-naud:
espsce enire deux n@uds d’une tige.
EnragpÄnno, s. m. montant de separation,
raie de bibliothöque.
Entawräusa, s. f. pause intermeödiaire.
Burrgrecan, eie. V. Tropesar, etc.
HENTREPERNAS, 5. f. pl. entre-deux des jam-
bes: la partie interieure des ouisses.
Eatazpormento, s. m. V. Interposicdö.
Entnzrön. V. Interpor.
Enrazröntas, loc.adv. en dedans, sansqu’on
paisse echapper. Tomar alguem — , surprendre
gaelqu’un, le prondreau depourvu, sans qu’il
puisse s’6chapper.
Enrazrosıckö, 8. f. V. Interpesigdö ei Pa-
Eurazeösto , s.m. entrepöt. V. Emporio.
Entagraanpen. V.S
Entngpaszı. V. Inierpresa, Sorpreza.
Eutassacnin0, A, pP. p. de
ENTRESACHÄR,, D. a. entrem£ler, entrelacer.
$ Earaxscöno, 4, adj. qui ost Lant soil peu
ebscar.
Exrazstıo, s. m. " cavite,
Teurs et detours cachös.
ENTRESEMEÄDO, A, p. p. de
EnTausEmEÄn,, v. @. entresemer :
Jarmi , planter entre. (fg.) Entremeler.
EntrazsöLa ‚s. f. entre-semelle.
ExtazsöLno, 8. m. entresol : ötage entre le
rer-de-chaussee et le premier ; ospaco entre le
Bancher ot le sol. (4. d’anat.) Sinus, cavile.
—t, pl. (Ag.) wours et detours caches. Ter mili-
oe —s , se dit d’un homme qui se conduit aveo
beaucoup de röserve, qui est irds-dissimule,
irös-russ.
sinuosite. (flg.)
semer
Entagraıuino, A, p. pP. d’Eniretalher.
Enrartananon. V. Entalkador.
ExtagTaLnapöra, s. f. "demi-relief, bas-re-
lief. V. Entalhe.
EntaETaLBär, ©. a. sculpter en demi-relief,
faire des bas-reliefs. V. Entalhar.
TEnTaEgTÄLEO, 0. m. V. Entrelalkadura. 8.
Coupare, decoupure faite dans une ötoffe.
Eutagrämo, adv. cependant, en atiendant;
peudanı cola, sur ces entrefaites. No — que,
en altendant que, jusqu’& ce que. Por —, 08-
Pant, lä-dessus ; par interim, provisoire-
ENT 547
EntRETzEcEBOR,, 5. m. celui qui emtzelaos,
qui fait un tissu.
T Entaxtzcogoöra, s. f. " entrelacement. In-
sertion.
ENTRETECER,, vo. e. faire un tissu, brocher
une etoffe, etc. Lier, enlacer, entrelacer, entre-
meler. (Ag.) Mettre, inserer des mots, des
clauses, des vers, etc., dans un 6crit, dans un
livre, etc.
Entagtecino , A, 9. 9. d’Entreteckr.
ENTRETECIMENTO , s. m. V. Entreloosdeura.
ENTREBT£LA, s. f. "renfort de toile, de treil-
lis, etc., qu’on met entre l’ötoffe et la doublure;
bougran ow bouqueran , grosse teile gommee
pour soutenir les 6ötoffes. * Contre-fort (d’un
mur, etc.).
ENTRETELABO, A, 9. p. de
ENTRETKLÄR, v. a. metire de la toile, du
treillis,, ete., entre uno &toffe et sa doublure;
garnir de bougran. Meitre des contre-forts.
EnTRgTENnen. V. Entreter.
Enutasteuina, 3. f. chicane; detours, tergi-
versation , suporcherie pour gagner du teınps,
faus-(uyent.
* ENTRETENIDO, A , 9. p. d’Entretsner. adj.
Entretenu. Plaisant, enjou®, divertissant. Mu-
Iker —a, femme entretenue : femme que son
galant fait subsister. s. m. Surnumeraire, sous-
commis.
ENTRETENIMENTO , 5. m. amusement, diver-
tissoment, r6creation. (en#.) Entretien , manu-
tention ; conversation. (id.) ° Pension, gratiß-
cation qu’on donne A queigu’un , surtout pour
son entretien. Badinage, plaisanterie. (24.)
Delai, retardement.
Entagt&a, v. a. entretenir, amuser, donner
de l’espoir. Amuser, divertir, distraire, recreer,
faire passer le temps. — ‚ maintenir, COnSorver.
Suspendre, retarder, differer. — , faire subsis-
ter. V. Manter.
ENTRETER-SE, v. r. s’amuser & quelque es
pece de jeu. S’amuser, plaisanter, [olätrer;
passer son temps. S’entreienir, B’OCcuper ; 8’ar-
reter dans un endroit.
EnTaETIDO, A, P. P. d’Enirster. adj. ets.V.
BEniretenido.
ENTRETIMENTO, 5. m. V. Bntretenimenio.
Entrarinso,s. m. V. Pasto, Comida.
+ Entaxtaörıco, A, adj. qui est entre les
tropiques.
EnTREvanıssino, A, adj. sup. de
Enrratväno; A, adj. Derclus. Courert de W-
nebres. p. p.d
Enträvin, o. a. obscureir, metire dans los
tön&bres. (Ag.) Aveugler.
Entaßvin , 0.0. et — SE, 9. r. Oro perolus,
devenir paralyligue,
Entaävscka. V. Enitrevdr, u. ®.
Entauvia,o. entrevoir : voir imparfaite-
ment, ou en passant. (fg.) Pressentir, prevoir.
Entnuven-ts, ©. r. avoir une onirevue; se -
voir de temps en temps.
EnTasvinda , s. f. arrivee imprövue.
Entzavia, oto. V. Intervir, eic.
516 ENT
+ Enrascaocia-eR, 0. r. s’entre-choquer :
3e choquer !’un Fautre.
+ Entan-cosartas, s. f. (l. de mar.) enlre-
pont.
ENTRECOLUNNIO,, 8. m. entre-C0lonne, entre-
oolonnement : Espace entre les colonnes.
ENTRECONNECER , 9. a. connaltee imparfaite-
ment.
ENTRECONEECER-SE , 9. F. Se Feoonnaltre mu-
tuellement.
ENTRECONEECIDO, A, 9. p. d’Entreconkscer.
EntascontTin0, A, p. 9. de Bnirscoriar.
+ Entascontapöns , s. f. intersection , point
oü deux lignes 56 ooupent.
t EnTRECORTÄR-SE , 9. r. s’ontre-00uper;
former des intersections.
Entazcosrino, sm. (f. de mer.) ouvrage
pour renforcer le oöt# d’un vaisseau.
Entascösto, #.m. entre-cöte (de bauf, de
pore). i$. V. Entrecdsca.
*+Entaepänna, 9. f. chose trös-cachee,
te,
ENTREDENTES, loc. adv. en grippe, avec ran-
cune. V. Enirs.
Entazoia, ade. pendant Je jour, toute la
journde-
Entazpvicro. V. Interdieto.
Entazoızer, o. @. V. Prokibir, Interdizer.
+ ENTRESLOLHER, 9. a. ohoisir parmi ou en-
tre plusieurs.
Entazrino,A, edj. qui n’est ni in, ni gros:
de moyenne finessse.
+ EntaeroLnziceo, A, ad>» Pedunculo —,
(8. de bot.) interfoliaceus
EntaEröaROo, 8 m. V. Guordaps. — dumm
vestido , etc., garniture entre la doublure et le
dessus @’une robe , eic.
Entaica, s. f. livraison, remise : action de
iivrer, de remettre; reddition (d’une place);
wahison. Faser —, livrer, faire remise, re-
mettre. Tomar — d’alguma cousa, se charger
d’une chose pour locompte d’un autre. Armar,
fazer ums — , trabir, faire une trahison.
* Entazcänauanıe. V. Fieimente,
Ertazcäno, A, p. p.d’Entregar. V. Entrögus.
® ENTREGADOIRO OU —DOURO, A, adj. quidoit
etre livr6, remis.
EntazsanOR, 8. m. celui qui livee, qui re-
met; traitre, perfide; denonciateur.
Entascär (a), v. a. livrer : remettre, melire
au pouvoir de quelqu’un. Vendre, denoncer,
trahir; rendre une place. V. Devoiver, Res-
tlsir. — alguma couss ao esquecimenio, ao
silencio , ensevelir quelque chose dans l’oubli.
— sua liberdade, vendre sa liberie. — a alma
a Deos, rendre l’Arne, mourir.
EnTascän-se, 0. r.se rendre, poser les ar-
mes. (e) Se livrer, s’abandonner, se mellre en-
tre les mains de quelqu’ un; (Ag.) se livrer, #’o-
donner & une chose, s’en occuper, s’appliquer
b... (de) Prendre (une affaire, etc.) sur soi,
s’en charger;; s’indemniser, se dsdommager ;
se vonger, prendre vengeance. Il a vieilli
ENT
dans ces trois dernieres acceptions. — 108
brapos dalguem, se livror entidrement ä quei-
qu’un, se eonfier, s’abandonner & lui sans r6-
serve. — pessos ou couse, (loc. ami.)
s’emparer, se sSaisir d’une personne, d’une
chose,
Entagcue,, adj. 2 gen. et p. irr. d’Entreger.
Livre; vendu; trahi; mis en possession de;
confi&, commis &; indemnise, dedommage;
adonue, habitue, sujet &. V. le verbe.
° ENTREGUENENTE. ade. V. Inteiramente.
+ Entaxsönta , s- f. (1. de bot.) V. Entrenb.
EnTaELACADO, A, p. p. de Entrelager.
ENTRELACAMENTO, 3. m. entrelacement : 80-
tion d’entrelacer;; etat des choses entreiacdes.
Entaszacäa, v0. @. entrelacer : melire, eM-
lacer !’un dans l’autre ; entreme£ler.
Entazınipo. V. Entralhddo.
EnTasLinna, 8. f. entreligne, interligne : &-
pace entre deux lignes; interposition, ce qei
est &crit dans cet espace. "Commentaire, tre-
daction interlineaire.
ENTRELINHADO, A, 9. 9. de
EnTRELINBÄR , v. a. ecrire dans Vinterli-
gne.
Entazrocvucäö, etc. V. Interl..., etc.
EntngLöro, adj. m. Navio —, in
aventurier, (vaisseau) qui traäque en fraude.
EntazLunwo. V. Interlumio.
+ Entasıuzir, c.». luire & demi. Se laisser
voir ä travers quelgue chose.
+ Enrazutcais, s. f. pl. (1. de mer.) poutres
qui traversent le vaisseau d’un cöt6 & Pautre,
pour le renforcer quand il est courbe.
Entazu&nı0, adj. eis. V. Entremeio ei I»
EnTazuEıÄnDo, A, adj. eniremele; qui est au
milieu de, qui est entre deux. 9. p. de
ENTRENRIAR (em, com), ©. a. eniwwemeler:
ıneler parmi; inserer, meler (des choses) avec
d’auiros.
EnTRENEIAR, ©. ®. etre enire deux; £ire
intermediaire ; s’inte F.
Entaeutıo, a, adj. intermediaire : qui est
entre deux. V. /ntermedio. s. m. Choseo inter-
mediaire. Neste —, sur ces entrelaites.
ENTREMRENTE ou ENTRENMENTES, adv. ei s. m.
oependant, pendant cola. Nesies —, sur 088
entrefaites.
Entaems, eic. V. Entremez, etc.
+ Entazutsı, adv. pendant le diuer, pen-
dant qu’on est & table.
EuTRENsTTen, v9. 6.
faire ıntervenir.
ENTAENMETTER-SE (em), v. Fr. siingerer, s’en-
tremetre , se mm6ler de quelque chose , sans en
&tre requis; se faufller; faire Yintrigant; in-
r ses oflices, etc. Se mellre au milien,
ou parmi d’autres.
ENTAENETTIDO, A, 9. p. d’Entremstier. adj.
Intrigant : qui ae mele de ce qui ne le regarde
pas; qui se möle de tout.
ENTAENZTTIEENTO, 5. m. * entzemiss; inter-
vention , bons ofices,
interposer, entremeler;
ENT
Enrazuuvo, ole. V. Enitremeio, ots.
Enraxutz, s. m. composition dramatique
eourie , badine et plaisante, qui sert d’inter-
mede dans la comedie portugaise ; intermede,
farce.
+EnTaEMEzÄDA, 8. f. chose, ou action sem-
biable ou pareille & une farce.
TERTRENEZISTA,, s. m. auteur d’intermedes
de comedie.
Enragsutzı. V. Eniremesa.
Enrasuicnas. V. Entremöchas.
tEntazuontino, a, adj. situ6 entre des
mentagnes (campagne, village); qui habite en-
tre les montagnes ( peuple, etc.).
+ Entazuö, 3. m. (t. de bot.) entre-nmud:
espace entre deux nauds d’une tige.
EuTREPÄNNO, 8. m. montant de separation,
raie de bibliotheque.
Entawräusa, s. f. pause intermeödiaire.
Eurngrzcan, etc. V. Tropegar, etc.
FEnTREP&aRNAS, 8. f. pl. entre-deux des jam-
bes : la parilie interieare des cuisses.
ENTREPOIMENTO, 5. m. V. Interposicdö.
Entazrör. V. Interpor.
EntrEpöntas, loe.adv. en dedans, sansqu’on
puisse &chapper. Tomer alguem — , surprendre
guelqu’un,, le prondreau depourru, sans qu’il
puisse s’ö6chapper.
Eutaerosıciö ‚s.f. V. Interpesigdö et Pa-
EnTRnösto, s.m. entrepöt. V. Emporio.
Entagrasnpen. V.S
Entaurazı. V. Inierpreza, Sorpresa.
ENnTRESACHiDO, A, 9. pP. de
ENTRESACHÄR,, ©. a. enireme£ler, entrelacer.
T Esrrauscino, A, adj. qui est tant soil peu
obscur.
Entazstıo, s. m. " cavite,
Tours et detours caches.
ENTRESEMEADO, A, p. p. de
EnTRESEEBÄiR,, v%. a. eniresemer :
parmi „ planter entre. (fig.) Entremeler.
EntassöLa ‚s. f. entre-semelle.. _
ESTRESÖLHO, 5. m. entresol : elage entre le
rez-de-chaussde et le premier ; espace entre le
plancher ot le sol. (4. d’anat.) Sinus, cavite.
—t , pl. (Ag.) tours et detours caches. Ter mık-
ios —s „ se dit d’un homme qui se conduit avec
besucoup do re6serve, qui est trös-dissimul6,
irds-ruse.
sinuosite. (fg.)
somer
EntartaLuino, A, pP. p. d’Entretalkar.
EnragtaLuspor. V. Entalhador.
ENnTRETALHADÜRA, 3. f. "demi-relief,, bas-re-
lief. V. Entalke.
EnTarTaLnirn, 9. a. soulpter en demi+-reliel,
faire des bas-reliels. V. Entalhar.
+ EntagtiLuo, s. m. V. Entretalhadura. it.
Coupure, decoupure faite dans une 6tolle.
EnTRrgtTinto, adv. cependant, en attendant;
pendant cela, sur ces entrefaites. No — que,
en „altendant que, jusqu’ä ce que. Por —, c&-
pendant, lä-dessus ; par intörim, provisoiro-
ınent.
ENT 5417
EuragTzceDön, 5. m. celul qui entzelace,
qui fait un tissu.
+ Eıraztzcenöaa, s. f. * entrelacement. In-
sertion.
EnTRETEchR, v. a. faire un tissu,, brocher
une etoffe, etc. Lier, enlacer, entrelacer, entre-
meler. (£g.) Meitre, inserer des mots, des
clauses, des vers, etc., dans un sorit, dans un
livre, etc.
EnTagtecipo,, A, P. pP. d’Entrefecer.
ENTRETECIMENTO , 8. m. V. Enireleosdura.
ENTRETELA, s. f. "renfort de toile, de treil-
lis, etc., qu’on met entre l’etoffe et la doublure;
bougran ow bouqueran, grosse foile gomme&e®
pour soutenir les &toffes. * Contre-fort ( d’un
mur, etc.).
ENTRETELADO, A, P. p. de
ENTRETELÄR, ©. a. metire de la toile, du
treillis , eto., entre une etoffe et sa doublure;
garnir de bougran. Mettre des contze-[orts.
EnTarTenen. V. Entreter.
Eutagrenina, s. f. chicane; detours, tergi-
versation , supercherie pour gagneor du temps,
faux-fayent.
* + ENTRETERIDO, A , pP. p. d’Entretener. adj.
Entretenu. Plaisant, enjou®, divertissant. Mu-
Iher —a, femme entretenue : femme que son
galant (ait subsister. s. ss. Surnume6raire, sous-
commis.
ENTRETENIMENTO,, 5. m. amusement, diver-
tissement, r6cr6ation. (an4.) Entrelion , manu-
tention ; conversation. (1d.) ° Pension, gratiß-
cation qu’on donne & quelqu’un , surtout pour
son entretien. Badinage, plaisanterie. (an4.)
Delai, retardement.
ENTASBTER, v. a. entretenir, amuser, donner
de l’espoir. Amuser, divertir, distraire, recreer,
faire passer le temps. — ‚ maintenir, conserver.
Suspendre, retarder, differer. — , faire subsis-
ter. V. Master.
ENTRETER-SE, v. r. s’amuser & quelque es»
pece de jeu. S’amuser, plaisanter, folätrer;
passer son temps. S’entretenir, s’Occuper ; s’ar-
röter dans un endroit.
ENTRETiDo, a, p. p. d’Enireter. adj. ers. V.
BEniretenido.
ENTRETIMENTO, s. m. V. Entretenimento.
ENTRETINBO, s. m. V. Pasto, Comida.
t ENTRETRÖPICO,, a, adj. qui est entre les
tropiques.
ENTR£VADISSIMO,, A, adj. sup. de
Enta£vino,&a, adj. perclus. Couvert de t#-
nöhres. p. p. de
Entn&vin,v. a. obscurcir, metire dans los
tenebres. (Ag. ) Aveugler.
Entr£vÄin,,v.n. 08 — SE, 9. r. Oro porolus,
devenir paralytigue,
Entaävscke. V. Enirevdr, v0. %.
EnTaBv£a, 0. @. entrevoir : voir imparfaite-
ment, ou en passant. (fig.) Pressenlir, prevoir.
Eutnavtz-en, ©. r. avoir une onirevue; so -
voir de temps en temps.
ENTREVIRDA, 8. f. arrivde imprevue,
Entznvin , etc. V. Interoir, eic.
518 ENT ENU
Euvazvisva, s. f. ontrevue : visite, roncomtre | Emraovischna, s. f. pöche au mayen de I:
conoertee. Belle &toffe qu’on metiait autrelgis | garoutie jeide dans les riviötes pour ser |:
enire P’habit taillade at sa doublure, et que !’on | poisson. V. Troviscade.
voyait ä travers les taillades. ’ Entnovno. V. Euirüde.
EntRevisto, A, P. p. d’Entrever. Entaupino,A,p.p.de
ExTreEzıLuino, A, adj. (d. de berg.) maigre, | Emntaopir, o. m. faire le camanval, faire le
sec , döcharne. mardi gras; se livrer aux amusemenis da ce-
Entaipa ow Entaita, s. f. V. Papas, Migas. | naval.
ENTRINCHEIRÄDO, A, 9. p. d’Enirincheirar. Entaöno, s. m. carnaval : les trois jears gei
ENTRINCHBIRAMEKTO, s. m. reiranchement, | precädent le meroredi des gerdres ; ues dittr-
action de retrancher;, barricade. tissoments. Joger, fesiejer o —, [site lecarıs-
Entaıncneınän, o. a. retfancher: faire des | val. Die de —, mardi gras.
retranchements; barricader, forlifler. Exrurino, A, adj. enliö; gonfid; (Ag.)er.
ENTRINCHRIRÄR-SB,, v. r. se reirancher: faire | ENTTLEÄDO, A, p. pP. de
des tranch6es pour se melire A oouvert contre | EntouLnir, v. a. remplir de plätzas, de &-
les attaques des ennemis; e€lever des retran- | combres, eic.; oombier un foss#, eic. Metin
cbements; se remparer, se forlißler. dans le grenier (le bie, eto.), dans la fosse pour
Entniscino. V. Ansriscado,, Travado. les olives (les olives). (Ag.) Batasser, uns-
ENTRISTECER,, ©. @. altrister : rendre triste, | celer, enoombrer.
affliger. Donner un air triste & quelque chese. EnTULBÄR-SE, ©. r. se remplir de diez-
ENTRISTECER , 9. 8. et —SE, v. r. B’atlristar : | bres.
devenir triste. Se Adtrir, söcher, se faner, en | EnTöLno, 8. m. plätras, döcombres. (Ay)
parlant dos plantgs, des fleurs. Amas, moncsau, tas de choses inutiles.
ENTRISTECIDO, A, P. p. d’Entristecer. Entuuscen. V. Intumecer.
Enrnita ou Entaıma, s. f. V. Papas, Migas.| Entüna. V. Capada, Preis.
Entroncino, A,p. p. de + Entumcino, a, adj. (6. de dei.) tanigplı
EnTaoncik, ©. a. prouvar par acies qu'une | recouvert de taniques, de pellicules, de men“
persenne est de la mö&me famille qu'une autre, | branes.
qu’elle descend de la m&me souche; inserer, | Esururino, A, p. p. d’Entupir.
interpoler un nem, un fall. ©. ®. Rtre de la ENTUPIMENTO, 5. m. engorgement; rhume de
möme famille qu’un autse, dessendre de la | cerveau.
möme souche. Entupir, 0.6. obstruer, engorger, bouchtt,
ERTRONCAN-SE (Om, em), v. T. Contracler | en parlant d’un canal; enoombrer (02 fosie,
des allianoes aveo uno famille anoienne, illus- | eto.). Presser, serrer, comprimer. ] «ei aussi
r6ciproque.
Entunsan, etc.
EnTORVAR, eic. V. Turvar, eis.
Entusiasuo, etc. V. Enthusiasme.
Entuviida, 8. f. V. Pressa, Brige, Pod
cia. D’entuvidda, & la häte.
EnvLa camrinı. V. Inuls campans. 1
Enumeaacäöd, 8. f. &numeration : denombre-
ment, figure de rbetorique; denembremen,
compte numeral qu’on fait des choses.
Enuuzaio0, A, 9.9. de
+Enumenin, o. a. faire l’daumöralion, I
dönombrement:
Enuncıaciö, s. f. dnonoialien : express;
exposilion. Action de rapporier, de döclael,
recit. —, proposition aflirmative ou nögalıre.
Enuncıi00, A, pP. p. d’Enunsier. ı. 9
Enonc# : chose dnonode sans developpemem!
Enuncıunon , 5. m. oeluı qu) declare, expe®
explique, exprime.
Enunciän , 9. 0. &nenoer : exprimar, didare'.
manifester.
Enunciin-8E, 9. r. 8’6moncer : Barprime: |
parler. |
+ Enuncsariva, s. f. proposilion dnonciaiitt-
+ Enunciatıvaußnte , ade. d’ano ment
6nenciative.
Enunauarivo, a, adj. duoneladif : qui 6nonT*.
qui fait mention de.
Entronceipo, A, P. pP. de
+ Entraoncuin, vo. ». se former em grosse
tige. Se dit du chou ä cötes.
Entaonzan, etc. V. Entronizsdr, etc.
EnTRronızacäd, s. [. " avenement, eievation au
tröne.
EntronızApo, A, p. p. de
Entnonızirn 08 EnTlinonizar, vo. &. placer,
mettre sur le tröne; ( ig.) elevor quelgqu’un, le
placer dans un poste 6minent. Introniser : pla-
cer un evdque sur son siege Episcopal , lorsyu’il
prend possession de son &glise.
+ Entnonquecipa, adj. f. (t. de böl.) cau-
lescente (plante) : qui forme uno tige s’dleranı
oomme un arbrisseau.
TROPECAR,
Kernornde, V. Tropeg...
+ Entaösa „s. f. rouc dent6e, pignon, arbre
cannele qui s’engrene avec une grande roue;
engrenage.
NTROsinO, A, pP. p. de
+ EnTRosäR, v. a. engrener : se dit des denis
de deux roues qui entrent l!’ane dans l’autre.
Entnosca , (pop.) V. Eniresa.
Enta’ouvivo, A, P.p. do
Enrr’ouVin, 9. @. ontr'oulr : our falbloment,
Exntaouxipo,A,n.p.de
Enraouxin, ®. a. empaqueter : meltre en
paquct. — 0 fafo, vlier bagage.
ENV
EuVARSCEn-SE. V. Esvaster-se ou Desvans-
eer-.
+ Envacınino, a, adj. (f.de bot.) vagins, en-
(oaginatus Iruncus), mis en galne (ige).
galnd
+ Envacmäutz , adj. 2 gen. (1. de bol.) engal-
»ant: (feuille) dont la base entoure la tige;
vsginant, en gaine.
Enväınan. V. Desvanscer (rendre vaniteux).
EnvaLLiDpo,a,p.2.de
+ ENVALLAR, 0. @. relrancher, entourer de
palissades, remparer, fortifier. 11 est aussi re-
eiproque.
Exnvasip0, A, 9.9. d’Envarar.
Envasapöaa,s. f."chantier de marine; char-
pente da obantier ; ber, bereeau pour ınettre un
Bavire ä flot.
Envasamtrto, 8. m. * base d’un piller, d’ane
eolonne.
Envasir, 9. 8. entonner : verser dans un
tonneau , valsseau, eto. Donner de la base (ä
un coin d’edifice, etc.). Evaser; embourber.
Mettre (un navire) sur !e ber ou berceat.
EnVasär-SR, %. r. s’embourder, se melire
ans la vase, dans le limen.
EunvasıLaipd, A,p.p. de
EnvasıLmÄr, 9. 6. enlonner : verser dans un
tenneau, valsseau, etc.
Envesa , etc. V. inoeja, eic.
Enveımacis0, A,Pp.p. de
Envsınackk, v. a. faire passer quelqu'un
pour fourbe.
ERVELNECER , vo. a. vieillir: rendre vieux; en-
vieillir. o. ». —, devenir vieux; s’user, devenir
ancien, vieux. (ig.) S’obliterer, s’eflacer
ENVELBECIDO, A,P. P. d’Envelhecer. adj. En-
vieitli : qui a vieilli (babitude, erreur, pechenr),
endurci. (Ag.) Accoutume, habitue, experi-
menu.
EnvsLuentir, 6te. V. Avelhoniar, etc.
EnvEncıLBÄDO, A, P.p. de
Esvencımir, v. a. lier, attacher. V. Rn-
vedar.
EN VENCILHÄR-SE, Od. r. s’engager. V. Enre-
der-se.
Envancıoni2o. V. Invencionado.
Euvenznip0, A, P. P. WEnvenenar.
+ENVENENADOR, A, 8. empoisonneur: celui
qui empoisonne ou qui a empoisonne.
+ EnvEnEnauBbnTo, 8. m. empoisonnement,
action d’empeisonner, ses elfets.
EnvenznÄn, v. 6. empoisonner : donner du
poison pour tuer ou alterer le tomperament.
(Aig.) —, envenimer : donner un tour malin,
dtfavorable, dangereux , odieux ä (des pa-
roles ), ostıtre l’intention de celui qui les a pro-
feröes.
EuvENnTaninO, A, P. p. de
Euvantrania, v. a. blouser : faire entrer (la
bille) dans ia blouse,
Esvantanän-sg, 0. r. se blouser : melire sa
bille dans la blouse.
Euvsapzcen, o.a. rendre vert, faire rever-
dir.o.». Verdir, reverdir, devenir vert. (fig.)
Reprendre ses forces, sa fralcheur,
ENV 519
Enverdecino, A, p. p. #’Enverdecer.
"ENVEREAMENTO, 5. m. V. Vereapäo.
"Envergir, ©. a. ou ®. exercer la charge
Fecherin. V- Vereador et Vereapäo.
NVERGÄDO, A, 9. p. d’Envergar. adj. V.
Vergado, Encurcado, ’ ger. adı
t Envercapöna, s. f. envergure : &tendue
des ailes deploy&es d’un oiseau.
EnvErcau£nto, 8. m. action d’enverguer;
envergure, maniere d’enverger. it. V. Knver-
gadura. * Courbure, &tat d’une chose courbee.
Envercir, v.a. (l. de mar.) enverguer : at-
tacher les voiles aux vergues. Couvrir avec des
verges. if. V. Vergar,
ENVERGONBÄDO, A , adj. honteux. p. p. de
ENVERCONHÄR, v. @. rendre honteux ‚confus,
faire rougir, humilier ; d&concerter.
ENVERGONHÄR-SE, ©. r. rougir, &tre honteux,
confus, d&concert# , avoir honte.
EnvErGuEs, 3. m. pl. (f. de mar.) pelites oor-
des qui attachent les voiles aux vergues : ra-
bans d’envergure, rabans de l&tidre.
ENVERMELHÄDO, A,9.p. de
ENVERMELHÄR, 9. a. faire rougir avec du fey
ou de la chaleur. Teindre en rouge. v. n. Rtre
en feu on tout rouge. V. Avermelhar-se, En-
rubecer.
ENVERMELHECHR,, ©. #. rougir: devenir rouge
de honte ; devenir rouge.
EnvERNIZÄDO, A, 9. 9. de
EnVvERNIZÄR,, ©. a. vernir, vernisser, (g.)
Colorer.
ENVERRUCÄDO, A, 9. p. de ,
EnverRrucäÄR, ©. a. rider; remplir de ver-
rues ; chiffonner.
ENVERRUCÄR-SE, v. r. 86 CouvFir de verruss ;
se rider ; devenir v&reux, parlant des fruils.
Enves. V. Envez.
EnvescApo,A,p.p. de
Envescia,v. a. — os olhos, loucher : avoir
la vue de travers.
EnvessäinauenteE, adv. A rebours,,Al’onvers;
ä contre-sens.
EnvEssipo, A, p. 9. de
EnvsEssir, vo. a. plier (des draps) & l’onvers,
Envsstiva. V. Investida.
Envestipo, A,p.p. d’Enveslir.it.V.Investido.
* + ENVESTIDÖIRO , 5. m. v&tement,
Envsstinöra, s. f. " vötement; habillement,
dt. V. Investidura.
ENVESTIR, 9. a. couvrir, vötir. V. Revesiir.
it. V. Investir.
Enväz, s. m. envers. V. Avesso.
* ENYEZAMENTO. V. Desvio, Transiorno.
* Envezir.V.Desvier, Transiornar. it. Em
viezar.
* Envıapkıro. V. Enviado, 8.
Enviino,A, P.p. d’Enviar. s.m. Envoye:
ministre döput6 par un prince, elc., vers Un
autre. Messager.
ENVIANENTO , s. m. envoı : action d’onroyer.
EnviÄn (se), 0. a. envoyor ; dep&cher & ow
vers; donner l’ordre d’aller; de&puter ; faire
porter; faire l’envoi, un enroi de... &; faire
N) ENY
reneltre, faıre passer. — alguem pars o ouiro
mundo, (loc. fam.) dep6öcher quelqu’un, le
tuer.
Enviär-s£ (a), %. r. assaillir, aliaquer, so
jeter sur.
Enviaröra, s. f. mission d’un envoy6 diplo-
matique,, lögalion.
Envioivo, A,P. 9. d’Envidar.
T Envınanor, s. m. celui qui ouvre le jeu,
qui fait un renvi.
Exvipär,v.@. faire un renvi; ouvrir le jeu
d’une certaine somme, engager & le tenir,
ponter, coucher. — de falso , ouvrir le jeu avoc
peu de points, pour tromper. (fg.) Offrir sans
envie de donner. — o resto, jouer le resie de
son argent, faire son reste. (Ag.) Jouer de son
veste , faire ses derniers eflorts.
TEnvmıLna, s. f. aclion d’Envidilkar. V. ce
mot.
EnvipıLniD0,A,p.p.de
+ Enviormia, v.a. (f. d’agric.) courber les
branches de vigne en formant des cercles.
Envinaacino, A, p. p. d’Envidragar, ei
adj. Olkos —s, des yeux vilres (d’un mori-
bond).
EnvinragÄa, ©. a. vitrer, garnir de vilres.
Envidragarem-se (v. r.) os olkos. On le dit des
yeux d’un moribond qui se cristallisent.
Envigzäname£nte, adv. de biais, de travers.
(ig.) Tortueusement.
Envızzipo.. a,adj. de bieis. p. p. de
Enviszin, v.6. faire biaiser, mettre de biais.
(Ag.) Donner une mauvaise direction ( ä une
affaire). Il est quelquefois neutre.
Enviuzcka, 0.6. avilir : rendre vil. V. Avil-
EnviLechr, 0.0.00 — se, v.r. s’avilir; tom-
der A vil prix.
EnviLgcino, A, p. pP. d’Envilecer.
ERVILECINENTO,, 8. m. avilissement.
Envinacaäno, A, p.p. d’Envinagrar, ol adj.
Olkos —s, (1. burl.) yeux Namboyanıs.
Envınacain, v. a. vinaigrer : mettre du vi-
naigre; algrir.
Envinacräa-SsE, o.r. (Ag.) ötre piquant dans
868 propos; se piquer, prendre la mouche,
EnvioLaa. V. Violar.
Envireripo, a, adj. furieux ‚ enrage. p.p.de
Envirgnän-sE, ©. r. (1. de pods.) devenir fu-
Fieux comme une vipere.
Enviscino, A, p. p.de
Enviscir,, v.a. engluer : enduire de glu ;
prendre au moyen de la glu.
Enviscän-Se, o.r. s’engluer : se prendre & la
elu, aux gluaux. ( ig.) Se laisser prendre.
Envistino. V. Vestido, Revestido.
Envite, s.m. (1. de jew) action d’ouvrir le
jeu. Renvi : ce que l’on met par-dessus la vade,
& certains jeux de cartes. D’ —, par def.
Enviovino, A, P.p. de
Enviovir, o.a. rendre veuf, ou veuve. (Rg.)
Priver (une ville des citoyens, une acad&mie de
ses membres, etc.). 0. ». Devenir veuf, vouve.
EuVivzinano, A, 2. p. d’Enviveirer
ENX
Eavıveman, v. s. meitre da ({retin dans un
vivier, garnir ou peupler un vivier.
EnvöLra, s.f. confusion, bruit; conoeurs,
affluence demonde; häte, empressement. D’—,
adv. pele-mele, en confusion. Fazer ums couss
na — d’oulra, faire une chose en meme temps
qu’une autre, ou deux choses & la fois. —s, pl.
cabales, trames, intrigues.
EnvöLTO, A, p.p.irr.d’Envolver. adj. Enve-
loppö; embarrasse , obscur ; mele. ( ig.) Dissi-
mule; entour6; baigne (de larmes); trouble,
parlant de !’eau. Pescar em aguas —as, pöcher
en eau trouble : proliter du desordre pour
faire sa main.
EnvoLTönıo, 8. m. * enveloppe, oouverlure;
paquet de linge, de hardes, etc.
EnvoLröna, s. f. ° enveloppement.
ENnvOLYEDOR, 3. m. enveloppe : tout C® qui
enveloppe. if. Intrigent, brouillon.
ENVOLVEDÖURO, 3. m. imaillot, langes, Cou-
ches d’enfant.
EnvoLv&n (em), ©. a. envelopper : melisse
quelque chose sous enveloppe, dans une enve-
loppe, cacher; deguiser; embarrasser; com-
prendre dans. (fig.) Eniouresr, environner.
Troubler ; obscureir ; entrainer. —em
em Irdvas alguma cousa , envelopper de len#-
bres , d’obscurit# quelque chose. — al. em
razöes,em lezitos, etc. (flg.) confondre , embar-
rasser quelqu’un.
ENVoLvER-SsE (em), o. r. s’envelopper. (Ag.)
Se couvrir, se prevaloir de. (id.) S’engager,
s’embarrasser dans une affaire; se meler, en
venir aux mains dans une bataille, dans une
dispute. Se brouilier, se oouvrir, parlant da
temps. Prendre part &, se meler de, se com-
prowettre.
EnvoLvino, A, p. p. d’Envolver. adj. Enve-
loppe; compromis ; engage, embarrasse.
t ENvoLVINEnTo, 8. m. enveloppement : ac-
tion d’envelopper.
ENXABIDAMENTE, ade. ir
EnxABı00, A, adj. } V. Insipid...
Enxasım£nto, s.m. V. Insipidez.
Enxäca, s. f. * panier de b6te de somme.
Enxacöco, s. m. et adj. baragouin : langage
corrompu ; baragouineur, qui baragouine.
Enxipa, &. f. boue, beche:: instraumeni de
fer pour remuer la lerre.
Enxapipa, 8. f.coup de houe, de beche. 4
primeirs —, (fig.) au premier essai ‚auprfe-
mier ellort, au premier coup.
Enxapäö, s. m. aug. d’Enzade, hoyau : sorie
de houe & deux fourchons.
Enxapata,s. f. Y. Masirugo ou Cordemins.
Enxapaßz. V. Xadrez.
Enzanaezino ‚a,adj.(6.de bias.) schiquete.
p. p. de
Enxapazzir, v.a. (1. de bias.) diviser P’4ay
en carr&s; ranger en &chiquier.
Enzxapria. V. Enzadria.
ENXADRIiSTA, 8. m. joueur d’öchees.
Euzäc0in0,4,2.p, d’Enxagoar,
ENX
Enzicoapörs, s. f. action derincer; ringure,
l'eauarec laquelle on a rinc£.
EnxicoÄr, v. a. rincer; aiguayer.
EnziaLcan, etc. V. Exalkar, eic.
EsxuLMÄDO, A,p.p.de
EntALMAR, vo. a. &galiser la charge d’une bete
de somme ; couvrireet serrer la charge, eic.
EnziLM£ırno, s. m.celui qui fait des enzal-
no.
BEsxiLmo, s. m. ° surcharge , surcroit de
charge pour rendre &gale la somme d’une bete;
ourerture que l’on met sur la charge d’une
bie de somme.
"+Ensawira,s. f. Por —, loc. adv. par
pure formalite , nonchalamment.
ExxawBrino, A, P9.p.de
EnsANBRAR, ©. a.secher A demi.
Enıiuz, s. m. essaim d’abeilles; toutes les
abeilles d’une ruche. (fg.) Multitude. — novo
debelhas, jet d’abeilles.
EnxaMEADO, A, 9. p. de
Enxauzin, ©. a. recueillir un essaim dans
une ruche, peupler les ruches d’essaiıms. (Ag.)
Inoader ( un pays) de troupes, etc.: peupler.
V. Inter. vo. ». Essaimer:: faire, oroduire un
«sim. (fg.) Sortir en essaim, en multitude.
Exxamıär-SE, v. r. se rassembler en essaim,
en multitude ; ötre inonde. V. Ingarse.
Enxaqutca, s. f. migraine : nevralgic, dou-
leur dans la moitie de la tete.
Enzaquetino. V. Enxequetado.
Enxina. V. Charndca.
Enxunavıa,s. f. ancienne coiffure de femme;
sorte de voile.
Enzincıa, 5. f. tous les agres ou oordages
dun navire.
Eszunaipo,A,p.p.de
Enzancıir, ©. a. agreer, greer (un vaisseau).
EnzancıäR-SE, ©. r. se pourvoir d’agres, de
cordages.
Enzunto. V. Xareo.
Enzunonpo. V. Insulso, Semsabor.
EnzaropiDo,A,p.Pp.de
Enxanorin, v. a. faire prendre un sirop &
m malade; faire boire.
EuxanopÄR-SE, dv. r. prendre un sirop.[com)
{Ag.) Boire beaucoup. V. Enfrascar-se.
Enzanops. V. Xarope.
RBnxanaöco, s. m. (8. hist. nal.) "haudroie:
esptce de lopbie ;raie owgrenouille pecheresse,
diabiede-mer, crapaud-pecheur. — bicudo do
Brazil, V. Quacacuja.
"+ Enziveca, 5. f. xabega, grand filetde
ptcheur,, tramail, etc. Assemblage de üllets
joints ensemble.
* Enzivecos ‚sa. m. pl. V. Enzavega.
Enxivo, s.m. poisson de la riviere deSofa.a.
Exxavid. V. Saidö.
*Enztone. V. Insulso, Insipido.
*Euxscia. V. Avezar, Punir.
*Enztco. V. Damno, Incommodo ; Pens,
Muleta, Coima.
* EnxECuGoM.
Ba | Velo
ENX
* Enzenakz. V. Xadrez.
* Enxernansa. V. Silharla.
* EnzEuPLaR. V. Exemplar.
* Enzzgugtan. V. Enzadrezar.
* Enztacı. V. Enxerga. it. Xarque.
*"Enxkacir,eic. V. Xarquear, etc.
Enx£aca, 5. f. paillasse qu’on met sur le bät;
521
petiie paillasse, paillasse de soldat. if. Coup
’eil.
+ ENXERGIDAMENTE, adv. clairement, di-
demment, Avue d’eil.
ENxERCIDO, A, p. p. d’Enzxergar.
Enxensiö, s. m. * paillasse : sac de tolle
rempli de pallle.
Enxeacir, dv. a. discerner, distinguer ; divi-
ser. Apercevoir, entrevoir, voir indistincte-
ment. Ndo — ao meio dia, ne voir goutls en
plein midi.
EnxERiDo, A,p2.r.de
Enxerir (em),t. a. inserer ; faire ontrer,
ajouter. Introduire; planter.
* Enxenqua. V. Xarque.
f EnxERQu8ıRO, A, 5. qui rend le tassao, la
tassaie.
Enxentantira,s. f. "greffoir: instrument de
jardinier pour grefler.
ENxERTADO, A, 9.9. d’Enzertar.
ENXERTADÖR, 5. m. celui qui ente; greffeur.
EnxERnTADURA, s. f. action d’enter, de gref-
fer, grefle.
Enxentär, v. a. enter, greffer : faire une
ente,, une greffe. (fig.) Introduire, inserer. — de
bor
bulha, ecussonner.
ENXERTAR-SE ıemi, v. r. (fig.) s’introduire,
s’ingerer (dans une classe & laquelle on n’ap-
partenail pas auparavant).
+ Enzertirıo, s. m. (4.de mar.) assemhlage
de cAbles pour soutenir lavergue contre le mät;
racage. Pör 0 — na verga, meltre le racage.
ExxErTia, 8. f. action d’enter, de grefler;
enture, grefle, verger d’arbres entes.
Enx£rto, s. m. "ente, greffe: petile branche,
ail d’arbre , ente ‚applique sur un aufre; plante
enlie, greffee. — de borbulha, dousson. —s do
crime , (fig.) ls adulterins. — da nova Igraja,
(id.) neophytes.
Enxıino, A, 9.7. de
+ Enxıir, v.a. (i.de mar.) attacher un cAble
a l’anneau de Vanere.
*EnxiDo, s. m. pelit enclos en vigne ou en
verger, petite ferme.
Enzısın. V. Enzerir, Inserir.
Enxö, s. f. (1. de charp.) doloire, erminetie :
outil de charpentier. — de lanueiro, alsselie.
+ Enxoipa, 5. f. (f. de veldr.) tumeur au-
dessus du sabot du cheval.
Enxopatıno. V. Enzurdeiro.
Enxorräno, A, p.p. de
Enxorkin, v. a. soufrer, ensoufrer.
EnxörnE, 5. m. soufre : corps simple, sorte
de mineral inlammable, jaune, electrique,
ı produit par la nature ow lire des pyrites sul-
fureuses. Möchas de— ‚ allumelies. Mina de,
soulriere,
522 ENX
ExxOrRtxTO, A, adj. sulfureux on soulr6.
Exxouarar. V. Enzambrar.
:xxonär.V. Arorar et Encalkar.
Enxözinua, s. f. dim. d’Enzo.
Enxötacigs, 3. m. chasse-chien : celul qui
chusso les cbiens de l’öglise; bedeau ; chasse-
coyuin.
Exnxöra-DıäBOSs, 8. m. exorciste lalc.
EnxUTADO, A, pP. p. d’Enxotar.
ENnXOTADOR, A, 5. qui chasse, qui met dubors.
ENXOTADÜRA , 8. f. action de chasser, de mei-
ıro dehors.
Enxoräa, v. @. chasser, meltre dehurs par
force; faire fuir, mettre en fuile.
Enxöva,,s. f. anchois : petit poisson de mer
sans 6cailles, du genre Ju clupe. is. (an8.) V.
Enzövia, .
EnxoväL, 6. m. trousseau : nippes et hardes
qu’on donne & une fille en l’etablissant, & un
jeunehomme en le mettant au college." Layette
(de nouveau-ne).
EnxOVALBÄDO, A,P. 9. de
EnxovaLnär, %. 6. souiller, salir, tacher;
froisser; ternir le lustre, l’eclat; chiffonner.
(Ag.) Insulter, bafouer ; injurier; decrier, ter-
nir la r&putatıon, denigrer.
ENnxXOVALBÄRM-SB, dv. r. 50 salir, s’avilir, 8’a-
baisser ; (Ag.) s’encanailler ; se d6orediter, faire
ort ä sa r&pulation.
EnxOvÄLBO, 8. m. manque de proprete. (Ag.)
Affrout; mepris, injure.
* Enxovia. V. Encerrar, Prender.
°Enzxovkoo. V. Tolo.
Enxövia, s. f. "cachot, cul de basse-fosse.
dt. Village de Maures.
+ Enxovio, a, adj. Mouros —s, Maures de
la province de Xawia pres de Salö; is. Maures
qui avalent 616 on Espagne et en consorvaiens
enoore certaines habiludes, etc.
EuxuciD0, A,p. p. d’Enzugar.
} Enxucap6uno, #. m. essui s place, local
pour dtendre ei faire secher.
Enzucin, ©. @. secher, Fendre see, sans
bumidits. Essuyer : öter l’eau, la sueur, les
\armes, etc., en froltant.— ums gorrafa , vider
ano bouteille. — as lagrimas, (fig.) essuyor los
larmes , consoler.—as vaocas , eic., (ant.) traire
iss vaches, etc. V. Ordenhar.
Enxucin, e.n. et —se, u. r. söcher, devenir
800 , perdre l’humidite.
+ Exzöco, s. m. l’action et l’elfet de scher,
d’essuyer.
Enztıza, 6. f. graisse des olseaux apres la
mus.
Enxönpia, s. f. graisso de poule; azonge.
Enxunpi0o0,&A,9.p. de
Enxunpin-sg, v. r. se vautrer dans la boue.
Enxunptıno ‚s. m. bourbier, mare od se vau-
trent les cochons.
Euxunnäpa, s. f. lavasse; ravine, torrent,
souberme, ruisseau forms par la pluie. (Ag.)
Grande abondance. — de genie, foule, presse,
Enxuanino,A,p.p. do
t Enxunnän, v. a. et n.coulcr en ravine,
EPA
dtborder; entrainer dans le torrent. (Ag.)iaen-
er
Enxönno,s. m. V. Enzurrdda , Chorro.
Enxöto, A, p.p. irr. d’Enzugar. adj. See;
essuyd. Qui ne pleure pas, insensible. Anno—,
anneo peu pluvieuse, söche. Com ou @ olkos
—s, d'un ail seo. Care —s, viande qui n'est
pas grasse ni tout & [sit maigre. Corpo-—— , per-
sonne maigre; qui n’a point de blessures ni
de maladies cutandes. Homem —, (fig.) homme
taciturne, avare de paroles; brusque. —ds
carnes, maigre, dossech6. Bolss —a, poche vide.
Ficdr mdilo —, (fig.) il se dit d’une nn®
qui ayant fait une action blämable, ne raugit
pas, n’en a pointdehonte , et paie d’effronterie.
Aped—,üpied sec, (fig.) sans peine ni travail.
EnzaLcautnto. V. Exallardo, Exalgamenk.
EnzanpanıninO, A,Pp.p. de
TENzAmPARINÄR-sE, ©. r. (tl. burl.) devenir
fou de Zamperini ; s’enthousiasmer de ow pour
Zamperini. Cetait uno cantatrice Ätalienne,
qui est devenue cölebre & Lisbonne vers l’ar-
nee 1774.
® Enzkua,
” Enzena,
* Enzenıa,
Enziuna.
EnzinHaL. V, Asink...
Enzinneina.
* Enzör, ete. V. Anzol, etc.
EöLıco ow EoLıo, A, adj. &olien, soligue:
dialecie grec,, ei l’un des cing modes de la me-
sique grecque. D’Eole, dieu des vents.
+ Eouivia, s. f. (1. d’hist. nat.) solide : mel-
Iusyue gasteropode.
EoLirvıa, s. [. (1. de phys.) dolipyle : instru-
ment de physique forme d’une boule creuse, &
&troite ouverture, remplie d’eau et suspendse
sur un petit chariot au-dessus d’une lampe &
esprit-de-vin. La lampe etant allume&e, le li-
4juide lance par l’orifice un courans de vapeur,
et le chariot recule en vertu de la resistance de
Pair. Machine pour chasser la fumee par un
courant d’air.
Eo1o,s. m. (t. de pods. ei de myik.) Eole:
dieu des ven. -
+ EoLos ow EöLıos, s. m. pl. Eoliens: peo-
ples d’Eolie ou des Iles Eoliennes.
+ Eöwos ow Eonitas, s. m. pl. 6oniles ow
&oniens: sectaires qui preiendaient que leur
chef Eon (gentilhomme breton) devait juger les
vivants et les morts.
E00, a,adj. (8. de pods:) oriental, d’Orient,
du Levant.
+ Eöo, s. m. (f. de poes.) * aurore : point ow
pointe du jour. (i. de myth.) Eos, g&aut lils de
Typbon ; !’Orient. (id.) Eos, cheval du soleil.
PÄCTA, 8. m. €pacle: supplement de jours
ajoutes & l’annee lunaire pour l’egaler & l’annde
solaire et connaltre l’äge de la lune.
Eracömenos, s. m. pl.ou—as, f. gpagome-
nes: oinq Jours aJoutes & l’annde de Nabonas-
sar, en Egypte, pour le poriter & 365 jours.
Eranastpuösis, s. f. Öpansdiplose ; Bgure de
s. f. inimitis, haine mortelle.
EPH
rheterique , räpstilion anti-parallöio du name
moten iöte et ä la fin du vers.
Branärona. V. Epanaphore.
EranuaLgrsis,s. f. &panalepse :: figure de rhö-
terique, repetilion de mots; repetitlion apres
une longue parenthöse. V. Bpanadiplosis.
Eranirnora, s. f. &panaphore : figure de
rhötorique. V. Andphora. Relation, narralion,
recil de voyage, de ce que }’on a vu, entenda
d’un fait, eto.
} Eranästanopee, s. f. öpanastrophe : r&peti-
tion de mois, de phrases d#dj& exprimdes pour
mieux faire oonnaltre la Sentenee; re&petition
du mesas mot & la fin d’un vers et au commen-
sement d’un aulre.
+ Erasönruosıs, s. f. &panorihose : figure de
rbeterique , rötractation feinte pour augmenter
Pespression , la force, etc.
Brirıca. V. Hepdiiea.
Erıröuno. V. Bupatorio.
Erkutmesıs, s. f. \t.de gram.) &penthöse: in-
sertion d’une lettre dans un mot.
+ErerLino, s.m. (1. d’hist. nat.) eperlan:
pelit poisson de mer, Ju genre du salmone,
blanc comme la perle.
Eruz20, s. m. ephöbe : jeune homme pubäre
de quatorze ans.
ErusLioss, s. m. pl. (t.de med.) &phelides:
taches larges, rudes et noirälres sur la peau,
par le häle, P’inflammation.
+ Eruguzaas, s. f. pl. (t. d’hist. nal.) &phe-
meres : insectes ailes ne vivant que peu de
temps.
Ernsußrıkd. V. Ephemero.
Erncugßriva, s, f. V. Diario, Ephemerides.
Erueusnınes,s. f. pl. &phemerides : journal,
memoire journslier; ouvrage Conlenant jour
par jour une serie de lails. — astronomicas,
tabies astronomirjues qui delerminent chaque
jour le lieu des plane&tes. — naulicas , &pheıne-
tides maritimes, & l’usage des navigateurs.
+ Ernzuszrina, s. f. (l. de bot.) ephemerine:
plante comenelinee, ephemere de Virginie.
Erußuero, A, adj. &phemere- qui ne dure
qu’un jour; (Ag.) de peu de duree. Animaes
—s. V. Ephdmeras. s. m. Iris sauvage, plante.
— odichico , colchique : tue-chien,, plante.
Erutsıos, s. m. pl. Ephesiens : habilants
@Ephöse. Responder, falar aos —, (loc. fam.)
repondre, parler inconsiderement, hors de
propos.
+ Eruzso, s. m. (1. de geogr.) Ephöse : ville
de l’Asie-Mineure.
Erntsrria, s. f. ephestrie : habit militaire
des Grecs. .
Eru£tos, s. m. (1. d’ant.) sphöätes : juges eri-
mincls ä Athenes.
+ Erui, s. m. &phi : mesure hebraique pour
les grains.
ErsıkLTa,s.f.* öpbialtes: oauchemar, asthme
nocturne,.
Erniugao, eto. V. Ephemero, eic,
Eruön, 4. m. 6phod ; ceinture des prötres
hebreux.
Ep 523
Kruonos, s. ı. pl.(t.d’ant.) &pbores: juges,
& Sparte, qui contenaient l’aulorite royale.
Eriala,s. f. (4.de med.) fidvra epiale, con-
tinue, avec chaleur et [risson.
Epian ou Pıan, 8. m. epian ou pian : espäce
de mal venerien en Amerique, peu darige-
reux.
+ ErıcAM&nTE, adv. d’une manidre &pique,
en forme d’epopee.
Erıcäario, s. m. (f. de med.) &picarpe: cal
plasme autour du poignet, sur le pouls.
Ericea, s. f. V. Pinheiro alcar.
Erice£vio, s. m. (f. d’ant. grecg.) epickde,
epicedie, &picedion : oraison funebre qui se
pronongait sur le cadavre m&me,
Erıckno, A, adj. (8. de gram.) &picene : nom
commun aux deux sexes.
t Ericerärico ‚adj. et s. m. (1. de med.) &pi-
ceratigue : qui adoucit l’acrimonie des hu-
meurs.
Ericatıa, s. f. modification, liniitation,
&quits dans l’interpretation d’une loi ; &piquie,
interpretation de la volonte du superieur.
ErPicHERgMA, 5. m. (4. de log.) &epicheräme :
syllogisme oü chaque premisse a sa preuve.
Erıcsästico, A, adj. (. de med.) epicmasti-
que : (fdvre ) qui augmente progressive-
ment,
Erıco, A,adj. &pique : (po&te, qui raconte
un fait historique , heroique ; (po&me) qui ra-
conte une action vastc et importante, embellie
d’episodes, de fictions, de merveilles; de 1’&-
popee.
+ Erıcömsos, s.m. pl. (1. d’ant.) &picombes:
pieces d’or et d’argent cach&es dans des bou-
queis que des senateurs grecs jelaient au peu-
ple, & Constantinople; ces bouquels.
EPICRÄNEO , 8. m. epicrane:: ce qui environne
le cräne.
+ Erıcrisıs, s. f. (t. de med.) epicrase : am&-
lioration des humeurs.
+ Ericnisıs, s. f. (l. de med.) Epicrise : juge-
ment porte par la science medicale. _
Ericür£o, A, adj. Epicurien : appartenant
aux seclaleurs, ä la doctrine d’Epicure. s.m.—,
seclateur d’Epicure; homme voluptueux, adon-
ne aux plaisirs des sens, surtout.de la table el
de l’amour.
Ericuriswo, s. m. &picurisme : syst&äme, mo-
rale, ma&urs, doctrine d’Epicure ow attribuds 4
picure; vie voluptueuse. .
Ericurista, 8. m. Epicurien : seclateur d’E-
picure.
Erıcy’cLo, s.m. (1. d’astr.) &picycle : petit
cercle dans lequel on suppose que le soleil &&
les plandtes se meuvent.
ErıicrcLöine, 8. f. (t. de gdom.) Epieyclolde ;
ligne courbe formee par la revolution d’un
point d’un cercle qui tourne sur lui-meme,
tandis que son centre parcourt un autre cercle,
+ Eriväurio, A, adj. d’Epidaure. Festas — as,
6pidaurees_ : fetes atheniennes en l’honneur
du dieu d’Epidaure, d’Esculape.
Erıveuia,, 5. f. epidemie : maladie conla-
ao
524 EPI
gieuse, generale, populaire, venant d’unecause
commune et accidentelle.
+Rrimäuss, 8. f. pl. ( 1. d’ant. greeg.) öpi-
demies : [tes pour le retour d’un ami.
Erinp£uico, A, adj. epidemique : qui tient
de l’e&pidsmie.
Erıpauıo, s. m. (1.debof.) &pidemium : plante
rafraichissante des montagnes d’Italie.
EriDEnua, (1. d’hist. nat. et bob.)
ErPInEnuE 0u | €piderme : premiere peau
Erıpeanıs, s. f. ) etla plus mince de l’ani-
mal ; surpeau, cuticule ; peau mince (des plan-
tes, des coquilles, otc.).
Erivicrico, a, adj. Genero —, (I. de rhöt.).
V. Demonstrativo.
Erıpivoymo, s. m. (. d’anal.) epididyme:
&minence vermiforme autour des testicules;
pelit corps rond couch& sur chacun d’eux.
Erıranta. ;
Erıronßua. } V. Epiph...
+ Erıcauia, 8. f. (1. d’ant. grecg.) &pigamie:
facult& de contracter des mariages entre deux
villes grecques.
Erıcistaico, A, adj. (1.d’anat.) epigastrique,
(region) de l’Epigastre.
ErICÄSTRO ou —TRIO, 8. m. (f. d’anal.) Epi-
gastre : partie sup#rieure du bas-ventre.
+ Ericenzsia ow | epigenesie: systöme sur
Erıczuäsıs. s. f. 1 la formation des corps
par juzta-position ou agregation des mole-
eules ; systömed’embryologie oppose ä celui de
la preexistence des organes. (i.de med.) —,
syınptöme aprös un autre.
+ Ericanssista, s. m. parlisan du systöme
de l’epigenesie.
+ Ericınömenos, 5. m. pl. (ti. de med.) &pigi-
nomenes : sympiömes accidentels.
EricLOTTE, s. f. (1. d’anat.) epiglotte :luette,
Janguette, petit cartilage elastique, en feuille
de lierre, qui couvre et ferme la glotte.
EricLöTTico , A, adj. epiglottique : qui a rap-
port & l’&piglotte.
Ericaarz. V. Kpigraphe.
Erıcräuma, 5. m. * epigramme : petite piece
de vers terminde par une pointe,, une pensee
saillante ; trait piquant, mordant, critique ;
don mot rime.
EricramNäATico, A, adj. 6pigrammatique :
qui tient de l’öpigramme (style, trait, pensse,
fournure). Podia —, dpigrammatiste.
EPIGRAMNMATISTA, 5. m. epigrammatiste : qui
fait des &pigrammes.
Erıcaaunista. V, Epigrammalista.
ErickaPBE, 8. f. pigraphe : inscription d’un
&difice, qui en indique l’usage,, avec le temps
de sa construction ; sentence,, devise & la t£te
d’un livre.
ErıLatöaıo. V. Depilatorio.
Erıcr'nia. V. Gynandria.
ErıLzesia , 3. f. (1. de möd.) epilepsie : mal
eaduc , haut mal; attaque de nerfs.
ErıLßerico, a, adj. epileptique : de l’epi-
lepsie. s. m. ou Doenie —, epilepligue; qui a
Pepilepsie; qui tombe da haut mal.
ErıLocino, A, 9. p. d’Epiloger.
ErıLOoADOR , s. m. auteur d’*pilogues,
EriLocir ‚,v. a. r&sumer, r6capituler, ceR-
celure.
EriL0co, s. m. #pilogue : fin, conclasion
d’un discours, d’an ouvrage, d’un po&me. (Ag.)
Sommaire, abreg6 , precis.
+ Erimaco, s. m. (4. d’hist. nat.) Kpimague;
bei oiseau des Indes.
f Erımania, s. f. &pimanie : folie fariouse.
r Erıntmus, s. f. pl. (6. damt. grocg.) tpi-
menies : sacrifices que les Ath6niens f[aissien
aux dieux & chaque nouvelle lune.
+Erinona, s. f. figure de rhetorique gi
consiste dans la r&petition &nergique d’un mei
o% d’une phrase.
+ Erinicıas, s. f. pl. (8. d’enf.) &pinide:
fötes en actions de gräces d’une victoire.
Erinicıo, #. m. &pinicion : hymne de trom-
phe, aux €pinicies, ä Atbenes.
zripacre ow Erıractzs, s. f. V. Hellsberi-
nha.
Erirgraon. V. Empelro.
Erıpnania, s. f. &piphanie : fete des catboli-
ques, en romme&moration de la manifestatien
de J.-C. aux gentils, ow les rois, jour de leur
adoration.
Erırgontma,s. m. (8. de rhet.) &pipbondme:
exclamation sentencieuse apres un reeit.
Eripnora, a. f. (1. de med.) &piphore : Baı
continuel de larmes avec rougeur et picole-
ment.
+ Erirmysıs, s. f. (t. d’anat.) $piphyse :
&minence cartilagineuse adherente & Fo.
ErıpLöico, 4, adj. epiploique : de T'epiploon.
ErırLoon, 8. m. ( 8. d’anat.) epiploon : mem-
brane graisseuse, fine, transparente, flottante,
qui couvre les intestins par devant.
Erıqußta. V. Epicheia.
+Erımo, s. m. (1. de geog.) Epire : province
de la Turquie europesenne. ,
Erınörta, s. 2 gen. d’Epire, habitant d’Epire.
Erırötıco, A, adj. d’Epire, qui appartient d
/’Epire.
Erıscorino, s. m. #pisoopat: dignile de le-
veque ; sa duree ; le corps des &v&ques.
EriscoriL, adj. 2 gen. &piscopal : qui appar-
tient & l’dveque.
+ Erıscorizs, s. m. pl. &piscopauzx : paru-
sans de l’&piscopat, opposes aux presbyleriens
en Angleterre.
+ EriscoroLöcı0o, 8. m. catalogue, suite des
6v&ques d’une &glise.
Erısovıino, A,p. P. d’Episodiear.
+ Erısonıanon, s. m. celui qui &pisodie.
Erisopian, v. @. &pisodier : dtendre par dc?
&pisodes; orner d’6pisodes; inserer en epr
sodes.
Erısönico, A, adj. episodique : de l’episode ;
accessoire.
Erısünıo, s. m. pisode : partie d’an potme:
action, bistoire incidente & l’action prineipale
dans un podme, une piece de thedire, un 1O-
man, eilt,
EPI
Erispistico, A, adj. (1. de mdd.)
tique : medicament, topique qui atlire les hu-
meurs. '
tErrspuznia, s. f. (t. d’anat.) &pispherie ;
sinuosites de la substance exterieure du cer-
veau.
t Erisrasıs, s. f. (1. de med.) epistase ow
&pilase : subslance qui surnage sur l’urine.
tErwräxıs, s. f. (1. de med.) epistaxis ow
epistaxds : hesnorrhagie nasale.
t Erwremonäkch, 5. m. € istemonarque :
prepose A la doctrine, dans l’Eglise grecque.
ErivroLa , 8. f. epltre : lettre missive des an-
eiens;missive; discours en vers adresse ä quel-
qu'en;pertie des &pltres de saint Paul; legon
qu’on lit ou qu’on chante A la messe avant
HErangile. Clerigo de — , sous -diacre. Ordem
d-, ordre du sous-diaconat. Ordenar-se de
—,ttre ordonne sous-diacre, recevoir le sous
disconat. — dedicatoria , dedicace d’un livre.
Bristo.än ‚adj. 2 gen. Epistolaire : de l’öpt-
tre, des leitres (style, genre).
Eristo.änıo, 8. m. recueil d’epitres, de let-
es. Livre conienant les öpiires qu’on chante
vu qu’on Nil a l’eglise.
Erıston.tıno, 5. m. lirre contenant les 6pt-
tes qu’om chante ou qu’on lit ä l’eglise. Episto-
ker : elero qui chante les &pilres.
t ErisroLöcaarao, #. m. (p. us.) &pistolo-
graphe : auteur d’&pitres,
tErisrnorme, s. f. &pistrophe : figure de
dieion, repetition, complexion. (1. d’anat.)
—, deuxidıne vertöbre du cou ; rechute.
Eristr’uo, 8. m. (1. d’arch.) &pistyle : archi-
wave,
Errripnıo, 8. m. &pitaphe : inscription d’un
lombeau.
Errrass, 5. f.(t. de rhöt.) $pitase : ce qui
suit lerpesition d’un poöme dramatique, et
contient les incidents qui font le naud. (1. de
-)—, eommencement du paroxysme.
Erivaro. V. Epitheto,
ErıtaaLimıco, A, adj. de !’&pithalame.
ErrnaLimio, s. m. &pithalame: po&me & l’oc-
asion d’un mariage; &loge des maries ; chant
Buptial,
Erıtntwa,s.m.(t.de med.) &pitheme : topi-
gue spiritueux que l’on place sur l’estomac, la
region du cur, du foie.
t Erıratrıico, a, adj. epitbetique : plein,
surcharge d’epithötes (siyle).
Eritueto, &. m. * epithete : terme adjectif,
som quı qualiie le substantif, qui designe une
quslile.
Erıruma. V. Epithema.
TRmtnyna,s.f.ow ı (1. de bot.) epithym
Entarmo, s. m. | ow &pilhymon : cus-
eule qui se nourrit sur le thym.
Enrıua. V. Epithöma. (fig.) V. Conforto.
+ Eriroca, s. f. (4. d’ant.) epitoge : tea
romain sarla ler “ni eplioge ; manlean
Eerrowino, 4, p. p. de
OMÄR,®. 6. fairo un precis, abröger, rö-
Sunner, reduire, P ‚ahrger,
EQU 595
Eritome, 2. m. &pitome, preois , abrögs.
t Eeıraito, s. m. epitrite : pied de vers greo
ou latin de trois longues et une brove.
t Erıtnocismo, s. m. &pitrochasıne ; figure
de rhetorique, exposition , &nonciation rapide;
question pre&cipilee pour dmouvoir.
tTEritnorg,, s. f. epitrope : figure de rheto-
Fique, consentement & dessein, concession de
ce que !’on pourrait nier, pour obtenir.
t EriTaoPo , s. m. &pitrope : Juge arbitre des
Grecs chröliens.
Erıtr'uana,s. f. Deur de sarriette.
t Erızooria, s. f. &pizootie : contagion sur
les animaux.
t Erızoötico, a, adj. 6pizootique : de l’öpi-
zootie.
Eroca 0% —CHA, 8. f. epoque, date: point
fixe de l’histoire,
EPöno, 5. m. * maxime. V. Apddo.
EPon0, 8. m. (t. de pods.) &pode; troisisme
ei dernidre partie d’un chant divis6 en strophe:
anlistrophe et epode.
Epop&a ou Erorkıa , s. f. &pop6e: genre, ca-
raci£re du podme &pique; recit postiqgue, en
vers, d’une action vraisemblable et herolque;
po&me &pique.
t EröPra, s. m. (4. d’anf.) &popte : aspirant
pret A l’initiation des mysteres.
t Erörricos, s.m.pl. (1. d’ant.) &peptiques,
grands mystöres revelds aux inities.
t Eroprisuo, s. m. (1. d’ant.) &poptisme s
le plus haut degr& de l’initiation.
EPOSTRACISMO, 5. m. €&postracisme: jeu de
ricochet avec des coquilles. .
t Erracöano ow Hzrrachnno,s.m. (1.dant.)
eptacorde ow heptacorde: Iyre & sept cordes
systöme demusiquegrecque forme&de septtons.
Erricono os Hapräcono,, s. m. (f. de geom.)
eptagone ou heptagone : figure ä Sept angles et
sept cötes; place A sept bastions.
tErräpuono ou HertTärnono, s.m. (1. de
pAhys.) eptaphone ou heptaphone : 6cho qui r&-
pete sept fois le bruit. -
Ertuiva, s.f. (1. de med.) &pulide ow &pulie;
tubercule,, excfoissance aux gencives.
t EruLöns, s. m. pl. (t.d’ant.) spulons:
prötres romains presidents des festins reli-
ieux.
8 EruLöTico, a, adj. et s.m. (8. de med.) epu-
lotique:: (mödicament —), topique qui oicatrise
les plaies.
EorasıLmänz, 8. f. 6galits, uniformits.
Equacid,s. f. (1. d’astr.) squation : diffs-
rence jour par jour de la pendulo et de l’heure
solaire. —, maniere de r&duire A un mioyen
terme les mouvements inegaux. (f. dalg.)—,
formule qui indique l’egaliit de valeur des
quantitss algöbriques diff&remment exprimeses.
— do tempo, $quation du temps ; diffsrence
entre le temps vrai et le temps moyen.
Equanor, s.m. (8. de cosm.) equateur : un
des grands cercies de la sphere, perpendiou-
Fu ATazo,ot qui la divisa en deux parties
ales.
526 EQU
Eavanımino, A,p. p. d’Equanimar.
+ Zovantmän,v.a. inspirer de l’equanimitd;
tranquilliser.
+Euvinıme ‚adj.2gen. quia de P&quanimite.
Equanısipipe, 8. f. &quanimite : droilure,
impartialit6; &galitö d’Ame, d’esprit.
EgquutorsiaL, s. m. (6. d’asir.) &quatorial :
instrument pour suivrelesmouvements diurnes
des astres.
r Equivar, adj. 2 gen. (f. demath.) dgal:
uniforıne, parlant du mouvement.
+Eoux, s. f. plante aqustique, ressemble ä la
bette , mais ses feuilles sont veloutees.
Equsstre , adj.2 gen. &quesire ; (ordre —)
des chevaliers romains; noblesse polonaise de
deuxieme rang; (statue —), d’un homme &
eheval.
t Eqaußerazs, s. f. pl. (t. d’Mst. nat.) guer-
riers : espece de papillons.
Eousvo, A, dj. du möme Age.
EquiÄncuLo, A, adj. (8. de geom.) &quiungle:
(figure) qui a tous ses angles &gaux A ceux
&une autre.
Eovıpäog, 3. f. dquit6 : drolture, Justice;
Justice temperte, adoucie ; vera qui nous
porte & rendre & chacun ce qui lui appartient,
Moderation de prix, bon marche; rabais de
prix fait ä un acheteur. Homem de grande —,
komme droit, intögre, d’une probild & toute
&preuve.
t Eovfoıco, a, adj. &quidique : (vers) de
membres &gaux dont le sens contraste.
+ Eovinisräncıa, 8. f. distance &gale.
EQUIDISTÄNTE , adj. 2 gen. &quidistant : dga-
loment sloignd ’un de l’autre (parties —es).
9. 0.de
+ Eooımisrän, o.n. (1. de gdom.) &tre &qui-
distant, egalement eloigne t’un de Y’autre.
EaqviLAareraL, adj. 2 gen. (#. de gedom.)
EquiLiteno, a, ady. equilateral : &
edt#s dgaux (triangle). Equilatere: (figure) &
od4ds &gaux A ceuz d’une autre.
Eguiipnacä0, 5. f. action de meitre en &qui-
Bbre , &quiponderance,.
EotıLısaäso, a, p.p. de
Eomrmair, o.a. öqutlibrer:mettre en &qui-
ihre ; oontre-balancer. ( ig.) Contre-balancer,
jampenser, ögaler.
Eouisrio, e.m. &gallibre : ötat des choses
pesdes en halanco, ei d’an poids &gal; dqui-
ponderance. ( fig.) —, 6galits de forces, de
poids, @’importance, etc.
T Equsussaisra , s. m. colui qui se maintient
en 6quilibre sur une corde.
BeuuonrieLsce, adj. 2 gen. (1.@arith.) &qui-
zanltiple : (nomıbres—s) qui contiennent leurs
seus-muitiples u 1. nombre de lois.
Equino, a, ad. (1. .) de cheval, qui
one lo oheval. pol.) a
UINOCCLAL 08 —ZIAL, adj. 2 gen. (1.d’asir.)
“quinezial : de P’6quinoxe. Lina —, ou a—
(#. f.) l’equinozial, l’&yuateur. Relogio —, ca-
dren &qwinoxiei, a plan paraliöie a Pequalenr.
Ponios —aes, points dquinoziaux. Flur —, (8.
EQU
de bot.) fleur &quinoxiale, qui reste autant de
temps ouverte que fermee, qui sionrre ei se
ferme ätemps fixes. O—, s.m. (ant.)V’equinore.
Eouinöccıo 08 —XIO , 8. m. &quinoze: temps
ob les jours sont &gaux aux nuils. (f. dasfr.)
Point oü l’Ecliptique coupe ’&quateur.
Eovinöncıo, a. V. Hqwinoecial,
Egviricen, s. f.* quipage : suite de valeıs,
ehevaux, carrosses, elc., en voyage. V. Bswi-
pagdö, Tripulagds.
Equirir,etc. V. Esquiper, elc.
Equirarin0,A,p. pP. de
Eqtiranäk, v. a. comparer, mettre en paral-
lele.
EQuipenneucta, 8. f. Squiponderance, dgar
Nibre.
Egmrortncıa, s. f. (1. de log.) öquipolleuce:
#*galite de valeur (des propositions).
EQuiroLente, adj. 2 gen. &quipollent: ge
vaut aulant que; 6galen valeur &.
Boumonperincıs „ s. „f. equiponderantt:
ögalil& de pesanteur, de tendance des ca
vers un centre commun. .
+ Eqvıronpenänte, adj. 2 gen. öyqaipondt-
rant : de meme poids. 9.0. de
+ Egtironnerän, o. 9. etre equipondirasl,
de meme poids; peser ögalement.
Equısgto ow Eauıstri. V.Cavallinbeiplanke .
Eqrissımo, A, adj. sup. tr&s-juste , irds-droil
Equıtaciö, s. f. &quitation : art de menter 3
cheval. ,
+ Eouıratıvo, A, adj. equitable : qui a de
Pequits, juste.
EotıvaLencıa, 5. f. &quivalence : dgaliih de
valeur; valeur egale. .
EgtivaLtxte, adj. 2 gen. equivalent:quies!
de meme prix, de m&me valeur, (chose) 9:'
€quivaut. llest aussi substantil.
EQUIVALENTEMENTE, ade. equivalemmei'
d’une manidre &quivalente ; au möme pri.
EovivaLea (0), 0. R. &quivaloir (A) : dire de
m£me prix ow valeur.
Equivociacäö, s. f. " malentendu : equiroget,
erreur, quiproquo qui fait prendre une che
pour une aulre.
f Eouivocinanu&nte, ade. par esrear, P'
meprise, faussement.
Eoquivocino, A, p.P. d’Eqwivocer.
EQUIVOCAMENTE, adv. d’une maniere Et‘
voque.
Equivocir (com), v. a. se meprendre : PER
dre une chose pour une autre.
EQquivocin-se (com, em), u. r. so möpten-
dre : prendre une chose pour une aulse. %*
deguiser en. — uma cousa com oufre, Be ler
sembler extrömement.
Eotivoco, A, adj. dquivoque:& double se#s,
ädouble eniente ‚qui peut s’inte: preter de den!
maniöres differentes; | parole, action, ver!d,
‚signe de maladie —s) sur leosquels om peu!
porter des jugements oppose&s.
Euvivoco, s. m. &quivoque : mot, express
& double sens; quolibei; calembour; jeu
mols,
ERG
Borıze, V. Eguulso.
Eoröazo, A, adj. (1. de pods.) de la mer.
-t campos, la plaine liquide, la mer.
Eoviuzo, s. m. chevalet, instrument de
supplice. (fig.) ‘Gene, tourment, peine, cha-
nn, adv. aussi. V. Tambem.
Eu, s. f. (1. de chron.) &re : point Axe d’o&
fon compte los anndes; ces anndes. Epoque.
- ulgar, öre ohrötienne. Ja ndo ler —, eu
kr-ı passado a — a alguma cousa, (fg.) 6ire
iwis-rieux, trop aneien. Dia e — us supra,
(1.de netaire) les jour et an que dessus.
Er.
na, ; Be
*Erısi, powr Hona wi.
Eaıncı , ete. V. Heranga, ele.
Erinıo , s. m. Ir6sor royal, public; iso ; tr&-
sorerie. (Ag.) Tresor, grande abondance.
tErito, s. f. (1. de myth.) Brato : muse qui
preside & la po6sie Iyrique.
*Erıztoe, s. f. V. Horanpm.
ErziB0. V. Arrabil.
ErBoLARIO, etc. V. Her... etc.
Erpıne, eic. en
Errao, s. m. (1. de myiA.) Kröbe : leuve de
Fenfer des pafens ; !’enfer.
ö,s. f. 6rection : Institution, &tablis-
sement ; action d’&lever, d’6riger, de consacrer;
action des parties mosculaires qui durcissent
et se dressent, son effet.
ErtcTo, A, p.p. irr.d’Erigir. adf. Erige,
tlev&, fonds. ( ig.) Elevs, non abattu.
Rascrön, s.m. celuiqui institue, qui &tablit,
gei €rige, fondateur. (4. d’anas.) Erecteur,
(muscle) qui elere.
*En£ce. V. Herrge.
*Enzcea. V. Erigir.
* Erecia. V. Heresia.
Erzcın. V. Erguer, Erigir.
*Er£ıra, s. f. tromperie de Iutteur.
Exemita, s.m. ermite : soliteire qui vit dans
an desert. is. V. Ermida.
Eremiränıo, —ERıo 08 —6RI0, .m. endroif
ohil ya un ou plusieurs ermites; ermitage.
Esenmitico, A, adj. er&mitique : (vie, sejour)
qui tient du solitaire.
* Ea£o ow Hunko. V. Herdeiro.
Erxo, a, adj. (t. de pods.) de cuivre, de
bronse , d’airain.
* Erzs pour Es, seconde personne du pres.
indic. du verbe Ser.
Erernisuo, 8. m. (1. de mid.) #röthisme:
iension vielente des fibres.
EzcisTuLo, 8. m. * orgastule: eachot, prison
pour les esclaves.
‚conj. lat. donc,par consequent, (anf.)
Except&, hors, zauf.
* Encteiino. V. Argueiro.
Eacuin, v.a. dresser, lever, melirc droit;
kausser, relever, mettre debout quelque chose.
(#9.\ Elever, porter, faire monter plus haut.
Ewcr£g-se,o.r. se lever, se meltre deboul, se
dresser,se relever, seremellre sur pied. V. Ele-
ERO 547
var-ss. Be cahbrer, se dresser, perlant d’en che-
val. — de cama, sertir du lit.— com as dividas:
V. Fallir. — a mankd. V. Amankscor.
Eactido, A, pP. p.d’Erguer.
Enica ou Exicz. V. Urze.
Erıcino, A, adj. couvert de piquants. On ie
dit des ebätaignes et d’autres fruits qui ont des
piquants. 9. p. de
Erıcäin, v. a. herisser. V. Ourigar, Riger.
Erıcatönıo,. V. Aurige (ooustellation).
Enicıo. V. Ourigo,, Porco-espinko.
Enivano, s. m. (f. d’astr.) Eridan : eonstelle-
tion meridionate. (1. de geogr.) —, le P6, fleuve
d’Italle.
-} Enicero, s. m. (t. de dos.) * vergeretie Acre,
plante.
Erıcino, A,p. p.de
Erıcır , v. a. eriger, &lever, consaerer ; insli-
tuer, &tablir. ( Ag.) Elerer, hausser (en digni-
t6, etc.). Il est aussi reciproque.
Ericong, 8. f. Erigone : constellation de la
Vierge.
Enit ‚adj. 2 gen. V. Ereo.
+ Erıörnoro, s. m. (t. de bof.) eriophorus :
cbardon & 1te tr&s-velue. "Linaigrette, lin de
marais. — bastardo. V. Cardo isqueiro. — do
Perö,* scillo du Perou.
+ EnıöriLa,, s. m. (6. de bo4.) Erlopila : arbre
de Surinam.
RISIPELA 0% r
ErısıruLa 610. } V. Erysipols, eic.
*Erıöoo. V. Erigido.
Erızir, etc. V. Erigar, Ourigar
Eruino,A,Pp.p. de
Eruir, v.a.detruire, ravager, rendre d6-
serte une ville, un pays, etc. v. n. (p. us.)
Vivre dans la solitude,, mener une vie solilaire.
* EnMEYANHOS, adj. ou 8. pl. pareils; d’ac-
cord, qui s’accordent.
Erwipa, 8. f. " ermitage : habitation d’un er-
mite; petit temple, petite chapelle. — de Buc-
eho, V. Taverna.
+ Erwıtania, 3. f. " mötier, profession d’er-
mite; vie er&mitique.
ErmıTäö, s. m. ermile : celui qui vit relired
da monde dans um desert; qui a soin W’'uno
chapelle dans un desert.
Erwıtöa,s. f. femme qui a soin d’une cha-
pelle ou ermitage.
Enno, A, adj. solitaire, desert, inhabite.
s. m. Ermitage, solitude ; d&sert.
ErmouLes. V, Armoles.
Ernıa, etc. V. Hernia, etc.
*Ero,s.m.V. Herdade.
+Enöcı ow Eröca,s. f. (l. de bol.) espece
de millepertuis (hypericum ericoides).
Eroptnte. V. Corrosivo.
Eröpıo, s. m. V. Garga ou Cegonha.
Erög , etc. V. Heroe, etc.
Erocino, A,p.p. de
Erocär, v. a. (p. us.) distribuer, r&parlir ses
biens, ses richesses; faire des dons.
Erosi6, 8. f. &rosion ; action de l’acide qui
ronske,, son eßlet,
528 ERR
En6rico, A, adj. drotique : qui porte A !’-
mon, lui appartient, en proodde.
+ Exorivias, s. f. pl. (tl. d’ant.) Erotidies ow
troties,, f6tes de Cupidon.
fEnortouania, s. f. (f.de med.) erotoma-
nie : mal, delire d’amour.
+ Exörrıo, s. m. (6. d’hist. nat.) erotyle: co-
l&optäre herbivore & antennes en massue lon-
u. et plate.
RPES,
ERPETOLOCIA. } V. Herp...
Enquıtänta, V. Argwilaria.
"Ennapa,s. f. V. Erro, Desacerto.
EnnÄDAM&nTE, adv. par erreur, par meprise,
faussement.
Ennavıcacäö, 8. f. eradication : action d’ar-
racher par la racine.
t Enaupıcinte, adj. 2 gen. (l. de m£d.) era-
dicauif : (remöde) violent, qui emporte la ma-
ladie et ses causes. .
Ennapıchr, ©. a. (p. us.) deraciner, ex-
irper.
ERRADICATIVAMENTE. V. Radicalmenie.
EraapicaTivo, A. V. Erradicante.
Enkıpio, A, adj. errant, vagabond.
ErrapissinO, A,adj. sup. de
Errkido, A, p. p. d’Errar. adj. Erront ; de-
fectueuz ; fautil;coupable; faux. Quise trompe.
Ander —, errer.
EarÄNTE, adj. 2 gen. errant, vagabond ; qui
se trompe. p. p. de
Enkik, v. a.— 0 caminho,, s’egarer, se four-
voyer. — 0 inlenlo, manquer son Coup, ne
pas r&ussir; sorlir de son sujel, se tromper
dans son avis. — o lempo ds cousas, ne savoir
pas saisir l’occasion, ne pas agir ä propos. — 0
alvo, ne pas pointer juste, ne pas lirer droit.
— onome, oublier le nom, se Iromper de
nom. — 0 liro, 0 golpe, a pancada, manquer
son coup (propre et fig.). — a alguem, (ant.)
manquer & quelqu’un, l’offenser. — a sua obri-
‚ (dd.) manquer A ses devoirs. — uma
syllads, manquer ä une syliabe. — uma conia,
se tromper dans un compte, y commetire des
erreurs.
Ennän, vo. n. errer, aller cä et 1A, & l’aven-
tare. —, commettre une erreur; avoir une
opinion fausse, se Lromper, s’abuser ; manquer
le but. — de, (p. us.) peu s’en falloir. Ndo erra
de ser, il est sans doute. Por pouco errou
undo malasse, peu s’en est (allu qu’il ne le
tuät.
ErnAn-sE, v. 7. (P. us.) se croiser. V. Desen-
sonirar-ae. Erra-se (impers.) midilas vezes...
On se trompe souvent...; il se fail des fauies,
il se comme: des erreurs, etc.
Enuira, s. f. faute d’imprimeur ou de o0-
piste. —s, ou fE d’—s, erratum ow errata : liste
des fautes d’impression qui se trouvent dans
un Ouvrage.
Ennärtıco, a, adj. V. Errante. Felre —g,
(t. de med., flövre erratique, irreguliere, de-
reglee. Planea—, planete errante. Nike, ei-
dade — ie, ville flottante.
ERV
+ Eon, 8. m. nom qu’on denne en pertagık
au double rr et. & la leitre R. Por alguem n'um
—de..., mettre quelqu’un sur le point de, !eı-
poser &... V. Errar-de... Por um —, teprou-
ver un 6löve.
Enasino, A, adj. et s. (1. de med.) errbin,
errhine, remdde introduit dans les narine.
Sternutaloire. ,
Ennıcar, ote. V. Erigar, Ricar, Ouriper.
RRO, 5. m. * orreur : fausse opinion; laulc;
meprise ; döreglement dans les maars; me-
prise du jugement qui spprouve ce qui nest
pas vrai; &garernent; ecari de la raison, dela
verite, de la justice ; &garement de l’esprit qui
prend le faux pour le vrai. "Pr6oceupaten,
prejuge. —s, pl. mauvaises , fausses docirines.
— de calculo, erreur dans le calcul.— de com
fas, manquement dans le calcul, fausse sur
putation. — d’escrila ow d’impressdo, lie
d’dcriture ou d’impression. — d’imadverleneis,
meprise, manque de reflexion, inconsiders-
tion. — d’offcio, faute grave dans Vexerct
d’une charge, ete.
Ennönga ou ERRONKA , 8, f. erteur;, propt-
sition erronee.
EunönBANENTE, ado. erronsment: d’une ms
niere erronee; faussernent; par erreut.
Ennönko, A, adj. errone : (aux; qui contienl
des erreurs; qui est dans l’erreur. Coniene#
—s, (1. de th£ol.) conscience erronde, quicrel
vrai ce qui est faux.
Eanönıco. V. Erroneo.
Enrön,s.m. V. Erro. (ant.) Manguemeni,
faute,, defaut.
Enuctaciö, 3. f. (t. de med.) ermciauon:
6ruption bruyante des gaz de l’estomac. \. dr-
roto.
Esupıcäö, 8. f. erudition : connaissantt
&tendues dans les beiles-letires, la litteralat:
vasie savoir ; doctrine.
ERUDITANENTE, ado. avec erudition.
Enupırissimo, A, adj. sup. de
Erupito, A, adj. erudit, qui a besucoup d+
rudilion ; docte, savant.
+ Endca, s. f. (1. de bot.) roqueiie, roqeei
cultiv6e : plante crucifere,, polagere.
Ertcınöso, A, adj. erugineux : qui Leni dt
la rouille ow lui ressemble.
+ Erurcäid, 8. f. eruption : &racuation subi#
qus |et abondante d’un Nuide; (#. de med.) son
desezanthömes, pustules, etc. ; sorlie promple,
subite, avec effort (d’un volcan).
Eava, etc. V. Herva, etc.
Ervängo, s. m. (1. de bot.) pois ehiche, Cic*h
chiches,, pois-böcu. V. Grdo de bieo.
EaviLnas, s. f. pl. ° pois : ldgume, pre®
rond, & cosse. — de cheiro, pois de senietl.
— de pombo, ers, ervilliers, orobe vulgaif,
pois de pigeon.
Eavıımica, 8. f. (1. de bot.) vesce, plante -
gumineuse.
ErvımäL,s. m. champ semö dep.
Ravıımkına, s. fı “pois, la plante. ch
ESB
vos “ de cheiro, gesse odoranle ou pols de
senleu
"EavoÄno, V. Arvoddo, Detasisado.
Eavöpo. V. Me drenkeiro,
tErv’'nco ow Enyncio, s. m. (f. de bol.)
eryage, pauicaut, charden & cent t£tes : plante
medicinale. — dos Campos , panicautl sauvage.
+ Ear'sıno, 5. m. (1.de bot.) erysime, velard,
isertelle , herbo aux chanıres : planie medici-
nele.
Enrerptra, s. f. erysipeie : tameur superli-
delle, Inlammatolre, sur ia peau, avec cha-
leur dere et brülante.
EaısirgLar6so, A, ady. erysipslateux : qui
tient de Perysipele.
+Earıatur, s. m. (fl. de md.) erythöme :
rougsar inlammatoire.
Earrsaßo, A, adj. d’Eryihree; de la mer
Rouge. Mar —, golfe Arabique, la mer Rouge.
A, adj. stupefait, ebahl. p. p.
de
Essanacin. V. Embasbecer.
Essaronino, A, adj. essouffid, hors d’ha-
leine, harasst.
Essıcanmino, A, p. p. de
$ Essacansin, v. a. Öter la graine du lin.
EspacaxiD0,A,P.P. de
+Eenacaxia ©. 6. decouvrir Jusqu’au sein,
deeolleter.
Essacein. V. Desbagoar.
Essactisino, A,p. p. de
EssactvLnin, v. 6. ögtener : Öter les grains
de raisin.
*Bssirno. V. Esbulho.
EspaupaLnino, A,p.p. de
EaBAnBaLHan ‚v. a. dechirer, meitre en mille
Morceaux.
Besausan,, ete. V. Dissipar, Estragar.
Essan2ori20,A,p.p. de
tEssansorir, v. a. epinceler; noper, pin-
ter, öter les nwuds, ou nopes du drap.
ErmanaiD0,4,Pp.p
Rosannir, 9. @. vo w. ) lancer, jeter de
force quelque chose contre un Corps dur, pour
Pöeraser.
Rızanrin (em), 0. ». heurter contre; choir.
(ig.) Bester tout court.
Rısannocia-se. V. Precipilar-se, Despe-
aher-se.
Ressnnompaptrao. V. Despenhadeiro, Pre-
EsBaanoRpiDO,A,P. pP. de
AONDÄR , 9. ». 56 pröeipiter, se joter de
keaı en has, dens un precipice. (em) Investir,
er, 50 ‚jeter sur.
BARRUNTO,, 3. m. (6. pop.) folle depense
Isle par vanit6 ou par plaleir. Faser, ou
ng cousa de —, faire flords : döpenser avec
ichs, faire uno depense d’eclat.
zADO,A,p.p. de
BELTAR-SE, . sr (p. ws.) se donner des
ST&hoes ; Iaire para
stLrTo,A er "srelte delis, dölicat, 6ld-
FAzzı,
PORT. FR,
ESB 529
Erpinro,, 5. m. sbirre, äarcher, sergent,
pousse-cul.
Esaocin. V. Desembocar.
Esnocino, A, p.p.de
Esnocin, v.a. tbaucher, esquisser, Iracer,
Esnöco, s. m. * &bauche, esquisse,.
Esnorino, a 4,p.p.de
Essorir, v. a. essouffier, &poumonner. Il 088
aussi r6ciproque.
Essorzteino, A, p.p. de
Essorgteir, v. a. souflicter : donnor des
soulllets.
ESBOMBARDEADO, A, 92. 9. de
ESBOMBARDEÄR, 2.0 bombarder : jeter des
bombes ; foudroyer avec V’artillerie.
ESBORCINÄDO, A,Pp.Pp. de
EssoncinÄr,t. a. ecorner:rompre la corne,
les angles.
Ess0R0iv0, A, P. p- @’Esboroar.
t Essonoau8nto, s. m. bersement: action
de herser, de motter ; broiement.
Es»oroin, v.a. berser, motter ; broyer, pul-
veriser. Il est aussi r&ciproque.
EspornAcHinv0,A,P.p. de
Esnonnacnin,e. a. &cacher, crever, &craser.
Essonrip0, A,P.p . d’Esborrdr
EsBORRALHÄDA, 8. n. (. pop. et at.) * par-
pillement.
EssorrıLuino,,p.p. d’Esborralkar.
EsBORRALHADOURO, 8. m. V. Varredouro.
EssorraLnär, v. a. defaire, &parpiller les
braises ou condres chaudes. Demolir, mielire
en pidces.
EsBonnALHÄR-seE , 9. r. s’6erouler.
+ Essonrär, v. a.-öter la lie d’an liquide
queleongue.
Essonnonpin. V.B
+ EssracuiLnipo, A, adj. qui ale pan de
la chemise bors de la brayetie.
Essnanguicado, A, adj. blauchäAtre,
Essnaseinpo, A, 9.9. de
Esprassin, v. '@. chauffer jusqu’au rouge,
enflammer. ( fig.) V. Afogusar.
Espaavzin, eto. V. Esdravejar, elo.
ESnRAYECER. V. Embdravecer er Esbraxcjar,
Espaavsıipo,A,p.p. de
ESARAYEJÄR,, 9. 9. temp£ter, s’emporter, jo-
ter feu et lamme. Rugir, en parlant de certaıns
animaux. So dechainer (fig.), em parlant du
vent.
EspaazEan 08 —zian, etc. V. Esbraseer, etc.
n ° Eszpaızaa, v. a. V. Apisoar. (Ag.) Sacri-
er.
Essaucan, V. Esburger.
EssucaLuiDo, A, p. p. d’Esbugalhar, ei ad),
Olkos —s, yeux sorlis de la tete.
EssocaLnin, 9. a. (fam.) V. Esmigalhar.
— 08 olhos , ouvrir de grands yeux.
EszouLar. V. Ksbulhar.
EsseLnino, A, p. p. W’Esbulhar.
+ EspuLmanön, A, adj. et s. qui depouille,
depossede ; spoliateur.
EssuLnin (de), ve. a. depouiller, spolier, de-
posseder.
%
LI.
‚5% ESC
EsaöLn0, 3. m. spolalion ‚depossassion ; de-
pouille, biens ravis. +t. V. Despojo. Depouille-
ment.
EspunAcÄDO, A, P. P. de
Essuracäir, t. 9. reınplir de Irous, troues.
Essurcınano, V. Esborcinado.
Essuncino, A, 9. p. de
Essuncär , v. a. peler, Ecorcer ; 6cosser, 6Ca-
ter, decharner.
EssucHino ou —XÄDO, A,p. p. de
ESBUCHÄR 0 —UXAR, u. a. demantibuler,
disloquer.
Escanzczin, V. Cabersar ei Descabeccar
v.n.).
EscaAutcHE, s. m.’ marinade,garum : sorte de
saumure, avec du vinaigre, pour Conserver
longremps le poisson. (Ag.) "Ruse, artifice.
*Bscaseı. V. Bscabello et Escamel.
EscasgLLär, etc. V. Desgrenhar, elc.
ESCABSLLINBO , 5. m. dim. de
EscaB&LLo,s. m. escabeau , escabelle : petit
banc de bois sans dossier ni bras.
+ Escapıösa , s. [. (4. de bot.) scabieuse, süc-
cise ow mors du diable : plante dipsacee. — dos
ardins. V. Saudade. — dos ecampos , scabieüse
des pr&s et des champs.
+ EscAB1080, A , adj. scabieux : yui ressemble
äla gald; attaqu6 de la gale.
EscasrıoLa. V. Escabiosa.
+ EscaprÖsan£ntE, adv. d’une manidfe dif-
ticlle, scabreust.
Escanrosınioe, 5. f. Indgalitd, Apretö d’un
chemin ; Aprel& au toucher, rüdesse.
Escaunöso, A, adj. ecabreux, dangeredx,
diflcile. Dur, säuvage, rude, ipke; taboleüx ;
äpre au toucher.
EsSCABUJAR.
ESCABULHAR. | V. Zstrebuner.
Escackin, bie. V. Escasgeat, etc.
EscacHin0, A, P. pP. de Escachar.
Escacnarpennas (de), add. & califourchon.
Escacuin, v. a, fendre, separer avec vio-
tence. Arracher, 3öparer du trono une branche
«d’arbre. Rompre , briser, nettrö &n pieces. — [71
pernas , ecarter le® janibes.
Escico.V. Escasıb.
Escina ‚s. f."escalier: degr&s interieurs d’un
&difice pour imonter at descenüre d’un &tage &
Pautre. Montte : petit escaliet. — de mdß,
dchelle. — de Mulkorcä ou de caracol,, escalier
a vis ou on limagon. Criados de — abaixo , do-
mestiques employ6s aux basses oocupalions R
comme euisiniers, eochers, etc. sde —
acims, domesliques quo leurs occupations rap-
prochent davantage des maltres. Genle de —
abaixo, gens de bas diage, personnes viles et
meprisables. — do portalö, (1. de mar.) esca-
lier, echelle de commandement, ecbelle de
bord. —s dos baildos para 0 conedz, (id.)
echelles de passavants. — dos guindastres, dos
engenkos, echeller.
* + Escıniu, s. m. suite de paufres gans un
enterremient.
% Baravania,s,f. grand esealier, bei escaller,
ESC
EsciogaA, s. [. * grappillon : pelite grappe,
* +EscADEADO, A, adj. en forme d’esealist;
inegal, qui a des inegaliles.
ESCADELECER , v. m. (?. We.) V. Dormiler.
Escapinua,s. f. dim. d’Escade. En —, at-
galcment, avec inegalite.
Escapaiö. V. Esquadräd,
* Escazcea. V. Baquscer.
ESChAFEDÄR-SE, @. 7. (& br.) dössmper,
1 filer.
EschGALHaR, eic. V. Escangalher, de.
Kuckmzun, etc. V. Koeamlbar, (alien
rocar.
Esciıuso. V. Troog, Cambio.
Escalvo, A, p. p. d’Escair.
EscaImintg,s. u V.
+ Esca1öLa ,s. f. escayolie : oomposilien re
laquelle les sculpteurs donnent au aus !apfı-
rence de la pierre.
Escain ,o.», öchoir : arriver A lomps prölte,
en parlant d’une rente, etc. i. V. fr.
Esciza, s. f. schelle :ı machine formie de
deux montanis de bois unis par dos bätons po!
monter et descendre. (. de matA.) —, ligne
vis6e par degrös, par mesures, paf Ps
&gales ou proportionnelles. (1. de mus.) 1°
cession des tons de Ja gamme ; la gamme —,
port de mer oü les navires qui voyagenı ll
coutume d’aller se rafratchir. (Ag. mil.) Lo,
röle des militaires suivant leur grade ei &-
eiennets, pour le service et l’avancement- (MM!
Action d’insister. ( Ag.) Depouille, batin dene
ville prise d’assaut. Rouie d’un navire(p W.)
(Ag.) Exportalion (des marchandises, ee."
— franca, (1. de com.) &chelle fauche, port
franc. Fazer —, (aire escale : mouiller, reldete?
dans un port. 4’ — visla : ( loc. mil.) on le di
d’une escalade faite en plein jour ei areı WE
naissance de l’ennemi.
EscaLina, s. f. escalade : assaut d’uns pla®
avec des echelles.
EscaLin0, A, p. p. d’Escalar. adj. (nie ü
des poissons qu’on ouvre pour les sale.
ESCALADÖR ‚8. m. celul qui escalade; qui 0@
vre et prepate les poissons pour sechet.
ESCALAMENTO, 5. m, V. Escalada, is. Lau
et Peffet d’ouvrir et de preparer les poisoH
pour secher.
EscaLamocar, etc. V. Esealavrar.
+ EscaLiö, 6 m. * monde: marche; dit
d’escalier. (fg.) Echelon , moyen pour s’ölare
marchepied.
EscaLia ‚nn a, esealader : allarwer, empetht
par escalade; mehter avce une söhalle sur (@
mur), dans (une maison ), par-dessus (100 00
railles). Fehdre, aavrir avos un oouisen , ®-i
#rentrer ; deurcher d comps de vorge;
EscaLavaido, A, 9. p. de Escalarruf.
EscALAVRADÜRA, 8. f. öborchure.
EscaLavrin, vo. a. Beoreher, blesser Kate
ment, efieiref.
ot EscäLpa, 9, f sauce piguanio du peli!
ong.
ESC
rEsciıpa ‚8. ın.(4. de gdag.) Escaut:: riviere
considerable des Pays-Bas.
EscaLDiD0, A, pP. p. d’Escaldar. adj. (Ag.)V.
‚Beceoso. Galo— d’agua [ria tem
msdo, (prov.) chat echaude craint l’eau [roide.
OR, s. m. ° bassinoire.
EsctaLpapüna, 5. f. aclion d’echauder; brü-
lare.
Escııpäö, s. m. "brülure de l’eaa bouil-
lante.
Escarpär, v. a. Echauder : laver, mouiller
avec de l’eau chaude, y tremper, en jeter sur..
(Ag. Stcher, dessecher ; &chauffer, enflammer
(Pımagination, les desirs, elc.). it. V. Escar-
mentar. it. Abimer, nie, ‚Tavager (ip. u8.).
Escuukına. (inus.) V.E
tEscaıtno, adj. m. en jr Tom.) scalöne :
(triangle) & trois cötes indgaux.
EscıLön ,s. m. (}. de mar.) "chaloupe:: pelit
biiiment de mer fort leger pour le service des
Bavıres.
+EscaLßras, 3. f. pl. (f. d’arlil.) coupures
tarrees formant quatre degrös en arridre des
flasques des affüts- marins pour les all&ger.
EscaL£Ti0o. V. Escatelddo.
EscaLräno, A, 2. p. d’Bscalfar et adj. Ovos
—, aufs poches, @ufs en chemise.
ADÖR, 3. m. coquemar : vase d anse et
ä gros ventre pour faire bouillir de l’eau, elc.
Escaurär , v. a. chauffer de l’eau dans le co-
quemar. — ovos, pocher des wufs. — 0 pdo,
surprendre le pain, le faire cuire daus un four
twop ebaud, de sorte qu’il soit brül& avanı
d’ätre cuit.
tEscauröenio, A, adj. (8. durl.) eruel, de
mauvais caractöre.
t EscirLno ou EsciLo, s.m, V. Böga, Borddlo
(poisson )-
t Escauin, 3. m. escalin : monnaie des Pays-
Bas, 12 ou 14 sous.
EscaLLa. V. Escala.
EscaLr£Lıo, s. m. (i.dechir.) scalpel : in-
strument de chirurgie pour diss&quer.
EscaLriÄcno, s. m. (1. de bot.) chiendent pied- | m
de-poule , manne de Pologne : herbe gruminee,
medieinale.
Eecanvino, A, adj. (Aig.) aride, störile.
P-P.
Beckvin, v. a. rendro chauve, faire Lomber
les cheveux, (ig) Rendre aride, sterile.
Escima, s. f. &caille : membrane en lame,
petite lame, substance dure qui couvre6 les
poissons, etc., ei qui se dötache söuvent par
Piece; celte piece, ce qui en ala forme. (fig.)
Chacune des pidces d’une armure poste T’une
sur l’autre en forme d’ecailles. Ordem da —,
ancien ordre de chevalerie institue par Jean II,
roi de Castille. Buscar a — alrds da vrelha a
aiguem, (fig. fam.) caresser, cajoler quel-
u’u
Escamackö, s. f. action d’ecailler le poisson.
Examagdes, pl. (‚t. de bot.) squamaliones.
Escasaptıra, 5, f. Sommo qui scaille le pois-
ESC 531
Becawino, a, P. pP. d’Escamar. adj. Ecaille :
a qui on a dt& les ecailles; fin, ders, (20p.)
Qui a il& ou s’est sauvd. Ficar -; (fam.) ap-
prendre & ses depens, @tre instruit par sa pro-
pre experience.
T EscamapOg, s. m. celui qui &caille le pols-
son.
Escawapüra, s. f. action d’&cailler.
EscAMALHOAR-SE, (4. burl. p. us.) V. Esca-
pulir-se, Escamar-se.
Escanir,v. a. Ecailler : öter Y’ecaille, les
ecailles. — 0 peize, (fig.)venäre fort cher.v. ».
Broder, travailler en &tailles.
EscamÄr-sE, v.r. (4. burl.) filer, se sauver.
(fig.) Se gendarmer, s’ırriter, se fAcher, s’&loi-
gner de quelqu’un.
EscauBarR, etc. V. Trocar, Cambiar.'
Escampno£ıno. V. Espinheiro Cambra.
* ESCAMECHAR. V. Chammejar.
EscimeL, s. m. mandrin : outil de fourbis-
seur pour polir les &pees.
fEsciueo, a, adj. ecaill& : couyvert d’&cail-
les; squammeux, £cailleux.
7 ESCAMIFÜRME, adj. 2 gen. en forme de
squamme , d’£caille.
ESCAMicEnO, A, adj. squammilere :
leux, qui porte &caille, des squammules.
ESCAMINHA 04 — AZinHA ‚s. f. dim. de Esca-
ma, petile &caille, squammule.
Escauisar. V. Descamisar.
Escamon&a, 3. f. (t. de bot.) scammondes
espöce de convolvulus, plante purgative.
SCAMONEÄDO, A, ad. prepare avec la scam-
monee, quiena la propriete. p-P
EscAMmoNEÄr-SE, dv. r. (fam.) „ fächer, so
piquer, rechigner.
+ Escamöntn. V. Escamonda. —de Monpe-
Iher, * cynanque de Montpellier.
+ EscAmonira, s. f. escammonite :
scammonde.
Escau0so, A, adj. ecailleux : compose d’&-
cailles,qui a des &cailles; squammeux.
°* ESCAMÖUCHO, 3. m. resies de ce qu’on &
ecall-
vin de
mang®.
EscamrÄno. V. Descampddo. it. p. p. de
EscayPÄR, v. n. cesser de pleuvoir; se re-
meltre au beau ‚ parlant du temps.
Esciuro ‚,p. p. irr. d’Escampar. Estd— , le
temps est clair, le temps s’cclaircit. st. s. ®.
(inus.) Cessation de pluie.
+ EscäsoLa,s. /. squammule, petite ecajlle.
rEscanäno, A, adj. adulte, qui n’est pas
jeune; adroit, consomme;, fieffe.
EscÄncana, s.f. chose ourerte, manifeste.
—ou ds —s, adv. ouvertement, & decouveri,
sans voile; sans honte.
ESCANCARADO, 4, ad. Porta —s, porte tout
arriere ouverte. r} 2. de
+ Escancanir, v. a. (8. fam.) ouvrir tout &
fait, entidrement. — 08 ouvidos, (fig.) preter
Poreillo avec beaucoup d’attenlion. — a co-
sciencia, {fam.) conmeltre des crimes sans
aucun remords. — a honra, (id.) sc proslituer.
ESCANCARAB, V, Escancara,
532 ESC
* Escanca. V. Sorte et Esquenpa.
Escangino, A, p. p- d’Escangar. Fortan,
heureux dans.
Escangäö, s. m. Schanson : officier, celui qui
sert A boire au roi, etc.
* + Escancir, v. a. servir du vin (aux com-
vives), verser aA boire. v. w. V. Aconiecer.
"+ Escangaria, s. f. öchansonnerie : lieu oü
est la boisson du roi.
Escanckin0, A,P. p. de
“+ EscancKÄR, v. a. transvaser: verser du
vin d’un vase dans un aulre ; donner & boire ä
table.
Escancair, v. a. dcarquiller. —se, v. r. otc.
V. Escarranchar-se, etc.
Escanpauszipo, A, p. P. d’Escandalizar.
+ EscanpaLızandn,,A,adj. ots. qui scanda-
Iıse.
Escannauızär , v. a. scandaliser : donner du
scandale. (Ag.) Maltraiter, offenser.
+ ESCANDALIZAR-SE (com, de), ©.r. se Scan-
daliser : prendre du scandale , s’offenser. (fig.)
Se fächer. .
EscinpaLo, 8. m. scandale : ce qui est occa-
sion de chute, de pech6; &clat que fait une
Chose honteuse & quelqu’un ; mauvais exem-
ple ; indignation d’une mauvaise action; grave
indecence. Pedra de —, pierre d’achoppement
et descandale. — pharisaico , scandale qu’on
prend sans raison, en regardant comme bl4-
mable ce qui ne l’est pas.
EscanndaLÖSAmEnTE , adv. scandaleusement :
avec scandale.
ESCANDALOSISSIMO, A , adj. sup. de
EscanpaLöso,, a, adj. scandaleux : qui cause
du scandale;; qui y porte. Offensant, choquant.
Escinpeı ou —ı1, s. f. sorte de [roment
tr&ös-pur dont on fait un pain delicieux. _
EscanDecencıa,s. f. “ emportement, trans
port de colöre. V. Excandescencia.
ESCANDECER , d. a. irriter, faire entrer en co-
lere. Il est aussi reciprogue.
Escanpecino , A, p. p. d’Escandecer.
T Escanpınävia, 8. f. (1. de geog.) Scandina-
vie : la Suede et la Norvege.
+ Escannınävos, s. m. pl. Scandinaves : he-
bitants de la Scandinavie.
+} Escanpia, 0.6. (p. ws.) scander : indiquer
la mesure d’un vers, le mesurer.
EscancaLHi00,A,?.9.de
EscancaıHuin, v. a. d6mantibuler, casser;
rompre, detruire.
EscAnGALHÄR-SE, ©. r. se demantibuler; se
desunir, se dejoindre. — com riso, (fam.) rire
& gorge deployte, orever de rire, rire aux
6clats.
Escancammankına ‚s. f. esp&ce de crible pour
6grapper, egrappoir.
ESCAnGanHÄDO, A, p. p. de
ESCANCANBÄR , 0. @. egrapper, &grener.
Escann0ino, A, 9.7. de
ANDOAR,d.a. raser de trös-pr&s.
Escanmaino, a, adj. döcherne, qui n’a que
la pcau sur les os.
ESC
Escaninno, 8. m. secret d’un ooßre, dan
secrötaire ; cache, petite cschette. —s, pl. (Ag.)
plis et replis du caur.
Escin0, 8. m. (ant.) escabeau : marchepied.
EscantıLBäö, s.m. öchantillon ; &lalon, me-
sure. De—, adv. (fam.) & la häte.
Escarina, 5. f. fuite aeceieree pour Friier
quelque danger;; escapade, 6chappte.
Escapipo, A,p.p. de
Escarin, v. a. (p. ws.) sauver, ällimer;
&chapper, öriter un danger; laisser 6chapper.
Escapan (a, de), v. m. echapper, fuir,se sau-
ver. S’6&chapper, sortir, s’absenter sans fire
apergu. Echapper de la me&moire. — de bs, —
por uma unha negra, ( fam.) l’öchapper belle.
—6 m alguma cousa, dire quelqgus cheie
sans s’en spercevoir, öchapper. —« slgu®
uma a, 08 especie, s’tchapper, parlanl
d’un mot qu’on dit sans faire attention. =
ESCAPARÄTE, 5. m. "chässe : sorle d’armein
en marqueterie, garnie de vitres ou erisiaut
pour y meitre des images ou des reliques.Sorie
d’armoire oü l’on met des choses precieusei.
(fg.) V. Escapatorio.
EscArATörıa, 8. f- subterfuge, debappı-
ESCAPATÖRIO, 8... toire ; faux-fuyanl.
+ Escäire, s. m. action d’&chapper, de lat:
fuite, &vasion. Fuite accelerde pour &viler un
danger. .
Escir0, A, p. p. irr. d’Escaper. adj. Sasit,
hors de danger. Estar —, etre hors delt.
parlant d’un malade.
EsciroLa, s. f.clou & crochet. (amt.)Echelle,
escale maritime ; enlrepöt.
EsSCÄAPOLE , adj. 2 gen. (4. de prei.)eıempl,
libre.
EsciruLa. V. Escapatörie. .
EscarvLARıo, s.m. scapulaire : partie du
tement de quelques religieax; morcena dicht
henite.
EscaruLin, v0. n.et — se, v. 1. so gli,
s’schapper des mains ; s’esqniver, gagnet "
porte sans mot dire, filer, s’6clipser, decampf:
se Sauver.
EscaruLmo, A,P.p. d’Escapulir.
Escaqusino. V. Enxadrezddo. .
Esciquzs, s. m. pl. cases d’un debim”.
d’un damier. (1. de blas.\ Echiquier : ecu dir
en carres.
Escira,s.f. (1. de chir \ escarte : eroül:
la peau, les plaies, etc.
scarABto. V. Escaravelko.
ESCARAFUNCHÄDO, A, P. p. d’E Am.
ESCARAFUNCHADÖOR , &. m. (fig. fan.) celcı 1"
veut tout savoir, qui fourre son nez parteu!.
ESCARAFUNCHÄR , v. a. (1. fam. et burl. tal
ter, frotler, remuer avec les ongles ‚ les dit"
eic.;chercher dans tous les recoins. (Ag. >"
former, examiner, se mettre au fait, cherchtt! |
connaltre.
ESCARAMENTAR. V. Escarmenlar.
Escanamüca,s.f. (1. mil.) escarmouche: Mt
bat de partis detachesde deux armees olsn®
*Combat simule dans los jeux public#.
ESCARAMUCADOR , 5.1, escarmoucheur : colui
qui va & ’escarmouche.
EscaramtucäR, v. w. oscarmoncher : combat-
tre par escarmouche.
EscaaarfıLa,, 5. f. dispute, querelle qui
tomınence par de simples paroles et finit par
des coups.
EscararELLin0, A, p. pP. de
EschrAPELLÄR, 0. G. egratigner, prendre aux
chereax. Ecorcher.
KschrAPELLÄR-SE, ©. r. se dispuler, se pren-
dre aux choveux , s’€gratigner. S’ecorcher.
EscaasrErEin, etc. V. Escabujar.
+ Escanas, s. f. pl. (1. d’hisl. nal.) escares:
zoophytes solitaires.
+Escanavanmino, a, adj. (l.d’arkil.) fele,
qui a une felure.
Escanaväıno, s. m. (I. d’artil.) fölure dans
un eanon.
Escanavtına. V. Caravelka,
TEscaanav&ıuo, s. m. (6.d’kst. nal.) scara-
bee :col&optere scarab6ide. — dos estercos ou
esiercoreiro , stercoraire. — Iyph£o, siercoraire
phalangiste. — Dost#iro, bousier. — »
beusier lunaire.— sagrado dos Egypcios , bou-
sier sacre. — laurino, bousier taureau. — de
torniculo aa nüca, bousier nuchicorne. — das
esterqueires,, bousier du famier. — conspur-
gado, bousier gris el noir. — Basicorne, Scara-
bee nasicorne. — hercüleo, scarsböe hercule.
—de cormiculo forqwilkoso , scarabee branchu.
— longimano , scarabde & longs bras. — ruivo
ou melolonthe, hanneton ordinaire. — pisodiro,
foulon. Marä de —, pomme d’escarbot.
Escinca, s. f. (f. de oeter.) blessure que fait
aux pieds des böles une €pine, une ronce, elc.
EscancaLnipa. V. Gargalkdda.
Escancino, A, pP. p. de
Escancin, 0.6. chätrer les ruches au mols
de (övrier, en öter les gaufres. s$. V. Esgargar.
Escanctııa , 5. f. escarcelle:grande bourse &-
Vantique,, qu’on porte & la ceinture. Gibeciere:
bourse pour is chasse. Tasselie : armuro des
cuisses. V. Fraiddd.
Escanc£o, s.m. (i. de mar.) peotites ondes
occasionndes dans la mer par les couranis;
iortes, grosses vagues. (fig.) Embarras, trop
grand empressemen!,, exc#s ; exagöration. Fa-
ver grondes —«, faire ses embarras ; faire
beaucoup de bruit pour peu de ohose.
Esciacma, s. f. chose dure, raboteuse,, äpre
au toucher. * Givre, frimas, gelte blanche.
Sorte de broderie en or ow en argent.
Escancninpo, A, pP. p. de Escarchar. s. m.
zorie de broderie en or owen argent. adj. V.
respo.
+ Escancnir, 0.a. (imus.) [riser, or&per ;
rendre äpre au toucher. v. ». Geler blanc.
Escinco, s. m. — das colmeias, (anf.)
Jaction,, la saison de chätrer les ruches.
Esuapsin0,A,Pp.p. de
Escanpeän, v. e. &chardonner, sarcler : Ster
es chardons et autres herbes. (Ag.) Purger (de
mMauvaissujets,elc.),v.n.(en4.)V. Eıquerdear.
ESC 533
EscanpiLno, 8.1. sarcloir : instrument pour
sarcler.
Escanpugipo, 4, p. 9. de Escardugar.
ESCARDUGADOR , A, 8. cardeur, cardeuse de
EscanpugÄn , ©. @. carder, chardonner Ie
ESCAREADOR , 8. m. tourmevis : instrument
d’arts pour tourner les vis.
° Escanias. V. 7
° Escanırıcackö, . f. 1. de ehir.
tion : incision faite sur N peau. ? searifica-
EscartriciDo,A,P.p. d’Esxcerifcar.
+ ESCARITICADOR . sm. (t.de chir.) scarifi-
caleur : lanceties r&unies; instrument de chi-
rurgie pour faire des scarifications ; pointes
siguds pour imiter et remplacer l’aclion des
sangsues, pour lirer je sang d’une maniere in-
sensible et lonte.
tEscanıricia , v. 6. scarifier : döoouper,
dechiqueter, ineiser la peau.
+ EscanıöLa, 8. f. (1. de bot.) espöce de lal-
tue. — doce, laitue sauvage; laitue scariole,
a marga ‚endive, obicoree des jardins, esca-
role.
+ Escarıöso, a, adj. (4. de bot.) escarieur:
sec, aride, qui fait du bruit au contact (fruit,
feuille —se).
EscanLita, 3. f. 6carlate ; dtoffe de oouleur
6carlate.
EscaaLÄTe, adj. 2 gen. et s. m. 6carlate:
couleur rouge fort vive, de korm&s ; de couleur
€carlate. V. Escarlata.
Escanuarim, s. m. sorte d’scarlate d’une
couleur inferieure.
Escarıatina, adj. es s. f. (1. de mid.) scar-
latine : flövre accompagnee de rougsur.
+ EscarLarino, A, adj. (8. de bot.) &carlate,
couleur d’6carlate, de kermös; d’un zouge
eelatant.
Escanuetnta, 8.f. V. Escarmento.
ESCARMENTÄDO, A, adj. que V’exp6rienos a
rendu avise; fin, exp6rimenis, qui a appris &
ses depenses; reprimand6d, repris, corrig6 avec
rigueur. 9. p. de
ESCARMENTÄR (COM), v.a. röprimander, cor-
riger, reprendre avec rigueur; maltraiter, mal-
mener.
ESCARMENTÄR, ©. 0. OU — SE (de, em, com),
v.r.s’instruire, s6 oorriger, devenir sage, ap-
prendre ä ses depens, & ceux d’autrui. — em
cabepa alkeia,, acquerir de Pesperience aux de-
pens d’autrui
ESCARMENTO, 3. m. exemple, experience que
Fon acquiert ä ses d6pens ou & ceux d’autrui.
Averlissement, röprimande. Chätiment, puni-
tion, amende.
Escannaciö,s. f. action de decharner.
EscarniD0, A, p. p. d’Escarner.
EscannapoR, 5. m. dechaussolr : Instrument
pour döchausser.
Escannir, v. a. (f. de chir.) döchamer;
dechausser (les dents). Escarner les cuirs, V.
Descarnar,
536 ESC
Escoımidamänte, ade. avec choix, Aveo
eleclion; parfaitement.
EscoLeipo, A, p. p. d’Escolker. adj. ei s. m.
Htu, predestine & la gloire.
ESCOLHIMENXTO , s. m. V. Recolha, Rleipdo.
EscöLno, s. m. $cueil : rocher dans la mer;
(fig.) chose dangereuse pour lavertu,lestalents,
etc., Pnonneur, la forlune, qui y &chouent.
EsCOLIADO,A, 9. p. d’Escoliar.
EscoLiapon , a. m. V. Escoliasie.
Escorıan os EscuoLian, v. a. faire des 500-
« fir, commenter des auteurs grecs.
EscoLiÄSTE ou ESCHOLIASTE, 5. m. scollaste:
qui acommenis un auleur grec; par extension
un suteur ancien.
Esc6Lı0 ow EscnöLio, s. m. * scolie : note
grammalicale et critique , remarque pour faci-
liter intelligence du texte. (f. de malk.) Sco-
lie : remarque qui a rapport ä une proposition
precödente et qui la degage des dificultes. —,
pl. (L. d’hist, nat.) scolies : famille d’hymenop- | V
ı
eres.
EscoLmip0,A,p.p. de
EscoLnia, v.@. chaumer :Couper le chaunıe,
l’arracher, lo rantasser. Oler le chaume & une
chaumiere.
+ EscoLortnpaa, 8. f. (ti. d’Rist. nal.) scolo-
pendre : insecte aptöre ow millepieds. Scolo-
pendre de mer, chenille coraline. ($. de bot.)
Scolopendre : langue de cerf, plante medici-
nale.
EscöLra,s. f. (l. mil.) escorte: troupe, saite
de gens de guerre qui accompagnent.
EscoLTiB0,A,p.p. de
EscoLrir, v.@. escorier : faire escorte; ac-
compagner pour guider, proltger, conduire,
LYNO, s. m. ($. de dos.) scolyme :
plante chicoracee,
EscoussunGar, etc, V. Bxcommungar, eic.
ESCONDEALEA 0W
* ESCONDEDALHA ,S. f. | V. Escondedouro.
EsconpEpön, 8. m. c&,ul qui cache ; cachot-
tier.
Esconpep6uno, s. m. lieu propre & cacher,
& garder quelque chose ; cachette,, cache.
Esconpzpöna, s. f. action de cacher.
Esconpta (em,de), v. a. cacher : metire en
un lieu od l’on ne peut voir ou decouvrir; vol-
.er, couvrir, odler, dissimaler. (Ag.) Benfer-
mer, conienir, comprendre. Alirer e
end, (fam.) joter la plerre et oacher le
as.
Esconpaa-sE (em,de), vo. r. se cacher : se re-
tirer, se couvrir pour n’ölre pas vu ou Connu.
—d „se eacher ä quelgu’un, no pas se
laisser voir & lai.
ESCONDIDANENTE, ade. secröiement, en ca-
obetie.
+ Esconpipas (ds), adv. en cacheile, & la
derobee, en secret, secretement. Jogo das —,
s. [. pl. cligne-muselle, cache-cache: jen d’en-
lanıs dont !’un ferme les yeux et les aulres se
cachent.
Escoxpino, a,p. p. d’Esconder. adı. acht,
ESG
— na lerre, enlerre : cach6 sous lerre.—
ramos, couvert de branches, de rameaux. km
—, en cachette, sans osientation,
KsconpiLno. V. Kseondrijo.
EsconbImanto, s. m. l’action et l'elfet de
cacher, de c#ler. .
Esconpailo,, s. m. "cache, eachette : lieu se-
orei pour cacher. —s do coragdo do homem,
(Ag.) plis ei replis du caur humaln.
EscoxoriLno. V. Escondrijo.
Escoxsuriacäö,s. f. V. Esconjuro.
Esconsuaino, A, p. p. d’Esconjurar.
Esconstranör, 8. m. celui qui adjure, qui
exoreise. V. Bxoreista.
Escoxsurän, vo. a. (aire faire serment & quel-
qu’un, prendre son serment. Adjurer : com-
mander au nom de Dieu. V. Exorcizer. — el-
gum mal, se servir des paroles, des cereme-
nies de l'eglise pour chasser un mal.
V.
Esconsöno, 5. m. V. Conjuro. — da igrejs,
Exoreismo
Escönso, A, adj. qui va de biais, en biais;
penchant. — de cervello ou do miolo, öcerveie,
qui n’a pas de jugement, Fallar d —a, (enl.)
parlcr par gestos.
Escöxso, s. m. rhombe, losange,, angle Ine-
gal, oblus d’un &difice. Ir de —, bisiser.
Escontar, etc. V. Desconlar, Computar.
Esconto. V. Desconto , Caleulo, Compulapie.
* Escontaa. V. Para, Contra.
Esconvezzs. V. Escouvens.
T Escortıno, s. m. (l. de mar.) guipon.
+ Escortıisuo , s. m. (f. d’ant.) scopelisme :
action de semer des pierres ou du gravier sur
un champ pour punir ou menacer le proprie-
taire, acte qui, chez les anciens, &tait regarde
comme un crime capital.
EsLor£ra, s. f. escopelle : esp&ce de cara-
bine portee en bandouliere; fusil.
Escoreripa, 8. f. coup de fusil, d’escopetie,
et sa blossure,.
Escoreraria, s. f. wilice, Woupe armee de
Cusils, d’esco .
PETEAR, 9. @. Urailler : rer plusieurs
coups de fusil, d’escopette.
Escorgr&ıno, s. m. fusilier : fantassin armö
d’un fusil, d’une escopelte.
Escöro,, s. m. blanc, but auguel on vise; fin,
Intention, projet, but.
Escörno, s. m. ciseau : instrument d’aris et
metiers, plat et tranchant d’un bout; grand ci-
seau ; fermoir. — curvo, fermoir änez rond.
Escöna,s. f. accore, &tal, appui, &tancon.
Escoxivo,a,p.p.de
Escorir, v. a. accorer, &layer, &lanconner,
appuyer. — um N#a0io, Sccorer un vaisseau
sur le chantier.
EscorÄr, 9. #%. et —SE (em), ©. r. se reposer
sur; (Ag.) se conficr en, s’appayer, faire fon-
dement sur.
EscosaUTico, A, adj. soorbutique : de la na-
ture du scorbut, qui a le scorbut.
EsconBüTo, 4, m. Bcorbut ; corruption CAD-
ESG
I2zieuse des sang, avec pöldchies, hömorrha-
gie, etc.
ExcoataD0, A, pP. p. de
EscoaGin , 9. @. (6. de point.) peindre en rac-
coard.
EscorcnÄpo, A, 9. p. de Escorchar.
ESCORCHADOR , 3. ms. Celui qui &corche, etc.
EsCORCHANMREUTO „s.m. action d’ecorcher et.
ponillement,
Escoacmän, ©. @. dcorcer; 6corcher. (flg.)
heponiller. — 0 povo, (fg.) vexer, opprimer leo
peaple, le surcharger d’impöts. — o segredo,
d.\arracher un secret & quelqu’un.
Escorcromtıra , 8. f. (i. de bot.) scorsonnöre:
sılsiäs noir, plante potagere,
Esodaco , 8. me. (f. de peint.) raccourei : effet
de la perspoctive qui raccoureit les objets vus
de lace; art de les representer.
Eschanıo, 3. m. (4. de bot.) scordium, ger-
mandree aquatique : plante medicinale.
Escöria , 8. f. scorie: substance vitrifide, qui
tere sar la surface des metaux fondus; laitier,
mırhefer. (Ag.) " Rebut, lie: ce quiil y a de
plus vil dans chague espöce.
Ksconıan , etc. V. Ezcorier, etc.
Eswarrıcacäkö, s. f. scorification : action de
rxduire en scorie.
Escoamici20o,A, 9.9. de
Esconırıcik, v. a. soorifler : röduire en sco-
rie.
FESCORIFICATORIO , 5. m. scorificaloire : tät ow
truelle & scorifier.
Esconsin. V. Torcer et Esgorjar.
Escornäpa. V. Cornada.
Escoanäpo, A,p.p. de
Esconnin, v. a. frapper des cornes ; donner
um coup de corne. (fig.) Maltraiter, trailer avec
Inepris,
EsxoanıcniB0, A, pP. p. de
+ Escoanicaän, v. a. frapper avec de petites
carnes.
Esconoin. V. Descoroar, Desmantelar.
t Esconopönıa, 8. f. (tl. de bot.) germandrete
Lurage ‚Sauge sauvage , sauge des bois: plante
biee.
rEsconptna, s. f. (1. d’hist. nal.) rascasse,
scorpene : poisson Ihoracique. — parda, ver-
rssco de mar ou ctanlarılko, rascasse poro.
— avermelhada ou inha, Tascasse
Inie. — volanie, rascasse volante.
Esconmäd, s. m. scorpion: insecte aptöre, ve-
nimeax, torrestre; signedu zodiaque;; catapulte
manuelle, machine de guerre des anciens. Es-
corpiöes , 9. sorte de fouet en forme de queue
de scorpion. — do mar do Norte, scorpion de
mer, poisson du genre du colte ;crapaud demer.
Escöaro. V. Kscorpidd.
+ Esconriöa , s. f. (4. de bot.) chenillette:
plante Jegumineuse.
Esconniruas, o. f. pl. baissiere : reste du
vin,etc., prös de la lie.
+ Esconazpüna, 5. f. la portion de ligaide
yo reste apr&s ia mesure, ot qui degoutte dans
enlonnpir ou alligurg,
ESC 537
ESCORREGABIGO, A, ady. glissant: qui schappe,
qui glisse ais&ment.
Escorr£capi0, a, adj. glissunt : sur quol on
glisse ais&ment, sans pouvoir se tenir ferme.
Memorie —e, ( ig.) memoire faible, qui ne re-
tient pas.
EsconnzscaDöuno, s. m. ondroit glissent,
casse-cou.
ESCORREGADELLA. (90P.) V. Escorregadurs.
Esconnztanöra , 8. f. glissade : action et effet
de glisser. ( Ag.) " Faux-pas, faute.
ESCORREGAMENTO,, 5. m. glissement , glis-
sade.
Escoanzcän, o.". glisser, en parlant du pied,
d’en corps qui coule sur un corps gras ou uni;
fsire un faux-pas. S’&chapper, se glisser aise-
ment. ( fg.) Couler facilemeut, s’schapper, en
parlant du temps, etc. (id.) Dire ou faire quel-
que chose par inadvertance, faire un faux-pas.
— a lingus, dire quelque chose Inconsidere-
ment, sans reflexion, avec imprudence. — da
memoria, s’eflacer de la me&moire, sorlir de
Pid6e. — na prefica a oulro proposilo, faire
Jans le discours une transition insensible ;
passer d’une matiöre & une autre.
EsconazcävaL, adj. 2 gen. V. Escorregadio.
Esconatıro, A, adj. (1. pop.) sain, bien por-
lant, qui n’a point de mal, qui n’ost point
blesse. Sdo e —, sain et saul, sain et entier,
sans aucun defaut corporel.
Reconnka , v. a. &puiser, vider jasqu’ä la der-
niöre goutie; laisser, faire öcouler ow couler.
(1. de mar. aut.) Cötoyer.
Esconntr, vo. #. degoutter : tomber goutte ä
goutte; deoouler, &couler, en parlant d’un li-
quide. — de ou em suor, dire tout en Sucaur.
— em sangue, eire degouttant de sang.
Esconnino, A, 9. p. d’Escorrer.
EsconnoPIcHiBO, A, p. pP. de
EstonRoPicHÄir, do. @. (I. burl.) boire, avaler
jusyu’ä la dernidre goutte.
Escorrınivo, A,P.Pp. de
Escostinir, o. e. (6. de fort.) garnir de cour-
lines.
Escökva, 5. f. ” bassinet; amorce; poudre
qu’on met dans le bassinet.
Escorvino, A, p.p. de Escorvar.
EscoxvYaDOR, 8. m. instrument pour amoreer
un canon.
Escoaväs, v. 6. amorcer : garnir d’amoroe
(un fusil, ete.).
Escoazongina. V. Escorcioneira.
° Escosznöra, V. madura.
* Escostn. V. Descoser. (fig.) Ferir, Arouler,
Magoaer.
* Escosıutnto. V. Damno, Ferida.
Escosıore. V. Befusiote.
Eschra, s. f. (t. de mar.) dcoute: cordage &
deux branches pour teudre les volles. Larger
— por mäo, filer toute Y’6coute. — de solavente,
&coute de revers. — interior d’um culelle,
$coute des dtuines.
Escörz, 3. m. 6cot, quote-part; portion de
depense (de tsble, etc,) que ohacun paye,
538 ESC
Escor£ıras,s. f. pl. (t. de mar.) * biltons ou
pelites hiltes;; seps d’ecoutes. — das adrigas,
seps des drisses. — das amuradas, laqucis A
orejlles, taqueis de Lournage ou A caur. — de
mezena, seps de drisso J'arlimon.
EsCoTRıRo,a,adj.qui yoyage libre, degage, | P
sans suile ni bagage.
ESONTILBA, 8. f. (#.de mor.) &couülle: trappe
dans le tillac pour y descendre. — grande,
grande &coutille. — de proa, €coutille de la
fosse aux cAbles. — de poppa , &coutille de l’ar-
riere. Quarleis das —s, panneaux des &cou-
tilles.
EscorııLniö, s. m. (d.de mar.) * &coutille de
vivres dans un vaissean ; scoulillon & pan-
neau.
t Escorisuo, s. m. scolisme : socte de Jean
Scott, qui adınes les farmalitss 94 qualites me-
lapbysiquement,
+ EscoTisTa, 8. m. scoliste, pamisan de Scolt,
Escortomia, s. f. (f. de med.) scolomie : ma-
ladie des yaux;; verlige avec ehscurcissement.
Escougino, A, p.p. de
Escoucär, v. a. degonder,
EscoucEipo, A, pP. p. de
TEscotcEir, 9.8. Zuer, lancer des coups de
pied , regimber.
ESCOLcinBAn0, A,P.P. de
+ Escoucınnir, v. a. freg. malizaiter, bles-
ser avpc des coups de pied reilärös. 9. a. Laun-
cer heaucoup de coups de pied.
Escousar. V. Escusar.
EscAuvans ou Escouvas,s. 9. Pl. (J.de mar.)
&cobans, ecubiers : trous (dans ja proue d’un
vaisseau ) pous passer le cäble de l’ancre. Pdos
ou columnas dos —, apölres.
Escöva,s. f. brosse , vergelie. — cam cabo de
pdo para limpar 0 [undo do ahviw, "goret.
Escovipo,A,p.p. de
Escovän, v. a. brosser, vergeler. (fig. burl.)
Batire, rosser, mallraitez.
Escovans,. V. Bscowcens.
EscoviLua ‚3. f. lu terre et la poussiere qu’on
balaye dans los ateliers des orloyres.
EscovinBa, 8. f. pelite brosse, pelite vorgelle.
Saie : petite brosse d’orfevre. — ou derva —,
(t. de bot.) centauree des bles; (vwlg.) bluet,
barbeau, aubifoin, aubitou.
Escoxir. V. Alimper,
Escozım&nto. V. Queimadura.
EscrAMENTÄR , eic. V. Escarmenlar, etc.
Escräva,s. f. femme esclave; negresse.
ESCRAYAGEN, les esclaves d’un pro-
Escravania 0% |pietire; grande quan-
Escravatıma, 6. [./tild desclaves. Lom-
mercio de —, traite des ne
Escnavkına,s.f. V. Cracelha. — do ouvido
de pera, (l. de mar.) *etoupillon.
Escaav£ıuo. V. Escaravelho.
Escravınäö, 2. f. "esclavage, servilude,
captivite. (flg.) —, asservissement aux pas-
nions.
RAVINHO, A, 8. jeune esclayc, gargon,
Alle esclave,
ESG
FcsrAvızAÄdo,A,p.p.de
f Escravızar,, v.a. esclaverf: rendre esclare,
[ra Assujelir, aygis pous sa Alöpendance,
endre esclave.
EscrÄV0, A, 8. esplare, captjf : ui a perdu
a liberte; qui est cn capsivile;; (Ag.) qui esien
Bervitude, assujelli, sous ig dependance d’an
malire ; assujetli A une passion. — da sue pe-
Iaurs, esclave deaa paro)g,, qui Ja lieni ezacie-
ment, Ser um —, Alre is alla & auy aflaires
domestigues, ä ses dewoirs, en Aire psclare;
fire esclave, Ar&s-assujetli.
* ESCRAVONA, f 6e de in acier.
SCRAYOSINO, 8. /. dim. d’Escravg.
Escnsuenzo. Y. Excremento.
* Escrepvaninpa. V. Escriveniabe,
® EscREPYER. V. Eurrever.
Escaevepön. V. Escrevinhador.
Escrevönte, s.m. ecrivain, copisie, commis
&crivain, clerc.
EschEv£r, v. a. Ccrire (sur): Araper, Ögurer,
former des leitres, des caraclöres. —, Compo-
ser un ouvrage d’esprit. (0\ — A, faire une
lettre, une missive. — 08 bens d’alguem, (1. de
par) confisquer les bieps de quelqu'un. — em
onze ‚ecrire sur le bronze. — 2a areig , ecrire
sur le sable. — de pragrio gunha, gcrixe de sa
pain. »- com carvdo a uma parede, gharbonner
une muraille.
EScCAEVEeR-SE, 2. r. s’ecrire: re, deyair eure
£crit. Se correspondre par lelires, fire en cor-
respondance. S’inscrire.
+ Escacvia, s. fe. — de calafalg, ( 1. de wear.)
caisse des calfateurs; selle A cglfat ; escabesu
de callaj.
Escnzvipo, a (Y. Zeerito), p. p. d’Escrerer.
EscrEvIixHADOR,, 8. m. griffonneur, barbouil-
Jeur;; ecrivailleur, &orivassier.
VinuÄß, v. n. griffonner, barbouiller;
&crivailler, ecrire beaucoup et mal.
Escnis4 ,s. m. scribe : docleyr, interpr&te de
1a loi judaique. (Ag. et burl.) V. Escrirdö.
} Escrinıo, 3. m. portefeuille. V. Papeleira.
u.
Escrita, 8. f. ecriture: caracleres &crils.
Escrıtingo, s.m. dim. d’Bscrilo. Petit billet.
ESCRITO 08 —IPTO, A, 9. p- irr. d’Esererer.
adj. Ecrit. (1. de pras.) Conlisque. Tomar per
—, prendre, mellre par &crit. Tilo — ns
frenie, ne pouvoir cacher une chose. Por —,
adv. par ecrit.
Escnıto, 3. m. €crit : ce qui est derit; acte
portant promesse ou convention ; ouvrage, li-
vre. Billet. — de dirida, billes ou reconnsis-
sance. — de desaflo, cartel. — de casamen!o,
fiancailles, promesse de mariage. —s , pi. ecri-
teaux : morceaux de papier blanc colles sur
les porles ou croisees (en Portugal), servant &
indiquer que la maison esi A louer.
EscRITOR 0% —PTOR, 5. m. ecrivain, au-
teur.
ESCRITORINNO, 8. m. dim. de '
Escattönıo ou —PTORIO, s. m. bareau : Fieu
desiing & l’espedition de certsines affaires,
ESC
Sorte d’armoire en margueterie, etc., avec plu-
sirurs compartiments en dedans. Bureau & ren-
ferner des papiers. Cabinet, &tude. Comptoir
de negociant. Greffe : bureau, &tude ou I'on
garde leg registres.
Eraırera ou —rröra,s. f. ecriture:: aclion
eteffet d’6crire; ecrit, ce quiest Ecrit. Acte pu-
Dic pass& par-devant notaire. —, Ccrit, parolo
de Dieu ; les livres saints, la Bible. — sagrada,
Eeriture sainte, Pancien et lo nouveau Testa-
ment. — de freiamenio, charte-partie. — de
ompromisso , comprom!s, acie de coınpromis.
— despera ou moraloria, lettre de repit, sur-
seance.
Escarrunacäkö, 3. f. tenuo des livres de com-
merce, etc.
Escemruripo,A,p. p. de
Escrrturär , v. a. coucher sur les livres; te-
nir les livres de commerce. Instrumenter, faire
des actes publics par-devant notaire.
EscriTuRÄR-SE, ©. Tr. s’engager par un acte
Botarie.
EscarprunÄrto, 8. m. teneur de livres. (anf.)
Homme consomme dans les livres saints.
+ Escrrrünitico, A ‚adj. de Y’Ecriture sainte,
qui concerne /’Ecriture sainte.
Escaıvania , s. f. "notariat: fonetion , emploi
de notaire. j
Escrıvanina , 8. f. 6eritoire de eabinet. V.
Eırrivamia.
Escrıviö, s. m. notaire, tabellion , greflier :
offlcier qui passe et qui regoit des actes. — do
publico e nolas, notaire public. — da camera,
secretaire d’une municipalild. — da puridade,
(ant.) grand notaire ou greffier royal, qui &cri-
vait les lettres closes du roi; seeretaire du roi.
+ EscnoruL.änıa om EscnopnoLänta, 8. f. (1.
de bot.) scrophulaire ou scrofulaire : plante de
la didynamie angiospermie. — dos rios, scro-
fulsire aquatique, betoine d’eau, herbe du
siege. — nodosa ou fElida, grande sorofalaire
commune ou des bois; serofulaire, herbe aux
terouelles.
EscröruLas , 8. f. pl. (f. de med.) scrouelles,
serolales.
EscaoruLdöso, A, adj. scrofuleux, qui a des
serofales, les ecrouelles; qui cause, qui &t-
eompagne les &crouelles.
EscröroLo, 3. m. scrupule : polds de 24
grains, ou 24 partie d’une once.
Escröro, s.m.(f.d’anaf.) scrotum : bourses,
membranes qui enveloppent les testicules.
EscaupuLAR.
ESCRUPULEAR. | V. Eserupulizar.
EscaupuLizip0, A, pP. p. de
EscaupuLizir, ©. @. causer, inspirer des
serupules (p. ws.). v. w. Ayoir des sorupules.
Avoir scrupule,, repugner ä faire une chose.
EsonöruLo,a. m. V. Esohöpulo. ( Ag.) Scru-
pule : doute, inquieiude, Irauble de la eon-
science qui fait Fegarder comme faule ce qui
Re l'est pas, ou comme crime une faute lögöre;
douie de la oonstienoe. (id.) Soin minutieux
ESG 59
Fazer — de dansar, etc., se faire serupule de
danser, etc.
EscrürtLösamente, ade. serupuleusement :
d’une manidre scrupuleuse, minutieuse, exacte,
+ EsenurpuLosıväne, 5. f. serupule : grande
exactitude.
EscrupuLOSt8StMO, A, adj. sup. de
EscRuruLö80, A , adj. scrupwienx : qui adcs
scrupules ; minultieux, exact.
Escrotino,A,9.p.d’Bscrular.
ESCRUTADOR , 5. m. enqueteur, serutaleur. V.
Esquadrinhador.
Escrurir, dv. a. scruler : sonder, examiner ä
fond , chercher ä pencirer dans les choses ea-
chees. S’enquerir, faire une enquete.
ESCRUTINADOR, 8. m. scrulstenr: celuf qui
compte les voix au scrulin. V. Zserslador.
Escrotinio,s. m. scrutin : election par suf-
frages secrets. ” Recherche, perquisition, en-
quete , examen.
Escuvivo, A, 2. p. de
Escupir, v. a. proteger, defandre, oouvrir
d’un bouclier. (fg.) Gerantir, defendre, pre-
server d’un danger; servir de bouclier & quel-
gqy’un.
Escuvär-sE (com), v. r. so couvrir de, 8\e-
hriter sous. (fg.) Be prevaloir. se serwir de l’ap-
pui, de la protection de quelqu’an pour se ti-
rer d’embarras.
Escupeıränd, A, adj. acoompagne, praobde
d’un deuyer. 9.9. de
EscupeirÄr, v. a. et w. serrir d’douyer, 86-
eompagner en &douyer.
EscupeirÄTico , A, adj. d’Ecuyer ou page.
+ Escupsirice, 5. f. (p. %s.) fonetion, em-
ploi d’an &cuyer dans une maison.
ESCUDEIRINBO , 8. m. dim. de
Escup£ıro, 3. m, &cuyer:: servant d’un chewa-
lier, qui portaitson deu. —, gemlälbomme au ser-
vice d’un grand; celui qui est au service d'une
dame, qui lui donne ta main pour l’sccomipa-
gner. — fidalgo , dcuyer : titre d’un simple. gen-
tiikomme , d’un anobli.
Escupeıro, A, adj. (l. de vener.) bätle de
eompagnie. Poreo —, jeune sanglier qui en
suit un autre plus vioux.
Escup£LLa, s. f. deuelle : piöce de vaisaelle
pour le potage.
EscupgLLipo, A, P. pP. do
EscopeLLÄr, v. a. remplir une &cuelle; par-
tager (le bouillon ‚la soape, elo.) par &ouelles,
Escun£te, s. m. dim. d’Escudo, (1. de bias.)
petit deu d’armoiries, petil &cusson. Ecusson,
platine de serrure.
+ EscupiLno, s. m. (f. de bat.) &cusson, Su-
bercule de lichen.
+ EscupıLnöso, A,adj. Lichen —, ( 1. de bot.
lieben qui a des &cussons, des tübereules.
+ Escupixua, s. f. (4. de bot.) *clypeolo alys-
soid6, bouclier de Narbonne : planto cruci-
fere.
Escuninto, 3. m. dim. de
Escuno , s. m. bouclier, 6cu : arme defensive,
Ecusson, 6cu d’armeirics. Eon, monnaie d’or
540 ESG
d’argent. (Ag.) Beuclier, defense, e#gide,
appui, protoclion. — d’armas, dcusson : ecu
d’armoiries. — de enzerio, enie en &cusson.
Enzerlar d—, beussonner, enter en dcusson.
Escupaımnmäa ‚etc. V. Esquadrinkhar, eic.
® ESCDERGUNzIRA. V. Escorcioneira.
° Escuıtäa, etc. V. Escutar, etc.
+ Escu.irias, 8. f. Pl. (1. de myth.) escola-
pies : [&les d’Esculape.
EscuLirio, 8. m. (4. de myth.) Esculape :
dieu de la medecine. (podi.) Fameux medecin.
EscuLin. V. Escolar.
* EscuLcas. V. Inculcas.
® EscuLoaınnär, etc. V. Esquadrinkar, etc.
+ EscuL£xto, A , adj. alimenteux , qui nour-
rit; bon A manger.
+ Esccu£to. V. Esculo bastdrdo.
+EscuLo ‚s. m. (8. debos.) marronnier d’Inde;
chätaignede cheval, chätaigne chevaline. — bas-
Sardo , chöne grec, pelit chene.
EscuLPipo, A, p. p. d’Escuipir.
EscuLripon. V. Escultör.
EscuLrin (em), ©. a. sculpter, graver; ci-
seler.
EscuLTöR, 3. m. sculpteur : celui qui sculpte;
ciseleur.
EscuLtüna, s. f. sculpture : art de scoulpter;
euvrage de sculpteur ; ciselure.
Escöua , s. f. &cume : espedoe de mousse sur
Peau, sur es liqueurs; bave des animauz;
suour en Nocons du cheval; scorie des malie-
res fondues. (Ag.) Scorie, lie, rebut.
Escunuantına, s. f. ecumorre : ustensile de
cuisine, etc., peros de trous pour dcumer.
‚„A,P. pP. d’Escumar.
+ Escuuanor, A,adj. (pP. us.) dcumeur, qui
&cume ; doumeux, qui jeite, qui pousse !’e-
cume,
Escuniıma,s. f. mächeler, scorie des
EscumiLno, s.m. meötaux fondus,
Escumants. V. Espumantie.
Escumin, v. a. doumer : Öler l’&cume, souik-
ler avec de l’d6cume. —bravalas, (Ag.) laire des
rodomontades.
Escumir, vo. ». dcumer:: jeter de V’ecume;
baver. — de reive, dcumer de rage,, manilester
involontairement sa fureur.
EscuniLna, s. f. cendree, pelit plomb : dra-
g6e de chasseur. Espece de gaze; crepe.
Escuuös0, A, adj. dcumeux : plein, oouvert
@’ecume, qui la jette, la pousse.
+Eschna,s. f. (l. de mar.) godlette : bäti-
ment & deux voiles de cinquante & oent lon-
neaux.
+ Escurtinos, #. m. pl. ( 1. de mar.) guipons,
tenes.
Escupin. V. .
Escounautnte, edv. obscurdment: sans clar-
14; oonfusement, inintelligiblement. Basse-
ment,
Escönas (ds), ade. dans l’obscurits. (Ag.) A
Paveugle, aveuglöment, sans lumiöre. Andar
ds —, (Ag.) aller & tätons dans une affaire.
Deirar elguem ds —, (id.) frustrer quelqu’un
ESC
de son altente,, le laisser avec un pied de ue,
Escunsceoon, A, adj. ei 3. obscurcissan,
qui obseurcit.
Escvaecir ,v. a. obscureir : rendre obscur;
ternir. (fg.) —, diıminuer l’&clat, rendre meins
brillant; offusquer la saison, l’er.tendemeni;
decrier, deerediter.
Escunscea, v. 9. se [aire lard, oommencer ä
faire nuit.
Escunzcha-sE, v. r. s’obscureir, se osurrir,
parlant du temps ; s’&clipser. (Ag.) Se lerair.
Escunscino,A,P.p. d’Escurecer.
° Escunentin. V. Rsceurecer (n. @.).
* Escuatza. V. Escuridade , Escuriddö.
Escunipide , s. f. obscurite : privation dels-
miere; ombre &paisse d’un bois, etc. (Ag )Can-
fusion, defaut d’ordre dans un &crit, ete. Ob-
sourit€ d’un mystöre , d’une enigme. ” Obscer-
cissement de vue,
Escorıpäd, s. f. grande obscurite, Wenebres,
(Ag.) Obscurits de style, etc. * Galimatias.
Escunissino, A, adj. sup. de
Escino, A, adj. obscur, sombre, tEnebreer
(ig.) Peu connu, de basse naissance; diffcile
ä entendre, qui s’exprime avec confusion &
obscurits. On le dit des parties d’un tablesu
qui ne sont pas edclairees. —, sombre,, presqee
noir, fonc#, parlant des couleurs. — , qu’on &
peine & voir,& Jistinguer. (Ag.) Noir, triste,
melancolique, lugubre. Y6z —e, voix soarde.
Cör —a, oouleur obscure, sombre, foncke.
Eıtar ou faser —,, [sire une nuit obscure, (aire
noir. O claro e—, le clair obscur : imitation de
effet que produit la lumiere en &clairant les
surfaces qu’elle (rappe, et on laissant dans
Pombre celles qu’elle ne frappe pas.
Escön0, 3. m. obscurcissement ; obscurite.
Ficar no —, rester dans l’oubli. Meiterne—,
cacher, celer. (t. de peint.) V. Escuro,, adj.
+ EscuarıLınanz , s. f. (p. us.) bouffonne-
rie, plaisanterie grossiere.
SCÖSA , 8. f. excuse; oxemplion,
* Escusica. V. Escusa.
Escusaciö, 8. f. (pP. ws.) exomplion, demis
sion acceptee. öl. V. Escusa.
+ EscusinAN&nte, adv. inutilement, en vain;
sans necessile.
Escusipo „A , P. p. d’Escusar. adj. Superlie;
mis & l’6cart ou au rebut; inutile. Exempt de...
Röservö, separ6, dont on ne se sert point. Noa
necessaire : qu’il ne [aut pas dire, ni faire. Be-
querim&nio — , pelition rejeide. Z — ou couss
—4, il n’est pas besoin ou necessaire, il est
inutile. — d fallar wisse, ilest inutile d’em
parler.
T Escusapor, 9. m. (f. de preis.) dtienseur
nomme d’office & un accase.
Escösa-CALt, 8. m. nom d’une ancienne em-
barcation.
Escüsau£nte , ade. en secret, secrtiemmemt.
* Escusanca. V. Escdss,.
Escusäa, ©. 6, excuser, jostißer. (de) Exemp-
ter; 6riter, emp6cher ; refuser de faire quelque
chose. Pouvoir s6 passer, n’aveir pas besoin
ESF
de. Rpargner; mönager. Pöde-se — esie gaslo,
on peat se passer de cette depense. — um re-
j ‚ meiire ndant sur une requele.
Escusir (de), v.». n’avoir pas besoin de.
Escosän-se (de), v.r. s’excuser : se dispen-
ser de faire une chose; s’en exempter, s’en de-
. (com ) S’excuser, se justifler, faire
ss excuses. — da compankia d’alguem , pren-
dre congd de quelgu’un , laisser sa sociel6 pour
tesiter seul. Eschsa-se lanla pressa, lanla ha-
bilidede, ete., il n’est pas besoin de tant d’em-
pessement, de tant d’adresse, cic. Tudo o que
nie ka, sescusa, fem.) de ce quel’on n’apas,
on sen passe.
Eschho,a (de), adj. exempt6, dispense de;
en reiraite, qui n’est plus en activile de ser:
viee. Retir6, &cari&, solitaire ( lieu, demeure,
ee.\,seeret, cache. Dont on ne se sert plus.
Bairer e sair por poria —a, enirer et soriir
wcachetie, ä la dörob&e,, en secret.
Escira,s. f. action d’ecouter ; &coutant, es-
poa, mouchard ; vigie, vedette, sentinelle,
mei de nuit. Ecoute : compagne do parloir.
Bterd—, &tre aux &coutes.
Ectripo, a, 9.2». d’Escular.
ADOR, A, 3. celui qui ecoute ; &couteur,
koulant, quiest aux ecoutes.
ir, v. a. 6couter : preter l’oreille; &tre
sur agueis, aux dcoutes. — com allengdö, pre
iet une oreille allentive.
Bicrrin-sE, vo. r. s’scouter parler; avoir
top de soin de ses paroles.
Escrruunid. V. Escotilhäo. n
choso &trange , bizarre-
Ba alaet y. 7ie; drölerie, äröle de
Essaixuro, a, adj. (Verso —, vers) quia
Une syllabe de trop, et l’accent sur Pant#penul-
ltme, Ex.: Exercito, titwlo, bendvolo : c’est une
esptce de dactyle. ( Ag.) Eirange, bizarre, dröle.
"Eszapano. V. Desherdädo.
"Esiraı, corruption du latin ef calere.
Essackıo, ete. V. Esphacelo, etc.
Esyaınanıssimo, A, adj. sup. de
Karıımipo, a, adj. affams, presse de la
iin. (4g.) Trös-avide. V. Faminto.p.p. de
Esyaımia, o. a. affamer : causer la faim.
Esramszano. V. Esfaimado.
Esraımein. V. Esfaimar.
EsssLripo, A,p.p. d’Esfalfer.
EsraLmanento, 5. m. &puisement de forces.
Esrausin, o. a. harasser, €puiser, faire per-
dre haleine; oxc#der de travail. Epuiser les
forces par des exe&s ventriens.
Essanszcin-sg. V. Afadigar-se,
EspyanzLäno, A, p. p. de
EssangLär, v. a. bluter, rödeire en son.
EsfanzLÄn-SE , ©. r. 56 Föduire en son.
Essıanarino, A, adj. dechire, döguenille,
depenaille. p. p. de
ksrannarin,o. a. döchirer, meitro en pidces.
Essırıändo, A, ?. pP. de
Esrutıin, ©. a. couper par tranches (le pain,
elc.). (Ag.) Mettre en pieces.
ESF
° Esseuenga. V. Vehemencia,
Esrena, elc.
Esringe, eic. V. Esph..., eic.
EsrinctenR.
EsrLonan, etc. V. Desflorar, etc.
Esrocän, etc. V. Desafogar, eic.
EsröLacinas, 5. m. malfaiteur, scölerat.
EssoLino,A,p. p. d’Esfolar.
EsFoLapOR, v.6. &corcheur (d’animaux).
EssuLanüna, s. f. dcorchure, enlörement
partiel de la peau ; endroit de la peau e&corche.
Action, peine d’&corcher une be£te.
EsröLacito,s.m.(pop.etburl.)*semonce, r&-
primande. "Interpretation force&e (des lois, eic.)
EsroLin, v. a. &corcher : öter la peau d’un
animal ; enlever l’&corce d’un arbre; (ig. fam.)
faire payertrop cher.O rabo & o peiord’—, (pop.)
n queue est ce qu’il y a de plus difficile & &cor-
cher.
EssoLär-se, v. r. s’&corcher : s’enlever la
peau, se faire une &corchure.
EsröLa-vicca, s. m. (8. de prov.) vent du
nord-ouest.
EsroLuipa, 8. f. action d’effeuiller le mais.
EsroLni00,A, 9. pP. d’Esfolhar.
EsroLuaDOR, 5. m. celui qui effeuille le
mals, etc.
EsroLuir ‚v.a. effeuiller le mals, les arbres.
TEsroLnös0, A, adj. (t. de bot.) aphylie,
sans feuilles.
EsroLiacäö, etc. V. Exfoliagdo.
EsroLinuänpo, A, 9. p. d’Esfolinkher.
EsroLıinHADOR, 3. m. celui qui &pousselic,
qui netloie. Ramoneur, qui ramone les cheıini-
nees. (fig. fam.) Curieux : qui remarque, qui
observe tout.
t EsroLınuanpöuRo, 8. m. &couvillon : autil
pour .nettoyer, pourramoner les chemindes, elc.
dt. V. Gübarbeira.
EssoLinuär, v. a. ramoner : nelloyer une
cheminse. Nettoyer ce qui est sale; &pousscler.
Esrönzino,A,p.p. de
Esröuzin, v. a. affamer : causer la faim;
öter les vivres, la nourriture. V. Esfaimar.
EsroncäDAaMeNnTE, adv. avec eflort; coura-
geusement, vaillamment.
EsroRcaDissimo, A, adj. sup. de
Esroacino, A, p. p. d’Esforgar. adj. Coura-
geux, valeureux, vaillant, brave; fort, puis-
sant, robuste. s. m. (ant.) V. Inforciaso.
EssonGADOR, 8. m. celui qui encourage, qui
donne du oourage,, qui anime.
Esroncir, v. a. encourager, animer, donner
da oourage. Fortifier : donner plus de force.
Corroborer ; confirmer. — a vöx, parler haut,
$leveor la voix.
Esrongin, 0.n.acquerir de la force; erotire,
se fortifier. S’encourager, prendre du courage.
Esroncia-se, vo. r. V. Esforgar. vo. ». (por,
em, a) S’eflorcer ä uw de. Se conlier, prendre
conflance ; s’appuyer.
Esrönco, s. m. courage, valeur, vigueur,
bravoure. Effort : action que l’on fait en s’effor-
gant. *Conflance, assurance, Eesperance; Be-
541
542 ESG
cours,faveur , aide. Faser —s por..., s'ellorcer
de, ä; lächer de... Fazer o ullimo —, faire les
derniers eflorts.
+ EsraancaLni0o, A, adj. couvert de hail-
ions. p. p. do
EsrnancaLBia. V. Esfarrapar.
Esrr£ca, s. f. action de ncitoyer en frollant.
(i9.) Semonce, r&primande.
Esrascaciö, 5. f- action de rotter, frolle-
ment, friclion.
Esfn£cAD0, A, p. p. d’Esfregar.
EsraecanöR, 3. m. [rolleur : celui qui frotte,
qui fait des friclions. Frottoir ; outil pour frot-
ter.
Esrnecanöra, 8. f. Irottement, friction, ac-
tion de frotter.
EsrrEeciLno ow torchon, lavette; frot-
Eseazciö, s.m. | toir, brosse, linge pour
[rotter.
Essazcaunto. V. Bıfregadüra.
Esrnecär, v. a. frolter, torcher, &curer, net-
toyer en frotiant; faire une [riclion. ll est aussi
reciproque.
Esrkıap0, A,p.p. d’Esfriar.
Esraıapön, A, adj. qui refroidit, refroidis-
san.
EseriaDOn ou Esfnianöund, 8. m. vasc A re-
froidir (de !’eau, etc.).
ESFRIAMENTO, 3. m. refroidissement : dimi-
nution de chaleur. ıf. de v#ler.) —, maladie
du cheval, morfondure legere.
Esrrıin, 0. a. refroidir : rendre froid; ra-
fraichir, diminuer la chaleur. (fg.) —, dimi-
nuer l’ardeur, l’activite; ralentir. e.n. —, de-
venir froid; (Ag.) diminuer d’ardeur, d’acli-
vits. Il est aussi r&ciproque.
EsraoLino,. V. Esflorddo.
Esrauncnir, etc. V. Desfrunchar, etc.
rEsrunaciö, s. f. (t. de peint.) action et
ceffet d’estomper, de poncer.
Esrumi00, A,p. p. d’Esfumar.
rEsrunino, 8. m. (t. de peint.) dessin es-
tompe; dessin poncd, pique et froti& avec la
ponce.
tEsrumir, v. a. (f. de peint.) esiomper :
Ciendre le trait d’un dessin avec l’estompe;
ıdessiner & l’astompe avec des couleurs en pou-
dre ou pastel. Poncer. V. Estrezir.
rt Eseuuinno, 5. m. (1. de peint.) * estompe :
rouleau de peau conp& en pointe, pour estom-
per.
Esronacin, etc. V. Esburacar, etc.
Esrusiäna, 3. f. — d’arlilkeria, volde d’ar-
tillerie. — de venfo, coup de vent.
Esrusıin. V. Assobiar, Soprar.
EsrusiLin. V. Seiniillor.
Esrusiote, s.m. (f. burl.) emportement;
forte reprimande; alerte.
Escacan. V, Esgargar.
Escapenuar, etc. V. Desgadelhar, etc.
t Escurvoripo, a, adj. (p. us.) maigre, d6-
charı6 comme une nouelte (gaivola) ; efllan-
que, grand et maigre.
EscaLcino, Aa, adj. oflanque, malgre comme
ESG
un lövrier ‘galgo). — de fome, affame, qui meurt
de .aim.
FscaLuino, A, P. p. d’Esgalhar. adj. V.Des-
galhddo. il. Couvert de rejetons; quia beau-
coup de bois, parlant des ceris.
EscaLuir, v.a. elaguer les scions, &bran-
cher, argoter. V. Desgalhar.
EscaLHÄR-Sg, ©. r. se courrir de rejelons,
parlant des plantes. Avoir des andouillers,
parlant des cerfs.
EsciLro, s. m. scion, argot, rejelon. An-
douiller ow cors : petite corne du bols ducerf.
EscaLnÄcHo, #. mw. mauvaise herbe.V. Eı-
talracho.
EscaniD0,A,p.p. d’Esganar.
Escanapöra, &. f. action d’elrangler, &tran-
glement. (l. de mar.) " Cul de porc double,
naud des haubans.
Escanir, 0o.a. etrangler; &toaffer. — com
stde , (g.) faire mourir de soif.
ESGAnAR-se, ©. r. s’etrangler. it. V. Esge-
nipar-se.— com sede , avoir une soll excessite.
Escaniga00, A, p.p. de
Escanıcin,o.n. et —se,v. r. glapit: faire
un cri pergant et aigu comme les petits chiens;
s’egosiller.— na Irella, (fig.) pröcher dans le
desert.
EscaraBULHinO, A, p.p. de Esgarabulker.
EscarAaBuLHlö, 8. 0u adj. m. qui saule, Päl-
lant d’une toupie. (Ag.) Remuant.
ESGARABULHÄR, ©. ®. sauler, parlant dene .
toupie. (Ag.) Eire remuant (p. us.).
Escanarunnin. V. Esgaravalar.
Escanän-se, V. Esgarrar-se.
ESGARATUJÄR, 0. @. ou m. ariffonner.
EscARAVATÄDO, A, p. 9. de Esgaravalar.
ESGARAVATADOR , 8. m. öplucheur ; qui epla-
che. — dos dentes, cure-dent, — dos outides,
cure-oreille.
EscaravaTÄr,d.a. fouiller, gratter la terfe:
se dit des poules, etc. (Ag.\ Eplucher une 3l-
faire. — os denies, 08 ouvidos, se curer le
denis, les oreilles. — os narizes, fourrer |
doigts dans le nez.
, Tscanavariı ‚s. m. outil de menufsier.
SCARAVUNCHAR.
EsGaRAVONBAR. Y. Eigoraosier.
EscarciD0,A,P.p.de
TEscarcÄR, v0. a. rompre, deöchirer;crerar
ser. ll est aussi neulre ei reciproque.
Escänzs, 3. m. pl. * griinaces.
EstcaRai00, A,Pp. p. d’Esgarrar.
Esoanniö, adj. m. Tempo, vente —, temp
ou vent contraire; loımptie, coup.de venl.s. M.
I Sorte de jeu d’enfants. V. Arreburrinko.
EscanrÄR, v.a. 6garer : deiourner du droit
chemin ; &carter de sa route, söparer d'un con-
voi, parlant des navires.
Escanrin, o. 9. ei—se,v. r. (1. de mar.)
deriver, s’&carter de sa route; so separer d’an
oonvoi. V. Desgarrar-se.
TEscazgino, A ,adj. blöme, päle. Brillant,
qui a de l’cclat,
ESG
EscoaJino, A, adj. decollei&, sans col, ni
eravate. 9. p. de y
Escorsir, v. ». brüler d’envie.
Escorävo, A, p. p. d’Esgolar.
„scoranon „A, adj. et s. qui öpuise, qui
.
tEscorandaa, s. f. aclion d’&puiser, de vi-
der.
+Escoramento, s.m. V. Esgotadura. Epul-
sement : &tat de ce qui est Epuis.
Escorir, v. a. öpuiser, larir; metire A 00;
vider, egoutter. (flg.) —, ne rieti oublier;pren-
äre tout.
Escorik, ©. #. et —sE, 0. r. s’epuiser, finir,
&tretari. (Ag) Eire &puise,
Escörz, 4. m. action d’&puiser, d’&goatter;
epuisement.
Escöro, s. m. V. Esgote. canal d’dcoulement.
Pseriftino,A,p.p. do
+Escnarıäa, v.a. (fl. de peint.) peindre en
sgrafit, en mänidre egratignde.
Escaaratir. V. Esgaravatar.
*"Escravıria. V. Queizar-se, Lastimär-se.
Escrima , 8. f. escrinie: art de faire des ar
mes, de se servir d’une ärtme blanche. Mesire
€ malire @’armes, mafırg en falt d’armes.
Escaımär. V. Esgrintir.
Escnısino, A, p. p. W’Rigrimir.
Esorıkinön, 8. m. escrimenr :homme AYui
entend Part d’eschimer. Gladialeur. Casa d’—,
(fg.) maison saus meubles.
+ Escnmmmöra, 3. f. action d’escrimet.
Escrımin ,v. d. manler (l’&p6e, le sabre, etc.),
tancer (le Javelot, ctc.); (49.) agiter.
Escasmik , v. #. escrimer : se battre avec des
Seurets; faire des artııes, ferratller. (Ag.) Dis-
puter, argumenter.
Escrourfänd, A,adj. ets.efflangqud, grand
et maigre.
+Escnorıwino, A, adf. maigreet päle.
* Escoandamexto.V. Esguardo.
"Escvarpir. V. Altender, Considerar, Res-
guardar. .
"Esctärno, s.m. egard. V. Respeillo, Cw-
d4do, Recdiv, Resquardo.
*EscraziD0,A,p.p.d’
*Escunzir, o. 8. passer & guß.
* Escuiz0, 8. m. Passage d’une rividre A gu£.
But.
+ Escuzınir, v. a. detourner, enlerer Adrol-
tement.
Escurinän-se, v.r. (fam.) s’ohfulr ä la de-
rob&e ; Fesquiver, Betlipser.
Escutita, 5. f. obliquit@, blals, travers.
De —, adv. de cötle, de hials, de travers. Olhos
de —, yeux de itavers. (fiy.) ORil jalour, mil
d’envie, Estar de meta—, ( fam.y etro ınal
assis, n’etire assis que sur une fesse.
EscueLninamente,, ado. obligucment; de
travers, de blais. .
Escueızino , A, 9. p. d’Esquelhar.
® Escueıniö, 3. m. Cöl&; travers, bials.
Escusimär , v. a. poser de bials, fairt blal-
ser ‚situer, placer obliguement ou de travers,
. ESM 543
Escuriö , s. m. toile do lin tr&s-fine, toile de
Hollande.
EscuicHino ,A,p.p. de
Escuicuär, ©. q. faire Jaillir un liquide ; se-
finguer quelqu’un. v. n. Jaillir : saillir, soriir
impötueusement, parlans d’un fluide..,
EscuicHo, s. m. pelile seringue d’enfanis;
canule de seringue; jet d’eau, Jaillissament;
tuyau de fontaine.
Escvio, a, adj. eile, efllanqus ; delie.
EscüncHo, #. m. 6cope & laver les dehers
d’un bateau.
Esıariö ou —vÄß, s.m. crochetdelampe qui
s’accroche. (1. de oeidr.) Eparvin : maladie dy
cheval, qui consiste dans une lumeur au jarre}.
EsLaproino, A,p.p. de
EsLaproir, v.a. (l.d’agrie.) &bourgeomners
Öter les bourgeons superflus d’un arhre,
BsLacarTiDo,A,Pp. p. d’Eslagartar.
ESLAGARTADOR, A, 8. Cchenilleur : ouvsier
qui echenille.
suacanrin, 0.4. &cheniller ; öter les che»
nilles.
Esıaväd, V. Eslabäß,
" Esıger. V. Eleger.
‘+Esıinca, &. f.(t. de mar., eslingue :corde
pour soulever.
Esmino,A,p. p. d’Esmar.
Esmanricin0, A, p.p.de
Esmapricän, v. a. egarer du trqupeau. Il edt
aussi recipröque.
Esmaeckd,v.n, (inus.) so recuelllir am
soi-mieme.
Esuacino,A,P.p. de Esmagar. _
EsmacanOR, A, adj. et s. dui dcrane, qui
€csthe.
ESMmacADURA ‚3. f. meurtrissure; action d’&
eraser, d’&cacher, de froisser ; &cachemeuh,
foulure.
Eswacäir, vu. @. ecraser, fouler, &cacher,
menrtrir.
Eswatar, etc. (ant.). V. Desmaiar, elc,
* Esmarnir,elc. V. Desmalhar, eic.
+ EsuaLnido, A, adj. (1. burl.) noncha-
lant, negligent; insouciant. -
EswaLtido,A,P.p. d’Esmallar.
ESMALTADOÖR, 3. m. emailleur : celui qui tra»
vaille en email.
EsmaLrtär, v. a. dmalller : tourfir, orner
d’smail, appliguer l’cmall. (Ag.) Embelhr,
orner, decorer de fleurs, de treits d’esprit, etc.
Esmäurs , s.m. &mail : camposilion de verre
oolor6 , de sels 68 de mötaux, appliguöe sur un
metal ; ouvrage en &mail. (Ag.) Varietö de vou-
leurs, de üeurs; &clat. (f. de peind.) Azur:
couleur d’un mineral du möme nom.
EsmanıAdo, A, PP. dd
+ESuMANIÄR, 9.9. (P. US.) OXtravaguor,arpir
une manie.
Eswir. V. Orsar.
* Esmaricoa. V. Esmeralda.
EsmARELLIDO, A, V. Amarellado.
+ Esuansino, A, adj. sec, Jesseche. (p, us.)
EswscHäpa, 4. [‚ blessure ä Ja lele,
-
. ”
548 ESM
Esutenan0, A,p.p. de
°Esuszcuän , v. a. blesser ä la täte.
+ Esutcus, 5. m. (8. de möd.) smegme:
rgatif employ6 par les anciens dans les ma-
dies de la pean.
Esuznsunipo, A. V. Desmedido.
Esuensuninca. V. Desproporgdö.
HANERÄDANENTE, adv. avec out le soin pOs-
sible.
EsuzraDissıno, A, adj. sup. de
Esuenivo, a, 9. pP. d’Esmerar. adj. Achers,
ini, perfectionne. Poli, recherche.
EsuzriLva, s. f. &merande: pierre pröcieuse,
diaphane, d’un beau vert. —s em bruilo, ° mo-
rillons , &meraudes brutes.
EsuzrAaLDinO, A, adj. de couleur d’eme-
raude.
Esuzrin, 0.8. singalariser, distinguer ; per-
fectionner. Polir, nettoyer, rendre luisant.
Esuzrir-se (em), v.r. faire tous ses efforts
pour ötre exact et parlail, pour exceller dans
une partie queleonque ; donner lous ses soins,
toute son attention &.
EsusaiL, s.m. &meri: pierre, mine de fer
dure,brune, röfractaire, pour polir les me#-
taux, les pierreries. Petite piöce d’artillerie un
peu plus grande que le fauconneau ‚ ömerillon.
EsueaiLuacäö, 8. f. ( Pop.) perquisition, en-
queöte.
Esuzanaivo, A, p.p. d’Esmerilker.
EsMERILEADOR, 5. m. qui polit avec l’&uneri.
(pop. Ag.) Qui recherche minutieusement, en-
quöteur, fureteur.
EsuzaıLnid, s.m. smerillon : asalon, le plus
petit, le plus vif des oisoaux de proie; petit
esnon ; arquebuse.
Esuznıınin, o.@. polir aveo l’ömeri. (pop.
fig.) Rochercher minutieusement ; furoter,
fouiller.
EsmznıLnia-se, v. 7. ( Ag.) se polir, se per-
fectionner ; soigner beaucoup sa toilette.
Esußno, s. m.” recherche : soin pour perfec-
tionner. Soin, perfection, diligence.
EswicaLsi00, A, p.p. de
EsuicaLnän, v.a. 6mier, &mieller ; öcraser,
broyer;; bacher, meltre en mille morceaux. Il
ost aussi r&ciproque.
EswioLino, 4,9. 9. de
EsuıoLia, o.e. öter la mie ou la cervelle.
Esutuca00, A, p. p. d’Esmiuger.
Esmiucanon, 8. m. (Ag.)homme minuticur;
“plucheur, qui examine de pre&s. Celui qui mei
en poudre, en miettes, en petites parties.
Esuiucia, 0. . hacher, &mietter, meitre en
petites parties, en poudre ou en miettes. ( Ag.)
Eplucher, examiner de pres, en detail.
Esuwiungan , ete. V. Esmiugar.
Remo, s. m. ° estimation. V. Orcam#nto.
4#’—,edo. & la boulevue, au hasard. Alirer
“—, tirer, decharger au hasard. Saber as
cousas 8 — , saveir les choses sans fondement,
superficiellement. Fallar a —, parler inconsi-
derement ; avec incertitude,, d’une manidro
ESP
douteuse. Canter & —_—
ou sans accompagbemen
t Esmoznor, s. m. broyeur, qui pile, qui
triture; qui digere.
Eswoße,, u. «. broyer, piler, trilurer; di-
gerer.
EswöLa, 8. f. aumöne : ce qu’on donne aus
pauvres par charitd. Empregar, applicer ben
as suas —s, placer bien ses aumönes.
EsmoLino, a,p. p. d’Esmolar.
* EsvoLadön, a, adj. V. Esmoler.
EswoLia, 0.6. aumöner : donner past at-
möne (p. us.). v. ». Donner, faire ’aumöne.
EswoLaria, 5. f. aumönerie ; beneßce claus-
tral pour la distribution des aumönes ; pidce ou
on les distribue ; charge d’aumönier.
EsuoL&ıno,s.m. quöteur d’aumönes.
EsuoL&a, adj. 2 gen. aumönier, charilable,
liberal envers les pauvres.
EsmoLta , 5. m. aumönier. — mör, grand
aumönier. Leigo —, Irere lei queteur dau-
mönes.
Esuouinua , 3. f. dim. d’Esmole.
Esuönpa. V. Monde.
Esmonpir,v.a. V. Mondar. it. Notioyer L
maison.
Esuontria. V. Esmoular.
Eswonzckr, vo. a. decourager, faire perdıe
courage. ( fig.) Fietrir, faner.
Esuonzctr, 9. ». perdre Courage, se laser
abatıre ; se decourager, manquer de ower. ||
est aussi r&eciproque. — subre cause Du
pessoa, cherir, aimer quelqu’un ou quelyue
chose tendrement, du fond du ceer, inlime-
ment. — por alguma cousa, desirer une chose
avec ardeur.
Esuoascino, A, p. p. d’Esmorecer.
Esuorscım&nto, s. m. decouragement, abak
tement de caur. * Passion , amour exir&me.
Esuovrir, v. a. V. Desmouter. Faire use
eoupe dans un bois; &monder (les arbres).
Esmunnacan. V. Espiviler.
Esuunnia,v.a. V. Espivilar. i$. (Ag. pop.
— a, venlas a alguem, donner des coupe de
poing dans le nez, dans la ligure de queiqu’ea.
TEsurana, s. f. (f.de gdogr.) Smyrne: ville
de la Turquie asiatique, dans l’Anatolie.
tEsuvianzo,A, adj. de Smyrne, qui appaf-
tient & Smyrne.
Esuocia. V. Quebrer, Desgelher.
* Esnöca. V. Synagoge.
Es6rAcO 08 —PHACO ,, 8. m. (6. d’anel.) @80-
phage : canal de la bouche & Festomse,
Esöro. V. Hys6po.
EsraciD0, A, pP. p. d’Äspagrer.
ESPACAMENTO , 5. m. espacemen! : action
d’espacer; prorogation , ajournement.
Esracär, 0.6. donuner plus de Iomps; ajour-
ner, proroger ; accorder un delsi ; espacer, d+-
later.
Esracäka, vo. n. marcher leniement, & pas
meosures (pP. us.).
+ Espacgsaminto, s.m, (1. dimpr.) ESpace-
ment : action d’espacon
chanter Sans mesun,
t
ESP ESP 545
Earıvalno, A, adj. qui a les dpaules larges.
Esranuino, A, P. 9. d’Espaduar.
+ Espapuripa , 3. f. coup d’epte. V. Pran-
chäda.
EsrapkırO, 3. m. fourbisseur: oelui qui lour-
bit, garnit ou vond des öpees. \
Esrankura ,s. f. espade, brisoir; paletie de
cordier. Sorte de rame longue et forte qui tient
lieu de gouvernail dens certaines barques
(sur le Douro , en Portugal).
EspapgLLin, dv. @. espader : donner Pespade
au chanvre.
“+ EspapgLLkıro, s. m. marinier qui tient
le gouvernail d’une barque. V. Espadella.
+ Esrapice, s. f. (6. de bot.) * spadix ow spa-
dice ; axe rameux qui porte les #lamines et le
pistil.
. tEsPapDiceo, A, adj. Flor —a, (t. de bat}
spadic6 : qui a des spadices. V. Enrocada.
EspapiLna, 8. f. (1. de jew d’hombre) spa-
dille : l’as de pique.
Espapim , s. m. sorte de pelite &pee courie:
fleuret. Ancienune monnaie J’or poriugaise, 300
reis; #4. de cuivre argente, 4 reis. Pelit poisson
de mer, qui ressemble & la sardine.
EsrapintHa, s. f. dim. d’Espada. Petite epee
courte. Pi&ce d’ornement de femme en forme
d’epee.
EsripoaA, s. f. epaule. V. Omoplata.
EspapoADO , A, adj. qui a l’epaule demise,.
p. p. de
+ Espavoär, v. a. demettre l’epaule. Il est
aussi neutre.
+ Espacirıa, s. f. spagirie : chimie medioi-
nale.
+ Espacirica, 5. f. spagirique : analyse des
metaux; recherche de la pierre philosopbale,
de l’art de faire de l’or.
* +Espacirico, A, adj. spagirique. Chimiea
—6, chimie spagirique. V. Espagirica. 8.
Spagiriste : qui sadonne & la spagirie.
ESPAIRECER , 9. n. prendre l’air, se distraire,
se reoreer.
Esriupa, 3. f. epaule; dos ; Epaulidre ; dos-
sier de chaise. — d’um baluarte, flanc d’un
bastion. Cadeira de —s, * fauteuil. V. Costas.
EspıLpiö,s. m. aug. d’Espalda. (1. de fort.)
* Barriere ,reiranchement, &paulement; digue,
levee.
EsraLpir,s.m. dossier d’une chaise. * Epau-
liere : armure de l’epaule.
EsPALDEADO, A, pP. p. de
EsPpaLpeÄR, v.a. (I. demar.) se rompre aveo
impetuosite contre la poupe d’un vaisseau,
parlanı des vagues.
Esparpeina, s. f. housse pour couvrir les
dossiers des fauteuils.—do corsoläte, epauliere:
pidce d’armure ancienne qui defendait les
€paules. nu
EsraLDEiripa, &. f. coup de plat d’epee sur
les &paules.
EspaLotra, s. f. dim. d’Espalda
Esracgsän, v. a. (6. d’impr.) espacer : metire
des espaces entre les mols.
"ERpACIAR-SE, v. Tr. 30 röcrber, ögayer l’os-
prit,
Espacıo8issımo ou —GOSISSIMO , adj. aup. de
"Espacı6so, a. V. Espagoso.
Esrico, 8. m. espace : etendue de lieu entre
deux terınes ; ötiendue de temps; intervalle
entre les lignes de musique. Delai ; ajourne-
ment, Retard, lenteur, flegme. (1. d’impr.)
-, pelit morceau de plomb, plus bas que
lalere, qui se met entre les mols pour les
Kparer. De —, ade. doucement, posement.
Seir 6 —, se röcr6eer, 8’amuser en se prome-
nant, Ndo fer — para..., n’avoir pas le lemps,
le loisir de... —s imaginarios, espaces imagi-
taires, visions, [antaisies. —s enire as cavernas
dum navio , mailles.
EsracosamänteE,, ade. spacieusement : en
Fand espace, au large.
Esrac0s0, A, adj. spacieux, vasio, d’une
grande &tendue. .
Esrina,,s. f. &p6e : arme offensive et defen-
sive,aigud, & longue lame triangulaire ow en
one plat. ( Ag.) " Glaive, arme ; force, auto-
nie; violence ( de la douleur, etc.). — branca,
epee d’acier luisant, telle qu’on la porte, et
dont on se sert. — pröia, fleuret & faire des
armes. Desembainhar a —, degainer, meltre
flanberge au vent. Entrar coma— na mdö,
ontrer l'’epee & la main. ( Ag.) Entrer dans un
emploi en se montrant violent, brusque. Tirar
°—-, lirerl’&pee. (Ag.) Prendre la defense de
Quelgu’un. Pör a — aos peilos d’alguem, pre-
senter & quelqu’un la pointe de l’epee. Levar
ou metter tudo d— , faire main basse. Peixze—,
espadon ou epte de mer. —s, pl. " pique : une
des quatre couleurs du jeu de caries. Dansa
de—s. V. Halachins.
RsrapacHim, 5. m. spadassin, breiteur, fer-
rilleur.
Rspananon, s. m. * espade, brisoir.
Espanäna, 8. f. (4. de bot.) iris bulbeuse;
kagetle ,glaieul,, floxe d’eau, flexiere aquatique:
plante. — bastarda. V. Tubüua larga. — de peixe.
V. Berbatana. — d’agoa, jet d’eau. — de san-
pe jaillissernent de sang. — de fogo, lance &
nun Sammeöche. — de com£la, queue de co-
mele,
Espapanipo, A, 9.p. d’Espadanar.
Espapanär, s.m. lieu od il ya des sagelies,
des glaieuls.
TEspapäuzo, A, adj. ( Folhas —as, 1. de
bot.) V. Ensiforme.
Fspapanir, v. a. joncher de sagetles, de
slafeuls, (Ag.) de fieurs, etc. (les rues, eic.).
*.n. Jaillir.
Espapäd, 8. m. aug. d’Espada. Espadon :
large &pee & deux mains. Epee large pour la
Cavalerie. * Rapiere.
EspapAn. V. Espadellar.
Espanänrz;, s. m. (1. d’hist. nat.) scie ou es- .
Padon : poisson du genre du chien de mer, | EsrALminamense, ade. (P.us.) cher ik, s4-
ünemi de la baleine. parement'
PORT- FR, ad
586 ESP
Esrırnino, A, P.p. d’Eıpeihar. adj. Repan-
du, &pars. .
ESPALHADOR, A, 8. celui qui röpand; quidi-
- vulgue, qui publie uno nourelle.
EsPALHADÖURA-06 — OIRA, 8. f. * instrument
d’agriculture pour 6tendre la paille.
EsraLnarito, 5. m. bruit, remue-mönage.
(Ag.) Desordre, confusion. (an}.) Sorte d’an-
eien canon.
EspaLHA0cADO,A,P9.p.d
Esraruacir, 9. a. (#. rest.) der la paille
aux bles.
ESPALHAMENTO, s. m. &panchement; &pat-
pillement; divulgation. V. Espargimento , Dis-
säd.
EsraLuir, o.e. reöpandre, dpandre, disper-
ser, dissiper, diss6miner, &parpiller; divulguer,
publier. —os olhos, iristezas,etc., se distraire.
EspaLnäß-SE, 9. r, Be repandre, se disper-
ser; se divulguer.
+ EspiLno, s. m. (ti. d’artill.) espace entre
les deux flasques d’un affüt.
EspaLmino,A,Pp.p.de
EspaLmär, v.a. aplatir: rendre plat. Parer
le pied d’un cheval. (t. de mar.) Espalmer ow
spalmer : enduire un vaisseau de suif, de brai,
de goudron.
EspiLto,s.m. (1. de peint.) spath : couleur
transparente, propre & aflaiblir les teintures.
Espanino,A,p.p. d’Espanar.
EsPAnanOR, 5. m. balai de plumes,, plumail.
Espanin, v. a. &pousseter les meubles.
EspanAscino,&A,Pp.p.de
Espanascäin, ©. a. öter le pandsco.V. co mot.
(Ag.) Purger des mauvais sujets.
Esrancino, A,p.p. de
Esrancik,v. a. baltre, frapper, rosser. (fig.)
Chasser en donnant des coups. — 0 mar, croi-
ser inutilement sans trouver de vaisseaux en-
neomis.
” Espanpäpo, A. V. Expanso, Extenso.
* Espanvınpöna. V. Expansdö, Exiensdb.
° Espann6po, a. V. Estendido, Espagoso.
Esramsıino,A,P.p.de
EspangJär, 9. a. &pousseter; secouer, Öter
la poussiere.
ESPANEJÄR-SE „©. r. ouvrir les ailes pour se-
eouer la poussiere, parlant de la poule, etc.
(Ag. fam.) Agiter sa robe en marchant, parlant
d’une femme; &tre long, diffus dans un dis-
cours, dans un sujet, eic.
Espanol, etc. V. Hespankol,, etc.
EsranRoLtta, 8. f. ancienne danse espa-
gnole; son air.
EspantTAnico, A, adj. ombrageux, craintif;
tiınide.
Espantipo, A, P. p. d’Espontar.
+ EspanTanporR, s. m. celui qui 6pomvante,
qui fait peur.
ESPANTALHO, 5. m. öpouvantail : haillons
mis au bout d’une perche pour dpouvanter les
oiseaux. (Ag.) Chose, personne qui fait peur,
meme sans pouvoir nuire.
ESP
EsrantaLönes, 5. m. bagusnandier. V. (o-
lütea.
Esrıuvin, 0. a. &pouvanter : eauser de !'t-
pourante. Etonner; etourdir. Chasser une per-
sonne, les eiseaux,, jes poules , ed.
Espantän-se (de), 9. r. s’epouvanter; avoir
peur. — d’admiragdö, dire saisi d’&lonnement,
d’admiration.
EspaNTÄVSL, adj. 2 gen. tpouvantable. V.
Espantoso.
Esrinto, 5. m. * 6pouvante, eflrei, frayeur.
* Menace : geste menagant, effrayarı. Bionne-
ment ‚, admiration. Fazer —s, s’etonner ; ioL-
ver &trange. Fazer —s d’alguem , represenier
quelqu’un oomme terrible.
ESPANTÖSAMENTE, ado. *pouvantablement,
avec &pouvante. Etonnamment, d’une manitre
etonnante.
Espantosissıno , A, adj. sup. de .
EspanTöso, A, adj. epouvantable : qui eau90
de !’epvuvante. Etonnant : qui etonne, qu!
surprend. Merveilleux, superbe, prodigieut
admirablie.
Esvrananprä. V. Sparadrdpo.
Esraraviö,s. m. ($. de veldr.) eparvin : TR-
ladie du cheval, qui consiste dans une tameur
aux jJarrets.
EsparAvEL, 8. m. *garniture de parapluit;
garniture de franges d’un lit. panel
*plaine, rase cam
+ Esrancäı , ou chte d’un flcuvo, elt. ’.
TEsranceL,s. m. | pn oreal.
ESPARCELÄDO, A, adj. ( f. de mar.) V. Aper-
celado. Terra —a, (1. d’agr.) rase campaf*ti
plaine.
ESPARCIÄNO.
EspancıÄta. } V. Espartdno.
Esparpzina, s. f. V. Empareddda.
EsparcEcea. V. Espairecer. it. Desparert,
Esperecer.
Espincko. V. Espärgo. .
* Espar6GELar. V. Derramar, Espargir.
Esrancino,A,P. p. d’Espargir. odj. Epars,
repandu.
ESPARCIMENTO,, 5. m. öparpillement, eluston,
&panchement : Paction et l’effet de repandr?,
de semer gä et ld.
EsranciR, ©. a. repandre, verser, epanche!.
epandre , &parpiller. — rdsos, darder de:
rayons.
+ Espinco, s. m. (1. de bot.) — herten« °'
medicinal, * asperge : plante potagäre, 8 1‘
d’arbrisseau. — do monie , asperge ä feuilles ©
&pines. — brdvo ou dos Ansigos, aspetge '
feuilles aigu&s, asperge sauvage. ‚30 come 0”
no monte, (fam.) on le dit d’un bomme GW!
n’a ni parents, ni amis, qui vit tout sel.
Espanackö,s.m. sorte d’etoffe de zoie Pit!
doublures.
*EspanraLHino, A, adj. V. Eopalkide ei
Estirddo. (1. pop.) On le dit des chases 7"
devraient etre jointes, et qui soms iräs-6081®
l’une de l’autre,
ESP
Espannzcino , 8. m. plat d’herbes fricassees.
ui.p.p. de .
Espannzcin, ©. a. fricasser ou appreter des
berbes, faire un plat d’herbes.
Esranr£LLa, s. f. "lacet, collet, lacs, trappe,
alirape, piöge. Ceir na —, denner dans le
pitge ou dans le panneau,
ARR ‚v. a. (8. de prov.) repandre,
verser ( de l’sau ) autour.
Esrinsa, s. f. sorte de po6sie en vers de six
syllabes.
Esrinso, A, adj. öpars, dissemins, repan-
du ; detaehe.
tEsriata, 8. f. (6. de geog.) Sparte : ville
de la Horse.
EsrarräL, 5. m. obamp, lieu abondant en
sparte.
Esranräuo, A, adj. et s. Spartiate : de
rie.
tEsrarranfa, s. f. “quartier, rue oü l’on
fait, ou Pon vend des onvrages de sparte. Spar-
terie: manufacture, ouvrage de tissus de sparte.
Espantkıno, s. m. ouvrier en Sparte, qui
vend des ouvrages de sparte.
Espanränmas, s. f. pl. sorte de sandales de
sparie,
tEsranrtoros, s. m. pl. (1. dant.)" gardes
de nuit institu6s par Auguste, surlout pour
les incendies. Leurs habits et leurs souliers
talent faits de brins de gen&t ou de Bparte.
Esrirrıımino, A, p. pP. de
EsPARTıLBÄR , ©. a. mettre un corps, un cor-
set (& une femme ); lacer un corset, etc.
EsPARTILBAN-SE, ©. r. 86 Serrer avec un C0T-
set; se acer son corset.
EspaarıLutıno, A, 8. faiseur ou faiseuse de
corsetg,
EspıRTiLuo,, s. m. corps de jupe, corset.
Espaatır. V. Despartir.
Espinzo, s. m. (1. de bot.) Sparte, genät,
jonc d’Espagne : plante graminee. — basidrdv,
alvarde. Corda de— , sparton : cordage de ge-
net d’Espagne.
*t EsparveL, s. m. 6öpervier : oiseau de
proie.
tEsranvonänpo, A, adj. qui a an &parvin
(cheval, etc.).
Espırzino, etc. V. Repargir, Derramar, eıc.
Eseasmin, v. a. causer du spasme. V. Pas-
mwar.(1.de med. p.us.)— se, v. r. ölre atlaque
d’un spasme.
Espisuo, s. m. spasme : erispation, Contrac-
ton , conrulsion de nerfs.
Espasmönıco , A, adj. spasmodique : descon-
vulsions, des spasmes ; qui lient du spasme.
TEspasmoLocia, s. f. (1. de med.) spasmolo-
gie : trait6 sur le spasme.
Espassen , eto. V. Espapar, ete.
tEspitna, s. f. (t. de bot.) spathe : enve-
fpe membraneuse qui contient les boutons
des fieurs.
Esritno, s. m. (4. de mindr.) spalt, spath,
spal : pierre oalcaire feuilletde „ oalcinable,
Kansparenie,
ESP
Espatımino,A,Pp.p. de
T Essarırin, v. a. (l. pop.) mettze en pioces,
en morceaux. (%g.) Prodiguer, dissiper (son
heritage , sa fortune, etc.).
EspiruLa, s. f. spawie : instrument de phar-
macie, rond par un bout, plat par l’autre.
t EspatuLino, a, adj. ( Folha—a, t. de bot.)
spatule& : (feuille —e) en forme de spatule.
ESPAYENTÄDO, A, 2. 2. de
tESPAVvENTÄR, ©. a. epouvanter, effrayer;
&tonner. Il est aussi Terıpaoyque.
tfEspavänto.s.m.",ouvante, eflroi; eton-
nement. (fam.) 'Ustentation, monire affeeise
et vaniteuse ; grand apnarat, Chose d’sclat.
EspAvORECiDO, A, adj. 6pouvanis. V. Bope-
vorido. "
EsPAVORIiDO, A, adj. effray&: tourments par
la frayeur. p. p. de
Espavoria, ©. a. eflrayer : Gauser de la
frayeur ; faire peur.
t Espär ou Espamı, 8. m. spahi : cavaliar ture.
Espzcino,Aa,p.p.de
Espzcir, v. a. 6layer, dlanconner.
+Especıa, s. f. (4. de gdog.) Sperre ou
Spezzia : ville et port de l’aneienne röpubligue
ligurienne; golfe des Btats-Sardes ; Ile, golfe ct
ville de Moree. "
EspecıiL, adj. special, particulier, singulier ;
excellent.
Especiauipäne, s. f. specialitö: determine-
tion d’une chose speciale; particularit#; dis-
linction.
EspeciaLissımo, A, adj. sup. de Bspecial.
EspgcıaLızÄno, A,Pp. pP. de
ESPECIALIZÄR, ©. @. speeialiser: indiquer,
dösigner specialement. Partieulariser, speci-
fer; donner la preference &.
ESPECIALIZAR-SE , dv. r. 58 specialiser; so dis-
tinguer.
EspEcıALMENTE, adv. spöcialement : d’une
maniere spöciale ; parlicullerement.
Espsciaria, s. f. epice, &picerie : toute sorlc
d’epices.
Esptcız, 8. f. V. Bspeciaria.
Bspscıez, s. f. (1. de seien.) espece : division
d’ötres apr&s le genre ; sorte ; image, apparence,
representation. Notion, opinion. ($. de prat.)
—, cas particulier. —, cas, fait, point dent il
s’agit. Fruclos em — , espece : denrees en na--
ture. Pagar em —, payer en espece, en. der
r6es, en nature. Pagar em boa —, payer en
espöces, en pieces de monnaie. Especies, pl.
(#. de mus.) differents tons qui entrent dans
une pitce de musique. — 0u — 8 es,
(1. de lithurg.) espoces sacramenlales : appa-
rences du pain et du vin apres la eonsepration.
(1. de pharm.) Especes, poudres composees.
Espzcıtiro, 8. m. &picier : qui vond des
öpices.
Esprcımicagiö, s. f. specification : expressian
et determination des choses particulieres en .es
specilant.
EspEcırIcADAMENTE, adv. speciiguemens :
d’une manidre specifique ot particuliere,
547
548 ESP
EspecırickDO, A, pP. p. d’Especificar.
Esp£ciricamente. V. Especihcddamente.
ESPECIFICAR,, ®. a. specifler, particulariser;
exprimer en detail; determiner en particulier.
Marquer, constituer l’espece d’une chose.
Esrecirco, A, adj. specifique : prFopre spc-
cialement & une chose (remede, elc.). Qui ınar-
que, constitue l’espece d’une chose. Peso —,
pesanteur specilique d’un corps, son poids
eompare & celui d’un &gal volume d’eau.
Espe£cirico, s. m. (l. de med.) specifique : me-
dicament dont l’eflet est certain dans un cas
donne.
ESPRCIÖSAMENTE , adv. spöcieusement: d’une
manidre specieuse.
Espzcıosıpäne, 6. f. perlection ; beaute, belle
apparence.
Especiosissımo, A, adj. sup. de -
Esrecı6s0,, a, adj. beau, precieux, parfait.
(Ag.) Specieux : qui a une apparence de verite
et de justice (raison, preiexie, motif‘).
EsrecräcuLo, s. m. spectacle: toul ce qui
attire les regards, l’allenlion; reprösentalion
theätrale,, cer&monie publique.
EsPECTADOR, 3. m. specialeur : t&moin ocu-
laire; qui assiste au spectacle; (fig.) celui qui
regarde, observe sans agir.
Espactativa,s.f. expeclalive: espoir de suc-
ceder dans un benelice apres la mort du beneli-
dier ;espoir d'’oblenir un emploi, une gräce, elc.
t EspectäveL, adj. qui ımerile d'eire vu, ob-
serv6, conteinple.
Esr£ctno, 8. m. specire, fantöme; figure
fentasliyque; ( Ag.) personne häve et maigre.
EsrscuLacäö, 8. f. sp6culation : action de
speculer en general; (4. de comm.) calculs,
combinaisons commerciales.
EsreEcuLA0o, A, pP. p. d’Especular.
ESPECULADOR, 8. m. speculaleur : qui sp6-
cule; observaleur; (4. de comm.) qui lalı des
speculations, des combinaisons commerciales.
EspscuLin, v. a. speculer : observer curieu-
sement; ezaminer, subtiliser.
EspecvLia (em), v. m. (8. de comm.) sp6culer
sur: [aire des speculations. (sobre) —, medi-
ter, rellechir attentivemens sur quelque chose ;
faire des projeis, des raisonnements sur les
matiöres poliliques, cominerciales, etc.
EspscuLarta. V. Catöpirica.
EsrzcuLativa, 8. f. speculative : science qui
w’arreta A la speculation. Faculis speculative.
EsPECOLATIVAMENTE, ade. avec altenlion,
soin, application , spöculation ; theoriquement.
EsPpEcULATiVo, A, adj. speculatif: qui a cou-
4ume de spe6euler ; qui est l’objet de la specula-
«ion ; qui s’arrete & la speculalion: Theorique.
EsptcuLo, s.m. speculum, instrument de
ehirurgie.
EspepaciDo, A, adj. *pars, repandu, dis-
perse; interrompu, non suivi. p. p. d’Espe-
depar
r
Kepanagin, etc. V. Despedapdr „ etc.
Esranıziö, &. f. V. Espedimento or Exps-
a LL— es, ee: a a ame m EEE EEE EEE ET En Em)
-]
ESP
Espenioa, 8. f. V. Espedimento.
Espepipausnıe. V. Expedilamtnie.
Esrepino, A, P. p. d’Espedir.
“ Esrepim&nto, 8. m. action de prendre
conge.
"Espepir, vo... V. Expedir, Despedir, R:-
pellir.
° EspEDIR-SE, v.r. prendre conge. — dal-
quem, d’alguma cousa , se d6barrasser de quel-
qu’un,, de quelque those.
EsPEDRECADO, A, 9. p. de
+ EspeoxeEcäin, 0. 0. (td. d’agr.) epierrer:dlet
les pierres, les gravois d’une terre.
* ESPEITANENTO. V. Despeilamento.
* Espeıtar , etc. V. Despeilar, etc.
EspeLBiDO, A, p. p. de
EsreLuir, 0. a. nottoyer, polir, &cleireit.
'EsPgLnin-sR, v. r. se mirer, so regarder
dans une glace, dans une chose qui rend Fims-
ge. — em alguem,, (fig.) se mirer, se complaire
dans les actions de quelqu’un ow dans se
qualites, les voir avec un grand plaisir.
+ EsreLuim, 8. m. gypse : pierre calcaire,
transparente, calcinable.
EspELuingu, s. m. dim. de
Esp£iu0, s. m. miroir : glace de verre; m&
tal, surface polie, unie, qui rend les image.
(Ag.) Objet qui sert de document moral, da-
verlissement; modele , eremple. — wslöri.
mireir ardent, qui enflamme , qui brül.
grande , trumeau. — de „ miroi
de toilette. — de corpo inleiro, grand #eran,
miroir, glace oü l’on peut se voir en enlel-
—da fechadüura, plaque d’une serrure. — de
frontispicio d’igreja, rosace ou roson de froi-
tispice d’eglise. — d’uma guilarre, eic., 7050:
trou rond d’un instrument & cordes. Limp
COMO um —, nel comme une porle, esireme
ment net. Näo ha melhor — que o amigo velke,
(prov.) le meilleur miroir de l’homme c'est
Y’ami Adele.
Esp£Lra, s. f. &paulre, grande &pautre:sort®
de froıment & grain menu (Iriticum spelle).
EspeELinca, s. f. spelonque, anire, carerüß.
EsrinpA, s. f. partie d’une selle sur Jaquelle
s’appuie la cuisse.
EspEnıcaR-SE, etc. V. Espinicar-se, el.
EspEnirae, 3. m. sorle de jeu de carie3.
Esp£quz , s. m. ötsi, etangon. Levier de
manmuvre dont les artilleurs se servent pOuF
mettre les pidces en batterie ; sur les vaisseaul
de guerre senomme anspect. — para dar coche
a um cabo, barre & tressillonner. —de bolinel,
barres de virevesu.
Espgquzän, etc. V. Es .
Espina, 5. f. attente : eat de colui gai dt
tend; esperance. ° Delai accord6 en Justice:
rejet, sursdance , reläche. Guet-apens, eD-
büche. (art. ei vieu.r) Sorte de canon. Sphere.
Aspre,monnaie du Lerant. Esiar a— d’algue®h
atiendre apr&s quelqu’un ; &tre & l’alüt &
uelqu’un. Dedra de —, pierre d’atienie.
* Esperaciö,. V. Esperanga.
* Espurana. V. Espera
ESP
EsperipaMünTe ‚ade. (P. us.) avec espair.
erl00, A, pP. p. d’Esperar. adj. Espere,
attendu, desire. Ndo —, imprevu, inopine,
ä quoi l’on ne s’attendait pas.
tTEsperRADOR, A, adj. et s. quiattend, qui
re.
t'’Esperius, s.m. sorte de meuble ancien.
Bersninca, 8. f. esperance : vertu theolo-
gale, espoir du paradis; attente d'un bien qu’on
desire et qui paralt devoir arriver; espoir;
etro de qui Fon espöre. On le dit aussi au plu-
riel. ou dncora de —, ancre d’esperance.
Alimentär-se de —s, vivre, se nourrir d’espe-
rance. Dar —s, donner de bonnes nouvelles,
faireentendre qu’on obtiendra ce qu’on desire.
Sujeilo de —s, personne qui promet, qui an-
nonce des bonnes qualitl&s. Este mancebo dd
grandes —s, ce jeune homme promet beau-
coop. Estar, andar de—s, etre enceinte.
Espzaancin0,A,Pp. p. do
Espsnancär, v. a. donner de l’esperance, la
faire concevoir.
Espsrancän-sE (em), vo. r. metlre tout son
espoir, toute sa conflance En...
Espznanc6sO, A, adj. plein d’esperance,
anim6 d’espoir.
EspsainTE, adj. 2 gen. (p. us.) qui espere.
».0.de j
Espzrin, 9. @. esperer : avoir esperance;
etre dans P’attente d’un bien. Altendre : 6tre
dans lalleute de quelqu’un, de quelque chose,
meme de ce qu’on ne desire pas ou qu’on
eraini, comme la mort, la fiövre, eic. Sem
mais —, sur-le-chaıup,, sans plus tarder. Nin-
guem esperava lal, personne ne s’attendait &
cela, ou ne s’y atiendait.
Esrgair (por), v.n. attendre aprös, Eire
dans l’altenie de. Esperer : @tre daus l’attente
dun bien. — em alguem,, avoir conflance en
quelgu’un. — pela divida, proroger, atiendre
le payement d’une detie. E’ muilo d’— que, il
yatout A esperer que... Quando menos se es-
peravs, au moment oü on s’y atiendait le
moins.
EsrERAR-SK, d. r. &tre altendu; ©tre espere.
G-se uma grande esquadra, une grande
fotte est attendue. Zspera-se que haja guerra,
on s’attend A avoir la guerre. Espera-se qua
indo se arranjard amigavelmente, on espere,
ouil yalieu d’esperer que tout s’arrangera ä
Yamiable. Esperdo-se grandes aconlecimenios,
on s’attend & de grands &venements.
Esrgau ver. V. Esparavel.
+ EspanävgL, adj. 2 gen. (pP. us.) qu’on peut
esptrer.
ESPRRDICÄDAMÄNTE , adv, avec profu»ion;
€tperdument.
EsrenpıcADo, A, 9. P. d’Esperdigar. adj.
Prodigue, dissip6. Favori.
EspsapicaDOR, A, #8. dissipaleur, prouigue,
depensier.
Espenpigam£nto. V. Desperdicio.
Espenpigan, v. a. dissiper, prodiguer; ruiner.
0 {6mpo, perdre son temps. V. Desperdigar.
ESP 549
Bermapicin-se, v.r. — por. alguem „aimer
quelqu’un eperdument.. '
* Espennıco. V. Desperdicio.
Esperrcer. V. Perecer.
Espenzcir-se: V. Consumir-se.
EspERIMENTo. V. Experimenio.
Esrensurir. V. Perjurar.
EspErmaA, s. m. (f. de med.) sperme: semenoe
dont P’animal est engendre. .
ESPERMACETE 0% —CETI, 5. m. sperma-cäli :
blanc do baleine ; huile blanchbe et conordte da
cräne et de l’Epine du dos du cachalat. .
. EspERMÄTICO, A, adj. spermalique : do la
semence.
. Espenuartızin. V. Fecundar. '
+ Esrenumartoceue, 8. f. (l. de chir.) sperma-
tocdle : fausse hernie; tumeur causte par l’en-
flure des vaisseaux spermatiques.
TESPEANATOLOGIA, 5.f. spermatologie: trait
sur la semence.
EspERNEÄDO, A, 9. pP. de
EspErnzÄn, v. n. gigotter, Femuer sans 00586
les jambes; regimber. it. V. Esparregar.
EsPEnNEÄrR-sE, v. r. s’e6tendre tout de son
long les jambes &carquillees. "
Espernecino, A, adj. de jambes &carguli-
l&es. p. p. de
Esrennzcin, etc. V. Espernear, Esparre-
gar,etc. j
EsrerTino, A, p. p. d’Esperter.
ESPERTADOÖR, 3. m. celui qui eveillo, V. Dew-
pertador. (fig.) V. Excitadör, Estimulo.
EspBnTanüra, 8. f. separalion du hswt du
toupet, raie. Glabelle : espace sans poil entre
les sourecils.
Esp#gtaMänte, adv. gaillardement; avcc
vivaciie.
+ EsrERTAM£NTO, s. m. action d’eveiller, de
töveiller.
Espertär, dv. a. Eveiller, röveiller. V. Jes-
far. Aviver, exciter; stimuler. Redres.:_«
(une pidce de bois).
EsrerTtän-sE, dv. r. s’exciler, se slimuler,\9
diligenter.
EspertßzaA, 3. f. vivacit&, promptitude;
nesse, adresse, esprit. — d’engenho, pencira
tion d’esprit.
EsPERTINHO, A, adj. dim. d’Esperto, dont n
augmente la force.
EspernTo, A, adj. eveille, gai, vif, actif, dis-
pos , delibere. df.— ‚ou esperlado, \t.de charp.)
redress6, parlant d’une piece de bois.
EsSPESCOGADO, A, 9. p. de
EsrzscocÄia, v. a. (f. d’agr.) böcher la terre
loin des ceps de vigne, etc.
Espzsınnäpo, A, adj. maltraite. p. p. de
Esresınnik, v. a. fouler aux pieds. (fg.)
Maltraiter, möpriser, opprimer, vexer.
Espassäpo, A, P. p. d’Espessar.
Espässamente, adv. kpais: aveo Epaisseur;
dru, en grande quaniit& et fort rapproche.
EspsssiR, d. a. epaissir : rendre une liqueu
plus 6paisse. Serrer, presser, parlaut destix
sus, elc. Condenser.
550 ESP
Espessin-sE, v. r. s’epaissir, se serrer, so
presser ; se condenser.
EspzssınAö,s.f. " epaississement; €paisseur,
densite.
Espussissımo,, A, adj. sup. de
Esr£sso, a, adj. &pais : qui prend une con-
sistance moins claire, plus ferme; touflu, dru,
serr6. Frequent, assidu , reilere.
Eseussüra, s. f. &paisseur, densits (de Yair,
des liquides); touffe, profondeur d’un bois,
des cheveux, etc. — da noile, tentbres &pais-
ves de la nuit.
Esprripa, s. f. coup de broche; brochse,
Brochelie.
EsrErino, A ‚p. p. d’Espetar. adj. (Ag.burl.)
Raide. V. Empertigado.
Esrzrid, s. m. orochet de fondeur pour re-
irer du feu les ereusets.
Esrzrirn,o.a. metire Ala broche, embro-
cher. Embrocher quelqu’un, lui passer une
€pee, eic., au travers du oorps ; percor de part
en part, traverser, enflier. ii. V. Empelar.
Espetän-se (em), v. r. s’enßler, s’enlerrer,
se Jeter sur le fer, (lg.) se nuire & soi-meme,
par ses paroles, ses aclions; se contredire, so
couper.
EsPETInBO, s. m. dim. de
EspeTO, s. m.* broche : verge de fer pointue
pour embrocher et faire rötir la viande; 00 gai
en a la forme ; tige salllante, etc. Andar com o
eg tourner la broche.
SPEVILAR, ©fc. .
EspavıTan, eic. | V. Espiv..., ete.
Esrezisnino, A, adj. souille, sali, enduit de
poix. Mortifi6, chagrine. p. p. de
Esrezınnäin, 9.4. poisser, enduire de polx.
(Ag.) Mortifter, faire souflrir, tourmenter, per-
secuter. V. Espesinhar.
EspuacgLino, A, adj. sphacel6 : attagnd de
sphacele. p. p. de
t EsruaceLän-se, v.r.(t. de mdd.) sphact-
ler : se corrompre par inflammation.
Esrnackıo, 8. m. (f. de med.) sphacdle : mor-
tüflcation enliere d’une partie du corps.
Espuera,s. f. (6. de geom.) sphere, globe:
corps solide et rond ; le ciel, sa representation
en relief, avec des cercles, etc., o@ sur le pa-
pier; disposition du ciel; (4. d’astr.) les pre-
miers principes de l’astronomie appris sur la
sphöre; espace du cours d’une plandte; (Ag.)
etendue de pouvolr, de connaissances, de
moyens, d’6tat, de rondition, etc. Ancienne
ınonnaic d’or portugaise du rögne deD. Emma-
nuel. Sorte d’ancien canon.
Espueräu. V. Espherieo.
Esrußnıcamente, adr. spheriquement : d’une
maniere spherique.
Esrnericıpäpg, #. f. sphericils : qualit6 de
ce qui est spherique.
Espn£rıco, a, adj. spherique : en globe, et
forme de globe; de la sphere. 'ant.)Qui connalt,
qui sait la sphere.
t Espnenivios,s.m. pl. V. Spheridios.
ESP
+ Esveiznıst@nıo, 8. m. (f. Dani.) epheri-
stere : lien destind an jeu de la paume.
Esrnerormär, adj. 2 gen. spheroldal : quia
rapport au spherolde, qui en a 1a forme.
Espuenöine, s. m. (4. de geom.) * spheroide:
corps qui approche du globe.
Espteroldeo, a. V. Espkherotdal.
+ Esruenomachia , s. f. sphöromachne : eser-
eice du balion, de la paume.
+ Espuenöuerao, 3. m. (8. d’opt.) sphero-
meötre : instrument pour meösurer la oourbare
des verres.
Espnincren, #. m. (8. d’anat.) sphimeer:
muscle en anneaux qui resserre on ferme Ya-
nus, la vessie.
Esrnince, s. f. * sphinx : monstre labulewr.
(t. de seulp.) —, buste de femme sur le corps
“un lion. V. Spkine.
+ EsPHONDYLE ou —DTLio. 7. Canabräz.
Espuynena, s. fı (8. hist. nal.) sphyrene,
poisson ; le marteau.
Espia, s. f. * espion : celui qui @pte, qui ob-
serve pour rapporter; mouche, mouchatd.
Sentinelle. V. Alalaia. (1. de mar.) Corde, cäbke
de grue; toude. Ndo de —, (dd.) valsseau d’ob-
servation. —s da cäbrea, (id.) haubans d’une
bigue.
Espıino, A, P. p. d’Espiar. adj. (1. de mar.)
soutenu par des cAbles.
EsPıanOn, 8. m. espion, espiewnenr.
Esrıi6,s. m. V. Espia.
Esrıäin, v. a. &pier, guetter, observer les ac-
tions, @tre attentil a. V. Espreiter. (t. de mar.)
Remettre ä& flot un navire &eboue; touer. — #
röca, achever sa quenouille ; terıniner sa bese-
gene, sa täche. — os desenhos d’alguem , sonder
quelqu’un.
Espicacino, A,Pp.p. de
Esricacäir, 0. a. becqueter, percer, oribler.
( Ag.) Dechirer, calomnier.
Esricanärpo, 5. m. spicanard : nard Indien,
plante medicinale. V. Espieinardo.
Esricna ,s. f. (1. pop.) enfilee, enfllade, or»
cheite (de petits poissons,, d’oiseaux). — d’ums
vela, (1. de mar.) livarde d’une volle, baleston
d’une voile.
EsricHiv0,A,P.p. de
EsPicHÄr, v. a. percer, enfiler, traverser ar
un instrument pointu. Mettre un fausset, une
eannelle & un tonneau.
EsricHo, s. m. robinet, fansset; brochette de
bois; canette, cannelle. (deri.) Homme tr&s
maigre.
EspiciLftio, s. m. spicilöge: eolleetion de
pitces; recueil d’actes.
+ Esricınänpo, s. m. (l. de bot.) — edilico,
nard celtique. — indico, nard indien. — de
reino , lavande. V. Alfazdma.
+ EsrıcuLir. V. Adelgarar, Agepar.
+ EsricuLo. V. Ferrdö, Ponta.
" Esrino. V. Despido.
Esrica, s. f. * &pi : tEie da tayau de bie, elc.
Sole de l’&p&e. * Tenon : ce qui entre dans une
mortaise, Pointe: petit clon sans iöte. V. Br
ESP
pigdd. — das unhas, envie do la peau des on-
gles. — de Virgo ou da Firgem, (1.d’asir.) epi
de la Vierge, 6toile.— moucha, cpi sans barbe.
EspıcäDo, adj. Epie, monie en &pi, qui a
beaucoup grandi. (fig.) Grand, de haute taille,
en parlant d’un jeune homme.
+Espıcäus, s. m. glanement : action de gla-
ner.
EsrıcAö, s. m. aug. d’Espiga. Faltage, falte;
arc-boutant. Bout, pointe d’une tige, etc.
"Pointe de quelque corps piquant. "Pointe de
socher ; sonfmet pelö d’une montagne. Grande
envie de la peau des ongles. — de ferro em
que gira o calavenio, (I. de mar.) bäton de gi-
roudiie, verge ou fer de girouelte. — do pe-
dreiro, (id.) chandelier du pierrier. — dos
dacamartes , (id.) chandelier des espingoles.
Espıcän, v.a. etn. &pier : monter en Epi. (fg.)
Grandir : devenir grand, croitre en hauteur.
+EsrictLia, s. f. (t. de bot.) spigele ou spige-
lie : plante gentiande.
TEspıc6so, A, adj. (4. de bot.‘ qui porte des
tpis; qui a la forme d’un &Epi.
t Esricußra, 8. f. (4. de bot.) petit &pi.
Espıcußto, s. m. (1. de mus.) son tres-aigu,
dans Porgue.
Esrı@yiLBa , s. f. °galon &troit; sorle de ru-
han liss6 en forme d’epi; dentelle fort dtroite;
bord d’une dentelle, etc.; petit feston sur le
bord d’une denielle.
EsrisyuıLuipo, A,p.p. de
EszicviLuäß, v. a. garnir d’espigwilke,. V. ce
mot.
Esris. V. Uva espim.
Esprnäcio ou * epinard : herbage que
Espinärag, 5. m. l’on mange cuit: laxatif.
+ Esrınga,, s. [. action de pincer le drap.
t Esrıngär, v. a. pincer, pincetter le drap.
EsrinßL, s.ı. ow } spinelle: rubisd’un rouge
EspintıLa, s. f. )päle. it. (imus.) Dizain:
piece de dix vers, ainsi nommee de Vincent
Spinel gai en fut l'inventeur. V. Decima.
T Esrınzscıno, A,.adj. (#. de bof.) €pineux:
qui a des &pines; en forme d’6pine.
Espintra, s. [. epinette : ancien instrument &
clavier et & cordes, petit clavecin.
Esriıncaapa, s. f. "fusil : arme & feu A tube
et briquet & ressort. — de dous canos, fusil &
double canon.
Esrıncanpina, 8. f. eoup de fusil.
Espıncanpiö, 8. m. aug. d’Espingarda.
Grande arquebuse ancienne ; espingard,, petite
piece d’artillerie.
Esrıngarpania, s. f. quantits de fasils;
troupe de fusiliers; salvo de mousqueterie.
ESPInGARDEÄIDO, A, P. p. de
Esprıncanpaia, ©. a. fusiller, passer par les
arınes.
Espıncanpkına, s. f. menrtriere : ouverlure
dans un mur pour tirer aveo l’espingard.
EsPINGARDEIRO , 8. m. arınurier: ouvrier qui
fait des armes & feu. Arquebusier ( p. us.).
Esrıncaapinna, s. [.dim. d’Espingarda.
Esrinna, s. f. areie de poisson. Epine: pi-
ESP 551
quant, Corps algu et adherent ä la plante ; ver«
wbres du dos. V. Espinhage. (Ag.) Scrupule,
ombrage,, soupgon ; dificulie, obstacie , peine,
— carnal, e&chauboulure, bube qui vient sur la
poau. Ter — com alguem, eire brouille evec
quelqu’un. Tirar a — da gargania a alguem,
(Ag. fam.) delivrer quelqu’un d’un danger,
d’un grand eınbarras, etc. Estdär na—, (fig.
fam.) etre extremement maigre, faible, abattu.
it. Eire tr&s-pauvre.
Esrınnico, s. m. *&pine dorsale, vertöbres
du dos. (fig.) Chalne de montagnes. — das fo-
Ihas,, ( t. de bot.) rachis des feuilles. Estär no
—.V. Estär na espinha.
Esrınnino, A, p. p. d’Espinhar. adj. Pique,
offense ; formalise, irrite.
Esrınmir, s. m. lieu plants d’pines, de
broussailles , hallier.
EsrınHäu, adj. 2 gen. (1. d’anat.) spinal:
qui sppartient a l’&pine du dos.
Esrınuir, ©. a. piquer avee des &pines;
blesser. (Ag.) Irriter, provoquer; blesser, of-
fenser, piquer.
Esrinuän-SE, ©. 7. se piquer, se forınaliser.
EsrınariırarL. V. Espinhal.
f Esrınutıno, 8. m. (t. de bot.) paliure,
porte-chapeau,, Epine-de-Christ, argalou de
Provence: esp&ce de nerprun, arbrisseau des
haies. — alvar, * aubepine, noble-#pine, &pine
blanche, senellier. — cambra ou certal, ner-
prun purgatif ordinaire, bourg-£pine.
Espinn£La, s. f. * brechet, extr&mite inle-
rieure du sternum.
Esrinno, s. m." &pine : piquant, corps aigu
et adherent & la plante. —s, pl. (flg.) &pines,
empechements,, embarras, obstacles, dilficul-
tes; chose tres-penible; chagrins, inquietudes.
Andar, estar sobre —s, @tre sur les &pines,
dans de grandes inquietudes. — corlicaes , (8.
de bot.) V. Aculeos. Juem abrölhos semtia —s
cölhe, (prov.) qui seme des chardons recueille
des €pines.
Esrınuöso, A, adj. &pineux: qui a des &pi-
nes. (flg.) Plein de difficult6s, d’obstacies
(chose, affaire, question, etc.); incommode,
fächeux.
Esrpınicino, A,p.p. de
+ Espinicär-sE, v. r. (ant.) avoir trop de re-
cherche dans sa mise, dans ses parures.
Esrınierar. V. Alaviar.
+ Esrınosismo,, s. m. spinosisme : doctrine
de Spinosa. Pantheisme.
+Espinosista, s. m. spinosiste ı partisan du
spinosisme.
+ EspinuLa, a. f. sorte d’6pingle usitde dans
les ornements des &v&ques,.
EspıoLninpoO, A, 9.9. de
EspıoLmir, v9. @. €pouiller, öter les pour.
(Ag.) Eptucher.
Esriour, s. m. (1. de bot.)" Resine du spica-
nard. V. Salgadeira. (id.) Souche; pedicule,
tige des champignons. .
f Esrıovurino, 1. adj. (tl. de bot.) pedieule:
porte par un pedicule ‚stipilalus .
552 ESP
" Espin. V. Despir.
Esrira,s. f. spire, spirale, helice; une des
revolutions de la spirale ; &crou d’une vis.
Esrıiaagäd. V. Inspiragdö.
EsrıräctLo, s.m. soupirail. *Haleine, respi-
ration (p. ws.). V. Spiraculo.
Esrıräoo. V. Inspirddo.
EspıräL, adj. 2 gen. spiral, en spirale. s. f-
(1. de geom.) Spirale : ligne courbe autour d’un
eylindre, d’un cOne, etc.
+ EspiniLmänte,, adv. en spirale, en forme
spirale.
EsPinÄnte, adj. 2 ger. qui respire, qui in-
spire, qui exhale. V. E.rpiranie.
Espıirän, v.a. exhaler, repaudre une bonne
ou mauvaise odeur. Inspirer. it. V. Respirar
et Expirer. (1. de iheel.) Produire par inspira-
tion , en parlant de la maniere dont le Pere et
le Fils produisent le Saint-Esprit.
+ Espırativo, a, adj. (4. de Ihdol.) qui peut
produire par inspiration.
EspırıTano, A, adj. possede du demon.(fg.)
Agite, irrit6, possede; endiable. p. p. de
* Espınıtär, ©. 0. faire entrer le diable dans
le corps de quelqu’un. (fig.) Agiler, irriter,
faire donner au diable. it. (p. us.) V. Inspirar.
Espirıto, s. m. esprit: substance Incorpo-
velle; ange; Ame de l’'homme; verlu; puis-
sance surnaturelle qui opere dans l’äıne; grä-
ces et donsde Dieu,, son inspiration ‚ revenant;
Nluide trös-subtil; vapeur tres-volalile; vent
subiil, soufle. Principe de la vie et du senti-
ment dans le corps de l’animal; esprils vılaux.
.‘6g.) Courage, bravoure, valeur; energie,
-sarce, ardeur. (id.) —, faculie, facilite d'ima-
giner, de concevoir; jugement, intelligence,
facultes de l’äme raisonnable; disposition ‚ ten-
dance, desir secrei; humeur, caraclere; lacon
de pensor ;ınotif, senliment interieur yuı faıı
agir; intenlion; principe, conduile, maniere
d’agir, de voir, but; sens d’une phrase, d’un
. auteur, Se8 OPINIONS, son CAraclöre; ses, in-
tention, but d’une loi, elc.— de coniradigdo,
esprit de contradiction : persuline toujours dis-
poseo A conlrarier. — maligno, esprit malin,
le demon. — Santo, Saint-Esprit : troisidıne
personne de la sainte Trinite. — vital, esprit
vital : substance extreineient subtile que I’on
vonsidere comme necessaire & la vie. Homem
de — , home de c@ur, de resolution; intelli-
gent, spirituel. — de vinho, esprit de vin : al-
cohol, liqueur extraite des substances qui ont
subi la ferıuentatlion vineuse. Dar —, ani-
mer, donner de l’expression. Verem —, ima-
giner, phantasıer; prevoir, prophetiser; con-
jecturer. Ter —, @ire possede du demon. —s,
pl. esprits, parties volaliles des Corps. — anı-
mdes , espriis animaux : substance d’oü sont
censes proceder les mouvements des Corps.
Longar os —, exorciser, conjurer les malins
esprils. Levaniar 08 —, encourager, inspirer
du courage. — celestes, les anges, les bien-
beureux. — immundos, malignos, das Ireras,
les demons,
ESP
Esriartöso. V. Espirisuose.
+ Espinituäpo ‚A, adj. (p. us.) plein d’esprit,
spirituel.
Esriaıtuir, adj. 2gem. spirituel, incorporel;
qui est esprit; qui regarde l’ame, Pinierieur
de la conscience; fait en esprit; Poppos€ de
litteral, de corporel, detemporel. Homem —,
homme adonne aux choses spirituelles. Padre
— , pere spirituel: le confesseur, directear de
conscience.
EsPIRtTUALIDÄDE,, 5. f., spirilaalil€ : Poppose
de materialite; qualit de ce qui est esprit;
(heologie mystique qui regarde la nature de
!’äme, la vie interieure; delachement du mon-
de; meditatıon des choses spirituelles. Qualite
d’une personne ou d’une chose eppartenant ä
l’Eglise.
+ EspiRITUALISMO, 5. m. spiritualisıme : dor-
trine de la spiritualite; science philosophique
opposee au mat£rialisıne.
+ EsPpiRituALista, 3. m. spiritusliste : parti-
san de la spiritualit®, du spiritualisme.
EsrirituaLizagäö, 8. f- (1. de chim.) spiritua-
!isation : reduction des corps solides ou li-
quides en esprit.
EsPißittaLızano, A, P. p. de
EspiniTualizan, ©. a. rendre spirituel au
moyen de la gräce, de la piete. Spiritualiser :
donner & la matiere les qualites de l’esprit,
donner un sens pieux, spiritualiste; (8. dechims.)
extraire les esprits des corps mixtes ; reduire
un corps en esprit. Reanimer, exciter le mou-
vement des esprits vilaux au moyen des bois-
sons spiritueuses.
ESPIRITUALIZAR-SE, ©. Tr. se Spiritualiser :
acquerir de l’esprit; se detacher de la matiere.
Se ranimer en buvant des esprits, ou par l’el-
(et de quelque influence morsale.
ESPIRITUALMENTE ‚ade. spirituellernent: avec
esprit; en esprit.
+ Espiastuusauante, ade. spirituellement,
avec esprit. Courageusement.
Espinitcöso,, A, adj. spiritueux : qui a beau-
coup d’alcohol,, d’esprits, de parties volatiles.
Spirituel, ingenieux; qui a de l’esprit, beau-
coup d’esprit. Courageux, brave, plein de feu.
EsPinRA-CANIVETES, 8. 2 gen. ( t. burl.) cole-
rique, irritable , susceptible, qui se fäche aise-
ment. .
+ Esrınnantina, s. f. (4. de bot.) achillee
sternulaloire. (cuig.) Herbe ä öternuer, piar-
mique, pyreöthre bätard.
Esrınräno,A,p. p. d’Espirrer.
Fspinrapör,, s. m.celui qui elernue souvenl.
Espinnär, v. 9. elernuer : faire un e&iernu-
ment. Eclater, petiller (au feu): il est aussi
actif dans cette acception. (. bueri.; Disputer,
s’emporter. Fazer —, faire sortir & la bäte de
quelque part. — para 0 cdo, aboyer & la lune,
crier inutilement contre quelqu’un.
ESPirnRO, 5. m. &lernument : mouvemen! Su
bit et convulsif des muscies qui servent ä Pex-
piration, cause par un pioolement aux narino6.
Dar um —, faire un eternument,
ESP
ESP 553
+Esrfauza, 5. f. (1. P’hist. nat.) spirale:« Ysrozıin (de), v. 6. spolier: d6possöder par
mollosque d coquille en spirale,.
* Essırar. V. Hospital.
+ Essırıräpauentg, adv. trös-dislinctement,
ıvec beaucoup de nette.
+ Espivırantıra, s. f. mouchettes: ciseaux
ä peit coffre pour moucher une chandelle, etc.
Esrıvitäpo, A, adj. afleci& (langage); affilee
[langue'. 9. 9. de
Esrıvıräa, ©. a. moucher le lumignon d’une
chsndelle. — as palauras, prononcer trös-dis-
tmetement.
Espıvıtän-sg , v. r. parler aveo volubilit6 et
arec une certaine affeelation.
Esprasioa,, 8. f. (4. de fort.) esplanade : lieu
aplsai derant les fortıflcations ; parapet du che-
Bin convert.
Eauınia. V. Explanar.
' ENPLANDECNTE. V. Brilhonte, Resplande-
cenie.
"EspLanpecke. V. Resplandecer‘.
fEsrıenaLcia, eie. V. Spienalgıs, etc.
EspLENDENTE, adj. 2 gen. resplendissant,
brillant,
EsPLENDER ow
ESPLENDECER. | V. Resplandecer.
EssLänpinamänte, ade. splendidement :
dune maniere splendide.
ErrLenninez ou —za , s. f.splendeur,pompe,
magnifcence,
Espuexpinissimo, A, ady. sup. de
Espuexoımo, A, adj. splendide, magnifique,
2mptueaz. Brillant, eclatant
ExrLespon, s. m. "splendeur, clarte, eclat;
somptuosite. —, grand eclat d’honneur, de
"oe,
EspLäsıco, V. Splenico.
: Estoao, A, pP. p. de
Ri Estoar, ©. G. ressasser : sasser de nou-
au.
t Espöpıo, .m. spode ow tutie, zinc calcine;
erde de zine. Ivoire brüle. — ow antispode,
fendres de roseaux d’Arabie.
"Espogcgaıo. V. y) lieu oü les beles se vau-
EsP6ckıno , 8. m. } irent, se roulent.
EıröJano, A, p. p. de Espojar-se.
Eırdsapöuao. V. Espogeiro.
EspsJapöra, 3. f. action de se vautrer.
ExsP6JAR-SE, ©. r. se vaulrer, so rouler dans
L poussiere, en parlant des beles. — com riso,
‚89. fam.) crever, se pämer de rire. — pela
" sie (Ag. burl.) faire des vers en me&prisant
ve les regles de la poesie.
ksroL£ra ,s. f. fusee de bombe. (1. de mar.)
Eoupille,
+ EssoL&ro,, s. m. (t.de geog.) Spolete: belle
le de !’Etat Papal.
EspoLiacaö, s. f. spoliation : action de spo-
":;objet spolie.
EspoLıäDo, A, 9. P. d’Espoliar.
EspoLıapOn, A, 5. spoliateur : qui depouille,
14: vole,
Espouusurg, V. Bepoliador. p. a. d’Espo-
r.
sa
fraude, par violence.
EspnLiarivamente, ado. par spoliation.
u + EspoLiarıvo, A, adj. qui contient spolia-
on.
EsröLio, s. w. * depoullle, defrogue, colie-
morte d’un moine, d’un eveque; mobilier qu’&
laisse a sa mort. if. V. Despojo.
t Esronciß, v. a. (8. de mar.) essarder : s6-
cher, nettoyer un lieu humide.
Esponpäico, A, adj. spondaique : Compos®
de spondees.
+ EsponpiLio ou —piuLio, s.m. (f. Pant.)
vers qu’on chäntait durant les sacrifices.
+ EsponpäiuLss, s. m. (1. d’ant.) joueur de
Düte qui accompagnait certains vers chanles
durant les sacrifices.
Esroxp£o, adj. m. ou s. spondee : pied de
vers compose& de deux syllabes longucs.
EsronpiL 0% (t. d’anat.) spondyle,
. EsponvıLLo ,s. m. vertebre.
EsponnrLio ($. de bot.). V. Esphondylio.
Esponcı0so. V. Esponjoso.
Esrönsa, s. f. eponge: substance fibreuse
qui se trouve dans la mer, volumineuse, l&-
gere, molle, elastique, irds-poreuse, ouvrage
de polypes. ( ig.) Sangsue : personne qui attlire
adroitement & sol tout le bien, l’argent d’un
autre. Fleur jaune trös-odorante de l’acacie de
Farnese. V. Cochia.
Esponsa ou Esronskına FarnEsıa, 8. f. (td. de
Bot.) acacie de Farnese.
Esrons6so, A, adj. spongieux : de la nature
de l’öponge.
Esponsies,s.m. pl. y "angailles : pro-
EsronsiLıas, s. f. pl. ) messe de mariage
en presence d’an pretre. .
EsronsaLicıo, A, adj. qui appartient aux
Bancailles.
ESTONTÄNEAMENTE, ade.
d’une mianiere spontanee.
ESPONTANEIDÄDE, 8. f. spontaneite : qualits
de ce qui est spontane; consentement de la vo-
lonte. .
ESPONTÄNEO, A, adj. spontane : que !’on fait
volontairement; qui s’execute de soi-meme,
sans le secours de l’Ame (Imouvement); sans le
secours de l’art.
Esroxtäö, 8. m. esponton : demi-pique d’in-
fanterie.
Esrpöna, s. f. *&peron: branche de metal, ar-
mee de pointes, qui s’attache au talon pour pi-
quer le cheval. (Ag.) "Avis, aiguillon, stimulant,
Sentir a— ou dar pela—, ( fig.) senlir vive-
ment Pavis, la r&primande, ee. Mugo de — ou
d’esporas ‚ valet qui marche & pied & cöl& d’un
cheval. Dar de —s, piquer des deux : pousser
un cbeval en lui appliquant l’&peron des deux
cötes. Estar com as —s ou ler as sealcadas,
avoir le pied dans l’etrier ; &ire pres de partir;
( Ag.) ire prepare pour une affaire.
+ Esporatno, a, (8. de bot.) V. Hostrddo.
+ Esrontıaa, 8. Sf. (1. de bot.) dauphinelle
spontanement :
554 ESP
des bles, pied d’alouette sauvage, de:phinelle,
&peron de chevalier, consoude royale, herbe
Sainte-Othilie. — de Aiace , delphinelle des jar-
dins, pied d’alouelte des jardins.
Esrorida,s. f. coup d’eperon. (fig.) * Aiguil-
Ion, stimulant. (ant.) * Choc, escarmouche.
Esporiö, 3. m. eperon : ergot de coq; 0u-
vraxe termine en poinle, fait au dehors d’un
bätiment ou d’une muraille pour les soutenir;
forification en angle saillant. (6. de mar.) —,
pointe qui fait la proue d’une galere; — ou
poulaine, cap, avanlage, partie de l’avant du
Yaisseau en pointe. (1. d’hydr.) V. Talhamar.
Esp6rAs 0% — DE CAYALLEIRG, 8. f. pl. V.
Esporeira.
EsPoORRÄnO, A, pP. P. de
EspoRzÄrR, o. a. &peronner, donner de P’&pe-
ron. (g.) Animer, encourager, aiguillonner.
Espörta, s. f. * panier, cabas, corbeille.
EspönrtuLa, 8. f. olfrande en argent (faite &
an cur&, etc.); droits pecuniaires des juges et
autres ofliciers de justice. Le’ pourboire, retri-
bution.
EsrortuLipo,A,p. p. de
EsrortuLin, v.a. donner ow exiger l’espor-
iula. V. ce mot.
EsPORTULAR-SR, v. r. faire une offrande en
argent. V. Esportula. Donner un bon pour-
boire, une bonne gratification. Faire des ca-
deauz.
* Espös. V. Apös ou Apos.
Esrösa, s. f. fiancee : celle qui a fsit pro-
messe de mariage. Epouse : celle qui a &pous6
un homme. —s de Jesu Christo, Cpouses de
Jesus-Christ:: celles qui se sont voudes au celi-
bat par piete.
Esposino, a, adj. fance. p. p. de
Esrosir, v.a. fiancer, faire les fiangailles.
Epouser, prendre en mariage, pour feınme ou
pour mari. (fig.) S’attacher, s’unir intimement,
sallier. Il est aussi röciproque.
* Espösas, s. f. pl. menotles. V. Algemas.
Esr6s0, s. m. flance : celui qui a fait pro-
messe de mariage. Epoux : celui qui a Cpouss
une femme. O divino —, Jesus-Christ. —s, pl.
epoux : mari et femme conjoinis par le ma-
Fiage.
* Esposörno. V. Esposouro et Esposorio.
Esrosönıo, 8. m. V. Desposorios.
" Espos6uro, s. m. V. Desposorios. it. Don
que faissient les anciens rois de Portugal &
leurs domestiques & l’oocasion de leurs me-
riages.
EsposrsJino,A,p.p. de
EspostBsän, ©. a. lailler, couper en tran-
ches.
Espratino, a, 9. p. de Kspraiar.
t Essaulamento, s. m. action de se retirer,
en parlant de la mer; les bords, les rivages
qu’elle laisse A seo en se retirant.
Espralär, ©. @. jeter sur les rivages de la
mer. (fig.) Dilater, &tendre, röpandre; divertir.
—- suspiros, jeter des soupirs, soupirer. —
r@os, jeter, röpandre des rayons, Tayonner.
ESP
Espralin, 9.0. wmaruer : 50 rotirer, Inisser
& sec ses bords, en parlant de la mer; resier
sans eau, A sec, en parlant des rivages, dans
le reflux de la mer.
EspraiÄr-se, v. r. se d&border, sortir de son
lit et se röpandre sur les rivages, sur les bords,
en parlant de la mer, d’une riviöre. ( Ag.) S'e-
tendre sur une matliere; se repandre, se pro-
pager. (id.) Se divertir, se recreer, se distraire.
— um alguma maieris, s’tgayer par des di-
gressions, faire des digressions; raisonner,
parler, discourir amplement sur queigae ma-
tiöre. — wos lowvores d’alguem , louer, pröner
quelqu’un, parler de lui trop avaniageuse-
ment.
* Espranar. V. Explaner, Explicar.
Esprf.ıta, s. f. "aguet. Ester d —, in anı
agueıs. Ester d — d’elgusm, guelter quel-
qu’un.
Espreırioa, V. Bıpreita.
Esrasırino, A, 9. p. d’Espreiler.
ESPREITADOR, 3. m. espion, gustleur; qui
aime & guetter.
* Espreıtanga. V. Espreila.
EsPpnEITÄNTE, adj. 2 gen. qui est aux aguels,
qui &pie, qui guette. Animal —, ($. de bei.)
animal gueliant, en position de guetter. p.®.
e
EsPREITÄR,, ©. a. €pier, espionner, guelkr.
(fig. —, gueller, attendre (l’occasion, et.).
Observer atientivement (la nalure, etc.).
+ ESPREMEDÖR, 8. m. presseur, qui presse.
EspremEDüna, 8. f. pression » action de
presser, ses effets. * Pressurage : action dt
pressurer au pressoir, son produit.
ESPREMER, ©. 6. pressurer, exprimer le jus,
epreindre. ( g.) —, €&puiser par des impi%.
des corvees (les peuples). (id.) Faire sortir de
larmes des yeux); faire pousser (des cris d«
douleur, des soupirs, etc.).
ESPREMER-SE, d. r. s’ellorcer pour jeler
excremenis.
EspnEsmiDo,A,P.p. d’Espremer.
Espreuipüra. V. Espremedura.
EsprRictiGgADO, A, pP. p. d’Espriguiger.
EsprictigaDöR, #. mM. * cauchette, lü de
repos.
ESPRICUIGAMRNTO, 8. m. action de s’elendt
et de bäiller, comme quand on a Fensvie
dormir.
EspricuigÄn, ©. a. Öter ia paresse. Elendre
les membres comme [alt le paresseux ou lin
dormi.
Espaicuigän-sE, v. r. 8’6tendre et bäiller
comme quand on a envie do dormir; e’&liret.
Espricuickino. V. Kepriguigader, Pripw-
ceiro.
Esrartino. V. Bspirilado.
* Espaırir. V. Hospilal.
Espaıtin. V. Bepiritar, Inspirar.
Espnito. V. Espirito.
EsruLcino,A,9.p. de
Esrurcin, ©. a. &pucer : Oter, chasser le‘
Puccs.
ESG
Erticin-SE, ©. r. Öter, chasser, chercher
ses puces.
Espuma, 8. f. 7. Escuma.
EspcmintE,, adj. 2 gen. 6cumant, qui &cume.
p. a. de
Esptuin. V. Escumar.
EseüukO, A, adj. ecumeux : plein, couvert
d’ecume; qui la jelte, Ja pousse.
EsptNirERO, A.
EsPUNIGERO, | Y. Espümeo.
EspiuosO , A.
Bsruncicta, 8. f. (P. ws.) V. Immundicia,
Inderencia. ( ig.) Torpeza.
Esetnio, A, adj. bätard, illegitime, dont on
ne connalt pas le pre, en parlant d’un cnfant.
(Ag.)Altere, falsitie, gate, degenere. Faux, &
qui manquent les caract£res principaux de son
genre. Depouille de... Sombra —a, (t. dastr.)
penombre de la terre dans les Eclipses de lune.
+Espotagäö, 5. f. (1. de med.) sputation:
seuon de cracher;; crachotement.
Espito, s. m. (1. de med.) * salive ; crachat.
Esquapea ,s. f. escouade : le liers ou le quart
a,me compagnie d’infanterie, et la place du
caporal qui le commande. Escadre:: division
narale. V. Esquddro. Cabo de —, caporal.
EsquanpaäiD0O, A, p. p. de Esquadrar.
Esquaprid, s. m. aug. d’Esquadra. Dans
Yaucienne milice, c’&tait un corps de troupes
formden rangs sulvant les regles de la tactique
militsire, et aussi un corps d’infanterie et de
cavalerie appartenant & une armee. Escadron :
partie d'un regiment de cavalerie. ( Ag.) Multi-
tude, grande quantile.
EsquaprÄr, v. a. equarrir: tailler & angles
droits. Former en escadron.
Esquanria, s. f. equerre : instrument pour
irscer des angles droits; ce qui ena la forme;
position d’un chambranle de porte, etc. , d’e-
querre ou & angles droits. (fig.) Regularits,
ordre.
Requapaıin. V. Esquadrar.
+ EsquaprıLnäno, A, adj. d&hanche: quia
les banches rompues, disloquses (homme,
cheral). p. p. de
+ EsquaprıLHär, v. a. d&hancher : rompre,
disloquer les hanches. 11 est aussi r&ciproque.
EsQuanaıxHino, A, pP. p. de Esquadrinhar.
ESQUADRINHADÖR, 5. m. Sctutaleur, investi-
Raleur. h
r -
ESOCADRINHADGRA ‚8. f. audle y Pa.
quiza.
UsquapaınnÄr, vd. a. rechercher, examiner,
fa ter; sonder, seruter ; eplucher une affaire,
enquerir.
Esquineo, 8. m. * öguerre de menulsier.
— com charneira, [ausse &querre, &querre
Pliante,
EsquäLno. V. Esqualo.
EsotiLino, A, adj. (t. de poes.) Bald, mal-
propre, hideux.
EsquiLo, s. m. (1. d’hıst. nal.) squale, chien
demer. V. Liza.
EsQuapaınHBAMENTO, 8. mM.
ESQ 555
ksquagvsLino. V. Enzadrexddo.
Esqauiguzs, s. m. (1. de blas.) &chiquier ou
damier de couleurs alterndes.
+ Esquaaros0, A, adj. (1. de bot.) rude au
toucher, raboteux (squarrosus).
EsQuAaRTEJÄDO, A,p. p. de
ESQUUARTEJÄR, ©. a. Ecarteler : mellre un eri-
minel en quartiers, en attachant &ä chacun de
ses meınbres un cheval. (Ag.) Dechirer, lacerer.
— ahonra. V. Desucredilar.
ESQLARTELÄDO, A, P. p. de
EsquAarTELir, dv. a. (t. de blas.) Ecarteler:
partager l’&cu en quatre.
Esquecinico, A, adj. oublieux ow oublieur :
qui oublie ais&ment.
Esqu&cepör, A, adj. qui fait perdre la me&-
moire, qui efface le souvenir.
Esot£ckr, v. a. oublier : perdre le souvenir,
cesser d’aimer une personne. Negliger : n’avoir
pas le soin necessaire. Il est aussi neutre.
Quem ndo apparece esquece, on neglige les
absents ; les absents ont tort.
Esqu£ckr-se (de), v. r. manquer, oublier;
s’oublier, mettre en oubli, perdre le souvenir.
S’oublier, manquer ä ses devoirs; se negliger,
se relächer de ses devoirs. S’engourdir, perdre
la sensibilit& , en parlant d’un membre perclus.
Este homem esquec&o-se de canlar, de dan-
sar, etc., cet homme ne sait plus chanter,
danser, etc. — de si ou de quem €, manquer ä
son devoir, oublier qui l’on est. Esquecdo-me...,
j’ai oublie de...
Esau£cıno, A,p.?. d’Esquecer. adj. Oublie,
mis en oubli. Oublieux : qui oublie. Engourdi,
perclus ( membre). Estar —, etreoubli6, s’etre
pass6 depuis longtemps. Eslar — de..., avoir
perdu le souvenir d’une chose;; avoir oublie c6
qu’on a su ou appris. Fazer-se —, feindre d’a-
voir oublie. Horas —as , long temps.
ESQUECIMENTO,, 8. m. oubli - mandue de sou-
venir, perte de souvenir; aclion d’oublier, son
effet. Engourdissement, paralysie. POorno—,
ouhlier volontairement , mettre en onbli. En-
iregar ao —, ensevelir dans l’oubli. Näo ter
em —, avoir present & l’esprit. Rio do —, fleuve
de loubli, Lethe. Ausencias causdo —, les
absents ont tort.
EsqueL£To, 8. m." squelette, carcasse ; osse-
ments qui s® liennent encore; (fig.) personne
decharnee , exir&@mement maigre.
° Esqtenca, ete. V. Escanra,etc.
+ Esoventagiö, 8. f." echauffement. V. Es-
candescencia. "
Esquentäpa,s. f. le fort de la chaleur; presse,
häte; danger pressant. Pela —, (loc. fam.)
vite , vitement, aveo vitesse.
EsQuznTino, A,p. p. d’Esquenlär.
EsQuEXTAnOR, s.m.* bassinoire, chaufferette.
ESQUENTAMENTO, 8. m. "echaulfaison, &chauf-
fement. (t. de m£d.) * Blennorrhee , uretrite,
vulg. gonorrhee , chaude-pisse.
Esuuentär, o. a. chauller, echauffer. (fig.)
Animer, enflammer, mettre en colöre; exciter
la concupiseence.
556 ESQ
Esquentin-se, v. r. s’schaufler : devenir
chaud. (Ag.) S’animer;; se passıonner, s’empor- | 8
ter, se meitre en colere, s’exciter.
Esquärpa, s. [. la gauche, la main gauche.
Esqueaprino, A, p. p. de
EsQquerndeäir, v. mw. donner ä gauche, ne pas
aller droit. (Ag.) Gauchır, ne pas agir franche-
ıinent , fourber. Sortlir, s’ecarter de son sujet.
— dn parecer de oulrem, dilfercr de sentiment.
Esoutanpo, a, adj. gauche, oppose & droit.
Gaucher. V. Canhoto. Tortu : qui est ou va de
travers. (Ag.) Sinistre, de mauvais augure.
— d’um olko,, louche, bigle. Deilar tudo d mdo
—s, (fig.) interpreter tout en mauvaise part.
+Esurica, s. f. *[ausset : brochette de bois
pour boucher un ionneau.
+ Esavirioo, A, adj. en facon d’esquif ou de
biere.
Esoqvire, s. m. esquif : petit canot. Cercaeil,
Biöre. Petit lit d’höpital, petit lit pour reposer.
EsqriLLa, s. f. V. Scilla et Cebola alvarra.
it. Esquirola.
+ EsurizLächg, 8. f. (1. de geog.) Squillace :
ville du royaume de Naples.
+ EsqviLo, s.m. (1. d’hist. nal.) ecureuil: petit
animal fort vif, ınammifere, rongeur. — das
palmeiras, ecureuil palmiste. — de Madagas-
ear, l’aye-aye. — menor rolante.V. Polatücha.
— maior volante. V. Pelaurisia. — de Guiana,
grand guerlinguet.
Esquiuräcno. V. Escalrächo.
+ Esquimös, s. m. pl. Esquimaux : peuple
du nord de l!’Amerique.
Esquina, s. f. " coin : angle, rencontre de
deux cötles; arelier. — de rus, coin de rue.
Dar conira uma —, (fig.) se conduire d’une
maniere insensee , agir en depit du bon sens.
Quebrar as —s, fig. fam.) baltre le pave&, cou-
sir les rues.
Esotina ow Esquineza, s. f. (t. de bot.) V.
Eschineza.
Esgtinäno, A, adj. construit en angle, quia
des coıns, des angles. (fig,) Biais, de Iravers
(p. us.). Homem —, (burl.) personne grise, ä
demi-ivre.
Esotinäntno , s. m. (£. de bot.) barbon 0do-
rant, jonc odorant, schenantbe, paille de la
Mecque : fourrage et litiöre des cbameaux.
T Esotınän, v.@. (P. us.) constiruire en an-
gle,encoin.
Esquinexcia, s. f. esquinancie, kinancie :
inflammation violente du gosier.
Esauınixuo. V. Escaninho.
Esouipacäö, 8. f. *öquipement d’un vais-
seau; equipage. "Appareil de baufs, eic., pour
le labourage. * Apparcil n&oessaire des habils.
( Ag. fam.) Singularitc,, fantaisie, caprice.
Esquiripo, A, p. p. d’Esquipar.
Esquirau&nto ‚3. m. &yuipement d’un vais-
soau.
Esaquirir,v. 6. dquiper : pourvoir (une flotte,
un vaisseau, etc.) de tout ce qui est necessaire,
v. ». Courir legerement, avec vitesse,
ESS
Esotipärico, A, adj. ( fam.) exiravagant, sin
ulier.
Esorinots ‚s. f. (t. de chtr.) esquille : dela
d’un 05 fracture.
° Esquisa. V. Exgqwisa.
Esquisito. V. Exguisito.
Esutıtär. V. Desconier. Porter en compie.,
it. amt. V. Desquilar.
Esgqtiväno,, A, p. p. d’Esqwivar.
Esotivame&nte, adv. dedaigneusement, avec
dedain, & regret.
Esouivinga, s. f. * dedain, mepris, froi-
deur ; mauvais accueil ; manieres rudes.
Esotivar, v. a. esquiver, eviter, eluder; re-
pousser. Dedaigner.
Esquivar-se (de), v.r. dedaigner, s’esqui-
ver, 56 retirer, s'cloigner avec un air de m+-
pris. — com alguem, esquiver, eviter adroile-
ment une personne.
* Esocıysz ou —za. V. Esquivangs.
Esotivo, A, adj. dedaigneux,, mal graciewz,
intraitable, ausiere. ıneprisant. Difäcile ; reve-
che. Dor —a, douleur tres-sensible, vive.
Esqrivöso. V. Esquico.
Essa. V. Epa.
tESse, 5. m. nom de la lettre S. Chalnos
qui a la forme d’un S. Ce qui een a la forme.
E.se, Essı ,Isso, pron. demonst. ce, cette,
cela. Ce pronom sert & designer une chose ou
une personne presente, qui se trouve plus
pres de la personne ou de la chose dont on
parle, quoiqu’elle ne soil pas presente. Ess
cavalheiro de quem V. M. me [alla € mdi na-
morado , ce monsieur dont vous parlez est ires
galanı. Com essas me vem V.M.! la belle affaire,
la belle histoire, le beau conte que vous me
faites la!
* EssEcuTaR, ot0. V. Execular.
T Esseoänıos, 8. m. pl. (4. d’ant.) gladia-
teurs qui combattaient sur un char. Soldais
qui combattaient du haut d’uu chariot.
EssEncıA, 8. f. essence : ce qui consütue ls
nature d’une chose ; ce qui fait qu’elle est c@
qu’elle est; huile aromatique, tr&s-subtile, des
plantes , obtenue par distillation ; huile essen-
tielle. Ouenia —, quintessence : co qu’il ya
de plus essentiel dans une chose ; toute la veris
d’une chose. ig.) Le plus fin, le plus parfait.
le plus exquis vw le plus mauvais, eie. Ser de
— d’alguma cousa, €ire essentiel , necessaire a
quelque chose. A— d’um negocio, le fond, Ic
point principal d’une affaire.
EssencıiL , adj. 2 gen. essentiel : gui appar-
tient ä, qui est de N’essence; absolument ne
oessaire. —, principal, remarquabie. s. m.
L’essentiel (s. m.), le principal, lo point, le
fait important.
EssenciaLM£NTe, adv. essentiellement : par
son essence ; indispensablement,
Ess&nos, s. m. pl. (1. Kant.) esseniens :
secie de philosophes , espece de pythagoriciens
juifs ; Juife solitaires trös-vertueux.
* Esso. V. Isso.
* Esso-uspts, loc. ade. c’es: cela. Aussl.
EST
Nasbra , Joe. adv. ans. A la meme heure.
EssöuTR0, A, pron. demonsi. coniw=ction des
F
Est 657
Estipa ,s. f. demeure, s&jour, temps pen-
ant lequel on demeure dans un lieu. 46. V,
pronoms esse oulro, essa oulra, ceı autre, | Esirebaria.
cette autre; celui-lä, celle-lä.
Esta, varialion fEminine d’Este. Celle-ci,
cette. V. Este.
* ESTABALBOADO, ele. V. Atabalhoado , etc.
EstasanänDO, A,.adj. [ou, extravagant, tur-
bulent, ecerveie.
EsTABELECEDÖR , A, 5. qui elablit, qui insti-
tae ; fondateur.
EstasgLecka, v. a. etablir, fonder, creer;
regler, ordonner; cxposer un fait; rendre sta-
bie, fier. — alguem, etablir quelqu’un, lui
denner un 6tat, un &tablissement, le melire
dans un ermploi, etc.
EstasgL£Ecer-seE,v.r. s’etablir: se faire un
“ablissement; se fixer dans un lieu; passer en
usage.
Estas£L£Ecido, A, 9. pP. d’Estabelectr.
ESTABELECIMENTO, 8. m. &tablissement : ac-
tion d’etablir, son effet; institulion, fondation.
*" EstaBELEgtoo. V. Estabelecido.
* EstaszLeza. V. Estabilidade.
* ESTABELIMENTO. V. Estabelecimento.
EstasELiTaR, v. a. V. Estabelecer. Rendre
stable.
Estasır. V. Estavel.
EstastLipäne, s. f. stabilit6, &tat durable,
de permanence.
EstisuLo, s. m. &table : lieu od !’on met les
destiaux.
Estäica, s. f. "pieu : pidce de bois aiguisee
par le bout; Echalas. ° Pilotis ; piquet,, poteau,
pilier d’&curie. Bouture : branche garnie de
boutons, stparee et replantee. Gros clou de
charpentier.
Estacäpa, 5. f. (6. de fort.) palissade : clö-
iare de pieux, de palis. Barriere : toute en-
ceinte de plusieurs pieces de bois servant ä
fermer un passage, ä appuyer ou defendre
quelque chose. * Terrain : lieu designe pour un
duel. (6. de mar.) Estacade : digue de pieux
pour fermer un port; palissade dans l’eau.
Estacipo, s. m. V. Estacada.
Estacino, A, 9. p. d’Estacar. adj. ( ig.)
Perplexe, irresolu, interdit.
Estacaria, s. f. estacade; pilolis; grande
quantät£ de pieux.
Estaciö,s. f. stalion : pause, demeure de
peu de duree en un lieu; lieu oü l’on s’arräte;
etal d’une plandte qui paralt stationnaire ; poste
fixe; visite des eglises, au jubild. Saison :
Quatri&me partie de l’annee; temps propre &
chaque chose. *Pröne, instruction d’un curö
äa ses paroissiens ä la grand’messe du diman-
che. "Departement d’un minisi£re de l’dtat, etc.
Mesure itineraire chez les Arabes et les Tarta-
res (20,000 pas geometriques).
Estacir,, 0. ». s’arreier tout & coup. (flg.)
Rester court, rester interdit.
Estacıonirıo, A ,adj. ($.d’ast.) stationnaire:
qui semble m’ävancer ni ne reculer. Qui n’a-
vance pas, qui no fait pas do progrös,
ESTADEADOR, s. m. V. Alardeadör.
Estaneir-se, vo. r. V. Ostenlar, Alardear.
* Estap£La, s. f. chaise de parade, fauteuil
royal.
Estädıo, s. m. stade: carridre pour la course;
mesure de 125 pas geometriques.
Estapista ,s. m. homme d’etat, politique.
Estapistica, s. f. politique, science du gou-
vernemen!. Statistique.
'Estanistıco. V. Estadista.
Estioo, s. m. etat: disposition (d’un re,
d’une affaire, etc.); profession , condition ; si-
tualion, registre, liste , livre , m&moire, inven-
taire ; office, charge; train; depense; cortegey
gouvernement; royaume; empire; pays souß
une meıne domination. * Mesure de la hauteur
d’un hoımme (ant.). — celeste, \heme de nativile.
— maior, etat-major, Corps des principaux ofll-
cicts. — ras0 , commum ou geral, rolure : elat
de ceux qui ne sont pas nobles. — do reino,
eiat du royaume, quelqu’un des trois ordres
du royaume, qui sont: le clerge, la noblesse
et le tiersetat. Homem de — , personnage. #1. V.
Estadista. Maleria de — , maliere d’etat, toule
affaire qui coucerne le gouverneiment. Mesa de
— ‚table des divers officiers du palais. Mudar
ou tomar —, changer d’etal, se ınarier. Dar—
a sua filha, &tablir une fille,la marier. Razaö de
— ,(fig.) raison d’etat, considerations d’inter@t
par lesquelles on se conduit dans un &lat. Rdo
de—, prisonnier d’elat, prevenu d’un crime
contre l’etat. Cama, coche d’—, lit, voilure de
parade, pour l’ostentation. Pör-se em — de fa
zer alguma cousa, se disposcr, s’appreicr, S6
tenir pret pour faire quelgaue chose. —s do
reino , etats du royaume; assemblee generale
des trois 6lats. Chamar os —s, convoquer les
6tats. Junta dos ir&s —s, cour, parleinent, co-
mite des trois etats.
EstapdLuo, 3. m. bäton pointu qu’on fiche
dans le limon d’une charrette pour retenir la
charge.
Estazs. V. Ostaes.
Estära, s. f. fatigue, travail penible. (Ag.)
Filouterie, escroquerie. Dar —, faliguer, px-
ceder; faire fuir. Dar uma — a alguem, (fig.)
voler au jeu une grande somme & quelqu'un
par tricherie. Dar uma — de pancadas, erein-
ter, rosser quelqu’un.
Estarano, A,p. p. d’Estafar.
ESTAFADÖR, 85. m. escroqueur, escroc, filou,
chevalier d’industrie.
Estaräir, ©. 0. lasser, harasser, surmener
un choval; vexer, tourmenter. (fig.) Filouter,
escroquer; 6corcher, surfaire. — com panca-
das, &reinter, rouer de coups.
Estarkıno,, s.m. estafler; valet de pied,, cou-
reur.
Estarßau0 , s. m. *ägure d’un homme arme,
qui d’une main tient un bouclier, et de l’autre
un fouet, ou un pelit sac de sable, avec quoi
558 EST
elle frappe Tes Epaules de celui qui touche son
bouclier, s’il n’a pas l’adresse d’esquiver le
coup en courant. (fg.) Celui qui, n’&tant bon
a rien, pr&tend jouer un röle dans le monde,
ou qui reste plante sur ses pieds en altendant
quelqu’un.
* Estarkra, 8. f.
ESTAFETE, 8. m.
ville a une aulre.
*+ Estarerkıao, s. m. savate, facteur. V.
Esiafete.
+Estaris, s. m. fouet pour punir les chevaux.
Esticnıcäö, s. f. Stagnation : &lat des flui-
des qui ne coulent pas; (fig.) se dit des affai-
res , des effets de commerce. (f. de med.) Stase:
sejour, immobilit® du sang ou des humeurs
dans les veines capillaires. — de numerario,
resserrement de l’argent.
ESTAGNADO, A, adj. stagnant : qui ne coule
point (eau, humeur —e). p. p. de
ESTACNÄR-SE, o. r. @tre slagnant, en stagna-
tion. — em ocio, em delicias, se plonger dans
Yoisivets, dans les delices, s’y adonner enlid-
rement.
Estaıs. V. Ostaes.
+EstaLäctıtra, 8. f. stalactite : concrelion
pierreuse; incruslations en rond.
EstaLicEen, s. f. *auberge; hötellerie. —
mobilhada , hötel garni.
tEstaLacuita, s. f. (f. de minder.) stalag-
mite : stalactite en ınamelon.
EstaLasao£ıra, s. f. aubergiste,hötesse, hö-
teliere , maltresse d’hötel.
ESTALAJADEIRO, 5. m. aubergiste, höte; hö-
telier.
“ EstaLayapöra, s. f. V. Estalo.
EstaLino,A,p.p. d’Eslalar.
EstaLiö, s. m. &talon (mesure).
EstaLir, 0. n. eclater: se rompre par &clats;
craquer, se fendre. (fig.) Crever. — com riso,
eclater de rire, rire aux eclats. —com dor,
@tre au desespoir, mourir de chagrin. — por
alguma cousa, desirer une chose avec ardeur.
EstaL£ıro, s.m. (tl. de mar.) chantier : lieu
oü Fon bätit et od l’on radoube les vaisseaux.
* EstaLksapüna, 5. f. V. Estalo.
"EstaLEsän, o. n. V. Estalar. it. Trembler
de froid , grelotter.
EstaLivo, s. m. claquement (d’un fouet ow
des mains). Eclat:: bruit d’un corps qui eclate.
EstäLıa. V. Esirebaria.
EstiLo, s.m.V. Estalido. Dar um —, cra-
quer, parlant d’une chaise, etc., qui se brise.
Dar —s com 0 agoule, faire claquer son fouet
(au propre). Dar —s com os dedos, craqueler
aveo les doigts.
*Estimaco, oto. V. Estömago, etc.
Estausrioo,A,p.p. de
Estamarin, 0. a. mettre la laine en fl d’es-
tame.
Estiumaz, s.. fll d’etaim ou d’estame, fl
tors de laine fine. Laine fine qui sert pvur faire
la chatne. V. Esiame, :— de vida .
de Ja vie. Praa , (podl.) rame
estafette : courrier d’une
poste ä une aulre, d’une
EST
Estiuz, s. m. (ft. de bot.) ” &tamine:: Niet
chargs de poussidre fecondante; organe sexuel
mäle de la plante, termins par Vanthere. V.
Estambre.
Esrawtnua, s. f. &tamine: etoffe de laine
fine, claire.
Estauenntıro,s. m. Ötaminier : qui fait, [a-
brique de l’ötamine.
+ Estamento, s. m. * assemblee des Rıats-
Generaux du royaume (en Espagne).
ESTAMATE, s. m. sorte d’ancienne elam'ne
fine.
+ Estaumäceo, A, adj. (6. de bot.) &lamine.
ä &tamines.
+ Estamımöso, a, adj. (£. de bot.) &laminent:
apetale, qui n’offre que des stamines (plane
—se). Flor —s, fleur &taminee.
Estimra, 5. f. estampe : image imprimte.
(ig. Empreinte; prototype, original. Em-
preinte des caracteres d’imprimerie sar le ps
pier. — de fumo , mezzo tinlo, estampe en Di
niero noire. Bda—, belle figure. Dar d-,
faire imprimer; livrer & Pimpression, mellft
au jour.
Estaupido, A, p. p. d’Estamper. adj. Gau-
{r6 : imprime sur une &toffe avec des fers. ı. m.
*Gaufrure : empreinte faite en gaufrant.
ESTANPADOR, 8. m. celui qui estampe. (em.
Imprimeur. Gaufreur : celui qui gaufre 1&
etoffes.
Estampir (em), ©. a. estamper : faire une
empreinte d’une matidre dure et graree su!
une molle. Empreindre : laisser une empreinit
sur. Gaufrer : imprimer des figures sur un
6toffe, avec des fers chauds, des cyliadre
graves Graver. (f%g.) Imprimer : graver Nat‘
Pesprit.
ESTAMPÄR-SE (em), v9. r. s’imprimer, *
graver;; &tre grav6 (propr. et flg.).
EsTawPARia, s. f. fabrique de gaufrage; 83%
frage; impression sur &toffe, sar papier, el.
Boutique de celui qui fait ou vend des eslau-
pes (p. us.).
tEstamp£ıro, s.m. imager : qui vend ou
qui fait des estampes; marchand d’estampe:
V. Abridor (p. us.).
EstauPindo, s. m. * explosion, 6clal, hrui.
mouveınent subit de ce qui eclate; bruit dt.
coup de canon, etc.; fracas.
+ Estampiuna, s. f. lettres alphabetigae.
notes (de musique ou de plaiu-chant, eW. ’
jour, percees dans de petites lames de cuivIt,
pour imprimer, etc.
EstampıLHin0,A,9.p. de
+ EstauritHir ‚vo. a. imprimer avec des 4
tres, des notes, elc., a jour. Copier du plaiß
chant au moyen de Vesiampilha. V. co mol. -
Estanca-CAvaLLos, 8. f. gratiole, planl
V. Graeiola.
Estancankıra, s. f. herbe astringente.
ESTAncäiDo, 4, adj. slagnant : qui ne oeıle
point. p. p. de
EstanciR, vo. s. arröier le cours de Veae,
du sang, etc. Ktancher, &puiser, tarir; (9)
EST
“puiser. Döfendre la vente de eertaines mar-
ehandises,, en affermer le droit & quelques par-
licaliers. — a vontade , faire perdre l’envie.
Bsraucin ,v.9. et —SE,0.r. cesser de CoU-
ler; s’&puiser, se tarir.
"Baranga. V. Estade, Estancia,
Estanctıno, s.m. marchand de bois en chan-
ter.
Esrincıa, s. f. *sejour, demeure dans un
endroit; station. * Chantier de bois. "Olseau :
planche carr&e oü les macons mettent le mor-
tier. "Bien de campagne ou il y ades troupeauz.
(1. de pods.) Btance : assernblage de plusicurs
vers, stroph6, oouplet. — das ndos, havre, port,
mouillage. — de soldados, camp, quartiers.
Estancıan, ©. n. sejourner : faire un scjour
dans un lieu, en voyageant.
Estanczän-SE, ©.r.(P. us.) se loger, s’ar-
reier dans.
t Estinco, A, ad). (f. demar.) estanc, clan-
ede : se dit d’un navire bien radoube, bien
elos, sans voie d’eau, en bon 6tat. s.m. V. Es-
lanque.
EstanpÄärre, s. m. etendard, drapeau, en-
seisne, banniere. ,
Estanuäno,ı,Pp. p.d’Estanhar. adj. Elame.
Nor—, ou Galmaria —a, (tl. de mar.) mer
tranquille, tr&s-calme, calme plat. Ter a cara
—a,ne rougir de rien, avoir un front d’airain.
TESTARBADOR, 3. m. e&lameur : celui qui
&tame.
Estantantna, 3. f. " ötamage : action et elfet
d'etamer.
EstaxHir, ©. a. @tamer : enduire d’etain
fondu le cuivre, lu fer, etc.
Estisno, s. m. 6tain: metal blanc, tres-
füsible. (ant.) V. Supedaneo. Liquido —, (fig.
p. us.)la mer; un lac, surtout calme.
Estanqug , adj. 2 gen. V. Estanco. it. Stag-
nant: qui necoule point (feau —).— de quilha
ecostado, (1.demar.) estanc, bien clos ;navire).
Estängue, s. m. clang : grand amas d’'cau
sans cours dans les terres. Action de rendre
estanc (un vaisseau); d’cpuiser, de tarir. .g.)
Bail passe pour la vente exclusive de cerlaines
marchandises. Boulique oü l’on vend cerlaines
marchandises avec privilege exclusil, ou pour
le coınpte de I’Etat.—de fabdco,, debit de Lubac.
Estangt£iro, A, 3. qui prend & ferme la
vente de certaines marchandises, ou qui les
vend pour le compte do P’Etat; debitant privi-
lerie de tabac,, etc.
Estinte, s. f. rayon, tablette A mettrc des
livres. — de livros, bibliothöäque. — portatil,
* pupitre. — de c6ro, lutrin.
Estinte ‚adj. 2 gen. et p. a. d’Estar. Etant,
se trouvant , demeurant. Qui demeure toujours
dans le meme lieu (inws.).
Estanteıröla, 8. f. (li. de mar.) gauche : pi-
lier place ä la t&te du coursier d’une galdre,
pr&s de la poupe.
"Estio, 5. m. *demeure, residence. Pago
destdos, maison Foyale, sesidence du roi el de
3a suite,
EST 559
Estarmsicatu , s. f. (8. de bof.) staphisaigre ,
Xauphinelle, herbe aux poux, & la pituite.
EsraruyLöma, s. f. (t. de chir.) *staphy-
lome : tameur sur la cornee de Peil ; hernie de
l’ail en grain.
tEstin,s.m.V. Esido, Hospedarla.
Estärn (@, com, de, em, para, por),v.n.
etre : se trouver dans un endroit. Joint & des
mots qui marquent !’etat, la situation d’un
etre, ou une affection quelcongue, il se rend
aussi par lo verbe &tre. Ex: Rstou cansddo, je
suis fatigud. Estou bom, je suis bien, je suis
bien portant. Estow sentado, je suis assis. Es-
tava em Pariz, j’&tais 4 Paris. Joint & un par-
teipe actif, il Juli sert d’auxiliaire pour le con-
Juguer, sans rien ajouter & sa signification.
Ex. : Estow estudando, j’etudie. Eslara jan-
fando, je dinais. Estava dizendo missa, il di-
sait sa messe. Suivi de la preposition a, il si-
gnifle quelquefois @tre pr&ät, dispose & faire
quelque chose. Ex. : Estar a parlir para Por-
tugal, @tre pret, dispose & partir pour le Por-
tugal. Estar a ser julgado, &treälaveille d’etre
juge. Suivi de la preposilion com et d’un nom,
ilsignife que l’on possede la cbose indiqude
par ce Jdernier, ou que l’on en est alfecte, ct sc
rend par avoir. Ex. : Ksfou com dinheiro, com
forluna, etc., j’ai de l’argent, j’ai du bonheur.
Estou com fome, com [rio, com s@de,com fe-
dre,j’ai faim, j’ai froid, j’ai soil, j’ai Ja fie-
vre. Suivi de la pre&position de et d’un nom, il
signifie quelquefois &tre occup6, Eire en, A,
sur le point de. Ex.: — de viagem, &tre sur le
point de faire un voyage. — de lulo, Eire en
deuil. — de festa, @tre en rejouissance, se re-
jouir. Suivi de la pr&position em et d’un noın,
ilsignißle quelquefois consister en, etrecause,
motif. A difficuldade estd nisso, la difficultd
consiste en cela. En parlant du prix, du coüt
d’ane chose,, il signifle valoir, coüter, lorsqu’il
est suivi de la preposition em. Ex.: Este ra-
vallo estd, ou estd-me, em 500 escüdos, ce che-
val vaut, coüte, ou m’a coüt&, 500 &cus. Joint
& la pr&position para et ä un verbe & l'infinitii,
il signifle ötre dispose, pret, sur le point de.
Ex.: Estow para sair, je suis pretä& parlir. —
para morrer, &tre sur le point de mourir. Suivi
de la preposition por et d’un verbe & l’infinitif,
il marque que l’action exprimee par le verbe
n’cest pas encore faite, ce qui se rend ordinai-
rement par &tre 4. Ex.:— por fazer, @ire 3
faire. — por escrever, @tre, rester & €crire.
Estd por pagar ‚il n’est pas encore paye. —
conto,, venir bien, @ire utile. — d mäo, &ire &
la portee, sous la main. — d frinca, &tre & la
cape, parlant d’un navire. — d lerla, Eire
alerte, actif, vigilant. — a ponto, ötre pret, en
etat. — bem, mal ou melhor, convenir bien ou
mal ow mieux, @tre ou ne pas @ire & propos.
— bem algumacousa, aller bien, parlant d’une
chose qui sied bien. — bem com alguem, Elro
en faveur aupres de quelqu’un. — mal com al-
quem, e&tre brouill& avec quelqu’un, cesser
d’eire ami de quelqu’un. — capdz, oorrenie.
560 EST
&re habile ou au fait d’une chose. — configuo,
avoisiner. — de bda ou md caladura, &tre de
bonne ou de mauvaise humeur. — de pressa
ou com pressa, eire presse. — em guerra com
alguem, faire la guerre ä quelqu’un, @ire en
guerre avec lui. — de vagar, eire desmuvre,
oisif.— em alguma couss, comprendre, en-
tondre, etre au fait de quelque chose; croire,
ötre persuade d’une chose. — em linha, mar-
cher en ligne, parlanı de plusieurs vaisseaux.
= na mdo de..., ötre au pouvoir, & la discretion
de, dependrede... —em pe, (fig.) @ire sur pied,
exister, durer.—em ldlas, (fig.) @tre en torture,
sur les 6pines. — em si, avoir l’esprit present
a ce qu’on fail.— em seu jurzo ou muilo em
seu juizo, eire dans son bon seus. — amar-
rado d euchente e d vasanle, (I. de mar.) ätre
sur les ancres de flot et de jusant. — sobre as
wuncoras de pröa e poppa, (id.) mouiller en
eroupiere. — abarbado ou com duas ancoras
pela pröa, (td.) affourcher, mouiller en barbe.
— abarbado e dar um guardido d’ajuda, (1d.)
mouiller en patte-d’oie. — com uma rejeira so-
dre a amarra, (id.) mouiller en faisant em-
boussure. — ancorado sem a pr6a ao venlo
nem d mare, (id.) mouiller entre vent et
maree. — com as vergas amantilhadas , (id.)
avoir les vergues en pantenne ou apiquees. —
alerrado por causa do venlo ou damar6, (id.)
ötre aflale, Stre charge en cöte. — mais alra-
sado do que o ponto, (id.) se faire de l’avant,
etre en arriere de son point. — mais adiantado
do que o ponto, (id.) &ire en avant de son point
ou do son estiıne, se [aire de l’arriere. — ao
ravez das ondas, (id.) &ire ä travers des la-
mes. — a balravenio d’um cabo, (id.) passer
au vent d’un cap. — no mar allo, (id.) avoir
belle derive, avoir de l’eau & courir. — anco-
rado com Ir&s [ferros pela pröa, id.) mouiller
en palle-d’oie. — com as velas desamantiilha-
das, id.) avoir les vergues en pantenne. —
longe de..., (fig.) ®ire eloigne de faire une
chose. Ndo — para isso, n’stre pas bien dis-
Pose. — pegddo , tenir.— por alguem, prols-
ger queiqu’un, se declarer pour lui. — por
ud , accepter toutes les conditions, toules les
propositions. — pelo dito, pelo que se ajustou,
s’en tenir A ce quia eis dit, äce qui est con-
venu. — sobre si, se posseder, @ire sur ses
gardes; Etre orgueilleux; resider s&pare de sa
famille, etc. — sobre alguma pessoa ou cousa,
presser vivement une personne, une affaire;
en avoir beaucoup de soin. Onde estdmos ? Od
sommies-nous? Onde esid a gloria dos anligos
Poriuguezes ? Qu’est devenue la gloire des
anciens Portugais?
. EsTÄR-sE , vo. r. s’arr&ter, se delenır. S’ap-
puyer, seconfler. Joint a un participe actif, il
indique l’action passive de ceverbe, et se rend
par Pimpersonnel. Ex. Estd-se Iractando de
fazer a paz, eic., il s'agit de faire la paix; on
traite sur les moyens de faire la paix, etc. Es-
Kdoae edifcando umas casas, on bätit une mai-
EST
Esranniöra,s. f. Sella d—, solle A la si
diote, dans laquelle le chevalier peut allonger
les jambes & volonie. Montar 4 —, monier la
stradiote. s. m. Stradiot : soldat monte A lasıra.
diote.
Estärna, s. f. perdrix d’une petite espece
aux pieds noirs.
EsSTARÖSTE, s. m. staroste : noble Polenais
qui a une starostie.
EstaRostia,s. f. starostie : grand Selen Pe-
logne.
EsTaTELipo, A, adj. (pop.) immobil; cou-
ch& tout du long sans mouvement.
ESTATUÖDER,, 8. m. Stalhouder : chef deia-
cienne republique de Hollande; amiral, cap
taine, general.
ESTATBUDERÄTO, 8. m. stalhouderat : digaits
du stathouder; ses fonclions, leur duree; sea
palais.
EstäTica, s. f. stalique : science de Foguili-
bre des corps.
Estarice ou EstaTicra. (f. de 506.) V. Crew
romano.
Estaristica, s. f. statistigae : science qui
fournit des documents ä l’d&conomie politigee;
tableau de l’&tendue, de la population, des ri
chesses d’un &tat ei sa description; invenlaire
d’un pays, art de le faire ; budget des choses.
T ESTATISTICO, A, adj. stalislique,, de lasla
tistique.
Estätua, 8. f. statue: figure humaine ow d’as
animal, entiere, de metal, de’ bois, de pierre,
etc., (fig.) personne sans mouvement, sabs
energie, etc. — pedesire,, statue pedesire, «
mieux en pied. — equestre, statue equesire,
d’un homme ä cheval. Merecer —. On Ie dil
pour exagerer les hauts faits de quelgu'un.
Fazer-se — ou como uma —, prendre l’air in-
portant, marcher tout d’une piece.
Estattärıa, 8. f. sialuaire : art de faıre des
stalues.
EstaTuirıo,A ‚adj. statuaire : propre & faire
des statues; qui porte une statue (colonne..
8.M.— , sculpteur qui fait des statues.
+ Estatuusinua, s. f. dim. d’Estalua, sla-
tuette.
Estatuinpo,A,9.p.de
EstaTulR, o. a. statuer, rögler, etablit.
EsTarüna, 8. f. stature : hauteur de la taille
d’une personne. (Ag.) Elevalion; grandeur.
Estartüta. V. Institute.
t Estaruränıo, a, adj. qui concerne le sia-
tut, qui lui apparlient,
EstaT0To, 3. m. statut: rege pour la con-
duite d’uns compagnie, etc. Loi, ordomnance.
ü. adj. et p. pP. (ant.) W’Estalurr.
„" Estävanss pour Eslaveis (vous dliez).
* Estaväno. V. Estouoddo.
Estavanäno. V. Estabanado.
Esraviö. V. Eslabdö.
ESTAVEL, adj. 2 gen. stable, permanent ar
sure.
star. V. Osiaos,
EST
Estazin, etc. V. Consar, Eslafar.
Esrz, Esta,, Isro, pron. ddmonst. ce, cet,
gelui-ci, cette, celle-ci, ce, ceci. On le dit
d’une chose qui est en presence de la personne
qui parle. Por @slas, sorte de menace qu’on
fait en portant la main ‚les doigts sur le front,
sur les lövres , sur la barbe surtout.
Este, s. m. est:!’un des quatre points car-
dinaux;; le levant, l’orient; le vent qui en vient.
* Est& pour Esttıı,, (qu/il soit).
Esteino. V. Esteiddo er Hasteado.
Estean. V. Esteiar.
+ Esraatockıa, s. f. (fl. de med.) * steato-
etle : (umeur du scrolum.
tEstsatöma, s. m. (l. de med.) stsalome :
tumeur enkyst£e.
. Estena , etc. V. Esteva, etc.
EstEcanocnapHia, s. f. stbganographie ; art
d’ecrire en chiffres et de les expliquer.
ESTEGANOGRÄPHICO, A, adj. stöganographi-
que : qui appartient & la st&ganographie.
ESTEGANÖGRAPHO, 8. m. steganographe : qui
ssdonne & la sieganographie.
tEstecnosıs, s. f. (t. de med.) stegnose :
vonstriction des pores et des vaisseaux.
TEstecnörico, a, adj. (t. de mdd.) si&gno-
üque : (medicament) qui resserre, qui bouche
les orifices.
Estzıino,A,p.p. de
Estgıka , v. a. &layer, ötangonner ; (fig.) sou-
tenir, appuyer.
Esttıo, s. m. &lai, appui, soutien. (fig.) Ap-
pui, soutien. —s das planlas, (tl. de bot.) sup-
ports des plantes.
Eerkına, s. [.nalte:tissu de paille, de sparte,
etc. (.de mar.) *Sillage,, lague, ouaiche:: trace
que laisse un vaisseau en naviguant.
EstzırRADno,A,p. p. de Esteirar.
Estzıniö, s.m. aug. d’Esteira. Grosse natie
de jonc; paillasson. it. V. Aldardilha
Esteinik, v. a. natter:couvrir de nattes de
sparte, de jonc, etc.
Estzınkıno, 5. m. nallier : celai qui fait et
qui vend des nattles.
Esteıninna, s. f. dim. d’Esteira.
Est£ıno, s. m. hras de riviere ou de mer;
lagune guitient A la mer.
* Est£ıs pour Estesaıs, (que vous soyez).
ESTELLANTg ‚adj. 2 gen. &lincelant, qui brille
comme les £toiles.
EstsıLıiö, s. m. stellion : l&zard marbre6 de
blanc, de cendre,, de noir.
EstzıLirgno, A, adj. (podl.) &toil&, couvert
d’etoiles.
ESTELLIONATÄRIO, 5. m. (l. depral.) stelliona-
taire : qui vend ce qui n’estpas & lui; qui com-
met le siellionat.
EstaLLionito, s. m. (tl. de prat.) stellionat :
erime de celui qui vend un immeuble comme
franc d’hypolhdäques oucomme &tant ä lui,quoi-
qu’il ne le soit pas.
+ Estkusı, s. [. °couronne, guirlande de
Geurs dom on ornail les portraits de ses anc&-
Wes. Arbre gensalogique, "Race, lignde.
PORT, -FR.
EST 561
Estemiir,s.m.V. Estendedöuro.
ESTENDEDOR, 3. m. celui qui &tend; e&ten-
deur.
1 ESTENDEDÖUNO, 5. m. essui, &tendage; dien-
oir.
ESTEnpeDUra, 3. f. action d’stendre; &ien-
dage.
EsTEnDerR, vo. a. &tendre : deployer en long
et en large; allonger ; elargir; donner plus de
surface; tirer, allonger; augmenter, agrandir
(propre et lg.); exposer, suspendre ä l’air (du
linge, etc.). (Ag.) Repandre, debiter, propager.
— a vista, jeler la vue de tous cölds; regarder
au loin. —a commissdo, aller su-delä de sa
commission, de ses pouvoirs; les outre-passer.
— as velas do discurso, (fig.) deployer toute
son dloquence dansun discours.— derrubando,
6tendre, jeter par terre, renverser, abaltre.
ESTENDER-SE, v. r. s’dtendre : tenir un es-
pace; s’agrandir, atteindre &, aller jusqu’ä;
durer; @tre prolixe, diffus. (fg.) Se r&pandre,
parlant des opinions, des usages, etc. (id.)
Embrasser, renfermer, parlant du credit, de
la domination. Se ramifier, se partager en bran-
ches, en rameaux.
ESTENDERRTE, 5. m. nom d’un jeu de cartes.
ESTENDIDAMENTE , adv. d’une manidre &ion-
due, amplement.
ESTENDIDO,,A,p. p. d’Estender. adj. Elendu,
vaste, spacieux; de longuc duree, dilate. 4’
perna —a, ou de porna —a, en oisivels, ä lol-
sir, bien a l’aise.
* Estenpino. V. Estendido.
+ Esrtnıas, s. f. pl. (1. d’ant.) stenies : feine
de Cör&s ä Athenes, dans lesquellcs les femm-
mes du peuple s’injuriafent mutuellement.
ESTENOCRAPHIA, 8. f. stönographie : art d’%-
crire par abreviation.
ESTENOGRÄPHICO, A, adj. sienographigque s
de la stenographie.
ESTENÖGRAPHO, 8. m. stenographe : qui 86
sert de la stenograpbie.
Estensi6. V. Extensdo.
“Est£o. V. Esteio.
Estescina, s. f. action de fumer les lerros,
engraissement des lerres par le fumier, lo par-
cage des moutons, etc.
Estercipo, A, 9. pP. d’Estercar.
+ Estencanon ‚s. m. celui quifume les terres.
EsrEncanüra, s. f. * engrais ou fumier; a0-
tion de fumer les terres.
Estencäin, v. a. engraisser, fumer les terres.
(fg. p. us.) Fomenter, encourager. o.n. Fien-
ter : expulser les excrements, parlant des
betes.
Est£rnco, s.m. *fiente : excräments d’ani-
maux. Fumier : paillo mel&e de Rente; engrais
pour amender les terres. — de pombos,colom-
bine. — de veado mal digerido, malmoulues :
[umee de cerf mal diger6e.—dejarali ‚owlobo,
laissees, fiente da loup, des bötes noires, elo.
— mi cortido ou podride, terreau : famier
pourri et r&duit en terre,
562 EST
"EST
+ Estencoranistas, s.m. pl. stercoranisies: | odo. * Stoß s plante arborescente, dpineme;
heretiques qui eroient que l'on digöre V’hostie
sacree.
+ Estencontıno, 8. m. stercoraife. V. Esxca-
ravelho.
* Estkag ow Est£reı. V. Bsteril.
+ ESTERKOGRAPRIA, 8. [. sier6ograpbie : art
de tracer les figures des solides sur un plan.
+ EsTEREOGRÄPHICO, A, adj. sterdographi-
que : de la ster&ographie.
+ ESTERBÖGRAPEO, s. m. atördographe : qui
pratique la störeographie.
+ ESTERBOMETRIA,, s. f. stör&ometrie: science
qui traite de la mesure des solides; partie de |
la geomiötrie.
+ Estenzoroufa , 3. f. steröotomie : science,
art de la coupe des solides, des pierres, de la
cnarpente ; art des constructions solides.
ESTEREOTYPÄDO, A, P.p. d’Estereofypar.
EsTEREOTYPÄGEN, s. f. siäröotypage : art,
aclion de sier&otyper. '
ESTERROTYPAR, dv. a. stördotyper : faire d6s
planches d’imprimerie solides.
EsTRaxotr’Pia, s. f. ster&otypie : art de stö-
r6otyper.
ESTEREÖTYPO,, A, adj. et s. stördotype:type,
forme solide; livre sterdetyp&.
EsterıL, adj. 2 gen. sterile : qui ne prodult
pas de fruit (femme, terre, arbre) ; (fg.) S® dit
de lesprit, d’un projet, d’une annee, etc., qui
ne produit rien.
"Este£nıLe. V. Esteril.
ESTERILECER , v. a. V. Esterilizar. v. ». De-
yenir sterile.
EsterıLivine, 8. f. sterilitö : qualitö de ce
qui est sterile. Manque de r£colte.
ESTERILISSIMO, A, adj. sup. d’Esteril.
EsterıLızäno, A,p. p. d’Esterilizar.
EsTeriLizanör, A, adj. qui rend sterile.
EsteriLizin, v. a. steriliser : rendre sterile.
+ EstenıLmente, adv. d’une maniere sterile,
sans fruit.
+ Est£rı0,, s. m. stäre : nouvelle mesure de
solides, du bois, un metre cube.
EstenLinı, adj. f. Liöra—, livre sterling :
' saonnale de compte anglaise, environ 25 francs.
+ Esttano ow ESTERNON, s. m. (1. d’anat.)
siernum : 08 du devant de la poitrine.
Esrzangracgiö, s. f. V. Espirro.
ESTSuNUTATöRIO, A, adj. sternutatoire : quä
Salt öternuer.
Esteraufßina, 3. f. ou | amas, las de fumier;
EKstenqutıro,s.m. Nendroit oü l’on ra-
masse le fumier. (fg.) Immondices, ordures.
EsterquiLimıo, 8. m. V. Monluro, Esier-
queira.
Estennoin. V. Estorroar.
Estesrör ‚„s.m.(i.de med.) räle, rälement:
bruit, sons rauques qui sortent de la gorge
sorsque les canaux de la respiration sont em-
herrasses.
Estkva ‚s. f. "soupeau, reis : bois qui fixe le
50c d’une charrae ; manche de charrue.
Estivaou — nina, 8 f. (1. de bot.).V. Ente
° ciste rösineux. — de Creia, * ciste de Creie.
Esteviu, s. m. lieu od ll ya des cistes, des
Esteviö, s. m. (8. de bot.) ciste qui donne 2)
laudanum.
Estevir. V. Rabiscar.
Esteran, etc. V. Esteiar, etc.
+EsTB£TICA, s. f. esthetigue:: sciencedes set-
sations; Ih6orie des arts fondee sur Ianalart
et le got, sur le sentiment du beau; eombais“
sance, sentiment des beautes d’un oarräge
d’esprit; science du sentiment.
Estıin0,A,P.p. de
Estıir, ©. . cesser de pleuvolr, se meitre
au beau. (fig. p. us.) V. Afrouzer, .
"Estisa , s. f. V. Estima. Faser —. Y. Orger.
Esmar. it. V. Eıtioa.
*“ Esrısir. V. Esiimar, Esmar.
+ EstısıiDo, A, adj. stibie: tird de Yınl-
moine. Tarlaro —, tartre stibi6, emetigue.
+ Esrisco. V. Antimönio. ,
Estıs6nno , s. m. (. de mar.) tribord, mess
stribord : cötS droit da vaisseau va de u
poupe.
Estice , etc. V. Estyge, etc. A
Esticmas, s. m. pl. stigmates : margu®
plaies sur le corps. (t. de bot.) ng. P
superieure du style; extr&mite glandelan;
(4. d’kist. nal.) orifices laterauz, organe?
la respiration des hannetons, eit.
Esrıowarızino, A, 9. p. de
Estıcmarizän, 0. a. stigmatiser: marqüet a
{front avec un fer chaud; diffamer. ..
+ ESTIOMATOCRAPBIA , 8. f. stigmatograpbit:
art d’&crire avec des points.
* Esrır. V. Hastll. |
EstıLar, vo. a. V. Destillar. (at!) rei |
suivant le style, les formules asitdes. un.
16, vd. r. User: avoir coutume, praligqe®;
ratiquer. a
P + EstıLttg ou —YLETE, 8. M. ti. de en
stylet: sonde de chirurgien. (f. de bot.) SI
partie du stigmate situee au-dessus de loraif-
Estirua,s. f. V. Lasca, Haslile.
EsrtıLmäco, s.m. &clat de bombe, elC- Eee
nure : eclat emport# de l’angie d’une pie.
d’un marbre, etc.
Estıratıra. V. Hastilkeira. .
EstıL.acäö, 3. f. distillation : dooulemet"
goutte A goutte, |
Estır.ipo,A,p. p. d’Estillar.
EstıLLanor. V. Distillader.
* Esrıamtuto. V. Estillegd6.
EstıLir, ©. a. ou n. distiller, eouler gueit
& goutte. V. Distillar. 0
EstıLLän-sg, v. r. (fam.) se mine,”
erir. „
Estiuticioro, s. m. &coulement : chaled"
iiqueur goutte & goutte. (Ag.) *Plaxion,
de cervean. .
EstıLo ow Estrıo, 5. m. style : pin.
aiguille pour 6crire; aiguille de cadran al
( Ag.) wenitre d’scrire; manitre de cope*
EST
de peindre,, de proo&der en justioe, d’agir, de
perier ; caractöre particulier du discours ; ter-
EST. 563
pigüre. (Ag.) Aiguillon, stimulant, stimulus ı
chose qui anime, qui ezeite, qui stimule. —
mes, locutions dont on se sert dans une science, | da conscieneis, remords. — de honra, point
un art, olo. Usage, coukıme, mode. — antigo,
vieux style, maniere de compter les anndes
avant la correction gregorienne. — 2000, Nou-
vean style, manidre de compter les anndes
Cıprös la sorresuion grögoriennnn — medio,
style qui a o le plus du sublime.
Krim. V Hastim ou Hastil.
Estima, s. f. estime : cas, 6tat que !’on fall
(d’un ®tre, d’une personne, de son merlie,
ete.); opinion favurable.
+ Esrıuasilipipe, s. f. qualit& de oe qui ost
estimable.
Esrıuannlissiuo, A, adj. sup. d’Betimavel.
Estımaciö,s. f. estimation : jugement de la
valeur de. Estime : cas, @tat que l’on fait d’une
personne.
+ Estrmipaminte, adv. avec estime ow esli-
mation.
Esrımapissimo, A, adj. sup. de
Estımipo, a, p. p. d’Estimar.
EsrtımaDOr , s. m. estimateur, appröeiateur.
Estımmär (em), ©. a. estimer, priser : fixer la
valeur. Se soucier, estimer, faire cas de. —,
creire, penser, reputer, juger (amf.). Recon-
meitre un service, un bienfait. Quelguefois il
est newire et signißle Atre content, #tre bien alse
de. Essimo mdito v@l-0 com sallde , je suls bien
also de vous voir en bonne sante.
Estımia-sE, ©. T. s’estimer sol-meme, se
donner de Fimportance; s’estimer mutuelle-
ment; devoir, pouvoir &tre estime. (de) Se glo-
rißer de,
Esrımarlva, s. f. estime, caleul probable,
tonjeeture ; arbitration de depens. Estimative :
facalıe de l’Ame pour juger (an£.). *Jugement,
opinion , avis sur une matiöre douteuse.
+Esrımarivo,a,adj. qui sait ostimer, pri-
ser, apprecier. Fonde en probabilite.
Esrtısäver, adj. 2 gen. qui peut ötre prise,
estiime, apprecie. Estimable : qui merite ’es-
time , la consideration.
+ Esrimo, s. m. * estimation : jagement de la
valeor, da prix de... V. Esmo, Orpamento.
EsrısuL4cäiö,s.f. action de stimuler, d’exci-
ter, d’alguillonner ; exoitation,, instigation.
EsrımuLiDAu&nTe,, adv. avec excitation, avec
instigation.
EsrısuLido, A, p.p. d’Estimmlar. adj. Ai-
guillonne, incit6, animd.
EsrımtLapoR, a,adj.stimulateur:quistimule,
ezeite „ alguillonne.
EsrısuLinte, adj. 2 gen. et s. stimulant: qui
a la verta d’exciter, de reveiller; ( Ag. au mo-
rel) ce qui stimule.
EstısuLir, v. a. stimuler, aiguillonner, ex-
diter. (Ag.) Aiguillonner, animer, inciter ; pro-
voquer. irriter, fächer, exciter.
TISULÄR-SE, ©. r. se stimuler, s’exciter,
prendre courage; se piquer d’honneur; se for-
maliser, so fächer, so piquer.
Estiup , s. m. alguillon pour piquer, sa
d’honneur. — da carne, Concupiscence.
*+ EstıuuLdso. V. Estimulante. (t. de bot.)
Stuimuleux : garni de pointes dont la pigüre ost
brülante (v. g. Yortie).
Esrıncino, A, 9.9. de
Estıncir, v. a. (1. de mar.) carguer les voiles.
Estinouns, s. m. pl. (f. de mar.) ° cargues
pointes.
Esrınavin , eto. V. Eatinguwir, eic.
+ Esrınnir, vo. a. chätrer les ruches une 3%
conde fois, en reoueillir le second miel.
Estrio, s. m. ei# : saison la plus chaude de
Pannse. (Ag.) L’Age mur avant la vieillesse.
Estiouznano, A, adj. (1. de med.) esthio-
mene, (membre) gangrend. Esthiomöne : in-
foct# du feu Baint-Antoine. p. p. de
Estıowsnir, v. a. (fl. de med.) corrompre,
ronger quelique partie ohernue, parlanı des
humeaurs du coorps humain.
Estiosenin-se, v. r.80 corrompre tolale-
ment, parlant de la chair, ote.
Estiömeno, s. m. (8. de mdd.)* mortificatien ,
corruption totale de la ohalr, qui la rend in-
sensible; feu Saint-Antoine.
Estıöueno, a, adj. ($. de mdd.) esihiomäne :
(uleöre) qui ronge. V. Eetiomenado.
Esrıpenntido, A,P. 9. do
Estırenpian, 9. a. stipendier : payer, gager
quelqu’un.
Esrırenpıinto , A, adj. stipendiaire : qui est
&la solde d’un autre. (anf.) Roturier, tributaire.
Estırtnnıo, s. m. *solde, gage, paie; ap»
pointements.
+Estirire, s. f. * irone d’arbre, souche. (fig.)
Souche, premier aleul connu.
Estırrico, etc. V. Styptico, etc.
EsrırvLaci6, s. f. stipulation : conditions, _
conventions , elauses d’an contrat.
EsrırtLino, A,p. p. d’Bstipular.
EsrıruLapon, A, 8. celul qui stipule.
EstıruLinte, adj. 2 gen. stipulant, qui sik
pule.p. a. de
EsrirtLir, v. a. stipuler : demander, exiger,
faire promettre en contrattant; faire, exiger
une stipulalion.
EstıpuLin-sE, ©. r. pass. se slipuler, @ire
stipule.
+ Esrırutan, adj. 2 gem. (}. de bot.) stipu-
isire : qui a des stipules (souche, racine).
+ EstiruLas, s. [. pl.($. de bot.) stipules:: ap-
pendices attaches sur le petiole.
+ EsrıruLöso, a, adf. (fl. de 808.) stipul6 ;
pourvu de stipules (tronc , souche).
Esrırino, A, p. p. d’Bstirar. adj. Distingue,
noble , digne de oonsideration. (Ag.) Affecte
dans ses manieres, qui fait Pimportant. Par-
fait, excetlent. Long, prolize.
Esrinautnto, s.m. lirage, allongement: do
tion detirer, d’allonger.
Estıräö, 8. m. longue trotie.
Estırär , 9. @, tirer, ötirer, rallonger ; rendre
56# EsT
plus long en tirant avec force ; dötirer, etendre,
allonger. (fg.) Etendre au-delä des bornes un
discours, une juridietion, elc. (amf.) Contrain-
dre, forcer, detourner le sens de la loi.— no
chäo , terrasser.
Estırin-sg, v.r. s’elondre; s’etirer, sallonger
pour atleindre guelque part, pour se coucher,
etc. (fig.) S’abatire, s’humilier, se prosterner.
Estır£na. V. Esphyrena.
Estırrıcgäö , etc. V. Extirpagdo, etc.
Esrıare, s. f. race, extraction , lignee.
Estirıco, A, adj. (1.de med.) V. Styphico.
(fig.) Eiroit, avare, mesquin.
Estiva, s. f. (£. de mar.) estive, arrimage de
le coale, contre-poids; lest. *Treillis de bois
pour differents usages. * Tarif.
EsTıvÄDauE£NTE , adv. par tarif.
Estıväno, A,p. p. d’Estivar.
+ Estivanor , 8. m. (f. de mar.) lesteur, arri-
meur.
Estivis, adj. 2 gen. esüival, de l’ete; qui
paralt en ete (fleur).
Estıvir, v. a. (l. de mar.) arrimer, estiver :
arranger, distribuer la charge; comprimer for-
Asment arrimage.
Estivo, A. V. Estival.
*Esto. V. Isto.
Esto, s. m. finx de la mer. *Chaleur, ardeur.
Estocäipa , 8. f. estocade : botte, coup donne
avec la pointe de l’epee; coup de pointe. (fg.)
Astuce, ruse pour faire du mal. Dar uma — em
elguem, allonger, porter l’estocade & quel-
qu’un. Correr uma — ‚ pousser un coup d’ep6e.
— por cornaeda, (fig. fam.) on le dit du mal
que !’on regoit en voulant en faire ä un aufre.
+ EstocöLmo, s.m. (i. de geogr.) Stockholm:
ville capitale de la Suede.
Estöra, s. f- etofle; (fg.) qualit6, sorte;
condition, qualite.
: Estoripo ‚fädo.p.p. d’Estofar. it. V. Esiu
Estorapör , s.m. celui qui brode en relief.
Estorin, v. a. piquer, ouater une courte-
pointe ‚etc. Garnir de laine, de colon ; embour-
rer. (6. de peint.) Peindre en relicf sur de l’or
bruni. Enlever en quelques endroits la couleur
appliquee sur la dorure, decourrir l’or qui est
dessous. V. Estufar. j
ae Fasina, s. f. dim. d’Estofa. Etoffe l6-
re.
Est0ro, s. m. sorte de pigüre ou de broderie
en relief. Qualit# d’un drap. *Quate. °Etofle:
tissu de coton, laine, fil, etc. (f#. de peint.)
* Peinture en relief. V. Eslofar.
Estöro, a,adj. plein. Agoa —a, eau tran-
quille, qui n’a pas de oourant. Hard —a, haute
maree. V. Preamar.
‚Estöicam&nte, adv. stoiquement : en stoi-
cien.
Estörcism0, 8. m. stoicisme : philosophie de
Zenon ; fermets, austerite ; constance dans le
maltour; insensibilit€ reelle ow feinte par or-
gueil.
Est6ico, a, adj. stoique oer sioicien : du stof-
eisme, des stoleiens, qui lour appartient, #. m,
EST
Siolcien : homme vertueux, ferme, siritt,
inebranlable et comme insensible ; de la sech
de Zenon.
Estosar, (P. us.) V. Guardar.
Est050, s. m. &tui : bolte pour sertet, pour
oonserver une chose. Etui de mathömatigues,
etc. : instruments de cette science renleract
dans leur etui. — de cirurgiäo, de berbeire,
*trousse de chirurgien , de barbier.
EstöLa ,s. f. etole: longue bande, omemen!
de prötre sur le cou. (Ag.) Vötement de gbire,
parlant des saints.
+ EstoLiö,s. m. aug. d’Estola, grande elole
que porte le diacre aux offices de cartme.
+EstöLHos, s. m. pl. (ti. de bot.) drageous,
rejets; branches enracindes qui parten! du pied.
+ EsroLn0so , A, adj. (1. de bot.) drageondt:
qui a des drageons,, des rejets.
ESTÖLIDAMENTE, adv. d’une manitre stopidt.
Estorinez, s. f. stupidite , bölise, ineplt.
EstöLiDO,, A, adj. stupide, hebt, sol, ker
daud , d’un esprit lourd et pesant.
EstomaciL, adj. 2 gen. siomacal, WEL
chique: bon pour l’estomac.
EsromäcHico, A, adj. stomachique ‚swOr
cal : bon pour l’estomac.
Estosacino, A, p. p. de
EstomacäARr, dv. a. fächer, ennuyeT.
ESTOMAGÄR-SE, v. r. s’eslomaquer, 30
daliser, s’offenser d’une parole, d’une au
d’autrui; se fAcher, se depiter.
ESTÖMACO, 5. m. estomac : partie da cf,
visc&re creux, musculeux, en poche, quiregöf
et digere les aliments; sa partie exidrieuft.
(1g.) Bonne ou mauvaise digestion. (i4.) Le
resolution : disposition & endurer ons & dissime
ler. Näo reier nada no —, (Ag. fem.) ne 4
pouvoir garder un secret. Ter bom —,@
Pestomac bon. (ig. fam.) Avoir du courage,
la [ermeis, ne point s’embarrasser de dba
ws. Faser mdo— alguma cousa, (f9.) deplaitt, |
ne pas faire plaisir : se dit d’une chose conlit |
riante, desagreable, etc.
+ ESTOMALCIA, 8. f. (4. de med.) somalgt:
douleur ä la bouche.
Estonirıco, erreur, pour Bsiomachice.
ESTOMENTADO, A,p. p. de
ESTOMENTAR, ©. a. öter l’etoupe, espadt,
nettoyer le lin, le chanvre. (Ag.) Maltraiter,
fenser ; battre quelqu’un.
Estonan, etc. V. Descascdr, eic.
* Estonce. V. Enidö.
Estontan. V. Estontear.
ESTONTEADO, A, 9. p. de
ESTONTEAR, ©. a. eloardır, abasourdit.
Estöra, s. f. eloupe : rebut de Alasst !
chanvre, de lin, etc. Grosse toile, toi!e de
toupe. Casa da —, maison de force pod! '°
mauvaises femmes (en Portugal). O Aomen !
fogo, a mulher —, vem o diabo e Ki".
l’homme’ est le feu, la femme l’etoupe, et"
diable le vent qui souflle.
Estoripa, s. f. 6toupes imbibees de quel1®#
liqueur. * Flocon d’etoupes pour un emplält-
_
EST
Esropsciae, 8. m. sorte d’oiseaux aquati-
gues surla eöte de l!’Alrique orientale.
Esrorin , adj. m. Prego — , clou ä maugöre,
elou de prelat.
Esrorinto, A, adj. Blandreux, fibreux
comme Petoupe.
Esrorin, s. m. *meöche pour mettre lo feu
sa canon, elc.* Etoupille.
Estorinua,, s. [. dim. d’Estopa. Filasse de lin
ines-Ane
EST 563
+ Esrouaipa ,s. f. * bruil multiplis des corps
qui €clatent. ( Ag.) Gronderie, criaillerie.
Esto0aäipo, A, 9. p. do
Estouria, v. n. crever, &clater avec hbruit-
— com alguem, (fig.) gronder quelqu’un dure- -
ment en criant, &clater contre lui.
Estovriz, adj. 2 gen. qui eröve, qui eclate
avec bruit.
Estöuao, 3. m. bruit que fait un corps qui
&clate ; deionnalion. ( fg. fam.) Coup. V. Pen-
Esrögue, 3. m. esioc.: &p6e longue ei &troite | cada
qui ne sert qu’& percer. — real, 6pee royale:
celle que le connetable (en Portugal) porte nue
derant le roi.
Estogtzipo, A, pP. P. d’Estoquear.
Esroguzapüra, 3. f. action d’esiocader, de
porter des esiocades,, des boltes. Coup d’6pee
os d’esioc, estocade.
Estoguzin, v. a. frapper de l’estoc, de la
pointe d’une epee; estocader.
Emmonigug ou Estoragukiıro, 8. m. (i. de
bei.) storax, siyrax : arbre de la famille des
Haqueminiers.: Kstoraque, storax, siyrax : la
resine du storax.
"Estoncen, V. Torcer, Extorgur.
tEstönco, s.m. (6. de peint.) "atlitude vio-
lie, contrainte.
Estoaniore. V. Estardiota.
Estoaca. V. Urze.
Estoncıuento. V. Estrugimento.
"Estonia, etc. V. Historia, etc.
tEstornän, o. a. (1. de comm.) restorner :
Oetlre-passer un article mal parts dans legrand
ine, soit au debit, soit au crödit d’un comptie ;
nistourner. (aw}.) V. Estorvar.
Estonninno, 5. na. Clourneau, sansonnet:
seau noirätre, tachetlö , passereau coni-
tostre,
tEsıdtano, s. m. (tl. de comm.) reslorne.
Cest la meme chose que contre-parlie; Fis-
hure. V. Estornar.
Estonxoan, etc. V. Destorroar, etc.
Estonsiö, etc. V. Bxtorsdö, etc.
Estontacänı,, s. f. V. Beliscdö.
tESTORTECADELLA 0% —DURA, 8. f. (POP.)
dislocation,, Juxation.
EstonTEcino, A, p. p. de
Estoargcin, o. a. Lordre, tortiller aveo les
dorzts, Disloquer.
Estoava,s.f. V. Embarago, Estorvo.
Estorvipo, A, p. P. d’Bslorvar.
Estonrapon, A, adj. ets. qui emp£che, qui
einbarrasse
Estonvanınro. V. Estoroo.
Estonvir, vo. a. embarrasser, empecher,
nelre de l’embarras , gener, porter obstacle.
Estönvas, s. f. pl. (. de mar.) jointures
(dun vaisseau). _
EstorviLuo, s. m. dim. d’Esiorvo. Petit em-
lırras, anicroche.
Estonvo, s. m. embarras, emp£chement,
&stacle, gene.
"Estöurgao. V, Zxcopro,
Esr’öuTrRo, A, pron. demonsi. contraction
d’esto ouiro, esia oufra. Cet autre, celle autre,
Estouvino,, A, adj. etourdi, fou, &corvels.
Estouvg , adj. 2 gem. V. Estofo, adj.
Estaasisuno, s. m. (t. de med.) sirabisıme:
disposition vicieuse des yeux, faiblesse d’un
muscle oculaire qui rend louche.
Estrasuxir. V. Estrebuxar.
Estrinpı, s. f. esirade, chemin; route,
chaussee. (fg.) Voie, moyen. — real, grand
chemin , grande route, route royale; (Ag.) le
chemin le plus frequents. — coimbrä, (fig.)
chemin battu ; le pont aux Anes, l’usage com-
mun et ordinaire. — de S. Thiago. V. Yia lde-
lea. — encoberla, chemin couvert. Ladräo de
—,‚brigand, voleur de grand chemim, Tomar
a — alguem, aller au-devanı de quelqu’un,
sopposer; le prevenir. Tirar alguem d —,
6ınouvoir, induire quelqu’un & faire quelque
chose. Deilar-se na — com ‚(Ag. p. us.)
sonder quelqu’un. Torner alguem d —, faire
rentrer quelqu’un dans le bon chemin. Bater
a — ‚battre l’estrade, battre la campagne aveos
de la cavalerie.
EstraDiv0, A, 9. p. de
Estrapäir, v.a. garnir d’estrades ow de tapis.
V. Pavimentar. it. Ouvrir un grand chemin;
mettre dans le chemin, eonduire, guider.
ESTRADINHO, 3. m. dim. de Esirddo.
Estranı6cra. V. Estardiota. .
Estrino,s. m. "estrade : lieu un peu &iev6
ol s’asseyaient les dames pour travailler, etc. ;
marchepied, escabeau. (anf.) Siege, chaise;
tribunal.
*Estrino, A. V. Alasirddo, Juncado.
t EstraraLänıo, A, adj. (fam.) malpropre,
mal ajuste. (fig.) Bizarre, ridicule, extravagant
dans ses opinions ou sa conduite.
ESTRACADAMENTE, adv. deröglement : d’une
maniere dissolue, deregiee; en prodigue.
ESTRAGADISSIMO , A , adj. sup. do
Estnacino,A,Pp.p. d’Estragar. adj. Gäte,
corrompu,, etc. Dissipe, ruine ; debauche, dis-
solu.
EstracaDöR, A, adj: et s. destructeur, cor-
rupteur ; dissipateur, prodigue.
. Estnacamento, s. m. degät. V. Esirage,
— de costumes, dereglement, dissolulion, cot-
ruption de m@urs.
Estnasiö, s. m. (1. de bot.) estragon ‚armoise
äcre,, berbe au dragon : herbe odoriferante.
EsTRAGÄR, 9. &. gälas, CorTompre, döprayer.
566 EST
Reiner, dötruire, eauser du dommage. Dipen-
ser, prodiguer, dissiper.
Estnacan-s£. 9. r. 8’6puiser, ruiner son lem-
pöranıent; se corrompre, se pordre.
Koraico, s. m. “rulno, destruction, dem-
mage. Dögät, de6vasiation de pays, Carnage
d’bommes, eto. (flg.) * Corruption, deprava-
tion, dissolution de maurs.
Estnacdso, A, adj. (pP. us.) V. Estragador.
BernaLipa, s. f. crisilierie : cris, orierios
repeiöen.
naLin, ote. V. Zstalar, ete.
+ Estaaıutına, 5. f. (8. de mar.) " agrös sans
eordage garni de ponlies : candeletie. —s dos
masiros, caliornes des mäts.
Estnaun6Lico, A, adj. (fam.) extravagant
dans ses manidres, dans ses goüts ; Irr&gulier,
peu convenabie; bizarre, singulier.
ESTRANME ou | (9. us.) "paille, litiöre ;
Eeraautnto, s. m. chaume.
Beraauön, s. f. (4. de bot.) * siramonium
ou stramoine : plante qui donne la pomme &pi-
zeuse; noix mötelle, d\tara.
Rernanctıno, A, adj. &tranger : qui est d’une
autre nation. V. Esiranko.
BeraancvLickö, s. f. strangulation, #tran-
gloment.
. ESTRANGULADO, A, 9. pP. de
EsrrancuLin, 0. a. &trangler : faire perdre
la respiration ou la vie en serrant lo gosier.
Ji est aussi röflschi.
+ EstnancuLin, adj. 2 gen. Volas —es,
(t. danet.) ramification des veines Jugulaires
internes.
Estnancöria, s. f. (. de mdd.) strangurie :
envie fröquente et involontaire d’uriner, sans
que !’on puisse le faire , si 06 n’est aveo douleur
et goutte A goutte.
Estranuin0, A, 9. p. d’Estranhär. adj.
Blaäm6, sensur6; que Y’on trouve &trange.
EstainnautnTe, ade. Ötrangement; 6ton-
nemment.
* EsTRANBAMANTO, s. m. bläme, action de
blämer.
Estaanuiö, Ona, adj. sauvage. V. Bsquivo,
Esrnanuin , v. @. möconnalire, ne pas
eonnaitre. Admirer, &tre surpris de, trouver
#trange. Blämer, reprendre. — os dres, 56 trou-
ver mal du changement d’air, de climat. vo. n.
Ne pas se faire ou s’accoutumer Ad.
Estnannin-se (de), v. r. s’sloigner de, fuir,
öriter, esquiver. — oom alguem, rompre, se
brouiller avec quelqu’un.
EstaannäveL, adj. blämable : qui doit #tre
blame; reprehensible.
® Katnanatz ou ötrangetö, singularits;
Estnanntza, s. [. } surprise, &tionnement;
rustieite. V. Es . —ı, pl. choses mer-
veilleuses, admirables, &ionnantes.
Esrnannissımo, A, adj. sup. de
NBO, A, adj. €tfanger. Eirange, rare,
singuller, extraordinaire ; extravagant, bizarre.
‚Bor 6 algume cousa & ‚ ötre diranger
EST
& quelque ohose, w’ötre point vorss A queigue
chose.
+ Estaasstnco, 8. m. (1. de geogr.) Suns-
bourg : vılle d’Alsaoe.
Eoraarackua, 8. m. straisgöme : russ de
guerre; (lg.) tour d’adresse, Ünesse, trom-
e.
+ ESTRATAGENATICO, A, adj. stratagämeligue:
plein de stratagömes.
+ Estaartoıa, s. f. straiögie s schenee des
mouvementis d’une arımde.
+ Estaartcıco, a, adj. stratögigque : de la
strattgie.
+ Esrairmcacad, s. f. (1. de chim.) sirtil-
cation : arrangement par couches de sulbstanıt
dans un vase.
Estaatiricano, A, p. p. de
+ Estrarıricär, v. a. (1. do chim.) stıralißer:
arranger par couches dans un vase. Il est aussi
reflechi.
+ Estnarockacla , s. f. stratocralie : gourer-
nement militaire.
+ Esraarocnarnia, s. f. stratographie : de+
cription d’une arm&e.
+ Estaavipa, s. f. *d6rolement des bein.
Estravino,A,p.p. de Estraxer.
Estravacäncıa, eic. V. Ezriravaganeia, el.
Estaavin, 0. w. fienter : jeter ses eu
ments.
Esrrivo,s. m. * fente: oexoröment d’animati.
* Estaaro. V. Bestrdnko.
Bernta, s. f. etrennes; heureux presse;
(fg. fam.) —, premier debit ou premier usage,
premiere receite. Boa ou md —, bon ow mit
vais prösage.
Esrrzino, a,p. p. de Estredr. adj. Qaiı
ötrenne. Bom ou mal —, de bon ow maurıı
augure ; de bonne ou mauvaise apparence.
Estazin, v. a. ötrenner : [alre usage le prr
mier. Comme cer, entreprendre. o. ». Debt-
ter : faire le premier pas, les premiers acia
dans une entreprise, une carriere, dans un
genre de vie, etc.
Estrgir-s£, v. r. s/ötrenner; commencer i
exercer un emploi, eto., entrer en fonctions ;de
buter ; ötrenner, recevoir le premier argent de
la vente du jour.
Estazsania, s. f. 6curie. --dos Bois, table.
EstazsiLuas. V. Bstribilhas.
Estazsuxi0o, A,p.p. de Estrebuxer.
ESTREBUXAMENTO, 3. m. mouvemenis vie
lents ou conrulsifs.
Estkesuxin, vo. n. se dömener, se debalire,
&prouver des convalsions. Il est aussi acuf A
relischi.
* Estazcaa-sE, v, r. #tirdelr. V. Dimiseir,
Mingoar.
* Estazcin. V. Esfregar.
* ESTREITA, 8. f. petilesse, besoin. Diselie:
misdre.
EstrEitäno, A, 9. p. d’Esfreilar.
EstReıtanon, s. m. celal qui etreeit, qul
rösserrc, elc.
Estazıtawantg, adv. ötreilement : dans uD
EST
espaoe diselt, serrd. (Ag.) Exastement, ponc-
tsellement; lortement, rigoureusement, Inli-
mement,
Estagıria,, ©. @. ötrecir, rötrdcir : rendre
pas ötroit. Resserrer, etreindre; racooureir ;
eontraindre , forser &. — nos bracos, serrer
mire ses bras.
Estazrrir,, 0. m. 00— SE, v. r. so rölrecir, 56
usserrer : devenir moins &tendu, plus etroit;
jminuer. -razöes , menager ses paroles, par-
"peu. — em gaslos, despexas, etc., se mod4-
er, se resserrer : retrancher de sa depense,
%
Rerausrtza, s. f. limites öiroites,, resserre-
“ent; diroitesse, peu d’6&tendue, de temps.
(Ag.) Liaison, union; liaison intime, amitie.
"Besoin, danger pressant. " Recueillement, re-
traite, austerit6 de vie. Disette, nöcessite,
mangque de vivses, de choses necessaires ; In-
digence, silaation penible. Grande 6conomie,
mesquinerie.
*Beragıria. V. Rsireitesa,
Esragırissımo , A ‚adj. sup. de
Esratıro, A, adj. &troit : qui a peu de lar-
geur. Retr6oi, resserr6 : rendu plus &troit,
moins large. Avare, chicbe, mesquin. (flg.)
latime, Eiroit, rigide, austäre. Exaot, ponc-
tuel, rigoureux, surtout en matiöre de compte. |.
Reratıro, 3. m. (1. de geog.) detwoit : bras
de mer entre deux terres; defild, gorge de
montagnes. (fg. p. us.) * Liaison; besein. V.
äperio. it. Galons, passemenis. — de Maga-
Ikdes ‚dötroit de Magellan.
Estaeıtüna, s. f. V. Estreitexa, Aptrio.
EstagLauie, a. m. V. Aristolochla longa.
Esratıa, s. f. ötoile: astre; corps lamineux
la nit, par Jui-möme et fixe. (Ag.) Tout ce qui
en a la forme. (dd.) —, molette : margue blan-
che sur le front du cheval. —, pretendue in-
fluenoe d’un astre; destinde , sort, fortune. (1.
de fort.) —, fort en angles saillants. — d’alva
ou da mankd, Stoile du matin, Luoiler. — boidt-
ra. V.ce mot. — polar ou do worte, tolle po-
laise : une decelles de la Petite Ourse. — ixa,
&oile fixe, qui paralt comme attachte au fir-
mament. Ter Böa ou md —, ötre n& sous une
bonne ou mauvaise dolle. Tor — na ldste,
(Ag. fam.) ötre böte, sot. —s da terra, pAque-
Teiles, marguerites; les fleurs. —s d’Alhtnas.
V. Amelio. —s do mar, stoiles de mer ou ast#-
ries: zoophytes echinodermes, en &tolle, avec
la bouehe au oentre. —s des musgos, tolles
des lichens. —s orrantss ou errelicas, plandtes.
ar vr 0 —ı 6 ‚(Ag.) faire volr
tkentesix chandelles A quelqu’un. Ir alguem
ouchegar da —e, (fig.) se desesperer, s’indi-
ner au dernier point. Levantär ds —s, louer,
exalter, dlever jusqu’aux nues. Por enire as
—t, faire Fapothöose, diviniser. Querer contar
“2, (fig.) vouloir prendre la Iune avec les
denis, Ver —s ao meio dia, (ig.) $prouver une
Iaim excessive, un grand chagrin, une douleur
prolonde et violente. Fir para onsa com —#, 10
tetirer de nuit,
EST 667
EsraeLLino, s. m. lichen & fleurs en stoile,
V. Musgo.
EstreLLino, A, p.p. d’Bstrellar. adj. Etoile ı
see d’6toiles; en forme d’etoile. Cavallo —,
cheval 6toil&, qui a une &toile au front.
BerazLLauis. V. Aristolochia longe.
ESTRELLÄNTE, adj. 2 gen. qui brille comme
les stoiles; orne d’ätoiles. p.w. de
EstazLL.är,v. . orner d’stoiles; faire bril-
ler comme les &tolles. ( 1. de euis.) Frire, rous-
sir.
Estnzııkıno, A, adj. ot 5. personne sans
cease aux fen6tres A regarder le ciel, ou cheval
qui porte au vent.
EstreLLinna, s. f. dim. d’Estrella. Petite
ötoile. Etoile, signe , astörisque (*).
Estatu , s. m. V. Amarra.
Esragua ,s. f. borne, Kmite dans les campe-
OB.
EstazwÄpamentz, adv. V. Bxnfremadamentie.
Estazumino, A, pP. p. d’Esiremar. adj. Exoel-
lent, parfait. V. Extremäddo.
Estnzumandöra, s. f. limite, eonfins. Estrame-
dure ou Estremadure, province d’Espagne &%
du Portugal.
* Estnzmanca. V. Demarcardö , Divisdd,
Partilha.
Esraxzuir, v. a. aborner : limiter (un ter-
rain), en poser les bornes. Diviser, sspaser,
distinguer.
Estnzmin-sE (de,em),v. r. ötre söpar6 de,
se diviser. Se dislinguer ; exceller. — por al-
guem , aimer quelqu’un &perdument.
Esta£uz, adj. 2 gen. pur, sans melange, qui
n’est point altör6.
Estremxctr, v. a. ebranler, agiter, donner
des secousses et rendre moins ferme. (fig.) Ef-
{rayer.
ESTREMECER , v. 9. et —SE, v. r. tressalliir
d’effroi , frissonner d’horreur, de surprise; fr6-
mir, &tre &mu , trembler.
+ESTRENECIDAMENTE , ado. avec frayeur;
aveo dmolion. Amar —, aimer eperdument.
EstrEmscivo, A, 9. p. d’Esiremecer. adj.
Tout tremblant, tout hors de lui.
Estreuecruento, s. m. [römissement, &mo-
tion, tremblement, saisissement; tressaille-
ment; frisson. (Ag.) Exc&s d’amour ou de ten-
dresse.
Estrestnu0, A, adj. Esir&madurien : de
PEströmadure espagnole ou portugaise.
Estatuo, s. m. V. Raia et Ezirdmo. — do
rosario, pater, grain de chapelet.
ESTREMÖSAMENTE, adv. V. Extremösamente.
+ Estaeuöz, s. m. (t. de geogr.) Estremoz :
ville du Portugal, dans l’Alentejo.
ESTREMUNHÄDO, A, P.p. de
+ Estaeuunnir, v. a. (fam.) röveiller tout
& ooup quelqu’un qui dormait,
° Esrannoar. V. Ordener, Pormitlir.
Bernengusıno. V. Bstrinqueiro.
EBsraiwuo, A, adj, fort, vigoureux , coura-
geux. "
568 EST
Estazrinı,s. f.blessure faitepar la chausse-
trappe.
Esruzrino, A, pP. p. de
Estngrir, 0. s. garnir, entoursrde chausses-
trappes.
Estnerän-sE, ©. r. se piquer, se blosser,
s’enferrer dans les chaussos-trappes.
Estakre, s. m. chausse-trappe.
Estnerıripo, A, p. p. d’Esirepilar.
ESTREPITANTE ‚adj. 2 gen. 6clatant, bruyant,
qui enlate. p.a. de
Estaerırän, v.n. eclater, fairedu bruit.
Estakpıto, s. m. bruit, eclat, [racas. Sem—
ou igura de juizo, (1. de prat.) & la sourdine,
sans forme de proces.
ESTREPITOSO, A, adj. bruyant : qui fait du
bruit. (Ag.) Eclatant, chose d’eclat.
*EstazroLia, s. f. (fam.)“ bruit, tapage; de-
sordre.
* ESTRRVERAE , v.T. V. Alrever-se.
Estaszioo, A,p. p.de
Estnazır,, 0.0. (i. de peins.) poncer : piquer
un dessin ot lo frotter avec la ponce pour le
oonire-tirer,
Estnia, s. f. (l. d’arch.) eannelure, sirie,
striure : creux le long du füt des colonnes, des
pllastres, etc. —s, pl. (8. d’hist. nat.) stries : A-
lets semblables a des aignilles, sur les coquil-
les, sur les Etuis des insectes ; (1. de bot.) pe-
tites cötes sur les feuilles.
EstrıiDo, A, 9. p. d’Estriar. adj. Estrie:
couvert ou forme de stries ow de sillons fins et
serres ; cannele.
Estrıiö. V. Histrido.
Estaıia, v. a. (6. d’arch.) canneler : creuser
des cannelures. “
Estrısino, A, p.p. d’Kstribar.
+ Estrısam£nto,s.m.(p. us.) appul, Sou-
dien ; action de porter, d’sppuyer.
Estniniö, 5. m. aug. d’Kstribo.
Estnızir, v. a. melire les pieds dans les
ötriers. Appuyer, assurer ; elayer, soulenir
Estainän, ©. n. et —sE (em, sobre), v. r.
porter, appuyer : poser, @ire soutenu. (flg.) Se
fonder, s’appuyer sur.
Estaıntına, 3. f. ° marchepied de voiture;
#trier. Mogo d’—, valet de l’etrier. Perder as
—s , (fig.) se d&concerter, s’eınporier.
Estaınkıno, 3. m. ecuyer : celui qui a l’in-
tendance, ia conduite de l’ecurie d’un prince,
d’un seigneur. — mir d’el rei, grand ecuyer
du rol.
Estaınlınas, 5. [. pl. (l. de relieur) metier &
eoudre , cousoir de relieur.
EstaısiLB0, 8. m."reprise, relrain. *Expres-
sion qu’on r&pete souvent dans un discours.
Estripo, s. m. etrier; marchepied de voi-
ture. (l. d’arch.) Soutien, arc-boutant, pour
soutenir un mur, eic. (fig.) Appui, soulien.
Kslar como pd no —, (fig.) avoir le pied ä l’e-
trier, ötre & la veille de partir. Ir ao —, mar-
cher & pied, a cöt6 d’un cavalier ou & la por-
tiere d’un carrosse. Faser — em alguma cousa,
(Ag.) s’appuyer, faire fond sur. —s, pl. (1. de
EST
mar.) etriers : petits cordages de valsseau. Es-
tar ou andar sobre 08 —s, (ig,) &tre ferme sur
ses eiriers, n’etre pas facile & surprendre, &
ebranler dans ses resolulions; agir aveo pru-
dence, arec pr&caution. Perder 08 —, perdre
les ötriers, @tre desargonne ; (Ag.) se deconcer-
ter, s’emporter. Ter 0 pd em dous —s, (fg.)
chercher & r&ussir par deux voles ou proleo-
tions; se menager les deux partis. —s das ver-
gas , (l.de mar.) marchepied des vergues.
EstaınBörno, V. Estibordo.
*"Estriısula, etc. V. Desiridwir, etc.
Estrieuxin. V. Estrebuxer.
ESTRICöTE (a0), adv. pele-möle, oonfass-
ment, en desordre ; avec mtprisetdedain. Tre
zer alguem ao —, (fig.) ballotier quelqu’un,
Famuser par de vaines promesses ; se moquer
e lui.
t ESTRICTANENTE, ade. strictement : d’une
maniere stricte.
t Estaicro, Aa, adj. strict, &troit, resserte,
rigoureux. V. Restricto.
ESTRIDENTE, adj. 2 gem. (podi.) qui fait un
bruit aigu et percant.
Estrinör, s. m. bruit aigu et pergant;
cement (des dents); petillement (du feu).
tr EstaipuLo, A, adj. qui rend un bruit ai-
gre, aigu, pergant,
EstRica, 6. f. quenouilise de lin ou de chan-
vre s6rance. Natie de chevourx.
EstaıckDo, A, adj. fin comme du lin s»
rance.
Estaice, s.m. oiseau de nuil, pr&sums de
mauvais augure; hibou.
Estainca , s.f. dcoutille de vaisseau.
Estaıncipo, A,p.p.de
Estaıncir, v. a. tordre et faire casser.
Estaınqus, s. m. cäble de jonc, palan de
charge.
* Estaınqu£ıno, s. m. cordier qui fait des
esirinques. V.ce not, Celui qui a soin des cor-
dages d’un vaisseau.
Estaıpaoo, 4,9. p. de
EsTRIPÄR, ©. a. &venirer, &tiriper.
Estao, s. m. les poßtes donnent ce nom äla
fureur, a l’enthousiasme podtique; verve. Rut
des animaux; ardeur de la conoupiscence, fa-
reur libidineuse. (8. d’hist. nat.) OEsire : sorte
de laon, inyecie dipiere Oo aptere, asiome.
EstRöco. V. Destrogo.
Eströra. V. Eströphe.
Estaoia , etc. V. Destrwir, eic.
TESTRONMiTEO, s.m.($.d’hist. nal.) stromate :
poisson apode.
+ Estaöuno, 3. m. (1. d’hist, nat.) strombe :
testace univalve.— fusiforme, strombe fuseau.
— em [forma de manopla pugilatorie, siromhe
pesant. — larguissimo, sirombe large. — em
eristado come galo, sirombe creie de o0q. -
Aingındo pernas de ceniopfa,, le millepied. —
fingindo cauda d’escorpido , le scorpion.
Estrowsörıco. V. Estrambotico.
* ESTROMENTO, V. Insirumenito,
Esrnourino. V, Bsirepito.
EST
Eernoupin, vd. &. .) abimer; fatiguer.
Esrnönca. V. Forguilke.
Estaoncie. V. Desironcar, Desmembrar.
+ Esraoncıäna, 8. f. strontiane : l’une des
huit lerresprimitives,, principe des Corps.
Estaonpino, A, pP. p. de
Estronpir 0% faire grand bruit. (Ag.)
EstaonpeÄir, o. ». } Tempeter, s’emporter,
erier contre quelqu’un.
Esta0xpo, 3. m. grand bruit, fracas, explo-
sion. (Ag.) Tumulte, confusion, cohue. (id.)
"Pompe , appareil, magniflcence ; &clat; r6öpu-
kslion, renommee.
ESTRONDÖSAMENTE, adv. avec fracas, &clat,
appareil.
Estaosp6ös0, A, adj. bruyant, qui fait grand
bruit. Pompeux, magnilique; 6clatant.
EstaoriJo ow torchon ‚lavette:: chif-
EstkoPpäLBO, 8. m. ) fon pour laver. (Ag.)
hose rile, m#prisable, qui n’est bonneä rien.
Estaopzina, 8. f. "trepignement, Cohue.
EstaopzinDo, A, P. p. de
EsTROPEÄR, ©. 6. esiropier : Öler l’usage d’un
membre; (fig.) reirancher une partie d’une
penste,; defigurer.
EströrnK, s. f. strophe, couplet, siance.
Estaorioo. V. Estrondo, Estrepito.
+ Estn6r0 ,s. m.(t. de mar.) anneau de cor-
dage pour retenir l’aviron aux tolets. *Eirope,
berse de poulie, de rame. — com ganchos,
eirope ä paties.
*Estaoso, 4. V. Nescio, Sandeo.
ESTROTEGAR ow (t. rust.) trotter, allor
ESTROTEJIAR, 9. #%. ) autrol.
Estaovino, A, p. p. de
Estaovin, v. a. (p. us.) faire de mauvaises
trovas. V. ce mot. it. V. Esiorver.
Estaovmmäne, A, adj. (Pop.) &tourdi, in-
considere. —de somno, a demi endormi.
Esraovo, s. m. V. Estorvo. (tl. de mar.) V.
Zitropo.
Estaucton. V. Construclor, Architecto.
Estraucrüna, s. f. structure : manidre dont
an ddifice est bati, dont un corps est compose ;
(Ag.) ordre, arrangement des parties d’un dis-
eours, etc.
Estaucino, A,p. p. d’Estrugir.
EsTaucımEnto, s. m. V. Alroamento.
Estaucir, v. a. abasourdir. V. Alroar.
Estatir. V. Desiruir.
Estaumacäd, 3. f. "amendement, engraisse-
ment des terres.
Estausäpo, A,p.p.de
Estaumaa, v. a. meltre de la litiöre dans les
eiables pour faire du fumier; fumer, engrais-
ser, amender les terres.
Estaösas, (p. us.) V. Alporcas, Escröfulas.
Estaöue, s. m. "litiöre dont en fait du fu-
mier; emgrais, fumier.
Estrumtına, s. f. "lieu od l’on enlasse des
droussailles pour faire du fumier ; las ou amas
de fumier.
"Bsrzumäntzo. V. Insirumento,
EST 569
Estnumöso, a, adj. serofuleux. Bon sontre
les scrofules.
Estaupäpa, 8. f. V. Reföge, Impeto, Sur-
Estavpioo. V. Estrepito. ’
Esraöpo, 3. m. bruit de gens revoltes. V.
Tropel.
Estuncäö, s.f. (t. de med.) chaleur brälanıe
de la fiörre. Estuagöes do esiomago, naustes,
envie de vomir.
Estucipo,a, p. p.de Estucar.
EstucapOR, 8. m. stucateur : qui travallle en
stuc.
Esrucia, v. a. enduire (un mur, etc.) de
stuc , le blanchir avec du stuc.
+ Esröcuz, s. m. action d’Bstuchar.V.
r Estuchär, v. #. (fl. de jew) ülnir, gagner
son jeu (de cartes).
Estupänpo, A, P. p. d’Estudar. adj. Etudie,
affecte.
f Esrupanon, s. m. studieux : qui s’attache
beaucoup & l’&tude.
+ Estupantico, s.m.(fam.)grand &tudiant,
homme de lettres, docteur, homme studieux.
Esrunantäö, aug. V. Estudantapo.
EsTuDAanTE, s. m. etudiant: &colier, qui &tu-
die. Celui qui a fait ses etudes «& qui continue
de s’sppliquer aux sciences ; homme de leltres.
ESTUDANTINHO, 3. m. dim. d’Estudante. Petit
scolier; petit etudiant. On ne le prend guere
qu’en mauvaise part.
Estupär, v.a. @tudier : appliquer son esprit
ä apprendre; faire ses &tudes; apprendre par
c@ur; observer, examiner avec soin, mediter.
Soigner une chose. Estudou a theologia, elc.,
em Pariz, il fit satheologie,, etc., & Paris.
EstuDiösam&ute, adv. studieusement : avec
soin , avec une application studieuse.
Estopiosınäde, s. f. amour de l’ötude, desir
d’apprendre.
Estuniosissımo, A, adj. sup. de
Estupı6so, A, adj. studieux : qui aime !’6-
tude, qui s’y applique. Soigneux, diligent; fait
avec soin, soigne.
Esrüno, s. m. *6tude, travail, application
d’esprit. Salle d’&tude, classe, &cole. (flg.)—,
soin, application d’esprit pour parvenir & un
but. Fazer — d’alguma cousa, ( ig.) agir avec
art, reflexion , röserve. — no esiilo, nos ador-
nos, etc., recherche, soin pour perfectionner.
Dar —s a alguem, mettre quelgqu’un & meme
de faire ses ctudes. —s menores, grammaire,
rhötorique,, etc. —s maiores, haules sciences,
philosophie , th6ologie, etc.
Estüra, s. f. *posle: esp&ce de fourneau.
tuve : chambre &chauffee au moyen d’un poele
exterieur ; lieu ferme qu’on &chauffe pour faire
suer. Dans les bains, petite chambre oü l’on
fait suer les malades. Serre. ( ig.) Grand car-
rosse ferme de toutes paris.
Esturankıra, 5. f. "pot ou marmile oü l’on
fait cuire de la viande & l’dtuvree. Cloche,, ustem-
sile de euisine.
Esturino, s. m. *starde ; manidre de faire
570 EST
enire la viande, etc. ; cette viande, etc. ; danbe.
Esturino, A,p.p. de .
Esturia,v.a. ötuver : mettro de la viande,
du poisson, etc., & l’6tuves; faire une daube.
Echauffer une chambre, etc. (P- ws.).
Esturtino ‚s. m, poslier : colui qui fait des
poeles.
Esturiına, e. f.
Wair, oü l’on dtoufle,
+ Esturiu, s. m. chässis, cloche en vorre
Pour garantie les plantes en couche de la ge-
y eis.
Esrucin. V. Apressar.
+ Esrucanns, s. m. ($. de gdogr.) Statigart :
Yllle d’A!lemagne.
ESTULTANMENTE,, adv. sottement: aveo imb6-
eillits,
Estorricıa , s. f. sotlise, imbecillit#.
EstuLriLöguio, 8. m. " sotlises, fadaises, im-
pertinences.
EstuLto, A, adj. sot, fou, sans jugement,
sans rellexion. Ignorant, sans lumieres.
Estureraccid, s. f. (1. de med.) stupslaction :
engourdissemeni des parties. .
EsTupRrAcıEnTE, adj. 2 gen. ’ stupelactil :
Estupzractivo, A, adj. qui engour-
dit, öte le sentiment.
Esrurericro, a, adj. stnp£fid , dtonne, rondu
stupefeit.
n 6iroile et qui manque
+ Estorennauente,, adv. admirabloment, | V
merveilleusement.
EsTuPrEnDissimo, A, adj. emp. de
Estur&nnpo, A, adj. admirable, superbe, | maio
&tonnant.
Estöripamäntz, ade. stupidement, d’une
maniöre stupide.
Bsrorınkz, s. f. stupidits, bötise, pesanteur
d’esprit, insensibilite.
Esrörino, a, adj. stupide, brute, höbsts,
d’un esprit lourd et pesant.
Esturör, 8. m. *stupeur : ötat de celul qui
est stupefait; suspension du mouvement et du
sentiment; apoplexie, ( ig.) Etonnement, ad-
miration.
+ Esturoaino, A, adj. qui a de la stapeur,
altaqu6 d’apoplexie ; privd du mouvement ct du
sentiment (bras, jambe, ete.). p. p. de
+ Esturonän, v. a. causer de la stupeur, V’a-
poplexie. vo. ». Devenir esiuporado. V. ce mot,
Estupnip0, A, p. p. d’Estuprar.
Estupnapor, 8. m. celul qui viole une Alle.
Esturria, v. a, violer une Alle, la prendre
de lotce.
Estürro, 8. m. viol, stupre: violence que
l’on fait ä une file.
Estöqgue, 3. m. stuo.s mortier compos6 de
chaux, de marbre blanc, ou d’autre couleur,
pulverise.
Estünpıa, 8. f. espitglerie, dtourderie.
Esrunpıär, v. ». faire des espiegleries, des
#lourderies.
Estörnıo, A, adj. espiögle, dlourdi.
+ Estunıiö ou (1.d#’Mst.nal.) esturgeon:
t Estunsio, s.m.) peoisson cartilagineux.
Esrunnipo, A, adj. griilö, vonmei, & demi
brole. ( Ag.) Exalis, qui a la tSte shaude, On le
prend quelquefois suhstantivement, A um e-
turrado, c’est un corveau brüle. p.p. de
Estuaria, o. a. tötir, bräler, griller & demi;
roussir, dess&cher ä farce de (eu ; brüler, havir,
consommer la sauce. Il est aussi neuire,
Estönno, s. m. dessschement A force de fen;
chose rötie qui sent le brül6; tabso grillt.
Esrrce, s. f. (8. de myth.) * Styx ı Deuvo des
enfers.
Esrr'oıo, a, adf. (8. de pods. ei de mylh.)
stygien: du Styx; infernal. Lagde —e, St:
fieuve des enfers.
BaTvLatn. | y, Bat...
Estr’rrico, A, adj. styptigque : amer, äpre
(goät). V.-Siysico.
° Estıs. V. Hastim.
EsuLa, s. f. (1. de bot.) seule : plante qui
purge la bile et la pitnite. — maior, supberbe
des marais, tarbith noir ou bätard. — mem,
euphorbe & feuille de pin, la petite ösule.
Esunino, A, adj. (6. de mdd.) qui excilel'ap
petit. Acido — , acide gastrique. _
Esvasckr, 9. a. defairo, frustrer. Energatil
ir. V. Desvanecer. v. ». Pourrir.
Esvancha-az, 9. r. s’evanouir, disparali®,
se dissiper; se perdre, venir & rien, s'trenler.
Desmeiar
Esvazcivo, A, P. p. d’Esvaccer.
Esvazcıuguto, #. m. V. Eoaporapds, Der
‚ Desvanscimento, — da eabera. V. Fır-
higem.
Esvalno, A, p. p. d’Esveür-se. adj. Rranedl)
tombs en delaillance; languissant, abaile;
&puiss, tari; fiötri, en parlant d'une feur.
0} . 6 — ,
neux, qui a des vertiges.
Esvaluento, s. m. dvanouissement, dälall-
lance;; &vaporation. — de oabera, vertige, 6108l"
dissement de t#te. — de sangue, hömorrbag,
perte do sang qui fait tomber en defaillance.
Esvala-sg, 0. r. s’6vaporer, se perdre, sen
ler. S’6vanouir, tomber en delaillanoe; se dis-
siper. — 0 sangus ou — em perdre da
sang jusqu’ä toımber en defeillance. — a cabers,
avoir des vertiges, des tourdissements de IE.
— 0 onlendimento , extravaguer.
Esvauıka. V. Tresvariar.
EsvaLrkınos, s. m. pl. (£. de mar.) plöces de
bois pour accrocher les &coutes de hune.
Esvanzcta , v. a. faire &vanoulr, faire toM-
ber en defaillanee. it. V. Desvanccer.
Esvangcıno, A, P. p. d’Esvanecer.
Esviö, s. m. (ani.) V. Väo, Concavidade.
Esvasıin. V. Despejar.
Esvenicar. V. Esvidigar.
Esvtıro, a, adj. svelte. V. Esbelto.
Esvantinpo,A,9.p. de
+ Bovantia, v. @. (£. dark.) brüler de)»
poudre dans un canon pour le netloyer.
° + Esvanpanos, 5. 1. pl. berbes polagöt®
ETH
fralts des jardins dont on payalt anciennement
unesorte de droit.
+ Esvenpeano, A, 0b
+Esveapınnioo, A, adj.
Esvennumin. V. Espvurmar.
Esvmıcipo , A, 9. p. d’Esvidiger.
Esvmıcandn, s. m. celai qui enlöre les sar-
ments coupes de la vigne.
Esvinıcän, vo. a. enlever les sarments coupes
de la vigne.
Esviscezipo, A, 9. p. de
Bsvıscanir, v. a. &rentrer, &triper.
Bavoacar, ©.n. V. Adajar.
Esvonui0o,A,P. p. do
Esvuxuin, ©. a. presser des pustules.
"Er, pour e, conj. et.
Erira, s. f. (t. mil.) dtape : ration journa-
litre des soldats; portion de vivres pour les
troupes. \
Erc£rera, loc. lat. et cmwtera, etc. ot autres
personnes ou choses semblables.
"Erzco. V. Ethico, Tisico.
* ErEcoscen. V. Enlisicar.
EreaniL , adj. 2 gen. V. Etermo, ote.
ErzanaLu&nTeg, ade. | sternellement: sans
ETERNAMENTE, adv. | oommenoement ni
Mn. (Ag.) Pendant tres-Iongtemps. -
Erzanınipe, s. f. &ternile : durse sans com-
mencement ni fin, sans commenoement ou
sans fin; un fort long temps ; &tat dternel apr&s
lamort, (4g.) Longuo suite de sidcles. Desd’a
—,detoute &ternite.
Erzenızipo, A, p. p. de
Erzanızir , v. a. eterhiser : rendre dternel,
faire durer longtemps. (Ag.) Perpetuer. '
Erernızin-se, o. r. s’öterniser : ötre dtemi-
ss, se prolonger. (fg.) Se perpötuer.
Erkano, a, adj. &ternel : sans commence-
ment ni fin ; sans Än ou commencement assi-
gnable; continuel. (Ag.) De tr&s-longue durse.
4b —, loc. lat. de toute &ternitd. O —, s. m.
PRternel, Dieu, !’Eire supröme.
Ertsıas, s. f. pl. (#. d’ant.) V. Eldsios.
Ertsıos, adj. m. pl. ( Ventos —) etösies:
venis &ttsiens qui souffient huit jours avant
P’tpoque de la canicule. Vents allsds, qui s’öld-
vent tous les ans en certains pays.
"Eruzcoentan. V. Alagantar, Flagelar.
Eruzr,s. m. (1. de phys.) öther: fluide trös-
subtil que quelques philosophes ont supposs
remplir l’espace et mouvoir les astres. (4. de
chim.) —, liqueur trös-spiritueuse, tirde de
Fesprit-de-vin et d’un acide.
Erutnzo, A,adj. sthör6 ı qui appartient &
Pether, de P’6ther. (fg.) Cöleste.
rmıca, s. f. öthique : science des mmurs,
Ermco, a, adj. öthigue : qui conoerne la
morale. (ant.) V. Hectico.
* Ermictivane. V. Tisica, Hochies.
Erniorg, s. m. Ethiopien : d’Ethiople. — -
weral, &tihiops ou — mineral : mercure et B0u-
fre meles; oxyde de mercure sulfur6, noir.
= branco , chose impossihle,
} verdätre : qui tire
sur le vert,.
EUB $71:
Ersiöna,s.f. .
PR rk s. 1. (£. de gdog.) Bihiople : sontrös
Ersıörico, 4, adj. Eiblopien ; d’Ethiopie.
Eruwomar , adj. 2 gen. (1. d’anat.) eihmok-
dal : qui appartient & l’os ethmofde.
Ernuömwe , 3. m. (1. d’anei.) eihmolde : l’un
des huit os du coräne, & la racine du nes.
Eruwolozo, A , adj. de Pothmolde.
Eranıcautnse, ade. a la maniöre des eihni-
ques , des palens.
Erunıciswo. V. Genkilismo, Pagamismo.
TBNICO, A, adj. ethnique, palen, gentil,
idolätre.
Ermocrıpmia, s. f. ethnographie : art de
peindre les maurs d’une nation.
+ Erenoorirmico , A, adj. eihnographigue :
de l’ethnographie.
f ErEmöGaarno, 8. m. eihnograpbe ; qui dd-
critles maurs d’une nalion.
EruoLoela, s. f. &thologid ; traits sur les
maurs, les manidres. Eihopee.
Ernopka, s. f. &ihopee : peinture des maurs,
des passions de quelgu’un.
Erıca,, eto. V. Eihica, elc.
Erıcumäpe. V. Hectiea.
ErıuoLocia, ete. V. Biymologis, eio.
ErıoLocia,s. f. (#. de med.) etiologie: trait#
des causes des maladies; science, trails, ap-
plication des causes aux effets.
ErioLöcıco, A, adj. de l’&tiologie.
Erıqutra, s. f. &tiquette : o6r6monıal de
cour; formules dans les lettres,, les pelitions,
etc.
Eritzs, s. f. &tite:; pierre lerrugineuse , d’une
forme peu constante , avec des cavitös.
na, s.m. ($. de gdog.) Etna : montagne et
grand volcan de Sicile, (podt.) Chose ardente,
enflammee ; volcan.
Ernzo,ı, adj. de l’Etna.
+ Eröuıa , s. fı(t. de gdog.) Etolie : contree
de l’Achafle.
Erörıs ow Eroro, adj. m. naturel de IE-
tolie.
+ Ernönıa, 5. f. ($. de gdog.) Etrurie ı aujour
d’hui Toscane.
+ Errtsco, a, dj. Etrurien : de l’Eirurie.
ErymoLocia , 8. f. 6tiymologie : origine d’us
mot, sa deörivation d’un ow de plusieurs radi-
caux; source d’ou il derive; science des ori
gines.
‚ErTrmoLöcıcamesuıe, ade. selon l’etymolo- .
gie.
ETYwoLöcıco, A, adj. ötymologique : de l’&-
tymologie.
ErrmoLocista , s. m. etymologiste : qui
cherche l’origine des mots, la connalt, !’en-
seigne.
ErrmoLocızik, v. @. (P. us.) dtymologiser ;
donner l'&tymologie. .
Eu, pron. de la premidre personne , je, moi.
— mermo, mol-meöme. V. Mim et Me. it, s. 2
gen. v. g. Hste amigo d oulro —, col ami, o’est
un autre mol-meme.
+ Eusta, s. f. (4. de göog. anc.) Eubte ı 1le
579 EUP
de ia Möditerrende, aujourd’hui Nögrepeont.
+ Ecsösco, a, adj. (podi.) de !’ile d’Eubee.
+ EusoLia ou — ULiA, 3. m. (inus.) bon con-
seil; qualit6 de l’esprit qui consisie ä ne dire
jamais que ce qui convient.
Eucganustia, s. f. eucharistie : sacrement
daus lequei le eorps et le sang de J.-C. sont
presents sous les esp&ces du pain et du vin.
Eucaasistico, A, adj. eucharistique : de
Veucharistie. "
EUCHARISTICON , 8. m. (9. 8.) disoours en ac-
tion de gräces.
+ Eccuiras, s. m. pl. euchites, massaliens :
sectaires qui font oonsister la religion dans la
priere seule.
Euc#oLöcıo, 3. m. eucologe : livre de prid-
res pour l’ofice des dimanches et des fötes.
'Eucräista, s. f. (8. de med.) eucrasie : bon
temperament; bonne constilulion.
+Eucraitico, A, adj. (1. de med.) de bon
temperament.
+ Eupesuia , s. f. ( 1. de dos.) eudesmie : my-
the , arbrisseau de la Nouvelle-Hollande.
+ Eudiarngustia, 8. f. (t. de med.) eudia-
pneustie : respiration facile.
} Eupioweraia, s. f. (t. de phys.) eudiome-
trie : art d’analyser l'air.
Eupiöuerno, 8. m. (1. de phys.) eudiomötre,
instrument pour mesurer la purels de lair,
l’oxygöne qu’il contient.
+ Eunoxıinos, s. m. pl. eudoxiens ;: soctaires
du quatrime sidcle, partisans d’Eudoxe.
Eus&mia, etc.
Euronıa , 610.
Euroasio.
EorRasia.
+ Eucz, interj. fort bien! courage! (ine«s.)
s. m. Approbation. applaudissement ; oxclame-
tion en louange,, admirative.
EuLöcıas,, s. f. pl. eulogies: mets, viandes,
choses benites.
TEuLörno, s. m. (#. dsl. nat.) eulophe,
Kymenoptere.
Evuutnipzs, 8. f. pl. (t. de myth.) Eumeni-
des, [uries.
f Eumznintas, s. f. pl. (1. de myih.) eumeni-
dies : fötes des Eumenides.
f Eunomianos, s. m. pl. sectaires du cin-
quiöme sidcle , partisans d’Eunome.
Eunöcuo, s. m. eunuque : homme priv6 des
parties de la generation ou de la facults d’en-
gendrer ;garde du serail. Office de dignits dans
quelques anciennes cours orientales.
Euratörıo,, s. m. (1. de bot.) — #’Avichna,
eupatoire commun ou & [enilles de chanvre,
eupatoire d’Aricenne, herbe Sainte-Cunegonde.
— dos Gregos,, aigremoine , eupaloire des
Grecs.
+ Eurfrsia, 8. f. (tl. de med.) eupepsie:
bonne digestion.
+ Euratuia, s. f. euph&mie : pridre des La-
c&d&moniens. »
Eornsuismo, 3. m. euphömisme : frope qui
sert Aadoucir les expressions par d’auires plus
V. Eupk... 8. eic.
EUT
douces, plus agröables, plus honnödtes; & vol«
ler, deguiser des id&es de&sagreables , obscönes,
tristes , rebulantes.
} Eurmuocia, s. f. euphlogie : inflammation
benigne.
Evrnonia, 8. f. euphonie : son agreable d’une
voix, d’un instrument. (1. de gramm.) Ce qui
rend la prononciation facile, coulante; sap-
pressibn d’une lettre & la fin d’un mot pour
adoucir la prononciation (©. g. d’alına pour da
alma , de l’Ame).
Eurnönıco, A , adj. euphonique : de l’eupbo-
nie, qui la produit, qui lui est favorable.
Eurnönsta, 8. f. (8. de bot.) — dos antigor,
* euphorbe ou euphorbier : arbrisseau de Mau-
ritanie, du genre des titbymales. — das boli-
cas, euphorbe offcinal. — maleiteira, le rö-
veille-matin.
+ Burnoasiiczas, adj. et s. f. pl. (1. de bot.)
euphorbiacses : famille des euphorbes.
Eurnönnıo,s. m. V. Bupkorbia dos Anligee.
Burmnisıa, s. f. (8. de bot.) euphraise ow en
fraise : plante annuelle , monopetale et persor
nee, bonne pour les yeuzx.
tf Eurmaärzs, s. m. ($. de göog.) Buphrale:
grand fleuve d’Asie.
Eunßua ‚s. m. (1. de praf.) pr&caulions pouf
assurer la validit6 d’un contrat.
EuREMÄTICO, A, adj. (t. de pra£.) qui traile
des Zurtmas. V.ce mot.
rEvairo, s. m. (pP. us.) detroit de mer.
Evao, s.m.(podt.) Eurus, est : vent d’orienl;
du Midi, le sud.
Eunöra, s. f. Europe : l’une des parties da
mond®.
EoROrEnsz, ady. 2 gen. " Europeen, dEu-
Eunor£o, Kı,adj. nr ; au lvi ap
+ Eunv’cmonas, 8. f. pl. (1. d’kist. nal.) 'eu-
rychores : famille de col&optäres.
Evavrauia , s. f. (l. d’aris) euryihmie : bel
ordre , belle proportion d’un 6difice; &lögance
et majests; (1. de med.) regularits du pouls;
dexteritö de chirurgien.
+Eus,s. 2 gen. pl. d’Eu. Em mim ha .dous
—,ilya en moi deux principes ow deux Elrei.
} Eusznıänos, se. m. pl. eusebiens : hereü-
tiques du quatriöme siecle, partisans d’Arius.
f Eustacıänos, 8. m. pl. eustaliens : calboli-
ques d’Antioche qui soulinrent Eusiate , leur
$röque, contre les Ariens.
Eustr’Lo, s. m. (4. d’arch.) eustyle : espat®
convenable entre deux oolonnes, &edifice d 00-
lonnes distantes de deux diameires. .
+ Eurkarz, s. f. Euterpe : muse qui presidail
& la musique. (Ag.) La musique.
f Eurnanäsıa, s. f. euthanasie : mort en 6lal
de gräce, mort heureuse, sans douleur, 5208
crainte ni regrets.
+ Eoraksıa, s. f. euthesie : vigueur natarelle
du corps, forte constitution.
+ Eurav’uia, s. f. euthymie : contentemenl
et trangquillit6 de Pesprit; repos de l’äme. _
Eurnarelia, 5. f. eutrapslie ; galte face”
EVA
Sewse; art de plalsanter avoo finesse ; manidre
sgreable , enjoude, affable.
fEornartuıco, a, adj. de Feutrapelie.
+ Erraorsia ‚s. f. eutrophie : bonne et abon-
dante nourrilure.
+Eorrasiänos, s. mw. pl. eutychiens ou eu-
ischites : partisans d’Eutychös, qui niait lo
corps du Christ fait homme.
Eracuacäö, s. f. dracuation : döcharge d’bu-
meurss, d’excrements, etc.; action d’&vaouer,
ses effets ; matiöre Evacude.
Eracuipo, A, 9.9. d’Evacuar.
Erieränte, adj. 2 gen. ot s. m. &vacuant,
Wracaatil: qui [alt dracuer. Os —s, s. pl. les
@racuanis. 9. a. de
Eracuin, o. a. &vaouer, vider; faire sorlir
d«e.— uma prara, eidade, casiello, elo., &va-
eser une place, eic., en faire sortir la garnison
Per an lraitd, par une capitulalion.
EVacvaTıvo.
EracuAToRIO. | V. Evacwante.
Erıpipo, A, p. p. de
Evapir,v.6. &chapper, eviter, fuir,se lirer de.
tEraDia-se, o.r. s’svader, s’&chapper, s’en-
fair fartivement.
Branckıno, s. m. evangile: lei, doctrine, his-
teire de Jesus-Christ; les livres qui les contien-
nent; partie de l’evangile qui se dit & la messe.
— pequenino, proverbe, senlence, maxime.
Ordens de — , diaconat. Tomer ordens de —,
etre ordonne diacre.
+Evanckuıas, s. f. pl. (I. d’ant.) evangelies:
anciennes fötes ä Ephöse.
Evanc£Licameute, adv. &vangeliquement :
d’ane maniere evangelique.
KEvanck£lico, A, adj. &vangölique : de ou se-
lon l’evangile.
* EvancKLiönIO, 8. m. evangsliaire : livre
d’evangiles.
EvanceLista ,s. m. &vang6liste : auteur d’un
vangile. O—, saint Jean evangelisie. Ser um
— ‚(fig.)€ire veridique, dire toujours la verile.
BranceLıziDo, A, p. p. de Evangelizar.
EVANGELIZADÖR,, 5. m. celui qui pre&che l’e-
vangile,, qui evangelise.
EvancgLızante, 8. m. V. Evangelizador.
p.a.de
Erinceuszin, ©. a. övangeliser : annoncer,
precher l!’evangile. (lg.) Annoncer une bonne
Boarelle, pr&cher une bonne doctrine.
t Erin, s. f.(6.d’Mist.nal.) evanie : hyme-
noplere, entomolile.
"vANO,s.m. V. Ebano.
Evaronıcäö, s. f. &vaporation :exhalation de
Pbumidits d’un corps, de vapeurs, de fluides.
Erarorino,A,p.p. de
Eraronia, 0.0. 6vaporer, exhaler. v. n. S’e-
vaporer; se r&soudre en vapeurs, se dissiper.
Evaronin-se, vo. r. V. Evaporar, v. n.(fig.)
K'eleindre, se dissiper, s’6vanouir.
ErAProaaTivo, A, adj. &vaporatif : qui fait
€raporer.
Evaroaırörıo, A,adj. V. Evaporalivo. s.m.
(P. us.) Braporateire, almidometre.
EVO 573
Evıroniver, adj. 2 gen. tvaperable : qui
peut s’€vaporer.
Evasiö, s. f. &vasion : fuile seoröte; action
des’örader. V. Vasdo. (Ag.) Expedient, moyen;
solution d’une dificults, etc. Excuse, &chap-
patoire.
Evasivo, a, adj. &rasil : qui sert & dluder.
"Evasöm. V. Evasdo.
Ev&nto, s. m. (9. us.) drönement. V. Sue-
cs330 , Aconlecimento. Em quer — ‚em lodo
— ‚atout erenement, & tout basard , quoi qu’il
arrive, entout cas.
Evantuiı, adj. 2 gen. casuel,, eventuel, for-
tuit : qui peut arriver ou ne pas arriver; fonde
sur un dvönement incertain.
EvEnTuaLspäne, 8. f. dventualils : qualits de
ce qui est eventuel. Possibilit#, probabilite
d’un erönement.
Evzasiö, s. f. dversion:renversement, Fuine®
d’on Etat, d’une ville, etc.
EvErsivo, a ‚adj. eversif : qui renverse.
EVERSÖR, 3. m. (P. us.) destructeur.
Eviogiö, s. f. (t. de prai.) eviction : action
d’evincer.
Erinencıa, s. f. evidence : cerlitude mani-
feste ; qualite de ce qui est drident. -
EvmzncıAÄpo, A, p.p. de
EvipenciÄr , 9.6. meltre en &vidence , rendre
&vident.
Evmentz, adj. evident, clair, manifeste.
EvinentEußnte, adv. 6dvidemınent, d’uns
maniere övidente.
Evınanrissımo, A, adj. sup. d’Evidente.
Evıa, s. f. V. Bacchante.
+ Evıo, a, adj. (6. de pods.) &pithete de Bao-
ehus ; bacchanal, de Bacchus.
Enmacid, s. f. action d’eviter.
Evıripo, A, P. p. d’Evitär. adj. Excommu-
nie, & @viter.
Evırautnto,5.m. (p. us.) V. Boilagio. il.
Desculpa , Excusa.
Evırinoo. V. Vilando. ,
Evıraa, ©. @. 6riter : fuir, esquiver ce qui
nuit, deplalt, etc.; fuir uno chose; Öpargner.
— 0 golpe , decliner un coup. .
EviTävsL, adj. 2 gen. övitable : qui peut &ire
erite.
Evitsanınipe, 5. f. eviternitö : duree qui a
commenc®, mais ne finira pas.
EviTErno, A, adj. eviterne : qui a un com-
mencement ct n’a pas de fin.
Evo, s.m. siöcle, äge fort long; öviternite,
(poet.) * Eternite : duree d’un temps fort long.
(ant.) Nom d’un grand poisson de mer.
Evocacäö, s. f. $vocation ; aclion d’evo-
quer.
Evocan0,4A,p. p. de
Evocir, v. 6. &voquer : appeler, faire venif
A soi; fairo apparalire. Invoquer, appeler &
son secours.
Evocatönı0, A, adj. drocatoire : qui a la
vertu d’evoquer.
+ Evo ow Evont, inierj. bien lui soit! Ac-
claınation des bacchantes,
578 EXA 24
Evor.än-se, v.r. s’eıhaler en vapeur; (f7.)
s’&vaporer.
EvoLuckö, s. f. #rolution : mouvement de
iroupes pour une nourelle disposition; (f. de
physiol.) d6veloppement des Corps Organiques
lors de leur formation.
EvorLöra, s. f. (1. de geom.) döveloppee :
courbe qui en forme une auire quand on la
döveloppe.
EvoLvante, adj. 2 gen. Curva —, (. de
geom.) dereloppante : courbe qui rösulte du
developpement d’une autre dite developpee.
+Evona, s. f. (£.degeog.)Evora : ville d’Alen-
tejo, en Portugal. — Monte, Evora de Monte.
Evorensg. V. Eborense.
Erursiö, s. f. (8. de chir.) action d’arracher.
Evulsion.
Ex, prep. latine, qui entre dans la compo-
sition de plusieurs mots portugais. Ex, ci-de-
vant; qui a &i6. Ex-defnidor, Ex-guardido,
etc., ex-definiteur, ex-gardien : qui a &i6 defi-
niteur, quia &t6 gardien, eto.
Ex-ınnörto, loc. adv. lat. sans exorde,sur-
le-champ; (Ag.) violemment, contre l’ordre et
la rögle.
Exazunpäncıa. V. Superabundancia.
Exacciö, s. f. perception, levee des drolts
royanz,desimpöts. Exactitude, Exaction s action
d’exiger durement, et surtout de recevoir plus
qu’il n’est d@ ; mangerie.
Exacaasacid, s. f. aigreur. (f. de möd.) Exa-
cerbation, augmentation d’un paroxysme.
ExacErsiD0, A, 9.9. d’Exaverber.
ExACERBADOR, A,adf. et s. qui aigrit, qui
Irrite ; qui cause une exacerbatlon.
ExACERBÄR, v. 6. algrir, irriter. Il est aussi
reciproque.
+ Exico, s. m. (f. de bot.) * gentianelle ;
plante gentiande.
Exacönno. V. Hewacordo.
ExacrämßntE, adv, exaclement : avot eXa0-
titude; soigneusement.
Exicriväö, s. f. exactitude : attention pono-
tuelle et röguliäre; precision,, Justesse. Ponc-
tualitd, son, diligence.
Exacrissıno, a, adj. sup. de
Exicro, a,adj. exact: qui a de Pexactitude ,
regulier, ponotuel;; soigneux, minutleux.
ExACTOR, 8. m. percepteur, collecteur, rece-
veur des impöts. Ezacteur : celui qui commet
des exaclions.
Exicericiö, 8. f. oxagsration: discours,
expression qui exagere, byperbole; action
d’exagerer.
Exacenin0, A, P.p. d’E: .
ExAGERADOR, A, 8. Bxagörateur: qui exagöre;
qui a l’babitude d’exagerer.
ExıcenÄn, ©. a. exagörer. Il a les meınes
acceptions dans les deux langues.
EXAGERATIVAMENTE , ado. d’une manidre
exageree,.
Exicenarivo, a, adj exageratif : qui Uent
de l’exageration; qui exagere, amplilie.
Exscıripo, a, p. p. d’Ausgitar-se,
EXA
t Exaorränsg, 0. r. sagiler beautonp , sit
riter, se meitre en colöre.
Exacono. V. Hexagomo.
ExaLan, etc. V. Exhaler, ete.
ExaLci0o,A,p.p. d’Ezeiger.
ExaLcapön, A, adj. ei s. louangenr, panigy-
riste : qui loue, qui #löve, etc.
ExaLcauinto, s. m. V. Exaltapds. Lounge
(ant.).
Exargin, vo. a. exalter, louer, &lerer. V.
Exaltar.
Exırtacid, s. f. exaltation, &lövation; (A4.)
elövation aux honneurs, etc.;exageration dans
les iddes, les sontiments; chaleur d’imagias-
tion, enthousiasme, fanatisıne. (% de chim.) —,
€paration au plus haut degre. (1. d’astrol.)-,
signe dans lequel un astre a lo plasd’induenee.
-— 80 , ao pontifcado, avönement du
tröne, au pontißcat.
Exırrino, 4, p. p. d’Exaltar. adj. (Me)
Exagere dans ses opinions, eto. Exoessil.
ExıLtautnto,s.m. V. Exallaglo.
ExuLrir, v.a. &lever, hausser. (fg.) Exal-
ter: louer, priser, vanter; porter & Yentbor-
siasme, au delire. (4. de chim.) —, augmeniet
la force; doubler la vertu; purifier autanl que
possible un metal ; sublimer. Volatiliser. -
mdito um heroe, porter un heros bien haut.
ExALTÄän-SE, u. r. s’exalter soi-m&me; sirt-
ter. —abilis ou a colere,, s’schauffer, sienßen-
mer, en parlant de la bile. — a alguem a hä
ou a oölera, ( ig.) se fächer exirömement, de-
| venir furieux.
ExaLvicano. V. Aloacsnio , Deslavade.
ExiNE, 8. m. examen : questions pout &ll-
miner la capacit# d’un elöve , d’un deolier, du
aspirant, etc.; recherche, discussion, oböt-
vation solgneuse, exacte, refldchie; consaft,
eritique; perguisition, enquöte. (enf.) Emaln,
multitade. V. Enzame.
Exiuereo. V. Hexameiro.
Exauınaci6, s, f. examination : action deit
miner, examen.
Exıuımino,A, 9.9. d’Baaminar.
EXAMINADOR, 3. m. examinateur: qul e3%
mine, interroge les candidats, les recipien
daires. — synodal, examinateur pour les ordrs
sacres, les pouvoirs de confesseur, ele.
Examınär, dv. 6. examiner, scruter, recbel-
cher exactement; regarder atientivamen! I
bont# d’un ouvrage, la qualits d’une denret,
etc.; faire l’examen, interroger. — ul
munhas, (t. de pras.) rocevoir les döposilens
des t&moins.
ExinGug, adj. 2 gen. qui n’a point de sa0f,
qui l’a tout perdu. (Ag.) Ansanti, extWiidt,
faible, languissant.
+ Exanıuagäö, s. f. privation des foneuens
tales.
Exinıuz, adj. 2 gen. döcourag6, consternt:
6pouvante. Mort, prive de la vie, qui ne denne
pas signe de vie,
Exanrußua, 8. m, (1, de mid.) esanhimt:
vi
EXC
sruption & la peau aveo ou sans solulion de
conlinuile.
ExntEsuiTico, A, 04 en laue ..
EXANTBEMATOSO , A, adj. P’exantheme,.
Exaguı, ade. V. Eis aqus.
Exaripo,A,p.p. de
Exanär, 9. 6. graver sur le bronze, sur le
marhre, elc.; tracer. (ig.) Ecrire.
Exixcino ou — CHÄDO, 8. m. exarchat : tar»
nitoire , dignite de l’exarque.
ExäncO 04 — ARCHA, 8. M. 8Xafqu6 ! COM-
mandant en Italie pour les empereurs grecs ;
dignite dans l’eglise grecque, aprös le patriar-
c
tExaatunösıs, s. f. (6. d’anat.) exarthrose,
huation.
Exasreracäö, s. f. exaspsratlion : aclion
d'exasperer, ses efleis ; Ötat de ce qui est exas-
pete.
Exsspenipo,A,p.p. de
Exaspe£RiR, vd. a. exasperer: aigrir, irriter &
Pexcäs ; provoquer. Aggraver, faire empirer.
ExaspunÄa-SE, vo. r. s’emporter, s’exasp£rer.
de renvenimer, s’enveonimer de nouveau.
"Bxauccöss, s. f.pl.V. Exacgds.
Exauronagäiö, s. f. exautoration ; action de
dtgrader.
Exauronän0,&A,P. 9.de
Exaurorir, 9. 6. exautorer : dögrader.
Excanpescöncia, 8. f. Schauffaison;
fement;; emportement, irritation.
tExCAnDzscknTE, adj. 2 gen. öchauffent,
Iritant, p. a. de
Bxcannescee, v. a. [aire rougir lo fer au
plus haut degre. (Ag.) Irriter, enflammer. vo. ®.
Rougir, devreuir rouge. — com ira, s’emporter
comme un furieux.
ExcanDESCRR-SE,, v. r. s’echaufler, se brüler
le sang.
Excanpescipo, A, P. P. d’Ezcandeswer.
Excancerär. V. Desencarcerdr.
TExrcanırcackö, s. f. sorte de martyre qui
eonsiste A dechirer les ohairs.
Excavacid, 8. f. excavalion : action de creu-
ser; ereux dans un lerrain.
Excavrino, a, p.p. de
Excaväin, 9. 0. excaver : creuser prolond6-
ment. V. Escavar.
Excgnäntg ‚adj. 2 gen, exceseil. Excädant,
quiexcäde. s. mw. Exctdant: nombre, qualits
quiexcäde;ce qui axedde; ce qui resie apr&s
Bne soustraelion.
Excspfn, v. a. excöder : outre-passer; aller
su delä des bornes. Exosd£o as esporamgas, il
a6t6 au delä desesperances. Minha dor ewesde
mwilo & Ina, ma douleur passe de bien loin la
ne.
mmzada (0, em), %. 9%. SUTP&SSEr ; B'avan-
ger &.
Excznta-se ‚9. r. s’oxceder : faire quelque
those yusqw’ä l’excds. -— @ Si-Mesmo, 86 SUr-
Passer soi-meme ; faıre beaucoup misuz qu’ä
son ordinaire,
EXC 575
Exczoino, A, p. p. d’Exesder.
® Exczonßs. V. Xadrez.
* Exczıciö. V. Rzcepeäo.
* Exczıruia, etc. V. Excepiuar, eic.
Exczııtncıa ‚s. f. excellence ;: degrö immi-
nent de pesfection ; titrehonorifique desgrands,
ambassadeurs, eio. , au-dessous d’altesse.
ExceL.ente, adj. 2 gen. excellent : qui ax
oelle ; d’ane qualiis superieure; superieur ; le
meilleur ; trös-bon.
ExcELLENTEMENTE, ado.excellemment: d’une
maniöre excellente.
ExceLıentissıno, A, adj. sup. d’Eweellenis.
Excellentissime : titre d’honneur qu’on donne
aux grands, ambassadeurs, etc. ; trös-excellent.
* Exceııkn, ©. ". excoller : surpasser par
une qualii; @tre excellent.
ExcELSAMENnTE, ado. bautement : avec &l&-
vation et supsriorite.
Exczısıtöng, 8. f. trös-grande #l&vation ; su-
blimite.
Exctıso, A,adj. baut, dlevö, dminent. (fg.)
Soperieur, öminent, souverain; sublime,. Ai-
mo — , bautcourage.
Exc&nTRicautnTg, adv. d’une maniäre eı-
centrique, hors du sentre.
Excenraıcıväpe, 8. f. (f. d’asir.) excentri-
eite : distance entre le centre et le foyer de l’el-
lipse decrite par une planete. (fig.) Prootde ex-
cessif , imprudent; extravagance de caraoläre,
de goüta,, de conduite,.
EXCRNTRICO, A, adj. exoontrique : so dit de
vercies engages Fun dans l’autre, et dont les
oentres sont differents. (Ag.) Original, hors da
commun, extravagant.
+ Exchntaico, s. m. (4 d’asir.) orbite exom-
trique d’une plandte.
Bxczrciö, s. f. exoeption : action d’excepler;
cequi doit #tre, ce qui est except£.(f. de pra#.)
Moyen qui exempte de röpondre. — decli-
naloris, (t. de praf.) exception declinatoire :
moyen qu’on alldägue pour decliner une juri-
dietion. — dilstöria, (id.) exceplion dilatoire :
exception pour faire differer le Jugement. — p0-
remploris, (id.) exception peremptoire : de6-
fense qui consiste dans l’allegation de la pe-
remption. A’— de, ä l’exceplion de, exceplö;
hors , hormis. Ndo ha regra em —, il u'ya
pointde rögle sans exceplion.Com poucas—6es,
& peu d’exceptions prös.
ExcEPCIONÄDO, A, P. p. de
Exczrcionän, dv. 6. (1. de praf.) exoiper:
fournir des Aare (p. u8.).
Excarracäd.
ExcePrän, etc. | V. Bacsplua..., 6t6.
+ Exczrriva , s. f. clausule, condition.
Excerrivo, A, adj. qui (alt une exception,
qui en coniient.
Exckero,A,p. p. irr. d’Exceptar.
Exc£rto, ade. ei prdp. saul, & la röserrode,
except#, hormis, hors.
Exczrruacid,. V. Exeopedd.
Exczrruäp0, 4, 9.9. de ’
ExcePTVan (de), 9, a, oxonpier : ne PAI COM-
876 EXC
prendre dans un nombre, une regle, un choix,
etc.
Exc&rrto, s. m. extrait, collection.
ExCEssivamEnTE , adv. excessivement : d’une
maniöre excessirve.
Excessivo, a, adj. excessil: qui excdde la
regie, la mesure, le cours ordinaire , les bor-
nes raisonnables ; quiva Al’excös; oü ily a do
Vlexcös.
Exc£sso, 3. m. excös: ce qui passe les me-
sures, les bornes de la raison, des vertus, de
la bienseance ; exc&dant d’une quantits sur une
autre; ce qui est superflu ow de trop;; malice,
crime. Commelter algum —, commeltre quel-
que crime. Em ou por —, excessivement. Em
nada deve haver — , ilne faut d’excös en rien.
—s, pl. honnettetes,, manieres obligeantes ; em-
pressement. Fazer —spor alguem , aimer quel-
qu’un d’une maniere excessive, &perdument.
—s menides ‚ transport, ravissement, extase.
Excivıo,, s. m. *"devastation, ruine , desola-
tion.
TEXxcIFIENTE, s. m.(t. de pharm.) excipient:
substance qui sert de base aux medicamenis.
+Excısiö,s. f. (t. de chir.) excision : ac-
tion de couper; oastration; circoncision en
Perse par l’enlörement partiel. Amputation.
Excıtaciö, s. f. exoitation : action de ce qui
excite; instigation.
Excıräno,A,p. p. d’Exeilar.
‘ ExcırapOn, s. m. instigateur, moteur. (#. de
phys.) Excitateur : instrument pour exeiter les
‚etincelles electriques.
ExciTaMEnto, s. m. aclion d’exolter, ses ef-
fets. (t. de mel.) Excitement : rötablissement
de l’action du cerveau.
ExcırÄänte, adj. ? gen. et m. qui excite; ex-
eitatif, propre ä exciter. (4. de mdd.) Stimulant,
slimulus : quiala vertu de röveiller, de stimu-
er.
Excrtär, v. a. exciter, provoquer, $mouvoir;
eauser ; faire naltre; occasionner ; encourager,
animer. V. Suscilar.
Excrrativo, a, adj. oxcitatif : qui excite,
propre ä exciter.
Excitarörı0, A, adı. (P. us.) excitatoire :
qui excite &.
Excuamacid,s. f. exclamation : ori fait par
admiration, surprise, joie, indignation , desir
o« fureur, etc. it. —, figure de rhötorique.
ExcLuauino,&A,p.p. d’Exclamar. .
ExcLaMADOR, A, 8. qui fait des exclamations.
Excrauir, v. n. s’ecrier, se recrier : faire
un grand cri, une exclamation.
+ ExcLauaATivo, A, adj. exolamatif : propre
& l’exclamation.
T EXCLAMATÖRIO , A, adj. qui oontient, indi-
que exclamation. V. Exclamativo.
* Excıupin. V. Exeluir.
ExcLuloo, a, p. p. d’Escluir. et adj. Navio
— do seroigo , navire condamne. — da eleicdö ,
ineligible.
Excıufs (de), ®. 6. exclure, chasser, expul-
ser, emp6cher d’6tre adınis ; reprourer.
EXC
Excırsäd, s. f. exclusion : declaration ‚ac
par lequel on exclut.
Excusiva, s. f. V. Exelusds. Droit d’exelen.
ExcLusivam£nte, adv. exclusivement, älter.
Clusion , en excluant.
Excuusıve, adv. lat. exclusivement.
Excıusivo, a, adj. exclusif : qui esclat on
peut exclure.
TExcıiso,a, p.p. irr. d’Excluir. Eich.
V. Exelwido. (1. de bot.) Exert:: (*tamine)sall-
lant hors (du ccalice, etec.).
Excocrraciö, s. f. action d’inventer, din#
giner, imaginative.
Excecırino,A,Pp.p. d’Ezeogilar.
EXCOCITADOR ‚ 3. m. inventeur.
ExcocıTÄR, v. a. penser, imaginer, mei
profondement; inventer.
ExcocıTävEL, adj. 2 gen. imaginable: qui
peut £&tre imagine.
Excouuuncaciö. V. Excommunkdo.
ExcoNNunGcäno, A, p. p. d’Ezcommunger.
adj. ets. Excommunie : reiranch& da nombre
des üdeles.
ExcoNmuncÄR, v. a. exeommunier : reifst-
cher de la communion de l’Eglise, separer de
fiddles. Chasser (les insectes nuisibles) ar&
des exorcismes , etc.
Excomuunniö, s. f. excommunicalion : c&8-
sure qui excommunie.
* Excouuunuin. V. Excommunger.
Exconugid, 3. f. (t. de chir.) excorishön:
$corchure de la peau.
ExcoRıin0,A,p.p.de
Exconıin, v. a. (8. de chir.) excorier : &0-
cher la peau, une membrane. Il est aussi tö%
proque.
Excoarticagid. V. Decorticapds.
Excazci6, 8. f. (1. de physiol.) exertüioh:
sortie naturelle des humeurs nuisibles, les be
meurs.
ExCRENENTicıo, A, adj. (1. de mid.) exet*
mentitiel , excrömentenx : qui tient de Fexert®
ment,
ExCRENENTO, 3. m. excr&ment : s6cr&lion;
qui sort du corps de l’animal ; matieres föcale-
ExcaENENTOSO, a. V. Exerementicio.
Excazscencıa, 8. f. excroissance : SUpl-
fluite de chair, de matiöre.
+ ExCRESCRnTE, adj. 2 gen. qui erolten de-
hors. p. a. de
} ExcRESsCceR, o.n. (1. de mid.) s’dlerer ©
forme d’excroissance,, se tamısäer.
Excrzrti0o, A,9.2.de
tExcaEriR, v.a. (1. de pAysiol.) dracaes
rondre les exor6menis.
Exca£ro, A, adj. rendu en forme d’eict-
ments.
Excaerörıo, adj. exorötoire : (vaisseaul,
slandes, conduits —s) pour P’excereiion.
+ ExCRETOS, 9. m. pl. (k. de mid.) sah
tions.
Excunsä6, s. /. excursion ı oourse, iu
tion sur le pays ennemi. (Ag.) Beart; digrer
sinn,
EXE | EXE Be,
Excheso, 8. m. " digression : 6carl d’un au- qui analyse (theologie, methode). s. m. Exs-
leur, gete : interpreie en maliere de religion.
tExcussiö, s. f. (l. de prat.) discussion: | Exenin.V. Eximir.
recherche en justice des biens d’un debileur. Exeupcäö, s. f. exemption : droit, gräce,
tExcoria, v. a. (t. de prat.) discuter les
biens en Justice ( d’un debiteur ), les laire
rendre.
Exscaucid, s. f. execration :horreur ex-
me pour (un @lre); imprecation, maledic-
ion. (l. de thdol.) —, action , accident par les-
quels une chose perd sa consecralion.
EiscaiDo, A, p. p. d’Execrar.
f Exscnapör,, s. m. celui qui fait des exe-
erationg,
Eıscainno, a, adj. V. Execravel.
ExEcnär, ©. @. eXcrer: avoir en execration ;
detesier,
ExecrATÖRIO, A, adj. execratoire : (jure-
ment) qui conlient une execralion.
ExecnäveL, adj. 2 gen. execrable : detesta-
ble,horrible; abominable, affreux; extreme?
ıenl mauvais,
ExeckäVELMENTE, adv. ex6crablement: d’une
maniere execrable.
Execuci6, s. f. ex6culion : action, maniere,
heilid d’ex&cuter; (f. de prai.) saisie. it. V.
Penkora. *Ravage.
"Exgcroön. V. Execulor.
Execotäpo, A, 9. p. d’Execilar.
Exscetader. V. Executor.
Extcutänte,, 5. 2 gen. (f. de pral.) celui qui
eieeute, qui saisit les biens.
‚Exscetär, ©. @. executer : meliro & ex&cu-
lon,&effet; accomplir; (t. de prat.) saisir les
biens, les faire vendre; faire mourir par jus-
ie; jouer, chanter (un morceau de musique).
Eiercer, pratiquer. — alguem nos bens, (1. de
prai,) faire ex&cuter ou vendre juridiquement
les effets d’un debiteur.
Execurivam£nte, adv. d’une manıere expe-
üilive, promptement, (1. de prat.) Par la voie
de la saisie de biens.
Exscurivo, A, adj. prompt, actif, diligent;
execulif, qui execute, de l’execution. Poder —,
Puvoir executif : qui fait ex&cuter les lois.
is —a, jugement bref et sommaire.
Execurön, 3. m. executeur:celui qui ex6-
cue.— da alla juslica, executeur des hautes
@uyres, bourreau. li est aussi adj.
Executöria, 8. f. (f. de praf.) ex&cutoire :
sentence „acte ,‚[orme,, arr&t portant contrainte.
Exzcurörı1o , A,.adj. (l. de prat.) ex&cutoire:
qui donne pouvoir d’executer judiciairement.
Ex£pra, s. f. “exedre: lieu d’assemblee de
Sıvants,, de gens de letires.
Ex£cesg ou —s18, s. f. extgese : explication,
exposition claire ; commentaire.
Execktas, s.m. pl. (tl. d’anf.) ex&getes : ju-
risconsultes,, conseils des juges.
Exzcerica, s. f. (tl. dalg. anc.) exegetique :
waniere de trouver les racines d’une &quation.
il. Theologie exegetique. Exencan. V. Xarquear.
Exzc£rıco,A,adj. exögetique: qui oxplique, | EXERCER, 9. a. EXOFORT, praliquer.
PORT-FR 37
privilege qui exempte; immunils ; action
d’exempter, son effet.
ExeEupLiDo,A,P. p. d’Exomplar.
EXEMPLADÖR, 5. m. (inus.) eelui qui donne
: Pexemple, qui chätie.
ExEMrPLin, s. m. modeöle, original, proie-
type, miroir. Exemple. * Comparaison. Exem-
plaire : livre imprime. *Copie
ExeupLin,adj.2gen. exemplaire : qui donne
Pexemple; propose pour exemple, qui peut en
servir (vertu, vie, elc.). Casligo —, punition
exemplaire.
t ExeurLir, vo. a.(inus.) donnerl’exemple;
exciter, instruire par l’exemple. Indiquer, pu-
blier; faire ostentation de.
"ExENPLÄR-SE,v. r.se publier, se divulguer,
se repandre.
ExEMPLARIDÄDE, s. f. qualilö de ce qui est
ezxemplaire; edification.
ExEuPpLÄßıo, s. m.recueilde fails et d’exem-
ples ; livre qui les contient.
ExENMPLARISSIMO, A, adj. sup. d’Exemplar.
ExEMPLARMENTE , adv. exemplairement :
d’une manidre exemplaire ‚edißante.
t Exeurunicaciö, s. f. *eclaircissement,
preuve par exemples.
ExENMPLIFICÄDO, A, 9.P. de
Exeupusrsicir, vo. @. eclaircir, prouver par
des exemples. (ant.) Edifler : porter ä la vertu,
& la piete.
ExENPLIFICATIVO, A, adj. qui sert d’exem-
ple, de moddle, etc.
Ex£urLo, s. m. exemple : ce qui peut servir
de modele, e@tre imil&; action & imiter ow &
fuir; chose & imiter; chose & citer comme pa-
reille & une sautre; chose pareille &ä celle dont
il s’agit, qui l’autorise, la confirme. (Ag.) Mo-
deie. Dar —, etre ’exemple : edifler. Tomar —
em alguem ou d’alguem, prendre exemple sur
quelqu’un. Segwir o — d’alguem, imiter quel-
qu’un. Trazer —s, citer des exemples. Por —,
ade. par exemple. Sem—, (id.) sans exemple;
(fig.) sans que cela puisse lui servir d’exemple,
sarıs que cela lire & consöquence. On le dit
d’une gräce accordee. Uma grars ndo ’as—,
une gräce ne tire point & consequence.
Exzupränpo,&a,Pp. pP. d’Ezemplar.
ExENPTANMENTE , adv. avec exemplion, fran-
chise,
ExENPTÄR, v. a. exempter : rendro exempt,
affranchir. V. Isentar.
Exenerän-se, vo. r. s’oxempter, Se dispenser.
Ex£upro, A, p. p. irr. d’Eximir. adj.
Exempt; libre. V. Isento. ,
Extovuas, #. f. pl. "obsöques, fundrailles
ompeuses.
p + ExmoDiveL ‚adj. 2 gem. qui peut dire mis ä
Yeffet.
378 EXH
Bxercicıo,, 8. m. exereice : action de s’oxXer-
cer; travait, occupation ; evolutions, man@u-
vres, mouvemenis, action de l’exercice; ma-
niement des arınes, des outils ,desman@uvres,
des vordager, des agr&s, du canon, etc., pour
exercer, s’exercer; (Ag.) pralique; fonctions
d’une charge; mouvement du corps, consider6
selnlivement & l’etat de sante. Dar —a, meltre
en exercice, en execution. Conodm füser —, il
aut prondre de Pexercioe. O— a cavallo d midi
saudavel, Yezeroice A choval est tr&s-salutaire.
—s espiriluaes, exercices spirituels, pratiques
de derotien.
Exzacivo. a, p. p. d’Exercer.
Exezncıraclkö, s. f.* exercice, pralique.
Exencıtino,A,p.p. d’Exercilar.
BxEncrrapen, s. m. celui qui exerce, dresse,
instruit, forme & quelque chose.
ExErcıränte,adj.2 gen. ets. celui qui exerce
une professien, un emploi. (p. ws.) Exercitant:
qui fait ou dirige les exercices spirituels.
ExuncırÄäk, ©. a. exercer : pratiquer une pro-
fession, un art; dresser, instruire, furmer &
quelque chose par des actes frequents. Gerer
un emploi.
Exsacırän-SE, ©. r. s’exercer : s’appliquer
&...; s’oosuper de...; faire des actes frequents
pour acquerir un art, un talent, une habıtude,
U.
Exeacıro, 3. m. * armde: nombre important
de troupes organisees en corps sous un gene-
Ba) ; ( lg.) grand nembre. (ant.) V. Arraial.
Exenpan. V. Excherdar.
f Exinese ou —sı8, 8. [. (l. de chirur.) ex6-
Böse : Suppressien,, extrection d’un corps &tran-
ger, nuisible.
Ez£nco, 3. m. exergue : petit espace d’une
meödallie, au bas du type, pour la devise, etc.
EsroLiacäd, s. f. (1. de chirur.) exfoliation :
division de los caris par feuiltes.
ExroLiipo, A,Pp. 92. de
ExsoLian-sE, vr. (1. de chirur.) s’exfolier:
s’enlever par feuilles.
Exrosiatrivo, a, adj. (tk. de med.) exfolıatif:
{remdde) propre & faire exfoller les os caries.
ExsaLıciö, s. f. exhalaison : fumse, vapeur
qui stexhele d’uno substance dans Fair; vapeur
qui s’elöve d’un solide, d’un liquide. Exhala-
tion : action d’exhaler. Lumiere meteorique ei
rapide. -
ExHAaLid0, A,P. p.d’Exhaldr.
ExHALÄNTE, adj. 2 gen. qui exhale. —s, s. m.
pi (1. d’anat.) exhalants: vaisseaux irds-de-
8
ExBALÄR, v. a. exhaler : pousser hors de soi
(des vapeurs , des odeurs, des esprits). — sus-
peros, queizas, eic., (ig.) pousser des soupirs,
des plaintes, etc. — a alma ou 0 espirito, (id.)
sendre l’Ame, mourir. 11 est quelquefois neutre.
— em suavissimos vapores, s’exhaler, se r#-
soudre en vapeurs trds-agreabies.
ExuaLin-se, vo. r. s’exhaler : s’dvaporer, se
stsoudre en vapeurs. — a alma, monrir.
Exnavaine, a.V.Eohausio. p.p.d’Erhaurir.
EXI
+ Exnıvair, v. a. &puiser,, tarlr,, vider. — 0
erdrio, vider les coffres de l’etat. Il est aussi
reciproque. —se de forgas, perdre ses lorces,
s’epuiser. — de tudo, etre dans le denämen!,
dans la detresse.
* Exınaustän. V. Exkaurir.
ExnHäusto, A, p. p. irr. d’Exhaurir. ed).
Epuise, tari, mis & sec. (fig.) Epuise, appau-
vri.
Exnenpir, etc. V. Esherdor, ete.
Exsısıciö, s. f. exhibition : repre&sentaen
juridique de papiers. Expesition (de tableauz,
de choses rares, ete.).
ExH1Bip0,A,p.p. de
Exnisir, v. a. exhiber : moatrer, representer
en justice (des pupiers, ses pouvoirs). Erpo-
ser: mellre en vue (des tableaux, los produißs
de son industrie, etc.).
Exnortaciö, s. f. exhortation : disoours par
lequet on exhorte, on excite (& la devotion,
ote.).
Exuontaciosinga, s. f. dim. d’Exhorlagdo.
Exuorripo,A,p.p. de Exkortar.
ExHORTADOR, A, 8. personne qui exhorte;
ohose qui excite.
Exuorrir (a), v. a. exborter: exciter, eng2-
ger, porter par le discours (quelqu’um au bien,
ä la paix, eic.).
ExHorTATivo, A, adj. exhortatif: propte &
exhorter. .
Exnortarönıo, A, adj. exhortatoire : qui
contient une exhortation (discours, eic.).
Exınunacäö,s, f.exhumation : action d’eihu-
mer un corps. .
Expvmin,ov.a. exhaumer: deterrer un corps,
souvent par ordre du Juge.
+ ExtctaL, adj. 2 gen. funeste, pernicieut,
mortel, fatal. Leftra —, le C, signe de com
damnation dans le scrutin des juges romains.
Exicıo, s. m. "ruine, perte, destruclion,
renversement, Beau.
Exipo, s. m. terrain non cultive & la Sortie
d’un village, ob tous les habitants ont le druit
de porter et de battre leur bie, eic.
Exıckncia,s. f. exigence: besoin, force de
ce qui exige; aclion d’exiger.
ExiG£nTe, adj. 2 gen. exigeant: qui exige;
urgent.
Exıct00,A, 9.9. de
Exıcirn, v.a.exiger : demänder, faire payer
os fournir avec le droit ow la force. Demander,
desirer, avoir besoin ; ( Ag.) obliger ä de cer-
taines choses, astreindre. — resgale, Tancon-
ner.
Exiciv&L, adj. 2 gen. exigible : qu'on peei
exiger.
e
Exicvo, A, adj. ezigu, fort petit, modique,
insufissat.
Exirio, s.m. exit. V. Desterro.
Exıstıcäö. V. Isengdö.
FExıa0, A, pP. d’Extmir.
ExıcuipinE, #. f. exigults, petitesse, modi-
ite.
t Existaufurz , ado. exoellemment, parfai-
tement.
Exiwıo, A, adj. excellent, eminent, dislin-
got, sup6srivur, incomparable.
Exısin (de), 0. a. exempter : rendre cempte
de, affranchir ; dispenser.
Exınin-au (de), v. r. s’exempter, se dispen-
ser.
Exımamıcäö, s. f. exinenition, inauition ;
epuisement.
ExımanıO, A, adj. qui manque de force, de
sigueur. p- p. de
Exmania , o. a. vider, dvaouer, &puiser, met-
tweäsec. (fg.) Detruire, andantir.
Exınanin-sE, vo. r. s’dpuiser par des priva-
tions d’aliments ou par des evacualions exces-
sives. (Ag.) S’humilier, s’abaisser, standanlir,
se depoulller.
Rrısrencıa, s. f. existence : l’ätre actuel ; dat
dece qui existe; dur6e de la vie. — insiania-
"8, instantandite.
Exsstente, adj. 2 gem. existent, qui existe.
».0.de Existir.
Exıstıno, A,p. 9. de
Exıstir,, v. m. exister : avoir l’ötre ; &ire a0-
tnellement.
Exıstöno, s. m. V. Abscesso.
arme, s. m. V. Seide. Suoods, issue d’une
re.
Exo. V. iso.
+Exoctre, s. m. (#. d’hist. nal.) exocet s
peisson A tWte deailleuse; poisson volant.
Exono, s. m. exode: deuxiöme livre du Pen-
tateuque, contenant P’histoire de la sortie des
Hebreux d’Rgypte, racontse par Molse.
+ Exormcıar, adj. 2 gem. (4. de prat.) par lo
seul devoir de sa charge.
Exöusno, adj. m. ( . de gramm. grocgque )
second futur.
TExöMETRO, 8. m. (. de mdd.) exemötre :
renversement de Ja malrice.
ExonoLocEsg ou —xsıs, 5. f. (8. d’ant. 00-
ei) exomologöse , confession, p@nitence pu-
ique.
Exonznacid, s. f. döcherge,, delivrance,, al-
franchissement.
ExONERÄD0, A,p. p. de
Exoxgrin (de), v.a. döcharger d’unfardeau,
affarnchir d’une obligtiaon.
ExorersaLnia, s. f. (1. dechir.) exophihal-
mie : sortie de l’@il de son orbite.
Exorir, v. @. prier instanmmment, fdehir, ob-
tenir & force de prieres.
ExöRAVEL, adj. 2 gen. qui se laisse vaincre,
Niechir par les priöres.
Exonsrräincıa, 8. f. °oxcds marguant, qui
passe la juste mesure.
Exorsıtänte, adj. 2 gen. exorbitant, exoes-
sif; quioutre-passe de beaucoup la jusie me-
sure.
Exonursanrem£&ute, adv. exorbitamment :
d’une manıdre exorbitante.
tTExoautin, 0. 2.(P. us.) owire-passer de
beaucoup la justo mesure; @ire exorbilant.
EXP
Exoxcas, V. Azoreas,
Exoucısano, et0. V. Exoreizer, etc.
Exoncisuo, s. m. exorcisme : paroles et c6-
römonies pour chasser les demons.
Exoncista,s. m. exorciste : celui qui exor-
ciso ; qui en a lo droit; treisidöme ordre mi-
neur.
Exoncstino, 3. m. exoreiste ; troisidme or-
dre mineur.
Exoscızipo, A, P.p. de
Exoncızir , v. a. exorciser : user de l’oxor-
cisme pour chasser les d&mons.
Exonvräpo, a,p. p. d’Exordiar.
ExonpiiL, adj. 2 gen. de l’exorde, qui con-
come l’exorde.
Exoapıin, ©. a. ou m. faire un exorde;
commencer.
Exörpıo,, s. m. exorde : premiere partie d’un
discours pour capter la bienveillance, altirer
Pattention, exposer le sujet. (4g.) Commence-
ment, origine; debut.
Exonnaglö,s. f. *ornements d’un discours,
figures, fleurs de rhötorique.
Exonnipo,A,p.p.de
Exonrir, v0. e. orner, ombellir un discours.
+ Exonnativo, A, adj. quiorne, qui embel-
lit un discours.
Exortacid, ete. V. Bahortardd, etc.
Exöstose 08 —sıs, 8. f. (4. de ckir.) exos-
tose : tumeur 0890u88, contre nature, sur los;
(. de bot.) excroissance sur les bois.
Bxorsaico, A, adj. exotörique : valgaire, ex-
törieur, public , commun.
Ex6rico, A , adj. exotique: ötranger, quin’est
m du pays, qui m’y orolt pas (plante, mot).
g.) Bizarre.
* Exouvin, u. @. enlendre avec atlention.
Exranpino, A. V. Expanso. p. p. de
+ Exranpir, ©. a. diendre, ouvrir, deplier,
&taler.
+ Exranbis-sE, u. r. s’elendre, s’ouvrir;
s’&panouir, Beurir.
Exransiö, 8. f. (f. de phys.) expansion : a0-
tion, tat d’un corps qui se dilate. Action d’&
tondre, extension.
ExransısiLinipe, 3. f. (. de phys.) expansi-
bilit# : facultö de se dilater.
Exransiven, adj. 2 gen expensible : qui peut
se dilater, s’&tendre.
Exransivo, A, adj. expansil: qui a la force
de #’&tendre ou d’ötendee.
+ Exrpinso, a, adj. tiende.
Exrarntacid, 8. f. expatrialion : action de
s’expatrier; tat de celui qui est expalris; #loi-
gnement de sa patrie par exäl.
Exrataık00, A, P.p. de
Exrataiir, 0.6. cıpatrier : obliger & quilier
sa patrie.
ExPATRIAN-SE, ©. f. stexpainer: quitter sa
patrie pour s’etablir ailleurs,
Exrectagiö, 8. f. expeetalion : atiente d’un
grand evenement. Fete d’dglise en P’bonneur
de la Vierge, qui se celöbre le 18 deoembre.
Exrectunen. V. Bspestedor ai Obssrvnder.
580 EP
ExPEcTinte, adj. 2 gen. expectant:: quial-
tend, pour agir, les op6rations, les crises, elc.,
de la nature imedecin, medeeine—e).
ExrEctativa, 5. f. expectalive; esperance,
atiente fondee; droit de survivance; bref pour
promelire un benefice.
+ ExPEcTaTönıo, adj. m. Aclo — , acte d’ex-
pectative d’un etudiant pour le doctorat.
ExPsctäveL, adj. 2 gen. considerable, re-
marquable.
Exp£cronacäö, 8. f. expectoration: action
d’expectorer. ° Crachat.
ExpEctTonÄnte ‚adj. 2 gen. ei s. expectorant:
qui fait expectorer. p. a. de .
Exrzcronär, ©. a. expectorer : cracher,
chasser les humeurs, la salive, des parois des
bronches, des vesicules pulmonaires, de la
poitrine.
Expeniciö, s. f. expedition,, diligence, acli-
vıte; action d’expedier; (g.) entreprise mili-
taire ou hostile.
T Exrspicıonänıo, A, adj. expeditionnaire :
charge de faire une expedition militaire (ar-
mee, eic.).
‚TEXPEDICIONEIRO, s. mw. banquier expedi-
tionnaire, qui fait venir des expedilions de
Rome.
Expepina, 3. f. permission pour parlir. V.
Despedida,
a rebino, 4,P. p. d’Expedir. adj. V. Expe-
ilo.
u EnPEDIENCIA ‚8. f. expedition, diligence, ac-
vi,
ExPEDI&nte, s. m. expedient: moyen de ter-
miner une affaire, un procds;cequ’il convient
de faire. Travail d’un burgau ou d’un ministre;
alfaires expedides. Ressort, autribution. * Dexte-
rite, adresse & manier les affaires.
t Exreolänte, adj. 2 gen. expeditif:: qui de-
peche, expedie; habile.
Exrspin, 0. @. expedier : dep6cher, häter
Pexecution, la conclusion d’une affaire. Depe-
cher : onvoyer avec des ordres, des depöches.
Tirer d’embarras, delivrer d’un danger, etc.
Congedier. Expulser.
Exreoin-sg, 0. r. se dep6cher; so debar-
Fasser.
ExPEDitautntz, ade. d'une maniere expedi-
tıve, prompiement.
Exrepırissimo, a, adj. sup. de
ExPEDiTO, A, adj. expeditif : qui expedie
promptement; prompt, degage , d6barrasse.
ExreLLino, A,9.p. de
ExrgLLin (de), 0. a. chasser, expulser, re-
pousser. ( fig.) Dissiper.
ExPEnDER, v. a. expliquer en detail, exami-
ner, considerer. Depenser : employer de l’ar-
gent &ä quelque chose.
Exrsndino, A, p. p. d’Expender.
Exrtnsas, s. [. pl. depenses, frais. V. Gasto.
Se — de, aux [rais de.
Exrgnitnca, 5. f. experience: action d’ex-
perımenter ; &preuve faile d’une clıose; essai;
Homem de —, homme qui a do l'experience,
experimenie, verse dans les affaires. Ter —,
avoir de l’experience. Tomer —, acquerir de
l’experience. Meiter, p6r em — , experimenter.
+ Exrzniänte, adj. 2 gen. qui a de l’expt-
rience,, experimente.
ExPERIMENTÄDO, A, P. p. d’Experimenter.
adj. Experimente : insteuit par l’experience;
qui a de lfexperience ; connu, &prouve par
l’experience. Qui a &i6 ossaye. Ndo —, ineıpt-
riment6,
EXPERINENTADOR, A, adj. et s. qui fait des
experiences, des &preuves; qui experimente,
qui &prouve, qui ressent.
ExPEnIMENTiL, adj. 2 gen. experimental :
fond6 sur ou acquis par l’experience.
ExPERIMENTALNENTE,, adv. par l’experience,
d’apres l’experience.
ExPERIMENTÄR, ©. @. experimenter, eprou-
ver; faire l’experience de; essayer. Eprourer,
ressentir, sentir.
ExrznımEntän-g, ©. r. S’eprouver, Seh
sayer; eire essaye.
EXPERINENTAVELMENTE. V. Koperimenial-
menie.
ExreErımexTo, 8. m. "experience (de pbysi-
que, eic.); epreuve.
Expentar, eic. V. Espertar, etc.
ExPERTISSIMO, A, adj. sup. de _
Exr£nto, a, adj. expert, experimeni&, verse.
Actif, vif.
Expiacäd, 8. f. expialion, r6paralion d’un
crime. —pöes , pl. cer&monies expialoires.
Exrıän0, A,Pp. p. de
Exrpiän, dv. a. expier : r&parer ( un erime eu-
vers Dieu, une faute onvers les hommes ) par
une peine, des prieres. (Ag.) Purißter.
Exriäß -sk, v. r. s’expier ; se purißer.
ExPiATörı0, A, adj. espiatoire : qui sert ä
expier, qui expie.
ExriLacid, s. f. (6. dedroil) expilation: spe
liation d’une succession vacante. * Pillage, vol.
ExriL.än, v. a. (i.de droit) faire une espila-
tion. Piller, voler.
Exrinacäö, s. f. expiration : action d’erpi-
rer; action reguliöre de rendre l’sir aspire.
(fig.) —, tcheance, fin.
Exririn0, A, P.p. de
Exrırär, v. a. expiret: rendre l’air aspire.
e.#. —, moufir, rendre Päme, le demier sou-
pir. (#g.) Finir, echoir.
ExrLanacäö, s. f. explicalion, eclaircisse-
ment, interprelation.
Exr.anioda. V. Koplandda.
ExrLanäD0o, A,Pp. p. d’Explaner
EXPLANADOR ‚5. m. celui qui explique,eclair-
cit.
Exrranir, v. a. declarer, ezpliquer, inter-
preter, eclaircir. u
Exrırrtivo, a, adj. (1. de gramm.) erpletil :
(mot) inutile & la clartö du sens,qui donne
plus de force au discours.
ExpLicacäö, 8. f. explicalion, selaircisst-
oonmalssences acquises par Pusayze; l’usage. I ment.
EXP
Erwin, A, 9. p. d’Explicar.
f ExpLicap6R, 5. m. celui qui explique. Repe-
teur.
Exruicär , v. a. expliquer: &claircir un sens
obscur; faire comprendre ow connaltre (le mo-
üf, le plan, les vues, lo syst&me, la cause,
ec.); interpreter; donner & entendre; rendre
intelligible ; declarer.
Expuicän-SE, v. r. s’expliquer : dire, s’&-
nencer; expliquer sa pensee. — com alguem,
Ferpliquer avec quelqu’un, avoir un eclaircis-
sement avec lui. — larga ou exiensamenie,
sespliquer au long.
„aruicarivo ‚„A,adj. explicatil: qui explique
sens.
ExpLicävgL, adj. 2 gen, explicable : qui peut
eire explique.
ExpLicıTtaAMEnTE , ado. explicitement : en
termes clairs, formels et precis.
ExrLicıto, A, adj. explicite; clair; formel;
distinet; developpe,, precis.
ExrLoracäö, s. f. exploralion : action d’ex-
Plorer. "
ExpLonäno, A,p. p. d’Explorar.
ExpLoranOn, 8.m. explorateur : celui qui va
4 la decouverle d’un pays; espion, Coureur,
balteur d’estrade. Qui explore.
ExPLoRÄR, vd. a. explorer : examiner, cher-
cher avec beaucoup d’altention.
ExpLorATöRrıo, 8. m. ($.de chirur.) catheter ::
sonde pour ld vessie.
ExpLosiö, s. f. explosion: eclat, bruit,
mourement subit de ce qui s’enllamme, et de-
place ce qui l’entoure.
"ExPoEıRÄDO. V. Encapoeirddo.
ExPo&ate, adj. 2 gen. exposant : qui eXxpOse
un fait ow ses pretentions, ses droilsen jus-
lice,
+ Exroricäd, 8. f. (l. de rhötor. inus.) expo-
lition : differentes expressions d’une m&me idee
pour mieux la faire connaltre.
TExronencıäL, adj. 2 gen. (4. de math.)
exponentiel: (quantit& —le) qui a un expo-
sant; dlev6 par un exposanl.
Exronänte, s. m. (f. de maih.) exposant:
nombre qui expose le rapport de deux autres,
os mieuz le degrö d’ane puissance.
Eırön, v. 0. exposer : mettre en vue; dehi-
ter; expliquer, interpröter ; mettre en peril, au
basard ou dans le cas de...
Exrön-sg (a), v. r. s’exposer, se hasarder;
&ire expose. — n’um combale, payer de sa per-
sonne.
Exrortucid, 8. f. exportation : action d’ex-
porter; transport de marchandises, d’inven-
tions hors du pays.
Exrontino, A, Pp. p. d’Exportär.
EXPORTADOR,, 5. m. exportateur:: qui exporte.
Exronrin, ©. a. exporier: transporter des
marchandises au dehors d’un pays.
KArORTÄTBL, adj. 2 gen. qui peut @lre ex-
ports,
Exrosiciö, s. f. exposition: aclion d’expo-
Set, sos oflets; monire qu’on fait d’une chose;
EXP 581
esplicatıon d’an fait, interpretation, declara-
tion, explication; situation par rapport au soleil,
ExPosıTör, s. m. commentaleur, inlerpräte.
Par excellence, on le dit de ceux qui expli«
quent ou interprötent les saintes &crilures.
Expösto, A,p.p. d’Expor. adj. et s. Enlant
trouve.
ExPressipo, A, p. p. d’Expressar.
EXPRESSAMENTE, ado. expressöment : en ter-
mes formels; d’une maniere expresse.
Exraessiö, s. f. expression : aclion de dire,
de s’enoncer clairement; termes et fours pour
s’exprimer ; maniere d’exprimer ; suac exprim&
d’un fruit, et Paction de l’exprimer en serrant,
(1. de peint. et de sculp.) —, reprösentation
vive et naturelle des passions. Dans l’art ora-
toire ei dramatique, c’est Pexpression, l’öner-
gie et la vivacitö avec lesquelles on exprime ses
sentiments. On le dit aussi en musique, et lors-
qu’il s’agit d’arts d’imitation.
ExPressÄr, v. a. exprimer: dire clairement;
rendre les pensees; (#. d’arts) donner l’expres-
sion, de Pexpression; faire sentir, repr&senter
au naturel, avec Ame et verile. — 03 sonlimen-
fos, toucher, &mouvoir, representer vivement
les passions. — dem um pensamenio, rendre
bien une pensee.
Exrazssiva, s. f. 6locution,, maniere de dire
expressive.
Exrpressivo, A, adj. expressil, dnergique:
qui exprime bien ce qu’on veut dire.
ExPr£sso, A, adj. expres, precis, formel.
s. m. —, messager envoy6 & dessein.
ExPaımın, v. a. exprimer: tirer le suc en
pressant; enoncer. V. Expressar.
Exrrosan, etc. V. Exprobdrar, etc.
Expropracäiö, s. f. exprobration : aclion de
reprocher.
ExrroBrÄnO, A, p. p. d’Exprobrar.
EXPRORRADÖR, A, adj. ets. qui fait des re-
proches en face.
ExPROBRÄNTE, adj. 2 gen. V. Exprobrador,
. 0. de
p ExpronrÄr, v. a. reprocher en face; censu-
rer, deösapprouver.
EXPROBRATÖRIO,, A, adj. qui conlient expro-
bration.
Ex-rnor&sso , adv. lat. ex-professo : expres,
avec toute l’attention, l’örudition possible.
* Expnoväno, A, adj. prouv6, experimente,
+ Ex-PRovincıaLn, 5. m. (8. claust.) ex-pro-
vincial : qui a 6t6 provincial.
Expucnackö, s. f. action d’emporter une
ville d’assaut.
Exrucna00,A,P.p- CE .
ExPUGnADOR, 3. m. celui qui emporte d’as-
saut, qui force une place.
Exrocnir , v. a. emporier, prendre une ville
d’sssaut. .
ExrucniveL, adj. 2 gen. qui peut @ire em-
ports, pris d’assaut.
ExruLsino, A, pP. p. d’Expuiser.
Exruisiö, s. f. expulsion : action d’expulser,
de chasser.
588 FAB
Exrazumise, s. f. extremits, bout, (Ag.,
Extrömits. — da onde encaize 0 p6 de
eadasie,, (1. de mar.) talon de la quille. — da
quilka onde enceiza 0 pd de roda de pros, rin-
geot, brion.
Exratuo,&A, adj. derier. Extreme : quı est
au dernier point, au souverain degrö; grand,
excessif. V. Exiremado et Exiremoso.
Extatuo, s. m. "extir&mits : boul, An; ex-
tröme. Exoös: grandeur exiröme. (Ag.) Pöril,
danger, transe ; extremit6, dernier moment.
Com, em ou por —, exträmement, & l’exoös.
Ir, pesser d’um — a oulro, ( ig.) passer d’une
extr6mits A l’aulse. Chegar ao — , re au 00M-
ble, au dernier point, Fazer —s por
cousa, s’efforcer, faire les plus grands eflorts
pour r&ussir en quelque chose, pour l’obtenir,
la possöder ; faire des folies. A virtude medeia
entire os dous —s, la vertu tient le milieu entre
les deux extrömes, qui sont le delaut ei l’exces.
Chegow a tal — sua insolencia, il vint A un tel
point d’insolence.
EXTaENÖSAMEATE, adv. avec vehömence,
passionnöment,, excossivement.
ExTREu0s0, A , adj. excessil: qui pousse les
choses & l’excös ; qui exige en lout la plus
grande perfeclion; trds-zele ; tres-affectueux,
passiound.
ExTainsecaANeNnTE , adv. exierieurement.
Exrainszco, A, ady. extrinseque : qui vient
de debors;; qui n'est pas inherent; externe.
! Exrausid, s. f. p. us. l’opposs d’intru-
sion.
Exunzaincıa, 8. f. exuberance: abondance
inutile ; surabondance.
Exusenänsg, adj. 2 gen. exuberant, redon-
dent ; copieux , surabondant,
FARB
EZUBERANTENENTE, adv. avao exuhlrance.
Exusenantissıno, A, adj. sup. d’Exube
rente.
Extstnin, vo. w. abonder, surskonder.
* Exupaipo eu Enzupeano. V. Exasperade,
° Exöpaı0, s. m. V. Exido.
+ ExoLik, v. ». abandonner sa patrie, dmi-
Exurceraciö, s. f. exuleeralion : commen-
cement d’ulcere.
EXULCERADO, A, pP. p. d’Exulcerar.
ExULCERANTE. V. Exwicersiivo.
ExuLcznin, ©. @. (1. de med.) exulckre:
causor des ulceres; ulcerer.
ExULCERÄR-SE , v. r. commencer & @tre ulc*-
r6, davoır des ulceres.
ExULCERATIVO, A, adj. exulceratil : qui lorme
des ulcöres.
Exurracäö, s. f. exultauon : grande joie,
tressaillement de joie.
ExuLtäoo, a, p.p. d’Exultar.
ExuLräntg, adj. qui exulle, qui Lressaillä
de joie. p. a. de
ExuLrär, v.n. exulter : tressaillir de joie.
*Er.V. Ai.
Era. V. Eis.
* Ercniö. V. Uchdo.
"+Erna, s. m. /6. d’hist. nal.) eyra: cha
mammifere du Paraguay.
*Ervıcom,s.m. V. Macho, Jumenio. Beis de
somme.
* Erxtco. V. Enzeco.
° Erxzcuron. V. Execulör.
* Erınentios. V. Privilegios, Isengöes.
Ezuo. V. Esmo.
Exzraaı, 5. m. (6. de minder.) exieri: jaspe
vert, & points sanguins ‚de l’Amerique da sud.
F.
F, s.m. sixi&me lettre de Y’alpbabet portu-
gais, et la quatridme des oonsonnes. Elle re-
pond au phi des Grecs ei au ph des Latins.
Sizi&me lettre dominicale. Chez les Lalins de-
signait le nombre 40, et aveo un trait des-
sous, 40,000. Com todos os f err, (fam.) aveo
Io points sur les 6, exactement, sans rien ou-
er.
Fi, m. (f. de mus.) fa: quatriöme nole de
la gamme diatonique.
Fananiz. (8. de bot.) V. Paparez.
Fantııa, s. f. dim. de Fabula. Petite fable;
fablisu.
t Fasıänos, s. m. pl. Fabiens : college de
pretres romains.
Fasonn)ö, s. m. (4. de mus.) faux-boardon :
musique & plusieurs parties, simple et sans
mesure.
Fäsaica, s. f. fabrique, fabrication ; ao-
tion de fahrıquer; facon de cerlains ourTa-
ges ; lien oü l’on fabrique, manulaclare:
construction ; aspect d’un grand &difice. "Edi-
ice somptueux. Idte, imagination chimerique.
Structure ‚organisation. * Travail d’un ouYrage.
* Mouvement d’ane pendule, etc. (fg.) Ensemble
du personnel et materiel d’une armee. —d’igre
ja, fabrique, revena affectö ä l’entretien d’une
tglise. Relogio de — coberla, montre ä calolie.
—s, pl. (p. us.) projets, ruses, machinations.
Fannıcacäö, 8. f. fabrication : action de fa-
briquer (en general).
Fasaıcino, A, 9. p. de Fabricar.
Funaicanon , s. m. ddificateur, comstrucienf:
Fabricateur de mensonges, de calomnies.
FABRIChNTE, 8.2 gen. fabricant, manaufaciı-
rier. — de caichas, boitier.
Fasascha, v.a, fabriquer : (aıre un ourTag®
manuel; manufacturer; conlectionner. Ü2M
FAG
streire, ddißer, ballr. Cultiver. (Ag.) Causer,
effeetuer. (id.) —, forger, inventer. — panno,
fsire du drap.
Fasrico, 8. m. * fabrication, ouvrage; fagon,
laboer.
FasaiL, adj. 2 gen. d’ouvrier, d’arlisan ; ma-
nalacturier. (flg.) Artificieux, fait avec de l’art.
Fınaıgußiao, s. ws. fabricien : marguillier
detglise.
"Fasno, 8. m. ouvrier, artisan.
FAG 585
Face a—.V. Cara a Cara. A’—da lelira ‚d'une
maniere intelligible. Faces das folhas, (1. de
bot.) disyues, superlicies des feuilles. Desapa-
recer da— da ierra, disparaltre de dessus la
terre.
Fac£cıa, s. f. lacetie, plaisanterie, bouffon-
nerie; enjouement,
Fac£cıö50, A, adj. facklieux ‚plaisant, bouf-
fon.
Fackına, 8. f. (Pop.) abajoue. (fg.)s.m. V,
Pistıa, se. f. fable, conte : bruit qui oourt | Palarata
contre quelqu’an; fiction morale, apologue;
faussets, conte fait & plaisir; mythologie;
troyances religieuses de l’antiquits; (g.) sujet
de la riste, du mepris, dela critique, de la sa-
iire, Ser, estar feito — de lodos, @ıre la fable,
la ris6e de tout le monde.
‚FanuLacäö, s. f. fable, eonte, roman; fic-
tion. Art d’6crire des fables, des romans.
FanrLiDo, A, p. p. de Fabular. ,
FascLan6OR, 3. m. faiseur de contes ; fablier.
FasuLir, v. a. faire des contes, parler sans
Iondement ; eomposer des fables.
Fasvrista, s. m. fabuliste : qui &crit, agcrit,
des fables morales.
FasuLızir, o. a. fabuliser : ajouter des com-
mentaires, des fables & une histoire.
FanuLösame£nTeE , adv. fabuleusement : d’une
nanitre fabuleuse.
FascLös0, a, adj. fabuleux ‚feint ;controuve ;
invente. Epochas,, tempos -—s , temps fabuleux,
dent!’histoire est mmelce de fables:
Fica, s. f: * couteau. * Bidet, petit cheral. —
ds sapalsiro, tranchant de cordonnier. — do
maio, oouteau de chasse. — de fouce. V. Ago-
wis. De —ı arra ‚&couleau ure.
Facipa , 8. f. coup de couteau. Cozer ds —s,
efibler de coups de couleau. V. Esfaquear.
Ander ds —s , jouer des couteaux.
Fıcaıniö, s. we. aug. de Faca. Grand cou-
lean.
Facävo, A, adj. qui a un chanfrein blanc
(ebeval).
"TFacanfa,s. f. haquenee : cheval de taılle
mediocre,
Fıcimua, s. f. * fait herolque, exploit,
prouesse, haut fait. Mauvaise action. Chose
merveilleuse.
Fıcinutino,, A, adj. et s. fanlaron ; vanlard;
Mminaudier.
FACANBÖSAMENTE ‚ adv. courageusement , he-
rolquement,
Facannöso, A, adj. mömorable, fameux,
heroigue ; &norme; inoul.
Fıciö. V. Facalkdö.
Facgid, s. f. *exploit militaire; parti, ca-
bele, brigue ; ligue, complot.
Faccıonärıo, A, adj. partisan, attache au
perti de quelqu’un.
Faccıöso, A, adj. factieux, oabaleur, sedi-
eux.
Ficg,s. f. face, visage; joue. V. Rosto. De-
vant, fagade. Na — de, en presence, ä la vue
de. 4 —do mundo, a la face du monde enlier.
f Fackıro, A, adj. par6 avec afleciation;
elegant ridicule.
* Faceınd, s. m. ei
* Faceınöa,s. f.
"Facer. V. Fazer.
FacETa, 8. f. dim. de Face. Facetie : pelite
face ow superlicie d’un corps taill&6 A plusieurs
angles.
FAcETäADO,&A,p. p. de Facelar.
FACBTAMENTE, adv. [acklieusement : d’une
maniere fac6lieuse.
FacRTäR, v. a. (acelter : tailler & faceltes.
FACgTEAR , vd. ». plaisanter, bouffonner, dire
des faceties.
FACETISSIMO,A, adj. sup. de
Fac£T0, A, adj. enjoue, plaisant, quia le
mot pour rire ; facelieux, bouflon, badin.
Fac&sinHA, 8. [. dim. de Face. V.Carinha
FicHa, s. f. "Nambeau,, torche, falot. V.
Facho. Hache, cognee. (f. burl.) Face, ügure,
aspect. — d’armas, hached’armes. Page da —,
laquais qui eclaire avec un flambeau. —s in-
fernaes, (fg.) la jalousie, la convoilise et la
luxure.
FacHida, 8. f. face de bAliment, (fg.) Visage
large et jouflu. (fam.) Prestance. Coup de hache
d’armes (p. us.) Fazer—, [aire face A un au-
tre, parlant d’un edifice; (4g.) mettre de l’os-
tentstion dans ses proc&des, [aire parade. Ho-
mem de grande —,homme plein de faste, d’os-
tentation, fastueux.
t Facatıno, s. m. celui qui porie un Nlam-
beau, une torche; qui fait des signes avec une
torche, etc.
Facaina, 3. f. fascine : fagot de branchages
en usage & la guerre. (fjg.) " Ravage.
FacHinär, v.a. combier avec des fascines;
preparer, arranger les fsscines.
FAcBINEıpo, 3. m. celui qui fait des fascines.
Ficno,s. m. * torche, flambeau ; fanal, feux
pour eclairer le port, les cötes.
FicıL, adj. 2 gen. lacile, aise; trailable; qui
ne sait pas rösister, parlant d’une femme. Cou-
lant, parlant du style. Libre, en parlant du
ventre.
Facıupäne, 5. f. lacilild, aisance : manidre
ow moyen ais6 de faire; promplitude dans
l’execution ; indulgence excessive; mollesse de
caraciere , inconsideration , condescendance
excessive. —s, pl. trop grande familiarile.
FACiLIMANENTE, adv. sup. de Faciimenie.
Tres-facilement.
FaciuiMO , a ,0dj. sup,de Fan,
} V. Travesseiro.
586 FAD
Fıcmussıuo. V. Faeilimo,
Fıcıuıripo,A,Pp.p. de Faeilitar.
FacıLıradon, A, adj. ot 8. qui facilite, qui
donne des facilites.
Facıuirin, 9. a. [aciliter : rendre facilez
donner des faoililds pour.
Fıcızırin-se, o. r. devenir facile; ötre d’uy
abord facile. — com algusm,, se familiariser.
FacıLmänte,, adv. facilement : aisement, &
l’aise, sans peine, commodement.
ı uLACIROnONO, a, adj. möchant, eriminel ‚s06-
at.
* Fıcöm. V. Exseupdo.
Facöuua, 8. f- (8. burt.) Joue jouflue.
Fıcricıo, a,adj. faclice, artifieiel.
FacriveL, adj. 2 gen. faisable : qui peut 56
faire; possible, qui peut arriver.
Ficro, s. m. fait, action, sole; aventure,
&venement. De —, loc. adv. en ellet. Aler-se a08
—s ou appellar para os —s, s’en lenir aux fails.
+ Factön,s.m. (inus.) falseur: celul qui falt,
agent. (4. de math.) Facteur, diviseur.
Fıcronia, s. f. V. Feitoria.
Factöna, 8. f. (8. de comm.) facture: md-
moire d’un marohand contenant le detail des
marchandises vendues, avec leur prix; fagon
de faire, dont une chose est faite. V. Feilura.
Facipo, a, adf. (6. duri.) joufla: & grosses
oues.
Ficora, 8: f. (6. d’sstr.) facule: tache lumi-
neuse sur le solell.
FıcuLpins, s. f. faoult6, puissance; vorta
nalurelle, active; lioence, permission; moyen
d’agir; propri6ts naturelle; droit, moyen de
faire, d’agir, dese procurer, etc. Scienoe, art.
- , Corps de savanis d’une universit£; assem-
bite des docteurs, des professeurs. —s, pl.
Biens, richesses, moyens, oommodil#s; res-
sources. Esprit : facultss de l’Ame raisonna-
bie; talents , moyens et connalssances de quei-
qu’un.
FacuLrarivo, a, adj. technique : qui appar-
tient & un art, & une science, & une faculie.
Facnltatif: qui donne la facalts; selon les fa-
cultös ; qui d&pend de la faculie, ou permission
acoordee. Acko —, action facultative : qu’on ost
Jibre de faire ou de ne pas faire.
FacuLrarivo, 8. m. docteur, mödeeln.
FacuLTöso, a,adj.p.us. riche, opulent,, alse.
Facönnia , s. f. 6loquence,, faoonde : &l6gance
de style, gräce dans le disoours, abondanoe,
bien-dire.
Fıcunpissimo, A, adj. sup. de
Facönno, a, adj. Sloquent : bien-disant, di-
sert, qui parle bien ot avec facllits.
Fina,s. f. fe: divinits imaginaire dans les
oontes, qui prövoyait et preödisalt l’avenir et
pourait produire des effets surnatureis, V. Mae-
ge. -—t, pl. ( Ag.) * destin, destinde.
Fapi00o,A,p.p. de Fadar. adj Fatal, mar-
Qu& par la destinde; sonmis & l’infiuenes des
föes. Bem —, heureux, prodestind. Mei —,
vou6 au malheur.
Fapiıno. V, Faderie,
FAL
Fair, v. 6. üxor ie destinde ou le sort de
quelqu’un. Derviner, predire l’avenir. Döeröter:
vouldir, en parlanı du destin ; protöger, en par-
lant d’un gene ou d’une [de.
Fapärıo, 8. m. sort, deslinse; peine, faligus;
vie laborieuse; eooupalion peuible. Aquslla
namoradeira aeabon 56 0 s0u — , oetla caquells
s’est Axde dAjd. On le prend ordinairement en
mauvaise part, et il signifle mauvaiso conduile.
Fapzsia, v.w. 56 soumelire A sa destinde.
Fanica , s. f. faliguo; peine qu’on se demne,
Fasıcha, ots. V. Afadiger, Faliger.
Fanıoöee , A, adj. fatigant : qui donne de la
fatigue, de l’ennui.
Fipo, % m. desin, destinde, sort, dolle,
asire.
+ Ficana, s. f. (t. de bot.) * fagarior & feuilles
de jasmin; *poivrier du Japon , arbrisseau tört-
binthact. — ds Guiane, poivre des nögres.
" Fico pour Faco (Je fais). .
+ Faoörrao, s. m. (4. de bof.) sarrasin, bW
noir. .
Facörz, s. m. basson : instrument & vom
et ä anche, basse da hautbois ; celul qui &ı
joue. '
Ficutıno, A, adj. caressant, tendie.
Factına. V. Feisee.
Fat. V. Feim.
Fir, s. f. (4. de bot.) *hötre, fan, [ouless,
foyard,, fouinler : arbre qui porte la lalne, lan
des plus besux ot des plus grands des foreis
d’Europe. — do norie , fouteau. — negra , tfeii-
bie. (Ag.) Bois de betre ; chose faite de ce beit,
comme vV8B68, Bil.
FariL, 0. m. bols de hötres, de fouteaux, ol6-
Farinca , s. f. chose gronsiöre, mal arrangtt.
Film, s. m. fer en pointe. V. Espadim.
Fima,s. f. (l.de mer.) manaurvre ä bord
d’un vaisseau; ori des znalelots en travailisal.
*Ouvrage, travail, besogne. Courtoisie mafi-
time.
* Fiıs pour Fazas (tu fais).
Fasiö,s. m. (tk. d’hist. nat.) Taisan : oiset
gallinaos. — dasiardo , coquart, falsan bilerl.
Falsca, s. f. &lincelle, bluetie , Rammöobe.
Falscar,, 0. n. joter des etincelies, pöüller,
&rinceler. eo. a. Darder. Chercher des paillelies
’Or.
Fatscasınua, 8. f. dim. de Faises.
+ Falsautına , s. f. lieu od l’on oberebe el
oh l’on trouve quelquefois des pailleties d’or.
Faisqutıno , s. m. ceiui qui cherche des pail-
lettes d’or.
Falsqumsa. V. Faisonsinhe.
Faıxa. V. Faae.
Faızinma, (8. d’hist. nat.) V. Fasciole.
*Fisid. V. Faisds.
Fars, etc. V. Falle, eis.
Fırica, s. f. lalaca ou —oque, nstrumen!
de supplice chez los Maures ; basionnade sous
la plante des pieds ; planche sur laquelle on at
tache le patient.
FaLicua, ® fl (k. de prov.) ° gälesu de ch3-
taignes.
FAL
FaLamänto, 9. m. langage; disosars par
&
Fauanae. V. Phalange.
+ Farizas, s. m. pl. juifs qui qui babitent
l’Eihiopie. Cafres limitrophes du Nil.
FaısaLis,s. m. pl. plis des cötes d’un Jus-
taucorps. Falbals. V. Folko.
Fäıca, s. f. tour enbois (detourneur). (#.de
mar.) Fargue , farde. —s, pi. (4. d’artül.) Das-
ques d’affüt.
+ Farcacäia, v. a. (}. de mar.) um cabo,
faire une liure au bout d’une corde.
Fauıcino. V. Faleato.
Farcäö, s. m. [aucon : grand oissau de proie;
sorte d’ancienne piece d’artillerie. — barbüdo,
V. Gipatto barbudo. — tagarole, hobereau.
— pedris, faucon tachelt. — campesire, fau-
con champetre, le plus noble et le plus coura-
geux de tous. — de Tunes, faucon tunisien,
Farcäir. V. Falquear.
+ Farcirua, a. f. (1. d’hist. nat.) [alcaria,
voraline.
FaLciTo, A, adj. faiten formede faux. Car-
vo —,char armö de faux. (1. de bot.) Falque :
courb6 au bord comme une faux. Lua —a.
le dit de la lune dane son croissant.
FaLcatada,s. f. ruse, lour d’adresse; es-
eroquerie.
FALcATRUÄR, ©. a. (Pop.) tromper, allraper
avec finesse,, Fuser; escroquer.
PaLcoipa, s. f. coup de faucon, ou faucon-
neau. "
FaLcoinoo, A, adj. poursuivi par le faucon.
FaLcoARia, 8. f. [auconnerie : art de dresser
les oisesux de proie; lieu od on les dresse, oü
Yon garde les faucons; chasse au faucon, A
l'oiseau de proie.
Farcoßiro, 5. m. fauconnier : celal qui
dresse et soigne des oiseaux de proie; qui
chasse au faucon, & Poiseau de proie. — mör,
fauconnier en chef.
FALCON£TE, 5. m. fauconneau, piöce d’arlil-
erie.
ft FarcuLita, s. f. (6. d’hist. nat.) falculata :
ınammilere carnassier, digitigrade, planti-
grade.
Faupa, etc., 3. [.V. Fralda et Tonsiste, ete.
FALDISTÜRIO, 3. m. sorte de tabouret & l’u-
sage des ev&ques lorsqu’ils officient.
* FiLpaa, eic. V. Frdida, eis.
FaLEcER, etc. V. Fallecer, ete.
+ FaL£ano, s. m. (podi.) vin de Palerne, vin
gendreux.
FıLcoßr, v. a. (pop.) faire travailler.
FiLma,s. f. felure; breche faite & un cou-
teau, eic.; paille dans les mötaux. (Ag.) Defaut,
inanque, faute. —s, pl. dime des menus [ruits,
V. Miuncas. Sem —, sans faute.
FaLnivo, A, adj. pailleux. 9. p. de
Fırnäin, ©. ». se föler. Manquer (au jeu du
trictrac); faillir; ne pas röussir. (Ag.) Faire un
faox pas.
Farino. V. Fallido.
” Fauira. V. Pellion,
FAL
Fauna, 8. f. ancienne arme offensive.
Farin, eto. V. Fallir, eio.
fFäıkıa, s. f. (6. de bot.) lalkie : planıo du
cap de Bonne-Esperance.
FALLA, 8. f. voix, parole; langue, langage;
&locution ; discours, harangue, raisonnement.
( ant.) Paroles d’une chanson, d’un air.—s, pl.
V. Falhas. Estärd — , &tre & portöe de la voix;
ötre en pourparler. Estar sem — ou perder 0—,
perdre la parole, &tre sur le point d’expirer,
Fazer uma — ao Ppovo, eto., baranguer le peu-
ple, ete. Fazer iornar a — ao bucho ou ao
corpo a alguem, ( am.) faire rentrer les pa-
roles dans la gorge & quelqu’un,
" FaLLäce, adj. 2 gen. V. Falldz.
FırLicıa, 8. f. tromperie , fourberie, super-
cherie; illusion, vanite.
tFarzipa ,s. f. chose qui donne & parler,
Qui fait eclat.
} FaLLapira, 8. f. bavarde, babillarde.
FıLLino,A,p.p. de Fallar. adj. ( anti.) Qui
parle. Bem ou mal —, circonspect, honnete
dans ses propos, ou le contraire. Caso mi —,
chose dont on parle beaucoup, qui fait du
bruit.
FaLLapör, A, s. babillard, grand parleur,
hAbleur, raisonneur.
* FALLANENTO, s. m. V. Falla.
FALLÄNTE, adj. 2 gen. parlant, qui parle.
Bem —, qui sait bien parler ; qui parle diserd-
tement, sagement, avec esprit et jugement;
eirconspect,, honnete dans ses propos.
T FaLrir,, s. m. parler:: langage,, maniere de
parler;; accent, jargon. Um — e dous entend#-
res, ( fam.) expression qui a un double sens.
Sö Ihe falla o —, il ne Iui manque que la pa-
role, en parlant d’un portrait.
FıLrin, ©. a. parler : profsrer, articuler des
mots. Dire; raconter. — a verdade,, Gire la v6-
rite. — uma lingua, perler une langue. A— &
verdade,, & dire vrai. — obras, parler par ses
anvres.
FaLLÄr, v. ®. parier : prononcer, profdrer
des paroles , articuler des mots. (de, em , sobre)
— , discourir, s’entretenir de ; metire la conver-
sation sur; s’&noncer en une langue. (a) —,
haranguer; adresser la parole &... (com.) —,
converser avec. (por ou a favor de), prier
pour quelqu’un; plaider pour... Parler au
caur, inspirer, avertir. Parler. On le dit des
oiseaux qui imitent la voix humeine — &@
torto e a direito, parler & tort et ä travers.
— Deos a alguem, @tre inspire6 de Dieu. — a
alma, parler & caur ouvert. — d mdö,
(fam.) couper la parole, interrompre. — #0
ar ou adriamenis, de eör, parler en l’air,
sarıs fondement, lögerement. — a ponlo, par-
ler & propos. — ao gosto on ao paladar, dire
des choses agr&ables et flatleuses. — aos cdes,
parler ä des chiens de chasse, les animer. —
alto,, parler haut. (Ag.) Dire des choses dures.
— bem , parler poliment ou purement. — claro,
dire ouvertement ce qu’on pense. — com Deos,
prier Dieu. — como diabo, deviner ou sarvoir
587
588 FAL
tout, comme si Fon avalit commerce avec le
diable. — com os olhos, parler des yeux, faire
signe de !’ail.— com os seus boldes, parler &
son bonnet. — de telhas a baixo, parler de
cheses qui sont en notre pouvolr ou & nolre
portsde. — de odras , parler sörieusement. — em
publico, parler en public, haranguer, etc. —
om grego, em algaravia, ete., parler grec ou
arabe, d’une manidre inintelligible. — entre
dentes. V. Denies. — enire si ou comsigo, par-
lor tout seul. — manso , baixo ou devagar, par-
ler bas. — mais baizo, abaisser la voix. — de
mansinho , parler tout bas. — por alguem ou
por mdilos, parler pour une os plusieurs per-
sonnes, en leur nom. — por deirds ou nas cos-
tas d’alguem, parler mal de quelqu’un en son
absence. — fallar, raisonner pantoufle,
parler pour parler, sans fondement, sans r6-
flexion. —pela mdo, parler par signes, avec
les doigts. — pelos cotov£los, parler, jaser trop.
— pelo nariz, parler du nez, nasiller. — por
sinaes ou ac&nos , parler par signes. — por es-
erito, ecrire. — affectado, parler avec aflecta-
tion. — em geringonga, parler narquois. —
com arrogancia , parler des grosses dents, par-
ler fortement , avec menace. —com magisierio,
parler en maltre. Dar que — ,, fournir matidre ä
jaser, faire parler le monde. Por de mais d—
c’est parler en vain, ce sont des paroles per-
dues. Estar fallando, ötre parlant, se dit d’un
portrait, d’une statue, elo. Fazer — um insiru-
mento, (fig.) faire parler un instrument, en
jouer parfaitement, Y&ja ldcomo falla! ou com
quem falls! prenez garde comment ou & qui
vous parlez! Pelo seu modo de —, a la maniere
dont il parle. Tenko que — com V. M., jaial-
faire & vous. Eu ja-ihe fallo, je suis & vous.
Ter o dom de — bem, avoir le don de la pa-
role. — em nome da cidade, eic., porter la
parole au nom de la ville, eto. A elle toca
—,ila la parole. Fallou depois de mim, il prit
la parole apr&s mol. Meikor houvera feilo em
nöo—, il se füt bien passe de parler. Anies que
se [allasse de, ou em..., avant qu’il füt question
de... Ow elle falle, ou deixe de —, soit qu’il
parle, soit qu'il ne parle pas. Ndö me faras —,
ne me (aites pas parler. Espäce de menace. Ndo
me falle nisso , ou em fal, ne m’en parlez pas.
No fallemos , ou ndo se falle mais n’isso, no
perlons plus de cela, qu’il n’en soit plus ques-
tion. Mais vale bem calar que mal —, (prov.)
il vaut mieux se taire que mal parler.
FaALLÄR-SE, ©. r. se parler; s’entretenir ;
etre, pouvoir &@ire parle. — alguma cousa, 56
publier, se divulguer. Falla-se em, de... il est
question de...; on parie de... Nao se fallarem,
no pas se parler, ätre brouilles.
+ FaLLatörıo, s. m. (fam.) bavardage, ca-
quet, häblerie. —s, pl. Commerages, proposde
commere,
FıLLaiz, adj. 2 gen. fourbe , trompeur, dece-
vant; (allacioux.
FaLLgcka, o. ». defaillir, manguer; fnir.
Mourir, döeöder. (de) Manguer de quelyue
FAL
chose, avoir besoin de... —ds voerdade, m
pas dire la veritö. — em couss da ma obri-
gardö , faire une faule, manquer & son devoir.
FALLECIDO,, A, 9. p. de Fallecer. adj. Deeedi,
mort, trepasse. Incomplet, qui mangue de
quelque chose, d&nu& , depourvu.
FALLECIHENTO, 5. m. mangue, besoin, priva
tion. V. Falta. Mort, trepas, döcds.
FaLL£ncıa, 3. f. laute: erreur inrolonlair;
defaut, manque. Faillite de commergant. Sem
— ‚sans faute, immanquablement. —ı de in,
exceptions , restrictions.
FaruisiLıpäine, s. f. faillibilitö : sajötion &
Perreur; possibilit6 de se tromper, de laillir.
Manquo de solidit&, de certitude,, de verite.
FarLipo,A,p. p. de Fallir. adj.Failli: qui
a fait banqueroute. V. Quebrddo et Frusträde,
FALLINM&NTO, s. m. * faillite; faute. V. Fer
FALLIR, v. a. (anf.) tromper, manguer d 52
parole.
Farin, v. ®. (f. de comm.) faire banget-
route; faire faillite.
FaLLivEL ‚adj. 2 gen. faillible : qui peut #0
tromper; expos6 ä l’erreur. Fautif : sujet I
faillir, & manquer.
FaLQuEino, A,Pp. p. de Falqusar.
Fıarguranon. V. Falquejador.
FaLqusir, 9. a. &quarrir : rendre came,
rendre ögal le bois de part et d’aulre.
FALQURJSADÖR, 5.0. charpentier qui dquaml.
FıLgquzsän. V. Falquear.
FaLgqußra, s. f. saut d’une bille par-deses
Pautre ( au billard ).
Fauxipas, 8. f. Pl. (8. burl.) chereuz elain
et couris,.
Faısa, 8. f. (6. de mus.) dissonnance, fat
accord; voix fausse dans le chant; [ausse aelt.
V. Falsete.
Farsa-präca, 6. f. (b. de fortif.) lau
braie , moincau : ouvrage de fortification.
FaLsino,A,P.Pp. de Falser.
Farsapor. V. Falsificador, Falsario.
FALSAMENTE, adv. faussement, & faaz; tet
tre la verile.
FaLsa-Posıcäd, se. f. (i.d’arith.) Regre de
fausse position : ( r&ögle do —) maniere de pat-
venir & une inconnue en essayant une hyp”
these que l’on corrige ensuite.
Farsir,v.a.V. Falsificar et Falsser. %.*
Mentir ; manquer de parole.
FALSA-REDEA, 8. f. fausses-renes : cavessek
double.
FaLsärto, 5. m. faussaire : celai qui fait üt
faux actes, de faux seings ; qui altöre les acies.
Accoutum6 & mentir, a lausser sa parole, met
teur.
FıLsgi20,A,9.p. de
Faıszir, v. a. V. Faisifiesr. Fausser ut
&pse, la plier; fausser une cuirasse,, l’enlon-
cer. 0 corpo, pencher, cflacer ie corps poa
esquiver un Coup. — 08 desejos, [rusirer 9
desirs, les voux.
FaLskin, v, , s’affaiblir: poräre sa force:
FAL
sa solidit£. N’ötre pas d’accord, &ire faux, par-
lant d’un instrument ; chanter faux.
Farsete,s.m. (4. de mus.) fausset : note de
dessus que la poitrine ne fournit plus et qu’on
lire de la i#te ; celui qui le fait.
tFaıssugin,o.n. (4. de mus.) chauter en
fausset.
"Faısia. V. Falsidade,
FaLsipäDe , s. f. faussot& : qualitö de ce qui
est faux ; duplicit, kypocrisie ; mensonge.
Fausırıcacäö, s. f. lalsification : action de
falsiier ; chose falsifise.
FaLsisickno, A,p.p. de Falsifkcar.
FausıricapOrR ,s. m. [alsificateur : qui falsi-
fe; contrelacleur.
Fasiricir,, v. a. falsifler, contrefaire,, adul-
terer. Frelater les boissons , sophistiquer.
FaLsirico, A, adj. (P. us.) mensonger; faux.
FaLsissıMO, A, adj. sup. de Falso. Faussis-
sime, ires-faux. V. Refalsddo.
FiLso, s. m. le faux ; homme faux, perfide.
-t, cache, cavit& poar receler quelque chose.
FiLso, A, adj. faux : contraire au vrai, Ala
verite , & la realits, etc. ; suppose,, alter6, con-
tre la bonne foi; mal fonde; feint, contrefait,
imite ; trompeur, double, traltre, dissimule;
qui dit en bien ce qu’il ne pense pas. — tesie-
munko, faux temoignage. Carla —a, earte
d’une autre couleur que celle qui est atout.
Cerrer, fechar em —, fermer & faux, tourner
laclef sans quele pöne entre dans la gäche.
Chave —a, fausse clef. Corda—a,corde fausse,
qui ne peut jamais s’accorder avec une autre.
De —, faussement; en V’sir, sans fondement.
Em —, & faux. Passo em —, faux-pas. — como
Judas, tralire comme Judas. .Juramento —,
faux serment. Modda —a, fausse monnaie. P&so
—,‚[aux poids, qui n’est pas juste. Porta —a,
fausse porte, porle secröte, derobee. Armas
—as, arımes fausses : armoiries failes contre
les regles du blason.
“ Farsüna. V. Falsidade, Aleivosia.
FiLta,s. f. laute, manque, defaut; disette,
besoin ; (fig.) manquement & son devoir, & une
obligation, defaut. — de sallde, manque de
sante.— de elegancia,, inelegance. — de habilo
ou d’uso, inhabitude. — de limp6za, ınalpro-
prete, salet6. — de sal, insipidite. — de probi-
dade „ improbils. Commeltier uma similhanie
—, [faire une faute de ce genre. Por — de,
manque de, faule de; & defaut de. 4’ — d’ho-
mens , au delaut de gens capables. Cair em —,
faire, commeltire une faule. Fazer —, faire
faute „ manquer, parlant d’une chose dont on a
besoin ; ne pas se trouver dans un endroit ol
Pon doit &tre. Estar, car em — com alguem,
ne pas sacquilter d’une chose due ou promise
& quelqw'un. Sem —, sans faute, immanquable-
blement, Apontar as —s, marquer, poinier les
absens dans un chapilre, etc. Dissimulömos as
8 ‚ passons sur les defauts des autros.
Yarrino,a,7p.Pp. de
FaALTie, 0. %. manquer : n’ötre pas, @tre de
moins. Defailtir manquer, finir. (a) —, ne pas
FAM 388
tenir, onblier; faire faute, tomber en laute,
Manquer & quelgu’un dans le besoin ‚ne pas
Vassister. Mourir. — d verdade, trahir, degui-
ser la veriis, mentir. Sem — ums, virgula,
(fam.) avec les points sur les i, exactement.
Pouco faltou , il s’en est fallu peu. Nd4o faltou
muilo qu£..., il ne s’en est presque rien
fallu que... Falta-Ihe muito, il s’en laut de beau-
eoup. E o que fallava, il ne manquait que cela,
FaLrän-se (de) v. r. (inus.) manquer : 6ire
priv6 de. — a si mesmo, manquer de forces
physiques ou morales,, ne pouvoir pas 8’en ser-
vir. Faltou-me meu pai, j’ai perdu mon pere.
FALTAsinHa,s. f. dim. de Falta, Petite faute,
faute l&göre.
FiLrTo, a, (de) adj. nscessiteux, indigent,
pauvre, depourru, priv6 de, qui mangue de.
Defectueux : oü il manque quelque chose.
(ant.) Non executs6, non rempli, & qui on a
mangque. —de jwizo, insense , fou ; qui n’a pas
le sens commun. Estar—de, manguer de.
Fırvari. V. Falbalds.
FaLöa, 5. f. felouque : sorie de bargue sur le
Tage.
f FaLöcno, s. m. * felouque : petit bAtiment
de bas bord, a volles et A rames, dans la Medi-
terrande,.
FaLußıro, s. m. marinier, rameur, eto., d’une
felouque.
Fiua,s.f.renommee, bruit, odeur; renom,
r6putation, cölebrits; &clat d’une nation, gloire
d’une personne. Renommee : personnage all6-
gorique. Adquirir —, se faire un nom. Der—,
mettre en re&putalion, en Yogue, acerediler.
Espalkar — , publier, divulguer. Correr —,
courir, se röpandre,, parlant d’un bruit, d’une
nouvelle. Homem de bda—, homme bien fame,
Muiher de md —, femme mal fante. Cöbra
b0da— e deita-ie a dormir „ acquiers bonne re«
nomme6e, et dors la grasse malinde.
*Famico, A, adj. avare, chiche, mesquin,
V. Faminto.
* Fiuz. V. Fome.
“ FauzLılıos. V. Famulos, Familiares.
FamE£Lıco, A, adj. farnelique, allfame.
FAMıGERÄDO, A, adj. fameux, renomme.
FamiLta, 3. f. famille : toutes les personnes
qui vivent dans une maison sous un m&me
chef. Gens, monde, commun, domestiques
d’une maison; commensaux. —, toutes les
personnes d’un me&me sang; race, maison.
*" Ordre religieux. (4. d’hist. nat.) —, assem-
blage de genres et d’espöces. — real, famille
royale: le roi, la reine, leurs enfants,, etc. A
— sagrada, la sainte famille. Filko—s, (t. de
prat.) fils de famille : jeune homme qui vit
sous l’autoritö de ses pöre et möre. Encher-se,
carregar-se de—, se surcharger de famille,
avoir beaucoup d’enfants.
*" FıuıLiaıaia, 6. f.| personne de la m&me
* FANILIAIRO, 8. m. famille, etc.
FamıLıar, adj. 2 gen. domestique, dela mal
son, dela famille, qui eoncerne la famille. Fa-
milier : devonu facile par l’usage; facile, aisds
500 FAN u
fröquent, (Ag.) Intime, qui a de le familiaritö.
Eıtilo - ‚style familier : style naturel et aise,
tel que celui d’une conversation entre honnetes
gens, eis. Bepirito , genio —, esprit familier :
sorte de genie, d’ange gardien chez les anciens
philosophes. Carlas —res, lettres familiöres,
sorites ä des amis.
Fauıtıär , s. m. domestique, valet d’un pre-
lat. Domestigue commun d’un college, d’une
eommunauis, etc. —da justica, (inus.) sergent,
sbire. V. Aloside. — de santo offcio ‚ familier,
offcier de Pinquisition , qui arröto les acouses.
Fazer-se —, se familiariser.
Fauıuianınioe, 3. f. familiarit, privaute.
Cartas de — , letires de confraternite. 4 meiis
— 6 causa de menos preco, trop de familiarite
engendre le mepris.
FanıLianissımo, A, adj. sup. do Familiar.
FamtLiarızino, A,p.p. de
Fanıttanızin, 9. a. familiariser : rendre
commun, ordinaire, familier; rendre familier
avec, accoutumer &... Apprivoiser.
FANILIARIZÄR-SE (com), v. r. se famillariser
(avec quelqu’un), se rendre familier; s’accou-
tumer &, \
Fan. Januente, ade. familiöroment : d’une
maniere familiere.
t FauıLıatöna, s. f. * omploi, titre de fami-
lier du Saint-Ofice.
*FauıLıo. V. Famulo , Familar.
Fauinto, A, adj. famölique, affamd; avide,
desireux.
FAMÖsamAntE , ade. fameusement, , excellem-
ment : d’une manidre distingude, aveo &clat.
Fauosissiuo, A, adj. sup. de
Fauöso, A, adj. fameux, renommö, celöbre,
illustro. Beau, parlait, acheve. Distingus par
ses qualilös, par ses talenis. Fazer-se — na
guerra, avoir un grand nom dans la guerre.
- FautLino, &. m. service domestique; suite
de domestiques. it. p. p. de
FANMULÄR, ©. a. servir comme domestique.
(Ag.) Aider, seconder, präter son ministöre.
" FANULAR , adj. 2 gen. de domestique.
FıuuLento. V. Faminto.
FiuuLo, s. m. &tudiant qui sert de domesti-
que dans un college; domestique d’un pre-
lat, eic.
FaniD0,4,p.p. de Fanar. adj. (ant.) Ür-
concis ; &court6; (Ag.) pauvre, miserable.
"Fananüna. V. Cireumeisdo.
FaniL, s.m. fanal, phare : grosse lanterne
de vaisseau ; {g.) ce qui eclaire.
Faniö, 3. m. sorte de monnaie et de poids
dans l’inde portugaise,
Fanin, 0. @. cirooneire. Ecourier une robe.
it. V. Agorentar.
Fanirıco,A, adj. fanatique: zeie, passionne
Jusqu’& la fureur pour la religion, pour un
parti, une opinion; fou par religion, etc. ; fou,
extravagant, alidnd d’esprit, qui a des visions,
des apparitions;; farleux qui seeroilinspire.
FanaTisno,, s. m. fanatisme:: erreur, illusion
passion du fanatique; She outrd en maticre de
FAN
religion ; attachoment avougie et Opıniälre äun
parti, & une opinion.
Fanarızivo, A, pP. p. de
Fanatizin, v. 6. fanatiser : rendre fanatıque.
Fancania, 8. f. V. Fanqueria. Obrede —,
onvrage grossier, mal fait, mal soigne6, oavraze
de pacotille.
Fancnid. V. Fanchono.
Fancaöna, s. f. libertine; tribade, fern:
qui abuse d’une autre femme.
FAncHonice, 8. f. 0% ' pederastie : amout
FANCHONISWO,, 8. M. honteux et eriminel
entre des hommes ou pour de Jeunes garcons.
Tribaderie, le meme vice entre des femmes.
FANCHONO, 8. m. pederaste : adonnd A la pt-
de6rastie.
+ Fanpinco, s. m. fandango : air et dass
espagnole et portugaise Irds-gais.
+ Fanpancufıro, 3. m. (pop.) qui aimei
danser le fandango. Qui court les festins et ies
fetes.
Fantca, s. f. esp&ce de petit poisson de la
mer de Galice et du Portugal.
Fıntco. V. Fanddo.
Fıntca. V. Fange.
Fınrarriö,s. m. fanfaron : rodomont, g»-
con, faux brave; homme qui se vante sans
cosse.
Fınrannanla. V. Fanfarrice.
Fanvanniı ou vanterie, vaine osten-
Fınrannice,s. f. ) tation , fanfaronnade,
pıaffe; fanfaronnerie, habitude de faire des
fanfaronnades.
Fanrönrıa. V. Fanfarrice.
Finca, s. f. fandgue : mesure portugais
pour lesgrains ou lesel,, et ce qu’elle conlien!:
quatre boisseaux, et pour le oharben de lerre
huit. — de ferre, terrain qui peut dire ense-
menc6 avec une fandgue de grain. —, Pl
(vieux) megasin, oellier o& Fon vendait fe*
grains.
+ Fancarfna, 8. f. (tl. de Bros.) instrement
dont se servent les Indiens da Marenkdo pour
talller la plerre.
Fancina.V. Fachine.
Fanuonuo. V. Fanchone.
Fannöso, A, adj. nasillard , qui parle da nee.
Funico, s. m. (pop.) petit gain. V. Bigslks.
“ Famiqutiro, A, adj. qui gagne peu, gai 9
eontente d’un petit gain.
Firo, s.m. fanum : petit temple en !bon-
neur d’un homme deifle.
Fangouerfa, s. f. toilerie, lingerie; eommerc®
de linge et de toiles de ooton. Rus des mar-
chands de nouveautäs.
Fangutıro, 3. m. marchand toilier, mar-
chand linger. —a, s. f. femme du ma
toilier; lingöre. ,
Fantasia ou Pnantasia, s. f. fantaisie, IMB-
gination ; facults imaginalive; oaprice, bo@-
tade, bizarrerie. * Orguvil. presomplion. Piaffe.
faste, ostentalion. Pensee, Bction ingeple@s® »
saillie d’imagination. Verve, entheusläsä3€ +
chaleur d’imagination,
FAR
Fanyamino, A, pP. P de .
Fantasıär, ©. a. imaginer, inventer, faire
quelque chose d’id6e ; feindre. v. m. Se donner.
ä des Setions de fantaisie; chanter, jouer de
fanlaisie, suivant plutöt son imagination que
les rögles de l’art; preluder.
Fantası0so, A, adj. fantasque, caprioieux;
bizarre; qui a des fantaisies. V. Presumido,
Yeideso.
Fantäsua, s. m. fantöme, speotre, vision.
Image gravee dans l’eaprit. —, chimöre, vaine
i
mage.
tFanrasuaconia,, s. m. fanlasmagorie : art
de faire apparaltre des specires par le moyen
dune illusion d’optique.
FARTÄSTICAMENTE , ade. d’une maniöre fan-
isstique; fantastiquement.
Fanrisrico, A, adj. fantastigue, ehimerigue,
imaginaire ; qui n’a que Papparencov, sans rea-
iii. Homem —, prö&somptueux, arrogant, vain.
Faxtastiquice , 8. f. fantasquerie, caraotöre
fantasque. (p. ws.) di. Caraotöre fantastique,
capricieux, extravagant.
Fanreria,, ote. V. Fantasia, eto.
Fıntiu,adj.2 gen. propre & un haras, de
kelle taille, de race (cheval ‚eto.).
"Fiqua, ote. V. Faca, ote.
Fıgokino, s. m. Atul A couteaux , coutelidre.
Fıouinma, s. f. düm. de Faca. Petit conteau.
Petit bidet. Melter a —, (fam.) plaisanter, dire
des choses piquantes contre quelqu’un.
Fiqtino, s. m. balayeur de l’öglise patriar-
eale de Lisbonne.
Faqtin, s. m. faquir ou fakir : religieux ma-
bomtien, errant ; derris.
FanacöLa, a. f. (t. d’Asie) poids de 18 N-
res,
Farınpdıa ou babloles, choses de
PanANDULiGEN,, 8. f.) trös-peu de valeur;
sciett de mauvalses gens, troupe de farceurs
ambulants.
Fariora 04 -ÄUTA, 8. f. (8. de provin.)
vieille' brebis.
‚Faräurg, 8. m. envoy&, messager, commis-
sonnaire. Interpräte; heraut. Personne & la
kie dune affaire, qui la conduft.
Finca, s. f. farce. comedie bouffonne; (g.)
those, action plaisante , bouffonne.
Farcinca 04 —sanGa, 8. f. farsange : mesure
de chemins en Perse. V. Parasanga.
Farcinta, 8. f. farceuse ; bouffonne
Fancinte ow Fancista, 5. 2 gen. larcenr :
@ui joue ou fait des (arces; bouffon.
FincARTEAnO, A, B. P. de
Farcanrrän, 0. a. represenier en farce, en
enetdie (certaines pidees da ihe4älre nomındes
Bysiöre). o.m. Parcer, faire, jouer des farces.
irre en farceur,
Faxcista. V. Fargante,
Fiapa, s. f. "habit d’uniforme. — de criado
ir, livree.
numa2, 4,2. p. de Fardar. adı. En habit
FAR 591
Finpicem, s. f. (anf.) * &quipage, provision
de voyage. V. Bagagem.
FARDAMENTO, s. m. habillement de latroupe.
Farpin, v.a. habiller la troupe; donner une
livr6e & ses domestliques.
FarpeL, s.m. havresac, besace, bissac. Pa-
quet de hardes et de provisions pour le voyage.
FARDELACEN. V. F .
T Fanptra, s. f. dim. de Farda. Jaqueite de
soldat.
Farpere, s. m. dim. de Fardo.
Farpruma, s. f. dim. de Farda.
Parpinno, s.m. dim. de Fardo: plus petit
que Fardete.
Firpo, s. m. ballot : gros paquet de mar-
chandises,, de hardes, etc. Fardeau.
Fareıir, v. a. flairer: sentir par l’odorat;
(Rg.) pressentir, pr&voir; suivre la piste. 1] est
quelquefois neutre.
t Farericeo, A, adj. qui tient du son, qui
ressemble au son.
FARELÄGEN, 8. f. quantitö de son.
FAREL£NTO, A, adj. plein de son.
TFArELHÄO 0% —ıLHlö, 8. m. (1. de mar.)
tlot ow rocher escarp& dans la mer; poinie
escarpee.
FartLo,s.m. son: peau,, partie grossidre du
ble, etc.
FARELÖRIO, 8. f. (8. burl.) babiole, nlai-
serie.
FARETRAR, otc. V. Selear.
FArrÄLHA 0% *tapage, bruit, häble-
Farrıınina,s.f. rie, forfanterie.
FARFALHADOR, 8. m. colui qui fait du tinta-
marre.
FarraLnid, s.m.V. Farfalhador. Häbleur
enjoud.
Farrıımin, o. ®. faire du bruit, du tinta-
marre; häbler, parler legärement, sans r&-
flexion.
FARFALHARSAS, 8. f. pl. fariboles : choses
frivoleg et vaines; propos ineptes et fantas-
ques.
FARFÄLHAS. V. Apdras.
t Farränges, s. m. pl. cavaliers chröliens au
service d’un prince mahometan.
FARFÄNTE, s. m. fanfaron,, rodomont.
t Farrantonipa, s. f. fanfaronnade, rodo-
montade.
Firnrana, Firrano ow Farrucıe. V. Tosei-
ldägem.
Fantniceo, A, adj. farinacd: reductible en
farine; de la nature de la farine.
fFarındıLa, s. f. flanelle: ötoffe de laine
legere.
FArinHa, s. f. farine : grain reduit en poudre
qui sert & faire du pain. — de pdo, tapioca,
cassave. Näo fazer bo@ — com alguem, ne vivre
pas bien, n’&tre pas d’accord avec quelqu’un.
FARınn£ıro, s. m. marchand de farine,
FAnıNB£NTO, A, adj. farineux : de la nature
de la [arine. ,
TFarınuöso, A, adj. (8. de bot.) V. Fanır
näceo,
592 FAR
Faniscan. V. Farsjar.
Farısko, elc.
Farmäcıa, etc. | V. Pher..., etc.
+ FARMENTO, 8. m. espöce de Faisin.
Farnnzr. V. Fardel.
Fanngsim, etc. V. Frenesi, elc.
Fino,s. m. flair : odorat subtil des animaux,
du chien. (Ag.) Indices, lueurs. Emanations
odorilerantes d’un animal. ( Ag.) *Odeur. 4. V.
Farol. Ter bom —, avoir Podorat subtil, le nez
fin : se dit des chiens Ir pelo —, senlir par l’o-
Jlorat, flairer. V. Cheiro. Ir ao — dos oufros,
suivre les autres & la piste ; marchersurleurs
iraces. Dar com o — a alguem,, decouyrir les
intentions, les projets de quelqu’un; les even-
ter.
+ Fino, s. m. (t.de geog.) Faro : ville et er&-
che de l’Algarve, en Portugal; tle dans la Bal-
tique.
FaröL ow PharöL, s. m. fanal : grosse lan-
terne au mät, & la poupe d’un vaisseau. Phare:
: grand [anal place sur une tour au bord de la
mer pour eclairer les vaisseaux ; cetie tour.
(Ag.) Fanal, ce qui eclaire.
t FaroL£ıro, 3. m. celui qui allume un
phare, qui en a soin.
Firra,s. f. "bout, pointe d’etendard, etc.
Poiute de dard, croc ; crochet d’une flöche,
d’un hamegon. * Accroc,, döchirure.
Fırpino,A,p.p.de Farpar. adj. Decoups
en pointes; crochu. Lingua —a, (fig.) langue de
vipere, mauvaise langue.
Fanriö,s. m. aug. de Farpa. Harpon , grap-
pin, croc; dard.
t FaRPÄNTE, adj. 2 gen. dechirant, qui dila-
cere. p. a. de
Farrir,o.@. decouper en pointes; courber
en forıne de crochet. Dechirer, dilacerer. — as
oelas , dechirer les voiles. — 0 vestido, faire un
accroc. v. #. Se deebirer.
FARPEADO, A,P. 9. de
Fırpzin,o.a. darder, blesser, percer d’un
eoup de Nöche, de lance ou de harpon; harpon-
ner.
Fannä. V. Ferrd.
Fanricem, s. f. *fatras: assemblage, me-
lange conlus.
Fanracear. V. Ferragial.
FEerRAGöULO. V. Ferragoulo.
FarnapÄd, 6. m. et adj. couvert de haillons,
deguenilie, grigou.
FARRArAniA, 8. f. *tas de haillons, de gue-
villes.
Fannäpo, 5. m. *guenille, baillon chiffon,
drilie.
FARRRCOULO,
FARREHAL } V. Ferra...
Fannim. V. Farrdgem.
FaRnıcöco ou —cunco,, 8. m. (1. burl.) cro-
quemort. Domino de penitent dans les proces-
sions de car&me en Portugal.
Finno, &. m. "orge monde "
monde. Bis. sge monde, potion d’orge
FAS
Faraöua, s. f. (f. buri.) gescontade, lanla-
ronnade. .
FARROUPILHA, 8. 2 gen. argoulei, grigon,
deguenille.
FARROUPINHO, 3. m. dim. de
FARaöurO, 3. m. cochon qui ne depasse pas
unan.
Fanaumpfo, s. m. V. Farrusca.
Farrüsca, 5. f. (8. pop.) epee vieille ei rouil-
lee, rapiere.
FansöLa, s.m. (1. pop.) farceur ; fanfaron.
Fartaptııa, s. f. V. Barrigdda. * Rassasie-
ment, saliete. Tomar ums —, se gorger de
nourriture; (fig. fam.) se rassasier.
Fartino,A(V.Farto),p. p. de Farlar.
FantaLko, 3. m. V. Polenta.
Fantir (de), v. a. rassasier, soüler, gorger
de nourriture ; satisfaire aınplement un besoin
quelconque. Degoüter, ennuyer. 4 —, a nen
pouvoir plus. —se, v. r. se rassasier, eic. S’on
donner & caur joie.
+ FaatävEL, adj. 2 gen. qui peut @lre ras-
sasie.
FARTaAVEBLHico, s.m. (1. Pop.) fort grand el
insipide, en parlant de certains fruits.
" Firte,ade. V. Assdı.
FARTE 08 —- TEN, &. m. petit gäteau fait avec
des amandes et des epiceries.
Fikto,p.p. irr. de Fartar. adj. (de) Rassa-
si6; onnuy6, degouls de. Suffisant, abondant,
fertile. Ndo perds o anno por — ‚ labundance
ne nuit pas.
Fartün, 8. ın. faguenas : odeur [ade ot mau
vaise d’un corps corrompu, malsain.
FARTÜRA , 8. f. “rassasiement, salieie. Abon-
dance.
FascäL, s.m. monceau, tas de bl& qui n’es
pas battiu, de gerbes; dizeau.
Fasczs, s.f. pl. "laiscoaux: verges, baguelles
liees ensemble, avec une hache au milieu. On
les portait devant les consuls, les dictateurs,
etc.
+ FascıcuLivo, A, adj. (4. de bot.) lasciculer
en faisceau.
+ FascicuLo, s. m..(t. de bot.) [aisceau : reu-
nion de fleurs, de feuilles rapprochees
long; fascicule, petit faisceau, poignee d’hcı-
bes, etc.
Fascınacäö, s. f. fascinalion : charme 4"
fascine les yeux, emp@che de voir ce qui esta
verite; prestige, tromperie.
Fascınäpo, A, p. p. de Fascinar.
Fascınanör, A, 38. celui qui fascine.
FAscıninte, adj. ? gen. faseinant, qui far
eine; enchanteur, eblouissant. p. a. de
Fascınir, v. a. (asciner : ensorceler par une
sorte de charme, d’6clat qui empeche de voif
la verits, la realite; ( Ag.) charmer, ebiouir paf
un faux eclat, uno belle apparence; tenle,
tromper.
+ Faseiora, s. f (l. d’hist. nat.) douve : TeFf
aplali, ovipare, intestinal, fasciole. — ä#,
dos gados,, douve du [oie.
Fasqtia, s. f. latte: petit ais oiroit at long.
FAT
+ FıscöLowo, s. m. (1. d’hist. nat.) fasco-
loıye : quadrupede de la Nouvelle-Hollande,
gui tient de Ja marmolte et du sarigue.
*Fästa. V. Ale. .
Pastioiosau&nte, ado. fastidieusement, avec
dögodt, ä conire-omur. ( Ag.) Eunuyeusement,
arec ennui.
Fastiviosissıno , A, adj. sup. de
Fasrımiöse, a, adj. [aslidieux, dögontant.
Eanuyeax, importun, fatigant.
Fasrıturo, A, adj. degoüte, ennuy6, & qui
loul repugne ; [astidieux.
Fisricıo, s. m. (p. ws.) falte d’une maison,
sommet d’une pyramide, etc.; (fig.) combie
d'bonneurs, etc.
Fastio, 8. m. degoät, manque d’appetil; (Ag.)
ennui. Ter ou estar com —, manquer d’appttit.
Fıasritao. V. Faslidioso.
Piero, s.m. orgueil, hauteur, presomption.
. 0.
Fisto, A, adj. heureux,, prospöre.
Fisros, s. m. pl. fastes : livre du calendrier:
reeit des faits memorables; registres histori-
ques (des Romains); l’histoire. — conswlares,
Iastes consulaires, tables chronologiques des
consals de Rome.
‚ Fastösamänte, adv. fastueusement, avec
aste
Fasröso, a, adj. fastueux, hautain.
Fıräca, 3. f. ° chabot : espece de muge, gros
poisson de riviere. V. Tainhe.
Faraciz, 5. m. (. Pop.) gros morceau.
1 Faränico, A, adj. (inus.) qui depend de la
destinde.
Faricz, s. f. action de remuer ses hardes.
FaTasEaR 06 —JAR, d. @. (P. us.) remuer ses
es.
Farirxa. V. Faldaa.
FiriL, adj. 2 gen. fatal: qui porte aveo soi
ane destinde inevitable; marque par la desti-
nee; funeste, desasireux, sinisire ; malbeureux.
FATaALIDÄDE, 5. f. [atalilö: prötendue desti-
nee inevilable et malheureuse; hasard mal-
beureux; disgräce, malheur, infortune.
FaraLısmo, s. m. fatalisme : doctrine du fata-
liste. Influence du destin.
FaraLisra, s. m. [ataliste : qui aliribue tout
au destin, & la fatalile.
FaräLmänrg, adv. fatalement, par fatalite;
par un malheur extraordinaire.
Farinıo. V. Falalista.
Farissa. V. Falara.
FatTixa, s. f. (1. burl.) prouesse avec bra-
voure.
Fırzosim. V. Emphyleusis.
Fartxa O8 —TEIXA, 6. f. “ grappin.
Fartia, 3. f. tranche (de pain, etc.). — de pdo
com manleige, beurree. — lorrada, tarline.
Farıär , ele. V. Esfaliar, etc.
FATiDICAMENTE, adv. fatidiquement, d’une
maniere falidique.
Farivıco, A, adj. [atidique : qui declare la
rolonte du destin, qui annonce, Qui prophetise.
Pıtıca. V. Fadige.
PORT, "FA,
YAV 593
FariciB0,A,9.9.de
Faricär ,v. a. fatiguer, lasser, harceler, ha-
rasser, ennuyer (prop. e! Rg.).v.». (p. us.)
V. Afadigdr -se.
FATILOQUENTE , adj. 2 gen. (podi.) qui pradk
l’avenir.
t FarTımırzs ow —TuImıTEs, s. m. pl. Talhi-
mites: priuces mahometans, descondants d’Ali
et de Fathime,, gendre et ille de Mahemet.
FATinHo, s. m. dim. de Fato.
Farıöta, 8. f. (pop.) hardes, nippes. si. V.
Emphylousis.
Fariver. V. Faetivel.
Fäto,s. m. " hardes, nippes. (vieux) Trou-
peau de chövres. ( Ag.) Meuble.
FÄTUAMENTE, adv. sottement ; follement.
Faruipine, 5. f. stupidite, fatuits, defaut
d’intelligence. Sottise , impertinence, fatwuite.
Fitvo,A, adj. stupide, sol, imbecile, fat.
Lume — , lammerole, ardent, feu follet.
FATUOSAMENTE. V. Faluamente.
Fausa. V. Faisca.
+ Fäuce, s.f. — da corola, (1.de bot.) gueule
de la corolle.
+ Fäuczs, s. f. pl. "gosier.
FaüLHa, s. f. bagatelle, nialserie, —s, pi.
sornettes.
FaöLmento. V. Fusil.
+Faunäss, 3. f.pl. Faunalcs: fetes de Faune.
Fiuno, s. m. Faune : dieu champetre des La-
ins.
Faustissino, A, adj. sup. de
Fiusto, a, adj. beureux, fortund, Joyeur,
prospere.
Fäusto,s.m. faste, pompe, vaine osien-
tatıon.
Fatst6s0, A , adj. fastueuzx : plein de [aste.
+Fävra, s.f. (Dar quinzs e —) , avantage au
jeu de paume. ( fig.) Antioiper sur quelqu’un,
le devancer dans quelque chose,
FaoTöR, A, s. fauteur:: qui favorise un parli,
une opinion ; complice.
Favroria, 8. f. action de favoriser, de fo-
menter un parti,, etc.
FauTOnIzan (P. us.). V. Apadrishar, Favo-
reeer.
Fautaiz, s. f. fautrice.
Fiva,s.f. (4. deboi.) fere : Iögume long et
plat, graine dans les gousses. — de Maldca,
ftve de malac; poivre ou pomme d’acajou ;
anacarde antarctique ou occidentale. — de
lagda, gourgane : petite [eve de marais. — de
sanlo Ignacio , f[öve de saint Ignace. Vd ou vai
d—, allez vous promener. —, pJ. föves, pour
voter dans une 6lection. (fg.) Voix. —, c0R-
tadas, il faut manger pcu de föves, parc®
qu’elles sont indigestes. Sdo —s conladas,
sans plus ni moins; c'est une chose colaıre , ma-
nifesie , cerlaine.
Fıvär,s.m. champ semö de [&vos.
+ Fartına, s. f. (&ve : plante lögumineuse
qui produit les [övos.
FAYETA 0b | die, de Fava. Förerole.
Favinha, s. f.
38
598 FAX
Favinno, 8. m. dim. de
Fivo, s. m. rayen, gäteau de miel. * Celluie
hezagone oä les abeilles font leur miel. — da
seda, qualite du fl de soie.
Favönıo, s.m. zephyr : vent de l'oooident
&quinoxial, d’ouest, Ird&s-doux. .
Favor, s. m. ” laveur, secouss, proleclion,
appui, alde, assistance; gräce, Lienlail, ser-
vice , obligstion , bons offices ; marque d’amour
qu’uno feınme donne A un homme, ou petit
present quielle lui fait; plaisir. A — de, ea
faveur de... Com -— da noite,, da eseuridade,
etc., ä la faveur de la nuit, des ten&bres, etc.
Faga-me V.M.o—de, faites-mol le plaisir,
ayez la bonie de. Ter alyguem a ven — ,, avoir
quelge’un pour soi, de son cöts. On dit aussi
dens le familier: avoir quelqu’un dans sa man-
che. Por —, de gräce. Favores, pi. * amities.
° Favonän2o. V. Favorecide.
* Favonanca. V. Favor, Mered.
FavorivEL, adj. 2 gen. favorable, prepice,
avantageux. .
FavonivaLu£nte, ade. fsvoreblement, avan-
tageusement.
FAVORECEDÖR, A, s. eelul qui faveorise, qui
protege, protecieur. Fauleur.
FAvonzchr , v. a. favoriser, aider, protsger, | d
appuyer, porter secours , assister. Obliger, ser-
vir, rendre service, bien faire. —, appuyer un
etablissernent, une opinion. Flatier.peindre en
beau. Dissimuler, cacher les defauts d’une
chose ou personne qu’on veut [avyoriser.
FAVORECcEa-sE, v.r. s’eider. — com ou de
alguem, se servir do ja [aveur de quelqu’en
pour se tirer d’un mauvais pes.
FAVORECIDO, A,p.p- de Faroreter. adj. Fare-
rise. Reirato —, portrait llatte. — pela artilhe-
ria, pela noise, & la faveur du eanon, de la nauit.
* Favortza. V. kKacor, Merck.
Favorita, s. f. favorite, preferde. V. Favo-
rito. On le dit & certains jeux de cartes d’une
vouleur qui a la preferenoe sur les autres : su
wa d’bombre, c'’en loceur.
Favorito, A, adj. favori, profers : qui plait
us que toute auitc chese du möme genre.
’.9%.—, qui tient le premier rang dans les fe-
veurs, les bonnes gräces de...
Fıvormin,. V. Favoreoer.
Fixa, s. f. bande: Ion large et plat pour
bander; ceintwee, sorse d’ornement ; bandeau.
(Aig.) Bande ou Yinge divisant one surface ; zone
du globe c&leste ou terrestre, eis. ($. de bias.)
Fasce : piöce de l!’eca qui le ooupe horizontale-
ınent par le mifica. — da cormija, (1. d’arch.)
plate-bande. — do eauk6o, moulure en plawe-
bande d’un canon. —s, pl. langes , maillot que
le pape envoie aux promiers-nes des rois ca-
tholiques.
Faxino, A, adj. (1. de blas.) fasct. On Ne dit
de l’ecu charge de fasces egales, de deuxcmaux
alternes. p. p. de
Fıxir, v.a. bander: lier, serrer avec une
bande. —as eri ‚emssaillotter los onfanty,
106 nıettre en maillos,
FAZ .
+Fıxeino, a, adj. (1. d’arch.) qui a des
bandes.
+ Fax£qug, 5. m. (1. d’Asie) magistrai crim)
nel au Japon.
Fazina,
Faxo\ V. Fech...
Fara,etc.V. Faia, etc.
* Farnsa. V. Fanga.
* FAZEDOIRO ou —00R0, A, adj. [alsable, fa
cile: qui peut ou qui doit Aire fait.
Fazspör ‚A, 8. auleur ; Saiseur. (vious) Fa
teur : agent, administrateur.
* Fazgpüna, 8. [. on qu'en fall d’une fois.
Fazkupı, 8. f. "champ, domaine, lefre,
fonds, beritage. Biens, richesses, fortane. Ha-
bitation , lablissemeni aux colosies. Narchan-
dises, &tofles, eic. Besogne, Iravanz, O0f4-
pations domesliques. (views) Aclien, eoalil.
slfaire , combat, fait d’armıes , eic.
de grande —, (id.) chevalier tr&s-courageat,
ir&s-vaillant. Cuvallsiro de ade grande —, (id.
chevalier peu eouragtux. Kalrer na —, euitt
dans le confllt, combattre. 4 — rsal, Ies Bnan-
ces, leiresor public, je fisc. Afiaistre ds —.
ministre des finances. O oonselhe da —, Mel
souveraine des finances en Portugal. Dee —
se vende,, marchamdise qai plal zul I
demi vendue.
FAzenp£ımo, A, ady. qui travaille pome agraß-
dir son kien ; mönager ; beomume Industries.
Fazenn£ıno, 8. u, fermier, metayet, esih-
vateur.
Fırzuoingna, s. f. dien. de Fassade. Peil
bien de campagne, petite ferme.
Farta, 0.0. faire : erprimne em gendrel Ia0-
tion quiproduiten eßet; exprime lacaialisa ‚I
formation; creer, former, produire, se dit 4
ouvrages du Crealeur, des ewuses sooonden, eilt:
fabriquer, compeser, donner une farme, se di
des ouvrages de ’hernme, de oertains aninau;
operer ; predsire uneßet ; exöuwuter ; comsirmirt:
donner la forme, la figure, ia coutenr, I'älF;
rendre de telle qualit6. Fermer, prodeire un®
idee. Accompfir, achevor. Agir, travailier, 30%
cuper de. —, so0order co qu'on demande, det
ner. Tenir, contenir, renserımer. Cawser, 0068
sionuer. Resoudre, determiner. Disposer, a
ranger. Assembler, convoqwer. Rendre, {st
devemie. Razer, suivi d’un mänXl,
obliger. Ex.:— wir, faire venir. Eire caust,
donner lieu. Ex. :— rir, fsire rire. Joimt ä ce
tains noms,, il marque l’aotion actuelie des ""
bes formes de ous nes. Ex. :— esiämanft ,
timer. — gaslos, döpenser. Suivi des mots che
cola, escarneo, mofe, zowsbertä , @l0-,
mepriser, feire peu de cas. Suivi de ia prtP®"
sition de et de certeins noms d’ari ou deM®
fessien, H-em indique l’exercice. Bx.:— de *
erivdo , faire le metier do groffier. — deep
teiro, faire ie menuisier. Suivi de ia peraicale
de et d’un nom, il exprime tantös pr
imiter Paction exprimde par Ce nom, 6X.:
bobe, feire lo nılais; tanıöt feire parade dem
aualit6, ex.;—d’homem sabie , Faire Io.garakı
FAZ
affeeier de le paraltre; et lantöt faire ou jouer
leröie indiqus par ce nom, ex.:—de rei, de
graeioso , Jouer le röle de roi, de bouffon. Joint
aux parlicules por, para et ä un infinitif, il ex-
prime soin, diligence a execuler cc que le
verbe signifie. Ex. :— por chegar, para salrar-
se, faire ses efloris pour arriver, pour se sau-
ver.Joint aux pronoms um, ums el ä un noın,
il en augmente la force. — aqua, (t. de mar.)
svoir une voie d’eau. — agudda, (id.) faire de
Veau, faire aiguade. —alarde, passer les trou-
pes en revue; (fig.) faire montre ou parade
d'une chose. — alto, faire halte, s’arreier; et
disconlinger, interrompre une allaire. — bem,
hire du bien ou bien faire. — böa a venda, ga-
fFanlir ce yu’on vend. — cabega, cama. V. ces
mols. — edra, frenic, ou roslo, tenir lle,
faire face. — correrlas, faire des courses sur
le pays ennemi. — corlexias, faire des polites-
ses. —das suas,, faire des siennes. — do ladräo
kel,se Aer& quelqu’un par necessite, faute
dautres. — gdla do sambenilo. V. ce mot. — da
sua parle, faire ce qu’on peut de son cöte. —
das (ripas coragäo, faire contre fortune bon
caur. S’efforcer de cacher sa peur ou de sur-
monter un obstacle. — o gdsto, faire la de-
pense.— costas, exercieio, falta. V. ces mols.
— amizade com... lier amitie; faire connais-
sance avec... — fe, faire fol. — festas, faire
ftie, caresser. — gosto de, se complaire d&. —
guerra, faire la guerre; (fg.) s’opposer forte-
ment, resister.— horas, atter.drel’heure Äxse,
ou le moment favorabis. — jogo, tenir le jeu,
conlinuer & jouer; escrimer. (fg.) Cadrer, »’a-
juster, se rapporter. — jusfiga, rendre juslice.
—arazödo, faire Taison, rendre une santö por-
ke. — a vista gorda ou grossa, feindre de ne
pas voir. — lugar, faire place, debarrasser un
pissage, etc. — mal a alguem , nuire, perse-
tuler.— mal alguma cousa, nuire, faire mal.
— mansäo , residentia, sejourner. — mencdo,
fıire mention. — mercd, acdorder par faveur
un emploi, une dignite, ou rendre service. —
milagres, (fig.) faire des miracles, des choses
inalttendues. — myslerio, faire des mysteres;
donner de-Yimportance & des riens. — mudan-
sas, ex&cuter dillerents pas, dißerentes Agures
dans une danse. — novidade , innover ou eton-
ner, surprendre. —numero, faire nombre. —
vuvulos de mercador, faire la sourde oreille.—
papel de, jouer un röle. — folhinhas, eire r6-
venr. —o papel de..., contrefaire au naturel,
imiter parfaitement.—präflo, servir äla table;
'fig., prendre quelqu’un pour sujet de la con-
rersation ; meltre sur le tapis. — por —, faire
unc chose sans necessite, pour le plaisir de la
faire. — penülencia, manitre d’inviter A man-
ger :venez faire p&nitenceavec nous. (pariron.
fam.) Faire bonne chere. — dinheiro, faire de
Vargent, en vendant ses meubles, etc. — mdo
430 , ınesuser, abuser. — que, faire semblant
de.— bulha, ou rurdo, faire du bruit, au pro-
pre et au figure. — saber, faire savoir, appren-
dre, — sombra,, donner de l’ombre; (g.) porter
FAZ 595
ombrage & quelqu’un. V. Sombra.— suar, faire
sucr, donner de la peine. — o sets negocio , Ira-
vatller pour ses inter@ts ;Jouer son jeu.—0 264
offeio, remplir ses devoirs ou son minisiöre.—
bem o seu papel, bien jouer son röle.—lencäo,
avoir lintention. — forres de vento , faire des
chäteaux en Espagne. Bom proveilo Iha fara,
grand bien lui fasse. Como quem ta} cnusa ndo
fax, sans avoir l’air d’y toucher. On le Jditd’un
homme qui agit avec dissimuialion. Entdof
que faxs&mos? eh bien! faisonsuous quelque
chose? Ndo— sendo , ne faire que. Isso näo leus
que —,il n’ya point de difficulie. Que fazes?
ulka o que fazes! Que faites-vous? preucz garde
äce que vous faites! Que fazemos com issup A
quoi bon cela? Que karemos de — ? Qu’y faire?
que faire A cela? Dar que — a alguem, faire
voir du pays & quelqu’an, lui donner du Al &
retordre. Ouem a fez , pagou-a ou que a pague,
qui casse les verres les paye. — conla ou de
con!a, supposer, considerer une chose comme
certaine. — fogo, faire, allumer du feu; de
charger des armes ä feu. — fogo a uma moga,
($g.) courtiser une demoiselle.— forca de vela,
(£. de mar.) faire force de voiles, deployer lou-
tes les voiles; (fig. fam.) faire lous ses eHorts
pour... — forluna, s’enrichir, acquerir des
bonneurs, des charges, eto. — homem de al-
guem, mettre queiqu’un dans une bonne pasi-
tion. — honras, (fig.) bonorer, considerer. —
konras funebres, rendre les derniers devoirs &
un mort. — da noile dia, e do dianoüe, faire
de la nuit le jour, et du jour lanuit.— pda Irds.
V. Fincape. — ponto, (l.de comm.) falllir, faire
faillite. — profssdo, professer. — sangue, rö-
pandre, verser du sang; (flg.) traiter avec Fi-
gueur, user de rigueur, de severite. — ums
saüde, porter une santö, boire äla sani6 de.—
de alguem t6lo,, trailer quelqu’un do fou. — as
vezes d’alguem, remplacer guelqu’un. — vida
de..., professer un art, un ındlier, etc. — vida
de casados, vivre marilalement. — d velaona-
eio, (1. de mar.) deferier tes voiles d’un vais-
seau.— maridanga, (vieuz)vivre maritalement.
— amor, (id.) faire des presents, des cadeaux.
— preslanga, (id.) faire une bonne @uyre,
rendre service. — oufeiro, (id.) ohasser les
grosses betes.— refeilorio,, (id.) donner& man-
ger. — r0g0, (id.) ceder aux instances. — ver-
dade, (id.) prouver en justice son intentionz
&tre fiddle envers quelqu'un. — um eartallo,
(p. us.) dresser un cheval. — da sus huura,
(vieux) faire une action honorable. — fazende.
V. Commerciar. — perda, (id.) causer UU8
perie;; (aujourd’hui) eprouver une perle.— pe-
dacus ou em pedagos, metire en pleces. um
si, (id.) croftre. Ter que —, etre diNicie &
faire, avoir des occupations, des ufpires. —
Estar a — ‚etre en ırain de faire. star por —,
&ıre & faire, qui n’est pas encore fait. Dar que
— ‚faire travailler. Em fazendo bom lemno,
uand il fcra beau. Por mais que fage „j'ai,
la bean faire. — caminho du norle, do sui, elu.,
(t. de mar.) porter vu nord, au sud, otc.; gour
596 FE
FE
verner, courir, cingler sur le nord, le sud, etc. | cousa, (1. de Prüs.) tWEmoigner, rendre ou Hor-
— uma coslura n’um
une 6pissure. — ums arroladura, (id.) rouster,
faire une rousture. — bordos curios, (id.) laire
de peliles bordees. Guarda quo oomer, mas
ndo guardes que —, (prov.) ne remeis pas ä
demain ce que tu peux [faire aujourd’hui. De
dizer ao — vol mdito , dire et faire sont deux.
Fazer, v. n. V. Importar, Convir. Crolire,
augmenter. Exister actuellement, faire. Ex. :
Faz frio, il fait froid. Fax bom lempo, il fail
beau. Y avoir. Ex.: Fax dez annos, il y a dix
ans. Suivi de la particule por, signifle #tre fa-
vorable. Ex.: Faxpelonosso partido, cela nous
est favorabie , ou nous avons pour nous.
Fazta-sz, v. r. devenir, se rendre; se croire,
estimer; feindre; se’habituer. V. Afazerse. —
alrds, reculer. — em agus na bocca, fondre
dans la bouche. —ds armas,, s’aocoulumer aux
armes. — d.odla , melire & la voile. — a’um la-
do, se retirer de cöld. — grave, (ifam.) faire
semblant de refuser ce qu’on desire. — cargu
de..., s’en charger, prendre sur soi. —de al-
guma cousa , acheler, acquerir une chose. — de
novas , feindre d’ignorer. — de rogar, se faire
prier. — doente, faire le malade. — dono ou
senhor, se rendre malire, s’emparer. — famo-
so ou odlebre, se rendre oslöbre. — forte. V. ce
nom. —a booca em agus , prendre plaisir & une
ohose. — de dia ou de noite. V. cer,
Anoitscer. — velho, vieillir, devenir vieux. —
rico „s’enrichir, devenir riche. — ver, s6 MON-
n— „amarello, rougir, pälir. —
oom lerra, (1. de mar.) se croire pres de la
terre. (fig.) Avoir grande conliance, montrer
de l’assurance. — d lerra, (1. de mar.) navi-
guor du cöt6 de la terre, prendre lerre. — ao
mar, (id.) meitre en mer ou & la mer. — na
volta, (id.) virer de bord. Ha de — Iudo em [a
wor do povo ‚il faut tout faire pour le peuple.
* FazımEnto, s. m. aclion de faire. —de gra-
gas, (viewz) aclion de gräces. — com mulher,
(id.) colt avec une femme.
Fe,s. f. foi : veriu th6ologale par laquelle
on croit los v6rit6s reve6lees; croyance, pro-
bite ; confance en quelqu’un ; bonne opinion
d’une chose;; assurance donn6e de garder sa
pareie, fidelite dans ses engagemenis; t&moi-
gnage, Assurance qu’une chose est certaine.
Certilicat. 4’ —, d minka — ‚ma foi, par ma
foi. 4 — de christdo, de cavalkeiro —, foi de
chretien, dechevalier. 4’ dboa — , de boa — ‚de
bonne fol, sans dol ni fraude. Bda—, bonne
(fol , sincerite, franchise. Dar —, certifler, at-
tester la verite d’un acie, elc., ou ajouter foi,
eroire , ou enfin (fam.) chercher & voir, & sa-
voirce qui se fait, etc. Faser —, faire foi, par-
dant d’un &crit. 4’ falsa —, adv. perfidement,
«de mauvaise fol, en traitre. Em — de que, en
46moin de quoi. Guardar a — que se promel-
seo a alguem, garder la foi qu’on a donnde.
Quebrar a —, tire infidele a ses promesses, &
ses engagemenis. Dar-se — mülus, se pfo-
mottse delite mutuelle. Porlar por — alguma
cabo,, (id.) episser, faire | 1er Iamoignage „ certiler, assurer queique
chose. Md —, mauvaise fol; dol, duplicite.
Na — de, en croyant, en sapposant. Esiar ns
— ,croire, supposer. — de reo,(1. de prel.)
certilicat. —de carvofiro , foi de jardinier. Fis,
pl.(p. us.) croyances , secies, religions.
FeaLpäne, 8. f. " enlaidissement, laideur,
difformite. (4g.) Turpitude , obscenits ,laideur,
noirceur.
FEANENTE,, adv. avec difformite. Avec turpi-
tude. Vilainement; honteusement.
Feancnidö, Ona, adj. aug. de Feio, (fa)
fort laid,, tr&s-laid, horriblement laid.
Fsse. V.Pke
Faso, ete. } « Phebo, etc.
Fauna, s. f. übre, fllament.
Fasniö, s. m. aug. de Febre. Grosse Arte;
augmentation de Üörre.
Fenag, 8. f. üövre : mouvement deregle, cir
culalion acceleree du sang avec [r&quence du
pouls. Chaleur et frisson. Ter —, eslarcom-—,
avoir la fivre. Arder ou esiar ardendo em,
etre dans le chaud de la flövre.
Feone , adj. 2 gen. [aible : qui n’a pas le poids
ou letilre requis, se dit de la monnaie. 5. m.
V. Fälha. Os febres da moeda, ce qui manqut
du poids d’une monnaie.
Fesgeruco,. V. Febrifugo.
Fesazzinna, s. f. dim. de Febre. Pelle
fövre,
FEBRIcıTÄnTe,adj. 2 gen. [ebricitant : quia
la fiövre.
+ Fesaıcırär , v. ». avoir la flörre.
FusaicuLa. V. Febrinhe.
FEBRIiFUCO, A, adj. ei s. wm. febrifuge : qui
chasse la fldvre.
FesaiL, adj. 2 gen. febrile : qui a rapport 3
la fiövre.
Fesninua. V. Febrexinha.
FeciL, adj. 2 gen. (1. de med.) [kcale, excre
mentitielle. Materias —aes, matieres fecalcs,
les gros exer&ments de l’bomme.
Facznino. V. Fescewino.
Ftcaa , s. f. conclusion d’une lettre; date de
letire , eic.
Fecnipo, A, p. p. de Fechar. adj. Ferm.
clos; dur. (Ag.) Reserve, tr&ös-discret; avalt,
mesquin. —s, bouche close. Noile —.
nuit close. A portas—as, ä huis clos. Ter uns
cousa —a na mdo, (fig., €ire l’arbitre d'un
chose; l’avoir en son pouvoir.
FecHADüRa, 8. f. serrure : machine fire Je
metal, eic., pour fermer avec ane clel.— 4.
banco , fermeture de la banque.
FEcHADURINHA, 8. f. dim. de Fochadurs.
FECHABENTO. V. Encerramenio.
Fscair,v.a. fermer : clore ce qui ost 0U-
vert. Clore, enclore, parquer, enoeindre. bar-
rer : fermer un passag®. Clöturer, terminer, a
röter ; Anir, conclure. Serrer, resserrer. \-
Cerrar. — os owoidos a, ferızar l’oreille 3.—
olho, (Ag.) expirer. — os olkos, ferner Ies
yeuz. (fiy.) Dissimuler, faire semblaut de n®
FED
p3s voif. — 08 olkos ao perigo, braver le dan-
ser.—0passo, fermer, boucher le passage. —
acarla, o bilkete, eic., fermer, plier, cacheter
une leitre, etc. — a aböbada , (Ag.) änir, termi-
ner une chose , y metire la dernidre mein. — a
poria, (flg.) se refuser obstinöment & ce qu’on
demande ; enlever tous les moyens de re&ussir.
Fecnin, ©. n. terminer, venir jusqu’ä... —
oomalguem, (flg.) fondre sur quelqu’un, l’at-
tsuuer, leserrer de pres.
Fecuin-s£ ‚v.r. se fermer ; s’enfermer (chez
soi, dans sa chambre, etc.). (fig.) Eire reserve,
se wire. (td.) Faire le mesquin. Se reprendre,
se rejoindre, parlant des chairs coupees. \.
Cerrar-se. — sobre si, ne prendre conseil que
de soi-meme. — a ferida, a chaga. V. Cicatri-
kar-se. Fecharem-se todas as porlas, ( Ag.)
wourer toutes les portes fermees.
Ficno, s. m. verrou, pene, barre de porle,
elöture, tout ce qui sert A fermer.*Conclusion ‚
fin d’un discours. V. Remale. — da ab6bada,
clef d’une voute. — d’assucar, caisse de sucre
pesant douze arrobes. —s, pl. fermoir, agrafe
(dun livre, etc.). (t.d’arat.) Les os du bassin
de la femme. —s da espingarda,, " plaline de fa-
sil, batterie. Homemduro dos —s, fg.) humme
mesgquin, avare; d’un caractere dur.
FecriL, s.m. (1. d’ant.) fecial : pretre romain
qui Consacrait les traites, etc., par des forma-
lites religieuses.
"Fecro. V. Feito.
‚Fecura ,s. f. (£. de med.) fecule : sediment de
ligaear; l’un des principes des vegetaux.
FscuLenro, a, adj. fecalent: qui döpose une
lie, charge de lie.
‚Facunvacäö, s. f. fecondation : action de
föconder, ses effets.
Facoxpäpo, A, p. pP. de Fecundar.
Fecunpanon, A , 3. qui feconde.
Fecönpamente, adv. abondaınment, d’une
maniere f&conde.
TFecunnäintg, adj. 2 gen. fecondant : qui
rend fecond. p. a. de
Fecunpär, vo. a. feconder : rendre fecond,
ferliliser. (4g.) Rendre fecond , abondant; en-
Courager, faire prospörer (les arts, etc.).
" Fgcönnia. V. fecondite : qualit& de
Fecunpipäne,, 8. f. | cequiestfecond; abon-
dance; fertilite.
Fecenpissımo , A, adj. sup. de
Fecönpo, a, adj. fecond : qui produit beau-
Coup par la generation; fertile; abondant. (Ag.)
=, Qui produit beaucoup (auteur, esprit); qui
(ournit beaucoup (sujet): d’oü decoulent beau-
coup de veril&s (principe).
Fepea,s.f. (t. d’Asie) monnaie de Cambaye,
douze reis portugais.
Fapxcösa , 8. f. (t. de bot.). V. Vulodria.
Fendechso, A, adj. V. Fedorento, Fetido.
Heron —a. V. Vulvaria.
RDELHO, 5. m. marmot, petit garcon. (£. de
mepris) Blanc-bec. ‚PoKt gargon. (
Feptr, ©. ®%. puer, sentir mauvais, (fig.) En-
Duyer, fatiguer, peser.
FEI 997
Fenmnacid, s. f. federation, alliance, union.
V. Confederagds.
Feognino, a, adj. V. Confederddo. Federe,
alli6 par f6deration.
FeozniL, adj. 2 gen. federal, (gouverne-
ment) federatif.
FEOERALISMO , 3. m. föderalisıme : systeme du
gouvernement [6döral.
Fepgaalısta, s. m. f6deraliste : parlisan du
gouvernement f6deral.
Fepenativo, a, adj. federatif : (pacte, etait,
gouvernement) del’alliance, de la federation,
qui y tient.
FEDERALIZÄDO, A, 9. pP. de
Fepgnauızirn,,v.a. federaliser : faire adop-
ter le rögime federatif ; former une federation.
FEDERALIZÄR-BE, 0. r. se federaliser : adop-
ter le regime föderatif.
Fepirnaco, A,adj. qui trahit son serment ;
qui rompt une alliance, etc.
-FeDissıno,, A, adj. sup. de
F£oo. V. Feio, Törpe.
FenöR , 3. m. " puanteur, infection, mauvaise
odeur.
FEDORENTAHENTE, adv. puamment : aveo
puanteur.
Feportnto, A, adj. puant: quisent mauvais.
+ Fre, s.m. (l.dMist. nat.) fel6 : grand
gibbon de la Chine.
* Fecura. V. Figura, Reirato.
FEIAMENTE , adv. V. Föamente.
Feiciö, s. f. forme, figure, taille; linda-
ment, trait du visage; facon, maniere; hu-
meur enjoude. Homem de boa — , homme gai,
enjoue, bon vivant. —öes, pl. physionomie,
* Feipariıno. V. Feudatario.
Fzısäö, s. m. haricot : plante lögumineuse,
son fruit.
Feuoipa, 3. f. * plat de haricots.
FzuoiL, s. m. champ de haricots.
Fzuotıro, s. m. haricot, la plante.
FRıo, A, adj. laid, difforme, hideux, vilain,
desagreable & la vue. (4g.) —, vilain, deshon-
nete, vicieux; honteux, noir, horrible. Sum-
mamenle —, diablement laid. — como um böde,
(fam.) ou como o diabo, diablement laid, laid
comme le peche. Quem — ama bonilo, ou for-
moso, Ihe parece, (loc. prov.) iln’ya pas de
laides amours.
Ftira ,s. f. foire, grand marche.
FRina ou Fänıa, s. f. ferie : chaque jour de
la semaine , le dimanche et le samedi except6s.
Segunda —, *lundi. Tergs —, "mardi. Quarla
— , * mercredi. Quinta —, "jeudi. Sesta —,
*vendredi.
Feinino, A, pP. p. de Feirar.
FEIRÄNTE, s. m. marchand forain; brocan-
teur qui court les vontes.
Feınir, v.a. vendre, acheter dans les foires
ou marches. (fig.) Acheter, faire desemploises
dans une boutique. eto.
* Feırin. V. Ferir.
Feissıyo, a, adj. sup. de Feio.
598 FEI
Feıra,s./. fois. D’esta —, pour le ooup; cette |
fois-ci.
FeıtaL. V. Fetal.
Feıtiido,A,P.P..do _
Prıtiin, v. n. jeter ses excr&ömenis, parlant
du lapin, da rettard.
Feırıcaria. V. Feiticeria.
Parıckina, 8; f. sorciere. V. Brucha.
Fermickıro,adj.ets. m. soreier, magicien, en-
ebanteur, endorceteur. ( Ag.) Enehanteur : qui
sttire, qui gagne les cmurs; ravissant; sedui-
sant.
Faırıceaia, s. f. sorcellerie, feerie. (Ag.)
*Charme : art de captirer les caurs. V. Feitigo.
FeiricmEo, 8. m. dim. de
Feırico, 5. m. sorlilöge,, malößce, enchan-
tement, charme. (fig.) Charıne, attrait. V. En-
canto. Dar —. V. Enfeiligar.
Feıtigo, A, adj. artiliciel, feint, faux. Chave
— 6, fausse clef. Pdo —, bäton en poinle,
gourdin pour atlaquer.
Feirio, s. m. * [acon, main d’auvre ; forme,
figure; maniedre, sorte. Gros excremenis des
atıiimaux. —da modda.V. Braceagem. Do -—-de,
en forme de, en guise de, comme. Por tal —,
de telle maniere ou sorte. Sem — , sans gräce.
Perder o—, perdre sa peine, travailler sans
proflt, en pure perte. —s, pl.(p. ws.) bustes,
statues de plätre.
FeıTo (plante), V. Flo.
Fiıro, sr. m. fait, action, acte; acte d'un pro-
ces, procedure, plöces d’un procds. Evene-
ment. Exploit, fait militaire. * Occupation, but.
—, pl. faits, exploits. it. Procts, pieces d’un
proces.it." Evacuation alrine. Fazer os eus—s,
aller & la selle. — d’armas , haut fait d’armes.
Perdoar 0 — e por fazer, @tre trop indulgent.
Feiro,A,Pp. p. frr. de Fazer. adj. Fait; ac-
coutume ; termine, conelu. Bon, [ixe, parlant
du temps. — &, c'est falt, c’en est fait. Estd—,
(Toc. ad».) c’esı blen, c'est bon. Homem —.V.
Adulto. Que foi — d’elle? qu’est-il devenu?
Due E —P qu’etes-vous devenu? Isso E 0 mes-
mo como #8 eslivdra —, e’est comme si c’etail
fall. De —, (ado.) elfectivement. Isto esid
las — ou d4,se por —, cela est comme fait.
Feitörn, 5. m. regisseur, facteur, gerant,
commissionnaire. Intendant; administrateur.
(vreux) Faiseur, celui qui fait.
Fritöna,s. f. femme du Feilor ; regisseuse ;
administratrice.
Ferroata ,s. f. "emploi, ministere de facteur;
adıninistraiion U’une metalrie, d’une ferne.
Factorcrie: bureau des facteurs des compagnies
de comınerce dans les Indes, etc. Marchandises
yui sont serrees dans les magasins d’une [acto
rerie. Corps de negociants etrangers, ou de
facleurs de n&goce, etabli dans une ville. * Ar-
senal : magasin pour les efets de guerre.
Feironzino, A,p.p. de
Frironzär,v. a. adıninistrer, regir, gerer;
avoir l’'invendance de.
Frirüunı, ». f. action de faire; faton, travail;
onYrage, struchure, construction. Creature.
FEL
(propre ei Ag.) Duvrage, efet, is V. Faclura.
‚ Faıxe, s. m. [agot (de bois & brüler); fais-
ceau, boite (de paille, de foin, etc.); gerb-
(de bl&) ;madrier de pressoir.
FEIXEzINnO ou —XINnO, 5. m. dim. de Fein,
petit fagot,, petite botte, petite gerbe.
Fer, s. m. fiel: liqueur jaunätre et am°r:
qui se trouve dans une vesicule pres du fur.
(fig.) "Haine, aigreur, animosiles, ressentimer. ;
amertume.—da terra, (t. de bot.) fiel-de-terte,
petite centauree, plante medicinale. Näo kı
mel sem — , il n’y a point de roses sans epine
Näo ter — ouser pomba sem— , (fam.)n’aroır
point de fiel, &tre d'une humeur douce , Gebon-
naire. Fazersse de — e vinagre, se faire beau-
coup de mauvais sang. Pouco — faz amarıı
muüilo mel, (prov.) une gouite de fiel suffit pour
rendre amer un baril de miel : un pelit desagt«-
ment suffit pour empoisonner beaucoup ce
jouissances.
+ FeinespiTo,s.m. feld spalh, kaolin : terre
chinoise & porcelaine.
+Feica, s. f. glebe, molie de terre broyer.
Ferice, etc. V. Feliz, etc.
Feuicmäve, s. f. felicite, bonheur, bonne
fortune; succes. Por —nossa, heureusemer!
pour nous.
Feuicissiname&xte, ade. sup. de Felizment.
Tres-beureusement.
Feuicissimo, A, adj. sup. de Feliz.
Ferictaciö, s. f. felicitation , pl. us. au pl
(— des). V. Parabens.
FeLicträpo, A, pP. p. de Felicitar.
FELICITADOR, A, 3. qui fAlicite; qui ren!
heureux.
Feuicıtia, v. a. feliciter (de), complimen'v:
Quelqu’un sur un bonhear, un avantage,!"
succäs, eto.; tdmoigner la part que l'on prev!
& la joie de... Rendre heureux.
FeLiz, adj. 2 gen. heureux, fortune, biet-
beureux. Repular-se —, ler-se por —, ses!
heureux. O homem ndo nasceo para ser —, !
bonbeur n’est pas fait pour l’homme.
FeLizMente, ado. heureusement, Bien.
FeLLıröbıo. V. Polypodio.
Fe£ıra, s. f. panne, peluche; poil d’eoffer.
(1. de bot.) * Velu (d’une plante), la partie desa
surface.
FeLrivo. V. Felpüdo.
‚Katrecnii ‚3. m. sorte de ürap de Jaine ı#-
glais.
Frıpr6oo, A, adj. peluche. On le dit des 1=
pis, etc., qui ont de longs poils. Velu: couter
de poils. On le dit aussi en termes de botaniqu®
(corolte, &lamines, etc., velues).
FeLtrino, A, 9. pP. de Feltrar. .
FELTRADOR,, s. m. feutrier: ouvrier qui pe
pare lo feutre.
Frıtnän, v. a. feutrer : ınettre du feutre;
faconner le poil ä chapegu ; garnir de feutre.
Feurno, 3. m. [eutre : etoffe non tissue, falle
en toulant la laine om le poil; mauyais cr
nean.
Ferlorw. V. Fuligem,
FEN
Fuzi, s. f. fomeile: animal qui concoit et
produit les petits ; (leur) qui n’a pas d’etamine.
Femme. (8. d’arts) —,, fer scell&, ereuse pour
receroir le pivot du ventail.Chose dans laquello
une autre s’embolte. Porte d’agrafe. —s do
leme, (t. de mar.) femelles ow ferheloß : an-
neaux qui portent le gouvernall.
„Feseico, s. m. (t. durl.) les femmes, les
Sles publiques.
Feuzar. V. Feminil.
*Fenenca, s. f. diligence, activitö & faire
gaelque chose. it. V. Altensdo, Vehemeneia.
* FEMENGAR , v. a. solliciter vivernent. V. Se-
wiergar.
+ Fementivautute, ade. faussement, perfl-
dement ‚avec deloyaute, trahison , manque de
bi.
Fesentrino, A, adj. felon : infiddle A sa pa-
‘le, qui viole sa fol, ses engagements; de-
Ayal, perfide, sans foi.
Feminäpo. V. Afeminddo.
Feuin£ra,s. f. (f. d’artil.) tete cylindrique
de l’&couvillon.
Fenineo, A, adj. V. Femimino.
Fexininine, s. f. faiblesse föminine ; pusilla-
nimite,
FenminiL, adj. 2 gen. V. Feminino.
FEnınino, A, adj. f&minin : qui tient & la fe-
melle, ä la femme, qui lui appartient ow lul
ressemble ; du genre oppose au masculin. Pla- .
nelas, signos —s : on le dit, cn astrologie, de
Venus et de la Lune ; des signes du Taureau,
du Cancer, de la Vierge, du Scorpion, du Ca-
pricorne et des Poissons, et enfin du second
quariier du theme cöleste.
tFemoriL, adj. 2 gen. (1. #anat.) f&moral :
de la cuisse, du f&mar.
Feuun, s. m. (tl. d’anat.) fömur : os de la
euisse,
+ Fanc#iö, s. m. (f. d’hist. nat.) fenchon:
quadrupdde du Nord , rat 6itphant.
Fenpa, s. f. geros: pelite orevasse dans le
bois ; fonte.
FenpeLkina , 3. f. ooin a fendre los barres de
FERDANTE, adj. 2 gen. qui fend du haut en
bas.s.m. Fendant : coup du trancbaut d’une
epee, d’un sabre du haut on bas.
Fenpen, v. a. fcudro ; diviser, s6öparer, cou-
pet en long oss autrement; separer par loıce.
Iraverser.
FEnn£en-SE, v.r. se fendre, s'entr’ouvrir, se
diviser,
Farpipo, A, P. pP. de Fender.
+ Fenpiminto, s. m. aclion ot effet de fen-
dre. °Fente.
Fruoixua, s. f. dim. de Fenda.
Fenscen, vo. a. Änir, prendre fin; moutir,
änir, cesser de vivre, deccder.
Fenscımo, 4,7. p. de Fenecer.
FEngcım£nTo,s. m. "fin, conclusion. Decds.
Fensicg, adj. 2 gen. \ Phenicien : de Ja
Fesicıo, A, adj. ets. Phenicie.
FexicoLo, V, Funcho,
FER
Fenz. V. Phoenix.
F£xo,s. m. foin: herbe graminee, ele. „das
pres, ete,, osupee et scohde. — scrodig, re-
gain.
t Fenocrtco, s. m. (1. de bol.) lenurgrec.
V, Alforess.
HENÖMENO, V. Phenömeno.
ENTAL.
as | v. Fät...
F£0.V. Feto.
’Feeenıuno, A, adj. qui a mangque A la foi
promise,
Fera, s. f. bele leroce. (fg.) Persenne
cruelle, feroce. Cumbate das —s, oombais des
animaux , speclacie des beles.
Fenacissıno, A, adj. sup. de Feraz. Tres-
fertile,, trds-fecond.
* Ferär, adj. 2 gen. (uneste, fstal, qui me-
nace de mort; cruel.
* Feraz. V. Fertil.
+ FeacuLo,s. m. (1. d’ant.) meis, plat, ser-
vice, ce qu’on mei sar table. Especo de bran-
card ou de chariot qui servait & porter dans les
cöremonies les statiues des dieux, les images
des villes prises, etc.
Feapıztıo, s. wm. V. Verdizela. it. Oiseau
de l’espöog des becs-fgues ou ortolans.
+ FeneröLnı, s. 2 gen. persanne inquidie,
remuante; hommo qui se mele de tout, qui fait
le bon valet, ’eınpresse ; intrigant.
Finzrao, s. m. *“ biere, cercueil.
Ferkza,s. f. ferooite; ( Ag.) eruamle, inku-
manite. =
F£rıa, s. f. ferie: jours de la semeaine. " Me-
moire, liste des jowrnees des ouvriers dans une
semaine; Journee ow salaire d’un jJournalicr.
—s, vaeances des tribunaux, des tcoles, des
seminaires, eic. Der —s,( ig.) denner repos.
FertiDbo, A, p. p. de Feriar. adj. Ferie, de
conge (jour). Die —, jour ferie, o& les tribu-
naux sont ferm6s, f&te du palais.
FeriiL, adj. 2 gen. fürial : qui regarde I
ferie.
Frriän, v. n. feter un Jour; suspendre son
travail, se reposer ; @lre en vacances, avoif
conge. Il est aussi r&ciproque.
Fenipa,s. f. Biessure, plaic. Coup d’epee , de
599
1 sabre, eic. (Ag.) —, afliction, chagrin. (I. de
chass.) Endroit oü se pose le gibier poursuiwi
par un oiseau de proic. Renorar a —, (fig.)
rouvrir une plaie, une blessure. Dar, focar @
alguem na —, (fig.) toucher dans l’endroit le
plus sensible, toucher au vif. Cheio de —s,
couvert de plaies, de blessures.
Fenipine, 8. f. ferocite.
Ferininda,s. f. dim. de Ferida. Petite bles-
sure , blessure legere.
Ferino, A, P. p. de Ferir. adj. Blosse. (de)
(fig.) Blesse, offense. Commence, en parlant
d’un combat. — do rdio, frappe de la foudre.
Batalha bem —o, combat chaud. Mal—, ıres-
blesse; gridvement, dangereusement blessö.
4 grito —, d grands cris, ä lue-IEle. — na cu-
600 FER
bera, nas Pernas, eic., blesse A la 1#le, aus
jambes.
Fraıön, A, adj. eis. qui blesse, qui [rappe,
etc. Meurtrier, assassin. it. V. Fusi.
Framwoına. V. Ferefolha.
Ferxıukto, 8. m. "action de blesser, de frap-
2r.
P Frxino, A, adj. ferin, cruel, farouche, san-
guinaire; feroce ; d’animal feroce.
Farin (em; de, com) blesser: donner un
coup qui (ait une plaie, une fracture, une con-
tusion, to. (fig.) Frapper, toucher, affeoter,
alteindre, offenser, insulter. Chätier, punit.
— s betalka , commencer lo combat. — a di
culdede,, trouver le naud de la diflicultd. — @
eörda, toucher la corde d’un instrument. —
iums ou fogo, battre le briquet. — Deos a al-
guem, ötre puni de Dieu. — or, as esirellas,
com gritos, lamentios, eic., faire reientir }’eir,
les cieux, de cris, de pleurs, etc. — as leltras,
prononcer distinctement les lettres. — 0 ponio,
avoir mis le doigt dessus, avoir touch6 au but.
— pelos mesmos ou pelos proprios os, (fig.)
se servir contre son advorsaire de ses propres
armes.
FERıR-6E, v. r. so blesser : se faire du mal ä&
soi-möme. ( ig.) S’offenser, #’irriter.
Feaissımo, A, adj. sup. de Firo. Tros-le-
roce.
* Frautuca. V. Oredito, Fe.
Faaumentacäö, s. f. fermentation, avoo los
mömes acceplions du mot [rangais. ‘
FERuEnTiceo, A. V. Fermentavel.
FERMENTÄnO, A, 9. p. de Fermentar.
Frauentir. V. Fermeniavel.
T FERMENTÄNTE „adj. 2 gen. (ermentant : qui
fermente ; en &tat d6 fermentation. p. a. de
FEAUENTÄR, v. a. fermenter ; causer la fer-
meontation ; meitre en fermentation. v.n. —,
etro en fermentation ; s’agiler, se diviser, se
ılecomposer par elle. (Ag. se dit des esprits)
(zuiller, se dit de la biere qui fermente, qui
jette sa levure. Lever, fermenter, parlanı de la
päte & faire du pain.
t FERNENTATIVOo, A, adj. fermentatif : quia
la vertu d’exciter la fermentation.
TFERnEnTÄveL, adj.2gen. fermentable: qui
cst susceptible de fermenter.
t Fenmentsscente, adj. 2 gen. fermentesci-
bie : dispos6 & [ermenter,
Fzautnto, s. m. ferment, levain (prop. et
FERMOSAMENTE , adv. joliment. V. Bella-
mente.
FERMOSEAR.
FERMOSENTAR.
FERMOSO.
FERNOSURA. } V. Form...
Feno, Aa, adj. sauvage, feroce, cruel. (Ag.)
Enorme, deömesure; grand. s. m. V. Feros,
Feaöce. V, Feröz.
Fzaocipine, 3. f. förooilt , oruauts, inhuma-
nite,, naturel feroce.
Fenocissimo, A, adj. sup. de Feroce.
} V. Formosear.
FER
Finos, s. m. pl. * menaces, bravades, rodo.
montades. — de bugio, jactance, forlanterie,
. fanfaronnerie.
Fsaöz, adj. 2 gen. [eroce, farouche, eruel,
inbumain, impitoyable.
FEROSMENTE, adv. avec ferocilt, eruellement,
inhumainement, impitoyablement.
Fenna,s. f. pelle & feu. it. Action de mar-
quer d’un fer rouge (les chevaux, le betall).
Frani, Feaniı ow Ferain, s. f. * fourrage
ver d’orge, de seigle, eic.
Feanipda, s. f." meconium : excrementsneoifs
et epais d’un nouveau-ne. ° Seau & puiser de
l'eau.
Funkido, A, 9. p. de Ferrer. adj. Ferre:
marque d’un fer rouge. — na punia, ferre par le
bout. Agoa—e, eau ferree, cau oü l’on a plonge
un [er rouge ou rouill6. — de rampdö , ferre ä
glace. V. Aferrado,, Agarrado.
Feraindo, s.m. noir de seche. Seau & traire.
Meconium. V. Ferrada.
FrananorR, 5. m. marschal-ferrant.
Fennapüna,s. f. " fer ächeval.
FERRADURINuA, 5. f. dim. de Ferradura. (1.
de bot.) * Hippocrepe : ler-a-cheval,, plante Iegu-
mineuse.
Fenriz. V. Ferrä.
Feanicen, s. f. ferrure; [erremenis, quia-
caille; toutes sortes d’outils en fer; commerce
de quincaillerie. Loja de —, boutique de quip-
cailler, de quincaillerie. —do leme, (1. de mer.)
ferrure du gouvernail.
Ferracıir. V. Ferregial.
FERRAGCOULO ou surliout, capote de sor-
FzarsöuLo, s.m. 5 dat. V. Gabdö.
FenriL, adj. 2 gen. Uva —, raisin violel
dont les grains sont tres-gros, durs et fermes.
FERRAUENTA, 5. f. * ferrement; toules sortes
d’outils en fer; affütage. ( fam.) Dents.
* FennamentäL. V. Forramenia.
Fznniö,s.m.*poinie de fer, bout(decanne,
etc.); dard, aiguillon (des abeilles, etc.).
Feaniösinno, s. m. dim. de Ferrds.
Fennira. V, Farrdpo.
Fernän, v.a. ferrer: garnir de fer; melire
des fers aux pieds des chevaux. Marquer le b&
tall ou un esclave avec un fer chaud. Harpon-
ner, accrocher. Jeter l’ancre. — as velas, (1. de
mar.) ferler les volles. — 0 porto, a berra, (id.)
Jeter l’ancre, mouiller. — o dordds, fixer ie
baton dans la terre. (fig.) Planter le piquet en
un endroit. — as unkas om..., empoigner for-
lement. —umndgro, estamper un nögre. —de
rampdo , ferrer ä glace, cramponner (un che
val). — ocorpo, tatouer le oorps. V. Ferrer-s.
— um cdo dammado , flätrer un chien enrage.
Fganin (com), o. ». fondre sur (queiqu’un),
Patiaquer, le serrer de prös. — no somne, dor-
mir prolondement. — do trabalko , coommencek
le travail, s’y donner.
FERRÄR-SE, ©. Fr. se Latouer : barioler le corps
avoc des couleurs impregndes dans les pigüires
ala peau. it. V. Afferrar-se,Crerar-m,
FER
FER 601
tFennina, 8. f. (4. de geog.) Ferrare : ville ' resguardar, (id.) fer de calfat & frei, owcalfat
et duche d’ltalie.
+ Franz, a, adj. ets. de Ferrare.
Feanania,s.f. ferronnerie : fabrique, lieu du
debit du fer. Forge : lieu oü l’on fond le fer
und ies mines ; affinerie.
"FERRAROLO.
‘“FERRARUELO. | V. Ferragoulo.
*Franatoina. V. Ferreloada.
"Frnnizas, s. f. pl. ancien impöt en Portugal.
FennecıiL, 5. m. pr& seme pour fourrage.
Champ seme& de blö, etc.
FERREIRINBO, s. m.dim.de Ferreiro(oiseau).
Ferntino, s. m. forgeron : ouvrier en fer.
Petit oiseau dont le chant imite le bruit des ou-
vriers en fer. On donne ce nom en general aux
petits des oiseaux qui sont encore au nid. Em
casa de — espelo de pdo,(prov.) les cordon-
biers sont les plus mal chauss&s.
Feanssano, A, P.p. de
Frangsin, ©. mw. faucher l’herbe, le foin;
couper du fourrage; fourrager. (fg. buri.) V.
Negoeiar.
Feratnno, a,adj. couleur de fer; dur comme
le fer. (Ag.) Dur, impitoyable, inflexible.
F£nazo, A, adj. de fer; ferrugineux. (fg.)
Dur, rude, rigoureux, inflexible, inexorable.
De fer, qui appartient au sidcle de fer. O0 —
dente, (podi.)’ancre.—somno,sommeil pesant,
secablant; le sommeil de la mort. Agua —6,
eau ferrde.
+ Franztoro, s. m. (1. d’hıst. nat.) ferreole :
grand arbre des Indes, de la diecie.
Fauntrz, s. m. fer A marquer; marque, fl&-
lrissure, stigmate. (prop. et Ag.) Cuivre ou lai-
ion brül& pour la teinture. Azw — , bleu fonce.
FERRETEADO, A, P.p. de
FERRETRÄR, ©. a. marquer avoc un fer. Stig-
matiser ( prop. ef fig.).
Faangroipa, s. f. pigüre d’aiguillon d’in-
secte os de la pointe d’une epee, etc. (Ag.)
Mot piquant. Dar uma--, dire un mot piquant.
— de pragu£nto , mot mordant.
Feaneroino,,A,Pp. p.de
Feaneroär, ©. a. piquer avec l’alguillon,
aiguillonner. V. Espicagar.
Fernnıcöcos , 3. m. pi. V. Farricoco.
Fernicöqug , 3. m. (tl. burl.) petit homme.
FeRao,s. m. fer :metallortdur, peu malleable,
compacte,Y’un grisargenie ownoirätre, solide,
sonore , ductile, Je plus elastique, le plus lenace
apres l'or.Marque qu’on fait aux chevaux, eic.,
avec un fer chaud.— ‚instrument, outil en fer,
poincon ; arme aigud ow Iranchante; pointe de
fer au bout d’une pique, d’une lance, etc. (fg.)
"Epee, poignard. (l. de mar.) “ Ancre. — coddo ,
fer en saumons. — velho, ferraille; marchand
de ferraille. — vergwinkha, fer en barres ron-
des peu &paisses. — em folka, töle, fer en
feuilie. — em laminas, fer en plaques. — de
enerespar o cabello, d’engomar, fer & friser,
fer ärepasser. — de cortar, (1. de mar.) *"gui-
gnete. — de rebaler as costuras, (id.) ler de
callat double oa canneld. — de calafale para
ä fret. Coragdo de — , caur de bronze ow d’ai-
rain. Pdo—, bois de fer. Cabera de — , (fig-)
(le de fer : homme extrömement opiniätre.
Voz de — ‚voix trös-forte. Cdo de —, ciel d’ai-
rain. Ter corpo de —, ou ser de—, (fig.) aveir
un corps de fer, @ire infatigable. Estar sobre o
—, (l.de mar.) @ire sur le fer,& l’ancre. Levan-
tar —, (id.)lever l!’ancre. A—quenie malkar de
repente, (prov.) il faut battro le fer Landis qu’ıl
est chaud. Malhar em — frio, (fig.) reprendre
une personne incorrigible ‚savonner un negre.
Quem com — mala com — morre, qui [rappe
avec le fer perira par le fer; ils seront punis
par oü ils ont peche. —s, pl. fers, chalnes de
prisonniers. (fg.) Captivits, esclavage. Pfr,
meiler em —s , melire les fers aux pieds d’un
assassin, eic. Ter alguem a —s, avoir quel-
qu’un en prison. —s d’el rei. V. Carcere, Pri-
sdö. —ı dos porlalös, (1. de mar.) chandeliers
d’öchelle. —s das trincheiras, (id.) chandeliers
de bastingage. —s dos guardamancebos , (id.)
chandeliers des gardes-corps du beaupre.
FraxosiLna. V. Forroupilha.
FERROLHÄDO, A, P. pP. de
FERROLHÄR, v. a. verrouiller. Enchalner :
mettre aux fers. V. Afferrolhar.
FERRÖLNHO, 3. m. verrou : cylindre mobile
entre deux crampons, etic., pour fermer une
rte, etc.
Feanöxuo. V. Ferrönko.
FeraopEino, A,p.Pp. de
+ Fennorgan, ©. a. netire les fers aux pieds
d’un eriminel, etc.
Fannortas, s. f. pl. fers mis aux pieds des
eriminels. V. Grilköes. .
Fzaroroino. V. Ferreioddo.
FERRÜGEN ‚s. f. rouille: oxyde,crasse ow Ocro
que Peau produit sur le fer et autres metaux.
(t.de bot.) —, maladie des plantes. — do Irigo,
nielle. — da chaminf, suie. Criar — , so rouil-
ler. (Ag.) Eire sans exercice.
FERRUGENTO, A, adj. plein de rouille, tout
rouille. (fg.) Vieux, de mauvais goüt. Agulha
—s, (fig. fam.) personne importune, intri-
gante.
FERRUCINEO, A, adj. ferrugineux ; 'couleur
de fer, noir. (fig.) Triste, noir.
Feanucındso, A ‚adj. ferrugineux : dela na-
ture du fer, qui en contient des particules.
Ferauuria, s. f. ($. burl.) epee rouilide, ra-
iere.
P FerriL,ady. 2 gen. fertile, abondant, fecond,
ir&s-produciif (terre, annee, etc.). On le dit
au propre et au figure. V. Fecundo.
Fertiuipäpe, s. f. fertilite, föcondite , abon-
dauce.
Fertılissımo , A, adj. sup. de Fertü.
'Ferriizacäd, s. f. fertilisation : action de
fertiliser.
FeariLızino, A, p. p. do Fertilizar.
FeariLizapon,, A, adj. qui fertilise.
FERTILIZÄNTE, adj. 2 gen. fertilisent : qui
rend feriile. p. a. de Ferkilizar.
602 FES
Fertirizin,v. a. fertiliser : rendre fertile ;
se dit fig.
Fentiuızir, on. etre fertile; produire beau-
coup.
Ferto, s. m. (#. d’ani.) gätcau des sacri-
ficcs.
+ Fenöcca, s. m. magistrat, juge civil et cri-
minel 4 Nankin.
Fervza,s. f- V. Assofttida.
FERVEDÖURO, 8. m. bruit de l’eau quı bout,
bouillonnement; mouvement qui lul ressem-
: ble; grand concours. (fig.) *Quantild, abon-
dance; grande agitalion. Philtre amoureux.
- -de gente, *loule, cohue. — de formigas. V.
Formigueiro.
Fenvenca, ou
Fenvexcı,s.f. }
FEnvente, adj. 2 gen. bouillant, fervent.
(Ag.) Ardent,, tr&s-chaud.
FERVENTENENTE, adv. avec ferveur..
FERvENTissımo, A, adj. sup. de Fervente.
Tres-fervent.
Fenven, o. ». bouillir, bonillonner. (}g.,
Eire bouillant, extreinement chaud. (de, em)
(#g.) Fourmiller, abonder;; afluer, se porter en
foule. (id.) Brüler d’impatience ; @tre &mu,
agilc , Mine. — 0 mar, boulllonner, parlant des
eaut de la ıner. — o sangue, bouillir dans les
veines, parlant dn sang des personnes tr&s-
vives. — em ira, bouillir de colere,, @ire Irans-
portc de fureur. — em amor, bouillir d’amour.
Fervendo em bichos, krouillaut de vermines. "
Fenver, 0. a. faire bouillir.
FErvEscexte. V. Fervente.
FERrvijoo,A,P.p. Ge Ferteer.
FEnvıno, A, adj. ardent, bouillant, brülant.
(fig.) Anime, agile, vehement, impetucnx, vio-
lent. Roda —a, rou6
char).
Fenvör, s. m. bouillonnement, ebullition.
*Chaleur, feu, vigueur, vivacite. (}g.) * Ardeur,
vivacite; ferveur, dlan, mouvement de l’Ame
devote.
Fenvorir, etc. V. Affervorar, etc.
FERVoRÜSANENTE,adv. arcc lerveur, fervem-
ment, .
Fervoröso, A, adj. fervent : qui a de la fer-
veur; ardent, brülant, vif, anime.
Fervüna,s. f. * bouillonnement, &bullition.
Ardeur, effervescence. Der uma —, fairc bouil-
lir lög&rement. Lerantar —, tommencer &
bouillir. Deitar agua na —, (fig.) mod£rer,
apaiser l’effervescence de l’esprit, la colere de
quelqu’un.
+ Fescensıa ‚s. f. villede l’Etrurie orientale,
aujourd’hui Galdse.
+ FEscEnino, A, adj. et s. de Fescennia. Ver-
808 —s , vers fescennins : espete de vers libres
et saliriques qu’on chantlait aux noces.
FEsta, s. f. föte, rejouissance, diverlisse-
ment, jubilation; solennit6 en l’honneur de
Dieu ou des saints;; spectarle, r6fuuissance pu-
blique. Caresses : hon accueil, fete qu’on fait &
uelqu’un. — do corpo de Deos, ia Fete-Dicu.
brülartte, rapide (d’un
* bouılionnement; effer-
vescence. (fg.) Ferveur.
FET
Fazer — a alguem, faire un bon aceuell a
quelqu’un, lecaresser. Fazer— a algum sans,
chömer, c&lebrer la fäle d'un saint. Eslar de—,
(fam.) eire content, joyeux. Pör-se de—,
rejouir, se donner & des röjouissances.—s de
guarda, les jours de fele d’obligation, fdtes
chömees. —s Asus du eslareis, [dles immo-
biles : fötes que !’on celebre ä des jours fixes.
—s moreis ou mudareis, ftles mobiles: Idtes
dont le jour change tous les ans. —s reacs,
f6tes, rejouissances publiques en I’honnear
d’un souverain. Dar as boas —s, soubailer les
bonnes fätes, la bonne annde. Näo eslar pors
—s, (fam.) &tre de miauvaise humeur.
FestiL, adj. de fete, festal.
FEsTänga, s. [.fete joyeuse , jeu, dirverlisse-
ment, partie de plaisir bruyante.
Festäö, s. m. feston : faisceau de branches
ornces de fleurs et de fruils; ornement qui li-
mite ; guirlande.
FEsTEIRO,A,s. qui fait la d&pemse d’une fAte,
d’une rejowissance publique. adj. Qui court les
fötes; caressant.
Frstesino, A,9.p. de Fostejar.
Frstesanon,A,adj. ct s. celui qui fäte, qui
cel&bre une f&te ; qui fait un bon accueil.
FESTEIÄR, v. a. feter, chömer, e&lebrer une
fete ; caresser, Testoyer, faire fete 2.
FestE3o, s.m. *fele qu’on donne; accueil
Natteur, bonne receplion.—s, pl. rejouissances
publiques,
Festin, s. m. festin, banquet. — publico,
festin accompagne de musique, danse, elc.;
feie. Tudo erdo feslins, ce n’elaient que feslins.
FESTIvAL, adj.2gen. joycux,agreable, amu-
sant, gai,enioue. Dia—, jour do rejouissance.
V. Festivo.
FESTIVALMENTE, adv. galment, d’une ma-
niere enjouce, de banne gräce.
FESTIVANE.NTE, adr. gaiment, joyeusernent.
FEsTIvmäne, 8. f. celehrit&, solennile, ac-
tion de solenniser, de celehrer un evenement;
föte'd’un saint, etc. Rejouissance.
FEstivo,a,adj. enjoue, gai, joyeux, badin,
jovial, plaisant; de fäte. Dias—s, jJours defete,
de rejouissance.
Festo, s. m. la largeur d’un drap, d’une
&toffe. Sorte d’ancien drap grossier. Panno de
—.V. Enfestado.
+ Festo, a, adj. (podt.) de fete, festal. V.
Festivo. s. m. (vieu:r) Falle : combie d’un edi-
ice ; sommet.
FETäL, s. m. * fougeraie : lieu plantö de lou-
göre. .
FerXo. V. Feto (plante).
FeTivo, A, adj. (etide : qui aune odeur forte
et tres-desagreable. V. Fedorento. |
Fero, s. m. (t. de bot.) — ordinario ou f?-
mea, fougere femelle, imperlale, commune. —
mächo, fouge&re mäle. — florido ou real, fou-
gere aquatique, osmonde fleurie.
Fero, s.m. (t. d’anal.) [Telus ou falus : em-
bryon forıne dans la matrice,
"Fston. V. Feüor,
FIA
"Ferro. V. Reito.
Fernär, adj. 2 gen. feodal : qul ooncefneles
Bels, leur appartient.
FeopaLıpioe, 5. f. feodalite : qualite de Bel;
foi et hommage.
+ FeovaLısmo , s.m. feudalisme; systäme de
la feodalit6; droits foodaux, et l’abus qu’on en
faisalt.
Feovarirto, A, adj. ets. Tcudalaire : pos-
sesseur d’un fief, qui doit foi et hommage au
suzerain. (Ag.) Tributaire, dependant.
Feonista, 5. m. (4. de prat.) feudiste: vers6
dans ia matiere des fiefs.
Fevpo, s. m. fief : domaine noble, relevant
d’un autre.
Feöza. V. Fiüsa, Conflanza.
Firena, s. f. fibre; Alament;; partie muscu-
laire de la viande. — de palha, etc., brin de
pallle, etc. Homem de — , homme vaillant, qui
adunerf. Mosirar —, r&sister vigoureusement.
Feventıro, 3. m. fevrier : second mois de
lannde gregorienne.
FevEröso, A, adj. dur, rude.
"Fex. V. Barra, Fexes.
"Favo,ete. V. Feio, etc.
"Fran, etc. V. Ferir, etc.
Fez,s. f. Fözes, pl. (pl. us.) föces, sediment,
fie, scorie des metaux. Excrements. As—do
poro, la lie da peuple.— de ouro, de prala, li-
tharge d’or, d’argent.
*Fia. V. Fidda.
Fıacäd, 5. f. * lage; Blerie. Fabrica de —,
fleture : lieu od !’on file le coton, la laine, etc.
Fiäpa, 8. f. assise : rang6e de piorres, de bri-
gties, eto. File, rangee, enfilade. (vieur) An-
tienne mesure de grains, le seizi&me d’un al-
gaier. — d’agwa, ration d’ean donnte aux ma-
fins.
Fıan£ıra, 3. f. Dleuse : onvridre qui Alle.
FiıapiLno, s. m. "bourre de soie, filoselle,
Neuret.
Fıino,a,p.p. de Fiar. adj. File; degrossr,
passe par la filiöre.st. Achet& ou venduä credit.
Fıipo, 8. m. fill fil6, tout ce qu’on a file.
— ru, fil ecru,
Fıanor, A, 3. *caution : repondant, garant.
Ficar por — ,, caulionner, r&pondre : se rendre
caution pour quelqu’un ; demeurer garant,
—,, donner, fournir caution.
Fıanör, 3. m. *dragonne, ornement de la
poignee d’ane Epee. Arret : piece qui arrete un
ressort. * Fitiere : longuo ficelle avec laquelle
OR dresso un faucon ä revenir.
14DORIA. .
* FıaADURA. } V. Fionga.
*Fıi ou Fıia, 8. f. ancien vase. V. Almofla.
if. le seizidme de l’almude.
Fıäusne, 5. m. toute sorte de viandes gla-
cees. Presunto de — , jambon glack.
Finca, 5. f. caution, cautionnement, ga-
Yantie , nantissement, garant. di. (p. ua.) Fienle
des animaux. Dar —, donner, fournir caution.
Ofter—abankos, acheter les bans.
FrANDEIBA ‚3. f. Blouse, Niandiere,
FID 603
Fianpkıro, 3, m. fileer : Ouvrier qui Ble la
soie, ta laine, ete.
+Fıaspüöra,s.f.(pop.) lin prepare pour fller.
+ Fıäxrino, s.m. (1. d’hist. nat.) fisnfiro :
eachalot macrocephale du Japon.
' Fıän,v. a. Bier : faire du Al, reduire en fil.
it. Confler; vendre & credit, faire credit. Cau-
tionner, se rendre caution, repondre (p. ws.).
Fıän-sE (de, em), v. r. se fier, se conlier,
avoir confiance en. — de todos, se fier A tous.
Bem tolo d quem se fia n’elle ou n’isso, bieu
fou qui s’y fie.
Fisea, s. f. fibre : Mlaments delies dans les
chairs, les membranes; nerf; flleis dans lcs
plantes.
Fırrina, s. f. fbrine : substance animale,
flocons blancs et delies dans la chair muscu-
laire et le sang.
+ Fıpnöso , A, adj. fibreux: quia des fübres;
qui leur ressemble.
FiseLa. V. Fivela.
Fıciva, s. f. demeure, s6jour.
Fıcipdo, A,p.p. de
Fıcir (em), v. n. demeurer, s6journer, 8’ar-
röter; rester. (de) Convenir, promeltre , donner
parole , s’engager &. Rester, &ıre de reste. Eire.
Dans ce sens, il est towjours joint Aun adjectif,
etc. — com alguma cousa, garder, relenir une
chose. — por alguem , caulionner, repondre do
quelqu’un. — por alguma cousa, prendre sur
soi, se charger d’une chose. — w’umas Cousa,
s’en tenir ä, se decider &, convenir de. — sem
pinga de sangue, (fig. fam.) s’ellrayer, 8’epou-
vanter, se saisir de peur. Näo —nada, ne res-
ter rien. Ndo ficou um #6..., il n’yestpasresic
un seul... — convencido, demeurer convaincu.
— durvidoso ‚indeciso , ete.,tester dansledoule,
dans P’indecision. — no campo, rester sur la
place, &tre tu6 sur le champ de bataille. — em-
bargado dedor, @tre saisi de douleur. —absor!o,
etre saisi, etre Irös-&tonne. — debaizo, suc-
comber, se laisser vaincre. — bem ou mal, se
comporter, ou se tirer bien ou mal d’aflaire. —
limpo, resier sans un sou, @tre äsec, elc., SUr-
tout au jeu.—d ancora ou ancorado, (8. de
mar.) demeurer sur le fer.
FicäAR-SE, v. r. demeurer, sejourner, s’arred-
ter. Rester court dans une harangae. — com
alguma cousa, retenir une chose. Fiquo-ss com
Deos, adieu, Dieu vous garde.
Fıcciö, 3. f. fietion : invention fabuleuse;
dissimulation ; supposition. * Mensonge.
Fıccionärıo, A, adj. ficlif: feint, qui n’existe
que par supposition.
+ Ficaa, s. [. * jelon: piece de mötsl ou d’une
autre matiere pour compter au jcu.
Fıcnd, s. m. fichn : sorte de ınouchoir de cou
de femıne. .
Fıcricıo, A, adj. ficlice , factioe : imite, pro-
duit par P’art. Feint, fabuleux.
* Fıcrir. V. Fictieio.
Fıcro, A. V. Fingtdo. p. p. irr. de Fingir.
Fırirca, s. f. feınme, fille, eto.,d’un noble,
teınine noble J'exiraction.
604 FIE
* FıniLcar,adj.2gen.noble, degentilbomme.
FıpäLcauknte, adv. noblement , enseigneur.
Fırarcanniö,s. m. aug. de Fidalgo. Grand
seigneur. (irom.) Celui qui se donne des airs
de grand seigneur.
+ FipaLcuinnos, 8.m. pl. (1. de bot.) V. Hervs
escovinkha.
FıoäLco, A, s. gentilhomme: noble d’extrac-
tion. —cavalleiro,cavalleiro—. V.ce mol. —de
solar, de linhagem, gentilhomme de race noble
et connue. — de carta, de merc4 , celui que le
coi anoblit pour quelque service rendu. — de
qualro cosiedos, noble qui a qualse quarliers.
Foro de —. V. Föro.
FıväLco, A, adj. noble:propre ä, digne d’un
gentilkomme.
FioALcöTK, 8. m. dim. de Fidalgo. Gentillä-
tre : petit gentilbomme dont on fait peu de cas.
Fıparcvia,s.f. noblesse : qualite de (l’homme)
noble ; naissance illustre ; les nobles(d’une na-
tion, ete.). (Ag.) Generosit®, magnanimile.
( iron.) Gentilbommerie.
FioEDicnissino,, A, adj. sup. de
Fıpeoicno , A, adj. digne de foi, croyable.
Fiosıcommıssinıo, A, adj. Adeicommissaire:
quirenferme un Bdeicommis. s. —, charge d’un
Ndeicommis.
Fıpzicoumisso , s. m. (1. de pri.) Adeicom-
mis : succession,, legs conß&s condilionnelle-
inent en depöt & l’heritier.
+ Fiıoxicommıssönıo, A, adj. fideicommis-
saire : qui renferme un deicommis.
FınzJussön , 8. f. (l. de prai.) Adejussion,
vaulionnement.
Fıpzsussörto , A, adj. (1. de prai.) relauil a la
Nidejussion.
Fıpzuiäpe, 5. f. Ddelite, foi, loyaute, ledga-
lit; exaotitude Atenir sa parole ; ponclualite,
exaclitude dans 00 dont on esi charge.
FıpzLissıno, A, adj. sup. de Fiel. Titre des
rois de Portugal. Sua Majesiade —a, Sa Majeste
tres-Bdele.
Fıptos, s. m. pl. sorte de vermicelle. V. Ale-
tria.
Fı0o,A,adj. (podt.) Bdele, loyal.
Fındcıa ,s. f. confance en soi-meme ; assu-
rance , hardiesse,, LEmerite.
FıpvcıaL, adj. 2 gen. Aduciel. Linka —, ligne
Bducielle.
Fiıpuciänio, A, adj. et s. Aduciaire : indi-
vidu charge de remelire une succession & un
sutre ; (succession) Aduciaire.
Fısına „s. f. flidre : outil d’acier troud pour
Niier les metaux ; ficelle & faire tourner la tou-
pie. it. V. Fileira. Dar pela — , donner mes-
ıuinement. Passar pela —, passer par la flidre,
par une &preuvedificile. Tomar conlas pela—,
Jdeınander uncompte severe,raison Aqueliqu’un
tres-rigoureusement. Pela — da justiga,, siric-
tement,, en toute la rigueur de la loi.
Fıgı (a, com), adj. 2 gen. fid2le, loyal; quia
de la Adelite , qui garde sa fol, remplit ses de-
voirs et ses ongagements ; exact, conforme A la
verits ; qui estdans la vraie religion: il est aussi
FIG
substantil dans ce sens. Qui retien Bdelenent!,
parfanı de la memoire. Qui a les qualites re-
quises pour l’usage auqueli il est destine.
FıgL, s. m. personne de conßance ; pelils
branche qu’on laisse & un cep ; garde-magasin.
belange,, languetis, aiguille de balance.
— da balensa d’alfandega, da casa da modda
eic., gardien du poids public d’une ville, eie.
balanga do arougue, celui qui, dans cha-
que boucherie, a la garde de la romaine qei
sert ä peser la viende. — de feilos,, bomme de
confiance pour porter les pieces de proces.
da böia, (l. de mar.) la petile corde servant
& saisir et porier la bouce. — da bosse das
amarras,(id.)aiguilletie. Fieis de Doos, de-
cedes Inconnus qui n’ont personne qui last
leurs fanerailles. it. Monceau de pierres qu'oa
meltait anciennemen! sur la sepultute des eri-
minels. ‘6. Monceau de pierres ä cöte des routes,
ou entourant une croix dans l’endroit od Fon
avalt assassind quelqu’un. Fieis do campo,
juges du camp, dans les anciens combals ea
cbamp clos.
Fısıpive ,s.f. sürets. V. Fidelidade.
FıgLm&nte,, adv. Bdeiement : d’une manitre
Sdele,
Fica , s. f. amuletts contre les charmes et ls
maux d’yeux. (Ag.) Moquerie, mepris. Der,
faser —s, Isire la fgue : montrer le pouce ®&-
ire les deux doigts voisins en fermant le poing
en signe de mepris.
FicapiL, adj. 2 gen. intime ; oordial ; du fond
du caur. (viewz) Gai, enjoue. Odio —, haizt
enracinee.
FicanaLm&nte, adv. ınlimement, oordiale-
ment, du fond du caur.
Fıcapkina, s. f. maladie du foio chez les ani-
maux.,
Fıcapinuo, a. m. dim. de Figado. Petit loie,
foie d’oiseau.
Fıcano, s. m. fole:: viscere situ dans !’hype-
condre droit, organe secreteur de la bile. !.
Sorte de dartre, chaleur de foie. (Ag.) Courage,
valeur, resolution ; ca@ur, disposition. dos
—s, Mauvais Caur.
Fico, s. m. "üigue : frait du Aguier. Fie,
ficus: maladie venerienne qui attaque l'aDus.
Dans l’inde, on donne le nom de Ago A la bs-
nane du Bresil. Ndo vale um —, (loc. pror.)
cela ne vaut pas tripeile, Uns comem 08 —t, !
ouiros Ihe arrebentdo os beipos, (id.) le pere
mange des [ruits verts, et le fils a les dents
agacces. ,
Fıcugıra, 8. f. (#. de bot.) * Aguier : arbre qu
donne la figue. — de Bengdla, figuier du Ber-
gale, pipal, arbre de pagode. — drava, figuier
sauvage, sierile, capriliguier. — do infern,
pigeon d’Inde, ricin ; figuier de I’Inde. — de I»
dia, figuier d’Inde; raquelte & feuilles oblen-
gues. — do Egypto, Bguier sauvage ; sycomore.
FıcuzinäL, s. m. "Äguerie : licu plante de
üguiers.
+ Fıcueıntno, s. m. bois de Öguiers. Aujou
d’hui c’est un nom de famille.
FIL
Fıcugiaınua, 8. f. dim. de Figueira.
Fıcvinno, s. m. dim. de Figo
+ FıcoLina, s. f. ((.d’kist. nat.) Sgule: phex,
Inseete.
Fıcöaa, s. f. figure: forme extörieure d’un
corps, d’an @tre; visage; symbole; chose qui
en signifle une autre; apparence; espace Ten-
ferme dans des ligues ; figure de rhetorique ou
de grammaire; note de musigue; effigie, re-
presentation d’une personne en peinture, en
sculpture. * Personnage de comedie. —, carte ä
jouer designee sous le nom de roi, dame ou
valet. Attitude, posture. * Dessin. — celeste,
thöme celeste en astrologie. — de vulio, figure
en relief. Fazer —, faire figure : representer,
jouer un röle dans le monde. Fazer boa —,
jouer un bon röle. Estar em bos—, &ire en bon
train; prendre une bonne tournure. Levanlar
s— dalguem, faire l’'boroscope au point de la
naissance de quelqu’un. Em —, en attitude, en
posture; sur ie point de. Em — d’anjo, sous la
forme d’an ange.
FıcurabiLipäne, s. f. figurabilits : propriete
qa’ont tous les corps d’avoir ou de recevoir
une figure.
Ficunacäö, 8. f. (1. d’asirol.) figure, forme,
8
FIGURÄDAMENTE , adv. figuröment, par meta-
pbore;; au figure.
Fıcunäpo, A, 9. p. de Figurar. adj. Figure,
metapborique; orne, accompagns de figures
de rbelorique; suppos6 ; imagine; represente.
Baile — , danse figaree. Canto —, chant figure.
Fıcuaär, adj 2 gen. (inus.) qui appartient &
la figure. (4. de mus.) Figure. -
Fıcvaänte, 8.2 gen. ligurant: danseur qui
fgure dans les pieces, les ballets.
Fıcunär „ ©. a. ligurer : reprösenter, par
Fart, ia forme, l’image; representer comme
symbole.
Fıcunia (em), v. ». flgurer : paraltre sur la
seene, dans un ballet; [faire figure. Jouer un
röle. (de) Jouer le r6le de. — muiito em um ne-
goeio, jouer un grand röle dans une affaire.
Fıcunän-SE, v. r. se figurer, s’imaginer, se
Fepresenter par l'imsgination ; penser, croire.
Fıcunanias, 3. f. pl. singeries, momerios
pour amuser les enfants.
FiGuRATIVAMRNTE, adv. Ögurativement: d’une
maniere figuralive.
FicunaTivo, A, adj. figuratil: qui est la A-
gure, le symbole de quelque chose. —a, s. f.
(par ellipse) leitre figurative (dans la gramm.
grecqus), desinence (dans la gramm. poriug.)
qui caracterise certains temps des verbes.
FıcuaiLHa, s. f. ou m. homme ridicule, mal
bäti ; pantin, mayot, poupard.
Ficurinua, s. f. dim. de Figura. Figurine:
ügure tr&s-veiite en plätre, bronze, etc.
"Funpa, 3. f. compliments qui terminent
une lettre.
“Fiss. V. Finddr, Acabar.
FiLa, s. f. file, rang, ordre, disposition sur
une meme Iigne, suite ou rangeo en ligne
FIL 605
droite; rang de soldais placds sur une m&me
ligne. Cabo de —, chef de le. Em —, Alaflle,
sur la m&me ligne. Cdo de —, mıälin, dogue,
Cerrar as —s, serrer les rangs.
Fırica, s. f. fllasse.
Fıracttnus. V. Phylactersas,
Firäpo, A, p.p. de Filar.
Fıuacrina. V. Filigrana.
Fı.amtnto, (1. de bot.) V. Filete.
Fı.inpras, s. f. pl. filandres : petiis vers in-
testinaux qui attaquent les oiseaux.
FiLANTROoPia, etc. V. Phil..., etc.
Fırär, v. a. lancer un chien. V. Agular. — a
caria,filer la carte. v. ». Saisir, parlant d’un
chien.
Fıran£te, V. Filerete.
Fırarciata. V. Arareza.
FıLastertas. V. Phylacterias.
Fıristica, s. f. Diasse de cAbles defails.
FiLAT£RIAS, 8. f. pl. verbiage : abondance de
paroles inutiles. V. Phylacterias.
FiLATörıo, 3. m. *illature. V. Fiagdd.
Fıraucıa. V. Philaucia.
Fılkına ‚s. f. file, rangee.
FıL&Le,s. m. etoffe legere de laine de Barbarıe,
FıLERkTE, 5. m. esp&ce de rabot de menui-
sier. ( t. de mar.) Bastingage.
FıL&tg, s. m. ($.d’arch.) filet, listel : orne-
ment d’architecture. Cordonnet. (#. de bot.) Fi-
lament, petit fllet , brin long et delie.
Fırua, s. f. ülie, enfant : personne du sexe
feminin par rapport & ses pöre et märe. (fig.)
Qui procdde, qui provient de. 6. V. Fila, Fi-
Ihada.
Fıruacid. V. Filiagdb.
* Fıruiva. V. Tomada.
* FıLnadaLco. V. Fidalga.
FıLHADO, A,?. p. de Filhar.
* FILHADOURO, A, adj. qu’on peut prendre,
recevoir, etc.
* Fıruavon. V. Tomador.
* FILBAMENTO, s. m. prise d’une ville, d’un
chäteau , etc. ü$. Enregistrement sur le nobi-
liaire; tltre de noblesse. Lioro dos —s, nobi-
liaire.
* FıLsÄr ,o. a. enregistrer, coucher sur le no-
biliaire. Prendre une ville, un chäteau, etc.
s’en emparer. it. V. Filar, Agarrar. Cäo de —.
V. Cdo de Kla. v. n. Pousser des rejetons, par-
lant des plantes.
FıLu£ıano, s. m. qui fait beaucoup d’enfanis
prolifique.
Fısıcipa. ,
FıLaıcıoıo, | V. Infantie...
Fıruinna,s. f. dim. de Filka. Petite Alle,
Nliette. (expr. de tendresse. ) Ma chere enfant.
FıLzinno, s. m. dim. de Filho. Petit enfant,
petit gargon. (expr. de lendresse) Mon cher
enfant; petit mignon. —s dos animaes, pelils.
— das arvores, rejetons.
FıLno, s. m. üls, enfant mäle, relativement
ä son pöre et & sa mere; se dit Ag. des choses
personnifiees , relativement & leur cause, leur
origine , leur principe. (Ag.) Chose produite par
606 FIL
une aulre; rejelon d’arbre et bourgeon, eic.
id.) Nail d’un lieu ;religieus d’un ordre, Jun
couvent; expression de lendtcsse eivers les
personnes qu’on aime. Ouvrage, production de
l’esprit. — d’animal, petit. — adoplivo, fils
adoplif. — bastardo,, eulant bätard. — da agug,
habilo marin ou nageur. — dashervas, culaut
trouv&; celui qui ıra point de parents connu3.
—de bencdo, Dis iegitime. — familias. V. ce
not. — da fortuna, heureux, fortune, enfant
de la fortune. —de Neptuno,de Marle, eic.
(podt.) homme habile ct fortune en navigation,
dans la guerre. — maior ou mais velho, lils
alne, premier-ne. — segundo, Rils cadel. — de
leile, nourrisson. — da pula, fils de pulain, bä-
turd. — espurio, enfanı bätard. — nalural,
its naturel, ne d’un homıne et d’une femme
libres. — pösthumo, fils posihume , ne apres la
mort de son pere.—de seu pai, de sua mäi,
eufant qui ressemble & son pere ow ä sa mere.
Uada um d — das suas obras, (fig. fam.) c'est &
ses actions plus qu’ä sa naissance qu’on Con-
nalt un homme. Ser — de peize, (loc. prov.)
eıre üls de maltre. Le chien chasse de race.
Casa Iva flha como poderes,e teu Alho como
guizeres, (prov.) tu mariceras ton Äls quand lu
voudras, et ta fille quand tu pourras. Todos
5108 —s d’ Adam, nous sommes tous fils d’A-
dam , lous egaux ou lous pecheurs.
FıLad, s. f. (pl.) Filhoses, beignet, gauffre.
Fırnopico. V. Fidalgo.
FıLuosinao. V. Filkinho.
FiLuöTe, TA, s. natif d’une ville ow district.
On le dit suriout des nalils de Lisbonne et de
Coimbre. Petil pigeon.
Fıriacäö, s. f. Gliation, descendance; de-
pendance d’un autre. * Enrölement et siguele-
ment d’un soldat. Affiliation , adoption.
Fıriau, adj. 2 gen.filial : qui est du devoir
du Nils, de l’enfanı;; dependante d’une aulre
(eglise).
FILIALNENTE, ade. fllialement: d’une ma-
ni@re filiale.
Fıur6Lna.V. Feto (plante).
FıLiFÖRMEB, adj. 2 gen. (. de bot.) Aliforme :
en forme de üll.
Fııcaäna ‚se. f. filigrane : ouvrage d’orlevre-
rio äjour en üiets. (4g.) Tout ce qui esi mi-
£non , dölicat, eic.; subtilites, arguties.
f FıLinno, s. m. drageon, bouture aux n@uds
*es cannes.
FıuipexpuLa, 8. f. (t. de bot.) filipendule :
Jlante rosacee.
Fırirope. V. Polypodio.
FiLippinas, etc.
FILISBURGO , eie. V. Pkil..., ete.
Fusstko, eic.
Fıristaia, s. f. (6. pop.) ’jJeu dangercux,
tour de force.
.pukaDa. | y, Fülh..
Fuö,s.w.tulle: lissu en fl de sole ou de
ooton , Feseau clair, formö de mailles a peu pres
scmblables & cellcs de la dentelle,
FIN
FıLoLoctia, eie. .
FILoMELa, | V. Phil... ‚eie
Fı.oneuas. V. Filandras.
FıLosoria, ete. V. Philo..., etc.
FıLosoyıs. V. Phisionomia.
Fırtrackö, s. f. Altralion : action de Altger;
passage d’un liquide & Lravers un filtse,
FiıLTaano, A,P.p. do
FıLtaän, v. a. üliser : clarifier en passant 04
faisant passer & travers un filtre; passer d La-
vers. Il est aussi neulse et Feciprogue.
+ Fıltaßına, s. f. ou —no,s. m. machine ep
forme d’entonnoir, garnie d'un liltre, pour pa&
ser une liqueur, elc.; vase ä ültrer.
FiLTRo, s. m. ltre : papier, linge,, ele., ul
ce (ui sert & ültrer. V. PAiliro.
Fın, s. m. "fin, terme, bout, esiremile,
achıevement ; but qu’on 66 Ppropose , principale
intention. Denouement,, solution. Fin d’une in-
trigue, d’un poöme. P6r — , melire lin ‚ lermi-
ner, decider. Dar —a alguma cousa, built,
achever. Ter—, finir, se terminer. No —, dla
fin. 44 —, enfin. Em —, por —, enfn, fuale-
ment. Com o — de, afin de, dans le but de.
Al — se canido as glorias ‚il ne [aut pas chan-
ter victoire avant la fin du combal.
+ Fınno, s. m. sorte de trait parmi leg (4-
fres.
Fıuprino, A, adj. (t. de bias.) denlelt,
frange.
Fınmnia, s. f. * bord, [range au bas d’um
robe.
Fınäpo, A, 9.9. de Finar. adj. et s. Mott,
delunt, trepasse. Diade —s, jour des morts.
FısiL, adj. 2 ges. final : qui Anü, yai ler
mine; qui dure jusqw’& la fin de la vie ı impt-
nitence). O die —, le jour du jugement de-
nier. Sentenciar a — ‚juger en dernier ressofl.
+ Fınau, 3. m. "Sn, denouement. s. f. Finale,
deruidre syllabe d’un mot. A —, enfin, au bout
du sompte.
FısaLızipo, A,9.9. de
Fınauızäa, v. a. finir, terminer, achere.
Conciure. ©. 8. — ‚prendre An.
FinaLm£&ute, ado. änaleınent, enßn , en der-
nier lieu, & la fin.
FinAu&nTE, adv. inement, ingenieusemen!.
Delicatement, parfaitement. Poliment , galam-
ment.
* FınamEnto, s.m. V. Moris.
Fınangas, s. f. pl. (b. franc.) finsnces.
Financeino, 8. m. (4. frang.) financier.
Finän-sE , 0.7. Soconsumer, deperir. (DieW
Mousır, döceder. — d’amores, langair, se
cher d'’amour. —de riso, ınourir de rire. —Pef
alguma couse, desirer eperdument, mount
d’envie.
Fıxca,s. f. V. Esteio , Kecöra,
Fıncapo, A, p. p. de Fincar.
Fıncap& , s. m. ellort qu’on fait avec lo pied,
en l’appuyant forlement; appui, soulien. F#
zer —, (fig. [am.) persisier, insister, s’obsll-
nor; S’appuyer, compter sur. j
Fıxcan „v.a, licher: fairsanirer par la p@ble ı
FIN
enfoncer, = 0 chapio na cabega, enfoncer son
chapeau. —a unka, rebouiser, filouter, deuiai-
ser.
Fısciasg, 0. r. s’arreter, rester eppuy6.
(Ag.\ Insister, persister, s’obstiner.
*Fınco, s.m. acte nolarie; promesse par
terit, billet.
"Fıxva. V. Conelusdo, Fim.
Fındıno, A,p. pP. de Findar.
Fıspanea, 3. m. celui qui finit, qui termine.
Fınsin,o.@. fnir, achever, lerminer. v. ®%.
et —s£,0.r. —, prendre An, se terminer.
Fıxoo, a, adj. fini, termine.
Fıxeza, 3. f. finesse, delicatesse; &l&gancc.
Marque d’amitie, caresse. Manidres obligean-
tes et emprossedes. " Cadeau,, present, don. Ga-
lanterie. * Plaisir, favcur, oomplaisance, gräce.
Fınesse d’esprit, subtilils. Dizer —s, dire des
douceurs , des expressions charmantes. Fa-
ser—s,accorder des [aveurs, faire des dons.
Fazer—ı por alguem , faire des sacrifices pour
qaelqu’un.
Pıscioamente , adv. avec deguisement, dis-
»mulstion, feinte.
"FiateicaABENTE. ar
"FINGaDiG® , k. } V. Fingida...
Fıxcioo, A, 9. p- de Fingir. ed. Feigt, si-
mule; dissimule; Tauxz, fabuleux; artiliclel,
[sciire. Lagrimas —as , des larmıes erudiees.
Fıxcıön , s. m. celui qui feint; hypecrite.
Pısamexto, s. m. "lciuie, deguisement,
lissimulation; Retion. Sem —, sans feinie,
sans deguiseinent.
Fınca, o.e. feindre, dissimulor, döguiser,
se oantrefaire, Taire semblant, simuler. Gon-
trefaire ‚ imiter. Javenter, controuyer des faus-
sties,
FıxciasE, v. r. feindre, simuler, se servir
de fanssey apparences pour tromıper; se fein-
dre, etre feint.
Fıxissıso, a, adj.sup. de Fino.
Fiitamexte, adv. avec bornes 0w Festrio-
tion.
Fısiriwo, a ,adj. voisin, limitrophe, contligu.
Fısııo, a, adj. lini, vermind ; linsitz, borne,
determine.
+ Fivwos ow Fınwtzes, s. m. pl. peuples de
la Finlande,
Fıxo, a, adj. fin : excellent dans son genre;
delie, menu, subtil, delical. Alfectionne, con-
stant, sür, Nidele. Parfail, Hpure. —, ruse;
lroit. — ladrdo, — volhaco, volour adroit,
malire fripon. Nariz —, haut nez, än ncz.
Pedran —as, pierres pröcieuscs. O —, (em-
plays subst...) le fin, le point deeisif et prin-
tıpal d'une affaire. O — d’uma scieneie , d’uma
ar te, le fin d’une science, d’un art, ce qu’il y
1 le plus subtll et de moins connu.
Frara, s. f. imposition, comtribution; coll-
sation.
Fıstäno,A,p.p. do
Pıeria , v9. a. imposer une oontribution.
=u,9.7. 80 o0liser.
+Fıröna,s.f. finesse, rune, astuce, artifice.
riß . 607
r10, s. m. Bl: petit brin longet delie de chan-
wre, delin, de soie ou «de metal, etc., ou de
substance filde par des insectes; tranchant
d’un outil; füübres des plautes; courant, filet
d’eau, de vinaigre, etc.; lambel; sa forme, sa
figure; (Ag.) suite de choses, d’une affaire,
d'un discours; (poet.) le fil de la vie,la desti-
nee. * Ligne qui divise une chose en deux par-
lies egales. Equilibre, egalite.—s, pl. "charpie:
lilaments de linge us6& pour meltre sur Igs
plaies. — da lingua, filer dp la langue. — dgs
raizes, filament des racines. — de carrela, Bl
de caret. — de arame , fl de laiton uw d’archal.
— de perolas, fil de perles, collier de perles en-
files. — de pila, fil de pite, tir6 de la plante
spprice pite. — da morte, le terme Je la vie
husnaine. — da rida ,lefil de la vie: son course,
sa carriere. — de vela,(t. demar.)filä volle,
fl & coudre. — de serra, trait de scie. A—,
em—,de suile, sans intcrruption. Perder o—,
(fig.) perdre le ül de son discours. Seguiro—,
(id.) continuer une chose commencde. Corlar
0o—.V. Atalhar. A— Jireilo , & droit fl. Kstar
um—, ne tenir qu’ä un fl, ne tenir pres-
qu’ä rien; etre dans le plusgrand danger. Quro
e—, adv. en equilibre. Dar um — d lingue,
(fig.) medire. Embotar os —s, (fig.) öter Ic ill,
&mousser ; ralentir l’ardeur, l’actirite de quel-
qu’un. Ferir pelos mesmos—s.YV. Ferir.
Firsa,s.f. “seing , signature. Paraphe, ca-
chet. “vieux) * Appui, soulien.
FırmÄno, p. p. de Firmar.
FınmaDög , 3. m. celui qui s’appuie sur que)-
que chose.
FırsäL,s.m. sorte de broche pour attacher
les robes. Sorte de religuaire ou miedanle de
saint. view) "Parapbe,cachet. —aes, pl. pein-
tes du licou qui s’attachent aux anncaux des
Nancs.
Finvam£nto, s.m. Irmament : ciel dolle.
Appui,, soutien.
+ Fıruan ou —wi6, s. m. firman : ordre du
grand-seigneur;; permission du grand-mogol
de trafquer.
FırmÄr, v. a. affermir, rendre stable. Signer,
mettre la signature. (vieur) Affirmer. V. Af-
feslar. (em). v. n. porter, s’appuyer Bur; se
reposer, compter sur.
Fırmär-se (em), o.r. s’appuyer sur. Bigner,
metire sa signature. S’arrditer (p. ws.) S’affer-
mir, devenir stable. — com 0 «so, sefermir
par l’usage.
Fınuz, adj. 2 gen. ferme, stable, solide,
fixe. (fig.) Essentiel, constant, in&braulabic.
Terra —, terre ferme, continont. Eier —,
tenir bon, persister ; tenir ferme. Eslar — om
ou na — resolugdo de, etre but6 A, Eire deter-
mine A. Pör-se —, s’alfermir.
FirmEmente , ade. fermement.
Fırmßsa, s. f. fermete, solidite, raffermisse-
ınent, affermissement. Assurance, resolution,
(Ag.) Triangle dans les images du Pere eternel.
+, pl. conditions, formalitis, solennitds d’um
comirat, _
608 FIT
Fırmıdäö. V. Firmeza.
Fırkissimo, A, adj. sup. de Firme.
"Fıro,s. m. jeu d’enfants avec des pelils
eailloux,, espece d’alguergue. V. ce mot.
FısciL, s. m. procureur fiscal, avocat fiscal,
sorte de magistrat. Inspecleur, suriniendant,
surveillant. Censeur.
PısciL, adj. 2 gen. fiscal : qui apparlient au
fise.
FiSCALIDADE O8 inspeclion,, surveil-
Fıscauızaciö, s. f. lance.
FıscaLızivo, Aa, adj. qui a ei6 vu, examine
par le procureur fiscal, etc. p. p. de
Fıscauızin,, v.a. exercer les fonclions de
ureur fiscal; veiller aux aroits du fisc.
(Ag.) Surveiller, blämner, censurer les actions
de pol u’un.
* Fıscizıo, s. m. officier fiscal.
+ Fisckııa , s. f. museliere.
Fisco, s. m. fisc, irösor public. (vieux) * Pen-
sion (aite par le roi. Tribunal do —, la cour de
Pechiquier, en Angleterre.
Fisca, s. f. fo@ne, fouane ow foesne, Achure:
trident pour darder le poisson. Fente &troite.
Fiscäpo, a, p. p. de Fisgar.
Fıscapor, 8. m. harponneur. (fig.) Moqueur,
moraliseur, daubeur ; mystiflcateur.
Fıscan, vo. a. harponner le poisson. (fg.)
Be moquer, moraliser ; mystilier.
Fisıca, eic. V. Physica, elc.
Fısico. V. Physico , Medico.
Prisonouta,, etc. V. Physiom..., ot6.
® Risqusıno. V. Pisco.
Fissirzpzs, 8. m. pl. (4. d’hist. nal.) Assi-
pedes : quadrupddes qui ont plusieurs doigis
auz pieds.
+ Fıssinöstaos , s. m. pl. (1. d’hist. nal.)
issirostres : oiseaux A bec fendu trös-profon-
dement , chölidons,
Fisrico ‚s. m. pistache,, pistachier.
FistuLa , s. f. Astale : ulcere ä enir&e &troite
et fond large ; chalumeau, flüte champeire.
FistuLan-se,, etc. V. Aflstular-se.
FLA
Fırinwa, s. f. dim. de Fila. Petit ruban, ru-
han etroit. Nonpareille, faveur.
Fıro, s. m. (viess.c) borne, limite, terıne. Sorte
de jeu de paleis. But : point od l!’on vise. (Ag.)
Fin, dessein, intention. Der no —, toucher au
but. Mudar de — , changer de batterie. Pfr o
— em, se proposer de, viser ö.
Fıro, a, adj. fiche, plante, enfonct; fire.
Eslar com os olkos —s em alguem, avoit les
yoeux fixes sur quelqu’un , regarder Srement
quelqu’un. Com as orelkas —as, les oreilles
dressees,, ( Ag.) atienlives. De —, d’aploub,
perpendiculairerment.
*Fıösa. V. Fidueis, Confancs.
Fıygıa, s.f. boucle: sorte d’annean de melal
avec un ardillon, ete.
FıvzLiö, s. m. aug. de Fioela, Grande beu-
cie de harnais.
FıveLär, V. Afivelar.
Fırzıtra, s. f. dim. de Fivela.
Fıvsınid. V. Fiveldd.
Fıxa, s. f. partie d’un gond fichee dans k
bois ; iche de porte, etc. is. V. Fichae.
Fızaciö, s. f. action d’aflicher. Fizalion:
action de fixer; ($. de chim.) operation qui ie
un corps volatil.
Frxipo,4,p.p.de Fiser.
Fıxautnte, adv. fixement, d’ane manitte
fixe; attenlivement.
Fızinte, adj. 2 gen. (t. de fort.) Achant:
(feu) qui va d’un bastion & l’autre.
Fıxar, v.a. ficher : planter par la pointe.
Fixer, arrtter,rendre fixe; arreter, döterminet;
preßnir. ($. de chim.) —, rendre solide, ooag*
ler. — ediclos, carlases nas osquinas, placarder.
— os olkos, a vista, o „ arreter,
fizer les yeux, la pensse.
Fıxan-sE,o.r. se Axer, s’arröter. Se rer,
s’imprimer; se determiner, se resoudre.
Fıxipäoe, 3. f. Axite : eiat fixe d’ane chose;
formetk.
Fıxo,a,9.p.irr. de Fixer. adj. Fixe, sia-
ble, permanent. Ferme, assure, certain ; art<,
+FıstoLinıa, s.f. (1.d’hist. nat.) " Astulaire: | determine. Fize. V. File.
poisson abdominal du Bresil et de I’Inde. Fis-
talaria : p6diculaire des bois.
FıstuLöso, A, adj. fistuleux:: de la nature de
» üistule (ulcöre) ; (8. de bo8.) fait en tuyau, en
ats. ’
Fira, s.f." ruben. — d’habilo, ruban d’or-
dre, ruban moire.
+ Fırickas, adj. f. pl. (Folhas —, t. de bot.)
en forme de ruban (fouilles), rubandes.
Fıripo, A, P. p. de Filer.
PıTameEnte. V. Firamente.
Fırin, 0. a. fixer, planter, enloncer. — 08
olkos, ixer, arröter ses regards. — 0 penss-
mentio, arreier sa pensee. — as orelhas, dresser
les oreilles, parlant du cheval. A aguia Alla 08 | gourment.
olkos no sol, l’aigle fixe le soleil.
Pıria, 9. ». toucher au but.
des ru
Fıxöna. V. Fixidade.
Fraccıptz, s. f. (4. de mdd.) Baoeidite : tial
des übres relächtes , sans ressort.
Präccıoo, a,adj. (8. de med.) reläche, de-
tendu , lasque,
FLaceLLacäö, 8. f. action de donner on de
recevoir la discipline ; Bagellation.
FLaceLLäido, A,P.p. de Flagellar.
FLaAGELLADOR, A, 8. et adj. Magellateur, qui
Nagelle.
FraceLiäntzs, 5. m. pl. flagellants : sort
de fanatiques qui s6 Nagellaient en publie-
FraczıLin,o.«. Nageller, fouelter.
+ FLacsLLarivo, A, adj. propre & flageller.
FrackLLo,s. m. fouet. ( Ag.) Fieau du ciel
Fracicıo, 8. m. crime &norme, vıce honteut,
FLacicıi650,, A, adj. libertin, viecieux , crimi-
Fırtıno, a, s. rubanier : tissulier : qui fait | nel, scölerat, inläme,
Fracaincıa. V. Fragrancis,
FLA
FLacräure , adj. flagrant, brülant ; brillant,
&lincelant (p.us.). (g.) Aclif, en lat d’exe-
eution, imminent. Em — delicto , en flagrant
delit, sur le fait, en action de le commetire.
Fıilua. V. Flamma,.
Frinz, s. m. (f. de veldr.) "flamme : instru-
ment pour saigner les animaux.
FLaN£nco, A, ady. et s. Flamand : de la
Flandre.
Frimıng,s. m. fliamine: pr@tre de Jupiter,
de Mars ow Romulus, qui portait un volle.
+Frauinco, s. m. (£. d’hist. nat.) Damant:
phenieoptere, oiseau du tropique, becharu,
echassier latirostre ;courlisrougedelaGuyane.
Frauima, s. f. maison du flamine. Pr£iresse
subalterne qui servait le Aamine de Jupiter.
tFiauimca, s. f. faminique : femme de
fSamine; prötresse.
Frauinıo, V. Flamine.
Fuluua,s. f. Damme. V. Chama.
tPıauäncıa, s. f. V. Laberede. (fig. fam.)
Eiögance, coquetterie,, galanterie; habits de
onlenr brillante, &tincelante.
FLausinte , adj. 2 gen. enflamme : qui jeite
des lammes; flamboyant. Brillant, etincelant.
Neaf : qui a encore tout son lustre. Bien pare,
tclatant,
Frauuzyan , etc. V. Chammejar, etc.
Fiiuuso , s. m. voile de couleur de famme
que portaient les nouvelles mariees.
(podt.) elincelant,
FLausireno, A, 08 ij
flamboyant, qui jette
Flauniceno, A, adj. des Fee ’
+ Frauwirorente ‚adj. 2 gen. (poel.) puis-
Ferse la flamme: epilhete de Vulcain, dieu
a fen.
Fruauwsrininte , adj. 2 gen. (podi.) qui
scale des Aammes.
Prawmivomo, A, adj. (podt.) qui vomit des
mmes.
FriuuuLa , s. f. (1. de mor.) Namme : sorte
ds banderolle de narvire.
Fuinco, s. m. (8. milit.) Nanc : o6t& de bas-
ton, d’escadron, d’une colonne de bataillon.
— coberio ou retirado, (1. de fort.) flanc bas
euretird, celui qui est couvert d’un oreilion.
— kzanie, ( id.) Nano fichant. — obliquo ou se-
tundario, (id.) second Banc : partie de la oour-
line entre les lignes de defense fichante et ra-
sante, .
+Fıinpzs, s. f. (6. de geog.) Flandre : con-
tree des Pays-Bas.
t FLanpaisco ‚a, adj. de Flandre. .
Frantııa. V. Farinella.
FLanqguzino,, A, p. p. de Flangquear.
Flangoginte, adj. 2 gen. (8. de fort.) Nan-
guant : (ouvrage ) avance de maniere ä defen-
dre Papproche d’une place.
Frangtzir, v.a. (1. de fort.) Danquer : dö-
iendre un ouvrage de fortification par un au-
we, Auaquer de llanc.
Flito, 5. m. (inus.) vent, bouffse de vent.
(Ag.) * Flatuosits, flatulence : vent dans le
Corps. Vapeurs : affeclions causces par les va-
PORT.-FR.
FLO 609
peurs de P’estomac. (fg.) Caprice, desir bi-
zarre.
FLatöso. V. Flatulento.
FLartuLtncia, 3. f. fatulence: collection de
vents dans une partie du corps.
FLATULENTO, A, adj. flatulent: des vents.
Flatueux, qui cause des flatuosites; venteux.
FLartuöso, A, adj. sujet aux vents, qui par-
ticipe de leur nature; qui en souffre.
FrartuosıpÄng, s. f. Dlatuosite : vent qui sort
du corps. V. Flatulencia. _
Friuta, s. f. fläte : instrument de musique
en tuyau creux , pero& de trous et garni de clefs.
— doce , flüte douce, flüte & bec. — Iravessa,
flüte traversiere, fiüte allemande. — curia,
gingrine.
+ FrLautipo, s. m. jeu de fütes dans l’orguc.
FLaurar. V. Frautar.
+ Frautim, s. m. dim. de Flaufa. Petite
Nüte;; celui qui la joue.
+FLavtista, s. m. facteur ow Joueur de flüte:
Aäteur.
Fıivo, A, adj. jaune, blond dore, fauve.
FL&siL,adj. 2 gen. (pod}.) triste, deplorable,
lamentable, flebile.
Fresoromia, eic. V. Phieb..., etc.
Fr£cna, s. f. iöche. V. Fröcha.
Frecua. V. Fleuma ou Phlegma.
FLEGMÄTICAMENTE, adv. avec flegme, len-
teur.
Frecuirico, FLeimätıco o@ FLSUMATICO,
adj. 2 gen. Begmatique : qui abonde en fiegme,
en pituite, ow tient de sa nature; (fg.) tran-
quille , pos&, patient, de sang-[roid.
Freimiö, s. m. fiegmon : tumeur inflamma-
toire, plein de sang.
* Frxziuöso, A, adj. qui tient de la pituite,
ou qui en engendre.
Frkuua, s. f. legme : partie aqueuse, froide -
du sang, etc.; pituite ; ($. de chim.) partie
squeuse,, separce par la distillation ; qualits
du flegmatique ; (Ag.) d’un esprit pos6, patient,
qui se possede; lenteur.
Fızxiö, s. f. Nexion: action de fldchir, de
plier les membres. .
*Fıexisır. V. Flezivel.
FLexisiLivape, s. f. Nexibilite, souplesse ;
qualits de ce qui est flexible, souple.
FısxiveL, adj. flexible, souple, aise & plier;
(4g.) Souple, docile, pliable, pliant, complai-
sant.
Fıexön, adj.m. Musclo —, (t. d’anal.) Ne-
chisseur (muscle).
Fıexuöso, A, adj. flexueux , torlueux.
FLexöüra, s. f. flexion,, courbure.
+ Fuisusteiro, s m. flibustier : pirate de
PAmerique qui faisait partliculierement la
guerre aux Espagnols.
Do,A, adj. en flocons. Frange; garni
FLoc6s0,, A, adj. en flocons.
Fön, s. f. fleur : partie des vögetsax com-
posde d’stamines, de pistils, eto.; organe de
39
610 FLO
ls fruetilication ; temps de la floratsen ‚ (Ag.)
de la plus grande force, da plus vif &clat (de
la Jeunesse, de l’äge, eto.); fraicheur, velouts
des fruiis, de la peau; superficie brillante,
douce;; 6elat, lustre pea durablics; premier
usage; choix de ce qu’il y a de meilleur, de
plus fin, de plus delicat; elite; pellicule ou
mousse qui se forme sur la surface du vin;
(Ag.) virginite; cöl& du cuir ou e&tait le poil;
surface de la terre; superficie. (4. de chim.)
Substances sublimees par le feu. —de ki,
fleur de lis : piece distinctive des armes de
France. (4. V. Agucena. — dos amores, (1. de
:bot.) passe-velours, amarante veloutce, Meur
de jalousie, cr&ie de cog, fleur d’amour. — de
mdco, fieur artificielle. — do sal, fleur de sel,
€cume roussätre qui se forme sur le sol. — da
FLO
sant ı qui pousse des fleurs, Neurl. (Ag.) Pie
rissant , brillant.; prospöre.
FLogec£n ou —SCER, v. ®. feurir: pousser
des fleurg;; dire en fleurs ; (Ag.) &tre en credit,
en honneur, en vogue; vivre, exister, parlanı
d’un komme celöbre; devenir Aorissant, par-
lant d’un &tat. Dans la poesie ‚il est quelque-
fois sctif, et signifle faire fleurir. —de nore,
refßleurir.
FLoazcioo , 4, p. p. de Florscer.
+ Fronönca, 8. f. (t. de geog.) Florence:
ville de Ja Toscane.
Frontnaa, 5. f. Rerenee : tiolfe de seit,
taffetas de Florence.
FLoszucaioo, a,adj. (4 de blos.) Borenck:
termind en leur de is.
FLonntz, adj. 2 gem. en fieur, Deuri.\.
farınka, leur de farine. Perder a —, de- | Florecente
fleurir. 4’ —de..., & fleur.de, au nivequ de.
4’ — d’agua, a leur d’eau, ä la surface. Olkas
ö — do rosto, yeux & fleur de töte; de gros
yeux. Em —. On le dit d’une chose qui wa
point encore atieint sa perfection. Bstar em —,
etre en eur, parlant des fruits. (Ag.) Ne faire
que commencer, parlani d’une affaire. Quedrar
ou rebeniar em —, se dit de la mer mouton-
neuse, couverie d’öccume. Ser ums —, #tre
joli comme un caur, beau comme un prin-
temps. Estar uma —, dire par6 avee elögance,
se dit d’une belle. Flores, pl.(fig.) fleurs de
raötorique, embellissement du siyle. — de
Pascos, coronille d’Espagne. — de Quarerma.
V. Rainunculo
FLöna,s. f. (1. de myth.) Flore : deesse des
fleurs; nympbe. ‘4. —, traitö des plantes d’un
bays.
FLonipa , s. f. Beurs d’oranger confteg.
Frorizs, s. f. pl. florsles : fties on l’bonaenr
de Flore; jeux floraux.
FLoriL, adj. 2 gen. (4 de bot.) Boral : de la
fleur, qui l’avoisine,, bractse.
FLoniö, s. m. aug. ds Fior. Fleuren : orse-
ment en forme de fleur. Cul-de lampe. Petit co-
che castillan. (vieue) Grosse deume de la mer
agilee.
FLoagipo, A, p.p. de Florear.
+ FronsiL, s. m. fliordal : deariöme mois du
priniemps de l’annde repablicaine frangaise,
du 20 avril au 20 mai.
FLOREÄNTE, adj. 2 gen. qui produnt des
fleurs; orn6, par6 de fleurs. p. a. de
FLorkir.o. a. omer,garmir de fleurs. (Ag.)
Embellir, orner de fleurs un discours. Manier
avec adresse, avec gräce (un drapeau, eio.);
brandir, branler, secouer en sa main (une Epee,
etc.) Arpeger : faire des batteries sur la gui-
lare, elic.
Fronzir, vo. w. briller; se vanter, se glori-
ler. —com a penna, ecrire avec des orne-
ments. —nas palavras , parler discrötement.
FLORECENCHA O0 —ESCENCIA , 6. f. Deuraisen :
formation des Seurs;; son epoque.
FLORECANTE O4 -SCENTE, adj. 2 gen. Deuris
Fronentino, a, ads. et s. Flerentin : kabi-
tant de Florence ; qui em vieat.
FLoxsutissıuo, A, adj. sup. de Fierenie
FLonto ou —aßıo, s. m. Reurs, ormewenis
du discours. Actien de brandir, d’agiter !'epet
entre les mains. (Ag.) Ouvrage de pus amasc-
ment.
+ Frörzo, a, ady. de fheurs, qui eoncerMe
les fleurs. Fleuri, courertde leur.
Fronssra, s. f. "bocage, foret, beis. Pre
euri; liea charmanı, agreable, etc. (#9)
Amas de choses agrösbios, qui flatient le gut-
Fronssrir, adj. 2 gen. forestier : qui con-
cerne les for&ts.
Frorntta,s. f. * Beuret, pas de danse.
+ Fionätz, s. m. Reuret : sorte d’epin KI-
minde par un bouton, pour appsendre d fait
des armes.
FLonerzino, A, ad. fleurs, Beunett, Ri
ronn6 : borde de fleurs, tarımind en Seuf
+ Fioxernir,v.a. (i. de bias.) garmit, 0!
ner de fleurs.
+ Frorisautere, ade. d’ane manidse Beu-
rie, avec elegance,, d’une manidee beillankt.
FLokıpissiuo, A, adj. sup. de
FLoripo, A,ad). flewi : qui est en Bess;
orne, garni de fieurs ; ewrissant.
FLörımo, A, adj. beau; beillant, ame p%-
rure &elatante. (4g.) Fioride, fieuri, digen.
orme , parlant d’un discours, ete.
+ FLonieero,A,ow yauipeodeit don ein
FLoaicero, A, adj. I qui porje des Near}.
FLonis,s. m. Borin : pidce de monnaie dis
Pays-Bas, d’Allemagne ; monnale de comple.
Froaiuma, s. f. dim. de Flör.
+ PLoxipönnio, s. ms. (. de dof.) plante ame
ricaine qui ne porte que des fleurs, mais d'une
odeur exquise;; floripondio, stramoine da Pe-
rou.
‚ Fronisra,, s. 2 gen. Neuriste : qui fait, vend,
peint des fleurs.
Frorzinaa. V. Florinhe,
+ Froscuisus, 8. f- ph (4 Fick mel)
*flosonlaires : zoophytes en tube, habites pa
un rotilöre,
FOA
FuöscvLo, 8. m. (f. de bol.) petite fleur en
tuyau ; corollule tubuleuse.
+ Fuöscuro, s. m. (f. de bot.) floscope : ar-
brisseau des Indes Orientales.
+ FLogaantoacn, s. m. "üeur des sainis:
livre qui oontient leur vie.
FıoriLua,s. f. Sottille : petile flotte.
Froxınäö,, eic. V. Frouxiddo.
FLucrisoninte, adj. 2 gen. (podt.) qui fall
retentir les vagues, mugissant.
Fıucrivaco, A, adj. (podt.) qui flotte sur les
ondes.
Fıucruscä6, s. f. Mluctualion, ondulalion,
agitation des Bots. (Ag.) Incerlitude, irresolu-
tion.
Frocruino, 4, 9.9. de Fluctuar.
Fıoctuinte, adj. 2 gen. Nloltanı : qui flotte;
Auctueux. (Ag.) Chancelant, irresolu.
Fuocruin (em, entre), v. n. dire agile par
les Bots; flotter. (Ag.) Kite floltanı, irresolu;
belancer, chanceler.
FLoct06s0, A, adj. Quctueux ; agite de mou-
vements violentis et Contraires,
Frußnte, adj. 2 gen. coulant.
FLom&z, s. f. Auidits : qualit& de ce qui est
Buide.
Fıuiissıno, A, adj. sup. de
Fudioo, A, adj. Auide, coulanı, liquide.
(Ag.) Coulant, facile, parlant du style.
FLöipo, s. m. fluide : corps fluide.
Frusiıntnse, adj. 2 gen. | de fleuve, de
FLuminzo, A, adj. riviere.
Fruön, s. m. (1. d’anc. chim.) uor : corps
indeoompos#, base supposse de l’acide fluori-
que.
t Fiößsraa,, s. f. (1. d’hist. nat.) Qustre, po-
Iype. — folhada ou folhiforme, flusire en
feuille.
FroviiL, adj. 2 gen. Quvial : de fleuve, de
Niriere; qui cohcerne les fleuves, se fait par
eux (navigation). Fluviatile : (coquille, plante)
d’eau douce.
Fox, s.m.(t. de jew) flux : suite de carles
de möme couleur. Ester a —, n’avoir que des
atouts. Ter todos os volos a— , avoir toulesles
voix. V. Froxo et Fiuxo.
Fıuuxäö,s. f. Auxion; flax, öcoulement.
FroxisiLinäpe, 8. f. * eat passager, peu de
durde d’une chose.
FLuxionÄrıo, A, adj. sujet aux fluxions.
FırxfveL, adj. 2 gen. fuide. De peu de du-
r6e, passager.
Fröxo, s. m. flux, &coulement. — ds pala-
vras, fiux de paroles, finax de bouche, abon-
dance de paroles inutiles. —de riso, habitude,
envie habituelle de rire, &clat de rire. — de
sangue, flux de sang , hömorrkagie. — de ven-
fre, Aux de ventre, devoiement. — mensal das
mulheres.V. Mensiruo.—alvo, (1.demed.)eurs
blanches. — e refluxo do mar , flux et reflux de
mer.
FLoxözs, 8. f. pl. (1. de math.) meihode,
Auxions , calcul difförenciel.
FoAd, V. Fuao, Fulano.
FOG
Föcy. V. Phoca,
Focino, a, p. p. de Fogar.
Focanör, A, ad. quifoullie.
Focin, v. a. fouiller la terre avec lo groin,
parlant du cochon.
Föcıg, s. m. (l. d’anal.) focile: os du bras
et de la jambe.
Focınnäpı, 8. f. 00up donned avec !o groin,
le museau, ec.
Focınuaa. V. Afocinhar.
Focınt£ıra, 3. f. museliere.
Focinuo, s.m. groin, mufle, museau d’ani-
mal. (f#g.) Bouche d’une personne qui a les I&-
vres Ir&s-avancees. V. Cdra. (id.) *Moue: gri-
mace qu’on fait en avangant les l&vres. — de
javali, boutoir de sanglier. Cair de —s, don-
ner du nez en terre, lomber sur le nez. Melier
0 — em ludo, (fam.) fourrer son nez parlout
Focınacne, A, adj. qui ale museau point
ou les Idvres avancees. (Ag.) Qui fait la ınoue.
Föco, s.m. (8. d’opt.) foyer : pointe du cöne
lumineux ; point oü les rayons lumineux ow d®
chaleur se r&unissent. (Ag.) —, siöge principal,
centre. (4. dechim.) V. Fornilho. — da elipse,
da hyperbole, da parabola, (1. degeom.) foyer
de l’ellipse, de l’hyperbole, de la parabole.
— d’uma curva, foyer, nombril d’une courbe.
* FonivincuL, 8. m. bardache qui se livre ap.
sodomite.
*Fop’ıncuL, s. m. sodomite, pederaste.
+ Fotra, s. f. (6. d’hist nat.) "pulois : qua-
drupede puant; espece de fouine noirätre. —
listräda, conepate, mouffette noire, rayde de
blanc. —mepkitica, chinche, moußette, hams-
ter.—raidda, pulois ray&osw zorille, moullette.
+ Föra, s. f. folla: danse portugaise Irs-
lascive.
Forice, s. f. mollesse, qualite de ce qui est
mou. (ig.) Infatuation, ostentalion.
Forisno, A, adj.dim. de Fofo. Un peu mou;
mollet.
Föro, a, adf. mou, mollet; boußfant, (fg-)
Vain, prdsomptueux.
Föros, s. m. pl. des bouffanis.
Fociga ,s. f. fouace:sorte de gros gälcan.
FociGeEs, s. f. * feu volage, elevures , ebuli-
tion de sang. (4. de bot.) Maladic des planies.
Fockr, s. m. fouage : droit qui so paie par
chaque fon.
*Focäiuta. V. Fogara.
Fociö, s. f. foyer, Atre, fourneau de cuisine.
*Lumiere d’une arme & feu. Fougon : cuisine
d’un vaisseau. — da pers, ohamıp de la Jumicre
d’un canon.
FocA0zinuo, s. m. dim. de Fogao.
FocArtıno ‚s. m. fourneau porlalif.
Focınko, s. m. lampion de fer.
Focır. V. Fugir.
F6co, s.m. feu: l’un des quatre eliienis
des Anciens, chaud, sec ei Jumineux; ınaliere
simple, tr&s-subtile: fluide, imperceptible dans
son &tat naturel, d’une tenuit6 inexprimabie ,
tres-compressible, doue d’une force de con-
centration et Pexpansion inslantanee; principe
Ki
612 FOL
de la Iumidre etde la chaleur ; calorique; amas
de corps en combuslion; incendie, embrase-
ment; coup d’arme & fea; famille, menage;
(Ag.) chaleur ; passion vive, passion d’amour;
vivacit6 d’esprit, d’expression; ardeur (de
l’me, des passions, de la discorde, etc.). —
actual, feu ou cautere actuel, bouton de feu.
— polencisl , feu ou caul£re potentiel, causti-
que. — sublerraneo,, feu soulerrain. — de vis-
las, do ar, feu d’artiice. — d’alegria, feu de
file A blanc. A— lento, A petit feu.A— e asan-
que, & feu et Asang, sans faire de quartier.
Cavallo acostumado ao —, cheval fait au feu.
Cör do— , couleur de feu, rouge vif. Faser —,
Iaire feu, tirer sur Ponnemi. Tocar a —, son-
ner le tocsin dans un incendie. Dar —, faire
feu. Langar— pelos olhos, (fig.)&tre en coldre,
jeter feu et famme. Deitar lenha no —,(id.) je-
ter de !’huile sur lo feu. D’onde se faz — sai
fumo, iln’y a point de feu sans fumse. A pro-
i do— 6 queimar, c'est le propre du feu
de broüler. Fögos, pl. feux, signaux eleves la
nuit.—s errantes, m6lkores ignes.
+ Foco-FrEumente, adj. 2 gen. (poet.) qui
fremit avec du feu.
FocÖBANE£NnTE, adv. ardemment.
+ Focosınpioz, s. f. fougue, ardeur, impetuo- |
site, vivaciiö extreme.
Foaosissimo, A, adj. sup. de
Focöso, a, adj. ardent; (fig.) fougueux, su-
jetä entrer en fougue,, quia de la fougue, vio-
lent, emporte.
Focutina, s. f. "bücher; feu de joie.
Focuzininna,s. f. dim. de Fogueira.
+ Focuto, s. m. fouage dans la ville de Goa.
Focutte, s. m. * fusee d’artifice. (Ag.) Vive
semonce. De—, comme un £clair.
Focuertıro, s. m. arlifcier : qui fait des
feux d’artifice. ,
Focuxt£ıno, A, adj. facile & s’emporter.
Foinsa. V. Fuinha.
For0 ou "fosse, irape, träbuchet. Bour-
F60, s. m. i bier profond.
Fora. V. Folla.
*"FoLiö. V. Fuldno.
FoLin, s. m. gäteaux aux wuls qu’on faıt &
Päques;; aufs de Päques. Cadeau qu’on donne
au cure & Paques. Present que [ont les babi-
tanıs d’un village au predicateur du ca-
Fome.
FoLzco, s. m." haleine, respiralion , surtout
sielleest forte et pressde. Dar—, (Ag-} donner,
accorder da teınps, du repit. Tomar —, pren-
dre haleine. Sem fomar —, ou d’um — ,(flg.)
sans debrider, Lout de suite, tout d’un coup.
Tomar o—, retenir la respiration. Beber sem
tomar o—, boireä longstraits. Ter sele—scomo
0 gato, avoir la vie dure comme le chat, avoir
la vie chevillee dans le corps.
FörLca, s. f. "reläche : cessation de travail;
repos. Rejouissance, recr6eation, diverlisse-
ment. " Repos qu’on donne Ala terre labourable.
Dias de— , jours de repos, de conge.
FOLGÄDANENTE, ade, tranquillement, com-
FOL
modement, 4 loisir, bien & l’aise; amplement,
largement.
FoLcino, A, p. p. de Folgar. adj. Oisit;
tranquille; paisible; aise, qui ne serre pas
ample, large. Passar, levar a vida —a, mener
une vie tranquille, paisible, vivro en repos.
t FoLcapor, a, adj. qui aime ä se Teposer;
qui se rejouit; folätre, badin, qui aime d folä-
itrer. °
* FoLcinca, s. f. "repos, tranquillite, beati-
tude, Rejouissance, recreation.
FoLcantg, adj. 2 gen. V. Folgadör. p. a. de
FoLcir, v.a. (p. ws.) lächer ow elargir une
chose. vo. n. (plus us.) Se reposer, suspendre le
travail; ne rien faire; folätrer. (com, de) Se
rejouir, &tre bien aise. — de ver, contempler ä
plaisir. -- do irabalko, se tenir de loisir, pren-
dre du loisir, du repos. Fölgo mdilo, je suis
bien aise.
Forcia, s. m. V. Folguddo.
FoLcaziö, —zöna, adj. folätre, badin, en-
joue; oisif, paresseux, desauvre, faineanl;
homme qui ne cherche qu’ä se Jivertir.
Förco. V. Fölego.
FoLcu£no, s. m. passe-temps, jeu, amuit-
ment
FöLna, s. f. feuille: partie de la plante quı
garnit la Lige, es rameaux , organc respiraloirt
des vegetaux ; sa figure, sa forme; petale; (Ag-.
corps large, tr&s-mince; partie mince; lamc
mince; liste; carre de papier blanc, &eril ou
imprime ; registre. Manche d’habit non encore
cousue. * Feuillet d’un livre. Terre qu’on laisse
reposer une annee, Jachere. — de Flandres,
fer-blanc. — da espada, de faca, etc., lae
d’epee, de couteau, elc. — da vide, pamprt.
— de Irigo, cevada, ete., fane, pampre du bie,
de l’orge, etc. — da charrua , soc de la charrue.
Au cair da—,& la chute des feuilles. Dobrar
a —, cesser de lire. Virar —, changer de sujel.
Virar — a furluna a algquem, cesser d’eire [a-
vorable & quelgu’un, en parlant de la fortune.
Uma cousa em —, une chose loule neuve. De
— 6—, d’une annee A une autre, tous les ans.
— de couve, (4. d’kist. nal.) tridachne chot.
—s aladas sem impare nem gavinge, (1. ds
bot.) feuilles aildes sans impaire.
+Foınäna, s. f. quanliti& de feuilles tom-
b6es. * Toit de feuilles d’une chaumiere , el.
FoLuäina, s. f. ou } (6. de bot.) laurier-in,
+ FoLnino, s. m. laurier-ihym.
FoLHä0o, A,p.p. de Folkar. Feuillu, toulü.
s. m. Feuilletage, päle feuilletde.
FoLnäcen, s. [. feuillage : toutes les feuilles
d’un arbre; branches chargees de feuilles; 0®
qui les imite.
FoLniö, s. m. aug. de Fölko.
+ Foıniö, adj. m. Cavalko —, cheval is-
quiet.
ForLmia, v. a. faire pousser les feuilles.
FOLHÄR-SE, v. r. pousser des feuilles, 96
couvrir de feuilles, en parlanı des arbres.
+ FoLueiceo, A, adj. (I. de bot.) foliacd: de
la nature des feuilles;; en forme de feuilles.
FOM
f FoLuzioo, #. m. (1. de menuwis.) placage:
beis en feuilles appliqus sur d’autres bois. it.
p.p. de
FoLneir, v. a, feuilleter (un livre, de la
päle). Faire un placage de bois.
t Foıueäir, adj. 2 gen. (1. de bot.) follaire:
qui nalt de la feuille.
f FOLBEATÜRA, 8. f. (— dos gömos, 1. de bot.)
klistion : action de se garnir de feuilles.
FoLnXca, s. f.*flocon de neige.
FoLH£LHo, 8. m. *cosse, gousse, enveloppe
je certains legumes; follicule; balle des grains.
Foın£ra, s. f. petite lame de metal. Feuille r
paillon : petite lame sous les cristaux.
tTFOLBETEAR, vo. a. (£. de bijout.) monter
‚une pierre) & fond, monter sur feuille.
FoLn&ro, s. m. * brochure, pamphlet.
FOLHINnBA, 8. f. “almanach, calendrier. — de
rtza,, directoire. Estar fazendo —s, ( fig.) eire
pensif, tacitarne.
FöLuo, s.m. excroissance de lacorne des che-
vaux.—s, pl. (albala, garnilure de robe, volauıt.
t FoLnö, s. m. (8. de bot.) V. Foihddo.
FoLn6s0, a, adj. ($. de bot.) feuillu, garui
de feuilles.
FoLuöno, a, adj. leuillu ; touffa V. Frondoso.
FoLiA, s. f. sorte de danse gaıe; partie de
plaisir bruyante. Pdde-Ihe o corpo —, (fam.)
la peau lui dömange.
FoLsäno, a, p. p. de Foliar. adj. Folie.
FoLıäö, 5. m. baladin, danseur de folia.
V. ce mot. it. V. Folgazäo.
FoLıär, v9. ». danser au son du tambour de
basqu6; sauter d’une maniere ridicule, danser
en trepignant. Folätrer, folichonner.
f ForioLos, s. m. pl. (tl. de bot.) *folioles:
petites feuilles des feuilles composees, posdes
sur un pödoncule commun.
FouLa, s. f. (4.de mar.) houle. V.Marulhada.
FoLıLe, s. m. soufflet pour le feu. it. V.
Folhelho. —, pl. Faux pli d’un habit mal
cousu. — de ferreiro, soufllet de forge. Dar
nos —s, levanlar ou locar os —s, faire aller ou
suer les souflleis. Encher o —, (t. burl.) farcir
lı bedaine. Chegar ao — a alguem, (fam.)
taltre quelgu’un.
ForuicuLin, adj. 2 gen, (1. de bot.) follicu-
laire : de la follicule.
FoLLicuLo, s. m. (l.de bot.) *follicule : enve-
loppe des graines;; aıllıdre ou capsulc des fou-
keres; (t. d’anat.) meınbranea, glande renfler-
mant une cavit& d’oü part un conduil excre-
toire.
+ForLtıno, s.m.soufleur : celui qui faitaller
les souffleis d’un orgue, etc. .
FoLLicoLöso, A, adj. folliculeux:: de ia na-
wure da follioule.
+ FouLiino, s. m. (. de bot.) V. Folliculo.
FoLLinno, s. m. dim. de Folle.
FoLösa, s. f. (4. d’hist. nat.) tratne-buisson,
ou Iauvetio d’hiver : petit oiseau bec-fin.
Föuz,s. f. faim: envie, besoin de manger.
Famine : disette de vivres. (Ag.) * Desir ardent.
— caning, foim canine; (g.) appetil devorant.
FOR 613
Malar a —, apaiser sa faiın. Morrer, rabiar
com —, (fam.) enrager la faim. Anda mor-
rendo de —, c’est un pauvre miserable
Fosentagäö, s. f. fomentation - remede ap-
plique exlerieurement pour adoucir, fo:tilier,
resoudre.
FoMEXTÄDO, A, 9. p. de Fomenlar.
FOMENTADOR, A, 3. qui fomente ; molenr,
fauteur.
FOMENTÄR, v. a. fomenter : appliquer une
fomentation ; (Ag.) entretenir sourdenient ,
faire durer; encourager, animer, exciter;; pro-
icger, appuyer, favoriser.
Fomento, 5. m. * fomentation, lenitif, adou-
cissement. (g.) Appui, proteclion; encourage-
ment. Aliment du feu, d’une passion, elc.
(p. ws.)
tFönmes ou | cequiexcite, anime, donne
Fömıte,s.f. ) de l’ardeur. — peccati,,:loe.
lat.) penchant naturel au mal; concupiscence.
"FonO,s.m.V.Forno. Au Bresil, c’est une
esp&ce de bassin de terre ‚ou plaleau de cuivre,
pour rötir le manioc.
Föna,s. m. vilain, crasseux, ladre. f. Fan-
faron.
Fönas, s. f. pl. elincelles qui s’eleignent
avant de tomber.
Fonranräö, etc. V. Fanfarrdö, etc.
FoNTAinHA , 8. f. V. Fonlezinha.
FontaniL, adj. 2 gen. de fontaine. Principio
—,(t. de theol.) origine, source, principe,
cause.
FONTAN£LLa,s. f."cautere. Fontanelle, en-
droit oü aboutissent les sutures du crAne.
* Fontänge, s. f. fontange : nwud de rubans
autour de la t&te.
Fonte, s. f. fontaine : source d’eau vive.
(#g.) Source, principe, origine. * Caul£re : ou-
verture faite dans la chair avec un causlique,
etc. — baptısmal, fonts baplismaux. Tanias
vozes vai 0 cAnlaro d— ale se quebra,
(prov.) tant va la cruche & l’eau qu’ä la fin elle
so casse. As —s, pl. les tempes.
FONTEZIinHA, s. f. dim. de Fonte.
*För,s. f. V. Forma, Modo.
Föra (de), adv. et prep. hors, dekers; hor-
mis, excepte, fors. V. Afora. Outre, de plus.
—! interj. bors d’ici! fi donc! ä bas! Estar —
de juizo, &ire hors de son bon sens, exlrava-
guer. Estar — de si, &tre hors de soi,transporte,
aveugl& par la passion, elc. Sair —, para —,
sortir, aller dehors. — de zombaria, raillerie &
part. De —, exterieurement. De — parte, en
outre. —de, excepte, A l’exception de. — d’isso,
de plus, outre cela. — de tempo, apr&s coup.
Da parte de —, par dehors, & Pezterieur. Jan-
tar —,ne pas diner & la maison, diner en ville.
Ir para — da lerra, aller hors de la ville, aller
a la campagne. Deizar de—. V. Excluir.
+Förı,s. f.ou m. dehors : la partie exle-
rieure. Andar por —, etre dehors. Gente de —,
des eirangers. Ter genle de — ou esliar com
gente de —, (fam.) avoir du monde chez 80i,
avpir des sisitee,
sit FOR FÜR
force une place, etc. ;.violer une femme, Reu-
forcer. — de alguem, porter plaints conire
quelqu’un.
FoRcAn-sE (por), #. r. s’ellorcer, faire des
efforts.
Forcersino, A,P. pP. de
Foaczsir (com, conira ; por) v. m. faire efort
eontre; faire effort pour; s’eforcer de, faire
des efforts, redoubler de courage, ete., Serer-
tuer ; se debattre. ( Ag.) S’opposer fortement.
+ Fonckıo, s. m. effort.
FORGÖSAMANTE, adv. necessairement, inkti-
tablement;; forcöment, par force.
Forcöso, A, adj. necessaire, inerilable,
forc6 ,indispensable; fort, robuste, vigoureut.
Violent. B— morrer, il faut mourir. Foi-,
force a &t6 de...
Foncöna ,s. f. baignoire, petite loge de thti-
tre. is. V. Fressura.
Foncuntıno, A,s. vendeur, —euse de res-
sures.
* Fontca, s. f. V. Canhenko..
Forftirno, A, adj. et s. eınphytöote, censi-
taire ; tributaire, redevancier.
Fortnse, adj. 2 gen. du barreau, qui cor-
cerne le barreau.
+ Fonesttiro, s.m. capitaine gendral ‚gor-
verneur anciennement en Flandre.
* Forcıcia, etc. V. Forjar.
Försa, s. f. forge: fourneau, enclume por!
forger. Anda o negocio na — , Yaffaire est su!
le tapis.
Forsino, A, p. p. de Forjar. adj. Faili
plaisir.
ForsanoR , 5. m. forgeron, forgeur.
Forsapüra , 3. f. action et effet de forger:
Forsin,o.a. forger : donner la forme au fer,
au metal, ä l’aide du feu et du marteau; (g.)
inventer, controuver, supposer.
* Foruies. V. Florins ımonnaie).
Förua, s. f. forme, configuration des Corps;
fecon, guise; maniere d’agir, de proceder.
Hostle: pain pour la consecration eucharisli-
que. Forme des sacrements : paroles sacramel-
telles. File, rangee de soldats. De —, de fagon,
de maniere. De tel — que, si bien que, tell
ment que.
Forma, s. f. forme de chapeau, de soulier,
eto. Moule. Vergeoise dans les sucreries. —
pora faxer cartuzos, (1. de mer.) forıne & ga'-
Kousses. — do idme, (id.) gabarit du gonvei-
nail. — do queijo, eclisse. Leitra de —, carat-
tere typograpbique.
Foruacid, s. f. formation s action de formef,
de se former.
Foruipo, A, p. p. de Forster.
FoauanOn, s. m. formateur : qui forme, qui
faconne. Createur.
ForwarLinco, adj. m. Anglo —, (1. de for!.)
angle formant le flanc.
FonwiL, adj. 2 gen. formel, expres, preis.
an concerne la forme. Prepre, reel. Gra'E,
serieux.
+ Fonuir, e. m. — de parkiihe, scie ou!
* Fonaczem. V. Miungas.
Fonacino, A, adj. fugitif, vagabond , errant.
V. Omisiado.
Foriı, s. m. *charto donnee d une ville,d un
bourg; röle ow registre des droits, redevances,
privileges, eto., d’une ville.
Foramınöso, A,.adj. V. Fendido, Rölo.
+ FonamonTtäö, s. m. ancien impöt de vene-
rie sur certains villages, formes ou emphy-
s08.
Fori8. V. Furdd.
* Fonaala. V. Foragem.
Forastfino , s. m. eiranger, forain.
Fönca , s. f. potence; gibet. Fourche. Acabou
wuma —, il finit par @tre pendu. 4 — ndo
perde 0 seu direilo ‚ le gibet ne perd point 508
droits.
Fonciva. V. Forcddo.
FORCADINHO, 8. m. dim. de
Forci2o, s. m. * fourche. — da quilhs, (1. de
mar.) fourque. it. p. p. de Forcer.
Foncanöna, s. f. fourchure.
Foncin, v. 6. retourner avoc une fourcho les
gerbes de bie dans l’aire.
FoRcarkTg, s. m. ancien meuble.
Fönca, s. f. force, vigucur; faculte d’agir
vigoureusement, de renverser les obstacles, de
mouvoir, de repousser, d’ecarter; puissance,
empire, eflet; necessile; contrainte; vertu;
penetration d’esprit ; Impetuosit£ ; solidits d’un
ralsonnement;; nouvellete; viol. Fort de ’epee:
tiors de sa longueur du cötöde sa garde. (vieuz)
Place forte. 4’ —, par force. 4’ — de, & force
de. A’ — d’armas, — d’armas, de vire
force, les armes & la main. 4’ viva —, de
vive force, De ou por —, de toute necessite,
de force, par force, avec violence, contre
droitet raison;; necessairement ,indispensable-
ment. De — ou por vontlade , bon grö, malgre,
de gre ou de force. K mister recorrer d — ou
aypellar para a—, il faut en venir ä la force.
a — do inverno, au fort de l’hiver. Na — da
dor, au fort de sa douleur. Dar uma — d’al-
guem, porter plainte contre quelqu’un. —s, pl.
forces, les troupes d’un pays, tout ce qui le
rend puissant ; vigueur da corps, ( fig.) de
l’esprit, de ’äme, etc. As —s da escriptura,, do
cuntrato,, la force, les clauses essentielles d’un
contrat, etc. Fazer —s para algum fim, obli-
ger, forcer. Tirar —ı da frequeza,, faire de n6-
cossil& verlu. Dar —s, donner des forces, for-
tiier. Trabalhar com lodas as —,, travailier de
Loute sa force.
ForcäDANMentE, adv. forc&ment, necessaire-
ment.
Forcino, s. m. forgat, galörlen. «4. ade. V.
Forgadamente. it. p. p. de Forgar.
Fonganon, s. m. celul qui force, qui fait vio-
leuce, qui viole une femme.
ForgaNE£nTo, s. m. action de forcer; viol.
Forcixte, adj. 2 gen. qui force. p. a. de
Forcir, vo. a. forcer : faire effort, rompre
avec violence; (g.) obliger, contraindre,, vio-
jenter, faire violence, —, enlever, prendsp par
FOR
treit de partage qu’en donne Achsen des heri-
tiers. (views) Ferme, maison de campagne.
FoORSALIDÄDE, 5. f. pontiualit#, exzactitude.
Formalite, cer&emonie, ötiquette. Gravite, s6-
rieax. Formalite : maniöre expresse de proc6-
der en jastioe.
FoRMALISTA, s. m. formalisie: atischö aux
formses, aux formalites ; vötilleux.
FORMALIZADO, A, 9. p. de
FORMaLIZÄR, v. a. donner la forme; rediger
selon les forınes.
Fonuaumzin-sz, v. r. se formaliser, solfeh-
ser, prendre au sörieux.
Fon z, adv. formellement; avec for-
malite.
*Fonmiß. V. Firmäd.
Foruiö, s. m. grand ciseau, fermoir de me-
JAuisier. — curvo,, fermoir ä,nez rond,
Fonsir, v. a. former: donner la forme; fa-
conner ; oomposer une chose de plusieurs au-
tres ; arranger, meltre en ordre ; produire,
eroer, donner l’e&ire; (Ag.) instruire, &lever.
— 05 cosiumes,, morigener : former les m@urs.
— conceilo, former un jJugement dans son
esprit. — Partido, former un parii.
Fonuinsk,v.r. se former ; prendre je degr&
(de bachelier ou docteur) dans une universite.
Foruarüra, s. f. acte de prendre un degre
dans une universile. (1. wel.) Disposition d’une
arınee.
Fonutıno, 5. m. formier : ouvrier qui fait des
formes de souliers.
Forukute. V. Fermento.
Fonuica,s. f. V. Cobrelo (maladie).
FORNICÄNTE,, adj. 2 gen. (4. de med.) formi-
eant : (pouls) petit, faible et frequent.
FoRuıDÄnTs, adj. 2 gen. (pact.) qui redouse.
FORMIDÄNDO, A, formidable, re-
FORMIDÄVEL, adj. 2 gen. doutable. Grand,
gros, vaste, 6tendu.
FORMIDÄVELMRNTE , adv. d’ane maniöre for-
midable.
ForuıpoLdso, A,adj. craintil, timide. For-
midsble, redoutable. -
Foruica, s. f. fourmi :insecte hyme&noptere,
qui vit en societe, tres-industrieux. — branca
ou ferme, termite. — de fogo, petite fourmi
noire du Bresil dont la morsure est brülante.
A’ —, adv. petit & petit, l’un apres l’autre.
+ FORMIGAMENTO „sm. " demangeaison F
prurit.
Fonmicid, s. m. grande fourmi. — de pol-
vora, saucisson, trainde de poudre. Muro de
— mar fait en petiles pierres.
Formicär, v. ». picoter entre cuir et chair,
demanger; foarmiller, abonder.
Foamiıcuzsar. V. Formigdr.
+ Formicugirixno, s. m. dim. de Formi-
gweiro. it. Larronneau, flou.
Foamıcußiro, 3. m. *fourmiliäre : lieu , trou
od se retirent les fourmis; ces fourmis; formi-
calion, fourmillement; ( Ag.) grande quantits
de monde. *Teigne aux pieds des chevaug;
fourmiljere, (4, d’hist. nat.) V. Tamandud,
FOR
Fonuicußıro , adj. m. Ladrdo
thoses de peu de valeur.
FoasteviLso, 3. m. * [ourmiliöre ; vide entre
la chair et le sabot du cheval.
Foruicuinua, s. [. dim. de Forsmige.
Foruinna, s. f. dim. de Förme.
Formösamentz, adv. joliment, agreabie-
ment, en perfeclion.
Fonmoszin, elc. V. Aformosear, elc.
FORMosissmo, A,adj. sup. de
FoRrmöso, A, adj. boau agreabie ä lavue;
bxcellent dans son genre. V. Bonilo, Muiher
—s, jolie femme. Ndo ka —a som sendo, iln'y
a pas de beaute sans defaut. Näo d —a gue di-
gdmos, elle n’est pas jolie. Nada em de —a,
elle n’est point Jolie.
Foruosüra, 8. f. beaul&: proporlion agrea-
ble des parties d’un tout. Beauts d’une femme.
—, agrement d’un lien, etc. —, jolie per-
sonne.
FöamuLs, s. f. formule, rögie, style, termes
prescrits.
+ ForwuLsciö,s. f. action de (ormuler (un
remöde), de reduire en formule (une pensee,
ete.).
FoauuLino, A, 9.9. de
ForsuLär, v. a. förmuler : reduire en for-
mule, & une expression generale.
FoanxuLisıo, s. mw. formulaire : livre, recueil
de formules, de formaliles, de professions de
fol.
FORMULISTA, 5. m. formuliste : attach6 scru-
puleusement aux formules.
*Fonnäca. V. Fornälha.
‚+ Fonuacizs, 5. m. pl. (8. dent.) [öies en
P’honneur de Fornax, deesse des foars.
Fornackıro, s.m. fournalisie: ouvrier qui
fait des fourneaux pour la monnaie.
Fornicos, s. m. pl. (#4. de charp.) bätons
minces dans la charpente.
Fornäpa,s. f. fournee. Cozer # —, (t. burl.)
Cuver son vin.
FoanäLHa, 8. f. fournaise ; potager, fourneau
de cuisıne.
FORNALHRIRO, 3. m. celui qui travaille au
four ou fourneau.
*FORNAZINHO, A, adj. V. Adullerino,
FORnKÄR , 0. a. enfourner. V. Infornar. —as
lancas, brandir les lances. v. ». Faire le me-
tier de boulanger.
Fornecke , v. a. fournir, garnir, pourvoir.
FORNECIDO, A,P.p. de Fornecer.
FORNECIMÄNTO, s. m. * fourniture, approvi-
sionnement. (1. de eomm. ) Fournissemebt.
Forn£ıro, A, 5. boulanger; fournier. — de
cal, chaufournier.
FORNEJÄR. V. Fornear.
* FORNESINBO, A, adj. bätard,, adulterin.
Fornıcackö ,s. f. fornicalion : commerce il-
legitime entre un gargon et une fille, eniro
deux personnes libres des deux seXes.
Fonnicapor. V. Forwicdrio.
Fornıcir, v. a. et #. forniquer ; commeltfo
lo pech6 do la forniea}ion,
615
— ,v6leur do
616 FOR FOR
Forntcänıo, A, 8. fornicaleur ; impudique,
lascif, luxurieux.
FÖRnIcE , s. m. arche, voüle, arc d’architec-
ture.
Foanıcıo. V. Formizio.
Fonnipo,A, p. p. de Fornir. adj. Approvi-
sionnd; pourvu, fourni. Fort, robuste, puis-
sant. — de membdros, membru, fort, robuste.
Panno bem —, drap bien fourni, bien etoffe.
Dem — de carnes, corpulent, charnu. Madeira
bem —s,bois gros et fort. Naus —as, vais-
scaux d’un bordage gros et fort.
FoaniLno, s. m. petit four ; foyer d’une forge;
fourneau de mine.
Fonnımentro,s. m. *planches, ais de bois
d’vrable. * Corpulence, embonpoint, * Fourni-
ture.
Fornta, o. 6. fournir, pourvoir, garnir.
" Foanızio, s. m. fornication enire des per-
sonnes non marides.
Fönno, s. m. four. — publico, four banal.
— de reverbero, four A röverbere. — de tejölo,
four & briques.
F6ro ‚a. m. lioa oü l’on rend la justlice , oü
!'on plaide : barreau. For, tribunal ‚juridiction.
Directe : domaine ou seigneurie direote. Cens;
rente fonciere. Droit, privilege, prerogative.
"Loi,, statut, coutume d’un royaume, etc. *Es-
Iıme, röputalion. —s, pl. privilöges d’une pro-
vince , d’une ville, etc. — intermo ou da
ronsciencis, for interieur, le jugement de la
propre conscience. — exierno, for exisrieur,
jJuridietion ecclesiastique. — de Adalgo, letires
de noblesse. — de cidadds, droit de bourgeoi-
sic. Andar em — de valenie, eic., avoir la
reputation de brarve,
Fanör. V. Fardl.
Fonquzipo, a. V. Forgwilkoso.
Fonquzanöna. V. Bifurcasds.
+ Fongutra, s. f. fourche d’arbre. — dos
dranddes, (1. de mar.) boute-hors des galhau-
bans.
ForguiLma, s. f. petite fourche & deux ou
trois dents; fourchelte d’arbaldte, eto.
7 FonquiLnöso, A, adj. (1. de bot.) fourchu,
en fourche; bifurque.
Foanino,A,p.Pp. de Forrer.
Fonranon, s. m. doubleur. #f. Celul qui af-
franchit un esclave.
Fornachitas, s.m. (4. burl.) V. Forreta.
FoRRAGEADOR , s. m. fourrageur : soldat qui
va au fourrage.
ForraceiL, s. m. lieu abondant en fourrage.
V. Ferregial.
FonnAGEÄiR, ©. . fourrager : couper, amas-
ser du fourrage.
Funnackıno. V. Forragesdir.
Fornicen, s. f. (1. mil.) * fourrage : herbe
Pour la nourriture des chevaux.
Fonnausnto. V. Alforria. it. Forro.
Fonnin ‚vo. a. doubler (une etoffe, un habit,
“te.); affranchir un esclave; plafonner, lam-
Lrisser; öconomiser, Cpargner; degager unbien
des hypothöques. — ar amuradas. (1. de mar.)
vaigrer, lambrisser un vaissesu. — com chumbe
85 escovons, (id.) plomber les dcubiers. — com
chumbo as costuras, (id.) plomber les cosiureı
ot les dcarts,
Fonnän-sE,v.r. so racquitter; se racheter;
payer ses deites. — dem, sc vötir chaudement.
— de nuvons, se couvrir de nua
T Fonnas, s.f. pl. (t.de mar.) —dos rinzes,
bandes des ris,
Funrzcei. V. Forrageal.
* FunnEıan 08 fourrager; ravager (un
Fonngsan, v.a. pays). V. Forrsgear.
Fonr£ra, s.m. ladre, avaro, Crassous.
Fonrı£L, s. m. fourrier. — mör, marschal
des logis,
Föaro, A, ady. affranchi, mis en liberte. Di-
Bag$, libre d’hypothöques. Comer d Iripa —,
(fam.) vivre aux depens d’autrui.
Fönno, s. m. — de vestido, ete. , * doublure.
— de chapeo, * coiffe de chapcau. — do leclo,
das paredes d’uma casa, lambris, plancher,
plafond d'une maison. — de pelles ou pellisss,
"fourrure. — de navio, doublage : second bor-
dage d’un vaisseau. — do andie, (1. ds mar.)
*boudinure, imboudinure. — de chumbo dos e»
covens, (id.)” bolte ou tuyau de plonb dans les
eeubiers. — de chumbo dos emborndes, (ıd.)
dalots de plomb.— das amuradas, (id.) vaigres.
FORTALECEDOR , A , ady. et a. qui forlifie, for-
tißent.
FORTALECER , v. a. fortilier : donner de la
force ; rendre fort, plus fort, vigoureus. Affer-
mer. V. Fortifcar. Consoler, encourager.
FORTALECIDO, 4, 9. p. de Fortalecer.
FORTALECIMENTO, 5. m. affermissement.V.
Fortificagdö.
FontaLtza, s. f. force : une des quatre ver-
tus cardinales; vigueur naturelle; grandeur,
fermets de courage; valeur. Forteresse : chä-
teau foriifie.
ForTaLezän. etc. V. Forfificar, etc.
FÖRTE, s. m. fort: ouvrage fortific ; chäteau-
fort. Le fort, le plus &pais d’un bois. Contre-
fort. Ancienne monnaie portugaise de 29 reis.
FORTE, adj. 2 gen. fort, solide, capabie de
resister ; robuste, vigoureux. (g.) Courageus,
magnanime.Dur, rude, difficile ätravailier. (A9.)
—, grand, violent, extreme ;spiritueux, violent,
parlant du vin, ete.; convaincant, energique,
parlant du raisonnement. On le dit de l’argent,
de la monnaie qui excede le titre on le poids
ordinaire. — de genio, vif, colere, emporte,
enteie, tetu. Fazer-se —, se [ortifier, se re-
trancher. ( ig.) Tenir ferme, ne point oeder.
Jogar —, jouer gros jeu. — espada, rade joß-
leur, bonne &pee.
T Fünte, ade. (1. de mus.) forte : l’oppose de
piano. Fort, fortement.
FonteLeza,, etc. V. Forlaleze, etc.
FORTENENTE, adv. fortement : avec force et
vigueur.
tT Forter:ino, s. m. piano -foris „ forte-pia-
NO : instruimer' de musique en forıme de clare-
em.
FOS
*Forricamento. V. Fortifßcagds.
Fontwäö, s. f. force, &paisseur d'une etofle,
eir. Solidite. Violence , energie, activile. — de
genio , caraclöre tötu,, enlier, emporte.
Forriricacäö,, 3. f. fortification : ouvrages :
pour fortilier les places ; action, art de fortifier,
srchiteetare militaire.
FortırIcaDO, A, 9. p. de Forlificar.
FogriricaDoR , s. m. ingenieur qui dirige les
fortißcations d’une place.
Foarırıcinte, adj. 2 gen. fortißant : qui for-
üße. p.a. de
Fosrwichk, v. a. forlifler : entourer de 1or-
üßcallons (une ville, une montagne, une po-
sition, etc.). V. For er.
Foarırıcia-s& (em), o. r. se fortifier, se re-
trancher dans un poste.
Forrim , s. m. fortin, petit fort, fort decam-
Pagne.
Fortissıno,, A, adj. sup. de Forte.
Forrörtautnte, adv. fortuitement, par ha-
sarl,, inopindment.
‚Foartrto, A, adj. fortuit, accidentel, ino-
Pine.
Forrdn, 8. m. * odeur forte et desagröable. Il
est quelguefois adj. Cheiro —, mauvaise odeur.
Foaröna, s. f. fortune, cas fortuit, hasard ;
sccident beureaz ow malheureux, bonheur;
desiinde, sort; reussite, succes. ° Ascendant,
bonheur au jeu. Correr —, (1.de mar.) eprou-
ver [a fortune de mer. Ir d—, aller a l’aven-
tate. Homem de —, parvonu ; homme nouveau,
derien, qui a fait une fortune subite. Lance
de —, coup de fortune, bonheur inattendu.
Por —, par bonbeur. Provar —, tenter for-
Inne. Ndo deizard de fazer —, il ne manquera
pas de parvenir. —s, pl. richesse,, opulence.
t Fonrunipas ou — Tas, s. [. pl. (1. de geog.)
Fortunees : les de l’archipel de l’Octan Atlan-
gie, aujourd’hui les Canaries.
‚F Forrunäoo. V. Afortunddo. it. (inus.) Ar-
Fiscado,
T Foaruniricos, 3. m. pl. juifs qui faisaient
des sacrifices & la Fortune.
"Foatönıco, A , adj. de la fortune.
"Fonrünıo , s. m. bonheur.
t Fonrunöso, a, adj. heureux; qui a du
bonheur.
Fös. V. Föz.
Fusca,,s.f. frime, mine, semblant; menace
Yaine; agacerie; [ausses apparences , Mirage.
I Fösco, a, adj. läche, indolent; couard.
VOSFOREAR „ ©lC.
Fosrono, ele, | v. Prospa..., etc.
Fössa , s. f. [osse. V. Cora.
Fossipa. V. Fossado.
Fossaptına, s. f. tribut qu’on payait pour
Creuser et entretenir les foss€s d’une ville, eic.;
eı le disaitaussi de la ville qui payaitce Lribut.
Fossipo,s. m. V. Fosso. (viewx) Tribut qu’on
Pyait au roi lorsqwil allait & la guerre. L’en-
semble des fortifications d’une place.
Fossipo, A, j. czeus6, ereux, profond. | :
ei ’ ‚P | vigueur, sans force. (Ay.) Languissant; fragile,
P. pP. de Fossar.
FRA 617
Fossän, o. a. (inus.) oreuser, faire un foss6
autour. V. Forar.
Fossärıo. V, Cemuterio.
Fosstrr, s. m. dim. de Fosso. Petit fosse,
pelito ([osse.
FussıL, adj. 2 gen. fossile. On le dit des
corps que l’on Lrouve pötrifi6s dans la terre en
la creusant., .
Fössıs ow Fösskis, 8. m. pl. fossiles : terres,
pierres, coquilles, ossements, polypiers, v6-
getaux petrifies ‚ tir&s du sein de la terre.
Fösso, s. m.* fosse : creux en terre. Foss6
d’une place lortifiee.
t FössuLa , s. f. (1. de bot.) petite cavits.
t FossuLösas, Folhas—, (t. de bot.) V. Lac-
nusas.
*Föstz, s. m. baguetie de juridiction. V.
Fuste.
Föra, s. f. tolle fine ancienne, rayse et fran-
gee, dont les Maures faisaient des turbans;
coiffure des Maures.
Forzino, A, adj. qui imite la fola ( V. ce
mot), ou qui en est garni. "
FoTo,s.m. Em —, & flot.
Foröquss, s. m. pl. nom gensrique des dieux
au Japon.
Foucana,s. f. coup de faux; andain.
Föuce,, s. f. faux : instrument pour faucher.
— de seifar, faucille. —de podar, serpetie.
— rosadoura, [aux ou serpe & couper les ron-
ces, eic. Metler «— em seara.alheia, (fig.)mel-
tre la faucille dans la moisson d’autzui.
Foucno. V. Pateiro.
Foucınua, s. f. dim. de Fouce.
Foucınno, s. m. V. Foucinha.
Fouteza.
Fovto, A. } V. Afowt...
Fouv&ıro,A, adj. fauve, roussätre.
Fov&nte, adj. 2 gen. qui encourage.
Foro. V. Fdjo.
Föz, s. f. embouchure d’un fleuve; gorge,
detroit, passage entre deux montagnes. (flg.)
Entree. De— em föra, sans [rein, sans relenue,
Fräcamentg, ade. faiblement, sans force ni
vigueur, debilement ; on läche,
FracassiD0, A,p. p. de
Fnacassär, ©. a. [racasser : Tompre, briser
en pieces. V. Derrocar.
Fracisso, 8. m. fracas; chute suivie de rup-
ture. (Ag.) Desastre, mauvais succes, ruine,
malbeur.
Fracäizo. V. Fracdsso.
Fnaccäö, 8. f. (t. d’arith.) (raclion : partie
de l’unite, parties &gales de l’unite. dt. V. In-
fracgdo. (1. de kit.) —, aclion de rompre
(P’hostie).
Fraccıonäno,A,P. p. de
+ Faaccionik, 0. @. (p. us.) fraclionner:
reduire en fraolions, en petites parties.
Fraccionärıo,A, adj. fractionnaire : ( noMm-
bre) qui contient des fraclions, qui a rapport
aux fraclions.
Fnico,A, adj. faible, affaibli, &nerve, sans
618 FRA
suwjet & pecher ; döfeetacux,, parlent d’un rai-
sonnement, etc.; mediocre, patlant d’us
po&me,etc. Läche, poliron. (4. d’agr.) Maigre,
aride , siöriie, parlant de la terre. (Ag.) —,la-
bile, infid@le,, parlanı de la memoire. — de ca-
bepn, db memeria, qui a la töte, la memolre
fsibles.— de ‚quia letemperament,
la complexion delicate. — do peito, qui a la pol-
trine faible. —a gurs, petithomme; role insi-
gniflant.
Frico, 9. m. faible : ce qu’il y a de moins
fort, de defeotueax, defaut principal; (Ag.)
passion dominante d’une personne; penchant
defectdeur.
Fractöna, s.f. [racture, ruptare. Eifraction,
zupiu re faitepar un voleur pour derober. Fölure.
nacrunäno,A, adj. fracturs: od il y alrac-
ture (08). p. p. de
Fracrurin, 0. &. [ractarer : faire une frac-
ture.
Faanania, s. f. monacaille, molhaille, moi-
merie, tous les moines ou grande quantits de
Bnoines; esprit des moines.
Fripe, s. m. moine, religieax.—, feuille
d’impression qui n’a pas bien pris l’encre. Cy-
lindre de metier de soie.—s, pl. barres de
fourbisseur. — leigo, frere lai. — de pedra,
borne des russ. Meiter alguem —,, eniroquer,
fatre moine. Melter-se —, se faire moine, en-
trer en religion, prendre le capuchon.
FnADEIÄR, ©. #. 88 comportor ou agir en
‘moine; faire la moinerie.
Fraptsco, A, adj. de molne, monacal ;ama-
teur, parlisan des moines.
Frapgsirno. V. Fradinho.
Faanerz,s. m. * piöcede laplatine d’an fusil.
+ Faupicg, s. f. action, propos ridicule d’un
moine. .
Frapinto, #. in. dim. de Frads. Moinilion :
petit moine. Enfant qui porte ’habit de quel-
que ordre religieux. Pivolne, oiseau; if. van-
nesu, 6speoe d’Schassier. —s, pl. Deur vio-
lette, papillonante. Feijöes —s, harioots prin-
oes. — da mäo furdda. V. Duönde:
Faica, s. f. roche, rocher escarpe. Partie
raboteuse du bois , d’ane planehe, eto.
Faicaunteno, V. Trapeiro.
Faaciıno. V. Frangalko,, Trapo.
ft FracaLnortıno, s. m. (1. Buri.) qui alme
los toureuses, les feınmos deguenillees,
Fracäinte. V. Flagrante er Fragranse.
Fracäinta,s. f. V. Moranguelro.
Fracita, 8. f. fr&gate : vaisseau de guerre
leger, au-dessous de 60 canons. Grosse bar-
que sur le Tage. —, ou raboforcado, (1. d’hist.
nat.) —, oiseau de mer, palmipede, ir&s-rapide.
Fracariö, s. m. aug. de Fragdia. Grosse
[regate. Prögaton , grosse barıue.
Fracarfıno,s. m. batelier, tnarinier, surtout
d’ane fregate (barque).
+ Faicatinua, s. f. dim. do Fragata. Petite
fr&gate , (rögate Ires-legere.
Fnacirzro V. Franöso.
PnicıL, adj. 2 gen, Iragile : als A rompro;
FRA
(fg.) sujet A tomber eu faule; pen solide, peu
darabie.
FrnacıLiniee, 8. f. fragilite : faciliid As
rompre ; (g.) facilit6 & tamber en lanie; dis
posilion & cödeer aux penchants de la nalurt;
[söblesse, au peche.
FaiciLino. V. Fragilissimo. .
FaacıLissuo, A , adj. sup. de Fregil.
FricıLu£ntz, ade. d’une maniere frage;
par fragilite.
Fraicuturo, 5.8. fragment : ımorceau, P8!-
tie d’une chose brisee, rompue. —s, pl. (Pf)
fragments : parlies restäos d’un livre, ee.
Faico, s. m. (8. de chass.) * laisstes, Rene
de betes fauves.
Fnäcoaı, s.f. forge. V. Forja. Vourmais,
feu vif. (4g.) Adversite ; mortiflcatien ‚chagriz.
O rosio feilo ums —, lo visäge mis enlen,
enflamme , embrase.
Fracoir (pP. us.) V. Forjer.
Fracor, s. m. brait, fracas; coup de tea-
nerre.
Frac0n680, A, adj. bruyanı. V. Estronden.
Fracosipine, 3. f. Aprei6 d’un chemin, elc.,
pente rude d’un rocher escatp# , escarpemtul.
PracosissıuO, A, adj. sup. de
Frao6s0, A, adj. Apre, raboteux, coupt de
precipices, etc.
Fracaincıa, 8. f. odeur agreabie, exhalsi-
son odoriferante; suavil6 d’odeur, parlan,
bouquet. (fig.) Bonne odeur, bonne rtpei-
tion.
Faacaäutre, ad). 2 gem. odoriferant, edc-
rant, qui sent bon, gai röpand une bondt
odeur, qui embaume.
Fracxantissimo, A, adj. sup. de Fragree.
Faicva. V. Fragosidäde on Frrdgos.
Fraovgırice, 3. f. vie irds-dure ei Ir&s-aur
tere.
Fracvutino, A, adj. qui möne une vie dert
et ausidre; iufatigable ; ami de travail; imps-
tient; actil; fougueux.
*+Faacutıno, 8. m. abatieur de bois, b8-
cheron.
Fnachra,s. f. V. Fragosidede.
ber Fractta, s. f. "chalümesa, musetie de
rger.
*Fnaxmtzı. V. Penuris, Pobreze.
"Faasae. V. Frade ou Freire.
*Faarzeı. V. Froundi.
FriLoa, s. f. * pans d’une chemise, d'une
robe, ete.; basque, partie d’un habit long,
d’une armure, de la ceinture en bas; Jupe de
femme, etc. (fig.) Partie d’une montagne, de
puis la base jusqu’ä mi-cöte. —do mer, rire,
rivage. — do monle, bas d’ane monlagne. (de
de —.V. Fraldeiro.
FaaLdino, A, adj. plisse, qui a de larges
pens; quia un iong contour. p. p. de Fralder.
Fraroid, 5. m. aug. de Fralda. ’Basqet,
partie d’ane arımure de la ceinture em bas. V.
Toneldles.
FaaLoin, u. @. atischer, eoudre les pans
dung cbemise, oto,
FRA
Päitugsin , 9. 0.66toyer, sulvre le bas d’uno
montagne,
FraLokıro, A, adj. qui appartient & une jupe
de femme. C4o —, pelit chien mignon, ohien
de manchon. Homem —, (fg. fam.) qui est
sans cesse avee les fommes, parlant d’un
kermme qui aime le cotillon.
FaALDELBIM, 8. m. cotillon: jupe de dessous.
FrALDELIM, 5. m. sorte de tuniyue intörieure
os jape ouverte par-derant. V. Brial.
t FaaLoicörto,, A, adj. (podt.) quia les bas-
ques eourles.
FaaLpino, A,adj. qui a un grand pan, de
longues basques. Mulker —a, femme co-
quelis.
FaıLviuna, 8. f. "tablier de ouir; tablier de
sapeer. —s, pl. basques d’un pourpeint, d’an
corps de jupe, elc.
Frarpisqukıno, 3. ws. petit chien mignon,
chien de manchon.
+ FaaLdöso, A, adj. qui a de longues bas-
ques; & queue tralnante. (fig.) Redondant.
"Friua. V. Fiamma,
Faampoßzas ou V. Siloa framboe-
Framponzkıra,s. f. I zeira.
Faimza,s. f. framee : javeline, arme de jet
et de main.
Faaußuco. V. Fismengo.
FRANCALETE, 8. m. ”courroie, garnie d’une
boucle & sen extrömits, pour attacher la fonte
des pistolets & la solle.
FRANCAM2NTE, adv. franehoment; lib6ra-
lement , g&nsreusement, largement.
+ Fainca, s. f. (1. da gdog.) France : puis-
sant et grand Etat de l’Europe.
Fringca, 8. f. plusus. aupl. Ae—s das ar-
vores,, les branches dlev6es des arhres.
+ Faancarkira, 3. f. "mannequin, poupart
qui se meut par des ressorts caoh6s.
FRANCEAR,, 9. a. couper les branches dlerdes
des arbres. V. Frangas.
FranckLa. (f. de prov.) V. Queijeira.
PFRrAncELBINEO, 8. m. dim. de
FrauckLHo, 8. m. " coresserelle, espäce d’&-
pervier, oiseau de proie.
Franckz, A, adj. eis. Frangais : qui est de
France; langue francaise. Mal —.V. Gallico,
4’ —a,ä la mode de France, & la frangaise.
+ Francezia, s. f. habitude,, mode francalse;
affectation & imiter, & admirer les Frangais,, les
choses frangaises.
Francaipo, A, adj. (t. de bias.) partag6 dia-
gonalement.
+ Faancninöte, 3. m. (4. burl.) homme pe-
tulant, insolent.
Francscino, A, adj. franeiscaln : de l’ordre
de ssint Prangois.
Francisco, A, adj. Frade—, [ranciscain,
religieux de saint Frangais, cordelier.
Frinco, a, adj. liberal, gönereux; libre,
privilegiö; exempt; sincere, loyal, ingenu.
Mesa, poria—a, table, porte ouverte & tout
ie monde. Powsada —a, auberge , logement oü
von ne pale rien. Porto —, port frano, oxemp!
FRA 619
de laut droit; entrde Hibep. Ki: 6 ‚ langtie
franque : jargon usite dans le Levant, et gui
est mel6 de Irangais, d’itallen, d’espagnol, etc.
Frinco, s. m. franc : piöce de vingt sous;
monnais de compte. * .
T Franco-Coxnäno, s. m. (l. de geog.) Fran-
che-Coinie : ancienne province de France.
FRANcOLIiM, s. m. francolin: oiseau peu diffe-
rent de la perdrix.
t Fräncos, s. m. pl. Francs. On appelle
ainsi les Germains qui se sont &lahlis dans les
Gaules vers l’an 418, et qui leur ont donne le
nom de France.
FRANDULÄGE, 8. f. babioles, marchandises
de bas prix. (Ag.) Gens derien.
FRANDUNO, A, adj. on le disait Autrefois
d’un Portugais qui allait en Flandre pour ap-
prendre le commerce, etc.; qui introduisait
les habitudes flamandes, en meprisant les usa-
ges de son pays,
Fringa, s. f. poulette, poularde.
t FrancäLno, s.m. chiffon, haillon, guc-
nille ; babit dechire.
Fräncio, pl. —cios. V. Frango.
FRANGER,(p. us.) V.’Quebrar, Violar.
FRANGIPÄNO, A, adj. prepare , aromalisd avec
le parfum frangipane; & la (rangipane.
FRANGIVEL, adj. 2 gen. [ragile, cassant.
Fränco, s, m. poulet.
FRANcöLHO,s.m. bie ecrase qu’on fait cuire,
Fräncug, s. m. Frangui : Dom par lequel les
Indiens et les Maures designent les Europcens.
T Francuuina, s. f. (l. de bot.) bourgene,
bourdaine, aune noire :: arbrisseau du genre
du nerprun.
Trans, s. f. frange : tissu d’oh pendent des
eis.
Faansäno, A, p. p. de Frenjar. adj. Garni
de frange; frange&, en forme de frange.
Fransiö, s. m. aug. de Franja. Grande,
large frange.
Fransin, vo. a. [ranger : garnir de franges,
FRANQUEÄDO, A, p. p. de
FRANQUEÄR, vd. a. exempter, affranchir, dıs-
penser. Debarrasser, Öter les obstacles. Fran-
chir; passer, traverser. Faciliter ;, accorder ge-
nereusement, avec liberalitle. — a casd,, accor-
der l’entree dans une maison. — as carlas, al-
franchir les lettres.
FRANQUEAR-SE , u. r. se pr&ler facilement aux
desirs des autres. — com alguem, ouvrir son
caur ä quelgu’un.
Frangußza, s. f. franchise, exemption , pri-
vilege; immunite. Liberalit&, largesse, gene-
rosile. (fig.) — , ingenuits, sincerile, candeur.
Com —, [rancbement, vuvertement,
Franquia, 3. f. franchise, exemption, ım-
munit6; asilo, droit d’asile. Pör em — , esfar
em —,(1. de mar.) appareiller : &ire prei d
mettre & la voile, eire cn parlance,
Franquino. V. Arroleddo.
Faanquissımo, A, adj. sup. de Franco,
FnransseLno. V. Francelho,
Frayxän, V. Frowsel,
620 FRA
Faauzipo, A, 9. p. de Franz
TFaanzımtnto, s. m. froncis: plis faits &
une dtoffe, A une robe en la frongant; fronce-
ment, action de froncer.
Faınzino, A, adj. mince, gröle, efile.
Faanzir,, v. a. froncer : plisser menu (du
linge, une &toffe, ete.) ; rider ( le sourcil).
* FraQuauente. V. Fracamente.
Faaqueia,v.n. faiblir : perdre de sa force.
(fig.) Perdre de son courage. Manquer de cou-
rage, c&der sans resistance ; abaisser de cou-
rege. (ig.) Se relächer, perdre de son ardeur,
se desister. Manquer, defaillir, tomher.
Fnaoosıno, A, adj. faible, leger; pauvre,
maigre, peu fertile (terre).
Fraqugsin.V. Fr ar
FaAqußTte, adj. 2 gen. dim. de Fraco.Un peu
Fragußza, s. f. faiblesse, debilit# ;, manque
de force, de puissance, (Ag.) de vigueur d’es-
prit, de jugement, de courage, de fermets;
fragilite , penchant au mal; faute; faible. — do
eslomago , faiblesse d’estomac. Ndo mostrar—,
ne point monirer de faiblesse,, avoir de la fer-
meis.
FraQuinBo, a, dim. de Fraco. Bien faible,
languissant ; d’ane faible complexion.
Fnaguissimo, A , adj. sup. de Fraco.
Fraisca, s. f. batterie de cuisine; vaisselle,
V. Fr em.
" Frascices,s. f.*bagage, valise. V. Frasca.
FaasciL. V. Fascal.
Frascania , s. f. maison de döbauche; pail-
lardise.
Frasciaıo , A, adj. libertin , debauche,
adonne aux femmes, qui court les mauvais
lieux; paillard.
Fnisco, s. m. flacon, bouteille. — de pöloo-
ra, poire & poudre. — de boca larga, bocal.
—ı de fogo para a
ses, bouteilles pleines d’ariilice.
Frisg ou Panise, s. f. phrase : r&union des
mots formant un sens Complet. (fg.) Construc-
lion grammaticale , &locution, style.
Fnaszino, A, p. p. de Phrasear. ady. Qui
s’annonco par des phrases, qui en contient;
ampoulö, recherche, parlant du style. O—,
s. m. l’arrangement des phrases.
FrasganDon, s. m. phraseur: qui fait des
phrases.
Faasein, 0. ». phraser : faire des phrases.
FaaseoLocia, 8. f. phrastologie : construc-
tion de phrases d’une langue, d'un 6crivain.
* Faasıs. V. Frase.
Faasquacen. V. Fr em.
Faasgqutına, s.f. cantine : coffre en compar-
timents pour des bouteilles, des flacons.
Faasgutiro , A, adj. sensuel. V. Frasedrio.
Em traje de —a, en neglige.
Faasgutra, s. f. (8. d’impr.) [risquette :
sorte de chässis plat, en cartoıı, decoupe de ma-
niere ä garanlir les ınarges dans l’impression.
Faasyuuinno, s. m.dim. de Frasco. Petit fla-
con.
‚(4. de mar.) bos-
FRE
Faariana, s. f. röpeimande, correclien {re-
ternelle. Dar uma — , faire une reprimande
fraternelie
FratzaniL,adj.2 gen. (raternel : propre aux
fröres, tel qu’il leur convient. Correepio —,
correction fraternelie, (aile en esprit de charite.
FRATKRNALNENTE,, ade. [raternelloment : en
fröre ; d’une maniere fraternelle.
FaATennıpine, 5. f. [rateroits : relation de
frere & fröre; union, amilie, liaison fraler-
nelles.
FaATErnisän, vo. m. [raterniser : vivre [ra-
ternellement.
Faatzano. V. Fraternal.
T FrartaıckLLos, 5. m. pl. sectaires du trei-
zieme siöcle, oondamnes par Bonilace VIll.
Faaraıcipa,adj. 2 gen. fratricide : meurtier
de son {rdre.
FRATRICIDIO, e. m. fratrieide : meurtre d'un
Fraraissas, 5. f. pl. espece de religieuses de
l’ordre de Malte , qui vivaient chez elles.
Faaudino, A, 9. p. de Fraudar.
FaAupADOR, A, adj. et s. fraudeur : gai
fraude, qui fait la fraude.
Faaupin, v.a. frauder:: tromper, decevoir;
frustrer par fraude.
t FaaupiveL, adj. 2 gen. qui peut re
fraude.
Faiupe, s. f. fraude : tromperie cach6e; a-
tion de mauvaise foi;; superoherie ; coulraves-
tion ; dol,, döception.
FaaupvuLäncıa , 5. f. frande.
FRAUDULENTAUMENTE, adv. frauduleusemen!,
avoc fraude. .
FaaupuL&nto,, A, adj. frauduleux : qui
trompe,, qui agit de mauvaise foi, so dit des
personnes; frauduleux,, oü il y a de la fraude,
se dit des choses.
FaaunuL6so, A, adj. frauduleux. V. Frew
dulento. .
Friäuta, 8. f. V. Flauta.
Faautino, A, adj. üte. On le dit d’une voit
doucoe et agreable comme la flüte. p. p. de
Faäutan, v. a. flüter, donner le son d’une
fläte & un instrument; faire jouer la üüle de
Porgue. — « vos, parlor avec une voix douoe,
melodieuse.
FaAUTEIRO,
Faavrista. } V. Fiaut...
FaRAUTIM.
Fraxımtıra ,s. f. (£. de bof.) (rauinelle. V.
Dietamo-branco.
Faazancus. V. Parasanga.
"Faziua,s. f. V. Presunto.
Frecua, s. f. öche. V. Setta. it. - ou ardre,
bois qui sert & mouvoir un pont-ieris. De —,
tout droit vers quelque lieu ow vers quelque
personne. — de fogo , dard ä feu.
FrecHina, 8. f. coup de fleche.
Frxcnävo, A,P. p. de Frecher.
FrzcHiL,s. m. (t. de charp.) "sabliere: piece
entaillde pour porter des solivesux.
FrrcHÄrR, v. a. tirer de l’arc, percer & coups
FRE
de Nöches , d’un coup de fläche. (fg \ Conrir, |
traverser rapidement coınme la Nöche — u
erro, bander un arc, une arbalete.
Frecuania ,s. f. grand nombre de fläches;
plusieurs Nöches lancees & la fois.
Fa£cn£ıno, s. m. archer : soldat combatianı
areo un arc ; qui cChasse avec un arc.
*Farcacä0.V. Esfregaräo.
*Fascin, etc. V. Esfregar, etc.
Fagcıiz, a, s. paroissien : habitant d’une
saroisse (Ag.) Celui qui fröquente assidument
use ma3son ; chaland, pratique.
Fatovzzia,, s. f. paroisse : territoire d’une
cure; ses habitants; son e&glise. (Ag.) * Con-
cours de chalands; chalandise.
Fatı, s. m. frere:: titre des moines et des
chevaliers des ordres militaires. Parlant d’un
moine-pretre, on dira en France le pere...
Faxitino, s. m. ouvrier qui fait ou vend des
mors de brides, &peronnier.
* Fasıcuzz. V. Freguez.
"Fatıma, etc. V. Fleuma, etc.
Fatıo ou Frko, s. m. frein : mors de cheval.
"Bride. Filet de la langue; ligament du pr&puce.
(Ag.) —, tout ce qui retient dans le devoir.
Tomar o— nos dentes, prendre le mors aux
denis. Morder o — , (fig.) regimber contre l’ai-
guillon; refuser de faire ce qu’on doit.
Fatına, s. f. religieuse, nonne, nonnain;
saur. — leige , saur laie. —s de Santa Ursula,
Ursulines.
Freirär, o. a. retevoir chevalier d’an ordre
militaire, Il est aussi reciproque.
‚Fazınätıco, a, edj. qui courtise les reli-
Kieuses.
Fatıne, 5. m. fröre; moine. On donne ce nom
aus chevaliers des trois ordres militeires en
Portugal.
"Preinia , s. f. nonnerie.
Freınice, s. f. * commerce habituel avec une
religieuse ; caprice, fantaisie de nonne.
Fagıninua ‚s. f. dim. de Freira. Nonnette.
* Fagıran. V. Fructificer.
FazıxiL, s. we. bois de frene.
Fatıxo, s. m. frene: grand arbre & beis
blanc , & fouillage bon pour les besliaux. — or-
neiro, frene & fleurs. (fg. poet.) Vaisseau.
FrEN£nTE, adj. 2 gen. [r&missant. p. a. de
"Faenin, v. ». [remir.
Faguıro, s. m. fremissement, grand bruit.
Bennissement des chevaux.V. Estrupido, Bra-
mido, Ruido. Cri, murmure d’une grande as-
semblee.
Fazmöso, eto. V. Formöso, eic.
Faenzsi ou Purengsi, s. m. * frendsie : dga-
rement, ali6nation d’esprit avec fureur; fureur,
passion violente ; (Ag.) emportement, excds de
psssion.
“Frenusia, 8. f.V. Frenesi.
FrenzsıÄno , A, P. p..de
FrenEsıÄR,, 9. a. causer de la frenesie. v. ®.
Agir comme un frenelique. (fg.) Avoir frene-
sie, s’eınporter
FRE 621
Prex£rico, a, adj. frendlique : alteint de
[renesie; furieax.
Faexte, s. f. * frontispice, face, facade;
front d'une armee, d’un batailion, etc. Em —,
vis-ä-vis. Fazer —, faire face , resister. Faser
—aume uulro parlido, se menager l’un cı
Yautre parti.
Fato. V. Fre6io.
Farquencıa, s. f. frequence; concours de
monde; vitesse; frequentalion. Com —, frv-
queınment.
Fazquentacäö, 8. f. frequentation. Repeti-
tion : fr&quent usage.
FREQUENTÄDANENTE. V. Frequenicmente.
FREQUENTÄDO, A, p. p. de Frequentar.
FREQUENTÄDOR,, A, 3. celui qui frequente.
FREQUENTÄR, v0. a. frequenter : banter, voir
souvent; aller souvent & ou dans; visiter son-
vent; avoir un frequent commerce; repeter,
reiterer.
FREQUENTATiVo , a, adj. ( t. de gramm.) fre-
yuentatif : (verbe) qui marque l’action repcbiv.
FREQuUenTE, adj. 2 gen. frequent : qui arrive
souvent, reitere; plus vif.
FREQUENTENENTE, adv. [requemment, sou-
vent.
FrEQuenTissıno, A, adj. sup. de Frequente.
Fresca,s. f.* frais, fraicheur (du temps‘,
air frais. 4° —, pela —, au frais, par le frais
ä la fraiche.
FresciL, adj. 2 gen. frais , recent, nouvcllie-
ment fait (fromage); qui fest pas entidiemcnit
frais , parlanı du poissen.
FRESCAMENTE, adv. fraichement, recem-
ment; avec fraicheur.
Fratsco , A, adj. frais : mediocrement froid;
recent. Saignant , nouveau. (fig.) —, qui a de=
couleurs, de l’embonpoint. Vento — , veıtt
frais, fort et favorable. Conto, hisloria —ı,
conte gras, lioencieux. Palauras —as, paroles
libres. Tera — a d’alguma cousa , &lıc
frais de quelque chose.
Faßsco, s. m. frais, air frais, temps frais.
Fresque. De — ,fratchement , recemment. Fa!
lar —, tenir des propos libres. Tomar o—,
prendre le frais. Pintura a— , peinture äfres-
que. Ventar —, souflier grand frais.
Fazscon, s. m. V. Fresquiddö, Frescura,
Vigo.
Fazschra, 8. f. (ratcheur. (fig.) Vigueur de
vegötation;; fleur de l’äge. (fam.) Indiflerence.
Sang-froid. Teve demasiada —, il eut trop de
sang-[roid.
Farsgutta. V. Frasqulta.
Fresquipäd. V. Frescura.
FazsQuinE0, A, adj. dim. de Fresco. On !’em
ploie aussi comme s. m. (f. de mar.) Petit fraıs.
Fazsovissımo,, A, adj. sup. de Fresco.
Faussöna, s. f. [ressure : le omur, la rate ei
les poumons des animaux. V. Dedulho.
Fressuntına, 5. f. femme qui vend des [rss-
sures,
Faksta, s. f. lucarne, abat-jour. nos der
les , bröche entre les dents.
624 FUC
Frunsentd, s. m. froment: la meilleure esp6os
deble.
Pauusntoso, A, adj. ferlile, abondanı en
FRUNCHO ou furoncle, fronele, clou,
FaüncuLo,s.m. | fAegmon enflamme.
+ Faussenia , s. f. (l. d’Asie) petite portion
d’or ou d’argent en grains qui se trouve dans
les riviöres ou dans les mines.
Frustnipaunte,, adv. en vain, vainement.
Faustnäno, Ar p. p. de Frustrar.
FRrUSTaADOR, A, adj. ets. qui fait manquer
une entreprise; qui frusire.
FRUSTRÄNEANRNTE, adv. en vaın , vainement.
FRUSTRÄNEO, A, adj. vain, inutile; sans effet,
[frusır6.
Fausrrir, v. a. frustrer : priver d’une chose
due ou atiendue. — 0 infenfo,, manquer son
coup.
Favsrnän-sE, vo. r. 6chouer, avorter, ne pas
röussir, avoir une issue contraire A celle qu’on
attendait.
FaUSTRATÖRIO, A, adj. [rustratoire :
inutile; fait pour frusirer.
Faüta, s. f. * fruit d’arbre fruitier ; les fruits;
dessert. — bölsa, (t. de bol.) cynomeölre:
plante l6ögumineuse. — estrellada, (id.) sislite,
magnolier. — d’enirudo, (id.) "sebestier, ar-
hre; plante arborescente,, & feurs monopötales,
qui donne le sebeste. — da grälka, (id.) " ka-
dali, espece de melasiome. — nova, "abrico-
tier ; (prop. ei fg.) fruil nouveau. — do tempo,
fruit de la saison. On le dit flgur&ment de ce
qui est fr&quent dans une saison, des rhumes
en hiver, etc. — sdcca, fruit sec, noix, noi-
settes, etc. —s oustonigas, fruits bälards.
* Faurar, ©. a. V. Desfructar. Cueillir les
fruits.
Faorkına, s. f. fruiliere : marchande de
fruits. Corbeille oü l’on sert des fruits sur la
table.
Faurtıro, s.w. fruitier : qui vend des fruils.
Vase, etc., pour porier des fruits.
Faörsx ou arbrissesu , plante [ruti-
Faöricg , 3. m } queuse,
Fauriricin,, etc. V. Fruclificar,, elc.
Faurivoro, etc. V. Frugivoro, etc.
FaöTo, s. m. [ruit : partie reproductive des
vegötaux, surtout des arbres et arbusies; sa
figure. Fruits de la terre, tout ce qu'elle pro-
duit ä sa surface, en vegelauz , et indıne dans
son sein. ( ig.) —, effet bon ou mauvais d'une
cause ; resultat; produit, utilite, profil, avan-
tage retire de. Der _, fruclißler. — de
enfant ne d’un marlage legitime. Zirer —, irer
du fruit, proßter.
FROTTOoso, etc. V. Fructuoso, eic.
Fauxo.V. Fluzo.
Fuiö.V. Fulano.
+Fosi,s.m. (1. du Bresil) farine da mals
ou du riz pour faire l’angü. V. co mot.
TFucamena,s. f. erbre du Bresil & feuilles
tres-largos.
vain et
FUG
hr +Focaro, s, m. homme erir&mement ri-
che.
Fucinno, etc. V. Foeinho, etc.
+Fico ,s. m. espece de planıe, qui ressembie
& la laitue , dont on fait une teinture rouge pour
teindre ies draps. (flg.) Fard; deguisemeni,
dissimulation,, tzomperie.
Fotıno, s. m. pieu, barre de charrelle. pl.
Ranchers.
Ficaı, s. f. fuite. (6. de mus.) Fugue. (Ag.)
— ‚course rapide du leınps, etc. * Espace oü se
meut une machine. ° Appui, soulien, atc-
boutant. — de casas, suile de pidces dont les
portes interieures sont en ligne droite.
Fucäcz, adj. 2 gen. [ugitif, löger, rapide.
F
. Fugas.
Fucacipäpe, 3. f. brievel&, courte duree ; ra-
pidite, vitesse.
Focacissıno, A, adj. sup. de Zugace.
f Fucäss ou FOcALIaS, s. f. pl. (8. dant.)
fugales ow rögifuges : [&tes chez les Romains en
memoire de l’expulsion des rois.
FrcaLica, s. f.'oorde qui tient le harpon
dans la p£che de la baleine. ( Ag.) Terme Ire»-
sont pour faire une chose.
UCAREINO,
Focando. } V. Fogar..., ete.
Fucäz, adj. 2 gen. fuyard : qui faul aisbment.
( Ag.) Passager : de courte duree. V. Fugacs,
* Fücz pour Föce (fuyez).
FuGkute, adj. 2 gen. ( t. de blas.) fuyant: qu'
fuit, en attitude de s’onfuir.
Fucıiö,, adj. m. Eseravo —, fuyard : (esclare!
qui a coutume de fuir de la maison de son
maltre, nögre marron,
Fucipa ,s. f. fuite : action de fuir, de s’&
chapper. (Ag.) * Subterfuge, &chappateire. Per
em —, chasser, faire fuir, mettre en fuile.
Fucioigo ow fuyard, deserteur; lu-
Fucinio, a, adj. giuit.
Fucido, a,adj. V. Fugilivo. De qui on fuit
(p. us.) p. p.de
Fucia (de,a, para), v.». fuir: öviter une chos:,
une personne, eic.; s’tloigner avec vilesse
pour eriter, s’&carter de...; s’enfuir. Courif
pour se sauver; se metire en fuile, prendre la
fuite; passer vite (le temps fwil). User de sab-
torfuges. Il est quelquefois actif comme en
francais. — 03 perigos, etc., fuir, eviter les pc-
rils, etc. — a difkculdade, &eluder, &riler avec
adresse, — 0 p6 a alguem, glisser, faire un
faux-pas. — a iuz ou o Iume dos olkos, man-
quer la vue & queiqu’un, A cause d’un coupä
la die, eio. — dos olhos algum objecte, dispa-
raltre, s’öclipser. — com 0 corpo ao golpe,
esqaiver un coup, faire le plongeon. (Ag.
Eluder, &viter adroitement. — d vista, etre im-
peroeptible Alavue.— a terra debaizo dos ps,
ne pouvoir pas se lenir debout ä cause d’era-
nouissement,
Fucia-sz, v. r. fuir, se sauver, 5 ’enfeir.
+ Fuctrivinıo, s. m. qui est ä la recherche
des esclaves fugilifs,
Focıtivo, A, adj. fugitif, fuyard, quifuit,
FUL
Passager : de courte duree. (fg.) Caduc, fra-
gile, perissable. s.m. Fuyard, soldat qui s’en-
fuit du combat.
Preukına. V. Fogueira.
Fusid. V. Fugidd.
Fuinua, s. f. fouine : sorle de grosse be-
lette.
FuinH0, s.m. grimpereau, passereau, tenui-
rostre.
Fira, s. f. häte, diligence. it. V. Empola.
Fula —, foule. Liqueur Ir&s-spiritueuse d’A-
sie.
Frıino, A, s. un tel, une telle, quelqu’un.
=e ıicrano, un tel et un tel.
FuLc£ntE, adj. 2 gen. brillant, eclatant, re-
luisant. ,
FuLcentissıno, A, adj. sup. de Fulgente.
FeLcınd, a. V. Fuigente.
Fricön, s. m. * lueur, eclat, splendeur.
tFiLcoras, s. f. pl. (t. dhist. nat.) [ulgores :
hemipteres, cicadaires.
“Fereöra. V. Fölga, Folganga.
Fticvrino, A, pP. p. de Fulgurar.
FriouräntE, adj. 2 gen. brillant, €clatant,
eiincelant, en parlant des eclairs. p. a. de
Friscrär, v. a. eblouir par une grande
elarte, jeter des eclairs. v. a. Luire, briller,
elınceler.
t FcLGurIchINÄNTE, adj. 2 gen. (poel.) qui
eblouit par le brillant de ses cheveux.
Fricuröso, A. V. Fulgurante.
Furneıra,s. f. tricherie au jeu. Fourberie,
supercherie.
Foiutıno, 5. m. tricheur, pipeur, irompeur
au jeu. Dupeur, escamoteur, flou.
Friuenia. V. Fulheira.
FuLia,etc. V. Folia, etc.
FuLicem , s. f. suie de cheminde; noir de fu-
mee.
FuLicınostmäne, 8. f. fuliginosite : qualit& de
c@ yui est fuligineux.
FoLicrnöso, a, adj. fuligineux : de nature ou
de couleur de suie.
"FurLime, s. m. V. Abundancia.
FrıLo. V. Fülo.
+FuLwinıa,s. f. (1. de bot.) fulmaria : plante
moscateline.
Frıuınacäö, s. f. fulmination.
FoLmınäno, A, Pp. p. de Fulminar. adj. Fou-
droye, frappe de la foudre.
FuLuınapor, 8. m. (Ppodt.) foudroyant. Sur-
nom de Jupiter. Qui lance des excommunica-
tions. \
FeLumänte, adj. 2 gen. fulminant; fou-
Iroyant.p. a. de
Frisınar, v. a. foudroyer, lancer la foudre,
frapper de la foudre ; ifig.) batire d coups nom-
breux de canon, etc. Machiner. — ameacas,
fulminer, termpeter contre quelqu'un. — censu-
ras, anathemas, fulminer, lancer l’excommu-
Dication. — a sewlenga, rendre une sentence.
— mortes, porter la terreur ei la mort.
FrLuinko, A, adj. foudroyant, terrible, de-
Yasialeur.
PORT «FR,
FUN 625
Funminöso, A, adj. loudroysnt, qui Jance la
foudre. .
FiLo, A, ud). d’un noir sale el jaunätre (nı-
gre, mulälre).
Fericen. V. Fuligem.
+ FuLti, s. m. petile monnaie de cuivre chez
les Arabe:>, six cenliınes ä peu pres.
Funica, 3. f. fumee epaisse qui sort du feu;
camouflct, bouffee de fumee soufflee au nez.
(fig.) * Orgueil, vanite.
Fumipa, s. f. *feu que l’on fait sur la cöte
pour donner quelque avis.
*Fumipeco, s.m. V. Fumagem.
Fuuino,A,p.p. de Fumar.
* Fumicem, 8. f. * impöt sur les foyers.
Fuminte, adj. 2 gen. fumant: qui jette de
la fumee, qui fume. p. a. de
Fumir, v. a. ein. fumer : jeter de la fum6e;
prendre du tabac en fumee. Consuiner, dissi-
per, manger son bien. —, exposer & la fumee
pour faire secher (des jambons ‚etc. .(fig.;v.n.
Fire en colere, jeter feu et lamme.
Fumanipa, s. f. grande fumee. (fig., Pre-
somplion, vanile.
Fumarıa,s. f. (t. de bot.) fumelerre, plante
medicinale ; corydale. — bulbösa , fuınelerre
bulbeu»e.
FUMEAR 0% fumer : jeter de la fumee.
Fusecan,o.n. ) (fg.) Se reveiller, n’etre
pas bien &teinte, parlant d’une querelle, etc.
Fum&ıno, s. m. tuyau de cheniinee; lieu oU
l’on fume des viandes, etc.
Funireno, A, adj. qui jetie de la fumee.
Fumirico, a, adj. qui fume.
Fumicacäö, s. f. fumigalion : action de fu-
miger.
*Fumicar, v.n. faire du feu. V. Fumegar.
FumicATürıo, A, adj. fumigatoire, propre &
produire la fumee.
Fusutenna. V. Fumäria.
FiMo, s. m. "fumee : vapeur epaisse que le
feu ow la chaleur fait exhaler. Cr&pe pour les
deuils. — da terra. V. Fumdria. Desfazer-se
em — , s’enaller en fumee , s’evamouir. Cheirar
s—, sentir la fuınee. Curddo ao —, fume,
parfume & la fumee. Denegrido de—,, enfume,
noirci de fumee. —s, pl. (g.) fumee d’orgueil,
vanilö, presomption. —s do vinho, vapeurs du
vin.
FomosıdÄDE, s. f. fumees, vapeurs.
Fuuosinuo, s. m.dim. de Fu:no.
Fumöso, A,adj. qui jette de ia fumee; fu-
meux, d’oü il sort de la fumee. fg.) Presomp-
tueux, orgueilleux, vain.
FunämsuLo, 3. m. funambule : danseur de
corde. V. Volantim.
Funcgäö, s. f. fonction, office :exercice d’une
charge. Solennite, ceremonie publique. (fig.)
Nompbre de gens rassembles datıs une maison
pour une fete, etc. ; cette fete. — föes, pl. fonc-
tions : mouvements, actions vilales.
+ Funccionärıo, s. m. fonclionnaire : per-
sonne qui exerce une fonclion.
Fünce, s. m. bätiment & rames dans P’Inde,
. %“
e
626
FoncriL, s. m. champ seme de fenoull.
Füncku, 3. m. (tl. de bot.) fenouil : plante
ombellifere. — de porco, peucedanes, queus
de pourceau, fenouil de porc. — marino. V.
Crithmo.
Fünpa, s. f. fronde : tissu de cordes pour
lancer des pierres; bandage, mentonnifre;
brayer. (ciewxr) * Fourreau, &tui, enveloppe.
Funpacäö, s. f. fondation : action de fonder;
&tablissement, institulion ; fonds legues pour
une @uvre pie.
FUNDADAMENTE , adv. avec fondement et sü-
rei.
Fenpino, A, p. p. de Fundar.
FunpanOr, A, 5. fondateur : quia fonde un
&tablissement , un empire, un couvent, elC.
Fuxväcsm, s. f. *sediment, baissiere d’un
lijuide sur sa lie.
FUNVAMENTÄL, adj. 2 gen. fondamental : qui
sert de fondement.
FUNDAMEXNTALMENTE , ado. fondamentale-
ment.
Fexnasentarn, ve. a. fonder, poser les fon-
deinents d’un edifice. (fg.) Etablir, assurer,
rendre ferme et stable.
FUNnAMENTE, ade. V. Profundamente.
FEnnANENTo, s. m. fondement d’un ediflce.
Ag. Fondeient ‚base, principalappui; cause,
motif, sujet. Fazer —, faire fondeınent, comp-
ter sur une chose.
Frxpär, ve. a. fonder : jeter les fondements
d’un edilice; etablir, instituer; doter un eta-
hlisserment. Approfondir ‘prop.etig.). Meltre
le fond A une futaille, dun tonnesu, etc. —
uma dirida, capitaliser une delte. — sus opi-
nido , asseoir son jugement, le fonder.
Frxpar, ve. n. s’enfoncer; pousser des raci-
nes profondes.
Fuxpar-se (em), v. r. se fonder, faire fond
sur, compter sur, S’appuyer sur.
Foxpeivo, A,p.p.de
Funpeir, e.n. mouiller, jeter l’ancre, an-
erer. Plonger, aller au fond de l’eau.
Fuxp£ıno, s.m. ouvrier qui fait des banda-
ges pour les hernies. sit. V. Fundibulario. adj.
Qui est au fond, da fond.
Funnente, adj. 2 gen. quifond, qui liquefle.
p. a. de Fundir.
FunpistLänıo, 3. m. frondeur : qui se sert
de la fronde. st. V. Fundeiro.
FuxpiseLo, 3. m. ancienne machine & lancer
des pierres.
Funpscaö, s. f. fonte : fusion de metaux.
Fonderie : lieu oü l’on fond.
Fonnino, A, p. p. de Fundir. adj. (Ag.)
Ruine; dissipe; enfonce.
Funvinör, A, 3. fondeur : ouvrier qui fond
les metaux.
FaxpiLno, s. m. plus us. au pl. fonds de cu-
lottes : piöcces qui forment Pentre-deux des
cuisses.
* FEspıminsto, s. m. fonte de melaux.
Furpixuo. V. Fundilho.
Fosvin, ve. a. fondre : rendre fluide par le
FUN 0
FUN
fen : liquefier. Produire, rapporter, parlant des
fruits presses, etc. (fig.) Dissiper, consumer.
ü.V. Afundar.
Funpin-sK, 0. r. s’affaisser, s’ecrouler, 5'&
bouler ; se ruiner. (fam.) Disparaltre, s’eclip-
ser. V. Afundar-se. .
Finpo, s. m. fond ; profondeur; V’endroit le
plus bas, le plus creux, etc.; (ig.) l’essentiel;
l’objet principal,, le plus cache, le plus secret.
— ‚premiere ou plus basse lissure d’une eiofle.
Fond d’un tableau. ° Epaisseur d’un diamant.
Fonds, somme d’argent; argent place ; capital
d’un bien. Fond : douves qui ferment le lou-
neau, etc. *Hauleur d’un bataillon, d’un corps
de troupes forıne. — da agulha, chas, trou de
Paiguille. —da casa, profondeur de la maison.
— morlo ou perdido, fonds perda, lonline,
Enitrar pelo —, atlaquer les fonds. Homem
de —, (fig.\ homme qui a un grand fonds
d’esprit, de savoir. A— ,‚adr.ä fond, profonde-
ment. Balalhäo a dous, a qualro,elc., de fü.ıkı,
bataillon & deux, ä quatre, etc., de bauleur.
Dar onariv —, \t.de mar. mouiller, jeter Van-
cre. Metler no — um nario, \id.) couler bas un
vaisseau. Ir ao —, (id., couler bas, s’enfoncer
dans l’eau. — bom, (id.) bon fond, bon mouıil-
lage. — d’um nario id.) carene d’un vaisseau.
— de lama, (id.) vase ou [ond mou.—de pedra,
(id.) fond de roches aigues. — verde ou de limo,
(id.) fond de pre. — de burgalkdo, (id.\ fond
de gravier. —de conchas , (td,) fond d’aiguilles,
ou de coquilles pourries. — de ralhdo, (id.)
fond de cailloutage. — movel ou d’areia more-
dira, (id.)fond mouvant. —! larga bopas ! (id.)
mouille!
Finno, A, adj. profond, tres-creux. Bas,
parlant d’un terrain. Enfonce. (fig.) —, difd-
cile A comprendre. V. Profundo.
Funpöra, s. f. profondeur, hauteur.
+ Fung, s. m. (t. d’Asie) bätiment & rames.
n FÜNsBRE, adj. 2 gen, funebre, triste, lagu-
re.
Fun&ssuLo. V. Funambulo.
FunzräL, s. m. "fundrailles, obsäques. Le-
vor as armas em —: on le dit de la maniere
dont les soldats portent leurs arıues renver-
sees, en signe de deuil, aux Convois de leurs
generaux, eic.
FuneräL, adj. 2 gen. funeraire : qui con-
cerne les funerailles. Mortuaire : qui concerne
les moris.
Fun£grneo, A, adj. de funerailles, Sundbre,
funeraire. Lugubre, affreux, sinistre.
Fungrıco. V. Funereo.
Funsstacäiö, s. f. prolanation. V. Tristess,
Lucto.
Funzstino, p. p. de Funestar.
Fun£&stauente, ado. funestement.
Fongstär, vo. a. rendre triste, funeste; pof-
ter malheur. Profaner, souiller.
FUNESTISSIMO , A, adj. sup. de
Fcn&sto, A, adj. funesie, sinistro, malhe®-
reux. Porte-malbvur.
FÜR
Fonciö, s. m. (f. debot.) * morille : espece de
ehampignon ressemblant & une eponge; bo-
riste, espece de champignon. (t. pop.) Homme
stupide,, niais.
Funcik, vo. n. reniller, renacler, faire beau-
eoup de bruit avec le nez ; nasiller.
+ Fencites, s. f. pl. (t. d’hist. nat.) fungies :
genre de polypiers pierreux.
Fünco, s. m. morille, mousseron, espece de
champignon.V. Fungdd. Fongus : excroissance
charnue, molle et spongieuse, en champignon,
sur une plaie, un ulcere. (6. pop.) Sot, buse,
niais.
FunGöso, A, adj. spongieux, mollasse, res-
semblant aux champignons.
FunscucLär , adj. 2 gen. funiculaire : compos6
de cordes.
FcniL, s. m. entonnoir: vase pour entonner.
FontLtino, s. m. ferblantier, oavrier en fer-
blanc.
+ Forauorpäd, s. m. (f. de bot. )nyctante :
jabrion du Malabar.
Frraciö, 3. m. tourhillon de vent, ouragan.
FrRaDo, A, »p.p.de Furar etadj.Perce, trou6.
Homem de mäo —a, dissipateur. Semana —a,
seınaine oü il y a un jour ou des jours de fete.
FCRADÖR ‚s. m. percoir, amorgoir, instrument
pour percer. Perceur.
Frriö, s. m. (1. d’hist. nat.) luret : petit ani-
mal du genre des belettes, ennemi des lapins;
(f#g.) curieux qui cherche A tout savoir. Andar
d caga com — morlo, se fatiguer en vain.
Furär, v.a. percer, trouer. (fig.) Penetrer,
franchir;; re&soudre une difliculte. Ndo — par-
des, (fam.) n’avoir pas invente la poudre.
FürcuLa,s. f. V. Azilha, Clavicula.
FonßntE, adj. 2 gen. (podt.) furieux, en fu-
reur.
FURFURÄCEO, A, adj. furfurace : ressemblant
& da son.
Förta, 8. f. (t. de myth.) furie : divinite in-
fernale, Eume&nide;(fig.) famme trös-mechante.
—, emporlement de colöre aveugle; ardeur,
impetuosite de courage; agilalion vidlente; Tu-
rie des vents,, de la temptte.
FurıäL, adj. 2 gen.des furies, qui appartient
aux furies. Furieux.
Förıas, s. f. pl. furies : chez les Anciens,
trois divinites infernales (Alecion, Megere et
Tisiphone) qui tourmentaient les mechanıs et
les criminels.
FURIBUNDO, A, adj. furibond : furieux, tran-
sporte de col£re.
Forırouna. V. Filifolha.
+ Funmäzs, s. f. pl. (6. de myth.) furinales :
fe@tes de Furina.
Frriösimente, adv. furileusement :avec furie.
Fur1osissıno, A, adj. sup. de
Furıö80, A, adj. furieux : transport& de co-
I&re; emporte, endiabl6, en furie; violent,
immpetueux. Insense, fou, furieax.
FÜRNA,s.f. grolie, caverne.
Furın, etc.V. Fornir, et.
P6no, s. m. trou, ouverture. Dar — a uma'
FUS 097
COWSE, Yom .) faciliter les moyens de faire üne
chose. Yir a — , &tre sur le‘point de pertet.
FoRdA, s. f. femelle du furet.
'FoRök,s. m. “fureur, rhanie, fren&sie; €
lere, rage. Fazer — com älguma cOUsG, si
thbusiasıhef d’une' chose. — poelico, furb
poetique, enthousiasme. Eslar arrebatado 36
—,etre cn proie A sa lureur.
FurrıeL. V. Forriel.
FURTACOR, 8. m. ou adj.2 gen. couleur chan-
geanle; gorge de pigeon.
FURTADAMENTE, adv. furtivement; & la de-
robee.
Forrtan£La, s. f. action de cacher ow.de se
cacher. 4’s—s, adv. A la derobee , en oachelte,
furtivement.
Furrtapirnas (ds). V. Furtadelas.
Furtino,A,p.p. de Furlar. adj. Derobe,
vole. Cache. V. Escondido, Encoberto. Filho —,
enfant bätard, illegitime. Aguas —as, man-
sarde.
Furtaröco, s. m. Lanterna de —, lanterne
sourde.
Furtarisso, s. m. amble, aubin.
Furtär,v.a. voler, derober. Vendre ä faux
poids ou (ausse mesure. (ig.} Voler, s’appro-
prier les pensees d’autrui, faire ‚des plagiats.
Esquiver, eviter, derober. — uma moga, enle-
ver une fille.— o tempo, derober, prendre pour
faire une chose le temps qu’on devait employer
A une aulre;; (l.de mus.) ne pas aller en mipr
sure. — firmas, singes, falsifjer, conirefaire
des signatures, elc, — 0 cor'pu , s’esquiver, Be
soustraire. — o venlo d seila, Jissuader, der
tourner quelqu’un d’un dessein , elc. — avolla,
o caminho, prendre un chemip: oPp0s6 ppur
fuir quelqu! un ow pour aller ä sa rencontre,
FuRTAR-se (q', v. r. s’eloigner, 8’echapper,
se derober. V. Fugir. — aos olhos d’alguem,
se derober & la vue de quelgu’ un.
FURTIVAMENTE,, adv. furtivegient, & la döre-
bee, d’ung maniere furlive.
FirtiveLsente. V. Fürlivam...
Furtivo,A,adj. furtif : qui se fait & la de-
robee, en cachette.
FÜRTO, s. m. vol, larcin; chose volde. Lar-
Lein, plagiat. *Concussion ‚exaction. A —, adv.
urlivement, a la derobee, en cachette. Colkör
alguem com 0 — nas mäos, prendre sur lelait,
en flagrant delit.
FuriscvLo, s. m. V. Frunculo.
Fürus, V. Föro. no.
Fisa,s. f. (t.de mus.) triple croche - note de
musique. Il en faut 32 pour une ronde,
Fusipa, 3. f. coup de fuseau; chaque tour
qu’on donne au fuscau en filanı; fusee de fil.
Frsino, A, adj. (t. de blas.) en fuseau, fü-
sele, charge de fusees.
Fusäö, s. [. fusion : fonte, liquefaction.
+ Fusano, s..m.V. Agufröa.,
Fisco, A, adj. sobre, obscur; brun, nof-
rätre; basane, häle.
Fus£ino, s. m. tourneur qui fait dog fo-
seaux,
628 GAA
Fuszıipo. V. Fusddo.
FussLLos, s. m. pl. (useaux de roue de lan-
verne.
FosisıLiväine, s. f. fusibilit#: qualit& de 0
qui est fusible;; disposition a se fondre.
+ Fusırdauz, adj. 2 gen. (5. de bot.) fusi-
forme: en carotte, en fuseau.
FusiL, etc. V. Fusil, etc.
Fusiveı, adj. 2 gen. fusible : qui se peut
fondre.
Füso , s. m. fuseau:: instrument & filer. Verge
defer qui passe dans une bobine & devider. — de
lager, vis de pressoir. — do relogio, fuste,cöne
cannele sur lequel tourne la chalne d’une mon-
ıre. Fazer os —s torlos, (buri.) planter, faire
porter les cornes,, &ire infldele & son mari.
Fusörıo, A, adj. de fonte, de fonderie; qui
ooncerne la fonte des melaux.
Fösta ,s. f. fuste - navire de bas bord, & voile
et A rames, de 200 & 300 tonneaux.
FustäLHa, s. f. grand nombre de fustes.
Fustiö,,s. m. * futaine : etoffe de colon et de
fil, en toile. (viewx) Verge & fouetter, bäton.
( Ag.) Coups de verge, de bäton.
Fustannäö, s. m. aug. de Fusta.
Fustazinua,s. f. dim. de Fusia.
Föste, s. m. V. Madeira, Pdo. "Hampe ow
bois de la lance, etc. Füt d’une colonne. "Ver-
ge, baguette. Outil d’orfevre pour ciseler. (t. de
bot.) Fuste : arbre & bois jaunätre.
Fusrätz, s. m. (6. de bot.) fustet : arbrisseau
rosace. V. Fustöque. .
Fusticino, A,p.p.de
Fusricän, v. a. fustiger : battre & coups de
fouet. — com ertilkeria, foudroyer.
Foustinua , s. f. dim. de Fusta.
Fösto. V. Fuste.
+ Fusröguz, s. m. fustoo ow fustok : bois
Jaune, de teinture et de marqueterie, des An-
tilles et de Tabago.
FörıL, adj. 2 gen. futile, vain, frivole.
FuriLipäpe, s. f. futilite : faiblesse d’un rai-
sonnoment ; frivolite; ohose futile, son carac-
G.
|
G, s. m. septiöme lettre de l’alphabet portu-
gais, et la cinquiöme des eonsonnes, C’&lait an-
eiennement une lettre numerale qui valait 400,
et avec un trait dessus 40,000. Indique la sep-
tiöme feuille d’un livre;; septiöme lettze domi-
nicale.
"Garcia. V. Gaangcar.
® Gaacom. V. Ganhdö.
° Gıino. V. Gddo. it. Ganhado.
’Gaanca. V. Ganancia.
*GAANCADO, A,P.P. de
*G@AANGAR, 9.8. gagner au Jeu. Obtenir.
GAB
ForıLizia, o. w. dire des fatilitds , nialser.
Fourtuaicäö, s. f. futurition: marque, Carıt-
töre de ce qui doit arriver; qualite d’une choxs
en lant que future.
Furuninäpg, s. f. existenoe future, &reat-
ment & venir. V. Futwrigdo.
Furdao, A, adj. futur, avenir, qui doiteus-
ter, ire un jour; qui existera, qui arrivera.
Furöno, s. m. futur : ce que l’on doil epreu-
ver; avenir; action qui sera laile, chose d
venir, qui arrivera; (4. de gramm.) temps des
verbes qui marque l’action sous ce poin dt
vue.—scontingentes,futurs contingenis, ct Qi
peut arriver ou ne pas arriver. Pars 0 —,i
Pavenir. Ver o — cum muila antecipapde, va!
au loin dans l’avenir.
Fuzapa.
Frzid. V. Fuss... |
Fuz£La, 8. f. (1. de bias.) lasse: sg
arrondie.
FoziL, s. m. chatnon : anneau de cbalıe. Bi-
quet, fusil : outil d’acier pour lirer du feadu 4
caillou. (4g.) Lien, union. V. Espt |
FuziL, adj.2 gen. Pennas is, (1.dertur I
\
|
'les plus grosses plumes du faucon.
+ FoziLagaö, s. f. eclat des armes i In
quand on lire.
Fuzıäpa, s. f. fusillade. Eelair tris-ıl
&clairs continuels. |
FuzıLivdo, a, p.p. de Fuxilar. Ä
+ FuzıLinte, adj. 2 gem. etincelant, en pP" :
lant des yeux. |
FuzıLiö, s. m. ardillon de boacle. #8
FoziLär, v. n. eclairer, faire des &ln:
battre le briquet; &tinceler, petiller, en peru# I
des yeux. (fg.) Menacer, etre imminent. rn
Fuzı.in, v. a. (fig.) Darder, foudrejf. .
(1. mit., mot frang.) V. Arcabuzar, Ep |
|
FuziLa ria. V. Espingardaria.
FozıLtıro, s. m. fusilier : soldat arm (u |
fusil.
* Frußuto.V. Afimento.
Frisica, eto. V. Phy’sica, eie.
*Gaunco. V.Genko, Ganancıs.
+Gairaa Do Brazin, 3. f. (1. dhist. eill
la feuille ambulante : insecte ortbopiere, 2%
mide, phyllie. on
GABADINHO, A, adj. dim. de Gabade. je
Pröne a l’excds, & la mode (predicateet,
teur, etc.).
GaBiDO, A, p. P. de Geber. |
GABADOR, A, 5. qui loue, qui denne #
louanges.
* GABAMENTOS. V. Gabos,
Gasäö, &. m. gaban : manisau de fesi".
GAF
beuppelande. V. Albernöz. dt. Louangeer, qui
denne des louanges.
+Gusaonitas, s. m. pl. Gabaonites : habi-
tsnts de Gebaon , ville de la Palestine.
Gusin, v. a. louer, vanler, pröner. Gabo-Ihe
eo 968:0. On le dit pour critiquer le mauvais
goät de quelqu’an. Gabo-Ihe a conflanps, n6
vous genez pas. On le dit pour blämer la trop
grande familiarit& de queigu’un.
Gasia-SsE, v. r. se louer soi-möme, 56 vaAl-
ter.
tGaninra, s. f. gabare : sorte de grande
barque ä fond plat. .
} GasazöLa, 8. we. ( fam.) vanteur ; abalieur
de quilles.
GabäLLa, 8. f. gabelle ( inıp6t).
Gusıiö, s. m. (6. de fort.) V. Cestdö.
Gasinanno. V. Gabdö.
Gisinärk, s. m. cabinet : lieu de retraite
pur travailler, etc. ; conseil intime, gouverne-
ment; secreis de la cour.
Gusinno, s. m. dim. de Gäbo.
Gasionäda, 3. f. (4. de fort.) gabionnade :
warrage de gabions.
Gino, s. m. * louange, eloge.° Jaclance.
GasoLas, 8. m. (6. Duri., louangeur de soi-
meme ; vantard ; homme jactancieuz.
TGannıgLira, s. m. del’ordre ow de la pro-
rince de Saint-Gabriel.
Guskito, 5. m. * sorte de flet de p&cheur.
Gucntra.V. Gaxeta.
Gicao, s.m. * nuque du cou d’un laureau.
tGaci, s. m. et adj. esclave more ou turo
tonverti 4 lafoi, nouveau chretien.
Guvauzcis. V. Guadamecim.
Gapiuma, s. f. V. Gadanho. faux ’ instru-
ment pour faucher.
Gapinno,s. m. * fourche, courbe ; griffe. —s,
serres des oiseaux de poie. ( pop.) Doigis,
Mains,
GipdLua, oto. V. Guedelha, etc.
tTGaorräno, A, adj. ets. de Cadix.
Gino, 5. m. trgapeau : troupe d’animaux de
beme espece; betajl, bestiaux. — grosso ou
eccum, gros betail. — miüdo, petit betail.
- cerdoso, cochons, ports. — de ld ou lani-
ero, beies & Jaine ow lanilöres. — vaccum ou
e cornos„betes a cornes. — d’unha rachada,
eiail ä pieds fourchus. — ovelkum, cabrum,
Sccum, troupeau de brebis, de chövres, de
sches ou baaufs. — feminino, masculino,
fg. burl.) les femmes, les hommes. Cdo de—,
bien de berger ow de bouvier, mälin.
7Gi0o,s. mw. (8. d’hist. nat.) gade : poisson
igulsiro. .
Gaı0oz. Vs Cadöz (poisson).
Gara, s. f. fer crochu paur bander l’arbaldte.
s, pl. (Ag.) force, violence. (1. de mar.) Pat-
s, mains de [er.
Gara00, A,P- P- de Gafar. adj. Gäte, ga-
ur. V. Gafeira.
tGaranmaO, 3. m. grosse sauterelle qui de-
reles bies.
Garann6TO ,s. ms. " saulerelle : insecte qui
GAI 629
w’avance qu’en sautant, de l’ordre des ortho-
piöres, famille des sauteurs, tribu des locus-
taires.
TGarir,s. m. *sorte de tribut chez les Ara-
bes et les Turcs. V. Cafarro.
Garir, v. a. accrocher, saisir avec les grif-
fes , avec un crochet; happer, griffer. Commu-
niquer la gale ou la lepre. vo. ». Tomber, se
gäter, parlanı des olives.
GAFÄR-SE, ©. r. devenir l6preux, rogneux.
Se gäter, parlant des olives. — de sarna, &tre
infeat6 de gale, gagner la gale,, etc.
Garania, s. [. leproserie : höpilal pour les
galeux.
Gartına, s. f. espece de löpre qui rend les
doigts crochus ; rogne, gale;tac; claveau.
GAPFEIRENTO, A, adj. lepreux, galeux, alta-
que de la rogne, du claveau , etc. V. Gafeira.
GAFEIROSO. V. Gafeirento.
Garen 6b .
* GAFIDADE. N V. Gafeira.
Gäro, A, adj. lepreux,, galeux. Azeilona —a,
olive gätde , pourrie.
Gaci0, 3. m. nom d’un jeu de des.
GäcatA, 8. f. gagate : pierre noire, dure,
bitumineuse.
Gics, 5. m. gage de comhat qu de bataille.
*"Gages, salaire.—s, pl. f. ce que produit un
emploi,eic., en sus des appointemenis; tour
du bäton. — do officio. V. Percalcos.
Gackıno, s. m. (tl. de mar.) gabier : matelet
qui fait le quart sur la gabie.
Gactıno, a,adj. Vinko — ,(flg.) vin capi-
teux.
Gäco, A, adj. begue : qui begaye.
Gacösa,8. f. A’ —,(t. de jew) sans peine,
tout-de-go.
Gacukına, s. f. * begaiement.
GaAcURJÄDO ,A,P. p. de
GacUBJAR, ©. R. begayer : articuler mal les
mots , les prononcer avec peine, par defaut de
Porgane ou par effet d’ivresse, de timidite, etc. ;
änonner. Il est quelquefois actif, et signife
balbutier.
Gacutz. V. Gagudira.
Gis. V. Gdio.
Gira, s. f. "epide poils sur le cur du che-
val.
GatiBa, ctc. V. Goidba, etc.
+ Gasatäpa: 8. f. quantiis, troupe de ga-
mins ; action de gamin.
+ GaläTo, 5. m. gamin : jeune gargon qui
emploie son temps & polissonner dans les rues,
Petit coquin. V. Garoto.
+ GaIcHtTE, s.m. (l. de mar.) * garcelte : cor-
dageen tresse pour ferler les voiles. V. Gaz4la.
Gasrönas, 5. f. pl. (8. burl.)grimaces, mines,
momeries, singeries.
* GaınHär. V. Ganhar.
" Gammenria. V. Ganho, Ganancia.
Gi10 ,A,adj. gai. Verde—, vert gai ou clair.
Carallo —, cheval qui a un &pi de peils sur le
caur.
630 GAL
Go, 2 m. (1. d’hisl. mat.) geaf : olseae
dıı zenre de la pie.
GAIULA, 8. f. Cage: pelite loge en fil de fer
o1f d’osier pour les oiseaux, en fer pour les anl-
maux, etc. ; (fig.) demeure &troite ; prison.
GaloLEıRO, 3. ım. faiseur de cages.
Gaıiino, 8. m. (8. de prov.) qui aime los
raisins.
GiiPO, 8. m. (4. de prov.) grapillon.
Gärta, s. f. *chalumeau , musetle. —de 00-
pador, sifiet de chätreur. — de folles, corne-
muse. Estar de —, etre joyeux. Tomar alguem
com —,tromper queiqu’un. Na primeira —,
au premier chant du coq. Tocar a —, (1. buri.)
se mettre en ribotte, se sodler. — da lamproia,
le cou de Ina lamproie. Saber «—s ou edle —s,
(fam.) €tre savoureux, friand, parlant d’un
meis.
Gaıtäna, 3. f. son de la mubette.
GattEir, v. n. Jouer de la musette. (Ag.
fam.) Se rejouir. —se, v. r. s’habiller avec co-
yuetterie,
Gait£ırRo, 5. m. jousur de musette ou de
cornemuse. Personne d’une gaiete folle.
GamteıRO, A, adj. gai, enjous. Badin, fol&-
tre. Qui s’habille de cowuleurs trop gales, trop
brillantes pour son Age ou son 6tat.
"Gaiva, s. f. goujure. #4. V. Gudia.
Gamwvad,s. m. (1. @’hisl. nat.) martinet noir:
esp«ce de grande hirondelle.
IGavora,s. f. (1. Phist. nal.) monette : oi-
seau de mer. — bdranca d’azas cinzenlas,
mouette grise. — longicauda, labbe & longue
queue.
Garvordö ‚s. m.aug. de Gaivöla. V. Alca-
irds.
"Gasa,s.f.V. Gage.
t GasanEROBA , 8. f. ( t. #’Mist. nat.) "claquet
de Lazare, cliquette de l6preux ou de ladre,
baltre epineuse, huitre spondyle & talon, pied
d’äne. .
Galle. !
Guutıno. 1 Y- 6...
GiLa, s. f. " habit de föte ou de gala. "Gala:
(6te,festin & la cour. (fig.)* Agröment,, bonne
gräce. Rtoffe de laine line et luisante quand le
poN en tombe. Dia de —, jour de gala, de
fete, de r&jouissance publique. Vestido de —,
babits de gala (Je fete, de ceremonie). Fazer
-— de, faire gloire , parade, lirer vanite de; se
vanter de. Fazer — do sambenilo, lirer vanits
de ce qui deshenore. Faser — da impiedade,
aflicher l’impiete.
t GaLaapitas, s. m. pl. habitants de Galaad
en Palestine. -
tGaLacviTe , #. f. galactite : sorie de jaspe ;
argile qui blancbit l’eau.
GaLino, etc. V. Gallado , eto.
GäracäLa,s. f. (l. d’Asie) sorte de bitume
avec lequel on enduit les vaisseaux dans l’Asie
pour les garantir des vers rongeurs.
F Garico, s.m. (1. d’hist. nal.) galage : dua-
drupdde du Senegal.
GaLauim. V. Golarım,
GAL
GaLin, al. m. joli, bien fait, de ben air,
de bonne gräce.
GaLin,s. m. galant, amant, amoureux. As-
sidu,, devoad au service des dames. Acleur qui
joue les premiers röles. Primeiro —, jeune
premier acteur.
Garinca, s. f. (t. de bot.) * galanga : planie
des Indes & racines medicinales ; sa racine.
GALANICE,, s. fı * air, manieres de galant.
GaLantaria, 3. f. galanterie, genüllesse,
bonne gräce; agr&ment, politesse, douceur;
maniöres agr6ables aupres des feımmes; cboses
agröables qu’on leur dit; respect, soins, eim-
pressement pour leur plaire; petit present.
GaLÄNTE, adj. 2 gen. galanı, poli, civil,
plaisant, enjoue, beau, gentil, agreable, char-
mant; mignon. \V. Galam.
GALANTEÄDO , A, p. p. de Galantsar.
TGALANTEADOR, A, s. galant, amant; qui
courtise les dames.
GALANTEÄR, ©. a. Courtiser une femme; ga-
lantiser, faire le galantin aupres des dames. ®.
». Plaisanter, dire des choses agreables.
GALANTENMENTE,, ade. galaınment, gentiment,
de bonne gräce ; d’une maniäre galante.
GALANTRO 08 —tEIO, 8. m. ° eour qu’on lail
A une dame; galanteric , commerce amoureut.
GALANTERIiA. V. Galantaria.
TGaraxtina, 8. f. (tl. de bot.) galantne:
plante narcissee.
GALANTISSINO,, A, adj. sup. de Galamis.
Garid, 5. m. galon : fissu epais de sole,
d’or, d’argent,, eic., en rubans. it. V. Franc.
Bordure doree d’un verre.
GaLAPÄCO, 8. m. * crapaudine : crevasse auf
pleds des chevaux.
+ GaLiro, 3. m. toupin : instrument de 00f-
dier. if. Coussinet de la selle du cheval.
Garin. V. Galsar et Gallar.
GaLanpäö, 8. m. * recompense, guerdon,
prix, salaire. # o— da virtude, o’est lo prix de
la vertu.
GALARDOADO,, A, p. p. de Gelardoar.
GALARDOADOR ‚A, 5. celui qui recompenst!
remunerateur.
GALARDOÄR, v. a. röcompenser, renunertr.
GaLaria.V. Galeria.
GaLarim, s. m. falte des grandeurs. "Manitre
de compter en progression double, triple, eic-
(t. dejeu‘ " Martingale. Lerar alguem @-,
€lever queiqu’un jusqu’aux nues.
GaLasia. V. Galesia.
GiLatas, s. m. pl. Galstes : habitants de la
Galatie, contree de l’Asie mineure.
+ GaLarnea, s. f. (1. d’hist. nat.) galathee:
crustace,, macroure.
GaLATRISCca ou — TA. V. Gallocrista.
Garixıa,s. f. galaxie. voie lactee, cheniın
de SaintJaoques. —s, pl. (1. d’ant.) galarıes:
fetes d’Apollon.
Gaınaukıno, 8. m. (1. de bot.) galbanui:
plante.
GÄLBANO, 5. m. (6. de bos.)galbanum ; piaule:
GAL
Sa gomıme rösolutivo, trös-employ6e en möde-
cme.
+ GaLcöma, 5. f. espöce de plante aquatique
sessemblant au lupin, & fleurs rouges en &pis.
GALDRÖPE , s. m. (. de mar.) "drosse de la
barre du göuvernail.
GıL£, s. f. galere : bAtiment long de bas
bord , ävoile et & rames. (1. d’impr.) Galte:
ais a rebords pouz poser les lignes, la compo-
sition. —s, pl. les galeres : punition des malfai-
teurs condamneds & ramer. sur une galere, &
iravasller dans les ports. Condemnar a —#, COn-
daımner aux galeres.
GıLta. V.Gale.
GäLza,s. f. "cangue en ouir. ı -: ı
+ GaLeino, a, ad. (f. de bot.) on forme d
casque (corolle).
GaLEica, 6. f. galdasse : grosse galöre veni-
tienne.
GaLziö, 5. m. aug. de Gale. Galion : sorie
de vaisseau de haut bord. —öes, pl. galions :
vaisseaux espagnols pour le cominerce et les
voyages Ju Perou. j
GALBÄR, d.n. (P. us.) s’habiller en gala.
GALEATO, A, adj. couvert ou arme d’un Cas-
que. Prologo.—, (fig.) preface apologetique
ou l’on repond aux objeclions failes ou qu’on
peut faire contre l’ouvrage.
+ GaLEIRAÖ, s.m. oiseau aqualique, espece
d’oie, ä pieds rouges, & plumage noir.
GALENICO, A „adj. galenique: (methode, doc-
trine; de Galien; qui traite les maladies sui-
vant les principes de Galien.
GALENISMO, 5. m. galenisme : doctrine de
Galien, medeecin. j
GALENISTA , 5. m. gal6niste : mödecin atlache
au galenisme.
+ GaLgorıtmicos, s. m. pl. (1. d’hist. nat.)
galeopitheques : chats-volanis , espece de
chauve-souris.
GaLEöTA, 8. f. dim. de Gald. Galiote : petite
galere; long bateau couvert.
GALEUTE, 8. m. galerien, forgat. (vieur) Sorte
d’ancien manteau imitant celui des galeriens.
GALEOTO, 8. m. V. Galeöta.
Garena, s. f. *chariot couvert. Galere. V.
Gale. "Bauiment de charge & trois mäls, de
baut bord, & voile.
Garenia, s. f. galerie : longue pieoe d’un
baAtiment, pour se promener, exposer des ta-
bleaux, etc.; allee de communication; (f. de
fort.) cbemin couvert, pratiqu6 pour alleindre
un mur, ec. ; route souterraine.
GaL£rno, 8. m. galerno : vent froid, nard-
ouest.
GALERNO, A, adj. frais, doux, favorable
(ventß).
GaLERO, 3. m. casquo fait de peau, cas-
quelie.
+ Garerüca, s. f. (t. d’hist. nat.) galöruque:
coleopliere tetramöre.
+ GaLEzia, s. f. (6. pop.) [ourberie, (raude,
tricherie au jeu.
= 6GAL m
Garrinno, 5. m. (f. pop.) voleur, pillard.
Recors. V. Aguazil. ,
Giwcä, 8. f. levretie : femelle d ‚levrier.
Meule de dessous du moulin ä hule. Pierre
qui tombe en roulant par bonds et par sauls.
Sommet d’un mur. (bur!.) Faim.
GALCÄDO, A, P. p.de
GaLGÄR, v.a. araser, melire de nivoau (une
rögle pous-tirer des lignes‘. Elever & une cer-
taine hauteur (un mur). Elever, hausser, mon-
ter. Faire tomber des pierres en roulant par
bonds et par sauts. ©. ». Grimper; monter en
dignite. Dr,
GaLcäz, adj. 2 gen. quiressemble au lövrier;
ellanque. nn
GiLco, s. m. levrier : chien de chasse pour
les lievres. — »ovo , levron.
GarcußiRa , s. f. longue fosse pour recevoir
de l’eau.
GiLsa,s. f. noixdegalle. . ,
GaLnirpA, 8. f., gaillarde, danse ancienne
(espagnole et portugaise) ; son air.
GALHÄRDAMENTE ‚adv. avecgräce, elöganoe z
gaillardement; avec courage.
+ GaLuARDEÄR, v. n. montrer de la gräce &
faire quelque chose.
GALHARDETE, 3.m. (f. de mar.) gaillardet s
sorte dc pavillon echangre.
GauBaAnpia, s. f. gräce, elegance, bon ir.
*Courage, resolution. Generosite, desinteresse-
ment. Vigueur, gaillardise.
(FJALHARDISSIMO,, A, 9. p. de
GALHÄRDO, A,adj. beau, bien fait, debonne
gräce, de bon air. Liberal, genereux. (Ag.)
Grand, excellent , peu commun dans son genre,
Brave, courageux; gaillard. F
GaLutra ,s. f. buretie: vase A petit gouleatı
pour l’huile; pour l’eau et le vin & la messe,
—s, pl. *huilier : deux burettes, une & ’huile
et une autre A vinaigre pour le service de la
wble,
+ GALHSTEIRO, 3. m. huilier.
GäLHO, s. m. rejeton d’un arbre; branche
d’arbre chargse de fruits. V. Penca et Esgalho.
GaALHörFA, s. f. grosse joie,galte, gaillardise ;
festin; bonne chere, gati& de table. Vie de
gueux, oisive, vagabonde. Petit conte, histo-
| riette. Fazer —de, rire aux depens de.
GALHOFARIA, 5. f. vie de gueux, Oisive, va-
gabonde. V. Folganga. oo
GALHOFEÄR, vd. n. rejouir, badiner, folätrer,
plaisanter; gueuser, mener une vie oisive.
GALHOFRIRO, A, adj. folätre, enjoue, plai-
sant, facslieux, gaillard; gueux, mendiant,
oisif, vagabond.
+ GaLsino, s. m. sorte de poisson de Ce-
simbra pres de Lishonne. sl. Croque-mort.
GALBUDO, A, adj. branchu ; cornu.
Garıkö. V. Galedö.
"GauıLk, s. f. cimeliere pour les nobles dans
les couvenis des Benedictins.
+ Ganıı£a, s. [. (1. de gdog.) Galilee:contree
de la Palestine.
GaLiLkO , A, adj. et s. de Galilde, Galilden.
633 " GAL
“+Gaumtıno, adj. m. Mordomo —, reo&-
veur des cens de poules.
+ Gaimia, s. f. (l. de buf ) galinie: arbris-
seau du cap de Bonne-Esperance.
+ Garinteianpas, s. f. pl. (l.de myth.) ga-
lintbiades ; sacrifices ä Thebes.
Giuio, s. m.V. Calhaleite.
GaLiotg. V. Galeote.
+ GaLıröpıo, 5. m. galipot ow encens blanc,
resine liquide du pin.
Gira. V. Galladura.
GALLACRISTA OU GALLICRISTA. V. Gellocrista,
GaLLipo, A, p. p. de Gallar. Ooo —, auf
qui a le germe, qui a &le feconde.
GaLLADURA, 3. f. germe de l’auf; semence
du coq.
GaLiän,t. a. cocher : couvrir la poule, par-
lanıt du coq.
+ GaLLas, 5. m. pl. Gallas : peuple sauvage
d’Abyssinie. Les Galles, peuple d’Asie.
+ GiLızca, s. f. (f.de bot.) "galega ow galec,
rue de chövre, plante legumineuse.
GımrLLecäda, 3. f. multitude, bande de Gali-
ciens; action, propos de Galicien ou porte-
faix.
GıLL&co, A, adj. et s. de Galice, Galicien.
Portefaix.
+ GäLLss, s. m. (t.de geog.) pays de Galles,
en Angleterre.
+ GiLria, ef. ow GaLuias, pl. il. de geog.)
Gaule ou Gaules : l’ancienne France.
GaLLicipo, A, pP. p. de Gallicar. adj. Infects
du mal vencrien.
GaLticino, A, adj. gaulois, frangais, qui
concerne la France. Gallican : qui concerne l’&-
glise de France.
+ GaLLicäinTo, s. m. temps de la nuit oü les
coys chantent , le chant du coq.
GaLLicär, v. a. donner la verole, veroler.
6,9. 9. Kagner la verole.
+ GauLicıa, s. f. (l. de geag.) Gallicie: pro-
vince d’Autriche, avec lilre de royaume,.
+ GaLLiciäno, A, adj. de Gallicie.
+ GaLLicinıo, s. m. (inus.) le point du jour.
V. Gallicanto.
GALLICISWO, 8. m. gallicisme : expression,
construction , tour propre ä la langue frangaise,
transportes dans une autre langue.
GäLLICO, s. m. mal vencrien, syphilis, grosse
verole.
GiLLico, A, adj. venerien, verolique, sypbi-
litique.
GALLINACEAS, adj. ets. f. pl. (1. d’hist. nal.)
gallinacees: (oiseaux —) du genre des poules,
granivores.
t GALLinaPÄnE, 8. m. (1. d’hist. nat.) galli-
napane:: oiseau de l’Amerique meridionale.
Garzinna, 8. f. poule : oiscau domestique.
( Ag.) Poule mouillee : läche,, poliron. — d’An-
göla, la pintade. — do Peru. V. Peru. — de
rio. V. Gallinhöfa. — chöca, poule vouveuse.
Deilar uma — . mettre les aufs sous une poule
couv.use. Detlar-se cm ae —s, se coucher
avec les pouirz, de tres-bonne boure, Quando
a ”„
fi
‚ 6AL
as —ı tinörem dentes , quand les peales auront
des dents, jamais. /sso ndo o apanhdo —::
on le dit & quelqu’un qui verse une liqueur, ou
laisse tomber son argent. Viva a —,e viva com
a sua pevide. V. ce mot.
GALLINHÄCA, 3. f. iente de poule. Gallinasse:
espece de corbeau du Perou.
GaLuinutıno, 3. m. poulailler : marchand de
volailles ; liou od los poules se retirent la nuit.
(t. de mar.) Cage & poules.
f GaLLinntıro, A, adj. On le dit des oiseaux
de fauconnerie qui se nourrissent de volaille.
GALLINHO, 8. m. dim. de Gallo. Cochet, petäü
coq.
GaLLinHöLa, 8. f. (8. d’hist. nat.) becasse:
oisesu de passage, echassier.
+ Garuinuora, 8. f. (l. Bist. nat.) poule
d’eau. — denegrida, foulgque ou morelle.
+ GuLLitaicHo, s. m. (1. de bo$.) " horminelle
des Pyrenees : plante voisine des melisses.
GALLITRISTE. V. Callitriche.
1GauLLiza, s. f. (4. de geog.) Galice : province
d’Espagne.
GaLLizıäno, A,adj. de Galice. On le dit d’une
race de chevaux petits, mais forts.
GäLLO, 8. m. coq : oisesau domestique, mäle
de la poule; sa figure, sa forme. Sorte de poıs-
son. V. Peixe —. "Bigne: lumeur au [rout
venue d’un coup. — süvesire, coq de bois, de
bruyere. — das serras ou rochas do Brasil, coq
de roche. Av cantar do —, au point du jour, ä
minuit. Missa do —, messe de ıninuit ou da
chanı du coq. — do relogio, V. Guerdavolante.
— da romä, rang de graines de la grenade
(fruit). — das Irevas, ciorge de saint Pierre .\e
dernier que !’on retire du candelabre des tene-
bres. Muito pdde o — no seu poleiro, ( pror.) ie
charbonnier est maltre chez soi. Memoris de
—, (fam.) meınoire de lievre, qui oublie facıle-
ment. Qulro — me canlära, si les choses lour-
naient autrenient, je ın’en lrouverais mieut.
Correr —ı a cavallo, courir le coq ä cheral.
GaLLO,.adj. ei s. m. Gaulois; Frangais.
+ GaLiocrista, 8. f. (1. de bot.) cocrete des
pres, cröte de coq:: plante rhinantee. — des-
(drda. V. Hormino.
+ GaLLos, s. m. pl. (i.de myth.) galles : pr&-
tres de Cybele.
GALöcHa, #. f. galoche:: chaussure sous Ir
soulier uw a semelle de bois. *Rejeton de grefle.
d’ente.
GALoNnAnO. V. Agaloado.
* GaLoPäDA, 8. f. galopade : action de galr
per; espace parcouru en galopant.
GALOPADO, A, P. p. de Gelopar.
GaLorAaDöR,A,adj. et s. qui va le galop, qui
galope bien.
GaLorir, e.n. galoper : aller le galop. Il est
quelquefois actif. — o cavallo, galoper, meitre
un cheval au galop.
GALupE, s. m. galop : ellure d’un cheval qui
court tres-vile; suite de sauts en avant. ı 7.
*Häte, precipitation. A —, de —, ä la hält,
GAM
tröu-vite. — dos mastarcos, (t. de mar.) tete des
mäts de lıune, de perroquel, elc,
GaLoPrEAn.V. Galupar.
GaLoPiM, s. m. galopin, petit domestique,
petit comniissionnaire, gamin. Polisson,, rus6,
petit coquin adroit.
GaLran. V. Galrejar.
GALREJADOR, s. m. celui qui veut primer;
qui fait le fier, qui se vante, vanlard.
GaLrEJÄn, ev. n. lever la crete, vouleir pri-
mer; se pavaner, @lre tout fier; se vanler.
GALRITO, 3. m. verveux: filets de peche en
pointe. Sorte de nasse de pöcheur. (fg.) Piege,
embüche, trebuchet.
GALYÄNICO, A, adj. galvanique: du galva-
nisme.
GALYANISMO, 8. m. galvanisme : systeine de
Galvani; suite d’experiences sur l’electricite
agissant sur les substances animales, et leur
imprimant des mouveınents Ires-sensibles, &
Yaide des melaux, sans frottement; electricits
metallique.
GaLvera, 8. f. (tl. de mar.) galvette: petit
bätiment fort leger dans l’Inde.
Giwa,s.f. dyine: feınelle du daim.
Gauäö, s. m. tricirac: jeu; table pour le
jouer avec des daınes ei des des. Y. Gamöes.
* GaMir-SE. V. Chamar-se.
Gamärra,s. f. martingale: courroie attachee
& la muserolle et ä la sangle pour retenir la tete
du cheval.
+ Gausi. V. Sarigue.
GampEuniA, 8. f. (Pop.) V. Cambape, Lo-
graräö.
+ Gäusıa, s. f. (t. burl.) jambe. Dar ds —ı,
trotter, marcher vite, fuir, courir.
GAMBITO, s. m. croc-en-jambe.
GauBörA, s. f. sorle de coing enie, doux et
succulent. it. V. Cambda.
+ GıuB0Lıro, 8. m. (4. de bot.) le grand co-
gnassier:: arbre qui porte les coings doux.
GANMBUTA, 8. f. cintre: arcade de bois pour
soutenir et bälir une vouüte.
GANMEAR, 5. m. V. Gancares.
+ Games, s. f. pl. (t. d’ant.) gamelies :
fetes nuptiales.
GamerLiAa,s. f. gamelle : grande &cuelle de
bois;; haignoire ; jatie, sebile de bois.
GasstLäna, 3. f. jattee: plein une jalte;
piein une gaınelle.
GAMELLÄÖ,s. m. aug. de Gamella.
+ GameıcEını, s. f. " arbre du Bresıl dont
on fait de grandes gaınelles.
GANELLINBA, 8. [. dim. de Gamella.
GAMENBO, adj. m.(t. burl.) daıneret,, galan-
tin, coquet, mignon.
+ Gauernia,s. f. divination par la transpo-
sıtion des letires, en formani des anagraınmes.
GiumA, s. f[. gamıme : Echelle des notes de
musique selon l’ordre des tei.ps naturels.
Gamma : troisieme lettre de l’alphabet grec.
sine, s.m. daim: bele fauvc, plus pelileque
Ve cerf,. a bois larges et plats par le haut.
GAN
GAMÖES, GAMONEIRA,
GauonıTos, (1. de bot.) | V. Abrölon.
TGanoLocia, s. f. gamologie : trait& sur le
mariage , les noces.
GANÜTE ‚5. m. 6cope pour vider l’eau ä bord
des navires.
Gina, s.f. (4. pop.) *desir, envie,, volonte.
Dar —, donner envie, faire venir l’eau & la
bouche. Fazer uma cousa de bda, ou md—,
faire une chose de bon gre, ow malgre soi, &
contre-cour. Ter — a alguem, (fig.) en vouloie
& quelqu’un.
"Ganäpo. V. Gankddo.
Ganäncıa, s. f. * gain, profit , aoquöt. Filke
de — , eılant nalureli,, bätard.
Ganancıöso, A, adj. lucratif : qui apporte du
gain; profitable.
"Ganariö,s. m. crocheleur, portelaix. Ga-
gne-denier, manouvrier.
"Ganark,s.m. V. Travesseiro, Canape.
GANArERDE. V. Ganhaperde.
"Ganän. V. Ganhär.
+Gancänss,s. m. pl. (tl. d’Asie) defricheurs
de terres, qui ont canalise des riviöres, et qui
eontribuent par leurs dons aux besoins pu-
ics.
TGancaria, 8. f. reunion, assemblee de
gancares. V. ce mot.
"Ganga,s.f. V. Ganancia.
"Gancar. V. Ganhaer. Lucrar.
Gancuin. V. Enganchar.
T GANCHEADO , A, adj. ($. de bot.) erochu, en
forme de crochet. j
GANCHINBO ,s. m. dim. de
Gäincuo, s. m. croc, crochet, accroc. ° Hou-
lette. (pop.) Profit illicite; petit proft. — do
cadernal do turco , (8. de mar.) croc de capon.
GancHönRA, 8. m. ang. de Gancho. (1. de
mar.)° croc, harpon.
GANcHö80, A, adj. crochu, qui a un crochet,
en forme de crochet.
Ginpa,s.2 gen. (1. d’Asie) V. Rhinoceronts.
Ganpäla, 3. f. “ mötier de chiffonnier ; iruan-
derie. (fig.) Oisivete, faineanlise. Andard—,
mener une vie oisivo, vagabond®.
Ganparin, ©. m. (4. burl.) V. Andar d gan-
daia.
GANnDARIRO, 8. m. chiffonnier, truand. (fg.)
Oisif, faineant, vagabond.
Gänpana, s. f. terre sablonneuse, störile.
Ganpänzs, s. m. pl. toile de !’Inde rayde de
bleu.
+ Ganpant,s. m. arbre d’Amerique, dont les
feuilles ressemblent & celles du merisier, et
dont le bois est rouge et tres-dur.
GanpaYa, etc. V. Gandaia, etc.
* Ginpaa. V. Gendara,, Charndca.
* Ganpö, 3. m. ancien air qu’on jouait sur la
guilare.
Gänca,s. f. (t. d’hist. nal.) ganga : gelinotie
des Pyrenees, oiseau gallinace, plumipede.
it. Femelle du rhinoceros. ° Nankin, etofle de
coton des Indes. —s , certain nombre de points
au piquel.
634 GAN
*+Ganctwro, A, adj. querelleur, fier-ä-
bras, eräne.
'+Gänces, s. m. (1. de geog.) Gange : grand
fleuve des Indes. is. Sorte de poisson de l’Inde.
+ Ganc&Tıco, A, adj. du Gange. A
ganglion : tumeur sans dou-
Banane on leur sur les nerfs ; assem-
" 7) blage de nerfs entrelaces.
Ganc6s0, a. V. Fanhöso.
GANGRENA ,s. f. (1. de chir.) gangrene : mor-
tifcation totale et decomposition extensive
d’une partie du corps et des arbres;; (fig.) se dit
des erreurs,, etc. ; mal, desordre contagieux.
GANGRENÄDO, A, P. p. de
GANGRENAR, ©. 3. OU —SE, ©. Tr. Se gANngrTe-
ner : se corrompre et devenir gangreneux.
GANGRENÖSO, A , adj. gangreneux : de la ns-
ture de la gangräne, attayue de gangrene.
"GınHADEa. V. Gananria.
GANHADEIRO, A, adj. gagnant, qui gagne.
* GanHaDia. V. Ganancia.
GÄNHADINNEIRO, 8. m. gagne-denier, manou-
vrier, journalier.
GANHADO, A,p. p. de Ganhar.
GANHADÖR, 8. m. gagneur : celui qui gagne
des batailles. Gagnant:: celui qui gagne au jeu,
elc. Au Bresil, esclave ow affranchi qui gagne
pour son maltre.
GANMANGA, 8. f. V. Gagno.
Gixuiö, s. m. valct de berger. Journalier,
hommmne qui travaille a la journee, manouvrier.
fig.) Yacher, paltoquet, rustique ‚malhonnete.
GANNAPERDE, 5. m. jeu de qui perd gagne.
* Manıere de jouer aux dames, oü celui qui fait
prendre toutes ses dames gagne la parlie.
GANHAR,v. a. gagner: faire quelque gain;
tirer un profit; (fig.) retirer un avantage en ge-
neral, obtenir; reinporter ce qu’on desire;
avoirle gain au jeu, elc.; atlirer A un parli,
eic.; se rendre quelqu’un favorable ; s’empa-
rer, prendre, se rendre maltre, arquerir (l’a-
initie, le suffrage); prendre (un mal, etc.);
meriler par 8a Conduite, ses discours; vaincre.
— amigos e dinheiro, gagner de l’'honneur et
du prolit. —o barlarento, ı {. de mar.) gagner
le vent, au vent, le dessus du vent sur un vais-
seau. (fig. (sagner le dessus,, avoir l’avantage
sur quelqu’un. — 0 Jogo,gagner au jeu, tirer les
enjeux. — a demanda, gagner un proces, avoir
gain de cause. — lferra, gagner du terrain.
(fig.) Proliter habilement de ses avantages. —
amigos ou inimigos, se faire des amis ou des
ennemis. — as alrigaras, annoncer le premier
une bonne nouvelle. — a vida, — de comer,
gagner sa vie, gagner de quoi vivre.— a dian-
teira a alguem, xagner les devanls, gagner
quelqu’un de vilesse. — a vonladr d’algquem,
„ gagner !’amitie , la bienveillance de quelqu’un.
— o.cume do monle, o allo mar, eic., gagner
le somınet de la montagne, la haute mer, etc.,
s’y porier. — uma batalha ao inimigo , gagner
une bataille sur l’ennemi. —nome, se faire un
nom.—pelo sew corpo', se prostituer.—alguem
por imienigo , se faire un ennemi, altirer sur sol
'e-
GAR
Finfmitie de quelqu’un. Ndo se ganha para &-
mer, (fam.) les temps sont durs. Quem se ndo
arriscou, näo perdeo nem gankow, qui ns
risque rien n’a rien.
GanHÄR (a, em), v. n. gagner, avoir l’avan-
tage, l’emporter. — a alguem na carreire,
vaincre quelqu’un & la course.
GANBHINHO, s. m. dim.de
GäÄnno, s. m. gain, proßt, avantage; lucre,
utilite.
GANHOZIxHOo,, s. m. dim. de Ganho.
GANiDo, s. m. eri d’un chien qu’on bal;
aboiement, glapissement , jappement.
GantpE. V, Canape.
Ganir, vo. ®. crier, aboyer, glapir, japper,
parlant d’un chien qu'on bat, etc. (Ag.) Gron-
der avec coläre.
Gasiz,s.m. petit os des jointures des jambes
des baufs ou des ınoutons. —zes, pl. osselels.
"Gino, s. m. berger.
Ganöca , 8. f. nom d’un poisson de mer.
Gänsa,s. f. oie femelle.
Gansir. V. Gangar.
FGansixuo, #. m. dim. de Ganso. Oison:
petit de Foie.
Ginso ,s. m. jars : oie mäle, oiscau aquali-
que, palmipede , serrirostre. — braro, 0ie
sauvage.— paldo ou palöla, fou de Bassan. P#
de —, patie d’oie, plante.
Ginta, s. f.(l. d’Asie) mesure de grainsä
Malaca : sept font un alquier portugais.
Gintas,s.m.(t.d’Asie) V. Visitader.
Gänte,s.m. (t.de geog.) Gand : vılle capi-
tale de la Flandre.
+ Ganzerr, s. m. (t. de charp.) sorte de trou
ou d’embolture en morlaise.
f Gärasıs, s. m. pl. habitants de Garb, pro-
vince de Fez.
GARABÜLHA, 8. f. grabuge, griffonnade. il.
V. Embrulhdda , Confusdö.
GARABÜULHA, 3. m. intrigant, brouillon. V.
Embrulhador.
GARABULHENTO, A, adj.rude, Apre au loucher:
GARABULRO. V, Garabulha.
7 Garactay, s.m. (il. d’hist. nal.) garaguay:
oiseau de proie d’Amerique.
T GARAJAO, 8. m. oiseau de mer sur la cöte
de Guinee.
GıraLnäna. V. Gralhdda.
TGARAMÄNTAS, 5. m. pl. Garamanıes, peu-
ples de la Libye.
T GARAMANTITA, 8. f. garamanlite : pierre
precieuse et figuree.
GarANUro,s.m.(t.burl.) V.Novato, Calouro.
GARANBÄÖ, s, m. elalon, cheval entier. (A9.)
Homme tres-debauche, qui a commerce avec
plusieurs femmes, V. Frascdrio.
Garansäö,s. m. (f. burl.) Aandrin, grand
homme maigre, efllanque, echine.
GARÄNTE , 8. 2 gen. prince garant d’un traıte
de paix; et, par extension, garant, caulion.
r&epondant.
Gaxanria, s. f. garantie, caulion.
GARARTIDO ,A , P. P. de Geranfir.
.
‚GAR
GARANTIR, d. 0. garantir : 50 rendre caution.
V. Afkancar.
"Guraupiz, 5. m. ancienno garalture de
robe de femme. V. Barambax.
Garäpa,s. f. (t. du Bres.) limonade sucrde
avec de la melasse.
Garatüsas, s. f. pl. * gestes Fldicules, gri-
maces, contorsions. * Pieds d6 mouche : &cri-
ture indechiffrable ; griffonnades.
+Garatüsa, s. f. ' cobp du jeu du chilin-
dron. Dar — , c’est se defaire le premier de ses
cartes au jeu appele chilindron. (fig.) Fraude,
tromperie.
GARAvÄingo, s.m. * sörle de räteau de bois
pour s6parer la paille du bie dans l’aire.
Garavans£Lo. V. Espararäd.
GARAVÄTO, s. m. croc, crochet. —s, pl. V.
Garavftos. Candeia de —, lampe & crochet.
Garavim,s.m."coiffe de reseau;; sorte d’an-
eienne coillure.
GARAYO. V. Garajdo.
"GäRB0, s. m. bon air, bonne gräce; gentil-
lesse, galanterie, agrement; bonne mine,
prestance. (Ag.)* Valeur, cur. V. Brio.
+ GaARBöso, A, adj. de bonne gräce, qui a
bon air; fier. '
Ginca ,s. f. (t. @hist. nat.) * heron : oiseau
aqdälique et erratique. — redi, heron royal ou
commun. —de Bohdmia, * jaseur, vulgo geai
de Boheme, grive bLohemienne. — ruira. V.
Gazöla. —noeturna crislada, *bichoreau, cor-
beau de nuit.
*"Gancäö,s. m. garcon, jeune homıne non
marie. Amant, amoureux.
Garckıro, adj. m. Faledö — , faucon heron-
nier, qui chasse au höron.
* Ganckz, s. m. V. Calcez (t. de mar.): o’est
aujourd’hui un nom de famille.
Girco, a, adj. Olhos —, yeux bleus et
blancs, ow gris. Celadon : vert päle, tirant sur
le blanc. V. Gdzeo.
+ GancöA, s. f. demoiselle, fille.
Garcötra,s. f. (f. d’hist. nat.) * heronneau :
petit heron. — branca , garzeite ow jarselte,
heron blanc; aigrette.
* GARDÄNTE, p. a. de Guardar.
® GARDINGO, s. m. emploi &minent du temps
des Goths. V. Desembargador, Guarda.
?GARECER. V. Guarecer.
Gartıa,s.f. perdrix qui est en chalßur.,
Garriva, 8. f. fourchetse : ce que l’on peut
prendre avec une fourchette.
GaRtiLa 08 —ILLA, 5. f. " bord des pieces de
znonnaie.
+ Gaxrim, s. m. (t.de bof.) petite fourche.
Ginro, s. m. *fourcheite: ustensile de table.
ZEnte, groffe. — de gente, (Ag.) detachement
de troupes.
+ Garruäna, s. /. t. de bot.) "garfuana : ar-
re du Bre&sil, m'; .or & teinture.
GARCALEJAR. \. Gargarejur.
GancarHin: x.f. *eclatdeYire.
+ Ganchın .,v.®.rir6 aux eclats, A gorge
«tployee.
.
GAR 6%
FGancaLutıra,s. /. chatne pour prendra au
cou les esclaves.
GARGÄLBO, 8. m. erachat epais.
GARCALO, 8. m. goulot.
GancänTa, 5. f. gorge, gosier. "Cou. .fig.)
Gorge de montagne, detroit; deflle. ° Goulet de
rade. Ter boa —, avoir un beau gosier, un go-
sier de rossignol, chanter agreablement. — de
fogo. V. Volcdö. Passos de—, inflexions de
voix, roulades, etc. Pör o culello ou bararo na
— a alguem, (fig.) pousser & bout, reduire
quelqu’un & l’extrömite. Eslar com a corda ou "
com o barago na—, (id.) avoir la corde au cou,
@tre dans un embarras, dans une peine ex-
treme. — da aurga, it. de consl.) encognure,
encolure d’une cdurbe.—do estdi, (1. de mar.)
collet d’stai.— da um moildö,, (id.) grand aillet
d’un estrope de poulie.
GarcanTäö, Oxa, adj. V. Vordz; Comildö.
GARGANTEÄDO, A, p. p, de Garganlear.
GARGANTEADÖR , A , 3. Chanteur qui fredonne,
qui fait des roulades, des fredons,etc.
GARGANTEÄR,, vd. n. [redonner, faire des rou-
lades en chantant. _ rn
Gancantep ou —Eıo, s. m. Iredon, roulade,
tour de gosier. a
GARGANTILBA, 8. f. * oollier de femme.
* GARGANTOICE. V. Gula, Gloloneria.
GARGAREJAMENTO. V. Gargarejo.
GARGAREJAR, D. N. BE,gargariser.
GARGARBIO, 8.m. gargarisyng : action de se
gargariser; liqueur pour se gatgariser. .
+ GarcaunA, s. f. "fruit jaunc du Bresil,
de la grosseur d’une cerise.
+ Gancußıro,s. m. (i.burl.) * gorge, gosier.
Trache&e-artere.
+ Garımptıno ‚s.m. celui quichercheles dia-
mants furtivement.
*GaRITEIRO, 3.m. celui qui tient une aca-
demie de Jeu, maitre de tripot, tripolier.
“Garito, s. m. *academie, tripot, maison
de jeu. .
GARIOFILÄTA OU v. Cravoilha.
GARIOPHYLLÄTA, .
Garuindeo,s.m.(i.de mar.). V.Pega. .
GariörA,s. f. ($. de charp.) varlope : grand
rabot pour polir. ‚
GARNÄCHA, 8. f. robe de conseiller, de ma-
gistrat, etc.
Garneir. V. Brunir. oo,
* GARNIMENTO. V. Guarnimenlo, Ärreio.
GaRroTice, s. f. polissonnerie; action de ga-
lopin, de gamin. u a
GAROTO, 8. m. polisson, ruse, gamin, pelit
caqwn adroit. En .
GarRöurA, 3. f. * poisson de mer qui Fessenı-
ble au baudroie, excepte qu’il est röuge. &.V.
Garupa.
Garoupes. V. @urupes., a
Ginra, s. f. grille, serre. (fg.) Main de
’homme. (id.) Possession. violente; pouvoir
injuste; rapacite. —s do catallo, “lanons, crins
sur les boulets du cheval. Cuir qui couvr6 les
paties de Yanimal ei dont on fait An 1a oolle-
636 GAR
Tirer das —ı de..., arracher des grilfes de...
Pela — se conhece o ledv, & l’ongle on connalt
le lion.
Ganracıcäö, 5. m. oiseau du Bresil qui vit
de miel.
Gaanära,s. f. carale, boutellle.
GarniriL, adj. 2 gen. gros. Lelire —,
grosse letire. Ginja —, espeöce de grosse co-
rise, cerise anglaise. Cerajas —aes, bigarreaux.
Gannarid, s. m. aug. de Garrafa. Grande,
grosse bouteille. — empalkado , dame-jeanne.
+ Gannarinua, s. f. carafon, petite carafe.
Ganaina, s. [. sorte de tribut que payaient
los Maures. V. Derrama.
Garniıo, s. m. bourillon : jeune bauf. (Ag.)
Orateur novice, qui debute.
Gannina, s. f. pouliche : tr&s-jeune cavale,
jusqu’ä ırois ans; jument de race petite.
Ganräncno, 5. m." branche rompue d’un ar-
bre , hranche tortususe. Nom d’une maladie du
sabot du cheval.
Garnän, 0. m. (f. de mar.) chasser sur ses
ancres, arer.
Gannipa, 3. f. petite cloche.
GARRiDANENTE, ade. joliment, avsc dlegance.
Ganridice, 8. f. elegance, coquelierie, ga-
lanterie. Lascivite , mollesse.
Ganxido, A, adj. elegant, coquet, galant;
recherche dans sa parure. Amoureux. Lascif,
dissolu.
*Ganrik, vo. 0.50 pavaner; briller.
Ganxöcna, 8. f. sorte de dard ou d’aiguillon
äcrochet, usit6 dans les courses de taureaux.
Garnocniö, s. m. aug. de Garroche. Petite
lance des cavaliers dans les combals de tau-
Foaux.
GARROcHÄDO, A,P.p. de
GannocHär, v. a. blesser, frapper avec la
. V.ce mot.
GannöcnO, s.m. V. Garroche.
+ GannoTtär, v. a. etrangler.
GARRÖTE, 8. m. garrot : bäton court. V. Ar-
rocho. Supplice qui consiste ä etrangler avec
une corde et un garrot. Dar —, &trangler.
Gannotsa. V. Jarrelfira.
GARAOTILRO, 3. m. "esquinancie suivie de
suffocation. "Croup, #iranguillon : esquinancie
des chevaux.
GanaücHa, s. f. potence d’estrapade. Bät.
Piöce d’arbalöte. (tl. de mer.) Corde de bou-
line. —, pl. (id.) ansettes de bouline : bouts
de corde altaches & la ralingue.
GannöcHo, s. m. V. Garrucha.
+ Gannöca, s. m. (t. de bot.) ° garruga : ar-
bre de !’Inde, de la decandrie. " ”
GinnuLo, a,adj. babillard ,häbleur, parlant
d’un homme; gazouillard, qui ramage sans
cosse „ parlani d'un oiseau.
+ Ganauncuo, 8. m. (li. de mar.) —s das od-
las , bersaux.
Ganöra, s. f. eroupe de cheval; croupicre.
Ganuriva, 8. f. "bond, saut du cheval ele-
vanı la croupe.
GuRTorsıLno. V. Cravo da Indie.
GAS
GarvoruvıLira. V. Crevoilke,
Gis, V. Gas.
GasaLniDO, 8. 9. hospice, auberge, aoomeil,
reception , hospitalite ; prevenance , benignitt,
bienveillance. "Cabane de vaisseau. Der — «
alguem, loger, recevoir quelqu’un chez sei.
Fazer bom — a alguem , recevoir quelqu’un de
bon cur, avoc aflection.
"GasaLsauinto. V. Gasalkddo, Abrige.
ägasalho.
GasiLno. V. Agasdiho.
GasaLnöso, A, adj. hospitalier, qui fait bon
accueil. V.4A .
Gusciö, s.m. etadj. Gascon, de la Gascogne.
+ Gascögs, s. m. pl. pieces du canon du
mors du cheval d’une forme particuliere.
GaSCONHA 08 Gascoyne : ancienne pfo%-
Gascinua,s.f. | vince de France.
GASCUENTO el
GascufTo, A, adj. | V. Gago.
Gasnäipa, 5. f. "cri de cerlains oiseauz de
proie et des oies. V. Grasnade.
Gasnär. V. Grasnar.
GASNÄTE, 8. m. " gorge, Kosier.
Gasnko,s. m. V. Gasndda.
GasneTe. V. Gasnale.
Gäsra , s. f. piöce de racoommodage de s08-
iers.
+ Gassenpista, s. m. gassendiste : soctaleuf
de Gassendi.
GASTADISSIMO, A, adj. sup. de
GasTtino, A, P. p. de Gastdr. adj. Ust; ef-
face ; gätd. — dos annos, casse de vieillesse.
GasTanOR, A, 5. depensier, prodigue, dissi-
pateur. adj. Qui gäle, use, consume, delt-
riore, suriout parlanı du temps. 3. m. (}. mil.)
Gastadour, pionnier qui aplanit les chemins.
GASTÄLEO, 5... sergent : outil de menuisier.
"GaSTAUMENTO. V. Gdsto.
Gastiö, 5. m. "pomme d’une canne.— de
fuso. V. Maunge.
GasTtär, 0. a. depenser. Gäter, user, COnSU-
mer, deteriorer. Employer, so servir de. (Ag-)
Ruiner, saccager, devasier. Digerer, cuire les
aliments. Kflacer : öter la figure, l’empreinte. —
apariencia a alguem, pousser quelqu’un & boul.
— o lempo, employer le temps ou le perdre. —
palavras, parler inutilement. — alegremenks
a fazendg, eic., dissiper follement sa fortune.
— sem luzir, faire des depenses qui ne parals-
sent pas. Ser amigo de —, aimer la depense.
GASTÄR-SE, v. T. s’user; se gäler; se colst-
mer. Se vendre, etre d’un debit facile. — er
guem, dissiper sa [orlune;; perdre ses forces
perdre du monde äAla guerre.
+ GastRaörongs, s.m. pl. (.d’hist. nal.) gar
teropodes: mollusques rampants sur le venire.
Gästo, s. m. * depense. Faser um gr
faire belle depense. Seu — d mdi erescido, 54
depense va loin.—s, pl. depenses, frais.—
gerdes de cummercio, düpenses de negoce, de-
penses generales. — miudos, faux-frais.
Gisto, a,adj. etp. pP. irr. de Gester. V.
Gasiade.
GAT
GistaIcO,, A, adj. gastrique, stomacal, de
Pestomac.
+ Gastamancıa , 8. f. (inus.) force digestive
de Pestomac , appetit insatiable de manger.
Gastairtes, s. f. (1. de med.) gastrite : in-
Sammation de l’estomac.
+ Gastaöceıe, 8. f. (t. de med.) gastrocdie :
hernie de l’estomac.
Gastaopr'nıa, 3. f. (t. de med.) gastrodynie:
colique, douleur d’estomac.
+ Gastano-snterites, s. f. ($. de med.) gas-
tro-enterite : maladie compliquee de la pbleg-
masie de l’estomac et de celle des intestins.
+ GastaoLocia, 8. f. gastrologie : traite,
kvre sur la cuisine.
+ Gastaomancia, 5. f. gastromancie : sorte
de divination par les röponses d’un devin ven-
triloque.
+ Gastrowania,, 8. f. gastromanie : passion
pour la bonne chere.
+ Gastaömano, 8. m. gasiromane : qui a la
gastromanie.
+Gastronomia, s. f. gastronomie : traite,
tcrit sur la bonne chöre; art de faire bonne
chöre. _
+ GasTRonöNıco, A, adj. gasironomique :
de la gastronomie.
+ GasSTRÖNOMO, 3. m. gastronome : amateur
de bonne chere, gasiromane.
+ GastaoraPHia, 8. f. gastroraphie : suture
des parois du bas-ventre.
+ GastaoToMia ‚s. f. gastrotomie : ouverture
faite au ventre.
GäTa, s. f. chatte : femelle du chat. (t. de
mar.) * Perroquet de fougue ou d’artimon. (id.)
Ancre borgne. (id.) * Croc de candelette. Sorte
de poisson de mer. Ancienne machine de
guerre. Tomar a —, (pop.) se griser. Ander de
—s, pör-se de —s, marcher ä quatre paties,
prendre cette position.
Gartänıa, 5. f. (1. de bot.) cataire, herbe aux
chats , chataire : plante aromatique et medici-
nale.
Garizio, s. m. "griffe de chat. (Ag.) Vol
adroit; escroquerie, fllouterie ; marche fraudu-
leux, ele.
GATEADO, A,p. p. de
GATEÄR, U. @. &gratigner. Cramponner. v. ®.
Grimper, marcher, gravir & !’aide des pieds et
des mains.
Gartına, s. f. chatiere : Irou dans une porle
pour les chats.
+ Gartıro, 3. m. qui a soin des chats.
* GaTEnno ,,s.m. Campo de —, champ ineulte
ns en friche.
+Gartksco, a,adj. de chat; ä manidre de chat.
GATILRO, s. m. "gächelle, detente d’un fu-
sil, etc.
GATINÄNBOS, 8. m. pl. * singeries, mines,
grimaces.
Gariuua, s. f. dim. de Gala. Petite chatte.
Ander de —:, aller ä qualre paties.
GATINBO, 5. m. dim. de
GäTo, s. m. chat: animal domestique, mam-
GAV 637
miftre de la famille des carnivores. Crampon.
Petite outre de peatı de chat. Traitoir : outil de
tonnelier. — malkddo ou do Mäxieo, ocelot:
espece de chat-ligre d’Amerique. — mon-
tes, chat sauvage. — de algalia ou piodle, "ci-
veite. — leizugo, chat sauvage. — pi ‚
croque-mort. Fazor — sapaio, ( fam.) se Jouer,
se moquer de, taquiner quelgu’un ; le tromper
grossierement. Comprar — em sacco, acheter
chat en poche. Quem ha de levar 0 — d agua?
On le dit d’une chose dificile ou dangereuse &
executer. Vender — por lebre, ( ig.) tromper
dans un marche. — escaldddo d’agua fria lem
me6do,, (prov.) chat &chaude craint l’eau froide.
Como cdo com —, comme chien ei chat, sans
pouvoir s’scoorder. Buscar cinco pes ao —,
chercher midi & quatorze heures. Quem lan-
gard o cascavel ao — P qui doit attacher le gre-
lot? Langar o — ds barbas de outrem , eriter un
danger, une peine, en la rejetant sur un autre.
De noite todos os —s sdo pardos, la nuit tous les
chats sont gris. — de ferro, (1. de mar.) croc.
— de ferro com sapalilko, (id.) croc & cosse.
— do moildo do turco, croc de capon. — de
tornel, oroc & emerillon.
GaATUNiR, v. a. ou ®. fllouter, tricher.
GATTNicE, s. f. tricherie,, ülouterie.
GATiNO, 8. m. aigrefin, fllou, tricheur, fri-
ponnier.
* Gatünpa, s. f. ancienne chanson et son air,
qu’on Jouait sur la guitare.
+ Gäunos, 3. m. pl. Gaures, Guöbres ow Par-
sis, peuples d’Asie.
Gıvid. V. Gabdb.
GAVÄiRRO, 5. m. javart: tumeur au bas de la
jambe du cheval.
Gävsa,s.f. (l. de mar.) hune, gabie : sorte
d’echafaud,, de guerite au haut du mät; grand
hunier. —s, pl. "huniers : volles des mäts hu-
niers ; volles trapezoides Cesto da —, gabie.
A— esid sobre, le grand hunier est coiffe,, le
grand hunier est sous le mät. Ter as —s arrea-
das sobre a pega, avoir les huniers sar le ton.
Ter as —ı arreadas a meio masiardo , avoir les
huniers & demi-mät. Ter as —s incadas, avoie
les huniers guindes. —s arreadas, huniers
amenes. —s rinzadas, huniers rises. —s cas-
sadas a beijar, huniers bordes tout plat. Larger
as —s, jeier les huniers hors de hune.
Gaveıa, s. f. javelle, glane, herbe de bie.
Gavetra,s:f. layette, tiroir pour serrer des
papiers, etc.
Gıveriö,s. m. aug. de
GaAVvETIinNBa, 3. f. dim. de | Gavdla.
+ Gavıir, 5. m. (8. d’hist. nal.) gavial: ero-
codile de I’Inde.
Gaviäö, 8. m. epervier, oiseau de proie. — da
vide, vrillo de vigne.
Gavißte, s. m. sorte de davier. — ds lanche,
(4. de mar.) davier ou davied du canot.
Gavistre. V. Gabindie.
+Gavinnas, s. f. pl. (1. de bat.) vrilles ow
mains : liens aveo losqueis certaines planieg
s’attachent,
638 GEI
+ Gavınn0so, A, ai. (1. de bot.) vrillifäre «
(plante, ramyay, aic.) qui porie des vrilles.
-Givo. V. Gdbo, Lomwor.
Gavöra, &. f. gavotie ı danse gale; son air, &
deux temps.
Gäxkra,s. f. (6. de mar.) garcelle : oorde
tressee. — pare forro das amarras, garcetlo de
cäbles ow de fourrures de o4bles. —s, pl. gar-
celtes : cordes iress6es pour altacher les volles
aux vergues.
GiYa. .
Giro. | V.Gain.
Giz, s. m. (t. de chim.) gax: Buide adri-
forme;; gaz hydrog&ne ow gas, air inflammable.
(fig.) Feu, ardeur d’imagination,, verve.
GazALHBÄDO, elc. V. Gasalhddo, eio.
GızaLuär, otc. V. Agasalhar, eic.
GAZEADOR, 5, m. qui fait l’ecole buissonniäre.
(GGAZEÄR,, 9. ®. Laire l’dcole buissonniere.
GAzEIO, 8, m. “action de faire l’ecole buis-
sonuniöre. Gazouillement des oispaux.
GAZELLA, 8. [. gazelle ow antilope : bete fauve
A cornes courbees en |yre.
(1i750,A, adj. verdätse, vairon; bleu clair.
Olho —, @il vairon.
GATETA, 8. f. gazelie, journal.
GAZETEIRO, 5. m. gasgelier, journaliste.
Gazia. V. Gazira.
GaziL, adj. 2gen. tres-gai.
Gaziva, s. f. expedition des Maures en de-
fense, eic., de leur religion. (Ag.) " Dommages
octasionnes par celte expedillon. (id. fam.)
’ Vol, usurpation,, dommage.
tGazöLa, s. f. (t. #hisl. nat.) * butor : oi-
seau du genre du heron de marsis.
. GAZUMETRO, 4. m. gazomötre ; instrument
pour fixer la quantile de gaz empley6 dans une
operation.
GaAZOPHYLÄCIO, 8. m. Lrösor, lieu od l’on
garde le Irösor; coffre ow Ironc des aumönos
(dans le temple de Jerusalem).
Gız0s0,A, adj. gazeux: de la nature du gas.
Gazi. V. Gaxiva ou Gezüs.
GazüA,s. f. "passe-pariout, rossignol , fausse
clef, crochet. it. V. Gazivs.
"Ge. V. Se (pronom),
. Gzäpa,s. f. gelee blanche : rosee congelse.
— sobre as aropres, elc., givre ow friıman. V.
Escarcha.
GEÄR , v. 6. geler, glacer. v. m. Geler : faire
un froid glagant; tomber de la gel6e blanche,
tomber du girre.
GEÄRn-8E, dv. r. se geler.
Gear, s»f. V. Corcova.
G£Bo,s. m. (1. d’hist. nat.) bison : baauf A
bosse,, variets de l!’urus, baauf sauvage.
G&2o, A, adj. V. Coreovado , Giboso.
Grutna, s. f. gehenne, enfer; torture, pri-
son.
Gkına,s. f.* espace de terrain qu’une paire
de baufs pegt labourer en un jour. * Arpent.
(viewz) Corvöe : travail, service gratuit et foro6
aü par le vassal au seigneur ou a l’Kial. Fazer
slgumacousa por maier ou fapar —, (fam.)
GEM
faire queique chose par manidre d’aeguit, ä la
iögöre , pour la forme.
*+Gzınkö ou GsinoN, s. m. vassal oblig6 ä
la corv&e;; corv6ieur.
* Gzıtan. V. Lancer.
Gäıro, s. m. " manidre, lournure, air; ap-
parence; mauvaise habitude, tio ; aptitude,
adresse. Tor — nos olhos, loucher. De —, en
sorte, de maniere. A—, dans une atlitude con-
venable; & la port6e de. Fer — com alquem,
öıre bien auprös de quelguiun. Zsio ndo leve—,
cela ne va pas.
Gxirösamentz, ado. convenablement; avec
gräce,, avoc adresse. .
GsıT080, A, adj. adrvit, habile ; oonrenable;
bien plao6, & la poriee de; de bonne mine.
Louche. Mal —, gauche.
Gssöy, ete. V. Jejüum) etc.
GeLivA, 8. f. (tl. de bot.) ficolde glaciale ow
crystalline,, ouig. la glaciale: plante brıllante.
t GELÄDO, A, p.p. de Geldr. adj. Gele, con-
gele. —s, pl. m. "glaces, liqueurs, fruits glaces.
GEL.ADOR, A, 0dj. quiglate, quigele, glacant.
+ GeLapüna, s. f. (4. de bot.) gelivure : mzia-
die des plantes.
GeLirLLa. V. Jelldla.
GELAR, v. @. geler, glacer, congeler, endar-
cir par le froid. v. ». Faire un froid glagant; so
geler.
GeLÄR-SE, o. r. geler : @ire glac6, transi do
froid; se geler, se figer. Se s6öeher par la ri-
gueur du froid, parlant des plantes. — 0 sangwe
so corpo, (fig.) se glacer de frayeur, parlart du
sang. — ooorapdo a algwenm, id.) resterinterdit.
GELATINösO, A, adj. gelalineux : qui res-
semble & une gelde.'
Gei»a. V. Gelva.
GsLeki, s. f. gelee : suc, jus coagule.
+ GeLtiaa, s. f. glaciere : lieu, cavite od 56
r&unissent des eaux et ou elles 5’y gelent.
Getımas, 8. f. pl. (1. rush.) le bie land.
GELIDO, A, adj. (podi.\ gele , glace.
GELo, 8. m. *gelee : solidification de Veau
par le froid ; glace. (Ag.)* Glace , froideur, in-
difference. Estar feilo um — , eire giaoe, froid
comme la glace. O — do rio se desfaz., la ri-
viere a debäcle. Pedafo da —, glacon. Rompi-
mento do —, debäcie. Nario embararado n0—,
navire pris dans les glaces.
+ Gzı60, A, adj. de Gela, ville de Sicile.
GELOSiA, 8. f. jalousie de fenetre. V. Adtuis.
Jalousie. (P. us.) V. Ciüme.
Gäıra, s. f. petit bAtiment sur la mer Rouge.
G&uMa,s. f. jaune d’auf. V. Gemme.
Gsmipa,s. f. " lait de poule.
+ Genipo, A, adj. couleur jaune d’euf.
p. p. de
T Gemin,v. a. (tl. de pharm.) assaisonner
avec le jaune d’@uf.
*+Gemsr, s. f. dans les salines, c'est
soixanle-qQuaire carreaux ou planches od lot
fait du sel marin. .
GENMEDOR, A, adj. ei 6. qui gemit; qui imile
le gemissement de l’homme,
s
GEN
GENENTR, adj. 2 gen. V. Gemedor.
GRMEOS, AS, adj. pl. jameaux : enfants nds
d’une möme couche. (1. d’anat.) —, muscles de
la cuisse. Pör-se em —as, so Äresser surf 868
pieds,, parlant du cheval, etc.
Gkuros, s. m. pl. (l. d’astr.) gemeaux : signo
du zodiaque, Jumeaux.
Gruß, v.n. gemir: exprimer sa peine, otc.,
@’une voix plaintive, non articulee, se plain-
dre, exprimer sa douleur de...; soupirer et
pleurer. Sifller, parlant du vent; mugir, parlant
de la mer.
Gzuido, A, p. p. de Gemer. it. s. m. Gemis-
sement, plainte douloureuse, Tamenlation, cri
plaintif. —, cri de la tourterelle, etc. Siffle-
ment des venis, mugissement de la mer.
Getuini ou —nıs, 5. m. V. Gemeos. Emplaslo
d geminis, (1. de pharm.) emplätre resolutif,
composö de cire et de ceruse.
Ge£mino, A, adj. (p. us.) double, repete,
reitere.
G&mi0 , A, adj. V. Gemeos.
G£UMA,s. f. gemme: pierre pr&cieuse. G@me
os gdme, bourgeon, germe des plantes. (fg.)
Milieu , centre. Na — do inverno ‚dans le fort
de Phiver. Frances na —, vrai Frangais.
+ Gruwioo, a,p. p. de Gemdr.
Geunminte, adj. 2 gen. (podtl.) qui hrille
comme les pierreries.
Gzuuir, v. a. (f. d’agric.) grelfer, enter.
(t. de pharm.) Preparer avec la poudre des
gemmes ou pierres precieuses. v. n. Bourgeon-
ner, parlant des plantes.
GEuMÄR, dv. a. (8. d’agric.) greffer, enter.
+ Geuuireno, A, adj. gemmifere : qui con-
tient des pierres pr&cieuses. Qui produit des
gemes ow bourgeons.
Gzuonsas, s. f. pl. (8. d’ant.) Gemonles :
lieu de supplice et d’exposition des cadarres
des criminels.
GenaL. V. Facial.
Gencıina,s. f. ($. de bot.) gentiane : plante
vivace, campaniforme, qui entire dans la the-
riaque. —amarella, gentiane amarelle. —bras-
es , gentiane blanche (Laserpilium latifolium).
+ Gencıänas ou —Eas, adj. eis. f. pl. (1. de
bot.) gentiandes : famille des gentianes.
+ GencıanzLLa , 3. f. (1. de bot.) gentianelle.
V. Genciana amarella.
GenzaLocia, s. f. gensalogie : suite et de-
nombrement des aieux ou parents.
GeneaLöcıco, A, adj. genealogique : qui
tient & la gönealogie. s. m. V. Genealogista.
GENEBALOCISTA,, 8. m. genealogiste : qui
äresse des genealogies.
Gunferu, 5. f- geniövre : liqueur spiritueuse,
t. de geog.) Gendve :: chef-lieu d’un canton de
isse.
+Genzanino, A, adj. Genevois : de Geneve.
Gentııa. V. Janslla.
" GEntR, ©. 8. — a agua, grossir l’eau dans
le torrent, '
GzuzriL, 5, m. göneral : chef d’une arınde,
&une de ses grandes divisions.
F —
GEN 6,
GanzniLa, 8. f. generale: batterie de lam-
bours pour avertir la troupe de se lenir preig ä
marcher ou ä combatire.
GENERALAÄNO 0% } generalat: dignite de
GENBERALÄTO,s. m. | general d’urdre reli-
gieux ; sa duree. —, commaändement d’une ar-
mee.
GENBRALIDÄDE , 3. f. göneralite, universalite:
qualitö de ce qui est general. it. V. Generalälo.
GENERALISSIMO, A, adj. sup. de Geral. s. m.
Generalissime : celui qui, dans une armee,
commande meme aux generaux.
GENERALIZÄR, ©. a. generaliser; rendre gö-
neral; etendre A tous.
GENERANTE , adj. 2 gen. V. Gerador.
GENERATIVO, A, adj. generalil : capable d’en-
gendror, de produire.
GENERICAMENTE , adv. genöralement, univer-
sellement; en general.
GENERICO, A, adj. generique:: qui appartient
au genre. General.
GENERO, 8. m. genre : caractere commun &
plusieurs espäces, classe divisee en especes;
sorte, maniere; condition; qualıla; (4. de
gram.) le masculin, le feminin, le neutre;
(4. derhet.; partie de l’art oratoire tel que
P’entendaient les rheteurs anciens. —s, pl." Den-
res, marchandıses.—sujeilos a derramamenlo
ou a enlornarem-se, marchandises sujelles &
coulage. — sujeilos a corrupgdo , marchandises
perissables, sujettes & se gäler, ä deperisse-
ment,
GENERÖSAMENTE, adv. genereusement.
GENERUSINÄDE, 8. f. Kendrosite, grandeur
d’ame, magnanimile ; liberalite.
GENEROSISSINO ,A, adj. sup. de
GENERöSO, A,adj. bon, excellent dans son
espece. Genereux , magnanime ; l.beral , noble.
Genereux, liquoreux , agr&able, parlant da
vin,
Genssı, s. m. premier chapitre de la Genese.
* GENESIM ou * Genese : premier livre
GENESIS, s. m. de Y’ancien Testament.
GeEx&ta,elc. V. Ginela, etc. .
} GEnerTnLIiach, 8. f. genethliologie : art
d’expliquer l'horoscope.
GENETHLIACO, A, adj. genethliaque: sur la
nejssance (po6sie, discours, elc.). 6. Mm. —,
astrologue qui dresse les horoscopes.
f GENETRIZ, s. f. mere : celle qui a concu et
enfante.
GENGIBRE OU —VRE, 3. m. (4. de bol.) amome®
des Indes, (owlg.) gingembre, plante et racine.
— silvestre, amoıne ou gingenmbre sauvage.
GENCIVA, 8, f. gencive: chair qui ontoure les
dents.
GENIAL, adj. 2 gen. conforme au genie, au
goüt, & l’inclination. Dias —aes, jours de feie,
de plaisir, de divertissement.
+ GenıcuLino, A, adj. (4. de bot.) genicul6:
noueux, plein de nauds.
Genıo, s. m. genie, talent, esprit, aplitude,
humeur. "Inclination, dispositlion nalurelle,
tempsrament, nalurel. Bon ou mauvais cä-
640 GEN
ractöre. Tor — para, &ire nö pour. — fogoeo,
forte , humeur bouillante. — docil, suave, na-
turel facile, doux.
GenıPÄnO ou
GEnIPÄPO, ete. | V. Jenip..., eio.
° Gzuiseno. V. Jamizaro. '
GenıriL, adj. 2 gem. genital : qui sert & la
generation. s. m. "verge, le membre viril.
—des , pl. genitoires, testicules.
GenıTivo, s. m. genitif : le second cas de la
declinaison des noms en grec et en lalin.
Gexıro. V. Gerddo.
GEnıTöR, a. m. celui qui engendre, pere.
Ganıtonia ou } generation, procreation.
Ganıröna,s. f. ) ° Etat du ciel au moment
de la naissance, theme celeste.
Genizano. V. Janizaro.
Getnova, s. f. (6. de geog.) Genes : ville d’Ita-
lie, des Etats-Sardes.
GEnov&z, a, adj. et a. Genois : de Genes.
Genuno, 8. m. gendre.
. . populace, lie du peuple,
Pa a Fer racaille, vermine,
Gente, s. f. gens, monde, personnes. * Peu-
ple, nation. Armee : ceux qui la composent.
—, personnes qui appartiennent au m&me
parti. (fam.) Famille, parents, parente. —
baire, pelites gens, gens du commun. Y. Plebe.
— de bem, honnötes gens, gens de bien, ow
gens de marque, de dislinction. — de Iralo,
gens de commerce, negociants. — möga, la
jeu 1osse. — do mar, marins, matelots. Ser —,
(fg.) ötre d’un merite distingue. Mdilta —, bien
du monde; bien des personnes.
* GENTIL, 8. m. ancienne piece de monnaie
en Portugal. ‘6. V. Gentio, Pagdö.
GenTiL, adj. 2 gen. gentil, joli, mignon.
Brave, actif, quia du feu, de l’ardeur. Excel-
ent, exquis dans son genre. (vieux) Noble,
d’une extraction illustre.
GeautiLtza, s. f. gentillesse, gräce, agre-
ment , galanterie, dlegance recherchee, no-
blesse ; courteisie, politesse,, urbanile, manid-
res distinguces. (viewz) La noblesse , les gen-
Ulshommes.
GentiLßzas, s. f. pl. choses &dlegantes, pa-
rures magnißiques, etc. —s, ou —s de valor ou
em armas, grandes actions, "exploits, hauts
faits d’armes.
GERTILBONEN , s. m. gentilhomme : noble de
race. (viewz) Bel homme. — da cdmara, cham-
bellan. Ander — em alguma acpdo ou lance, se
conduire, agir en honneie homme, comme un
gentiilhomme. Palen.
GENTiLICAMEnTE, ado. en gentil, en palen; &
la manidre des palens.
“ GenriLico, A, adj. qui appartient aux gen-
üls, aux palens; paien, qui concerne le paga-
nisıne.
GENTILIDÄDE, 5. f. gentilite,
tion palenne.
GEnTILIiswO, 8. m. gentilisme ; religion des
gentils,
3
ganisme, na-
GEO
GENTILTZÄR , 9. @. corroınpre par des usages,
des rites, etc., genlils ou paiens. v a. Obser-
ver les rites des gentils ou paiens.
GENTILMENTE ‚ade. gentiment, joliment.
+ Gextir-weLuer, 5. f. jolie feınme.
GENTixnA, 8. f. dim. de Gente. Bas peuple,
populace, canaille.
GENTio, a, adj. des gentils, paien, idolätre.
s. m. Gentil, paien , idolätre; peuple sauvage,
sauvages. °Foule, affluence, grand concours
de monde. it. V. Genialha.
GEnturLExäd, 8. f. genuflerion : flechissement
des genouz.
GENGFLEXÖRIO , 8. m. agenouilloir, prie-
Dieu.
Genuinamsnte, ade. franchement; propre-
ment parlant.
GENUINO, A, adj. vrai, pur, sans alteralion
ni melange;; propre , naturel. .
GEOCENTRICQ, A, adj. (1. d’asir.\ geocentti-
que : qui appärtient ä une plandte vue de la
terre.
GEöDA, 8. f. g6ode : pierre d’aigle ow elite.
GeoDESsIA, 8. f. geodesie: art de mesurer et
diviser les terres.
GEODESICO ou | geodesique : de la gen
GEODETILO, A, adj. desie.
GEoGnAPnIiA, 6. f. geographie : science de la
position respective des pays entre eux el par
rapport au ciel, el description de ce qu'ils con-
tiennent de principal.
+ GEOGRÄPNICAMENTE,, adv. selon la geogra-
phie.
GEOCRÄPRICO, A, adj. geographique : de la
geographie.
GEÖGKRAPHO, 8. m. geographe : qui sait la
geographie, qui fait des cartes geograpbiques.
* GEöLno. V. Joelho.
+ GEonYpnucrAPHia, 8. f. geohydrographie:
description de la terre et des eaux.
+ GEoLoGia, 3. f. geologie : connaissance,
description de la terre, de ses couches, de ses
especes, etc.
+ GEoLöcıco, A, adj. geologique : de la geo-
logie.
GEÖLOGO, 8. m. geologue : qui sait, enseigne,
&tudie la geologie, ecrit sur elle.
GEOMANCiA, 3. f. geomance, —cie : divina-
tion au moyen de points lraces au hasard sur
la terre; divination par la terre.
+ GEOmÄNTICO, s. m. geomancien, qui praüi-
que la geomancie. —, A, adj. geomantique:: d®
la geomancie.
GEÖNMETRA, 8. m. geometre: qui sait, exerc®
la geometrie.
GEONETRIiA, 3. f. geometrie : art de mesufet
la terre; science des mesures, des lignes, des
corps; science des proprietes de l’elendue
figuree.
GEOUETRICAMENTE,, adv. geometriquement:
d’ane maniere geometrique, exacte et rigo@-
rouse, , .
GEONETRICO, A, adj. geometrique : qui PF®-
cöde geometriquement; de la geomketrie.
GER
+ GRONOMIA, 3. f. göonomie: connaissance
des terres propres & l’agriculture.
+ GEÖXOMO, 5. m. geonome : savant qui 8’00-
cupe de la geonomie. (. de bot.) Geonome:
palmier de l’Amerique meridionale.
t GeörnACo, A, adj. el 3. geophage : qui
mange de la terre.
*"GEORÄL, s. m. ancien meuble.
+ Gerörcıa, 3. f. (1. de geogr.) Georgie ou
Gurgistan : province d’Asie.
GEORGIÄNO, A, adj. et s. Georgien: de la
Georgie.
GEÖRGICK, s. f. georgique : ouvrage qui a
rapport ä la culture de la terre.
GEöRGIO. V. Georgiano.
GEöSO, A, adj. neigeux, brumeux.
t GeoscörIa, 8: f. geoscopie : connaissance
des qualites de la terre.
f GEÖscoPO, 8. m. g&oscope : qui S’occupe
de la geoscopie.
f GEoSTÄTICA,, s. f. geostatique : stalique de
lı terre, trail6 des lois d’equilibre des solides ;
staligue.
GERA. V. Hiera.
Genacäö,s. f. genaralion :-aclion d’engen-
“rer; chose engendree; production; peuple,
nalion; chaque filiation et descendance de pere
a fls; race, lignce, posterite, descendanis
d’une personne. "Genre, espece.
GERADO,A,P.Pp.de Gerar.
GERADÖR, 5. m. celui qui engendre, pere.
adj, Generateur, qui engendre.
GERÄES, s. m. pl. ecoles publiques dans une
universite, etc.
GerRÄL, 3. m. general : superieur d’un ordre
monastique. (vieur) V. General. Dar —, faire
toutes les levees au Jeu de l’hombre.
GERÄL, adj. 2 gen. general, universel : com-
mun ä 0% d’un graıd nombre; de tous; qui
embrasse un grand nombre d’objets. Em —, en
general : U’une maniere generale, eı commun;
indistinctement, sans specification partliculicre.
Ventos —aes, vents alises.
GERALIDÄDE. V. Generaliddde.
GERALMENTE, adv. generalement, en g&-
neral.
Geaino, s. m. (1. de bot.) geranium,, bec-
de-grue, plante. — felido. V. Herva Roberta.
— dos jardins. V. Alfinetes de dama.
GaRrAPIiCA, 3. f. boisson purgalive, faite du
vert-de-gris, de la cannelle, etc.
GeriB,v.a. engendrer, procreer, produire,
causer; enfanter. ,
Genanckia. V. Jerarchia.
+ Gensisıa, s. f. ’ gerboise ou gerbo: qua-
+ GAnBO, 8. m. } drupdde rongeur, &
paties de devant trös-courtes.
GEREBITA, 8. f. "tafia. V. Cachapa.
GERCGELÄDA ,, 8. f. conftures failes avec de la
$ugeoline et du miel.
GE.RCELIM, 5. m. (4. de bot.) * jugeoline 0%
jugoline : sesame d’Orient.
GescILÄDA, 8. f. ’gätean fait avec du sucre
tondu et de la jugeoline.
PORT.-FR.
GES 64
GeririLco ou ’ (t.d’hist. nat.) gerfaut:
GeRIFÄLTL:, 5.m. ) oisvau de proiedugenre
du faucon, qui vole en rond, le plus grand et
le plus fort de ceux que l’on dresse.
GERINGONGA,'s. f. * jargon, argot: langage
corrompu , bizarre, dont se servent ordinaire-
ment les bohemiens, voleurs, etc. V. Algara- \
via, Germania. (fig.) Chose obscure, dificile
& entendre. Andar com ou em —s, lergiverser,
user de detours, de subterfuges. Fazer —,
faire des gestes ridicules.
GERIPIGA. V. Jeropiga.
* GERIZA. V. Ogeriza, Odio.
* GERMÄHO. V. Germano.
* GERMAIA. V. Germana.
Geruamnär. V. Confederar, Umir.
T GERMANDRIA, s. [. germaudree : petit chöne
vert.
GERMÄNIA, s. f. germanie, boh6mien, jar-
gon, argot: langage corrompu et bizarre dont
se servent les bohemiens, voleurs, etc.
GERMÄNICO, A, adj. germanique : des Alle-
mands.
GERMANIDADE: V. Irmandade.
T GeERMANIisMO, s. m. germanisme : facon de
parler propre ä la langue allemande.
GERMÄNO, A, adj. (P. us.) vrai, pur, sans
alteralion ni melange. adj. ei s. Germain, Alle-
mand.
" GERMAYVELMENTE. V. Irmämentie.
GERME 04 —MEN, 8. m. germe: partie de la
semence dont se forme la plante; principe de
reproduction de l’animal comme du vegetal;
partie inferieure du pistil; premiere pointe de
verdure; (fg.; semence, cause, origine, source.
(id.) * Branche , lignee.
* GERUF.VDADE.
* GENRMIDADE. } V. Irmandade. .
GENMINAGAÖ, 8. f. germinalion : premier de-
veloppement du germe, de la plante.
GERMINAL,adj.2 gen. du germe ‚qui conlient
des germes.
GERMINÄL, 3. m. germinal: premier mois du
printemps de Yannee röpublicaine, du 21 mars
au % avril.
GERMINÄNTE, adj. 2 gen. qui germe, qui
pousse. p. a. de
GERMINÄR, 9. Rn. germer : pousser je germe
au dehors.
GERMINATIVO, A, adj. qui ala vertu de ger-
mer; vegetatif.
Gero, s. m. " hberbe vulgaire en Portugal.
GEROGLIFICO, etc. V. Jerog..., elc.
+ Geröna, 5. f. (t. de geogr.) V. Girona
GEROPIGA, 3. f. "breuvage peu agreable.
+ Genunnense, adj. 2 gen. de Gironde.
GERÖNDIO, 5. m. gerondif : sorie de parlicipe
indeclinable en portugais comme en frangais,
ä trois cas en latin : ilse termine toujours en do.
Ex.: Lowvando (louant), comendo (mangeant),
indo (allant). .
f GERUSEMO, 5. m. juge eivil ot criminel &
Nankin.
Gzsuim. V. Jasmim.
|
64,2 GIG
7 GESOLREUT, 35. m. (l. de mus.) premier si-
gne eı une des clefs de ia musique, dans le
systöme de Guy-Arötin. V. Gwolre-uß
+ GessäL, s. m. ’plätziere : carriere d’oh om
tire le plätve.
Gessin. V. Engessar.
Gässo,, s. m. plätre, gypse : pierre calcaire
friable, qui se calcine au feu. — meate, plätre
fin ei ıres-blanc. Amassar —, gächer, delayer,
detremper du plätre.
Ge£stacäö, s. f. (l. de med.) gestation : temps
de la port&e des femelles.
+ GESTATÖRIO, A, adj. gestaloire : & porteurs
(chaise).
GEsTo, 3. m. gesie : mouvement du oorps,
surtout de la main, des bras. Aspect, silua-
iam,disposition ,semblant,apparenoe. ° Mine,
visage; grimace. Fazer —s, faire des grima-
oes , des gestes ridicules.
GETA,adj.ets.m.de laMoldavie.(Ag.) Homme
grossier, ignorant, stupide.
tG£TLLo, A, adj. ers. Getule : de Götulie,
contree d’Afrique.
GEZERINO, A, adj. V. Forte, Valentdö.
+ Gracoris, s.m. (tl. d’hist. nat.) giacolin :
faisan de lie Sainte-Catherine.
Gina, s.f. bosse, gibbosite.
GIBANETE, 8. m. ancienne arınure, sorte de
gilet en fer.
wIBÄö, 8. m. pourpoint : ancien habillement
da cou & la ceinture. — d’apoules, volee de
eowps de fouet sur le dos.
GiBÄUTINHO, 5. m. dim. de Gibdö.
GiszLina.V. Zebelina.
+ GiseLinos, s. m. pl. Gibelins : faction al-
tachee aux empereurs contre les Guelfes ou
parlisans des papes aux 12°, 13e et 14° Bi6-
cles.
Giprraria. V. Algibetaria.
GiBITEıro, 5. m. ouvrier qui faisait les gide-
nsles. V. ce mot.
GiBontTe. V. Gibantle.
G150S1PÄDE ‚3. f. gibbosile.
Gı8680, A, adj. bossu , gibbeux.
GisöYa,s.f. (t. d’hist. nat.) *boa : serpent
aqualique, tres-gros, sarıs venin : broie et
avale lea animaux. — consiringenie, giboya,
boageant, devin. — das Philippinas, ' bobos.
+ Gisovacü, s. m. (1. du Bresil) grande cou-
leuvre d’eau.
Giesta,s.f.(l.debotl.)ow ı " gene d’Es-
GIESTEIRA DOB JARDINS, ) Pagne. — me-
nor, genet ceınmun, genät & balais. — do malo
ou dos linlureiros, genet des teinturiers, ” ge-
nestrale, herbe & jaunir.
GıesriL, 8. m. lieu couvert de gen£is.
Giestkıro, s;: m. V. Giesleira.
Gioa, 8. f. espece de grande corbeille, bour-
riche. Gigue : sorte d’air et de danse.
Gioas6cA, s. f. "jeu de carles, entre qualre
personnes, A neuf cartes chacune. Quadrilie.
GrointTa,s. f. geante.
GicÄnTE, s. m. geant : hormme d’une gran-
‚dwur extraordinaire, colossal. (1. de bot.) V,
GEN
Girasol.—, a, adj. excessif, demesund , col06-
sal. Herva —. V. au mot Herva.
+ Gicänsza, s. f. (t. de bot.) * gigantea : to-
pinambour du Brösil.
GICÄNTEO, A, adj. gigantesque: qui appar-
dent aux geants.
GIGANTESCAMENTE, ado. d’une manitre gi-
gantesque.
GicAnT@sco, A, adj. gigantesque : qui tient
du geant; (Ag.) excessif, demesure,.
TGIGANTIcida,, s.m. celui qui tue des geants.
GIGANTOMACHIA OU —QLıA, 8. f. gigantoma-
chie : combats des g6anıs et des dieux; son r&-
eit par Claudien et Scarron.
GicöTE, =. m. sorte de ragoüt fait de viande
hachee, etc.; hachis, capilotade.
* Gicva. V. Giga.
+ Gıracaöra, 8. f. (6. de bot.) espece de
citrouille verdätre tachetee de blanc, pasiöque
ou melon du Malabar : on en fait une ins
bonne confiture.
GiLapn£ca. V. Gerapiga ou Gerupiga.
GILAVENXTO. V.'Solarento.
GiLBARBEIRA, Ss. f. | 18. de bof.', fragon pi
GiLBARBEIRO,S.m. | yuant,myriesauvage.
"GiLnöa,s. P espece de lac ou lagune.
TGiLLa, s. (.—de vitriolo, vitriol puriße.
Giviz, s. m. balafre : longue blessure au
visage, sa cicatrice; estalilade au visage,cbin-
freneau.
Gım20,s.m. (l.d’Afrique) V’argent.V. Zimbe.
GinEta,s. f. genette : chal sauvage, plus pP
tit que la civette, & parfum plus faible. Lance
ceurte des anciens capitaines d’inlanterie &&
pagnole et poriuzaise. Genette : esp&ce de mofs
quı assure la lete du cheval. Monter d— , mon
ter ä la geneite, avec des etriers fort courts.
+ Gingräno ‚Aa ‚adj. Cavallo — ‚cheval exerot
ow dresse & la genette.
GIN£TärıO, s. m. chevalier qui monte dla
genette.
Gin£rE, 5. m. genet: cheval d’Espagne er-
tier. Coursier. Cavalier arme d’une lance e
d’un bouclier. Celui qui monte et manie bie
un cheval; habile &cuyer.
+Gıxcär, o.a. ou m. (tl. de mar.) coqueler:
(aire aller une barque avec un aviron que lu
balance par derriere. (fg. fam.) Se dandiner.
Ginckira, 8. f. (t. de bot.) * cerisier : arbre
quiporte lacerise. — galfga, * griotlier. — ger-
ra/al, “guignier, cerisier anglais. — do Brazil,
faux poivrier, amoıne des jardiniers, ceriselle.
Conheci-o —, (fam.) je l!’ai vu poirier.
Gincisne. V. Gengibre.
TGincidıo, 8.9.14. de bol.) gingidium : planle
ap£rilive. — baslardo. V. Bisndga.
+ Gınco Do Jariö,s. m. (1. de bot.) ginge du
Japon : arbre aux quaranie ecus.
Ginsa,s, f. cerise, griotte. V. Gingeira. s.m.
(6. burl.) Vieillard fort attiach& aux usages au
ciens.
+GımsiL, s. m. champ, verger plant de
griottiers, de guigniers : cerisale.
Gınskına. V, Gingeira.
GIR
T6@msid,s. m. ginseng : plante de la Chine;
sa racine mödicinale.
? Gınsıncor. V. Ninsingue.
16Gio, s. m. (t. de mar.) *barre d’arcasse,
barre du premier et du second pont.— grande,
lisse d’hourdie ou la grande barre d’arcasse.—
sitimo, clef des estains, fourcat d’ouverture.
*G16Lu0. V. Jeelho.
tGıP-cır, 8. m. (1. d’hist. nal.) gip-gip:
martin-pecheur du Bresil.
"Giqu£ra. V. Jaqu£ta.
tGıori, s. m. (1. du Bresil) sorte de nasse
de ptcheur. V. Cuvdö, Bulirdd.
Gina, s. f. V. Geringonga.
tGmaciL, adj. m. Arrox—, la meilleure
espece de riz des Indes.
GiRAFA, 8. f. girafe : camel&opard, animal,
Fun des plusgrands quadrupedes, tachet£.
GiraLva. V. Goidlca.
GraÄnDuLa, 8. f. girande ou girandole : as-
seınblage de fusees volantes.
GirÄNTE ‚adj. 2 gen. elp. a. de Girar. Tour-
nant.
Gıräö, s. m. sorte de bordure decoupee,
au bas d’un habit. Pointe triangulaire qui
donne plus d’ampleur & un babit. Lambeau :
morceau d’etolle dechiree. Chanteau de terre.
V. Courella.
TGiıra0,s.m. (t. dw Bresil) sorte d’echa-
faudage autour d’un arbre pour le couper. it.
V. Muquem.
GiRAPREGA. V. Geripiga.
Gırin, v. a. lourner : mouvolr en rond. V.
Rodeiar,, Circumdar. v. ». Tourner : se mou-
voir en rond; lournoyer. Faire la pirouelte.
Parcouris un pays. Circuler de main en main,
parlant de P’argent. Fazer —, (t. de com.) faire
eirculer. — no banco, (id.) 6crire une partie
en banıyue.
T GirasöL, s. m. (f. de bot.) helianthe : fleur
de soleil, tournesol, soleil, couronne de so-
leil. — da India, helianthe des Indes, helio-
trope. — do Brazil ou tuberoso, helianıhe tu-
bereux, lopinambour, la poire de terre. — | gla
orientäl, (l. de min.) girasol : sorte d’opale,
teinte de bleu et de jaune, pierre pr&cieuse.
+ GinätacicHEM, 3. m. grand quadrupede
de I’Ethiopie, plus gros que l’ölephant. V. Gi-
rdfa.
GıraviÄco.V. Gyrovago.
GircıLim, etc. V. Gergelim, ete.
Gixia,s. /.ruse, malice, finesse, artifice.
"Argot, jJargon. V. Geringonga.
+ Gınıpänna, 8. f. (1. d’Asie) martingale s
courroie pour retenir la t@ie du cheval.
GiRIGÖTE, adj. 2 gen. V. Trapacsiro, Velha-
eds.
+ Gıirıu6, s. m. a PFernambouo, on donne ce
nom & une espece de courge ou citrouille Jau-
nälre.
Giro, 8. m. lour: mouvement en rond; cir-
euit, tournoiement; Cconlour, circonference.
* Circulation. — de cambio, (l. de comm.) vixe-
ment des parties par leitses de change, eio. —
GLE 643
de eommercio, relations du commerce. Dar um
— ‚faire un tour de promenade. Fazer o — da
terra, faire le our du monde. Cada um por
sew —, chacun ä son Wwur.
Gıroriıco. V. Gerifalte.
GıRorFR, etc. V. Gyrofe, etc.
Gıröm. V. Girdö.
+ Giromancia, s. f. giromance ou —tie : di-
vinalion qui se praliquailen marchant en rond.
TGınöna, s. f. (4. de geog.) Girone : ville
de la Catalogne.
+ Gıinorinco, s. m. sorte de bäliment dans
PInde.
Gıroväcos. V. Gyrorages.
Gis ow Gız, s. m." craie : carbonate de chaux,
pierre blauche, calcaire et lendre. (Ag. inus.)
"Regle, mesure.
G1sino, A,Pp.p. de Gisar.
* GISAMENTO, 3. m. " esquisse.
Gisir ou —zir, v. a. lracer, marquer & la
craie. (fig.. Delineer, projeter.
GıTÄno. V. Cigano.
GitH ow GıTuo,s. m. (k. de bot.) — de Dios-
corides. V. Nigella.— de Plimio, nielle des
bles, fausse nielle ou nielle bätarde.
+Giro, s. m. canal, conduit du metal en
fonte au ınoule.
Giz, etc. V. Gis, etc.
Girinäö. V. Cizirdd.
+ Gripro, a, adj. (1. de bot.) glahre: lisse,
uni et sans poil.
GuaciiL, adj. 2 gen. glacial, glac6, ex
mement froid.
Gıaciz, s. m. V. Bsplandda.
GLapdıaDOR, s. m. gladialeur : colal qui s®
batlait dans l’arene.
GLaviin, 0. n. V. Esgremir.
GLADIATÖRIO, A, adj. du gladiateur, qui imi
appariient.
GLinıo, 3. m. "6pee, glaive. V. Espdde,.
Grinne, s. f. "gland. V. Bolota.
GLANDIiFERO, A, adj. qui porie du gland.
+ GLaxpivoro,A,adj. glandivore: qui vitde
nds.
GLanposo. V. Glanduldso.
GuispuLa, s. f. (4. d’anat.) glande : partie
molie, spongieuse, qui sert ä la secrötion des
humeurs; tumeur. — pineal, glande pineaie.
(t. de bot.) —, mawelon.
+ GuanpuLagaö, 8. f. (l. de bot.) glandula-
tion : etat des glandces, des mamelons.
+ GraxpuLie, adj. 2 yen. (I. d’anas.) de la
nature des glandes. .
GLaxpuLöso, A, adj. glanduleux : qui a des
glandes, compose de glandes.
+ GrankoLa, s. f. (1. d’hist. nat.) glar6ole:
perdrix de mer, räle d’eau. .
GLisTto, s. m. "guede : plante pour leindre em
bleu ; pastel. .
GLäuco, #. m. (i. d’hist. nat.) glanis : POISSon
osseux , du genre du silure, habilant les grands
fleuves. R
Guesa, 8. f. (imus.) glebe. V. Torrdö. Le
fond,, le sol. Servos addictos d—, seris de la
646 GON
GoLP&LHa, s. [.sorte de grand panler. (wious)
V, Raposa.
Go rinuo,s. m. dim. de Golpe.
GvMADO,A,P.P. de
Gosär., v. ». bourgeonner, parlant des plan-
tes. V. Agomar-se.
Gonäa, 5. m. nom d’un animal amphibie.
+ Gumäna, s. [.(t. de bot.) gomara : plante
personude.
GomÄRRA, Ss. f. V.Gallinha.
+ Gomanasıno, s. m. (4. boA.\ voleur de
poules.
+ GomeLfiras, s. f. pl. "surgeons, rejelons
qui sertent du trono, du pied d’un arbre; bran-
ebes gourmandes. .
Gouena. V. Gumene.
Gouia. V. Agomia.
GowMiana,s. f. "coup ou blessure d’agomia.
V.ce mot.
GomiL, s. m. * aiguiere, pot & l’eau.
+GomıLöso, a, adj. .I.de bot.\ urceole: renfle
comme une oruche etä col.
GöuMaA,s. f. gomme : substauce Epaisse qui
decoule des arbres. Tumeur qui vient ä la tete,
a la gorge, etc. ° Empois: colle d’amidon.
Colle de libraire. — ardbica, goınme arabique.
— resina, gomme resine. — gracha, goimme
sandaraque, sandaraque des Arabes.—d’hera,
resine de lierre ow bederee.
GUMMADU, A, adj. gomme ‚ mele de gomıne.
GONnnAö,s. m. "espece de cerf qui a les bois
tres-ecartes.
GOMMirER®, A, adj. qui donne de la gomme.
GOMMÖSO, A, adj. gommeux : qui jelle 0%
contient de la gomme, plein de gomme; qui
en a la consistance.
G6öu0, s. m. (1. de bot.) geinıne : embryon
adherent & la plante. G@me, bourgeon des
pkantes ; il, bouton des planies. Quartier
(d’orange, eic.). Langar —s , bourc-onner.
T Gonde, s. m. * mesure creuse dus Hebreux,
dixieme parlie de l’epba.
7 GomöaauA, 5. f. (ti. de gdog.) Gomorrhe :
ville abimee dans le lac Asphaltite, en Palestine.
TGouoarneo, A, adj. et s. de Gomorrhe,
Gamorrhöen.
GoMPnüsE, 8. f. ( t. d’anat.) gomphose : arti-
culation immobile des os.
Gongo, Y. Gonzo.
GondoLA, s. f. gondole : barque , bateau plat,
long , keger et couvert.
GONDOLSIRO, 5. m. gondolier : celui qui con-
duit les gondoles,
GON&TE ‚s. m. outil de charpentier pour faire
des trous.
GonraLiö, s. m. gonfalon : banniere & fa- |
nons.
ONFALONSIRO, 3. m. gonflalonnier : officier
qui portait le ganfalon ; magistrat, chef de
quelques republiques d’Italie.
t Gonconista, s. m. pindariseur : celui qui
pindarise,qui imite le sıyle aflecte de Gongora.
7 GoNıo, 8. m. t.d’hist. nal.) yonie: byme-
noptere fouisseur.
GOR
Gommompraia, &. /. goniometrie: art de me-
surer les angles.
GONIÖMETRO, 8. m. goniometre : instrument
pour mesurer les angles des cristaux naturels.
Gonorauka, 5. [. gonorrhee: Dux involon-
taire de la semence, ecoulement purulent,
chaudepisse venerienne.
Gononanöl.o, A, adj gonorrhoique: qui a
rappurt ä la gonorrhee, de sa nalure.
Göxzo, s. m. gond : morceau de [er qui sou-
dient la penture.
Goripo, a, adj. courd (auf); avort&; abor-
tif. p. 9. de
GorRir, vo. n. se gäter, ne pas Eclore, en pat-
lant des @ufs; ne pas reussir, avorler, en paf-
lant d’une entreprise.
Goraz, s.m. (1. d’hisl. nat.)
de spare, poisson de mer.
* Gonvi,s. f. graisse des animaux.
GorviLo, a, aug. de Gordo.
GorvAL, adj. 2 gen. Ura —, sorte de gros
raisin.
GORDANCBÜDO, A, adj. ( fam.) excessivement
gras, piflre.
GorDIÄNO 0% Görnıo, adj. m. Nö —, neud
gordien, tres-difficile a denouer.
Goupıäö. V. Euphorbio (gomine).
GuRDINHO, A, adj. dim. de Gordo. Un peu
gras; grasset, dodu.
+ Görnio, 8. m. (4. d’hist. nat.) dragonneau:
genre de vers fililformes. — aqualico, dragon-
neau des ruisseaux. — de Medina, le ver de
Medine. .
Görpıo, adj. V. Gordiano.
GöRDo, A, adj. gras : qui a beaucoup de
graisse; qui a de l’embonpoint. —, huileur,
onctueux. Gros, &pais. Faser a vista —o, laire
semblant de ne pas voir. Ser de enlendimen!o
—, avoir l’esprit &pais et houche. Ter as leliras
— 48, eire ignorant.
Gorpüra ‚s. f. graisse delicate employee par
la nature & la nourrilure des corps. * Embon-
point excessif. Graisse en general. — de porco,
*"saindoux. — para unlar os eixos das rodas
dus carros, vieux oing & graisser l’essieu des
roues.
GORGEÄR, ©. #. fredonner, en parlant d’une
personne; gazouiller, ramager, en parlant d'un
oiseau. ,
Gorckıo, s, m. fredon : roulement de voiX
dans le chant. Gazouillement, gazouillis, ra-
mage: chant des oiseaux.
Gonceıra, s. f. Collerette, gorgere. V. Gor-
hr&äme: espöce
gueira.
* Gonckı. V. Gorjdl.
* GoRcELIiM, s. m. dim. de Gorgel.
GoncErA,s. f. etrennes, le pourboire.
+ GonrciLLo, a. m. (l.de bot. isihme: pell
intervalle entre les toriles des plantes.
GorcoLiö, s. m. V. Gulfada.
GoncoLEJAn, d. n. boire par gorgees. il. V.
Gargarejar ei Garganlear.
GoRcoL&TA, s. f. pelite cruche de terre arcd
un geulot; glouglou.
GOS
. Gorcormid. V. Gorgoldd.
. GORGOLI,s. mw. I. d’Asie) sorte de vase plein
d’esu, par ou passe le tuyau de la pipe, qui
sort a relcoidir la furnce.
GOKGOMILOS, 3. Zi. pr. \b. POP.) gavion, go-
sier.
+ Goacona, 6. f. Gorgone : personnage fabu-
leux dont la vue peiriliait. fg.) Feinme tres-
laide, hideuse.
tGoscusso, a, adj. des Gorgones, qui ap-
partient aux Gorgones.
TGorcönua, s. f. (l. d’hist. nat.) gorgone :
ı00phyte. — em [urma de lque, gorgone even-
tail.
GoaGORAÖ, 3. m. gourgouran : [orte etoffe de
soie des Indes. Gros grain.
GORGOREJAR,, 0. Rn. glouglouter.
Gunctkina, 8. f. gorgere : collet antique de
femmes pour le cu et la gorge.
GuscüLuo. V. Gurgulho.
GORGLZ, 8. m. espece de javelot.
Gurita,s. f. chäteau d’avant d’un vaisseau.
Gönsa,s.f. V.Gargdnla.(l.de mar.) Distance
de ia proue & la surface de l’eau.
GörsäiL, 3. m. gorgerin : piece de l’armure
pour la gorge.
Gonuän. V. Gusmar.
GöRNE, s. m. (l.de mar.) * mortaise de poulie.
— 0 allo do maslarfu, encornail.
+ Gonxia, v. a. — os cabos, (l. de mar.) pas-
ser une man@uvre dans ses poulies.
GöR0. V.Georddo.
Goaor&e. V. Gurupes.
GororiL,s.m.(}. de mar.) * partie superieure
des voiles ‚ tötiere d’une voile. ‘
Gönka, 3. f. "bonnet. Metter-se de —, s’'in-
iroduire sans &tre appele ni invilö; se faufller.
V. Engorrar-se,
Gornıkö,s. m. oiseau des Indes.
+ GoöRROo, s. m. bounet rond ; calotte.
Gonvıaö,s. m. * drogue mıedicinale.
Gös,s. m. (l. d’Asie)* mesure ilineraire, 4,800
& 5,080 pieds geometriques.
Göswa, s. f. gourme des jeunes chevaux;
p€pie des oiseauz.
Gosmär, v. n. jeler sa gourme; avoir la
gourme.®. a. (p.us.). V. Vomilar.
Gosminto, A,adj. quia la gourme ou la p6&-
pie. Cracheur, qui crache beaucoup.
Göso ,ete. V. @6x0.
GOsTiB0,A,p.p- de Goslar.
GOSTADOR, A,0dj.ets. quigoüte, qui &prouve;
degusisteur.
Gostär, v. a. goüler, deguster, Irouverä son
goüt; savourer. Eprouver, experimenter. (de)
v.n. Aimer, se plaire A; plaire, agreer, faire
plaisir. — muilo de [rula, aimer beaucoup les
(ruits, etc. Göslo ınlilo do campo , j aime beau-
coup la campazne, ou la campagnıe me plaft
beaucoup. — d’aquella senhora, cette dame me
plait, — muilo d’esiar em casa, je me plais
beaucoup chez mıoi. Essas senhoras gosldo de
ti, tu plais a ces dames. Toda a gente gösla de
mim , je plais & tout le monde.
GoT 647
& GosrivzL, adj. 2 gen. qui appartient an go
V. Gostöso. ‚ad.2 gen. quiapp von
GosTinno. V. Gostozinho, s.
Gösto, s. m. goüt: le sens qui discerne la
saveur; saveur; plaisir, conienlement, joie,
gre. —, inclination, desir; senliment du bean;
( fig.) discernement, finesse de jugement; sen-
timent agreable qu’on a d’une chose. Bom —,
goüt, du goüt (au fig.). Tomar 0 — a alguma
cousa, prendre goüt & une chose, s’y plaire.
— imper[eilo, avant-goüt. Dar —, plaire, &ire
au gre de; faire plaisir. Ter —, aimer, prendre
plaisir. Com —, de bon c@ur. Lerar em —,
consentir, approuver, voir avec plaisir. Por —,
par plaisir. So d do sew — ou se fas — n’isso,
si cela vous fait plaisir. K um — passear, il fait
beau se promener. Dd — vel-a, il tait beau
la voir. Pintura pelo — de Raphael, tableau
dans le goüt de Raphaßl. Fazer seu —, passer
son envie. Näo ha — complelo no mundo, il
n’est point de roses sans &pines. —s da vide,
jouissances, amusements, plaisirs de la vie.
Em —s ou sobre —ı ndo ha disputas, il ne faut
pas disputer des goüls.
GOSTUÜSAMENTE, adv. librement, de plein gr6,
avec plaisir.
Gostöso, A, adj. savoureux, agreablo au
goöt. (fg.: Joyeux, tonteut; qui r&jouit,
GOSTOZINRO, s. m. dim. de Göslo. Arridre-
goüt. —, A, adj. dim. de Gostöso. Un peu sa-
voureux, etc,
GöTA, s. f. goutte : peltite partie ronde ow
hömispherique d'un liquide; sa forme;; quan-
tit& peu considerable d’une liqueur. —, malä-
die, Quxion äcre , douloureuse, qui attayue les
jointures, les articulations, les nerfs. — arte-
riea, goutig arliculaire. — coral, &pilepsie,
mal caduc. — serena, goulle sereine : paraly-
sie du nerf oplique. — a — ou ds —s, goutte
goutte. Ndo dard uma — d’agua, il ne donnera
pas un verre d’eau, parlant d’un avare. —e, pl.
gouttes : ornements d’architscture, en forme
de clochettes.
Gorino, A, adj. (8. de blas.) tachet#, mou-
chete.
GOTEiDO ou — ADD, P. p. de
GOTEÄR 0u | degoutier, de&couler: torm-
GoTEsJÄR, v.n. | ber goutte A goutte. 11 est
quelquefois aclif. Sua espada goleja sangue,
le sang decoule de son &pee. A chaga esid ainda
golejando sangue ‚la plaie est encore loute sai-
gnante,
Gor£ıra, s. f. gouttidre : petit canal par od
les eaux de la pluie coulent de dessus les toits;
trou dans un toit par od la pluie tombe goutte ä
goutte sur le plancher. Pente d’un dais, d’un
lit, etc.
GOTEIRINHA , 8. f. dim. de Goleira.
+ Göruna, s. f. (t. de geog.) Gothie, oontr6e
de la Suede.
GöTtuco, A, adj. gothique : qui vient des
Goths. /fg.) Trop ancien, hors de mode.
+ GotuLinpıa, 8. f. (4. de 960g.) "Gothland ;
tle de la mer Baltique, capitanie de Sudde.
648 G0Z ”
+ Gorinca, s. f. (ti. de geog.)” Gottingen,
Goettingen ow Gottingue, ville d’Allemagne.
GOTInHA,s. f. dim. de Göla.
GöTo,s. m. (1. pop.) gosier, gorge; glotte.
“ Dar no —, sufloquer, faire perdre la respira-
tion ; avaler de travers. i6. Plaire, donner dans
lol, laire plaisir.
GoTöso, A, adj. goulleux , podagre :: qui ala
-goulte, qui y est sujet.
GovLiö. V. Glotdö.
Gouropis. V. Gurupes.
* Gouvscka. V. Gozar.
* Gouv£r pour Jouven. V. Jazer.
Gouv&te, 3. m. " sorie de gouge de menui-
sier ow de sculpteur.
* Gorvin. V. Gozdr.
GovERNnagAö,s. f. V. Governo.
GOVERNADEIRA , adj. el s. f. menagere.
GOVERNÄDO,A, P. p. de Governar. adj. Bien
rögle, de bonne conduite, &conome. (ant.) En-
tretenu par quelqu’un.
GOVERNADOR, 3. M. gouverneur : fonction-
naire qui gouverne une province, une ville,
etc. Celui qui gouverne ou dirige. — das armas,
general d’armee, commandant militaire. —
d’um principe, ete., gouverneur, commis &
Peducation d’un prince, etc. — d’uma igreja.
(ant.) V. Padroeiro.
GOVERNADORA ‚s. f. celle qui gouverne; gou-
vernante, institutrice, femme du gouverneur.
GOVERNÄLHE 0%
GOVERNÄLRO, 3. m. h V. Leme.
* GOVERNAMENTO. V. Governo.
GoVERNÄNGA, Ss. [.V. Governo. Gouvernanoe:
province,, departement avec son gouverneur.
GOVERNÄNTE, 8.2 gen. qui gouverne ou dirige.
Govennär, d. a. gouverner : regir, conduire
avec autorite, avoir l’administration; regir,
conduire , mener, &lever; regner. (ant.) Nour-
rir, entretenir. — bem a sua casa , mener bien
samaison. Governa lua buccasegundo tuabolsa,
selon ta bourse gouverne ta houche. — sodre a
ancora ou sobre a boia, \ {. de mar.) gouverner
sur l’ancre 0% sur son ancre. — a rumo, (id.)
porter & route, faire route droite, aller & route.
Governa a rumo ! (id.) A la route!
GOVERNÄR-SE , U. T. 86 gouverner, S6 CON-
duıre de telle ou telle maniere ddns 3a vie.
GOVERNATRIZ, adj. f. Prudencia —, pru-
dence de gouverner.
* GOVERNE£LLO, s. m. V. Mantenza.
7 GoVvERNiTA, 3. [. provisions pour la route.
GOVERNO, 5. m. gouvernement : constitution
d’un Etat; ceux qui gouvernent; maniere de
gouverner; charge, territoire de gouverneur.
° Administration, gouvernement, direclion.
Temps qu’un gouverneur est en place. " Ma-
niere de vivre; regle de conduite, gouverne.
(ant.) *Nourriture, entrelien. Para meu —,
pour ma gouverne. Para seuw —, pour son in-
struciion, pour sa gouyerne, Sirra-Ihe de —,
pour vous servir de Fegle ‚pour volre gouverne
GuYanva.‘. Golalre.
Guaann, a. pda far
GRA
Gozin,v. a. ow —de, vo. n. jouir, possdder.
— a Deos ou de Deos, jouir de la vue de Dieu,
@tre dans le ciel. — satde ou de sallde, avoir une
bonne sante. — uma mulher ou d’uma mulker,
jouir d’une femme , avoir commeroe avec elle.
GOzÄR-SE, v. r. avoir du plaisir, se rejouir.
GOZARiA. v. Mordacidade.
G0z0,s.m. ” joie, plaisir, contentement, al-
lögresse, aise, emotion douce, satisfaclion.
* Jouissance , usufrwit. Näo caber em side—,
ne pas se sentir de joie. Saltdr de — ‚sauter,
tressaillir de jJoie.
Gözo,a,.adj. Cdo —, chien barbet.
G0z680, A, adj. joyeux, content, satisfait.
Qu’on c&l&bre avec de la Joie.
GrÄ ou GRAN, adj. 2 gen. abrev. de Grande.
V.Gräo.
"GraäÄpo. V. Grdto ou Grado.
Gräi, GrÄ ou Gran, s. f. "kermes : ver,
gallinsecte. V. Cochenilha. Graine d’ecarlale.
(ig.\ Ecarlate : etoffe teinte en &carlate. — do
paraizo, (1. de bot.) amome de Madagastar,
graines de paradis.
Gräica,s. f. (1. de theol.) gräce : secours de
la Divinite, impulsion surnaturelle vers le bien,
la foi; don surnalurel de Dieu; &tat d’inno-
cence;; amitie de Dieu. —, (aveur volontaire;
misericorde , pardon; faveur, bienlait; beaul£,
proportion elegante des parties du corps, gen-
tillesse, agrement, tournure, bon air; apre-
ment dans le discours, etc.; sel, esprit. Bon
mot, saillie agreable; plaisanterie. Gräces,
bonnes gräces, faveur, bienveillance, don. Nom
de chaque personne. — de Deos, gräce, bone,
misericorde de Dieu. De — , gratuitement, gra-
tis; pour rien. Por —, pour rire, en badinant,
en plaisantant. Cair em — a alguem, pleire &
quelqu’ un, @ire dans ses bonnes gräces. Des-
cair da — ou perder a— d’alguem, perdre les
bonnes 'gräces de quelqu’un. Merecer « — do
rei, meriter les bontes du roi. Der —, assai-
sonner : accompagner de choses agröables a
Pesprit. Com pouca —, disgracieusement. Come
da sus — P comment vous appelez-vous?’—s,
pi. gräces , Concession, indulgence, privileges
accordes par le pape. i$. V. Merc6s. Remercl-
menis. —, charmes, appas. Der —, rendre
gräce, remercier. Dizer duas —, dire en [ace
des verites dures. Näo estar para — , n’ötre pa.
de bonne humeur. Näo d para —, il ne plai-
sante pas. — pesddas,, räilleries piquantes.
GRACEJADOR, A, #. Failleur, plaisant, fack-
tieux.
Gracesär, 0. ». badiner, plaisanter, railler,
dire le mot pour rire. Nunca se deve — de me-
neira que offenda, la plaisanterie ne doit ja-
mais @tre poussce jusqu’ä l’offense.
GRAc£J0, 8. m. agrement, enjouement, gräct
dans le discours, joyeuset6 , badinage, plaisen-
terie,
Grackta, s. f. joli mot, pleisanterie.
Grace, s. f. V. Graciola. #, Borte d’em»
Pe:
Anacıı.,adfı 9 gen, Y, Subhtl, Dekade
GRA
GRACinBA, 8. f. dim. de Graga . V. Gracdia.
r (8. 6.) gratiole :
3 Gnacona 0% % herbe-au-pauvre-homme,
Graciösa, 8. f. ) plante personnee.
GRACIÖSAMENTE, adv. gracieusement, poli-
ment, plaisamment, avec gräce. Gratuitement.
Gracıosipäine, s. f. *agröment, beaule, per-
(eetion., Gräce dans ce qu’on dit, dans ce qu’on
sit.
GrAcIOSissıMo, A, adj. sup. de
GrAcıöso, A, adj. gracieux, agreable, qui a
de la gräce. Enjou6, badin, plaisant, comique,
dröle. Charmant, agreable. Gratuit. Fazer-se
ou melter-se a —, faire l’agr&able, le plai- |.
sant.
Gaacıöso,, s. m. bouffon de comedie,
"Garacır. V. Agradecer, Gralificar.
GracöLa, s. f. lourde plaisanterie.
TGRracvLina, 8. f. (tk. d’hist. nat.) * merle
chauve, oiseau. — grilleira, * ınarlin. — pal-
reira, mainale.
Gravacäiö, s. f. gradation : figure de rhöto-
rique; sorte d’argumentation.
GrADiÄDO,A,P. p. de Gradar.
GnapanOR, 5. m. Berseur.
GraDir, v. a. berser: aplanir la terre avec
la berse. vo. ». Grener.
Graparia, 8. f. longue grille; pilotis.
+Grapirım, ade. lat. par degres, peu ä peu,
successiveme nt.
Gräipe, 3. f. berse: instrument de laboureur
pour ratisser, herser la terre. Claie; grille,
treillis. Grille, grille de parloir. (1. d’hyd.)
"Radier. '
GrapziDO, A,p.p.de
Grapein, ©. a. cauteriser la poitrine Jd’un
ebeval, en lui appliquant un fer ardent en
forme de grille.
GRADECER, v. #. grener. V. Engradectr.
GraDeLHAs, s. f. pl. piece d’ancienne ar-
mure.
GaapeLim. V. Gridelim.
+ GranınÄATa, s, f. (#. d’archit.) balustrade
d’escalier ow de grand balcon.
GrapinnA ,s. [. dim. de Gräde.
+Gaupivo, aA, adj. (t. de poes. et de myik.)
Gradivus : surnom de Mars.
Grino, s. m. gre, volonte. De bom —, volon-
tiers, de bon gre, volontairement. A mal seu—,
mal a sew—, malgre6 lui. Mdo —, malgre, & depit.
De meu mdo —, de teu mdo —, de seu mdo —,
walgr& moi, malgr6 toi, malgre lui. * Recom-
pense, prix. Dar bom ou mdo — a alguem, re-
vompenser, Temercier ou non quelqu’un. —s,
pl. fonds alloues par les cortös, ä la demande
des anciens rois de Portugal, pour les besoins
publies. st. Prix, recompense aux jouteurs.
Gaänpo, A,adj.grenu, en parlant du ble, etc.
Nlustre, grand. (ant.) Genereux, liberal. Kspe-
rancas —as, (fig.) esperances A la veille de se
realiser. V. Graüdo et Grato.
Grapuachö
Alunisd, Auyrs d’hannayr,
s. f. graduation ; action ot eflel
de graduer; division on dpgrön, " Rang. grade,
GRA 649
GRADUÄDANENTE, adv. par degres, successi-
vement.
GaADUÄDO, A, pP. p. de Graduar. adj. Gra-
due, qui a pris un degrö; qui a un degre dans
la troupe. Capildo — em major ou
capitaine avec le grade de chef de bataillon.
or —.
GrADUÄL, 5. m. graduel : versets qui se di-
sent, ou chantent, entre l’Epitre et l’evangile.
GraDuÄL, adj. 2 gen. graduel : qui va par
degres. Psalmos —aes, psaumes graduels,
ehantes sur les degres du temple; les 15 com-
pris depuis le 119 Jusqu’au 133 inclusivoment.
GRADUALMRNTE, adv. par degres.
TGranuinno, s.m.candidatä la veille d’etre
gradue, dans une universite.
GRADUÄR, ©. a. graduer : diviser, mesurer
par degres; conferer des degres dans une uni-
versite. (6. mil.) Conferer un grade militaire.
Evaluer, apprecier, reduire & un prix certain.
Qualifier : donner, attribuer une qualite. — um
circulo , graduer un cercle, diviser sa circonfe-
rence en 360 degres: — uma cidade, otc., desi-
gner le degr& de latitude et de longitude d’une
ville, etc.
GRrADUÄR-sE (em), v. r. prendre un grade
(de philosopbie, de Iheologie, etc.) dans une
universitle.
* GrapuLem. V. Gridelim.
GRAFÖMETRO. V. Graphomelro..
+ Gracka, s. f. dragee, nompareille.
GrainBaA, s. f. "grains, pepins du raisin.
Gräixa. V. Graza.
Grasi0, 5. m. oiseau des: mers de l’Inde.
+ Grasucena, adj. et 5. 2 gen. grec : qui
vient des Grecs.
GRÄL, s. m. morlier : vase pour piler. — de
pdo, grugeoir.
+ GräLua, 8. f. (t. d’hist. nat.) corneille:
oiseau du genre du corbeau , plus pelit — calos
granivora, "freux ow frayonne. — cinzenie
maritima, corneille a mantelet. — negra dos _
Alpes, "chocard. — salpicada de pinlas. V.
Quebrandz. (fig.) Parleuse, bavarde.
GRALHADA, 8. f. * cride corneilles. ( Ag.) "ba-
bil, oaquet.
GRALHADOR, A, 3. parleur, bavard.
GrRALHÄR, 0. n. croasser, en parlant du eri
des corneilles; ( 4g.) criailler; babiller, bavar-
der, cagaeler.
GnALBARiA.
GRALBEÄDA. | V. Gralhäda.
GRALBEADEIRO,
GnALHEADOR. ! V. Gralhador.
GRALBEAR. V. Gralkar.
GrÄLBO ,s. m. choucas : sorte de grande cor-
neille; corbeau noir & reflets verts et violets.
GRAM 08 Gran. V. Gräo, Grä et Gräa. adj.
ei 2. '
+ Gräua, s. f. (t. de bot.) *gramen, chien-
dent, dent-de-chien,, plante. — cheirdsa,, flouve
odorante. — digitada ou das bolicas, (en Por-
tugal) ghiendent pied-de-poule, manne de Par
lognıe, — canina ou das boticas da norie , ohioR:
dent ordinaire,
650 GRA
Gramaptıra,,s. f. * brisoir, instrument & bri-
ser le lin ou le chanvre; espadon. *Crochet
pour prendre la paille.
GrauiDo,A,p.p. de Gramar.
*Gramaıpäde. V, Irmandade.
Grauiö,s. m. V. Grama digilada.
Grawmir,v. a. briser le lin aveo le brisoir.
(f. burl.) Gober, croquer.
Grauita. V. Solda alcalina.
+ Grawineas, adj. eis. f. pl. (4. de bot.) gra-
Minces : famille de plantes monocotyledones,
GrAMinEoO, A, adj. de chiendent, qui lui ap-
artient. Graminee: de la nature du granıen
ı plante).
GHANMINHEIRA, S. [. .
GRAMINHO, 8. m. r | V. Grama digitada.
GRAMINHO, 3. m. trusquin :: outil de menui-
sier.
GrAMINdso, A, adj. qui vit du chiendent. Du
chiendent, qui abonde en chiendent.
Gräusa,s. m. gramme : unil6 de poids du
systöıne melrique francais.
* GRAMMATECO. V, Grammalico.
GRANMÄTICA, 5. f. grammaire:: art de parler
et d’ecrire correctement; livre qui en renferme
les pröceptes.
GRAMMATICAL, adj. 2 gen. grammatical : de
la gramimnaire; selon les regles de la gram-
maire.
GRAMMATICALMENTE, adv. grammaticale-
ment, selon les r&gles de la grammıaire.
GRAMMATICAMENTE. V. Grammalicalmente.
T Granwuticäö, 8. m. qui se pique d’etre
hon grammairien, ou quine sail que la gram-
maire.
GRANMATICAR, vo. n. enseigner la grammaire;
traiter des questions grammalicalen.
GuAMMÄTICO, 5. m. graminairien : qui sait,
enseigne la grammaire. adj. V. Gramalical.
GrANMATIQUICE , 8, [.subtilite grammaticale,
pedanterie.
GRAMMATISTA, 8. m. grammaliste.
Grassinno,. V. Graminho.
GnamPoNADo. V. Defraudador.
Gran, adj. 2 gen. contraction de Grande.
Grand. Il ue s’eınploie qu’au singulier et de-
van! un substanlif. Gran-prior, grand-prieur.
Gran-mesire, grand-ımaltre : chef d’un ordre
militaire. Gran-cruzes, grands-cordons. Gran-
Bretanha, Grande-Bretagne.
Gnran,s.f. V. Gräa. .
Granada, 8. f. grenade : petite boule de me-
tal creuse, pleine de paudre. it. V. Granale.
t Gaanäna,s. f. (l. de geog.) Grenade : ville
et province d'’Espagne,.
Gnaxapeira, s. [. arme 4 (eu, fusil. ( Ag.)
Femme grande et corpujente, femme & mous-
taches.
Granap£ıRro,s. f. grenadier: soldat qui Jette
les grenades, soldat d’elite, des plus grands.
(Ag. Hoınıne grand et corpulent.
GRANADILBO, 5. m. (4. de bot.) arbre des
indes, dont le bois est tout marguels et d’un
brun obseur.
GRA
Grananino, A, adj. ets. de Grenade.
Grani0o, A, adj. grene. V. Gräde. De la
meilleure qualils, choisi. (Ag.) Grand, illusire,
remarquable. p. p. de Granar.
GraniL, adj. 2 gen. V. Grädo.
GRANÄR, dv. a. grener: reduire en grain.
GRANÄTE, 3. m. grenal: pierre precieuse,
rouge, de la nature du schorl,, melee de fer.
+ GRANATENSR , adj. 2 gen. de Grenade.
t Granntsta, s. m. (4. d’hist. nat.) elan:
quadrupede. V. Alce.
GrängaA,s. f. criblure; balayure.
GrangARia, 8. f. V. Grangearia.
GRÄNCHA. V. Granja.
Gran. V. Gran. On l’emploie devant les
nonıs qui coimmensent par une voyelle. Grand-
almiranle , grand-aıniral.
+ Gaanpauuiö, OA, adj. (fam.) aug. de
Grande. Excessivement grand , demesure.
GRANDE , 5..m. grand: homme lilre. —s da
reino, grands du royaume. Firer d—, vivreä
la grande, & la maniere des grands. Homem
que vive d — , homıne aux grands airs.
Gränne ‚adj. 2 gen. grad : fort elendu dans
les trois dimensions, surltout en longueur et en
largeur ; quı surpasse les autresen nombre, 0
force, etc.; en grande quantiite ; de qualite su-
perieure; outre, excessif en mal; qui com-
mence & croilre; qui surpasse les autres; prin-
cipal, important; considerable, remarquable;
noble; elevs; illustre; majestueux ; sublime.
* + GRaNDEFERENTE, adj. 2 gen. On donnait
ce nom & une flotte rangee en forme d'esca-
dron,, selon l’ancienne tactique nayale.
GRANDEMENTE ‚adv. grandement: d’une ma-
niere grande, distingude; avec grandeur, eI-
tr&meınent, beaucoup.
GRANDEVO, A. V. Longevo.
Granpeza, a. f. grandeur : qualit, etendue
de ce qui est grand ; excellence, sublimile;
puissance , majeste ; elevation , noblesse de
senliments; Jignile, titre d’bonneur; enormile
(d’un crime, etc.). Magnificence, [aste, Pomp®,
appareil. Grandesse : dignite du corps des
grands d’Espagne. V. Fidalguia.
GRANDEZINHO, A, adj. dim. de Grande. Gräir
delet.
GnanoiLoco, A, adj. (4. de pods.) qui a ie
style &levö et pompeuzx.
+ GaanDıLoquencıa, 6. f. style grand , po
peux, eleve.
Granpinuo. V. Grandezinho.
GranDiösamEnTE, ade. magnifiquemeni,
pompeusement ; samplueusemenl,
GranpıosipäDe, 8. f. grandeur: eclat, m#
gnificence, majesie ; somwpluosile, pomp®-
GRANDIöSO, A, adj. grand : pompeax, Mi-
gnillgque, majestueux; somptueux. Grandiose
GRANDISSINO, A, adj. sup. de Grande. Ttei-
grand ; grandissime.
+ GranpeLim, s. m. grand oiseau de l’Arabie
deserte, dont les aufs servent de ralsalchisst
ment aux voyageurs.
Gnanpöra, 8. f.grandeur d’un cotps, ei.
GRA .
GnastL, 9. ®. monossu de grains. Ce mat
w’est usit6 quo dans l’expression adverblale &
— ,ämonoeau; en grenier, on iasdans la soule;
ä [oison, avec profusion.
Grancka. V. Gragea.
GRANGEÄDO, A, p. p- de Grongear.
GRANGEADOR, 5. m. colui qui fait valoir une
ferme; celai qui gagne.
GRANGEÄR, dv. a. cultiver, faire valoir les ter-
res. Gagner, acquerir, obtenir; Iravailler pour
obtenir une chose. (fig.) Gagner, allirer l’a-
mitie , les bonnes gräres, elc.
GRANGEÄR-SE, d%. Tr. s’acquerir, meriter, se
concilier; gagner, s’attirer.
GRANGEAKIiA, 3. f. culture des terres; art de
les faire valoir ; econoniie rurale; profi.
Gnancki. V. Gragea.
GRANGEIO , s. m. frais de culture; culture des
terres.Gain, acquisition.
GwanGeıo, s. m. [ermier, ımelayer.
Grancko. V. Grangtio.
Grannid. V. Garanhdö.
GraNiFERO, A, adj. (poel.) grenu : plein de
grains.
Granıso. V. Granizo.
GrANITÄDO, A, pP. p. de
GnANITÄR, ©. a. grener : reduire en grains.
Gnantro, s. m. dim. de Grdö. Pepin de fruit.
Granit : pierre fort dure.
+GraxiTo, A, adj. qui a des grains, en
forme de grains.
GRANIVORO, A, adj. granivore : qui vit de
grains.
Gränızipa, s. f. quantitö de grele. (Ag.)
Pluie, nuee, greie (de balles, de boulets, eic.).
Gramızän, o.n. greier, tomber de la grele.
— meüdo, gresiller. v. a. V. Granilar.
Granizo, s. m. "gröle : pluie gelde; (Ag.)
grande quantits (de coups, eic.), pluis, nuse.
— meildo, gresil.
Gräinsa, s. f. grange, metairie.
Gnanjania, 5. f. ferme, terre qu’on cultive.
Orantıackö, s. f. pranulation : röduclion
des metaux en grenailles ow peiils grains.
GRANULÄDO, A,P. p. de
GaunuLir, v. a. granuler,grenailler : mettre
le metal en petits grains. Grener. ©. n. (Il. de
=6d.) Granuler: devenir granuleur.
+ GranuLöso, A, adj. granuleuz : 00mpOose&
de petits grains; on petits grains.
GaanziL, s. m. champ de pois chiches.
Gräo, s. m. degre; graduation; marque de
la division d’un barometre, eic., d’un instru-
ıbent gradue. Rang, grade, degrö d’honneur.
(Ag.) — , parentage; eloignement ou proximils
de la source commt:ıne. (l. de geom.) —, la 360°
parte de la circo:::vrenced’un cerele. De — em
—, par degres. »uccessivement. Bm — superla-
tivo, au suprü::e degreö. Em — d’appellardd,
par vole dap:."!. Grdos, pl. les qualire ordres
mineurs. Dr, res : partie d’une eiroonförence
du cescle.
Gxäkö, a. m. grain : sememoe du bild, des gra-
ımindes, etw. Tous les grains qui se risolient,
Er ı
GBA 651.
Lögume, ° Aroine ou orgequ’en donne aux ani-
maux. —, poids : 24 font un scrupule. V. Zs-
eröpulo. Diamanis de—, dismant qui a un
grain de poids. Aparlar 0 — da palha, separer
Fivraie d’avec le bon grain. — de bico, pois
pointu. Y. Ervango. — da atafona, meule cou-
rante d’un moulin ä bras. E um — de milho em
bocca d’asno, ( fan.) c’est un grain de mil dans
la garge d’un äne.
Gräö, adj. 2 gem. grand. V. Gran. adj. .
T GrÄoBRSTÄNBA, 8. f. nom d’une plante,
espece d’hyacinıihe.
Gräpa, 4. f. (4. de vdier.) grappe :gale aux
pieds des chevaus.
GRarPaia, s. f» grephie, description.
GRAPHÖNETRO, 8. m. graphomeätre : instru-
ment pour lever les plans, mesurer des angles.
GrasNÄDA, 8. f. " croassement : cri du cor-
beau, de la corneille. ° Cri de l’oie, du gesi,
de l’aigle, etc. (Ag.) " Chanı desagreable.
GRASNADOR, A, adj. yui croasse.
GRASNÄNTE , adj. 2 gen. croassant, qui
croasse. p. a. de
GRAasSNÄR,v.n. croasser : se dit du eri du
corbeau , de la corneille; criailler, chanter mal;
(Ag.) faire des vers durs. Crier, parlanı do
l’oie, etc.
GRASNIDO , 8. @.
GRisNo, 8. m. | V. Grasmndda.
Grässa. V. Gräxa.
fGrassin, v.». se repandre, se propager,
courir, parlant d’une maladie; regner. Molestia
que —, maladie qui court. Grassa uma mo-
lestia, il oourt ane maladie.
GrassenTto, A, adj. gras, plein de graisse,
encrasse.
GaÄTauenTE, adv. avec agrömen!; avec gra-
titude.
Grarieiö, s. f. gratitude : reconnaissance
d’un bienfait.
Grartiricacäd, 8. f. gratifioation , don, lib&-
ralite, röcompense.
GrATIFICADO, A, P- p. de Gralificar.
GRATIFICADOR, A, 8. celui qui gralifie, r&-
muneörateur.
Gratisicha, 9. 6. gralißer, laire un don,
röcompenser.
Graririao, 4. m. V. Gralißcazdd.
*Graria, V, Gralifcar.
Gxirtis, ade. gratis, gratuitement.
GRATISSIMO, A, adj. sup. de
GaiTo, A, adj. agreable, qui plalt, doux,
charmant; bien vu. Reconnaissank.
GRATÜITANENTE, adv. gratis, gratultgment,
sans inleret. Gracieusemen!t.
Gaartüto, A, adj. gratuit, gracieux, (alt om
donnd gratis, sans inlerät.
Gaatunagiö, 4 f. llicitalion, congratals-
tion.
GratuLir, 9. ». föliciter, congratulez.
GrarvLia-se, o.r. V. Congralular-ee.
GRATOLATÖRIO, A ,adj. de congrasulation, de:
oonjouissance, de [älicitation, de Femeroi-
ment, d’action de gräces. on ‚
652 GRA
GrirvL0, A. V. Agradecido.
Griu,s.m.V. Grdo.
Graönpo, A, adj. grenu; bien fourmi. V.
Grädo. Gros, principal. Grand, illustre, dis-
tingue.
GRAÜLBO, 8. m. grain, pepin du raisin.
Gravipo, A, p.p- de Gravar.
GnAVADOR, 3. m. graveur, ciseleur.
+Gauvapöaı, 5. f. gravure : aclion de gra-
ver. V. Gravura.
Graviug,s. m. ° charge, obligalion, saje-
tion ; vezation , injustice.
Gravir, ©. 6. opprimer, assujeltir, impor-
taner; grever, surcharger. Graver, ciseler;
(fig.) empreindre, imprimer, marquer dans
l’esprit, dans la ınemoire.
Graväta, s. [. cravate.
Gaavari. V. Caroald.
GaavatiLuo, 3. m. (I. d’arlül.) " pointe en
erochet d’une sorle d’aiguille.
Gaaväto ,s. m. V. Garavalo ol Gravelos.
+Gaive, 5. m. ancienne monnaie portu-
gaise, 15 sous & peu pres.
GrävE, adj. 2 gen. grave, lourd, pesant.
Grief, enorme. —, serieux ,circonspect; recom-
mandabie par son rang, son caraclere, elc.;
serieux, majesiueux, parlanı du style, eic.;
de poids, important. Grief, fächeux. Grave,on
le dit d’un ion oppose & l’aigu. Doenga — , ma-
ladie dangereuse.
Grarkıra, 5. f. (1. de chim.) gravelee : lie
brülce.
GravszıLino, A, adj. Cinzas —as, (8. de
chim.) gravelee: (cendre) de lje de vin.
GRAVEMENTE, ade. griövement; gravement;
dangereusement.
+(inavzoLkncıa , s. f. (p. us.) puanleur,
odeur mauvaise. "
+ Gravgrär, v. m. faire ou ramasser du
menu bois. V. Gravelos.
Gravkros, s. m. pl. "brindilles, broutilles,
fagots.
Gravtzı, 3. f. gravile, pesanteur, lourdeur,
poids;; grievete, &normite ; importance.
GaavıpackO. V. Prenkdz.
Gravipine, 8. f. gravile, sörleux : modestie.
— , pesanteur descorps, de la matiere; effet de
Y’attraction que les corps exercent les uns sur
les autres ; importance des choses.V. Graveza,
GaAVvIıDÄR ‚vo. a.engrosser, rendre une femme
enceinte.
GaäÄvIDo, A, adj. gros, grosse. V. Pdäjado,
Pronhe. Hulker —«, femme enceinte,, grosse
d’enfant.
Gaavim. V. Geravim.
+ Gravion, adj. comp. (p. us.) plus grave.
} Gaivios, s. m. pl. anciens peuples de la
Lusitanie qui habitaient la province d’Enire
Douro ei Minko.
Gaavissımo, a, adj. sup. de Grave.
Gravitacäö, 8. f. gravilation : faculie, ac-
vn de Bor nad en ä la matiere.
RAYITÄNTE, adj. 3 gen, ıjul gravite, p. a. de
weiter, !
GRE
GaavıtÄr, 9. w. graviter : tendre ei peser
vers un point.
GuAv0so, A, adj. onereux, pesant,ächarge,
incommode, assujetlissant, genant.
Gaavüna, 8. f. gravure : art de graver; o0-
vrage de graveur. V. Inscullura. — em ago,
gravure sur acier. — em cöbre , taille-douce.
Gaäxa, s. f."cirage pour le euir; vieux.oing;
gras fondu. Sorte de maladie des chevauız.
Gräxo, adj. m. Oleo —, de l’huile grasse.
Gräisa. V. Greve.
Gaicıa, 8. f. (i. de geog.) Gröce : royaume
d’Europe.
"GRrecisco , s. mw. "bordure procieuse.
Gnecisu0, s. m. grecisme : lour de pb
grecque, hellenisme. ’
GneodaA, 8. f.glaise,argile, craie, terre glaise.
— de pizofiro, Verre ä foulon.
Gerverim. V. Gridelim.
Gnredöso, A, adj. de la craie ow qui tieni de
sa nalure;; argileux , graisseux.
+ Gaeca, 8. f. grecque : coifflure de femme
A la fin du dix-huitieme siecle. 4’ —, ade. äla
grecque , comme les Grecs.
GrEcÄL, adj. 2 gen. qui va en troupe. Com-
mun. Soldado —, simple soldat. Vento— , vent
grec, nord-est.
GrEGCÄRIO, A ,adj. de meme troupe ‚de möme
societe.
Grece, 3. f. V. Grei, Rebanko.
Ga&co, 5. m. grec: la langue greogque, I |
greo.
Gatco, A, adj. ot s.grec, $crit en grec, de
Gr&ce. (Ag. fam.) —, hebreu. On le dit d’une
chose inintelligible.
GaxcoRıäno, A, adj. gregorien (chant, 8
lendrier) de Gregoire Xill.
} GrecoriL, s. m. il n’est usit& que danscelßs
phrase: Saber at6 o —, savoir jusqu’ä la fin.
Grezcorins, s. m. pl. V. Gerabulhes, Gars.
Iujas.
Gaßı,s. f."troupeau de mince betail. (Ag.)
Peuple; bien public, cause commune. (d.'
* Troupesu : corps de Adeles sous un meme chei.
GaELiADO, A, p. p. de
GRELÄR, ©. ®. pousser des lendrens. Gef-
mer, parlant du bie.
GrELBaS, 8. f. pl. "gril. Ester em —, tue
sur le gril, sur les epines.
Gr&Lo,s. m. tendron, rejeton des planies;
petite Lige des plantes qui commencent ä peas
ser.
" GREMEINMENTE. V. Irmämente.
GREMIÄL, 5. m. gremial : ornement pontißcal
place sur les genoux du prelat assis.
Ga£mıo, 5. m. giron,, sein. Giron de l’tglise,
corps des fid&les, ayanı le pape pour chel.
Corps, assemblöe, classe, communasie. Corps
de metier.
Gatxma, 3. f.chevelure melde, mal arraa
gee. (Ag.) Branches d’arbregs entrelaches.
GREPO, 3. ns, nom des preires du Pögen.
UNETA, 8. [, CTOYaSSE | gpryunn A ia pean. [Xe
varse qui np fnltdann Ja Lurfe pomdans loo grHh
GRI
des chaleurs. Fente.—s , pl. cfevasses aux Join-
tures des pieds des chevaux.
GRETÄDO, A, adj. crevasse, qui a des cre-
vasses,, des gergures. p. p. de
GaKTÄiR, v. a. crevasser: faire des crovasses.
v.R.00——-SE,U.r. 36 Crevasser, 56 [endre, s’en-
tr'ouvrir.
Greva,s. f. gröve : pidce d’armure pour la
jambe. pl. us. au pl. Greves, jambieres de fer.
tGezvioo,A, adj. gami, chausss de gre-
ves, V. Greva.
Gatr. V. Grei.
Grivart, adj. 2 gen. gris-de-fer.
GRIDELEM 0% } gris-de-lin : gris ti-
GriDELIM,, adj. 2 gen.) rant sur le rouge.
Gaira, etc. V. ha, olc.
Grıraria ,s. f. vieille ınode, antique.
Griso, A, adj. On le dit d’une sorte d’ecri-
wre qui a remplace& la gothique : lettre bä-
tarde; italique. (fg.) Gothique : trop ancien,
bors de mode.
"tGeinna,s. f. Pelouro de — , boulet rame.
Grizmäö, s. m. * chalne : lien compuse& d’an-
neaux entrelaces. — öes, pl. fers, anneaux de
fer qu’on met aux pieds des prisonniers. En-
traves mises aux pieds des criminels.
+GaıLHera, s. f. "anneau mis aux pieds
d’un prisonnier : fers.
GaiLH0, (pP. us.) V. Grilhdö.
GasiLLO, s. m. grillon ow cri-cri, cigale de
nuit, insecte orthoptere. — toupeirinho, le
taupe-grillon. Andäar aos —s, &ire Ir&s-pauvre,
tirer le diable par la queue.
Gaima, s. f. horreur, eflroi caus6 par ce
qu'on voil ou ce qu’on entend.
Garmänıco, s. m. dans l’Asie portugaise,
c’est un arbitre.
Grimpa, s. f. girouelie. (fig.) * Sommet, falte.
GRimPADO,A,P.p.de -
t Gaımrin, v. a. melire, placer comme gi-
Fouelte ; elever au sommet.
GrinäLpa, 8. f. guirlande : ceuronne,, cha-
peau, feston de fleurs, (fig.) de \erreries; sa
figure en ornement. (1. de mar., L’arc supe-
riear de la poupe ow le oouronnement de la
poupe.
Gairnd, s. m. griphe : logogriphe, önigme. if.
V .
Gais, adj. 2 gen. gris, cendr& (couleur).
GaisiLn0, A ‚adj. grisätre; qui grisonne.
Grıs£, s. m. drap blanc de laine.
+ Gris£o, A, adj. gris : de couleur grise.
+ Gaısörs, s. m. pl. Grisons : peuples de la
Suisse dans les Alpes.
GrısöL,s. m. V. Crisol et Almofacs.
Gaita, s. f. * cri, clameur, confusion de
voix. Voz em — , ä grands cris ; en s’&criant.
Gzıtipa,,s. f. °cri, clameur, criaillerie.
GriTapkıra, s, f. criailleuse, braillarde.
GaitanorR, A, 3. criailleur, brailleur, piail-
leur, criard.
Garräa, v.a. (9. us.) crier : proclamer, pu-
GRO 653
plaindre hautsment, avec aigreur ; blämer pu-
bliquement; gronder, reprimander &ä hauie
voix , donner conseil. Piailler, criailler. —como
um furioso, [aire le diable A quatre, se deme-
ner, crier comme un sourd. — aqui d’el rei ou
me acode, crier au seCours. j
GriTaria,s. f. criaillerie, clameur, oonfu-
sion de voix.
GRiTo, 3. m. cri: voix dleree, poussde aveo
effort. Dar —s, pousser des cris. Levaniar 0
—, siecrier. A —[orido, a grands cris, ä tueldte.
Griz, s. m. petit-gris : espöce d’ecureuil. .
Grizeta, s. f. "il d’archal qui soutient le lu-
mignon d’une lampe. Grisette : sorte d’6toffe
de soie ouvr6e,
TGRroenLÄnnıa,, 8. f. (b. de gdog.) " Groön-
land : grande presqu’ile desterres arctiques.
GROMENAR, s.m. V. Zumbdia.
Gronaık. V. Grunkir.
GRÖNEO, 8. m. espece de poire.
“ Gnös. V. Grösso.
Grösı , s. f. grosse, douze douzaines. GrOSs®
lime de menuisier. (ant.) V. Glösa.
Grosinon. V. Glosador.
GROSAR, ©. a. polir avec la lime dite gross.
(ant.) V. Glosar.
TGaostıua, s. f. groseille : fruit acide &
grappe rouge ow blanche.
+ GrossLnkıra ,s. f. (4. de bot.) — vermelha,
groseillier commun, groseillier ä grappes. —
preis, groseillier noir ;cassis, cassier. —espim,
groseillier &pineux.
Grosuin. V. Gosmar.
*+GRrossino, A, adj. Escrilura —a, acle
notari6 en regte , avec les formalit&s voulues.
GrössamEnTE, adv. grossement, abondam-
ment; en gros.
*+GRossamenTo, s. m. vice, faute d’um
acte nolarie.
* Gnossar. V. Glosar, Gensurar.
GROSSEIRANENTE, adv. grossierement, rus-
tiquement, lourdement.
GrosskEıriö, ONA, aug. de Grosseiro. Ba-
lourd, [ort grossier.
Grosstıro, A, adj. grossier, &pais; qui n’est
pas fini, mal travaillö; materiel, pesant.—,
rustre , impoli.
GarossEria, s. f. grossiöretö, defaut de poli-
esse, lourderie. Sorte de grosse toile.
+ Gross&re , adj. 2 gen. dim. de Grosso. Un
peu gros.
Grusseza, s. f. grosseur d’un corps. Epais-
seur.
Gnossıiö, s. f. &paisseur, consistance. V.
Grossura.
GrossissıMo ‚A, adj. sup. de
Grösso, A, adj. gros: qui a beaucoup de vo-
lume;; epais; oonsiderable; important; enfle.
Dinheiro — ‚grosses pieces de monnaie. Er-
ros —s, lautes graves. Terra —a, terre fertile.
Terra—aem Iralo, ville, pays de grand com-
merce, trös-riche. — d’engenko, qui a l’espris
blier. ©. ». Crier : jeter un ow des cris; parler | 6pais,, bouche.
sur un ton aigre, algu, 6ler6; demander, sel
Gaösso, s, m. lo gros : la masse, le plus
5, oAg
grand nombre ; 1a partie principale ou Ta plus
grosse, la plus forte. Em —, en gros, beau-
66up A la fois, le eontraire de eri detail. Tratar
um —, comınercer en gros. O — da lettra, le
ylein de la letire. Por —, en gros.
Grössı,s. m. anchknne monnsie d’Alle- |
magne ei de Portugal.
Grossüra,s. f. grosseur, epaisseur. Graisse ı
des animaux. Manger gras. (ahl.) Grande ferti- '
HE d’un pays. ı Ag.) Grande sbondance, ri-
chesse. — do pooo, (ami.) grande population.
. Comer eousas de —, faire gras.
Grorid. V. Glutds.
Groörtscoo. V. Grutesto.
+ Gröu, s.m. (1. d’ist. nat.) " grue : oiseau
de passage, &chassier, a&rophone, ä tete chauve.
— yantomima de Numidia, la demoiselle de
Numidie. — pavonino ou real d’Africa, grue
couronn6 oW oiseau royal,
Gaöza. V. Grosa et Glosa.
GrüA, 3. f. poulie de la grue.
" *Gervanfa, 8. f. domsine qui payalt le cens
dit de gruin (groin de cochon).
GrupiDo,A,p.p. de Grudar.
GRruDADeR, 3. m. colleur, celuf qui cofle.
Grevapdüna,s. f. action de coller; Collage.
Grepän, e. a. coller : joindre et faire tenir
avec la colle.
Gröpe, s. m. *colle forte.
‚ Gruoirt. V. Gridefe.
"*Gaöoo.V. Gratido.
Grusıno,,a,adj. Falcdö — , faucon gruyer,
ur la chasse aux grues.
T Gedcrti, s. m. (1. de bot.) gtougrou : pal-
mier epineux d’Amerigque.
"Grtuin,s.m. groin de corbon.
GrÜLBA, 8.2 gen. (fig.\ bavard, eriard, tapa-
r
GauLBäpa, 8. f. * cri des grues. (fg.) Criail-
. lerie, confusion de voix.
.. „ TGROMäR, 0.9. 0u —SE, dv. r. se grumeler :
devenir en grumeaux.
“GRumEricen, 8. f. (1. de mar.) les mousses
d’un navire.
Grumere, s. m.(f. de mar.) mousse, ap-
prenti mousse : garcon de Lord.
Greuıxiua. V. Igranamigama.
GRÜMO, 5. m. grumeau : portion de sang, de
lait caille.
Garuöso, A, adj. grumelenx : plein de gru-
meaux; en grumeaux.
" GRUNAion, s.m. grognement : cridu pourceau.
GRUXTIDOR, A, adj. qui grogne, grogneur.
" Grunmir, ©. 0. grouiner : exprimie Te cri du
cochon. (fig.) Grogner : crier comme les pour-
ceaux ; gronder coınıne en les imitant; mur-
murer ä voix basse. Mamar e —, (pop.) On le
dit d’un homme qui n’est jaınais content, quel-
que bien qu’on lui fasse.
Ga6rı, V. Garüpa.
GriPo, 5. m. groupe : assemblage combine
de plusieurs objets que l’ail embrasse & la fois.
— d’ühas, atiolles ow attollons , amas d’iles
un ärchipel. "
GUA
Gaörı,s. f. grotte, caverne.
GuUTßscau&nTE, adv. grotesgqguement : K’und
manidre grotesque, ridicule, extrevagante.
GatTesco, a, adj. grotesque; (fg.) bizarre,
extravagant; ridieale. —s, pl. (t. d’arch. et
peint.) grotesques : figures bizarres et chargees.
+ Grr-cav, s. m. (tl. d’hist. nal.) gry-gry :
&merilion de Ssint-Domingue.
Grrnto,ı,edf. (l. podt.) de Grynia, ville
d’Eolie : surnom d’Apollom.
Gavrna,s. f. femelle du griffon.
Grr’rBıco, a,adj. de griffon.
Grr’ruo, 3. m. (. E’htst. nat.) griffon : ol-
seau de proie plumicolie, & barbe sous la man-
dibule inferieure. Grypbe : animal fabuleux,
moitie aigle, moitie lion. Gripbe : proposition
mysterieuse. V. Gripho. — grande do Perü,
condor. —, pl. (t. d’arch.: petites figures ä
cöte d’autres plus nobleg.
GryYPu0, A, adj. V. Grifo.
T@G—sor -re— ır, 2m. g—rd— sol:
terme de musique qui designe le ton de sol.
V. Gesolreut.
*GraANgA, etc. V. Ganga, etc.
Guacinıs oo Brazır. V. Loricdria.
+GunpaLete, 8. f. (l. de g&og.) Guadeloupe:
fie de l’Amerique.
GUADAMECILEIRO,, 8. m. doreur sur cuirs. Ce-
lui qui, dans la maison du roi, avait soin des
guadamecins. V. ce ınot.
TGUADANMECILERIA, 8. f. art de faire des cuirs
dores ; lieu oü on les fabrique, oü on les garde.
GUADAMECIM, 8. m. Cuir dore, lapisseries de
ce cuif.
GuADAnExim. V. Guadamecim.
Aunvinua. V. Gadankha.
AusneıLna. V. Guedelhe.
*Guarania. V. Gafaria.
GQuArFEN.
| V. Ga..., eic.
Rriro.
Grice.
* Geii ,interj.V. A’.
Griia, s. f. plainte, gemissement, lamente-
tion.
Grarisa ‚etc. V. Goiaba, etc.
Gramca,sf. (t. de bot.) * gafac ofllei-
Grasmacid ou nal ou bois-saint : arbre
Gurico, 5. m. medicinal de l’Ameri-
que; rutace.
"Gran, ec. n. pleurer, gemir, se lamenter.
* Guita. V. Cara, Fosso.
FÜUAINUMBI ACAJUBA, .[: (1. de bot.) guai-
numbi acajuba : passiflore du Bresil.
TGramund,s.m.(4 d’hist. nal.) guainumu:
crustace du Bresil.
+ Grasasör, s. m. (8. de bot.) goyavier com-
mun ou blanc. V. Goiabeira.
* Gcuse. V. Gdge.
fGoaera, s. f.(l. de bot.) icaquier d’Ams#-
rique, prunier icaque ou des Antilles. Le fruit
se nNomme prune-C0oc0, prune-colon, pruoe
des anıses.
‚GuiLoe. V. Jalde.
"GuaLdino, A,P.p. de Güaltir.
’
I)
\
|
GUA.
Gusrpıria. V. Gusldripar.
GoALpıR, v. @. (8. Pop.) manger, gaspiller,
devorer.
GviLoo, a. V. Jalde.
GeiLnaa. V. Aldrdbe.
Guaınrära, 8. f. " chabraque : bousse de
eheval qui descend au-dessous de l’etrier.
Lambeau d’habit dechire.
GuaLnraıpär, v.a. (8. burl.)V. Furtar.
@uiLnaöre. V. Galdröpe er Aldröpe.
GraLıöre. V. Galeote.
+ Goarrania, s. f. viede fier-A-bras, de fan-
Ion.
Goaurtkira, s. f. * bonnet de peau pointu.
* FGuALTSerA, 8. [. sorte de casque.
+ GOANABÄNE, s. m. guanabane : [ruit du co-
sassolier.
f Gtanäco,s. m. sorte de chameau de l’Am&-
rigue mertidionale.
T Guanausiö, s. m. (t. de bot.) corossolier
o® corossel : plante polypetalee, voisine du
magnolier; arbre, arbrisseau des Antilles.
veig. Cachiman,, assiminier, caur-de-bauf.
*Guanca. V. Ganancia, Ganho, Lucro.
" Guancan. V. Ganhar, Lucrar, Adquerir.
+ Guänches, s. m. pl. guanches : anciens
habitants des (.unaries.
*Guanco. V.tranho, Lucro,
Guinpara. V. Gandara.
GUino om .
GuanDö, s. Mm. | V. Andi.
+ Guancuz, s. m. (1. d’hist. nal.) guangue:
rongeur du Chili, espe&ce de rat ou mulot.
Guinta, s. f. (£.d’Asie) mesure creuse d’A-
sie, deux pintes & peu pres.
GuÄntE, s. m. gant. Gantelet de fer. V. Ma-
nopla.
GUAPAREIBA 0%
var r. !- | V. Mangie.
+ Guarenva no Brazir, s. m. (tl. d’hist. nat.)
° erapaud de mer, espdce de scorpene.
+ Guiranente, adv. hardiment, vaillam-
ment, lestement. Noblement. Galamment.
Grarice, s. f. * courage, valeur, hardiesse,
vaillarıtise. * Ajustement affect& ou recherche.
Beaute, eleganre ; ınanieres nobles.
+ Grariro, s. m. (t. de bot.) guapire : arbre
de la Guiane, voisin de l’avicenne.
Goäro, a, adj. brave, vaillant, hardi, cou-
rageux, valeureux. Beau, bien mis, v@tu ga-
lamment; @l&gant. Grand dans ses manidres.
+ Guureri, 3. m. (1. de bot.) guapuru : ar-
brisseau du Perou , myrte.
+ GuariL,s. m. (1. dhist. nat.) guaral : ani-
mat de Libye, semblable & la tarentule.
7 Guarani,s.m. (t.d’hist. nal.‘ guarana ou
gourane, ibis.
+ Guaruch, s. m. (8. d’hist. nal.) guapucu :
thon du Bresil.
Guaräiz, s. m. oiseau du Bresil.
Guancäd. V. Gargdö.
+Goiacno, s. m. ($. d’hist. nal.) guarcho :
Suffle du cap de Bonne-Esperance.
GuAnpa,s. 2gen. garde, gardien,, surveil-
QUA 636
J Iant. — marinha, garde-marine. —do mäto,
garde-bois. — do nome, seing ‚ signature.
Grirva,s. f. garde, soin , conservation. Ob-
servation d’une loi, etc. Toutce qui ser! ä gar-
der ow & proleger. Charge, commission de
garde, proteclion. —, gens de guerre qui font
la garde. — urbana, garde bourgeoise. —aran-
gada, poste avance. — nacional, garde nalio-
nale. Anjo da — ‚ange gardien. Corpo da—,
corps de garde. Enirar de —, @ire de garde,
monter la garde. Saır de —, descendre la
garde. — principal, la grand'garde. Dur em
—, confier, commetire & la garde de. —s, pl.
gardes : garnilures inlerieures d une Serfure.
Les deux mattresses baleines d’un e&ventail.
— ‚feuilleis de papier blanc & la tie ou & la
fin d’un livre. — do norle, gardes : les deut
etoiles les plus proches du p6le arclique. —
d’ums ponle , gard«-[ou. "
+ Guäapa-BARRkIRA, 8. m. commis de bar
rieres.
+ Grarnpa-upeias, 8. f. pl. (f. demar.) ou
armadores das mösas das enxzarcias, lisses de
porte-haubans, demoiselles.
GUARDA-CHAVES, 5. m. — de prisdö, guiche-
tier.
+ Gtarnpa-CHUVA, s. f. parapluie.
GUARDA-CÖSTA , 3. m. garde-cöte.
+ GuaRpa-DE-ViSTA , 8. m. celui qui en garde
un autre ävue.
GUARDA-DÄNAS, 3. m. 6cuyer des dames de la
coyur, officier du palais.
GuaRDADO, A, p. pP. de Guardar.
GUARDADÖR, A,s. gardien : celui qui est com-
mis A la garde;; garde. Observateur exact d'une
loi, etc. Menager, econome; avare. d pai —,
filho gastador, ‚prov.) a pere avare, Üls pro-
digua — de gddo, pätlre, berger.
GuARDA-FRCHOS, s. m. garde-platine : cuir
pour recouvrir la plaline du fusil.
+ Guirpa-F6CO, s.m. garde-leu. V. Cortafogo.
GUÄRDA-INFANTE, 8. m. vertugadin, panier
de feınme,
+ Gränna-sörss, s. m. garde des Joyaux de
la couronne.
+GuirDa-LÄMA, s. m. garde-crotte.
+ Granpa-LEMg, 5. m. (d. de mar.) canon de
retraite.
+ GvaRDALETE, 8. m. sorte d’eloffe de laine.
f Guarpa-LIVROS, 8. m. leneur de livres.
+ GrarDa-LöUGA , 8. m. armoire pour garder
la vaisselle.
+ Gränpa-MaröR, 3. f. dame qui a inspeo-
tion sur toutes les femmes du palais du roi.
+ GUARDA-MANCEBOS, 8. m. 4. de mar.) garde»
corps, sauvegerde du beaupre.
Gtanpa-MÄÖ, 5. m. karde d’uns Epee.
GUÄRDA-MATO, 5. m. " peau que les bergers
attachent aux jambes pour garantir la culotte.
Sous-garde ou sougarde : piece de la garnilure
d’un fusil sous la batterie, pour couvrir la d&-
tente.
* GEARDAMENTO, 6. m. ° action de garder;
garde,
656 GUA
GUARDAMÖR , 8. m. ancien oflecier qui com-
mandait vingt hommes de la garde royale (ant.).
Garde & la t#te des autres. Officier civil des
cours royales. — das alfandegas, inspecleur
en chef de la douane. — da saüde, chel ow
commissaire de police sanitaire dans un port
de mer. — da torre do tombo. V. ce mot.
f Guanpa-Monräö, s. m. (I. de mer.) baril
afeu.
GUARDANÄPO, 8. m. " serviette : linge de table
pour garantir les veiements, etc.
GuinparpiTas, 8. m. * sorte d’ancienne coif-
fure.
Guanpart, 8. m. jupon, jupe de femme. V.
f Guannariza,, s. f. bordure, bande, garni-
ture mise au bas d’une robe, d’un jupon , etc.
GoaRpAaPO, 5. m. ° penle, ciel de lit, etc.
* Housse , couverture de meubles. * Toile atta-
chee au plancher pour garantir de la poussiere.
GuÄrDA-PÖRTA, 8. f. portiere : espece de ri-
deau devant une porte. "Paravent ‚contre-porte.
Guianda-rORTÄÖO, 3. m. portier, suisse.
+ GUARDA-REPÜSTA, 3. m. " sorte de fusee
dont le bruit est beaucoup retarde. V. Guarda-
reposte.
+ GUÄRDA-REPÖSTE, 3. m. ancien officier du
palais qui avait soin dos meubles de la maison
royale. Garde-meuble ow garde-manger de la
cour.
Quarda-RiO, s. m. martin-pecheur : oiseau.
Guänna-röuPA, 8. m. officier de la garde-
robe, page, chambellan du roi. s. f. Garderobe:
charnbre pour metire les habits, etc. ; armoire,
etc., oü !’on serre les hardes.
+ GuAnDA-Qu&pas, s. m. parachute.
+ Goinpa-skLLos, s. m. garde des scoaux.
GuänDda-YENTO, 8. m. paravent.
T Guanpa-vinno, 3. m. pierre de taille ow
grosse planche formant le mur ou e6l# d’un
pressoir ä vin.
T GuUARDA-VISTA, 3. m. &cran ou garde-vue.
f Guiana-voLinte /s. m. (8. d’korl.) coq::
pidce d’une montre.
Guanpia,v. a. garder, Conserver, serrer, en-
fermer, mettre en reserve; veiller ä la defense,
ä la conservation ; observer un precepte: con-
server le souvenir; preserver, garanlir ; prols-
ger, defendre. — compostura, sauver les de-
hors. — 0 sew caracier, tenir son rang. — gado, | ba
garder un troupeau. — a cdra, se cacher pour
n’&tre point connu. —as coslas. V. ce mot. —as
fostas, garder los Jours de fetes. — a bocca,, &ire
sobre; se taire lorsqu’il le faut. Gudrda, gär- |.
da-ie ! gare! prenez garde! Nullement, point
du toat. Quem guarda, achs, qui serre beau-
Coup, trouve beaucoup.
Gumrpäa-se (de), vo. r. se garder, se garan-
tir; s’abstenir; se defer de.
GUARDIANIA, s. f. "gardiennat : dignits d’un
gardien de couvent ; sa durde.
GuAaRnıXo, 8. m. gardien : superieur .u
couvent de (ranciscains ow de capuecins. ($. de
mar.) Alde contre-malire,
GUA
Granpdins, 5.0. pl. (1. da mar.) * eordes qui
tiennent suspendus les manteleis des sabords.
* Drosse du gouvernail.
GuAndınväö, s. m. * sorte de jeu d’enfanıs.
GuARDönno et qui Conserve avec soin,
GUARDOSO, A, ad. Tanager, e&cenome. Y.
GUARECEDÖR ‚A, adj. un guerit,
* Gusnzcka, vo. a. V. Curar, Serer, Rems-
dier. Secourir, defendre, delivrer. Garder,
conserver. v. ». Guerir, recouvrer la santt.
GuARECER-SE (de), 0. r. se relugier, chercher
un asile.
GUARECIDO, A, 9. P. de Guarecer.
* GUARECIMENTO, 8.9. * Cure, gu6rison.
* + GUARENTE, 8. m. ° action, ouvrage d’uR
tailleur qui coupe ( un manteau, etc.) lout au-
tour. (ig.) " Economie, epargne. V. Agorenlir.
Gvuanciz. V. Gorgüz.
+ Guani, 3. m. (t. de bot.) guari : palmier de
P’Amerique meridionale.
+ Guarisa, 5. m. (6. d’hiss. nat.) guariba:
alouste d’Amerique. — preio do Marankio,
*ouarine.
Guaripa,s. f. taniere, repaire : retraite des
animaux. (fjg.) ' Repaire, retraite; asile, re-
fuxe.
Guanipo. V. Guarecido.
* GUARINA, 8. f. tunique militaire qui der
cend Jusqu’aux genouz.
* Guarır ,v. a.eln. V. Curar, Sarer.
Guanita, s. f. guerite de sentinelle.
GUARITEIRO. .
GuARITO, 6. m. | V. Gert...
GUARNECEDOR , 3. @. garnisseur :
garnit.
Guannscea (com, de), ©. @. garnir, enlo®
rer, environner ; meitre une garniture; muaif
une place de guerre; ig.) orner, ajusier, em-
beilir. Enchässer dans de l’or, etc. Garnir un
faucon de les de sonnelien. un. (Ag. vieuz \.
Adornar, Enriquscer. \id.) Prover, Equiper:
(HUARNECIDO, A, 9. p. de Guarnccer.
Guaaniciö, a. f. garnilure : ce qui serfä
garnir, & orner. Enchässure. Garde d'epe*-
Garnison : soldals qui gardent une place, eic.
(fig.) * Ornement. V. Adorno. — em [öfos, gal-
niture bouflante. — d’uma boia, (I. de mar.)
garniture owtrelingage de la bouee. —de bom-
‚ (id.) garniture de la pompe. — öes, pl. &1-
mure : armes defensives autrelois en usage.
* Harnais de cheval.
*+ Guannivo, A, adj. habille , orne, pare-
*f GUARNIMENTOR, 5. m. pl. * armure; har-
nais de cheval. V. Aderegos, Adornos.
+ Guanösa, s. f. “ arbre du Bresil A beis
tres-dur.
+ Guasrüsa,s. f. (1. d’hist. nat.) " gonaro-
ba : perruche A gorge rouge.
Guanaäua. V. Garrdma.
* + GuaanamÄa, 0. a. imposer une coninbe-
tion.
GuÄrTE, conirachion de Guarda-ie, gast}
prenez gardel
N
celai qei
GUE
Gurstir. V. Gastar, Destruir.
t Guatapina, s.m. (1. de bob.) guatapuna ı
bresillet de Pile de Curacao.
TGvaTuchra,s. m. (1. d’hist. nal.) guatacu-
pa : arbre du Bresil.
Goar.
Grya. | V. Guan.
TGurand,s. m. (l. de Bres.) * &crevisse
terrestre.
*Guazeı.V. Corazil,
GvaziL, 8. m. gouverneur chez les Arabes et
les Persans.
GuAzıLÄno, 3. m. charge, dignits de guazil.
. ce mot.
TGuazu@te,s.m. (1. d’hist. nat.) gouazouete:
terf du Paraguay.
tGuazurira,s. m. (t. d’hist. nat.) goua-
20upara : cerf du Paraguay.
T Guazurita, s.m. (1. d’hist. nat.) gouazou-
pita: cerf’du Paraguay, biche rousse, coassou,
TGuazöruch, s.m. (1. d’hist. nat.) gouazou-
poueou :cherreuil d’Amerique.
“"Guca.V. Aguca.
Gupäö,s. wı. (1. d’Asie) magasin souterrain.
Geor.miö, e. f. ocon, touffe de laine.
"Gupina, s. f. petit bien de campagne ; pe-
tit fonds de terre.
T Gudsnos „s.m. pl. guäbres : reste des an-
ciens Perses , sectateurs de Zoroastre.
TGuscae, s. m. bois dur, bois-fer dont on
faisait des muars en Asie.
GtEp£ıHA , 8. f. faces : cheveux qui tombent
Sar les tempess. Chevelure. ( fg. anf.) " Gain,
profi. V. Felpa. — de ld, fiocon de laine. —s
de seda, #toff'e de soie peluchee. Ver-se com
alguem ds —s, Ölre aux prises avec quelqu’un.
4panhar algesma cousa pelas —s, saisir Poc-
rasion aux chaeveux.
GUEDELUUDO, A,adj. quia beaucoup de che-
veux sur les Lempes. Chervelu.
Gusore ,s. f. leur du sureau.
GußLa,s. f. "gosier, gorge ; gueule.
T GugınaAs, s. f. pl.(t. de bot.) V. Novel-
08.
tGutıLros, s. m. pl. Guelfes : partisans des
Papes, ennemis des Gibelins.
GueLras, s. f. pl. ouies, branchies : organe
respiratoire des poissons.
GvEo, s. m. petite armoire en la poupe d’une
barque.
Gu&ana,s. f. guerre, querelle; differend &
main armee entre deux pays, deux etats, deux
0% plusieurs &tres; lutte a main armee; art de
la guerre; (fg.) opposition, contrariete; (td.)
diffsrends, dissensions domestiques. Milice:: art,
exercice de la guerre. — armdda, preparatifs
de guerre, ötat de guerre. — al, guerre
ouverte. — guerreada, guerre d’incursions,
petits guerre. — interior, guerre interieure :
comLat des passions contre la raison. Ter —
declaräda , &tre & couteaux tires. Entror de —
em alguma ferra, entrer Amain arınde dans une
ville, ete.
GUBRREÄDO, A, p. p. de Guerrear.
PORT.-FR.
GUI 657
GUERREADOR , A, adj. guerrier: qui fait, qui
aime la guerre.
GUERREÄR, ©. n. faire la guerre, combattre,
guerroyer. v. a. Altaquer, assaillir.
GUERREeIRO, A, adj. guerrier, belliqueux,
martial.
GuErREIRO, 5. m. guerrier, soldat.
"GOERREJÖNES, 5. m. pl. nom qu’on donnait
par derisionet jalousie aux exploits militaires
du grand Albuquerquo dans l’Inde.
t GuERRILHA, 8. f. guerrille : sorte de corps
franc en Espagne.
TGußso,s.m.(t. d’Asie) valet de chambre.
TGu£tE, s. m. acte constatant le divorce
(entre les juifs) que le mari donnaitä la femme,
par lequel elle etait degag6e du contrat de ma-
riage.
fGu£ro,s. m. quartier des juifs & Rome. €£.
V. Gute.
Guia ,s.2 gen. guide, conducleur; directeur
de conscience. Passeport,, passavant ; feuille de
route; billet de douane, acquit-ä-Caution. Ac-
tion de conduire. Chef de quadrille : celui qui
ınene la danse. Long sarment, mattresse bran-
che qu’on laisse & une souche en la taillant.
Carta de —, feuille de route; sauf-conduit. /r
sua —, suivre sa route. —s, pl. chevaux de vo-
l&e qu’on met devant les deux atteles en timon,.
Guides, renes,
GUIABELHA. .
Gu1aBELLa. \ V. Diobelha.
Gurino,, A,P.p. de Guiar. (por) adj. guide,
conduit, dirige par...
GUIADOR, A,s. guide : conducteur, directeur.
"GUIAMENTO, 3. m. "conduite, direction. Ir
em — d’alguem, @ire guid6, conduit par quel-
qu’un.
Guräö,s.m. *banniere, enseigne , etendard;
petit dtendard royal; officier qui le porte.(fig.)
Commandement de gens de guerre. Guidon :
marque mise au bout d’une ligne de musique
qui indique od doit &Lre placee la premiere note
de la ligne suivante.
GuläR,v. a. guider: montrer le chemin;; con-
duire, diriger. Donner le bon cxemple. (para)
Conduire. V. Encaminhar.
Gtiäx-se (por), v. r. se laisser guider, con-
duire, diriger. .
+Guimtıno, a,adj. qui va devant et qui guide.
+ Gurina, s. f. (t..de geog.) Guyane : pays
de l’Amerique meridionale divise en Guyane
frangaise, hollandaise, etc.
+ Guesa, s. f. (. de geog.) Guienne : an-
cienne province de France. .
+ Guienßz, A, adj. et s. Je la Guienne.
*"GuiLna, s. f. recolte co:pieuse, abondante.
(fg.) Fraude, filouterie.
T GuILBHELMITA,s. m. et’adj. de la reformede
saint Guillaume , duc d’Aayuitaine (religieux).
GVILHERME, 5. m. guillautne : sorte de rabot
&ä large fer.
GUILBERMITA. V. Guilhelmita.
GtiLuo ‚s. m. piece d’un moulin. ,
GuiLRÖTg, s. m. usufruitier : celui quia la
42
+
658 GUI
jouissence des fruits. Fainsant, vagabond. Ca-
gnard : celul qui, parmi les joueurs, n’esi pas
encore bon trioheur. V. Fraudador , Velhaco.
+ GuıLzorina , s. f. guillotine : machine pou
trancher la t≤ instrument de supplice re-
nourel6 des Italiens, qui s’en servaient de
temps immemorial.
+Gvusorımino, A, adj. guillotind: qui a
616 guillotine. p. p. de
+ GuiLuorinir, 9.6. guillotiner ; trancher la
Wie avoo la guillotine.
Gumäpa, s. f. (1. de mar.) embardöe : &lan,
mauvement qui detourne un navire. Dar —s,
donner des embarddes.— de riso, &clat de fire.
Dar —, faire des &carts, parlant d’un cheval.
Cantar ds —ı, faire des eclats de voix en chan-
tanl.
Grinir, vo. n. (fl. de mar.) s’embarder : so
jeter d’un cöt& ou d’un autre. O navio esld gwr-
nando ou dando guinadas para bombordo, le
vaissean donne une embardee & bAbord. O na-
vio ssld guinando sobre a ancora, le vaisscau
joue sur son ancre.
Gvincuia, v. ®. jeter un cri pergant, glapir.
GUINCHO, 8. m. cri pergant; glapissement.
*Moueite : oiseau p@cheur. Ninho de —, (fig.)
ehose proßtable, dont on peut tirer beaucoup
de proät.
Guinda, 8. f.(l. de mar.) corde & guinder.
"Guindant, guindage : hauteur des mäls d’un
vaisseau.
Guiupin0, A, pP. P. de Guindar. et adj.
Guinde&, affocıs. Estilo —, style guinde, am-
ponie. j r
UINDALBTA, 8. f.
GUINDALETE, s. m. } oorde de crio ou grue.
Gumpaniına, &. f. (f. de mar.) baisser et
hausser tout de suite le pavillon, signal d’a-
mijti6 quese donnent deux navires en ıner.
Grinpia, ©. a. guinder, hausser, elever.
Corda de — , guinderesse,
GutmpiasE, v. r. se guinder : se porter en
haut; (4g.) affecıier de l’elevation.
Gumbasäzs, 8. [. guinderesse:cordage pour
guinder.
GuınDÄste, s. m. guindal, guindas : machine
pour &levor de lourds fardeauz. Cric.
Gumpe (l. d’Asie). V. Jarro.
GuinpöLas, s. f. pl. (t. de mar.) voiles pro-
visoires pour mener un vaisseau demäle,. V.
Toon, 2. f
ums, s. f. (t. de gdog.) Guinde : pays
d’Alrique. 2 PN
"Gum, s.m. ” guinee : monnaie d’An-
Gomka,s.f. gleterre de 2ı schellings,
Guınto,s.m. 26 fr. 47c.
f Guım£o, 5. m. sorto de danse des Negres.
Gumcäö, s.m. excrement des vers ä soie;
bourre de soico.
Gumako, s. m. * toile de coton.
+ GumöLas, s. f. pl. sorte d’habillement os
nn Bigarröe de plusieurs couleurs.
VARA, 8.7. (£. d’hist. nal. D-
Pusguaza ı sorpent du Dresil, Bu
nn)
GUR
+ Gumsınom. (6. de bot.) V. Aimesinge.
t Gupüscoa ,s. f. (8. de geog.) * Guipusooa:
province d’Espagne.
T Gumruscoino, A, adj. ot s. de Guipuscee.
} Gumacäintarı,s. m. (4. d’hist. nal.)guira-
cantara : ani du Bresil.
+ Guira-penka, s. m. (6. d’hist. nal.) guira-
perea : oiseau du Bresil, couleur d’or,
f Gumand, s.m. (tl. d’hist. nat.) guirarouı
colinga du Bresil.
Gussumpeo. V. Garkiadeo.
GummnäLpa, 8. f. (f. de mar.) "sauverubas:
anneau de corde.
Gusrıziö pas AnrıLuas. V. Hoceo do Pard.
Gris. V. Gesso ou Gis.
*Guisa, s. f. guise, sorie, manidre, fagen.
De —, de sorie, de manidre,
GuısÄno, 5. m. ragoüt.
Guisinpo, A, p. p. de Guiser. adj. (mi.)
pourvu, foural; habitu6 &.
* GUISAMENTO, 3. 90. appre;, pröparatil, dis-
position.
Gulsir,v. a. appröter, assaisonner, B060M-
moder les viandes. (ant.) Aider ; dessiner,
projeter ; avoir soin, preparer.
Guiso, s. m.grelot,
Geita, s. f. corde menue, d#li6e; ficelle.
Guıtäana, 3. f. guilare : instrumeni do mu-
sique & cordes de mötal, .
Gutanrinns, 8, f. dim, de Guilarra. Peüle
guitare ; turlurette.
* GuizeEs, V, Griz.
Gira, s. f. (inus.) "gosier, asephage. Geuf-
mandise. Gastronomie: passion pour la bone
chere. Sorte de varlope de menuisier.
Gurid, V. Goulds.
+ GuListäö, 5. m.livre turc trös-remarquable
Qui contient des sentences, Jes apophthegmes,
des proverbes, etc.
GrLöso, elc. V. Goloso,, etc.
GÜsE,s.m. Sl, tranchant d'une Ep6e, ek..
coupant. (fig.) ° Pönötration , perspicacite. Er
pada de dous —, &pse a deux tranchauts. Der
de —, frapper du tranchant.
GÜuEna, 8. f. (i.de mar.) gume, gumene:
gros cordage, cAble d’une anere.
Geuir. V. Gomsl.
GuxıL£ue,s.f. (t.de pharm.) gomme elemi:
gomme resineuse d’Amerique.
GÜncHo, 3. m. oiseau de riviere en Portefal.
+ Günvua, s. f. | (il. d’Asie) serie de bil-
+ Günpaa,s. f. | mentde mer.
Gung,s.m. (b. d’Asie) matiöre Alamenteuit
dont on lait une grosse toile.
+ GuntıLo, 8. m. (8. d’hist. nei.) guand:
poisson du genre du blenne.
+ Guncr’, s. f. plante de l’Inde orientale , q)
ressembie au lierre , a feuilles m6dicinales-
Guouäir. V. Gomar,
Gurpıre. V. Gridefd.
GuscuLuäd. V. Bulkds. ,
GURCULHÄR, 9. n. sourdee aa hosilionnanl
bouillonner.
GURCHLEO, 5. u. (4, d’hiet. mal) abazaate?ı
H
calandre, ehnienelsuse, cosson : pelil coldo-
piere rhinocäre : lalarveronge le bie.
GuacvLBös0, A, adj. plein de charangons,
ronss de ses larves.
URGUNEBLAS,S. [- Pi. .
Guncumuno” ® n? | V. Gorgomitlos.
Gurcuruö, interj. burl.) il n’ya plus; en
est fait.
Guacörz. V. Gorguz.
Gurıta. V. Guarita.
Gusittıng. V, Guariteiro.
Genüra. V. Garupa.
Guzupts, s. m. (d. de mar.) beaupr& : mät &
la proue, couche sur l’eperon.
Güsa, #. f. gueuse : piöce prismatique de fer
nen purild, moulee dans le sable.
GusaniLno, s.m. dim. de Gusano. Vermis-
seau, petit ver.
Gisiyo, 5. m. ver, Insecte.
Gustir, etc. V. Gostdr.
+ Guracimpa, s. f. gutte:gomme du gutiier.
V. Gutteira.
Gurs,s. m. arbre fructifere du Bresil.
*+ Gürzora,s. f. V. Gundra ou Polaine.
Gurzrir. V. Guttural.
+ Gurt£ıaa, s. f. (£. de bot.) "camboge, gul-
tier : arbre qui donne la gomme gutie.
GurttuaiL, adj. 2 gen. gullural : du gosier;
qui se prononce du gosier.
4 GuTTURALMENTE, ade. du gosier.
Güza. V. Gusa.
GözaR0. V. Gusano.
GYMnasıÄacHa, 8. m. gymnasiarque : chef
du gymnase.
GYunäsiıo, 8. m. gymnase : lieu d’exercice
des Grecs. "Ecole, classe, college, muste:
lieu destine & l’6tude des lettres, des sciences,
des arts.
Grunästa,s.m.(l.dant.) gymnaste : ofEcier
du gymnase, cbarge de l’education des athletes.
GyYwmästica, 3. f. gymnastique : art d’exer-
eer le corps pour le forlißer, eic.
GYunäsrico, A, adj. gymnastique : de la
gymnastique.
Gyumica, s. f. gyınnique : science des exer-
eices propres aux alb:dies.
GYunIco, A, adj. gymnique. Jogos—s, jeux
gymniques : combats d’atblätes nus.
+ GrYumockruaLos, 5.m. pl. (l. d’hist. nat.)
gymunocephales : genre de poissons A tete sans
6eailles , operoules ezlerieurs et denteles.
HB 649
Gruxorkeia, 3. f. gymnopedie : danse A pu
des Lac&demoniens.
GYMNOSOPRISTAS, 3. m. pl. gymnosophistes :
anciens philosophes indiens, qui allaient pres-
que nus, menaient une vie trds-ausitre, el
contemplaient la nature.
GYMNOSPERMIA, 5. f. (4. de bof.) gymnosper-
mie : (semences nues) premier ordre de la
quatorzieme classe des vegelaux, & Deurs her-
maphrodites, deux grandes et deux peliles eia-
mines.
GYuNOSP£aNOo, A, adj. (t. de bo8.) gymno-
sperme : so dit des plantes dont les semences
n’ont point de pericarpe.
? Grunoto,s.m. (t. d’hist. nat.) gymnote :
poisson apode , peroptäre.
Gyxänpeı, 8. f. (4. de bot.) gynandrie:
vingtid&me classo des vegetauz , & fleurs hermar
phrodites, & &tamines redunies, atiachtos au
pistil.
+ Grnänpnico, A, adj. (t.de bot.) gynandri-
que : de la gynandrie.
+ Gynidcko, s. m. (}. d’ant.) gynecte : re-
traite, lieu do travail des femmes. .
Grusgcockacia, 8. f. gynecocralie : Elat oü
les femmes peuvent gouverner.
T GYNECOCRÄTICO, A, adj. gynöcoeralique :
qui a rapport & la gyneoocratie.
T GYnscouania, 8. f. gynecomanie : amour
excessif des femmes.
+ GynoLocia, s. f. gynologie:sciense,, traile
de la femme.
t GYraßro, s. m. (1. d’hist. nal.) gypakte:
oiseau de proie. — barbudo, vautour des
agncaux.
+ GvPsz0, A, adj. gypseux: de la nalure
du gypse.
GvYaiö, s. m. (1. de bias.) giron, trıanglc. \.
Girdö.
Graasor. V. Girasol.
+ GrYrinos, s. m. pl. (l. d’hist. nal.) gyrins:
coleopteres nectopodes; scarabees tourncurs
ow tourniqueis.
Grrörg, s. m. clou degirofle. V. Cravo da
Indie.
GYROFRIRO, 3. m. (f. de bot.) girollier :arbre
aroınalique des Moluques. ,
GYBOMANCiA , 8. f. giromance ou giromaneie:
divination qui se pratiquaiten marchantenrond.
+GTROVäcO, 8. m. gyFovague : Moine errant.
V. Vagabundo.
H.
H, s. m. huitiäöme letise do Yalpbabet porlu-
gais; chez les Latins valail 200, et avec un trait
| WAR. La leise Fi n’est jamais aspi-
rede en portugais, ou ne l’esi que ises-faihle-
ment dens los mots Irahir, anhelar. inhauido,
etc.; pr&cödee d’un 2, se prononce cormıme los il
dans famille. Ex. : Mulker (mowsllöre) ; prsc6-
dee d’unn, se prononce comme gn dans meon-
tagne. Ex. : Genhar (gagner). Les anciens la
meitaisnt davanı iss guiieles 0, a, 08, 88;
660 HAB
cette orthographe est tout & fait inusitee.
Ha. V. A article.
Hi, seconde personne de l’imperatif du
verbe Harer (avoir).
Hai! interj. ha! ah! Ha, As, rire qu’excite
une soltise ; ha,ha, be, be, hi, hi.
+ Hisina, s. f. (1. de gdog.) Havane: ville de
l’Amerique septentrionale, dans lile de Cuba.
+ Haneas-Conrts, 8. m. (ezpr. lat.) habeas-
corpus : loi anglaise qui donne ä un prisonnier
la faculıs d’etre elargi sous caution.
Hisır, adj. 2 gen. habile, capabie, intelli-
gent,, adroit. Prompt, expeditif. (para) Habile,
apte, capable. E di — geömeira, eic., il est
fort en geomeötrie, etc.
HasıLivänpe, s. f. habilet£, capacite, intelli-
gence, savoir-faire. Bonne gräce, dextcrite.
Agilitö, adresse. —s, pl. "tours agreables ‚ tours
d’adresse,, lours de passe-passe.
HasıLınöso, A, adj. adroit, habile, doue de
talent.
HasıLissıwo, A, adj. sup. de Habül.
HasıLıtacäö, s. f. action d’habiliter. Capa-
cite, disposition, aptilude. (1. de pras.) Habili-
tation : sorte d’dmancipation ; babilite, aptitude
a succeder, etc.
HasıLıtano, A, pP. p2. de Hobiliter.
t HasıLıtanor, A, s. celui qui habilite.
R T HasıLıtinno, A, adj. qui doit &tre habi-
te.
Hasılıraa (para), v. a. habiliter, rendre ha-
bile (A), aple, capable (de). (1. de prat.) —,
donner pour capabie de regir un bien, d’exer-
ver un emploi, eic.
HasıLıTÄn-sE (para), v. r. S’habiliter, se
rendre babile, montrer son habilete, sa capa-
cite,
RisıLmänte, ado. habilement, adroitement.
Hasıtacäö, s. f. habilation, demeure, loge-
ment, domicile. Endroit d’une maison propre &
eire habite.
HaaıtäcuLo, s. m. habitacle : demeure, habi-
tation.
Hasırkno, A, P.p.de Habilar.
HABITADOR,, A, 5. 0% habitant: qui
HABITANTE, adj. els.2gen.| fait sa de-
meure, qui reside,, qui habite.
Hasırän, v. a. habiter : faire sa demeure,
son sejour. (em, com) v. ». Habiter (dans un
palais, ä la ville,etc.), demeurer, loger ; habi-
ter avec. Y. Cohabilar.
HABITÄVEL, adj. 2 gen. habitable, logeable:
qui peut @ire habite.
Häsıto, s. m. habit, v&tement ; velement,
marques distinctives d’un ordre militaire; froc,
vetement de religieux. * Habilude, coutume:
disposition acquise par des acies reiteres. To-
mar 0 —,se faire moine, prendre l’habit, le
froc; devenir chevalier dans un ordre regli-
taire.
HasıTorixuo, 3. m. dim. de Habito.
Hasıtuaoo, 4,9. p. de Habisuar.
Aasırtar,adj. 2 gen. habituel: tourne, passe
en babilude, Grags —, gräce permanente.
HAR
HısıtuäLm£xte, ade. habituellement : pet
habitude , de coutume.
Hasıruia,v. a. habiluer, accoutumer; [aire,
prendre une habitude.
Hapıttan-se (es, om‘, u. r. s'habileer, sac-
coutumer 3.
Hasıröoe,, s. f. habitade.
Hacanza, s. f. haquenee : cheral de taille
mediocre.
* Hıcre. V. Ale.
t Haı-DE-BavEn, s.m. (l. de comm.) credit,
avoir.
* Haperöxa, interj. burl. tiens!
HacıamäLss, 5. m. pl. nom de certains reii-
gieux mahometans.
rt Hacıocaarnia, s. f. hagiographie : traitt
des choses saintes,
HaciöckarBo, A, adj. hagiograpbe : (livre)
de l'ancien Testament autre que geux de Moise
et des Propheätes. s. m. — , auleur qui ecril sur
les saints.
t HacıoLöcıco, A, adj. hagiologique : qui
concerne les saints, les choses saintes.
HaciıoLöcıo, s. m. vie des Saints.
Hacıömaco. V. Agiomaco.
Haı, interj. V. Ai.
Haıcroneo. V. Alcyoneo.
THäuss, s. f. pl. Halies : fätes celchrees A
Rhodes en l’bonneur du soleil.
HaLIETo, s. m. (t. d’kist. nat.) balbuzard:
aigle de mer.
Häuıto, s. m. *haleine : souffle, respiration.
* Exhalation, vapeur. — elästico,, { t. de bot.‘ N.
Aura seminal,
HaLLasänpa, etc. V. Alabarda, eıe.
Harrtccınacio, 5. f. hallucination : &zare-
ment, bevue, meprise.
Hauuucınan, vo. a. &blouir, egarer, fasciner.
— Se, rc. r. se meprendre, prendre le change.
BaLorTe£cunia, 8. f. halotechnie: art de ırai-
ter les sels.
f HauLvörg, s. f. (l. d’hist. nat.) ormier ou
oreille de mer: coquillage.
T Hımwannv’adas, 5. f. pl. (tl. de myth.)Ns-
madryades : nymphes fabuleuses des bois, en-
fermecs dans des arbres.
r Hauaukırıa, s. f. (f. de bot.) hamamelia
ou — elis, arbre berbe£ride.
HANÄNTEBO, 5. m. ( 4. de bot.) hamanıhus,
hamagogue : plante des Pyrences.
Haue£c, s. m. (ti. de pharım. anc.)* confeetios
V. Diacoloquinditos.
* HaneLän, etc. V. Ankhelar, etc.
T Hasscaito, s. m. hanscrit des Indiens. V.
Sanscrito.
HBanssitico, A, adj. hanscatique: on ledit
de certaines villes unies par le commerce.
Hägur., s. m. sorte de poids ( en Guinee):
seize Aaques font une once portugaise.
Hispa, s. f.* &cureuil. V. Eeqwilo.
Harpımento. V, Ardimsnto.
Haren, s. m. barem : appartement des dames
chez les musulmans.
Hanioro,. V. Adivinko.
HAS.
Bınuira, s. m. (6. de bot.) harmale: rue
odorante et medicinale d’Egypte, plante ru-
tache.
+Huruariö, s. m. barmalan : vent froid
(TAfrique, tr&s-salabre.
Hıruonia, s. f. harmonie : avec les memes
wceptions du mot francais.
Hırmoniaco. V. Harmönico.
Hanuonıia. V. Harmonizar.
HARMÖNICAMENTE, adv. hirmoniquement:
selon les lois de l’barmonie.
Hıruönıco, A, adj. harmonique: qui pro-
duit de l’barmonie.
HARMONIÖSAMENTE , adv. harmonieusement :
avec harmonie.
+BHanuonista, 3. m. barmoniste : qui pos-
stde l’barmonie, savant dans l’harmonie.
Hırmonızär, ©. a. harmonier : metire en
karmonie. (com), u. ». S’harmoniser, se meitre
en harmonie avec.
+ HARMONÖMETRO, 5. m. harmonomleire: in-
sirument propre ä mesurer les rapports har-
moniques.
"Bino.V.Aro.
Hirpa,s. f. harpe: grand instrument de mu-
sique, de forme triangulaire, ä cordes.
Hınpid. V. Farpdß.
Hanpäir ow —EAR, v.a. jouer sur la harpe
quelgue momwceau de musique; l’adapter ä la
barpe.
HınpEo, s.m. croc, harpon , grappin.
Harpia,s. f.harpie: monstre fabuleux, aile,
eıtrememen t vorace, qui avait le visage d’une
femme et le corps d’un oiseau de proie; (fig.
fam.) harpagon : personne avide, avare ; femme
criarde,, laidle et mechante.
Hınpoindon, A, p. p. de Harpoar.
Hıxroanor, a. m. harponneur : p&cheur qui
barponne.
Harroir „ v. a. harponner : darder, accro-
cher avec le barpon ; lancer le harpon.
Harpoßır A, 3. f. corde du harpon.
THirto, ade. (p. us.) assez, suffisamment.
Hırösrice, etc. V. Aruspice,, etc.
Hisra. V. Aspa.
Histra,s. f. pique, lance, füt. Perche, brin
de bois. V. Haste. — püblica, vente publique,
enchöre, encan. V. Almodda.
Hıstino, s. m. hastaire : soldat romain arme
d’une pique. adj. Arınd d’une pique.
+ Hasraröna, s. [. lance sans fer.
Hastania,s. f. "lieu od sont rangees les lan-
ces , les piques,, etc.
Hastirıo, s.m. V. Hastado.
HastäiTo, a, adj. arme d’une lance, d’une
pique, etc.
Histe os } haste , hampe : le hois d’une
Histea,s. f. J lence, d’une pique, d’une
hallebarde, etc. (f. de bot.) hampe : tige simple,
greie, sans feuilles ni branchbes ; tige floreale
ow scape. — de erus, d’estanderte: bäton de
eroix , d’&tendard. — do pavelhdo, (I. de mar.)
€pars. — da idmula, (id.) dignon.
Hast£ipo,a,p.p. de Mastear.
HEB 661
tBasteia,v.a. elever au bout d’une bampe,
d’une perche.
Hasteria. V. Hastaria.
HastiL, s. m. füt: bois d’une lance, d’une
hallebarde, d’une föche. it. V. Hastim.
HastiLHa, s. f. dim. de Haste. V. Hastil.
Esquille, eslat, ecli. V. Estilharo.
Hastıınkira, s. f. *rätelier : planches gar-
nies de chevilles sur lesquelles on pose des
ballebardes,, des piques, des lances. V. Hasta-
ria et Estilheira.
Hıstim, s. m. *mesure agraire, longueur
d’une lance.
Hätsto,s. m. (p. us.) V. Göle, Trdgo.
*Havg, imperatif du verbe Haver. Aie ow
ayez. Have compaixdö de mim, ayeı pitie de
moi.
Haven, s.m. V. Havdres.
Hıv£a,v.a.avoir, posseder. Percevoit, re-
cevoir, recueillir, recouvrer. Obtenir.— d mdö,
tronver ce qu’on cherchait. — por bem, trouver
bon, avoir ä gre, juger & propos. — uma mu-
Iher, jouir d’une femme. — el cousa de
sua virgindade , döflorer une fille. Havel-o ou
havel-as com alguem, (fam.) avoir affaire &
quelqu’'un. Ha de karer, designe dans un bilan
les creances ou dettes aclives : credit, avoir.
HavER, v. imp. avoir, etre. V. Acontecer, So-
brevir. —, eire, exister. Ha genles que, ily a
des personnes qui. Houve cem morlos, il y eut
cent hommes tues, ow de tuds. Havia mlila
genie, il y avait beaucoup de monde. Ndo ha
nacdo que, il n’est point de nation qui. Ha dous
annos, il y a deux ans, ow depuis deux ans.
Ha seus allose baizos na vida, ily a du hautet
du bas dans cette vie. Howve lempo em que...,
il fat un temps ow un temps a 6t6 que... Cousas
’ ha que..., il est des choses, il est
des hommes qui...
Haven, v. aux. avoir. — de, devoir, falloir.
Havemos ou hemos de confessar, nous devons
avouer, il faut avouer.
Hav£r-se, dv. r. se conduire, se gouverner
bien ou mal. — com alguem, avoir affsire &
quelqu’un. Commigo te has de —, c’est & moi
que vous aurez aflaire. Ndo saber como so —,
ne savoir comment 8’y prendre.
Hav£azs, s.m. pl. (p. us. au sing.) avoir;
biens, richesses.
* Hıvıar. V. Aviar.
*Haıvioo,p. p. de Haver. Tömos —, nous
avons trouve.
" Hır ! interj. de douleur et de plainte, helas!
V. 4i. Dans les auteurs anciens, on trouve sou-
vent kay au lien de hay ou Aaki(il ya). Ndo
hay homem,, il n’est point d’homme.
* Haz. V. Az ot Ala (d’armee).
Hrspömana, 5. f. hebdomade,, semaine. V.
Semana.
HesposADiAnı0, 8. m. hebdomadier : titre
claustral, chanoine qui est de semaine pour
oMcier. adj. Hebdomadaire, de chaque se-
meine.
Azsoomirico, A, adj. Anno —, annde in-
\
662 HEL
fauste. C’dtaient toutes les seplidmes ou neu-
viemes anndes.
Hiszxo. V. Ebano.
Hesriıco, A, adj. behraique: qui eonceme
Y’bebreu, les Hebreux.
Hzsaiıco, s. m. hebreu : langue höbralque.
Hunnalsmo, 3. m. bebralsme : loculion he-
braique.
Hannafzinte, adj. et s. m. hebralsant : qui
s’attache A l’ötude de l’hebreu, qui le sait. Juil
cache.
Hzar20 ou —zu, ka, adj. ets. Hebreu, Juif.
Hebrafque : qui appartient aux Hebreux. 3. m.
Höbreu : langue hebralque.
+ Hecirz, s. f. Höcate: nom poetique de la
lune.
+ Hzcattsıas, s. f. pl. (. d’ant.) höcatesies:
fütes en V’honneur d’Hecate, chez les Grecs.
hecatombe : sacrifice
carounu ne [- | de cent victimes. (Ag.)
.— Grand sacrifice.
Becrica , s. f. consomption , tisie. V. Tisica,
Hicrico,A, adj. ötique , maigre, decharne ;
attaque d’ötisie os d’une maladie qui desseche,
V. Tisico. Febre —a , fiörro etique, lente, qui
consume.
+ H&cro, hecto, mot qui pre&c&de les noms
de mesures,, et dösigne une unit& cent fois plus
grande.
+ Hecröcnamo, s. m. heciogramme : cent
grammes (3 onces 2 gros 11 grains).
+ HzcröLırao, s. m. bectolilre : cent litres
(2 pieds cubes, 917).
+ Hecröuetao, s. m. hectiomätre : centmöätres
( 307 pieds 10 pouces 1 ligne et demie).
}Hecrönzo,A,adj. qui appartient & Hector,
d’Hector. Troyen.
Hepzrı.V. Hera.
Hapiceao, a, adj. (podt.) qui porte du lierre.
Hznzaöso, a, adj. (podi.) abondant on
lierre.
T HsDIonnauuTE , ade. avec puanleur.
+ Haznıowokz, .L puanteur, mauvaiseodeur.
(fg.) —, vice. V. Feder.
Hebı6nD0, A, adj. puant, felide. Horrible,
hideux , effroyable, degoütant.
THäovos, s. m. pl. Eduens : peuples de la
Lyonnaise premiere, aujourd’hui Autun.
Hxciaa, s. f. hegire : &re des Mahometans.
Ce mot, en arabe, veut dire /uile. Elle date de
la fuite de Mabomet, l’an 622 de l’&re vulgaire.
Htıno. V. Eido, Eito.
f Hrındguz ou —6co, s. m. heiduque : fan-
tassin hongzois; valet vötu A la bongroise.
Hei-Lo, Haı-La, pour Heis-o, Heis-a (le
voici, la vollä).
Hzıs, ooniraction de Havsis (vous avez).
Hesina. V. Hegira.
HzLiaco, a, adj. (4. d’astr.) heliaque : qui se
levo ou se couche dans les rayons du soleil.
Socrihcios —s, sacrifices heliaques, en l’hon-
neur du soleil.
Bissce, s. f. V. Urse meir, (4. de gdom.
belice, spir. . (ide geom.)
HEL
HELICöIDE ‚adj. 2 gen. helitotde : böhlbisßle
& P’helice.
Hzuıchn, s. m. (Ag.) Helicon : le Parnaste.
+ Heuscönta, s. f. (8. P’hist. nal.) * hetios-
nien : le&pidopt4re papilionide. (3. de bot.) Het-
conla : bananier scitamine.
Heuıcönio, A , adj. de !’Hölicon.
HELICöNTE. V. Helicon.
} Heuicosorafa, s. f. h&licosophie : art de
tracer les spirales.
+ Heuiockutrım, A, adf. (4. dasir.) hällo-
centrique : dont le centre est le solell.
+ HeLiocnösticos, s. m. pl. heliognostiqueg:
adorateurs du soleil.
HELIOSETRO, 3. m. heliomötre : instrument
pour mesurer le diam&tre des astres.
t HeLioscörio, s. m. helioscope :
pour regarder le soleil.
Heuiorröria, 8. f. höllotrope : sorte de
jaspe, pierre precieuse,, bleu verdäfre.
ArLıorröPıo, 8. m. tournesol.V. Girasol.
+ HeıLesoninua, 8. f. (t.de bot.) elleborine:
plante orchidee.
+ Heııesono, s. m. (Lt. de bot.) hellthore ou
ell&bore : plante medicinale. —n#gro, ellebore
noir, pied de grilfon. — felido , ell&bore fetide.
— branco.V.Veratro'branco.
HreırL£nıco, A, adj. Hellenique : (corps —)
Grecs confeder&s ; des Hellönces.
+ HeıL2nıos, s. m. pl. Hellänes : Grecs da
corps hellenique.
HerLLenısmo, s. m. hellenisme : tour, loca-
tion grecque ; opinion en faveur des Grecs.
HELLENiSTA,, 8. m. beileniste ; juif grec d’A-
lexandrie; jJuil qui parlait Ja langue des Sep-
tante; juif qui avait les ma@urs grecques; verse
dans la langue grecque. Grec devenu juil.
tHeLLenistico, a, adj. hellenistique : des
juifs grecs.
+ Heııfno, a, adj. et s. Helldne: nom que
les Grecs se donnent, V. Helldnios.
HELLESPONTiaco, A. V. ı de l’Hellespont,
HELLESPONTICo, A,adj. | desDardanelles.
T HsıLespönto, s. m. (1. de geog.) Helles-
pont : detroil de la mer Fgee, u
t HeLuıxtazs, s. m. pl. (1. de md.) helmin-
fhes : vers intestinaux, _ .
+ Hzınintaıco, adj. et #. m. (1. de möd.)
helminthique : vermifuge, contre les vers.
t HeLuıntuoLocia, s. f. (t. de med.) heimin-
thologie : traits des vers.
+ HtLore, s.m. (4. d’hist. nat.) helops : 60
Ieopitre helopien. — lanipede, helops & pleds
velus,.
t HeLösa, s. f. (t. de chir.) helose : rebraus-
sement des paupifres. R
Heıvecıa,s. f. (t. de geag.) Helveüie: les
treize cantons de la Suisse,
funelte
| . Helvetien: del’ Be-
HAeLvkcıo, A, ou }
Has 2 vetie. Helydlique:
Hervetiod, a, adj. eis. uinseg
+ Asıvioıknos, a. m. pl. Nelvidiens; aei-
res partisans d’Helvidius.
Hzıxing. V. Paristaria.
HEM
Hinı. V. Emo.
+ Hrwacöco, s. m. (3. de mdd.) hömagogue :
antidote pour provoquer les regles et le flux
hemorroidal.
tHematemssıs, s. f. (f. de med.) hemut£-
mese : vomissement de sang.
HENATITES, s. f. hematite:: pierre sanguine;
sanguine A brunir; oxyde de fer.
Hematöceue, s. f. (t. de chir.) h&matecele :
hernie de sang extravase. .
+Hewartösıs, s. f. (l. de med.) hematose :
eonversion du chyle en sang.
Hexartürıa, s. f. (t. de med.) hematurie :
pissement de sang.
tHeweraLöpia, 8. f. (t. de med.\ hemeralo-
pie : faiblesse de la vue qui ne pormet de voir
qu’au grand jour.
+ Heugnonaprıstas, 8. m. pl. hemerobap-
iistes : sectaires jJuifs qui se lavaient taus les
jours.
THrwMERöBIO, 8. m. (1. d’kist. nat.) heme-
robe : genre de mouches ephömeres, nevro-
pieres. — dos lodos. V. Semble.
tHeuerociıLuıa, 8. f. (tl. de bot.) hemero-
cale ou fleur d’un jour, lis ä fleurs jaunes.
Hemeröoneomo, 3. m, (fl. dant.) hemero-
drome : chez les anciens, garde qui veillait &
lashret& des places; courrier qui, apr&s avoir
Couru un jou r, donnait ses paquets & un aulre.
tHeweroLocia,, s. f. hemerologie : art du
calendrier.
HeweroLöcıo. V. Calendario.
Heu, hem i: terme de science pour demi.
HewicrinıA, s. f. hemicranie, migraine :
douleur extewne de la t&te.
Resıcr’cLo,s. m. hemicycle : demi-cercie en
amphithedtre.
HeuicrLinwro, s. m. demi-cylindre ; colonne
fendue au mälieu du haut en bas, os coupee
par la moitie.
Heuina, s. f. hömine : mesure (chez les Ro-
mains) qui revient au demisetier (4. 66 deoi-
litres). .
+ Hemior£a,s. f. (6. darith.) h&miolie:: pro-
portion aritmmetique comme 3 & 2.
Hxwirızcia, 8. f. (1. de med.) hemipiegie :
paralysie de la moiti6 du corps.
+ Heuirtenos, s. m. pl. (1. d’hist. nat.) be-
miptöres : insectes & ail&s en etuis.
Hexısruenico, A, adj. bemispherique : en
bemisphere.
Henıspr£rıo, s. m. hemisphere, moili6 du
globe ; demi-globe, demi-sphere.
+ Hemıspneröine, s. m. et adj. 2 gen. hd-
misphöroide : qui approche de la figure d’en
hömiaphere,
Hrwısticao ow —QUI0, 5. m. bemisliche :
molti6 d’un vers alexandrin; les quaire pre-
mitres syllabes d'un vers de diz.
+ Hguıraıreo ‚a ‚adj. Febre—a, (4. de med.)
hemitrflde : (Advre) composce d’une guotidienue
conlinue et d’une lierco intermiltente.
+ Hasörptyco, a, adj. (1. de med.) hömop-
tigue : qui crache du sang.
HER 663
Hrworrr'sıı, e. f. (8. de möd.
erachement de" Fe * Bernd
dans le poumon.
HEmorTrsıco. V. Hemopfyoo.
HEuonRBHAGiA,s.f.(f. du med.) hiumerehagie ı
perte de sang par le nez, par une plaie.
HEMORRBHAGIACO, A, adj. qui aune hineirkä-
gie.
+ Hemonrnörs ou —00, 5. m. Kömertkois :
serpent d’Afrique dont la morsure feit bortit Io
sang par toutes les ouverlures da vorps.
HeuorauoıniL, adj. 2 gen. hemorrhotäal :
qui a rapport aux hemorrholdes, '
Hemoranörmas, 5. f. pl. hömorrheiden : di-
latation des veines hömorrhofdales; scoute-
ment de sang de l’anus.
+ Hemonanoındso, A, adj. quia les hömer-
rboides.
HEuorrnoissa, 8. f. hemorrhofsse : fontiae
qui a un flux de sang.
Hrmos, contraction de Havemos \ nos
avons).
HENosTAsiA, 8. f. (tl. de wed.) hömostasie :
slagnstion universelle du sang caunte par la
plethore.
+ Hemosririco, a, dj. (1. de möd.) hemos-
tatique : (remdde—) qui arrete les hemotrha-
gies.
t Henio, s. m.(t. de geog.) Hainaat : prö-
vince des Pays-Bas.
* Hende. V. Ende.
+ Hanpecicoxo, s. m. (t. de geom.) hendk-
cagone : Bgure A 11 cöt6s.
HenpecasyY’LLaB0, A, adj. hendbeasyiiäire :
(vers) qui a 11 syllabes.
Heritica, s. f. (£. debot.) hepatigtre : piente
commune. — das arvores, lichen puimonatfe.'
— nobre ou dos jardins, andmene hepatiqut,
hepalique de jardin.
Heritıco, a, adj. bepatique : Oa fole, Hl
le concerne.
Heratitis, s. f. (}. de med.) höpatite : Ih-
Nammetion, phlegmasie da fole.
+ HeriroLodia, s. f. (f. de möd.) hepatoio-
gie : trait6 sar le fote.
+ HariaLo, s. m. (t. Ehist. nat.) heiplate ı 16-
pidoptere bombycite. .
Berricawe, a, adj. ete. beptegond qıi &
sept cötes el sepi angles.
t Herract'ma,e. f. (1. ds bot.) beptagmmie :
classe de plantes A sept
HEPTÄPLOS, 8. m. pl. collection de sopt = -
Uuctions,
Heerännnıa ‚s. f. (d. de bof.)heptandrid: sep-
tiöme classe des vegelaux & sept &tamirmes.
tr Herräncna ,s. f. heptarque:!’un des vept
membres d’une heptarchie.
HerTaAncHia, 8. f. heptarchie : division @’ın
pays en sept souverainetös; geuvornement de
sept individns.
HEPTAT£UCO, 8. m. heptateuque : ouvrage Äi-
vise on sept livres; les sopt promiers Tirres da
PAncien Testament.
Hen. V. Er.
66% HER
Hena,s. f. (t. de bot.) "lierre : arbuste ram-
panı ou gfimpant. — ierresire, lierre terresire
ow rondetie ‚lierret, lierret reniforme , terrette,
herbe saint Jean.
+ Hzxicıza, 8. f.(i.de bot.) V. Canabrds. —
de Honpelher (Panaz chironium).
+ Henacıkas, s. f. pl. (1. d’ant.) heracicies:
fötes d’Horcule.
+ Hexicııa, s. f. pierre de touche.
+ Bsaiıvıca, s. f. "biason:: art heraldique.
+ Hzxiısıco, a, adj. beraldique : (science,
art—)dublason ; qui le concerne; qui concerne
le heraut. s, m. Armoriste : celui qui sait le
blason, qui l’enseigne.
+ Hzaiıno, s. m. beraut, roi d’armes.
Harincı,s. m. ° heritage, heredite,, succes-
sion. ° Biens dont on herite. (ant.) V. Herdade.
— jocente, (1. de prat.) heritage indivis. Adir
@—, accepier l’heritage; faire adition d’heri-
tage. V. Herdeiro. Ter uma grande —, heriter
d’une grande succession.
HERANCIRBA O8 —GAZINBA , 8 f- dim. de He-
ranga.
Hzxiv. V. Herdlido et Arduto.
Hensiczo, A, adj. herbace : qui tient de
I’berbe.
r Hzasitico, A, adj. qui appartient aux
herbes. .
Hen2ivono, A, adj. berbivore : qui mange de
HrasoLinıa, s.f. fomme qui ensorcelait ow
empoisonnait avec des herbes.
HzaB0LAnıo, A, s. herboriste : qui oonnalt,
qui vend des simples, des plantes medicinales.
Hensonızacäö,s. f. (1. de bot.) herborisa-
ton : action d’herboriser,
Hernsorizir, vo. n. (4. de bot.) herboriser :
chercher des herbes, des plantes.
Hzanöso,. V. Heroöso.
Hzacorzcrönica,, s. f. herootectonique : art
de fortißer les places (p. ws.).
HracvLineo. } V. Hercula
HERcOLÄNO, . soremiso.
+ HencuLino, s. m. (t. de geog.) Hercula-
num, Herculane:: ville de Naples qui fut abi-
mee par une 6ruption du V&suve, sous Titus.
HzucöLzo, a, adj. d’Hercule. On le dit par
oxagerstion d’une entreprise difäcile, d’une
foroe exisöme, etc. Tres-vigoureux, trds-ro-
te.
He£scoLss, s. m. Hercule : demi-dieu de l’an-
tiquite. (g.) Homme trös-robuste, trös-vigou-
reux.
Hzapipe, s. f. * domaine, fonds de terre,
heritage, biens-fonds; bien de campagne. V.
Beranga.
Hezapivo,A,p. p. de Herder. adj. V. Afa-
sendado. Ester —, &ire en possession , avoir la
jouissance de ses biens.
Hrapapinua, 5. f. dim. de Herdade.
+ Hendamsinto, s. m. action d’beriter. V.
Her .
* Heandanca. V. Heranga.
Usapır „r.u. heriter, Sucrader. rreusılir une
—- HER
succession. (ant.) Nommer sucoesseur, heri-
tier. Acquerir la propriöts d’une terre. —, ät-
querir par testament. Donner & quelqu’un en
propriet# un bien-fonds, etc., pour en jouir,
lui et ses heritiers. (Ag.) Heriter des vertus,
des defauts de ses anc£tres, elc. — as virludes
de seus pais,, a gloria de seus maiores, heriter
des vertus de ses peres, de la gloire de ses an-
cetres.
Heapkıro, A, 8. heritier:: qui herile. — for-
tddo , heritier de droit. — a benefcio do inven-
tdrio, beritige sous benefice d’inventaire.
HsReortänıo, a, adj. bereditaire : qui vienl
des aleux, qui se transmet par succession , qui
a rapport & une succession.
* Here£e. V. Herdeira.
* Hene£eo, V. Herdsiro.
+ Hentına, s. f. (t. de bot.) *lierre arbores-
cent.
HeErtcEe, s. m. heretique : qui professe Tht-
resie, qui en est partisan. Cdra de —, visage
d’exeommunie. Necessidade lem cara de —,
( fam.) necessit6 n’a point de loi. Ficar —, (AJ.)
se metltre en colere, etre au desespoir.
* Henzcia. V. Heresia.
Heatıa, s. f. femme heretique.
*Hız£ı. V. Herdeiro, Senhor.
+ HEREMIicOLA, s. m. solitaire : qui habite le
desert.
Henzuiti, etc. V. Eremila, etc.
* Hento. V. Dono, Senkor, Proprielerio.
Heaxzsia, s. f. höresie : dogme, erreur oonire
la foi catholique. ( lg.) Propos injurieux ; pro-
position absurde. Cheirar a —, sentir l’be-
resie.
HERESIÄRCA ‚3.. höresiarque : auleur d’une
heresie; chef d’une secte herstique.
+ HenssıoLocia, 5. f. heresiologie : traild sur
les heresies.
+ HeazsıöL060, 3. m. heresiologue: qui
ecrit sur les höresies.
Hearrıcir. V. Heretico.
+ Herntricautnte, adv. en höretigue, selon
les opinions heretiques.
Henericıäoe, s. f. beretiche : qualits d’ane
proposition heretique.
BHeutrico, A, adj. herstique : qui appartient
a l’heresie.
"HeaiL, adj. 2 gen. (p. us.) du maltre, de
malire, qui le concerne.
HzRnuarunopira, adj. ou #. 2 gen. berims-
phrodite: qui a les deux sexos (animal, plante):
(8. de myth.) —, fils de Mercure et de Venus.
HERMAPHRODITO, 8. m. hermaphrodite dent
le sexe masculin est le dominant.
Hrauan. V. Ermar.
Heauenturica, 5. m. hermeneutigue : rögle
pour &zpliquer T’6criture sainte; science des
langues des monuments sacr6s; art de deoon-
vrir le vrai sens d’an auteur.
Hraufricautnte , ado. hermetiquement: ®
dit d’un valsseau ferme de sa propre malidre
par le feu; irös-bıen ferme. .
Henwgrico, a, adj. (6. #alch.) bermötique:
HER
qui a rappori au grand @uvre, ä Ja transmuta-
tion des ındtaux, A la medecine universelle.
Hrruına. V. Ermida.
Hanuinno. V. Arminho.
+ Heauinıos, s. m. pl. anciens peuples qui
babitaient le mont Hermine, aujourd’hui la
montagne de l’Etoile en Portugal.
Heauıtriö.
HEan0. } V. Erm...
HERNOPDÄCTYLO, 5. m. (4. de bos.) hermodacie
eu —ite: plante A racine hulbeuse, d’Orient,
medicinale.
Heäanıs, s. f. bernie : descente de boyaux par
, la rapture du p£ritoine.
HzanıAnıa, 5. f. (8. de bot.) hernisire glabre,
berniole, turquetie, herbe du Turc : plante
medicinale.
HERnıiaıo, A, adj. herniaire : qui a rapport
aux bernies; qui panse les hernies (chirur-
gien).
+ Häanıco, a, adj. qui appartient aux Her-
niques.
+ He&uxıcos, s. m. pl. Herniques, peuples
d’ltalie.
HExoa. V. Herde.
HEeropıÄnos, s. m. pl. herodiens : sectaires
juifs qui avaient Herode pour chef et pour
messie.
Hrröz, s. m. heros : homme celebre par ses
exploits; par une tres-grande valeur, de grands
sehlimenis, une Ame trös-elevde, par des ac-
tions extraordinaires; principal personnage
d’un reecit.
HERÖICANENTE, adv. heroiquement.
Hexoicınine, s. f. hörolcits : caraciöre de ce
qui est beroique; fait heroique.
Hznöico, A, adj. heroique : qui tient du
heros , des heros;; &pique. Verso —, vers heroi-
que, compos6, en portugais, de onze syllabes.
Hesoı-cömico, A, adj. heroi-comique: qui
tient de !’heroique et du comique.
Henöines, s. f. berolde:: &piire en vers, sous
le nom d’un höros, d’un personnsge fameux.
Hrzaolnı, s. f. heroine : femme coursgeuse
et au-dessus de son sexa ; qui a de l’elevation
dans l’Ame.
Hzuoisso, s. m. herolsme : caraciöre, qua-
Hits, vertus du heros; grandeur d’äme peu
commune ; aclions heroiques.
Hänrzs, s. m. pl. herpes : dartre corrosive;
ardeur, inflammation avec pusiules qui ron-
gent la peau. ( fig.) Chose pernicieuse.
+ Hzar&rıco, A, adj. herpetique, dartreux.
+ HeargtoLocia, 3. f. herpetologie : trait6
des reptiles.
Hzasıcaa. V. Errigar.
+ Hantca, s. f. (1. d’hist. nal.) * crampon :
ver intestin & bouche entour&e de crocheis.
Henva,s.f. (4.de bot.) herbe : plante d’une
fsiblo consistance, qui perd sa tige en hiver;
gazog, gramen; herbe des pres, herbage.
Plante veneneuse , poison. Tache dans une
&meraude. — agulkeira , cerfeuil & aiguillettes,
poigne de Venus, aiguille de berger. — ando-
HER 665
rinka , renoude argentee. — babdsa, alods per-
folie. — ddlsamo, limbarde visqueuse. — be-
lida, renoncule des pres, bacinet rampant,
bouton d’or. — de besteiros, helleboro fetide.
— beserra, muflier A larges feuilles. — bicha,
aristoloche cl&matile. — eidreira, melisse eul-
tivee ou des jardins, herbe de citron, melisse
eitronnee, citronnelle. — coalh£ira, caille-lait,
galium. — das escaldadellas. V. Escrophuldria
dos rios. — das pulgas. V. Pulgueira menor.
— da vibora, viperine, herbe aux viperes. — de-
ddl, digitale pourpree, gants de Notre-Dame,
— de N. Senhora. V. Caaptba. — de S. Chris-
Iöodo, actte & epi, (vulg.) herbe de saint
Christophe ou la christophorienne. — dos cal-
los. V. Teitphio bastdrdo. — de pegamägos. \V.
Bardana. — do capildö. V. Acaricoba. — do
orvdlho. V. Geldda. — do tabdco ou — sanla,
nicoliane, tabac. — de S. Roberto ou -— ro-
beria, geranium robertin, herbe & Robert,
berbe & l’esquinancie. — de sanla Barbara,
barbaree, berbe Sainte-Barbe. — döce, anis.
— dos carrapalos, ricin ordinaire. — dos rosa-
rios, larmille des Indes, larmes de Job, de
Moise, de Notre-Dame. — do bom Henrique,
bon Henri ow anserine sagitiee, Epinard sau-
vage. — escovinha, centauree des bles.— ferro.
V. Prunella. — gigante. V. Acaniho Manso.
— leit&ira, herbe laitiere ou & Jait, polygale
vulgaire. — moira, morelle, morelle ä& fruit
noir. — molarinha ou moleirinha. V. Fumd-
ria. — monlano, pulicaire des marais. — s4-
bodira. V. Saboeira bastarda. — sophia, lalic-
tron des boutiques. — loura. V. Orobanche.
— traqueira, cucubale behen. — furea. V.
Hernidria. — verrüga. V. Verrucdria. — ul-
mdria, reine des pres, ormiere. — ursse,
thvm. — vaque£ira, souci de vigne, souci sau-
vage ou des champs. —s, pl. herbes; herbages
ou legumes. Filtres amoureux. Füho das —ıs.
V. Engeitado. Langdr o habilo ds —s, jeler le
froc aux orties.
Hervacir ‚s. m. herbage , champ herbu. Lieu
abondant en herbe.
Hzrvino, s. m. herbe odorante. it. p. p. de
Hervar.
"Hrevaciıı. V. Hervagal.
Herväcen, s. f. * herbage : herbe des pres.
* Legumes.
Henvanänıo, s. m. herboriste. V. Merbo-
lario.
HenvanciL, s.m. pois chiche, la plante. «4.
V. Hervagal.
Heavanco. V. Gräo de bico.
Hernvär, v. a. enberber : empoisunner (des
Niöches,, etc.) avec des sucs, eic., d’herbes ve-
neneuses. ( fig.) Empoisonner.
Henvanıo, s. m. (#. de bot.) berbier:: col-
lection de plantes dessöchces ; histoire des
plantes.
+ Hervarid, s.m. (— porcino, I. de but.,
peucedane, queue de pourceau.
HernvazinHa, s. f. dim. de Herva.
HuURVECER , 0. 8. se couvrirs d’berhe.
Heavtını, Be.
Henvirnäca. } V. Broök..,
+ Henvinsa,s. f. dim. de Herva. il. (8. de
bot.) Fenu-grec. V. Fenogrego.
*+Tlervoßıaa, 3. f. prostitude, pulain.
Hervöso, A, adj. herbeux: od il crolt de
P’herbe.
Hes'tacäö, s. f. doute, irresolution, per-
plesis4 ‚hesitation.
Heweräin, v.n. hesiter : @ire embarrass#, lent
& parler, A agir; ötre incertain, indecis.
+ Hrsrpinna, s. f. (9. de gdog.) Espagne:
royaume de l’Europe.
lespannöL, A, adj. espagnol : d’Espagne, qui
&oncerne l’Espagne. 4’ —a, & l’espagnole, & la
maniere d’Espagne. s. m. —, natif d’Espagne.
— ‚la langue espagnole.
f HesrannoLino, A, 9. p. de Hespankholar-
se. adj. Qui a pris le ton, l’air, le maintien et
les manidres espagnoles.
+ HESPANHOLAR-SE OU —LIZÄR-SE, ©. f.
prendre le ton, le maintien et les manieres
espagnolies.
+ Hesp£rıa, s. f. (lt. de geog.) Hesperie, Es-
pagne ‚ ltalie; Lout pays occidental relativement
ä un autre. ($. d’hist. nat.) Hesperie : lepi-
doptere diurne.
+ Hesp£rıco, a, adj. de l’Hesperie,
+ Hespenipas, 3. f. pl. (t. d’kist. nat.) hesps-
rides : tribu d’insectes de l’ordre des lepidopts-
res, familic des diurnes.
+ Hrsp£nings, s. f. pl. hbesperides, jerdins
fertiles. (£. de myth.) —, Egie, Artthuse et
Hesper£thuse, filles d’Hesperus, fröre d’Allas,
HEsPERIDO, A, adj. ( Poel.) qui appartient aux
Hesperides.
+ Hzsperina, s. f. (6. de bot.) julienne des
jardins.
Eisspenio, A, adj. de l’Hesperie. V. Bespd-
rido
Hespeno, s. m. l’6toile de Venus quand elle
suit le coucher du soleil.
Hesrntkıco. V. Repherico.
Hersaöcuıro, adj. (1. de gramm.) heiery- | eflica
cite : qui s’&carte des rögles de l’analegie
grammaticale ;(ig.) Irrögulier, bizarre.
+ Hrreronoxia, s. f. böterodoxie : opposi-
tion & l’orthodoxie.
HrTenonöxo, A, adj. heisrodoxe : contraire
& la vrale doctrine, ä la fol.
HETEROGENEIDÄDE, 8. f. hötsrogendits : qua-
lit de ce qui est hötsrogäne.
HETEROGENZO, A, adj. heteragene : de dife-
rentes natures.
+ HrTerörTeRo, 3. m. (1. d’hist. nat.) hepts-
roptere: papilion dit estropie.
HeTenöscıos, s. m. pl. (t. de geog.) Heis-
rosciens : habilanis des zönes temperees, qui,
& midi, ont leur ombre da cöt6 d’un des pales,
He£rıco. V. Eikico.
Heu! interj. lat. ets. m. ah! helas!
HezacörDOo, 5. Mm. hexacerde : iniervalle de
musique appels sixieme; systämg musical de
six sons ; instrument & six cordes,
HILL
tr Haxazıao, ©. m. (1. &e göom.) bemulae:
corps regulier & six faces; eube.
Hzxicono, 8. m. et adj. (4. de göpik.) hekı-
en: (ügure, plan, etc.) & six amyles #t Bix
+ Hexıcr'nıa, s. f. (6. de bei.) hazagyaleı
classe Jes vegeiaux & six pislils.
HExXANMEnÄO ou —RON, 8. m. hexamärt : %u-
vrage divise en six partige ou six Jöutnöes.
HExäuErno, adj. m. Verso —, kezamritrd ı
vers latin de six pieds.
Hzximoaıa, 5. f. (1. de bo4.) haxamdrie : olasse
des vegetaux A six 6lamines.
HäxarLos, 5. m. pl. hexaples: live @’Origdns
qui contient, en six volonnes, yix version
grecques de la Bible.
+ Hrxirono, s. m. (1. d’Mat. nat.) herapete:
(reptile, ete.) a six pieds.
HEY-Lo. V. Bei-lo.
*Bı. V. Akt. Y. Il est aussi quel
ticule expletive comme en frangais. Ex.: N
ha hi komem que..., il n’y a pas un homme
qui...
HiÄnTE, adj. 2 gen. (podt.) böant : qui pre-
sente une grande ourerture ( buuche, gueole);
qui a la bouche ouverte. On le dit aussi des
vers od il ya des hialus.
HiÄTE, 8. m. (t. de mar.) yacht : petit navire
& un pont.
Hıiro, s. m. hiatas : pronenciation gende par
le choo de deux voyelles. * Onverture de la
bouche ; baillement des animaux. — dacorofls,
(t. de bot.) oarverture de la corolle. — da terre,
(#g.) grande ourerture de la terre, gouftt,
abime.
Hıs£aıco. V. Zberteo.
Hısdawo, a, adj. (pedt.) W’hirer, hivktasl.
+ Hınisco, s. m. (f. de bot.) hibiscus, alıbza,
Tee — da Syria, totarie ou queimie dei
ardins.
+ Bızmir, ad). 2 gen, d’hiver, qui eppartient
4 l'hiver. Solstiolo —, peistice d'hiver.
Hıdaa, o. f. * mödicament, sperißyte tr®-
ce.
+ Hraricıo, s. m. {t. de bot.) *eperriäte:
laute somi-Mosouleune , dhfeotacde, des matt,
ulmonaire de Franse; biteacium va herbei
&pervier; laitue sauvage.
Hıznancaia , ete. V. Ierarchia, ete.
Hırnocıv'mmmca, s. f. art de Faire tes hiöre-
glyphes.
Hısaocıy'Pmico, #te. V. Verrogiypkico, elc.
AhenosoLouvrino, A, adj. de Jerusalei,
qui lui apparlient.
HıgRoPHÄNTg, s, m. (1. d’and.) bitropbame:
pretre H’Wleusis, qui r&velgit Jos chnsed #8
erdes,
* BHıcvaıvackd. V. Igualagdö.
°Hira. V. Linguign,
Hırinsas, o. f. Pl. (6 Band.) hiterien: fOtk8
de Cybein,
+ Biio, 2.0. — Aut vomohten Xi. deier) V.
Embigo das sementes.
HIR
Hein, v. m. pousser de fröquents hoquets;
contenir la passion ; retenir les pleurs.
Hın ,s. m." mesure de contenance chez les
Hebreux.
Hır&nnoue, etc. V. Hyperbole, etc.
+ Hırriirnica, s. f. hippiatrique: art de con-
naltre ‚de gucrir les maladies des chevaux, etc.
t Hırponösca,, 8. f. (1. d’hist. nat.) hippobos-
que, sorte de taon , vulg. mouche-araignee.
Hırrociuro, s. m. (t. d’hist. nal.) hippo-
campe : petit poisson de mer qui tient de la
forme du cheval et de Is chenille, & corps artli-
cule. Cheval marin.
Hıppocentäoro, s. m. hippocentaure : mons-
tre fabuleux, moiti6 homme et moitiö cheral.
T Hırrocricıas, s. f. (1. d’ant.) hippocraties:
f&tes de Neptune.
t Hırpöcrares, s. m. Hippocrate, (Ag.) me-
decin celebre.
Hippockirico , A, adj. hippocratique : d’Hip-
pocrate.
t Hırpocratısmo , s. w. hippocralisme : sys-
leme medical d’Hippocrate,
Hırrocrtug, s. f. Hippocrene : fontaine de
fAelicon, du Parnasse,
HıProcr®nico, A ‚adj. d’Hippocrene.
+ Hırpocktnınas, s. m. pl. (podi.) nom des
muses du Parnasse.
Hırpöpromo, 8. m. (l. d’ans.) hippodrome :
place , lice pour la course des chevaux; place
de Constantineple.
+ HırrocıLösso, s. m. (8. d’hist. nat.) hippo-
glosse ou fldtan : poisson de mer plat, du genre
du plearonecte, osseux, thoracique.
Hıprocaieno, s. m. hippogriffe : animal fd-
buleax ; cheral alle.
+BHırromancia, s. f. hippemaneie : dirina-
tion par les chevaux.
Hıprrowäiuzs,, s.m. hippomands : ligqueur qui
sort de la vulve des jaments en chaleur; sub-
stance qui entrait dans la composition des an-
eiens phlltres.
HırromöLcos, 8, m. pl. hippomulgues : Sey-
thes nomades qui se nourrissaient de laıt de
jument.
+ Hırrontnse,, adj. 2 gen. d’Hippone ı an-
ejenne ville d’Afrique.
HırröPonos, s. m. pl. (8. d’ant.) hippopodes ı
hommes & pieds de cheval.
Hırrorötauo, 3. m. hippopotame : cheval de
riviöre, amphible, mammiföre, pachyderme,
tient du baaf et du cheval.
Hrıeroruznusa. V. Hypo...
+ Hırzoszuino, 3. m. (1. de bof.) maceron
commun : plante.
+ Hmroromia, s. f. hippotomie : anatomie
comparde da cheral.
Hın. V. Ir.
Hinco.V. Böde.
Urmcöso, a, adf. Cheiro— , odeur dB baue.
* Hızıvka. V. Derribär.
Hırstro, A, adj. (Pott. ) volu, härlssd , rade.
Birsuts : garni de poils longs, raides ei non
alveoles.
AOD 667
into, Aa,adf. tendu,, bande, raide. Rude,
äpre au toucher.
} Hıruxpınänıa,, 5. f. (1. de bot.) ascl&piade
blanche , oulg. le dompte-venin, P’herbe Saint-
Laurent.
Hıaunoino, A, adj. d’hirondelle. Pedre —.
V. Chelidonia.
* Hıs pour Ides (vous allez).
T Hispa, s. f. (1. d’hist. nal.) hispe ou bispa :
coleoptere phytophage,.
HispALENSE, adj. 2 gen.
HısrAtico, A, adj. et s.
Hıspänico, A. }.
Hıspäno, k, adj. | Espagno! : @d’Espagne.
Hıspintz, 3. f. (4. de bot.) hispidiis ; stat
d’une partie trop couverte de polls; qualii# de
ce qui est hispide.
Hispıvo, A, adj. hispide, herisse , affrenx ;
velu, garni de poils longs, raides et alv6oles;
de poil rude. (Ag.) Rev6che , d’humeur diflcile.
Hıssore. V. Hysöpe.
t Hıster£ıno, s.m. (4. d’kist. nat.) hister,
escarbot : genre d’inseotes col&opteres de la la-
mille des ster&ocdres.
t Hıstzraucia, etc. V. Hysieralgia, ete.
ft Hıstıonaouia, s. f. histiodremie:: art de ia
navigation par le moyen des voiles.
Hıstörsa, s. f. histoire : r6cit de fails, @’a-
ventures ; narration de faits, de obeses dignes
de memoire ; livre qui les conlient. —naterelle:
deseription des choses naturelles, des planies,
etc. "Conte, roman. *’Differend, querelle. Ser —
dgente, &tre la fable de la socieis, de lout ie
monde. Metter-se em —s, se me&ler d’affaires
qu’on n’entend pas 0% qui ne hous ragarndent
point. Ter —e com algusm, se prendre de que
telle avee quelqu’un. Conter —s, faire des
contes. j
Hıstonıip0,A,p. p. de Historier. adj. His-
torie.
Hisronıanon, s, m. histotien.
Hıstonıar, adj. 2 gen. V. Histörico.
HısrontaLmänte , ado. historiguement.
Hısronıir, v. 6. &crire Yhisteire. Faire des
tableaux d’histeire.
Hıstontazınma , s. f. dim. de Historia.
Hıstöricam&nte , adv. historiquement : d'en
style , d’une maniöre historigue.
Hıstörıco,, a, adj. historique : qul appartwent
& Vhistoire, tir6 de l’histoire, dont }’histeire
doit s’occuper.
+ Hısronıßra, s. f. historiette, conte.
HıstoriöcrAPNO, 8. m. historiographe : autenr
nommeö par brervet pour &orire l’histoire
BıstorıöLa. V. Historiete,
Hıstrıäö, 3. m. histrion, baladin, betetedr,
farceur, bouffon.
*Ho, pour O art. V. O.
"Bö,s.m. V. Merenda.
Honoi. V. Obeot.
Höcco ,s. m. (1. @’hiet. nat.) hoevo : olsemu
gallinact desnudipedes. —Uo Pard, haren wett.
— do Menieo, paaxi ou plerie.
Hopıtano, A, ady. (P. us.) d’aujourd’hui.
| de Serilte.
668 HOM
TIöce. V. aujourd’hui, dans ce jour; &
Hoss, adv. | present, presentement. — em
dia, ä present, maintenani; au tcmps ol nous
sommes. — fas cinco annos, il y a aujourd’hui
cing ans. Ald o dia de —, jusqu’ä ce jour.
De — para amanhd, du soir au lendemein,
tres-promptement. De — em diante, dorena-
vant, desormais, des aujourd’hui.
+ HoLä, interj. qui sert ä appeler. Hola! ch:
he! ho! «4. ‚Qui marque la surprise, l’admira-
tion. Quoi ! comment! ah!
Horiua. V. Oldia.
HoLıinpa, s. f. (4. de geog.) Mollande :
royaumo de l’Europe. Toile de Hollande.
HoıLanptz,Aa,adj. et s. Hollandais : de la
Hollande.
+ HoLLanpiLua, s. f. sorte de Lloile serree ei
teinte pour les doublures.
Horiö,e. m. * toile de Cambrai.
+ HoLocinto, s. m. (tl. d’hist. nat.) bolo-
eante : poisson du Japon.
HoLocaustär, dv. a. oflrir en bolocauste; ho-
locauster, sacrifier.
HoLocäusto, #. m. holocauste : sacrifice oü
la victime &tait consumee par le feu, chez les
Juils ; la victime sacriflee ; sacriice. Offerecer-
se em —, (fig.) s’offrir en holocauste : expier
une faute pour le coupable.
+ HoLoctntao, s. m. (t. d’hist. mat.) holo-
contre : poisson sciöne et perche.
+ HoLorudn, 8. f. (tl. d’hist. nat.) holo-
tkurie: ver radiaire ; zoophyte schinoderme.
*Hos. V. Homem.
+ Homica, s. f. sorte de b4timent de mer
dans V’Asie.
*’Homixenu. V. Imdgem.
Homsazin, vo. n. faire effort avec les &pau-
vos. (com) S’eflorcer de paralire aussi grand
qu’un autre & cöte de qui l’on marche. (fg.)
Veuloir aller de pair avec quelqu’un au-dessus
de soi, etc. v. a. (p. ws.) Porter sur les &paules.
Houaatınas, 8. f. pl. epauleties : partie du
vetement,, sur les &paules. it. V. Umbreiras.
Howmnısase, s. f. qualii& d’homme; air
mälo, Berte ; audace; caraciere mäle.'
Housao, s. m. *epaule: partie du corps qui
tient lc bras. 4o — ‚surle dos, sur les &paules.
Olbar per cima do —, regarder par-dessus
l’epaule. Trazer o olko sobre o—,‚(fig.) &ire
sur ses gardes. — por — com alguem, de pair
avoe quelgu’an. —s, pl. (Ag.) elfort, diligence
soigneuse. Pör —s d öbru, donner lous ses
soins ä une chose. Ancolher os —.V. Encolher.
— dos monies, sommets des montagnes. Lar-
gura de —, carrure, belle carre (90p.).
Hoseca, s. f. sorte de barque dans laCo-
ebiachiae.
Hösen, s. m. homme: animal raisonnable,
etc. —, qui a l’äge de virilits, individu mäle;
mari; soldat; vassal; ie geure humain. (flg.)
Protecteur, protection. — dom ou de dem, (ant.)
noble ‚ gentiikomme. — perfeilo ‚bem parecido,
dom ‚Bel hommne. — d’armas, homine
d’armes dans l’ancienne gendarweric. — de
HOM
bem , homme de bien, bonnete homme ; homaic
de condition, distingue, comme il faul. — «
negocio, commergant, negociant. — de sus
pessoa, homme brave, vaillant, couragen:,
homme de caur. —d'el rei, vassal du roi. — do
rva, (anf., bourgeois, 'habitant d’une iille.
— de habilidade, homme ä talents. — de lu:.:.
d’ingenho, de talento, de capacidade, bounn.r
d’esprit. — ineredulo, irreligioso, despreocu-
pado, esprit fort. — mal criado, grosseiro, eiC..
un homme malhonnete. — sem probidade, sem
honra, un malhonnete homme. — verdedeirs,
bomme qui dit la verite. Verdadeiro —, honıme
veritable, qui est vraiment homme. — ccaute-
lado vale dobrado, un bon averti en vaut deox. £
jd —, c'est de&ja un homme, en parlant d'un en-
fant qui entre dans l’adolescence. Näo es —
para isso, vous n’etes pas honıme Ale faire. Nöe
ter —,(fig.) €ire sans protecteur, sans appui.
Cheirar a casa @ —. On le dit d’une maison oü
le mari est lo maltre. Ser — de palerre, fire
esclave de sa parole. Ser — „ara ludo, &ircä
toute main, pret ä tout faire. — immularel,
firme, homme decide. — sem sendö, homme
sans reproche. — podre € lodo trapas. On dilen
francais : necessile est mere d’industrie. De —
que ndo falla e de cdo que näoladra, ilun’y apir
eau que celle qui dort. V. Ladrar. Näod— gu:
admilla gracas, il n’entend pas la plaisantene.
Proceder como — de bem, agir en bonme Je
bien. — do ieme, (Lt. de mar.) timonicr. (is
homens ndo se medem ds bragas ou ds cars,
(prov.) on ne mesure point les bommes ä la
toise.
Houmeuzanaiö, 8. m. aug. Je Homen.
Homme puissant, d’une grosse corpulener;
homme d’uno taille avantageuse, bel bomt.
(Ag.) Homme distingue par son merite, par 56
lalenis, etc.; grand homme.
Homeszinuo, s. m. dim. de Homem. Pet
homme, hommeau. Petit gargon qui a grandi,
qui entre dans l’adolescence.
HoNENnäGEN , s. f. boınmage: devoir da vassel
envers le seigneur du fiel; ( &g.) respect, seu-
mission ; veneration. V. Mendgem,.
t Housoratnia, s. f. (t. de med.) hommaeps-
thie : doctrine medicale dont je premier prin-
cipe est de traiter lcs affeclions par des re
medes propres ä provoquer des affeclions sen-
blables. Ce systäme a e&i& crö6 et propage &8
Allemagıe par le docteur Haboemann.
t Homeorituicah , se. f. hommopathgue:
systeme de me&dication base sur l’analogie des
temperamenis, des causes et des symplömes:
eımpirisme rationnel ; distribulion des remedts
par doses progressives.
+ Honsorirnico, a, adj. bommopatbigut:
de I'hommopathie. s. m. Doeieur gai suil Ibe-
maopathie.
HONErıco, A, adj. homerigue : d’Homert.
+ Howznistas, s. m. 9. homeristes : char-
teurs qui, chez les Grecs, faisaient metier de
chanter les vers d’Bomere.
Houe.zıo. V. Homizio.
HON
Howicioa, 8. 2 gen. homicide, meurtrier. 11
est aussi adj. O ferro— que o malou, le fer
meurtrier qui le tua.
Hosıcivıo, s. m. homicide, meurtre.
Hosscipo, A, adj. homicide, meurtrier.
°Hosicıtıno. V. Homizieiro.
HosıLia, s. f. ce mot, inusil6 dans son sens
primitif (conference, eutretien de gens ras-
seınbles), signifle sermon , exhortation au peu-
ple, homelie.
HoxıLıar, v.n. faire, prononcer des home-
lies.
"Houwız£ıro. V. Homizieiro.
HomızıADo, A, 9. p. de Homiziar.
"HoxiızıaL, ou } celui qui fuit la justice
"Howuzıäö, s.m.) apres avoir commis un
ceime.
*Homızıar, v. a. rendre ennemi, brouiller.
HOoNIZIAaR-SE, v. r. (inus.) se brouiller, rompre
avec qquelqu’un. (Ag. et us.) Fuir, se cacher de
la juslice , apr&s avoir commis un crime.
°Homızivıo. V. Homicidio.
Hoxwızio, s.m. "action desecacher pour quel-
que crime. (inus.) "Inimitie A cause de meurtre.
HOMOcC&nXTRıco, A „adj. homocentrique, con-
centrique.
HOoMOGENEIDÄDE, 5. f. homogeneite : qualit6
de ce qui est homogene.
HONMOGENEO, A, adj. homogene : qui est par-
tout de meme nature ; d’une mame dimension.
HosoLocAcAö, s. f. homologation : conär-
mation d’un acte par la juslice.
HosmoLocär, v.a. (l. de prat.) homologuer:
conlirmer en justice.
HowüL0co,, A,adj. (l. de geom.) homologue:
sıablable par le nom, le rapport ou le lieu.
Hosonxv'sia,s.f. homonymie : ressemblance
ıle noms, sons differents d’un m&me mot.
Uomönvso, 3. m.etadj. (f. de gram.) ho-
manyme : dem&eme nom, avec des sens divers.
— , celui qui porte le meme nom qu’un autre.
Hosornacia, s. f. homophagie : usage des
viandes cFucs.
HosüPrBAco, 3. m. bomophage : qui mange
de lachaircrue.
Howoruonia, 3. f. homopbonie : concert de
voix & l’unisson.
HosorLita. V. UOmopläla.
HOomüsxctLo, s. m. petit hoamme, hommeau,
bomme de rien.
*Honxpe. V. Onde.
Honsstino, A, 9.p. d’Homestär. adj. Ex-
cuse , pallie.
HORESTADÖR, A, 3. Qui excuse.
HONßSTAMENTE, adv. honndtement.
Flonestän, v. a. honorer : faire honneur,
excuser, pallier une action. V. Cohoneslar.
Honzstäß-se, v. r. se conduire honndte-
ment; s’bonorer.
Honestipäne, 8. f. bonnetete, bienscance,
dercence; chastete, pudeur, modestie.
HonzsTissino, A, adj. sup. de
Hongsto, A, adj. honnäte:conforme a l’hon-
neur, A la vertu, bienssant; decent:; vertueux,
HOR 669
chaste, juste; pudique, modeste. Prigo —,
prix bonnete, juste, raisonnable.
Honisto, s.m. O —, l'honnetets, ce qui est
honnete.
Hoxön, s.f. V.:Honra. Duna de—, dame
d’honneur d’une reine ou priucesse.
Honxorir. V. Honrär.
Hoxoränıo, A, adj. honoraire : qui jouis
d’un titre sans fonction et sans emolument.
Hoxonärıo, s. m. honoraires, appointe-
ments, retribution.
HOoNORIFICAMENTE , adv. bonorablement :
avec honneur. Honnetement.
Hoxorırıcencıa , s. f. action d’bonorer. Hon-
neur.
Hoxoririco,A, adj. honorifigue, honorable:
qui apporte de l’honneur.
Hönna, s. f. *honneur : respect rendu; es-
time, re&putation; gloire, eclat, c&lebrits ; pu-
dicits, chastet&; gräce, bienfait, faveur; di-
gnite, emploi,charge. Morrer no campo da—,
mourir au lit d’honneur. —s, pl. bonneurs, di-
gnites, places honorables; titre honorifique
sans fonctions ni &emoluments. (ant.) * Domaine
d’un seigneur, flef. — fünebres, honneurs fu-
nebres, funerailles, derniers devoirs. Ambi-
eionar, solicitar —, courir apres les honneurs.
— mudäu cosiumes,, les houneurs changent les
maurs.
HONRÄDAMENTE, adv. honorablement. Hon-
nötement, loyalement.
HonraDissıM0, A, adj. sup. de
Honri00, A,p.p. d’Honrar. adj. Honorable;.
estimable, digne d’&tre honore, loyal. Plein
d’honneur et de probile. —, honnete, probe.
*Honräno, s. m. notable : habitant des plus
considerables d’un lieu.
Honnandor, A,adj. et s. celui qui honore.
* HONRAMENTO, s. m. * action d’honorer.
Honrin, v. a. honorer : rendre honneur,
respect ä; illustrer, faire honneur; elever ä un
poste honorable; louer, applaudir. (an$.) Ac-
corder des privileges seigneuriaux. — com asus
presenca, honorer de sa presence. — a firma
do passadör, (t. de com.) faire honneur & une
signature.
Honrär-sg (de), v. r. avoir en honneur.
Honrixua, 3. f. dim. d’Honra. Faux point
d’honneur, respect humain, mauvaise honte.
HOoNRÖSAMENTE, adv. honorablement.
Hoxnöso, A, adj. honorable; honorifique;
glorieux, louable. Honnete, decent, vertueux.
HONTENs ‚adv. hier. (Ag.) liy a peu de temps,
recemment. Ante —, avant-hier.
Höra, s. f. heure : vingt-quatrieme parlie
d’un jour ;temps convenable & ; temps ordinai-
rement employe, consacre &ä; temps prefix,
oü& une chose doit arriver, moment. Heure du
jour de PAscension, & laquelle on croit que
J.-C. est monts au ciel : c’est entre midi et une
heure. A b6a—,ä propos, au bon moment.
Rm böa—, loc. adv. ä la bonne heure: beu-
reusement. Por —, par heure; pour le mo
ment. Andur rara cada —, dire A la veille d’ao-
670 HOR
coucher. — um, — outro , tanlöt V’un, tantöt
Fautre. € a sus —, sa dernidre hours ap-
proche, il va mourir. Sejs em ba —, soll,
la bonne heure. — mingudda,, heure fatale. 2’—
d’esia ou a esta —, dans ce moment, & l’heure
qu’il est. Vai-te em — md, va-ten au diahle. —
sus! sus, bon, courage! Ndo ler uma — de seu,
n’avoir pas une heure & s0i.—s, pl. heures:: livre
de prieres. — canönicas, heures canoniales :
les diverses parties de !’ofice divin. —
res, petites heures: prime, tierce, sexie ei
none. A fodas as—, atoute heure, sans Cosse.
Fazer-se —, &tre temps. Föra d’—.V. Desko-
ras. — dilosas , aforiunadas,, heureux loisirs.
Horı, ade. i present, maintenant.
+ HoracıÄno, A, adj. qui appartientä Horace.
Honirıo, a, adj. horaire : qui concerne les
heures.
Hönpa, s. f. horde : peuplade errante.
Horpeirg ou — TO, s. m. lisane d’orge.
. Hönnen, ete. V. Ordem, eic.
HorvkorLo, s. m. (1. de chir.) orgeolet, erite
ow orgueilleux : aposieme alonge, fistuleux,
aux paupidres.
u Hönvin, s. m. ordre religieuy.
„Honpınämn. V. Ordinario.
*Honera, dim. d’Höra(t. burl.).
*Hoaröos. V. Orfäo.
+ Hör, s. f. (t. d’kist. nat.) horie: col&o-
pitre, horiale.
HorızontäL, adj. 2 gen. horizontal : paral-
Iele & !’horizon.
HORIZONTALMENTE, ade. horizontalement ::
parallötement & l’horizon.
Honızönse, s. m. horizon : grand cercle de
la sphöre qui la partage en deux; ce que l’on
voit du ciel et de la terre.
Hoauino , s. m. (l.de bot.) V. Gallocrista bas-
tarda. — dos montes, * horminelle des Pyrendes.
Honnavgqus, s. m. (l.de fort.) ouvrage &
corne.
Horocraruia , s. f. horographie : art de faire
des cadrans.
HoroLocıäL, adj. 2 gen. qui concerne l’'hor-
loge.
HoroLöcıon, s. m. breviaire; heures, livre
de prieres chez les Grecs.
HoroMetaia, s. f. horometrie : art de mesu-
rer et diviser les heures.
Honoscorir, o. a. tirer ’horoscope.
Horöscoro, s. m. (l. d’astrol.) horoscope :
prediction de la destineede quelqu’un , d’apres
Pinspection, la situation des astres, lors de sa
naissance; ascendant; Opposition ou situation
des asıres dans le theme celeste.
Höana,s. f. (f. d’Asie) " bois tres-lourd, ne
dans l’eau, et qui ne se soutient pas sur sa
surface.
HoRrRENDAUENTE, adv. borriblement; hideu-
sement.
Horranpissıno , A, adj. sup. de
Honn£uno,A, adj.horrible,affreux, eflroya-
bie; hideux. Extraordinaire.
AQRABNTB, adj. 2 gen. V. Horrendo.
308
HÖöRREO, s. m. (p. us.) greuier pour le bit.
HorrısiLınäpg, s. f. qualii& de cegqul en
& | horrible.
Honsiınıtisarmo , A, adj. syp. de Herrivel.
HöRRıno, A, ad. FR borrible.
HoRRriFERO O8 —FICO, A, adj. tpoel.) quilat
horreur, &pouvantable, effrayant.
HorrirıLaciö, 5. f. (f. de mid.) horripila
tion : frisson subit de toute la peau, pendar!
lequel les poils se herissent.
+ HonnıpıLän-se, ©. 7. eprouver une kert-
pilation.
HoRrisono, A, adj. qui fait un bruit ber
rible ; qui rend un son horrible.
Horrivkı, adj. horrible, affreux , effroyable,
€pouvantable. °
HornıveLmente, ado. horriblement, afker-
soment, effroyabloment.
Horror, s, m. *horreur, effroi, Irayeur.
tpouvante ; deteststion. Fer — ao crime ärou
horreur du erime, l’avoir en horreat. Se
olkado com — por alguem;, €ire en borreiti
quelqu’un.
HoRRorızÄDO, A,p. p- de
Honzorızir, v. a. faire horreur, elfraie.
6pouvanter.
HORRORIZÄR-SE, v. r. avoir de formen.
s’effrayer.
HonnoröSAM£NTE, adv. avec horrear. le
riblement. Effroyablement. Hideusemeni.
Horkoröso, A, adj. borrible, efroyadk.
affreux, &pouvantable. Hideax.
Hörra, s. f. * jardin potager, verger.
Horrivo, A,p. p. de Hortdr.
HoRrTaLica ,s. f. herbes potagäres ; legume.
vegetaux bons ä manger.
Horrär, o. a. jardiner : cultiver soignee®“
ment comme en jardin.
HorteLi, —LAa ou —ran, 8. f. (1. de bt.
— ordinaria, menthecommune ou des jardii
baume. — silvestre. V. Menthrasto. — 7
menla, pimenlosa ou apimeniada, menibt p+
vree ou citronnee. — dos rios, menthe ayıt
iique, baume d’eau. — crespa , mentbe In
ou crepue,
HonteLiö, s. m. jardinier.
HortELöa, 3. f. femme du Horteldo, ja
niere.
HoRTENSE, adj. 2 gen. de Jardin, culin @
Jardin.
+ Horrt£nsıa, s. f. (8. de bot.) hortensia: &
hrisseau saxifrage de la Chine, hydranges.
Honrinua, s. f. dim. de Horte.
Hörro,s.m.jardin clos de murs. — de ef
shemani, jardin des Olives.
+ HonroLäna, e. f. (t. d’kist. nad.) "ortolan
petit oiseau de passage.
HorroLä6. V. Horteido.
Hosinna, s. m. hosanna : priere des Jaifr d
la fete des tabernacles.
Höspuoa, s. f. hötesse, femme logee che
queiqu’un ; qui tient suberge, qui loge.
HosPEpino, A, P- P. d’Hospedar.
HosPRDAnOR , A, 6, qui loge graimlteıment.
HUI
a Anserpionn, s. f. hospitalitd. V. Gesalkado,
Hospspär, 9. g. höherger; recevoir, loger
chez sei. Donner l’hospitalite.
Hospeparia, 5. f. hötellerie, auberge ; hos-
ice. Appartement destin& dans un monast£re,
eic., a loger les etrangers. |
"HospERÄVELMESTE, adv. avec hospitalile.
Höspenz, 5. m. höte : personne qui en loge
une aulre, ou qui est Jogee chez elle. Hötelier,
aabergiste, logeur. Celui qui loge quelqu’un
ebez lui. Etranger. Ser — em algumaarle, etc.,
&se ignorant 04 peu versö dans un art, elc.
— em sua casa, (fam.) n’eire chez spi
qu'aux hegres de repas. —, criado 6 peixe aos
ir dias aborrece, (prov.) hötes, valeis et les
eissons, trois jours passes ne semblent bons.
Hosren£ıno, a. m. höte, hötelier.
Hospepkıro, A, adj. hospitalier.
Boseicıo, s. m. hospice : maison pour loger
ks pauvres passants; pelite maison reiigieuse
oü logent, en passant, les religieux du m&me
ordre, ° Hospitalits (gni.).
Hospiıräl, s. m. böpital : maison fondee pour
les malades. Maison oü l’on donne le couvert
aux payuyres passanis : bospice. — de sangue,
(mil.) höpital militaire oü Yon envoie d’abord
les blesses, Ser a casa um —, on le dit d’une
maison od il y a beaucoyp de malades.
"HospiräL, adj. 2 gen. hospitalier : qui con-
cerne la bonne hospitalite.
Bospıtarinıo, A ‚adj. hospitalier. On le dit
de certains ordres religieux militaires, —s,
ı.m. pl. bospitaliers: ordre militaire de Malte.
HospıraL&ıro, A, adj. hospitalier, charita-
ble. s. Directeur d’höpital; infirmier.
Rospitauıpine, 3. f. hbospitalite : charite
eıercee envers les pauvres passanis; bon ac-
saeil qu’on fait aux Eirangerr.
Hoseopän, s. m. hospodar : prince vassal
da grand turc.
"HostaLicew.V. Estalagem.
’Hostäö,s. m. Hospedaria.
Hoste, s. f. armee, camp ennemii.
Hösria,s. f. hostie : viclime Offerte en sa-
erilice; pain sans levain que l’on consacre & la
messe.
Hostit, adj. 2 gen. contraire, nuisible, en-
Demi , hostile.
HostıLiväng , 3. f. hostilite, incursion,, dom-
image fait & la guerre.
Hosrıuızäno, a, p.p. de
HossıLızän, vo. a. traiter hostilement. v. n.
des hostilites.
Bosriumtuts, adv. bostilement : en ennemi.
Horsıa. V. Ussia.
"Bi. V. Onde.
"Hicma,. V. Area, Cofre.
* Bucaöre. V. Cofr&te , Arquedle.
HuconoTeE 08 huguenol :
BTcteznorg,s. etadj. 1 niste.
* Bucricıo , 5. 9. " proposilion isynique.
H6ı! interj. ho! holä! obo!
Hrıvapon , A, adj. hurleur : qui burle,
calvi-
HUM 671
Huıvär,v.%. burler: pousser deshurlements,
Humıaa. V. Huivar.
Höıvo, 3. m. hurlement des loups, des
chiens.
* HuLa, HuLo, nour Onpe 53TA 4, 0? (od est
le, la?)
Hum pour Hu. V. Onde.
Huu, interj. maniere d’appeler quelgu’us.
Hum, A,adj. V. Um.
* Husicem. V. Imdgen.
Huuunino, A, pP. p. de Humandr.
Huuanir. V. Humdno.
Huminau£nte, adv. humalinement : sutrant
le pouvoir, la portte, la capaciie de ’hamme ;
avec humaniisd, bonts, sensibilite.
Humanin, @. e. transformer ou hommes. Hu-
maniser.
Humsania-se, o.r. ss faire hosame , parlans
de Jesus-Christ. (Ag.) S'bumaniser, devenir
plus doux, plus traitable.
Hosanıpioe, 5. f. humapii6 : nature hu-
meine; les bammes; bonunstels, bonie, deu-
oeur; sensibilit€ pour les maux d’autrui ; bont&
exerc&e. (fam.) Corpulence , embonpoint. Fra-
gilitö de la chair, penchant ä la luxure. —s, pl.
Humanites: &iudes jusqwä la philosophie;
belles-letises.
Hunuanissino, A, adj. sup. de Humano.
Hougauista, &. m. humanisie : qui etudie,
sait, enseigne les humaniles.
HoMmanızipo,A,9.p- de
Humanızir, v. a. bumaniser : inspirer des
senliments, donner des meurs, des manieres
conformes & l’bumanile ; rendre plus traitable,
plus favorable. —se, o. r. V. Humanar-se.
Humsino, A, adj. humain, de ’homme en ge-
neral, qui le concerne, lui apparlient; (Ag.)
sensible A !a pitli6 ; debonnaise, doux, affable,
seeourable, bienfaisant.
Humänos, s. m. »%. humains: les bommes,
P’humanile.
+Hums,s. f. Pedra —. V. Alumen.
Huuscrär. V. Humederer.
HUMECTATIVO, A, adj. qui humecte,
HuuM£DEcEr, v.a. humecter : rendre bumide.
ll est aussi r&ciproque.
HUMEDECIDO, A, 2. p. de Humedecer.
Huuente. V. Aumido.
HumeriL, adj. 2 gen. (4. d’anat.) humeral:
qui a du rapport ä l’epaule.
HusERÄRIOQ,, A, adj. (1. d’anal.) humtreire :
qui a du rapport ä l’'humerus.
Huuipäng , s. f. humilile; moiteur.
Hüuıpo, A, sd). humide, de la nature de
Peau; miouille, humecte, moiie; ou il y a de
’humiditse. Homem —, (buri.) inconlinent,
lascif.
* Husır ou —ıE. V. Humilde.
HuntLivine,, s. f. humilile : verlu chretienne
que nous donne le senliment de notre faiblesse;
deference, soumission ; abaissement; modestie,
sentiment de notre bassesse devanı Diea, (Ag-)
Basscsse d’Ame, d’extracuion , obscurite.
BumıLnino, A, 2. p. de Humildar
0 HORB
osucher. — um, — ouiro , Laniöt un, tantöt
Fautre. Chöga a sus — , sa derniere heure ap-
proche, Il va mourir. Seja em b6a—, soit, &
la bonne beure. — mingudda , heure fatale. 4’—
d’esia ou a esla —, dans co moment, & l’heure
qu’il est. Var-te em — md, va-Ven au diable. —
sus! sus, bon , courage! Näo ler uma — de seu,
n'avoir pas une heure & s0oi.—s, pl. heures: livre
de prieres. — canönicas, heures canoniales :
les diverses parties de l’ofice divin. — mend-
res, petiles heures : prime, tierce, sexie et
none. A lodas as—, ätoute heure, sans Cesse.
Fazer-se —, @ire temps. Föra d—.V. Desko-
ras. — dilosas , aforiumadas,, heureux loisirs.
Horı, ade. i present, maintenant.
+ Horacı$no, a, adj. quia tient & Horace.
a Koraire Pan eoncerne les
Horirıo, A,
ures.
BHöapa, 3. f. horde : peuplade errante.
Hoaneirzon —T0, 8. m. lisane d’orge.
. Hönneu, etc. V. Ordem, etc
HorvKoLo, 8. m. (tl. de chir.) orgeolet, crite
ow orgueilleux : aposteme alonge, fistuleux,
aux paupidres.
® Honni ,s. m. ordre religieug.
„Honpimäıno. V. Ordinario.
’Hontıı, die. d’Höra (t. burl.).
*Hoaröos. V. Orfäo.
+Hönia, s. f. (1. E’kist. nat.) horie: coldo-
ptere, horiale.
Honızonrin,adf. 2 gen. horizontal : paral-
lele & l’horizon.
HoRIzONTaLMenTe, ade. horizontalement :
parallöiement & l’horizon.
Hornızöntz, s. m. borizon : grand cercie de
la sphöre qui la partage en deux; ce que l’on
voit du et de la terre.
Hoauino, s. m. (l.de bot.) V. Gallocrista bas-
tarda. — dos montes, "horminelle des Pyrenees.
Hounnavgaus, 3. m. (l.de fort.) ouvrage &
corne.
Honockarnia, s. f. horographie : art de faire
des cadrans.
HoroLocıäL, adj. 2 gen. qui concerne l’hor-
oge.
Honor6öcıon, s. m. breviaire; heures, livre
de prieres chez les Grecs.
Honomersia, s. f. horometrie : art de mesu-
rer et diviser les heures.
Honoscorir, o. a. tirer l’'horoscope.
Hosöscoro, s. m. (t. d’astrol.) horoscope :
prediction de la destinee de quelqu'un , d’apres
’inspection, la situation des astres, lors de sa
nalssance; ascendant; Opposition ou situation
des asıres dans lo theme celeste.
Hönna, s. f. (8. d’Asie) ° bois tres-lourd, ne
dans !’eau, ot qui ne se soutient pas sur sa
surface.
HoaRENDANENTE, adv. borriblement; hideu-
sement,.
Bonaenpissıuo,, A, adj. sup. de
Honatupo, a, adj.borrible,affregz, eflroya-
bie ; hidegz. Extraordinaire.
BQnnSnTE, adj. 2 gen. Y. Horrendo.
B0S
Hönnzo, s. m. (p. us.) grenier le bl.
HonaısıLinäpe, s. f. qualil& de ce qui est
horrible.
Honnısıuissımo, A, ed. syp. de Horrivel.
Hörrıpo, A, adj. (podl.) horrible.
HonrirEro 08 —FicO, A, adj. (podl.) quilait
borreur, &pouvantable, effrayant.
Honntritacäö, s. f. (6. de med.) horripils
tion : frisson subit de toute la peau, pendant
lequel les poils se herissent.
} HoanıpıLäa-sE, ©. r. eprourver une börri-
pilation.
Honrisono, A, adj. qui fait un bruit ber
rible; qui rend un son horrible.
Hoarivsı, adj. horrible, affreux, eflroyabie,
&pouvantable. j
HoRRıvELMENTE , adv. korriblement, affres-
sement, effroyablement.
Honor, s. m. *borreur, effroi, frayeur,
€&pouvante ; deteststion. Teer — ao crime, ar0il
borreur du erime, l’avoir en horreur. Ser
olkado com — por alguem, €ire en horreuti
quelqu’un.
HorroRızino, A,p.p- de
Hoarosızin, v. a. faire horreur, eßrayer,
$pouvanter.
Honrorızäa-sE, v. r. avoir de l’borreut,
s’eflrayer.
Honrorösamente, adv. avec horreur. Hor
riblement. Effroyablement. Hideusement.
Bonzonöso, A, adj. horrible, effroyabie,
affreux , &pouvantable. Hideux.
Höntı,s. f. " jardin potager, verger.
Horrino, a,p. p. de Horidr.
HoaraLica, s. f. herbes potageres; legumes,
vegetaux bons a manger.
Hostäir, o. a. jardiner : cultiver soigneust-
ment comme en jardin.
Honreri, —ıla ou —ran, 5. f. (8. de bei.)
— ordinaria, mentheoommune ou des jardins,
baume. — siluesire. V. Menthrasto. — pi-
menla, pimenlosa ou apimentiada, menthe por
vrde ou citronnee. — dos rios, menthe squr
tique, baume d’eau. — crespa , mentbe Iriset
ou erepue.
HoarteLäö, s. m. jardinier.
‚Honrzıöa, s. f. femme du Horteiso, jardı
Diere.
HoRT£NSE, adj. 2 gen. de jardin, cultiv @
Jardin.
tHonrtensıa, s. f. (8. de bot.) hortensia: ar
brisseau saxifrage de la Chine,, hydrangea.
Hoarinna, s. f. dim. de Horta.
Hörro,s.m.jardin clos de murs. — de Geh
shemani, jardin des Olives.
t Hontouina, s. f. (t. d’hist. nat.) *ortolan:
petit oiseau de passage.
HorroL4d. V. Horteido.
Hosinna, s. m. hosanna : priäre des Juifs ö
la fete des tabernacles.
HöseuoA, #. f. hötesse, femme logee che!
quelqu’un ; qui tient suberge, qui loge.
Hos?snäino, a, 9. P. d’Hospedar.
HosPnpanea, A, #, qui loge grate
HUI
Hospznicen,, s. f. kospitalitd. V. Gasalhado,
id. Hospedaria
Hosrepin, 9. qg. böherger; recevoir, loger
sei. Donner l’hospitalite.
llospenaria, 5. f. hötellerie, auberge ; hos-
pice. Appartement destine dans un monastöre,
eic., a loger les eirangers.
* HospEpÄVELMENTE, adv. avec hospitalile.
Hösrpspe, 3. m. höte : personne qui en loge
une aulre, ou qui est logee chez elle. Hötelier,
aubergiste, logeur. Celui qui logs quelqu’un
ehez lui. Eiranger. Ser— em alguma.arle, eic.,
etre ignorant 0% peu verse dans un art, elc.
Ser — em sua casa, (fam.) n’eire chez soi
qu’aux heures de repas. —, criado e peize aos
ir&s dias alorrece, (prov.) hötes, valeis et les
paissons, trois jours nasses ne semblent bons.
Hospeptiro, s. m. höle, hötelier.
Hospepkıaa, A, adj. hospitalier.
Bosericıo, s. m. hospice : maison pour loger
les pauvres passants; petite maison reiigieuse
od logent, en passant, les religieux du m&me
ordre, * Hospitalits (gui.).
HospiriL, s. m. höpital : maison fondee pour
les malades. Maison ou l’on donne le couvert
aux pauyres passanis : bospice. —de sangue,
(mil.) höpital militaire oü l’on envoie d’abord
les blesses. Sor a casa un —, on le dit d’une
maison oü il y a beaucoyp de malades.
"BospitäL, adj. 2 gen. hospitalier : qui con-
cerne la bonne hospitalite.
HospiTaLirıo, A, adj. hospitalier. On le dit
de certains ordres religieux militaires. —s,
s. m. pl. bospitaliers: ordre militaire de Malte.
HospitaLkıro, A, adj. hospitalier, charita-
ble. s. Directeur d’böpital; infirmier.
HospiraLıpäpe, 8. f. hbospitalite : charite
exercee envers les pauvres passanis; bon ac-
cueil qu’on fait aux &lrangers.
Hosrovir, s. m. hospodar : prince vassal
du grand turc.
* HostaLices.V. Estalagem.
° Hostäö,s. m. Hospedaria.
Höste, s. f. armee, camp ennenii.
Hösria, s. f. hostie : victime olferte en sa-
erifice; pain sans levain que l’on consacre & la
MESSE.
HosriL, adj. 2 gen. contraire, nuisible, en-
nemi , hostile.
Hosriuipäne , 3. f. hostilite, incursion , dom-
smage fait A la guerre.
Hosrıuızino, A,p. p. de
HosriLizir, v. a. traiter hostilement. v. n.
Conumeitse des hostilites.
Hosriuuture, ade. hostilement : en ennemi.
Housm. V. Ussia.
"Bi. V. Onde.
° Bicna. V. Arca, Cofre.
* Bucuöts. V. Cofr&te, Arqudte.
HUCONOTE 0% huguenat :
Hrcuznorg,s. etadj. 1 niste.
* Hucricıo, 8. m. * pfoposilion ironique.
B6ı! inter). ho! holä! oho!
Huivanoa , A, adj. burleur : qui burie.
calvi-
HUM 671
Huıväa,v.n. hurler: pousser deshurlements,
Humiaa. V. Huivar.
Hüıvo, s. m. hurlement des laups, des
chiens.
* Hur.a, HuLo, pour Onpe zsTÄ 4, 0? (od em
le, la?)
Hunm pour Hv. V. Ondes.
Huu, interj. maniere d’appeler quelqu’us.
Hum,a,ad. V. Um.
* Humäcsnm. V. Imdgem.
Hunanin0, A,92.p. de Humandr.
Huuanir. V. Hundao.
HuMinANMENTE, ade. humainement : sulvant
le pouvoir, la portee, la capscite de l’bomme;
avec humanitd, bonts, sensibilits.
HumaniR, 0. a. transformer en homme. Hu-
maniser.
Humanir-se, o.r. se faire homme, parlank
de Jesus-Christ. (Ag.) S'humaniser, devenir
plus doux, plus traitable.
Humyanınipe, $. f. humapiiö : nature hu-
maine; les hommes; bonnstei, bonte, deu-
ceur ; sensibilite pour les maux d’autrui ; bont&
exercee. (fam.) Corpnience,, embonpoint. Fra-
gilitö de la chair, penchant & la luxure. —s, pl.
Humenites : eiudes jusqwä la philosophie;
belles-lelises.
Huuanissımo, a, adj. sup. de Humano.
Husauista, & m. kumamisie :ı qui etudie,
sait, enseigne les humaniles.
HuMANIZiDO, A, p. p2. de
Huuanızir, v. a, kumasiser: inspirer des
sentimenis, donner des meurs, des manieres
conformes A l’humaniie ; rendre plus traitable,
plus favorable. —se, u. r. V. Humanar-se.
Humino,a, adj. humain, de ’homme en ge6-
neral, qui le concerne, lui appartient; (flg.)
sensible & !a pili6 ; debonnaire, doux, affable,
secourable, bienfaisant.
Humänos, s. m. pl. humains: les bommes,
Y’buimanile.
+ Hums, a. f. Pedra —. V. Alumen.
Huuecrän. V. Humederer.
HUMECTATIVO, A, 0dj. qui humecte.
Htcumepeckr, v.a. humaecter : rendre humide.
ll est aussi r&ciproque.
HUMEDECIDO, A, ?. p. de Humedecer.
Huutute. V. Bumüdo.
HumEräL, adj. 2 gen. ($. d’anal.) humeral:
qui a du rapport & l’epaule.
HusMERARIO, A, adj. (4 d’anat.) humtraire ;
qui a du rapport ä l’'humerus.
Humıpäng, 3. f. humidile; moiteur.
Himpo, A, adj. humide, de ia nature de
Peau; nmiouille, humecte, moite; ou il y a de
Y’hbumidite. Homem —, (buri.) inconlinent,
lascil.
* HumıL ou —LE. V. Humilde.
HuxıLıpäne, s. f. humilits : verlu chrelienne
que nous donne le sentiment Je notse laiblesse;
deference, soumission ; abaissement; modestie,
senlimeni de notre bassesse devanı Dieu, (Ag.)
Bassesse d’Ame, d’extraclion , obscurite.
HuyyınÄino, A, P- 2. de Humilder.
iz HD
+ UvenoLoelı, b. fi Imypueloge : sugie de
somineil et des veiltus.
+ Hımnoidates, A, aij, hypmelogique :
d’bypnologie.
Arpaörmo, A, adj. (6 ds med.) hypnetique :
qui provoque le sommeil; narcotique.
Rtrookssro, 0, u. hydooausse : balnı dbd-
terrain; fourneau pour 6shauffer na bein.
Mryonenraueo. V. Hi
+ Arpocmmnıs, 8. f. (t. de bot.) salade de
por.
Briodistn 08 «10 , 5. 5, (4. de det.) kype»
eista : plante vor ies seinen du viste.
Hyrroconpaia, 8. condrie : passiven
driegun, Vv RE
nta00, A, af. hypevendrieque s
(sısladie , aleutten) des hypecondres; ie ms-
lade. Triste, melancoligue;
yrossiunoe, & m. pl. kypboendres : paf-
ies latörales de la parıie supttioute du bas-
vonise.
Hrrocaene. V. Hippoerins.
Brbocasia, a. f. kypociisie: fausse app&-
zenc6 de pi6t#, de vertu, elc.
Byuösarza, 6. m. ei adj. ygn. bypooriie.
Hrröcatramanıe, ade, d’ane mauiöre hype»
ohfin.
WyraninroLn. V. Antiphon.
+ Hrropörıo, A, adj. hypodorien : (ten) em
@u doriem,
Hrrocäistaıco, A, adj. (f. Fanat.) hypegas-
Was: de Phhypogastre.
Hrrocästrıo, s. m. (4. dan.) bypogasure :
Partie inferleure du bas-veutse.
Hrrooto ou 050, 3.0. (1. Fant,) aypogäs:
tombesu', &diice dows lurrd.
+ HrrocLössa, s. f. (4. ds du8.) * aurler &
‚ dodbie-lengae,
HreooLömms, 0. [+(1. d
+ Proc dene ze fte anal.) Irypogiessis:
1 0 d’anas.) hypogloitie »
HErmoaonne.
Hrroc (. 6. de bet,
+Hr alas a Ct
( a ET |
Ars
+Hrrosmaata, 6. m. (fı da ) bype-
spbagme : suffusion du sang sous la pean.
Hrrögeasıa, #. f. (i. de Ihtol.) Aypostase:
Suppöt, personne. (f. de dd.) -, södiment
d’urine,
Hvrostiticauente ade. bypesistiguemeni :
d’une maniöre hypostatique.
Hrrostärıco, A, adj. hypestatigue ı de P’hy-
20; (union) da verbe aveo la makdfe
maine.
Hrrerasan, & fı bypoihöque : droit dellget
& un erdancier sur los immenkhies de dübiteut.
Hvrorssciknn, A, pP do
Hysornucka, 9 ® s demmer
pour kypoikögue ; sonmelire A Ih
Hyrorazeinio,, A, adjı hypeibtseire ı qui a
ou donne droit d’hypeihöyus, qui a zappent
aux hypothäques.
Hvrerazwisa, & ih do al) kyuetl-
nuse : cöl#b oppess & Fangle deeit dene wa
triangie rosiemgle.
Hrrörnzsz ou — 0, 8. f. hypoihöse « SUpp®
sition d’une chose possible ou non demi em lies
une osmadqueree; prepesilion colprise nuNt
la Ihdse generale; systöme.
Hyrorasricautura ,ado. hypoiktiiguasment:
d’une maniere hypoihötique; par hypeibiss,
suppesilion,
Hrrotuttico, A, adj. hypoikttigue « Somib
sur uns hypethöse.
Hyrorrrösıs, e, f. bypotypone : deneriptien ,
peintate vive et animdp,, figure de rbeteriqgue.
+ Hrakes, 5. m. (4. det, nat.) deman ı biei-
roau des roohes d’Alrique , de Ja taslhe de Iuptn
et de la forme du oochon d’Inde.
Hıncano, Lund, Sit. Eyrmasien ı de FE»
canie, comirde d’Asie.
Hvasımi6, e. m. "Irerbo de Be-demm. —
Hrsoripa, s. f. gauntiis d’eaut qu’on jgiie
avoe le eupilien.
Hrsorano, A, 9. p- de
Krmekn , ou 0. asperger avoo Is geupillen.
Hrsörz, s. m. goupillon, asperges, asper-
stamines qui | seit.
soni sans Y ni ak Hreseiızto. V. Siymbre. det) h
YPOLY’DIO, 4, kepelydiens seus | Hraoro ou —&80r0, 6. m.
lesen (on) Kyeope : ı plande men un, lahlte: — dis dd
Pi HrronızoL.r’o10 ‚A, adj. hypemäxzoiydien: | iomde ou das perudigs,
) qui ient de I’hypolydien. HVorEaaLcia, 6. f. (. da möd.) byotizeigie:
YPONÖCHLIO, 3. m. bypemochlinn ı peiht | dewieise dans in meirieg.
@’appui d’un levier. Brersumo, A, nd). bynisrigue: qui a rap
port & ia ımatnios.
f Hrröruızo, 6. m. (i. db “)h
phlde ı coldopiärer dleparalı nn ah) BIp-
+ Hrrorsar’oıo, A,0d). bypophrygieth ı (800)
te t.de md.) vypoph-
Gsalmie : doulour nd estate auf
? Hreörfon, 5 (ke.
sous _la gornde.
en
I; or (4. de mil.) "bystdeie:
afeclion bysterique; 1; dälire da Pameur ahysl-
+ "F Hrerankns, f s.f. | de Add.) bystäffis:
erenoronia, de ‚s 1. de Or. ) kystärow-
mie - ob de M le.
u
ICH Ä
1
], s. m. neuvieme lettre de l’alpbabet pariu-
gais, et la troisitme des voyelles. I est une
lettre Humeridue qui vaut 1, et signißait 100
chez les aneiens.
I, ade. V,AM, Hi.
* I power Ioz (aller).
liuno,. V. Jambo.
+ Ipruausenica 6. f. istraleptique : art de
guerif area des fribtions, des remöden exie-
rieurs.
Fiärmico, a, adjı latrique : medical, qui
appartient & la medecine.
ise. V. Ihe.
Istria,d.f. (8. de gEoy.) Iberie : aneien nom
@6 VEspagne.
Isenıeo, —RıNO 0% Ibdre, d’Igerie, Ibe-
Isernıo,— ro, adj. et3.) rien, Espagnol.
T Isısos6ca, 8. f. (1. d’hist. hal.y*ibibobota :
eouleuvre du Bteall.
T Isitina Do Baazır, 8. f.(. PRist. nat.)
arcib : dspbed de serpent d’Asie et d’Ame-
que.
Isıcz. V. Ibis.
Inırıränga, 8. f. (f. de bot.)arbre du Bresil
( s pedunculala).
+ Isina, s. m. (t. da bol.1ibifa : arbrisseau
de la Guyane.
Fimaacöa, a. f. (1. d’Mst. Hal.) ibiracoa :
serpent datigereux du Br&sil.
+ isına vıränca,s.m. (8. de bol.) ibira pi-
(üliga, arbre : döhne le Bold du Bresil.
+ Isıripe, s. f. (1. de bot.) iberide ; plante
eraciföre. u
2is,e. f. (ti. d’hist. nat.) Ibis: olseau yui de-
vöre les sörpents, plus P6lit que la cigogne, en
ve. rn
nızUna.V, Sabofire do Brazil, _
Icä ‚s. f. V. Coneubina.it. Espdce de grande
fourmi A 1410 royge. .
„Fleanas, s. f. pl. (4.’d’ant.) Icades ı fütes
e, is vingtiöme jour de la. une jed-
Icapo,A,p. p. de
Join, . a, hisser : hasiser, faire mentet.
= 6 antora com eo apardlko de lurcd, ( 1. de
mar.) caponner l’anore. -- pesos por meio
duma estralheira, palanueer des fardeauz,
ote. Ira! (ich) suille!
Ficiutp, a; wehj, d’Iegre.
+ loanina,s. f. (t. du Brösil), V. Biemibire.
Icuacöavos. V. Echacorvos.
ICHNEUNoN, 8. m. (4. hist. nal.) ichnet»
mon: rat de Pbaraon, rat d’Egypie, mangeuste
otdinaire, quadrup6de de la gresssur dis
ehat.
IcnkeoaArnia, s. f. ichnographie : pldn 60»
metral d’un edifice ; plan des dimensions hof
zontales d’une forieresse, etc.
IcanocrärHıco, A, adj. ichnograpkiitiug » 40
lichnographie.
f lomnöcnarno, 8: m. ichnoktaphe ; indb-
nieur, qui exerco Pichnegrapbie.
Icnö om len6z, 8. m. tröbuchet, piäge Poub
pfendte les laphıs et les perdriz.
P’cHoR, &. m. (l.de chir.)ichor:: o&rositd dere,
sanio des uleeres.
IcHonöso, a, adj: (f. ds chir.) Ichoteiiz 5
(pus) sereux et äcre.
+ karıouımazs, 4. m. pl. (fi. Ihisl. Hal.
ichtyolithes : poissons p6trißes,
IchtyoLocia, s. f. tchtyologie : histoire nalk-
relle des poissons.
IchrYorLocista, 8. f. ichtyologiste : auleuf
qui ecrit sur les poissons.
Ichtyörtaco, a, adj. eis. ichtyophage : qui
ne mange que du poisson.
+ Icica,s. f. (1.de bot.) *balnarnier ; baumidr,
arbre du baume.
. + Icıpanisa, u fı (l. du Brösil). V. Bie
hilira
* Icözitd. V. Kednomo (de l’eglise):
Tcönıco, A,adj. (}. de peint. et Parchi
peint d’aprds nalure, repriseni6 au na
iconique. . .
iconocLista, e. m. iconoclasıe : herdtigue).
briseur d’images. hen
IcomoLocia, &. f. iconolegie ı reprösentatiän
des &ires moraux sous des formes sensibleng-
interprötalion, explisatieu Hesimages, des mb-
numents antiques.
coNöwaco, 3. m. iconomaque : qui ouunbat.
le culie des images.
boss£pRo, s. me. (1. de ) ioodadıla »
solide rögulier dont la surface de compose du
vingt triangles &quilaterauz.
loosänpaıa, 8. f. (4. de bot.) koösandrie ©
vlaase des vögttauzx & vingt dtamines et pluß;
icesinpaıoo, A , adj. lootandrigee : de l’iewi
sandeie. .
Icrenicıa, 8. f. ictöre ow ictöriele ı deborde-
ment de bile qui causd la Jaunisse. Jawhlbed,
körzauzkuo, A,ulljı iöterigus: qui a la jen-
.iemiß, sc: us. mmeiure itkiätaire on Asie ( six | nisse
lieues et un quart portugaises). it. Vi UchAs.
+ Icanzuno, s. m. (1. Wiek. nd.) Ichmeu-
mon; hymensptäre,, isröbrant. =- intader,
Iehamminein nair ut Jans. — airachioo, Ionen
Icr£rıco, A, adj. towärkree : dul a la jinrhiide;
ui la conoerne.
Psa, 8. f. alle, oourie, Toydge, käutelä;
depart. — por tinds, allet dt venit, = 0 vll-
das, alldes ot Yonmeb;
06 1DE IGA
r . m. (I. de geog., Ida : montsgne | IpkoLocia, s. f. jdeelegie: Iraite , science des
ee rm Li de gig idees, des facultes intelleeiwelles de Themme;
Inier, s. f.° : duree ordinsire, degre, | recherche sur leur origine.
cours de ia Fe, Bora de la vie; temps; sie- + leroLöcıco, a, adj. idtelegigue : de Fider
ele; nombre de siecles; epoque; vieillesse ; | logie. . n
jours que Fon a vecu, temps ecoule depuis la|l iInzöLoco, s. m. et adj. Idtologue : qui eerit
nalssanee. — de diserisdd, äge de raison. — | sur l’ideelegie. .
sucdin, je moyen äge : du quatrieme au qein- | IsıLso. V. Jdyilie. .
sbtete sitele. Curia —, bas üge. Homem de| + Inio-zLäcramo, a, ad. jdie-+iecitigue :
medeana —, an bomme entre deux äges. A ler
susceptible d’eire electrise par [rolisment.
de minhs — passou , mes bean jours sont pas-
She.
Insöma, s. m. idiome : langue propee ä une
nation, & une provinee; dialecte. Langage. (1.
de th£ol.) — „ propriete.
inıorarnia, s. f. idiopatbie : maladie pyop
& une partie du corps; imolination
pour une chose. .
IBIOPÄTEUO ,, A, adj. Idiopathigue : de Vidie-
pathie.
Inöra ,s. et adj. 2 gen. Idiot, set, ignerasl.
lnıorısuo, s. m. idielisme : Jocution parli-
eulidre d’une langue, souvent coniraire auX
lois de la grammaire generale. —, absenne
d’idees, d’entendement.
Ino, p. p. de Ir.
T’ooLa, s. f. le feminin d’Idolo. ,
InöLataa, adj. et 5. 2 gem. idolätre : qui
adore les idoles, les faux dieux, qui rend un
culte divin a la creature; (Ag.) qui aime arce
exces.
IpoLaraipo, A, 9. 9.de
InoL.arair, vo. a. idolätrer : adorer les ide-
les; (Ag.) aimer avec trop de passion.
lvoLaraia, s. f. idolätrie : adoration des
idoles; culte des faux dieux, de leurs images,
de la cr&ature; (Ag.) amour excessif.
tYooLiraıco, 4, adj. (inws.) idolätrigee:
de Pidol4trie; qui tient de Pidolätrie pour les
@tres.
P’boLo, s. m." idole : figure, statae d’une di-
vinits, que l’on adore ; cette divinits elle-meme;
(fg.) objet d’idolätrie, d’affection, de pas
sion.
IpoLozinmo, s. m. dim. d’Idolo. Petite Idole.
lDönzanenTe, adv. avec Idoneits; convena-
blement.
Inonzıpäne, 8. f. idoneite : aptitude &...; ca
pacit#; suflisance, habilete.
lnönzo, a, (para) adj. propre, &pte, conrt-
neble, capablie; fait pour. — para vr
sinar , irop peu fait pour enseigner.
Ppos, s. m. pl. Ides : le quinziäme jour de
mars, mai, juillet et octobre, dans le calen-
drier romain, et le treisiöme des autres mols.
inöso, A, adj. fort Age, fort vieux.
Innopzsia , etc. V. Hydropesia, ete.
+ Ipumto, a, adj. et s. Idamsen : d’Idumbe,
prevince d’Arabie.
“. +
IpiLsa, 8. f. (1. de gdog.) Idalie : mont et ville
Chypre.
lpiLıo, a, adj. d’Idalie.
Ioka ow Ipkıa, s. f. idee: perceplion que
Fine obiient par les sans, tant iniernes qu'ex-
nes, ou par sa nalure, par la rövelation ; Bo-
n que l’esprit se forme d’ane chose ; enpeces,
formes, images dans l'imagination, la me-
moire; ce qui occupe l’esprit, ce qu’il pergoit
lorsqu’il pense ; dessein, projet, pensee, con-
ception ; opinion, avis; souvenir, forme, mo-
de)e des Uipses ; image. Objet, but, fin qu’on
se propose. »
lpzibo,,a,p.p. d’Idear.
IoriL,adj.2 gen. ideal : qui n’existe qu’en
Mer, dans ’entendement; chimerique. O belle
—,(i.d’art) Yideal: beaute, perfection ideale ;
type forme de tralts choisis cä et lä dans les in-
idus et rdunis en un tout.
TloraLisuo, s. m. Idealisme . systäme de
ceux gr volent en Diea l'idee de tout.
lpziLmtnte , adv. en Idee.
"Inga, o. a. concevoir l’idde d’une chose,
songer aux moyens de l’ex6cuter, imaginer.
(Ag) So forger des idees, des visions chimeri-
ques.
+ Ivım, pron. lat. idem, dito : le me&me. II
s’emploie pour e&riter de repeter ce qui vient
d’ütre dit ou 6erit.— per —, Fun vaut Pautre,
dest jus vert ou verjus.
t ICABENTE,, adv. identiquement : d’une
manitre identique.
äutnrıco, a, adj. identique : le meme; com-
“ pris sous une mö&me idee; qui ne fait qu’un
We un auire.
NTIDÄDE, s. f. Identits : qualit6 de ce qui
est Ühatique ‚qui fait que Jos Choses sont idn-
tiques ; ressomblance; union sous une meme
ldee, une meme nature. — de raxds , manidres
de conoevoir plusieurs choses distinctescomme
n’en falsanı qu’une. — de posson, dum indivi-
duo, (i.de prat.) identiis de personne, d’un
individu, certitude qu’il est en effei celui pour
ael il se donne.
DENTIFICÄDO, A,P. 9. de
lorntirscan, ©. a. identißer : comprendre | Inus. V. Idos.
deux choses sous une meme idee, sous une| Inr'ıLio,s.m. idylie: petit poäıne qui ent
meöme nature, n'en faire qu’une. de l’öglogue.
Inentirıcän-se (em, com), v.r.sidenüßer: | Irowire. V. Teizo.
confondre son &tre, son exisienoe avoc celle| ° Iraxız ow Irzante. V. Infonte.
d'un autrc, ne faire Qu’un avec lui.
i Icacisı, 5. f. (t. da Dress) grande jerweä
Ipso, A, adj. (poet.) du Mont Ida. e
meitse de l’eau.
IGN
“loan. V. Ig
IGARVÄNA, 5. m. 4. du Bresil.) navigateur.
+ Ionacıäna, s. f. (1. de bot.) ignatie : arbre
de /’Inde, före de St.-Ignace (siryehmos Ignaii).
Icnino,ı, alj. ignare, ignorant; qui n’a
point &tadie
lonävıa, s. f. Indolence, lächets, poltron-
nerie, manque de e@ur, paresse, inaction.
Icnavo,A,adı. paresseux, indolent; läche,
qui a Päme basse, sans Cuurage, sans ressort,
itron.
Ponzo, Aa, adj. igne : quiest de foa, quion
a les qualitds; de couleur de feu.
Ianıgi6, s. f. ignilion : tat d’un metal rougi
au lea
IcnicoLa, 8.2 gen. ignicole: qui adore le feu.
Jcnirero, A ,adj. (podt.) qui contient ou Jette
du feu. Igniföre : qui transmet le feu.
IcnicEna, s. m. engendrö du feu.
Icnıporknte, adj. 2 gen. (podi.) qui a le feu
soumis & son pouvoir. C'est une öpithete que
les pottes donnent & Vulcain.
Icniro, a, adj.chaud, ardent, enflamme.
Jenxivomo, a,0dj. (podt. ) qui vomit du feu.
Ioxivono, a, adj. ignivore : qui pretend
avsler du feu.
Scnızan-se. V, Inflammer-se.
lonösıı , dj. 2 gen. ignoble : bas, vil.
IonomLivine, # . f. ignobilite, basso exirac-
tion , bassesse
ICnowinIa, s. f.\gnominie, infamie, deshon-
neur.
+ IcnommiÄr, v.
deshonorer.
Icxosınıösamnte, ade. ignominisusement :
avee ignomınie.
lanosınıöso, A, adj. ignominieux.
IcnoriDo, A,p.p. de Ignorar. adj. Ignore,
qui n’est pas connu.
Icnonincıa, 8. [. ignorance : mangque de sa-
voir; defaut de connaissance; vide de Pesprit.
— erdssa, ignorance crasse, grossiöre. — de
direito, ignorance du droit, des lois du pays.
— de facto, ignorance de fait. — supina ou af-
fectäda, ignorance volonisire ou affeeise, qui
a pour cause une negligence coupable. ao
peccar por —,ne pas pecher par ignorance.
Alleguar — , pretendre cause d’ignorance.
lcnoaantiö, OA, adj. aug. de
Iononäntg, adj. 2 gen. ignorant : qui n’a
point de savoir, d’ötude, illettr6; qui Ignore
une chose, un fait,
ICNORANTENENTE, ade. Ignoramment : avec
Jgnorance.
IcnonanTinHo, A, adj. din. de Ignorante.
Icmonantissıno, A, adj. sup. d’Ignorante.
Träs-ignorant, Ignorantissime.
+ ICNoRANTISMO,, 3. m. ignoranlisme : syS-
teme, opinion des 'partisans de l'ignorance des
peup pies.
lcnorir, v. a. ignorer : nesavoirpas; n’&tre
pas instruit, averii, informö de; ne pas con-
er TanoTo, A, adj. inconnu,
a. tralter avoo ignominie,
ICH 677
ICRANAMIZÄMA,, s. /. fruit du Bresil, zes-
sembio aux corises.
lonkıa, s. f. “glise : Vassemblde des chre-
tiens ; leur temple ; leur clerg6;; assembiöde des
Adäles gouvernee par de legitimes pasteurs;
chacune de ses parties ; l’ötat du clerg6 devous
au service dirin ; domaine lemporel du pape;
gouvernement ecclösiastigue du pape,.des con:
ciles et des “r&ques; chapilre ou paroisse;
diooöse.
*Icazsirıo, s.m. V. }petite dglise. Des-
Icazıinna, s. f.dim. | manchera—,(fem.)
delaire, frustrer un dessein, un projet.
* Icanıöa, 5. f. aug. d’Igraja, .
+ IcanıöLa, s. f. V. Igrejda. .
*Ieuino, pP. p. d’Iguar.
Icuir (a, com, de), adj. 2 gen. $gal, pareil,
semblable; uni, qui n’est point zaboleux; rd
ressemblant; qui a los mämes qualitös, pro-
pridtes; egal en noblesse, en nalssance; uni-
forme, toujours is meöme. A—, semblable-
ment, pareillement. Por —, galement; uni-
ment. Ndo ser —, differer. Em — ceso, toutes
choses psreilles. Näo vi cousa —, je ne vis rien
de tel. Z um komem som —, c'est un homme
qui n’a pas son pareil.
Icvaracid, s. f. action d’ägaler. Rgalisa-
tion.
lovaLino, A,9. 9. d’Iqualar. adj. Ras, rast,
uB ®
IcuaLapor, A, 5. celui qui dgale.
JCUALANENTO. v Igualagrdö.
*"Icuaranga. V. Igualddde.
IcvaLin (a,com), v. a. ögaler : rendre egal
(prop. et Ag.); rendre uni; assimjler.
Icvarin, v. n. tre egal.
Icuarän-sg, o. n. s’egaler, se colmparer, se
mettre en paralldle. S’accorder, s6 liguer, s’as-
socier. au niveau. -
*IcoaLvaciö, s. f. partage egal.
lcvaLpips, s. f. 6galits, conformits; unifor-
mite ; rapport de choses &gales;, paritd; droits
tgauz. Correspondance, proportion des parlies
d’un tout. V. Equidade.
*IcvaLpänga. V ‚Igvalagdß, Igualdade.
“Icuaıpin. V.Z
Icviına, s. f. (1. 20p.) "rang, ordre, 6lofle.
JGUÄLMENTE, adv. egalement.
tlcväna, s. f. "iguane, iguan : espece de
l6zard d’Ameörique.
*Icvin. V. Igualar.
Icvania, s. f. " mets, ragott.
Icvarıco. V. Egoarigo.
+ Iramso, s. m. (1. de bot.) Waimbo : arbris-
soau du Bresil.
+TVıro, adj. m. Osso —, (tl. d’asal.) os des
iles, os du bassin. Ilion : os des hanches.
+ ILeoLocia, s. f. il&ologie : trait& des intes-
ins.
ILzon, s. m. (f. danat.) ileum ow ileon „le
plus long et le dernier des intestins grelce.
Pına, s. f. lle: espace de terre laut envi-
ronne d’eau. -— de casas ‚ llot , päld de wuRisons;
#diflce entre quatre ruos,
un IRL ; | ILL
{
ind, 1,9 p- d’Mher: les conditions requises par Is lei; injauie
Jupäzs, s. m. pl. Nauca: oötis de lanimal. an batand dei
Där 095 — , haleter ı baue ie Mamcs , parlant| ituiso, a, adj. saim et sanf; aans teche,
syrlout du cheral. Finder , eacaber — ‚ achever sansalleinie.
Jınin, v. a. Iseler. ILLIBÄN® ‚A ‚ adj. entior, intart, ani ma Das
Yızanpa , 6. m. "ol du eorps humaln, Mans. | &t& effleure „ entame. Sain, pur, s0n9 faehsı
Der d’ — , mat de cöl#. De —, de cöt# , de Lra- | nem Catfammpü.
a De Taten + ILumsaiL adj. 3 gen. illiböral ı aans Jihk-
’ ralise.
insofemment. —s. pt. (fig.) ehtös; fave-
zig, sonsejllers, entoure. Eıtor com as mdes| Yiıummaräun,a, adj. os a. da Vilibirie:
ville d’Espagne.
> os pot ä deux unsos (fam.).
Yımangind, v.m. le [7 17} dune psau. Izsschno, a,P: 2 d’Ikiger:
Inzıcanön, A ‚5. trempeur, frandnleus.
“ILuanaubiae. v6 .
Iunto ou— tu, 6. wm. partie File on tie kormde | Iuumis. V. Untüre,
ILzıcan, o. a. (rauder, escroquef.
per des rochers © Grme de wurennt. \.
Dheta. Iruosae. V. Alliaier et Iligar-
Iıwle, Oh, al. m. insulaine. Irıisıo , 6. m. efrande, wramperie ‚escroe®
fintri, V. Fäte.
rie.
Iruscırauburs ‚ade. illiollement.
Irticırg , a, adj. ilicite, defendu,
Iıııino , &, p. p- de
ILuir, 0. a. (Ag,) dötrnire en rölatanl.
Iuumrine, A, ad. illimit ı qui n’a poin de
limites , sans barnes.
IuLochvgi, adj. 2 gen. qui n’occup® point
d’espace.
ILLucınäno. V. Ziueiddda.
ILLunante, adj. 2 gen. dboevant, Irampptt.
lııveine, A, pP. 9. de
ILLUDIR, ©. 6. se moquer de, rajllor, insulier
Se jeuor da queiqu’nn. Tramp#r, Jouer, dece-
volr, frustrer ; tourner eu ridicule, mysüßer.
Icıwuran. V. Iluminar. an
Iuxommacäö, s. f. illumination : gcloR dl
Inminer, son alleis; (OuX employds A Villumins
tion ; tat de ce qui est iNumind; grande quss-
titd de Iumiöres formanı des Aguret- MN Le
mitee exirsordineire quo Dien r&pen dans
Fame. Eniuminure.
und, 8. @. aitiet paur y passen un lanel.
ug das wilas ‚ elß., ($. de mar.) millais des
w eis. + das oßlas para 01 0nB0T 90", (id,)
willets d’envengure.
Jında ‚Bd. f. fbeaıme Insulaire.
Sundra , a. f. din. like. ? Jlot : posita In,
Sıuörk, a. m. potite tlo disarte , lol,
ER br s. m. din. d’Jihole.
# Yalaot,, 6. }Misgen » (4onlope algnd) dans
Pileum ; palique de misereöre.
Hiiaco, A, adj. (1. dansk.) Hisqus ı de li-
leum. Der —a. V. Tliaca. (1. dam. es pedi.)
D’Ilion : de Frole.
ILiapa , s- f. Minde : poßme spigus A’Hamerg
sur la prise de Treie. .
I1ıclapon. 7. Fllipador.
Jııchnıo. V. Hokiconio.
1110, s. m. V. Ilsom. (f. de göog.) Troie, Ilion,
Iragä6, s. f. industien. Censöquenoe.
+ lıLaosaine, A, adj. qui n’eat pas döohire,
4 ILLacBaÄVEL, adj. 2 gen. quo l’on na pen
dechirer. ILueumäno , A, P 9. Hllluminar. od. (a
Fo lııscamivar, ady. 8 gen. [podt.) qui ne | Hluströ; Perg
eure jamals. V. Inısorassl. ILLumınapes , A, % enluminenr: gui onia-
ILıirso, a. m. "ehuts deuss; infisence dirine | mine les enlampes.
sur ’äme. lllaps, extas®. Irrominänos, 0. m. pl. illumines : membres
ILLaquaäno, A, 9.9. de d’une association seordie d’amia du iheisme, de
Pindspendance ow röpublique universelle.
Irumınän, v. a, ilaminer : eclairer, Yo
dre de la Iumiöre sur... ; (Ag.) $clairer (Tämt,
Pesprit ); faire des illuminations. Enluminef :
oolorer une Ägure, uns esiamp®e. ,
ILLUNINADISSIMP OW -TIESIMQ, ds edj. of
d’Illuminado. ,
Iuuuuimarıvo, A, adj. Muminatif : qui» a
vertu d’illuminer, d’eclairer (l’Ame, Pesprit).
+ Iuuomnisso, 5. m. luminisme : sect,
deotrine des illuminds.
ILLumınöna. V. Alle .
Iırusäö, s. f. illusion, errear; SOng®, tanl-
me; apparence Irompeuse aux yeUX, a Fimag
nalion; tromperie du demon. Sorte d’iron!®
vive et piquante. (vieuz) Moquerie.
+ jıLusivo, a, adj. lauR, trompear, fanlasl
u6.
"ıriso ‚A,p- p- ier. de Jlndir, oij. Tran:
ILLagqusän, v. a. prendre dans les Klets. V.
, Buroder. vo. n. Tomber dans les lets.
A) Suceomber & la tantalion.
LLärivo, a , adj. illatil : don! OR inlöre.
Irıtcannas, 5. f- pl. (PM ws.) amorne, ar
traits, charmes ; Car&SsSsO®.
ILLäCEBRO , &. m. (inwe.) V. Illöeebras.,
ILLecaL, adj. 2 gem. llidgal : contre la loi.
ILuneauınäne ‚a. f.illögalite: paraciäre de on
qui ost illegal.
+ ILLBoALMANTE, ade. Illögalement ı d’une
maniöre illögalo, sontwaire aux lois, aux for-
mes.
ILLEGHTIMAMENTE, ade. illögilimement ; d’une
maniedre Hlögitime,
ILızammıpäne, s. f. illegitimile ı dafsut de
%gitimite.
ILıucrrmän, 0. a. rondre illegilime.
Icıachtıno,, A, adj. illagikisne : qui n’a p98
stäuit, surtent peu das Himalens de ‚dimmen.
Attraps, dups, jous. Bruhausiasts, ählani; fa-
ge, visienneise.
ILuusßa +6 BF. Meqneur .
ILLnshassuäuze, adv. illuseirement.
ILLusönıo, A, adj. illnselre ı eaptisuz, q
tzampe pa> une AppARenGe shduisania; ande,
sans eflet.
Itunernagib, s. f. illaminstion, slarte, Ju-
miere. Inspiration , windlatipu divine. Illustra-
‚espiitellen, solaisciseament. .
ILLUSTRÄDO, a,P. P- d’llusirer.
Isupeenanda, &, ad. eis qui illusiss ou
selsircis. Raplisstif, qui dalaireit.
Iuvsraiuen, ad. 8 gen, simi illusize, 2+ @.
Inımeenie, o. #. illusizen, m illusize,
donner du lustre, de l’eclat. Eclairer, illumi-
ner (nuap. ei Ag.). Tnspiren, Splairer inlarieu-
rement. Eıpliquer, eclaircir.
ILzussnis-AB, 8: 9. llinstaer ı aeagueris de
le o£löbrits
Iundsran, adj. 0 gun, illusire : Aelatans, ed-
bye par In marita, la noblesse , ala. Fex-e—,
il s’est rendu illustse.
IunueVaRmauTs , ad. A'una manidre illustre,
avee dclat; noblement.
IaLunraissıun , a, adj. up. d’lllusire. Ulns-
Wwissime, ine-ilasıre ı Use d’banneuz,
JLLvr’aıco, A Jliyrien ı de Vlliyrie,
JuLvago, nad. UY® ‚ Dalmatie.
IsöTe, s, m. ilota ı esalave A Spare, Laosdd-
mone.
Iuigau,o. f. image: vopresentation om sculp-
nee au en PPiniste ; esiampe, dessin; zepne-
senistian dans Vidte ou la meineire; Fessem-
blance. (Ag.) Beau visage, surtout de feıume.
Imsoausinna, &. f. diem. d’Imagem.
Isacınackö, s. f- Imagination : fasulis d’ime-
gines, d’inventer; vision, chimöre, appröben-
sion ; pausde, idee; faeulis de l’ame de se re-
prösanter vivament les objeis, de se lormor des
images. Nän pesser pela — , ne pas passer par
N’unegination , aa pas vonir dans l’eaprit.
Imanıpioe, &, 7: Pd Imaginar.
ImARIEaARAR, 4, 6. qui Imagine.
Imacmin, ©. e. imaginer : croer, foroser,
eamkines, es vopaksenias dans son esprit; for-
mer en idee; croire; se persusdar; invenier.
a ». Imeginer,aa faire une idde ; s’imaginen, se
Oguros sauna um | viel.
Jmacınänsa, s. f. senipture A’imagen.
NARISÄMENRUTS , ade. d’una maniäre ima-
ginaire, en Imagination,
Jmagnanıp, A, ad, imagineire : Id6el, qui
n'est que dans l’imagination; sans realile. Qui
peut dire ou a 646 imagind. Kspagos —s, eapa-
cos imagipaires, Jue nous concerons ay delä
du monde reel.
Imacınanıa , 3. m. seulpieur d’imagos.
Imscıyariva, & fı imaginalivg: 1: (soulis d’i-
ıpaginer, d’ invonlaf. Imagination.
Imacıyarivo, A, adj. imaginatil : qui ima-
gine sigement. Visiennaire ; imaginaire.
IMM u.)
IsassuÄvg: ‚adj. 2 gen. Iinaginable ı qui pqut
s’imaginer.
Iyan, s. m. alimanı ı plarre, mindral fer-
rugineux dlectrique qui a subi l’sation de
feu, qui attire le fer, et gui dirige natuselle-
ment vers le nord une de aas prirömitdg ou
poles; (Ag.) co qui attire, co qui gagne I
caauzs. Iman : pröise mahamatan qui pröside
une mosquöe. — aweöndep, arseni
IussciL, adj. R gen. faihla, 4ans viguenf.
Imbecile,, faible d’esprik,
Insecıuinäos, a, f. faiblesge, mangya de
force. Imbäeillis,, faiblenge d’esprit.
Iusson.rzing. V. Bafrgqweeide.
InstıLe, adj. gem. faihle, lache, Pau Bir
m ala mens V. Frece,
MBERBE, 2 go». imsharhe : sans Danke.
Jusico. v Eubigo
yilupascino, &, adj. (4. da bot. td’ Kin). nahe
imbriga6: (tuiles, &cailles, feuilles —es) digr
posdes an talt.
Inpricacäö, s. f. imbrioslien : suparpasitiam
de vorge , de feuilles, W’oczillen, ala., qui #en-
ohässens enise eux comme les hrigues dm
toit.
+ Imsalezno, A, adj. ı 904.) pluvienz, qui
amene ia pluie,
Iunufee, 4, edj. (A) imabu s instruit, ram-
pli, pendtre. 9. p.d
Iusufr (em), ©. 8. . indules, porsuades, en-
deeiriner, amboucher. Pougser, partee (A).
Iuauin-az (sm), ©. v. sa pendissr de.
*Insöre. V. Imbuide. .
* [MIGANENTE.
* ISIGAVELNENTE. } V. Intmigamenig,
* Inıcioo. V. Exide.
* Inıco. V. Jnimuige,
lursacid, e. f. imitation. 4’ m, & ’imltation,
& l’exemple.
Inmipo,A,p.p. W'Jmiige. edj. Qui imite,
fait & !’imitslion de
Imıtanon, A,S8. imltatenr s gut imlte, s'sttg-
ehe A imiter.
Imminre, adj. 2 gem. imitant : qui imite.
p. a. de
Inıtan, e. 6. imiter : ppendre pear ssumple .
suivrö un modele ; prendre le style, Pespril, ha
maniere. > a sews maigrss, marcher sur les
pas de ses anc#tres. — 0 mod4lo de, sa modeler
er imwarivo, a, adj. imltatif : qui imite ; qui
a la facaltd d’imiter.
Inırävsı, ed/. 2 gen. imitable ; qu’om peut
imiter ; digne d’etre imits.
ImravsLiaeıno, a, dd). sup. d’Imiiavsl.
® Imızane. V. Inimiz
InwacuLino,A, adj. immmasuli ı sans tache
de peche.
ImmAactLävgL,ad. a gem. qui ne pont pas Oro
maculö,.
InuacuLipäns, #. f. la qualiis d’sire imme-
eul&. V. Pureza.
t ImwaLLzÄveL, adj. 2 gem. qui nie 1 pn
malldable,
us0 IMM
IumAanßıTE, adj. 2 gen. immanent: qui Je-
meure Jans, (mi est contenu dans.
IMMANıDÄDE, s. f. insensibilite , craaute , l&-
recitö, inkamanite.
fumanissıno, a, adj. sup. de
Imwino, A, adj. Inhumain, föroce, orwel,
Intraitsbie.
Imwanczsciver, adj. 2 gen. immaroessible :
qui no peut se ötrir, Inoorruptibie.
Iumarzrıär, adj. 3 gen. immelöriel : sans
matiöre ; de pur esprit.
IMWATERIALIDÄDE, s. f. immatörialiiö : ötat,
qualitö de ce qui n’est pas matiere.
$ IMMATERIALISTA , 3. m. immatsrisliste : qui
prütend que tout ost esprit, que les sensalions
sont mag imalren, ideales , et que !’anivers n’ost
d’Otres ponsants.
Inmaröno, A, adj. qui n’esi pas mär, om en
zmaaturits; bers "de saison. Preoinalure, proci-
Pi.
Inuunuaciö,s. f. contigulte ; liaison imme-
diate. Immediation.
Inundıitamänte, ade. immediatement :
d'une Maniere immediate, sans intermedielre.
—, aprös,, inconlinent, aussilöt apres.
inuesiro,A, adj. immediat, contigu; qui
est produit, qui agit sans intermödieire; gei
agit sans mibleu ; qui suit ou qui proedde sans
Intervalle.
Insemonivzı. V. Immemorial.
InuzuortaL, adj. 2 gen. immemorial : dont
Porigine iresaneienne ost inconnue:; dont il ne
resie aucune m&moire, aucun Souvenir, Acause
de son extreme antiquile. Sanctuario relebre
de lempo —, sanctuaire celöhre de tout tenips.
Inuzmonıävgr. V. Immemorial.
JuUNENSAN&NTE, adv. immensöment.
iumensınäns, 5. f. immensile : grandeur,
#tendue immense. Multitude,, grand nombre.
Imutunso, A, adj. inimmense : d’uue grandeur
demesurte; sans bornes, Sans Mesure ; Irös-
grand ‚ trös-stendu.
InnEnsuräveL, adj. 2 gen. inoommensure-
bie : qu’on ne pont mesurer.
+luusacen, v. a. immerger : plonger dans.
lMNSalTamänte, adv. sens merite, sans l’a-
voir meritd ; Sans raison.
+ lungaıro, a, sdj. immeritö : que l’on n’a
merite.
iuueasiö, s. f. ımmersion : action de plon-
ger dans un liquide; eninde d’an astre dans
l’ombre d’un autre ; coınmenocement d’sellpse.
luuinso, A, P. p. irr. d’Immerger. adj.
Submerg®, plonge.
Iuuzason, 3. m. celui qui baplise par im-
mersion.
*Inmioo, V. ie
IMuın&ncıa, 8. r Inminence : qualil& dece
qui est Iimminent. V. Eminencia.
lumin&nte, adj. 2 gen. imminent : pr&s de
tember sur ; menagant. V. Eminenie.
IMMISERICORDIOSO, a ,adj.immistricorlieux:
"SONS COmpapsion.
Iqwirs. V, Brario, Bering.
Isurzısäpe. V. Inöwdsnde.
Inmössı. V. Iamevsl.,
InwosıLipäne, 3. f. immobilits : dial, qui=
lit6 de ce qui, de celul qui est immokils.
Iumopanaciö, 8 f. son : dölsnt
de moderation ; exeds.
Imuonenipauänte, adv. immmederdenent :
sans moddration, avee oxeös.
Inmopeniso, A, adj. immodtrs, exesssil,
de6mesure , outre. Dörögie.
Insopgsramänve , ade. immmodesisment :
d’une maniere immeodeste.
luwontstia, s. f. immodestie : autien Immmo-
desie ; man wo de modestio , de pudeur.
IMMODEST ‚A,adj. sup. de
Imuootsto, a ‚adj. immodesie : sans modes-
tie, contraire & a modestie, aa pudeet, dla
chasteis.
Inmönıoo, A, adj. exsessll, d6mmasurd; Tü-
perüu.
InwoLaciö, se. f. immelstion, acılon d’im-
moler.
Iuuoriv0, 4,Pp. pP. d’/mmolar.
InnoLapen, A, 3. oelul qui immole em sarrl-
ice: immolateur, sacrißeesiser.
InmoLir ,v.«. immoler : offeir en saorifce;
(Ag.) sacrißer.
JumoniL, adj. 2 gen. immoral : oontraire ä
la moreie, aux mEurs; Bans m@ers, aM
prineipes de morale.
IuvonaLipäne, s. f. Immorelite : opposition
& la morsle; ıuandue de meorale , dist de oe qui
est immmoral.
Inuortin, adj. 2 gen. immortel : qui west
point sujet a la ınort, (Ag.)d’une longue dunee:
dont la meinolre est ow deit @tre @termeile; gqei
n'a pas de fin.
InuontsLioäne, 3. f. immortaliiö : qualilk,
eat, condition de ce qui est immeortel au ne
pout mourir; esp&oe de vie perpötuolle dans [)
souvenir des mortels; vie, avenir dternd.
INMORTALIZADO, A,» p- d’Immortelizer.
JMMORTALISADOR ‚A, adj. qui immortalise.
InmortaLizän, 0. a. immorlaliser : rende
immortel dann la meömoite des hommes. Ren-
dre immortel, “terniser. I est aussi recipro-
ue.
INHORTALMENTE , ade, d’ene zaaniedre Immer-
telle : dternellement.
Ismortmwicacäö, 8. f. Immeortifiostien : vie
contraire & ia mortilicatlien ; “tat d’une per-
sonne qui n’est pas mortifiee.
InuoRntisicano, A, adj. immeortiß6 : sensatl;
qui n’est pas mortißie.
Iusöro, a, adj. immobilo : qui ne se men!
point.
luuövzı, adj.2 gen. immobile : qui ne peut
se ınouvoir; (flg.) ferme, constant, inebran-
lable.
+ Inuövrı.menTe, ao. sans se remuer.
Iumunivarn, adj. 2 gen. immuab!e : qui ne
change point de nature; Invariabic, qui n'est
pxs sujet au changement.
laurprcen, etc. V. Emmudecr.
# IMP
Tauemict , s. f. immondice, ordares. (ig.)
Impurete.
lIunsönpo, a, adj. hnmonde, impur, sale.
Bıpirito —, esprit immonde. Epithöte que V’6-
eriture sainte denne & ’esprit malin.
lusüng ‚adj. 2 gen. franc, libre, exempt. Qui
jorit du privildge d’immanite.
Inuoxıpäpe, s. f. immunite: exemption d’im-
püis, de deveirs, de-charges: privilöge. — cc-
eltsisslique : exemption, privilege de l’&glise.
InuuTABrLIDäDE, 5. f. immmutabilit6 : qualita
tiat de co qui est immutebie.
Inwırin, o. e. obanger, translormer. ( ig.)
Causer quelque alteration dans l’esprit. 11 est
aussi r6eiproque.
lusurävsL, adj. 2 gen. immuable : qui ne
thange point de nature.
* Iuos pour VAsos (nous allons).
Inrıciö, s. f. hydropisie des faucons.
Iuracıencıa, s. f. impatienoe: manque de
pelienoe ; agitalien, sentiment d’imguistude
ssase par la'douleur, l'altente et V’espoir.
INPACıznTäno, A,P. 9. do
Iuracıasrän,, 9. a. impatienter : faire perdre
Miienee; ingaister.
Inracıturs ‚adj. 2 gen. impatient : qui man-
que de palionoe; ei ne peut supperier. Har-
gueuz.
INAGENTEMeNTE „ode. impatiemment, avoc
impstienes, inguietude , chagrin.
InPAacıEXTissımo ‚adj. sup. d’Imparisnte.
Iweicro, a, adj. (1. de med.) On le dit d’une
Mumeur, eto., fixde sur quelque partie du
corps.
InrıciveL, adj. 2 gen. impayable : qui ne
peut op se payer. (fg. ) Trös-pröoieux , sape-
Reur & lout prix. Zsia cousa d—, calte chose
a lant de prix qu’elle ne peut se payer.
IuraLrävgr , adj. 2 gen. impalpabie : qui ne
peut se sentir au toucher; si An, si delie qu’il
tchappe au tacı.
Furın, adj. 2 gen. impair : (nombre) non
multiple ‘de demx ; qui ne peut se diviser en
deaz nombres omtiers &gauz.
Iurancıkr., adj. 2 gen. Impartial. qui ne s’at-
tische eselusivement et par prelörence aux in-
r&ts de personne; qui n’6pouse aucun parli,
ne prend pas parti pour ow contre quelqu’un.
InPancıaLıpäpe, 5. f. impartialils : qualite
de ('ire impartial. .
InrancıäLMANxTE , ade. impartislsment : sans
Partislite,
+ Iurancıazızär, v. @. (p. us.) rendre im-
parliel.
t invanrivzr, adj. 2 gen. imparisgeahle:
qu’on ne peut partager, demembrer. Eu lermes
de palais, on dit impartable.
INPASSIBILIDÄDE, s. f. impassibilitd: qualits
de ce qui est impassible.
ft InrassınıLizän, 0. @. rendre impassible.
InpassivaL, adj. 2 gen. impassible : non sus-
eeptible de souffrance. Qui souffre avec un cou-
rage qui le fait paraltre insensible.
Inrastackö, 5. f. eneistange Jo pie.
IMP 63
lsrAvinamente, ade. Intröpidement.
Inravınkz, 3. f. inteöpidite.
Inrivmo, A, adj. Intröpide, qui ne craint
rien , sans peur.
IMPECCABILIDÄDE, 8. r. impeccabilits.
ImescciveL, adj. 3 gen. impeccable : inoa-
pable de pecher, de faillir.
IMPSCCATRLURHTE, adv. d'une manidre im-
peccable.
INPROxaNEcER, etc.
Iurepernia, eic. }v Empeder..., 616.
Ineroıcäö, s. f. " empeohement.
Inpabino, A, p. pP. d’Impedir. adj. Perciut
‚de ses membres. Oocup€, affaire.
tImreoioön, a, adj. et 5. oelui om 00 qui
empsöche.
+ Inpupıturg, adj. 2 gen. on le dit d’an em-
pechement qui rend le mariage illioile, mais
non pas nul.
Iurzotu£nTo, 3. m. emp6chement, ebstacle;
ition. —, circonstances qui rendent un
mariage nul ou illicite.
Inpznin, 9. a. emp6cher, meitre obstacle.
Embarrasser: gener la liberte# des mouvements.
Iurzorsivo, A, adj. qui empeche, qui 8’op-
pose.
InPELLENTE, adj. 2 gen. qui pousse ; qui ex-
eite.
Inp&LLino, a (de),adj. pousse, excite. 2.p.de
InrELLir, ©. 0. pousser, meltre en mouve-
ment, donner l’impulsien. (es, de, em) (fg.)
Pousser, exciter, animer, induire , porier &.
Inrendente. V, Imminente.
Iur£nETaanıLipäpe, 8. f. impenötrabilite :
gaalite de eo qui est iImpendtrable, de ce qui
rend impenetrable.
INPENETRÄVEL, adj. 2 gen. impenetrable :
qui ne peut (dire pendtre (propr. ei flg.); gei
jouit de la propsiete de la matiöre, dite impe-
netrabilitle.
INPENETRAVELMENTE , dt. impöndtrable-
ment.
ImPExıTÄxcıa, 8. f. impenitence : endurcisse-
ment dans le peche
JurENITENTE, adj. et 3. 2 gem. impenitent :
endurei dans le pöche ; quin’en apas de regreai.
IurensiDauextE, adv. inopinement, Sans y
‚a l’improviste.
Inpznsino, A,.adj. imprevu, inopine, inal-
tendw.
Imrznioo, a ‚p- p. d’Imperar.
InpeRADOn, a. m. empereur : chef, souve-
rain d’un empire. (l. dani.) —, titre donne
aux gendraux romains.
INTERÄNTE, 8. m. roi, souverain. adj. Domi-
nant, regnant. On le dit, en astrologie, du
signe qui domine dans le th&me cölosie.
InpERÄR, ©. 6. tommander avec aulorile,
donner des lois. v. ». Rögner, gouverner en
qualit6 d’empereug, de souverain.
IMPERATIVAMENTE , adv. imperalivoment :
d’une manidre Imperativ,
Imernarivo, A, adj. impäraill, imperienn,
qui vommande avap auteriid. Mode -, au im-
a
peralien, ende. s Umpireli, mode du varbe qui
indique que Fon
4 imaukssönıs , & fe (k de of.) impörateire ı
angöliqus frangalse, benjoin fsangele, plante
4 Insuaaränie, 4, adj. imptsiel : qui an | ata
vorne l’empersur.
Iuenaazais, s. f. im
empereur ou (onıme gl est chef an ee me
IPERcRPTIYRL, 8 gen. imperonptible ı
qi ne peut &tre sendi, apesgn, (Ag-) Difäelle A
comprendre, ä oenceveir.
Inpzacerrıyzıyänık, ade. Imperenplible-
ment : d’une maniöre impamesptible; peu A
mu; Insensiblement.
ı femme d’un | hie
IMP
Ipunlaauänın „ade, WR IERATBL EN byppine
peu instruit.
lurgaivo, a, ads, Ignogant ı qui mangu
dhabilets, de gavals, W'azperienoe,
AERHANÄNGA , & f. instehlliig, in
InrEnmanßnTz, adj. 2 900. ui But DM ME
.ehangaent, muabla, ippanstanı,
INPERNAURNTENRUTB , d'une wanlgs
Termrıntenn, «.f s fı impartinengp, aslilse,
extravaganoo. Mauvalse hamenr qui fall +
vor taut deraisanngbie , ou A
sea absurdes. Importunite, inatencon Ialigan-
tes. Exactitude trop scrupulaueg dans op an
ar lnpenseivar, adj. 2 gen. imperissable :qui | fais,
peut pörir; qui me peuf Slre andanil.
"upnarzigis, & f. Imperleotien :ı manque,
defaut qui empöche la perfection ; (autelögere,
Ispanrsıgoäne, 4. 7. Imperfoiie, P n.de
Inpgarsıgoha, 9. @. (P. us.) sendre impes-
fait.
+ iupzarsrrauburu, ade. imparfallement ı
d'une manidre Imparlalte.
Iussastıro, A, adj. imparfait « qui mans pan
achev&, parfalt, complet, qui a des defauig,
des imperfeatipns; A quei Hl manque le sem-
löment. Preidriio —, imparfsit : temps des
bes.
ineanıiı, 5. (t, de bet.) V. orte imperial
iursaılı, adf. 2 gen. Imperial : de l’om
reur, d'empeseur, d’un empersur; de P
Grand : distingu6 dans sen genre.
Igpanıazs (05), €. m. pi. les Imptelauz : taou-
Ben, ministees, agpmis de l’empereur d’Au-
triche.
+ imranyaulssa, s, m, impitrialiste ı partisan
d’un empereur.
jurzasi.ukuve, ade. d’ung mmanidse impd-
rlale.
Iupnufcıs , s. f. impöritie : iguaranse dems sa
profession ; defaut d’habilet® dans une prefes-
sion, un dtal, am art,
Imrenıo, s. m. empire « vemmandement,
uissanee; auteritd; domination; monarehie;
tiendue, sa durde; durse du Fögne d’un
pmperour; diendue de pays sous la domination
d’un empereur, d’un grand roi. Ton imperieuy.
._ miro, poavelr abselu du prince sur ses su-
jeis. Möro—, pauvoir accord6 par le prinoe
aux seigneurs et magistrats peur rendse la
Justlos. — mixto, peuveir de juger, surtout en
matitre eivile. — das ondas, (pedi.) la plaine
liqgide, !’empire de Neptune. — de si mesme,
ompire" sar solmeme. Ter — sobre alguem,
avoir de ’assendant sur quelgqu'un.
lurzasösauture, ade. Imperieusement :
d'une manidre Imporlouse , avec hauteur ; avec
ergueil , superbement ; d’un len imperieuz.
f Iurzrıosınäne, 3. f. Imperiesite : qualils
: de Pimspöriong ı hauteer.
auranıdso, a, adf. impögleux : allier, hau- | nits
teln, qui oomınande ares bayleus, aucs Of-
puell;(ßg.) d qui Von ne put nösisier.
INPERTINENTE, adj. 3 gem, jm u.
tanler. Farlasgıe. marase, Brropalus p'
_} I} Bi
nutisuz. Öreumelaneiss ve, ciragmstanens gel
articles impertinonts, qui n'anı rien da AUS
mun avoo le fond de IA aanse.
IurnarTıusuranüuen, ade. Imppastinsinmmm!:
avec impertinenos; mal & PERpB@6; 5408 MaN-
valse humser,
IurznroggasıLmdpe, 6. f. impestarhabilild:
tat de ce qui est impertarbabie; &tat de !äne
tranıpuille , sane tpeuhle.
INPERTURAÄVEL, vEL. od. 2 gan, imnpasturbable
quer ne pont tsoubier, ieewrei; wenauik.
INPERTERBAYELUENTE, ade. iM
ment: d’une maniöre imporia
Inrtavıo, A, adj. per Dre l’on ne peut yaması,
ineogessible; nötegble.
Impussolr. ‚od/.Igom. Impersgnnel ı (vaobe)
qui ne se opnjugue qu’ä la taaisidzue PETSORM
du singulier.
E’yr2ro, s, , "impetuosikk, vielenoe, elan-
ooment, ellort impetueuz; wivaniis oriwim
dans l’humeur, ete. Seir com - , saillis,
Iurzrnagsd, s. f. impetratiam : nbtentisn,
action d’obtenir, d’impeirer um heudfias, Mit.
Inrgraino, A, p. p. de Jmpsierar.
ImparaAnre, adj. 2 gon. immpötranti, qei ir
pötre, qui obtient. p. a. de
{ursrrin (de), o. a. impsisae : ahlenis PR!
ses priöres, par une roqudle.
IuRETRarönıo, A, adj. qu’en rei impe®-
InpETuösautntg , ado. impbiueustmrel
avec i ib.
Inrgruosınäns, s. f. impetuosite.
Inperossissus, 4, adj. sup. de
Inrgtuöso, a, adj. impstueux, vehkmenl,
violent, rapide, Teuguug; srop vi, anperie-
Inmanäns, ete, V.Z , Me.
PMPIAMENTE, ade. AV06 impiel6; impiteyable
ment.
* Imrınöso , A, adj. omharsansd , diicile, W-
Impinpann, #. N) impidte 3 maöpris pour lare-
Nplon; parele, asiien Impis: Gruauis, iabumt-
Iurızpössmäwen ‚ade. impitayablomaeı.
Inmiuntge, 2) a. impieyahle,
IMP
Inpicgu, s. f. dartre : maladie de la pean.
furılssımo,, a , adj. sup. d’Impio.
mpinar
Iurınoir, v. a. (#. pop.) deblter; faire ac-
croire ; fatiguer par un discours. Appliquer (un
soufllet, atc.).
I’urıo, A, adj. impie ::sans religion, qui kai
est opposet; qui la meprise, l’offenge. Cryel,
impltoyable. Scelerat,
Yurinzo. V. Empy’reo.
ImpLacasıLinine, s. f. implacabilitd : perss-
verance dans le sentiment.
JueLacäveL, adj. 2 gen. implacable : qui ne
peut Etre apaise.
IMPLACAVELUENTE, adv. Implacablement :
sarıs pitie,
InrLantino,A,p.p. de
.MPLANTÄR, d. a. implanter : inserer ; planter
dans ow sur.
ImpL£xo,&A, adj. Implexe. Entrelace, entor-
ulle.
Inrricacäd, s. f. implication : contradiction
des termes d’une proposilion, Complication ;
embrouillement.
ImpLicino, A, p. p. d’Implicar. adj. Contra-
dictoire. Engagd, compromis. Embroullle.
ImPLicanör, 8. m. celui qui implique.
Imrricäxcıa. V, Implicagdd.
InPpLicir, ©. a. impliquer; engager, emhar-
rasser; embrouiller. v. ». —, renlermer cop-
tradiction ; &ire incompatible.
Imruicän-se (em), v. r. s’engager, se COm-
promettre dans une affaire,etc.; y prendre part.
S’embrouiller. — n’um erimg , €ire complice
d’un crime.
+ Imruicatögie, A, adj. pe qui impliqua
eontradiction.
ImrLicırantnte, ade. implicitement.
InrLicıro, 4, adj. implicjte, compris tacite-
ment, sous-enlendu,
Imrronacäö, s, f. action d’jmplorer.
InpLoräno, A, p. p. de
lurLonir, u. g. implorer: demander avco
ardeur, bumilits; invoquer, avoir recoyrs d.
Impruminp, 4,p.p- de
+ Iuriumir,c. a, garnir de plumes, emplu-
mer. 0, ». Se couvrir, se garnir de plumes.
ImpLuns, edj. 2 gen. qui n’a point de plu-
mes.
InroLino, a, adj. qui n'est pas poli, gros-
sier. Diamanie —. V. Brula.
ImPoLL6ro, A, adj. pur, sans tsche.
Imeonsksäysı, adj. 2 gen. inexprimable ;
qu’on ne peut peser ou apprecier. (1. de phys.)
Iınponderable.
Imror (a), v. a. imposer un tribut, une obH-
gation, etc.; faire un devoir, imputer atort, a6
euser faussement ;donner (unnom). ((.d’impr.)
Imposer : disposer les pages sur le marbre,
jes serrer dans les chässis. En imposer, irom-
per, abuser, faire accroire. 11 est quelquelfois
neutre dans celte acceplion. A religido nos im-
pe o dsver de amar a palria, la religion nous
fait an devoir d’aimer la patrie.
IMP
IyPön-sE, v, r. s’jmposer, s’infliger (une
Pome )» 80 donner anne täche. S’arroger, s’attri-
uer des qualit6s que Yon n’g pas, — um
Addlgo,, s’arroger la noblesse.
Inponracäö, s. f. importatjan : intgodgollon
de marchandises ötrangdres,
Inrortino,A,2-.9. 0 tar.
Inronransr, s. m. Impottateur : celuf qui
Importe une denröe, ung ohase, d’un pays dans
sien.
‚ Imronräncıs, s, f. impartaneg : oe gel jend
impartant; credit, autaril£, prix, grande place,
grands mayens d’agir, M’influer. — de vonie,
montant d’un comple. Fazer-se homem de —,
faire l’important, Ndp dar — q... , attacher peu
de prix ä...
IMmPoRTäntE, adj. 2 gen. important, canal
rahle, de cons&quence. rranl ana
IMPORTANTENENTE, ade. utilement, ayanla-
geusement , d’une manidre jmparlanie.
„INTORTANTISHND., 4, 0dj- sup, de Impor-
Inronvir, 9.0, er faire venir du de-
barg dans san pays, (em) v. 9. Manter 4, valgir
ow coüter; monter, se monler, faire un total.
(e) v. imp. Imparier, Oire avantageyx, de con-
sequence. Que me immarla} qu’esi-ce qpe ce
fait? qu’importie? N4o imparta ,n’imparie : ceja
ne doit pas empt£cher. 0 que impurla d merecer
9 premio, ndo gankal-n, co n'est pas Laut d’em-
porter le prix, il fayt lo meriter
ImvonTävEh, ed). 3 gem. qu’on peut im-
rter.
+ Inrönte,, s. m. montant: total d’un campte.
Imponruuagkö, s. f, Importynits : domande,
inslance imporiune,
IMPORTUNADISSIMO, A, adj. sup. de
Iqrontunäno, a, p. p. de Imporiumer. (de,
por) adj. Importune.
]MPORTUNADOR, A, 3. qui impertune. V. /m-
poriumo,
INPORTYNAMENFE, ado. Imporlundment, avec
importunits. Hors de saison, mal & propos.
Imporrunär (com), ©. @. imporiuner : incom-
moder, fatiguer, döplaire par ses assidulies,
ses discours,, s0s questions, eic.
Inrontunınapg, s. f. jmportunite,.
IurorTunissımo, A , adj. sup. de
Inrontöno, A, adj. importun : deplaisent,
fächeux, qui inquiete, faligye, incommode;
qui cause de l’ennui par son assiduild, ses
propos; incommode, genant, embarrassent,
fatigant. Qui est hors de propos.
Imrosıcäö, s. f. imposition : aclign d’impp-
ser; impöt.
IurossisıLipänz, #. f. impossibilits. Impnis-
sanıce,
ImpossısıLıTäno, A, adj. qui est dans l’im-
possibilite. p. p. de
ImpossısıLıraa, vo, a. rendro impassible.
Metre dans l'impossibilit£.
IMPOSSIBILITAR-ER, 0. Fr. se mellse dans P’lıp-
possibilite; devenir inhabile,
IurossivuL, adj. 2 gen. impgssible : quj ne
83
684 IMP
peut &tre ou se faire; ( Ag.) extiremement diM-
cile. 5. m. —, chose Impossible. Ninguem esid
} a fazer impossiveis, A l’impossible
nul n’est tenu.
ImrossivELM£NTE, adv. avec impossibilite.
Inrösta, s. f. (f. d’arch.) impoSte : espece de
pelite corniche sur laquelle pose un arc, une‘
voüle. .
Impösto, s. m. impöt, imposition.
Jurösto, A, p. p. irr. de Impör.
Impostön, A, s. imposteur, fourbe.
Inrostöna, s. f. imposlure : action de trom-
per mensonge; calomnie, fausse imputation;
ypocrisie. V. Embduste.
Ivrotencıa, s. f. impuissance: manque de
pouvoir, de forces, de moyens ; incapacite
d’engendrer.
lmroreate, adj. 2 gen. impuissant : sans
pouvolr ; incapable d’engendrer ; ( Ag.) incapa-
bie de produire son effet.
+ 1MPOTENTEHENTE , adv. sans pouvoir, d’uno
maniere impuissante.
IMPRACTICABILIDÄDE , 8. f. impraticabilite :
qualitö (d’une loi, d’un projet, etc.) imprati-
cable.
ImPpRacTicavgL, adj. 2 gen. impraticable : qui
ne peut se faire, s'executer ; qu’on ne peut pra-
tiquer, parcourir (route, chemin—); par ol on
ne saurait passer.
Inrrnecaciö, s. f. imprecation,, malediction ;
souhait de malheur fait contre quelqu’un.
Inrnecin, vo. a. faire des imprecations.
+ Iuraecativo, A, adj. qui exprime, qui
contient des imprecations.
+iwrrecatörıo, A, adj. imprecatoire : fait
avec imprecation. Juramenlo —, Jurement im-
precatoire.
Inrnecnacäö, s. f. Impregnation :
d’impregner, de s’impregner ; ses ellets.
INPREGNÄDO, A, P. p. de
luruscxän, 0. a. (1. de chim.) impregner:
eharger une liqueur de particules &trangeres;
( Ag.) penötrer, remplir (esprit, PAme) d’une
ıpinion, d’un sentiment.
ImPRECNÄR-SE, ©. r. s’Impregner, se charger
d’une substance, de particules &irangeres.
+ INPRENFEDITÄDANINTE, adv. sans preme-
ditation.
+lurnemeorräno, A, adj. impremedite: qui
n’a pas et6 prömedite.
Iuprewin. V. Imprimido.
Iupnesinorn. V. Impressor.
"[npnenper, v. a. faire prendre, communi-
quer (le feu).
Impu£&nsa, 8. f. Imprimerie: art d’imprimer;
tout ce qui sert & imprimer; liea oü l’on im-
prime. Presse ä imprimer ou & presser des
etofles. * Pressoir.
INPRENSADO, A, 9. p. de
ImPnEnsäin, o. a. presser, meltre ä la presse.
IMPRESCHIPTIBILIDÄDE,, s. f. Iınprescriptibi-
tite : qualit# de ee qui est imprescriptible,
INPRESCHIPTIVEL, adj.2 gen. imprescriptible:
qui ne peut pas se prescrire,
action
IMP
Impressiö, s. f. Impression : action d’ıe
corps,, d’un sujet sur un aulre ; son effet; \ Ag.)
se dit de l’opinion, du sentiment imprime dans
l’esprit, dans le caur. —, art d’imprimer; rö-
sultat, produit de ’imprimerie ow typographie;
manierc dont un livre est imprime; Edilion;
action, suite d’operations , de Iravaux pour im-
primer. Imprimerie. Influence des astres, en
terınes d’astrologie. Primeira —, premiere im-
pression : celle que produit sur nous un objet
Que nous voyons pour la premiere fois,
IMPRESSIONÄDO, A, P. p. de
Impressıonir, v. a. faire Impression sur,
frapper l’esprit; &mouvoir, impressionner.
IMPRESSIONÄR-SE, 9. r. &prouver une impres-
sion ; s’imprimer dans l’esprit. S’impressionner.
+ Inpa&ssiveL, adj. 2 gen. Impressionnabie:
qui peut &tre impressionne, sensible.
+ lupaussivo, a, adj. impressif : qui fait im-
pression.
lmpnisso, A, adj. imprime. s. m. —, teril
imprime. p. p. irr. d’Imprimir.
Inenessön, s. m. imprimeur : celui qui coa-
nait , exerce l’art de l’imprimerie.
IMPRETENDENTE, adj. 2 gen. qui ne preleod
pas. V. Desinieressado.
INPRETERIVEL, adj. 2 gen. qu’on ne saurall
outrepasser ; inviolable, de rigueur.
IMPRETERIVELMENTE, adv. rigoureusement,
dans le terme fixe.
Iusrevenino. V. Desapercebido.
+ Impnevisäö, 5. f. imprevoyance : defaut de
prevoyance.
INPAEVISTAMENTE, adv. aveo imprevoyante,
inopinement.
lurazgvisto, A, adj. imprevu : qu’on n’a pas
prevu,, qui surprend, qui arrivo sans avoir &le
prevu.
Iupaımino, A,Pp.p. d’Imprimar.
Inraınanöna, s. f. imprimure : enduil sur
une toile, un carion, pour peindre.
Inpaımär ,‚v.o. imprimer : enduire, preparer
par un enduit les toiles pour la peinture ; don-
ner la premiere couche.
lureımıno,A,p. pP. d’Imprimir.
° Inpaımınor. V. Impressor.
InrrıMia (em), o. a. imprimer : faire une em-
preinte sur; ( Ag.) graver dans l’esprit, incal-
quer; marquor; faire imprimer; empreindre
des leitres sur du papier, etc.; publier par
Fimpression ; faire impression sur les sens,
dans ou sur le caur, l’esprit, ete.
ImprosaBILiDÄDE, 3. f. improbabilite : delaut
de probabilite,
IMPROBABILISSIMO , A , adj. sup. de
InrrosäveL, adj. 2 gen. improbable : sans
probabilite, invraisemblable.
+ INPROBAYELNMENTE, adv. improbablermen!:
sans probabilite.
l’urrono, A, adj. mechant, pervers. Excet-
sif, penible.
Inrrorerino,A,p.p.de
IMPROPERAR, vo. a. reprocher : faire un
prache en face ; injarier.
IMP
ImpaorKRıo, 5. m. reproche injurieux, indi-
gnite, affront, outrage. .
Imraoroscıonäno, A, adj. disproportionne.
IupnororcıoniL, adj. 2 ger. non proportion-
nel: qui n’est pas en proportion avec d’aulres.
+luPproroncıonär, v. a. (P. US.) ne pas pro-
portionner.
ImrroroncıonäveL, adj. 2 gen. qui ne peut
pas avoir de rapport ow proportion.
ImPRÖPRIAMENTE , adv. improprement : d’une
manidre impropre.
imraoraıir, 0. a. employer des mots dans
un sens impropre.
Imraorrıepioe, 3. f. impropriets : qualits
de ce qui est impropre; inconvenance.
Smrrornıissımo , adj. sup. de
Inpaörnıo, A, adj. Impropre : qui ne con-
vient pas, n’est pas juste ; qui n’est pas propre
&. Maissant.
TimrnonocäivEL, adj. 2 gen. qui no peut pas
etre
ImPaOovViDo, A,p.p. de
ImPaoväÄr, v. a. improuver, d&sapprouver.
ImrRnovÄVvEL, adj. 2 gen. qui ne peut Se
prouver. Improbable : sans probabilite.
"Jurnovän. V. Empobreetr.
+InPRöViDaumEnTE , adv. sans prevoyance,
rudemment.
Inrnovintacıa, s. f. imprövoyance : defaut,
mandque de prevoyance.
IsPaovıno, A, adj. imprövoyant, imprudent,
qui manquo de prövayance.
+ Imerovisacäö, s. f. Improvisation : art,
action d’improviser ; chose improvisee.
Imenovısäno, A, p. p. d’Improvisar.
ImrroVisapen, A , s. improvisateur : qui im-
ImPnOvisauEnte , adv. ä l’improviste, subi-
tement , au depourvu.
lurnovisir, v. a. improviser : reciter, debi-
ter, chenter (un discours, un morceau de po6-
sie, de musique, elo. composss sur-le-champ
et d’inspirstion). }l est aussi neutre. (fg.) Agir
inconsidör&ment.
+ iurnovisira, s. f. improvisalion : chose
improviste.
luraoviso, A, adj. imprevu, inopin&, subit,
prompt, soudain.
+ iupnoviso, 5. m. morceau de po6sie im-
provise. De — , adv. V. Improrisamenle.
Jarnupencıa, 8. f. imprudence : döfaut,
manque de prudence; action imprudente.
Impncoenıe, adj. 2 gen. imprudent : qui
manque de prudence; qui lui est contraire
( action, discours, elc.).
IMPRUDENTENENTE, adv. imprudemment :
avec imprudence.
IMPuUDENTISSIMO , A , adj. sup. d’Impru-
dente.
INPUBERDÄDE , 5. f. Age de l'impubere.
lnrüsene ‚adj. 2gen. impub£re : qui n’a pas
ateint l’äge de pubertö. ' .
+ Impusescencıa, a. f. "delaut, manque de
puberic.
IMP 685
Imeup£ncıa, s. f. impudence, effronterie ;
action , parole contraire & la pudeur; manque
de pudeur. * Cynisme.
ImpunentE, adj. 2 gen. impudent : effronis,
sans pudeur, insolent. Cynique.
IMPUDENTEMENTE , adv. impudemment : ef-
frontement,, avec impudence.
Iupupentissıno, A, adj. sup. de Impudente.
IMPUDICAMENTE, adv. impudiquement : d’une
maniere impudique.
Impupicicta, s. f. impudicits : vice contraire
ä la chastete.
Inpunico, A, adj. impudique : contraire ä la
chastet6,, qui l’offense.
Imrvonacäd, s. f. opposition , contradiction,
l’action d’impugner. '
Impucnino, A,p. p. d’Impugnar.
Impucnanör ‚A, 3. qui attaque,, qui refute,
qui impugne.
ImPuGnÄrR,o. a. impugner : atlaquer, refuter
( une opinion, etc.), disputer contre.
Tiarucnarivo,a, adj. (p. us.) qui impu-
gne ou sert & impugner.
IupuLsino. V. I/mpellido.
Jupuzsid, s. f. impulsion. V. Impülso.
InroLsivo, 4, adj. impulsif : qui agit par
impulsion ; qui donne l’impulsion (force —ive).
ImröLso, s. m. "impulsion : mouvement com-
munique par le choc. (Ag.) Instigation ; &lance-
ment, mouvement de la volonts vers un objet.
Imroısör, A, adj. et s. qui donne l’impul-
sıon , impulsif. .
Inpüure, s. m. espöce de chien de la Ca-
frerie.
Inpünz,adj. 2 gen. Impuni : qui demeure
sans punition.
INPUKENRNTE, ade. impundment : avec im-
punite.
Inpunuin. V. Empunkar et Inpugnar.
Impunipäne, 8. f. impunite.
Iimpunino, A.V. Impune. “
r ImroniveL, adj. 2 gen. qu’on ne peut pas,
qu’on ne doit pas punir.
InPüRaMENTE, adv. impurement : d’une ma-
niöre impure. .
Inpuntzı, s. /. impuret£. (Ag.) Impudicits.
— de sangue, (flg.) tache dans une famille.
Inrunissino, A, adj. sup. de
inpöro,A, adj. impur: n'est pas pur;
alter6,, corrompu par le melange; (Ag.) impu-
dique.
ImeutasıLiine, 8. f. imputabilile : qualiis
d’une action imputable, surtout en mal; qua-
lite des actes d’une volonte Iibre. .
Inrutaciö,s, f. imputation, acousalion sans
preuves. Inculp@lion.
InputTiDpo, A, ?. pP. d’Impular.
ImPuTAD6R, A, 8. celui qui impute. Fanxac-
cusateur.
IMPUTÄR (a), v. @. imputer:attribuer (A quel-
‘qu’un une chose blämable); accuser, inculper.
Aquem se impuls a [alla ou a owipar A qui
en donne-I-on la faule?
Iurur" "su, adj. 2 gem. imputable s 09 dit
gumwr, .
4);
686 INA
dns Tautd, d’ım loft qu’on attribus A quel-
u dont oa Je rend responsable.
hao. V. Bmipyreo. BR
In ‚preposition latine que les Portugals h’ein-
pldleht qu’en composition, et qui exprime or-
dinairemens le contraire de ce que signifle lo
möl auyuel on 1ä joint. Ex. : Inkabil, inha-
bild : qui n’est pas babile, etc.
Aneite adj. 2 gen. inöbranlable.
nabbıckteL, dd). 2 gen. qu’on ne peut pas
abdiquer.
Inisır. 7. Inhabll.
fInanonnäveL, adj. % gen. Inabordable :
qu’ön ne p&ül aborder.
ImacasivEL, adj. 2 gen. qui n& peut £ire
evö : interminable.
Nıcti6, #. f. inaction : cessation de toute
serien: indolence; indiffereneo, repos.
Nicckösivkı (a), adj. 2 gen. inaccessible :
dont on ne peut approcher; aupres de qui l’on
ne pöut ffduver d’acees. Inabordable.
INACCESSIYELMENTE, edv. d’une maniere in-
accessible.
Inannissivkr, adj. 2 gen. inadmissible :
qioh ne peut admetire; qui he peut os ne
ölt pas &ire adımis dans un corps, dans une
eis, oe.
[nanvantencta, 5. f. inadvertance : defaut
d’stiention , faule d’etre averti, faute d’appli-
eation; meprise qui en rösulte; fauto oommise
'inadvertanoe. _
NADYERTIDAMENTE, adt. par inadvertanoe,
par möprise,
NADVEarlDo, i, dd). imfrudent, inconsi-
dere; uno: nt. Qui n’a point dis vu, point
remarqu
+ INADYERTIR 5 0. =. me pas faire attention.
+ inaLiod, a, adj: qui n’a pas d’ailes.
INALIBNABILIDÄDE, & h inaliönabilits : qua-
lit$ de co qui est inaliönable,
InaLıeniveL, adj. 2 gem. inallönable ı qu’on
ne peutallöner. _ oo.
NALTERABILIDÄDE,, 8. f. inalterabilite ı qus-
sg de oo qui eny inaltärable.
Inarrenipanlänte, ade. sant altöration.
+ InaLTznino,, A, ad. sans allöretion.
InaLraahvun, adj. 2 gen. inalisrable : qui Re
pe #’altärer, se changer on ınalz imsbranla-
e, constant, ferme, calme.
iHavrenatnswters, adv. d’une maniäte
imeltsrable. .
Inaund. V. Nomibu.
Isamkde, A, adj. bialınd ı qüj n’est pas alımıe. pape
InamäveL, adj. 2 gen.
pos aimable.
jaamribistanpite, 8. f. Inamissihilits : gua-
Bits de ce qui est inamissible.
banhastynl ij: 8 gen. jaamissible : qui he
“
ij Iaakevemumins, s. f. Inıtamaribilitd : Gtat
de ce qui est inamovible. .
Nanovitts a), 2 gan. Mamswribie + ui
ie ı qui west
ne peut etre desütae d’un poste ow change, dd-
‚Imprervu; fait sans reflexion. p.».de | jalio
ING
(1. de aid.)
Inamciö,s. Bl:
biesse caubde gut ie Jetzie, 18 Kr
Dnakte az. Spkildd
D0,4, 0. .
Iamaibo’ Ä, ei. inkülimd : al wä ges
Eime ‚„devie, de sentiment. ,
nirreränca, 5. f. dälaul d’appelil, dägeht,
anprexie. N
Inarrricaci®, 3. f. Inapplicallon : ddlant
d’appliostion.
ImareLicino, A, adf. inappligbd.
InarpLichver, adj. 2 gen. inspplicabie : qui
ne peut ötro appligue.
+ Inarpnzcıävau, adj. 2 gen. inapprötiahle,
Inestimable » qui ne peut #ire appröcid,;
time.
+ Inarrıröpe , s. f. inaptitude : delanı d’ep-
titgde A, de capasit# pour. _
+ InanrıcoLipo,, A,dj. Inarlicauls : qein’en
pas articule.
+ Inasegauivan, adj. 3 gen, qu’on ne pe
pas obienir. oo.
+Inıtachtaı, adj. 8 gen. iInaliaquableı
qu’on ne peut attaquer.
Tinarrınaivsu,, adj. 2 gen. qu/on ne pi
pas atteindre ; incomprehensible.
InATURÄTER , adj. 2 gen. insyuppertable:
Inaupito, a, adj. inou! : tel qu'on m’a jamals
rien oul dire de semmblabie ; singulier,, dirange;
dont on n’a pas oul parler, neuveau;
Inaursnivar, adj. 2 gen. qui no peut sianle-
ver, dont on ne saureil ötre prive.
InaucunagAö, s. f. Inauguration : odrömetie
religieuse de couronnement, de la dödieme
(d’un monument); prise de possession ‚inslel-
R.
Inaucurino, A, pP. p. d’Inaugurer.
inatovnaneR, 5. mw; celui qui inangere.
Inaucunän,; 0. 6, inauguret : dödier, oonse
crer;; Installer ; priusilivemens proidre les au
Inaverrencıa. V. Inadveriencia.
Inta,s; m idea : sonverain , prinee de la i-
mille regnante avant Farrivee des Bepaguels
au Pörou.
+ IncaLcuLiveL, odf. 2 gen. inoalediabie:
qui passe les bornes du caleul. Inestimable.
Incamekagkö, 8. f. intametation : r&uniol
d'une terre, d’un droit, d'un reveda au de
maine dd pape.
Incamerir, %. a. Incametef : unir ume fette,
un droit, ud revenu, ete., au domähe du
IncinciveL ou älter, adj. 2 gen. Inlaligr-
bie : qu’on ne peut fatiguer par le travail, ei.
IncangAvkimente, ade. infatigablement ı
sarıs so [atiguer, so lasser.
Incandaschmal, a. fı insandescense : dia!
d’un corps pen de fon jumzwä derum
blane; _
Incanpıuia ‚eis. V. Encandilar.
„INCATÄEE, adje 2 gun qui na ne paul ah
ING
, Wenpautnioa ; &. fi incapauiıd,; Imsallsante,
Dreptäns ‚Betten ae
Incaracıräno „A,P.9.d
Bmiaracitäh, © &. ride incapabie. V: fn-
r IncaracırÄver, adj. 2 gen. qu’on n& peut
„„Ponveiticre.
Incariz (de), 2 gen. Incapable : di | d
mw as 08Pab ed; ;inbabile; mal uahile; qui
wa pas les qualitös, conditions o% talehis re-
ı Böt, Biuptde, Ertl de dervir, il est hors
ttat de servir.
TnbäriLtätO, pe] ad: chauve.
Incannackö . Encarnapio, e
+ Incisro, Ko Pr Impudique : deshonnele.
IncaUTaANEnTE, adv. Imprudenitkent, sans
presäutieh.
Incaurissımo,, A, adj. sup. de
nekutd,; k; adj. qui ven bes sur ses gardes,
Ionpröveyant, inconsidör6, sans ptecaution,
i
ee 1, 9.8. @inrdt, ei ddj. Eitar — de...
(oarmiller, essaimer, öire inonde, grouiller
nein; ®. 8. engeirdrer, petpler par essalın.
N 08 piend toujours eh madvaise patt.
Incannta. V. Encender.
Meimmıkvo,A,P. pP. de
Incanpıin , v. 6. incendie?, emmbfnset. 11 &8t
ai 4, 4. Intekdiaite : adietit vo-
\onteire d’un incendie.
Hicktslikio, %, 54. tncendtdire, sediienx.
ee , Enconder.
Were, . 9. entbrasemenit.
Imchnpio, 8. Mi. incendie : fer qui consunde
au edlen, Unelorki,ere. : (Rg.) troübles, tom-
baslon Jans un Bi Winlie st, fea Mid-
Beat De; 9. Aliens
4. Mi. entenseur : we dui ed-
"ncsn ae v. 8. encenser :
Mhrärle, (Rg.) Loustikeur.
döhner de Pen-
dchlter des louänges; Nauier.
a 10, 8. W. etieenisoib. V. Thuribulo.
56 , 4. M. nitens : pärlüni; Ay aro-
mati Batterie, louange. — en-
une vrhhi — inde Kb, tneehs Min. — braco.
rt. de. Pr rs =, simer l’encens,
poat innker & Elfe fie
Incensöno. V. Thorisul.
univiL, adj. 8 gen. qui n’est point
LER : ifr&prochabfe.
n ri, s. #. alguillen , timulant : me-
etelte: (Rg.) Aliment d’bne passion, ap-
a neriiiade ade. inBertainement : avoc
cantkza ‚s " Inderütude: doute ; etat d’Ir-
to certitude; apparence de
Auenpemen ddtanı de oo ieupa); Indtcision
a Kö. V. Incorleia
east adj. a i douleux, Jake
ooranade un ver > tieeretind | von.
R NTE, 2 gen. contiäel
Imussawtanamtn , add, ohunsehentht,in-
cessamment, sand 66886.
Incrisi tan, al. 2 geh: Buhtiitiäi: gül ne
cesse point.
„tIncnedivn, adj: 2 yon: du’an he petit &6-
Tektrio6; ». p. @Meestär: nd. Budtiie,
deshonor& gar un Ackste.
+ Inchstamtnte, ade: Mund mänidte Iim-
pure. Incestueusement,
Incetrin, v. d; dt d. bbitoinpiw, adähttle-
rer. Commieltre uit Incebte,.
Inc£sto, s. m. inceste : onetlöh, iffieris
entre parents ow allies au da probibs. allj.
V. Incestuöso.
Inczsroösauänte, ad. Idetitaduserient d
avec, dans |’ inceste.
Inczsroßes, u, ‚ads. ak Kor Ai
coste; od ji I r nce
kann Y.0an.
IncmAeit. A vo gönnen, ta-
aiat, boufissdre. a) One) ‚ranile
IncHico, 8. m. * tumenr, enflure.
#incaivsnintk, ade. (f5.) Böretient, är-
rogamment.
ncuino, A, d. 8. Mlücher. aa.
Deu. Vain mptasnz,
Bey IR da sı st
ne. u.m.V 1 Ine
hardd. (fg.) Bönk-
söuflage , Bodrsönfläre Au style.
Incain, o 2° nfler, en soufflänl dedans;
dötfler. A) orguellir. &. #. Gonfler, se
gonfler,
INchiu-se, 6. #. Ferliet ; Köhler, se gonfler.
)—, 8’eno ueillir.
ncuer, eilt, V. Encher.,
Incmardıid. 7. Enchirididd.
IncnoAdamtnte, adv. en commenceinent,
pat commencem ent.
Incaoivo, A,
ommencö et non Ani.
IncicaraizÄtEt., ad. 2 gen. Incicairisable ;
qul tie peut se cicatriser.
Incıo&acıa ‚a. f. (4. de gdom. et #öpt.) Inci-
dence : chute d’une ligne, d’un oorps sur un
plan. V. Incidente,
Incıo&nTE, adj. 2 gen. Incident ı qui survient;
(proposiiion —e) explicative, döterminativo,
inserse dans la principale. ü4. V. Zncisivo.
Incınentg ,s. m. incidomt c dvimentent qud
survbent dans le osurs d’uns affeire, dune e8-
treprise , eio.; (röhement aobesssire au prinel»
pal. Por —, incidemment;
Imcrbewreutiere, edv. inchlemmeirt: par Ih-
cidemt, per solte, par oumnexite, par vobasltne
Ineroin, 6. &. (1. de med.) awchuör (ieB Hits
meurs). 0. #. Tomber, dcheir;
Incıtncı , &te. V. Insciendtd, eit.
Incınmasciß, s. 1.(k. de chi.) 1
sc de reduire en oondres ; 08
REHAISS, hs Bd, de Ineinsrer,
L 7 u nn
in
a
088 ING:
IncenBRÄR, %. a. (4. de chim.) incindter ı nd-
duire en condres.
Iscıacumciso, A, adj. incieconeis : qui w’est
pas circoncis; (Ag.) Immortiße.
Incıncusscairro, A, adj. ineirconsoril : sans
bornes, sans limites ; illimite.
Incısäö, s. f. incision, ogupure, taillade en
ong.
Incisivo, a, adj. inelsif : propre & couper.
Dentes —, incisives (dents) de devanıt.
Inciso, a, adj. coupe. (1. de bot.) Incise : de-
coupe en pointe.
Inciso ‚s.m.(t.derköi.)incise : petite phrase.
Incısön, adj. m. qui coupe ou peut couper.
V. Ineisivo.
Incısöaa. V. Incisds.
Incıtaciö, s. f. incitation, instigation , im-
pulsion (au mal); ;aclion de colui qui incite.
Incıräpo, A, p.p. d’Ineitar.
Incrtapor, A, adj. et s. qui incite; insliga-
teur ; exeltateur.
INCITANENTO, 5. m. "incitation. V. Incentivo.
incırän (s, conira), v. a. inciter, pousser,
exciter, instiguer, induire. Attiser, allumer. Il
est aussi reciproque.
ROTATIVO, A, adj. incitatif, stimulant; ex-
Incıvir, adj. 2 gen. incivil, impoli, mal-
bonnete.
' Incmıusäpe, s. f. Incivilis, impolilesse,
malbonndtet£,
IncıvıLmente, ado. incivilement; d’une ma-
niöre incivile.
IncLemtncıa, 8. f. rigueur, duret#. (Alg.) In-
ol&mence (de l’air, des ssisons, etc.).
InCLENENTE, adj. 2 gen. eruel, dur, impi-
toyable.
INCLENENXTISSINO, A, adj. sup. d’Inclemente.
Iscunaciö, s, f. inclination : aclion de pen-
cher, d’incliner ; (g.) goüt, penchant naturel;
affection , amour; disposition ; pente naturelle
Au. ; etat, situation de ce qui penche ; salut de
wete ; (l. de geom.) obliquits d’ane ligne sur une
autre; (f. de phys.) inclinaison; (1. de chim.)
mapniere de verser une liqueur, en penchant
doucement le vaisseau. Deichar-se levar de
sun —, so laisser aller A son penchant.
IncLinaDissımo, A, adj. sup. de
IncLmäp0,A,P.P9. s’inclinor. (a) adj. En-
elin, ports ä. Bem ou mal—, ia de bonnes
ou de Phauvaises inclinations. — ds armas,
il se porte aux armes.
Incımir (s, pers), o. a. ineliner vers, bais-
ser, peneber, oeurber. v. ®. Incliner a, avoir
du penchant pour; ötre porte ä...
Incuminer, v. r. s’ineliner on signe de res-
peet, eic. (a, pars) S’inoliner, avoir de Pincli-
nation pour. Tourner ses inclinations , ses pen-
chants au bien ow au ınal. Eire engage par
quelque motlf & suivre une opinion.
Prcumo, a, adj. illustre, cel&bre, noble,
renomme.
*IncLopia. V. Incluir.
Imcuvino, a, adj. compris renferme. p. p.de
. ING
Incısia (an), v. a. enfermer,
contenir, inclure. Admettre dass une affaire,
donner part.
Incrusa,s.f. V. Adufa.Incluse: lettreinclum.
IxcLesäö, s. f. inclusion : &tat d’une chess
incluse.
IncLUSivAMENTE, ade. inolusivement,en com
prenant, y compris.
+Incıusivo, A, edi. inolusif : co qui res
ferme une chose.
IncLiso, A, p. p. irr. de Incluir. Incdles,
renferme.
IncopräveL, adj. 2 gen. qui no se peut ie
couvrer.
Inconsir, etc. V. Encobrir, di.
IxcocıraDo. V. I:
+ IxcocıTavEL, adj. 2 gen. "A quoi on ne per
sail pas; imprevu.
Ixcöcnıta,s. f. (l.de math.) inconnus: quas-
tile recherchee.
IncöGNITANENTE , adv. incognito.
Incöcnıro,, A, adj. inoonne. Viajar —,10j+
ger incognito.
Inconerencia, 8. f. incoberence : qualiie de
ce qui est incohörent ; delaut de lisison.
INCOBERENTE, adj. 2 gem. incohörent : qui
manque de liaison.
INCOBERENTENENTE, adv. d’une maniere is-
cohörente , sans liaison.
P’ncoLa, s. m. babitent,
IncöLuNg, adj. 2 gen. sain et saul; inlacl,
en bon tat.
"IncoLumıpine, 8. f. (PB. us.) &lat de celui qui
est sain ei sauf; salut,
InCONBUSTIBILIDÄDE, s. f. incombustübilitt :
qualits de ce qui est incombustible.
IncomsustivEL, edj.2 gen. incombusüble:
qui ne se consume point au fou.
+incowusösto, A, adj. (podi.) qui ne sie
point brüls6,, ou ne se brüle point.
INCOMMKNSURABILIDÄDE,, 8. f. incommenst-
rabilits : qualitö, &tat de ce qui ne peut £ire
mesure. Asymötrie.
INCONMENSURÄYEL, adj. 2 gen. incommer
surable : qui ne peut €ire mesurö; se dit des
grandeurs qui n’ont pas de mesure commuR®
(quantiles —$).
Incom#0DÄnO, A, 9. p. d’Incommodar.
INCONMMODADOR, A,s. personne incommeode.
IncösMODAMENnTE, adv. incommodemeni.
avec incommoditle.
Incoumonin, v. a. incommoder.
IncommopınÄDE, s. f. incommodits, pein®,
ennui; malaise, indisposition.
INCÖMMORO, A, adj. incommode, importun,
fächeux, desagreable; qui gene; gai cause de
ı 'enıbarras.
Inchumwono, s. m. V. Incommodiddde.
I INCOMMUNICABILIDÄDE ,„s. f. incommunika-
Tsconuunchve, adj. 2 gen. incommunics-
te: qui ne peut se communiquer ; dont on 28
peut aire part. Mis au secret, Jans cotmmeai-
caHian, 9m prigon.
INC
IxcoNmuTaBıLıPADE, 3. f. immutabilite. Incausrpinrk
Juouasmur hust, adj. 2 gen. Iesmusbie, tavas
riable. Qui n’sst pas oommuable.
Iscomsanävaı, adj. 2 gen. incomparabie : &
qui, a quei rien ne peut L ire osmpare; non-
pareil.
ivmsutiıın, ade. insomparable-
ment: sans sompersisen.
+ Incouraseivo, A, adj. impitoyable : sans
6.
"ncoaramaminn, s. f.incompatibilits , an
üpa de posseder Ala foisdeus
charges , ‚deux bimdlices, oto.
IncomsarivaL (com), adj. 2 gem. insoımpa-
tible : so dit des cheats qui ne somit pas Conhpa-
tibies emtre ellss (charges, oflänes, ot0.), qu’une
abe DS peut areir, posseder, exer>
cer, reımplir & la feis ; qui me peat compatir ou
secasmdıı, 98 eonstlier avec une auire.
InCOmPATIYELIESETTE, ad“. inosımpatiblomest ı
d’une meniöre insornpatible.
Incoursrtncıa, s. f. inoemmpstenos : döfee,
u de compolenke.
IncospEränTs, adj. 3 gen. imcompetent : qui
n'est pas competent. Hers de prepes, mal &
propos, hors de seien.
Incourazuurzuäunz, adv. msempetsinment:
sans com
ImcompLATAMERTE, ade. incomplisiement :
d’ane manidse
IncomrL&To, A, adj. Insampiet: ae n'est pas
oompiet; qui n’a pas toutes ses parties
Incompräze, A, adj. imcomplexe ı qui n'est
pen comploxe; siumpie.
INCONPORTÄYEL, adj. 2 gen. imsupportable,
intolsrable
IncowronsA van TE, adv. intelöreblement.
Incourossitsı, adj. 2 gen. inconeiliahte , In-
Incomrösto, A, adj. non Compost , simple.
+ Incousammazeine, adj. que porsenne n’a
compris.
ISCONPRERENSIBILIDÄDE , 8. f. Iuosmeprchen-
sibilite.
IncomrammensivnL, seh. 2 gen. inoomprehen-
sible : ineoncevabio, qui ne peut etre eumpris.
IRCONPRENENSIVELHERTE, adv. Inconipre-
Incoununuis. V. Encomunkar.
Inconcksso, 4, adj. defende, Hliche.
IneosgıLtasıuipäns, 3. f. qualiit, eat dece
«gi est inooncilisble.
IncosctLiäunz, adj. 2 gen. Inceneillable : qui
ne pout se concilier.
InosWGonDATEL, adj. 2 gen. inaecordabie :
gul ne peut s.scserder.
InConchsamn TE, ade. Incontestablement,
Inconcime, Aue. incentestabie , indebita-
le, ferme.
t Incoxr£sso, & ‚adj. On le diid'un accnsd
qui n’a pas avouc en Justice.
Ilswoxrnbesiar, s. f. intidehlts envers von
gouvessin. Eeapyeu de walisont: .
PORT. FR.
ac 69
‚adj. 2 gen. infidäje, & son
prince. Soupconne de trahison.
IncönGRUAMENTE, adv. iacongrüment : d’une
maniere incongrue.
Inconcatencıa, s. f. defaut de rapport, de
proportion , de conformite. Incongruite.
Incowerutnte. V. Inceöngruo.
InCONGAU&NTEMENTE, adv. sans rappors ni
proportion.
Incöncauo, A, adj. qui manque de rapport,
disproportionne ‚peu convenable. Incongru.
Incönuo. V. Cogno.
ISCONN£XANMENTE, adv. sans connexion.
Inconntxi\ö, s. f. manque de oonnexion, de
rapport, de liaison.
InconNntx0, A, adj. qui manque de connezion.
Independant d’un autre.
+ Inconnivente, adj. 2 gen. qui ne favorige
pas la connivence, qui ne connive pas.
Inconquistäno, a, adj. quin’a pas &i6 com-
uis.
1 IncongtistäreL,adj. 2 gen. que l’on ne pept
eangaerit. Inexpugnable, imprenable, iuvin;
eible.
Inconsequtncha ‚s. f. inconsequence : defaut
de cons&quence dans les idees, les discours,
les actions,
INCONSEQUENTE, adj. 2 gen. inconsöquemt :
ie ri, qui parle, qui est conlre s6s propres
principes.
INCONSEQUENTENRNTE , adv. avec incoı s6-
quence.
Inconsioenacäö, 5. f. Incenaideratien, 4m-
prudence, inadvertance.
IsCONSIDERÄDAMENTE, ade. inconsiderdment,
&tourdiment, lögerement.
IncORSIivERAnO, A, adj. dit ow fait sans con-
sideration. Inconsidere, imprudeut, etoerdi,
mal avise, peu rellecbi.
INCONSOLÄDO, A, adj. inconsole: qui wiegb
pas console.
INCONSOLÄVEL, adj. 2 gen. inconsolable : qui
| nepeutse eonsoler (de), qu’on ne peut consolek.
ISCONSOLAVELMENTE adv. inconsolablement :
d@une maniere & ne pouvolr @ire console.
Inconsonänxcıa, etc. V. Dissonancis, etc.
INCONSTÄNCIA,, 8. r. incoüstance ; [acilite &
changer d’etat, d’opinion, de resolution, d’af-
fection, de goüt, de passion, d’ inclination, de
eonduite;; excessive lögeretö d’esprit, de senli-
ments; action de ehanger; ( fg.) instabilits des
choses bumaines.
INCOXsTÄäntE, adj. 2 gen. inconstant: volage,
leger, sujet & changer; variable, mobile.
IRCONSTANTEMENTE, adv. inconsiamment :
arec inconstance ei legerete.
INCONSTANTISSIMO, A, adj. sup. d’Inconslande.
+ IXCcONsSTITOcIoONaL, adj. incoustitulionuel :
qui n'est pas constitutionnel.
+ INCOXSTITUCIONALMENTE, adv. inconsttu-
tionnetlement.
IxtoxsuLto, A, adj. indalilsere ; qui agit sans
prendro conseil. Incons : qui n’a pas dw
consulte. Tr?) “a ’
u
oo Ie
IacomrrivaL, adj. 2 geh. Yncomplible : quf
ne peut &tre consum&. Impörissable.
InconsöriL, adj. 2 gen. qui est sans coulure,
On le dit surtout de Ja robe de Notre-Seigneur,
Incontauınino, A, adj. pur, sans lache.
InconrastivzL, adj. Incontestabie : qu’on
ne peut conlester, a
hoonrastitzLafirte , adv. inoontesiable+
ment inement.
Pd 0 Ya ‚3. f. inconlinence : vice op»
& 4 1a Oontinence, Ala chasield.— da uri
incontinence d’urine, ecoulement involontai
du Nqdide contenu dans la vessie.
Inconrinäute, adj. 2 gen. Inconlinent : qul
n'est pas conlinent ‚ chaste. Qui ne peut pas 54
sontenir. ' "
Incontint&nte, adv. Inconlinent, aussilöt,
yo meme instant, sur Pheure.
InconTin£ntem£nts , adt. Incontinemment :
Set Ineontinence.
INCONTRASTÄTEL, adj. 2 gr irresistible, In-
' Gatrmontable ; Incontestadie.
IneconraastiveLmäntk, ado. Incontestable-
ment.
Incorvrimäntıa, s. f. *Inconvenient, incom-
: Aualte , contre-temps. Inconvenance.
INCONVENIENTE ‚adj. 2 gen. inconvenanl, qui
he convient pas ; Impropre.
Inconvemtnte, s. m. incohvenient, embat-
ras, dificults qui survient,
+ InconvensiveL, adj. % gen. (P. us.) inso-
ciable, intraitable ,‚[ächeux. .
+ INcoftvearivet, adj. 2 gen. Inoonverüble :
qu’on ne peut converilr. j
Inc6unto,, 8. m. (1. de chir.) poulain, bubon:
tumeur venerienne des klandes inguinales.
Inconrorackd, s. f. Incorporalion.
. Wtcohrorib0,A,p.p. de
- Inconrorir (a, com, em), ©. @. Incorporer :
ft; Xöunir ensemble des 6orps ow leurs par-
ties, pour ne faire qu’un oorps; unir; Joindre.
"Inconrorin-se, 6. Fr. B’Incorporer, s’agreger,
TnoaPORzI—ÄnE ‚8. J. incorporalitd : qualiss
des ötres Incorporels.
latdap6nzO, A, adj. Incorporel ; qui n’a
Yet 8e corps.
Ikconnfctkö, #. f. Incorreetion : delaut de
Vorrvetion.
MWecoruttrafitnts, adv. d’une maniödre in-
werreeie:
Imconafcto, A,
de verreotion. Inco
ige, vera.
u oonnfn (0), v. ». dncourir : famber en.
teller.
Incoaaiso, p. $. @Incörrer. V. Incurso,
Incvaarcıbruieine, s. f. Incorrigibilite : ca-
raciöre de ce qui, de celui qui est incorrigible.
Iiconnscivet, adj. 2 gem. incorrigible : gui
De peut, ne vout pas 86 oorriger. .
Inconaurciö, s. f, Incorruplion : dtat do o@
ui vie peut be pre. (A9.) Pureis, inte-
griw de maurs,
. Incortect : qui manque
&: qui n’a point &tö com
=
INe
IR 3 Sur a 1 77 17 ' T- Tree I a ..
„ÄRGGAAUFIAMENEN, ade d'une uuntire in-
corruptible; mon sacsup ion. j
‚iImcpa a,.%:[. imsorrepüibtiie:
walk de «s qui ns ieerreptible, jagt
(d’un juge, etc.).
sus, A, alj. supi dimmerrapls.
InconaurriveL, ad 2 gem, Anssprupible:
qui ne Pan. 2q.00ripmpre, DU-PeEt GUN ter-
rompu. Homem —, homme ä l’öpreuve de fa-
een . ro
. Äneo BÖRTO, U en) isst ' w-
vompa ni gäte: Den. Chem.
bie, jattgne.
Inonssehun: Ay PP. C’inerusiut.
lyUCAL2BAMENYTO , 9 u. Gpalsutinnuntmt.
Incasssinez, ai 2 we; imerumumt ı Ye
“peiasit lo sang, jes humenrt. p.«h ip
Incnassin, 9. .u. (f. de weiß.) Inpresmee:
“pniseie la gang , Ion uument®.
Incazivo, A, aßf. imer66 : qui anime mis
avsir db cabh (Dina)
IncrepıBiLidäng, &. f. tUOROibiihd ı 80 q8i
fait qu’on ne. past wwolre ano ehane; ve qilı
rend inerayabie.
Incazviver. V. Ineriesl.
, 2 & uust@allttr: TOyagnbhce
& croire; mangque de foi religte@se.
a, ef 3, Ir en
croit pas alsöment; qui ne eve phy ser my
de la roligkem.
Ncazıuam. V. Znerteel. .
Jucaan kuro,g..s0crulssenment. (4. Eiyrem.)
Creöment : augınenistion da syRabes Wei ver
& nertsigs tempo, (Yun Bor di 60FRAND vii. —
do pulso, &i&vation du pouls. N
Ineumeagld, 3. f Top nande soo.
N yA,9. 7 d’ Inu.
INCREPADÖR,, A, 8. oelui qui reprieiiide #-
vereusent. j 4
Incazeän , &» s. Soprimmmdsr. eüröretnehl,
blämer.
‚Ineredde.
*Incaınia, etc. V. Incliner, eic.
Inenivan, adj. 2 gen. merspakle : ui ne
peut ötre eru, difolle & ceuire ; unenssil, er
traerdineire , insul
, .
IncnivgLmänte ‚edv. incroyabiuanent : Fun
maniere in
Inckuän, etc. V. Zaeruer, etc.
Incasänte, A, adj. nom sengieut. On 6!
surtout du sacrifice de la mbse6.
‚m 4 perustalien,
Incaustipo, A,P.p. de
iA, 0. m inofmies ı appälgun? (de
marbre, otc.), sur ou oehree une wuffäck,
osınme une orale; obavciz, runadie (der, &8
or, en ou de marbre); placer des waetbents
dans des sillans, des partide craustt.
Incusackd, s. f. incubation ı hekheu Bub orl-
parea qui opuvens des aufs.
Incusipo, A, pP. p. de
‚ timcusia, u.a. opuver sse dit Ge Foisen
qui schauffe ses nis em so tumant obuch®
AD
* Prctoo, s. wm. Incube: Adhıon qül, selam
V’absurde croyance populaire, abuse des feın-
fieb. Cauchemar. 11 est aussi adf. Demonio —,
Incube. Are —a, gisgau couvänl ses @uls.
Inchoe (poet.). V: Biyörna.
..IscöLca, 6. f. recberche, perguisition; ren- | (&
emenls, indices, Indicallous ; recoınnian-
dation. Dellar —s, rechercher exaclemenl,
thercher soigneuseinent la connalssance d’une
sei
chose; voir, fureter partoul.
IncuLcäidd, A, p. p. d’Inculcar.
IncuLcaddß, A, s. celui qui recommande un
sutre, qui procure.
nctLcir, 6. a. Imdiquer, proposer;; incul-
Taer, Fecommander.
Lcih-sk [bor), v. r. se prodaire, s’ihsi-
nucr, se faire connaltre, 86 donner pour.
Incuzesmulssuno, a, &dj. sup. d’Inculpavel..
IncuLrivdo, A,adj. innocent; qu’on N’accuse
IncuLPÄVEL, adj. 2 gen. exenipt de faule,
innocent, irreprochable.
ÜLPAVELMENTZ., adv. Irr&prochablement.
IxcöLro, A, adj. Inculte : qui n’est point cul-
tive. (%g.) Rusiique, qui n’est point poli, cul-
ve; naturel, simple, sans ornement. Terra
— as, tefre en friche, inculte.
IngunTüRA, s, f. incullure: defaut de cul-
tare.
Intulesexcia, ». f. Commission; charge, de-
voir, ohligalion; departement, ministere.
Incumeldo, A,Pp.p. de
Incuusıa (a, de), v.a. charger quelqu’un de,
a Fan confler d.
scolk (d), v. %. appartenir, loucher, re-
£ eire du devoir de. On dit incomber, en
» 06 pälals.
"Incoleta-sek (de), ©. r. se charger de,
prendre sut sol.
xcuhfsYLidäne, 2. f. Incuradilite : dtal de ce
test fncurabie.
IncoriteL, af. 2 gen. Incutable, Ingueris-
sable : qui ne peut @ire.gueri. _
Incunävgın&nte, ade, incurabilement : une
aba
IRCHRA, 3. J. incarfb : Adfaut de soin, negli-
gence ; insouciapce.
Hl b4j.% en. qui n’est pas curial,
, TISCORIALIDÄDE, s. f. qualils de ce qui n'est
pas eurial ; Irregularite,
[XcorıösamEnTE, adv. Begligemment.
jasunoo, 4, adj. negligent, peu soigneux.
SCYusi0, 8. f. incursion.: irruplion hosule;
'%oafse en pays ennemi.
INchaso, s.m. acılon d’encourir; peine en-
Töurub. * Altaque, assaut, choc, incursion.
Incheso, A (em), adj. qui a encoaru. p. p.
#rr. de Incorrer.
Ixcunvar, eic. V. Eneurvar, eic.
Ixoa. V. Ainda.
Inoacacid, 5. f. recherche, perquisition ;
enque£te; invesligation,
Innacino, 2, pP. p. d’Indagar,
| malseant; honteux, desbonorag
6
{fo Mi
Inpacanda, a, 2. indagaleuf : qui recherche
avec soin, j vn
Inpacoin, v. a. chercher avec soin, techer-
cher avec soin ; s’informer de. Yun
Innacona ‚adv. teut & l’beuse, il ya peu de
mps.
"iInoz. V. dindae, _ a
InneBıro, A ge qui west pad da.
nd
‚ÄNDECENCIA, uf. inddee : e.de de-
cence ; aclion,, discours en
as a!
DELANTE, adj. R gen. Indaoent : «x alles ä
1a denn "ie kientachee: i Phonnelan .
ISDECENTSMENTE, adn. inddoe nl... -
Inpeceatissino, A, adj. gun. d. Imlecanie
+ Innecırräiven, ad, 2 Iindeghi :
qu’on ne peut lire, dechilffer, Yen
einbrouille. . nennt du alırıı
Innecisame&ntE ‚ade. @’uhe inanidre inddeise,
avec indeeision EL N ER
Ixnnecısäö,s. f. indecision, indeterminallon,
douto.. . a Pr
Inpsciso, a ,adj. indecls : dui n’est pasde-
ed; irresolu,. Le
InpecLARÄVEL, adj. 3 gem, qu’an ne sausejt
deciarer. . on
InnecLiniveL, adj. (f. de gram.) indeell-
nable : qui ne peut se decliper, dent ja ket-
minaison ne varie point. Indvitable, Indiapen-
sable. On le dit, en lermes.de palsis, d’uns
juridiclion qu’on ne pewt degliner,
Innzconänpo. V. Desnoredilddo. .
Ixpscöno,s, m." ind&cenos, irreveremce, al.
V. Indscoroso. >. ,
INDECOROSAMENTE, adv. Ind6vemment, vunise
la biensdange. en
InDgcoRosissımo,, A, adj. sup. de ;
Innaconösp, A, adj. Indaseni, menstail,
Bo. ‚-
InDKERLTIBILIDADR, 8. f. Indöfectibillis 1 qua-
lite de ce qui ost inddfeotikje. are
InnarEcTiyEL, adj. 2 ge. indefectible : qui
ne peut defaillir, cesser dere. . ......d
INDEFEGTLTELNENTB, ade. Iimmanqusblement,
infailliblement. . Den
‚ Isnssunsärgı, adfı 2 gen. gu’on ne peut Ppäs
defendre, non tenable. . nun,
Innsrenso, a, adj. qui et yans delonne.
InDsFERInO, A, adj. debauis ,relumd.p. p-B
tTinnerasun, 0. 0, dhhouter : declareg döghe
d’une demande; reluser (una .polilien, me Her
mande, olc.). — um requerimenie, meilto
neant sur une Tequäfle. FE
IuDasEuivgL ‚adj. 2 gan. A qui.om no peut pas
deferer, qu’on us peut pas ancorden.
InDESUSSAMANTE, ade. .
IRDEFESSO, &, adj. } V Trlcansadäl... 1}
InneErICIENTE, adj. 2 gen. indefertikiey imb-
puisable. .. .,
Inpderinivam&nse, ado. Indeinimens > d'une
manidre indefinie; d’une maufere illimmbtis:
t Inperınino, 4 , adj. qui est suns definikhön ,
qui n’a point ete defini. (t. de math.) Indeßed:
indsterinind, sans bornes fixgs; dont em De
peut determiner les bornes (espace, Rombre,
L ‚IND
ligne, duree, etc.). (f. de log.) —, indelermine,
en parlant d’une proposition.
T InDperixiveL, adj. 2 gen. indefinissable :
Qui ne peut se definir ; inconcevable, indechif-
frable.
Imszrınito, a, adj. (1. de math.) infini : qui
n’a point de terme. Indefini.
TALAVEL, adj. 2 gen. indelebile : ineflaga-
InUELEVELKENTE, ade. d’une mianidre Indeld-
bile , ineffacablement.
ImpeLiszraciö, s. f. Iindeötermination, Irre-
solution.
+ ImpuLrneripamente,, ado. sans reflexion.
InpeLinenino, A, adj. imdelibere, irrefle-
chi; sur quol on n’a point delfbere ni reflechi.
Inpbeumero, A, adj. sarıs diminution.
Inpzuninz, s. f. indemnits, dedommage-
‚ment, exemption de dommage.
Inpzuniızaciö, s. f. indemnits, dedommage-
saont. Indemnisation.
Inpeunızino, A, P. 9. Ü’Indemmizer.
Inpeunzanen, A, 8. oeluigui indemnise.
Inpeunızin, v. a. indemniser: dedomms-
vor, garantir de dommage.
InDEnNIZÄVEL, adj. 2 gen. qui dolt @ire in-
demnise.
Impzrzuptncık,, s. f. independance.
InuuFEnDenTe, adj.? gen. independent: qui
me depend pas. Fazer-se — , secouer le joug,
se rendre independant.
INDEPENDENTENENTE ‚ade. independamment,
@'une manidre Independante ; sans relation.
TInpsrendentes, s. m. pl. independanis :
soctaires d’Angleterre et des Pays-Bas qui font
profession de ne döpendre d’aucune assernbiee
ecclesiastigue.
T INSEPENDENTISNO, 8. m. independantisme :
secte des indöpendants.
TInpzranpta, o. =. (P. us.) ne pas depen-
dr ‚ etre independant.
INDESATÄTEL, adf. 2 gen. qu’on ne de-
lier; indissoluble,. ” pont
ImanscuLrivsı, adj. 2 gen. inexcuseble :
. qui ne peut ölre excuse.
tinpsernonszäveL, adf. 2 gen. qu’on ne
peut pas dötröner.
timzsraucrsmmine, s. f. Indestructibi-
Is ı qualits,, stat de ce qai est indestructible.
" + InpEwraccriver, adj. 2 gen. Indestructible:
qui n6 pout dire dettuit, se deteuire.
Inserzummacikö, s. f. Indstermination, Ir-
zöselution.
Innerzauminawtnrn, ade. indötermins-
ment : d’une maniöre Iindsterminde.
INDETERNINÄDO, A , adj. Indetermine , inde-
Bei; qui n’est pas determine, sans bomes as-
ables; indöels , treesolu.
+ InperzauınaR-sE, 0. r. ne pas se determi-
nur, so Öbeider ; ötre irröschı,
"Iwwewaci6.V.4 .
Imerinauters, adv. indüment, injusic-
ment.
Imsavioo, A, adj. indu, Injuste,.
IND
Innevocäiö, s. [. inderotion : delaut de diwe-
tion ; manque de respect pourle culte.
+ InDEVOTANENTE, adv. indevotemont: d’ane
maniere indervote.
Inpzvöro, A, adj. indevot: qui n’est pas d#-
vot.
Inpex, s.m.V. Indices et Allidada. Congregapbl
do— ‚congregation de Pindex, ehargöe & Rome
d’esaminer les livres qu’on imprime. — axper-
gatorio, index expurgatolre : catalogue des
livres defendus par la congregation de l'inder.
— ou repertoriode lioro de rasäo, (1. de comm.)
alpbabet,, index , r&pertoire du dlirre.
Inpex ‚adj. m. Dedo —, index : dolgt india-
teur, pr&s da poace.
+ Inoıa, s. f. (f. de gdog.) Inde, Hindoasten :
pays de l’Asie meridionale.
Inniino, A, 08%
Inpiärico , A, adj. } Indien : de Finde.
Inoıcaciö, s. f. indiestion : action d’indi-
quer; signe qui indique.
Inpıcino, A, P. P. d’Indicar.
Inpıcandör, A.V. Indicativo. s. m. (1. d’ansl.)
Indicateur : muscle da doigt index.
Indicäinte , adj. 2 gen. indicatif : qui ind-
que. p. a. de
Innıcir, o. e. indiquer, ınontrer, assigner,
designer.
Innicarivo, a, adj. indicatif : qui indiqwe.
Modo —, (tl. de gramm.) indieatif ; premaet
mode d’un verbe.
Innicgäiö, s. f. (t. de chrom.) Indiction : p*-
riode de quinze aunees, en style de chancelle-
rie romaine.
P’pice, s. m. index, table d’un livre.— br
rario,,” aiguille. V. Indez.
InpıctAno, A, P. p. d’Indiciar. adj. Don! ee
a des indices, soupgonne. Soupgonnd d’ua
crime : contre qui on a des Indices.
Inpıcsapon,s. m. oolai qui donne des indieel.
Inpicıär,, 0. a. donner des Indices. Soupgi®
ner, decouvrir par des indices. Marquer, met
trer.
* Inpıcıas ou —ziıs. V. Come.
Inpicro, s. m, indice : signe apparent et pi*
bable d’une chose, d’un delit, etc. * Margue,
renseignement.
P’npıco, a, adj. Indien, de TInde.
Inpwranenca, s. f. indifference : tat d’ese
personne indifferente; faible attaabement; fro+
deur ; absence d’affection, d’amour, d’stische-
ment; insouciance. Liderdade de — ‚libertö &
choisir entre deux objets oppos&s.
Inpirrentute, adj. 2 gen. indifferent : gein
fsit &galement bien de diverses manieres;
bon ni mauvais en sei; qui touche peu , DR
resse gudre, dont on ne se soucie pas; qui24
‘4 point de penchant pour, qui n’a d’alia
& rien; qui n’a pas plus d’attachement, d’afeo
tion pour un etre que pour un aulre.
INDIFFERENTEMENTE, ade. indifferemment :
d’une mıaniere indifferente ; avec froideur ; 5896
falre distinetion.
FInerFERENDISMO, 5 2. indiffgrenusme
IND
de ceux qui se disent Indifiärents &
sout et abandonnts au hasard; qui se disent
indifförents on matiäre de religion.
+inpierznentista, s. mw. indifferenüste :
partisan de Findifförentisme.
Inpirınıver. V. Indefhmivel. _
Iniezna, s. etadj. 2 gen. indigene : naturelä
ou denpays; qui yerit‘ elle-meme( plante);
qui Y’habite de temps immemorial (peuple).
Inpsckucia, 8. f. Indigence : grande pau-
Innıckute, adj. 2 gem. indigent : necessi-
tsux; uvre.
+ INBICENTENEATE, adv. avec indigence, dans
Pindigence.
Iwoicenrisstwo,, A, adj. sup. d’Indigente.
Imnozstid, s. !. indigestion : coction impar-
faite des allments; ;digestion mauvaise ou nulle.
(Ag.) Manque d’ordre, de disposition dans un
diseours,, etc.
+ Inproustin, v. @. (8. durl.) deranger l’or-
dire des terits.
Iraıcgsro, a, adj. indigeste : dificiie ä dig®-
rer; qui n’est pas dig6re ; (Ag.) mal concu, sans
ordre, sans netiets. Ennuyeux, maussade.
+ Inpioztrir, v. a. indiquer, signaler au
Inpickrz , s.m. (1. d’an£.) indigdte : nom des
heroes, des demi-dieux d’un .
Inssonacäö, s. f. indignation : colöre oontre
ce qui est injuste, honteux et indigne; aver-
sion pour le mal, pour ceux quile font.
Iımiconino, A, ?. p. d’Indigner.
4 Innicnauänrn, ade. Indignement : d’une
manidrs indigne,
Impıcnän ‚v. a. indigner : Irriter, exeiter l’in-
‚ta colöre.
Inmenin-se (com, contre), v. r. s’indigner :
eurer en indighation, epcoldre ; s’Indignercon-
tre quelqu'un , otc. ; se fächer.
Iusıompisz, s. f. Indignite : qualite odieuse
de ce qui est indigne; bassesse; affront, ou-
Inpicnissıuo, A, adj. sup. de
Inniono, a (de), adj. indigne : qui n’est
pas digne , ne merite pas ; qui exeite Pindigna-
sion ; Inconvenant; me&chant; trds-condamna-
bie; odiear, qui ne convient pas au rang, &
Yäge, au caractöre, au merite, qui degrade.
Vu, bes, meprisabie.
Insico. V. Anl.
Inntuickucıa, s. f. negligence, nonchalance.
InmLiGKxTE, adj. 2 gen. negligent, noncha-
Inpnacäö, etc. V. Indignacdd, etc.
Y’sdıo, Aa, ad. et s. Indien : de !’Inde, des
indes. — "de carga, Indien porte-faix.
Inmozmuo, dim. d’Fadio.
. SIRCrAmENTE., ade. indirectement :
maniere indirecte.
Inomecro, a, adj. indireet: qui n’est pas
direotz obiique; fait comme sans dessein.
Imnıscırrina, s. f. Indivcipline ; manque de
discipline,
d’une
IND 633
InpiscrLmano, A, adj. indisciplind : - dyeli
manque de discipline. 9. 9. de
ImpiscıeLinän, v. @. Indiscipfiner : rendte
indiscipline. Il ost auss! r&eiproque
ImiscıpLınäven, adj.2 gen. indisolplinade ; :
qu’on ne peut diseipliner ; indocile.
Inbisca£tamnte , adv. indiseretement :
d’une maniedre indiserete.
Inniscatro, A, adf. indiscret, &tourdi, in-
considere, mal avise, imprudent.
Inntscaicäö, s. f. indiscretion : manque de
disor6tion ; action ‚parole indiserete.
InDiscaıMINÄDAMENTE, adv. sans cholx , sans
distinclion.
Insisiver. V. Indiziecel.
+ InpisrensasıLining, 8. f. qualil& de ce qui
est iudispensable.
InDıspgusävsL, adj. 2 gen.indispensahble :
dont on ne peut se dispenser.
INDISPENSAYELMENTE, ade. indispensable-
ment, necessairement.
InDISPORENTE, adj. 2 gen. qui indispose. p.
a. de
Inpısrör (com, conira), v. a. metire horsa
an de, rendre incapable, inhabile. Indispo-
ser, fächer, aigrir, irriter; rendre mzalade.
Innisrosicäö, 8. £ Impuissance d’agir, inca-
pacitö de recevoir. Indisposition : maladie,
incommodits l&gere ; eloignement, aversion
Ur...
Invispäsro,A,p. 9. ter. d’Indispor. Indis-
pose, incommod&. Qui a une Indisposition con.
re quelqu'un.
InbısPuTaBıLipäne, s. f. Indispntablifte, qua-
litö de ee qui est indisputable.
InpisputäveL, adj. 2 gen. indisputable, in-
oontestable; qui no peut ötre disputs; sur quol
Fon ne peut disputer.
InDISPUTAVELURNTE, ad. Incontestablemen,
indisputablement.
InpıssoLusı.mipe, s. f. indissolubilitd : qua-
lits de ce qui ost indissoluble.
InpıssoLöveL, adj. 2 gen. indissoluble : qui
ne peut se dissoudre. Qu’on ne peut denouer.
InDissoLUYvELMENTE, adv, indissolublement ;,
d’une maniere indissoluble.
Inpisrincciö , s. [. manque de distinction.
INDISTINCTAHENTE , ade. indistinctement ,'
sans distinclion.
Indisrincto, a, adj. indistinet, confas, qui,
n’est pas distinct. Qui n’est pas distingue.
InpıstincuiveL, adf. 3 gen. qu'’on ne peut
distinguer.
*"Inmro. V. Infrodunide. ft
Inpıvrıpir. V. Endicidar. j
Iwoırmwumciö, s. f. circonstance qui sp&cifis,
qui caracterise : speciflcation. Qualit& consti-'
tattve de Pindivide. Detail circonstanche.
Inpiviıpuipo, A,p. p. d’Individuar.
IRDIVIDUADOR , 3. m. celui qui Individualise,
Inprvimuär, adj. 2 gen. individuel : de l'indj-
vide, qai a rapport ä ui, Iui appartient.
JNPIYIPUALIDÄDE, uf. Individualits : qualils
|. Bin
Ba de Klanlvii ce qui 19 conglälse.-V. Zuhi-
TR, edy. indiridusllemens : |,
em ach individuelle.
aus, adj. 2 gen. qui.conaljjue lin-
an u.a.
M “ a. traiter de chaquye chose en
ir oulier, detailler, specifler.
Imansen. s. 9. ipdividu : durp parliculier de
ke espeoe personne ; &ire organis6 qui ne
ad vn cesser d’etre |a mame per-
ann —,avoif soin da son indivi-
mit Hr Am Fgonne.
NDiviD0O, A, adj. singulier, particulier, qui
n’admet ni division, ni distingtion, Indivis, ja-
%
DIYISANEKTE, adv, par indivis, indivise-
ke LT N eiat de ce qui
+ LiDing, 8. f. jngivisibilite.
Arapanpr: RR ges. indivisible ; qui ne
viser; qui ne
se divise pas.
Me FL ee: indiyisiplemens :
KRbılge da de Indivie; qui n'est pas di-
"Tünıziygr, adj. 2 gen. indleiple:: qui ne pent
er ire expe/md ar les paroleg; Inaxprimable,
NDIZIVBEM “TE, v. d’une maniere inexpri-
"Mensen 4 ds dog.) Indus: Neyre de
ANZ np
DogpipE, 8. [. indocilite : caractdre do
ern (gen Indocile; manque de dacilile; re-
ut letons, aux remontrances, ä l’cx-
perig neues:
Mp6ädLızino, a, p.p. de
I anoosıı IzAR, 9. a. rendre indocile, faire
pe
ta Hociliıd.
NDÖCILBENTE , odo. d'une maniere indocjle.
MDICTO, 1,04. indacte. Y. Indouto.
PnDous, 3. {. "naturel, earactere. "Genre, 04-
räclör6, eh arlanı des Tangues.
Impge Ki f. indolence, insensibilils,
w, aloaciance, nonchalance, apa-
2 gen. indolent, qui a de
ar Een insensible & jout.
BOLENTEN ENTE , ady- Indplamımentsarec
do ence , nonchalance.
Inpowino, 4, adj. indampi : qu’on n’a pu
dompter.
Do ‚adj. 2 gen. indomptable : qui ne
va al Pier
+ INDONESTICA ya}, adj. 2 gen. qui ne paut
8 rronkese
ad. feroce, gauvagp, qui
Kfm indomptabie,
weit ß Krane
"os
(An IRA je
un
+ upnränn, 3, add. qui aangus da del, gei
mast pas dola, indoie.
INDOUTAUENTE,, edv. En jERATAN}, CORIME SE
ignerant.
Ino6uro, A, adj. qyi na Rein! Appria, igne-
rani, sans instruction. .
tinpnız, m. (4. Kain. d inddri 4 apakih
quaire denss incisives & la mächeim jafe-
rioure.
NDUBITÄDO, A ‚adi.
en do2 Y. a
ne at daulere, as „cer
enuaırar /ELMENTE u, En hiuklenen,
sans doulp, asguremegf, Oeriginpuyent
Inpucgad, s. f. indertion? Insuigalan, In
nd hie. dent
pulsign ; 09 uence vrai uste de;
era dh acc sea en
pour prouver une nasimne genög
Inoücuas,s. f. pl. (1, de argl di naprdd;
treve, Suspension. Ancihe
Inpicrin, in s das
InnreririDine id D qui na
pas dueuile.
Ixorcrivo, 4, adj. qui induft 01 quiet pre-
pre ä induire. f ido,
NDECTO. 7
Pe be instigaleur. Celul qui en
URS Consequenoe.
InpuLcench, 2 - indulg Het la
lite A pardanner, excuse, e En nahe
de quelgu un. Boni, cond ge
rance. Indylgences : rom saion Da
v’Eglise de) ja peine An Yu,
Indulgengo plenidre. Sex I W 2 PR. 7
i saınt.
NDULGESCIÄR »
ee aan nei avec indulgenoe.
ÄQPULGENTE, adj. 2 gan. indulgent (A,BeR,
quj a de l'indulgencp, quj pardanne aishmaahı
comınode, tulerant.
INOULCEKTEMENTE, ade. ind ulgenyment: avec
indulgence,
INDULGENTISSIMO,, : ‚di. sup. d’Indulgenie.
InpuLTäAno, 4,p
Inpurrän (de), s. Fi ardonner, remelire u0
peine mieritde; Mi; r un indult. In
Be pourvoir d’un indult, obtenir un }
InpuLrärıo, &. mm. indultaire : quj 4 gppid
un bönelice en vertu d'un induls.
IxndLto, s. m. indult : gräce, droit aooprdd
par une bulle. *Amnistie, pardon, dispengakieß.
"Gräce, privilege.
* INDUMENTO, 6. m. Y. Vestidurg.
Innenacäd, 8. f. (t. de chir.) induralion, am
dureissement. V. Endurecimenie. .
Innuascer, etc. V. Eadyurecer.,
+ Inoisıo, e. m. Ü. d’ant.) indugiam : wis-
ment que les Romains perlaient sur ia pen.
Innüstaıa, s. f. industrie, habilets, sdrese,
dexterite; savoir-[aire, travail; action par la-
quelle !’homme cree des pradniis, des vadaun.
De —, eıpres, & dessein. ‚ Homem de — komme
plein de ressources, indpstrieux.
Inpvstrıäno, A, p. p. de Industrier,
I
I 1a00R ‚8. m. calui qui dresse ou rend
In ,5. m. colai qui dresse on rop
kabile‘, .
Inoustttäi., ad. Industrief: produit par Fin-
@ustrie. .. ’
Ykuusreıiz (0m), ©. oe. dresser, instrwire, en-
sehfner arme Kader. ri
Inpusrnlän-sg,v.r.g’in usteier : sieppll or
A rdenehPäädie and are © 8: Pacı
INDUSTRIÖSAMENTE, adv. indastrieusement ı
avee art, mäustie N m
‚k, adj. in x: qui ade
Pindustrie, de l’adresse ; falt'avec Industrie. '
Innustbb a, p.p. Plndactr. --
Inpuziuon
4. celui qui induit : instigatenr.
Inpuzmt Zr fastgalihh.
eonseil, impulsion.. ° '-' *
Impuzir (8), 0. a. indufrg : porter, pousser &;
eccasionner. —, inferer, {fer une cohsequenee
de. — em erw'd,, Ihtfulre eh erreur. * ' "
“Treurtar, u. u. enivrer. VW. Embebedar.
Ineoıa , 3. [. di&te, adstinence de mourriture.
intüro, a, adj. quf'n’& pas encore &t4 pu-
bli6, mis au Jour; Inedit. . u
' Ineerdsitınipe‘, 5. f! Ineffahllit6 : impossibi-
Ns d’exprimer par ges les.
Tnerfäver, (ad)! Andlfale : qu’on ne
peut e1primer par des paroles, Bu
InErFAYELnENEE, ade. üne manitre ineffk-
ble. er | dh, '.
-Yeevriciers, v. f. ineflicaelis : mmnoe de
vertn , d’ellicace.
u Äz,adj.2 gen. inefficace : sans eflica-
elle !' get ne proseit poldt Pöffet. Yun
+ IsEoricazuänte, ade. d'une manidre mef-
Bcaoe. 0.3 , .“ Liu Bun Eu u
Frkrpernxco, a, ac). qui n’est pas 6tectrirue.
Int EL, adj. 2 gen. Indfigfhle : qui ne
pgat elta.
Murtrirkı, 0). 2 gen. Inshuetable, ineri-
table.
ISZHARniVeL, adj. 2 gen. inönarrabie : mi
ne Dh eteraconıd. Zu
INESCETÄVEL ‚adj. 2 gen. qu’on no peut pas
en Beet »adf{. 2 gen. qu’ ne pe ‚pa
Intrcaa , s. f. ineptie, absurdits, sottise; ap-
von, propos, nelloxiens Ineptes.
sert4mente, ado. sotterment, mal A prı
oh, A’vohtre-temps: par ineptie. mr
In£erioäö, s, (. inaptitude Incapaciis.
Iusrriskino, 4, ad}. sup. Plntp .
+ Inzrtizin, e. a. rendre inepte.
ern, a, adj. Inepte, sans aptitade; Imper-
tinent; absurde,
Insötu.itno, a, adj. In&quilatäre : & cöts
im
ur.
+ IreguıviLre, adf. 2 gen. indquivalve : &
valves inegales.
"Ihtmcıı, s. f. Inertie: indolence , Inaction:
apathie , defaut d’activite. Forga de — (1. de
phye.) force d’inertie ; resistance au mourve-
men, pEoprie des corps de rester dans leür
dtat pos ou de mouvement.
Jug 4dj.2 gen. desarme : sans armes.
tt: ds dot.) Inernie ; sans Piquants, sans Epines.
PDF Bo
InennÄänte, adj. 2 gen. (1. d’astr.) fire , par-
kant des astres, des Aoilen. '"' in
In&aTe, adj. 2 ges. inerte, sans resser,
sans activite.’ j
*Intrto. V. Inerte.
JIuzscxoriver, ad). 3 gen. Inerustable ı qu’en
ne peut pönötrer. en
InzscoräveL, adf. 2 gen. in&puisable.
IygsperiDauänte , od. Inesperkinehl ı e0n-
un6 Vo esperanoe ; lörsqu’on Y attetichlt lo
moins. [1 ae
Shesperino,, A, ad. inesperd, Inattende,
im reva. y Inexpe FR [u ”
Esptäro. V. rto.
Inzstimiygr, odj.”? ger. Inostimahle,
pröciahle "Rn ne pet dssei estimer. : '""
Inerräncıa, s. (. Inövidence : qusine, sub
de oe qui n’estpas bridmt ' — 0
"IneitBense, ally.'2 gen. indvident ı qai n’ont
pas Wien, ma. .
Inzyrriven, adj. 2 gen. Indvitable : quo Fon
ne peut öriter.
Imetrrivauntert, ade. Insritablement: d'une
manidre indyitable, zw.
"P InexıcriBis,' s. f. inexaclitude : mangee
d’exactitude. m un Z et.
Ingxjctro,A . Inezant ı sahhs eract .
excauritki. Y.Pnsereimhl a v nn
Ingxcusä L, . 2 .: excusa °
ne peut dnl'brcn . un mim
INEXCUSAYELNENTE, adv. sans exXtuse.
+ Inickedoiven, ad). 2 gen. inox6cutaBie: qui
ne peut dire exdcutd. [
Inexooräskı. V. Inesgolaxel,
NEXHAURIYEL, adj. 2 gem. intarissahle, ın-
€puisable. '
InexnÄusto, a, adj. nontari, Indpulsable.
IREXISTENTE, adj. 2 gen. non &klslant, qui
n’existe pas. u
INBXORABILIDÄDE, 8. f. gqealitö de celul qui
| estinexorabie.
InexorävsL, adj. 2 gen. Inexorable : qu’on'
ne peut fldchir, apaiser par Ids prieres ; seväre,
dur, terrible.
INEXORAVELMENTE, ade. inexorablement :
d’une maniere inexorable.
_Inexperiencıa, 8. f. inexperience ı manque
d’exp6rience. j
InExPERTO, A, adj. inexperimentd : gal n’a
point d’expärienoc.
tInexrıiäno,a, adj. qui n’a pas dt expis
(peche, crime). "
InexriäveL, adj. inexplable : qui ne se pout
expier (crime).
InexrıscäveL, adj, inexplicable : qu’on ne
peut expliquer.
InExPaIMivgL, adj. 2 gen. inexprimabie :
qu’on ne peut exprimer.
In£xpucnäveL, adj. 2 gen. Inexpugnable :
qui ne peut @tre force, pris d’assaut.
INSXPUGNAYELMENTE, adv. d’une manläre
inexpugnable.
* INEXPUNHÄVEL, eic. V. Inezpugn..., elc.
Inzxtensäö, 9. [. manque d’extension.
t,
696 INF INF
Ixraxtania, s. f. Infanterie : tronpes ä pied,
Insänse,s. m. infent : titre des anlanıs pai-
nes des rois d’Espagne et de Portugal. Les Alles
son; miss, infauies. Emlanı gei
n’a point atieint l’äge de sopt ans. Fanlassin,
pidton : soldas & pied.
+iuextensiven, adj. 2 gen. inextensible :
qui ne peut pas eire slendu.
Inextenso, A, adj. inetendu : qui n’a point
d’etendue.
+InxıTERuInavEL, adj. 290%. qu’on no peut
pas exterminer.
Inuxrusävar. V. Inastimavel.
insxtincro, A, adj. mon eieint.
IngxzınauiveL, adj. 2 gen. ineziinguible :
qui ne peut @ire dieint.
InaxsaıciveL, adj. 2 gem. Inexizicable : qui
Inpantzcinio , s. m. infanticide : meurire
d’an enlani, commmis par son pere ou Aa mie.
Insantzaia. V. Infantarie,.
ne peut dire demedle. InrantiL, adj. 2 gen. enlantin : qui est d’es-
INEXTRICHVELNUENTE , ade. inexirieablement : | [ant.
d'une manisee ineztricable. Inrantiuna , 8. f. dim. d’Infania.
Inrantinno, s. m. dim. d’Infante.
Iusazıscaswiaipe, 5. f. inlatigabilit : qus
lite de Petre inlatigable.
Inrarıcäven, elc. V. Incansavel, etc.
Inrarsacäö, s. f. infatualion, entöiemenk
prövention ridicule el excossive.
Ixraruipo,Aa, adj. inlatus , rassold, ongeus,
prevenu excossivement. p. 9. de
Invarcir, o.0, infstuer, enivrer, preresir
excessivement.
Insaruia-sz, 0. r. sinlaluer, se rassois,
s’ent£ter de.
InrÄustauentg , adv. malheureusement.
Insaustissino, A, adj. sup. de
Inräusto, A, adj. desastrenzx , malhenreut,
funeste.
Ineucciö, 8. f. * empuanlisseınent, Infec-
ion, conlagion, oorruplion. (Ag.) Conlagiou du
vice , de l’heresie,
Ixrectino, a , adj. Inlectd. p. p. de
lurscrin, ve. a. infecteg, eiypuanlis; gäler,
corrompre par le venin, eic.; rendre infect Y.
Inficionar. ,
Ins&cro, A, 2. 2- irr. d’Infeclar. (de) ed).
Infect, gäid, corrompu.
Inrzcrcös , a,adj. infeot, qui inferte.
Inrecunnidäoe,, 8. f. infscondits , infertälite,
sterilite.
Insecdnpo, a, adj. infertite, inföcond, Bik-
rile : qui produis peu ou point.
Inreigid, V. Iafecgdö.
Ixreuce, etc. V. Injelis, etc.
IxreLicınäng, 3. f. infelicits, mualheur, die-
gräce.
IxFELICISssINO, A ,adj. sup. d’Infeliz.
InFeLicıtAno, A, P. p. de Infelieitar.
+ Ixrsuicıtanon, a, adj. el 3. qui rend mal-
heureux.
JarsLıcıTAn, ec. @. rondre malbeureus.
Isreriz , adj. 2 gen. malheureux , inforlune,
qui n'est pas heurcux. — por nescimenlo, mal-
heureux de nature.
Inv&Lizmexte, ade. malbeerausement, paf
malbcur.
INFENSiSSIMO, A, adj. sup. de
InvaLıımspipe, 3. f. infaillikillts : qualits
de Yötwse inlaillible; cerlitude enlidre; impos-
sibillt6 de se tromper, d’eire Lrompe.
iInsauriveL,odj.2 gen. inlalllible : certain,
immanquable ; qui ne peut faillir, esrer mi
INFALLIVELMENTE, ade. inlailliblement : as-
sursment , indahltablement, immanguable-
ment.
Insramsackö, 5. f. Infamation, denigrement,
note d’infamie.
IurauiDo, A, P. pP. d’Infamar.
Inrauapon, A,s. dilfawmateur, celul qui däf-
fame, qui decrie.
Inramintz, adj. 2 gen. inlamant : qui porie
infamie.p. a. de
Inrauin, u.a. denigrer, dilfamer, noireir,
diminuer la r&putation , !’estinme.
Invamär-se, v, r. se denhonorer. u
InramaTunıo, A, adj. dilfamaloire, qui dif-
fame.
Inräug, adj. 2 gen. inläre, diffame, sans
honneur; indigne, sordide. Scelerat, läche,
infame; difames, Neiri par la loi. Iufamant,
qui porte infamie.
Insämzmänte, ade. lächement, sans hon-
DEUF, Sans Courage. _
Ineänıa, s. f. infamie, bläne, reproche, de-
nigrement, flötrissure imprimce par l’opinlon
‚publigue ou par la loi; turpitude, lächeie,
scelcratesso, action infame; ignominie, al-
front, indigniteö; paroles, aclions injurieuses.
Nota ou sinal de — , marque d’infamie.
Inrauciö,s. m, (anl,) gentilhomme : hornıne
destraeiion noble. Ancien litre de noblesse en
Portugal.
Inrincıa, s.f. enfance : l’äge de l’homme de-
puis lä ualssance jusqu’ä douze ans ou envi-
ron; se dit ligurement de l’exir&me vicillesse ;
ng.) commeuceinent.
nFAncda,s. f. d’Infangds. V.ce mol,
"Inrancoxo, A ,adj.delYafangdö. V.ce mot.
tiyräsoo, a, ad). (inus.) qu’il ne faul pas
diro ; hurrible, execrabir.
Ixreäxta, 5. /. infante : Ülle pulude du roi
d’Espagne ou Je Portugal. Ixrexso, A, adj, contraire, ennemi.
"Ixraxtanıco, s. m. terre, elc., de l’Infan- ° Insenäxcta, &-f. consequence, induchen.
ed. \. ce mot, Ixvenino, A, pP. pP. d’Inferir.
INFANTADO, 8. 90. apanage d’un infanl, Ixreno, A, adj. (1. Pod. p. us.) V. IoJerasl,
Iaraxtaı., adj. 2 gea.deVinfanı, IyrErıön, aj. 2 gen. inferieus ı placd au“
INF
demous: (a, fm) —, moindre en merite, en
seience , en qualit£, eic.; meins bon. —, subor-
donne, subalterne. Näo ser — a wenhum oulro,
ne le esder d aucun autre.
Inreniörmäpe, 3. f. införlorite : rang de l’in-
ftrleur relalirement au sup6rieur, de ce qui ost
igferieur. ° Dessous.
Inrentonntnte , ade. Införieurement, au-
as.
Insenıa (de, por), v. a. induire, infärer,
conclate, döduire une consöquence.
Inraaı-Se, ©. r. naltre, provenir.
Inrsautıno. V. En ro.
Imyızxino, 1,9. P. d’Inferner. adj. damned.
Inge re.
bg ‚adj. 2 gen. infernal : qui appar-
verde ä Penfer; Mens de Penfer. (fig.) Diaball-
"erennauisinn, s.f.* d&sordre, eonfuston.
InrzaniLytxtre, ade. infernalement : d’une
mmitre infernale.
Inrzanin, u, @. sondamner & l’enfer. (flg.)
er, exeöder, fatiguer, importuner.
INFERmAR-SE , ©. r.se mettre dans l’enfer; se
disesperer ; s’aflliger.
wo, s. m. enfer : Iieu da sappfice des
damnds; supplioe des dammes ; bruit, desor-
dre, vacarıme; !ieu od l'on se deplatt: Heu de
dosleur, de peine, de desordre. Dans certains
ordres religieux, fefecioire od les moines man-
gent gras. Croux oü Yon place la pierre du moy-
iin 4 eat; Jeu de cette machine.
Iwrexo ‚a,ady. V. inferior.
InrERTıL, adj. 2 gen. infertile : sterile, qui
n'est pas fertiie.
„Irtanımios, ‚2. f. Iafertilite : störilite d’m
Imssrieo, a, p. p. de
larzerin, vo. @. Infester, piller, ravager par
des incarsions. V. Infeloner,
Inrıin, ete. V. Bafler, ete
rweinck6, 8. f.(l. do ehir.) tafibulation :
operation par laquelle on enrpeche Fusage des
parties nöcessulfiee & la generation.
tim InrısuLär, 9. a. infibuler : faire ’infibula-
"hrtcromnck6. V, Mmfocräd.
InrıcıonäDo, A,9.P. de Infcionar.
Invonapon, A, adj. et 8. yul Infecte;
earrupleur.
Inncıonin, vo. &. Infecter, empuantir, em-
peiter, empolsonner, eurrompre. (fig.) Vicier,
eor: ro. Il est aussi f6ci .
Inrwreınive „ s. f. Infdeltd, deloyaute,
wahison ; raanque de fol; eiat des infideles,
es Infidöles eux-mömer. V. Gentilismo.
kıriso, a, adj. inflätle, deloyal.
Iweıtı (a), adf.2 gen. inftdete, deloyal : qui
menque de fol, de Ndelite; Inexaet. — ‚qui
w's pas iu vraie fol; qui n’est pas chretien.
inneLsko®, V. Infideiddde.
...;
INF 697
InrıLrnackö, s. f. inllltration : aclion d’un
Nuide qu&s’ inßltre.
InrıLTnADo,A, 2. p. de
INFILTRÄR-SK, ur. . ’inßltrer : passer comme
par un ültre dans les pores, eic., d’un 50-
e
UYnsın0o,A,cadj. infime, dernier, le plus bas.
InFINDAMENTE. Y. Infnit amenle,
Inrinpo, A, adj. sans fin, inänl.
INFINGIMENTO, 8. m. V. Sin
Inrmipipe, &. f. infinite : qualite de co qui
est infini ; grand nombre, grande quantil£.
InFWiTANENTE, adv. infniment, sans bor-
nes, Sans Inosure.
Tinsmitesıua, s. f. (4. de malk.) infinild-
sime : partie infiniment petite.
+ InrınıtssınaL, adj. 2 gen. (f. de math.) in-
Anitesimal : : (ealcul) des infiniment,pelits,
Inrınıtissıwo, a, adj. sup. de Infinito.
Ixrıxırivo, s.m. et adj. Modo —, infinnitif :
node du verbe qui ne ınarque ni nombre, ni
personne.
Inrisiro, A, adj. Infni : qui n’a point de
bornes; qui n’a ni commencement ni An; sans
An; innombrable; grand, excessif, Intermi-
nabie.
Inrıxiro, s. m. Y’infini:ce qui n’a pas de
bornes. it. V. Infnilivo. Ald ao —, a Pinfni.
Inrinta. V. Finta.
Inrinto. V. Fingido, „Dissimulado.
Inyınmino, A ‚P-
InrıRmir, v. Pi iaus.) Infirmer, Iinvalider,
deelarer nal.
InrıstvLido, A, p.p. de
InrısrtLig, 0. a. rendre fistuleux.
InFistuLÄR-sz, v. r. devenir fistuleux.
InrLaciö, 8. T. enflure, gonflement; (g.).
orgueil,, vanile.
InrLivo, A, adj. enfid, gonßd; (Ag.) or-
gueilleux, vaniteux.
InrLausasıLıping, s. f. infammabilitö: qua-
lite de ce qui est Inlammable.
InrLamuumacäö, 5. f. inflammation, embrase-
ment : action qui enflamme un oombustible;
(fg.) Acretö, ardeur dans queiguos parties du
corps; ehaleur, enthousiasme.
InrLANEABiseıNo, A, adj. sup. de
InrLıwwino, A, p. pP. d’Inflammar.
+ InrLaumapon, A, adj. qui enflamme,
InsLauuän, ©. e. enllammer, allumer, mei-
ire en fon; ecbaußfer, denner de la obaleur, de
Yardeur; allumer, embraser, ezoiter les pas-
bions. Causer une inflammalion.
Inruauuän-sg (de, sm), v.r. sonflammer:
prendre feu ; devenir rouge.
INPLANMATITO, a, 0dj. gei enllamme.
INFLAMMATORIO, a, adj. inflammatoire : qui
cause Pioflammation ; qui consiste en une in-
Aamnuation.
Inrıexiö,s. f. inflexion : passage d’un ion
de voix A un autre; facult& de le faire; dispo-
sition du corps & se pencher.
ı Fnreexisuipäne, 8. f. infexibilits : gnaliid,
earactere de ee qui est inflexible ; duress d'un
es INE
AR:
A tons les efforts; (Ag.) per-|, Imrö .2 90a. informe ; qui n’
See ranen inebranlable dans h serie? 7 bot HE ABl Bir? input “pm
InsLexiveL, adj. 2 gen. infiexibley qui nel,
edde & aucune oompressien; (g.) ui ne se
lalsse pas &mouvoir, flschir, &branler.
Hierxıyzıutnte, ado. infexiblement: d’une
maniöre inflezible.
inruize, a, adj. Infiächi : Adchi en dedanz.
Insıicro, a, adj. inflige, Impose. p. p. irr.
de
InrLicik, v. a. [ p. ws.) nlliger : Imposer
(uhe peine, un chätiment),
InrLoaiDo,A,p.p. de
InsLorin, v.«. entrelncer des fleurs. Faire
pousser des feurs.
IwrLORÄK-#E, ©. r. fleurir, pousser des fleurs,
Peneirer dans les fleurs, parlant des abeilles,
ec.
InrLo@xcıy, s. f. influence : action supposde
des astres sur des corps lerresires ; aclian
d’urıe cause qui aide & produire un elfet; (Ag.)
ascendant. ‘
InsLoneschucha , s. f. (4. de bot.) inflo-
rescence : disposition des lleurs; Ja lieu d’ou
elles nalssegt. i
"InrLuente, adj. 2 gen. influent, qui infue;
qui exerce une influence morale.
InrıongiO. V. Influencio.
InrLufßo, A, p. p. d’Infuir, et dj. — em
desejo, dösireux, qui a de l’avidils, passionne.
Andar — tom una cousa, tire lout occupe
d’une chose, sy adonpner de bon cwur.
InrLofoör‘, A, s. el adj. qui’a de influence,
qui influence.
InrLvia, ©, a. influencer : exercer une in-
NAuence. Influer: agir par une verlu secreig;
faire impression sur l’esprit, \gs maurs. Inspi-
rer, animer. — em, influer süt. — para, aui-
mat exciter &. v. ». Ayoir de l’influence.
FLÜM-sE (em), v.r. V. Enlevdr-se. — em
Adalgo. V. Afdeigir-ae.
rn, Al m. V. Influencia. * affluence,
grande quantite.
Invorcıiro, s. m. Inforliat : second yolume
j PDigeste.
NFORMACÄO, 8. f. informalien : astien d’in-
former, de #'inlorınez; reokerchas pour d+-
couvrir la verils; engutie, Tomar —4es, aller
aux inlormations.
juronmänd, A,2.P. d’Informar et adj. Keld
mal — de mim ou a meu respäite, il est Induis
ON 6rrEUF Sur mon compie.
InronuanOR, &. m, onlei qui Informe.
Insonmänts, adj. 2 gen. informant, qui In-
forme. On l’emploie substantivement: O -—,
commissaire enqußteur; celai qui donne des
informations. Rapporieur. p. a. de
Insormin, vo. a. ötre la forme substantielle
d’un corps. Donner la forme A lg matidre; ani-
mer. (de, sodre) Informer, avertir, instruire,
Iasrulre un juge d’une affaire.
‚ Inronuän-sg (de), v. r. s{nformer (de), «’en-
gaerir, prendre des rensejghemens,
Inrönu, 3. m. "information : prise, avis
on donne, rapport; informe.
ı INFORMEn£nTg, ade. d’une manidre informe.
Inronsınipe, 8. f, qualitö, Otat de ca qni est
informe. ‘ ö
INFORTIFICAYBZ., dj. 3 gen. qu',
pe a AN pü d en. quo pa nor
NFORTöng ,&. f‚infla anje dep gatres.
N erdnrarse nie. 5 CN Bahanensc-
ment.
- Inronrunäoo, 4,4. inforyang , malhpure:
NFORTÜMIO, 9. m. . Inlortune malheuy
IR tr N isgräce.' ic } ”
* Iuraa, prep, lat. qui antre dans la gompasi-
bon de plusigurs molg Bartugall. Ay-festone,
i-dessous.
r Inraaocit, 4. fi n, zappare, Infrae-
fion,, transgression , conlyayenlion,
Inrnicto, A, 0dj. casse, rompu, brigd- (Ag-)
Abalu.
Inrnactön, a, 3. inlracleug, FARSgTOKSEME :
celui qui viole un lraile, une laj.
NFRAESCRITO. V. Infraserslo.
j InrnaLAPSaRıOS, 5. m pl. inlzalapsairen :
Iheologiens qui souliennenf que Dieu a ze
un cerlain nombre d’hommes ppur les dazaneg
irrövocablement.
tlnrnaocräva,s, £ les siz jours opungris
entre une (die ei son Gctave.
Insrascaito , A, adj. nommd, meulipung
plus bas, oi-dessaus. Soussign« : dgnt le usa
est mis au has.
RFREQUENCIA , 8. f. manque de fraguenge.
IupRnQyAnTE ‚all 3 gen. qui nasıpas (a4-
quent.
INFRIGIDANTE , adj. 2 gen... 4 da mad. ) klch-
ge auf. . ' ’
NFRINGIDO, A, 9, R. de
Inrnincin, v. a. enfreindee : violer, Farupag,
kransgresser, papigevemir &.
INFRUCTIFERO, A, adj. infructueux , whräle..
(Ag.) Qui n’apporte aucune wiliip. .
INFAUCTBOSAUENTE,, adp. inlgucdtuagsameamg :
sans prolt, sans utilile.
Inertctuöso, 4, adj. infuelpeuz, qui na
rapporig aucun profi.
NFuLA, 8. f. infule : diad&me sacerdolal ag,
nde de laine blanphe qui caigueit la Wie du
retre.
- tlayomipa, 4, 4dj. (1. de hot.) enfie, koufli
calice).
Infunin. V. Enfunaer,
Insunnica, s. [. lessive.
NFUNDIDO, A, P. 9, da
InFundR em) ‚©. a. verser dans un vase. jq-
troduire : faire enirer dans. Infuser ı faima
tremper daus une lqueur. (Ag.) Inspirer : laire,
baltre dans l’esprit quelgue pensee,
mourewent. — 0 roupa, faire tremıpos le |i
— no coragdö, elc., Iniroduire, graves dams iq
yaur, ec. — Peos a alma no cerpo. Pa le dis
Je Yacie par lequ&l Pie ypis l’9me au anıpe-
1)
INS
— sommo. On ne le dit gudre que du sommell
qus Dies euvoya & Adam,
+ lurımein, v.o. (f. pop.) defigurer, oban-
r, ire.
. + Inrunciö, s. f. redevance que payaient
au seigneur, Pour Yentretien dos chälesuX et
Surterdssas ,'cour A qui ii avait [all des ennoes-
sions de terrain petes lo cultiver.
Jeedsa‘, si f. vruche, p66 & dauı
Inwusid, s. f. infusien : ecien d'infuser;
chossinkisde ı liqueur dans laquelle on l’a fait
kusfıises. I/adie par Ieguei Dieu unit YAme an
corps. Pör de—, infusse, mer dass um liquxide.
p Inwusunlmäwe, 3. f. qualitd de oe qui est,
infusihle.
4 Iupusiran, ad). 2 gen. infusible : qu’en ne
peut pas fondre.
"Inwise;'a,n. pP. ter. de Infundir. adj. Infns.
On le dit de 1a science, de la sagesse que Dieu
verse dam Name. '' ..
Inrusöntes, u. m. ph ei a. (t. d’kirt. wat.)
res ': 'animaltales qui‘ se ÜUsvelopipent
dans les infusions vegetales 6 anfınales.
InFUSTAURAYO, 8. ‚ Mafvalso/oılver des fu-
tailles. ’
uretnn, 0. f. (4. de eur.) Auxion-des ehte-
vaux.
Twatımtıko, elo.
INGENIOSO, k .) V. Engenh..., elf.
Indennro, Ki,
non engendre. Naturel,,
inne. Ze SE
Yneinre, ei. 3 gen. twös-grand, enorme.
InGenvamente, adv. ingenument, natve-
ment ,aveo nalvolk. '
Ingenuipis, #f. natvetb, ingemeits, fran-
eiriwe, Sadeuri Tor war de —; avolr un air
IncEnvo, A,.adj. ingenu, frame, nf. Ne N-
bes, dlrehfien Rurbais: '
IngEnEuncIA ‚s. f. action de Fingern.
Incexino, A,p: p:idb 3
Wemdik (d},0: a. insöser : meitre dates,
N rennin-st (om), v. 7. Singixer de, se meler |
de quelque chose Deine en uno requis; wine
rer, simmiscer.
+ Inorarennä, s. & {b. de geog. ) Angieiarre :
fle et royaume de ’Burope.
IncLkz s. m. anglals + ia langıre anglalse.
were, a adj. et u Anpleis r nalif d’Angie-
terre. A’ —a, & Vanglaise, & la manidre d’An-
gleterre.
+ onso. ad inglortenp.spegein.
+ IncovernÄvEL, adj. 2 gem. Ingouvernable :
qufeh n& Jr
Incririummrr, adv, ‚mgratement : aveo M-
atitude.
caırınad, 9. f. tagratitade : rnanque de
reconnaissance d’un bienfeit, ww. mepris, du:
bl Wua bienfait, :'-
InCHATiSSINO, A, a. sup. de
InGRäTO,A, adj. i at: yul ste reconnalt
Pas und grade, an-bisnkait-uM amour; sterne,
Iressemble au famandua du
INH 699
infruelueux (lerfe ; (£g.) travail, dtude). Des-
agreahle, Apre au gons. Rude, ingmat & l’ersilie,
INGREDIENTE, 8. ın. ingrödient: ce qui entfe
dens un auslange, dans la composition "Yun
remdde, eto.
I'NCRENE, adj. 2 gen. raide, esea
I INARENInADE, s [.'qualits de v.gui est
raide,, escarpe.
Inpndssn, a m.’enisde. V. Kuiradu. " Rteap-
tion : c&r&monie pour. recevoir, installer. '
Incmrauannea, eis, V. Kungt..., ele:
IncuA,s. f. "bubon, ‚tumeur dans Yalno on
dans les aisselles.
Incuwin, adj. 2 gen. ingeinlı ende tout
ce qui eonoerne l’aine.
Inniaıı (pers), adj. 2 gew. Inhabile ,qu
na pas habile ä; insapable: Maltmiblie, mit
adroit,
*" Insanuaurir. V. Inkabilätar,
INuAmLIDÄan, 8. f. inhabileis: mangque d’ıa
InHABILISSIMO,, A ‚ads. sup. d’Inhabil.
h + immanguırigi6, s.J schen de Otelarer in-
abile, ale
INHABILITADO, A, adj. ramdu on deefar& n-
habile. p. p. de
Balıızin (para), v. a. vendre ot deolarer
inhabile. Oter les moyens, 1a fasulld de Taird
une chose. 11 est aussi röelproque
Innastrino, A,adlı Inhabite: :qei Hafen pofnt
bebeid.
Ismanısl var, af. 2 gen. Anbabilete: ’ ud
ne peut babiter.
7 ImaLänen, adj. 2 gem. (1. de mid.) mire-
geit ins Bumenes, Pair, Se ‘dit des pores dd
corps hummalnı ı olaht. Voppows de Kckalant. '"
+ Igraune, 2. wm) olttaı Hu’ Bresil'bon &
menges, #4. Eupöos d'ienstae du Bresil‘.
Inutue, sm. (; de dot.) Inliaihe, imiem mi
iguame : Ilame Sont:ou mangd ia facine; sa ra
oime.—-.do Roypto, eoloeasie (choux caralben).
'Innaurönn, s. m. oilden PEthiopie.
? INmATESA. V. a
“Indiver. U. Inhobil:
Iupasinı, u fı ac gie
il
Inutnno (1. fam.). V. Fonlo‘D to.
Imakttuctk,' b. T. inherence '; ’: jönetion Mr
: choses inseparaßles , si dehfest bar abstraction,
Immenente, adj.'2 gen. inherent: ‘Joint ins&-
parablement kson sujet. "
IxHERIR, v. 9. etre inherent.
Insimigkö, s. f. iühibilion, ütfense, prohlbi-
tion.
"Innteivo, A,p. p. de
Imlısır (de, em), e. a. {f. de prat.) inhiber,
defendre, probiber. Interdire ä un juge la con-
naissance d’une affairc.
Inuprrönsa, s. f. (1. de praf.) arret Inbibi
toire, qui prohibe.
InnoRKsTO, etc. V. Deshonfsto, efc.
'fkironan. V. Ignorar. '
InuosriTaLipäpE, s. f[: inhospitalite : defauf |
‚’hobpitklite: BR
08 INI
Ivwieeyn 2, ap. mE ‚Se |
uwvovs 5 UTRERBES.
sUurwerad, 3 [. UENBEEDEER . GESEHEN.
ıUWPWLVASONTE , iD. . INNERER .
rryetie nen.
WUFWÄWTBASG, 3. f. \BÄNBEEEENED. CERENERE : ;
berbarie.
isueukae, a, af. usmmuntın, cmant. BERND, |
LDEPP_
Ineruchs, s. /. uuläkatium: antiaın di TImskhup o8s
d’etre wine.
ivren.a.a a (Immer.
Iarcr ar. up. 3 gun. mm. ı Yan te ccit.dens jatiten °
Tut COHEBFREUUE +5 EEE, US cRUBEANER. CAR.
INN
Isorma ou » mini, SEbHaNER:
Munssnase.s./f. >) z0tiam eomtum kun kaum. ia
posbie : IN)USLCE CLEBSSLVE ; GUEBugEEn de
- .
.
,‚ EBEBS: CEEEEB: BOcbER.
Isugeunsnnp , A, auf. up. de
; imese. a. adj. imigme : mgente & Fammine
manehmet
: ceuizasee a ’egunik.
Issutcıö, s f. mijeetiem : astiam d’imjmutns;
runs. |uyESER InyaHühE.
inmsszan, ©. a. impestse : muisadluine une B-
qusER 2702 uns seringue om in beuzhe dem
! une Pisa, cams ÜUS VEiEREE.
iznsıe, 2.0. i. danat., musunben, ein. iM
‚ee.
imma... untlsg. adänsiine ' 2uE saKeumB- | TIERE, A, adj. dinsgzpiukle : qui me
MES SCERÖRND, AR ZUFEEEES, A La pedilkupee, Piasi PEiE.
ete
+ jewıeriva, a f. mitiative- Nimses-dechss- |
sör: [aeulte de cumsmmEBEr- "semite de (as dies |
T iIEIEIIEEn.. 0. 2. MNDSSEN; emjnindee, PER-
CEEEB-
Inzunsa, s. [. imare, test, emissge, mus
prnpesıtiens de ie suns «u etias saramt punwe- : ‘IB pannies ou de fast; pusele afiennamtn. " Ai-
quer zur ie puuveie ruyal. (ram. Bnssher, saffrer ums, avalır, beim,
tiwasıne, 2, af. mmtineil. qua denne, | "SEEyer um afüremt. Bu
ksiser \Twetisäive. mamane, 1, 5 5. de Ingurier.
mmcıe. V. Pro i Imzunsanee, a, 5. ceimi qui mjurie. j
Imen. V. Aeigus, Issunaisın, au). 06.2. 2 gen. qui ingame, ef-
en m imunsan, oe. a. (aire tert, efianner. Imjasier :
immrcıe. V. Anissizunie. Jire das injures. ne; m
Inusciespe, 2 , all. up. de nie) njmpbanguEnsEm.:
Imuice, 2, adj. UNE, oppune . oamiEmuun: | TEREEÄTE IMIUFIGUER , BIZRGNEMER.
(gro9., a auneımi qui fait (ms am pm d’am-
gewti. Austge vessnchiiude — debvrede ,:«d., em
ne deit pas su flur & la perssune zreos qui em
dest rerenellie. Que d a —, efieini da tus
offrin, (14., i'enuemi dis berbier est ost de sum
meter. Sor — d elguna- HU, RE PeS SuBEE une
chose, n’y proudre peint de piusie. Buv am
knmeramo, ı,p. pP. de
Fuuwetan, ©. @. sondere ennemi, sumes ia
ion, ia discorde , brouilier.
IntıunsTan-#8 (00m), 0.7. S’sttirer | ninitie de.
Inurriver, adj. 3 gen. iniemitsble : qui me
pomt Are imitd.
Imurr aveı. are ‚ade. iuimnltahleunent: d’ une
maniere mimttable.
hurarrame, #. f. imimitie : haine euverts et
datable ; matveillenee ; aversion durable per
Aurlga’an.
Yagıran. V. Satmister.
Inmro, 0. m. V. Interizade,
Inersnudvei, adj. 7. gen. jnintelligible :
aan ne semprendse.
Inmresucırsuuänre, Ade, Imintelligible-
ment.
Inıgnauture, ade. Iniguoment : d’une ma-
niäre Ialkqus,
Insunsden, a, au. imjsinE., suizaguen, el-
msami.
*" Insusran, eis. V. Auyurım, ale.
Inszszasuines, ade. unmatmunen.
lmmseıca, 2. /. imjmstins: ansnepen die jasline;
aztten ımuste: eiets de Finjustise; vielalien
das dasst. d’anizms. .
lasusuciss, a „au. njuste guhn’a pasde jü>
use.
Issuwrsaune „A, adj. up.
Issue, a, mymsie ; cantruine A ja ja
Use: qui nen 2 pas.
Timusssın., ads. 2 gen. inihie ; quien 58
punk lize „ ei m’ eat pas kaible..
V. Enligader.
Isas;an. V. Diiger er Enbiger.
* Isıcos. V. Zleigai.
Inaszanea. V. Alisnder.
IsLocaivzı, ag. 2 gen. (fam.) quen ne
pous „ stizaper.
Ismce, V. Fuissige. .
ksnasciver, adj. 2 gee. (8. de thdel.) nasstı-
bin : qui w’est point nd ei ne peut naltze, On Ie
dis de Dien le pere.
bsniTo ,1,0dj. and : Bi avcsnews (din, qui
Be). .d.de bet.) Adae: unmidialemmeni atischt,
pasraissant [aire corps.
kuuavscivsL, aß. 3 gen. Innavigable: su
loguel en ne peut Raviguer.
InuscävzL, adj. 2 908. qui ne pemi se mi8l,
incontestable. se
janzavine,A,9-P-
Inzunvän, so. 6, aljachss unp corde de Berl
(d un are, ete.).
INO
Innockncia , 3. f. innocence : elal d’un inno-
cent; absenoe de culpabilitt ; Irop grande sim-
pliolte ; puret6 de mwurs; Intögrile de la vie.
Innockwtz, edj. et 8. 2 gen. innooent (de):
qui n’ost pas eoupable; exempt de erime, de
malioe; pur et eandide; simple, imbetile, fai-
bie; idiot; qui n’est pas malfalsenı; qui ne nuit
pas;
Abeolver por —, innoovenier. Os santos —e, les
innecents, enfants qu’Herode At dgorger pour
faire perir le Christ.
INNOCENTENENTE , adv, MTOGERNHENt : AY6O
innocence.
INNOCERTE2INNO Ou
INNOCENTINBO, A dim. de Inwocente.
InNOCENTISSINO, R ‚ed. sup. d’Innoconte.
Innovaa. V. Eureder.
Iunouınäno, A, adj. innomed, innemine :
sans denomination . Öse —e, ( .
d’enat.) os innominds du Dassin, qui w’ont pas
d’autre nom.
* Innöto. V. Ignöto.
Inxovacäö, s. f. innovation : intreduetien de
be us meuveauts dans unscoutume, unacie,
€parations.
knoripo, A, PP. #’Innover.
InsOoVvanda, 8. m. innovalsur, hovalear: qui
innove.
Innovar, v. a. inngqver : introduire des mou-
veautss. Faire des reöparations. V. Aenovar,
Beformar.
+ Innöxıo, A , adj. innscent inculpe. Inoffen-
aif, qui ne [alt pas de tort, de mal.
IRNUMERABILIDÄDE, 8. f. innumesrabilitö : qua-
ltd de co qui est innombrabie.
d’une maniere innomhrable.
Innönzro, a,adj. V. Innumerdvel.
Inzunmanöso, A, adj. sans nombre, sans har-
menie (vor).
Innörto, a, adj. non marie6, gargon , o6libe-
Inoszgpıtncaa , ote. V. Desobedieneis , etc.
+ inosszavino, A, adp. qui n’a pas ‚es 16 ob-
Inossenvinte, adj. 2 gem. desoheissant aux
‚ des rügles.
InocuLacä6, s. f. inoculation : communies-
tion artificielle de la petite verole.
lnocvL.ino, A, 9. P. d’Inosular.
+ InoouLanta , s. m. insculaieer : onlui qui
imocule.
f InocuLir, ve. o. inocules ; oommuniquer la
petite verole par inoculalion.
TinocuLista, 5. m. inopmliste : partisan de
Finoculation.
Inopöro, A, ai. inodere : same odeur.
rt Inorssnsivo, A, adj. inoffensif - qui ne
peut offenser ; qui n’offense, n’aliague per-
SONS.
u. [3 .
‘
INN 701
InorricıösamAnTE, adv. avec inofliclosite.
Inorrıcıosinäpg,s. f. (4.de pre.) inofäciosite::
qualits de ce qui est inofltieux.
lnornotöse , A , adj. ( 4. de praf.) mofllctenz :
qui desberite sans motlf (Testament); (dom-
tion —se) faite aux d6öpens de 1a I6gitime. Qui
n’ost pas obligeant ow serviabie. Inutile, itrefl-
enfant au-desseus de sopt & hult ans, | cace.
Inöria, s. f. pauvrets, disette, besoin. ( Ag.)
Pauvreit, maligreur du style. Confessor 5 uM
—,(fam. ) avouer sa faute; reconnaltre son in-
suflisance.
Inorınäpawiare, ade. Inopindment, sanz'y
penser.
Inopmiso, a, ady. inopind, Impreru ; & quei
on ne vattend pas, & quol l’on n’a pas songe.
+ 1nopınäveL, adj. 2 gen. surprenant, qu’on
ne peut prevoir. Ineroyable.
+ Inorroaröno, a, adj. inopporten : qui w’ont
pas ou n’est plus opportun.
+ Imoncinıco, a, adj. inorganique : dont les
parties n’ont entre elles quo des rapports d’ad-
herence.
Inönuz. V. Enorme.
Inöro. V. Igunöte.
Inovir. V. Innover.
Inquitracaö,s. f. ingeidtade, wouble; agß-
tation d’esprit; perturbation de l’äme. Södition,
mutinerie.
Inquigtäno, A, 9. p. de Inqwistar
InQuIETADOR, 4,8. colui qui ingeitte, ingquis-
tant ; tracassier.
INQUIETAMENTE, adv. avec inquistade.
Inquizrär, vu. e. inquidter : rendre inquietz
troubler dans la possession ; chagriner; tro@-
bier; tracasser.
Imguızrissıme, a. adj. sup. de
Inovıtro, A, adj. inquiet, wouble, agied;
emuanti, ennemi da repos; ohagrin, soucisnz.
Turbulent , söditieux , mulin.
+ InquıLmäro, s. m. droit d’un locataire.
InquiLino, #. m. locateire : oelai qui ent A
loyer.
Ingumine, A,p.p. de
Inqvinar , v. e. soulller, Lacher.
Inguisıcäö, s. f. recherehes, peorquisilion,
enquäte.
Inquinıptraa, s. f. sorte de sangle pour alta-
cher les charges des bötes de somme.
Imounımo,A,p.p. @
- InouinıdoR ‚s. we. celui qui s’tmforme; exami-
naleur, enquöteur.
+ Inquiaıpania, 8. f. office, exercioe de l’on-
quäteur.
* Inquıaımento. V. Inguiriodd.
Inquiaia , v. 6. s’enquerir, s’informer, abetr
cher avec sein. Enquetier.
inauısıcäö, s. f. recherche, enguöis, porapak>
sition. Ingeisilion ow seint-ofice : teibunal qui
punit les impies,, les infideles, otc. ; local eh 4
liont sen stanoes.
Inquisipön , s. m. inquleitser : jege de Hier
quisitien, — gerel, grand inquisilgut. -
"1.
.- r
u WR
os INS
mesme —, & Vinstant, sur-le-champ. Cade —,
& chaque instant, Iressouvent. Num — , en un
instant , irds-rite. Por um —, pour un instant,
pour peu de temps. A cada — , ätout moment,
Sans 06356 , conlinuellement.
Insrintz, p. a. d’Inslar. adj. Instant, pres-
sant.
InSTANTENENTE , ade. instamment , atec In-
Blanco.
Insrän, v. a. ei m. faire insience, Insister,
. Ajouter une instance,, un nouvel argu-
ment & une objertion. Presser : ötre pressant,
Eıre proche, «’spprocher.
Insrauasackö,
tion ‚ rötablissement, retdification.
Irera0unipo, a, 9. P. G’Imsteurar.
InSTAURADÖR, s. m. resiauraleur.
Insrauaie, v. a. retablir, renourveler; res-
taurer. Rebäür.
Instacnsrivo, A, adf. propre & retsblir, &
renoureler.
+instiveL, adj. 2 gen. changeant, incon-
sitant, incertain , qui n'est pas stable.
Isemcıci6, s. f. instigalion : incitation, sug-
gestion.
insticino,, A, P. p. d’Instiger.
Insricapor , A, 5. instigateur : qui incite, qui
yousso & fsire (lo mal).
Instıcär, ©. 6. instiguer : pousser, ineiter &
faire ( le mal).
Instıuzaci6, s. f. instillation : action d’in-
stiller.
InsrıLino, A,p. p. de
Instuurin, ce. 6. instiller : falre couler, verser
goutte & goutte. (Ag.) Intreduire une erreur
dans l’esprit.
InsrıuoL.in. V. Esfimular.
+ Insrıncrivo, 4, adj. instinctif : de ou par
Instinet.
InstincTo , s. m. instinot : sentiment naturel
'@u bien et du mal physique et me&me moral ;
sentiment, mouvement naturel, irreflchi, qui
dirige tes animaux dans leur conduite, eic.
Inspiration divine.
- Instırulgkö, s. f. Institetion; dtablissement,
“ducation ‚ instruction ; nominatiori. Fondation.
Anstituigdes, pl. &lämenis, premiers principes
d’une solence, d’un art.
Instiruino ,a, P. p. d’Insttluir.
Insrıruiooa, A, 3. iastituteer : qui institae,
qui stablil.
Instiroia, vu. @. institser, seblir quelgue
ohase de neuvsau. Instruire, enseiguer. —,
nommer hiritier.
Insrıröra, s. f. Institutes : peinsipes, di6-
ments du dreit romaie.
Insriruräato, 8. m. instütutalre : professeur
qui enseigne les institutes de Justinien:
Insırröto, s. m. Institut : ganiere de vivre
sous une reögle ; colte r&gle. But, objet.
Insrnocciö, s. f. instruelion : *ducation,
preceptes donnes pour instruire ; connalssances
donnees ou acquigeg des usages , des Talıs , eic.
Instruegöes, pl. insiraciions „ eräres. dennis i
un envoye, eic.
+ Instacctıvamaıe ‚ade. d’ane manitre in-
structive.
Instavcrivo, A, adj. Instractif : qui instrait,
Instaucro, a, V. Instrwide,
Instnuctör, A, 8. celai quiinstruit, maltze,
precepteur. Instructear.
Insraucröaa, V. Estrschäre,
Insraticid, 7. Instrucpde.
Instaufvo, 4, 9. p. d’Instrwir. adj. instreil,
informe ; qui a de Tinstruction.
Instautnon. V. Justruetor.
Iusıauia (de,em), vo. a. instruire, enseignet,
&elaircir. Apprendre, Informer, averlir, doaner
eonnaissance. Instruire un procds.
IssteumentiL, 3. m. ° orchestre, musigw
instrumentsle. adj. 2 gen: Instrumental : dis-
strument; quisert d’instrument ; pour les insire-
menis (musique), opposse A vocale, Prova
—des , preuves par pidces, par &erit,
InSTAUNSNTisTa, 5.2 gen. Instrumentiste:: qei
joue d’an Instrument.
IRSTRUH£NTO, 5. m. Instrument : outil en g}-
neral ow machine portative ; tout oe qui sertä
faire quelque chose ; (fg.) moyen, pemotnt,
ehose qui sert ä une fin; Instrument de musi-
que, machine qui rend des sons. (1. de prei.)
— contrat, acte pablic, eerit qai justiße, gei
certifie.— de vonio, de oordas, instrument &
vent, ä cordes. Torar um — , jouer d’un insur
ment. O concorio, o bem afınado das —ı, 1
jastesse des instruments.
Pnsva, 8. f. "llot au milieu d’une riviere.
Insuive, adj. 2 gen. desagröable aux sens.
Instavıpipe ,s. f. &blaut de suavitt , rudesst,
Aprete.
Insunoapmaciö,, s. f. Insubordination de
faut de subordination ; manque & la subordar
tion.
Insusoxpınin0, A, adj. Insubordennd : qi
manque ä la sabordinstion; qui a esprit die-
subordinalion.
Insussistencia , 8. f. vantiö, peu de solide,
inconstance.
Insunsistänte, adj. 2 gen. qui ne peut sab-
sister ow durer. Qui manque de fondement.
Insctro. V. Insölito.
Insurricıtucia , s. f. Insufläsance, Incapatitc,
inaplitade. _
Insurricıente ‚adj. 2 gem. Insuffisant : qui»
suffit pas. Incapabie : qui mangqwe de talent.
Insurricienteminte , ade. Insuflisammen!.
InsurrLacäö, s. f. iasufistion ; aclion 6
soufllor dans ou sur.
InsusrLin, v. 0. soufflee dans ow sur.
IusuıA. V. Ihe,
Instrine, a, adj.. ut s. Inmulaire: habianl
d’une tle.
InevL.in ‚auf. 2 gen. Imsulaire : d’ame He; Te)
concerne los !fes.
+ issoLcano, a, adf. qui n’a pas ord willst;
qui m’ pas td Hille. V. Auer, j
Io.
..
INT
InsuLsam£nTe, adv. maussademen!, sans
gräce.
InsüLso, A, adj. insipide, fade, sans goüt;
(ig.) maussade, sans esprit ni gräce.
InsuLTäADo,A,P. p. d’Insullar.
InsuLTADOR, A, 3. celui qui insulte.
InsULTÄNTE, adj. 2 gen. insultant : qui in-
sulie. 9. p. de
INSULTAR, ©. a. attaquer avec violence ou ä
limproviste. Insulter, brusquer, oflenser.
InsöLTo , s. m. atlaque violente ou imprevue,
insulte;; mal, tort [ait dans cette attaque.
InsuLrör. V. Insullador.
InsuLrTvöso, A, adj. insolent, toujours pre&t
& insulter.
InsuPERAYRL, adj. 2 gen. insurmontable, in-
vincible.
InsuprpontäveL. V. Insop...
TinsupriveL, adj. 2 gen. que l’on ne peut
suppieer ; que l’on ne peut defrayer.
Insunnec£xcıa. V. Surdeza.
Insunnecer. V. Ensurdecer.
INSURGENTE, adj. et 8. 2 gen. insurgent : qui
esten etat d’insurrection. En frangais, on l’em-
ploie presque toujours au pluriel.
INSURGIR-SE, ©. T. sSiinsurger : se soulever
contre le gouvernement existant.
Insunreigäö, 8. f. insurreclion : action de
s’insurger ; soulövement d’un peuple, W’une
province , etc., contre un gouvernement &tabli.
INSUSTENTÄVEL, adj. 2 gen. insoutenable :
qui n’est pas soutenable.
IntäcTo, A, adj. entier, intact : & quoi on n’a
pas touche.
InTanzsse. V. Interesse.
INTEGERRINO, A, adj. superl. (du latin) Ires-
entier, trös-droit, tres-integre.
PnTEcrA, 3. f. texte enlier d’une loi ow d'un
acie. 4
Intecaacä6, s. f. integration : action d’in-
tegrer.
INTECRÄDO, A, pP. p. Q’Integrar.
IntecriL, adj. 2 gen. integrant. Integral,
eulier, complet. Calculo —, calcul integral, du
fini par l’infniment petit.
ISTEGRÄLMENTE, adv. integralement, entid-
rement.
INTEGRÄNTE, adj. 2 gen. integrant : qui con-
tribue & P’integrite d’un tout (partie).
INTECRÄR, dv. a. inlegrer : Lrouver l’integrale
d’une quantite differentielle.
INTEGRÄYVEL, adj. 2 gen. (1. demath.) qui peut
s’inlegrer.
InTeEcaıpipe, 8. f. integrite : etat d’un tout
qui a toutes ses parties; (fig.) probite incor-
ruptible; pureie de maurs. Virginite.
+ InTsCRO, A, adj. entier, complet. (fig.)
Intögre : d’une probite incorruptible.
IntT£eiRiDo, A,P.p. d’Inteirar.
INTEIRANENTE , adv. enlierement, tout ä fait,
totslemeut, completement. Mudou—, il estun
tout autre homme.
INTEIRAR, v. a. completer une somme, sol-
der. S’acquitter : payer tout ce qu’on devait,
PORT.-ER.
INT 705
Achever. (de) Mettre au fait, bien instruire,
informer.
INTEIRÄR-SE (de,,v. r. sinforiuer de, se met-!
tre bien au fait.
InTEıneza, 8. f. integrit6, perfection, com-
plement; \ ig.) probite, droiture, verlu incor-
ruptible. Scvere et parlaite observation de la
discipline; severile, roideur. — virginal. V.
Virgindade.
InTEirscaDo, A, adj. — com frio, Iransi, en
gourdi de froid. p. p. de
InTEIRICAR, dv. a. roidir, rendre roide.
InTEIRIGAR-SE, v. r. roidir, devenir roide. —
com frio ‚transir, @tre Lransi, engourdi de froid.
Inteirico, A, adj. toul d’une piece.
INTEIRISSIMO, A, adj. sup. de
Int&ıro, A, adj. entier, parfait, accompli,
complet, qui a toutes ses parties; qui n’a pas
et6 chätr6, coupe. (fig.) Droit, inlegre, juste.
Sain : qui n’est pas corrompu. (If. d’arith.) —,
qui n’a point de fractions (nombre , quzantite).
Por —, enti6rement; dans son entier. Eslar
ainda —, dire encore dans son enlier.
INTELLECGAÖ, s. f. intellection : acte de l’in-
telligence, action de concevöir, de comprendre.
+ INTELLECTIVAMENTE, adv. au moyen del’in-
telligence.
INTELLECTIVEL, adj. 2 gen. }intellectif : de
INTELLECTIVO, A, adj. l’entendement.
INTELLECTUAL, adj. 2 gen. intellectuel : qui
est dans l’entendement, de Pintellect, qui lui
appartient; spirituel.
+ INTELLECTUALIDÄDE, 8. f. puissance, fa-
culte intellective.
INTELLECTUALMENTE ‚adv. intellectuellement,
d’une manidre purement intellectuelle.
InTELLiGENcIA, 8. f. intelligence : faculte in-
tellective; capacit& de comprendre , de connal-
tre, de concevoir, etc.; substance spirituelle;
comprehension nette et facile; accord, amitie
reciproque ; conformite de sentiments; corres-
pondance, communication de personnes qui
s’entendent ensemble pour un but, qui s’ac-
cordent ; espion dans une place.
INTELLIGENTE , adj. 2 gen. intelligent: pourvu
de la faculte intellective; capable de raison-
ner, de comprendre; habile, verse dans quel-
que matiere.
INTELLIGIVEL, adj. 2 gen. intelligible : aise & '
comprendre; qui peul @ire entendu aisement.
INTELLIGIVELMENTE, adv. intelligiblement:
d’une mani£re intelligible.
INTEMENTE, adj. 2 gen. qui ne craint pas.
InTEMERÄDO. V. Puro, Incorruplo.
INTEMPERÄDAMENTE, adv. inteımperamment:
avec intemperance.
INTEMPERADO, A, adj. intempere : deregle
dans ses appetils,, dans ses passions. (l.de med.,
Qui a une disposilion pour etre malade.
INTEMPERAMENTO, 5.m. temperament vicie.
V. Intemptrie.
INTEMPENÄNGA, 8. f. intemperance : vice Op-
pose & la temperance.
INTEMPERÄNTE ‚adj. eis. 2 gen. intemperant:
45
Par NZ Ve Doz
6 INT INT
ns a de Pintemp@rance : der&gi& dans ses pas- InrzacaLi00, A,P.p. de
siens.ses appetils ‚ses desirs, ses Joulssances. ı TINTERCALÄR, Oo. a. intercaler: insörer,
Intesr£enin. V. Desiemperar. ter. On le dit enrlout du jour ajowis au nois
InTEMrERIE, 5. f. intemperie : dörangement | de [evrier dand les annees bissextiles.
dass le corps humain,, dans le temps. : IntencaLin, adj. 2 gen. intercalaire; insere
INTEMPESTIVAMENTE,, adv. intempestivement, dans... , ajoule ä...
ä contreiemps, mal ä propos. | tImrencarkoo, s. f. "intervalle, espace en-
Intewrestıvipine, 5. f. qualit# de ce qui est | Ire deux lieux ip. us.).
intempesiif. Intercepen (com, por), vo. w. interceder:
Inteurestivo, a, adj. intempesüf: bors de | prier, sollieiter pour guelqu’un.
saison, qu’il n’est pas ä propos de faire. Inteacercäiö,s. f. interceptien : interruplion
Intencäö, s. f. intention : dessein par lequel | du cours direct.
on tend & une fin; mouvement de l’äme vers | Intenckrripo,A,p.p. de
une fin; volonte; fin. V. Tengdö. INTERCEPTÄR, ©. @. iniercepter : interrompre
INTENCIORADO, A,aodj. on ne le dit qu’avecles | lecours, la communication de...; arreter par
adverbes bem ou mal. Bem ou mal —, bien ou | surprise (une letire).
mal intentionne : qui a de bonnes ou de mau- | Intercerro, A, adj. pris au milieu.
vaises intentions. ’ InTErcEssaö, 3. f. intercession : action din-
InTEncionaL, adj. intentionnel : de l’inten- | terceder;; priere pour interceder.
don, qui lui est relauif. INTERCESSOR , A, 8. intercesseur : qui inler-
T IRTENCIONALMeNnTE, ade. intentionnelle- | c@de pour...
ment : dans, selon , en intention, d’apres elle. IntencoLumnär,adj.2 gen. de l'entre-colon-
INTENcIonävEL, adj. 2 gen. (4. schol.) qui | nenıent.
existe dans l’entendement. | INTERCOLUMNIO , 8. m. entre-colonnes, enire-
Intenoencıa , s. f. administration, soin, con- colonnement :: espare entre deut colonnes.
duite. Intendance : emploi,, juridielion de l’in- IxTerenstan, adj. 2 gen. I. d’anal.; inler-
tendant. costal: qui est entre les cöles. .
Intennente, s. m. intendant: prepose a la INTERCUTÄNEO , A, adj. qui est entre cuir el
direction, & la conduite de certaines aflaires, | chair.
avec pouvoir d’en ordonnei. INTERDICAÖ ou } interdiction : suspeü-
Inrzuopen, v. a. donner de l’intensite. *Internıgom, 5. f. $ sion des fonctions;
INTEnDer-sE, v. r. acquerir de l’intensite. | prohibition.
V. Entender. Intenpicto ou interdit : censure ecele-
Inrenpımento. V. Enlendimento. IXTERDITO, 5. m. } sisstiqgue qui interdil.
INTENSAMENTR, ade. avec intensite, forte- | V. Interdigdö. adj. Interdit : qui est interdit.
ment, ardemment, efficacement. InTEenpiseR, €. a. interdire : defendre qael-
Intunsäd, s. f. intension , force, vehemence. 'que chose & quelqu’un; prononcer P’interdie-
Intensit6, degrä de force, d’activite dans une : ion contre quelqu’un.
puissance. V. Inlengdö. *Inten®s. V. Interesse.
IntTensissıno. a, adj. sup. d’Intenso. +INTERESSADAMENTE, adv. venalement, d’unt
InTensivameuıe, adv. intensivement : avec | maniere venale; par intöre!.
intensite. INTERESSADO, A, p. p. d’Inieressar. odj. In-
Inttnso, a, adj. Intense : grand, fort, vif, | teresse : fort atlache & ses inter&ts; mü paf
ardent. l l’inter&t personnel. 5. m. —, qui a interet & une
Intentänpo,A, p.p. de chose ow dans une affaire. — na carga, tt. &
Intentär, o.a. pretendre, tächer, s’eflorcer. | comm.) interesse dans le chargement.
Avoir dessein, envie. Tenter, essayer, &prou- INTERESSÄL, adj. 2 gen. lucratif, profitable.
ver. (f. de prat.) Intenter, faire un proces. “.V. Interesseiro.
Int&nto,s. m.“ intention, fin, but, dessein. InTERESSÄNTE, adj. 2 gem. interessant : qW
Com —, alin, afin que. Com o — de, dans le | interesse. ,
but de. P6r o—em alguma cousa, viser ä une | INTEREssÄR (em), o.a. interesser : donner IN
chose. Conseguir 0 acu —, parvenir & son but. | inlöret, associer & une enireprise; faire prea-
Frustrar 0 seu — , manquer son Coup. ı dre interet, faire prendre part &...; inspirer,
INTENTONA, 8. f. .‚fam.) intenlion exirava- donner de Tinieret; engager par l’espolr da
gante, projet teıneraire. | gain, de quelque avanlage; &ınouvoir, touchef;
INTERCADENCIA,, 8. f. ınlerruption, disconti- attacher. ,
nuation. Iutercadence, intermiltence:inegaliid Intengssär (a), v. n. importer, &tre impof-
du pou:s. tant, de l’interet de. Interdasa e lodos, il ia-
INTERCADENTE, adj. 2 gen. changeant, varis- porte Atous,ilestde l'interer de tout le monde.
ble. Discontinue, inlerrompu. iIntercadent, Jsto interessa muilo, cela touche de pres.
parlant du pouls. | Intensssan-sg (com ‚em, por), ©. f. sine
Inteecarackö, 8. f. intercalation : aclion resser : prendre parti pour...; prendre part
@intercaler, d’ajuuter un jour aux annees bis- | dans (une affaire, eie.); prendre intertt 4.
saztiles. — com alguem por oulrsm, s’inisresser MP
INT
prds de quelqu’an pour une aufre persöhne.
quf’ Importe,
INTERESSE, 8. m. interät : ce
convient & Pbonneur, & Putilit®, au prolit, au
lucre; avantage en general; ce qui attache: de-
sir du bonheur de queiqu’un ; tendre sollicitude
pour lul; ce qui Intdresse : se dit des personnes
et des choses. Gain, lucre, proft. —, profi,
Iucre sur P’argent preis. Sordido —, vi! interet,,
interet sordide. Tomar — por alguem,, s’inis-
resser & quelqu’un. Tem w’isso tu —, il y va
du sien.
InTeresstimo,, A,adj. ets. interesse, &golste ,
Irop attachd & ses inlerets.
Intenresineo, s. m. (f. d’anat.) espace entre
les cuisses. "
?T Inteaventncıa, 3. f. Intervention. V. En-
Sremettimento.
INTERCIVERSÄTEL, adj. 2 gen. qu’on ne peut
pas faire lergiverser.
Interican, etc. V. Inteiricar, etc:
Interim, 8. m. (mol lalin) interim, enire-
temps. N’este —, en attendant, sur ces entre-
faites.
+ InTERINamenTe, ado. par interim, provi-
soirement.
+ InterınÄr, vo. a. employer, placer par in-
(erim, provisoirement. v. n. Servir par in-
terin. "
INTERINO, A, adj. qui exerce un emploi par
conımission, par inlerim; int&rimaire, de Pin-
terim.
IRTERIOR , adj. 2 gen. interieur, interne : qui
est au dedans. ( ig.‘ Secret, cache: qui ne se
ınanifeste pas. s. m. Interieur, le dedans; vie
privee; le chez soi. Entrailles. O — d’uma cusa,
les interieurs d’une maison. .
INTERIÖRMENTE, adv. intsrieurement, au de-
dans.
InTenseicäö, 8. f. (1. de gram.) interjection ;
une des parties du discours.
InTERLINEÄL, adj. 2 gen. Interlineaire : &crit
dans l’interligne.
Inter1.ocucäiö,s. f. "dialogue; interlocution,
InterLocutör, A, 8. celui qui parle parmi
plusieurs autres ou en leur nom. Interlocuteur:;
personnage introduit dans un dialogue.
INTEeRLocUTöRIa,, 8. f. (8. de pral.) senterffee
interlocutoire.
IntEerLocurökt0, A, adj. (4. de prat.) inter-
locutoire : (jugement) qui ihterloque, non de-
finitif, mais necessaire pour Pinstruction d’une
affaire.
INTERLUNÄR , adj. 2. gen. de l’interlunium.
InTErLünIo, 8. m. interluniam : temps ou la
lane ne paralt pas.
InTErMEÄiDO, A, adj. intermödiaire, qui est
entre deux.
InTer4E£oıo, A, adj. intermediaire. s. m. In-
termede de comedie. * Entremise.
JxtenminÄvEL, adj. 2 gen. interminable : qui
ne peut &tre termine, fini.
INTERMINÄVELMENTE, adv. sarıs fin, sans re- :
Jäche.
Intenuissäd, s. f. Intermission : Interruption,
INT 707
'@isbontinnation d’un effet, d’une cause; intgr-"
valle entre deux accds de Hövre.
Inrarurtränch, 8. f. (3. de med.) intermit-
ience (du pouls, de la fivre); Alsconlinua-
don, Malerruption.” " [
INFERMITTENTE, ad: 2 ge". intermiltent : qui
cesse et reprend parintervalles.
Intenmtyir,v. N. avoir des intermissions,
Etre intermittent. ”
INTERNUKÄL, adj. 2 gen. d’entre-murs.
Internino, p. p. d’nternar. an
INTERNANENTE, adv. interieurement.
InTERNiR, 0... interner : enfermer, rgunır
dans l’interieur. —se,v.r. S’enfonrer, en}rer,
aller dans 'Interieur. —muito, enirer bienay t.
INTERNO, a ,adj. interne : Qui est au edafis,
du dedans. fnterieur.
IRTERNUNcIO, 8. m. inlernonce : ministre
charge des affoireg de Rome, an defaut ’un
nonce. V. Interlocutor.
InTerPELLacäd, 5. f. interpellation : somma-
tion; sommation de r&pondre sur un fait.
INTERPFLLÄDO,, A. P. p. de
Ixtearktiir, 0.0. (1. de prat.) interpeller :
sommer de repondre sur un fait. Presser sur
l’accomplisseinent d’un commandement.
InterroLagäö, 3. f. interpolstion » action
d’interpoler; ce qui est interpolg.
InTErPoLÄDAMENTE, ade. avec interpelation.
InterpoLino, A, p. p. d’Interpolar.
INTERPOLADOR, A, 8. interpolateur:: Yyi in-
terpole.
InsereF yn
InterporÄr, ©. @. interpoler :
mot, une phrase dans le texte dun manuscrit;
intercaler. Interrompre, disconlinuer.
NTERPÖR , ©. G. inlerposer : peltre (UM COTPS)
entre deuz. Inserer. Interposer son gnigrite,
ses bons offices, einployer la mediatien, ete.
== aggrapo, recurso, (1. de grat.) in«erjeter
appel ‚anpeler d'une sentence. — oseu perenap,
Jonner sön avis, emeilre son gpinign.
INTERPOR-SE, ©. f. s’inlerpaser : intervenir.
INTERPOSICAO, 8. f. interpgsilion : station
d’un corps entre deux aulres; intervenlian, en-
tremise. (g.) Mediation. L’espace de iemps
qui Be Lrouyg entre deyx autres differents,
NTERPÖSTO, A, p. P. irr. ü’Interpor. .
Entremelg, interpoge. Inierpösia pessga, me-
djateur, tiers qui Infervient.
INTERPRENDER, ©. a. surprendre (une place),
s’en emparer par surprise. V. Emprehender.
INTERPRENDIDO, A, p. p. d’Inlerprender.
InTeRpREsA, s. f. entreprige de guerfo; sur
prfise. V. Empr£za.
INTERPRETACAHO, 8. f. interpreötation ı aclior
d’interpreipr ; explication.
INTERPRETÄDO, A, p. p. d’Interpretar.
INTERPRE.TADOR , A, 8. interpretateur: qui in-
terprete le sens, la penree. V. Interprete.
NTERPRETÄR, ©. a. inierpreter : Iraduire
d’une langue dans une autre; expliquer ce Qui
est obscur ou cache; commenter, tourngr en
bonne ou mauvaise part. Tudg inlerpreia em
bem ou em mal, Il Wurne foul en bien ou en
708 INT INT
mal. — sinistramenic ums cousa, enbendre ; lervenir. (1. de prat.) Intszvesäise dıns uns
inesse ä une chose. affaıre canirerersee, dans um m.
Intzarastınvamiııı, ads. d’une manidre
interpretalive.
bmranraıtarivo, a, adj. inierprötalil : qui
Inriasraerz, s. 2 gen. interpreöte: celai qui
send les mots d’une langue par les mois Kune '
'autze langue; qui eıplıgue un disceers, une
leise , une repense , un songe, ele.; qui er'“r-
ct un terie , le sens d’un auieur:: qui estı _usge
de lsire conmaitre la pensee, les senumenis,
Fintention , la volenie d’autrui.
Inrearatza. V. Interpresa.
Imraaascno, 8. m. inlerregne : lemps pen-
4ant lequelıln’y a pas de roivu chef d’um eis.
Inteanocacıö6,s. f. interrogatien , question,
demande ; Sgure de rheierique. Point d’inter-
regation (?).
Intganocino, A, p. p. d’Interroger.
INTERROCANTE, adj. 2 gem. inlerrogant : qui
interroge. Celui qui [ait des inlerrogations ju-
ridiques. p. a. de
InTERROCAR , ©. @. inlerroger : questionner;
faire des interrogalions juridigues.
INTERROGATIVO, A, adj. | I. de gram.) inter-
rogatil : qui sert & interroger.
INTERKOCATURIO, 8. m. inlerrogatoire : ques-
tions que fait un juge ä un accuse; proces-
verbal qui les contient, avec les reponses.
INTERRONPEDOR. V. Interruptlor.
InTERnONPiR ‚o.a. interrompre ; suspendre,
arreter, emptcher de continuer. Discontinuer :
interrompre une chose commencee. Inierrom-
peo-o, il Jui eoupa court.
InTzanouripametnte ‚ade. avec interruption.
InTERKoNPIBo, A, pP. p. d’Interromper.
INTERRONPINERTO, 5. m. " interruplion.
Inreanoöro. V. Desordenddo.
IaTenatrcäö, 8. [. interruption : action d’in-
terrompre; ses effeis ; «tat de ce qui est inter-
rompu; discontinualion, cessalion pour quel-
que temps. Sem — , tout d’une tenue.
INTERRCPTANENTE,, adv. avec interrupfion.
Inteanörto, A, p. p. irr. d’Interromper.
ad/. Interrompu.
Intenatrrön, A, 8. Interrupteor : qui inter-
rompt un Jiscours, etc.
Intenstıca6,s. f. (I. de genm.) intersection :
point oü deux lignes, deux plans se coupent.
Inteasenın. V. Ingerir, Introduzir.
InTERSTICIO, 3. m. interstice : intervalle de-
termine de temps , d’espace ; pore ; espace entre
les mol6eules,, les’ parties. Intervalle a melire
entre la reception des ordres, etc.
INTERYALLÄDO, A, P. P.
INTERYALLAR, ©. a. espacer;, interposer.
InTERvALLAR-SE, ©. r. Eire separe par des
intervalles ; s'interposer.
IntenväLıo, s. m. °echappee, Intervalle,
distance, espace. Intervalle : cessation d’une
chose qu’on reprend apres. — lucido. V. ce
mo®.
%, s. f. Intervention : aclion d’in-
Istezvasınguaa. V. Aderikra
ISTERvest6ör, a, 3. iniervenans - chin a-
tervient Tiers, intermedıasse, enisemriärese!
Istaxvın (em ‚e.n_ImÄRTVERE, CRiBEr cammEe
interesse dans une affaire , dans une cumiesir-
tion ; inlerposer son auleriäs , sa merbanee, ER.
Assisier comme lemesn.
Intesra2o, a, adj. intestaß : maetsums kester.
+istestaveı ‚adj. 2 gen. qui ne prat pas testen.
Intastrsar, adj. 2 gem. ımiestimal : des mie
ins.
Ixrestino, s. m. intestin, beyam. I ostphm
usıte au plariel. Intestins : camaax memnbranee!
de Festomac ha Fans. — crge, cwcmma : Is preumet
des gres intestuns.
Ixtesrıno, a, ed. iniestim , mterme. Sg. V.
Cieil , domestice.
Inrisias, etc. V. Enhbier,, ete.
Intıuacäö, 5. f. imtimsten : actien par I
quelle on intime.
Istıuıpo,a,p. pP. d’Ialimaer.
Inrızanon, s.m.celuigui intime. Avertissen
Istıuaueste, ade. inimernent : avec uM
affection particuliere ; etreitement ; interest
ment et profondement.
Intıwaa,c.a. intimer : signißier en verts de
la loi; appeler en justice ; assigner (le Bea, *
temps d’une reenion, d’un concile, ei. —
sbendono, (1. decomm.) signißer l’abanden.
Intıuıpapg, 5. f. inlimite , liaisen inlıme.
+ IstısiDäDaNeExte , adr. avec limidite.
INTIMIDADO, A, 9. p. d’Intimider.
IntısıpaDör, A, 6dj. eis. qui inlimide, qW
€&pouvanie.
Inrıwıpia, ©. a. intlimider : donner de U
erainte, de Fapprebension & ; menacer.
Intınıpaasg, v. r. s’intimider : avoiz de li
crainle.
UnTımo, A, adj. intime: ‚ami) qui a, pe®
qui l’on a une vive amitie ; (union) Lres-eirelt:
interieur et pfofond ‚sentiment , persussitt,
conviction). Interieur, interne.
Istıuonipo. V. Destemido.
iIntıruLagäö,s. f. * intitale, ülre,
IntırtLapo, A,p. p. d’Intiluler.
IntırcLauknto, s. m. V. Intitulagsö.
InrırcLan, ec. @. inlitaler : donner, meilt
un litre. Donner & une chose un nom, un ült
qui la fasse connaitre.
InTITtLän-se, ec. r. sintituler : se denner u
nom , prendre un lilre.
IxtoLgsäncıa, s. f. intolerance : defaut de
tolerance.
+introLzainno, A, ady. qu’on ne doil P%
tolerer.
IntoLxränte, adj. 2 gem. intolerant : 4!
n’est point tolerant.
INTOLERANTISMO , 8. M. inloleranlisme : se
liment, dootrine des sectes intolerantes en mr
tiere de religion. .
INTOLERÄYEL, adj. 2 gen. intolerable:: ies0op
portable; qui ne-se peut, qu’on ne peut Wierdl,
INT
INTOLERAYELMERTE,, adv. intolerablement :
@’une maniere intolerable.
Intönso ‚A,adj. (poet.) qui n’est point tondu.
INTORPECER,, etc. V. Entorpecer, etc.
+ Intonsäö ‚s. f.(t.de bot.) intorsion ‚flexion.
+ INTRACTÄVEL, adj. 2 gen. intraitable, fa-
rouche, sauvage. Impraticable, parlant d’un
eheniin. Inabordable : qu’on ne peut aborder.
Pessoa — , loup-garou , homme bourru.
INTRADUZIVEL, adj. 2gen. intraduisible: qu’on
ne peut iraduire.
+ IntnaröLıo, A, adj. (t. de bot.) intrafoliace.
On le dit des stipules du figuier, du ımürier.
+ IKTRA-MUROS ,„ adv. inträ-muros : dans
Penceinte de la ville.
InTRANCIA. I Y. Entra...
InTRanHaveL. S “
+ INTRAnsıTÄVEL, adj. 2 gen. inaccessible,
impenetrable,impraticable , parlant d’une mon-
tagne,, d'une foret, d’un chemin.
InTRansırıvo, A, adj. (f. de gramm.) iniran-
sitif : (verbe) neutre.
INTRATÄDO,A ‚adj. qui n’a pas ete traite, non
esptrimente.
IntaAtäver. V. Intractdvel.
Intr£cno. V. Entrecho.
+ Intr£uuLo, A, adj. ferme, incbranlahle.
INTREPIDAMENTE, adv. intrepidement : d’une
maniere intrepide.
Intngpinez ou ) intrepidite: fermete, cou-
Imtagrineza, s. f.) ragelroid, inebranlable,
dansle peril, dans une situation lorcee, etc.
Inteeeino, A, adj. intrepide : qui ne craint
point le danger, qui Vaffronte, que le danger
ne [ait pas trembler.
INTRICADANENTE. eic
InTricar,, etc. ae
Intrica, s. f. intrigue : man@uvre secredle,
detournee.
Intrıcädo, A, p. p. d’Intrigar.
InTRIcäÄNTE, adj. eis. 2 gen. intrigant : qui
se möle de beaucoup d’intrigues.
Intricäia, o. n. intriguer : faire des intri-
gues. V. Enredar.
IRTRIGÄR-SE, vu. r. prendre part ä une inirigue.
INTRINCAÄDAMENTE, adv. confusement, d’une
manidre embrouillee.
INTRINCADO,, A , adj. inextricable, mele; em-
brouille, embarrasse, difficile. p. p. de
Intamcän, v. a. meler, embrouiller, confon-
dre. (fig.) Confondre, rendre obscur, parlant
des penstes.
INTRINCÄR-SE,, v. r. s’enchevätrer, se mettre
dans l’embarras.
INTRINCHEIRÄR,, etc. V. Entr..., etc.
INTRINSECAMENTE , adv. intrinsequement, es
sentiellement. V. Interiormente.
InTainseco, A, adj. inirinsdque, essentiel.
Interieur, interne.
Inteıscävo. V. Travdda, Enredado.
* Intropın. V. Introduzir.
Intnonucgaö, s. f. introduction : Action d’in-
troduire; action de mettre en vogue (fig.),en
Dasge jontrde,achominement; exsorde, preface,
V. Intrinc...
INU 709
'INTRODÜCTO, A, p. p. irr. d’Introduzir.
Intropuctön, A, s. introducteur : qui intro-
duit. — d’embaixadores, introducteur d’am-
bassadeurs : officier dont la fonction est d’in-
troduire les ambassadeurs.
INTRODUzIR , v. a. introduire :donner entree,
faire entrer; donner: cours, commencement;
faire intervenir un personnage dans une ac-
tion, un discours; (fig.) faciliter l’entree
d’une personne. — incidenles n’um pleito, in-
cidenter : faire naltre des incidents. — mer-
cancias, importer des marchandises.
Intröito, s. m. debut, entree, commence-
ment. Introit : commencement de la messe.
INTROMETTER , v. a. introduire, faire entrer.
INTROMETTER-SE. V. Entremeller-se.
Intronızin, etc. V. Enironizar, etc.
rt INTROVERSÄO, s. f. action d’ entrer en soi-
meme, de se considerer, de s’examiner dans
Pinterieur.
INTROVISCADA
INTRUDAR, etc. } V. Enir..., etc.
INTRÜSAMENTE,adv.par intrusion, en intrus. _
Inteusäö,s. f. intrusion : possession, oCccu-
pation sans droit; etat, qualite de l’intrus.
Intnüso, A, adj. intrus : introduit par force,
par ruse; qui possede, occupe sans droit.
+ Intüo ow Ixtisäceo. V. Almeirdö.
Intuicäö, s. f. (1. de Iheol.) intuition : vision
claire de Diea, vision beatiflque; perception
interne, independante des sens.
InTuiTIvANENTE, adv. intuilivement : d’une
maniere intuitive.
Inrurtivo, A, adj. intuitif : (vision —ve) de
Dieu, äA la maniere des anges; qui ne provient
pas du dehors (connaissance, certitude).
Intürto, s. m." vue, consideration, but.
INTUMECER, v. n. s’enfler, gonfler. ( Ag.) De-
venir fier, s’enorgueillir, 1] est aussi reci-
proque.
INTUMESCENCIA, 8. f. intumescence : action
par laquelle une chose s’enfle.
Inzurin. V. Entupir.
Inturvan. V. Turvar.
Intuscercäö, 8. f. intus-susception : intro-
duction d’un suc, d’une substance dans un
corps organise, pour son developpoment.
+ TnuLa, s. f. (t. de bot.) inule: plante co-
rymbifere. — campdna, inule aunde, aunee,
enule-campane.
InöLro, A,adj. qui demeure sans vengeance.
Inonnacäö, s. f. inondation : debordement
des eaux qui submerge un pays; les eaux de-
bordees; ( Ag.) grande multitude.
InunpAnpo, A, p. p. de Inundar.
InunDänTts, adj. 2 gen. qui inonde. p. a. de
Inunpär, v.a. inonder: submerger par de-
bordement; couvrir d’eau; ( Ag.) envabhir; mul-
tiplier, prodiyuer : se dit des vices, des erreurs,
des livres, ei«. Il est quelquelois neutre. S’i-
nonder, s’abrouver,
+ Inunsanıwänn, 3, f. impolilosse, grossid«
red,
710 INV
Invsrräs0, & ‚adj. inusite : qui n’est point em
usage.
InörıL, adj. 2 gem. vain, inutile, infruo-
tueux. no.
InuriLipipg, s. f. inutliss: delaut d’utilile;
vanite. .
IntrıLissgs0, a, ads. sup. d’Inutll,
InutTiLızA90, A, p. 9. de ,
InurıLızia ; d. @, inutiliser : rendre inutile.
INUTILMENTE , adv. inutilement : sans utjlite,
en vain. En pure perte.
Invapıävgı ,dy. 2 gem. qui n’est pas gudable.
Invapipo, A,9.p. de
Invasia, ©. a. [aire ung invasion : allsquer,
envabir um pays, otc. (Ag.) Prendre par vio-
lence;; usurpez.
InvaLescka, 0. @. sdtsblir de plus en plus,
s’affermir.
+invauınagkd, a. f. action d’invalider. —
d’um aclo, resilistion : resolution d’un acte.
InvaLınäne, s. f. invalidite : manyue de vali-
dite, defaut qui rend (din äcte) invalide.
InvALiDAMRNTE , ade. invalidemen! : sans va-
lidite.
Invauıpis, 9. a. invalider : rendre, declarer
nul, invalide (un contrat),
InväLıdo, a, adj. invalide : estropie,, infßrme,
qui ne peut travailler pour vivrö; (Ag.) sans
‚velidite, nul (acle, conjrat).
InvarıamıLıpäng, 5, f. invariahilits : qualite
de ce qui est invariable.
Imranıagäd. V. JImmuiahilidade, Estabi-
Iidade. -
Inranıl va, adj. 3 gen. invarisbie : qui ne
vario point,
InVARIAURLMANTE , adv. invariablement :
d’une maniere invariable.
Invasaö, s. f. invasion : irruplion en pays
ennemi, etc. Commencement d’un accods de
Revre.
htvasivo, a, edg. qui envahit,
Invasor, A, adj, eb 8. onvahisseur : qui on-
vshit, qui fait une invasion, qui s’empare &
main armee.
Inväcriva;a. f. invaotive : parole, expression
injarieuse, v&heniente; discours amer, vohe-
ment,
InVECTIVÄDO, 4,9. 9. de Inveclicar. .
TInvscrivanor,s. m. celui qui inveclive.
Invecrıvän, vo. a. el ». invecliver : dire des
invecuves; declamer.
+Invenäno, A, adj. qui n’est pas delendu,
prohibe; qui nrest pas etanch®.
tInvenäveL, adj. 2 geh. qu’oh ne peut pas
defendre, emp£cher; qu’on ne pdut pas &tan-
cher.
Invesa,s. f. envid: cHagrin, d&plalsit cause
par le sucees, I6 bonheur, les avantages, I
bien d’autrui. Jalousie. Emulation. Comer-se
de —, Mire ronge d’envie. Ter — a ‚
dalgume cousa, eire envieux de quelgu’un, de
quelque chose. V. Inrejar. Ndo ter — a...,
( Ag.) n’ötre pas inferieur &..., de moindre va-
leur que... Estar ecposto aos liros da —, &re
INV
en butte a Penvie. Tem-me —,il ne porte env'r.
Invasäpo,A,p.p. de
Invgär, o.a, envier:: avoir du deplaisir (hi
bien d’autrui; le desirer pour soi; eprouser
l’enrie, porter envie, @ire envieux de... {4 )
Besirer, convoiter dans les bornes de la ju>-
ice.
InvgsiveL, adj. 2 gen. desirable: qui mherile
d’etre desire, envie.
Invesösauente,, adv. avec envie.
Inves0so, A, adj. envieux (de), qui porte en-
vie; qui a de l’envie;; Jaloux.
Invencäö, s. [. invention : action d’inventer;
faculie de l’esprit, disposition & inventer ; chose
venlee; une des parties de la rhetorique; fic-
on, mensonge. *Conte, recit plaisant, [abu-
ux. —öes, pl. minauderies, pruderie; cılra-
vagances, bizarreries.
InvENcIBILIDÄDE, 8. f. invincibilite: qualits
de ce qui est invincible.
+" Invuncionapo, A, adj. ome, pare avec
art et nouveaule.
"InvEncıonäaıo. V. \ enjöleur, trom-
Invencıonkıro, A, adj. ) peur. Capricieus,
vetilleux. Minaudier:: qui fait des mines, des
caresses affectees. Begucule, prude (femme).
IxvEncivEL, adj. 2 gen. invincible : qu’on ne
saurail vaincre.
INYENCIVELMENTE, ade. invinciblement: d’une
manitre invincible.
INVENDÄVEL, Ou yinvendable : qu’on
InvEnDIVEL ‚adj. 2 gen. ı ne peut pas vendre.
Inventapo, A, p. p. d’Invenlar.
Inventanon. V. Inventor.
INvVENTÄR, v. a. inventer : trouver, imaginer
quelque chose de nouveau dans les arts, les
sciences, par la force de son genie ; conlrouver,
supposer.
Inventanıackö, s. f. acte d’inventaire.
INYBNTARIADO, A, pP. p. d’Invenlariar.
INVENTARIÄNTE , adj. 2 gen. qui fait l’inven-
taire. p. a. de “
INVENTARIÄR, 9.6. inventorier : mettre dans
un'inventaire. Faire inventaire, former un in-
ventlaire.
InvanTärıo, s. m. inventaire : r6le, memoire,
#tat, denombrement par ecrit et par article
(diettens, de papiers, de marchandises, ec...
rit contenant ce denombrement. A benefcio
d—, (1. de prat.) sous benelice d’inventaire.
Inventiva, a. f. faculie invenlive, genie. \.
Invencäo.
InvEnTivo, a, adj. inventüf : qui a le genie,
le talent d’inventer. _
Invento,s. m. *invention , d&courverte.
InvEnTöR, A, 5. invenleur:: qui inventie, qui
& invents; qui introduil en usage. Invenleur
d’une (able, d’un conte.
Inverisimıt, etc. V. /nverosimil, ete.
Invernmäpa, s. f. rigueur de l’biver; teınps
duree de l’hiver; mauvais temps.
Inveauino, 4,2. p. d’Invernar.
TInvannandıaa OM —DOUBO, 3. m. " SEITE:
lieu oü l’on serre les plantes en hirver.
INV
Invannäı, adj. 2 gen. hivernal ı qui os dhl-
ver, qui vient en hiver
Invenıan (em|, v.n. hiverner: passer l’'biver
dans un endroit. fire en hiver; faire mauvais
teınps.
Inverno, 3. m. biver: la saison ja plus froide
de l’annee. No meio do —, na gema, no mais
forte do—, en plein biver. _
INVERNÖSO, A, adj. hivernal. Mauvais, affreux
(temps),
InvenosimıL, adj. 2 gen. invraisemblable :
qui n’est pas vraisemblable. _
InygnosınıLnanca, s. f. inrraisemblance :
defanı de vraisemblance.
+ InvraosınıLukate, adv. invraisemblable-
ment: d’une maniere invraisembjeble,
Invensä6, s. f. inversion, Iransposition ,
changement.
InvEsso, A, P. p. irr. d’Inverter, et adj. In-
. Transpose , eliere.‘
Finvansen. A,s. qui inlervertit, qui lrans-
pose; qui interfpreie en ınal.
Int£area, t.a. inlerveftir, transposer : chan-
ger de place, de sens, de cöte. Renverser l’ordre
des terımes d’une proposition , des consequents
faire las antöctdents. Employer, depenser, des-
tiner A un auire usage. Changer en mal.
Investina, s. f. "invesiissement : action d’in-
vestir une place.*Choc, attaque , assauj; irrup-
tion. ( Ag. /am.) Raillerie piquante. Dar uma
— a alguem, mystifier quelan un
Invsstınao, A, Pp. pP. d’inveslir.
Invsstıpökı, s. f. inveslilure : mise (solen-
nelle) en possession d’un fief, etc.; acte qui la
cobslate.
Invastıcaciö, s. f. investigation : recherche,
peigquisition.
invesricipo, A,p.p. d’Imvestigar.
InVEsTiGaADOR, A, 5. investigateur : qui fait
des investigations.
investıcia, v.a. rechercher : chercher avec
soin ; faire des investigalions.
+ InvssticäveL, adj. 2 gen. qu’on ne peut
recbercher : each&,, imp@netrabie.
Invastin, 9. @. atlaquer, assaillir virement.
= com alguem, (v. #.) allaquer, assaillir queli-
qu’un. Investir: donner l’investiture, mettre
en possession d’un fief, etc.
Iavastin-es (om), o. r. s’introduire, se
metire dans quelque chose.
+ INVETERÄDAHENTE, adv. d’une maniere i in-
veteree.
Invereaino, A, adj. invöter6, enracine : qui
dure depuis longtemps ; qu’on ne peut vaincre.
Pecesdor —, vieux pecheur. p. p. de
InVETERÄn-SE, vo. r. s’invelörer : devenir
vieux , difficiie & guerir; s’enraciner.
Invıan, etc. V. Enoiar, eic.
+ ISVICTANENTE, adv. invinciblement.
Invicrissino, A, adj. sup. de
Iwvicto, a, adj. invaincu : qui n’a Jamais &t6
veincu,, invincible
Invınin. V. Enoider. -
P’nvıno. V. Fnvajöso.
INV 711
IuvıcıLlucıa ‚8. f. ımanque de vigilance.
InvigiLÄnTE, adj. 2 gen. qui manque de vigi-
lance.
I’nvıo,Aa, adj. od il n’y a point de route, de
chemin.
InvioLaABILIDÄDE,, 8. f. inviolabilitg : qualite
de l’etre inviolable; ; privilöge qui garantit de la
"mise en jugemen!.
INVIOLAÄDAMENTE, ade. inviolableınent,
InvıoL.äno, A ‚adj. qui n’a pas et& vıole. Pue,
enlier.
IxvioLäveL, adj. 2 gen. inviolable : qu’on ne
doit jamais violer, enfreindre; qui jouit du
privilege de l’inviolabilite.
INVIOLAVELMENTR , adv.
d’une maniere ioviolable,
} InvıoLentäno, a, adj. & qui on n’a pas fait
violence.
+ InvioLtnto,A, dj. qui n’est pas violent,
od iln’y a pas de violence,
InvıeErRiDO, A, 9. pP. de
InvIiPERÄR-SE, 0. r. se metire en fureur comme
la vipere.
Invira. V. Bmöire.
Inviscin, etc. V. Enviscar.
InvISIBILIDÄDE, s. f. invisibilite: Etat, Qualite
de l’ötre invisible.
RwisıveL, adj. 2 gen. invisible: qu’on ne
peut voir.
InvisıveLmente, ade. invisiblement s d’une
maniere invisible.
T Inviso, a, adj. qui n’a jamais dte vu ni
coanu.
Invırar, ©. a. (inus.) inviter.
Invırarörıo, s. m. invitatoire: antienne N
inviolablement :
malines, qui invite A louer Dieu.
lavırz. V. Envile.
Invito, a ‚adj. forc&, contraint.
Imyocagäö, sf. invocation : action d’invo-
quer ; partie d’un poöme dans laquelie on in-
voque une muse, un dieu.
Invocioo, A, p. p. d’Invocar.
InvocaDör, A, 5. celui qui invoque.
Invocaa, v. a. invoquer, reclamer, implorer,
demander avecinstance, appelerä son secours.
Evoquer : appeler, faire venir ä soi des esprils.
IRVOCATIVAMENTE,, adv. avec invocalion.
InvocaTörıa, 8. f. V. Inrocagdd.
+ InvocaTörıo, A, adj. invocatoire : conle-
nant l’invocation.
InvochvrL,adj. 2ger. quel’on peut invoquer.
InvoLrönıo. V. Envoltorio.
tInvoLr6so, a, adj. (ti. de bot.) involuie :
(feuilles —es) ä bords roules.
+ InvoLuc£iLo, s. m. ($. de bot.) petit invu-
lucre.
+ Invovuucräno ‚Aa, adj. (4.de bot.) involucre:
poarvu d’un involucre.
InvoLugiö, a. f. involution.
InvoLöcko, s. m. (t. de bot.) involucre : pe-
tites folioles qui entourent le p&ednncule: en-
veloppe commune et continue.
INVOLUNTÄARIAMENTR „ade. involontairement:
sans le vouloir, contre sa volonte. Par force.
712 IR
InvoLuntärıo, A, adj. involontaire : inde-
pendant de la volonte, sans sa participation.
Force.
InvoLvrörıo. V. Envoltorio,.
InvoLvevör. V. Enredador.
InvoLvga. V. Envolver.
INVULNBRABILIDÄDE ,„ 8. f. invulnerabilite :
qualits, &tat de l’etre invulnerable.
+ InvoLnerino, A ‚adj. quin’a pas et& blesse.
InvuLnerÄVeEL, adj. 2 gen. invulnerable : qui
ne peut ötre blesse.
Inxenin. V. Enzerir ou Inserir.
Inxipno, s. m. petit verger. V. Envido et
Inxınin. V. Enzertar.
lösın, s. f. (t. de geog.) lonie : contree du
Peloponese.
lönıo, A, adj. Ionien : d’Ionie.
+V pe, s.m. (1. d’hist. nal.) ips : col&optere
wWtramere.
IrEcACUÄNHA, 8. f. (f. de bot.) * ipecacuanha :
plante et racine medicinale d’Ameriyque.
Irperıcäö. V. Hyperico.
Iröcrıta, etc. V. Hypocrita, etc.
+ lqueräyva, s. f. (l. de bot.) iquetaya: plante
scrofulaire aquatique du Bresil.
Ir (a, para:, v.n. aller, passer, se rendre
d’un lieu & un autre. Mener, conduire, conti-
nuer &; aboutlir. Etre, se porter. Gager, pa-
rier. Consister, dependre. Importer, inte-
resser. Eire distingue, different. Se destiner
a un etat. Agir, aller. Se conjuguer, se decli-
ner. Ir, avec un gerondif, marque l’action de-
signce par le verbe, et avec le participe passif,
la passion. Ex.: — jogando , jouer. — vendido,
ötre vendu. Joint & un adjectif, il exprime la
manidre d’aller ou d’etre. Ex. : — bem armddo,
eıre bien arme. Precede de l’article ao et suivi
de la pr&position a et d’un infnitil, il exprime
V’action procbaine du verbe. Ex. : do — a pa-
gar, au moment de payer, lorsqu’il faut payer.
— adiante, aller en avant, poursuivre une en-
treprise; reussir, parlant d’une entreprise, etc.
— a0 fundo, couler bas. — com alguem, aller
avec quelqu’un. (Ag.) Rtre de son avis, pren-
dre son parti. — com cuidado , mede, eic., agir
avec alltenlion, avec crainte, etc. — alrds d’al-
guem, aller, courir apres quelgqu’un. — por
pöo, por vinho, etc., aller chercher du pain,
du vin , etc. — confra, aller contre, s’Opposer.
Näo — föra de.... ne pas aller contre, ne pas
s’y opposer. — longe ou mui longe, (fig.) eire
eloigne, bien loin de penser, etc. — mal ou
bem, aller bien ou mal, parlant d’une affaire,
ou se porter bien ou mal.— dmdö a alguem,
(fam.) contenir, retenir quelqu’un. — ao em
contro, alier au-devant. — ao Jorddö , (fig. fam.)
se retablir, se rajeunir. — allo, @ire haut. On
le dit d’un vaisseau, d’une riviere. — nos al-
cances, suivre ou serrer de pres. Deixdr-se —
com a correnle, s6 laisser aller au torrent.
Nisto vai a !ua vida, il yva en tvela de votre
vie, Nisso vai a minha vonlura, mon bonheur
döpend de celd. Quaniu ar dagui a Kisdoge
IRI
Quelle distance y a-t-il, combien ya-t-il did
& Lisbonne? Que oa n’isso? qu'importe? Vei
para umanno,ilyaura bientöt unan.Fdr.m,
com Deos , adieu, Dieu vous accumpagne. Bew
vai, voilä qui va bien. Por mal que vd, au pis
aller. — de conserva, (1. de mar.. aller de con-
serve. — em lasiro, aller en lest ou sar son
lest. — venlo ou com venlo em poppe, (id.)
aller entire deux ecoutes, courir venl arricre.
— terra, terra, (id.) cötoyer le rivage. — em
corso, aller en course. — d vela eremo, (id.)
aller ä trait et ä rame.
Ia-sk,v.r. s’en aller, se retirer, parlir; etre
mourant; s’scouler, parlant d’une liqueer;
fuir, la laisser echapper, parlant du vaisseau
qui la contient. Glisser inrolontairement de sa
place. S’exbaler, s’evaporer. Se gäter, se cor-
rompre, ou s’aigrir. Se rompre, se dechirer,
s’user insensiblement. — das cartas, s’en aller
de ses cartes, s’en defaire en jouant. —a pigwe,
ao fundo a ndo, &chouer, couler bas, aller ä
fond, parlant d’un navire. — fasendo terde,
s’avancer P’heure. — fazendo velho, vieillir. —
pondo 0 sol, ötre sur le point de se coucher,
parlant du soleil. — sem dizer adeos, semse des
pedir, emporter le chat de la maison (fam.).
Irem-se os olhos a alguem , desirer avec ardeur,
convoiter. Vao-se vendendo as fazendas, les
marchandises sonten train dese vendre. Vd-s,
vdo-se embora , va-Uen, allez-vousen.
ua, s. f. colere, emportement, irritalion,
ire, courroux. Indignation. Chätiment infige
ou dont on menace. (fg.) Colöre, farie des ele-
ments.
Inacönpta, s. f. colere excessive ou habt-
twuelle.
lnacönno, A, adj. colöre, colerique, enclia
a la colöre. (podi.‘ Courrouce, en courfoui,
parlant des elements.
IRADAMENTE, adr. avec colere.
Inäpo, a,adj. colere, felon,, emporte, fäche.
Courrouce,, en courroux , parlantde la ıner, eic-
p.p. de
Irir, v. a. mettre en colere, irriter.
Inän-s£, ©. r. se ınelire en oolere , s’empor-
ter; se fächer, se courroucer, sövir.
+ InascısıLipäng, s. f. irascibilite : qualile
de l’etre irascible.
IrasciveL, adj. 2 gen. irascible : qui s'irrite
aisöment, dispose & la colere, prompt äse met-
ire en colere. Faculdade —, faculıe irascible,
qui porte P’Ame & l’energie, & la constance.
t Inenänca, s.m. (t. dat.) irenarque : ofß-
cier charge de maintenir la tranquillite dans
une des provinces de l’empire grec.
+ Intnno,. s. m. (8. de bot.) irennus : peri-
ploque deCeylan, & racine veneneuse.
IrıAno, A, adj. irise : couvert d’iris. p. p. d’
+lIaıir, 0. a. donner les couleurs de l'iris.
v. ». Briller comme V’iris.
+ Iriogas, 8. et adj. f. pl, (4.de bot.) iridees:
famille des iris.
+Ininıo, a. m. (4. de mdtel.) Iridium : mdiel
d’un blano d’argent,
IRR -
Iaır. V. Erül.
Paris, s. m. iris, arc-en. ciel; ensemble ow
partie de ses couleurs formees par la nature ou
Part. (Ag.) Pacificateur, mediateur. (1.d’anat.)
—, cercle qui entoure la prunelle. s. f. —,di-
-vinite fabuleuse; pierre precieuse, cristal irise.
O — € presagio de serenidade , l’arc-en-ciel est
une marque de beau temps.
Paris, s. m. (1. de bot.) iris ou Mambe : plante
liliacee. — fetida, iris felide, glaieul, xyris
puant. — de Fiorenga. V. Lirio de Florenga.
— falso-acoro. V. Lirio, ete.
InLinpa, s. f. (l. de geog.) Irlande : Ile bri-
tannique. Toile d’Irlande.
InLanpetz, a, adj.ets. Irlandais : d’Irlande.
Iaui, —MÄiA uu —MaAN, 3. [.saur.V. Irmdo.
IRmÄNMSNTE, adv. [raternellement. En parties
egales.
Inmanipo, A,p. p. de
Inuanir, v0. a. V. Germanar. (com) Assor-
tir, apparier; reunir; egaler.
IRMANDADE, s. f. fraternite: relation de fröre
& frere ; (Ag.) union fraternelle, liaison intime.
Conformite, correspondance. Confrerie, affilia-
tion. A sanla —, tribunal etabli en diverses
villes d’Espagne pour les vols de grands che-
mins, etc.
Inwuäö, s. m. frere : ne d’un me&me pere,
d’une meme mere; nom qu’on donne par hu-
milil6 aux pauvres; titre Que se donnent mu-
.taellement les rois; le pape le donne aussi aux
eardinaux et aux evdques; titre religieux. Con-
frere : membre d’une confrerie. (fig.) Egal,
semblable, pareil. — carnal, fröre germain. —
eonverso ow leigo, [rere lai, convers. — wie-
rino, frere uterin. Meio — , demi-[rere, frere
eonsanguin ou dep@re, fröre uterin ou de mdre.
—60s gtmeos, [reres jumeaux. Enire irmdos
ndo meilas Iuas mäos, (prov.) ne te mele
point d’affaires qui sont de freres. Enire l’arbre
et son &corce il ne faut pas meitre le doigl.
Inmiözinuo, s. m. dim. d’Irmdo,, pelit frere.
InuizinHa, s. f. dim. d’Irmä, petite saur.
"IRMEELMENTE. V. Irmämente.
*Inxıräö, etc. V. Ermildö, etc.
Ino , Inözes. pl. V. Eiro.
Inonia, s. f. ironie : figure de rlıetorique
par laquelie on fait entendre le contraire de
ce qu’on dit.
JRÖNICAMENTE, ade. ironiquemeng : d’une
maniere ironique, par Ironie.
Irönıco, A, adj. ironique : od il y a de
Pironie.
Inösasente, ade. avec colere, avec empor-
tement.
Inös0, A, adj. irrit#, emporte, furieux. V.
Iracundo.
ana! inierj. pop. peste! peste soil de...
+ IRnacıonasıLiDäDE, 5. f. qualite de ce qui
est deraisonnable.
* InnacıonäLl, adj. 2 gen. irraisonnable : qui
n’est pas dous de ralson, Irrationnel; (f. de
wath.) qui n’a pas de rapport connu avec l'unile,
JHRALIUNALSDAU», 9: (ı Irralsonnabiliie ;quar
IRR 713
litö, &tat de ’homme, de l’ötre irraisonnable.
IRRACIONÄVEL, adj. 2 gen. deraisonnable :
qui ne s’accorde pas avec la raison, l’öquite ;
qui manque de raison.
IRRACIONÄYELMENTE , adv. deraisonnable-
ment : d’une maniere deraisonnable.
Innapıacäö, s. f. irradiation : &mission, ex-
pansion, effusion de rayons de lumiöre, du
soleil, etc.
IRRADIÄDO, A, 9.p. de
lananıia, 0. a. 6clairer de ses rayons. v. m.
Rayonner. ° “
IarADIösO, A, adj. prive de ses rayons (s0-
leil, etc.) , couvert, obscurci.
TIRRECLAMAVEL, adj. 2 gen. qu’on ne peut
pas rcclaıner.
+ InreconcıLıäno, A, adj. irreconcilie : (on -
nemis —s) qui n’ont pu ötre reconcilies.
InasconciLiävsL, adj. 2 gen. irreconciliable:
qui ne peut se, que l’on ne peut reconcilier.
IRRECONCILIAYELMENTE , adv. irreconciliable-
ment : d’une mani£ere irreconciliable.
IRRECUPERÄYVEL, adj. 2 gen. qu’on ne peut
recouvrer, reprendre.
TInREcLPERAVELMENTE, adv. de maniere A
ne pouvoir recouvrer, reprendre.
TIRRECUSÄvEL, adj. 2 gen. irrecusable :
qu’on ne peut recuser.
+ IanenımiveL, adj. 2 gen. qu’on ne peut ra-
cheter.
IRREDUZIVEL,, adj. 2 gen. inllexible,, indomp-
table. (6. de chim.) Irreductible.
+larerLexiö, s. f. irrellexion : delaut de
rellexion.
+ InnerLexivo, A, adj. quine reflechit pas,
qui n’est pas rellechissant.
+ InrerLexo, A,adj. irrellechi : qui n’est pas
reflechi. Qui n’est pas repercute.
lansrorMäveL, adj. 2 gen. irrelormable: qui
ne peut &tre relorme.
IRKEFRACABILIDÄNE, 8. f. irrelragabilite : qua-
lite de ce qui est irrefragable.
IRREFRACAVEL, adj. 2 gen. irrelragable :
qu’on ne peut contredire; irrecusable.
IRREFRACAVELMENTE,, ade. irrelragablement.
d’une maniere irrefragable.. ,
InnecuLÄr, adj. 2 gen. irregulier : contre les
regles,, qui ne les suit pas; qui n’a pas de regu-
larite ; dont les parties ne sont pas egales ou en
symelrie; qui a encourru les censures et ne
peut exercer (ecclesiaslique).
INREGULANIDADE, 8. f. irregularil& : manque
de regularile ; etat d’un clerc, d’un preire irre-
gulier.
InkecuLarissımo, A, adj. sup. d’Irregular.
IRREGULARMENTE , adv. irregulierement :
d’une maniere irreguliere.
InreLıcıäö, s. f. irreligion : impiele, manque
de religion.
InnELIGIOSAMENTE , adv. irreligieusement :
avec irreligian.
IrrELIGIOSIOÄDE , 8. f. qualit6 do ce qui exe
irreligieux,
Innen6idso , A, adl. irröligieus ı contralte &
718 IRR ———-
la religion, qui Y’offense, qui n’a pas de reli-
ON.
naeunotivar, adf. 2 Yen. ifrämediable :
auquel on ne peut remedier { mal, faute).
IaRumzpıavzLuänte, adv. irremediable-
ment : de sorte qu’on ne peut y remedier.
IankuiseivaL, adj. 2 geh. irremissible : qui
no peut se pardonner; qui ne merlte pas de
pardon.
InasuıseivzLutnts, ado. Itr&missiblement :
säns römission.
InnEuivEL, adj. 2 gen. qui ne peut 58 rache-
tar; dönt on nie peut se liberer.
+ IaasuwovivaL, adf. 2 gen. qu’on ne peut
&loigner, renvoyer, remuer, d&placer.
+lIangrıriDo, A,adj. quin’a pas eid repare.
InrnuraniveL, adj. 2 gen. irröparable : qu’on
ne peut r&eparer.
IRREPARAYELMENTE, adv. irr¶blement :
d’une manidre irrepatable.
IRREPREUENSIBILıDÄDE, 8. f. Irräprehensibi-
litö : qualite& de ce qui est irrepr&hensible.
IRREPREHENSIYEL, adj. 2 gen. irröpröhensi-
ble : qu’on ne saurait reprendre. .
lAnEPREHENSIYELMENTE, ade. irreprehensi-
blement : d’une maniere irreprehensible.
+ Irazsıcnäno, A, adj. qui n’est pas resigne.
p. p. de
tinnzsıcnäa-sE (a), v.r. ne pas 86 rösigner
+ Inassıcnäver, adf.2 gen. qui ne peut pas
se resigner.
Irnesistente, adj. 2 gen. qui ne rösiste pas.
IARBSISTIVEL, adj. 2 gen. irresistible : & quoi
an ne peut resister.
InrzsiıstiveLm&nte, ade. irrösistiblement :
@’une maniere irresistible.
InnesoLucäö, 3. f. irresolution, incertitude,
indeeision ; &iat de celui qui est irresolu.
JARESOLUTO,, A , adj. irresolu : qui a peine &
se r&soudre, A se determiner. Qui n’a pas die
resolu : probleme).
IRresoLövEL, adj. 2 gen. qui ne peut se r&-
soudre : insoluble.
+irazstnicro,, A, adj. sans restriclion : qui
n’est pas restreint.
+ InrestaınciveL, adf. 2 gen. qu'’on ne peut
pas restreindre.
IRnzvVEn£ucıa, s. f. Irreverence : manque de
reverence, db respect.
InREVERENCIÄR,, v. 4. manquer de reverence.
Ianzventnze, adj. 2 gen. irröverent: qui
manque de respect.
IRREVERENTENENTE, adv. irröveremment :
aveo irreverence.
lanEvocABILIDÄDE, 3. f. irr&vocabilit : qua-
Hı6 de ce quiest irrevocable:
InnevockveL, adf. 2 ger. irrevocable : qui ne
peut eire rövoque6.
lanevocäver. V. Irrevocavel.
IRREVOGÄVELMENTE, adv. irrevocablement :
@’une manidre irrövocabie.
Innıcacä6,s. f. irrigation ı arrosement par
ngoles ou salgaoes.
ISC
+ Insıcioo,A,adj. ou ona fait und irrifa-
tion.
Inrısäöd, 3. f. irrision, mepris, moquerie ,de-
rision.
InnisöR, s. m. moqueur : qui se moque, yui
ratile. .
IRKISORTAMKNTE, ade. par derision.
Innısonıo ,A, adj. risible, qui fait rire : qui
prete & la plaisanterie.
laRıTABıLIDäDE, 8. f. irritabilit& : qualits de
ce qui est irritable.
Inrıtacäö, s. f. itrilation : actiom de be qui
irrite les bumeurs, ses eßeis ; etat des kumeurs,
des nerfs ; (Ag.) des esprits irritss. Grande te-
löre, grand emportement.
InrıTADO,A,Pp. p. d’Irriar.
Innıtapon, A, s. celui qui irrite, qui dorne
lieu & s’irriter.
VaRITAMENTE, adv. sans eflei et sans force !
d’une maniere nulle et invalide.
Inrırau£nto,s.m.V. Irritargdö. Irritement:
ce qui excite ( la colere, etc. ).
JaRITÄNTE, adj. 2 gen. irritant : qui irrite.
Decreto, clausula —, decret, clause irritaste,
qui casse , qui annule.
Irnrıraäa,,v. a. irriter:: meiire en eolöre, äi-
grir ; causer l’irritation. (fg.) Provoquer, exci-
ter, aigrir. Casser, annuler. — 08 awimos, aigfrır
les esprits.
lanızar-SE , ©. r. s’irriter : sa mettre on co-
löre ; @tre irritö,, öprouver l’irritation.
larırarıvo. V. Irrtanke.
IanıtäveL, adj. 2 gen. irritable: qui peit
&tre irrile; qui s’irrite sisöment.
Fanıto, a, ad). iavalide, nul.
Innocäno,A,p.p. de
Inaocär, dv. 6. imposer. Causer, Occasinaner.
Innoragad, 8. f. (4. de mdd.) irroralion, ar-
rösement.
Iaroain. V. Borrifar.
TianumäveL, adj. 2 gen. qui ne peut pas
etre ruine.
Inrurcäö, s. f. irruplion : eniree (soudaine,
violente), se dit des eaux , des ennemis gai ra-
vagent un pays.
Iaro. V. Hirto.
Isın£L, adj. 2 gen. isabelle : coulear jaune
blanchätre. Carallo —, cheval isabelle.
IsacöGg, s. f. introduction , avant-propos.
IsaGoNo, A, adj. inaxone : & angles egaun.
+ Isina, s. m. (4. d’hist. nat.) isana : dtour-
neau du Mexique.
+ 1IsaTı ow —TE, ». m. ( t. de bot.) isatis : pe
pastel des teiniuriers, isatis du Portugal (isalız
Iusilanica). (tl. d’hist. nal.) —, quadrupeie
qui tient le milieu entre le renard et je cbien.
Y’sca, s. f. maliere preparee pour prendre
feu sisement: meche, amadou, eic. (Ag.) Cho-e
extrömeinent inllammable , seche comıne 3:na-
dou ; aliment d’une passion, ce qui seft ä.l’al-
iumer, eic. Amorce , appäl. —de carne, gribe-
lotte.
iscino, a (de), adj. infect# (de la poste),
entacht d’horesie, etc. p. p. de Icar.
Iscir, d. @. amoroer, amadouer
a loösceL
+ Iscaomon ou —u0, s. m. (. de bot.) is- | o0tds dgaux.
chenie, plaute graminde. — bastdrdo, barbon
digite.
+ IscHias, s. m. (1. de bot.) * Schinope oom-
mune (schinops rilro).
Iscuärıco, A, adj. (4. d’anat.) ischiatique:
Iscnıon, s. m. (l. d’anat.) ischion : an des
trois os du bassim däris Tdqtel s’embette le
f&mur.
Iscuönıa, s. f. (1. de med.) ischurie : suppres-
sion fatale d’arine.
lsenckö, 8. f. exenipilen. ( Ag.) Dedain d’ä-
mour. Iind6dpendance avee ütdam.
Ieenräing, A, P. p. d’Isenlar.
BaunTanänte , adv. avec exemplion. Avco
desain. j
Kıntir (de), v. a. exempter, dispenser.
Isentioäö. V. Isencdö.
MsentTissıuo, A, adj. sup. de
Istnto, A, adj. exerhpt, dispense. ( Ag.) D6-
daigneux.
+iens, s. f. pl. (t. #’Mist. nal.) isis : 200-
bytes
+ IBLiuisEO, 8. m.
tisıme.
+ Issauırsdo, &. m. Ismaelisme : religion
aräbe Hlsmäßl.
+ isutazıiras, s. m. pl. ismatlites: descen-
dants d’Ismaßl; peuples de Syrie, de Perse.
istemisme, mahome-
lSOCHRONISMO, 3. m. (8. de ‚pwe) Isochre-
nische : dgatied du Aurte das vibrations.
Isöcnrono, A, adj. (8. de phys.) isschrond :
d’egale durde; fe Mit en teuttpe Ogauz.
+ Isufrs, d. Mm. (1. de bot.) isoLe des @tangs;
ealamaie.
+ 1s0conG, a, atlj. (1. de geom.) isogone: &
angles Agau?:
IsoLacäö, s. f. isolation : action d’isoler Tas
corpsı * IscTaten : tar da 0& qui ost IBOlE.
+ IlsoLADaMENTE, adv. isolement : d’une ma&-
niöre ivol&». »
IsoL.äpo,A,9.p. d’Esdlar. aily. Isle, soul,
abetrdounne: Quf est sur !’tsoleir.
IsoLapon, 8. HM. (1. de phys.) Iholoif : sibge &
en pour eldrtriser en inolant; Base
formee d’une matiere idto-electrique.
IsoLär, v. a. (£. de piäys.) ißoler : faire qu’un
corgs nd Hehne pas A Un dutre.
+ Isowerria, 8. f. (t. de math.) isomötrie :
reductiort des [raplichs da ndenfe denorkind-
teur.
Isöre. V. Aysöpr.
+ Isopzriserr: . a, of. (ft de 96a.) Inopd-
rimetre. On le « : Jes figures qui dnt dds ait-
conference en 18.
IsuPnAco.\ ..sophage:
+ Isorıerı .a,.adj. (4. de göom.) dgailats-
ral , en parl.'.! d’un triangle:
+ lsörvro, s. m. (1. de bot.) Isopyro : plante
renoneulacee.
IZE 118
us, adj. m. isocdle : (triangle) A deux
Isqug , s. m. wisk ou whist : snrie de jeu.
lsnagLira ‚adj. els.2 gen. israelite : d’Isra&L
Issir. V. Icar.
* lssecutör. V. Executor.
Isso, pron. demons. ce, cela; en. On l’em-
ploie pour dösigner une chose qui se trouve
plus pr&s de la personne & qui l’on parle ou
dent on parle. Ex. : D6-me —, donnez-moi
cela. Deiche —, !aissez cela. Por —, pour cela,
c’est pourquui. Segundo —, ä ce compte-lä.
Nem por —, malgre cela: pas grand'chose;
comme cela. Estow bem cerlo d’—, j’en suis bien
sür. Quando dsi por —, quand je m’en suis
apercu. Que lenho eu ld com — P qu’est-ce que
cela me fait?
Ystg, V. Isque.
Istamo, s. m. isthme : langue de terre res-
serree entre deux mers ou deux golfes.
Isto, pron. demons. ceci, cela. On le dit
d’une chose qui est en presence de la personne
qui parle. En. V. Este. N’ —,‘fam.) sur ces
entröfaites , pendant ce temps. Nada d’— houre
ou aconleclo, il n’en a rien &te.
Tarontd „eic. } v. Hist..., etc.
+ Iratsa,; 8. f. (1. de bot.) *courbaril: arbre
legumineux d’Afrique et d’Amerique, qui
dohne la resine anime.
Irärıa,s. f. (8. de geog.) Italie : grande prcs-
te @Europe, entre les Alpes et la mer Me-
ande.
IraLıäno, A, adj. et s. Italien : d’Italie.
Frirıco, A, adj. italien : d’Italie; italique.
PraLos, s.m. pl. Italiens : peuples d’Italie;
Italiques.
Item , adv. lat. item : de plus.
Itens, 3. m. pi. articles (de compte, etc.).
Estar aos —, &ire en altercation.
*+ ItzaäisıLe, adj. 2 gen. qui peut se reite-
rer.
IterÄR, 0.0. (p. us.) reilerer, repeter.
Ifärıtivd, k, ddf. iteratif : fait plusieurs fois
et par intervalle.
Irınsairıo, x, ddf. itineraire : de chemin,
qui concerne les cbemins.
Prrutrirto, & m. itineraird : memolre de
voysgear ; note des lieux oü !’on passe en voya-
geant. Feuille de route.
Praopesik. V. Hydropesia.
Irvraiuuıco, a, adj. ityphallique : (figure)
obstetie. .
Irr'’eHALLO, s. m. ityphalle : amuletie des an-
ciens; phallus, itrlagt des parties viriles.
P’va,s.f.(t.de bot.) ive: plante corymbifdre,
— mälor, Ivo, ee: — menor. V. Anthyllis bas-
tarda. — bastarda, ivelie, iT6 musquee, cha-
meöpitys, petit piit.
P’xıa, 6. f. (ti. de Bot.) ixid : plante iridee.
* Ixıno,, Ixuno. V. Eixido.
Izenciö, etc. V. Isengdo, etc.
Plezscht80, nn M: izbchhrd : ouvrage de
Zoroastre en soizante-douze chapltren.
716 JAC
J.
J,s. m. dixi&me lettre de l’alphabet portu-
gais (d consonne).
Jı,ade. deja. Maintenant , & present. Une au-
tre foie, dans un autre tenıps, dans une autre 00-
casion. Enfin, finalement. Tout & l’heure,, tout
de suite, sans delai. C'est ainsi qu’on repond &
ceux qui nous appellent. Jd vow, ja vai, elt.,
jyvais,on yva,ctc. Jd, part. disiribut., tan-
tdi. Ja, inlerj. qui marque qu’on se souvient
d’une chosce qu’on nous rappeile. On dit ordi-
nairement ja, ja. Ex. : Ja, jame lembro, oui,
oui, je sm’en souviens. — enlendo, — se vf,
j'entends,, voilä qui est clair. — que, puisque,
vuque, utiendu que. —entido, des lors. — ndo,
non pas. — pois, or ca. — seja dum modo, —
seja d’oulro, que ce soit d'une maniere, que ce
soit d'une autre. — que assim 0 quereis, puis
‘donc que vous le voulez.
+ Jarrä,s. m. (8. de bot.‘ jaaja : paleluvier,
a Sierra-Leone.
tlJasesınera, s. fı (L. hist. nal.) jabebi-
nette : raie du Bresil,
fJasırü Do BraziL,s. m. : t.
jabiru : oiseau echassier, erodion.
tJasonanpi, s. m. (4. de bot.) jaborandi :
poivre en ombelle de Saint-Domingue,mouniere
triphylie.
+JaBOTaPiTa, 8. f. (4. de bot.) espöce d’ochna
du Bresil.
Javorıcina, #. f. fruit de la jabolicabeira.
V. ce mot.
JaBsoTıcaBetra, s. f. grand arbre du Bresil &
fruit en forme de cerise.
JasaE, elc. V. Juore, etc.
TJacaciL, s. m. (1. d’hisl. nat.) jacacail:
oiseau du Bresil.
Jäca „s. f. (8. de bot.) jaca ow Jacka : arbre &
psin, son fruit.
Jäca, s. f. matiere ötrangere dans une pierre
procieuse.
*Jica, powr Jaza (qu’il demeure, ou reste).
+Jacaman, s. m.(t. d’hist. nal.) jacamar:
oiseau syIvain du Bresil.
tJacanä,s. m. (1. d’hist. nal.) jacana : oi-
seau echassier du Bresil.
+Jıcarinı,s.m. (1. d’hist. nal.) jacapani :
rossignol brun et jJaune.
+ Jıcarüö, s. m. (1. d’hist. nal.) jacapu : oi-
seau du Bresil.
+ Jacarccäta, s. f. (6. de bot.) marmite de
singe ( lechytis ollaria).
Jacarı, 8. f. piece de poösie portugaise et
espagnole : sorte de romance, vauderille.
Jacarınpi, s. m. (4. de bot.) Jacaranda : bi-
gnon du Bresil.
JACARANDATÄN, 6, m, fayx Jacaranda, jaca-
yanda blanchätre,
d’hist, nat.)
Jacant ou —a0, 5. m. caiman, erecadile
d’Amerique.
Jacatä, s. m. ($. d’Asie) roi.
Jac£ente, adj. 2 gem. couche; gisant. (€. de
prat.) jacent, vacant.
Jacentes, s. m. pl. (l. de mar.) bas-fonds.
JacınTRnino, A, ey. hyacinthin : couleur
d’hyacinthe; qui a rapport & Ubyacinthe.
Jacıxtno, s. m. hyacintbe : pierre preciemse,
bleuätre, de la nature du grenat. (t. de bet.)
Jacinthe : plante liliacde. — dos bosques, je-
cinthe des bois. — dos anligos podlas.V. Es-
poreira de Aiace.
+Jico, 8. m. sagum, sSaie : sorie de vele-
mentdesanciens soldais. (lt. d’hist. nat.) Jace :
perroquet cendre.
Jacosto, a, adj. bigot, cafard, hypocrise.
JACOBIcR,, ‚8. f. cafarderie,, tartuferie.
JACOBINISMO, 3. @. jacobinisme : systdme
des jacobins.
Jacogixo, 8. m. jacobin : membre de la se-
ciele politique dite des Jacobins. En Portugal,
on donnait ce nom aux partisans des Francais
au temps de leur invasion.
JacoBiTas, s. m. pl. jacobites : seclaires;
chretiens coptes; partisans de Jacques ll, roi
d’Angleterre.
Jacrinca, s. f. jactance, vanterie; perade,
ostenlation.
JACTANCIÖSAHENTE,, edv. avec jactance.
f Jacrancıosınang, 8. f. qualite d’eire van-
tard, d’avoir de la jactance.
JaCTANCIOSsO, A, adj. qui a de la jactance,
qui Pexpriine; vain, glorieux, vanieur, vaa-
tard.
JacrintE, adj. 2 gen. se vanlani, qui se
vante. p.a. de
JacTar-sE (de\, ©.r. se vanler, se piguer,
s’applaudir, se louer, se glorifier.
+ "Jıcrissıno, A, adj. repande abondam-
ment, parlant du sang des martyrs.
Jäcto,s. m. coup, jet, trait. Dumm —, tomt
d’un coup, tout d’un trait.
Jactüna ,s. f. perte, dommage.
+ Jacke, s. m. oiseau du Br&sil, bon & man-
ger.
JacouLacaö, 5. f. "jet, action de lancer, de
darder, de jeter.
JactLADo, A, P. p. de Jacular.
JacuLADOR, 38. m. celui qui lanoe un dard,
le brandit, etc.
+ JacuLär , v. a. lancer, darder, jeter.
JACULATÖRIA , 3. f. oraison jaculatoire, priere
courie et fervente partant du caur.
+ Jacinüö, s. f. (t. d’hist, nal.) jacouren ;
fouleuvre des baia.
JARz, 8, m. CRPATEGON , NATRRORETRERF ı Qfe
JAN
nement de cheval. (Ag.) Qualite, manidre d’&tre
par oü plusieurs choses se ressemblent; sorte,
‚espece, genre. Do mesmo —, dela m&me etoffe.
Jdarzivo,A,p.p. de
JaEziR, v. a. caparaconner, harnacher.
Jatzes, pl. de Ja4z. V.
tJicana ow JÄcra, s. f. sucre fait du coco,
en Asie.
t Jacönca ,s. f. sorte de pierre pre&cieuse.
+ Jicum, 5. f. (t. de bot.) * jagua: palmier de
l’Amerique septentrionale.
tTJacuir, s. m. (1. d’hist. nal.) jaguar : qua-
drupede, grand chat mouchete.
+ lacvarere, s.m.(i.d’Mist. nat.) Jaguarbie:
grand chat noir au Paraguay.
Jazara, 8. f. : 6. de bot.) * jalap : liseron du
Mexiqze, purgatif. — bastdrda, admirable ou
merveitle du Perou, jalap faux.
JäLne,, adj. 2 gen. jaune vif.
JALDETE, 3. m. jeu ancien.
Jarta.V. Gelda. _ \
JaL£co, s. m.’ veste.
* JıLne. V. Jalde.
JaLöro. V. Bogal, Hude.
Jamacano. V. Urumbeba.
+ Jamärca, 8. f. (1. de geog.) Jamaique : 1le et
ville d’Amerique.
Jiwmiiıs, adv. jaınals. Jämais por —, au grand
jamais.
Jamsätro, s. m. (£. de bot.) jambosier : plante
myriacee. — das Indias, jambosier ä feuilles
longues, jamrosade. ,
Jiusıco, adj. m. iambique : (vers) compos6
d’iambes ; de l’iambe.
Jäuso, s. m. iamnbe : pied d’une breve et une
longue, Sorte de fruit du Bresil.
+Jaunöa, s. f. (1. de bot.) " jamboa : citron
des Philippines.
+Jıausö,s.m. (1. d’Mist. nal.) jambu:: tina-
mou du Bresil.
tJausuLäö, s. m. (t. de bot.) jambolom :
jambosier de !’Inde; son Sruit. .
+Janäca, s.m.\t. d’hisi. nal.) janaca : qua-
drupede d’Afrique.
fJannınösa, 5. f. (t. de bot.) jandirobe :
plante rampante de ’Amerique ıneridionale.
*Jinno,Aa,adj. tel.
Jankınas, s. f. pl. eirennes: present qu’on
fait le jour de l’an. Sorte de couplets qu’on
chantait le jour de Yan.
+ Jan£ıngıao, s. celui qui Chantait les Janei-
ras.V. ce mot.
Jantıninna, adj. f. Devassa — , enqueie que
jes corregidors faisaient en Portugal dans le
mois de Janvier.
Jantıno, s. m. janvier : premier mois de l’an-
nee europeenne. Tem ou conla mililos —s, il
est fort Age, ila vu bien Jes hivers.
Jantı.a, s. [. feneire, croisee, ouverture
pour donner entr&e au jour. "Chässis, vitres,
volet de fenätre. (Ag.) On le dit des yeux,
des oreilles, appelees janellas da alma, le-
netres de l’äme. Deitar pela — föru, (Ag.) je-
ver par la feneire, prodiguer, disyiper. Pör-
JAP 717
se d—, se meltre, se montrer & la fendire,
JANRLLEIRO, A , adj. qui aime A se melire A la
feneitre. "
JANELLETA ou .
JANELLINHA, 8. f. | dim. de Janella.
* Jısera. V. Gintta.
t Jänca, s. f. sorie de petit haleau plat sur
les rivieres.
Jancina, s. f. "radeau : assemblage de piecks
de bois qui forme une esp&ce de plancher mo-
bile sur ’eau. Espece de radeau fait dans un
naufrage des debris du vaisseau. Madeira,
lenha de —, bois flotte.
f Jancapkıro, 8. ww. maltre d’un radeau; ce-
lui qui le möne,
Jancäz, s.m. (1. pop.) Handrin : homme fluet
et elance, sans conlenance ferme.
JANIÄNES, adj. 2 gen ( Uva —) espece de rai-
sin. Se dit aussi d’un bomme sans nom, de
basse extraclion.
Janigano. V. Janizaro.
+ Jınıräpa ou } (4. de bot.) * janipa, jani-
tJıniena,s. f. !paba, ganipa, genipayer,
genipanier : arbre d’Amerique, & fruit de la sa-
veur du coing.
+ Janıpiso, s. m. [ruit du genipayer.
Janissano. V. Janizaro.
JANISTRÖQUES , 3. m. (f. P0p.) pelit homme de
la basse classe.
Janizano, 3. m. janissaire : (anlassin turc,
garde du grand seigneur; ( fig.) satellite d’un
tyran. .
, JANSENISMO, 3. m. jansenisme : docirine des
jansenistes; secte de Jansenius; morale reli-
gieuse Irös-ausiere ; l’oppose du molinisme.
JANSENISTA, 3. m. jansenisie: parlisan du
jansenisme, de Jansenius, d’une morale tres-
ausi£ere ; homnıe devot et tres-austere.
Jantär, s. m. le diner, dine : repas fait au
milieu du jour ou dans Papres-midi; ımets dont
il se compose. Ancien lribul que payaient lcs
villes aux rois, quand ils y allaient, pour l'en-
tretien de leur suite. U — esid na medsa, le
diner est servi. Papa-janlares, chercheur de
franches lippees.
JanTaR, v. a. ein. diner: prendre le repas
du diner. — carne, peize, eic., manger dela
viande, du poisson, elc. au diner.
JANTARINO 04 —ZINNO, 5. m. dim. de Jan-
far. Petit diner.
+ Jio, s. m. mesure ilineraire en Asie.
Jio, adj. m. natif, habitant de Java, lle des
Indes. s. m. Javanais.
Jio-DA-CADENETA, 5. m. jeu d’enfanis.
Jio-Da-Cruz, s.m. (phrase pop.‘ de l’argent.
Jio-wuAö,s. m. (4. pop.) bomme mal [ait,
mal bäti. ‘
JÄo-raniö, 3.m. (l. pop.) homme deguenille,
“.V. Inerte.
JÄ0-REDÖNDO, 8. m. (l. pop.) — e Maria das
fliores,noms qu’on donne aux poupards et pou-
pees que les aveugles font danser.
+ Jıpiö, s. m. (t. de geog.) Japon: empire
d’Asio. adj, ot s, Japonais ; du Japon.
718 JAR Jaz
+ Jaranampiaa ,s. m. (4. de bot.) arbre d’A-| Jinro, s.m. pol d une zuse, pot ä Fass,
nıerique lavia augusia). . gargouletie, alguiere, it. de Lui., V. dere.
Peer s. m. arbre du Bresil. V. Gend-| "Jasca pour Jiza,(qu'ildemeure ‚qu’ilresie),
papeiro. Jasico. V. Jazigo.
JAPONENSE 0 J is: du Japon TJamonE, ©. £. it. de bat.) jasione : plante
Jaronßz,A,adj.ets, | »ponaiß : CH -APON. | Jampanulacec: scabieuse des hrebis.
JaröNıco, A, adj. Japonais : du Japon.
Jıqua, 8. f. (£. de bot.) V. Jaca. — false
(nauclea orientalis). ,
Jique, s. m. jaque : aneles habillement
court et serre.* Veste ou blouse de chasse. Sorte
d’ancienne coiffure de femme.
Jaqukıra, s. f. (8. de bos.) * jaguier : plante
urlicee, arbre & pein.
JaqueıräiL, s. m. bois de jaquiers.
tJıoveLino, a,adj. (8. de bias.) dohiquets :
range en forme d’&chiquier.
Jaqußra, s. f. Jaquette: habillement court
de paysan, d’enfant.
Jaqukräno, A. V_Enzaquetdde.
TJaracatia, 8. f. (4. de bot.) * jaracakia :
cactier du Bresil, papayer.
TJarırä, 8. f. (1. d’hist. nat.) Jarare: doli-
chos du Bresil.
tJanarica,s. f.(t. d’hist. mas.) jararaca :
vipere couroacoco. _
TJaniva, 8. f. (6. de bot.) * jarava : grami-
nee du Perou.
JarpiM,, s. m. jardin : lieu clos od Yon cul-
tive des fleurs. (g.) Pays fertile en fruits. —bo-
fanico ,jardin botanique, jardin des plantes.
— das ndos, (1. de mar.) jardin : balcon cou-
vert dans la poupe d’un vaisseau, galerie de
poupe. — fingido , (id.) fausse galerie.
JArDınkıra, 3. f. jardiniere : fomme du pn gl
dinier ; femme qui cultive un jardin, qui ma
soin.
JanDıneıno, s. m. jJardinier : qui euitive, seit
dessiner, sait cultiver un jardin.
T Janvıngria, 5. f. "jardinege : art de culli-
ver les jardins.
TJiano, a, adj. gris Jaunätre.
JArERE£, s.m. (t. du Brosil) sorte de Miet &
pecher. V. Redefolle.
Järo ou Jinro, s.m. (1. de bot.) gouet com-
mun, pied-de-veau. vwsig. Aron, bonnetr du
grand pretre Aron, cheval bayard, etc.
Jinna,s. f. * valsseau ow pot & goulot et &
deux anses; jarre.
JARABTA, 8. 2 gen. celui ow celle qui #’ba-
pille a l’ancienne mode; gothique.
JARRBTÄDO,, A, P.2.de
! JARRBTÄR, ©. a. couper les jerrets, etc. (Ag.)
Enerver, abattre les forces ‚ le courage ; porse-
culer, molester.
JARRETE, 8. m. jarret : partie posterleure du
genou; endroit od se plie la jambe de derriere
des animaux. '
JARRETEIRA, 8. f. jarretiere : lien pour atta-
cher lesbas.Ordrede la jarretisreen Angleterre,
etabli par Edouard III en honneur d’une Jarre-
tiere de femme qu’il ramassa.
JARnIiLHO, s. m. "Jarreliere : dartre au jarret.
Petite serpentaire : plante. V. Salss
dasyis, #6. m. jakmin : Beur menoptigle,
odorante. V. Jasmineiro.
Jsswıuniap. 5.0. (4. de kot.) jsszuin , planie
jssmince, de Is diandrie Monogynie. — gel-
lego, jasmin comman. — amerdlio, jasmin I
feui'ies de cylise, jesmin jaune. — res] ou
@’Espanha, jasmin & grandes Aeurs, jasmiz
d’Bspagne. — d’Ielia, jasmin d’ltslie, — de
Virginia, * bignone de Virginie.
T Jasuinzge, 4. f. pi. (6. de bat.) Jasmintes:
famille des jasmins.
JispE, s. m. jaspe : pierre bigarröe, de la
nature de l’agais; espeo# de quartz.
JASPEÄDO, A, p. 9. de Jaspear. adj. Jaspe:
qui imile le jaspe; äcouleurs melangdes comme
le jaspe.
JASPEADOR,, s.m. marbreur.
JASPEADÜRA, 8. f. jespare, marbruse.
JASPEÄR, ©, a. jasper : bigarrer em imilant k
jaspe.
TJATAIBA, 5. m. (1. de dos.) beis jaune dı
ml.
JATEMÄR, 5. m. arhre d’Asie.
T SivLa ‚u. f.eage. Loge de fou, de bet färece.
T Jäva, 8. f. (6.de gdog.) "Java: tie des indes.
JavaLi, s.m. (1. P’hist. wet.) samglier : port
sauvage. — Isjaru do Brazil, pöcari om lajıcı.
tJavaLina, s. /. laye, laie : femelle du sır-
ter.
JAVARANDIM,, 9. m. espise de racine uidic-
nafe du Brisstl.
Javinpo. V. Javak.
Plavant,s. m. (& Piel. nat.) javasi : san-
glier d’Afrique.
Javanfı. V. Javali ou Jevari. .
Javkıra ,s. [.sorte d’embarcatiom periageist.
Javanlmı ,s. f. javeline : ospece de dasd Ipng
et menu.
Javnapfrna, s. f. jabloise : instzument de
tonnelier pour jabler.
Javaino,A,p.p.de
tJarnia, v. a. jebler : faire le jable des
douyes.
JÄvRE, 8. m. jable :rainure, entaille dans
les douves pour arröter les piöces da fond du
tonneau.
FT Jazaniteo,a,adj. eis. Algerien : d’älger.
Jazkva. V. Jazide, Juzigo.
Jaztr,o.m. Eire couche, etender, zepesei
sur un lit’, ote., gesir. On le dit surisel des
morts dans le tombeau. Rire situe, piser. Abi
jdz 0 pontcı da dieuidade, c'est ia be bie, en
cela oonsis.te toute la difikculis. Agas Jas. aqui
jaxem, ci zit, ci gisent: Jasende, ou que jds,
gisant,
JazzrÄli,s. m. sorte d’ancienne armure de-
fensive ä tmanches.
tazzai) va,s.f.oosle demanlles d’acier inis-ün.
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r la velsrance.
‚ rendre joyeux ou
uir, 36 divertir. Obtenir
Ü omerite.
‚e. m. jubil6 : indulgence
nnelle aceordee par le pape;
o decinquanie en cinquante ans,
nobe los döbiteurs et les esclaves
.at geittes etlibres. Por —, rarement.
ıi2, 4 m. "joie, plalsir, sonteniement,
.geesee, jabllatien.
t Jvsuıseo, a, adj. joyeaxı qui a, qui donne
de ia jois;rempli de jeie.
dommzaıı, eis. V. Jubstaria, ete.
+ikaa,
Arahes
metient sur lours letizes pour rempla-
cer nos voyelles,
tue, ade, kt, galment.
ie amnken, 1. f. agröment, enjouement;
Jucumpt
E NS SSIMO, A , adj. sup.
de
„A,adj. agresble : qui plalt; enjone,
Inminee a, a. .
“ Jun Ar @id. jndaique : qui appartient
voalsuo, 3. m. judalsme : religion Jaive.
daise, p Zr 1 gen. judalsant : qui ju-
«9.0, e ”
daisants : jalla rel. nn Pi de
} atkao, A, p.p.de
es caizÄR , ©. 9. judalser ; suivre, pratiguer
vivreen jur oo 1a lei judalque; so comdulre,
dUpARia.V. Corardia,
FORT FR
8. f. un des sept points que les
.
JUG 72
+ Jünas, s. m. Judas,traltre. Figure de Judas
qu’on pend os qu’on brüle en Portuga! le sa-
Er eg f. (1. de ) Jude )
unka,s. [.(#. .) Judee : province
d’Asie. V. Palestina. vo
Juperoo, A, adj. de juif. Siza — a, ımpöt sur
los juifs.
* Jupenzca , s. f. capitation de 30 deniers su&
'ifs tolöres, en Portugal.
"ou —Ro , s.m. juil: qui professe le ju-
i juif ; terme de mepris. Cärade —,
nmunie.
"ıive, V. Juden.
"udaizar. (fg.) Se moquer
erie : quarlier habite par
o juif. Fazer —s, jouer de
wurmenter, laquiner.
‚0,A,adj. qui juge ow a la facull6
ICATÖRIO, A, adj. judicatoire : qui sert
„er:
Jupiscatöna, 3. f. jJudicature: ofüce, elat,
fonction de juge. Lieu ou l’on juge.
Jenesir, adj. 2 gen. Judiciaire : qui appar-
tientä la Justice ; faiten justice (acte ,bail, etc.).
Genero —, genre judiciaire : celui par lequel
on accuse ou l’on defend.
JunscıLuäntTg ‚ade. Judiciairemen! : suivanı
la forme judiciaire, en juslice.
+ Jupicıan, ©. . juger, decider judiciaire-
ment.
Jupiciärıo, A, adj. judiciaire, judiciel. As-
trologia —a, astrologie judiciaire : art de de-
viner l’avenir par les astres. Asiröloge —, celul
qui #’adonne & l’astrologie judiciaire.
JunscıösaNEnTE, ad. judicieusomen! : aYoß
jagement; d’une maniere judicieuse.
JunıcIosissıNo , A, adj. sup.de
Jumaöso, A, adj. judicieux : qui a le Juge-
ment bon ; fait avec Jugemeni ; prudent,, sense.
Jutina, etc. . Joe.. .
Tomamoroie. 5 7: Jod, eie
Juaa, 8. f. V. Cabego.
JuaAna, 3. f. espace de terrain qu’on peut
labourer en un jour, avec une paire de baufs.
Impöt de bie que les laboureurs payent par
chaque arpent, sorte de champart.
+ *Jocapan, o. a. mesurer lo blö de la ju-
geda. V. ve mot.
Juoaptıro, A,adj. sujet ä la jugada. V. co
mot. Champartel.
JociL, adj. 2 gen. matrimonial, des noces.
V. . Neroo —, (1. d’anat.) jugal : nerl
pres de l’auditif.
* Jjucarin. V. Joguelear.
oo, s. m. Joug : pidce pour atteler les baufs;
(6. d’ent.) pique soulenue par deux autres, et
sous laquello on faisait passer les vaincus;
(Ag.) sujelion ; servitude;; dependance; lien da
meriage; chose qui gene, qui asservit, difficile
A supporter, etc. Sacudir o—, (fig.) secouer
le joug, se soustraire a l’obeissance. Swjeildr-
“409 — , (id.) subir le joug, se soumelirc.
ı)
720 JOT
JoGADOR, A, 38. joueur : qui joue; qui a la
passion du jeu;; qui jJoue bien. K destro —, il a
Pesprit du jeu.
Jocär, v. a. jouer : faire une partie de jeu;
meitre au jeu; perdre au jeu. Lancer; manier.
— as armas, tire adroit & faire des armes. —o
bilhar, os conlos , o gamdö, a pela,o zadrez,
etc., jouer au billard, au piquet, au trictrac,
Ala paume, aux echecs. — 0 pdo, jouer du b4-
ton & deux bouts.
JocäR, ©. ®. jouer : se diverlir & quelque
jeu. Etre habile au jeu. (f. de mer.) Tanguer.
Jouer sur des gonds ou ressorts. Jouer : parlant
d’un canon, etc. Se jouer. — de paldoras ‚jouer
sur le mot, faire des jeux de mots. — forle ou
rijo, jouer gros jeu. — com gananeia, jouer
sur le velours. — himpo, jouer franc jeu. — «a
pares ou nunes, jouer ä pair ou non. — de
füra, se teuir A l’ecart.— com as carlas em
cima da mesa, jouer cartes sur table.
Jöcu ,s. m. jeu , diverlissement , recr&ation ;
regles, art du jeu ; jeu de hillard, de paume,
etc.; nombre de triomphes, etc. , sulisant pour
jouor ou gagner; cartes pour jouer. Jeu de
mots. Train de carrosses. — dianteiro e Ira-
zeiro do coche , train de devant et de derridre
d’un carrosse. — de forluna, de sories, de
asdres, jeu de hasard. — publico, maison pu-
blique de jeu, academie. —dos cenlos, piquel.
— do bilhar, billard. Ver o — mal parddo, voir
une chose en mauvais etat. Conhecero — ‚( fig.)
connaltre l’intention, les mauvais desseins de
quelgu’un. Fazer —, continuer la partie lors-
qu’on gagne; se mettre en garde, en termes
d’escrime. Ser feliz ao —, @ire heureux au jeu.
Ser infeliz ao— ; perder com bom—, jouer de
malheur. Dar — em sua casa ou ler casa de —,
tenir brelan chez soi.—s, pl. joux , spectacles,
fetes publiques. —s olympicos, jeux olympi-
ques. —s floreaes, jeux floraux. —s de Belona,
jeux militaires, des guerriers. —s de mdo,
tours de passe-passe, de gibeciöre. V. Peloficas.
+ Jociva, s. f. coup qu’on [ait au jeu.
*+JocräiL, s.m. beau diseur; troubadour,
poöte. Farceur, bouflon , goguenard.
+ JocaaLıpäpe, s. f. raillerie, plaisanterie,
enjouement.
* Jocnad. V. Jogrdl.
Jöcue ,s. m. (t. d’Asie) ermite, anachoredte.
Indien qui vaen pelerinage par penitence.
Joqugrin. V. Joqguelear.
JuquäTg, 3. m. mol pour rire,, plaisanterie;
; badinage. Jeu : diverlissement, amusement;
jeu de mots, jJeu d’esprit. Jouet. Fazer alguma
cousa por —, faire quelque chose par plaisan-
terie, en badinant.
Jocuetzir, v. m. railler, plaisanter ; s’escri-
mer en jouant. Badiner, folätrer, se jouer.
Joctuinno, s. m. dim. de Jogo. Petit jeu.
dot, 3. f. "joyau, bijou. (fig.) Chose digne
d’estime , d’sffection. * Present fait en signe de
zeoonnaissance. ° Astragale : espece de mou-
lure. Partie exterieure de l'’embouchure d’un
ganon. Ser una — , &ire un bijou, une beaute;
JOU
eire trös-gentil. Minke — , mon bijou, expres-,
sion caressante. —s, pl. pierreries ; bijous.
Joyaux : corbeille de nouve?!le mariee.
Josaıntıro. V. Joalheiro.
+Joısıro, s. m. bijoutier, joaillier,, mar-
chand de bijoux.
Joıgı,s.m.V.Joia. Petit bijou de peu de prir
* Joıcäno. V. Julgddo.
+Joını , s. f. esp&ece d’herbe medicinale.
3010, s. m. (6. de bot.) * ivrale annuelle, ziza-
nie: mauvaise herbe gai crolt parmi le bie.
— vivace , ivraie vivace , faux froment.
Jöuo, s. m. mesure ilineraire de la Perse,
neuf mille pas g&ometriques.
+ Jonıa , s. f. (t. de geog.) lonie : ancien payı
de l’Asie mineure.
Jönico, a, adj. Ionien: de Y’Ionie. Orden
—46 , \t. d’arch.) ordre ionique : troisieme ordre
d’architecture des ancieus, & chapiteau en vo-
lute, etc.
Joxıo, A, adj. ionien : (mode, dialecte)
d’lonie. Seite —a , secie ionique, de Thale.
+ Jönos, s. m. pl. (l. d’Asie) ceux gui entreal
en sociel® de commerce avec les Gancares,
V. ce mot.
+ Jonpiö, s. m. (l.de geog.) Jourdain : ririöre
de la Palestine-. Ir ao —, (fig. fam.) aller dla
fontaine de Jouvence.
JouceLim. V. Gergelim.
JoaNÄDA, ss. [. journee de chemin. "Temps
ermploy& & un voyage. *Chemin, route qu'on
suit. Expedition & laquelle on destine une ar-
mee ; bataille. Duree ow fin de la vie, en termes
de mysticite. Journee: acie de comedie dans le
tıeätrc espagnol. Mesure itineraire, en Tartarie,
egale & trente mille pas göometriques. Ester
ou andar de—, &ire en voyage, faire route. 4
grandes ou a largas —s,, a grandes journeer.
JonnäL, 3. m. "journee: salaire d’un journs-
lier. Trabalkar a ou de —, travailler ä la jour-
nee, ä tant par jour.
JonnaL£ıno, s. m. journalier : celui qui tra
vaille & la journee.
* Jonng, Jonnka ow | sorte d’ancienne sale
* Jonnke,s.f. sar la cotie d’armes.
+ Jonöpa, s. f. (4. de bot.) * joropa : palmier
de !’Amerique meridionale.
Joana ,s.f. braie pour enduire au dedans les
jarres et autres grands vases de terre. Scories
du fer.
Jonräö, s. m. sorte de grande herse. Trail
neau , volture sans roues. #4. V. Zorre.
Jonnän,v.a. enduire de braie les jarres,, ei.
V. Jorra. v. n. Jaillir avec impetuosite ; s’ele-
ver, bouillonner. S’arquer, faire saillie.
JöRRo, s.m.jet, gros jet d’eau. * Saillie d’an
mur, eie. Correr em — Jaillir, parlanı d’un li-
quide,
+ Jostsinno, s. m. manteau & manches &
etroit,
Jöra,s.m.et f. J: letire de l’alpbabet po®
tugais. (Ag.) lota : la moindre chose ; rien.
* Jouvan. V. Ester.
* Jouvan. V. Dormir, Jazer,
.
rn
JUD
Jörs. V. Jupiter.
jovan, edj. et 6.2 gen. jeune. Um —, un
jeuse — „ uno joune fomme.
Jovänca. V. Nevilka
JoviäL, 0dj. 2 gen. javial, gai , en)ous, plai-
sat. Qui 'appartient ä Jupiter
JoviaLıpäpe, s. f. galte, enjouement, bonne
humeur.
JovıaLissımo , A, adj. sup. de Joviel.
+ Joviauızia , 9. ®. se moniser jovial, gai,
enjoue; plaisanter. Il est quelquolois actif, ot
signifie assaisonner le diseours de bons mes,
de saillien pi wonies, eic.
Jöva, etc. V.
Joxo. V. Pr
Jösa, s. f. criniöre (du lion , ete.).
+ Jusino, a, edj. qui a une crinidre.
Junantre, dim. de
Jusid. V. Gibdd.
Junzrania,s. f. friporie : liou oh l’on vend
des poerpoinis, eic.
Junzkıno, s. m. fripler : tailleur ou mar-
chand de pourpeints, ote. v. Algibebe.
Junerzaia. V. Jubslarie,
JunLaci6, s. f.jubilstion, r&jonissance. Re-
tsaite. Veibeance scoordde A un professenr, ä
um decieur &merite dans les universites.
JusiıLipo, A, adj. emerite , Jjubil6 (doctemr,
roligieux, etc.). p.2.de
Josı.Aa, 9. @. jubiler : donner la veisranee.
Aooorder la retraite. Röjouir, rendre joyonx ou
i.
emuin, 0.0. 30 mjeuir, se divertlir. Obtenir
la vetsrance, devenir dmerile.
JusıLto ou —RuU, s. m. jubile : indulgence
pieniere et solennelle acsordee par le pape;
solennite Juive de cinquante en cinquante ans,
Iors de laquelle les debileurs ei les esclaves
devensient qeities et libees. Por. — , rarıment.
JisıLo, s. m, “jole, plaisir, eonieniement,
allögresee, jubilalien.
# Jomıdes, a, af. Joyaaxı qei a, qui donne
a be Jubetarte, ots.
+lıas, 8. f. un des sept points que Ios
mettent
Arabes ser lours letires pour rempla-
cer n68 en,
Jocvusautn?s, ado. agrsableınent, galment.
JuconpipäBE, rR f. agrement, 6;
jeie, facktie.
Jucunpisemo, & ‚adj. sup. de
Juchmo, A,adj. aersable: 8 qui platt; enjone,
er Jonisee, a, adj. judalque : qui appartient | V
ux Juifs.
Junalso , s. m. Jjudalsıme : Juive.
nre, adj. 2 gen. judalsant : qui ju-
daise. p. a. de Judaiter. —, s. m. pl.
daisants : juifs relaps.
Sopalskae, A,P.Pp. de
Jupalzän, oe. mn. jJudalser : suivre, pratiquer
les chrömenies de la loi Judalque ‚so conduire,
vivre en jeif.
Jupania. V. Coverdia,
TR Im
JUG ya
t Jupas, 8. m. Judas,traiire. Figure de Jadas
qu’on pend ou qu’on bräle en Portugal le sa-
ur saint. ftt.de ’
vpta, 8. f.(f. Jude: province
@’Asie. V. Palesiina. wg) ?
Juptnco, A, adj. de juif. Sie —a, ımpötl sur
les juils.
* Junenzca , 8. f. capitation de 30 deniers suß
los juifs toleres, en Portugal.
Jepau ou —Ro ‚3.m. Juil:: qui professe le ja-
daisme ; ne juil ; terme de mepris. Cdrade —,
visage d excommunie.
+ Jupia,, s. f. juive. V. Juden.
Junıin,o.n. V. Judaizar. (Ag.) Se moquer
de, trom
Jopıa 1,8 f. Juiverie : quartier habit& par
les juils. Action de juif. Faser —s, jouer de
mauvais lours, lourmenter, taguiner.
+ Junicativo, A, adj. qui juge om a la faculis
de juger.
+ Jupscarörıo, A, adj. judicatoire : qui sert
a Juger.
Jupscatöna, s. f. judicature : office, elat,
fonction de juge. Lieu oü !’on juge.
JenicriL, adj. 2 gen. Judiciaire : qui appar-
tientä la justice ; faitenjustice (acte,,bail, eic.).
—, genre jndiciaire : celui par loquel
on accuse ou !’on defend.
JupscikLuänte ‚ade. judiciairement : suivant
la forme judiclaire, en justice.
+ Junician, v. ». Juger, decider judicialre-
ment.
Jupscıärıo, A, adj. judiciaire, judiciel. As-
Irologia — a, astrologie Judiciaire : art de de-
viner l’avenir par les astres. Asirölogo —, celui
qui s’adonne & l’astrologie judiciaire.
JumGsüsauknTe, acv. judicieuscmen!? : ave®
jugement ; d’une maniere Judiciouse.
JuDIGI0sissIMO „ A, adj. sup.de
Jupıaes0, A, adj. judicioux : qui a le jJuge-
ment bon ; fait avoc jugement ; prudent,, sonst.
} V. J00..., 0
Juca, 5. f. V. Cabego.
JuaAna, 5. f. espace de terrain qu’on peut
labeurer en un jour, avec uno paire de beufs.
Impöt de bie que les laboureurs payent par
chaque arpent, sorte do chamıpa
+ IUaADaR, v.8. mesurer Ne bi6 de la ju-
gede. V. so mo:
Juoaptıno, A ad. sujet ä la Jugada. V. ce
mot, Champartel.
JuciL, adj. 2 gen. matrimonial, des noces.
. Conjugel. Nerv —, (tl. danat.) jugal : nerf
pres de Yauditif.
° Jucarin. V. Joguelear
600,9. m. JOUR: piöce pour attoler les boaufs;
je- | (et. dent.) pique soutenue par deux autres, et
sous laquelle en faisait pusser les valncus;
(Ag.) sujelion ; servitude ; dependance ; lien dm
meriage; chose qui gene, qui asservit,, difficile
ä supporler, etc. Sacudır o—, (Ag.) seconer
le joug, se soustraire a l'obeissance. Swjeildr-
«gau — , (td.) subir le Joug, se sonmetisc,
%
722 JUL JUN
* Jocußıno ,a.m. V.Cassiro, Valet dochayrme. | JuLcandn,A, s. celui qui juge d’une affaire.
JocoLin, ad. t gen. (1. Yankt.) jirgkiäite : | V. Juiz.
qui appartient A la gorge, ztı oda (veind =). *jorcsskı: 7. Als.
+ JucoLings, s.m. pl. (1. d’bist. nel.) juge| Joreiwäiero,s.m. Jugetyeht seitehte. Eısdl
lalres : genre &e poissons vssaut, hofobran- | (de Por, etc.).
ches. Sucht, ve jüget : renr® Ya [ustiee ; diei-
* Joröih, etc. V. Julger. der en justice o# tömne afkftre: prönoncer
Joiz, s. m. jage : qui a le dreit, l’aufotlt6 @6 | sur... ; porter fogeihent war, ols Üit...; estimer,
Jugöt ; pr&pus& pour Juger tes proc&s,, arbitre, | croire; exercer son jugement. Adjuger. Con-
ul juge; personmne capabld de Juger une | damner. '
Chose. Juge du carıp dans les combats & la] Jewein, o. ®. Juger : dire som wehllmen;
bartiöre, etc. Magistrat. President de eonfre- | imeginer, tonjecturer ; &ire @ qee...:
rie.— do eiosl, juge eirit. — do crime, Jagb | se Agurer, cröire, s’Inraginer, me
eriminel. — lefgd vu ordinario, adjoint, ma- | dem d’alguem, avoir böane opinion y quel-
yistrat qui rempiace fe Jiiz fora. -- de | qu’un. —a troche-moche,, säbrer une ıfiire. —
före, arocat envoys par le roi pour &tre juge | sem appellardo nem aggravo, ou ein ultime
eiril et crimiinel dabs un bourg, dans une ville. | instancie, en derälet Fessort. -ı os mais
— de pas, juge de daix. — supremo, juge sou- | por ei, les autres d son aalle.
verain , qal juge en dernier ressort.—do povo, | JöLHo, s. m. Juillet : septierhe möls de fın-
Magistrat municipal $ia tous les ms par les | nee commune.
corps des metiers (& Lisbonne), — #ofiete,] FJcuräno;x, adj: yalleh - (cal@ndıtet, aunte,
Yrud’hemme. — das avariat, (t. decomm.) dis- | p&riode — ne) rögle d’apres !a reformatien di
Bacheur. Juizes arbitros ow lowoados, ( id.) arn- | valendffer par Jules Obsar, In do zrant I.C.
‚ compromissiönnaires. Ser — em cansa | JüLıo,s. in. Jule ou }ifles : nrönnaie de Reme,
propria,, &iro Juge et partie.. 25 ou 30 centimes.
Jorin,v.a.etn. faire les fonttions de jage, | Jumenra, vw. f. messe,
, Jonenrinnı,, v. 7. dim. de JURDRn.
EB, 6. #6. pl. Jagen : vepfiänwe Ivre Iristo- | Jumerind, a se. Alm. de Autteliin. Aion:
rique de la Bible. un.
Wird, 8. m. Jogement : favalid qu’a Famede| Junca,s. f. V. Jungs ou nee:
Juger; aote de cette facullö; uvis, sentiment, | "äunca, w. f. (9. vie dol.y * Boschät: Wienie
; pradenoe, bon sens; deeision pro- | mettcsgense. V. Afbafor. -ı chaftuis, Woche
noncte an justice ; audience d’un jJuger sen- | long odorant. — nufrilive, souchet sultan #8
Wehce qui Prononee une peine. (an1.) * Prodic- | suore, souttrel und Ee Proteide: -+ Ga ‚Abie.
von des astrulogues. Esprit. — perticwar, ju- | V. Albafor .
gement particalier que subit Y’&ıne au moment | Jomgäva,s. f- jeholite tjoR®, TOtIRe,, Bars
de la mort. — temerer®o, Jugernent Iemmöreire. | repuadwes var wh cheinmn.
— anitversal, Jogement universel ow depuier. | Jonchpe, A, 9.7.06 Asaiıh
Tor o — ddaro, avoir T'esptit net. Hsläar em sea | Jumcht, 6. m. * Jenchale : New kangpäl dujoum.
—, ou mil ein son —, Pro dans son ben sons. | dungk® ou, 2. f. jenrötign ruetiun de
Biker [ra die 100 -— ‚areir perda l'enpeit, ugir | Joindwe; aisien, Auniıblaie: Tioana elfesofhit
Gontre fa ratsem. Purder o —, perire Yesprit, | Juncin, ©. ae. joncher + einsehen, wem
perdro la täte;; dire rari, transperte d’edimira- | (de Jane; Ay. 00 urn, deiinuss, ia
tion. Der volte ao —, aliener, reräte We. De-| Jünco, s.m. (I. de ort DIEnE urgaali-
mander em —, meller & -—, demianider ab Jus- | que. — chen: U, , . sn Achie,
ce. Außer, estar em -ı vom algte. U, Li- | jehhc eurmienie ja "Wungus ; katinstindinnon
tiger. Appareter, Tompaerecer vın =», Usttpa- | oislzraie, zu din Gelee, 10. ME ha yietel de
yeltre oh juitice, devamı te jkge. DAR =, | pompe, beuse ou heuze.
denner son arie. do eu —, A son arid, Ami | JuRtinei, a, hl Yiyke do jckiun. Butreisen-
yeritos, aa dire des expefts. Yör o wepocke a | Din ma jene.
Jwizo de ferro, döcider un differuird par eu we- | Jumcrürä, s. f. jointure , union.
mes, part wh del, yar une bataülle. Por altos] Juncino, a.,9h Ade '
ou justos —s de Deos, par un feste Jagen | Jutuin, %.-&. aiteler (dus Keaunfa „uin.); s-
serabler, joindre, unir, lier.
de .
Kur, f. V. Ede. = Wilke, giiefle ou] Bm, sw. jein : biuiösifemnais Be Fanhie
Jalls : poisson a commune.
* Juuaußnto.V, h Jowietue, V, Giedbre. .
Jorärt, 2. We. (B. 05 phärm.) Hilep ı yoßon Hüöme,s. f.(& de agih.) Jemen Snkmmnde
ellicinnit. ümpiter. B .
JorainO, s.M. Boirg Atpendant Se tessert f " Jumgusiaa. V. Juncal,
Gwne vie su d’une ville. Chess jugde. | JunauiLno, s. m. (1: üe604.) jengquilis.: Baur,
Tribunal od se rend ia Justice. " Judisatare: | mausizse jaunte; son wiguen,, sa plante.
emploi, charge de juge. Jensa, s. f. junis, conseil, ausemblle, 00-
JuLaAop,A,P. pP. de Juiger, mits, commission. * Assomblage, auunp, volle®-
JUR
ion. " Jeint, jJointure, arlieulalien, ombaolle-
ment. Consultalion de mödecins. * Tribunal.
Direclion generale. Paire, atielage de bmeufs.
— ou congressa de credores, (1. de comm.) as-
seinblee de cr&anciers.
° JUNTÄDANENTE, adv. 7. Junlamenies.
JUNTÄDO, A, 2. .P- de Junldr.
JUNTAMENTE, adv. conjointement, ensemble.
Juntär. V. Aunlär.
Junteıaa, s. f. " rabot do menussier.
Juntinno, a,adj. dim. de
Juxto, A,p. p.irr. de Junlar. adj. Joint,
reuni; assemb)ä; conligu, atlenant A ; ensem-
ble, de compaguie. Cairdo—s, ils Lonıberenten-
sembie. Todos —s, [l. de mar.) Lous d’un lemp*
Junto, ede. et prep. aupres, tout proche,
tout contre. Conjointoment, Y. Junlamente.
— a, attenaut &, pr&s de, joignant, sur, pres,
tout contre. Estar — a, tenir &. A minha casa
estd —d sua, ma maison lient & la sienne. Por
— ade. en gtos, en bloc.
unröuna ,s. f. pierre d’allente.
Juntüaa. V. Junclüra.
Juriten, s. m. Japiter : Pune des sept princl-
pales plandies; (f. de myth.) le plus puissant
des dieux. — lonante, Jupiter tonnant.
* Jon. V. Jus, Direilo, Jurisdicräo.
Jüna,s. f. (anl.)* serment, jurement. "Ju
son : facon particuliere ou populaire de jurer.
Juripo,A,p.p. de Jurar. adj. Jur&, declare
sur serment. /nimigo —, ennemi jur6, Irre-
eonciliabie.
Junäino ‚s. m. sorle de bas officier munick-
pal, en Portugal. Jure. Expert.
JurapoR, A, 8. jureur : qui Jure beaucoup,
par habitude.
Junauentir, etc. V. Ajuramenlar.
JusankNTo ,s. m. serment, jurement, pro-
testatlion avec serment; reniement, blaspheme,
imprecation. — asserlorio, serment par lequel
on afrme. — cominalörio , serment commina-
toire, par lequel on menace. — de calumnia,
(#. de prat.) serment par lequel on atieste la
verits# d’une accusation. — judicial, serment
en Justice. — promissorio, serment par lequel
‚on promet. — exirajudicial, serment exiraju-
diciaire, qui n’est pas fait en Justice. — sup-
pletorio,, (1. de rk) serment deför6 au delaut
Ge preureb de droit.
“+ Junamı pour Juno A mım, joe jure Bous
wmü perofe d’fonneaf.
Juräd. V. Jurador.
Junän,®.a. ein. jater : Afitmer par ser-
ment. Jurer obeissance, pr@ter serment de fi-
arts. —-, promeltre,, profester, s'engager for-
tement. — Perante o fwis, lever la main: pr&-
ter serment.— f# e lealiinde, preter serment
de Adelite. —em sua alma, Jurer dans son
E56 ot constienoe. — falso, Jurer faux, faire
un faux serment,
Jonnıgä6. V. Jurisdiepäe.
Jcaweonsurro. V. Jurissonswllo.
“juacın. V. Altercar, Peiejer.
+ Jöni, 0. m, (1. de prat.) Jury : oommissiom
en
Jus “aA
composee de Jures, charges de declarer Ia cu!
pabilits ou non-eulpabilile W’un accuse,
JunidicaMExTR, ade. juridiguement : d’upg
maniere Juridique.
JURIDICO,, A, adj. juridique: qui estde droit,
selon le Jroit, la loi.
t Junipena,s. f. (4. de bo.) plante du Bre-
sil, espece de solanumm.
JURISCONSÜLTO, $. 9. jurisconsulte : qui keit
profession du droit, ei de denner conseil aus lo
droit. Jurisie. Avyocat.
Jcajsoicgäd, s. f. Juridietion : pouvoir, droit
do jJuger;; ressort d’un tribunal de juslice, Au-
torite, puissanoe. — delegada ‚juridicuon exer-
cee par commission. — erdineria, juridistion
ordinaife.
+ JunisoiccionaL, adj. 2 gen, jJuridietionnel :
qui a juridiction. Justicier : qui appartieuk &
une juridietion „ quia droit de juslice.
’ JuRISPERITO, 8. m. jJurisconsulte, savant en
roit.
JurIsPrRUDEnCIA ‚8. f. Jurisprudenoe ı science
du droit; maniere d’ihterpräter, d’appliquer
les lois; corps , esprit des lois d’un pays.
JUrista,s. m. juriste : qui sait le droit, qui
ecrit sur le droit. Dooteur en droit. Eiudianten
droit. Celui qui prete l’argent äinterät, usuraige.
Jüro , s. m. droit perp&iuel de propriete. In-
Leret de l’argent. Kquite, justice. De —, & bon
droit, de juste titre, selon l’equits. De — e ker-
dade, par droit de naissance. Podrdö de —,
pension annuclie sur les revenus du roi. — ie-
gilimo ou da lei, interet simple, iuleret legi-
lime. — de —, — composto,, inler&t compase,
interets des interetis , arriere-chänge.
Jurupica,s.m. (I. d’Asie). V. Interpreie,
+ Jurucui no Brazir, s. f. (l. d’hist. nat.)
tortuc franche.
JonupÄnno 0% —O, 3. m. sorte de narire _
d’Asie. u:
Jos, s. m. droit qui decoule de la loi &crite _
ou naturelle. Fazer — a alguma cousa, acqub-
rir droit sur quelque chose. V. Direito.
* Jusia. V. Bdiza.
*Jusino, A, adj. införieur, qui est plus bas.
V. Debaixo.
* Jusinte,s. f. V. Vasante, Baixa-mar.
*Jöso,s.m. V. Baixo.
*Jussi0,X,adf. V. Susdno.
Jösta, s. f. Jonte: combat & cireval A’bommne
& hormme aveo des lances. “Divertisscituufl oü
P’on imite les anciennes joates.
Jesravon, 8. m. jowteur : celwi qui foute.
JustamEntgE, adv. justement: avec Jastiee;
precistment, todı jußte, avet jhastesse: dans la
juste proportion ; ni plus ni moins qu’f me fat;
a point nomıne.
Justarosıcäd. V. Juxrtaposigdo.
Justin, v. n. Jouter: faire des joates, eoygı-
battre dans une foute.
Jusrtza, s. f. jastesse : preeision exacie. V.
Exaccdo.
Jnsrica, 8. f. Justice: verta merate qui fait
que Fon rend & chacan ce qui Iul spparilent,
724 KAL
qui fait respecter le droit d’autrui; reotitade
ue Dieu met dans P’Ame; observation des lois
vines et humaines; &dquits pratiqgue; vortu
qui maintient le droit des hommes; bon droit;
rectitude interieure ; dtat de gräce; intögrits de
mours; ordre judiciaire; les juges; officiers,
ts qui rendent la justice. Peine, puni-
tion, ebätiment public. — de Deos ! juste Dieu!
De —, justement, & bon droit. Pedir —, de-
mander justioe. Fazer —, rendre, faire Justios;
feire droit. Em —, a bon droit. Exeoutor d’alis
—, bourreau , exdeulseur des hautes wurres.
— ubelterna, basse justice.
Jusricino, A, p. p. de Justigar.
+ Josrıganor, 5. m. oolui qui rend Justice.
Justigin, v9. @. justicier : punir judicisire-
ment d’une peine corporelie; faire souffrir le
dernier supplice.
Justickıao, A, adj. justicier : qui aime & ren-
dre ou A faire rendre justioe. Rigide, sövöre,
inexorable, integre.
Jusricöso, a, adj. justieier.
Jusriricacäö, s. f. justification : action, pro-
e+de par lequel on justiße; de&charge d'une ac-
ousation, disculpation ; production de titres,
de (#moins en preuve d’un fait; action et eflet
de la gräce dans les justes ; rötablissement d’un
pecheur dans la gräce.
+ Justiricipautnte, adv. justement: avco
“quite et droiture. .
Justiricapissımo, A, adj. sup. d
Justirickno, A,p. p. de Justificar.
Justıricapön, A, 8. celui qui justiße. adj.
Justißant: qui Justifle.
JUSTIFICÄNTE , adj. 2 gen. Justiflant : qui Jus-
üße; qui rend juste (foi, gräce —). p. a. de
Justiricia, 0. @. Justifler : montrer, prouver,
deolarer l’innoosncoe ; prouver par acies, etc.;
.
ß . ’
. .
K,s. m. onzlöme letire de l’alphabet portu-
geis, et lä huilidme des consonnes, peu usilde
en portugais, oü elle est presque toujours rem-
placde par le c ou le g, autrefois lelıre num6-
rale : elle signißlalt 250, et avec un trait au-
dessus 250,000.
+Kiı ow Kuna, s. m. (fd. de bol.) kaa ou
kaha : curcuma de Ceylan.
+ Kacv’,s. m. (4.de bot.) kacy : arbre d’Alri-
que & canot.
+Kasö,s.m. (1. d’hist. nat.) kajou : singe ä
barbe grise de l’Amerique meridionale.
+ Kuxönco, s. m. (l.d’hist. nal.) kakongo:
salmone d’Afrique.
Kırznpas, etc. V. Colendas, eic.
rKıri,s.m. kali: nom arabe de la plante
dont on lire la soude. V. Alkali.
KIL
rendre justo ; (Ag.) denner 1a Justice Iall-
eure.
Jusrırrcin-sE (de), v. r. se justißler : prouret
son innocence ; se disculper d’une actusatise.
Jusriricarivo,, A, adj. justilicatif : qui sertä
justißler, & prouver.
+ JustirıciveL, adj. 3 gen. justißable : qei
peut ötre justiß6.
JosriLno, s. m. corset de femme.
Jusrissıno, A, adj. sup. de
Jösto, a, adj. juste : &qultable, oauforme au
droit, ä la raison, & la Justice; qui Juge, pi
selon P&quits ; Adele observateur des lois, de la
religion; qui a la Justesse , la propertion ewe-
venables;; trop etrolt, serre (babit, ete.). Exact.
Ser —, &tre jaste, conforme ä& la raisen. ä
justa, adv. au juste, justement, pröcisement.
Jösto, s. m. juste: innooent, sans pect;
homme vertusux. Paga o — pelo peccader, is
innocents payent pour les coupables.
+ Jöra, s. f. (t. d’hist. nat.) "xulus: espica
d’oie des Indes oceidentales.
+ JorLinpsa, s. f. (4.de gdog.) " Jelland : pays
de Danemark.
Juvsuir. V. Juvemil.
* Juvenco, A,38. V. Novilke.
JuveniL, adj. 2 gen. jarenile : jeune, dee
nesse, de la jeunesse.
JuvenıLıpäne,s.f.lajeunesse, joune ige. Jps
gar o fogo da — amortir l’ardeur du jeune dgl.
JoveniLuente, ade. en Jeune komme.
+ Juvenörs, 3. m. petit joune komme.
Juyentöns ‚s. f. jeunesse : Age entre Penfante
ow l’adolescence et l’äge viril; jeune äge; oil
qui sont jeunes, jeunes gens. V.
v Juxta-posıglö, s. f. (l. da phys.) jariape®
tion : augmentation des torps par add
extsrieure de parlies. Sitdatien oontigue.
K.
[ 2)
+Kiıu, s. f- (1. de bot.) kalmla: Bat
rhodoracse. “ ‘
KınowKid,s. m. kan: prinoe, auzumandat
tare.
% Kanpku, 5. m. (4. de bot.) kanden: arırt
&pineux du Malabar.
+ Kaouim, s. m. kaolim : terra ohlosissei
porcelaine; feld-spath argiliferme.
tKazıita. V, Talmudisse.
Keruns, s. m. (£. d’hist. nat.) kormös: ir
secte hemiptere qui sert A 1eindre em dit
moisi.
KıLo, s. m. (l. grec en comp.) klo: nem pl
nerique qui signiße mille fois la chese.
KıLöcaamo, 5. m. kilogramme: mesere &
pesanteur egele & wmille grammes,, ot qui eyE-
vaut ä pcu pres a deux livres siz gros,
my DW UT run
LA
Kıröırrao, 8. m. kliolitre: mesure dgale &
mille litres.
Kılöugrao, s. m. kilomötre : mesure Itind-
raire #gale & mille mötres.
Kina. V. Quins.
+Kio, s.m. Kio : livre sacr6 da Japen.
Kıösco, s. m. kiosque : pavillon des jardins
tures.
Krasz, s. m. litanie, kiris Sieison. —s, pl.
LAB 725
kyrielle, litanies: Jongue suite de cheses en-
nuyeuses ou fAcheuses.
Krstzorouia, s. f. (f. de chir.) kystsotomie :
Ponction ä la vessie, aa perinde, pour tirer l’u-
e.
Kr'srico, a, adj. kystiquo : qui appartient
au kyste ; qui peut le guerir.
Krsto,s.m. (}.d’anat.) kyste : membrane
en vessie qui renferme des humeurs , des ma-
tiöres contre nature,
L
L, s. ın. douziöme letire de Yalphabet porte-
gais, et la neuvidme des consonnes. Jointe &
une A, elle prend une prononciation semblable
ä celle des deuzs Ü} mouill6es des Frangais, G’6-
tait une lettre numsrale qui signiflait 50, et
avec un pelit trait dessus , 50,008.
La, art. f. la.(p. us.) Jr d la mar, prendre la
mer. Pronomrelat. V#4-ia aki, la voilä. Vi-ia-
ha,vous la verrez. T4-ia, !’avoir. V. A, pro.
Li, s. m. la: la sixiäöme note de la gamme
naturelle en uf.
Li, ade. la, en oe lieu, en cet endreit, ok
vous &tes; en cet endroit-lä; y; en. 11 se dit
d’un lieu qu’on designe determinement. De,
de lä. Por —, par ld. Correr para cd e para
Id, courir cA et lä. Jde —, alleı-y. — chegears-
mos ‚,nousy arriverons. Vonko de — , j'en viens.
L4 marque quelqueleis un temps eloigne: Il
tquivaut alors ä autrelvis, ou & des. Ex. : Ld
nos meus lempos, na minhe mocidade, dans
men jeune temps, autrefois. Ld do principio
do mundo, dös le temps du oommencement da
monde. Lid arribs ou em cima, lähaut. Ld-
beizo ‚ lä-bas. Ld nessa lerra,, dans oe pays-lä.
Queiquelois il n’est qu’expietil. Ex. : Ja — uni,
il est parti, il s’est em alle. L& se foi Iudo, towt
est perdu. Jä— vi 0 lempo , loteımps est passt.
L& vioem, Id so esoondem nas suas grutas, ils
vivent, ils se cachent dans leurs groites. Ld
vaio negocio, Vallaire est perdue. Ld vames
ade, c’est fait de nous, nous sommes perdus.
L& tsavenkas , ires-vous d’allaire comme vous
pourrez. Lä so auunkäo, Id so hajdo, je m’en
lave les mains. L4 vai com Deos, a-Dieu-va.
LiouLiı,s. f. laine : poll fris& des mou-
tons, etc. Fasonds de —, lainage, marchan-
dise de laine. — de oamello,, poil de chameau,
laine de chevron. — em rame , leine non Bleu.
Algodäo em —, ootennon file. Ir por — e sair
tooqwiado ou ir huscar —e vir. losquiede,
on ie dit de oelui qui, en cherchant & s’en-
richir, perd oe qu’il possdde. Ter poucs —,
"pfttre pas riche, avoir peu de bien. Andar, es-
tär ds lans ou läs com alguem, combattre, so
dthattre , Öire aux prisep avec quefqu’un.
Lanica, 8. f. (1. de bot.) palienes ou parelie,
lapatham : plante vivace de plusieurs
—menör, patlence sauvage ordinaire. — meior
os Jarga, patience aqualique,, parelle des ma-
rais, — romans, osellle ronde ou franche. —
rosa, palience rouge, ou sanguine, sang de
dragon.
+LasaciL, s. m. " patienoe ou parelle cul-
tivee. is. Lieu plante de paliences, oh ily en
a beaucoup.
Lazinna. V. Alabärda.
Lapantpa, s. f. famme : partie subtile et Iu-
mineuse du fou ; [unıde embraste.
Lisano, s. m. labarum : dtendard de Cons-
tantin,, avec je monogramme de J.-C.
Linz, s. f. V. Nödon, Labto.
Lasesacrino ,a ‚adj. viele, raine, corrompe,
Lan£o, s. m. "lache, Rötrissure,, deshonneur,
atteinte ä la reputation.
Lusioziuno,, a. m. dim. de Labto. Petite 1a-
che, lögöroatteinte A la r&putalion.
Las£aca, s. f. pivote-ertolane, olseau.
Laszrintuo, s. m. labyrinthe : lieu coupe de
beausoup de detours, et dont l’issue est dii-
eile; (Ag.) grand embarres ; complication d’sf-
faires embrouillöes. (4. d’anas.) —, cariie de
Yoreille.
Lisıa, 8. f. (fam.) gräce dans le discours;
$ioquenoe deuce, persuasive, bien dire. "True,
I, eaquet. Ter mudils —, parlor beaucoup
et adroitement; avoir de belles paroles pour
s6duire , pour tromper.
+ Lantipas, s. f. pl. (1. de bot.) labises : fa-
zaille des plantes & fleurs bilabises.
+Luasıino, A, adj. (£. de bot.) labi6 : Aflenrs
döooupees em Iörres, comme Vortie, eic.
(plante —e).
LastäL, adj. 2 gen. lsbial: qui 20 prononce
des lövres (lottze —e); qui y a.rappert.
Lisio;s. m. ı6vre : partie extörieure de la
bouche qui coouvre los denis; co qui en a la
fofme; bords d’une plale; deooupure d’une
Seur. —s, pl. bouche. V. Beigo.
Lasön, s. m. labeur. V. Trabiölko,
Lanonacäö, s. f. exploitation (de mine),
728 LAG
Laoaciö,s. m. (1. de bot.) smilaz ou smilace
ORRBEENE : plante qui rossermble au kerre ; lise- | Löre
ron rude ou lisel dpinsux.
Lacamir, s. m. hassin : sort de port; eM-
d’un port ed los vaisseauz Jettent l’ancre.
gune, mare d’ecau salee.
rer s. m. espece de galdre asistique.
Lıcäin, 5. 9. pseseeir poar lo ralsin ou pour
los olives. Fara de —, asbre d’un presseis. —
dessile ‚ meniin & hulle.
* + Lacanapica, s. f. ancien impöt sur le vin
os les elives que l’on motait au
„8. mi. vendangenr, qui koulo .
et Gilde win, feuleur. Celwi qui (a
Vhuile d’olive,
4,8. f. petit presseir od !’om foule le | Ihe,
>
raisin, foulerie, fouloir.
einra, e. f. ohenilie : Inseete rampant,
ong , pariagh em douse anneauz, qui n'’s que
en f\ seise palles ; larve des lepidepisres. —
des vinhas, ver ooquin , ebenille de vigne.
Lacaattiao, A, ad. (1. duri.) V. Doldes,
Manhöso.
Licartinzo, die. de Lagerio.
Lacanrixa, 8. f. petit lözard gris, ltzard de
MUR.
Lacäirto,s. m. (1. d’hist. nal.) ltsard : gua-
‚drupede ovipase,, roptile saurien. (Ag.) Homme
fin, rusd. — do brege, (it. am!.) gros muscies
du bsas. — des Jadias. V. Coimdö, Jacars.
Diser cobras oe —s d’alguem, (fam.) dire ia
rage ei la poste de queiqu’un.
Lics ou —c£A, 8. f. dalle, carronn de pieree, | &
Lıczioo,4, 9. P. de
LACEADOR, .m. celai qui dalle.
LAcgAu£nto,s. m. ” aclion de garnir de dal-
les, de paver avec des dalles. V.
Lacein, u. 6. daller : garnic de dalles ; pa-
ver avec des dalles.
Lackno, s. m. pav6 [alt em dalles; grande | dtelfe
quantit£ de dalles.
Lackua, 5. f. bouteille, carafe (des ameiens),
Licıma, s. f. (t.d’Asie) droit de sortie.
Lico, s. m. lac : grand amas d’caux desman-
tes. (Ag.) Grande quantitd de ligeide. — de
ledes , losse aux lions,
Lacda,s.f."lac, lagune, dlang, mare.
Lacöia 0w —ürA, a f. " sergent. E ine os-
mo —— ,‚(fg.) il est russ comme le renard.
Lacorntanuia,s. f. (t. de mid.) lagophihal-
mie : maladie des paupiöres relirees qui laisse
rail ouvert.
+ Lacöuıo, s. m. (1. d’hist. nat.) lagemiz ou
La6öpR ou —P0 ‚5. 0. (4. de bei.) V. Pd-de-
lodre
rat-lievre, pika.
+Läcos, s. m. (1. de ging.) Lagen : ville et
port de mer des Algarves , en Portugal.
Lacdata, 8. f. (1. dhist,)* hemard : grosse
serevisse de mer ; langousie.
Lacostim, s. m. de Lagosie, Sorte de petile
"Tnconinno sm. din. de Ldp
AG mon. m. de
Lions. V. Jögre, j
Licnua, 8. r. arme : geutie d’esu qui met
del’ail; son Image; geoutte d'un Ugeide, d'une
viennent aux youK
de douleur, ete. — ade erveudile, larımos de cre-
cedile,, versdes par I = da wurore,
(podt.) larmes de l’aurere, gemties de rose.
—s de N. Sur. ou de deb, (1. de bei.) larmeı de
Job, plante arondinaote. On mange & le Chins
sa graine. Fogudtes de —s , fastes ik dtelles. —
de video, larınes batavigues,. “rei
LaoaımäL, 0. m. ou f. angie »
Sstule lacrymale. vrund
Lacnsuis, adj. 2 gen. iaerymal : qui appet-
tient aux vaisseaux d’oä coulent los Idrmes;
gu vient au ooln de l’wil avec dooulsemeni
"huments (Sstule —@).
Lacniugsin,, u. o. larmoyor : laisser dconler
queigues larınes.(Ag.) Digeutier, sonler ut
Lacaıminna, 6. f. dim. de Legrime.
La „A, larsmoyant : qui vorse des
larmes. On je dit des youz qui larmeisni canli-
nuellesment. Triste,, afligeant, qui arrsche des
larımes. En larımes, on pleurs.
Fra f. f maihe, ‚ nelare , genre, ospice,
“-, bas de laine cbinte,
Bums Fra Yeah um homem de bee
— ‚c'est une bonne päle d’homme.
Lusch,, adj. 2 gon. lalque, lai : qui apper-
tient & un lel.
* Lamamtnto. V, Alojde.
*Lapin,V. Aletjar.
*Laı2o. V. Deforme, Polo.
* Lisa. V. Loire.
Lin, s. m.( ti. de mer.) * pointe, bout de
vergue. Ume —, f. (fg.) oourtisane resoa-
m
Liıvos,, s. m. pl. taches lögeres. (Ag.) Lögtre
teintureow connalissanoe,
Lım.V, La.
Lina, s. f. "limon, boue, fange, var,
bourbe. Lema: nom des pröises tartares. Ti
rer:se da —, e meller-se no atwleire, (am.)
changer son cheval borgne pour un avengie;
tomber de fiövre en chaud mal.
ken plein 4
LauaciL, s. m. bomebier :
fange ; gächis,
Lauacgäö,. V, Lemsgal ou Zamards.
Lauacknto, a, adj. boueux, bourbegu.
Lasanäß, &. 0, grand beurbier. Grand a6-
Pass couvert de vase dans les parts de mer.
Lausina, 2. f. (1. P0p.) eoup, tsloche, 56. V.
Fartadella,
Lausio, önı, 5. et adj. (4. dur.) grand
an aan a ber) und
vumand. os
Rapperisur, ha , oommöre.
..m.(t. Ge mar.) Urscde sandelete, croo qui
sort A aoczocher les paltes de l’ancre.
Launiz, 0. m. (tl. de mar.)fanbert,vadrenille:
balsi pour neiteyer un navire. it. V. Lambäo.
Lauspscisuo, s. m. Jambdacisme : pronen-
eiation vicieuse de la lettre }, qui oonsiste &
la suhstituer A Ur, v. 9. Singulal pour singular
(singulier ).
Lanspöise, adj. 3 gen. (1. danat.) lamb-
delde : suture du cräne.
Lauszin, ®.@. (4. buri.) manger avec avidi-
16, goinfrer.
Lauenen, 3. m. oelui qui löche. is. Sirep;
Launznöna ‚8. f. aetion de löcher.
LausiL, s. m. drap ray6 dont on couvre des
Pe bias.) Lambel ; sorte de brisure
k
LAMBE-LN’-Os-DED0s, s. f. mouillebouche :
de poire träs-juteuse.
EPRÄTOS, 5. m. gourmend, glouten. Un
Prangais pourrait dire : löche-plais. Sobriquet
que l’on donnalt a celui qui servait & table.
Laun£a, v. o. \öcher : passer la langue sur
queique chose. (Ag.) Toucher legerement, dow-
sement, ofleurer, laver, haigner, couler au
song, arteser les berds. V. Delamber. (id.)
Corriger, mer, polir
Lausscia, V. .
lambique.
Laussche , u. a. (4. buri.) pignocher : man-
t et par pelits moroeaux.
Lausisco, 5. m. petit morceau, bouchte,
löche. Em um —,, en un instantl.
LANBISQORIRO, A, adj. (4. burl.) V. Lambs-
veiro.
Liusaz. V. Alambre.
ft Lamsnsatins, s. m. pl. (l. de bias.) lam-
breguins : orzements qui pendent du casque
auleur de l’&ou.
Launnösca, V. Labruses,
Lausucina, 8. f. (& burl.) chose avec la-
quelle on barbouille. «4. V. Fartadella.,
LANsücen,s. f. petils restes d’un plat, Frian-
et briben. Amorce,, appäl. Tres-petit gain | de
. Fenavasıno, A, adj. gourmand, goula, | vite
friand.
Launusin. V. Golosiner.
. Alamlda,
Lautoa. V
*Lımtco. V. Arddo,
jlautso. s. m. (1. de gdog.) Lamtgo : ville
tpiscopaie de Portugal, dans ia previnoe de
Beise,
.
LAM pe)
Lauzovtıne, 5. m. arlıre infrustusuz, com
mun en la provinoe de Beira en Portugal.
Lastina, 3. f. espöte de plante en Portugal.
Lauzıniö, 8. 0. aug. de
Lautıno, s. m. bourbior, mare, dtang. Dans
la province de Tras-os-Montes, slgoide terraiiz
marötageux , marötage; pf&, pra
Lawentaciß, a. f. lamentakon; eine avos
sömissements ; }
Lauzuti90, A, 9.9. de Lementer.
LANERTADOR ‚A, 5. oolei qui lamente ou qui
se lamente,.
Lauzutin, v. a. lamenter, plaindse ; döple-
rer ; rogretler avec plaintes et larınes. (de) v. m. -
et—00, v. r. so lamenier, se plaindee, gömir
Lauzurivsr, adj. 2 gew. lamentable : pre
vable, douleureuz,, qui exeite la piti6, iss
M208.
Laszntivauuture , ade. lamentablement
d’un ten Iamentahle.
Lauturo, s. m. "lamentatien,
Laususöso, A, adj. lamentabie , lugubre.
Lauia, 2.5. (1. dent.) Lamie: Jemen imagi-
naire qui, suivant les anciens, premait la ferne
d’une belle femme ; monstre fabuleux.
Läuma, 8 f. iame : table de mail fort
minoe. Eetampe, image de saint en tallle-
douoe,
Lanınio, A, » p. de
in,v.a. laminer : ı denner A una lame
Läurapa, s. f. lampe. V. A
Laurapinı0, 5. m. lampadaire : insiramant
pour soutenir les lampes. Candelabre.
Lauranistas ‚se. m. pl. (1. d’ent.) lampadis-
108 : coux qui s’ezergaientä la course des Sam-
benux en Gröoe.
LiurZo.V. Lampo.
Liuras, s. f. pl. frait nouvesu eueilli ia
nuit de la Salnt-Jean. (Ag.) Avantage. Lover
as — a alguem , surpasser, l’oraperter sur queb
un.
Liurase ou Lamrisso, s. m. bouillon blanc,
nte. V. Lips.
Lıursid, s. m. lampion ‚röverböre. V. Lam
+ LanrensJÄn ‚©. ». apparalire ot disparal-
tre comme un dolair.
Laur£ino, A, adj. (f. Pop.) qui s’em
dissimule,, bardi.
Lampasin, u. n. stinceler,
Laurinwo, a, adj. imberbe : qui n’a point de
barbe, parlant Fun bomme fait. Qui n’a point
Liur, s.m.(po6t.) dolair, lumidre qui passe
LAuro, a „adj. pröcoce, bätif. Figos — , os-
pöce de figues qui viennent les premieres.
Lauratıa, s. f. lamprole : sorie d’anguille
de mer.
Laurrsıipo, 4,9. 9
+Lamranıin, ®. A pr "jo de quilles, c'est
IERTEFEOF une quille sans Laupher aux auizes,
7 LAN‘
Isurstannkena, so. f. "lampeoyon ı petiis
lamproie.
Laurainı ,s. f. (4, de bot.) lempsane : herbe
aux mamelles, chicorde de Santhe.
kastüya. V. Gorypkens dowrada.
kaummia, s. f. Gemplaätinie d’avsugle.
Lın. V.L8.
ybim, a f. (mot istin.) V. Lö, Il wost usitä
que dans cetie phrase. Omassdes de — spring,
questions, diepwtes sar an goi) de chövre, Aust
“dien sur des chosgs de nulia valsar, Sar une
vetille.
Lanisı, a, f. "öcauvilten : baosse en 16le de
ioup, hamıpse, destinde A neitoyer Fintietear
des heushes & fou,
+Lanissa, s. f. herbe savanniöre, horbe au
fonten,
Linca, s. f. lance : arme d’hast & long man-
che et fer polnte, oc quien ala farıne. * Timeon
de carrosse. —, ancien gendarme arme d’une
lance ; sorte de m6t6ors ign6. — emriste, lanoe
en art. oompride, e. d!ponta da—,
dä ceutsau tird; A Leute outranse. Bou ou Minds
—., komme adreit a manior la larıce, A melher
—,(Ag.); le moyen, la ralson, l'argument To
ples fort. -— i4s4 em punke, lance au polng,
lansu on ampät, Moilöp uma — cn Afries, (Ay)
executer ou acquerir une chose & foroe de peine
et.de ne On le dit souvom par ironie. — do
coole , Büche den earrosse. Qucbrar —s, TOM-
pre des lances. Correr —s, combattre aveo la
lanco dans un tournot on earrousel. Mediir —s
. com algusm, (ig.) se mesurer aveo un aufre,
ul dispuior des avanıages. Dar alguem —:
conira si, (Agy.) donner des verges pour sefalse
fonetter. —+ d’ayua , plute battamie.
LangieA, 8. f. !ceup de lance. A Monroe
morio grande —, (prov.) un Frangais pourva
dire : & un ennemi tud ‚grand ooup d’öp6e.
Lungautına, 3. fi ravelte ı insteument de
Usssseand.
Kauganice. V. Bodre, False.
Lanc4Do, p. p. de Lanzar.
Lawgapon, #. m. oelul quiiemce, qui Jette,
eto. Encherisseur.
Bbanga-Lur, s. m. vor kulsant.
LANGAMENTO, 5, m. jet: action de lancer, de
jeter, te. ° Enchtre, Nieitstion. Btablissement
d’un impöt. * Longueur d’une cöte, des terres A]
cöl# de ia mer. Bourgeoen, rejeton des arbres,
eio. Cavallo de —, &talon. V. Geranhäo. — da
roda de pröa, (1. de mar.) &lancement de l’e-
'r
we.
Langinte, adj. 2 gen. qutiance. p. a. de
Langin (a, contra, em,sobre), v. a. lancer:
darder, jeier areo force. Atpandre; verser.
Poser. Exhaler. Pousser (des boutons, eto.).
(de) Chasser, renvoyer. (em) Enchertr, Ecrire
(sur un livre, ete.). Imputer, gttribuer. Inhn-
mer, enierrer. Imposer un teibut, charger
d’une rente. Accoupler des animaux pour !q
generation, Löcher l’attoar, jeter Te faucon,
le iaisser partir. V, Deitar. — 6 ofsta, jeter le$
yeux, regärder.'— füra, votoir;ohasser. — em
LAN
nbete, verwocher. — a oomis, talenier. -— pi
am lerya, nbettte pled & terre. — rules, pren-
sacine , jeler, poussur l6s raciıe® „a
1.). — mdo, saisir, s’ernparer de; de.
— mös do palavra, aotetiter le , presdre
quelqu’un as mot. — confar, valauter, eump-
ter aveo sal-möme, falte ses valsels. — por
ervra , abstire ‚renvorsen — u cube a am,
rejeter ta laute sur quekıufan. — em Papel,
metire en sorlt, soucher par derit, (ratur Sur Io
Bapier. -— om roveffa, em derpeza, SBWehsER cn
vecette, em döpense. — as cousas a Sombarte,
prondre les choses en plaisanierie.—o esbelle,
faire avancer son cheval. — d cavallo # digen,
faire saillir ta jament. — rälos, fouärgyer :
frapper de la foudre, —raios de luz,, raywiner.
+ 08 alicerees dum edifleio,, poser Yes fünde-
ments d’un @difice.
Lawyin-se (0, de, em, sobre), vd. #. VÜm-
ger, se jeter, se precipiter. — a alguem, 06 jo-
ter, fondre sur queiqu’un. — dös pds be
se jeter aux pieds de quelqu’un, lui demander
pardon ou une gräce. — d’uma rocha a .
se precipfter du haut d’un rocher. — de Binde
de alguem, prendre le parti de queigu’an. —
wos bracos d’alguem, se jeler dans les bras da
queiqu’un. — sobre 6 ihimigo, se jeter, osarir
sur Pennemi.
Langanörs, e, m. oelai qui atde te chewat ä
gouvrir la jument. Sarcopolle :; gomme de
Perse qui consolide les plaies.
LAncE, s. m. jet : section de }eter, de famter.
Temps, oecasion, conjecture favorable. Hs-
gard : erenement Inopine. Tratt ; action. Osen-
inalson falte an jea pour gagner. — de Bader.
. Dado. — de fortuna, conp de fartüne,, sep
du sort. — irdgico, &r&nement 0 re
aident fächeux. Do primeiro — u)
du premier coup. A pouros — „cu peu de
temps, ou ayeo I de raisons, j
*Lancelva. 7. Longada.
Lanceir, v. a. blesser avec In Tande. V.
er ller d eu
ANCEIRG, 5, m, räleller de co ,
ur poser les lances. Lancier !vofdat Feara core
ler armd d’une lance; selofyul it ges lanops.
LangsoLino, A, adj. (t. de böt.) lametle
iimite un ferde lanve ffealle —®).
Lanctta, s. f. (1. de ckir.) lan : astıe-
ent de chirurgien pour saigner, Prtdjode —
ncptier s etui & lancettes. u
Lancering , s.f. roup de lanoattg.
Langgrig, v. q. percer aroc ig lahtetie.
Lancertina, g. f, sorte de Ihne de’serrafier.
‚Liweni, s. fi chatenpe, canot, Dalıpe.—
aenkpn£ira, canonniere, chaloupe ganomnid.
+Lancuira, s. f. charge d'un endet. '
tLancuiö, s.m. aug. de Lanche. Cheland,
gabarre.
+ Lancnina, s. f. pelite embarcaflou We.
Lanciı, 2. m. tqute sorgte de taflide ei
ıpince. j "
Lanctnna ,s. f. dim. de Eanre.
ı Lingo, s. m. jet : action de jeter, de laneır.
LAN
* Bistahoe. * Largeer, dtendue (d'un mus, d’une
iramalıte , ete.). * Enchäre. ’ Serie, suite de aho-
ses. "Portse. V. Lance. -— Je dados, de rede,
coup de des, de Riot, da esunde, rampe d’os-
callor. — ds mure, pen do maraitie. Gale em
—, (tra A la poride. Tirer do ‚ vobrir
o ses —, enchörir une chose; (Ag.) ebtenin oe
qu’un auto alt. — malor, sobre —, OR-
chArs vouverte ‚ jo ptas offrant, ie dernier en-
chörlssenr, Pör, mailen 005 =, mettte h Fen-
chöre.
Lang6L, s a. drap de IH. —des Walter,
(an}.) weppes d’zuiel, Guss d’areis, grande
ötendue d6 lieus sableaneuxr. Eylar om mdor
6er, s’Otre foutr6 dans de mauvais draps.
Laune ou —pea, 8. f. *gland. V. Bolsla.
Lawupär. V. Laudel.
Lımverive, 9. m. landyrarve, time; juge
d’an pays en Allemagne.
Lanvonavıiro, s. m. landgravlat : diat, of-
Nee, juridietion d’an landgrave.
Lanpcravina,s. f. landgravine: femrae qui
a an landgraviat, fenrme du landgrave. "
Linnos, s. f. “land. Sorte de glande ou tu-
menr.
Lanuoee. V. Zande ou Ednilos.
Lanov. V. Lund.
+Lancani, s. m. (ft. D’Alsl. nat.) larıgahae :
serpent. ’
Länganı ,s.m. (1. d’Aste) V. C0x0, Alefade.
Laıseon, s.m.V. Languidän.
Lancräve, etc. Y, Landgrave.
Liycujpäntnte, adv. d’une manlöre lan-
guissante.
Lıncumfe, 3. f. Iengueur, abaitement, ma-
laise, ( Ag.) * Abatteınent, peine d’esprit.
LAnctıno, A, adj. languissent , falble, abalte.
( Ag.) Langoureux,, passionne.
Fancummento ‚A,00—650, A, adj. Nasque,
mon, molle. ( %g.) Gluant, visqueux,
Languör, so. m. V. Langutides.
Lauscorim, s. m. V. Tanga.
Lima, s. f. (1. d’Asie) cooo vert.
Lımwina. V. Landda.
Lannir. V, Alanhär.
+ Lanteiro, s. m. (1. d’hist. nal.) "pie-gele-
ehe : passereau er6nirostre. — gris eu meior,
ple-gridche grise. — menor ou ordinario, l'e-
corcheur.
Lanirero, s. m. eelul qui apprete les laines.
Lawirero, A, adj. (poedt.) laniföre : qui porte
de la laine (animal, plante).
+ LanırıcıäL, s. et adj. 2 gen. qui appr&te les
lsines, qui appartient & l’art de travailier fa
laine.
Laxırfcıo , s. m. art de pröparer, de travailier
a Isine. * Manufscture de draperie. Lainege,
draperie.
Lıntseno, A, adj. laniföre. Galo —, bötes &
lsine.
Lanös0, A, 4 lafnenz.
Lanscnire. V. Landgravs,
+ Lantina, &. f. (1. de bof,) lantana ı arbuste
d’Amörique.
LAP 81
Ri LAnTer, 8, f. embarcauien de varies en
sie.
Lawrsson.a.V. Lentejowla.
Lanteana, s. f. lanterne & deistrer; espdce
de tourcile au-dessus d’an ddme; pigrton garpi
de faseanx dans un meulln. — de furla-fhyo,
lanterne sourde. — mägica, lanterne magfque :
machine d’optique. —s de vißias, lanternes en
corne.
Lunreantıno, s. m. lanternier : falssar de
lanternes.
Lautrcaäve. V. Landgrare.
LAnTöR , s. m. espäce de cocotier d’Asle.
LAnöpo, A, adj. lalneur : bien fourni de
Jaine;; ($.de bo4.) recouvert d'une sorte de leine
du d’un lissu drape,
Lıwdere, s. f. poll follet; cston, duvet de
cerlains fruits,
Lanucınöso, A, dd. esionnenx, lainent,
velu. “
t hanzinnn , a, f. dim, de Z&. Mtolfe de
lalhe, merinos.
+ Laonicka , s, f. (.de geog.) Laodiote : ville
de Carie.
Laonic&xo, A, adj. et s. de lL.aodiede.
+ Liowenöncıo, a, adj. de la familie de Lao-
medon , Troyen.
Lira, s. f. caverne, großle, confavile peu
profonde dans le cö1£ d’yne montagne. {f.
d'hist. nat.) Löpas, patelle: coquillsge unl-
valve.
+Lara, Lapas ou LirpXo. (4. de daR.) V.
Lırank0, 8. m. grande drronelie, turheur
giandulalre.
Larıringo, s.m.dim.de
Lirano, s.m. jeune lapin, lapereau.
Lirata,s, f. V. Sene.
Lartpo, s. m. terrain gouvert de eavernes.
V. Lagedo.
TLires, s. m. (f. d’Arle) sorte de Bitume
avec loquei les Malais gnduisent les rienz vais-
seaux.
Lirioa, s. f. table de pierfe peue fen In-
scriptions, les &pitapbeg. Pierre sepulcrale.
Larıvacäö6, s. f. tallle des pierres fines. Lapi-
gation : supplicp que Pon Inflige en lapidanı Io
patient; aetion de lapider.
Larıpinpg, A,p.p. de
Larıwin, v. a. talller, polir les diemanıs,
ete.; facetter, @griser. Lapider : assommer &
Coups de pierres.
Laridär, adj. 2 gen. lapidalre : (style —) dos
inscriptions sur le marbre, sur leß m6taux, etc.
+ Larivänıa, s. f. joaillerie : art de lapi-
daire,
Lırmirıo, s. m. lapidalre : qui tallle, vend
des pierres precieuses; diamantaire, jJeeillior.
Larineo, A, adj. de pierre, de la nature de
la pierre. Pierreux : pletn de piertes.
arinrriıcacid, 8. f. lepidifioation r formation
des pierres; conversion en pierfe®.
+ Lammiricin, v. a, Ispidifier » nideire em
pierres potrilien,
782 LAR
f Lanmirue, 2, ad. lapidiäque : (sus —)
propre & es pierres.
Fehr plorreux : rempli de pier-
res. V.
Larinua, 8 [. aim. de Lape.
Liris, s. m. pierre noise pour dessinee ı
erayos.
+ LarisLizuu, s. m. lapis-lazuli : plerre prö-
eieuse bloue, veinde d’or, opaque.
+ Lantaas, s. m. pl. Lapithes: peuplos de
Tbessalie, dans les environs de Larissa ot du
ment Olympe,
+ Lamaztıno, 8, m. porle-crayon.
Lapsina, 8. et . Labresto.
Lirso, s. m. ($. de prai.) laps de temps,
teoulement de temps.
Lapiz, s. m. ot adj. (.burl. )rustaud , zusire.
Glouton ; grossier; sa
Laausacid, 8. f. rn de ehir.) ligature d’un
vaisseau.
Laguaia0, A, p. 9. de
Laquzär, dv. 6. (4. de chir.) lier, faıre la liga-
tere (d’une ‚artäre, ete.).
+ Laausirıo, s. m. laqudaire: athldte arme
d'un lacet ei d’un rd.
Laqustca ,s. f. alaqueca: pierre des Indes qui
arrete le Bux de sang.
Lin, s. m. Alre, koyer. (Ag.) Maison, de-
meure. V.
Larina,s. f. multitade de choses,
Lunanckina. V. jeira,
Laaiusa, 5. f. orange: [ruit en pomme, &
Bopas, jaune dere. Petit boulet de la grosseur
une orange. — d6ce ou da Chinese, pomme de
ni Chips, orange deuce de Portugal. — azdds,
bigarrade. Meia —, demi-oercle; poids semi-
ciroulaire des aneiennes pendules. Cor de—,
orange : conlour d’orange.
Lanamina, 8. f. 00up diorange. 0 * Orangent::
eonßiture d’oranges. Orangeade :boissen com-
pen de jos d’orange, de sucre, et d’eau.
Lanansipo, A, adj. orang6 : cauleur d’o-
range ; qui a la couleur d’orange.
Laaansiz, 5. m. liou plante d’orangers, Jar-
din d’orangers.
Lananskina,s. f. ($. de bot.) " oranger : trös-
bel arbre, toujours vert, qui porte les oranges.
+ LARAWINNA, s. [. dim. de Leranja. Peille
orange verie.
+ Lanänıo, s. m. laraire : ohapello dedise
aux dieux lares, dans laquello on les plagait.
LABDRADRIRA, s. f. lardoire : instrument
pour larder la viande,
LARDEADO, A, P. 9. de
Lanpeia, ©. a. larder, barder.
Linpo, s. m. lard. V. Towcinko.
Laatiaa,s. f. grosse plerre qui sert d’älre.
Lines, e. m. pl. lares : dieux demestiques.
ıpoei.) Maison , demeure.
Linca, 3. f. action d’abandonner ce qu’on
possedait, abandon. Trop grande libertö; relä-
chement; aisance. (}. de mer.) Largue. 4’ _,
LAR
une vie trep libre; vivre dans Yaisanos. Esiar
bemd—, fire A Taise, Der wdiias —ı e ei-
guam, donner A quekıu'an tzep de liborts.
Lancipo, A PR p. de Largar.
Jincantuız, ade . jargement, amplement,
sbendamment. Gänsreusement, liberaloment.
Pendant longtermps.
Lancia, %. s. lächer, abandenner, guiier,
obder, läoher prise. V. Alerger. (1. de mer.)
ı läoher une manmeurre; Rler le oer-
dage. — mdo d’alguma cousa, se desister de-
renenoer dA. — 0 carge, 0 emprego, 56 dimel-
tre d’un emplel. — as arınas, poser les armes.
— 0 panno, ss völas ae vonle, larguer, B6-
ployer, deferler les volles, metizo los veiles am
vont ; (Ag.) s’engager dans un long discoers. —
e slar, (t. de mer.) haler un cerdage par 2e-
cousses‘, pour lui donner un balancement, &
augmenter la foroe moursnte.— «4 amarrs por
mdäo, (id.) Aler le cäble boat par boul. — as
gaved), (id.) jeter los huniers hors de la hane,
deferier los buniers. — s escola por mdo, (id.)
fiier toute l’6coule. — 0 prumo, (id.) jeier la
sonde, jeter le plomh. As ervores lergardo as
folhas , les arbres ont perdu leurs feuilles.
Lancan, ©. ®. (f. de mar.) — o nasie de
porto, faire voile, se metire au large, prendre
lo large, ’&loigner du port, parlanı d’un vais-
seau.
Lanecirico,. V. Copiose.
’ LancivLuo, A, adj. (B0dl.) qui conle en aben-
ance.
LaaciLoco,, a. (podi.) V. Loqguds.
Lancis, s. m. * doorce medicinale de ’Inde.
Läxoe, ad. large , spasieux , ample, vasie.
Long, ttendu en longuour. Liberal, gen s
spiendide, ux. Long, prolize, diffus.
Copieux, abondant. Pius grand, plus large
qu’il ne faut. (Ag.) Läche, reläche, qui n'est
pas tendu , debande. V. Solto. — ‚ie
pudent, effronis, 4 — pasıo, A grands pas.
do —, de loin; (1. de mar.) au large. Levar
lodo 0 panno —, (id.) laisser toutes les voiles
dehors. Faxer-se so — , s’dloigner, prendre le
large. Passar de — , passer sans s’arröler, sans
faire attention. Mer —, pleine mer. Vento —,
vont largue. Gesiar —, depenser avec profa-
sion. — de consciencie. _V. Relac Relachado. Deinga
—s,, malsdie de Jongue durde. Ums hors —a,
une grande houre, plus d’une heure.
Linco, ade. largement, amplemeni, abon-
damment. (. de mus.) Largo : indique un men-
vement trös-lent.
LARGUZADO, A, P. P. de Larguser.
LARCURADOR, A, 8. Qui depense avec profe-
sion.
Lancusin, ©. a, depenser avec profusien,
faire des largesses.
Laneutza, 5. f. (Ag.) largesse, libtralite,
aisance. V. Lorgure
Lanctissımo, A,adj. sup. de
Laucöaa, s. f. largeur : dimension em large,
ampiemant, d laise, Als—, A la iongue, dla d’an odiö A '’asire.
continue, avec Io temps. Ficer 6—, werner’, Flasıcino, a, adj. qui appartient au lariz,
LAS
+Lunsco ou Laaico. V. Piaheiro larieo.
Lanim, s. m. larin : monnsie de Peorse.
Laaince, etc. V. ‚etc.
Laxög, s.m. (1.de charp.)‘ solive qui soutient
, Ventablement d’un teil.
Linva,s. f. (8.d’hist. nal.) larve: depenilie
. d’un inseste; premier dtat de l’iinsocte sortant
de V!’auf, avant qu’il devienne ailde. —s, pl.
larves, Ames errantes des möchants.
LanviL, adj. 2 gen. de larve, qui lui appar- | te
tient.
Laavnce, s. m. (4. d’anel.) laryıx : partie‘
supsrieure de la trachee-artöre; naud de la
gerge; pomme d’Adam.
Laayr’'ncso, A, adj. larynge, laryngien : du
laryux.
fLanrncoLocia, s. f. laryagelogie : trait6
sur le larynz.
LARYN0OoToMiA , 3. f. Jaryugotomie : incision
ä la trach6e-artere.
Larnınx, V. Larynge.
ksisca, s. f. * 6clat de bois, de pierre , eic.(Ag.)
* Morcsau, pelile portion. 44. V. Lasqueneis.
Lascino, A,p.p- de
Lascin, v. m. s’6cailler; &clater, se rompre
par &clats. Il est queiquelois sctif, et signifie
faire &clater, rompre par 6clats. —se, ©. F.
(1. buri.) senfuis, disparaltse.
Lascäa ou (1. d’Asie) lascar:: marin
LascariM, 8. -.\ asialigue qui mens avec
kıi sa femme et ses enfanis. st. Soldat qui I —s
monte los vaissoaux.
Luscivauinız, adv. lascivement, lubrique-
men.
Lascivia, s. f. laseivets : forte inclinalion &
la luxure ; os qui y porte; lubrieite.
Lascivo, A, adj. lascil : fort enclin A la
lazure ; qui y ports; lubrique. (Ag.) Enjoue,
folätwre,, badin; d’un vert gai et agr6able, par-
iant des vignes , otc. Figuras, pinluras —as,
des nudilss,
+ Läsan ou Laszaino,, 3. m. (i. da boi.) laser:
plante ombeilifäre.
+ Lasaarico, 3. m. (1. de bof.) laserpilium,
laser. — silerine, Ianor sermonlaln, la sermon-
taine. — — lergifeihe. V.
lasaunners, sm. immsquanet: serie de jeu
die carte.
Lasswiß,s. f. laseitude: spuisement des for-
c@8 , abaliement.
Lisso, a, adj. las, fatigue, faible. Läche,
6, detendu.,
+Lastia, v. @. payer. { fig.) Pätir, souflrir
pour autrui.
Lisrıua, s. f. pitis, doltance,, oompassion.
* Objet qui excite la pitis. ° Pieer, gimmissement,
Causer, faser —, faire piti6
ou a meior — 6... c'est dommage ‚c'est grand
dommage. E ums —, oela fait pitib ou sompas-
sion. Chorer —, ezagirer ses many. B digno
nn il est & pleindre.
Lassmino, A, pP. 9. de Lastimar.
Lasrıuapön, A, adj. qui Salt pitie.
Lastıtia, 9. a. toucher, &mouvoir la come»
ER zu
f Pr
LAT 733
passion, (aire pitie. Affliger, tourmenier. Api-
toyer. Deplorer. — 0 carasdö, navrer lo emur,
Paflliger.
LASTIMAR-SE (de), v. r. avoir compassion de.
prendre pitie, s’apiteyer. So plaindre de ses
manx , 50 lamenier.
+Lastıutıno, a, adj. (imus.) Plaintif, pi-
toyabie, attendrissent.
LAsTtınösautute, adv. deplorablement, pi-
teyablement.
LasrımosissiMo, A, adj. sup
Lastıuöso, 1,0d. pileuxn keyable, diene
de pili6, do compassion.
Listo, s.m. (6.de mer,) laste : poids de deux
tonneaux ; last: 4,500 livres.
Lastaacid, 3. f. ($.de mer.) * lestage : action
de lester un vaisseau.
LAstaiDo,A,9. p. de Lesirer.
Lastaapon, 3. m. celui qui sait lesier
vaissoau.
Lasträirn, 0. a. (. de mar.) lester : gamnir um
vaisseau de lest.
Lisrao, s. m. (f. de mer.) lost: poids qu’om
met au fond d’un navire, d’un vaisseau pour lo
tenir en öquilibre. Fond de la mar, d’ene ri-
viere,, etc. (Ag.) "Base, fondement, Metter —,
(ti. de mer.) lesier. — de pedra, gres Iest.
Seir em — , partir sur son lest. O — corve di
banda,, le lest roule.
Lira, s. f. "fer-blans. Bolte de fer-blanc.
=, pl. grosses perches fagonndes pour dili6-
rents usages Bes 60 charpente. V. "Baux ;
poutses qui soutiennent les tillacs des vais-
soaux; laties.
Latina, s. f. " berceau, treille ge Jardin.
+ Liraußknte, ade,
* LATineo, Ach. adj. qui ost ä pro d’un autse,
Laräö, s. m. laiton : alliage de cuivro jaune
et de zinc.
+ Lirz, s.m. machine & puiser de l’cau dans
un dtang (en Asie).
’ Lirsoo, 0. m. "oscourgöe, fouet de laniires
e cuir.
Larzsär, v.n. palpiter, batire, dlancer, en
parlant d’une artöre, du cower, d’une partie
malade.
Lartr , v. ». demenrer cache (9. u8.),
LarzuiL, adj. 2 gen. latözal : de oßt6. Colla-
töral, en parlant d’une succession.
Larenaıuturg, ode. latöralemset : d’une
maniere laterale.
Largnanänse, adj. 2 gen. de Latsren, de
Saint-Jean-de-Latran.
+ Lirzaz, mot latin qui signißle Zegade
@ —, ltgat & latere: cardinal du censeil da
Pape, envoy6 extmmordinaise dans une vouf
‚vompassien. E — | &irangöre.
Larzaicıo, A, adj. (pedi.) de brigus, oeu-
leur de brique.
„t laranıröuo, a, adj. (8. de bet.) V. La
ß
LırısuLo. V. Escandrijo.
+ Lärayno, s.m. (1. de bot.) V. Ervilkare,
‚g0sse oderante, pois de sonteug.
-
734 LAT
Lurrcuivua,s. f. *laticlave : robe de 56-
LameLivo,; 5. m netettr, bord&s par ü4-
von! d’une bande garnie de masuds ow boutons
“ d’or ou de pourpre.
Lawmaä0, V, Extienolt, Ak
Larieo, 9: m: alslenteunt, Jappe ment AF’ım
chien qui court apres le gibler. de
zaut, picbieamet, puißilelion dans ano Partie
du corps. — da conselönela, ( fig.) eri de la
Donsoloneh,
LatıröL1o, a,adj. ($.debot.) & Maatites larwes.
Lirico. 9,
- karit,s. m. Jatin ı langue latine,
Lırınino, A, p. 9. 4 Latiner.
2 + Latingusmu, ade. on laun, & ia menidre
des Latins.
ı Zmrmän,v.o derire, traddire on late.
Larınıpios, uf. latinkade Iturgege hatin ; au-
teurs latins. Daias -— , Daise Lane ı eulonss
ı 'ietite dos derwisrs Jerkpe.
Latınisuo, s. m. latinisme ; tour de phrase
ı 'prupee au iatıd.
Larinissıuo, A, adj. sup. de Latino,
t Latadsra, 5. m. Iatiniste ı qui entemd et
r perie is latim.
Larinizee, eto. V. Alaliner.
‚, Iarino,a, al). batin : qui conderne la Tangum
. Iatine, des Latinsı qui sait outtc langue. Ygreju
. =, delise latine, W’Oseident, Veln =, voile
latine, en triangle rectangle.
.. Jans , 8. %&. maevais latin, min de cuk-
nee, tonted latins mai maduits ot mal
GERROnehE.
- Lusiuos, #. m. pl, Letins ı es Rumelns, ou
quelquefois los peuples d’Italle; ios Osstden-
rin, u. gligie, abbyer, un parlent d’us
«bien gti} start apeds ie allsier.
-. Laristmo,d4, al sup. de Late. Tro-vaste,
trös-dtendu.
. kumutteb ‚wu fıhh, dettr.stdeyig:) Ineader
distance qui se trouve enteo ua Heut
ı desire ı elle meukeseıre ‚par de nemlire du dexres
repories sur lo meridien; (Ag.) espa004 Hlun-
r du
+ Löre, A ,dj. (Yaus.) vusie, Möndu, uyh-
cieux. Sentido —. ( Ag.) On ie dit des-mots qui
ne dalvent pas Sins pris siubslsument.
Lureeno, s. m, suvzior Zui waveille em Jai-
ton.
: luröna,e.f (& demyih.) Latens : file du
tyran Cous
hans, A, adj. (poii.) de Latene; da
so
‚ „ie kuraknıa,aßj. 2 gen. qui abeie, qui gla-
der Aumbo, a,lj. qui congerws le auite
a
kurnia, 6 f. (4 de Iiied.) culte de lasie,
rondu & Dieu seul.
Larsisa, 6 f. Isickbes,opınmmedii6s,alsances,
tLaraınkıno, 5. 0. qui nettoio les lairines,
qui en a soin.
Juraocimo , 3.0. brigandege, vol, larein.
LAU
Livba, 3. f. page d’an livre, d’an manuserit.
+Eirmanı, s. f. baguee dur en Cage
que fon suspondalt autrefolt dürant ke sur
des martyrs.
+ Lavpanızia, v. 0. (# Ge phern.)jrtpen
aved. io Ikadanum:
KAUBANO, s. m. Iaullafruik : extra, peipemn
Uon d’opium. ( Ag.) Ghose qui fait dormir, ner
cotique.
r LAUBETIVABENTE, ade. areo vuungt.
AUDATICIO. .
LAdBATIVG, | Vv Leudelorio.
+ Lauparönta , 8. f. "stage ; pamögsrigue.
LAuDATöRIO, A, adf. qui loue, Yui snti
lower : laudauf. Qui coxcerne fer Amen a
louange.
Lavpatets V. Loutadek.
Laöps. V. Alaüde.
Lasptr, #. m. ancion vorerent 7 wiki,
pour pröserver des coups W’&p6e, ete.
Laup£wıo, s. m. lods ot vonles, Iawdiie,
lausmie ı droits du seigneur sur les "en des
heritagen Gahs son Ref. Bote = , ni-Iodı.
Liupss, s. f. pl. Leudes : partie de fod
dirin aprds Metiner. Ad —— ei per koras, (hr.
ade. ial.) sonvent ei sans bvesse. Toerar a-,
(fam.) so louer sol-meme.
LauLß, s. f. sorks @’embarcetion K’Ark.
Liunna, s. f. eoaromne do Naurier. {A}
Prix > poste.
Launzipo, A, 9. p. de Leurwar. adj. In-
reat. On le dit d’un po&te ouurumme un pablt.
Litazin, ©. &, s0uröaner de Iwurier.6Gra-
duer dans une universit6. (g.) Recompenst,
Launtı, 0. a \rantepı (Ag) preis, Vowenkt,
gleire, triomphe. Colher dis, (Ag.) eueilkt,
melssonner des inuriers.
+ Launsuriss, e. f. pl (t.Huni) in &
fhonnent Ts Laurentie, nasrrisn.de
mus et de Romulus : laurentinales.
+Luumterd, @df. 2 gan. Je Lanireiin:
ville da Latium , aujourd’bei Beu-Lurene
4 LAoazo , a, al. (Po9.}.de kauen,
LamasoLa,.a.f. PUtite usuraune de amt.
V. Ldursa. Aur&ele+ otirebs Nankknner AU!
de ia Wu des sel
+ Lavagrino, a, ad/. de Loretie, vMel-
sanetwalse nötähes de da nutats Vin.
LaukirEro, A , adj. qui pro@siedte inurl.
Otnd, unitshnd di ed
LavniGeno, A, adj. orad, Sumsennd de let
vötzs.
Lauaino,, A, adj. de laurier.
Lisen, V. sure a Lewsi.
„ah lameima, #7. (1. degeeg.) Lamm
a Beisse , capitale u puys-de Vund.
+ Lausrzaben, 0. m. (mot jetin) aderadn
perpitueite du Seia>-Becrernemt.
Läuraname, ade. sompincesunmen, sPIeR-
didement, amplement.
Liuro,a,0d, eöpisun, auunplo, vORHpIaMd:
splendide,
LAV
Liva ,s. }. Paction et fe fravaft Autardr Ids
metaux dans les mines. Lave: maliöre fondus
qui sort, est sortie des volcan®.
Lavacä. r. Izbaps.
Lavacao. V. B .) Baptismo.
Lıritr, s. Krone ne den de p&chenr.
Lavantina, s. f. blanchisseuse , Javandiere.
Livantate. (f. dert.) V. Beberfte.
Lıvin0,ı,P.p.de Laver. 0.m. (1.da vener.)
Gast devolailledelay6 dans l’eau tidde que ’on
ne aaxfuncons!a Velfle dela partiedechasse.
LavasOn, A,3. Iavetit : erhal qui lave.
Layapsuno, s. m. lavoir : lieu destind & ia-
ver. * Bis , blafithirie. V. Zevaiörio.
Livavtni ‚s. f. “jarage: seien de laver. La-
varo : eau qui a sorvi & taver la vaisselle.
Lıviceu, s. f.” lavage : action de lavern.
Lıviwca. V. Mlanancı.
Lavänco, 6% m. oarard saurage.
Lavänpa.
Lavanptürka. y Eearadeira.
Lıvanveno, 8. m. Ievandier, Manohisseur
de linge. Celui qui vient chereder io Hugo qwioh
denke p, etquiie Fupponte.
Lavanpenta , 3. fı ? lavolt: : fien destind a la-
vor. Blanebisserte, Banehrie.
+baramt; em {hie boh) " oenimanie p&-
nioulte.
Lavartızz, 9: 2 yon. deini, elle qui laro Io
Lavaris , d. 00, Nevanen: Gen plode.
Lavarairos, s. m. laveur d’aseßelies.
Lavan, 9. de lavir ı meliöyer arde un 1i-
guide. Blanchir. (4g.) —, purifier, effeser um
erime. Baigner. — a ua a eigen sun, (FG. (fg.
Aa} neweyer, artenger quelque ohese. Lavo
winken selon, Yo ieh Yave ten muains, No se
iugu dom (utanla uyus tem 0 mar : (Ap.) on le
ar Zee urte quo Yan wo peut anwuer. Uma
mo lava a ouira, e ambas 0 roslo ou S Care,
un Iuiet rasS Yantfe. V. Bio.
Lavin-W, 6. 7. v0 uva, DU Mitioyor atco
de fen; 1Ay.) veJahillier.
ntaren V. Eiberdßn.
+ Lavsnsro, s. m. (1. d’hist. nat.) lavambt :
) du genfade yet
a ee se. iYekonus : polssun de la
Meoditsrrante.
Lavirnco, a, adn t& Wie nid.) qui pürge,
SE ranivo, V. Lavwalico.
©. @. Iarememt des mains A la
name. * Eonlainc pas sa lavar Jos mains. Bein ;
endroit propre & prendre des bains; lavatoire,
cn an on donne & baire aux personnes
rkoo..n. . Arddo.
Lurtıc, 3. f. (1.d’Mit. al.) — tandra dos
osehliho, douetie des
comnpts vu champs. —
des maios do norie, * cujelier, alouetie des
boie.
Lavsa, s. m. travail dölicat; labeur ; emithre,
ouvmge. Ouwage da touturiäse, ”Beoderip,
geklef „ornemeni pay anndiefln en.aur de fage;
LAZ 785
facon du linge ewrröy gradurt, soulptare, Ci-
selare. res, pl. *byaderies, ciselures.
Lıvonärn. 7. Laborar at Trebaiker.
Lavövaa, 6. f. "tabear, labesırage, jagen
donnee aux terresen les labeurent. Agtioultute.
+Lıvoßo, a, adj. de ia Aasırerde la lave des
volcans.
Livaı, 0. f. re Ibouite, om qu’eu la-
boure. #4. V. Lovoura. Vinho da minka—, vin
de mon ct.
Lavripa, s. f. (Msws.) Terre Iabeurte pröte &
&tre ensenenode. V. Lorwuren
*Lavaaptına, s. f. brodeuse & Faiguille.
Lavraviö, A, ad. Iehoutable < prupse Arire
labourab!a; arable.
Lavnivo, s.m. "broderie, ciBelare, facon
de chose ourrag&e.
Lirnäno,a,p. 9. de Larrür. ad). Duves
ouvrage. Praia—a, ouvrage d’vrfirrerie, veis
selle plate, argent ouvre.
Lavaapor, A, s. laboureur, culliratewr. Pro-
prittaire d’an Mon & Ma eumpaghe. Feriier.
P sarı, villageois.
AVRADORZISHO , 3. W. im. de Lavradör.
*Lavrauento, V. Feitio, Edifieagdö.
"Lavkinca, ©. f. Terte Iabourable. “Labou-
rage.
+ Lavaincha , 3. f. nom d’un poissom
‘+ LAYRAnDEIma, s. J. oouteriöne, keodeuse.
Lavaınntıno, 1,0d. qui laboure.
LAYRÄNTE, 8. in. eiseleur.
Lavair, v. 0. ruvailler «(are quekyub ou-
vrage de ses malns. Labourer : eultiveor la Serre.
Batir, constreire. Tailler (un diememt, ei.)
Travaitier & Yaiguille, coudre, breder. (Ag.)
Dresser, former, instrwire, fagonner, rögler,
limer, perfectionner. — mädöire, deber, pelir
avec la dotoire. — dagslhu, imeder : faire des
broderies & Paigullle. — as durk!, geurer, eise-
ter, bariner. — adie, üressar grocds-verbal.
— moeda, bare monnele. nei. -wermne, deapsEr an
acte. do forro.V. Forie.
“irair, o. n. ser&pandre , s’aseteltre pen &
pea. — no eririi, (g.) (rapper, “ae une
grande Impression dans l’esprit, O- me} Velda-
vrumdo, \e mel 0u ripamd, gOgme, S'atance
ud
Linien, ehe. (p we.) 7. Viümente,
guamense, Infansmmönls.
Laxinrz ad et s. laxatif : qui läche le von-
wre (roradd 0).
Laxin,v. a. lüsher, relächer,, dötendse.
Laxarivo, a, ad). V. Lawenie.
Lıxmiö,e.f.* laxile.
+ Laneeisuo, a m. "opinion sellahöe en
‘4 mörele.
Lixo, a, ndj. che, Teläeh6 ı qui n'est pas
unde. Reiächt, commede, peu süröre.
Lira. N. Leia,
Lazimmu, e. [. Intagnes ı päle de samanle en
vabas,
Lassaine (V. Aensirade) „p- Pr de
Lazarir , 0.0. seuflris une Peine, payer de
sos bjens, melheuzeuz,
736 LEB
Lasankuvo. V. Lausirenie.
Lazantro, s. m. lazaret : lleu od l'on faitia
quarantains pour recsveir les pirsonnes ou les
«i peurreient ötze infoctds de la pesie.
Höpital de köpreuz.
Lizano, s, m. Melde S.—. V. Lipre. adj.
ans, s. f. meigreus, misire. il. V.
zuınloo, A, adj. missrable ‚, malbeureuz.
mistrabie.
„A, adj. öpreuz
° Lazta. V. Vager, Commodidade.
° Lazzain. V. Leserdr.
„Fiese, am. pi. pewpies de Ia Sarmadıa on
Men. V. Lapis.
Le, s. m. Il m’est usitd que dans catio phrase
proverkiale, Id com Id, erdcamcrd: qui se res-
oermbie s’assembie.
+Leir, 3. m. ancienne monnaie d’argen! et
de ouivre.
LeiL, adj. 2 gen. loyal, Adöle, plein d’hen-
neur et de probits.
„teannacit, u f. action de Leaider. V. os
wnsnias,s. f. loyauts , Bdelitd,, problie.
LzaLsiso, A, P- P- de Lesidar. adj. 7.
Limpe.
Laansauturo, V. Loeidard.
Lzarnin, u.a. döelarer sous serment ä la
douane quo les objeis sont Al’usage personndl.
Lasrnänrs ,ado. leyalement, Adtioment.
Lsiö, s.. ($. d’hist. nat.) lion : le premier
des animaux carnassiors, mammilere, digili-
grade da genre Foles ; (Ag.) hemme Ir&s-coure-
gouz;; Vera, eruel, inhumain. V. Leo.— pärde.
. Ser 'salense come un — ,6ire un
vrei lien. Pels gerra so conhecs e—, a l’ongie
on commalt le lien.
Lai6, s.ım. (.de gdog.) Lion : ville et provinoe
Lyon ı ville de Frances.
Lniozinuo, s.. diem. de Lode. Lienosanu :
pet du lien.
+Lantons, s. m. nom qu'on donne, sur la
Mediterraude, au vont de sud-omest.
Lasontmo, s. m. qui ehanse au liövre, chas-
seur de liövres.
LannicmO ‚6. m. levrant.: jeune liövre.
Lxanipa, s. f. irieanste, ragent de liövee :
oiret.
+Lxnniö, o.m. aug. de Löbre. Geand lievre.
Läsau, a.f. * Mörre: amimal quadrupede,
herbivore, d'un griö roux , ü paties
ne longues quo oslles de devant; symbele de
., sonsiellatlion ausizale. — ms-
Finke, liövre de mer, peisson du genre du
bienne. — fomnsa, hase. — 8, pl. (t. de mer.)
liövre, ow saisine da beaupre, tours de oerde,
bigois do racage. Lovanter a—, lover ie liävre.
Correr ums —, pourseivte un Ilövre. Zilia —
estd corride, (A. fon.) 50 cells questien, oplle
matiöre ext öpuinte. Comer gets por =, (f-)
prondre mertre pour
+lasas, «. m. mttin, degun,
LEG
Lanaßıno, A, adj. Mövrier. One dit des chiens
ei des [ancoas pour la chasse du liörre.
Lesazı, ow }il6rrier, levrette: ehien pour
„lass, «m. la chasse da iiörre, de
P, 0%«.
Lzsassinea, 6. f. dim. do Lebre. Petit liäere,
LEBRiRHA, V, Lebresiahe.
te an rhen de Kir de
+ Leouoninıo, s.m. livre de chaer qui omm-
uent les logens qu’on chanio eu qu’en Mi &
"scaosiers, .m proiasscur, maltre qui
danne des logons particulidges ; repetitenz.
Lacmno.V. Lichine.
Lacriertano, 3. m. ($. d’ent.) Lectisternes :
fostins que l’on servait dewant los states das
dieux postes sur des lits.
Lzcrivo, a, adj. Tempe —, dias —e : lemnpS,
jeurs od ie professeur denne des
+Lecrro ‚a. m. " cruche A l’huile, (5. ds bei.)
Lieyikis : arhre myrte du Bresil.
+ Ltsauturz, ade. galement, joyemsemamt
Laui, s. f. lady : dame,, en anglais.
„8. f. jeie ‚ allögresse.
Ltn0, A, ad. gel, joyonz
+Lazvo, ou Lxson, s. m. (4. de bot.) dam,
öde : : arbrissenn qui predait ie Jadanım. v.
Estevs iadea.
Lu»ste, 0%. B% loctoue : qui aime & lire. %
Loster.
Lzsaci6. V. Legends.
Lasaciö, s. f. ltgalien : amplei de Itgat;
oemmissien dennte A un envoy6 prös d’une
puisannce ; amlansacnr el leute sa auils.—,
geuvormemeni do sertaines previnces ecsltsins-
ecadta ‚a. f. dignits, obarge de ligat:
ton. Tribunal du lügat apesteligus. Kor
Lzcino, s. m. ambassadenr ot surtont Kuga
de pape. Lags de Isslament. — dinere. V. Ia-
Lzcin0, 4, 9. 9. de Logar.
L, adj. 2 gen. Itgal : oomlorıme A Ja Iei
ou qui la ooncerne.
Lsaiune. V. Nogdike.
moananine, 0. [. Mgaliis ı qualiöde on gel
te ‚8. f. Vıgelisstion : surtiisatien
d’un aote , d'une siguature, par Fauteriäl.
LecaLzino, A,9.p. de
LxzcaLizin, o. a. iögaliser : rendre valide,
autbkentique par la lögalisation.
LaoALutute ‚edv. Iögalement:: selon les lois.
Lacia, o. a. löguer par testameat. (inus.) V.
„Iacarinm, s. lögatsire : A qui on fait un
Lasaricıe, s. wm. freis d’ambassade, dupenet
olloude d un embassedeen, '
LEG
+Lexcaröno, A, adj. (1. d’ant.) legatoire :
gouvernd par un lieutenant de l’empereur.
Lecatüna ‚s. f. ' tissu de laine ancien.
Lec£ıRo.V. Ligeiro.
LeoEnpA, s. f. legende : vie des saints.
LEGENDÄRIO, 8. m. lögendaire:: auteur d’une
legende.
Lecis. V. Lexia.
Lecıäö, s. f. legion : corps militaire; (fg.)
grand nombre, troupe (d’anges,, de demons).
Lzcıonirıo, A, adj. lögionnaire : qui appar-
tient A une lögion.
LeciaLacgiö, s. f. legislation : droit de faire
des lois, corps des lois.
LecısLuAno, A, pP. pP. de Legislar.
LECiSLADOR, A, s. legislateur : qui fait les
lois , y coopere.
LecisL.är, v. a. faire, donner, &tablir des
lois. .
LreisLativo, A , adj. legislatif: (pouvoir ) de
faire des lois; (corps) qui les fait.
+ LecisLATör10, A, adj. Esiylo — , style pro-
pre des lois.
+ LeeisLatüra, 8. f. legislature : le corps le-
gisiauif; periode de temps pendant lequel il
demeure assembl6.
+ LEGISPERITO , . m. jurisconsulte.
LEGisTA, s. m. legiste, jurisconsulte ; qui en-
seigne, ötudie , connatt les lois.
Lecirtiwa, s. f. legitime : part hereditaire ac-
cordee aux enfants par la loi.
Lecırıuackö, s. m. legitimation : action de
legitimer, ses effets.
Lecıtımä0o , A, pP. p. de Legilimar.
LEGITIMADOR, 8. m. celui qui legitime.
LECiTIMAM£NTE, adv. legitimement : confor-
möment ä la loi, & la justice, A la raison.
Leornuäir, v. a. legilimer : rendre legitime,
legal , juridique , authentique; rendre legitime
un enfant nataurel.
Lxzorrınäa-se, v. r. se rehabiliter.
Lecıtiminäne, s. f. legitimite : etat, qualit&
dun roi, d’un enfant legitime; qualile, etat de
ce qui est legitime , conforme aux lois.
Lecirımo, A, adj. legitime : qui a les quali-
t6s requises par les lois; &quitable, juste,
fonde en raison,, fond6 sur la loi generale, na-
turelie ; qui pretend & la legitimite. Legal.
Vrai , certain, evident. Pur, veritable.
Leciver, adj. 2 gen. lisible: facile ä lire.
LECIVELMENTE, ade. lisiblement : d’ane ma-
were lisible.
Le£coa , s. f. lieue : mesure ilineraire qui va-
gie beaucoup. Les lieues en Portugal sont de
38 au degre, les maritimes de 20 au degre. A’—,
adv. de cent lieues , d’une lieue, de fort loin.
L&cRA, 3. f. “töpan : instrument de chirur-
e.
Lecracäisco, s. m. V. Legra.
+ Lecnacäö, 5. [. * trepan : action de tr&pa-
ner. V. Trepano.
Lecrär, v. a. tr&paner : [aire l’operation du
trepan.
LecoäLno. V. Nogdiho,
PORT. FR,
LEI 787
LECUNE ‚s. m. lögume : toute sorie de Erains
qui viennent dans une cosse, coınme föve, pois,
lentille, etc.
LEcumındso, A, adj. legumineux.
* LEGUMLHAS, 5. f. pl. V. Legumes.
Lei, s. f. loi: r&gle stablie par l’autorits di-
vino ow humaine, qui ordonne ow defend cer-
tainer choses pour le maintien de la sociele,
de l’ordre universel; regle, puissance, auto-
ritö; justice ecrite; obligation de la vie ci-
vile. Conformits des marchandises fabriquees
aux reglements. "Aloi : vrai titre de l’or,
de l’argent, des monnaies. Loi d’une joute;
regle d’an jeu. Loyaute, fidelit (p. us.).
— anliga ou de Moises, loi de Moise, Ancien
Testament. — de Deos, commandements de
Dieu, preceptes du Decalogue. — de grara
ou evangelica, loi de gräce, loi evangelique,
Nouveau Testament. — escrila, loi &crite de
la main de Dieu sur les tables de la loi. —
nalural, loi naturelle, principes de la justlice
imprimes au caur de ’homme par Dieu. Dar a
—, donner ou faire la loi, commander avec
autorite. Feitaa —, feita a malicia, nouvelle
loi, nouvelle fraude. On le dit surtout en ma-
tiere de commerce. 4’ — de cavalheiro, foi
d’honnete homme. A necessidade näo lem —,
nccessite n’a point de loi. Impör-se uma —
de..., se faire une loi de... Homem de —,
homme probe, loyal. L£is, pl. Igis, le corps
du droit civıl. Estudar — , faire son droit.. Ld
vdo—onde querem r&is,(prov.)1& vont leslois
oü venlent les rois, si veut le roi, siveutlaloi,
ou la loi veut ce que veut le roi.
Legicengo, s. m. furoncle, froncle, clou,
phlegmon enflamme.
° LEICHAR ou —XaR. V. Deizar. .
Lkica, s. f. sur converse, saur laie.
LEicäco, A, adj. aug. de Leigo. Tres-igno-
rant.
LeicäL, adj. 2 gen. de lai. V. Zaical.
L£ıco, A, adj. laique : qui n’est point ecel&-
siastique 0% religieux. Frero lai ow convers.
(Ag.) Ignorant : qui est sans lettres.
Leıcozinuo , s. m. dim. de Leigo.
Leicvice, 8. f. * propos, action d’un lai,
d’un ignorant, ignorance.
* LEıLam£&xto. V. Leiläo.
LeiLiö, s. m. *enchere, encan, vente publi-
que ä l’enchere, aux encheres. Por em —,
mettre & l’enchere. Fazer — d’alguma cousa,
vendre quelque chose ä l’encan.
Leımönıa. V. Limönio.
L£ıira,s. f. "carreau, planche de jardin. Ele-
vation de terrequi separe les sillons dans lcs
champs seme&s.
Leiräö, s. m. aug. de Leira. it. Loir ow
liron : petit quadrupede rongeur, marmotte
des Alpes.
Leirıäö, dA, adj. de Leiria, ville &piscopale
de Portugal dans l’Estremadure. Magd —6a,
varieie de pomme douce de Leiria,
* LEISAR. .
* LEISsan, | Y. Doiwar,
a %
138. LEI LEM
Lzıripo,a,p. p.de Leilar. " | tLeuıi, s. m. eri des Maures en combat-
Leıtiö, 's. m. cochon de lait. —, da, adj. | tant.
de lait, qui tette. V. Mamds. . Lema. V. Lemma.
Lertir, adj. 2 gen. laiteux, de lait; blanc | Lemerino,A,p. p. de Lembrar. adj. Qui x
comme le lait. souvient; dont on se souvient. Estow bem —,
+ Leıtäir, vo. n. se remplir de lait. V. Amo- | je m’en souviens bien. Ndo eslow —, je ne
Jar. m’en souviens pas. Cousa bem —a, chose bien
L£ire, s. m. lait : ligueur blanche des ma- | trouvee.
melles, des @ufs frais, des plantes; liqueur | Lewsnanor, A, s. et adj. qui fait souvenir,
blanche ; suc ıgu’on extrait de certaines graines. Leusränga, s. f.“ souvenir, m&moire ; reunl-
(fg. poel.) Close exträmernent blanche. (Ag.) | niscence."Avisqu’on donne A queiqu’un;remon-
Preimieres instructions sur une maliere. Cabra, | trance. Tableltes, notes, remarques. "Cadean,
vacca de —, chevre, vache ä lait. — de galli- | don d’amitie. —s, pl. recommandations , com-
aha, ornılhogale : plante. — rirginal, lsit vir- | pliments. Tenko — d’isso, je m’en sonviens,
ginal : teinture de benjoin dans l’esprit de vin. | Ter felizes —s,, avoir des idees heurenses, de
Beber alguma cousa com 0 —, sucer avec le | jolies pens6es. Dai-Ihe —s minhas, dites-Ini
lait, apprendre des l’enfance. Mur ou de —, | beaucoup de choses de ma part, faites-lui mes
ner calme, — escorrüdo. V. Coalhäda. Estar | compliments.
alguma cousa em —. '(fig.) On le dit d’une | LEwerÄir,o.a. faire ressouvenir, rappeler &
chose qui n’a pas encore acquis sa perfection, | la memoire. V. Avisar, Advertlir, Admoesiar.
sa maturite. Filho de —, nourrisson. Irmdo, | Se eu me esquecer, lembra-m’o,, si je l’oublie,
irmä de —, frere, saur de lait : l’enfant de la | il faut me le rappeler.
nourrice a l’egard du nourrisson de celle-ci. Lemerir,ov. n. venir & la memoire; soflrit
Lum£ıra, s. f. lailiere : femme qui vend du | A l’imagination. Bem melembra o que vos dim
Tait. * Pot au lait, jatte pour le lait. |. de bot.) | honlem, je me souviens de ce que je vous
V. Euphorbia maleileira. dit hier. Ha de Ihe —, il s’en souviendra.
Leırteıno, s. m. laitier : vendeur de lait. adj. Leuprär-se (de), v. r. se sourvenir: se rap
Laiteux : qui contient du laitou qui en a les | peler, se remeltre, se ressouvenir; avoir me
broprictes. Qui a un suc blanc (plante —se). | moire de quelque chose. Penser ä.
acca boa —a, vache lailiöre, qui a beaucoup | que..., je m’en souviens , je me rappelle que..
de lait. Lembro-me do lempo em qus..., do felisiem
+.Laıt£xto, a, adj. de couleur de lait; lai- | po de minha mocidade, je me rappelle ie temps
teux. oü..., les besux jours de ma jeunesse.
7 Leıreräd, s. m. (f. de bot.) laiteron piquant. j me de ter ouvido, de ler feito, de ter vis,
* Leitica. V\ Leitda. etc., je me rappelle d’avoir entendu, d’avolt
*+lLertmicäina, 3. f. portee, ventree d’une | fait, d’avoir vu, etc. Lembro-me mailto de ti, je
truie. pense beaucoup 4 toi. Ndo me lemdro de tal,
L£ıto, s. m. lit: meuble pour se coucher la | ne m’en ressouviens pas. Nem tal me lembros,
nuit os #tlant malade; bois de lit. (fig.) Canal | je n’y ai pas pense, Je l’ai oubli6 tout & fait.
d’un fleuve. —, couche, fond, base. (flg.)—, LEMBRRTE,s. m. ‘note, signe. *Reprimande,
nariage. (t. d’artill.) V. Plataforma. — de | semonce. (fig. fam.) * Punition.
barco ,tillac,, petit pont & la poupe d’une bar- | Leue, s. m. (1. de mar.\ gouvernail : timot
e. nıobile pour gouverner un navire, un balzat,
Leıröa ‚s.f. V. Leiläo. . etc.; (fg.) symbole de tout gouvernement.
Leıtoäpo, A, adj. bien nourri, gras. * LEMenTAGAO, 5. f. V. Alimento.
LeitöR, 3. m. lecteur : celui qui lit; profes-
seur en Iheologie dans un couvent; un des
quatre ordres mineurs. Professeur.
Leironino, s. m. ° charge de lecteur, de pro-
fesseur ; sa duree. "Lecture : un des quatre or-
dres mineurs.
+ Leitoria, s. f. "emploi, grade, chaire de
Leniste,s.m. drep fin noir. Drap de Sr
vie de premidre qualiie.
L£UMA,s. m. (6. de math.) lermme : propt-
sition qui prepare & la d&monstration d’an®
autre. .
+Limosiwm, na, adj. ets. Limousio : del&
moges, du Limousin, ancienne prorince &
lecteur. en
FA Luzuino, 4,.adj. Taiteux, Tail : qui a an tL£uoune,s.m.(i.d’hist nat.) nraki: esped
. . de singe, sin .„_varl,
Leituärio. V. Eleciuario. le varı. _ een Ne och. among, ie
Lertöca. V. Alface. mongous. — ou loriz preguigoso, le lori pr
. Lestüna, s. f. lecture: action de lire; chose | resseux. — ou loriz esguio, le lori grele. —®
qu’on lit; emploi d’un lecteur, d’un professeur. lago mediocre, le galago moyen. Ideen ment,
V. Lied. Philosophie 0% cic6ro : Caraclöre | le petit galago. — larseiro, le larsier. —*
d’imprimerie. | lante, galeopitheque, chatvolant.
Leiva,s. f. molte de lerre, glöbe. L£sunes, s. m. pl. l&mures : larves, latins,
® LeixaR. V. Deiar. esprits, ämes des möchants qui, selon IA
’ .
LEN
eroyance des anciens, venaient tourmenter les
vivants. V. Trasgo.
Lzwörsas, s. f. pl. lemuries : fötes de Rome
en !’honneur des lömures.
Lana, s f.(p. us.) appareilleuge, entre-
metieuse, femme de mauvaise vie. V. Alcovi-
ieira.
* Lencio. V. Luepdo. .
Lengaria, s, f. tissus de lin ou de coton.
LEexcinno, s. m. dim. de
Lenco, s. m. *toile: tissu de fl, de lin, de
coolen. — d’assoar, mouchoir de poche. — de
seda, foulard. — do pescogo (de khomem), cra-
vate, Id. (de mulher), fichu. — de muro. V.
Lango.
Lencor. V. Langol.
Lenoa,s. f. legende.V. Legenda. Lera— a
alguem, dire & quelqu’un ses defauis, ses fau-
tes. Exzaminur 0 — a alguem, s’enquerir sur
la.conduite de quelqu’un.
Lenpea, s. f. lente : auf de pou dans les
cheveux.
Lendeico, s. m. grosses lentes.
Lenozöso, A,adj. qui a des lentes, plein de
lentes.
+ Len£as, s. f. pl. (t. d’ant.) lenees : fätes
de Bacchus oü il y avait des combatsde po6sie.
fLento, a, adj. (poet.) de Bacchus.
Lanua, s. f. " bois ä brüler. — de balsa, bois
Sloue. Levar — para o malo, (fig.) donner ä
plus riche que svi; porler de l'vau ä la riviere.
Deitar — no fogo, mettre le [eu aux &loupes.
De arvore caida todos [azem —, quand le lion
«st malade l’äne vient lui donner son coup de
pied. Corlar, fazer — , couper, abaitre du bois
a-brüler. (’asa de guardar a —, bücher : lieu
oö Pon garde le bois.
Lexuapor, 8. m. bücheron : qui coupe le
bois dans les for&ıs.
Lenäto, s. m. *sorte de vaisseau, de navire
ancien.
Lenatino, V. Lenhador.
L&wao ,s. m. tronc d’arbre coupe et d&pouille
de ses branches, (podt.) Navire, vaisseau.
Sanio —, bois de la vraie croix.
Lexuöso, A, adj. ligneux : de la nature du
bois.
Lenıpäpe, s. f. douceur. Humeur douce, in-
dulgente, bonte.
LENIMENTO, 5. m. onguent medicinal. V. Le-
nilico.
Lenxia , o.a. V. Abrandar, Suatizar.
Lexıtivo, s. m. lenitif : remede qui adouceit;
sorte d’electuaire; (Ag.) adoucissement; con-
solation , soulagement,
LEnıtivo, a, adj. lenitif, adoucissant.
Lrnocinio , s. m. commerce de prostitution,
inaquerellage.(flg.) Agrement,attrait, charıne,
amorce, appäl.
Lentam£nte, adv. lentement, aveo lenteur,
piano.
Iswrär,v.n. se ralenlir. V. Lentejar.
”
LEO 739
Lönte, #. f. lentille, loupe : verre convese
des deuxcöles, "u
Lexteıno, s. m. V. Tremedal, Poniano,
Lameiro.
LexteJäDo,A,p.p. de
Lentesin, v. a. humoster. 9.»
Devenir moite, transpirer.
LENTEIOULAS, s. f. pl. pailleites poar los
broderies, etc.
LENTEza. V. Lentidd6 ei Moderapo. .
LENTICULÄR, adj. 2 gen. lenticulaire : quia
la forme d’une lentille.
LEnTictLär, s.m. (l. de chir.) lenticalalre ı
instrument de chirurgie, bouton äxe & l’extrö-
mil d’une tige, et dont la circenference est
tranchante.
LextioA0, 3. f. lenteur : manque d’activits,
de celerit£,
LENTILBA, ®. f. di. de bot.) lentille, * ers,
iegume; plante legumineuse. — dos rios, len-
tille d’eau ou de marais : plante aquatique.
dim. de Lente, lentille : petit verre circulaire
employe en dioptrique. —s, pl. lentilles, ta-
ches rousses sur la peau.
TLestıLußıra, 8. f. (t. de bot.) lentille :
plante legumineuse. V. Lenisiha.
LExtiıL.u6so, A, adj. ‚lentilleux : som& de ta-
ches os lentilles (vısage, peau —se). V. Sar-
dento.
+ LentiscäaL , s. m. endroit monlagneux
plante de lentisques.
Lextisco, s. m. (t. de bot.) lentiaque, ‚pista-
chier, bonduc : arbre moyen. — bastärdo. V.
Philyrea estreita.
LEnTo, a, adj. moile: un pau kumide Un
mouille. Lent, tardil : qui n’est pas prompt.
Peu sctif, qui a peu de force. A fogo— , & petit
feu.
Lextör,, s. m. *lenteur.
LENTÜRA, 8. f. moiteur, bumidit d’un lioge,
eic.
Leto, s. m. lion : signe du zodisque, (P0p.)
"Occasion, Opportunits , loisir pour faire quel-
que chose.
LeöaA , s. f. lionne : femelle du lion.
LeonADo „A,.adj. fauve : couleur de lion
LeönctLo. V. Ledozinho.
Leonkıra, 8. f. loge oü l’on enferme los
lions.
+ Leontiao ,s. m. celui qui a soin des lions.
+Leungz, A, adj. et s. Leonais - de Leon
(en Espagne). Lyonnais : de Lyon (en France).
Lrongza, s. f. V. Leda.
Leönıco, a ,adj. Veias —as, (1. Fans.) vei-
nes sous la langue.
Leonino, A, adj. leonin : de lion, propre au
lion. Sociedade —a, societe inegale entre %
fort et le faible. Versos —s, vers l6onins, dont
le milicu rime ave« la fin.
+ Leonponıo, s. m. (t. de bot.) Iontopodion
ow patte de lion : herbe lanugineuse, plante
des Alpes. — do reino, guaphale ou cotonniäre
». S’humecter.
L&nte, 5. m. lecteur, professeur d’une fa- | du Portugal (mierupus supinus).
calte. V. Lestor.
Le£onitas. V. Leönico.
740 LER
LxönTico ou LEONTOPOnDI0. V. io.
Leonpödi
+ LEONTInO, A, adj. et s. Leontin : deLeonti | de Le
ow L&ontium,, ville de Sicile.
+ LEontörmono, s. m. l6&ontophon : petit
animal dont lachair(selon Pline) est un poison
pour le lion.
+ Leonunina, s. f. (t. de bot.) "lsonurus,
queue de lion, espöce de phlomis.
+Leorinpa, s. f. Juberne : femelle du l&o-
pard.
Leopiano, 8. m. (t. d’hist. nat.) l&opard :
quadrupede feroce, & peau tacheice, tavelee.
Leripissımo, A, adj. sup. de
Lerivo, A, adj. joyeux, gai, enjoue; plai-
sant, agreable.
+ Lerrivore, s. m. (f. d’hist. mal.) löpidope :
trichiure, poisson apode.
+ Lerrisua, s. m. (8. d’hist, nal.) l&pisme,
myriapode, forbicine. — do assucre, Torbi-
eine argentde. — mullipede ‚forbicine marbree.
+ Lerinorteros, adj. et s. m. pl. (t. d’hist.
nat.) lepidopieres : insectes & «quatre ailes
meınbraneuses et farineuses.
Lerra, s. f. lepre, ladrerie : maladie ; se dit
au fig. du peche, du luxe, etc. — branca,
leucce, tache blanche & la peau.
l.ErRöso, A, adj. lepreux : qui a la lepre.
(fig.) Souılle du peche.
+ LerroceruaLo, 8. m. (1. d’hist. nal.) le-
ptocephale - poisson apode.
+Lertüna, s. f. ıt. d’hist. nat.) lepture::
coleoptere telramere.
Lequs, s. m. eventail. Sorte de monnaie
d’Asie.
Lt, v. a. lire : parcourir des yeux les lettres
d’un mot ow les mots avec l’intelligence de
leur valeur, de leur signification, en les pro-
nongant A haute voix ou menialenient; faire
une lecture; expliquer (un auleur). Enseigner
publiquement. (fig.) —, penetrer dans l’esprit
de quelqu’un, deviner. Poder — de cadeira,
pouvoir donner des legons sur une maliere,
la savoir & fond. Ndo saber —, ne connaltre
dans un livre que le blanc et le noir. — no fu-
suro, lire dans l’avenir.
t Lerpico, A, adj. aug. de Lerdo.
t Lennauente, ade. d’une manidre lourde,
grossiere , stupide.
Leano, Aa, adj. lourd, pesant, paresseux,
surtout en parlant des animaux; (fig.) pesant,
stupide, grossier, qui n'a aucun usage du
monde. Ndo ser nada—, etre vif, intelligent,
avoir de l’esprit, n’eire point manchot.
Lena, s. f. (fam.) plaisanterie ; ınensonge ,
histoire. Näo me conle —s, ne me failes pas
des histoires.
tLenioäno, a, adj. et s. de Lerida : ville
d’Espagne.
Lean, s. f. "rabot creux.
+ Liana, s. f. (1. de myih.) * Lerne: lac d’Ar-
g08. Ser uma — de desvenluras, Ag.) eure el-
fectivemen! poursuivi par le malheur.
+ Lennäa, s. f. (6. d’hist. nat.) lerne ow ler-
nte : vor parasiie.
-
LET
+ Lernkas, s. f. pl. (1. d’ant.) Lerndes : föles
e Lerne.
tLennzo, a, adj. de Lerne,
Le£rta. V. Alerta.
Lesivo, A, p. p. de Lesar.
Lesiö, s. f. blessure, fracture qui r&sulte
d’un coup. (Ag.) * Tort, dommage, prejudice.
Lesion : tort qu’on souffre dans queique mar-
che. Paralysie. — enormissima, lesion de plus
de moitie.
Lesir, v. a. l&ser, oßfenser, blesser, faire
tort.
+ Lessio,, a, adj. Lesbien , de Lesbos. Regrs
—G, regle formee de maniere qu’on peut ls-
dapier & la forme de quelque corps que Fon
veut mesurer.
Lesıra. V. Leziria.
Leswa, 8. f. (1. d’hisf. nat.) * limas , licoche
ow limace, limacon sans coguille, mollasgque
gasteropode. (fig. fam.) Personne petile &
maigre; personne Ires-iente, insipide, bonbe
& rien.
Lesuinua, dim. de Lesma.
L£snonndEste, 3. m. est-nord-est: vent qui
souflle entre l’est et le nord-est. —, lien situe ä
l’est-nord-est.
L£so, A, adj. blesse, endommage. (fg.)
Lese : qui a souffert quelque prejudice, & qui
on a fait tort. Perclus, paralytique. —
jwızo, qui a le cerveau fele. Crime de —a mo-
gestade , crime de l&se-majeste : crime commis
contre une tete couronnee.
LESTE, 8. m. est : vent d’orient.
Lestes, adj. 2 gen. pret, prepare. Lests,
prompt. Debarrasse. V. Ligeiro. Estar — er*
ceder carga, (1. de mar.) etre prei ä charger.
L£sto, a, adj. leste, pro:npt. V. Lestes. —@
virar!(1.de mar. pare ä virer!
L£stras ou LEstRes, 8. f. pl. espece de jone
odorant.
+ Lesrav’cones, s. m. pl. Lestrygons : pet-
ples anciens de Sicile qui mangeaient de is
chair humaine : depuis, les Leonüns.
* Letera. V. Letira.
* Leternapura. V. Litterature.
LETHÄL, adj.2 gem. (Podl.) mortel: qui cause
ja mort.
+ LeruaLiwäpe, 8. f. qualits de ce qui caa#
la mort.
LETBALMENTE, adv. mortellement, de me-
niere & causer la mort.
LErTHARGiA, 3. f. leihargie: assoupissemeni
profond contre nature. .
+ LETHÄRGIcANENTE , adv. en lethargie.
LETBÄRcICco, A, adj. lethargique: de la &
tbargie.
Leruärco, s. m. V. Lethargis. (g.) \eibar-
gie : insensibilitö, nonchalance exireme, apt”
thie.
! Letee ou L£tuns, s. m. (4. de myih.) Lätht:
fleuve de Cröte, de l’enfer;; fleuve d’oubli.
Lerueo, a, adj. qui appartient au Benvel4-
the, A l’onfer,
.ı.
[4
LET
Luruisero, A, adj. löthiföre: qui cause la
mort.
Lersinco, A, adj. mortel : qui cause la
mort.
+ L£rtuno, s. m. (1. d’hist. nat.) lötbre : co-
l6optere, scarabeide.
+ Lertiricinte, adj. 2 gen. rejouissant. Gai,
joyeux.
+ Lerinico, A, adj. qui rend joyeux, egaye,
canıe de la joie.
° Leticuir. .
* LETIGU680. | V. Letigar, etc.
+ Lerneir, v. a. 6peler : nommer les lettres
qui composent les mots. ( ig.) Deviner, conjec-
turer, augurer, interpreter, p&netrer.
Lereia, V. Aletria.
Lerrra, s. f. lettre: figure, caraclöre de
Yalphabet; caractere de fonte, de bois, etc.;
&criture ; maniere d’&crire. —, son d’une leitre,
de PA, etc. Mot, Ame d’une devise. Paroles
6crites sous des notes pour &tre chantees, pa-
roles d’un air. Lettre de change. —, texte, sens
Jitteral. — baslarda, cursiva, caractere ilali-
que, lettre bAtarde. — de forana ou d’imprensa,
lettre moulde. — numeral, leitre numerale,
qui sert de chiffre. — cabidoal, maiuscula,
lettre capitale, -majuscule. — redonda, leltre
romaine. — minüsculs, minuscule. — vogal,
voyelle. — consoarle, consonne. — muda , let-
tre muette, qui s6 prononce faiblement. —
cehrisitenga, leitre romaine ow golhique. — de
mdo, &criture. Leltra por —, exaclement, sans
rien ajouter ni retrancher. A’ —, & la letire,
Jiueralement, ponctuellement, exactement. Ao
pe da —, au pied de la leltre, exactement,
poncwuellement. Saber ou ler mulla —, en
savoir long. Ter boa—, avoir une belle &cri-
ture. — de risco marilimo, (t. de comm.)
contrat, lettre & la grosse. — de transporie,
lettre de voiture. Leitras, pl. lelires : science,
&rudition, doctrine; la litierature. Belles-let-
tres. Segwir as —, eludier, s’adonner aux
sciences. Ter as — gordas, avoir l’esprit bou-
che. — khumanas, lettres humaines, humani-
les, belles-lettres. — divinas ou sagradas , les
saintes leitres, l’Ecriture sainte. Homem de —,
homme d’&tude, de lettres. '
+ Lerrrina, s. f. la femme d’un homme de
lettres ou d’un avocat.
LETTRÄDAMENTE , adv. en jurisconsulte ou en
komme de lettres.
LeTtaapice, 8. f. V. Litleralura. Soltise,
impertinence die d’un ton grave. V. Leiira-
dura.
LETTRADINHO, 8. m. dim. de
LETTRÄDO, s. m. homme de leitres, savant,
lettre. Avocat, legiste, jurisconsulte. (fam.)
Sot,presomptueux, qui parle ä tort etä travers.
Lertaino, A, adj. lettre: qui a de l’erudi-
tion, du savoir.
Lertaapüna, 8. f. V. Lilteratüra. ° Mot,
phrase , astuce d’avocat, de jurisconsulie (en
mauvaise part).
LetraXıno, 5. m. "inscription mise sur un
LEV 7a
monument public. * Enseigne de marchand.
* Eliquette.
‚LRUGAO , 8.18. sorte de filet de p&che A mailles
trös-petites.
Leucöcomo, A, adj. (t. de pods.) qui a les
cheveux blancs.
LEUCOPHLEGMACIA, 8. f. (4. de med.) leuco-
pblegmatie : espece d’hydropisie pituiteuse;
cachexie.
LEUCOPBLEGMÄTICO, A, adj. leucophlegmati-
que: attaque de leucophlegmatlie.
+ Leucöruaa , s. f. (t. d’hist. nat.) leucophres
polype amorphe.
+ Leucöpse, s. m. (1. d’hist. nal.) leucopsis s
bymenoptöre, chalcidite.
Leuconanda, s. f. (t. de med.) leucorrhce :
flueurs blanches.
+ Lsucrocüta, 8. f. (4. d’hist. nat.) * leucro-
cote : quadrupede de l’Ethiopie, qui ressemble
a l’äne sauvage; quadrupede qui imile la voix
humaine.
*Leino,A (V. Lido), p. p. irr. de Ler.
Leva,s. f. (1. de mar.) parlance: depart d’une
flotte, d’un vaisseau; lever de l’ancre. (id.)
Presse, levee de gens de mer. (4. mil.) Levee
de soldais; signal de depart. it. V. Alavanca.
Peca de —, coup de partance ou de depart:
coup de canon lir6 par un vaisseau pour annon-
cer qu’il va partir.
Levaciö,s. f. V. Tumor, Inchago.
Levina,s. f. "courant d’eau; canal, rigole
pour conduire l’eau. " Biez : petit canal elev6
qui conduit l’eau sur la roue d'un moulin. Le-
vee; enlövement. * Transport. Escorte de pri-
sonniers. Allaque, assaut d’escrime. Poiro de
boa —, jeune cheval de bonne allure.
Levanär. V. Levedar.
Levandente, s. m. (8. burl.) *semonce. it.
V. Mordedura.
LEvaDia, 5. f. mouvement inquietde la mer,
houle.
LEvADico, A, adj. qui peut se lever et se
baisser ; que l’on peut mettre etretirer. Meuble:
ais6 A remuer. Ponte —a, pont-levis. Terra
—s, terre lransport&e ou meuble.
* LEVADIiGA, 5. f. V. Tumor, Inchago.
Levapio,s. m. V. Levadia. Tecto, telhado
de —, toit, loiture qui n’est pas attach6e par le
mortier, facile & enlever. Cousa de —, (fig.)
cbose en l’air, sans fondement.
Levino,A,7.p9.de Levar.
L£vaoo, A, adj. lev6,oü ilyadu levain,
qui estlev&, fermente. p. p. irr. de Levedar.
LEvADOR, A, 8. celui, celle qui conduit, qui
mene. Voleur adroit. Ravisseur.
Levapöuna, 8. f. barque de charge.
LEVADURA, 8. f. " levain. — das gallinhas ,
excröment, fiente des poules.
* LEvAMEnTO, 8. m. * action de porter. Vol.
Enlevement.
LEVANTÄDA ‚s. f. aclion de se lever.
+ LEVANTÄDAMENTE, adv. avec e&l6vation.
Etiourdimen®. Seditieusement.
+ LEVANTADIQO,, A, adj, ais6 A 56 soulever, &
782 LEV LEV
ei
se revolter; qui a l'habitude de se soulever. | — 0 pensamento, s’animer, se r&soudre A une
Rebelle, insurge. entreprise d’6clat. — 0 silio, lever je Ri
LEvANTäÄnDo, A, pP. p. de Levantiar. adj. | d’une place. — o cdo, voler, preridre Y üt.
Leve, ölev6. Debout, sur ses pieds, Soulere, | (4g.) S’enorgueillir. — fogo, allumer le Teu.
insurge, revolie, seditieux , mulin, meconient. | (Ag.) Pxciter, Tomenter des querelles. —genle,
Hautain; dlourdi. soldados, exereito , lever des troupes, faire des
LEVANTADOR, 8. m. (. de chir.) elövatoire : | recrues , melire une armee sur pied.— 0 caf0,
instrument de chirurgis pour reiever les os du | faire lever le gibier. (Ag.) Metire une question
cräne enfonces. Moteur, auteur de sedilious. | sur le tapis, &lever une contestation. —a lebre,
Celui qui hausse. (Ag.) ever le liövre; metire une queslion sur
Levantapdona, 8. f. V. Levanlamenio. le tapis; soulever une difßculte ; don-
LEVANTAHENTO, 8. m. “ elevation, exbaus- | ner lieu & une dispute. — a roz ou 0 grile,
sement. Soulevement, sedition, rebellion ; | dlever la voix, parler plus haut qu’il ne con-
‘“meute. * Sublimits, elevalion (pP. ws.). — de | vient, ou se fächer, se melire en colere. —
desterro, rappel de ban. — d’um campo, de- | pofira, [aire de la poussiere,. (fig.) Faire cou-
campement, levee d’un camp. rir un bruit, donner lieu a une dispule. — boa-
Levantinte, adj. 2 gen. et p. a. de Lervan- | deira, (fig.) se metire ä la t&te d'un parli.—s
tar. (1. de blas.) Qui se leve, debout (animal). | cerriz, (Ag.) s’enorgueillir. — a mdo d’elgum
Levantir (a,de, em), v.a. lever, hausser, | negecio, (id.) se desister, renoncer ä.. — ®
dlever ; ramasser; dresser ce qui etail couche. | destdrro, rappeler, faire revenir les exiles. —
Relever, redresser. Elever, construire, Iälir. !: um fesfemunhe a alguem ‚ accuser (aussemenl,
(Ag.) Soulever le peuple, exciter des sedi- ı imputer ä tort. — 0 poca, soulever, faire rerol-
tions. (id. ) Imputer, attribuer faussement. | ter ie peuple. Ndo — as olhos, ne pas lever les
(id.) Elerer aux honneurs. (id.) Relever celui ! yeux, @tre humble, modeste. — as macas, (l.
qui a fait une chute. Elever : faire qu’une de mar.) relever les hamaes. — o enberge ‚Ir
chose domine, soit plus haute. (Ag.) Elever, | ver !’eınbargo. .
louer, exalter. (id.) Exeiter, fomenter, eire] LevaxtÄr, v. ®. croiire, grandir, augmeb-
cause. Couper les cartes au jeu. Encourager. | ter. Hausser, augmenter de valeur- — 0 lampe,
Prendre en jouant. —, recruter ( des troupes)). | se remetire, devenir calme, serein, parlast
Rehausser, hausser, relever. Augmenter le | du temps; se mottre au beuu, nesser de pleuroir.
rix. Elever Phostie & la messe. Lever, en par- | ' LEvanTär-sE, ©. r. se lever, se melire de
ant d’une excommunication, d’un interdit, | bout; sortir du lit.iA%g.) Relever d’une masladie,
Ö’une peine, etc. Lever, elever, en parlant des | se relever d’une perte. S’elever, survenir, pl
yeux et des mains. — cabera, (fig. fam.) so re- | lant d’une tempete, d’un orage. Se sonlerer, #%
mettre, relever de maladie, commencer & se | rövoller, se lever, s’ameuter. Quitter le je®
porier mieux; se relever de queique perte, r&- | apr&s avoir gagne : faire Charlemagne: — 0 de
tablir ses affaires. Ndo — cabera, tre tr&s-oc- | veder, faire banqueroute fraudulense, sabsed-
cupe (Alire,& ecrire, etc.). (iy.) Ne pouvoir | ter, s’enfulr. — com alguma cousa, s’eınpat
de remeitre d’unie maladie; nv pas se relever | de ce qui appartient & un autre. — com 0
d’une perte, etc. — do frabalho, quitter, sus- | nheiro, debanyuer, s’emparer de tout Farges!
pendre le travail, parlant des ouvriers. — o | au jeu. — conira alguem, se soulever,
prego ou o valor d’uma cousa, hausser le prix | tete & quelqu’un. — ds esirellas ou ds wurend,
d’une chose. — fereüra, eoınmencer & bouil- | (Ag.) s’elever jusqu’aux nues, s’enorgueilil.
lir, houillonner. — o dedo , lever la main , pro- | — rom as esirellas, se ever de grand mal.
mettre, faire serment. — a mdo, lever la.main, | Levanfarem-se os cabellos, se dresser, se beris
menacer avec la main. (Ag.) Retirer la protec-'| ser, parlant des cheveux. — ums tormenia,
tion actordee A une persönne ; abandonner une | uma tempestude ‚se lever une tempete, un grel
affaire. — as mdus ao c£o, lever les mains au | temps. — com 0 sanlo e com a esmola, ( aM.)
ciel. —a mesa, Öter le couvert,, lever lanappe, | se rendre mallre de l’esprit ou de la fortune de
desservir. — os olhos ao cdo, lever les yeux au | quelqu’un.
eiel, implorer son secours. —rei ou por rei,| Levinte,s.m. Levanı, Orient, Vent dest,
pröclamer roi.— do pö, da terra, (fig.: tirer | d’orient : levanı Estar de —, eire sur son d*
de la boue, de la misere. -— 0 campo, o| part, n’etre dans un lieu qu’en passant.
erraial, lever le camp, decamper. — Iributos, | LEväntıco ow } Levantin, qui appe-
imposer des tributs. — 08 Iribulos ao poro,| LEYANTIiNnO, A,adj. ) tient au Levani:oriel
decharger le peuple des tribuls, des impöts. ' tal.
— oslas, galds,, construire des vaisseaux, des | Levanrtisco. V. Leranlino.
galdres. — obediencia, se revolter, se sous- | LEYANTO, s.m. Cdo do —, chien d’arrti.
traire A l’obeissance. — fanca, satisfaire & la: Levan (a, com, de, em, para, por), *-#
eaulion. — as ondas, aglier la mer, soulever | transporter; conduire, mener. Porter. Empor-
les vagues, parlanı du vent. — o espirito, re- . ter; saisir. Voler. Supporter, endarer, soußH-
iover, ranimer le courage. —o espirito ou 0 | (ifig.; Attirer ä son parli ‚amener a son opini0l-
eoragäo a Deos, prier, mediter. — 0 estylo, | Mener, conduire, aboutir. Gegner, obtenir. #
«leyer son style, parler, &crire avec noblesse. | querir. Etre puni, chAtie, r&primendd. Reim
—
LEV
er
un nombre dans üne addition, ete. Lever,
suivi d’un participe, exprime qu’on 3 prevenu,
fait d’avance l’aclıon designee par le parlicipe.
Ex. : — estudado, avoir etudie d’avance. Suivi
de la preposition por ou de et d’un nom, il
margne une aclion conforme d ce que ces ınots
signilient. Ex. : — por leıma, etc.; por forga,
agir par obslination, elc.; ravir, enlever par
force. — de brio, se piquer d’honneur. — ds
cösias,, porler sur Ic dos, porler sur les &pau-
les. — a dianle, (fig.) pousser sa pointe, ne
pas se desister. — com sigo,, mener avec 801.—
a carga,(fig.) avoir toule la peine, porter seul
fe fardeau. — em conla, porter en compte. —
a melhör, avoir fe dessus, l’avanlage. — a
peior ‚avoir le dessous. — vanlagem a..., l!’em-
porter, avoir l’avantake, surpasser. —abem,
voir de bon @il, prendre en bonne part. —a
mal,prendre en mauvaise part. — d espdda,
passcer au fil de l’epee. — agoules, pancadas,
reccevoir le fouet, une volee. — ao cabo, ao im
uma cousa, mettre fin ä quelque chose. — ao
cabo , ou alE av cabo, tenir tete jusqu’ä la fin.
— s palma, remporter le prix, l’avantage. —
@ ua avanle, parvenir A son but. — boa ou
md vida, mener une vie agreable ou penible.
— ferro, ancoras,(l. de mar.ı lever l’ancre. —
tempo , prendre, exiger du temps. — alrdz de
si, entrainer. — em peso, porter en l’air sans
s’appuyer. —a aqua ao seu moinho,(fig.) ne
penser qu’ä soi, ne precher que pour son saint,
m, trailer avec douceur. — de baixo,
abattre, jeter par terre. — da espada, lirer son
€pee. — remos, (tl. de mar.) lever les ranıas,
Leva remos! (id.) leve rames. — de vencida
o inimigo, vaincre l’ennemi, le meltre en de-
route. — o caminho de..., prendre la route,
ötre sur la route de... — caminho, disparailre.
—bom ou mdo caminho, prendre bonne ou
maurvaise lournure, — pelo beico, (fiy.) mener
par le bout du nez. Ale mais nio poder — „bord
& bord. O que a agua dd a agua 0 leca, (prov.)
ce qui vient de flot s’en reieurne de maree, V.
Sacrisiäo (bens de). Onde se ddo ahi se levdo,
(phras.prov.)ä bon chat bon rat.
Levär-se (de), v0. r. se laisser emporler par
Ja colere, etc. Marcher. Faire voile, naviguer,
parlant d’un vaisseau.— de brıo, se piquer
d’honneur. — da gloria, ne respirer que pour
la gloire. — o sol, se lever, parlant du soleil.
— bem, marcher ou naviguer avec vilesse.
L£ve, adj. 2 gen. leger, qui ne pese guere;
dispos et agile; qui ne p&se pas, ne s’oppesan
tit pas; facile A digerer (aliment); aise & sup-
porter (joug); (Ag.) peu imporlaat, peu consi-
derable; superliciel; volage. De —, lexere-
ment, en etourdi; trop facilement. Crer de —,
croire legerement, & la legere, trop facile-
ment. Que cr& de —, qui croil de leger, leger
äcroire.
Levevino, A,p. p. de
LEvEDAR, v. a. ein, lever, pousser, fermen-
ter. Faire fermenter.
LEYxDÄR-SE, v. r. fermenter, lever.
— LHA
L£veoo. V. Löcado: I
Leveufinte, adv. lögerement, medioere-
ment. ifig.) V. Venialmente. Y ',
+ LEvEnTE ,s.m. soldat de fa marine turqu®.
LEves, s. m. pl. (1. de vener.) V. Bofes.
Letvesinno, A, adj. dim. do Leid.” °
Lev£za, s. f. legerete : qualit6.de ce qui est
leger, peu pesant; (flg.) inconstänce, instabi-
lite ; imprudence. .
+ Levi, s. m. la tribo de Levi.
LEviannäne, 3. f. legerele, inconsequence,
indiscretion. Conduite irreguliere par indis-
cretion. . \
Lennino, a, adj. leger, indiscret, inconse-
quent. Tete lögere. en
LEVIATHAN ou —Ä0, s. m. l&viathan : nom
donne par l’Ecriture & un monstre marin ; ani-
mal cetac6, la baleine; le crocodile; serpent
marin. u
Levivipe, s. f. legeret# (physique). (Äg.)
Facilite avec laquelle on fait quelque chose.
Levioäö, 5. f. lögereis (physique). il. V.'Le-
viandade. oo.
Lrvicacäö, s. f. action de polir, etc. V. Ze-
vigar. Levigation : action de leviger, ses ellels,
Levicipg, 4,9.92.de .
Levicär, vd. a. polir, brunir, planer, raboter,
rendre lisse, uni. Leviger : reduire en poudre
impalpable.
LEvin#o, A, adj. dim. de Lere.
LeEvirepe, adj. 2 gen. (podf.) qui a le pied
leger. - - »
‚Levisgıso, A, adj. sup. de Leve.
Lrvisrico. V. Ligustipo. . a
Levita, s. m. Iövite : sacrificateur chez les
Juifs; israelite de la tribu de Levi. Diacre,
Levirtico, s. m. Jevitique : troisieme livre du
Peptateugue ; Ireite des ceremgnies des 16-
viles. . .
Lexia,s. f. V. Lizieia, * Arbre de la Chine &
fruit en [orme de pomme.
Lexıco. V. Lezicon.
+ Lexicocnapnia, s. f. lexicographie : partie
de l’orıhographe quf prescrit les regles pour
ecrire les mols conformement & usage.
LExicoGcrAPHO, 8. m. lexicograpbg: auleur
d’un lexique, d’un dielionnaire.
r Lrxıwwrocia, s. f. lexicologie : science qui
embrasse tout ce qui concerne les langues;
science des mots; trail& sur les ınols.
f LrxıcRAPBIiA, 5. f. lexigraphie ; formation
des mols,
Lexicon, s. m. lexique , lexicon : dictionnaire
dont l’usage est [r&quent.
Lexivia, etc. V. Lixivia, etc.
* LEYDıMO pour Linımo.' V. Legilimo.
*L.rz£x. V. Lazer, Descango, Vagar.
LF>inA ou } le plat pays au bord des ri-
L£zinia, s. f.J vieres, qui est inonde par
la crue des eaux.
Lua ow Lp’a, contraction de a ella, & elle,
sui; la, lui. V. Lhe.
Luima,s. f. etoffe lamde en argent ou en or.
Pi we a pP)
743
744 LIB
+Loima,s. m. (1. d’hist. nat.) glama, lama:
Mouton du Perou, mammifere ruminant.
LuANAMENTE, adv. uniment, franchenıent,
sans detours. Simplement; sans affectation.
‚ Laantza, s. f. bonhomie, candeur, fran-
chise, sincörite; naivele, ingenuite.
Luäno, A, adj. doux, aflable; ingenu, nalf;
sincere, franc.
Lne, contraction de a elle, cas oblique du
pronom masculin et feminin de la troisieme
personne. Le, lui, & lui. Dizer-Ike, perguntar-
Ihe, lui dire, lui demander. Dize-Ihe, per-
gunia-Ihe , dites-lui, demandez-lui. Pedir-Ihe,
agradecer-Ihe, le ou la prier, le ou la remer-
cier. Pede-Ihe , agradece-Ihe , priez-lo ou la, re-
merriez-le ou la.
* Luı. V. Lhe.
Luo ow Lw’o, contraction de dhe 0, A lui, lui;
le, lui. V. Lie.
Lı ou Lıı. V.Zy.
Lia, s. f. lie : d&pöt que faic une liquear.
(ant.) V. Linha ou Linhagem.
Liaca ‚5. f. botte, liasse. "Lien, attache, sur-
tout d’osier.
Liacäö, s. f. * lien, attachement.
Lıino, a, p. p. de Liar.
Lıap6uRo, 8. m. (t. de magon.) * pierre d’at-
tente.
Lıäce, s. f. toile grossiere.
* Liicem. V. Linhagem.
Liäug, s. m. (8. de mar.) "liaison : assem-
blage de toutes les piöces d’un vaisseau, pi6088
d’allonge , membrure. Lien, liaison, union.
Liänca, s. f. "lien. Alliance, union, affinite.
Lıiäiö. V. Leäo.
Liär, v. a. lier, attacher.
Lıär-s& (com), v. r. se lier, s’unir. Contracter
alliance.
Lisacäö, s. f. libation: effusion de vin, ou
d’autre liqueur, que les anciens faisaiont en
l’honneur de la Divinile.
LisÄue 0% .
LIBAMENTO. | V. Libagäo.
LiBANARIOTO , 5.m. esp6ce de plante. V. Ros-
manınko.
+ Lisänıco, A, adj. du Liban.
+ Lisano, s. m. (i. de g6og.) Liban: montagne
de l’Asie.
LiBäR, v.@. sucer : tirer le suo da bout des
levres. Sacrifler. Faire une libation. Goüter une
liqueur, täler, ellleurer, toucher du bord des
iövres.
+ LißaTörR10, s.m. libatoire : vase pPropre aux
lihations.
+} LiBeLLäTıco, s. m. libellatique : chretien
qui achelait une sauvegarde, durant les per-
söculions sous les empereurs.
-} LisgLLinna ‚s. f. (i. d’hist. nat.) demoiselle,
libellule os libelluline : insecte & longues ailes
et gros yeux.
Lis£LLo, s. m. *demande en Justice, roqudte,
memoire. Libelle, dcrit injurieux. — infamato-
ro, libelle dilfamatoire, — de repudko, lotise
de divoroe,
” LIB
+ LiBENTISSTwamenTe,, adv. de tr&s-bon grt,
de tres-bon caur, avec grand plaisir, irds-vo-
lontiers.
+ Liseracäö, s. f. deliböration, oonsultation,
aflranchisse-
resolution, (inus.) Delivrance,
ment.
LiBERAL, adj. 2 gen. liberal, genereux. Libre,
exempt.—, digne d’une personne libre et bien
nee (opinion, &ducation). Artes —des, arı
liberaux :
qu’au travail des mains. /ddas —des, idees Iı-
berales, nobles et libres,, qui ont pour prin-
cipe les lumieres, lo patrietisme, la haine du
despotisme.
Qui apparliennent plus & l’esprit
+} LiseraL, s. m. liberal : partisan , ami des
id6es liberales, d’une sage liberte.
+ LieeraLäö, s. m. aug. de Liberal. Grand
liberal, partisan outr6 du liberalisme.
Lißeralßza. V.
liberalite : verta qui
LiBeraLıpine, 8. f.
porte & donner & pro-
pos ; magniflcence;; generosite active.
+ LiseraLismo, s. m. liböralisme : syst&me,
ensemble, adoption des ideas liberales; oon-
duite politique reögl&ee d’apr&s ces idees.
LiBEraLissımo, A, adj. sup. de Liberal.
LiBEraLıziDo, A, p. p. de Liberaliser.
LIBERALIZADOR, A, 3. personne liberale , gb-
nereuse, qui fait des largesses.
LiBERALIzÄr,, v. a. donner liberalement.
LiBERALMENTE, ado. liberalement : d’une
maniere liberale, avec liberalite.
+ LiBeRaTivo,a,adj. qui ala qualit6 de de
livrer.
Lisgaväne, 8. f. liberie : pouvoir d’agir ow
de n’agir pas, de choisir; independance des
commandements, de la volonte d’autrui; eial,
condition libre; manidre libre, hardie, fami-
liere; l’oppose de göne ; excessive liceno# ; per-
mission de parler, d’ecrire librement, exemp-
tion, privilege, franchise. Maurs dereglee.
de consciencia, liberte de conscience : per-
mission de professer la religion que Fon veat
— de cullos, liberts des cultes. — d’estado, etat
d’une personne libre, non engagee dans le
mariage, dans les ordres, eto. — politics, Ii-
berte politique : constitulion d’un Etat par le-
quelle le peuple participe ä la puissance legis-
lative. Dar ou permitlir a alguem loda 6 —.,
mettre la bride sur le cou & quelyu’un. Fer —
com alguem,, &ire libre avec quelqu’un. Di:
—s, dire des ınots bardis, insolents; etre imr
pertinent, insolent dans ses propos; 56 pel-
meitre des libertes.
+ Liserpino. V. Desonerado, Läberlado.
LiB£akımo, A, adj. sup. de Liore.
LiBertacaö, 5. f. liberation, affranchisse-
ment.
LiBertädo, A, p. p. de Libdertar.
LISERTADÖR , A, 3. liberateur : qui delivre, &
delivr6 quelqu’un ow plusieurss de la serrilude,
du peril.
Lisentär (de), v. a. mettre en liberie, affran-
chir, delivrer d’esclavage. Liberer d’une dette,
ec, Preservor, dölivrer. Il est aussi nöciproget,
uUG LIG 745
+liserrıciva, adj. 2 gem. liberticide : des- 1 Licäna, s. f. lice longue. V. Lica.
tractif de la liborte. s.m.—, celui qui detruit | *+ Licäno.V. Ayfurddo, Liquidado, Liquido.
la liberie. Licäö, s. f. lecture: action de lire. Legon :
t Livsarıcinio, s. m. liberticide : crime du | instruction donnee & celui qui ignore une
liberueide. science, etc., pour la lui apprendre; instruc-
Lisaatınäcem,, 5. f. "libertinage : debauche | tion recue;; action de la donner ; son moment;
eu mauvaise condaite; abandon aux plaisirs | chose donnee & apprendre; precepte, avis; re-
charnels; desordre, dereglement de maurs; | montrance, reprimande, chätiment. Lecon :
ireligion ; ineredulite. partie de l’office A matines; maniere dont un
Liesxtino, a, adj. et s. libertin : deregle | texte est dcrit.— de ponfo, discours, these dans
dans ses maurs; debauch6, dissolu; esprit | un concours. Dar —, reciler la ou sa lecon, en
fort, incredule. parlant d’un €colier. Dar uma —a alquem,
Linerrino, s. m. (t. dans.) fils d’affranchi. | donner une legon, faire la legon & quelqu’un.
Listato, s. m. affranchi : esclave & qui l’on | Dar lieöes, donner des lecons.
donne la liberte. adj. Mis en libert6, hors de | Licäosinua,s. f. dim. de Ligdo.
prison ; affranchi , libere. Lic&nca, 8. f. licence, permission, dispense;
Lis£ruripes, s. f. pl. (t. de myth.) Libethri- | liberte outree. * Conge. —, grade de licencie.
des : nymphes ; les Muses. — poelica , licence poetique , libert6 que prend
Lisıco. V. Libyco. le podte contre les rögles. Com sua — , cam li-
Lisipınösamente, adv. d’une maniere libidi- | cenga de V. M., avec volre permission. Da —?
neuse, impudiquement. peut-on entrer?
Lisioımöso, a, adj. libidineux, dissolu, las- | Licencıäno, A,p. p. de Licenciar. adj. On le
eil,trop sensuel; impudique, luxurieux. dit d’une personne qui se croit instruite.
Lisıo. V. Lidyco. LicencıÄno, 5. m. licencie : celui qui a fait
Lisıtina, s. f. ( poet.) la mort. sa licence, a pris le degre de licence et peut
Lisıtinänıo, A , adj. libitinaire. V. Sepullu- | enseigner. Chirurgien de vaisseau marchand
reiro. ow de village, carabin.
?Lisırum (ad), ade. lat. & volonte. Licencıam&nto ou ) "licence : grade de Ii-
fLinönco, s. m. (£. d’Afrique) morceau de | LICENCIATO, s.m. cencie.
twile de chanvre, de trois quaris carres, qui | Lucenciar,v. a. liceneier, cöngedier. Donner
tient place de monnaie & Angola: quatre va- | le grade de licencie. —um lioro,, permettre
lent 20 reis portugais environ. l’impression d’un livre.
Liska,s. f. livre: poids commun&ment de | LicENcIAR-Se, v. r. prendre conge. Se per-
seize onces ; monnaie de compte. Balance : sep- | mettre, prendre des libertes contre les regles.
lieme signe du zodiaque. — esterlina. V. ce | Devenir licencieux.
mot, LICENCIÖSAMENTE ,„ ade. licencieusement :
Lisracäö, s. f.libration : balancement d’un | d’une maniere licencieuse.
eorps jusgqu’a ce qu’il soit en &quilibre. — de | Licemciöso, A, adj. licencieux : deregle, dös-
Isa,(4. d’aswr.) libration de la June , mouve- | ordonne&, debauche,
ment, balancement apparent de la lune owde | Licko. V. Zyc£o.
ses taches. + Licuen, s. m. (1. de bot.) lichen : pulmo-
*+Lisnapica, s. f. somme de livres ( mon- | naire de chene, plante cryptogame, parasite.
Licuinacäö, 8. f. V. Lichino.
naie).
Ludkino, A, p. p. de Librar. Licnino, s. m. * meche de charpie dans une
*Lianinca. V. Lioranga. blessure.
Lisrir, ©. a. balancer, tenir en &quilibre, | “+ Liciatörıo, s. m. peigne de lisserand.
donner le contre-poids. Etayer. (#g.) Fonder, | Liatagäö, 3. f. licitation : vente par en-
faire fond sur. — as suas esperancas em al- | chere, faite par des coproprietaires d’un bien
guem, fonder son espoir en quelqu’un. indivis.
Lisrär-s£ (em), v. r. planer, se soutenir + Licırapör, s. m. celui qui fait une licita-
sur ses ailes. — em alquem, (fig.) se fonder, | lion. ,
s’appuyer sur quelqu’un,, faire fond sur lui. Licıramente, adv. licitement. . u
Linz, s. f. livree: habit uniforme des pages, Licıtinte, adj. 2 gen. celui qui encherit. V.
des laquais, etc. —, couleurs qui distinguent Licilardo. p.a. de ı
les differents quadrilles d’un carrousel. Tous | +Licıtär, v. a. lieiter : faire vendre judi-
ceux qui portent la möme livree. (Ag.) Cos- | ciairement, & l’enchere, par licitation. Enche-
rir.
lume.
Linuta. V. Löoree. Licıro, a, adj. licite : qui n’est pas interdit
+ Lisa2o ow —u. V. Lebrel, Gälgo. par la loi.
Lisrco „a, adj. deLibye, pays de l’Afrique. | Licör. V. Liquor.
Licanco.V. Licrango. LICÖRNE , s. m. licorne : animal sauvage, [a_
Licäre. V. Alicdie. buleux ; cheval avec une longue corne au front,
Lıca , s. f. lice, aröne ‚amphitheätre, champ | — marinko , licorne do mer ou narwal , espdce
cios pour los combais, ew. V. Lide. de baleine.
, 746
en.
nn
LIG
- .s
Licos, e. m. pl." trame , fils de latrame d’un
tisserand. ‘
Lickänco, s. m. (1. d’hist. nal.) orvet, or-
veht, avoye, aveugle : serpent ovipare.
LicTör ‚s. m. licleur : officier arıne d’un fais-
ceau, d’une hache dans un laisceau, qui e$-
cortait les consuls & Rome.
Lioa ‚8. f. * mouveinents, soins, d&marches
pour une affaire; tracas, faligue, travail. Com
muila —, laborieusement.
Livivo, A, p. p. de Lidar.
LipanOr,A, s. grand travailleur, qui se donne
besucoup de mouveınent, beaucoup de mal.
Guerrier ; combaltant.
“ Livirn,e.n. travailler, prendre de la peine,
faire beaucoup de demarches. com) Combat-
tre, se debattre; se demener. ı Ay.) Disputer;
avoir affaire & quelqu’un’ d’un caractere difi-
cile, fatigant.— com muila gente, connaltre,
frequenter beaucoup de ınonde; Iraiter avec
bien des gens. Il est quelquefois aclif. Ex. : —
alguem, punir. tracasser quelyu’un, lui don-
ner beaucoup de peine, —a tida, travailler,
lutter contre les maux de la vie.
Live, s. f. * combat, bataille. (Ag.) Dispute
litteraire, contestation; aclion en juslice. V.
Liligio, Demanda. Enirar na —, enirer en
lice.
Livıa,, ete. V. Lydia, etc.
® LIDIMAR. .
* LioımO, etc. | V. Legitim...., eto.
Livo, A,p. p. de L#r. adj. Qui a beaucoup
lu; instruit,, savant.
Linnöso. V. So.
Lienteria, 8. f. (6. de mdd.) lienterie : sorte
de dövoiement sans digeslion.
Lıto. V. Lyeo.
Lıica, s. f. jarretiöre. Echarpe pour soutenir
un bras blesse, demantibul6, etc. Ligue, con-
federation de plusieurs &lals ow princes pour
l’attaque etla defense; la Ligue ,confederation
calbolique, populaire, au seizieme siecle, en
France, contre Henri Ill et Henri IV, complot,
cabale. " Alliage : melange de melaux. fig.)
* Melange. — de lei, "aloi.
+ Licacio, ». f. action de lier. Liaison,
union. Suite dans un discours.
Licavo, A,p.p. de Ligar.
Lıicänos ,s. m. pl. conlederös, allies.
Licapöra,s.f. "lien, atiache. "Bandage, li-
gature. (f. de mus.) Ligature : union, par un
trait , de plusieurs notes,
LicacAusa, s. f. Jarreliere.
Liciue. V. Liame.
Licimen, s. m. (4. de Ih&ol.) emp&chement
de mariage.
Licaum£nto,s. m. action de lier. (t. d’anat.)
Ligament : muscle, tout ce qui lie, atlache les
parties.
Licament6so,A, adf. (4. de bot.) ligamen-
teux : (plante —se) & racines entorlillees
comme des cordes; qui a des vrilles,, etc.
Licän (com), v. a. lier, attscher. Bander.
Allier les mötaux. (fg.)—, unir. Nouer l'ai-
LIL
guillette ,„ rendre impuissant. (id.) Interdire,
V. Enleiar. Lier par l’excommunication. Los-
rer, en lerme de musique. — por [eiligaris,
ensorceler. — com ferros, enchainer. — com
beneficios, (fig.) engager, allacher quelgu’un
par des bienfaits. Ndo — zuas ideas, n'avoir
point de suite dans ses idees.
Licär-se, v. r. se liguer, s’unir, se con[&de-
rer. (fig.) Se lier, s’engager, s’obliger.
Lictıra, s. f. V. Facilidade , Leveza ei L-
geiro.
Lickiramente, ade. legerement, avec agi-
lite; doucement, superßciellement; &la legere,
inconsiderement.
Licemeza. s. f. legeret& : manque de pesan-
teur, souplesse; agilite , vitesse; (Ag.) incon-
stance, instabilite;imprudence, defaut de soli-
dıte dans l'esprit, elourderie , &vaporalion. —
de mäos, tours de passe-passe,, escamolage.
Liceinice , s. f. legerete. Indiscretion.
Licrinisstmo, A, adj. sup. de
Lisrıno, a, adj. leger : peu pesant; agile,
prompt, dispos. (fig.} —, inconstant, volage.
Facile,aise. V. Lere. 4’ —a, & la legere. Un le
dit d’une personne qui voyage avec peu de ba-
gage, etc. Andar — , aller lesiement, @tre ac-
til, se depecher.
Licıo, s. m. (1. de grat.) *lige: droit de re-
lief. adj. Lige: (bommage —) plein; (homme,
fiel —) qui le doit,
* Lıcöma. V. Legume.
Licneo, a, adj. (poet.) ligneux. V. Lerkom.
LicniricÄR-SE, ©. Tr. se convertir en bois, se
lignifier.
+ Liunivoros, s.m. pl. eladj. (1. d’hist. nal.)
lignivores : insectes qui attaquent le bois.
° Lict£ira, 8. f. garnilure etroite dans les
habits, etc.
+Licrıa, se. f. (t. d’hist. nat.) ligule: ver des
intestins dans les oiseaux.
} LictLöso, a, adj. (1. de bot.) ligule:: taille
en languette.
FLicirıa, 8. f. (t. de geog.\ Ligurie : contre
de la Gaule cisalpine , auJourd’hui le Monterrat
et les elats de Genes.
+ Licorino, A, adj. ligurien : de la Ligorie.
+ Licöstico, s. m. (t. de bot.) ligusticum:
plante ombellifere de Ligurie ; angelique d
feuilles d’ache. — do reind , ligusticum du Por-
tugal i lieusticum peregrinum).
+ Licöstıco, a, adj. V. Ligurino.
+ Licistae, s. m. * lleur du troöne.
+ Licustrino, A, adj. du tro@ne.
+ Licöstro, s. m. (1. de bot.) ligustrom,
tro&ne. V. Alfeneiro.
* Liipımo ( Alho). V. Legitimo.
Luoxsa, s. f. V. Rhombo. it. Lisonja.
Lıowmeıno. V. Lisonjeiro.
+ Lira ow Liria, s. f. (4. de geog.\ Lille:
ville de France. * Camelot de Lille, en Flandrt.
Toile de Lille.
LıiLiz, s. m. (f. de bot.) lilas : arbrisseau 18
Deur ; queue de renarti de jardin. — da Pern#,
lilas de Perse.
LIM '
+ Litiiceas, adj. et s. f. pl. (1. de bot.) lilia-
cees : fawille de plantes monvcatyledones;
(plantes —; dont la leur ressemble A ceile du
hıs ordinaire.
+ LirLiL£, s. m. acclamation des Arabes dans
leurs fetes.
+ Liusßıno, s. m. (8. de bot.) liriodendron li-
liifera.
Lirio. V. Lirio.
Liwa, s. f. lime : espece de citron doux
Lime : outil de serrurier, etc. ( Ag.) Correclion :
derniere perfection d’un ouvrage. — surdas,
lime sourde : lime garnie de plomb qui lime
sarıs bruit; ( Ag.) le teımps, el tout ce qui mine,
ce qui consume insensiblement.
LiMADAMENTE, adv. correclement; poliment,
+ Limaoeıra, s. f. (l. d’hist. nat.) lime-bois,
coleoptere.
Lımipo,A,p.p. de Limar.
Lisandör, 8. m. celui qui lime, qui polit;
( Ag.) correcleur, censeur.
Limapüra, s. f. action de limer, de polir. it.
V. Limalka.
Lısäce, s. f.letravailde limer. it. V. Limalha.
LiuiLua, s. m. limaille:: partie de metal quo
ls lime fait tomber.
Lımäö, s.m. citron : fruit du citronnier. — pe-
azedo , limon : [ruit plus petit que le ci-
iron et qui a besucoup de Jus.
Lisir, v. a. limer:: polir, couper, amincir,
user avec la lime; (g.) polir, perfectionner.
(#d.) Consumer, user peu & peu.
Lımatiö, s.m. "sorte de lime d’armurier.
Liuno, s. m. bord, extremitt, suriout en par-
lant d’une robe. Limbes : s6jour des saints de
Pancien Testament; sejour des enfanis ınorts
sarıs bapteme. Limbe ; bord exterieur d’un
astre, d’un quart de cercle gradue.
Lımtıra, s. f. arbre qui porte les limes.
+ Lintnuo, a, adj. eis. nalif de Lima, ville
d’Amerique.
Lıura, etc. V. Lympha.
Lisıar, s. m. seuil,, pas de la porte.
Liminan, s. m. V. Limiar et Lumear.
Linınan, adj. V. Preliminar.
Liniste. V. Lemiste.
Lisıracäd, 5. [.limitation, restriction. Modi-
eitk.
- Lımtrinautnte, adv. d’une maniere limitee
ow bornee.
- Limmrapissimo, A, adj. sup. de
Lrmttäpo, A,p. p. de Limilar. adj. Restreint,
diminue, borne, reduit. Borne: qui a peu d’in-
gelligence. Modique, chetif.
Linıtin, v. a. poser, planter des bornes.
Donner des bor:es, limiter, restreindre, mo-
difier, borner. beierminer, fixer. Donner avec
e, rogner, retrancher.
ne (a), v.r. se restreindre, se bor-
ner; sen t-nir ä.
LimıTarıvo, A, adj. limitatif: qui limite, ren-
Terme dans des bornes certaines.
Lıuite ,s. m. "bornes, limites, au propre et
au Byurt. : " .
wu 2%
LIM 787
Lriuirrore ou —rag, adj. 2 gen. limitrophe':
qui est sur les limites ; dont Jea limites so lou-
chent, .
Liunir. V. Liminar.
Linniapes. V. Limoniades.
Lino,s. m. limon, boue, vase, bourbe. °Al-
gue.
Lımoipa, s. f. coup donnd avec un limon,
Conßiure de eitron. if. V. Limonada.
Lımsotıro, s. m. (£. de bot.) citronnier,, limo-
nier : arbre toujours vert qui porte le citron, le
limon. Nom de la prison principalede Lisbonne.,
f LiwoäL, s. m. jardin, verger, lieu plants
de citronniers,
Lımonäna , s. f. limonade : boisson de jus de
citron ow de limon avec de l’eau et du sucre.
Toute espece de boisson rafraichissante.
Lımonaptıro, s. m. limonadier ;: qui fait et
vend de la limonade.
Lımonsa eb
LiMontADES.
Lımonianes, s. f. pl. (t. de mytA.) limonia-
des : nympbes des prairies.
Liwönıo, s. m. (1. de bot.) limoine : planie
caryopbillee, marecageuse.
Liwos. V. Limo.
+ Limosim , s. m- (6. de geog.) Limousin : con-
tr6e de la France.
Lıuöso,A, adj. limoneux, bourbeax, plein
de limon.
Liwpa, s. f. *nettoiement, curage.
Lıurinpo, A, 9. p. de Limpar.
+ LiupaooR, A, 8. qui nelloie. — de pogos,
cureur de puits.
+ Linpaouna,s. f. V. Limpa. Salete , ordures
qu’on öte de ce qu’on netloie.
LiMPANENTE, adv. proprement, avec pro-
prete. (fg.) Nettement, franchement, sans de-
tours.
LimPÄr, 9. a. nettoyer, curer, Öter la salete.
(Ag.) Purißler, rendre pur. (id.) Purger un pays
de brigands, la mer de pirates, etc. (fam.) Vo-
ler. Detacher, öter les taches. V. Alimpar. — a
chamine, ramoner une cheminde. — a con-
sciencia, se confesser. — um pogo, Curer un
puits. — 0 fundo d’um navio, espalmer un
vaisseau. —asaperas com a lanada, &couvillon-
ner les canons.
Lımpüza, s. f. propret& : soin de la nettet&
dans les habits; nettele. (fg.) Pureie, chastete.
(id.) Purets de sang dans les familles non al-
lites avec des Juifs, des Maures, etc. — de
bolsa, ifam.) manque d’argent. — de coragdö,
purete de caur, d’intention. — de mdos, inte-
grite , desinleressement.
Liwpna, etc. V. Lympha, etc.
*Lısriväd. V. Limpeza.
Linpioissımo, A, adj. sup. de
Lisrivo, A, adj. limpide : clair, net, trans-
nt. .
*Lıupinde. V. Limpeza.
LıuPissıno, A, adj. sup. de
Limpo,Aa,adj. propre, net; clair, pur. (lg.)
Propre dans ses habillements, bien mis, är-
| V. Limonto.
D [ 737 yeoV , LI cv 791 u. 7}
748 LIN
range. (dd.) Bien ne. (id.) Pur : sans tache, sans
delaut,. Decrasse. — de mäos, (fig.) qui a les
mains nettes : iniögre, incorruptible. Joger —,
(fg.) jouer franc jeu, ne point tricher, ow agir
de bonne foi. Tirar a—, transcrire , melire au
net ‘une £criture, elc.)\; (Ag.) €claircir, de-
brouilter une affaire. Tirar a suaa —, se lirer
d’un mauvais pas avec honneur. Tirar a sus
palavra a—, tenir sa parole. — de sangue,
qui n’a jamais eu ni Juifs, ni Maures dans sa
famille. Ficar —, (fam.) rester & sec, sans ar-
gent.
+ LisuLo, s. m. (1.d’hist. nat.) limule : crus-
face branchiopode,, xiphosure.
Linäcesm. V. Linhagem.
Linänıa, s. f. (4. de bot.) linaire, ou lin sau-
vage, plante.
Lixcek.
Lincörıo. | 1% Iyne...
Lina, s. f. borne, limite ‚ sentier qui separe
les champs.
Lixpame£nte, adv. joliment, proprement,
avec gräce, gentiment.
+ Linpänte, adj.2 gen. attenant, avoisinant.
p. a. de
Linpär, vo. a. borner : fixer les bornes d’un
chaınp. V. Demarcar. (com) v.n. Avoisiner,eire
contigu, attenant. O seu jardim linda com 0
meu, son jardin est altenant au mien.
Lıinoe. V. Linda.
*+Lixoeıra, 3. f. ornement dans les jamba-
ges de porte. it. V. Linda.
*+Lınotiro, A, adj. limitrfophe, voisin,
contigu, attenant.
*+Linpkiro, s. m. * borne, limite, etc. V.
Linda. —s, e confins d’um campo, tenants et
aboutissants d’un champ.
“+ Lines, s. m. pl. limites : bornes, extre-
mites d’un champ.
Linotza,s.f.beaute, el6gance, bonne gräce,
gentillesse.
Lınpissımo, A, adj. sup. de
Linno, A, adj. mignard, beau, joli; gentil;
agreable, gracieux. (fig.) Bon, parfait, exquis.
Que —! que cela est beau! — mogo, gentil
garcon. —a menina, gentille demoiselle. —@
pera , bonno piece.
LineiL, adj. 2 gen. (l. de prat.) lineal : (suc-
cession —e) dans l’ordre d’une ligne de pa-
rente. it. Qui a une ligne d’epaisseur.
LiNEAM&NTOS, s.m. pl. lineaments : trails du
visage.
Lıneir, adj. 2 gen. lineaire : qui a rapport
aux lignes; qui se fait par des lignes; en il.
+Lınca,s. f. (t. de mar.) elingue : corde &
naud coulant pour soulever.
+ Lincär, v. a. (l. de mar.) elinguer : mettre
des &lingues ; soulever (des fardeaux, deston-
neaux) au moyen des elingues.
+Lıinoari, s. m. lingam, lingar, lingum,
pballus.
Lincoa ou } langue : partie charnue,, mo-
Lincva,s.f. ) bile dans la bouche, organe
du goüt, de la parolo ot de la voix; ce qui on
LIN
a la forme; portion de terre; idiome, langage
d’une nation; mois qu’elle emploie pour s’er-
pliquer. Connaissance,, information. Languetie
de balance. Anche (de tuyau d’orgue, etc.). —
malerna, nalural,, vulgar ‚langue ınalernelle,
langue du pays ou !’on est ne. — vigerina,
serpenlina, de escorpiäo, (fig.\ langue de vi-
pere : mauvaise langue, medisant, calomnia-
teur. Md — , mauvaise langue, medisant. —de
[6go,, Damme en forme de langue. — d’agus,
rivage, bord d’une riviere, fleur d’eau. —de
terra ‚langue de terre, espace etroil qui S3-
vance danslamer.— viva, languevivante, par-
lee. — morta, langue morte, ancienne. Esler
com —de palmo, (fig.) tirerla langue d’un pied
de long; avoir un desir, une envie , une ardeur
extreme. Meia —, (fam.) personne begue. —
de (rapos , bredouilleur. Pör a — em alguem,
fig.) donner des coups de langue, parler mal
de quelqu’un,, medire. Ter uma cousa debaim
da —, avoir une chose sur le bout de la langue,
etre pres de s’en souvenir, de le dire. Pucher
pela — a alguem, mettre quelqu’un en train
de parler. Deitar a — föra para a mostrar ar
medico , tirer la lJangue pour la miontrer au me-
decin. Ter, saber alguma cousa na ponla da-,
savoir sur le bout du doigt. Vezar-se pela—,
dire indiscreiement toul ce qu’on pense. Nöo
ier papas na —, avoir la langue bien eflilee,
parier beaucoup et hardinient. Tomar—.pren-
dre langue, sinformer, ailer aux enqueies.
Perder pela —, ou prla — morre o peizz,
(pror.‘ senuire par la langue en parlant.—
rerrina, t.debot.)V. Doiradinha. — de cdi.
V. Cynoglossa. — de vacca. V. Buglossa. — de
eavallo. V. Hypuglossa. — de serpente ordina-
ria , ophioglosse , langue de serpent. — de ser-
pente do reino, ophioglosse du Portugal.
LincuaA ,, s. m. interprete, trucheman.
} Lixcvipa, 3. [. petit poisson , espece deli-
mande.
LinGuino, s. m. * sole : poisson de mer plal.
— sapaleiro, moule, moule embarillee.
LInGuUaGEM, s. f. "langage, langue, idieme;
diction, elocution, style, mamıere de parlet.
—ens, pl. les conjugaisons des verbes.
* Lincuainga. V. Linguiga.
+ Lincuasar, v. a. expliquer, parler en lan-
gage vulgaire.
LincuaL, adj. 2 gen. lingual : qui apparlient,
qui a rapport & la langue (nerf, ariere —);
formee par la langue ( consonne —e\).
Lincvaräz, adj. 2 gen. babillard. Medisant,
mauvaise langue.
+ LinCVARAZMENTE, ade, avec bien du c&
quet.
Lincvankıro, A, adj. babillard, bavard, qui
a beaucoup de langue,
Linsuaruno. V. Linguaraz.
+ LincuätuLa, 8. f. (1. d’hist, nat.) lingus- _
tule : vor intestinal polystome.
LincoEıräö, 5. m. sorte de poisson de mer.
LinGUETA,, 8. f. languelte, petito languo, 9
LIP
forme ; languetts d’instrument de musique,
anche. Pene de serrure, etc.
Lincufte, s. m. (ft. de mar.) linguet:: piece
pour arröter le cabestan.
+ LincuLa, s. f. (8. d’hist. nat.) lingule:
mollusque acephale. — em forma d’unka lon-
ga, le bec die cane.
‘ Limcvica, s. f. saucisse, andouille.
LiNGUIFORME, adj. 2 gen. linguiforme : en
forme de langue.
Linua, s. f. ligne: trait simple, considere
sans largeur ni profondeur; suite continue de
points matbematiques; suite de mots dans la
largeur de la page; cordeau, ficelle pour ali-
gner; une suite de descendants d’une race, elc.,
lignee ; ligne equinoxiale, l’&quateur. —, rang,
rang6e ; (. mil.) &tendue d’un ou plusieurs ba-
taillons. * Fila coudre. —, raie, traits dans la
main; mesure, douzi&me partie d’un pouce;
fil, corde, etc., pourpeeher avec un hamecon;
( Ag.) suite d’actions ; marche, conduite ‚route.
— dagua, (t. de mar.) ligne de flottaison.
— d’alaqus,, ligne d’approche. — do ventv, Ii-
gne ou direction du vent. — recla, ligne droite,
ligne directe. Tropa, ndo de —, troupes, vais-
seau de ligne, par opposition & troupes, ä& vais-
seau leger. —s de forlifcagdo , lignes de forlifi-
cation. —s de eireumvalagäo , tranch&es, lignes
de eirconvallation autour d’une place assiegee.
Deitar as suas —s, ( fg.) prendre ses mesures.
Linuica , s. f. graine de lin, linette.
* Lmaioa. V. Ninhdda. ,
Linuäcenm, s. f. "lignage : famille, extrac-
tion; race; gen6ration, descendance , lignee.
(Ag.) “Genre : sorte, 6spece. — humana, le
genre humain.
LıinHaAcista ‚s. m. g6ndalogiste. “
LınnäL ow Lınaar, s. m." liniere : terre se-
mesen lin.
+ Linuzino, A,adj. (4. de bot.) ligne : mar-
qu6 de lignes fines (plante —e).
Lısaßıro, A, s. linier, —ere : marchand,
{abricsnt de lin. Vendeur, —euse de fill.
Lingo, s. m. lin : plante annuelle. Toile de
lin. — cdnamo, chanvre. — purgante , lin pur-
galif. Panno de —, toile de lin.
Lınnö ow LinuöL, s. m. fllnoir des cordon-
niers.
+ Liniau£nto, s. m. trait, esquisse, &bau-
che (en peinture, ou sculpture). it. V. Linea-
mento.
Lunım®nto,s. m. liniment : application ext£&-
sieure de substances huileuses, pour amollir,
adoucir, resoudre et humeiter.
Lıo,s. m. paquet, ballot, trousse. V. Mölho.
Lıiöa, V. Leda.
+ LiosÄTo, s. m. sorte de poisson,
Lioutıra. V. Leoneira.
+ Liörnz, s. m. (t. de geog.) Livourne : ville
forte , et port de Toscane.
Lıöz, adj. 2 gen. Pedra—, "grös; pierre A
bätir. Marbre.
+Lirite, s. m. (1. d’Asie) dix chapelets en
verre que les femmmnes Galres portent au cou
LIS 749
en forme de collier, et qui passent comme de
la monnaie & Sofala, etc.
Lipes, adj. 2 gen. Pedra —, vitrio! bleu.
Lipirıa, s. ou adj f. Febre —, (1. de med.)
lipyrie: fievre ardente, continue, avec un froid
exterieur.
+ LirocrammÄTIco,A ‚adj.lipogrammatique.
On le dit des ouvrages oü Il’on affectait de ne
pas faire entrer ceriaines leitres de l’alphabet.
Lıpömo , s. m. (t. de chir.) lipome : loup
graisseuse.
Liröre, s. m. monnaie de Mozambique.
Lırotuv’sıa, 8. f. (t. de mid.) lipothymie :
defaillance presque Lolale, des esprils.
LiPptötes, 8. f. liptote : figure de rhetorique.
Lioueracgäö,s. f. liyquefaclion : changement
d’un solide qui devient liquide.
Ligteractivo, A, adj. liquefiant.
LiQuErAZER, 0, 8.,—SE, ©. r. se liquefier,
devenir liquide.
Liqguescer, vo. n. fondre, se liqueßier.
Ligue. V. Lichen.
Liyrinagäö, 8. f. liquidation : action de li
quider.
LiquımiApdo, A,».7.de Liquidar.
Lıiguinämear ‚s. m. liquidaınbar vowcopalmes
ambre liquide, resine liquide.
+ Liauipamareıro, 5. m. (fl. de bot.) liqui-
dambar ow copalme : grand arbre d’Amerique
qui fournit Pambre liquide. V Liquidambar.
LiQuipaMPnTE, ade. liquidement : d’une ma-
niere claire, liquide.
Liquivär, v. a. liquefier : rendre liquide;
dissoudre. (fg.\ Liquider : rendre clair et cer-
tain ce qui est incerlain et embarrass6 (un
| compte, des biens, des dettes); eclaircir.
Liquipez, s. f. liquidite : qualitö de ce qui
est liquide.
Ligvivo , A, adj. liquide : (corps—) qui a ses
parties fluides; (bien—), net, clair; (consonne
—), facile a prononcer. Resta tanto de —, il
reste tant de net.
Liauinos, s. m. pl. liquides : les aliments
liquides.
Liquor, s. m. *liqueur : substance fluide et
liquide; boisson qui a pour base l’eau-de-vie,
Pesprit de vin.
Liea, eto. V. Zyra, etc. (vieux.) V. Lie,
Borra.
Lirıo, s. m. (t. de bot.) lis : plante bulbeuse, &
fieurs grandes et odorantes; sa leur. — branco.
V. Agucera. — biflöro das rochas, iris de deux
saisons. —convalle, muguet, lis des vallees,
muguet de mai. — falso-acoro ou — amarello
dos charcos, iris des marais, flambe bätarde,
faux acore. — cardeno, iris germanique, la
fliambe. — esqudlido, iris Jjaune-sale. — de Flo-
renga, iris de Florence, la flambe blanche,
— purpüreo, iris double bulbe. — vermelho.
V. Hemerocallia. — rox0 , iris bulbeuse. — dos
linlureiros, gaude.
Lis. V. Liz.
LisAN£&xTE, adv, uniment, ingönument, Bang
detour,
752 LOC
Lö, 3. m. espöce de gaze. Pdö de —, biscuit
de Savoie.
LöA, s. f. * prologue d’une piöce de theätre ;
sorte de composition en vers pour louer. (anf.)
Louange. — e honra, los et honneur.
*Loäno. V. Louvddo.
Loinpa, s. f. (l. de gdog.) Loande :tle du
royaume d’Angole. Mal de —, scorbut.
Lösı, 8. f. louve : femelle du loup. (fg.)
Prostituee. Espece de soutane sans manches.
Parir a —, louveter : faire ses petits, parlant
de la louve.
Losipo, A, adj. (1. de bot.) lobe : (feuille —e)
parlagee en lobes.
LoBacAnte, 3. m. espece de langouste de
mer, de couleur bleue et tachetde de noir.
+ LosiL, adj. 2 gen. de loup.
+ Losaariz, s. m. (t. d’hist. nat.) anarrhi-
que : poisson apode. — do norte, loup marin.
Losiro, s. m. louveleau : petit loup qui est
encore sous sa mere.
Lopiz, s. m. (1. burl.) grand loup.
Los£ıro, #. m. chasseur de loups. Loure-
ter.
Loptuıa, 8. f. (8. de bot.) lobelie : plante
campanulacte. — azul, cardinale bleue.
Los£ro, s. m. piece d’un moulin.
Losinno, s. m. dim. de Lobo. Louveteau.
®Loupe, tumeur ronde, enkysiee,, sous la peau.
Losisuoutım. V. Lupishomem.
L680 ,s. m. loup : animal carnassier, ressem-
blant au chien de berger. —, constellation $.
Sorte de jeu d’enlanis. — asnal, grand loup.
— corval, loup cervier. — marinho, loup ma-
sin, poisson. Entre o— e o cdo, entre chien
et loup. Ver as orelhas ao —,(fig.) se trou-
ver dans un danger exirdöme. Fallai no — ver-
ihe-heis a pelle, (prov.) quand on parle du
loup on en voit la queue. — ndo mala — , (1d.)
les loups ne se mangent pas. Aquelle homem
foi aos —s, cet homme a crie au loup : so dit
d’un homme tres-enroud.
Löso, s. m. (4. d’anat.) lobe:: piece molle,
zonde et plate; (4. de bot.) coquien a laforıne.
Losocäirto. V. Lobo cerral.
Losrzcis. V. Lobrigar.
Lönrecu,, A, adj. obscur, sombre,, tene-
breux, Nıgubre.
Losricäno, A, p. p. de Lobrigar.
Lopnicanon. V. Explorador.
LoBricär, v. a. enirevoir, voir imparlaile-
ment, jeter furlivement un coup d’@il.
+ LopuLärıo, s. m. (tl. d’hist. nat.) lobulaire :
zoophyte.
+ LöstLo, s. m. lobule ; petit lobe. (#. de bot.)
Lobiole.
Locaciö, 8. f. (t. de chir.) * remboltement
d’un os disloque. (8. de prat.) Location. V. Alu-
quer.
LocacıvÄpe,. V. Loquacidade.
* Locapon, 3. m. localeur : de qui on loue.
Local, adj. 2 gen. local: qui appartient, qui
a rapport au lieu. s. m. Un local.
Locauinäpe , s. [. localii : particularite, cit-
LOG
constance locale; lien, local; qualit& dePätre
en tant qu’il occupe une place.
LociLuensg , adv. localement : relativement
au local, d’une maniere locale.
Locir, v. a. (b. de chir.) rembolter un os
disloque.
Locarir1ıo,A, 8. locataire.
* Locaz. V. Loquaz.
LocaıiL, adj. 2 gem. (1. de mdd.) lochial : des
lochies.
Löcuios, s.m. pl. (1. de med.) "lochies: vi-
danges, flax de sang, evacnation apres l’ac-
couchement.
+ Locouocid, s. f. locomotion : changement
de lieu.
Locosmorivo, a, adj. locomotif: qui change,
qui peut etre change de place. Faculdade —,
facultö locomotive. de se mouvoir. Machine
—s, machine locomotire, qui a la puissanee
de deplacer et de faire marcher une chose.
Locomorkiz, adj. f. locomotrice: qui op&re
je deplacement.
LocoTEnente. V. Lugarienente
Locrinses, s. m. pl. Locriens :
Grece.
Locvciö, s. f. dietion , locution , expression,
phrase , facon de parler.
Locusta , s. f. V. Gafanhöto.
LocuT6r10, 8. m. parloir de religieuses.
LopacäL,s. m. gächis, bourbier, lieu plein
de bourbe. V. Lamagal.
Lonäd, s.m. (4. de bot.) V. Löto. — do Egypio,
lotier d’Egypte.
Löpo, s. m. limon, boue, bourbe, fange,
vase. Pör de—,, (fg.) injurier, outrager en pa-
roles. Pör-se de —, se donner au repos, ne rien
faire. Tirar o pe do —, (ig. fam.) se lirer d’al-
faire, d’embarras ; reussir.
Lopöso, a, adj. gächeux „boueux ,bourbeus,
fangeux.
+Lotnpro,s. m. (#. debof.) laurose com-
mun ou d’Europe, laurier-rose. — da Indis,
laurose de !’Inde.
Logssuno&ste. V. Odssudoeste.
Locir. V. Luger.
LOGARITHMICO, A, adj. logaritbmique : du
logarithme , de sa nalure,
LOGARITHMO, 8. m. (6. d’arith.) logarithme ::
nombre pris dans une progression arithmeti-
que, repondant & un nombre d’une progression
geometrique.
Löce ow .
Löcn,n.f. 5 V-Idie
Locia, s. f. (mofgree, en comp.) logie, dis-
cours, traite. \
Löcica, s. f. logique: art de penser et de
raisonner juste ; science qui l’enseigne. Dialoc-
tique. Em bda —, segundo a bda — , en bonn®
logique.
LocicaL, adj. 2 gen. logical : fait logique-
ment. V. Lögieo.
LöcıcamenTte , adv. logiquement : conform&
ment ä la logique.
peuples dela
Löcıco „a, adj. logique ; conforme & la log
.. ori). —
-
LOM
tue. s. m. Logieien : qui studie ou posscde la
logique.
Lociswo , s.m. calcul,, suppetation.
* Loco. V.
L6cC® , ade. aussitöt, Ineontinent, sur-le-
champ, "bieniss, dt. Ensulte, depalis, apres.
Done, par consequenh Desde — , @abord. —
per Santo , ainsi , partant de 1ä. Logo —, sur-
e-champ, tout de suite. — que, sisöt que.
Loooenirme, #. m. Jogegri sorte d’e-
nigme par la transposltion des syitabes d’un
mot, i
Locomacaia ,s. f. legemachie : disputo de
meets.
TlLocomiamma, s. f. logotechnie : science
den mais, de jeurs aosepläiuns. .
GOTEENTE.
LOCOTENENTE. | V. Lugarienente.
+ Looorstra , e. m. logothöte : interprete des
s contröleur des Änances.
Locsaciö,s. f. iromperie, ruse, piege, tour,
alisspe.
Locnaptına, 8. f. [omme trompeuse.
Locrivo, a,p. p. de Lograr.
Loonands,A, s. qui cherche A altraper, ä&
tromper quelqu’ un, trompeut.
uno, s. m. ” promenade publique;
terrain devant une maison.
. Leanauswro. V. Lögro.
Locain, o. a. obtenir, acquerir, gagner. Pos-
söder, jenir. Profiter de, meltre ä prolit. Attra-
por, tromper. — salde , se bien porier. —o in-
(ont, parvenir A ses Uns, reussir, alteindre le
but, voir ses esperances r&alisees, [aire som
up.
Locais, u. ». faire son eflet, reussir.
Locain-ss, ©. r, jouis de, lirer prolit de.
Parvenir a ses fins.
* Loenlın0, 5. 1m. usurier. Celui qui acheie &
vil prix pour revendre cher, monopoleur.
Laano, s. m. " possession ‚Jouissance. Gain,
prolit, interet de l’argent; usure. if. V. Logre-
gdo. Dar a — , pröter A usure.
14680, Ve Logo.
+Loo, es. m. etadj. de la congrögation de
saimt Jean 4vangelisie,en Portugal. Azul —,
bien aant. —s ds jardim abluei ow bleuet, bar-
boau , ospece de oenlauree.
Loman, eic. ! Y. Dure
Loino, ete. .
Los. V. Zouse.
° Löıto. V. Lucte,, Tristeza.
Lösa, 3. f« * rez-de-chaussee d’une maison,
Lege de porüier. Boutique. Homem de — aber-
fa, qui tient boutique,, marchand en boulique.
SFochar a—, ferner boutique.
Launa, 3. f. " cotwau, oolline, lLorire, Pla-
tesu.
Lomsipa, 8. f. V. Lombo. Dos d’un livre re-
Lowr®... b} ete.
ke.
LousäL ou —AR, adj. 2 gen. lombaire ; (re-
gion —) qui epparlieat aux lombes.
+ Lonshana ,s f. vorte d’anucienno escopciie
vonyc de Lombardie. V. Uomberda.
FORT. ER,
LON 753
Lomsarp£ıaı. V. Bombardeirs.
TLousaania, s. f. (. de geog.) l.amıbardie:
coulede de !’lLalie septentrionale.
+ Lousänpıco,, A,adj. de Lombardic.
LOMBÄRDO, A ads. et s. nalif de Loinbardir,
Lombard , de Lombardie, Cowve —s, " okou de
Lombardie.
Loun£iro, A, adj. des lombes (cuir, pcau).
Lonso, s. m. lombes : partie infericure du
dos. Reins;; &paules, dos. *Saillie, avance. Des
d’un livre. — de vitella, lounge de veau. — de
porco, filet de cochon. — de vacca, aloyay,
fiiew de besaf. Derrear 08 —s, ereinter.
Löksuciı, adj.2gen. (1. d’anat.) lombrical:
(muscles —aux) des doigis, en forme de
vers.
Lousnica, s. f. " vor-qui s’engendre dans le
corps de l’bomme. — solitaria, ver solitairef,
könie.
Lousaıcußına, s. [. aurone, plante.
Lowsioo,A, adj. reints: qui a los reins forts
et larges.
*Louzin. V. Nomear.
Losıxapo. V. Illuminado.
Löna, s. f. teile A voile de chanvre &cru.
Loxpim. V. Lunde.
+ Lonpres, s. f. Londres : capitale de la
Grande-Bretagne.
Lonprino, a, adj. de Londres (fromage).
Lonca,s. f. Llanche : note de musique dont
deux veient une ronde.
*Loncinauente. V. Longamente.
LoncäL, adj. 2 gen. Castanhas —des, ch4-
taignes plus longues que les ordinaires.
LoncauAnte , adv. longuement, longlemps,
Loncanina, & f. Oculo de —, lunetle de
longue-vue.
Loncanımıpäne, 8. f. longanimile : patience,
constance, fermelö d’äme; clömence de Dieu
qui tarde & punir; palience d’un roi, d’un su-
perieur contre les Injures, par boni6 ei gran-
deur d’äme.
LOncänımo, A, adj. palient,constant, ferme
dans l’adversit®. Longanime : qui a do la lon-
ganimite.
LoncangLa,s.f.(l.burl.) bomme long comme
une perehe,
* Loncanıca. V. Linguiga
Lönes,, adv, loin, de loin; ügrande distance.
Beaucoup. Ao —, au loin, dans le loiniain.
Hui —de, bien loin de. De — — em —, de di-
stance en distanco, de leınps cn Veınps, do
temps & autre. Tdo — esid d’isso, tanı s’en
faut. Kstd muilo — Jodo de ser bio doulu cumo
Pedro, il s’en faut do beaucoup que Jean soil
si savanı qua Pierre, Estere ldo — de u querer
offender que ao conlrario o defeadev, lant
sen faut qu’il l’ait voulu offenser, que Indrue
N Ya defeudu. — da vista, — do coragdo. \.
"isla.
+ Lance, adj. 2 gen. Longes lerras, pays
Cloignes, lointains.
Löxce, s. m. loinlain, en lermes do pointure.
—s, pl, dloignoment; distance. (fg) Y. Seme-
“
164 LOR
Ihanca, Apporentid. Notice , Mio “eigiiee.
Ter bons-—ı, ou melkores--e que perios ‚(fam.)
on le dit d’une chose meilleure de ein qus de
pres.
Lonoerinioe, s. f. gramd üge ; longevitö,
longue durde de ha vie.
Lonc£vo, A, adj. fort vieux, trös-&g6} Par-
venu A un Age Irds-avancc.
Loncıwino, a, adj. qui a de Ionguod malos.
Hono — ‚tt. d’hist. nat.) le gibdon.
Loncheerria, 8. f. longimettie : art de m®-
sarer les longueurs.
LonGingto, A, adj. !olntain,, lolgme.
Loncirepe, adj. 2 gen. (podt.) qui a de longs
pieds.
Loncissıno, A, adj. sup. de Longe.
Loxchtöpe, s. f. Iongteur, etendag en Iong.
te. de geog.) Longitude : distanee d’un wert-
dien local au premier meridien, prise sar !'4-
quateur.
Lonertuvmat, adj. 2 gen, longitmdinal :
etendu en long.
LoncıruninäLmentk,, ade. longitädinale-
ment, en longueut.
Loncd, Aa, adj. long: yut a de la longueur,
de la duree; prolixe, diffus. Ao —, tout du
ong.
Lönco, ade. longtemps. — vivas, que vis
viriez longtemps.
Loxcosarno. V. Lombardo.
+ Loncönes ow Lincönes, 8. m. pl. peupie
de la Lyonnaise premidre, sujourd’hui Lan-
grois, habilants de Langres.
Loncon. V. Comfrimenio.
Loncreimäö,s. m. (tl. d’hist. nal.) solen co-
quillage bivalve, acCphale, en etui 0a rhaniche
de couteau. Sorte de petit poisson qui Fessem-
ble 4 Pepinoche.
Lonctissino, a, adf. sup. de Longo.
Loxcöra, s. f. longaetır. V. Longitede.
Lostea , 8. f. (1. d’hist. nal.) loutre : animal
amphibie de la grosseur du blalreau : vit de
polssons,.
Loocn ow Loox, s. m. lok : dlettusire oa?
oitrine. .
oauice. V. Loguas.
Loquacipine, s. f. loquacits, bebil.
Loquacissino, A , adlf. sup. de
Loaviz, adj. 2 gen. loquuce, bavard, babii-
ard.
LoquizH£nte, ado. avec bien du eaquet.
Logrtua, s. f. maniöre de parler pardou-
liöre & chaque personne. V. Locupllo.
Loqutre. V. Cadeddo.
Löatıo8, V. Lochtos.
+ Löscua, &. f. sorte @’embareatlan asiäli-
e.
T Löupe, 8. m. lord : titte, seigneut eit An-
glelerre. Casa, camara dos —s, chambre des
lords, chambre haute.
Lorica ow Lorica, 5. f. cuirasse, eorselet :
arme defensive.
+ Lonicänıa, 8. f. (tl. P’Mfst. Kal.) loricdire :
poisson cuirassier,
LOU
Lomtekö ,e. 1. ug. de korige.
*Lonıchm. V. Lorigdo.
+ Loniz, s. u (4. #Misl, nal.) Vorl . man-
mifere maxis ow lömurien. V. Lmure,
LönO, 2. 0. " diividse : anurroie qui porte
P’&tgier. " Cowwsrois, landen.
Lösea ‚s. f. (4. de bot.) abeinibe aemmand,
absinihe amäre, V. Absintbio. = do ram, ar
moise em arbre , ausig. aheinibe de Portagal.
+Löra, 0. f.(b. d’hist. ah) late; ensellen!
poisson @’vau deuos, de genre du gadg.
+ LörTa, s. f. endrolt od l’on amasse le peie
son potter Yostimas, io Saxer.
LotacAö,s. f. taze, prix, valeur des cheser,
esiimation. — du ink, miztise da Fit. —
d’um navio , capacli# , suntenaate, port, Pol
tee d’un vaisseau.
Lorino,A,p.p.de Lotär.
Loranön, 3. m. priselir, esimmmenr. — de
vinhos, vefei (qui mittionne lovin, qui eyem-
nett.
Lorir,o.a. estimer, taxer, priser. als,
melanger, miztiohner fe vih.
Löre, e. m. "bande, teuupe. (Ag) "Sorte,
qualite. Lot: gain & ta Iotorte. + de fasendar,
lot de marchandtses.
+ L.ortıno, 5. m. (1. @ Bot.) 1er: piiate
l&gumineuse.
Lorenia , s. f. loteriö ı sorte de bumıyus elich
lots sont tires ad hasard.
Löro, s. m. loto : Jeu , eup&oe de Totarie juake
avec des boulas et des cartohs nınmorutlh.
LöTo,s. m. (}. da dot.) lotas, Iotuw'; plate
aquatique, füre d’Rgypte: sa fNeur ; unpöce de
figuier & frults exquis. (1. d’ant.) Lotos : urrt
fabuleux d’Rgypte, dont Ies Traits delielen:
faisaient oublier aut #trängers Iowr palrie.
— de Tunes, jujubier des Lotepbages. — &
Italia, plaquerinter d’Baröpe, füux Iouler d4-
ihenes.
Lorörnacos, s.m. pl. Lotophages : peuples
d’Atrigde qui virdient de Toron.”
Loucautnte, ddp. follernent.
Löuca , s. f. vaisselle : co qui ort & Futape
ordinalre de fa table, eotinn® pfäte ; wusielies,
etc. — da coziahk, ustensiles, batsatle de ak
sine. — das adögas} les utteirtiles abeesualres
pour la vendange, puur garder I6 vin, comme
tonneaux, cures, eic. — de zu de pedre, fulente.
— ds barro, valsselle de terre, Yorerie. — da
India, da Chins ou Ane, yorbelsite. — ds
präla, vaisselle Pargent, a A
Lotcatmmi , 8. f. "habits 06 wyasiagens
diögant, beite toflette. * Ornerkents, perıf®.
+Locitano, a, adj. par6, orbä, dlögent.
Lovcimente, ade. elegamınems; wre seht,
tichement, propremetst. Arco riguaun, Detuld,
sante. Avec veordure, touffu, en ps
ncania, a f dlögance. Verdute
ugania, 5. f. parure, erduft,
toufe des arbfes, des piätten Jals, geield,
bonne humeur. Vigeeur, vivaoitd, Sande.
Lovci6, ci, af. tonllu, vers, on parlamt des
plantes, des are. Gal; Joyoux, Hell, BR:
BAU
ugt6able+ Slıımı; dlerımintt ,. Bien parb. ( Ag.)
Vert, vigoureuz, robuste, gaillard, sain.
A,s. f. fertme qui vehd de Ia falehce,
wo poterie, ete. Armolre pour serrer la valı-
Locckıno ‚s. m. potier, faiencier; marchand
os fabrivent de polerle.
Löcco, a, adj. fou, insense; inconsidere,
qui agit sans refletion. Extravagant. —, simple, | €1
er&tiüle. Infatud, enteie de. Estar — por al»
yuma cousm ou Pesson, &tte fon d’ane chose ou
d’une persome. Um rise —, un rire fon, sans
motif. Um —, un 6chappe des Petites-Maisons,
Eitar, Rear — da contente, (Ng.) Etre excessi-
vorment! content. Dewigar 43. V, Bexigas an
. A palaoras —as orelhas moucas, (prov.)
fölle detnande il ne fat point de Sonse. [\
folles paroles sourdes oreilles.
Lovcöka,e. f. folie, Aemence. Sottise , ettra-
vagance, absurdte: Fazer —4 , faire des fölies
dans un acce&s de joie ou d’afliction. Sew amor
a —, son emeour va jusqu’ä 1a folie,
— emprehendtl-0, c'est folle que de Fentre-
prendtre.
Lovotı. V. Laudel.
+ Locovesin, v. n. dire, faire des folies;
exttävagder.
Lovoticz, r. fi folle, denterfce, sottise.
Lovquinno,, a, adj. dim. de Louco. Petit fou,
Hourdi.
Lövna,s. f. “terrier de lapin.
Lotaa ow Lounäca ‚s. m. (pop.) hömme sans
experience, norice.
Lovri0v0,4, 9. p. de
Lourir, v.a. ei n. Jatnir.
Lovuazcea, o.n. Jaunir: derehir Jaune; bion-
dir, se doter, en parlant des bies, etc.
Lovunzsjin, v.a. etn. V. Enlourectrt.
Loontıno, A, adj. tete lögere. V. Inquieio,
Pravesso. Mulker —a, femme coquette. V. Na-
moradeira.
Locktiao 0u Löwmo, s. . (1. de Bot.) laurıer:
arbre toujours vert , monopetale. — H’Alezan-
dein, fragen: & famille nues, laurier alesan-
Er Bun Atwafrdr, laurier Sassafras. — tom«-
, \Wußler-saace. — real. V. Lowrocertjo.
PR ei ‚s. f. (t. de boi.) laureole ou ga-
„ fomea. V. Mezereo malor. — macha
V mernor.
ebene, 4, &d}, Chvallv —, cheral ts-
ebett. .
Lounloa ‚etc. V. Lorigd, etc.
Lötun, 3. m. V. Loureiro. Laurier : symbole
de 1ä vicleire; (g.) Iä Fictoire, bonheur da
vsinqueur. (id.) Prix, couronne, gloire, trilom«
pbe. Coihtr —s, (id.) vuelllir, molssonner des
lauriers.
uno, A,ddy. Jane, döre, en parlant des
&pis de bie; biond dore, couleur H’or. Fazer-se
—, blondir, jaunir, se dorer, en parlaut des
epis de bie. CaBelle — do boi, ete. ,tirant, nem
du cou Al basif,, ete.
+ LounocaasJo, #. m. (f. de bot.) Yaurier
gorine de Natolie, & fruit en votises.
»
LUA 485
Löusä, s. f. cadette : piered ohrr6o WR on
pavc les eglises. Deite , (ömle, pierte de om-
beau. * Terrier de lapin. * Pidge pour preadre
es oigeau.
Lousivo,A,p.p. de
+ Loesin, vo. @. paver de eddetiet.
Lovsinna , s. f. dim. de Louse.
+Lovvipimente, Ado. avec todlatig® ; Aveo
Louvap£os, 3. m. (1. d’hist net.) * tnante 16-
ligieuse, prie-Dieu : col&optere:
Louvipo, 3. m. un arbitte; Jdge arbiire.
Lobvivo, A, p. p. de Eosber.
Louvanör, A, adj. et s. Jouetif, louangetir,
pröneur, Natleur.
Lovvastnto, 5. m. arbitrage,, Sentetice arßi-
trale ; fonction d’arbilre.
lOrrawinne, s. f. fagornerie, bassd flatte-
®.
* + Louvamınsän, o.a. Dagorner: fättet Bis-
sement.
Lovvamınntıao, A, ad). flagornetif.
Lorvin, v. 4. louer, vanter, pröner: dötiner
des louanges. E pard — a Deus ‚c'est un6 chose
digne d’admiratlof. i
ouvAn-SsE (de), €. #. se tahler. V. Gäbar-se.
lem) S’en rapporter & des arbitres. — em di-
guem, s’en rappotter & quelqwdn, s’eh re-
meitre & son Jugement.
LouviveL, adj. 2 gen. louable : digne de
louange.
LovvirELM£ntE, ado. lIouoblement : W’ube
maniere louable.
Lovvön, s. m. * louange, &löge ; discours qui
la contient. — dissimulddo , louange indir&ete.
— insulso ,"fadeur. '
Lovvonzineo,, s. m. dim. de Louvor.
Löura. V. Lousa.
*Lovısırfa. V. Uuricesahla.
Löxa,s. f. (t. de pharm.) espäce d’hzdtb-
mel.
Loxonrouia , 3. f. loxoärdthid : Fontk Sbli-
e d’un vaisseau selon un rhuml de vertt; la
gne qu’il d&erit.
Loxonxönıco ou —10,A, adj. (1. de mir.)
loxodromique : de Id loxddtohlie.
+Loxopaömıo, s. m.( I. de har.) 1okodrortie
feallle oü sont Iracdes led Labfes de !üxoliro-
mie.
Lva , s. f. fane : plandte sätetlich de fa terre,
ses phases ; mois; Fargent, etı ternles d’richi-
mie. Effet do la lune sur les fous. — chela,
pleine lune. — diora ; ndıtrefle file. — dris,
&clipse de lune. Meia - , vrdisdasn, 88 um ter-
mes de fordßeatten, demsi-tuns.>- miuguänie,
Isme deereisennte. Ladrer d — , ahoyer & la
Iune, erier inutilement contre quelgy'un. Zer
ua —s, —ı on scus dies de — , (fam.) avoir
des lunes, &tre lunatique. Ter 6 — 0
forno , €ire lunatique.
" Lur,etc. V. Lua, cic.
Luiıno. V. Lunariv.
Luin, s. m. clait de Ihe. adf. 2 gen. Lu-
naire , de la June,
Pi
736
Lisa. V. Lile.
Lusisuonsn. V. Lupishomem.
Losaucino, A,p. pP. de
LUC
Lussicäir , v. 0. (1. de mdd.) relächer lo von-
iso ; lubrißier.
+ Lunnicıpäne, s. f. lubricitö, luxure, lasci-
vote. Qualits de co qui est glissant.
Lünaıco ,A, adj.
venire libre.
° Lusaica. V. Lorige.
Lusnican. V. ;
Lobriger.
+ Löca , s. f. (1. de göog.) Lucques, ville et
4duche& d’ltalie.
+ Lucius, s. f. pl. (1. de gdog.) Lucayes ow
Babamas, archipel anglais d’iles, dans l’Ame-
rique septentrionale.
+Lucima, s. f. (l. do geog.) Lucauie, au-
jourd’hui la Basilicate, province du royaume
de Naples.
+ Locino, a, adj. de Lucanie.
+ Lucino, s. m. (4. d’hist. nal.) lucane : co-
löoptere. — cervino, grand ceri-volant. — ca-
prino , petit cerf-volant.
Luci0 ,s. m. * sorte de fllet de p6cheur.
+ Locirıas ow Luckaias, 8. [. pl. (4. d’ant.)
Iucaries ow luc6ries : f&tes celebrees dans um
bois sacrö, pres de Rome, en mcmoire de l’a-
silo qu’y avalent trouv6 les Romains yuand les
Gaulois prirent la ville.
+ Lucisse ,s.m. (1. d’Afr.) juramento de—,
preun judiciajre au moyen de poison que l’on
ait boire & l’accust.
* LuckLo ,, s. m. cercueil de pierre,, tombe.
@ Locken, s. [. lampe. V. Candeis. Sorte de
poisson de mer qei a la langue phosphorique.
j LuciDauEnıe , adv. clairement. "
Lucıvissimo, A, adj. sup. de
Löcıno, A, adj. lucide : qui Jette de la lu-
midce; clair, Iumineux, resplendissaut. Bril-
lant. —s intervalos , intervalles Iucides.
Löcırza, s. m. Lucifer ı chef des demons;
plante de Venus.
+ Lucıssnino, A, adj. qui appartlient & Lu-
eifer.
Luciszao, A, adj. (podt.) Iuisant, brillant;
respiendissant, &clatanı.
Luciruso , A, adj. lacifugace : qui fuit la In-
midre.
Locina, 6. f, (pedt.) Lucine,, la lune.
Locıo, s. m. (1. d’hist. net.) brochet : polsson
de riviere.
Löco ,s. m. bois &pais et touffu.
Lucain0, A, pP. p. de
Lucaia, 9. 6, gageer, liter du proßit.
Lrcnarivo, A, ad. Tueratif : qui rapperie
du lucre.
Löcro, s. m. lucre, gain, proßt. — cessanfe,
(3. ds praf.) gatn qu’on pourrait Ialre avec Par-
gent qu’en pröte, d’oü suit le droit d’en oxiger
Pinteret. — Kquwido , profit net.
‚Lucaö2o, a. V. Lucralivo.
Lucträn, etc V. Later.
glissant. Läche, lacile, li-
bre. Lubrique,, lsscif, impudique. Fenire —,
LUM
j LOCHEO A, adj. (poit.) eiüigeant, trieht,
unebre.
Locruössa , s. /. droits de söpullure qui se
paysient sulroleis aux SOIgneurS, aux. Cards,
etc., apres le decds de leurs vassauz, de lours
issiens.
+Lucruösamente, ade. irisiemoni, en pleurs.
Loucru6so , A, adj. luctueux : plainlif; deplo-
reble,, lamentabie; fundbre.
Locusnacaö, & f. ediucubsalion : ouvTage
d’erudition fait & force de vailles et de zavail.
Veille de celui qui travaille. V. Desudlo.
Lupisaıan0, A, 9. p- de
+Lunısnıän, o. a.—alguem, ou 0.0.—d’el-
sun » jouer, ridiculiser quelqu’un, so moqguef
e lui.
Lopiaa10, 3. m. jouet, moquerie , risee. Fa-
zer — de, se jouer, se moquer de.
Lunisnsösamänte, ade. injurieusement.
Lopieniöso, a, adj. injurisux, oulragsanl.
Löoo. V. Joge.
Lipaıco, A, adj. de jeu, d’amuscmeni.
Lupeöso,a, adj. sale, qui n’est pas blanchi.
Lutta, s. f. dim. de Lues. Bijou en Sorme de
eroissant.
Loripa, s. f. boulfse (de vent). (Ag.) Grande
quantits. 4’s—s, en grande quantiis, & foisan.
Lura Lura, & f. (4. Pop.) grande „em
pressement.
Lucär, 5... lieu : espace qu’un Corps @€-
cupe; endroit. Village. (Ag.) Place empiöi,
dignits.—, endroil, passage d’un livre; en-
droit, temps convenable. Placc qu’occupe um
bomme assis; temps, loisir; opportunile, 0C-
casion. Em — de, au lieu de, en place de, em
absence de. Der —, faire place. Ndse ka—,
(4. de prat.) iln’yalicu, en lermes de praü-
que. Ter —, avoir lieu; servit pour queigue
chose; @ire & propos; convenir, cadter. Em
primeiro —, premitrement, d’abord. Occuper
0 primeiro —, tenir le haut bout.
+ Lucaniö, s. m. aug. de Luger. Gros vil-
lage, bourg. " Place, emplei tr&s-Iucralif, eis
ucaakıo 08
Lucantte, s.m. ! hameauı ı potit village.
Lucaninno, a. m. dim. de Luger. Feit Im-
meau. .
LUGARTENENTE , 3. m. lientenant,, subatitat.
Lucanzinno. V. Lugarinko.
Locountase, adj. 2 gen. de Lyon, ville de
France.
Lucnän. V. Luerer et Lograr.
Lücusas ‚adj. 2 gen. lugubre,, Tun&hre.
+ Lucuanıdios, 5. f. elal de co qui est luge-
bre.
Lucusza. V. Espdde.
Luioo. V. Aluido.
Luis ow Luiz, s. m. louis: monnale d’or de
24 livres, en France.
°Leirta, eic. V. Lule.
° Luıtosa , etc. V. Lucluosa.
LüLa , ggf, espece de calmar. V. Chöee.
Lussä . Lombar.
Lunsaicä. Y, Lombrige,
‘
LEN
Luun, a. m. fen, en tant qu’il scheuffe et Löra, s. f. loupe : Iumeus aux pieds desehe-
quwil ccleire. —, öiincelles qu’on tire d’un call-
ou avos lo briquet. ’Clarie, lumidre. ( Ag.)
Eelat, aplendeur. * Illustration, deetzine. ° Lu-
miese Inieriosre, raison. " Gonnaissamee. ° Vi-
vaeiie; oolöre, * Surface, fleur (d’eau). Ciorge.
Beo de cand&labre, ots. V. Lux, Vista. Ir-ss o
— dos olkor,, so Lroubler, s’slelndre, em parent
do lavue. Ao-— dagus, a Deur d’eau. Em tal
cass nuncon se accends —, eu lelle maison Any ä
a rien de si froid quo Pätre. —s da pialura, le
Jous d’un tableau.
Luusän. V. Lumiar.
Luntin, etc. V. Allumiar, eic. _
Lumiia, 8. m. pas au seuil de IPporie.
Loßıtına, 3. f. lucarne, all-de-bauf, abat-
Kur. "Feu pour selairer. v. Lampaderio. u.
umıkıro, 8. m. V. Lumieira,
Lunsstantıaa, s. f. femme qui Ilumine, gsi
fait des illuminalions.
Losınin,, etc. V. Illuminer,
Lusxınän, s. m. luminaire : corps luniineurx.
On le dit dos asıres, et surtout du soleil ei de
la une. ( Ag.) "Lumidre, Iuminaire de soa sid-
cla : homme distingue par son savoir.
Lunısärıa, s. f. lumiöre, iuminaire, V. Lu-
anne .—, Si. illuminations pour une Ste pu-
ique,
Lumınösaudurz, adv. d'une wanitre lumi-
neuse.
Luuıxöss, a, adj. Juminsax ı qui a, qai-jetie,
envoie, repand, cause de la lumiöre.
Loxiöso. V. Luminoso.
7 Löuro, s. m. (4. d’Aist. net.) lump : poissen
eycloptäre.
Löua,s. f. "pendant d’oreilles.
Lunaciö, s. f. lunaison : temps d’une lune &
Yautre.
Lunin, s. wm. signe : marque, tache naturelle
qu’on apportv en naissant; envie.
Lonir,adj. 2 gem. lunaire: qui apparlient & | niens.
+ Lisöns ‚a. m. pl. anciena peuples d’Espa-
la lone,
LUB: 787
vaux.
f Luranin, s. m. bondel, lupanalre, mauvals
ieu.
+ Luraniaıo, a, adj. qui appautieht au bor-
dei, au Inpanaire.
+ Lurinca, s.f. (tl. d’Afriqus) demi-Epee.
Lörano. V.
Lorencies, 8. fı pi. Iupereales:: fäios de Pan
Rome.
„ui ränoos, s. m. pl. lupergues.: prötses de
an.
ber 8. nd (2. d’hist. nat.) Iepöre : e0-
ldepiöre galtrae .
Lörıs, s. f. Tonne : Limeur. — crassa, I-
pome.
Lurino, a, adj. de loup, qui appardent aw
loap. s. m. V. Tremog. Menis -—a. \. Lyeai-
Iröpia.
kLaeissouset , s. 0. loup-gareu ı prölendu Sop-
cier deguise en loup.
LörcLo, 3.0. (t. da def.) houblon , vigne dm
need: plane avec isquelle on fait labiere. .
Lünco, s. m. pelit eiseae , presuue lout vort,
un peu plus gros que le chardesneret.
Lörıno. V. Negro. ’
LusseL, s. w. Lucifer s chef des demons.
* Lusein. V. Folger, Brincer.
Lusco, s. m. ll n’est usitö que dams cells
phrase : Entre — e fusco „entre chien ot loup,
sur la brune ; ( Ag.) obscurement. -
% Lusianas, #. m. pi. actions herolquas des
Lusitaniens. Nom du po&me epique de Gamüen,,
la Lusiade. _
Lüsıco, V. Lusitano, Luso.
f Lustänu, » f. (4. de geog.) Lusitanie,
aujourd’hui royaume de Portugal.
Lusitänıco. V. Luso.
Lusitino, a,adj. ots. de Lusitanie. Os —ı,
les Lusitaniens , aujourd’hui les Portugais.
Liso, A, adj. da la Lusitanie, des Lausils-
Lunänta, 8. f. (4. de bot.) lunsire : plante | gue.
erucifere,. — besiarda,, ophioglosse ailöe, lan-
gue de cerl.
Lrisino,s. m. calendrier lunaire, qui compta
los anndes par lunes.
Lusärtico, a, adj. et s. lunatique, ou dont la
demence suit le cours de la lune,
+Lusva,s.f.(l.d’hist. nat.) — morgulheire
° macareux : olseau, osp&ce d’alquemeolrätre.
Lunpö, s. m. sorte de dahse irds-indecente,
dans laquelle on fait toute espedce de moure-
ments avec le corps; danse des negres.
Lunttiı, s. f. lorgnette. Voüte & lanette.
Lenworär , adj. 2 gen. lunisolaire : compos®
de la revolution du soleil et de celle de la lune
(cycle, annde, perlode).
LösuLa, s. f. Iunule: Agure de geomeirie en
forme de sroiman!.
L
unuLino, . (8. de bot.) lunule ;:
forme de erissank(
euille —).
Lüsos, s. m. pl. les Lusilaniens, aujourd’huj
les Portugais.
Lustaagäd, 8. f. lastration : saoriäce, cörö- ,
monie des anciens pour purifier une ville, eis.
Lustaäno, A, 9. p. de Lusirer.
LustaiL, adj. 2 gen. lustral : (eau —e) pour
purifler le people.
Lustaän, 9.6, expier: purifier par les lusira-
lious. Lustrer : donner du os le lustre. Illumi-
Der, &clairer. vo. ». Briller, luire.
Löstug, 3. m. lustre, 6clas hrillent qu’om
donne en polissant, etc; (#g.) @clat, splen-
deur, gloire. *Brunissure. —, sorte de chande-
lier de cristal, elc., suspendu,
LusraıLuo ow Lustaıs, 5. m. "lusirine : dro-
guet de soie, &tofle ; etolfe de coton lustre.
Lustaino, A, adj. qui a du lusise, lustr6
BER Loco eic.).
Löstro, g. m. lustre; e&pacp de cing ana,
v l uelrg,
1AE:
hoowmösanturs, ade. d'une mianßiso bE-
lanıe, avec lustre ‚avec &clat.
' „a, adj. brillant, qui a du Insiee,
luisant.
Lisa ,s. f. latta: exegeles gymnuaskiuus, aDER-
bat eorps ä corps pour se renYerser. (Ag.) "Come
ba .
1“
Lurano. V. Lotado ei Endusade.
KLöranda , s. m. lattenr : qui Jußlo»
*Lorapüra ,s. f. action de lutter. V. Luis,
Lowia (apın, por), v. w. Jubler : oomhatite &
Ja lutte. (Ag.) Combatire, resister. v. a. (1. “es
chan.) Later, enduise de lat. @ home
do com a morie, ’'homme aus prises ara
LUTHERANISNO , s. m. luthdranisme : doctrise
de Leather. ,
Lurganino, a, adj. ei 5. m. Jutberien : DSF-
tisan de Luther; qui apparlient & Luther.
-+Loruuo, s. 0. (di d’ihislı nah) lutlam :
olsson.
'Löro, s. m. deal, bebit de demil. * Teintuze
pour le deull. (Ag.)* Alflistion , wristesse. (4. de
chim.) Lut. — afieiade, deral-deull. Ander de
— ‚ porter le deuil.
Luröso. Y. Lutudso.
Lureräucıa ,s. f. V. Lode.
LuruLtnto ‚a, adj. bousaz, bourbou, (an-
geaz , Iimonauz.
Letuoss.
Loruöso, A. } V. Luctuos..
“Lira, s. f. "gant. s, pl. gratilestion ı @e
qu’on denne en sus da prix coRvoRu ; oadean ,.
&pingles. °Pot de vin. sl. La peau des meins
brülde du soleil. — esfofade, ganı bourr®.
Lovaıno, s.m. gantter: (aisear, marchand de
anis.
‚ Luxin. V. Desloear.
Lixacäß, a. f. (1. de chir.) Iazetion ı d&bol-
tement,, döplacdement.
Lexo, #: m. luxe : sompluenitö exoessive
dans les habits, la table, les meubles, ete.;
(Ag) se dit du style, des beauts do la natare.
Luxünia , s. f. luxure, incontinence, lubri-
eltb. Appl rdonne, dereglemeht, excds.
Luxuniänte, adj. 2 gen. Juxurlani : abon-
dant ä f’exc#s; trop fertile; qui pousse trop
(arbre, etc.). V. Loupdo, Vigoso.
Luxurıir, v. a.stimuler & la fuxure. ©. m.
Jöuir avec faxure. Luxurier, exıprime lexces
de la fecondite.
Loxunir-se, v. r. se donner ä la luxute.
Loxuniösamtnte,adv. Juxurieusement; aveo
luxure.
Lozuntdso, A, adj. luxarieux : impudique,
laseif ou qui porte & la fuxure.
*Lurrosi, etc. V. Lucluosa, etc,
Luz, s. f. lumiöre, tlarte, splendeur, jour;
peugie, chandelle allunıde. V. Dia. —, jour,
endroit dclaire d’un tableau. (Rg.)—, connals-
satıce, indice, &olaircissement, avis, Inspira-
tion. (id.)"Lusire, 6olgt, splendeur.” Phare.(flg.)
* Rlambeau, Iuminaire. — da razdo, lumiere de
la raison. — dos olhos, \umiöre que leg yeux
Toutes e&toile ires-brillante. (fg.) °
ICH
ragoltient. =- prinämia, (1. de point.) Ionuikte
primilive, qui sort immedistemen? du core
lamsineux. --dirocts , rayon direet. — sonunda-
rise, (id,) lamlöre röflechie. Moda ——, Iamisre
faiblo. Bar d— , meltre au monde, enflaner.
(Ag.) Meitre au jour, publier (un livre, .).
Seir 4, paraliro au jour. Feehar os olhes d
_, "A volr oe qui saute aux Fauz. —er, Pi.
bougied, Iumiöres, Iuminsire. (fig.) Dgards,
rapporte. 4 lodas as --, de toate part vu de
tsate mantere.
Luztıno, 3. m. * etoile du metin, Venus.
lannltre,
&clat, spiendeur. (i£.) Astre, beaute. V. Lami-
sr. — ‚ Atölle du main. —e, pi. les
ou . @
your.
LuswLöss. V. Pyrilempe.
Luzente,, adj. 2 gen. lomineux, er, bril-
lant, luisant. b
Laztanı, oe. f. lamiöre, lanrpe. Ver Yatsımt.
(4. de bot.) Luzerne : plante Iegamimense pogt
les bestiaux. V. Medicagem dos pasies.
Lures-ıuzas, s. f. pl. vers luisants, (fg.)
Faux diamants , paillettes, eie.
kuztoaminte, ado. spiendidement, d’one
manidre brillante ; magniliquement, avec &clal.
Lusıpio, A, adf. lulsant.
Lozıpissimo, A , adj. sup. de
Luzioo, a, p. p. de Luzir. adj. Relatant,
pompeux, magotlique, respienäfssant, bril-
ant.
Lustwäwro, s. m. Iustre, splehdeur;; magni!-
Äcence, pompe, &elat.
Lizıo, s. m. (4. d’Asie) sorte d'embarcation
de Finde. (Asm.) L’ail. Deitär 0 — , regarder,
jeter un coup d’ail.
Luzia, v. ®. tuire, &clairer, r&pandre de la
lemiöre. Silhustrer, parattre avec echat. /fg.)
Briller, exceller ; profiter, faire du bien.
Luzin-sg, v. r. se parer, S’ajuster. TAg.) SH-
Justrer, paraltre avec Eclat.
"Lr.V. Ah.
Lyr,s.m.iy :: mesurp ilingraire de la Chine,
dixidme d’une Iieue. -
Lrcantnörti,s. f. (f. de möd.}iycanıkropie:
pspece de delire melancolique , dans Ties
malsdes s’imaginent #tre changes en lonps,
hurlent comme eux. "
Lreko, s. m. Iycke : ecole d’Ar 4 Atht.
es; lieu od s’assembient Ies gehs Ye letires
jo publique, unlvetsile.
. de Bot.) "iychufde ia
+ Lrcnxedu a Y*ly
LvcHsis, 3. iniee, Avor . cogeon,
+Lrcmtro, s. m. Iychnite : ıharbre de Pa-
Tos.
Lroo,s.m.(l.de my, Lyetas : its d’Her-
oule. adj. Lyelen : de Lycie, eontnte de l'ası
mineure.
+Lrco,s.m. (tl. PMst. nat.) in: eplkop-
Wire. — cör de sangue , ligue sahguln.
+ 1,xcorerno BOvıXo. V. Bu/a de Tode.
+ Lycorörio, &. m. (4, de boi.) Iycopode &
MAG,
mapgun, manssa Öos hals, piad, de loup,
de loup : planie cryptogame. e
+ Lrcörsz ,s. m. (8. de bot.) Iyoopside des
champs : plante Bi
+ Lrcro, s. m. (1. dAist. nal.) Iyete : col&op-
töre Aragpgilaire.
+ Lriou, s. f. (l.de göog.) Lydle : contr6e
de PAsie mineure.
Lr’oıo, 4a, adj. ets. Lydien : deLydie. Modo
— ‚amode Iydiep, omploy6 en musique pour lag
Yaintes. Pedra —a,, pierre de touche. j
Lre£o, s. m. (pot.) surnom de Bacchus. (f9.)
2 vie.
+Lrcto, s. m. (b. E’Rist, nal.) Tigeo: he-
nipiäre geocorise.
en . 5 S„(podt.) gan. Humeur aqueuse,
mpbe.
+Lrusxrıo,s. m. (8. #’Msi. nal.) Iymexy-
ion : col&opiöre, lime-bois.
Lrurmin, 0.6. (d de med. p. 45.) Taver dans
Yes.
Trwrnirıco „A, adj.(1.d’anat. ei de mid.)
Iymphasiqye : de la Iympbe, qui porte la !ym-
pbe (vaissean).
MAG 7:9
Lruce,s. m. (i.d’Aist. mat.) Das : anigal
mammilere, carnassier, chat; (fg.) homme
qui a la vne irös-perganie, qui est tr&s-pänd-
want dans les allaires. — caracal, caracal :
guide du lion.
Lrucörio,s, m. ($. de min.) Iynearius , bE-
lemalte, pierre de Iynx.
Lrv'na,s. f. lyre ;: instrument de igqne &
eordes; ga reprösenialien,, symbols de Phar-
monie, de la concorde. —s, pl. sarle de com-
position Iyrique.
+Lraä0o,A, adj. (1. de bei. ; en [orme
de iyre (feuülle-—e). ms
Lr’aco, aA, adj. iysique : (podsie —), qui
se ohante sun ta Iyse, qui se ehauall oripistal-
rorment (ode, hymne, abe.) ; gui Salt des odes,
6ic. , prepres & Size chamıtes ( Poßte).
Irs, V. Lis.
Lrsinäcnıa ou qua, 8. f. (f. de bet.) Iyai-
mächie, souci d’eau : plante primalaoee.
Lrruorogıa, etc. V. Litkolomia, ete.
+Lrrma, s.J. li. PMist, nal.) Iytte: cantha-
eide; pelil ver.
® M.
M,s. m. treiziöme leltre de Yalptıabet por-
tagais, et la dixiöme des consonnes; leitre nu-
merale, 1,000; avec un lralt au-dessus, un
million.
°Maı.V.Minha,
Ma pour ME A, contraction du pronom me et
de Varticle a. Elle deoma ou m’a, il me !’a
donpe.
Hi ou Mir, föm. de Mdo. (mauvaise). An-
dar, ser ds —s com paiguem, ( fan.) n'etre
pas d’accord, en bonne intelligence avee quel-
qu’un.
Miro. V. Mio. ’
Mica, s. [. * hamao : gorle de lit suspenda;
sranle.
Mica, 3. f. masse d’armes anciennement en
usage dans les eoınbats. Masse qu’on porte en
e+remonie derant le roi, etc.; masse de be-
deau, eic.; gros marteau; gros bäton; ımnas-
sue. ° Mailler A battre P’&toupe. * Macis : deorce
interleure de la muscade. V. Massa — de ealce-
detros, hie , demoiselfe, mouton.
Mick, —Aı, au an, s. f. pomme, frait da
gommnler. V. Haceira. — da espdda ,” pommean
’&pte. — do röslo, pommelle du visage. —
do escaravelho, pomme d’escagbot. — de poreo
ou porcina, * cyclamıen ,. pain'de pourceau,
plante. — de andfa, "jujube. — de eipreite,
noix de cyprös. — reinela, reinelte.
+ Macantos ou Macnaptos, 3. m. pl. Ma-
chabses : les deus derniers |ivres de l’Ancien
Testament,
Macicä, s. f. guenon : singe femelle.
Mıcico, s. m. singe : animal anthropomor-
pbe et quadrumane, d’espäces tres-variees. V.
Bugio, Mono. Cric‘: instrument pour sonlever
les fardeaux. Mouton : machine pour enfoncer
les pilotis. Estar pr4so ao cepo como 0 —, ire
l& coınme un chien & l’attache.
+ Mıcico, a, adj. (fam.) fin, ruse. Borte
—s,(burl.) mort desastreuse.
Macacöa, s. f. (durl.) maladie grave.
Macıcöte. V. Barrilhe.
Macipa, 5. f.” coup de masse ou de Aassu®,
de mouton, de malliet. Coups de baten. (fig.)
Menee, collasion,, eoomplot, cabale. Trioharte,
Mıci0o,A,p.p. de Magar.
Macapüna, s. f, action d’&canguer ou espa-
der le lin. #f. Coups de massue, coups de
bäton.
MuıcäsE, 8. m, magonnage du fond des puits,
fond maconne. Morlier, ciment. (1. de mar.)
Cordages, agr®s.
Mıcamönna ‚s.f. ((.demer.) mäche-mourte
restes , debris de biscuvit de mer.
+ Micama,n.f. (U EA ) casse-IWle s
espece de sabre Indien, d’un beis trds-dus,
garni de pierres trenchantes.
Maıcaneıno. V. Marconeire.
Macantra, 8. f. ponmelte, pelite pomme,
orneınent en forme de pomme. —s dos eniaven-
los , (1. de mar.) ganımcs de giroueltes.
MagasiLtia, 5. f. pelite pomme, pomme vof-
gairg.
%
760 MAC
+ Nıcko,ssm. (1.de g6og.) Macao , ville forte
de la Chine, Baie de Canton.
Macıö, a, m. aug. de Mdgo. Mailloche : gros
mailler de beis.
Muıcaräö, 8. m. massepain : pälisserio d’a-
mandus pildes, elc., et desacre. «
Maıcara,s.m. "tige, eöte ou nerrure du ben-
jom;; resine qui ressemble au benjoin. (#. da
Bresil.) “Terre gluante, bonne pour la planta-
tion de la canne A sucre.
Macaqticzs, 5. f. pl. singeries.
Maıciu,v.a. battre, frapper avos une masse;
broyer, piler. — 0 linko, espader, 6canguer lo
lin, — alguem com pde, sreinler, assonumer.
+ Macınto,s.m. (1. @’Asie) grande inıpe-
tmosils avec laquelle osriainen riviöres gros-
sissent ei diminuent rapidement dans }’Asie.
+ Macaxiso, 3. m. (tl. d’hist. nat.) macaribe
ou oaribeu , renne d’Amerique.
Macasico, s. m. (f. d’hist. nal.) alcyon : oi-
seau do mer. -- brigöso do Norte, le combat-
tat, — real, ceurlis. — guaraz do Rio de Ja-
weiro, courlis rouge.
Mauanico, 5. m. lievre mäle qui a une tache
blanche au front. dl. (4. d’orf.) Chalumeau:
tuyau creux qui correspond ä un soufllet pour
acliver une Hamıme.
Macınöca, s. f. "epi du ınais, du millet.
Fuste : il, lin autour d'un fuseau. Boucle de
cheveux ijgilant un epi de mais. Sorte de petit
fromye rme d’cpi denuals.— de morröes,
asseıublife, faisceau Je nıeches & canon.
+ Mar:.öco, s. m. "boucio dechereux frisds
en forıno d’epi de mais.
Macanniö, 5. m. macaroul : päte faite de
fariue de feoınent,
MAacARRÜRICO, A, adj. Macaronigue : (pod-
sie —) burlesquo, en ıuots vulgaires, avec des
termimeisons latincs; on le dit par exleusion
d’un mauvais latin. Lalim — , lalin de cuisine.
Maci1Y0,3, m. °sorte de lissu de laine et de
soie.
Mäcsa, s. f. auge; gainelle.
+ Mauxvönıa, s. f. (t. de geog.) Macedoine :
province de la Turyuie europeenne.,
- Maczoönıo, A, adj. ct s. Macedonien : de
GING,
achıaA, 8. f. (l. de bot.) ° polmmier : arbre
porte lcs pomınes. il. Huche, petrin: grand
pour petrir. — de anafsya, *jujubier
co _n
MackınO, 5. m. massier, bedoau.
Macktıza, 8. f. (1. de boi.; camonnille ; plante
ooryrıibifere. — dos tialureiros, camamille des
teinturiers, vulg. all de bauf colorant.— fran-
essa, achillde visyususe, vulg. eupaloire do
Mesu6d. — romana , estnomillo odoranie os ro-
maine. — felida , eainawille puanie, vuig. ma-
route, il du vache. — camomilka, matricaire
eamomile ‚camonıllig.yulgaire. — gallega, co-
tule doröe. ‘ .ı
Micenanlı. V. Marcenarti,
Macenemo. V. Marceneiro.
Macenssäö, 8. f. action d’amollis, de diinj-
MAG
nuer 1a durets. Macäration : mortißicalien de
la chsir par jeünes, etc. Macerstion d'une
plante, etc.
Macgrino,A,p.p. de Macerar.
MACERAMENTO, 8.0. V.M .
Maceria, vo. 6. amollir, dimiuuer Is durels,
(#g.) Macerer, ınortifler son corps par des au
Writes. Maoerer, faire tremper une platte, eic.,
dans quelque liqueur.
Mackra,s. f. sorte de majliet ou de mar-
teau de [er des lailleurs de pierre. * Crackoir.
Masse : gros bout d’une queue de biflard.
Macerk, 3. m. petit maillet de bois. — decer-
as, petit paquel de loltres. — de culafale,
maillei de calfat.
Acuatiz, (if. durl.) V. Grendalkäs.
Macuacaktas, 5. f» pl. " joueis des Mach«-
chins. V. Nalachim. _
Macuacans, V. Malachım.
Macuwäpa, 8. f. hache. V, Machade.
Mıcnapäna, 8. f. “coup de hache ou de
o0KnEc.
Macuapixna, 8. f. petite hache, petite eo-
gnee.
MACEADINNO, 8. m. dim. de
Macuipo, s. m. "hache A fendre du bois,
ge.
Acuartsea, 8. f. (l. de serrur.) "gondı,
touplet. (p0p.) Hermaphrodite. Machasfewes!
do leme, ımäles ei fomelles du gouvernail.
Muıcuiö, s. m. femme honımasse,, virago.
Macuarıns. V, Malachius,
Macuavär,(pop.) V. Mackiucello.
Macueıno, V. Machitiro.
Maıcnite, s. m. glaive : csp&ce de sabre ou
de coutelas. Petite guilare,, ou ımandoline.
Macnän, v0. 0.(t.d’agr.)devenir sierile.
Mıcmav&uLico, A, adj. machiavdlique - qui
a du ımachiavelisme.
MACHIAYELISMO, 6. u. machiavelisme : sy5-
LEme polilique developps (ironiquemenl ou de
bonne fol) par Machiarvel; condaite astacieuse,
perfide; polilique qui a pour principe et pour
but l’inleret, pour moyens la violence ci Is
ruse.
MACHIAVELLISTA, 8. 2? gen. machiareliste:
partisau du preieadu sysiöme de Machiavel.
MAcHIAYELLO, 6. m. (nom prop.) Machiave! :
cölebre publiciste italien. (Ag.) Poliique asiu-
cieux et ruse; bomme fin et dissimuld, ,
Macsıtıro, 8. m. jeune chene-liege.
Micsuma ow Migtına, s. f. machine : engib,
instrument, oulil, combinaison, ensemble de
ımeyons de regulariser, de diriger les lorces
produites par un moleur, de subsliluer la foru
a la vilesse, et röciproquesmeni, pi pe
mauvoir, iger, ‚ lancer, tra
semblage do de mecaniqg pie-
ces mobiles + sieux, etc. (A.} Mull-
tade, quanti vasle, sampliueus. V.
achinacde. — preumälica, machine paet-
mallque, »
Mıcnınacäö,s. f. machinatlen, cahale,
Milluınäno, p. p. de Machiner.
Mıcamiı, adj. 2 gen. machinal : qui vont
de ia maslıine.
MacmmaLnänte ‚ade. machinalement :d’yne
memniöre mschinsie.
Macumän (contra), vo. 6. machiner : fsıre
mendes ‚ former de maavais des-
seims. Conspirer, eabaler
+ Nıcammirı, s. f. exposilion : espöce de
parillen seulpis, sous Jequel on expose le Saimt-
Sasteusent, la siaine de la Vierge, la rellgue
Mucmmisra, 5. m. machiniste : qui invente,
fa, ou fait mmouvoie des machines.
Macnina, s. f. oouverture de soo que los
Cafres metient sur les 4paules en maniöre de
MARbBR.
Micno, s. m. mulet: animal de somme,
mi&lo, prodait d’un obeval ei d'une Anesse, ou
d’un ins et d’une jument. Mäle: aniınal du soxo
mascalin. (Ag.) Bet, stapide. Crochet, gond.
Piöou d’ane machine qui entre dane uno autre.
Gres martean do forgeren. Gargon, enfant
mäle. Grosse de mer. —ı do lome,
(1. de mar.) alguilloisdu gouvarmail. Parde —s,
(dd) In de prisonniers avde les anneaux, bes
Micmo, en nn. mäle, du sexe masculin;
fort, viguuren
Maı et. virago, V. Machto.
Macnöca , 3. f. selon de battze ou fouler le
his mür avant terme,
° Mıcnounaris, 8. f. V. Lavor.
Mucatana, 2. [. brebis sierile. On le dit par
extension de la femıne ct des autres femelles
d’animaux.
‚&, 9. 9. de Machwear.
Macnugpbör, A, 5. beachenr, btoyeur, sein! Sgurs.
qui pille.
Macmocapöns, 3. f. " seschement : action de
beoyer, d’deraser. Contusien, meurteisenre.
Macavcia, ©. s. 6eraser, boncher, broyer,
arten, &, adj. (fom.)rassis, Judieleux,
uille, wär, sonst; (t. duri.) ricke, puis-
clauzure. V. Brandamente.
Macige, a, af. massil, solide, ferne.
Macıchre, s. m. massicot : melange de vorre
ei d’ezyde d’stalm.
.Macıtıns. V. Massire.
MacıL&nto, A, adj. malgre, extenud, biöme,
„ Päle, höre. Pittei, fand.
Maciuws , #. f. päte, volle.
Maciueo, 5. m. di. de Mayo.
Macho, a, adj. dous auiousher, moeliiux;
{Ay.) desiie, douz; sans Apreis (vin!®
Macıontıaa. V. Macomeira. "
+ Machen, Arm. sorie de quasirupdde sau-
% [4
MAD. 301.
vagtfie ia grendeur ducheral, & fambes Ion-
Zues et minees, gris ray6 de blanc.
Macöco, 5. m. (1. d’hist. nat.) Mmacogo:
»| quadrupdde 'du Con ‚anlilope, gazelle.
+ Macomkına, 8. 2 (1. de bei) maoomeirs“
palmier du Beesil. ‘
+ Macönz,, s. m. *lamproie de Sofala.
Mico, s. m. maillet : marteau de bols & deur
etes. Paquet dE menues merceries, de rubans,
de lacets, etc. Coup da jeu de la prime, od Pon
a le six, le sept et l’as de la m&me couleur.
- de ealceseiro , mouton & pilotis, bie, demoi-
solle. — de Horeiro, kup: Instrument de Ik
braire. —rodeiro, gros maillet pour la constrao-
tion des valsseaux, elc., pidance. — de papeis,
lasse de papiers. -—— de carlas, paquet de let-
— de seis baralkos, sixain de cartes. — ds
linkes, de seda,, botie de il, de soie.
Maconanias, Y. Mocenaria,
+ Micönra, s. f. petite barre de cuivre qui
tient lien de monnale & Mozambigtg,, et vaut
00 reis portugais.
MagoaraL, adj. 2 gen. lourdaud, raustre,
grossieor.
+ MaconnaLuture, adv. grossitrement, A
eoups de hache.
Macnocösu0, 3. m. masrocosme : je grand
monde, Punivers.
+ Macnöuno, 8. m (1. E’Möt. nat.) aheroure:
o0ory öne. ”
crrA,®. Dt den. nat.) maetre : co-
quillage bivalvo. — Ans dos alomilos, mactre'
papsraote.
macninta, s. f. (t. d’Asie) demeure de pt-
+ Macont, s. m, (4. d4bot.) macoube: arbre
gattiföre de la Guyane.
+ Macucd, 8. m. (8. de bot.) macoucon : grand '
arbre d’Amerique , salmitier.
Merle s. m. frult du Bresil , qui ressem-
bio A la sorbe
MäcuLa, 8. f. tache. V. Manche, surtout au
MıucvLino, a,p.p. de
MıcuLin,v. @. tacher, souiller, säter, salir.
On le dit surtout au Algure. V. Manc
MuacuLarörı, 5. f. maculature.
MacuLöso, a, adj. seuill6. V. Manchedo.
» Macoco. V. "Macipo.
+Maıcu, s. m. sorte d’embareation de !’Inde.
+ Mıcöua ou Macima, s. f. (li. du Bros.)
servante, esclave qui accompagne sa ınallresse
quand olle sort.
+Macuni „s. f. (t. de bot.) ycux de bourri-
quo : plante.
Mıparıio. V. Magdalido.
Mapiya,'s. f. ınadame.
Mıoamoestıra, s. [. mademolselle.
Mıpveraccid, s. f. humectation.
+ Mınericto, a, adj. humect£ , mouilld
Mankına,s. f. *hois: substance dare d’un 3r-
hre. — de construcedo, bois de charpente , boia
abätir. — verde, bois vil. — löria ou do ur,
oornes des animaus,
7 5
+ Mıntına ‚s. [- (4. de gdog.) Madden : Byte
l’octan Allaniique. Vinko ds — ‚madere, vin
de Madize.
MiDKıRaN&uto, a. m. bois n6cessalte pour la
eenstruction d’un edifioe, "Boiserie, aharpenie.
V. Emmadeiramento.
Mapeısäa, & a. hälir om bois, boiser. V.
Kmmadeirar.
Mupkıno , 8. m. grosse pidce AB bois, poulse,
madrier. Tronc d’arbre coupe. (Ag.) Homme
stupide , morceau de bols.
Maotixa ‚s. f. "scheveau de il, (4g.) Tresse
de chevauz. — do mialkar, (1. de mar.) paques
as scheveau de bitord.—s, les cheveux.
Mınzızinus ‚&. f. dim. de Madeiza.
+ Muvıanizas, s. m, pl. Madianites ı pauples
eit£s dans Ja Bible.
Mipıno, a, adj. (podi,) wennps, mouilld, hur
meocte.
+ Mıpis, sm. “monnaie da la Turquie asie-
Haus, 12 phis porlugais.
ADOBWR ou —onna. V. Modörre.
Mapaacin, am. (4. d’Asie) logement.
ADRACARIA „8. f. faindanlise.
Muanssckin, 9, #. laintanier, Iruander.
MunpnacgınÄö, ONA, adj. ei s. aug. do
Mer WO, 4 adj. pamseeux, faindans,
uand.
Manns, ad. maunsie de Camhaie, degx
arins.
Munzansyiß, & mu mmnnaie dAsie. V. Be-
drafan,
Manrista, s. f. marätre, beile-märe : se-
eande femme da pre,
+ Mannista , s. f. (8. de gdog.) Madras: ville
da V’Hindausian, sur a söle de Coramendel.
Mione, s. f. malrice: parlie ad me Salt la
conoaplion; uläzus. Märe, parlanı de }’Eglise
ou d’une religleuse. Mer : lit de riviöre. Pou-
ira, madrier. Mai de-—, mal de märe ı hystötie, | A
‚affection hyslerique. Sair da— , döhonder, par-
lanı d'un Aeuye, (Ag.) Sorlir des hasnas, taın-
ber dans quelque excds. A sanla — igreja, la
sainte Eglise, notre möre, — do leme, (4. de
mar.) meche du gauvernail.
Maprer£noLs, s. f. mese-perle ; grosse 00-
quille de perles;; nacre.
Muoaeria, V, Piamaler.
Maprerona, s. f. madrepore x produclion
ramifide , calcairo & polypiers. \
Muanazsiıva ,s. [. (1. L bot.) chövre-feuille:
arbrisseau monopeiale, & fleurs d’une odeur
exquise. — do norle, chövre-Teuille des bois.
Maonia ,s. f. Mar de —, ondes moulonnöes.
V. Carnetrada.
MapascäL, 5. m. madrigal ; penste ing«-
nieuse ou galanie, lelicate, en vers,
+ Mannıchz, s. m. homıne laid, noir, päle.
+ Maonıcofına, s. f. * halot, repaire , tarrier
de lapin ; retraite des poissons,
ManriLueina. V. Mudrigueira.
Mıprixur,s. f. marraine : femme qui lient
un enfani sur les fonts de hapt&me ; fenıme I6-
moin dans un miariage. (fg.) Proleptrica.
Munntnse „ oie. V. Bedennhe , obn.
Muıdaucipa , s. f. "point du jour. Liaetiem ds
so lover matin,, lovor metınal. (fg.) Prosssill.
De —, degrand matin, & la pointe de jese.
Betrellada —, tatle mailnitre su de zneiin.
Mipnucapor ‚A, adj. eis. malinsnz, mil
nel : qui se Ihre zmalin.
Manaucoia, v. ». se Jever malin, de ben me
tin. (Ag.) Möditer, preveis d’avanse Ins dilien)-
vis, (id.) Prevemiz, prandze las devamta. Aqua
madrugs Does ajuda , (prov.) aide-tei , bu einl
Vaidera. Mais vale quem Does ajı de qm
quem miilo madruga, (prov.) V’assistames de
Dieu fait plus que iMuts la peine qu’en pen de
danger.
Masuraciö, s. f. matarallem ı das
fruits vers la maturils; degrs de meimeitd;
tpuzation du mndtal (4. da chin.) ; onatlam, &i-
l#nualion , pröparalion des Kumpuns
aßıı de les expulser.
Mıncaino,, A, 9. P. de Haduraz.
MaADÜnANENTE, adv. mürement, SSgemmmt,
avoo besuceup H’allsnlion.
Mıponin, v. a. laire märie: randen za@e;
(faire mürir un sbods, hetse |a Gerzuntiam dm
pus. (49.) Disposer des moyens nöpiesalnes am
susods d’ane enfseprise.
+Mapuxarivo,, a, adj. (8. de nid.) uasture-
tif s qui häte la formation de pus.
Mansaccta. V. Anadurnese.
Muasontıno,, s. m. lien peapse. La anaturiä
ae fruits; fruiterie.
+Mascatz ou | meterktärdtat,quakite de
Mapuntza,s.f. \cequi eg müs; Ag.) on
Je dit de ’Age, d’une affaire, @uu prajaß, aiı.,
& dom lerne; prudenes, olrcenspacuen at je
ement.
andno, A, adj. ınlir ı dans sa mantmziit;
sage, pruden!, cinoenspest. (Sa) Avamısd dA
ge.
" Miz.V. Mäı.
Mırıu£pn, 8 iu. Sorie de mosure d’Anike. dR.
Mahomat oy Mafoıma.
Maraustico. V. Mahomelano.
+ Mamönı, o. f. kuile medickale dems se
Jervent les Cafres du cap de Banue-Haptcamen.
Mich, s, f. magicienne.
Macaskıira, 5. [." arbre du Bresil de la gram-
eur da sorisier, & Reste hlancher samsenn le
asnin, et dans les fruils sespemublgus & Je
sses prunes. D
Macacia. V. Mugen - ı oz
+ Mıcät, 8, m. (2. de bot.) zusgel ; schen #’>
mirlque.
+Macarinıco, a, adj. Estreile —, deiseit
de Magellan : detroit famenuz de U Amdzsgus
neridionale.
Mıcina, s. f. piöce d’aneisıne uWSgEM.
. MAGANÄGE OU —EN , 8 f. (famp.) as de pelis-
dons , de liberlins; biigaudade.
Muguni6, 2. m. ei ady. wwpiägie, uni,
dröle de o@pe; vaurian; pelisann, liber&äz.
Macanzin, v. ©. Seise.desmspicylerien, dus
mallees ; faire lo Jübertin, ceuris joe feRnanen ;
MAR
menge unovie iasnelause ; onueis aA ot IA, bak-
tre Ja pave.
Macantına, s. f. eopiägleries; petites mali-
ces; Fuss, our; sllures ou mentes secrälss;
libertinage ; vie licencisuse.
Macanice. V. Maganeirao.
Maoiuo, A, adj. polisson; fripon, malois;
fin, espiegie, malin, russ, Olkos —s, yeux Sri»
pons au polissons.
*Mıciaca. V. Margapa.
Macanire, 5. m. gargon haucher qui Lue les
baaufs dens l’abalteir ; 6oorcheur.
MacoaLıiö,s, m. magdalcon : rouleau d’om-
pläse, de soyfre et d’onguent,
Maczuinico. V, Magaldnseo.
Maassichd. V. Mangericdd.
Maczsrtäog, #, f. majestö ı geandenr sauvo-
raine de Dieu ; titre donn6 aux empereurs ‚aux
rois. Seperiorit4, aularilö sur tous. —, gFAN-
deur, magnifoence, sompiugsits; air grand,
mmajpeinanE. Com -, majesiueusement, avec
BeTisıch, A, adj. de la majesiä, qui lui
MAG 763
de roudee la justice. " Magisjralure ; dignile,
charge de magistsat,
MacıszaaL,adj.2 gen. magistral: qui ie du
maltre, qui lul convien). Conego — , Ihäalagals
‚ präbendier gradua en Iheplagie, u
qui antzefeis,, dait ohlige d’enseigner dans les
Galhadraies la grammaire ‚la Ih4ologie, ein,
+ Macısraaupäng, 4. f. "ion de mallze.
MAGISTalLusuTz, ade. magisiralemeni : ep
majise,
Macıstaännpo, 3. m. celui qui est äla veille
de segevair le degr6 de inalisa,
$ Macıstaärico, A, adj. de magisiral.
+ Mıcua, 5. m. magma ı parlje röcrämen-
Helle d’un anguent; (cas, marc, lie.
„Micna, s. f. Ordinaris —, ancien acla de
en mallize pusligue de opnscience (d
+ Mannänımaneute, ado, magnanimement:
avec magnanimile.
Maananınipaux, s. f- magnanimits : verku
de l’hoımme magnanime; grandeur, Alevalion
d’äme; vortu qui poxte A’oubli, au pardaıı des
spparieni; du sonserain. Direilos —s, droits | inj
da seuyerajn, auphriorite , autorilö aur les s4-
jets.
MiSBSTÜSAMENTE, adı. majesmeusemens ;
aveas majonld,
ManesT020 , A, adj. majesiunug ; qui a de la
majenit, de l’aelat, de la grandear; noble,
grand, sugusio, sorlq@uR, Bravo, poad.
Kassa ou } magis ; art chimerique de
Misıca,4. f. ) produire das „eis surnalu-
reis par ie sooanas des ddmons, ou de moyans
nesurels incomaue ; (Ag.) Illusion produits par
Part. V. Encanto. — artifciel, magie artif-
cele an, par ie mayen de l’art, produis des
efleis Surprenanis. — nalurgl au Dranca, ms-
gie matarella au blanche, quı opero par des
moyens naturels, mais inconnus au vulgaire.
— negre, magie naise, ezazade A l’aide desde-
&
men
Micıca ‚so. fı mmegiclemne,
MicıcANENTE, edv. par magie.
Micro, s. m. mägislen , nögromanelen.
Mäcıco, ı, adj. magique : de le magfe.
Macınaciö.
Mucınar, etc. | V- Imagın o0.
Maıciss0,s. m. magisıne ; anclenne religion
des mages perses.
Macısräaıo, 3. m. ampjol de malire, prafes-
sion d’enseigner. Grade qui donne le tilra de
maltre, doctorat. *Doctrine, Insiruclion, en-
ement. "Charge, office qui donne d un re-
ligieux le tilre de maltre.(fg.) "Gravils, air
serieux, magistrat. "Maltrise : qualilö de mal-
‚parlanı des arıs ei mötiers. (I. de chim.)
gistere : noım donn& par les anciens chiınis-
was & jous les precipilts en general, et ä plu-
sieurs ayydes. Poudre medicinale, Com —
magistralement, d’una maniere magistrale.
Faller com — , parler d’un ton de maltre.
MucuTaspe, 6. m. magisirat ı ollicioscharge
inJuro®
MaASninıNO , a, adj. magnanime; qul al’dme
grande et ölevse ; gandreux.
Maonätz,s. m.graudd’'unroyaume. Maguaß:
grend seigneur en Pologns, .
Macntsıa , s. f. (1. de chim.) magnesie ı terre
douce, l&göre, fine, pp4eipisäe; l’une dus buit
terres crues longtemps primitives ; aujourd’hai
oxyde de magnesium : lerve absorbanie, hlan-
che, empleyde canıze les aigsonrs.
Hacukia, s, f. V. iman.
Macnttico, A, adj. magndlique: de lYalmant,
Macnerisu0, 8. m. magnelisme : proprietä
de l'’aimant.
Macnetızi00, A, 9. p: de
Maonzrisin, 9. 6. magnöllser : oommun)-
quer le magnstisme animal, le developper.
*Maoumo. V.
Macnutano. TV. Manifeste.
Muıcniricagäö, 5. f. aclion de magnißer.
MAcKIFICARO, A, A do Magpikcor.
MAGAIEARÄR, 3, 4. celui qui magniße, qui
exalle.
Maasiricaußute „ ado. magniliquement :
avec magnificence , avec splondeur.
Macnıricän, v.a. magnißer, exaller, &lever
la grandeur (de Dieu). Lauer, exalter.
+ Machıricarönıo ‚a, adj. qui magnifle, qui
agrandit,
Macnırickxcıa, 8. f. magnificence : qualils
de oelui, decs qui est magniügue; Kompiuo-
sitd; dapemsa &clatanıe; splendeus. Com —,
magnilg uemen!, gran megnificence, avecspich-
eur.
MACKIFICENTISSINO , A , U. sup. de
Macnirico, A, adj. magnillgue : splendide,
somplueux en dons; qui aime l’clal; spınp-
» | aux, 6clatant; on hrilie la magnılleence.
MacniLoco, a, adj, V. Grandiluco.
MacsıLogukucia, 8. f. Pompo du style, 08-
Yontalion d’ölayuence.
768 MAI
Maewröaz, s. f. grandeur qui peut £ire eal-
eulte ou mesurde; volume d’un corps. Gran-
deur 6es &tolles, "selrmt Isqueiie elles sont
distributes on diverses classes.
Miono,A, adj. grand. 11 est ordinsirement
employ6 comme 6pithete. Ex.: Säe Basilie —,
Alexandre —, Carlos —, saint Basile jo Grand,
Alexandre io Grand, Charlemagne.
+ Macmöuia, . f. (4. de bot.) magmelie :
plante. ° Magnolier : arbre conique, tulipiföre,
d’Amerigue.
Mico, s. m. mage: komme savant en asire-
logie, os philosophie, ches les Perses ; ohel de
la religion. Magicien.
Mico, a ‚adj. enchanteur, magielen , qui en-
chante. V. Magie.
Micoa, 5. f. meurtrissure; sche, au prepre
et au üigure. ( Ag.) Peine, chagrin, deplaisir.
—, pl. plaiınes, gömiasemenis, Iaımentations,
Macoä00, 4,9. p. d
„Macoin, ©. a. obaririr. ( Ag.) Chagriner, af-
r, peiner.
Aa00ÄR-sE, v. 7. se chagriner. s’'sllliger,
avoir de la peine. Se plaindre,, se lamenier.
+ Mıconni, s. m. olsesu d’Amerique, & grau
des plumes, bon & nianger.
Maioöre, 5. m. tas, amas, bande, troupe,
groupe®. Em —ı, en las, eh groupes. Au —t,
r petites bandes.
Macnazına. V. Magreza.
Macken ou
Macatza, s. f. | meigceur, amalgrissement.
Macainno, A,adj. dim. de Magro. Maigrelei.
Micao, a, adj. malgre : qui n’a pas de
graisse , en a Irds-peu ; qui mangae d’embon-
point.
Macaozinno. V. Magrinko.
° Macven , adv. malgre, quolkg@e.
Mactsto, s. m. kan de marrons ou chätal-
gues röties.
+ Mansı£ee, 3. m. (1. de bot.) mahaleb :
beis de Sainte-Lucie,, eup&oe de corisier san-
vage.
Manıutoe,, s. m. V. Escamdnsn,.
+ Mınıuönı,, 3. m. mohnaie d’or at d’argent
dans l’Inde et dans la Turquie.
+Manızen, s. A esptce de piorre pröeteuse.
° Manou. V. Mäo,
Mıuoutri, adj. ? gen. Mahomsetan :
Manourrino, a, adj. eis. qui ooncerne
a professe ie mahometisune.
ABONETICO,, A, adj. de Mahomet, du mahe-
meötistne,
Mauouxtisuo,, s. m. mahomeılsme : religion
de Mahomet, qui admet un seu! Diea, ei la
mission divine du prophete Mahomet; musal-
manisıme
+ Manor, 3. m. (4. de gdog.) Mahon : ville
maritime de [le de Minorque.
+ Mauontz, a, adj. et s. de Mahon.
Miı,s.f. mere, maman : fenıme qui a mis
un enlant au monde; femelle qui a un peilt,
od des pelits; Ay.)raus ‚segrce. (id.) Hornmic
qui ale avcc la Iendresse d’une mere; id,
MAI
der!) komme effüruine ‚ Ponte moniilde, Panie
Is plas &paisse du mot de vin, qui faß fer-
menter toute la cuve. — Fogus,, soaree abon-
danie; reservolr. Lingua — , lange mere. Er-
tar na —, se dit du vin qui n’a pas encore &6
tzansvase.
"Mita, s. f. V. Dama, Donuslis. Ancienus
te populalre au 1er mal; reine de mai, joane
lie parde, ornoe de Acurs, le jour de orte
föte. (Ag.) Femme tr&s-parse.
Maızsrins. V. Magestade,
Manära, s. m. (t. d’Asie) bianchissenr.
Mainca,,s. f." peson du fuseau.
Mamiı, sm. Tumpe die estaller pour Fıp
payer en montant. V. Corrimde,
Miıo, s. m. mai : cinguieme mois de l’annde.
) Temps de feurs, de plaisim.
srön, adj. ? gen. plus grand.
Majear: quia atieint V’äge de Jouirde sndreiß,
de oontracter valablement,. 4 — parte, la ple-
part. A— serie do lompo, ou das vous, lei
irois quaris du temps. De — idade, d’un ge
plus avancı. De idade — , trös-avanod en Age.
Estado — , ttat-major. Ofieial-—, maltre clere.
Por —, ade. mm gros. BE’ cousa por —, dei
une chose extraordinaire, etonnante. Nüo d
dito — , il n’ost guöre plus grand. Levanier-
se ds meiores, usarper 0 un pourois quen va
pas, prendse des alrs de superiorite ; s’enor-
eillr, s’btever contre ses saptrienrs. Pr
se ds maiores, en vonir aux exirdmiids, aux
gros mots. Cosa —es, CaUSOS majeures, Fi-
serv6os au saint-aiöge. Forias —es, jours de la
semaine seinte. Ordens 08, ordres majeurt.
Maron, s.f. (8. de log.) majoure du syli-
V. Maiöres.
Mareit,e. m. obel d’an sorps, superien
d’ate communauts. —do gado am dos pastoret,
maltre berger. — de rebenko, beller ou bout
d’un troupeau.
Masonina. V. Mangerona.
Marönss, 8. m. pl. chefs, principaux d’ese
ville; ancötres, aleux, prod6oessenrs,
MAtORDONO, ei. V. Meordemo.
Muıonia ‚so. f. exoellenoe, avaniage, prödisi-
nenoe. Majoriss : le plus grand nombre.
Maroaınpäne, s. f. majorite : &tat du majenf;
la pluralits,, le plas grand nombre.
MaloRmenTg , adv. principalement, surio.
Mamnzinu, A, adj. un peu plus grand, m
lus
“M los "auf. m. pl. Lirlos — , muguels.
° + Maiosinno, A, adj. Ameizas as, peulel
prunes qui viennest au mois de mai.
+ Mutreng, 5. m. (t. d’hist. wat.) maipouni:
perrache de Cayenne, tapir.
Mais. V. Mais
Miıs, adj. plus, davantage, mieuz. adj.?
gen. V. "Maior. Plus de, davantage. —
‚ plus de vin que deu. Os—,
les autres. 1 est aussi s. O—, le plas
nonıbre, la plupart;; le reste. N8o ss pöde d
zer—, c’est tout dire. II est aussi eonj. Er!
0 pobre —n-rico ‚lo pawrreet lo riehe, Arorlı
gu 8
MAl,
— o coldeirde, saint Noch ci son chien, De —,
de plus, de rop, en sus. De — a —, de plus
en plus: wir plus est. De — diso, outreo
cela. Por ‚avec negligence. V. Demeis.
Mais e —, de plus en plus. As — das vezes,
le plus souvent, les trols quaris du leınps. Km
uanlo co —, quant au reste, d’ailleurs. 40 —,
tout au plas. A— correr, & toules jJambes. 40
— ‚sans
refiexion , Inconsideröment, ex abrupto. Sem
— fir-Ie nem quarte, (fam.) sans motil ni rai-
— fardar, au plus tard. Sem — nem
son. Ndo —, point davaniage. A — e melkor,
au mioux, tout au mieux. Ainda —, mieux en-
core, il ya plus. — que muilo, beaucoup !rop,
ires. Z 0 que mais d..., et qui plus est... Tanto
— , quanto — , d’autant
vez —, de plus en plus.
viron, & peu pres. De pouco — ou menos, (fam.)
guinevautpasbeauconp, quine vautpasgrand'-
chose. Ndo Aa — , c’est tout ce qu’il ya. — do
que & preciso, plus qu/il no Taut. — sadio que
rieo, plus savant que riche. Virgilio d o — es-
timado dos podias, Virgile est le plas estime
d’entre les po&tes. Quanto — eu #’i830 penso,
tanio, etc., plus j’y pense, plus, etc.
— medion, — molestias, plus il y a de mede-
cins, plus il y a de maladies. Querer — « ums
pess0n que a ouire, almer une personne plus
qu’ane autre. Querer — alguma couse, vouloir
davantage, quelque chose de plus. Houoe —
il ya ou plas de tnes que
mortos que [eridos,
de bleuses. Por — que is, por — que [ara,
Yal eu bead faire, jai beau” faire. Por — que
«inocja, quoi qu’en dise Penvie.
AISQUERÜR, v.&. aimer mieux, preförer.
Marrica,s. f. oiseau d’Amerique, espece de
perroquet vert.
MarndscuLo, a, adj. mejusoule (letire — ),
capitale.
Main, s. m. mei, Mö d’Inde ou de Turquie:
plante et fruit.
Mali, s. m. champ vemd de mals.
Miızinua, s. f. dim. de Mdi. Petite manten,
komme manian.
Masıunona. V.
Maszstäpe,eic.V.M eslade, etc.
Masön, s. m. major: o ier charg6.da dstail
d’en cofrps. Chefdebataillon. — general, mejör-
gentral.
+ Mısöna , s. f. femme du Major.
Masöncı , eto. V. Malhörea, ete.
+ Maxasunin, em. (b. Met. net.) maka-
kounan: quedrupede föroce de la Guyane.
Mar, ade. mal: de mauvaise manldre; au-
tgoment quwil no faut; pas bien. Peu, trös-pe u
Suiri d’un verbe il signifie, & peine ow aut
«61. Er. :— 0 ofo, A peine zil l’a vu, ow aussi-
sor quiil Ya vu. — chogon, aussiwst qu'il arriva.
— feilo, mal fait, mal bati. — que dom, tanı
mal que bien. — soanfe, mal sonnent: : quicho-
que les oreilles pieuses. Bstar —, n’etre pas
bien; @tre malstant. Estar — de sahde, se
porver mal. Eetar, pOr-se — com alguem, eire
browilie, w krouitler aveo quelgu’un, = 0 de
lus. Cade die —, cade
040 — OU MENOS, BI
MAL 165
md menie , mal-ei de mauuweiss gräce. Por _
que vd, au pis aller. De — para peior , de ınal
en pis. — scondicionado, mal oondilionne,
gäls. — disposio, mal ordonne. — parccide,
pas beau, pas joli. — ferir, blesser : donner
un coup qui cause une vive douleur; biesger
griövement. — repulado, mal fame : qui a
mauvaise röputation.— vos Aaja, foin de vous.
— kaja elle, malbeur & lui. — por mim! mai-
beur A moi, malheureux que jo suis! Hölas!—
de seu grado. V. Grado.
Min, s. m. mal:ce qui est contraire au bien;
tort, dommage, injure, perte; douleur, ma-
ladie; vice, defaut. Malbeur, calamite, infor-
tune. — francez, maladie ventrienne. — de
S. Ldzaro, sorte de lepre. — caduco. V. Gola
eorel. De — o menoe (fam.), de dous maleı o
menor, de deux maax il faut choisir le ınein-
dre, ou eriter ie pire. — por —, mal pour mal,
autant vaut Fun que l’autre. Dizer— dalguem,
dire du mal de quelqu’un. Querer— aalguem,
en vouloir & quelguun. Que — Az eu? quelmel
al-jefait? E o meior — quo Ihe pöde aconlecer,
o’ost son pis aller. Ha males que vem por bens,
(prov.) a quelque chose malheur estbon.
Mia, s. f. valise, porte-manteau. — das
oarias, mallo, valise de courrier.
+ Marızin,s.m.(t. degedog.) Malabar : pres-
geile en degä da Gange. adj. eis. du Mala-
ur MaLanBinIcO, A, adj. ou qui appartisnt A
la cöte de Malabar.
+ Mırica, s. f. (1. de göog.) Malacca : port
et ville forte, capitale du royaume, sur le de-
troit du meme nom, vis-ä-vis de Sumatra.
MaLAscACcHETA. v. Mica ou Talco.
+ Maricnto, 5. m. (f. d’hist. nal.) " mala-
chie : coleoptere pentamere, lampyride.
Maricıa, s. f. malacie. di. V. Calmaria.
MiALACONDICIONÄDO, A ‚adj. mal conditionne.
*Maraconızino. V. Melancolizado.
MaL-ACoNSgELNiDO, A, adj. mal conseille,
inconsidere, mal avise.
+ Mat-ACOSTUMÄDO, A ‚adj. mal accoutume.
MaLacoräö, etc. V. Merscoldo, etc.
+ Mauapia, s.f. "maneoie seigneurial. V
Couto. Village de vassaux qui relevent diem
seigneur.
+’Mıusvlo, A, adj. Cavalleiro —, cheralieg
de maladia. V. ce mot etle suivant.
+’MarLioo, s. m. habitant d’ane Maladie, V.
ce mot. Vassal d’un seigneur.
MaL-AFFEICOAnO, a, adj. leid ; qui a une vi-
leine mine. (Ag.) Qai ade manuvaises inelina-
tions.
MaL-ArORTUNÄDO, A, Adf. malbeureux, in-
fortune.
+ Muracußz, a, adı. et s. de Malaga, ville
maritime d’Espagne.
MaL-ACASALHÄBO, A, adj. mel regu; imal
couvert.
Mıussotino. V. Fanqueiro.
Maracußra,s. fı (k. en Ereun es
pice de poirze,— greitdude Guind. Y. Gra.de-
166 "MAL
ardizs. —do Brasil. V. Plinsnido.—s, BE
t.de mar.) * chevillots, cabillots. Mesa das —s,
(id.) *ratelier ä chevillots. —s da roda do leme,
poigne&es de la roue du gourernall.
Mırito, A, adyj.et s. Malais: de Malacca.s. m,
Malai : langue la plus pure de TInde orientale,
"MaLAMEnTe, ado. mal, desavantageuse-
ment : de mauvaise manidre.
"Marandänga, s. f. “malheur, disgräce:
"MıLAnDÄNntE, Gllj.2gen. V. Desafortunddo,
Infelis. |
ALANDRIE, 8. mr. falndant, frippn, Yaga-
bond, vaurieti. Brigand, bandit,
Maragqutz, s. m.ahcdienne montale d’argent,
valant 11 deniers, que le grand Albuquerque
Mt frapper dans P’inde.
Mursqufta, s. f. (f. de mar.) espöce de che-
ille sur le bord du chäteau de poupe, pour
amarrer diverses manauvres : oreille d’Ane.
Mauasciras, V. Malencarddo.
j MaLassina, 8. f. @ufs frits, esp&ce d’ome-
elle.
*Maristäncia. V. Estanca (md).
MırLito,a,adj. malade, indispos£.
MaLatösta. V. Mallosta.
MıLavanesco. V. Malabar.
„Maraventöra,s. f. " malheur, infelleits, in-
fortune,, accident fächeux.
aLavenfünino, A, adj. malheureux, infor-
tune. .
"MLivinoo, A, adj. brouillon, querellear :
avec qui on ne peus virre; qui ne s’aceorde
avec personne.
MALAVINBÄno, A, adj. qui donne du mau
vais goüt au vin, qui le fait aigrir (futaille,
Ionneau, etc.). (fig.) Qui gäte, corrompt todt
(personne) ; do mauvais caractdre.
MıLaxi0o,A,p. p. de
$ MiLrxin, 0.0. (I. de pharm.) petrir,amol-
lir, attendrir,
ALBARATÄDO, A, P. p. de Malbaralar.
ALBARATADÖR, A, 4. dissipateur, prodigu®.
Mausinstir, v. a. dilapider, gaspiller » faire
des döpenses itutiles. Mevendre.
t MaL2aniTo, s.m. 'mövente : vonie A vil
prix.
Mat-BARBind , adj. m. qula peu de barbe.
+MaL-caskoo, a, adf. 11 se dit du mari gei
ne vil pas bien avec sa [eınme , ow de la femmie
‚ qai ne vit pas bien avec son mari.p. p. de
+ Marcasin, v. a. mal marier, parlant d’um
pöre qui ne marie pas bien ses ls.
4 Maucumaixts, sdj. 2 gen. qui sent mau-
uant.
ALCONipO, A, adf. allamo. "
MALCONTENTADIGO, A, adj. dificile & oon-
kenter, ,
+ MuLcontense,, adj. 2 gen. V. Desconlents,
so.
ALCORRENTE, adj. 2 gen. peu exeros.
MALCOZINHÄDO, 5. m. ° gergeio eu l’on vend
des tripes Iricasstes, etc. ; endroit d’une ville
oA ii Y a de cos gargates ou ol l’on vond des
hripes frioassses, oio.
vais,
MAL
Mircnrino, a, ff. mal der , iii mangoe
d’education.
_Mutoing, s. f. iniquit2, möchaneetd, male.
Möcharicei# , action mößhänte.
+ Maıoterao, A, ad). maladtoit, qui n’a pas
de dexteritd.
Mıwvicid, $. f. wmälsdlellen,
Mälediction de Dieu : chätimint geil eurer.
Parece que esia casa, este negbeio en —, Iı
maledielion est sur celle maison, sur cas
alnire. V. Amaldigo
ALDICOAR. V. jgoar.
Maı-nısr6sto, A, adj. Indispos6, malade,
Qui n’est pas disposs d
Mıupita, s. f. sorte de dartre.,
MaALpito, A, p. f. irr. de Maldiver. ai.
Maudit. Endiabl6 ‚„damnabie, enragd, mechst.
Maudit de Dieu, damnd, r&prours. Dit saure-
fexion,
Maupıtöso, a, adj. malheureng, inforiane.
+ MaLoivas, s. f. pl. (1. de geeg.) Maldive:
lles des Indes orienislos. _ .
MuupizenöR, A, 5. diffamatens, medisanl.
MALDIZENTE ‚adj. 05. 2 gem. mödisant, mus-
vaise langue ; emporie-pidee ; rmerdani,
quant, satrique.
+ 2,9. a. maudire s laire dep impre
oations conlrc... Medire : mal pazier de get
qu’un.
MaL2ös6, A, ady. möchant.
MaALRÄnTE,, adj. oba. 2 gen, faindant, vopr-
kond. Vaurien, , raillour, trompeut.
MaL£pıIckngsa, 5. f. detzaotion, zuddisant.
MaL£ico, A, adj. medisant; ealomalıı,
injurisux.
Muuzrickncia, s. f. malfaisance, bamer
Lmabante, dispenision ä faire du mal. V. fe
Musumcuse, 24 ad). malößeit, onsorcek.
p. p. de
} MaıLeristän , 9 0. emssecaler : jeter us si
sur. queiqu’un,
MaLzricıo, s. m. *diableria, maldos, 8
lege. (imms.) „tot, prüjndice Bi
ie.
MaLüroo, 7) ad. malflsigant : qu mul mt-
ons par des meltänes. Maltligne s qui a Ua
influence maligne.
Muzop V x
ALEGOßTA. V, Melaguoie.
Martinan, a... pl. V. Bexden (L. de bei) !.
Eupkhorbis melsitsire.
Mansıttina, 3 fı (&. de det m eier. V.
Tithymelo. — mener, V. Zupharbis mein
tsira. , .
MaLströse, &,0dj. Börreaz.V.Sesoneiiw.
MATENCARABAUSNTE, do, avas man
mine ,
Maınncanino, A, adj. qui a masralse mitt.
d. V. Garraneudo.
Mauunconia, oie. V. Melancolis, oc.
MALSEGRAGADO, A, adj. mauvais plaWäßl.
+ Maususmine, A, ad, imeivil, impeb: !.
malcriado,
”m
- MEL
? MikLtwrkttfns ‚A ‚adj. ghi & des opinfons,
des id6es fausses sur quelgue chose.
MaLentRäda, 8. } ° drolı que pryaft un
nier ä son eniree en prisan.
+ Maucröta, s. m. N Part. nal.) nl»
trorda : olsese nolr de .
Miızs, 5. m. pl. maux, inßrmites; malböur.
"Usiadie vent e.
Mır-zerukino, a, adj. de rhuıvais 183
gut est nö dus une mauvalse ätolle. Ag.) Laid.
Hıutrı,d. f. valise, porte-mantesu, malle,
*Mireve od Miıteri. V. Flanca.
Mııerin. V. Abonar, A or.
HuızvoL£ucıa, s. f. mälveillance, Malte,
nivalse volonte.
MiLgvoLo, a, adj. malveiflänt, qui veut de
mal ä autenf; matdvofe.
f MuL-sxEmrLan, v0.6, pefterlir, cortölt-
pfe par le ttianrals exemple.
"Muıtza, s. f. malice, möchanceld.
| Mırraokbo, A,udl. malheureux, Infortans,
"alencontteax; sar qui on a jetö un manvais
sort. 9.9. de
t, Mırrapix, ®. 6. jefer un manvals sort sur
gu .
*Nıuriınd. V. Malfarlo.
AL rXLLInO „A,adj. V. Maldizenie ou Hal
MiL-riLLinte, adj. 2 gen. qul parle mal.
u. V. Maldizenis. “U. 2 on goipe
*Marrinıo. V. Adullärto.
MuLraztso, A, adj. et s. malfaisant : qal se
Matt A faire Zu mal, & nuire; nulsible.
Murrszense, adj.2gen. V. Malöfico, Hal-
feııfo. p. d. do
ALFAZER, ®. a. agir mal, faire mal; m#-
re.
unaurkrrd, a, p- p. d6 Malfazer. adj. Mal
u ALrerröR „A,s. mäffalteuf, criminel, sc#-
ı
Nıudenind, a, adj. blesse griötemen! , dan-
gereusemeht.
Mııretaia. 7. Malfslloria.
Mıısunipa. V. Milfurada.
Nitci,s, f. petite &cuelle, soupläre.
MiLcaLante. V. Descorlex.
MaLcastän, 9. @. depenser mal A propos,
dissiper, detruire , gaspilier.
Miu-chino. V. Grädo,
Miını, s. f. inallle d’an bab ou d’un Alet.
Ballle : dasu de His de fer, servant d’arme d&-
fensire. *Nasud de bouline. ”Palet: pierre plate
et ronde poar jouer, en jetant ä un but. Jogode
—, jeu du palet. —s, pl, madrure, taches sur
la pesu des animaux ou dıAhois. Gola de —,
estte de malte. — caida, maille &chappee. Ze-
venlor wma —, reprendre une maille. Passar
peia —, s’öchapper par la maille, parlanı du
poisson , [fg.) d’une cbose qui tombe en oubll.
Maıınioa, u. f. con de Tl Aelion Fo
hattre le Die ; V’aire ou l’on bat le bl&. Bergerke,
are, mul ao .Etable, bercail.
NAaLnapRrNO , 8. m, plian 00 Inortier.
MAL 767
%
Hırnatkino, a,adf. gronier! rtaßkelld,
Maınapico, a, adj. insensible aux o0u4p®,
MaııLnivo, 4,9. p. de Mälkdr. adj. Tackete,
qui a des tsches.
Muruaper ‚s. m. forgeron. Batleuten graftäe.
Mıtnies, s.m. pl. "traverses de bois em-
ploydos dans es pressolrs.
Maid, s.m, °houle, coup de boule & la
volee. De —, A 1a vol&e, & la boule-voe, [fig.)
inconsiderement. Jogar de —, poquer.
Mıtwin, vo. a, battre 16 bI6; battre Te fer sur
Fenclume, Tora, marteler. Macquer (te chan-
vre). (Ag.) Paligner par ses Instances,, assom-
mer par ses ptopos, 1f est quelquefeis nentre.
— em alguem, (fg.) insister avec queiqu’üun
pour le persuader, if. Te tensaret„durement.
— an ferto frio, batıre du fer’ ä froid, (g.)
perdre son lempset Ses peines, sö fatiguer Inu-
lerhent.
Maınziaäd, s. m. "monrre : je d’enlant.
Mııutınd, s. m. falseur de cottes de mallles
Maınzrin. V. Emmalketlar. .
MaALHRTE, 5. m. " mortaise ; ädent.
Miıno, a. m. maillet, martesu d’encfüme.
V. Baco. *Plstelonge ä Jaquelle sont atlaches
los grelots des olseaux He fauconnerie. * Lalte
@’arlequin. Ver-se entre o — e abigorna, (fig.)
ötre entre PenclIume et le marleau , se Irouver
en grand ermbarras.
"Mıınd ou MiLnoM. er
+ Maızönca, 0. fı (k 0g. rgu&s
flo 6 la Mäditerrande. ie u
+ Muunorguino, a, adj. et s. de Majordüe.
# Maımouonino, A, adf. qui a les hurdeurs
mauvaises. De mauvalse hımeur.
"FMuuicz, s. f. manvals dtat (d’üne bies-
sore , des routes).
Muıufcıa , s. f. malice , perversitö ; inclination
A malfaire.*Soupgon. Finesse, reserve exträme,
dissimulatlon. —, mechancet#. Interpretation
maligne. Mauvais dtat d’une cbose.
Mauicıapo,A,P.p. de
+ Muuıcıin, 0.0. gäter, ältörer, falsifier (m.
us.) 9. ». Former des soupgons,, entendre ma -
lice ‚interpreter malignemenl.
MaLicrösamknze, adv. malicieusement ı ales
malice.
Maıscı6s0 , A, ad). malicieux : qui a de la
malice. Malin, soupgonneuz, qui in to
tout en mal.
Mirco , A, Alfı (6. de ebın.) raaligue : (scide
—) que !’on tire des pommes.
Mıulena „af. wu Febre — ‚adj. Biree hall-
gne.
MuıLicnivo, A, p 9. de Maligner.
Mautonauente , adv. mallgnement ı avec
maligpite.
+ lauicnnte, alj. ? ven. qui viele, qui
gäte, u rend mauvaig. Qui interpräte ıhall-
iemeht.
Mauscain, n. 8. Corrompre, deptaven, in-
festät. v. si, Einpirer ; davenir meligae ( un
Birne ) 06
.
768 MAL
Mıuscaieies, s f. mallgnite; qualit neisi-
bie malice. Uuadi
AUCHISSIMO .53p.
MauLicno,A, 2a malin ie a do la mali-
gaüls; nuisible, walfaisent; dangercux; qui | Des
aime & faire, & dire du mal, des malices.
‚MAL »
Rn
Marquzaßa , u. a. halr, voulois da mal &, en
vouloir.
Maınguzaia. V. Malquerengs.
MıMUERıDO, adj. qui n'est pasaime. V.
fevorecido. a. p. de Malquerer.
MALOUISTÄDO. a0. brouilie. Odieur. pp.
GEALINA, f.V.Maligne. (4. de mar.) Hautes de
Maulnas, s. f. pl. (1. de gdog.) Malinos :
ville archiepigcopale de Belgique.
Mas.-ıncuinipo, A, adj. vicieux; qui a de
mauvaises inclinations, ©
MaAL-INTENCIONÄDO, A, adj. mal Intentionne.
MıLissino,A, adj. sup. de Mdo. Tres-mau-
vais, Irös-mechant.
*MaıLzbia. V. Maladie.
MaLLfäsisiving, a. /. malldabilitö ; qualiis
de ce qui est malleable.
MaLLezivsı, adj. 2 gen. malltable ;: dur,
mais ductile. (Ag.) Docile.
MuıuLLtoLo, s. m. (8. d’enal.) malldole : os de
Ja cheville du pied.
MaLrocaip0, A, p. pP. de
MaLLocaia, v0. e. deconcerter : faire man-
quer, faire echouer un projet, etc.; ruiner les
esperances ; frustrer.
MALLOGRÄR-SE, 9.7. ne pas r&ussir, &chouer,
tourner mal; ötre prövenu, arröts par la mort
dans ses projeus.
+ MıLLöoao, 6. m. mauvais succös, rulne de | lice
805 espbrances,.
+Mırm’asöpa, 8. f. "arbre da Brösil, & bois
“ dur, blane.
? MaLuanpioo, a, adj. desobeissant: qui
dssobeit, qui n’aime pas a obeir.
MaLNuzQusa, 5. m. (I. de bot.) "marguerite
aune, double, la flieur dor6e des jardins. —
. V. Bem — das sedras , souci
des champs et des bies. — ‚dos brr&jos, populage,
souci d’eau, soucl des marais. — da secia
reine marguerite, grande päquereite, aster des
indes. ( Ag.) Emulation, jalousie, haine.
° MALHETTER, 9.0. V. Empenkar ou Halda-
valar.
Maınacioo ou —nAscino, A, adj. ne pour ie,
mal ;’de basse extraclion.
Miro. V.Mdo, Alto e — Yun portant l’autre.
MaLeari0O, A, adj. en mauvais 6lat; reduit
aux abefs; qui court de grands risques; quia
preis une mauvalse tvurnure. Dieide | , mau-
vaise dette.
Muauranisa, 5. f. femme qui a fait une (ausse
coucke.
Maıranin, 9. a. avorier, faire une fausse
esuche, casser des wuls.
* MaLraato, V..sborio.
+ Maursccino, expr. adesrb. malbeureuse-
ment, par malbeur.
MaL-gug, adv. malgret, quoique. — Ihe p6zo,
malgro lui.
Muarguzasnca, s. f. malveillance, mauvaise
volonte, halne, aversion.
MALQUKREINTE, adj. 2 gem. ‚gel halt, w vout
du mal. pe de Malquerer
Marguutär, 9.6. seıner la zisanie, la dis-
corde; brouiller, causer des brouilleries; i-
dispeser contre, rendre odieux. — elguenon
ouiro , meltre mal quelqu’un aupre&s d’un aatte.
MALQUISTAR-SE (0m), ©. r. serendre odiest,
insupportable; se fairo des ennomis. — com
«un. so brouiller avec quelgu'un.
ALQUIisTO, A, adj. mal voulu, hal, vu de
mauvais ail, Brouille.
+ NuL-azcioo, Arad. qui se gouverne mal;
qui se conduit mal.
Mır-si0o, a, adj. malsain ı contraire ä la
nie; malsdif.
+ MAL-SENTIDO, A,adj. malade, indispesi.
(Ag.) Qui a des sentiments, des epinions u-
rondes.
Mau-sszöpo. V. Malsizädo.
Muıusiu,, s. m. brouillon , boute-fea, seen
de faux rapports, de cslomnies. Mouchand;
denoncisteur de contrebaude ou d’enisie ea
fraude, gabelou.
Mausınacäö, s. f. accusation formde par mr
‚& dessein de nuire. Denonciation.
MaLsınapo, A, p.p. de Malsinar.
Mausınapöna. V. Malsinardo.
MaısmäÄr, v. 6. accuser mechamment, pi
envie de nuire. Denoncer queligu’un.
Mausınanla, s. f. medisanee. V. Malsinapie.
Mausızövo, A, adj. insense, fon; qui n’a ps
de sens, de bon sens.
MaLSoÄNTg, adj. 2 gen. qui sonne mal. Bel
sonnant: qui chogue, qui r&pagne.
MuaLsoraipo, A, adj. peu endurant, impe-
tient, impassible.
tra ef. (1. de gdog.) Malte: 1le de la
Mediterrante. #1. ( pop.) * Paquet, havresac de
manauvrier vagabond. Fazer-se d —, (burl.)
s’en aller, s’enfalr sans payer ses deltes.
Maurtz, a, adj. eis. Maltais: de Malte. Cbe-
valier de Malte, (pop.) Manourrier qui va se
vailler hors de son pays; vagabond.
+ Muutezia, s. f. grand nombre, iroupe de
Maltezes. V. Maltex dans sa derniergeccepliön.
+ MiLrma, s. f. malthe : espöce de bitume.
MaLtösta, s. f. maltöte : Impöt de sorle ser
le vin de Porto (en Portugal) ; imp6t on geniral.
MaLtnariLno, A, adj. et 5. degusnille; gre
din, grigou.
MALTRATADO, A, 9. p. de
MaLTRATÄR, % a. maltralter, eutrager, falre
tori, traiter ou punir durement. N’arolr auchn
soin de. Ger, chifonner, wernir, endommagt!.
MıLrniTo, 5. m. mauvais traiterment;, chäu-
ment, persecutlon. L’aclion dg.gäter, de verait
& forco de manier.
YuaLTrido, 04 —TO, A, ac. malisaile,
-T Maubco, Dr (0; Prasiß,
— oe nu
MAM
+ MaLöxco, s. ou adj. m. (tl. d’Afrique)
Heu —, ınon camarade. Nom que se donnent
les Negresqui viennent d’Alrique danslememe
vaisseau,
MaLusiß, 0. q. mesuser : abuser ; mal uscr;
employer mal.
MiLva,s f. (& de bot.) mauve : plante me-
diecinale. — ordinaria, mauve & feuilles ron-
des ‚ la pelite mauve. — arvorina ou do Japädo,
alece du Japon. — monlezina. V. Alcea bas-
larda. — silvesire, maıve sauvage, grande
mauve. — menor, pelite mauve. — mourisce,
mauve de Mauritsnie. — dd China ou — rosa,
alcee rose, inauve rose. —d’Ungria. V. Malva
silcesire.
Mauviceas, adj. et s. f. (l. de bot.) malva-
cees : famille des mauves.
} MaLviceo,A, adj. (1. de bot.) malvacee.
MALYÄDAHENTE , adv. mechamment. En scd-
lerat.
MaLvido, A, adj. mechant, pervers, scele-
ral.
+Mırvilscid, 8.
de Portugal.
Muauvaisco, s. m. (8. de bot.) V. Althea.
MaLvin, s. m. lieu abondant en mauves.
Mauvanisco. V. Malvaisco.
+Mauvasia, s. f.(t.de geog.) Malvasia ou
Matvotsie :1le et ville de Grece. Malvoisie : vin
grec de !’ilo de Candic ; raisin avec quoi on le
fait,
Mauvegasıciö, s. f. malrersation.
“MuLversipo, A, adj. de mauyaise con-
duite.
Maıvisto, A, adj. mal va; odieux, bat; in-
eonsidere, falt sans reflexion. V. Malquisto.
(vieux) Qui a mauvaisevuc, «quiala vuc basse.
Mıu.
Miua, s. T- mameNo, teton, teline. V. T’öla.
Partie ebarnue de la 'memelle, le mamelon
non compris. — de terra. V. Mamillo. Bico da
— „ mamelon. Crianga de —, enfant & lu ına-
meile. —s, pl. sein, Borge de femme.
+ Mımabkına, s. f. "vaisseau de verre pour
decharger les mamelles lorsqu’elles ont trop
de lait.
Mıuioo,A,p.p. de Mamar. adj. Ficar —,
(pop.) rester stupclait, interdit; @tre attrape,
trompe.
MANADÖR, 8. m. celul qui telte.
Mıuanpöra,s.f. action de teter ou d’allaiter.
Mıuäı, s. f. maman : nom que les enfants
donnent ä leur mere.
MumiL, adj. ets.2gen. (1. d’hist. nat.) mam-
mifäre : qui a des mamelles. —es, s. pl. mam-
mifdres , animaux A mamelles, mamaux.
+ MAMALBUDO, A,adj. (pop. ) mamelu : qui
a de grosscs mamelles.
+ Muuarocia, s. f. mammalogie :
Lrails des mammifdres,
+ MAmALOGISTA, sm. mammalogiste : na-
turaliste qui decrit les manmileres.
Mauiö, da, adj. qui tele, en parlant
des animauzx. Enlanı qui telte avec avidiß,
m. (1. de bot.) * lavatere
€tude,
-
.
€ ’ PA)
MAN 65
Be:serro—, VYitella —6na, vean de lalt, veau
qui tette, Porguinho —, cochon de lait.
Mauiö, s. m. fruit du Bresil, dt. V. Zapdla
maison. _
+ Mauoßına,s. f. (t. de bot.) *mamei d’A-
merique, abricolier des Antilles.
MASÄR, v.a. et n. teter. (burl.)' Enlever
quelque chose & quelqu’un par tromperie, es-
camoter. — com o leile, sucer avec le lait. — 0
cabedal, sucer, d&vorer, ruiner sa fortune. Def
de — u scu filho, allaiter son enfant.
f Mawinıo,A,adj. (f. d’anat.) moammaire :
qui porie le sang aux mamellcs;; des mainelles
(artere, glande—). Circulo —, artole : cerele
color6 qui entoure le mamcelon,
Maus. V. Bambi.
MANELUcO, sm. mameluc ou mamelouk :
milice & cheval dans Y’Egypte, fornıce d’escla-
ves affranchis.
MAMENTÄDO,A,p.p. de
MAMENTÄR, d. a. allaiter.
MÄuENTE (DE), adv. A regret, & conirc-caur.
t Mauestino, A, adj. des Mamertins, qui
les concerne. Mar —, detroit de Messine. —s,
s. pl. Mamertins, peuples de Sicile.
MauiLuo. V. Mamillo.
MayıLLir, adj.2 gen. mamillaire : des ma-
melles.
ManiLLo, s. m. fanon : peau qui pend sons
la gorge du bwuf. Petite loupe. — de ferra,
tertrc, mamelon. —s, pl. mamelons, parties
glanduleuscs sur la pcau; concrelions tuber-
culeuses;; protuberances rondes.
MaAnıLOSO, A, adj. mamelonnd : recouvert
de tubercules.
ManminHa, s. f. dim. de Mdma.
Maumän, etc. V. Mamar, etc.
Mısuöa,s. [. aug. de Mdma. Gros töton.
Mıuöco, s,.m. (tl. d’Asie) jour du mois lu-
naire.
Manuoßıno. V. Mamona.
MauönA, 3. f. "ricin, la feve. V. Carr
t&iro. Oleo de —, huile de riein. adj.f. de
mäo. V. ce mot.
Mıuöre, adj. 2 gen. V. Mamäo. (fig.) Bentt,
hete, niais.
*+ MaurarÄt, dv. a. proteger, delendre, ga-
ranlir. V. Amparar.
Manurösta, s. f. troupes de räserve. De —,
ä dessein, expres; d’avance, tout prät.
Manwrostenia, 3. f. "endroit couvert d’un
reiranchement, d’oäa on falt un feu continuel.
Charge , office du Mamposteiro.V. ce mot.
MauPposTeıno, s. m. honme place, eic., par
quelqu’un pour exercer ses fonctions. Quötear,
pour les ne pour St.-Antoine, eic.
Mauöa. V. Mamda.
MAnöDE , &. m. mamondi : monnaie de Perse,
de Surate.
Mımüno, A, adj. mamclu : quia de grosses
manelles.
Mina, s. f. saur (mot de tendrcsse).
Mınä, 5. m. manne : nourrilure miraculcuse
des Israclites dans le desert, —, suc oongele,
’.
nt
70
hurgatif, d’uns espece de Iröne; drogue pufr
gative. (Ag.
gerbe & la manne.
@u Iroupe.
(de
N Decouler, provenir, emaner.
karcon, damestique,
meureux, Sorie de mweuble pour soulenir une
Jurenil.
Mil
— .nolirriture de esprit.
tManai,e. r. (4. de bot.) fötsqe Mollänte,
" MANAANinO ‚ade, de main en main.
+Manica, s. fı (1. de bot.) "mahaca: pal-
mier de l’Amerique mietidiohale.
Mauackö. V. Emahagdö.
Manipa, s. J. "troupeau de gros betall;
group de gens, nombre de chöses. — de veados,
e
orgös, gamos, harpail, harde : Iröupe de
de pörcos. V. Yara. 44-4,
Mıanapkıno, V, Manancial,
Mınivo,A,P. P- de Maonar,
Maniuna,s. f. lroupe d’amis, da eamarädes,
8.
Mısiuvo, A,adj. (1. de veldr.) balzan [cho-
IR Te a
ManancıÄL, s. m. "seurca d’eau. (Ng.) Sourte,
erigine, principe.
ManancıäL , adj. 2 gen. coulant, qui coule;
Perpeiuel, qui.ne larit point,
MaNAncıaLMEnTE. V. Perennem£nie,
ANÄNTE, edj. 9 gen. coulanı, qui coule.
p. a. de
Mani, v, 0, verser, repandrö (un liquide).
8) v. #. couler, decouler ; sourdre ; abander.
Mıxatim ou Preıxg n0ı Do Park, 8. m. (8.
d’kist, nat.) mauati eu lamenlin : mammifere
awıphibie, celace,
ANCÄEB, 8. @. pl. sorte d’ancien jeu.
Mancir, s. m, bälon ferre des deux bouls.
Pivot de porte, etc.
)
raum e. fi jeunesse. V, Juveniude.
roupes de jeunes gens. *Concubinage, Lieu
Mancaı. V. Monsal,
Mincio, adj. aug. de Maneo.
Mancäs, v0. @. esiropier, rendre boiteux. V.
jr. o, n. Boiler, V, Manguajar, (ines.)
anquer :: faire TAute.
Manckaa, s. f. concubine, maeliresse, V, Sol-
a, Donzella.
lio da d&bauche, V. Alcaues. Vie liconcieuse,
auchee; vie de prostitue.
Mınczsinn , dim, de Mancöbe.
Mıncevinno, dim. db
Mıuctsa, a. m, jeupe komme. Compagnen,
telol, Galant, ament,
andelle ä orochet,
Mancken, a, adj. Jeune, de la jounesse. V.
(6 ron, 14 jeunesse, los jeunes
gets.
Mincha,s. f. tsche, seulllure : faargue qai
salit, qui gäte; madrure
sans je poil des apinpaux. (
heur, ä la reputation,, sonillure. —s , pl.
‚matgne sur la peau,
) Tache 4 Pen
present , oadean (pP. s.) =s do sol, da Ius a-
ehes da solelf , de la lune : endrolts obsonız Sur
leur disque.
MAncHiDO, A, u | . iquels ; marqud de 6a-
aan. p. p. do M
>” um a
MAN
Maxcmir ,o.0. lacber, fairo une lache ‚ sonil-
tet. ( Ag.) Souillef, ternir, salft, dentgrer: ter
l’ecläl, la ginfru, Phonncur. — 1 conmwiehce, 0
&lma , soulller [üme par le peche.
Mancuta, 3. f. poigneo de quelque chore,
pleine mam. Homem dd —, höınme sccompli,
achev6, parlait, |
+ Maxcutoo, A, adf. ut 8. da ie Marche: qui
yest nd, qal ydeneure.
Mancuit, & I, oouteau de boucher, we
perel.
Mawcuda, db. f. (1, #’Asie) petite barque.
Mancırici6 v
Mancıpan, eig, | Vr Dmn.., em.
Minco, A (de), ddf. manchot : eatroplt de la
mein eu du bras; hoileuz. (Ag.) Delectucat,
imparfalt; qui mangue de. sar c0g0 men
—, (fam.) n’ötre pnäs manchot: dire hab,
ruse, savoir döfehdre ges interkis. Fler —,
(Aig.) tester en chemin, abamdonner une aßaite,
cöder aux obstacles,
+ Mıncoauun, 2. m. 1 Nest usild que dans
cette phrase advegbiale: De —, de concert, da
commun accord.
Mıncouuunäpauente, V, De maizonmun.
MANCONMMUNÄBO, A, p. P. de
MANCONNUNÄR, 0. @. Copvenir d’une Chöit,
cantracier d’un cammun accard.
MANCcoNNURÄR-SE (com, para), ©. fr. ®
joindre,, s’associer, agir de concert, ordinait-
ment poar duper, pour faire du tert äge-
qu’un.
+ MANCONNMUNIDÄDE , 3. f. union, associsuen
pour une entreprise.
Minna, 8. f. "lege, diaposilion testamet-
taire. "Renvoi : asterisyus, mäfgie, sigoe gu
renvoie dä une cHalion, eic.
+ Munpacännes, ©. m. Pl. (dh Wine) Is
hommes qui hisseni les plongears qui font l
ptche des perlos.
+ Munpacaad, a, u, Truß da Brösil,deh
grandeur d’une grosse namme.
+ Manpan£ıno, s. m. commissionnaire, Ber
aager, enroye, charge d’une commission, Pit
leur d’un ordre,, etc. adj. V. Missivo,
Manpipo, s. #. ordre, commandement. Ber
sage, commission, * Ordonnance d’un Jaft
(vieux) V. Legada, Doixa, Fazer og —ı ou ale
ao — d’alguem, dölre aux ordres de quelgt #-
Fazer d’uma via dam —, sagri, chasser deu!
litrres a la fais; laire d’uno pierre deuz Coup
A xDis0,&4,P, 9. de Mandaer, ad). Commat-
‚etc.
Munsanon, a m, calni qui oommande, I
ordanne ; imperieux, qui aiıno & commander.
MunnauEexTo, 2. m. er r
receple , injonctian , ordre d’un auperieur.
na j coınmandements de Dieu ou deFäsh“
+ Mannänte , adj. 3 gen, commandam, 3%
commande. p. a. de Handär.
Maınpäö, s. m. (pl. Mandöee) ceul u co
mande avec haulcur et plus qu’il ne don. mr
nistre despotique. Ser 0 —, ( Jam.) teniz I
yuouo de Ja poeic.
m m
2a ma a u mn
mm | “On VE
MAN
Manpir (0), ©. a. commander, ordonner,
enjoindre; gouverner arec autorite. Envaoyer,
Mander. — em lsstamen!o, !&gaer partestäment.
a algusm coma gponla do 24. (Ag. fam.)
avoir un grand ascendant sur une personnes,
en falre tout ce que l’on veut. — 4 Tabl, en-
voyer promener. — an chefe, eommander en
ebef. — oir, mander, faire venir. — diser,
‚vonder, eic.,falre dire, faire faire,
—fazer
faire vendre, eu. —d memorig, apprendse |
par caur. — a espada,,Jouer de Pepee.
Munvin-sE, ©. r. se commander soi-möme,
@ire maltre de 208 | passious; &tre ecommiande,
ordonued. As leisndo säo boaspor quasemandäo,
sendo porque bem se guardäo ‚les lois ne sont
pas bonnes parce quiclles sont commandees,
mais parce qu’clles sont bien observees,
Muanvanfu,, 4. m. mandarin ; titre de diguite
& ta Chine.
MANDARINÄDO, 8. m. mandarinat ; charge,
dignit£ de mandarin.
Manparirıo, 3. m. mandalaire, procureuf
fonde;; celui en faveur de qui est un mandat.
ANDATO, s. m. mandat, rescril du pape,
*Ordre, commandement, precepie. * Procura-
tion, mandat. Lavementdes pieds le Jeudi-saint;
le sermon qu’on preche sur ceite oer&emonie.
ManpipuLa, s. f. mandibule, mächoire,
MuxpiL, s. m. lablier grossier. *Housse de
eheval. Gros drap pour neltoyer les chevaux,
MAN I
cine soulertaine, haricnt de letre, pols d’An-
gola : plante lögumineuse.
Manxoüca, 3. [. (1. d’Asie) porte de commupi-
cation d’une riviere avec une plaine cullivee,
Kenncals 9. yh vo 1) manger,
miannäa. va Mancjar, ei Many-
unzivaVY, Bronds, Tralavarel ; Coades-
oondents.
Mania, s. 0, travail manuel; manlement.
V. Maneje. Impöt sur les salajres.
Muntina, s. f. maniöre, lacon , sorta, guise.
(aus.) Ouverture, (ente de cald d’une jupe;
brayelie. Conduile, manpiöäre d’una personne.
Manidre do peindre. (iaus.) Qualits d’une par-
sonne. V. Gosiumge, Mode. Do, por = que,
de maniere que. 4 —,äla manidee, ou Sagen
de. Do quelguer — qua saja, de qualguye ına-
niere quese soit. dran de — gun , Inireen arte
que, —1, pl. manieres , maintien,, air,
Mankıao, A, adj. qui peutse manier, Se Ppor-
ter dla main; pertslil, poll, (am4.) Galsi qui
substituail pour payer les delieg d’un auge.
Aror, falcdo —, (1. de odB.) Eparrins, Jancon
que Ir porie au poing.
MınEJAnD0, A, 9, P. do
Massıin, 9. 6. manier, toueber avec ia main.
Manier un cheval, le manpr aveo arl. Ag.) Ma-
niae, gärer, camduire une allajre. vv mp ara,
faire je maniement des arımes, faire Veser-
en ) Valet de maquereau, de lemme publi- | eine.
andinca, $. f. (1. d’Afrique) sorte de sprli-
Ike des nögres d’Afrique.
ANDINGUEIRO, 5.9. calui qui fait usage de
la mandinga. V. ce mot.
Manpiöca, s, f. (i. de bof.) "manios, magnot
ow manihot : arbrisscau d’Amerique ı la rasize
Aabereuse fournit la cassare.
Mixno,sm. RQuvois, cmpire, aulerlid. Gow
vernuement, zögime, inisisallon. V. Mas-
MAnDönaE, s. m. caup d’üpee, de sabre,
donnd & deux mains. (fg.) Repsoohe amer, a6”
vere röprimande.
+ Manoori, s. m. imp4t voyal dans l’Inde
portugaise.
Manpedcona, 0. [- (1. de bei.) mandragere :
plante solande.
% Mununniö, 3. m. Mangan, MARKAUMEA ı
machine pous lances de grossenpierres,
Maunnıiö, 024,5, faindanı, cagnard, oisil,
Berosseur.
Manpniiö, s.m. peignoir de femme.
ManDaıiR, 9. ‘u. cagnarder ı vivo dens la
paresse, dans la fainsantise; mensr uue vie
oisive.
Mınpsica 08 cagnardise ,
Manpaskiua,s. f. | lisc.
+ Maunsiz, 5. m. (i. d’kisi. nal.) mandkil :
singe a ınuseau allonge.
Manpi, a. m. (1. busl. du Bresil) Emmanuel.
(Ag.) Simple, wot, imbecile.
T Aanpıni DAncHLA, 0 m. (4, de bot.) "gly-
laindan-
Mınß3o, s. m. maniement, l’aclion da mpa-
nier, Mandge, arı de l’equilion , Heu aß l’on
exeran les ohewaus. (Ag.) , venduite d'une
affaire. Mandge s ‚„ manlöre diagir
adroite et swtißniewes. Maniement des arnıas ,
enartion militeigo. (fig-) —-, aiminiswallon,
gestion. = de earie, Iniriguo de naut.r-# 06-
eulios, sourdes mendes, iniigmen
IMAneEUYFER SOULOEFAINES.
Kıunsöe, um. (1. de in Chine) "(te dada
commemoration des mortschez les Chineds, -
Maıntan, 2,0. palit neuuek de leine it he
loupes.
"Mananchaia. V. Ira, Sana.
*Mınenconıo. V. Irado, Assanhade.
+ Mantnte, adj. 2 gut Eunsdanie -, &tu-
diem qui nat ohlige de rapreudte son nut.
MANEQLIiM , 3. m. mannequin ‚punpasd.
‘+ ManEnia, 4. fı In qualttt d’ttse perialif.
"+ Minsk, 5. m. adminisiralien, geasion.
Manoir, demeure, maison. " Pilanoe, pesuılon.
Minss, 8. m. p). mänes ; omures om Ainks
den meorta, (1. de msyih.) L.ea diewz Mämesy les
anfers , leuns supplises.
Man&ta, 6. 2 gen. menuchet : eftrapie d’en
bass au d’une main.
Mıntro. V. Maneio.
+ Manrnedönta, 5. f» (4 de geag.) Mautire-
deine ı ville d’Italie.
Mina, s. f. mancke d’habit. Ornement d’6-
volle cn forms d’entenneir, qu’en tische aux
croix des eglises, au-diessews das piesie du ass-
eillz, Longug flo de fusiljors, ailo d'un ba-
712 MAN
tsillon, etc. File de gebs qui dans une batiue
so meltent ä droite et ä gauche four erup&cher
les joups de se detourner. *Filel de pechcur en
forme de bourse. Chausse pour flltrer tes li-
queurs. — de nurem, s6chillon, Irombe : c0-
lonne d’eau et d’air qui s’eleve de la mer. Ter
«— larga, avoir la manche large ; &ire un p6re
äAla grande menche, parlant d’un confesseut
peu scrupuleux.— perdida, manche pendante,
dans laquelle on ne passe peint je bras. Ter
de— , avoir quelqu’un dans sa manche.
— da reinhe,, saucisson plat fait de langue et
filet de porc. — de soldados , compagnie de sol-
dats sous un drapeau. C4o de—. V. Fraldeiro.
-—s puslices, fausses manches : ınanches qu’on
met par-dessus d’autres. Teer, sodejer panno
pers —s,(Ag.)on le ditpourezprimerlagrande
abondance d’une chose.
Minca, s. f. mangue, mangifera : frait du
mangier, en cwur : nutritif. V! Mangutira.
Mancisa, s. f. fruil de la Mengabeiro.
Mancastına, s. f. “arbre du Bresit, dont le
frult est rond ‚jJaune rougeätre , et qu’on mange
& demi pourri.
Mancaciö, s. f. mystillcation, moquerie,
attrape.
ManciB0, A, p.p. de Mangar.
ManucarLiga,s. f.“ berdel, lieu de debauche.
Vie oisivo , vagabondage.
ManGaniLua, e. f. maniganoe : mauvalse
ruse, prooede artificieux. V. Engeno, Freude.
Mancäiö, a. m. (t. buri.) moqueur, mystlica-
eur.
Mancin, 0. ®. (#. durl.) — com eiguem,
womper queku’un, mystiller queiqu’un, 56
moquer de lul. Estd commigo ’ vous
plaisantez? vous vous moquez de mol?
+ Manoani, s. m. ospeco de truffo du Brosil.
z Mancanito, s. m. (. du Bresil) recine
jaune, en forme de carotie, bonne a manger.
MANGAS-DE-VELÜDO, &. m. pl. manches-de-
: oorımorans du cap de Bonne-Espe-
Fano0.
fMuneariramture, ade. par plaisanterie,
per moquerie.
fMuancarivo, a, adf. de mysilicetion, de
Muncarönm. V. Mangalivo.
Manciz, adj. 2 gen. (f. buri.) grand, gres en
son geare.
Mancenöuna. V. Manjadoura.
MunckLie, s. m. certain poids des indes.
Mancericäd, s. m. (1. de bot.) basilic : plante
labide , odorante. — meior. V. Alfavace.
Munuczaöus, 8. f. (t. de dot.) marjoleine:
plante labiede, aromalique. — Öranca, marjo-
lalne gentille ou & petites feuilles.
+ Muınciär, 3. m. poids de l’inde. V. Mange-
.
* Manciı. V. Manckil.
T Mancuin, s. m. lieu ob il y a des mangtes.
T Mäncız, s. f. (1. de bot.) "mangle, man-
ghier : arbre de l’Ameriquo. — bastärda, ° gri-
gruen, corne-de-beruf, chono francais.
MAN
Minco, s. us. manche du ütau A batise Je bil,
MancoiL, s. m. fltau ä battre le bild, eic.
Huncöna,($. burl.) V. Prignigs.
MANGONAR 046 —COXEAR, d. 9. (1. burl.) 008
rir ca et la, baltre le pave. V. Prigicer.
f Muncosti, s. f. (4. de bot.) " mangeusisa
ow mangostan : arbre guttifäre des lles Molo-
ues.
’ MaucöTe, s. m. cuir d’une volgure par ei
Passent les traits. Ancienne armure des bras,
brassard. (1. de mer.) Piston de pompe.
Mincna, s. [. petito gelee qui gäte les [raltı
naissants, nielle.
Mıncräino, A, adj. frapps de la gelce die
mangra. V.(fig.) Gäte. Grddo oe —.\V. Als «
mdälo. p. p. Ge Mangrar.
ManGaAamELLa. V. Md
+ Mıncrär, v. a. gäter tes frulis, en parlam
de la petite gelde dite Mangre. V. v. m. 5%
gölcr.
Mincte, 3. m. arbre du Brösil qui vient set
bords des rivieres ei dans les marais. T.
Manga.
Manctkina,s. f. (1. de bof.) * mangier, mao-
guier : plante terebintbacee. — de lons, pars
as coberlas, (l. de mar.) manche ä venl,
venßlatcur. — da bomba, ınanche & pompe.
— d’aguada, manche & l’eau ow pour l'can.
— dos embornaes, mauge ou maugöre.
MaıncugıriL, 5. m. * foret de manguiers.
+ Muıxcu£ino, 5. m. (£. de bot.) mangueite:
petit arbre d’Afrique.
Maxccıro, 5. m. ınanchon : fourTure peu
garanlir les mains du froid. Demi-manche gei
s’ajuste au bras, depuis je coude jusqu'au pöi-
gnet : miton. °Manique : espece de gant
demi-ganı.
Mancis, s. m. esp£ce de mmangouste de (ay-
lan : animal carnassier.
Minus, 5. f. (inus.) adresse, deztrite. Fi-
nesso, ruse, artice , fourberie. Mauvaise cor-
tume , habitude vicieuse ; inclinstien ; vice dar
cheval, etc. Ddr-se —, proflter de l’occasiön,
user de diligenoe. Volldr ds anfiges —ı, rt-
prendre son naturel, se rendre ä ses inclint-
tions. Dize-me com quem andas, dir-ie-hei ss
= que tens, (prov.) dis-moi qei tu hanles, j%
te dirai qui tu es.
Manni ou —ia, se. f. * malin : premidre par-
lie du jour; matinee. 4’ —, demain. 4’ — pels
‚demain matin. De —, io matia, dans
la matinee; de bon matim. — eddo, de gram
metin. Pela —, Uans la matinse. Ao romper
da —, au point du jour. Ere — clers, il faisal
jour.
Maunin ou au. V, Manhä.
Mımuinızo. V, Magnanitme.
Maıxuizixua, dim. de Mankd.
*Naxuo, A, adj. grand. V. Magne.
MAXUösamı.xTE, adr. adroitement, Inder
trieusement, habttement ; Bnement, arliliden-
sement, avec inalırc,, artiheo.
Manttoro , a, od. ariticienx :ou il yadeR
Irayde, de Iyrbtre. Adroit, industrioes, 60,
MAN
subtll, rusö. Vieleux, hargneux, parlant d’un
cheral
Mania, s. f. usmie : sorte de folie; caprice
enLraragan! (I (Ag.) * Engeuement, enistement,
proocoupa tom. (id.) ’Geüt exelusil. — Iupins.
Maniaco, A, a. meniaque, furieux, pos-
stas d’ene manie. (Ag. ) Extravagant; is a des
goals ezclusifs ; engoue , pröocceps, entäld
ManıicuLo, v. Meniaos.
Manian, V. Menser.
Muımaräne, A,P. p. de
Mantarän, 9. 6, enmeneiler, altacher cs
mains.
+ Mamcica,s. m. (1. buri.) läche; ersimtlf,
poureux.
Manıcnko. V. Mandguto.
+ Minıco, a. m. (1. de bot.) V. Siramonia.
MAmCHRDE 9% mamiohördion : insire-
MınwcörBio,s.m. ) ment de musique & ola-
vier et soixante-dix oorder.
+ Manıcösa, 8. f. (t. du Beds.) la feuille du
Mauina, e ws. demeure, sejour, reiraite.
* Hanino. V. Teare, M
MıuısÄäcte, s. m. V. lera.
Manırestaciö ‚s. f. manifestation.
MuanısEstine, A, 9.9. de Menifestar.
MANIFESTADOR, A, 3. oelui qui manifesie.
Manısästauänz, adv. manilesiement, ä
nu , evideımment, clairement ; & decourert.
Manırestän (a), v. 6. monirer, ofrir, mank-
fester, decouvrir, rendre public.
MANWESTARnSE , o. r. so manilester, delore,
se monlrer, se laiso connallre.
ManırssTissino, A ‚adj. sup. de
Munrästo, A,p. p- irr. de Manifestar. adj.
Manileste, notoire, övident, public. Ser —, 8’a-
percevois, @ire evident , manileste.
Muınxır£sto, 8. m. manifesie : serit public
cenionani une apologie ,„ los motils de la cou-
duite,, publi6 par une puissance, Action de ma-
nifcster. Dar ao —, manilesier, rendre public,
pstent. — da oargs , (1. de comm.) cortilical ou
manılesie de chargement.
Mawwichucih, sie. V. Magmiße..., oic.
Maxinua,sef. (l.de jew) maenille : le deux
noir, lu sepi rouge ; seconde Iriomıphe ow mala-
der au jeu de l’lombre. Jeu de cartes qui so
joue & qyualse, deux contre deux. —, bracelet
indien , de laue coloree;; bracelei, anneau de
cuivre poris aux jambes par Ics negres. Mani-
cles : meunlies de prisonnier. "Tuyau en grös
pour condJuire l’eau.
+ Maxiına!s. f.(t. de gdog.) Manille : ville
forte des Indes, sapitale de l’ile de Lugon.
+ MaxıLnÄDo, a, adj. ornd de manilles, de
bracvleis.
+ Masıunkıao,s. m. orfevre qui fait et vond
dos manilles, des braceleis.
° Maxınconia , eic. V. Melancolia.
° MaxıntLo. V. Tölo, Bobo, Caturra , Moihe-
engo0. , ,
° Manınnankeo, 5. m. amtien iribul quo
MAN 773
payalent les seigneurs qui moursient sans en-
nis : c’6tait le ers de leurs biens.
*+ Mamnuwano, A, adj. en friche (terrain).
Manınußz, 8. f. infeconditt , sterlite.
Maninuo, 4A, adj. Infocond, sierile, pariant
des feınelles. Imculte, sn friohe, parlant des
terrains.
Muanxisno, A,adj. pelit, peuconsiderable.
*Manio, A, adj- qui est mort sans avolr ou
d’enlanis. V. Maninko.
Mamöra, 3. f. „onwavo: erde, ets., mise
aux pieds d’un chersl. V.
+ Manırassto, A, Mig iger, adroit des
1 mains,
tMımestmau , a. f. (1. du Bres.) * jus de la
päte da maeniec : on on fait une espdce de ci-
dre.
MameroLsciö,s. f. manipulation : meniöre
d’opetrer eu cerigins arts, de broyer, melanger
des drogues, etc.
MuınipuLipo,A,P.p.de
fMasıpurän, o. a. manipuler : faire la ma-
kipulation ; arranger, misler, pötrir avec la
main.
+ ManıpuLirıo, s. @. (4. d’ent.) mamipulaire:
chef d’une petite trospe de soldats.
MınisuLo, 3. m. ($. d’ani.) manipule : conı-
gnic de soldats, —, polite etole au bras, ja-
dis moucheir sur le bras. (i.de mdd.) * Poignese.
* Botie , faisceam.
+ MANIQUEISMO, s. m. manichsisme : hör6-
sie , decieine de Mandy, ohof des manicheens.
ManıQußo, A, adj. Pr s. manichten : qui ad-
metun bon et un mauvais priacipe, Oromase
et Arimane , Iumiöre et Länebres.
MANIQUBTE , s. m. parement dos aubes sacer-
dotales.
tMaımnzöro, A, adj. gaspillour, prodigue,
dissipaleur.
+ Mawertacıo, s. m. lavabo : peüt linge
d’autel pour essuyer les doigis.
Manıstaßı. V. Menssirsi.
Manira. V. Man£ta.
+Manıvd, 5. m. manitou : dieu ou fetiche des
sauvages de l’Ame6rique seplentrionale.
+ Maniva,s.f.(. ds Bres.) nom du bois ow
de la tige du manicc.
Mauıvitla,s. f. manivelle.
r Mänsa,s. f. co qu’on menge sans l’avoir
gagne.
Manxsapdöora, 8. f[. mangeoire : auge du che-
val,, ote. Cröche,
MaAXsALECOAS, 5. m. (4. Duni.) bon marcheur,
bon pieton.
Mınsär, 5. m. manger, meis, aliment, p&-
ture. — branco, blano-manger. — real, espece
de conserve faile avec des biancs de volaille,
du suare, des amandes, ele.
Mansie, ©. 0. manger.
Mansanıck6. V. Mangeriedo.
Munsanona. V. Mangerona.
Mımsanuräda. V. Marinifada.
Maınsua,s.f. V. Alimento, Cibalho.
Mino,s. m. (4.daffection) frere.\. Irmdo.
77% MAN
Cheri avec besucnup d’sedeur. Mans a —,
MAN
de plusieurs morceaux d’eioßies de dilftrantes
ı pour wie por mäo) A l’amiable, aren Dei- couleurs. (Ag) " Danaen „ rapanddie Ve dilireni
liarite, lihorte ; tdle A 1öte, soul A scul.
Manoana, s. [. " ouvrage des mains. (A$.)
Adsesse : conduite dans los affaires. (4. de
mar.) Manaurre : ce qui sert & manier |ss ve
les ; ’onemmnkla des volles, eAblas, ao. & Sr
erdins , RABEMYEOS SOBTGleS.
Mınossino,A,p.p. do
Manosnisn, 2.0, ei w. iravailler des malnıs.
Manmurvrer: faire la manaurre, (Ag.) er
guot, same, ompleyor los moyens de
ManosatıRo, 5. m. Manouvrier.
Mauosalsrä , 0, m. (}. de mar.) manemviler :
maislot qui fait, vi .nwac an MERBETTS.
Manocönikta. ale.
paul sonisnir sa Arene. Palsesau.
ManöLno, 3. m. gerbe de bie,
ManörLa ,s. f. ° gantelet da for. Manique de
, ote. Fauet de cosber, de pigueur.
Nausacie. V. Mansisssr,
Minguio. V. Mancko.
Maubunena. V. Äummangsister
Mıugutına , s. f. elaudisallen ı privakian de
l’usage des meins, des bras; asıion de holten,
olechoment, (fig.)* Delaui, imperlsnilon,
Nasgussir, u. a. bolter, clashar. V.Gschser.
Mansauänte, ade. douoement, palsikie»
meni; avos
Mansid u. l: demsurs, etjeus. Chamhre &
* Appartement, habltatlon.
Mansians „8. f- mambarde.
Maınsannkö, a, m. aug. de Hanas.
. Mausansun. } V. Hanstdäo , Brandura,
Maumpäd,e. f. deusens, benis, bönignild,
mansuetude.
° Mansiuna ‚5 fı Vo aadope ou
Mausinuo, A, adj, dm, die Manso. Douoet,
irds-doux. De ‚adv, sans beuit, Irös-doues-
ment; lout bas.
Mansisuimo, a, adj. sup. de Manso, TN+-
doux. Tres-paisible,
Minso, a,adj. deux, benin; trailable. Pai-
sible ‚calıne, tranquilie. Appeiveiss. V. Suase.
Lume —, petit feu, Vaz a, volz douee #4
hasse. — mo um anrdeiro , dous comme um
moulon.
Minso, ode. ou De —, daussemeni, kan, ä
voix basss; peu & peu, petit & pelit, Manso e
Fre faire de broit, dowsement, ä ja Bow.
ine.
Mansosiuse, V. Mensinko.
Muysusrisuno. V. Mansissimo.
Mansustung. V. Mausidde.
Miuta, s. [. couverturs de laine. Cayvertare
de lit. Couverture qu’on, moi sur les ohevauz.
® Mantelet ‚pour les siäges. (Ag.) Volce Je enups
de bäton. "Polsson qui rossembie A larsie. de
tqueinho, " caron, Bande da larıl sans mialgre.
— de bacdlo , lasse longue, Klllon profond poue
plenier la vigue. — de oodornises, filet pour
prendre les cailles. — de retalhos, „couvagare
[ragmanıs ; ouYrage plein AB WoRSsaez pilles.
MAHTALÖTE, 9. mu planche servani de I
sur les vaisseaux.
Mantäö, z. oe, ag. de Dante,
area, 02m (4 Ragr.) Becher la tr u
sillon peus plamter de la vigue.
Mantiz, s. m. drap ds Cambaye.
+ Kunze, s. f. (1. hist. ant.) naute ou Fi-
lienne : eoldoptäre. — cu aramalla
de Brasil, ie sole. > de elytros com a ehr du
folhas soccas , la feuille söche.
6, s. f. " bernemens ı astin da
berner.
Mantzipo, A, p. 2. de Manier
Mauweamba, s. m. bermmeng, sulei rail berne.
Mıauvsia ‚u. a, beruer ı [aire aauter cur an
souvertune,
Mantzanis. V. Manttorin,
Mawrason. Y. Mehtonedor.
* Manties, s. m. pl. " tolles ouvrdes Po
(air des neppes, ete. Nappe du Iubie, d'umtel,
Manr£ica, s. f. * beuere, Graisse. Genial.
— de porco , geaisse de porc , asindsur. — du
Javali, mantöque.
+Manrmednn.n.f gransierzuuutlte 60 beums.
Mıurezeden, ou. V.
Mawrssootına , 0. [. por A Dauer, Baratis :
vaissoau od l’on bat Ye beuere,
Manvssavisno, A, 0. beurrior, Are ı sold,
oelle qui vond du beuere.
Maursıctero, A, udj. beurre , butyeuuz, qui
a du beurre , beausaup de bowrre.
MantsicriLe ‚8, f. peimmade desentent.
Mäanrtıno, so. we. marchand, Labrisant de
gouvertares de leine.
MunteLino, A, af. (Ib. de Dias.) mantelt ı
gl aun mantelet,
® + Manrerira, 0. f. böpuine, femme en
babit reiigieur qui demeurs ches elle. —s, pi.
mantelleies : religieuses sorvites.
+ MamraLiro, 9. m. hommes en habit reli-
Bun qui ne vit pas on veinmumauts.
+ MınruLga, o. m, (1. de bias.) piöee de 1%
cuscon em sautolr. @
Manra.ära, 0. m. mantelet riolet des det-
ques de Portugal et d’Espegne. Mantelet pour
se mellse A cousert dene l'allaquie des places.
Manriuga, 8. f. subsisiance, Beurritare;
enteotlen. ? Virres. " Alimonts, manwtention.
Manrananon, A, 6, celal qui soutient, qui
defend. Tenant d’une joule, d’an tourmei, eie.
Enıreteneur.
* Mawrüns, 3. m. pl. linge de tabie. V. Ban-
den.
Mınte£o , s. m. mantieau long eecl&sisstigue;
manteou de j6suite. Eopeos de jupen sans plis
par le haut et ouvert par-devant. (anf.) Borie
e garnituro ow ornemerit de egw; collier en
quonoullle, col A pen.
Manten, v. a. nourrir, enirelenir : fourelr
les choose n6cossalres & ia suhsistemen. Bire la
tonant d’un tournoi, d’un carreusel. Maintenis,
MAN
tenie au m&me diat, en eial de onasisianee.
Poursuivre, opsianer, Howtenir, assurer. Main-
tewir eu ponseasion. Maislenir, entretenir. Con-
server, zorder. Delondme, -— a aus palsern,
war parelo.
Munttn-se (em), o.r. so malintepir : demens-
rer dans un dies de Muneisienor. (fg.) Parssve-
nes dene um hint, »» Arne, Lenir bom
MANTEÜDO, A, 9. 9. Wr. de Manter. ad.
enusisne. Amige leide e =, Sille, femme
ensretasun,
Manrtıiania. V. Mantieria.
°Maıntica, s. f- V. Alfarge.
+ Munticora, 8. fe (4: Kb. anal.) " manti-
ehore : esp&ce do ligre ou chanel Irde-förame.
Manticore : eol&optäre.
Mantiso, a,» f- de Hanter.
Mıuritino, e. m. ofioier de ja meisen de
rei qui a soin de l’argenierie ei de linge de
table,
Manrıesnia,s. f. «bambre de l’argenterie ei
da sorvios de lable du rei, lingeris royale,
Maxtiuua , s. f. mantilie ı espöne de manteam
des feınuıes puriogaises et enparnules ; mantelet
de ferame. —s, pi. langes d’enfamt; malllot;
layotie. Dosd’ as —e, dis je herasum. "Ertar em
— 8, (fg.) on le dit d'une affaire qui ne fait que
de vommencer, ou d'un hemme qui Fall peu de
progres dans une diude.
Masrmunmia, dim. de Mantilhe,
MANTIBANTO, 6. 8. eutrelien, suhaistanee.
* Prosisions le bouoke, virres. ’
Massikna, . f. dam. do Mänte.
Mänte, s. m. ° manle ı espdoe de long volle
noir que porient ios fornmes ises et es-
pegnoles. Habit long de queiquos natiens,
manteau de reilgieux. Manteau royal. ( Ag.) —,
veile : loul co «ui sert A oacher, A couvrir.
— ducal, (4. de bias.) mantcau ducal. — capi-
hsler, manioau de coriamonie des ohevaliers
des orılres mtrliteires.
Maurö, 5. m. ınanaas de femme. Petite
housse de cheval,
MaRTöL, s. m. * bouase du cherval.
+ Hinswa, s. f. (1. de geog.) Mantone ı ville
et duche d’Italie.
+ Manruiuo, a, adj. et s. de Manteue.
Maxuit, adj. 2 gen. manuel ı qui so fall aveo
la main. Als& & manier, maniabie.
MınviL,s. m. manuel : petit livre qu’on peut
porter & la mein; livse de priöres.
MunvALu&nTe, ade. avos les meins. Manuel-
lement : de la main & la main,
Manüsnio, 5. m, manche d’oaül. ° Mani-
velle.
Manucoviita, 8. f. (4. E’hist. mat.) ° olseau
de paradis, oissau du seoleil. — real, " manu-
code : olsesu sylvain, manucodiale,. .— magnl-
Acs, la magnillque. — dourada, "sißllet. (1.
d’ast.) Constellation australe de onze &toiles.
Manugonnıo. V. Munisordie.
Mıstenucgiö, s. f. action de egqnduire par la
main. Instryetion de le Jeunssse.
Manuractöns, s. [. manufackure : fabrication
MAD 713
de corlains SuYrages ; 03 ouvrages mmanulactur
rös ; liou od Is aa fabriquent.
} Manuraonse, &, adj. qui e rapport auk
manufaciuses.
MautracTanbn® , A, PP. de
Mauuranrunia, 6. & s lebe»
quer on manumfeciure.
Mıussacruelune, 4. 9. mennfantariar; [p-
brissmt.
+ Mınde, 6. (t. Chisl. aa.) aamenl : dat
de ia Tartarie,
Manumssi6, s. fı (6. de prat.) manumission .
sEranohissement d’un onchave.
Mawvscasert, 6.0. (6. de pharın.) sort d’d«
lnshusire selide pour ante Tem or
manus Dei, saoptee d'um nssulull.
u an sscafre ‚8.0. mahuserkt. adjı —, tert &
$+ Mınveviincte. V. Hanistergie,
Manuranckö, a f. nainienue en poussseien.
Meanutentlon : sonserration on Don outer d’uRB
lol, "Entretien,
Mangrantwors , 6. f. ° maintien, cohserTa
den, proteciion.
Manvarioo, 1,P.P. de
Mauvetäa, v. a. manier, ienöher, tale avos
ia main. (Ay) V. Ensovaller.
Mamani, u. m. (1. #Aste) "grappe de eu»
0os.
Mio, Ma, odj. mauvals: qui h’est pas bon;
möchent, contraire & a ralson;, & ta toi. Me
ehant, pervers, deprave. Malin, russ. Möehant,
pechenr. Diflelle. — de eonienter, exigeant,
diMeite A contenter. Md4 mulher., "femme de
mauvalor vie, prostiiude. Mulker ind, möchante
femme. Märentura, malhenr, diegräce: Fallad
no — apparelhai 6 ee: (pror. ‚)quanden pariv
du loup on en volt fa queue. E Nberal, 0 mdo 4
ser pobre, it est Hberat, te mal est qaitt est
paurvre,
Madenas, inler). pop. parbien!
MIo, s. f Main : exiremit# du hbras di-
visee en doi Ipts. Poignee. * Pilon de mortler.
Main, 0616. : A’ — direila, d — esquerda,
& main dreite, & mein gauche, Main levte at
jeu. Coup Joue avec les cartes qu’on aenmaln.
° Joueur qui est premier en main, premier &
ouer. — , pulssance, autorile. Main de papier:
vingt-eing feuilles, * Enduit, couche de coufeur,
de ohaux, ete. * Pied de derant, en parlant des
animaur. Alguille ow style de 'montre, de va-
dran. *Moyen. Indastrie. Faveur. Protection.
*Secours, alde , assistance. — de Judas, (Ay)
espeon d’steignoir en forme de main. — de vl
dados , troupe de soldats. Com — urmada
main armee, tes armes & la main. — mörle,
main morte. — de musiea, schelle tmnsicale.
— d’obra, main-d’euvte.Lioro de — , livre ma-
nuserit. Com — larga , Jiberalement, genereu«
sement. Ir d —, arreter, ompecher d’agir, tenir
en bride, Meter a —, mettre 13 ındin sur:
prendre, s’omparer. ( lg.) Falrc sa main, ra-
gner beaucoup dans un emploi. (id.) Apaiver
une dispute. N4o porsi au meiterei 8 — no age
T16 MAP
por alguem, por alguma cousa, je n’cn met-
trals jjas saon deigt au feu. Ndo sauber qual ea
sua — Jdireila, ( fig.) we d’une simpiielt€ ow
d'wme ignorance extreme. Assenter a —, ( fig.)
iseiler, chätier severement. Ter dos —, etre
adroil; avoir la manı bonne, heureuse. Ter da
su -—, fig.) oompter sur l’appui de quelgqu'un,
Y'avoir de son cöte , dans sa manche. — no jDge,
le premier en main. Sor —. öire le premier en
main au jeu decartes. Ser —, ter —, avoir la
Isule , au jew des quilles,, eic. Fer na —, (fig.)
on le dit d’une chose dont on espere venit aisd-
ment a bout. Toocer com a —, (flg.) sassurer
par soi-meıne. Tomer @ —, ontrer on pourpar-
ler, cn mastitse; prendre la parole. —— ssqusrda
de cavalie, pied du monteir. Bebaiwe de —,
sous mail, 5008 08Pe, sous le IuauLcau, SoCHd-
wmeut. Dar e ulime —, moiire la dernidre
main. Dar a —, preter la ınain. Andar, passar
de — em — , passor de main en main. Lenger
— de, anisir, proliter de. Langur — de lodos os
ıusios, omployor le vert ot lo sasc. Melter a—
em algum negocio, so nuelcer d’une allaire. De
— pösia, a dassein, avec prüineditalien. Ber
de — , laisser, quitter, abandonner. A’ —, ade.
sous la main; Ala main, & la poriöe, pres, aisc.
Faser d —, dresser, apprivoiser. Metter — d
espdda, mettre l'opce & la ınain. Deos 0 lenha
de sus — / Dieu veille sur lui! le conduise! Ndo
esid mais na minha —, c’esi plus lorl quo moi.
Uma — las a oulra, e ambus 0 roslo, (prov.)
l’une des mains lave l’autre, ci les deux lavent
lo visage. Trabdiku de mävs, Iravail wmanuel.
Pör mdos d obra, weiire la main & l’auvre. d's
wios chcias, a ploincs wains. Chegar ds ımdos,
eu venir aux mains. Zomar com ambas as mdos,
preudre & toules mains. Mdos d ubre! a l’ou-
vrage! manidre d’suimer au Lravail. Cair, eslar
em bvas mäos, winber en bonses ınains. On lo
dit d’une alaire conliee A une personne intelli-
geute, d’uno chose perduc, et lrouvec par un
honneie homme. Dar as mdos d peimaloria,
convenir du ses loris. De mdos d bocca, dans un
susiant. Presiar juramenlo nas mdos de...,
preier serment enire les nsins de... A’s mdos
lavadas , laciieınent, sans danger. Ndo ter mdus
a medir, avoit beaucoup d’ouvrage, dire Irds-
oceupe. Estar cum uma obra enire mdus, eiro
spres un vuviuge. Pegaren-se as mios a @l-
guem,eire voleur, Ülou. Zuos frias, corapuo
quenle , froides mains, chaudes amours. ade
mwrrer ds miuhas mdus, il ne wourra que de
ma main. Koyur, pedir com as mäos poslas ou
ergsiidas, prier quelqu’un & suains joinios,
Miocoyuunän-se, cic. V. Mancomn..., oic.
MäiorEnDente. V. Peita,
MiorostKiao, eic. V. Mamposleiro.
Miussuntas, pl. V. Müumorta.
Miotents (d), loc. adv. de ir&s-prös, Corps
&corps.
Miuzinaa, dim. de Mdo.
Murra, s. m. "carle güograpbique. *Descrip-
tion abregee. — da impuriagdö, role d'unper-
Jation.
MAR
MArrANÖND!, 5. m. mmappemonde : carte des
deux hemisphöres.
+ Marunönca, a. f. * frult de Bresil.
Mantia, s. f. mesure de oonlenanet, dee
liteons. Moature : salalre de meunier. Portien,
droit qu’on defalque peur le maltre, eis.” Se-
cage : droit de minage.
Maquiapo, A, p. P. de Maquier.
MaqQtiaDOR , 5. m. oelei qui, dans un men
lin , pergoit le dreit de mautare.
Magtıän, v. @, prondre le dreit do meuture.
Defalquer d’un tout la porlion qui rerient ou
malire, eic.
° Mıqvıkıra. V. Maguia.
Mıguiu, s. m. V. Jonolim.
Magtına, ele.
Maqtınän, eie. } V. Mockin..., de.
Min, 5. m. "mer : zınas d’eaax qui envireh-
nenties oontinents ; (Ag.) abondance excessiw.
Adristiee, mer Adriaiique. — Allan,
mer Allantique. — Austral, mer Ausirsle.—
Baltivo, mer Baltique, — Branoo, mer Blau-
che. -— Csspio, mer Caspienne. -— Ego, met
Eee. — Gelade , mer Giaoiale. — Jamie, met
lonienne. — Mediterranse,, mer Iihditerranit.
— Nörte , mer Morie ‚Tao Asphaltite, em Juder.
— Vermelhe, mer Rouge. —banseire, nıcr bes
leuse. — de leile, bonangs, mer salıne, Lal-
qaille.— de senkorss, mer calıue. — de lite,
mer agilde. Allo—, haute mer, pleine me.
Cruzar no —, oroiter sur ınar, parlant d'ou
vaisseau, d’une esoadre. Sabre as aguas de -,
sur mer. Deiter-e, arrgjer-se ass wart,
(ig.) s’exposer & un grand danger. Äazer-u
«0 —, faire voile, prendre la ıner. Homem de
—, marin. Todes 0: riesudo der ae —, (pro®.)
l’eau va toujours A la riviöre. E deifzr aqua m
—, (Ag.) c’est porter de l’oau & la riviere. Nm
Iudo ao — nem tudo d terra, (fig.) il me [aut
irop, ni trop peu. O — eds, la mer mugil.O-—
enira pelos escovens, les coups de mmer enirenl
par lcs ocubiers. O — vom mes roch
dos ou na costa, la mıier brise sur les rocheti
ou sur la cöte.
Marusırıno. V. Merevedi.
MarABUTO, 3. m. marabout : prötre d'une
mosquec. Matelot, marinier.
+ Mınatä, 8. ut. (tl. du Ziresil) sorle de erm-
bale, falle de gourde säche, chez les nr.
:t. de bol.) Maraoa os tamaraca : esurge de
Beösil. .
+ Mınacask, s. m. chat saurage d’Aric eldu
Bresil , tachele vormıne la panthere.
Manacanä, 5.0. oisonu d’Asie et d’Amt-
Nque, esp6oe de perroguet gris.
Manacatis, s. m. (l. du Bresil) sorte Weir
barcauon usitce au Para.
Manscuiö, 5. m. lets de limen ou de sable
dans un Nleuve. ° Cheussic, levee, tareit.
Mınacoriö, s.m. miliooten : sorte de pöche.
Alberge : fruit de l’albergier. ,
+ Manacortıro,s. m. (f. de bot.) albergiet
Ole sur un cognassier.
Manıcui ‚3. w.(d.debei.)' muarwenia:planie
“
MAR
veisina des granadilles ; son fruit : parte la Bsur
de la passion,
Manıcita, s.f. monnaie decuivre d’Angola,
dix reis portugais,
Manaröna, s. f. prosliluee , coureuse.
t Manaronsir, v. on. (f. burl.) traiter avec
les coureuses, les fr&quenter.
TMararontıro, s. m. qui aime les coureu-
ses, qui les froquente.
+ Manssaisü, 3. m. (i. de bof.) marajaibu :
palmier du Bresil.
Maninus, s. f. bruyöres, balliers qui ren-
dent un chemin impraticable. (Ag.) *Embrouil-
loınent d’un dcheveau de Al; cheveux me£les;
embrouillement, confusion, tromperie dans les
affaires ; intrigue,, finasserie.
t Manınniö, s. m. ($. de geog.) Maraguan,
Maragnaın : province et ville de l’empire du
Bresil ; grand leuve de l’Amerique meridionale.
edj. Natif, babitant du Maragnan.
Maınannir. V. Emmarankdr.
Maıruunöso. V. Enredador, Inirigante.
Mırio, s. m. maraud, matois, fripon ; vieux
routier, ruse. Compaguon d’aumönier do re-
ligieuses.
Maraozinno, dim. de Mardo.
MaRASMipO,A,adj.tombe6 dans lo marasme.
p. £; de
ARASMÄR „v. a. Causer, donner le marasme.
MarısuÄr-se,v.r. tomberdansle marasme.
Marisuo, s. m. (f. de med.) marasııe : mai-
greur exir&me, consomption; (8. de bol.) ma-
ladie des plantes.
Manasumönico, A, adj. da la natare du ma-
rasme, qui le concerne.
+Manasquino, s. m. marasquin : sorle de
lqueur faite avec une corise amöre.
ARATuRO. V. Funcho,.
Manavinuas,s. f. pl. broulilles, menu bois,
eopeaux ; rognures qu’on lire du bois avec le
rabot, * Rubans minces et &troils. (fig.) Choses
frivoles.
MAnAVEDIi ou —ViDi, 5. m. maravedis : an-
eienne monnaie portugsiso el espagnole, dont
ja valeur a varie. Solde que le roi donnait &
ceux quile servaient.
*+ Marnavınıkva, s. f. somme de maravedis.
MaRAViLNA, 5. f. “miracle : merveille, chose
admirable. V. Admiragäo. (i.de bot.) — ou — do
Perü, belle de nuit, merveille admirable du
Perou. — bastärda, * souci de Jardin. De — ou
por —, rarement, difficilement, par miracle.
E uma—, cest une merveille. A’smil —s,ä|'
merveille, merveilleusement; & ravir, adıni-
rablement bien. Fazer ou dizer —s, dire ou
faire des choses merveilleuses, extraordinal-
res.
MARAYILHÄDO, A, adj. &lonne. P.p. de Ma-
ravilkar.
ManuvıLnadör. V. Admirador.
ManıvıLmin, v. 0. &merveiller : causer de la
surprise, de l’adıniration. V. Admirar.
MauuviıLHän-sä(de), o.r. s’etonner, s'emer-
veiller.
MAR 717
MARAVILHÖSABENTE,, adv. merveilledgsemen:,
admirablement.
MaARAVILNÖRO ‚A ‚adj. ravissarıt, miraculeux,
merveilleux, admirabie ‚surprenant ‚ elonnant.
Muinca, s. f. margue, note, signe, oaractdre
particulier. * Coin, sceau. * Seing, chiffre. —,
fletrissure, mtigmale. Qualiid, mesure, taille
qu& doit avoir une chpse paur &ire repulee
bonne. Empreinte, impression. Vaste terfi-
toire qui distingue et separe des pays voisins :
marohe. Moule de bouton. De —, grand, te-
marquable. De mais da — ou de — maior, Ol-
tre mesure.
Maacino,&A,?p. p. de Marcar. adj. Margub,
ou il y a quelyquo marque.
MaAncADOR, 3. m, marqueur : celui qui maz-
que.
Muancäir, vo. a. marquer : disiingser par une
marque. (Ag.) Remarquer. V. Demarcar. (imus.)
Etalonner ; coniröler.
*+Mıncanis,s, f. aclion d’elalonner ou de.
contröler.
Muncasita, s. f. marcassile : pierse mind-
rale, jaune d’or, & (aceties brillantes.
MancaviLLa, 3. f. espöce d’herbe officinale.
+ Marckinas, 8. f. pl. sorie d’ancien inıp6&
qu’on payait le 1er mars.
Manc£ıno. V. Mercieiro,
MarceLa. V. Macella.
Mancenania 08 menuiserie : Ouvrage,
MARCENERIA, 8. f. art du menujisier.
MAncCENBIRO, 5. m. menuisier. Ebeniste.
° Mancenia. V. Mercearia.
MancssciveL, adj. 2 gen. marcescible : dis-.
post & se faner. Marcescent: qui se fane, s0
passe, se flötrit.
Manccnivo. V. Margräve.
Mincna, s. f. marche : action, manidre de
marcher; air de musique pour la marche; si-
gnal de marche donnö avec les tambours, les
trompeties; mouvement de troupes par jour;
ss direction. (Ag.) Conduite, direclion d’una
affaire. — falsa, fausse marche, marche de-
guiste. A —s forsadas, & marches forcces.
Furtar a— , eacher, derober la marche.
Maacuipa. V. Marcha.
Mancnänte,, s. m. marchand de betsil.
MancHhin,v. a. et n. marcher, se meilrc om
marche. (inus.) V. Mascar.
Mancnssita. V. Marcassila.
Migcnkra. V. Marchtie.
MARCHETADO, A, P. p. de
Mancnstin, v. a. marqueter; faire des ou-
vreges do marqueterie. Incruster. (fg.) Kmall-
ler.
Mancukraria, s. f. margueterie, iInerusta-
tion.
Mancn£Te, s. m." pi&ce d® marqueterie.
+ MancnEtkıa0, 8. m. ouvrier en marguete»
ric, ebeniste,
MasctiL, adj. 2 gen. martial : guerrier, bei-
liqueux ; militsire.
‚Misco, A, adj. martial, hefliquenx.
v78 MAR:
Mäinoe. 3. m; * borme, kmite. Mare : poltis
de huit onces.
T Muncominos, s.. „3. anciens penples de
Germanie , aujeurd’hui de Boheme.
Minco, 5. m. mars : treisidsse mois de l’an-
° MARDECANQUE, 8. ms. "scorie de l’argent.
TMasnniııa,s. [. (8. d’hist. nat.) mardelie :
petit inseote.
“Minz. V. Madre et Mär.
Mark, s.f, marse : flux et reflax de ia mer.
(Ag.) Oppertunite , occasiom. — enchenfe,, na-
ree monlante. — vasanie , marde descendante.
Dausgar, romar conira a —, tefouler la ma-
ree. Ir contra ventoe —,(fig.) aller contre
vont et masse : persister malgre les obstacles.
Manzaciö,s. f." art dela navigation ; ma
mauvre d’un valsseau.
Manzipo,A,P. p. de Marear. ady. Conduit,
gouverne, etc. Marine, avari6; terni. Qui a Ie
mal de mer.
MAREÄCEN,, 6. [.navigation: art de naviguer.
V. Mareapio.
MAREÄNTE, 3. m. habile navigateur. Marin.
ManeBir, o. @. conduire , gouverner un vais-
sbau. Manwuvrer les volles. v. n. Avolr Ic mal
de mer. Ternir.
MAREÄR-s6, ©. Tr. se gouvernef ; se diriger.
S’avarier, se gäter sur mer, parlant des war-
chandises. "
MarecnHÄL, 8. m. marschal : titre, grade mi-
litaire.,
MuaR£ıRO, A, adj. qui vient de la mer (vent);
farorable pour naviguer.
Maresina, 8. /. marde forte el rapide. V.
Marulhada,.
MAREJÄR, dv. . degoutter, distiller, suinter.
A) V. Transluzir, Vislumbrar.
AREL, adj. m. Touro —, laureau de race.
tT MAREMACHUM ‚ s. m. (fam.) On lc dit pour
exag£rer la grandeur, l’aboudance d’une chose,
MAREMOTO, 8. m. tresublement de mer.
+ MaREnco, 3. m. (4. de geog.) Marenga ı
viflage dans le Piemont, celebre par una ha-
taille gagnde par le general Bonaparte.
Märes, s. m.pl.° houles, vaguos, (mer.
Manszsia, 8. f. mauvaise exhalaison de la
Muntra,s. f." mouvanents de la mer qui #’&-
leve pcu & peu. Haule, vague, ral.
tMarripo, A, adj. ifewm.) desospese, fn-
rieux, enrage. ’
Manris „a. m. marßl ı dents d’elöphanı s6-
partes de l’animal, lvoire : dens d’laphant-ira-
vaillee.
Hasıiz V. Udo,
Minca ‚s. [. marne : craie melde de limonet
d’argilg. . i
+ Manciga , 3 f- (1. dabok) oamamille rem-
brunie.' .
u ARCAnin ‚8. f. eapdec de plongean de Por-
gal.
Marcarira, V, Perolae
MAR
Mineeik, v. u. siiionner, faire des zillons;
marger.
Mincen,s.f." bord, rive. Marge , blanc au-
tour d’une page imprimee, edcrite. Kxtremile.
— de semenitiras, " sillon, terre @dlevde entre
denx rales. — das folkas, bord, bordure des
feuilles. Där — , (fg.) donner oecasion, &tre
cause. Pör d—, abandonner.
MARCINADO, A, p. p. de Marginur. ad). Mar-
qu& ä la marge, ömarge. (8. de bog.) ine,
& bords saillanis,
MıncınärL, adj. 2 gen. marginal : qui est A la
marge.
Mancımla ‚0. a. dmarger : noler, marguer &
la marge. Marger : comıpasseor les marges d’una
feuille , d’yn livre.
Muancräre, 5. m. märgrave : nom de Alguik;
prince souversin en Allemagne.
MancraviÄto, 6. m, margraviak: dat, di-
gnits du margrave.
Mancte. \V. Mangle.
+ Mancte£ina, s. f. marnidre: lieg d’oö I'en
tire la marne,
MıncuLniß, etc. V. Mergulääo, etc.
tManıana, s. f, sorte d’smende au impdät
dans l’Inde.
Manrit,adj.2 gen. qui apparlient ä la sainte
vierge Marie,
Mınıino, A, adf. V. Marial. Os — ou [re-
des —ı , les carmes dechausses.
MaARIBönno, 5. m. * espäce de frelon du Bri-
sil.
Mınıcäö, s. m. homme efl&mind , sans cos-
rage, poupin.
Muricas, s. m. homme mou, eflemine, pas-
In.
? Manıcuar. 7. Marechal.
MausicoLa. V. Maricdo.
Mınmino, A, p. p. de Maridar.
Manınänca, 8. f. l’existence heurguse ou
malheurcuse que la femme procure ä Som mari
par ses bonnes ou mauvaises qualites. Vie de
marlves. V. Casamenlo.
Marıin,e. a.eın.V. Casar. Remplir les
devoirs conjugaux. (Ag.) Unir, joindre,
Mınino, s. m. mari, &poux ; Joitt parie ms-
riage,
f Manıcrk,, 5. m. cspecc de cousin du Bre-
sit,
Mantcvf. V, Marui.
Manimna, s.m. ° sorte de jeu de cartes. 3. f.
Instrument de musique de Cafres. "Harmeonics:
"instrument de musitjue, forte de verres dont
on tire des sons.
+ Muanımpin,e.*. jouer au jeu de marlmda.
V.ce not. e. a. (fig. pop.) Tromper, alıraper.
Manin, s. m. cmploi, dignite chez les Maures.
Mannkeı.n. V. Maninelo.
Marınenksco. V. Marinharesco.
MarixoA, s. f. marine : science de la nari-
gation sur mer; tout ce qui Ta concerne; vais-
seaux, elc.; ce qui falt ta pulssance nayale
d’une nation; corps es mıarins ; plage, cöle
de mer. Saline , marais salauı.
8 .
%
MAR
| 8, 4 Marinkar.
: ° corps de mafiniers,
1 WUEEEBD- Rau. * Pilotage, art de na-
9" EEEEER.
“ zEuEED m ="
r |
— mariner, amariner, gar-
”uipage necessaire. V. Ma
- wmeo WE 2, exercer la navigation.
- a D9 er 7 mäts.
- Marinhereo.
w- - Di ” * pilotage : art de 1a narl-
m u» ee er A ". des chöses necessaires &
=— a ur
re u
— u» ’»
f —_ »,_ we =
en
w - 2, 3_.:3
„quipement d’un valsseau,
#5, ode. 4 la manlere des
Marinkesco.
wm. aug.de Marinheiro.
=, marinier. On le dit de
%t A la manauvre d’un vais-
. mr —T. ı
go - 7 00 Darigaleur. — d’agus
im re mae WW. quleonoerne les mari-
- aniöre des mariniers,
:"marin, maritime,
-_4. de bot.) mario ; qui est
N - = nu .r ir.
mn » " -—
- - - „. sank,
- .=.0. ®2 sjrtefaix, crocheleur,
„-i. Borbolfla et Traga." Bi-
- .- mi --Z «un papillon.
ur sa .M# ..m.(t. d’hist. nal.) mari-
singe d’Amörique.
un mr, vcchdl.
amasser des coquillages.
‚ns »a22 ” „rQuillage : petit poisson en-
. _ yuille, orten general les les-
m Ir 2" Rn .
[9 able
RP Tr adj. et s. pächeur de ov-
ne. ‚ 9’che, Homme ou femino qui
nu . J zart
w -*: „A
„zer abe eh
-. ” u
iz rule ji ‚„ edv. marlialoment : en
at
*marilaca : moufetie da
Bresil.
m .e)
r. cn. marital: qui appartient
5, maritime : voisin de la
vagnob. Bi Mr
euralsıen de | inäce do velcment maure ä
Hgable & une capole de senll-
Pa
a Er nl hen
u. jan) Jean ® . nun.d
dei | uarmot, inarınouset, pe
er A “ omme mal ball et niaia.
‚1sf. " eolignde ı Gonfllure de
rl .
K’IL SZ
inne um. (1. de bot.) cognassleroy
yprte les coings at cCognassKes.
ur; ; a tfois ferilies.
. de 50.) mei I.‘ eölng ou ooln : fralt duco-
cognassg.
pece dep rn f. " sinus du corveau.
ide
craie melee de I
io
MAR Fu)
MArMiTA, s. f. marmite : valtseau de meta,
etc., pour faire bouillir le bauf, etc.
Mäianor (poedtl.), V. Märmore.
Mirxsorr, s. m. marbre : sorte de pierre
dure qui prend le poli. — para esfaluas, mar»
bre statuaire.
MAnNOREU,A „adj. de marbre, Qui’a les qua-
lites du marbre,
Mınuorösd, (polt.) V. Murmöreo.
MuARmOTA, 8. f, (1. d’hist. nat.) marmotte:
mammifere rongeur, gros rat de montagne. —
®America, * monax: marmoötte de Canada. '
Chambre optique portalive.
*MaARnEL, 3. m, "plaine marecageuse. V.
Harnota,
MuRnNETES , s. m. pl. antlerınes dordures de
robe,
* + Munnockıno, s. m. conducteur d’un bar.
”+ Mınnöra, s. f. lerrain märecageux.
*+ Mannoreıro, $. m. celui qui travaifie
dans les lerrains mardcageux. V. Marroleiro.
+ Mino,s. m. (f.de bot.) — de Valenga, ma-
rum : Ihym, germandre®.
MaRöNA, 8. f, grosse corde de chanvra ou de
janc. "Hauban, cordage. * Cäble, corde (de
danseur de corde ). Andar na— , danser sar
la corde. (fg. fam.) Eire engag& dans uno en-
treprise hasardeuse. nn
Manöuaa, 5. f. ° balancicr de danseur de
corde.
tManöuzs, m. pl. bouffons, musiciens
des rois cafres.
+Munönzo, A, adj. de Maronte, ville mari-
time de Thrace, celäbre par scs vins.
Manonitas, s. m. pl. Maronites : habltansdu
mont Liban en Asie ; seclaires.
Man0TA, s. f. proslilude; pollssonne,
Marorticen, 8. f. troupe de polissons ; po-
lissonnerio. \
ManoTRir, 9. ®. polissonner, faire le po-
lisaon.
Manorteıra,s. f. polissonnerie; coquinerfß.
MaAROTO, 8. mm gamin; maroufle, polisson,
vaurien, maraud, coquin. Espece de taisin.
MunöTo, A, ad. polisson, coquin, lascif.
MaröucO, 5 m. grandes vagues de la mer
agilde,
Manguezita. V, Marcasila,
Manqussüta, &. f. sorle de racine d’Asle. V.
Marquezota.
Marotrz, s. m. marquis:titre, dignite, rang
entre le duc et le opmte.
Mangu£za, s. f. marquise: femme d’un mar-
quis; femme qui a un marquisat. Ollomane:
sorie de canape. |
MARQUEZADO, 8.7. marquisat: terre, titre
de marquis.
Mangquezintia „8. f. espece de plante.
MARQUEZInnO,, A, 3. dim. de Marquez. Jcune
marquis, jeune marquise.
. Marguezira. V. Harcasila,
MARQUEZÖTA, 8. f. sorte d’ancien manteau,
* Mangqun, V, Merco.
Minna, s. f, masse de fer.
f
768 MAR
Mannä ou Mannüs, 5. [. pelite truie qui ne
tette plus. Jeune truie chälree ei engraissee;
sa chair.
+Marnico, s. m. instrument de fer pour
soulever la terre.
Mannipa, s. f. * choc de bötes ä cornes ;coup
avoc la töte.
Marnira, 8. f. “cheveux sur le front.
Mannariö, Oma, adj. (t. burl.) grossier,
eommmun.
MarraLutıao, A, adj. fin, russ, qui cajole
pour tromper. Qui n’aime point A payer, durä&
la desserre.
Maaniu. V. Marrä.
Mıneino, a, adj. (i. demöpris) maudit, ex-
eommunis; Maure, Juif, qui ne mange pas de
eochon.
Mınriö, s. m. petit cochon qui no tetie plus.
Cochon,, porc. Gros marleau de fer, masse.
Manair, v. n. heurler. Choquer, donner de
la Läto contre; se batıre A coups de tete; frap-
per de la Leto; se cosser, parlant des beliers.
*+Minnıs, adv. (fap.) autrefois. A note
de —, la nuit passee.
Manrixo, s. m. gros requin. V. Marreco.
+Mannixo,A, adj. fute, fin, ruse. On le
dit aussi du taureau qui n’altaque qu’&ä coup
sür.
MunnicaA ,s. f. macreuse.
Muarntco ,, s. m. esp£ce de canard. adj. (fam.)
Fute, fin, ruse.
Mann£ra, s. f. petit maillet de fer des arque-
busiers.
Mannoipa, 5. f. coup de masse defer.
Mannöcos, s. m. (1. de geog.) Maroc : empire
d’Afrique; sa capitale.
Marnadıo. V. Marroyo.
MarROquis, s. m. maroquin : peau appretde
de chövre,, de bouc.
MARROQUiNO,A, adj. ot s. Maroquin : qui est
de Maroc.
Murnorkıro,s. m, saunier; regisseur ou in-
specieur des salines.
Mannöxo,s. m. bout de chandelle, Iumi-
gnon.it. V. Paleiro et Marrufo.
MannöYo, 8. m. (4. de bot.) marrabe : plante
lahiee. — branco, marrube blanc. — ndgro,
ı.arrube noir, ballole puante. — bastdrdo,
marrubeastre ou faux martube.
Manuuäz, adj. 2 gen. (f. pop.) tötu, reveche,
eniete, obsiine, opiniätre. s. ww. (4. d’Asie) B&-
lunent, vaissgau.
Mannuro ‚5. m. fröre lai. V. Morroxo.
+ Minnücem, a. f. esptce de plante qui res-
seinble au persil.
+ Manseına ,s. f. (8. de g6og.) Marseille: ville
maritime de France.
+ MansELnÄNO, A, 0% Marseillais : de
+ Manssufz, adj.eis. ) Marseille.
+ Mansöra ou —rLa, 8 f. (f. d’hist. nat.)
* marsuuin : gros poisson de mer ow cochon,
purc, pourceau de mer; Irds-petite esp£ce de |
baleine.
MAR
tre : sorte We fouine a gorge jaune, & angles
Üixes; sa pcau en fourrufe. —s, pl. fourrure
de marle.
Minte, s. m. Mars: dieu de la guerre; (fg.)
grand guerrier ; esprit guerrier, Oourage.—,
plandie; (f. de chim, ane.) ler.
* Maxıerrir, V. Martyrizer.
* Mınteıno, V. Marlyrio.
ManrsLLipa, 3. f. coup de marieau.
MARTELLADO, A, 9. p. de Martellar.
MARTELLADOR, A, 3. celai qui donne des
coups de marteau.
MartgıLin, o. e. marieler : battre A con
de marteau. (fig.) Persecuter, tourmenter.
+ MARTELLETE, 5. m. dperon mauresgue.
MARTELLInnO, 5. u. dim. de Martello. Ia-
strument pour accorder le clavecin, le psalt“-
rion, elc., accordoir.
MARTELLO, s. m. marteau: oulil, insirumen
de percussion. (Ag.) Celui qui travaille & de-
raciner, ä extirper le vice, l’heresie. Conchs
de —, marteau, coquillage bivalve. Peise—,
marteau ou zygene, espece de chien de mer.
A—,äcoups de marleau. — d’orelkas, tirt-
clou, outil pour arracher les clous. — de fer-
rador, brochoir, marteau de marechal. Acher-
se,estar entre o — e abigorne, &ire entre ler
clume et le marteau. Eire la gaufre dans um
affaire.
MurrticoLa. V. Manficora et Matriculs.
* Miatimänca, 5. f. sorte de petit bonne.
MARTIMCARAYÄTO, 8. m. jeu d’enlanls.
Muantinete, s. m. (1. d’hise. nal.) " aigrelie:
sorte de heron. Sautereau d’&pinette, de clart-
cin, etc. Panache,
+ Munrisica, s. f. (1. de g@og.) Martinique:
tlo de l’Amerique.
+ Marrinıeca, 8. f. "imp6t que Yon payall
la Saint-Martin.
Maartın, etc. V. Martyr, etc.
MiaTYn, 3.2 gen. martyr: qui a soufert, qui
a 616 a6 pour sa religion, surtost le christs-
nisme, (g.) pour un parli, une opinion, el:
(dd.) qui souffre beaucoup, qui a besucoe
souffert.
MaRTY’RIO, d. m. martyre: mort, loarmesi
du martyr; (fg.) peines cruelles, souflrant
excessive. (8. de bot.) * Fleur de la passion, grt
nedille, plante et lleur.
MARTYRIZADO, A, P. p. de Merlyriser.
+ MARTTRIZADOR , 8. m. celui qui martyrise.
MARTYRIZAR,, v. 0. martyriser : faire soallnı
le martyre; tourmenter cruelloment.
MARTYROLÖGIO, 5. m. martyrologe : ontalogtt
des martyrs et auires sainis.
Mındcen. V. Murugem.
+ Maaul, s. m. pelit oousia du Brisil, deal
la morsure est trös-incommede.
Maxüsa, s. f. ° marins, malelois; dquipagt
d’un vaisseau.
Man010, s. m. marin. V. Marinkeire.
Maroımipa, 8. [. Yiolenie agitalion des Belt,
houle.
Minta,s. fı (l. d’kisk. nal.) marte ou mar-
+ MaruLHin, vo, @. agiler aveo violence, SER
MAR
MaRınHäno, A,p.p. de Marinhar.
Manınuäcem, s. f. ” corps de mariniers,
equipage d’un yaisseau. ° Pilotage, art de na-
viguer. V. Mareagdo.
"MuanınuÄr, 0. a. emmariner, amariner, gär-
Dir un vaisseau d’equipage necessaire. v. Mar
rear. v. ». Naviguer, exercer la navigation.
Grimper au haut des mäts.
Manınuanksco, V. Marinhevee,.
Manıyuanla, s. f. ° pilotage : art de la narl-
gation. ” Assemblage des chöses necessaires A
la navigation, ä l’e&quipement d’un valsseau,
etc. V. Barinhagem,
MARINHATICAMENTE, ade. A 14 manldre des
mariniers.
Masınuärıco, Y. Marinhesco.
Muanınneiniz, s. m. aug.de Marinkeiro.
Manrıyaßıno, s. m, marinier. On le dit de
tous ceux quiservent A la manauvre d’un vais-
seau. Habile pilote ou navigateur. — d’agus
döce ,hale boline,
Maınınußsco, A, adj. qui conoerne les mari-
niers. 4’ —a, & la maniere des mariniers,
Maninno, A, adj, marin, maritime,
Masino, a, dj. (6, de bot.) mario ; qui est
de la mer, qui en vient.
ManıöLa , s. m. portefaix, crocheteur.
Manırösa ,s. f. V. Borbullta ei Traga." Bir
jou quia la forme d’un papillon.
+ Marıquinua, s. m. (tl. d’hist, nal.) mari-
kina : ouistiti, petit singo d’Am&rique.
Manısciı. V. Marcchdl.
MaRıscäR, 0, a, ramasser des coquillages.
Maßisco, s. m. coquillage : pelil poisson eu-
ferme dans une coquille, et en general les tas-
laces.
Manısia. V. Maresia.
Marısqutino, A, adj. ei s. pächeur de ab-
quillages, qui les p&che. Homme ou femino qui
vand dos coquillages.
Manıtacaca ou | "maritaca : moufelle du
Marıtarkoe,s,f. resil.
Manitär , adj. 2 gen, marltal: qui appartient
an mari.
+ MaRITALNENTE, adv. marlialoement : en
mari, en bon mari.
Manitimo,, A, adj. maritime ı voisin de la
met ; relatif A la mer.
MarLöra, 3. [. espece do vötement maure ä
eapuchon. 1 ressemble & une capole Je senii-
neile.
ManLoria. V, Amarroldr.
Manuanshd, a. m. ang. de
MAnuÄNJO, 3. m. marmol, Marmouset, pelite
Sägure grotesque. Homme mal b4ll ei niais,
WanunLina, 6. f. * eolignhe : Honlliure de
coings, marmelade.
Manueıtıno, s. m.(1. de Bol.) cogmasster ou
eognier:: arbre qui porteles coings et COgNEStes.
— da India, poire & trois feriiien.
Mınuwtıo, 3. m. colng ow ooln : fruit daco-
gnassier. — brapo, COgNasSg.
* $ MarusLöta, s. f. * sinus du corvoau.
MAR re
MARITA, s. [. marmite : vaissenu de metal,
etc., pour faire bouillir le baauf, ete. "
Mäinuon (poet.), V. Märmore.
Mirsore, s. m. marbre : sorte de pierre
dure qui prend le poli. — para estaluns, maps
bre statuaire.
MıAnMmörEo, A, adj. de marbre, Qui’a les qua-
lites du marbre.
Mınuonösd, (polt.) V. Murmören.
MaBuöra, 3. f. (1. d’hist. nal.) marmolte:
mammilere Tougeur, gros rat de montagne. —
#America, * monax: marmolte de Canada.
Cbambre optique portalive.
*Mann£L, 5. m, "plaine marecageuse. V.
Harnola,
MARNETES , s. m. pl. antlennes bordures de
robe.
* + Mannockıro, s. m. conducleur d’un bät.
"+ Mannöra, s. [. lerrain märecageux.
°+ Mannoreıro, s. m. celul qui travaille,
dans les lerrains marecageux. V. Marrol£iro.
+ Mino, a. m. it.de bot.) — de Valenga, ma-
rum : ihym, germandre®.
Maröma, s. fı grosse corde de chanvyre ou de
janc. "Hauban, cordage. * Cäble, corde (de
danseur de corde ). Andar na— , danser sur
Ja corde. (ig. fam.) Etre engagd dans uns en-
treprise hasardeusc.
Maröusa, s. f. " balancier de danseur de
corde.
+Munöuzs, sm. pl. bouffons, muslciens
des rois cafres.
+Manöngo, A, adj, de Maronte, ville mari-
time do Thrace, celäbre par scs vins.
Manoxitas,s. m. pl. Maronites : habltans du
ont Liban en Asie ; sectaires. '
ManöTa, s. f. proslitude; polissonne.
Maroticess, 8. f. troupe de polissons ; po-
lissonnerie.
MaAnOTRÄR, 9. ®. polissonner, falre le po-
lisson.
Marot£ira, s. f. polissonnerle; eoyuinerrf.
MaAROTO, 6. Mm» gamin; maroufle, polisson,
vaurien, maraud,, coquin. Esp&ce de raisin.
MaröTo, A, ad. polisson, coquin, lascif.
Muröcco, 5, m. graudcs vagues de la mer
agilöe.
Manguezita. V, Marcasila,
Manquesüra , s. f. sorte de racine d’Asle. V.
Marquezola.
Muıraufz, s. m. marquis:iitre, dignite, rang
entre le duc et le oomte.
Mangqu£za, s. f. marquisg: femme d’un mar-
quis; femme qui a un marquisal. Oltomane:
sorio de canapf,
Manquezino, 8. m. marquisät: terre, litre
de marquis.
Marguszinua, s. f. espece de plante.
Marquszinno, A,s. dim. de Marguex. Jcune
marquis, jeune marquise.
. Mangusgzira. V. Marcasila.
MARQUEZÖTA, s. f. sorte d’ancien mmanleau,
* Murgqun. V. Marco.
Mina, 5. f, masse de fer.
708 MAR
Manni ou Mannüia,s. f. petile truie qui ne
tete plus. Jeune irule chälree ei engraissee;
sa chair.
+Manaico, s. m. instrument de fer poar
soulever la terre.
Maanipa, s. [. “ choc de bötes A cornes; coup
avec la iöte.
Marnira, 5. f. “cheveux sur le front.
Mannuriö, Oma, adj. (i. buri.) grossier,
COIBMUuR.
Mannuıutino, A, adj. fin, ruse, qui cajole
pour tromper. Qui n’aime point ä payer, dur &
la desserre.
Mırzin. V. Marrä.
Manrino, a, ad. (l. de mipris) maudit, ex-
eommuni6; Maure, Juif, qui ne mange pas de
cochon.
Muzniö, 5. m. petit cochon qui ne tetle plus.
Coehon,, porc. Gros marteau de fer, masse.
Maanir, v0. n, heurter. Choquer, donner de
la täte contre; se baltre & coups de tele; frap-
per de la i2te; se cosser, parlant des beliers.
*+Minnas, adv. (far.) autrefois. A noile
de — , la nuit passee.
Mannixo, s. m. gros requin. V. Marreeo.
+Mannixo,&, ad. fult, fin, ruse. On le
dit aussi du laureau qui n’attaque qu’& coup
sür.
Manntca,s. f. macreuse.
Munnico, s. m. espöce de canard. adj. (faw.)
Futs, ön, ruse.
Mannträ, s. f. petit maillet de fer des arque-
basiers,
Mannoipa,s. f. coup de masse de fer.
Muannöcos, 5. m. (f. de geog.) Maroc : empire
d’Afrique; sa capitale.
Manadto,. V. Merroyo.
Mannogqguim, 5. m. maroquin : peau appretde
de chörre , de boue.
MaanoQuino,A, adj. et s. Maroquin : quiest
de Maroc.
Wuraorkıno, s. m, saunier; rögisseur om in-
specieur des salines.
Mannöxo, s. m. bout de chandelle, lumi-
gnon. it. V. Pateiro et Merruwfo.
Mannövo, s. m. (1. de bot.) marrebe : plante
lahiee. — branco, marrube blanc. — nfgro,
ır.arrube noir, ballote puanie. — bastdrdo,
ınsrrubeastre ou faux marrube.
Mıruuiz,adf. 2 gen. (f. pop.) tötu, revöche,
enieie, obsline, opiniätre. s. m. (1. d’Asie) Ba-
tinent, vaisseau.
Maunüro, 5. m. fröre lai. V. Marrozo.
+ Manaöckm, s. f. esp£ce de plante qui res-
seınble au persil.
+ Munstına,,s. f. (6. de g6og.) Marseille: ville
maritime de France.
+ ManssLRÄNO, A, 0% Marseillais : de
+ Manssiıntz, adj.eis. ) Marseille.
+ Mınsöra ou —PLA, 5. f. (f. d’hist. net.)
* marsouin : gros poisson de mer ow cochon,
porc, pourccau de mer; trts-petile espece de
baleine.
Miuta,s.f. (l. d’hist, nal.) marte ou mar-
MAR
tre : sorle@e fouine a gorge jaune, & angies
Sxes; sa peau en fourrure. —s, pl. fourrum
de marie.
Mirte, s. m. Mars: dieu de la guerre; (fg.)
grand guertier ; esprit guerrier, courage. —,
plandte; (1. de chim. enc.) ler.
° Maarzıain. V. Martyrizer.
* Mıntzıao, V. Martyrio.
Manrsıräsa, s. f. coup de maritae.
MuaRTELLAnO, A, P.p. de Martellar.
MantELLanön, A, 5. oelui qui donne des
coups de marleau.
MarteıLirk, vo. e. marieler : battre ä coups
de martoau. (Ag.) Persscuter, tourmenter.
+ MaRTELLETR, 8. m. dperon mauresque.
Manrtzıuiunno, s.m. dim. de Mariello. In-
sirument pour aocorder le claveein, le psalte-
rion, eic., accordoir.
MuntELLo, s. m. marteau: ontil, instrument
de pereussion. (fig.) Celui qui travaille ä de-
raciner, & extirper lo vice, I’heresie. Conchs
de —, marteau, coquillage bivalve. Prize —,
marteau ou zygene, espece de chien de mer.
A—,äcoups de marteau. — d’oreläas, üre-
clou, outil pour arracher les clous. — ds fer-
rador, brochoir, marteau de marechal. Achar-
se ,‚estar enireo — e abigorne, £ire entire len
clums et le marteau. Etre la gaufre dans use
affaire.
MarricoLa. V. Manticors et Matricule.
* Mınrimenca, 5. f. sorte de petit bonnet.
Mantıucaravito, s.m. Jeu d’enfants.
Marrıntte, a. m. (1. d’hist. nat.) " aigrelle:
sorie de heron. Sautereau d’epinetie, de clart-
cin, etc. Panache,
+ Manrinica, e. f. (t. de geog.) Martinique:
tle de FAmerique.
+ Maarınızca, 8. f. impöt que Yon payaili
ls Saint-Martin.
Mantia, etc. V. Martyr, ete.
Miatrn, 3.2 gen. martyr : qui a souffert, qui
a 36 tua6 pour sa religion, surtoat le christis-
nisme, ( Ag.) pour un parli, une opinion, eit.:
(id.) qui souffre beaucoup, qui a beauconp
souffert.
Maatr’nio, 6. m. martyre : mort, tourmee!
da martyr; (g.) peines cruelles, souflrance
excessire. (l. de bot.) " Fleur de la passion, gre-
nedille, plante et fleur.
ManrtyYrizino,A,p. p. de Marlyrizar.
+ Manrrarzanon, s. m. celui qui martyrise.
MaRTYaIzAn, v. ao. martyriser : faire souftir
le martyre; tourmenter crue
MaRTTRaOoLÖcIO, 5. m. martyrologe : catalogue
+ Maauf, s. m. pelit oousin du Bresil, deal
la morsure est Iröds-incommede.
Mazbsa, a. f. " marins, malelots; dquipage
d’un vaisseau.
Mundo, s. m. marin. V. Marinkeiro.
MaxtuLmipa, 8. f- vielenie agitation des Seis,
houle.
+ ManuLHin, vo. 0. agiler avec violence, ICh
MASS .
dre boulense ( la mer). 11 ost aussi rheigrogme,
+ Manuıntıno, A, adj. qui agite la mer (vent),
qui la rend bouleuse.
Mandıno, s. m. V. Merulhdde.
MAarvınöso, A, adj. hoslouz, souvert de
boules; agiw, "ponillennant (mer sa).
+ Manzacäna, 8. f. compagnie de soldals
payes, qui sont en sorrice eßectil.
Buföo.
mas, eon,. ri mais, cependant, toulo-
is. — einde! oui-dal — anlos, meme, mals,
.. contraire. — com indo, mais cependant. —
cerlamenie, narealidade, , toutefols, cependant,
meanmoins, certainemen!,
f Mis, s. m. monnalo d’Asle, 50 r&is porta-
is,pi. f. de Mdo.N\.
° Misı ow Massa, 8. fı — de forro, barre de
* MASALDENSNOS, sHpr. pap. plus ou moins.
+ Mısine, s. f. (1. d’hist. nal.) masare : by-
menoptöre
Masanıco. V.Megarico.
° Mascasino. V. Menoscabado.
® Mıscino. V. Mi .
Mascino, A, pP. p. de
Muscia, v. s. mächer. Chiquer.
Miscara,s. f. " masque:: [aux visage de car-
ton, eie.; personne masıquse; ( Ag.) voile, pr&
texte, deguisement, fausse apparence. Masca-
rade, trfoupe de gens masques. Tirar —,
(g.) lever le masque, ne plus dissimuler. V.
Desmascer
ar,
Mascanipa, s. f. mascarade: festin, oercle
de gens masquös. Momerie, mascarade.
MascariD0,A,p.p. de
MascanÄa, 0.0. masquer, deguiser.
Mascania-SE, u. r. 50 masquor, 50 mellre eR
masque; se döguiser.
Mascanina (6. de bot.\. V. Personada.
Masciana, s. f. Lsche de charbon, de suic,
elc., au visage. (Ag.) Tache, deshonneur,
Mascanrino, 4,9. p. de
Mascasain, 0. 6. mächurer, barbouillee le
visagse de noir, etc.; ( ig.) noircir, souiller.
Mascavino, A, adj. moscouade. On le dit de
sucre de la derniöre cuisson, qui est d’une
qualits ires-inlörieure- p. p. de
+ Mıscavin, v. 0. Dans les moulins & suere,
d’est söparer le sucre blanc de la moscouade,
Mascuis. V. Mascdr.
Mascorär. V. Quebrar, Modr ; Trier.
Muscöto, s. m. maillet, pilen.
MascuLinpine, s. f. masculinitd : carastöre,
qualiis de mäle.
Mascuiino, A, adj. masculin : du mäle, qui
iai convient. "(Ag.) Mäle, en parlanı du style.
—s, pi. masculins. Epiihöie que donnent les
astrelogues au soleil, aux plandties de Salurme,
Jupiter, Mars et Moroure, ot aux signes du Be-
lier, du Lion, de la Balance, du Begilluire et
du Vorseau.
MAS
° Mascuro. V, Besouliso.
Mastus. V. Mantia.
Musıcöre. V. Maeicote,
Masuinno, a. m. (rere lai.
Masuönna,e. f. "cachoi: prison sonterraine
ou los Maures onferment leurs esolares. V. Me-
lamorra.
Masuonafıko ‚eo. m. geölier d’une masmerrs.
781
Missa, s. f. päte : farine deötrempes et p£-
trie. Masse , totalite des biens ‚ ste. Masse: Den
de plusieurs parties formanı un tout. ( r)
Ligue, associatien , eonjuration. (id.) File ne
tarel, caract&re d’une personne. V. Mapa. --- de
eoneurso, (1. de comm.) masse commane de la
faillite.
* + Massaon6co, 8. m.
ciennes perruques.
Massacäna, 6 fı (d. pop
sieurs choses.
FR MasaucKTas, 5. m. pl. peuples de la Scy-
ie.
Mıssiug, etc.
MassiR, eic.
Massanico.
MASSARÖCA.
Masstıra, 5. f. V. Amasssdsire. is. Grande
buche pour pe6trir.
SSETE.
Mussico. } V.Ma..,eic. _
+ Missı0o, A, adj. Monte —, monisgne de
Campanie, renomme&e pour ses vins.
+Missıo, a u de päte, qui a les qualitss
de la päte. V. Maeio.
Misso. V. dom.
* Massonsuao, V. Pedreiro.
Muıssonnar. V. Macorral.
MassonETAs, 8. m. Pl. massordies : auteurs
de la Massore , auxquels on attribue l’invention
des points (dans la langue hebraique).
° Missua. V. Magadura.
® Massöca , s. f. petite barre de fer.
Massino, A, adj. päleux.
Mastaxito , s. m. (6. de mar.) mälereau : po-
tie mät. -— de velacho , ınat de hıme d’avanı ou
mit du petit hune. — do joandte grande, mät
du grand us, —do joandie de prös, wit
du perroquet d’avant ou du petit perroyuel. —
da gala, mäk du porroquei d’arlimon ou perro-
quetde fougue.— da sodregala, mät de portu-
che. — de sohrejoendte grande, mät du grand
perroquet volent. — de sebrajoandie de prda,
mät du petit perroquet volant, — de sehroge-
tinha, mar de perruche volanie,
Masrica. v4
+ Masnncatönıo, A, adj. (8. de mdd.) musti-
oatoire: ingredient quel’on mäche pour purger
la pituite.
Mastioin ,s. m, grand prötre en Perse.
Masticagäö, 3. f. masticalion : action de
mächer.
Masticäno, A, pP. p. de Masligar.
MasTiGAntn , A; 2 Möcheur ; qui niche
*garniture des an-
.) melange de plu-
V. Naga..., etc
13 MAU
d’an homme et d’une femme. (podt.) Hymen,
-, sscrement du mariage. V. Casamento. —
elandestino, mariage clandestin. — oceullo,
nıarisge de la main gauche. — consummado,
marisge consemme. — sapiritusl, nariage
spirituel : lien qui unit un ev&que A son eglise,
Yame & Dieu par la gräce, une religieuse ä
Jesus-Christ par ses vaux. — ralo, mariage
oblebre et nen consomme. Ndo goslar do —,
ne pas aimer le sacrement. — dissoloido , Hit
brise. Filkhos do primeiro, do segundo —, en-
Lanıs de premier, de second lit,
+ Marzırknsg, adj. ets. 2 gen. de Madrid.
Mıraiz, s. f. matrice. V. Madre. Mere,
source. —, moule oü I’on fond les caracleres
d’imprimerie, ete.
Muarsiz, adj. f. matrice; mere. Igrejs —,
&glise möre: qui est comme ja me&ro d’autres
&glises. Li —, langue mere, d’o& quelques
aulres sont derivees. Cidade — , ville capilsle,
la metropole d’un royaume.
Maraöna, 3. f. matrone : mere de famille
respectable par son rang, sa conduite, eto.
fMarnonica, 8. f. aug. de Matrons. On le
dit d’une grosse femme qui est circonspecte.
Muırnonizs, s. f. pl. (t. d’ent.) matronales:
fötes des matrones romaines en l'honneur de
ars.
MaırsoniL, adj. 2 gen. qui appartient aux
matrones ; de matrone.
Muırnonanla, 3. f. autoritd, etc., des malro-
nes : on Jo prend en mauvalise part.
Mitro, ete. V. Mdio.
Marta ou —ı2a, 5. f. (f. pop.) troupe de
vagabonds, de vanriens, etc. (4. Möche d’une
lampe.
AroLi ‚s.m. aug. de Matula. (Ag.) Homme
grand.
I mATeLLa ‚8. f- (l. Pop. et p. us.) möche d’une
mpe.
Marunsciö, s. f. (. de chir.) maturation :
eoction, altönuatlon, preparation des humeurs
nuisibles, afin de les expulser.
Marurir. V, Madurar.
Muırunativo,a,adj. (1. de chir.) mataratif:
qui hate la formation du pus. u
Muarüaco. V. Mastrugo.
°Marüno. V. Madüro.
+ Marurice, s. f. (t. fam. du Bresil) rusü-
cite, grossierete.
MaruriniL, adj.2 gen. matutinal : qui ap-
pariient au malin, aux malines,
Muırturinänıo, 8. m. matutinaire : livre de
Yofiice de matines.
Marourino, A, adj. malinal, da matin. V.
Maiulinal. Astro — , astse, plandte qui se leve
avant le solell.
+Murtöro, a, adj. (tk. fam. du Bresil) qui
habite l’inisrieur d’un pays sauvage. (fig.) Rus-
tüque , sauvage.
Mırüvı, s. m. sorte de bois de Zofala.
TMıtıo, s. m. (1. de calf.) bec de corbin :
ouul de calfat.
Halnza, #. [» poiguce ; halte d’auiz socs. +
MEA
do fuso,, rainurc en spirale praliquöe au beui
le plus mince d’un fuseau & filer.
+ Maurıtixıa, s. [.(t. de geog.\ Mauritsnie:
eantrde d’Afrique oü sont aujourd'hui les
royaumes de Feg, Maroc et Alger.
+ Mauaıtino, a, adj. et s. de la Mauritanie.
+ Miro, a, adj. des Maures, ä la manitre
des Maures. Maure.
Maus£oLo pour mausolde : wnbesu mr
MarsoLko, s.w. 1 gniflque.
MavaLi, s. m. polsson des Indes oceidents-
les: il a la forme d’un bauf.
Mavi, s. m. (1. d’Asie) öpreure judiciaire par
le poison.
Mavıösamutnte, adv. tendrement, areo 3
tendrissement.
Mavıöso, A, adj. tendre , attendri; attendris
san , touchant.
Mavöncıo, A, adj. de Mars. Marlial, guer-
rier, belliqueux.
MavörtE, s. m. (podt.) Mars, dien de Ia
guerre; la guerre.
MaxiLLin, adj. 2 gen. maxillsire : quiap-
partient, qui a rapport aux mächoires.
Mixıma,s.f. maxime : proposition generale,
qui sert de principe, de rögle, de fondemen!
en morale, dans les sciences, etc. ; verile e1-
primee en peu de mots, et presentee d’une ma-
nidre absolue. —, note de musique qui van
quatre mesures. —s d’estado ou polilim,
maximes d’etat, regles d’administration.
MuxısauEnte, ade. principalement.
Mixıne, ade. lat. (fam.) sartout, principa-
lement, notamment.
Mixıso, a, adj. sup. de Grande. Trösgrand,
tres-distingue, principal.
+Mıxinmo, s. m. instrument de musigwä
cordes, esp&ce de petite guitare.
Mir. V. Mät.
Miro, Marör,ete. V. Baio, etc.
Mavoncano. V. Morgedo.
"Mazanaria,s. f. "iten plantede pommiers.
*Mazcino. V. Mascdbo.
MaıztıLı, s.f. blessare, plaie. V. Beladurs,
Achaque. (fig.) Adversits, malbeur, misere.
MazeLLivo, A, adj. convert de plaies. p. P.
d
e
MazeLLin, 0. e. faire des piaies, etc. (Ay.)
Maculer, noireir.
Mızöuso, s. m. (f. injer.) Bis de pereei
mere europdens (au Bresil).
MazonniL, adj. 2 gen. lourdaud, rustıt,
grossier.
Mx, cas irr&guller da pronom ew. Mei, ämel,
me.
M£, s. m. eri du chevreau,, du mouten. Mö,
pl. au Bresil, on donne cenom auz mulöue.
Mtı. V. Meia. it. (ant.) Ancionne mesare dt
liguides.
Mei. V. Meid.
Meica. V. Amears.
Meioa. V. Heiada.
*Merviode. V. Mobade, "
Meivo. V. Meiade,
MEC
Ir ÄLHA, s. f. maille : tr&s-petite monnaie
pu.tzizaise et esparnole.
MaaLuarıa, V. Meialharia.
ITLALUEIRO, 8. m. "lire-lire: vaisscau de terre
Duut nıetire.de Pargent. Trong d’ezlise. Magot,
„ent mignon. Argent inis en reservc, argent
J'rpargnes.
MEALQUFIRE. V. Meio-alqueire.
MEÄNENTE, adv. moyennement, mediocre-
ment.
+ Mein, s. f. espece d’oiseau sylvain du Por-
tugal, qui emigre Phiver.
+ Meinprire,s.f. (tl. d’kist. nal. ) meandrite:
polypier pierreux.
+Meispro, s. m. (ft. de geog.) Meandre:: :
Deuve dePhrygiequi a beaucoup de sinuosilcs;
s’nuosites d’une riviere.
MFÄNTE. V. Meidnte.
Meiö, adj. 2 gen. moyen, mediocre. V.
Meidö.
Mein. V.Miar.
MEARRATEL. V. Meio-arralel.
Me£as. V. Meias.
Meato, s. m. (tl. d’anal.) meat. Conduit,
passage, canal.
+ Muäitca, s. f. espece de canard de mer.
+Mica,s. f.(t. de geog.)La Meeque : ville de
l’Arabie. Casa de —, (fam.) maison dereglee.
MeEcÄNIcA, s. [. mecanigue : science des ma-
chines, du mouvement, de l’equilibre, des
forces mouvantes ; straclure d’un Corps qui se
meut. Roture : etat de ce qui n’est pas noble;
les roturiers. (fam.) Action basse, ignoble.
MECÄNICAMENTE , adv. mecanicquement : Sui-
vant les regies de ia mecaniquc. Basseinent :
d’une maniere abjecte.
MEcÄNICO, A, adj. *hıecanique : (art —) qui
consiste principalement dans le travail de la
main; conforiue aux lois de la mecanique, qui
ya rapport, selon ses rögles; ignoble et bas.
Me&caAnNICcO, 3. m. mecanicien : celui qui sait,
exerce la ımecanique, fait des machines. Rotu-
rier: mauant; celui qui n’cst pas noble, qui
uent du peuple.
MECANISMO, 3. ın. nıecanisme : structure d’un
corps suivant Ivs loıs de la mecanique; ma-
niere dont agil une cause mecamique.
+ Mecastör, par castor, jurement des lem-
saes romaines.
MECATuErFE. V. Mequeirefe.
+ Mecas, se. f. pl. * mesurage.
° MEcEnÜRA. V. Aledigdö.
Krcksxas,s. m. Mecene: prolccteur des lel-
tres, Jdea savunls,
MEcuA, s. f. möche de lampe, de chandelle,
etc. Allumette. 'Tente de charpie pour les piaies,
Meche : corde preparce pour meltre le feu au
canon. * Lardon : morceau de lard pour pigner
la volzille. (f. de mar.) * Corneti de mät. Custlu
mais a — que 0 sebo, (fig. fam.) la sauce est
plus ch@re que }e poissen.
Mecuänsa, etc. V. Mecanica, etc.
MECBAR, dv. a. soulirer un tonueacı , une feuil-
leute, sic.
wi...
MED
Mecnroor. V, Mexedör.
Meca£ıno, s.m. lamperon : bec d’une lampe.
MECHOACANNA, 8. f. 0% 1 (f. de bot.) mechga-
Mi:cuoAcäö, 8. m. } can : racine purga-
tive d’un liseron d’Amerique; rhubarbe blan-
che ; scammonee d’Atne6rique.
. Meco, s. m. adultere, dissolu , debauche. '
Mecox, ‚Mecont, Mecönıo. V. Papoila.
Meconıo, s. m. (t. de pharm.) meconium.
suc de pavot. —, excrements noirs ct 6pais d'un
nceuveau-ne.
M£DA, 5. f.“ monceau de gerbes ; meule, tas,
MEpviALBA, s. f. medaille frappee en memoire
d’un evenement, etc. Medaille de saint, benite
par le pape, etc.
MevıLuiö,s.m. aug. de Medalha. Medall-
lon : grande medaille. — ou medaille d’archi-
tecture : bas-relief oü est reprösentee la t&l®
du prince, etc.
MepaLnärıo, 3. m. medailler : cabinet, ar-
moire oü l’on conserre des medailles.
MEDALRISTA, s. m. medailliste : qui connaft
les medailles, les aime, a ecrit & ce sujet.
Me£viö, s. m. aug. de Meda.* Meule, tas ow
amas considerable, grand monceau ; dune.
" Meoes. V. Mesmo.
Meotacäö, s. f. mediation,, entremise.
+ Menıino, A, adj. (1. de bot.) partage en
deux; demi, & demi. p. p. de Mediar.
MEDIADOR, A, s. mediateur. V. Medianeiro. '
MEDIÄNANENTE, adv. mediocrement: ni trop
ni trop pen.
Menian£ıno, A, s. mediateur : qui mönage
un accommodement, etc.
Meviania, 8. f. moderation, retenue, IM
sure ; juste milieu.
MeDıÄNO, A, adj. moyen, mediocre,
MEDIÄNTE, adj. 2 gen. ct p. a. de Mediar.
qui est au milieu. Qui sc porte pour media-
teur.
MEDIÄNTE, adv. ou prep. moyennant, au
moyen de.
MEDIÄR, ©. Rn. @tre au milieu, entre deux.
S’entremelire : se porter pour mediateur dans
un Jifferend, elc.; intervenir.
MEDIASTINO, s. m. (t. d’anat.) mediastin :
membrane, conlinuation de la pkövre qui par-
lage la poitrine en deux parties.
MEDIÄTAMBNTE,, adv. mediatement.
MevıaTÄrıo. V. Medianeiro.
MEDIATO, A, adj. mediat.
Me£onıaröR. V. Medianeiro.
+ Menıca,, s. f. femme medeein.
+ MEDICÄGEM DOS PASTOS, 8. f. (f. de bot.)
luzerne cullivee; *tr&fle ow foin de Bourgogne.
MevicÄDO, A, adj. fait, prepared selon les r&«
gles de la medecine. p. p. de Medicar.
MevtcAL ,adj.2 gen. medical: qui appartient
ala medeeine.
MEDICAME.NTE, adv. selon les rögles ou aven
le secours de la medecine, medicalement.
MEDICAMEKTO, s. m. medicament , rem&de. °
MED:CAMENT6SO, A, adj. medicamenteax x
qui a la vertu d’un mödicament,
”
783
L ME
Mesıcia, v. a. mödicamenter : donner des
Maoıcaraız, adj. f. qui guerit.
zoıcikö, es. f. Y’aclion de mesurer, Mesa-
€; mesure.
pıcina , 8. f. mödecine : art de retablir, de
conserver la santö; art de connalice et guörir
los maladies. —, remöde, medicament.
MunicımiL, adj. 2 ges. medicinal : qui sert
die remede ; medical.
Mazoıcruan. V. Medicar.
Minıco , s. m. medecin : celui qui [alt profes-
oe de guerir les maladies; qui sail, yuı axerco
medecine.
Mepıco, a, adj. medical : qui appartient & la
e
Mupiva, s. f. mesure ı ce qui sert de rägle
ur determiner une quaniit6, une dimension.
mension : l’action de mesurer, mesurage. (8.
de mail.) — , quantits prise pour unite, et ser-
vant & exprimer les rapporis; quantil6 mesu-
vee ; conienu de la mesure. —, nombre de syl-
labes qui composent un vers. * Ruban coupe &
la mesure de limaga ou de la statue d’un saint,
et sur lequel est empreinte sa Ägure. (g-.) —»
eirconspection, jugement; regle, moderation ;
Justes bornes. Tomar — , prendre mesure d’un
Babit, etc. A’ —, & mesure, selon, en propor-
tion de. 4’ — que, au fur etämesure que. A’
de mossog desejos, au grö, solon nos desire, &
goubait. —s, pl. arrangemenis, mesures pour
Anir une affaire; precautions, moyens de suc-
Eucher as — , remplir ses devoirs, obser-
ver les regies; röpondre A l’attenle de quel-
qu'un. Tomar a alguem as —, (fig.) Juger,
apprecier quelqu’un & sa Jusie valeur. T’omar
suas —, (id.) prendre ses mesures, ses PFECaUu-
° Mupınacen. V. Medigdo.
Meoıvazinua, s. f. dim. de Medida.
Mevıpkıaa, a. f. feınme qui mesure le bie,
forge, etw.
Msoino , A, p. 9. da Meder.
SDIDOR, A, 5. mesureur : celui qui mesure.
— do lerrono,, arpenleur.
Manıista, s. m. (14. schol.) zectaize, partisan
de la science moycane.
+ Mspiuno, #. m. * nesure de six bolsseauzx,
usit6e chez les Grees.
Mipıo, a, adj. qui est au milien. Moyen.
Meviocaz,, adj. 2 gem. mödiocre , meyen.
Mepiocazutnte , ode. mödiocrement.
Meviocaıpäng, 8. f. mediocrite.
$ Mapıöxıuos, s. m. pl. medioximes : divi-
nilds aöriennes tonani lo milion entire calles de
la terre et celles du ciel.
Meosovinzo , dim. de Medien. Peiis mödeein.
Mzoira, 0. s. mesurer. (Ag.) —, comparer,
proportionner. Scander un vers — d vdes,
anne. — lerras, arpanter. — 0 lerreno, me-
surer la distance. (Ag.) Prevoir, caleuler les
difieultös, sonder lo Larrain. — o lempo, mb-
letemps. — as armas ‚(Ag.) mesurer B0n
Epls aveo quelqu’un, so balıce ooalro lui. —as
MED
eapadas, mesurer son dpte avec un tel, äuec
celle d’un autre. — langas , rompre une lanoe,
se mesurer avec, lutlez conire. — 04 SZpre
söes , menager les termes.
Meoin-s& (com), v. r. so mesurer, so balıre
avec, lutter contre. Vouloir s’dgaler &.
MEDITABÜNDO, A, adj. concentrd, plongi
dans ses meditations.
Mspıtaciö, s. f. meditation : acliom de mb-
diter ; oraison mentale.
Meoirivo, A, pP. p. de Medilar.
MkoITADOR,, A, 8. celui qui mddite; adennt
A la meditation. —es, pl. meditaienrs : philo-
sophos pratiques du commencament da dis-
neuriäme sitcle, qui avalent adopts la oostumt
oriental ; qui r6duisalest & une m
ditde la jouissance du beau dans la nature dl
dans les arts.
Menıtarivo, 4, ad. medial : qai vappt-
que & mediter;; port& & m6diler.
MeoıtEanineo, A, adj. otg. mu, "Möditerme-
nde : au milieu dos terzen (mer); weditetrane,
e (pays, ville).
+ Mevırnina,a. (tb. de myih.) Meditrine:
divinits des me&dicaments.
+ Mxvıraınizs, s. f. pl. möditrinales : fürs
de Meditrine,
Mxoivzı ‚adj. 2 gen. mesurahle ı qui peut 9
mesurer.
M&oo, 5. m. ° peur, orainte, frayent. (AR)
Chose qui fait peur. Causar, , meiter —,
fsire peur ; effrayer. Com-— do castigo , de peu
de chätiment,. A medo , imidement. Nde kat
ou ndo lenhas —, n’ayek pas peur.
+Mi&oo, a, adj. ei s. Mede : de Medie,
+ Midönnamente, ade. horriklement, ar
frousement. ‚
Mznönuo, A, adj. horrible, eiiroyable, öp0®
vantable , affreux.
Maznöo. V. Meddd.
Meoaa,s.f." progris, accroissememt, BUS“
mentation.
Msonin0, 4A, p. P. de Medrdr. ey. Prob;
augmente. Gaillard , sain , &veille.
Meoninca. V, Medre.
* Mxonin , u.a. faire orelire, agmmudir. (AR
Faire prospärer.
Meoain (em), ©. n. creilse, zugmeniet,
profiter, faire des progres; s’avancer; protp®
rer, s’enrichir.
Mxoronntino, 5. m. (4. de bot.) afbousie:
arbrisseau ericine. — ursino, la bousserelle
ow l’arbousier trafnant, valgaisement le raisin
d’qurs.
MeorönBO, 8. m. arbause : fralı de Farbos-
sier. it. V. Medronkeiro.
+ Meonösamixte, ade. limidement, 81%
crainie.
Munnöse, a ‚ad. czaintif, imide, poutenk:
Effrayant , &pouvantabie.
MepiLLa, s. f. moelle : substanse zuelle
dans les os; subsianee molle dass I
grasse
o@ur du bois, eis.; (Ag.) substanes Fund
ehase, — sepiukal, (1. dienst.) moelle dpinlere.
eu allong6e.
MevuLLinte, adj. 2 gen. Veia —de polvors,
irainde de poudre pour faire sauter une mine.
MeouLLin, adj. 2 gen. mödullaire : qui ap-
partient & la moelle, de sa nature (subsiante).
+ MeourLin (0m), o. n. s’introduire dans la
moelle.
+ MsnuLiro, a, adj. plein de mesiie, de
graisse.
} MxvoLLöso, a, adj. meslleux: oa il ya
beaucoup de mealle.
+ Manisa, 5. f. (m de myih.) Möduse, Nor-
gone : parsonnage Mythelegigue. (1. de bo4.)
Meodusa : arbre de la Cochinchine. (. hist.
nal.) Meduse : ver radiaire, ertie de mer.
+Meodszo, a,0d). ( 9064.) de Miduse. (fig.)
Horrible, sßreux.
Menösıco. V. Medihsee.
® MEEFESTO. : .
. Meerseran. | V. Maxif...
Mecino. V. ro.
* MEERFRSTAR , eic. V. Mani/cstar, eis.
* Mexsuo. V. Memo.
* Messteirär. V. Mesteiral.
*Mexstaıa. V. Mestria.
Masitico „etc. V. Mepkhitico, ete.
+ MecABYsos ou MECALOBYSOS, 3. 78. Pl. mb
yses ou mmbgalebyses : prötses ounuques de
jane.
5 Mnonntaus s. [. pl. (6. d’ans.) mdgeiees:
Sütes de Cyböle.
+ MecaLdsios, adj. m. „pl. Joges —, jeux me
gelisiens, des atgaldsi
% Mzsautnss, ad. ei . 2 gen. Migareen , de
Megare , ville de Gröce.
Nucana, s. f. { &. de myth.) Mögöre : une des
wrois furies. (}g.) Fermme meshaute , emporiee.
*Miunzu. V. Meu.
"Usa, os. f. * has: wstemeat de la jambe ct
da pied.
pP
+ Meıscina, s. f. meuluse eoncare. Oulit de
rnenmisher pur Saire les meuluses. Sorte de
lme,
Mauss, s. f- * sebewsau: Al, soie, laine
Bo A replies. (Ag.) *“ Emhroutilement. V.
* Mzıamhos. V. Meidds,
’ Meıankıno. V. Meile, .
Musoe, a, adj. qui est ie millen, qui ent &
gu prös a moltid; mel A ia moitid. — 0 mex
die marge, la mi-mars. Päe —, molti6: bi6,
machi6 orge, parlanı d’an come, #to. ; pam de
Sarine, de bi6 ei deseigie, on de mais ei d/orge,
ots „melitib de chaque chose.
Mziane, 5. m. No —- d’agosie, Ale mbeoßtk.
* Mask000.
* Mzislno. v. Baia, Sronteire, Limite,
° Mzılıma. V. Mealha.
*Musaıuania, 0 f. aneien inpöt sur ios fom-
mes qui vendaient & Lisbenne
Mzıi , & f. sorta d’asbre sauvag6
MEIıALaSıRO. V. Mealkeiro.
MBLANSnTE.
nn.
Mu 187
Mausueren, s. f. nineit.
Mzıänte, adj. 2 gen. Homsm --, dans um
äge moyon (bamme).
Msıio, Mzık, adj. moyen, mediocre. Ho-
=; „ basanıe qui west pas noble ni retu-
rier,
f Maıie, um. maltresse pi6ce d’um emnsau,
etc. Moyeu : partie de ınilien de ja sous oh
s’emboltent les rais, et dams je ereum de la-
quelle entre. Fession.
MEIÄR, ©. @. parlager par meld. #6 V.
Mtus,s. f. pl.V. Meia.* Conwat a ia meoNlt.
De -—, de meiti6, de eompte 'a demi. Ar de—,
tire de moltid.
* Meıarine. V, Metdde.
* Msınino, A, ad}. partage cu deus moltlte,
au million.
} Meıtıra ,s. f. femme gai fait des bas, tri-
tolsuse.
Mutıno, A, adj. ete. fabrieant de bas. Herk-
tier, —dre par moiti6; qui a la moitid dans Ile
fonds, dans Finweröt, ote.
MEICAMENTE , adv. avec doueenur, d’une ma-
niere engageante.
MEıcencro, A. V. Pfco, Choutko.
MEıco, A „adj. caressanl, (endre, doux; pai-
sible, beuin; atmable, ertgageamt.
MEIGUICR , s. [. doueeur de caractöre; agace-
rie.—s, pl. 'paroies engageantes,, catesses, & a-
joleries, douceurs.
Muictichno, A, ady. caressant, cajol; ur,
doucereux.
"Mtıuo. 7. Meio.
MenoApa, s. f. "travail fait pendant ka nuit.
Fete, festin noeturne. V. Ameijoar.
MEIMAnDRO, s..m.(t#.de bot.) * ‚jusquiame :
plante solante. — ndgro, jusquiame noire,
hanebane ow heneb, la mort aux poules. —
dranee, jusgquiame blanche.
Meruinno , adj. m. Bedo —, Te petit doigt.
V, Mintmo.
M£ıo ,s. m. milieu : point egalement eloign® _
des extremitds. (fig.) Ressource, tempera-
ment qu’on prend dans une affaire, voie. *Mo-
deration : milieu qu'on garde, etc. Terme
meyen.—s, pl. moyens, facultes, biens. Por
— de, au moyen de, moyennatft. Be, w—
de, au milien , parmi de, dans, entre. Metter-se,
de per — ou em —, s’entremeöttre, se
porter pour mediateur dans une querelle. Pa-
rede em —, mur mitoyen. Por —s sinistros gu
mdos, obiiquement, fraudufeusement.
M&ıo, A, adj. demi : qui n’est ou ne comtient
que la ınoftie; mi. A demi, & möitie. Junreau,
miteyen : qui separe, qui est entre deux. A —
caminko, a mi-chemin, & moiti6 ohemin. Mex e
—, ur meois et demi. —a liöra, demi-tivre.
Libra e—a, une livre et demie. No — de maio,
junho, eic.,ä la mi-mai, mi-juin, etc. No —
da esma, & la micareme. — die, midi.
—@ hoise, minuit. —a idade,, moyen äge. —
lermo , parti moyen: terme qu’on prend entre
deuz extrömes ; moyen, terme de sylHiogismm,
7188 MEL
—a loranja,(t. de mar.) tapot d’6chelle ou
sapuehon d’6chelle, Meias palavras, paroles
“quivoques, ambiguös. Paredes —as , mur mi-
‚presque. A demi , a moltie.
De — «— ‚de part en part, entiörement.
Mzwesis, s. m. midi : ie milieu da jour,
heure du midi; point cardinal, sud.
° Mxıon. V. Mener.
+ Msıonzıtvo, s. m. bas-relief.
Msıorsaninzo. V. Mediterrane.
+ Mzınımuipo, s. m. “charge, oflice de Mei-
rinke. V. co met.
Mainımein, vo. w. faire le metier d’huissler.
Maıninno, s. mw. huissier: oficier de justice
qui ajeurne, fait les signißloations, fait la po-
lice des audienoes. — dos clörigos , appariteur :
sergent ooolesiastique. — mör do reino, grand
ofcier de Justice en Portugal.
+ Mzıninno, a, adj. (amf.) passager, errant.
On le dit des troupeaax qui changent de pätu-
sage ou transhumanis. Carneiro — , mörinos :
espece de moulon ou belier. Lä —a, merinos :
laine de merinos,
* Meısön. V. Cdsa et Meson.
* Mkxırica. V. Almeitige.
*Meıxan, etc. V. Mexer, etc.
* Meıxınıcar, etc. V. Mezericar, etc.
"Mxsia, etc. V. Mijar, eic.
MeJoipa. V. Meijoada or Ameijodde.
ME£L, s. m. miel:: suc doux fabriqu6 par les
ebeilles; (4g.) douceur, choses douces, deli-
cieuses. Au Bresil, t’est le jus concenire de
cannes & sucre. — rosddo, miel rosat. — sil-
vesire , miel sauvage. — de füro. V. Melago. —
de pdo, miel sauvage, au Brasil. Ndaodo —
pora bocca d’asno, (prov.) le miel n’est pas falt
pour la bouche de l’äne, les peries ne son! pas
(aites pous les pourceaux.
Meıa, s. f. "blanc dans l’6criture. Espöce de
nielle ou charbon gui gäte les bles. Chauveie,
Mzrico, s.m. " melasse : reösidu du sucre
sand.
7 MkLino, s. m. jus de cannes & sucre. Sorte
de vin liqueur.
MsLivo, A, adj. emmielld; mielleux, de
eouleur de miel; bai dore, parlanı des che-
vaux. p. p. de Melär.
Mauapöna, s. [. dans les moulins A suore
e’est la parlion de jus de cannes que peut con-
tenir une chaudidre.
+ MzLaroLıo. V. Acaniho.
MeLaurv’ao, s. m. blö de vache, plante.
MsLancia, . [. "melon d’eau , pastöque.
MeLanciäL, 0. w. couche de melons d’eau.
Msrancakiaa, 8. f. (1. de bot.) pasieque : me-
ion d’eau, la planle.
MsLancoua, s. f. melancolie : bile noire;
atrabile ; (fg.) tristesse.
MELANCÖLICAMENTE ‚ade. melancoliquement.
MELANCÖLICO, A, ad. melancolique: domine
par la melancolic ; qui l’inspire, qui en est al-
fecte; (Ag.) triste,chagrin.
MELARGQLIZÄDO, A A, pP. p. de Melancolisar,
MEL
MuLanooLIzÄR, v. @. atirister, afliger, can-
ser, donner la melancolie, chagriner, Il en
aussi reciproque.
MeLanconia, eic. V. Melancolis.
Marin, s. [. moire, &tolfe moirde.
Murinräna, s. f. (t. de min.) mölanlerie :
matidre minerale, orayon noir.
MxLiNTBENO, s. m. V. Camomilla.
Merintnio, 8. m. (e de bei.) melanthe:
plante colchidee.
Mxıiö, s. m. melon, frait.
MsLimo, s. m. varidtö de pelre-pomme
Mzıia,o. a. V. Mellar.v.». Avoir la nielle,
@ire gäi6 par la nielle, parlant des bids.
TMsLise, s.f. (e dhist. nat.) ° melssis :
ool6optere, perce-bois.
* MELCHOCHÄDO 08 | *soie de oouleur chan-
* MELCOCHÄDO, 8.0. geante.
f Mxızicag, &. m. möldagre ou meltagris:
plante.
Meıtna, s. f.“cheveux qui tombent sur le
front, qui courrent le : visage. Chevelure Eparse.
MELZOSÖLIS, s. m. " drogue medieinale.
MeLca,s.f. petit moucheron ou cousin. Petit
poisson plat qui ressemble ä la raie.
MEıcu£ıra, s. f. rache & miel. (fg. burl.)
* Magot, cacheite, tirelire. Dar ne —, Irouver
le magot.
MeLnandco , s. m. (8. d’hist: nat.) mesange:
oiseau qui mange les abeilles.
Msıuör , adj. 2 gen. et s. m. meilleur: qui
est au-dessas du bon; qui a plus de bonte; qui
vaut mieux; mieux. Ter ou levar a — , surpas-
ser, vaincre, l’emporter; avoir le dessas. Fer
ameo-—, le meillenr nıe manque. Ndo Aa nada
—,iln’y arien de micuz. O — serie näo faller
wisse, le mieax serait de n’en rien dire. Bo
homem — do mundo , c’ost le meilleur bone
du monde. O — ‚le mieux. (Ag.) Elite : ce qu'il
yade meilleur, parlant de troupes; quintes-
sence, pariant d’un ouvrage. Fdho o— qw
pöde ‚il le fait tout de son micaz.
Mszıuör, adv. mieux : plas parfaltemen!t,
plus avantageuseinent; d’une ınanidre preldr=-
ble, plus accomplie. ir «— ‚aller mieez, fa-
meliorer. O que fallou —, eelui qui a pari6 ie
mieux. Vai, esid —, il se porte mieas, il y .
du mieux dans un malade. Ceda ve —,
mieux en mieux. A Ber *«— , au mieuzs, kn
au mieux. 4 quei — mieux mieux, &
Ponvi l’un de Fauire. r ferie —, il aurell
mieux fait. Serie, teria side —, il vaudrall
mieux, mieuz ot valu. — Se afude Deos, que
Dieu te denne de meilleures pensees.
Meınöna, s. [. " soulagement dans la mali-
die. Amelierstion, scoroissement, progres;
meilleur &tat. (4. de prat.) * Appel Interjetö &
un tribumal superieer. V. Melkoria. O doenis
vai com —s, il y a du mieux dans lomalade.
Meıs0nipo, A, p. p. de Meikorer. Ei ed).
Ficar — no negocio „ avoir ie dessus.
MELUORADOR, A, 8. celui qui ameliore. Rd-
formateur.
MELHORAMENTO , 5, m, " andlioration, V; At-
MEL
Lere, — na vida e codlumess, amendement,
nferme.
Mernonir, 9. e. ameliorer , rabonnir, ac-
eroltre, augmenter. Avaniager quelgu’un par
un testament. Rendre meilleur, relormer ;
amender, reetiler.— e appellacds , (1. de prei.)
appeler, interjeter appel.
Meunonin, v. w. se rötablir : se remelire
d’ane maladie, et, en parlant du temps, se
mettre au beau. Avancer en grade.
Mausonin-sE, ©. r. parvenir & un poste
plus considerable. —s sörie, samender, de-
venir meilleur.
MeLxoria, s. f. amelioration , augmentlalion,
avancement. Diminutioa de maux, soulage-
ment. * Avantage, superiorits. V. Meihdra.
MeLnoasente, edo. mieux, d’une maniöre
plus convenable. V. Meikor.
“Mexımür. V. Meikor.
+ Mauiapss, s. f. pl. (1. de myth.) Meliades,
Melides : nympbes des troupeauz.
MeLıÄntuo, 8. m. (1. de bot.) mellanthe : ar-
buste ratacd.
Meuiıckaipes ou 1 (8. de med.) meligkris ow
Mauicknis, a. m. 9 " mölioeride : <aren-
kystee , pleine d’hameaur jaune.
Meuicıas, s. f. pl. espöco de saucisses failes
a000 du miel ot des dpioes.
Maricano, A, edj. (Pod.) doux comme lo
mie!
MaLrLörs ow (6. de bot.) melilot ow mir-
Mzuröro,s.m. | lirot: plante lögumineuse.
‚+ MkLmoino, a, adj. et s. de Melinde,
reyaume d’Afrique.
Meıinoee, s. m. * mignardise : dölicatosse
affeetse; minauderie; soin extrömez delica-
tesse ; probil#; conf#eience,, delicatesse. * Pru-
derie. (4. de bot.) * Balsamine, balsamine des
Jardins. — ndo me loquss,, balsamine des bois,
belsamine Jaune, ne me toucher pas, !’herbe
impatiente.
MaLispars, 3. m. pl. espece de oonflture ou
beigneis aux aufs. V. Melindre (t. de bol.).
MaLınpnösautntg,, ade. mignardement; de-
licatement; avec tout le soin, tous les &gards
possibles ; avec delicatesse, conseience, scru-
pule.
Meııinnnöso, A, adj. mignard, minaudier:
qai fait le mignerd,, ie delieat; donillet,, deli-
cat ;tr&s-susceptible ;scrupuleux. Fazer-se —a,
faire la sucree, la seinte Nitouche, affecier de
paraltre ınodeste, innocente, scrupuleuse.
MeLısur’ıLLo, s. m. (1.de dot.) V. Melissa.
+ MeLiqgug, s. m. sorte d’ancien lissu dont
on faissit des habits.
Merissa ow MeLita, 5. f. (t. de bot.) melisse,
eitronnelle ow"calament: plante labiee. — bas-
Sarda," melissol, melisse sauvage ou bätarde,
ameölisse puante ow de punaise.
MsLıa,
MxzLLaco, V, Mela..., etc.
MaLLıso, ole.
Maine, V. Melar et Mellipkcar.
MEL 189
T Maıutıno, s. ın. scheleur de miel aux mou-
lins a sucre; celui qui le condait.
MeıLierno, A, adj. mielleux; qui produit
du miel.
tMeıLscaciö, s. f. industrie au travail
des abeilles.
Meuuircin, v. a. faire du miel, parlant des
abeilles. Adoucir avec du miel.
MeuLirico, A, adj. qui concerne le travail
du miel; mielleux.
+MaLLirLuvamante, ado. doucement :ı aveg
douceur et suavite,
MELLIFLONDADR, 8. f. douceur, suavild,
MesLLirl00, a, adj. d’oü coule le miel ; miel-
leux, qui tient du miel. (Ag.) Dont l’eloquence
est douce, persuasive; doux, suave.
+ MeıLisono, a, adj. (poei.) qui bourdonne
comme les abeilles. Qui est doux, agreabla &
’oreille.
fMezııd, s. m. (1. d’Asie) sorte de delense
faite parun Gemcer (V. ce mot) a quelqueacie
juste.
}MeıLöna ‚af. (.de mytih.) Mellone: döosse
des abeilies.
MzıLöso,&, adj. qui a Je goüt du miel;
mielleax.
MzrLoiL, s. m. *melonniöre : lieu o& !’on
cultive des melons.
Mstocorid, V. Maracoidö.
MeLopiı, s. f. melodie : agrement qui re-
sulte d’une heureuse suite de sous ; celle suite
de sons. Douceur de la voix.
Manzopnıin. V. Abemular,
MeLoDiösame£nte ,„ ade. melodieusement :
avec melodie.
MeLonıöso, A, adj. melodieux : plein de
melodie,
+ MeLonpaiua, s. m. melodrame : drame eu
musique ou meld de chant.
+ Merör, s.f. (1. d’hist. net.) "melos: coleo-
ptere, caniharide. ,
MrLotıno, 8. m. ($.de dos.) melon: la planie.
+ MsıoLöntua, s. m. (l. d’hist. nat.) baune-
ton : coleoptläre scarabeide.
+ Msrouania, s. f. melomanie : ameur ez-
cessif de la musique.
+MzıLömano, A, adj. et s. melomane : qui
se livre & la melomanie.
Msıor£a, s. f. melopee : d6clamation netde
des anciens.
*Mernön. V. Meikör.
MeLöTe,s.m." peau de mouton aves la laine,
Peau de bete avec le poil.—e, pl. v6toment fait
de ces peauz.
Meıra. V. Mölroa.
Meıno, s.m. (1. d’hist. nal.) merle : olseau
noir, passereau crenirostre. (fjg.) Fin ınerle,
homme fin, adroit.
Meıroa, s. /. femelle du merle. “Merle, pois-
son du genre du labre.
HeLaoio „A, dd. de cquleyr de merlo(che-
vael).
Mrurıa. Y. Mollurig.
790 MEM
+ Merönso, s. m. (1. E’Mat. nat.) melarsus :
quadrupede, volsin des ours.
+ Memacr£aıas, s.f. pi. (1. d’ant.) Memat-
teries : fötes de Jupiter furieux.
+ Meusricıma, 5. f. (l. d’hist. nal.) mem-
brace : hemiptere voisin des cicadelies.
Mrupeina, s. f. (1.d’analt. ei de bot.) mem-
brane : partie mince ei nervouse, servant d'’en-
veloppe.
} Meusraminoouw —icEo, A, adj. (1. debet.)
(tige —e), aplatie comme une
membranes :
membrane.
MEuBRANdsO, A
parscı eo de la membrane, qui lui sppertient;
(8. de Bot.) sans pulpe entre les membranes;
de leur nature ; forınd de membranes.
Me£unao, s. m. membre : partio extsrieure
et mobile du corps, la t£le exeopide; (Ag.)
chacun de ceux qui composent une comma-
nautd, ete. Membre d’architecture : toutes les
parties qui eomposent les principales pidces.
— eviril ou genilal, membre ow membre viril,
la vorge. — pfdre, membre pouwi, gäts, gan-
‚adj. membraueux : qui
vre. De —, de mimeide , per amer. Hau =,
fsire menlion d’une chose os d’une pemenas,
Trazer d —, rappeler a ia mimeire. Ter en,
se rappeler. V. Lemdrar-se.
MruorıiL, 8. m. livre, Lableites ad Fon scrü
ce dont on veut se sauvenir. Meämerial, mad»
moire, placet.
MeworıiL, adj. 2 gen. mermeriel : gei
garde la m4moire; gui rappello le ee
De mömoires.
+Mzuonılö,s. mu. ang. de Memeris.Grande,
beureuse mdmoire.
MEuoRıös0, A, adj. qui a la mimselre beuns,
beureuse ; memorieux.
Mauonisra, s. m. mtmerialiste : auisur de
memeires.
*Mzurpiasvon. Y. Mamposteire.
+ Meturnıs, s. [. (t.ds geog.) Memphis : an
cienne ville d’Egypte.
y Maupairas, s. f. memphiie : piorre valnd-
raire d’Egypteg espece d’enyx A ooushe sup
rieure klanche, inforiesre nnire.
MENPBITICO, A, adj. memphitiqus ı de Mage
grene ‚qui fait deshonneur & sa compagnie, etc. | pbis.
MeNiorozinno, dim. de Membro.
MEunrRüno, A, adj. fort, robuste, membru,
nerveur.
+ Menecr’Lo, s. m. (8. de bot.) memecylon ı
plante onagraire. — do Canadd, spigte vam-
pante
MENENDRO. V. Meimtndäre.
MENR&NTO, 5... memento : priöres & la messe
pour les vivants et les mortss r&pons pour les
morts qui commence par 08 mot.
Meuinuo. V. Meiminho.
Meuirua, s. f. herbe mödicinale.
+Mezunönıco, a, adj. memoralif, qui aide
la memoire.
+ MEunönıdas, 8. 9. pl. mermnonides ; el-
soaux qui, selon la fable, allalent chaque an-
nee d’Egypte & Troie, au tombeau de Memnon
on les disalt nes de ses cendres.
Msuori00,A,p.p. de Memorar.
MEMORANDO. V. Hemoravel.
Meuorän, v. a. faire montion, rapporior;
rappeler a la memoire.
Meuonativo, a, adj. memoratif: qui se son-
vient.
Meuonävsı, adj. 2 gen. mtmorable : digne
de rester dans la m&moire ; remarquable.
Mamörıa, 8. f. memoire : Isculi# que pes-
shde l’ame de se souveuir, de Conserver ou Fe-
veiller les idoes ; action, ellet de la memoire;
souvenir ; röputation apres la mort; faculis de
retenir les images, les pensdes. * Monument
eleve en memoire de quelqu’un ow de quelgne
evenement me&morable. Fondation pieuse en
memoire. Alliance (bague). * M&molre : &crit,
etat sommaire; e&crit pour faire ressouvenir,
pour instruire. —s, pl.” memoiros : relations
de faits parliculiers,, ccrits pour servir & !’his-
tolre. Lettres de erdance; insiruotions donndes
& un ambassadeur, eic. Tableties, souvenir.
NV. .—de yallo, memoire de li6-
* Mzuposrkıae, V. Mamposteire.
+ Menapzs, s. f. pl. minsdes, hensbanies
furlouses.
MEniGEN ,s. f. * emprisonsement, delentien
ches sei, dans une forteregss,, dane une ville,
eto. it. v. H m. Torre de —, tour dass
laquelie ie sommandant d’une (operpsse pnt-
tait au seignaur le sarmoni de Badlile.
Muncis, s. f. meniion, COMmMERLSTEtIOB,
memoire.
Maussouino, A,p. p. de
munaonin, RL Yan Yı menlionnet ı lsire mem
t
+ Masnacmior , 8. f- habitude de mentir.
Maupäcıe. V. Mentire,
MuwDacissino, A, adj. sun. ipsigne menient
Menpiz, adj. 2 gen. menteur, imposieur.
Manvicintz, adj. ei 5.2 gen. mendiant ı gei
mendie. 4, pl. Ordens, religides -, teli-
gieux , ordres mendiants, qui virent de qutis.
Manncia.V. Mendiger.
Maup;cınäag, 3. f. mendiciis.
+ Menpıcacäö ‚s. f. aciion de mendier.
Maupıcis , v. 4. mendier, gueuses, deman-
der l’aumöne, (fig.) Bechercher avec empresse
ment ot bassesse.
Munpıcasia, V, Mi:
MEnDico, &, m. mendiant, guouz, gueussnt
indigent, panıyre gui mendie.
Menpicußz, s, f. Vaclion de mendier, mendi-
cite.
MEndıcumäne , 8. f, mendicit£. V. Pedinte-
MENDennO. V. BHeiminko.
* + Menpöso , A, adj. fautil, ddfeetueux, in-
porrect.
MENDRÄCULA ou
MENnDRÄCORA. | V. Mandrägora.
MENDRÜCO, 8. m. morceau de pein quien
donne & un pauvse,
MEN
+ Maseuf, e. m. Grult da Broösil.
Meneivo, A, p. p. de
Meuzia 08 —NEIAR, dv, 4. remuer, agitut,
mouvoir de cöle et d’autre. Traiter, conduire,
diriger une afleire. V. Mangjar, — acebeps,
hocher la t#te. -- o Jums,, lisonner. — 08
rouler las yeux. — os ps, gambiller. — os dre-
cos, beanler les hras.
Mengin-e&, 0, Fr. 60 romuer, se häter, so
presser. (fig.) Be dömener, se döbalire, s’a-
siter,
MenszÄvs;, adj. 2 gen. ais6 aA manier, manie-
bie, [acile A geuverner.
- MENENCORIA, etc. V. Melancolia, etc.
Mantıo ou RO, 8. m. secouement, fretille-
ment : branlement , mouvement du corps, d’un
membre; allare, geste. (Ag.) "Industrie, ruse,
artilice, menee pour reussir. Maniement; ad-
ministretion ‚gestion. Commerce, (flg.) Proßt,
gain.
* Manzersn, V. Blinistdrio et Mister.
“ MeEnzstenaL. V. Mesteiral.
tMuntseas, 6. f." polage, soupe, ragolt
d’berbes , de lögumes ; julienne.
. MunzerneL, sm. mönestrel, peöte, musi-
eiem ambulant. Mönstrier ; Joueur d’instruments
de musique.
* Manrestän, eic. V. Manifestar, oto.
Munttaro 5. m. * confession saoramentale.
" MEnGoA,
* MENGOAR, lc. | V. Bing... 6ic.
Manni. V. Hanks.
Meni, s. m. drap grossier.
+ Menıcatra, s. f. femme qui mäne une vie
austöre,
Manıcakros, 3. m. pl. certaits ermiles du
Pegu.
Menina,s. f. petite fille; demoiselle. Pille
de qualii# atachde des l'enfance au service de
a reine (en Espagne). — do oike, prunelie de
'ail. Tyraser nas —ı dos olhos, aimer
elqu’un & la folie, &treengoue de quelqu’un.
Menıntıao, A, adj. enfantin : qui appartient
& Venfance ; d’enfant, Qui aime les jeux d’en-
fantıs. Ser — , jouer oomme un onfant, s’amu-
sor de jeux d’enfanis.
Mexnince, s. f. (1. d’anat.) möninge e DIEM-
brane du cerreau.
+ Menincitis, s. f. (l. de med.) meningite ı
inflammation des meöninges.
“ Meninuo. V. Menino.
Muumice, s. f. enfance : l’äge de l’homme
depuis la naissance jusqu’ä sept ans. Be dit de
Yextröme vieillesse. —s, pl. enlantillages, pud-
rilites.
Manino, s. m. et adj. petit gargon, enlant.
Menin : enfant de qualiis attache A la personne
des jeunes (en Espagne) ; gentilhomme
auprös da dauphin (on France). (Ag.) Enfant:
gui manque d’ experienen; qui agit sans re-
flexion , sans Jugement. V. Crianga. (fg.) Cu-
pidon , l!’amour. — Jesus, "enfant Jesus. Desde
— , des V’enlance. R cousa de — ‚ c'est unc en-
fance.
MEN 791
Manisco,, s. m. (1. d’opt.) menisgue : verre
conraze io d’un oßid et ooneave de l’autre.
ENISTRE.
Menıstakt. | V. Menestrdl.
MENODiLHA ‚3. f. grande consoude, plane.
MENOLÖCIO, 3. m. mönslage ı martyrologe eu
calendrier de Veglise grecoque.
f Manönm, s. f. "oiseau noir, semblable &
l’öpervier, mais qui ne vit que de grein.
Maxon, adj. 3 gem. comp. moindre, mineng,
plus petit. Mineur : qui n’a pas alteint l’äge de
majorits ; cadet. Mineure : seseonde propesillen
d’un syliogisme. — idade , bas-äge, minorits,
f Menönss, 8, m. pl. deseendanis, succes-
seurs. Fröres mineurs : rellgieux de Salnı-
Frangois. f. Ordres mineurs. Clerido de —,
clero qui a les quatre erdres mineurs.
+Menözca, s. f. (t. de gdog.) Minorque s
P’une dos iles Baldareos,
* Menor£ras, s. f. pl. religieuses de Sainta-
Claire.
Munonıpins, s, f. minorits. 6tat d’an mi-
neur, sa durte; r&gne d’un rol suinenz ; lo petiß
nombre relailf,
MEnonisTa, 8. m. mineriste ı qui a los ardres
mineurs,
+ Mzuorita, adj, ei s. m. mineriie: frdre
mineur de naint-Frangeis.
1 Masuonirico, A, adj. des [röres mineurs.
ENORQUEZ, A, 0%
MENORgQeiND, A,adj. ots. | de Minorque.
Mesonnuacia, s.f- (f. da mid.) menorrha-
gie : perie de sang oben les femnmes, flux ex-
cessif des rägles.
Minos, adv, et adj, l’vppose de Mais. Moins,
pas aussi , pas autant. Hormis ,exvepi# , meins.
do —, pelo —, au moins, du meins, loul am
meins; peur le moins. Goues de —, chose de
peu de prix, vile, meprisable. Muite —, beau-
toup moins, bien Moins. Nom mais nem +- , ni
plusnı moins. Pouco mais 0% —, un peq plusen
un peu meins, ü peu pros, environ. fire —,
dechoir, empirer, aller de mal on pin A — de,
que, a moins que. Ndo —, autant, ausel
bien. Nade —,, rien meins. Powuco — de ‚appre-
thant, environ, & peu prös. — eu, oxoopta mel.
Acker —, ou de —, tsourer meins, Ackdr-
= , manguer.
Minos, s.m. moins, la meindre chöse. O =
que se paga 6 tanlo, le moins que !’on peie est
tant. Io6o—, ve la meindre chose. Mas
seu malse — neste negoelo, Il y a du plus em
du moins dans cette affaire,
MENOSCABADO, A, P. p. de Mensscaber.
+ MenoscasanOn, A, 3. celui qui döterlere,
qui degrade.
Menoscasir,, vd. @. döteriorer, degrader, di-
minuer, ternir; döpriser, ravaler ; denigrer.
Menoscino, s. m. dommage, deterioralion,
diminution, detriment, Mepris, dedain, de-
nigrement. * Atleinte,
MENnOsPn£cOo, s. m. mepris, d6daln.
MENOSPREZÄDO, A, 2. p. de Menosprezer.
792 MEN
MENOSPRABZADOR, A, 3. celui qui möprise:
conteinpteur.
MEnosPreEZÄR , %. a. deprecier, mepriser,
depriser.
MENOSPREZÄR-SE,D. r. se ravaler,s’humilier,
sarilir.
Menosratzo, V. Menosprego.
Mansactına, s. f. messagere. A aurora —do
dia, (puet.) Paurore avant-coureur du jour.
Munsactıno, 3. m. messager : qui porte un
message; qui vient annoncer quelque chose,
surtout de la part d’autrui; signe avant-cou-
reur. Il est aussi adjectif. Ex.: Carla —a, lelire
missive,
"Mensiorw, s. f. "message : charge, com-
mission de dire quelque ehose; ce qu’on Jdit en
Inessage.
MensäL, adj. 2 gen. mensuel, mensuaice,
de chuque mois.
+ MENsALNENTE, ado. mensuellement, tous
les mois.
* Mensörı0, 8. m. linge, etc., de table.
Me£nstaua, s. f. pension ou provision de vi-
vres puur un moin.
MeEnstrvVaGAö, 8. f. menstrualion : ecoule-
ment du sang menstruel.
Mrnstauipa ‚adj. f. quia ses regles (femme).
MenstauäL, adj. 2 gen. ınenstruel : demen-
strues.
Menstavin-SE, vo. r. avoir 308 rögles, par-
lanı d’une femme.
MENSTRUO, :#. m. “menstrues : rögles des
fernınes. (t. de chim.) ° Meonstrue : liqueur
propre 4 dissoudre les solides. Dissolvant.
Mi:nsuna, s. [. mesure. V. Medida.
MENSsUxABILIDÄDR, 8. f. mensurabilile.
Mensunän. (l. de mus.) V. Compassdde.
Munsurän. V. Medir.
MensoniveL, adj. 2 gen. mesurable : qui
peut se mesurer. j
*+ Mentipo,A, ?. p. de Menlar. adj. Re-
nomm6, fameux,, celebre.
Menticna,s. f. (1. de mdd.) ° mentagre : feu
volnge; dartre au menton.
MeEntäL, adj. 2 gen. mental : qui se fait en
esprit (oraison —6); (restrietion —e), tacile,
faite en soi-meöme.
BENTALMENTE, adv. mentalement.
*MENTAR, v. a. mentionner, faire mention,
nommmer. V. Ementar.
Mentästao. V. Menthrasio.
aBiyte, e. f. " entondement. V. Entendi-
munto, Engenho. " Esprit, sens d’une phrase.
Sens,, pensee d’un aulear. Intention. Meinoire,
souvenir. (p. us.) Ter em — ,avoır present ä
esprit. De boa — , volontiers. De ma —, ä
eontre-ceur.
MENTECAUTO 0% —ATO, A, adj. insunse, cx-
travagant, sot.
* Mextıs, adr. tandis tue, durant.
+ Mievirs,e.. f. pl. Parur —,ter —, faire
attention, uvcır egard. Metter —, se rappeler.
* MENTENOUE. V. Entrelanto.
Mı.xnına, V. Hortelä.
MER
t Mentnistno ou (1. de 501.) * menthe
+ MEntnRisto, s.m. | sauvapeuumenihas
tre. — redondo , menthastre & feuilles rondes.
Mentino, A, adj. faux, trompenur, illusoıre.
V. Mentiroso. p.p. de
MExTir, r. #. mentir : dire an mensenge:
affrmer pour vrai ce qu’on sail &trefaux. Trom-
per, en parlant d’une fausse esperance. if. V.
Falhdr. v. a. Conireflaire. — descarddamene,
mentir impudemment. Mente mais que da pelo
‚ amor de Deos, (fam.) il ınent comme un arra-
‘cheur de Jents. Ndo me deixard —, (id. ıl
scra de mon avis. Quemcompra e menie sui
bulsa 0 senle,( prov.) qui acheie et qui ınc:ıi ä
sa bourse le sent.
MEXTIR-SE, C. 7. se romper sol-m’me, se
faire iliusion, s'abuser.
Musıuna,s. f. “ mensonge: disconrs, pre-
position, faits avances, contre la verite, peur
ıtromper. Menterie; faussete. E—, cela n'enı
pas vrai. .
MuNtıRrinua, 6. f. din. de Mentira. Leger
mensonge.
MENTIRÖSAMENTE, ado. faussement, mMen-
songcrement, en menlani contre la verite.
NMEwrıRöso, A,adj. nenteur : qui ment, qui
a l’habilude de menlir; mensonger, deeevant,
faux , troıupeur; qui a l’apparence Irompeuse;
qui troınpe, induit en erreur.
Mentor, 5. m. ınenlor, guide, conseil; gou-
verneur.
Mi.ntnasto. V. Menihrasto.
* MENTRE 0% —ES, adv. cependant, teandis
ve.
h MENUDENcıA. V. Minudencia,.
} Menvästne Ti1F01.1LADA. (6. de bot.) V.
Trevo dos Charcos.
°ME£0.V. Meu et Meio.
“ Mröco. V. Meio.
+ Mron, s.m. (1. de bot.) * wiuse & feuilles
capillaires, meum d’Alhomante.
+ Meönıo, a, adj. eis. Mconien : de Me&onie.
*Miöor. V. Menor.
*"Mxos. V. Menos.
MEoTEnRnÄNEo. V. Medilerraneo.
MeEpnıTIıco, A, adj. wmephitique : qui a une
odeur, une qualil& nıalfaisanie , meuririere
(gaz, vapeur).
MEPHITISMO, 8. m. mephilisme : qualite de
ce qui est mephitique.
+ Mernıtizinte, s. f. \t. d’hist. natl., mou-
fette : mamınifere digitigrade.
MEQUETREFE, 3. m. (fl. burl.) ardelion :
Ihamme qui se mele de tout, qui fail ie bon
valeı, Vermpresse: ınlrigant. Adroit , ruse.
"Mretii,s. f. V. Adullerio.
+Aına, a. f. huile empyreumatigue : aorie
de tiqueur huileuse dent les bergers se serveut
pour kuerir la rome. (ld. d’hist. nel.) Y\V. Porca.
SIEGATIISTE, adv. purenient, simpiement,
unseueiik,
T NTaUSDANTE,, 8. 12. marchand.
NEAR, 9.8. COImmICricT, trahquer en
mar! eruises,
MER
Mercivo, p. p. de Merrar. s. m. Marche,
halle, etape : lieu public or l’on vend. * Foire.
Prix Je ce qu’on achete. Bom —, bon marche.
‘TencAnon, s. m. marchand : qui [ait proles-
sion de vendre etd’scheter; quivendouachete.
— alarado ou de alacado ou de subrado, mar-
chand en gros. — de relälho ou de loja. war-
chand detailleur. — que anda pe!as feiras,
marchand forain. — de lirros ; librairc. Fazer
ouridos de — , faire la sourde oreille.
MEncaDöRA, 8. f. marchande.
MescaDoria, s. f. marchandise : denree,
chose dont on fait trafic; Irslic. V. Mercancia.
MERCAnORINno,, dim. de Mercador.
MeEnLAncBÄR. V. Mercadejar.
MEncanciA,s. f." commerce, negoce, trafic.
NERCÄNTE, s.m. V. Mercador. adj. V. Her-
cantil. Nario —, navire, bäliment marchand.
MERCANTEÄR. V. Mercadejar.
MERCANTIiL, adj. 2 gen. marchand , commer-
eial: qui concerne le commerce, mercanule.
V. Mercanle.
+ MERCANTILMENTE, adv. commercialement.
MEercAR ,v.a. acheter. V. Cumprur.
MEncATÜDO, 8. m. (Lt. buri.) qui achäte
tout.
+ Merciven, adj. 2 gen. qui peut s’acheter.
(fig.) Venal.
Mencazöta. V. Marquezofa.
Merck, s. f. gräce, bienfait accord& par le
roi. \ant.) "Salaire: prix du travail; appointe-
ments. * Plaisir qu’on fait, service qu’on rend.
Volonte, diseretion, bon plaisir. Merci. Quali-
tication ou traitlement qu’on donne en Portu-
„al aux personnes qui ne sont pas noblcs, vous
en frangais. On l’emploie toujours A la troisieme
versonne. *Ordre de la Alerci. Estdr d — , eire
a la merci, a la discretion d’autrui. A’— das
ondas, dos mares,cic., A la merci des flots,
etc. Estar para [uzer —s, eire obligeant, dis-
pos& ä rendre service. Padre das —s.V. Mer-
cendrio.
Menrcearia,s. f. marchanrise, denree. Mer-
cerie. Loja de — , boutique ‚le ınercier.
MBERCKÄIRO, A, 3. pensionnare de chapelle
ow pensionne par teslaınent. V. Mercidiro.
MERCEERIA ‚3, [. pension yu’on accorde avec
des charges pieuses; wiaison OU resident Les
pensionnaires. V. Merciciro,
MeErcENARiA, V. Mercceria. |
MELLCENARIO,A, adj. et s. mercenaire : qui
travaille pour de l’argent. Religıwux Je l’ordre
de lu Merci. Tropas —as, lruupes elrangeres
dont on achedte le service.
MeErcERiA, 8. f. Inerceries: menues mar-
chandises qu’on vend en (d.lail.
“ MERCHANDIA. V. Mercairia.
“= NMERCHÄNTE. V. Murvu or.
Me&ıxcıa,s. f. (ti. burl.) liaison s-cröte avec
une ferume. Chose , allaırı en cachreite.
Meauıaria. V. Mercearta.
MerncIEIRO, 8. Mm. ueitwt:
mercerie.
MErcımönsa. V. Merennein,
mörehand de
MER 708
MrncurliEs, s.m. pl.) (4. de bol.) " mereu-
MincURtAL, 8. M. riale , foirotte „ vi-
guol, vignelte : plante mödicinale.
MEnCURTAL, adj. 2 gen. merguriel : qui con-
tient du mercure.
Menrcinıo, s. m. Mercure: dieu de l’clo-
quence, du commerce; messager des Jdieux;
plancte la plus proche du soleil; (Ag. burl.) en-
treinelieur d’un mauvais commerce, de pros-
litulion. —, vil argent. V. Azougue. — douce,
mercure doux.
} Mincızän,s.m.(£. arab.) les sulures du
cräne.
MEnpa,s. f. merde : excr&ment, maliere f&-
cale de !’'homme, des chiens, des chals, etc.
7 MEnopöso, A, adj. merdeux : souill& de
merde.
MERECEDÖR, A, 8. celui qui m£rite : digne,
meritant.
MERECEn, ©. a. meriler : ötre ow se ıcndre
digne de. Oblenir pour quelqu’un, faire accor-
der (p. us.). Valoir. Mertce bem o dinheiro, il
vaut bien l’argent. Zste homem ndo merice 0
pdo que come, cet homme ne vaut pas le pain
qu’il mange.
MERECIDAMENTE, adv. A bon droit, avec rai-
son, ä juste titre.
+ MErEciDo,A,p.p. de Merecer. s. m. ch&
timent : punition merıitee. " Recompense. Dar
— , pagar seu —, recompenser, punir.
MERECIMENTO. V. Merito.
MrreEJÄn. V. Marejdr.
* MERENCcöRIO. V. Melancölico.
MEnENDA, Ss. f. ° goüler ; repas entre le diner
et le souper. Cerlaine redevance qu’on payait
anciennement au seigneur d'une terre, d’un
fiel, etc. (fam. burl.) Busse. Trazer — ds cosias,
eire bossu.
* MerenpÄL, 8. m. sorte de gros drapancien.
Sorte d’ancien cens. V. Merendae.
MERENDAR, v. a, el. goüter : manger entre
le diner et le souper.
MivEexpeina, s. [. V. Merendfird.
MERENDEIRO, #8. m. pelit pain pour les en-
fants. Celui qui a l’'habitude Je goüter.
+ Merennöna, 5. f. aug. de Merenda. Goü-
ter abondant, splendide.
MererniciL. V. Meretricio.
MERETRICR, 3. et adj. f. V. Merelriz, et Me-
relricio.
MERrETRICIO, A, adj. de courtisane. Qui a
rapport aux femmes publiques.
MeErertniz, s. f. femme publique, prosliluce,
fille de joie, courtisane.
+ Mencänso, s.m. (t. d’hist. nat.) harle : es-
pece d’oie sauvage.——branco powpudo, "pirlie,
ou petit harle huppe.
MeacuLRäDO, A,p. p- de Mergulhar.
MERGULHADOR ‚5. m. plongeur.
Mercurniö, s. m. (b. d’hist. nal.) plongeon :
oiseau aqualique. — de poupa e colleira ne-
gras, grebe commun. — pequeno dos rios,
| castagneux.—denigrido.do Norte, grand plonr
706 MER
dos mareı do Nerie, guiltemot.
— da vide , (1. d’agr.) provin, marootte.
MaacuLniR, 0. 8. plonger: enfoncer dans un
Auide. —e vide, as cepas, provigner, faire des
provins, coucher la vigne,
Mencvuinin, v.n. —se,v. Tr. plonger : s’en-
fonoer dans Peau,s’y baigner. (fig). Se plon-
ger (dans), s’abandonner entierement 4.
+ Mzucvıntıno, A, ad/. qui a coulume de
plonger. Lunds —s do Norte, (1. d’hist. nat.)
* macareux : Olspau, spece d’slque noirätre.
Meacvimla, s.f. ° gnement , action de
bon er; provin , rejeion d’un cep provigne.
Pa eh vides , coucher la vigne, pro-
vigner.
Mencdıno, s. m. "immersion, action de
plonger. Provin,
Mani ,(t. d’anat. inus.). V. Bs6phago.
Meniana. V. Meryada.
+ Mexıoa, 8. f. (4. degeog.) Merida : ville
d’Espagne.
+ Menıniina, 8. [ meridienne : ligne drolte
une du nord au sud dans le plan du meridien;
qui margque le midi ; section du meridien.
Meaiıäno, 5. m. meridjen : grand cercie de
la sphere qui passe par le p6le. O primeiro—,
le premier meridien; celui d’oü !’on commence
& oompter les degr&s de longitude.
Menısıäno, A, adj. möridien: qui regarde,
qui concerne le midi.
ManınıonäL, adj. 2 gen. meridional : du
midi , du cöt& du midi.
MenIıcänGA, s. f. plerro artificlelle , medici-
nale, composde en secret par les Jesultes.
+Mexim, s. m. (4. du Brest!) fruit de lafeur
de la passion.
Mexıtamtnte, ado. Abon drolt, & Juste titre,
v. Merecidamenie.
Menırissıno, 4, adj. sup. trös-digne, qui
mörito & plusieurs Vitres.
Mexıto, s.m. merite : verta, qualits, con-
duite qui rendent digne d’estime, de conside-
ration, de recompense os de punilion; ce
qu’un ötre a d’estimable, de bon, d’utile. — de
condigno , (tl. de th£ol.) merite des bonnes au-
vres d’un homme en &tat de gräce. — de cön-
gruo, (id.) merite des bonnes wuvres d’un
homme en 6tat de pöche.
Mänrro, a, edj. merlis. Qui merite; diene,
meritant.
Menıröntamänte , ade. möritsirement.
Menıtönio, a, adj. meriteire : qui merite
recompense; qui merite la r60ompense dier-
nelle (@uvre —).
Masıuiö, s.m. (t. de fort.) merlon, trdmeau:
partie da parapst entire les embrasures.
Merrim, s. f. (1. de mar.) merlin : menu oor-
dage, ligne goudrennse, (Ag.) Magicion ; per-
sonne astucieus®, TUS00.
M&auo, V, Melro.
Mero,A, adj. pur, sans me&lange; unique,
simple.
Mexö, s. m. quadrupede de !’Eihıopie orien-
tale, & cornes, ressemblant & Päne.
Juixzes , tribanal. — d’uma #
Mesa, s. f. table & manger. Tabie : baresa
aatour duquel se placent les Jages, etc. Table;
bonne ow mauvalse chöre qu’on fall ä la table.
Table de la communion, la sainte table. — ds
d’administration d’une oonfrerie. — franes,
table ouverte. — redonds, table ronde, — ire-
versa, table au haut du röfecioire, oü se ple-
cent le superieur, les oMdiers, eto. Pr a—,
mettre le couxert. Dar—, donner ä DRAnger,
traiter, tenir table ourerie. Per na — 0 janlar,
etc., servir le diner, eio. Pör-se d—, se melise
& table. Levaniar a —, desserrir. — gellge,
table sans pain. /r da — para a cams , laire le
saut d’Allemand. —s do carro, da impronss,
oic., als d’un chariot, als de presse, ec.
dum novio, (1. de mer.) portehaubans,
Mzsipa. V. Mozdda,
“Musi. V. Cdsa.
t Mezsinıo, s. m. membre de comils d’admi
nistration d’une confrerie.
Mescasin. V. Menoscaber.
*Muscin. V. Mesclär.
Miscus, s. f. "melange, miztion. Variöts de
eouleurs.
MsscLi0n0, A, P. 9. de
MezscLän, v. 6. mölanger des oouleurs ; mig-
tionner.
Mestna, s. [.(l.demaer.) misaine: volle entre
lebeaupr& et la grande volle. Mastro de — , mät
de misaine,. Cassar a — s beijer, border la mi-
saine tout plat,
MESENTERICO,, A, adj. möseniärique ı du m
sentöre.
Musentenio, 5. m. (4. d’anat.) mdsemiere :
membrane, [raise le long des intestins,
+ MEsEnTERIiTIs, s. f. (1, de mdd.) misentd-
rite; inlemmation du meösentdre.
Meserircas,s. f. pl.(l.d’anal.)mesaralgeuss.
On le dit de oertaines veines.
Mesinua , ete. V. Mexinhe, to.
Maonaneure, adv. de möme, mömerment,
Mesusipiae. V. Idensidade.
Musuissıno, A, ad/. sup. de Mesıno. Absple-
ment io möme ‚identique.
Mesuo, A, pron. m&me : qui n'est polal
autre, point different, en personne. Pareil,
semblable. Identique. 4o — fampo, en meme
temps, & la fols. ‚& Pögal de, aussi
bien que. Agore — ‚Al nstant mörme, Por isso
—, pela—a raxdö, par !ä, alnsl, pour cela
m£eme;, par la me&me raison. Zile —, lal-ımöme.
0 — Deos, Dicu lul-möme. Do — mode, de
meme, tout de möme. Sempre 0 —, loujoars
lo meme; toujours la metme chose; toujours
de m&me. O — aconlece 6, OO. ilen est de
meme de... Isso d o—, o’est la mäme chose;
celarerientaumäme.
Mesno,, adv. möme. Ainda — , quand meme,
+ Mxsnipa, s. [. anoienne Gempegnie d’Rem>
mes d’armes.
4 Massnapzais, s. f. 1a solde da oapltaine
d’une compagnie d’hommes d’armes.
+ Masmantıno, s. m. eapiiaine d’une an-
eisnne compagnie d’hommes d’armes. Coval-
Isire — gentilhomme desesndent d’un capi-
tsine. V. Mesnada.
’+ Mxson ‚3. m. "heötellerie, auberge.
+ Mxsoukıao, s.m „höte, aukergisie.
Masoz£uckHa, s. f. " mesoneugma : aupboe de
ssugıne ‚ gure de grammaire.
* Mesquinpine, 8. f. V. Dosgraps. Pauvretö,
misdre.
Me&squinuino, A, 9. p, de Mesguinkar.
Mesovinnuuture, ade. mesquinsment: d’une
(agea mesquine, serdide.
Mesounuin, ®. #. donner avec mesquinerie,
lösinen.
Masouınuania ou mesquinerle : &pargne
Masovınußz, 8. f. sordide,; sine, ava-
riae , tenscite.
. MssauınıBane. V. Mesqwindade
Mesquinno, A, adj. pauvre, Indigent. Mal-
heursuz. Mesquin, ebiche, avare, Indigne. A
ingraliddo d propris Puma alma —a, Fingra-
titudo est le fait des potites Ames.
Musaviva, 3. f. mesqude : termple des maho-
metans.
Mussiceu, bie. V. Mensagem, old.
Messicaa. V. Bisagra.
* MEssir, v. a. arracher los ehevoux aveo los
mains. V. Arrepellar.
Missz , s. f. moisson : bids et autres grains
sur pied; rooolte, (Ag-) Quantitd d’Ames A con-
V ’
+ Mussäna, s. f. (1. de gdog.) Messine, ville
du P&lopondse.
+Mxsstars, s. f. (1.de gdog.) Menstnie : con-
irde du Pelopondse.
+ Mezsstnıo, a, adj. et 8. de Messene, de
Massenis.
* Massen. V. Misser.
Messıi20, s. m. qualitö, dignite de Messie.
Mussiss, s. m. le Mossie, Jesus-Christ..
MesteiniL, 5. m. artisaa qui vit da travail
de ses mains ; ouvrlier.
* Msstgınöso. V. Nocessidado.
Muster, s. m. mötier. V. Arte, Oflcio. Syn-
dic. V. Mister.
Masrsaöso. V. Necsssilädo.
Mestico, a, adj. melis, engendre d’animaux
diff6renis. 1. ) Fils d’un Europeen et d’uneln-
dienne, d’un blanc et d’une mulätre, etc,
Mssto, A ,adj. (podi.) wiste, aMige.
Misıns ,s.f. maltresse: femme qui enseigne;
institutrice. Femme du mattre. Tout ce qui in-
struit, enseigne, Pamms Falmsire, Paspe-
rience, ein, ll est aussi adj. f- Ex. ı Chovo —,
passe-partout. Roda —, maltresso- roue. Pa-
ae ‚. gros mur, (eeilhe --, cheville ou-
vriere.
f Mastaico, s. m. ang. de Mistre.
Mserrino, 5. m. magisiöre ı dignitö de grand-
maitro d’un ordre militaire, maltrise. Torri-
toire appartenant au maltre d’en ordre de che-
valerie.
Mestringa , 8. f. (8. de mer.) voilerie : partie
d’ao arsenal de marine oü est la fabrique des
volles, ste. L’ensemble des ouvriers empioy6s
dans un arsenal de marine: maistrance, Corps
de mötier.
* Mzstainro. V. Mentrasto
„tMssrain, .n . degmatiser : faire ie mei-
"uterez, 5. m. maltre : celal qui enseigne;
professeur, pr&cepteur ; savant, habile dans un
art, etc. Mattre &s-arts dans une universitö;
dtre donne & divers gradu6s; membre d’un
corps de mötiers. Grand-maltre dans un ordre
de cavalerie. —, officier marinier qui com-
mande la man@urre; matftre d’€qui Delle dans
un vaisseau. Capitaine de navire. —
maltre de ehapelle. — de campo, este pr
camp, eolonel. — de ceremonias, maitre de c&-
r&monies. — de espirito, conlesseur, directeur.
— d’esgrima, maltre d’armes. — de meninos
d'escola, de primeiras leltras, maltre d’öcole.
— de costnha, premier caisinier de la maison
royale. — @’odras , charpentier architecte. — de
ndo, de navio. V. Piloto. — de novicos,, pöre-
matire. — do sacro palaclo, matire du sacre pa-
lais, & Rome. — em segundo, sous-maltre.
— eschla, &eolätre: dignite dans un chapitre.
— sala, grand maltre de cer&monies de la mai-
son da roi, maitre-d’hötel. Receher de — em
algum ofeio, passor maltre. — examinado,
passe maltre. ‘0 us fax —, ou usa, serds —,
(prov.) en forgeant on devient forgeron.
+ Mesree, A, adj. malire, maltresse : pre-
niet, or, prneipal. (fig.) Dresss, parlant des
eernein. v. a. enselgner los enfants. v.#.
V. Mestrdr
Mestae-zscöLA. V. au mot Mesire.
+ Mestaz-zscoLino ‚s. m. deolätric : profeg-
sion, dignits de V’&colätre.
Mestae-säLa. V. au mot Mesire,
Mestaia, s. f. savolr consommö, habilete.
MestrinBo, dim. de Mesire.
Mestöra, ete. V. Mistura.
u MESTOURCO. V. Mastrugo.
* Mesua.
Mestana. | V: Mesmada ou Mesada,
Mesüra, s. f, reverence , salut. (inus.) Mo-
destie, gravlie, bienseance. Politesse.
MEsurRÄnAMENTE , adv. modestement, pos6-
ment , sagement.
Mesunino, A, adj. mesur&, grave, modeste,
de
Mesunin, v. a. dimtnuer, moderer. Donner
une contenance grave, un air modeste.
MeEsurär-se (em), v. r. se modedror; avoir
de la relenue ; mesurer ses actions ou ses pro-
pos, agir, parler avec gravite et circonspeg-
tion.
Mesur£ino, A, adj. qui est d’une politesse
affectee ei importune; flatteur, faiseur de cour-
beiles.
a
798 MET
Mssurinna, dim. de Mesura.
ME£ra, s. f. * borne, liınite; fin, lerme, ex-
wimile; but. (f. d’areh.). V. Metöpa.
METACcAnPO , 8. m. (Id. d’enal.) melacarpe :
douxidue partie de la maiu, enire le poignet
et los doigis.
METACISMO, 3. m. ınelacisme : defaut dans
la prononcialion de I’M.
Martins, 3. f. moilie, demi, mi. ° Milieu.
(fig.) Moiti6, femme & !’egard du mari.
Mertarisica , atc.
METAFORA, elc. V. Metaph... ete.
METAGÜCE, s. f. ügure de rhetoriquc par la-
quelle on atlribue du sentiment aux eires qui
en sont privds.
Metal, s. m. metal : corps mineral, ductile,
Dexible, malleable, fusible au feu et fixe. *Cou- |
leur , au jeu de cartes. ($. de bias.) Laiton : me
tal, l’or ou l'argent. (fg.) * Qualile, espece. —
da vos, liınbre, son de la voix. — amarello,
laiton.
MetTaLErSE, 8. f. metalepse : figure de rhe-
toriyue par laquelle on prend l’antecedent
pour le consequent, et reciproguemen!.
METÄLLICO, A,adj. metallique : qui concerne
le ıneial, de sa nalure.
I MixTALLIFERO, A, adj. metallifere: qui pro-
duit, contient des ınelaux.
MstALLizagaö, s. f. metallisation : forma-
tion des ınelaux;; aclion de melalliser.
MeraLlizin, v. a. welalliser : donner la
forıno mötallique.
+ MeraLLockapuia, 8. f. metallographie :
seiencc, connaissauce,, Lraite des melaux.
+ MErALLÖCRAPRO, 5. m. metallographe: qui
&iludie la melallographie.
f MeraLLocnäPHıco, A , adj. metallographi-
quo ı do la metallographie.
"MeraLLungia, s. [. melallurgie : art de tirer
les me6laux des mines, de les Lravailler. Melal-
lique. V. Metallographia.
RTALLÜRCICO, A , adj. metallurgique : de la
mötallurgie.
MataLLuncista, 3. m. metallurgiste : qui
s’occupe de ınötallurgie.
METAMORPHOSE, 3, [. wölamorphose : Irans-
formation.
METAMURPUOSRÄR, ©. a. meltamorphoser :
changer d’une forıne en une autre. ll est aussi
Feciprogue.
METAMUNPHÖSEOS, 8. m. V. Metamorphose.
Maıäruora,s. f. metaphore : figure de rhe-
torigue qui est fondee sur une conıparaison,
ei change le sens naturel des ınols en un aulre
sens.
METATUÖNICAMENTE,
mei, par nielaphore.
Meıaruoiıco. A, adj. metaphorique.
Mxıarsonızan, v.a ein. einployer des me-
tsphvses.
MrıarnrÄse, 5. f. möluphrase : traduction
litterale.
Mi;rapunÄstes, 5. m. mmelaphraste : qui tra-
duit litteraleinent,
adv. melaphorique-
MET
MeTAaPnYsıch, s. f. nelaphysigae : scienre
des idces universelles, des princıpes de nos
connaissances, des &ires spıritaels, immate-
riels, des idees, des dtres abstraits; Ideologie.
METAPUT'sıcANENTE, ade. mmelsphysique-
ment : d’une maniere metaphysique.
METAPRTSICHR, ©. a. et Rn. metsphysiquer:
traiter um sujet meäaphysiquoment , parlet
d’une ımanidre abstraite.
METAPRY'sıcOo, A, adj. mölaphysigue : del
meötsphysique, abstrail, sabul.
MsTAPnY’sico, 3. m. melaphysicien : qui die
die, qui sait la melaphysique.
METAPLASEO, 5. m. mötaplasıne : MOM COl-
mun de toutes les figures qui consisient dass
une alteralion usilee au materiel d’un mel,
par addition, soustraction ou alteration de
lettres, de syllabes, comme la metathese, ei.
M&TaPLöse. V. (1. de wdd.) nneiasiase:
METASTÄSE 0% changement d’zne m
. Merastäsıs,s.f. / ledie en une autıe; di-
placemeat d’une meladie.
Merastirtico, &, adj. (f. de mdd.) mnötastati-
que : (crise —), imparfaite, de melastsse,
METATÄRSO, 3. m. il. d’anal.) madtalarse :
partie du pied entre le geu-de-pied et les ar-
teils.
METÄTHESE, 5. f. metalhöse : Lranspositien
d’une lettre.
Meranico. V. Mettedigo.
METENPSY’COSE, 8. f. melempsycose : passage
de l’Ame d’un corps mort dans un autre vivanl.
METEÖRICO, A, adj. ineldorique : des meteo-
res. Flores —as , (1. de bot.) leurs metsoriguer,
dont l’6panouissement depend de Fütst de
l’almosphere.
METEORISMO, 8. me. (6. de mdd.) mettorisme:
ölevalion contre nature du bas-vanire, dans les
Bövres malignes, eic..
METEORIZADO, A ‚adj. (8. de med.) metdesise:
(ventre —), lendu,, gonfle. p. p. de
METKORIZÄR, ©. a. (4. de chim.) sublimer.
METEORO, 5. m. wmdieore : phänemene quı
se forıne ei apparait dans l’air.
METEuRULITRB, 8. f. meieoreliibe : pierre
tonıbee du ciel. .
METEOROLOCIA, 8. f. mölsorologie : science,
trait& des meleores.
METEOROLÖGICO, A, adj. melkorologigque:
qui concerne les meleores.
+ Metzonomancia, s. [. möltoromancie: dr
vination par les meteores.
METEOROSCörIO, 5. m. metldoroscope ; insiru-
ment d’astronomie, pour observer les aslıes;
instrument pour les obserrations meteorelogt-
ques, auirolabe.
Martin, etc. V. Melter, eto.
Mernöbıcauente,, adv. methodiquemen!.
avsc ıneihode.
Mertnöpıco, A, adf. möthodigee : qui a de ia
methode; qui est fait avec methode.
+ MsTRopiswo, 8. m. “seote des möthodistes.
+ Mertnovista, s. m. medihodiste : soclane
anglais, sorte de chreslen prirsitil.
MET
+ Matmonızin, o. 0. (p. us.) reduire en me-
ibode, ordonner d’apres une methode.
Mixrnono, s. m. " methode : maniere de dire
ou de faire d’apr&s un cerlain ordre, certains
principes, un certain systöme.
+ Metuv’unzo, A, adj. de Methymne, ville
de Grece.
MsrticäiL, s. m. (}. d’Asie) metical, mödegal
os metigal : poids pour les peries, l’ambre,
eic.; une dragme et demie,
MeTicuLöso, A, adj. (imus.) crainuif, timide,
meticuleux. V. Medroso.
Mkriu, 3. m. sorte d’etoffe de coton croisee.
+ Merononisı, 3. f. mötonomasie : traduc-
tion d’un mot.
Merontr'uia, s. f. metonymie : ügure de rh&-
torique, qui prend la cause pour Feffet,, le su-
jet pour Yattribut, le contenant pour le con-
tenu, la parlie pour le tout, et regiproque-
ment.
Meronvr’uıco, A, adj. metonymigue : qui
“ eontient une metonymie.
MerTöra,s. f. ($. darch.) ımetope : intervalle
carr6 entre les triglyphes doriques.
+ Merorowancia, 5. f. metopomaneie : di-
vination par la face.
METoProscöPIA, 8. f. m&toposoopie : divina-
tion par les traits du visage, de ce qui doit ar-
river ä la personne. j
OPÖSCOPO, 8. m. meloposcope : qui de-
vine, par les traits du visage, du [ront, le ca-
nactere , le temperament, les maurs.
Meralıma ‚s. f. mitraille:vieox clous, vieux
fers, et aujourd’hui balles de feromsbiscalens
dont on charge le canon.
+ Merauunirn, v. a. mitrailler: tirer le canon
charge & mitraille; tirer & mitraille.
+ Mernıcautnte, ade. selon les regles de la
versificalion.
M&£rTxico, A, adj. mötrique : qui ooncerne la
mesure. Qui concerne les vers ou la pd6sie.
Systtma—, sysiöme metrique, qui consiste ä
employer le meötre comme anite de mesure.
+ Msrairicaciö, 3. f. versificalion.
Marxırıcino, A, p. p. de Mefrificar.
METRIFICADOR, A, 3. versiflcateur, faiseur
de vers.
TRIFICR,, ©. a. versifler, faire des vers;
cofloser en vers.
Mirno, s.m. (1..de pods.) mötre, vers; pied
de vers; mesure @u vers, ce qui la caractierise.
— , nouvelle mesure de Jongueur, base de tout
le systöme metrique; Jix-millionieme partie
du quart du möridien terrestre ; 36 pouces 11 li-
gnes 296 milliömes de ligne.
Mernomania, s. f. metromanle : fureur de
faire des vers.
+ Mernöuano, 8. m. metromaye :: qui a la
manie de faire des vers.
+ Mernöngteo, 5. m. möLrometre : machine
pour rögler la mesare d’un air.
Merxröroti, s. f. mötropole : ville principale,
capitale; öglise archiepiscopale; «tat relatıye-
ment & ses colonies. (fig.) "Princine. orsune.
zes
EEE ER
m m...
MET “97
MerTRoroLisa, 3. m. mötropolitain, arche-
vöque.
METaOPOLITÄNO, A, adj. mötropolitaın , ar-
chiepiscopal. s. m. —, archev&que.
METTEDICO, A , adj. V. Entremettido.
METTER (em), v. a. meltre, iniroduire, en-
fermer dans; poser, placer. Occasionner, ecau-
ser, inspirer. — , engager dans unc entreprise,
porter ä; jeterune triomphe, un ınalador au
jeu de !’hombre. Mettre de Pargent au Jeu.
Presser, serrer, metire beaucoup de choses
dans un pelitespace. — deniro, faire enirer ou
rentrer. — debaixo do chäo. V. Enierrar. —
com forga, faire entrer A force. — a saceo.V.
.— mdo d espdda, ınettre la maın &
l’epee, ou l’e&pse & la main. — mdos d obra. V.
Mao. — no corapdö, (fig. fam.) aimer tendrer
ment. — na cabera, metire dans la t£te, dans
l’esprit; persuader. — a espdda ald os c6pos,
enfoncer l’epee jusqu’ä la garde. (fg.) Pressor
par ses argumenis, convaincre, forcer & se
rendre. —a caminko, (fig.) remettre dans le
bon chemin. — de posse , meltre en possession.
— dente , goüter une chose; (fig.) comprendre.
— uresto, (fig.) jouer de son reste, faire les
derniers efforts. — os rdes na moula e ficar de
[öra, metire les chiens dans le breuil et rester
en dehors .'fig.) Melire les autres dans l’em-
barras, dans des enireprises hasardees, et
ne pas y prendre part. Ndo me mello emnade,
je ne me melg derien, je ne m’en me&le pofnt.
— de puppa, (t.de mar.) carguer de Varriereo.
- aamarra deniro, (id.) virer sur l’ancre. —
a amarra den!ro com o cabestanle, (id.) virer
lo cäble avec lo cabestan. —denftro um navio,
entrer un vaisseau, piloler un vaisseau dans
un port. — as velas nos primeiros rinzes,
prendre un ris.
METTER-SE (a, com, de,em, por), vd. r. Se
meitre. S’entremetire, se meler, s’inimisoer
S’introduire, s’insinuer. S’embourber. Se plon
ger dans le vice, etc. S’emboucher, se jeler
dans, parlant d’une riviere. Se jeter dans la
melde lea armes & la main. — a sabio, a md-
dico , etc., faire je savant, le medeoin, etc. —
ao mar, 86 melire en mer. —a escrever, a
compör, eic., 86 meltre A dcrire, & COMposcT.
— com el , lier commerce avoc quelqu’un
ou se brouiller, chercher noise, disputer. — de
posse, prendre possession. — de görra com
alguem, se faufller aveo quelqu'un, s’Inire-
duire, s’insinuer dens la familiarit6 de quel-
qu’un.— em camisa d’onze varas, em debuaus,
nas encospas. V. ces mals. — ne meio ou de
jo. V. Meio. — em si mesmo, (fig.) pen
ser, mediter & part soi. — om algum f
se ıneler d’une aflaire, s’y ingerer, s'immiscer
dans une affaire. — nas vidas alheias, öpier la
conduite, s’imformer des aclions d’autrus. —
no atol#iro, (fig.) s’embourber, s’engager dans
une mauvaise allaire. — por dexiro, enirer
dedans. — pelo mar dentro, enirer bien avant
dans la mer. — pela frula, mauger beaucdup
Ja fruit. — /rade, se laire moine, ’allubler
708 MEX | MIC
@un froc. — freira, sa faire religieuse, se tMexvin, o.m. (t-areb.)“ lace d’andienet,
guimper.— onde o näo chamäo, se nic de er ponr los Fe Fk edge ei.
Ce qui ne nous regarde pas. Ndo sober _ xußıra, s. f. eap6ch ’ambre
ne Kavoir oü se (urrer. sit. Mis. £ " Fuaranian. V. Metade
Mertipvo, a, p. p. de Meiler. adj. Mis. En- EYAR, ic.
elave. Estar lo em alguma cousa, 6ire] Mexas, etc. | V. Bein. eie.
fort interesse ä une chose. — no somno, eur| Miäz,s. m. mois: donzieme päflie de Paunte;
dormi. — por deniro, (inus.) hbumili, abaltu. | espace de trente jours ou A peu pris; regles
*"Mertupo. V. Mettido. @une fetnme. — de coriexig, lo möls de jan-
+ Merusnno, a, ad. (pP. we.) redoutable,| vier. Para 0 — que vem, pour le mois pro
e
kerrible. chain.
Mzu, Minna, prom. poss. mon, mien; ma,| Miza. V. Mösa.
mienne. O—, le wien: ce quiest ä moi. Zssol Mazina,s, /." mais: gage , salaire d'un mei,
4—, cela est Ä moi. Oa —s, les miens, mes pa- | Pension mensuelle.
rents, mes concitoyens.
Meöno, eto. V. Miudo, etc.
Meuxxoör, s. m. "spatule, cullier ä pot. #.
Personne qui mel, qui melange. (Ag.) Re-
muant, intrigant, brouillon , agitateur.
Öna, 6. f. * semuemeni, mölange,
siztion.
Mxxzıuid. V. Mexilhds.
Msxznorina. V. Mezerufdda.
Mixta,v.a. meöler, melanger, mixtionner.
RBemuer, deplacer; toucher. (Ag.) Brouiller,
Mazzena. V. Mesena.
+ Mxı£nno, s. m. (6. de ol.) — maior, mi-
ısrdum, mezercon, laursole femelle: plante.
_ ‚"laureale commune, laureale mäke.
Mezinua,s. f."medicament, medecine."L4-
vement, ciystöre. (g-)" Remedde.
Mezınuän, v. a. medicamenter, drogaer.
I —se, v. r. prendre des semedes, des lare-
menis.
Mezınu£ıra, 3. f. bonne feınme qui se mök
de donner des drogues.
tkoubler. Peior d mezer-Ihe, plus on remue| Mezınnkıno, s. m. oelul qui fait le medecia,
Vordure, plus elle pue. On le dit de certaines | fsuz medesin , medicasire.
ohoses qu’il ne faut pas approfondir. * Mna. V. Minha,
Mexia-sc, $. r. s6 remuer; s’agiter; so m6-| *°Mauxv. V. Meu.
er, se brouiller. Ndo se mexör, ne pas bouger.| * Muia. V. Male.
Mexunicipa, s. f. V. Mexericos.
»6R. V. Mexeriquefiro.
Mzxeaıcia , 9. 6. tapporier, decouvrir, ma-
nilester les ohoses cachtes. v. m. Bavarder, te-
niz des propos ; faire dos cancans sur le compie
de quelgu’un. .
Maxznicos, s. w. pl. rapporis, bavardages,
propos indiscrets sur le compte d’autrui, can-
sans. Ander com —, semer la discorde ‚ brouil-
ler par de faux rapports.
Mexznıgusıaı, s. f. sapporteuse, etc. ( Ag.)
* Bätimenpt Iöger qui va A la decauverie.
MaxEa1QuRıa0 , A ,&. COnlEuT, Bapporteur, iN-
discret, bavard, qui lient des propos ; intrigant,
Mi, 2.m. mi: kroissäme note de ka gamıme. il.
V. Mim.
Mine, s. m. misulement ı ori du chal.
MıaLuhe , 8. m. (1. de mer.) “ lignerolle: p-
tite ficelle de vieux Sl de earet. Biland : mes
cerde & deux fis; fil retors en deux brins.
MısLutıno. V. Mesikeiro.
+ Meanina, 3. f. "misulement de plasieu!
chats ensemble.
Mıko,s. m. mian : ol du ebat.
Miin, v. n. miauler : se dil du elta qeict®.
Mıismas, s. m. pl. mianmes : denanalntl
meorbiäques, ; Buide asrilmme,
suffocant.
brouillon , tracassier. Ceravella —a , (adj) b4- Misa,u. id mameilagp 9%
Eee 2 PORN
Mesigue. Zu de lan s. f. miche, petit padm
„A Manıco, cm (4.de 960g.) Maxique , Neu- asia, 5. f. prositmös, gaseo, en
t Menina, f. confusien, embrenillemens; Mhontros, s. m. pl. (R de man.) "gerade
Mzxino, A, p: p. de Mexer. ecke.
Mexinos, 3. m. pi. (4. buri.) sanuramenis is-
disenis du corps dans ceriainen demses, ind} Micınmmi,s. m. herbe aven faquelle 4 ET
les Cafres pour n’ötre pas mordus des calmaB
quand ila rentren: dana leg ririöres.
Mico, s. m. peilt singe; anpäce de singe d
longue queue.
Micnoc#rRALo, &, adj. uignosepknle: gilt
une polite IMs.
MaCR.0008MO , 8. me. INJBBSOGSERS ; POLihIM0BAP:
Onlediv »Shemme, ‘
Mzxunid, s. m. (6. d’hisk.: nel.) * menlas:
esquillage, mollusque acdphale, ben A manger.
Ag.) Intrigant,, enirometisur.
Tr ,s. m. "ehevillette d'une ehszrue.
Maxonisa, s. f. "mouvement isrögulier de
on diswedse; n0lF”
e
MIL
„ea Microcnarzia, .f d
ar . mienographi : esoti-
hcaömerno. sm. miorsmdire s instrument
pour mesuren les dismeires des asises, la
distance des ötolles groupees.
Micnoscöpico , a, adj. s du
mierosespe ; qu’om ne voit qu’aveo le muieros-
eope («bjet); gai neveitqu'aves lo micrescope
on qui mierossope (Yail).
Micaescörio, 3. m. (1. dopt.) miereseope:
instrument qui grossit exintunement los objeis.
“Mina, oto. V. Medir, ete.
Mıcino, A, p. p. de Bigar.
Michiza, 2 f. miete: partie de pein mise.
Petite perlion, paroelle. Petite partie d’une
chose immateriolle. Rien ou presque rien. —t,
pi.“ rostes qu’on Ste de dessus la table. Bestes
de quelgqu’un dent un autse proflie. Roparer
on —, V'attacher & des minnties.
MıcaLntıro, s. m. homme minetieuz, vöil-
leur, qui s’sttache & des minulies,
Mıcauninna , din. de Migalhe.
Mıckn, 9. se. ömier, 6emielter » zoduire em
mieties.
Micas, 4 f. pl. "ragente fait avoo dela mie
de pain, de l’huile, du saindoux, de Yail, du
piment, eto. Soupe ı au pain, panade.
Mwsnass. V. Emergoncias.
Micmiatöna. V. Ministura,
+ Micnöne, s. m. " mignonne ı oaraslöre d’im-
erie.
Mico (variatllon de Mim). Com — , avoe moi.
Misa, s. f. * pissement. Faser —, faire pipi,
pisser. Pedir —, demander & pisser, & falre
pipi, parlant d’un enfant.
Mnsipa. V. Mija ei Mijadure,
Misantıno, 3. m. pissoir » lieu destine pour
piseer. V. Ourinol.
MesaptLea, ( 2er J ı quaatißs d’arine qu’on
Muapüra,s. \ rend en une feis, * Pis-
sement : action gi Pisser.
Muid, Onı,s. pisseur, —se, qui pi056 Seu-
vent. Pissenlit : enlant qui pisse au lit.
Miskn ‚0.0. Pisser, uriner. — ds pinguwiakes,
" Musin-en, vr. \üeber Y’urine. — cam ou de
mode, ( fan.) areit grand’peur.
* + Muavınkonz, d. m.
et sale quo la mer jette dans son rellaz.
Miso, s. m. pissat, urine.
BR, 9. #. pissoter.
Mueors. V. Medröso, Timido.
MıL, adj. 2 gen. mille : dix fois cent; nowabre
indetenmine ei gsand. Mil, pour la date.
Mırions,s. m. mirasie. Prodige : ohose ex-
©, merveilleuse, rare. Pöde sor som
ser —, cela so peut sans miracle.
MıLseatino,A,s. qui crolt fasilement aux
mitracles,, qui leur attsibus les Srönements les
pius naturels.
Mıracainuo,, dim. de Müsgre.
MuLacaösauäute, ade. mirsculousemsent :
par miracle.
Miunanbet, A, dl: neniren Bee
* matiöre Öpongeuse
MIL 799
zaste, qui liemt du miracie; admirable , mer
veillenx. Qui fait des miraeles.
f MıLantz, a,adj. ets. Milensis : de Milen,
s. m. Le Milanez ou Milanais, provinse des
Etats-Sardes.
+ Mırantza, s. f- sorte de tiseu de Mila.
" MaLiS, s. m. (4 de dog.) Milan: eapitale de
royaumo ) Lombard-Venitien.
Mu-ru-niua. V. Milfolhe.
Museo, A, adj. et s. de Milet: ville de
Gröce.
Mrıstrua,s.f. ) (4. de bot.\mmille-Sewille :
0,3 0. ) herbe A la cosupure, at
charpentier.
MıLvunipa, 8 f. (8. de bob.) milleper-
MıLrenipe,s.m. \ tuis, hesbe de Balnt-
Jean.
Mina, s. f. mille: mesure itinsraive, mille
6
pao gdome6triques.
MıLnk ew—ia, s. f. {t. de bot.) “ panis rude ı
plante graminde. — vorde, panie vert.
Mıunium. V. Milka!
* Mnuäiss, pl. de Milker. V. ce mol.
Mırnärae. V. Milkano.
Mızmanßıao, A, ad). qui chasse au mllsn
(faucon).
Mirnino, 5. m. milan : olseau de proie.
MıLziö , s. m. million : dix fois cent mille,
mille fois mille, 66. Mais. Homem de wilhöss,
millionnaire.
Mırnir , 8. m. milleow million. -- de miähde,
millierd.
air, „ef N champ seme de mals.
Mırniras, 8. f. ph la graine de la Sgue;
anuls de poissen.
+ Mıunzärss, aß. f. pl. (giandulas —,i. da
bot.) milliaires : innombrables (graines—).
Mırntıra, s. f. mauvaiso herbe qui viams
parmt le mais. V. AHA.
MiıLu£ına ou — RIKHA, 3. f. pelit olgeau qui
fait son nid dans les champs de millet, bemari.
Mırntıno, s. m. millier : nomkre de miüle. #4.
V. Milko maiz.
MıLumnö, s. a.” vanidte de raisim.
MıLutre, s. m. ($. de bot.) Petit millet.
Bo, 3.0. (1. de dot.) Mil, millei : plante
aminde; sa graine. —maiz, —_ zaburre,
Tarquie, R mais, bie de Turquie,
bl6 d’Espagne. — cosouseire, hauque & 6pi,
couseow, millet & obandelles. — wiido WA-
fries, oa— sorgo, houque sorgo. — mourisco,
houque d’Alep. — da Iadis, pain des anges,
millet d’Inde. — paingo, panis ow naniz, 66-
pece de millet. — do sol. V. Aljofertire.
“ Mıınöm. V. Milho wide.
MiLnöuzns ‚ s. m. aristoloche Agrandes flours.
Sa racine au "Brösil est regardde comme auli-
dote du poison des serpents.
Miunen , ete. V. Meihör,, eis.
Mitar, adj. 2 gen. miliaire ı qui ressunble
a des grains de müllet.
Mınicıa, s. f. npliee : art, exorcide de ig
guerte; soldatesque; gens de vous. — gelernte,
- -
800 MIM
MIN
milice o8leste, chaurs des anges. — urbane, | Mımin.V. Amimaer.
garde bourgeoise. — s. pl. ınilices : troupes
composees de bourgcois et de paysuns.
MıLiıcäno, A, adj. qui appartientä la milice.
Soldado — , milicien,, soldat de milice.
MıstcıAaR , adj. 2 gen. V. Miliciano.
Miuitäno, A, adj. exerch Ala guerre. P. PP.
de Militar.
MiLiTÄnTE, adj. 2 gen. milifant : qui combat.
lgreja — , *glise militante , assemblee des üde-
les sur la terre. s. m. Soldat, combattant.
Miuitin, adj. 2 gen. militaire : de la guerre,
du soldat; qui fait professian des armes. Or-
dens —es , ordres de chevalerie.
Miurän, 0.9. servir dla guerre, suivre la
profession des armes, porter les armes. : fg.)
Militer. On le dit des raisons qui prouven! pour
ou contre.
+ MıLıtarä6, s. m. soudard : vieux soldal.
MiLIFARMENTE. adv. militairement.
+" MiLıte, s. m. soldat. V. Soldado.
+MitLeröLio, s. m. (f. de bot.). V. Milfölha.
MıLLENARıO, 5. m. milleuaire : mille ans,
dix siecles.
MiLLenäaıo,a ‚adj. millenairc: qui contlient
mille unites. —s, 3. m. pl. millenaires : sec-
taires qui pensaient que la terre serait, aprcs
le jugement dernier, un paradis pour les elus,
pendant mille ans , sous ie r&gne du Christ.
MiLL&nıo, #. m. millönium : mille ans du
regne du Christ, selon les millenaires.
MıLLEPEDES ,s.m. cloporte, mille-pieds.
+ MıLıeroRa, 3. f. mill&pore : produclion
porcuse des polypes, eu buisson, en arbre, en
&toile. — multiforme, millepore solide. — fo-
Ihada , millepore feuille. — celulada ou relicu-
lada, manchette de Neptune.
MıLL&sımo, A, ady. et s. millieme : nonubre
qui complete mille; l’une des mille parties.
MiLLXsımo, s. m. millesime : date d'une me-
Öailie , etc.
tuıı, (en comp.) mille, millidme.
MırLiän, adj. 2 gen. milliaire : qui marque
les mille.
MiLLicRÄNMO, 3. m. milligramme : milliäme
partie du gramnıe.
MıLLINETRO, 5. m. millimetre: millieme par-
tie du mötre.
MıLLionästo, s. m. millionnaire : quipossede
un million de biens; (Ag.) tres-riche.
MiLLiontsima, #. f. millionieme ; !’une des
parties da million.
MrLLion£sıso, A, adj. millionieme ; noınbre
qui complete un million.
MiLLöroe. V. Mylord.
Mıupis. V. Millepedes.
Mım , pron. pers. (variation de Eu, cmploye
toujours avec les pr&positions a, de, por, etc.,
except& com). Moi. V. Mi. Busca-me a —?
me cherchez-vous? Por amor de — ‚pourl’a-
mour do moi, a eause de moi. T'endes necessi-
dade de—? avex-vous besoin de moi? Por —,
pour mei, quant & moi. (us serd de —? que
deviendrai-je?
fMınıäu2o, adj. m. mimiambe ; veisiam-
bique, souvent obscene.
Misco, A, adj. mimique: qui appartıent
Aux Inimes.
Mimo,s. m. mime : chez les ancieus, esprrv
dw farce oü l’on imitait avec impudencc les
sclions, les discours , les manieres de quelque
personne connue; acteur qui jouait dans. cı
pieces ;auteur qui les composait- Den, preseni,
cadeau ; chbose charmante, bijoux. * Cajoicrie,
caresse afflectee, mignoterie ; delicatesse, ten-
dresse. * Mollesse, delicaiesse, migaardise.
Travail exquis. Fazer um — , [aire uncadesu.
Trater com-- , &ire aux.peliis soins pour quel
qu’un. Menino criado com — , enfant gäte.
MimoLocia, s. f. miimologie : immilalıon de is
voix , duton , du gesie de quelqu'un.
+ MimoLoco , &. m. miımologue : exerce dam
la niisnologie.
Mıiuösa, 8. f. (8. de bot.) — calhecucira:
mimosa calechu, acaeie du cachou. —do Nuo,
acacie d’Egypte, " gomimier rouge, vrai acacia.
— do Senegal," gommier blanc.
MıMOSAMENTE, adv. delicateınent; avec Dr
gnardise.
Mınöso, A, adj. delicat,, qui demande beau-
coup de soins. Charınant, delicieux, exgqnis.
Mignard, delicat, ellemine. Doux, tendre,
uiignon. Favori, cheri.
Mina, 8. f. "conduit soulerrain pour lacor
duite des eaux, Mine , meisux , ıniuezaus non
eıploiles; endroit oü ils se lorment; carıle
souterraine pour feire sauter un bastion, un
roc, etc., avec la poudre. Source d’eau.—,
ancienne monnaie grecque. (Ag.) Mine Jor:
chose Ir&s-lucrative. —, demi-selier , wesuft:
son contenu. Pör f6god—, faire jouer um
wine (prop. 08 &g.) Fazer voar ou rebentar
6“ — , eventer la mine (prop. et fg.).
Mıxa00,A,Pp. p. de Minar.
Mınapön, s. m. mineur : celui qui Iravaille
aux mines. Sapeur.
MınaR, v. 0. miner : faire une mine. Greuser
un conduit souterrain. Consumer. (fig.) Cher-
cher 4 approfondir une chose, ne rien oublier
pour y reussir. (dd.) Saper, detruire, renrel
ser les fondements d’un Eiat, elc.
MiıNAREs, 6. m. Di. V.Mintira,
Mınaz, adj. 2 gen. menacant,
+ Mıncua, s. f. sorte de sacrißco des H-
breux, oü l’on oflrsit du pain de eur de
farine.
Mixtuna , s. f. miniöre: wine de melaur.
Mınziro, s. m. V. Mindira. dt. mıineuc (de
mine). —,A, adj. apparlenaut aux ınines, OU
il ya des mines ıterrain).
Mixenagaö,s f. exploilalion des mines.
MınEnuaL, 3. m. mindral: corps solide (or,
argent, sel gemme, elc.,;, substance metall
que tircc des mines.
Mınerär. adj. 2 gen. niineral : qui appat-
tient aux nıneraux, qui tient de leur natuı“.
MUERALIZAGAU, 6 [ı minsralsahen : Qu“
MIN
binaison de la mine avec le soufre , l’arsenic.
+ Minznauszin,, v. a. mineraliser : conver-
ir en mineral; donner & un metal la forme
d’un mötal.
Mınenarocia, s. f. mineralogie : science,
eonnaissance des mindraux, et de la maniere
de les extraire.
MinenaLöcıco, A, adj. mineralogigue : de
« la mineralogie.
MiNERALOCISTA, 5. mineralogiste : verse
dans la mineralogie.
Mıneaärn, ©. a. exploiter ungmine ; extraire
du mineral.
Mıntnva, 3. f. Minerve: deesse de la sagesse,
des aris et des sciences.
+Minenvizs, &. f. pl. fötes de Minerve.
+Minca, s. f. " oiseau de Sofale, vert et
jaune, qui ressemble au pigeon. is. V. Mingos.
Mıncäicuo, s. m. panierdans lequelon met le
poisson & l’eau pour le conserver en vie.
Mınsäno. V. Mingodde.
Mıncio, s. m. (f. de Bresü) bouillie faite
avcc la farine de bl&, ou la föcule du manioc,
du sucre, des @ufs, etc.
MincoA, s. f. faule, delaut. Pauvrete, di-
seite. *Besoin, manque. Morrer d—, perir
d’inanition.
MingoäDamingg „ ade. avec hesoin ; pauvre-
ment.
MıncoAB0, A, p. p. de Mingodr. adj. De-
pourvu, modique, insuflisant; denue, störile
<armee). Malheureux. Sot, stupide, insense.
Pauvre, n6cessileux. HJoras —as, beures [ala-
les, defavorables. Dias —s, jours funestes.
+ MınGoAdOR, A, 3. celui qui diminue.
"MıncoamEnto, s. m. V. Falls, Quebre,
Diminuigdo.
Mincoints,s.m. dfBurs, declin de la lane.
(fig. Declin, decadence. s. f. — da mard, re-
Nlux de la mer. adj.2 gen. Deeroissant. Pauvre.
Quaerlo— , dernier quartier de la lune. Lingus
— de vocabulos, langue pauvre.
Mıncoär, o. #. deoroitre, diminuer, devenir
moindre. Manquer. V. Faltar. Os dias comedgdo
a — ‚les jours s’accourcissent.
Mınua, (variation [&m. de Meu). Ma, mienne.
V. Mew. Mon (devanı un substantif commen-
cant parunevoyelle). —alma ,— iniengdd, eie.,
ınon äıne, ınon intenlion.
*"Mınnim, s. m. mignon, bien-aime.
+ Minua-siuma ,s. f. raoine d’Angola contre
le poison.
Mınnamönnıs, 8. m. (6. d’Asie) * hulle odori-
ferante.
+ Minuo,, s.m. (i.de geog.) Minbo ou Migno:
Dleure d’Espagne et de Portugal; province du
Portugal.
Mıxnöca ‚s. f. "lombric. Ver de terre.
MınBor£ına, 8. f. "petit pont d’une ou deax
planches.
Mıxnöro. V. Mühdno. adj. ci s. Du Minho,
province du Portugal.
MıinıAaTUßa, 8. f. minialure : peinlure Irds-
dölicate , Irds-Une.
FORT. TR,
MIN 801
TMinıaTunista, 8. m. peinire en ministure.
Mixıma, s. f. minime, blanche : note de mu-
sique.
Minıno, a,adj. sup. trös-petit ‚le plus petit,
le moindre.
Minmos, s. m. pl. Minimes : religieux de
l’ordre de St.-Francois de Paule.
Mınıno, etc. V. Mewino, ete.
Minıo, s. m. minium : oxyde de plomb d’un
rouge vif; vermillon.
MınisTgrIaL, adj. 2 gen. minisieriel : qui est
propre au ministere; qui lul appartient; qui en
provient; da minisiöre.
MiNISTERIALMENTE,, ade. ministöriellement :
dans la forme ministerielle.
Mınist£aıo, 3. m. ministöre semploi, charge,
fonclion; operation, götvernement d’un mi-
nistre d’ötat, d’un agent, elc.; les ministres
d’un Etat; service, entremise dans une affaire.
Travail, occupation manuelle.
Minisraa, se. f. oelle qui sert quelquwun. In-
termediaire , mediatrioe. #t. Tour de röfestoire.
Mınistrico, s. m. aug. de Minisiro.Grand
ministre,, ministre fort habile.
Mınısraän0, A, p- p. de Ministrar.
MıniSTRADOR , 3. m. administrateur.
Mınısraän, 0. a. donner, fournir, subvenir,
suppiter. v. »n. Exercer une charge, un emplot
Mınıstrania , s. f.“ ministöre, oharge de mi-
nistre d’dtat.
*Mınıstakı. V. Menssirel.
Mınisteice, s.f.(pop.) viede magistrat,larobe.
+ MinıstaiL, s. m. joueur d’instruments &
vent. Ministris, pl. instruments ä vont.
Ministao, s.@. ministre : oelul dont on se
sert pour ex6dculer uns ehose. Minisire de la. |
justice, juge, magistrat. —, charge de la von- “-
duite des affaires d’etat, secretaire d’eial au
d$partement de la marine, des fnances, eic.%
envoy6 d’un prince dans une cour dtrangere;
superieur d’un couvent de Mathurins, etc. ; 09-
lui qui fait le pr&ohe parmi les proiesiants. —
do altar, da igreja, da religido, evöque, curt,
etc., preire en general. — provinoisl ‚— gerel,
provincial, general des Franciscaius.
Minonacäö, 5. f. "ameolndrissemens, disei-
nation.
Mınoripo,A,9.9. de
Mınosär, v. a. amoindrir, diminuer, rendee
moindre , attönuer.
MıNnORATIVANENTE , edv. en smeindrissent..
Mınonagivo,A,adj. quidiminue ‚qui ameim
drit. (9. de med.) Minoratil : qui purge douce-
ment. Lazauif.
Mınönca. V. Menorce.
Minoripäpe, 5. f. ıminorite : äge, eat d’um
mineur.
Mınxorista. V. Menorista.
Mıxsotäunn, s. m. minotaure : monsise fa-
buleux, moitiehomme,, moiti6 laureau.
Mınria,, eic. V. Mentir, etc.
Mıxöcıa , s. f. minulie, bagatelle.
Mıxucıöso,, A , adj. winulieux : qui s’altache
aux minulies,
EI
— Wem
= MEX
&un froc. — freire, sa faire religieuse, seo
guimper.— onde o ndo chamäo, se meler de
ce qui ne nous regarde pas. Nda saber onde —,
ne savoir oü se fourrer.
MeTTipo, A, p. p. de Metter. adj. Mis. En-
elave. Estar mdilo — em alguma cousa, Ölre
fort interess6 & une chose. — no somno, Pür
dormi. — por deniro,, (inus.) humili6 , abattu.
2 Merugn Y. ee edootabl
ETURNDO, & . (p. ws.) redoutable,
le 0 Ana (pe
Mau, Minta, pron. poss. mon, mien; ma,
imienne. O —, le mien : ce qui est ä moi. Isso
4—, cola est ä mol. Os —, les miens, mes pa-
zents, mes concitoyens.
Meüoo, etc. V. Miudo, eto.
Mexeoon, 5. ©. "spatule, cuiller & pot. #.
Personne qui möle, qui melange. (fg.) Re-
muant, intrigant, brouillon , agitateur.
Meuxepüna, 5. f. * semuement, melange,
mixtion.
Mrxzıuid. V. Mexilhäs.
Maxzrnoriva. V. Mexerufdda.
Msixta,v.a. meler, melanger, mixtionner.
Bemuer, döplacer; toucher. (Ag.) Brouiller,
toubler. Peior &d mezxer-Ihe, plus on remue
Vordure, plus elle pue. On le dit de certaines
cboses qu'il ne faul pas approfondir.
Mexün-sk, 6. Tr. so remuer; S’agiter; se m&-
ler, se brouilier. Ndo se mexer, ne pas bouger.
Mexzaiciva, s. f. V. Mezxericos.
Mexzaıcanoa. V. Mexeriqueiro.
MsxErIciR, 9. 0. rapporter, decouvkir, ma-
mifester les ohoses cachees. v. ». Bavarder, te-
mir des propos ; faire dos cancans sur lo compto
de quelqu’un. .
Mazznicos, s.m. pl. rapporis, bavardages,
propos indiscrets sur le compte d’autrui, can-
cans. Ander com —,semer la discorde , brouil-
lex par de faux rapporis.
Mexenıgufina, 6. f. kapporieuse, alc. ( Ag.)
® Batimept \öger qui va A la decouverte.
Maxenıqußıao,, A ,&. conlear, Depporteur, in-
discret, baverd, qui lien! des propos ; iatrigant,
brouillon , tracassier. Ceravslia —s , (adj.) bi-
timent löger qui va & la döcouverte,
Maxzaurivs. V. Mowinifdda,
+ Muxıcäno, A, adj. ei & Mexkcain, du
Br 6. de gdog.) Mexiqua, N
ICO , 8: 0. ( . @,.NON-
velle-Espagne.
+ Mexina, e. f. ooufusien, embreuillement;
keonillerie. V. Enrsde.
Mzıino, A, p: p. de Mexer.
M«xinos, s. m. pi. (£. buri.) mouremenis ia-
d6eenis du corps dans coriaines damsss, In4-
meussemeni. Fazer -— , zemuer 108 fesses, 10
ir&mousser.
Mesunid, 5. m. (6 Ehisb.' nat.) "menles:
osquillage, mollusque acdphale, hen & manger.
Ag.) Intrigent, eniremetieur.
T Mzxiıno, s. m. "chevillstie d’une eharrue.
Mexonipa, a. /. "mouvement irtögulier de
on deserdse; nolf |
pr
.o,—
MIC
+ Urxvin,s.m. (f. u Isee S’andienet,
et pour les axdcutions, ent tägoe.
i Mexutıra, s. f. esp6oe d’anubre Kris.
„Meranänn. V. Metade.
EYAR, eic. .
Meras. eie. 1 V, Beis..., 8
Mez,, s. m. mois: douziäme partie de Fannte;
espace de trente jours ou & peu präs; rege:
d’une femme. — de cortesiq, le mois de jen-
vier. Para 0 — qua vem, pour le mois pte-
chain. .
Mtza. V. Hiösa.
Meziva ‚a. f. "mals: gage , salaire d'un mei.
Pension mensuelle.
Mezena. V. Mesena.
+ Mxziano, s. m. (4. de bot.) — meior, me
zörsum, mezärcon, laursole femelle: plaut.
— , "laursale commune, laureale mik.
Mezinua, s. [."medicament, medecine. 'L+
vement, clystäre. ( Ag.) * Remeöde.
M£zinnän, v. a. mödicamenter, dregee.
se, v. r. prendre des romedes, des lau-
ments,
Mezınutıaa, 5. f. bonne femme qui se mik
de denner des drogues.
M£zınutıno, s.m. celul qui (alt le modem.
faux medeein , medicasire.
* Mna. V. Minha.
* Muxu. V. Mew.
* Mania. V. Mole,
Mi, 2.m. mi: woisiäme note de iq gasame. il.
V. Mim.
Miso, s. m. misulement :ı ori du chal.
Musısän, 8. m. (1. de mar.) “ lignerelle: pt
tite ficelle de vieux fil de caret. Bitund : menst
cerde & deux Sie; il reters en deux brims.
MıaLutıno. V. Mesikeiro.
+ Meanina, 5. /."miaulement de plwsiew
chats ensemble.
Mıie, s. m. mise : si du chat.
Miin, u. ». miaular : se dis du ehat qui ct#.
Miismas, 5. m. pl. wnissmes : desamatiunt
morbifques, oomtegieusss ; Ainide adrikzme,
suflocant. ,
+Mim,e. fit dans. phern.) aneilge 9%
sisep de ceing.
MicäntE, adj. 2 gen. (Podi.) resplondiasun,
beillant.
Micaı,, s. f. miche, petit palm
Nuckttı, 5. f. prostituse, guree, SUMMEN
de rempari.
Micntros, 8. m. pl. (& de na.) "garselt:
de la tournerire.
*Nicno. V. Micha.
Mıcızunf s. m. bache avoc Ta 96 freie!
les Cafres pour n’ötre pas ug des cabmad
quand ils rentrent dana les riykören.
Mico, s. m. pelit singe; aspdco de ini
longue quous.
Micnoc&rRaLe, A, adj. uigposcpinje: gel
une
ano 2. m. misnenasme ; peiitssende
On le.die ‚Sbommne, "
«
Ilirsznan. V. Belgwistar. 0. n. Faite le mi-
serabie.
Misznän-sE, ©. r. se plsindre, döplorer. V.
Lastimar-se , Amesquinhar-se.
Mısarivzı., adj. 2 gen. mistrable; malbeu-
retıx. Abattu : sans force, languissant. Avare,
ebiche, vilain, barpasgon.
Miseravzrissino. V. Miserabelissimo.
MiseriveLuente. V. Miseramente.
Misen£az, 8. m. misererö: 50° psaume,
temps ne&cessaire pour le dire. — mei, ou Ob-
licade—, collque de miserere , violente, avec
sortie des excröments par la bouche; passion
iliaque , volrulus.
Mıistnıa, s. f. misere : dtat malheureux,
estseme iIndigence, pauvretd; döntment de
tout. Avarice, Epargne sordide.—, bagatelle,
choso de peu do valeur, —s, *malbeurs, infor-
tunes, desasires, Estar em —, &tre dans la
misere, Passar —s, avoir da malheur, &prou-
ver des infortunes. N
Missaıcönpta , 3. f. misericorde , pitie, com-
passion; gräce, pardon. Casa da —, confrerie
de la misericorde : institulion pieuse en Portu-
gel pour le soulagement des pauvreset des ma-
lades, pour elever les enfants trouv6s, et pour
arvoir soin des orphelins. .
MiszniconnıADOR, A, 8. celui qui compatit,
MiSERICORDIÖSAMENTEB, adv. misericordieu-
sement.
MisesiconnıosissimoO, A, adj. sup. de
Miszaıconnı6s0 , A, adj. misericordieux : qui
a de la misericorde; enclin A pardonner.
Misza0, A, adj. miserable, malheureux. V.
Miseravel. — avartnio , pince-maille.
Mis6nnıuo, A, adj. aup. de Misero. Treös-
mistreble. Döplorable, le plus infortune.
MısıLnid. V. Meailhdd.
Missa , s. f. messe : saorifice da oorps et du
sung de J.-C. | priöres, ohr&menies qui l’acoou-
pagnent. — do gallo, messe de minuit ow du
ehant de coq, le jour de No8l. — de requiem,
messe de tequiem ow des morts. — das almas,
messe dos meoris, ou la premiäre messe avant
le lever du soleil. — nova, premiöre messe
d@un nouvesa pröire. — resads ou caldda,
messe basse. — canldda , messe haule. — son-
veniual ou parschiel, grand'messe. — seca Du
em stco , messe blanche. — de Irds em rongs,
(amt.) grand’messe aveo diaore et Sous-diaore.
— farde ‚la beile messe. Ajuder d —, servir la
messe. Cantar —, dire sa premiere messe, Di-
zer — ‚ dire la messe ou sa'messe. Mandar di-
zer —t, faire dire des mosses.
$ MiSsacanTinte, s. m. prötre qui ohante la
messe. Nouveau preötre qui dit sa premidre
messe. .
MissanO, 8. m. (pP. 48.) nouveau pr@tre :
celui qui vient de recevoir Fordre de prötrıse.
+ Missions, s. f. (1. de mar.) —s das porii-
mkholas, pentures des sabords.
Missän, 0. mn missel ; livre des priöres de la
2 o
‘
MIT 803
Mısainas , 8. f. verrolerie : menne marehan-
dise de verre ; grains,, perles.
Mıssiö, s. f. mission, envoi, obarge, pou-
voir donnd de faire; prötres envoyds pour pre-
cher la fol aux iufdedles ; prödication ; iravauz
apostoliques des missionnaires; pays oh ils
pröchent. (ent.) V. Correio, Mensageiro.
Mıssin, ©. n. et a, dire des messes; enlen-
dre la messe. — alguem , dire des messes pour
quelqu’un.
°F Mıssaria, s. f. grand nombre de megses
qu’on fait dire pour un defunt,
Mıiss£r , messire , titre d’honneur.
Mıissıonäpo, A, 9. 2. de
Missionir, o.a. ein. faire des missions,
pröcher la foi,, instruire comme missionnaire.
V. Evangelizar.
Mıssıonärio, 3. m. missionnaire s ecolöslas-
tique employ& aux missions.
183ivo, 1,&. qu’on jette, qu’on lanoe,
qu’on envoie. Carla —a, letire missive, pour
etre envoyde.
Mısrnın6so.V. Mesieiroso. (fig.) Necessilado.
+ MisräLıa, s. f. bolsson composse de vin,
@eau, de sucre et de cannelle.
Mıstetn, s. m. besoin, necessild, mmanque
d’uno ehose. Ministöre, emploi. V. Mester. Ser
—,etire ndeessaire,, falleir. Haver —, avoir
besoin. seja —, au besoin. B — que,
il faut que. Ndo se fag —, il n’est pas neces-
saire, il n’est pas besoin. Como
comme nous en avons bosoin.
Mıisrkrıo, etd.
Mısrica , eio. | V. Myst..., eic.
Misrtoo,, A, adj. oontigu , parlant deslerres,
eto.
Mistrico. V. Mestigo.
$ Mistırörio, 3. m. ( fam.) melange de cho-
ses ou de personnes en confusion.
Misto, s. m. "melange. adj. Meld, melange,
mixtionne. V. Biizto.
Misröna, o. f. mixtion, melange. Pdo de
— ‚pain fait de farine de divers gralns : me=
ture.
Misronipa ‚9. f. eonfusion, melange. Balada
de diverses horbes.
MistuniDautnte, adv. Henlusement; p6le«
mele.
Misturipo,A ,p. p.de
Misturir, v. a. meler, me&tanger, miztion-
ner. Temp£rer ou Iremper le vin.
MıisturävgL, adj. 2 gen. miscible : qui peut
se meler avec...
MisuLas, s. f. pl. V. Melopa.
Mısöra, V. Mesura.
Mites, s. m. pl. grains de varre enfilds ser-
vant de monnaie a Mozambique.
Mıricar. V. Metical.
Mıricackö, 5. f. miligation, sdoucissement.
Mırıcino, A, p. p. de Mitigar.
MıricaneR, A, 3. eelui qui milige, qui adou-
cit.
Mıricän, v, a, mitiger : adomeis, mederer.
800 MIM
MIN
milice o&leste, chosars des anges. —urbane,| Mmin.V. Amimar.
garde bourgeoise. — s. pl. milices : Iroupes
composoes de bourgeois et de paysans.
MiLictÄnO, A, adj. qui apparlientä la milice.
Soldado — , milicien , soldat de milice.
Mıimicıar , adj. 2 gem. V. Milisiano.
MıiLıtäno, A, adj. exerch ala guerre. p.P.
de Militar.
MıLiTÄNTE, adj. 2ger. militant : qui combat.
Igreja — ‚tglise militante, assemblee desäde-
les sur la terre. s. m. Soldat, combattant.
Mıuıtän , adj. 2 gen. militaire : de la guerre,
du soldat; qui fait professian des armes. Or-
dens —es , ordres de chevalerie.
Miuvis, 0.9. servir & la guerre, suivre la
profession des armes, porter les armes. ı fig.)
Militer. Onle dit des raisons qui prouvent pour
os contre.
+ MıLıtariö, s. m. soudard : vieux soldat.
MıLITARMENTE . adv. militairement.
+ MiLıte, s.m. soldat. V. Soldado.
+MıLLEröLIO, s. m. (l. de bot.). V. Bilfölha.
MiLLENänIO, 3. m. milleuaire : mille ans,
dix siecles.
MıLLgnÄißıo,& ‚adj. millEnaire: «qui conlient
mille unites. —, s. m. pl. millenaires : sec-
taires qui penssient que la terre serait, apres
ie jogement dernier, un parodis pour les elus,
pendant mille ans , sous le r&gne du Christ.
MiLL&nıo, s. m. millenium : mille aus du
regno du Christ, selon les millenaires.
MiLLEP&DES, s.m. cloporte, mille-pieds.
+ MıLL&pora, s. /. mill&pore : production
porcuse des polypes, en buisson, en arbre, en
&toile. — multiforme, millepore solide. — fo-
Ihada , millcpore feuille.— celulada ou relicu-
lada, manchetie de Neptune.
MiLLäsıno, A, adj. eis. millieme : normbre
qui complete mille; ’une des mille parties.
MıLL£sıno, 5. m. millesime : date d'une me-
daille,, etc.
MiıLı, (en comp.) mille, milliöme.
Mırutän, adj. 2 gen. milliaire : qui marque
les mille.
MiLLicrÄMNO, 5. m. milligramme : milliäme
partie du gramme.
MiLLIMgTRO, s. m. millimetre: millieme par-
tie du mötre.
MiLLionäRıo, s.m. millionnaire : qui possede
un million de biens; (fig.) tr&s-riche.
MiLLiongsıua, 8. f. millioniöme ; une des
parties da million.
MrLLion£siwo, A, adj. millionierme ; nombre
qui complete un million.
MıLLörne. V. Mylord.
MıLpes, V. Millepedes.
Mım , pron. pers. (varialion de Eu, cmploye
toujours avec les preposilions a, de, por, eic.,
exceptö com). Moi. V. Mi. Busca-me a —?
me cherchez-vous? Por amor de — ‚pourl’a-
mour de moi, ä cause de moi. Tendes necessi-
dade de—? avez-vous besoin de moi? Por —,
pour ımoi, quant & moi. Que gerd de —? que
deviendrai-je?
fMımıäuso, adj. m. mimiambe ; versiam-
bique, souvent obscöne.
Mimico, A, adj. mimique: qui apparuen
aux ınimes.
Mimo,s. . mime : chez les anciens, wy
de farce oü l’on imitait avec impuden:e ie
actions, les discours , les manjeres de quelyuc
personne connue; acteur qui jouati dam .«»
pieces ;auteur qui les composait. Don, premui,
cadeau ; chose charmante, bijouz. * Cajoierk,
caresse alfectee, mignoterie; delicalewe, kü-
dresse. * Mollesse, . delicatesse, mnignardıse.
| Travail exquis. Faser um —, lsire uncadeau.
Tralar com-—, öire aux petils soins pour quel
qu’un. Menino criade com — , enfanti gaw.
MisoLocia, s. f. mimologie : imitalion de a
voix , du ion , du gesie de quelqu'un.
+ MimöLoco,, s. m. misnologue : exercedam
la mimologie.
Mimösa, s. f. (f. de bot.) — catkecxcirs:
mimosa calechu, acatcie du caclou. —du Au,
acacie d’Egypte, * gominier rouge, vrai acecn.
— do Senegal," gommier blanc.
MımösaMEnte, adv. delicateınent; arec ur
gnardise.
Mınöso, A, adj. lelicat, qui demande beuw
coup de soins. Charınant, delicieux, esqui
Nignard, delicat, eilemine. Doux, tendrr,
iwmiznon. Favori, cberi.
Mina, s. f. "conduit soulerrain pour la car
duite des ecaux. Mine, melaux , mineranı De)
exploites; endroil oü ils s6 forment:; cas“
souterraine pour faire sauter un bastlivn, uB
roc, eic., avec la poudre. Source d’eau.—,
ancienne monnaie greoque. (Ag.) Mıne dor.
chose trds-lucrative. —, deini-setier , inesufm
son contenu. Pör fögod—, faire jouer us
wine (prop. et ig.) Fazer ooar ou rel«alar
a —, eventer la mine (prop. el fig.).
MısäDpo,A,p.p. deMinar.
Mınanon, 8. m. mineur : celui qui trava:lk
aux mines. Sapcur.
MırÄir, v. 0. miner : faire une mine. Greusc:
un conduit souterrain. Consumer. (Ag.) Lber-
cher & spprolondir une chose, ne rien oubir?
pour y reussir. (dd.) Saper, detruire, renie®
ser les fondements d’un &tat, etc.
MınaRES, 5. m. pl. V..Mintira.
Mıniz, adj. 2 gen. menagant.
+ MincuA, s. f. sorte de saerißce des B-
breux, ou l’on ofirait du pain de Beur -
farine.
Min£ina, s. f. niiniere: mine de mesaur.
Mıntiao, s. m. V. Mindire. if. wineur (€:
mine). —,A, adj. apparienant aus mines, O8
il ya des mines ‚terrain).
Mixenagäö,s f. exploilalion des miDes.
Mın&räL, 3.m. mineral : corps söltde or.
argent, sel gemme, etc. , subsiance ieiaL-
que tirce des mines.
Mineräs. adj. 2 gen. mineral: yai appar-
tient aux mıneraux, qui Lient de leur nad
NINSRAUIEAGAU, 4, fı uinsralisah@t : Ouiß-
MOC
Mocid, s. f. motion, mouvenaent. " Mouve-
ment, determination de la volonte. Impulsıon.
( Ag.) Iuspiration divine.
* Mocir. V. Muntezinho.
+Mocanzaalas, s. f. pl. (I. d’Asie) presents
que les reis d’Ormuz faissient aux souverains
des pays par oü passaient les caravanes qui
venaient faire le commerce dans cette ville.
+Mocira,s.f. (.de bot.) " mocaya ou mou-
eaya : ohou palmier de la Guyane.
Mocızinua, s. f. dim. de Moge. Petite üille.
Petite servante.
Moceriö,s. m. jeune homme de belle taille,
fort, robuste. Beau garcon.
Mocrröna, s. f. Alle grande et bien faite.
Möcaı ou ALPROMÖCHA, 8. f. note de musique
ancienne.
Mocuacniu. V. Muchachim.
Mocuipo, A, p. p. de Mochar.
Mocuasüra, 5. f. mutilalion des cornes d’un
laureau, Cio.
Mocsir, v. @. 6oormer, rompre les cornes
un taureau,, eic. V. Möckho.
Mocutra,s. f. (1. darch.) ° ohapiteau de co-
lonnme.
Mocnıciö , s. m. V. Murro, Punhada.
MocsiLa, 8. f. "havresae de soldat. Espe&oe
de caparagon oa de housse de chbeval. s. m.
Laquais qui porte & cheval la valise de son
mattre.
MocuıL£ra ou .
MOCHEANEA } dim. de Mochila.
Möcno, a, adj. &corne. On le dit d’un lau-
resu, d’un belier, etc., & qui on a coupe les
eornes ou qui w’en a point. Taille, dmonde, en
parlant d’un arbre.
Möcuo, s. m. (8. @’kist. nat.) hibou & oreilles
d’äne, petit duc, chat-huant: oiseau de nuit.
Mocico. (pop.) V. Massico.
Mocipipe, s. f. Jeunesse. Bel Age. V. Juven-
Mocinmo, a, adj. dim. de Mogo. Jeune garcon,
jeune ülle.
Möco. V. Muco.
+ Mocö, s. m. (6. des Bresil) petit sac ou ha-
vresac de cuir. V. Surräo.
Möce, s. m. jeune homme; garcon. Valet,
domestique. — solleiro, gargon, celikalaire.
— de mulas, muletier. — da camara, valet de
ekambre. — 'da estribaria, valet d’ecurie. — de
Sonda, gargon de boulique. — da cozinha, gar-
gon de cuisine, marmiton,, galopin. — de recd-
dos , valet de pied. — fidalgo. V. ce mot. — do
gado, (4. de mar.) garde menagerie.
Möco, A, adj. jeune. V. Mancebo. Fulano, o
sois —, un tel, le jeune.
Mocöso. V. Mucöso.
+ Mocotö, a. m. (6. du Bresil) pieds de veau
os de baul, crus ow appräts.
MocozinHo, A, adj. dim. de Mogo. Tout jeune
homme;, toute jeune fille.
Mocvaqris, 3. m. "racine medicinale gbi
vient de Mozambique.
Mocusk. V Macuje,
MOD 805
Möna,s. f. mode, usage, manidre Je r’ha-
biller, etc. Ser —, &ire de mode. £ —, c’est la
mode. Ja ndo d —, ce ıı’est plus la mode, c'est
passe de mode. A’—, a ia mode. —s, pl. air de
violon , de piano, etc.
Moni, adj. 2 gen. Proposicdo —, (1. de
schol.) proposition modale, ui eontient uno
condition ou une restriction.
MoneLino, A, pP. p. de Modelar.
+ MopeLanor, A, 8. celui qui modele, qui
fait un modele.
MoseLäin, ec. a. modeler: hniter en terre, en
cire, etc. (ig.) Dessiner. tracer.
MontıLo, s. m. modeie: exemple & suivre;
patron en relie[; essai en pelit; objet d’imita-
tion ; ( fg.) ce qu’on se propose d’imiter ; exem-
ple qu’il faut suivre dans les arts, les maurs.
+ Möpena, 8. f.(t. de geog.) Modäne: ville
et grand duche d’ltalie.
r Monentz,A,adj. ei s. Modenois, de Mo-
dene.
Monenacid, 3. f. moderation ‚ retenue: vertu
qui retient dans une sage mesure, eımpeche de
s’abandonner & la colere, au luxe, & l’ambi-
tion, & la vengeance, eic.
MODERADAMENTE, adv. moderement, sans
exc&s. Mediocrement.
MoDERADISSIMO, A, adj. up. de
MopezrÄno, A,p. 9. de Moderar. adj. Mo-
dere, termper6 ; sage ; relenu ; &loign& des exots.
Mediocre.
MoneEnADöR, A, adj. ets. moderateur : quia
la direction d’une chose; qui gouverne, qui
rögle et modere (Dieu moderatear de l’uni-
vers). Poder —, pouvoir moderateur: certaines
attribulions du roi dans un gouvernement
constitutionnel.
+ Movenantiswo, 2. m. moderantisme : sys-
t&me polilique des moderes.
MonpERÄR, ©. a. moderer: diminuer, tempe-
rer, adoueir ; mettre des bornes & (ses desire,
ses passions, sa depense, etc.); contenir, re-
primer, rendre modere. Diriger, gouverner.
Moperärk-se (em), v. r. se moderer: avoir
de la moderation ; ( lg.) se contenir ; se tempe-
rer; se posseder ; sadoueir.
+ MopErATivVo, A, 0%
+ MonenaTörıo, A, adj. }
pere.
MODERÄYEL, adj. 2 gen. qui peut se mo-
derer.
Mon£nnamente, adv. nouvellement,, recem-
ınent, chez les modernes, de nos jours.
Mopr.rnice, s. f. chose nouvelle, tout & fait
qui modere, qui
adoucit, qui teın-
'nouvelie; nouveaute, derniere mode. Innova-
tion.
Monersissimo, A, adj. sup. de
MODERNO, A, adj. moderne nouveau, T&-
cent.
+ Moo£rxos, #. m. pl. modernes: auleurs,
artistes, hoınmes des derniers siecles, depuis
cing rents ans apres Jesus-Christ.
MonESTAMENTE, adv. modestement.
Monnsyia, 8, f. modestie: retenue dans la
886 MOD
oondeite , dans les discours (en parlant de sol);
pedeur ; mediocre opinion de soi.
Mosestissımo, A, adj. sup. de
Mosntsto, a, adj. medeste : qui a, qui mar-
que de la modestie / personne , habit, ete.); qui
a de la pudeur (femme —); qui anmonce la
modestie (exterieur, air, mise, conlenanoe,
eio.); reienu dans sa condulite.
Mönıcamsurs, ade. modiquement, mbdio-
erement.
Monıcia. V. Diminuir, Moderar.
Mosmapipe, 5. f. modieits : petlte quantits.
Mosicissıno, A, adj. sup. de
Möpıxce, A, adj. modique : de peu de valeur,
medieore.
MooımncaGiB, s. f. modißcation,, modsratien :
resirielion, adoucissement d’une propesition,
d’une peine, ete.; maniere d’ötre d’une sub-
stance ; action de modißer (une lei, un traite,
eic.).
Mopıricino, a, pP. ». de Modificar.
+ Montsıcan6n , a, 5. celui gei modißie.
Mosırıcia, 0. @. medifßler : mederer, adoneir
(es clauses d’un asie); reatzeindre , moderer
(une lei); donner wn mode, une maniere
dere.
Mopırscarivo, A, adj, medilcatif : qui mo-
diße (Ne sons, Blc.). 5. m. —, eu Kramımaire,
en ie dit d’un mes qui modifie le sons d’um
suire,
Mosıniö, s. m. (6. daerch.‘ modillon : petite
sonsele qui sontient la oorniche, surlous co-
rinthiesne,
tr Mooinma, s. f. dim. de Moda. Chansonnette
qui est en vogue, son sit.
Möpı0 , 8. m. ancieane mesure Fomaine pour
los choses söches;; modius, boisseau.
Monista, 5. 2 gen. modisie : marchande de
modes ; celui qui suit les modes avec exactitude
ot alfeotation.
Müpo, s. m. mode : maniere d’&tre. * Mode-
ration, reienue. ° Politesse , bienseance. * Ma-
niere, (acon, air. —, maniöre d’agir. Mode des
eonjugaisons, ma@uf. —, ton dans lequel uno
piece de musique est comıposee. "Guise. "Mode,
usage. V. Moda. — de tida, maniere de vivre;
elat, profession. — de [allar, maniere de par-
ler. — de escrever, maniere d'ecrire, style.
Ames —, ä ma maniöre. De —, de maniere.
De voutro — , d’une autre maniere. Ndo d’oulro
— pas autrement. D’um — ou d’uulro, de ma-
nidre ou d’auire. De — qus, de maniere que;
ainsi que. Do mesmo —, de meme, tout de
meme. Decerlo —, ainsi que. A — de, en guise
de, & la facon, & l’instar, & la maniere de. Por
— de dizer, par manitre de dire. Cada um lem
seu — de malar pulgas, (fam.) chacun agit ä
sa guise,
ononrA, 3. f. "assoupissement prolond,
sommeil letbargique. ° Temps qui precede im-
müdiatement le point du jour, oü le sommeil
est Ic plus profond. Quarto da —, (1. de mar.)
secouJ quarti des marins sur les vaisseauıx, de-
puis ıninuit Jusqu’au jour.
MOF
Mosonnture, a, adj. Wiharkigue, sope-
rouz.
fMonönao, a, adj. endermi, amsup. L4-
thargique,, soporemt.
MonuLscäö, s. f[. medelatien: suite de ton;
eanforme sauı r6gies: transport d’un chası.
d’eın mode, d’en ten dans un auirc ; Izansillon
harmonieuse. ( Ag.) Melodie.
MeuvLieo, A, p. P- de Modular.
MoprLapen , 9. m. celui qui module.
MoprLin, 9. o. meduler : chanter harmı-
nieusement, faire des modulatiens agresbies,
oomporer un ohamt suivamt bes rögies de Far.
ll est aussi neutre.
MösurLo, s. m. (4. durch.) module : meiun
qui rögie les preportions d’an erdre d’srchiler-
ture. Chant barmonieux, mode, meledie. -—,
diamötre d’une mödsilte. adj. V. Malsdisee.
Motoa, s. f. menmaie : pidee de metal 22
coin de V’Etat, du prinse, eie.; lien eh en Is
bat. ° Argent monnaye. — d’owre eu melde
sim t: medde, memnais d’or da Perto-
gal, valant 33 Ir. 06 a.— false, Iausse men-
naie. Case ds —, hötel de la Monnaie. Baier
— , monnayer, batire monnaie. Pager na meins
— , psyer de meme ztbnnaie, user de protedes
pareils ; rondre la pereille.
Moxpicau,s. f. “ mennayage ı fabricalicn
is meonnais, aclien dp monnnyer. .
Moeotına, s. f. “broyon : instrument qü
sert ä broyer; broie, maque. /Ag.) Lassltude,
(stigue , ennui. Ce qui les cause, Faser a— 4
siguem, taquiner, tsurmenter queigu'en.T.
M
Mozpäino, 8. 9. Monnayenr ı qui Iravaille 2
la monnaie avec aulorisatiem.
Morpen, s. m. broyenr : celui qui breis, qui
moud.
Mosnöaa, 8. f. * breiement : aetion de broyer.
Mouture : astien de meudre. La quaaüts dr
lives qu’on met & la fois au moulin. Qusnbte
de bl& qu’on monud ä la feis.
Motca, 8. f. tremie de moulin.
Motıa, 8. f. "gesier: deuxidene venincult
des oiseaux graniveres,
*Moe£ıua. V. Modde.
Moanpa, s. f. "moulin, mewie de meulis:
lieu oü sont les monlins; oylindre de meui
& sucre.
Mo£nca. V. Monde.
Moßr, o. a. moudre. Broyer. Piler. (Ag.! Ex
nuyer, imporluner, assommer par 868 ;
affliger, molester, tourmenter. (id.) Meudtt:
lasser, (atiguer. User, gäter, detruire par Pu
sage. — com pancadas, assommer, rouer ö
coups , battre ä outrance. — a pacientia, (19.
fatliguer par ses instances, assominer par 5%
propos, etc. Pedra de —, pierre meulifre.
Möra, s. [. moquerie, risee , derision. *Per-
sillage. Faser — , se ınnquet.
Morino, A,p.p. de Hofar.
Morapön, A, 3. moqucur, rajlleur, persil-
fleur.
nat
Moranöra. V. Möfa.
Mori (de),o.n.se moquer, railler, bafouer.
di. 0. a. ein, Faire moisir; moisir.
Morancıno. V. Mofaddr.
Morirnas, s. f. pl. ımoqueries grossidres,
lourdes plaisanteries.
Moritra, 3. f. contrat mohatra, usuraire,
en vendant tr&s-cher, & credit sur obligation,
billet, eic., et rachelant, & vil prix, au comp-
tant.
Morıreäö, s. m. celui qui fait des mofalrae.
V.ce mot,
Morina, s. f. mesquinerie. *Malbeur; mi-
re.
Morixam&nts,, ade. mesquinemen!. Malheu-
reusement; miserablement,
Morınkza. V. Avareza. |
Morixo, A, adj. mesquin, ladre. Malhet-
reux, miserable.
Möro,s m.* moisissure, chancissure ‚moisi.
(t. de bot.) Bissus: plante de la famille des at-
gucs, esp&ce de mousse. Uriar — ‚se moisir, s®
chancir. Cheirar a—, genlir Penferme.
Moröso, A, adj. möisl, qui a du moißl.
Morr:. V. Mufli.
Mocincas, s. [. pl. grimated, kestes, con-
torsions.
Mocancußino, A, dj. grimatier : qui fait
des grimaces.
Mocasctice, s. f.grimacerle. V. Mocangkice.
Mocaris. V. Mogorim.
Mocavar. V. Almögaraf.
*+MöcEinä, s. J. vieille matjwetelle.
Mocenıriva. V. Moxinifäda.
* Noczoti ou Mocegcist, dim. de
+ Moci ou Moxci, s. m. ahcien vöteittent
d’hoinines et de feinhies en deull.
MocıcixcA,s. f. ihascarade que falsatent la
nuitl les corps de metıers, et of P’on se degulsait
surtout en animaut. Chose ridiedle falte pour
se modier de quelqu’un. Momerie.
Möücb, #. m. *borne : limite pour fa division | q
des terres.,
+ MocöL, s. m. (f. degdog.) Mogol ou Mogo-
listan, empire del’Hindoustan. Grdo —, Mogol,
ou grand Nogol : eihperedr de PHindoustan.
+ Mocön, 3. m. V. Mogdl. adj. ei s. 2 gen.
Mogolion ; des etals du Mogol.
Mocoriw,öd/.f. Aösa —, rose duJapon,ca-
melia.
+ Mocöncıa, 8. f. (t. de yeog.) Mayence.:
ville ys d’Allemagne.
* 2»Moınciöou —com , s. f. nombre demuids
qwon payalit de ces.
Motbo, A,P. pP. de Mor. adj. Las, fatigue,
harasse, recru.
MoIntnto, 8. m. "Inssltulle. V. Ouebrania-
merto.(vieaz) Monument, mansolte.
*Moixp£ıra.V. Moleira.
Mointix, s. f. eriblure. Paille tres-menue.
® Bourriers.
“Moinneına,s. f. "moulin A froment.
Moixno, s. m. moulin : machine A moudec
du grain. — de vento, moulin ä vent. —d’ayua,
MOL 807
moulin & eau. Pedra de —, pierre meulläre.
Levar aguo ao seu—, (fg.) [aire venir Teau’ä
son moulin,, 86 procurer du profil par son ia-
dustrie.
Mdıo, s. m. muid : mesurede grains, de sel,
(60 alquiers portugais. V, Alqueire). Mesute
de 288 pintes.
*Moıom. V. Mögo.
Moınid, V, Mourdo.
*Noısem, 5. m. * ordonnance juditlalte.
Moıti0. V. Mostdo.
Möua, s. f.“ressort (de montre, ete.); (fig.)
moyen dont on se seri pour faire r&ussir quei-
que dessein. Möle : masse de chair Informe
dont une femme accouche. Eangue : grande
tenaille pour tenir les flans. — real, grand res-
sort. — do relogio de repeligdo, poussolf.
Mori, s. m. (ti. dAsie) Jufisconsulte chez les
Mogolıens.
MoLina, 3. f. moulee : boue de la meute du
remouleur.
Mouinas, (f. burl.) V. Molanqueir&o.
MoLAncAO 0% (f. burl.) may, 14-
MoLANQuEIRÄÖ, ONA che, efferhih@, pa-
MoLAangt£ırd, A, adj. tessenx, sans rOu-
tage, sans vigueur.
Mori, adj. 2 gen. molafre : det —) di
sert A broyer. Frulas —i, fruits dont le noyou
se separe aisöment, Denies —es , dents molaites
ou mächelieres.
MoLanixnA, ädf. f. Herva — , Tumkierre. '
MoLvip0, A, Pp.p. de
Moıpir, 6. &. mouler. V. dusocklar. Faire des
mouluros.
+Mouoivık, 8. f. (l. de og.) Moldavıe :
zontrö6 @Europe, pfineipauts tributaire du
urc.
_ Moupivi, s. f. (t. da bol.) mofdarkıne : me--
lisse de Moldavie, des Canaties, draddttphiale,
plante labiee. '
+Moıvivo,Aa,adj. et s. Möoldave: de la Mol-
avie.
MöL»ps, s. m. moule : maliere creuse pour
donner la forme au mötal fondu, au plälre, a
la cire, eia; tout ce qui sert & Jonner la
forme. Pairon,modele, ee
)
Modele : exeinplaire qu’il faut suivre.
"Idee, desir, voloni6. Garacidre d’imprimefie.
V. Typo. De—, ä propos, fort bien, parlaite-
ment.
Morazin. V. Moldar.
Moıpöra, 8. f. moulure ; ornement d’archi-
teciure et de sculpture; * cadre d’un tableau,
Doucine : swulure ondoyante, Convaze 88con
eavc. —s, pl. madenature ı moulures d’archi-
tecture. ° Placard : menuiserie au-dessus d’une
porte. — da euldira da pira, plate-bande do la
enlasse d’un eanon. — de espalda, cul de
lampe.
+ Moıprräcem, 8. f. modenature : meulu-
res d’archilecture.
Moınvräno,p. p.de
+ MuLovräsn, o. a. faire des monlurfes,
80% MNA
Mırtcarivo, A, adj. qui mitige, qui adoucit :
genitif.
MNıticatönıo. V. Mekigalıvo.
Mıriuno ,s. m. vin fort estiime des ancions.
MrroLocia ‚eic. V. Mytologia, etc.
Mirtra, s. f. mitre : ornement de täte des
&v&ques. Ornement de löle des anciens Perses.
. npiscopat: dignite des eveques. * Diocöse, dv&-
e.
Mırrino,, A, adj. mitrd : qui a droit de por-
ter la mitre.
MırR£ra, s. f. ancienne mesure de liquides,
almude.
MıTripäTico , A, adj. du mithridate.
+ Mıraipiro, 5. m. mithridate : especo de
theriaquo ou d’antidote.
* Mıtao. V. Manipulo.
+Mırö, (1. d’hist. nat.) V. Hocco.
Mıiöga,, s. f. V. Maunga. —s, pi. V. Miungas.
MıiucäLpas, s. f. pl. petits mdrceaux, par-
celtes ‚, fragmenis, debris.
MiüDAMENTR , adv. par parcelles. Particuli6-
rement : en detail, par menu, avec bekucoup
de petitesse ; avec une atienlion minulieuse.
Mıüvin. V. Amiudar.
Mıüns (A), ade. souvent.
Miüptza , s. f. pelitesse; delicatessa. (fig.)
Altention scrupuleuse dans l’examen d’une
chose; deötail cireonstancie.—s., pl. menus ob-
jen. Minuties, bagatelles.
IÜDINHO, A , dim. .,
MıiüDissımo, A , #4p. de Miüdo.
Mıipo, A,adj. menu, grele „delie; petit, qui
fait peu de volame. Peu important : qui ne me-
rite point d’attention. On dit en parlant Je la
populace : menu peuple. Minutieux : eract jus-
qu’au scrupule; fait avec soin. Petit, parlant
des monnaies. A — ,souvent, continuellemest.
Por —, par le menu, en detail, ires-exacie-
ment. —s, pl. menues parties du dedans du
cochon, etc. it. Menuailles : menue monnaie.
MıöLLo, s. m. " piece d’une roue de chariot,
moyeu.
Mıiöngas, 8. f. pl. menus fruits. Petits objets.
Disimo das — , dime sur les menus fruils et
sur de menus objets, comme wulfs, pouletis,
cochpns de lait, else.
Mıxenıcan, eilc. Mexericar, etc.
MıxıLnäö. V. Mexilhdö.
MıxoLY’10,, adj. ot 5. m. seplimo ton de la
musique grecque.
Mıxtiö,s. f. mixtion, melangce.
+ MixTaribe, 8. m. nom qu’on Jonnait aux
Chretiens qui vivaient meles avcc Ics Arabes.
V. Musarabe.
MıxtiLineo, A, adj. (l.de geom.) nıixtiligne :
(figure, plan) termine par des lignes droites et
courbes.
Mıxto, A, adj. mixte, melange.
Mıxro, 3. m. mixte: corps mixte, compos®
d’elements heisrogenes. Sorte de collation que
prepaient les precepleurs de couvenis avant le
relectoire.
T Mara, s. f. mine ; monusie ancienne, livac.
MOG
+ Muzuönıca, 5. /. mnemenique : art de
classer des mots, des faits, eic., dans la sme-
moire, de l’augmenter.
MNENOTECHNIA, 5. f. mnemolechnie : art de
fortißer, de cultiver et nourrir la memoire.
Mo, MA, NOS, mas, un plußdim’o,m’aA, m’0S,
N’AS, pour me 0, me a, me 08, ME a8, Die k,
me la, me les. Disss-mo, ıl me l’a dit. Des-
mos, vend£o-mas, il me les a donnes, il me les
a vendues.
Mö, s. f. meule de moulin; meule A aiguiser.
— de baixo, — de cims, moule gisanle, meule
courante. — da boeca, dent mächeliere. —
genle, rond, cercle, multitude. Ainde que cho-
wessen mös de moinho,, ( fam.) quand il pies-
vrait des hallebardes.
+ Moas, s. m. (ti. de geog.) pays de Moab,
dans l’Arabie.
+ Moasitas, s. m. pl. Moabites : anciens per
ples de l’Arabie.
MoheEN ‚s. f. action de moudre. Mouture.
Moir. V. Mangodl.
Mösıt, 5. m. mobile, moteur. adj. Mobile:
qui se meul, peut eiro ınü; leger, ianonsianl
V. Movel.
Moßiura , &. f. "mobilier : tous les meubles et
eflets rassembles.
+ MosıLıär, v. @. meubler : garnir de meu-
bles (une maison, un appartement).
MosıLipipe, s. f. mobilite: facult& qu's
corps de pouvoir @ire Wansport£ d’un lieu dans
un aulrc, aplitude & etre mü; (flg.) incom
stance, legerete.
MonıLissıso, A, adj. sup. de Mobil.
"+ MosıLızär, v. a. mobiliser:: rendre mobüe
un cogps de lroupes sedentaires.
Möca, s. f. moquerie. V. Zomberie. Prise.
Fazer —, plaisanier, badiner. Iso d — ‚c'est
une plaisanterie, vous plaisantez.
+ Möca ou Möka, 8. f. (8. de geog.) Moces,
Moka ou Mokha : ville et port d’Arabie. Cafe de
— , moka, caf6 renomme.
Möca , 5. f. jeune fomme. Servante , demesi-
que ; bonne. Maitresse , amantie. V. Moge, adj.
— de fortuna , fille de joie, prostitude. — caas-
doirs, fille mare, nubile. — de camare , femme
de chambre. E 56a —, elle ost bien.
Möga. V. Mösse.
Mocapiö, s. m. (4. d’Asie) pilote, patron de
vaisseau.
Mociro. V. Alordö.
+ Mocaoa , s. f. (t. de bot.) mocaga: palamxt
de Cayenne.
Mocıımid. V. Mooeldö.
Mocauios,s. m. pl. Calkambila, Fugiie.
Mocanusinuo, dim. de Mocambo. Pete ca-
bane, au Bresil.
+ Mogansiqgug, 5. m. (. de geog.) Mozain-
bique: ville, royaume, cöto d’Afrigae.
Mociuno, s. m. (4. du Bresil)*cabane, rbau-
miere. V. Quilombo.
Mocaxotsıa0, A ‚adj. (1. durt.) V. Hoquensn.
Invencioneiro. i
Mocanqrice, s.f. {t.burk.) grimace, cajoRTT®
... oo. nun < Paare
MON
+MOoLLicENM , 8. f. (6. de bei.) ° gakliat biane : } rnlöre elassndes vegdiaer;
lloase. V. Moläöse.(fg.)'
plante.
MorLönı, 08
Morwöaıa, &. f. ) * Patolinage. Petite ronte,
} MorLiscos, s. m. pl. (1. hist. nat.) mol-
lusques : vors imper/ails ; animaux sans vort-
hres, inarticules, & chair molle,
+ MoLöacHo, s. m.{1. d’Mst. nat.) molorque:
coldoptere.
Moıösso, s. m. molosse : esptoe de gros
ebien, dogue, mätin ; pied de vers latin de trois
syliabes longues.
f Mowlcas, s. f. pl. (l. de gdog.) Meluques :
lles de la mer desIndes, sous la ligne,
MoLöra. V, Mollüra.
Möua , f. de Mömo. V. oe mot.
MONENTANBANENTE , adv. momentandenent:
Passagerement; pour os pendant un moment.
MOoNMENTÄN£O, A, adj. mameniand : qui ne
dure qu’un moment.
MoMENTO, 8. m. moment, instant, temps
fort court ,petite partie de temps. “ Importance.
(4. de mec.) —, produit de la puissance du le-
vier; quanlilö de mouvement, Acada —, &
tout moment, & tous momenis ‚sans cesse. No
— preciso, & point nomme. Ao—, Al’instant,
sur-le-champ. Por —s,ä tout moment, sans
cesse.
Mou£xTo, a, adj. grimacier.
Mona. V. Mumie.
Mouicg, s. /. momerie, singerie, affeciatiom
ridicula.
Möwo, s. ın. (l. de myth.) Momus : dieu de la
satire, lo bouffon des dieux. Geste : ligure;
grimace pour faire rire; singerie. * Represen-
lation mimique, mime (farce et actour).
+Mouürı, s. f. (k. d’hist. nat.) ° momet:
passereau d’Amerique, denlirosire.
MoupsLn£a, s. m. (1.de geog.) Montpellier:
ville de France.
Moueost£ıno. V. Mamposieiro.
Möna, s. f. guenon : singe femelle. (Ag.)
Ivresse. — enfeildda, (Ag. fam.) guenuche
ooiffte : femmıe laide ei fort parde.
MonacäiL, adj. 2 gen. mouacal ; de meine.
MOonACALMENTE, adv. monacalemen! : d’une
smaniere ou [acon monacale,
MONACiTO , ow monachisme : tat des
MONACHISMO,, 3.m. ) moines, ° Moinaille,
Monacönnso. V. Monocördia.
Monipa, s./. mine, grimaoe , gesie allects,
singerie.
Mönapa , 8. f. (6. de phys.) monade : 6löment
simple des #tres suivanı Leibnitz. (4. #Asst.
nal.) * Monade : ver polype ameorphe, infu-
soire.
+ Monapkıpura, 8. f. (t. de dot.) monadel-
phie : seizieme classe des vegdtaux.
+ Moxsapneırno, A, adj. (1. de bot.) monadel-
phe. Estames —s, 6tamines monadelphes, r&u-
nies par leurs flleıs.
+ Monubista, adj. eis. m. meonadisie : par-
tisarı du sysidıne des monades,
Monäspnu, 5. f, (l. de bot.) monandrie ; pre
MON 809
tedite une
&taminco, sulvant ie systöme de Linne.
+ Monäneao, A ‚adj. (1. de dot.) monandre :
qui n’a qu’une etamine.
Monıeviste. V. Monaskisme.
Moninca,, ow monarque : ostel qui a
Monisncaa , 5. m, | seul lopeuveir souverain
dans un grand 6tat. (Ag.) * Onpltale, mötropole.
Monancnia ,s. f. monarehie : gouvdemenent
d’un etat regi par un soul chef, unrol; cet
dtat.
+ Monancztunr, 9. 6. 08 9. geuveruer on M6-
narque, faire le monargue.
MonÄncHicau&ute, adv. monarehiquement,
onAucHtcO, A, adj. menarehigue : de la
menarehie ; gouverne par un monarquo.
+ Monäacmcos, s. m. pl. menarchiques : he-
retiques qui n’admeltsient qu’une sowie per-
sonne dans la Trinite.
+ Monascnista , s. m. monarehiste, moBar-
chien : partisan de la monarecbie. j
+ Mowancnömaco, A, ul. ei s. m. qui est
contre je menasgue ou conire ja menarchie.
Moninsa, s. f. (8. de bof.) monarde : planie
labies de ’Amerique du Nord.
Monania, s. f. singerie. V. Meondda.
Monangria , eto. V. Monarchie, ete.
Monisticauäura, ade. sulvanı les rögles
uos; & la manidre des moines.
Monxästico, a, adj. : qui tient
du menasiöre; qui oancerne los moines, les
religieuses.
Moncin, v.». V. Assodr-se.
Mougiö,s. m. (f. de mar.) meusson : venis
periediques de la ıner des Indes; leur salson ;
courant forme par ie vont. (Ag.) Ocsaston op-
ne.
Mönco ‚se. m. *morve : humeur visqueuse des
narines. — do perd , exoroissance charnue au
bee de dindon.
Monconas, s. f. pl. grimaces feines.
Mönces, s. m. pl. (1. de bet.) ° quaue de re-
nard : plante. V. Brodes vermeihos.
Moscöso, A, adj. morvenx: qui a delamorve
au ne2.
Mönpa, s. f. sarclure, aclion de sarcler; ce
qu’on atracke en sarolant.
Monsantına,s. f.sarcleuse, femme qui sarcle.
MoNDAB&nTEs , 8. m. cure-dents.
Momivo, A, p.p. de Mondar.
MonnapoR, s. m, sarcleur : qui sarcle. Sar-
oloir : instrument pour saroler. — dos oweidos,
eure-oreities.
Mowupanöna. V. Monde.
Monpir ‚v.a. sarcler, arracher lesmauvaises’
berbes. (Ag.) Monder , nettoyer.
Moxpirwän, etc. V. Mundificer , oto.
Monnpönco, 8. m. * tripes : intestins d’ani-
maux de boucherie. V. Debulho,, Devenire.
Monponco , a, adj. sale, malpropre.
Monponcutina, 8. f. vendease de tripen. V.
Tripeira. Gaupe, fomme malpropre. ,
+ Montına, s. f. (6. demar.) * bourrelet ow
haurlet : cordages putaelsads aulour des MAIS
808 MOL
+ MoLpuntıro, s. m. celui qui fait des mou-
lures.
Möıg, 3. f. grande, grosse, lourde masse.
Grandeur, volume. s. m. V. Mölhe.
MoL£cuLa, s. f. molecule : petite partie or-
anique.
Moußıaa, s. fameuni£re. V. Mollfira.
Moui:ao, 3. m. meunier : qui gourverne los
moulins ä bie.
Moıtına. V. Molkika.
MoL£quz ,s.m. petit nögre esclave ‚nögrillon.
Moıszstino, a. V. Moldsto. p. p. de Molestar.
MoLäsramause, adv. d’une manidre impor-
tune, fächeuse.
Mouszstär (com), v. a. maltraiter. Tracasser,
molester, vexer, tourmenter.
MoLestän-sE, 0. r. s’aflliger, s’Inyuleter.
Mou&stia, s. f. fächerle, ennui, chagrin.
Incommodits : peine que eause une chose in-
commode. Indisposition, maladie.
MoLestissımo, 4, adj. sup. de
MoL&tsto, A, adj. fächeux, ennuyeur, im-
. Lassant, deplaisant, ennuyant, in-
eommode, assiögeant, genant, qui gene, qui
oontraint. Indispose, malade.
Mouzstöso, A, adj. fächeax. Incommode,
V. Penoso.
MoL&ra, s. f. molette : cöne de marbre pour
broyer les ooulenrs. Sorte de bateau de p6-
cheur. V. Muldta,
Moıuipo, A, p. p. de Molhar. adj. V. Ma-
Ihddo (p. us.).
Moınapöaa ,s. f. mouillure: action de mouil-
ler, ses offels ; #tat de oe qui estmouille. * Pour-
boire, gratilication.
"MOoLBANÄNTO, 5. m." mouillure.
Moınia (com, em), v. a. mouiller, tremper,
kumecter, rendre humide. — a sopa, tremper
la soupe. — a palavra, (fg.) se rafraichir le
gosier, aller boire au cabaret. — os pds, (Ag.
fam.) s’enivrer, se sohler.
MöLng, s. m. möle, jetde de pierre & Yentree
d’un port.
Moıntıua, s. f. ospäce de collier feit de
psille que les portefaix mettent au cou pour y
appuyer les fardeaux, etc.
Moısta,etc. V. Mulher, etc.
Moımsuin. V. Mollinkar,
Möusinno, dim. de Mölho. Petite botte (de
paille, de foin, d’oignons, etc.). — de flores,
bouquetide fleurs.
Nouninno, dim. de Mölko.
Möruo, s. m. faget, falourde. Faisceau, botie
(de paitle, de foin, d’asperges, eie.). ° Gerbe
de bie. (beri. p. us.) * Epee.
Möıno, 8. m. "sauce : assaisonnement 1i-
quide, sale ow &pice. Deiter de —, macörer,
faire tremper un corps dans un liquide.
Mornosinno. V. Molhinko.
Morıricar, etc. V. Mollificar, etc.
MoLıntte, s. m. meulinel : espece de tour-
niquot Pour enlaver on lirer des farlleayx,
MOL
MoLMmmÄR, v. @. ou w. mondre au monlin.
"Mouısatıra, 5. f. V. Moinho, Alafona,
MorınaiLo, 3. m. petit moulin ä cafe, etc.
Mouınis40o, s. mw. Molinisme : opinion de
Molina sur la gräce obienue par le scul amour
de Dieu ; quietlisme,.
Mouınista, a. m. Moliniste : partisan do Mo-
lina, qui crolt & la gräce suffisante.
MoLınöte. V. Molinete.
+ MorLan, adj.2 gen. quiooncerne la meule.
Qui peut moudre. Pedras —es,, pierres meu-
lieres. V. Molar.
MüLıg, s. w. V. Möla,
MöLLz, adj. 2 gen. mou, tendre : qui n'est
pas dur. —, läche, eflemine. Ovos—ı, wuls
mollets ; confiture d’auls, Pdo — ‚pain tendre,
mollet. Molle —, loc. ade. petit & petit, peu ä
peu, lentement, doucement; & petits pas.
Morutina, s. f. *sinciput; sommel de la tkle,
fontanelie. N4o ser fechado ou cerrado a—,
(Ag.) avoir peu de jugement. Por osalns—,
(id.) rendre sage a force de corrections, de
chätliments. Ser duro da — , &ire tötu, opinid-
ise. Avoir la töte dure, &ire lent & oomprendre.
Ter jd dura a —,n’6tre plus en &lat, dans
Päge d’apprendre.
+MoıLtra, s. f. “ris de veau, glande sus
la gorge de cet animal,
MoLLEuEnTg,, adv. mollement.
MoLLenauginiö, etc. V. Molanqueirdo, ei.
MoıLgriö, s. m. molleion : etoffe Ir&s-doucn
et molleite de laino ou de coton.
MorL.äts, adj. mollet, tendre (pain).
Morıtza, s. f. mollesse : qualits de co ui
est mou ;(Ag.) manque de vigueur, de fernels,
vie oisive et voluplueuse,
MoıLezingo, a,adj. dim. de Molle. Un pen
mou; qui n’a pas beaucoup de vigueur, ui
est encore frais, tendre.
MouLicıa,, s. f. mollesse, delicatesse, deli-
ces, paresse voluptueuse. V. Mollicie.
Moricıg ,s. f. " peche contre nalure, maß
turbation. V. Mollicia.
Moıuıni0, s. f. delicatesse de tempöranıenl.
V.Molieze,
Mouusicaci6, s. f. * amollissement : action
d’amollir. Mollification : action de mollißer,
sos elleis.
MoLLisicino, A, 9. p. de Mollifcar. el.
Amolli.
MouLuiricänte, adj. 2 gen. amollissant, qui
amollit, p. a. de
MouLsricir, ©. as. amollir : rendre mon.
(t. de med.) Mollitler : rendre mou et Auido.
MoLLisicaTivo, A, adj. mollifiant : qui send
mou et fluide.
MoLLinHaA, s. f. bruine, pelite pluie douce.
MorLummär, v.». bruiner, pleuvoir legire
ment. V. Chuviscar,
MoLLinno, A „adj. dim. de Molle. V. Meildie.
MoLLinu6so, A, adj. bruineux.
Morin. V. Mequiner.
MorLıta. V. Eiche.
* MoöLıo, Y. Mölho,
MON
MON 809
de
TMoLzdcku, 8. f. (1. de bei.) * geillet biane : } miöre elassedes vegetaux; hermaphrodite Aune
Blante.
MoLLöaı, ou Nmoliesse. V: Molidse.(fig.)
Morwöasa, s. f. )" Patelinage. Petite roste,
} MorLiscos, a... (1. d’kist. nat.) mol-
lusques : vors imparfails ; animaux sans vortö-
hres, inarlicules, & chair molle,
+ MoLöncuo, s. m.(1. d’Mist. nat.) molorque:
coldoptere.
Moıöss0, s. m. molosse : espäce de gres
ebien, dogue, mätin ; pied de vers latin de trois
sylliabes longues,
TMoxtcas, s. f. pl. (l. de gdog.) Meluques :
tles de lamer desIndes, sous la ligne,
Mo.öra.V. Mollüra.
Möua , f. de Mömo. V. oe mot.
MONMENTANBAMENTE , adv. momeniandment:
. Passagerement; pour os pendant un moment.
MouMENTÄNEO, A, adj. momentane : qui ne
dure qu’un monıent, j
MOMENTO, 3. m. moment, insiant, lemps
fort court,, petite partie de temps. * Importance.
(£. de mec.) —, produit de la puissance du le-
vier; quantlilö de mouvement. Acoda —, &
tout moment, &ä tous momenis ‚sans cesse. No
— preciso, ä point nomme. 4o—, Al’instant,
sur-le-champ. Por —s,Atoul moment, sans
cesse.
Mo=M£NXTO, Ag adj. grimacier.
Mönuıa. V. Mumia,
Monice, s. /. momerie, singerie, alfecialion
sidicul>.
Möwo, s. m. (l. de myth.) Momus : dieu de la
satire, le bouffon des dieux. Geste : figure;
grimace pour faire rire; singerie. * Represen-
tation mimmique, mime (farce et acteur).
Mowöra, s. f. (l. d’hist. nat.) ° momot:
passereau d’Amerique, dentirostre.
MOoNMPSLBER, 3. m. (4.de gdog.) Monipellier:
ville de France.
Monupost£ino. V. Mamposteiro.
Möxa, s. /. guenon : singe femelle. (Ag.)
Ivresse. — enfeildda, (fig. fam.) guenuche
coiffee : femme laide et [ort paree.
MonacäL, adj. 2 gen. mouacal : de meine.
MonAcALMENTE, adv. monacalement : d’une
maniere ow [agon monacale.
MONACATO , oW monachisme : 6tat des
MONACHISMO, 3.m. ) moines. " Moinailie.
Monacönpio. V. Monocördie.
Moninı,s.f. mine, grimace , gesie afects,
singerie.
Mönapa , 8. f. (f. de phys.) monada : &ldment
simple des £&ires suivant Leibnitz. (4. d’hist.
sat.) * Monade : ver polype amorphe, infu-
soire.
+ Monaptıpgia, 8. f. (fl. de bot.) monadel-
phie : sceizieme classe des vegetaux.
+Moxape&ıpno, A, adj. (f. de bot.) monadel-
pbe. Estames —s, Stamines monadelphes, röu-
nies par leurs fllets.
+ Monapista, adj. eis. m. monadisie : par-
fisarı du systdıne des monades,
Moninpnta, 3. f, (4. de bof.) monandris ; pre-
etamine, suivant ie sysidıne de Linne.
+ Monänsao, A ,adj. (i. de bot.) monandre :
qui n’a qu’une &tamine.
Monıguisuo. V. Monachisme.
Moninca, ow monarque : oolui qui a
Monäncaa , 8 @. | seul lopouveir souverain
dans un grand &tat. (Ag.) " Capitale, mötropole.
Monanchia ,s. f. monarehie : gouvermsment
d’un e&tat rögi par un seulchef, unrol; cet
dtat.
+ MONARCHLAR , 9. 6. 06 9. BOUTEFNEF OR MO-
narque, [aire le monarque.
MONÄRCHICANENTE , adv. monarchiquement,
MowäncHico, a, adj. menarehique : de la
monarchie ; gouverne par un menarque.
+ Monäncnicos, s. m. pl. monarchiques : he&-
retiques qui n’admettaiont qu’une seule per-
sonne dans la Trimits.
+ Monancnista , s. m. monarchiste, monar-
chien : partisan de la monarchie. j
+ Mowancmömaco, A, adj. et s. m. qui ost
contre le monarguo ow contre la monarehie.
Moninpa, 5. f. ($. de bof.) monarde : planie
labide de !’Amerique du Nord.
Moxasia, s. f. singerie. V. Mondda.
Monangtia , ete. V. Monarchie, ete.
Monisticautnıs, ade. suivantı les rögles
monastiques ; & la maniere des molnes.
Monästico, A, adj. monastique : qui tient
du meonasiöre; qui voncerne les moines, les
religieuses.
Moncir, v.n. V. Assodr-se.
Mongiö, s. m. (i. de mar.) mousson : venis
psriodiques de la ıner des Indes;; leur saison ;
courant forme6 par le vent. (fig.) Occasion op-
portune.
Mönco ‚8. m. "morve : huameur visqueuse des
narines. — do per& , oxcroissauce obarnue au
bec de dindon.
Moncöuas, s. f. pl. grimaces feinies.
Möncos, s. m. pl. (4. de bet.) ° queue de re-
nard : plante. V. Bredes vermeihos.
Mowcöso,, A, adj. morveux: qui a dela morve
au ne2.
Mönpa, s. f. serclure, action de sarclor; ce
qu’on arrache en sarelant.
Monpantına,s. f.sarcleuse, fommequisarele.
MonnaD&nTEs,, 6. m. cure-dents.
Monvivo, A, p. p. de Mondar.
Mowpanon, 5. m. saroleur : qui sarele. Sar-
oloir : instrament pour sarcler. — dos ouvidos,
eure-oreilles,
Monpaoöna. V. Monde,
Monvin ‚u.a. sarcler, arracher lesmauvaises’
herbes. (fg.) Monder , nettoyer.
Monpıricia, etc. V. Mundificar,, eic.
Monpönco, 3. m. *tripes : intesiins d’ani-
maux de boucherie. V. Debulho , Devenire.
Monnönco , A, adj. sale, nıalpropre.
Monpoxcrkina, s. f. vendeuse de tripes. V.
Tripeire. Gaupe, femme ınalpropre.
+ Montına, s. f. ($. demaer.) * bourreiet ow
baurlet : cordages antnelasos aulour des mAlp
810 MON
pour les fertifier, pour tenir da vorguns saillie
en rond , renlomens on anneaN.
Montra, &. f» (1. de mer.) bennetis : petite
voile.
Moxerirıe, A ‚adj. ruondtaise, (syohdike -—-)
des monnsies; quiyara Das
Montes, 0. 0. V.
u Monrania. Vv Fer
tMousmariro, s. m. (t. de gdog.) Mont-
forrat ı provinse d’ltalie.
+ Monti, s. m nom de certains Maures qui
vivalenı de
Monce. V. one.
Monsta, V. Bungir.
+ Moncındao, & m. (4. de gdog.) mont Gibel,
Eina : monlagne de Sieile qui brüle teujeurs.
Moncis, 0. m. habit de religieuse, de veuvo,
de femme en deuil.
Möncus, s.m. (1. d’hisl. mal.) mengeus ı maki
brun, espöpe de singe.
° Moncr. V. Mongil.
Monne „s. m. tignon , tortillon, shigumen : cer-
ele quo Jes femmes lorıneni areo leurs oheseux
sur le baut de la 165. Fanx toupei pour les
femmes chauves.
Monınturo, V. Monumensie et Moimersto.
Monıröpıo. V. Monopölie,
Monin , 6. (1. de prat.) edmonester.
rt ‚6. m. monileur : qui avamit., gei
denne des sensells.
Mouırdas, s. f. "menliaire, meniterial:
MonıtorıaL, adj. 2 gen. monitorial : eu lorme
de monitoire.
Monstönso, A, ady. qui avertit, meniteklal.
Monırösıo, e. m. menitelre ; letire de I'offl-
cisl pour foreer A rovoler un crime.
Mönsa, s. f. religieuse d’un ordre menacal.
VRR
Mönsk , s.. meine; solilaire, anachordie. O
habilondo fazo—,l’'habil ne fait pas le moine.
Möno, s.m. (8. #’hist. nal.) singe: quadru-
mane; grand singe, Marmot : gres siage. ( ig.)
Feinme iwwdw-leide, — oranguiange, lorang-
oulang. — longimene, gibbon. — oimmenid,
wouwou. -- froglodita, chimpanse. Joeko de
Nuffon. -- pasdz , guomon. » cAllüriche , valli-
triche. — variegado de Barbaris, " mene ou
vieillard , singe vario. — da barba branea, ro-
Inwai. — da bigedes brancos, meusise, -- de
nariz branco d’Augole, blanc nea. — ansigdd,
uasigue, — de beige rachado , macaque, —» cas-
quelsade da Chiae, bonnet chineis. — papido,
papion. — cynocephalo, magot, terlarin, mO-
menel, singe cynoccphale. — guarids, alouatte.
— quaribs pre@lo, "ousrine, espece de sap&jou.
Pregdr o — e alguem, (ig. fam.) jeuer ın
tour & quelge’un.
+ MunocanöxTE,e. m. (4. d’hist. nat.) mOno-
ceros : licarııe Oßlacde ; scarabee-rliinnoeres.
Muxocknöte. V. Licorws.
Monoconmo, s. m. monocorde: instrument
de musique & une seule corde pour marquer la
niesure. Y, Blamicordio.
T MonocotrL.£ponk, adj. 2 gem. (1. ds det.)
MON
mnneostgiedene : gai n’a qu’ün Iobe ou caiy-
Itdon.
MeuöclWt.o , s. m. menecle : iunelte & un seul
verse. auf. Dargne : qui n’aqWud weil. (1. Chic.
ae) Monesle ı crasiead; pace aqustigee. —
earangurfo das Molucat, limaie
yigdaten ou
geant. — dgede ou varalgucjünhe, apus tar-
aritoreme,
+ MonopicrrLos, s. m. pi. (4. E’hlst, nei.)
ı genre de polssbne thoraciques.
Mononia, e f. menedie : chaht A une seuk
voix; chant fundbre d’une pleuretise ä gagel.
Monorıin, %. &. chanler deul, surtout dans
les funsrailies ; deplerer. V. Menocia.
‚Momöpıco, A, adj. galt vonverne la monodie.
Monogcıa. V. "Honoieis,
Mowocawia, s. f. monogamie : tat de oem
qui w’ont &t6 'marids qu’ube fois,; (3. de kot,)
dernior ordre de la syngeneste.
MonöcaNO, A, adj. et 8. Monogame: quina
öt6 marid qu’ une fols; qui n’a qu’une femme.
Monoarniuisa ou } monogramme : chiäre
Mondeniwko, s. m.) qui renferme le nom.
Monoonarnia, 8. f. Inonographie : description
d’an neutl objet, d’une seule maladie, eic.
+ Monocrarno, A, adj. et s. monographe
qui ne traite que d’un seul objet.
Monocr'nıa, 3. f. (8. de bot.) monogynie:
premier ordre de fa treizi&meciasse des vege-
taux n’ayant qu’un pistil.
+ Monooyno,A, adj. (t. de dot.) monogype:
(fleur —)quin’a qu’un pistil,
+ Mowofcrh, 8. fı (I. de ol.) monolque, me
neeie. V. Planlas monoicas.
+Monöico, a, adj. (8. de Bol.) manofgue: da
la mongele. Plantas —as, monoique, @*-
nesele : plantes dont les sexes s&pares Sont sul
le m&me indiride.
+ MonoLireo, a, adj. monollihe : d’me
seule pierre ( obelisgue, tombeau, ei£.).
MonvrLocd, 8. M. monologue: seine diamı-
tique od un acheur parie seul.
Monomachia ow —otvia, 8.
combat singulier, duel.
Mowrönio, s. m. (i. d’alg.) monome: gran
deur eomposte d’une seufe partie; quanliie
algebrique qui n’est pas divisse par des m
unes.
MonertraLo, A, af. (t. de dul.\ monopelale:
(eur —) qui n’a qu’un weul petale.
Meondrtvırd, a, wlj. (d, de bot.) monophylle:
(calice, inrolucre —), d’une geule piöce.
Menörıa. V. Manopla.
Monorötico, A,adj. qui tient da monapole-
MonsrdLio, 8. m. monopole : commerce il-
lioite entre les mains d’un seul ; conrention de
eommercaniis pour alterero® encherir une mir
chandise. Atraparcment : amas fait pourteie®
dro & plus haut prix lors de la diselte.
MonoroLisra , &. m. ınonopoleur : qui fait le
monopolc.
MonoroLizän, v. a. monopoliser : eXeftt"‘
faire le monopole.
Monoröuo, V, Monopolis.
f. monomachle:
+ Monorrka1o, s. m. (1. darch.) monopiäre:
tempie rond, sans murallies, ä teil porte suf
des colonnes.
+ Monospftau0, A, adj. (1. de Bot.) meno»
sperme: qui n’a qu’uno semenee.
$MONÖBTROPER, 3. [- piöce de po6sie d’ane
seule strephe , ohanson d’un oouplet.
MonosyLLisico, A, adj. monosyllabique ı
forms de monosyllabes (vers).
MonosY'’Lıano, A, adf. eis. m. monesyliabe ı
d’une seule syliabe.
} MoworuzLisuo, s. m. monothelisme : suote
des mototkelltes.
t MonormzLiras, s. m. pl. monolhölites :
pectaires qui n’admettaient un J.-C. qu’une vo-
onte.
Monoronia, 8. f. motölenie : uniformite,
&galild ennuuyease de tous; (Ag.) de wours, de
figures, de pens6as somblables.
MoNnörONo,, A, atlj. monotone : toujonrs sur
le meme ton; (g.) d’une uniformite faligante.
+ Monguiıno, s. m. dim. de Monco. Codilho
e —. On le dit au jeu de ’hombre lorsqu’on ga-
gne la poule apr&s avoir fait codille.
Monsennön, 8. m. Monseigneur, dignite eo-
elesiastique.
Moxsenuonino,s.m. | la dignit? de mon-
Monsennonia, 8. f. seigneur.
MOoNSEOR, 8. m. monsieur.
Monsıuaa,s.f. A’—, dla frangaise.
MöNnsTRo, 8. m. monstte : animal conforme
contre l’ordre de la nature; prodige, chose
surprenante; animal difforme ; personne extr&-
mementlaide.
Monstaoso. V. Honstrwoso.
MONSTRUOSAMKNTE , adv. monstruäusement.
MonstruosıpäDe, 5. f. Mönstruosite : carao-
were, vice de ce qui est monstrueux, au Propre
et au figure.
MonstRUös0, A, adj. monstrueux : d’une
eonformation contre nature; du monstre; ex-
cessif, prodigieux. (ig.) Vicieux ä l’excds. Flo-
res —as ‚( 1. de bot.) monstres: fleurs doubles.
MöntıA,s. f. ° muntant : total d’un compte;
somme, importance. Valeur, prix intrinsdque
d’une chose. Cousa de pouca —, chose de peu
de valeur, de peu d’importance.
* Monrtipeco ou droit, impöt suf les trou-
* Moxtan£co,s.m. | peaux qui passent d’un
lieu A un autre, pied fourche, etc.
Moxrino,,s. m. bois de ch&nes, chenale pü
l’on met les cochons & l’engrais. Temps qu’ils y
demeurent. * Glandte : r&colte d& glands, de
fruits des for&ıs. V. Montddego.
Moxtipo,A,P. p. de Montar.
Montanöuro, 3. m. montir: plerre, eic.,
qui sert ä monter ä cheval.
+ MontinacaLöch, 4. f. espbtede rue sau-
vage.
. Monriumn ‚s. f. montagne. 7. Monte.
onsannkına. V, Montado.
Monrasutsco „A, adj. de la möntlagne.
Montanußta, s. f. “monticule : pelite mon-
kagne, ° 0
MON si
Monranutz, a, adj. et s. de mentagne , men-
tagnard.
Montknm6s0, A, adj. moßtagnetx : plein de
montagnes.
Mornranfsrito, A, ad. qulooneorne Pexträc-
Yon et la fusion des metaux.
t Montäno, A, adj. de montagne: qui ap-
partieht aux montagnes.
MonTänte, s. m. espadon : grande et Jage
üpee & deux mains. ° Pidce de Tou d’artilice qui
a la forme d’an espadon.
MonTinTtE, adj. 2 geh. montant. A — da Wie-
r6 , marde montante.
Montiö, s. m.tas, amas, monceau. De —
ouem —, en as, pele-mele, sarıs ordre. A —,
au hasard. A montöes, en tas, & foison, en
abondance.
Montär, v. a. monter. — um cdbo, doubler
un cap. — s artilkeria , monter les cationıs sur
leurs affüts. — a guarda, a trinchefra, monter
la garde ‚la tranchee.
Moxtäin (em), v. ». monter, ei surlodi mon-
ter & cheval; se monter, faire la somme de.
(Ag-) Importer, &tre de consequence. — Mal a
tavallo,, monter, aller mal a cheral. DO estribo
de —, !’ötrier du montoir. — d gindie, aller &
cheval & la geriette. Besta de — , monture. —
em ost0, monter ä poll. Tanlo monia, altant
vaut.
+ Montaniz, #. m. karte de bols. adj.
2% gen. De morlagne : montagnard, qui vit
dans les montagnes. Saurage : qui vit dans los
is.
Montania. V. Monteria,
" MontaLico. V. Monstadege:
MonTE , s. m. mont : monfägne. Tas, mon-
ceau. " Foret, bois. * Metalrie; bameau. — de
ptedade, mont-de-piete : lien od Yon prete
sur gege. — pio, &tablissement dans 1e-
quel les militafres deposent un jour de leur
solde d’un mois, pour que leurs femmes ou
Nilles aient, aptes eur mort, une pension de la
moitie de leur solde. Ander a— , (fig.) se sau-
ver dans les montaghes, dans les bols pour
echappet & la Justice. Cesser de paraltre dans
les endroits que l’on frequentait. A—, 4 la
bouieruo, au hasard. Ir de = a —, deborder,
parlant d’une ririöre. Promelter —ı W’uuvo,
(fg.) promettre des monts d’or ow monts et
merveilles. Por —ı e valles, par monls el par
vaux.
Montta,s. f. &lövation : plan drlhugräphi-
que d’un bätiment sar le papier.
+ Mokteanör, 8. m. chasseur de monlägne,
des bötes faurves.
MOönTEÄR, 0. a. ei n. chassor dans les mon-
lagnes, aux betea fauves , eic.
Monruanla, s. f. V. Monieria.
4 MONTECARMELLO , s. m. (l.de ydog.) mont
Carmel.
Monrktına,s. f. chasserense. Espäce de gras
bonnet de drap que porlent les gens de la cam-
Pagne, etc,
812 MOR
Monreinia, s. f. charge de veneur.
Mostetıno, s. , veneur ; celul qui comduit
la chasse, qui dirige Ics chiens, etc. Garde fo-
zeslier. — mör, oonservaleur des foröls; capi-
taine des chasses. —mör de reino, grand vo-
neur,
Mont£ino,, A, adj. pour la venerie. V. Mon-
Montseia, 6. f. venerie: chasse aux biles
noires et fauves; art de chasser. ° Bois, foret
ou l'on chasse les beöles [auves. — mör do rei-
no, charge de grand veneur. Carne de —, v6-
naison,, gros gibier.
Moxtez, A, adj. 2 gen. de moulagne , [arou-
che , sauvage, färoce. Porco —, sanglier.
MoNnTEzinuo, s. m. dim. de Monte. Monticule,
tortre.
Muxtezinuo, A, adj. sauvage, qui vit, qui
eroit dans les bois. (Ag.) Sauvage , loup-garou,
bourru , farouche, hagard , insociable.
+ MoxricoLa , 8.2 gen. qui babite les monta-
gnes.
Monrixno, dim. V. Montexinho,
: Moutuöso, A, adj. monluaux : rempli de
, monlagnes.
Montuatıno, s. m. ehiffonnier.
MonTtüso, s.m.“voirie, las d’ordures, tas de
fumier.
MORUN£NTO ,s, m. monument : znanque pu-
bligus pour Lransmeltro & la poslöritö la me-
moire d’un personnage, d’une acliou oelöbre;
tombeau. —s, pl. monumenis : histoire des
anciens lemps.
* Möoro. V. Mölko.
° Myoa. V. Mor.
* Moonpouo, etc. V. Mordömo, eis.
Mügqua, s. f. fureur fanatique des pelerins
de la Mecque,
fMoaviuo, s. m. " mosqude des Bedouins
de Socotora.
Mögus ‚a. m. ancien tribut que payaient les
Maures loleres.
+Moguxin, v. a. (f. du Bris.) boucaner :
söcher ei [umer la viande sur le mogudm( V.ce
mot); faire s6cher & la fumce.
+Mogqusca, s. f. (tl. du Bres.) " ragoüt de
petits poissons, de creveties, elc., rölies et
enveloppees dans une feuille ayant la forme
d'un epi de mais; ragoüt assaisonne avec le Jus
de ces petits poissons , etc.
+ Moqusu, s. m. (1. dw Bres.) beucan ı
grille pour boucaner la viande.
Mogutnca, s. f. (1. dw Brds.) " ragoüt de
viande avec du vinaigre.
Moguäuco „A ‚adj. grimacier; patelin.
f Moguiin. V. Mogusar.
+ Mogtisıa, 8. f. (4. d’Afr.) pretendue qua-
lits occulie , qui a de l'influence sur le bien et
sur le mal, ei qui sort ä deviner le futur.
Müun „adj. 2 gen. (contraction de Maior. V.)
Grand, principal. Plus usite dans les meois
eomposes. Ex. : Montelro —, mprdame
grand veneur, grand chaımbellan,
_MOR
Möna, 8. f. (1. de prat.) * dölai, kelarde-
ment.
Monasita, 5. m. morabite : religisuz soli-
taire mahormeian. —, pl. Morabites : Alricaisı
qui font profession de science ei de sain-
lets ; soctateurs de Mohardin,, petit Als de Ma-
komet.
* Monasıtınana. V. Meravidiada.
Moaasıtiao. V. Maravedi.
Monasito , s. m. morabin, morabite, V. Mo-
MoaipaA, 5. f. ° manoir, sejour, demenrfe,
habitsiion, retreite,
* Moaapka. V. Moradia.
Monıpia, s. f. pension annuelle donnde par
le roi & certsins gentilsbommes.
Mor4Do, A ‚adj. de couleur de müre, violet
fonce. Habit6 par quelqu’un.
Monspöa , A, adj. et s. habilanı; demen-
rent. .
MosiL,s. f. morale: science , docirine des
maurs; irait6 de morale ; connaissance de nos
devoirs enveors autrui et Mous-Meines, &. M.
Moral. Theologie morale.
MoniL,adj. 2 gen. ınoral : qui regarde les
maurs; conlorme & ja morale, qui l’enseigne,
quila pratique, Ja suil; qui a de la moralile,
de la morale. Evidencia —, evidence ou cerli-
tude morale , extreme probabilite.
MoraLıpips, s. f. moralite : reflexion mo-
rale; caraciere moral d’une personne, 58
maurs „ses principes; sens, but ınoral; rap-
port des actions avec la morale; principes mo-
raux ; qualitö morale ; priucipes , conduile, oon-
formes &ä la bonne morale.
MonuLista ‚s. m. moralisie : qui ecrit sur les
mours.
MORALIZADÖR, A, 5. tuoraliseur : qui alfecie
de parler morale,
MoaaALIzär, v. a. et ». moraliser : faire des
röflexions morales.
MoRALNENTE, adv. moralemeht « suivant les
regles de la morale; suivanı l’opinion genera-
lement recue.
+ MoranciL, s. m. “fraisiere : terrain planid
de [raisiers.
MoränGko ou Y fraise : fruit du lraisier.
Mosäinco, 8. m. V. Morangutiro.
Monancoßıno, 8. m. (. de bot.) fraisier,
plante rosacde sioloniföre , ui produs la
[raise.
MoRÄNTE, adj. 2 ger. demeurant. p. a. de
Morir (em), v. ». deineurer, habiter, s6-
journer, loger.
Monatönıa , s. f. ° repit : delai acoordd A uR
debiteur.
Monsip£z, s. f. (tl. de peint.) morbidesse:
mollesse, deliealesse, souplesse desagreable
des cohairs dans les figures d’un tabloau.
Mürnıno,, A, adj. malade , inürme. Malssın:
qui cause des maladies. (l. de peint.) Morbide:
(ehair —), mollement, vivement, delieate-
"ment exprimöe; (disposition —, 5. de mil.
ı Stat qui pr&cede ef caracierise uno maladie,
nn
MOR
Monsisıco, A, adj. morbißque : qui cause ou
regerde la maladie.
Mönno, s. m. (4. de med.) * maladie. V.
— gällico, verole, mal venörien.
Monnöso , A, adj. maladif, malsain.
Monctco, s. m. (tl. dhist. nal.) chauve-
souris : memmilere cheiropiöre. — orelküdo,
oreillard. — wocluldno , noctule. — ferradu-
rddeo , le for ä cheval. — albabardino ‚le fer-de-
lance. — espdciro, specire. — espasmanle, le
spasme. — de beigo rachddo, le hoc de lievre.
— moldso , neclilion dogue.
Monckua, V. Murcella.
Morpica,s. f.* bäillon : instrument qu’on
mes dans la Louche pour empecher de parler.
Morpacivipe, s. f. mordacits : qualit cor-
rosive. (ßg.) Medisance aligre et piquante;
causticite.
MonpacissiM0,, A, adj. zup. de
Morpäz ‚adj. 2 gen. mordicant, äcre, COrTO-
sit. Äpre au goüt. Mordant; qui mord, qui
ronge , acide. (g.) Piquant ‚ satirique; mordi-
cant, qui aime & critiquer, & meödire.
Moapizuänıe, ade. d’uno maniere mor-
dante , avec Acreld.
Monpenon, A ‚adj. ets. mordant : qui mord.
C#o lsdrador n&o d grande — , chien qui aboie
ne mord pas.
Monpxznünä, 8. f. MOrsure.
+ Monpkııa, s. f- (4. d’hist. nal.) mordelle :
insecte heisrome£re, mordellone.
MorD£.nte ‚3. m. mordant : vernis pour fixer
Vor,eic., sur les metaux, etc. (t. d’impr.)
Partie du visorium. (8. de mus.) Petit trille.
Monp£a, v%. a. mordre : serrer avec les
denis, ie bec , aveo tout ce qui pince, serre.
Piquer, picoter, ötre äcre, corrosif, äpre su
go@ät, au toucher. (fg.) Critiguer, medire;
pincer, donner des coups de langue. — a ferra
ou a areia, mordre la poussiere : @tre tus et
renvegss sur la place. — 0 freio, (fig.) ronger
son frein. — os dddos,, se ronger les doigte, se
manger de oolöre. —a lingua, (fig.) se mordre
la langue ‚se faire violence pour se taire.
Monpta-48, v. r. se mordre. (fig.) S’enrager
de ne pouvoir faire oe qu’on voudrail.
Monpaxim. V. Morexim.
Monnicaciö, s. f. (1. de med.) " picotement
caus# par l’scrimonie des humeurs, mordica-
den.
Monpıcinte, adj. 2 gen. Acre, picolant,
eorrosif. En pbysique et en medecine, on dit
mordicant. (fg.) Qui aime & critiquer,
Monpıciö. V. Beliscdö.
Moanoıcir, v. a. (4. de med.) picoter : se dit
d’uus humeur mordicante. Mordre, piquer,
parlant des acides. Mordiller : mordre legöre-
ment, & plusieurs reprises.
+ Monpipa-no-niäno, 5, f. (id. de bot.) V.
Mörso do didbo.
Monpip£LLa, 3. f. morsure ; plaie causee par
une morsure.
Monpivo,A,p. p. de Morder.
Monnnarrg, Y, Aemprdimento,
MOR 813
+ Moapıziu, 3. m. sorle de poisson de la
oöte de Mozambigue. V. Morexim.
Monpomivo, s. m. V. Mordomia.
MorpoMÄR 0% administrer, rö-
MoRDoMKAR,v.a.el m. | gir des biens;
faire ie majordome.
Monpouia, s. f. administration, intendanoe,
gouvernement d’ane maison, d’un bien, d’une
oonfrerie.
Mönpöuo, 8. m. majordome : Intendant de
maison; maltre d’hötel. Syndic de confrerie.-
(#. de mar.) Maltre valet du capitaine. — mer,
grand-mattre dela maison du roi ; grand cham-
bellan, intendant de la maison du roi. — ds
igreja, marguillier.
+ Monta , s. f.(1. de gdog.) Morde: presqu’ii
su sud de la Gräce, autrefois P&loponnese.
-I (ant.) V. Carrada.
Montu ,s.f. (t. d’hist. nal.) mur£öne: poisson
a .
Mortıra, etc. V. Amortira, etc.
*Monzır£no. V. Amoreiral.
Monssär. V. Mourejar.
Mos&no, A, adj. gris-brun, brun qui tire
sur le noir. Moricaud , qui a le teint tres-brun,
presque noir.
Montscos, s. m. pl. (t. d’orfev.) moresque,
peinture ou reliel de feuillages. V. Arabescos.
Monzrtim. V. Muletim.
Monzxiu, s.m. (}.d’Asie) indigestion meg-
telle, colique trds-dangareuse.
Morränno. V. Fanköse.
Moarka, s. f. mal de saint Lazare. V. Mor-
e.
Morcipa ‚s. f. femme qui jouit d’un majorat.
Moscäno, s. m. majorat : sobstitulion des
biens d’une maison aux atnds; droit d’alnesse.
Alnd d’une grande maison qui jouit d’un ma-
jorat. — d’agnapdö,, majorat qui, A defaut de
la ligne masculine, admet le mäle le plus pro-
che de la ligne föminine. — de masculinidade,
substitution bornde exciusivement & la ligne
masculine, ou qui n’admet que les mäles, soit
en ligne masculine, soit en ligne f&minine. —
reguidr, substitation par laquelle Je mäle est
prefere & la femme, ot l’aind au cadet dans la
me&€me ligne.
Moaısönno, A, adj. et s. moribond : qui va
mourir.
+ Monscnaaciö,s. f. rögle dans les maurs,
dans la conduile : temperance.
t MoxıcsnAno, A, adj. Bem ou mal— ‚d’une
bonne ow mauvaise oonduite, qui a de bonnes
0% mauvaises maurs, 9.9. de
Mortıorzir, v. a. möorigener : former ies
maus ; Instruire aux bonzes maurs;; corriger
les mauvaises.
+ Monizua, s. f. (6. de bot.) merille : espece
de champignon.
MorıLui6, 3.m. (f. d’kist. Kal.) puceron s
hemiphere, homoptere, ophidien.
Monina ‚s. f. (t. de bot.) morine : plante cag«
diale Ay Levant,
m.
8ir MOR
+MorıneLLo,3.m. (4. d’hist. nal.) guignard;
sorte de pctit pluvier.
+ Mosıuca ‚ss. [.(1.de bol.) moringaou—gua,
arbre de !'Inde,, produit Ja noix de ben.
+ Monincue, s. m. (l. dw Bresil) "cruche &
geulot ötrait,
+ Mörıo, s. m. (ti. d’hist. nat.) morio : an-
tiope magnifique , papillon diurne.
Monuackına,, s. [. " temps lourd.
MoRnuActnTo, A, adj. Tempo —, temps hu-
mide et lourd. Cavalla —, cheval morveux.
Moauico,s. m. V. Mormaceira.
MönutuTe, adv. (pour Maiormente. V.)Prin-
eipalement, surtout, d’autant plus.
Meoauo, 4 m. "morve ; maladie contagieuse
et mortelle des chevaux. Cavallo com — ou
tem —, cheval morveux.
*MoruüLua, V. Memoria.
Monuvria, oic. V. Murmurar, etc.
f Morurv’ao,s.m.(l. d’hist. wat.) mormyr6:
poisson branchlostege du Nil.
u niwid, s. f. liedeur ;: &lat do ce qui est
e.
Mörno, a, adj. liede:: entre lechaud et le
froid; (Ag.) qui manque d’activite, de ferveur.
Morne. Aguwas —as, (Ag.) remödes, moyens
pällistifs, inefficaces.
"Mono, s. m. sorte d’ancienne meosure.
t MorÖgauknts , adv. d’use maniere lente,
tardive
aa arOsıpinE, s. f. lonteur, retardement,
a
Moröso, A, ads. morosif, Tent, tardif.
MoröucO, &. m. las, Moncesu.
npußı,s.f. elephanliasis : Iepre qui ride
la peau comme celle d’un #lephant.
ORPRßO OU —PIIEU, s. m. (. de my£h.) mor-
phee :le premier des songes; (fig.) le som-
meil.
Monnica, s. f. berbe qui croft aux rivages
(dans les Algarves), et que l’on donne aux che-
vaux. Fange, vase.
MornaciL,s.m. lieu oü ily ade la morraga.
V.ce mot.
Monxi0.V. Murrdd.
Monnanfa, 3. /. quantit& de terires.
Mornepön, A. V. Perecedöuro.
Monnta (a, de, para, por), ©. #. mourir:
dectder; cesser d’dtre, de virre, d’exister;
peräre ta vie, Y'&tre, ie mourement, Paction,
la force, la couleur, F6clat, le fen, la vivaciie,
ete.: (Ag.) souflrir beauooup; $preaver une
forte Impression, avoir uns passion violente;
ütre devord, ronge (de chagrin,, d’envie, etc.)
(Ag.) Fine, prondre fin. (dd.) —, s’stoindre,
puslent du feu, d’une chandelie. — de fome,
de desejos, etc., (fg.) mourir de falm, d’envie,
«e.; avoie une (aim, un desir extreme. — de
riso, &touffer de rire. — d’amor, languir d’a-
mour.— na sus came, de worte natural, mou-
fir do sa belle most. — no campe da konra,
eos gloria, mourir au champ d’bonneur.
— ds mäus d’alguem, mourir de la main de
quelqu’un, — mo munde ou pera 0 mundo,
MOR
mourir an mende, y renoncer. -- du palss,
mourir ä S68 passions. — por algume oenss,
sor alguma pesson, ütsirer ardemmen! um
chose, aimer &perdument une personne. — sem
dizer Jesus, mourir subitement, —
mourir de mort violente. Ir a —, dire pani de
mort, @tre condamnd & mort. — merfe Aolurel
para sempre, (}. de pras.) soallkir ia peine de
mort. Todos 08 de — , nous devams tous
sıourir. Ald — eprender, ou apprend leujours.
Morrörem os bragos,, as pernas, ,
le sentiment, parlaut desbras, desjam-
. nt viver, (fam.) on ne sall qui meurt
ulv
ORnkR-EE, U. F. Se masurir : dire prös de
mourir.
Monnuld, 8. m. meorlen, ensque, heazme.
Burriäo.
Monaipo, sup. do Morrer. Tom — mul
gente ao chölers, beauosug da mende en men
du choidra.
Monntmua, 8. L * elaveau, elarelde, 18.
mique ges animatr.
2 Maladie ep
ORRINHRNTO, ou 1) attaqusö du elavens,
clareit.
MORRINBOSO,, A, adj.
Mörno, 8. m, tertre,
+Monseoutino, 8. m. ($. de bot.)figuiereimit
rable, figuier maudit france.
MORSO DO DIABO , ou ye debot.)remerds,
Mörso DrasöLIco, 5. m. I mors du diable :
scabieuse des bois, & racine mordiliee.
MORTACOLOR, ow (f. de point.) pre
Montacon,s. f. on m. } miere oouieur dea-
nee A un tableau.
Montaptrıa, s. f, morladelle : sauolssen
6pic# et polvrs.
MorTiL, adj. 2 gen. morte!: sujet äla merl;
qui cause la mert (caup, maiadie, eto.); (4)
(peche) qui donne une esptce de mertä Fine;
excessil, extreıne (ennui, chagrin, halne —).
Comme mort, demi-mort, meribond. Fire
—463, des traits meurtriers.
Morrit, s. m. mortei : homme, femme.
Morriına, s. f."suaire : lincoml pour eRi%
velir les cadavres. * Tombeau.
MonraLeie. V. Amortalkdr.
MontaLimäng, 5. f. mortallte : obadiiien de
ce qui doit mourir; dmumerafion, oalonl des
morts pendant un temps. Les mortels.
MorTaLutnte, adv. mortellement, & mer.
Morrannine, 3. f.tuerie, Massacre, G8rDaßt.
Mortafite : mort d’un grand nombre d’hommes,
d’animaux, ote., par une meme cause, ®
meme temps.
*Mortino ou —anno. V. Borieiro.
Möatz, s. f. mort: An, cessation de la vie;
stparation de Fäme et da corps. * Dices, tr&-
pas. *Meurtre, homicide. (podt.) La null de
tombeau, une dtsmmelle nuit,, la mort. — pr
medilada,, “ guet-apens : dessein premediie de
tuer. Estar de — , etre biesse, frappe &
mort, mortellement. Aborrerer de —, halt n
mort, & la mort. — civil , wort eirfie : privatoa
MOR
most ahsätienne. Euler com a — ‚luller conire
la wort: ee & l’agogie. Estar em us ausins
da, avoit Ja mars enire les dants. A’ hora da
— , sur la paini de maurise, Astar ds gaorias da
Ara aux porles du tombean.
Monrscan. Y. Mertecär.
Mornzsiaäna, & [." coup de mostien.
MORTSIAkTE, 9. m. petit mostier.
Noaztıap, 4. m. mazlier : pidce d’arlillerie;
vage paus piler,
Moatesinua, dim. de Korte,
MoRsgsinHo, 3. m. animal mert, cadavse.
adj. mars naturellement,, de mart naturelle.
* Manrarainz, V. Mortenddde.
Monticixo, a. m. böte morie de mmart natu-
relle. Caraags, Werie, masaaarı.
MORTIFERO, A, adj. meurtrier : qui tun beau-
coyp da mendes Martiföre, merlel : qui cause
la mort.
Moarwscacäö, s. f. morlification: aclion par
laquelle on mortifle (son Corps, 08 pa
chagrin, affliction, deplaisir; accidents fAcheux
de la vie; (4, da med.) etat de chairs yuine par-
ticipent plus A le via os prötes & zo gangrener |
aclian par lagualla une choss s’allära , sa car-
rompt. Mortificaröes, pi. mortifiealions, ausie-
Fiteg,
Moarıricipo, A, 9: p. de Mortifkeer.
MonzıwicaDeR, A, adj, eis. mortiflans ; qui
mortiße,
Moguricäute, adj. 32 gen, merlifant : qui
mmortiön, As Assassinans, ennuyauı, [aligamt. p.
&.
Mostiricäs „ v. a. alicrer Yorganisalion d’um
corps, mortiler. Mortilier : aflliger son Corps
par des mac6ralioga; dompier ses &cDs, Sc5
passions; allliges , chagriner. (fg,) Tuer , Sati-
guer excessivement.
MORTIFIchk-SE, 9. Tr. se mörtifier : allliger
son corps par des maceralions.
+ Morpzıricativo, A, edj. mortiflant : qui
mortiße.
° Montındane. V. Mortanddde.
Moxrrıngos. V. Murtinhos.
Monrisinuo. V. Mortesinho.
Mönto, s. m. mort : eadavre humain.
Möm0, a,p. p. irr. de Morver. adj. meort,
deoöde. (Ag.) , sans vivacit6, parlanı des
eouteurs; terne, d6colore (mil, teint) ; Inseuist-
ble fchair —e); sans force, sarıs vigueur. Agos
—a, vau Blagnante. Ayoas — as, morles Baus.
Dinkhetro —, argent mort. Faxer-se, fingir-te
—, eontrehilre le mort. Urienpa que nasceo
4, mort-ne , tir6 mort de la matrioe. Andar,
esier—— por alguma cousa ‚ desire ardemment
une chose. Mezes —s, la morte saison.
Moarökıo, s. m. VW, Mortuerio. Fvar em —,
Fester sans culture, abandonnde, perlant d’uns
vigae, eto.
MorTuiLta, 8. f. quantit, monesau de ca-
davres.
“ MOnTUÄRIAS , 0%
. Months, .f
Yun defunt,
co que l’on payait &
f. pl. Vögline des bieas
. MAAS 815
Monzuörıo ,A,adj. mortuaire ; qui concarna
les maris.
Monttönio, 3. m. enterrcment, obsdques,
Deuil, 4.V, Morthar.
* Mortüras. V. Morbälhas.
Monücen. V. Mürugem.
t Mörtra,s. f. court deiai. V.Mora, dont ce
mot est Io dimminyiif.
Manziäua,s.f. pequ de vache grasse.
TMüsı, 0, f. (6. de geag,) Meuse ; riviöre el
depariement de la France.
+Mesisce, A, ad, Leira, loi mosaique,
qui vient de Moine,
Masäica, 5. m. * mosaiqus ı nuvrage de rap-
pori, em peliles pierses om pelils mprceaux
d’ömail da couleur incrustäs pres A pr&
MosARräneE, etc. V. Mozarabe, cic.
MeöscA , &. f (1. d’kist, nat.) mouche sinseela
diptere,sarcostome, laleraliscte, A alles trans-
parenies, sans eiui; sa Üigure. (fig.) Chase fa-
cheuse, iimportune; chagrin, vive inquielude.
it. Bride au cein d'une bouionniere; arret,
ganses & l’exircmile des ouvertures du linge au
de Petoffe pour cmpecher qu’il ne se dechiro,
— nausealiva, ınouche A viande. — cesaring,
mouche verte. — vurejeira, mouche vivipare.
— das las vas , mouche des chenilles. — ercre-
menteteo, mouche des exerfcmenis. — zsyuni-
döra, mouche bourdonnante.— ferina, mwuche
aux llancs fauves. — eunobrecida de signaes,
mouche A pince. — pelrogella , mauche petro-
nille. — dos eardos, mouche duchardon.— er
nanida , mouche affunse. — de tenacidade vi-
ta, mouche aheilliforme. — zaumbanie, mou-
che aifflanie, — groselkeirs, mouche du gro-
seillier. — ichneumönea, mouche ichneumon.
— bicuda, meuche a bee. — cameleönia, ou
Isonina maior, grande mouche armee. — de
jaezinko , mouche & solle. — cheirosa , mouche
odoranie, — Jsonina menor, pelite mouche
armee, —oör de cabre, mouche cuivr&e. — de
p6s aclavados, mpuche Agsandes paltes. — das
janslisa vidsagadas, mouche des fenetres. —
mourisca, mouche negre. — plebeia, mouche
plebiienne. — 6a, mouche taon. —
de cavalio , taon, grosse mouche qui, en &ie,
uRmenie les sbeyaux, pto, — de freiza. V
Canlarida. — mörta, (Ag.) hypocrite qui , sous
un air humbla et saumis, n’qublie rien pour
arriver ä ses fins : ; chattemikte. Piar a — (id.)
On le dit d’ung personne inquidte, qui a dans
l’esprit quelque chose qui la faligue. Enxoler,
sucudir as —ı , chasser les mouches. Andar da
—s, tire ü la chasse des mouches. Estar de—e,
se dit d’une chase mäprisee, de qui porsonne
ne veut. A quem se [az mel Ts ocomem, (prov.)
qui se fait brebis, le loup le mange.
Mosciva. V. Nos mosc
Moscankıra, 8. fı (4. de dot.) * muscadier s
plante myliede qui porte la muscade,.
OSCADEIRO, 3. m. Eventail pour chasser leg
grouches. Emouchoir, * Emoughelte,
Mosciö, 4. m. aug. do Mosca, Grosse mou-
the, V, Moscardo,
816 MOS .
+ Moscarinna, 5. f. (ti. de bot.) Uionde
attrape-mouche : plante de la Caroline, de la
famille des drosöractes.
Moscir, v. ». (pop.) prendre la smmouche,
s'cn aller de döpit; fuir, filer.
Moscinno, 5. m. laon : sorte de grosse Mou-
che.
Moscar£ı, s. m. muscat. On le dit d’une
espöce de raisin et de vin. adj. 2 gen. Muscat,
muscade : qui a une sorte de parfum de musc.
Poras ‚ poires rousselines.
+ Möscao ou —co, s. m. (8. d’hist. nat.) che-
vrotain : esp&ce de joli cerf des Indes, de la
taille du liövre, sans bois ni cornes. — ou el-
miscareiro ordinario, le musc. — mdıninko de
Criläo, memina ou memin, pelite gazelle de
Java.
+ Moscöu, s. m. (1. de geog.) Mosoou 0w
Moskou : capitale de la Moscovie.
+ Moscövia, 8. f. (t. de geog.) Moscovie :
grande coniree de !’Eurepe ; une partie de l’an-
cienne Sarmatie, qu’on nomme Russie. *Cuir
de Russie.
Moscovira,, adj. et s. 2 gen. Moscovite: de
Moscoovie. Russe : habitant de Moscou.
Mostro. V. Mordfo.
Mösixno, s. m. oelui qui sert une öglise pour
un traitement leguö en testament. Saoristain.
Mosıruira. V. Musuimdno.
Mosquzino, A, adj. mouchetd, tachst6, ta-
vel&, comme couvert de mouches.
Mosqutıno, 3. m. lieu od il ya beaucoup de
mouches. Paquet de bandes de papier, ou bran-
chage,, qu’on pend au plancher pour ramasseor
les mouches. ( fg.) Personne qui attire des im-
portuns, qui en est entouree.
Mosqutino, a, adj. Boi—, beuf poursalvi
par les mouches.
Mosautra, s. f. rose muscade.
Mosgurrico, 8. m. } coup de mousquet,
Mosgustina, se. f. mousquetade.
Mosqustiö, aug. de Mosqudie.
Mosguerania, s. f. troupe de mousquetalres:
mousqueterie.
Mosautts,, 3.m. mousquet : arıne A fen. "Ar-
quebuse ä croo.
+ Mosqusrzin, v. a. tirer des coups de
moasquet.
Mosqurrtino, s. m. meusquelaite : soldat
arıne d’un mousquet.
Mosatirtıno, 8. m. pavilion de gazre dont on
entoure un lit poar se garantir des mouche-
rons ; cousinidre.
Mosquito, 3. m. moucheron : Ir&s-petite mou-
che; cousin; mouslique. — das gälhas, ey-
nips.
Missa, s. f. coche, entailie. Empreinte, mar-
que, impression que lsisse un coup, etc. ( Ag.)
Becousse; dmolion. Faser —, (id.) faire im-
. pression. Por —s de pdo, (pop.) par bric et par
bror.
* Mossecin. V. Enceidr.
* Mossau, 5. m. messite, MORSioUT.
Boige. N, Masigo.
|-—
MOT
Mosrinpa ‚6. f. (t. de bet.) V. Mostardeirs,
Moutarde : la graiue; composition de sanerö
broye& aveo du moAt ow du vinalgre, ee. —
bridva, soure, espöce de moutarde. Subir a—
ass narizes. On lo dit d’an homme qui sefäche,
qui simpatients, & qui la moutarde monate se
nez. Chöga-Ihe a — ao nuriz, la maontarde lei
monte au nez. — de 8. Bernardo, (fig. [om.)
bon appetit, qui feit tronver tous les meis
bons. Ndo ka — como a de S. Bernarde, il
n’est sauce quo d’appetit,
MosranpiL, 8. m. champ somd de sönert.
Mostanntıra , s. f. (1. de bei.) muutarde, ie
sönev6: plante. *Moutardier:: vase pourlames-
tarde. -— drinn , moutarde blanche au seneri
blanc. — preis, la grande meutarde eultivie
os le s6uer6 ordinaire.
Mosrıaptıno, 5. m. moutardir : oelei qüi
fait , vend de la moutarde.
TRa, s. f. sorte de chariot usile dans la.
orelhnen du Minho.
MosTEiuınno, dim. de
Mosttıa0,, 5. m. mionastäre , oduvent.
+ Mostiraao, A, adj. qui prodeit du mol.
Mösro, s. m. moßt: vin doux neuvolleweni
fait; jus de raisin.
Möstaa ‚s.f.monire, Schantilien. "Original,
patron, modele. “ Essai, &pteuve. (Ag.) ’5i-
gne, indiee, preuve; apperante. —, rerus de
gens de guerre. Parade, #talage. V. Amdeirs.
Co de —, chien couchant. 4’—, änu,d-
oouvert. Dar —, marquer, Wömmolgner, .
Faser — de, faire semblant de; ( ig.) laire pr
rade, afficher. Passer — , passer la rerue. Tor
cousa, avoir vae d’une chose qui
se montre d’elle-meöme , l’apercerolr.
Mostkäpo, 4,9. p. de Bostrar.
MostaanorR, A, 8. et adj. oelui qui monttt,
demonstrateur; qui montre, qui annonce, qui
indique.
MostnaDen, s. m. cadran de montre ou d’bor-
loge. Comptoir de marchand. “ Mentre : lien ei
l’on exppse ce qu’on vend.
* Mosträinca. V. Mostra.
Mostkin, ©. @. maonirer : faire voir, inär
quer ; exposer aux yeux; faire connallre, IMM-
nifester ; enseigner & queigu’un (p.ws.); (A9-)
prouver, demontrer. (id.) Peindre : dissimalet,
donner & eniendre ce qui n’est pas. — onfäde,
faire la mine, tömoiguer du meconteniemenl.
— 0 eaminku, montrer lo chemin, la roult,
öire le premier & faire oo qui semble difücile.
— 08 denies, montrer len dents : tonir ide
quelqu'un ‚ lui resister. — as cosias, tourner I
8.
Mosrain-s8, v. r. se monirer : paralire, M
false voir ; se oconduire, se ‚More
so homem de bem, etc., il s’est conduil el
' homme de bien, eic.
MOSTARRCO, A, adj. ou 3. errant, vagabend:
qui n’a nl fou ni licu.
Mora, s. f. lovce de terre pour clore UN
ohamp eu reienir loan, Honcaau de weit &%
..
k.
ET 3 ED N
MOU
tour du pied d’an arbre pour couvrir les raci-
nes, surtogt au temps de secheresse.
MoraciLLa, s. f. (4. d’hist. nat.) motacille,
hoche-queue : oiseau sylvain. — de bico dei-
gado, bec-än. ’
* MotaLuicom. V. Mutillagdd.
Morino, s. m. (6. rust.) fagot de branches de
vigne, de pin, coup6es.
Moriva. V. Mites.
MöTE, s. m. refrain donne & un impro-
visateur. Mot önigmatique, myslerieux, qui
demande explication. * Parole d’une dervise.
* Raillerie, bon mot. Sobriquet : &pithdte inju-
rieuse.
MoTEIJADO, A, p. p. de Molejar.
MorTsJanorn, A, s. railleur, moqueur, qui dit
des mots piquants, plaisant, brocardeur.
Morzsin (de), vo. ». railler, se moquer, dire
des bons mots, des metis piquants, brocarder.
+ Mortso, s. m. "raillerie, pleisanıkrie, bro-
card.
Mortte, s. m. motet : psaume, paroles s&-
erees en musique. " Plaisanterie. V. Moie.
Morterkıro, s. m. plaisant , diseur de bons
mots.
Mori, s. m. (ti. d’Asie) * espöce de boucte d’o-
reille en pierrerie que les Asiatiques suspen-
dent ä leur narine gauche.
+ MorıLipäpe, s. f. (1. de scien.) motilite :
facuit6 de mouvement.
Morim, 3. m. &meute, mutinerie, s6dition,
rövolte povulaire. Grand bruit, tapage, tumulie.
Morınacäö. V. Mutinacdo et Amotinagdo.
Morınär, etc. V. Amolinar.
Morıvino,A, adj. molive, raisonne:appuy6
de raisons et de preuves. p. p. de Molivdr.
+ Morıvanön, A, adj. ets. qui donne lieu,
qui est cause.
Morivär, o. a. motiver: alleguer, rapporter
les motifs, les causes. Donner lieu ,ötre cause.
Morivo, s. m. sujet, motif, occasion, raison,
cause.
Morivo, A, adj. qui meut, capable de mou-
voir, mouvant, moteur.
Moto, s. m. * impulsion, mouveme nt. * Vo
lont&, intention ou dessein. * Cause, mobile,
motif. * Parole d'une devise. V. Mote. — conli-
"40, mouvement conlinuel. De seu — proprio,
de son propre mouvement.
Mot0n, A, adj. ets. moteur : qui donne le
moavemen!t; qui met on mouvement. Mobile:
ce qui meut.
+ Morörıo, a, adj. qui a du mouvoment.
Morngco, (1. pop.). V. Pedago.
Moraiz, adj. f. motrice. Ex. : Causa —, fa-
euldade, intelligencia —, cause, faculle, in-
telligence motrice.
Morto. V. Moto et Molu.
Mörv. V. Möto. De— proprio, adv. de son
propre mouvoment.
f Morim, s. m. oiseau du Bresil, de lagran-
deur d’un dindon, qui vit de fruit.
MOV 87
Moucannfck, 8. f. (1, burl.) surditö des visil-
ards.
Moucannözs, 8. m. pl. (1. de mar.) ° piöces
de bois qui servent A pavoiser un vaisseau.
Moucäö. V. Mongdo.
MoucnHio, s. m. "Ile d’aliurion dans les ri-
vieöres,, javoau.
Mötcuo. V. Mocko.
Möuco, a, adj. sourdaud. V. Surdo. 4 pale-
vres loucas orelhas —as, a solle demande point
de r&ponse.
* Movimtnro. V. Moimönto.
Mouguice ow | surdits : perte ow diml-
Mougumiö, s. f. | nution de l’oufe.
Möura. V. Herva moura. it. Salmoura.
*Möura pour Mouaaa (qu’il meurre).
* Movaaismo,s. m. grand nombre de Maures.
Mounäma, s. f. grand nombre de Maures.
Pays des Maures , la Mauritanie. -
Mouräö, s. m. 6chalas de vigne; pieu, po-
teau, etai. Jule : insocie, espöoe de acolo-
pendre.
Movrania, s. f. rue, quartier, canton habits
par les Maures.
MoungJÄr, 0. 9%. (£. 90p.) ahaner:: travaille
avec peine, faligue.
* Mouria. V, Morrer.
Mouaisco, A, adj. moresque : qui a rapport
aux Maures.
f Mounisua, s. f. gens de Mauritenie.
Möuno,Aa,adj. et s. Maure: natif, habitant
de Mauritanie. Mahometan. More, moresque.
& m. (lg.) Colere, fureur, courroux.
Mouröco, s. m. Monceau, las de pierTes.
+" Mousinso, s. m. ecclesiastique de la cha-
pelle du roi, ä qui on donnait un muid de bi6
par an. V. Mosinho.
Möuta, s. f.“ bouguet de bois, breuil, buis-
son. Ndo vajo — d’onde lobo sdia, (fig.) je ne
vois aucun molif de crainte. Ndo d — d’onde
sdie coelho, (id.) se dit d’une chose dont on ne
peut pas attendre de proflt, ou d’une personne
dont on ne doit pas attendre de largesses. On ne
saureit tirer de l’huile d’un mur. Meiter os cdes
na — e deilar-se de [öra.V. au mot Melter.
Mouriö, s. m. " poulie : roue suspendue ot
creuste en gorge & sa circonfengnce, sur la-
quello glisse une corde pour &lever des far-
deaux, eic.— de retorno, (1. de mar.) poulie
de retour. — de galo, poulie ä croc. — de gaso
com lorwel, poulie A tourniquet. — de rabizo,
poulie & fouel. — das escolas das gaveas, poulie
& Lalon ou de bout des vergues. — alceado ou
aguentado, poulie etropee. — sem alca ou desa-
guentado, poulie detrop6e. — dos briöes , pnu-
lie de sous-vergue.
MouTaAsinHa , dim. de Moula.
Movrtina, s. f. grand buisson.
MovEoico, A, adj. mouvant:
stable. On le dit surtout du sable.
& remuer.
Movrpör, s. m. moteur : celui qui meut. V.
ui n’est pus
euble : ais6
Movcarräd, ÖnAa, adj. auy. de Mouwcn (1 | Motor.
Burl.). Tres-sourd.
PORT PR.
Müveı ‚s.m. mobile, moteur. Meuble (d’une
62
8te MOX
maison). Primeiro —, premier mobile, ciel
qui, seion Ptoleme6e, enveloppe et fait mouvolr
wous les auıres; ( Ag.) principal molear d’une
allaire. Os moveis, pl. mobiler d’ene maison.
MövszıL, adj. 2 gen. mobile : qui se meut,
pest €ire ma. Mebilier, —dre: de la nature des
meublcs,. Bens moveis, biens meubles. Fosias
moveis , (ötes mobiles.
Movsıir. V. Mobiler.
Movsure, adj. 2 gen. meuvant, qui ment;
moteur.
Morta (a,com,de, conirs, para, por), d.@.
monvoir : donner du mouvement, une impul-
sion; faire changer de place; faire aller d’un
lieu-& un autre. Remuer, egiter. (fg.) Inciter,
mouvoir, exciter, faire agir, indeire &. Exeiler :
Salre nattre. Emouveoir : toucher le owur, inspi-
rer, etc. — d piedade , 4 der, de lagrimas,, etc.,
&mouvoir la oompassion ‚causer de la douleur,
arracher des larınes.
Movta, v.». acooucher avant terme : falre
une fausse couche.
Movka-s5, v0. r. se mouvelr : remuer, s’agi-
ter ; changer de place; @tre, pouvolr &tre mü
(prop. et ig.). = do odio, medo, inweja, eic.,
se mouvoir, &tre mü par la haine, la peur, la
jJalousie, ete.— com affeelacdö, ne so remuer
que par ressorts , se dandiner.
Movino,A,p. p. de Mover.
° Mörvır. V. Movel.
Morıntnto, s. m. mouvement : transport
#’un corps d’an lieu dans an autre; agitation,
deplacement d’un corps ou de ses parties;
transport d’une passion. Emeuts, sedition ;
agltation , trouble, fermentation; commolion.
Remuement. Mouvement d'une arınee. Manie-
ment : mouvement du bras, de la jambe. Dili-
gence. Do meu —, de mon propre
mosvement. Primeiro —, la premiere impul-
sion d’une passion. — aceelerddo , mouvement
aoceelere, qui va toujours en augmentant. —
relardddo, mourement retards, qui va lou-
$ours en diminuant. — de trepidaräo,, mouve-
ment de trepidation,, de libration. — verds-
deiro ou te , mouvement vrai ou appe-
tont des plandtes. —igual ou eqguavel, monve-
ment unfforme, toujours le me&me. — mddio,
mouvement moyen d’une plandte. — natural,
tendance des corps graves vers le cenıre de la
verre. — e natural, mouvement pro-
pre des plandtes d’occident en orient. — arre-
$eatado ou replo, mouvement par tequel tous
les astres paraissent emport&s en vingt-quaire
heures d’orient en oceident : c’ası le mourve-
aent diarne de la terre. — vielenio, mouve-
ment qui #loigne un corps du centre de la
terre. Pör-se em — , »’thranter.
Mövıro, s. m. svoriement, fausse couche.
Moviver, adf. 2 gen. mobile. Changeant. V.
Budavel
+Möxa-Dos-Caınas, s. f. (t. de bot.) *moxa :
absintbe velue d’Asie.
Moxiua, s. /. poisson sec ei [ume.
Moxauin, V. Amosemir.
MUG
+ Moxastıno, s. oı. oelal qui söche le pcis
son; lieu o& on le seche. V. Mowdme.
*Moxiö. V. Mouchäo ou Mesds.
Moxwiö,s. m. (8. 90p.) V. Panende, Golye.
Moxinca, s. f. (1. d’Afr.) voldede coupe. V.
Surra.
Moxmtmwäpa, 8. f. (6. pop.) "mnölange ou vı-
riete de viandes, de beissens, oic., ratalonilie.
Moruento, V. Moimento et Monumente.
Möro,stc. V. M6lo, eio.
Mozinane, adj. ot 3. 2 gen. mozarabe, MO-
zarabigue. On le dit des ohretiens qui viralen:
sutrofois en Espagne parmi les Mars OF
cio, missa —, office , messe mozarabe 08 Mo-
zarabique,.
Mozanisıco, A, adj. mosarabique. V. Ho:e
rabe.
Moztra, s. f. * mantelet, camail d’erögat.
y, @
Mozino, s. m. (8. d’Asie) mänes, rerensul,
Dieu adore par les babitants du Monomolape.
"Mörinno, s. m. petit close d’une #rlis,
enfant de chaur. V. Mestuho. Aujourd’keic'el
un nom de famille.
* Mozöm. V. Guondasis, Roldens.
Mod, s. m. mulet. V. Mdche,
°Möa.V. Mule.
Mär, adj. 2 gen. de mulel, de mule. Biss
— , mulet, mule.
Musänco ‚ s. m. arbre mnedicina} d’Alrigee.
* Mospisı, 8. m. ancienne elofle precieas®,
empieyse surtont dans les veiernenis saderdt-
taux.
*Muca. V. Murpa.
Mociwsa,s. /. esolave qui accompagme
chaise & urs de sa maitresse quand
sori en ville (au Breail ei on Alrique).
Mucarase. V. Mozarabe.
“ Mucano. V. Almocreus.
Mecnacuim. V. Matachim.
+ Mucuicno, A, s. enfant, petit gargon, P*
tite Alle.
+ Mrcmania 08 —CHACHRRLA, 3. f. UOUP
d’enfanis.
MtucniLa. V. Mochile.
Mucninpo. V. Peiwite.
Muchinoa , s. f. prive, latrines (d& la prisen
du Limoeiro. V.). it. V. Moziage.
Mucnissıno. V. Muilissimo.
MecıLäcem, 8. f. * mucilage : ınalldre ri
queuse,, spaisse, fade, !’un des principes In-
medials des vegelaux.
MucıLAacındso, a, adj. mucilagmeur : q4
contient du mucilage.
Mico,s. m. mucus : bumeur semblable st
blanc d’auf.
Mucosinändg, 5. f. mucosit& : bumeur epaist,
de la nature de la miorve.
Mucös0,, a, adj. ımuqueux : quia de la mu
cosile. .
+ Micnon,s.m. (1. d’anal. p. ws.) carlıidc®
zipboide au bas du sternum. V. Espinhele.
+ MUCRONÄRO, A, adj. (I de Das) mauoront:
MUD
(feullle —e), en points aiguß, asillaute,
allongee.
+ Mecoum-no-Braziı, s. m. (I. d’hisl. nat.)
® ceinture d’argent: poisson du genre du tri-
chiure. "
+ Mucini ,s.m. (1. de bot.) yeux de böurri-
que : plante I&gumineuse du Bresil.
Mina, s. f. mue des oigeaux, changement
de plumes : temps oü les olseaux muent;chan-
gement de la voix Iprsqu’elle mue. * Chan-
gement de linge, d’habits, ete. * Relals de
chevaux, de chiens. V. Mudanga. Estarna—,
muer : changer de plumage, de poil. (fig.) Se
taire, ne dire mot. — da 062, mue de la volx.
Pässaro sem — ‚(fig.) celui qui n’a pas delinge
“ ni d’habits pour changer.
Muoioa,s. f. aclion de changer de lion. 7.
Mudanca.
Mripantına, ad. f. Herva—. V. Fumärla.
Mupapıco. V, Mudaoel.
Muoioo,A, 9. p. de Mudar. adf. converii :
qui a reforme sa vie. Esid bem —,, il est devenu
tout autre.
Muoanör, A, adj. ol s. changeant, incon-
stant, versatlle.
Monauente , adv. en silence, A la muelte,
sans dire mot.
MUDANENTO, &. m. V. Mudanıta.
Mwincı, s. f. ” changement, transforma-
tion. Changement de lieu : passage d’un lieu &
un aufre. Charigement de pas, de mouvrement
dans une danse, figure de contredanse, etc.
Changement de mourement, de mesure dans
un air, etc. — ‚vicissitude , revolution. Incon-
stance, l&gdrete. (g.) Innovation, altdration,
reforme. — de casa, de domicilio , demdnage-
ment. —de döno, mutatlon , changement. —de
mdo em bom ou para melhor, amendement:
changement en mieux. — de vento,, sautee.
Mopia (para), v. e. changer : transporter
d’un lieu & un autre; Ööter d’un endroit, d’un
poste. (de, em) —, convertir, transformer. —,
donner une aulre lorme. Innorver, alt4rer, re&-
former. — a vg, as Dennds, muer. — 08 ca-
vallos, etc., prendre des relals.
Muoin (de), v. ». changer (de), quitter ane
ehose pour une aulre; prendre une autre forme
ou d’autres qualites. —, prendre un nouveau
earactöre , un nourel dial, un nouvel ordre, se
dit absolument en bleri ow en mal. Changer d’a-
vis, ete. Muer : changer de voix, parlant des
enfants dont la voix Mmue ; changer de plumes,
parlant des olseaux. —de casa , demenager. —
d@ares, changer d’air, parlanı d’an malade.— da
semblante ou de cör, changer de risage ou de
coufeur. — de tom, changer de ton : parler
avee moins de hauteur, elc. —
mer sa vie. — de conselho , se raviser, changer
d’aris, de pensees, de desselüs. — de rumo,
(t.de mar.‘ avoyer.
Meoin-se (de), v.r. changer de rie. Chan-
ger de linge, d’habits. Changer de logement,
de demeure; demenager. (fam.) Quitier la
compagnie, "
de eida, refor-I N.
MUL ı)
'"MuoiveL, adj. 2 gen. dhangeant, Inoumblant:
muable,, variable, versatile, Mobile, Fesias
eis, fetes mobiles.
MupiveLntnrk,, adv. avec Inbonstance; sans
stabilile,
Munt2, s. f. privatiotı de lusage de ia pa-
role : mutisme.
MuoıLiin, s. m. (4. P Arte) magistrat.
Mivo,A,.adj. et 8. muet: qui ne peut pür-
ler, ne parfe point; silencieuz ‚ Lachturne. (g.)
— , qui exprime Satıs parler. (dd.) Interdit. Fi-
car —, devenir muet; perdre l’asage de la pa-
role. Como — , sans pouvolr proferer un mot,
tout interdit. Lettra —a, consonne dont la pro-
noncialion ne cotmmence pas par une voyelle,
telle que d, e, d, elc.; lettrd muelte, qui se
prononce falblement.
MoßLa. V. Modla.
fMourLid, s. m. (1. dklst. nat.) argali om
mouflon : brebis sauvage.
Murri. V. Mupktii.
Möceu, s. f. muge : poisson de niet, d’ead
douce , du genre du magll.
Mucı. V. Mugem.
Mucivo, 5. m. tnugisseinent s er du tatireau,
de la vache.
MecicincA. V. Bugigange.
Mucınıriva, V. Moxinifäda.
Mucir, v. %. mugir : se dit en patlanıt du cri
des taureaux,, des vaches. (fg.) Du brult des
vents et des flots irrites.
Mucir, v.e. V. Mungir.
Möıe MbırTO , ade. qui,jdint au positif , Te
rend superlatif. Tr&s, fort. Beaucoup. V. Hül-
to. Mui, dans le style ordinaire ,signiffe moins
que le superlatif. — {llusire esı an-dessous de
dllustrissimo.
Moutuento. V. Moimento.
Mürtissıno, a, ad/. sup. de Mdito. Trös-
nombreuz , tr&s-sbondant.
Moıro, A, adf. abondant, Nombreux, ef
grande quantii&; beaucoup de. —a gene,
beaucoup do monde. — dinkefro, beaucdup
W’argent. Ha — lempo,il y a longiemps. Ha
— (lempo) que isso aconleceo? y a-t-il long-
temps de cela? Ndo ha —, nagudre. —as v0e-
zes, plusieurs fois, sontent, fnaintes fois. —e,
pl. plusieurs, . II est guelgüofois
subst. Ex.: Tenho — d’isso, J’ai beaucoup
de cela. Quem — pouco aperla, qui
trop embrasse , mal &treint. Nem pouco, nen
—, Di peu, ni prou.
dıro, ade. beaucunp ; Margae ’augmenta-
tion , l’avantage. V. Hui. Beber —, boire M’au-
tant. Polgar — , se rejoulr fort, &tre forl aise,
eharme, content. Fiver —, vivro loriglomps.
do —, pas beautoup. Quatdo —, tout au
plus. Näo &—, pas trop.
+ Moıva, 8. f. (4. de bot.) melastöme du Bre-
sil.
Möra, s. f. mule : animal de somme, mulet
femelle. * Pouhsin : fameur dans Paine.
MouLanin, 3. m. fumier : liea oü Von jelld
les immondices. v. Monriro.
2) MUL
MvLATiano, A, dim, de
MvLito, A, adj. et s. mulälre, —esse: n6
d’un negre et d’une blanche, ow d'une negresse
et d’un blanc. Extremement brun. (inus.) Mu-
let, mule.
Muutra,s. f. bequille; (Ag.) soutien : chose
qui aide ä en soutenir une autre, Moulette: ba-
teau de e portugais.
ee V. Mulhkemulhe.
MvLETIM, 5. m. polile volle. V. Moretim.
Merci. V. Mugir, Ordenkher.
* MuLuanico. V. Mulheril.
MuLBENÜLHE , s. m. (4. pop.) " pluie fine.
Muinee, s. f. femme : femelle de I’bomme;
öpouse ; femme mariee. (Ag.) Homme eff&mine.
— da sua casa, femme altschee & son menage.
— de gorerno, mensgere, femme de charge ;
femme &conome , qui entend le menage. —die-
holica ‚do diabo, diablesse: femme möchante,
acariätre. — do mundo ou de parlido, prosti-
tute- Haver ums —, jouir d’une femme. Ter
communicapdo , commercio com uma —, COU-
cher avec une femme. Ser —, @tre nubile;
ötre, devenir femme, parlant d’une jeune fille
qui commence ä avoir ses regles.
MuLnEr£enGo ‚A, adj. eflemine; adonne aux
femmes. Ser —, aimer le cotillon.
Muruzrico. V. Mulkerio.
MuLusril, adj.2 gen. de femme; qui con-
cerne les femmes.
MOLBERILMENTE, ado. en femme, comme
les feınmes.
MoLnERINHA, 8. f. dim. de Mulhdr. Femme-
lette : femme de peu d'esprit, eic. Femme de
la lie du peuple.
MuLuerio ,s. m. les femmes. Concours, a8-
semblee de feınmes.
f Mrrusnöna, s. f. aug.de Mulher. Grosse
femme. Fermme respectable.
MuLnErzinHa, s. f. dim. de Mulher. Jeune
ülle qui commence ä se former.
MvLiviän. V. Mudiliar.
MuLienae. V. Mulhertl.
+ MuLinas, adj. f. pl. Plantas —, (1. de bot.)
plantes hybrides, nees de deux plantes diff6-
rentes.
Muno- V, Macho, Mu.
usa ,s/:
MtrLso , ‘m. V. Hydromal.
‚Meura v4 —CrA,s. f. amende : peine pecu-
niaire.
MuLTiAp0, A,p.p. de
MtuLtän,v. a. amender : condamner & l’=-
mende. Mulcter.
+ MrLticarsuL650, A, adj. (t. de bot.) mul-
ticapsulaire: A plusieurs capsules.
+ MtuLriceLLuLöso, A, adj. multiloculsire, &
plusieurs loges.
Mertiväö,s. f. multitude, quantits, grand
noınbre.
+} MuLtirEenpinpo, A, adj. (4. de bot.) mulli-
ide : divis& profondement en plusieurs seg-
mienis,
+Mortıro, ($. &hist, nat.) V. Polynemo,
MUN
+MreLrıör0, a, adj. (t. de bot.) muli-
flore : qui porte plusieurs flieurs.
MoLriröaumg, adj. 2 gen. multiforme: qui
prend toutes les formes; qui a plasieen
ormes. .
+MuLrıLitero, a, adj. On le dit, en pi»
metrie , d’une fgure qui a plus de quatre ed-
tes, mulüilalere.
h r MoLTtiLosino, A, adj. multilobe, ä plusients
0b88,
+ Murrınöuıo , s. m. (6. d’alg.) mullindme
grandeur exprimee par plusieurs termes.
+ MuLtirantino, A, adj. (4. de bot.) mulli-
parti : divise profondöment en lanieres.
+ MuLTiriex , 0dj. 2 gem. (d.de mus.) Genere
—, le premier des cinqg genres de proporüe
inegale.
Murriruicaciö, s. f. multiplication : aug-
mentalion en nombre ; operation d’ariihmei-
que par laquelle on repete un nombre aulanı
de fois qu’il y a d’unites dans un autee,
°MuLrtieLicacom. V, Multiplicapäo.
MULTIPLICADAMENTE,, adv. avec multiplits-
tlon.
MuLTiPLIcäDO,, A, 9. p. de Multiplicar.
MurrirLicanon, 5. m. celui qui maulliplie.
Multiplicateur : nombre par loquel on en mal-
tiplie un autre.
MuirieLicinno, #. m. (6. darish.) multipi-
cande : nombre & mulltiplier.
Murrieuicik, v. a. multiplier : augments
un nombre, une quantits; faire une muliipl-
cation. 0.n. —, augmenter par voie de gea*-
ration; croltre en nombre.
MULTIPLICAR-SE, v. r. se multiplier, augmen-
ter en nombre; se reproduire; &ire reprodait
MuLTipLicävEL, adj. 2 gen. multipliable ı
qui peut Etre multiplie.
MuLTipLice, adj. 2 gen. multiple : nombre
qui en contient plusieurs fois un autre exacl-
ment.
MurrirLicınäpe, 8. f. multiplicite : nombre
indelini de choses diverses; grand nombre.
+ MueLtispicäno, A, adj. (t. de bot.) A plu-
sieurs &pis (tige).
f MuLtirLo, A, adj. et s. m. multiple.
Murritöpe. V. Mulliddö.
+ NurriväLvas, s. [. pl. (t. d’kist. nat.) mul-
tivalves : coquilles de plusieurs pieces.
+ MuLtiväLve, adj.2 gen. it. de bot.) mut
tivalve : (capsule —e) & plusieurs panneaus.
Munsännpa. V. Mucdmop
+ Minso, 3. m. (1. d’Asie) sorte de Calre dans
le pays de Monomotapa.
Miuia, 3. f. momie ow mumie : corps di
gyptien embaume& ; cadavre dessöche sur le s#-
bie des deserts. (flg.) Personne maigre, seche,
decharnee.
Menpa, V. Monda.
*Muınpanär. V. Munddno.
"+ Munpanaupioe, 5. f. qualile, condiliea
des choses du monde; mondanite.
+MuxDÄnamente, adv. inondainement: d'une
maniere mondaine.
MUN _
®Monvaninto, A, adj. du mınde. Mulkdres
as, files de joie, femmes de mauvaise vie.
Munpäno, a, adj. du monde, qui appartient
au monde. Mondain : qui aime les vanites du
monde, qui aime Lrop le monde. Hulher —a,
feınme publique,, prostituce.
Munpir. V. Mondär.
- *Munpavgı. V. Mundano.
Monpicıa 0% } proprete, nettete. Toilette
Monpicıg,,s. f. ) simple et elegante.
Musupiricipo, A, 9.7. de
Monvirscir, ©. a. mondifler, netioyer, de-
terger (une plaie, etc.).
Monpiricarivo, A, adj. (1. de mdd.) mondiß-
eatil : detersif, qui nettoie une plaie,
Muxpinno, dim. de Mundo.
Munpissiıno, adj. sup. de
MünpoO, A, adj. net, propre; pur.
Mönoo, s. m. monde : l’Univers ; 16 ciel, la
terre, tout ce qui y est compris;; le globe ter-
restre; l’esp&ce humaine, le commun, la plu-
part des hommes; vie seculidre; les maurs
du sidcle; maurs, usages, Coutumes des hom-
mes; vanild du monde, vie dissipee qu’on y
mene; ceux qui ont les mours corrompues.
Globe surmont6 d’une croix entre les mains
de Venfant Jesus. (fg.) Savoir-vivre : connais-
sance des usages du monde. Anda ou estdo —
es avessas , c’est le monde renvers6d. Desde
o— 6 —, depuis que le monde est monde,
de temps immemorial. O antigo —, l’ancien
monde: l’Asie,!’Afrique et l’Europe. O novo—,
le nouveau monde, l’Amörique. O oulro —,
Yaatre monde, la vie future. Mandar para 0 ow-
ro — envoyer en l’autre monde. Näo ser d’esie
—,n’eire pas de ce monde: mener une vie trds-
retirde. Segundo o —, mondainement,. Fiver
longe das cousas d’esie —, n’eire plus de ce
monde. Fiver no cabo do — , loger au bout du
monde. Ver —, voir le monde : voyager. Dar
que fallar ao —, faire parler Ile monde. Yivor
w'este —, virre ici-bas.
+ Mönpusi, s. m. (t. de bot.) * arachide A
quatre feuilles. V. Amenduinas.
Möneuöne, s. m. espöce de congre de la ri-
viere de Sofala.
*Monca. V. Monfa.
MvxciL. V. Mongil.
Moxcir, vo. «. Traire les vaches, etc. V. Or-
denhar.
+ Mönco, e.m. (1. de bot.) mungo : haricot
de !’Inde.
MuncoiD0, s. m. sorte d’arbre d’Ethiopie.
+ Munsopid, s. m. arbre ou arbrisseau d’E-
thiopie orientale, dont les feuilles ressernblent
& celles de l’yeuse.
Munnuid. V. Munhöes.
Munnt£cä, s. f. * poignel.
Muwnöss, s. m. pl. tourillons d’une pidce
d’artillerie.
Munnuontıras, s. f. pl. (8. d’artil.) entaille
de P’affüı qui regoit les tourillons.
Municäd,s. f. fortilication, rempart, reiran-
ehement, tout ce qui sert & fortifler, A defen-
MUR 8323
dre (p. us.). Munition : ptovision des choses
nöcessaires ä une armee, A une place, elc.
Petit plomb pour les oiseaux. Pdo de —, paiu
de munition. Hunigcöes de guerra ou de bocu,
munitions de guerre ou de bouthe, provisions
de guerre, arımes, vivres, ee.
Monıcıäpo, A, p. 9. de Municiar.
f Municıamento, 8. m. action de munilion-
ber; Approvisionnement d’une armde, d’une
place.
MounicıaR ou munitionner : fouroir
MUnICIonaR, d. a. ) des munitions; appre-
visionner une place, elo.
MuniciraL, adj. 2 gen. municipal : d’une
ınunicipalitö, d’une ville, d’un pays partieu-
lier; qui appartieni a ses coutumes. Corpo—,
Municipalile, corps municipal, commune,
Muxicıpe, adj. 2 gen. bourgeois d’une ville.
Habitant des anciens municipes.
Municipio, s. m. ville municipale : qui se
gouverne par seslois, ses coulumes. Municipe:
ville municipale d’ltalie qui avait le droit de
bourgeoisie romaine.
Munipo, A,p.p. de Munir.
Munıwicencıa, s. f. munißcence: vertu qui
porte & faire de grandes liberalitss.
Munirico, A, adj. liberal, genereux.
Munir, o.@. munir, gamir du neoessaire,
pourvoir.
Munia-SE (de), v. r. se MUunir : se pour-
voir de out ce dont on a besoin, (fg.) de pa-
tience, ele.
Munitissimo, A, adj. sup. de Munido. Trös-
muni.
Münuto. V. Mdito.
Munröro. V. Moniuro.
Muearti,s. m. muphii: chef des imans; grand
preire des Tures.
Muquica. V. Moquica.
*+MoraniL,s. m. lieu plein de d&combres,
de plätras. V. Muladar.
Murninpo,A,p.p. de Murar.
*MurapDör, A, adj. qui chasse los rals, les
souris.
*Murap6ouno. V. Muro, Tapigo.
MuräL, adj. 2 gen. mural : qui concerne les
murs. Coröds—, couronne murale, ornee de
er6neaux et donn6e & ceux qui montaient los
premiers ä Yassaut.
Muniısa ,s.f. muraille, mur.
Murir, v. @. murer : clore, entourer de
murs.
Moräa-#E, v.r. s’entourer de murs. (Ag.) Se
fortifier.
Munca, 8. f. mozeite ou moselte, camail de
ehanoine, 6ic.—depelles , aumusse ou aumuce,
Munc&co. V. Morcego.
Munckiro, s. m. (aiseur d’aumusses.
Munckira, s. f. saucisse ou boudin artili-
ciel, fait de mie de pain, de sucre, d’aman-
des, ete.
Munc£xo. V. Mursello.
MürcHa, s. f. gtat de la petite verole quand
elle commence & secher. V, Murchiddd.
823 MUR
Muscnino,&,Pp. p- de
Mrzcaia, v. a. fiötrir, faner, ternir l’delas
des fleurs;; (Ag.) Netrir.
MiscHäR, 9. 8.08 =öR, 9. Fr. 50 [aner, se lid
wir prop. ei Ag.).
MuUnchEcen,v.8. V. Murcher.
Muacupäö,s. f. Bötrissure, elat d’une chose
leise, fanage.
Möncuo,a, adj. fand, Mitri. (Ag.) Triste,
Gesanime.
+ Mincnoso, a, adj. (4. de bot.) quiselane,
se PR) i
r Muscıa, a.
et ville d
Muncıino, A, ady. de Murcie. Couve—e. V.
Couse.
Muntna. V. Moreia.
Muakauıs. V. Lamprbia,
*Murzs, s. m. pl. V. Ralos.
Moncinzo , s. m. ° souris, pelil rat.
Muncumwäna. V. Mominifdda.
Mussituco, a, ady. (8. de chim.) murialique :
(aeide —), autrefois marin,, aujourd’hui bydro-
eblorique.
Munıito, s m. (4. de chim.) muriate : sel
forme& de l’aeids muriatlque aveo difförentes
bases.
%
f. (1. de gdeg.) Mureie : provinoe
Möaxcs, s. m. murex ow richer, coguillage
univalvo, herisss de pointes : donnait la pour-
pre des aneiens.
Munu6ıno, s. m. brouhaka ı beuit confus
d’applaudissemenis. Mugissement des flois. V.
Murmurie.
Müauun, s. m. /inus.) bruissement, bour-
donnement. Bruit confus, mermure.
Munsunsciö, s. f. actien de murmurer;
dötrectien , medisanne , salomnie.
MunMunipo, A, p. p. de Murmurar.
MURMURADOR, A,s. zu, el adj. murmaralenr
qui murmure. Dötrectour, medisant, oalomnia-
leur.
Mouauuninte, adj. 32 gen. murmurant : qui
Mormure. p. a, de
Muruunän, o. a. murmurer, le plus souvent
en mauvaise part. (de) vo. ». Murmurer : faire
un bruit sourd en se plaignant; produire, for-
wıer un murmure. Mödire des absens.
Munutunäa-sE, 9. r. se murmurer; dire dit &
voıx hasse, entre peu de personnes.
+ MurucRativo, 4, adj. qui murmure,
MURMDRInEO, & m, petit bruit, leger mur-
mure.
tr Munuöno, s. w. marmure des eatız. V.
Hurmurinko.
Möassuno, A, adj. V. Hurmuranis.
Munnöno, s. m. V. Murmur, Murmurio,
Uurmu .
Möno, s. m. mur, murallie. Duro com duro
ndo faı bon —, ipree,) An eontre An ne vaut
rien pour doublure,
Monnas,s. f. pl. "maquereaux : taches aux
Janabes guand on se chauflo de ron pres.
uRRÄcA, 5. f. coups de poi . Morraga.
Muanina, V, Murrags. poing. -
MUS
Mranid, 3, m. "möche & canon. Meneberen,
Jumigoon de chandelle qui brüle; meuchere,
— das arcores.V. P
MCRRÄOZInHO, dim.de Murris.
Munnıaö,s. m.(t. de bei.) nmeuren I Üsun
Touges, mouron des champs : planie mridisi-
nale. s4. V. Murrdo ei Morride,
Mönno, s. m. coup de peing. .
Mönsı. V. Burgos.
Monstu.a. V. Muresills.
AuunsfLLo, adj. m. Casallo —, eberal b:i
a.
Mörrı,s.f. (f. de bot.) "mayrte : arbrisseau
vert, symbole de ’ameur, ä bsıes c:
feuilles Ddoranien. — brane. V. Gilbsibeire.
MuaräiL, s. m. ante de myrtes.
+ Monteına, 8. . oune myrio. Myrie sav-
vage.
MoarıuH0, s. wm. "baie da myrie.
*MustüLua. V. Mortdike,
+ Murccd, s. m. (4. d’hist, nal.) meutouten:
arbre sarınenteux de la Guiane.
Murücen ,s. fı (4. de dot.) meorgeline : planie
caryophylide.— bastdrda. V. Murrids.
+ Munuicuri ow I (4 de bot.) merucuia ı
Muaucuvi,s f. ! plante veisine des gie
nadilles.
Muniıuo, V, Marulko,
Musa, s. /. Muse : deits; une des neul dies
ses qui prösidaiont aux beaux-arts; (Ag.) por-
sie; esprit, imagination, genie, verre da
poöte, d’un vorsilicateur ; inspiration poeligus.
—s, pl. Muses: divinitss [abuleuses ‚eis. ; A.)
beiles-lelires. Filkos des — , noutrissens des
Muses.
Musiuans, etc. V. Mosdrabs, elo.
Mosaniuua, 5. f. sorie de rund poisson de
mer.
MusaRinBO, 5. m. (4. d’hist. nal.) musarar-
Ene, musel ou muselle: espece de seuris ds
ehamps, & long museau, mammilöre insecu-
vore. — das fonies , musaraigue d’oau. — #l0s-
yeirddo,, musaraigne taupe-
° Musinia. V. Misseris au Annioersaris.
Muscapkıaa. V. Moscaddire.
Muscipo, A, adj. musque. V. Almiscarddo.
+ Moscanı, s.m. (1.de bes.) mauscari : espfr
de jacinthe.
f Muscäsıa, &. f. sorte d’oiseau aqualiqut.
+ Mrscıchra ou ı (8. d’hist. nal.) " ınusci-
Musarira,s.f. J capa : gebe-moucht.
moucherolle.
+ Muscırunssna. V, Moscapdnke.
+ Muscosipäns, 3. f. muoosile : mousse dass
le ventricule des ruminanis,
Muscöso. V. Musgöso.
+ MuscoL.ino, a, adj. (4. de peint,) muscle:
qui a des muscles bien marques.
MuscuLis, adj. 2 gen. (1. d’ansl.) must0 -
laire : appartenant aux muscles, qui 8'y Insüfe,
qui en sort (lorce, artere — ).
MiöscrLo, a. m. (4. d’anal.) muscle: par:ı0
charnue, Abreuse; organe du mouvemenl
Sorte de peut poisson de mer qui, dit-on, com
MUT
duit ia baleine (ou plutät, co qui est poslulf, lo
in).
MoscoLös0, A, adj. museuleux : plein de
maseles; k muscles epparents (homme —).
Musto ou lien oonsaor6 aux Muses.
Mostu,s.m. ) Musse : lieu destind A l’-
tude des lettres, des sciences, des arts; mu-
seum : lien destine A rassembier des monu-
ments, des produits des arts, des produits de
la natare,
Misco, a. m. ($. “ bot.) * mousss: heorbe
parasite, cryplogame. — verde, bypne. — ea-
sine, lichen sontre-rage, pulmonaire de terre.
— dos carvalkos , lichen entreiao6. — das amei-
zieiras. V. Orsella do reino. — coptako, lichen
coeciföre.
+ Musco-wariuuo,, 5. m. plante marine,
esp&ee de ooreline.
Mrsc0s0, ı, adj. MOussu ‚, o0uvert de mousse.
Mösıca, s. f. musique : sciense du rapport et
de l’scoord des sons ; barmonie om melodie qui
natt des sons ot des voix; art de composer des
chants, des airs; compagnie de musiciens; livre
de musique; oonoert; cLont. Musicienne. —
Sumea cangäo , "air, chant et paroles.
MusiciL, adj. 2 gen. musical : de la musique.
Musicauuäute, ade. musioalement : d’une
manitre musicale.
+ Musıcir,, 9. ». musiquer ı faire de la mu-
sique.
Mösıco, s. m. musicien ı qui salt, compose,
enseigne, prefesse la musique.
Möüsıco, A, adj. de musique : qui conoerne la
nusiyue. Harmonleur.
Moüsıcosmno, 8. m. de Musieo. Petit musi-
ieR.
Mrssgutta,s. f. dim. de Musica. (1. buel.)
'etite musique.
Musiquiz, s. m. mönötrier, musicien ambu-
ınt.
° Mosstaganu, s. f. volx hasse,
Musıos. V.
Mcsonitas. V. Massordias.
Musi:co. V. Meseice.
MeossuLauin. V. Musulmano.
Mostäcno ,s. m. boucle de cheveux postiche.
ıusse moustache. .
MusuLmino, 5. m. musulman : titre que 86
nnent les mahometans, ei qui signifle pour
x vrai croyant, qui met toutes sa conflance
Dieu. adj. —, des mahomstans (religion,
zurs, ecostume).
tuvsoL.mäo. V. Musulmano
[OTABILIDÄDE ‚ 2. f. mutabilile: etat, qualite
ce qui est musble, sujet A ohanger.
Icracä6,s. f. ımatalion, chaugemant. * Coup
Inöstre. —pöss, pl. changement de döcora-
ı dans une oomedie. Changemenis de seison.
uricismo, s. m. mutscisme: dificulis de
noncer les letires D, m, p.
oringa, 3. f. (t. de mus.) Inversion de | pa
:s, dans l’ancienne methode de ohant, avanı
ın as de6osmvert lo ei.
vriäuos. V. Motano.
MYO 828.
MorıLaclö, s. f. mutiletien : reiranoboment,
ampulalion d’un membre; action de mutiler.
MutiLADo,&A, 9. 9. de Nusilar.
MurtiLapOn, 3. m. mutilateur : oolul qui mu-
tile.
MoriLir, vo. a. mutiler : cassor, 00upor, 1
trancher un membre; (Ag.) öler une parüie
essentielle d’un &erit; cbälrer.
f Murizua, s. f. (8. d’Mst. nat.) mutille ı
hymeönoptöre mutillaire.
Murim. V. Motim.
Mormacid. V. Amotinagdo, Molim.
Möro. V. Mdiso.
+ Muronno , s. m. (}.de bot.) mutondo : grand
arbre d’Afrique. .
Meurönna, s. f. (1.de bot.) " mutonha : grand
arbre de Mozambique.
Mörsa, s. f. (1. d’Asie) cachet, empreinte
du cachet. V. Selle.
Murzir, v. e. cacheter : mettre le oachet. V,
Sellar.
uuroagäö, s. [. oorrespondanoe röciproque.
röt.
MoTuino, A, Pp. p. de Mutudr.
*" MuTuALNENTE eu | mutaellement, 'r6ci-
MuTUuanänte, ade. - proquement,
MuTUARIO, 3. . eımprunieer : oelui qui em-
prunte.
MöruLo, s. m. (4. darch.) mutule : eapeee
de modillon cars6 dans ia corniche dorique,
d’oü pendent des gouttes, des clochettes.
Mirvo, a, adj. mutuel : Niciproque entire
deux ou plusiaurs personnes. —a correspon-
deneia , r&ciprocite.
Möruo, s.m. ($. de prat.) pröt. V. Empres-
timo.
Murvrur6, s. m. arbre d’Angole.
Möu. V. Ms, Macho,
+ Muxoßıra, s. [. (1. de bet.) muxeodira : gra-
minee de Mozambique.
Muxiua. V. Morama.
Moxina,s. f. (1. d’Asie). V. Asylo.
° Muyruknto. V. Monumenso.
" Muzı£uo. V. Rustico, Barbaro.
Mricao, s. m. (14. de bot.) myagre: plante
eruciföre. * Cameline, sesame d’Allemagne ow
bätard.
Mrcicaa. V. Vizdgre.
+ Mrvcsrörnaco, 8. m. (1. d’hist. nal.) myck-
tophage : insecte coleoptäre,, troglossitaire.
+ MyLisre,s. f. (8. Ehist. nat.) mylabre::
col&opi#re cantharide.
Mrıoap, s. w. milord, lord, monseigneur s
titre, dignits en Angleterre
MYNIANTE. V. Henyanshe-
+ Mröa, 3. f. (4. d’hist. nal.) myo : testach
bivalve.
z MrvoLocia , s. f. myologie : trait# des mus-
cles.
+Mrowancia, s. f. myomancie : divination
r les rats.
+Mr’ora,s. f. (l.d’Msl. nal.) "myope ı di-
ptöre conopsaire.
Mv’ops, adj. 2 gen. ayope : qui a la vu fort
> u N
courle, qui ne peut voir de loin qu’aveo un
verre Concare.
Mrvoria ,s.f. myopie : &tat du myope.
+ Mrosora ou — re. V. Orelka-de-ralo.
Mvoronwia, 3. f. myolomie : traile de la dis-
section des muscles.
Mraosou.ino. V. Myrobaldao.
My’aıa , (6. grec en comp.) myri, particule ge-
aerique qui signifie dix mille fois la chose.
Mrnisna, s. f. (1. d’ant.) myriade : nombre
de dix mille ;nombre inßni.
Myvrıacaiumo, 3. m. myriagramme : dix
mille grammes, dix kilogrammes.
Mvniiugrao, s. m. myriametze : dix mille
mötres.
+Myarinrwo, s.m. (8. de bot.) myrianthe :
arbre cucurbitac# d’Alrique.
+Mr'nıca, s. f. (1. de bot.) " gals odorant,
piment des marais. Myrix. V. Meringe.
+MYaıörmrLLo, s. m. (8. de bot.) myriophyl-
lum : plante semblabie au fenouil.
+ Mrauzıeiö, s. m. (1. d’hist. nal.) myrme-
leon : neövroptöre fourmi-lion. — formigueiro,
fourmi-lion ordinaire.
MraosaLino, s. m. (tl. de bot.) myrobolan :
monbain des Indes. Myrobolandier : arbre qui
porte les myrobolans.
Mınza ou Myaaua. V. Mirre,.
+ Mynsina, s. f. } (8. de bot.) myrsine d’A-
Mvnsino, 8. m. frique; myrsindon, fe-
nouil sauvage,.
+ Mynräcuas, adj. et s. f. pl. (1. de bot.)
ınyrtactes : famille de plantes qui a pour type
le genre myrtus.
Mynrirönun, adj. 2 gen. myrtilorme ı on
forme de feuille de myrte.
Mr’ato. V. Mirto, Murta.
+ Mraröınzs, adj. et s. f. pl. (1. debot.) myr-
toldes : plantes dicotylödones polypstales.
+ Mrstacocia, 3. f. mystagogie : initlatıon
aux mystöres.
Mysracdco, &. m. ($. d’enf.) mysiagogue:
pretre qui initialt aux gaystöres.
Myst&aıo, s. m. mysiöre : 08 qu’une religion
NAB
a de plus cache; objet de la foi okretienne;
(fig.) sccrei dans les affaires d’etat, etc. ; opd-
ralion seorete; chose difficile & comprendre, &
deviner. Fallar com —, parler mysierieuse-
ment, avec reserve. Isso iem —, il yadumys
tere en cola. Faser —s, faire mystöre, ienir
secret.
MyvsTsnıösamente, adv. mystöriousemeni:
d’une facon mystsrieuse.
MYSTErRIöSo, A, adj. mystörieux : qui 608-
lient quelque mystere ‚, quelque secret, quel-
que sens cache.
+Mrv'srıca, s. f. ih6ologie myslique. Mysü-
eits : raffinement de devotien ; recherche pro-
fonde en spiritualite.
MY’sTIcauEnte, adv. mystiquement: selon le
seus mystique. Spiritaellement.
+ Mrsticiswo, s. m. mysticisme: systöme,
amour de la mystioite.
MrY’stico, a , adj. mystique : gur6; allöge-
rique (sens —); qui appartient & la mysli-
eits ; contemplatif. Vids —a, vie conlempla-
tive.
+Mrsrıncacäö, s. f. mystflcation : action
de mystifler.
+ Mystiıncia , v. &. melire quelgu’un dans
la vie contemplative. Mystißer : abuser de la
eredulils pour rendre ridicule.
+ Mr’tmıco, a, adj. myihique : qui a rappori
& la science des mythes.
Mrrno, s. mw. mythe : trait de fable des
temps hdrolques , envreloppe merveilleuse sous
laquelle se cache un fait historigae.
MrYrnoLocia, s. f. mytholegie: seionce, ei-
plioation de la fable.
MrrnoLöcıco, A, adj. mythologique : de la
mythbologie.
Mrrmouocisra ou 1) mythologiste, myibe-
MvrmörLoco, s.m. 3 logae: oelui qui traile
de la fable, l’explique , la sait.
Mvöno, adj. m. (4. de mdd.) myurus ou
myure, (pouls —) dont les pulsations s’aßai-
blissent peu & peu.
Mr’va, s. f. myva : gelde de fruits.
N.
N, s. m. quatersiöme letire de l’alphabet
portugais, et la onziöme des consonnes. C'6-
tail autrefois une leitre numerale qui valait
900, et, aveo un trait an-dessus, 90,000. L’n,
suivi d’un &, forme un son simple, tout ä fait
sernblable au gu des Francais. Souvent on em-
ploie cette lettre par euphonie devant les arti-
ciles 0, @, 08, as, sorvant de relatifs. Ex. :
Fizerdo-no, maldräo-na (pour fizerdo-o,
a), ı le firent ow ils l’ont fait, ils
a tuerent ow ils Font tue. Busquem-no
at (pour busquem-o, etc.), qu’on le cherche
par-iä. Büscdo-nas (pour busallo aa) ande näs
nas (pour as) podem acher, ils les cheschen!
oü& ils ne peuvent les trouver. N. designe ie
nord ou le septentrion; se met & la place d’un
nom inconnu (N...) pour le nommer; isdique
par abreviation le mot 0880, mossa (notre):
N. $., Notre Seigneur.
Na, (contraciion de la . Em, et de
Part. «) dans la, sur Is. pl. Nas, dans les,
sur les. V. Em. .
+ Nusasia, s. f. (t. d’Asie) nababie : dignilk.
terıitoire du nabab.
N
NAD
Nanino, s. m. (4. d’Asie) nabab : prinoe,
ohef ou gouverneur dans !’Inde.
Nasir,, s. m. champ some de naveis.
"Nasäö,s. m. ancien imp6t sur la p6che:
c’ötait un poisson par barque.
+ Nusarato, A, adj. et s. nabatlıden : de
abath6s, rögion d’Asie ; oriental.
Nasica ,s. f. sorte de petit navet minee ei
delicat; navetio.
Nasinno, dm. de
Nano, s. m. (1. de bot.) navet : plante pola-
gere, sa racine. — da bdmba , (t. de mar.) cho-
pine ‚ chopinstte de pompe. Ser —, ( fam.) &ire
imbeeile, bete. Comprer —s om sacco , acheter
chat en poche. Ma
NAcaR , 5. m. ° nacre : partie argenite, irisde
d’un coquillage qui donne la perle; burgan-
dine.V. Madrepdrola. Couleur de la nacre:
rouge clair, tirant sur l’orange. (fg.) Tout ce
qui a lacouleur de la nacre.
Nacanipo,A, adj. nacre : fait ou orn6 de
nacre. Nacarat : de couleur do nacre.
+ Nacariö, s. m. "nacre do qualitö infe-
rieure.
Nacanpina. V. Anacardina.
Näca. V. Nassa et Nabdö.
Naciö, s. f. nation : tous los habitants d’un
meme pays, d’un möme etat, qui vivent sous
les mömes lois, parlent la meme langue; ha-
bitanıs d’un meme peys. Race, aspece, caste.
Homem de —, ttranger, homme d’un autre
pays; juif. Genie de—, les juifs oonvertis, dits
chretiens nouvsaux , en Portugal. Direilo das
—ö6es,, droit des gems.
Nacanga , etc. V. Nasconga, eio.
Naciso ,s.m. (1.d’Asis) V. Sins.
Nacıvigo. V. Nascidigo.
Nacıonir, adj. 2 gem. national : qui est de
teute la nation, la concerne (assemblee,
mosurs, concile, ete.); qui est atlach6 avant
tout aux interets de la nation. Concilio —,
coneile national, form6s par les ev&ques d’une
nation.
+ Nacıonaumäpe, s. f. nationalile : caraclöre
national, esprit, amoar, union nationales ; pa
triotisme commun & tous.
+ NacıonaLızaa, ©. a. nalionaliser : rendre
national, faire adopter par la nalion.
NAGOnNaLHERTE, adv. nationalement : d’une
maniöre nationale.
Nacivar. V. Nahivo.
Nico, s» m. morceau , tranche (de Jambon,
de pain).
Nipa, s. m. rien, nedant; peu de chose, ba-
gatelle ; un rien. Rien du tout. O — , le neant,
la non-existenoe. Tirer do — , tirer du nöant.
— entire dous praioe, (fam.) un pelit rien en-
wre deux plats. — menos ou — menos que
isso, rien moins que cela. Mais val pouco
que — ‚ queigue chose vaut mieux que Fien.
Näo d— ‚ce n’estrien, c’est peu de chose. Ndo
6—? n’est-ce donc rien? Ndo d — commigo,
cela ne me regarde pas. Ndo med—, il ne| ter
ım’est rien. — se me dd, cola ne me fajı rien, |
NAI 885.
cela m’est dgal ou c'est dgal pour mei. Em um
— ou em —de leınpo , en moins de rien. D’agui
s— , dans un instant, bientöt. Daki s—, un
instant apr&s, sitöt aprös, inconlinent. Redu-
zir a0—, remeltre dans la neant. — 0 abale, —
oaliöra, rien ne l’abat, rien ne l’&ıneut. Isse
— prova ou significe, cola ne dit ou no signi
fie rien.
Nipa, ade. aucunement : point, point dı
tout. Peu , trös-peu.
+Napip, s. m. nadab ı grand-prötre des
Persans.
Navacianı, s. m. (6. d’Asie) grefler ou 56-
crötaire-general d’une muniecipalits.
NapanOR, A, adj. et 3. nageur: qui nage,
qui sait nager. Nadadoras ou a0ss — as, (k.
d’hist. nat.) palmipedes.
Napapöra, s. f. natation : action de nager.
NADANTE, adj. nageant, qui nage. p. a. de
Napän (SM), v.". Dager : se soulenir sur ou
dans l’eau par le mouvement; flotter sur l’ean,
etre A flot.(Ag.) —, dans la joie, les plaisirs,
Populence, ete. — sem bezigas , (fig.) voler de
ses propres ailes : se suffire A soi-meme, n’a-
voir pas besoin d’aide,, de secours. — contra a
veia d’sgua, (fg.) faire de vains efloris, refou-
ler la marde. — enire o rolo e a ressdca , (Ag.)
Iutter contre de grandes diflicultes, eire en-
tour6 de grands obstacles. Filho de peise sabe
—, (prov.) bon chien ohasse de race.— om
suor, (fig.) @ire en nage, en sueur. Na-
dar, nadar e ir morrer a beira, (prov.) faire
naufrage au port. — c0mo um progo, ndo sa-
ber —, nager comme une bague de plomb,
Näpezca , s. f. fesse: partie charnue du der-
riöre. ‘
+ Napecioo,, A, adj. feasu : qui a de grosses
fosses.
Napin, s. m. (4. d’asir.) nadir : point du ciel
oppos# au zenith ow point vertical; pour cha-
que endroit du globe, le nadir est sous les pieds
des habilants comme le zenith sur leurs Iötes.
NapiverL, adj. 2 gen. V. Nativo. Agua—,
eau de source.
Napivo. V. Nativoo.
Nipo,s. m. action de nager. p. ws. Il n’es
guere usitd qu’adverbialement. A -——, adv. Als
nage, on nageant. Deiter-se a —, se jeter ä la
nage. Estar 0—, om —, $ire A flot, parlant d’un
navire, eic.
NiAD0,A, 9. p. irr. de Nascer. V. Naseido.
Nära ou Narga. V. Naphta.
När&co, 4, adj. qui a une kanche plus oourte
que l’autre (cheval ).
Närzre. V. Nhdfete,
- Narir. V. Anal.
NaciLuo. V. Negdiko.
+Nucäö,s.m. (1. de bol.) nagam : arbre da
Malabar.
Nitupes, s. f. pl. (t. de myih.) naladee:
nymphes des fonisines,, des rivieres.
+ Naıcorina, s. f. (1. de bot.) " pois & grat-
Naipg, 8. m.” couleur des carles & Jouer.
828 NAT
Nırttıno, s. m. limon, vase, atlerrisserment.
NıATento, A, ady. rempli de creme.
+ Nario, s. m. "naissance, V. Nascimento.
On le dit surtout des plantes.
Narıvınipe, s. f. nativile, naissance. On le
dit surtout de celle de Notre-Seigneur et de la
sainte Vierge.
Nuarivo, a, adj. natarel, Inne, n6 aveonous.
Nature! : propre, conforme & la nalure d’une
chose. Natal:: od l’on est nd; natif, nd en un
certain lieu. Agua —s, eau de source.
+Niro,Aa, adj. ne : at.ach6 & quelque di-
gnite, parlant des drolts. Conselheiro —, con-
seiller-ne.
Naröaa,s. f. nature (p. ws.). Parties de la
generation. Mode naturel de la musique, oü&
Yon n’emploie ni bemol ni becarre. Esp&ce.
De — , par nature, naturellement.
NaruniL, s. m. naturel, caractöre. Tempe-
rament, constitution. Pays natal.
Nartrir, adj. 2 gen. nalurel : qui appar-
tient & la nature, tel que la nature !’a fail, non
modifie par Part; qui est conforme & ses Tois,
äson ordre, & son cours; qui a pour objetla
nature, ses productions , ses phenome£nes, etc.
(science ‚histoire—le) ; qui n’est point deguise,
altere, farde; frano, nalf, ingenu; quı imite
parfaitement la nature; qui arrive commund-
ment, vraisemblable; natlf, 1 nriginale d’un
pays. "Naturaliste (p. we). Filko—, bätard,
enlant naturel. Ado—, natarellement, sans arı,
sens fard,, au naturel. Pintar, refrafar ao —,
peindre d’apres nature, au naturel. Fi
maiores que 0 —,, ligures plus grandes que na-
ture. Mes -—, mon compatridte.
°Narunautza, s. f. ancien droit qu’avaient
los patrons sur les monastöres.
NarURALIDÄBE, 8. f. nataralitd : ötat de colui
qui est n6 dans le pays oü il habite; droits
dont il jouit. Conformits des aclions avec la
neture des ohoses, ordre naturel. Ingenuite,
eandeur, franchise, nalvets.
+ NaronaLismo, s.m. nataralisıme : fauxsys-
tdme de l’athee qui attribuo tout & la nature ou
matlöre supposde premier prineipe.
NAV
naturelle, organisation, matiöre, substance,
forme, couleur, qualits; les effets de l'ordre
naturel; matidre en mouvement, le dieu des
mat£frlalister; l’oppos® det’art; propension na-
turelle, instinct des animaux; genre, fond,
circonsitances d’une affaire ; complezion, tem-
perament; parties de la generation. Naturalit.
(inus.) V. Parentesco, Linhagem. O habile 4
outra —, Yhabitade est une seconde nature.
A educardo vence a —, nourriture passe ns-
tare. Ser desfavorecido de —, @ire disgracit
de la nature. Ter — cdlida, ©tre d’un tempt-
samen! amoureux.
Niv. V. Ndo.
Nuarrkacino, 4,9. p. de Naufrager.
Nuurkacänte ‚adj. 2 gen. qui fait naufrage,
qui est sur le point de naufrager. Naufrage.
p. a. de
Naurnacia, vo. ". faire naufrage, au propre
et au Agur&, naufrager.
Naurricıo, s. m. naufrage : perte d’an vais-
seau sur mer; (flg.) ruine, malhear; perte;
renversement, destraction, andtanlissement,
obute,
Nivrraco, A, adj. naufrag6 : qui a fait nan-
frage; öchapp6 du naufrage. Od on fait nau-
frage (&cueil, bas-fond, etc.).
+ Naurnacöso, A, adj. qui cause, quiamene
le naufrage (ouragan, toufan, eto.). Od on fait
naufrage (ecueil, basfond, etc.).
+ Niuro, s. m. nolis, fret , prix da loyer dm
vaisseau. Naulage: prix pour le passage sur
mer. (f. d’ant.) Naulage, droit pay& & Caron
pour passer le Styx.
Naumackia, s. f. naumachie : spoctacle d’an
combat naval ; lieu oü il se donnait.
+ Naowacntänos, s. m. pl. naumachiens:
oeux yui combattaient dans les naumschies.
+ Näuro, s. m. premier jour de l’an chez les
Perses, & l’&quinoxe du printemps.
NAusEa, s. f. naus6se : envie de vomir, sur
tout sur mer; soulövement de c®ur.
NAUSEABENDO, A, adj. naussabonde : qui
cause des nausees.
Nausgino, A, adj. qui a des nausdes. p. P-
NarunaLista, 3. m. naluraliste : qui salt| de
l’bistoire naturelie, qui s’applique Ason &tude,
qui l’6erft; qui &tudie , qui connalt les produc-
tions de la nature. —, qui admet la religion
naturelle.
Narorauızaclö, s. f. naturalisation : action
de naturaliser;; ses efeis.
NarunaLıziDo, A, p. p. de
Narunarızia, v. a. naturaliser : donner &
un &tranger les droits des naturels; (1. de bot.)
aocoutumer au sol (une plante exotique).
Aclimar.
NuruaaLuente,, adv. naturellement,
"NaTunänca. v. Naturalidade.
Naruaßza, s. f. nature : tout Punivers; tous
les ötres cr66s; l’ordre, les lois, les mouve-
ments qui les Konvernent, et leur donnent un
commencement et une fin ; prinoipe intrinsöque
des operalions de ebaque ro; oonstitutien
Nuvszir, v. @. oauser des nausdes. 9. ®.
avoir des nausdes.
Naussarivo, A, adj. naustatif : qui cause
des naus6es.
NausgiveL, adf. 2 gen. qui peut causer des
nausdes ou exciter des vomissements.
Nausgöso, A, adj. naussenz : qui exelle des
nausdes, 56 air des odeurs.
Näora, s.m. (anti, ou podt.) nautonnier. V.
V.| Merinheiro.
Nirrica, s. f. navigation, marine, art de
naviguer.
NÄorico, a, adj. nautique : qal appartient &
la navigation. s. m. Nautonnier: marin, homme
de mer. Carla —s, carte marine.
+ NavriLo, s. m. (8. d’kist. nat.) nautile:c0-
quillage univalve, de mer, d’sau douce.
*Näva, se, f. rase campagne, plaine.
NAV
°+ Navir,s. m. sorte d’ancierme toile de lin.
NıvirL,ad/.2 gen. naval: qui appartient ä
la navigation; qui concerne les vaisseaux de
erre.
Nıviına, s. f. * coutesu pliant (le peuple, &
Paris, l’appelle eustache), couteau de poche.
(fig.) Defense de sanglier, aiguillon tranchant
de quelques insectes. (id.) Langue de medi-
sant, de calomniateur. "Manche de couteau :
espece de coquillage. V. Santola. — de barba
ou de barbear,, "rasoir.
NAvaALHiDa, 8. f. "coap de couteau de po*
che ow de rasoir. Blessure faile avec un rasoir,
avec les d6fenses du sanglier, avec un o0utoau
de pochv.
+ NavaLHano, A, adj. en forme de couteau
de poche ou de rasoir; qui coupe comme un
rasoir, tranchant.
NavaLniö,s. m. aug. de Navalka. Grand
conteau de poche. Poignard fait en couteau
pliant.
NAVALHÄR, 9. Ga. Couper avec un Tasoir Ou
couteau de poche. V. Sarjar.
Navantıra, 5. f. "manche de Couleau : es-
ptce de coquillage. V. Santöla.
+ Navirra, s. f. (f. de geog.) Navarre : pro-
vince d’Espagne; ancienne province de France.
Navanatz. V. Navdrro.
+Navirno, a, adj. et s. Navarrois 04 —ais,
de la Navarre espagnole.
Nävg, s. f. "vaisseau, navire. Nef d’eglise.
—s lateraes d’uma igreja, les bas cöl&s d’une
eglise.
Nıvscacäö, s. fı navigation : voyage sur
mer, sur les fleuves; art, metlier de naviguer;
eirculation des marchandises , etc., par les
Deuves,, les canaux.
NAVECÄDO, A, 9. p. de Navegar.
NAVEGADÖR, A, 5. navigateur : qui fait des
voyages de long cours sur mer.
* NAVEGÄGEN, 3. f.” nolis; naulage.
NAVEGÄNTE, s. m. qui navigue, navigateur.
p. a. de
Navscir, v. n. naviguer : aller en ow sur
mer, sur les grandes rivieres. v. a. Parcourir
la mer; man@uvrer un vaisseau; transporter
(des marchandises, elc.), au moyen de la na-
vigation. — costa d cosla, ranger la cöte,
aller le long des cötes.— conira a mare ou
eorrente, refouler la marde, aller contre la
maree.
NavzciveL, adj. 2 gen. navigable : od l’on
peut naviguer.
t NavEn, s. f. titre notari6 (dans !’Inde por-
tugeise) d’un achat.
Naverta, s. f. petit navire (p. ws.). Navelte:
bätiment Indien. Naveite : vase en forme de
petit navire, poar ”eucens. (l. de bot.) Car&ne :
petaleinferieur des papilionac&es. — unicellu-
dar, (ti. d’hist. nat.) * argonaute, nautile papi-
zacd. — multicellular, * nautile. V. Naultilo.
NavıcuLia, adj. 2 gen. (tl. d’anal.) navicu-
laire : (os —) du pied, (fosse) semblable & un
navire, & une nacelle.
[
NEB 829
NavicuLinto, s.m. (p. us.) görant d’un na-
vire; patron de navire.
t Nuvirnaco, A, adj. (podt.) qui brise les
vaisseaux ; oü les vaisseaux se brisent (ecueil).
+ Naviczao, A, adj. (poet.) navigable. Dont
on fait les navires (bois).
Nuvio, s. m. navire, vaisseau, bAtiment. —
de fogo. V. Brulote. — de linha. V. Ndo. — ar-
mado em guerra, vaisseau arınd en guerre. —
mercarle, vaisseau marchand. — de trans-
porie, transport, vaisseau de charge. — que
estä d carga, vaisseau & la morte charge. O —
estd guinando sobre a amarra, (t. de mar.) le
vaisseau joue sur son ancre. o- estd arfanda
sobre a amarra, le vaisseau tangue Sur son
ancre. O — travalka müilo , le vaisseau se fa-
tigue beaucoup. O —ndo obedece ao leme, le
vaisseau n’obeit pas & son gouvernail. — sem
beque nem alforges, vaisseau qui n’a ni pou-
laine ni bouteilles. — de duas cubertas ‚vaisseau
& deux ponts. — que anda bem ou mal, bon ou
mauvais voilier. O — 4 bom andador, le vais-
seau gouverne comme un poisson. — muilo
cheio da pröa, vaisseau qui a l’avant jouflu ow
renile. O—dd bem pelo l&me, le vaisseau gou-
verne bien. — que barlaventida bem, bon bou-
linier, vaisseau qui sourd au vent. — mais doce
d’um bordo do que do ouiro, vaisseau bordier,
qui a un faux cötd. — dammificado, vaisseau
endommage. — duro ou mdo a governar, vais-
seau qui ue sent point son gouvernail. — duro
ou riju da borda, vaisseau qui est fort du cöl&,
— que (gm mdila guinda, vaisseau qui a trop
de mäture, irop haut mäld. — que lem muüile
lais, vaisseau qui a beaucoup d’envergure. —
fraco da borda, que aguenla pouco, vaisseau
faible du cöle. — que se solavenlda, mauvais
boulinier. — sujo de limos,, vaisseau vert. O—
virou claro, le vaisseau est venu par le bon tour.
+ Nixos, s. f. (6. geog.) Naxie : Ilo conside-
rable au milieu de P’Archipel.
Nayvapes. V. Naiades.
Nayre, adj. 2 gen. V. Nativo. Diamanie—
diamant brut.
Näivae.V. Naire.
Nazarkno, s. m. Nazarben : juif qui s’absie-
nait de viande, de vin, etc.; seclaire juif qui
honorait J.-C. comme homme juste et saint.
adj. ei s. De Nazareth, ville de Galilee. Qui
apparlient oAressemble aux Nazareens. Sur-
nom de J.-C. Chreuen.
Nazırnko ou —ku. V. Nazaröno.
Nazıanzäno, A, adj. eis. de Nazianze, ville
d’Asie.
Nesepa. V. Neveda.
Nzsi. V. Nebri.
NesLina, s. f. "brouillard Epais et peu dlev&.
Nesri, adj. m. Falcdö —, faucon noble qui
vient du Nord.
+ Ne£saipss, 8. f. pl. (1. d’ant.) nebridess
peaux de jeunes faons, dont on se couvrait
dans les fetles de Bacchus. _
+ Nesnites, s. f. (1. d’ant.) nebrite ; pierte
d’un jaune fauve, consacrde ä Bacchus,
830 NEC
Nesv26so, A, adj. nebuleux ı obscurci par
Jes nuages ; (Ag.}obscur. Estrellas —as ‚ stoiles
nebuleuses, dont la lumidre est faible et lerne.
Necgin,v. ». niaiser, dire des sollises, des
imperlinences.
Ne£csDing, 8. f. Ignorance Crass6, profonde.
Sottise , impertinence, bötise, niaiserie. Impru-
dence , indiscretion, temerite.
NECEsSÄRIAMENTE, ado. nöcessairement, de
nccessile ; inlailliblement.
Necessanıas, 5. f- pl. latrines, lieux d’al- IQ
sances.
Nscessärı0, A,adj. necessaire: (chose —)
ılont on ne peut se passer ; indispensable ; ine-
vitable; infaillible; qui n’est pas libre. K —, il
est necessaire. E absolulamente —, il est de
loute necessite. Faller quando d—, parler au
besoin. Por elle sacrificaremos 0 Rosso re-
pouso, elc.,e ald, se — för, 0 nosso sangue e a
nossa vida, nous saoriferons pour lui nolre
repos, Elc., notre sang m&me et notre vie s’il
le faut.
NecessArfssıno, A, adj. sup. de Necassario.
Necessipäine, s. f. necessilö : chose n&ces-
saire, indispensable, inevitable; besoin pres-
sant;; indigence. * Defaut de noarriture. —, fa-
talite ; destin inevitable; contrainte, defaut de
liberte. De —, netessairement, par un besoin
absolu. De — absolula, de necessit& necessi-
tante,, de nöcessil# absolue,, de toute n&cessite.-
Por —, de neressite, necessairement. Em caso
de —, au besoin. Fallar sem —, parler sans
necessitd, sans motif; dire plus qu’on ne de-
vrait. Que — ha de...? qu’est-Il besoin d6&...?
ue — tens fu...P qu’as-tu besofn...? Fazer
— tirtude, faire de necessil& verlu. A —
earece de lei, n&cessit& n’a pas de lol. A —
meite a velha a caminho, besoin [alt vieille
trotter. —e, pl. näcessites: besoins corporels.
Fazer as suas —, (fam.) lächer Yalguillette,
faire ses besoins.
NECESSITADISSIMO „A, 0df. sap. de
Necesstrino, A, 9. p. de Neesssilar. adj.
Necessite. Necessiteux,, indigent.
NEcESSITÄNTE, adj. 2 gen. qal force, qui
oblige, qui contraint. p. a. de
Neczessträn, v. a. necessiter, forcer, coft-
traindre, obliger; reduire & la necessite de...
Reczssrrirn (de), 0. . aroif besoin de; #ıra
dans Findigence.
NEcCIAMENTE, ade. ignorannment. Imprudem-
ment. Sottement.
Necıo, A, adf. imprudent, !griorant, Incon-
siderd; dit ow fait avec ignorance ou Impfu-
dence. Sot, imperlinent; nials, stupide.
NscovÄi , s. m. capitaine dans !’Indoustatr.
NecaorLocia, s. f. trecrologie: notice histo-
rique sur un mort.
Necrouöcıco,, A, adj. necrologkqgue : (article,
eerit sur un ow plusleurs personnages moris.
NecroLöcre,, 9. m. nöerologe : registre de la
date de la mort des €r&gnes, etc; liste, re-
gfstre, notice des morts.
t Necröroco,, s. m. nderologne : celoi qui
NEG
&cril sur les morlg, auteur de notees nderele-
giques.
Necaowäncıs, eio. V. Ni
Näctar, 5. m. noctar : breuvage des dieut
de la fable; liqueur, vin delicieux.
+ Nectineo, a, adj. (podi.) de neolar, sem-
blable au nectar.
+ Necrinio,s. m. (1. de bot.) nectaire cu
neciar ı röservoir qul eontient le miel dans!
corolle; appendice accessolre aux organes des
eurs. .
+ Necrpate, 8. f. (f. d’klat. nal.) nöcydale:
Insecte nocturne.— ruica, necydale rousse.
— maior , grande nöcydale.
N&peo ou Näpıo, A , adj. Inisant, dode.
Nerinpantyre, ade. möchsınment, abems-
nablement.
NerAnnissiMo, A, adj. sup. de
Nerinpo, A,adj. möchant , infäme ‚, aboci-
nable ; horrible , detestable. Peccado —, picht
contre nature : sodomie. Crime —, erime noir.
+ Nerinıaututz,ado. oriminellement, d’une
maniere infäme.
Nerirıo, a, adj. criminel, sodlerat, Impie,
execrable,, detestable.
Neras, adv. mot latin usit& en portugels dan
la phrase adverbiale por fas ow por —, jusie
ment ow injustement, ä raison ou & torl.
TNeristos, adj. m. pl. Dias —, (1. dent.)
jJours nefastes, de repos prescrit par la lei; de
fetes,, de sacrillces, de lristesse, an nömeire
d’un ddsastre.
Nerr£rico, V. Nephritico.
+Necaptıha, a. f. (b. de Bol.) cransen,
corne de cerf, amhbroselle sauvago ı plant
crucifäre.
Necica, 5. f. *appeau , thoquetle : oiseet
gui par son Chant ättire les autres dans le BR".
nte : oiseau empalll6 pour le mäme obje.
*Leurre: cuir faconne en forme d’oiseau pour
rappeler l’oiseau de prote. (Ag.)* Laurre,
amorce, appät pour ailtirer 6L tromper gar}
u’un. (id.) * Stretagöme ; agacerie. Faser -:,
älre des agaceries.
Necıckö,s. f. negatlon : Popposs d’afüirm:-
tion; action de nier; absence d’une qualilt:
manque d’aptilade. Ter— para alguma cours.
manquer d’aptitude pour une chose, — de u
mesmo , abnegation.
+Necackıno, 4, elf. qui fall des agaceric-
Necino,A,9.p. de Neger.
Necanon, A, 8. celülauinte.
NrCÄLBO , 3. m. 6cheveau da Mi de sole, ei«.
Necimento,s.m. V. Alnegapto.
Necäa, ©. a. nier : dire Qu’une chose n'est
pas vraie, qü’elle mMexisie pas; qu’ane prop>-
sition est fausse; ne pas reCohinatire la realile
d’une chose. Refaser. Probiber, defendre, em-
pecher. —, desaroner un efime. Renier, de
avouer, renonter. Manquer & un deroir, ä fa
reconnaissance, etc.
Necin-se (8), ©. r. se refuser 3 une chow.
Faire dire qu’on n’est pas oher sor. Manguet
d’une couleur au Jeu. —a si mesmu, renoncet
r
® "r
ie .%
NEG
[3
A sol-möme, on termes de mysüeits. — de so-
boi, de doufo, etc., cacher par modestio sa
seienen, ele. — a si por ouirem, preferer un
autre & soi-meme,.
Necariva, s. f. nögative , denögalion ; refus.
NEcATıYANLUTE, adv. nögativement ;ı d’une
manitre negative.
Necativo, A, adj. negalif ı qui exprime une
ntgation ; qui B’oppose, se refuse. Argumenio
— argument nögalll,, tir6 du silence d’an ac-
eur, eis. Proosito —, preöspis nögalif ow
probibitif, qui oblige en tout termps.
Neeuchucas,, e. fı nögligence : manque de
soin, d’appiicatien ; nonchalente.
NscLicenciÄR, vo. a. nögliger : n’avoir pas le
soin necessgire de ; me pas cultiver. V. Descui-
dar, Deleizar.
NecLickurz , adj. 2 gem. nögligent ; noncha-
ant.
NSGLICENTENENTE ‚ adv. nögligemment : avec
negligence.
NEcLicenTissito , A, sup. de Negligente.
Nscocıackö, s. f. negoclation : art, action
de negocier des aflaires imporlantes ; aflaire
quwon negocie. * Negoee , trafic,, commeros.
Necocıino, A, pP. p. de Negeciar. adj. Al-
faire, Ires-000u L) .
NEGOCLAnOR , 5. u. n6gosialeur : qui nögocie
quelque affaire importante. Negoeiant, oom-
mergant.
N200014D0RA& , s. f. marebande; nögeciatrice.
* Necomasiuto. V. Negoecio.
NEOOCIÄNTE , 8. m. nögociant : qui fait le n&-
goce en grand, qui negocie.
Ng0owir „9. e, negosier : faire nögoce ‚ tra-
Bquer; chercher, solliciter, tächer de; Walter
(une allaire). Nögocier des billeis,, des lettres
de change. — uma lalira, (1. de comm.) n6go-
cier un effet, placer, colloquer uno traite.
Neoocıäa (com, em), v. n. nögocier, 00M-
mercer, faire le negoce, faire le commerce.
— com Seh proprio ‚commercer de son
propre [onds.— em vinho , em Irigo,wic., [aize
to commerce de vin, dobi6, eic.
NseocılvaL, adj. 2 gen. nögociable : qui
peut se negocier.
NEGÖCIO , 8. m. n6goce, Commeroe ‚ Irafle de
mmarchandises entre parüiculiers. * Affaire , oc-
eupation , emploi. * Entreprise. * Alaire politi-
que, affaire d’etat, Homem de — , negocianl,
commergant. Guss de — , maison de Commerce.
Näo se fas —, le ecommerce ne va pas. Regw-
Jar saus —< , mellre en ordre ses aflaires.
+ Nzcocı6so, A, adj. commergant : oü l’on
fait du commerce (port, ville —e ,. Soigneux,
applique, diligent. Affaire, trös-occup6. sou-
cioux.
Necas ,s.f. nögresse ; eselave noire,
Necrico, s. m. aug. de Negro.
+ NzcniL, adj. 2 gen. noir, noirätre.
Nacal 0,8. m. gros poisson de Mer, quı Fas-
semble zu 1#la.
Nscazcioo, (8. 20p.) V. Desgracado, Iin-
fouste ,„ Mofino.
NEM
Necazofaı,V. Negrüre.
Neonzsin, 9. 9. lirer sur io noir, paraltro
noir; noireir, devenir noir, sombre, tenebreux.
S’obseureir
Neoazria, s. f. negrerie : reunion de nö-
881
gres.
Necamwäö, s. f. noireeur, eoulter noire.
*Obsenrcissement,
Neoniwo, s. m. nögrillen : petit ow jeune
negre. Peuplier noir. V. 2’lamo.
Necrinno, A, adj. dim. de Negro. Un peu
noir. 8. m. iton.
Necnissiuo, a, adj. sup. de
Nero, A, adj. neir : Yopposd de blene , effet
de l’absence ow de l’absorption de tous les
rayons Iuminewz ; sombre, obsour. (}g.) Triste,
morne, melencolique ; affreux, odieux, mal-
beureux. Rie —. V. Niger. it. Fleure d’Ameri-
que. Nuvem —a , nuage noir, ombre. Faser«s6,
por —a uma cousa, nolrcir, derenir noır.
Nücro, A, m. negre, nögresse ı homme,
femme dont la pean est naturellement noire;
esolave noir. Neir, la eouleur neire. Poisson de
mer & £cailles noirätres. — fugidO ‚negre mar-
ron, negre fuglılf. Vestido de —, habill& en
noir.
+ Necroröwto, e. m. (t. de geog.) Negre-
pont : ville et tie de l’Archipel ;autrefols Eubee.
NEGRÜME, 5. m. temps sombre ot nolf, nude
noire, nuage 6peis.
Nezonöna, s. f. noircemt : qualitö de co qui
est noir.
+ Nzortösco, A, adj. noirätze : qui tire sur lo
noir.
+ Nzo6nno , a. m. (4. de bof.) negunde : ar-
bre des indes orientales, da genre ds viler,
dent les feuilles ont Yedeur ot je gott de la
sauge; graine de Y’Inde; #rable de YAmerique
septentrionale.
* NEICEDADE. V. Neoedade.
Nefquınan ‚s. m. (8. #’Asie) esptee de malre
d’um village.
° NEIXeNCA, s. f. naissance des frults ot des
des anlmaux.
° NEIXENTE,, s. m. pelil d’ane brebis ou d’uno
chövre.
N£L20 , 5. 9. grosse Pomme auz environs de
1
mbre,
Nerciva. V. Nalgdda et Pesunko. |
NELLE, 5. m. (ti. d’Asie) riz avec la cosse.
Neıız ou NeLLg, pour Em elle (en lui).
+ Neıua, s. m. (4. d’hist. nal.) nelma : sau-
mon de Sib£rie.
N£u, part. conj. et ndg. ni. — fdmpouco,
pas meme. — um, —oufro, ni Pun, mi Pautre.
— mais, — menos, ni plus, ni moins. — pave
uma parle, — para a ouira, ni dan eit&, ni
d’autre. — lanto — do pouce, rien par exeös,
ni Irop ni frop pew. — fodas os ezirangeiros
s&0 barbaree, wem 10de9 08 n08808 ;
sdo eivilizados,, tous les eirangers ne somi pas
barbares, ei tens nos compalrioles Be sont pas
eirilises. — fodos os que estuddo sdo leitrados,
— (odes que Has d gussre lo soldados „(pro®.)
882 NEO
tous ceux qui #tudient ne sont pas savanis;
hour ceux qui vont & la guerre ne sont pas sol-
als.
Neuro, 5. m. (8. de mag.) lo massil onire
deux espaces vides.
"Neussir, etc. V. Lembrär, etc.
*Nrsano. V. Membro.
+ Neuza, s. f. (£. geog.) Nemee : ville de
l’Argolide dans le Peloponnese, aujourd’hui
Tristena. Forei, roche situses pres de colie
ville.
Nzuto, a, adj. de Nem6e ou de la for6t de
Nemee (lion).
+ Nausönıco , s. m. (4. d’ans.) nemsonigque :
vainqueur aux jeux nömeens.
+ Neutos, adj.m. pl. (t. dans.) Jogos—,
jeus nemeens , pr&s de la for&t de Nömee.
"NeuicuiLpa,, pour Nem migalhe, rien,
rien du tout.
+ Neuo,s.m.(t.d’Asie) ban, ori public.
Nzuon6so, A, adj. ( pod.) bois6( pays),
plein de foröts, oouvert de bois.
+ Neuötsia, 0. f. (1. d’hist. nat.) " n&mo-
wWle.: diptöre des bois.
* Nzuö ou Nauu, pour Nem um ou Nenhum,
+ Nant, s. m. (1. enf.) raton : petit enlant,
+ Nenconos, s. m. pl. ohevaliers d’un ordre
militeire au Japon.
* Nanoon. V. Nenhum.
NENHUM, A, adj. aucun, Pas un; Personne.
Nulle, de nulle valeur. V. Ninguem. Amigo de
todos e de —, Iudo d um, (prov.) qui est ami
Ge tous, n’ost ami de personne.
NENBÜRES , adv. (Pop.) nulle part.
Nenıas, s. f. pl. nenies: chant fundhre ow
funtrailles, a Rome. .
NEOGRAPHISMO, 8. m. neographisme : nou-
velle orthographe eontraire & celle recue.
NEÖCRAPBO, 8. m. neographe: celui qui of-
ibograpbie d’une maniere nouvelle.
NszoLocia, s. f. neologie:: inrention, emplol
de mots nouveaux ow d’anciens mois dans un
nouveau sen8.
NsorLöcıco,, A, adj. nöologique : de la n&olo-
gie, qui la conceme.
NezoLociswo, s. m. neologisme : recherche
blämabie d’expressions nouvelles, de nou-
veaux ınota, de n&ologie; le nouveau mot lui-
meme.
+ NzorLocista, s. m. neologiste:: qui cr&e des
mots nouveaux, admissibles; qui se sert de la
ne6ologie.
Nz61060 ‚3. m. n&ologue : qui affecte le neo-
logisme; qui forge de mauvais mots, se sert du
meologisme,
Nzomenıa, s. f. neomenie: nouvelle lune;
fie A son dpoque.
Nsoutnıo, a, adj. eis. de la neomönie, qui
la ooncerne; (saorifee) de chaque nourvelle
une.
NEOFBTTA, 8. m. ou ntophyte: nouvesu
NezörnrYro, a,adj. eis.) converli & la reli-
gion cohretienne ; uoavellomens baptise.
NER
Neoräuico, A, adj. nöelätigue: Rourean,
moderne,
Nepa, 8. f. (6. d’hist. nal.) " nepös: scorpion
aquatique.
Neräntuss, s. f. 3 the : plante qui, seloa
Pline, infusse dans üu vin, diseipe la melan-
colie.
Nermirıo. V. Nefario.
NEPHRiTIcO, A, adj. (1. de dd.) nepbreiiger.
(colique —), violenie, causse par lo gravier
des reins passant par les ureläres; (remede—),
qui guerit la colique n&phretique. Pedrs —,
pierre nephreötique : espece de jaspe, nephril,
jade. Pdo —, espöce de bois qu’on apporie de
la Nouvelle-Espagne.
Nernaitıs, 8. f. (1.de dd.) nöphrite : inßam-
mation des reins. V. Nephritico.
+ NernnoLocia, 8. f. (t. de medd.) nöphrolo-
gie : traite sur les reins.
+ NeraTaLı, s. m. ane des douse tribus da
peuple juif.
NzPÖrs, 8. m. neveu du pape.
NErOTisu0, 3. m. nöpolisme : autorits des
nevenx des papes; desir des papes, elc., &
eflorts faits par sux pour avancer lours nerouz,
leurs parents.
t Nzrrunıinos, s. m. pl. neptuniens : nal
ralistes qui attribuent & l’oau la formation des
basaltes, du globe, eic., par Opposition auf
vulcaniens.
Nerrunino, A, adj. (podt.) de Neptune, qui
a rapport & la mer. Reino —, la mer.
Nerrüno, 4, adj. de Neptune, qui concerne
Neptune.
+ Nerrunisuo, s. m. noptanisme ; sysilme
des neptuniens.
Nartöno, 5. m. (6. de myth.) Neptune : dien
des mers; (po6t.) la mer.
Negvicıa. Y. Melddde.
+ Nzquissino, A, adj. sup. trds-mechant.
Nenkidas, 8. f. pl.(. de myth. ei de pode.)
nereides : divinites, nympbes du la mer. (!
d’hist. nal.) — mollusques, vers marins, dass
un fourreau, avec des organes extörieurs.
Neako ou —£u, 5. m. (4. de myıh.) Neröe:
dieu marin ; (podi.) la mer.
Nzuıo. V. Lo6ndro.
+ Narira, s. f« (1. d’hist. nat.) nerile : c-
guillage univalve. — .ör de gemma d’evo ‚e
rite jaune d’auf. — de booca negre, nönle
bouche noire. — de demticulos vormelhos, 12
dent saignante. — liss, nerite polie. — com
pintas d’esiorninho, la grive. — dos rios , DC
rite d’eau douoe.
N2no0, a. V. Nögro, Fero.
Nzavinpo. V. Nervoso, Nervudo.
NerviL, adj. 2 gen. et } nerval : bon po#'
Nervino, a, adj. les nerfs (remede)-
Nervin : qui fortifle les nerfs.
N£avo, s. m. (l. d’anat.) nerf : sorte de cor-
dons bianchätres, organes des sensations; (A9.)
force, vigueur; corde d’instrument. * Coartoft,
lanidre.
Nenwösıuiurs; aus. avec [orce, vigueut,
activitd.
+ Nenvenmänn; s. f. force des noria. ( K9.)
Force d’un raisonnement.
Nzav6so, A, adj. megeaux : fort, qui a de
bons ments ; pieim denerfa; ( Ag.) kart, vigou-
reuz ; qui apporlient aus ner[s (alfection —se)
Pessen -@ , PERDERMe Hervouse, dont lies merls
sont altaruds.
NEuviD0, A, adj. MerVemz : qui a do bons
nor, mus
NERYORA, 2. f. (8. de bof.) nervuro: cöle ele-
tee sur les feuilles des plantes; (4. de rel.) dos-
nerve.
Nmsczpäse. V. Nocedade.
Ntscıo, etc. V. Necio, eic.
Nüssen, #. f. points trisngulaire ımisa A une
rohe, sts. ‚pour lusdonser de VYamplcur. Close
coup6e en angle et jointe A une auwe. Pointe,
gousset de chemise.
Nterzna, s. f. nölle : Fruit acidule, päteux,
du neflieg, d Boyauz.——s, 94. sorie de sommelles-
oa sennailles.
Naspunkına „a fı ( l. de bei.) ” nödlier ; : arbre
ande.
Nüsse, A (‚oontrasiion do em ssse, em e5sa),
dans €e, dana oslie.
Niere, a (oontsacliom de em esle,, em esla),
dans ce, dans solle.
Hays, 6. f potite-Glle.
Nerinua , dim. de Neta.
NeTinno , dim.
N290, , m. peuit-äls, Farceur, beuffon,, dont
l’babit est higarre. Or mossos —s , nos descen-
danis, nos petileneveax, ka pestdrite.
+ Nüre,, a, adj. nei: prepre; sans souillure; |
sans ordure.
+ Naueilwarı, s. m. (1. de gdog.) Neufchätel:
ville de Suisse.
Neumsa, s. f. (t. de mus.) noume. (1. de rhdt.)
Expression de ca qu’on pense , plus par gestes
on par signes que par paroles.
Nevmsısa. V. Aneurisna.
NerTräL, adj. 2 gen. neulre: ui ne prend
pas deyari enire des nalions, des personnes
oppostes. Mostrar-se — com ambos 08 parlidos,
bien entre Jos deux
NEOTRALIDÄDE, 3. f. neutralils: etat d’une
nation indiffärenge entse deux partis
ennemis.
Nevrnalızacäö, 8. f. neutrelisation.: aclion
de ıeutsaliser.
Nagraauızia, 9. a. neutraliser ; rendre neu-
tre ; temapörer, mitiger l’eflet d’un principe.
+ NeUTRaLnenTE, adv. neuiralemeni: d'une
manitre aeulze. --
Nevrao, a, adj. V. Neusral. (1. de gramm.)
Neufte: qui west ni masenlinni feminin (mot);
gui n’exprime point une action directement di-
zigte sur quelgus objet (verke) , qui.n’a pas de
+ Navioa, e. f. quantits de neige qui tombe
en ne bin
NEvÄnO, A, adj. couvert de neige; blaue
waz..y8
MG 833 -
comme-la mnige; rafraichi A In glaye, Age —,
eau A la glace. p.p. de
Nevis, v. n. neiger : tomlıer de la neige.
%. a. Couvzir de neige. (lg.) Blanchir : reudre
blanc.
NEVE, s. f. neige: vapcur glacde dans l’almo-
spbere, retombant en focens ; ( Ag.) blancheur
extreme; glace do fruits. Um cdpo de —, une
glace. Tomar —, prendre une-glace os dos
#laces. Imporla-me lanlo isso como a — que
passou ha cem annos, ( faw.) je m’om soucie
‚aussi peu que des neiges d’antan-
NE£veEna, 3. f. (8. de dot.) "calament. V. Cala-
mentha. — dos galos ou maior, chalaird,-ca-
taire, herbe aux chals. — menör, calamenı des -
ehamps.
+ Neveoisha, 5. [. (ti. de do&) chatairc A
Dleurs läches,
Nevkını, 8. [.
la neige ; glaciäre.
Nev&ımo, 5. m. vendeur de neige ; glacier.
t Nevi808400, A, adj. (Bodi.) de couleur de
neige ot do rose. -
Nevoa,s. /. "brouillard : vapeur &paisse quı
obscureit l’air. ° Nuage qui se forme devanı les
yeux, qui obscureit la vue, taie 4 l’@il. Espece
de crasse qui se forme sur la surface de l’u-.
rine. Eusoröme, ( fig.) Trouble, confusion, ob
scurile.
Nevoiga,s. f. V. Nevoßiro.
Nevoipo, A,adj. nebulcux, couvert de nua-
ges, brumeux. V. Anuvi
Nevoar. V. Anuviar.
Ngvoßıno, s. m. brouillard €epais, brume.
( Ag.) “ Conlusion , obscurite,
Navöso, A, adj. neigeux : charg6 de neige.
Couvert de neige; blanc comme la neige. Tempo
‚temps de neige, od il neige beaucoup.
NEvRALCiA ‚s. f. (1.de mdd.) nevralgie: dou-
leur des negfs,
NEvROoCRATHIiA, 8. f. (f. de med.) nevrogra-
phie : deseription des nexls. -
NevroLocia, 8 f. növrologie ; trail6 des
neris.
+ NevRöPTEROSs, adj. et s. m. pl. (1. d’hist.
nal.) nevropteres : insecles dont les nervures
forment un reseas.
NEvRoToMia, 3. f. nevrotomie s dissecliom
des nerls.
NEWTONIANISMO,, 3. m. newionianisıme s sys-
wöme de Newion. - .
NEWTONIÄNO, A, adj. nowionien : qui a £ap-
port, au systöme.de Newton, parüsen de cc
*androit oiı l’oh conserve de
N)
Nero, s. m. naud, lien. Ndo ha — mw’esie
discurso, il n’y a pae de suite dans oe dis-
Cours.
NeleETE, 3.m. corruplion de Neopägte.
+ Nuanpccvacd, 8. m. (t. d’Mist. nal.) Ouyon
oa lau youyou : eap&oe d’autruche de la Guyane.
Naum, —ı, abrev. de Nerhum, |. ‚
NıAcEs ,„& T. grosse tolle.
+ Nicaricva,s.f. (1. de no ) Nisaragun
ville de Guatemala.
8% NIR
+ Thea ‚0. f. @.degfoy.) Risse : ville d’ASl®.
Nıctno, a, adj. Niceen : de Nitee.
Nicne , .w. "niche: enfensesent daus P&-
psiseeer d'un mur pouf y meitre une statue,
ete.(g,)* Place: posie dü au merite de quel-
qu’en.
Nreoovatina, 3. f (8. de dot.) niewllöne. V.
Ilervo ante. — ‚ peitie nicotiene, tabue
femelle, fauz Isber.
+ Nıcoweerkust , adj. 2 gen. Nieomedien r de
Nieomädie , ville d’Asie.
Nicz0Löcıo. 7. Necreißgto.
Nierosiseta. V. Nigromancie,.
$ Nıerörmores, 5. m. pi. (1. d’Mei. nal.)
nteropheres : ooltopttres qui enterrent des ca-
davres, davre.
Nıericorı. V. Nyeticore.
Niprricir, 0, 9. nicher:: faire som nid.
Amon6so, A, adf. ntäorenı : qufa un got,
une odeur de pourri, d’aufs eoevis.
Kronssun. V.
otrı.a , #. f. (1. de bot.) — ordinaria, wielle
romaine ,nielle des jardins, ° cutmfa neit, faux
cımin ‚toute-$piee. — dos algueiver , miele des
chemps, nieite saurage ou bätarde.
+ Ricur ‚y. m. (t.de geog.) Niger ou Djellibe :
fteure de Yalrlgue oecidentste.
Niooa, u. f. * nigus ow niguss, vun*-
que : petil insecte des Indes qui siinsinue dans
les pieds entre cuir etchafr. 7. Zunge,
+ Niealcıa, u. f (1. de gdog.) Nigritie ow NE-
gritie : contree d’Alrkyue.
Niıcromäncıa , 4. f. necrotäsnee os ie : art
pretendu @eröquer les moris, les detnens.
Chose operte par le moyen de cet art.
Nıcnowinre, 5. m. mecromamelen : gel se
mele de neeromaneie ; soreter, magfcthen.
Nıcrowiwrico, 8. mı V. Nigrumanie. ad).
Qui eoncerne 1a netronısheie.
1A NICöndE, 8. m, graino qui resseruble s®
myis.
+ Nıum, s. f. (1. de bot.) "rumphe: arbre
terebinthate.
+ NıLcö, 8. m. (1. d’hist. net.) nil-gaut om
nyl-ghaat : ehtiiop& de Pinde.
1 Nun, a, da MM. m 4
+ NiLo, s. m. (1. de gdog.) Wil: Neere
@’ätriree, entre Ten deut Ri
+ NiuLörico. V. Nilieo.
Ntuuo. V. Eimbo,
Nıstca 08 —ctEn, 9. f. (f. de JR
mine: Wille des Paye ben .
Nrin attänte , ade. trop , excesstrehtent.
NameniBE, s. [. " excis : surabondante ; wu-
* Nıeaıaa. V. Nomipdähe.
Nimıo, A, adj. excessif, irop grand.
+ ‚s. f. (& d’Arle) vote Be rin AR de
for Nu aeuu de nipn, V. ce not.
Sriea , ®. fı {f. enfent.) Fastp — ‚ Talte due.
dt, V. Arrueläl,
Nınan ‚vo... (4. enfahl.) falne dede;
Nana, dic, Y. Aympha, eb.
Nınctıra. V. Nigella,
+ Teac, 0. wm. / 0. de kuite) niagh ı vatine &
Sierra-Leone.
Nıycamzäwt;es, 8. u, pi. instsunhenis gast "
labour des salines.
Kwetr, pron. WuBlf, pERBeEme, GUTE,
nut, qui quo vo Soil, = WEITE 9a PEN,
_£ = 000 vufa, qua ml m
na tegurde. Ust =, un Genzme du rien. Bent
mal adquiridos a — häo enriqueskle, tree)
bieh mel aogtis me yeuite fumnie. = pid
Hiser : D’esis aqua ndo beberei, (ül.) gumueum
ne peet dire : Fomtaime, jene beizeli panda uh
eam.
Nıynäpa ,s. f. nichee, cource: aus su pi
biseaux dans le meme wid. De dit aussi dm mr
is , eic.
"rrwnantı, s.f. "wtsuitage. 169.) Bag:
echo pen Impertante o@ de peu de wre:
wist ‚bubtele,
Nınntco, A, adj. troure dans Je uid.
inne, 0. «6. wid dieiseus. Teoa de vet, da
perpem, ste. I0id ı onreit oh IuS pamiib, dB,
deposent leers aufs. ( Ag.) Pays, nalen qua
habite. — de gar ronl, Kitennälte + Heu &&
les herons font leurs petits. — dave & I%
pina, site ı nid des grande eisusux de weh.
Fazer seu —, nicher, faire von ni. Selten #
sässuro 62 —, es uisenum sont Gbnichis. U 7%
trie —, ($g.) la patrie, le uam.
+ Ninive, s. f. (i. de ande.) Dana, snein
ville d’Assyrie. ’
+ Nıxiveo, a, adj. de Niniee,
+ Nnıritaa, au. 20. 1eb kabiunis Ar ie".
+ Nreisore,,z. f. (1.0 but.) eupiee de built.
Chinese, (Hin das) misune: Tai
plante & racine ınedicinale.
+ Nies, ». f. (t.debet., "mipe polmlar 20!
Moluques. Du cuco que porte eutuwbre em hf
du vi :eevit.
+ Nısan, 0. 8, yramier mais de Fannte“
elcsiastiquo chez Ns paila, ei In wupiitme ©
leur aunce civile, qui enumnedgen 6 Fogalnett
de septerkbre,
+ Nrasa,2.1.(0. 0 Key.) Kine ı mie de R
Nısso, Niet®, (eurfundtien de am Ian, 19
islo) dansrem.
Neuere, af. 2 gem. Tatsumt, dr. Gab rösleit:
qui s’cfforce.
Inricoks. 7. .
Nıriptz ou nettete ; prope@äß+ pol, Ir
Nrrtsßra,s. 7 Iant: bönne grönet eeiel
Nirteo, 4, wi). feat.) men, prupen, Dei.
Er, kıfsant, brifiuhr, ,
4,Nısioua, ef. (t. Chist, R) anhae!
Nırakne, &, uRf. WIEN reduce Muei
aftre £
&% . ‘
Nerki, &. 08 If. 0 en) wre:
forms par la combinaisen de l'acide alMil#!
aver une bie. “ m
Nıynkina , 6. f. nitriöre: Ina od so heit
m oT Tr
Noß m Nod “ VB
Mmrmeo, a, Wl.TE Ge ehfın.)nithityee: (woidie f Sons nohles, leurs arımeistes (@iN. V. iebäkien
—), forms par Ia combinaison de Yorygene | rio. . ’
avec l’azote. Norrumäinıo, 9... nohiliaire ı catalogue deu
Nıraino, 3. m. (PoEl.) hennissement duche- | malsons nobles. i
val. NontLianisyı, s. m. auteer @’ah nobilleiee.
Nirkiwör, a, 04). hrennissant, qui hennft +} NopıLrsstkipo, 8. w. nobilissinat : qualia6
(ehevat). V. Rinchäp. de nobilissime.' u
Nırxırickr-sR, d. P. se Tormer ba ritre. NopıLissımo, A, adj. sup. de Nobre. Trös- :
Nrraia. V. Rinchär. hoble , nobilissftme. 3. ms. Noßilissime : Mirades
Nirao, 3. m, nitse : salpetre, sei compos6 | Cösars dans le Bas-Empire; dignflaire d6oer6
@ackte nitrlgue et d’oxyde de potassium, base | de la pourpre. |
&camon. Nopurrrack6, 8. f. "anebliusument. ' |
Nirröceno, A, adj. (4. de chim.) nittogene:] Nönae, adj. eis. 2 gen. neble : plasd par som
qui forme le nitre. fang, sa naissance ou tettres da priwwe;
au«dessus des ahtres holames. V. Fidulge.(g.) |
—, illustre, distingue, relevö au-dessus des -
autres de ıneme gelire os espöse. Honorebie,
estimable, grand. — Venesiano, mobile Yen
tien : deseendant 4’une des onze famillee qui
ont fond& la reptbfigtue. ’
* Nonrzchn. V, Ennobreedr. | K9t) Orwer.
' "NOBRECINENTO, 3. m. V. Nobilitscle. 14.) '
Orndto.
Mösrewenft, adv. noblemänt ı arte -n6-
blesse ; en g&ntilhomme. :
Br£zZA, 8. f. noblesse : 4usid de woble;
les nobles; (Ag.) elevalion (de® itices , du sen-
timeht, du style, des penstes, eic.). Sorte dB
damas, &toffe.
Nosrissrmo. V. Nobtltentmo.
Nori6 ,s. f. notion :connafssattee, Nie d’ılıe
choöse. Intelligence d’an mot. ’
Nocerte. V. Danoso , Prejudiietel.
NoeEntissruo, a, sup. de Noeente. -
Nocpitro, s. m. !t. d’orf.) set emmonkac.
Nocirera, s. f. ’&toile da woir.
+ NoctoniL, adf. 2 gen. qui Ooncerh@ 14 nd-
tion.
Noctvautrre, ade. d’une manitre nulsible.
Nocıymipr, 8. f. qustits de ce qui est nal- '
sibte , nulsarnce. ’
Nocivo, a, adj. nulstbte, pröjunitefable : mal-
Taisant, malm, nuisible, — 4 saıe, ıhalsamn,
contraire A la sante.
rNocraustıiswo, s. m. Nöcismbalfsme se '
maladie du noctambuiß.
NocräwstLo, s. wi. nöetambele : Sommnam-
bule. '
*Nocre. V. Noite.
+Nocrırd, s.m. (t. Disk. nat.) noetliiete
o@ bec-de-Hädvre,, espece de chauve-seuris. '
+ Nocrittca, s.f. (poet.) la lurie, »
NocriLuco, A, adj. (po#t.) nootiteytre, al
donne de la Iamiere pendaent 1a nult.
Nocrirtz, 8. m. ver halsant. .
NOcHiYAC0, A ‚af. (Podt.) qui Br, gl
a nvit.
+ Nöcruas, s. f. pl. (4. EHE. Wuu6;) nootaufe "
les : l6pidoptöres, nodtuelites,
NocrtuaLis10, ®. m. nootarkabe + mireihent
d’astronofhie pour prendre ia hatıenr Kuno
$totte. u
+ Noctünnanere, ado. noeturnement, Male
&amment: pondamt ia mil, nr
Nrra6so, a, ad}. nftreux: ati tfent du nitre.
"NE.V. Werken.
t Nivaror, s. m. oiseau de YInde qui res-
semble au .
Niver, s. m. niveatı : instrament potrt con-
naftre si um plan est horizontal, ete.; &latd’un
plan sans Inelinalson ; [4g.) sgalil& parfaite. Ao
—, ad0.de niveau. Avec unc &gamd parfaite.
Kıyzragao ‚s. f. " nivelleiment: action de ni-
veier,
Nivetapör, A, 3. niveleur : celui guinivelle.
NhvELABeNTO, 3. m. V. Nivelardo.
NiveLär, v.a. niveler : mesurer avet te nt-
veau ; aplafiir, nettre au ow de ınfvean.
NivEO, A, adj. bland tonmte la nelge; de
neige.
+ Nıvöso, s. m. nivöse : quatridiae mois de
lannee re&pablicahre ‚du 21 decembre au 20jah-
vier. wdf. V. Nevoso.
+ Niza, s. f. (t. de gdog.) Nice : ville du Pie-
mont. ‘
No, contraetion de em o, dans le. V. m.
Sar, s0u5.— mar 6 na ferrä, hut mr et zur
terre. — prdio, sous presse.
Nö, 4. m. maud : enlacament d’ane dhose
pliante; exceroissance; artioulation; johrtures
aux plantes, aux doigts, & ia queue (des ani-
maux); partie plas dure dams ie camar du hois,
du mardre, etd.; io laryıx; point de l’interser-
tion de F&ct 6 &700 une orbite ; (g.) en,
llafsom ;atta ; point essentiel ; dificulı6
priuoipale d’ane efiäire, Hans question, ote.
Nouement d’aiguillette. — edgo, naud difilvile
a delufre. «- eupvedie , naand coalant. — de 16-
aläc, nett de Llssered. — sa garganks,
pemmb FAdım, (fiy.) ombarras, doaleur
dans hu gerge.qei empeche Yavalar, ete; ; (deE.)
tristesse , serrement do euer. —Jordio ou ger-
diämo. V. 06 MIR, = urdinurie, ($. de mar.)
newd Cum, wand piat, named mariı. — des
muilheres, nmud [aux. -— da enzeptindura,
demi-huud. — da barquinke, nusud dw Ja
ige Yotok. »— de sower, nawd ä piein poing.
Der um —, nouer. Homem ourte des-=8 , petit
korunad. Pie wu wipe. TV. Voloulo,
DIEERB , Werte. Bewme «pai, dam % 1,14 PR
sion da jour, chez les Romains,, repemdait
Momusandzia, 3. f Urregui:tzete denn
838 NOJ
Nocrunnas. V. Nooluas.
Nocröano,, A, adj. nocturne : qui se fait, qui
a lien pundant la mail, eic. Qui erre, qui court
la nuit. Nocturne. Kpithete donnee par les as-
trologues ä certaines plandies trop söches ou
trop humides. Aus —#, oisesu de null,
Noctöano , &. m. nociurne : partie de l’oflice
de malines.
*Nocumiuro. V. Damno, Prajuizo.
"Nösa. V. Nödos.
No000, s. m. (1. d’astr.) naud : point de l'in-
tersection de F’6eliplique avec une orbite. (6. de
chir.) Nodus : tumeur indolente sur les os, les
tendens , les ligaments.
Nöpoa, s. f. tache. (Ag.) V. Manche. Tirar
as —s, [faire en aller los taches.
Nop6s0, A, adj. noueux : qui a des nauds.
Noßrtz, s. m.“ noix d’un parapluie.
Nocioa, s. f. leur de noyer. Sauce pour le
poisson,, (aitede noix et d’epices.
NOoABO, 6. m. nougat : gäleau d’aınandesou
de neiz au caramel.
Nockı. V.N: .
Necusına, 6. [. " noyer : arbre qui porte les
moiz.
+ Nosusınino, A, adj. de oouleur de noyer.
Nocosıniı , 5. m. lieu plante de noyers.
+ Norma, s. f. oiseau des Moluques, qui res-
somble au perroquet.
Nöitz, s. f. nuit : l’espace de temps oü le so-
soil est sous l’horizon. (Ag.) Confusion, obscu-
rile. (fd.) Nuit du tombeau , öternelle nuit, la
ort. —, ombrage, obscuritt. De — , de nuit;
nuilamment, pendant Ja nuit. A’ bios da—, sur
la brune, & la auittombante, & la chule da
jour. — fechada, nuit close, tout A fait nuit.
Böse ou md -- ‚(Ag.) bonne ou mauvaise nuil,
passte dans la jeie ow dans la trisiesse. —e
dia, jour et nuit, sans cesse. Alla —, mililo
pela — adiante, bien avant dans la nuit. d—
6 capa de peccadores, la nuit sert de voile aux
mechants. A— d boaconselheire, la nuit porte
conseil. Ndo | olko Ioda a —, je n’ai pas
ferme l’ail de la nuit. Fazer —. V. Pernoilar.
Fezer-ss —. V. Anoitscer. Böas —s , bonsoir.
Norrzcka. V. Anoilscer.
Bortsziuua, s. f. dim. de Noite. Commence-
ment de la nult.
Norrisö, s. m. (f. d’hist. nei.) oiseau de nuit.
(Ag) Homme retire ‚ triste, maelaneolique ; qui
ne parait que dans la nuit. V. Nockivago. — da
Kuröpa ou corvo nocturno, engoulevent, tetle-
chövre , erapaud-volant : oiseau.
Norrinna. V. Noitesinke. 4’—, sur la brune,
Nörva , s. f. Sanode; nouvelle maride.
Nowväno, &. @&. Mariage , N0ce.
Novo, s. m. Bance : celui qui est pr&s d’ätre
masid. Nouveau marke.
Nosino. V. Enfaddde , Agastddo.
BOSEWEISSENO,, A, adj. sup. de
Nostaro,, A ‚adj. degentant; qui [a soule-
ver le omur. Sujet aux nausdes ; quise degeüte
a
N010 ‚3. m. chagrin ,trigtense. Ennsi . de-
NOM
gott, diplaisir. Dogamage ; prüjadice. Grand
deuil. Esier de —, garder la maison pendanı
les premiers jours de grand deuil.
NS0, s.m. "naus6e, emvie de vomit. Cau-
sar —, faire soulever le caur. V. Asco.
No)6s0, A , adj. degeätent, qui fait souleret
le caur ; sale, malpropre. (aw£.) Nuisible.
+Nougiö,s.f. (t. de theol.) Vaction de ne
pas vouloir.
NoLrmz-räncene, a. m. (It. de chir.) noli-
me-tangere : uleere malin. * Balsamine, planie.
+ Nömapa, s. f. (ti. d’hist. nat.) nomade:: hy-
menopteöre „apiaire.
NOmADE, s. et adj. 2 gen. nomade (peupk
— ) : errant,, sans habitation fixe.
NOMBRANEKNTO, 5. m. "nominalioa d un ur
ploi, eto. V. Nomsagdö. .
NONE, s. m. nom : terms oonvena pour d#-
signer un #ire ou une abstraction ; lüre, Qui"
lit en verta de laquelle on agit. Sobrigui
Mot du guet. — de pia, nom de bapiöme. Er
mes, em feu —, en mon, en ton nom. Em-
de seu amo, au nom de son malire. Em — d
Deos, au nom de Dieu. Ter grande —, roll
une grande reputalion. Due — lem? qui‘
sen — ? comment se nomme-t-il? Chamar -!
# algusm, injurier quelqu’un.
Nousacäö,s. f. nomination & un emple.
eto. , et le brevet qui la cantient ; droit, aclıel
de nommer.
Nouzipa, s. f. tstion , nom, renommtt.
V. Fams. Val mais bda —, que cama dourels,
(prov.) bonne renommee vaut mieux que ct@
ture dorde.
Nouzidauente, ade. nommeäment, spec
lement.
Nouzino, A, P.p. de Nomear. ady. Renoa-
m6, nomms avec ölpge.
NOWEARÖR , A, s. nominateur : qui a droit dt
nommer & un böneßlos, eic.
Nousanöns. V. Nomeagio.
Nonzänte , adj. 2 gen. qui nomme, p. 6. %
Nonzis, 0. 6. nommer : donner, impesT
un nom ‚une &pithäte, dire le nom (d’ua fit :
en faire mention : oheisir, designer (pou "
emploi, ete.); declarer, instituer (son her
ier, eic.).
NOMENCLADOR, 5. m. (4. d’ani.) nomencs-
teur : esclave qui indiquait les nes des ©
toyens romains & coux qui le desiraien!; 1%
faisait ranger les oonvives & la table. —, F!
s’applique & la nomenclature.
NOMENCLATURA , #. f. nomenolature : coll“
tion des mois, des noms propres & une 980%:
möthode pour los olasser.
Nomia, s. f. nomie, rögle, lol. Co mei 2
pris du grec et sort & comparer d’autres mil:
comme asironomie, etc. u
Nöuma , s. f. religue sur laquelie sent KenB
des nems de saints; sacde religuen, Reli
Piöoe qui couvreie poltreii des höteade
Neminslion. .
Noumagid, s. f. * nom : partis.de disc
sınooptible de nemmhre et Ao.guuee.
NOR
enmins, 9.0. pl. nominaux : soolasiiques
ds aux realistes.
AL, adj. 2 gem. nominal: qui concerne
le nom. Imaginaire.
+Noumiıus, s. f. pl. (4. dent.) nomina-
lies : jours 4 Rome pendant lesqueis on don-
nal des noms aux onfanis.
NOT 837
+ Nönz, 5, m. * eapöse de perroguei des Mo-
uques.
1 Nosuinoa, #. f. (1. de gdog.) Norlingue :
ville de la Souabe.
Nönua,s. [.rögle, moddie, exemple. (fig.)
Rögle de conduite, oto. ı
t NoaswiL, adj. 2 gen. normal : qui regie,
Noumarivo, s. m. (1. de .) nomina- | qui dirige. Escola —, doole normale, ob l’on
uf : preınier cas des noms deelinzbles. —s , pl. | apprend Yart d’ » Linke —, (1. de
les dsolineisons des noms. adj. Qui indique le | geom.) ligne normale, perpendiculaire.
nom. V. Bunominativo. t Nonuansia, 6. f. (i. de giag.) Nosman-
+ Nlomocknon , 3. m. nomoeanon : reoueil de | die : aneieane province de Pramoe.
constitstiens impürialos ot de lenrs canons. + Noauius0 08 —NO, A, adj. 08 5, Ner-
+Rouocaarnia, s. f. namegrapbie : trails | mand : de Normandie.
sur les lois. ' NORNORDESTE , s. m. (1. de .) Aard-nerd-
+MomoLosia, s. f. nomologie : seienee, iralte | est : vont emire lo nord ot le norüi-est.
des lois.
+ Nomorstrico, ı, adj. qui concorne la
legislation , Part de faire des lois,
Neonida,s. f. wm peu, quelque peu; bage-
telle, un rien, vetille. Cousa de —, chose
rien , bagatelle.
Nonsczuinto, A, adj. nonagtnalse : Age de
quatre-vingt-dix ans.
onsetums, A. Pr noRanlicme : qualte-
vingt-dixi da scliptien, nonagesime :
point de Pecliptique, &ieign6 de quatre-vingt-
dix degres des sections de l’horizon et de i’4-
a rue adj. V. Euneagone
“on, Ar .nonagone. V. .
Nonisests, V. Ennsendria.
Nonas,s. f. pl. (4. dans.) nones : les Ro-
masins appelalent Roues le cinquisme jour des
mneis de Janvier, fövrier, avrit, Juin, aodt, sep-
stembee, novembre , döoembss, et ie septidıne
des autres mois,
* Noncı. V. Nunes.
Nenn, s. m. quadrupdde de Sofala.
Nönss, a. m. pl. nombre impair. Joger a pa-
vos ou — ,jouerä peir ou non.
‚se. m. nonius : piece de cuivre em-
pioyöe dans les divisions des iInsteumenıs de
mıalhömatique ; partie de Yalldade.
Nomina. V. Nonada.
° + Nösmo, s. m. religion. Pöre.
None ,a , adj. ord. neuviöme: neuf. Carlos,
Luis — "Charles ‚ Louis neuf (IX). Zm — is-
ger, neu neuriämement.
Nöra, s. f. noria : machine pour #liever de
1’guu , ä Yaldo de godets attaches A une corde
awtour Zune Toue, elc.; puits d’et 6n tire de
Peau & Fatde de cette machine. öt. Beu, beilo-
nite.
vau,nret de bot.) — .V. Bryo-
nis. — prite, " tamier, sceau Ge Nlire Dne
Beronedonce & fruits otracines noirs.
Nonciıa,s. f. negundo fometie.
Nonptste, 8. m. (1. de mar.) nord-est : point
entre le nord et l’est; vent qui en part.
t Nonnzstzia, v.n. ($.de mar.) nordester:
tourner au nord-est, decliner vers le nosd-ast
parlant de Yaiguille almantse.
+ Nonp$srzo, A, adj. du nord-oss.
Nonnorolste, s. m. (4. de mar.) nord-nord-
ouost.
Nonogsts, s. m. (6. de mer.) aord-suest :
point estre le nord et l’aucst; vent qui en
de | vient.
Nonogstzin,v. ®. (1. de mer.) nord-aues-
ler : toumer au nord-ouest; deeliner vers lo
nord-ouest, parlanı de la beussele.
Nossa. V. Norge.
NöRrE, s. m. nord, septentrien ; p0le areli-
que ; lo vent du nord. (Ag.) Guide, etoile po-
laire, boussole. Ir — sul em alguma cowsa,
faire le contraire, l’oppos6 de ce qu’il fa
(aire.
+ Nonutos, 8. f. (t. de geog.) Norvrege :
rFoyaume de !’Europe septenirionale.
Nönza. V. Norga.
Nos,, contraction de Em os. V. No. it. Varia-
vion de Eu. Ex.: Dbo-noe „ disse-nos, il nous a
donn#, il neus a dil. V. N(euphonique.).
Nös, pl. pron. pers. nous. il. pl. de Nd. V.
Noscäipa , adj. f. Noz —, museade , noix du
meuscadier.
Nosco, pron. pers. usitö avec la pr&p. com.
Com-- , avec BO0S.
Nosooaarnia, s. f. nosogrephie ; Weite des
maladies on general.
NosoLocia , so. f. nosolegie : explication des
maladies en general ; trait6 , nomsenclature des
maladies en gendrel.
+ Nosomixtica,, s. f. "art de guerir par m-
chantements.
Nös-OLTRos ,
auircs.
Nösso, A, adj. poss. nölre : qui est A nous,
relatif 4 nous. —s, as, pl. nos. Os—s, 8. pl.
les nölres : ccux qui sont du ındıne parti ‚de la
meme profession (ue nous.
Nostalcia, s. f. nostalgie : maladie du pays;
nostomanie, uoslsasic, desir vielen! de revoir
sa palrie.
Nota,s. f. ‚signe, Nols ı remargue
& la snarge d’.m hvre, etc. Minule : original
d’un acle. Critigue, censure. Note qu'’ea prend
d’uno obose pour sen souvenir. Nole : lache &
i’'honneur. Autor de — ou de bda — , auleurre-
nomme, colebre. Mulher de—, femnc decsiec.
AS, pron. pers. nous, nYur
3 NEM
Nowenagß6, . f. numetraiien - action de
nombeer ; denembsemen!.
NenERiS®, a, . 9. de Numerer. ad). Nom-
bee. Numtretb. Mis au nombre.
Numzaınsa, s. m, er) numereteur :
«hilise d'une fracıion : indique com-
bien de feis elle renierme jo deneminatser.
‚adj. 2 gen. numtrdl : qui margue
au permi.
Numsninıo, a,adj. numeraire : (valeur —),
nominale des esptces. s.m. — argentcompfent,
"Ammzahmır, ai. gm qui peut se mem-
Newtuscaußurs, ade. numeriquement, en
nombee exact.
Nuutao , A, adj. numerique : des nombees;
qui a rapport aux nombres. Lotirus —as, lotires
Bu ’
Nousao, s. m. nombre : unitd ou ausemblage
de plusisurs unitss ; quantile indeterminte;
meultitgde, barssonie Au style, d’en vers; ar-
mtiodieuz des mois; terminaison
d’un met indiquant si est singelier ou pluriel.
Numero : nombre gpi sert ä recomnaltre ce qui
est eot#, ttiquete ; chiflre; este, margue mise
var quabgen chow chose,, sur une marchandise , eis
pows mesure. — , Dem-
bre compes6, qui resalte d’sutres nombres
multipliös les uns par les auıres. — elibico,
nembre cube ou cubique, rösultat de la mutl-
piiestion d'un nombre deux fais par lai-möme.
toment divisd par deux. — gär, nombre pair :
multiple de deux. — plane, nombre plan, r6-
sultant de la muluplicatien de deux aetres. —
quadrdde, nembre oarr& : preda den nombro
multipli6 une fois per lai-mizte
nombre selide, r&sultant de la meitiplication
succeseive de trois autres. — surde ou irracie-
nal, nombre irralioanel: qui n’a aucune me-
sure Ccommene avec !’unite. De —, effvetif, du
nombre determine. C'est Yoppuso de suprenu-
merario , seurnumeraire. Sem ——, sans nombre,
en grand nombre. Aureo —, nemibre d’er, eycie
lunaire de 19 ans. Em cufo — entra V. M., au
nombre desquels vous tes. —, pi. Nomhres,
livre de Molse. —s romanos, lelires numerales,
chiffres romains. — digitos, (4. daritkh.) nom-
bres simpies , depuis un jusqu’ä neuf.
Nuuznösautnte, edv. en grand noubre.
Avoc nombre, cadence, harmonie.
Nowenosissiuo, A, adj. sup. de
Nouenöso, a, adj. nombreux : en grand
aoınbre ; harmonieaz.
+ Noxios, adj. et s. 2 gen. de Numidie.
f Numinas, s. m. pl. Numides:: babitants ds
Numidie.
nombre premier : rs quiwra que Fanlıh bes
‘NUT
a men, 2 1. (2: pop.) Manaküie : c0-
Nrmisua, s. m. " medaille: pläse de mue-
Nummsuirıoo, a, al. wumimmeligue : de
mtdailies autigurs. 5. au. NMannlamaie os — mu
ists : qui dendie ‚ oanımait ‚ Gbctit Jan untdeiler.
+ Ncemsmarocaırmia, 5. f. mumuksmstogt-
«dunuigtien des wsidailles
NemcrAnıa, s. f. (1. de be6.) munmmnukite,
berbe aux dems, & ount unaladies, om mei-
.] nuylso : PiaRSe aguaiigue.
Biuuea , ae. jemals. -—— janndis, jamais In
"| grand Jamais. Sinis de quo —, plus que james.
Pers — mdis, pour jamais. Nem seupre, us
—,ai jemals, u an Die kauee — pei
mais lern jameis päre ne AR plus end.
—_ S10nl0000, — 0 vr, il est & weite gut.
Nönesa ‚s. f- zmsmgise, ayanß-seutriere.
Nemcıapon, a,.adj. qui annence.
Nuucaha. V. Annuncdur.
Numsawiaa, s. f. zunsistase: amplei,
geits de nonce. * Tribunal de la noncisiuse.
Bine , 2.1. RMSSagER, eray&. Nesne : 32
bessadsue da
Buncsparivo, A, adj. wunsupeßil : (Ws
ment —), Salt verbalsunemt , de tive vorz. (m
parte Je nom dans chaso sans en aneir I Ur
8.
Nuncenkyo, a, adj. (d..de pres.) imstänt,
BOmm6.
+ Nonpınäzs, #1. PR. (0. Bam.) Bumdinnl:
Iait yeuaubires fetisen de Valpkabet.
Mumpenkuse , A, al). numndinaien : 0p diss,
& Rome, des muaschds qui.ce tanninmt teus Is
nouf jours.
Naupiuss, s.f. pl. (£. Eat.) mumdines : mii-
eh6 puhlic, teus joa meuf Jeuurs, A Kemme.
* Nungua. V. Nunss.
Nurcıir, adj. 2 gen. nuptial« qui appurtin!
Su R0008, au maringe.
Bern. f. Pl. mapes. V. Bode. Fühss de
de sugendes —, ui du pr
mier, du socond ii,
Nuracäö, s. f. nutatien,, belautantent; diree-
tion de la plante du chtb"üu auleil ou de lan
mitre; mmeuvement apperent die l’aun de iM
wre, de la ame.
Merkur, a). .2 gen. veciiiamt, chamcelasl-
p. 0.de
Nıria, u». ‚ chanoeler, vacilier.
Neraıche, ef. weirition : Sonetien par R-
quello les sucs noureisiers sem aonrerts
substencoe. (6 de pharım.) Frepusatlen: her
lange des mödienmehis pour en zunfercet 1
oraime,1,af. neunrieier : qub aeugrit Is
i de l'’embenpoia
Gras, qui a de !' %
NUTRIENTE, adj. 2 gen, nourrizsant, 94
writif.
NerrınentäL Yadj. 2 gen. (1. de med.) m
| tritif:: qui noarrii, qui sent d’alimen.
OBA
Norntuänto,, 8. m. * nourriture : aliment, au
propre es au figure. V. Nutrigdo.
UTRIR , %. 6. NOurrir : susienler, servir d’a-
‚liment; \ fig.) augmenter, donner do nouvelles
forces. Il est aussi neutre.
Nurrin-sg, v. T. 86 Rourfir: dire, pouvoir
158 nourri.
UTRITICIO Ow V. Nutriente, Nulri-
. Norsirtico, 4, adj. mental.
‚ Nuraırivo, A, adj. nutzilif: qui nourrit, ali-
menle, .
“ "Nuraiz, s. f. nourrfice.
Nüvs. V. Nuoom.
„ Novum, se. f. nue, nuage. (Ag.) Nuce : multi-
tude da meuvemeni de personnes, d’oiseauz,
d’animaux, eise.; nuage de poussiere. (id.)'
Chbose qui en obscurcil une autre; tristesse.
— nigra, nuage noir. Cheger o mar ds nuvons,
. ($g.) on le dit de la mer irös-agitse. Pör nas
ns, lsnanlar sobre as —ns, ( ig.) dlever jus-
qu’aux nues, louer excessivsment. Ir ds —ns,
meonter aux nucs. Cuberio de —ns, nuageux ı
couvert de nuages. Sode ds —ns, il va jusqu’aux
nNNSS.
Novauzinna, s. f. dim. do Nuvem. Petite |.
nus, petit nuage.
Npvıaso. V. Nubldde,
* Nuvıir. V. Ansumiar.
+ Nrcraäımo, 5, m. (1. de mdd.) nyclalme ı
, mmsledie qui denne des visions nociarnes.
"OBE su
+ NscriLoeK, 5. 2 gen. pyelalope: qui veil
mieux la nuit que le jour; qui ne voit que la
n
Nıcrassria, 8. f- (1. de med.) nyctalopie:
maladie, nature des yeux qui rend nyotalope.
+ Nrcricona, s. f. ° nyelicorax, hibou,
oisesu de nuit.
+ Nrceriuas, s. f. pl. (6. d’ant.) nyotilies:
fetes de Bacchus, celebroes de nuit aux Ram-
beaux.
Nrcantıuı. V. Nogebeihe.
Nrreo6. V. Niigo.
Nrupna, s. f. (f. de myth.) nymphe: divinits
fabuleuse du second ordre ; (fig.) femme jeune,
bien faite et Jolie. (#. d’Aist. nat.) —, ou pupe,
chrysalide, aurelie, f&ve, necidale : premier
degr& de la metlamorphose des insectes.
Nyupu£i,s. f. (t. de bot.) *nymphea, nenu-
phar. — branca, nenuphar blanc, blanc d’eau,
lis des &tangs, volet, plateau & fleurs blanches,
— amarella, nenaphar & fleur jaune, jaunet
d’eau, plateau & fleur Jaune.
Nruroßo ow (1.d’ant.)"nymphee: bain
NYNMPHEU, 5. m. | public romain ; grolte or-
nee. Salle ornee pour des noces.
Nyurnöine. V. Nymphea.
NYNPEONANiA, 5. f. nympbomanie: fureur
uterine; desizs veneriens tres-violents chez los
fomolles.
OÖ.
O,.m. ietire de Yalpkabet por-
uuguie , 01 la quatriöme des voyelles. Caractöre
aehkkandtigue , qui exprime lo zero. C’ötait au-
weufeis une lettre namerale qui valait onze, ei
wveo un (rat au-dessus, onze mille. O, article
wuase. le. — ‚eo m0n0s, te pluset le moins.
—polor, — peiorce sudo ö, qui pisest.O ,prom.
weint. 1o. B nocsssario dizdi-o, 11 faut le dire.
8 welster dtser- We, il laut Io hal dire. O, in-
serj. oh; 6.7. Oh. Old! Hem! O est aussi une
particuleservant ä l’apestrophe. Ex. : 0’ grande
reil 6-'yrüo senkhor! 6 grand rol! 6 puissant
seignenr! 0’, adröv. de ao. Porgunto ö mar, dt
‚ote., por quem for&o creados P je de-
mande & la mer, aux rochers, etc., par qui ont-
His &i6 erößn? O a Eid souvent employ& comme
$e symbole de Yötornits. O (os), tes O de Noßl:
antiennes qui oommencent par 0, et que FE-
glise chante les neuf Jours qui prec&dent No&i.
Rafratöhitsement qu’on dennait dans les cathd-
"Ursles,, dans les cofleges, etc., dans ces jours
® vepres. Nassa SenAora do O, fäte de
Notro-Dams dite Attente du Part.
+08. 7. .
’O’sa. V. Opa.
Osczcackö, a. f. * aveuglement. V. Cegufire.
Osczcido, A, adj. avengie, offasque. p. P.
de
'Osczcir, v.@. (9. us.) areugler. V. Ceger.
Os06cto, 3, adj. couvert, ferme.
Opensckr (a), v. n. obeir, se soumeltre Ala
volonte, aux ordres de... Obdir ä la main,&
’eperon, se laisser manier aisement, parlant
d’un cheval. —, ceder, plier, se dit des choses
inanimses. Vale mais — que sacrificar, obeis-
sance vaut mieux que sacrifice.
* Oseneenga. V. Obediencia.
ÜBEDECIDO , A, 9. 9. de Obedecer.
Onzertncia, 8. f. ebeissance : action de ee-
Iai qui obeit, soumission d’esprit; disposition,
habitude & obeir ; ’autoritd, domination. Obd-
dienee : ordre d’en sup6riour pour aller d’an
oouvent dans un aulre ou pour se rendre dans
un endroit quelconque. — ‚ obdissance
avengio. Mander em viriude da sania —, or-
donner en vertu de la sainte ob6issance. 4’ sum
— a vos ordres. E meikor — que saerificio,
obeissance vant mieux que saorifice.
OsspızuciäL, adj. 2 gen. obösdientiel ; qui
—
842 OBL
appurtiont & Yobtlssannor qui Obölt ker eanseg
septrieures.
* OBEDIERCIAL, 3. m. oflicier d’un couvent,
vomme Pprocureur, seoristein, Infivinier, eic,
Chanoine regulior on vecamesos.
Oszouäwre, 9. a. d’Obedecor. adj. 3 gen.
Obeissant : qui obeit.
OBEBIENTENÄNTE , adv. aveo Obtissance, do-
eiteruomt , avec doetlits.
Onkbigxtissımo, A, adj. sup. do Obediense.
+ UneuisciL, af. 2m. d’obölieque.
OssLisco ,s. m obelisuue : pyramide #troite
et longuo ; aiguille. V. Odelo.
OskLo, 3. m. ob&le : marqus dont on a0 Ser-
vail pour indiquer los passages delectusux d’un
&cril, ou iaterpoles ; c'6tail un lrait d’union (-).
Osenino.V. Oneredo, Gravado, Empenhado,
Ostsıping ,2.f. obesild : excds d’embanpeint,
Ostso, 4, adj. obese : chargd d’embonpoint,
trop gras.
+ Osrıauin, 0.0. 0u =. (p. us.) allermir. V,
Insistir, Por far.
O’sıck, 3, m. obstacle embarras, empöche-
ment,
O’sıro,s.m. decks ‚mort; obil, Liero dos—s,
nöcrologe : registre des morta
Osssccid, s. [. objeotion.
Osızcrär, ©. a. objecier ı oppoter queiqud
chose & une propesition , faire une objeetion.
OBJECTIVAMENTE, adp. par rapporı & Pobjet,
quant ä l'objet.
Osszcrivo, a, adj. objectif : (verre—) tourns
vers l’objet; (4. de tAdol.) qui est lo seul objet;
qui appartient & l'objet.
Onsecto, 3. m. objet : 00 qui s’offre d lavug,
touche les sens,, &meut l’äme ; matidre d’un art,
d’une science; motif, cause d’un sentiment,
d’uns passion, d’une action, d’une pensee;
but, sujet, iin proposee.
Osurciö, 3. f. ollatitu : elffrande; aslion
do rir & Dieu ; obese olfarte.
BLADÄGENM,, 3. f. oflrande faite & Peglise,
er % f. U’hostie et le vin qui est dans
le calioc avant la consecration. Offrande.
Ost.iro, s. m. oblat: molne-lai; lafque quä
sert dans un monastäre; Invalide toge dans
une abbaye.
* Osuıcin, ote. V. Obrigar, ete
° OsLicachm. V. Obrigardd.
OsLigtanexte, adv. obliquement, de biais.
Opuiquäncuto, A, ad). obliquangte: & an-
gles obligues.
OsLıquär, 9, a. bisiser, passe de bieis, pla-
sr ebliyuement. a@.(Ag.) Agir ebliquement,
frauduleusement.
Osugewine, 5. f. obliguiis : inelimaisen
d’une ligne, d’um plam sur un auge. —- da delip-
sa ‚obliquind de oa peigme « angio (us farme
Yeeliptique even !’on
Qusiguo, A, Ar ebllgee ı de bisis, welind
‚(Iirac, plan ı (Ag.) vols. moyen), suspect, [rau-
‚dulenz ı indirecı (alege). On Je dit au gram-
tmalra de sun len san hass ie masminalil sang
ok:
Ontenivd, 1,9.2.8 '
OBLitenir, 9.0. Hiörer ı elliäbeb Kenoi-
biement en lalssanıt des traces.
OnLönco, a, adj. oblong : besuuyup ples
long que large.
Osmxto, A, ad). yajet, expbok.
Ozof,s. m. hautkois : instrument & vet et
&nche; celui qui en Joue,
Oror, 1.m.o m. Tobole: Fb reed arochahngen
grocque;
poids de douzegral. (fg. } Cupse de wien
de valeur.
Osomsaar, V. Obumbrar.
O'paa,s. f. eurra:ce qui ost Ta
per un agent, et subsisws aprös
vrage vonstddrabte ; zetion ; pI%
dection do Pesprit: action „ wuriant por
Yapport au salat. * Ouvrage : 00 qui art procak
par Fouvrier, (Ag.) par une Gausa, wu ih, us
persenne; fagon, travafi pout ondöuter un ee
wrage; produetion de Fesprit, des miete. (s-
de Lyon. Morrirdo — de
ilya eu cinquante hommes de mern ein.
ad, cr: * chul-d’auvra. => Berfoite, bein aıs-
Gurrage marıad au Bew Osten legs,
ouvrage Yerine.
Ourrase aa P6r por — , metire i eröc®
tion; mettre ja main 4 P’auvre. Por Indo em
— ‚se melire en quatre. A quem se atiribus alt
—? A qui attribuo-t-on cet ouvrage? —e, pi. ee
vres, productions d’espril; construclien de bt
timents. — compleias , mavres complöles. Ter
—, ander com —e, avoif des ourriers. —ı d
misericordia, @uvres de misericorde. —ı pias,
@uvres pies, muvres de chariie. —s morlas,
(4. de mar.) Sure Daran punbion.d OL @is-
seau qui sont bene de Krnms dere
auvsos faites eu panke en u ni
point weriieisen a winnsnL
parties d’un vaisseau qui sont dans TasB-
car por —s , piahos pas-ackoun Bidis amt
nos palauras, hesuseap false. pea pasie.
—ı desmanchdo aiguneı, au panı Are baanite
bommie quali. en Te 1 er
"Ossugid, V.Q » Aorta.
*Onniva, V. Obldie
"Osssnıcaö, V. Obläte, Uferende.
"OBEABÄR, faica una eflrande,
* Onnankıaa , & f " Ina & kaire des hasties.
ORRIBO, 24. - de
Onnanör, A, 4 Huvries, artisee. Cable gei
epire, ai mei A on tcalion. Auisus (de DBiE-
8%, el0.
Osaiosı, 8. [." auvsags , Karl
Onaine od. 2 gen. au opire. en
Oarir, vo. a, travaillee, j
faire, Motira en psaligue, bex . j, 0sden-
ter. Oporer ‚ parlanı d’un remdde. u m, Aut,
sa comporter. Aller a la nelle ou dA be
= de cammum atsorde ou de MÄR FORM.
ee ee En En En BE SE EEE Ge
OBS
marker. d’en Mtme pas. — micubirlamente,,
cacher sa marche. — com reetidßo, agir avec
droiture. Oöra por ed meema, elle apkt d’elle-
meme. B fsil oritisar » die — meiker, il
ost ais6 de roprendre etmal.aist de lalre mleux.
Opatı, s. f. oublie; pain A casheter.
OsnzBen0 , 5. m. falscur d’onblies.
Ourzakd, a.ın. hommes qui, par ebarilö, sor-
vait dans les höpitaus. "
Ouatıa. V. Obria,
Onasıaa , s. f. ouuriöre.
Onatıno, 3. m. OnvNar, agtıgan. Manwunre,
journalier. (4g.) Ouvrier epostollgue, mis-
siennelse, .
Onnargi6, 0, f. obrepiien ı rötisence d’an
Salt vrai.
+ Osamssıcaaunäues, ade, obreptioemen!t :
d’une maniere obreptice.
Ossazreiao, A, adj. obreptioe : surpris en
cachant la verite.
° OBEIDAGON.
° OBABAR , 080-
Onnioa. V. Odrigagte,
Osrıcaciö, 8. f. obligation : ongagemeni
qu’impose is deveir; auto public par Jequel on
s’oblige; ce gal impose la reoomnalssanıe; (Ag.)
dereir, deite. oe, enfapis, parents qu’un
homme est oblig6 d’entretenir. Por, d’ofüe,
por lo soul deveir de sa charge. Kellar d sus
— , manquer a son devoir. Aumprir come sus
— , remplir sem deveir.
Opaıcagözs, s. f. pl. abligalians, deveirs;
gratitude, rovenneissanee. Dever a alguem,
avoir des obligations & queigu'un.
Onxıcapissemo, A, ai). sup. de
Osxıcino, A, P. p. d’Odriger. adj. Oblige :
qui est fenu par, ou d...; redevablo d’an ser-
viee rondu ; qui est dans l’obligation de...; (8. de
mus.) qu’on he pant reiranahar. Sow-ihemdito
—,il m’s beauosup ohlige, je Inh dois heası-
coup d’obligations. Muito —, bien eblige,
grand merci. Bet — ds divides de son pei, il
est Lena. des deties de son perc. Quem dd o que
kem ndn d mais —, qui donne ce qu'ila n'est
pas oblig& & davantage.
+Osxıcipo, 5. m. enirepreneur oblig6 par
tontrat d’apprevisionner une ville.
Osnıcanör , A, adj. obligeant.
*OBRICAMENTO, s. m. action d’engager par
acte de justice. V. Obrigaräo.
‚ad 2gem. obligeand : qui oblige;
«iickeeuz.p. a. db
Opnısiz (a), 9.6. obliger, ennteaindze, for-
our, Aspujetäiez rendee serrice, faire plaisir;
ager par acto de Justice. V. Empenhär.
n-68 (a, por), 9. 7. stengager d; se
randee saulian puur; sunlsacies: des Engage-
mente, +— de, Höre sensible d.
OnassatiVo, A, 08 obligeteire : qui a
Onmoamönto, A, adj. } ia force d’obliger,
swivant ia loi.
Osntena, diem. d’Obre. Prtit guvrage.
Oreubaakänze., ade.d'’ une manddre ebsoöhe.
Dasinmkung & f. olseiniid, asleib, cy-
m}
in
} V. Odriga..., etc.
.n
OTTO OB 3
alane MIR, image action qui bisase da Pu-
eur. .
Ossckxo , a ‚adj. ohseine, sale, ddshenntie,
eyalque, qui biosse la pudene.
f Onscenamente, ade. obsonrsment, sans
Telariör sonfustment, inintelligiblement; bas-
Bement.
Obecunstka , 9: a, sbscereir: rendre obseur.
V. Eseurecer. (Ag.) —, dimmisuss Pielat, reon-
re melas brillant; effnsquer la saisen, !on-
tendement; rendre son siyle obscur.
OsscuazciR0‘, A, pP. P. d’Obssurscer.
Onsevsmmine, s. f. +bscurils : privatien de
iumiöee; ombre dpaisse d’un beis, ete.: (Ag.)
bassesse de la naissance ; confusien , defaut de
olartö ; Ignerance; vie vachte. Obseurit# d’un
mystöre, d’une önigme.
Onschro,,a ‚adj. obseur, senhre , tendbreur.
V. Escuro. —, qui n’est pas biem elaie, (Ag.)
bien intelligible; cach6, peu eomnu, de basso
naissance. Vioeo —, il vorwt sang neun.
Osszcaiaci0, 5. f. supplivatiop, pridee in-
stante.
Onsecnacöns, 5. fı Pl. Ohsterallens ı pelöres
publiques pour apaiser los diesx.
Osszcakık, ©. a. supplier, demandes awac
instance. .
Oseszevänre, adf. 2 gem. obeissan, voutmis.
Complaisant. ‘
Osseonino, A, P. P. d’Obsequian,
OBSEQUIADÖR,, A , 6. personne obligeamte.
Osszquiin, v.0.— faire des poll
ses, des honndtet4s A quelqu’un, aveis pour lul
des atientions pertiouliöres; rendre desserviese.
Osatarıas, 8. f. pl. "ohsdrgues ı deubern de-
volrs. V. Exeqwies. -
Osstquro ‚s.m.* condesoendanee ‚kom eflice,
service, obligeance, cour; «abs, komeus-
tet6, eivifte, polftesse, attenlions, döförwnce.
Ousegurdsaminre, ade. bbiiguamment, oMi-
cieusement, avec condescendance, souimis-
sion ; aveo eivilit®, polnent, aveo aMubWits.
Ossequi6so, A, adj. soumis, esukplalsemt,
officieux , courtisan ; obsequieuz, .
Ossenvaciö,s. f. observalion : aukhew H’ob-
server les merveilles de la nature, ele.+ remear-
que hasse sur l’ohservalion; Bois, V. Olser-
vancie.
Ossunvin0, A,p. 9. de Observer, .
OBSERYADOR, A, 5. observateur : qui obplt
aux lois, suit lesregjes ; astronome qui ohserve
les astres ; critique. Il est aussi edj.
Ossanvänchh,, 8. f. observance : observalion
des lois, etc. ; pratique de la rägle religieuse ;
elat primitif d’un ordre religieux. Por em I-
faire observer : faire ex&cuter ponctuellement
co qui est ordonne. j
Onservinte, adj. 2 gen, et p. ea. KObserver.
qui observe, qui accomplit la loi, etc. 5. m. Ob-
servanlin : rellgieux de Fobservance de saint
Francois.
+ OBSBRVARTENENTE,, adu. avoo Observance,
OBstavantino, a , adj. qui vonderne bes al
servantins,
4 OBS
Ossernvantissıne , A ‚adj. 2up. d’Obsersanis.
Tres-ezaet & observer la loi, etc.
Omsavia, o. a. observer : aecomplir co qui
est prescrit (par la loi, eic.); remarquer, re-
eonnatire, noler, regarder, eonsiderer aveb
stiemion. Observer les asirea. -— pers 6 BOPPR,
(1. de mar.) observer droit arriere. — ne di-
recpdo do turco, (id.) dieouveir (un objet) dans
ia direction du bosseoir.
Opssavin-se, 0. r. stobserver, eire cifcon-
speci. L
Onsgnvarörıo, 8. m. obserrstoite : edifice
destie aux observations astronomiques.
Ossenväver, adj. 3 gen. observable : qui
peut eire observe.
Onszssi6, s. f. obsession : elat d’une per-
sonne obsedee du dömen.
Ossasso, a, adj. obsede : lourmente par Jos
iliasions [requenles. V. Possesso.
'O'ssıa. V. Ussie.
+ Ossipknte, adj. 2 gen. assiegcant.
Ossınıina ,s. f. obsidiane : pierre jayet, mar-
bre nuir; pierre qui servait de miroif.
OssınsoniL, adj. 2 gen. Cordes —, couronne
obsidionale, d’kerbes, acsordee, chez les Bo-
mains, dcelui qui avait fait lever lo siöge d’une
ville.
Oseordro, a, adj. hors d’usage, inusile,
vieux (mot, phrase).
OssricvLo, s. m. obsiacle, embarras, em-
peobement, diliculie, traverse.
* Ossrincıa , s. f. objection. * Obstacle.
Ossrintz, p. a. d’Obstar, et adj. 2 gen. Qui
mei obsiacle. Ndo —, nonobsiant, malgre, en-
sore que, bien que, quoique. Ndo — isso, ceia
nonobstant. Ndo — ser rice,, quoique Fiche,
Ossrän (6), 9. 8. ot u. ompöcher, s’opposer,
mellse obslacke.
Osstınacäö, s. f. obslinalion, opiniäireie,
endercissoment, trop grand allacheumeut & son
sans.
ÖBSEIRABANENTE, adv. obslinsinent : avec
obstinatien , opiniätreie.
OBSTINADISSINO , A, adj. sup. de
Ossriuipo, A, adj. obstind, opiniälse, en-
ww. — em, bute d. p. p. de
Osstmin, v. a. obstiner : rendre epiniätre ;
faire qu’on s'obstige. —se (em), v. r. stobstiner:
s’opiniätrer ; s’attacher opiniätrement &; se bu-
ter ä.
Onsraucciö, s. f. (I. de mid.) obstraciion :
engorgement, cmbarras dans lcs vaisseaux,
tes conduits du corps. — do diere, mötren-
phraxis.
Osstaucrivo, A, adj. obstructif: qui cause
ou peut causer des obstructions.
OSSTRUÄNTE, adj. 2 gen. obsiruant : qui ob-
sirus.
OssTauido, A, adj. obsirue: qui a des ob-
structions. p. p. de
Ossrruin, u. e. obstreuer : causor de l’ob-
strasilon, de Pembarras; (Ag.) arröter le oours,
la eirculation (du commerce, eic.).
0CC
Osszaula-aa, ©. r. s’obstruer, so houcher;
devenir obeirue,.
ÜBTZUPFERAR , 9. 6. oblemperer.
Oarasıumenro.V. Conseguiminte.
‚ Osrancäö, s. [. oblenlion : action d’obtenir,
impetzeiien,
Os v. a.obtenir, impelrer ; faire en sorie
que I OR accerde co qu’on demande. — fans
@ banhos , acheler des bans.
TOstzstia, o.a. prendre A Lemoin, proles-
ter. Supplier, implorer, prier instamıment,
Oszino, A,P. p. d’Obter.
* Onrao. V. Ostre.
OSTUNDENTE, adj. 2 gen. (1. de mid.) obin-
dant : qui cegrige l’acreis des humeurı. °
ÖSTUNDIR,, v.a. &mousser. V. Embeter.
Osruranen,, s. m. ai adj. oblarateur (mus-
cle —) : qui ferme.
B00LO, adj. m. obtusangle : qui a un
angle obtus.
Osrtiso, A, adj. emousss : qui n'a poii
de pointe. Obtus : (angle—), plus grand qu'un
droit. (Ag.) Obtus (esprit —): sans pemeira-
uon. '
Osuusrir, v. a. ombrager, oeuvrir de son
ombre. Obsoureir.
Onvuupnän-ss, t. Fr. s’obseurcir, se deumt
de nuages.
Osdz, s. m. obusier : espöce de morlier
monts sur un afü!.
Osve£aso. V. Viredo, Vollsdo.
Osıipo, A,P. 9. de
Osvıin, o,a. obvier (A) : peemdee jes mesurc!
pour prcvenir le mal; aller au-devani d’un
mal , ctc. — oe mal, 08 percades, eic. , obricı
au mal, aux peohes, etc.
O’srıo, a, adj. patent, qui se presents ualu-
reillement ; prosemt , qui est devant les ycut.
+ Osvorvino, a, adj. (8. de bot.) obrolut:
pie en gouttiöre (feulile oe).
* Osronets, j
} OsYete. } V. Obedients.
O’ca, 8. f. (inus.) ole. *Oca : racine d’Amtri-
que dont on fait une päte honne & manger ap-
pelee cavi. Jogo da —, jeu d’oie.
+ Ocinna, 5. f. (t. de geog.) Ocagna : ville
d’Espagne.
Ocaa, u. e. rendre creux.
Occa. V. Ocs.
Occami6,s. f. oocasien : rencomtre, onnjent-
ture des temps, des lioax, des affaires propres
&; sujet, ce qui denne liom &; moment favora-
bie, propiee. ° Cas, ciroonstance. * Danger,
peril. Aproveilar a —, lanpar mdo da —, saisi!
l’occasion, prendre l’occasion aux obereus.
A— fax o ladrds, Yoscasion [ait lo larren. Ade
perder —,ne pas laisser &chapper l’oonssien.
Bon —, salson: temps propreo & faire chague
choso. Se ss oferecer —, si le cas y echoit.
Pör-se em — (de peccar, elc.), cobereher I
danger, s’exposer au pörti (de pecher, eie.).
Por —, par hasard, oooesionnellesment, OYeR-
tuellement. Tem doa — de ingar-se, il a Jabelle
FRE Tu %
OCC
pour sovenger. Bde dar batalka, Il fera bon
livrer bataille. "
OccasıoniB0, A, p. 9. d’Ostanonar. adj.
Expose, hasarde. Fevorable, opportun. Que-
rclieur, inquiet (anf.).
Occasıonapon, A, 8. qui O0easienne, qui
Jdonne lien 2.
OccasıoniL, adj. 2 gen. ooeasionnel : qui
donne oo0asion , qui em sort.
OccasıouaLıpäpe, s. f. la qualits d’6tre ocea-
sionnel. .
OccasıonaLzäuvk, ao. oosasionnellement :
par oocasion.
OctasıonäR,, 9. @. o00nsienner : donner lion,
oosasion & un mal; onuser. Mettre en denger.
OCCANIORÄR-SE , v. Fr. B’occasionner,, #ire 00-
casionne.
Occiso, s. m. coucher d’an astre. Couchaut :
endroit de P’horizon od lo seleil se onuche. (Ag.)
* Destruction , ruine.
Ocaznayrir, adj. 2 gen. opcidental : qui est
& l’ooeident, de P’occident.
Ocemänrrs, s. m. scokdent : point cardinal od
le soleil se oouche; pays & Yoceident.
Occievo, a, adj. V. Ossidenial. Amplitude
—6 , (1. d’sstr.) amplitude oocase : arc de l’ho-
rizon entire Foocidens vrai et l’oocident ra-
tionnel.
Ocameaut. V. Ossipilel.
Ocapicıo ,s. m. Ct. d’anat.) ocelput : le der-
riere do la iöte.
Occrrrir, adj. 2 gen. (1. d’anst.) vocipital :
qui appartient & l’oociput.
Occısä6, s. f. " meustze, tuerie.
Occısivo , A, adj. qui ime.
Occo. V. Oueo.
OccoßusR0, s. m. sorte d’'herbe du Brösil.
OccosasR, 9. ®. aller au-devant, & la ren-
contre. S’offrir A l’imegination , venir dans l’es-
prit. So renoonirer, survenir. On le dit d’une
fv:0 qui se remoonire avec une aufre, qui tombe
ie ıneme jour. Se rendee dens un endroit. Ndo
me OttorYe, ne me.revient pas.
Occvuıracgäd, s. f. action de cacher, de cöler,
de sousiraire ä la ve.
OccoLtTino, A,P.p. d’Oeoullar.
Occuuranen, A, 8. celui qui cacbe, rocdleur.
OCCHLTANENTE, ade. ment, en Ca-
chette. Sourdement, & la derobte.
OccuLräa (@), v. e. cacher, derober & la vue.
Caeoher, taire, ne pas dire.
OccuLrän-sE (a, de), v. r. sa cacher; ceosser
d’6tre visible.
OccuLrissıuo, A, adj. sup. de
OccdLro, a ‚adj. occulte : cachd, secret.
Occuragid, s. f. ocanpation : emploi; affaire ;
ce & quol on est oooup# ; action d’oecuper, de
s’ompater.
Occuri20 ,A,P. p. de Oesuper. adj. Oovupe;
employ6; prosteupe. Muite — , aflaire : quia
beaucoup d’affaires. —a, enceinte, en parlant
d’ano femme geosse.
OccwwaBba, A, adj. et 8. qui s’empare, qui
se zund maltzge, o0supant.
000 846
Occträn, v. a. oocuper: tenir, remplir un
ce; habiter une maisen; s’emparer, se sai-
it de; employer, donner & travailler, donner
de l’oecapation. Obtenir, jeuir, exercer un em-
ploi. Empecher, göner, embarrasser. — alguem,
(#g.) prier quelqu’un de rendre un service.
Jsto me occupa mais de que eu pensava,cela
me tient plus que je ne pensais.
OccupÄis-Se (em), v. r. s’oCcuper, s’employe r
&; faire son oceupation de. — em eiras :
s’amuser ä desriens.
Occunntncıa, 8. f. Occurrence, rTencenire,
conjonciure. oo.
Occuraäkte, dj. 2 gen. qui va au-devant,
qui s’offre & ’imagination, etc. Occurrent : qui
03
€
survient, qui se rencontre. As —a, &. f. pl. les '
oo8urrences.
Occursar. V. Occurrer.
Ocsasiı, s. f. Oceanie : cinquiöme partie du
monde ; 1les situees däns l’ocdan Austral;; Aus-
tralie o# Australasie.
Oczinıco, A, adj. Oceanique : de l’Ocean
(Nies —s). Oesanien : qui appartient & l’Ocean.
Oceino, s. m. Ocöan : la grande mer qui en-
vironne toute la terre; (Ag.) abime, immen-
site.
Oczino, A, adj. Ockan, de !’Octan. Ocsa-
nien. Mar —, mer Octane, l’Ocdan.
*O'cma,s. f. V. Litigio, Ralho. Andar ds —ı
com ‚se prendre de querelle avec quel-
qu’u dispıter.
Ocuakta. V. Ucharia.
° Ocniva. V. Oilava,
Oczävo. V. Oilavo.
OczLocracia, 3. f. ochlocratie : abus du geu-
vernement d4mocratique, gouvernement de la
populacc ; souverainetd du bas penple.
OcaLockÄrico ‚A, adj. ochlocratigue : de Po-
chlocrstie.
O’cuas. V. Oere.
* Ocıente. V. Occidente.
O’cıo, s. m. loisir, repos , oisiveld. Delasse-
ment d’esprit dans la culture de la poesie, l’&-
tude des belles-lettres. * Aise, commodils, ötat
commode. Zuireger-se, ou der-se ao — ,W'-
bandonner & l’oisivets. '
Ocıösamente, ade. oisivement, d’ane Ma-
niere oisive. Infructueusement
Ocıosınäne , s. f. oisivet6 : ötat de celui qui
est oisil; habitude de l’inaclion. Fruits de l’oi-
sivete, paroles olseuses, Jeu. A — da mi de
todos os vicios, Yoisivot6 ost la möre de tous
les vices.
Ocı6s0, A, adj. oisil: qui ne fait rien, qui est
dans l’oisivets. Olseux : fainsent; vein, inu-
tile. Vide , galaoras -—as, vie, pareles eineuses.
A mocidade —a, velhiee trabsihees, (prov.)
aprös Jeunesse oisive, vieillesse pönible.
Oco. V. Oueo.
+ Ococor., s. m. (f. de bot.) ocogol ow ecoselt :
asbre de la Louisiane qui donne le baume
kiqwi . Les Europsens appellent oet ar-
bre liquidambar, copalme, storax ou stytax
d’Amerique. V. Liqwidemdreire.
-
Be]
s46 ODI . Ä Orr
FOcdesuiir, sm; (1: EWA.nEE.) oosselln:, Omänme,m.ı. s’stiner ia baipe, sa Tundse
perdrix du Mexiquo, totitiga. odieux. — mutuamente, s’en vouloir.
"Oeomtectr.V. Äcmieeer. Ovssnte, a ‚adj. haineuz, FAncuneux.
O'RE, 3. m. dere: oxyde 6 Top; terre ıu6+ + Opino, a. m. Qdia : divimite des amciens
taltigue. pöuples du Nord.
Otritöhn6.. 8. M. betzcotde : imstrament de
masiqwe 4 halt cordes.
Ocra£ono, s. m. (f. de gecm.) oetadre :86-
Omo , s: u. ' beine, avarsion. En de, pt
+ a, en haine de; par vengeanoe, PAS
bb, oo.
iide & haft faces. Opiösamtnte, ado. diensement : d'une mr
Ocracenikıd, A, adj. niere vdlaust.
Ocractsım0, A. V. Orte... Opıosıninz , s. f. * caractäre haineaz. Arst-
OttiGond, A. ston duwt la caute eb dtiueıninden
Ocrimpeta, 5. f (1. de bot.) octindtie !
huitldrne classe de vegötaux hermaphrodites, &
huit etsmines.
Ocriva. V. Oilaon.
OcrocEmirto, a, adj. octogenaire: qui est
agö de quatre-vingts ans.
Octocksıno, A, adj. octantieme : quatre-
vingliöme. |
Ocröcono, adj. et s. (1. de geom.) oetogondt
qui a hult angles et hult cötes.
Dcroninto, A, adj. de hult.
+ OcTosY’LLABO, A, adj. de huit syltabes, en
parlant des vers.
° Ocrurıpäne. V. Autoridäde,
+O'crupLo, A, adj. octuple » tontenanit heit
ois.
OcuLir, adj. 2 gen. vculalre : qui Appartient
aux yeur; qui a va de Ses POP. yeax (t&-
moin). Lenfe —, verre oculalfe,
d’approche place du cöte de rail.
OcuLirwente, adv. otulairement : de ses
propres yeux; visiblement, sensiblement; &
’'ail.
Opıosissiuo,, A, adj. sup. de
Ouıöso, a, ndj. odieuz, halssahls ı qui &
cite Ja haine, l’aversinn, lindignation. Todes
chmparaplo 4 a, Wule eomparniaon
odlieuse : il est dangereux de vomparı Mr
senble deux personnes.
+ 0'006, & m. (6.#.Asie) uakre sand ches I
Ganariens.
-Opontaroia, & fi (& de md.) odonlalgie!
douleur de dents.
I + OnontiLdeß, Ay af. odenssigigus: dei
oalme l’odontaigie.
Onemtorbciä, 0 Jh de nd) adontalegit:
wand sur lien del.
Ossk. 7. Chtine, Aremis.
Onorino. V. Doente, \ „
OponATissin0, A, sup. Irds-ederii
rat. ' .
Oporiro, s. m. odorat. V. Olfete
Oporirmno, A,alj. edertfäraut: qei rigend
une bonne odeur. -
+ Oportruuätt, sdj.ngen. (POHL) qui font
en repandant une houne deut.
+ Ononöso, A, adj. odorant, edoriferıet
Qui a une odsur forid«
Obhr; 5... *onteu: pomm de hans ed in
met da vin, te. (Ay.) Buadevih, ferügat-
Onntınd, 8. m. Ialssur su warchand der
Denuista, d. m. ocullstö : m&decin, chirar-
gien qui traitu les maladies des yeux, qui fat
les operations ä lail. Opticien, qui falt et vend
des lunettes.
O’cuLO, 8, m. *Iunette. —s, pl. des luneltes,
eonserves.—de longa mira ou de ver ao longe, | tres.
Innelte d’approche. — de punho,lorgnette. —s | Opnteinn6 oW Onahns , diem. de Odre.
das porlinholas dos peras, faux mantelets,] OpvssßA,s. f. Odysbie : poüme d’Homir®.
faug sabords. Orninte. 7. Enanfie,
+ OcuLdso, A, adj. plein d’yeut. O8snonofstz, 5.m. ouent-netd-wueit: "iM
OCULTAR, ec. entre l’ouest et ie mord-ouest.
OcuPaR ‚ete. V. Octtu., 080 Ofssonbeste, s. In. ounet-sud-ument: Tui
Ocrno,s. m. V. Alfavdca. entre Touest et fe sabou®s
O’oa. V. Ode. Okste ,s.m. Ouelt: partie au mende quiwt
au soleil conchant; Yeirt qui on vRal.
Otıa, #. fı (4. d’Arte) "Guver &0 gerah
fruits de !’Orient.
Orracino. V. Omphecino.
Orrzcia, ©. 9. (t, provin,) hespiref and
'lespent, baleiar, etoufler. on
Orstoe, s.ın.“ zenpiraiion dileile, T.4r®t
+ Orrzoußnto, A, adj. qui ala rospisehnt
Asmutise, '
+ Onazisca,g, f. od aliaque os —lique: fernme
du esrail, dastinde au alien.
O’pe ,s.f. ode: po&me Iyrique, fait pour Ötre
chante. Zr
Opk6 ou Oddum,; Odeon : Ihiätre &
Onron,a m. 1 Athöneny tadlies pour la
musique. ‘
+ Ontoun ,e.f. tl. @r gdeg) Odessa ı ville ei
Dr de la Russie wuropsenne , #ar la ser | dißeite. Y, opr
Noire, | Osrenson, a, adj; th qui einen:
Ooıi 4. m. tt. P Are) dun, prekent, endene. | vor. a au
. Onuinn, 3,2. p.de Orrexnfn ,o.a. offenser, Mienter, meRtst#f!
Opıin, v. a. bait ı aveir deda halne; detes- | falre une olfehse , une injdee; ee
ver, | lavue, etc. — a Deor, iRkuer pasiet,
OFF
„: wbna ide, Kieser, Taliguer par sa pre.
sence.
Orsainäh-ta (som), %. F. Folfenser, 58 pi-
guen, uu fücheb, 06 chaquer de.
Ousızubtemue, \V, Obetasuia, Impedimenis,
Ewmbarepo,.
Outline, ar a 9. U’Ofendar. adj. Ol-
Senst : qui a regu une offense. Blesse, mual-
Osutusa ‚0: fı ofen « jnjare de fait vu de
parole ; pech4,, faute. Alteinte, altentat, enire-
Pi} Uremmeißıe: [. Fepiesdde Dofensds. \
uf. u Defensds. N.
Ofensien ’ /
y Oeramaira, a. f (i.de guerre) ollensive :
altspne. "
‚ Ormasivanturz , ad, ollensivement ; d’une
manlire vigusive,
Orssnsiup, Ay adj. effensil ı qui altaque,
qui offense, qui som & olfenser (Kurzes, ar-
mes —e8).
Osaka, 2, will. T. Ofendide.
Orranson, A, 66 üflensenz » qui a ollenss,
qui offense.
Orten nIRDON „A „add. eis, qui ofire, afframt.
Osrunzohn (a), %. &. olfrir » prisenter, pro-
poser, faire une ow des oflres, des pxopesi-
tens; prepostr dw damner, de Seine; Jadier,
consacrer & Dieu. Promelire.
Ormasata+ıa (0, para), % r. s’ollsis, se
presenter. S’exposer .ö. «So an = ooeasido , ai le
cas se prosente. — d morle, Kexposer & la
wert. = oulguem Jara «owsa, s’olkir
a queigu’un, lui pr&senter ses services. Br
Grvariicies, 44.9: 9 WOffenecer. adj.
Peoitede,
UFFERECINENTO , 8. m. * offre : action d’oflrir;
prok. (ünus.) Ve
on quiog «fire ı guepeeition de donner, de laire.
Prem. Fahr _s, faire des Px0-
des efiess wis-arantageuses.
Orrzntkrda. Vo
‚af eh a. 2 gen. ollrant ı qui
Usrtnta, 3. f. offrande :ce qu’on olire &
Dies cat es ‚ peomesse. Ce
qu’on pulspour chayus enierremeni aux Curäs
qui n’ont pas la dime, droit de söpulture.
Gesumeia „© a: feine ann ofirande. V. Ofe-
vo
Orrmmszlerna, dam. @ O0 fer is.
OvssatTorıo, 5. m. *offerte : partie de la
messe ctant la aansiaratien. Oflarlaire : priere
de la messe qui precdde l’oblation, l’ollerte,
Ormetamn , &, mp de Oßkiar.
Orrmcıapdor,s. m. celai qui officie.
Ovsmmär, €. m, euvrier, artisan. Ouvrier !
qui n’est point pass& maltre. Öfficier de guerre,
«ühchete eelrel Qui a un office; secrelaire, conı-
mis de baresu, eis, +» de juslige, oflicier de
Justen, ‚kalseinn.—aubalierno, zous-oflicier,
subaitepnn. »inferior.bas ollicier de guerre,
= iafarier de nvalleria, marechal des logis.
use dt relsptn. V. Desembar, es. —des
du may orijaes. es do ambadilke, (1. de
OFF 847
wer.) ofliciora de la dunelic. —des de vara,
wergents ä verge.
OrricaL eu—ıAa, s. f. fille qui stoceupe &
quelque isavail, & uelque melier : ouvriere.
OrrıcıäL, adj. 2 gen. fait par office, par obli-
tion. Oficiel : publie, declare par Pautorild
Gi, nouvelle, journal).
t Orswariö, s.m. aug. d’Oflcial. Habile
Vavrier.
OrficiaLıdäde, 8. f. Pensemble des officiers
Won regimant, d’ung arınee.
ÖFFICIALMENTE, adv. offieiellement.
OFriciänTe , adj. et s. m. ofliciant: quiofficie
V’oglise
Orrıcıäg, v. a. alder 4 dire, & chanter la
messe, ä dire l’office. Officier, edlebrer une
grand’messe, presider & l’office divin.
Ossıcika, s. f. boutique, atelier, laboratoire,
onvzoir. — d’impressor, imprimerie. — de car-
inteiros de maswwos, alelier de mälure. —$,
al. ofices d'une maıson, d’un couvent, eic.
Osrıanir, adj. 2 gen. (1. de pkarm.) offiel-
nal : (composition, droguc) toujours prete.
Orricıo, s. m. office, devoir, obligalion;
fonction; emploi, prolession; service, assis-
tance; partie du breyiaire qui se dit chaque
jous. Metier d’arlisan. * Etude de notaire.
” Leiste, depeche officielle. — de defuntos,
ofice des morts, — parvo, pelil offleo : office
de la Vierge. Aprender bom —, (fam.) &p-
prendre un bon melier, un meter lacralif.
Celebrar os —s divinos, cälebrer l’ofice divin.
Cerrer bem 0 —, Eirelucralil, rapporter beau-
caup, parlant d’un ınelier. De —, OU ex —,
(lat.) d’office : sans @tre requis; par le sen! de-
voir de sa charge, etc. Que — lendes? este que
vodes ; on le dit surtout d’an paresscur sans
resource pour vivre, et ui ne veut pas tra-,
vailler. Santo — , saint-ofiice : Iribuna! de In
quisitien. Zomdl-o por —, faire irds-frequem :
ment uno chose. Seu — d dizer mal ou lem por
— diser mal, c’est son metier que de medire,
Teu inimigo oficial do leu —. V. Inimigo,
Cads qual no seu — , que chacun fasse le ınd=-
tier qu’il a appris.
Orrisösauäntg, ade. officieusement : d'une
maniere officieuse. Obligeamment,
Ormciosipäne, 8. f. oflicieusele : aaraclöre,
qualits, oonduite de l’oflicieus. * Empresss-
mem a obliger, a rendre service.
Orrıcı0s0, A, ade. officieux, honnäte, obli»
gesnt, serrisble. Bfentira —a, mensange ofli-
cieux, fait peur obligon. D’um modo —, olfi-
t, une maniöre oflicieuse.
Ormetnpa, s. f. offrande : ce qu’on olfre &
Diee, & queigifen, eis. V. Obidie, Qferlario.
*Orrnendir, dv. a. faire une offrande & Diem.
V. Offertar.
Orruscino, A, 9. p. de Offüscar.
+ Orfuscautnto, s. m. £blowisscmert : obe-
eureissement de la vue. (fig.) Aveugiomenikis
Pesprit. '
Orruscär, v, a. offusquer, obscurcir, Mole
848 OLA
hier ; emp£cher de voir, d'etre vu; (fg.) Ireu-
bler la raison.
Orsuscän-se, v. r. stobscureir ; s’&blouir. — a
. Yisla,se troubler, s'’obscureir, parlant de lavue.
I *“Orsechm. V. Offerta.
" *Ocixno et Ocäno, ado. ceite annee.
"*Oce. V. Hoje.
+ O’cea ou O'sa, 8. f. petit olseau de proie,
de la grandeur de la cröcerelle, qui ne prend
que des passereaux.
+ Ockona, s.m. (l. de bot.) ogegha : arbre
du Congo.
Ocezira. V. Antipalhia.
+ On, interj. qu’on empioie pour s’eerier,
pour caresser, flaiter ou reprendre; sert & in-
voqyuer, & interpeller, etc. Ob! holä! ob! 6!
Hem! Ok, marque diverses passions, divers
Inouremenis de l’äme. Ex.: formoso
templo! — suprema bondade! & le beau tem-
ple! ö bonte supr&me! — que bella d a nalurese
na primarera! ob! que la nature est belle au
printemps! OA exprime quelquefois le desir.
Ex.:— chegue o dia! — queira Deos! puisse
arriver le jour! plüt & Dieu!
Oına. V. Oura.
Oıtäva, s. f. octave : huitaine;; huit jours de
fäte; le huitiöme jour de l’octave; “ de mus.)
sons eloignes de hait degres, les deux exire-
mes compris; leur consonnance; ces huil de-
gres. V. Diepasdö. —, huitain:: stance de huft
vers; piöce de poesie en holt vers. Lehuiti&me;
la huilisme partie de l’once, de la vare, ete.
"Gros (poids et mesures). — "eorreda, oetare
pendant laquelle on ne fait l’office d’aucun au-
ire saint, etc.
Oiraväno ‚A, adj. octogone. 9.9. de
+ Orraväa, v. a. donner la fagon octlogone.
Imposer le huitieme sur une terre, etc. Parta-
ger en huil parties
Oıtavirıo, 8. m. fete dont on fait l’octave.
Orravsıno, A, adj. qui paye le huiti&me.
Oırivo,s.m. haitiöme : huitieme partie C’un
tout; impöt, cens du huitieme des fruits.
Oırävo, A, adj. num. ord. huitiöme : nombre
ordinal; huit. Carlos, Pio — , Charles, Pio huit
(VIII). Lioro em —, livre in-octavo. Em — Iu-
ger, hu ment.
Orr adj. num. 2 gen. quatre-vingis.
+ Oırıcund, s. m. esp&ce de fruit du Brodit.
+ Ormtvurüsa , s. f. espece de fruit du Bresil
de la grosseur d’une orange.
Orro, s. m. et adj. num. 2 gen. huit: nombre
pair de deux fois quatre;; chifire 8.
ONTOCENTE£sıno, A, adj. wum. ord. halt cen-
tiöme.
Orrockntos, as, adj. mu. pl. huit cents.
Orronaı. V. Outonel.
Org. V. Hofe.
V’rr,s.f.(1.d’Asie) eapdee de palmier; sa
feutlie : elle sort A couvrir les maisons, et on
la geoparo aussi de maniere A servir de papier
& eerire. — de repüdio, acte notarie de di-
voroe.
O’ıät! interj. pour appeler. He! hold! quel-
OLN ="
quetois' mörgue Yaßaiisaien. Exiz > jd obe-
gow! quoi! vous vollä arrive. ‘
Oiawpa, s. f. talle de Holisude. V. Bellanda.
Mai de —, (1. de ver.) ınaladie des elwann.
Oranpiıua, ». f. “beugren : seete de teile
gommee. —s, m. pl. V. Forrieöeo.
Oraniı ou —ER ‚® f (sieneseie, Sahaiqwo
de poterte. dee
Lira, 8 f. (8. t.) lvo
vulg. Arbre de Jade, arten Famoer des
gnois.
O8! interj. d’a@mirstion. Ob!
OLzivo, 8. m. tolle cirde. ». p. Ober.
OLzACINKO, A, adj. d’olivier, d’olive.
+ 0Oırı ONDiDE, s. f. gualiis oltagimense.
Orzacındso, A, adj. oleagineux. V. Olsdse.
Orzınpko. V. Lodaäre.
Orzin, v. s. huller; peindre & Fheile ; den-
ner une couche & Pheile. Cirer la tolle, ei.
OLzastno. V. Zambujeire.
OrLtıno, 8. m. potier, falencier.
O’ıL20, s. m. * halle. — de Siehapa, ulie de
lim. Santoı —e, uulanıs kuiles.
Ourocındso. V. Ole6so.
+ Orzoutt ,s. m. eupioe d’hulle qui, zurivanı
Dioseorlde , deceule d’un arbre des amvirens
de Palmyre.
+ OLzowpäuz, e. f. qualitt de ee qui ent
ol6dagineux.
Orzds0, a, adj. hullsez : de la nature de
l’hulle ; frottö d’hulto; gras.
OLzata. V. Olarie.
OrLrito,, s. m. Dderal: vuns qui pergeit as
odeurs.
Ourtoo , s. m. ’astume des fauosms.V. Ofäge
OLca,s.f. lisiere de terre propee pous ie
chanvre.
Orza, ®. f. eilie, en lo peumier
bouilion. *Bewil ‚ pot zu fu . Mermite (p. we).
— podride, pet-pourri, mölam mtiange de plunisess
sortes de viandes asseisonndes
+Oımiva,s.f. aillade, esup dei, vogend.
OLnAn0, «m. ensorcellement par la vue. V.
Ornino. ‚?. p. @’Olkar. =. qui a des your.
Bem ou mal —, bien ow mal ve. Bai-- in-
prudent, Indiseret.
OLDADOR , A, 5. obserYaisur, qui sgummine, &
qui rien n’echappe. Sarvelllanı V- Urandssope
OLnapönas, 5. f. action de regamier. \-
OLziL,s. m. " ouverture des arches dan
pont, arceau.
+OLn’saLtcaE, adj. 2 gen. qui a des year
gais.
OrLnir,s. m. regard; ooup d’eil; astiem dr
regarder.
OLnir, v. a. regarder, volr. Oomtenpisr, eb
server, considerer, e
Ornir (a, para), 9. ®. Tegerder : jet u
vue sur ; considerer altentivement; proud
garde; songer mürement a. erg m vos,
proposer. Priser, estimer, faire css. hagamda,
&tre vis-a-vis, & N'oppvsite. (Ag.) Comsiise,
-OLH
examiner, nifiöehir. (per) Faire atteniion &,
faire oas de ; veiller aux intör@is, avoir soin de;
proleger, surveiller. — por do mass , examiner
legerement, jeter un coup d’eil rapıde. — por
eima do ‚regarder par-desuus l’e&paule,
en signe de mepris. — som o rabo de olko,
(fam.) regarder du coin de l’ail, guigne. —
Jesgusiha, de iraudz ,rogarder de oöl&..—com
desdem , regarder en pilie. — com desprezo,
avoir du mepris pour. — cerinhösamenie,,re-
garder tendrement ; faire les yeux doux.—car-
regade, comar lerrivel, regarder allrousement.
— com bons ou maos olkos. V. ce mot. —com
sespre&zo, regarder du haut en bas. — paraal-
guem, para alguma cowss, rogarder quel-
qu'un, quelque chose. — para uma mulker,
rcchercher une femme. — para si, prendre
soin de ses affaires ; se considerer, s’examiner.
— a0 dianie, penser & son avenir. — direifo
para alguem,, regarder quelqu’un en (face, sans
peur, ni crainte. — pela honre , pela fazsende
d’alguem, surveiller ’bonneur, les biens de
quelqu’un. — por alguma cousa ‚ chercher une
chose. — para dinheiro ou a despezas, Laire
altcnlion ä sa depense,, rögler ses depenses. —
yor alguem, prendre soin de quelqu’un. —por
si, prendre garde & soi. Se näo olhdra a Deos,
<ı ce melait la crainte de Dieu. Olka ldı dis
donc!
OLBÄR-SE „U. T. se regarder, se mirer.
OLneınad, s.m. grand @il.
Ornkınas,s. f. pl. cerne: tache livide qui
vient aux paupieres inlörieures lorsqu’on ne
dort pas, eic., y6ux cernes.
Orutıno, s. m. surveillant. Surgeon d’eau,
fondricre.
7 Oıustäno, s. m. billon de vigne.
OLuısrinco, A, adj. quia les yeux blancs.
OLEIN&caO, A, adj. qui a leg yeux noirs.
Oruinno , dim. de Olko.
7 Oruuzäıno, A, adj. louche : qui regarde
de Wwavers.
+ Oınızäaco, A,adj. qui a les yeux bieus.
Cavallo — ‚coheval vairon : qui n’a pas los deux
yeux pareils.
Oruo, s. m. @il: organe de la vue; sa forme,
son usage; la vue. Regard, aspect. Ensorcelle-
meat par la vue. Chas:: trou de l’aiguille. Trou
par oü l’on enfle une perle, etc. UEil d’un
zmariteau, eic., trou par oü on l’emmanche.
Arche d’un pent. (Ag.) — ‚attention, soin vigi-
lant. (fam.) Anus, fondement. — d’dgus,
source, surgeon d’eau. — de boi, lucarno ow
ail de bauf. (t. de mar.) OEil-de-bauf, @il de
bouc , phenomene avant un ouragan. — da fa-
rinha, Deur de farine. —de ldbre, sorte de
raisin. — de planta, bouton, bourgeon,, en-
droit d’oü il sort. — da amwra,(1.de mar.)
estrope d’un cordage. — d’um cabo, (id.) le
vide d’un oordage roue. — da sapale, (id.)
trou d’une moque. — de gato, wil-de-chat :
piogre preciouse. A — ‚A vue d’eil; en gros,
sans peser ni mesurer, en bloc. Eslar com o
— dhriu ou d wira, ayoir l’ail au guet. Dei-
PORT, -FR. .
OLH 819
lar 0 —, Jeier son dövolu ser. Deilar 0 — a al-
guma cousa, aillader, jeter des millades. Der
@ —, faire signe de l’mil. Por o — um alguma
cousa, (fg.) jeter son plomb sur quelque chose.
Traxer d’ —, em — ou sobre —, avoir l’ailsur
quelqu’un pour proflter de ses faules, eic., n6
pas le perdre de vuo. Enchor o — ‚(fig.) con-
tenter la vue. Fechar o—, ( fem.) mowrir. Pör
no —da rus ‚ metize & la porie. Tor — am al-
guem, avoir soin de quelgu’un. — do cdo,
( podi.) lesoleil. Ter bom —,, (Ag.) avalz beau-
coup de penstrauion. Ndo preger —,na „ps lor-
mer l’ail, ne point dormir. — de esbre, wil de
chevre, pierre qui imite l’@il d’une chövre.
Ihos, pl. yeux : les paupieres, la pläce de
l’@il; @ils: petits trous dans la mie da pain,
dans le fromage; bulles de graisse sur le bouil-
lon. A — fechados, les yeux fermes, aveuglö-
ment, sans rellexion. A — vislos, publique-
ment, & la vue de tout io monde; clairament,
$videmment. Abaixar os —, baisser les yeux.
(Ag.) S'humilier, se soumettre. Baslkarem os
— a alguem. (fg.) On le dit d’un hommevil,
remuant, & qui les yeux romlont sans cesse
dans la töte. — requebrados, yeux doux. —d
for do rosio, yeux ä leur de lie. Como os —
da, cdra, (fam.) comme ses yeux, parlant
d’une personne qu’on aime tendrement. Ser a
menina dos — d’alguem, öire trds-aimö de que!-
qu’un. Querer a alguem como as meninas de
seus —, aimer quelqu’un camme la prunelle de
ses yeux- Meiter-se pelos —, (fig.) eire clair,
evident, sauter aux yeux. Dianie dos—, devant
les yeux, en presence. Dilosos — quo 0 vom
ou que veema V. M.On s’en sert pour mar-
«uer le plaisir qu’on a de rencontrer quelqu’un
qu’on n’a pas vu depuis longlemps. N’um
abrir e fechar d’—, enun clin d’ail. Chorar
com ambos os —, pleurer ä chaudes larmes.
Fechar og —a alguma cousa, fermer Igs yeux
sur quelque chose. Mais vdem qualro — qus
dous, (fig.) quatre yeux voient mieux que deux.
Olkhar com bons ou mdos —, voir de bon ou
de mauvais @il. Ndo firar 08 — de..., ne pas
öter les yeux de dessus, regarder alienlive-
ment. Dar nos — ou offender os — ‚(fig.) bles-
ser les veux,, scandaliser. Isso daria muslo nos
—s, cela marquerait trop. Pdr dianle dos —ou
mosirar a0s — ‚mettresous les yeux, faire voir
clairement, demontrer. Passar un papel pelos
— ‚ parcourir legerement un &crit. Por 08 —em
alguma cousa ou pessoa, fixer, regarder atten-
tivemont;jeter les yeux, pretendre A un em-
ploi, etc.; concevoir de l’aflection pour quel-
qu’un. Por seus—bellos, pour ses beaux yeus,
pour l’amour de lui,, gratuitoment. Ter sangue
nos —, avoir de la probite, &tre homme d’hou-
neur. Faler, cusiar os — da cära, (fam.)
etre d’un prix, d’une valeur extröme. Meus—,
mon caur, m’amie, m’amour. Fechar 0os—,
former les yeux , faire les gros yeux. Ne pas
faire attention. Tirar os — a alguem por algu-
ma cousa, (fig.) demander une chose instom-
ment. Abrir os — a alguem. V. au mot Abrir.
54
850 OLY
Vista d’— , coup d’all. Qustro — , (Pop.) qUa-
ifo yeuz : personne qui porle des Inmelten.
Tirar 03 —, crever, artacher les yauz. Qusbrar
os — a alguem , (fam.) centrarier queiqu’un.
irem-0 08 — por alguma couss, (fig.) desirer
ardemment une chose. Ter mdos— , (g.) pot-
ver malbeur a ce qu’on regatde. Ver com mwi-
lose — , Vurs tout your, donner faule som atlenı-
tion. Dar de —,jeuot de la prunelle. Entortar,
roter 08 =, wurner les yeut, loucher. Volver
08 —, jeter les yeux sur, considerer. MPum
colver d’—, (fig.) en un teur do main. N&o
lens — ?B’RTes-vous point d’yeaı? Ates-vons
aveugle? A —ı desarmados, sem oculo ‚ete., &
reilne. .
Orzdno, A, adj. qul a de gros et grands
yeur.
OuLfsano, 8. m. olidan, encens mäle.
Oricancuia o@ —Quta, 8. f. oligarehie : gou-
vernement oü l'sutorit# souversine est entre
les mains d’an petit nombre.
Ortairctich, A, adj. oligarehique : de Poll-
garchie.
Oriva, 8. f. V. Azellona. (1. @hist. net.)
Olive : coyuillage urivalve.
OrıväL, s. m. lieu plante d’ofiviers, bols
d’oliviers. '
* OLıvedo. V. Olical.
i OL ITRINA ‚8. f."olivier: arbre qui prodalt
’olive.
Ouverniuna, dim. @’Oltvelru.
Orıver. V, Nivel.
*Oriverin. V. Nivelar.
FOLıvireno, x, adj. (po6t.) qui abende en
olives.
O'ıra. V. O'a.
"Orrarıa, ete. V. Olaria, etc.
OLsart. V. Merfm.
Orma,s. f. sorte de drogee.
Oru$oar, 5. m. * ormole : ica plants d’or-
OrLserRo. V. Ulmtiro.
OL6orarno, A, adj. olographe. On le dit
@un testament &erit er entier de In main du
testateur.
TOLorönco, 8. m. (t. d’hist. nat.) olapong :
grande vipere des Philippines.
OLön ,ete. V. Cheiro, etc.
OLoßwono. V. Loendro.
+ OrusiTao, s. m. (1. de bot.) maceron com-
mun : plante ombeltifäre.
Orvivino,p. p. de
Orvivir, €. a. oublier : cesser d’simer one
personne. V. Esquecer.
Orvteir-sE (de), ec. r. mangquer, oublier.
Youblier : 80 negliger, se relächer de ses de
rs
OrLvioo, s. m. oubli. Refroidissernent,, indif-
förence,, cessation A’amitie. V. X fo.
+Oır'urıa,,s. f. (t.de gdog.) Olympie: an-
eionne ville de Gröce.
Orrwrians ‚s. f.olymplade: espace de qua-
tre ans entre les jeux olympiques.
OrLrurco, A, adj. olympique : gut annat-
tient & POMNEmpe. --s, pP. alyrupiänns : jes dvum
prinoipales divinises da FOlymmpe. Jige-t,
jeax olympiques , c&löüres tous les quäize ans
a 0Otympie.
OrL.v'uro. V, Olympiee.
OLr'nro, 8. m. (Bodt.) Olympes : Is eiel:
montagne de Thessalie.
+ Orr'na , 3. f. (8. da bot.) olgre: gramiree.
* Omixzs. V. Imdgem.
* ONBNnADOR , 8. m. ancien office de lamaım
da rot.
Ossntına, 8. f. * Jembage de parte , Inte.
Owskıa. V. Umbdrie.
Oussınıos. V. Mombridade.
Ounxina, 8. f. ombre : polsson de mer di
de riviere , ombrine.
Oupro,, etc. V, NHombro, etc.
O’MEcA . 5. m. omega : derniere lefife dest
phabet grec. (Ag.) La An, ta dernidre partie.
Oues,ete. ,
ONENACKT. | V. Hom..., eis.
+ Ouzıtir, adj. 2 gen. ( 1. K’anal., &piplor-
que : qui appartient & Pepiploon.
Outrto, 5. m.(#. d’anat.) omemam, pr
ploon. V. Redenho.
Osue2lo. V. Omisito et Homizio,
Osıcio. V. Homteidio et Homizie.
O’mCRON, s. m. omieron : o bref des Orerı
OuıLia. V. Homilia.
Ouınido. V. Agowrddo. p. p. de
+ Osıxän, v. a. presager, stgurer.
Osıx6so, a, adj. de mauvam augure.
Oxıssi6, s. f. omission , menqueusent & m
deroır, etc. Negligence, defaut de som. Hi-
cence , omission volonteire.
Onisso,A, pP. p. irr. d’Omüllir. adj. Omis.
Paresseux, negligent, peu soigneur.
* Ostıstracıo.V. Hemystichis
Oyırrmo,p. p. de
OnıTtTir , v. a. omettre : manner & dıre,
faire; passer sous silence. Faire abstraction &®
la verite ow de la faussei# d’une propostion.
comme inutile ä la quesiion.
Our, ete. V. Homisiar, oe.
O'uxıa. V. Horia, Pomar.
+ Ountwopauttste,, ade, d’ume menidte fü
eontprend, qui enrbrasse tout. .
Ounimono, A, adf. qui compremd, qui eM-
brasse tout. (ui est de loutes feuern, de Laute!
manidres. .
Onstrantere, adj. 7 gen. (20PR.) quiprodait
tout. pere universel.
ONNIPATENTE, adj. 2 gen. ouvert, patent?
tous, de tous cöles.
Ouxıporencıa ,s. f. loulc-puissance.
ONNIPOTERTE, adj. 2 ges. Lout-puissanl.
+ Oumisciöncia. 8. f. omni-seienoe, sced‘*
inlinie, qui embrasse toutes ohoses.
+-Oumscıkxrte ‚adj. 29en. qui a ume cieDt?
ınlnie; qui sail (omi. |
+UunivoRO, A, adj. omhivore: zul ment
de tous les alimments.
Uuoxıso. V. Homenyme,
“
‘
ONT
RM, 9 f. (4. Wanalı) omepinie ı We
ph et tetge de i'paule.
Ouesacino, adj. m. O’leo —, huile ompka-
cine , tirde dos Oliven avanıicur miaturite.
Omrsirdatıa, 8. f.(i. da chir.) omphalo-
etle : bernie qui se fait au nombril.
Oni,t. f. une. V. Mind.
Onkcna, s. f. (ti. de bof.) onagra , horse aux
And »eiatt,
O’nacaO , d. W, Ofagre : Ang sauveageı
Onxnissio; # m. Onanisars : haditale de la
mastarbation peche d’Onan.
* Onisrao. 7. Ameirus
Onca,s. f. once: las de hut gros, sbi-
ziöme et Quelquefois douzisme d& la livre. (1.
d’hist. wat.) —— , qualruptds da gehre feler,
que Fon peut apprivoiser et fonton se Sert en
Perse pour la chasse; pelite panthere. — do
Brazil, * jaguar. Por hr es, petiteflent, chiche-
ment, en petiie Yuan
° Onco. V . Ameo.
Onva,s. f. onde, flot, vage; et, en territes
de marine, houle, lame. (fg.) Onde. On te dit
du meuvement des epis agites par le vent, etc.
(id.) Möuvement rapide et Ylotent : agitation,
revolation. As —s embr vu enfwreci-
das, }es lots mutines. Rebeniarem as —s sobre
apröa, (1. de Mar.) &tre mange par la lame.
Oxpino. V. Ondeddo.
Onpe, ade. 00. — queire, en qureigne lien
que co soit, ou l’on voudra, partout. De—,
d’oü,de quel endroli. Para —, oü ‚jesqu’oA,
vers quel endroit. Por —? par oü, par quei n-
groit?— cal a proaP (I.de mer. )oü estie cap?
— droh est-ce.
OxnziD0,A,P.
onde, onds, ondal ; molre.
ONDEÄNTE, adj. 2 gen. ondoyant. p. a. de
Onpelr,, v0. 8. molrer, tabiser une etolfe, eto.
Donner une fagon ondee.
ONDBÄR, dv. ». ondoyer, faire des ondes. On
le dit de l’ san agitee par le vent, (g.) da mou-
vernent des &pis agiles per! le vent, ete. Fire
emporte par les ondes, . Platter, parlant
d’un pavillon, te. (Rg.) Former des ondes,
parlant des plis Rune etoffe, ete. V. Finctuar.
ONDBÄR-38, d. r. ondoyer, flotter, se balan-
eer en fair.
Ompzcicond, A, adj. ondeengote : & ome
angles, on26 cölde.
ORDzguanguf , adv. en queltgue lie que.
Onpians , dh. d’Onda.
OnptLicäd, s. f. ondulafion : rhouvemehl
öndulatoirt, par ondes. Son imilalion en pen
tur®.
Onsain0,A,P.p. de
+ Onznin, v. a. onörer, charges. 1] csi aussi
Onmntso, A, ed. ondraus ( pour, &), A
charge; incoınmode;
Ofietin, vw. 7, Monestar.
mio. ?.
Onisco, 7. Onin.
d’Ondear. adj. Felt en |
rin
OPA 81
r Buisorsadı, ®. f. enitscratie : art Pre»
Lendu d’expliquer les songes,
T Onınocamia, 8. f. enisecrilie : interptete-
tion des Songes. .
+ ONIROCRITICA, s.f. onirocriliguss art de
deviner 00 que siguißlent ips songes.
t Ommnocaitico, s. m, onlwucritique : Muter-
prete des songes.
O'nıX, 8.0. OnyX : plerre preciense ‚espäte
d’agatbe.
’Onsöno. V. Ungido.
ONOCENTÄURO, 2. m. onocentatre : monstre
(abuleur, qui dient de P’hotnme, de fa ferhme,
et de Päne.
OnocnöraLo, y. m. ohocrotale : pelicah,
grand-gosier, oiseau de marais.
Onomaicia ‚s. f. ohömancie : divihation par
le nom.
+ Onowinrtco, 3. m. onomaneieh : dal pra-
lique Pdnomiantie.
OnomÄsTIcO, A, adj. onomastitue : qui oft
etrö nommd, designe our); qui expliäue tes
noms (vocabulaire, elc.).
7 ONOMATOLOGIA, s. f. onomatologie: scien«6
des noms.
Onowarorßıa, s.f. onomatopde : formalion
d’un mot dont le son est imitatif de ce qu’il d&
signe.
+ Oxowardrıco, A, adj. qui conlient l’ono-
matopee, (nom) imitatif.
Onost ow OxonıDe. V. Reslaboi.
nönımd. V. Commum.
+ Oxorönno, s.m. ($. de bot.) onaporde :
plante cynaroc#phale; chardoncotonneux.
+ Okösma , s. f. (l. de bot.) orcanette jaune :
plante.
+ OnorÄrro, s. m. jumart : produit d'un
taureau avec une jument, une Anesse; d’un
&ne, d’un cheval aveo une vache.
Onaa,eic. V. Honra, etc.
O’ntes. V. Hontem.
+ OntoLocia, s. f. ontologie : irailö de l’ötre
en general; partiodela metaphysiqgue; science
des @ires.
+O’xts, s.m. (motlatin), * charge, fardeau
(au fig.) Serrir de — a alguem, Qire ä charge
& quelqu'ums -
NÜSTO, A, adj.charge. _
Onzasutıaa. V. Onzsneiro.
ONzE, adj. um. onze:nombre de dix et ung
ohiöfires qui Vindiquens (14).
Oxzexa,s. f. usure, inlerät illögal.
ORZENAR, ©. & exiger des intereis ldgaux,
9 ». Prötes & usure,
Onzeninıo, A, adj. V, Umrerio,
Ounsunis, v Onsenar.
Onzentıro, A, s. usurier. adj. V. Onzene-
Onze£no, a, adj. num. ord, ensiöme.
+ QOumiS0 ; 0. 2: onsitme : la onzidme pariie
d’un tout.
.Onete, V. Hanismı
Qri, s. fı robe, völement jenf ; nanleau
832 OPH
royal. Bobede senfrtrie. s. m. (l.de bei.) Opa:
myrte de la Cochischine.
t Opicamturz, ade. obscarement.
Vracıpane, 5. f. opa:ite : qualiie de ce qei
est OpAGgEER.
OPrico, A, adj. epague : qui n'est poiniisens-
Sembre
+ Oräso, a, dj. opile, enfle.
O’rara, 3. f. opale : pierre prösieuse „cha-
toyante, laiteuse,, ä reflels oolores.
OraLisnsa, 3. f. bouppelande : sorte de ca-
naque, de völsmens long,
T OräLuss, 3. t pi. Iüles de la deesse Ope.
V'raLo,s. m. V. Opala.
t V'rarao, 3. m. (1. d’kist. nal.) opalre : 00-
I6optere , Lenebrionile.
Orcäö, 3. f. oplion : pouvoir, facult#,, action
d’opter.
Oranı, s. f. :pidce de ıhöälre en
musique, ä machines et danses; lieu o& elle
se sepresenie.
Orsaacad, s. f. operation : attion de ce qui
opere; action de la gräce; acliom metbodique
du chirurgien qui opere. (Ag.) Eifet d’un re-
mede. —, caleul. Manauvre : cenduite dans
les alfsires. (1. mil.) —, co qu’on a lait, ce
qu'on fait ow doit faire pendant une campagne.
Operagbes , pl. optrations : sapputations arith-
meiiques ; actes de l’entendement,
Orunanon , s.m. operateur : qui fait des opt-
ratlions de chirurgie.
Orgaiutt, adj. 290%. optrant : qui opere.
p. 0. de
Orznär,o.0. et wm. operer: faire, produire
quelque effet;; faire une operation; agir, pre-
Juire un effet.
Orzaiaıo, 5. m. ouvtier, artisan. Ouvrier
apostolique, prödicatenr.
Orsaarivo, a, adj. aclif, operatif : qui
optre, qui produit son eflet.
t Orsacu.ivo, a, ud. (t. Eihist. nat. et de
Bot.) opercul& : qui a un opeecule.
OrtacurLo, 3. m. opercule : couvercle de
Pentree de ia caguilie uniralve; oeuvorcie de
l’arae des mousses; plaque osseuse de P’oule
des poissons.
Orasıinna. V.
f Orsnöso, a, adj. penible, laberious. Qui
a la vertu d’opörer.
Orziasıs, s. f. (1.de mäd.) ophiase : maladie
qui fait teınbor los peils par place.
? Ormssinos, s. m. pl. (1. E’hist. nal.) ophi-
diens : reptiles,, les serpents.
+ Ormorocia, s. f. ophlolegie : deseription
des serpents.
f Ormouancia, s. f. ophiomancis : divina-
sorponts.
tion par les
„&, &dj. ophlophage ; qui mange
K Ormrancl f. (t.de wıöd.) opktsigie
A, “ff. e 4
deuleur de all , sans Inlammatien.
Orsvaınia, 8. f. (6. de dl.) opbtalmie: me-
ladie des yeux; ialammation de la euajenr-
urve.
OrutiLwco, A, ady. ophialmigus : cHalre
les maladıes des yonx (remöde), qui les con
cerne.
tOrstaLuita, 5. f. epbtalmite: pierre qui
imite um @il.
UrmTALmOGaArEiA, 5. f. opbtalmegsaphi:
trait£ sur les yonı, Icur dasssiptien.
+ Deut ALBOLOCL, 5. f. oghtalmsiegis : traıle
sur l’ail.
+ OrwraLnoromia , e. [. ophislmeismue:: di-
section de l’eil.
tOmaso, a, adj. opiach: se dis des meh-
caments dans losquels il enire de T'oplum.
Orsira, 5. f. “ opiat: eleciasise; päle pou
les denss.
Oruaro, s.m. V. Opidla. adj. V. Opiado.
Oriseno, a, adj. (pedl.) secourable, y.
doune du secours.
Orirnıce. V. Artißies.
t Oeisicıo, 3. m. travail, ouvrage, besogat
d’un arlisas.
OriLaciö,s. f. epilalien, obsiruclion.
OrıLan, 0.6. opiler : causer des abstruchens,
er.
Orımo, A, adj. riche, fertile, abondant. Drr-
p4jos —s, depouilles opimes, reinporiers pi
le general ramain gui avail tus le general et-
nemi.
Orıniuıe, ad. 2 gen. opinani: qui opt.
p.e. de eired
.Orinär, ©. ®. opiner, jager, @ire darin.
Orınarivo, a. d’opinion, Od ch322
peut suivre son opinion.
+ Orınivsı, adj. 2 gen. qui peut se se“ AM!
de part at d’anire ; problömatlique.
Orımäö,s. f. opinion, sentiment, ar“: j°-
gement qu’on porie d’une chose; reputalıda,
renommee. Preienuon. Faxer —, se piyüe!
d’bonneur. Faire antoril& dans uno male
Tudo isso ndo passe de —, c'est une opınicı
que toui cela. Ander em opimises, @irc prosl-
matique ; perdre sen credit, souffrir queigst
atteinte dans sa repulation. Seguir opinıti.
adepier des opinions. u
Ommtärico,, a, adj. entöt# dans une opiniM,
epialäire. Qui sat Sacileınent des opiniyas b-
zartes. Presomptueuz.
Omuuso. V. Opinidbico. ,
O'r0, s. m. opium : suc de pavet blanc. .M
fom.) ° Altrape, tour, poisson d’avril. Prog"
un —, dar — a alguem, atiraper uu,
lul jouer un tour, ui donser unobeie.
Or6ruaco, A, adj. qui mange de |
ABO, A, adj. somptueuz, ‚ee
parlant d’un lestin.
Orısraörono, s.m. (1. de mid.) opistheleee®'
cenvelsion qui courbe fe corpe cm aridre; CR"
tractien de la i&te on arriöre. lan.
+ OronaLsautina, 0. f. (4. de bo.) Fee
mier de la Mocque, beume de. Jadie,
Diane.
a
Oron&nskN®,. s. es. epebalsamum : suß da
hausier; baume de Jud6e „de la Mecgus.
+ Oronackıra, 8. f. (4. de bot.) * pansis sau-
vage tiranger; panacee de Baubin.
WALD 0 —PORACO, &. IB. HPODANaX,
OpOpOnax OU Opopemacuın : 4u3 gemmo-Fini-
BABX.
Oraaız. V. Ogonecfire.
OrriLaciö, etc. V. Opilapdd, elc.
OrroßntE, s. m. apposant, Plaideur, liti-
gant, adversaire.
OrgöR, %. 8. QPPOSER : une personne,
une chose pous faire s & une aulre;
meise vis-i-vis, en somparaison, on parallele
os pour [site camtirasie ;
. Oppoa-sE (a), 9. Fr. sS’Opposer, &ire contraire;
fawse ses efloris pour arreier, empöcher ; dire
en opposition. Concourir pour une chaire, un
benelice, etc. Röclamer, contredire. Heuzler,
eontzariet, ehoquer, oonlredire.
ORFORFUNAMEANTE, ade. d lemmps, & propos, &
point nommse.
Ormarumaing,s [. oppertunits : qualiit de
ce qui est opportun ; \OmMIp6, OCCasion PTOPTe,
favorable. Pau ä-propos. 4 — duplica o calor das
färpeopaa dauble lo prix, des choses.
-ÖFPORTUNISSINO, A, adfı sup. de
Opronrino,a, adj. epportun : ä propos, 56-
Ion lo temps et ie lieu;; favorable, propre.
Orrosıciö, s. f. opposiion, contrariets, re&-+
pegnance. Position de deux choges ä l’opposile,
vwishwis une de l’autre. "Concours pour une
chaire, eic. (4. d’ssir.) —, position d’une pla-
nöte & 100 degres de lautre. — — acte par lequel
on s’oppese; parti qui s’oppese & un parti do-
minant; parli qui surveille ei censure les mi-
nisires. Faser — para lonie, elc. soutenir une
ıhese dans um concours.
Orrösıro. V. Uppösio. Em —, adv. ä l’oppo-
sile, vinkvis,
Orrosizön, 4. m. celui gui 8’oppose, Oppe-
sanl. Compelltent. Coneurreni & une chaire, &
un benefice, eto.
OPrOstronia, 8. f. salle de conversation ä
V’universitö de Colmbre.
Orröstamtnte, edv. d'une maniöre apposde,
econtraire.
Orrösto, A, adj. oppess, oontraise, ennemi;
qui est A ’oppesile ; antagoniste.
Orrazssiö, s. f. oppression : action d’oppri-
mer, d’oppresser ; son eflet;; ötat de ce qui est
epprime, oppress6; &touffement; misero , souf-
france. — de eslomago, poids dans l’esiomac.
— de coragdo, serrement de caur, &lat d’un
caur me. — injusta , indue vexalion.
+ Orpasssivamente, edv. avec oppression.
Orrazsaivo, a, adj. oppresll qui opprime.
OrPRSssO, A, p. p. irr. de Opprimir. adj.
Öppresst ; opprime.
OrpnzssöR, A, adj. el 5. oppresseut : qui op-
prime.
Orramio0, A, p. p. d’Opprimir. adj. Press,
soree. Ter 0 corapde — ‚avoir lo caur serre,
oppresse.
m 0m
ORA 853
OPPAIMIR , ©. a. opprimer : accabier par xic-
lenee, par force, autorite; tenir dans l’oppres-
sion. Oppresser.
OPRRORRI®, &. m. Opprobre :
honte, aflrent, d6skonneur.
OPPROBA6SO „A,adj. bonteuz , ignominieux;
diffamant,, deshonoran!.
Oreucaaciö, 8. f. opposilion avec lorce et
violence, * Assaut, allaque. Objeciion, contra-"
diction.
OrpuGnAaDön, A, 8. atlaquant, assaillant.
Orrtcaän, v. 6. S'opposer avec violence.
Auaquer, sssaillir. Contredire, repugner.
OPPUGNATÖRIO, A, adj. relatif ä P’altaque.
Orraumia, eic. V. Opkhlalmia, etc.
T Ortän, v.«. opter, choisir.
Ortativo, a, adj. (1. de gramm.) optalil:
mode du verbe pour eıprimer le desir.
O'rtica,, s. f. optique : science qui Lraite de
la Iümiere ei des lois de la vision.
O’tico, a, adj. oplique: qui appariient &
Foptique ; qui concerne la vue.
+ O’rtico, 5. m. opticien : colui qui est verse
dans l’optique.
O’PTIMAMENTE, adv. trös-bien , parfailernen!;
ignominie,
.| & merveille.
Orrimites, 8. m. pl. * optimatie : les princi-
paux ci itoyens d’une ville.
Orrıuisuo, s. m. oplimisme : syst&me des
philosophes qui ogeient que tout est pour Iu
mieux possible.
Oprisista ,s. m. oplimiste : parlisan de l’op-
kimisme
Örrıno, a, adj. sup. de Bom. Tres-bon,
parfait en son 'genre; excellent, le meillenr.
OpvLencıa ‚8. f. opulence: grande richesse;
abondanco de biens.
OPULENTANERTE, adv.
opulence.
OF ÖPULENTAR. V. Emiquecer.
OPULENTISSIMO , A, adj. sup. de
OPULERTO, A, adj. opulent, wwes-Fiche , dans
Populence.
O’ruLo. V. Novelltire.
+ Oröntıa ou, (4. de bet.
Oreh s. f.) queiie,
Aguter d’Inde.
OröscuLo, 5. m. opuscule : petit ouvrage de
aolence , de literature.
Ogue. F. Oere.
Oguzi, ». f. monnaie de Finde, deux francs
a demi ä Don pain
O’sa,s. [. V. Mora. Region, pays.
O'na, adv. A present, maintenant. — ab, —
oulre, anıdt Pun, lantöt Fautre. — Irise, —
alegre, tantöt teiste, tanwt gai. D’— cm diente,
desenavant, desormais.
+O'na,conj. (diqwi) or; cependant, nöan-
moins. —- digo eu, or, je dis que.
On! interj.cä! or ch! — sus! or sus! allomst!
— vamos , ca, allons.
Onagao, s. [. oraison,, discours, Rarangue;
priere faite ä Dieu; assembla ge de mots formamt
un sens. — de odgo, cautiquds qua chanient
opulemment : aves
*esctier en ra-
. la raguette, ie
854 ORB
dans les rues les aveugies mendismis. (fg.)
Diseours qu'on reeite par our et sums geüse,
comme une lecon d’ecolier. — demintsal , je
culalerie. V. cos mols. — meniel, eralsou
mentale, elevalion de Yöme a Dieu. — esedi,
eraison vocale qu’on pronenoe de beushe. Haxer
—103 gantos, prier lessaints.— des, pl. oraisons,
partie de la messe, de Poflice divin. Prieres
qu’on apprend aux enfanis, ie Pater, eie. As
— ds Igreja, les suffrages de l’Eglise. Ar yar-
es da— , les parties da dissours.
“ Oracofıno , s. m. livre o Eee get
+ OnacrLaz , adj. 2 gen. d’oracle, qui appen-
Vent A Poracle. (fig.‘ Mysiörienz.
Oricvro, s. m. oracle : preiendiee röpunse
des dieux; le dieu qui la donne. (Ag.) Verite
enoncse dans PEcriture sainte; personne Irds-
savanie , Irds-experimentee, que Fon consalle
et dont on suit aveugiöment les arts. Faller
d’ —, parier d’un ton mysterieux et döcisif. Pe-
Isoras d’— , reponses obscures, ambiguts ‚etc.
ORsDöR, 5. m. oraleur : qui tempose, qei
prononce des ouvrages d’*loqdenoe, des ha-
Tangues. Predicateus. Intercesseur : oolai qai
prie, supplie ; soppliant.
Orap6aa, 5. f. suppliante.
Orico, s. m. patzon,, saint ahquel uno dglise
est dediee. V. Orasulo. Festa do —, fete pa-
wronale.
OrärL,adj.2 gen. oral (tradition, el —e) :
qui sa transmet de bauche en bouche, de vive
voiz.
+ Onascotigco, s. m. (. d’hist. nel.) Orang-
outang : homme des bois, singe sans queue.
Oria, v. q. ein. prier Dieu, etc. Prier, sap-
plier. Haranguer : parler en puhlic. — a Dees
por alguem , prier Dieu pour quelgu’um.
Ü’nasts , inter}. or sus, allons.
Osire, s. m. (ou, insenss, aliene. On —,
un öchapp6 des Peliles-Maisons. Casa dos —s,
Pettes-Maisons, höpital poar les fous.
Oxıtönıı, s. f. "art oraloite, rhetorique.
— sagrdda, eloquence de la chaj
ORATORIANENTK, adv. oratoirement, d'une
Maniere oraloire.
Oratönıo, 8. m. oratolre : Ida destins Afpor
prier; peiia chapelle. Congregation de Pora-
toire. Öratorio : sorie de drame kacre.
OraTönıo, A, adj. oraloire : qui appartient &
BEHEUE. Estylo + „style oraloise, stylo s0u-
nu.
Onsg, s. m. rond, cercie, Globe ctteste eng
ie . Monde, univers. Orbe : espace yus
„pärbour) une planöte dans son cours,
. FOngicrıa, 2. /. (b. Phist, nal.) orbicule :
genre de mollusgue.
Onsıcyria „adj. 3 gen. orbiculaire : ron 06
spherique , qu] va eu rond. (1. de hot.) Orbicu-
glei
a ia,v.n. V. Girar.
O’'snıza,s. [. (1, dssir.) orbite : route gie
‚Parcourt une planeie ; cavile de l’weil.
Onmitänio „adj, (4. d’anal.) orbitäire : de
?
Onsivace, a, adj. ersant, vegibene.
Osas, 8. f. osque, derque eu deeuuel:
marsesim, Oren ı grund o4ia66 du gene des
daupbias.
+OYwmsas,s. f. pi. tt. de Yes Onca-
en nen er" 7
O’xca,s. f. (1. de mer.) ‚or. Dt
ter d —, aller ä l2 beuliue, eg. !,
Orgar. Orga! au il.
OrpiB6, p. p. de Onyear-
Fee s.m. celui qui Sat iu Gewm.
aakarıO , 2. 00. dos. Ansiüaen a pn,
estimer,
la orse, deoßts, & in beuäine, feßer, aller
lof, bouter de lef.
Oxcdırı. V. Orselle,
+ Oxcnira, 8. f. “ egest: beissen ale &
qistre stmeners frößles, Wamında a &
sucre.
Oncmierka ‚e. P. eschedtrdr plabe des Hier
teurs au thößtre; place des muugieiens, Kt
reunton ; les
"+Oranon ) (8 de Bea) Publ, mtr
Oscame,s. ma:
+ Oncnioxas, edf. ts. f. pl.16. drlet.) ah
eos: plantes & mberoudsusen.
c0,3.M. 3 ‚Feake.
OnDzpöna. eg
Op ,s. f. “erde : srrangement, Gepe
ten solon lo rang; rögie, mutihede pow pl,
eis.; suite, suctession ; compugmin de PR
sonn&s
de’ pr gandement "Fan supiren.
dens ou ds suas ordeng, a vos ofärue. En-.
ne: Tanner mans, Jumt
porüon convenable. zug = par weil,
survennivement, en Fi ch pr,
mandat d’ ordre dirteiee, Cade vun
u — chuskr 8 au rümg. Bis -,
eben ordre. —, ode rät.
7 —, Füsquri Bouyil ehdts. Om -.
reglement, & n > or,
les ordres ont 444 donnes. ng, ent
dans les ordres, recevotr los wactes.
sieie),
Onpexiciö,s. f. ordonnameb, Tel,
röglement. Ordination ı action üg gaalirer !o
ordres sacr&s. — ou —Öga do oarps, 1°
oueil des lois ou des ort “ma
Portugal.
Orpenäna,s- [ (6 de uugh.} ondugele:
gne tirde d\m La dune an a fast #
GPU coarbe.
- Onpenipanenre ‚ailv. avda andre, muitheit
propostion.
ORvENAniSssMO ‚ad. sup. &e
Öfvenino, A, pP. P. a’Ordener. ki. Order
ne, range, nis en ordre,
=
ORD
Oapenin0 ‚&. m, salalre, traitement ,gages,
apponlorcht.
RDENABÖR, 3. m. ordounaleur, qui ordonne,
qui dispose.
ORDENANENTO , s. m. *loi, ordonnanee; com-
mandement de superieur.
Onpeninca ‚s. f.” ordre , arrangemen!. Com-
manderzent, ordre, lei, ordonnance. * Corps
de milices en Portugal. Ordonnance : soldat
qui se tient & la perte du commandant pour
ses ordres. —e, pi. lols röglementaires.
OnpEninno, s. m. ordinant: qui dolt rece-
voir un ou des ordres sacr&s.
Ondeninte, s. m. ordinant : 6reme eonfd-
rant les ordres saeres. Ordinant : celui qui se
presente pour #ire promu aux ordres (P. us.).
p.a.de
OnpenÄn ‚vo. a. Ordonner, arranger, mettro
en ordre; commander, prescrire; rendre une
ordonnance. Diriger ä une fin. —, =ouförer les
ordres.
OrpeEnÄß-sE (de), v. r. enwer dans les or-
dres, se lalreordonner,prendre les ordres.(para)
S’ordonner, se disposer &, se pr&parer poar.
+ Onpenärst,adj. 2 gen. qui peut Etre or-
donmne.
Onpenkinn, A, pP. p. #Ordenkar.
ÖRDENHADOR , A, 8. celul quitrais los vaches,
ete.
Ospennir, dv. a. traite : tirer le lalt des va-
ches, »te.
* Onvıimo. 7. Ordindrio.
Orpinkına, s. f, ourdisseuse : fomme qui
ourdit. *Oardi : out pour onrdlr. h
Ospino, p. p. d’Ordir.
Orptoör, 3. ourdisseur : qui ourdit.
Ornpinöra, s. f. " ourdissage, ourdissure:
action d’ourdir.
® Orpım. V. Ordem.
*Orpinkero, s.m. 7. Ordidura. (Rg.) Com-
mencement. .
Orpınär, adj.2 gen. ordinal : qui determine
Pordre (nombre, adjectif, adverbe).
Onpınar , etc. V. Ordener, etc.
Onpminta, 8, f. depense journeliöre; pen-
sion annuells, mensuelle, ete,
OrpinänıauenTe , adv. ordinairement,, com-
munement. Grossiörement.
Onpısinıo, A, ad. ordinaire : qui a cou-
tume d’&tre, d’arriver, de se faire; qui arrive
souvent; qui est dans !’ordre commun; dont
on se sert ordinairement; commun, de peu
de valeur, peu distingud dans son genre. De —,
d’ordinaire , pour Pordinaire. Jwis —, juge
nalurel et ordinaire nomme par les munici-
palites. V. Juiz. Processo —, proces oü l’on
observe les formalites ordinalres. Pia —a, role
ordinaire, cours regulier d’un procds, cit.
Homem — , humme de peu.
OnpınÄrıo, 3. m. ordinaire : eveque dioce-
sain.—, eourrier qual part & jours fixes; ce
qu’on acoutume.delaire ‚deserviraurcpas, etc.
*OspınuAvo. V. Ordenddo.
Oapir, v. a, ourdir : disposer les fils pour
ORG 4 855
faire la tolle, ctc.; (Ag.) tramer (une trahison,
un eomplot, etc.).
"Orno, s.m.V. Cevdda.
Orpüxe, s. m.“ chalne: ülls dtendus en Jong
sur le metier. Ourdissage,
Ortanas, 8. f. pl. (1. de myfh.) Ortades:
aymphes des monlagnes.
RECÄO, Ss. m.
Ontcos, pl. | V. Ourdgös.
OrkıHa, s. f. orellia: organe de Foute + sar-
tilage autour du trou auditif; tout ce qui ini
ressemble. Oufle. V. Ouvido. — de gigdnte,
(£. de bot.) esp&ce de bardane, plante. — de Ju-
das, (id.) orcilie de Judas, champignon de su-
reau. — delebre, (id.) pied de liövre. — de lebre
do reino. V. Diabelha do reino.—derdio, (id.)
myosote, oreille de souris. — d’urso, (dd.) au-
ricule, oreille d’ours. — marinha, (f. d’kist.
nat.) "ormier ou orellle-de-mer : espdce de
coquillage. Andar d— d’alguem , Etro lonjours
pendu & l’oreille de queiqu’un,, ne pas le geit-
ter d’un pas, Andar com a — comprida sobre
alguem, avoir les orcilles longues sur quel-
qu’un. Torcer a—, s’en mordre les deigte,
s’en repentir. Vinko de—, vin excellent, via
d’une oreille. —ı de mereador , sourde oreılie.
Animaldequatro—s, bete Acornes, et suriouß
letaureau. Abaixar as-—s, baisser les oreilics :
recevoir un ordre, une rimande sans r&-
pliquer. Altar as —e, chauvirdes oreilles. Com
as —s caidas, les oreilles basses, tristernent.
Com as --s compridas : on le dit d’un komme
qui &coute altentivement. Der —s, preter Yo-
reille, @ıre attentil. Abanar as —s, secouer la
tele, refuseor, ne pas entendre de cette oreille-
1a. — da ancora, (l. de mar.) * tenons, toufil-
lIons de Pancre.
OreLBino. V. Orilkddo.
Oreıuiö, s. m. (ft. de fort.) orlilon : partie
saillante du flanc d’un bastion. —,ouoreillen:
tunıeur dans les oreilles, fluxion & Foreille.
Sorte de poisson de mer ä nageolres en formu
de grandes oreilles. * Action de tirer les oreil-
les. Dar um —, tirer les oreilles.
Oneınkıra, 5. f. oreille de eochon. Pendant
Woreilles.
Orzıninma, dim. d’Orelha.
OneLuino, A, ad}. qui a de longues oreilles.
+ Orexöcu, s. m. (f. de geog.) Orenoque:
fleuve de Colombie.
Orzssiı. V. Viragdd.
O’nrk ou O’'nran, s. f. orpheline.
Onrannäne, s. f. *elat d’orphelin, orpba-
nite , orphelinage. (fg.) ° Etaı d’un homme qui
a perdu ses prolecieurs. .
O’nrio, 3. m. et adj. orphelin : qui a perdu
son pere ei sa mere ou un des deux.
Orrınvipe, V. Orfanddde.
Orcanftıno, s. m. facteur d’orgues.
OrcÄnNIcO, A, adj. organique : (Corps —),
qui agit par le moyen des organes, qui cnn-
court ä Vorkapisatioen (partie --); (sens —)
röpandu dans t@us les organcs; (lot —) de
Yorganisation,
856 OBI
ÜRGANISMO, 5. m. organisme : qualils& de
T’etre organise; ce qui apparlient & llorganisa-
tion ; disposition,, arrangement des organes.
Oncanista, 8.2 gen. organisie : qui touche
de l'orgue.
Oncanızackö, 5. f. organisation : maniere
dont un corps est organisd; (g.) constitulion
d'un Etat. |
Orcanızido, A, adj.organise : qui a un pelit
jeu d’orgue (elavecin, piano). p. p. de Orga-
sizar.
OnGANIZADOR , 8. a. celui qui organise.
ORGANIZAMENTO, 8. m.V. Ürganizagdo.
OBCANIzÄR, 0. a. Organiser : donner aux par-
tie» d’un corps la disposilion necessaire pour
les (onetions auxquelles il est desting; former
les organes d’un corps; former, donner l’orga-
nisstion, uno forme fixe , deterniinee; (fig.) Te-
gler un corps politique.
+ OncanoLocia, 8. [. organologie : Lraite,
connaissance des Organes ou des Elres orga-
nises.
ORcAnNsim ‚8. 9. Organsin : s0l6 torse, passee
au moulin.
O’acÄo, 3. m. Organe : partio du corps qui
sert aux sensalions, aux fonctions de l’animal;
( Ag.) personne dont on se sert pour exprimer
sa volonle, pour faire quelque chose; moyen,
entremise,, instrument. Siphon propre ä& pom-
per une liqueur et ä la faire passer d’un vase
dans un autre. — da vdz, organe, voix, son do
la voix. — de fear, ensouple de Llisserand.
O’ncä0, s. m. orgue, orgues (f. pl.): instru-
ment de musique & Luyaux de medtal ei de bois,
a soufflei et ä clavier; licu ou il est place; (1. de
fort.) herse trös-[orte pour fermer les portes
d’une ville. Bellos drgdos , de belles orgues.
OncäsMo, s. m. (t. de med.) orgasımce : gon-
lement, irritation des parties du corps; agita-
tion des humeurs qui cherchent & s’evacuer.
* Once. V. Cevdda.
Oneivio,s. m. V. Verbena.
° Oncuo. V. Covada.
O’ucıas, s. f. pl. orgies : feles de Bacchus.
* Ouctuımär-se. V. Ensoberbecer-se.
OuGüLRO, 3. m. orgueil, vanilö, presomplion.
* Fierte , hauleur, arrogance.
ORGBLBOSANENTE , do. orgueilleusement.
OxGuLnöso , A, adj. orgueilleux; fer.
+ On, s. m. (1. d’Asie) gain sur les langas,
monnaie de P’Asie portugaise. V. ce mat.
Orıä6. V. Orion.
+ Onısiras, 5. m. pl. seclaires de Boheme au
quinziöme siöcke.
OnıcäLco , 8. m. orichalque. V. Aurichaleo.
ORIEXTADO, A, P. p. d’Orientar.
OnıentäL, adj. 2 gen. oriental : de l’Orient,
d ’Orient. Igreja —, eglise d’Orient. Imperio —,
cmpire d’Orient, qui avait Constantunople pour
spitale. Os —aes, £. pl. les Orieutaux ‚ peuples
d« l’Orient.
ÜRIEXTÄR, U. a. Orientler. ft, v.r.sorien-
ı : reconnaltre l'orient et Ics aulics puinis
ORI
cardinaux ; (g.) reconnalise la reute & Ienır,
le licu oü l’on est, les moyens de sacces.
OrIENTE, 8. m. Orient ; point du ciel eu !r
söleil se leve sur l’horizon, ou ilseliealc-
quinoxo; le Jevant; PAsio, relativement a lf
rope; jeu des couleurs de la nacze. 'Blancbcu
des perles.
ı ENTE, adj. 2 gen. qui se löre, levanlis-
eil).
URIFICIO,, 8. m. orifice, irou, euvertute; er
Iree elroite d’un vase, d’un tuyan, d'une asiän,
d’un ajutage,
Orır.iua. V. Auriflama,
Orican, s. f. origiue, Principe, OODLmeBLe-
ment; oxtracion d’une ‚ d’une race.
Patrie: lieu ou l’on est ne, d’oü l’on lirem
origine. (g.) —, source, cause premiage. Ic
una — kumilds ou bixe, venir de bas lire.
Orıcınä00,A,P. p. d’Originer. adj. Resı-
tant, provenent : qui rösulte.
+ Oxıcınapör, 8. @. qui donne l'origine ; yu
est la cause premidre.
OxıcinäL, s.m. original d’um acle, deu
bleau, etc.: il est oppos6 & copie. Moikk.
(8. d’impr.) " Copie: ce sur quei !’en oompe.-
OkıcınaL, adj. 2 gen. original: qui na autw
modele; qui ost la source, le principe, k Br
dele d’une imitation. Origiuel : quiest d’oripe”.
qui vient de l’origine ; qui remonie & long
Peccado —, peche originel. Gras —, 1
originelle, dounede par Dieu au premier bount
Orıcınasıpipe, 3. f. eriginslits : cararkit
de ce qui ost .
ORICINALNENTE, ado. originellement : das
os des l’origine.
+ Onıcınaa, v. a. ötze la cause, Je prinup.
l’origine,, o0casionner, mmotiver. —oe, 0.1. Id
son origine, provenir.
ORICINARIAMENTE , adv. originairersenl: fi
mitirement , dans l’erigine,, je prinaipe ; dans I
commencement.
Orıcınänıo, A, adj. originaire. qei pred
son origine de quelque pays. Qui senlerm: &
soi l’origine d’une chose.
ORILONES, 5. m. pl. morceamx de pöches 008
pes en long, sechös au soleil ot oonäts.
OntLHiDo, 3. m. gros Lissu de laine pour IM
vetements de deuil.
Oriruas,s. f. pl. (f. Porf.) "borde, eich
miles d’une piece, d’un OuYrage
Orina, etc. V. Ourine, eic.
Onınaus. V. Ouringue.
* Onıo. V. Cevdda.
+ OnioLo, s. m. (td. Ehisl. nal.) — amaschı
da Europe, loriot d’Europe: eisean ı7ha®
—s, pl. oriolins : dentirosises merulides. — #
püs ou sapujubss do Brasü, les cadgı=.
— quirsbangeimas do Braxü, les wenpisle.
— bananciros d’Americs, les carouges
ORION 04 ORIÖNTE, s.m. (. d’esir.) O1:
constellation meridionale.
Orısonte. V. Horizonte.
Vriesno, A, ad. originaise, nauf; qui &
\ösU.
ORO
Onıx , 5. m. " oap&re de chdvro nauvagc.
Omaräo,. V. Orgevdo.
O'ara, s. f. "bord, bordare, lisiere d’une
dwsffe. (4. de bias.) Orle : pidee d’scu en lorme
de bordure.
OrLinpo, A, ?. p. d’Orler.
Onaasüns, s. [. bordure,, ourlei : 08 qui s0u-
sent, ce qui orae les berds.
OnaLär, o. a, border, ourier : metise des bor- | de
dures. V. Debruar.
+ Osızantz, s. m. (4. de gdog.) Orlödanais:
cemtr6e de la France.
OnLo, s.m. (f. dAsie) instrument & vent:
espöce de cornet ä bouguin.
Onmixo. V. Hormino.
+ Onmiz, s. m. (t.de geog.) Ormus:: ville,
geife, lie & Yentrde du golle Persiquo.
+ Oruuzıino, A, adj. eis. d’Ormus.
O’'nna, f- (& däsie) heuillon d’un l&gume
dit tori.
Onnäpautnte, adv. avec orkemeni, Av60
gräce.
Ornipo, A, 9. 9. d’Ormar.
OnnaDöR, A, 8. celui qui OrRO, d&oorateur.
ORRANENTÄDO, A, P: P. do
ORRANSRTÄR, ©. @. OFReT, parer. V. Ador-
ser.
Onzautnro, 0. m. ornamen!, PAULO, OM-
bellissement;; ce qui eimme, sert & ormmer; (Äg.)
oo qui rend reoemmandabie; vertu; POIS9Bn6
qui fait bonneur (& son corps, etc.) —$, pl. Of-
nements: babits sauendalamı. — d’ume igraja,
habils sacres.
OnuäR , €. 6. 0er ; parer, d6cover, embellir
uue ches ; ajouter des ornements. V. Adorner.
Ornito, 3. m. ornement, ajustement, per
zure. ' Dioszalion, ent, ornement.
+ , pl. ornements d’architentare. Agrements,
ornements, acoonselres sgränhles. Bsculpter,
pintor de —, ornemaniste, (sculptear, peintre)
d’omements. — de telha , (1. de mar.) remplis-
sage entre les jetiervanz et la {rise do l’6perom,
Ounzin ou Onnzsan. V. Zurrar.
+ Oamiıao ‚5. m. (. de bot.) orme ou ornier :
istne & fieurs, arbre.
+ Onusmmooaarnia, 6. f. ornithographis : bis-
teize desoriptive des olseaux.
Onntrserasia, 8. f. ornithologle : histoire
natureile des olseaux ; trail6 sur les oiseaux.
OamırEOoNAnda „s. f- ernithomaneis : divina-
tion par le vol des oisenuz.
Oanırmouästıco ,s. m. erniihomancien : qui
ye&disait par ie vol des oissaux.
Ono. V. Ort.
OrosnaLAiö, s.m. (I. d’Asie) noble, gentil-
homme.
+ Ononincuz ‚3... (4. de bol.) orokanche :
plante perasite.
Onoso, s.m. (i.de bok.) — tuberdse,, erobe
tubesreux , gesse sauvage. — silresire, orebe !
des hois. — bestardo , ces ervillier, pois de Ppi-
geen.
* Ontca. V. Coropa.
Qaorsı. V. Ouropll...
ORT
Onöscoro. V. Horoscopo.
O’spnio, eie. V. Orfdo, eic.
Osarntnıco, A, adj. d’Orphee.
Orpnto ou —zu, s. m. (1. de myih.) Orphee;
fils d’Apollon ; musicien celebre.
O’araıco, A , adj. orphique : d’Orphece.
Oxqauista, a. f. V. Orchesira.
Orräica, s. f. sorte de rin d’Asie. Eau-de-vie
857
coeo.
Orxspön. V. Arredör. .
* Onntra,s. f. "vallon Ires-Etroit entre deuz
monlagnes.
O’ata, etc. V. Horta, etc.
Oarsıi, etc. V. Hortelä, etc.
T Onrmocsaatita, s. f. (1. d’hist. nal.) Or-
thooeratite : coquille fossile en corne.
Orrsonoxia, s. f. ortbodoxie : qualits de c®
qui ost orthodoxe; conformils avec le dogıno
zeligieux.
ORTEODÖXO, A, adj. orthodoxe : conlorme &
la saine doetrine en matitre de religion.
OrrTuopaonia, 3. f. orthodromie : roule d'un
vaisseau parcourue en ligne droilte.
OnrnocoräiL, adj. 2 gen. orihogenal : per-
pondicelaire, rectangle.
Oaraöcono, A, adj. orthogone : (ligne —),
qui tombe & l’angle droit sur une autre.
ORTROCRAPHIA , 8. f. oribographe : art el ma-
niöre d’6orire les mels oorrestement. — geome-
trios , orthegrapbie : representation de l’cleva-
tion d’un bätiment; profil, coupe perpendicu-
laire d’une fortificetion. — em perspecliva,
dessin d’un profil en perspeclive.
ORTROGRÄPRICANENTE , adv. selon les regles
de Verikograpke.
Oatnosairmıco, adj. orihographique : qui
appartient & l’orthogzapbe , ä l’orihographbie.
RTRÖGRAPNO, 6. MM. aphiste : auleur
ui waite de Porthograpbe; celui qui la met
ion.
OrruoLocia, 8. f. orthologie: art de parler
oorrooiement.
VaTsomernia, 5. f. mesare cerlaine, exacie.
+ Onruorkoıa, s. f. (1. de mdd.) orthopedic :
art de prevenir ow de corriger les difformites
du corps des enlants, les deriations de la co-
ionne vertebrale.
t Oarmorkpıco, A, adj. orihapedique : de
l’orthopedie.
f OnrnorzpteTa, 3. m. orthopediste : medecin
qui 6erit sur l’orthopedie, qui soigne lcs de-
viations de la colonne vertbrale.
Oarsornta, 8. f. (8. de med.) orthopnee :
? qui emp6che de respizer elanı cou-
6.
+ Oxtaörtenos, s. m. pl. (1. d’kist. nal.) or-
(hoptöres : insoctes & alles plides en Eventail,
diuis mous.
Orrica ‚s. f. (1.debot.) orlie : plante & fcuilles
tiges piguantes. — eier ou didica, la grande
ortie piquante, orlie vivace ow vulgaire. —
moria emarellg, ortie morle des bois, orlie
ane. — merla branss ou — branca, lamier
ja
‚I blanc ertie blsuche. — morta vermelha, gs
858 O8C
leope piquant ow chanrrin, ortie morte. —
mörta dos bosques, grande ortie puante. —
morta basiarda. V. Mercurial. — romana, orlie
romaine, orlie greeque. — de mar, (1. d’kist.
aal.) orlic de mer, corps marin.
Oartıcino, A, p. p. d’Orligar. ,
Orricäö, s. m. aug. d’Ortiga. Grande ortie
piquante.
Ürrıcin, v. a. piquer, fouclior aren des or-
ties. —se, 9. r. se piquer avec des orties.
+ OnriLa 00 OnsıLa, 5. f. berbe qui vient
pres de la mer ct sert pour la leinture. V. Or-
zela.
Oxtivo,a,adj.(1. d’astr.) oriental, en ler-
mes d’astronomie. Amplitude —a, amplitude
ortiro, arc de l’horizon compris entre l'ortent
vrai ct l’orient rationnel.
O’rro, s. m. lever d’an astre sur Yhorison.
OrTo, s. m. sorte de chou & feuilles menues
et & longuıe tige, chou cavalier.
Ontoczkaris, etc. V. Orikograpkis, et8.
+ Orts, 5. m. esp&ce de grosse abeille sau-
vage au Bresit.
6ca.V. Erüga.
Onvaunina, s. [. rosde qui viont de teren,
Orvaınino, A, Pp. p. d’Orvalkar.
OavaLninte, adj. 2 gen. arrosant: qui a
rose. p. a. de
OrvaLBär, ve. a. arroser bien lögerement;
couyrir de ros6e, monuiller par la rosee. v.®.
Tomber de la rosee , brainer. — ee, v. r. se füR-
dre en ros6e; se couvrir de rosee.
OnviLno, s. m. *rosde: peotite plule fine;
breinc.
OnvaLHöso, A, adj. tout Convert de ros6e.
+ OrvctErorg,, s. m. (}. d’Mst. nal.) oryolt-
rope : esp&ce de fourmtlieor.
* Ornro.YV. Arroz ou Cevdda.
Onrıeräö, 3. m. orviötan : espöce de thö-
rin juc, de conire-poison.
nxitı. V. Orchdia.
+ OnzEııa, s. f. (8. de bot.) — das Uihas, ” -
chen roccelle,, orsellte d’kerbo ow des Canartes.
— do reino, tıchen de prunellier.
* Os-va-nocca. V. Fpiglote.
Q's, eontraction de a os. V. O, article.
* Osinas (A —-), adv. V. Ousddamentie.
Osina,s.m.V. Hosanna.—s, pl. f. rameaux
du dimanche des Ramcaux.
” Osıar. V. Ousdr ou Üsar.
Oschnse ou nd & Fluesea, de
OscHense, 0df. 2 gen. $ Huesca : ville d’Es-
pagne.
OscırLacid, s. f. osellletion : mourement
alternatif, halancement d’un pendule, ete.;
mouvement des Albres du corps qui, selon les
anciens physiologistes, altenue les liquides;
(fig.) se dit des evenemenis qui varient, des
pensees, de Pesprit irresolu.
OscıLLAR, 9.1. oschller : sc mouroit alterna-
tivement dang un sens et dans fautre, se dit
d’un pendule.
OscıLt.atönto, A, adj. osciNateire : dela na-
tare de l’osctliation.
*Osco. V. Ennbupddo , Enenpoldde.
O’scuLsgad, 5. f. action de balser ou d'em-
brasser.
Oscvrin, ve. a. halser, embrasser, donner un
baiser.
OsccLatörıo, V. Portepds.
O’seuLd, s. mw. baiser, embrassade, embras-
sement. — de Judes, baiser de Judas. — ds
paz , baiser de psix : oolul qu’su denne en uı-
gne d’amiti6, de röconcilialiee.
Ostsı. V. Ossne.
O’sca, s. f. sorte de petit Iözand iets-ven-
meux. Por mode #’—, (pr. few.) aves disi-
malation.
* Osıcäö, a. f. apparitieu (die fa iune, ei.)
*Osio. V. Ousie, .
+ Osiars ow Osıaıs, 0. m. (0. de bot.) osyris:
arbrisseau rouvel.
“Osur,s.f.V. Bunde, Rareisläiais.
"Osuir. V. Esmar, Conjerlurar.
Osrsos, eis. V. Höspelie,, eis.
* Ospıtachm. V. Hospilalidade.
Osrırär. V. Hospötal.
’O’es . [} “
Ossipa, 8. f. "OBeEmtE ; carsasıe. -dums
ndo , carcasse d’un valsseau. — d’wme eidake,
les ruines d’une ville. Fazer alguma nde a —,
faire naufrago, se briser, parlanı d’un vaisseat.
Der @ —, ( fan.) mourie.
+ Ossaukera , e. f. *squeletie : ossements de
corps.
+ Oesanfı , s. /. gramde quaneith d’es. vor
sarıo.
+ Ousinto, s. m. esöuaire, uharnier ı Keuei
fon met les orsements des morts. Kadse ei ı
ya boauooup dos.
O’'ssgo, a, adj. ossewz : de ja natuee dosek
Osstı. V. Ouste.
Ossicos ,s. m. pl. (t. de uöhhr.) partie des nn
rines d’un ohorat,, ei®.
Ossırıcaciö, ®. f- onsißeation ; cangemeel
des membranes et dies vertllages ou 06.
Ossırıcido, A,p. p. de
Ossrrein-se, d. r. !asaiier ı doreniz 08.
Ossinuo, s. m. dim. d'’Osss, Gnseiet, peBi
Öss0, @. m. 08 : partie du eorps, ampadk,
dure, solide, inscwsible, soutiemt ot
les autres parties. (fg.) Travail, point.
— sarro, os sacram. Mode 0 ——, (fg) al
beaucoup de peine. Moniar om, menet I
poil,& cru,&dos, A'des nu. Cana deu T.
Ossdrto. Modr os -—, ürelater de neps; EiM°-
der d’ennui. Desenterrur os —— de algusom, (Pf)
manifester les anciennes fautes de ia Mamiliede
queigm’un.
Oss0so. V. O’sseo.
‚A, adj. osse : quin degresen.
+ Ossöna, s. f. (1. de geog.) Ossuna : ville
#Andeteusie en Espagne,
* Ossu0so. V. Osseo,
Osrir, 6.m. (1. de mer.) ötal ı grosse son.
masiro de #6
grande, grand etai. — do
quite, &iai de misaine. —de masire da gelb:
etai d’artimmon, Contra —, fauz oldi.
OST
do — , collet d’etai. OTko do -—, willet d’&tai.
Alka do —, collier d’elal. Sapatss do —, mo-
ques & cmar, moyues d’dtal. Culkedores dos
—, Tides d’etai.
Ostica, s.m.(t. de mar.) itague, itagle ow
itaque : manmuvrecourante dans deux poulies,
dormante d’un bow et [rappse de J’autre sur
osrae f. hötellerie | b du
TARIA, 2. f. hötellerie , auberge od L ya
table d’böte. RER TI
* Oste, s. m,” voile Tatine. €i. V. Hoste.
Osteoa, 5. f. ancienne öloffe de France.
+ Osrenng ,s. m. (l. de gäog.) Oatende : ville
maritime de Belgique.
"Ostennes. V. Mosirar, Ostenldr.
OSTENSIVEL „adj. 2 gen. astomsihle : qui peut
öire montre.
OSTENSiVELMENTE „ adv. ostensiblement :
d’une maniere ostensible.
ÖSTENSIVO, 4, adj. ostensll ; qui mentse;
qui sert ä montrer.
Ostensön, s. m. celui qui monire.
OSTEXTAcAö, 8. f„ostenlalion : montre aflec-
tte , blämable, de ce dont an tire vanits, d’un
bien que l’on n’a pas; vanlerie; vaine gloire.
Preuve de saveir qu’om laigait aukelais & l’uni-
verslt& de Colmbre.
ÜsTanTipo „A, 9. p, d’Ostentär.
OSTENTABOR,A, adj. ei 3, osienlaleur, Su-
perbe ; quia de l’ostentation,
OstEntänte. V. Ostenisdor. 2. @. de
Ostentän, ®. @. mantrer, faire voir; &taler
avco oslenlalion. — gyendaza, allecier de
grandes manidres. |
Ostentir, v. ». mellre de l’ostentalion dans
ses proctdes. (de) Se vanter, lirer vanite, faıre
parade de. (em) Montrer son savoir (V. Ossen-
tapdo) A l’universit& de Coimbre. — de ualsnte,
faire lo brave, faire blang do sog Epae. - de
sdäbio,, alecter de paralire savant.
Ostanzariva. V. Osienlagda.
Ostentarıvo. V. Osteniader.
TOSTENTÖSAMKSTE, ade. avec osienlation.
Ostantöso , A, adj, plein de faste, d’ostenta-
tion. Magnifigue, somptueux,, Jdigne d’eire vn.
Ostsöcora, s, [. (li. da med.) " osieacape :
daulaur aiguö et prolande daus les os.
+ Usteocenia, s. f. osleogenie : traite de la
formation des 08. ..
’ t Osrkogenia, s, f. ostöngenie ; formation
es 05,
t QSTERGRARUIA , #4 I osWogrephio s Weile
des os,
Ust5oL.Acia, 8. f. gsWalagie: traits, connais-
sance des os de 'bomme , das animaux.
T OsTEöpnaun, A ln Si 5, Oglcophags ı qui
mange les 03.
+ Oszzotomis, & fs apihalamie : Irais de la
dissection des ag, _ j
Osria, V. Hoslis,
f OsTıariTo, 5.9 (pP. 48 )otdsaJc porlier.
V, Ostiario. .
Osrıigıg, o MPaglict, [eo Brewmier dea qua-
sre ordres mineurs.
OUL 859
OstinaGäö, etc. V. Obslinapdo,
Ostincan, V. Eslingar.
OSTINCtES.
Osrnauss | V. Behngwes.
Ostaa,s. f. hultre : caquillage marin, bi-
valve, A Latlants inegaux, &cailld. Sorte de
pierre pröcieuse qui ressemble & Yecaille ge
Uhuitre.
+ Ostnackıro, 8. 4, (fd. d’hist. nal.) hullsier:
oiseau mgialite.
+ Ostaacıäd, a. m. (I. d’hist.nal.) ostracion:
poisson branchiostöge ; ow coffre : polsson dem
veloppe osseuse.
OSsTRAacisu0, s.m. Osiracisme : bannissement
pour dix ans des hommes dovenur suspecis par
lours talents, leur merite, ä la jalousie r&öpy-
blicaine des Atheniens.
OSTRACISTA, s. m. partisarnı de Fostracisme.
STRACITES, 5, /. " ostracite : coquille d’hul-
tre petrillde, espece de cadmie.
Ostaania, # f. "amas, grande quanılla
d’hultres.
T Ostreıra, as. f.* pare d’hultres. Hultriere :
marchandc d’hultres.
f OsTRirexg, a, adj. (padl.) qui produit des
hultres.
OSTRINBO , s. m. petiie bultre.
OSTRO, 35. m. pourpro; cpuleur de pourpre.
V. Murice.
+ OsraocApo, a, adj. eis. oslrogolh ; gptk
orienlal.
O’stnya,s. f. (f. de bot.) charme & fruit de
houblon : arbre amentace, , ‘
Orarca, ı.[« (l. de med.) otalgie : mal d’o-
reille,
Ornomixo,A, adj. eis. Otlomen, Turc.
OTHONs 04 (4. de bot.) olhonne;; plante
TUONNA,S f. } corymbilice.
Orocrarnia, 4. /« olographie: descriplion die
Poreille.
+ Otouocla, &. f. atologie : traitd de lareillg.
T Oronunea, 5. f. (b. de med.) alorchdas
flux sereux de l’oreille.
+Oratoxia,a, [. alalomie : disseglien de
Voreille.
Orönca, elc, V. Oulörga, eic.
Qu, conj. ou, ou bien, soil. Ou leiag, ou 63-
ereras, soit que tu lises, soit que tu Ecriveg.
Ou seja dum modo, ou d’oylro, que ce goit
d’une manicre, que ce soil d’une aulre.
Ovga,s. f. sorte de cheville au boul du I}
mon d’une charreite, eic., o& ou auache le
jaug des beuls„eto.
Ouciö, s.m. pelil ver.
"Oucas, 2. f. Di Ferbuns=, (Popul.) his
entendre. ,
Oreuvch.V. Oudernra.
"OCcidente, etc. V. Oecldenfe, ete.
Orco, A, adj. vide , creux, concare. (Ag.
Yain, presomplucux. Zstylo —, euflure, style
ampoule.
*"Oxsania, ete, V. Ufania, eic.
Duis.Y Yid. j
860 OUR
+ Ovoatia, s. f. it. dAsie) meonnsie d’or:
trente francs 4 peu pres.
Ouräco, s. m. (I. d’anal.)V. Uraco.
Oraip0, A, P. p. d’Ousur.
Otsang-OurÄnco. V. Orangufango.
Orain,v.n.V. Entontecer, Hallueinar-se.
*+Orsas, s. f. pl. "tournoiement de tete,
vertiges.
Ounxcio, s. m. (1. de bot.) — ordindrio ou
oregos, origan : plante labiee. — de Creie,
origan de Creie.
Ovrtra, s. f. extrömils, bord. Orle. V. Ou-
reio.
OustLo, s. m. “lisidre d’une etolfe.
* Oursvez£ıno. V. Ourices.
Ovnıcido, A, adj. herisse. (4. de dot.) Our-
sine. p.p.de
Ounıcär, v. a. hörisser.
Otrico, s. m. "bogue : cöurerture piquanie
de la chätaigne. * Enveloppe herissonnee. (1.
de guerre) Herisson : pautre herissde de poin-
ves. —eachtiro,, (1. d’hist. wat.) herisson : petit
animsl mammifere, plantigrade, couvert de
piquanis. — sem ‚„ lanree. — semispi-
nhöso, tanrec Tayd. — de mar, oursin : bou-
ehätsigne ow hörisson de mer, coquillage
coavert de pointes.
Ooxıante. V. Oridnte.
Ovnısin, oe. #. V. Ourdr. Avoir des &tour-
dissements de tete.
Ounina ,s. f. urine; pissat. Retengdo d—,
retention d’urine. — de sangus, pissement de
Bang.
Ovuaıuap8ıro , s. m. pissotiere.
Oovamin,®. &. ou ®. uriner, pisser, faire de
l’eau. — sanguie , avoit un pissement de sang.
Ovumcd. 7. Lumitira, Yagalume.
OunınöL, 3. m. urinal: vase & col relere
pour uriner dans le lit; pot de chambre.
+ Ouaingug, 8. m. (1. de mer.) orin : corde
atsachte par un de ses bouts & la eroiste de
Pancre, et par V’antre ä la honde. O — se em-
barapa no ieme, Y’orin est emhbarrasse sous lo
timen.
+ Oraıviı. , s. m. plante qui ressembie & l’o-
rigan dans les (ouilles.
Ovaıvasania. V. Ourivesaris.
Otvaires, 3. m. orförre : qui fait et vend de
fa vaisselle, des onvrages d’or et d’argent.
Oorıvzsanlı, s. f.ateller, boutique d’orfevre.
Orfevrerie : art, commerce , ouvrage d’or-
vie.
Oenizo, V. Ourigo.
Ouno, s. m. or: le plus precieux des mıs-
tauz. (fig.) Couleur de l’or, couleur blende des
alsvenz. —, riohesses, indsoes. Bijoux , joyaux
do femme. — em berrs, or en lingeis. —
amoodado, or mannay6. Ter —a montses, avoir
jes monceaux d’or. — em „6, poudre dor.
Nem iudo o que lusd —, lout ce qui reiuit
g’est pas or. — balido, or battu, or en feuilles.
— Addo, Ni d’or, or Bid. — fulminanie, dr
Sulminant, or dissous dans l'acide nitrohydro-
chlerique , et precipit6 par l’ammoniaqne. —
OUT
mdle, or en feuilles. — moido, ar de coquılie,
or moulu. — polavel, or potable. — e fo, ca
€quilibre. Seculo, idade de —, (fig.\ siecie
d’or. Bulla de —, bulle d’or : oonslitation de
lempereur Charles IV, en 1356. O — ebre i-
das as portas, l’argent est an bon passe-par-
tout, la clef d’or ouvre toutes les pories.
OvaosaLnAd. V. Orobaläo.
" QuaüLo, s. m. V. Adjaceneia, Conlorno.
Ovnor£ı, 8. m. oripeau : lame de laiton
mince et brillante; (g.) chese de peu de v.-
leur, discoars vide de choses. Vains tilres dent
une personne se pare. Owropeles, pl. A.
beillants : penssdes ingenieuses, nıais frirorn::
(aux brillanıs.
Oraop820. V. Antherico.
Ovnorimente om orpiment : orpin nii-
OvropımEento,s.@. | neral, arsenk r.-
tare!, jeune.
Ouaos, 5. m. pl. une des quatre coulears du
jen de cartes:: on l’appelle carreau.
Orsäinametnte, ade. audacieusement, hard-
ment, intr&pidement.
Orsıpia, 5. f. hardiesse, audace, Lemerie
V. Alrevimento. Com —, audacieusemen!, artt
hardiesse.
h OrsnBint0, a, adj. dim. d’Ousado. Un pr:
ardi.
OtsiD0,A,P.Pp. de Ouser. adj. Osc, zuılı-
efeux, users, gaillard, courageus, dei.
bar V. Atrevido.
* Qusäußrto, 8. mM. . .
° Ousinga, ®. f. | Y. Ousadie.
*Ovsi6. V. Airevimento,.
Ovsirn, v. m. oser : avoir ia hardiesse, s”
dace de faire, de dire , d’entreprendre.
® Ousin-sE , 9.7. — com alguem ‚tenir du:
qu’un des propos impertinenis; s’eman:ız.!,
prendre des libertes.
* Ousscaan. V. Obsserer.
* Ouma. V. Adussia.
* Onsio. V. Ousudie.
* Oussıa. V. Adussia,
Orriö, s. m. mur lateral d’uwe rmeisen.
+ Ovrin, s. m. ramasser les bourriers dı
bie en vannant.
Ovrava, etc. V. Oilavs, ete.
Ovtsininno, 5. m. dim. de Oulolrv. Nesi-
tale, tortre.
Orrtıao. s. m. "bauteur, cotese, vellise
* Reunion d’imprevissteurs pour faire des ven
sur des refrains donnes. Mont Parnasse.
Ocriva( D’), ade. sans rollerion, en &twerdi'
en tcoutant. Faller d’—, parier sans reßexiee.
Ovro, s.m. amas de bowrriers de biE dans
le van. adf. V. Otto.
Ovrowir, adj. 2 gen. eutommal : de l'su-
tomne.
Ouronir, v. e. falre 1e.Iabear d’automne.
Ovrenico, a, adj. V. Ousonel.
Ovur6no, 5. m, autemmne : troisiduse salson de
Yoante, entre Fo et Vhirer.
Jurüncı. V. Outergamönte.
* BiRORGiBAWBERTE , ade, volontiers,
OUY
Orrorcano, A, 2. p. d’Oulorger. adj. Öc-
troye , accorde.
OVTORGADÖR , A, 8. caluj qui oefreie, qui ac-
corde.
OUTORACANENTO, 8. m, Ocltoi, Concession,
permission , agrement.
T Outoncänts, adj. et 8. 2 gem. octroyant,
accordant, qui accorde. 9. @. de
Ouroncik, v.@. ociroyer, conc&der, accor-
der ; consentir.
Outasica, s. f. querelle, rixe soudaine, non
"premedilee. ,
Outnem, 3.2 Jen. autrui, un autre. — nin-
‚(inus.) aucun autre.
*Ouraı. V. Ouirem.
Outao, A, adj. autre, different, distinet. —,
parfaitement egal, conforme, ressemblant.
Ester, ser —, öire tout autre. T4o bom d um
como —, un vaut l’autre. — que tal, (fam.) en
voilä encore un. Akt femos —a, autre imperü-
nence. Fiese uma por —a, c'est un rendu, c’est
un prei& rondu. Por —a parte, d’autre part,
d’un autre cöl6. Promelto de ndo faxer —a,
je promets de ne pas le faire.
TRöRA, 0% Ovrn’öna, ade. jadis, auire-
fois.
Utraosi os aussi, de meme, ögale-
Ovraossim, ade. } ment. En outre, de plus.
OLTROTÄNTO, m. OuTnATänta, f. adj. antamt,
io uäme ; la meme quantite.
Osurinno, 3. m. oclobre : huitidme meis de
l'annde romaine, et le dixidme de la nülze.
"Ouvanca. V. Avonga.
* OuvsgäL, 3. m. ancien ofieier administra-
uf ou de justice.
*Quvszaria, V. Quriossaria,
Ouviin. V. Uiede, Ululdr.
Orvvipa, s. f. action d’oulr; un ouf-dire. Te
temunha de — , \dmoin auriculaire.
Ovrino, s.m. “ oule : sens par lequel on re-
goit les sons. Organe de l’oufe: oreille. — da
pera, lumitre du canon. Dizer alguma cousa
ao —, parier ä Porellle. Por o-— d sseuta, pr®-
ter Poreille, ötre aux dcoutes. Enire por um
— e sai por ouiro, oala onire par une eroilie,
et sort par l’autse. Ter—, ou bom —, aveir
Foreille juste, avoir de l’oreille. Ser duro de
—, re dur de Foreille, avoir l’oreille dure.
Der —s, bcouter. Der —s a alguem, croire
eonseil de quelgu’un. — Ter —s delicados,
avoir l’oreille fine. Tapar os —s, se boucher
les oreilles pour ne pas entendre, ne vouloir
pas dcouter. Näo dar —s ds palaoras de..., ler-
mer l’orellle aux disceurs de... Zumem-Ihe os
—t, les oreilles lui oornent. Fazer —s de mer-
eador, faire la sourde oreille. Chegor sos —s,
(Ag.) venir aux oreilles, & la conneissance.
Oovvino, A,p. P-. d’Oweir. Oul, entendu, otc.
Jamais visto nem —, qu’on n’a jamais vu ni
entendu. Näo ser visto nem — : on le dit pour
marg ser unevitesse, une promplitude extreme.
Ouvinon, 3. m. auditeur : oelui qui dcoute.
Membre d’un conseil, d’une audience, elc.,
canseiller.
OVE' sel
Ooriponta, 5. f. Charge, dignild de Oiäer ;
#tendue de sa juridiction.
r OvvitLas, s. f. pl. (1. de prow.) V. Ovidies.
Ovvintz, 8.2 gen. auditeur, qui pröte !’o-
rellle, qui &coute. Os —s, Yawditolre, les au-
diteurs.
Orvin,v.a. ouir, entendre ; donmer audience.
Ecouter : preter attention & ce qui se dit. Eıu-
dier sous un maltre. Exaucer : &oowter favore-
blement une priöre. —, ver, e eslar : on le dit
pour imposer silence & queigu'un. — de con-
fissäo , enlendre en oonfession. — em fusfige,
donner audience en Justice. — mises, emlondte
la messe, y assister. Que ougo ! qu’entends-je!
Ouves! owve ld! oh! &eoule! Manidre d’appe-
ler. Se alguem nos owvisse..., si ’on nous eR-
tendait...
*Ouvo. V. Ovo.
*Orzia. V. Ousadie.
O’va, s. f. (1. de viter.)"töllieule aun plods
des chevauz. V. Ovas.
Ovagid, 8. f. ovation : petit triompbe chez
les Romains.
Ovino,ı, adj. ov&:quiala figure, Informe,
l’aspect d’an auf; oyolde.
Ovir, adj. 2 gen. ovale : comme un auf; de
figure ronde et oblongue.
Ovinte, adj. 2 gen. celni qui obtensit la
couronne de myrte parmi los Romains. V. Vie-
torioso, Triumphante.
Ovir, ©. ». frayer, pariant da polsson. Pon-
dre, parlant de la posie, des ovipares.
Oviaıo, s. m. (f. d’anat. er de But.) ovale :
partie oü se forment les @ufsches les ovipares,
les germes ohez les mammiföres, 1a graine dans
les plantes.
O’vas, s. f. pl. * mufs de poisson, frei. Peine
cheio de —, que tem —, poissen auv6, qui &
des aufs.
“O'vs. V. Ovelka.
*Ovsanca, etc. V. Ovenga, etc.
OrtıRo, s.m. ovalre des oripares. V. Ova-
yio. Sorte d’assiette pour servir tes aufs &
table et les tenir ehauds. Coquetier : petit
vase ovolde pour manger los aufs & la coque.
Petit poisson de riviöre en Portugal.
Ovtıaa, 8. f. brebis : fomelle du böller. —
rankhoss , (prop- ei fig.) brebis gateuse. Cada —
com sua perelke, (prov.) chaque hrebis aveo sa
pareille, qui se ressembie s’assombie. Quem —
se far, o lobo 0 come ‚(prov.) qui so falt brebis,
le loup le mange. —s, pl. (Ag.) brebis, onall-
les : Scidles sous les solns d'un pestwer. Bs-
commendar as —s ao lobo, ( lg.) mettre ie loup
dans la bergerie. .
Ovzıntıno, s. m. berger : celui qui garde les
brebis.
Ovsınisua, s. f. dim. de Ovelha.
OvzLuön, adj.2gsn. de brebis: qui concerne
les brebis. Gado —, beies ä laine.
Oveu, s. m. (t. de mar.) cordage fixe. V.
Ovens.
Ovzscapdna, se. f. (t. de mar.) tous les hau-
bans.
868 OXY
Ortnoa „s. f.* office, charge dans UNO COM-
munautt, etc.
*Ovsmmin, s.m. oflicier de Änsnce os dejus-
vice. Intendent, mailre J’hötcl d’une maison.
Econeme , eic., dans un couvent.
Ovans, s. m. (t. de mar.) haubans : cotdages
quilisanent los mäls.
"OvıApo, A, adj. quia l’air triomphant. v.
y .
Ovızıas. V. Alvercas.
Oviz,s. m. * bergerie.
‚Ovieaao, A, adj. el 5. (1. K’hisl. nat.) ovi-
pers : (animal ——), qui se produit par les aufs.
+ Ovista,s.m. oviste om ovarisle : quipcase
que i’'bomme viemt d’un auf.
+ Ovivona, & f. (l. d’hist. nal.) ovivare :
eouleuvre d’Amerique qui vit d’auls.
Ovo, s. m. (pl. O’vos.) aul:: cosps ® nique
renfermantungermo ‚que pondent Ies emelles
des elsenux, des peissons, eic. Ove: ornemen!
d’architecture en forme d’auf. — göro, zul
couvi ‚galt. —gerddo, mul couve, vü le poulet
est forme. — sem gemma, @ul nain, — casqwi-
meis, wul wollel. Sein o pinto do —, eclore.
Sair da casca do —, (g.) sortir de sa ooquille.
Um — por um real, (Ag. fan.) & Ires-bon
marchö, pour rien. Um —, s esse göro : OD le
dit de oolai qui n’a qu’un enlant, el encore de
menvaise sanie. Pör —s, pondre. —s quenles,
esialados, aufs a la coque. -—s cosides, muls
durs. — assados, wuls cuils sur la braise. —s
escalfados, aufs sur le plat. —e esirellados,
aufs au miroir, poch6s. —s Aados, mufs ballus
aves du sucre liguide, et ooulös au lravers
d’une euillöre pescode, d’oü ils sortent en [orme
de petits lets. —s mexidos, aufs & la reine;
aufs prouiliös. —s morss, espdoe de conserve
faite aves des auls, des amandes et du sucre.
Oxarä! interj. plüt A Dieu,, Dieuveuillel
+ OxauiLa, interj. (p. us.) heles!
OxaLito, m. (4 de chim.) oxalale ı nel
“orms per la combineisen de l’acide oxzaliyue
wes les hases...
Oxiuıeo, A, adj. (d. de chim.) omalique.:
(acide —) de l’oseille.
+ Oxto, s. m. action de chasser lea poules,
les OSURK , ste.
+ Oxönıa eu Oxronn, 8. f. (h de geog.) Oz-
ford : ville et comie d’Angleterre.
Ouvaoinrea. V. Pirliisire.
+ Oxrcanao, s.m. (4. de bot.) genövrier oxy-
oddee, petit eddre U’Eapagne , suig. lo ade.
Oxroaire, 9 m. onyorat : melange d’eau et
de vinsigre.
OD
Oxrenöcen, s. m. (. de pkarm,) oryere-
&&um :cnıpläfrecompose de Wafrin, de vmaigre,
eic.
+ OxYsanıLıpine, 8. f. otydabfilte : facilitt
avcc layuelle les mötaux s'oxydent.
+ Oxroaci6, s.f. (t.de chim.) oxydalen:
accroissement par addilioh d’oxygetre.
+ Oxroivo, A, adj. oxyd6: elere A Yelzt
d’oxyde. p.p. de
Oxvoin,v.a. (tl. ds chim.) okyder: trans
former en oxyde.
Oxvpän-s£, v.n. s’oxyder: se chatgerd'osy-
gene,
Oxvoiver, adj.2 gen. !t.derckim.) oırd-
ble : susceptible d’oxydation.
Ü'xıTno, 3. m. (i. de chim.) oxyde : snbstanos
op faiblement osygenee pour Eire ä l'est dr
cide.
+ OxrorLino, a, adj. (£. de chin.) osydale:
legerement oxyde,
+ Osv’ouLo, s. m. (1.de chim.) oxydale :di-
minutif de l'oxyde.
+ Oxvcenagid, s. fı (1. de chim.) oxypim-
tion , oxydalion.
+ Oxrcmnipo,a,0dj. (l. de chim.) oxygint:
combined avec de l’oxyg@ne; satare d’oxygent
p. 2. de
+ Oxvemmän, 0.0 (l. de slim.) enygent:
vomnbiner Aveo de Foxygene.
Oxrcengo, s. m. (8. de alten.) weygtme: bett
de tale vital, Pan des priactpes de loan, pria-
cipal göhötsteur dus ariden, agent do je com-
bustion.
Oxvr’oono, 1, adj. 18. Be geom.) arygone:
(triangle —), qui a tous les angles atgus.
Oxrufı,s. m. oxymel: Ifqueur Talle de mitl
ot de vinaigre.
+ Oxr’rono, s.m. (I. K’hisl. nal.) Oxypore:
caleoptäre, lssilabre.
Oxrraonıno , s. m. oxysıhodia : linimen!
d’huile ot de vinaigre Tosat.
+ Oxts,s. m. tree acida, plunfe,
OXVEhOCHARD , ©. m. ur vasnohununm ı Borlt dt
sirop de suereet de vinadgre.
+ Orı, 5.m. (1. EAN) ae mohhesen 2
royaume de Siam.
OrÄche, 8. m. göurme : gale des enfnetl sat
la tete.
Ozexa, 5. f. (f. de chir., or&ne . üleere P%*
tride du nez.
Ozöpuaco. V. Esophago,
Osbalss , #: [. pl. sorie de jum de onrieh,
Pac
PAC
p.
P,e. m. seizieme lettre do l'alphabet porlu-
gais, et la deuzidıne des sonsonncs, C’ölait an-
ciennement une lelire mumerale, do mA&me
valeur que le G.
Pi, s. f. pelle de kois ä romuer les grains,
eie. ; pelle & fau ; pelle de four, pour enfourner
le pain. (.de mar.) Keope : pelle creuse. — do
rtmo, (id.) päle : bout large et platd’une Taıne,
d’un aviron; plat de rame, pelle d’aviron. —
dos amimdes," paleron.
*Paackiao ,s. 0 V. Paceiro.
”Paaco.V, Page.
* Paapınuamtnıe. V. Paledianmente.
* Paırtıno, V. Padeiro.
PisuLo, s. m. aliment, beurriture; päture.
V. Paslo. h est aussi adj. et signifie : Dupe,
celui qui est facilg & tromper.
Pica, 8. f. (1.d’iist. nat.)* paca : mamımi-
fere rongeur d’Amerique möridionale, du genre
de l’agouti, ressemblaat au cochon de Igit.
* Paquet, bsilot.
Pıcacınipe, 8, f. Degme d’esprit, calme.
Pıcio, s. m." sorle de jeu de cartes,
Pıcito, A, adj. paisible, tranquille , doux.
+ Pacir,s. m. jardin d’un preshytläre; ter-
rain conliga et apparienant au presbytöre. V.
Passal.
*" Pıgid, V. Cortexzäo, Palaciano.
Pıccionar. V. Pactear.
.., Pactıao, 3. m. garde du palais, oon-
eierge.
Paxtns, 2. m. pl. habitauts de Pacem,
ville et royaume de !ile de Sumatra, dans
Y’Inde orientale.
+Puctnse, adj. 2 gen. de Pax Julia, ville
de l’Espsgne ulttrieure, aujourd’hui Beja,ville
de Portugal dans la grovince d’Alentejo.
Pacza. V. Pascer.
Pıcui. V. Bachd.
Pıcrid,s. m, petit poisson de mer.
PıcHar£L,s.m.($.d’Asie) vis avec la cosse.
+ Pacmpgruzs. V, Pachydermes.
.. PacmöLa,s. m. (f. pop.) homıne lent et fleg-
zmalique. V. Hadrdgo.
Pacuoncnizas, 8. f. pl. (4. burl.) niaiseries.
Pacuörna, 8. f. üDegme, lenteur, pesanteur
d’esprit. Paresse.
+ PAcHORRENTAMeNTE,, adv. avcc flegme,
lenteur. Paresseusement,
PıcHornntkro, A, adj. lendore : Aegmati-
«rue, lent dans ses op6rations.
Pacaucnina, s. f. (1. pop.) balourdise , pe-
yoles libres , orduriäges.
PPacavainuss, s. m. Pb. (Ir d’kist. nal.)
pachydermes: famille des mammileres qui ont
la peau €paisso et presgus nue: le oochon,
’bippopetame , l’elöphunt, eto,
Pıloo,A,Pp.p. de Pacer.
Pacı&ncia, 3. f. patienoo : vertu qui fait sup
porter les advorsites, les douloure , les inieres,
l’attente, les defauts d’autrel , etc., le mal en
general, arce moderelion et sans murmere.
Flegme, lenteur, delai. —ow parelle, plante.
(Ag.) Scapulaire. (id.) Ecuyer, page d’une damo
& Lisbonne, —! iniarj. patience ! il faut pren-
dre palience. Apwrar a — a alguem,, pousser
queiqu’un & hout, pousser ä heut la patiehce
de quelqu’un. Perder a —, perdre patienee
s’impatienter. Ter —, prendre patience, SO
donner palience. Lever us cousas com —y
ptendre les ahoses en patienee. Tonfura —,
mettre la patience ä l’epreure. Cum a — Iudo
se alcanga, la palience vient & bdut de toutcs
chuses, Com — su ganka o do, (fig.) avec la
pätience on vient & bomt de tout.
PacıenTe, adj. et 8.2 gen. patient: qui a de
la patience; endurant, qui skouffte; sur leuuel
‘a agit; qui Pegeit Pimpression d’an arent
physique. (t. de gram.) Regime direct d’en
ve 2}
PACtERTEMENTE , ade. patiermacnt.
Pacınnrissno, A. edj. sup. de Paciente.
AcıFIcaGäö, 8. f. pacilleation, relablisse-
ment de la pai.
Paarıckvo, A,P. p. de Pacificar. adj. Paci-
Ne. (Aig.) Calme.
Pıtarcıpor, A, adj. et e. pacificateur, qui
ie,
PAciricAMENTE, adv. paciflquerment, d’une
manitre paciägte; paisiblement.
Pıacrricäin, v. a. pacifier : retablir la pait.
(ig.) Calmer, apsiser les vents, la mer, ete.
Pacimoo , A, adj. pacique : qui aime la
paix, paisible; tranquille (homme, mer, re-
gne, etc.). Qui netrouve point d’opposilion,
de contradiction,, tranguille dans son elat.
*Pıckco. V. Pustagem.
* Pıcısekate. V. Contraclante.
+ Pıcıwira, 8. f. (t. de bot.) * basilier &
feuilles etroiles.
+ Pico, s.m.(t. d’hist. nal.) paco ou pacos:
esp&ce de mouton du Perow. V. Alpdga.
+ Pac6, 8. m. (1. d’hist. nat.) "rousselle:
grande chauve-souris d’Inde et d’Afrique,
Pacösa ‚8. f. * fruit de la Paoobiire. V.
Pacontina, 0. f, "arbre A frui du Bresil et
d’Afrique.
86% PAD
Pico-<arinca, 8. f. (tk. du Dres.) |
Pıcocerocä,s.f. (t.d
brisseau des Indes ei Ir que.
PıcötE, s. m. paquet, ballot.
PıcoriLna, s. f. (t. de mar.) pacotille : petite
quantlite de marchandises qu'on peut embar-
«uer pour son compte sur un vaisseau oü l’on
sert.
Pıcorinwo , dim. de Pacote.
Fıco,s. m. palais, maison royae, malson
d’un roi, d’un prince, d’un eveque, etc. "Cour
de prince. O — , lacour. — do bispo, do arce-
Bispo, l’evöche,, YFarcheveche. — dos tabellides,
la cour des notaires & Lisbonne. Fazer — a ei-
guem, faire ia cour aquelqu’un. Homem de —,
courtisan. Zer — com alguem, s’amuser, plai-
sanler avec quelgu’un. Ndo esiar para —,
n’sdmetire pas la piaisanterie. —s do comcelko,
hötel de ville.
Pacrän. V. Pactear.
Pacrinio, a, adj. et s. celui qui falt un
® cortus ara
bique : ar-
Pacrzin (com), vo. 0. etw. pactiser: faire un
pacie, une oonvention.
PicTo, 3. m. contrat, pacte , Convention, Ac-
cord. Pacte des soreiers avec le diable. Ter —
com o diabo, (fg. fam.) avoir de la corde de
pendu.
Pıcrvuin. V. Peetsar.
Piva,s.f. petit pain d’une demi-livre, mi-
che. Petite embarcation sur les rivitres de
Ceylan.
Papir. V. Palsdar.
Pipania, s. f. beuiangerie. Rue des boulan-
gers. (t. pop.) Le bas psupie.
PADECEDOR , A, adj. qui souffre, souffrant.
PaADECENTE, adj. 2 gen. sonfirent, qui soul-
fre , ete.; patient. s. m. Patient: : condamne que
l'on va executer &wmort.
Pıunzcka,v. a. souffrir, endurer. Essuyer une
injure, ete. Pätir, seeflrir, oonsentir, comper-
ter, permeltre.
Pıpzckr (de), v.n. souflrir de ‚#trsseuflrant.
— de gola, souffrirdie la goutie. Elle paslder,
il est souffranı.
Pınzcıntuto, 8. m. * soullvance. " Astion
d’endurer.
Pipkına, s. f. boulangere
Papkıro, 8. m, boulanger : colui qui fait et
vend du pain. — mör, grand panetier. Mdo—,
gäte-päte : mauvais boulanger.
Pıpssino, a,9.p.de
Papgsan, o.a. remuer le bid avec la pelle.
vn. boulanger, fairedu pain pour vendre.
PıpsgLicas, 5. f. pl. "pälurages pour les ani-
m aux.
Paoeaia. V. Padaria.
Pıntz. V, Paves.
Papzsina, ou —ssipa. V. Parvosada.
Papıtina, s. f. "linteau d’une porie.
Pipinna, s. f. dim. de Peda. Petite miche.
Papinnas, s.f. pl. auciennecoifluredelemme.
Papı6ra, 8. f."brancard, civiere, bard.
PAG
+ Pivo, 8. m. (tl. de bot.) patier : cerisier 4
grappes.
Pıpaiö, 8. m. monument publie pour cor-
server la memeoire d’ua evinement. Patron,
modedle, etalon. Titre authentique.
PaprisTo, 5. m. beau- : homme dont la
femme a des enfants d’un premier lit. (Ag.)
Pere denature. Lieu &leve qui commande une
place. (Ag.) Obsiscle, empechement. * Enrie:
filet douloureux qui s’elöro de la peau anlour
des ongles.
Pipxe, s. m. V. Pat. Pöre: ı premlöre pe
sonne de 1a Trinite. Pretre ; abbö. Deos—, Dieu
le pere. — nösso, Pater, oraison densinicak.
OÖ sanio —, 1e saint-pfre, le pape. Sen —,
ou — da igreja, pere de T'ögiine. — do erm,
pere du desert. — conseripto, comsenit:
senatear romain. — espiritmel,, pöre spiriteel:
confesseur, direcieur. — de provineis , nemgue
l’on donne ‚dans certains ordres, au religieut
qui a die proviaciel. — de nisse, pretre.—,
pi. saints peres, peres de Päglise. Peres d’us
concile : ceux qui y ont assiste.
ft Papxe-nosso, s. m. Pater, oraison domi-
nieale ;grain de chapelet qui !indique. Quere
ensinar 0 — 00 cura, (prov.) d’est Gros-Iean
qui remontre ä son cure, vouloir apprendre !
sa möre & faire des erllants.
Panaınnir. V. Apadrinkar.
Papninmo, s. m. parrain : celui qui tient mm
enlant, un conrverti sur les fonts; celui qui
presente un candidat aux grades, un cheralier
novioe & la reception; temoin, second dans #2
dael. Temoin dans un mariape. (Ag-) Para
nymphe; protecteur. Ser — d’uma crianss,
tenir un enfant sar les fonts de bapt&me, deo-
ner le nom A un enfant.
PADroäDO, #. m. patronage: droit de no®-
mer & un benefice.
Pıvnotraa, s. f. patrenne, protsetrice, are
cale.
Papnofıno, 5. m. patron : celul qui a droilde
nommer dä un bendfioe; protecteur, defenseur.
patron d’une 6glise, d’une paroisse. Seigneu
qui a affranchi son emlare.
“Papaom. V. Padrofiro.
* Papaoom. V. Marco, Padräo,
+Piovn,s.f.(t.de 9609.) Padose : rille de
Pancien #tat de Venise.
Papvino, a,ady. et s. de Padoue.
ie. V. Pat.
° Pro. V. Parägrafo.
Pica,s. f. paye, p@yement, salaire. Rirom-
pense; prix. — dos soldddos, * pr&t. Todo » Irs-
balko merece —, toule peine merite saleire.
Pacipo, a. (V. Pägo.) p. p. de Pagar.
“ Pıcapdıno, A a, adj. payable: qui deil #
payer.
PacaDörR, A, 8. payeur celui gel paye; ‚or
eier commis pour faire des paye
+ Pucadonia, ». f. endroft wg se "font 1
payemenis : ir&sonerie. ,
Pacautnto, s. m. peyement : Yaction de
payer; somme qee Fon paye. Tomar mM:
PaAG
prendre ou accepleren payement. Pager a —s,
payer par termes.
Pacaniss, 8. f. pl. (ti. de myih.) paganales
ou —lies, fötes des dieux chamıpetres.
Pıcanisuo, 5. m. paganisıne : nations palen-
nes; religion palenne. V. Jdolatrie.
Pıcino. V. paten : Idolätre ow adora-
"Pıackö, ä, adj. I teur des fanx dieuz.
Pacir (a,com, em), v.a. payer : acquitter
une dette; donner, @tre donne pour payement.
Payer. On le dit des marchandises qui doivent
un droit. (Ag.) —, subir la peine d’un crime,
etc. Plaire, agr&er. Payer de retour : repondre
a Pamitie. (inus.)V. Aplacar. —aos soldados, d
iropa, soudoyer : payer la solde. —aos seus
eredores, payer les cr&anciers. — tanfo por ca-
böra, payer tant par tete. — o pulo. V. ce mol.
— com boas razöes ou palavras, payer de belles
paroies. — com ingrakiddo, payer d’ingratitude.
— em dinkeiro, payer en especes sonnantes.
— de comniddo, payer comptant. — a visila,
rendre la ow une visite. — na mesma modda. V.
ce mot. — 0 juslo pelo peccador, payer pour
3es coupables, parlant des innocents ; pour les
puissants,, parlant des faibles. — o sew peccado,
payer sa faute, en @tre puni. — o dobro, payer
le double. — por inleiro, payer & plein, entie-
rement. — com a vida, mourir. — os direilus,
atquitter les droits. — os allos de vario, ( fam.)
avoir bien des chambres & louer dans sa tete.
Pacär-se (de), v.r. se payer: se satisfaire,
se contenter; ötre content de; @tre, pouvoir
etre payed. — de alguem, ötre content de quel-
qu’un , l’aimer. — de si mesıno, &tre content de
sa personne. — por suas mäos, so payer par
ses mains. Amizade paga-se com amizade , l'a-
miti6 ne se paye que par Pamitie.
PACÄTBL, adj. 2 gen. payable : qui doit @tre
paye.
Pıczipa, s. f. compagnie, grand nombre de
pages.
Pıc£L, s. m. sorte d’embarcation du Ma-
labar.
Pıckııa, s. f. petite parcelle.
Picen, s. m. page: enfant de Qualite au ser-
viee d’un prince, etc. Serviteur, valet de pied.
(s. de mer.) Mousse, spprenti matelot. — da
lanco , da rodella, d’armas, page qui suit son
maitre en portent ses armes.
Piczwımmo, dim. de Pagem.
“ Pıcigo, a, adf. fait ow couvert de paille.
Couileur de paille.
Pitına, s. f. page @’un livre, etc. ( Ag. dert.)
Importunite, kyrielle.
Pıomacid, s. f. pagination: serie des nu-
meros des pages d’un livre.
Pioo, s. . * r6compense; recennalssance.
V. Pags. Dar mndo — , payer d’ingratitude.
Pico, A,P.». irr. de Pagar. adj. Pay6; re-
compenst. Salarie: qui regeit un salaire. — de
si meemo, salisfalt, content de sol; suffisant,
presomptueus. Estamos —s, e’est un rendu,
c’est un pr&t6 rendu , nous voilä quitigs.
PacÖBE, s. m. pagode : somple des Indiens;
PORT.- FR.
-PAI 00
idele ; pelite sieiue de poreeleine, etc. , & 18te
mobile; monnaie d’or du Mogol et de Perse.
Rassembiement, r&union d’idolätres. (Ag.)“D6-
I bauche.
+ Pacopicz, s. f. debauches, fätes licen-
cieusus dans les pagodes. °
Pıcopinuo, dim. de Pagode.
Pıccivo. V. Pagddo, Pägo.
Pıct£t. V. Pagel.
Pit, s. m. pere : celui qui a engendr6 un en-
fant; progeniteur; ( Ag.) protoeteur. Mäle d’en
troupeau destine & couvrir les femelles. (1d.)
— ‚auteur, inventeur; auteur qui a excelle le
premier dans uno seience. O0 — da menfirs,
l’esprit s&duoteur, le diable. A —
filko gastador, & pere avare enfant prodigue.
— de familias, ptre de famille. — da pa-
$ria,, pere de la patrie. — dos pobres, ptre’‘. des
pauvres : homme 1r&s-charitable. — pulalivo,
pere putatif: r&put6 pöre sans l’&tre. — d’dgens.
V. Garanhäo. — veiho ou burro, aide-Mne.
—$, pl. parents : le pere ei la mere pris ensem-
ble. Nossos —s, nos anc#lres,, nos peres.
*Parisem. V. .
Pima ow Pina, s. f. especo de colen du
Bresil ır&s-än , mais qui ne peut @tre ld, pro-
duit par un arbre forestier connu sous le nom
d’arbre de laine, ou darriguda.
PAInco, s. m. (1. de bol.) panicum, panis ou
paniz: esp&ce de millet.
Par, s. m. tableau, peinture. (fg.)—, re-
presentation vive et naturelle d’une chose. R4-
telier, piöces attach6des droites contre le mur
arec des chrrilles ou non, oü certains artisans
rangent leurs outils. «6. Panncaux de vollare.
— da ‚(t. de mar.) arriöre d’un vaisseau;
vote d’un vaisseau. \
Piıo, s. m. "esp&ce de cervolas, Gros Sau-
ceisson. .
Pasor, s. m. (t. de mar.) ° soute : chamhre
oa l’on met la poudre, les provisions, etc. —
da pölvora, sainte-barbe, soule aux poudres.
— do biscoilo , soute & pain ou & biscuit. — das
amarras, fosse aux cäbles. — do pano, soute
aux voiles.
+ ParoL£ıro, s. m. (f. de mar.) — da praga
d’armas —domestre ‚gardien de sainte-barbe,
de la fosse aux lions.
Paıri0po,A,p.p. de Pairar.
PaıRADöR, s. m. celui qui pare, qui tempo-
rise , temporiseur.
Paırin, v. a. parer ;resister A ; ondures; dil-
f&rer.— o tempo. V. Temporizar.
Parmmän,v.». (l.demar.) öire surpris par un
calme,demeurer sans vont, les volles tendues,
parlant d’un vaisseau;; melire en panne; orei-
ser. Planer. — em um negecio, (Ag.) attendre
lemoment favorable pour lerminer une affaire,
temporiser.
Piıro, s. m. (4. de mar.) V’aclion d’&tre sur-
pris d’un calme, parlant d’an vaisseau ; action
de meitre en panne, etc. Estar, andar ae —.V.
Pairar.
Pais ow Pair, s. m. pays, rägion, cenirde.
55
zmtLen '
6 WAL
Bayena.V- Daissavu, Pinier da Parsas, DRYAS- | WATIB®
‚Dafsäsey,s. f. " paysage : Iableauz FAprösen-
tant un paysage.
‚Dassins, A. adj, 88 6. compalrieis, pays ı de
meme pays. Habitsnt nen militaise d’un vil-
lage, etc. .
Pulsista, s..m. paysagisio : peinire qui fait
des paysages. .
Piash6, #- f. passion , souffrance ; so dit des.
de 3,-C,, de leur recit dans l’Evan-
gile, vr, mwonvoment da l’Ame excilö par un
objet , pero däsir, ela, ; mouvement impelueux
de Ama vors un objet qui ui promet le boun-
haus ; aection violente, vive, profonde pour
un ebjet; per ebjei; l’amour, son objet; im-
passsien secue dans un sujet. "Chagrin. Dou-
leur : maladie qui aflecle uno parlie du corp.
(4. de mer.) "Casönage. — coge, desords F
passion dusögiös, coniraire & la raison. Ter
una --, aveir un grand ohagrin. Morrer de —,
meurtr de ohagrin. Teer -— por alguma cou40
ou pemsen. V. Apeisanar-se. Flor da —, (l. de
bot.) fleur de la passion, grenadille, V. Ma-
Dass , ete. V. Pais.
+ PısöLa, s.m.ı em.) grand page.
PiLr,s.f. (1. darf.) *chalen, sans ı fond
de Yaugre ur lsquel ost assise une pierte pr&-
cieuse enchässee. Parlie de l’empeigne d’un
seulier, qui regeit la bouele. Psie du oalice.
(8. de bias.) * Pal : pidee honorablo qui pariage
l’ögu dens ie sens de la longueur. (ti. burl.)
Tromperis, ruse, allrape.
Parkana. V. Pelarra,
"Pazsches, A, V.
Paracıino, A, adj.
osurteis, civil, poli.
Paricıo, s. m. palais : maison royaio; Mal-
sen au hötsl de ville. Maison sompiueuse. HO-
wel neble. V. Pape. — enoamidde, (fig.) palais
suchauile
caurlisan , homme de
cous. (Ag.) Homme
Pausnis, s. m. palais : partie supdrieure du
dedasıs ds la bouche. (Ag.) Goül, saveur, Ao
sabor, a0 som de seu —, selon son gQUb, SAH
Parani, 5. m. paladin : ancien heroes des
romans de chevalerie;; seigasur brave ei 84-
lant; chevelier orranı,
°F PALADINAMENTE, ade. A decouvert, pu-
bliquement, ouvertement.
Pursnine. V. Paladim.
Pırivıox. V. Pallddio.
Pauarate, s. m. palelcoi : cheval douz que
mentsit une dame; haqueneo. Cheval sur io-
quel un jaqgsais suit son nalire,
PALASRENKıRG, 2. m. valet qui mens un che-
vel par la bride. Palefreniez ı valet qui pause
tes chevaux.
. PasasaLmia, 3. m. espöce de jau de bonle
Bonsete avce un mail & longuo queue. Mail,
PaLassisme, s. m. jou de mail. Palemail.
PıLius. V. Peldme.
Pauautnes, 5. f. palamenties, En kormas de
PAL ;
), 00 Tas Fan dei)
Tout V’appareil pour le 04 En eanon.
Paränga ‚91 5. (. de fork) p : eipker
de fortificstion false avac des BienE.
PaLanciänp- V. Palacieno,
PaLänco ‚4, a. (f. de mar.) palan.
aLAuFEöRIe. V. Palsorfrie.
ALAKGÄNA, 8. /, hasgin A laver, eic., sone
de cuvelte.
PıLinque&, sg, m. amphilhdätre paur les [les
publiques, paur le comhat des tanrreuz, ei.
*Barrıerg autour de la lice destinde A un Wur-
noi, eic. Palanque, [ortilicasion do pieus. Ver
os lourus de — , (fig.) vals unoambat, ele., san
yeire cxpose.
Parangußta, s. [. barre de far & deus ik
dont on charge le canaıı : sorie de baulatrame.
PaLamguiy, s. u. palanquin : sorie dechaut
portative on naage dans Vinde; selni qui per
cause chaise,
+ Pıuuzir, ad, f. Comspanig --, conzoutt
palatale, psaduile par le mouvement de lalar
gue quilouchs au palais.
PaLsTina , 8, f. palaline : fousrusp, orpemie
aylour du sou des fernnıes.
PaLarınioo, s. m. Palalinsı : digaiid der
Isiin; territoire d’un prince plaiı, —
Pıratixo, s. m. Palatin : tiise de dignid;
electeur lstque qui ases elats sur ig Rhin; ger
verneur de province poloneise, eilo.
+PaLartino, a, adj. palaliu : qui Cancer
lo palais ou les courtisans. Osag —, (i. dead)
os palalın :qui forme les [nases nasalesel mat
laires. Jogus —s, Li. d’ens.) jeux palalins, su
ie mont Palatin, a Roıne.
Pırkro, sm. V. Palader. — de vorols
(1. de bot.) palais, Pinttrieur da la Neur del
(umeterre, eic.
+ Pırava, s. f. (1. de bot.) palava : milleper-
tuts du Pireu,
Pıravi, s. f. (1. @’Afrique).V. Dyseniens.
PıLivas ‚a f. Parole : aanl pnnonc; reptt-
sentalion de la pens#e; facult# nalurells !
l’homme; promesse, assuranne verbale, "Net
A divine, le Verbe, Dieu ie je. — de Den,
parola de Dieu ; l’Evangilg, eis, demairian
io, promessp da mariage. — de rei, parele dt
soi, sacrke, inviolahle. - pesede, papola dt
et choquante. — por —, gt poux mot, mi?
mot. — prenhe, parole qui ronforzs u gran
sens. Santa —, ainsi soitril. Peger da -,
prendre quelqu’un au mot; ackapier lolit.
eio. De — , de vive voix. Haller d —, mangte!
ä sa parole. Daruma— a alguem, dire un mi
a quelqu'un. Nde diser —, sa taire, ma bit
mot. Ndo ler —, no pas tenir sa pgsole. Pau
— ,patto-perale. On le dis lorsqu’en fsilpasse!
de soldat an seldat l'asılre ou Im na, Markt ®
—, boira, Ndo eniendo— , je meniends pas Un
not. Nom, pas um mei. Kap jede a amiel
de —, dans toute la fasce du uni. Bye, CH
ken dit, —s ne or, poselsa en laln.gul MM"
gnilleus pen, -& de seriqain, de UM ,
paroles’&e pur ooraplimen. Pd ”
PAL'
les lrompeuses. Formöss 1, pärofes (ormel-
ies. Homem de bias —s, homme qui promet
soutet et ne tient rien- Em uma ‚em duas ou pow-
Ca8 en un mot, en deux mals, en peu de
mois. | vias —s, demi-mot ou paroles mal ar-
ticaldes. —s eultas „ selectas ‚beiles paroles, —s
assucaradas, doces, paroles emmielldes. No
ser Kur bon —ı, n’6tre brave qu’en paroles. Ter
ge Pira obras, (sire plus de bruit que de
here obras e menos—s , moins
roles, plus d’offots. Ndo ka —s para pinlar
este espocioeui, nulle langye ne pourrait ren-
dire ce spectacl e. L. let
ALAYRÄDA ‚8. [.gros mot, e injurie
grossitre, indöcente. parola Injarlens,
PaLavazipo, A RB: de Palavrear.
Parav Ör. ” alavreiro.
Parıvazin, v.n. havarder.
aauaradıno, A, a, adj. parleur, habillard,, ba-
v
Pıravsinua, s. f. dim. de Palavra. Peiit
mot. le piquante. Ter —s mansas, eıre in-
siauant, manier bien la parole.
PaLavaöno, s. m. caquet, baratdage. Paro-
les oiseuses,, inutiles; galimalias.
Paravaöso. V. Verboso.
* Piusa, abreviation de Palavra.
Piuca, s. f. pale de calicc.
+ Päwco, 5. m. estrat; Iit Fportatif,
Pırzin, etc. V. Palliar
Piıgo. V. Pällio.
PaLzocrsrmia, 3. f. pal&ographie : scienoe
des &critures sainles 04 anciennes.
+ PıLgocaärnıco, A, adj. palsographigue :
de la paldographie.
T PALSÖCRAFNO , s. m. paltographe : qui s’a-
donne & la pal&ographie.
+ PııLxzöLoco, adj. m. paleologue : qui parle
ala manjdre des anciens.
+ PaLEontoLocia, 8. f. pal6ontologie : des-
eription des ötres qui ont jadis peupl6 la terse,
des animanx et des vegötaux fossiles.
+ Pırustina,s. f. (1. de geog.) Palestine :
Test , contre de la Turquio asiatique.
— ‚earactere d’imprimerie.
+ Paxpsting, aA, adj. et s. Palestin : de ka
Palestine.
Pauteraa,s.f. palestre: lien public desuine
aux exercices du 00rps ;ces exersices, (fg.)
Lieu oü Fon exerce les jeunes gens aux heauz-
arts, aux Sciences, aux verlus : academie, eig.
(fam. )Causeris, conversaliog, enirelien; Ca-
que,
PARTATRCO: a, adj. palestrigue : qui con-
earne la palesire. Exercicios —s , excrcicas pa-
lestzigges : iq lutie, la Dugilat, le traiı, la
ns
s. f. (1. de peiat.) palette : polit ats
paar ande les couleurs.
ÄuA, 4, [. paille : tuyan et dpi. do bie, de
seigie, eie., sans geains; Ldtu, peut bria
d’hergha, sic. (Ag-) Ghosp keghre, sana sulr-
stanpa, eic; (id.) Paille : jep SRTRNeR, PM
opposition aux &Jus, qui sont appel6s le grain.
e pa- | Por
paL‘ def
— de cambdlo ou de Mica, scherlänte, jone ade
ranl. lung de _ rapidement, en. un elin
deil. — , houime de foin, de prüfe,
de rien. nn com alguem, se dispyier
avec quelqu'un, lui chereher noise, Tomar a
— de fino, &ire fin, ruse. (Ag.) Avoir beay-
coup d’esprit. Parlir a —, rompse la paill
Yamitie. Tomar a — a alguemı, ‚etre plus and
que guelge un. „er urpasser quelqu’un,,
aquella —,( f fam.) pour un rien,
sans raison, sans moulf. Altercar sobre uns =
ou por dd cd aquella—, disputer sur la Reinge
d’une aiguille.
Paunica, s. f. cabane, chaumiödre,
PaLHACÄaGA ,s. l- espöce de souchet.
Pıınico,, s. m. paillasse, bouflon
PaLsina ,s. f. paille hachee a} cuite avec dur‘
son, pour les bestiauz. (A. .) Chose sang ,
solidite.
* Pırzapıca. V. Palka. ke.
PaLBÄCEN, 8. ne mon£eay,fas de pail
Pınnin,s.m." banken,
Pırzir. V. Poker ou Palkeiro.
*Pııuatönıo. V. Par
+ PıLnzicgo,&, adj. (d. de dor.) ae la a
ture de ls paille.
Pıuneciı, s. m. foin sur pied; contrde abon-
dante en paille ou en foin, .
Pıneinkıro,, 8. m. celui gui gaik arranger
les meules de paille. Pailleur : marchand de
paille ow de foin.
PıLzäıno , s. m. -peiller : ligu oü Fon serse a
paille. ° Meule do paille; grange, grenies 2,
foin. Buscar agulka em — , chercher ung Air.
guille dans une botte os eharpetös de foin.
Pıınzıno, A, adj. qui aime la paille,
Pııntra, s. f. V. Paldia. Palelte ; raquelie
*Battoir. Apche (d’instrument & vent). Paik-
lette d’or ew d’argent.
+Paınsräna, s. f. *coup de paleile, Em
duas —s, en deux coups de palelte:: prompie-
ment ou sans peltie.
PıLnRETiö, s. m. panneton : partie db Ta che
qui entre dans la serrure. Paillon : grosse pail-
lette.
Pırn£te, adj. 2 gen. paillet, elairepgvii)!
De paille, eouleur de paille.
PALsico , s. m. paille menue.
Parnico,a ‚ady. de paille. - “
Pııninua , 9. f. dim. Pe Palka. Pedw peine
paille d’Halie. Sorte ds Jeu de cartes.
Paunoca , d. f. chaummiere. a
PıunörA. V. Palhöre.
Paugäpa, s. f. palistade - Rölure aver der
ieu®.
P Pırlıao, #. m. petit baten die Bois‘ & Yonsgn
des tefnturiers.
PaLiurs£sro , 3. m. palimpseste : tabletid
domt en pouvalt elacer l’äcrkusg.
+Paumpaomia , 9. fı (. du med.) pelindre-
min : soflsz des ‚hasmcuss vieitop zers vn pat-
Kon-nohles du. sarpb-
Pırınönsa, s. f. pelinsdie „niimeisiet des
co qu’on a dit, Camiar a — , chanter Ja palipo-
868, PAL
die : se rölracier, surtoul de ce que on a dit
dumal.
+ Parınöro, s. m. (poet.) palinure : pilote,
eonducteur d’une barque.
Pıurrin, v.a. — os dentes, curor les denis.
v. w. (fig.) S’atmuser & railler, & plaisanter.
Paurriiro, s. m. celui qui faitow vend des
cure-dents. Etui &cure-dents.
Pıufvo , s.m. cure-dents de hols. Fazer d’al-
guom oseu — , s’amuser, rire aux depens de
quelqu’un, se jouer de lui.
+ Pırıöno, s. m. (1. de bof.) paliure, porle-
ehapeau, epine-de-christ, argalon de Provence:
espece de nerprun, arbrisseau de haies.
Pauızina. V. Palicada.
Piuta, s. f. V. Pala. Sorte de bätiment de
guerre en Asie.
PırLivıo ‚s. m. palladium : statue de Pallas.
(Ag.) Ce & quoi un etat attachait ou peut alta-
cher sa durde;; protection. —, salle de Justice
& Albönes.
Pırinpna. V. Barcaca.
PirLas, s. f. (1. de myih.) Pallas: deesse de
la guerre. —, plandie nourvellement observec.
ParLatörıo. V. Parlatörio.
PaLLıipo, A, p. p. de Palliar.
ParLiacäö,s. f. palliation, deguisentent; ac-
tion de patlier.
PALLIADOR, A, 3. qui amuse par de vaines
pareles; qui eherche & pallier.
Partıin (com), v. a. pallier: deguiser, cou-
vrir, excuser.
PırLiarivo,Aa, adj. palliatif: qui pallie, ne
guerit, ne remedie qu’en apparence, pour un
ıemps.
Pıruicana. V. Palicade. .
Pauuipfz, s. f. päleur: couleur de co qui est
päle, d'un blanc [ade.
PiLLmo, a, adj. päle, bli&me, qui a de la
päleur. Fazer-se, pör-se — , biemir, pälir, de-
venir bleme.
PiLLio, s. m. pallium : ornement envoy6 par
lo pape aux archevdques. Poele, dais sous le-
quel on porte le Saint-Sacrement. Prix de la
eourse : c’etait une piece d’stofle mise au bout
de la carriere,. Recsber com —, ou debaizo do
— ‚ tecevoir aveo le dais.
ParLLön,s.m. V. Pallidez.
"PiLma,s.f. V. Pelmöira. Palme : branche
du palmier ; ( ig.) viotoire , triomphe; arantage
zemporie. Feuille du palmier. -Paume do la
main. "Socle du pied du cheyal. Liso, plano,
rss0 como a — da ımdo, uni comme la paume
de la main. Levar a —, remporter la palme, la
victoire, le prix. —s, pl. battement de mains.
Trazer nas —s, (fig.) complaire, fayotiser en
wut. Ander nas —s, eire aim6 de tous le
monde.
PiLsa-Cnastzi, 6. f. (t. de bot.) " palma-
christi, orchis. Palma-christi , siein.
Pasmäsa, s. f. claque: coup de plat de la
main. —s, pl. battements de mains en signe
d’spplaudissement, sic.
PAL
Pırzäu, s.m. liea plants de palmiers. Us
meau os maison de campagne au milieu de
palmiers. "Croix ow croisee de chardens: in-
sirument pour relever le poil du drap.
Pıruär, adj. 2 gen. de la grandeur d'un
palme. Qui concerne le palmier oa la palme.
(Ag.) Clair, evident, manifeste.
+ Pııua-nea, s. f. (l. de bot.) * paima-real,
palmier de Cubs.
Pıımaninnmo, s. m. dım. de Palmer. Pe
bois de palmiers.
Parmatoiva, s. f.*coup de [Erule.
Pırmarörta, s. f. ferule: petite paletle de
bois, etc., pour frapper sur la main des eo
liers en faule. * Bougeolr : petit chandelier sam
pied et a ınanche.
PıLuatonıioa. V. Palmatodde.
Pıımatontäe, dv. a. chätier avec la Tärale.
+ PıLuein, v.a. battre des malns en sıgue
d’applaudissement.
Paımtına „s. [. (t. de bot.) * palmier : arkıt
qui donne des dattes,, son bois. — de igrrjs. k
dattier. V. Tamareire. — das caswursı, p)-
mier nain, palmier en eventail. — mach,
brava , le rondier, le Iontar, le cocotier de mer.
fe ciprier. — brazileira, ” latanier:: espöce 4
palmier d’Amerique. '
PııuziriL, s. m. V. Palmar.
Parueıninua, dies. de Palmeire.
“Pırukıno, 5. m. pelerin qui revient de lı
Terre-Sainte.
Pııuzsän. V. Palmsar.
Pıruzsiazs, s.m. pl. (6. de mar.) geirlanis
ou guerlandes : pidces de bols cintrdes quifer-
tiient et entretiennent la rondeur de !a pro,
etc.
+Pırudıra, 5. f. (1. de geog.) Palmell
bourg, et ancien chätesu dans une monlag®
4 !’est de Lisbonne.
PALNELLÄö, s. m. vent qui sone du ot? &
Patmella (V. ce mot), fort orageux dus ®
age.
PaLutra, s. f. spatule. °Coin pour peisk
un canon.
+Paıuireno, a, adj. (po#t.) qui abonde ®
palmiers.
Parmiıma, s. f. semelle,
d’un bas.
PırumLuaptına, 5. f. ravaudense.
PaLuıLHäno, A, pP. p. de Palmilkar.
PALNILHADOR , 5. m. ravandenr.
PıLmıLmin, v. 0. ravauder, resserneler &ei
bas. (pep.) Aller ä pied, battre ia semelle.
PıLniu, s.ım. (6. d’Asie) portier.
PaLwipeos, adj. 2 gen. (1. d’hisl. mat.) pa
mipede : & pieds plats, membransux oaet
conx de l’oie. —s, pl. palmipetdes, oiseset 91-
geurs.
PaLmıriL,s.m, terrain qui prodals des pol
mistes.
Pıruıräso, A, adj. On le dit de cheral qui!
los sabots droits et durs sur lo devant.
PaLuiro, s. m. paliniste : petite peime. R°
jeron de palmier. Palmite : mıoelle de Palme.
dessous da pi
Cr | | oT
PAM
Palme ou bouquet de fieurs qu’on met entse les
mains des enlants morts.
Piımo, s. m. palme, pan, empan : mesure
“gale & l’espace qui se trouve entre les extire-
miles du pouce et du petit doigt &cartes. — de
ierra, pelit espace de terrain. Ndo ver — de
terra, (fg.)n’y voir goutte. Ndo adiantar ou
ndo ganhar um — de lerra em alguma cousa,
(fam.) avancer tr&s-peu dans une affaire. Pal-
mo —,(fig.) peu & peu, avec difüicults, pied
& pied. Saber, conhecer a —s, (fig.) saveir au
jusie la grandeur, la valeur d’uno chose, en
avoir ane enliöre connaissanoe.
Pıröuas ou Pıröueas, s. f. Pl. (tl. de mer.)
cordages des vergucs ‚ manoques de bitord.
Pırrapeuas. V. Apalpadelar.
Purpir. V, Apalpdr.
PıLriver, adj. 2 gen. palpable : sensible au
tact. (flg.) Clair, evident.
+ PALPAYELMENTE, adv. clairement, dvidem-
ment, palpablement.
PiLPpesra, s. f. paupiere : peau bordöe de
cils qui couvre P’eil.
PıLrıtaciö, 5. f. palpitation : battement ,
mouvement derögle et inegal du caur. Agita-
tion : tremblement interieur ot involontaire de
quelque partie du corps.
PALPITÄNTE , adj. 2 gen. palpitant. p. ae. de
PaLritäir, e.n. paipiter : se mouveir d’aen
mourement inegal et fröquent; aveir un mou-
verment convulsif.
+Piıro, s. m. ( 1. d’hist. nat.) palpe : aten-
nule ‚ petite antenne , barbillon de poisson.—s,
pl. palpes:: tentacules mobiles, doubles ou
maltiples,, articules, papillaires, attachds & la
bouche des insectes, servant plus ou moins, ou
& la fois, de suppiement au tact, de Iövres
gustatives, d’organe oHacuif.
Pirxa. V. Porla.
PıLnapor,, A, s. bavard, babillard, häbleur.
PıLradüna, s. /. caqueterie, caquetage.
Pırnauinto. V. Parlamento.
Pırxin, o.%. (durl.) babiller, bavarder, ja-
ser, caqueter, bäbler.
Pırraria. V. Palradura.
Pıraatönıo. V. Parlatörio.
Pıırtıno, a, adj. et s. parleur, jaseur, ba-
vard , babillard.
Pauaısautiro.
Pıraömo,. } V. Palreiro.
+Piura, s. f. "paltas: fruit d’Amörique,
semblabie ä la poire: de bon-chretien.
+ Päuro, s. m. ( $. de bot.) avocatier : bei ar-
bee fraitier d’Amörique, qui produit les paltas.
Pırupamtnto, s. m. manteau brode d’or des
anciens empereurs romahıs.
PıLöpe. V.
PıaLunoso, A, adj. mardcageux.
Puuisrag, adj. 2 gen. de marais, de mart-
sage.
Pıu. V.P&o.
Pımweanipa, 8. T. (t. burt.) chose vaine,
fausse apparenoe. '
7 Paurirno 's. m. vertt Urbgeux sur los oßtes
PAN 869
de l’Amerique möridionale, espöce d’ouragen
gui vient des Pampas.
Piurano, s.m. : branche de vigne
avec ses feuilles. Bourgeen de la canne & su-
cre. Sorte de pelit poisson.
t Pauranöso, A, adj. couvert de pampres.
Germmipare : qui prodait des ‚bourgeens.
PıwPiLno, s. m. dard & erechet.” Adguillade.
—aqwdlico, (1. de bot.) buphtalme aguatigee.
— maritimo, (id.) buphtalme maritime, — de
Valenca, camomilile de Valenoe.
PANMPinzo, A, adj. de pampre; are, minee.
PanPınöso, A, adj. pyampre. V. Pampe-
n0s0. .
+Paurıöna, s. f. (i.de si )’ Pampelune :
ville d’Espagne, en Navarre.
Pıur6ruo. V. Pimpäliho.
t Pauroncino, s. m. (4. de doi.). pain de
pohrcean, eyclamen d’Europe : plante mödioi-
nale.
Paupösto, 8. m. populage, sonei de marais :
plante,
T Pin, s. m. (1. de myih.) Pan : dieu des ber -
gers.
Panacka, 8. f. (4. de med.) panaote : remdde
pretendu universel. —s, pl. ( 1. de bof.) pana-
cdes: espöce de plantes eeiebres par leurs
vertus.
Pınacko, s.m. V. Panacds.
Panacd ou —cöm, 8. m. (d. du Brös.) espece
de panier long.
Pınipa, adj. f. Agus — , oau pande.
+ PANADURA, s. f. gamilare en fer des mau-
lins & sucre.
PıniL, s. m. grande toile sur laquelle on
forme le pain. Grosse botte de paille. Rayen de
miel. Arrimer, r0— s alguem,
(kg. fam.) se debarrasser d’une affaire incom-
mode en en chargeant un auise.
fPınamä, s. m. (1. de geog.) Panama : ville
forte, &pisoopale, de ja‘ Nouvelle-Gromade;
province et isthme du grand Ocean.
"Pınania, s. f. grenier.
Pınanricıo, s. m. (4. de chir.) penaris, mal
d’aventure,.
PınascäL. V. Panasgueira.
Panisco, 8. m. sorte d’herbe de pälurage.
Panasoutına, s. f. "champ ob ilya des pa-
nascos. V. ce mot,
+ Panatu£nıos, s. m. pi. (1. d’ani.) panate-
nees : fetes & Athönes en I’honneer de Mi-
nerve.
-Pinca,s. f.(t.burl.) panse, bodsine , gros
vente. Encher a — ‚ farcir sa bedaine.
*+Pıncar,s.f. rouleau, piece de bois sar
laquelle on fait rouler des fardesun. -
Pauncina,s. f. "comp. "Chec. " Baltement,
heart, pulsation. Cadenoo dans.lo vers. Imsi-
nuation indirecte. Manie,, accds de felie.— de-
gua, ondöe. De —, en meme temps ou A la
feis, tout & oaup ; soudainement. 4’ —, a loree
de coupe. Motr algusm com —<, hrisen qual-
qu’un de coups. Ir, anddr ds —s , so hatiza &
coups de biton, en voniz aux malns. Fer -
m . PAN
08 As = ‚ (fig.) dire Hmbre, avair un coup de
bashe.
Pıteusdimta, dim. de Pancade.
Panchama ,s. [. cowrenne de diverses Reurs.
d. V. Miscolansa.
Piucinro, s. m. ($. d’amt.) spootacle ou ps-
raissaiont toutes sortes de hätes.
*Pıneus. V. Proneks.
Pantsanitı,s. m. (1. d’Asis) ferne , ddlai
de cing jeuws.
Pinchreas, 06. V. Pancreas, etc.
PAncHrMA00cO, 0. m. (1. de mid.) pamchy-
magegus : (remöde) qui purge toutes los bu-
meurs.
+Pınpaaclı, &. f. pancratie: les cing oxer-
eices gymniques, saveir: le pugilat, la luie,
le disque, la course et la danse.
+ Paucrioe, s. m. pamcrace : ezorcioe de la
Iatio et de pugilat. V. Pancresis. is. ° Pancrea
tion , scille.
Pimenzud, s.m. (1. d’enah) pancr&es : GOFpS
chernu au milieu du mesent£re; glande der-
riöre P’estemac.
PANCAEBÄTICO, A, ad}. pancreatique : qui ser
. ds yamerdas (Sue); qurlai apparlient.
4 Dancazıriras, 0 [. (1. de mid.) pancrha-
tie : Infdammetion du panszeas.
Pancüoo. V. Barrigudo.
Pıanparing. V. Pantane.
Papozia, v. ». plier, faire vonire, se d6-
jeter.
Pınpkoras, s. fi pl. pandecten : reeusil des
deeisions des. jurisconsuiies, oomrerties en
lois, compilees sous Justinien.
Paubsıntino, s. m. ceini qui [alt ou vond des
tahnkeuss de basyue. Jousmr de tambour de
basausı
Pamerammo , dib. de
Pınptino, s. m. tamsbeur de beaqus. (A)
Gtend porieat qui mp dit que des soltines. Um
Döusrunlioe cold 0 —, (Ag.) Y'aflnite ası eu bonnam
mains. 1
° Panpentra,s.f. 4'0 €, mal, on döserdre,
alorneme.
Panpirua, s. f. brigue, ligue, complot paur
tromper quelqu’unz eligee.
Pawsıusiäthe, ». ws. browilion. laelieux, ua-
betur. Calai qui ssrumıge \ks saries pame Iroln-
per au jeu.
um, ı, alj. courisb, vohts. Feine 8,
pilineb valtus. Akas --s, allen Atploydes.
Pınvöna, 8. f. (£.de myth.) Pandore : fommas |
quu- let deut oemhlörem de dons. Bordia de
— ‚botite@e Paadore, gqei renfermait tous les
+ Pınpönas, 0. ın. pi. peupiee d’Asie, irder
es, 6-On,ga co qufils ont den che-
vo@i biRrs vrant'jaumned ot des cherayı meins
das ta vieikass. a
° Bumböltn, s. f. suwent brufamt de divam
Yeitduinenw du ; + Tigtnarıe. Chesd
wen: ( Jam.) Oroame oma iepläte, pe»
Paz werner entyyrigue ı
PAN
petims,, diseours, pareles a la lonangs da quel-
qu’un.
PAnEGYRaSTA, #. m. pandgysiste: qui [si u
pandgyrique; (Ag.) porseune qui om jene um
auire.
+ Pawzoraıtaa, v.a. feire lo panegyziquede
queigu’an ; louasger, deuner des diogws.
+ Pauzoraıs, V. Ponsgyrico.
Pıntıno, s. m. “ banne; panier.
Paxzas. V. Alchirivia horienss.
+ Pauzsino, A, 9. p. de Pansjer. Rep
dem —as , ( 4. de peint.) Jraperie bien jelee.
+ Panzsin ou Bannssäs, ©. a. (L. de peial,
— 15 voupas , jeter une draperie, draper.
PınsıLa, 9. [. marmite, pol de lerse ou de
metal; pot-au-feu. (4. de bis.) Pelit ecusee,
en forme de cour, ä champ de guesies, qui
mat dans les quartiers de l’6cu principal.
ha — sem testo, (fig. few.) iln’ya si peiitpe
qui ne lzoaYe son couverclie.
PANELLÄDA, s. f- pol&e : contenu d'un
Pamerrinna, 5. f. dim. de Panels.
marmiie, petit pot de terre. Fezer —ı om d-
guem, (fam.) cabalex, intriguer.
Pant ts, a. 9 dim. de Pdo, Petit pain. Toms
0° m. (vuig.) fair.
PınKt£La, s. f. panade : esp&oe de so
falte avce da pain Eis.
Paneita, e m. soris d'embarcation d’isia
Pauamör, 6 f. serie d’embazcalion lgkn
d’Asie.
Pinua. V. Peine,
Pono.
Pamasuino. V. Pesigwado.
yamchu, 16. (b E Asse) melise d’armes ie
sises.
Pamcisx, & m. “meladie, Irequenis dam
’Inde, qui fait enfler les pıods.
Panico, s. m. "sorie de tolle de aaa &
Bamhnurg. “ , . .
Pimp, A, adj. panique. On Je dis dust W-
reur subite ei sans londemsent. .
+ Pamicura ‚4. [- (4. de das.) panloula: de
botte, en bouquet.
+ PanıcuLino, A,adj. (4. de bet.) penic:
(tige —e), en pa
nichle.
Punicus ‚a. m. (1. d’anas,) gannicule: MER
| brane culanse sous la graisse, ul den I) aus
cles sont souvent envelopp6s.
Panıcuino , #, m. cvommensal. T. Apr
guade.
Pıxinno,s. m. dim. do Pang. Pati merar!
de linge. *Percala ; salicet.
Pino ou Pinno, s.ım. drap : Malle de
Taute sorte d’&teffa; Valle de de Is,
d’une robe, etc. Moregau d’4iolfe, de tailt, &*
Linge pour les plaies. * Tacha .netgrelle #M h
oorps, et surjauk a9 wisagn. " Tache qui MP"
un mireir, zailla dans un diamant, ai6, V®
de navire. "Toile, rideau qui eache Io hal
— d’armar, lapis, tapisserie, vensare. Beh
chadura, yolasun, — de vesie vun
| seurs au a are pas damen
nd aanlaan d’R -
PAR
olhos ‚taio sur les year, Correr a todo —, aller
toutes veiles dehors ; conrir a toute bride. — do
pulpito, piece d’&toffe qu’on met sur fe devant
de la chaire ies j6urs de sermons. — da tumba,
drap mortuaire. Com todo o — largo, (t. de
mar.) & toutes volles, & pleines voiles. Por o—
sobre, (id.) coiffer les voiles, mettre les voıles.
sous le mät, brasser les voiles & culer, brasser &
contre ow contre-brasser. Um — de vela,
”cueille, I6 de tolle. Harer, ter — para man-
ges : ( ig.) se dit d’ane chose abondante dont
on peut disposer. —s, pl. habits, velemenis.
—s menores, habillements de null. —s da co-
linka, torchons. —s quentes, (flg.) soins, peines
qu’on se donne pdur presser quelqu’un d’agir,
06 pour mod£rer sa Irfop grande rigueur ei sa
severite. it. Remede, moyens palliatifs.
+ Panococo, 5. m. (1. de bot.) panococo :
grand arbre de Cäyenne, bois de fer.
T Panonimi,s. m. panorama : tableau cylin-
drigae, au centre duquel on place le spectia-
teur et qui represente un horizon entier; bäli-
ment qui le renferme.-
Pınörrı,s. f.(t. d’Rist. nal.) panorpe : mo
che-scorpion. |
Pınotna,s. f. (l.d’Asie) espece de grande
galöre de haut bord. —s, pl. Epees attachees
aux dents des @lephants de guerre.
Pınsi, etc. V. Panga, elc.
Eantarıgöoo „A ,.adf. (buri.) jouffiu.
Pıntrarkö, s. m. bouffon, pantalon.
PantaLönas, s. f. pl. "pantalon : vöternent
d’homme qui couvre le corps de la ceinture aux
pieds.
PantaLonfce, 8. f. pantalonnade, bouffon-
neries.
Pantäna, s. f. (pop.) "bourbier. Dar com
tudo em —, gaspifier son bien, se Fuiner.
PantaniL, s. m. grand bourbier, marecage.
Pistano, s.m. marais, bourbiar, mare d’ean.
— esgotado, marais desseche.
Pıntanöso,A, adj. bourbeux, rhardcagcux.
+ Panturisuo, s. m. pantheisme: systeme
de Spinosa, qui reconnaissait pour dieu tout ce
qui est, le grand tout ow P’unirers; nature di-
vinisee.
+ Pıntıneista, 8. ot ddf. 2 gen. panthäistfe:
partisan du pantheisme, ce qui tient ä lui; qui
croit que Dieu est le tenf.et quo le tout est Dieu.
+ PAnTREoLoGiA , s. f. pantiöofogte : tous jes
die@x de pagamisıhe,
Pıwresön, 4. m. Patäden : Vempie eonsacre
a tsrıs les dieux , 2er uade hommes.
arme , 4. f- (f. Biel. nal.) panthöre s
bete f&roce, fauve, marquw6e de taches WERTE
en suweibE “
+ PınTochsatt „3, um instuument PORU MN“
surer lociel etla terre, ontlomonde,
t Pıntpesama, 5. m.. panlegsaphe , singo:
instrument pour cäpier madcapiquiement, ans
qu’il sail necessaite de sonnakre Je dessin. —,
insteumenk, perspeclil qui ser & la reduction
des objets. »
PANTONKTRA ou —TRO, 5. Wr. panlomälre:
peche. V. Campeshsfiro. — de
pıAo ı
fnstrument de geomätrie pour mesurer 1ds an-
gles, prendre des hauteurs.
PANTOMIiMA, 3. f. pantomime : art du panto-
mime; piece rendue en gestes.
PANTOouimico, A, adj. qui concerne la panto-
mime.
PARNTONIiSO, 5. m. pantomime : acleur qei ne
s’exprime que par des gestes,
” PANnTONEIRA. >
PANTORRILHA. | V. Panturrilha.
Panturäna, s. [- "coup de panteuße,
Pınturo, s. m. *pantoufle : chaussure de
pied pour la chamıbre.
Pantünna, 8. f. (burl.) gros ventes, ( Ag.)
Vanile.
PıntüunriLHa,s. f. ° mollet: gras de jJembe,
Chaussettes 4 mollet, [aux melleis.
Pio, s. m. toute espöce de bois. Bitem. Ss,
pl." quilles. Trefle, couleur au jew de euries.
— calinga, costus arabique. — de oohrdien. V.
Cobreleira. — Brasil. V. Braxilelo. — de en»
V.
Quassia. — ferro da Indie, nagas. — saundal.
. Sandalo. — rosddo, gendt des Canazies „beit
de rose. — sanguinho, bois de sang, bois de
Nicarague. — sanio, gayac ä fosillen de Jeui-
lisque, bois saint. — melle ou volho, * acaele &
odeur de sursau. — d’aguüls, calembeun, =
röxo, " palissandre, Der com —, donner des
coups de bäton. — da bandeira, (#. de mar.)
bäton ow mAt de pavillen. — ds Äujarrens,
(id.) boute-hors du beaupre, bäten de foo; satt
du perroquet de besupre. — de borde, (id.)
bouts-beors & charger un vaisseau. — eUp ug Se
caca a bandeira, (id.) arc-boutant ferrd. Me-
mem de —, homme de peille, — pare feds
a obra, selle & tous chevaux, ben & tomt, &
mettre & toute sauce. — de choselale, IOE®-
soir. Por —s e por prdras, A tort a. & Lravert:
par sauts ei par bonds. Armer 00 —e, premdge
ses mesures, Pdos das amures de Iraquößt,
(1. de mar.) minoirs, ports-lefe, beute-Iois.
Pdos de cutellos, (id.) boute-hors des vengus®
#u des bonneltes,
Pio,s.m. pain: alimıent Isit de Sarine de
bis, eic.; (Ag.) nourritare, subsisianee; palıı
de sucre, de cire, eto. Bi& "Feuille dies em
d’argent bastu. — cassire, amassado em E40;
Bain de menage- — duro pain zensis , qui n’esä
pas tendre.. -— de rala ou de raldo, pain hie.
— fermentado, pain leve. — Üvado, pain geb
pris som appsät, qui ass patt Aötzc min dens fe
four. N&o comer 0 — de balde, gaganı son pai®
par son Aravail. Comer e -- com eöden st BF)
mötze plus enfant, areir de lewpörianon. —
meddo. V. ce mot. — tergado, pain fait de fre-
meni,de seigle ei d’orge. — por Dong espöss
detrennes le jour de la Toussaint. — de gel“.
Inka, espöce d’insscle au Brisil.—- da garen
ou porcino. V. Pamporcino. Casa onde ndo ha
— jodos ralhäo e ninguem lam raxdo,(Prov.)
qmand H.n’y a point de fein au rätelier les che-
vaux se battent. Tira o — da boca para o der
aos pobres, il prend sur son pain pour donner
872 PAP
auz pausres. Comer o — que 0 diabo amassou,
(fam.) manger de la vache enragee.
+ PioL.ipa,s. f. coup de bäton.
Piozimso, dim. de Pdo. Petit bäton.
Piozinno, ‚dim. de Päo. Petit pain.
Pira, 3. m. pape : ev@que de Rome, chef de
Yeglise universelle.
Pirı, s. f. bouillie pour les enfants. V. Pa-
dertor de — , coaverture de laineä longs
pas. Co
poils.
Parina, s. f. double menton. — de boi, *fa-
non : peau qui pend sous la gorge du en
Parsopinua. 5. f. dim. de Papada. P
charnue au-dessus du menton.
ParipO, s. m.“ papante : dignit# de pape.
Pırarico, s.m. (f. d’hist. nat.) bec-fgue:
perroquet, bon-
nette. —s, pl. (id.) basses voiles (la missine et
oiseau. (}. de mar.) * Voile de
la grande voile).
+ Paravonuicas, s. m. (8. d’hist. nat.) four-
milier : oiseau d’Amerique, qui se nourrit de
fourmis.
Parıcisa, s. f. perroquet femelle.
PaPraGaläk, 9. 9. jaser comme un perroquet,
jaboter, caqueter, babiller.
Paracilo, s.m. (1. d’hist. nat.) perroquet :
olseau grimpeur. Cerf-volant. — cinzento de
Guwind, perroquet cendre.— colieirado das Mo-
iueas, lori A collier. — de cabega Dranca das
Antilhas, * amazone a tele blanche. — de faces
las, * perruche. — colleirado d’4-
penmugen
lssandre Magno ‚la grande perruche & collier.
Fellar como um —, parler comme un perro-
quet , sans savoir ce qu’on dit.
Pıracätos, (4. de bot.) V. Amaraniho papa-
geio.
PAPAoßnTE, adj. 2 gen. mangeur d’hommes.
PaArasanTÄnzs, #. m. piqueor d’assiettes,
perasite , soommifleur.
PariL, adj. 2 gen. papal : du pape.
rt ParaLecoAs ,s. m. grand marcheur.
Parauino, 8. m. papalin : soldat du pape.
+ PıraLnänte, adv. comme pape, d’aulo-
rite papale.
PariLva, s. f. espöce de fouine.
PıriLvo, a, adj. (f. ber.) ben6t, jocrisse.
Papauöscas, 3. m. (l. #’Metl. nat.) gobe-
miouche : variete du I&zard vert; genre d’olseau.
(Ay. fam.) —, nials, crödule, qui s’occupe de
riens, croit toutes les nouvelles.
Pariö, 5. u. ogre, oroquemitaine, moine
beurru.
Pırartizz, 3. m. atirape-poisson : osp&ce
d’oiseau du Brösil.
Pırin,v. 8. (b. enfanfin) manger, sans mä-
cher,de la bouillie, de la soupe, eto. Avaler,
gober.
Pırınicmo, 5. mM. (t. burl.) ragoht exquis,
friand.
Pıranoriva ou nourriture des pour-
Pıranoricen,s.f. | ceaur.
Piranöre. V. Piparofe.
Paranräz, s. m. (t. de bot.Y V. Estaphysd-
gria,
DAP
Pıraanisa, ade. (1. Due.) le ventre en bakı.
Piras, s. f. pl. bouillie de farine, panadr.
PıriVvEL, adj. m. propre ä ötre ela pape.
+ Paräva ou Parivo, s. m. (4. de bei.‘ pı-
payer, papeau : arbre des Indes.
Pıräz, 5. m. nom qu’on donne sur les cöies
d’Afrique aux pretres chreliens.
Pırızina. V. Comezdina.
Pıreir. V. P sidr.
Pır£ıra, 3. f. "goltre, gotire ou goutin
tumeur grosse ei spongieuse & la gorge, bres
chocele.
PaAPEıRno, 5. m. pot pour la bouillie.
PaPp£ıro, A ,adj. goltreux : qui a le gollrt.
Pır£is, s. m. pl. titres,, papiers, ele.
Pır£L, s. m. papier : feuille faite d’une pil
de vieux linge broye, etc. (Ag.) Me&moire, cos
position par &crit. Role de comedie. — aperye
minhado, papier velin. — jespeddo, papit
marbre. — passenlo ou mataborrdö, papitı
brouillard. — assignado em branco, blax-
seing ou blanc -signe.— de merca maior, grand
papier. — mode, papier monnaie, biles
royaux ou d’etat. — se ‚, Papier timbn.
Fazer um—, jouer un röle, represenier u
personnage. Representa bem o seu—, il jow
bien son personnage. Fazer grande —, (Ay.
jouer un grand röle. Faser — de folo, du
dalgo , etc., faire l’imbecile, faire le seignent,
etc. Fäbrica de —, papeterie ‚ fabrique de pr
pier. O — tudo consente,, le papier souflre !vel
Papeis falsos, faux papiers.
PAarELÄDA 0W paperasse ; 135 de pr
PırsLäcen,s.f.) piers.
PırELäd, s. m. carton. (8. berl.) Fat.
Pıreu£ina, s. [. " secrötaire : bureas 4 e-
rer des papiers.
PırEL£ta, s.f.*journal ou papier-nonvelle:
bulletin.
PıreLico, s. m. cornet de papier.
PırsLingo , dim. de Papel.
ParELista, s.m. homme qui manie des pr
piers, qui s’y connalt. Paperassier.
PArELöTEs ‚s. m. pl. * papillotes : papien
dont on enveloppe les boucles de ebeveur-
Pırtsa, s. f. papesse.
Pirna, adj. f- (pedt.) surmom de Via
adoree ä ee
+ Pirmo, s. f. (1. de gdog.) Paphos : ville de
Chypre, aujourd’hui Balo.
PırtLionäczo, A, adj. (4. de bot.) papibe-
nao6 : se dit des Aours dont les oorelles rer
semblent & des ailes depapillon.
Parizza, 5. f. (f. d’anel.) papille : danisene!
norvouse de la langu®.
Parriıin, adj. 2 gen. (1. d’anat.) popfllelt:
(tunigue —) ou membrane de la langue.
*PıriLio. V. Papel.
Pırinna, 3. f.dim. de Pape. Bonillie peut
les petits enfants. (Ag.) Cajolerie ruse, artißee.
Der — a alguem, (fig.) donner de ia gabstiae:
queiqu'u.
en falre accroire ; amadower
Pırino. V. Papyro.
BAR
Bımmönca , s. fit. burl.) woraperie. Paser a
— asiguem, Lromper quelqu’un,
Parisuo, 3. m. papisıne. Nom odieux que les
pretestants donnent & la religion caihelique.
Purista, 5. m. papiste. Nom donn6 par les
proiesianta auxcatholiques.
Pire,s. m. gosier. Jabot: poche des oiseaux
sous la gorseo. Golire.V. Papeira. Fallar de—,
parler du gosier, avec l’accent guttural; (fg.)
parliee avoe bauieur, presomption. Ndo fazer
—, 50 pas satisfalre, nö pas contenter. —s, pi.
beouillons d’6toffle. —s d’anjos, sorte de confi-
tuse söche d’aufs.
Pıröra, 5. f. (1. de bot.) "pavot rouge des
champs, pavotsauvage, coquelicot. —da China.
V. Aless.
Parttas, s. f. pl. (4. de mar.) pieces de bois
oh sont attachees les poulies des drisses.
+ Pıriımo, s. m. (t. de bot.) "aigrette: brosse
en eoutonne au haut des graines des acantho-
668.
+ Pınııu6so, A, adj. (t. de bei.) aigretis :
termine par une aigrette.
+ Pardas, e. m. pl. peuples de Pile de
D. Gesrge, & l’est des Moluques.
PıPöno, A, adj. qui a la gorge grosse , gol-
treux, etc. Qui a un gros jabot, parlant des ol-
sesux. Saillant, releve, renfle.
Pıröz,s.m. V. Chinela.
Parr’ao, 8. m. papyrus : plante d’Egypte,
dent l’6corce interieure servait de papier.
Baquanörz, s. n. V. Poqusie. * Voiture &
qualre roues.
PAQuETz , s. m. paquebot : navire perteur de
depeebos, de voyageurs. (4. burl.) Entremet-
isur, maquerean.
Pagtirz, s. m. (1. de bias.) plumage sortant
d’an casque, cimier.
Pir, s. m. * paire : deux choses de möme es-
pöoe; couple. Pair : titre de dignite en Angle-
terre, en France, etc. Sem — , incomparable,
non-parell, unique, sans dgal. A—, A cöle;
ensemble, de compagnie. Egalement: sans dis-
tinction, de pair. Porta, janella aberla de —
em —, porte, fen@tre entiörement ouverte, ou-
verte & deux battants, toute arriöre ouverie. A
gares, par paires, de deux en deux. Jugar a
—18 OU none, Jouer A palr ou non. O meu par,
mon parfenaire.
Päir, edj. 2 gen. pair, egal, semblable. Pair:
on le dit d’un nombre divisible par deux, sans
fractions.
Par-a-PaR, ade. de pair; ensemble, deux ä
deux.
Para, prep. pour; sur le point de; pret &;
en; vers. — quo, pour que, afin que. — que?
pourgquoi faire? & quel propos? & quelle An?—
semprs, pour loujours. — com, enveors, & l’6-
gard de. — ums s ouire parte, d'un cöls et
d’antre. — o diente, a l’avenir. — eima, en
baut, par haut. Elle ndo presia — nade, il
n’est. propre & zian; il ne vant rien. Sem quo
nem — que, sans Talson, sans melil. — quo
— u
p
PAR 97%
V. M.osaiba, sn que vous le sachiez. Be mim
— MIR OU — COMmMmigO, EN Mei-Mäme.
+ Parä, s. f. mesurede conienance ACeylan.
T Pınä,s.m. (8. de geog.) Para: ville, ri-
viere du Bresil.
Pıraseu, 8. m. "felicltation, oompliment de
eongralulation. Dar —ens, föliciter, compli-
menter.
PırisoLıA,s.f. parabole : allegorie , simili-
tude dans IBrangile, qui envoloppe une verite
importante ; Ti. de gdom.) courbe qui n'est pas
rentrante comme le oerofe, formeöe par la sec-
tion d’un cöne par un plan parall£le & son cöıe.
ParasoLinos, 5. m. pl. parabolains : les
plus hardis des gladiateurs.
PARABÖLICANENTE, adv. paraboliquement.
PARABÖLICO, A, adj. parabolique : qui ren
ferme quelique parabole ou allegorie ; de la ps
rabole, courbe en parebole.
PARACENTESE ou —sıs, 8. f. (ti. de chir.) pa-
zacentöse : ponciion au bas-ventre, etc.
PARACHRONISNO, 3. m. paraehronisme : ef-
rear de date, en relardant une &poque.
ParacLeTeir, o.n0. (. burl.) souflier ä quel-
qu’un ce qu’il doit repondre.
PARACLETICO , 5. m. Paracl&tique ou Invoca-
wire, livre d’office grec.
PanacıEro, s. m. Paraclet: Saint-Beprit, con-
solateur. (1. burl.) Souflleur, qui souffle ce
qu’on doit dire,
PanricLito, s. m. Paraelet:Saint-Esprit, con-
solatenr.
Panacuästico, A, adj. (t. de med.) parac-
mastique : (fievre —) decroissante, qui dimi-
Due,
Paripa, a. f. stallon, sejour. *Lieu oü l’on
s’arrete. Fin, terme, e. Pause. *Endroit
oü l’on rassembie les troupesux. " Relais. Cou-
che, mise : somme qu’on met sur une carte.
Parade : montre que font sur la place les trou-
s qui vont monter la gerde. (li. de man.)
arade : arröt d’un cheval qu’on manle. Aug-
mentar a, couvrir la mise. — debräda, dot-
ble enjeu. Bobrer a—, faire un alplou, dou-
bler la mise apreös Yavoir gagnee, faire va-lout.
— dum cdo, arret, Yaclion d’un chien qui
s’arröte. Fazer —, [aire une station, Se repo-
ser quelque temps. Corrida de cavdilo e — de
sendeiro : on le dit d’un homme qui commence
avec ardeur, et quali se ralenäit lout A coup.
Panankıro, 3. m. Hau oü l’on s’arrete. (fig.)
“Fin, terme, borne. Lieu od quelque chose va
so decharger ou aboutir.
PARABICHA, 5. m. paradigme, exemple, mo-
dele.
Paripo,A,P.p. de Parär. adj. Arreie ; sus-
pendu, interrompu. Oisil, desauvre. O me-
Ikor, o mais ben —, ce quiil ya demieux, de '
plus assur6, etc. Negocio dem ou mal —, al-
faire en bon ou maurvais &tat, qui prend une
bonne ow mauvaise tournure. Ficer —, s’at-
röter, oasser d’aller, de Marcher, de faire.
Pananen, 5. m. :V. Apperedör. Jousnr qui
joue gros jeu. ‘
gys PAR
Pızanbuno, V. Paradise.
Pırunöxa, V. Peradozo. ,
PanınoxäL, adj. 2 gen. paradozal : quitient
du paradoxe, qui l’aime (assertion, esprit—).
Parınöxo, 3.m. paradoxe: proposition cOBr-
traire ä l’opinion sogue, proposition speeicuse,
mais fausse,
PıranöxO,A, adj. paradoxe, paradoxal, in-
croyable.
t Pınapoxisuo, 3. m, paredoxieme ı Ügure
de rheiorique qui consisie A reunir dans un
möme sujet des attribuis tr&s-oppos6e.
Pirıro. V. Perdgrapko.
+ Pina-röo0, s. m. ecsan : sorie de meuble
pour garantir de l’ardeur du fen.
PARAFRAKE ‚ots. V. Peraphrase, elc.
Panarusaoön, A, #. celui qui visse; (Ag.)
pensif, qui medile, qui zöve, ale. .
Pandrusin ‚v. a. visser, autacher avec des
vis. o. n. (4. burl., Eise ponsil, mediter, rever,
Fuminer.
Parardso, 6. m. "vis ı piöce cannelde en spt
rale, entrant dans un derou. *Ciof de pressoir.
— de elevapde, (1. de mar. vis do pointage.
Paracänas,s. f. pl. * biens foodauz sur-
chargss de ceriaines obligalions en tempn de
paix et de guerre.
*Pırackö,nm. V. Comperagdo, Semilkangs.
Pınäcsn, a. /. "parage : enpace de mer oh
se trouve un vaisseau. "Lieu, situation, em-
droit, plaos. * Bite (on peintere).
PınÄcoce,s.f. (tl. de gram.) paragoge :cham-
gement dans le matsriel d’un mei pas une ad-
dition änale.
PanicnAarno, 8. m. paragrapbe : petite 200-
tion d’un discours; marque qui !’indique ($).
+Panastir, s. m. (6. de gdeg.) Paragusyıri-
vitre, province de !’ i msridionale
T Paxıina, 5 f. (l. de gdeg.) Paralba ı
vince du Bresil.
"Paniimtxtss, pour Repearei (remardguez).
Pasıiso, s. m. paradis : jamlin deliciguz;
lieu ıwös-agreable, oü Fon os heureaz ; scjeur
des bienbeureux. — lorresi ou lervesire, pa-
radis terresire : Jardin deliseiser od Dieu mit
Adam. —colssie , böatitade elornelle. Ave de—.
V. Manuoodisia. Avvore de —. V. Agtosaste.
B um arremedo ou imagem do—, sen un petit
paradis.
PınaLztiao,s. m, "meule du swere,
ParıLIPönusnoN, 9. m. Peralipemömes ı liure
de la Bible; sugpläinen: ass livres des Bois.
Pırarısin,etc. V. Parelpar, eis.
t PanaLLicssco, A, adj. parallactigee : de
la parallaxe.
pre-
Parsızize, 9 f. (h d’aslr.) ae: a
ctleste compsis entre lo en vos ale se
apparent d’un asire ; vate apparikienn.
araLhirıce, V, Parslisehleo
+ Prasuutusa karız „ade, paraliöiement, em
par ®.
Pırnuıuauwiruee, ». 0m (£ de giem.) pasal>
ı sefide (emzalad par ein pazuiktie-
is e8 dgaux deux & deux.
Panass.usisnte, 0. a umslölune ı dei de
deux lignes ou plans pasalldies.
PansLniLo, 3. mu. perallöie, comparaset.
=, pl. parnilöles ; oeroles peralities 4 Fogue-
tour
PıraLıtıo, a, adj. (d. de geem.) pazelliie:
(ligne, surisee-—), sgalement distenie dm
autre dans Ious les points. Aemblable, eure
pondant.
PARALLELOCRÄNO, 8. me. (4. de gäsen.) pasık
ltlogramme : ügure plone, & ebtbs eppanis pı-
ralidles.
ParaLocis#o, s. m. paralogitune ı fauı su
sonnoment par igrrorante »differn da sophiumi.
+ Panarocızka, 9. w. (size um paselsgiuit,
persuader par de fausses raisons.
+ PasiLra, 5.2 gen. petilmalire, öldgam,
eoquet.
+ Pakirrviume, s. m. balatrom : libeztin, d4
baucht.
PARALYSÄR, c. 6. paralyser : rendre paraly-
que, (Ag.) de nel efiet, sans forasz mebir
inutile.
Pararvsis, 8. f. paralysie s privalbes, dis
nulion considerable da dentimmemt cu du Mnt-
vement.
PanaLr'tco, A, adj. peraiytigus ı qui
atteint de paralysie.
+ Panauäcıo, s. m. (f. E’Iolst. aa.) perzmb
cio : ver Infuseiwe, plat, eßleng-
PıARANENTÄD®, A, 9. p- 68
PanaNKHTÄR, 0. 8. OrBtr, paser, dis &
tapisseries, etc.
PARABERTÄR-SE, 9, F. 50 PATER, So WR Ir
chement. Aev6tis des hablıs sasendeteun
PARAHENTO,s.m.omement, "Teens,
6aparagon, couveriure de cheval, Tout ee 44
sert ä courrir quelque chose. * Moulsse de U
Bouche du mortier. (ani.) Regime ‚ admlinisirt
on. —s sacerdolaes, ornements, habils sıett
dotaux.
Pırizerro, s.m. (I. de gdom.) pammilt:
ligne consianfe et invariable qui emize dam
l’6quation d’une courbe,
Pirauo,s. m. " berrie ow ande : onıhpagps
deserte, plaine inculte,ouverte A tous les TEnlk
( ig.) Endroit inhabite et irts-froid.
*Pıninca. V. Paramentie.
Pırancönä, adj. f. Lettra —, (L. ding)
*parangon : caractöre d’imprimerie.
Pınince, 5. m. (1. d’4sie) enıbarcalen
charge.
Pınanomissa, s. f. paranomasie : resstii
blanee enıre denr mots de Atlfitremtes Tanguer
PARANTE. V. Ante, Perente.
Panunr'weus, 5. f. delle gut uhdumnet it
marice dans io nis 68 ion Apex. (PR
o©.
Panssrarmän, ©. @. ae wo
dans ua parauympbe. V: .
Parswr'armnos, 2, adj. du garanyinpbe: 9
coucomwe fes "
open.
Pananv'urnd, 0... : Ode el
obes je Temeins, pa al
“un. wis vu... .
PAR
son dpowt , ow tolui qui ia mıdne aujeusd'hui A
l’eglıse. Porieur de bonnes neimvelles. Orateur
gei fait un diseeurs & louveriure de la H-
cence, eto. ( ig.) Protecteur.
Pınko, s. m. (1. #’Asie) parası sorte de be-
timent de guerte.
Pınapina,s. f. quadrapede de lilo Maroupe,
dans la rivitre de Sofala.
Panariuma, 5. f. trempette des Caires d'un
son horribie.
+Parardıtäno, a, ad). garni de parapeis.
Panarttto, 6. m. (L. de fort.) parapet : ele-
vation au-dessus du rempari. — do eusiello de
pr6a, (8. de mer.) {ronteau du gaillard d'’avanı.
— da tobda, fronieau du gaillerd d’arriöre.
— do tombadilho, fronteau de la dunelte.
PanırBennät ,adj.2 gen. paraphernal. Bons
—ss3, biens paraphernaux, que la femme se
reserve , qui ne font pas paftie de sa dot.
Parnarmmösıs, 5. f. (l. de mdd.) * parapkimo-
sis : gonflement du pre&puce, eiranglement du
gland.
Parärkkase, s. f. paraphrase : expliestion
etendue d’un lexie ow de sa traduciion Hitte-
rale. j
PARAPHRASEÄDO, A, P- p. de.
ParAPBRASEÄR, ©. a. paraphraser : faire des
paraphrases; eiendre, amplißler par le recit.
PARAPERASTA O4 —TB, 6. m. pataphrasie :
interpr&te; anteur de parapbrases.
Pırarnkästico, A, adf. paraphrastigue, pa-
raphras®.
+ Pırarrecha ou —xla, ao. f. (f. de mid.)
sarapligie, —ıie: peralysie de tout le corps,
a i#te exceptöe.
Pıxaguk. V. Para et Que.
Parir, v. a. arreter, rotönir: ernpöcher d’a-
gir, de se mourelr. Parer, &viter, deioarner an
coup , ote. Ponter, coucher : metite de Fargent
sur une carte contre ie bangquier. Arröter le gi-
bier,
eberaf teut eourt. Disposer, preparer (P. 48.).
Maltraiter (inus.). Payer (#d.). — oe edehe, faire |
‚ser! ıo
arreter son carfosse. —
son attention sur une chose, y reflechir.
Pırin (s, em), v. %. s’arreter. Abontir, ten-
ire , arriver A un lerme (prop. el fig.). Tomber
515 rentrer au pouvoir de quelqu’un apr&s aveir
passe par plusieurs mains. Finir, cesser, s’a-
rhever. Arriver, tourner, finir autrerment gu’on
be pensait. Ndo sei om que parard ou em que
rir6 — qsle negocio , je ne sais ce que deviendra
seite affaire, ou ce que tout ceci deriendra.
um mal, ou ndo — em bem, Ünir mal, faire
sne mauvaise fin. Ir— a, avoir un but deter-
nine, aboutir &. Ndo —, akir avec ceHrite. Ndo
poder — , n’sroir peint de repos, polut de 1&-
äche. Sem —, sur-fe-champ, sans deli. Fr —
aa forca, finir par &tte pendäu. Em que pa-
rdrö&o as victorias de NapoledöP? que somt de-
venucs }es victoires remportees par Rn ?
Onde parurdd seus projoctusP oh $
.. pie: Em qug virei ua — ? que deriem
Mn ® -
rlant d’un chien d’arret. Arröter un |
PAR sy,
Panısäneı, 8. f. pazasunge ı mesmse Iind-
raire chez les Perses; 30 stades gze@s, #R-
viron 2,834 toises.
PaRascHYE, 5.0. paraschve : preparation da
sabbat;vendrediarantie sebbat; vendredi-saimt.
PARASELENE, 8. f. (ti. dasir.) parastlöne :
image de la Iune röflechie dans um nuage.
T Parasita, adj. f. Plants —, (1. de bei.)
plante parasite , qui vegöte sur ume autre.
Parasitico, A, adj. parasilique: da para
site.
Pırasito, s. m. parasite: deermißlenr, qui
fait metier d’sller manger & la table d’auttui.
adj. V. Parasila et Parasiliro.
Pınistata. V. Prostele.
Pınati, s. m. petit polssen de Bresil.
+Parıtırıa, s. f. "paratilles: exrphieetiom
de quelques livres du Code ow du Digeste.
+ PanıtırLar, adf.2 gen. paratitisire: qui
enseigne les paratities. Os —res, s. pl. pars-
titlaires : auteurs des paratitkes.
ParavänTE, 8. m. (}. de mar.) avant d’un nna-
vire.
+ Paraväs, s. m. pl. peuples de finde.
“+ Pariver, adj. 2 gen. aid & obtenie, ä
avoir.
PARAVENTO, 8. m. paravem.
*Pıravon. V. Palaora.
Pirca, s. f. (t. de mytk.) Pareae. Seien es
pafens, chacane des divinites qui ir
la vie des hommes. (podt.) Le Parque, ia weit.
Pırcaminte, adv. avec economie; ehleltt-
ment, avec &pargne, avec avarice. “
*Puncir, 9. 9. S’associer. "
Pıncanla, s. f. societ#, eompegnie, asusels-
tion pour un interet commdn.
Pınczantia. V. Parrarte.
Pırckıro, A, 8. ats0cie are d’autres you
un Int6r&t commun. Amodieleuf. Co-intörsust.
Compagnon. (4. dejeu) Partenaire. "
PınckL, s. m. bas-fond.
PırceLipo. V. Aparcelade. .
PırckiLa, s. f. parcelle : pette partio E’uw
t
ut.
Pıxcerlı. V. Pargarte. "
Pincne, e. m. petit emplätre,, mieuche , zu00g
d’tpiihöme qu’on appfique aux lempes dam ie
c#phalalgie. ‚
ancrir, ad}. 2 gen. parliel : qui Fakt partie
d’un tout. Partial, partisan : celu! qui se BM-
clare ouvertement pour une peisenue, puür
un parli. :
Pırcırrmäpe, s. f. pertieiis, attueheumdnt
aux Intörets d’un parti.Partl, faetion , IRu®.
PARCIALIDÄR-SE, d. Tr. suivre le partie... ”-
Pıncıarızackö, s. f. actiott d’aröie de a par-
tratite.
Pancıalızin, v. a. aroir de iu yarlaittı
sulvre ouverienent un parli ; üretse du 14 wär-
we. .
$Pırerkiwiwre, af Partiaicient : wmb
ne
d. 1
Paxcnwöna ; 0. fi Masdnnakle ‚ Qvuiklante: "
876 PAR
Puncıowbine , A, adj. qui a pari A une chose.
V. Pareseire. '
Parcissı#o , A,ady. sup. de
Pinco,A, (em), adj. eeonome, menager;
cbiche , mesquin. Sobre, frugal.
Panpäco, A, adj. noirätre, gris.
PırpiL,s. m. moinsau, pierTot, passereau.
— monidx , [riquet, moineau de bois.
Pınpio, s. m. " monnaie de l’Inde, deux
francg environ.
Pınpir,v. a. rendre obscur. v. n. Devenir
gris. V. Perdear.
+ Paapein, 0. m. paralire gris. Faire som-
bre, obscur.
PırptıLHa, s. f. petit peisson.
PınptLuas, adv. ou inierj. (duri.) per ma
foi, en verite.
Pınotz. V. Pardöihas.
Panpıtino, 5. m. * masure, bicoque.
PARDiLyO 0% —DINNO, A, adj. dim. do Pardo.
Roussätre, gris cendre.
Pinnpo, A, adj. gris , brun. Sombre, obscur.
Homem —,, mulätre.
Pinoo, s. m. V. Leoperdo.
Panpöca ‚s. f. Ja femelle du moineau.
Pırposo, A,adj. brun, gris de fer.
+ Panpüsco, A, adj. gris clair.
Pinzas,s. f. pl. arriere-Saix, delivre, se-
oondines. Tribut pay& par un prince, un Etat
& un anire en reconnaissance de suzeraineße.
Panzcauta (V.Similhante), p. a. de Parecer.
Panzctn, s. m. seuliment, avis, opinion.
"Mine, physionomie. — de neg les, p&a-
rere : avis, sentimenis des negociants sur des
questions de commerce. Ser mılilo do seu—,
abonder en son sens, @ire Irop allach6& & son
opinion. Sow de — ‚je suis d’avis que. Sow do
mesmo — , je suis du m&me avis; j’en domeure
d’aovord. Todos sdo do mesmo —, lout le monde
en convient.
PareEc£n, 0. ».paraltre ,semonirer. —, sem-
bier. En ce sens, il ost impersonnel.—, donner
des marques de co qu’on est; avoir l’air de; &ire
conveneble os non; aller bien ou mal; avoir
Bonne ou mauvaise apparence. — bem ou mal,
pisite om deplaire. — bem, &tre bienstant;
aller bien. Como Ihe pertra, comme il vous
plaira. Como bem ou melhor Ihe par ra, comme
ben lui semblera. Ao que parece, segundo pa-
roce , apparemment, selon les apparences. Pa-
r6eo que, il parait, il semble que, on dirait
que. Como Ihe partce issn P que pensez-vous de
eela? Ndo 6 tdo desgragado como par£ce, il n’est
pas si malheureux quiil eu a l’air. Quer-me
-s ,ilme semble.
Panscka-s& (com), o. r. se ressembler, &tre
ressermblant, ressembler ä. Paraltre, se laisser
veir, se montrer (pP. “s.).
PARECEDISSIMO , A, adj. sup. de
Pırzcino, A (com), p. p. de Parecer. adj.
Ressemblant. De bonze ou Mmauvaiso mine.
Bem — bean, qui a de Jolistraits, bei homme.
Panzoiö, 3. u. aug. de Parede. Grand mur,
mur-maltre ou d’appai, grosse muraille. Om le
PAR
dit surtout des murs qui resieni sar pied apris
la rauine d’un edifiee.
Pantoe, s. f.° mur, murailie. Faser —, »
ranger en haie. — em meio de, alienen! i.
tout proche, joignant. — em mieio ou meis,
mur mitoyen. (g.) Voisin, proche.— secarpe-
da , mur en talus. — möstra, malise mut, ga
mur. Levdr d —, (fig.) melire quelqu'un au
pied du mur : ie r&duire & nesavoir ges rep
dre. Pör os pds d— , resister, s’oppeser lorie-
ment, regimber, s’entöter. As —s lem olkos,
tem owvidos, les murailles parlent, los mars
ont des oreilles. Arrimar-se de —s, so lest
aux murs, etro ivre. Enire quelro —s, can
quatre murailles. On le dit d’un hemme reise,
qui ne voit personne.
Pınepeıao. V. Perdisiro. Plents —e, (adj.
V. Parietaris.
Pıreninsa , die. de Partde.
Pankoro (pP. us. ). V. Assessor, Diver,
Conselheiro.
Pırecönıco ‚A, adj. (4. de mdd.) paregori-
que: qui calme, apaise, adoucit ( remede)‘
anodin.
Pırtıa, s. f.* palron, &talon pour la gran-
deur des pipes.
Pırtına, s. f. paire: assemblage de dest
choses pareilles. Couple de chevaliers veis.
armes, montes de ımeme dans un carrostt.
etc. *Altelage de chevaux, etc. Chose enltt-
ment ressemblante. —s, pl. * doubleis : au jea
des des. Deilar —s, amener un double s
trictrac. Correr —s, courir & cheval ä lat
l’un de l’autre pour se devancer. Aller de pet,
disputer le prix. A — , loc. adv. Allemri.
Pırtıno, A, adj. pareil, egal, semblabk.
Por —, pareillement, semblablement.
Pantiso, s. m. parslie : image da soleü Ir
Nöchie dans un nuage.
Paaäuıa, s. [-" proverbe,, sentence vulgaltt-
T Panancnzwa, 8. f. (4. de bei.) ’parem
chyme : moelle , pulpe des fruits, des planies;
(4. d’anat.) substanoe propre de chagueri
Parznise ou parenedse: discours mer;
Pın£ngsıs,s. f.) oxbortation & la verte
Panenerıco, A, adj. parenetique: quiarap
port & la parendse, & la morale.
Pırzuquyrma. V. Par
Par£nTä, 5. f. parenie.
Pırentino, s. m. V. Parentelle. adj. \.
Aparentado.
PırentiLua.V. Porenlelle.
Pırtnte, A,adj. ei s. parent, proche. Mir
haver, ndo ter — pobre, depenser son bi
sans meönagement, sans diseretion.
PaRERTEiR , 0.8. ( — com alguem) re M*
rent de quelqu’un ; traiter quelqu’un de part
Parauteıno, A, adj. qui aime ses
PaRENTELLA, 8. f. parentele , parente : 106
ses parents. \
PAREnTEsco, 5. m. "parentd, oonsangeinilt;
alliance avec les oonsanguins ; qualit6 de Pr
zent.
Panünruzsıs, 3. f. parenthöse ; mets, pbr2"
PAR
fermıni an Sons .udpard au milien d'une autre
phrase; qui les s6pazemt ( ). .
: Pisso em Pänıo, 5. m. jou de la course. Prix
de la esurse,
Punfaco, 5. m. ornement ajoutd.
Pinzs , pl. V. Per.
Pinoa,s. f. meule de paille, etc
Pıncäna.
Pisco, s. Er hist. nal.) spare :
bolobranche,
Piruas. V. Parsas.
Pıripa, s. f. accouchse, femme qui vient
Taccoucher, femme en oouches.
Panınäpe , s. f. parite , comparaisen.
Pırıpkıra, adj. f. föconde. Se dit des fem-
mes ot des feinslles d’auimauz.
Pasıpöaa, 8. f. * aocouchement; action d’ac-
coucher. Gesine : couches , leur duree.
ParıgTäzs, adj. m. pl. Ossos —,(t.d’anat.)
pariötaux, os qui fesment la par sup6rieare
et laterale du oräne.
PARIETÄRIA, s. f. (4. de bet.) paristaire : :
Hante qui orelt sur ou eonire les murs. — do
reino. V. Alfavaca de cobra.
+ Paxiwönuz, adj. 2 gen. de facon parellle
ou semblable.
+ PaARIFORUSMENTE , adv. pareillement, dga-
leınent.
+ Panıtrpäne, s. f. 6galitö, ressemblance.
Pinto. V. Pdreo. adj. de Paros (marhre).
Panin, v.a. accoucher, enlanter. Metire bas,
parlant des femelles des animanuz. (Ag.) Enfan-
ter : produire, donner naissance. — um mewi-
no, uma menins, accoucher d’un gargon,
d’une Alle. Andar, estar em dias de —, &iro ä
la veille d’aocoucher. Por a—, (fig. fam.) pres-
ser, serrer de pres.
PARni1siTico, s. m. arbre triste de PInde.
+ Paxıstra,s. f. (6. de bot.) parisette : herbe
& Paris, raisin de renard, plante.
+ Paxiz, s. m. (8. de g6og.) Paris: capitale
da royaume de France.
PaurrzeıLa. V. Pariseia.
PaAnızıönse, adj. et s. 2 gem. Parisien : de Pa-
ris. a. m. Parisis, monnaie battue & Paris,
+ PanLauentin, adj. 2 gen. parlementaire :
du parlement, qui concerne le parlement.
PABLANENTÄRIO, 5. m. pariementaire: per-
sonne Os vaisseau envoy& pour parlementer.
PARLANENTEÄR, ©. m. parlementer: faire,
6couter des propositions pour rendre une
place, elc.
PaaLınteto, s. m. parlement : assembiee
des grands de !’Rtat pour juger une affaire eon-
side6rable; assuomblee des deputes en Angle-
terre; -autrefois, en France, cour souveraine
pour rendre la Justice, enregistrer les edits;
sa juridiciien , son ressort, durte de sa ses-
sion. ” Harangue, discours public. "Conference
militaiee.
Pıxranraöis. V. Palenfrörio.
+ Pastinpa, 8. f. (fom.) barangue et-
Hh,uyouse.
Panuströr, 5. m. parloir de oouvent.
peisson
PAR TR
Paare, V. Beirsiro.
Pauızzia. V. Paraiysia.
FPänua, 2. f. (1. de gdeg.) Parme: ville,
duch6 d’Itelie. -
tPanuazid, adj. et s. Parmesan : do Parme.
Queijo — ‚ parmesan, fromsge de Parize,
Pırwiseo, A, adj. du Parnasse, qui con-
cerne le Parnasse,
TPaawässıa, s. f. (f. d’kist. nal.) " parnas-
sien : inseoie Iöpidoptire, papillen.
PaRNAsO, 8. (4. de myth.) Parhame :
ment .de la Phocide, oonsacre A Apollon et aux
Muses.
Pan, V. Pardo.
Paröcamu, s. f. paroisse. V. Frögussia.
Panocaikt, adj. 2 gen. pareissisl : de ia pa-
reisse,
f Panocmmaımäpe,,s. f. “droit paroiseial.
PAROCHIÄNO, A, 8. paroissien : : habitant d'une
peroisse.
PAROCHIAR , v. 6. et». exercor le ministöre
des <ur6; fsire les fonctiens'de tur.
Parociswo. V. Parozismo.
PäRoco, 3. 0. cur6 de paroisse.
Parönıa, 3. f. parodie : imitallen ridferte
d’un ouvrage de litteratdre serleuz.
Pıropsär, v. a. parodier: feire une paredie.
PınösIc0, A, adj. paradique : de !a paredie.
Panopista, 5. m. parodiste : auteur dK’une ow
de plusieurs parodies,
PınöL, s. m. " baille pour le suore.
Paröra ‚3. f." babil, caquet. V. Labie.
PanoLsnöR. V. Paroleiro.
ParoLicEN, 5. f. (fem.)* bavaräage.
PanoLiR 08 babiller , caquetee, bavar-
PAROLRÄR,Y.®. der.
PanoLkıno, A, adj. grand parleur, Taqee-
teur, babillard , bavard.
PAROLENTO. v. Paroleiro.
PaxroLim, 3. m. paroli : dosbie de ia pre-
miere mise su jeu du pharsen, etc. ; voriw6
faite A la carte sur laquelle on jone double.
— oolanie , paroli de campagne.
+Paxontatsa, s. f. (t. de bot.) patönique,
herbe aux panaris : plante.
Pıronouäsıa,s. f. (f. de rhöt.) paronomase :
figure de diotion qui consisie & r4unie des hko-
monymes ow des paronymes.
+ PırönyYmo, s. m. parenyme : mot qui a de
Yaffnit# avec un autre par som tymologie, sa
consonnance.
+Piros, s. f. (t. de gdog.) Paros, uno des
Cyclades, renommee pour ses marbres.
Panörıpa , 9. f. (f. de chir.) parotide : glande
au-dessous de l’oreille ; tumesur, oreillon de fa
parotide.
Pıaouviıra. V. Parvoioe, Tolies.
. Panoxismo, s. m. (fl. de med.) paroxysmms:
accds, redoublement, temps le plus fächeux
della maladie.
Pinrano, s.m. V. Pälpebra,
. Paapıtina. V. Barbatene.
Pizatg, s. m. parc : grande otsadee de beis,
de terre, entourde de muts, ute. — d’arsälle-
880 PAS
Pıxvolcg, s. f. sottise, 'betise,, niaiserie, Im-
beeillite.
ParvoInno, a, adj. dim. de Pareo. Petit sot.
Parvorez. V. Puerilidade,
PäarvoLo, s. m. petit enfant. ( Ag.) Simple,
innocent, facile & tromper. Hambie, bas.
Pascha. V. Pastlar.
Pascisıos, s. m. pl. Lingua de —, langage
alfecis.
Pascka, 9. 6. et n. paltre, manger, parlant
des bestiaux ; brouter.
Piscnoa. V. Pascoa.
Pıscico, s. m. päturage. V. Paslagem, Pasto.
TPascıcöso, a, adj. od il ya des päturages.
Piscoa, s. f. päque: föte solennelle des
Julfs; föte des chretiens en memolre de la re
surrectiion du Saureur. — do Espirito Santo,
Pentecöte. — da Netividade , No&l. Estar como
uma —, (fam.) @ire gal de bonne hameur.
Sanlas —s, soit, äla bonne heure, je le veuz
bien.
PıscoÄL, adj. 2 gem. pascal : de la föte de
Paques.
f Pascoir, v. n. celebrer la PAque.
Pasco&ra, s. f. * Quasimodo, le dimanche
apres Päques.
+ Pasuackına, s. f. ’badaudagp, badauderie,
ebabiasement.
Pasuioo, A, adj. stupefait, surpris, etonne.
a
Pısmän, v0. a. &tonner, rendre stupäfait.
Paswär, v. n. se pämer d’admiration, de-
meurer interdit; pämer, tomber en döfaillanoe.
Kıre etonne, surpris; s’&tonner, #’tbahir.
PASmATÖnIA, s.f. surprise , admiration
Paswatönto,s.m. | sans fondement. Rba-
hissement stupide.
Pisuo, &. m. " pamoison. ( fe
stupefaction. (id.) " Merveil
nante.
Pısmösamente, adv. A ravir, avec 6tonne-
ment, avec admiration , &tonnamment.
Pısmöso, A, adj. ravissant, merveilleux,
€ionnant.
+Pısörıe, s. m. (t. de bot.) * anserine du
Mexique, vsig. Pambroisie ou the du Mexique.
Pısquis, s. m. " pasquinade : placard satiri-
que affiche.
Pasgrınäpa, s. f. V. Pasqwim.
PasQauino,s. m. pasquin : statue mulilde &
Rome, & laquelle on attachait des placards sati-
riques.
Pissa, s. f. ” raisin sec, jubis, passeville,
passes, raisin sol ou sor. — de figos, de peros,
do pecegos, d’ameizas, des figues, des pom-
mes-poires, des p6ches, des pommes seches.
PassacüLPpas, s. m. juge ou conlesseur trop
induigent, qui a la manche large.
Passiva, s. f. " pas, enjambee. Action de
passer : passage, passade. Demarche. De —,
en passant. Dar —. V. Tolerar, Permitir.
Passaptına, s. f. pierre de passsge mise
dans un ruisseau , dans un bourbier, etc., pour
aider A le tfaverser. * Passoire pdur je suere.
.) Rtonnement,
chase surpre-
PAS
* Gonlant. — de vodlsas , "beuiet.persul-
örer as balas, ienotte ä eslibrer, passehseint.
Passanßıno,e. n. (ausse porte, peilt passagt
derobe.
PäAssa-Dfr, 3. m. pamso-dix : jeu de.dis.
Passanico, sm. pa eiroit, oaenidet,
salerie , allde qui traverse. Passage de hohe:
pendu sur une rue pour oonıkeniguer de
edifice en un autre, ele., pont, schalned de
bois. (ig. fam.) Rapporteur, espien.
Passanico, a. V. Transtiörie.
Passin0,a,p. p. de Passer. alj. Pusst. -
de periea parie, perc6 de part en part, dor
tre en outre. — de dor, navre de dsuleer. — &
frio, saiei de froid. un sol, stehe au voll.
No mes proximo —, dans le 'neis prockait-
ment passe, Ficer —, etre saisi..O —, par
do , s. m. le passe osı passe.
PassaDOR, 4,5. velui qui passe, qui ram
porte d’un Heu & un autre. Contrebandier : ot-
Iui qui passe des marchandises en frau.
Trait d’arbaldte ; javelot. Poingon, insiramast
pour percer. Passeir, lacet. Anneeu ds
sangios de la selle. Coulant. Rapperteur den
pos ow de nouvelles. (8. de war.) Tressille,
&pissoir. — de martello , (id.) nertuau & pi |
sor.
PassaDöR, A , adj. qui traverse, qui peret.
v.Pp
Passizs, s.m. pl. V. Papal.
PASSAGBIRANENTE, adv. passagerement.
+ Passapötnos, s. m. pi. pierresdepamag
assadeira.
Paszackıno, 5. m. PaSSager, voyageur; Pe |
Passackıno,a, adj. passager : de peuden
roe. Temporel, perissable. Passant : par ed ıl
passe beaucoup de monde. Passagar, dep"
sage : se dit de cvertains olsesax. Löger,
important.
PassicEn,s. f. "passage : action de pasmt:
llea par ou l’on passe; anderoit alle d'wm 8
teur.” Passage de musique. —, peage: &#
qu’on paye sur en pont, une berquwe, ei." M-
cueil, traitement fait A un voyagene, sur
sar mer.‘ Droit de passage. V. Passide. De-.
en passant, chemin faisamt ; Iegerement, di
bate. Abrir —, se faire jour, se faire puma!
et ouverture. Dar —, laisser io passage Bl
(Ag.) Faciliter les moyensde roussir.
+ PissaLo, s. m. (4. E’hist. nat.) pamelit
col&optere.
*PıssiL,s.m. pas (mesure). V. Pepsi.
PASSAMANAR, U. &. passernemier ; chamar
des passements.
+ Passamanania, s. f. passementeric : af.
commerce, etat de passerhentier.
+ Passamanfıno, 5. m. passemanler:
[sit et vond des passements.
PAssaNÄnEs, 3. m. pl. Passermenis ı auvIäf!
de passementieor; Uissus plats ei pen Jargs
vanı d’ornement.
° Passamantz, ade. sans bruit, tost bes.
PassauAuto , s. m. la mort, Io daznist 90°
pir, l’sgonie, lo ir&pas.
..
Me TY
PAS
„yPassamdaon, 5. m, puros-mauraille : sorts
densien canen o
DısintE,P. 0.de Passir. Animal —, (4. de
bins.) animal passant. s. me. Rüpstiienur de sel»
Itge. Religieun qui, audertir de son conss d'6-
tundes, travailie dans V’attamte d’ute ebaire. —
de, ade. au delä ; plus de.
Passa-PALATRA, 8. f. Passe-parole.
Pässe nad, s. m. tour de gibeeiöre, jou de
Passartııo. V. Rospelle,
PassarüRTn, 6. 6, passepett : pammiission da
‚de woyager lührement. /Ag.) Powweir,
defajre une ohese,
Pısaln (a,de,enirs, para, 207), u n. Pa“
ser : aller d’un lien, d’um endreit, d’un @ire,
den Etat, 4 au dans un autre ; traverser l’es-
paoe entte dems. Passer devant, atois le pas.
— ‚ cauter, conrir d’um ondreit & um auize.Pas-
ser d'un discouss & un autse,, changer d’enire-
ten. Dasser par difförents grades ou emplois.
— „monier d’wne olasse A une suptrieum ; #
eouler, pariast du temps; s’ttendee d’un lieu A
un auize, parlont de la peste, eic. So ohanger,
se conteelir, dagensrer en.-—, Mauris, expirer.
Valoir , avoir du debit, parlant des maschan-
dises. Passer & , Changer de pbssesseur. Passer
pour, eire repute. —, avoir cours, pamlant de
ia muösnaie; Besser, se calımer. Rise passt par-
“ devant tel ou tel nolalre, parlant d’en aste. Be
aassar. On le dit de la maniöre danı les chames
agrivent. —, & oprtains jeux de carte, ‚no pas
jouer. (fig.) "Passer par la tdie, pur l’esprit. Se
porter (kien ou- mal). Visse (ais6ment ou pau-
wwmeni). — a dienie, nasser onmire, alles On
avast. —adlanis dum nauio, (}. de. mar.) mel-
(re un vaisseau de l’arridre, depasser un vain.
seau. — a0 OU para @ indwigo,, passen du cAt6
de Pennemi. — d’um eniade ou eondigdo a eu-
tra, devenir, commenegz & &ive co qu'dn n’v-
wait Ba. —os ‚a forcairas nupcias,
convoler en secondes, en troisiömes n00886 ı
so ramarlar deux ‚reis [eia.-—(daamo a oriedo,
de cavallo a burro, (fam.) de malise devenir
valet, d’övöque meumier. — por lonlo, passer
pour imbecile. — por vsleonie,, por sabio , eic.,
avoir la röpulation de brave, de savant, elc.—
de didrgo, passer ouire, Ha point sarröter. —
PAS 35
'p6ter & un 4solien sa losen, ots. Regener na
legen. Parcourir un livre: Passes idgisament
sur, lire & ia häte, etc. Feire scher Adels, au
‚soleil. una ini ‚mm erulonn, ets., Fendse uno
lol, unesdse, ato. a femape ‚passet-ie lemps.
— pelos olkos , parcourin. khgdusmment: (umerris,
08.) western, Inline !a.vorus , -PRSBES UM 66-
vuo. — avise , mander, donner avis.«siper allo,
taiss, omneitre, passen. sous allemeer Imisodaire
par oontrebande. -—di espeile oa tadmniges „ faire
main basıe sur les ennemis, les passpr au al
de !’üpee, ne pas fnire de guarlier: .-
Passin-6E (A), %. v. emmbranner unduisogerli,
passer & ’onnemi „eis. Paaser ı shlep dans quei-
que’ endseit. Passer, ossaor, Amin Sg päasser :
s’seonler, so dit du iempa; avois:iim. Sera-
nouir; &treä l’agenie. Sosccher au saleil, par-
laut des fruita. — da memorin , #’6chappen de
la mdmeire, s’oublier.
Massansı, 0. f. lemelle d’eissau, surtont a
perdriz. Volmais—namdo, que abuire
(prea.) ia moinesu pris vaut aisazqie Foie
qui vole.
+ Bassanisa, s.f. abendaneo ou enultitnde
d’oiseaux.
+ Passantıns , 2. f. V. Auidrio.
Pıssartıno,s.m. aiseleur. V. Paserinhsiwo.
Passaninua, 2. f. dim. de Pdssors. 4. Bate
' de porc, et, par extensiou „des entsesanimaux.
Tremer a —, (gras. vsl.) avois. grand’peur.
Faser iremer a—, (id.) iniiuider, Seins peur.
PASsanınHän, ©. 2. er ; Wndre des
glusux, des Nlets, ein, pour prandre des 0i-
soaux.
PASSARINRÄO, 8. 7. oispleue : ‚la dont le
metier est de prendee des. olsmuz en Diet,
ots. ; qui aiıme coite ohasse.
Passanınzllna, A,. adj. Aeemisux,, embra-
geux (cheval).
Passaniuuo , s.0. dam. de Pdssare. Disilion,
petit oiseau. — masserdo , ‚oisesu-meuehe. —
masarde medisere, rahistopaae. - eseardo
winimo, le plus petit olseau-meuske. Ir-ss
como um —, (fig.) mourir paisiblement. Cai-
rem com calme 00-2, (fig) [airp ume chaleur
©. ..
Plesıno, s.m. oiseau, et surlout Petit Qj-
seau. (fig.) Homme fin, ruse „adreit.— do sci,
oissau du solell. Nor que les Chinois donnent
a l'oiseau de paradis. Val mais — memio, eic.
dssars.
ger «lio, (fy.) santer par-dessus, omelise; | V. P
pasaer sous milonce. B’iniredeire par conire-
bande. des ‚depasser. Poder — som uma cousa,
uweirse passerd'snechose. Passe V. M.mndito
„potiezveas bien.
Passir, v.@. passer, tea ‚conduire,
trausmettre, conduire d’un lien A un autre.
Outse-fasser : :allar au delä de, passer les ber-
nes, etc. Passer & travers, percer, pöndtrer.
— , surpasser ; soufrir, wweisrer. Passer ja vie.
Passer und okese sur une auire, Iroller, eic.
—, faire passer dass; opuler, Blirer une li-
qeeur. Tais®, omeltre, passer spus.silance.
Disstekuler : foidöre Kansmen. Esaliquer, Fer
PORT. FR.
..
+ PassanöLs, s.f. grand eisean, vo ei-
seau.
Passarkuro, Ss. ei. Passe-iomps, dirertisse-
ment.
PassavÄänte, #. m. poursuivant darmes, 8-
pirsnt au grade de heraut d’armes : officier
sous les herauts d’arımes,,
Par@h ve, adj. 2 gen. passabie.
t PASSATALÄNTE, s m. espöce do coule-
vrine dun tit ealibre ;.Rasservolant ow
canon de bois imitaut an canom de.hranze. .
Pässe, 3. m. passe: permission de passer.
Decrei d’uo jüge qui prompt d’executss la sen-
" ” 56
sus DAS
PAS
tencedun Kuwe jungs: pause, ic, Der war Dat OnnuEnD : Bean de days ginda.ci deni
, dimimweler 036 chende.
+ Dass, ade. va, scht,yy sonscm.
eis: .
qui meh “
PuSSELBOEND, a We. * BERREIEDOT: PROBE
Passalsirp, a tn USERS MERS
empioi , dbssberst. (fu) Paindans, beteus de
par&.da 9. de
Passeir, ©: d. PUSmener: muunen ch eh |h,
marober: duusemmmt (un vhevat, Ste.) «= &s
ran , as dulyalas , 00 promiener dene los russ,
batıre ig päreı Sairu m as runs, dee fastigk
par ik mal de boursesu. + wın® amnz, eoue-
User ube immo, falve !amıans.
P assphn,-9.%. 08 promener : maueller orte»
ment, pss & pas; faire de Fotersise, Atse oisif.
Passzan-s8;, 9. r. (P. a0.) 0 promener, Olre
proamme.
Pıssäw; a ©. * prommmnade : astien de u.
Promanse ; lien od l’on se promene; Pe
?* Birsarche, pas, allare:
ae "Der um —, fsire un tour de eomsenade.
t Passtına, ,. f. * Ileu oh Fon.aupeses des
ut yon Is Kalro sbcher.
' Paselne) a , adj. habiıns & n’aller au/au ons
(chervat , ande, sie). V. Yagadın.
’ Patsmväö, V. Pdlso, Bayute.
Prasäuee, 2, of. 1a heit ( papfer).
Pass. 7
Phsseriben. Y Pac V.-Pussapässe:
PassiBiLIDÄnDE, 8. f. Denen
Pastios: V
Pussine, Om. de Passo.
+PıssoniL, s. m. atiefen Hrre od V’en dcai-
valt nu auulivunees des martyro, ot qu'on lisnit
au lieu da martyrologe.
+ Putnettine , «; m. passiohnaire : Here de
vu wi note Patsion:
+ Pausiva , a f. (?. @
Serien aus Yerbes 00
e Facklon.
Pastvaante, ade.
passivement,
EL, adj. 2 gen. passible : gut yon
Pıssivo, &, aalj. passif: V’opposs d’amtif; gel
rögoht Pattion de Fryenı physique. Verde —,
verbe yAAT, Tal Maitfue une action Eieiges
sur un objet. Voz —a, voix passive, Tepächt
Shtre Uhr: Dia ‚deite patstve ou ie pls-
sif, ce Fon doit,
br. «a. ps , enjarmWbe Passage : wetten
de passer. — , demarche, manitre d’aller, de
mmärcher. us Ipeysage ‚Heu o@ Yon ya. —,
Ütrharches Haton fett, peine yu’on we Akne
pour une affaire. * Traoe, vestige,
des pas. Poufroft, Ppürmisaion de ze eanı
obstacle. —, auchlefft, Hrönement. —, progres
Gans tes neienues, ete. "Passage de oelie vie &
une wutre; meort. Üheoune des etrebnstendes MR
a paavion Au Motte Beignewrs statee,, tebikau
gui ia Teprevonte. = ündenie va vordinerio,
tgorem, senitdeis yars. A ba, = lars,
& grands pas. A cadı wr, & chagus pas, b
tout momenb, A »— da hof, kenteumeut, & pas ie
| tete. do gun, & mrusare que „Azms ie way:
que. A —, au pas ordinalre. Ander a, aim
io pas, paskame d'un coheval, vie Aus d-,
'oisesu de passage. De==, zz gessuui. Beisur-
se ver de — ‚ne fairege’unscahris spperuie.
Dar ==, \alsspr ie passage libce (fg.) Fıs-
liver Is noyuns de rbusstd. He dar -, mn
faire un pas. Ndo poder der um --, aupemer
faire un gas. Passo a »-, pas h pas, pet ip-
it, Pass unfr0 >, lautdenamt, peu & pon. Per
sosor —, One dit (une disadus meer
'& pas, ou H’uno alulre qeich Malte dass tun
‚509 Adtallo , Dans tan0sE ses nirosmslannes, et
A 0 00niaben ‚Rt pRb OOmpLds. Apeem-ı,i
do dhtanee. Tomar 08 8, go sale de
user, d0H avammes, barrer be einmia. Sr
guir 05 4, valven ben pas, hsearreur vs Uimse
chen: ou suives Ton Irases,, ImMten Bir os pr
meiras —s, faire les avancen. O Sonhordu
:V, Pass,
+ Pisso, ade. Guusement , Tögbreussat Bat,
mut bus.
?Piose, Inter]. (d, ua) wat dong, el
‚medires-voss.
: Phssos, 8. m. pt. aetss , ciieunstunen de U
pasıon de J.-C. O Beuher dus —, ya 0
3.-C. pertahtin croig.
Passsuunwe ‚ ade. nm. ds Phsse, ade.
Piora, #. fi "porefsullle « eorien we Ta
met des ya re, deu dusstue, ons. Lane ,
que, feuitie de nwetat. Pate,
ar enge
Pr „e.f.*
pı in. 7. Piriunsar.
Prweia, . &, faire ou munur galtre. V. AP
enter
Paurin,o.m paitre « Uranaetberde, pi
rer, "perlamt Ges bestiak.
Prertr,e. m. Pant man nie pi
Gros pälö : porsowms grosue ei waput, I
sonne hneipide, — dee Iinterutess, (1. du
Paste, guesde, gadce .
nor dos tinfareiros. e. Aus, re‘
nein!) ersyon Mt de Pe pubisisiet
Tefeau pain eu panel,
Prarsri6, u... ung. du Park. Gr pi
PasveLania, 8. d; Pe, de past.
ıiBuerde: Ouvrage
Pasrauenno, «| "yaulaler, .-
ELeteLinme, dim 6a Portel. Kaplan de pet
tonrta dr ine.
Pıtrilim; ®. font mmpenen
de suere, d’o@uem, da
rond‘: & matiger dad „Se aediemmz
Partinkta 08 en, 2 rein u
nn,
Par
PER" Pa er
+ Pastiuua, s. f.
por sous Id’ haps.
Pisro, s. m. * action de valtee. "Pitume‘, pR-
turage r berbo Geht ig eötail senourit. "PA-
ture,, nourriture, alimene PAt : mangeaille das
6iseaux de fsuconnerte, (Ag.) * Pätare': c» gui
nourri l’esgeit oe l’äme. Alimemi du {ou, «te.
olaque: cbapeau piet
A—,en abondance, & foison. Bom —, boane |-
chere. Casa de —, weßlatrant. -= das feras,
paissen.
Pastor, s. m. pasteur, berger. —, evögue,
eure. — universal, le seuvermin’ ponsife, ie
pape. Bom — , bon pasteuir : attribut de Jesus-
Christ. — , gtranium ,, beoade-kius:
plante. - °
Pıstöra,s. f. bergere.
Pastonino ‚pp de Pastordr.
+ PAsronneßR‘; s.m. celmi qui'mäne"palire,
pasteur.
PASTORADÖURD, 5. m. pätursge : Hett'cd ls
betes vont pa!
PıstoriL, s. f. pasterele : plöce de Ihöätre"
ou de vers domt teg personnages sont des ber-
gers. Instruclion , leltre pasterale : mandement
d’ereque.
PastoräL, adj. 2 gen. pastoral : de pastear,
appartenant an pasteur. V. Pastersl.
PASTORALMENTE , asivı p&sterdiement, en bon
pasteur.
Pısronik ou hr mener pällte, garder
Paıstonzin,o.n. I les Leoupeaux. (fdQ.)
Condeire, Insiruire pestotalörnent ses ouailies,
parläant d’un 6reque, d’un cure.
+ Pısrondıa,e. f. pastorale : po&me, chant,
air, danse & la menitre des ’bergers.
Pisroriz,, al. 2 gem. pastorat : qui appen-
tient aux bergers. Champeötre.
PaıstoniLntntre, adv. a la manitre des ber-
gers.
Pısrexiuni, 's. f:dim. de Raslöru. Pastou-
relle : petite bergere.
PASTORINHO ou dim. de Pastor. Pas-
PasTorziuao,s. m. toareau: petit berger.
Pastera, 8. f. pälure: nourritläre des ani-
maux. Paißsen: pfhlure‘ dens les for&ts. * Ga-
gnage : pätis du sewf, du betail.
+ PastuziL, adj. 2 gen. oüilyadu pälurage.
Terras ass, pssiries, terres en pre.
Pirta,s. f. cane : femelle du canard. Die
melle. Pati: pfed des animaux. (burli.) Pied
trop large et plah Sorte d’ancienne coiffure.
A’ —, a pied. — fendida ou rachada, pied
fourche, pied feudu. Andar como uma --, C4-
neter.
Partica, 8. f. piaatre d’Espagne, du Bresil.
Tache blanche dans les. chevaux gris. Ndo
enzxergar — , (fam.) as voir geuite.
Pıraciö,s. m. patagon : honnaie d’argent
(en Espagne, du poids d’ane once), de cuivre
ow de bronze (en Portugal: anclennement 3 ou
19 reis, aujourd’hui 49 reis).
+ Paricmo, s. m. (1. de mar.\ patache:: sorie
do valisseau leger.
PaTacnöca, 8. f. (burl.) gargon de sacristie.
I tar,
PAT v 883
..ıh Re‘
Pırabskh ‚s. f. wraiitnde, uni depei
lscas ou Pafaröwe. V. on moih. (1. vor} Veind
stenmtion:-V. Paturetd.
‚Paräpa,s.f. "coup de pied, de pas. MR)»
pipdh ‚ tröpigner.!
| Birue. Dar —f frappöt des
Pismweört, e& m. pl Pateeası pop dd
lAmerique meridionale.
Promi, fi (T. dB dog). Beragpel;
pays des Patagons, terve Mexellanique.
+Pıriovra ,s.f. (8. de bot.) "Patagunsarbrd
de ia wönadeipllip.
+ PıraLö, s. m. (1. de bot.) renoncule dev.
pres, beeinet sumpaut, bowten d’ar. -
PxraL6o, s. mi, V. Patale. (buei.) Heranie -'
stupläe, sot, lourdaud.:
* Pıramir,s.m. palier, carre d’escalier. Comm:
rierä-pied (gets ’inde ) .
Patauiz, adj. et s. m. bigot.
+ Parrina, s. f. (4.dergeog:) * Patanu - ergeht
'rOyaume de Malacca.
+Paränzns, & m. pl, Patans': penples ar
Gratsd-Mogol.
‚5.9
Peranciti, s: m. (8 Fade) et dene
peuplade.
Pırio, s. m. (£. duri.) b6ts, Yecrisse, n-
Kaud.
Pıri6, 5. m. Tespese de gateche 0“ petit.’
Pxranäta, s. f. " Inensonge, sormetie , conte;
fariboles, fadgises, lantipennagp „: bourdes.
Cormpliments aflectes. ( %g.) V. Patarateiro,
Pıranıreia, ©. ». lantipenner, cornter des
sorneites.
PazanarkıRo,;s. m. laaternier: faliseur de’
eantes, diseur de sorneltes. Gascon , fawlaron.
Parantcas-o@ —sas,' 5. f. pl. * harieats
verts. f}
Parınto. V. Patamar.
Pıtanöza,s. f. rousselle : 'espüce' de‘ eiden
de mer tachelt.
Pararnirs ou Paqsanärzes, 8. mi. pi; (0. de
mar.) galaubans ou gelahans, haubans : uros
eAbles qui retiennent les mäls. — do gurupez,
haubans de beaupre. — do pdo da Injarrone,
haubans du boute-hors de heanpre.
Pıtancäna. V. Belareba. Zn
Pıraukıra. V. Balaleira,
Pıravıno. V. Padudno.
Pırixo. V. Patdcho.
Pırava,(t. dAsie). v. Tuffo.
+ Paräz, adj. m. Mono —, guenon. V, Mono!
Pite,s. m. (ti. WAsie) dut, chef d’un Vilage
PaAtRADa ‚sf. *tröpignemen? des pfeds,
Huces. Dar —, sifller (une piece ow un ad-
teur.)
4 Parzanönn, s. fÜ » träßfigheinen: Wis prat.
Hutes.
Pırzir, 9. a. et". tröpigner; huef, siäter“
(une piece, ete.).
Pırtca, s. f. (1.d’Aste) V. Melancia. Sorte
de vötement asinlique, ceinture.
Pırkıro ,s. m. celui qui garde lea oles.
Pirkıno, s. m. refectorier ; frere lai qui a
soin du refectoire,, etc. ..
PATEJÄR, dv. 8. palauger. V. " Patinkar.
[}
enand%
886 PAY
serire. Liste, registre. " Röglcinent, tarıy des
&ouahes. (Rg.) Regie , modele, tout ve quı serl
& diriger, rögle de eonduite (p. “s..
Pıvripo,ä,p.p. de Paular. ad). Porte sur
le‘ tarif des douanes. Papel —, papier regle
Woör fa lusigue.
+ Pautapör, s. m. colul qui fait des regles
" pour le paßfer ow qui lu r@gie Iul-udme.
ET RDTäR » vo. a.rögter io papier avec la pauie.
. ce mot. Regler du pepfer pour la musiquf.
Fr ra Pöeto.
’Pıaszice. 7. Paisagem.
+ Pausänt, s. f. pierre medieinale de Baby-
lone,, Irts-estilnde des princes d’Aste.
Prvins, s. f. pavano : anelenne danse grave
et sörikusd. Tocar a — a alguem, ( am.) etril-
ler quelguw’un, lal donner une danse.
Pavänı, b. f. (1. de dot, V. Yilko.
aviö,s.m. (6. Dhist. Wet.) paon ı bei of-
seh Aigle et d queue couverte d’year.
Paväozinnd, s. m. dim. de Paddo. Paon-
aa 4. f.jevelle, gerbe.
sis: V. Paoühds.'
irız, ”m. Be sorte de grand ber
elier; ; entare de fie autour de piet-bord d’un
vaisseau. V. Pavexdda.
’ Pivanidı,s. Y. pavosade: teile dlondue sur | fr
un vaisgeau pour voiler les mouvements inte&-
riears."Parols. — ow parlers : grandes dlaies
portafives pour garanıte Ion archers.
Pavszadtra. V) Paverdda
Pıvezik, v. a. courrir, Wefendre dan pavoik.
Pavoiser: garnir de pavois. V. Emperszar.
?Pıria!s. f.(t. de geog.) Parier ville dite-
lie od ie od Frangeis s ler fur fait pfisonnier en 1523.
se fox n’um dia, (prov. ) Paris
na pas 616 fa en un foar.
Periine. V. Padiense.
Pivıno,
limide, vaimtif,
Avıtiaa. I end Ze
Pınknse, adf. ei 5.2 gow. de Parie.
pay, s. m. pavillon : sorte de tenie
peinle ar le haut; draperie qui s’d-
lit; sorte de bamriöte ati
a wer aa d’un vaisseau. — do sacra-
red . Arr6te banälire
Dshla de u —, (Ag.) jo kaisse pavillon de-
van! tei.
an EnTS ”w. pas diöglise, de ansisen,
‚par
Das, ı m. che d’uns hougio, «une
chandelle, eic. * Bougie d’allume , cal da care.
chöe au
Gastir-e, (ige) motag Am jeraps.
-{B
„ävo 9. u8.). V. Por.
rei ep de peiniJpone
and nz fi peor forme
Be: a ur sl.39 Be: 1- je ..
& os
PE
Pavonioo. V. Pavonapo ei Apavonads.
Pıvonsir, ®. @. orner de parares örlalantes
comme le plumage du paon. (fjg.) Rendre v.-
niteux, fier.
PAvonzÄR-SE, ©. r. 80 Pavaner. (M. de
rißer, se targuer.
Pavon, 0. W. r, epowvanis, Salist-
ment; veneite, erainte , fraysar, eibel.
PAVORÖSANEıTE R iv. ar. reit, are
frayeur.
Pavonöso, A,ed. efrayant, eirozabk.
*Pıxofıno. V. Passiohdrio.
Par,etc.V. Pat, ete.
Piz, s. f. peix : &iat d’en paeple,cie., qui
n’est point en gtuerre; cauncorde: wuhkeifit:
dans les families, les communa@töd} rngui-
tit& de l’ärne; ıwralte de palx; rdooucihale.
“Repos. En termes de jeu, @gallis de poieis,
de jetons, de gain eı de parte. Egaine dem Is
comptes oü l’on est quitte ä quite. Jah d-.
Juge de paix : sorie de nragistrdt.' Euer em -—.
eıre a deux de Jeu : &tre quiftes(ae Jon). Par
#—, foindre Yollve su isarier : peoer leur
nes. Bandtire de — ‚ drapemu bin ginn v-
bore pour demander ä- capliuler 08 paris:
ami sur un vaisseau. Ds em— , repate!
en paix. Sofiklt Bleur y Yes mer. Gral:
de — , ami: röponse &: es NW’geivali’
em —, ou coma-— de a
avec !a paix de Dieb. uni ee er
Mouro de — .Maurt qui a a Fehhrer
Kit au roi d gne du We Portepüf, ai
emploie An er ri deux Ge uhanen. Für
5 —, du pain et 1a heix. 2- Neje wfonta com, li
peix "soit otans! "Minıtöre &b anfadhen nm
quelque part. Pidbr Vor; Eibpältte, ve ne
devoir. Pra— ea
Je ve!
garantie. Pihde —; Yeahy: sten
intende ®
nien a" “leneı rn era
PXefoa ,V.
ai, ..m. quadrapede de Finde que
senble au bone.
ANTUAM. Appeiruen-
Pt, s. m. pied : wenfre'@e Pankatal qui Ir
sort de bese et ä l'aide duquel il marche, M
base; dit: ge ei tröne dub Wire,
plante, Farbre! Qu plahtet ehliteit I pie be
d’une montagne, d’un mur, etc.; gelr
& soutenir (ühe Mike‘, eie.)? mfwitre de dux
powöes: mesure dd’ vers. (Ay-) "Liversarı Das
liqueur. (id.) Marcdes raisins : oo quien eb ac
ä la fols sur To pressötr. (MR. Päcukthr qui ei
defnieren cartes:te Bispheifeäfte. (N.
*Oteasion,sujet, prare.— a dialı.
Date
t
Barum or Olscnabne Eh NR dr u ade
Fenel d’un eure. — eg T
>
sorie @aneienne dann ed
Eee
balles de piomb. har
A
teur d’un eiags. — de amelallo ,
rmisan Alung | des enzareiae, "
FRE 87
iralingage.deg hanlaas.aupfre-
sce lorte. — de esaße, taurbillen, auragapg | lingage des haubans sous Ih hune.
de — de beaco, raisons de bihus, aais
sons do nullo valeur. Por es cousas em bom
mettre les choses sur un bon pied. do _—..
pied de: tout prös, camjre.ou enriron, a pet
pres, presque. Ao — de lelira, liutralement
Andar ou eslar de —, &ire sur pied : releret
de maladie. Ander n'ue sd —, (Äg.) agir avet | quile segpit.
7
promptitude, diligence. A —, A pied. 4
enzulo, A pied sec, sans se mouiller.(Ag.)
Sans peine ni Iravail. 4— Arne, do pied fonme: | dp
(Rg.) Avec fermetie, constence. A— guldo, ssn8
zemuer. Baler o — ‚oucom 0 + no chäo, bat-
tre la lerre du pied; trepiguer. Der como —,
Prica ,s. f. cpurzoia pamz atachen IesIpuls
aujaug. \
Peivo,A,p.p. de Pear,
Prantsen. V. Punive.
+ Price, s. [. " pönge:.danii Pony An BOMAgD-
: 4 Beagkino, s.m. pbager :{ogniag den ginge,
Re-»a-au3kar0, (i.debot.) V. “
ı gianie
PE-D2-uL.uimaa , 5, f. pief de
Baösil.
'P&-oe-cäLLo, (l.de bob.) V. Kupemo.
Pa -De-aerö, (I.de boh) V. Alchewklle,
P&-Su-nEnaE, 2. m (& de bot.) In zoll Eile .
‘[am.) möprisar, faire peu de cas. Dar de — a | das obamps au pied-de-liöuee,
alguam, aider quelgu’an A manter. Em— , de»
+ P-ne-uoaro, s. m. (L. de bai) Aapier,lar
boat; sur pied. Achar [6rma de seu — , \rouxer | pin, anona d trais feuilles.
chaussure & son pied. Entrar.como.-- direilo,
Paai. V. Esarpim.
(Ag.) eommencer, debuter beureusemenl. Bs-| Paar, «podt.) ayane & Jupkies.
f. " piödestal
far cam u — a0 sepmllurs, avoir un gied| Preinmm, 4 f.
Esitar | saubsssement. (Ag, " Appei , antie»
dans la fosse : &tre decrepit, infirme.
num — como 0 ,grom, (Bg.) era vigilant, sten-
til. Homens, gente
terie. Ndo poder ler:se em —, 6
lenir suf ses pieds.: dire Ires-Lible. ‚Passar
de sanines bs,
+'Puimme, s. m. (4. demar.)ia geile, da
=, les pitions,; l’inlan- | partie iafezieuse d’un Taimsapık
pouvoir s0| Pdö,e. w. pitton ı home guimarı Ping.
‚o| Fessassin : soldat d’infanserie. ‚Pian de Jon
— didm damädo, (fig.) s’exceder, faire des.ezcäs. | ahses. Hamme du peunle „aetunier. V. Aide,
‚di. de mar.) oyl de.lamperdes
Pair, v. 0. ompAlrei; meuee.des enitauds
— do
beuteilien Parder —, perdre pied.: ne glus| aux-pieds des chavanı, eis. (Ag. am. Bugir
ssouver le (onf de l’eau. (Ag.) S’embrouiller„se | aber, emıbanmasaer. fans.) Panir, ahallez.
perdre dans un üiscoärs, dans un raisanme-| ZAäga, af. pläca, partie, peziis, Anascans
AT Or-
a diflculdade. V. Ter
‚peasogon (fg) mehize Jagied | d'un. tom.
sur la gofge : humilier, maltreiter. Kirer om -- | er gui
, ao.mal. Ter kom — ana de | d’hni 1,800,ndis(en Portugal). “ Menbie .bilen
Piöce de snammeie, suntemt calle a
unileil autwefeis h4R9 reis, ol anlsup-
‚Komar ,, prendae.pied«<.Mou-| artistement travailld. —, ohose fonmtans am
bannasJamhes.
ver le fond de l’eau; (Ag.) s’orienter dans ane’| tens numaplei; idee de drap, de ruham, Pic.
ire, la.sonneltre A Sand. Brendse sacine „| Pitce d’emtillerie, suman. Pidos de ailien. Piites
s’alfermir. Voller on faxer — alsaz, läuker | d’sleqeeman,die potsie, wis. ° Paesent, aulee.
pied, senluit. (Ag.) Becular, manguer de a6-| ( fam.) —, " tour, malice. (inus.) "Meunhep,
solution. — anie — , lar. adv. sur la.poinie des | quemuth, ‚pertien. diesame,, alald'’murre
pieds; sans hruil. Dar # — s (omar a mäe, | que fait un ouvrier poup@ire sage eltun«ühnf-
(fam.) donner le doigt et be baas. Os| d’auvre : ouvrage pssfail dans son gentb. —
—s da cama , le pled du lit. Aos.—.s de V. M..A | por m, mer idoe, u -Adlail. Bier!
vos pieds. Exprossion de politasae. Anrasier’| bone giden! An ie dit d'une porssanewaspe,
os —s, tzalner Tas ‚pieds : Alte ‚vieux. :Ndo terı| malicieuse. Pregär umq —, (fam.) fairerums
—s nem cabera.V. ce. mol. Per as —s d.parede. | ;piiep une" melise , Yoparıma Jaurrd zuelsgekun.
V. ce mdi. Por os —s em ‚pelwordsa, (pagı,),| Heuer »es an aut —@ , meise eninidnns.
prendre la poudre.d’assampeue,. s’anfuir: + Pecauiean, ade. malisinusmmmeni. .
cipilammant. Bör-ee nas bicos dos —e. V. Bico|| Pacin,P. Mmuatier, perlani.des Icuife. V.
Sette s ds.larra, la lossc, a sanuliuse, Adr,|| Pico.
meotter ddbaczo dos—s, (Ng.) fouler aux piede, : Psrgrdigo, 3. Mi (u.kurlı) grand psch4-
ızaiter axae .mepris. das 4 juntos, ‚A ıpieds|| . Prccaninno, s. m. dim. de Peccado. 'Poota-
Joints. (Ag.) Auer abslinatlon,, guiniätseie.Kesi| dilie.: & läger, ou, par anlißhrase , peche
—ı al «Ag. d'un bom Alamisande-|| etiorme.
ptis le oommencemäns,jpatu’ä la Ay. Kater Peccind,'s Mm. petit rfrkn te fa 1di
— 8 ‘ opimiäp , .Aze ‚auiflöl) divine; Tate. Tout'ce qui ‘#’dtolgne de’a rdi-
d’une opihion. —s dacammarco, (4. de m.) son, du Pequim. Astar um s- ‚Ole en #tat de
pieda dreita: pieds,de,bais.entallläs de.disiamce:| psche. Por mes r, Pourunispaihös.
en al. gulmervens A’sehelledansin-| "Raimuien „p.p-de’Powsar:
terionr d'un vaisteay; alamnea Hpamlillen. ma) Prccanör, A ‚adj. ete. Wien :’yülsinmer
eolombians.\. sis. . Hiramme : Inividu dengenseiitämein.
“ v
u po
Pa, s. f. "entraves des chevaux.(em4,) V. | ( Ag.) Qui manquerk son deweit.'=- die meins! ou
P —ı para alrasar a Aancha, (4.de mar.) | deti! pecheur que je suis ! pöeheur quo wous
" haubans de chaloupe, saisines om risses. | @les!
888 Pet
Peccanöns, s. f. pecheresse. Femther pa-
MParca
vonicd, d.m. grand pechenr.
PsccauımÖSan£uTE, ade. erfininelleent s
d’une maniöre eriminelle.
PEccamınöso, A, adj. qui Appartiem, qui
one au p6chd; ooupable.
Puceinve, adj. 2 gen. ei p. a. de Poxer.
Peöchant : qui peche. Humor —, (f. de med.)
pe aar Bocsanie qui peche en quantil# on en
„ (fiem.) avoir son faible.
"peut v. 6. — peccados, commeltre des
peeher contre Dieu.
Preis (vom, contra, de, sm, Por), %.%.
Pocher : wansgresser Ta toi divine; ; failfr contre
quelque regle; manquer & un devoir, n’avoir
yas los ‚ia quanatits regaises. Romber
dans quelque exods. Se rendre digne de ohätl-
ment. Errer. Pöcher. On ie dit des humeurs
top aböndenics ou d’ane qualitö vicienuse.
— 00m , pdeher avec une fomme. — com
" sigo mesme, faire abs de so-meme. — conire,
'olewser ; faire lort, nuire. — de s0c00 ou Ein-
vornoso , dire wep söche ou trop plurieuse, a
porlam de Paunde. — om A ‚etre affecıs
d’Aumeurs peocanies. — por I: , por bom,
eto., pteher per trep de osertoisie, par tsop de
Denis, et. Näe — por ,, ne pas p6-
“se par ignerance, agir sveo connalssanee.
Saber a parte por ende alguem preoa, oonnal-
use )e feible de qeeiqu’un. Dar Ihe per ande \reı
petea, toprendre d’wme [laute d’habitude,
qu’ua ne sauralt nier. Calza ou porta eberie.
Ju porea, ( pres.) l’occaston fait je larıen,
Yabamdon Kon fan te larron.
- PaocivEL, adj. 2 gen. peeoabie : sujet A pd-
«er. Qui peut fournir mstiöre A pöcher.
Püczce, s. m. ° püche : [rail & noyau et pulpe
‘es geeber.
Psczoviuno, 8. m. (1. de bei.) pücher : arbre
ui prodeit tes
*"Backxo V.
Picaa, s. f. * Gefaut, defeotuosite, tache.
Ferne s m. oofsaire, deummeue de
reale
+ Poraincza W—KA,R. f.(beri.) * gatıı, profüt | frucplio
sans peine ou Inattende. ° Boronant-bon, avan-
tage Inattendu. Röcompense, puye
+ Pucnsllqus, s. m. eimflet. s Intlenge de
euivre et de zinco.
PECRÖSAMERTE, adv. par caprioe , avec mau-
valse humenr.
Prca6so, a,adj. quiredit, quibläme, qui cen-
suce toat; bizarre, d’humeur chagrine , morose,
kourru , capricieux, @ilicile 4 conutenter.
T Psaornino, A, adj. de de bei.) petiele:
porie par an pötin)e ( fouille -@).
PzcioLin, adj. OL? astielaige :
qui appartisut am peliole
Pscioro, 0. m. (1. de bet.) pötiele: quuae
soutient les feuilles des planies. “
Peco, s. m. avorlement des fruits. Ag.) De-
faut, imperfection.
Peco, 4, gel we Bhktat sa perier-
tion, avorte { (Ag. Yabicle, nie. No
Kr ou md fer vadı nada de — , avölr de Tespni.
Pecönma, s. [. *poison, venin. "Pas d’ose
PEcoNBENTO, A, ad. veniment, venenen.
(Rg.) Medisant.
Psconzir, v. sn. passer Is nueit & la beik
&toile. Marauder : aller en maraude.
* Pacrir, ©. @. payer en tribut, un imp6tL
Prcotunas, s.f J.pl. los premieru eris des je
nes olseauz. (fig.) " Mots piquanis.
PaguLito, s.m. (f. de pras.) pöewtat: vol des
deniers publics par ceux qui en ont Fadı-
nistration , le maniement ; preät iflckle fait ser
tes deniers pablics par ceigi qrul em ont depesi-
taire.
Prcorsin, adj. 2 gen. particulier, propt.
special. Du ie.
PecvLianmänte, adv. partieuliremwent, sp-
oislement. Men eetui ge
PrctdLio, 8. m. peeufe: ai
on puissance d’auttvi a sequis vis par Yindesirk,
le travail, et dent il poat dlaposer. (fig.) Argeni
que cha. ehacun a en propre. Livre de remargıe,
Pachm “ & maeunayt.
Provminto ne: ernlehe: qui cuasik
en en argent (amende, peime); &urgent (I
Pacumöso, A, if. psounteux : qui a ben
Prvachno, s. um. Ohm. die Deddgo. Petit wer-
van.
Pmwico, meorcen ren pertion,
“e. weine do n I mpit de mei
meme. Expression 4-nn
on Morcenux. mn. met
en pidces. Bitar feio —e, de va em. (M:
re entiörement ias, brisd per ia Batigoe. Fı-
zer-se em —ı polo servigo K’alguem, un
meitre en quaire quartiers peat le serrke d*
queiqu’at. —s de madelre que veriin da nı-
do navie, döbembres, onpeaur du
ateller de oonstracüen.
Peuino, se. m. 7 edge.
PrDa00cia, 2. f. V. Folmierie.
Punneben, al aRj. paladephgen, @ pi
gor®e.
Pupao6ee, 8. m. q
oonduit tes enfants; pn .(M}
Homme qui Men in jemalerenk wowe, gi
comme A vouf. °
vitage, qei juge debaut.
aan. f. pöäinterle:V. Pilenfiene.
Prsinrz, e. m. pödant: Yeeiniahib qui enbeign®
los onfents ; yui alfente um toi
‚«
d’exaotitude, de sewörtß, 4
Proawteie, v. n. faire Potibehes: affecier.
| faire V’entendu.
- PED
Pupanvsetanänts, add. pödantesguentent:
d’en air, d'une fagon pädentesgae.
PaBantisco, a, dl. pedahtesque : qui sent
’e tk. Ter er —, sontir le volläge.
ANTiEe , 5. m. "Pödantisme, pedanterie;
air, maniere, caraciäre du pedant; affectalion
et vanite du saveir.
+ PapschLıo „s. m. * varlkei& de raisin blano
ten Paatugal ).
4 Puoraauia, „f. peütrastie.V. Fanchonice.
PsuozankL, s. m. caltiow, roc. V. Pederneira.
Bupsautuna, s. f. pierre & feu ow & fusil,
silez.
rPionke, s. u, (4. #’hist. ul.) peätre : co-
Pansuehi., s. m. pisdestel : oorps qui porte
. wae oslorme, une stalne. — de columna, (1.
d#usch.) stylobste, piedestel , soubassement,
«= de bunte , piedosche: petit piedestal. Pedes-
. 4a „ pl. ( 6. de mar.) waversins placke dans un
bitllımamt A ames pour les pieds des ramenrs.
Prpisrae, adj. 2 gen. pedestze : qui pose sur
.eus pinds (stalue); fall & pied (voyage); qui
va onen k pied, gel oohoerns tes gens de pied.
* Pragsö.V. Prdimenie, P
+ PasxiLLo, s. m. (8. de bot.) pedieefle, pe-
densuls.
4 PanicuLiso, A, adj. (4. de bot.) pedieul6 :
ports par un pödicnie.
Rencouzän, adj. 2 gen. (1. de med.) pedien-
Jaise: (maladie —), dans laquelle il s’ongendre
des peux inaombrables, indessructibles.
T Basis, s. f. V. Podide, Permission de cou-
per la hie, sc.
P&Dino, 8. m. tribut, imp6t. Don grateit que
s demandaien! & leurs sujets. V.
Peligio. (k. de vom.) " Deimande, commission
. de marehantises, de densöes, ei. A—de, sur
la demando de.
Papino, a, P« 9. de Pedir. adj. A qui on de-
mande „ que l’on prie. Fos ei ri —, on pria le
Kol
Pxzvsp&n, A, s. demapdeur, colui seriost qui
est impersun. V. Podinie.
Pzmichıno om PEDICOnN®, 5. m. demendeur
iaportun.
* Pepınpäna, a f. demande: action de do-
smander.
PzsıLövı0, 8. (k. de med.) podileve 13 bein
de pieds.
maanes : mamımilöres Dourpenm, & qui les pfeds
servent de meins.
“ Pzpımänto, s. m. V. Potiple. A, sur la
dummanda.
Papıucniö, Oma, adj. ei a. (fans) demab»
deut: qui sawent ei avse Impertu-
nite. Quemandeur, trucksur.
PsaucHir, v. ». desmender souvent ot avoo
Qutmandses, tracher, gususallier.
BDINTA, 8. f. mendianie.
Pasinriß. V. Pedinchäe,
PaxsuTaRia, 6, f. sotien de alluser, domen-
dier, guouserie.
PED. 889
‚Peoiste, 3. m. mendiant, gueuz. V. Ben-
Proin (a, por), v. a. demander:: prier quel-
qu’un d’accorder; desirer, avoir besoin; former
une demande en jJuslice; exiger; queter, de-
mander l’aumöne, mendier. Demander une
fille en mariage. Prier, supplier. — conias, de-
mander compte, faire rendre compie. — jus-
tiga, demander Justice. — a noivse, faire en
cer&monie la demande d’une üllle en mariage.
alguen,, demander gräce en faveur de
quelqu’un. — por favor, por obsequio, per
merc#, demander en gräce. A — por bocca,
Y. ce mot. Näo haver mais que —, n’avoir plus
ä desirer. — as nuvens, (inus.) s’clevor aux
nues. Como pede, accord6, flat.
Prniıtörıo, s. m. " demande ridicule cl. re-
petee. * Quäte, action de quäter.
° Peoornica, s. m. mattre de Pathletique.
* Peoorninico, Aı,adj. Arte —a, athleilque,
art des athletes.
P£ora, s. f. pierre : corps dur qui se fornıo
dans la terre et qui sert & hälir, etc. ; caillou;
amas de gravier dans la vessie. Pierre & fusil.
Grosse grele. — d’amolar, pierre & aiguiser,
queux, etc. — d’aguia, pierre d’aigle, aötite.
— hume, " alun. — de locar ou de loque, plerre
de touche, au propre et au Hgure. — de legär.
V. Galga. — iman ou de cevar, pierre d’aimant.
— ihfernal, pierre infernale, pierre & caulere.
— lipis, vitriol de Chypro. — pomes, pierre
ponce. — para calgar, pave. — de mülkas, (1. de
mar.) table de lok. — de moinho. V. Hd. — pre-
| eiosa, gemme, pierre precieuse. — em bruto,
pierre velue, pierre brute. Resolugdo de — e cal,
(fig.) resolution ferme, bien arreiee. Cabega de
— e cal, (id.)tete dure, qui ne cede pas ala rai-
son. Langara— e escunder a mäo, (td. ) jeter ia
pierre et cacher le bras. P6r uma — em cima,
remettre au silence , laisser en oubli ; arr&ter le
cours d’une affaire, etc. Enconirar. achar a
— pkilosophal, (ig.) trouver la pierre philoso-
phale, le moyen de s’enrichir. Langar a pri-
meira — 00 edificio, poser la premiere pierre
d’an &difce; (fig.) entamer une affaire. Näo
deinar — sobre —, ne pas lalsser pierre sur
pierre, ruiner de fond en comble. Marcar com
_ branca ou negra, (fig.) se rcjouir d’um
jour heureux, ow s’aflliger d’un jour funesie.
Ser a — d’escandalo, &tre un sujet de scandale,
on motif de dissensioh, etc. Estar frio como
ume ——-, &tre froid comme un marbre. — mo-
vedira ndo ceria bolor, (provu.) pierre qui
ronie n’mmasse pas moussc. Tanio dd a
agua na — ald que a gasla, ou aqua molle
em — dura, fanto dd atd que a [ura, (id.)
Fond qui vombe goutte & goutle init par creuser
la pierre. —s ou —e preeciösas, pierreries,
pletres pröcieuses. —s mamilleres, “mame-
lons. Doide de —s, fou poınme, fou A marotte:
ut est ers de son bon sont.
: Pranimn, 5. f. aötien de jeter une Pierre;
saup de piorre, Ic 2} Parole piquanie, oeup
DEG --——
v& de callloux; garni
OR erbte; moucheib de d
Er
ProaÄpo, &
verses rein; front
Pipaachso. V. Peüragöso.
+ PepaAacvuımturo, A, adj. pierreux, pleie
%e petits cailloux.
Peonir. V. Pedregal.
- Peevnanckıra, 3. f.” tas de pierres.
Prorania, 8. T. pierre de taille. Pierreriss :
amas de pierres precisuses, de diamants.
PeoxeciL,s.m.lleu pierreux.
Pronzcdso, a, adj. pierreux, rempli de
plorres.
t Psorecöino, 8. m. gravier, pelits cailloux,
Tallloutage. Grande pierre ä6tachee.
» Pronkira,s.f. carriere : lieu d’oü Von tire
les pierres. Ag.) "Appui, proteclion; media
teur.
Peertıro, 3.9. magon. Pierrier : piece d’ar-
titterie. Sorie de petite hirondelle. — kore,
franc-magon. Sociätlade dos —s livres, franc- wudes. —
| Susciier des
magonnerie.
Peonetz, adj. 2 gen. couleur de pierre. Gs-
vallo —, cheval blanc mouchele, Ferro —, fer
trös-cassant, aigre ou pailleux.
Peoainna, s. [. dim. de Pedra. Pelite pierze.
Eıtar com a — no sapalo, (Ng.) avoir la puce
& l’oreille.
* PEDRInuO, A, ad). de pierre.
Peonisco, 2. m. *greie de pierres. * Abon-
dance de grele Ei tombe des nuß8,
Peoröso. V. Pedregöso.
Peorörco, s. m. las de pierres, pierrieres,
+ Peouncan. iDo, A, adj. (8. de bot.) pedon-
eule: porl& par un | pedoncule.
+ Peouncucin, ai 2 gen. (1. de bol.) peden-
eulaire : du pedoncaule,
+ PeponcuLirönug, a@j. 2 gen. (4. de bot.) en
forme de pedoncüle.
PepöncuLo, s. m. (4. de bot.) p&doncule : tige
qui soutient la flcur et Je [ruit; suppert com-
mun des fleurs.
® Perndenca. V. Penilencda,
»Pgensio. V. Pensäv.
Po ,s.f. pie, oiseau, (Ag.) Femme havarde,
babillarde. (h. de mar.) * Chouguet, blac, tEie
de More. Pi&ce de bronze sur le cylinslre d’un
moulin ä sucre. Aveniar as —s,[Äg.) prövaif
Ges malbeurs.
Peca, s. f. liaison, union de deux choses,
Lien des beufs. “ Alganon qu’on met aux pieds
, des esclavas Iugitifs, Anse, suanehe d’un vase,
A ecivs, . f. race, empreinte du pied ; var
tige, piste. V. Pisada
Prcapico „A, ad). given, visquauz, Conis-
gieux. Teer as mäos —as, dereher, sreir dm
penchant & voler.
Prcino, 4,9. 7. de Pegar. ade. Veisin ent
tigu, ationant, uni, Jaimt. Adkarens, wallhe
ae attache 4. a Us) Dlond, sd „alter
4 „alachianns BOW. asien
ee — g, 1obk come,
Picädo,c kennen vage pres, allenanı,
‚TINEG
PrcADÄR, &
au venire du Gear ie runen:
Pecanöns ,a.f.V.
Pzcarıön. V.
‚PaGasös0 , A, adj. ‚Einen, ‚riagpas: Mibis-
‚|gieux. ($g.) Alrayant. Biss eo, Ammbent
'T leuse,
Proaukca, V. Raudens.
PEGAmigo ‚8. mn. chose glnande. (de. fm)
Laportum, ( 6. de ba) > auzale, der-
ble agrafa. Beron den x
PECAHENTO, 8. 0m * schon deasiarenien,
| laison. V. Ap6go
Peciö, #. “auto di azuhe OR pesL
Arc-boutant. — do meuro, butse, comsiwlelt.
— da vanio ‚eurkillen, uesalin., auigam.
Prcir (0,20, 0m), 0. cellus: NrE
de la colle. Joindes ı mir, susachger ansenik.
Donzer, communiquor mme #unlelin weh-
Bieuse. (Ag.) Commenäpeess uhohs ‚ine Wii-
— füge ‚ment be Gap: „ undöntunnen.
nervhhes alt.
Prcir, v. m. prouist zucine, peiiunt Os
planies, Prondre, vellainer, um
Adherer, iepin, dire enatige. Stuunedet, u
Dir. Agir, keire s auele ein A,
reussir. Allaquer, assaillir. rm elpem,m
algeıns comes, naisir, aureker, &.
— na espada, porter la zuinln Brava ern; ER
dee I'tpte. -- mo vommp, opmmanstr & Ve
alguem, se Jdispeten, se quuiniber
Vena deber aripusr ugeter nenn Fon
0 fogo n'uma case, etc., le feu a ish m
DREOE, MR.
Pacinm, o.r. ve jeiuab, sumzehk, 9
Prenden gott.’ autmehser, WeilANbR.
polker.
Se communiguer (uns snuinden) Walt it
crocher ä. — 2 gwwallo, etre rolf (ts anl)
- 6 ro deeup,' uuiut WE,
sans parole. — ee vaittn, ve WR
sous la protection d’un saint, so vener &
ruhe
Popgeesr es ut pls, Dep
+ Pzciseo, A, adj. ee
y u,
par les poßdtes. (fig. )" Verve periqm
ala)laion sngtentiisunibei. +
poisson carlilagineuz, Meniberopemn,
d’sguseens wugcuk. = de Audter, Wafik &
mer.
“Paczasotme. V. Pißedune.
„Zuenem. ee
ram „In. dtp W’elhenm.
BCOMANCIA, ,
Ja De ns
‚Desanin. 3.
ge
pin, qui en fait ae [.
* Pecuräil. Pig nee wahre
( A) Mur ) Motif, protezte,
PEI
PRGULHÄL, 8. m. troopsau. (vieux) Berger.
ProuLnin.V.
Pscuatıno, 8. m. berger. d’un pelil troupsan,
jeune pätre.
Pkıa. V. Pa.
Pzıpir,, ©. ». peter, faire dos pets.
P£ivo, 3. m. pet: vont qui sort avoo-brait du
fondement.
Peiwonrina, 5. f. p6larade : piusioues pots
de suite.
+ Privonrein, 9. 9. falre une petarade, pe-
ter souvent.
Privonatıro, A, adj. ei . peleer, qui pöte
souvent.
+ Pzivonntra, 3. f. pet simul6 fait avoc la
bouche, pelarade.
Peiön, sic. V, Poor, etc.
Peıta, s. f. " present pour suborner, subor-
nation. (anf.) Ancien tribut que les rotariers
payaient au roi, taille, ete. (fd.) “ Cens, rente.
Pritäck u —ı,8. f. (tk. @Asie) cabane des
valsseaux diis Juneos.
Peirica , s. [. (1. d’4sie) sorte d’embarcation
des mers de Malaca , quiavalt l’avantage de se
meitre sous l’eau sans que la cargaison füt eh-
Jummagee.
Pgiräno, 4,9. p.&e
PaıTän ‚.v. @&.00frompre ‚ gagner par des pr&-
senis, eic. (ant,) Imposer le teibut.dis Peife. V.
ce mot. Payer un tribut, un impöl.
PEıTavEnTo, adv. (1. de chasse) comire le
vent.
Paırtıno, s. m. subarnone, qui cerzompt par
des cadeaux. (ans.) Celui qui payait la Pelle.
V. ce mot. (flg.) Piöhdien, rofuries, bomme de
hasse estraction.
Pririıno, s. m. pelite culrasss. Ridse de
eorps de jupe. Corset. Ormesment triangulaire
de pierreries sur l’estomes.
Phiro, s. m. * peltrine ı parlie qui eantient
les poumons ot le tar; un des organes de la
vie; 00 qu’elle oontient, les odtes supdrieumss ;
les poumons; le sein, les mamelles, la gorge.
Interieur do (’homme, cur, Ame. " Gonfisnee,
estime. (fiy.) Conrage, valeur, zösolution. —,
voix forte , boupe veix. (aui.) V. Asiis. der
mas, plastron. — do pd, eeü-de-pied. A — des
eoberio, (Ag.) sans defemse. Momem de -—,
komme de» cur, o0uFageuz, forme os Secret,
Metler a mdo 0 204 — ‚ miellse la mals Sur 88
conscience. Desafogar oseu-—,owrrirsonemur.
--?07 ierra, humbloment, aven seumission.
Doente do -—, yeltrinaire. Hier o— em lerve,
fafre une descente hoslile. No -— de sewamigo,
dans le’sein de son ami. —e, p}. Lelons, Nia-
nıeles de famme. Toner a —e, (g-) prendre
une cheto komur. Griar a sous —», allalter.
Pör ass —#, eoueher en Jose avıe um fusfl;
prösenter la pointe de l’4pse sur la poltrine,cic,
Brag ae auman As, Eadaye) Va I ont
A Fi pop) te veages (qui fingus,
hofrah baradia get warre
a son A N abe
«
- PDS Re:
le devanı des &paules du cheval. © Courroie de
la selle qui passe sur je pottreil Au chevl Aat-
toral : piece de ’broderic sur la puiteine; rikio-
rs, un des ornementis du grand-prowo des
Juffs.
PgıroriL, adj. 2 gen. pectoral : bon po@® la
poftrine (sirop, ete.); qui se porte sure Poi-
trine (croiz des tr&ques).
Peıtorit, s. m. appui de crofsde , paraßet.
Peirorir, adj. 2 gen. de parapet.
PfıxE, s. m. poisson : amimat & sam vohge,
presquc froid, qui nalt etvit dans Teae. — uno,
ange, poisson. — martello, le marttau = ag
Iha, aiguille de mer. — #dinerie Vor-
phie. — aqulha arrocodilado , ie caftnan. m. en
Iha do Brazil. V. Timues. — poreo
V. Acaramoeco. -—- porco felpudo, Te petlie i-
corne.— porco de dous espinhos, "paliste d @tlız
piquants. — röda, mole. — roda ordinario ou
— rolim, tetraodon mola, le iuno. — Sure,
herisson de mer. — porco-espin do Brasil,
orbe herisson. — espada grunde, tpte 08 s-
padon.— espada grande e bieudo ‚ Fenpacem a
l’empereur. — pomdo, la Aatsie. Sure, 1a
lyre. — ardnha, la vr os dragon de met. —
gado, gade. — pdo, ! a morue. — cWrob eu
carcunda, le kurte. — cabre ou cdbrinhn. N,
Ruiro. — voador do Brasil, trigte volant.
— gallo, z&e; coq de mer. — gallo da Buropa,
la doree ow poisson de 7lo 16 tourt — Wyira
da India, le teira. — tordo, le f6urd. — mi-
lope, le Indlope. — da China. V. Auivara
dö Paraiso, poisson du para@is. — serre. V.
Espadarte. — miudo dos tanques, alerin, afe-
vinage. Dia ou comida de —, jour on repas
maigre. Cumer de — , faite maigre. —
poisson frais de mer, "Eile — tem chei 0, 'ndo
esi6 fresco, estd ardido, ce peisson pigue. Mo
ser nem — nem care, p’etre ni eheir m pois-
son. Filko de — sabe nader, (prov.) bon thien
chasse de race. Signo de —s. V. Pistes. Ob =s
grandes comem os pequenos ‚les gtos pölssehs
mangent les petits.
PEix£ıro, A, 5. polssonnier, —Ere ‚ qutvend
Te polsson.
+ PEızeLin, &. m. " salpe, saupe ou m:
-poisson de me
Peixzzinuo,. 7. Peiwinko
PEIxıNnHRıRO, 8. m. issonnief qui
te poisson frats dans }’INterieurdu pays, chasse-
maree.
Prıxinvo, . m. dim. de Pelze. Petit petsson.
*Peixöra. V. Pescdda.
+ Prixöre, ..m. petit pofsson au-dessus de
Peizinko. (Ag) Set, ignorant, \nmocent, sähs
erience.
zıkDaminıe, ade. Aregret, & confre-cumf;
avec honte, padenr, detie sense.
Prsävo, A er. Pudigue,
honteux. ME, FAR e e Bu zu
Fimide, deeoargge ?. Pe
begae. Conscieneis —d, (fd.)
science chargse, ylomaya — , estomae
charge daliments. Botr, andar 4, rn en-
892- PEL
epinie, grosse d’enlant, parlant d’uns femme.
Dasında ou } * &cluse d’un moulin &
‚Pgsanöun0,8.m. ) sucre.
PsJam&nto, s. m.obstacie , eniraves, embar-
E08.
Pasia, u. e. embarrasser, melire des obsia-
cles; encombrer, obstruer. Surcharger. — al-
gusm, ennuyer quelqu’un , le deranger.
Prıia, v. 9. devemir enceinie.
Pasän-sz (de), v. r. #ire honteux, ne pas
Oser; ayoir de la pudeur, rougir; se troubler,
s’ambarrasser.
Pkıe, s.m. "pudeur, modestie. Empeche-
ment, ombarres. ° Repugnance. °Superüuile.
Term emalguem, cm alguma cousa, SYOir UN6
- mamuvaisooepinion de quelqu’un ‚avoir des soup-
4088 conize lui, olc.
Piı4, prep. (contraction de Pera, Per ella,
on de Por a, Por ella), par la, dans la, d’a-
, ka. — miesına razdo, par la meme raison.
— rua, dans larus. — lei, par la loi ou d’a-
pros la loi.—s duas, Ires, elc., horas, vers Ics
.owä lrois, & güalre, eic., heures.
Paıa. V. Pella
« + Prracianisuo, s. m. pelagianisme : höresie
de Pälage.
+ Pzuscuino, s. m. Pelagien : partisan do
Plage; is. de Pelage, qui apparlien A Pe-
an, etc. V. Pellar, etc.
Päıace, 5. m. (podi.) la baute mer, la pleine
.ames. V. Pege. (fig.) Ocktan : quantitö innom-
brable.
PrLiuipa, e. m. pelamide, poisson de mer
qui epproche du maquereau.
+ Psızcaing, s. m. poisson du Bresil qui
seit le requia , p6lamide.
Prutsa, s. f. *combat, bataille. Querelle,
rise; grande dispule; discussion opiniälre.
(Ag) * Combat entre les animauz. (id.) Combat:
‚agtalen intsrieure, choc des passions, elc.
(dd.) "Travail, peine, fatigue. Genie, ns
da — ‚soldats, gens de guerre. Ndo ser homem
de —, (Ag.) manquer de resolution, de cou-
Pruzsino, A,9.p. de Pelejar.
PsLesanon,a, adj. ets.combattant. Qui aime
‚Jas oomhats.
Prızsin, 9.6. (p. us.) comhaitre (l’ennemi,
eio.). — batalhe, livrer bataille.
Paussir, 0. 0. comhaltre, se baltre : livrer
combat. Debattre, disputer, quereller; argu-
IORLOE ATOc opiniätreie. (fg.) Combatire, On
lo dit des elöments, des passions de l’Ame, etc.
(‘d.) Travailler, se donner de la peine, lutter
sonire un abstacle, etc. — com alguem, (fam.)
sronder, reprendre quelqu’un durement.
‚.„t Pausraönıo,a, adj. des Lapithos ,peuples
de Thessalle sur le mont Pelion.
ELHANCARIA , 8. [. 08 ux pendantes
Prıuäncas, .. f- ri | has 7 .
iande gre.
, Ptwunos pour PzLos. V. Pelo.
sques et riddes. |
PEL
crotale, grand-gosief, livane, 0i5688 aqual-
que.
*PeLickino. V. Pelleleiro.
PeLiöna, s. f.querelle, dispsie, demilt.
PeLiras. V. Pyreihro,
Paıra, &. f. balle de paume; pelotte. V. Pa
lota. Petite Alle qui danse sar les &paules d’un
femme’ — de vente, ballen. A ferres —, vu:
boulei d’artillerie. Jogo da — , jeu de paum.
Joger e — ‚jeser ala paume. Apankar a—- u
ar ou no sallo, prendre la balle au bend. Te
as -—-s a elguam, (fig.) rösister, tenir Wie 3
quelqu’un, ne pas lui c&der.
Psırscır. V. Alacil.
Paırioa, s. f. pelade : maledie gui lait um
ber les poils et les chevemz. (4. durl.) Ti
chauve.
PsLLino, A, 9. p. de Pellar. adj. Pelt.a
le dit d’uo rocher sans arbres ni planles,
PeuLLaoön, 5. m. celui qui pele.
PeLLapüra, 5. f. aclion de peler. T. dr
pecia.
PrLLiug, 5. m. corroi, apprät des cain. \.
Coirema,.
Pzı.iö. V. Puido.
Pzıuin, v.a. peler : Öter lo poll, la pet.
l’dcorce ; peter avec de l’eau Ires-chaude.
PELLÄR-sE, 0. r. se peler, perdre le poll. -
por alguma couss, (fig.) desärer ardemml,
brajer d’envie.
+ Psıuarina, s. [. *boa : lfourrure en fret
de serpens, que les femmmes porieni sar Ist:
et los dpaulos.
Pete, 5. f. peau : partie esterieur der
nimal, qui enveloppe tous nes mermbres, #
pardo ou non da carps; emveloppe, pelltek.
croßte ä la superfieie; enveloppe des Ir
charnus, d’uns chose-molle. Pean april.
cnir, etc. (Ag.) L’indiride, sa perscane (id.
L’exierisar, apparenoe. Na em —, wei iR.
sans aucun völernen!. Jurar pela — a elpei®.
jurer la perte de quelgu’un. N4o enber ne
gosto, de conisniamenio, me pas 08
de joie, tressaillie dejeio. Nde enler na 4
gorde, (fem.) crerer dans sa pese, &irs eiit
sivomen! gras. Tirsr a — a elgum, (M)
fouelter jusqu'an sang. Os ossce astäs Is [*
rando a ——, les os ini peroent ia peau. (aid
bem na — ‚aveir soin de sa peau, de sa y#-
sonne. Rir-as sebre a — d’alguem, rin sur!
oompis de quelgu'un. Julger algum pels-.
juger queiqu’unpar l’oıläriear. Despir « —
döpouilier de sa Rean; (Ag.) rajemmdr ; chanft'
d’opinien, de eoaduile, de sentiments. Hude
# — , quiiier sa vieille poau, Sords— deal
dire exirömement : malln, zus, d-
nearnd. —s para „ fonszure-
Drautsno, s, m. pellstier : qui arcemmedı
et vond des pesux pour les
PELLETERIA,
los
fourrures. V. Fe . Dudie pon
Ale. Pelle.
Saußruchs,.
PaLınzi
Pauicino, &. m. (1. d’hei. net.) pelican, one- | mince, peiticale. pelure;
PEL = --
Psıılca , s. f. peau ine, canepin.
PauLica, 2. f- peilnse : robe, manteau /mam-
tslet fourrös.
+Paırice, s. f. (P.ws.)maltresse ‚oomeubine
d’un komme marlt.
PzıLico,s.m. habit de peau des besgers, etc.
PsıLicoLa, s. f. pellicule : poau irds-minse.
Prıilinna, s. f. dim. de Pelle.
Psıuinwo,, s. m. dim. de Pello. Petit flocen
de laine. Petits cheveux qui tombent sus le
front.
PrıLfqutino, 5. m. peaussier : arlisan qui
vend , qui prepare les pesux.
Pruiwcäiö. V. Beilischo.
Prrrissa. V. Pellige.
PusLıtania, s. f. peausserie : comıneree, &lat,
meiier, marchandise de peaussier. V. Pelleie-
ria.
Psıurrtino. V. Pelliqueiro.
PrıLitriro, A, adj. (1. burl.) deguenill6,
courert de haillens; gueux , miserable.
P2LLo,s. m. peil : Bles delie qui sort de la
pean ; teus ces Hlets, leur couleur;; barbe, che-
velure. (8. de bot.) —, filamentis trös-delies.
Duvet : espöce de colom qui vient sur oerlains
fruits. Poil d’un drap. “ Soie gröge, qu’on lire
de dessus le eocon. * Maladie des chovaux dent
la corne s’ouvre et so detache par ecailles. —
da espeda, (p. ws.) ll, tranchant d'une &pe£e.
Em—, anu. Vira— , venir ä propos, Aleınps.
Luzir o —, avoir le poil luisant; ötre gras,
paclant d’un cheyal, eic. Ser de—negro,(fig.)
etre russ, Irsaluleux, coquin.
PrıLös0, A, adj. velu: couveri de polls. V.
Pellido.
Prııöra,0. f. balle de paume. Balle,pelolte:
petit corps de forme spherique. " Boulet de ca-
non, balle de mousquet, etc. im — , tout nu,
sans ausune espeoe d’habillement. Deizar al-
guem em — , depouiller queiqu’un, lui voler
tout coquiil a.
PsrLoriö, s. m. eug. de Pellota ou Pellole.
(4. mil.) Peloton : pelite troupe; subdivision
&’un bataillon. Coup de balie. (Ag. p- us.) Mot
piquant, .
PrLLöre, s. m. sorte d’ancien velelinen! sans
PerLoricas, s. f. pl. pelites boules des esca-
molsurs; tours de passe-passe, escarmolage.
Faser —, laire des Wwurs de passe-passe.
PeıiLorinno, dim. de Pellote.
Pzuworigußıno, s.ın. [aiseur de tours de
passe-passe , escamoleur.
Prriıöuna. V. Pellouro.
+ Pawsounäna, 3. f. "coup de boulet, de
halle de mousquet, elc.
Prsrousinus, dim.de Pelloure.
Prriocaixuo. V. Pelourinho.
PsıLöuno, s. m. *boulet, grosse balle. Bal-
totte, boule. Fazer —s, ou sorlear cum —s,
ballolier, voter au scerulin.
Prıöcıa, s. f. peluche : panne, £ioffe A
grands poils.
PeuLöcıno, A, adj. transparent.
“ PEN 893
’ .
Prriöno, A, adj. poilu, peilu, velu, couver
de poite. a ‚pein, u, con N‘
PsLı, prip. (contraction de Per edle, Per
ella ou Por a), par la, pour la. Vers. — mode
woile, vers minuit. —s irss homas, vons trpis
beures. .
P&ro, pröp. (contrastien de Per elle, Por
ello ou Per #), par le, pour le: Vous. — pri
eipio , — mei, — Am de
+ PrLoron£so, s. m. (1. de geog.) Pelopon-
nöse : grande presqu’ile @’Europe dans la-bit-
diterrande , aujourd’hul la Moree.
+ PaLönta, 8 f (8. ds be8.) “ lineire, kim sau-
vage, plante.
PrLourinno, a. m. pilori, feurches patibu-
laires : c’est en Portugal une colonne sucmen-
ee de crochets ou pointes pour altacher les I#-
tes des oriminels ox6cnits; on y allache aussi
les condamnes pour les exposer aux regards du
publie eu pour les fouettier, eio.
PrLouno, ele. V. Pelloure, eie.
+ PaLta, s. f. (inus.) pelte, sorte de petit"
bouclier e&chancre.
Pririro, a, adj. (}. d’eme. mil.) arms d’un
bouelier dit Pelle. V. ce mot.
Peıraz, 5. mw. melange d’etain ei de plomb
"ou decuivre.
Pruussa. V. Pellueia.
Paurısiiia. V. Pimpinella. Ri
Pena, s. f. peine, chätiment, punition. Peine
d’esprit, souci , chagrin; ennui; zegrel. —,
douieur, souffrance ; fatigue, difficulte. (anf.)
V, Penka. — de dammo, peine du dam : priva-
tion de la vue de Dieu pour leg damn6s. — de
sentido, peine da sens : tourment des damnes
dans l’eufer. — de talido, peine du talion. —
de vida ou de morle, peine de mort. — pecu-
miaris, peine pecuniaire, amende. Alma em
—, äme du purgatoire. Sob —, adv. sous peine.
Dar as —ı, ttre puni, chäti6. Dar a alguem
as —F, iomar as —ı d’alguem, chälier, punir
queiqu’un.
Penäcuo. V. Pennacho.
Panipauente, adv. peniblement.
Pzxin0, A,P.p. de Penar. Qui a de la peine,
afllig6 , peine.
* Pexanörno. V. Punivel.
PaniL, adj, 2 gen. penal: qui assujellit a
quelque peine; qui eonoerne iss peines lögales
(code, lei—e), de peine.
PrraLipäpe, 9. f. penalite : qualitd de co qui
est penal; assujettissement & la peine. Souf-
france actuelie d’une peine. Peine, tourmen!,
souffrance, faligue.
PrnaLızino, A, P. 9. de
PgsaLızir, v. a. peiner: donner, faire de I»
peine; causer du chagrin, de l’inquietude, de
ia fatigue. .
PENALMENTE, adv. avec chätiment, en infli-
geant quelque peine.
Penauin, adj. [. Pdrola —, perle mate.
Peniö,s. m. gaillardei, banderolle de va-
..., VERS le COINEBENEE--
, ment, vews le milieu, vers la fin de...
04 PEN
sur eb Gaulle Ge
A
PEN °
sobre alguem, peser sur quelqu'un, Are &’sa
seau. V. Pendäo. tt. (anı.) Poincon pour serise ‚diboamen'her queliqu'ane- — un sapoeio, eic.,
Aimlr.
Pin ; 0.0: (umf.) pagir: osndermnert une oberes menlant.d’ d’uve alfalm.-
Ponalizar.:
peine, Finiigen.d6 V
Prnir (em, por), o.#. pälir, souffrir, peiner.
Soufir Ios penis de Fender oudu taire.
Eire tougtenspe A 'ugomis, Que esid ponando,
langwissaut,, qui ent’ consumöd peu dr peu per
une malsdie qei abatı des amer, Jauguir-d’a-
mour.
Pekmss, a rı steffüger, se olkagriner, 20-
tourmenter.
Poirwe, «0: pl. piaates : dieuz demesti-
gques. Le foyer paternel.
"Pumiver. Vi ‚Prmnioei-ot Ponal.
+ Pamurteuee, wi (pedi,) oelni qui portait
les dfews pöneten
Puma vrt« arm. pl; gäteswex de'pelssen Irit au
beutte-
Panca, s. f. fouflie piguante de chardem,
d'lods, etc. (biiri.) Grasnen. —: de bemames,
’ grepflon:d® dd iunanen: —ı-de:bofe, ” loves du
poumon.
PansiwWe: s. [Y 1eb nt ot newl de carreau
au jeu de cartes dit gerafusa. * Emploi sebel-
Lornie oma 00rtuolre. ( ig: amt:) Civsse demt on
fait usage continuellement et pour’ diverses
applications. Corvee.
Prnpiö, s m. " enwigne: drapeau, ei 'snir-
tout dtendird de tavaterie. * Barmiere de con-
Srörie. (ld dlas.! Pennon : esptee de guidon.
— do trige, eur Qu ie. — e caldetre, privi-
ldge qu'sralent les gemtilihommen portagais
qui suivaltnt Te r61 & 1a guerre de faire portor
devant euz un drapean ei une marınite. V. Oal-
deira. A feridö , aroo force, dtligenos, viva-
eite-
"Prinz. V. Püniteneit, Osstigo, Tye:
baihd,, Mulens.
-“Prennendir: V. Penifenciärie, Panitenehal.
Prrüinera ; ». [..dispate, querelle, rize, üc-
mele6; chamaillis ; affaire en litige.
+ Penpenciän, vo. n. avötr des querelfes avec
auelqu' un, se disputer, quereller.
PEnDentE, 8: m. pendant d’oseilie, pende-
loque.
Pauptnte, p. a. de Pinder, er adf. 2 gen.
pendent : qutpend; qui est anache paren haut.
Suspendu ; ut ddyend de , dependant; qui est
en suspons. Demanda —, precds pendamt, qui
n’est pas ddchtd. Perige —, danger imminent.
— a:primeirs demanda, pendent le premier
proods, owvie premier procks &tant pendanl.
— d’um flo, ( Ag.) qui ne lient ge’ un fl: prei
& tomber, & manquer, ä'6chousr, eto. Sella —.
V. Selle.
Penpen (ds), o. m: pendre : &tre accroche,
suspendu. Dependre. V. Depender. ( fig.) Ba-
lancer : @tre irrösolu, en suspens. Eire pen-
dant, parlant d’un proces, etc. (para).Pen-
cher; ineliner pour. — com somno, pencher la
Wete de sommeil. — ando sobre as ondas, flotter
suf Y’eau; sur les vagues, parlent d’un vais-
so. — da boca d’alguem , &ire attentif aus
» Penpeniciıno. V. Penduricalkes:
* Pznooir. V. Pondören.
’ Prwuotugse, &: £ pi. pöniteucas, zmertili-
‚sarluns,
PenvoLa, s. f. (p. us.) plame & dcrire. V.
Peonsule,
PrupöR, 5. m. "pented’wnerhiiine. desogmie,
penchant d’une montagzs, etc. (fig.) Penchmmt,
inelination; poids; considerstion. — da be-
lange, perrchant de le beiause d’an oßte. Bar
— , füire pencher; mettre sür-ie cbt6 (um vais-
seau, pour le radouber).
+ Pemonino, &, al); eu'penie, eswurpe.
.»
+ Penvorin, o. n. pewther, tra heus d’e-
plomb ; inefiner. V. Instiner, Eyepstar.
Penpura, s. f. perkdule : horloge & telameler.
“ Balancier-d’une mentre. V. Penduls.
Pennuro, 5: m. pendae: befancien d’une
horlioge; pelds attach& & une vorge ou um Bi de
fer, de soie, eie. , susteptibie d’vesiiistiome.
PfnpuLo, A, adj. pendant, suspende.
Pewoöna,s. f. grappes deralsin, meloms, ete..,
qu’on susperd afin de les ctomserver.
Pewperipo,A,p. p. de Pendwrer. adj. Pes-
‘dant, qui pend ; susper$. Dependant. Ineertaim.
oraintif. — da boca Falguem, (fg.) attentil au
discours de 0. — de ‚e
favores, etc., dependant d’esperances, de in
veurs, ele.; appuye aur des euperanoes, eier.
Ndo —a dem rochede , valtseae peinebe, vwerse
sur ım rocher. Palaeras —as, mets galndds.
Penpwmär, vo. a: penäre, suepbmiee, ausie-
cher. — os oläos om ulgum uljeto, ( fg.) Mer,
coller Jes yeux sur queique objet. — os omwides
dabocad’algwem, (id. ötreuweälf ausdiseoa:s
de queliqu’un. — 0 pensamento de esperangem,
(dd.) &tre dependant d’espbrances:
PExpurRÄR-sE (de), v. r. se suspemiret Etre
pendant, suspendu. (figy.) Faire depekdre. —
de Providencia, s conder & la Proridesiees.
— dee de promessäs} ol6., S'ziiR-
cher, s’appuyer, fsire-fond sur des esperamses ,
des promesses, yavolr conßeure. — em-puis-
eras, parler en style diert,, gone.
Prnountcirno, 3. m. chöse attuchde Uusus-
pondue & une auire; logqee, !
Prnznia, s. f. list couvert de rechers
„penzolo, s.m. ) trösesleres, groupe de ro»
chers.
Pentno, s.m."Troche , rocher: Bloe-de plewe,
gros calliou.
"Pragrichn, d. a V. Par. (v.' a.)
Penttina, s. f. "tamıis. — derdla, bietese,
bluoir. Ver por —s, (phras. vutg.) netote pas
lair. Querer cobrir u c&o com um — , (adage)
veuloir cacher ce qui est connu de to@® fe
monde.
PrneıRÄDo, A, P. P. de Peneirar.
PN!
ü Eumane, a8 Misch: aner para tany;
Peumaän-st, 0. r. planer : so aputenir les
alles dtendues, immobiies, parlant des oiswaux.
— ewdando, so remuer, dandineren marchant.
‚s. m. fabricant ou marchamd de
tamais. Cofat qui prötend deviner au moyen
der tertis. Sorle der masque & jour que met
eelat qui ehitey Yes ruches.
Pentıno, s. m. grand tamis; biufenu ou bla-
tois. Seste de Boucassi om bougran de crin
pour garnir et raidir les basques des auıciens
babits, dits pour cela de Peneirvs.
“PeweiLı. V. Oufeiro,
PensraasıLiving, g. f. pensttabilite : qualitd
de se qui est penetrable oO, qui rend pend-
trabie.
PrartnsciO, s. f- pöhötraiion: verfu,, action
de penetrer; (Ag.) vivaciiö d’esprit; faciliis &
peudtrer dans la connaissance des choses; [s-
eult& de concevoir ce qui est obscur, cache;
facult& de prevoiries elfeis des causes par ung
suite rapide d’inductions. Profondiis (diune
blessure, otc.).
Pswerrino, a, p. pn. de Penefrer. adj. P&-
netre; (Ag.) aligs‘ touche, dımu.
PENETRADOR, A, 5. pensirant,. imjelligent.
adj. Peottrant, qui pöndtre, perganı. V. Pens- | +
Iranie.
d Pımzmir,s m. lieu le plus relirä.d’un
edifice.
Prssrainte,p.a.de Penelrar. adj. 2 gen.
Penetrant, qui genötre;(fg.) qui aune grande
perspicaclie. Profond‘, parlant d’uno blessure,
etc. Aigu, porgant, Frio —, froid pergant,.
aigu.
Prntrrin, v. @. peneirer : percer, passor &
travers; (fig.) toucher vıyrement le caur; en-
trer bien avant; Houvrir un chemin & Iravess
les obstacles. —, 36 faire sentir vivement, par-
lant du froid , eic.(Ag,)— „comprendre paslai-
tement, avolr une connaissance nrolande; at-
teindre (les desseins, les vues, les inienlions,
ei.) — um asıympia, volrclair.dans une al-
alre.
Pangtaia (em, gor),D.%. Bar
nis, entrer dans un heu ;se dit-aussi-d/un
qui s’insinue dans un aulre nax 348 posce, ala,
— nos esquadrücs inimigos ‚ onfonoer, FanYei-
ser en peuelrant un Corps annemi.
Pgnernän-se (de), u. r. se panslren (diene
verite, elc.). (inus.) Entrer, penetrer.
PENETRATIND, pinkiratil:geipinätre
aiseınent. P£netrant, intelligent. Suspiros —e,
de profonds soupiss. j
ENETRÄVZL, ‚adj. 2 gen. ‚ponttrabie: qu’en
peut penöszer ; oü l’on Foul pandiren. »
Pinua ,s.[.toche, roaher, von. Andionsque-
Dranido —s, (zros.) les dens ‚hrissut les 1o-
chers, ils.ge isgt,rouie narlonı,
&eueil. u
Punnascösc, X; adj. ‚sieinale tackiss; ro=
'tds , eic. — am Palapgas.com alguom, engager
m rochgr.dleuhal.ossarpö, Wbo ;
PER - 895
ontifeux, Korph ARcneilk, couyert dk. tochere, ,
de brisants. j
Pannöp, 8. m. gagö: co qu’on livre pede
süret& d’une dette, d’un erigagement; nantissek
ment; assurance, preuves (d’amitis, do fider
lie, eic.). Objer tendrement aimd. [fg.) —
assuräances, preuve. "Promesse obligatoire ; gar
antie, Prestar dinheiro sobre es, präler de
Pargent en prenant des assuränces om. sur das
nanlissomenis.
Penudaa, 8. f. saisie de bions par ordre de
Justice. (anf.) "Gage. V. Penkor. Levaniamenio
de — , main-lev&e.
“ PENHORÄDO,A,P. 2. de Penhorär. adj. (Ag.) .
Enngag6 par sa parole & faire queique choas;,
oblig& par des servioes, des bonntletös, elc.
Penuogir, ©. @. saisir, faire la saisie de
biens par ordre de justice. Gagneor par de bons
procedes. Obliger quelgu’un, lui rendre ser-
vico, luj faire plaisir. — alguem pela palaurs,
obliger quelguun & temir sa parols.
Pauwgonir-sg (de), v. r. &ire träs-seusible
aux bons procedes de quelqu’un. (inus.) Se
meltre dans des eınbarras, dans des dificul-
sa narolg envors quelqu’un,. — com
s’engager envers quelqu’un.
PaninsuLa,g f. peninsule, presqu’ile,
Penis, s. m. (1. d’anas.) penis: membre viril.
+ Penisca, &. m. * sernence da pin.
Panıtencıa,, s. f. penitence : repenlir, regret
d’avoir offense Dieu; jeünes, mace£rations, eic.,
eg expialion de ses peche6s; un des gepi Sacre-
ments ; peine imposte par lo canfosseur ; peine
infligee pour une faute commise. Tribunal da
—, la confession. —s, pl. mortilicalions, auste-
Frites. —s volunfarias,, absünences. Por —s mal
cumpridas, \ fam.) maniere d’expämer un mo-
til secret qui nos fait agir, et qu’on ns veut
pes declarer.
PENITENcıÄnO, A, p. P. de Penileneiar.
PEnıTEnciÄL, adj. 2 gen, de la pcnilench, qui
cgncerne la penitence. Os psalmos —aes, les
"psaumes penitentianx, de la penitence.
* + PENTENCIÄL,& 9. p£enitentiel: rituel de la
penitence.
PewıtenciÄh, ©. a. Impossr une pAnitence
peblique.
Penıtenetania, s. f. penitencerie : tribunal,
charge, dignite, fonclion du pönitencier &
Rome.
PEnıTENtIÄARIO, 5. m. pehilencier : pretre
'commis par l’eveque pour les cas Töservesz
dignite dans les calhedrales. Grand p@nilen-
eier : cardina) qui preside le tribunal de la p&-
niencerte, & Rorne. .
+ PENITENCIÄRIO, A, adj, qui concerna ie
pänitencier ow la penitencerie.
Panıtenciazinua, 8. f. dim. de Ponilencia,
atite pintitetice. ,
Prntrancıtino , s. 9. niembre du tzibunal der
pönitencerte,
896 PEN.
Prnstkute, adj. ei s. 2 gen. penlient: |
Sa penitence; eelul qui confesse ses p .
‚ p penitents,, flagellanıs,
7 NITERTEMENTE, ado. en peniient, avec
pönitence.
Panttentissımo, a, adj. sup. de Penitente.
Pünua ,s. f. plume: tayau garni de barbes
et de duvet qui couvrent l’oiseau ; sa forme, sa
figure; tuyau de plume de metal, eic., pour
ecrire; (Ag.) style, auleur, ecrivain. — de
escrevor, plume & &erire. Bda —, ( ig.) bonne
plume, grand ecrivain. Ave de —, volaille. —s
reaes, les grandes plumes des ailes des olseaux.
—s d’avssiruz, plumes d’autruche. — d’ums
odla lalina, (1. de mar.) le coin d’en haut d’une
volle latine ou aurique. — d’agus, mesure
d’sau coulante. —s do moinho, aubes.
Pennäcno, s. m. panache, aigrette, plumet.
(Ag.) Chose &iev6e en forme de panache. (id.)
° Vanlıe, presomption, orgueil. Fazer — d’al-
guma couse, tirer vanit& d’ane chose. Fazer
— de sua infamia,, sfücher son Infamie.
Prnnipa, s. f. "trait ow coup de plume. Opi-
nion non sollicitee.— de finta, plumee , plume
pleine d’encre.
+ Pennittia, 8. f. (l. d’hist. nal.) penna-
tule : zoophyte. — pAosphorica, pennatule lui-
sante.
Pannzsivo, a ,adf. (tl. de dessin). Riscos, de-
buzos —s, tralis, dessins faits & Ta plume.
Panniveno ou —CERO, A, adj. plumd, em-
plume.
Pankırönue, adj. 2 gem. (f. d’anaf.) penni-
forme : (muscles —s), & fibres en barbes de
plumes. .
Prennövo. V. Pennifero.
Pannöcem, s. f. "duvet: menue plume,
douce, molle, courte et delicate;; coton sur la
peau des fruits. (Ag.) * Poil follet.
Pennuc£nto, A, adj. cotonneux, plein de
duvet, de poil follet.
+ Punör, s. m. (1. de mar.) bout de vergue.
Penöes, pl. "encochure : bout de vergue oü
P’ou amarre te bout des volles.
Penösautnte, adv. laborieusement, peni-
blement „avec peine.
PEnxosissıuo, A, adj. sup. de
Prnöso, a, adj. pemible, diffeile,, qui donne
de la peine. Laborieux, qui exige du travail.
Mdi — , toant, fatigant, tr&s-penible.
Prssi0o, a, 9. p. de Pensar. adj, Penst,
meöditd. Caso —, cas premedite. De caso —,
aveo premeditation. De —, ou sobrepensado,
adv. a dessein, de propos delibere. Bem —,
bien nourri ; panse, ete.
Pansandn,s. m. celul qui panse les chevaux.
Celui qui emmaillotte les enfants. Penseur :
porsonne qui est acooutuınse A reflechir, & pen-
ser.
Prnsaptaa, 8. f. action d’emmaillotter un
enlant; maillot,, langes.
Pensauentein,v.n. mediler, reflechir, Axor.
la penste sur un sujet (p. us.\.
PERsaunTo, 5. m. "Taculte pensamie, en-
samemio.
* Paustr ib. V. Prmsalieo.
Pl
wndemeoi. injellignnce. *Pamste „ acha de ceiw
fatultd ; cbose pensee ei exprimee; ce quelus-
prit pezse, a pense. Sens, idee, dessein, opi-
nion. (fig.) " Legörete, promplitude exirime.
N’um —, Ir&s-promptement, en un celin dei.
Mdo — , mauvaise pensee. Sem nenkum — da
morte ‚sans penser ä la mort. Nem por — pes
meme en peusde, en idee. Isio nunca me weis
a0 —, cela n’entra jamais dans ma lie. —,
pi. pelits anneaux d’oreilles.
PEnsixTE, adj. 2 gen. pensant : gei pense;
qui a la pensee.
Prnsid, s. f. pension ; redevance aanuelle;
recompense annuelle des services; porlion i
prendre sur les fruits d’un bLenelice. (Ag.) Mi-
sere, peine, Iravail atlache A un emploi, et.
(id.) Charg6; embarras ; assujetlissement.
Pansin (em, sobre), ©. m. penser : ara,
former dans Tesprit, Fide, Yimage de quei-
que chose; imaginer; croire; aroir l’opinion,
l’espoir; supposer; Juger, estimer; rellechit,
mediter sur un objet; avoir en vue, former un
dessein ; se faire une idee de. — com honrs,
avofr des sentiments, penser avec probit£ ‚bon-
neur. Dor em que —, donner & penser, laisser
Aimaginer. Sem —, sans ypenser, inopiat-
ment.
Pensir, v. a. panser : etrilter, brosser, nei-
toyer un ctheral, etc., Tal donner ce quiil lu.
faut;"appliquer un remedde sur une plaie; 13
nettoyer, en lever Tappareil. Emmaillotter vs
enlfant.
Pessitiro, A, adj. pensil : qui songe, ge
röve; occup& d’rune pensee qui chag“ine, az
che fortement.
PensiL, adj. 2 gen. pendu, suspendu ta
l’air. Jardim —, jardin fait ser une lerrasst,
tel que ceux de Babylone.
Prxsıonäpo,A, adj. ei #. "pensiahnaire : 3
quion paye une pension. Supe haxge d’une peü-
sion. p. p.de
Pensıorir, v. 8. pensiom'ner : donner, fait
une pension. Imposer una charge, une pen
sion.
PenstomAnto ‚3. =. pewsionnaire : celui qui
paye ou & qui F’on pa’,;e une pension; eldre
nonrri, log6 et instruit dans une pension. Co-
seilter, avocat, homme de robe dleve en dignil
dans une republigue , pensionnaire de Hol
lande, eto. , prineipe' i chargd& d’affalres.
PENSIONÄRIO, A, adj. qui regolt une pensiöh,
gui est ponsiemme ro. Oblige, assujetli ä un:
charge. "
Ensrowerne, "A,adj. eis. qui paye une pet
sion. .
+ Pfxsiorist. ı,s. m. pensionnaire : qui joail
d’üne pension; qui payo une pension.
Peuso , 3. , pansement, pansage d’an che
val. " Ralion’d’aroine, eic., qu’on denne joa-
nellomend ® ax animaux ä des re a
siretiom d’une personne {p. @.). Auch
vail, täche , besogne. (inws.‘ ° Ponsee. Y. Pr®-
BR | °
PEN
PemranıLiö,s. m. V. Potentilla.
Panticono, s. m. ei adj. (8. de geom.) penta-
gone : figure qui a cing angles et cing Cöt&s.
+ Penticrama, s. m.” portde do musique :
les cinq lignes paralldles qui servent & noter la
masique.
+ Pentacr'ma, s. f. (8. de bot.) pentagynie :
cinquieme ordre des vregetaux , & ciny pistils.
Pentacr’nıo,, A, adj. (8. de bof.) pentagyne :
(fieur, plante) Acing pistils.
PENTÄMETRO, 5. m. el adj. pentamötre : vers
de cing pieds.
+ Prstännasa, 3. f. (t. de bof.) pentandrie :
einqui&me classe des vegelaux, & cinqg eia-
mines.
+ Pexräroız, s. f. Pentapole : contree od il
yacing villes.
Penrarußkuco, s. m. Penlateuque : les cinq
livres de Moise.
PENTÄTRLO, 8. m. ( 6. d’ans.) pentathle : r6u-
nion de cing 68 de combats gymniques;
athlete qui s’y livrait, y oxcellait.
PAnTE, s. m. peigne: instrument & denis
pour demeler les cheveonx;; instrument de car-
deur ow de tisserand. Peigne de fer : ancien
instrument de supplice. V. Pentelho. —ı de rt
gor, peignes & [riser.
PENTEiDO, A, P. p. de Pontear. adj. Peigne,
ajusıs. Palauras —as, paroles peigndes. 11 se
dit en maurvaise part. Deizdr alguem j
(Ag.) laisser queiqu’an bien battu,, bien rosse,
bien ötrilie.
Puuteino, s. m. ° chevelure bien peignöe.
Accommodage , arrangement des cheveux,
® Coiffure.
PENTEADOR , 5. m. peignoir : lin, sorte de
manteau que l’on endosse quand on 686 peigne.
PEnTEADOR, A, adj. qui peigne, sert pour
peigner. Cardo —. V. Cardo.
Pewreapüns, s. f. action de peigner, de se
peigner, de coifler, coup de peigne.
PENTEÄR, ©. a. peigner : demeler, nottoyer,
arranger les cheveux. Coifler, friser. — e id,
carder, appröter la laino.—se, v. r. 56 peigner,
se coiffer.
PENnTEcöSTE ou —ES, 8. m. ” Pentecödte :
grande fete des catholiques ‚on m&moire de la
descente du Saint-Esprit. C’ötait aussi une föte
des Jaifs.
Penttıno, s. m. (8. obse.) poils autour des
parties naturelles.
Pinteu. V. Ponte.
+ PrxteöLa, s. f. (b.d’hist, nat.) pelerine :
coquilie de Saint-Jacques, mollusyque a0o6-
le.
PEntitıno, s. m. peignier: celui qui fait et
vend des peignes.
Pxntöcnapao. V. Pantögrapho.
Prnöczu, etc. V. Ponnugem , eto.
PenuLa, s. f. (pP. us.) " manteau , casaque.
PENÜÖLTINO, A, adj. penultiöme, avant-der-
nier.
Penöusra, s. f. (8. d’astr.\ penombre : la-
miere faible dans les eclipses; bande qui en-
PEQ 897
loure une ombre port&e ei quliestmoinsobscure
que celle-ci, moins 6clairee que ie jour com-
plet, phönomene qui depend de la grandeurdu
corps lumineux,
Panönıa ‚3. f. peuurie : grande diselte; ex-
tröme pauvrets.
+ Penurıöso, A, adj. ol il ya dela p6nurie;
qui est dans la penurie.
f PRONÄCEN, s. f. woupe de piötons, de gens
pied.
Pzöma, s. f. (t.de bot.) pivoine, pioine,
pione ow p&one : plante & tr&s-grandes fleurs
en rose; sa racine me&dicinale.
Prör, adj. comp. 2 gen. pire , plus mauvais.
Estd — que d’anles, ou que eslava,, il est pire
qu'auparavant. Levar a —, avoir le dessous,
6tre battu,, vaincu. O—, le pire, le plus me-
chant, le plus fächeux, le plas nuisible. «5. Au»
dessous, moindre en ordre, en uombre, en
duree. Zo que 6 —,ou 0 —6, ot lepis est.
O — de iudo d que, qui pis est, coqu’ilya de
pire ‚c’est que. £ 0 —— que me pöde succeder,
c’est mon pis aller.
Peör , ado. pis, plus mal. De mal om ou pa»
ra —, de mal en pis, de pis en pis. O doense
estd — ‚le malade est plus mal.
PEORANENTO,, 8. m. 6lat de 00 qui est devenu
pire. V. Peoria.
Pzorir, ©. @. empirer : zondre pire. vo. m.
Empirer: aller de pis en pis, devenir pire. Se
deterlorer.
Pzonis, s. f. detsrioralion, dögradation;
qualit6 de oe qui est plus mauvale.
FEORNENTE, adv. pis, en empirant, plas
mal.
‚„Paözus, s. f. pl. "ontraves qu’on mei aux
paties da faucon.
Pzrisuo, s. m. (t. de dd.) pöpasme : ooclion
des crudites.
Pzristico, A, adj. (1. de med.) pepastigue ı
qui mürit les humeurs, facilite la digestion.
Prria. V Pipia. '
PremiL, s. m. lien plants de concombres,
oouche de co .
+ Pzrintino, s. m. (1. de bof.) conoombre ;
plante oucurbitacde, frait charnu, gros el
long.
Pzeino ‚s. m. coneombre, fruit. — de S. Gre-
gorio, conoombre sauvage, oonoombre d’Ane.
— pequeno para consoros, Ccorsichon.
Prrırönsa, s. f. "ragoüt de beatilles, d’abatis
de volailles.
Perorim ow Piruıim, adj. 2 gen. boitouz,
A—-, en boltant.
Prrsia, s. f. (1. de ındd.) pepsio » coclion,
digestiion, maturation; effet que les alimenis
subissent dans Pestormac.
+ Ptprico, a, adj. peptique. V. Pepastico.
+ PEQUENANMENTE, adv. petitemunt s avec p&-
tesse.
Prqusntte, adj. dem. de Pegqusno. Un peu
it.
Deaumnts, s. f. pelllesse, au propre ei au
ügure. ( fig.) Bas Age, onfance. * Apetissoment.
67
,
898. PER
Paguawuts. V. Poquenez.
Pzravmmınkıa ,s. f. dim.de Poquenez.
Perquanino, A, adj. dim. de Peqgueno, au-
dessous de Pequendis , trös-petit.
Provanissıno, A, adj. sup. de Pequöno.
Tres-petit, excessivement petit.
Pagutuo, A, adj. petit: qui a peu d’etendue,
peu de volume; moindre qu’un aulre; fort
jeune, en bas Age ; bas, vil, abject; ( Ag.) peu
considerable, sans imporlance, compos€ de
peu d’unitss (nombre,. Por — que saja, si pelil
qwil solt. v
Pzquenörz. V. Poquendie.
Paquii, s. m. sorie de bois du Bresil, bon
pour la marqueterie.
Peauicz, a. f. stupidits, bötise.
+ Pzauim, s. ws. (6. de gdog.) Pökin : grande
ville capitale de la Chine.
Per, prep. lat. qui entre dans la composi-
tion de plusiecars mols portugais, dent elle
asgmente ordinairement la signiflcalion , ei se
rend par : fert, indes, beaucoup. Es. : Perde-
ravel, qui dure longtemps. Perturbado, fort
treuble. «6. prep. port.Par.V. Por, Pelo, Pela.
"Phai, . V. Pare.
P£aa,s. f. poire : fruit du poirier. Touffe de
barbe au bout du menten. —s de Maldon, (1. de
bot.) goravier rouge ou des Savanes. —s gunje-
va.V. .
Denlpota. r Perabeis.
znÄpa, 8. f. Gonflture, conserve de polres,
Pzuayuzia. V. .
t Panacasciö, a. /.(b. dasir. p. ws.) pire
gralion ı acklen de paroourir.
PeaA0RATÖRı0, A, adj. (1. d’asir.) Mez — de
sel, ammps que met je soleil & parceurir un des
signes du zodiaque.
Paair. V
Paxiuts ‚prep. devant, on prösenee,, par-
ovant,
P&zarA6, s. f. eupöce de polre qui n’a point
de goüt.
Pena . V. Pigaps.
f Psaiu, s. m. (f. da Breeil) " mare pre- | interöts
Sande d’sen,
* Paaivas. V. Pelavra.
Penca, s. f. (1. d’hist. nas.) perche : poissen
@’'sau douce da genre des es.
°p @ [} y Leerer.
Psaciıoo, 5. m. prefit, eutze les gages, Te-
veneai-betı, 00 que prodait un emploi, 6tc.,
en sus des appointoments : tour du bäton. —es
de ofieio, (irem.) inoommodins attachde A une
prolession, eto.; revenant-bon da metier. V.
tamente ;
presei 5 Ganke.
Peuacaräso. V. Procstade.
Pracza&r, v. a. perosveir, rooovoir, reoueil-
lir. Comprendre ‚ osasevoir. Apercev oir,sentir,
wsnnalire par los yaux.(inus.) V. Auisar. —se,
©. r. se pr&parer, s’appre£ter.
Pencesıme, 2,P. p. de Perosber. aslj. Averii.
Cauteleux,, considerant, atientif. Sede —s de
prrgunter, oie., vous dies averlis de deman-
er vu aysı 30a de desnandcr, eic- a
PER
Pracrsın&nto, 8. m. appröt, pröparaul,
provision. V. Apercebimento.
Pzucerciö, s. f. perception : action de per-
cevoir, de connaltre, d’apercevoir par Tesprit
et les sens; idee produite par Pimpression d'un
objet. —, receite, recouvrement.
t Pencerrisiuspäipe, s. f. percepübllitt:
qualits de ce qui est perceptible.
PEaczrriveı, adj. 2 gem. sensible, percepü-
ble : qui peut €tre apergu. — d visis, aperce
vable, qui peut dire apergu.
t PERcErTIVELMeNnTE, ade. sensiblemeni:
d’une maniere sensible et perceptible.
t Psacerrivo, a,adj. percepüf : qui pergoit
(sens, facult6 —ve).
Peacua,s. f. perche : brin de bois long &
menu ; long bäton. Instrament pourappreier le
drap dans les laineries. — s, pl. (1. de mer.)
lisses des herpes.
’Pracacotıno. V. Processionario.
T Pracınrino, A, adj. enloure, enceint de
tous les cötes,
t Praconata, v. 6. parcourir : aller den
bout A l’autre, se dit des plandies; Lravesser
en voyagsant.
Pancovkıo. V. Persevafo.
PERCUCıEnTE, adj. 2 gen. frappant, gu
frappe ; qui blesse mortellement.p. e. de
* Peacupia, v. @. percer en frappant; biesset
mortellement,
Pzacussäö, s. f. percussion : 00up, aclıeR,
impression forte et rapide d’un corps qui ai
frappe un autre.
Paacdsso, a, ady. (p. us.) frapp6, blesse.
Percussor, s. et adj. ws. celai qui Lrappt:
qui blesse & mort. .
Paacurir, v. 6, [rapper, bautre. V. Percudir.
Perpa, s. f. perte, dommage; privalt
d’une chose avantageuse, agröable ow null,
commode ,quel’on avait. Fazer — , causes une
perte ‚ot quelguelois l’&prouver, faire une perit
Bessarcir a —, repater le dommage. Con-:
ä.perto, avoc perie. —s # dasınos , dommages‘
terbls.
Prapiö,s.m. pardon :r&mission d’une faule.
d’une offense;; gräce ; indulgence accordce pl
le pape. Bappel : l!’action par laguelle on rap
pello les exiles, etc. Pedir wii perdöes, de
mander mille excuses,
PERDAVÄNTE, adv. par-devant.
Psapßa, ©. a. perdre : ätre priv de ce que
on avait, d’un avantage quo l’om possedat:
ossser d’aveir; n’avoir plus; ne pas profiter .“*
oocasion, elc.); faire un mauvais emploı de
son temps, etc.; dissiper, prodiguer; gälet,©&
dommager, corrompre,, elc. ; Fuiner, causer UN
dommage notable; faire une perte; eproure!
un dommage physique ow moral. Basayer ©
&chec a la guerre, &ire döfait, otc. — a3 C0TWı
se decelorer, perdre sa couleur, se ternir. — #
secasde, manquer l’occasion. — s parienaß,
sauler aux nuss,, s’impalienter, s’emporief. pi
de vısia, perdre de vue, oesser de vell-—
terre de visis, (4.de mar.) nuyer la litt.
PEB
visiae assumelo, (Ag.) s’tcarter de son sujet.
Ndo — ds vısla, ne pas perdre de vue. — al-
guem d’aumnge, perdte V’amili6 de cuelqu’un.
— äiguma cousa de memoria, perdre je sou-
venir d’une chose. — e batalka, perdre la ba-
taille, ötre vaincu. — o credilo, a repulagdo,
dscheir de son end de se reputsiion. — 0
respeilo a alguem, ro le respect, manquer
& la polilesse envers quelgu’un. — 0 caminko,
s’sgarer. — o Ro, as esiribeiras, op. V. ces
mots. — isımpo, perdre le temps, n’en pas Pro-
fiter; (Ag.) perdre sen temps, travailler inuti-
lement. Deitar a —, güter, döwsriorer, endom-
mager. Deitar & - um menino, um oriedo,
gäter un enfant, un domestiguo : no pas les
corriger ou Deitar-u 0 —, so 5%
ter, s’endommager; se ruiner. Vai perdendo a
belleza, sa boauts s’en va. Vai peordendo o
ınedo, il devient molns peureux, moins crain-
Uf. Onde n4o hai rei o perde, (prov.) oü il
n’y a rien le roi perd ses droits. Il estquelque-
fois neutre. Ex. : — wo nsgoeio, faire de mau-
vaises affaires.
Prapta-sz (de, em), v.r. se perdre, s’tge- | DE
rer. Se perdre, se fourvoyer, ne retrouver plus
son chemin. (Ag.) Ne savoir comment sortir
d’embarras. (id.) se troabler, ne savoiroü l’on
en est. —, se plonger dans la debauche. S’ef-
facer de !’esprit, de la meömoire. —, &chapper
aux sens, et surtout & la vuo ot A l’oufe. Se | has
perdre ı on le dit d’une ehose dont on a nöglige
de so serrir, qu’on laisse deperir, etc. Se gä-
ter, se pourrir, so corrompre. —, faire Nau-
. frage, couler & fond, parlant d’un vaisseau,
etc. —, disparaltze sous terre, parlant d’une
source, etc. Perdre son äme, se damner &lor-
nellement. -— de vista, sehapper & la vuo. —
por alguem, por elguma oouse , aimer dpordu-
ment queigu’un, quelque chose, se pordre
par un oxcds de passion. Elle ndo so perde,
(fam.) il ne s’oubliera pas, il aura soin de ses
intöröts. — umnanto com quanlo finhadeniro,
perir corps ot biens, em parlant d’un navire.
Panpıgiö, s.f. perdition :degät, dissipalion,
surtout des biens. Perte. * Dommage,, prejudioe
notable. —, habitade du vioe, dereglement;
damnstion dternelle. B ums —, 0’est un grand
dommags. Correr d sus -— , courir ä sa perte.
+ Paapicıo, s. m- (t. de bot.) "perdicie:
plante eorymbiföre.
Puanpiva. V. Perds, Pordimento.
Prapinamturz, adv. tperdument, avec ex-
ces. Inutilement , sans profit.
Peavınico, A, adj. perdu & dessein ou qu’on
feint d’avoir perdu. V. Perdido. Fazer-se —,
pardıe, so laisser gagner volontairement au
eu,
Peapıpissımo, A,adj. sup. de Perdido. Trös-
perdu de debauches ‚etc.
Prnpipo, A,p. p. de Perder. adj. Perdant :
qui perd. Perdu. On le dit de ce qui n’a point
de but determined, d’un coup lird au basard,
eie. Prodigue; debsuche. £ um —, c'est un
prodigus, um dissipateur. Genies —a, gens de
PER
899
mauvaliso vie. Mulker —a, femme peräue,
e
prostitu&e. — por alguem, amoureux de quel-
qu’un, &perdu d’amour. Andar —, s’egarer, se
fourvoyer.—da fazenda, do Julzo , qui a perdu
ow dissipe sa fortune, qui a perdu la teie.— da
ver: „ do temor de Deos, qui n’a pas de
honte, dehonte, qui ne craint pas Dieu. Man-
gas —as, manches pendantes.
PEaDIDöso, A, adj. perdant: qui perd au
jeu ; qui souffre une perte, un dommage.
Pzapıciö, s. w. garbon : perdrix mäle ; per-
drix mäle qui sert d’appeau. Chagar o —, fulr,
tchapper au chasseur; (Äg.) commercer aveo
russ et fraade.
Prapıcorinno, 3. m. dim. de Perdigöto.
Jeune perdreau.
Pexpicöro, 3. m. perdreau ;: jeune perdrix.
Menu plomb, dragse.
Prapioukıao, A, adj. on le dit d’un chien ou
de tout autre animal qui ohasse aux perdrix,
oic. CAo— ‚ou —, s. m. chien couchant ow d’ar-
r&t. Ter nariz de cdo —, avoir l’odorat fin.
PERDINENTO, s. m. "perie; dommage; ruine.
i LV. Perda, Perdirdo. — da fa-
zenda, perdition , confiscation des biens.
Pruprrissiuo, A, adj. sup. V. Perdidissimo.
Trös-deprars , le plus scelerat.
Puaniz, s. f. perdriz : oiseau gallinacd. Pes
de — , homme, et surtout femine, qui porie des
rouges.
Pza50ino, A, p. p. de Perdoer.
Pzn»0AD0R, A, adj. ei s. qui pardonne :
homme bon, indulgent.
* Pzaponinga, 5. f. " pardon. Dissimulation.
Pzapoia (a), vo. a. pardonner, faire gräce.
Excoepter, exempter, dispenser. Dissimuler.
(imus.) rener. (id.) Laisser libre. Il s’cm-
ploie pour demander permission, pour s’excu-
ser, pour cougedier un mendiant & qui on n’a
rien & donner, etc. Perdoe V. M.se lomo a con-
Alanga ds..., pardonnez,, monsieur, si je prends
la liberts# de... Ora perdoe, pardonnez-mol;
pardon! excusez, Ndo — a alguem, ndo 0 pow-
par, ne point marchander quelqu’un.
PErDoÄR-sg, ©. r. employ& communedment
avoo la particule negative, refuser, s’excuser.
V. Poupar-se. — a si mesmo, &ire indulgent
avoo sol-meme.
Perpoivgı, adj. 2 gen. pardonnable : qui
merite pardon, excuse,
* Pzapüno. V, Perdido,
PsapuLirto, A, adj. prodigue, dissipateur ;
negligent, peu soigneux de ses alaiscs, do sa
personne.
+ Pxrpunaciö, s. f. longue duree.
Parpuniver, adj. 2 gen. qui dure loujours,
perpetuel, &ternel. Qui dure longtemps, dura-
bie, permanent. Vida — , la vie eiernelle.
+ PsanunavsLmantg, adv. &iernellement,
perpetuellement,
Penzcepeıno, A, adj. caduc, perissable.
PErECeR, v. w. perir: prendre fin ; deperie,
finir, perimer. — ds [ome, de sfde, eic., mou-
rir de faim, de solf, ete, — d mingon, de mise»
900 PER
ria, &tre dans une extröme indigence, perir de
misere.
Parecıpo, 9. p. de Perecer.
Psrecımento, s. m. l’action de perir. V. Per-
da, Falta.
+ Penecı6s0, A, adj. qui d6sire ardemment,
qui meurt d’envie. V. Permicioso. Amor —,
amour ardent.
Pankuninacäö, s. f. * voyage en pays elran-
ger. Pelerinage : voyage de devotion. (fg.) S6-
jour de !’homme sur la terre.
PERECKINADO, A, 9. p. de Poregrinar.
PEREGHINADOR, 8. m. voyageur qui court les
pays etrangers. Pdlerin,
PEREGOIMÄNTE, adj. 2 gen. qui voyage en
pays etranger. Pölerin. p. a. de
PERECKINÄR, dv. a. faire voyager, faire visi-
ter les pays 6&irangers. Parcourir un pays ow
des pays. — pelo mundo sua sa e fa-
, ‚ (g.) montrer au monde son igno-
Fance et sa fatuite.
Pzrecrinin (a, por), 9. w. voyager hors
de son pays. Aller en pölerinage, per&griner.
(Ag ) Voyager. On le dit de notre s6jour sur la
terre.
+ Perecnimıpäne, 8. f. qualit6 de ce qui est
rare , extraordinaire.
Penzcrino, A, adj. voyagear. Btranger. (fg)
Rare, singulier, extraordinaire. Trös-$lögant,
parlant du style. (Ag.) On le dit des hommes
pendant leur vie mortelle, lear pelerinage sur
la terre. (8. d’astrol.) On le dit d’une planedte
qui se trouve dans un lieu du zodiaque od elle
n’a aucune Jignite. Palavras — as, mols etran-
gers. Plants —as,, plantes exoliques. Impres-
söes—as, Impressions #trangöres, accidentolles.
Prrecaino, 3. m. pelerin : qui va en peleri-
nage. :
Pankına,r f. (1. de bot.) * poirier : arbre qui
pärte les poires. — Drdva, poirler sauvage.
aEREIR L, 3. m. verger, lieu plants de poi-
ers.
Pereıninna, dim. de Pereira.
Pan£ıno,s. m. (I. de bot.) pommier qui porie
les poires-pommes.
PERENPTÖ. JAMENTE, adv. peremptoitement :
d’une maniere peremptoire.
PEnEurTÖöRIO, A , adj. peremptoire : decisif;
contre quoi il n’y a rien & repliquer.
PraznnaL. V. Perenne,
PERAENNALLENTE,, ade. continuellement.
Prntnnz, adj. 2 gem. conlinuel, perpötuel.
Assidu, qui a une application continuelle.
Loweo —, fou qui n’a point de moments luci-
des. Laus —, adoration perpetuelle du Saint-
Sacrement. Agoas —s, SOUfCE, CAUuX qui Cou-
lent toufours.
PeEnEnneu£nte, adv. assidument, continuel-
leınent,, perpeiuellement.
PEneEnnıDÄde, 8. f. continuile, perpetuite.
PenextTöno,, etc. V. Peremptorio, etc.
® Pentsss. V. Presas ou Perseas.
Penrazin, v. a. parfaire, achever; fnir;
perfectionner. Completer ; accomplir.
PER
PERFASIMENTO, &. m. achörement, compiö-
ment, perfection.
Prarzcionär, etc. V. Aperfeigoar, eic.
* Prarzcrin. V. Aproveitär.
PunrscrivgL, adj. 2 gen. perfectible : aus-
ceptibie de perfection.
TPsarvscrivo, a, edj. qui donne ow peut
donner la perfeetion.
Panrzcrör. V. Aperfeipoador.
Paarzıciö, s. f. perfection : qualits consü-
tutivede ce qui est parfait dans son geare; re
nion du bon et du beau; achevement enlier ;
qualit6 excellento de l’Ame ou du cosps; elal
parfait de la vie religieuse ow morale. Beaute,
surtout en pariant d’une [ermme. E ums —,
c’est uno beauts. Com loda a —, au mieui,
tout au mieux.
Panrsicoaa. V. Aperfoeipoar.
“ Paarzırackö. V. Perfeigdo.
PERFRITANENTE, adv. parlaitement.
PeRrreıtissıno, A, adj. sup. de
Prarkıro,, A, adj. parfait: ä qui il ne mat-
que rien pour dtre accompli dans son gene;
acherö ; excellent. Beau , bien fait. Habile, (u®-
somm# dans un art. Perfait, (s. m.) tamps da
verbe , prötörit ow passe. — ndcio, sol acbert,
sot parfaltement accompli.
Paaria.
Paaıu. ; V- Porf..
P£arıpauäntz, adv. porfidement.
Prarinıa,s. f. perfidie : deloyauts, mangır
ment de foi; trabison insigne; piöge tondı 4
quelqu’un pour le perdre. Apostasie.
+ Pearmiöso, A, adj. qui conlient perkdit
(mot, aclion).
Perripissıno, A, adj. zup. de
P&artpo, A, adj. perfide: qui mangue dsı
foi, ä sa parole; traitre; deloyal.
Psarit, s. m. profil: teait, delineation d’un
objet, d’une i#te, vuo de cOt6, ou d’un edißte
par la section perpendiculaire, laiörale. Orn*-
ment, moulure, ets., qui termine ou saleuft
un corps. Position de cöt6, en terıme d’escrimt.
Meio —, demi-proßl. Ver as cousns do mW,
( lg.) ne vorr les ohoses que d’un chtt.
PeariLäpo, A, 9. p. de Perflar.
+ PearıLapüna , 8. f. aotion de tracer le coü-
tour d’une figure. * Contour d’une Sgure. Y
Perf.
PzartLäa, 0.6. proßler : representer en prt-
fil; traoer le coniour d’une figure. Aligner 4
troupe. Entourer d’un ornement, d’une m“
lare, eic.
PERFILÄR-SE, 0.7. 50 prösenter do proßl, <‘
chte. (1. d’ese.) S’elfacer le corps.
Parrıınacäö,s. f. V. Per .
PerriLniDo, A, pP. p. de Perfilkdr.
PERFILHABOR, A, 3. oelui, celle qui adopi?
quelqu’un. u
PERFIıLHAMENTO, 3. m. " adoplion, afBliation.
PerrıLnär, v.@. adopter quelgu’un; afhlıer-
PrnriLo. V. Perf. .
+ PenroLnina, 8. f. (8. debot.) pero Tesille:
plante ombelliföre, is. adj. f. Falke --, (eilt
PER
perfolle os porfeuillde, enfilde dans ye disque
par la tige.
+ PaxrLöxo, s. m. QDux copieux d’humeurs
p-. %8.). .
Penroracäö, s. f. perforation : action de
percer (un corps).
PerroRi0o,A,Pp.p. de Perforar.
Prarorinte. V. Perfurante.
Perrorän, v. a. perforer, percer.
PenruLGente, adj. 2 gen. (podt.) trös-bril-
iant, tres-Eclatant.
Pearuuino, A,p.p. de Perfumar.
Perrumanor, s. m. * cassolette & brüler des
parfums; parfamoir.
Pearumanüra,s. /. action de parfumer.
PERFUNMÄNTE ‚adj. 2 ger. (podi.) embaumant:
qui embaume, qui parfume, qui remplit de
bonne odeur. p. a. de
Perrumir (com,de), v. a. parfumer : r&pan-
dre, faire prendre une bonne odeur. Exhaler
une bonne odeur.,
Penrumaria, s. f. boutique, marchandises
de parfumeur, parfumerie.
Prxvöuz, 5. m. parfum : senteur agreable; ce
dont elle s’exhale.
+ Pearoutıno ou } parfumeur : qui fait
+ Peavumista, s.m.) et vend des parfums.
PERFUNCTÖRIAMENTE , adv. par maniere d’ac-
quit, nögligemment, en passant.
+ Prarunintg, adj. 2 gen. perforant: qui
perfore, qui perce. V. Penetranie. Instrumento
eoriante e —, instfument tranchant et perfo-
rant, couleau poignard.
* PRRoAmILHRıRO. V.
PERGANINHRIRO, 8. m.
ie parchemin.
PERGANINHO, s. m. parchemin : peau de mou-
ion prepar6e pour ecrire, etc.
>» Pencuica, etc. V. Preguiga, etc.
A Percusckino,s. m. employ6 aux peches des
Algarves, contre-malire ou sous-patron d’une
bargque.
Pzacönta, s. f. demande, question. * Inter-
rogatoire. Fazer —s a alguem, faire des ques-
tions & quelqu’un; interroger quelqu’un. Ir @
—s, sabir un interrogatoire.
Pracuntino,A,p.p. de Perguntar.
PEACUNTADOR, A, 3. qui interroge, qui de-
mande, et surtout questionneur indisoret, im-
portun.
Psacuntär, v. a. demander, questionner,
interroger, s’informer de.
PxracuntinHa , dim. de Pergunta.
+ Puncuntäö, ONA, 3. questionneur impor-
tun, enquörant.
+ Pzxı, prep. grecque qui entre dans la com-
position de plusieurs mots, et signifle autour.
f Pentäuno, s. m. periambe : pied de vers de
deux bröves.
T Psaıiutmio, s. m. (1. de bot.) perianthe:
ealice le plas commun.
Peniciapia, 8. f.
Pexicianio, 5. m.
autour du cur.
parcheminier : celui
qui apprete et vend
PER 901
+ Penicanpino, A, adj. pericardin : du.peri-
carde.
t Parıcanpiris, &. f. (t. de med.) * pericar-
ditis ow pericardite : inflammation du peri-
carde.
Peaicärpo, s. m. (f. de bot.) pericarpe : pel-
licule qui enveloppe le fruit.
+ PERIiCHE, s. m. sorte d’embarcation.
+ PssicH£cıo, s. m. (#. de bot.) " reunion de
folioles autour de la base de l’anıhere.
Pericıa, s. f. "savoir, habilete, capacite,
expörience.
Pzaicöro. V. Picaroto.
Pzricnäneo, s. m. (1. d’anat.) perieräne ı
membrane gni couvre le cräne.
PERIDöTO, 8. m. (6. de miner.) peridot : pierre
vert poireau, vert olive. — do Brazil, peridos
du Brösil, tourmaline verte. — do Orients, p&
ridot oriental, coridon vitreux.
Perıgcos, s. m. pl. Perimciens : peuples qui
babitent sous le m&me parallöle et je m&me
meridien,, mais aux intersections Oppostes des
deux cercles.
PERIFERIA.
PERIFRASE, | V. Periph...
Perıcäno, pP. pP. de Perigar.
PerıcÄäLBo, 3. m. “peau qui pend sous le
menton. — da iroga, (4. de mar.) calebas de
racage. — da mezena, martinet d’arlimon.
Pexicär (em), v. ». ätre en danger. Perir.V.
Perecer. (fig.) Pericliter : ötra en peril, parlant
d’une affaire, etc.
Prrıcko, s. m. (#. d’asir.) pörigee : point de
l’orbite d'une planete le plus proche de la
terre.
Prrico, s. m. ptril, danger, risque. Correr
on fer —, courir risque, @ire en danger, peri-
cliter. Zstar em —, &tre en danger. Estar
doenie de —, ötre dangereusement malade.
Expör-se facilmente aos —s , faire bon marche&
de son corps. Tirar d’um —, affranchir, deli-
vrer. Quem ama o — welle perecerd, (prov.)
celui qui cherche le peril, ne manquera pas
d’y perir. teme o — ndo se mella n’elle,
n’aille au bois qui a peur des feuilles. Expör-
se 008 —e, payer de sa personne.
PERIGÖSAMENTE, adv. perilleusement, dan-
gereusement.
Perıcosissıno, A, adj. sup. de
Prrıcöso, A, adf. perilleux, dangereux. Zo-
nem — , (fg.) homme dangereux,, dont le coım-
merce n'est pas sür.
PrricuiL, ado. egalement.
PerıugLio, s. m. (1. d’asir.) perihelie : point
de P’orbite d’une plandte le plus prös du seleil.
Periına,s. f. V. Perinha, Bolazinha. *Or-
nement, etc., en forme de poire.
PraiLo, s. m. (1. d’Asie) bout pyramidal J’un
toit.
PeRiMETRO, 8. m. perimätre ; conlour, cir-
(1. danat.) pericarde : , conference.
capsule membraneuse |
ı ressembient ä celles de la vigne, produ:t des
+ Penina, s. /. " arbrisseau dont les feuilles
902 PER
PER
graines rouges qui ressemblent & celles dujduvant de la L#te. Jabot en ronleae que per-
myrte.
Paninto, s.m. (l. d’anat.) p£rinde : espace
entro l’anus ot les parties naturelles.
Paaınkos. V. Pyreneos,
Parxinna, dim. de Pera.
Paxinno, dim. de P£ro.
Perrönıcamente, ado. psriodiquement.
Paxiönıco, A, adj. p6riodique : qui a ses
pfriodes, qui paralt dans des temps fixes;
abondant en periodes, nombreüt (style). s.m.
Journal, feuille p6riodique.
+ Pzaiopisuo, s. m. *periodicits : qaalild de
ee qui est perlodique.
Pznıopista, s. m. pörlodiste ı autcur, r&dac-
leur d’un ouvrage p6riodique.
+ Praropızin, ©. a. produlre periodique-
ment; r&duire & des perlodes.
Psaiooo, s. m. * p6riode : oours, r&volulion
@’un asire; espace de temps, cycle, etc.;
phrase composee de plusieurs membres ‚phrase
lee; rövolution d’une fidvre. Periode : (m.) le
plus baut point de quelque chose (de la gloire,
eic.); espace de temps vague. O wilimo — da
cida , le dernier periode de la vie.
Paaıöstıo, s. m. (1. d’anal.) pörloste : mem-
brane qui enveloppe les os.
+ Pzriösrose, 8. f. (1. de mid.) periostose :
gonflement du perioste.
Perirartrico, a, adj. et s. peripatäticien :
qui suit la doetrine d’Aristow. Pöripatstique :
du peripatetlisme. (Ag.) Ridicule, extravagant
dans ses opinions.
PERIPATETISMO, 3. m. pöripatötisme :dootrine
des p6ripatsticiens.
Peniiro. V. P Hemo.
Panırecia ‚es. f. pöripelle : changement sublt,
Inopind de fortune d’un heros, elo., dans une
pidce de thöätre, un poßme, un roman, pour
amener io denoament.
+ Pramnlılus, s. f. pl. Periphallies : fötes
de Priape.
Panıpnenia, 5. fı (1. de gdom.) peripherie :
eirconference, vontour d’une figure, surface
d’un solide.
Psrirunase, #. f. periphrase : circonlocu-
tlon; tour pour s’exprimer indirectement.
Penırnnassin, v. a, ein. pöriphraser : par-
ler par ptriphrases ; mettre on p6riphrases.
Penirmnasıs. V, Periphrase.
+ PaxirLo, 3. m. (f. d’ant.) pöriple : voyage
maritime autour de...
Parıpnzumonia, 4 f+ (6. de med.) pöripneu-
monie : inflammation du poumon, avec föYre
sigud et oppression.
+ Pzxirteno, s. m. (L. d’ani.) peripiö eo;
&difice A colonnes Isoldes au pourlour ext&-
rieur, tempie entour6 de colonnes.
Perıquito, s. m. (£. d’hist. nat.)” perruche,
perrique : espece de petit perroquet. — verds
de Guind, moineau de Guinee. — verde longi-
cauda do Brazil, scineialo. (f. de prov.) Sorte
de toupet ow de tour de cheveux postiches,
que les feınmes portalent anciennement sur le
taient les militaires pr&s du cool.
Peniscıos, s. m. pl. (t. de geog.) Pärisciens:
habitants des zones froides, dont P’ombre fait
le tour de P’horizon.
PenıssoLocia, 8. f. perissologie : r&pelitien
viecieuse d’une idee ; superfiuit6 dans le dis-
cours.
PErıssoLöcIcO, A, adj. ou il ya dela pti-
sologie.
PıristäLtico, A, adj. (1. d’anf.) perstalti
que : (mouvement) propre des intestins, sen
blable ä celui d’un ver qui rampe : il opere des
secr6ötlons.
PerisriLo ow Penistr’Lo, s. m. perisive:
sulte de eolonnes formant galerie; galerie v»
verte ,soutenue par des colonnes.
+ Pruistowa, s. m. (4. de bot.) peristome:
bord de l!’urne des mousses.
Penisv’sroLz, e. f. (6. de mdd.) perisysiole:
intervalleentre les deux mouremen!s du peu",
du caur, des artöres; entre la systole ei lı
diastole.
Penirautnte,, do. savamıment, habilemer!.
Pexiro, a, adj. babile, erprriments; ver«
dans une science, qui poss@de un art; eıpert.
A juizo dos —s ou pelo que dizsem 0 —ı, 2
dire des experts.
Prritonto, s. m. (f. d’anat.) periloine:
membrane soupfe qui revet intörieuremenk
bas-ventre.
PraivEL, pP. us. V. Perecedeiro.
Personıcino, 9. p. de Perjudiesr.
PERIUDICADOR , A, 8. celui qui nait, qui port
prejudice.
Perscnicäin, v. a. prejudicier, nuire, fat
tort, donner atteinte.
PersunicıäL, adj. 2 gen. prejudiciable, nr
sible. V. Prejudicial.
PeniupictaLwenTe, ade. d’une maniöre her
sible.
Parstfzo, 5. m. prejudice, tort, dommaft.
V. Prejutzo.
Persunino, A, P. p. de Perjurar.
+ Persunanon, A, 8. parjure : celal qai fs
un faux serment.
PERIGRÄR, ©. 4. sö parjurer, violer, fnuiseı
son serment. — a fd, abjurer la foi.
Persurin, o.n. et —sE, 9. r. se parjuret:
faire un faux serment ow violer son sermenl.
Perıörıo, e. m. parjare : faux serment: sef-
ment viole.
Prriöno, A, adj. et s. parjure : qui falt ın
faux serment; qui violeson serment. (inws.\.
Perjurio.
+Penıı ,s. f.V. Pörola, (1. d’hist, nat.) peiie:
nevroptere.
*PrauLeüno. V. Lido.
Penuireiro. V. Pirliteiro.
Perıönca. V. Delonge.
PERLONCÄnAMENTE , ade, leniement, avec dt
lai , Ienteur.
PrnLonci0o, A, p. p. de Porlongar.
PrRLONGADOR, A, 8. V. Doiongader.
PER
*PraLoneingk. V. Deionga.
PzaLoncirk, ©. a. prolonger, allonger. Ae-
tarder. V. Prolongar. (t. de mar.) Aborder (un
valsssau) d’un aulfe, d’un mur, eic.; prolom
ger, metire flano & flanc. Il est aussi neuire.
PERLONGAR-SE (60m), 9. r. se placer, 56 mou-
voir le long de.
PraLusrain,v.s. paroourir, visiter aveo soin.
+ Pza.ixo, s.m, fruit du Bresil qui ressem-
bloä& la cerise.
PsaLöxo, A, adj. minutieux. V. Proliao.
PERUMANECENTE. V. Permanente.
Pramanzche (em), ©. ». persisier dans le
meme e€iat, &ire permanent; persövörer ; du-
rer, conlinuer.
Peruantncıa, s. f. permanenoe, stabilile,
pers6öv6rance.
PERMAN&NTE, adj. 2 gem. permanent, stable,
immuable.
PERNMANENTENENTE, adv. avoc permanence,
J’une manidre stable.
PerMmzino, p.p. de
PERMEÄR,, ©. a. traverser, passer au milieu
ou au travers; pöndtrer. v. ». Eire au milieu
ou entre deux. V. Mediar. Intervenir comme
mediateur (P. us.).
* PeRmEnDina ou —iva. V. Promicia.
Par-ußıo , adv. Motier-se de — , se metire
aa milieu , entre deux , se meöler, s’entremettre,
troubler. V. Meio. 3. m. (p. us.) Mödiatenr.
+ Permisso, s. m. (t. do myth.) Permesse :
fleuve de la Gr&ce oonsaor6 aux Muses.
Prauzro. V. Pormeio.
Peruissa, V. Premissa.
Peauıssiö, s. f. permission : pouvoir, li-
bert£ de faire, de dire. Concession : figure de
rbetorique.
PEANISSIVAMENTE , ado. avec permission.
+ Psruissivo, A, adj. qui renforme la per-
mission, le pouvoir, la libert£.
Prruisso,, 5. m. * permission. ii. p. p. irr. de
Permitlir.
Pruuıstäd, s. f. permiztion : me6lange pour
temperer deux choses l’une pour Yautre. V.
Misture.
Pzxuerrino,, A, p. p. de Permittir.
+ Paauırtinör, A, s. oolui qui pormet.
Praurrria (a), 9. a. permettre : donner li-
berts ‚,pouvoir de...; oonodder ; Lolerer ; donner
ie moyen, le loisir. O que Deos ndo pormitia,
et qu’& Dieu ne plaise. Permilta 0 cso que,
Deos que, fasse le ciel que, & Dieu
plaise que. Permilia-me que Ihe diga, permel-
tez-moi de vous dire.
Prnurrrin-e8, 9. r. se pormetire : Ötre, pou-
voir ötre permis. Jsse ndo so permilie , cela ne
peut so permettre. Haje permitie-se a export
eo do wumerarto , l’exporiation du numereire
est permise aujourd’hui.
Pramunacäd. V. Pormuiapko, Mudanga.
Pznuuopänga,s. f."troc, &change.
Prruosar. V. Troser et Permutar.
Psruüta, s. f. "troc, change. V. Pormuls-
gdo. Casas de —, maisens de change, ölablies
PER 903
autrefols au Brösil par ie geuvernement paar
changer la poudre d’or contre l’argent moMe ,
naya
Peruutaciö, 5. f. "change, troc, 6cbange,
Permutation : &change de bentfloes.
PernuuTär (com, por), v. a. permuler, doham»
ger, troquer; faire la permutalion.
Pkawa, s. f. Jambe : partie du oerps, du ge
nou au pied; branche d’un compas, Cuisse de
volaille.‘Jambage deletire.Patte des animauz,ete,
etc.— de vaos, * trumenu : Jarret de baauf. — de
carmeiro, ’gigot: delanche de moution. De -—
estendida, a — solla, & son aise, sans soucl,
en repos. Estonder a5 —ı, (fam.) se promener.
Metter —s, fulr & toutes jambes, gagner ie taillis.
Metler —s ao cavallo , piquer des deux. Deitar
alguem de —s arribse, (Ag.) ruiner quelqu’an,
Lengol de duas, irds —s, drap de lit de deux,
trois Iös. Amsapar de coriar as —e, menacer de
chätier rigoureusement. Estar de —s aberias,
(fam.) 6tre dispose & faire teut ce qu’on de-
mande. Cortar as —s a alguem, (g.) couper &
yuelqu’un bras et Jambes. -—s de slooravdo ou de:
vaquela de tembor, jambes de fuseaux, Jambes
greles , trds-minoes. Em —s, les jambes nues.
+ Prnnäca, s. f. grande ou grosse jambe.
Praniva, s. f. "ooup6, coup de jambe,
ruade. * Mouvement violent dam® cette partie:
sambade. Branche d’un arbre, d’une riviöre.
Dar —s , sambader : faire des gambades. Tirer
—$, ruer, donner des ooups de jambe ow de
PsuniLto, a, adj. (1. de chasse) qui a de
longues jJambes. —as, pi. (1.d’hist.nat.)" öchas-
siers : olseaax da genre de l’öchasesier.
nch PRRNANBUCINO, A, adj. ets. de Fernam-
uc.
+ Pranausöco, 5. m. (1. de geog.) Fernam-
bous : ville, port et province du Bresil.
PunnavıLntıno, s. m. sorte de bois du Por-
tugal susceptible d’un beau poli.
+ Ptans, s. m. (I. de mar.) — dum mouläo,
essieu, goujon de poulie.
+ Peanza, s. f. (1. dal. nat.) "perne : mol-
lusque ao6phale. — sellinha, la solle. — om
de „ia caisse.
PERNBADOR, A, 3. qui fait des gambades, qui
se debat en romuant fortement les Jambes.
Punnsin, o. ». remuer les jambes avec vio-
lence : gambader, gambiller. V. Zsperneor.
Pzuntina, s. f. maladie qui fait pourrir la
chair aux baufs, Sorte de cuir ow gros drap
pour couveir los onisses ow los jambes et les
garantir de Ja boue, etc.
+ PzamIABERTO, A, adj. qui a les Jambes ou-
vertes , 6carttes.
PERNICIÖSAMENTE,, adv. pornicieusement.
Pernicıöso, A, adj. pernicleux : nulsible,
dangereux.
+ PganıcöaTo, A, adj. qui a tes fambes
courtes.
Premır, 3. m. Jambonneau : fe plus mince du
jambon. - d’odre,, "anse, main d’outre.
Pensiuua ‚s. f. dim. de Perna. Petite jempe.
Estar de —, (fam.) &ire au lit malade d’ane| Praritrun,s. f. (6. de bo£.) immertelie jaunt, |
904 PER
jambe.
+ Psamigcesaino, A, adj. qui a les jambes
onsstes.
Pzanuıtönto, A, adj. baneroche:: qui a les
Jambes tortues.
Ptano, s. m. serie d’ornement de t2le des
fommes en forme d’aiguille,, aigretie. Gros clou
& ıste ronde. —e, pl. boulons : especes de che-
villes de fer.
Paunorrir (om), v. m. coucher, passer la
nuit guelgue part, anulter. — föra, deeou-
cher.
Pzanöstico, A, adj. (fam.) grand bavard.
+ Pranöno, A, adj. qui a de grandes ow
grosses Jambes.
P&xo, s. m. " poire-pomme.
*Püxo,conj. V. Mas, Pordm.
PenoLa, s. f. perle: corps dur et brillant,
nacr6 et rond, qui se forme dans la coquille
d’ane espece d’balire; ce qui on a la forme, la
tsansparence ‚ goutte de rosee, etc. (fig.) Chose
excellente, pröcieuse. —e, pl. (Ag.) larmes.
(podt.) Perles: dents tres-belles. —s falsas,
mortodes, oliveites : perles fausses. Herva —.
V. Aljofareira. RB deiler —ı a porcos, (prov.)
c’est jeter des marguerites devanı les pour-
ceauzr.
PgaoLtıaa, s. f. * pot en forme d’entenneir
pour mettre des olives.
+ Prxonko, s. m. (6. danal.) p6rond: os ex-
terieur de la jambe, plus mince que le übia,
dont il semble r&unir les musclies.
° Panöom. A— ,, ade. d’aplomb.
Praoraciö, s. f. peroraison : conclusion
d’un discours d’apparat, d’un plaidoyer, d’un
sermon.
Peaonino,&A,9.p. de Perorar.
+ Penonapon,s. m. celui qui fail une pero-
raison. ( Ag.) Celui qui demande avec instance.
Psnorir,v. a. achever, faire la p£roraison
d’un discours. — a causa d’alguem, plaider,
defendre la cause de quelqu’un. v. ». Pörorer,
recapituler. Parler, discourir en style oratoire.
(Ag.) Demander aveo instance.
Praörta, 3. f. sorie d’oiseau de passage on
pegne.
Paario. V. .
Panrassin, 9. m. aller son chemin; passer
outre, au delä.
PaurznpicuL.än adj. 2 gen. perpendiculaire :
qei pend, qui tombe & plomb.
PERPENDICULÄRMENTE, adv. perpendiculai-
rement, & plomb.
PEaPENDIiCULO, 8. m. perpendicule: ce qui
tombe & plomb ; il du pendule. Pondale astro-
nomique. A—, ade. d’aplomb.
Pzarztrina. V. Barbatana.
+ Penreraaciö, 8. f. perpttraiion; action
de perpeirer.
Penrernipo, A,p.p. de Perpetrdr.
PenrsTananoR, A, #. auleur d’an erime.
Perrsraia, 9. 6. perpeirer : faire, com-
melise un crime,
bouton d’or da Levant : plante et eur. —
didies, "gnaphale diolgque, vwlg. pied de chat.
— eidreira. V. Aleerim das ereias. — largs,
immortelle commune. — rexs, amaranibin
globuleuse, globe amaranıkolde, beaten de
garcon , immortelle rouge.
Pgarzruaciö, 3. f. perp6tuation : action qui
perpttue; son effet. V. Perpetwidads.
PearrEruipo,A,Pp. p. de Perpeiuer.
Prargtuapor, A, adj. qui perpetue, qui
&ternise, rend &ternel.
PrnP6TuauintTe, adv. perpötuellement.
Perpetuina,s.f. perptiuane: 6toffe de laicı
qui dure beaucoup.
Pzaretuia, 9. 6. perpeiner : rendre perpi-
tuel; faire durer toujours om Irds-longtempi.
Bierniser : rendreo eternel.
Parrerugäd. V. perp6luit : dare
Prnregrumipe,s.f. ) sans fin, ow Ir
longue et contiinue.
Prarstuzir. V. Perpeiuser.
Paar£t00, A, adj. perpetuel : conlinuel, qui
ne c8s5e pas, Qui dure toujours.
Prarınukd, s. m. (1.de gdog.) Perpignan: vilk
de France.
Pznr.£xauäute, ado. avoc perplexiit.
PEarLexıpins, 8. f. porplexits : irresolulien
fächeuse; incertitude; gramd embarras d’uae
personne qui ne seit quel parti prendre.
PezrL£xo, A, adj. perplexze: irr&solu, inct!-
tain , indeeis ; qui cause la perplexile.
“ PErroßu, 3. m. pourpoint : anoien habille-
ment ([rangais.
PERrONTE ow pourpoint pique ä I«
PsaröntTo, s.0. ) preuve de l’epee, ci
Pirna, s. f. cbienne:: fomelle du chien.
Pzarania, s. f. taquinerie, möchancelt, me
chaat lour. Injure, parole outrageante.
Parnzcit. V. Perresil.
Pruntıao, 5. m. chasse-ohien : celei qui
chasse les chiens de !’&glise „ bedean.
+Pesnenoo, a, adj. de race de chien. T.
errengus.
+ Prunencue, adj. 2 gen. qui se fäche aist-
ment; enrag6; entöt£.
Paanzziı, s. m. (1. de bof.) V. Sale. — de
mer," bacille maritime, ow criste marine, tu.
la passe-pierre, peree-pierte , !’herbe de sa!
Pierre, le fenouil marin. (Ag.) Ce qui denne da
sel, du piquaat.
Paanice, s. f. V. Perraria. Faser u
gusm, taquiner, impatienter quelqw'un, #
faire enrager.
Paano,s. m. chien. Dar a —s, onvoyet 31
diable. Dar-se e —e, enrager. Ser — velko, ut
russ, fin, madrs, mateis. A euire — com +55
osso, a d’autres, portez ailleurs vos coquilieh
P&aro, A, adj. dur, raide; rude; obslind,
t#tu, opiniätre; intraitable. De chien, quiap
parent au chien.
Pänsı , Ptnszo, PErmÄno, 8. et adj. Pers,
Perse : de la Porse.
PzascauTäno, A, 9.9. de Perscruier.
”„vwvm w ww
non en
PER
PER 905
PERsCaUTAROR, A, 3. Serulalsur : Qui Sonde | caire Acre om hrülanie, persicarla, poirre
les caurs.
Panscautär , 9. a. soruter: sonder, examiner
ä fond, chercher & pönötrer dans les choses
eachöes.
PRASCRUTAVEL, adj. 2 gen. que l’on peut
scruter.
+Punsta, s. f. (4. de bot.) "persda: arbre
vert en Egypie.
* Pensıa. V. Prozea.
Penszcäirta. V. Persicaria.
* Punsscugäd. V. Persoguigdo.
PERsECoTÖRIO, A, adj. (t. de prat.) Acgdo
—s, action en Justice dans laquelle on de-
ınande & quelqu’un une chose qu’il possöde.
PeunsecuiGgäö, 3. f. persscution : vexation,
poursuite injuste et violente ; imporlunile.
Peine, fatigue, tourment. Persecution des em-
pereurs palens oontre les chreötiens.
Pensscuino, A, p. P. de Perseguir.
PERSEGUIDOR, A, 8. persecuteur : qui perse-
cute, presse, importune, incommode beau-
eoup.
PERSEGUIMENTO, 8. m. * ox&cution d’un fait.
PRRSECUIR,, d. @. poursuivfe: courir apres.
Suivre parlout, ölre sans COSse aux LTOUSSES.
Persecuter : vexer ; inquieter, tourmenter ; im-
portuner.
* PERSEMELHANTE. V. Semelkaniemenie.
Pzusto, s. m. (1. d’asir.) persse : constella-
tion N. de cinq dtoiles en croix.
Penseviö,s. mw. fond d’un carrosse sur le-
quel reposent les pieds.
Pruskve,s. m. (1.d’hist. nal.) anatile pousse-
pied,, mollusque brachipode, oirrhipede.
PExsEYR)0, 8. 9. " punaise : insecte ot ver-
mine plate et puanie. — do malo, pentatome
du bouleau, vulg. punaise des bois.
++ PERSETERÄDAMENTE,, adv. avco persöre-
rance.
Pensevenino, A,p. p. de Perseverar.
PenszvErinca,s. f. persövärance : constande
ä faire ou & demander; constance dans le bien,
dans la foi, dans la piet#, qualils de colui qui
persevere. Dureo permanente , continue. — fi-
nal, perseverance finale. Com a — iudo se al-
canca,, (prov.) avec la persöverance on vient &
bout de tout.
Pernsevzaäncı. V. Perseverange.
PERSBVERÄNTE, adj. 2 gen. p. a. de Per
terar. Persöverant : qui persevöre.
PERSEVRAANTENENTE, adv. persöveramment:
avec persevörance.
Paaszverin (em), v. n. persöverer (dans, &),
persister, continuer & faire toujours une meme
chose; demeurer ferme dans une resolution.
Durer longtemps , @tre permanent.
Penstves. V. Peorsöve.
+ Ptasıa, s. f. (8. de geog.) Perse : grand
royaume d’Asie.
Prasıäno. V. Porsa.
+ Pansıciau, 5. f. (4. de bot.) persicaire
douce, plante aqualique. — pimenfosa, persi-
d’eau,, poiyganum.
Parsıco, a, adj. Persique (golfe). V. Persa.
"PeasıciL,a.m. V. Pocilga, Chiqueiro. il.
Troupeau de cochons.
Pensicußına, 8. f. (t. deAot.) lisimaque thyr-
silore,, plante.
Penssnär-s£ , o. r. faire le signe de lacroix,
sesigner.
Pärsıo, A,adj. de Perse. V. Persa.
PERSISTÄNCIA, 8. f. persövörance, constanee,
persistance.
PERSISTENTE, adj. 2 gen. persöverant, per-
sistant.
Parsıstin (em), v. ®. persister : demeurer
ferme dans une opinion, etc. Durer longtemps.
’PansöA , etc. V. Pessoa, etc.
PersoLina. V. Porcelana.
PERSOLYER, v. @. payer enliörement.
+ Pzusonipa, (8. de bot.) V. Mascarina.
PERSsoNÄGEN , 8. f. et m. * personnage: Homme
distingus dans I’Rtat; röle de comedien ow c0-
medienne,
PensonaLivins,s. f. personnalit6 : trait pl-
quant, injurieux et personnel.
+ PrasonaLızia, v.a. et m. personnaliser :
dire des personnalites.
Pensonwsicido, A,Pp. p. de
Paasonificär, v. a. personnißer : attribuer
& une ohose inanimde la figure, les sentiments,
le langage d’une personne; faire d’un &tre abs-
trait une personne , une divinits allegorique.
Peasov&ıo. V. Persevejo.
Pzaspecriva, 8. f. perspeclive : art dorepr&
senter les objets dans leurs silualions respeo
tives, selon les differences quo le degr6 d’&
loignement met entre eux;; ses rögles ; peinture
des jardins, etc., dans l’eloignement; aspeck
des objets vus de loin. (fAg.) —, objet vu de
loin, au physique et au moral. (id.) Apparence:
representation (rompeuse des choses.
PERSPECTIVO, a, adj. qui connalt, qui pro-
fesse la perspeclive.
Penspicäcıa, s. f. bonte, &tendue dela vuc,
ce qui la rend pergante, subtile. (Ag.) Persji-
caeitle : penelration d’un esprit prompt & saisir
tes choses dificiles,
Prrspiciz, adj. 2 gen. quia la vue percanic,
etendue. Qui a de la perspicacite, de la pene-
tralion.
PERSPICäzMENTE , adv. avec perspicacile.
Penspicuiväne, 8. f. clariö, nellele, Irans-
parence. (fg.) Perspicuite : clarte du style.
+ PersPicuo,A, adj. clair, net, transparent.
(Ag.) On le dit d’un style clair ow de Pecrivain
qui l’emploie.
*Persuanicid. V. Persuasäo.
PeasuanDıno, A,P.p. de Persuadir.
PERSUADIMENTO, 5. m. V. Persuasdo.
PsnsuADir (a), v.@. persuader : porier, de-
terminer & croire, & faire.
PaxsuAnpir-s8 (a), v. r. sedeterminerä croire,
& faire. (de, que) Se persuader, se convaincre ;
croire , 86 fgurer, s’imaginer,
906 PER
Prusuaniver, adj. 2 gen. dent on peut per-
suader quelqu'un, croyable, probable.
Pursusiö, 8 2 persussion : action, art,
talent Je persuader; etat de velai qui est per-
suade ; ferme croyance.
+ Pansvasiva ‚s. f. “talent de persuader.
PensvssivaL, adj. 2 gen. persuasibie : qui
peutötre persunds; i peut se persusder.
PERSUASIVO, A, . persuasil: qui a la foros,
le pouvoir de persuader; qui persuade.
Pansuasön, A, adj. et 5. qui persuade.
Prasvasönıa, 8. f. ralson pour persuader.
Parsurror , eis. V. Presuppör, vie.
"Pratzecıutntos. V. Per .
Prartnca, s. f. "droit de proprists. (em8.)
Territolre qui appartient & titre de propriete ow
jundietion. —e, pl. appartenances, dependan-
ces , accessoires.
Prarensiö, ete. V. Preisnsds, etc.
PLaTEnchnTE (a), adj. 2 gen. p. a. de Per-
tencer. Appartenant : qui appartient de droit &
quelgu’un, qui a rapport &. Apte, habilo, pro-
praä(p. us.).
+ PERTENCENTENENTE, adv. d'une manidre
convenable (p. us.).
Pantencee (a), 9. w. appartenir ä : ötre de
droit & quelgu’un; regarder, concerner, avoir
rapport &; &ire du devoir, de l’obligation ; avoir
une relation nöcessaire ou deconvenance. Hon-
ras que perlencem ao rei, etc., honneurs dus
au roi. Queslöss que pertencom d philosophia,
questions qui regardent ow ooncernent la phi-
losophie. A todos aquelles a quem o seu conke-
cimenlo de dirsilo portencer, & tous oeux qu'il
eppartiendra.
PERATENDENTE,
PERTENDER, elt. } V. Pretend..., eic.
Pearıca ,s. f. perche : piöce de bois longue
ei menue; baton.
Perricutıno ,s. m. bedeau d’eglise. (auf.) V.
Alferes. — mör de Sant-Iago,, titre de dignite
dans l’#glise de Saint-Jaoques. C'est comme le
protecteur de cette &glise.
Pearisicıa, s. f. obstination,, opiniätrete.
PERTINACISsıMO, A, adj. sup ‚de
Fentınäz, adj. 2gen. obsuine, opiniätre, en-
Prarın kzuäntz, adv. opiniätröment, obsti-
n6ment.
PERrTINeNTE, adj. 2 gen. apparienant : qui
appartiens. Pertinent, convenabie; qui vient a
propos.
P&ıTo, ade. ou prep. pres, aupres ; proche.
Environ. — de, & oöt& de, proche, tout contre,
lös, approchant. — de Irinta homens, trente
hommes environ. Ha—de dez annos, il y a en-
viron dix ans. De—, de pres. — dierra, pres
de terre. E — de meio dia, il est pr&s de midi.
Möra aqui— , il demeure prös d’ici, ou il loge
"prös de chez mol. — de mim ou de minkhe onsa,
pres de chez mol. Muito —, tout pres. Saber
2. cousa de —. savoir une ehoss A fond.
RTOB, 8... t. de point.) los objets los
plus Fapp oe
PES
Prarunziciö, s. f. perturbation : troabie,
dösordre.
PreTunnipauinz, ade, avec trouble, di4s-
ordre.
PeatTonsapissımo, A, adj. sup. de
PzarvanipO, A, 9. p. de Perturbar.
PERTURBADOR, A, 8. ot adj. perturbatenr :
qui cause du trouble.
Paxtunsän, vo. e. deconoerter, troubler, de-
ranger l’ordre. Troubler, interrompre quei-
qu’un qui parle.
PzaTuRzÄR-SE, ©. 7. se troubiler; perdre la
carte.
Penrunsırivo, A, adj. qui cause du Irou-
ble, qui derange Terdre.
Pzaruxia. V. Poriuser.
Pant, s. m. dindon, on d’inde, alectride
d’Amerigee. Guerdador de ts, dindennier.
Gallinka e — tudo 6 u, (prov. pop.) bonnet
blanc ei blane bonnet.
+ Prnö, s. m. (f. de göog.) Perou : grand
pays de ’Amerique meridionale.
Para, s. f. dinde, poule d’inde.
+ Pravino, a, adj. Peruvien : n& au Perou,
qui en vient.,
Paxöca ‚s. f. perrugue.
+ Pextcıa, s. f. (f. de geog.) Perouse : ville
d’ltalie.
Psatm. V. Pers.
Pzx6gua. V. Peruos.
t Paxusino, A, adj. eis. de Pörouse.
PRRVERSANENTE, sdo. möchamment, aver
perversite.
Pzavensiö, s. f. perversion : action de per-
vertir ; corruption de maurs.
PERVERSIBÄDE, 3. f. noifceur, perversite,
möchancetd , d6pravation.
PERVERSISSIHO, A, adj. up. de
Pravänso, A, adj. endiabid, pervers, mmt-
chant, deprave.
Panvansen, V. Porveriedor.
PERVERTEDOR, A, 8. debaucheur, qui per-
vertit, oorrupteur.
PEnvaarea, 9. @. perverlir, corrompre les
maurs, 610. —, troubler Fordre, eic.; altdrer,
mal interpre6ter.
PEnvEnTür-eE, 9. r. so pervertir, se dehau-
cher : se jeter dans la d&bauche, le vice.
Prrvertino, a, pP. 9.de Perverter.
+ Pravicäz, adj. 2 gen. qui ne vout jamsis
ceder, opiniätre. V. Pertinaz,
PaavicıL, adj. 2 gen. qui veille toujours. \
Vigilante.
Pgavinca. V. Congosse.
*Pervinco. V. Propinquo.
Pe£rvıo,&,adj. ouvert, par oü l’on peut pas-
ser, qu’on peut traverser; perm6able. Accrs-
sible.
*pBs. V. Peize.
"Pesı,s.f. V. P6s.
+ Prsipa, s. f. ce qu’on pese d’une fois.
Pesipbamente, ade. pesamment, lourdement.
Avec peine, & contre-caur. Griörement. Leu-
(ement,
PES
Pzsaptıo, s. m. cauchemar : oppression en
dormant. (Ag.) Homme importun.
Pzsapissımo, A, adj. sup. de
Pesino, A, p. p. de Pesdr. adj. Pesant : qui
pese beaucoup, lourd. Fächeux, importun,
ineommode. Dur, insupportable,, violent, nui-
sible. Pesant : charg6 d’humeurs, de vapeurs :
on le dit de la tele, du temps, etc. Pesant:
lent ä agir, etc. Charg6 d’embonpoint. Somno
— , sommell profond, pesant. Luto—, grand
deuil. Cousa dem —a, (flg.) chose bien refie-’
chie, mürement deliberde. Gragas —as, raille-
rie piquante, offensante. Malsria —a, chose
grave, digne d’attenlion. Homem —, homme
grave, qui röflschit mürement. Cdra —a, air
serieux. Ndo ser —a ouirem, n'eire pas ä
charge A quelqu’un.
PasanOr, 8. m. peseur : celul qui pöse.
Pesapüuense. V. ) ° pesanleur du temps,
Pzsanöue, s.m. 9 deiste, d’estomac.(fig.)
*Peine, chagrin, fatigue; importunits. Fazer
cousa c0m —, faire une chose A contre-
caur.
P&sı-LıQuön, s. m. pese-liqueur : instru-
ment pour connaitre la pesanteur des liquides.
Pteiuz. V. Pezame.,
“Pasintg, s. m. sorte d’ancienne monnaie.
V. Besante. adj. V. Pezar6so.
Pzsin, s.m.V. Pexaer.
Pzsir, v. a. peser : Juger avec des poids,
avec un ressort gradue, elc., de la pesanteur
de; (fg.) examiner attentivoment, considerer
möürement. (inus.) V. Gravar.
Pzsir, v. ». peser : avolr un certain poids;
avoir du polds, de la pesanteur ; &tre de poids,
de considöration, eto.; &tre A eharge. V. Pe-
sÄr.verb. Nao Ihe pesäo os pds uma onga , (fam.)
il va comme le vent. Carga pequena ao longe
pesa, au long aller petit fardean pese. Vale
quanio pesa, (fig.) il vaut son pesant d’or.
Pzsin-s£, v.r. (inus.) ötre fAche, chagrin,
ennuye. Se peser. — a irigo, a cera, se peser
centre du bie, contre de la cire.
Pzsan0so, etc. V. Pezaroso, etc.
Pascı, s. f. peche : art, exercice, action de
pöcher; poissons pris & la peche. (pop.) V.
Busca, Cala.
Pascina, s. f. (1. hist. nat.) — merldna, le
ımerlan : poisson de mer, blanc, du genre du
gade.— pollächa , le lieu ow grelin. — dos Por-
fuguezes, le grand merlus. — escaldda, le
grand merlus sec et sale.
Prscapania, 8. f. poissonnerie : marche au
poisson.
Pascantira, 3. f. poissonniöre, poissarde,
marcbandoe de poisson.
Pzscan£ıro, 3. m. polssonnier : marchand
de poisson.
+ Pescapinua, 8. f. dim. de Pescdda. Le
erand merlus lorsqu’il est encore jeune; mer-
an.
Prscipo, s. m. polsson en general; marde.
— real. V. Solko. Abundanise om —, poisson-
Deux.
!
PES 907
Psscino, A,p. pP. de Pescar.
Pescanön, 9. m. p6cheur : velul qui fall me-
tier do p6cher. Le pape, & cause de Baint-
Pierre ‚dont ilest le successeur. Annel do —,
anneau da p£chcur : sceau du pape. A rlo re-
vollo ganancia de pescadores, il fall bon ps-
cher en eau trouble.
PescAporinHo, dim. de Pescador.
Pescär, v. a. pöcher: prendre du polsson &
la peche. Prendre, saisir, attraper. (fam.) Aper-
cevoir. — em rio revolto, ( lg.) pecher en cau
trouble ;: proflter du desordre pour faire ya
main. ’
Prscantıo, A, adj. de p&cheur, qui eoncerne
la peche.
Prscantz. V. Pescarejo.
Pescania, s. f. polssonnerie; p6che. * Com-
merce de la p6che.
Pssciz, s. m. coin qui retient la cheville de
la charrue.
Pescocäda , 8. fı V. Pescogäo.
Pescociö, s. m. coup du revers de la main
sur le chignon.
Pescockına,s. f. V. Cachago.
Pescocinuo, s. m. dim. de Pescogo. Pelilcou.
&. Col, collet, cravate sans noud.
Pescöco, s. m. cou. Chignon du cou. Derant
du cou d’une femme, gorge. Ficar pelo —,
(fig.) tomber dans l’emböche. Com 0 lago ao —,
la corde au cou. Por opöeno —, (fig.) humi-
lier, soumelire. — de carneiro, de vilella,
collet de mouton, de veau.
Pescogino, a, adj. quia lecou, le chignon
gros ow long.
+ PsscoLosrinos, s. m. sorte de plante dont
les feuilles ressemblent & celles de Ja maurve.
"Pascöta. V. Pescada, Poixotla.
* Prscupin. V. Pesquizar, Inqwirir.
“Pascoınir. V. Procurar, Buscar.
Prszurid, V. Porsevdo.
Psstuno. V. Pexonko,
+ Psstra, 3. f. piecelte : monnale d’argent
ospagnole qui vaut vingt sous,
PiszriL.o, s. m. V. Pospello. A—, adv. au-
pied. Andar ao —, marcher & cloche-pied.
P£zinno,s. m. dim. de Pd. Palit pied, pödi-
oule.
Pzsinuo, s. m. dim. de P6so. Petit poids.
Päsmiucos, s. m. pl. (t. de mar.) pieces de
bois qui forment l’intörieur de la poupe d’un
vaisseau.
Püso , s. m. poids : pesanteur, qualits de ce
qui est pesant, ce qui sert.ä peser, & donner
de la pesanteur, & faire mouvoir une machine
par son poids ; masse de mötal, elc., pour com-
parer, oonnaitre le poids, la pesanleur ; (Ag.)
importance, consideration; [orce d’un raison-
nement, soliditö d’un exemple, d’une raison,
etc. Amas d’humeurs dans guelque partie du
corps, pesanteur. (flg.) "Charge, fardeau,
obligation. — d’agus, de genie, (fig.) grande
quantıts d’eau, de monde. — da cabera, * pe-
sanleur de töte. — düro, "piastre : monnale
d’argent espagnole du poids d’ane ones, et qui
908 PES
vaut eing franes. — liguido, poids nel. A —
d’ouro ou de dinheiro, au poids del’or. De—,
de poids : on le dit des choses qui ont lo poids
prescrit. Em —, en l’air ow tout entier, enlie-
rement, en entier. Homem de —, homme de
poids, de oonsideration. Levar, lomar em —
um negocio, se charger de tout le poids d’une
affaire. Tomar o—, soupeser; (fig.) Poser,
examiner une affaire avant de s’en charger.
Com — 0 medida, (fig.) avec polds et mesure,
aveo ciroonspection. Fazer Iudo com — e me-
dida, faire toutes choses par rögie et par com-
pas. Um —de linko „ quatre livres de lin ow de
chanvre.
Pzsrecioo, A, p. p. de
Psspecin, v. 6. (pop.) Aanquer, appliquer
(des coups),, plaquer ( un soufliet).
Pzsrita. V. Alodloa.
Pzsrontino, A,p. p. de
Pzsrontäin, v. a. oontre-pointer: coudre &
arriere-points.
Pzsrönto, #. m. "pigüre : arriöre-point.
Melo — , demi-arriöre-point.
Pasgutiaa, 8. f. pe6cherie : lieu od l’on
Pasqutino, s.w. | a coutume de pöcher;
Meu prepar& pour la p£che. * Bordigue.
Prsquiza, s. f. perquisition, recherche, oB-
u6te.
I Pssquizino, A, p. p. de Pesgqwizar.
PzsquizapOr,, A,s. celui qui fait des perqui-
sitions, des enquötss ; enque6leur.
Pzsquizir, v. a. chercher, rechercher, faire
des perquisitions, s’enqu6rir. — as acgöes d’al-
guem,, &clairer les actions de quelqu’un.
PsssiRı0, s. m. (l. de chir.) pessaire : instru-
ment pour arröter la chute de la matrice.
Pässzco, eto. V. Pecego.
PasszrtıLo. V. Pospallo et Pösepello.
P&ssınamänte , adv. sup. de Mal. Tres-mal,
detestablement, pitoyablement.
Pässıuo, a, adj. sup. de Mdo. Tres-mechant,
irös-mauvais, detiestable.
PzssöA, s. f. personne : un komme, une
femme; figure, disposition du corps. Personne
de la sainte Trinit. Personne, dans la oonju-
gaison des verbes. "Personnage de comedie.
De —a —, wWte-A-iEte, ou personnelloment.
Batalha de — a —,, duel. Em —, en personne.
Cavalleiro, homem de sus —, cheralier, homme
hrave, vaillant. Fazer de sua—, payer de sa
ersonne , s’exposer vaillamment dans un com-
bat; bien s’acquitter de son devoir. Bem feito
de ua —, bel homme. Uma —, quelqu’un.
Uma — mo disse, espero aqui uma —, quel-
qu’aun me !’a dit, J’attends ici queiqu’un.
? Pzssoantco ou droit d’etre Pessofiro.
* Pzssoanico, 5. m. V.ce mot.
PrssoiL, adj. 2 gen. personnel : propre, par-
ticulier A une personne. O —,s.m. (8. milit.)
le personnel : ce qui regarde le physique du
soldat, sa personne. O — e 0 tal d’um
ezereilo, le porsonnel et le materiel d’une
arındo.
PET
PsssoaLmänte, adv. personnellemen: : cn
propre personne.
* + Passoania , s. f. * actes du chef ow repr:-
sentant d’ane famille.
* Passoavzıuänre. V. Pessoalmenis.
*f Pussokına, s. /- la personne qui possede
un Prdzo. V. ce mot.
“+ Pzssokıno, s. m. chef, repr&sentant d’une
famille qui possöde un Prdzo. V. ce mot. Dans
certaines provinces, il signifle associ6 dans un
bail d’une ferme, eic.
Pestäna,s. f. “cils, poils des paupiöres. Palle
d’une robe, etc.; passe-poil. Queimar ss —ı,
(Ag) s’appliquer ä l’dtude avec ardeur. — «
viola, etc., "sillet d’une guitare, olc.
Pzstanuia. V. Pestonejar.
Pesvangsin, ©. w. clignoter, cliguer les
yeux , romuer les paupiöres. Ndo — ouss—,
ne pas sourciller. On le dit pour exprimer l’at-
tention extröme avec laquella on regarde une
chose.
T Pastankıo, s. m. clignotemeni: mour®
ment rapide, involontaire des paupieres.
Psstanioo, a, adj. qui a de grands cils.
Päste, s. f. peste: maladie dpidemique di
contagieuse; maladie qui cause une grande
mortalits. (4g.) Tout ce qui est mauvais en sau
genre, nuisible, pernicieux. (id.) —, corruplieon
des mwurs; porsonne, chose, livre, morale
qui peuvent chrrompre l’esprit et le caur. Hd
— is male, (imprie. pop.) que la pesie vous
etrangle.
* PESTELENCA 0 PESTELENCIA. ) V. Pesli-
* Pgstancıa ou PESTENENCIA. } loncia.
PEstirgnamknte, adv. d’une manidre pesl-
lentielle, pernicieusement.
Pastirzuo, A, adj. pestilöre: qui commu-
nique la peste. Pestilentiel,, contagieus.
PestiLäncia, s. f. pestilence : corruplion de
fair; peste röpandue dans un pays.
P&stıLenciäL, adj. 2 gem. peslilentiel : pesü-
lent, infects de peste, oontagieux.
PastiLuncıaLmänte, V. Pestiferaminis.
PEsTiLeucıöso,, A, adj. pestilenlieus. —
PastiL&ute , adj. 2 gen. postilent: qui lien
de la peste; contagieux.
" Prastıntncıa , etc. V. Pestilencia, elc.
* Prstaumtıno. V. Postumfiro.
* Pestuntino. V. Epistoleıro.
* Pzsutino. V. Pisofiro.
Pksünno, s. m. moignon de beuf; pied de
cochon. * Ongle, corne du pied des animauz.
Para, s. f. calembredaine, bourde, conle,
mensonge. 4. La partie d’une serpetie quials
forme d’une hachette. st. * Calmar. Y. Lee. il.
Sorte d’oiseau gris qui vit d’insectes. (1. de
veter.) Tache A l’ail du cheval. Comer,
0 —, (burl.) prendre le change. i
Peraus, 5. f. (4. de bot.) "petale: feuille
d’une fleur.
+ PstaLsacho, 5. f. (1. de bot.) V. Abolonsö.
+ PeTaLzino, A, adj. (1. de bot.) pelall:
(Neur —e), composse de petales, pour
d’une corolle,
PET
+ PersLirönue, adf. 2 gen. (1. de bot.) pöta-
loide : somblable au petale.
+ ParaLino, a, adj. (1. de bot.) du petale,
qui a rapport au p6tale. V. Corollino.
PETALISEO , 8. m. pe6talisme : forme de juge-
ment stablie anciennement & Syracuse; sorte
d’ostracisme, exil pour cing ans.
PfraLo,s. m. V. Da. faire }
PETARDaR ou petarder: faire jouer un
PETARDEAR, O0. 9. petard contre une porte,
Perranptıno, s. m. petardier : qui appliquo
les p6tards.
Pgrinpo, s. m. p6tard : machine de guerre
chargee de poudre pour enfoncer les porles
d’une ville, etc.
+ Prrasite, s. m. (1. de bot.) le grand peta-
site, herbe aux teigneux, grand pas-d’Ane :
plante & racines mödicinales.
+ Peraunista,, 8. m. (1. d’hist. nal.) taguan :
grand &cureuil volant.
Perzin, v. w. faire des contes,, bourder.
PrrschiiL, adj. 2 gen. (1. de med.) pete-
chiale : (irre —), aveo p6töchies.
Prrscuas, s. f. pl. (1. de mdd.) petechies:
espöce de pourpre ow taches sur la peau dans
les fiövres.
* PerzcÄr, v. @. Couper avec une hachette.
PerT&ıro, s. m. ($. burl.) bourdeur.
* + Per£nxı,s. f. ancienne monnaie d’or qui
valait 216 r6is portugais.
+ Prrzassunco, s. m. (t. de geog.) Päters-
bourg : ville capitale de la Russie.
Partevan. V. Peisar.
Perii, s. m. Bois jaune du Breösil employ&
dans l’ebenisterie.
PsTicino, 8. m. petit-canon : caractdre d’im-
primerie.
Prricäd, s. f. demande:: action de demander.
Petition : demande adressse A une autorite.
Requetsow supplique par laquelle on demande.
Peric£co, A, adj. qui a la vue tr&s-basse.
Perıusuisa DO BaaızıL, s. f. (l.d’hist. nat.)
Ristulaire : poisson abdominal.
PeTIu&Tae, 5. m. 6lögant, petitl-maltse, da-
meret, muguet, plumet.
Psrinca, s. f. menu poisson. Petit poisson
gui sert d’armorce.
+ Parinua, s. f. petit oiseau de passage.
—canöra do Norte, farlouze ‚alouelte des pres.
* PErTintaL, s. m. homme du service des ga-
öres. it. Calfat ou charpentier de vaisseau.
Part, s. m. pelit-pied, echelle.
Parisca, s. f. "jeu d’enfants. si. Mäche,
pierre & (ou.
Prriscik, v. a. et n. battre le briquet. (ig.
fam.) Gotßter lögörement, manger peu d’une
chose, pignocher, grignoter. — de, v.n. ( lg.)
avoir une teinture, uno l&ögäre connaissance
de...
Parisco,, s. m. bolte & fusil; mäche, pierre ä
feu „ briquet, etc. Grignote.
PaTis£cco, A, adj. moiti6 sec, moili6 vert;
qui commence & derenir sec.
PEV 909
Prrirönio, s. m. (1. de prat.) petitoire : au-
tion de Jemander la propridts. it. V. Peditorie.
P£ro,a,adj. V. Pisce.
P£ro, s. m. V. Picango.
Perönaa, s. f. *sabot & Jouer, toupie.
PETRECHÄDO, A, p. p. de
PeranecHin, ®. a. munir, fortifier une place,
la pourvoir de munitions.
Parnzcnin-sE (de), ©. r. se pourvoir, se
munir.
PETRE£CHOS, 3. m. pl. "munitions pour la de-
fense d’une place. Armement ‚ &quipement d’un
vaisseau de guerre. Moyens, instruments ue-
cessaires pour une operalion. Tous les oulils
d’un homme de melier, ot6.—de cozinha, * bal-
terie de cuisine.
PETREO, A, adj. pierreux : qui a les qualilss
des pierres. Arabia —a, (1. de geog.) Arabie
petrde, couverte de monts.
Peraıicaciö, s. f. petrification : change-
ment des animaux, des veg6taux en pierre;
chose pe£triflee.
PeErTRIFICÄDO, A, 2. P. de Petrificar.
PETRirIcinTE, adj. 2 gen. petriflant, qui pe-
triße. p. a. de
PETRIFICÄR, ©. a. petrifier : converlir en
pierre. —se, vo. r. se p6trißier, devenir pierre.
t Perairico, a, adj. petrifique, qui change
en pierre, qui pötrifle.
Peraima, s. f. ceinture de cuir & boucles,
pour ceindre le pourpoint au-dessus des han-
ches. Ceinture : endroit du corps oü se met la
ceinture. Ceinture de culotte, de jupe, etc. Y.
Cinto, Cesto, Cinlura.
PETRÖLEO, 8. m. petrole : bitume liquide
et noir; hulle terrestre, moins pure que le
naphte.
Pgra0s0, A, adj. pötreux : qui tient de la
pierre ; pierreux.
“Parrin. V. Peilar.
+ Peraus-ın-conctiıs. (mot lat. fam.) On lo
dit d’un homme qui fait le savant.
Peruuincıa , s. f. petulance : qualite de colui
qui est petulant; insolence.
PETULÄNTE, adj. 2 gen. pötulant, emporte,
insolent, impudent.
+ PETULANTEMENTE , adv. avec pelulance,
d’une maniödre insolente, avec eflronterie.
+ P£uce , s. m. (1. de bot.) sapin : grand arbre
resineux.
Pzucepano, s. m. (8. de boi.) peucedane,
Queue de pourceau, fenouil de porc : plante
ombellifere.
Petöcipa. V. Piugada.
+ P£uuo, s. m. (5. de bot.) peumo : arbre du
Chili.
Pzvioe, s. f.” pepin de poire, de pomme, etc.;
graine de melon , de citrouille. Pepie : maladie
des oiseaux, ei surtout des poules. “ Delaut de
celui qui Prononce avec peine certaines eliros.
Elincelle qui sort du lumignon d’une chan-
delle. Viva a gallinha e viva com a sus—, vive
la poule, encore qu’elle ait la pepie: plulöt
souffrir que mourir. Ndo ter — na lingua,
910 PHA
(jem ä la ptpie , parier besncsup-
u qui a la p£pie. Qui bigaye,
’ 9»
* Pzrocca , 8. [. V. Chispes.
Ptz, s. m. "peix, enuc resineus. — de Ber-
ynha, peiz de Bourgogne, d’un blanc jau-
sätre, pour les empläires. kurs, poiz-
resine, gomme jaunätre. on
Piz, tseisitme persenne du subjonctil da
verbe Pezar. Ems que vos —, malgrt vous. Pfzs
est plus correet. V. le verbe.
Pazupeur. V. Pesadums.
P£zuuz, s. m. compliment de condeltance.
Der os —ı a alguem,, laire ses complimenis de
esundoltance a quelqu’un.
Pazin, 5. m. chagrin, souci, tristesse. Re-
gret, repenür. Ter —, eire läche, chagrin,
ennuy6; se repenlir. A — de, en depit de,
malgre, contre le gr6 de. A— ‚A regrei, Acon-
tre-omur, malgre sei. A meu — , malgre moi.
Bem a mou —, a men grand regret. Muilo a
seu —, malgre lui et ses dents. Fazer pezdres
delguem, tralter fort mal quelqu’an. Pexdr ds
Deos e dos santos, malgre Dieu ei les saints.
Pzzia, 9. ». et imp. &ire [Acht ,, chagrin, en-
nuye. Se repentir, avoir regret; faire de la
peine. — muito a alguem,, ou pezar-Ihe do co-
rapdo, ns almıs, aveir un fond regrei.
P6za-me de vos ler offendido,, jsi un grand re-
gret de vous avoir olfens6. Pözs-me ndo ter
o teu conselko, je regreiie de n’aveir
pas suivi votre conseil. P4za-me de vos ver
w’esse esladeo, volre etat, volre posilion me fail
de la peine. Mal que Ihe pfze, bon gre, mal gre.
Näo Ihe pdza por que nascho ou de ler nascido.
(Ag.) On le dit d’an homme trös-content de lai-
meme.
Pgzanösautnte, ade. douloureusement, ä
Fegret, avec repenlir.
Pezanosissıno, A, adj. sup. de
Pezan6so, a, adj. contrit, fächd, quia du
regret. Chagrin, inquiet.
Pazeszio. V. Perseväs.
Pzztuno, A, adj. couleur de poix.
Pszıuno. V. Pesinko.
Pnasid.V. Feisdo.
Puarancancmis, s. f. (1. d’anc. mil.) * grade
commandanti d’une phalange.
Pnarince, 5. f. (1. d’anc. mil.) phalange:
eorps de piquiers pesamment armes qui com-
battaient on masse ; bataillon d’infanterie. (Ag.)
Grand nombre. —s dos d4dos,, (1. d’anat.) pha-
langes : os qui composent les doigts de la main
et du pied.
TPuaLincu,s.f. | phalange: espece d’a-
RNGIO, 8. m. | Täignde venimeuse.
PuaLincıo, s. m. phalangite : soldat de la
Phalange.
+ Pairans ow Puatsne, (1. de bot.) V. Al-
is.
+ Pnarinsca, s. f. phalarique: sorte de ja-
embrast contre las tours de beit PURE y melıre
le fen.
Puarıtus,s. f. (8. Zhist. nat.) phaltae : p-
Pillen de nuil. — pause, ie pasn de mail. — des
sınsreires , le ver & sets. — neusiris, la Erter.
’ is „ la precessisunsire. — var
Puaxısto ou —sär, s. m. Pharisien : sorte de
seclaire parmi les Juifs. Hypocrite, {aux dero.
Gilerienr dtsagriable, ei, Gap.) "Pal,
exterieur de .eu. .) "Pai
Paaruackerca.V. Para)
PRARMACEUTICO, A, adj. pharmacestiger:
quiappartientä la pharmacie. s. m. V. Beier.
Puarmwicı,s. f. ie : art de preparet
et. de composer les remödes, les dregues me&-
einales.
t Puinmaco, s. m. pharmagse : preise grei
qui puriflait les parrieides.
PRARNACOLOCIA ‚s. [. pharmacelogie: scaott
de la pharmacie.
f PusnmacoLöcıco, A, adj. Chimica-—#,
chimie pharmacologique, des medicamenu.
Puısuacorkıa, s. f. pharmacopee, dispe-
saire: traile de la uon des remsdes.
PaARuacöPoLs, s.m. pharmacopele, apeil:
caire.
Psanuacoroula,. V. Botice,
Puino, s. m. pbare : tour e& Fon mei un
grand [ansl pour eclairer Jes vaisseauz.
Puarör. V. Ferol,
+ Puansiru,s. f. (6. de gdog.) Pharsele :c °
tree, plaine de Thessalie.
Puanv'nce,s. m. (l. d’anet.) pharyaz: ®.
fice superieur du gosier qui teuche ä la bosc'.
PHART’'nGEO, A, adj. (1. d’anst.) phanıft.
pbaryngien : du pharynz.
+ Puanvncockarnia, s.f. (£. denet.) phr
Fyngograpbie : description du pbaryus.
t PumxrncoLocia ,s.f. pbaryngelogie : wait
sur le pharynx.
PDARYxGOTONia, 8. f. pharyngolomie : t-
tion du pharynz.
Pruse, s. f. (1. d’asir.) phase : se dit des di
plandies,
velot enduit de Mlasse poissec qu’on langait verses apparences des
PHI
Puarıosiu, s. m. V. Emphiteusis. De —,
pour longtemps ou perpötuellement.
Pnuns, 8. f. (podi.) la lune.
Puss£o, A, adj. (po6t.) du soleil. A Idmpada
—a,lesoleil.
Pn&50,s. m. (l.demytA.) Phöbus, Apollonz
(puel.) le soleil.
tPurnas,s. f. pl. les petits des aigles de mer.
‚Puenicıo, a, adj. ot s. Pbenicien : de la Ph6-
nicie.
T Pusmicörtexo,s. m. phenicopiöre, böcharu,
flamant: oiseau rouge aqualique. V. Flamingo.
PuEnicma,s. m. (l. de med.) phönigme : re-
mede qui excite des rougeurs et des vessies oü
il est applique.
Pu£nıs ow Pulnıx,, s. f. ou m. phenix : ol-
seau [abuleux qui, disait-on, renaissait de 308
condres; (g.) tout ce qui est rare, exquis,
superieur dans son gexre; sphinx, sorte do
prrillon ;constellaiion zustrale; ivraie sauvage,
grains rouges.
PBEnöuzno, 3. m. phenomäne : tout ce qui
paralt d’extraordinaire, de nouveau dans le
ciel, dans Pair; effets de la nature; (fg.) ce
qui surprend par sa raretd, sa nouveauts.
Pnenztao. V. Forelro.
PuıLacreaus. V. Phylacierias.
+ PuıLaveLpuia, 8. f. (6. de geog.) Philadel-
pbie : ville d’Anatolie; «4. de la Peusylvanie,
ci-devant capitale des Elats-Unis.
f Puiap£Lrno, s. m. (t. de bot.) seringat:
arbrisseau & fleurs rosacdes. ady. et s. de Phi-
ladelpbie.
+ PuıLännea, s. f. (1. d’hist. nat.) "phalan-
ger:mammifere marsupial.— do Oriente, pha-
langer blanc. — volante, phalanger volant. —
giganlesca ‚"kanguroo.— do Brunio ,kanguroo
Blandre. — cinzenta. V. Cangurü.
PaıLanTropia,s. f. philanthropie : caractere
du philanthrope.
PRILANTRÖPICO, A, adj. philanthropique : qui
a rapport & la philanthropie.
PEILANTRÖPO, 3. m. phbilanihrope : homme
ports naturellement & aimer son semblable.
Poaıtasterıas. V. Phylacierias.
Pririucıa, s. f. philaulie : amour de soi-
meme , amour-propre.
PaıLauciöso, A, adj. plein d’amour-propre:
6goiste.
PniLierica, 8. f. philippique : discours vio-
lent et satirigee.
+ Pmuirpinas, s. f. pl. (1. de geog.) Philip-
pines : iles de la mer des Indes.
+ PaıLırrino, a, adj. et s. qui est des iles
Philippines.
+ PaıLierörouts, 8. f. ($. de geog.) Philippo-
poli : ville de la Thrace.
+ Pnıuissönco, s. m. (1. de geog.) Philis-
bourg : ville d’Allemagne.
PniListko ou —ku, adj. m. (fig. fam.)grand,
demesur6, gigantesque.—s, s. pi. Philistins :
peuplo de la Palestine, ennemi des Juifs.
7 PaıLoor'uia, s. f. philogynie: amour pour
los (oaımes.
PAL gyii
Pmwowoclh, s. f. philologie : science des
belles-lettres, de la critique; etude generale
des langues ; litt&ralure universelle.
PurLoLöcıco, A, adj. philologique : qui con-
cerne la philologie, qui ya rapport.
PwıLö1L0co, s. m. philologue. savant appli-
que & la philologie, & lacritique.
PaıLousıa ou —ußna, 5. m. (Podl.) Philo-
miele, rossignol. .
PnıLön1o, 8. m. (f. de pherm.) pbilonium :
espece d’opiat anodin ot somnifere.
PsiLosoruino, A,P.p. de Philosophar.
PuıLosorniL, adj. 2 gen. philosophigue. I :
n’est gudre usit6 que dans la locution suivante.
Pedra—, pierre philosophale ‚preötendue trans-
mutation des metaux; art pretendu de faire do
Y’or ; (Ag.) chose difficile & trouver.
PrrLosorRär, ©. #. philosopher : trailer des
matieres de philosophie ; raisonner de philoso-
phie, conformement & la philosophie ow trop
subtilement ow de morale,, de choses serieuses.
PwLosorsia, s. f. phllosopbie : amour de la
sagesse; scienoe, connalssancte &vidente, dis-
tincte des choses par leurs causes et leurs el-
fets; science qui a pour objet la connaissance
de !’esprit humain ; science qui comprenait au-
wefois la logique, la morale, la physique et la
metaphysique; opinions des pbilosophes; &ie-
vation et fermete d’esprit, d’Ame, qui porie ä&
se metire au-dessus des prejuges, des &rene-
ments lächeux, des fausses opinions. —moral,
morale, science des maurs.
PutLOsörHicAunTE , adv. philosophique-
ment : d’ane maniöre philosopbique, en philo-
sophe.
PsıLosörnıco, A, adj. philosophique : qui
appartient & la philosophie; qui la concerne.
PnıLosoraisuo, s. w. philosophisme : secte,
doctrine des faux philosophes; amour des s0-
phismes ; l’oppos# de la vraie philosophie.
+ PuıLosorkista, s. mw. pbilosophiste : faux
pbilosophe.
PsıLösoPRo, 3. m. philosophe : qui s’app.i-
que & l’6tade des sciences, principalement &
celle de l’esprit hamain, & connaltre les effete
par leurs causes etleurs principes, ä connaltre
les causes premieres. —, qui s’appliquoe & la
philosophie, qui l’&tüdie, qui Paime, la prati-
que; bomme sage qui s’el&ve au-dessus des
passions et vit tranquilie, dans la retraite, loin
des affaires ; amidelasagesse ;sage,d’un esprit
(erme,au-dessus des prejuges,, etdu malheur.
+ PuıLorixia, s. f. amour de son honneur,
de sa r&putation.
PsiLtao. s. m. philtre: breursge, drogue,
etc., qu’on suppose propre ä donner de l'a-
mour, & prdvoquer une passion. V. Piltro.
+ Pavyıryntaı, s. f.(t. de bot.) pbillyree : ar
brisseau toujours vert.
Puımösıs, s. m. (6. de med.) phimosis - mala-
die du prepuce trop serrö sur le gland.
Pnisıca. V. Physica.
+ PuLgsockarBia, 8. f. pblebographie des
eription des veincs,
912 PHO
+ PatLzsoLocia, 8. f. phl&bologie : traite sur
les veines.
+ Pnuesonnuacia, s. f. phleborrbagie : rup-
ture d’une veine.
PuLezoromia, s. f. phlöbotomie : art de sal-
gner; saignee.
PBLEBOTONMIÄNO,, s.m. phiöbotome : qui pra-
tique la saignee. Professeurde phl&öbotomie. V.
Sangrador.
PHLEBOTONAR OS —IZAR, ©. a. phlöbotomiser::
saigner.
PuLzBOTouista , s. m. phlöbotomiste : parti-
sarı do la saignee.
PELEBÖTONO, s. m. phlebotome : instrument
ur pratiquer la saignee, lancette & ressort.
6. V. Phlebotomiano.
+ PuLEcerönte, s. m. (f. de myth.) Phlege-
ton : fleuve des onfers.
PRLecua ou PuLzuma, etc, V Flegma, elc.
T PuL£con ow PHLEGÖNTE, 5.1, (£. de myth.)
Phlegon : cheval du soleil.
PuLoGösE 0% ($. de mdd.) phlogose: in-
PuLocösıs, s. f. ) fammation sans lumeur.
Pnöca, s. m. (8. d’hist. nat.) phoque : mam-
mifere amphibie, veau marin.
+ Puocenses, as. m. pl. Phoctens : peuples,
habitanıs de la Phocide.
Puöcıa, s. f. (£.de g6og.) Phoote : ville d’Asie
Mineure.
7 Puöcıpa , s. f. (8. de gdog.) Phocide : pro-
vince de la Gröce.
+ Pnörana, 8. f. (8. d’hist. nat.) pholade:
ouquillage qui creuse un trou dans la pierre.
Puongrtico, a, adj. phonetique : qui exprime
le son.
PuonöMErnO, 8. m. pbonomötre : instrument
pour mesurer le son.
PEORONONIiA, s. f. phoronomie : science du
mouvement des fluideos et des solides.
7 Paosrnito, 8. m. (4. de chimf) phosphate :
sel form6 par la combinaison de l’acide phos-
phorique aveo differentes bases. — de cal,
phrsphate calcaire.
+ Paosrnito, s.m. (8. de chim.) phosphite :
sol forms par la combinaison de l’acide phos-
phoreux avec difförentes bases.
+ Puospnonzik, v. ®. luire, briller comme
an corps pbosphorique. °
+ Puoseuon&nte, adj. 2 gen. phosphores-
cent : lumineux comme le phosphore.
Paospnönzo. V. Phosphoröso.
+ PBOSPHORESCRNCIA 04 PEOSPHORENCIA, 8. f.
(8. de chim.) phosphorescenoe : formation du
hosphore; lueur douce comme celle du ver
uisant, produito par differentes substances
animales, vegetales ow minerales.
Prospuörico, a, adj. phosphorique : qui ap-
pärtient au pbosphore, de sa nature. A’cido —,
it. de chim.) acide phosphorigue, combinaison
du phosphore aveo une portion d’oxygöne plus
forte que pour l’acide phosphoreux.
+ PsospnonızacÄö,s. f. (£. de chim.) pbos-
pborisation : chimie, influence da phosphate
calcaire dans l’dconomie animale,
PHY
+ Pnospuorızän, v. e. rendre phospherigee.
Pnösruoro , s. m. phosphore : plandie de Y&-
nus, etoile du matin ow Lueifer; laurore. —,
corps r&puts simple, substance qui lait comme
le feu dans l’obscurite, qui s’enflamme lscik-
ment, etc.
+ Pnospu0rd80, A, adj. (1. de chim.) par
pboreux : (acide —), produit par la combastee
da phosphore ; combinaison du phosphore arec
une faible porlion d’oxygene.
+ Pnosruuntto, s. m. (8. de chim.) pber-
phure : combinaison d’une autre base are k
phosphore.
Puräsg, etc. V. Frase, ete.
Punenssi, etc. V. Frenssi, etc.
+ Pneznitis, s. f. (t. de med.) inlammaılia
du diaphragme.
PuRenopiaco, A, adj. fait & Yoccasion dat
calamite publique (disoours).
+ Purznorocia, 8. f. phrenologie: conna#
sance de l’homme moral, intellectuel; est
du caractere fondee sur la methode de Larakeı,
sur celle de Gall.
+ PHungnoLöcıco, A, adj. phrenologigue: qui
a rapport & la phr&nologie.
t PuRENOLOCGISTA ow | phreenologiste : qr
t PuazuöLoco, s.m. | s’occupe dela part
nologie.
+ Ponroinza, 2. f. (1. E’hist. nat.) Tigane:
insecte n6vroptöre. — esiriads, Irigane sine.
+ Purrv’cua, s.f. (£.de geog.) Phrygie: con
de l’Asie Mineure.
+ Punr’nıo, s. m. (4. de bot.) espöce de ner-
rade, plante (neurude )
Partaısica , etc. V. Tisses, etc.
Pavracrkatas, s. f. pl. phylactäre : part
min oü ötaient &crits les commandement &
Dieu, et que les Pharisiens portaient auı bi!
et sur le front; preiendu pröservatif contre %
mauvaises pensees; talisman. (fig.) Rss®,
fourberies.
+ PurıLintuıo, 3. m. (6. de bot.) cactier )
feuilles de scolopendre; phylianthe, planie
phorbiac6e. — bastardo, xylophylie, eupbori*
+ PuvıLivis, s. f. pl. (1. d’hist. nal.) paslt
des : mollusques gasteropodes.
+ PurıLöstowos, s. m. pl. (1. Eist.
phyliostomes : chauves-souris & feuille me®
braneuse sur le nez.
Pav’sıca, s. f. physique : science des choseh
naturelles; classe, (rail de physique- (ee)
Medecine.
PHYSICAMENTE, adv. physiquement : Da
relloment; d’une maniöre r6elle ei physigte-
Pav’sıco, a, adj. physiqne : natarel; 4#
tient & la physique; matöriel ; Foppost de *
ral.
Pav’sıco, s. m. physicien : qui sait la phy®
que, s’en occupe, qui Papprend. (ani.) Nede
cin,
+ Pur'sıco-Marnzwärico, A, adj. PRTE*
mathematique : qui a rapport & la pbysigue &
aus mathcınaliques.
PA
+ Pavsiocnada, 8. f. pbysiocratle : pouvoir |
de la nature.
+ Pursıocaira, s. me. physiocrate : qui mad-
mei de pouyvoir que celui de la nalure ; mate-
sialiste.
+ Pauvsiocairıco, A, adj. physiocratique:
de la physiocralie.
+ Parsıocnömico, a, adj. physiognomoni-
qua : qui tient de la physiognomonie. Qui
appartient & la pbysionomie.
Puxsıosnouista. V. Päysionomista,
Pursocuonmonia. V. Physionomia.
+ Pazssoonarmia, s. f. pbysiograpbie : des-
«siption de la nature, de ses productions.
+ Puxsıocnärsico, A, adj. physiographi-
que : de la physiographie.
+ Puxrsıöckarno, s. m. physiogtaphe : qui
pralique la pbysiographie.
PaxstoLocia, 8. f. physiologie : trailä,
seienee des principes de Peconomie animale,
de l’usage ei du jeu des organes; trait6 du
corps humain on diat de sante; science de la
vie‘, de. la nature animee, des fonctions ani-
males, organiques,, de nufrition,, de relation
et de generation. — vegelal, physiologie vege-
sale : seienne des Sonctions vitales des vege-
taux.
Puvuonöcsco, 4 ‚adj. physiologique ı de la
logie. Modecina —a, medecine physio-
logique, fondee sur des observations physiolo»
gignes ; syaldıne de M. Broussais.
PatTsoLnaista, 5. m. plysiologiste : versd
dans la physiologie.
fasuli& de oonnaltre le sarastere, les inolinar-
tions , par Pinspeclion des tralts du visage, —
‚ physionenie piquanie.
PnrYstionömico, a, adj. qui appartient & ia
physionomle.
Pursıonouivra , s. me. physiomomiste : qui se
sonnalt ou pretend se connaltre en physiono-
mie.
Pursıönono. V. PAysionomista.
Purrorocia, s. f. phytologle : art de decrire
los planies;; trall& des plantes medicinales.
Pia, s. f. auge, abreuvoir, pierre d’evier.
— duma [onte, bassin d’une fonlaine. — d’s-
gwa benta, "benitier A la poric des eglises. — de
baptizar ou do baptlismo, [uns baplismaux.
(As.) Paroisse. Noms da — , nom de bapteme.
+Pia,s. f. pie: cbeval pie, tacheis de di-
veorses voulours.
Pık ou Pıäa, s. f. de Pido (pl. Pides) ‚femme
du peupie.
PıäcHz , mot usit6 seulement dans la phrase
adverbiale: Tardse —, bernique, U est irop
ward ‚jo ten ratisse.
Pıacuir, adf. 2 gen. (p. we.) expialoire,
qui sert ä expier.
‚ Raieup, s. m. crime, faute A expler. Saori-
ice eıpialoire; victime explatolre.
PORT. PR.
I nerienne en A
PIC 3
Pıäpa, 5. f. * cri des petits poussins gut sui-
vent leur meöre.
Pıavine. V. Piedade.
Pıivo, s. m. sifliement qui sort de lapeltriwe
d’un asthmatique. V.
Pıapör , a, adj. piaulgur. On oe dit des ei-
seuux.
Prapöso,, ote. V. Pisdese,, eto.
Pıär. V. Poial.
Pıawiran, e.f. (8. @enai.) pie-möre : mim-
brane qui enveioppe le cerveau.
Pıäuanez, s. m. (8. d’Asie). V. Andeas on Tri-
Pıawänte , adv. pleusement. Crör —, ereire
pieusement, par devolion,, par döferemoe.
Pıamonte, so. m. (t. de gdog.) Piemont:
eontree d’kalie et principauts da royaume de
Sardeigne.
tr Pıamonräz, a, adj. et s. Piömonteais, du
Piemont.
Pıln,s. m. plan : maladie que l’on ereit ve-
merique.
Pıänua, 8. f. " piedouche : petit pi6destel.
T Pıanista ‚8. 2 gen. pianisie : gi teuche du
piano, qui est fort ser le piano.
Pıäxo ,s.m. V. Piano-forte. adv. (1. de mus.)
Piano, doux, doscement.
PıARO-FÖRTE, s. m. pienoferte, forte-piano
ou piano : sorte de clavecin carre , instrument
& cordes mötalligues et clavier.
+ Pıänte, adj. 2 gen.p. a. de Piar. Pisu-
lant. (Ag.) Qui se plaint.
Pı2ö, s. m. V. Peäo. it." Toupie, jouet d’en-
fanıs. Pignon , arbre d’engrenage d’un meulin,
ete., eto. Pivot d’une tenie oonique. Afat d’un
fausenneeu. Sorte de pilier dans lo mandge.
(6. #’Inst. nat.) V. Turbüho.
“Präa. V. Pier, Posts ei Pal. —
PıAr, v. ®. piauler, se dit du cri des petits
poussina. Pepier, parlant des moineaux. (boA.)
Betre. —de g6de, (buri.) boire comme un Ieım-
plier.
* Präna, 8. f. “corele, multitude de gen».
Pıassi, Pıassäna om Pıassäva, s. f. " jene
noir d’Amerique dont on fait des balais,, pto.
Pıastriö, es. m. plastron : piece de devant
de la ceuirasse.
Pica, s. f. V. Pique. (t. de mar.) La partie ia
plus mince de la poupe et de la proue @’un
vaisseau. Tache d’un cheval. (4. obse.) * Membre
viril. (8. de mid.) * Pica : appetit deprave, in-
stinctil des fermmes enceintes ow chlorotiqwes ,
qui les porie & manger du plätre, da oharbon,
oe
+ Pıcäczo, a, adj. ( £. de med.) da piea, qui
& tapport au pica.
+ Picacurosa, 8. f. (t. d’hist. nat.) * plesen-
roba : tourterelte du Bresil.
Pıcipa , s. f. pigüre : blessure que falt vegui
pique. * Coup de bee. "Picotement : Impression
ı douloureuse sur la peau,, les mombranes,, Pes-
tomac, etc. , failte comme par une pointe. (fg.)
Petite attaqne,, petit dommayge fait & ’eamemi.
| (dd.) "Seutier ä iravera no bois.
en se
ge
Yis PIN
Ditiment de mur. (Ag.) Qui eandelt une alaise,
ie. , qui geuverne. — da barra on de perfe,
(1. de mar.) pilote pour l’onirde et la sortie des
ports, lamaneur, loeman. — d’elture, (id.)
Pilote hauturier. — da cäste , pilote odller.
Pırn£ru,s. m.( burl.) petit homme, baut
d’homme.
reg) V. Pirliteiro.
ad F s. f. pllule : com mödicinale
en petites et (Ag.) Nouvelle fäacheuse, ia- | sty
jure qu’on est oblige de souflrir, etc. Dourer @
— , dorer la pilute : adoueir um refus , oouvrie
es römenis par des apparences sedui-
santes. Ängulira —, (buri.) avaler la pilele,
le goujon, faire ce qui repugne eu donner dams
une isompe
F Pintun, s. f. (t. Ehist. nel.) pimelie : 00-
itoptöre melasome.
Pıntnrta ,s. [. " poivro, pisnent , sorte d
serie. — ou pimsnleire negra, (i.
de bot.) "poivrier oomrmaun ou aromaligen. _
lunga, pohrre long. — des Indios,, Io betel. V
Beile de Jamasies, poivre de la Jamaique.
— rabuda, peivre & queue. V. Cobebss. — de
Guind, ° tonalchile, poivre de Guinde. Tor
muile — (A. fam.) ötre irds-ches, d’an prix
exorbitant.
+ PıneutiL, s. m. planche de poivre ou pi-
ment de Guinee.
Pınaxtiö,s. m. (1. de bot.) piment annuel,
piment de Guinde, poivre de Portugal, du Bre-
sl, poirre enrage, corail de jardin. Nariz de
— ‚(buri.) nez so
Pınantlına, 8 nf "poircier : arbrisssau des
Indes orientales qui prodeit lepeivre en gralas.
V. Pimenta.
Pıusutkino, 6. m. poivrier ou
vaso ou boiie ä melire de polvre.
teire.
Pıs&nto. V. Pimensio. it. Ouropimenie.
+ Pınriö,s.m. (1. bunt.) Ber-i-hens, fanla-
ron. Bien mis, hoau, didgant, ooguet,
+ Pımriuim, s. m. (ti. de bo$.) pimplin om
plinplim : geivre du Bengale.
Pıurınkira, 8. f. (6. de bei.) — Aorionse,
elle: herbe vivace, petagöre. — de Jla-
ka, la grande pimpreneile des pres. — Iraues,
koucage ü feuilles de pimprenelle, pimpre-
meile saxilrage.
PıseLan, v. ». manier avec gräce je pn- | STed
gpleo. V. co mot.
PıupLäe, e. m. petit dard & orechet dent on
u sort dans les oourses de laurdauz.
PruröLno, 3. m. jet, une, rojeten d’erbre.
V. Aenovo, Novedio, Betölho
Pını ,s. f. jante de rone.
Pınica, s. f. pinasse : bätiment de eharge &
volles et & rames.
PıniovLe ‚a. m. pinaole : partie Ja plasdieude
Fun sdißoe; sievalion; sommei, onmbie en
po | 1} @
t Pauiuesa , o. f. (6. de bei.) " pinanga : sapbce
An peimier.
FIN
Pınime, s. m. (4. de harp.)gikes Au ailse
peute.
[,Fincane ‚a. mn. sommut (dus an, «ie.)
,» f. pinse, pinselin, kumattı Be chi-
rasgien , 6
Pıngi6. V. Pag.
Prackı, 8. zn. pinoaen de peintee. (Ag) Sie-
osau. On le dit du peintse, ds Bin Tr,
“a mankire de peindre, ot, par entunshte, du
ie d’sn poöte, ots. -— sstupeire, (6. de wur.)
unse & & geudrea. Dur o uilime — , mai
en seraire main & un ouvrage. —— de niet,
Pımeazuina, s. f.
Pesenpreageitgee Ark qpreun
PrucaL2n®, e. os. oolml qui on vunt des
pinesenz. Pinselisr ı vanı gene meine ins pin-
Fincas. y. Glen.
Pıncaiao, A,
pP.
EEE) einsner een fans:
betite (une muraille äte.): Gelee taudber au
sauter. Banco de —, aneisune meshine da
Pıngbre, 5.0. (4. ds zuer.) "harye Ge-guuwer-
mail. dt. V. Mangels ot Bonche,
+Prauılma, 5. f. (6. de Beöcii) vunte in
de Ttcorce du esoe pear peter A Fin
Pınpänsco, a,a. af. pindestyae : dene Dysu,
ia stanitre de Piadere (06e—-).
“Pınaaha. V. Ponkorer.
ec geachen
on ,s.f. geuie, Den tem.)
de bon vin. Goster da —,, aim Du uuiuälle.
Bstar tevade da — , aweit une points Gb win.
Nom — , pos une geutis.
Pruoantına, s. f. Iüchelrtte : unteuulle eur
sosurelr fe jas du süll.
Pıueino, a, 9.9. de Piagar. af. Pieim @
gestns, de taches de gielsse, Er Gmb —,
uo-must.
Praospeune, 8. os. V. Pingadsise.
PıncoaLukte, s. m. petit cios. Fiödse dPuan om
quetie bee
Pıneinte 2 gen. ap a u Pluger.
(dert) ) Miedrabe. eg er
de Led ver)
Pıncia, alte & geufäs
ament un 1 Dan za
berniliaute
oeelsweßy
Pıucia, v. ». dtgeniter ; oeuler gemtte A
And piugunde, (fam.) wunzaor Wut
gont, ne pas avoir le new.
mn na * gusinen qui döghutte du oochon,
du lard, de ia viende prösenide au feu. (ng)
‚ creme qui attuche auz habits
Nödos. (id.) Action de Bamber avoo du latd,
ete. V. Pinger. — de neris, " roupie.
Pinons, adj. 2 gen. gres, res, bien nourti.
Gras, lorule, riche , qui rapporte beaucoup,
abeondent , fügend. Terra ---, terre de ben rap-
eier; terre grasse. Benefeio —, bemefice Irds-
nut... f. graisse.
be reden polo baguone Tun piSg®
V. Zeperreii
au
yi
Pmevinna , s. f. dies. de Pinge. Goutielette.
Pinna, s. f. pomme de pin; co qui en a la
forme. (1. de dei.) Cine, meuio oenique, stro-
bile. Fruit du Bresil qui ressunrblo & la
de pin, mis-ben & manger, pinnas.
de mar.) * Cal de pero simple. ( Ag.) Quan-
une de oboses ou de persennes agglomerees,
wounies. V. Pinhois. — de meis,* soin d’an bas.
Pınmir, &. m. * for&t de pins, sapinitre.
Pruniö, s m. piguen : sende, freit du pin.
Au Bresil, on denne es nom & plesicars fruits
qui ent ia forme d’un pignon. Pinhdes do Bra-
zöl, (4. da bot.) widieinier, sureas noir, pignon
d’Inde, neix de medecine.
Pıngkiaa, 6 (hdopeen) Y- Noavese, it.
2 da Bed dem! t lo Sruit rossombie A la
PPıumtına adj. f. Heron — wippe-mademe,
rt re s. m. (4. de bof.) pn: arbre tou-
jours vert, resinouz, eoniföre. — manse, pin
emuitiv6, pin- A (ono pin. — bravo, pin
sauvage, pin d ou de Gentve. — de pfz,
V. Absto. — lärise , Io meldze ou meldse.
— slvar, le faux sapin.
Pinno,, s. m. beis de sapln. ( Ag.) Vainscau,
aavire
Pınmoisa , 5. [. " pignons oonläis. Päte falle
de plgaons ei de sure.
Pramöca,, 8. f (8. de pres). Cangälho.
PrauoiLs, s. f. serie de 60
PınsöLa. V. Pinhoes.
+ PınnöLa , s. f. (1.d’Mist. nat.) * come: co-
ifle en cöne. — malhede ‚cos 00 marmerse,
9 lo minime. — ,
FPamisal ordinsire. — de ponlos gros-
ass ou de solfa, le mil — tapiside,
Iueunstie. — cOr de dia d’oure, le drap d’or.
__Prunöra, e. ß nn de Beuss, eie. Em
en corymbe, en grappe.
BRQ, &, adj. (pad) qui peeduit des
yöns.
Pınutaruss, 0.0. pl, penlantsd’esellles, pen- | P
eleque.
PN 917
+ Pınsatirioas, adj. f. pl. (1. de bet.) Bolhas
—, feuilles pinnatifides, itement cou-
pees en aile, en lobe, en laniäre.
Pinnun, & f. pianule : Naqus de. epjwre
percte au bout de Validade. (14. de bot.) —, pe
üte plume. (L. d’hist. nal u) * Jambonasau ı:
moule de mer en jsmbon : donne la sole de
mer ou poli de nacre.
+ PınstLipo, a, adj. (4. de bei.) piums:
(feuille —e), ailee; en folioles. Folbas —as,
feuilles pinnces, superpostes, comme las pla-
mes des olseaux.
Pino, s. m. perpendiculaire, le point le plus
baut. Lo plus forı (de la chaleur, eic.). Piguen
d’un edifice. *Cheville de bois de la ohaussure.
4A—,üä picow en peinis; hausse, elov6, lout
droit. Dobrar os sinos a — ,ä touie volöo sm»
aitre de sonner les cloches en branle. No — da
salme, au plus fort de la chaleur. No — da
dis, en plein midi. No — de noite, au miliem
de ie nuit. No — do inverno, au fort de l’hives.
Pınöre, s. m. bond, ruade.
+ Pmortsir, 0.®. faire des bonds,, saulet.
(fig. fam.) Tressaillir de contentemens,
Pınorkazs, s. f. pl. sorte de pellt poissem,
qui vit avec la nacre dans sa coquille.
Pinqug , 3. m. * pinque : espece de flüte; b#-
timent & fond plat.
Prusa. V. Pinge.
Pinta,s.f. marque, tache naturelle. Meu-
cbeiure. Maryue & lextr6ömils d’une narie, qui
indique sa couleur avant qu’on la ddoouvre om
entier. (Ag.) Marquo exiörieure qui indigue la
benne ou mauvaise qualitöd’une ehose. " Pinte:
mesure de vin, etc. Conkhecor algusm pels—,
connaltre le caractöre de quelqu’un par des
marques extericures. —s, pl. laches, druplien;
petschies. di. Jeu de cartes ‚espece de basseite.
PınracıLco. V. Pintasilgo.
Pıntäpa. V. Gallinha d’ Angola.
Pınrädo, a, p. p. de Pinter. adj. Peint,
meuchet®, "Bigerre, lachett. Nem 0 maus—,
nie plus docte, le plus habile,, le plus expert,
eto. do mais —, au plus docie, eic. Como
vivo ao —, on le dit pour marquer T’exträ&me
diffsrence: comme de l’apparence ä la realils,
comme du jour Ala nuit. Näo poder ver el-
gusm nom — ‚ne pouvoir souflrir ou voir qual-
qu’un meme en peinture , io detester. Vem-Ihe
ou estd-Ihe — , (fg.) il va A peindre, A mer-
veille.
Pintainno, a, s. dim. de Pinto. Pousein :
peiit poulei neuvellement delos.
*"Pınzauzscakre. V. Casquiike, Peiimdlre.
Pınzamönos, s.m. (fam.) harbeuilieur. So-
briquet qu’on denne aux mauvais peintres.
Pintio, s. . patit penlet. V. Pinto,
Pınrär, v. a. peindee : reprösenter, Sgurer
les objets, reproduire leur ressemblanse par
les traits, les couleurs, les formes , la sitma-
tion ; couvrir d’un enduit colore ; [ermer inds-
bien les lettres en dcrivantı; (Ag.) decrire, re»
rösenter vivement parle disceurs, los images,
tes ideen, les allögories. (id.) Imaginer, so 6.
2; ARNO a:
gurer, RE Donner, payer, conier. — 440 re 7 ru er
et les choses A son gr&, se Dgu-
rer queltes toırmeronfcomme on levcul.— a ‚Pıasmssim sch absndausnde pERE geuh-
öleo , peindre & Phufle. tie. (Ag) Mishse, peuwrerh, Gisoiie PORdEL,
” Pıxtir, 6. %. changer de catlehr, commen- Pıoundinays. ft & de bat) heile aut pült,
c@4 a märlr, gartant du raisin, des olfves, eic. yArtapkpungrin. . .
(Agy.yBormer des marques, des signes de ce IOLNERY@ V. Pioikese. .. .
Pı9100,4. 73.908 ; vermimny DR
quon est: Pinto bem as carias, os dados,
(Ag.) les cartes, les des sont favorables au
joweer. Ja Ihe pinfa a Bastardo, (Ag. burl.) on
site. Orient,
— ladro, V. cn mer. dus planias Päbert,
— das qua, pwe ou rieln dh oem, Uhllr-
l ai ow de celle qui commence äavoir | se Coma — Muprosiunee U, &b päß-
he simu de puberte. Feite ao —, fait ä pein- | PıoLnöso, A,adj. pouilleuz : qui pe u
dre. Fir ao —, venir ä propos. (Ag.) Avare, ladre, villa often, :
Prarinse, v.r. sepeindre : Eire represents; | homme de nägei,anle nt mahröke-
se ropräsenter, se figürer, 88 meiire dans l’es- 10& cu Y. Pestmpenb,
prit. #g.) Se farder. ‚| Promi. V. Peonia. ..
Pntannoxo, 8. m. (f. d’Nst. nal.) "linote: Pe N. Auda 9 Päben
eRoiseaugris-brun, qui chanle, S’apprivoise 10 „ei V. Po os...
Ine-bien. h 2 ar Pıäana, 6. zu. genthsaundge , ubalke.
Ourrastico, s.m. (f. 2hist. nat.) chardon- | Pıöana.V.Aieere - or
n@wel : Irdejoht petit olsean A plumage rouge | Pıöz, s. f. oaurreia süuultte 2 in
außser du bee, et pennes jaunes et brunes, | faucona, ale, (Ag Untseg, V. »
d’un chant tres-agreable. — verde do Narie Pira, #. £. pipe, arte db uulp (irile,
tar -- - ” anl) Flöte, ohrlamemnı a aa Pipe : örapahl
Pıntinus. V. Pinteinho. Caycase, .. ..
Piawe, 's. m. petit pouter. (1. Bußl.) "Cruzade | Piranärg,e m. Yeznquignste, .
neuve, picoe de monnaie portugaise. V, Ci Bas is, regeigtoler, deuner ‚-
sad. ‚gnoles,
PıntöR,s. m. peintre : celui fonk Ta proles=
sion cst de peindre ; qui exerce Part de la pein-
turey{g.) Ge represente virament en perlaut,
en privat. — em mintalura, minialuriste :
peitre:en miniatare. Ös—es sido cumo u pug-
las, il e 056 des peimtres comme des poütcs.
Prmsöi, #. f. peintre, fomme peintse, V.
Piaten
MPrNTORPSCO, A “. qui concerng lg Pläne
tırey tes pefntres, r. lforesco.
Pfreri,$.f. peinture: arı de peindse; eu-
vrage du peintre; tableau; (fy.} descfiplion
vive. — a fresco, peinture ä [resque. — a0lee,
peintere ‘a Yhuile. —@ lempera, peinture ‚em
detrempe. — d’esmalies, peiniura cn eHäil.r—
embufida ou de mosaico , peinlure en ARjUR-
tcrie, en mosalque. \V. Husaicu, Aguliae,
peirftare sur la falence. — a aguade „gouanbe, |
ayuarellc, peinture avec des couleurs delayees h ,
dans Fcau. — de pernejado, peiulure ph a) quei Coup de pic ou de piesesr eich dir
la pnıne. Ser uma —, (fig.) eise une bene, | ler o$ de osapen: Vond! = dichre pa
surtöüt parlant d’une feumg. Ser upaingaage | Uhunueum ade Ost pie. Ihr «
de —$, €ir& amateur de tableaux. Ser intelli | — te sum ie A ee a älgutn,
genle em —s, se comnallre en lahleaux. re une Better a I, pö8-
Pıxzeı. V. Pincel, . „ cautes Piriie
Po. md m. rien panel, as | Plant Altar mus; ee rn
pelits Buuleis, Als. On sasert deca met pour ulleries« \
les appelıg, | Pa r se kweutiieiiteg-
Pio,a, adj. mieux, d6wen. Deonz,. hama, | 2, iauam, Butter en Ep te,
COMIyHERATN « Aesiene. V. Monte, Yöras a5, .
Nahe Piowäune, s. aus üreßer* SEREMR art ha
@uYrg; Ja nieie, benmes avres. vique. Celui qui fait desyagema = --
"Pia V. Poonsgem. Pronmeis, Sa 4 Teprpd\@a.pähficnt. GERA
Pıoskma , a fı- (1. de chasse‘, piste ‚trace des nagıbre de piques.
animema, wie, (Ag.) Rontine. Fr--1re pela =, Vnushe ‚auiitnpisuhruu ee VER
Bulvruda,pisiede qneimmnn. Iyulı u = duale | uabfe:
Pıri ,s m. aisann.d’ köriause, hs rk a
Cause de son cri.
Peria, A.putit siligegun Tan - a
aveg Is pailla deren Pier. ph
jquet d’enfant a sifllet.
Pırsiu .a 0n, 'ugnnaierwibi
Pırı.än et ) piauler. On le dit ;
Peıns oftediunnk
Pırzia,n.n. )
YAERSR
T. Pırimaauno, 1.00. & de DIE
paroelte, Date vinage # Mr
Piro, & m. Tasmmie de
Pırörs, a sa_pipet : poiiip pipe, ger
naau , baril.
T Bivas..a [. (R d’iet. nal) "uhr A
e! hei oiseau d’Amerique.
Pigus, &.& Pigais: arıne, Replungun
ei tr&s-pointu, emmanche. (Mh
hrouillenie: algesur contre. .Ns peirse
Brocard , mot piquamte Pis« vo» de
MS
ve neeir. 9. Prguino.
EPIRIBERE. 3. m. (4. AMit, pl) if
. . . . U) -
ui N. Peiet voudor do Brasil” > j ”
R . f. pi t
serrent tes Ieatend Rn Tndes oocjenjaten, r
Pıränipe, eig. V, Pyramide, eio.
“ YPıniuzna, s.m. pölsson du Bröstl qui res-
sembig au loup marin.
+ Pınincı, $. ou ad). 3 gem. (burl.) misera-
bie, mesquin. s. f. ($. du Berds.) Terre rouge
pour !a poterte et les briques.
PınänGg, 4. m. (1. P Arie) char, charrelte &
treis roues.
+ Pıriö, s.m. (1. du Birds.) päte de casaare
2t de bouillan, faitg dans Feay hoqillaute pw
dans Te bouillon.
Pınira,s.m. pirate, corsaire, ecumeur de
mer.
Pıziıricen ou
Prayranis,e. f-
Pırarein, v. w. piraler; fgire le metier de
Fk ?v,0,(p. wuS voler commg up pirale,
KiTıco,&, adj. qui concerne le piralg, 18
perie,
Austa.V. Pyrausto.
Pıntne. V. Pyrene.
Pırentos. V. Pyrineos.
piraterie : metier, action
e pirale.
Pinxs, s. m. ° soucoupe: palite assielp,
dessoys de tagsp.
Pıafrıno. V. Pyrefäro.
Pınicae, 4, 9, (b d’Asig) potis bätiment do
erre.
er Pıntko, s. m. Ct. do Bot.) piefjao s palmlar
de l’Or&noque
Prar.äuerO. . Pyrilampe.
Pısınöra, 8. f. piroyelie , jouet d’onlants.
Prafirey. j les.
m. (1. de bot.) plritu: palmjer
+ Pıritü, 8.
de POrenoque.
PırLittino, s. m. (f, de bgl.) " aub£pine, Y.
Espinkliro alvar. .
* PınLiro, s. m. frait de ’aabepine.
aonoLista , etc. V. Pyrobolista, etc.
Pırofra, s. r. pirouetts : tour qu’on fait apr
un pied.
+ Pındcr, 9. f. Ct. de Bre&s.) plrogue: Wyopc
@arbre creuse pour servir de halgau,
Pirora. V. Pilula.
Plroro. 7. Paroitim. u
Pıroumancia.
InöPo, etc... } V. Pyes.n, 08.
ınriel ‚s. f. taquinerie, niche. Faser ymaq
— ou—saalguem, I. pop.\laquiner quelyu’un.
Pinrıgno, etc, T, Pyrrhteg, etc.
Pıarnoxisuo, etc. V. Pyrrhonismo,ete.
"Pirriga ,a. /. perche, long bäten, gaule.
+Pistıco, 8. m. le bäton lo plus court d’uu
+ Pimera. V. Piiule.
Pisa, s. f. l’action de fouler
Ig vendange,
an): it. 3vette ® vous.
m BruUTas em
pIs gig’
t—, fouler la ye . (fig. pop.) Battre yuel-
guun,laj enge . Pre "
+ Pisa, a. f. (1. de geog.) Pise : ville de Tag-
®.
siva,s. f. race, vestige, empreinte
pas. (Äg.) Trdees ‚exemple. eguirgı — Pr
sem, u .) marcher sur les traceg, spg jas ps
e quelql’un , sulvre son exemplig,
Pısapfıra, (pop.) V. Pisadüra.
Biene A,Pı PB. ni ioal .
ISADÖR, A, 5. CE u hroie
fouleur. i Y. Pisdo. 3 rum ’
Pısandaa, gs, f. Yactlon et l’effes de marcher
sur quelgue chose , de fouler aux pieda. Goup
de pied qu’on donne & quelqu’un en ia faulant,
Con$usion , meyrtfissure,
+ PısarLönss, 3. m. (4, berl.) damerei, 69r
guet, muguel.
+ Pısa-mansinno, adj. ou s. m. (fg. fam,)
sournois, dissimule.
+Pısine, a,adj. ots. de Pise,
Puid, s. m. mouliu & foulon : maching pi
sert & fouler les draps. * Foulerig : lieu af Fon
foule les draps,
Pısin, v.a. fauler : mercher dessus, Piler,
broyer. Meurtrir, froisser. (Ag.) Fouler aus
pieds, mepriser, dödaigner. — as was, fouler
la vendange, ecraser }o raisin alin d’en exge-
mer Je jus. — bem, (neulralemens) marches
avec gräce, avoir bonne loyFnufs. vr idR,
(id) marcher A pelils pas
ISCÄR, ©, 4. — 08 olhes, clignae les yauzı
faire signe de l’eil.
Piscas 0) !. fi pi. pelits grains,
+ Pıscatöpıs, &. [. (Padi.) sarte d’tglagua
dont les jnter]oeyieurs san des pAcheure,
1a aCATORIO, 4, adj. de p&cheus, Qui Gppcerne
echg,
isces, s. m. a. (t. d’asis., jes Roissana:
douzieme signe du zadiague.
Pıscina,s. f, piscing : peüt Elung ow yiyier;
reservoir d’eau.
Piscq, s. m. (1. d’hist. 30t.) heuyreui] : Appäge
d’oiseau du genre du gros-bec. — sällreiro,
boursenil commun, = de peilo ruivo, le Fouge-
gorge. — da Sueeia, la gorge-bleug;
Piscn, 4, #dj. qui cligne jes yeug. Olhos us,
yeux de celui qui cligne.
+ Piscoua,s.[, it. J’agr.) nebre de chay-
rues qui lahpurcnt en meine Lemips.
Pıscös0, A, adj. (poel. poissounrur.
Piseo, s. m. sorle (Ir Fros pois /legugie),
+ Piso,s.m. inus. *ı.ge: space entre deux
planchers. (Ag.) Scrte de don gratuit ou ol-,
frande que font les religicuses & leur coımmu-
naute en entramt dans un couventi,
Pısoär, etc. V. Apisoar.
Pısakıaa, s. w. foulan : veiui yut fonts les
draps ; qui dirige, qui conduit un moulle &
foulon.
Pissı , s. f. membre viril (d’enfans).
PissAPBAL.TO Du pisaphalte ou pisse-
PıssaspnaLto,».m. | phalle : melange de.
bitume et de polx.
0] PIT
Praeiuza , dim. de Pissa.
* Pıssöra. V. Peixöta ou Pescada.
Pisra, s. f. piste, trace des animauz. V. Pio-
+ Pıstackına, s. f. (t. de bot.) * pıstachier :
arbre d’Asie, du genre des terebinthes, qui
porte les pistaches.
Pısricıa, s. f. V. Pistackira. it. Pistache :
amande du pistachier.
+ Pıstäna, 8. f. espece d’&pine-vinettie.
+ PıstiLLicko, A, adj. (£. de bot.) du pistil.
PısriLLo, s. m. (4. de bot.) pistll : partie fe-
melle de la fleur, qui renlerme la graine, com
poste de l’ovaire, du style et du stigmate.
+ PıstıLösas, adj. f. pl. (1. de bot.) Flores
—£8, fleurs qui ont un pistil.
Pıstöra, s. f. "pistolet: petite arme & feu.
Pistole: monnale &trangere de differentes va-
leurs,. — de dous canos, pisiolet & double ca-
non.
PısToLäco , 3. m. .
PıstoLiva, s.f. | coup de pistolet.
PısroLtta, s. f. dim. de Pistola. (fig.) V.
.—ı, pl. sorte de jeu de cartes.
PıistoLtre, s. m. pistolet de poche.
+ PısroLöcaıa, s. f. (1. de bot.) pistache de
Narbonne. V. Artstolochia menor.
Pısö, s. m. sorte de bois de Y’Inde.
Pira, s. f. (8. de bot.) pite, alo&s-pite: plante
de !’Amerique dont on tlire du il; le il qu’on
tire de cette plante.
Prräpa, s. f. pincde: ce qu’on prend avec
deux ou trois is. Prise de tabac.
Prraiuno. V. Pintainko.
Pıränca, s. f. pitance : quantitö de nourriture
ow d’argent qu’on distribue chaque jour. Pen-
sion. Plat extraordinaire, dans les communau-
Ws, los jours de fete.
f Pıranctıno, s. m. dans les communautes,
o’dsit un religieax charge de recevoir les re-
venus du oonvent et.de faire la distribution des
pilances, dconome ou majordome d’un cou-
vent.
Prriuca,, s. f. fruit da Bresil de la grandeur
d’une cerise.
Pırancußıra, s. f. "arbre qui porte les Pi-
langas. V. ce mot.
Pıria, v. a. (4. du Bresil). V. Cachimbar.
Prrisca. V. Pistdcia.
Pırma, s. f. (8. de bot.) pite, alods-pite:
plante de l’Amerigae dont on tire du fil,
Pıraacörıco. V. Pytkagorico.
Pırni6, etc. V. Pythdo, etc.
+ Pırnrösa, a. f. (1. de bot.) plante euphor-
biscee ( euphorbia pilhyusa).
Prrnonissa,, oic. V. Pyihonissa.
Pırıi. V. Potid.
Piro,s.m. (1.du Bresil). V.Cachimbo. (ani.)
V. Pinto.
Pıröusa „a. f. (l.du Bresil) feuit de la Pi-
tombeira.V.
Prroustiaa, s. f, arbre da Bresil ä fruil on
grappes.
Ehä
Pıröas , s. f. sorie de rageüs de tzanchande
] giet frites dans le lard, etc.
Pıron£sco, A, adj. pilieresque : se dit de
tout ce qui peint vivement & Fesprit (style,
geste, elc.).
Pıröras, s. /. "sabot & joner, loupie. (IL.
@hist. nat.) V. Tröchio.
Pıronazia,v.a. (8. burl.) faire tourner ke
sabot ow la toupie.
Pıruita, s. f. ($. de meöd.) pituite : Begrat:
humeur aqueuse,, Iympbatlique et visqueuse.
Pırbiränıo, a, adj. (l. d’anas.) pilmitaie:
qui a rapport & Ja pituite.
Pırutröso, a, adj. (1. de mdd.) pitmitenx : que
abonde en pituite; qui y ost sujot-
Pıucioa. V. Piogada.
Pıöcas, s. f. ou m. (I. pop.) demi-bas, chasr-
settes. (ant.) V. Sopstos. Um —, s.m. (M.
dur!.) homme grossier, rusire.
* Pıöcos, s. m. pl. maurs de petits cadlkeı
sans mortier.
Pıvenipa, s. f. poivrade : sauce avec du peir-
vre, du sel, du vinalgre, etc.
Pıv£rz, s. m. sorie do pastille odorifäranis I
hraler.
+ Pıvsttıno, s. m. vase ow oasselette A brt-
ler io piodte. V. ce mot.
Pıving,, etc. V. Pevide, etc.
Pıvirtıno. V. Piveleiro, ots.
Pixipe. V. Pyzide.
Pıxisssoue. V. Pichesboqus et Pinchebsgu:.
Pıza-MANsindO. .
Pızin, ete. Pızo. } V. Pis..., ete.
Prica, s. f. plaque: serte de ohendeke;
chandelier & bras.
f PLacasıLinpäne, 5. f. dispesition „ daciliss ı
so calmer, & s’apaiser.
PLacanıLissıno, A, adj. sup. de Plecaeel.
Pracann,, mot francais. V. Editel, Cart.
PLacäveL, adj. 2 gen. [acilo & apaisee, qu'er
peut adoucir. Propre & apaiser.
® Practnca. V. .
+ Pracknaa, s. f. (t. do geog.) Placsmea:
ville d’Espagne. Plaisance : dach6 «& ville d1-
talie; i£. ville et tie de Torre-Neuve.
Prackuta, s. f. (t. danat.)" placenta : mans
mollasse, partie de l’enveloppe de fontms.
+ Pracentino, a, adj. et s. de Placencia, m
; de Plaisance, en Italie.
en ÄCmANENTE, ade. paisiblement, tranqud-
ent.
PLaciisse,, A, adj. sup. de
’ PLäcıoo, A, adj. paisible, oalmıe, tramguälle,
eux.
"Pracımtnro. V. Prasimente.
PLicrro, s. m. V. Bensplacite. üt. Engeg-
ment, pacie, promesse. Serte de
ue font les eröques dans leur sacıe de rim
chastement. —s, pl. a , senlanoes.
+ Pıachna, s. f. (1. dhist. nat.) pleceme:
moliusque acöphale. — chamads anlia pedass,
la selle polonaise. — transparente, la vär
chinoise.
| Präca,s. f. plage, contrde, climat
PLA
Bo Ag
PıastÄT0 ou plagiat : action, crime de
Pricıo, a.» ) plagisire; passage pille;
vol Ifttöraire.
Prima, s. f. " rebet, plane : outil pour pla-
ner, splanir.
Pramantnte. V. Plensmenis
*Pramez. V. Planure, Planieie.
Puimo. V. Piano.
Pıins, s. f. (ant.) page d'un livre, d’an ma-
muscrit. V. Pagine. (fig.) * Rang; Imporiance.
Primeira —, (1. mil. ane.) &tat-major d’un re-
giment. Primeira — do exercito, dtat-major de
Parmöe. — de cörle , oficiers superieurs qui ne
sont attaches & aucun corps de Iroapes, et
i sont employes au palais du rei. Segre6do
L primeira —, secret d’une grande imper-
tamoe. Peoccados de primeira —, poches d’une
nie
wauinıe, adv. clairement, sans ambi-
guits , nettement.
+ Pranin, 5. f. (1. d’hist. nat.) planatib :
ver aqualique; vor intestin.
Prancna. V. Prenche,.
Pıancasta. V. Prancheia.
Prantra, s. m. "plandie : astre errant qui
mätchit la lumidre du soleil et tourne autonr
de ini. s. f. Espöce de chasuble plus courte
par-devant que par-derridre.
PLaustinıo, A, adj. planetaire : qui appar-
dent aux plandies, qui les concerne (sysiöme).
Prantzı ou plaine : plate camhpagne;
Pranicıs, 8. f. plaines, pays uni. Ser-
face unie.
Pıanmernia, s. f. planimetrie : science, art
de mesurer los surfaces planes.
PLanisru£aio,, 5. m. planisphöre : plan de la
meiti6 d’un astire; carte d’un ow de deux h4-
höres.
PLanissino,, A, adj.
sup. de
Pıino, a, adj. plein, plane, plat, uni, sans | pur
imtgalite. (1. de bot.) Plat, aplati. De —, avoo
franchise ‚sans detour ; entiörement, sans rien
laisser. (f. de pret.) Sans formalite,
Pıino, s. m. plan d’une ville, etc. ; surface
plans, superlicio plate; projet; disposilions,
erdre, rögles, methode adoptse pour un ou-
vrage, une alfaire, etc.
+ Pıanönssg, s. m. (1. d’hist. nat.) planorbe :
testaod univalre, mollusque conchifere.
+ Pranqutzas, s. [. pl. (t. dartil.) " boulets
samds ou ä deux tötes, boulets barrös.
Prints, s. f. plante : en general, o0rps or-
ganique qui a des racines, une 6oorce, des
, des übres, des tayaux et un suo ou
serve, 90. ; em particulier, vögötal qui ne pousse
pas de bois. (Ag.) Race, qualite de gens, de
monde. ° Plan, methode adopide pour un ou-
vrage, eic. (enf.) Position deLout d’une per-
sonne (1. de peoint.). — do ps, plante du pied.
( Ag.) Le pied, son emprelnte. — d’um edifcio,
plan d'un edifice.
Pranracäd, s. f. plantation : aption de plan-
PLE mi
ver ; plant ; ötabliesement Salt gear ie calare,
so dit surtout des oolonies. V.
Pıa Inte nr Fin R
NTABOR , A. 6. planteur : oohai glemts
des arbres, qui les a planıds. ei
Prantin, ©. @. planter : Scher, enfonser,
metire en Wette un stbee, els., pour quil
an) rear Kebent, =
terre; (fig.) abi I, ia religion, ets-).
Bdißer, constzuire. vi)
LANTÄR-S8, ©. r. 58 planier sur ses piede
se tenir droit. ? ’
PLantzir, v. @. trater le plen d’un dailiee,
+ Pıantio, s. m. l’aotion ow la saiseh de
pienter. Plant : lieu ou Yon plante ow l’om oltve
plusieurs piods d’arbres.
T PLänroLa, s. f. (t. de bet.) plantete : ple-
mule , germe de lasemenoe qui se developpe. °
PLanöna, s. f. plaine : plate campagme. ° Pie-
teau : cime unie d’une Bıonläagne.
Puisrica , s. f. plastique : art de maedeler en
plätre, en lerre, eic. .
PListico, A, adj. (1. de pihil.) plastigas : qui
a la puissance de former. !
Präraröaun, 8. f. (i. de fort.) plate-ferme :
ouvrage de terre ou de planches od Fon met
du canon en batterie.
Prärano, s. m. (6. de bei.) plataue. plane ow
plaine : grand arbre & feeilles decoupdes em
eing. — basterde, #rable de mentagne ou sy-
comore.
+ Pranticainos, 8. m. pl. (f. disk. nat.)
plantigrades : mammiferes vernassiors, ours,
ratons , coalis, blaireaux, gieutens , kinkajons.
PLarkıa , s. f. * parterre Je Iihöätre.
Pıatina, s. f. platine ow plalin (9. m.) : er
bien, metal rt
LATÖNICO, A, adj. pla : &
port au systöme de Fatoa det rat
l’ecole, & la philosophie de Platen, platonicten.
Amor — , amour plalenique,, sans desir; amour
+ Pıarönıco, s. m. platonichen : qui ut in
philesophie de Platon.
+ PLatonisuo, s. m. platomnlsme : syarämse
pbilosophique de Piaton.
+ Pıarr’ceno, 8. m. (tl. disk. wat.) platy-
eöre : coleoptere lamellicorme.
PLausisiLiving,, s. f. plaasibilitd : qualitd de
co qui ost plausible;; apparence spöcheuse de
preuve.
PLausiveL, adj. 2 gen. pleusible : qui a une
apparence spöcieuse ; agrdable, qu’ion peut
agreer, qui peut dire regu avec plaisir.
PLADSIVELNENTE, adv. plausibloment : d’une
maniere plausible.
PLiustao, s. m. (podl.) char, ohariot, char-
rette.
PLazenttıno. V. Praxenteiro.
*PLizo,s. m. contrat au gre des parties. Bil-
let, promesse par derit de payer.
Pıäse, s. f. populace, menu peupfe,, pläbe.
+Pıastıas, s. [. pl. (t.d’hist. nat.)* plebeiens :
les plus petits papillons de jour.
od
Prentio, v Piste,
+ Prantisug,s.m. "qualita de oe si 0a
pidledlan ı air, 1. menidmne, he lopguus de a Papur
lsoe, du petit peuble. Plabüanismme : Hlak, in»
Listta des piöhhlens,
süo, 4, Ad. plöhdien : de lardre du pay:
Keasisciup, 6. me, wiählschhas decres demand
du peuple romain convoyus, Asseinbld Br
u
Pie!
pfd!
Preruönicg, a, od. (l. de aa den
Jhandanı en Hrn teplet.
Bpung,& fu (tl. dunah) Deure op plöne,
wembrane qui recouvre aaa ibo-
rar lag visehag ayi y sont pen
PLeunirico, A, t. de mdd.) pi ei
stlayud de la piguse re
Pı.zuniz, 8. 9, Te
Aammation de la plövre.
PuEHRaR fe ed.)
WEHR naunonia de fi 8 I (b ’ Py
re s. m. plectrum : bälon painiu ei | Fopne
(oucher desinsiruments & oordes.
ia per noösie, — de sine, batlanı de clache,
Ar jan 9 fi al (N: us.) prißres, suppli-
1
Pakıansa, 6 fh (I. d’aatr.) pleiades ı sin,
at Jaslis sank ölailes au sign du Iaursau.
Prutraino, A, p. p. de Rleilear.
+ Pıxirzauga, 4,» plaideur. Ghicaneur.
‚Peussäurs, ol. 3 gem» liligaut, plaidant.
».a.de
Bıswäis, ©. 0. 0) m. plaider, cantester en
Jaslice. (Ag.) Disputog, souissier, (anf.) V-
Pıtjue, & MM, BIRBEs ı contesialion en jus-
tiee. V. Demanda. (ani.) V. Preita. Do diln aa
Iaila sei grande «= , ( prev.) auire chaso est de
dire 04 ausse chasa ost de Faire,
Bıanunauın. ade. pleigemient, enlidrement,
PLEninıamExte, ode. d jour ei A plein, plei-
Diss AnIR, Arad. DIeIM, Anlier, abso]u. Ia-
u 6, Iudulgensa pleniere, euliöre al
&
FPLEmBÄS, V, Plenitude,
PıeuıLunia , adj. 2 gen. de la pleine June.
BJILAUHO . 5: Mr Blaine lunc.
POrENGs, 5. [ı plein Peuyoit; letısea
de sshanca ui la 08
"PLBSIMOTRRCIÄRIO.G- m, re . plenipoten-
tiaire : ambassadeur ; muni de p eins pouvojgs
Inlalre).
PLanissino, a, adj. sup. dp Pleng, Compiet,
Gags In plun arande extepsign.
LENITOOB,, 8. f. plegisude, compiömen : ve s
qui sand piein, anier, ahsolu ; (flg,; se dit de
la ge du pouxgair, eie. last empos , plö-
Binde da Im ID leus accomplisseiment,
Puası « Plemisuda,
Pıano, A, adj. plein, entier, absolu, Com-
Be pli. Zum rapmsistorio, narlamenio,
eine assezmblee, en plein parleıneni. —q
finde, plaine Jiberi£.
PuSonisu0, 5. m, plöonasıpe : addition de
mols les au sens, mais non A l’clegancg
np krass: redendancg vicjeuse de poroles, |
d’idees ;mots accumales qui ont Je meme seus,
Pıeonästico, a, sy, aü il y a pleonasıne.
Pısasisza, 5. m, (kde ig.) pleonasle:
schor! ou gen brug,
I
Won. V
LETMOBA, ‚lt de add, piöihpre : ghah-
replätion Du maus gt de zäny: sh
0)
bat) Meiadie den
poumans. V, Peripmeumonie,
Ban, u m. (h Foren pezus., Bots de
nesls aniselaods,
Purvapaa, V, Pleiades,
Duica, 5. f. “ pli om pliant. ° Accen) eireok-
lleye. ee dans l’ancienne ug %
— polonica, pliuue, plica:; maladis des
vaux.
Pricing, s, adj. pass ar Ja pollzius 8 )
con Fa v. 6. accenluer aveo un A
ers m. (1. da gäag.) Piymasli ; ville
| et port d’Angleterre.
PLiurno, s. m. ((.darch,) pliathe, AMTR:
sanle ‚ Haillais,
Pursranaenis V. Pislolechit,
’ Praiisu. V‚Proe
PLoumsina,s.f. balle de plomh pous Jouß,
PIANBEN, V, Plumbeo
* PLoNa0. V, Chumnbo.
” PLAYER, ‚gu Praneer. fuf, inp: 8
verba Praser.
Pıusa, s. f. plume pour lfornemetl. da
es dyval d'une vlume. — de chapie, y
— equina, (fig.) algseiie He erin, c ade
CRBABE.
PRUMACEIS0, s. m, plumassier ; ceip] Au
et vend des ouvrages de pluıines, leg
pour l’ornement.
Pussächa, 6, 18. plumet pgaf grner Nach
vaux, eic.
Puuuipı, 3 [.(b. de veBer.) plumes qug it
faucons ont mangers, qu' fls ont enepre Agns ie
Jabei. Kure de plumes qu’on leur donne,
Pır waceEn, 8, f. "plumage ; toutes fee plene
de loisran; Yeurs couleurs, ° Duret ne
plume des otscaur. *Plumct de chapeau.*Panz-
che de rasque. ‚fi Eapecch sorte, race. 4 bes
— faz o passaru formaso, 1% beile plutme (sit
Is be) aiscau,
Pırwmiö, s. m. pavache, plhmet.
. Pjuwizo, $, m. oreiller de plgme.
Prüngen, A, al. de plomb ‚os quien 8 Mi
qualiley: conleur de plomh.
} Pısußuig-puanca, $. [- Ct. dedotN “Iran-
chipauler blayc ; plante apncynee.
Pruxo. Y. Pru:no,
Pe adf. pJumeuz : eouvert, geral
puucs
Pısupra, 8. Jh le. de bot.) plaanmute ı prtite
e lume, oigrette d e la graine
eh Ba um {hh ds PT
ag“
1 POR
lar os.
esfl) * eri de Jia et
wdissement.
Pociıca ,s. f.* ttable k onehons, teilt A pores.
.) ° Lieu sale, malpropre.
be T. Cima (or). nd
P6co , s. m. puits: trou preiond , ereuse peur
avolr de Feaut onvorture des ınloes. Endroli
ob tes rivitres ou les poris de mer ent le plus
de profendeur. () Tout co qui est profond
on son gehre : pwils de science, etc. — do na-
vie, hauteur d’un vaisseau du fond de cale au
yont. -— da werte, (Ag.) Y'enler.
Pusa, a. f. taille de la vigne, des arbres.
Paxra—a m, (fig. fam.) dire du mal
de queige’un. | 0— a alguma odra litle-
reria, (Ag.) reirancher dans un onvrage ce qul
isoorreei.
as
Posastına, s. et adj. f. Foice —, sorpetis :
nstgument pour tallier la vigne, eie.
Povanon, s. m. celai qui taille la vigne. —
d’ervores , tallteur d’arbres.
Posandaa. V. Pide.
Posakcaa ‚s. f. podagre, goutie aux pieds.
Pawicnco, A, adj. et 5. quia ia goutto aux
en f. la mödeeine.
Popis, s. m. * : instrament pour 1all-
terie ; serpe. (Ag.) Vieax homnıs, homme
Posi, e. e. teifler ia vignie; dmonder, dia-
güer, öbourgoonner lesarbres. Recöper : tailler
pied.
u ee a, adj. propre Ataifiee la vi-
gu, vw.
Posemne, 5. m. chien pour la chasse aux la-
pi. -- d’agus, bpagneul d’san.
Pop&a, s. m. pouvoir, puissance; amteritd;
oetdit; Taseite; droit, fegce de faire, d’agir,
sel ou pour un auire ; possession actuelle.
d’an souverain : tzoupes qu’il peut met-
we sarpied. *Puissance, Ktat, potentst. 4—
de, & force de. De — a —. On le dit d’ane dis-
pete, d’une bataillo od les deux partis ont uns
46 us lours moyens, d&ployd toutes lenrs for-
oss. De — absolule, haut la main, avec auto-
ritb. De nosso pleno —, de netre pleine puis-
sonen. Em — d’alguem, au pouvoir, & la dis-
erttton de queigqu’un, Ceir em -—dos inimigos,
tember entre los mains des ennemis. Ter em
0“, svoir par devers sei, aveir on Sa pos-
oessien. Iso ndo osid em mou —, cala n’est
pas on men pouveir, cola ne döpend pas de
mei. A qus ou possa, tant que jo le pourrai.
Plense 08 ‚ pleins peureirs ; carte blanche.
Post, v. 8. pouveir : arolr l’antorite, la fa-
ouit6, io erödit, je meyen, la force, lo temps
de faire, otc.; &ire en dtat ow dans la possibi-
Is de. Nie — deiner de, no pourolr so dis-
penser de. Näo -- mais, w’avolr pas le temps,
io moyen de Anis une ohese commenose; n’em
powrelt plus. Nös — vor alguem, ne pouvoir
sm ‚tedötester. Ad ndo— mai,
Pont , u. ». pouveir : tus 9m o*dans
la possihilits de; se pouvelr, ba rd striver,
“ro possible. — com, #tre capable de, avoir
la force de. Nöo — com a carga, com oe piee,
ne pouvoir pas ie fardesu. Pöde ser,
peut-ötre; c'est possible. Isso pöde ser, ou näs
pöde ser, oela se peut ou ne se peut pas. O one
Iums pöds mais qus a Lei, la coutun:e Fem-
por .ur la lol.
DER -SE, 9. Fr. Se pouvoir, dire posaibls;
ire permis. Fsso pöde-se fazer, cela se peut,
ül ost possible de (aire cela. Haje 08
wer carsıe, aujourd’bui on peut manger de ha
viande. Pöde-se smar innoceniemenis, om
peut aimer Innocemment. Pdde-se water om
defesa nalurel, il est permis de tuer (l’agres-
seur) pour sa propre defense.
Popsnio, s. m. peuveir, puissante, auteriis,
Biens ‚ riohesses,
PODEnösamanTE, ade. puissaimment : avec
force, puissance; en maltre.
Poprnosissınauture, edv. sup. avec une
irös-grande puissance ou force.
Popzrosissımo, a ‚adj. trds-puissant. sup.de
Ponsn6so, a, adj. puissant : qui a da pou-
volr; riche; grand, excellent, maguiigeo ea
son genre; sotif, efßcace, parlant d’un re-
meöde, sic. (en4.) Qui a en son poaveir. O
H ‚leTout-Peissent, qui peut tout,
eu.
“Poogsrien, 3. f. " preimier megistrat, elvil
ot milltaire, d’ane province, podesiat.
Pak , s. m. l’anus, lc fondement.
Mmpu, perverii. ‚ .
peine "hp. )w’ötre ben & rien, n’sveir
aucun mmerite. Ndo sor peize —, (id.) aveir de
mörite, des qualitös physiques ou morales. —
demer, (id.) trös-amouresz. — de rice, (id.)
ernsmenmen! riche.
RE, 8. @. : hose, .
(u) "Tan dans da 0 eig
(Ap.) ion döfane, fon faibies, Is Liblensns, I
vioes osch6s w’uR.
Fonnfzı ‚s. GV. Deariäe, Corruppie.
aschıno, 8. m. (1. chese puureie.
ad. T. Podre Fran. por)
Popaino, a, alj. Ole — a. V. Ofka.
Popsiäö, s. f. peustiture : 6fas de co gui est
pourri; oorruplien.
+ Posöna, s. f. (4. Eis. nal.) podure : in-
socte aplöre.
Ponstına, adj. f. Gellinks —,
pond, qui commense & pondre. Bea —
pond souvent, bonne uns zum
* + Pogoon, a. m. ceini qui met. — da füge,
qui met lo fos. TV. Incondiario.
Porosonus, s.m. pl. coten, Hi, eie., isn
mot dans Y’oncrier ou qu’on iuenpe dass des
oouleurs.
Pokiaa, s. [. poussiöee , pondıe. Poadre &
meitre sur l'deriture;
Opgrdge
poudrieg, ) * Breit:
Jmvonler —, rar ia puns-
POS
sro, du Druit. Vol Sedo wluns-, (fam.)
ie diable est aux vaches.
„arotmin, s.f. "auge, tourbilien de pous-
ne, s. m. (1. de def.) poullot, pouitet
oommun : plante
Poßsa, s. m. poßlme : GuTrago
surteut poamne spigque ; röcit d'une sollen en
po6
OßNTE, 8. =. peaant, osuchant, ocohlemt.
Vent du oowchant. Celui qui pose une thöse.
„notre, a, alj. vouvert de peussitre; pou-
roux
“Potu,v.0. 7. Pr. - contra alguem, de-
ur he ’an en Jestloe.
, yocele : art de faire des ewvra-
ges en von: qualitö des bens vers; ‚art de false
des vor. *Oüvrage en vers, poöme, Po6sie.
qui Salt des vers, adennd
Poste, 5. m. yoßte:
Als podsie; qui a le ton, Pimagination podti-
gu. que. —d’egua doce, mauvals peoöte, rımail-
Pogtico, 8. m. (irom.) grasıh podin,
Posrin,o. ». faire le poßte ‚oomupeser des
yotsies,
Podrica, 8. f.pottigus : weist de Yart de la
potsie. V. Poesie. "ale.
Posrıch, 1,0. pottiges : qui omnserne la
potsie, quilui appartient, qui lal est prepee.
Pouriaz, s. f. Tomme peoßte.
Pogtızän ,v. m. faire des vers, vorußee. V.
Potter.
"Ponbsa uw
na ®
‚es t. "len qu’on er erh tes fours
banaı ordinsteumment e’4telt um pain sur
dix. Pain grand et pist. Selle , drasamiien
copiease. (Jierl.) Bouse. Bornnde —, fans ba-
Borkt 3. o. Dane de plerre & oßt6 des pories
des meisene, menlelr.
Pörka, vo. 0. (1. de mer.) debarguse. V. Po-
Paso, 2,9. » msn.
Romounes. V. Poodsures.
“Ponmievo, s. m. "actiou de passe; plnce-
FE Sugar "ea .Bies-
Potr,v.a.user. T.Polr.
Pius, ade. dono, pourtant, alnsi. Pu
Pourquol, comment. Oui, oertes, certs ne:
ment. — bem, soit, J’y consens. a0? pour-
quei nen? pourquoi p&s? — que, puisque; car.
— is vol ? eh bien! quoi?qu’est-ce’qu’y a-til?
— sim, vwraiıment oui, surtout ironiquement.
Ore—, eh bien.
Ps, inter). ch bien!
Pomia. V. Poser.
un teeräs, a m. (4. diänle) arben da Yinte
Püsa, & rt. de mer.) peinte inlistenne | Jeune
dene volle,
«
’
POL us
» 2
\os Posirrt, af. re
—. (om), v. a. (t. de mar.) Omsendse en
PoLa, 0. m. met agpeier ion ponien. 6.
‚. po
a (contzactien de Bereile ou For
Porica, u. yeluiee
gu: Bari) de halmens hroir et Ananas Ale
‚PoLico, a, a4. eis. Polsnuis, t
"Poricaa. 7. Polass, Ben.
PorLima, s. f. gutire: serie de chauumuip
qui eouvre ia Jeomıhe ut ie enude-pled. (aiBl.)
Marque distiactive que ios maquerellesdenleut
ehtigsen de porser & In 6ite. '
‚adj. 2 gen. pelalte ı fr Tu
poles, gei isur apperien (oerele, ”
+ PoLırdcm, ©. f. (4. hist. une)" polatn-
che, dcnreuil volamt.
Pomaic. V
Poraaa, 8, r. youliche ou
jeune cavale, juuquw’ä tsels ame. et,
ee een Er V. Alpenäran. :
weinde—,ai-
irapades, dennes Testzapade.
Poıza,s. m.(6. #Asie) penis ı dei
casio des Malabares.
PoLziun, s. =. (1. de mar.) Yensembiodes
poulies d’un valsseam.
„„ Poutens, ».m. pouliser : qui Iboneund
des poulies.
Pozci»a, etc. V. Pollegude , «ts.
Poutene ,e. m. jusiseiz, ju6 : Mon oh Sesgnn-
les, ee. , juchent. Poulailler : endsels be
cbent les poules.
Possulaone,, 9. m. (1. dat.) ?
comnmandamt, obel d'une aummmte, Amt
guerre.
+ Poustuca, e. [. ihöelogie dogmstiguo,gn-
PoL£uco, a, 0. polösmigus:: qui apple
& la dispute,, soit en zmatitwe de religlun, oh
en instiäre de Iitttreture.
" PoLzmno,o. m. (t. ds bat.) peitusäuuiin ,
valtriane grosgue : plante taujours vorts. "
+ PoL£uoschrio, 3. m. polönescope
nette a longue vue, ä deux Nato Oo
reßexions pour la guerre; iunelte,
recoarbe.
Portuta ,s. f. polenta : boufllie de Tarine Je
mals avoc du froınage parmesan.
Poxcia. V. Pollsger.
Poscutunas. V. Empolgedeires.
* Pesua, s. f. liche : masgus de
POL
Boumästno, s. m. gros poulet. Cocbet, petit
ae cörrten uf. Tünatı sc hans 1070
Poıninma ,s. f. Sorte de Jen,de nenf garias.
een
Eu dr Reisen »
Poulicıa , s. f. police: : ordre etahll dans ung
Wh Eiand’un penpie
[05
qnbke aloileniun. es «Bela, Paoprais
habils, parure, elc.; objels de iusm. 6
Jentiiteesie ums.
LıctÄnO, A, P- p- da Anliuian. as. Polise ;
ı Wr ihn Ned ei, Ti VRR
oLICHÄR, ©. @. PodißeR ı weine, dabiie un
Petstnlsren Neo Aalgeriei
. bad Ai Eye Arch poliienne; peilineni.
PoLtptina, s. f. polisscamm
PoLıptz, s. f. civilith, geilietse, achnuftt.
Per 1 pr Me Behr. ei Imieent \.
Peiyr
nike so mpbei-
ohauh (eipie, sa ()
Ome, en nr doules
Thuumnnts - -
v Denis y.ätr Bali, Auetz, heläl de wuapmiaız
« cisstten iu Hi ybe, ei.) .
ISuBuR « GEN ior aut get. | um.
Polissoir ı Insirumiangg vuell pam Bolln,
se f. wehllsuse, poliment, Poli,
Iostre. V. Polimento. .
.. V. Guiylelte
Pouitino. V. Polefira .
Puricsono, el "
. ‚„elc.
arg } 3 Pot
' en m
Den rer te en gt | min, dene
Pouis. V. Pepolim.
“si. yolle Instwe, salat und
yr-"Baniasute , "0 Issue, mmmis+
sone: Yaellen de polir. Brillant qu’on dennd
sine: (üyalema, dgamınz wartenich
stylo,etc.). Encarnario dewmu,(l. de pain.)
as Dustänie.
+: «Pouaiiin.
ae m. (t. drbet.) en mbriinn, * gar
ausmdebr tamnpinusc, paillei, gesmandtöe dh
"menhtane da Grün, arrmasdets detsöte.
nd: % [. arı diassieger ei pgen*
«sv Macs forlas,
PO, oe. V, Polyge, etc.
GLiR, 0.6. polir : rendre clair, wu et lui-
gu af Iratter ; (Ag.) eultiver, adoweir,
ner, e ; elviliser. "
PoLin-se, 6.7. devenir poli, honntte; S& &i-
vier ; ve perfechionner. rn
TICA ; PrtntAte ! aft, maniere
Rdn ; cofnsisdanto Kutrdit =
halle 008 nattıns , 8 PEENBUR, tie
"Yarı de gonverntrundere . z vw
a. 4
POL
principes, leurs meuhYehentei os leur bak;
= ae
+ Poririciö, s. m. grand p
u Vereitge et
DR, 777 7205
iron.) ou Prada he nie Cbe ey
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Äh An 2. irn
say erneinanL des Ciäte. al. did IR. wg DM
dans l’arı de gouverner; An, adrofi;
“ hei vu Aura i
Courtois, honneie„gel> en
Peusainr,s.£ *zouss «pchum de u
tamen
Bauacia, ed er 0. Die» wu
dsigt de pius gras; ie pies ih,
EESOR:
DiRLERS AN: OPEL E.
+ "PoLLo, s. m. (f Erg
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el pech& d’impurete;
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PorLvioo, 4,9. p.de ...A
PoLLoing we. Yellusies sonillen Fuhal'
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Luise, „under „qufamale k
piehb diWnan, ce uasiunbe
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| 0.7 7 8, ah POlsk . 2
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nees. (Ag.) Pivot: principsl point ser er
wen, afine ration menge u a
mant, son point d’acl Ba nei
Wie äh Vale berundistänge Iamaptat ©
aoufro —,, (podl.) par tout le monde.
Poın, prep. (couteis dar edemaı"
0). V. Pelo. LaueE W Bose BETT Turn
Vprtmag ©: “
fois royaume "Feurope, aujosrd’hei 2
DE OBEN.
+ Poıöro, s. u. Fa en
Wiennsle oa annyg} wei
LPA,S. t : . [ a
dans les parti®5 MArhı h
‚ lains frults. — da}
dos dedos, pulfe de
sp. ‚la substance ns
oLriö,8.
P6ıro. v. Pal.
+ PoLröso, A, van
(inembrane, feutie 2), Ve
Rn,
»
Poı.tniö, adj. eis. m. pahfen, Isny
Fausman-+,sghaudpen, 4
Fy. ‚EC
PP
AR.
Porzhöna bergere, grand fautepil. 77 « [. (!. de bot.) * polygala : h
Phaber PTIROR CRY al cu Mir Mader: ad a4 P EN
raonzän, v. M. Cäßnatder : vitre Wand 1a}
KOWERA, ı.f pettronherie Yıutıerk;
unge. Cagpardise, tm ollesse ‚p-
at Y. Pulworinds.
en ‚fe böudte dcandl.
k. N 1 ortsta.
R« V. Pulverigar '
h u. päbdter v. j ötorthar.
IP, hi a. pl." Youdreäpöudrer.(fg.)
m. (1. Mil, nal.) poulpe : polype
W tiabenbi & la scche. —rugdso,
a f ; audre & canon. (fg.) Homrie
Gaslar d— eın salcas, läire
ärches nuliles du hors de saison ; lirer
AUT Moineaux.
onfxr0. V. Pulverulchto.
a Vorixno, s. m. „pulverin ; poire äpoudre.
mar.) "Corne damnorce.
vonisza, s. 0. poudrier : qui ai de Ia|
dsancıı
a N) V. Pulogrisar, eic,
I bg u. pop.) ? dasarroi. Dar com
tudo issipef son bien, Pör os pes em—,
it Konfuir, gagner au pied, enliler la
venelle, prendre de la noudre d’esoampelle,
d00, ad: sux : plein de poudre,
Poun, (nei era, en. sompos.) poly, plusicuzs,
kapu
„r! nermzula, s. ]. (i. de bot.) polya-
delpbie : dix-huitiöme classe des vegeiauz, domb
tes fleurs bermaphradiies ont beaupeup d'ela-
sur Jeus rügeplacle,
# Pontamkıpio , A, adj. (l. de Bol.) On le dit
dee Aiaımimas des Neuss des plantes epparie-
»ens A ia pelgmdelpbie.
+ Porzinnau , 9 f (4. de bot.) polyandris :
deuziöme classe des vogdtaum.
t Raunäsanien, Au00). (1. de bol,) pälyafı-
drique: de la polyandaieı
PoLyanzutı, 5. f- " polyanıbe :
Beouzd, Facutil de lieun communs.
Purvintuso, 4, adj. polyanikc : quia plu«
amas, de
Ponvancnla ou —gqula ‚se. [.polyaschie : gou-
2 de plusieuss.
I or tlachk. A, adj. al Apparliont & Ja
ar oihehent, al. [. (8. da vol.) Capıula —,
espsule & Tusieurs cellules.
2 POLTeOTTLEDONE, ad. 3 Yon. tt. de bot.)
I 8 pRusinars toben
PuLroaßsto, 2, 00f: (H UHYREP.) POlFErUHtR:
serrant A planhuie sans (sl) (set). nei
DERMSERO 8: 4u.de ydom.) giden« sos
nase & rg Nerher a nlusiqurs
[aces ou (aCoaOn Knie sten Delz vo: vorsah. d
Wr“ Lebe . F
Fig, seneka, ndite de serpent
elies
PoLreinta,s.f.ptyautfie : dit An Aorıie
ou d’une femme mariee & Piusieurs, That
Rofnme yul & Subcessirerhen] plusleurs
thes. A: de bot.) —, vingt-Nuttläme elßfe
des rögelauixr, Neues hermaphrodhes er on
sekuelles.
Porr’castö, A, adj. polyYüme : murtd & gi
siöurs flatis 0 femres. Obi A eu Ar
femmes auccessivement. E hldı u be
Bot.) planies polyga Werke lage ande
Port’cano. V. Po ro
‚+ Poruaisras et MH pr iitleb ! he-
reliques pärtisahs &8 1a bolykatmie.
PoLrcanmcHia, 8. f. ae'ygarchie: tut göh-
vern® par Blusieurs ch
+ Pouycäncnicd, a, ad. polygarchigu: de
fa polygarchie,
Porrcröra,s. f. * dissAu drichtal Dun chdhı
trös-varie. Polyglotte: on le dit de la Hible hh-
priniee en pluStturs FH
selohe &erit ,Ih-
(bible, dielon-
+ PoLycLöro, a, adj
prime en plusieürs and
re elc.). mtl. en y pl 08:
OLY’cONO, & e peom. ygo
Bgure qui a plus de qualrc cötds. len aussi
ad; Superflcie —ä, surface polygone:: qui a
plusieurs anglcs ei plugjeurs chtäs. (1. de dol.)
Renouce vulgaire, centinode.Y. Semprenoiop.
PoLyörapnia, s s. f. polygraphie: art de.
servir de diffepenies Gcritures seosätes; arl de
fes lire. Arı de dechiffre®.
PoLv’caaPu0, s.m. pelygraphe : dui a defit
sur Iusienrs maliörcs,
+PoLrer'sia, #. |. Ül. de det.) 2 ale pr
seplierue ordre des plantes des treize .
mieres olıssea, ont hagde Heur apl
douze siyles uu stigıuates sessiles.
Poryufono. V v. Bol olyedro,
Bonvurusia. V. Do ymnid.
Porvaazuia, s.f. polymathle i Yarle dtendue
e connaltsances ; science &lendue ei varid
+ PorLrnätnıco,A,adj. polymathigus : de
polymatbie, '
Porv'mira „ad). 2 gen. On le dil d’ane soffe
tlasue de üls de plusieurs souleuss,
Perrmy'ruia , 6. [. (4. de pode) defaut Fans
dans la fable d'un poöme, ee.
ı PaLsuusmen, Ayadı. V. Polyeder
Poır'una, s. f. (i. demyih.) Poimatie au
Poiyayinnieı muss de YES WEn00.
+ POLYn@O, 5.0. (1. Mist. MAR.) POltnOmie
poisson abAuminal. = du einen os ‚ PotYBONhe
acing doigis.
Potnnöuo, s.m.(t. Kalg.‘ p pottherd : Gben-
iN& algebriquo cöm Ar de pfuyleues tefrges
disıtnzucs +, — (plus, ntoius‘. \
Porröttuo, A,dd). polyanyıne qui & Zih-
Sieurs noms,
POL KERZAAD, 4 Mlla ide kai) pabankiee :
son
—
9 POM
äAplusieurs psleles, quia plus de aiz pötales;
rosaode,
+ Poıyrav’ııo, A, adj. (. de bei.) poly-
zayle- (eniica) 4 Fonilieis. Peiypbyliöe : 4 ple-
rs felieles (femille ).
"Roerre,um. dt (1. d’hist. nei.) polype: ani-
mal qui ressembie & une planie, a corps mem-
bransux, mon, termind par des Alots Bexibies.
— , eicreissance qui vieni auı narines; loupe,
szgreissance de chair. if. V. Pelve.
‚Pouveönn, s- m. (. de bo$.) polypode : plante
vivace , ap6tale
PoLır6so, A, „ads. (1. de med.) polypeuz : de
la nature da 'pelype: qui rensembie au peiype.
+ PoLvsrtaua,, adj. 2 gen. (l. de bei.) Bags
—, bsie polysperme, qus conlient plusiours
semences
PoLysv' LLABO, A, adj. Y. poiyyliabe s qui ost
de piusieurs sylisbes (mei
PoLYsY'xpsron, 8. m. Kurs de rhelerigue
qui consisie A multiplier jes comjonctiens,, po-
Iysynıheion.
PoLrstnösta, s. f. polysynedie : muitiplieits
de conciles.
PoLvrscanıce , a, adj. pelytechnigue : (6oole
—), destinde ä former des 6iöves pour Yar-
tllerie, le genie, l’architecturs militaire, ete.,
des hommes instralts dans teus les arts ot
toutes les sciences plysiques ei malhema-
Uques.
OLYTREISMO, s. m. polyihöisme : systöme
au admet la pluralite des dieuz ow plusieurs
dieux
PoLrruriera,,. 2 gen. palythöiste : qui pre-
Sosse le polyıheisıme.
PoLv'snıco , 3. m. (f. de bot.) polytrie : pe
panlı caplliaire. — busterdo ,* doradilie air
NE eig ‚ed. 2 gen. ou multi-
PoLvriLro, 4, Par (t. E’hist. nal.) ) valve:
ou le dit des coquilien de plusieurs pieces.
“Pona,s.f." glole, spböre geographigue ou
cotlesie. (M- )Mamelle, t#ton.
Powina, s. f. pommade : composition de
graisse parfumee; composition molle et onc-
1s0us0.
Poniczu ou Poumaszu, a. f. V. Pomar
Pomin, s. m. verger:: lleu elos et plants @ar-
Dres frailiers. — — derpinke, verger @’arbres &
dpimes, oomme orangers, ellsonniers, ete. —
de caropo , verger d’arbres A noysu, O0mme 00-
risiers, pruniees, eis. — de Jerenje, jardin
d’eangers,
Pouantıno, 2. m. celal qui a sein d’un vor-
or. Il ost ausel adj. Fructos —e, frults d’un
verger. Mäos —es, mains de colui qui a sein
d'un vorger.
Pöusa, s. f. oolombe : femelle du pigeon;
coustellatien sud ;(ig.) personne d’ua caraciäre
deux. Dans les moulins & sucre, c’est une
Inu calller de cuirre. Almas —s, (adj. pl.)
rg eandidos, ingenues, sinceres, sans ma-
mir.um. velsunhler, Pigsonnier.
"PöunEg , s. m. sorte de vin alt de mals.
Pomstına , s. f. V. Ancore.
+ Pousainin, vn. (. da Bris. et EAfe)
wavailler jeurnte au profi de sen melire.
V. Pombeire.
Poustıno, s.m. (f. du Driüs. et #Afr.) a-
clave qui travaille & la Journte au de sea
maltze. Intespröte qui allait dans Vinterieur du
pays de Blaragnan ) schster oe rachetee des
; en 3. fd f. dim. e’[R, (fg) pam
oune co - m persame
Inte -douce , Ionocenee, incapable de faire de
—s, Aquilegie.
Pomino. m. dim. de Pombo. Pigsoumeee.
* Couleur de peinture imitant la coalsur du cas
d’un pigeon. (Ag.) EioBe de cette conieuz
Pousinuo, A, adj. coaleur de cou de pigesn,
bleu clair. Olkes —t, youx hieus elalrs; on
youx gracienx,, tenäres, doux.
P6uBo, 3. m. pigeon, ei sertout a:
eiseau peristere, .
Pouirzao, a, adj. qei porto des fruits, Se-
tie en fralts; freitier.
Pouo, s. m. frait de toute espäte, et sptele-
Da ea O — wdede , 18 Irak däten-
du. (Ag.) Chose agreabie, mais döfenden.
Pouona,s. f. (8. (4 da much et de zes.) Pa
mone : nymphe,, deesse des fraits. (Ag.) L.e-
tomne.
Poworinno , din. de Pome.
Poura, s. r. pompe, appetell mamgulligus ;
sompiuosit6; vaniıd, laste, estentetien ; style
relere. Toate sorte de spectacie publie fat zver
solennite. — funebre, pompe funübze, comvei
seiennel d’un enterrement. —e de mus,
pompe, vanit& du mende.
+ Pouranorna. V. Confinge purpures.
*Pouran6so. V. Pommpess.
Pourzin, v.n. marcher aveo Fe er
un oorläge nombrear. (iaus.)Se condaire zves
orgueil, vanits; poraltse avso pempe , inumet
un grand train, se faire accompegner K’ume
suite nombreuse.
+ Pompkıa, 8 It (1. de göog.) Pompele : ville
dötruite par le Vesu
HPowrtIEnO. a,.0d. de Pompte, qui ie can-
corne.
Pourbz. V.Ovem.
Pourösaskure, ade. PEIEPOUSEEHERE : AYUS
pempe, on Weines
Pourosissın®, A , adj. sup. de
qui a de ia von a adela Ge)
a pompo, Y poanpe.
Ampeuld, ‚pustantdu style.
+ Pomuno. s.m. (1. d’anet.) — des sus de
PON
(0, pommelte : prodminence & la partie su-
perieure de la joue; son 0s.
Poxcäö, 5. m. poingon, mandrin ; outil de
fer aigu, eic., pour graver, percer, elc.
° Ponc£LLa,s. f. pucellc. V. Donzella.
PöxcHE, s. m. punch : boisson chaude, com-
posee de Jus decitron, derhum, de sucre et
de Ih& infuse dans l’eau.
+ Poncntıaa, 3. f. "vase oü l’on sert le
unch.
+ Poncıonista, s. m. celui qui fait des poin-
cons; qui travaille avec le poingon.
Poxcö,s. m. ponceau : rouge Ires-vil, trds-
&clatant.
Poxnenaciö,s. f. action de peser les cho-
ses; altention, reflexion, meditation. Negocis,
cousa de — , affaire impartante, chose grave.
+ PONDERÄDAMENTE, adv. allenlivement,
mürement,, avec reflexion.
PoxnperiDo, A, P. ?. de Ponderar.
PORDERADOR, A, adj. celui qui pese, qui
examine, qui medite.
PONDERÄR, v. a. peser, examiner, considerer
attentivement; reflechir mürement sur. Expo-
ser, expliquer en faisant des reflexions. Exage-
rer, amplifier (inus.)
PoxDerÄn, dv. R. peser, avoir une certaine
valeur, valoir (aw fig.).
PonperAtivo, A, adj. V. Ponderador. Exa-
geralif: qui exagere, qui amplifie. Exagera-
1cur.
PONDErRÄVEL, adj. 2 gen. de poids; digne
d’etre bien medite.
Poxverösane£nte. V. Ponderddamtnte.
Poxpenöso, A,adj. Pesant. V. Pesado. Im-
portant, de poids; qui demande beaucoup d’at-
tention, qu’il faut bien peser.
Pöxno, s. m. poids, A Mozambique.
Poönpra. V. Poldra et Alpondra.
Poxstute. V. Poente.
Poncımento. V. Pungimento.
+ Poxco, s.m. (1. d’hist. nal.) pongo : mam-
mifere, quadrumane.
+ Poxnica,s. f. (f. de bot.) *calaba & fruits
ronds , plante guttifere : donne la gomme taca-
maque. — pequena, calaba d’Amerique. vulg.
Le bois-marie.
PöntaA, s. f. pointe : bout piquant et aigu;
bout, extremit6 de ce qui va en diminuant;
terre qui avance dans la mer. —, pelite portion
d’une chose: pointe de sel, d’ail, etc. Piöce
d’ornement ancien en pointe. (g.) Ruse, fi-
nesse (p.us.). — da vasanle, (1. de mar.) le
commencement do !a basse marde. De — em
branco, de but en blanc. Y. Ponto. Andar de
— com alguem , @ire en bisbille avec quelqu’un.
Ter — de louco,, avoir un grain de folie. Fazer
— 0 falcäo, faire la pointe : s’elever vers lc ciel,
en parlant d’un faucon. Ter boa — de lingua,
(fig.) avoir !a langue bien affliee ow bien pen-
due; avoir une langue dorde. Näo fer — de
miolo , n’avoir pas un grain de bon sens. Saber
na — da lingua. V.ee mot. —s, pl. cornes de
tanteau, etc. Bouts de bois qui restent d’une
PORT.-FR.
PON 929
piece &qunarric. Engrelures : pioote de dea-
telle. Sorte d’ancien ornement de metal en
pointes. ( ig.) Armes pointues, armes de trait.
— doveado, bois de cerf. — dos pes, das azas,
bouts des pieds, des ailes. Fazer — a ape,
faire des pointes, voler en rig-zag, en parlant
d’un oiseau de proie. Fazer — acarge, (fig,)
viser un emploi. Jogar —, tirer des lances, des
jJavelots, etc. PöOr-se nas — dos pös, so tenir sur
la pointe du pied ; (flg.) s’enorgaeillir. V. Pon-
linha. Vir-se das —, ne pouvoir pas 26 lepir
debout:: il se dit surtout des vieillards dont la
sant6 ost delabree.
Ponrtipa , s. f. point de cöte; douleur aiguß.
Poxrioo. V, Alinkavado.
PoNnTAFAGÜDO, A, adj. ( pop.) V. Bochechudo.
PONTÄcoXO, A, adj. qui termine en poinie.
PonTAcinO, A, adj. aigu, pointu.
+ PonriL, s. m. (if. de mar.) pontal : la hau-
teur ou le cur d’un vaisseau sur l’Oo6den ; son
creux sur la Mediterrande. it. “Hauteur en
pointe ow pointe de terre qui enire dans la
mer.
PontäL, adj. Pregos —aes, grands clous.
PONTALBTE, s. m. 6lai, dtangon. —e da cod-
brea, (1. de mar.) * bigues de mäture.
Pontiö, s.m. baleau ou barque plate d’un
ponton,d’un pont flottant. Ponton, bao; barque
plate, mätte; vaisseau prison. Elangon, 6tai.
Pontap£, s. m. coup de la pointe du pied,
coup de pied. Dar um — , allonger un ooup de
pied.
Pontaria,s. f. "tir: l’action de pointer un
canon, de coucher en joue un fusil, ete., visde.
(Ag.) Blanc, but. V. Aloo. (ans.) Chicane. Fazer
—, pointer, viser, coucher en jJoue. Estar, Acar
em —,(fig.) @ire en bulte &. — a meller a gi-
que, (f. de mar.) pointer a culer bas. — ades-
arvorar, (td.) pointer & demäter.
PonTazinua, s. f. dim. de Ponta.
Pontar. V.Pontear.
PONTE, s.. f. “pont: ouvrage, consiruetion
sur une riviere, etc., pour en faciliter lo pas-
sage. (f. de mar.) —, tillac, etage de vaisseau.
— de barcas, de bateis, pont de bstesux. — ie-
vadira , pont-levis.—surpensa, pont suspendu.
+ Ponteivo, A, adj. points, margue de
points. 2. p. de
Pontgin, v.a. V. Alinhavar. Marquer avec
des points, pointiller dans une miniature, ete.
Ponttira, s. f. "bout d’un fourreau d’öpee,
@’une canne, etc.
Poxt£ıno, 8. m.* touche : petit brin de bois,
etc., dont lcs enfants touchent les lettres qu’ils
epellent. * Baguette, eto., qui sert & indiquer,
ä marquer. Poingon pour percer. Ciseau de
tailleur de pierre. * Plume ow quelıue autre
piece pour toucher des instruments & cordes.
Celui qui guide un autre pour chercher une
chose cachee (p.us.). — de relogio, " aiguille de
cadran ow de ınontre.
PoxTeıro,A, adj. (4. de mer.) Venlo —, vont
debout, contraire, Oppose.
Poxriacuoo.V. Puntagudo.
5
930 PON
+ Poönrico, a, adj. du royaume de Pont, O
mar — , ioBosphere de Thrace.
+Pomicv.a, s. f. (1. de fort.) petit pont &
ostö d’an pont-ievis; petit pont de bois.
Pemrwrcäoo, 8. m. pontificat : dignit6 de
nd ufe, de pape; sa duree.
Emrscht ‚adl. 2 an ponuifical :quiregarde
le peatife, sppertient ä sa dignite.
Foareel? sm. hablis pontißcaus. Livre
does & Pusage de Fe
eier pontiloalement, c6
ealoment,
PowrwrcaLuönre ‚ade. pontiäcalement, avec
les cör&monies et les habils pontiflcaex , d’une
manitre pontificale. °
Ponririce, 5. m. pontife, &v@que;, elc.;per-
sonme saorde qui a aulorits dans les choses do
la reilgion;; ministre superieur des choses sa-
er6es. O summo —, le pape, le souverain pon-
us.
Pomstricıo , A , adj. pontifical: du ponlife; de
Perögque, .
Pouriıza, e. f. pointe aigu&, bout pointu.
Pontinna ,s. f. dim. de Ponta. Petite pointe;
peiste dentelle & picot. Andar nas —s dos pes,
mareher sur In pointe Ju pled. Pör-se nas —s
dos pds ,( Ag.) se lovor, monter sur ses orgots.
Ponrinno, s. m. dim. de Ponto. Petit point.
(Ag-) * Polnulierie, pointille, vaine subtilite.
4, PR. (1. de point.) pointillage, petits poinis.
3 do dirdtte,, * sabtiliies du droit.
Rexro, s. m. point: piqüro Saite avec l'zi-
guille enfil&e; ce qui est sans ow d’une tres-
petite stendwe. Le point ınathömatique n’a
meme peint d’dtendue. —, marque ronde (.)
pour söparer les phrases, elc. —, question &
tseitarı question Lir6e au sort, dans les exa-
mens , jes thöses de droit, etc. Sujet principal
d’une affaire; division d’un discours, etc.; etat,
disposition, situation dans la sante, la fortune;
occasion ; cenjonetare. But: fin qu’on se pro-
pose. —, degr&, mesure, leur marque en gö-
utsel. —, Instant, moment, temps preeis. Plus
Laut point; &tat de perfection d’une chose.
Deimt d’konnenur. V. Pundonor. ° Manicre dont
st Yssue ume dtoffe. *Consistance des sub-
stenees lie . Guiden: bouton esboutd’un
ennen , #is., qui sert A mirer. Registre des su-
vriers, etc.; appel qu’on leur fait tous les
jour. SBoalllour de theatre. * Maille dchappee
dans un bas. *Clöture des classes, des tribu-
naux. "Estime, calcal d’un pilote; conjecture.
— d’arribar, second arret de la noix : cran sur
loquet repose le chien bands d’une arme & [eu.
— de honra, point d’honneur. — de longilude,
potat ou degrö de longilude sur mer. — de
mein, tricot. — da viola, stc., louche d’une
gultare,, eo. — de vista, point devuc. A —,ä
point, & propos; Incontinent, sur-le-champ.
A— dade, & point nomme. A um — , au ın&me
vemps, äla fols. Fallar a —, parier ä propos.
De todo —, tout Afait, entierement. Em dom —,
en bonne sante. Am — „ pröcisement, ä celto
houre, en co moment, Aa mueio dia om —, A
ue. Fazer um— ‚ofl-
ror la ınosse pontili-
POP
midi precis. Ao — de perlir, au moment, sar
ie point da depart. Ester em — ou a pomto de,
&tro sur le point, au moment, & la veille de.
Faxer — ‚sospendre ses psyements. Por — a
alguma couss, suspendre, cesser de faire unr
chose. Baizar de —,, ( ig.) dechoir de son pre-
mier &tat. Subir de —, crelire, augmentzi.
Subir de — alguma couse , louer, vanler, exage-
rer une chose. Ponio gor —, de point en poin!.
De — em dranco, de hut en blane;; (fam.) en
toilette. Ir de — em brance para algum luger,
alter tout droit vers un endroli. No mesmo —,
dans le me&me Instant, tout de suite, sur-ie-
champ. Tende —, paix! taisez-vous. Ndo per-
der 0 — de alguma couse, ne perdre pas de rue
uno chose. O — profundo, ( podi.) la mer pro-
fonde. Dar no —, trouver ie naud de V’aßaııe.
Pör o — na carla, (1. de mar.) pointer la carte.
—s, pl. points de sature pour r&unir les levres
d’une piaie. "Mailles de bas. Points : divisioas
du compas de cordonnier. Points marques sur
les des, sur les caries. —, nombre que l’ea
marque & chaque coup du jeu. ° Fautes gue fait
un ecolier en recltanı sa legon. Homem de —,
homme delicat sur le point d’bonneur. Pör-a
nes —, querelier, disputer aves quelqu'un.
Pör os — em, (fig.) viser, atpirer &, Piorr as —
miti altos ,(id.) porier ses vues Irop baut, avoir
des pretentions excessives, tenir la dragee Isop
haute.
+Ponto, s. m. (f.de gdog.) Pont: partie N. de
la zappadoce.
T Poxtoia, v. 8. (l. de comm.)— as pariidsı
ou addiröes , pointer les articles d’un livre.
Pontoxtıro, s. m. (4. mil.) ponlonnier : sel-
dat employ& & la construction des pants,
Pontöso, A, adj. pointilleux, delicat sur 1e
point d’honnear. V. Brioso.
Poxtuvagäd, s. f. ponctuaiien: art, systeme,
aclion de poncluer;; signes de ponciualion.
PoNxTuiL, adj. 2 gen. ponctuel,, exact, regu-
lier. Certain,, indubitable, &s. V. Brioso.
PONTUALIDÄDE, 8. f. ponctualile ‚grande exzac-
titude & faire une chose au lemps prefix, ei &x-
Ion le projet ou la promesse. Certitude.
PoxtvaLissino, A, adj. sup. dc Pontusl.
PONTUALMENTE, adv. ponctuellementi: a1ce
ponclualite.
+ Portuino, A, adj. ponctu& : marquf de
points. Folha —a, (1. de bot.) feuille panciu.:
parsemee de points transparenis. p. p. de
Poxtuir, v. a. ponciuer : metire les points,
les virgules, la ponctuation.
Poxtipo,A, adj. pointu : qui a une pain“
aigud. (fg.) Apre, aigre, qui commence ä ar
grir (vin).($. de dof.) Aigu, acumine.
Poutüna. V. Punclura.
*P0o.V. Po.
Pöra, s. f. poupe : Parrieze d’un vaisseau
eul d’un vaisseau. Casiello de — , gaillard d’ar-
riere, clevation sur le tillac. Navse de ou cum
— redonde, vaisseau & pouperonde. Nacio com
— quadrade, vaisseau & poupe carröe. De — a
pr6a, (fig.) entidsement, toislemens, de Send
DD De Be a er
POR
en comble. Ventosm—, vent en poupe, vomt
favorable; (fg.) faveur, prosperits.
Porina. (inus.) V. Taverna.
Porrzzia. V. Apoplezia.
Pomı.V. Pöpa.
PosvLiga, s. f. om PoruLicno, 3. m. Dopt-
Jaoe : lie du peuple.
Porvragä0, s. f, population : gumtitä d’ha-
bitahts que renferme un pays.
"PorvLino, p. p. de Popular. V. Povoado.
PoruLin, ady. 2 gen: populaire : du peuple;
qei le ooncerne; qui s’en fait almer. Aura —,
faveur du peuple.
PorvLin, v.a. (anl.) V. Povoar.
PoreLanmäipe, s. f. popularliö : caractäreo
d’unhomme populaire; affabilit# envers le peu-
ple; alfections du peuple; faveur publique;
eredit pres da peuple.
PoPuLaRıziDo, A, p.p. de
PoruLarızÄir, v. a. popalariser : rendre po-
pulaire.
POPULARIEÄR-SE, U. r. 50 populariser :secon-
eilier l’alfection du peuple.
PoruLinumente, adv. populalrement : d’une
maniere populaire; pour plaire au peuple.
PoruLzid,s.m. (t. de pharm.) populcum ;
onguent qui a pour base des bourgeons de peu-
piier blanc.
Por6Lxo, A, adj. de peuplier.
PorvLosissimo, adj. sup. de
PoruLds0, A, adj. populeux, tr&s-peupid, od
it y a beaueoup d’habitanıs.
Por, prep. et die. pour, & cause de. Par.
Par, parlantd’um lien od Yon passe.Pour, parlant
d’un temps , d’une &poque future qu’on deter-
mine. Pour, en qualit& de ; par ordre ow permis-
sion de; par le moyen de; en faveur de; au lieu | &
de; en place de; afin de. Pour, contre, parlant
d’unechöse Aroqu&e contre une autre.—agora,
pour le prösent, quant & present. — anno, cha-
que annee; par an. — isso, pourcela, & cause
de cela, c’est pourquoi, — cerlo, ceries, en vö-
Fit6. — ouira parte, d’un autre cöld. — ahi,
a peu pres. — mais que ou —mdilo ‚quoi
qu’on fasse. — mim, quant & moi, ä mon
&gard. Ertar — fazer, — polir, etc., Tester &
faire, & polir, n’ätre pas encore fait, n’&tre pas
encore poll, etc. Estar — vir, — chegar, etc.,
dervoir venir, devoir arriver, etc. Ir — lenha
— vinko ”
‚ete., aller chercher du hois, du vin,
” etc. Sem que, nem — que, San3 FAISOn, 3an8
mol. Sin, — eerlo, oui, cerles! assurement,
Palaore— palavra, mot pour mot, mot & mot.
Um — um, ’un aprds l’autre. Trocar vinho —
azeite, changer du vin contre de l’huile. Erdo
vinte — todos, iis &taient vingt en tout. Por,
plac6 avant un adj. ou ade. ei suiri du verhe
£ire, suyeivant k quelgue (adv.). Ex. :— nobre,
— doulo que seja, quelque noble, quelgque sa-
vant qui) seit eu malgre sa neblesse,, ee. —
miilo rico que seja, nonobsiant sa Rrende ri-
chesse, quelque riche qu’il seit ow yu’il puisse
etre.— mdi sabius que sejdo sous conselhes, —
mi Judiciosas que 80/00 suas reflexöes, quel-
POR N
us sagen qua solent ses comseils , quelgue ju-
dieleuses que | ses relexions. Ir — em-
_— etc., alleren qualited’am-
hassadeur, de consul , eic.
PöR, 0. a. meltre, placer, poser, apposar;
compter, &tablir, fixer; imposer; poster, Si-
tuer; employer; poser, sipposer; oontribuer,
fournir de son cöt#.Meltre dans lacas, dansla
n6cessil& de, ebliger &. Pondre, parlant des
oiseaux. Gager, parior. Nommer, choisir, die
blir pour. Ponter, ooucher. V.Parer. Ex
& un danger, eic. Deposer, laisser de cötd. Des-
tiner & un emploi , appliquer & une profession.
Ajouter quelque ciroonstance, quelque parti-
cularite. Ajouter volontairementquelgue chose
& un röcit. Ex. : Pöz isso de sus case, il sjoula
cela de son chef, de son or&. Pfr, suivi de la
particule a et d’un infinitif, indique un oom-
mencement d’aclion. Ex. : — a assär, faire r6-
tir, mettre & la broche. — se a ssorever, se mel-
tre ä dcrire. Buivi de la m&me particule ei de
quelques noms, il signiflo exposer. Ex. : — so
sol, ao. ar, meilre, exposer au soleil, & lair.
Suivi de la preposition gor ei d’un nom, Il si-
gnifle employer, donner un emploi, etc. Ex. :
—_ sr „ inspeelor, eie., employer
quelqu’un dans le gouvernement, Pinspeotion,
etc. Joint & la pr&position em et & un nom, il
exprime une action relative ä ce nom. Ex. ı —
em duoida, metire en doute, douler de. — em
‚exseuter. Joint & quelques noms, il
equivaut & causer, o0casionner. Ex. ı — medo ..
causer de la frayeur. — arueres, planier des
= 5 ancore em seu Äuger Qu d Tossa,
(& de mer.) traversor l’ancre, metire l’ancre
en place. — d capa com 0 traquele ‚(id.) mellre
la ecape, & lasnisaine. — easa, monler Im6-
nage. — dinheiro a ganko, placer de l’argent.
— im oa iermo, termäner, eonclare. — di-
vida, faire diliculis. — ‚„mollse un prix.
— silencio, impeser silence. — fürs, chasser,
expulser. — sew affeclo em quem o merece, pla-
oer ses affeotions en ben lieu, les bien placer.
— cuidado em, prendre garde, faire attention
&, — kimiles a sous gestos, nelire des bornus A
ses plaisirs. — na rus, mestire ha la porie; dlar-
gir (un prisonnier). — lei, comiribusgde, met-
tre, stablir une loi, un impöt. — de parte, 56-
paret, mettre de cöte. — por terre, mellre,
jeter ä terre, renverser. (Ag.) Döcrier quei-
qu’es. O— do sol, le coucher da soleil. —&
vista , axposer & la vun; (fg.) representer ; FeR-
dre cempröhensibie. — a forre # fogo, meilze
& feu ei A sang, ravager, brüler. — os p&s em
algumg parte, aller, se rendre dans quelqueen-
droit. — aculipa a alguem, inculper quelgu’un.
V.Culpa.Ponhdmos que assimt, supposens que
eo soit, Isso nde firamem p6e , cela nefaitrien.
Näo — nada por diaste, Tranchir tous les ob-
staclos, toutes len difficultss. Ponha F. M.o
ons om si, zmallez-vous dans ce cas-lä.
POs-sz (a,em), o.r. se mellre, s’appliguer,
tsavsiller d; ssdenzer &, Se pereher, 26 peser,
parlanı des oiseauz. B’ieaposer (une lei, ete., &
934 POR
PortauEuro, 8. m. (8. de mus.) pori Je la
volz. it. V. Comporlamento.
Pönta-növas. V. Novslleiro
+ Porrinte, p. a. de Portar. adj. 2 gen. (t.
de mar.) Ancoras —s, ancres tenantes au fond.
Ponrinto, ade. dene, alors. V. Tanto.
Porrtiö, s. m. *porte cochöre; porte de ferme
Beconde porte d’entr&e d’une maison noble.
PORTA-Päz, 5. m." paix: plaque qu’on donne
& baiser A a grand’messe.
+ Pönta-rinas, adj. 2 gen. (podt.) qui ap-
porie des peines.
Poatän,v. n. V. Aporiar. — por f8,(t.de
notaire) legaliser. — pela ancora, (t.de mar.)
eviter, louvoyer sur les ancres, en parlant
d’un vaisseau.
Portäs-sz (com), vo. r. se comporter, 86
eonduire. — com honre ou honradamenie, 86
eonduire en homme d’honneur ow avec hon-
neur.
Ponrania, s. f. principale porte d’un cou-
vont, d’une communautd; et, dans un palals,
rte de l’appartement dos femmes. * Emploi
portier. Lettre-patente; ordre, ordonnance.
+ PORTA-TeT’aso,, adj. m. (podt.) qui porte
lo thyrse (Bacchus).
PorririL, adj. 2 gen. portatif : qu’on peut
aisöment porter. Aller —, autel portatif, qu’on
peut dresser od Pon veut.
PöRTA-VARRKTA , 5. [. porte-baguelte.
Porrazinza. V. Portinha.
PORTE , 5. m. port ı droit, salaire, paye pour
le transport; port de lettre. Apportäge : peine,
salaire da porteur qui epporte. "Conduite : me-
niere d’sgir. — , maintien,, demarche ,manidre
de se meitre, etc. "Qualitö, noblesse. —, gran-
deur, oapaeli#, surtout d’un valsseau. — 9690,
port pay6, franc de port. Homem de —, homnre
diningus, bomme respectable, homme capa-
(.} ‚
Ponykrnı, s. f. portiöre : femme ohargee
d’ouvrir, fermer ot garder une porte; religieuse
qua soln de la porte. ° Passage, entr6e fermee
avsc une grille, cette grille; herse, barriere.
Porrkıo, 8. m. portier : prepose charge
d’owvrir, former et garder une porte. — da ma-
ya , massier. — da jusfica ou pregoefre, erieur
public, crieur d’enchöre. — de carcere ou pri-
s&o , guichetier, portier de guichet. — da cana,
huissier : garde de la portechezun rol, eto. —
da audiencis, huissier audiencier.
PoartLıa, s. f. entete d’un ohemin, d’une
gengs de uoniagne. Porte de ville, berridre eu
Pon paye iss droits de e.
Poxrkızn, s. u. dies, de Porto, pelit port.
. pe passage. V. Porial6 ei Posiigo.
ORTÄNTO, 5.8. ige, zingularits, mer-
veille, chose ernannt, Sots um — , vous
etes un prodige. B um — de, c'est un miracle.
On le dit d’une chose digne d’admiration.
? POnTENTösamtntE, adv. d’une maniere
prodigieuse.
Porrextoso, A, adj. etrange, extraordi-
peire, prodigieux,
POS
Porrico, 8. m. portique : galerie ourens
dont le comble est soutenu par des colonae.
(49.)—, secte, doctrine de Zimen, das sr
ciens.
PorrıLnäd, s. 9. * ouverturedans un mar,
bröche,
+Ponriıno ,s. m. ° bröche, crerasse, ecıu-
ture dans un mur. (fg.) Toute sorte Conre-
tures.
Porrinna , s. f. dim. de Porta. Petite port,
PonTıxnöLa ,s. f. poMiäre de carrosse. Palı
qui couvre l’ourerture des poobes d’habius, ek.
(t. de mar.) * Sabord. —s do guardalem,
(id.) sabords de relraite. —s de receber ars,
resbords , sabords de charge.
PöaTo, s. m. port : lieu propre A roceroir bs
valsseaux & l’abri destempe&tes; lieu sur le berd
de la mer, d’un fleuve, od l’on debargue is
marchandises, etc. Detroit , gorge de meilr
gnes. (g.) —, asile, lieu de „den
bar, (#. de mar.) reläche ; lieu of Yon peuim-
lächer. Tomar, ferrar o —, enirer das k
port. Surgir no—, jeter Y’ancre, mouilier dus
le port. Perecer no —, [aire naufrage au pt
A— seguro ,a— e saloamenio, & bon pori.-
seccos , lieux sur les frontiöres od sont dlabies
des douanes. Tapor, lomar, cerrar a 1%
alguem , (fg.) priver quelqu’an de Louis ka
ressources, do tous los moyens de r&ussü.
+PöRTto,s. m. (4.de geog.) Porto : la deusılar
ville de Portugal, dans la prorince de Daer.
Ponrucmir, ©. a. (l. de mer.) irouaser I
voiles.
Porröczas, s. f. pl. (1. de mar.)* ailiude
voiles.
Ponrücnos, s. m. pl. trous de llläre.
+ Poatutnss, adj. et 8.2 gen. de Ports.
= , pl. m. les habilants de Porto.
Portucin, s. m. (#. de geog.) Portszl:
royaume de |’ Europe occideniale.
+ Porrucutz, s. m. ancienne monnsie d#-
gent portugaise valanı 400 reis : II yen ara
aussi d’or qui valaient 4,000 reis; portogalsit-
Pontucußz, A, adj. et s. Portwgeis : da Por
tugal.
Porro6so, A, adj. qui a des ports de mer.
PORvENTöRA, adv. par accident, par sı®-
ture, par hasard, poul-tire, — 4 ala? ah?
lui? N’ost-ce pas Iui?
+ Porzina, s.f.(t. E’hist, nat.) marsuc.
petit räle d’eau.
Ponvir, s. m. avenir, &renement futut. !
Fuluro. re, V. Apke
P6s , prep. apres. V. .
Pös, s. m. pi. " paudre. V. Pi.
"Posix. V. Enirar.
"Posch ,s. [. de Poau avec du viasigfe.
de mdd. anti.) "hydromel.
Pospira, s. f. * post-seriptum. V. Pomdi
Posvaran. 7. Postdatar.
PosokLuvıäno ‚A, adj. pestörleur au des?
universel, .
Posıciö, s. f. position, situation! diper-
tion. L’action de poser. (I. Hidant.) —, por!
POR
ser: broyor sur le porpbyre, reduire en peudre
impalpable.
Pörrurno. V. Porfido.
* Ponrösm. V. Gibäo.
Por qUÄNTO, conj. vu que, attondu que;
d’sutant que.
Porgut, adv. et conj. parce que, car, d cause
que. Poarquoi, pour quelle chose. Porgus?
poarguoi? pour quelle raison?
Ponaout, 3, m. “cause, raison, molif, le
pourguoi.
+ Pongutıra, s. f. V. Pocilga. Chose sale,
ignoble, rebutante; action basse, indecente.
V. Porcaria. Porchöre: femme du porcher ou
ienme qui garde les pourceaur.
ORQURIRO.
PoRquerico. } V. Porcaripo.
Porqutte, 3. m. (#. de mar.) piece en croix
& la poupe d’un vaisseau.
Porqvipine ow saletd, malproprete. V.
Porquipid, s. f. Porcaria.
Poxgvinua, s. f. dim. de Pörca. Petite truie.
— de sanlo Anläo, " porcelet de saint Antoine,
cioporte armadille. V. Bicho de Conta.
Pongtixno, s. m. dim. de Porco. Petit co-
chon. "Botte de chanyre. — moniez , marcassin.
— da India, cochon d’Inde. Quando te derem
0 — acode-Ihe com 0 baracinho, (prov.) quand
on te donne une vache, cours vite chercher la
corde.
Ponquinno, A, adj. dim. de Porco. Un peu
sale.
Poarı,s. f. (au). t. obscöne ) massue : bAton
noucux fort gros par le bas. Y. Cachaporra.
Ponkäceo, A, adj. porrac# : Urant sur la cou-
leur verdätre du poireau.
Porripa, s. f.” coup de massue; ei, par ex-
tension, coup de poing, etc. (ani.) * Ragoüt
fait aveo du poireau.
PorriL, s. m. * planche de poireaux.
Ponziö,s. m. biberon : sorte de cruche & bee
pour boire de feau.
Ponkizo,s. m. V. Porrada.
. Ponnzckn. V. Dar, Offerecer.
Ponntra,s.f. feuille verte du poireau, et,
par extension, de l’ail, de l’oignon ; ragoüt fait
avec du poireau. s. m. (fig. burl.) Ignorant,
tourdaud.
Ponngripa, 8. f. " coup de gourdin.
Ponntre, s. m. dim. de Porra. Gourdin.
Ponrinuı, dim. de Porra (1. obscene).
PORno, s. m. poireau. V. Alka—. — bravo.
V. Allo das vinhas. (1. de chir.) Polreau: ex-
croissance de chair sur les mains, elc.
PonszLina. V. Porcellana.
Ponstve. V. Perceve.
Porsovsso. V. Persovsjo.
* Ponsuivan. V. Passavanle.
Pösta, s. f. porte : ouverlure pour enirer
dans un lieu clos, enloure6, ferme, et pour en
sortir ; assemblage de bois, etc., qui la ferme;
IR issue; acc&s. moyen d’arriver; entree,
. A —, a sublime — ‚la Porte, la Su-
Dlime Porte, la cour de Constanlinopie, — false,
POR 933
fausse porie. — ‚ porie fausse. — Ira-
stira, porie de derriere, | porte Gerobee. (fam.\
* Anos, fondement. — cocheira ou de carro,
porte cochere. — levadisa, pont levis. — de
traigdo, porte derobee. Dar com a — na cdra,
ou nos narizes, pousser, fermer la porte au
nez. 4’ —, ä la porte, tout pres. Do— em—,
de porte en porte. Esiar 4 —, (fig.) &lre ä la
veille d’arriver. A ouira — que esta ndo se
abre : maniere de repousser une proposilion
qu’on ne veut pas entendre, et de congedier la
personne qui la fait. Por —s: on le dit pour
exprimer l’etat d’un homme reduit A la misere,
ä la mondicite. Andar por —s, mendier. Pör
yuem por —s, mellre quelqu’un & la besacc,
au bemiquet. A4’s —s da morle, au bord du
tombeau. A’s —s fechddas, huis-clos. Das —s
a dentro, dans le Jogis, chez sol. —s Iravessas,
(fg.) ° detours, intrigues.
+ Porta, adj. f. (t. danat.). Veia — , veine
principale qui entre dans le foie,
PÖRTA-BANDRIRA, 8. m. porte-banniere, porte-
drapeau.
+ PoORTA-CARTUCHOS, 5. m. (i. de mar.) gar-
goussier; sac & charges.
PonTa-CcLavina, s. f. porte-carabine : espöce
de sac en cuir ou l’on entre le bout de la cara-
bine pour qu’il ne vacille pas.
PoRrrtAcöLLo, s. m. *porteleuille d’ecolier. V
Protocollo.
Portacravına. V. Portaedlavina.
Poatipa, s. f. * frontispice, portail d’eglıse,
etc. (g.) "Devant, fronlispice, facc anterieure
os principale. Tenture de porie.
Poazino, s.m. poriail. adj. V. Aporiado.
PORTADOR, A, 5. porteur: celui qui porte.
— de mds novas, porteur de mıauvaises nOu-
velles, courrier de malbeur.
PÖRTA-ESTANDÄRTE, 5. M. porte-etendard -
celui qui porte l’etendard de la cavalorie.
PoRTA-BRÄsCO, s. m. Cordon auquel pend la
poire & poudre.
Ponrtackıro, 3.0. p&ager : [ormier du p£age,
qui le regoit.
Porticeu, s. f. * octroi: droit des denröes
qui entrent dans une ville. "Page ; droit pour
un passage; lieu oü on le paye.
PoariL, 5. m. porlail: principale porte, fa-
cade principale et ornde d’une Eglise, etc. Vos-
tibule d’une maison.
PORTA-LÄPIS, 3. m. ports-crayen.
* Porraızche. V. Chegor, Portar.
+ PornraLkcaz, 8. [. ($. de geog.) Portalögse:
ville de Portugal, dans la provincoe d’Alenteje-
PortaLö, s. m. (8. demar.) endroit du vais-
soau ol est Pechelle pour monter & bord.
+ Pönta-ıY'aa, adj. 2 gen. (podt.) qui porte
une Iyre.
PoRTAMACHÄiDO, 8. m. sapeur : soldat armed
d’une hache, qui marche en t#io d’un rög'-
ment.
. Pönza-nanıo, 8, m,’ porie-manisau. V.
Mala, Malsta
938 POR
Pontaußnto, s. m. (1. de mus.) pori Je la
voiz. it. V. Comporlamento.
Pöxta-növas. V. Novelleiro
+ Ponrinte, p. a. de Porlar. adj. 2 gen. (fl.
de mar.) Ancoras —s , ancres tenantes au fond.
Ponrinto, ade. dene, alors. V. Tanto.
PorTä0, s. m. "porie cochöre; porte de ferme
Seconde porte d’entröe d’ane maison noble.
POntA-Piz, s. m.*paix: plague qu’on donns
äbsisor A la grand’messe.
+ Pönta-pRnas, adj. 2 gen. (podi.) qui ap-
porte des peines.
Portär, v. ». V. Aporiar. — por f3,(t. de
notaire) lkgaliser. — pela ancora, (1.de mar.)
€riter, louvoyer sur les ancres, en parlant
d’un vaisseau.
Portiz-sg (com), u. r. se comporter, 86
eonduire. — com honrs ou nie, se
conduire en bomme d’honneur ou avec hon-
Deur.
Poatania, s. f. principale porie d’un cou-
vent, d’une communauts; et, dans un palals,
rte de l’appartement dos femmes. * Emploi
De portier. Leltre-patente ; ordre, ordonnauce.
+ Pörta-Tuer'aso,, adf. m. (podt.) qui porte
lo thyrse ( Bacchus).
PorririL, adj. 2 gen. portalif : qu’on peut
ais6ment porter. Aller —, autel portalif, qu’on
peut dresser od on veut.
P6nTa-vantra , s. f. porte-bagueite.
Ponrazinna. V. Porlinka.
PORTE , s. m. port : droit, salaire, paye pour
le transport; port de leitre. Apportage : peine,
saleire du porteur qui apporte. "Conduite : ma-
niere d’sgir. — , maintien , demarche , maniöre
de se mettre, etc. "Qualits, noblesse. —, gran-
deur, oapaeit#,, surtout d’un valsseau. — pago,
port pay6, franc de port. Homem de —, homurs
umingus, komme respectable, bomme capa-
©.
Ponvkıra, s. f. portiöre : femme ohargee
d’ouvrir, fermer et garder une porte ; religieuse
qui a soin de la perte. " Passage , entr6e fermee
aveo une grille, cette grille; berse, barriere.
Ponrkıno, 3. m. portier : prepose eharge
@ourrir, former et garder une porte. — da ma-
ga , massior. — da Justica ou pregoefre, erleur
public, crieur d’enchöre. — de carcere ou pri-
#80 , guichetier, portier de guichet. — da vana ,
huissier : garde de la porie chez un rol, ete. —
da audieneie, hulssier audiencier.
Poarsııa, s. f- entwte d’un ohemin, d’uno
genge de meoniagne. Porte de ville, barriäre oü | Fu
Fon payo iss droits de Passage.
Poazkıia2, s. m. dien. de Porto, pelis port.
*Entröa, passage. V. Porialö ei Postigo.
PoaT&uTo, 5. m. prodige, singularitö, mer-
veille, chose extraordinaire. Sots um — , vous
tes un prodige. E un — ds, c'est un miracle.
On le dit d’ane chose digne d’admiralion.
+ Pontenrösautute, adv. d’ane manläre
Piodigieuse.
Porreıt6so, a, af. eirange, exitraordi- |
paire, prodigieux,
POS
Ponrico, 8. m. portique : galerie ouverie
dont le comble est soutenu par des colonnes.
(49.) —, secte, doctrine de Zömen, des sier-
eiens.
PoerıLnäö, 0. m. * ouveriuredans un mar,
räche,
+ Poariuuo,s. m. * bräche, crevasse, eunet-
tare dans un mur. (fg.) Toute sorte d’oure-
tures.
Porrinna, s. f. dim. de Porta. Petite porte,
Ponrıxuöuna , s. [. portiöre de carrosse. Pas
qui courre Fourerture des poches d’habils, ei.
(8. de mar.) * Sabord. —s do guerdolm,
(id.) sabords de reiraite. —s de reosber cargs,
resbords ‚ sabords de charge.
PöaTo, s. m. port : liew propre A receroit ls
vaisseaux & l’abri des tampetes;; lieu sur le bard
de la mer, d’un fleuvre, oü l’on debargue Is
marcbandises, etc. Detroit , gorge de moal-
gnes. (fg.) — , asile, lieu de rapos. — den-
bar, (t. de mar.) reläche : lieu oh !’on peuum-
lächer. Tomar, ferrar o —, enirer dass k
port. Surgir no—, jeter ’ancre, mouiller dans
le port. Perecer no —, faire naufrage au poll.
A— seguro ,a— e salvamento, k bon port.
seccos , lieux sur les frontidres od sont &tablies
des douanes. Tapar, lomar, cerrar 4 —
alguem , (Ag.) priver quelqu’an de toutes iss
ressources, de tous les moyens de r&ussit.
+Pöarto,s.m. (1.de geog.) Porto : la deusitme
ville de Portugal, dans la prorince de Dodre.
PoatucHir,v. 6. (l. de mer.) irousser li
volles,
Portöcnas, s. f. pl. (1. de mar,)* ailleu de
voiles.
Poarücnos, s. m. pl. Irous da fifläre.
+ Poattönse, adj. et s. 2 gem. de Porto. 0:
—$ , pi.m. les habditants de Porto.
Porrucir, s. m. (4. de gdog.) Portugal:
royaume de Europe occidenlale.
+ Porrucotz, s. m. ancienne monnale Tır-
gent portugaise valanı 400 reis : II yenarall
aussi d’or qui valaient 4,000 reis; portugalaise.
PoRTUGDsz, A,adj. eis. Portugeis : da Per-
tugal.
Porrvöso, A, adf. qui a des ports de tert.
Porventöra, ado. par accident, par artt-
ture, par hasard, peut-@ire, — d esta? esrtt
lui? N’ost-ce pas lul?
+ Ponzins,s.f. (1. d’hlst. nat.) marouell:
petit räle d’eau.
Ponvin, s. m. avenir, 6renement fatar..
N
uro.
Pös . apr&s. V. Apds.
Ba Brig ade v. Pe.
* Posix. V. Enirar.
*Posca, s. f. de Yoau avec da vinalgre. (*
de mdd. anti.) "hydromel.
Pospita, s. f. * post-seriptam. V. Poddl-
Posvatar. V. Postdatar.
Posozı.vvıimo , A, adj. postärieur au deleft
universel. .
Posıciö, s. f. position, sitwation! disper-
tion. L’action de poser. (t. das):
POS
d’une thöse. (1. de prai.) Demsnde et röpense
d’un interrogateire juridique. Regie de fausso
position, en ariıhmetigque. — de corpo, pos-
sure, attlitude,
PosiLca. V. Poellge.
Posirıo. V. Pusülle,
Pösinno , dim. de P6.
Posırıvamnte, adv, pesitivement, oertal-
nement,
Posırivo, A, adj. positif, certain, constant,
assurö ; l’oppos# de relatil, d’arbitraire, de ue+-
gaülf, de naturel (droit). —, afirmatif, parlant
d’un precepts, eic. Grandeza—s, (1. de malh.)
quanlits positive, pre&stdee du signe d’addition
+. 3.0, —, premier degr6 dans les adjectils de
comparaison. De —, adv. positlivement, cer-
tainement.
+ Posıröaa, 8. f. (p. ws.) position : l’&ias, la
situstion morale ow civiie oü& quelqu’un se
wroure.
+ Posuzammıino, A, adj. d’
Pöspisto , s. m. dessert.
Pösr&LıLo (A), adv. A contre-poil, ä rebrousse
poil. ( fg.) A contre-temps „ hors de propos.
Posr£anı,s. f. cuisse d’un cheval.
Posrontia, etc. V. P ‚eic.
Pospön, v.a. meltre aprös, Iranslerer (une
fete, etc.). (Ag.) Estimer moins, faire moins de
eas, postposer ; negliger, mepriser. V. Posler-
s-midi.
gar.
+ Posposıciö, s. F. position aprös. En ter-
mes de grammaire c’est la preposlliion mise
apres le nom.
Posrosirivo, A, adj. postposilif : qui sort A
ötre mis apres ow A la fin d’un mol,
Pospösto, A, p. ?. de Pospör. adj. Mis
apres ;(fig.) moins estimd.
Posqutrss, s. m. pl. (1. demar.) V. Enöras.
PossingA, s. f. puissance, pouvoir, force.
(p. w.) V.
(inws.).
Possinte, adj. 2 gem. pulssant; fort, ro-
buste. Riche.
“Possin, v. a. entrer en possession, pren-
dre possession.
Pösse, s. f. possession, proprieit, jouis-
sance, l’action de posseder. * Pouvoir, puls-
sante, Melter alguem de —, dar — d’alguma
cousa a alguem, mettre quelqu’un en posses-
sion de quelque chose. Tomar —, prendre
possession , (Ag.) s’eniparer. Oriar —, devenir
puissant.—s, pl. biens, richesses ;(Ag.) moyens,
facultds naturelles.
" Posstıno. V. Pessosiro.
Pusssssiö, 3. f. possession : chose possödde.
V. Posse. Caso de — ‚te genitif.
Possassözs, 5. pl. possessions : hiens fon-
ciers.
Possessivantirg,, adv. (1. de gram.) cu sons
posscssil.
Posseseivo, a, alj. (f. de gram.) possessil::
qui margae la pussession (pronom).
Possitsso, A,adj. ct 8. posscde : tourmented
du demon; ehergumtne, demoniaque.
Poderto. Possession , jJouissanco | 4
POS
Possassön. V. Possuider.
PossessöniO, A. adj. possesseire : qui GUN-
935
oerne la Jowuissance , ia possession.
’Posstre. V. Porssvs.
PosamiıLieäng ,„ 3. f. pessibilitd. =, pl.
* biens, facnltds, moyens d’uue persomse. V.
Pouses ’
PossisıLıTäpo, A, p: pr de
PossustLirän, vo. a. rendre possible, faniliter
Vexe&cution.
PossiLca. V. Postige.
Possivaı , adj. 2 gen, possible : qei peut dire
os arriver, &ise fait. B—? est-H pessikler O
mais de pressa— ‚lo plus Iöt possible, auseitht
que possible. Faxer 0 —, ou fode 0 “>, fake
son possible, tout son possible,
‚t PossivzLmtute , adv. d’une.manidee p&s-
sible.
Possuino, 4, p. p. de Posswer. adj. Posstabe.
Posscınen , A, $. possosseur ı oelui qui Pas»
sede un bien. — de si mesmo, malize de ses
passiens.
Possuinte, adj.2 gen. poss6dant ı qui Pos-
stde,, possesseur.
Possuia, ©. @, possöder : avolr In possessiom,
lea jouissance dans ses mains, & sol, om son
Pouroir, on sa possession.
Possvin-sE, v. r. se possöder, @tre melise de
soi, de ses passions.
Pösta,s. f.tranche ,moreeau deviande, ig. ;
daile ou darne de poissen. Poste, relais: lieu
oüsont les chevaux de poste de relais, et ces
ohevaux eux-memes. Posie « distance d’ane
poste d une auiro. Personne qui oouri la posie.
Posie : sorie de petile balle de plomb. " Poste
militsire. Sentinelle mise dans un poste. (anf.)
V. Pousada. Correr « — , courir la poste, Mes-
ire de —s, malire de poste. Pela -- ‚en poste,
(Ag.) irds-vile, Irds»promptement. Ksis komem
ums — de care , cethomme est une pidce do
chair. -
PostiDo,a,p.p. de .
Postär, v. a. poster, plaser, aposier. (deus.)
V. Apostar.
POsSTconsunIo,, 8. f. PoSl-o0mmunion ı orai-
son aprer la communion.
PostpiTa, s. [. post-date : date postsrieure A
la vraie,
Püste, s. m. °colonae, pilastre, pilier. Po-
teau od l’on attachıe les criminels,
Postparär, vu. @. Pposi-deter ı dater d’un
temps posterieur.
PostaJäuo,Aa,p.p. de
Postssär, v. 8. onsper par tranches (10 yols-
son).
Posrimi,s. f. "abods, aposidme, V. Apos-
tema.(fig.) p. us. Mal cacht.
Postemi6 ou bistouri de medeein
POSTENEIRO, 8. m. veterinairo pour ou-
vric les abcös.
+ Postkrcacäö, 3. f. Yaction de laisser en
arridre. ’Mepris.
PostgRc\Ddo, A, p.p. de Posiergar.
936 POS
Postzacia, v. 6. laisser en arriere ; jeter par
derriere. (flg.) Me&priser ; negliger.
Postzurpäse , 3. f. posierile.
PostErıör, adj. 2 gen. postörieur : qui suit
dans Pordre des temps; qui est apr&s, au der-
riäze. Partie —, dertiere d’an animal, train de
derriöre. Os —es, m. pl. la posierite.
PosTErionıpine, s. f. postöriorits : 6tat,
rang, ordre d’une chose posterieure.
Posrznıöuuäute, adv. postörieurement,
aprös.
Pöstzno, a, adj. V. Vindouro. Os —e, s.pl.
les desoendanis; la posterits (p. us.).
Posrssckiro, s. m. post-soriptum : 08 qu’on
ajoute A une leltre, & un memoire dejä fait.
Postmuuanis, s. f. "srenements apres la
mort de quelqu’an.
Postnuntiaaueuts , adv. V. Ultimamente.
Pösraumo, A, adj. posthume : ne apres la
mert de son pöre (fils); qui a paru apres la
mort de son auteur (ouvrage); (Ag.) qui vient
apres la mort,
Postica,, s. f. (4. de mar.) piöce posliche sur
lo 0616 d’un vaisseau.
Posrico, A, adj. postiche : qui n'est pas na-
tarei , faux ; fait, ajouls apres coup, elc.
srico , s. m. guichet : petite porte dans une
grande; petile porte,, pelile fenttre. (Ag.) * En-
ırde ötrolte.
Posricuinuo , dim. de Postigo. Petit guichet.
Posriıza. V. Postille.
PostıLuiö, s. m. postillon : valet de poste.
PosrizLa , s. f. * cahier de lecons. Apostille :
addition mise & la marge, ete.; observation en
marge d’un m&moire, d’une petition,, etc. 41 —
de mal dizer, les mauvaises langues ; la chro-
nique scandaleuse.
PostıLLino, A, p. p. de Postillar.
+ PosrıLLapOR , s. m. colui qui apostille.
PosrıLLi&, v. a. apostiller : meltre une apos-
te A une letire, & une pelition, etc. Eorire
des ih&mes ow des lecons sous la dicide du
maltre.
“Postıminis, s. f. fin, terme.
*Postımkiro. V. Postrimediro.
Posrinua ‚s.f. dim. de Posta. Pelite tranche
pctite darne (de poisson). ‘
+ PostLimino, s. m. (1. de droit rom.) relour
& un diat qu’on avait perdu. Fiction de la lot,
par laquelle on supposait que les prisonniers
de guerre n’avaient jamais perdu la liberte,
&4s qu’lls talent de retour sur le sol de la pa-
wrie. Droit de reprendre une chose perdue.
Postmerıiıäno, A, adj. d’apres-midi.
Pösro ,s. m. lieu, place qu’occupe un corps.
Poste : charge, emploi; lieu ou un soldat, un
corps est place. Grade militaire. (viewxr) Site,
terrain. V. Aloo, Pontaria. Desamparar o—,
quitier son poste. — d’accesso , grade d’avance-
ment, Ter um — d’accesso ,avoir do l’avance-
ment,
Pösto,Aa,p.p.de Pär. ad). Mis, place; de-
cide. V. Pdr ei Pör-se.— na 1u:do, raisonna-
bie, selon la raison. — islo, cela Ctaı'',
POT
Pöstoqut, conj. quoique, bien que, encore
que.
Posträn,etc. V. Prostrar, eie.
Pösrne,s. m.
Postatıao, a, adj. dernier. Celui qui arrır
le dernier.
Postaeso, A, adj. dernier.
* Postaım£ıno. V. Postremo.
Postscaiero. V. Postescerito.
PostuLaciö,s. f. postulation , demande de
dispense.
PostuLino, A,p. p. de Posiular. s. m. Pos
tulat : demande d’un premier principe pour
etablir une d&monstration.
PosTULADOR, 5. m. celui qui faltune posts-
lation. Postulateur : celui qui sollicite & Rome
une beatificalıon,, une Canonisation.
PosruLincıa, 8. f. exigence.
PostuLir,, v. a. postuler : demander une
dispense,.
Postumaria. V. Posthumaris.
" Postumtırawente. V. Ultimaments.
* Postumtiro. V. Derradeiro, Ultimo.
Postüra,s. f. posture: etat, situation da
corps. Position, atlitude, situation; conlie-
nance. Ordonnance de la municipalite. Taıe
des denrees par la police. L’action de planter.
"Fard & l’usago des femmes. Proprete , orne-
ment. (p. us.) * Accord, convenüon. — dos
0008 , ponte.
PosturXıno, s. m. vendeur de fard.
Pöra,s. f.(t.d’Asie) V. Potö.
PoTäcEM, s. f. " potage, soupe. * Ragont I;-
quide.* Breuvage : polion composte de ple-
sieurs ingredients.
tPorauines, s. f. pl.(t.de myik.) potami-
des, nympbes des fleuves.
+ PoTauoctro ow (. de bot.) potamot -
+ Porauocito, s. m. } plamede la tdtrandrie.
T Poramocrarpia, 5. f. potamographie :
description des fleuves.
Portassa, 5. f. (4. de chim.) potasse : sel al-
cali fixe , tird des condres des vegetaux.
t PoTasstıno, s. m. celuiqui pr&pare la po-
Lasse.
t Porässıo,s. m. (1. de chim.) potassium:
metal, base de la potasse.
PoräveL, adj. 2 gen. polable : qu’on peut
boire. Dinheiro —, monnaie qui passe de main
en main.
PöTz, 3. m. pot de terre, grande cruche.
Mesure de liquides en Portugal, contenant ä
peu pres douzo.pintes : c’est la moilie de Yal-
mude.
Pot£a ,s. f. poudre d’elain calcine.
Porscin, s. m. (t. d’Asie) receveur des im-
pöts d’un village.
Portıno. V. Poterio.
Porkncıa,, 3. f. puissance , pouvoir, aulorise:
domination , empire; Eiat, souverain ; force;
vertu ; ($. de math.) degre auquel on &ldve une
grandeur en la multipliant par elle-meme; ; 1.
de mccan.) ce qui meut un corps, surmonte un
obstacle; facult€ d’engendrer; &rection. Fa-
POU
culis; possibilit4 ( inus.). —s , pl. Puissances :
Etais, souverains. —s da alma, facultes de
Pärme.
PorsncıiL, adj. 2 gen. (I. de mdd.) potentie!:
qui produit son effet par une vertu eauslique
(cantere ), opposeä& actuel. Qui renferme en
soi uno Puissance ; qui appartient & la puis-
sence.
++ POTENCIALMENTE, adv. $quivalemment,
virtuellement.
PoTEnTäino, 8. m. potentat : souverain d’an
Etat pnissant.
PoTEsTe, adj. 2 gen. puissant. V. Poderoso.
— , fort, vigoureux; propre & la generation.
Porentea, adj. f. (t. de blas.) Cruz—, croix
potencke.
POTENTEMENTE , adv. puissamment.
+ Porentiuua, s. f. (. de bot.) potentille :
plante rosacee.
Potentissıno, A, adj. sup. de Polente.
Por£xıo, s. m. (t. de bo8.)V. Pimpinella
hortense.
+ Portana, s. f: (1. de fort.) poterne : fausse
porte dans les places fortes.
Porsstioe, 3. f. toute-puissance divine.
* Pouvoir supreme, autoritö, domination. An-
cienne charge ou dignils qui repondait & celle
de corregidor ou gouverneur. —s, pl. puissan-
ces „ sixieme chaur des anges.
+ Porıcoiras, s. m. pl. Indiens du Bresil
dans la province de Fernambouc.
+ Porıgri, s. m. — do Brazil, * eigsle de
mer:
+Porissınmo, a, adj. sup. (p. us.) special,
prinecipal.
* PoTo, s. m. * boisson. V. Bebida.
+ Porö, s. m.(f. d’Asie) instrument de vente
ou de bail passe par-devant notaire.
+ Porosi, s. m. (8. de geog.) Potosi : ville du
Perou. (fig.) Potose : richesses abondanles,
source de richesses.
+ PorötE, s. m. (t. d’hist. nal.) kinkajou ow
to: mammifere carnassier, plantigrade.
Pörzı, s. f.(t. pop.) descente, enterocklie,
bernie inguinale.
Porriö. V. Polträo, Polroso. »
Porainno, s. m. jeune poulain. dim. de
PöTRo,s. m. poulain:: cheval qui ne passe
pas quatre ans. Chevalet:: instrument de tor-
ture.
Porn6s0, a, adj. hernienx : qui a une ente-
rocöie ,„ une hernie. .
Poucacakıno, adj. et s. dim. de Pouco. Tres-
peu, tant soit peu, si peu querien.
Pöuco, A, adj. peude, court, limits, en pe-
tite quantit6. Bem — , assez peu. Um —, lant
soit peu. — tempo de pois,, peu de temps apres.
Ainda ha — ,nagudre,, il n’y a pas longtemps.
— #— aa velha 0 copo, petit A petit Poiseau
faitson nid. Por — que, pour peu que; il s’en
est peu fallu que, etc. Por — que V. M.de...,
si peu que vous donniez... Homem para —,
bomme court, de peu de capacit&, de peu de
POU 937
peu de soin. Poweas vezes, rarement, pas sou-
vent. Mudtos —s fazem miuito ‚les petits ruis-
secaux font les grandes rivieres, Estas —as pa-
larras , ce peu de mots.
Pouco, adv. et s. m. peu, ’oppose de beau-
coup. — mais ou menos, ä peu pres, peu plus
ou peu moins, environ. D’aqwi a —, sous peu,
bientöt. Dar-se-Ihe —, faire peu de cas, comp-
ter pour rien. Ter em — , faire peu de cas.
Poucocuinno. V. Poucachinko.
PöurA,s. f. (8. d’hist. nal.) huppe, pulput,
lupoge: bel oiseau de passage buppe. —, toulfe
sur la tete des oiseaux.
Pourino, A, pP. p- de Poupdr. adj. Menager,
&conome.
PoupAnör, A, 3. menager, econome.
Povriö, s. m. ( fam.) V. Poupador. Qui se
menage,, qui s’esquive au travail.
Povrär, d. a. &pargner, menager; &conomi-
ser. (fig.) Menager, epargner (queiqu un, quel-
que chose ).
Pourir-se, & r. se menager. — a0 fraba-
Iho , s’esquiver au travail.
Povauvipipe, 8. f. petitesse, peu , petile quan-
til; bagatelle. Lächet£ , manque de courage.
Pooqrissiso, A, adj. sup. de Pouco. Extre-
mement peu, le moins possible , en Irds-petile
quantite.
*Pouquocuinno. V. Poucachinko.
“ Pouasuivans. V. Passavanles.
*Pousa. V. Pousada , Repouse.
Pousipa, s. f. maison, logis, domieile, de-
meure. Hötellerie,, auberge. V. Aposentadoria.
Porvsıp£ıro, s. m. derriere, le siege, les fer -
ses. (anf.) Celui qui preparait le logis. (id.)
Pätre, berger.
* Pousapia. V. Aposenladoria.
*Posino, s.m. V. Pousdda.
Pousipo, A, P. p. de Pousar. adj. Loge. As-
sis. Pose. (ant.) V. Aposentado, Reformado.
* Posapör. V. Aposenlador.
Pousapöuro, s. m. lieu oü l’on pose 53
charge. (ant.) Derriere, les fesses.
PousaröLLes, adj. V. Tardo, Vagaroso.
PöusiLöusa. V. Borboldta.
Pöusinte, adj. 2 gen. et p. a. de Powser.
(t. de blas.) Couchant, qui se couche.
Pousir, ©. a. poser, mettre bas un fardeau
pour prendre haleine.
Porsin (em), v.®. loger dans une hötellerie,
cbez quelqu’un ; descendre chez quelqu’un ow
dans une auberge. S’asseoir, se reposer. S’a-
battre: se poser & terre, parlant d’un oisesu.
(ant.) V. Morar, Habitar. — n’um ramo, ju-
cher sur une branche, parlant d’un oiseau.
Posentanor. V. Aposenlador.
Pousio, s. m. * terre en Jach@re.
Porsio, a, adj. en jachere, inculte.
Pouso, s. m. lieu o& l’on repose. V. Estancia.
Juchoir. Parage. Gisant de la meule. — das
ndos, (4. de mar.) ancrage, mouillage. Tomar
— ,(id.) jeter l’ancre, mouiller.
Pöuta, s. f. pierre qui sert d’ancre aux ba-
valeur, läche. Ouem — lem — teme, peu dsbien, | teliers.
940 PRE
* Praztare. V. Aprazivel.
Puaazentein. V. Lizongeer.
PaazEnT£inamente, adv. plaisamment, gal-
nent.
Paaszentrtino, a, adj. plaisant, gai, amu-
sant, joyeux.
* Pnazentrto, s.m. V. Lisonja.
Parzin, s. m. plaisir, joie, contenlement.
A —,ä& plalsir, aveo pläisir, ow & l’aise, ä loisir,
sans se gener ni se prosser. A sew —, loc. ade.
comme il vous plaira ; A volre commodite.
Casa, de —, maison de plaisance. Mei-
ler om — ‚ ohanger, convertir en plaisir.
Pnazer, v.n. irreg. plaire: @ıre au gre de.
Präza a Deos,, Dieu veuille,, plüt ä Dieu. Como
üke prdz, comme il vous plaira. Prazendo a
Deos, s’il platt & Dieu.
Prizın£nto. V. Prasme, Consenlimenio.
Prizo, s. m. * proprieis d’un domaine
moyennant un ball empbytöotigue eu & cens.
Terme : delai donne pour repondre, eic.;
temps prelix de payement, etc.
Prß,s.m. (1. milil.) pret: paye du soldat.
T Pas, pröp. lat. (pre) qui enire dans la
composition de plusieurs mois. Quelquefois
elle augmente leur signißcation , comme dans
preoolaro, predildcto ; quelquelois elle marque
antsrioriid, comme dans ‚pro
ver, etc.
Patı, s. f. proie; prise; betin. V. Press.
+ Pati, s. f. quadruptde du Bresil. V. Can-
T Pazapanuitas, 5. m. pl, pre&adamites : sec-
leires qui pretondaient que les hommes exis-
taient avant Adam.
PazaLıncäino, A, adj. preallögue : qui a die
“uonch precödemment.
Pasauirn, s. m. hauie marte.
PazausuLie, v. . faire des preambuies,
proambuler.
PaziusoLo, 3. m. presmbule : espsce
d’'exzorde, d’avanı-propos. (fam.) Delour, cir-
oenloculion.
Pazin ou Pazran, v. a. voler, piller, pirater.
Prendre, enlever. V. Apresdr.
Pazaßxna, 3. f. prebende :: revenu attache ä
une place de obanoine; oanonicat. Meis —,
semi-pröbende.
Pazsenpino, adj. et 5. m. prebend6 : quia
une prebende.
Paunanpanıı, s. [. charge de pröbendier.
Pazsanp£ıno, 5. m. prebendier : qui prend
a ferme une prebende, un benefice ecelesias-
Gue.
Paguöste, 8. m. prevöt de l’armee.
ı Prscacäö, s. f. supplication. (ant.) V. Co-
*Pazcaıcan. V. Perealcar.
PazciıLco. V. Percalpo.
PascinıautuTE, adv. pröcairement : d’une
maniere precaıre.
PazCänıo, A, adj. pröcaire: qui ne s’exerce
que partolörance, par emprant, par permis-
sion, avec döpendance, Incertitude.
PRE
PRECATADAHENTE ‚ade. par precaulion; avec
soin, avec prudence.
Paecatino, A, adj. precautionne. Y. dar
tsllado. p. p. de.
Parcatin, v. e. prövenir, precaulienner,
premunir. V. Acaufellar.
PrecarTin-seE (de), ©. 7. so precaulionner,
prendre ses precaulions contre. S’apercoveir.
* Prazciro,s. m. V. Procaupio.
Precatönta, 8. f. commission Fogaleire.
Precatößıo, A, adj. Carla —a , letire depre
cative. V. Procaloria.
Precauciö, 3. f. precaulion; reserve, cu-
tele.
PRECAUTELADO, A, P. 9. de
PrECAUTELÄR,, ©. a. et ®. prendre des pie
caulions, se precautionner. V. Precater, dt
telar, Precaver.
Precavrörıo. V. Preservalico.
Precavia, vo. a. prevenir les acoidents qui
peuvent arriver.
PrEcAavar-SE, vr. se precautionner.
Pnecavipo, a, p- p. de Precavrr. adj.'.
Precatado.
“ Pazcan. V. Prezar.
Paecepencıa , s. f. l’action de proceder. Prt-
stance : droit de preooöder, de prendre platt
au-dessus de quelgu'un.
PRECFEDENTE , adj. 2 gen. pröchdemt, qui pf*
cede. p. a. de
PRECEDENTEMENTE,, adv. precedemment, +
devant.
Preceotr (6), v. a. ei w. devancer, prött-
der, aller devant. Prec#der : avoir le pas, I
preseance. (fg.) Exceller, surpasser.
Pnecevino, A, p. p9.de Proceder.
Precedintnto, 3.m. V. Preosdencie.
Paeceıtivo, A, adj. V. Prrocspliwo.
Prec£ıro, 5. m. precepte, commandeme!:
tögle, enseignement pour l’action. — forns
d’obediencia, ordre donne & un religieus @
vertu de la sainie ob&dience.
Pnxcgır6a , etc. V. Preoceptor, eic.
PRECEITOAR , 9. a. donner des procepies.
+ PRECEPTIVAMENTE, adv. avec precepie:
par pr6cepte.
PrecEPTivo,A,adj. ptöcepüil: qui conlee
des preceptes.
PaECcEPTÖR, 8. m. precepteur, maltre, inst-
tuleur.
+ Preceproria, s. f. pr&bende preceptorisk,
affecide au matire de grammaire des .
os A un maltre ow docteur en ıheologie due
universits. Commanderie destinde & un chers-
lier de Pordre du Christ, qui servait äses Iras.
en Afrique, pendant deux ans.
PascerronıiL, adj. : de pre
cepieur. Prebenda , Beneficie —. V. Prexp
|
Pascarrönıo „A, adj. precepulf.
Prices, s. f. pl. prieres indes de Fherksre
sainte; priöres publiques. V. Röges, Suppi-
“ Parcassi0 ‚e. f. antieipation (p. we). d#
PRE
equinomios, (t. d’astr.) pröcession des dqui-
noxes : mouversent retrograde des points equi-
noxiaur.
Pascna.V. Pereha.
Pazcıino. V. Prexddo.
Pazcıtscıa. V. Prescioneis.
Precinta, 3. f. bande de cuir avec laquelle
on joint les planches d'un oaisson, etc. V
Cinla.
Pascıntido,A,p.p. de
Precınrär, vo. a. assurer avec des bandes de
euir les planches d’un caisson , etc. Ceindre.
Pnecinto. V. Circwito , Reeinto.
Preciösautntg, adv. precieusement.
Parciosipäne, 8. f. preciosits : qualits qui
rend precieux; excellence; chose precieuse,
d’ungrand prix, tresor, rarete.
PreECiosisstMo, A, adj. sup. de
Paxcıös0,A, adj. precieux, de grand prix,
excellent.
PaEcıricıo, 8. m. precipice : gouflre, vide
escarp6 d’oa l’on ne peut sortir; (fg.) grand
malheur, grande disgräce. (id.) Declin, deca-
dence,, ruine. * Chute violente et rapide. Grand
danger d’un malheur, etc.
Parcırıtackö, 3. f. action de precipiler
(inus.). Preeipitation , häte, promptitade , trop
. grand empressement & dire, & faire, elc.;
etourderie. (6. de chim.) Precipitation : dega-
gement,, chute des parties grossiöres d’une dis-
solution, elc.
Pnzcırıräpamnte , adv. precipitamment .
avec precipilation, ä la hAte; sans röflexion,
brasquement, inconsiderement.
PRECIITADISSIMO, A, adj. sup. de
Pazcıriräno, A, 9. pP. de Precipilar. adj.
Brusque , inconsider€, etourdi.
Pascırttädo, s. m. (1. de chim.) precipilö:
matiöre dissoute, degag6de et tombee au fond
d’an vaisseau.
Pazcırıtänte, s. m. (8. de chim.) precipi-
tant : ce qui opere la precipitation. st. adj.
p. a. de
Preciprrär, v. @. precipiler : jeier dans un
lieu profond, dans un precipice. (fg.) Häter,
presser trop ; faire avant le temps. (1id.) Expo-
ser & un danger imminent, ä une perie cer-
taine. (8. dechim.) — , faire un precipile.
Pazcırıran-se (a, em), dv. r. pröcipiler les
choses, se precipiter, sejeter dans, fondre sur;
se bäter trop; se jeter dans un precipice.
PRECIPITE, adj. 2 gen. qui se precipite, lance.
Parcırıröso,, A, adj. escarp6, etc. , d’oü l’on
risque de se pröecipiter. (Ag.) Inconsidere, qui
agit avcc precipitation. V. Precipilado.
+ PrEciruamente, adv. (f. de pral.) en rece-
vant le pr&ciput.
Paeciruo, s. m. (6. de prai.) preciput: don
mutuel des dpoux au survivani; prelövement
avant le pariage d’heredite, etc. Il est aussi
adj.
Precısin0, A,P. p. de Precisar. adj. Force,
oblig6, contraint. Qui a besoin; dont on a be-
soin.
PRE 9
Pazcisaußxte, adv. nösessalrement, indis-
pensablement, par un besoin absolu. Procise-
ment, avec justesse, precision. .
Pazcısiö, s. f. pröcision, justesse, exasli-
iude ; abstraction de l’esprit. Contrainte, obli-
gation, n6cessit& indispensable. * Besoin , indi-
genen. Que — ha de diser ? qu’est-il besoin de.
ire?
Przcısir, vo. a. foroer, obliger, oontraindze,
necessiter. Exiger, demander. O negocio pro-
cisa mdila altengdo, l’allaire demande beau-
coup d’attention.
Prucisir (de), 9. ». manquer, avoir besein
de. Etre dans l’indigence. A
de marinheiros, la flotte mangue de malelots.
O doente precise de descango „le malade a be-
soin de repos. V. Necessilar.
Pazcisia-SE, v.imp. falloir, &ire de n6oss-
sit6; avoir besoin. Precisa-se mdilo segredo, il
faut beaucoup de secrei. Preeise-se d’um
criado , eio., on a besoin d’an domestique,eic.,
on demande un domestique.
Prexciso, A, adj. neesssairs, indispensable.
Proeis , fixe, dötermins,, arr6t6; expr&s, formel.
Abstrait : s6öpar& par Fentendement. Ser
falloir ; &tre de necessits; avoir besoin. A —
faser, ete., il faut faire, etc. Nio 6— ‚il ne
(aut pas; il n’est pas besein, il n’est pas n60s8-
saire. Onde — for, oü besoin sora. Faz-so me
—de ir a tal lugar, j'ai besoin d’aller en tel
endroit. Foi —,ila fallu. A tempo —, & point
nomme, & l'heure dite. 11 est guelquefois subs..
O— para viver, le necessaire, l’indispensable
pour vivre. Comer aldm do —, manger au delä
du besoin.
Paxcito, A, adj.ets. damne, r&eprouve.
PrecLanissımo, A, adj. sup. de
PaecLino, A, adj. grand, illustre, celebre
renomme. Trös-brillant, lucide, lumineuz,
Tres-beau , tres-bien fait.
+ Pnxcöce, adj. 2 gen. pröcoce : mür avant
le temps , la saison ; (Ag.) prematur6.
+ Puscocipäne, s. f. precocits : qualits de
ce qui est precoce.
PrucöcnıTo, a, adj. connu par anticipatien.
PrEconızacäö, s. f. preconisation . declara-
tion au conclave qu’un beneflcier, un eväque
nomme, a les qualil&s requises.
PRECONIZÄDO, A,P. p. de Preconizar.
PRECONIZADOR, 8. m. prfeconiseur, qui pre-
conise; encomiaste, panegyriste, pröneur.
Preconızin, ©. a. preconiser : declarer @®
consistoire que telui qui est designed a les qua
lites requises ; (fig.) louer excessivement, prö-
ner.
Pazconpıir, adj. 2 gen. (l. de med.) pre&cor-
dial: qui a rapport au disphragme, qui se
passe autour de ce muscle.
+ Pneconrtr, o.». devancer, Courir devant.
Patco „s.m. prix, valeur;, (Ag.) excellence,
merite. —, r&compense donnde, proposee &
celui qui excelle dans un travail, un art, efc.;
(Ag.) ce qu’il en coAte pour obtenir un avan-
tage, Abrir —, ixer lo prix. Ajusldr-se no—,
2 PRE
vonvenir de prix. Treier do—, eslar em,
marchander. Pr em =, metire & encen. A
de dinkeire, & prix d’ergent. Por dem, &
bon sompte, & oossla, a a just. her
derade for ‚au plus .
Mdo— preii, gain illieite (de prestitulien,, de
comupiien d’un juge, eto.). Mulker eye mere-
chnenfe no ba --,
natt pas le prix. Ester em —, ötre en marche.
s vonder por sie, por lal —, ache-
ter, vendre os prix, tel prix. -
"Paxcro. V. Pielte, Litigie.
*Pazconia. V. Pereufer, Desbereter.
Papcpnein, u. m. devancer, venir devamı
OO PrOSHTSSeT.
Pancunson, A, adj. ot s. pröcursser : qui
vient avant un aulre Pouf annoncer Sa voRut;
qui pröcdde un autse. Avant-Ooureur,
Panounsora,s.f. avankoeurriöre. V. Procur-
ser.
Pascvasönıo, A, adj. devancier, pröcurseur.
Pansarönto, A, adj. armmd on sourse (navire).
Pagpsczssön, A , #. prödsoesseer : qui a pr&
otde queigqu’un dans une plaee, etc. —es, Pl.
79, 0gux qui ont voou avanı nous
dans )o meme staat. Devanoiers, ancötres,
aleuz. V. Anlepussades.
Pausermickö, a. f. (1. de ihdol.) " dseret de
Dive pour Poxistenoe des ohoses dans un temps
marque. V. Preodestinagde.
Paspermiso, a,p.p. de
Paspermir,, 0. a. döierminer ie temps od les
ehoses doivent exister.
Panezstinaciö, s. f. destinallon falle d’a-
vonoe. Prödestination des &lus,
PaEDEsTınNäno,a ,adj.et s. destine d’avance.
Predestine : que Dion a destin6 & ia gleire 6ter-
nelle; 6lu. 9. p. de
Pazpesrmin, 0, a. destiner d’avance. Pre-
destäner : destiner do tonte &ternils (au salut,
& faire de grandes choses, eto.).
Panpesrintanistas,s.m. pi. prödestinallens:
seclaires partisans de la predestination, quiad-
metient des &ias et des damnds de loule &ter-
nite, par le choix de Dieu; fatallstes.
Pasoxrznmmaciö, s. f. prödeiermination :
dätermination anticip6e.
Przpgrenuımino, A,Pp.p. de
PaEDErzanuınÄr, v. a. predeierminer: deter-
mainer d’avance. .
aepılL, adj. 2 gen. prödial : qui ooncerne
les fonds et les herilages. 1
Patoıca , s. f. art de pröcher, exercice de la
chalte. Predication, pr@che : sermon des pro-
testanıts.
Paxpıcino, s.ım. (1. de log.) attribut d’une
proposition, ce ge’on aflirme ou nie du sujet,
*Qualite, talent, don de la natare.
gan ERICADOR, s. m. ministre protestant, pas-
r.
1 BICANERTÄDO, 4,p. p. de Predicamen-
PaxDıcamentrÄL, adj. 2 n. (t.de bog.
ooRcerne lag predicamenls. ne
feınszıe dest Om 6 00n- | est
PRE
? Paxbicauzutän, o. a. donner Prödic-
dans
went, une eakigurie,
‚2. m. pridinsment : Tune das
eattgories d’Aristote; ordre, rang de len Ks
ütres selon leur genre, Jeur espire. Bang,
classe , cat£gorie ınorale em politiqgue, etc. (By.
p. us.) Dogr6 d’esume, de sinststion oü le
Panmsıciure, 5. m. prödisant: minisire pro
testant.
Pazpicarivo, A, adj. qui concemme Far de
pröcher, de la ebeire. Kstylo —, style del
chaire. V. Predicavel.
Pazoıciro.V. Predicddo.
PredıchvatL ,ad/.2 gen. qui peut dire pricht.
(ast.) Digne de louange, d’sloge. (4. de lg)
Predicable: se dit d’ume qualits que len peei
donner & un sujet.
Previccäö, s. f. peödielion : aolien de prt-
dire; chose priediie.
PreoiLecciö, 6. f. prödilection : prelörente
d’affeclion.
+ Paznıt£cro, a, adj. cheri : aimdpar meh
renoe.
Paäsıo, s, m. fonds de teste, birilage, d*
maine. — liere, frano-Sef. — rusiice, ehımp
qu’on eultivo, terre labourabie, bien de cam-
pegne, propriöts rurale. — urbane, prepuek
urbaine, maisen & la ville.
PaxpiT0, A,p.p. de
Paspıztn, v. a. prodire : ‚une
cer par inspiration, divinalion ow ceBjeclam.
Paraoumipo, A, p. p. de Prodeminer.
Paxpowmnanen, A, adf. V. Prodeminsek.
PaEDONINÄnTR, adj. 2 gem. prödominani: gi
predomine. p. a. de
Przoommin, v. a. ot plus souvent ». prid-
miner : prevaloir, Femporter sur; exoelle; se
lever; solater. On le dit en parlant des veri®,
des vices, des humeurs du corps humait qui
prevalent sur les autres. —, dominer perl!
Iltrement, se faire sentir davantage, parlan
d’en vent, eie. — , dominer sur qui
qu’un, avoir de Pascendant sur lui (p. 8.)
PREDOMINIO, 8. m. ° inatien : acüt
de predominer. Empire, pouvelr, saptriri®,
ascendant. * Qualit# des humeurs de oorpe b*
main qui pr&valent sur les autres.
Pauzcin. V. .
PrezezLectn, v. 6. dlire d’avanoe.
PrreLecivo, A, 9. p. de Prosisger.
+ Pazzıziciö, s. f. action d’elire daran:
d’etre &iu avant un auire.
PrezL£rro, A, p. p. irr. de Prosisger.
Przzumtrcia, 8. f. prodminenee : avanlaf!
prerogative de la dignite, du ramg.
PAKENINENTE, adj. 2 gen, procmineni: 99
excelle , au-dessus.
Praezurciö, s. f. * achat anlerieur.
PREENCHER , u. @. remplir, aecosaplis (12 P®
messe , 610.) ; s’acquitter de, satisinhre (Se5 e
gagements, son devoir, elc.).
Prassransızeta, v. a. btablir daberd.
PnEszcaLuDnca, 3. [. prinzoeilenen: gut
— m m u 0.
PRE
suptriorit6 prononede, reconnue; excellence
au plus haut degre.
PRaBLcRLLüYYE, ad. 3 gen. ürds-superteus.
PnasxctLs0, A, adj. grand, dlevö, sublime.
Paaezxıstäncıa, 6. [. pröexistenoe : existence
anterleure.
PrREXISTänTs, adj. 2 gem. pröezistant : qui
existe avant un aulire.
Pazexistin, v. ». präesister: exister avant
un autre.
Prerici6, 0. f. preface : discours prelimi -
naire; preambule; avant-propos.
Pasricıo, s.m. * pröfaee : pariie de la messe
avant le canon. V. Prefagdo.
Prurarta. V. Porfazxer.
* Pnerzcro. V. Prefeilo.
Pazrecrdns. V. Prefsiture.
Prertiro, s. m. prefet : titre de dignits obez
les aneiens Romains. Celai qui preside dans
une assernblöe,, ete. Pröiat de certains ordres
rellgleur. Prefet de college. — ‚chef d’un de-
partement, eto., en Franoe.
Paxrzırdga , s. f. prefeeture : dignile de pre-
fet, son teibunal (1. d’ant.); en France, dignits
du premier administratear d’un departement;
ses fonctions, leur durte: sa rösidence; son
arrondissement,
Prepentncıa, s. f. prelerence » choix fait
(d’un ötre) plutöt que d’un autre; drolt d’öire
pr&ftre. Pr&sdance, pas. Com —, de pröfötence.
Suscilär&o-se soniendas d cerca da —,
il surrint de grands debats sur le pas.
PREFERENTE, adj. eis. ü gen. qui prelend A
&tablir un droit de prefärence en justice. Pre-
ferant, qui prefere ; qui a ou la preöförenoe.
Pazrenino, A, p.p. de
Prerreaia (a), v. a. pröferer : donner !avan-
tage (&), metire au-dessus de. u. n. Avoir P’a-
vaırtage, le dessus (dans un Concourss, eic.);
la preförence ( Jans un payement, eıc.). Avoir
je pas sur. Os duques profsrem aos conden, les
ducs' ent le pas sur les comtes.
PaEFERIR-SE, v. r. se preferer : se croire
meilloar qu’un autre,, preferable & lui.
PrerzaiveL, adj. 2 gen. preferable : qui doit
eire prefere.
PREFERIVELMENTE , adv. preferablement :
par preference.
Prericunino, A, P. 9. do Prefgurdr.
Paxrrıgusanen, 8. me. Qui llguro par avance.
Pagriounän, 9. @. flgurer, Teprösenier par
avance.
Passınia,o. a. (il. de pral.) prelnir ; üxer
un ierme,, un delai pour un acle.
+Pazrıxino, a, p. p2. de Prefizar. adj.
Fixö, marqu6, determine d’avance.
ft Prerıxam&nte, ade. d’uns ınaniörc Axe,
determinde.
+Prerıxia, v. @, fxer, marquer, ddtermi-
ner d’arance,
Pausixo,A,Pp.p. ter. de Profisar. adj. Fixe
d’avance, ete. Prefix, determine; conclu, er
sets d’avanco.
TPASFLORBSeBREeLA , 8. f. (1. de dot.) pröfleu-
= PRE 943
raison : &tat des parlies d’une Aeur avant son
tpanaulssement.
+ Pnaruaänts, adj. 2 gan. trös-delatant,
trös-resplendissant. Qui a Iui d’abord (p. ue.).
Prtca, s. f.* plid’un babit, froncis.
Paßcackö, 8, f. (ant.) predicalion. V. Ser-
Pansıcäd,s. f. les plus petits trous de la
Nliöre.
Pnzcanico, A, adj. qui s’attache par dos
olous. .
Precino, A, 9. p. de Pregar. adj. Fixs,
+Pascino, s.m, turbot. V. Rodovalko.
Pre£cävo, A,p.p. do Pregar.
* PnkoansiR0. V. Pulpito.
PakoanöR, s. m. predicateur : qui annonce,
avcc mission , la parola de Dieu, los verites de
YErangile. Os frades —es, les fröres pröcheurs,
les dominicains. —, A, adj. qui pröche, qui
annonce une verile ınorale.
PrEGADURA, 8. f. aolion de clouer. Garnilure
de clous. V. Pregegem. — d’um vestido, * pli
d’une robe.
PresiceN, 8. f." olous, tout ce qui sert ä
elouer, olouterie, V. Pregaris.
Przoina. V. Pragana,.
Preciö,s. m. ban: cri publio, publication &
son de troınpe. Louange publique d’une per-
sonne ow d’uno ohose. — de casamenio, ban,
proclamation de mariage. — dos bens , ° criee.
Pnecär, v. a. clouer : chasser, planter un
clou & oaups de marteau; attacher avco des
clous, etc. Fixer. (ant.)V. Pedir, Rogar. —
uma menlira, dire UD MERSONg®. — uma pera
a alguem, jouer un lour ä quelqu’un. .— um
bofeldo, ilanquer un soufliet. — os olkos dm al-
gums cousa, fixcr les regards sur quelque
chose. Näo — olko ou os olhios, loda a naile,
ne pas former l’eeil de toute la nuit.
PRrEGÄAR-sE (0m), v. r. s’enlerrer.
Precär,v. a. et n. precher : annoncer en
chaire la parole de Dieu ; instruisc par des ser-
mons. Publier, divulguer. Louer, exalter,
" PnEcansTas, 5. f. pl. religieuses domini-
caines.
Pazcania, s. f. grande quantil& de clous;
garniture de clous. V. Pregagom ei Cravagdo.
—s, pl. (ant.) V. Preces, Supplices.
Pr£co,s. m. olou ; morceau de metal & töte
et pointu pour fixer, etc. Grande epingle de
l’ancienne coilfure des fommes. —, furoncle.,
* Depeche cachetee, pli; leltre de cachci.
* Feuille enüöre de papicr (p. us.,. Nom d’un
poisson de mer qui a trois rangs de denis. Ndo
izar — em parede. V. Deizur.
Pns6oA00, A, P-'p. de Pregoar.
PREGOADOR ‚A, 8. Grieur : qui Crie, qui pro-
clame.,
Pnecoär, ©. a. publier ä son de trompe.
(fg.) Publier, divulguer, rendre public; prö-
ner. V. Apregoar, Proclamar.
PRARGOÄR-SE , U. F. 56 PrÖner, Se vanter.
PRECORIRO, A, adj. ot s. crieur public. (g.)
94 . PRE
Homme indiscret, qui publie ce qu’on igno-
rait. — dos louvores d’alguem, pandgyriste,
pröneur, louangeur.
* Pazcoarörno. V. Pulpito.
Pazcrica, s. f. paresse : negligence; delaut
de soin, nonchalance; indolence, lenteur &
agir, peine qu’on a & se lever, & gaitter son
siege. Pi&ce d’un moulin & bras. Corde atta-
chee & un fardeau, elc., qu’on guinde, pour
Pecarter da mur, etc. — do Brazil. V. Pregui-
6080 , 8. m.
+ Paegcvıcär, v. m. faire le paresseux; se
donner & la paresse, agir avec indolence , avec
lenteur.
Precuickino , s. m. lit de repos, couchette.
Precvicösamente, adv. paresseusement :
avec paresse, nonchalamment.
Precuic6sV, A, adj. paresseux : qui ne ira-
vaille pas; nonchalant, qui aime & eriter l’ac-
tion, letravail, etc. ; negligent ; indolent, lent
A agir ; qui se Iöve tard et avec peine.
3 + Precvigdso, s. m. (t. d’hist. nal.) pares-
seux: animalqui approche du singe, et nepeut
que grimper. — maior ou pregwica do Brazil,
unau, animal sans queue, didactyle, tardi-
grade. — menor, ai ou hay, mammifere tardi-
grade d’Amerique.
Precvinno , s. m. dim. de Prego. Petit clou.
Precuntär, otc. V. Pergunteor,, etc.
+ PnesasıLıtackö, s. f. habilitation faite
d’avance.
+ PrenaBiLttän-se, v. r. s’habiliter d’a-
vance.
*Pnerrän. V. Pogar, Peitar.
*Preirein,eic. | V.Preitejar ; Pleilear,
"PREITEGAN. etc.
*PREITEIAMENTO. V. Ajuste, Contracto, Pacto.
*Pneıtssan. V. Ajustar, Paclear.
"Paeıtgsia,s.f.V.Preilo, Ajuste, Concerlo.
"Preirßz, adj. 2 gen. V. Conflado, Desem-
baragado.
Prtıto, s. m. (ant.) pacte, accord, promesse
de faire. V. Pleito.— e m de vassallo,
hommage du vassal envers le suzerain, foi ei
hommage. Fazer — e menagem d’uma [ortaleza.
On ie disait autrefois du gouverneur d’une for-
teresse qui pre@tait au seigneur le serment de
Bdelite. V. Homenagem. .
Pazsunicär,, etc. V. Perjudicdr, eto.
PREJUDICIHÄL ‚adj. 2 gen. (1. de prat.) presla-
ble : qui doit &ire examind, decid& avanı le
fond. V. Perjudicial.
PusjupiciaLmente. V. Porjudicisimente.
Paxzıuizo, s. m. prejuge : jugement port& ow
admis sans examen; prevention pour 0% con-
tre; opinion ‚principe ,premidre notion adoples
sans oxamen. V. Perjuizo.
Praracäö,s.f. (p. us.) preference.
Preracia, 8. f. prelature : dignite de prelat.
Preracrir, ©. n. devenir prelat; exercor les
fonctions de prelat ; se prelasser.
ParLipa, s. f. superieare d’un couvent de
‚eligieuses, abbesse, eto.
PasLania, V. Prelarig,
PRE
PazLino, 3. m. prelat : präire revdis diem
principale dignit6 ecel6siastigue avec jaridk-
tion; ovöque, abbe, etc. Seperiegr de maises
religieuse. — domesiieo, prelat domesügue.
occl&siastique attach& & la maison du papt.
Pasuaricıo, a, adj. de prolst. Habiw-,
vorne —ss , habit de prelat.
RELATÜRA. .
PrELazıa. | V. Preiacie.
PaELECADO,, 5. m. prolegs : logs qui deu lin
delivre avant partage.
Pazızcär, v. a. prelöguer : laire un pr
legs.
Pretisaciö, s. f. “ avant-goüt, prelibaien,
premiere libation.
PreLisir, o. a. gohter le premier.
PazLınınän, adj. 2 gem. preliminaire:
precdde la matisre principale et sertd Teris
rer. 5. m. —, c6 qui precede; ce qui dei fit
reglö avant un trail6 definitil (—s de la peu»
Pr&Lıo, s. m. (p. us.) combst.
Pa&Lo, s. m. * presse d’imprimegje. Der #
koro ao —, melire un ouvrage Fus NM
Ester no —, tire sous presse.
PreLupiäß, ©. R. ($. de mus.) preode
jouer, faire des preludes, essayer sa vox !
Preambular.
PRELÜDIO, 8. m. prölude : 06 qu’on cher.
ce qu’on joue pour se metire dans le lea, M®
prendre l’sccord; pidse pour preluder; iM
ce qui annence, prepare, sert de
ment, de preparation. Debot, commencemel
d’une affaire, d’un discours. Avant-pfepe,
preface , preambule.
+ParxLuzia, v.». briller, eclairer parat.
*Patua, 5. f. oppression, vielence- *'
Urgencis, Neoessidade , Precisie.
" Pazuäir, ©. 6. Consiranger, Oppr#!:
Vezar.
Pasuätıca. V. Pregmalice.
+ Pnematunacäd, 3. f. "olat de ce wei
premature,
+ PaEWATuRAMenTE , ade. diune mM
prematuree,, avant le iemps convenabit.
+ PRENATURÄR, v. a. faire une chöst sı@
le temps convenable,
+ PremaTurınade, 5. f. prematarilt : a
ritö avant le temps ordinaire;; precoeile.
PaEMATÜRO, A, adj. sare : ge ei"
(fruit), quise fait ow arrive avant ie KAP
precoce.
Preueofiras, s. f. pl. marches ou peid®
d’un metlipr de tisserand.
Preugoıtacäö, 8. f. premeditatioe : 0
de premediter ; deliberation en soi-meme ara
d’agir.
Premeoırioo,A,P. 9. de Premediar.
PREMEDITADOR, A, 5. celui qui premedik-
PREMEDITÄR ,v. a. premsöditer ; medilet
une chose avant de l’ex&cuter ; formes 82
sein.
PRENIADO. A, 9. p. de Premier. adj. 1!
remport6 un prix,
Lv Ze
PRE --
Pansttanda, A, s. colai qui Ficoslupense,
zemunerateur.
PuzniäR, 9. 6. Föcompenser; accorder le
rix.
P PaEmIaTivo, A, ad). qui röcompense, qui
zömundre ; qui accorde un prix.
Pasuiptınas. V. Premedeiras.
Pausınkucia, etc. V. Presminsncie,, etc.
Pntuio, 5. m. prix, r6compense. —, 06 qui
est propos6 pour @tre donn6 au plus habile,
u te. "Prime d’encouragement. Pr&sent pour su-
b orner. —de seguro,, prime d’asaurance. Lo-
var 0o-— „remportor le prix.
Paruissas, 8. f. pl. (1. de log.) pr&misses :
les deux premidres propositions d’un sylio-
x isme. "Indices qui font conjeciurer, oonclure.
Sorte d’ancien impöt.
Pazuıssıas. V. Primicias.
Pa&xıttınanto. V. Promelimdnio.
Przuociö, s. f. (4. de Iheol.) premotion :
action de Dieu agissant avec la creature, et la
deteriminant A agir.
PREMONSTRATENSE, adj. 2 gen. nom de l’or-
dre des pr&ionirös et do ceux qui le Compo-
sent.
+ Prruonsas, (4. de bot.) V. Reirapddas.
Pazuupino, V. Permudddo,
PazuuniDo, A, P.9.de
Pauuuxin, o. n. prömunir. V. Precaver,
dcaulielar.
PasuumR-SE, v.r. 56 prömunir, se precau-
tiouner.
Ps£npa, s. f. "don, present. * Gage d’amilie,
eic. " Gage, assurance, preuve. "Objet tendre-
ment aime. * Talent, agrement. —s, pl. bonnes
qualitös; talents, dons de la nature. Jogo de
— „jeu de gages.
PRENDÄDO, A, adj. dous de talents , de bon-
nes qualitss, etc. ; faroris6 de la nature; qui a
rogu un gage d’amilie. p. p. de
Paznpäir, v. a. faire un present; donner um
gage d’amiti6, elo.; douer d’un talent, etc.,
parlant de la nature. Röcompenser. V. Pre-
weiar. Gagner, captiver l’affeolion, la bienveil-
lance de quelqu’un.
PunENDEDOR, 5. m. colui qui arr&te.
PnznD£R, 9.6. prendre, saisir. —, erröter,
mettre en prison , emprisonner. Attacher : lier
unechose &ä une autre. ( ig. fam.) Arröter, re-
tenir. (anf.) V. Tomer, .
Prenpän (em), v. ®. prendre racine. Tenir,
@ire atlache d. Prendre : se coınmuniquer, par-
lanı da fen, etc.
Pranpäa-sk, v0. r. 36 prendre, s’attacher,
s’accrocher &; etre pris, öire captive de.
Pnenpipo, A, p. p. de Prönder. adj. V.
Preso.
Purnpımento,s.w. V. Prisdo.
+ Paunkere ou Prundstıo, 5. m. (f. de geog.)
Preneste ow Palestrine.
+ Paussstino, A, adj. de Pröneste ow Pales-
trine.
Pazrnnina, adf. f. femme grosse, enceinte.
V. Prenke, Pejade.
SORT.
*
%
PRE 945
PRRNYE, adj. 2 gen. Il ne so dit au pro
qu’au feininin, d’ane femme grosse, endeinie.
ot d'une femelle pleine. (fg.) Plein, rempli,
charge. (id.) Qui rec#le uno chose qu’on ne
peut decouvrir. Fazer —. V. Empr « Fa-
zer-se —, devenir grosse. Par&de —, (fid.)
mur qui fait ventre.
Parnußtz, s. f. grossesse de femme ; porise de
böie. Gestalion : durde de l’&tat de grossesse.
Paxunıpiö (p. us). V. Prenkez.
Paznociö, s. f. (t. de phil.) prenotion : con-
naissance obscuro et superficielle d’une chose
avant de l’avoir examinee. Connaissance anti-
cip6e,, pressentiment.
PRENÖNE, 5. m. prenom : nom que les Ro-
mains plagaient devant le nom de famille, tel
que Caius, Marcus, Titus, etc. Titre qu’on
ajoute son nom.
PRENOMINÄR, v0. a. donner un prenom.
T Paznoria, ©. a. remarquer d’avance.
Pa&nsa,s. f. presse: machine pour presser,
comprimer fortement, etc. V. Imprensa.
Prazxiscaa,sf.V.Pr 0.
Paznuncıacid, 8. f. predielion.
PaENUNCIÄDO, A, pP. pP. de Prenuneiar.
Paznuncıanon, s.m. V. Propkeia. adj. Qui
annonce, qui predit.
Pazuunciän, v, a. V. Prediser, Prophsti-
zar. “
PRENUNCIATIVO, A, adj. qui sert A annoncer
d’avance.
PAENÜRCIO, 8. m. annonce, pronoslic, pr&-
diction. adj. Qui annonce d’avance, qui predit.
Pazoccuracäö, 3. f. Yaclion de s’emparer
auparavant. Preoccupaltion, prevention d’08-
prit, prejug6.
u T PRBOCCHPÄDAMENTE , adv. avoc pr&occupa-
On.
PREOCCUPÄDO, A, adj. preoccups: prövenu,
rompli de prejuges. p. p. de Preoceupar.
PREOCCUPÄNRTE, adj. 2 gen. qui a occupe, qui
g’est empart avant un aulre. p. a. de
PaxzuccupÄr, ©. G. Occuper, se saisir, s'em-
parer avant un autre. (fg.) Pröoecuper : pre-
venir l’esprit.
PREOCCUPÄR-SE , ©. r. 56 pr&occeuper de, ss
prevenir; s’infaluer.
Paxorinichd, 8. f. pröopinalion : incertitude
du medeein sur le pronostic.
PREOPINÄNTE, 5. m. preopinant : qui opine,
a opine avant un autre.
PazorınÄr, 9, w. preopiner : opiner avanı
un aulre.
Pazonvenacäö,s. f. (8. de ik£ol.) preister-
minalion : decret eternel de Dieu, pour que
toutes choses eussent! leurs eflets dans lo temps
marque.
PaEORDENÄDO, A, 9.9. de
Parospenir, v. a. (1. de theol.) determiner
de toute dternite. V. Preordenacdu.
Preonpinacäd. V. Preordenapdo. '
Prgri0,s. m. (1. de mar.) piöce de bois pr&s
du mät. "
Pneranacäd,s. f. preparation, appret, dis-
—— .»
ıJ
986 PRE
posilion; somposition dos remädes. Avasite :
co qui se (rouve dehh fait, propard.
Paxpaninpımöntg, ade. aveo propameilen,
aY6c appröft.
Preranino, A, 9.9: de Preparer.
PaEpARADöR, A, 3. celai qui pröpare, ui
appreie ou dispose , appretsur.
PaEPARANENTO „os. m. V. Praperv , Prepa-
ragäo.
Pazranir (para), ©. @, pr&PRrUE » sppre-
ter ; disposer & ;meltre en dist, an dispweition
de ; aocommoder (tes meis). -—, CHIIPOBER UM
romedde.
PreErARÄR-SE (para), 9. 7. 80 pu6perer:
d’appröter, se disposer &. V. Apparethanss.
PREPANATIVO, s. m. appareit, peöpereill,
appret.
PREPARATIVO, A, adj. prepammteire : qui pu>
pare.
Paxrarnarönto, A, auj, pröperatelse » qui
pröpare. Os —s, pl. s. dtades tolres
pour entrer & l’universit6 da Coimbes, FEROR-
dant au baccalaureaten France,
PREPÖSTERAMENTE, adO. sans oOrdre : aulte-
ment qu’il ne faut. Au rebours, & contretemps.
t Pagrostsaän, vo. a. faire les oboses autze-
ment qu’il ne faut. V. Perserier.
T Paxrosraaınins, 9, f. " erdre senversd.V.
Preposterapdo. Qualits de co qui est intempes-
ul, contre-temps,
PrErÖSTERO, A , adj. intempestil, & ouwtas-
temps , hors de saison , here de prepos; falt ä
rebours.
- “+ PaEP6sTo, s. m. religious pebpons & la
sacrislie, ou pelit saorisinin ehez les chanuimes
reguliers (& Coimbre).
Pazr0sT0,A,9.p. de Prepse.
Preröstos, s. m. pl. preposes : commis &
guelque chose.
Prerorkncia, 8. f. puissanos superisuns:
pouvoir oxcessif, abus da pouvels, aste afßi-
traire.
PREPOTRNTE, adj. 2 gen. (ort puissunt, Igal-
puissant; predominant; qei abuse du pouvoir.
PrErücıo, 8. m. (1. d’anal.) pröpuos: peau
qui recouvre le gland.
" Preagcäunas, s. f. pl. V. Supplicas.
PazaocATiva, 6. f. prerogalive : avanlage,
privilege attache & une dırnile.
Pre£rassÄn, v. a. depasser, nasser A oöl6.
“ PREPOLM , 3. m. corset de [omme.
PaEPONDERÄDO, A, 9. P. de Propendsrer.
Pne£romperäncıa, 3. f. preponderance : su»
. ptriorit6 d’autorits, de credit, de considera-
sion, etc.
PneEPORdErRÄnTe, adj. 2 gen. prepondärant.
p.a.de
PnETONDERÄR , ©. n. peser davantage. (Äg.)
e prepond6rant, prövaloir, l’emporter sur.
cv. a.(p. us.) Donner plus d’importance 4, faire
prevaloir.
PrEPöR, 0.a. prelörer. V. Antepor.
Pnerosigiö, 5. f. (1. de gram.) prepanilign :
‚secie des presbyteriens.
parvionte inddefinabie, plante deut dt rn
mot qu’eile rögit.
T Pazeosrrive, a, af. (.de gramm.) ige
sitil : quise met avant un met.
AERÖUTTO , 9. we. bui, Intentient, Buplıku
d’un ordre, d’ene sergeigellen nigaliin \,
Paxrosrröna, o., f. "ouhpiet, digalt dur
pontie. V. os met,
+ Pansoermnugi6, 8. f. "Temmusenm le
de , buulsvorsement.
DasPosTankDo , A, 9. p: de Propsskri,
Patsı, s. f. prise, aelien de gewndre; ap
tue; chuns prise, valssone pris; buala wuns
Pennemi. Preis: ou qus les anlamaı ami®
siers rarissent poue ie menge; ( Ag) w@&
tout ce qui est pris, ravi. Bares dus dam
proie. *Digue: batsrduse pour onndue Tin
dans le canal d’un mentin, sie. "Herven tu:
chose & mungen. — de forre, ° piten, dumi,
esampen.; — Bagus, aD dene russıs FB
une digue, une 6cluse, une pale. — fu
moinkhe ,” iangeie, pale de ui an
Veau. Fazer -- ‚suisir. V.. (Ag) U
une chose en sorte qu’elle ne puisse cchapplb
pl. "Orsos, ddlemsus de sungiier, ots, dh
pointues de certains amlımanz, ser, gl
d’oiseau de proie ; demts ihres,
+ Prusicaktave, ade. res peissgt,
ausure. ae Pre
Pazıı wo, &, PB ’ D)
+ Pazsacıapon, A, adj. et s. qui prifipb
Prussctir , V. & : iädhgue, m
quer une chos2 A venkr, aumoneer; ounjeinfl.
Aveir quelgque pressentiment. Preaglee‘!
anime, [ai um pressentimen:, iv onır m
Paxsicio,8.m.p oe: ange, np
lorpuet on jege de Farenir ; sunjeciere quı fu
on lire ; peussen
t Pausacıöso a, ad. geb dem ip:
re Um.
u ee qui a des premmiintl®
Qui prössge,
+ Passantwichng, al). (6 de N.
sanctifldö: consaer6 la veille.a. u, Dans la Mr
gie grecque, c’sst une messe dans b
yrötve sommunie Fhostie et je anlice mi"
N Pansla V. Apresar et Presör
Pa .V. e
Pressituno,,oto. VW. Presbytore, 8.
IR pe f. peesbyopis : us ®
18 ; vuo Jengue.
Poxssr'ra, 8. 2 gen. presbyier qui che
que de ein; & oristailin aplet (# dep
d’enal.).
4 Prussrmaine on °pobtin:
+ Paxzsurrenito, s. m. | dose; ordn,®
stcration du pretee.
Pansavrkntaniauo, o. un. presiyüiinbt!
Pazssrunusäue, a, af. era, prasdyiil!
protestant d’Angleiesre qui mdcsmnalt Til"
satten, um. cancer
— ei
PRE -
tsaite: partie de omur voisine de l’autel; Heu
ot est lo maltre-autel.
PaxssY’TerRO, 8. m. prötre. V. Sacerdots.
Ag.) Vieillard, aneten, personnes vendrable
parmi les fideles.
Prxsmäncıa , 6 fı preschence : connalssance
de l’avenir.
+ Paxscränte,, adj. 2 gen. prescient: qui a la
resclence
Prescınpino, A, 9.9. de
Paxuscınpfa, 0. @. söparer, diriser. Prescin-
der, abstraire ‚söparer par l’entendement. (de),
v.». faire abstraetion de. Preseindindo &8...,
abstraelion [alte de...
Pazsciro. V. Precito.
PaxSCaETAR , v. 8. preserire : ordonner ; &ssi-
gner avoc autoritö; marquer pröcisemeht 06
qu’on vent qui solt falt. Adquerir par preserip-
tion (P. us.). — tempo, Dorner, fixer le temps
A lei prescreve que..., il est ports per la lol
que...
Patrscaeväa, v. w. prescrire : acquerir 1a
presctiption ; se perdre par prescription. ( lg.)
N’&tre plus en usage; n’exister plus. — conire,
ptevaloir, ’emporter sur. O do costume
conira 0 us0 leis, la force de la
contame l’enıporte sur V’o ante des lois.
Pazscaırcid, s. f. (f. de pras.) prescription :
manitre d’acquerir la propriets, ow d’exelure
une demande en Justice, par uno possession
non interrompue. —, action d’ordonner, ordfe;
ce que prescrit un me&deeln, un sup6rieur.
PRE r
gül,, apr&s avoir Ani Bon oours Pads, Alten
le grade de docteur.
PRESENTANEANENTE, adv. mitäwuthärnp, A
Finstant- j
RESEXNTÄNEO, A, adj. prompt, bilehbe : ı
$pere sur-le-champ. prompe, Tu
Paxzsentin, etc. V. Apresentär, db.
Pazstnte, s. m. präsent : io teinpe pröbsef ;
(8. de gram.) premier temps de chaque mUR®.
—, don gratait at de pure liberalits, cadexti. Ob
=, pi. les prösents, ceux qui Bönt ta.
Pasusente, adj. 2 gen. present: qui ust a
presence, dans le lleu od P’on est; qui ost dalt
ie temps od l’on est; qui bat en Ufage;
existe setuellemem. Prompt, efficace ,
(p. we.). Jo — ou de — , prösenteinent, sdtuel-
lement, maintenant. Em 80 — , pout ie
present, pour l’heure, pour ce thomeht.
. | e0rpo -- , se Mötitrer un mpritent das ufie
tömonie : faire acto de presenoe. Fair =;
tenir present. Farer-is —, de Mohtter, 56 Dre
voir. Misse, ofleio de corp? —, messe Alb,
serrioe fait pour un mort, %h präsente
eorps. Ter —, avoir une chose pf6serite, ER
sonvenir parfaitement. --F i0dös, Vous Htkft
presents.
Paxsenteibo, a, 0dj. & qui un fait des vi:
@esux. 9.9. de
Paxsaurzin, v..a. faire des cadeaut, dötthaß
des presents. Proseniedräo-nd com frulät, etc.
on lui ft un oadeau de frults, etö
+ Paxsenttino, A, a4. (P. ws.) qui dimie &
PaxscareriveL, adj. 2 gen. pteseriptible : qui | 86 moniret, ä se faire voir.
se peut prescrire. PREIENTEHÄNTE , 480. t, Ay
zschfptO,, A, P.p. frP. de Presoruver. ad). | bent.
Preserit; acquis par prescriplion ; ordonn®. Prxsentivo, A, 9. 2. d6 Pfeieniif. a.
*Pazsta. V. Prozeu.
Prnszcutörio. V. Perseowtorto.
Puxstnciı, s. f. prösence: existence #’ane
personne dans un lieu marque. “Port, pres-
tance, tnine. Taille du oorpe. * Souvenir qui
rend les choses prösentes & l’esprit. — d’awimo,
bonne contenance, fermet# , r&solution. -— d’es-
pirtio, sang-froid, presence d’esprit. — de
Deos, presence de Dieu ; consideration de 06
qu’on est devant lui, qu’il est tEmoin de nos
actions. — de sangus, (t. demed.p. us.) abon-
dance de sang. Homem de boa — ,homme bien
inc6, d6 belle prestance. Na — do juiz, etc.,
devant le juge, etc. Lowvar alguem na sun —,
louer queige’mm en face. Em — dacorte, ala
face de la cour.
PazserciAno, A, P. p. de Pressheiar.
Paxzsencıil, adj. 2 gen. qul concerne la pre-
sence. En personne. ce (p. us.). V. Pre-
sonlaneı.
+ PaxsenciaLwänt, 3. f. aötion d’ötre pr6-
sent, d’ a
PRRSENCIALMÄNTE, ade. en pefsotine, pof-
sonnellement.
Pazsencıin, v. 6. Otte prösent, assister A.
Passeuticid. V. Apresenlapdo.
Paxzsenripd. V. Apresentddv. Padre —, dans
quelques oommuhäutös, c’tit an on
oe
Pressenti ; qui a quelque pressehtirhent.
PRESENTIRRNTO, s. m. pressenliment :
ment secret de ce qui dolt Arriver.
Pazsentinao, s. m. dim. de Presönle. Pr
prösent, petit cadean.
Passantia, v. 6. pressehlir : ptevoi? CORNE-
sörnent, par un inöavement Interieur.
“ Paxsentissino, A, adj. sup. de Presents.
Tres-prompt, trös-eficack.,
Pnusirr, s. m. ötable, "Mahgeoite. * Cage oh
fon renferme les bötes förocds. TV. Presepio,
Estrebarla. (1. d’astr.) Eioile nebalehse du sF-
gne du Canoer.
Prestrio, 8. m. V. Prostpe. "Cröche : taärt-
ire des boaufs, des brebis, etc. ; betcean de
en f. espöc de Yarotur gie
RESEPISTA , 8. f. eipdch Us ur
reiträsentalt autrefois la halssande Gb Jünät-
Christ.
* Pazs£rva. V. Preservagiö,
Passenvaciö,s. f. Faction de Hiies@Vek ou
d’&tre preserve.
Paxzsernvioo, A, P. 9. de Pressrvef.
Pausenvanor, A, s. oelul qui pröserve; pad
servalaur, qui garantit. ,
Puzszavin (de), v. a. prödervor (de), ga
tir; d&iournef ie mal, empöchee q wBiVe,
ll est aussi r&ciproque.
E_ ı
”
PRE
98
+ PaESERVATIVAHRNTE, adv. d’une maniere
preservatrice.
PRRSSRYATITO, A, adj. els. m. preservalif:
qui a la vertu de preserver.
"Paxstvs. V. Perseve.
PazsevzaiDo. V. Perseverado.
Pazsıpencıa, 5. f. presidence : droit, fonc-
tion, etat de prösident; sa duröe. L’aciion de
presider.
Puesınanta,s. f. presidente : femme qui pr6-
side, ow femme du president.
PRESIDENTE, 5. m. president : celui qui pr&-
side une assemblee, un tribunal, eic. —, pre-
ınior magistrat de la republique des Etats-Unis
d’Amerique. Gouverneur de province chez les
anuciens Romains. Religieux nomme pour gou-
verner une communaule en l’absence du supe-
rieur : sous-prieur, elc.
Pazsıdıäno,A, p.p. de Presidiar. adj. Qui
a garoison.
PassınıäL, 3. m. presidial : tribunal ancien
en France.
Pazsınıär, ©. a. meltre garnison dans une
place. Defendre, garder (une place, eic.).
+ Passıpıarıo, A, adj. de garnison, qui sert
pour la defense. Homme condamn6 pour quel-
que crime a sorvir dans une place; galerien.
Genie, tropa —a ,soldals qui sont en garnison
ou galeriens.
Puzsivino, A, p. p-. de Presidir.
Pnssibıo, s.m. "garnison d’une place. ° Place
ou il y a une garnison ; forteresse,, fort. (fg.)
* Aide, secours, appul. "Galöres : punition des
malfaiteurs. Genie de —, soldats indisciplinds
uw galeriens.
Pnzsipia, v.a. presider:occuper la premidre
place dans une assemblee, etc., avecle droit de
recueillir les voix et de prononcer la decision.
— (6, em), v. #. presider, remplir les fonclions
de president. Presider ä une these : diriger le
söutenant dans ses reponses. Presider A, avoir
le soin, la direction de.
+ Presıcinca ‚s.f.“ponton, vaisseau-prison,
Pazsico. (il. de prov.) V. Conduto.
Paxsiuua, s. f. ganse : cordonnet de Soie,
eic., pour altacher, orner, etc.
Presıonän, elc. V. Aprisionar.
Putsu,A,p. p. irr. de Prender. adj.Lie,
altache. Emprisonne,, arrete. Pris.
Pri&so, ss. m. prisonnier : qui est en prison;
arretö pour eire mis en prison.
*PaEsön , 5. m. conquerant sur les Maures.
Paissa,s.f. bite, diligence , empressement,
vDesse, aclivit6. "Combat, choc, melee. * Em-
barras ‚affliction, danger ;ınalheur, souflrance.
Presse, foule:grand concours de ınonde. A’—,
„la häte; sans reflexion. Andar de—, mär-
chur, alter vite; sc presser, agir ä la häte. Dar
—.presser, obliger de se häler. Durse —, se
presser, se häter. Ter —, estar com —, eire
presse. A toda — , avec häte, en häte,, en louıe
häle, aves promptitude. Issu ndo d— ‚cela ne
pfesse pas. Ndo vds com lanta — ne vous pre9-
PRE
de vagar, plus on est presse, moins on vavite;
plus on veut gagner du temps, plus on en perd;
ä force de presser les choses on les gäle.
Parssiö, s. f. pression : aclion de presser;
ses ellets.
PaAKSSENTIMENTO.
PRESSENTIR , etc. h V. Present... ei.
Pa&sso, a ,adj. V. Conciso, Laconico.
PRESSURÜSAMENTE , adv. promipiemenl, avet
empressement, en diligence.
Pressunöso, A, adj. prompt, agile, diligenl,
empresse.
Prsstaciö, s. f. action de pröter; la chose
preice. * Payemient en termes. Contribulion. —
de juramento, preslation de serment.
Paxstapio, A, adj. serviable, obligeanl.
Utile,, proßtable.
Paestäno, A, p. pP. de Prestar. edj.Er
prunte. Tomar, pedir —, emprunter : demar
der et recevoir un pret.
PaESTADOR, A, 3. preteur : celui qui pre.
adj. V. Prestadio.
Passtau£ıno, s. m. celui qui jonitd’un*
nefice simple ow d’une pension sur une Cuft,
Receveur de redevances. Usufruitier de bien
de la couronne.
PrE£STAMENTE, adv. prestement, prompi-
ment, lestement, vile.
"Pagstam£xto,s. m. V. Prostimo; 4prir
lamo.
“Pa£stauo. V. Presiemo, Prestimonio.
“Prestinga,s. f. qualite utile. Bons ofees
rendus mutuellement. "Don, service, farct.
Utilit6, profil, avanlage.
Passtäncıa, s. f. excellence , pröeminentt,
superiorite.
" PRESTANGOSO, A, adj. obligeant. Uule.
Prastänte, adj. 2 gen. excellent, quiel-
eelie, Proßtable, efficace (remede). Abondan),
riche.
PREstantissımo, A, adj. sup. de Presicak.
Tres-excellent.
Pr&sTtan (6), 0. a. pröter : donner en prti,i
la charge de rendre. V. Emprestar. Donneh,
communiquer. — auzilio , soccorro , aider, 5
courir. — fd, ajouter foi. — juramenso, preiet
serment. — paciencia, soullrir, tolerer, piet-
dre palience. Quem presia ao amigo, cobra®M
inimigo, qui prete & un ami s’en fait souven!
un ennemi. .
Passtär (a, para), dv. m. servir, conrel,
etre utile;@tre bon ow propre ä; @tre serviablt,
obligeant. Ndo— para nada, n’etre bon At:
Isso ndo presla, cela ne vaut rien.
+ PasstÄn-se, v. r. se preler (un servi!
mutuel). — (de) p. us. se servir de. — ac:ji.#
cousa, se preier a une chose, y consenli. put
complaisance.
Prestarivo. V. Presiadio.
"Prestk, s. m. pretre qui ditla grand'no#-
celebrant, ofleiant. Ancien bas oficier de
wmuison Ju roi. V. Prestes (s. m.).
+ Pu&stg-Joäö, s. m. Pröte.Jean, grand M-
ver pun tant , Loat beau. Ouaniv ınais de — muis ı gun: Vesupercur des Abyssins.
PRE
“Patarauo. V. Prestimönio.
Patstes, adj. 2 gen. pret, disposs, prepare
ä;preste, agile, prompt, leste. Fazer —, pre-
parer, appreter. De— ‚ou presies, adv. promp-
tememt, sur-de-champ.
*Pa&stes, s. m. oflicier de la chapelle du roi
qui euvrait la tenture de la tribune, etc.
PrssTzsuente, ade. lestoment, diligemment.
Pazstäza, 8. f. prestesse , agilitö, prompti-
tade.
+ Paxsriciapon, A,s. charlatan, joueur de
gobeleis, eto.; prestigiateur.
Paxzsticio, s. m. prestige : illusion par sorti-
lege, par art; fascinalion.
Pazstıoıöso, A, adj. prestigieizx: qui tient
du prestige,qui en a.
Patstımo, s. m. merite, capacitd; qualils
utile ; savoir-faire. (ant.) Usufruit d’un do-
maine. V. Prestimonio. (id.) Bienfait, dona-
tion. Ser dalgum — , &tre bon & queiquochose,.
Offerscor 0 seu —, oflrir ses serriees. Ndo ter
= DErE Cosa ‚n’etre bon ni & rötir, ni
&boeillir, n’6tre bon & rien.
PaESTIMONIAL, adj. 2 gen. | quiconcerneles
PRESTIMONIÄRIO, A, adj. prostimonies,
PRzsTıuönto, 3. m. " prestimonie: fonds, re-
venu affects & l’entrstien d’un pretre, sans titre
de btnelice. "Pension sur un benelice pour
faire etudier de jJeunes ecolesiastiques dans
une universit6, eto. * Aumönerie desünde & un
pretre.
Pnzstissımo, A, adj. sup. de Presies ou
Presto, Tres-preste, etc.
Pastıro, 3. m. cortöge du corps de l’uni-
versits (de Coimbre) daus une procession, etc.
’ 0, A,adj. presie,, prompt, agile, oxpe6-
iif.
PaEsto ‚adv. töt, vite; sans tarder, prompte-
ment; & l’instant, sur-le-champ. (4. de mus.)
Presto. Qusm em mais allo nada, mais — 50
199, (prov.) qui nage trop haut so noie plus
" Paxsrontino. V. Derradeiro, Ultimo.
PaESUMIiDANRNTE, ade. prösomptueusement;
par presomplion.
PresuMino, A,P.Pp. de Presumir. adj. Vain,
presomptueux, suffsant; vanileux, fat.
Passuuıpon, A, 8. celui qui presume, qui
econjecture.
Pnesumir, 0.0. presumer, SOUPLONNEr, 00nN-
jecturer, supposer, croire.
Paesumia (de), v. ». presumer (de): avoir
wne trop bonne opinion (de son talent, de son
savoir, etc.); se piquer de. — mwilo de si,
compter Irop sur soi, avoir beaucoup de pre-
somption, s’en faire beaucoup accroire, 86
donner de grands airg. — de dowfo, se donner
des airs d’&tre savant.
PazsuurGiö, s. f. pre&somption : conjecture,
jugement fonde sur des apparences, des indi-
ces; opinion trop avantageuse de sol-möme;
saflisance, vanils; orgueil, arrogance.
PRESUNPGOSAUSNTE, adv. Pprösomptueuse-
mont.
PRE 989
Pnesumrcdso, A, adj. presomptueux : qui a
trop bonne opinion de soi; vain, orgueilleux,
arrogant.
T Pnesunptivamente, ade. avec presomp-
tion , soupgon, ceonjecture.
PrESUMPTIVO, A, adj. qu’on peut preösumer,
oonjecturer. Herdäiro —, heritier presompuül,
qu’on presume devoir heriter.
Pa&sumPproöso, etc. V. Presumproso,, eie.
Paesungid, etc. V. Presumpgäo.
PRESUNTO, s. m. jJambon : cuisse ow &paule
de poro sale. — de fambdre, jambon glack.
Pnesuntu6so, eto. V. Presumpiuoso, etc.
, PRESUPPORR. V. Presuppor.
PrEsUPPOR, %. a. presupposer : supposer
prealablement; poser pour vrai.
PresupProsıcäö, 8. f. presupposition : suppo-
sition pr6alable. V. Presupposto (s. m).
PazsupP6sto, A, P. p. irr. de Presuppor.
adj. Pr&suppose.
PresuPprösto, 5. m. * cause, molif, prötexie
pour agir. V. Presupposicdo et Supposipäo.
f PnesupPöstToQguE , conj. advers. quand
meme.
° tPresöra, s. f. oppression. "Danger, ex-
trömite pressantie. Angoisse, afliction.
"Presünıs,s. f. V. Tomada, Conquista. it.
Presa d’agua, Arude, Levada.
Pret. V. Pre.
Patra,s. f. negresse ; esolave noire.
Pautrunciö, eto. V. Pretensdö, etc.
Prertenneoon. V. Pretendente.
+ Paxtennenta, s. f. prötendante:: feınme
qui pretend.
PRETENDENTE, 8. 2 gen. prötendant: qui pr&-
tend, aspire &. p. a. de
PReETENDER,, v. a. pretendre : croire avoir
droit (sur ow & une chose); aspirer d...; avolr
intention, dessein de... Solliciter, postuler.
Pretexter, alleguer pour sa döfense. — uma
mulher, rechercher une femme.
PRETENDIDO,, A, P. p. de Protender. V. Pre-
ionso.
Prerensid, s. f. pretention : droit reel ow
imaginaire de pretendre, d’aspirer A; espe-
rance, dessein, vue. Sollieitation , postulation,
demande. — amorosa, recherche, poursuile
pour obtenir une femme en mariage.
Pazränso, A,p. p. irr. de Pretender. adj.
Pretendu , suppos#, douteux.
PRETENSOR, A, 3. pretendant; sollieiteur,
postulant.
Pagrentino. V. Protextado.
Prerento. V. Pretexto.
Paerenıckö, 3. f. preterition; passe-droit,
injustice dans les promotions. V. Pretermissd o.
PrxtTerkido, A, p.p.de
Prerenir, ©. @. omeiire dans un tertament
le nom d’un fils, etc.; ne pas faire mention de;
nögliger, exclure; faire un passe-droit. — um
offeial, eto., faire un passe-droit & un ofli-
eier, etc.
PrEr£aıto, A, adj. pass6: quia &iö et qui
n’est plus. Divides — |, deios om Hrtances
0 PRE
Farsiiat. s. un. (1. de gram.) Pribtrit:
dg verha qui margue le umıpS | Ian
Rasrsnuneiä, «- f. (u a rad.) peeldriinn
üguro de rheiierigue : Ginie da oe
kn dan Y. Proteris.
Pasrzauıreair,. V.
Puzräse, adj m. neiraud. junge
sahle metil. Com — da, sous protaszte de, A dire
de, en qualit# de,
Pazerniß, e. f naircenz, sonlouz neize.
Pazıina, V. Potrina, Ciate, Ciste.
Bazriuma af. dien. da Prosa. Nigrüe, jeune
N rn hunger ic
“ a ee Se biane. E-
vada —a ou om —, Bauzeit pour [also des arınen,
Folhas d’erpade om — , lames d’ipte qui n’ont
yes encese di6 alguistes mi Paurbies.
— ss, tpioes meizes, eSnmme peirze, ginefle,
aannelle.
a atra, & m. nein, nögen ; oselare mei. Sorte
ancienne petite mennaie de cuisze. Bisne,
ran dee
+ Pazroıis, s. m. vernis.de fenchissenr.
ı qui O9neeFne
le prötsur. —s, s.m. . pretoriens, soldate de
le garde des zomains.
Pastöno, s. u. patleize : trikunel, meissn
du pröteuz, lien ou il remdais la juntice.
Prerözıo, A, adj. qui senserne le prüisue;
i
„ad. 2 gun. (1.00 Mil) m
dispesset. p. ©.
PaeranaE. eo. sppeöter, geöparer, Kaps
Kine Jean an erg tn m
[2 ii)
faire ; devanoer, antichper; dia, np
eher un mel, oie.; avertie, Imfarımer: privan-
per, dispeser Pesprit de queigu'un ;jager al
vance, vu prössutlonner. tlonmer. W'erienier, erzmian
In eonduite A sair.
r nn ei. Frame, mu
antcee ®
a, al. ‚ip
Paxvanıivo, provemt
vient; de la preveniien Cpepement) Hoamm-,
bemme priveyant
Pasvirto, A, 9.9. ter. “ Freai.i
adj. Juvisdiople —o, (1. de prei.) jerkliches
d'un Juse qui connalt par pr&rventien. V. Pre
,oie.
t PaSrıamänız, nn. d’avamee, por mi
n3
Pasvico ou Paovico, V. Feitlerire, Ir
Wabli, ordonnt pas ia pedieus. Dirsiie —, |reiro,
PRRYaLSchuTE, adj. 2 gen, qui a proveln,
qui l’emporte sur. 9, e. de
PazvaLzcka (s, conien), u. n. pebralsir:
aveis, sampazier Varantage sur ; !araperter sur.
Ansir gain de cause.
PaEYALECiDO, A, pP. P. do Prevslscer.
AETARKACÄE, s. f. ptövarication; malrer-
on.
Prevanıcikno, A,p. p. de Provaricar.
Paxvıotncıa , s. f. prövoyance; grerisien.
Paxviväwre , a. 2 gen. prevopant: : quite.
volt, a de Ia priroyanoe; gai Jage Bien de fr
venir et prend blen ses Mesures en come
quenos.
Pa@vio, a, ad. qui pröedde; anlärienr, pi
chdent ; pres] . preliminaire ; anticipe
Pazvisiö, 2. f. prevision : von de Yarenir.
Paeviso, a, adj. (1.de ihdei.) prore.
Panviere, 2, pp. vv. An Proue. elf. \ı
suparavant; preva. Prövoyaut: ariat, M®
PagsanjcapOR, A,a. piövasioslenr: qui pab- | demt.
in, quitrabit son devoir. Corrapieur, ab-
anrancin.e, 6. DASzamgre , aelaite. ©. Mm
"Patz, s. m. benneue, rigatgtion segeht
per une artiam glesieuse: — e Ast, lei 4
honnenr.
— ww ww.
-— um or on
PRI
„ai: +. f. pepio, prise, capture, butin.
"rasalas an p. da Proxdr. adj. Kstimk,
Fear, s. qui esiime, qui lait cas de
uele en a de quolque cbose.
MELÄR, 9. a, priser, ostimer, falre cas de;
is; h
ur} arlinen (de), v.r, Y. Blorier-w, Ja
Lupe 2 gen. eajfimable, digne de
Innan
“Patzka, s. f. "bijou, effet de grand prix.
offgande da chosps prerienses,
Palapisyo , 5. m. priapisme : dreclion oonll-
wuelle er doulgurense, sans desir.
an ar0, 5 m. (1. de mytk.) Priape : dieu
Jardins,
€ Paicaoo, s. m. * plerse prbclouse, asp&cp
de oristal.
Paiciıno. V. Porigalke.
® Paycäu, V, Prise.
Paioviga „etc, V. Proguige, ole.
Palma, s. f. oousine. Les trois premidres
heures da matin, sulvant la division des an-
eiens Romains. Prime : la premiere des houses
onisles. Partie de la nulı depuis huit heuses
usqu’ä onze. Pr a strument & cor-
des. 0 —, 1. ou adj cener.) aulour
fomelle. |/ reiner os socond faucon
7’ une nichöe, Quar rlo de, premier juarı %
& aulı (& bord des "des narlros). Cadeira
premiäro ohalre d’une facult# : 1e profossaur
8 Ba lonte de prima. — com irmäd, cousine
ne
Sormıch. V. Primasia.
PaımacılL, adj. 32 gen. primatial : qui con-
eerne le primat.
Paımino, s. m. *®
presminence. V. Prinds et Pri
+ Patsawtatz, adv. artistement, Ingenieu-
sement, e9 pe rfeclion
Primdnost ..m. dt, dent.) soldats de la
premiöre öglon ebei les anciens Romains.
Prinärtamente, ado. principalement; en
premier lieu.
+ Parmaxicas, s. f. pl. les premiöres lam-
proice u l’on pechalt dans certains endroits,
n donnalt au seigneur comme cens.
sımin, A, ‚Primaire. Lente
_ ug resrcar de 1a premiöre chaire d’une fa-
Pamartaa,s.f." : 1a premiöre et
fa ptes agreabie des Balsenn, du 2 mars au
21 Juin. Sorte d’dtofe de sole A Beurs. Prime-
vere, plante ot fionr. — de vide,
ee de . vie, 10 , Jeunasse de quatorze & vingt-
sous annoe , cn Farrii de ses
re
Pasmsin, 9. m. primat: prölat au-deseus de
Yarchersavo. ad). 2 gen. Qui a la primanute,
Feiern a. f. peimatie : dignite du primat,
sa juritloden. Primauts. V. Primado.
aut : premier rang ; | oom
maxia.
PRI 951
aımkına ,s. /. prime : sorle de jeu de car-
us. De =, 4 d’abord , premidremen:,
ds prime abo
ufaankure, adv. pröalablement, pre-
miörement, en premier lieu, d’abord.
PRimEIRO, A, ad. premier : qui precdde par-
kapport au lemps, & l’ordte, au rang, eie.;
Se a ei, qu’on a vu auparavant; le plus cx-
ons, ia plus gonsiderable. Ndo 40 — ,ou.a
aa 085,00 ne Sera pas lo premier ou la pre-
miöre fols. Foi 0 — qus chegow, il arriva Ic
premier.
Prıutıno, ade. premidrement. Pluidt. V.
Antes. — que, avant de, avant que, plulöß
que. De — , auparavant, avant; precedem-
man}, ci-devanı. Chegou — Jo que eu, il ar-
riva avant mol. — morrerei qus abandonar-ie,
je mourrai plutöt que ds !abandonner. — esld
@corae qus a camisa, la chalr est plus proche
que la chemise,
Paıutvo,A, adj. Du ügb, qui est d’un Age
plus avance. Primiti primordial.
Priuicaaia, 6. f. "primiesriat: dignitd ‚office
de primioier.
Pryuicgalo,s. m, primicler : qui a la pre-
mjere dignits, Qui tient je premier rang, qui
est le premier de son genre. Chantre (dignite).
1 Paimicnica, adj. f. il se dit de la femelle
quia mis bas le premidre fois.
Paimicu. V. Primicies.
Prrmicus, » f. ‚pl. 1. premicen: premiers fruits
de la ; premiers fruits qu’on
oe ü Dan; ) premiöres productlons (de
l’esprit, eto.).
Paımıcotno,A ‚adj. primltif, qui ne tire point
san origine d’ailleurs.
PamurlLo, s. m. (£. d’ant.) primipile:: le
premier centurion ; qui commande la premiere
Baden;
+ Primıtivauante, ado. primitivement, ori-
ginairement.
Paıwitivo, A, adj. primitif : anclen; nais-
sat; lo premier, le plus ancien, originel.
Terme —, (8. de grem.) mot primitif, dont se
formen los derives ou compos&s.
Priso, a, adj. premier. V. Primeiro. Ha-
bile, adrolt dans a art, etc. Fait, travaills
avec art;acher& , parfait; delicat, mignon, eic.
-| za noite, nuit tombante, entree de lanuit. —a
iere tonsure. Obra —a, ou de
a er ef-I’@uvre.
Priuo, s. m, cousin.—com irmdo ou carnal.
sonsin gormaln. -— segundo, cousin issu de
nd, ade. lat. primo,, premierement, d’a-
printemps de | bord
PRINOOENITO, A adj. premlern, aine.
PRIMOGENITOR. V. Progenitor.
Priuocanıröaa, 6. f. * primogeniture : droit
d’ainesse.
+ Praımorafuus, 3. m. lat. premier mourve-
ment , mouvement Indelibere.
+ Prıworon&npo A, ad. qui doit etre mis
avant.
952 PRI
Prisör, 8. m. “ habiletd, adresse, savoir.
*Reaute, 'ddlleatesse, excellence, perfection
d’un ouvrage. Kgards, “generosite dans les pro-
cedös. * Ponctualit ‚exactitude. "Elegance du
style. —es, pl. * gentillesses, tours agr6ables.
—doerte, chef-U’@uvre.
Prımorivo. V. Aprimorado, Primoroso.
PrımonptiL, adj. 2 gen. primordial : pre-
mier et originaire; primitif.
PriMOnDıaLMENTE , adv. primordialement.
PrimöRnıo, 3. m. commencement, origine.
PRINORÖSAMENTE , ade. joliment, artiste-
ment, adroitement, delicatement, en perlec-
tion. Aveo de grands *gards; genereusement,
Avec exactitude.
Prımorosissımo, A, adj. sup. de
Pninondso, A, adj. joli, beau, delicat, par-
feit, excellent. Habile,_adroit, expert. Gene-
reux; obligeant; ponctuel.
Princkza, s. f. princesse : flle, femme de
prince; (A4g.) la premiere, la plus excellente.
Euoffe de laine fabriquse en Angleterre : espöce
de camelot.
Prıncıräpo, 8. m. *principauts : dignits de
prince; titre d’une terre de prince; terre qui le
porte. (fg.) * Primaute, preeminence, supe-
riorite. —s, pl. principautes, troisitme ordre
de la hisrarchie celeste.
PaixciriL, adj. 2 gen. ‚principal, capital;
le premier, le plus essentiel , je plus important;
le plus considerable, le plus remarquable en
son genre; distingus par sa naissance, Son
rang.
PrincıräL, 3. m. principal : somme capitale.
Principal agent d’une affaire, etc. Membre du
chapitre de l’eglise patriarcale de Lisbonne. O
—, le principal, ce qu’il ya de principal, de
plus important. Os principaes da cidade, les
premiers de la ville.
+ PrinciraLıpÄoe, 5. f. qualitö dece qui est
plus considerabie. Primauts, pr&&minence, sü-
periorite.
Prıncıraulssimo, A, adj. sup. de Principal.
PRINCIPALMENTE, ade. principalement, sur-
tout. Mdilo — ‚ d’autant plus.
PaineırE, 8. m. prince : Als alnd des rois de
Portugal et d’Espagne; qui possdde une souve-
rainel#, une principaut£ ; litrede dignits;(fg.)
le premier, le plus excellent. — de sangue,
prince du sang. j
Pniscıpräpo, A, 9. 9. de Principiar.
PaInciPIADOR, A, s. celui qui commence.
PrinciriÄnTe, p. p. de Prineipiar. adj. et s.
Commengant, apprenti, novice.
PrincıpiÄr, 9. 4. commencer, donner com-
mencement. —n0008 lioros, (1. de comm.) lairo
Pentree des nouveaux livres.
Paincirio, 5. m. pfincipe, commencement,
orıgine; base, fondement; ce qui entre dans
la composition d’une chose; premiere cause.
4A —, au commencement; d’abord. Dar —
donner commencement, commencer. De —,
ou des d’o —, depuis le commencement., _,
pl. principes : , eloments des sciences ;premierß
«
= pRI
preceptes d’un art; (Ag.) maximes, metils;
(1. de chim.) corps simples qui composent ia
mixtes.
Pnixciröre, s. m. principion, petil priase,
peu riche,, sans pouvoir.
Parino.V. Azinko prino.
Paiör, s. m. prieur ı superieur de ceriaimes
maisons rellgieuses, etc. Prieur-cure. — dus
wmosieiro, abbö en second. Grdo — , grand-
prieur. Dignits de l’ordre de Malte, ete.
+ Pıaiöno, s.m. (l. d’hist. net.) prione : -
l&optere longicorne, liguivore.
PrıiöraA, s. f. prieure : superieurs de reä-
gleuses. Seur de la Pönitence.
PrioRioo, 3. m, prieurd : charge „ dignite da
prieur, de la prieure; eglise, maison de com-
munaut& sous un priear. Prieur6-cure,, priesr
avec une cure.
PrioriL, adj. 2 gen. prieural : qui ceacerse
le prieur om la prieure.
Paıorirto. V. Prioredeo.
Paıontza. V, Priöra.
Prionipäpe, 8. f. priorits : antärierit# d’ers
tence; primauis en ordre de leınps, de rang:
predminence,
Psıoriz, V. Plewriz.
Prıostipo, s. m. syndicat.
Pariöste, 8. m. syndic de communasie, %
confrerie, etc.; collecteur des revenus d’es
eglise ow d’une universits. Trigo de — ‚lemei
leur bl& de la moisson.
Paısiö,.s. f. prison : lien od l’on euer
les accuses, les condamnes, eie. L’actien de
prendre : prise, saisie, emprisonnement, cap
ture, arrestation , prise de corps. (fg.) — , eu
ce qui retient, arrete : lien. (id.) Neud, be,
liaison. Chalne; entraves, liens. (tl. de wine.
Proie : animal sur lequel on lance ie [ance.
(id.) * Jet : attache d’envoi et de reserre : post
les oiseaux de fauconnerie. — rekigiess , cham-
bre noire. Ordem de —, deerei de prie da
corps. Passar de —, deereter pm
de corps. Entreger-se ‘—, 50 "eonstiiuer pr
sonnier. Prisdes, pl. “liens, meneties, [ers da
prisonniers. Fizerdo-e —, on a ist
beaucoup d’arrestations.
+PriscıL.ianisuo, #. ws. prisciliianisme :
Pheresie de Priscillianus.
+ PaiscıLLianistas, 8. m. pl. Priseilliseer
tes : sectaires partisans de Priscillianss, se
croyaient l’Ame d’une substance divime.
T PriscıLuıino, A ‚adj. qui appartiant äPre-
cillienus, qui suit sa dootrine.
: Prisco, A, adj. aueien, vieuz, du ksnpt
passe, anlique. .
Prisıonia, vo. 6. faire prisennier. V. Apr
sioner.
Paisioxkıro, 5. et adj. m. prissanier de
guerre; pris & la guerre.
Paisua, s.m. (f. de gdom.) prisıme : car
termine par des hases polygonales dealus «t
‚| paralieles, et dont les faces laterales somi des
parallelogrammes; (f. de phys.) prisme ariıp-
gulaire de verre, eic., qui colgre Jas ohjeir
m m ma mn 70707—<Ä„wa wm ww WW m 7 m 39 N 1
. PRI
PRO 953
Paismirico, A, adj. prismatique : qui a la ' au privilägid, sans nuire & un liers. — grscio-
figure d’un prisme, dıq prisme.
° Prısoan. V. Prisionar, Prender.
“ Paısongıno, V. Prisioneiro.
Paistıxo, A, adj. qui a 6i& auparavant,
d’autrefois ; pr&c&dent , ancien.
Pıairica ow PaETica, s. f. “timon de voiture,
de charrelie, etc.
Privaciö, s. f. privation : perte; absence,
manque du bien qu’on avait, qu’on devaitow
pouvalt avoir; action dese priver, de s’abstenir
de ce donton pourrait jouir; privation d’unem-
ploi, ete., en peine d'un delit. Privapöes, pl.
privations, ce dont on manque.
Privipa, s. f. * priv6, lieu d’aisances, la-
trines.
Paıvipamentg, adv. en particulier, prive-
zuent , [amiliörement, en secret.
Prıvino, A, 9. p. de Privar. adj. Prive de.
Defendu. Privs : qui est simple particulier, qui
m’a aucun emploi public ; P’oppos# de public,
fait devant un petit nombre de l#moins (exa-
men, etc.); familier, domestique, particulier,
personnel. Vida —s, vie privee, celle d’un
homıne sans emploi; vie particuliöre de quel-
u’un.
ı Prıvino, s. m. favori : homme en faveur
aupres d’un prince, elo.
Puıvänga, s. f. privaute, grande familiarite,
faveur auprös d’un grand, etc. Ter grande —
com al ‚ötre en grande faveur, avoir boau-
coup de credit aupr&s de quelqu’un.
Paıvin (de), v. a. priver (de): öter & quel-
qu’un ce qu’il a ow doit avoir; Pempöcher de
jouir d’un avantage. Priver d’un emploi, etc.
Priver du sentiment, faire perdre l’usage dos
sens. Emptcher, defendre, probiber.
Paivän-sg (de), ©. r. se priver soi-meme de;
s’abstenir ; Ssimposer une privalion.
Privin (com), v. ». ötre on faveur aupres
d’un grand, etc.
Paivativaminte, ado. privativement, ä l’ex-
elusion , exclusivement.
Paivarivo, a, adj. privatif: qui marque pri-
vation. Propre,, particulier, singulier ; exclusif.
° Prıvino. V. Particular, Privado.
PaiviLEctäDO, A, adj. et s. privilögie : qui
jouit d’un privilege. p. p. de .
PaiviLEciar, ©. a. privilögier: accorder un
privilöge, exempter de la regle commune.
+ PaiviLecıaTivo, A,adj. qui renferme un
privilege.
PaiviL£cıo, s. m, privilöge : facult6 accordee
A un seul, & un corps, de faire quelque chose,
de jouir d’un avantage,&ä l’exclusion des au-
tres; acte qui contient lc privil€ge; droit, pre-
rogativo altachee aux charges, elc., accordee
aux personnes, etc. — convencional,, privilege
accorde apres une convention avec le privilegie.
— do canon, privilöge des ecclesisstiques yui
fait encourir l’excommunication & ceux qui
portent la main sur eux. — do foro, privilege
qui exempte les clercs de la juridiciion secu-
jjere, — favorevel, privilöge favorabie, uuile
so, privilöge accord&. par pure gräce, sans
egard au merile. — local, privil&ge lecal, res-
treint & un cerlain lieu. — odioso, privilöge
odieux, nuisible & un tiers. — pessonl, priri-
lege personnel, borns & une soule personne,
qui ne passe pas & ses descendants. — real,
privilöge royal, attach6 A une charge, & un
emploi. — remumeralorio, privilöge acoord6
en r&compense d’un service renda , etc.
Privinscıan. V. Privilegier.
Paö, adv. pour, en faveur de. it. prep. lat.
qui entre dans la composition de plusisers
mots portugais, et qui signifle, en general,
devant, en avant. Ex. : , Proposer ou
poser en avant; progresso, pTogros ou marche
en avant, du lalin gressus.
TPxö, s. m. V. Provsito. Em — de, pour,
on fareur de. O — e o copire, le pour et ie
contre, l’avantage et le desavantage, otc. Soe-
lenlar 0 — 0 0 contra, soutenir le pour et ie
conire. .
Pr6A, 3. f. proue : cap, avant du vaisseau.
(fg. burl.) * Orgueil, arrogance, bardiesse,
— aquds ‚ avant-maigre. — com pouco lanpa-
menio,, avant peu 6lance. — com muilo lanpe-
menio, avant fort &lance. — redonds, avant
renfi&, avant jouffllu. Castello de —, gaillard
d’avant. Pör a—a,(l.de mar.)metire le capä.
(fig.) Jeter les vues sur; prelendre, viser &;
bravor (les difficultes, etc.). Mettera — ao
venio, porter lo cap au vent.
ProÄr, v. 0. (I. de mar.) —as ndos em ferra,
pousser les vaiss6aux A lerre , aborder, prendre
terre. v. m. V. Progjar.
PnonasıLipäne, 8. f. probabilite : vraisem-
blance, apparence de verite.
ProBABiLisMo, s. m. probabilisme : doetrine
de la probabilite , qui permet de suivre en me-
rale une opinion probable et opposse & une
plus probable encore; systäme qui admet les
opinions probables.
ProsasıLista, 5. m. probabiliste : parlisan
de probabilisme.
PaoBABiLizär, ©. &. rendre probable ( une
opinion, en morale).
+ Prnopinte, adj. 2 gen. (1. de prat.) proba-
tif, qui prouve; convaincant. Em forma —, eu
forme probante , aulhentique.
Prosirica, adj. f. Piscina— , piscine pro-
batique, pres du temple, od les viclimes &taient
purifiees, et pres de laguelle J&sus-Christ gu6-
rit le paralytique.
ProsaTissımo , sup. de Provado.
PaosaTörıo, A, adj. probatif s qui prouve.
V. Probante. Probatoire.
Prosmäps, 5. f. probil# s droiture de caur
et d’esprit; attachement severe aux devoirs de
la moraslo; integritö des maurs. Falta de —,
improbite, manque de probite.
PaosL£uma, 3. m. problöme : question & n&-
soudre; proposition douteuse; proposilion de
mathematiques, conlenant la maniere d’ope-
ror et la demonstration de l’operation, — inde:
„ PRO
terminade, (1. d’alg.) problöme Inddtermine,
qui a plus d’une solutiap.
PROBLENÄTICAMERTE, edv. problömatique-
s d’une maniöre problematique.
RaopLanärıco, A, adj. problömatique : don-
konz; dont om peut soutenir l’aflirmalive os la
nögative ; qui tient du problöme;; dquivoque.
+ Paosısuarısäa,, v. a.rendre problömali-
VPnöno,a, ads. probe : qui a de la prokits;
bonntte.
$Pnosöscreas, 5. f. Pl. (8. #’hist. nal.) "pre-
beseldes : hömipteres ; diptöres ; vorticellaires.
Paososre. V. Preoboste.
+Pmnocscwinz, s. f. impudence, effronte-
rio, Inselenoe.
Paocarnmärtico, A, adj. procathartique :
(esuse) d’oh derivont les autres accidenis.
+ Proczpencıa,, 3. f. action et l’effet de
proosder, dörtralion.
Paocapänıe, adj. 2 gem. rösultant, qui re-
sulte. Venant, qui vient. Issu. p. a. de
Proczpta,, vo. n. avancer, aller au delä ; al-
ler, s’avancer dens un certain ordre, suivre
une certalne progression, etc. Procdder : se
tomperter, se conduire de telle ow telle ma-
niöre ; agir en Justice. (a) Proceder & une diec-
tion, eic., y Iravallier, la faire. Appartenir,
cenoorner. (de) Venir, proo@der, provenir, tirer
son origine de; proseder, provenir par voie de
generation. On dit, en parlant des personnes
äivines , quo le Saint-Esprit procdde du Pere et
da Fils. (6m) Poursulvre une entreprise, une
obese sommencse. — contra alguem, infliger
la peine de la loi au coupable. — d capi-
(el, imposer la peine de mort. —a final, juger
en derniöre instance, prononcer la derniöre
sontenoe.
+ Pnoceofr, 5. m. procöde : manidre d’agir.
V, Procedimento.
Paoczninoo,, A, P. p. de Proceder. adj. pro-
venu, precddant. Issu. Bem ou mal —, qui a
whe bonne ou mauvaise conduite.
+ Paocepino, s. w. produit. V. Producto.
Pnocenınento, s. m. l’action de proceder :
&manation , derivation ; progression. Action de
proceder en justice.-Proc&de, manidre d’agir,
tonduite. — franco , leal,, un proc&de nel.
Paocsızusuitico, adj. m. Pd —, pied de
vars latin composö de quatre brörves.
PaockLia, 8. f. (po64.) Vempöte,, wurmente,
orage.
+ Ponceruiata, 8. fı (bi. @ Mist. nat.) * pötrel :
hisass paimiptde. — de cabo da Zon-Eeperange,
le damier. — negra do norie, Yalssau de tam-
RaocsLLösauAnTE,, adv. avoo tempöts.
ProcaLL6so, A, adj. orageux, sujelaux lem-
pötes; qui cause des orages, excite des tem-
pötes,
+ Pnöckazs, s. m. pl. grands seigneurs,
bommes de la premidre distinction. Magnals,
grands du royaume.
Paoczarise, s. f. (p. us.) hanieme, die
tion, grandeur (du corps).
Paöczao, A, adj. haut, dierö ; grand, dem
taille dlevde. .
Proczssin0, A, 9. p. de Procemer.
ProczssiL, adj. 2 gen. qui appartient ge
prooss : jadiolaire.
Proczssiö, 3. f. l’action per U)
chose proatde d’une autre; € . Pe
cession, produelion e&ternelle du SalnıEepri.
* Progres.
Procgssir, v. a. instzuire um proces, pe
cöder ; Juger.
ProcessioniL, adj. 2 gen. est en forms
de procession ; qui appartient & la processios.
PROCESSIONALMENTE, ade. prooessionnel-
ment : en processien.
PAOCESSIONÄRIO, 8. m. processionnel ou t-
oessionnal : livre de priäres pour es pro
sions.
Procksso, s. m. * suite, sontinults, enchd-
nement, V. Progresso. Procds, procddurs:iet-
tes les piöoes d’un procks. Proo6d4 (obimiqe).
Prociptucıa, 8. f. (1. d’ayat.) prockden:
obute d’une partie.
Pnöcıon. V. Procyon.
Procıssid, s. f. procession F oöremeniı rel-
gieuse conduite en ordre par des prötres , eier,
en chantant des priöres, etc.; fmeltitade &
peuple, eic., en marche.
Procısskoziuna, s. f. dim. de Procissie.
PnocLäua, s. m. annonoe, publicatios, u
tout des bans de mariage.
ProcLamacäö,s. [. proclamation ı action de
proclamer; publication solennelte; der pe
blio, proclamd; adresse publique 4 use Ir
tion, & une armee, elc.
ProcLamiDo,4,p.p. de .
PROCLANADOR ‚8. m. proclamateur : cehei @
proclame. liest quelquefois adj.
PROCLAMAR, ©. @. prociamer : pueblier, #
clarer hautement, avec solennit. V. dee
mar. Saluer, proclamer roi, empereut.
+ Procrianitas, 2. m. pl. hardiigues Wi
niaient le jugement dernier.
+ Paocuinär, v. a. (p. ws.) faire peochm,
ineliner.
+ Pröco, s. m. ({nus.) amanı, galanl.
PaocönsuL, 3. m. preconsul:
gonvernait avec lautoritd du congul.
PnoconsuLipo, 8. m. prooonsalat : chart,
dignit# du proconsul; province, de
qu’il gouvernalt; daree de son administra!0®
ProcoxsuLÄr , adj. 2 gen. proconsslsire : &
proconsul.
Procrastınaciö, 8. f." delal, remise su ler
demaln ow d’un jour & T’autre;
tion , retardement,, aJournement.
Procrastinäno, A,p.p. de u
ProcnAsTInaDoR, 8. m. celui qui Affäre, gi
remet do jour en jour.
Puockastixin, v. a. differer, rematire #0
lendemain ou de jour en jour; retarder. oJ W*
ner.
RO
Procazacid, s. f. prossbatlon , gändusiien.
Paocazi20; A ,P- p. de Prosrsar.
ProcaEanör, A, 8. celui yui proczde; Könd-
raleur.
PaocazirR, 9. a. procrder, engendrer, pra-
Quire. (Ag. n.) Bourgeonner, ponsses des bou-
tons.
Paochra. V. Busca.
‚Procunscäd, 8. f. procuration : pouvois d’a-
irau nom d’un autre; acige qui le gontient.
aui.)V. Golkeila. Carta de —, (1. de comm.)
mandat, mandement, pouvoir, procuralion.
+ Paocosankına. V. Proeuradora.
Paocurino, A, p. p. de Procurar.
Paocuaapen, 3. m. procureur : charge de
procuration; qui defend en Justice, qui agit au
nom des parties. — de causgt, procureunr, oßi-
eier qui agit on Justice au nam des parties,
avoue. — Alscal, procureur d’ofiioe. — de cost
uenio, procureur, religieux charge des interäts
temporeis d’une maison, feciendaire. — de
eortes , deputs d’une ville aux eluts. — gerel,
our-gensrel.
PROCURADORA, 8. f. procuratrice : obargee
de procurstion.
Paocunaponia , s. f. " emploi, office ou dtude
de procureur. Intendancoe.
*Paocunänga. V. Procuradoria.
Paocunär, v.a. solliciter, tächer d’obtenir
pour soi, de presurer & un autre. Exeroor Pem-
ploi de prooureur. Chercher. Deomander. Adımi-
nisizer, avair sein de (p. «s.).
Paocuastasia, s. f. zequöäte, sollieltation de
presure ur. der V, Procuradoria.
ROCURATÖRIO , 8. Fi
Procunatüna, 3. fü | V. Procuradarie.
Pabcron, s.m. (1. dasir.) Prooyon : constel-
latien du petit ohien. V. Camwicwis.
Paonigiö, e. f. wahlsen , !’acte de Hivrer par
wahison; abanden de sa "ferume & un auire
bermene.
Paropıcäno. V. Prodigalixado.
Pronıcapen. V. Prödigo, Largueador.
Paopigauıpine, 8. f. Drodigalits, profusion.
Abondance.
PaopicaLlziDo, A, P.p- de
PaopisaLizin, v9. a. prodiguer : döpenser
avec exods, dissiper; röpandre, donner aro6
Paöpicauturn, ade. prodigalemeni, aveo
prodigalits.
pP RODIGÄR. V Prodigaliz
“Proplass, 6. fı ge } pradige :ı effet, chose
Paopicio, 8. =. extraordinaire, sum
prenante; 08 qui arzive conire le cours ordi-
naire de la nature; personne, chose qui oxoelle
dans son genre ; docnment eöleste; auvFage
mervellleux. Miracle.
PropiciösaMäntE, adv. prodigicusement :
d’une maniere prodigieuse, excessivc, 6ion-
nante. Merveilleusement, parfaltement bien.
Pnopıcı650, a, adj. prodigieux : quilient du
prodige. Merveilleux, excellont, exquis.
Paöpic0, A, adj. prodigue : gal issipe son
[4
”
_.
ANA 988
bien en däpensea folles, exsessiges; (Ag) qui
predigue son sang, Sa vie pour 89 palris, w.;
extrömement liberal.
+ Paobıcos, s. m. pl. (f. de mer.) — de g0-
r&o , porques : piöces qui lient oelles du fand
du vaisgeau.
Pranırör, s. m. proditeur, traitze, delatesn,
PRODITÖRIAMENTE, adı. prodiwirement, en
trahison. Y. A
7 Paopıröne, A, ad). gui dent da la trahi-
son. V. Alreipoado,
PaÖBROND, 3. m. predröme: oe qui pröodde;
avanl-oeureur; premier ouvrage d’un auteupt
preface, preliminaire d’un auise euvrage, d%ın
oours,
Paopucciö, s. f. produstion : action de
duire; 06 qui est produit par la nature, les
arts, le genie, ’imaginatien, une cause, enn+-
neral. (1. de prei.) Produetion de t4moins, de
pideos. "
Propucenre, adj. 2 gen. p. a. de Produsir.
Oel preduit en juslice. Qu ayance une proposi-
on.
f PropucrisiLimäne, so. f. aptitude & #tre
produit. Qualits , vertu produelive.
Paopucrivo, a, adj. qui a la vertu de pro-
duire. Productif: qui produit; d’un bon rappor?
(terre, eto.).
Panopücro, p. p. ırr. de Produsir. s. m. Pro-
duit:: reppori; rösultat d’une multiplication,
d’une operation chimique, eic.; revenu; ce
qu’une chose, une machine, la terre, Pindus-
trie, letravall, etc. ‚ prodnisent. V. Produegde.
Paopucren, 4, ed). et 8. produoteur: qui
prodult; auteur.
Propvucraiz, adj. eis. f. productrice.
PRODUZENTE. V, Producentie.
Paopvzino, A, P.p. de Produzir. ad. Pro-
duit, engendre.
Propuzinee. V. Productor,
Propuzia, v. a. produire : denner nalssange,
engendrer;; rapporter du fruit, du ben£fice, pn
avanlage, eic.; causer, &tre Cause; Qccasian-
ner, amener apres soil; donner par &crit ges
defenses, eic.; exposer ses tlircs, eic., & |g
vue, & la connaissance, } Pexamen. Alleguer,
citer une autorite.
Propuziß-SE, v.r. se produire:: dire, pquvolt
etre produit. Eelore, paraltre au jour, se mon-
trer.
ach PaopoziveL, adj. 2 gen, qui peut dire pzo-
* Paös. V. Pro, Provetia.
* Proßıro, 8. m. (1. de mar.) matelot plaod &
la proue,
Prozsin0,A,p.p. de
ProgsÄr (a), v. ». gouverner sur, mellre |g
cap &. (contra) Voguer contre le vent os un
courant. (Ag.) Lutter oourageusement contre
V’adversits.
ProsutuiL, adj. 2 gen. qui appartient & la
prefaoe, etc. : preliminaire,
, Paozzıln, ‚v., 0. faire des exprdes, Y. Presm-
wlar.
m.
956 PRO
Prozummmcıa , sic. V. Promineneis.
Pao&nı0,, s. m. “pr&face , avant-propo8, PTO-
gue.
Prözs, pl. de Prol.
Proßza, s. [. prouesse : action de valeur, de
bravoure, de preux. "Courage, valeur, bra-
voure. —s na guerra, “exploits, hauts falls
d’armes. V. Faganha.
“Prorica. V. Prolfara, Parabem.
® Pnoracir, v. a. m6dire, censurer, calom-
nier, döcrediter ; reprocher, blämer.
Pnoranacäö, s. f. profanation ; action de
prolaner ; &tat d’un temple, etc., profane.
. Paoranipo, A, P.p. de Profanaer.
PROFANADOR, A, adj. et s. profanateur : qui
prolano les choses saintes.
PrOFÄNAMENTE ‚ adv. avoc profanation. Mon-
dainement : d’une maniere mondaine.
. Paorania, v.a. profaner : traiter avec irre6-
vörence les choses sacr6es, en abuser; rendre
& un usage prolane. Souiller, d&shonorer.
PaOranıpipe, 8. f." abus des choses saintes,
profanation ; aclion ow chose profane. " Luxe
excessil dans les babits, mondanile, etc.
ProrFAnissımo ‚A, adj. sup. de
Paorixo, A, adj. profane : qui est contre le
respect dü aux choses sacröes. —, qui n’appar-
tient pas & la religion, qui lui est oppos6, con-
traire. Adonn6 au luxe, mondain. Qui vit dans
le dereglement, Y’irreligion. s. m. Prolane : ce-
lai qui manque de respect pour les choses sa-
orees; qui n’est.pas initi6 aux choses saintes;
ignorant, grossier; l’oppose de sacre, elo.
Prorscia, etc, V. Propkecia, etc.
“ Paorecricıo, A, adj. profectice : du cöt& pa-
ternel. Profecilif: qui vient des ascendants
(bien, pecule).
“+ PROFEITAMENTO,s. m. | V. Aproveilamen-
*+Pnorsıränga,s.f. to, Utilidade, -
“Prorkıro. V. Proveito,
Puorzkaipo, A,p.p. de
Paorenir, v. a. proferer, prononcer.
Paoressivo, A, 9. p. de Professar.
PaoressanoR, A, adj. et #. qui professe,.
Pnorsssinte, adj. 2 gen. prolessant, qui
professe. p. a. de
Prorzssin, v. a. prolesser : exercer, laire
profession de; avouer publiquement; recon-
naltre haulement; enseigner publiquement;
pratiquer un art, un metier. — em uma ordem
ou religido (v. ».), faire profession dans un
ordre religieux. —se, v. r. se prolesser, se de-
eiarer.
Pxortsso, a, adj. et s. proles: religieux qui
a falt ses vux.
Paorsssön, s.m. professeur : qui enseigne
une science, un art; qui l’exeroe. Celui qui fait
profession de...
Paorsssoria, 8. f. " prolessorat : emploi de
professeur.
Provzssörıo, A, adj. professoral : de profes-
seur.
Prorkra, eto. V. Prophseia, etc.
Prorstär, V, Propheiizar.
nn
PRO
Paorla, ete. V. Porfa, eir.
Pnoricıkntg, adj. 2 gen. qui fait des progres,
qui proßte.
Proricuasstntg, ade. utilement, avania;re-
sement.
+ Prorıcuipäns, s. f. la qualits d’etre proß-
table, utile; utilit€, profi.
Proricuo, A, adj. profitable, utile. V. Pre-
veiloso.
Proriz, etc. V. Perfil, ete.
Paorıssiö, s. f. prolession : &iat de vie;
declaration publique (de sa religion, de »
croyance, 66.) ; emission solennelle des rauı
religieux.
ProriTEnte, adj.2 gen. qui professe queiqee
loi religieuse.
PrOFLIGÄDO, A, 9. 9. de Profliger.
t ProrLicaDOr, 5.0. qui renverse, deieil,
defait, met en d6route.
PnorLicär, ©. @. renverser, detreire; d*-
faire, mettre en deroute, tailler en piöces Is
ennemis.
Pröruco, A, adj. fagitif; errant, vagabosd:
&chapp® de prison.
Paorunvino, A, p. p. de Profunder.
t Prorumoanor, s. m. celui qui approfedt,
qui examine soigneusement.
Proyundamtnıe, adv. profondemeni, a
propre ei au figure.
Paorumpär, v.a. approfondir: rendre pin
profond, oreuser plus avant. Enfoncer, pe
trer avant. (flg.) —, penetrer plus avant, em
miner & fond, tächer de peuelrer. (em) e. »
Penetrer avant. —se, v. r. devenir ples mr
fond ; s’enfoncer. .
Prorunpeir. V, Profundar.
. Paogunptza ow baateur, prolosdew.
Prorunpipäng,s. f. ) une des trois dem
sions des corps. Profondeur : &endue dus
chose de la superficie au fond; etiendee dı
haut en bas; ( ig.) impenetrabilite : se dd
moral de ce qui est incomprehensible, ds
mysteres, des desseins de Dieu ; grande,
etendue de savoir ; &iendue de l’esprit, oic-
PROFUNDISSIMO, A, adj. sup. de
Prorünpo, a, adj. prolond : dent Ie lond
dloigne de la superficie; tres-creur; :M-
grand, extreme dans son genre (silener, s-
gesse, sommeil, etc.); d’une grande pee#t-
tion (esprit); Ird&s-humble (respect, rerereme.
Abstrus : difficile A entendre,, a comprendre.
Prorönno, s. m. "profondeur. V. Prefır
deza. (po6t.) La mort, l’enfer, l’obseunk &
Penfer.
Paorüsauenze, adv. profusement, avıı pr
fusion.
Paorusiö, s. f. profusion : exces de liberz-
litö, de depenses. Abondance excessire.
Proröso, A, adj. profus: qui depense art
profusion. Copieux,, abondant.
Procensz, s. f. progeniture, race, ligne,
famille, descendanis.
PaoGsnıTOR ‚s. 5. anodlre, aleul.
%
PRO
Proosnitdna, s. f. progeniture . les onfants
d’ane möme souche. V. Progenie.
Paöcuz, s. f. (tl. de myth. et de pods.) Pro-
gne : fille de Pandion, changöe en hirondelle.
(Ag-) Hirondolle; le printemps.
*Procnöstica. V. Prognesticapäo.
Paocnosticacgäd, s. f. l’action de pronosii-
quer. V. Prognostico.
Paocnosticin0, A, P. 9. de Prognosticar.
PRocnosSTIcADÖR,, A, 3. Pronostiqueur : celui
qui pronostique, qui annonce.
PROGNOSTICÄR , ©. @. PrFonosliquer : predire,
faire un pronoslio , conjecturer ; annoncer.
PRroGnösrtıco, 8. m. pronoslic : jugement et
conjecture ; signe de ce qui doit arriver; pr6-
diction d’almanach, d’astrologue.
Paocxöstico, A, adj. du pronostic; qui pr&-
dit.
* Procnöstiquo. V. Prognoslico.
ProcrÄuMA, 8. m. programme : placard pour
inviter & un exercice, etc.
ProGRxpino, p. p. de
+ Procaepin, v. ». marcher, aller en avant,
s’avancer ; faire des progres, avancer.
Procnzssäö, 3, f. progression : mouvement
en avant; (6. de math.) suite de quantitös en | |
rapport, de termes en proportion. — ascen-
denie, de ‚ Progression croissentie,
decroissante.
PROGRESsSiVAMENTE, adv. progressivement :
par progression.
ProcRESSiVO, A, adj. progressil : qui avance;
en avant.
Procr£ss0, 8. m. progres : avancement;
mouvement en avant; augmenlalion en bien
ou en mal. Faser —s , gagner du pays, faire
des progres.
PROGYMNÄSME , 5. m. (P. us.) COIMmMeEence-
ment , essai ,&preuve. V. Thema.
“ Prone. V. Prol, Proveito.
+ PaonıBknte, adj. 2 gen. et p. a. de Proki-
Bir. Qui prohibe, probibitif. Lei —, loi probi-
bitive.
Paonımıcäö,s. f. prohibilion, defense, inter-
dielion. .
Paosıpipo, A, p. p. de Prohibir. adj. Pro-
hibs ‚ defendu. E exprössamtnte —, il est ex-
pressement döfendu ; döfense expresse est [aile.
h PaoBiB1DöR , s. m. celui qui defend, qui pro-
ibe.
Pronisir, v. a. prohiber, defendre, inter-
dire. (inus.) Empecher. -
Paonisıtivo, a, adj. prohibitif. (6. de med.
anc.) Pröservatif.
PaoBt2tTöRIO , A, adj. probibitil : qui de-
Send.
Prolz, s. m. ou f. la plerre, l’anncau,etc.,
qui sert A amarrer un navire & terre. Cäble que
i’on met & la proue pour jeter l’ancre ou pour
amarrer le navire.
PuoJecgäö, 8. f. projeciion : action de joter
en l’air, d’iınprimer le mmouvement & un pfo-
jeetile ; ( 6. de chim.) action de jeter par cuille-
see dans un creuset ; jet d'un metal en sablo,
PRO 957
ele. Movimenfo de—, mouvement projeetile.
PaoJectrino, a,p.p. de
ProJscTär, v. a. projeter : former le pro)»
de; tracer un plan, un projet.
PaostcriL, adj. 2 gen. ot 8. m. projectile s
corps lanoe , abandonn® a F’action de la pesan-
teur et de Fimpulsion donnee; tout ce qui ost
lancs avec la poudre ow par des ressoris.
Paosecrista, 8. 2 gen. faiseur de projeis,
projeteur, homme & projets. ®
Pros£cTo, s. m. projet: dessein; plan d’un
traite,, etc. * Projection.
Pros£cro, A, adj. Jets, lancs (par un canon,
un morlier, otc.). Corpo —. V. Projeetil.
PaoJectöna, 8. f. (tl. d’arch.) saillie, proJeo-
ture.
*PaöL,s.m. ou f. profit, utilitd, avantage,
Homem de — ‚ homme capable , de mörite,, som
viable,
PaoLaciö, s. f. prononciation d’une voyelle
ow d’un mot. (#. de mus.) Prolation : duree de
chant sur une voyelle; roulade, suite de notes,
PröLz, 8. f. race, lignde, enlants.
PROLEGÖNENOS, 8. m. pl. prol&gomenes : on.
guo et ample preface sorvant A l’intelligence da
ivre.
ProL£psE ou prolepse : figure de rhöto-
ProL£psis, 8. . rique par laquelle on pre
vient et refute les objections. '
PrOLETÄRIO, adj. et s. m. proletaire : qui n’a
aucune propriei£; indigent. Aufor —, aulsur
mediocre. Os —s „ les proletaires, derniere
classo des citoyens ä Rome, qui ne foumis-
salent que des &nfants pour recruter Parme6e.'
°ProLrica, s. f. V. Parabem. Prolfaga! tar
terj. grand bien vous lasse!
PröLico. V. Tontinko.
+Paouireno, A, adj. (8. de bot.) proliföre «
(fleur, etc.), du disque de laquelle il en sort
d’autres.
+ ProLiricaciö, u. f. (8. de dos.) &tat des
üeurs proliföres.
PaoLssicka , v. a. engendrer des enfanis,
PaoLinco, A, adj. proliique : propre pour
la generation; qui a la force, la verta d’enyen-
drer.
PROLIXAME£xTE , adv. prolixement,
PaoLıxmänpe, s. f. prolixite : diffusion, lon-
gueur, irop grande &tendue du: disoours, de
’orateur. Attention minutieuse , trop scrupu-
leuse.
ProuLfxo, a,.adj. prolize : diffus, trop long;
trop etendu. Trop scrupuleux, trop exact, mi-
nulieux. Ennuyeux, importun.
PröLoco, 3. m. prologue, preface, avami-
propos; prölude d’une pidce dramalique. (Ag.
Prelude , lout ce qui sert d’introduetion.
Pa0Locöuznos. V. Prolegomenos,
Prorönca, 3. f. " relardement, delei, r6-
mise. (8. dartül.) Prolonge ow prelonge : c0r-
dage pour trainer le canon.
ProLoncagiö, 8. f. prolongation : action de
prolonger;; temps ajouts & la durse fizo d’une .
treve, elc.
958 PRO
PaoLoncipamkure, ade. plus longtemps,
pour plus longtemps.
PROLONGADISSIMO,, A, adj. sup. de
ProLoncino, A, 9. p. de Prolonger. adj.
Plus long que large ; allong& , oblong, proleng®.
ProLoncadöR, A, s. oelui qui prolomge. adj.
Qui prolonge.
PROLONGANÄNTO, 8, m. prolongement ı ex-
tension, continuation d’une portion de l’eten-
due. V. Prolongazäe. ($. d’analt.) Prooessus,
prolongement.
PaoLoncir, v. 6. prolonger : faire durer plus
longlemps ; 6tendre; continuer (une ligne,
etc.). (6. de mar.) —, meitse flanc Ad flanc (un
navire).
ProLöNcÄR-sE, v. r. se prolonger, au propre
et au figure.
PaoLönco, s. m.(t. de maconn.) l’eau qui
coule par les goutiidres de chaque cöte du teit
d’une maison.
PaoLöqtıo, 8. m. ° maxime, axiome, MBN-
tence , moralil#, dioton.
"PaoLuxıpäoe. V. Prolisiddde.
PaoLixo.V. Prolizo ot Perlumo.
* Paumickn, s. f. toutes sortes do prunes ol
pruneaux.
. Paomanan. V. Dimmer, Broter.
+ Paouzaöpz,s.m. (4. d’hist. nal.) proime-
rops : olseau sylvain, &popside. — da Nova
Gwind, promerops & parements [rises.
Paoutssa, s. f. promesse: Assurance quo
on donne de faire ou dire; engagement yue
l’on prend; engagement verbal. Promesse falle
‚„vau. De osid 0 inferno cheio,
Penfer est plein de bennes Intentions.
+ Prougruto, s. m. (4. de myik.) Promeibte,
fils de Japet; dieu &gyptien.
. Paonstrau6n, A, 8dj. ots. promelisur : Gelui
qui promet,
PRONMETTENENTO. V. Promeltimönto.
Pnoustrka (a), v. 8. promelire : donner pa-
role de faire ou dire, s’engager. Assurer. Oflrir,
proposer un prix. -— mares e moniss, OU Muh-
des e fundoe, promeiire monts et merveilles,
beaucoup d’arantages pour seduire, 6lc. — 00m
volo,vouer, faire un vaau. v. ». Repondre pour,
eaulionner.
Prouzträn-se,, 0.7. 50 Promelire, esperer,
se llatter d’ohtemir.
Paouxırino, A, p. pa de Promsiier. ad.
Promis. — om volo, voud, consacre par vu. |'
s. ın. Promssse. O — d.devido, chose promise
ehose due, qui premet s’oblige.
PaAONETTIMRNTO, 5. m. V.
Paouınkutıa, s. f. prominenoe : ölövation ;
arancement, Pro6minencs » tat de oe qui est
en relief ou prodminent.
PaouınknTE, adj. 2 gen. ent: qui s's-
lüre an-dessus; eminent, &ior6, qui parati au-
dessus. Prosiinent : qui est plus en rellef que
ee qui l’environne (front, nez).
Oasmscuamentz. ade. confusöment, p6le-
möke,, ennsmble, indistiastement.
PRO
Paoniseuo, A, ads. welt, ol, ar
pele-mele, mis sans distinctien. Now —, me
commun au mäle ot & la fomello d’une ospkee.
(9. g. Y’aiglo, le hareng, ete.).
Paouissa. V. Promise ei
Paomıssiöd, s. f. (6. de prai.) Faction de pt-
metize, proimense. Torte de —, tutre de mr
mission, terre promise : la terre de Chanses,
que Dieu arvalt promise aux Isredtites; (Ag.
pays abondant, fertile.
Prowissönio, A, adf. (d. de prai.) yai
ferme une promesse,
Prosıtränte, a. 0 6. 2 gem. (1. deprei)
qui promet, qui [alt une promene; gei 1@-
gage ou oblige.
Promociö, s. f. promotion : setlen par >
quelle on &idve, um est ders & une &geit.
"Office, sollicitation , reqa@te de promoleur.
ProMONTöRIO , &. m. ptomenteire: tip,
pointe-deterre dleröe qui s’avanee var a ml.
"Paoxörto. V. Promeovide.
PRONOTÖR, s.m. promoisue : qui prend ie
soin prineipal d’une affbire ; proouteer KuiR+
dans une cour d’öglise.— , qui exuite (me et
relle, eic.).
+ Paomorenla, d. f. ’ oliee, charge der
meteur.
“Paomovsner. V. Promoter.
Prowov&r (a), v. a. promourvelf: even,
slever d une dignite. Avancer, poufser en arıd,
mener ä sa perfection. Solliciter, demander &
Justice en favear de queigu’un. —0
a agrieuliura, encourager le commertt, fr
griculture.
Paouovino, A, 9. pP. de Promsuer.
Paouprantutn, ade. prormptement : mi
promptitade, diligence , rapidite.
Paoueriwiö, 8. f. ptomptitade : oil,
vitesse ; diligenee. Vivacit# d’esprit.
Paouprissıno, A, adf. up. de j
Pröurto, A, adj. prompt : rapide, fell:
actif, diligent; tonjours pret ä agir. Prit, wb
pars, dispos# ä. Attentif. Em-—, promptesienh,
vite; lont pret, sous la mtin.
PröNrTO, adv. prompt, vite. Promple' tt
ponse & Pappel) pr&sent!
Prourruinıo, s.m. depöt, recuell, pe?
tuaire; calepfn,, agenda, tableties, eit.
PaowuLcackö, u. f. promuigauen:
tion des lois faite avec les formalites requl®:
ProxuLcin0, A,9.p. de Promiger.
PromuLcanorn, A, &. oelaf qui promulgtl,
qui publie.
PromuLcir, ©. a. promulguer : pablier 'W
lof)areo les formaliiös requises. Mettre au je,
donner au public.
+ Proniciö, e. f. (t. #anal.) Hortunh b
—, mourement de pronation, par legal ®
tourne la paume de la main vers la terre.
+ Pnonanor,, ad. m. (t. dent.) Zur
ts, musches pronateurs, qui ieerzeni B
paume de la main vors la terre.
+ Pronsipäpe, 5. f. (dmms.) Inellantien, PR
. Paomuscomäioe,, s. f. promiscuitö, m6lange: I chat
PRO
Paöno,a, adj. enclin, porie.
Paonduz, s. m. (1. de gram.) pronom : partie
du disoours qui tlent lieu de nom.
PaonoumäL, adj. 2 gen. pronominal : qui
apparlioeul au pronom; qui 86 conjugue avec
un pFonom POUF Oxpfimer une Nuance P&SSIYe
(rebe).
* Paonderich
PaONOSTCAR, v. Prognostie., eic.
Paonösrico,, ete.
Paoxto, ole. V. Prostpio, elo.
+ Paönuna, adj. oa. f. — Juno, surnom de
Junos , qui pr&6sidait aux mariages.
+ Prönuno, A, adj. qui concerne la noce.
Anne — , aunean de mariage ‚, alliance,
Paonöncıa , s.f.V. Prononeiagdo. (1. de pral.)
Mise en accusasion. — d’umd senlonga, " PFO-
noned d’un are. .
PRORUNCAAAO ,s.}. Promoncialion : vocalisa-
iion et articulation des mois, eic. ; manidre,a0-
tion de premoncer,de reeiter: c’est une des par-
tes de la rhetorique. *Prononce d’un jugement.
PaonumcıÄBO , A, P. 9. do Pronunelar.
PRONUNCIADOR , A , 3. celui qui PFOnence.
PsoncncaAr , 9. 6. prononcer : prolörer, arli-
euler; döclarer bautement, avec autorits; de-
eider, ordonner, proferer (un jugement, une
sentence). ( Ag.) Aunencer, prödire.
Propacackö, 8. f. propagalion : maultiplica-
tion par is göneralion ; exiension, progress, aL-
croissement, d6veloppement; ( g.) se dit de la
foi, des lamiöres, etc.
Paoracipo, A,P. 9. de Propagar.
PaoPa@anDOn, A, 8. pFopagaleur: qui opere
la propegalion,, qui propage. — de pairanhas,
semeur de faux bruits.
Pnoracäa,v%. 6. muliiplier par la generation.
?ropager : dtendre, augmenier, semer, r&öpan-
iso. v. ». Se propeger, se multiplier par la g6-
#ration.
Proraskn-38, u. f. se propager, s’siondre,
8 enter, so 1e.
PROPAGATIYVO, a, adj. qui propage ‚multiplie,
vend , repand.
Prorkonu „e. f. (p.83.)" provignement, pro-
Ig. V. Mergulkis. (1. de bei.) boutare;; reieton.
“Prnoraızäö, s. f. passion preiongte.
PROPALÄDO,A,P. 9. de
+ Paorauhrt, v. e. tbrailer, publier, dival-
ner ce qul doit ötre secret.
Prorio, 8. m. (t. de mar.) sorte de galerie
ır Je tllac des bätiments. V. Prepdo.
Paorenȣfa (pers), v. n. ineliner, avoir du
mebant pour; pencher, etre porie vers. Hsis
wwnesde perss ce jeune
smmne incline & ja döbauche.
PnorEusauiutTE, ado. aYon propension,, avec
mebant.
Paormnsäö, s. f. propension, penchant, in-
nation.
PrOPSWSO , A, adj. sujet, enelin, ports &.
Paoesecia, 8. f. prophetie : prediclion de
apa futmres, par inspiration divine; predie-
n bonne ou mauvalss; chose prophitisde.
PRO I yE
- Pnopn@ra, 5. m. prophöte.: qui predii Fare-
nir par inspiration divine, qui a le don de pre-
phetie ;(Ag.) celulquipreditpar conjecture,etc,
Celui qui (parmi les Juifs) ohantait les louange s
du Seigneur, qui annongait sa doetrine. Nin-
guom d — na sus lerra, (pro®.) personne, nu)
n’ost prophöte en son pays.
Paorazrän, V. Propkeiiser.
Paoru£ricamäntz, adv. prophöliquement :
ea propböte.
ProrB£rico, A, adj. prophetigee :s qui est du
propheie, qui en tient.
Paornkzriza, s. f. prophetesse: femme qui
predit Pavenir par inspiration divine.
PaorazTizino, A,p.p. de
Paoraemzin, ©. a, prophötiser : prodire !’a-
verir par inspiration divine; ( Ag.) preveir ot
predire (un &vänement, eic,). Anweneer, chan-
ter les louanges da Seigneer. ('ost une exprbs-
sion biblique.
ProrurLäÄcrtica, 8. f. prophylactigue : tweilb
sur la maniärg de conserver la sante ; hyglötte.
ProravLicteo, A, adj. propbylactigus
(remdde) qui entrelient, defend ta sante.
Proricıacäö, 5. f. l’aetion agröable d Diews
qui meus lorend propice. Baeriise de propflis-
tion pour apaliser la colöre de Diew, pour io
rendre propice,
Prortcsino, A, P. 2. de Propieiar.
PaoPiciadOr, A, aüj. et s. quirend pruploe,
+ Prorictamente, adv. d’une maniere pre+
pice.
PaoPfeiar, o. a. rendre propfoe, apalser fa
oolere, etc.
ProPicıaTörto, A, adj. propitistoire : qui
sert ä rendre propice (sacrifice, offrande).
PrortciATörIo, 8. m. propitiateire : table d’®r
au-dessus de V’arche d’alliance. (Ag.) Les ten
pies, tes saints , otc., tout cu qui sert & nous
rendre Dieu propice.
Proricıo, a , adj. propiee,, Taverable.
Prorina, s. f. collation due aux membrus
d’ane universit& qui assistent A l’examen,, & lg
these d’an cendidat: elle est conreriie en am
gent ; retribation universitaire. *Potdevin dans
un marche. * Rmoluments casuels. (}. de prei.)
Epices.
Prorınacäd, s. f. action de prösenter & beire.
ProrinÄvo, A,9.p. de mar.
AehPmormaner ‚5. m. celui qui presente
re.
Pnormir,v.a. boire le premier da vin qu’og
offre dans les sacrifices. Donner ow pt@senier ä
boire (du poison, ete.). Boire & fa sante de.
Pnorinuuasente,ade. proche, prös,aupr&f.
Prommgruimäpe, 8. f. proximits, et surtous
parente.
Proringuo ,A,ad/. proche ‚volsin, prochain;
parent, allie, intime. "
ProrontuTe, adj. et 3. m. proposant, qui
propose.
ProrPör, ©. a. proposer, exposer, dire, dee
elarer; offrir; meitre en avant pour delfberen
(une matiöre, etc.) ; dösiguer, prösenter (yutl;
98 PRO
qu’un pour une place). (de) Avoir Pintention,
lo projet de; prometire de. Proponho firme,
wonte, jo fais un ferme propos.
PaOröR-SE (6), 9. T. se proposer, avoir des-
sein de, envisager.
Paoroacäö, 3. f. proportion : convenance et
rapport des parties entre elles et aveo io tout;
6galild entre deux rapporis en mathömatiques;
convenance des choses entre elles; mesure de
la qualite relative; ($. d’aris) formes, dimen-
ns balanoses, en harmonie enire elles. Ap-
ade, disposition. 4’ — , äproportion, selon;
a fur et A mesure; en proporlion. A’ — que se
4uliivdo as schencias, selon quo les sciences
sont cultivees.
PROPORCIONÄDANENTE, ade. proportionnd-
Bent : par ow avec proportion,, & proportion.
PROPORCIONADO, A, P. p. de Proporeionaer.
Äj. Proportionne, propre, oonvenable.
PROPORCIONADÖR, 3. m. celui qui propor-
tionne, qui met en proportion.
ProroncionäL, adj. 2 gen. proportionnel :
qui est en proportion avec d’autzes.
PROPORCIONALIDÄDE, 3. f. proportionnalite :
68 qui rend proportionnel.
PROPORCIONALNENTE, adv. proportionnelie-
ment:aveo proportion ; d’une maniere propor-
tionnelle.
PROPORCIONAR (@, COM), v. a. proporlionner:
garder la proportion et la convenance neces-
saires; meitre en proporlion, reduire ow ac-
eroltre en proportion. Approprier, ajuster, ren-
dre propre, oonvenable. Faciliter, procurer. —
a despesa com as suas rendas, mesurer Ba d6-
pense & son revenu.
PaoroacıonÄa-sE (para), v. r. se rendre
apte pour... (a) Se conformer 4... Proportion-
ner ses enireprises A sa capaoilö, & ses moyens.
So prösenter. (fam.) Se se proporcionar ocea-
sido, si V’occasion se presente.
+ ProPoncıonÄvaL, adj. 2 gen. qui peut se
proportionner. Proportionne.
Proposıgäö, s. f. proposition : &noncialion,
discours qui affrme ow nie; chose proposee
ur en deliberer; tbeoreme et problöme.
höse, position, question ä discuter.
PaoPpösıto, s. m. dessein,, propos, r&solution
determinde. Propos, discours, sujet, maliere
dont on traite. Jugement, prudence, circon-
spection. "Commodite, aptitude. V. Preposito.
A—, & propos, dans l’occasion; convenable-
ment au temps, au lieu, aux personnes, etc.
De —, &dessein, exprös, de propos delibere.
Föra de —, hors de propos, hors de raison.
Homem de —, homme rellechi ow rassis.
Prorösta, s. f. proposition , offre. Consulta-
tion. Representation, expos6 fait ä un superieur.
ProPpösto, A, p. p. de Propor. s. m. Pre-
post, commis & quelque chose. V. Caizeiro.
PnüprztTön, 5. m. propreteur : qui avait &t&
preteur; qui en avait l’autorite.
PROPRIAMENTE, adv. en lermes propres; dans
le sens propre;; convenablement, proprement.
PaOrRIEDADE, 3. f. propriets ; domains; chose
.
- [ Du
PRO
possed6e ; droit par lequei une chose appartien
en propre ; bien fonds; qualite, vertan des pa»
tes, eic.; ce qui appartient & une chose, la
distingue ; sens propre d’un mot. (Ag. Coar-
nance, proportion, justesse. * Panchant nala-
rel, inelination. Ressemblance , Imitation par-
faite. —, vice oppos6 & la pauvret# religieuse.
—s, pl. (1. de mus.) ınodes de la musigoe dass
le systöme de Gui d’Arezeo. Ndo pessuir nals
em —, n’avoir rien en propre.
+ PaoPkıgTänıamente, edv. par droit dee
priöts , en proprietaire , en propriöte.
PaoPpniErirıo, A, adj. ei s. propridsit:
qui possede en propre. Religieux qui peche
contre levau de pauvrets&,, qui posssde que-
que chose en propre.
Prorniissino, A, adj. sup. de
Prörkıo, A, adj. propre : qui appartientet-
elusjvement &; möme; naturel, qui coarien
specialement & ; qui peut servir ä, convenabb
&,convenable pour; qui a de l’aplitude d; pt
tieulier, personnel. Semblable, ressembissk
Propre. On le dit da nom partieulier d’une per
sonne. 40—, avec propriete. Elle —, ä-,
lui-meme, soimeme. Em —s terms, air
pres termes. .
Paörrio ,s. m. propre : qualite parlicale
ä, attributessentiel. Biens immenbios. Copa,
fonds. Expres, courrier, messager. —, fl
biens que la couronne, un corps de ville, HK
possedde en propre.
PROPUGNÄCULO, 5.1. *[orteresse, place [ortt,
eic. (fg.) Rempart.. appui , defense, soutit®.
T Propucnanor, 4, s. delenseur, proletiee.
+Paorucnin, vo. a. combattre pour la de
fense , defendre.
+Prorutsiö, s. f. (t. de bol.) propakm,
mouvement des sucs.
ProPULSÄR, v. a. (P. us.) repeusser (rest
mi,etc.). V. Repellir.
Paorr’L2o, 3. m. (6. d’ent.) propyke: #
ristyle & colonnes ; parvis , porche d’us teap
ProsäTa, adv. au prorata ; au marc ie fait
Pronipo. V. Prwido ow Pruride.
Prorocacid, 5. f. prorogatien : delai, m
mise d’une affaire, etc. ; temps donnd au del
du temps prefix.
Prorocino,A,p.2.de
PnonooÄR, v. 6. prOroger : prolonget, Te®-
ler le temps prefix.—e jurisdicgäe, (1.de prei!
se soumelire & un juge inoompeten! dans us
contestation, etc.
ProaocaTivYO, A, adj. prorogalil : qei Pr
roge.
t Pnonoolvat, adj. 2 gen. qui peut tirept*
roge.
Paonour£n, vo. ®. sortie avec violence, i2-
petnosits. V. Romper. — em gemider, en ir
grimas, tclater en gömissemenis, fendre &®
larmes. BR
Pnösa, s. f. prose : discours non asaujeüi!
la mesure, ä la rime. (g.) * Babil, eoquek '-
Labia. Ter mwiia —, ( Ag.) porier beaucosp ©
avec facilite, re un grand parleer.
vn \ wu.“
wa
PRO
Paosan OR, s. m. prosaleur, &crivain en prose.
Paosiıco, A, adj. prosalque:: qui lient trop
de la prose.
Prosirıa, s. f. lignee, race, famille. (fam.)
*Orgueil, fert6, prötention.
Paoscknıo, 9. m. (8. d’ani.) proscänium :
partie du ıhöätre oceupee par les acteurs.
ProsckEvÄr, 9. @. proscrire: condamner &
mort sans formes judiciaires; chasser, &loi-
gner; an&antir, abolir, detruire.
Psoscaırgäö, s. f. proscription: action de
proscrire; condamnation & mort sans formes
judicieires.
Paoscairto, A, 9. p. irr. de Prosersver.
adj. et s. m. Proserit : qui a &16 frappe de pro-
scription ; banni; dcarte de l’usage.
ProscaıPTOR,, 5. m. proscripteur, qui pro-
scrit; auteur de proscriptions.
Prosscugäd, s. f. Paction de poursuivre, de
continuer, poursuite. Observation,, execution.
Prosscuicäö, 8. f. poursuite, continuation.
ProszGuino, A, p. p. de Proseguir.
ProsecuinönR, A, 3. celui qui poursuit.
PROSEGUIMENTO , 5. m. “ conlinuation,, suite.
Prossctir, v. #. poursuivre, continuer. (em)
v. ». Continuer, avancer.
PaosgeLrrisuo, 3. m. proseiytisme : zeöle ä
faire des prossiytes.
ProstLyro, s. m. prossiyte: idolätre qui se
Saisait juil; nouvesau oonverti & la foi chre-
tenne; nouveau parlisan.
t Puosanrina, 3. f. (6. de myih.) Proserpine:
femme de Pluton.
+ Pnoszarımäca,, s. f. (8. de bof.) "proserpi-
naca : plante cereodienne.
ProsıLLocisuo, s. m. ($. de log.) argument
qui contient deux syliogismes.
PROSLABÖNENOS, 6. m. (#. de ws. anc.) T6,
note de musique.
Pnrosöpta, 5. f. prosodie : prononciation r6-
guliöre des mots sonlorm&ment & l’accent, ä la
quantits. °Diclionnaire, vocabulaire oü les
mois sont derits avec les accents prosodiques.
Pnos6pxoO, A, adj. prosodique : de la pro-
sodie.
+} Prosorocrapnia, 5. f. (f. de rAdl.) proso-
pographie : description des traits,, du maintien,
de la figure.
Paosoropkıa, s. f. prosopop6e: figure de
rhetorique par laquelle on fait parler un per-
sonnags® feint, un @tre inanimed; figure qui con-
siste A pröter aux @tres inanimös le mouvement,
Je sentiment, & leur adresser la parole, & la
leur preter, & supposer presents des personna-
ges absents, des morts, etc. ( fam.) Ostentation,
faste , affestation dans le discours, elc.
Prosp£cro, s. m. prospectus : programme
qui annonce et decrit un ouvrage, un diablisse-
zuent nouveau,.
Prosrzrino, A, P. p. de Prosperer. adj.
Qui a prospere. r
PROSPERADOR, A, adj. ots. me. ani fait PFO-
sp£rer.
FORT Ta
PRO 961
Paöspzaamäutz, ade. heureusement, aveo
prosp6ritö, avec suceds , & souhait.
Prospzain,, v.a. faire prosperer, favoriser,
rendre heureux. o. m. Prosperer : avoir la for-
tune favorable, un heureux succes; &tre heu-
reux.
PaosPERipÄnE, 8. f. prosperite : #tat heu-
reux; bönheur, bien-@tre.
Paospzkissimo, A, adj. sup. de
PaösrERo, A, adj. prospere : favorable au
succ&s ; heureux ; propice.
PROSTAPHERESE,, 5. [- (4. d’asir.) prostaphs-
rese : dilferenoe entre le lieu moyen et lo vrai
d’une plandte.
Prostarneaıco, A, adj. (8. d’asir.) de la
prostapheöröse.
Prostäin. V. Prosirar.
PröstaTa,s.f. (l. d’anat.) prostate : corps
glanduleux & la racine de la verge.
TPaosTtärıco, a, adj. prostatique : de la pro-
state.
ProstErnacäö, 8. f. "prosternement, pro-
sternation.
ProstErnäDo, A,Pp.p. de
PROSTERNÄR, v. a. humilier, soumelire, assu-
jettir. V. Prostrar.
PROSTERNÄR-SE, ©. r. se proslerner : s’abais-
ser en suppliant. V. Prostrar-se.
PROSTERNATIYO, A, adj. qui humilie, qui
soumet, qui assujettit.
+ Paösruesg, s. f. (#. de chir.) prosthese:
action d’ajouter une partie artificielle, une
jambe de bois, un ail de verre, etc.
PaosrisuLo, 3. m. prostibule : lieu de prosti-
tution, de d&bauche. V. Putaria, Bordel.
° Paostıutina. V. Postimeira.
Paostıruiciö, s. f. prostitution.
Paostıtulno, aA, p. pP. de Prostileir.
Paosriruipoa, s. celui qui prostitue.
Paosritufs, v. a. prostiluer : livrer & !’impu.
dicil6 d’autrui (sa femme, ses enlants); avilir
(sa dignits,,son talent).
PaosTıruin-sE, 9. r. se prostituer, se livrer
& la prostitution,, faire folle de son corps; (fig.)
se devouer lächernent A la faveur, eto.,, so lais-
ser Corrompre.
Paostırüra, 8. f. prostituse : femme, file
qui fait mötler de Pimpudicite.
Pnostnaciö, 8. f. prosternation , prosterne-
ment. Prostration : perte de forces; [aiblosse ,
abatioment.
Paostripo,A,p.Pp. de Prostrer. adj. Pro-
sterne. Abattu, faible. (6. de bot.) Couche, ren-
versb.
+ Paostnapor, A, 5. celui qui humilie.
Prostair, v.e. humilier, soumeltre, assu-
jettir. Abatire, renverser, detruire. Affaiblir,
tnerver. Deoourager.
Pnosträn-SE, 9. r. se prosterner : s’abaisser
| en suppliant; se jeter & genoux, aux pieds de;
s’abaisser jusqw’ä terre. S’affaihlir. So döceu-
rager.
ne Pnosrontıno, V. Postumstiro.
Paosurron.V. Preswupper, .
4
662 PRO
PROTAGONISTA, 8. m. protagoniste : premier,
principal personnage d’une tragedie.
ProTÄse ow protase: parlie qul eontient
Paoräsıs, s. f. ) l’expositian du sujet ( dra-
malique); exposition.,
t Pnotärıco, A, adj. prolatigue (person-
nage), dans l’exposition.
ProTeccäid, s. f. protection : action de pro-
{eger ; appui. secours, aide. *OMice, charge de
protecteur. V. Prolector, Busear 3 — d’alguem,
so melire sous la sauvegarde de queiqu’un.
PROTECTIVO, A, adj. qui prolege, protecteur.
PROTECTÖR, 8. m. proteoteur : defenseur, qui
protege. — , ohef de la republigue anglaise ;
titre d’un cardinalcharge, ä Rome, de defendre
certains interfis dtrangers.
PROTECTÖRA, 8. f. protectrice : femme qui
defend, qui protege.
?T PaoTectToräno, 8. m. protectorat : fonc-
tions de prolecteur.
? Pnotecroria, s. f. qalile de protecteur.
PROTEGER, v. a. protöger : prendre la defense
de; donner protection & ; appuycr, soutenir les
intere@tis de.
PrOTEGIDO, A, p. p. de Profeyer. adj. et s.
Protege.
ProTEIFÜnNME, adj. 2 gen. (l. de pods.) pre-
telforme, irregulier.
f ProTeLäg, v.a. (P. us.) chasser, pousser
au loin. V. Repellir.
ProTenn£n-se. V. Estender-se, Dilalar-se.
ProTt£o, s. m. (l. de myth.) Protse:dieu ma-
rin; {fig.) celui qui change continuellement
de forme, qui joue toutes sortes de person-
nages.
ProTERVIA, 8. f. ellronterie, impudence, in-
solence.
PaoTERYO, A, adj. ellronts, impudent, inso-
lent, arrogant, audacieux. Lingus —a, langue
venimeuse.
Paot&sta, 8. f. V. Proteste.
PROTESTACAO, 8. f. protestation : tömoignage
public; declaration publique, jJuridique, de sa
volontsö, de la röserre que l’on fait de ses
droits ; PFOmesse, assurance positive. V. Pro-
Kesto.— da ft, prolession de foi : deolaration
publique de sa croyance. Formule rödigee par
le concile de Trente, qui eontient les verites &
croire et & ensoigner.
Protzsrino, A, 2.9. de Protsstar.
PROTESTADÖR, A, 8. celui qui proteste.
PROTESTÄNTE, 8. 2gen. prötestent: lutberien,
calviniste, anglican, religionnalre; chretien
qui meconnatt le pape. Celui qui protesie uns
lettre de change.
PROTESTANTISMO, 4. m. protestantisme:seots,
croyance des protestants.
PAOTESTÄR, v6. a, protester : assurer forie-
ment; promelire posilivement; deelsrer juri-
diquement; faire une prolestation oonire; faire
un prot£t. Faire sa profession de foi: confesser
publiquement sa csoyanos. Nenaser. — ums
jeira de cambio ‚ proioatee une leise de cbsuge,
PRO
Paoressariro, a, adj. qui cancerne la pro-
testatlon. Qui rend tämoignage; alfirmatif,
Paor£sro, s. m. ° protestauon : döeclarsiisn
par laquelle on protesie ; promesse , assurante
positive. V. Prolestaplo. — das leiras, (1.de
comm.) prol&t : acle de recours contre les em
dosseurs de billeis, ete.
+ Pnörmese, s. f. (l. de gram.) proibite:
addition faite & un mot, Ex. : Gnarus pour ne
oris. V. Prosthese.
Pröro, mot grec qui sıguifle premier ; len
tre dans la composition de plusieurs meis por-
tugais. Proto, premier, en chef,
PröTO, #. m. prote d’imprimerie.
+ Prorocanönıco, A, adj. protosanonigee.
On le dit des livres sacr&s qui &iaieni reconnm
pour canoniques, m&äme avant qw'il y oht des
canons.
ProTocöLo, 8. m. protocole des nolairs:
registre qui contient tous leurs actes. Prois-
cole, minule d’une conference diplomatigae.
ProrTocanista. V. Protsgonisie.
PnOTOMÄRTYR, 8. m, protomartyr, premie
martyr (St.-Etienne),
PROTOMEDICÄATO, 5. m. tribunal medical.
ProTom£oıco, 8. m. protemedeelin, premier
medecin du rei,
ProTonäura ‚s.m. premier navigateur. (ei.)
Amiral.
Pnoronorirıo, 8. m. protonotaire : ofkcit?
de la cour de Rome, qui a la prö6minence set
les autres nolalres. — apostolice, protemelirt
apostolique : dignits accordee par lo pape art
certains privilöges,
ProTorAPa ouPrOTOPÄPAB, 6: 30. PROISPFF:
premier prötre gree.
PROTOPATRIÄRCHA, 8. me. premier patiarcht.
PaoTopLisTo, s. m. qui a db formen cr
le premier, comme Adam.
Paororassuz, s. m.(p. wo.) premier prüd
Pr ROTÖTYPO, #, 30. prolalype ı original, me
®.
Prorvpeaincıa, 8 fı (i. d’anai.) protab-
rance : Eminence, avancament,
d’une partie osseuse ou charnue.
*Provucußa. V. Aprouver,
Paöva, s. f. pfeive : ce qui &tablit la rend
d’an fait, d’une proposition ; margque, Km
gnage; (t. d’arith.) verifieation d’un caleıl.
Preuve faite en Justice. * Essai, &preuve. Mos-
tre, öchantillon. *Essal d’un habit neaf. Bpreore
@’imprimerie. Repetltion : exereice, essai aranl
er v, Pe d—,ä löprenn
rovacäd, 8. [. probation : terupe du nel"
eiat; preuve,, &preure. V. Provs,
Provido, A,p. pP. de Procar.
PaovapoR, A, 8. celui qui &proure, qul e%
une, Tu Bote. u de 9 eic., &@
+ Paovanöxa, 8. f. 6preuve, essal.
Paovicae. V. Propagem.
Proväng, 5. /. preuve juridiqwe, vöridcı
tion. 4, Pi. premves de nebleuse, V. Prove.
Paovän, 9.0 promver ı Htablig la viritäde-
en. +
m— 0 -o
PRO PRO 9
pät des ralsonnements, des lärhöighages M-
contostables, des pidces jJustiflcatives, des eu-
toriles. Eprourer : essayer la bonte, la qualite
d’une chose, les talents d’une persenne. Es-
sayer : öprouver si une chose convient, s’ajuste
avco une auire. Goüter: faire l’ewai d’un mels,
etc. ;ddguster. Souffrir, endurer. v.». Röuseit,
conrvenir, s’adapter, &tre & propos, produlre
l’effet desire. Dans ce sens Il s’emploie avec les
adverbes dem ou mal. — a parientia, mettre la
patience & l’e&preuve. — as armas, as forg@s,
€prouver les arınes,, lesforees, au propre ei au
figure. — sua innocencia, se laver d’un crime,
s’en justifler, prouver, &tablir son innocence.
Provän-sE, ©. r. Se prouver: @ire, pouvoir
eire prour®.
Paoviver, adj. 2 gen. probable, vraisem-
blable. Qui peut se prourer.
PRrOväYELMENTE, adv. probablement,
Paovanaio , 3. m. pieverbö : SChlsnen ,
waxime commune et vulgeire em peu de mais.
Os —t, pl. livre des Proverbes, un des lives
canoniques,
Provaasisrä, 6 m. celul qui emplele frd-
quemment des ebes.
Provärz, 0. m. (6. d’artil.)* sprouvelle ı Mi:
chine pour dprouver la poudre.
* Prevkuno. V. Provide.
° Provtia. V. Pnbreze.
‘ Provıcia. V. Publicer.
“Prövıco. V. Publico.
* Paovico. V. Pobresinhe,
*Paovico. V. Previse.
PrövmauAxte, ade. avec prövoyanen; sel«
gneuserment, diligemment. .
Pnrovidencıa ,s. f. prevoyance : l’sclion de
prevoir, de prendre des precautions. * Moyen
ermploy& pour remedier & un accident fächeus,
*Prövs, ete.V. Podre, etc. eic,; expedient, Providence : sagesse supreme
*Praovscck6. V. Blevapdo , Exaltardo. de Dieu conduisant toutes les choses; Dieu;
RaovscrissinO, A, adj. sup. de €tat, ordre actuel des choses. Dar —, ou as —,
Paov&cro, a, adj. avancd en Age ow dans
une science; (fg.) dans la vertu.
Provapon, 5. m. provediteur, tilre de ma-
gistrat en Portugal. Pourvoyeur. — duma ar-
made, msitze d’tquipage.
Paovaoona ‚8. f. lomme qui peurvoil,
Paovsoonia, s.f. eharge de provediteur; SON
Iursau ; dtendue de sa juridiction.
“PROVERNGA,
*Pnovz£r, eic. | Y. Provenga, ete.
Paovtıto, s. m. profi, gain, benefice; uil-
lit, avantage; progres dans lcs solences, OlC.
Bem—! grend bien vous fasse! Fazer —, pro-
ter : ötre utile, proßtable. De Judo fira --, il
pourvoir ä, prendre les mesures.
Pa0OYiDENCIÄDO,, A, P. P. de Providenciar.
PaovinenciäL, adj. 8 gem. provideniiel : de
la Providence. Prevoyant, qui a de la prö-
voyance.
Pnovinencıäa, v. @. employer des mesures;
pourvoir &.
PROVIDENTE ‚adj. 2 gen. prevoyanı, aviss,
prudent. V. Prövide. Provident, qui prevoit es
Peurvoit. Deos d —, Dieu est provident.
PROVIDENTEMENTE , adv. avec prevoyance.
Proviınanzissimo, A, adj. sup. de Proti-
dente.
Paövipo, A,&adj. prevoyant: qui a de la prc-
prend avantago de tout, voyance; qui psevoit l’avenis; soigneux, qui
Puovsırösaukate, ade. utilement, avania- pourtoit. ’ '
geusement, Provino, a, 9. p. de Prover. Pourvu,, fourni.
Paovst0so,, A, adj. proßtable, utile, avan-
tageux , salulaire.
+ Proviuca, s. f. (6. de göog.) Provenoe :
sneienne province de Prance. (auf.) V, P
dancie es Provi i
+ Paovancän, ady. ot 3. 2 gan. Provengal, de
la Prorasce.
° + Paovtnnı, 4. f. provende : provision de
vivres.
Paovsnılnte, adj. 2 gen. provenant, gu
yrovient, qui lire son origine. p. a. de Provir.
*Prov&sto,s.m. produil, revenu, rente.
Pnovia (a, com, de,em),®, a. pourvoir, Mu- | portante.
nir, garnir; donner ordre & wuelgue chose; | Paovincali,edj. 2 gen. proyincial : de pr%-
eonförer un emploi, ete.; Tournit, subvenir. | vince,
Admettre un pourvol eh Justice. Paoviınciı, s. m. provinciel : seperiour
Paov&x (a, em), v.n. pourvoir A queique | d’üne province Poräre.
chose; avoir soin de; s’occuper de, velller &. ProvincıaLino, 8. m. prorineialat : dignftö,
Paov£a-se (de), v. r. se pourvoir, se fonr- | charge de provincial ; durde de ses Tonetlons.
nir, se munir (de provisions, etc.). Se nantir, | Provıncıäno, A } adf. et s. prorinciel : de
se pourvoir par precaution. rovince ; bomme de ince.
Paoveanılı, adj. 2 gen. proverbial:yul tie! „ePhortac, ads. V. Propinqus. 6. V. Peren-
t ‘
du proverbe. .
Provin (86), v. ». venir, , re von
PaovsasıiLuänte,, ado. proverbialement :
Fme maniieo provorbleie, origtue ; ptoodder, Eigener, Agrivar,
Br .
Boignet.
Prorim&rro,s. m. approvisionnement: four-
niture de choses necessaires & une ermee, &
une ville; vivres, provisions, munitions, ete.
* Administration, sein, surveillence sar l'ob-
servation dos lols. (an4.) * Prevoyance. -— de
oflcio, "provision d’an emplot.
Pnovincıa, » f. province : partie constdera-
ble d’un royaume, etc.; reunion de plusieurs
couvents sous un provincial. (anf.) * Distriet,
etendue de juridietion. (Ag. Pp. ws.) Charge,
commission, intendance ; affaire grave et In-
96% PRO
Provisäö, s. f. provision : amäs et fourni-
ture de choses necessaires ow utiles pour la
subsistance d’une maison, d’une place, et pour
sa defense; droit de pourvoir & un be6nefice,
etc.; lettres de chancellerie, ete. (ig.) Econo-
mie, ordre,, r&gie dans la depense. (f. de comm.)
Fonds nöcessaires pour payer uno lraite. Faser
— de..., Kapprovisionner de... Faser — eM...,
sconomiser. —de mankı ‚de viores, avr
taillement, approvisionnement de vivres.
PaovisionäL, adj. provisionnel : qui se fait
par provision ; provisoire.
PROYISIONALMENTE, ade. provisionnellement:
par provision , provisoirement.
Paovisionkino, s. m. pourvoyeur : qui falt
les provisions; munitionnaire d’une armee,
eie.
Proviso. V. Previso.
Provisön, s. m. vicaire-general charg6 de la
eollation des benefices, etc. ; ofMcial. Proviseur,
pourvoyeur. V. Provisioneiro.
Pnovisöra, s. f. &conome dans un couvent
de filles.
+ Provısonäno, s. m. *oflicialild: juridic-
tion ‚ tribanal de l’official.
Provısoria ,s. f. * emploi, dignite de vicaire
general. V. Provisorado. Provisorerie, charge
de proviseuf.
Pnovisörniau&nTte, adv. provisoirement.
Pnovisörıo, A ‚adj. provisoire.
Pnovisto. V. Previsto et Prevenido.
Provocacäö, 5. f. provocalion : action de
provoquer; ce qui pfovoque.
Paovocipo, A, pP. p. de Provocar.
Provocanon , A, adj. ei s. qui provoque , in-
cite , suscite des querelles.
ProvocinTE, adj. 2 gen. qui provoque. p. @.
de
Provocir,, v. @. provoquer, inciter, exciter,
harceler; irriter par des injures, ee. (1. de
med.) Causer (le sommeil, etc.). Mouvoir, por-
ter, exciter. (ant.) V. Apellar.
Paovocäa-se (a), v.r. siexciterä. -
PROVOcCATIVO, A, adj. qui a la vertu de pro-
voquer, qui excite. Agagant: qui agace, excite.
Pnovocartönıo, A, adj. qui provoque, qui
irrite ; insultant ; de del.
Paouvea. V. Agradar et Prazer (verb.).
Prowvera a Deos! plüt ä Dieu! plaise dDieu!
Dieu veuille ! fasse le ciel que!
PnoxEntta, 3. m. proxeneie , eniremetlteur ;
eourtior.
ProxımiL, adj. 2 gen. (p. ws.) du prochain,
envors le prochain.
Pnoximau£nte ‚adv. rösemment, dernidre-
ment, depuis peu. Tres-prös. Prochainement.
Proxıminäpe, s. f. proximilö: voisinage;
parenie proche. Charite envers io prochain
(p. us.). A’ — , A poriee, tout prös.
+ Ppoxınista, s. m. (p. us.) homme chari-
table, qui aime son prochain.
Paözıno, A, adj. proche, prochain, voisin.O
anno — passado , l’aunse derniere. OD anno —
faturo, annce prochaine, Ester — a, @tre Ala
PSA
vellie de, dire sur le point de. Occasiäe -«,
oecasion prochaine.
Paöxımo, s. m. je prochain, son semblable.
Näo ter —, ne connaitre point de prochain,
avoir le omur dur.
"Paü. V, Prego.
Paup£scıa, 8. f. prudence : verta gui lat
oonnaltre et pratiquer ce qui convien! dansla
oonduite; discernement de ce quiil laut faire
ou ne pas faire ; verlu qui fait agir en Conse-
quence de ce diseernement; pr&voyance rai-
sonnable ; sagesse, ciroonspeclion-
PaUDENCIÄDO, A, P. p. de Prudencier.
PRUDENCIÄL, adj. 2 gem. qui appartien! ä la
prudenee, prudent, fait avec prudence.
PRUDENCIALNENTE, adv. prudemmen.
PRUDENCIÄR , 9.9. user de prudence, a0!
prademment.
PauD&nte , adj. 2 gen. prudent : sage, arik:
qui a de ls prudenoe ; conforme ä ses
PAUDENTENERTE,, adv. prudemmen! : at
prudence ; mürement. .
Paooentissino, A , adj. sup. de Prudel.
Pruloo, s. m. prarit : dem ison vitd;
demangesison , chatouillement agröable. ü.}.
pP.
Pavia, ©. @. causer un prurit, une demat-
gesison. v. ». Demanger, &prouver des dimat-
geaisons ; tiüller, chatouiller.
+ PauiveL, adj. 2 gem. chatonilleus, seasihb
aux chatouillements, aux titillations.
Paünma.
V. Pluma, ei.
Prumapa.
PaUMAGEN.
Pnuuo, s. m. plomb de macon , de charper-
tier, etc. (1. de mar.) Plomb de sonde. — ger
de, (id.) plomb pour les grandes sondes.-&
mäo, (id.) petit plomb de sonde. Deilar ı-.
(id.) sonder. A—, d’aplomb. Ander, ir con
— na mdo , aller bride en main: procdder 21%
reflexion ; peser, examiner avec sein.
u Paun£ura, 8. f. (8. de bet.) branelle: plan?
ee.
+ Pauritnte, p. e. de Pruir, et adj.2 9%
qui cause un prurit.
Prunicem , 8. f. V. Pruide, Comichle.
Pruricınöso, A, adj. qui cause un prürl:
qui demange.
Proxito. V. Pruido.
Paüssıa, s. f. (8. de geogr.) Prusse: royau
d’Europe.
Paussiäno, A, adj. et s. Prussien, de Prust
Prüssico, a, adj. (f. de chim.) Jeide-,
acide prussique,, du bleu de Prusse. Bydrast
nique. ,
Prytanto,s. m. (1. d’ans.) Prytande: edit
dans lequel s’assemblaient les prytanes (B*
gistrats d’Athönes pour juger les causes cTIW"
nelles), et employe ä d’autres usages cirils d
religieux ; (aujourd’hui en France) college.
PsiLıo. V. Freio. ..
PsaLmxän, v. m. psalmodier, cbanler, TE
des psaumes.
PsaLmista, 5. m, psalmiste, chanleuf de
— @.
a su wur
”
mn %
PUB
psaumes; David, comme aulear des psaumes
PsiLuMo, 8. m. psaume : canlique sacre.
PsaLuöpta, s. f. pealmodie : chant des psau-
mes , de l’oflice,, ete.
PsaLsopian. V. Psalmear.
"Psartkıno. V. psautier : recueil des
PsALTBRIO , 5. m. psaumes de David, ow
livre qui les contient. Psaltörion : instrument
de musique & cordes.
Ps£&uno (mot grec en comp.) pseudo ‚ faux,
suppose.
Ps£UDÖöNYMO, A, adj. pseudonyme : quiaow
qui a pris un nom faux, suppose (auteur, ou-
vrage).
+ PssunonsvzLacid, s. f. röv6lation fausse,.
Psöis, s. m. (i.d’anal.) psoas :ı lombaire,
muscle de la cuisse.
+ Psörıco, a, adj. (. de mdd.) psorique : de
la nature de la gale;; contre la gale.
PsvcnoLocia, s. f. psychologie : traits de
FäAme ; science de l’Ame.
+ Psy’tuia, s. f. esp&ce de raisin d’Italie.
+ Pränuica, s. f. (t. de bot.) ptarmiques
herbe ä eternuer.
Präauico,a, adj. (1. de mdd.) ptarmique s
qui fait eternuer.
f Pranöceno, s. m. (tl. d’hist. nat.) ptöro-
cöre : mollusque cöphale.
+ Prenöpnoro, s.m. (1. d’hist. nat.) plöro-
phore : lepidoptere flssipenne.
Preav’cıo, 5. m. (f. de med.) ptärygion : ex-
eroissance charnue aux ongles, excroissance
maembraneuse sur la sornee au coin de l’ail.
Preavoolpdzo ‚a,adj. (1. d’anat.) piörygoide:
qui a la forme d’une aile (apophyse). Piöry-
goldien : qui appartient ä Papophyse plöry-
goilde.
+ Priuino,s.m. (ti. d’hist. nat.) plilin : 00-
l&optöre pliniore. _
+ Prino, s. m. (8. d’hist. nal.) pline : coleo-
ptere pliniore. — periindz, la vrillette opinia-
ige. — ladro malkado, pline voleur. — ladro
sem malhas, pline larron. — sorratäiro, ptine
pace.
Prısina. V. Tisana.
ProLou2o, s. m. livre de geographie, selon
le systöme de Ptolomee.
PryaLisuo, s. m. (}. de med.) ptyalisme :
forte salivation.
Prv'sıca. V.PäAtisica et Tisica,
P&, s. m. *mesure ilinsrsire de ja Chine,
2,400 pas gdolhetriques. N
P6a ‚s.f. pointe: piquent, &pine, etc. Grelfe:
branche d’arbre qu’on ente sur une aulre. Ta-
riere, vilebrequin.
+ Posi, cedj. f.(i.du Bresil) Mandioca —,
ınanioc enterre dans la boue afin qu’il se ra-
mollisse et formente.
Praeevipe,s. f. puberie ; äge od l’on peut
se mıarier et procreer. it. V. Pubis.
PüßerE, adj. 2 gen. pubere : qui a alteint
Päge de puberte.
Punenripe. V. Puberdade.
PUD 965
f Puszsckucıa, s. f. V. Puberdade, (1. de
bot.) Pubescenee : existence des poils.
Pünıs, 3. m. (}, d’anat.) pubis; penil.
PusLicacäö, 3. f. publication : action de pu-
blier une choso, de larendre notoire. Publica-
tion de bans.
PusLicipo,A,Pp. p. de Publicar.
PopLicanor, A, 3. celul qui-publie.
+ PuaLicarönma, 8. f. (1. de not.) copie no-
tari6e, faile ow souscrile par un notaire, Bx-
pedition : copie legale d’un acte.
POBLICAMENTE,, adv. publiquement.
PusLicino, s. m. publicain : fermier de de-
niers publics chez les Romains. (4g.) Homme
abominable, excommunie.
Pusuicia, ©. @. publier : rendre public, no-
toire; dire hautement; proclamer, crier. Pu-
blier des bans de mariage ow d’ordination. —
a guerra, declarer la guerre. — um liero, pu-
blier un livre, le metire au jour.
PupLicäa-sz, v. r.se declarer, se manifester,
so faire connaltre.
PusLicinäng, 8. f. publicite : dtat de ce qui
est public ; notoriete. Maniere d’agir publique-
ment, sans retenue. — do lugar, endroit od il
ya un grand concours de monde, lieu public.
PoBLicista, s. m. publiciste : qui &cerit sur le
droit public, qui l’enseigne, qui en a une con-
naissance approlondie,
PlsLico, A, adj. public : commun; qui con-
cerne tout un peuple; qui lui appartient, lui
est consacrö, le sert ; manifeste, connu de tout
le monde. Em —, en public, publiquement,
Vöx e [ama —a, voix publique, bruit commun.
Tirar & — uma obra, publier un ouvrage.
Teme sair a—, il craint le grand jour.
PösLıco, s. m. le public, le peuple en ge-
neral.
"PucaL, 3. m. ancienne mesure de liquide__
Pöcara, s. f. petit pot de terre.
Pucarinua, dim. de Pucara.
Pucarinno, dim. de
PÜCARO, 5. m. petit pot de terre fine pour
boire de l’eau. Dar um — d’agua , donner une
collation, un goüter de confitures. Beber al-
gquma cousa como um — d’agua,, (fig.) boire une
chose comme un verre d’eau.
+ Puccaräca, s. m. (t. d’hist. nal.) pucca-
raca : aper&a, cobaye, cochon d’Inde.
*Puc£iro, s. m. " corbeille de vendangeur.
Puc&uLa, 3. f. pucelle. V. Donzella.
Pucuir, etc. V. Puxar, ete.
Prcuavinfe. V. Puxavante.
Pücno, s. m. pucho : espöce de ooslus ado-
rent. V. Puxo.
PuciLca. V. Poeilga.
*Popapöyna. V. Podadura, Poda.
Pup£noo,, A, adj. qui doit causer de la honte,
honteux, deshonnetc. Paries —as , parties hon-
teuses. s. m. Pudendum, parties genitales des
deux sexes.
Pupısönpo, a, adj. padibond : modeste; qui
a de la pudegr naturelle. Honteux, qui doit
causer de la honte,
Y ruL
Prpicaente, ude. pudiquement.
Pupicicta, s. f. pudieite : chastete , surtout
d’une femme.
Puorcissiwo, A, adj. sup. de
Prvico , A, adj. pudique : ahaste, pur, hon-
nöte ; modeste dans les n@urS, les actions, les
discours.
Pupim, 4. m. pouding.
Pupön, s. 1. “ padeur : chastel; honte kon-
“öre ;timidiid, retenue, modestie.
Putso. V. Poefo.
+ Pustuin, 0dj.2 gen. (p. @8.) dejeone fille.
Prenicıa, s. f. äge depuis Penfance jusqu’ä
quatorze ans : enfance, öge des enlants.
- Pugait, adj. 2 gen. pueril : de l’enfance, qui
fui appartient ; qui tient de !'enfant. frivole.
PreniLining, s. f. puerilitö : ce qui tient de
enfant; disoours, action puärile, frivole. 4,
V. Puericie.
PusaiLutxte, ode. puerllement : d’ane Ita-
nläre pu@rile, frivole.
+ PognıLizän, 9. n. dire 0% faire des pudri-
Iltös; agir d’une manidre pudrile.
Pugnp£nıo, s. m. accouchement;
enfante-
ment,
Pocıninns. V, Pungibarba.
+ Puciı, adj. 2 gen. (p. us.) qui aime & so
balire, ä quereller. V. Brigoso.
PociLäno ou pugilat: combat A coups de
Pucmwiro,s.m. 1 poing.
+ PreiLista, s. m. pugilo : athlöte qui com-
y.ttait A coups de poing.
Pucito, s, m. (i. de med.) "pincde : ce qu’on
«end avec deux ou trois doigis.
Pücna, s. f. "combat.
Pucnacıpine, 3. f. ardeur, acharnement &
sombatire; (fg.) humeur querelleuse; obaleur
de dispute.
PucnacissiNo, a, adj. sup. de Pugnaz. Tris-
belliqueux.
Pucnän (wor, com), v. %. combattre. V. Pe-
lsjar. (fig) S’elforcer, tächer, faire des ellorts
pour...; defendre vixoureusement, — por ul-
guem, prendre la defense de quelqu’un.
Pucnäz,adj.2 gen. (poet.) aıdentau conıbat,
qui aime ä se battre; guerrier, belliqueux,
° Pucnin. V. Punir.
Prir, eto, V. Polir, etc.
’ Prsänga, 8. f. force, vigueur. V. Forga, Po-
er.
Pusinte, adj. 2 gen. puissant, fort, robuste.
V,Pölleroso. ‘
‚Pusit', 0. », Orolire, s’clever, surpasser. V.
Syperar.
® Puräö, s. m. hasaınc du peuple. V. Prän.
+ PuLixtisätraus, s. m. pl. (poct.) los sa-
iyres bondissanis.
Prrän, v.». sauter, bondir, Battro, palpiter.
Pousser des rejetous, pul.uler. — de conlente,
tressaillir.
PoLcn£arıno, A, adj. sup. de Pulchro.
PuLcusicomo, A, adj. (podl.) & belle che-
velure, qui a de beaux cheveuß.
$ Porcunıtüps, s. f. beauie du visage.
PUL
+ Poucune om PüLcno, A, mi). beam., geaul,
joli. Bien mis, elegant, adonise, zechsrche
dans son ajusiement.
Pürca, s. [. puce : inseste aptäre. — d’agus,
puce d’eau, espte® d® meonock. Cör de, 0
feur puee.
Prıoauinuo. V. Pergaminkhe.
Prıcid, s. m. puceron : insect® hömiptöre,
planlisuge; gribouri. — das vinhas, ligre puce:
petit insecte yal ronge la vigne, verosquin,
liset.
° Puiuren, V. Publico.
Pricoso, A, adj. plein de pucerons. Viabs
—a, vigne rongee, pleine de verscoqeiss.
+ Pructtoo, 8.1. grande quantitö de pucss;
lieu plein de puees.
Pructeina, 8. f- (l.debof.) herbe aux puces.
— mator, Inule pullcaire, herbe aux puces, —
menor, herbe aux puces annuelle.
PrLct£xto, A, adj. plein de puces. '
PüLua, s. f. pouilles : inJures que se disent
des bateliers qui se rencontrent, etc. ° Brocard,
mot piquant, reparlie vivo. Dizer —s, chamiet
pouilles.
Prrutıra. V. Polheira.
Puria, etc. V. Polir, etc.
PoLLtLänte, odj. 2gen, pullulent, qui per
Iule. p. a. de
Pcuirrir, v. ». pulluler : povsser des teje-
tons; multiplier avec rapidite.
+ Puısiö, s. m. poumon. V. Bofe.
+Punnoßına, s. /. pousse: maladie des ebs-
aux qui les fait soufller. Cavalle que wB—,
cheval poussil.
Prıuoxän, adj. 2 gem. paimonsire : qui &p-
partient au poumon.
PuLmonänta, 8. f. (li. de bot.) pulmeausire,
herbe aux poumons : plante borraginde. — der
earvalkos, pulmenaire du chöne. V. Hepstica
das ervores.
Pur.uunia, 8. f. pulmonle ı malsdie du pes-
mon.
PULMUunıco , A ‚adj. du poumon. V. Paime-
nar.
Priuonnäice. V. Pulmonarie.
Pr:Lo. s. m. saut, bond, gambade. Tressailie-
ment, emotion. Battenıentz pslpitation. Aas—s.
par sauls, par bonds. "
PiLrıto,s m." chalre & pröcher. Cheire de
professcur. Subir as —, monler on chaire.
+ Ptı.ro, s. ın, animal du CMli.
Ptısagid, q. f. pulsalion : bastemeont Ja
Youls. .
PrLsino, A, PP de
Puisan, v. @. loucher, frapper, pincer Io
cordes d’un instrument. u. w. Balire, en parlası
du caur, du pouls, elc.
PursıtirLn,s. f. 4 (tl. de dei.) pulsatilie,
Pusartitlia, 5. f. ) passe-leur,uwig. laco-
quelourde.
—PuLsaTivo, A, 0% (1. de nöd.) pulsstl:
PoLsaTunıo, A, 0dj. ) qui bat; a0Camparkt
de battement,
PUN
Pursärma, s. f- °' bracelet : bijen que Fon
porte au bras.
Puusista , ady. et s. mn. observaleur du peals
(meödeein).
PüLso, s. m. pouls: batiement des arldros.
Badreit du poignei oü le pauis bat. Poignet:
jonctiou du bras ei de la main. A—, du por
gast : avoo la seule foroo du poignet. Tier dom
—,avoir de la foroes au peignet. Tomar 0 =,
täter lo peuls. ( Ag.) Täter la terrain, sonder,
examiner. (id.) Eprouver, endurer,
° P6Lveco. V. Pubioe.
PuLvsaso, a, adj. (pedt.) peudseux, de peu-
dre; de poussiere. A 5 RUE, UNO nU60 de
peussiöre.
Porvzaino. V. Polverine.
PuLvenızacid, 3. f. pulvörisation » ackon de
pulveriser, ses effets.
PoLvanızäpd, A,Pp. p. de
PouLvanıziäa, 9. a. pulvöriser « röduire en
poudre.
PurvzauLäero, A, adj. pulvörulent, pou-
dreux ; charge, couvert de poussi6re.
* PdLvıoo. V. Pudhieo.
Puuan. V. Pomer,
*Ponin. V. Pugnar.
Pungid. V. Ponpäo.
? Puncänte, adj. 2 gom. (P. ws.) piquant,
rgant. p. &. de
+ Puncir, 9. 6. poreer aveo un peingon. V.
Furar
Pounccid, s. f. ponetion. V. Puneture.
Fungö. V. Pongb.
UNCTOACÄO,
PuncruAn, ele. | V. Pontoa..., etc.
Ponctöna, s. f. (£.dechir.) piqüre : blessure
faito avec un instrument pointu. —s, pl. (8.
d’impr.) pointures du tympan d’imprimeur.
Punnondk, 8. m. point d’honneur : co en quoi
on fait consisier Phonneur.
Puxponords0, a, adj. delicat sur le point
d’honneur.
Pentinte, adj. 2 gen. ei p. a. de Pungir.
Piquant, qui pique; qui pointe. Poignant, cui-
sont, laneinant. Dor —, douleur lancinante,
cuisante.
Prncipinpa,s. m. blane-bec : jeune homme
qui commence & avoir du poil follet au menton.
Puncioo, A, pP. P. de Pungir.
Punoımtnro,s. m. "pigüre, douleur causde
par une pigqüre. Douleur aigu®, lancinante.
( ig.) V. Estimulo. (id.) Remords , douleur cui-
sante; chagrin, regret euisant,
Puncia, v.a. piquer: blesser avec un instru-
ment pointu. (fg.) —; irriter, aiguillonner;
ehagriner, affliger. ($. de chir.) Faire la ponc-
tion.
PrxGia, 0. n. pointer: ecommencer & paraltre,
en parlant dela barbe.
Pexcıtivo, A, adj. piquant; poignant, cul-
sant. V. Pungente.
Prsuanı,s. f. * coup de poing. O jogo das
—s. V. Pugillalo. Anddr as —s, se batire ä
coups de poing. Querer dar uma—no ceo,
PUR 0
(fam.) vouleir prendre la ianp ven len dumts.
Punzipo, s. m. * peignede : autant que la mal
fermöe peut contenir; (Ag,) petit nombre. dos
—s, & poignee, en abondance , poar ce gui de-
vrait etre en petite quantits; ou en petite quas-
dtö pour ce qui devrait ötre en abondence.
Punnir, 0. m. peignard : arme poiniue,
oourte |; dague.
PonBaLina, s. f. "coup de poignard. Mater
ds —s, poignarder, tuer avec un poignard.
° Punmin. V. Pugnar, Apunkar.
Punntte, s. m. "manchette: ornement da
poignet de la chemise.
Pinuo, s.m. poing : main ferm&e. Polgnet de
ohemise. *Poignee. V. Punhade. * Polgnse d’s-
p6e. Aw, A coups de poing. Com a lange ou
espada em —, la lance ou l’Epde au poing. Come
um —, g708 comme le poing. Esorever do sew
proprio —, 6crire de sa propre main. — da
amura, (ti. de mar.) point d’amure. — do remg,
(id.) manche ou giron de la rame. —s do go-
rutil, (id.) pointures, points du baut de la
voile. —s das escotas, (id.) points des deoutes.
3 de camisa, manchettes, Aperlar 08 —$,
(Ag.) faire tous ses efloris.
Punigiö, s. f. punition , chätiment.
Puxiczo, A, adj. d’un rouge selatant, d’an
rouge vil, d’un rouge &carlate.
Pünıco, A, adf. punique : des Carihaginois,
V. Carthagines.
Punto, A, p. p. de Punir.
Puninör, A, s. eelui qui punit, qui chätle,
eorreoleur, punisseur.
Punir, o. a. punir, chätler. — por (v. ©. ),
prendre la döfense de.
Pontrivo, a, adj. qui punit; qui a la foree,
le droit de punir.
Poniveı, adj. 3 gen. punissable : qui mörlie
punition.
Puntüna. V. Punctura.
PoriLza, s. f. pupille, Alle mineure; pru-
nelle de Pasil.
PuriLLicke, s. f. pupillarite : qualits,, &tat
de pupille. Education d’un pupille.
PorıtLin, adj. 2 gen. pupillaire : qui appar-
tient au pupille.
PrriLLo ‚3. m. pupille:: enfant sous la con-
duile d’un tuteur ; quiest mineur; jeune eldve
dans un couvent qui porte P’babit religieux
avant d’entrer en noviciat.
Püris , adj. f. (t. d’anat. inus.) Feia—, veine
au haut de la töte.
PüRau£ntE, ado. purement: d’une maniere
pure; chaslement ; sans melange.
Poaiva,s. f. (ti. d’Asie) toile de coton lul-
sant, parsemee de roses d’or, dont les brach-
manes font leurs veiemenis ; veiement de
brachmane.
Pörcas, se. f. pl. plauches de sapin du Nord
pour la construction des vaisscaux.
Purtza, s. f. pureiö: qualitd do ce qui est
pur en general; correclion et exactlilyde ( de
style); innocence, chbasiele. Purole de mwurs,
968 PUR
Pönca, s. f. purkation , mödeeine , purgalil.'
Bstar de — avoir pris une mödeeine.
Punoaciö, 3. f. purgation : 6racualion pro-
oarde par un purgatif.* Flax menstruel des
femmes. * Eooulement, gonorrhöe. Purifica-
don, expiation religieuse. (Ag.) L’aclion de se
purifier d’an crime, justification. — oulger,
justification par l’öpreuve de l’eau om d’un fer
rouge.
Puncino, A, p. 9. de Purgar.
1 aanoR ‚s. m. celui qui purge, qui puri-
. PurcAassıLutiro 08
*Poncannukino,s.m.} V. Pergaminkeiro.
PuncoinseE, 9. a. de Purgar. adj. et s. m.
Purgatif : qui purge, fait övaouer les humeurs
du corps.
Puncan (de), v. a. purger (de): purifler,
neltoyer les impureiös,, les humeurs avec uno
purgation ; rendre pur en general. (Ag.) Puri-
fer. Expier un crime. —, laver d’un crime,
d’une accusation. Se purifier dans le purga-
toire des souillures contractses dans cette vie. | V
Puncin, vu. ». avoir un dcoulement, 8’dcou-
er.
Puncia-se, ©. r. se purger : prendre un
yurgatif. (Ag.) Se justifler d’un crime.
Puacarivo,A, adj. purgaül: quia la verlu
de purger. Fis —a, voie purgative, en termes
de ınysticite.
PourcaTörIo, 8. m. purgaloire ; lieu oü, 66-
ion la foi catholique, les Ames des morls ex-
pient leurs fautes. (fg.) Situation, eiat dans
lequel on a beaucoup & souflrir. Dores do —,
(Ag.) douleurs alguds, violenies. Passar, ter 0
em vida, (id.) [aire son purgaloire en co
monde.
PuacaTönıo, A, adj. qui purge, qui purifie.
Fogo —, feu du purgatoire.
Puripäpe, s. f. purele. V. Pureza. * Secret,
seoret d’elat. *Mystöre, chose cach6e, et quel-
quefois illicite. 4’ —, en secret, & l’oreille,
ste a tele. Em —, clairement, sans delours
(ant.). Escrivdo da —, secrelaire prive ow in-
time du roi, secr6taire d’&tat (ancienne charge
on Portugal).
Pursricagkö, s. f. purification : action de
purifler les metaux,, etc. ; de se purifler. Puri-
fication des fommes juives, quaranie jours
aprös leurs couches. —, fete catholique, cere-
monie religieuse en memoire de la purilication
de Marie; une des c&r&monics de la messe, le
vin que le prötre prend apres la communion.
Porıricino, A,p. p. de Puriflear.
PurirtcanöR, A, 3. celui qui purifie. Purillca-
tolre : linge avec lequel le preire essuie le ca-
lice.
Pusimicänte, adj. 2 gen. qui purilie. p. a.
de
Purıricir , v. a. purifler : rendre pur en g6-
n6ral; öter ce qu’il y a d’impur, de grossier,
d’ötranger; mondifler. (Ag.) —, öter les de-
fauts, les imperfeclions; eprouver par les af-
Nictions.
PUS
Poxıicinse, u. r. 86 : 90 tendren
devenir par. On le dit des fermmes juives gi
so presentasient au temple quaranis jours aptis
leurs couches. — a oondigdo, s’acemmpiiz la
condition, avoir son eflet.
Puawicatörıo, A, adj. quı sert & pariäee,
8. m. Vase ou le prötre purifie ses doigts,
+ Puripönus , adj. 2 gen. (1. de dd.) pui-
forme : qui ressemble & du pas.
Punisuo, s. m. parisme : delaut de celui gi
affeote trop la purel# du langage.
Punissıuo, A, adj. sup. de Puro.
Ponista, s. m. puriste : qui afecle k p-
risme ; qui #’y atiache trop.
PoRITANIiSMO, 5. m. puritanisme : dectries,
socte des puritains. Qualit# de celui quipr-
tend avoir un sang pur sans m6lange de sung
maure ou juif.
URITÄNO, 3. m. ot adj. puritain : presiyk-
rien rigide d’Angleierre, d’Koosse, des Bus-
Unis, ete. Celui qui prötend n’aroir pas dm
sa famille melange de sang maure on juil.il.
Purista
Pöro, A, adj. pur, monde, sans mel,
sans mixtion, naturel; purißie; chasie; sam
tache,, sans imperfeclion ; sans souillure; wr-
rect (style, diction, locution —e); exact; ie
ple, unique. Grand, extreme. De—, 4 fu
de. V. Summamente, BExeessivamenie. D-
chorar, a foroe de pleurer. Morreo Camöc "m
—a podreza, Camöes est mort en grande pet
vreie. Morreo de — „il est mori dam
le plus grand dönüment.
Pünruni , 8. f. "ponrpre : mollasgee, +
quillage, qui fournit une teinture precitei,
coulear rouge fono&,, tirant sur le violel; @*
leur de pourpre, violätre. Poerpre : leiniet,
etoffe qui en est teinte , consacr6e aut t#-
dinaux, etc.; (A%g.) dignite royals ou cell ds
cardinaux, royauts, cardinalat.
Purpunipo, A, adj. vötu de pourpre.
Punptreino, A, P.p. de Purpurser.
PURPURKÄNTE , adj. 2 gem. purpuria. p.&.%
PURPUREÄR , ©. &. teindre ou habiller de o®
leur pourpre. Empourprer : colorer de resp
ou de pourpre.
Punrunsär,, v. m. devenir de cosker &
pourpre. Il est aussi r&ciproque.
PunPUrEo, A, adj. pourpre : de coaker &
pourpre. Houge comme le pourpre. Brillas,
bien par&, eclatant.
Punrunina, s. f. purpurine: bronze moek,
applique en vernis; matidre rougelire re de
cuivre; prinoipe colarant des vegelauz qui it
gnentl en rouge.
Punpunixo, A, adj. purpurin : qei approch
de la couleur de la pourpre. V.
Punpurızan. V. Purpurear.
PrneL&scha, 8. f. purulence s quabid de
qui est purulent, suppuralion.
PrruL£xto, a, adj. puralont ; mdl6 de pe°
(erachat). .
Püs,s.m.(!. de chir.) pus : sang ou Dat‘
fgriompue dans les plaies, etc.
PUX
»Pusinca. V. Pıyanca
PusıLLänmg, adj. 2 gen. pusillanime : trop
limide, sans courage, sans &nergie; qui a
Pime faible.
PosıL.ämmıpäpe, 6. f. pusillanimite : man-
que de courage ; timidit6 excessive;; fsiblesse
de caur ow d’esprit; disposition habituelle ä la
peur.
*PosıL.inmo. V. Pusillanime.
ae LTOLA ‚s. f. pustule : petite tumeur pleine
pus.
+ PusruLöso, A, adj. pustuleux : en forme
de pusiule.
* Pustumßıro. V. Derradtiro, Ultims.
Porı, s. f. putain : femme Prosuitude, fille
pablique, femme de mauvaise vie,
Poranktmo, 3. m. putassier : adonns aux
palains.
Prriö, s. m. coureur de lemmes. V. Pula-
nheiro. ü. aug. de Pula ou Puso.
Purania, s. f. ” putanisme: vis, metier, mai-
son de prostitution. Lieu public de debauche,.
Purativo,A, adj. putatif: qui passe pour
&tre co qu’il n’est pas.
Putzir, v0. ». putaniser, courir les putains,
frequenter les femmes de mauvaise vie, les
lieux de debauche. Faire le mötier de putain.
— 0 dinheiro (aclif), d6penser son argent aveo
les fenmes de mauvaise vie.
Pur£ca, s. f. (8. de bot.) * cytinel parasite.
V. Hypociste.
Porinua , dim. de Puta.
PüTo, s. m. jeune garcon dont les debauches
abusent : giton , bardache ; pederaste.
+ Puragoındso, A, adj. pourri, coFrompa,
plein de pourriture.-
Purneracgäd, s. f. putröfaction : action par
laquelie un Corps se pourrit, ses eflets ; ötat de
ce corps.
PUTREFACIENTE, adj. 2 gen. qui fait pourrir,
qui putröfle. Estado — , &tat de putrefaction.
+ PUTaRracTivo, A, adj. putröfackif : qui
putrefe.
Purnezricro, A, adj. pulröflö: corrompu,
trefie.
Purtneractönno. V. Pufrefaciente.
PöTaıpo, A, adj. putride : caus& par la cor-
ruption, accompegne de pOurriture (fiövre,
kumeur).
+ Puxioa,s. f. (l. de jew) invite.
Puxipo,A, 9.p. de Puwar. adj. Tir6 avec
Sorce. Prego — , prix &leve,, exorbitant.
Puxänte.V. Pujanie.
Puxio.V.E
+ Puzuriza,s. f. sorte de melasse ou cara-
mel, au Bresil.
Poxin (por), v. ®. tirer, attirer. Arracher.
Tendre. Pousser. Inviter au jeu. —pelaespada,
sirer, dögainer P’6pee, mettre l’Epee & la ınain.
— pelas orelkas , lirer les oreilles & quelqu’un.
— pela vo:, parier baut, crier. — pela lingua,
faire jaser. — pela jwrisdiegdo , exercor sa ju-
ridiction aveo vigueur. — pela” bolsa, tirer sa
bourse ; obliger ä grandes depenses. — velo
PYR 969
remo, forcer la rame. — para si , liter pour
sol; attirer par force. — por si, s’avancer,
profiter, faire son chemin. — com os denties.
VD
erricar.
+ Poxarivo, A, adj. (8. durl.) qui exeite &
boire, piquant.
Poxavänte, s. m. boutoir de marechal , ro-
gne-pied.
Pöxo, s. m. tönesme. 11 est plus usit& au plu-
riel. * Tranchses, douleurs aigu&s dans les en-
trailles ; doufeurs d’enfantement; Öpreintes.
Pozir. vP
Pycußo, s. m, pygmade : nain, homme trös-
petit.
Prrönıco, A, adj. pylorique : du pylore.
Prıöro,s. m. (4. d’anas.) pylore : oriice
införieur de l’estomac.
Pr’aa,s. f. (t. d’ant.) "bücher : eelui sur-
tout od les anciens brülaient leurs morts.
+ Praacintoa, s. f. (t. de bof.) " pyracan-
the, buiss ent : arieisseau A baios 00u-
leur de feu. “
Praiuz. V. Pyramide.
Pyaasmimäir, adj. 2 gen. pyramidal : en py-
ramide.
Pynänuipe, s. f. (t. de g6om.) pyramide : so-
lide qui a pour base un polygone quelconque,
et dont les ar&les, droites,, se reunissent en un
meme point que !’on appelle sommet; (1.
darch.) masse de pierres auxquelles on a
donns la forme pyramidale, generalement
droits et A quatre faces laterales. — cönica,
*cöne. — Öptiea, pyramido optique, qui a pour
base l’objet &claire,, et pour sommet le centre
de lol.
+ Pyainca, s. m. (8. d’hist. nal.) pyranga :
oiseau sylvain, pericale.
+ Pınäusta ,s. m. (4. d’Mist. nal.) pyrauste:
sorte de papillon quo la flamme attire, et qui
sy brole.
+ Praitina, s. f. (6. d’hist. nat.) pyrale : 16-
pidoptöre rouleuse.
+ Prazmiceas, s. f. pl. (t. de bot.) pyrena-
cöes : famille de plantes.
+ Praiuz, s. f. (t.de myik. ) Pyrene: nym-
phe, fllle de Babrycias, roi d’Espagne; fontaine
consacr6e aux Muses.
Pragtano, s.m. {l. de bot.) pyröthre : plante
synaniheree.
Pragtico, A,adj. et s. (l. de med.) pyreii-
que ;: (remedde) contre la ädvre.
PrastoLocia,, s. f. pyretologie : traite des
fiövres.
Prazxia, s. f. (t. de med.‘ pyrexio : fldvre
symptomatique.
+ Prairönue, adj. 2 gen. pyrilorme : qui &
la forme d’une poire ; en poire.
PyaıLinro, s.m.(l. Whist. nal.) lampyre,
ver luisant.
PreiLiıteino. V. Pirliteiro.
+ Praın£&os, s. m. pl. (t. de geog.) * Pyre-
nees: hautes monlagnes qui separent la France
de ’Espagne, et s’dtendent depuis la Mediter-
ranee jusqu’a l’Octan.
un.
y10 PYR
yPraires, s- 1. (1. de mindr.) pyriie : mine-
ral, pierre ä lea , marcassite ; substance
mstalli ‚aanire
+ Prammteo „A, adj. pyritoax : de la nalare
de la pyrite, qui en contient.
+ Prassooeis, & [. pyritelegie : walls des
„glrmenondsrta a m. prroboliste inginleur
+ Praocuaöa, 8. Ei (6. d’kist. nal.) sardi-
male : voltopiäre re
4 Praocsuno, a adj. pyrogine : volsami-
meitak
‚ mineralisee , compacie, pesanle elcris-
base ulre combint avos um mötal, sulfure | seigne Tassge ds fen, son
PTX
+ Pradems , s. f. (1. de mudd.).gyvesis: rien
da ventricale.
Praorfcaxıa, 8. fl. pyreiechnie : art qeie-
‚lams-
nitre de le condeire ; ; art de l’artißeier.
PrRoTäcuuco , A, adj. pjreischaigen ;delı
pyrotechnie.
Praörso, he „62 de md) were:
sauslique, qui 68
Praanscı,s.f. "1 dent.) pyrrhigen ıdame
milltaire,
Praamicnıo, adj. m. Pd—, pyrrkigesen pi-
richien, pied de deux bröres.
Praanöne, A, 08 „yrrbenien : da pyr-
Praanönxo, A, af: Trhenisme, ai Ir
depis; qui dento.de tout, qui prüumdquu
n’est vrai ei que rien w’est fauz.
Prannömces, s. m. pi. pyrrhendens : di
ou metserigue. pies de Pyrrheu , philesepbe sespligue.
| "Praoua,s. f. (i.de bei.) preis om verdere Praauesi gi
iso „s. m. : babitede,
d’hiver: plante meditinale. systöme , aiectatinn de douter de eul.
vo tuEradrarna,s. ot ad. pyrolätre ı quiadere | Promneöneo, a, adj. pyihagerigue: ePr-
tbagore. s. m. Pythagorieien , philesepbe Mir
a rnoraraia, s. f. pyrolätrie : onlie du
„Fprmousels, s. f. pyrelegie : trailö sur lo
ernomancia, s. f. pyromancie: divinalien
par lo feu ou ia famıme.
+ Praouinxtıco, s. m, pyremancien ı oelul
qui professe ls pyromaneie.
Praöserno, s. m. pyromitre : instrument
do physique pour eonnaltre Pintensit# du fou.
tisan du pythagerisme , de Ja mm&tsenpsycust.
Prrnuconiswo, 5. m. pytbagorisme : syeiime
de Pythagore.
Pr'rma ,s. f. Pytbie : pretresse qui rendal
ies oracles d’Apollon ä Delphes.
Pr’rmco, A, adj. (£. dans.) pythiqee: ge
concerne le serpent Pyiben. Joges —,
pythiques, en l’honneur d’Apollon Pribies.
Pr’rmo; s. m. Pythien : surmem d’Apellt,
+ Praoxouia, s. f. (1. de chim.) pyronomie ; | Oomme vainqueur du serpeni Pyiben.
art de regier ot diriger lo (en. + Prrsomancia, 8. f. „pybommaneis: dr
t Praöruaco 5. m. el adj. pyropkage ı qui a | tion par une invecatiom & Apolien.
le secret d’avaler du feu.
tPraornano, a,adf. pyrophane: qui devien!
transparent au fcu.
Praornono,, 8. m. pyropbore: peudre d’a-
lun et de farine, melange de sulfate d’alumine
et de potsase,, avefde la farine er du sucre,
etc., qui s’allume de Iui-meme quand on l’ex-
pose a sin
T Pruorsvräicio, s.
terrain : pyrophylax.
t Pvaöro, s. m. melauge metallique de trois
parlıcs J’airain contre une d’or. (Ag. poet.) Vin
qui en a la couleur ou plutöt de couleur d’cs-
+ Pr’raon ou Prruio, s.m. (1. domü.t
de poes.) Python : serpent dent Apollen di
le monde. Parade
Prrnömco, a, de Pytken, de
ai olton. s.m.V. eiahe Nocromanli.
Prrmonissa ou
Prruoniza,s.f. | pyihonisee, denawe®
+ Prönis, s. f. (t. de mdd.) pyarie: pet
ment de pus.
+ Prxacintruo, s. m. (6. de boi,) pyrate®
the: Iyciun: , arbrisseau &pineux.
+ Pr'xıns, &. f. bolte, , epsak. Gbeit:
m. reserroir du [eu sou-
carboucle. vase pour les
+ Pruoschpto, 8. m. pyroscope : insirument| + PrxinuLa, s. f. (f. ‚deben) Ben) rei: po
destine a mıcsurer le caloriyque rayonnant, capsule des mousaos,
[7
Q, s. m. dix-septiäme letiro de Valphabat
poriugais, et la treisiöme des consonnes; chez
jes Romains elle valait 500, et, surmontede d’un
tiret (Ö), 500,000. En portugais comme en latin,
celte leitre ost toujours suivie d’un w, et ces
deux leltres so prononcent comme s’il n’y avalt
qu’un simple k, oxcopi6 dans les cas qui seront
maarquös ci-apräs avac co signe (:) placd avant
et.
"Qui. V. Cd; Porgue.
+: Quacacisa, s. m. (8. d’hisl. nal.) obauve-
souris de mer: poisson du Bresil.
+ ı Quicaz, s. m. quakor ou quacre: trem-
bleur, sectaire, en Angleterre, aux Elats-Unis,
qui se reconnalt au futoiement,
» Quansana , 8. f» V. Caderna. —s, pl. (t. du
jew de dds) " quadernes : carmes, deux qualre
du meme coup.
+ : Quanennäpas, adj. fı pl. (1. de bot.) Fo-
Ihas —, fouilles quaternsas , disposees qualre
par quatre.
QUADERNÄL,
QuapERno, ei. } V. Cadern..., ei6.
Quäpna, s. f. salle ou chambre de compa-
gnie,ordinairement carrde. Cour ou 6curie car-
röe. Largeur du vaisseau, prise vers le quart
de l’arriere. * Quatrain : stance de quatre vers
quatre vers isoles. *CöLd, Nano d'un carrd.— da
Iua, *quarlier de la lunc. — do anıo, salson
de l’annde.
ı Quapaäno, s. m. (f. de geom.) carre ; figure
& quatre angles droits ei qualre cöles egauxz
(4. d’arith.) carrö d’un nomhre, le produit de
ce nombre multipli6 par Iui-m&me. —, fgure,
espace, forme, presentiant & l’wil ou ä l’imagi-
nation quatre parties egales. (4. d’impr.) Ca-
drat: parallelipip&de de fonte plus bas que la
lettre. — da camisa, goussel de chemise sous
Paisselle. — das meias, coin des has. — geome-
irico, carr6 geometrique : instrument pour
prendre les hauteurs, mesurer les dislances,
etc. — magico, carr6 magique: disposition de
ohiilfres en, carre qui, de quelque 276
cölyqu’ap les addilionne, donzent | 0.9. 951
Wujours Ta meme somme, elc. 438
* (JLADRÄDO, A, p. P. de Quadrar. adj. Carı6:
qui a qualre cötes et quatre angles droits. Raiz
—a, racine carrde, quotiont &gal au diviseug.
Arpeclo —, (tl. d’astr.) aspect quadrat, opposi-
ton quadrate : distance do deux asires de
50 ılegres. Homem —,homme d’unc belle carre;
fig.) parfaitg ferme dans l’adversite.
Qraprapöna. V. Quadralıra.
Qi’ ADRAGENÄRIO, A, adj. quadragenaire :
äpe de quaranie ans.
QUA Y)
Q
: Quapaıcksıma, 8. f. quadragssime : pre-
mier dimanche du careme. V. Ovareına,
ı QUSDRAGESIMÄL, adj. 2 gen. quadragäsimal :
qui appartient au careme.
: Quapaaoksımo „A ‚adj. ordin. quarantidme.
: QUADRANGULÄR ‚adj.2gen.quadrangulalre :
qui a quatre angles.
7: QUADRANGULARMÄNTE, ado. en forme qua-
drangulaire,
: QuapaincuLo, s. m. quadrangle : figure qui
a quatre angles et quatre oöl6s. adj. Quadran-
guls, A quatre angles,
: QUADRANTÄL, 3. m. Mesure romalne pour
les nt qui conienait 48 seliers.
+ :QuapaantiL,adj. 2 gen. on Is dit d’un
triangle spheriqus qui apgur un de ses cöles
un quart de corcle. Castello, cidadella— , (1.de
fort.) chAteau, citadelle dont la däfensg est ge-
ion Ie quart.de la port&e du canon.
: Quapdaänte, s. m. lo quart ou six heures
du jour naturel. Cadran solaire. Quari de cer-
ole. On le dit surtout de l’instrument de geo-
metrie qui pori6 ce nom. * Piece de monnaie,
la plus petlte do toutes. Ald ao ullimo —, jus-
qu’au dernler sou.
:Quapair, v. a. carrer : donner une forme
carr&e. Carrer un nompre, le mulliplier pär
Iul-mönfe. Reduire une figureä uncarre , on &va-
Iuer la surface. Rquarrir une piece de bois, etc.
ı Quapkär (a, com), 9. n. cadrer (avec): Ccon-
venir, avoir du rapport, s’aJuster. Ayreer, con-
venir; plaire. Avoir l’aspect quadrat, &ire en
opposition quadrale, parlant des asires.
Quapnäste. V. Cadasle.
: Quapairico, A, adj. quadrat; quadratigque,
: Qvapaatis, s. m. (f. d’impr.) cadratin:
petit cadrat; sert & maryquer les alin&as.
: Quapnaraiz, s. f. (l. de gdom.) quadralrice :
courbe inventse pour parvenir & la quadrature
du cercle. x
s Quannarüns,-s, f. quadrature : reduction
geometrique de l’afre d’une courbe A une sur-
face carrde. (8. d’asfr.) Aspect quadrat. V. Qua-
drddo (adj.). % -
*:Quapatıra. V, Quadrjike, dt. Coirella,
°‚,QuapaiıLo, 8. m. esp&ca de dard ow de
flöche carree.
:Quapnı, ($. dalin en comp.) quädri, quia
quatre.
+: QuannıckıreoLin,adf.2 gen. (l. de bot.)
ä quaire cellules (graine); quadriloculaire.
+ ı Quanaiıcdeca, adj. f. (l. de bot.) Capsula
— ‚capsulc quadriloculaire, ä qualse loges,
974 QUA
zaines.— horas, pritres de quaranta heures,
Os — annos, la quarantaino:: nombre do qua-
ranle ans.
s Quanentena, s. f. quaranlaine: nombre de
quaranie; isolement pendant guarante jours
deceux qui sont soupgonnes de eontsgion. Le
\ car&me. Le quarantieme d’un cens que le cen-
sitaire est oblig6 de payer au seigneur, EN vertü
de son droit de lods et ventes. Fazer —, faire | m
£tre en quarantaine.
; Quan£sua,s. f. "care&ma: les six semaines
@sbstinence avant Päques; jeüne pendant ce
temps. —, rocueil de sermons pour le car&me.
Em meia — ou no meado da—, & la mi-car&me.
:QuarnsswmÄr, adj. 2 gen. de careme: qui ap-
parlient au caräme; quadrag&simal. Sermöes
—1es, serimona du careıne ; cardme, recueil de
sermons pour le caröme.
\ +:QuanzsmiR, 0.9. faire car&me, faire mal-
N
quarantaine,
e.
Quanızie. V. Corazil.
:Quärta, s. f. " quart: la quatridme partie
@un tout, surtout quart d’aune, quart de li-
wre, eic. Cruche. Quatrieme : suile de quatre
cartes au piquet. "Quart de cercle, surtout
dans le zodiaque, pour la division des signes.
Quarie : intervalle d’une nole de musique &
la quatrieme ascendante ou descendante. (.
d’eser.) —, coup d’epee portö en tournant le
poignet en dehors. Quart de vent, en termes de
marine. * Entrechat & quaire. Quatri&me: classe
de grammaire latine. — funeral ou episcopal,
ancien droit des #v&ques et des cur&s sur les
biens d’un deöfunt, qui faisait des legs ä des
communautös religieuses , etc. Droit carial
pour les convols et la sepulture. — falctdia,
(1. de droit rom.) quarte falcidie : droit de l’be-
sitier de compleler le quart d’une succassion
sur les legs, alin de former sa reserve. — Ire-
belliana, (id.) quarte tröbellianique : quart de
la succession grevee de Adöl-commis.
; Quanrä, Quanräa ou Quaarän, 3. f. Rörre
' Suarte.
: Quansagid, s. f. quartallon : alllage Fun
quart d’or avec trois quaris d’argent.
: lo, a Pdo ma
: Quantäino, adj. m. Pdao— n de gttatre
sories de füeine, de Iroment, date „ seigle ot
örge.
: Quaara-rfına, 8. /. "mercredi.
‚+ Quartarino. V. Aquartalado.
s QuaaraLind, A, adj. qui a quelque defaut
QuA
sure do Iiquides eontenan? teis pikles parik-
gaises. Quarteron (mulätre). it. V. Cerlde.
: Quanräriza, 8. f. bordure, bande, gem
ture mise au bas d’une robe, @un jupen, &&,
de femme.
: Quanrarızind, A, 9.9. do
:Quantarızia, 9. a. mettre une pafaltert I
une robe, etc., garnir de Quariapfse. |. m
ot.
: Quanräaıo. V. Quarleire.
: Quaateivo,A,p. p. de
: Quantein, ©. m. diviser, partager en qui
tre. (1. de blas.) Kcarieler, partager Fit 0
qualre, meitre en quartiers.
: QuARTRIRÄO, 8. m. quarteron : quer di
cent. (1. de blas.) Quart d’sen. Carrö deiemt.
de maisons. "Carte geographique
*Sapine, grosse poutrepour les
— decasas, pät# de maisons. — de horia,
reau, carr6 os couche dans un Jardin. -&
Iua, quartier de la tune. Quarteirde, d.#
cienne capitation de dix-huil 8008 sur
couple (d’epoux).
+: Quanrtıno, 3. m. ° mesure de Bi; b
quart d’un muld, quinze alquiers. "Rente, f?
sion par termes. Celai qui paye 8
(mesure) de cens.
:QuarteL, s.m. quarlier: campemesi.
gement, logis militaire; caserne; ospor &
trois mois; paye de trois mois en reis BB:
trimestre d’ane pension ; quart, queiiimt ®
tie. (t. de bias.) —, quatziäme paris da TW
“Maison, logement. "Trappe pour ferner
&coutilles. —, traitement isvorakle la ng
vaincus; süret6 de la vie. — d’incerne, 6°
tier d’hiver. — mesire, ma ep:
ofBeier qui est charge des logemenis. — #4"
general, er-maltre general. — d6
(Ag-) lien de säreiö, eü se sauvent les sh
peltzons, et, par extension, lieu de Ir
o& la justioe ne poutentrer. Der, peir
guerra ‚denzer, domander quartieräls per.
Ndo dar —, ne point Iaire quartiet. Uli
re be dar van"
‚lavie
» Quaarzıano. (4. de Dias.) V. Zupuarkih
+ :QuaatzıLtıno;0. 0. 1. de mil) oa
entreiient la propreis des logements. P
: QUARTELHA Ow (1. da ode.) VE
«Quanzäsza,a.f. ) neris depuis Ih ui
jssqu’ä la prersitre jointare des janbe, 68
les quadrapddes. Piöce om ornemeni du
dans lesquartiers (cheval). Bagot, mal propor- | teciare.
konnt. .
+ : Quäntauturs, ode. (M- us.) quatriöme- Ivy
ment, en quatridme lieu.
+" ı Quaatanäı, s. m. sorte d’ancienne stoße
ow lissu de laine.
: Quansaminıo, s. m. böndficior dans une
eathedrale, qui a le quart d’une prebende de
ebanoine. adj. (Jui a la fiörre quarte.
+°: Quanzino, PR a; a alquiers,
1 „& ou adj. m. nbeval ragot, mal
po ‚ Anclenne plöch darge de-
ı QuanızıLöno, a, ady. tongleint (dr
ouanrznid, 0. m. quarteron (meist
s QuaRtete ou n des dear pre
s Quantfro,s. =} quatrains den mu“
Quatuor ‚ morceau de musique ä quatt M
s Quant, ed. 20m, ih
aspect, di > .
f a m e chopina ; dent De gi!
G’und canada (FR MA.i
QUA
molicos OU a8 causas, quels quo soient les mo-
tifs, quolles que soient les causes. — leäo...,
— rochedo... , assim..., tel qu’un lion..., tel
qu’un rocher..., tel...
: QuäL, adv. (P. us.) comme, de möme que.
: QuaLHär, etc. V. Coalhär, etc.
: Quaziping, 3. f. qualits: ce qui fait qu’une
chose est telle ou telle, bonne ou mauvaise,
etc.; maniere d’öire; inolination, habitude ; ta-
lent, disposition;; attribut, accident; propri6t
d’un corps, en termes de physique; noblesse
distinguse ; condition, rang, etat d’une per-
sonne. Em — de, en qualits de, ätilre de. —
dos fruclos, * acabit des fruits.
: Quausricagäiö, s. f. qualilication : attribu-
tion d’une qualits. * Jugement, censure. Preuve
de noblesse.
: Quauifickno, A, pP. p. de Qualificar. adj.
De qualite, distingue, considere; qui a les
qualiles requises.
: QUALIFICADÖR, 8. m. celui qui qualifio, cen-
seur. — do Santo-O/fRcio,, qualificateur : mem-
bre de linquisition charge d’examiner les livres
et les proposilions denoncees. j
: Quauırıcar (de), v. a. qualilier : designer la
qualite, donner, attribuer un litre, une e&pi-
ıhöte, une qualits ; övaluer, apprecier, eslimer.
Censurer des livres comme qualiflcateur. (g.)
Ennoblir, illustrer.
: Quauiricär-BE, dv. r. faire preuve de no-
blesse, faire ses preuves, Justißer par des titres
qua’on est de noble exiraclion.
: QUALIFICATIVO, A, adj. qualißcatif : qui
donne la qualification; qui sert ä qualifier.
: QuaLqt£r, adj. 2 gen. quieongue, que
conque, quelque. Quelqu’un, chacun. Qui que
ce soil, qui que ce puisse dire. — ouiro, lout
autre. — que, quel qu’il soit; quiconque. —
homem sabe isso, le premier venu sait cela.
— letrado vo lo dird, le premier avocat vous
dira cela. — cousa que succeda, quelque chose
qu’il arrive. A — grdo que, & quelque degre
que. Quaesquer que sejäo 08 riscos, quels quo
soient les dangers. Qusesquer sacrificios que
ew tonka feilo, quelques sacrifices que j’ale
faits. Qusesquer que sejdo vossas riquezas,
quelques richesses que vous ayez. V. Qual (&
la fin).
:Quim. V. .
: QuaNÄNEBO, A, adj. (inus.) combien grand.
*Quasoras, s. m. ([am. burl.) Razer 0 seu
— , faire son &loge,, faire ses compliments.
Quinno, adv. comme, quand „ lorsque.
Quand, en quelque lemps. En cas que. Quand,
encore que. Tantöt, employ6 comme con-
jonclion disjonclive. Ex.: — a trole, — a ga-
dope,tanlöt au krot, lantöt au galop. — mais
ou — mwilo, au plus, tout au plus. — menos,
au moins; pour le moins. Ainda —, quand
mewe, bien que. Desde — ? depuis quand? De
— em —, de vezem —, de temps en temps, de
fois A autre. Ald —’ jusyu’ä quand? — ndo fosse
send... ns fl-ge que... Apenas tinha saido,
os.“
QUA 973
— 6034 caio, il Etait A peine sorli que la mai-
son s’ecroula.
*: QuanT’ä, adv. — por isso, quant ä cela,
: Quantkıra. V. Canleira,
* : QUANTE-POR-ISSO , adv. quant A cela.
: Quaxrtia, 5. f. somme d’argent. V. Coniia.
Nös traldmos da —, nous en sommes sur le
combien. i
: QuANTIDÄDE, s. f. quantils : se dit de tout
ce qui peut ötre mesur6 ou nombre; dimen-
sions d’un corps ; multitude,, abondance.
T : QuanTIösaMENTE, adv. (P. us.) en grand
nombre, en quantite.
: QuanTı0so, A, adj. considerabld : abondant,
nombreux. Riche, opulent.
‚x QUANTITATIVAMENTE,, adv, selon la quan-
: QUANTITATIVO, A, adj. susceptible de quan-
tit6, ou qui en conlient, ..
: QuÄNTO, A, adj. tant, autant, correlalif de
Tanto. Combien grand, quel grand, quel. Com-
bien de, que de. Tout ce qui, tout ce que.
Combien, quel nombre, quel prix. V. Quanto,
adv. QuantoP combien? — custow? combien
l’avez-vous pay&? Em — tempo? en combien
de temps? Farei — puder, je ferai tout ce que
je pourrai. —s säo P combien sont-ils? combien
yeen a-Hil? —s morrerdo? combien sont-ils
moris? —s mais meodicos, mais doengas, plus il
ya.de medecins, plus ily a de maladies. —s
mais morlos menos inimigos, plus de morts,
moins d’ennemis. Quanias vezes? combien de
fois? Quanlas vezes V. M. quizer, aulant de
fois que vous voudrez.
: Quinto, adv. quant; combien; d’autant. .
V. Quäo. Autant que. Ex. : — em mim för, au-
tant qu’il dependra de moi. — n’elle &, autant
qu’il est en lui. Defendo-o — posso, je le de-
fends autant que je le puis. Plus. Ex.: — mais
um homem & pobre, tanlo mais deve ser s00-
corrido, plus un homıne est pauvre, plus on
doit le secourir. — anles, aussilöt, au plus tt,
— mais, d’autant plus que, outre que. Zm-
tandis, dans le temps que, tant que, en at
dant que. Jesu-Christo em — komem, Jesus-
Christ en tant qu’'homme. Em — durar e
mundo ,tant que le monde durera. Em — que,
pendant que. Em — a, quant &, pgur oe qui
est de, pour. Com —, nonobstanf, bien que,
quoique. Por —, d’aulant que, vu que; &
cause que, pourquoi, pour quelle raison. — a
mim, pour moi, quant & moi, pour co qui me
regarde. — a vista pode esiender-se ou al-
cancar, tant que la vue se peut eiendre.-
: Quiäö, adv. Il sert ä exagerer, ä donner plus
d’önergie. Que, combien. Ex.: — poderoso &
Deos! que Dieu est puissant! Que, correölatif
de Täo, aussi, non moins. Ex. : Täo formoss
— ingrala, aussi, non moins belle qu’ingrate,
Se elle fosse läo te, — datrevido, #il
6:alt aussi prudent qu’il est hardi.
:Quäquer. V. Quacre.
* Quarkıra. V. Carreira,
s QUARENTA, adj. 2 gen. quaranio: quatre di
ut. .
.1.
976 QUE
a, 8 f."ravin, terraln coup6 et ind-
gal. *Conde d’une riviere. Fente, ouverlure.
Precipics esoarp6. Bien fonds peu considärable.
+ Quesnipauänte, adv. (p. us.) brusque-
ment, tout d’an o0up, sans pröparalion, sans
preambule.
Qouzsnankına ‚2. f- } — de cabers, Ca330-
Qussaanßıao, 6. m. ) ment de löle:: souci,
inquidtude, etc.
Quzsnapico, A, adj. ais6 A rompre. Fragile :
peu solide, peu durable; cassant. (fig.) Faible,
de6licat, fragile.
Quaskino, A, p. p. de Quebrar dans ses di-
verses ons. adj. Brise. Faillı. Montueux :
mel6 de plaines et de collines. Qui a une her-
nie. — com alguem, brouillö avec quelqu’un.
— de trabalko , exohde de travail. PE—, (1. de
92068.) hemistiche, molti6 de vers. Estar de
perna —a, (Ag.) öire dans l'ımpossibilitö de
travailler. A casianha —a na boca, (ig. fam.)
projet frustre. Olkar —, des youx doux. Arco
Sempreermado,ou froaso ou —,un arc loujours
tendu court risquo de se rompre. Olkos —s,
(p. us.) desyeux crevös ; (Ag.) des yeux latigues
os doux.
Quzsaipo,s. m. ($. darith.) nombre rompau :
fraction. — composio ou — de quebrado, [rac-
tion composte, fraclion de fraclion. V. Que-
Quxsranon, A, 8. briseur : qui brise, qui
rompt. V. Quebreniedor.
QuEBaADURs , 5. f. Fupture, [racture, lente,
etc. Rupture : hernie, desoente de boyaux. V.
+ Quäsaa-zsquinas, s. m. (durl.) spadassin
tonjours plants au coin des rues comme pour
attendre quelqu’un ; batteur de pavs, flänour.
(Aig:) Rodomont, fanfaron , faux brave.
QUESRANENTO, s. m. l’action de casser, etc.
„,Quotrantsmenio. = de cabera. V. Quebra-
ra.
Quzanincı, s. f. (t. de mer.) "choc imps-
tusux des Nlois.
+ Quäsaa-nör , s. m. (6. d’hist. nal.) Ca380-
noix : oiseau d’Europe gros comme la pie.
QUusnanrapissımO, A , adj. eup. de
QUEBRANTÄDO, A, P. P. de Quebrantar. adj.
Abattu, accabi6, fatigue, affaibli par les Ira-
vaux.
QTERRANTADOR, A, adj. et s. briseur : qui
brise, qui casse. (Ag.) Infracteur des lois. Qui
saffaiblit, qui diminue les forces.
QUEBRANTANMENTO, 5. m. l’action de casser,
de briser. * Infraetion , transgression d’une loi.
Abattement, decouragement. "Debilit# , pro-
stration. * Lassitade, fatigue exir&me.” Efirac-
tion (de portes, eto.); profanation (d’un liew
saint).
((URBRANTÄR, ©. a. rompre, briser, casser.
Feler : casser a demi, metire en danger de se
casser tout & fait. Concasser : piler, 6craser &
demi. Apaiser, calmer la colöre, etc. (Ag.)
Rompre,, violer, enfreindre. Violer, prolaner
un lieu sainı, Forcer los prisons. Faligues, ıu-
QUE
nuyer. Abause, alaiblir, diminuer, der les
forces.— o enimo, decourager, abatire. —#
orgulko a alguem, abaisser l'orgueil de guel-
qu’un.
» QUEBRANTÄR-6E, ©. Fr. se döcourager ; salla-
lir.
Qusaninto, s. m. charme, sortilöge, sort,
ensorcellement. * Lassitude, faiblesse, abale-
ara Brisement de owur, vif rogrei.
BBRANTOSO.
QUEBRAOSSO, } V. Xofrange.
Qugsrik, 9. @. rompre, casser, briser. Pi,
courber. Violer, enfreindre. (Ag.) Troubler, #-
terrompre, suspendre. (dd.) Rompre Yamik,
la bonne intelligence. Abalire, apaiser. Anne
ler, casser. Deduire, abatire d’une somms,
Temperer, adoucir, moderer. Ternir laconleu:,
l'eclat du teint, etc. Vainere, surmonier u
obstacle, etc. (ant.) V. Codrer. — 0 corape,
fendre le cmur de compassion. — 0 fo, (M)
rompre le fil, interrompre. — 0 juremel,
fausser son sermeont. — a cabega, (fig.) romptt
la t#te, (atiguer, importuner. —a pelaws,
manquer de parole: manquer & sa pfomes.
— 0 jejum, rompre le jeüne. — s ire, di,
dompter la colere. — e irs, a colors, ek, #M
alguem , äbcharger sa oolöre , son emmpeortewenl
sur quelgu’un. — os bragos, o corapde, (M)
decourager, abaitre le courage. — os eben 4
elguem, crever les youx & quelqu'en; iM)
faire ce qu’on sait devoir deplaire A quelgt'm;
(id.) faire jes yeux doux. — um olko 00 due,
(Ag. fam.) faire oe qui est le plus jusie ei og
table. — alguem vivo. V. Esgquarlejer. — wu
lanpa com alguem,rompre une lanoe arec qeit
qu’un,, se batire en duel avec lui. —
a alguem , (Ag.) batire les oreilles & queigı'n.
qudbre page, quicasse les verres ies MT*-
Quasräir, ©. #. 56 casser, rompre. Diintl!,
devenir moindre ,moins fort. Faillir, faire bet-
queroute. Perdre la couleur, P’öclat da ini,
fraicheur, surtout en pariant d’une dame. Pr-
dre courage. Avoir da dechet en quantitt, 1
diminution. — com alguem, se breuiller 2%
quelgu’un , quilier son commerce, s0ß
— 0 impelo , se moderer. — o fo davida, mit
rir.— por iude, rompre. — com somm, pe
cher, tomber de sommeil. —o corapdo com Mr
do, com der, avoir une grande pear, Epro@t“
une vive douleur. — das -oerilhas, so lairt =
rupture ou hernie. — da furia, do impei,ft-
paiser, so calmer. — por si, cöder de son It
de ses pretenlions. Quebräo as ondes ne pr
los flots se brisent sur le rivage.
Quesnin-sE, v. r. se casser, se briser, Mt
mis en pieces.
Qeeaao, s. m. * ioflexion melodiease de A
voix; cadence, fredon. — do corpo, inleı
du oorps; attitude gracieuse. —s dos ol:
yeux doux. V. Requebro.
Qutca, s. f. piece d’un ancien kabillemem
de femme.
* Quäcas. V. Aqudcor.
Quima, 4. [+ einnte ı neuvament, action de
Wr RER
QUE
qui tombe. (ig.) Faute ; faute envers Dieu ; d£-
eadence; disgräce; malheur; ruine. Pente
d’une montagne, d’un lerrain. Cascade, cata-
racte, chute d’un torrent. *Penchant , ınclina-
tion, propension. Dar uma —,tomber, faire
une chute. Dar —, (fig.) tomber, passer rapi-
dement d’un etat & un autre pire. Ter — para
pinlor, poela, etc., avoir de la propension & la
peinture , & la poesie, etc.
*Qugpär,v. ®. rester, demeurer. Rester::
&ire de reste. Cesser. S’arröter. V. Aquielar ot
Quicto.
Qutoo, A, adj. paisible, tranquille; calme.
Quiost en repos, qui ne se meut pas, immo-
bile. A pd — , sans se mouvoir, sarıs s’ebranler,
sans (aire un pas en arriere; tranquillement, &
son alse,, sans se gener. De —, beilement, dou-
cement, moderement. Qufdo e —, adv. douce-
ment, pas A pas, petit & petit.
"Qusrinpas. V. Calendar.
* Quaente. V. V. Quente.
Qrsısäpa,s. f. talmouse : pätisserie de fro-
mage, @ufs et sucre. Tarteletie de confiture.
QueisaniLuo. V. Quejadilho.
Queisäpo, A, P. 9. de
Queisir, v. a. faire des fromages.
+Quemania, s. f. la peine, le travail de faire
des fromages ; temps oü Pon fait les fromages.
Quesstına , s. f. laiterie; fromagerie; forme
& fromages ; femme qui fait les fromages.
+ Queiskıro, A, 8. fromager, fromagere : qui
fait et vend des fromages.
- Queuixno,s. m. dim. de Queijo. Petit fro-
mage.
Qu£uo, s. m. fromage : lait caill&, &goutte et
quelquefois sald; (fKg.) ce quien a la forme.
Qutıma,s. f. Yaction de bruüler. * Embrase-
ment, incendie. * Brülement.
Qusiuaciö,s. f. (p. us.) l’action de brüler.
— de sangue, (fam.) violent chagrin, peines
cuisantes d’esprit.
Queıuipa, s. f. action de brüler. *Incendie
dens les bois, etc.; le terrain parcouru par
Pincendie.
QugisaneLLa. V. Queimadura.
Queimino,A,p.p. de (Queimar. adj. Brül6,
häle, trop cuit, desseche. De couleur basa-
nee ; noir.
QueimaDör, A, 8. celai qui brüle, brüleur,
incendiaire. .
Queınapünra, s. f. brülure : action du [eu sui-
vie de decomposition ; sa Irace, sa marche.
rt Qusımauento, s. m. brülement, action de
brüler,
Qusiuid. V. Quimdo.
Queımin, v. a. brüler: consumer par lo feu;
faire du feu d’une chose; dessecher, causer de
la douleur, du mal par le feu , l’excessive cha-
leur ; se dit de V’effet 'que produit le solcil , la
gelede, etc., sur les plantes ‚etc. ; faire subir le
supplice du feu ; jeter au feu un corps, un ca-
davre. Piquer, brüler la langue. (fg.) Deiruire,
dissiper, vendre & vil prix, etc. — 0 sangue
d’alguem, aflliger, importuner, ennuyer quel-
PORT.-FR,
QUE 977
qu’un. — as peslanas, (ig.) s’adonner beau-
coup & l’etude, travailler beaucoup la nait.
— um navıo,, (1. de mar.) chauffer un vaisseau,
donner le feu. Tomar as cousas por onde quei-
mdo,,(flg.) prendre du mauvais cöts , en mau-
vaise part.
Queımäa-se, v. r. so brüler, ötre brüle. (Ag.)
S’enflammer, brüler d’amour, etc. (id.) S’iimpa-
tienter, se mettre en colöre, etc. ; ätre extröme-
ment sensible, s’Impatienter aisement. So r6-
tir, brüler, se tuire au soleil, au feu.
QEIıMa-RO0PA, 8. f. A’ —, loc. adv. & brüle-
pourpoint, de tres-pres, & bout portant. Tout &
coup, inopindment.
f Qutıno, s. m. * chaleur piquante que pro-
duisent certaines choses sur la langue.
*Qutıro. V. Queizeiro.
+ Queınöca , 8. f. espece de plante.
Queıxa, s. f. plainte. * Ressentiment d’une
injure. *Murmure, mecontentement, deplaisir.
Complainte. Querelle. V. Doenga, Achaque. Fa-
zer — d ‚faire, former des plainies
contre quelqu’uh. — sem motivo , querelle sans
motif, querelle d’Allemand. Escusadas sdo tuas
—s , toutes vos complaintes sont inutiles.
Qugıxapa, s. f. mächoire : os dans lequel les
dents sont implantees.
QuzıxiL, adj. 2 gen. mächelitre, molair-
(dent).
Qusıxir-se (a, de ), v. r.se plaindre,, se la-
menter, fsire des plaintes; tEmoigner du mıc-
contentement, du chagrin contre quelqu’un;
rendre plainte en justice. — sel rei, etc., por-
ter sa plainte au roi, etc. — aliamente, se
plaindre & haute voix; tömoigner un grand
mecontenicment. Queizsse de si mesmo da
sua desgraca, qu’il s’en prenne & lui-meıno de
son malheur.
Quaıxtıro, adj. m. Dente —, dent de sagesse.
* Queızia. V. Queiza,, Escandalo.
Qutiıxo, se. m. "mächoire. Baler o—, cla-
quer les dents de froid. Fager iremer o—,
faire, causer une grande peur. Ficar de —
caido „ s’ebabtr, dire stupefait.
*“Quaıxo. V. Queüo.
Queıxösas&nte. ade. d’une manidre plain-
live.
Queıx6öso, A, adj. meöcontent, qui se plaint
de quelgu’un; plaignanıt ; plainüif; malade.
QuEıxUümg, s. m. "complainte, lamentalion.
V. Queize.
+ Qussaoiıno ,s. m. (1. de bot.) fleur do cou-
cou , plante.
*Quesinpo, A, adj. de quelle espece, quel.
Tale —,(pop.) tel quel,nibon niınauvais.
Quiıua,s. f. "tuyaa, conduit de bois pour
les esux. V. Calha.
Queuinönıa, 8. f. V. Colidonia.
+ Queıır’, s. m. (1. d’hist. nat.) quelly, Ido-
pard de Guinee.
QuRs, pron. rel.2 gen. qui, lequel, Jaquelle.
Quel, quelle; l’un, l'autre; celui qui, quicon-
que. V. Qual. — quer quc, quiconque. De —,
dont. — d que... qui est-co qui...? Seja— for ,
62
978 QUE
qui que ce puisse @ire. Dize-me com — andas,
dir-te-kei as mankas que lens, (prov.) dis-moi
qui tu bantes, je te dirai qui tu es.
Queu (i). V. A’'quem.
Queugcär, adj. 2 gen. quelqu’un. II se dit
toujours des personnes. V. .
7 Quinca, s. f. (4. du Bresil) moili& d’un
Coco creux, ce qu'il peut contenir.
Quautia. V. Aquenliar.
Quänsg,adj. 2 gen. chaud, quiaa de la cha-
leur ; ardent, brülanı. — ferusado, bouillant.
Ferro —, ler rouge. — do miolko, colerique,
emporte. Cavallo —, V. Ardego. Um feilo mi
—,(fig.) entreprise hasardee, dangereuse. —
na peleija, ardent au combat. Esiur —, avoir
chaud. Malhar no ferro em quanlo esld —,
battre le fer pendant qu’il est chaud. Ter as
cosias quenles, (g.) se fer a la protection de
quelqu’un;; &tre fort appuye6.
Quentöna, s. f. chaleur, chaud. Fidvwre (p.
ws.). (Ag.) Ferveur.
* QuEQUER,, adj. 2 gen. tout ce qui, quicon-
que. V. Qualquer.
Qu&ax, conj. ou, soit, bien, que. Jrei, — cho-
va, — [ara bom lempo, qu'il pleuve, qu’il fasse
beau,, quelque lemps qu'il lasse, j’irai. — s2ja
d’um modo, — seja d’ouiro, que ce soil d’une
maniere, que ce soit d’une autre. Se —, au
moins, du moins. Como — que seja, quoi qu’il
en soil. — sim — ndo, peu importe, c’esi dgal.
Nam sequer, pas meme, pas seulament. No se-
quer um, pas un seul.
T: Quencuta, s. f. espece de plante.
Quereia, s. f. plainte rendue en justice.
Cause , demande en juslice. (as#.) "Grief, sujet
de plainie.
QuEa&LÄDO, A, P. p. de Querslar. adj. Ac-
cus€ en justice, contre qui on a porte plainie.
QuBazLaDdon, A, 5. el adj. plaignaut, qui
forme une plainle en juslice ; aceusateur.
QuEARLÄNTE, adj. et s.2 gen. V. Querelador.
p.a.de
Qugagıär (de), o.». porier plainie en Justice
contre quolqu’un. —s6, ©. r. (p. 43.) se plain-
dre, se lamenter.
QuErELö60, A, adj. plaignent. V. Querela-
dor. Plaintif. V. Queixoso.
QUER&NA, 3. f. "carenage :aclion de caröner,
son ellet. Caröne. Dar —, donner carene,
ınelre en Cardne.
QuenENÄDO,A,P.p.de
QugazuÄn, v. a. carener : radouber, raccom-
moder un vaisseau ; metire sur le odld pour le
radoub.
* Quaaanca, s. f. volonte, desir, envie. In-
tention, dessein. Bienveillance, affeclion. V.
Bemquerenga, Malquerenga. Endroit oü les
animaux vont paltre, oü ils sont dlev6s : gite,
vepaire, etc. Fazer —, faire semblant de.
QuEREnG6so, A, adj. desireux, avide, qui
‚desire avee ardeur. «4. V. Amoroso, Benevolo.
QuEn&nts, adj. 2 gen. qui veut, voulant.
». 0.de
Quasäx, v. e. vouloir, desirer, avoir smrie
QUE
de. Aimer, cherir. Vouloir: aroir l’intention, la
volonid de faire, commander, exiger avec ı-
torilö: pr&tendre,, tächer; consentir, demeore
d’accord ; demander, @ire de nature ä exiger.
— dizer, signifier.— bem a alguem, vouloir du
bien dä quelqu’un ;simerbien, cherir queigi’un.
— com as meninas dos olhos, aimer quelqu'u
comme la prunelle de ses yeus.— mal ask
guem, en vouloir a quelqu’un. Mais —,onleı—,
aimer mieux, preöferer. —diser, (loe.adr.'c'e#
a-dire. Isso e 0 que elle quer da mesma cum
ou fudo d um, il ne demande pas mieux. Nds
Ihe quero mal por isso,, je no lui en veut p&s
pour cela. OQuem iudo quer tudo perde, quiveni
tout avoir n’a rien, qui desire tout perd el.
Quem mais lem, mais quer, plus on a, pie
on veut avoir. Quem bem quer a Belirdo, In
quer ao sew cäo, (prov.) «ui aime Bertrand aime
son chien , les amis de nos amis sont aussi Is
nötres. Como V. M. quizer, comme vous \9%-
drez, tout comme il vous plaira. Pinlar com
—, se flgurer, arranger les choses ä sa lar-
taisie. mais quer ? que voat-il de plas’ qm
Iui faul-il de plus? Quer queira, quer ade
queira, bon gre, mal gre. Que quer diser in?
que veut dire cela? Sem —, sans le vous,
sans dessein. Quem quizdrem , qui l’on voodnn.
O que ndo queres para ki, ndo queiras para"
oulros, ne fais pas & autrui ce que lu net
drais pas qu’on te fit. j
Queräs-sg, o.r. se vouloir, d&sirer pour ;
aimer, desirer, souhaiter. S’aimer bien. inprri.
Avoir besoin. me ver rodeado d’amipt,
jaime & eire entourd d’amis, je desire, F
souhaite @ire entours d’amis. Os esposcı fü
rem-se mılilo , les &poux s’aiment bien. 4 de
mas querem-se idolalradas, les dames aimen
ä &tre idolätrees, ow veulent ätre idoläirees. 4
suocidade quer-se vigiada , la jeunesse a b&502
de surveillance ou d’eLre surveillee-
Quant , s. m. vouloir: acle de volonle; ı#
tention, dessein ; desir, envie.
+ Qusaipa, s. f. maltresse, amanle. Nixis
—,, Ina mie, mon amie, ma chere amie.
Quzxipo, A, 9. 9. de Quersr. adj. Am.
ehöri. Mignen, bien-eime. Mau —, men ort.
mon bien-sime.
* Qugnima, ur
* Oosamöna. V. Queiza, Quewun
Qreruzs. V. Algquermes et Hermes.
+ Ortnaueno, a, adj. Feere —, FH
trös-violente, avec des frissons ei conrulme
des membres.
QuzsiLıa ow Quisitia,, etc. V. Quigie, W-
Qussuusim. V. Cherudim. \
Qusstiö, s. f. question : point, proposilion d
discuter; chose dent il s’agit. Dispule, du
relle, differenud. — de nome, ou de palsır#.
querelie de mots. — de lä de cabras ou & C
gado, question sur des choses qui neuste
pas, sur des choses [uliles. Hd grande. gu
döes sobre se..., c’osl une grande queslion IM
de savoir Bi.»
QUI
Qusstäozinta, dim. de Quesldo. V. Oues-
Siuncula \
QuEsTIonino, A, p. p. do Queslionar.
+ Ovsstionanon ‚A, 5. celai qui aime ä dis-
puter.
Qussriorir, v. a. etw. agiter une question ;
disputer, d&battre ; argumenter.
QussrionäveL, adj. 2 gen. douteux, proble-
matique.
QueströucuLa, s. f. question peu importanie,
frivole.
QtuezsTör, 3. m. questeur : magistrat de Rome;
garde da trösor. (and.) Quöteur : celui qui
quäte.
Quest6r1o, A, adj. du questeur.
Qugstuinıo, A,(9. us.). V. Trafieante, Cha-
tim.
Questuöso, A,ady. lucratif, qui rapporte du
proßit. .
Qusstöra,s. f. questure: charge, dignitö de
questeur; temps qu’elle durait,
* Quexıquir, s.m. (4. rwst.) quelque chose.
Qri.V. Aqui.
+ Quiägkıro, 8. m. (t. da Bresil) sorte de
plante potagere du Bresil qui donne le quidbo.
V. Quingdmbo.
TQuriso,s. m. fruit du Quiabeiro en gousse
conique: on le mange vert comme les haricots;
on en [ait un Sirop.
Quiaına. V. Caira.
Quick, adv. peut-ätre, par hasard.
* Quicäis ou Quigäs. V. Quiga.
Oricıo. V. G@0R20.
Quicönco, s. m. bois medicinal du Bresil. V.
Quiseco.
+ Quinaum, s. m. (fam.) quidam : personne
dont on ignore ow dont on n’exprime pas le
nom.
Quigrackö, s. f. *repos: privation de mou-
vement. Quiötude, tranquillit6, calme; repos
d’esprit.
Quıgtrino, A, p. p. de Quislar.
Quidtauente, ade. paisiblement, tranquille-
ment.
Qui£tir, v. a. calmer, apaiser. V. Aquielar.
Quikrisuo, 3. m. quielisme : secte, doctrine
des quißtistes, #6. V. Quielardo.
Qui£rissıMo, A, adj. sup. de Quielo.
OtieTista, 8. m. quististe : qui fait consisier
toute la perfection chretienne dans l’amour de
Dieu , le repos ow l’inaction de l’Ame; fou tran-
quille, devot et libertin.
Ocı£ro, A, adj. qui cst en repos, qui ne Se
meutpas. Paisible, tranquille, calme. Regle
dans ses ma@urs.
QuiciLa ,s.f. (mot africain) antipatbie, aver-
sion, röpugnance.
QuiciLär (com), v. ». avoir antipathie, aver-
sion pour une personne, une chose.
Quicoueö. V. Quiabo.
Quuinno. V. Quejando.
+ Quiz, s. m. quadrupdde de l’Inde, espöce
de füret.
QuizaTiv0, a, P. p. de Quilalar.
QUI 979
QUILATADOR, 8. m. essayeur : ofücier qui fait
l’essat des monnaies, etc. j
QuiLarär, v. a. easayer de Y’or, elc. (Ag.)
Apprecier, estimer. V. Aqwilatar.
QuiLATE, 3. m. carat:: litre, degr& de purelk
de l’or; poids de quatre grains pour les dia-
manis, les perlos; (fig.) degrö de bonts, de
perfection.
fQuıLATRıra, s. f. "instrument en forme de
filiere pour apprecier la valeur des perles, en-
les faisant passer & lravers.
QuiLaa, s. f. quille : longue piece qui rögne
au-dessous du vaisseau. (Ag.)* Vaisseau, na-
vire. ($. de bot.) Careue : saillie longitudinale
sur le dos d’une [euille. Passar um marinheiro
por baixo da—,(l. de mar.) donner la calo &
un matelot par-dessous Ja quille 0% donner la
grande cale.
QuriLHino,A,p. pP. de
+ QuıHir, v. a. mettre la quille A un yals--
seau.
+ Quırnän,s.m. (1. de mar.) grand clou pour
elouer les varangues sur la quille.
QuıLömso, s.m. (6. ds Bresil) röunion de
negres marrons ; lieu oü ils se r&unissent.
Quimiö,s. m. (1. d’Asie) rohe de chambpe.
V. Roupdo.
Quim£ra, etc.
Ovimıca , ete. } V. Chim..., etc.
rt Qeıminna, s. f. plante d’Angole. V.Minks-
, .
7 Quimö,s.m.(t. d’hist. nat.) quimos : homme
& longs bras, maigre, mince, triste.
Quina,s.f."angle, coin. —, pl. un quines:
deux cing au trictrac. —s poriuguezas, quines
portugaises, armes de Portugal : cing peuts
“cussons d’azur poses en croix, es dans chacun
d’eux cing deniers d’argenten sautoir ; drapasuy
Aux Cing ECuSsons.
Quina ow Quinguina,s.f.“ quinquina : 6corge
febrifuge d’un arbre du Perou qui port le
meme nom. (4.debot.)Quinquina ow kina-kina ;
arbre du quinquina, plante rubiacee febrifuge.
+ Quinävas, adj. f. pl. (4. de bot.) quinses, :
disposees par cinq ([euilles). n
Qumipo, a, adj. (9 de pharım.) pröpaso aveo
le quinquina.
*QuinäL, 3. m. ancienne mesure de liquides,
25 almudes.
Quinio, s. m. "faute relerde; victoire zem-
portse dans une dispute litiöraise. Dar — a al-
guem, convaincre quelqu’un d’une ertom,
d’une faute,
Quinaguıma. V. Quina. (1. de bot.)
Qumirıo, s. m. et adj. nombre de cing; de
einq. Petite piöce de monnaie chez lesRomains,
qui valait 5 as.
Quinas , pl. V. Quina.
Quincauuania. V. Quinguilkaria.
+ QuincaLutıro, s. m. quincaillier : mar-
chand de quincaillerie.
QuincäLoco, s. m. lescing commandemenis
de l’Eglise.
* Quiuca0dso. V. Quyintal.
982 RAB
Rıvaninı,s. f. jeu d’enfants.
Rasaz£ıLa, s. f. "poisson qui reste au p6-
eheur. (f. d’anat. ant.) *Croupion, sacrum,
kocoyx : extr&mite du bas de l’Echine.
RasapiıLna, s. f. V. Rabadella. * Croupion
d’olseau. Petite queue de poisson,
Raıgiovo. V. Cauddio.
RısiLne. V. Arrabalde.
+" Rıkiıni; adj. f. Quarla —, ou rabalva,
ancienne mesure de liquides au Porto.
Rızirva,s. f. sorle d’oiseau de proie noc-
turne. is. V. Rabalha.
+ Rıpäna,s. f. (f. de P’Inde) sorte de tim-
dale quo les Malabares portent suspendue au
oou.
Rızarida,s. }. * cdup de queue.—devenio,
conp de vent, rafale, bourrasque.
Rapanir, s. m. "raviöre:champ, planohe
Sende de raves.
RABANETE, 5. m. petit radis.
"RısinHo. V. Rebanko.
Rizano ou Ct. de dot.) "rave : plante po-
Risio,s. m. j tagere; ravecorail.— radisio,
radis. — silvestre, rave Ssauvage, faux railort,
raphanistre. — silvsstre maior, ou — bastardo.
V. Armor:
Rasiö, Ona, adj. on Ile dit d’un animal ä
qui on a euup6 la queae : &courtd, oourtaude;
& courlo queue. — , cheval courtaud.
Rısiz. V, . ‘
RaB’av£nro, ade. sulvant le vent. On te dit
du gibier, des olseaux qui ontle vent en queue
en courant, en volant.
Bass ow Bassino, s m. rabbin: desteur
u ®
+ Rassımino, s. m. *dignits de rahbin.
Ruzsinıco , A, adj. rabbinique : des rabbins.
Ruseınisuo, 3. m. rabbinisme : doctrine des
rabbins.
Rappınista, s. m. rabbiniste : qui 6tudie,
qui suit la dootrine des rabbins.
Razsönı, 5. m. litre honorifque chez les
juifs. Mon maltre, mon dooteur.
+ RABBOTH, s.m. commentaires allögorigues
du Pentateuque.
Rarnvoınz, adj. 2 gen. (6. d’anat.) rabdolde :
(suture —) sagittlale.
+ RaspoLocia ‚s.f. rabdologie: caloul& Palde
de baguetles marque&es de nombres.
Rıspomancia, #. f. rabdomancie : pretendue
divination par la baguette, par des lignes droi-
tes traodes ei des bagueties jettes au hasard.
RaBRADOR, 8. ou adj. m. choval qui remue
souvent la queue.
Raneanüra, s. f. "remuement de queus;
feötillement.
- _ Rankin, 9. w. romuer, hocher la queußs; fr&-
'üller. Remuer, torüller le derriöre en mar-
ehant, en dansanı, (Ag.) Flegomer, faire dus
bassosses.
RaßgEeca, s. f. “ violon : instrument de musi-
que & quatre cordes et A archet; velai qui en
joue. (6. de wer.) Voile d’etai d’ertimon, foc
de derriere, foe d'’arlimon.
RAB
Ranzchö, s.m. ang. de Rabeca, — grand,
* contre-basse : grosse basse de vielen.— p-
queno , violoncelle ; celui qui en joue.
Rap£co. V. Rofoucinhado.
+ Ras£ıra, s. f. * derriere: partie posterieui
d’une chose. V. Rasio, Trike.
+ Rapskıno,s.m. resie de grains nonramk.
Rap£ı, s.m. rebec : violon & trois mis
* Pocheite , petit violon de maltre d dest. |
+ 0,8... — do aredo, manchem.
poignede de la cherrue.
Raseguinna , dim. de Rabees,
RABEQULISTA , 5. m. joueur de violon.
+ Rasexviva, s. f. sorte d’alsesn syivek.
Rastra , s. f. hochequeue. V. Alvdien.
Risıa. V. Reiva ou Hyirophobis.
Rısıino,. V. Arabiado.
Ranıia. V. Rabsar ot Raivar.
Rapica, 8. f. * manche de la cbamte. Lü
of.) Petite rave,, raifert cultive. — brate, n”
sauvage, raphaniste.
Rasıciö, adj. vu 5. m. rabican : fdm!
dont la peeu, la robo cost parsumie de pe
blanos.
RasıcaÄö, adj. V. Rabdö .
Rasicno , s. m. * croupiere : longe de care
la croupe, sous la queue. * Queue de chem
lleira de —, perruque & queae. — fa
cabo, (f. de mar.) quene de ratd’wn card.
+ Rasıcotıra, s. f. "olsosu aquaugee dt
grandear d’une perdrix.
Rasıcöaro, A, adj. qui a ia quend wet,!
oaurie queue, en perlant des beites ei de *
BOauxX.
Risıno. V. Raivoso.
Basıroncipo, A, uf. 2900. qui a I er
fourchue. s.m. (i. d’hist. na$.) * Frögate:mtn
de mer.
+ Rusısönco, s. m. (1. d’hist. nei.‘ pure
queue : oiseau du tropique, palmiptde.
Rasit. V. Rabei et Arrabil.
Ranınkıno, s. m. celui quijoue darad:*
lui qui les fait.
+ RasıLönco, A, adj. qui a une kEr
queue. — do norle, s. m. (1. d’hir, wei. |
Macrouro.
Razinno, dim. de Rabo. Petite quese. I*
sair com 0 — enfre as pernas, (a. fon) se
aller ia que entre les jambes, hantent,#
für.
+ Rasmrfra, s. f. (f. @kisl. we.) resp
de muraille,, oiseau de passage.
Rasısica , s. f. excursion farfire.
Rıstsca. V. Radisco er Rabiscet.
+ Rüarscantıra, 3. f. grapillens: lest:
qui gräpille.
RARISCADOR, A, 8. grifonnear : qai grfees
— d’uoas , grapilteur. un
Rıntscär, v. a. grilfonner, faire des pe®*“
raouche. Grapiller : cueillir les grappes 4% er
tent apres la vendange. rn
Rasiscas, s. f. pl. ‘ Traits de plame. mir
nage, pieds de mourhes. 3
Ranisco, s. m. grappen quiresieat apf®
RAG
Vendange. Griffonnage. Andar, ir ao —, gra-
piller.
Rapıstco, A, adj. (burl.) seo, sterile.
BiAB0, 8. m." queue : extrömitd du corps des
quadrup&des, des oiseaux , des poissons;; (flg.)
tout ce qui pend par derriere; haillon qu’on
altsche au carnaval au dos des passanis, etc.
Cul, derri&re. Pimenta de —, poivre-long. —
Basno, queue d’äne, plante. — de raposa. V.
Amarantiho. — de cavallo. V. Cavallinha. —
d’ovelha, espece de raisin blanc. — de junco.
V. Rabijunco. — forcado. V. Rabiforcado. —
derapoza, (4.de mar.) qucue de rat. Olkar
com 0 — do olho, regarder do travers ow du
eoin de l’ail, guigner. O— druim d’esfolar. V.
ce mot. Pegue-Ihe pelo— , (fam.) on le dit pour
exprimer la dificulte d’atteindre une personne
qui fuit, ou d’obtenir ce qu’on desire. Andar,
ir ao— d’alguem, (fam.) suivre quelqu’un par-
tout, ötre sans cesse sur ses talons. Com 0 —
gelo chäo,, (Ag.) trös-humblement. Decabo a—,
tout du long; d’un bout & l’autre.
RısoLiö, etc, V. Rebuläo, etc.
TRisoukva,s. m. “queue: haillon, papier,
etc., qu’on attache, au carnaval, au dos des
passanis, etc. ( nr Appendice, chose ajoutee.
RısoL0. V. Bebolo.
Rısorir, v.a. raboter : polir avec le rabot.
Rasörs, 3. m. rabot : oulil pour planer, apla-
nir, polir.
Rastoo, A, adj, quia une longue queue. Qui
a un gros fessier.
Raztcen, s. f. gale de chien. Rogne. (fg.
fam.) Mauvaise humeur, morosit6; barbon-
noge.
RaBUGENTO, A, adj. galeux, qui a la gale
(chien). (fg. fam.) Bourru, chagrin, de mau-
vaise humeur, acariätre, morose. Velko —,
barbon ‚ vieillard morose.
RisuLa, s. m. avooat ou procureur ignorant
et grand parleur ou chicaneur; me6chant avocat,
criailleur, avocassier.
RısvLi6, s. m. fanfaron, fantasque, gas-
con.
RıpoLania , 8. f. vanterie, fanfaronnade,
piaffe. Raisons de chicaneur, raisons avocas-
sieres.
Rapsuufce, s. f. chicane. Arocasserie.
Rasisca, 8. f. V. Rabisco; Resto.
Rica ‚adj. 2 gen. (mot syriaque ei biblique)
ecervel&, &tourdi, Evapore.
Rica,s. f. race, lignde. Ce mot, en parlant
des hommes, ne se prend guere qu’en mau-
vaise part. (fig.) Qualit& d’une chose, celle
surtout quelle contracte dans sa formation.
“Rayon de lumieroe. Engeance, race, en pär-
lant des volailles. Seime : division de l’ongle du
cheral.
Racäö, s. [. ration , porlion r&gl&e de rivrer,
etc.; pitanoe. — dobrdda, double ration. —
pags em dinheiro , argent qu’on donne chaqus
four & un domestique, etc., pour sa nourri-
ture,
RAC 988
Ricua,s. f. *&clat do bois, copeau, etc. Fis-
sure, fente, crevasse. V. Raxa,
Racnapeına, s. f. * fendoir : instrument pour
fendre; outil de vannier, jardinier, etc.
Rıcnivo,4,p.p. de Rachar.
Racuanör, s. m. fendeur: qui fend le beis,
etc.
RAcHADüRA, s. f. action de fendre. V. Racha.
Racnin, v. a. fendre : diviser, s&parer, cou-
per en long; separer par force. — alguem com
palacras, (fig. fam.) r&primander quelquun
durement; maltralter, outrager, insulter quel-
qu’un en paroles.
Rıcnir, v. n. et—sE, v. r'. se fendre, s’en-
trrouvrir, se diviser.
RacHEBinos, s. m. pl. soldats Indiens. V.
Rasbutos.
TRacmuudlı,s.f.(t. de med.) rachialglie :
douleurs violentes le lorıg de !’epine dorsale,
Rıczirtico, A, adj. (t. de med.) rachitique:
altaque& du rachitis.
Rıcairis, s. f. (t. de med.) *rachitis: mala-
die, courbure de l’&pine et des os longs.
Racaırisuo, s. m. (4. de med.) rachitisme:
maladie des bl&s nou&s, bas et tortus.
} Racimioo, A, adj. assemble, uni en forme
de grappe; qui a des grappes. V. Racimoso.
TRacınireno, a, adj. (poet.) qui porte des
grappes.
Raciuo,s. m. (4. de bot.) * grappe : grains en
bouquets pendants. (fig.) Assemdlage de choses
en forme de grappe.
Raciuöso, a, adf. (f. de bot.) abondant en
grappes; qui a des grappes; qui a la forme de
grappes, en grappes. Charg6, couvert do rai-
sins.
RacıocınagÄd, 3. f. "raisonnement, !’action de
ralsonner.
Rıcıocırino, A,p. p. de Raciocinar.
f Racıocınanor, A, 8. ralsonneur : qui ral-
sonne,
Racıocınär, v. n. ralsonner:: faire usage de
sa raison ; faire des ralsonnements.
Racıocinıo,, s. m. raisonnement : faculi&,, a6-
tion de raisonner; argument; raison, juge-
ment.
RacıonasıLıpine, s. f. raison : facult& de
‚| raisonner, de juger avec connaissance; Intelli
ence.
RacıoniL, adj. 2 gen. raisonnable: done de
la raison; qui a la facult6 de raisonner. —,
conforme Ala taison. V. Arrasoado. Rationnel.
On le dit en arithmetique, etc., des quantit&s
commensurabics. Horizonte —, horizon ra-
tionnel, cercle qal coupe le monde en dedx
hömisphäres. Medicina —, miödecine ralion-
nelle, l’oppose de l’eımpirigue.
RıcıoniL, 3. m. rational: morceau d’&toffe
que le grand prötre des Juifs portait surla poi-
trine.
RACIONALIDÄDE, 8. f. rationale : facultö dis-
tinctive de l’bomme; qualit6 de ce qui est ra-
tionnel, conforme & la raison. V. Ractonabili-
dad».
98 RAD
+ RıcıoxaLisıo, s. m. rationalisme : meöla-
physique qui ne considere les objeis que par
abstraction ou en tant qu’ils sont possibles.
RacıonäveL, adj. 2 gen. raisonnable : con-
forme d la raison;; convenable.
„ Racıonävgımente, ade. raisonnablement :
avec raison, conformement & la raison, ä Pd-
quite; convenablement,.
Racıon£ıro ou Racokıro, s. m. ecciesiasti-
que qui jouit d’une prebende dans un cha-
pitre, etc. Celui qui regoit une ralion. Celui qui
distribue les vivres dans une communauie.
“Racon, V. Ragäo.
+ Racönto, s. m. (p. ws.) "relation, narra-
tion, recit.
Rıpin. V. Redrar.
Rıpıagiö, s. f. radiation, Eclat, rayonne-
ment. V. Irradiapäo.
+ Ravıinas, adj. et s. f. pl. (4. de bot.) ra-
diees : plantes synantherees. ’
Rapıkno, A, p. p. de Radiar. adj. (t. de bias.)
Radie: compose de fleurons et demi-fleurons;
oü il ya des rayons. (t. de bot.) Rayonne, en
rayon (corolle,, elc.).
Ravıir, adj. 2 gen. (8. d’anat.) radial: du
radius.
+ RaDIÄNTE, adj. 2 gen. rayonnant : qui
rayonne; eclatant, briliant. (f. d’opt.) Radiant:
qui envoie des rayons de lumiere Al’@il (corps,
surface —e).
RapıÄr, v. ». rayonner : repandre, jeter des
rayons , briller.
RavıcaGäö,s. f. radication : action par la-
quelle les plantes poussent des racines. (flg.)
Action de prendre racıne.
Ranıcäno, A, p. p. de Radicar. adj. Qui a
pris racine. (g.) Enracine. V. Arraigado.
Rıbıcin, adj. 2 gen. (4. de bot.) radical : qui
natt de la racine (feuille); qui appartient & la
racine. —, quiest comme la racine, la base, le
principe de quelque chose. Humor — ‚humide
radical , bumeur, pretendu principe de la vie
de Panimal. Vicio —, (fg.) vice radical, qui en
produit d’autres. Cura — ,guerison radicale,
compitie. Palavra —, mot radical, qui est la
racine d’autres. Sina! —, (il. de math.) racine,
signe radical ( Y ‚. Quanlidade — , quantite ra-
dicale pr&cedee de ce signc.
+ RavıciL, adj. et s. m. Radiedes, pl. plus
usise radical, radicaux: en Angleterre, parti-
san d’une relorme radicale du systöme de gou-
vernement, du mode d’election aux chambres
legislalives.
+ RapıcaLisıo , s. m. radicallsıne : systäme,
opinion des radicaux, en Angleterre. V. Radi-
cal, ci-dessus.
RapıckLm£nte,, adv. radicalement.
+ Rapıcänze, (t. de bot.). V. Raigoloso.
Ranıcir, v. a. ein. prendre racine; pousser
des racınes. (fig.) S’enraciner. V. Arraigar.
t Ranıc6so, A, adj. (t. de bol.) qui participe
dela nature des racines. Qui a beaucoup de
racines.
Rapicrıa,a. f. it. debet.‘ radienie: pelile
RAI
racine ; rudiment de la racine; partie de l’em-
bryon de la plante; partie inferieure du germe,
hors des lobes. st. V. Landria.
Ripıo, s. m.“ arbalestrille : instrument pour
mesurer la hauteur des astres. Rayon.V. Raio.
(t. danat.) Radius : un des deux 0s de l’avanı-
bras.
+ Rıpiora, s. f. (8. de bot.)* lin mulüiflore.
+ RADIÖMETRO, 5. m. radiomeire : instru-
ment d’astironomie pour prendre les hauteurs.
Cest le meme que l’arbalete.
Rıpıöso, A, adj. radieux: rayonnant, bril-
lant, qui repand des rayons.
+ Raßr,v. a. racler, ralisser. Ramasser (le
sel dans les salines) avec un räteau Sans dents.
* Rıez. V. Arraes.
Rira, s. f. (fam. burl.) grande faim, faim
excessive, devoranle.
Rırino, A, adj. (burl.) rApt, use. (fig.) AF-
fame; pauvre, miserable.
Rareca. V. Reföga.
Rartıso, adj. ou s. m. mälin, dogue. Quem
tem bom visinho lem bom —, (pror.) quia
bon voisin a bon mälin.
Kırıädo,A,?. p. de Raflar.
Rarıäö, etc. V. Rufido, etc.
+ Rarıin, v. 0. (p. ws.) lisser, faire un lisse.
(ant.) V. Ruflar, Afagar.
Rarınär, etc. V. Refinar, etc.
+ Rackıra, s. f. (8. de mar.) emboussure:
n@ud sur une Man@urvre avec un amarrage.
*Racöna. V. Rancura ou Rancoura.
+Racisa, s. f. ($. de geog.) Raguse : ville de
la Dalmatie.
+ Racusino ow Racösko, A, adj.ei s. Bacu-
sin : de Raguse.
Rita, s. f. raie: ligne tracde avec la plume,
etc. Limite : confns d’un etat, elc., fronliere,
lisiöre. Borne : terme prescrit au physique et
au moral. Passar as—s,(fig.) passer les bornes.
Riu, & f. (4. d’hist. nal.) raie : poissen
chondropterygien. — grande dos mares de
Norte, raie blanche. — miralfla ou nodond«e,
le miraillet. — de sovela na caude, la pasiens-
gue. V. Uga. — brochsada, raie bouciee.
Raıipo,A,adj. ray6, A raies. Radie. p.p.
6
Ratin,o. a. rayer: faire des raies. Rendre
rayonnant. Eclairer do ses rayons. v.». Rayon-
ner, jeter des rayons, briller. — e lux , o die,
a alva, commencer ä poindre, &clore, en par-
lant du jour. Vinka raiando o die, le jeur
pointait. —a luz da raz4o , (ig.) commencer a
se manifester, en parlant de la raison.
Raıcöta, s. f. pelite racine d’arbres, rad:
cule. —s, pl. * chevelu des racines. Envie. TV.
Eıpiga das unkhas.
T Raıcoroso, A, adj. (1. de bot.) radicant:
qui pousse des racines latärales (tige, bran-
che —6).
RaınBra ow Reınkra, 5.00 adj. f. rainche
ou Teinelle : sorie de pomme lacheice comme
la raine.
RAI
TRaınete, &. m, pommier qui donne les
reinelles.
Raixna,s. f. reine: feınme du roi; femme
qui possdde,, gouverne un royaume; laseconde
piece du jeu des &checs; (fig.) la chose la
plus excellente, la plus belle ; maitresse ; chose
qui domine, qui a une grande puissance. —
dos prddos, ( t. de bot.) V. UI a.
t RAaınuncuLÄcgas, adj. ets. f. pl. (t. de bot.)
renonculacees : famille de plantes.
RAINUNCULO, 8. m. (#. de bot.) * renoncule :
genre de plante qui a donn6 le nom A la famille
des renonculacees; fleur de la renoncule eculti-
vee. — bulboso, renoncule bulbeuse; bacinet.
— bolhado, renoncule de Portugal (renoncu-
Ius bullatus). — aqudiico, renoncule aquati-
güe; hepatique d’eau, — mataboi, renoncule
des marais ; grenouillette d’eau. — palalö, re-
noncule des pres, bacinet rampant; bouton
d’or. — acrimonioso, renoncule dcre; pied de
coq, pied de corbin. — asialico , la renoncule
dcs fleuristes. — rasleiro, renoncule couchee.
— auricomado, renoncule blonde. — singelo,
grenouillet.
Ri10, 3. m. rayon : trait de lumiere; suite
de points lumineux; (4. de g£om.) demi-diam&-
tre.—, rais d’une roue. Tonnerre,, foudre :
meleore enflamme. (fig.) " Foudre : chose ex-
trömement active et violente. (id.) Homme qui
a l’esprit vif et p6netrant, ow qui est vil,
prompt comme la foudre. (id.) Coup de foudre,
malheur imprevu. — de luz, (1. d’opt.) rayon
de lumiere qui passe & travers un miroir dia-
phane. (Ag.) Trait de lumiere. derecto,rayon
direct, qui vient directement de l’objet ow du
corps lumineux. — ineidente ou d’incidencia,
rayon incident ow d’incidence : partie du rayon
de Iumiere, depuis le corps lumineux Jusqu’au
point oü il se brise. — öplico, rayon visuel,
par lequel on voit les objets. — principal, (1.
de perspective) ligne droite tirde perpendicu-
lairement do l’ail sur le plan du tableau. — re-
flexo,rayonreflechi.—refracto, rayon brise par
la refraclion. — visual, rayon visuel. Hdo —te
parta! (impree.) que la foudre t’ecrase!—s, pl.
Fayons, lignes par lesquelles les peintres, etc.,
represententiesrayons du soleil, etc. Chover —-s
d’agua, pleuvoir A verse, par torrents. Dizer
—s e coriscos d’alguem, (fam.) dire pis que
pendre de quelqu’un. Zangar, Aılminar —s,
foudroyer, lancer la foudre. Despedir, lancar
—s de luz, jeter, r&pandre des rayons de In-
miere, rayonner. —s medullares, (1. de bot.)
rayons du c»ur d’un arbre.
Rimwva,s. f. rage: delire furieux. V. Hydro-
phobia. —,(fig.) transport furieux de depit,
de colere; haine. (id.) Grande envie, desir im-
modöre. Escumar de —, ecumer de rage. Ter
— a.alguem, hair, detester quelqu’un. Pör —a
alguem, (ant.) irriter quelqu’un, le meltre en
colere. Md— o arrebente, (imprec.) male rage
le saisisse. —s, pl. sorie de petits gätcaux fails
de farinc, d’aufs, de beurre ei de sucre.
Ramwvico, s. m. grand appetit, dexir violent.
RAJ 985
Raıvir, ©... re onrag6, &ire en coläres
enrager, endiabler, &ire dans une extröme co-
lere. (por) (g.) Eurager: Eprouver un besoin
pressant, un desir ardent. (id.) Etre excessil,
Fouss6 ä Poxcds. V. Enraivecer. — com fome,
com sede, crever de faim, enrager de soil.
T Raıv&nTo, a, adj. enrage. Haineux. V. Rai-
0080.
Raıvösas&rte, adv. avec rago, en enrag6.
Avec fureur.
+ Raıvosinzo, a, adj. dim. de Raivoso. Un
peu enreg6; un peu furieux.
Raıv6so, a, adj. enrage: alleint de la rage.
(Ag.) Colere, furieux, emports, transports de
ragt. (id.) Grand, excessif, enorme, violent.
iıxa. V, Raxa.
Ralz,s. f. racine : parties rameuses ow che-
velues, etc._tenant & la terre, par lesquelles
les plantes se nourrissent; co qui y ressemble;
se dit pour les dents, les cheveux, les ver-
rucs, eic.; ( fg.) principe, origine, commen-
ecınent d’un mol, d’une erreur; mot primitif
d’une langue d’oü les autres sont derives. (1d.)
Partie cachee d’une chose, d’oü sort ce qui pa-
ralt. (id.) Partie inferieure, base, pied (d’une
montagne, d'un rocher, etc.). —, nombre qui,
multipli6 par lui-m&me, donne la puissanco
(4.d’arith.). (fig.) “Levain, reste d’une passion.
china, squine, china : racine medicinale
aesIndes. Bens de—, biens fonds, immeubles.
4’ — ‚tout auprös, atienant, tout contre. A’ —
da carne, äcru, sur la peau nue. Corlar a—,
couper la racine,, au propre ei au figure. Do —,
radicalement, entiörement. Saber uma cousa
de —, savoir la chose de source. Coriar, agyan-
car pela —, deraciner, au propre et au Dlare.
Langar, crear —es, jJeier, pousser des racines,
prendre racine. Ter —es, ( ig.) &ire prolonde-
ment enracine. Ter—esna lerra, (id.)avoir des
biens fonds; avoir de la famille, des parents,
etc., dans un pays.
+ Rıfz-be-Joio-Lopss, 8. f. (1. de Bot.) nom
d’une plsnte de I’Inde ou de Mozambique dont
le genre n’est pas bien connu (radız lope-
sians).
*Räız ow Radız, s. m. sorte de serge an-
cienne.
Rılzime, s. m. assemblage de racines enire-
lacees.
f Raizeıra-vidaana, 8. f. (4. de bot.). V,
Morsegueiro.
TRasa,s.m. raja ou rajah:nom par lequcl on
designe, dans les indes orientales, un prince
souverain dans ses &tals, mais vassal d’un su-
zerain tel que le grand mogol. — ou rala, nom
par lequel les Turcs designent lpurs sujets
chrötiens.
Rasioa, s. f. ralale : boullce de vent subite
et violente; coup de vent de terre. (fig.) Elan,
mouveınent de l’äme de peu de durce. — de
vento, (t. de mar.) "grain, lourbillon de veht.
— forle, grain pesant. — com Irovöes e re-
lampagos, (id.) grain d’orage, grain orageux.
— com chuva grossa, (id.) grain pgsant et plu-
988 RAP
Rarinte, ad). 2 gen. (4. de blas.) qui graile
(animal), en atliludo de gratier.
Rirıpk, 3. m. (6. burl.) grand salut, pro-
fonde reverence.
Rarän, v.o. raser: conper le poil avec un
rasoir. Essorriller, ecourtcer: couper les che-
veux trop couris. Racier, räper, gratier, ra-
tisser. Escroquer. Voler, emporter de force le
bien d’autrui. De rapa lorrdo,, adv. (fam.) ra-
dicalement, entirement; brusquement.
Rıparica, s. f. jeune flle.
Rırarıcuinma , 8. f. dim. do Rapariga.
Fillette,, petite Alle.
+* Raranico , s. m. petit gargon.
Raranıcöna, 8. f. aug. de Rapariga. Grosse
Nille, dondon.
Rararıcöta, 8. f. Nlle grandelette.
Rariz, s. m. garcon,, enfant mäle ; valet.
Jeune homme. BE um bom — , v’est un bon en-
fant, un bon diable.
Rırız, adj. V. Rapace.
* Rıraza. V. Rapariga.
Rırazikö,s. m. aug. de Rapaz. Gros garcon.
V. Rapagdo.
Rırazetre, s. m. dim. de Rapaz. Jeune gar-
gon,, gamin, gargonnet.
Rapızia, s. [.“enfantillage : dcbappee, action,
etourderie d’enfant; tour, etourderie, ecart de
jeunesse.
Rarazıkna, s. f. "enfantillage. V. Rapazia.
Marmaille : troupe d’enfants qui font du bruit.
* Rassemblement, troupe de gargons.
Rırazinno, s. m. dim. de Rapaz et moins
que Rapazete. Petit gargon, marmot.
+ RaPAzöTg, 8. m. grand garcon.
+ Rap, s. ou adj. m. tabac en poudre.
* Rartıuo. V. Rapazinho.
+ Rıridıa, 8. f. (b. d’hist. nal.) raphidie :
u6svroptöre, raphidine.
*Rarıia. V. Arripier.
RiArIDAUSNTE, adv. rapidement, avec rapi-
dite.
Rarınkz, s. f. rapiditö: c#leritd, vilesse,
Promptitude.
Rarınissıno, A, adj. sup. de
Rirmo, A,adj. rapide : extrömement vie,
Vo —, tire d’aile, battement d’aile prompt et
vigoureug.
RariLno,s. m. V. Pomes (pedra).
Rarisa,s. f. rapine : action de ravir par vio-
lence; ce qui est ravi; pillage, volerie, larcin.
Proie, butin. Ave de —, oiseau de proie.
t RapınaDön 0% depredateur, qui fait
+ Rarınänte, as. m. | des depredalions. Ra-
pıneur, fripon.
Rarınin ou ° }rapiner: voleraveoadresse,
Rırınsän,o.a.) derober, prendre injuste-
nient. Piller.
+ itaroncos, s. m. (L. de bol.) "raiponce ow
campanule-raiponce: plante bisannuelle.dont
ou mange la racine en salade.
ltaröstıs, a. f. V. Ruiponto bastardo.
a NE, s.m. rapport V. Relatorio, Re-
RAR
Rarösa,s. f. "renard, renarde: mammildre
qusdrupcde du genre chien, puant, tres-ruse.
( fg.) Hoiame fin et rus«, vieux renard. (1. de
mar.) Coussin d’ancre, un renfort. B melkor, 2
mais seguro andar por onde andas —, (lo.
prov.) il n’est rien tel que le plancher des va-
ches, que de marcher sur le plancher des va-
ches. A — sagaz näo come as gallinhas de sous
vizinkos, prov.) un bon renard ne mange j+-
mais les poules de son voisin.
+ RaPösamEntE, adv. (buri.) astucieus-
ment; en vieux renard; matoisomen!.
Rarostıra, s. f. (fam.) "lieu exposd au
leil (en biver). Sieste. V. Repouseire.
Raroskıao,s.m. (1. de prov.) le lit. ii. V.
Raposeira.
Rarostıno, A, adj. (4. burl.) astuciens, fin
matois
Rarosia, s. f. (1. ders.) * tour, finesse de te-
nard , maloiserie. V. Astucia, Menke.
Rarosim. V. inho.
Rarposınna, 8. [. dim. de Rapose. Peüt Te
nard (prop. et fig.).
Rarosınnäa, vo. #. (1. burl.) faire le m
nard.
Rarosinuo, s. m. dies. de Reposo. Renit-
deau, pelit renard. Cheirar, feder a —s, senüf
le gousset, avoir l’odeur du oreux de l'aisseik.
+Rarosino, A, adj. de renard. (fg.) Jsir
cieux , rus6, madre.
Rarosio, 3. m. V. Raposia.
Rap0so, a. m. renard mäle. adj. (fg.) Tırux
routier, vieux renard,, lin matois.
+ Rirsona , s. m. rapsode : musicien ambe-
lant qui parcourait la Grece en chanlant IM
(ragmeuts des peömes d’Homöre.
Rapsüpia, 8. f. rapsodie : morceaux despel-
mes d’Homöre ; par corruption , mauvals
mas de vers, de prose.
Rapsopista,, s. m. rapsodisie: qui ne [al
que des rapsodies.
Rırtino,A,p. p.de Raptar.
Rartraoor. V, Raptor. ,
+ Rartar, v. @. ravir, enlever, prendre pi
force “une ällle, etc.).
Rirto, s. m. enlörement violent, farok.
Rapt : enlövement d’une fille pour Pepousel.
*Extase.V. Extase. — de seducpio, enleremenl
par seduction d’une fille.
Rırto, a, adj. V. Arrebatado. Movies
—,(t.dasir.). V. Movimento.
Rırtön, s. m. ravisseur : celui qui enltre
une lille.
Rarincıo. V. Raponcos ou Ruiponle.
+ Ragteı., em. (8. de bot.) "amaryllis gre-
nesienne ow lis du Japon.
Raquera, s. f. *jeu de volant : sorte de ka
de paume. Raquette : instrument poar jouer i
la paume.
Rauririco, Raquirıs, etc. V. Rachilice, d-
RARAMENTE, adv. rarement.
Rırin.V. Ralar. .
Rıngraccäö, s. f. (1. de piys.) rardlaeien
action de rarefier, dilatation (de Fair »
"RAS
RARBFACIENTE , adj. 2 gen. raräflant : qui ra-
röfle, qui dilate. 2. a. de Rarefazer.
+ RaREFACTIVEL, adj. 2 gen. rarescible: qui
peut se rarefler.
+ RaBEFACTIVO , A, adj. rarelactif, qui rare-
lie.
Rangrazer,v. a. (f. de phys.) rareller : di-
later, rendre moins dense.
RAREFAZER-SE, ©. r. so rarefier. On le dit
d'un corps qui, par la dilatalion de ses parties,
occupe plus d’espace qu’auparavant.
RAREF£ITO 0% RAREFACTO, A, 9. p. de Rare-
fazer. it. adj. Rarefie.
Rarfza, 8. f. raretö, disetle, l’oppos6 d’a-
bondance. Peu d’epaisseur; &tat dece qui est
clair-seme. Rarefaction. V. Raridade.
Ranıpipde, 3. f. (1. de phys.) raret&, rares-
cence : qualit6 de ce qui est rarelle. —, qua-
lic de ce quiest rare, peu commun; chose
rare; singularit& d’un fait, ce qui le rend
etrange. —s, pl. raretes, choses rares, ourio-
sites.
+ RarıroLnino, a,adj. (t.debot.)rarifeuille:
qui a peu de feuilles.
Ranrissımo, A, adj. sup. de Räro. Rarissime,
Ires-Tare.
Rirno,A,adj. rare: qui arrive peu souvent,
gui se trouve rarement; qui n’est pas com-
mun, ordinaire, etc.; singulier; excellent,
precieux; l’oppose de dense, de compacte, de
frequent. Qui est en petit nombre, en petile
quantits. V. Ralo. Raras vezes, rarement, peu
souvent, peu frequemment. |
Riro,s.m.V. Ralo.
Räs. V. Raz.
Risı,s.f. sorte d’ancienne ötofle de laine.
Mesure de grains racl&e. Estimalion ou Larif
des frais d’un proces. "Depens.
RasiDo,A,p.p. de Rasar.
Rasıpüra,s. f. Yaction de racler une mesure
de grains, etc.; ce qu’on Öle d’une mesuro en
y passant la racloire.
RäÄsAMENTE, adv. entierement, pleinement;
tout & fait, totalement. Clairement, ouverte-
mment, sans delour.
RaAsÄNTE ‚adj. 2 gen. (1. de fort.) rasant:
quı rase, va en rasant. Linha de defensa — ou
flarco —,flanc rasant. Balteria —, feu rasant.
Rasid, V. Razdo, (ant.) Rasoura.
Rasir,v. a. racler. Rader, passer la radoire
sur une mesure de grains, etc. Raser: passer
tort pres ; toucher legerement. V. Arrasar.
RaspUT0s, s. m. pl. (1. d’Asie) caste guer-
riöre dans l’Inde.
Risch, s. f. espece de tramail. Barque de p6-
cheur. Levdr—,, (fam.) avoir son petit interät.
Levar — na assadura, (id.) avoir part au gä-
soau. \
Pascanon, 8. m. racloir, grattoir d’orfevre,
etc. * Ratissoire:: instrument pour ralisser les al-
lees- * Rugine : instrument de chirurgien pour
ratisser les.os. — da bomba, (i.de mar.) cu-
sette : oulil pour nelloyer les pompes.
KRamerfr ı,s. f. Yaction de gratter ou de sc
RAS 989
gratter ; raclure. Marque qui resie apres s’etr
gratte,, etc. .
"Rasciö, s. m. (8. vulg.) page d’un grand
seigneur. Ragoüt de mouton hachö avec du
lard,, de l’oignon , etc.
Rascir, v. a. gratier : passer fortement les
ongles sur la peau ‚etc. Egratigner, etc. V. Ar-
ranhar. Racler, ralisser. (inus.) V. Bradar,
Clamar.
Rascöa ,s. f.( t. vulg.) balayeuse, servante.
Femme de chambre.
+Rascotıro, s. m. qui fait la cour aux ser-
vantes , aux femmes de chambre.
Rascoicg ,s. f. action, propos malhonnöte;
vulgarite.
RascöTE,, s. m. (4. burl.) dim. de Rascäo.
RaSCUNHÄDO, A,P. p. do
RASCUNHÄR, u. @. esquisser, croquer un des-
sin. Ebaucher. Faire un brouillon.
Rascünno, 3. m. * esquisse, ebauche , cro-
quis. Brouillon.
Raıscipo,A,P. pP. de Rasgar. ady. Dechire;
fendu. Homem — , (ig.) homme genereux, li-
beral ; courtois. Boca —a, bouche ires-grande,
exir&ömement fendue. Olkos —s,, grands yeux
bien fendus. Comprimenios —s, oonıpliments
outres, longs.
RascaDörn, A, ey et s. celui, ce qui dechire.
Rascapüra, s. J. * dechirement : action de
dechirer. Decbirure. Ouverture, breche.
+ RıscAaMENTo, 8. m. * ouverlure.
Rascäö, s. m. accroc : dechirure & un habil,
adu linge, etc.
Rıscär, v. a. dechirer, rompre, meilre en
pidces, trancher; faire un accroc. (%g.) Fendre,
diviser, rFompre. Ouvrir, praliquer une Ouver-
ture (dans une muraille, eic.); elargir (une
croisee, une porie, eic.); praliquer (des em-
brasures pour le canon, des sabords, etc.). —
a lelira, ecrire en grosses leitres en faisant
des traits avec la plume,.
Räsco , s. m. cadeau : trait de plume ou de
pinceau grand, hardi. (Ag.) Trait ingenieux,
pensse ncuve, brillante, etc. Trait de gran-
deur, de generosite, action noble, elc, En ce
sens, on s’en sert surtout au pluriel.
Rascunno. V. Rascunko.
Riso, A, adj. ras, coup6 ras. Plein, ras,
uni, de niveau, sans inegalite. Simple. On le
dit en parlant d’un gentilhomme non titre, d’un
soldat sans grade, etc. Rasse, demoli. Ndo —a,
vaisscau rasd. Soldado —, simple soldat. As-
senlo — , tabouret, siege sans dossier. Em
ctampo —, en plaine campagne. Deichar — ,
&courter, couper ir&s-court. Bala —a , boulet.
qu’on met seul dans un canon, balle söche.
Esceudo —, (i. de bias.) &cu sans timbre ni or-
nements. Soda —a, satin. Taboa —a, (fig.)
table rase,, esprit neuf, susceglible de toules
les impressions. Sinai —, signature de notaire
sons paraphe. Charneca —a, lande chauve,
Tornar —. V. Arrasar.
RASOAR, etc. V. Razodr, etc.
Rısduna,s. fı racloire de ınesureur da grain ;
N)
os
992 REA
Vengeaneo de l’opprime; action de r&agir, son
effet.
+ Reaccenpea, v. a. rallumer : allumer de
nouveau.
Reaccusagiö, s. f. recriminalion.
ReaccusÄR , dv. a. accuser de nouveau.V. Re-
criminar.
RracTivo, A, adj. reaclif: qui reagit-
Reacenoßn. V. Reaccender.
Reac£so, A, adj. rallume.
Reaniıno, s m. sorle d’ötoffe de laine et
soie.
Reaccaavaciö, 8. f. action d’olfenser de
nouvesu.
REAGGRAVÄR, v. a. offenser de nouveau,
REiL, s. m. real (monnaie). V. Reis. (ant.)
V. Arraial. Ndo ter —, n’avoir pas le sou. —
d’agua,, impöt sur la viande, le vin, etc., pour
entrelenir les fontaines, etc. Real —, cri do
Yacclamatlion des rois en "Portugal.
ReiL, adj. 2 gen. royal: qui appartient au
roi, qui le regarde, lui convient; (Ag.) grand,
magniflque „ somptueux ; noble , genereux.
- Reel : qui est een effet, sans fiction, sans figure;
certain, verilable. Franc, sincere. Casa —,
maison du roi. Doenga —, V. Iclericia. Gald—,
reale, principale galere du roi.
ReaLcivo, A, 9. p. de Realkar. adj. Re-
hausse, releve, illustre. (£. de bot.) V. Remon-
Sante.
Reatcie, v. a. (tl. de peint.) rehausser : faire
Fessortir par des coups de lumiere. (Ag.) Re-
hausser l’eclat, donner plus de lustre; donner
du relief, de la couleur aux pensees, etc. Bro-
der en relief, recamer.
ReiLce ou REiLco, s. m. rebord „ rehausse-
ment, rehaut, relief, ornement relev& en bosse.
Jour, coup, effet ow rellet de lumiere dans les
clairs d’un tableau. (flg.) Lustre, eclat, tout ce
qui sert & relever le prix d’une chose. Bordar
de — , broder en relief, recamer. —s, pl. (t. de
peint.) relhauts , lesendroits les plus &claires,
ReaLecrÄn, v. a. rejouir de nouveau. 1l est
aussi reciproque.
REALEIO, 5. m. orgue portalif; orgue A cy-
lindre.
ReALENcCAMENTE, adv. royalement.
REALENGO ‚A, adj. royal, de roi. Terra—a.
V. Reguengo.
ReaL£re, s. m. impöt d’un real sur chaque
canada de vin. V. ce mot.
ResLkza,s. f. royautd: &tat, dignit6 de rol.
Magnificence,, grandeur, generosile.
ReALIDÄDE,, 8. f. realils : existence effective.
Verits, sincörite. (and.) V. Realexa. Na—, en
röalite, reellement, effectivement; say fait. Sa-
der com —, savoir au vrai.
TREALISMO, 3. m. royalisme : parli du roi;
amour du roi,. (4. scol.) Realisme : systeme qui
consiste ä considerer les objets comme reelle-
ment existants; matcrialisme.
ReaLissıno, A, sup. de Real.
Realista, .. m.royaliste : parlisan du roi ow
de la royaute. —s, pl. {f. scol.) realistes : sec-
REB
wsires qui regardaient comme röels les fire
abstraits; ’oppose des nominaux.
M ReaLızaciö,s. f. reallsalion : action de res-
ser.
REALIZÄDO, A, 9.9. de
Resırzir,o.a. realiser : rendre reel et e-
fectif. Verißer.
REALIZÄR-SE, d. r. se realiser : @ire reslim,
devenir reel; arriver, &tre accompli , execuiL.
REALNMENTE , adv. royalement, en roi ‚comme
un roi. Effectivement, reellement.
*Reiue.V. Reino.
Reanınino,A,P9.p. de Resnimar.
REANIMADOR, A, adj. etz. qui ranime.
REANIMÄR, U. 6. Taviver, ranimer : renöre,
redonner de la vigueur, du courage.
ReAssumino, A, p.p. de
REAsSUMiR , v. a. reprendre : prendre use =
conde fois. V. Reeobrar.
Reıssumpcäiö,s. f. Yaction de reprendre.
REASSUMPTO,A,P. p. irr. de Reassumir.
Reita. V. Arriai a.
REATÄDO, A,p. p. de Reater.
ReaTADÜRA, 8. f. (ant.) l’action d’atiacher m
de rattacher. —s, pl. (1. de mar.) * ceintrage.
Reatär, v. a. ratischer : atiacher de zes-
veau ; lier fortement. V. Arrisler.
Reite. V. Cabresto, Arriala.
ReiTo,s. m. *prevention, etat d’un acrwt.
(t. de th£ol.) * Obligation oü Y’on est de e ne
mettre & la penitence qui correspond & on
che , meme apres qu’on a obtenu le parden.
Reavısipo, A, p. p.de
Reavısia, v. a. averlir deux fois; remis
plus avise.
ResapiLua. V. Rabadilka.
Resaıxäno,A,p.p. de Rebaixzar.
REBAIXAMERTO, s.m. rabaissernent, rabem.
Resaıxir, 9. a. rabaisser : melire plas bar.
Approfondir. v. ». S’abattre.
Resiıxo, 5. m. "entaille au bas d’une pie
de bois, d’une pierre, etc.
Resaıoio, adj. m. sauvage (Ögue).
+ Resaısino, A, p- p. de Rebalser-se. sd.
Agua—a , sau arreiöde, relenuc dans son coars
mare, etc.
+ REBALSÄR-SE, v. r. s’arröter, arreter son
cours, devenir stagnanie, en parlant de Fromm.
(fg.) S’amasser.
f Resanipa, 8. fi — de rvento, houffte de
vent. V. Rabanada.
Resangina,. V. Rebanko.
Revannin,. V. Arrebankar.
REBÄNHO, 3. m. troupeau de b£tes A lakm.
(g.) Troupean. On le dit des Addles par rar
port & leur pasteur. Em ou aos —s, en iroupe,
par bandes.
Resanguio. V. Ribranquio.
+ Resiö, s.m. pilote cölier, lamaneur del
mer Rouge.
t REBAPTIZINTE, adj. et 5. we. rebapfisumt,
qui rebaptlise. 9. a. de
Renartızirn, o. a, rebaptiser : baplıser ent
seconde fois.
REB
Aaninsı, 5. f. serie, enohässerneni des pier-
zusies.
Azsansin, v. a. öbarber.
Resaraututo. V. Rapte, Extass.
RBzuarin, etc. V, Arrebstar, eto.
' Besitz, 8. m. *attaque imprövue; Surprise.
On le dit de tout ce qui survient inopiadment.
* Alarme : signal de courir aux armes. Tocsin :
bruit de la oloobe pour denner Falarme; eveil.
(Ag.) " Epouvante, frayeur; treuble, dmetion.
" Altöralion subite des humeurs dans une ma-
ladie; uoode (de Adyro)." Dispute, querelle in-
opinee, soudaine. — falso, fausse alerte. Dar
—, crier aux armes. Tocar a—, sonner i’»-
larme, batire la genörsie. Tocar a — com um
sino, sonner le loosin. Tomar —, (ami.) #'el-
frayer, s’&pouvanter. Apanher de —, surpren-
dre & l’improvisie, prendre au depourvu.
RssÄte, 8. m. (1. de comm.) rabais : diminu-
tion de prix. Agio, eseompte. Vender com —,
vendre au rabais.
REBATEDOR, 8. m. changeur qui escompte
des billets, etc.
Resarta, v. a. battre de nouveau; rebatire.
Resister, repousser une allaque, elc.Parer une
botte, etc. Rabattre : diminuer, retrancher. Re-
chasser, reoogner, repousser. Reverberer, re-
flöchir. Escompter des billets, etc. Combattre,
refuter. — uma dör, soulager une douleur. —
uma sodicdo , reprimer une sedilion. — as c05-
turas, (l.de mar.) palarasser, enloncer l’&toupe
avec la patarasse. Ferro de — as cosluras,
patarasse : coin de fer, ciseau de calfat.
Resurtivo „A, pP. p. de Rebater.
HEBATIMENTO, 3. m. l’aclion de rebattre, de
r&sister; röpercussion ; röverberation. V. Re-
bate.
Repatinua, s. f. gribouilletie : Jjeu d’enfants
qui se dispulent une chose qu’on leur a jelee.
4's —ı, & la gribouillette. Ander ds —s,, (fam.)
se disputer une chose, se l’arracher ınutuelle-
nıent des mains.
Resarızar , etc. V. Rebeplizar, etc.
“ Repito. V. Rebate.
Resixo. V. Rebaixo.
+ Rusesin, o. a. boire souvent.
Renäca, s. f. " paillasson de soldat, elc. (tl.
V. Rabeca.
Reszcia. V. Vomilar. .
Reseıin, vo. a. balser une seconde fois, bai-
ser souvent.
Reser ou Rever. V. rebelle : qui refuse
Restıoe, adj. 2 gen. 9 d’obeir A son sup6-
rieur, ä son souverain; qui lui resistc, se r&-
volte contre Iui. Indocile, opiniätre, re&calci-
trant. Qui refuse de comparaftre en justlice:
contumace. ( ig.) —, qui ne cede pas.
RAxzszıvia, s. f. d&sobeissance opiniätre. Rd-'
sistance,, obstination. Rebellion , revolte.
Reszriu. V. Revelim.
Resz:Lipo, A, p.p. de Rebellar.
BesRLLanOR, A, 3. qui excite la röhellion.
ReseLLiö, adj. m. on le dit d’un cheval retif
PORT.-FR. pP °
REB 993
qui reluse d’aller sur les volles, qui secone ia
wete. Indocile, rer6che.
Ressırir, v. a. r@volter: porter ä la rövolte.
v. », Se revolter, agir en rebelle. V. Re-
bellar-se.
REBSLLÄR-SE (conira), v.r. se rebeller, se
rtvolter conite son souverain,, sinsarger; (flg.)
se dit des sens, des passions.
* Reseıria. V. rebellion, revolte; sou-
Reszıziiö, s. f. } lörement; resistance ou-
verie aux ordres d’un souverain.
+ ReszLLionar. V. Redellar. ‚
Restu, adv. ( fam.) fort bien, ä mervellte.
Rustu, s. m. sorte de fouet ou d’escourgee
pour chätier les forgats; baguetie de comite.
V. Arrebem,
Restnta-201, s. m. frait de la beiladone ow
belledarne.
RsBentino, 9. pP. de Rebentar. ”
Resentäö, s. m. V. Gomeleira.
REBENTÄn, v.a. cic. Vi Arrebenlar, etc.
ReBENTÄn, o.n. &clater: se rompre,, se bri-
ser par e&clats. Crever, se casser, se fendre.
Crever, faire des eflorts extraordinaires. Saillir,
sortir, sourdre. Germer, bourgeonner. Paraltre,
se monirer loul & coup. Crever, ötre Lrop plein.
Crever d’envie, de depit, etc. — de farto ou
ostar rebenlando, crever: avoir {top Mmangt,
n’en pouvoir plus. (em) Eelater. Ex.: Rebentow
a ira em vinganca, em blasfemias, la colöre
&clata en vengeance,, en blasphemes. — de
gordo, crever dans sa peau, €@irc Irds-gros.
— com riso, crever de rire, faire des efforis
pour contenir le rire. Rire beaucoup, faire des
&clats de rire. V. Arrebentar.
* Reuentina ou REBENTINHA.V. Ira, Assomg
Sobresalto. "
* RevesseLnin. V. Reverberar.
REBEUTE. V. Ribete.
Resıckvo. V. Arrebieado. j j
’Resimna, (£. burl.). V. Preguica.
Reeique, s. m. fard,rouge. V. Arrebique.
Resıscän. V. Rabiscar ou Rebuscar.
Repstär, vo. a. river. —ochapeo, retaper le
chapeau. V. Arrebilar.
Resite, s. m. rivet: pointe rivde d’un elou,
eic.
R£eo. V. Casealho.
ReEBOCÄDO, A,P.p. de Rebocar.®
Rr.vocAnönaA, 8. f. cröpissure, crepi. V. Rs-
boco.
Resocäir, v. a. cerepir: enduire de mortier
(un mur, eic.), faire un erepi; ravaler. (1.de.
mar.) Remorquer (un vaisseau), donner le c4-
hie & un vaisseau, faire nager un vaisseau par
la chaloupe.
Resöco, 3. m. er&pi: enduil de mortier, de
plätre, de chaux eftie sable, eic., sur un mus;
cr&epissare , ravalement.
ResoL.ino, A,p. p. de Rebolar.
REBOLÄDO, 3. m. reınucment des fesses.
"ReooLiö, adj. m. fanlason, fanıssque. '?
Resor.än, v.n. rouler; lourner comme une
BE an 9
99 REB
pierre qui roule. Remuer les fesses. V. Rabear,
. Se dessöcher (l’olivier).
“RusoLaria. V. Rabularis, Fanfarrowice.
REBOLRÄR-SB, 9. fr. 80 rouler, se ronmeR,
Beapı.kına, 5. . moulse : house de la meule
du römouleur. Clairiere de foret. —s, pl. beu-
tures do ohätaigniers.
0,8. m. grosse sonnelle au com des | (Ag-)
BenoLkın
animauzx.” Bouture de chätaignier.
RenoLico, 3. m. grand bruit, tumulte, des-
Rz»oLinno, gerondif de Rebolir. Ir, wir —,
( fam.) aller, venir en toute häte.
„% a. (4. uuig.) remuer les [osses.
Vv „ Betoucher : toucher de neu-
veau; Ir revoir, corriger, perleclionner.
LO, 8. m." meule & alguiser; mal
port ) meule de römenleur. Fiöirissure des
olives.
REG
Renucän-se, vo. r. vallubler. (Ag.) Diguie
2a peanbs, dissimuler, V. Zimbupas.
Rescco, s. m. affublement: volle. haklle
ment, partie du manisen, ols., qui su Iı
wie, ie visage; action de W’allubiee. Maske
dont quelquss fammes sucachent le visageste:
leur veile, en ne laissami uutroveit qu'us ei.
* Dissunulation, massqgus, pEßkie , &-
gulsement. (1d.) Tone de phzue, misikı
atreite de faire entendre sa pouste sans ia di
clarer ouvertement. Faller com —, (fg) parie
ä mois oouverts , avss mystöse. Faller 08 -.
parler 4 caur ouvert. Diser a vordads, de,
sm —, dire la vörits, elc., arten, 2%
nıont, sans ın „Tirer 0, ()ön
francheinent 08 qu'on pense. Calr o— unbe
le masque. De —, secrötsment, 08
Mulher de — , prosüitude.
Reuüsca, s, f. neuvello recherche. V. Be
Resomsir, 0. s, retentir, faire un bruit dela- | biseo.
tsnt : se dit surtout da tonnerre, d’an eoup de
eanon.
REsöNBo, s. m. rotenlissement : bruit, son
ronvoyß, rendu aves £clat, surtout du ton-
nerre, d'un 00up de canon.
0, A, adj. sup. deux fois irös-
RasöQus , &. m. "remorgque ; action de remor-
. Lover & — um navio, elo., Feimerquef
Bm valsteau, etc. V. Tom.
Basogunän, o.. (1. de mar.) remorquer.
*Rtnoaa, s. f. " Age voulu par la loi pour la
odläbralien du mariage.
* Resanar. V. Roborar.
Rxsbapa,s. [."rebord, bord &ieve et ajuste.
ASLORDÄCEN, s.f. (1.de mar.) * ribordage.
Bzsonniö, i, adj. Cestanheiro — , ohätal-
gnier sauvage. Castanka —4, chätaigne ronde
et grosse, chätaigne sauvage.
„esorino, A p.p. de Rebotar. adj. Emous-
sö, points. Cäo, cavallo -, chien,, cheral qui
ne peut ni manger, ni boire
RBaporiıze, 5. m. rebut. V. Befugo. —s de
qualquer droge, grabeaux.
u. a. rechasser, renvoyer une balle
de paume. V. Embotar et Repellir.
Busorän-eR, v. r. ötre dögoüte. Ne poavoir
Ihanger, parlant des chiens et des chevaux.
Rasörz. V. Rabote.
"RasovuriLmo. V. Asbotalho.
°Resaäco, 5. m. partie de l’armure qui cos-
vralt le bras depuis ie coude jusqu’ä l’epaulo.
Rennauivo, A, p- p.de
Aranauir, v. ». bramer fr&quemment 0%
sEnS O0S80. Reteniir, resonner.
Resaortän, v. a. pousser de nouveaux Tejo-
ums,
Rastcino, a, p. p. de Rebugar. adj. Alfuble.
(fe: )Döguise, dissimule. 3. m. Personne enve-
d'un manteau ou encapuchonnee.
hasucäpos, s. m. pl. sucre d’orge en papil-
szsugin,o. a. affubler. (Ag.) Vetir, cowvrir
envelopper, dissimmler n ”
Resuscieo, & , 9. P. de
Resuscia , v. @. chercher de neuresa.6i*
ner aprös la moissen. V. Rabiscer. (Ag.) Fur
ter, chercher partout.
Readsco, sm. V. Rebuscn.
Buausnin. V.Zwrrer.
° Aucanpan. V. Arreoader.‘
*Rzcänpo, s. m. V. Rocado, Conie. Mırigr
fait & Yöglise.
* Recanepan,. V. Arrocader, Rossber.
“Rzcineno. V. Rocabdo , Arrocedepdd, (n-
sdö, Seguranpe.
+ Rucasitas, 5. m. pl. röcablies ı sorie &
prophetes ‚ sectaires juils, abstömes,
* Recisıro. V. Recabdo, Bocads.
Rscacain0, A,P.P- de
RecacHän, u. 6. lever (Popte). u. mA
v. r. se revancher, so redresser, prendre d#
airs on revanche.
"Reciasıo. V. Reosde.
Rzcäcuo, s. m. " suflisance, Bertö, airh
tain. Affublement,, habillement qui cwerr 3
tele, le corps.
Recanacäö, s. f. " recouvrementi,
d’un impöt, etc. " Burean de recetie, “Priv:
V. Arrecadaräo.
Recapan. V. Arresadar ; (anf.) Prander.
Recapista, 8. m. oelei qui fait des vum
sions ; messager, cCOmınissionnaire.
Rscäno, s.m. message. Complimeei qir
fait (aire & quelqu’sn. * Commission, der
commise. Mandat, ordre. * Re; *
rel&; precaulion. (eni.) * Quitiance, cmbE-
(id.) Provision des choses n&osssaires M#
unc entrepriss; tont ce qui est nöcesäsire
une chose. Ex. : — de sserewer, ce gi ei #
cessaire pour derire. Am —, 0 —, 68 abann
en sürets, en liea de süreit. Bomen 4-
bomme qui fait bien une commission. Far ®
cousas 6 —, agir prudemment, ars pe
tion. Ander s —, öire vigilant, dire sur #9
gardes. Faser algum ndo— , laire une michat
cet#, jouer un meuvais iour. Iner-
fom.) s’en allee aprds une onerestiek, en
BEC
primandestvöre ,emporter son paquet. Dar —,
zondre oompie. —e, pl. "recommandations, ci-
vilit6s; complimenis, souvenir. Mogo de—,
valet & Ped; oommissionnaire.
.V, .
Rezcasın , etc. V. Recair, etc.
Recalna, s. f.rochute, surtout dans le sens
zmerel.— , rotour d’une maladie.
‚Rscalsıco, a, adj. sujet & tomber dans la
meme faule.
Recaloo, A,p. p. de Recair.
Recklutute, s.m. V. Recaida, Reincidencia.
Recata (em), #. ». relomber : tomber une
seconde fels ou plusieurs fois. On le dit surs
tout dans le sens moral. Retomber malade,
faire une rochate. Recidiver. Passer, retomber
au pouvelr d’antrui. Repasser enire les mains
de queiqu’un, en parlant d’un emploi, d’un
bien, eto., possöd6 par un autre. Tomber sur,
“wre relatif &.
Recarchpautnte, ade. d’une maniere ser-
26e , pressde;; en tas.
Bucanchno, A,Pp. p. de Recalcar.
Recarcapüra, s. f. action de relouler ; pres-
sement, rosserrement.
AscaLcäiR, vd. @. serrer, pressor fortement.
Bourrer, entasser, remplir en pressant; refou-
ker. V. Cakcar.
RecaLcıtaäpo, A, P.p. de Recalcitrar.
RECABtHTRÄNTE, adj. 2 gen. recalcitrant: qui
r6siste avec Opiniätrele;; obsline. p. a. de
RÄR, ©. n. recalcitrer, regimber;
(Ag.) resister aveo opiniätrel®, avec humeur,
regimber ventre l’öperon.
Bacsmi2o, A, P. p. de Hecamar. Roupas
as d’ouro, draperie brochete en or ou recamee
der. O co — d’ustrellas, le ciel parseme d’e-
toiles.
Recamär, v. a. broder en ronde bosse, en
relief, recamer.
BA, 8. f. be : chambre voi-
sine de cello od l’on couche, oü sont les ha-
bits, etc. "Equipage de voyage. Chambro re-
tärde. (Ag.) * Repli du caur.
BEcCAuBIÄDO, A,Pp. P. de
Becaustär, 9.0. rechanger: changer, 6chan-
ger de nouveau. Ajouter un nouveau droit de
change au premier. Renvoyor : faire rapporter
agmelqu’un co qu’il avait envoy6.
MBIO, 3. m. second change ow troc. (Il.
de comm.) Rechange : second droit de change.
i nge : interet des inleröts. Renvoi
d@’une lettre de change qui n’a pas el& accepiee,
qui n’a pas Aid payee. Frais du prol£l, eic.
0,8. m. * broderie en ronde bosse, en
reliel. —ı, pl. V. Lostras.
wrouman. V. Resanfuuinar.
Recantacäö, 5. f. reiractation publigue, pa-
Mnodle.
Bucantrin, ©. a. rötracter (ses faules), faire
ammande bonorable.
RecAnto, s. m. recoin: petitcoincacnd ; (fg.
Jam.) ropli Au caur,
Recäö. V. Ragäo.
Rscapacıräno, 1,9. p.de
Recaracırär, v. a. repasser dans sa m6-
moire, se remeitre dans l’esprit. Persuader de
nouveau qualqu’un. I est aussi röciproque.
*Recärıro. V. Messagem.
RecarıtuLacäö, s. f. recapfiufation : röp6ll-
tion sommaire de ce qu’on a avancd ow berit.
RecaPıttLißo,A,p.p. de
RecaPrttLär, v.a. recapituler ; r&sumer; re
dire sommairement,
Recäinca, s. f. recharge : aclion de charger
de nouveau.
+ Recita ‚s.f. recherche, V. Rebusca.
RECATÄDAMENTE, ado. sagement, prudem-
ment, modestement, avec relenue; aveo prf-
voyance, avec eirconspectiön,
RecaTäpo, Aa, 9. p. de Recatar. adj. Sage,
prudent, avis®, circonspect. Modeste, qui a de
la pudeur. E mwi — no que diz, il est fort cou-
vert en parlant.
REcATÄR, ©. a. cacher uvec soin , emp£cher
qu’on ne vole ow qu’on ne sache. Garder, met-
tre en sürete.
Recarir-se (de), v.r. prendre garde, se te-
nir sur ses gardes, agir avee precantion, se
pröcaulionner. Craindre, douter, se deßer de
succes. Etre circonspect, &tre modeste.
RECcÄTO, s. m. *sagesse, prudence, precau-
tion, circonspection. Seeret. * Pudeur, modes-
tie, retenue. Abom—. V. Recade.
+ Recavin,v. a. Tecreuser : creuser de now
veau.
Recavem , s.m. le derriöre d’un chariet, ele.
RECEÄDO,A,p. p. de Recear.
“Reczeinca,s.f. V. Beceio.
Reczin,, eie. V. Recsiar, eio.
*Receskpo. V. Recibo, Quitardo.
RECEBEDÖR, A, 8. Teceveur : employ& charges
d’une recette. — da carga, ( I. de comm.) vonsi-
gnataire, rereveur d’un chargement.
RECEBEDORIA ‚8. f. recette : charge de reoe-
veur;; lieu od !’on recoit.
+ RECEBENTE, adj. 2 gen. recevant, qui re-
goit. p.a. de
RecEBer, v. a. receveir: accepter, prendre
tout ce qui est offert, envoy&, transmis, rap-"
port&, apporte, presenie, pay& ow donne;
€eprouver une impression , um Coup, etc.; souf-
frir, endurer; accueillir, accepier, agreer;
admetire dans une compagnie; admeltre des
visites; attendre de pied ferme, faire tie &
P’ennemi. Aller au-devantı de quelqu’un. — por
‚ 6pouser une femme, prendre pouf 5a
feınme. — os noivos, marier, cel&brer un ma-
riage, en parlanı du pretre qui fait le mariage.
— com b6a cara, com bom semblanie, fais«-
bonne mine, faire bon accueil. — por wastee
em algum officio, passer malire, recevoir & la
maltrise. — com os bracos abertos, ( ig.) rece-
voir & bras ouveris. — prazer, alegris, ressen-
tür du plaisir, de Ja joie. — 05 sacramenios, r6-
cevoir les sacremenis, &tre administre. — @
ums CArgs., prendre charge. — avaria.
99 REG
zocoveir du dommage. Cale o qus deo, e [alle o
que reesbeso , (prov.) seis muet en donnant, et
parle en recevant.
Recesta-s£, v. r. se marier, se donner la foi
du mariage.
Recasivo,A,p.p. de Receber.
RECEBINENTO, 8. f. "reception, aclion de re-
osvoir. Bon accueil qu'on fait A un arrivant.
"Acceptation,, admission. Mariage, noces.
+" Rzcesonno, a,adj. que l'on peut recevair,
r.
RBececeia. V. Recensear.
Reczıino, A, p. p. de Aecsiar.
° REcRIÄNTE, adj. 2 gen. craignant, qui
eraint. p. a. de
Recgıär,, 9.6. craindre, soupgonner, se de-
Res. 1l est aussi recipreque.
Reckıo, s. m. "crainie, soupgon, dellanoe.
Ter —, craindre. Com —, de crainte.
Reczıöso, A, adj. crainlif, soupconneux, de
Bant.
Reckıra, &. f. ordonnance de medecin. Re-
oette : composition de drogues, £erit qui l’en-
seigne. Receiie: ce qui est regu en argent ou
sulrcinent; action, fonclion de recevoir. Lar-
vegar alguma somma em — a alguem, debiler
quelgqu’un d’une somme regue. — € despsza,
recelte ei döpenses.
Reckıripo,A,P.p. de
Nregiırär, 0.8. faire une ordonnance de ın«-
desin , prescrise, ordonner, formuler. Coucher
sur le livre de recelie.
ReckıTtäin-sE, 9.7. (P. 43.) consulter un nıc-
decin.
Receıränıo, 8. m. registre des ordonnances
de medecin. Paquat, liasse ow enlilade d'or-
Junnances qui n’ont point &ld paydes, en terme
Wapotkicaire. Dispensaire: ecril qui enseigne
ia composition des drogues.
Receiıtuino, s. m. forıaulaire de medecin.
V. Receitario.
Recku, ado. employ& senlement devanı les
parlicipes. Röcemment. V. Kecenlemenie. —
naschdo, etc. V. ci-apres.
} Recku-casäno, A, adj. Houveau maric, qui
vient de se marier.
} Recku-cnscino, A, adj. recemment venu,
rösemment arrive, qui vient d’arriver.
4 RECkN-COoNVERTIDO , A, adj. recemment
converü, qui vient de se convertir.
+ Rscau-peröncto, a, adj. recemment mort,
qui vient de mourir.
Rucku-Nascioo, A, adj. noureau-nd, qui
vient de nallre.
Recsuptr, vie. V. Hescender, eic.
Recexuin. V. Resenhar.
Bzcsxsin, v. a. (1. de dorewr) dorer de nou-
veau.
Arcexsascino. V. Reosm-naseido.
Bucaus£ino,A,P. p. de Recensear.
Recenscanon,, s. m celui qui recense ; veri-
Nesteur.
BucansgauiatO, 2 m. regenserment,, dönom-
brement,
REC
RECENSEÄR,, ©. a. reconser : (airo un recense-
ment; verißer, examiner.
Recenskıo. V. Recenseamenio.
ReEcestäL, adj. 2 gen. ou s, m. On le dit
d’un agneau qui leite encore.
RecautE, adj. 2 gen. Föcent, Nouveau, Rou-
velleinent fait,
RECENTENENTE , ado. recomment, nouvelle-
ment, depuis pcu.
Recentin-se,, eic. V. Hesenlir-se, ele.
Recco, etn.V. Rectio, etc.
Recercäß, a. f. Teception : action par Ie-
quelle on regoil; accucil, nıaniere de rert-
voir; ceremonie poar receveir, installer.
f RucerracuLaceo, A, adj. (1. de bei.) da
receptacle , qui tient au röceplacle (neciaite..
RecerräctLo, 8. m. receplacle : lieu ou m
rasscınblent plusieurs personnes (se dii w
Imauvaiso part), oü se ramasseni plusieun
choscs , surtout liquides; repaire. (fg.) Ask,
refuge. (1. d’anat.) Reservoir, vesioale. (1. de
bot.) Receptacle : fond du calice d’une heur ser
laquelle posent la eur ei le [ruit. As grande
cidades «&0o 0 — de lodos os vicios , les grandes
villes sont la sentine de tous les vices.
Recertauon, A, 5. reoeleur : celui qui recde
un vol.
ReckrtiveL,adj. 2 gen. recevable : qui peei
eirc admis. V. Admissivel.
TRicertivo, a, edj. (p. us.) qui regeil, qui
peut recevoir.
T Recertön, 3. m. (2. us.) recereur, (rd
rier.
Recksso, s. m. ecart, retraite ; asilo socht,
#loigne; eloignement; recoin , enfonoement
ReckräcuLo. V. Rec .
"fHecnl, s. f. grande plaine, rose cumpt-
gne.
ReEcnasita. V. Recabite.
Recmacipo,a,p.p. de
RecHicäR, v. a. rechasser : repousser (el
lieu ders un auire. Nepousser Pennemi. ff.)
Rejeter, contredire, refuter une proposition.
Necnico, 3. m. repoussement , schon 8
repousser ; rebondissement. (Ag.) * Bösistzntt,
repulsion. (id.) Empechement, embarras, ob
stacle. (id.) * Reponse qui coniredit, reist
une proposition. Sorte de Cense ancienm.
"+ Recuixo, s. m. platsaa : cimo unie d'wt
montagne. V. Rechd.
Recuirtas. V. Regasas.
Recneipawente, adv. rempli de faroe. Ar
damment.
Recneido, 2,9. p.de Rochear. ı.m.\.B-
Rechzandünı, 5. f. larcissure : action de lar-
eir. V. Recheio,
Recneir, v. a. fareir : remplir de fare.
Gorger de nourritare. (Ag.) Remplir abopdın-
ment,
Necuzin-sg (de), v. r. se [arcir. — de fast
das, (Ag.) s'spprovisionner de marchandise,
eic.— de riquexas, (id.) s’enrichir, amasstf
des richesses. — d’erudigöes, de nolieier, WM: :
. REG -
(4d.) s’enrichir d’&rudilion, de connaissances,
ete. j
+Recntco, s. m. (1. de chasse) lien cach&
pour geeiter les oiseaux.
Rscu£tıo ow Rechnto, 5. m. hachis, farce.
(Ag.) * Abondance, grande quantite.
+ Rscuininte, adj. 2 gem. eriant, craquant::
qui erie, craque. p. a. de
Pscnixär, v. w. crier, craquer. V. Ranger,
Recaino , s. m. bruit aigre de denx choses
qui frottent une contre l’autre; craquement,
eio.
Racnoncnino, A , adj. (1. burl.) petit et gras
(bomme), dodu.
Rzcnö ‚s. m. röchaud, usionsile de menage.
+Rzciänıos, e. m. pl. retiaires : gladiateurs
armes d’un filet et d’un trident.
Reciso, s. m. regu, aoquit, quittance ; recd-
pisst ; reception.
RAzcisz, s. m. recil ou rescil : chalne de ro-
chers sous l’eau ot & fleur.
Rucır0so, A, adj. oü il y a des recifs.
Rucınpir. V. Reseindir.
Besciuto, s. m. circuit, enceinte.
Recio, s. m. "place. V. Rocio.
Rıcıpz , s. m. recipe6 : ordonnanee de mede-
cin ; signe en täte de l’ordonnance. (fig. fam.)
* Röprimande , semonce.
+ BearıäncuLo, s. mw. recipiangle : insiru-
ment pour mesurer les angles saillants et ren-
trants des solides.
Racırıtnte , 5. m. recipient : Vase pour Tece-
veir les distillalions , les gaz; cloche de verre
de la machine pneumatique.
Racmmocackö, 3. f. reciprocation ; r&cipro-
Rscıra0cino, A, p. p. de Reciprocar.
RecirrocamEutg , ade. reciproquement.
Rzcıraeciz ‚ v. a. faire que deux choses 86
correspondent röciproquement. Rendre la pa-
reille, röeiproquer. Echanger des coups, etc.
RECIPROCAR-SE, 9. T. se coffespondro reoi-
ent.
Rzcıraocınine „ 8. f. r&ciproeits : &tat, ca-
ractöre de ce qui est r6eiproque.
Recirnoce, A, adj. röciproque, mutuel. (f.
de grem.) - - , qui exprime Y’aetion reeiproque
(verbe). Terms _ 2. enllen termes reei-
‚quiont os on.
nn rosid, s. f. (1. de prat.) rescision ı oas-
sation d’en acle.
Racırı eu Rucıracid, s. f. röcitalion : action
de re&citer.
Becrrino, A, 9. 9. de Reciter. s. m. Röcitatif
de musique.
Rucrrapon, A, s. oolui qui recite.
Bacıräa,, 9. @. reciter : prononoer 60 que Yon
sait par caur; debiter un discours, etc.; ra-
oonter; faire, exseuter en musique un recit,
un recitatif.
Recırarivo, s. m. (1. de mwe.) recitatif :
musicale qui doit ötro debitte plutöt
que chantte; döclamation harmoniense.
REG 997
RecLausciö, 8. f. reclamation : aotion-de
reolamer, de revendiquer, de revemir eonize
un acte, .
RecLauipo,,A,p.p. de Reclamar.
RgcLamipon, A, 3. r&clamateur : oelul qui
reclame , qui fait une r&clamation.
RECLANMÄNTE, adj. 2 gen. qui reclame, qui
fait une reclamation. p. a. de
RecLamäAr, v.a. reclamer : s’appeler les uns
les autres, en parlant des eiseauz ; rappeler
un oiseau de fauconncric. Appeler un oisess
aveo un appeau. —, S’opposer, protesier; de
mander avcc inslance , revendiquer. Retentir.
V. Retumbar. Refuser ( p. ws.) .. it. \V. Recra-
mar, Recamar.
RecLauin (de), v. ». (p. us.) reclamer con-
tre, appeler de.
REcLÄNMO, s. m. appeau ou sillei pour appe-
ler d’autres oiscaux. (fg.) Appät, amorce. ’Re-
clanmıe : mot au bas d’une page, el qui est ig
premier de la page suivante ; partie du repons
que l’on reprend apr&s le verset. Asierisque, si
gne quiindique, qui marque un ronvoi. Valet
de femme publique. Cripour appelerquelqu’us.
Acudir ao — , (fig. fam.) courir oü l’on sait
qu’il y a quelque profi & [aire.
RecLinacäö , 3. f. Vaclion de pencher.
RecLınäno, ı,adj.(1.de bot.) röclind, rabayıa
(feuille —e). p. p. de .
RecLinär, ©. a. pencher, incliner : appurer
le corps pour le reposer.
ReEcLINÄR-SE, ©. r. S'accoler , se coucher sur
le cötE.
RECLINATÖRIO, 8. m. accoudoir, accoloir :
qui sert d’appui, co qui est fait pour 8’y ac-
coter. ,
RecLuia,, v. @. reclure ; renfermer dans un
clottre.
Recıusä0, 8. f. clöture : prison volontaire ou
forc&e. Reclusion : demeure d’un Fcclus; aclion
de reclure ; detention, — das flores, ( I. de bet.
ternps oü les fleurs sont fermdes. Casa de —
maison de force : maison oü l’on enferme los
gens indisciplinables. Pör em —, reclure ı
renfermer dans une clöture &iroile ei rigo®-
reuse.
Rea 330, A,p. p. irr. de Reduir. adj. Re-
clus ı qui garde une grande retraite, qui ae
sort pas. Enferme&, renferme; emprisonne.
RecLöta, etc. V. Recrule.
R£coa. V. Recove,
" RECOAR, 9. a.rangenner.V. Aesgatar.
RscosaAno,A,p. pP. de Recadrer.
Recosnauento, s. m. recouvrement. V. Re-
cuperagdo.
Recoskär, %. &. fecouYrer : retrouver ce qui
€tait perdu; recupedrer, acquerir de nouveau,
renirer en possession. — os senlidos, rappeler
ses sens, ses esprits, les reprendre, revenir ä
soi. — as forgas, reprendre ses forces.
Recönn0, 5. m. reoouvrement : l’sclien de
recouvrer. *Recousse: reprise de ce qu’on avais
enievö par lorce.
us 1.
“N606csıLRino, a, adj. sabr& une seconds
8. (Ay) V. Escarmentado.
Rascöcro, A, adj. (p. us.) V. Rocorido, Re-
Rucotttno. V. Raroeiro.
* Recozs. V. Resgates. it. Razhes.
Rscorria, v. e. (. d’orfee.) ramollir, adou-
eir, recuire (un metal). it. V. Requeimar, Re-
eoser.
“Recdıro.V. Requeimado, Recozido. 8. m.
(1. #orfeo.) * Recuite : action de metire les
mötaurx au feu.
Recorzcia. V. Recolker, Compilar.
+REcCOLEIGAÖ, 8. f. plus etroite observance
d’une regle religieuse. Maison, couvent 0%
nombre de couvents oß l’on observo la r@gle
avec le plus d’austerite. Recollection, recueille-
ment d’esprit; vie retirde et recueillie.
RecoLtra, s. f. V. Recoleicdo (fig.) Relorme
de vie.
Recoıfro, a,adj. et s. recollet : religieux
"forms de Yordre de Saint-Frangois. ( lg.)
Personne qui vit dans la retraile, dans le re-
egeillement.
BECOLHRDOR, A, 8. celui qui recueille.
Recouutıro. (V. Recolhido) p. p. de
Recorntr, Tr. a. recueillir, ramasser, ras-
sernbler; cueillir, amasser les fruits de la terre;
*scoevoir avec humanits, loger, donner un asile;
compiler, rassembler des passages d’auteurs.
Serrer, resserrer. Receler. Enfermer, metire en
iiea de sürei£e. Cuelllir, prendre. Deduire, con-
elure , införer. Etrecir, retrecir, raccourcir; r&-
der. (f. de mar.) Accueillir, recevoir dans le
navire. — as messes , moissonner, faire la mois-
son, — 0 frigo no celleiro, serrer le bl&6 dans le
grenier. — os fruclos, lalrc la recolte. — as Iro-
pas espalhadas, rallier les troupes &parpillees.
= as oelas, ( 1. de mar.) plier, ferler les voiles.
-— um lioro que corre, salsir un ouvrage.
RecoLntn, v. ». se rötrecir, s’elreindre; se
raccoureir. Rentrer cher sol, gagner le domi-
eite. Tocar a— (1. mil.) battre la retraite:
batterie de tambour pour faire renirer. Töque
de —, (4d.) la reiralte. Ao —, en se couchant,
au moment de se coucher.
Recorntr-sE (a, com,em),%.r. se relirer,
so refiagier dans. Se retirer du commerce des
bommes. Reformer sa depense, se restreindre.
Be retirer dans sa okambre pour dormir, se
ooucher. Se retirer, rentrer cher soi. Se recuell-
lir pour vaguer & ’oraison, eto. Censer de par-
ler. — 6 casa ou pars e814,, regagner son Jdomi-
eile, —aa proposilo, reprendre son sujet, y
rerenir. — no escudo, (anl.) se couvrir de son
bouclier. — deniro em si ou si mesmo, Be r&-
cwellfir en soi-möme. —nas despezas, relor-
mer sa depense, se restreindre.—com Deus,
se recuelllir en meditant en Dieu. — a bom vi-
ver, se retirer du tumulte du monde pour vivre
dans la retraite.
Reoınima, s.f.Vaction de se coucher. il. V.
Reirada. Femme ctoltrdc qui m a pur fait ses
wmux, rocluse.
REC ——
P RECOLRISBAHENTE,, ade. avec retueiliemen
d’esprit.
RscoLnipas, 8. f. 3. reciusee : rupsulies,
(iemmes clolistes, ou cos
autorit€ de justioe.
RazcoLsipo, A, p. 9. de Rossiher , adj. Del
mene une vie relirce. Astar —, ne MEpeE,
prendre da repes; #tre couche.
RECOLBISENTO, 8. m. FAmIES, ASS, SE»
blage. "Retraite, refuge, abri Roceptaeie ; Ie-
gement; bospice; rectlement. Maisen de =
penties. V. Recolkidas. Pension de jeunes &&
meiselles. * Retraite, &lolgneınent du cuuBıwure
du monde. Recueillement, en jermes de dim-
tion. — de espirito „ recueillement Fospri.
— dos frutos, "r6oslte. -— de drope, * reträlle,
marche de trou i se retirent.
Rzcöımo,. V. Reooihimente.
Recöıno,s. m. V. Resfolgo.
BezooLıLsıciö, ele. V. Receleicde , eilt.
Rezcousr. V. Ruminer ou Bumiar.
Recoumenpackö, 3. f. recommandalei:
!’action de recommander ; ostitme qu'en a put
le merite,, etc. Ce qui est estäimahle, recDmme-
dable. Carta de —, lettre de rocommeandallea,
qui reoommande quelqu’an. (Ag.) (esikis,
talents nalurels, etc. A ‚p
complimenis. D6-ihe muites — , faltas-Iei un
complimeuts, dites-Iui bien des ohasıs dt Di
part.
Recowmespino, A,p. p.de
Rscoumunpapen, A, & eolai qui FO"
mande,
RECONMMENDÄR, v9. @. recemmander : cbsifil,
ordonner de fsire; exhorter A ; oomseiller Ar-
tement; prier (quelqu’an ) d’stre (avorable &
d’avoir attention & ou sein de; ordenner, Mi
erire.
RECONMENDÄR-E, ©. Fr. se reosmmmendl,
&ire recoınmandahle; faire des comaplimenik
RECONNMENDÄTEL, adj. 2 gen. sonemmindd
ble : louable, estimable.
+RECONNENDAYELMENTE, ade. d'une muBit
reooınmandabie.
Recompänsa , s. f. oorapensalien, didenibt
gement. Röcompense, prix. Am — demumh,
pour prix de son deveuement, Nöo jew cut
— sendo..., il n’a pour Ioule rössmpehnt 4U%-
Recomransagäö, 8 f. euumpanseilsn, ide
megement.
RecompensiDo,A, p.p. de Aossmpreiif:
RaCconransapoR, & ‚s. solui qui Mesmpehll:
V. Remuneredor.
* RECONFENSANEUTO, 0. an V. Aumpen,
Rem 0.
RECcONMPENsin (00m), © a. compensen 0
dommager. Reoompenser ı u
bonne action, eic., par des bienfalts.
Rucompön, ©. & FECONEPEBEE :
nouveau. Rajuster, ajuster de nouvts®.
chim.) —,reanir les parlies separat.
Recomrosıckö, #. [. reoomponilien : aM)
de recomposer, ses effets. f
REcomPösto, A, p. P-. de Recompfr: dj. |
de
(die
REG
de bot.) Reesmposte (feuille) A pötiole com-
ımun, et pttioles immediats.
Recöncavo, s. m. lieu enfonce. Ponrlour
d’une baie, surtout de la baie de Bahia au Bre-
eil. * Banlieue, environs d’une ville, surtout
de Babia.
RECoONcenTRacäO, 8. f. eonoentralion : action
de concentrer, ses effets.
Reconcsstaino, a,0dj. concentre.Dissimule,
cache. p.p.de
RECONCENTRAR , d. @. concentrer : Föunir au
centre, Aun centre, etc. (Ag.) Dissimuler, 08
cher ses peinos, eto.
RECONCENTRÄR-SE, 9. r. se fixer dans l’es-
prit, en parlant d’une opinion; dans le cosur,
en parlant d’une passion; dans le corps, en
parlant d’une Bumenur. Se concentrer.
RecoscaLıacäö, s. f. reconeiliation : raecom-
modementdedeux personnes brouillees ;courte
confession & la suite d’une pius e&tendue. — da
igreja violada, r&oonciliation : cdr&monie de
rebenir une eglise profanee. — do herige, r6-
conelliation d’un heretique : acte par lequel
il estreuni A }’Eglise. — encoberia, Angida,
reconciliadon plätree, feinte, pea durable.
RazconcıLıäDo, A, P. p. de Reconeciliar.
AncomcıLıaDeR, A, 5. röconciliateur : qui r6-
ooncilie. ad/. Propre & reconcilier.
RBzcoxcıuiÄn (6, c0m), v.6. reconellier : faire
une reconelliation, racoommoder, remetire
d’accord. Reconcliier un penitent : Pontendre
de nouveau dans une courte eonlession. On dit
du penitent : ier-se, se röconcilier. Rö6-
concilier une öglise profande ; la rebenir. — os
aniımos, röunir les esprits.
ReconcıLiän-sg (com), v. r. se reconcllier, se
mettre bien avon quelqu’un; se confesser une
soconde fois. —com a Igreja, se reconcilier
avec lEglise : se dit d’un heretique qui fait ab-
juration.
ReconcıLiiveL, adf. 2 gen. röconciliable :
qui peut etre reconcilie.
Rsconpirissino, A, adj. sup. de
RecönnrrO, A, adj. tres-cach6, träs-secret.
Enfonc# , rec#le. Abstrait:: difficile A entendre,
& pendirer, A concevoir. Il est aussi subst. Os
—t do wrardäo humano, les plis et replis du
ewur humaln.
+ Rscouströrio, s. m. lieu oü l’on cache,
odı Yon reedle queique chose.
Reconpucgäö, s. f. continuation dans le
meme emploi. (!. de prat.) Reconduction : re-
noevellement d’an bafl expire.
RAzcowbuzino, A, p. p. de
Rezcouptzir (em), v. s. nommer de nouveau
au meme emploi; Ccontinuer, pro-
longer la possession d’une charge. (a, para)
Reconduire , ramener.
“Reconzckn. V. Reconkecer.
Raconssssir,, v. a. confesser une scconde
fois.
AzconanAaciB0, A,p.p. de
Rzcononacär, 9%. ae. raccommoder, r&conci-
Her, romeitrod’acserd.
. REC 4)
RECONGRAGÄR-SE (com), vo. r. se räconelller,
se metire d’accord, se ımeitre bien aves guel-
qu’an,
*Reconuzckuca, 8. f. V. Roconkeeimenis.
RECONHECENTE, adj. 2 gen. reconnalsdani ı
qui reconnalt. p. a. de j
Reconnsckk, ©. 6. retonnallse : reibätise
dans l’esprit Fimage d’une chose, d’ans pe®-
sonne en les voyant; parvenir & connaltre; &6-
clarer, etablir; decouvrir, observer, femar-
quer, considerer ; avouer, confesser (sa laute,
ses toris); avoir de la gratitude, de la reeon-
naissance. Reconnaltre l’autorite, la juridie-
tion, s’y soumettre. — 0 campo, 0 lorrene,, 1
connatire le terrain, au propre et au figure. —
por kiko, reconnaltre, avouer pour som Als,
Näo — por..., renoncer, renier, dösavouet, —
o signal d’alguem, certifier ia signature de
queiqu’un.
+ Recownzcioautnte, ade. d’une manläre
reconnaissante, avec gratitude.
Reconuecioo, A,P.p. de Reconkecor. adj.
Reconnaissant (de, envers), qui a de la
tude, de la reconnaissance. — de suss
göes , qui connatt bien ses devoirs.
RECONHECIMENTO, 8. m. "reconnalssanoe :
action par laquelle on reconnalt; gretitude,
souvenir du bien regu ; aveu, confession ; avom
d’une dette, etc. Soumission, dependanoe,
servitude. Manifestar, teslificar 0 sen — , TAI-
quer sa reconnaissance.
RECONHECIVEL, adj. 2 gen. roconnaissabie s
facile & reconnaltre.
+ Recongquista,, s. f. Vaction et Tellet de ro-
eonquerir.
Beconquistid0, A,p.p. de
RECONQUISTÄR,, ©. &. reconquerir ; oonguärie
de nouveau, pour la seconde fois,
+ Reconstaucciö, 3. f. reconstruotiek ı B0-
tion de reconstruire.
Reconsteoino,A,p. p. de
+ Reconstaula, o.a. reconstrulre : röddifier,
rebätir.
Rescontipo, A,p. p. de Reconiar.
"RECONTAMENRTO, 5. m. "narration, rockt,
relation.
RECONTÄR, 9.a. raconter, conter de ReUV6a.
Recompter : compter une seconde fols.
REcoNTÄR-SE, v. r. &tre compts , etre mis am
nombre.
RECONTENTE, adj. 2 gen. tröscontent.
+ Recönro, s. m. second bout de la jawen.
RBecöxtao, s. m. "rencontse : obs de deux
corps ; choc de deux armtes ; combat singullag
entre douz personnes. V. Conflicto, Pelsja.
REconVaLschn, 9. w. Se Fötablir : Feremueag
la sante.
Beconvangiö, s. f. argument contre quel-
qu’un & qui on opposs de ses propres aclions,
de ses propres paroles. (#. de pras.) Reconven-
tion: action , demande formee contre qaelgu’un
quien a dejä forme6 une.
Reconvıno. V. Reconvindo.
“RECONYIMENTO. V. Reconvengko.
1000 REC
Rzconvinpo, A, p.p. de
Reconvir, 0. a. (inus.) reluler, convainere
quelqu’un par ses propres paroles, etc. (I. de
prat.) Reconrenir: demander en justico & celui
qui demandait; de döfendear devcnir deman-
deur.
Recorracäö,s.f. recapitulation, sommaire,
abröge. Collection, recueil, compilation.
+ RECOPILÄDAMENTE, adv. on abreg6, suc-
einctement. °
RecoriLino,A,9. p. de Recopilar.
RecorıLipör, 3. m. compilateur; abrevia-
weur.
RecorıLin, ©. s. r&capituler : faire Io som-
meire, l’exırait. Compiler : faire un recueil;
abreger.
"Recöpro. V. Recocto.
Reconpaciö, 8. f. memoire, Souvenir, re-
eordalion , rem&emoration.
Rescoavip0, A,Pp.p. de Recordar.
RecorvdanDöR, A, adf. el s. qui rappelle.
Rsconpän, 9.0. rappeler & la meınoire. Faire
souvenir, rem&morer; repasser dans la me-
moire. — a licdo,, recorder sa lecon.
ReconDär-SK (de), v. r. 56 Tessouvenir, se
rappeler (une chose).
+ RecöRoo, 8. m. souvenir, m&moire, avis,
_observation sur uno chose passee.
RECOnRENXTE , adj. ets. 2 gen. qui interpose
un recours en juslico. p. a. de
REcoRRER, v.a. parcourir, feuilleter unlivre:
voir, regarder de toutes paris. Raccommoder,
reparer. Retoucher, revoir, toucher de nou-
veau. (f.d’impr.) Remanier. — pela memoria,
repasser dans sa memoire. — 0 coslado do ne-
«io, (i. de mar.) recourit, repasser le callat
d’un vaisseau. — uma amarra coma lancha,
(fd.) pomoyer lc cAble, passer sous le cäble
avec la chaloupe. — a amarra sobre 0 bolinele,
(id.) d&passer ou choquer le cäble sur le vire-
vant.— umcabo, (id.) pomoyer une man@uvre.
— conira 0 sacador, (l. de comm.) exercer son
recours, recourir sur le tireur.
RECcoRRE£R, 0. Rn. Fecourir, courir de nouveau.
(e) Recourir ä, demander secours; avoir re-
cours (ä la Justice). — ao juiz para yue fara
jusligs, se relirer par-devant lc juge. Val mais
— a Deos aos seus sanlos, (prov.) il laut
s’adresser ä Dieu plutöt qu’ä ses saints.
“ RECcOnRER-sE (A), ®. Fr. recourir, avoif re-
coups. .
Rzcoanino, A, P. P. da Reöorrer.
Rsoorri20, 3. m. “"decoupure, papier de-
eoup6.
Recorrtäno, A, adj. decoupe. Recoupt. Fo-
Ihas —es, (1. de bot.) leuilles lacinites. p. p. de
Recorrir, 9%. a. decouper du papier, une
estampe, etc. Retailier, tailler de nouvean. Re-
couper : couper de nouveau,, surcouper, au jeu
de carles.
} RecönTE, s. m. l’aclion etprimde par le
verbe recorlar, surlout au jeu de cartes. "De-
coupure : taillade falle pour ornement a du pa-
REC
pier, & une diofle, etc.; chose, Agese, image
decoupee. .
Recos£r, v. a. recoudre : coudre de zes-
veau.
Recosipo, A, p. p. de Recoser.
* Rzcöso. V. Carga.
Rscosti0o0,A,p.p. do
Recostir, d.&. incliner, pencher, ımeiire sw
le cöte.
Recosräß-SE, ©. 7. S’accoler, S’Spputer dt
cöle. V. Encostar-se.
Recösto, s. m. tertre, eminense. "Penis,
descente.
Recova, s. f. grande quantits de b£is ce
somme. V. Räcus.
Recövano, V. Recovo.
Recoviceu, s. f."convoi de betes de somm
chargees ; Iransports.
Recov&ıro, 3. m. muletier ; voitarier. Cels
qui acheto des aufs, des poules,, etc. , pour Is
vendre. Messager qui va d’une ville aux luzı
ecarles; eslaleite. — que vol a pe, savale.
"Recövo,s. m. Esiar de — , &ire accots, >
puye sur le coude.
ReEcoz£r, ®.&. recuire : cuire de neataı.
Trop cuire. V. Requeimar.
Recozın0o, A, pP. p. de Recozer.
+ RecozımEnto, s. m. etat de ce qui est re-
cuit ou trop cuil.
*" RECRAMÄR, v. @. plisser. (4. Recamer.
Recrimo,s. m. pli. it. V. Recisme.
RecnzEaciö,s. f. fecrealion : acliom de se ır-
creer ; passe-iemps, delassement.,
Recazipo, A, p. p. de Recrear.
RecreADöR, A, adj. amusant, divertissast.
V. Recreativo.
ReEcaziR, v. 6. cröer de nouveam. (p. w..
Recreer : divertir, rejouir, amuser.
Reckkän-sE, do. r. se röcrder, se divertir. Se
plaire, prendre plaisir &. — esiudando cu s
estuder, se plaire & eiudier.
REcrEATivo, A, adj. recrdalif : qui diverii,
donne du plaisir;; qui rejeuit.
Recrzc£a, etc. V. Recrescer, ete.
RECREDERCIÄES, 8. ou adj. f. Pl. (Carias
lettres de recrdance.
RECRENENTICIO, A, adj. (i. de muddL) ricre-
menteux,, röcr&ımenliel ow Föcremeatitiel (ha-
meur).
" RECREMENTO, 5. m. (I. de dd.) röcremeet:
bumcurs qui se söparent du sang et s’y remi-
ent. -
Recnko ow Recakı0,s. m. "rdersalion. V. Be-
ereag&o. Casa de —, maison de plaisamce. Ie
mer algum —, so delasser, se recröer.
T RECKESCENTE,, adj. 2 gen. qui augmentr,
qui va loujours en croissant. p. a. de
Recazsc£k, dv. ». recroltre: oreiire de nee-
veau. Croltre aveo excds; Augmenier camside-
rablement. Sarvenir.
Recesscioo, A, p. 9. de Reerescer.
RECRESCIUENTO, 5. m. ScCrolssemment, aug-
mentation ; surcroli.
Recaıminıcäö, s. f. röoriminatisn : ercusa-
REC REG 1001
recta, en droiture, directement. Linke —«,
lignc directe : ligne des ascendants et des des-
cendanis. A—s razdo, la droite raison. Inien-
göes —as , intentions dreites.
Recrör. V. Reitor.
Recrrix ow Recraiz, s. ou adj. f. pl. us. ou
pl. Recirizes. Rectrices : longues plumes de la
queue. .
Recua, 3. f. troupe de betes do somme alia-
chees & la queue l’une de }'autre. (fg. fam.) .
Multitude de choses qui se suivent & la Ale.
Recvipa, s. f. reculade. V. Recuio.
Recvantıra, s. f.oourrole altachte au limen
pour faire reculer la voiture. ,
Rzcuivo, A,p.p. de Aocuar. adj. Recult.
Arriere dans ses aflaires.
Recuanento,, s. m. "reculade : action de re-
culer.
Recoir, v. a. faire reculer, repousser.
Recuin, v.n. recaler :aller en arriere; (fig.
fam.) hesiter, tergiverser, öviter de faire. Fa-
zer —, Tepousser, faire reculcr. Ir recuande,
aller & reoulons, reculer. — para dar maier
marrada , (fg. fam.) reculer pour micux sau-
ter. "
"RecdB1T0 , s. m. action d’&tre couch®.
*Recepän. V. Recwiddr ou Rocusar.
*Recupia. V. Acudir.
Recuipär, u. ©. peDser et repenser; consi-
derer, reflechir mürement.
Recumär, v. ®#. suer, suinter. On le dit d'une
liqueur qui s’echappe par les pores d’un vais-
seau, eic. (fg.) Trauspirer : se deeouvrir, so
divulguer.
Recumpir , v. ». penoher os s’appuyer sur.
Recuusaän. V. Regumar. j
Recdo, 8. m. recul : mouvement du canon,
d’un ressort, elc., en arriöre. Revulement ; re-
culade. Do — , a reculons.
Recurenacäd, 5. f. reoouvrement; r660uSBe,
V. Recobro.
Recereaido, A, p.p. de Ascuperer.
Rectrenapoön, A, s. celui qui recouvre.
Rectreräin, ©. a. recouvfer : reprondre ©
qu’on a perdu. V. Roecobrar.— 0 iempeo per
dido , reparer le temps perdu.
RECUPERÄR-SE, 9. r. 50 reouperer, se remale
tre de pertes. Revenir & la sanis.
+ Recoreaativo, A, adj. qui a la vertu de
recuperer.
Recurgaarönıo, A, adj. ($. de prei.) Inter-
diecio—, mandement d’un juge par lequel W
ordonne que tous les actes solent mis dans lcur
«tat primitif.
RecupeaäveL, adj. 2 gen. reoeuvrable: qui
peut se recourrer.
“"Reconcäö,s. f. V. Limite, Terme.
Recurnatnre, edj. 3 gen. (l. danat.) rieur-
rent : se dit d’un nerf qui jette des rameauz.
Pulso—, (1. de med.) pouls qui, aprös quei-
ques pnlsations, reprend son ancionne vilesse.
(8. de prat.) V. Recorrenie.
Rscensin, v.a. (p. us.) examiner de new-
veau , r/Nächir mürements sur,
on , injure falle pour en repousser une autre.
Rscrısımin, ©. a. recriminer: repondre &
5 accusalions,, ä des Teproches, par d’autres
usalions, elc.
"Recaosir. V. Recobrar.
RECRIMINATÖRIO,, A, adj. röcriminatoire : qui
pd a recriminer.
T Racavo, 4, adj. qui n’a pas &t6 bien recuit
t Recnupzschucta, s. f. recrudescence : re-
uvellement, retour & l’etat le plus intense
ıne maladie endemique, d’un fleau.
RECRUDESCHR,, u. n. V. Encruar-se. Se renou-
er, en parlant d’une maladie endemique,
Aecadra, 5. f. recrue: levee de nouveaux
Idats; soldat de cette levee; action de les
er.
tECRUTÄnO, A, 9. p. de Reorular.
lECRUTADÖR, 3. m. recruleur : oflieier qui
| des recrues.
> RECRUTAMENTO , 5. m. reorutement : aclion
recruter. .
lECRUTÄR, 9. a. recruler:: faire des recrues.
som soborno 6 arte, embaucher, enröler par
fes50.
ECRUZETÄDO, A , adj. (6. de blas.) Crus—a,
ix recroisetse , dont chaque branche est ter-
nde par une autre croix.
ECTAMENTE , adv. avec droiture, equitable-
nt. D’une manitre droile, en ligne droite.
ECTÄNCULÄR, adj. 2 gen. rectaugulaire : qui
es angles droils.
RCTÄNGULO, A, adj. (f. de geom.) rectangle:
a un ow plusieurs angles droits. 3. m. Rec-
gie : parallölogramme dont los angles sont
its.
Recrär. V. Reptar.
xzcrıpiö, s. f. reclitade, dreitaure, integrite.
Reckitude.
zcrıricackö, s. f. reetißcalion : aclion de
iifler;; ( $. de chim.) seconde distillation , se-
sation de loutes les parties höterogönes ; (1.
rom.) operation qui a pour but de trouver
» ligne droite egale & une oourbe donnee.
ectırıcÄD0,A,P.P- de
IEcriricir, v. a. reclifler:: redresser, oorri-
; remetire en &tat, en ordre; (1. de chim.)
re la rectification.
- RECTIFICATIVO, A ‚adj. reotificatif : qui rec-
8.
IECTILINEO, A, adj. rectiligne : termine par
‚ lignes droiies (plan, etc.); en ligne droite
ouvemen!).
IscTissıMo,, A, 6dj. sup. de Recto.
IECTITÜDE, 8. f. (1. de gedom.) rectitade : qus-
; d’une ligne droite; (fig.) &quite, conformits
ı droite zegie, aux vrais principes; justesse;
iture.
ecro, A, dj. direct, droit: qui n’est pas
ta, courbe, etc. Droit. On le dit d’un angle
me par deux perpendieulaires. (Ag.) Droit,
sitable, integre. Iniestino —, 0u 0o—, rec-
n; le dernierdestroisgros intestins. Fia —a,
N
1090 REC
Recasvime, a,9.p. 68
‚.. (mms., „ COBTalRERe
quriqu'en por sen propres paroies, ee. (1. de
RucorıL.i20, 3, pP. p- de Recspilar. .
RecorsL ande, s m. compilsieer; abreris-
“ser.
RacorıLiz, ©. a. rötapiünler : faire le som-
mesise, Texwsst. Compiler : [aise un rerneil;
"Ruchero. V. Recacie.
Reconnacio, 3. f. memoise, sauvent, r&-
‚remtmoralion.
Reconsıno, 4,9. de Becordar.
Reconnsnen, A, adj. et s. qui rappelle.
Ruconpän, 9. 6. rappeler ä la memoire. Faire
souvenis, 7 Fememerer; repasser dans la me-
meire. — & , recorder sa locon.
Reconpän-se Re €. fr. se TessouTepir, se
gopgeler (une € )
aeasaeo, 8.m. souvenir, memoire, vis,
observation sur une chose passee.
Reconntste, adj. eis. 2 gen. qui inlerpose
un recours en juslice. P. &
Recoznta,v.a. parcoarir, feuilleter un livre:
veir, regarder de louies paris. Raccomımoder,
. Retoucher, revoir, toucher de nou-
yon. (i. dimpr.) Bemsnier. — pels meomoria,
dans sa memoire. — 0 costado do ne-
ei. (i. de mer.) recourir, repasser le calfat
d'un veisseas. — ums amarra com a lancha,
(fd.) pomoyer le cäble, passer sous le cable
avec la chalocpe. — a amarra sobre o bolineie,
(id.) depasser ou sauer te cäble sur le vire-
vaat.— umcabo, (id.) pomoyer une manaurre.
— eonire 0 sacador, (1. de comm.) exercer son
recoars , recourir sur le tireur.
Raconata, v. n. recoufir, courir de nouvean.
(e) Recourir 5, demander secouss; avoir re-
cours (A la Justice). — a0 juiz para yus [ass
jwstigs, se relirer par-devant le juge. Val mais
— 6 Deos aus seus sanlos,(prov.) il faut
s’adresser ä Dieu plutdt qu’& ses saints.
° Rsconata-sE (a), ©. T. Fecoufif, avois Fo-
coupe.
Rscoaaino, A, pP. P. de Ressorrer.
Raconrino, 8. m. *decoupure, papier de-
voupe.
RscontTäno, a, adj. decoups. Heeoupt. Fo-
Ihas —&s, (t. de bo8.) feuilles lacinides. p. p. de
Recontris, u. a. d6eouper du papier, une
estampe, eic. Retsiller, talller de nouveau. Re-
oouper : couper de nouveau , surcouper, ad jeu
de caries.
+ Recönte, s. m. Naclion etprimee par le
verbe recorlar, surlout au jeu de caries. *De-
coupure: taillade falle pour ornement a du pa-
REC
pise, 3 une dislis, cae.; chese, Ägume, img
decsupie.
Recesta,, «. a. secemdse : caudse de ves-
vesa.
Rıcasise, a ,p- p- de Bacsser.
Rschse. V. Carga
Racsstri2o,2,9-.7-de
Recasris , o.ä. ineliner, pencher, melise sur
ie oßte.
Racseriz-s2, e. 7. s’anceter, S'spparer de
cd#_V. Encssler-e.
Rzcöste, s. m. lertre, tuninenee. ° Penis,
Recova, s. f. grande quamiitt de böiss de
Bicus.
SomEimEe. ®
Rıcsvaso. V. Recsss.
Rıcoviceu, s. [. ” camvei de böles de sommı
chargees ; LaRsports.
Rıcnrkaao, s. m. muletier; veitarier. (eie
qui acheie des wufs, ‚des powles, eie. „pen is
vendre. Messager qui va d’une ville ası Iksı
ecartes; esialelte. — que cai a pe, savale.
*Recsvo,s. m. Estar de — „dire accaie, ap
pay sur le coude.
Rzcoziz, v.e. recsire : euire de Beutel.
Trep cuise. V. Requeimer.
Becozıvo, A, p. p. de Becszer.
+ Recozıutsto, s. mw. eiat de ce quiet it-
euit os irop cail.
*Recaamir, 9. 6. plisser. il. Recamer.
Rezcaimo, s. m. pli. i£. V. Recieme.
Rucazıciö,s. f. recrealion : action de wit-
Recazia, 9. 0. ereer de nouvean. (p. W..
Recreer: divertr, rejouir, amuser.
Recazia-sE, o. r. se röcrder, se diverüit. St
plaire, prendre plaisir &. — esiudande vs
esiuder, se plaire ä etndier.
RECRKATIVO, a,adj. recröalil: qui dirertl,
donne du plaisir; gui rejeuit.
Recnzche, etc. V. Hecrescer, ole.
RECREDERCIIES, 5. ou adj. f. pr (Cart -)
lettres de röerdance.
RECcaENENTIicıO, A, adj. (t. de dd.) rien
menteux,, recremenliel ow röcr&mentiliel (ha
meur).
Recnzuento, s. m. (4. de med.) röerimel:
humeurs qui se separent du sang eis'y remt-
ont,
Rucao ow Rzcabı0,s. an. "röcrdation. . B-
erongäo. Casa de —, maison de plaissuce. 7e
ner —, 10 delasser, se röcröer.
t Racnescknte, adj. 2 gen. qui augmmn?,
qui va toujours en croissant. p. e. de
Recazscta, ©. R. recrolire : crolire de net-
veau. Croltre avec excds; augmenier coasilt-
rablement. Survenir.
Recasscioo, A, p. p. de Rsersscer.
BEcazscımenro, 3. me. aocreissemmet, AU6-
mentation ; surcrolt.
Recaıminacäö, s. f. röcsiminatien: a6rust"
REC
tion , injure failo pour en repousser une autre.
Rercrımınan ‚ ®. a. recriminer: r&epondre &
des accusalions, ä des reproches, par d’autres
accusalions, etc.
*Reorosir. V. Recodrar.
RECRININATÖRIO, A , adj. r&criminaloire : qui
tend & recriminer.
d Recalo, A, adj. qui n’a pas &t6 bion recuit
+ Recrunzsckucia, s. f. recrudescence : re-
nouvellement, retour & l’etat le plus intense
d’ane maladie endemique, d’un fitau.
Recaunsscha,v.n. V. Encruar-se. Se renou-
voler, en parlant d’une maladie endemique,
Rucabra, s. f. reorue: lev6e de nouveaux
soldats; soldat de cette levee; action de les
lever.
Recrtrino, A, p. p. de Recruiar.
RECRUTADOR, 3. m. recrutsur : oflcier qui
fait des recrues.
+ RECRUTANENTO, 5. m. recrutement : action
de recruter.
RECRUTÄR, d. a. recruler: Taire des recrues.
— com soborno 0 arle, embaucher, enrölcr par
adresse.
Rucavzeräno, A, adj. (1. de blas.) Crus —a,
eroix recroisetde, dont chaquo branche est ter-
minee par une autre croix.
RECTAMENTE, adv. avec droiture, equitable-
ment. Dune maniere droite, en ligne droite.
RscrincuLän, adj. 2 gen. rectangulaire : qui
a des angles droits.
RecrinGuLo, A, adj. (8. de gdom.) rectangle:
ui a un ou plusieurs angles droits. s. m. Rec-
tangle : parallölogramme dont los angles sont
droits.
° Recrin. V. Reptor
Recrwid,s.f. rectitade, dreiture , initgrite.
V. Rectituds.
Rectiricacäö, s. f. reetification : action de
rectifler;; ( 6. de chim.) seeonde distillation, -
paration de loutes les parties höterogänes ; (
de gdom.) operation qui a pour but de Lrocver
une ligne droite &gale & une oourbe donnee.
Rectirıicipo, A,P.Pp- de
Recriricir,, v. a. restifler: redresser, corri-
ger ; remetire en &tat, en ordre; (4. de chim.)
aire la rectification.
+ Recrırıcarivo, a ‚ adj. rostileatif : qui rec-
tiße.
RecrıLinzo, a, adj. rectiligne : termine par
des lignes droites (plan, etc.); en ligne droite
(mouvement).
Becrissıno, A, adj. sup. de Recto.
Recritöpe, s. f. (t. degeom.) rectitade : qus-
litö.d’une ligne droits; (fg.) &quits, conformite
& la droite regle, aux vrais principes; justesse;
dreiture.
Ricro, A, dj. direet, droit: qui n’est pas
tortiu, courbe, etc. Droit. On le dit d’un angle
formed par deux perpendiculaires. (Ag.) Droit,
&quitable, integre. Inlestino — , ou 0—, reo-
tum ; le dernier destrois gros intestins. Fia —a,
N
REG | 1001
rocta, en droiture, directement. ZLinka —a,
ligne direete : ligne des asoendants et des des-
condanis. A—a razdo, la droite raison. Insen-
töes —as , intentions droites.
Recrön. V. Reitor.
Recrnix ow Recraiz, 8.00 adj. f. pl- us. ou
pl. Recirizes. Rectrices : longues piumes de la
queue.
Recun, 3. f. troupe de bötes de somme alla»
chees & la queae !’une de l’autro. (fg. fem.) .
Multitude de choses qui se suivent A la Ale.
Recväpa, s. f. reculade. V. Reouo.
Receantına, s. f. courroie altachde au men
pour faire reculer la voiture. '
Recuivo, A,p.p. de Aoouar. adj. Recult.
Arriere dans ses allaires.
Recuau&nto ,s. m. "roculade : aotiom de re-
culer.
Recuir, v. a. faire reculer, repousser.
Recuvin, o.n. recaler :aller en arriöre; (fig.
fam.) hesiter, tergiverser, 6viter de faire. Fa-
zer —, repousser, faire reculer. Ir recuande,
aller & reculons, reculer. — para maier
marrada, (fig. fam.) reculer pour mieux sau»
ter.
"RecösıTO , s. m. action d’ötre couchd.
*Recrpin. V. Recwiddr ou Hecusar.
*Recupia. V. Acudir.
Recuipän, v. ®. panser et Fepenser; consi-
derer, relldchir mürement.
Regomin, o. ®. suer, auinter. On le dit d’uhe
liqueur qui s’&chappo par les pores d’un vais-
seau, etc. (Ag.) Trauspirer : se decouvrir, so
divulguer.
Recussir, v. ». penoher ou s’appuyer sur.
Recumpnän. V, Regumar. '
Recdo, s. m. recul : mouvement du canon,
d’un ressort, etc., en arriöre. Revulement; re-
culade. De — , ä reculons.
Rzcureracäd, 8. f. "recouvrament; rooousS6,
V. Recobro.
Recvreripo, A, p.p. de Rocuperar.
RECUPERABOR, A, s. celui qui recouvre.
ReccrerÄR, ©. a. recouvrer : reprendre 6
qu’on a perdu. V. Recobrer.— 0 lempo per
dido , r&parer le temps perdu.
RECUPERÄR-SE, 9. T. so r&ouperer, se reinuße
tre de pertes. Revenir & la sante.
+ Recorzaartivo, a, adj. qui a la vertu de
recuperer.
Recupeaarönıo, A, adj. (8. de prai.) Inter-
dic —, mandement d’en juge par lequei Hi
ordonne que tous los actes solent mıis dans leur
&tat primitif.
RECUPERÄvEL,, adj. 2 gen. reosuvrable: qui
peut se recourrer.
"Reconcid, s. f. V. Limite, Terme.
Regcunntntg, edj. 2 gen. (1. d’anal.) ricum-
rent : se dit d’un nerf qui jetie des rameauz.
Pulso—, (1. de mid.) pouls qui, aprös quel-
ques pulsations,, reprend son aneienne vitesse.
(f. de prat.) V. Recorrente.
Recursin, v.a. (p. us.) examiner de now
veau , rifiechir mürement sur,
1002 RED
Busfase ‚a. ın. ressurs : Fallen de veseurir;
appei d’un tribunal Iniäriour au superieur ; 1o-
fuge ; ressouroe. — da ward. V. Rofune.
vAD0,A,9.P- de
Bucsavis, 0. a. sosserbee : enurber en rond
par Io baut; snurber.
Rechavo, a, adj. oourbö, recourb£.
Racisa , s. f. "reine, deni.
. 6, » f. rösusatien ı action par la-
quelle on reouee. " Belas.
Rezcusi00, A, P- 9. de Rommsar.
Rucusanoa, A, 5. oplai gei r6cuse, qui FO-
faso ou rejetie.
Becusänte, adj. 68 6. 3 gen. qui rönuse, qui
rejeite. p. a. de
Recusän, %. m. reßuser : rejeter, ne vouloir
pas. Becuser : ne vouloir pas accepier pour
juge.
Rucvsivan, adj. 3 gen. röousable : qui peut
ou doit ire rösund. Refusable : qui peut so Te-
fuser.
Runaogiö, 0. f. rödastion : action par le-
on redige.
Reoacrör,, 3. m. redaoteur : celul qui redige.
Revipa, 5. f. "esup de Niet. (Ag.) Nombre
da eheses qu’on prend loules A
*Resantıne. V. Dorradsiro,.
Revino, a, 9.9. de Roeder.
* Rguamtnro. V. Aedimimenio.
Rasiumo. V, Bodenko,
Rasin, 0. 6. Fedenner ı denner une seconde
feis. is, V. Redrer.
+ Bzssnciicid,, s. f. vilersion d’un argu-
ment. Redargation : röpligue dans une contes-
tatlen.
Benanstine , A, P. P. de Redarguir.
Rupanclıner , s. m. oelal qui rödarguß, qui
un argument.
Resanchha, 9. a. rötorquer : employer con-
tre son les pzeures, les arguments
dent Il so sort; refuter. Rödarguer, bläser, re-
Boerimines. Accuser. Demander en
ustloe. Convainore.
Ressıro, 5. m. zevenu, route : intöret d’un
nel p»laod ; Fevenu, produit annuel.
eng, s. f. "sets, Aletde p6cheur, d’oiseleur,
eis. "Ounrage en forme de filet. * Röseau : sorte
de tissu A jour. (Ag.)* Piege, sirstageme, ruse,
artißee. * Hamas de eolon & ressauz. V. Ser-
pentins. — d’erraster, bäche Isainante, badail.
m sera colker codorwines, nappe , filel pour
prendre des cailles. — pare apankar coelkos,
peche : Ries pous pzendre des lapins. — de ca-
ger, tonnelle : filet pour prendre des perdrix,
etc. — dermepie ou de powar aluns, com-
Ieitre ,tikonaise, Alei pour la p£che du thon.
= de enbelle,, röeille. — da cabelleira, coifle de
perrugus. — de forro, fer maille: treillis de
fer quon met A une fenkiro. — varredoura,
filet ä mailles serr&es pour le petit poisson. On
ip dit au Agure de ce qui renverse, qui emporte
tout ce (ui se lrouve sur son passage. Cair na
= ‚tomber dans le let, donner dans le plege.
RED
Meter us —, ( fig. fan.) faire denner Ama ie
panneau, faire tomber dans le piöge. — de yar-
ddes , ( am.) tolle claire ei mal issue. —€,
reis: lets pour prendre des eiseanz, des
sous, (f. de mer.) Filete pour garanlir un valt-
seau de l’abordage.— das irincheires, (dd.) Bes
de i
Repea, s. f.
bride d’an cheval. (Ag.) * Frein, medisalen,
retenue. st. V. Bestie. 4’ meis —, su pell ge
lop. 4’ — solle, & bride abaline, au pp 0
au figure. Avec la bride sur le cou:: 2»
niere enlitrement libre, independanie. Corrit
6 —solie, aller ä ötripe cheval. Lergar, seller s
— s alguem, (fg.) lächer la bride ä quelge'im,
iul mettre la bride sur le con. Solter a + &
paixöes, (fig.) lächer la bride auz pamiemt
Com a— na mdo, (Ag.) la bride & ia mals,
avco circomspection, avec prudence. +, fh
(fig.) renes, administration , geurernemmmek
Dar —s aos vieios. V. Solter a — ds peißie.
Voltar as —s, (fig.) tourner bride : renencet I
une enireprise. Deitar a mndo ds —e, ssist U
bride d’un cheval pour arröter cell gei uf
dessus.
Reogroxız, s. m. Blei en enionnelE.
RznXıno, s. m. [aiseur de Alets, Füc put
prendre des oiseaux, etc.
RBzozsin. V, Remir.
Reneuoinno, V. Redomoinke ou Remsinle.
Reoxurgiö, 5. f. rödemption : sachal Ö
genre humain par Jesu iat; des
chretiens pris par les infideles, les mat
tens. ” Rachat.* Secours,
REoguprTön, 8. m. ar: osluiquiir
chete, se dit de Jesus-Christ seul, au Sgurl.
+ Repeuerouistas, s.m. pl. '
cengrögation instituse par seint Alphanss
gori.
Repancid, ete. V. Aedempgio, eis.
RBı»£uuo, s. m. (4. d’enat.) Epipioon : mit
brane graisseuse,, ne, transparenie, qui 008-
vre les iniestins par devanı. —de wilella, lat
de veau,
Reoentes, 8. m. pl. ( 6. de fort.) redans: Mt-
ticaiion & anglas saillanis et reniranls.
Reps-rt, s. f. sorte de bäche tainanie.
*Reoerän, V. Redrer.
Reäpsziuma, & (die. de Ride. ’ Rissen, PP
tit reis.
Rzesınickö, 3. f. radhibition : action pt
faire casser la venls d’une chose defeciaenel.
Reonısın, ©. a. faire casser la venis FM
chose defectueuse.
Repmizırönıo, & ‚adj. radhibitoire : qui per
opsrer la redhibition (cas, defaut, vivo). #
gdo —s , redbibilion.
+ Reoıcia,d. a. rediger : meitre.en orded
par dcrit. .
RepiL, s. m. &iable 4 brebis : bergerie , Bet-
cail. — da Igreja ‚ (fig.) bercail, le sein de!
glise.
Rxpımınento. V, Rosgale , Redempad.
Repıniia. V. Remir, Rssgatar.
/
”-
RED
Resmodre, s. m. "redingete : espäce de
casaque.
Rastemı, e. f. V. Reodezinka. (fig.) Tolle
olaire ot mal tissue.
Resinrzocnaciö, 3. f. röintögration : action
de rtintsgrer.
Resıntzanipo, A,P. p. de
Rupımrscain, vo. a. rötabHir, röintegrer, re-
metire sur ve V. Reintsgrar.
Reotro. V. Reddiio.
Raservivo, A, adj. ressuscitö, rendu A la vie;
qui renatt, rovient ä& la vie.
Revıztn,, v. @. redire : dire une seconds fois.
Runizıms , s. f. seconde dime, double dime:
neuviöme portion des fruits sur lesquels on a
dejä pris la dime, ou loute aulre porlion qu’on
pergoit outre la dime ordinaire.
‚A,P-.Pp-
+ Renızımin , v. a. prendre, lever de nouvean
la dime. V. Rodisima,.
Rupönna, 5. f. "rebord, bord replie, ren-
wor.
Buenomrino, A, 9. p. de Redobrar.
Reposraptaa, s. f. "redoublement:: action
de redoubler. Röduplication.
Revosnir, ©. a. redoubler: augmenter du
Geuble; reiterer, augmenter. Fredonner, ga-
zonifier, en parlant des oiseaux.
Aepösaz, s. m. second Coup d’archet sur la
corde d’un violon. Fredon, gazouillement des
elseauz. Seconde doublure. —e, pl. ( ig.) * du-
plieit#, fourberie. Fazer —e, user de duplicite,
agir en fourbe.
+ RevoLturz,, adf. 2 gen. (god) qui exhale
use bonne odeur, qui embaume.
Rroöua, 8. f. fole, ampoule.
Rzpouazinna ou Bevouinna, di. de Re-
doms,.
REnomoMnno, 5. m. tournant d’eau; pults,
tournant de mer. Gouffre. V. S: .—de
vento, tourbillon. — de cabellos, &pi de ohe-
veux, de polls.
Reoonnamente,, ade. circulalrement, en
rond. Rondement ; Promptement; frauchement,
sans detour. Ceir — no chäo, tomber raide,
tomber tout A coup, subitement.
+ Raponneino, A,p.p. de Redondsar. adj.
(t. de bot.) Arrondi.
+ Raoonpeantnto, 8. m. artondissement,
Faction d’arrondir, son eoflet.
ReponpeÄr, v. 8. arfondir, rendre rond. V.
RezvonptLLa, 6. fı 2’ —, en tournant.
Rzponpiz ou rondeur ; rotondiis. —
Bapeuptza, 6 f. ‚giebe, la
terre; Io monde.
RaponeiLua, 6. f. (l. de po6s.)stance de qua-
tre vors portugais, chacun de huitsyliabes.
RzssonpiLzo. V. Redondilka,
REDONDINBO , A, adj. dim. de Redondo. Ron-
delet.
RanönBo, A, ady. arsondi, rond, de forme
ronde. Ciroulaire. Rebondi : arrondi par em-
‚. Zm-, & la ronde, & Pentour, en
da Serra,
RED 1003
rond,, autour. Leilra —a, letite rende, eafab-
tere d’imprimerie. Cair —, jomber tut coup,
tomber raide, subitement. Navio —, valsseas
4 poupe ronde. Capaı —a, manteau SNS JUONG,
Näo —, un non franc,, sang delour
Renorio. V. Rodopio.
Revör, s.m. Ao —, (loc. adv.) autour, ä Fen-
tour. —es, pl. V. Arredöres.
Renöuca, s. f. * balangoire; escarpolatie.
REDOUGAR-SE, 9. Tr. 56 balancer.
Repnino,A,P:P.de
ReDRAR, v. a. biner : donner une setonde
(acon aux vignes.
Repucciö,s. f. röduclion : aclion de r&duineg
ses effets; diminution de revenu, de depense;
changement d’une figare en une autre sembla-
ble, mais plus petite; (1. de chim.) operation
par laquelle on ram&ne un oxyde & l’&tat m&-
tallique. Conversion d’un syliogisme imparfait
en un autre parfsit. Reduction des entiers en
fractions, des fraclions en entiers. Reducliog
d’une &quation alg&brique A ses moindres ter»
mes. Change, troc d’une pidce de monnaie pour
une aufre. L’action de reduire, de convaincre,
d’amener & son sentiment. Conversion des inß-
deles, des pecheurs. Peuplades d’Indiens con-
vertis ä la foi. * Resserrement, accourcisse-
ment: action par laquelle une chase est resser-
rede. — a menos," amoindrissement, diminution,
+ Reobccrivamente, adv. restriciivement,
d’une manidre limitde ou bornee.
Reptcrivo, A, adj. (6. de chim.) reduclil ; qui
reduit.
Reopöcro. V. Reduto.
Repunpäncıa , s. f. trop grande abondance,
superfluits, excds. (1. de rAdi.) Redondance «
superfluitö de paroles dans un discours.
REDONDÄNTE, adj. 2 gen. qui regorge, ei®
Redondant, superflu : qui est de trop dans um
diseours; plein de redondance (style).
REDUNDANTENMENTE, adv. areg superfiuits
de trop. Aveo redondance.
REDUNDÄR, v. ®. regorger, döborder, dtre
trop plein. Redonder : #ire superflu, surabon-
der dans le discours. (em) Tourner au proflt ow
au prejudice de, zevenir. (#g.) Bezaillır, re-
tomber sur.
Repuruicacid, 3. f. redupliealion, redow-
blement,
RepupLicino,A,P. p. de
RspupLicäa, v. &. doubler, redoubler, rep&-
ter.
Reprruicarivo, A, adj. (f. de gram.) rtde-
plicatif : qui marque le redoubloment.
Beotro, s.m. (1. de fort.) * redoute : piäoe
de fortification detachte, en avant. Esptes de
möle pour les vaisseaux.
+ Reovvıo, s. m. (b, D’Aist. nal.) sedureı u
miptere nudicolie.
Reprzicäö. V. Reducrdo.
f REouzipaudnTe ‚ade. modigquement, avas
modiciie.
Repuzioo, 4, 9. p. de Reduzir. adj, Riuluis.
A que eslou eu — P ol suisje rodult?
1005 REE
Renuziu£nto , s. m. (inus.) V. Heducsdo.
REF
Reenvipin, v. a, (l. de jew) renhviası mein
Renuzir (0), v. a. remettre en sa place, en | par-dessus la vade.
son premier dat. Reduire \&) : contraindre,
ft Reenvire, s. m. (i. de jew) reuvi: me
necessiter, obliger; soumeitre, subjuguer , | Fon met par-dessus la vade.
dompter; ramener & la raison, au devoir ; eva-
Iuer les rapports des quantit&s, des mesures,
des meonnaies ; changer en moindre ; resoudre
une hose en une aulre; abreger, resserrer un
discours, etc. Reduire un entier en fraclions,
des fractions en un entier. Convertlir ä la foi.
(Ag.) —, borner, restreindre; resumer. — a
menos, amoindrir, diminuer, rendre moindre.
— drasäo, rendse souple, raisonnable, sou-
mis : meitre ä la raison. —a dinheiro, con-
vertir en argent, reduire en eflet comptant,
röaliser un effet. — a cinzas, recduire en cen-
dres. — a nada, antantir : reduire au neant, &
rien. — alguem d miseria , d mendicidade, etc.,
rede, queiqu’un & la misdre, & la besace. —
@ bdreves palavras, resumer, abreger en peu
de mois. —a ovelha ao rebanho, ramener la
brebis au bercail. A velhice nos redus a meni-
nos, la vieillesse nous rend enfants.
Repuzia-se (a), v. r. se reduire.: devenir
moindre en nombre, quantil&, volume, di-
mension, eic.; se restreindre, se borner &;
relormer sa d«epense, son train, olc. Eire
oblig6, oontraint, se r&soudre forcement A. Se
resoudre, &ire dissous. Se resserrer, devenir
moins etendu. — d razdo, se rapprocher, se
pröter A un accommodement, se rendre a de
bonnes raisons.
ReooziveL, adj. 2 gem. reductible : qui peut
ow doit dire röduit.
’ Kaeoırıcackö, s.f.reddification , reconstruc-
on.
Reepiricino, A, p. p. de Reedificar.
Reedıricapon,, A, 8. celui qui reedifie.
Rezspiricär, v.a. röedifler : rebätir, recon-
struire. (fig.) Reformer, r&generer.
RseLecte,v. a. re£lire : &lire de nouveau.
Rertecino, a. V. Reeleito.p. p. de Reeleger.
+ Reeızciver, adj. 2 gen. reöligible : qui
peut &tre reelu.
Regıeıcäö, s. f. reelection : action de r&-
&lire, son ceffet.
Resıtıro,A,p.Pp. irr. de Reeleger. adj. Re-
+iu,, lu de nouveau.
RABENMBOLSÄR, v: a. rembourser : rendre l’ar-
gent debourse, preis. Relirer l’argent qu’on
avalt debourse ow avanck.
Resun0Lso, s. m. romboursement : action
de rembourser. L’action de retirer ses avances,
son debourse.
BEEurRECIDO, A, 9.9. de
+ Reruprecia, 9. a. remployer : employer
de nouveau.
BEzuCARnECÄnO, A, p. 9. de
+ Rermcannzcän, v.a. recharger : charger
de nouveau.
Reencn6r, v. a. emplir ou remplir de nou-
voau.
Rzzuvipino, A,P.p. de Reenvidar.
RgESPERADO, A, 2.7. de
ReeEsrERÄR, 0. a. atiendre de nouresu,
Rexzspümas, 8. f. pl. sucre d’scume.
REBSTABKLECER, ©. 6. Elablir de nogresn. T.
Restabelecer. .
ResxPportacäö, 5. f. reexparlalion: kam
port & l’&iranger de marchandises venasi da
dehors.
ReExPORTÄDO, A, pP. p. de Aoezporlar.
ReexPpontTapon,s. me. celui qui reexporte
REEXPORTÄR, ©. @. reexporter : faire la mtr
portation.
Rericıutxto. V. Refazimenio.
REFALSÄDAMENTE, adv. en fourbe, paräde-
ment.
ReraLsino, A, adj. faux, Lrompear, faurbe,
dissimule.
+REFALSAMENTO, 3. m. * tromperie, fourbent,
dol, fraude.
ResaLsgäno. V. Befalsddo.
+ Rerazeoör, s. m. celui qui refait.
Rerazee, v.a. relaire, röparer, Tattssar
der, rajuster ce qui elait defait, gäte, ei.; >
commcncer; remelire en vigueur, en bea dk
Ajouter de nouvelles forces, fortiller, relamt.
Augmenter en poids, en nombre.
re[aire un ouvrage manque. (i. de mil.) Ballet,
rassembler, remeltre ensemble,
RerazER-SE, v. r. se refaire: re ia
forces, se retablir. Se rallier, en parlani &
troupes defaites. Se pourvoir, se foarnit, #
munir de provisions, etc. — da fome,
nourriture, manger. — da fadige, se deland,
prendre du repos. :
Rerazıutnto, s. m. l’action de relaint m«
se relaire; relablissement; reparalion. "=
pensation, indemuisation.
“Rerecir. V. Abaicer, Aviller.
Rerecgäö. V. Refeirdo.
" Rer£ce, adj. 2 gen. declinant, qui decist.
qui perd de sa force, ete. Bas, Je peu kır
leur, vil. Vender a —, vendre ä vil priı. Beu-
cadorias —s, marchandises & bon marcht,
chöres.
Rer£ctn. V. Arrefecer, Esfrier.
* REFECTÖRIO, A, adj. (1. de mdd. p. sa (rt
—s , guerison operee en donnant les remch
ıneles dans la nourriture.
Rerica. V. Rajdda ei Rofrge. —
+ Rerscino, a, adj. quiaa un rerapli.
+ Rerzciö, s. m. aug. de Rofäge. Grande"
tale, grand coup de vent.
Rer£co, s.m. rempli: pli fait d une robe, **-
pour la röireeir, la racooureir.
Rereıcid, s. f. röfeotion : repas meler
Nourritare. V. Refazimenis. — de mm.
Recresgäo.
Rerzıt£ıano. V. Referteire. |
Rartıro, a, adj. refait, retabli, Gras, qui
[i
U
REF
REF 1008
de Fambenpeint. p. p. er. de Refaxer. V. oo: ° BerzstkıLa,s. f., rejouissance pabligus.
mot. *"RerzstkıLo,s.m.) Fee d’unsaint. V. Fes-
RBevursontsna,, s. f. rölseteriöre : religieuse | Fividade.
qui a soin du refectoire. "Revaz.V. Refece, Villäe.
Raszırontıno, s. m. zölectorier : oelul quia | Bezrıid. V. Rufdo.
soin du r&ßesieire. * Rerıär, V. Hufler, Aleooilar.
Bavarröaıo, s. m. röfecteire: liou dans le- | BerıLino,A,p.p.de Reflar.
quel une communautö prend 505 repas.
Rertn, s. m. V. Refons.
RBeraupka, 9. a. relendre. fendre de nou-
veau.
Rersnpiso, A, pP. p. de Refender.
BEFENDINENTO,, 5. m. " ouveriure d’une chose
relendue.
Rerväns, s. m. pl. olage : personne de marque
remise A un roi, & un general ennemi pour la
sürels d’un trails, etc. ( Ag.) Gage, assurance.
+ Rursatncaa, s. f. “rapport : lieison de cor-
kaines choses entre elles.
BEFEAENDÄDO, A, P. P. de
+ Rueysaenpin, 0. a. conire-signer.
BErBRENDÄRIO, 3. m. relerendaire : rappor-
teur de cortisines deptches, eic. Ufilcier qui
eontre-signe les depöches, etc.
+ Rergnaunita, 8. f. *conire-seing.
Rersaino, A, 9. p. de Beferir. adj. Rap-
ports; cite. Compi& entre, mis au nombre de.
entre 08 deosss, mis au nombre des dieux.
Zestemunha —a, temoin A qui un aulre tömoin
so rapporte.
RErgrımtnto, 3. m. (p. us.) laclion de ra-
eonter. .
Rarsnin, v. a. rapporter, raconter. (a) Reöld-
rer: rapporier une chose ä une autre; allfi-
buer.
Reranin-se (0), v. r. se rölöter : se, s'en
rapporter ä; avoir rapport &. Se rapporter ä ce
qu'on a dit precddemment. — ds lestemunhas,
( 4. de pral.) prendre droit par les charges.
Rereanin, tv. a. referrer : forrer une seconde
Tois.
"Rerinta. V. Confradierdo, Opposigdo , Re-
pugnancia.
* REFERTÄDANMENTE , adv. avec r&pugnance.
"REFERTAMENTO, 5. m. "inslance. il. V. Con-
Sestapdo, Impugnaräo.
“ Raraaria. V. Coniradiser, Bepugnar, Re-
* Rersntümmauenıe , ado. opiniätrement
Avoo röpugnance.
*Rarenttıno, A, adj. querellcur, breiteur,
ferrailleur. Indociie, rebello, opiniätre. Dedai-
gneux, difeile, revöche.
“ Rer£uto,s.m. V. Referla.
* Rerantörao. V. Refeitorio.
Rerzav£r,v. a. (aire bouillir de nouvcau.
(Ag-) Ranimer, raviver; exciter, &mouvoir. v.
sw. Bouillir une seconde fois. Fermenter, s’ai-
grir, en parlant des conserves, eic.— 0 sangue,
(Ag) s’enllammer, se brüler (le sang).
Raresvivo, a,p.p. de Referver. adj. Brülc,
enfamms par la chaleur; ferments , aurri,
RerıLapör, A, 5. celui qui remord.
RerıLir, v0. ». remordre ; montrer les denis,
(Ag.) Besister avec violence, regimber.,.
+ RerıLuir, 9. ». pousser de nouveaux Fe-
jetons, en parlant des plantes.
tReriLuas, s. f. pl.) seconds rejetons gul
f ReriLuos, s. mp.) viennent sur les pfe-
miers.
Bermacäö, s. f. "raflinage : aclion, mamiäre
de raffner;; affinage (des melaux, etc.).
Rerınanissımo, A, adj. % de
Rerıxipo,&A, p. p. de Refinar. adj. (fg.)
Raffind , entendu,, habile, et surtout fin @&
ruse. — ladrdo , velhaco , eic., veleur, coqula
iefle , etc. — merliroso , [ranc menteur.
Rerınanön, s. m. raflineur, affineur.
Rerınanöra. V. Rofinacda.
REFINANENTO , 8. m. raffinement.
Rerınin, v. a. afiner les metaux; rafäner le
sucre , etc. (g.) Alambiquer, subtliser, quin-
tessoncier. ©. s. Devenir plus fort, plus in-
tense.
RerınÄän-sK , v. r. se perfeclionner, s’&purer; -
s’eflorcer d’exceller. V. Esmerar-se.
Rerınania, s. f. raflnerie : endroit oü Von
raffine le sucre, eic.
Rerıncino, A, 9. pP. de
Rerıncir,v. a.enfoncer de nouveau, reicher.
Rerixo,s,m. V. Rofnaria ou Refnardo.
+ Rerinta , s. f. seconde imposition. V.
Finte.
Rerintär, v0. a. imposer une seconde contei»
bution.
Rertecrino, A, pP. p. de
RerLecrin, v. a. reflechir, röpercuter, refle-
ter. (em) v. n.Reflechir,rejaillir, eire renvaoye&,
se dit de la lumiere ; refl&chir sur, penser md-
rement. Reflectis bem , vous [aites la une belle
xellexion.
Rerıaxauetnte ‚ade. par röflächissement ow
röverböration. (fg.) Avec reflexion. ’
RerLexiö, 3. f. reflexion : rellechissement ,
rejaillissement, reverberation (de la lJumidre),
mouvemens retrogsade d’un corps repousse,
en terme de physique. (fg.) —, meditation s6-
rieuse, Consideration attenlive; pensce qui en
resulte. Dizer as cousas sem — „dire les choses
Al’aventure. A — deve preceder a acgdo, la r&-
fliexion doit marcher avant l’aclien. .
Rerıexän. V. Reflechir, Considerar.
REFLEXIBILIDÄDE, 8. f. reflexibilitä: propriet&
d’un corps qui est susceptible de reflexion.
+ Reruexıonän (em), v. mn. speculer, relle-
chir, penser aitentivement sur.
REFLEXIVANENTE, adv. par reflexion.
ReErLexiveL, adj. 3 gen. röflexihle ; propte A
(258 relschi.
Revıaxivo, A . mißßöchissant, rößexif :
qui sthtchir V. wwedinsien, Pensalvo. Vorbo
— , verde rötchi,, promominel.
Rerızıo, s. m. * lumiöre refiöchie, reflet;
issement , relexion de la lomidre. Re-
Bet, reverberation de la iumitre,, d’une ooe-
leur sur lo oorps voisin, en termes de peintare.
Rerı£xo, a, adj. reßöchi : par epposition &
direct , qui rORdeht., gu reverbtre. (1. de bot.)
—, en angie en dehors.
ResLonzcka , v. w. refleurir : fleurir de nou-
vom; (fig.) reprendre son premier &clat, sa
deur. u. «. Rendre florissant,
t,
. p. de Meflorecer. adj.
Qei reflesrit. -r “
erstere, adj. 2 gen. refiuant, qui re-
Bus. p. a. de Rufleir.
Rerıuleo, A, P-P-
Rusıuin,.v. ®. rofluer ı retsurser vers #2
Nurıize,, s. u. reßlax de la marde, conire-
mare. uno s —, flat ot jusant: flux et re-
RevocıLiso, A, P. p. de Refocillar.
*REFOCILLAMENTO, 3. m. reconfort, sonlage-
uasat ; pialsir, rejoutssance; l'action de se re-
Ruyumz.ir, u. 8. restaurer, reconforter, re-
musttre des faligues, delasser; ravigoter, re-
yeälr, veenter, et sartout donner de la force,
dala vigueur.
’REI00A NO, 3. m. (1. de cwis.) * Triture dans
le beurre, dans Phuile, etc. if. p. p. de
Rasocin, u. a. (#. de cwie.) frire dans le
Beunrre, Gans ’hulle, etc., de l’oignon, da per-
sl, utc., bach pour em faire une sauce, an
Ruromipo, A, adj. dissimule, fourbe ,
ResoLzauturo. V. Refolko.
Rzvenuo, s. m. * faussei6, fourberie, impos-
tere, @isshuuflation, ruse.
Reronckno, A, adj. renfores. Vigoureuz,
fart, 9.9. 80
Reyoncin, u. u. renforser : rendre plas fort.
Portißer : röparer 00 qui menaoe ruine. Actlam-
por (fies mül).
Revongia-sR, o.r. se re6tablir, se fortißier,
Gre ses Toroes. S’enlorcir ; derenir plus
Wert, en parlanı d’un cheval, du vin, eic. Se
venloroer ;: &tre , pouvoir &ire renforot, rece-
«Sir des renlorts, on parlant d’ane armete, ete.
Rurörngo , «. m. renfort : augmentation de
Surve ou des forces; ce qui sert ä renforcer.
® 2iGe ‚ seuours. Renfort d’un canon. Renforoe-
* ent : aulion de renforcer, son effet. — da ou-
dire , (1. Barfil.) le premier renfort.
Ruybnua, s. [. reforme : retablissement dans
Ferüre,, Gans l’anclenne forme ow discipline;
sötranchement des abus ; changement opere en
rtformant; reduction des troupes ; vonge; Te-
sablissersent de anctenne discipime dans un
ran religieez ; "sutiun-de . Nouvelle
REF
prorision. — , la religion reformte, le proiz-
tem Iuthbriems ou tuhrl-
Usıne, Vos pretestants,
nistes.
Neronuncis, ©. f. rölermalion : vollen de
r6former, de corriger, de rötablir dans Ta
cienme ou dans uno mollleure forme(lesmmem,
ete.); reforme genörale. V. Roforms.
Rzroxuipauters, ale. avec refenme, see
la reforme.
Reronmapissino, A, af. up. 6
in0,&, 9.79. 66 Beformar. ei.
forme; qui a reforme sa vie.
Reronuino, 5. m. ofieier rifermb, qeienı
reforme. Reforme : oelui qui sait une rilrmm;
(1.claust.) qui est de la religion reformde.
RegrOnNaDOR, A, s. riformaier : geil #
forme,, corrige hes abus.
Reroasin, o. a. rondee & un ourpe ®&
mitre forme. Reforwer : rötablir den TM-
cienne forme, en donner wme neureie, «#
meilleure;; reduire k un meoindre nembre; m
irancher ce qui ya de trep, de nuinlbie, fi
natile; &tablir la discipline dans un menami.
Faire des nouvellos provisions. Raccemmodt,
reparer, meütre & neuf. Expliquer, adosct ©
proposition,, la rendre moıns Ye
eir une sentence ow la changer tout d fell.
REFORMÄR-sE, v. r. se refermer:
en mieux, en bien; röformer ses users, dir
ger de vie, de oenduite. Rooouvrer dee
velles forces ‚ se restaurer. S’approvisienne 4
deossaire
0 .
REFORMATIVO, A, adj: qui reforme, qua
rige; qui est prepre A melssmer, A CoriipL
une relorme.
Beroauivez, adj. 2 gen. zilermable: Pi
peut ou qui deit öure aöferzue.
Rurosstrz, s. m. (t. de fort.) " cunelit, #
vetie : fonss dans le milieu d’un aut.
Raroocınnäao, (p.us.) V.
Bzrourınnino. V. Enerespade, Bi
Reraucckö, e. [- röfcaction : “
direction d’un rayon de Iumiere, d'un mob
qui passe d’un milieu dans un aulre. —
nomica, relraclion astronomique,
P’atimosphöre.
Reraactinıo, A, adj.,‚et u. züßrmelait:!®
befle , dtssböinsant. Qui mengue & re
ä ses engagements. (1. de chim.) — ‚48! seh
ute-difloiiement (substanse, ,
Rerzacrivo, A, adj. ($. de ige.) sölinge;
qui cause une tem.
RAasaäcro, A, p-P. er. de Beprge db
Röfracis, se dit d’un rayan de Immöbre bii#
par la röfraction.
RErnAncenTE, adj. 2 gem. nähingees: €
Cause une refraction.
Rerrkancen, v. a. nfracter : prodsire 3 *
fraction. TI est aussi z6ciproque.
REFRANGIBILIDADE, 3. f. refrangibißtt : FF
lit6 des rayons zäfrangibies.
ReraanciveL, ad. 2 gen. rütramghle:®
veptible de röfractiem.
REF
+ Rarmanssan, v.n. (p. us.) faire de l’esprit,
railler.
*Rerai6. V. Rifäo.
Berasipauketn, ade. avec Felenus, Arco
Rerazino, 4,P.p. de Refrear.
OREIREADONRO, 8. m. chose qui röfröne, qui
BernsanoR, a, et ad. qui reprime, qui
met un frein, moderateu
0,8. m. Pactien de refrener, de
repeimer ; moderation,, retenue.
Rerazir, v. a. assujellir avoc lo frein, tenir
en bride? (Ag.) Refröner, reöprimer.
Rerazin-sz (de), 0. r. so röfrener, se r&pri-
mer: sabstenir de.
Rerntca, s. f. (8. de mer.) petit frais. it.
Mölte. V. Brigs, Batalha, Conflicto.
?Reratıo, s. m frein: chose qui refrene,
i me, qui retient.
Vaeemin ee. V. Referendar, etc.
Rerneschds, s.[.(p. us.) *ravitaillement; se-
ovars, atde.
Beranscino, A, P p. de Refrescar.
Rerauscaututo. V. Refresco.
+ BErazsciute, adj. 2 gen. rafralchissant,
antiphlogistiyque. p. a. de
Revanscihn, v. a. rafraichir : rendre frais.
Beire frals. Dösaltörer, öter la soif. Renoureler.
(Ag.) Envoyer du secoars. — 0 forro das amar-
vos nos estorens, (L. de mar.) changer la four-
rure du cAble dans les ecubiers.
Resazscia, v. ». serafraichir : devenir frais,
plus frais, en parlant de l’air. (g.) Se repo-
ser, prendre de nouvelles forces. (4. de mar.)
Fraichir : devenir pius fort, en parlant du
vont.
Rerasscäa-SE,, v. r. s6 rafratchir : prendre
«es rafzaichissements ; prendre le frais;; se de-
Jasser. Se ravitailier.
Ravatsco, s. m. rafraichissement : ce qui ra-
Praichit, sos efleis; reeouvrement de forces;
meurtiture, repos qui donne de nourvelles for-
oss; oollatien qu’on sert dans les visites, etc.
(1. de mil.) —, aliments frais; munitions de
Bouche. Ravitsillement : action de ravitailler.
—— de gonte, renfort, troupes fraiches. De —,
die nouveas. —+, pl. rafraichissemenis: :fruits,
oonlitures, vins, liqueurs.
* Ramnarin. V. Refertar.
° Rasaıcha.V. , Altercar.
Rernseunachd, s. f. l’aclion de desalterer, de
sralraichie ; rafraichissement. (Ag.) Consolation,
soslagement, (f. de mdd.) Relrigeration, relroi-
dissempent; privation, absence absolue de cha-
Sour.
Busrmeusino, A, pP. p. de Refrigerer.
Rarnıczninte, s. m. röfrigerant : reımdde qui
galsalchit. (1. de chim.) Reöfrigerant: vaisseau
rempli d’sau pour condenser les vapeurs dans
Falamıbie. adj. —, relrigeratif, qui raffalchit.
.
r Aurnaznir, v. 6. rafralchir : diminuer, teım-
püsens la chalsır. Conlorter, forlißeg, Disaltörer,
REG 1007
öter la self. (Ag.) Soulager, adoucir. v. ». Se
soulager, Sprouver du Perg error
Rernıonaurfvo, A, ad. “raus m
Kralchit, refreblit. reine w
Rerncznaröno, A, adj. mölrigeraleire, I-
frigeradif. Vaso —, "eirigeramt d’slambie.
Rernicuno, s.m. rafraiehissoment : efei a2
lutairo de ce qui rafratehit. * Censolallen, sou-
lagement, V, Allivio.
Bernıncture , eic. V. Refrangents, eis.
Rerucipo, A, p.p. de Refuger.
RerucapeR ‚s. m. celui qui mat au rabal, a
rejelte.
Rerucia, v. a. melire au rebutl ; refuser, Fo-
jeter, rebuter.
Reructin0, A, pP. 9. de
HErUCIÄR, v. @. revevoir chez sol, denmer
asile.
Rervorän-sE (om), 9.7. 50 röfugier s se Mu-
tirer en ligu de sürete.
aröcto, 8. m. rofuge, reiralte, asile; Be-
cours; lieu de süret£.
Reröco, s. m. rebut : action de rebuter; ce
qui a &t& rebute. * Racaille, chose de rebat.
’ ReruLetncıa, 3. f. "celat, Iucer, spien-
eur.
ReruLoente, adj. 2 gen. rayonnant ı brillant,
respiendissant, &clatent.
REFULGENTISSIMO, A, adj. Sup. de Rofuigenie,
Tres-brillant, tr&s-resplendissant.
RervuLcir , 9. ». briller, resplendir.
REFUNDÄDO, A,p.p.de
REYUNDÄR, 9. @. recreuser : creuser de Rou-
veau ou plus avant.
Rerunnıcid, s. f. refonte: action de refendre.
Rerenpivo, A, pP. p. de
Rerunpik, v. a. refondre : metire & ia fonte
une seconde fois; (fg.) refaire (an diseours,
ete.). Transvaser.
Rezrunpin (em), ©. ». lourner au profit, au
detriment de. Se ooncentrer (pP. w8.).
Rerunvir-S8, 9. r. disparalise,
Rervsipo, A, 9. p. de Refwsar.
REFUSADOR , s. m. enlul qui refuse.
RErusiR, v. a. reluser : ne vonloir pas reee-
voir; rejeter. — 0 remo, ramer en arriöre. V.
ecusar.
Rerusin-sg (@), 9. 7. se sousireire, r&sie-
ter ä.
Reruracäd, s. f. röfutation : disovers par
lequel on refute.
Resutino,A,p.p. de Befutar.
ReFOTADOR, sm. Fell qui röfute.
Rerotir, 0. a. reluter : combautre, detrulre
par des raisons solides ” qu’un autre a avamel.
Refuser, rejeter (p. us.).
+ Rarurarönıo, A, adj. qui refate, qui &6*
truit.
+ Reruriveı, adj. 3 gen. röfatable : qui peut
@ire röfule.
tr Retca,,s. f." arrosement,, isrigalion. (amt.)
V. Regra, Instituto.
Atcanöse, s. m. (fam.) * hombamce, Rt-
jouissance, recneation, divertissement.
ey | en
Y ”.
-
-
mp Tre kun na au nn. -
7, . ..
- Cr ee P ] . .
1008 REG REG
Rzcica. V. Bogare. REcAanmÄR, e. @. gaguer de nourean. il.T.
Rzcazia. V. Arrogapar.
Rscico, s. m. giron : espace depuis la oein-
ture jusqu’aux genoaz dans une personne &8-
sise. Pli, ereuz que formen! jes japes de
femme dans estie position. (Ag.) Gıron de ’E-
glise. Bein : ontrailies de la terre, de le mer,
etc.
Recantına,, s. f. rigele. V. Bogusira, En-
sur
Rzonnia, o. f. je wavall d’arroset. V, Rege-
(3
Becin, v. a. arresee les tertes Pal des a
naux, eic. Arroseren &i6 les runs, etc. (AR)
Baigner.
* REGanpiR,, ©. a. rogarder.
-Rzcinno. V. Respeito, Coniemplagle il.
Recaräd, 5. m. regratiier : revendout m &
tsil ot de a seoconde main. Colperiew.
Recatiö, Oma, adj. qui maarchande Up:
revendeus.
Jura. .
Recanio, A, adj. On ie dit du terrain qu’on a Rscaräa, o. a. vondre en detail; acheit
Terrai
seutume d’arroser. —, 8: . a arrone. | gToS pour vendre en detail. V. Rogelsar.
Torres de —, terrains arresös ow arresables. Rzcarania. V. Regatia.
Recieo,A,P. p-. de Regar. Reciras ‚s. f. pl. indiennes. V. (Mila.
Recan6a , s. m. arrosoir de Jardinier. Rzcarzino , 9. p. do Regalear.
Rusapdns, s. f. “arreserment, irrigatien. BECATEADOR, A, 8. celui qui aime Amasbat-
® Recaknco. V. Reguengo. der, qui marchando trop.
RzcaLipawtnte , ade. ütliciensement, aben- RucaTkin, 0. a. acoorder mesquisemtnl.!.
damment,, deilcatement. a. Marchander, disputer sur le priZ.
Recartına,s. f. barengere, poissarde. (M}
Femme querelleuse ot insolente.
+ Recartınauenıe, adj. & maniöre db
reugere , grossitrement, insolemment.
RzoaL.ino, A,P. pP. de Megaler. adj. Riche,
delicat. Doux, agreable. Homem —, bomme
friand, qui aime la bonne obere. Lever vida
— 5, mener une vie joyouse. Iquarias —as,
meis dölicats, exquis, [riand2. Recatia,s. f. * twaßc de regratlier, oktiar da
RecaLanör, A, adj. er s. qui regale; qui revendeur; colportage.
cause du plaisir. RecaTinno ou RECATOZINEO, din. de
RecaLäö, Oma, adj. douillet, friand , dölicat, Ruciro, s. m. raissean.
sensuel, spicurien, qui aime ä so bien traiter, | Recaröa,sf. revendeuse. V. Regeldt.
“ Recznänte. V. Residente.
qui aime la bonne chöre.
RscaLia, vo. a. rögaler, trailer bien, faire
faire bonne chere; donner, faire un regal ;
(nire des presents. Caressor, faire bon secueil.
Rocreer, diverlir, r&jouir, causer du plaisir.
RzckpöR , 5. m. gouverneuf, adminisire@®,
rocteur. V. Begenie. — da jusligs, Pit
de la haute cour de justice (em Portugal). nu
elephante. V. Cornaca.
RecaLir-se, v. r. se regaler, faire bonne Recepößa, 8. f. regente.
chere; se röcreer, se divertir. (de) Se rejouir, | Recgıräs, eic. V. Befeilär, air.
avoir grand plaisir &. Ser amigo de —, aimer| RsceLin0,A, PP. de
ReczLir, v. a. congeler, glacer, gel. Dei
aussi neutre ot reciproque. V. Zuregeler-
Rec£Lo, s. m. "glace, glagon, verglas.
les bons morceaux ‚ la bonne chöre.
RECALARDOÄR , v. @. röcompenser au double.
+ RecaLtco r\ 5 mM. (k. d’hist. nal.) regalec s
poisson apode. | Recencıa ‚s. [. laclion de regir, de gt"
RBecaLtnco. V. Realengo. ner, administration. Regence: droit, soin ©
Racankza. V. gouverner pendant une minorilt, #1 due,
Alcagus.
Azcalia, s. f." droit, prerogalive attachee &
la souverainei6 d'un prince dans ses &tals.
conseil d’un Etat sans roi, pendant 8 at
(Ag) Privilöge de quelique natare quiil soit.
rite , son absence, elc. "Regime, 60 wermts
digaite, fonclion du rögent, de la regal:
RecaLice. V. Alcapvt. grammaire.
* AscaLinno. V. Aogengo. REGENEnAcÄö,s. f- regeneralion,
RecaLito,, dim. de Regalo. REGENERADO, A, P. p. de Begeneret. |
Recaiz. V. Alcapus. RECENERADOR, A, 8. rögenerateur : cell e
regenere.
ReciLo, s. m. cadeau, prösent, don. Regal :
' ’ j © REGENRRANDO, A, dj. qui dolt eire rt
festin , grand repas (P. us.). Regal: grand plai-
sir qu’on a & faire une cho®e. Chose exquise,
delicieuse. * Aises : commodilts qu’on se pro-
eure. " Mollesse : vie oisive ei voluptueuse.
Manchon de femme. Com —, mollement, d’une
maniöre molle. Cavallo de —, cheval de pa-
sale.
Recanöna , adj. f. (V. Regaldo). Levar vida
— ‚mener une vie delicieuse.
Bec’anincen, s. m. sillon dans !extremits
un champ labourd, pour l’&conlemens des
oauX,
ncre.
+ REGENZRANTE, adj. 2 gen. qei rigaitt
p.a. de *
REGENERÄR, ©. Q. rögenerer : engenäret jr
nouveau; (f. de relig.) donner un® non"
existence; faire renaltre ; (g.) vorrigef;
mer, exlirper les vices, les sbus. j
REGENENATIYO, A, adj. qui rögtnere, 1
la vertu de r&genörer.
REGENTR, 3. 2 gen. rögent : qi pen
pendant la minorite; qui a la rige@tt.”
REG
recteur des dtudes dans cerlains ordres reli-
gieux ; professeur dans une universite. — d’um
recolkimento, regente d’une maison de fem-
mes cloltrdes ow repenties, etc.
Recr, v. a. regir : gouverner, administrer;
guider, conduire; (f. de gram.) se construire
avec.
Rectn-sE, 0.7. se gouverner, 56 gulder.
Receräin. V. Regenerar.
+ Recıa, s. f. (podf.)“ palais d’un roi.
Recıauinte, adv. royalement, en roi.
Rzcıi6, s. f. region : grande dtendue sur la
terre, dans ’air, dans le ciel; grande etendue
de pays, contree; (8. d’anat.) portion du corps.
(podt.) Plage, contree, climat. —elementar, re-
gion 6lementaire : espace compris depuis la
lune jusqu’au centre de la terre. — elhdrea,
region &therde : tout Pespace qui est au delä
de la lune. .
Recıcipa , 8. 2 gen. regicide : assassin,, meur-
trier d’un roi.
REG 1008.
enregistrer. Visiter, examiner, verifier. Mani-
Yester, declarer & fa douane. Contröler. (Ag.)
Moderer, regler. (id.) Consulter, traiter. Mar-
quer avec un signet, etc., differents endreits
d’un missel, etc.
Recistro, s. m. "visite, recherche, examen
Registres oü sont &crits les biens, les marchan -
dises, etc. Bareau pour les visites et l’enregis-
trement des marchandises, etc. Registre : livre
public od Pon &crit les aotes, etc. Enregistre-
ment : action d’enregistrer. Signet : rubans li6®
ensemble pour marquer divers endroits d’an
missel, d’un bröviaire, etc.; tourne-feuillet.
Registre : baton qu’on tire pour faire jouer les
divers jeux d’un orgue. Jeu d’orgue. Registre :
piece qui sert & menager le son d’un claveciu,
etc. (1. de chim.) Registre : plaque mobile &
Pouverture d’un fourneau, pour moderer la
chaleur; (t. d’impr.) correspondance entre les
lignes des deux pages d’un feuillet imprim6;
(t. d’korlog.) regulateur d’une montre. Robinet
Recıcipıo, s. m. regicide : assassinat, meur-
tre d’un roi.
+Recıcisuo , s. m." secte, doctrine contraire
aux rois, ä la monarchie.
Recino, A,9. p. de Reger.
+ Recıröcıo, 3. m. *fete celöbr&e & Rome,
en mömoire de Pexpulsion des Tarquins.
Reciug ou Recimen, s. m. maniedre de gou-
verner ou de se gouverner, regime; gouverne-
znent, administration. ($. de med.) Regime : or-
dre, rögle qu’on observe dans la maniöre de
vivre par rapport älasante.
Recımtnto, s.m. * administration, gouver-
nement, regie des biens, etc. Regime, ordre,
ztgle de vie par rapport & la sante. Röglement,
ordonnance. Regime, gouvernement, son
mode. Regime, en termes de grammaire. Re-
iment : corps de troupes sous un colonel.
"RecıniL. V. Original.
+ Recıo, s. m. (1. de gdog.) Reggio ou Regio:
ville de Calabre ow de Modöne.
Recıo, A, adj. royal: du roi, qui appartient
au roi; (fig.) grand, pompeux, magniflque.
Agua —a, esu regale. Pregador —, predica-
teur du roi. Leilores, professores—s, lecteurs
royaux.
RecıonÄL, adj. 2 gen.
REcCIONÄRIO, A, adj.
zneme quariier.
Recırir, v. a. faire tourner ow eirculer.
Recino, s.m. second tournoiement. V. Ro-
deio.
RecistÄpauente, adv. sobrement, modere-
ment,
+ Reoıstino, a, adj.moder6, rögle. 2. p. de
Recıstär. V. Registrar.
Recisto. V. Regisiro.
Reciısträno, A, p. p. de Registrar.
REGiIsSTRADOR, 3. m. registrateur : dcrivain
qui enregistre les bulles, etc. Cohtröleur : ce-
lui qui tient les registres publics.
" RECISTRÄR, d. a. registrer, enregistrer; met-
d’une certaine r&-
gion. (inus.) Du
tre sur un registre, Porter au rezistre, fair®
PORT.-FR.
de fontaine, etc. Image d’un saint. — na des-
peza, (fg.) &conomie, parcimonie. Tocar ne”
—s,(fig.) parler ä& propos, convenablement.
Tocar todos 08 —s, (fig.) parler de tout. Pu-
char todos 0os—s, (fig.) faire feu des quatre
pieds, faire jouer lous les jeux d’un orgue; ne
rien oublier pour parvenir ä ses fins; etaler
une magniflcence extraordinaire.
"Recnänte. V. Reinante.
Recnativo, A, adj. qui concerne le regne.
*"RecnicoLa. V. Reinicola.
*Ricno. V. Heino.
Retco, s. m. sillon : trace que fait la charrue
en labourant. Arrosement, arrosage. (fg.) In-
spiration divine, mouvement de lagräce, etc.
(p. us.). — da roda do carro,," omiere. — para
a aqua," rigole.
RecoA, s. f. regle (pour lirer des lignes).
RecoAnO, A, p. p. de Regoar. (f. de bot.) Sil-
lonn6 : creus6 en gouttidre, en sillons.
RecOADURA, 3. f. "travail pour faire des sil-
lons. Gergure, pelite crevasse aux mains, aux
pieds.
Recoir, v. a. sillonner, faire des sillons.
RECOÄR-SE,, ©. r. Be cfevasser.
f RecöLro, s. m. retour de Yeau vers sa
source.
RecoLiz. V. Alcaguz.
REcoOMÄRGEN. V. Heg’amargem.
+ REGoRGEIÄR, v. a. redoubler les fredons.
Re00UCiDo, A, adj. qui a la queue entor-
till6e comme le renard (chien). p. p. de
Recoucir, v. #. glapir, japper, en parlant du
renard. Entortiller la queue comme le renard.
Recouco, 3. m. glapissement, jappement du
renard.
+ Recozisapaufnte, adv. gaiement, joyeu-
sement.
Recoz1Jäno, A, adf. gai, Joyeux. 9.9. de
Rscozuir, ov.@. r&jouir : donner de la jole,
ragaillardir.
REGOZIJÄR-SE, ©. r. se röjoulr; se plaire,
prendre plaisir, se dölecter.
4
‘
0)
&
x
1013 REL
Aeıxa,s.f. rixe, querelle , dispute. V. Rixa.
Grille de fer qu’on met aux fenttres, ete. Plan-
chette, petite planche. — velha, inimiti6 an-
elenne, haine invetsree. — nova, querelle
s oudaine. — do cadeado,, fer du cadeuas.
Reıx£ıo (l. deprov.). V. Cabrito.
Reız£re. V. Reisdte.
Reızinuo, s. m. dim. de Rei. Roitelet : petit
roi, jeune roi.
Resio. V. Rojäo.
Rgıäcro. V. Rejeitado.
Resgıckö,s. f. * rejet: aclion d’exolure, de
rejeler.
Reıtıra. V. Rageira.
Reseıtioo,A,p.p. de
REIBITÄR, v. a. rejeter : &carter, dedaigner;
ne pas admelitre; n’agreoer pas. Relancer, dar-
der. Recuser. Vomir. V. Engeitar.
Reıtıro , s. m. arme de tralt,
ReLa,s. f. raine, rainelte ow graisset : gre-
nouille verte qui vit sur les arbres, etc. — de
fingir, raine qui sort ä teindre.
Reracä6, s. f. relation, recit, narration;
rapport d’une chose, d’une personne & une au-
tre; commerce, correspondance; lisison de
parents, etc, Enumeration, denombrement ,
detail. Liste, catalogue de noms, de person-
nes ; tat nominatif. Cour supröme de justice
(en Portugal ). — ecclesiastica , oflcialite : cour
d’eglise, son local. Relaröes de parentesco,
parent6 eloigude. —Öes de similhanga , Tapporis
de ressemblance. "
ReLacıonäno, A, adj. qui a des relations.
p. p. de
TRELACIONÄR, u. @. FAPporter, raconter, nar-
rer. Mettre dans une lisie,, dans un memoire.
ft Reıausta , vo. a. löcher de nouveau.
RELAMB£n-SE, v. r. se löcher les levres.
t ReLausino, A, p. p. de Relamber. adı.
(Ag.) Allectö, recherch6 dans sa parure, dans
ses maniedres.
ReLaurapzie. V. Relampaguscar.
"ReLaupipo, V. Abolido,
“Reräurano. V. Relampago.
ReLiupaco, s. m. eclair : eclat de Iumidre
ı(ui pr&c&de un coup de tonnerre; &clat subit et
passager de lumidre; ( Ag.) chose qui passe ra-
pidement, Dar, fazer —s, solairer, faire des
eclairs.
RELAMPAGUEÄR, ©. w. &clairer: faire des
eclairs.
TRELANPEINTE ou RELANMPEJÄNTE, adj. 2gen.
&clairant : qui &claire. (Ag.) Etincelant.
RELANPEAR O4 RELANPEJAR,,v.. V. Relam-
paguear. (fig.) Elinceler. On le dit des yeux
ırös-vifs, etc. Relampejavudo-Ihe os olhos, ses
yeux &tincelaient.
BzLiuro.V. Relampago.
BeLince, 8. m. second jet de fllet. Nouvelle
aventure tentde. Succes casuel ou douteux. Bon-
heur ou malheur quivient A la suite d’un autre
aux jeux de hasard. De— , (adv.) par basard,
casuellement; ä la derobee, d’einblce, Gankar
de — „gagner surlecoup.
- ot. mn BD:
REL
+ ReLirsia,, 8. f. &tat du relaps. V. Beiai
deneia
Rzrärso, a, adj. relaps : qui est reiombl
dans l’heresie, dans un vice, une ertest, m
peche.
ReLarädo,A,p.p. de Belater.
RELATADOR , 5. m. celui qui relate, qui n-
conte. V. Relator.
RELATÄR, v. a. relater, raconter; meni-
ner; rapporter. — 0 feilo, rapporter un proı
RELATIVANMENTE, ado. relativement, par rız
port &; d’une manidre relative.
ReLATivo, A, adj. relatif : qui a queiguen-
lation, quelque rapport a un autre. Oa kis,
en termes de grammaire, d’un pronem qu#
rapporie ä un nom, elc.
RELATOR, 5. m. celai qui raconte, Darralı.
Rapporieur d’un proc&s, etc.
f ReLaronia, s. f. office de rapporteer du
proc#s.
RELATÖRIO, s. m. "relation, recit, pieci,
refere; Enumeration, detail. Rappen: rec,
exposition d’un fait, d’un proots, eic.
Rerixaciö, s. f. * relächement : diminebe
de tension ; extension, dilatation d’en ce
mou. Relaxation : relächement des neris.M.
*Relächement des maurs, de la discipline. &-
Commutation, absolution d’un veu, dust
ment. *Repos, reläche. Remise que Ic
ecelösiastique fait d’un eriminel au juge sr
lier. — do animo. V. Recreagäo.
f ReLAxinanenTe , ade. avec relächenmsi,
dissolument.
ReLazino, a,p. p. de Relazar. adj. Bean‘
qui a perdu sa tension (muscle, nerf'. rt
eh6 : qui n’est plus si seröre; reläche dans"n
meaurs, debauche. Moral —e, morale reiche.
qui n’est pas sevöre. Douirins —e, dent
relächee, moins sevrere. Vida —s, coslamaı 1
vie, maurs relächees, presque dissolurs.
f Reraxapon, A, adj. qui reläche.
ReLAxANSnTO, s. m. V. ‚ds
esiomago,, *faiblesse , relächement desue“
— de vontre, dövoiement.
RELAXÄNTE ‚adj. 2 gen. et s.m.(Liumd
relächant, (remede) qui reläche, amollit.
ReLaxin, v.a. relächer : faire qu'wne he*
soit moins tendue; lächer, detendre; afed*
(Ag.) Causer ow tolerer le relächemeni de
meurs, de la discipline, etc. Absoudre, k-
ver d’un vu, d’un serment. Remeltre us it
minel au juge seeulier. (Ag.) Deonnerdı =
läche & Pesprit. Döbaucher : jeter daas I &
bauche, le vice. Pardonner (les peebes.. -"
venire , lächer le ventre. — os cuidader, 3%
traire.
ReLAXÄR-SE, ©. r. se relächer : perdit #
tension naturelle, en parlant d’un neri, ei: ”
detendre. (fg.)Se relächer dans lesmasrst*
se pervertir.
+ ReLixo, Aa,adj. V. Relapso ei Melasah.
Reı£.s. [. espece, sorte, rang, ode, ah
race, liguee. V. Rails.
—a— -
REL
ReıLzeino, A, adj. V. Religado. Exposs en
vente au banrvin (vin).
+ " RELECÄGEN, s. f. pension que payalt ce-
iui qui vendait du vin pendant le banvin ; droit
de banvin.
Reı&co, s. m, banvin : droit exclusif qu’avait
le seigneur de vendre du vin de son crü pen-
dant un temps fix6 (en Portugal c’etait trois
mois); co temps. (ani.) Sorte d’imposilion. V.
Belegagem.
Rerecukıra, 8. f. femme du Relegueiro.
RELEGOLIRO, 5. m. receveur du droit de ban-
vin.
Beızıcäö, s. f. röpetition d’une legon ou lec-
ture.
Rereıxin. V. Relaxar, Dispensar.
ReLtıxo, 5. m. (t. d’archit.)*saillie, avance,
retraite d'un mur. " Berme : chemin ötroit au
bord d’un foss& des remparls; talus d’un ca-
nal, etc.
RELEMBRÄDO, A, 2». p. de Relembrar.
“ " RELEMBRÄNCA,, s. f. memoire, recorda-
D.
7" RELEMBRÄR, ©. a. rappeler de nouveau.
V. Recordar.
RELENTÄDO, A, 9. 9. de
ReLzntän, v. a. ramoitir, humecter;; rafrat-
ehir. Il est aussi r&ciprogue.
RzL£nto, s.m. serein,, air humide de la nuit.
Ramollissement d’un corps par le serein, la
rosöe. Dormir ao —, dormir & la belle &toile.
Bzıto. V. Raleo.
-+ReLte, vo. a. relire: lire une autre fois.
*Reı£u, s. m. reste. V. Raleo.
ReLzvino, A,p.p. de Relevar. adj. Relevo,
rötabli; fait en relief. Saillant, pro&minent.
RELEYADOR, A, 8. etadj. qui relöve, etc. In-
dulgent, qui excuse, qui ferme les yeux sur
les defauts d’un autre.
RELEYAMENTO, 3. m. relövement : action par
laquelle on relöve; allegement, all&geance. | P
Exemption d’une peine, d’un travail, etc. " Re-
mission, pardon; indulgence,.
ReLEväncıa, s. f. importance, poids, gran-
deur ; avanlage.
RELEvVÄNTE, adj. 2 gen. important, reler6,
grand, noble, distingus, &minent, &clatant. Ser-
oipos 08 mais —s, services les plus eclatanıs.
RELEVANRTIissımOo, A, adj. sup. de Relevante.
Tres-important; le plus dclatant.
RELEVÄR, v. a. relever; travailler en bosse,
en relief (inus.). All&ger, döcharger d’un far-
deau, d’un impöt, etc.; soulager. Absoudre,
pardonner, excuser. Exempter d’une peine, etc.
Donner du relief aux fgures d’un tableau, les
faire ressortir. Relever, faire valoir, donner
plus d’eclat, eic. Delier : absoudre, degager
d’un serment, d’un vau.
RELEVÄR, v. n. ölre important, dire d’inte-
ret, interesser; convenir, &tre expedient, &
propos. Releva que fardmos tal cousa, il im-
porte, il est important, jl est d’interet que
nous fassions elle chose. Cousa que Ihe fanto
REL 1013
relevava,une Chose qui l’intöressaittant. Reldva-
memidito, il m’importe beaucoup.
Rxı£vo,s.m.relief : ouvrage en bosse; (fg.)
6elat quirelöve. V. Realce. Baxo— , has relief.
Alto —, haut relief.— inteiro, relief entier. ‘
Meio — , demi-relief. Bordado de —, broderie
ou brode en bosse, en relief.
Reıua, s. f. "soc de charrue. Meiler agulha
e tirar — , donner un @uf pour avoir un bauf.
—s dos carros, pieces des roues d’un chariot.
"ReLHınquimento. V. Deizacdo, Dimissao.
*ReLuınguir. V. Deizar, Dimittir.
. "R£ıno, s. m. "ceinture de femme. Espdce
de poisson de riviere. Cheger uma mulher ao
—,(fig.) &pousor une femme ou en jouir. Vir,
chegar ao —, (fig.) se dit de quelqu’un qui
condeseend A notre volonte, ä nos desirs.
"R&£LHo, s. m. [ouet de cuir tors.
ReLno,A, adj. \burl.) dur, roide comme le
cuir vert; inflexible. Fallar portuguex veiho o
— , parler un langage dur, vert et sans detouss.
RELBÖTE, s. m. dim. de Rdiha,
RELICARIO, 5. m. reliquaire, bolte, oadre,
eic., ou l’on enchässe des reliques.
+ Reuıcän, v. a. relier : lier de nouveau.
"ReLicas. V. Reliquias. .
Reuicıiö, 3. f. religion : croyance en Dieu,
et cultoqu’on lui rend; foi, croyance; piöte,
devotion, pratiques de bonnes @uvres ; obser-
vation des lois de Dieu ei de l’Eglise; dtat de
personnes engagees par des veux dans un of-
dre religieux; ordre religieux. (an#.) Saintele,
vertu divine. Ndo fer — alguma, n’avoir point
de religion, ne connaltre ni Dieu ni disble.
RELIGIONÄRIO,, 8. m. religionnaire : celui qui
sult la religion reformee.
RELICIOSAMEBNTE, adv. religieusement : d’ume
maniedre religieuse; flddlemeni, exaciement,
scrupuleusement.
RELICIOSIDÄDE, 5. f. pratique des vertus pro-
res a un bon religieux. Piete, devotion. (8. de
phil.) Religiosite : sentiment, notion de la ne-
cessit& d’une religion quelconque.
RELIGIOSISSIMO, A, adj. sup. de
ReLicıös0, A, adj. religieux, pieux : qui viß
selon les regles de la religion ; engage par des
v@ux solennels dans un ordre monastique ; qui
arapport & la religion; exact, fidele.
RELIGIöSO ,A ‚8. religieux, moine; religiguse,
+ Reuimir,v. a. limer, polir de nouveau.
RELINCHAR. .
RELINCRO, etc. | V. Rinchar, etc.
Rerinca ,s. f. (f. de mar.) ralingues : cordes
'que Pon coud aulour des voiles pour en Fca-
forcer les bords.
+ Reuincär, v.a. (f. de mar.) gamir les vol-
les de ralingues.
"Reuınuvian. V. Deizar.
RzLiquia, s. f. * reste d’un tout. Il est plus
usit6 au pi. Reliques : ce qui reste d’un saint,
de ses hardes apr&s sa mort; (Ag.) restes de
quelque chose de grand. (fam.) Restes, vesti-
ges, debris, traces d’une chose passte; dou-
leurs, infirmites qui restent d’une maladie.
101% REL
(Ag.)*Levain : reste d’une passion vialente, —
insigne , la tete , 16 brasou la Jambe d’un saint.
As —ı do exercito ‚les debris d’une armee.
"Rerioviirıo. V. Relicario.
Reriquo,a,adj. V. Restante.
Reıra. V. Rela.
Rerockıro. V. Relojoeiro.
ReLocıaria. V. Relojoaria.
ReLocinno, s. m. dim. de Relogio. Petite
meonire.
Reuöcıo , s. m. *horloge : machine A poids ow
& ressort, qui marque et sonne les heures.
*Montre : petite horloge de poche portative. (1.
de mar.) Demi-heure marquee par l’ampouliette.
—d’agua , horloge d’eau, clepsydre. — do sol,
cadran solaire. — d’areia , sablier, ampoulette,
horloge de sable. — d’algibeira,," montre. — de
forre, * horloge. — de longitude, horloge ma-
rine ow & longitudes : celle qui donne le temps
‘wrai.— de mesa, de parede , pendule. — egui-
noxial, horizontal, Iunar, cadran dquinoxlal,
horizontal , lanaire. — meridiano, cadran me-
ridional. — vertieal com declinardo, cadran
vertical deelinant. Sino do — , timbre : cloche
frappte par un marteau. Mäo da —, aigullle::
petite vergede fer d’une horloge. — desconcer-
fado , (fg.) horloge dstraqute : homme döärs-
gie dans sa eondulte, qui raisonne de travers,
eto. Dar corda ao--, monter une horloge, une
montre. Acertar o—, regler une montre, cic.,
la mettre & l’heure. — que anda ou estd cerfo,
montre, eic., quiest bien & !’heure. — re-
gy6la dem, montre, etc., qui va bien. Adiantdr-
se, alraxdr-se 0 —, avanoer, retarder, en par-
lant d’une horloge,, d’une montre.
Reıöro. V. Relogio.
RELOJOARIA, 8. f. horlogerie : art de faire des
hörloges, des pendules, des montres; leur
oonımeroe , etc. ; lien oü on les fabrique.
ReLosoßiro, A, s. horloger, —öre : faisenor
de montres, d’horloges , etc.
ReLoucino, A,Pp.p. de
+ ReLoucia, v. a. rendre fou achevs. V. In-
faluar.
f Reıöuco, a ‚ads. (fam. p. us.) fou achors,
accompli.
Retvcrino, p. p. de Reluclar.
ReLucräncıa. V. Repugnaneis, Resisteneia,
ReLUcTÄNTEe, adj. 2 gen. resistent, qui rö-
siste ; qui r&öpugne. 9. a. de
RELUCTÄR, v. r. rösisiter; s’opposer. Röpu-
gner,
t ReLumsränze,adj.2 gen. reluisant, bril-
lant. p. a. de
} ReLumprÄr, 0. ®. rayonner, reluire, bril-
‚ler, paraltro avec 6clat,
RELUZENTE, adj. 2 gen. reluisant, 6tincelant.
p.a.de
Rervzir,o.@. briller, reluire, luire par r&-
Bexion. (Ag.) Reluire, briller, paraltre avec
chat. 9. a. (P. us.) Reflöchir, repercuter la Iu-
wmiere.
ReLva ,s. [.“gazon, pelouse.
‚RzLvia, o.s. super la pelsase. V. Sauger.
v. #. Se gazonner, se oouvrir de galonse.
ReLvöso, A, ad. eouvert de gazen, de p-
louse; gazonneux.
*ReEs, s. f.chose. Rien.
REumÄDA, 8. f. “coup de rame.
Reuino, A, P.p. de Remar.
REMADOR, 5. m. rameur. V. Remsire.
REMADURA , s.f. l’action, le travail de ramız.
"REMARSsceR. V. Remanescer.
Reuir. V. Ramal.
REMANCE. V. Bemanso.
RENANcCHÄDO, A, p. p. de Remancher-s.
adj. Lent. V. Romanchdo.
ResancHanOn. V. Remanchdö.
T Reuancni6,0na, adj. len, tardif, men
chalant, lambin,, qui agit leniemens, qui im-
ine.
REMANcHÄB, v. 0. (p. us.) difärer, remeliz
d’un jour & l’autre, sjourner.
REMANCHÄR-SE, ©. r. (t. vulg.) lambiser,
musarder, bagusnauder.
+Rewanceo, s. m.“ flegme, lenteur, paremı.
RENANGO. V. .f tert)
EMANDIÖLA,S.f. [ Fuse, tromperi.
REMANECENTE, 0dj. 2 gen. restant, qui fesit,
excödant. s. m. Reste, excödant, surplas:
qui reste d’un tout. p. a. de
REMANECER, ©. ®. restor : &tre de murpiei,
de reste; surabonder.
REMANENTE. V. -
"REMANENTE, ado. tout A ceup.
RemANGin, v. a, (p. ws.) saisir une ohne
pour frapper avec.
RENANGÄR-E. V. Arromasger-es.
t REBANSARz, ©. r. (pP. us.) dorrmir,en per
lant des eaux sans mouvement.
Rewänso, s.m.cau dormante dans les coudes
que forme une riviere. *Gare : sbri per is
bateaux. (Ag.) Repos, calme,, quistude.
f Rzuinte, s.m. rameur: coloi qui rame.
REMÄR, 0. 6. ramer : faire mouroir zver &
rames (un bateau, ele.). ©. =. —, tirer ih
rame; aller, öire ä& la rame; /fig.) grenäre him
de la peine, avoir besucoup de futigus. fa)
Nager. Battre les ailes, volliger, em purtant dus
olstauXx. — par 0 sus opinjäe,, (Ag.) sfluner
pour soulenir 50 OpinioRn. — conare 6 mul.
V,ce mot, Rems forte! (1. de mar.) mag de
force! Bema quem pdde! nage qui ass part!
Bema para bordo! nage & bord! Rama ps
barlavenio ! nage au vent! Reme de bemberd,
echa ao , naged bil born et scie a Iriberd.
= com args e „nager de um.
Rema enchuto! nage A soc! Rema ceris! a
corde!
'REWASCIDO, A, P. p. de
f Remascir, v. a. remächer, mächer um
seconde fols. ( #9.) Considerer de uoureen. =
passer plusieurs fois dans son esprit
"Remassin.V. cer.
Rewisse, 3, m. outil d’armurier.
ReEMASTIGAR, v. 0. remächer :macher de now
vean.
$£?
sbehte des yaux.
BEM
Ruwariackd. V. Arremalagdo.
Resırivautierg,, adv. ehtiörement , absohu-
ment, tolalemen!:
REMATÄDO, A,P9.p. de Remalar. adj. Acheve,
wvermine. Louoo — , fou achere,, fou accompli.
REMATADOR.
ArMATAnTE. } V. Arremalador, eic.
Ruuarir, 9. @. inir, terminer, achever. v. ®%.
Finir, se terminer. Arreter le fl d’une ooutare
au moyen d’an naad, ein. 4. V. Arrematar.
Reuäire.s. m. fin, bout, extremit#, conelu-
sion. (f. d’arch.) Gal-de-Iampe, amorlissement,
eorniche , fronton, eto.; ce qui termine un
eorps d’srchiteotutre,, ete. Relrein d’une chan-
Son, ei®, ”
* Reuicom. V. Rincdo.
"Rauzıcid. V. Tornade, Volte.
Ruusgir, ete. V. Homassar, to.
Ruuscatn. V. Homeker.
& son alse, qui a de quoi virse. -
REuaDtaBOR, A, 6. 6elul qui remedie.
Reuzvıän, ©. a. remsdier : epporter remede
“en gönsral. Beosarir dans un besein pressen!.
Deiivser, Slolgner d’un danger. Empe6cher qu’on
aus fasse quelque chese de nulsible. Cowriger,
zsipaser, röformer, amender. Rascommoder,
arranger. Ndo — nade, ne remedier ä rien.
ReuzpiÄn-se, 9. r. falro ressource, Töteblir
us afikires ; 'trouver une resäoaroe A ses bo-
soins. '
Raszoıävaı, adj. 2 gen. A quol on peut r&-
mmedier. Sevousabte, 26 ı qui peut re
gecoura, .-
f Reuzoıgid, s. f. action de rernosurer ow
Be mesurer de neuveau.
: Rumepino, A, p. p. de Asmedir.
Reu£nıo, s. m. remede : tout ce qui sort &
guerir, a prövenir, sermonter le mal on gen6-
al. "Corzsction. * Ressource, refuge. ( €. POP.)
Aisanoe. Näo haver —, eize indispeisahle, Ind-
vitable. Ndo ter —, w/avolr pas de quoi virre.
di. Bars m que nie mais Nom
eurs, onguent miton-mitaine, remöde inutlle.
euierior tepique,rombde oxtirinur. Sem —,
die fond en oombie, entiörement, sans remede.
Ndo Ihe sei eu.sinto aulro —, jo u’y sals plus
aucun remöde. Por mais --o que Ihe ıidem,
queique remsie qu'on Iui donne. Para iudo ka
—, t&0pie para a morts ou „ö para a more
Ms, il y a remede Artont hors & la wert.
Rzuzpir, 9. a. mesuter une autre fols.
-
Renten, s. 9. "imliistien, oopie. V. Arre- |-wi
medo.
Rautıno , s. m. zamour : marinier qui rame.
+ Ramkıno, A ,edy. (1. de mar.) alsö Amaner
avec les rames ( bateau, eie.).
Restıs, s. f. ehassig : humenr gluante ow
Bexziino. V. Remeloso.
+ BeuaLid, adj,m. Atsucar — ,sorte de su-
us mon.‘
REM 1015
+ReMELÄr, v. n. devenir chassieux. Faire
du &ucre dit remel&o. V. ce mot.
ReueLöso, a, adj. chassieux: qui a de 1a
chassie aux yeux.
Reuxınöa, 0d/.2 gen. (durl.) bien meilleur,
deux fois meilleur.
"RENEUBRÄNGA, s.f. "TOssouvenir, ressouve-
nance.
"RENENBRÄR, d. Q. Du 9. Tessouvenir.
Reuexorir ‚rc. a. rememorer : faire resson-
venir.
REMENORATIYO, A, qdj. reme&moratif: qui
fait ressouvenir.
REMERDADO, A, 9.9. de Remendar. adj. On
te dit d’un animal dont la peau est tachetce. V.
Malhado. Cavallo — , cheval pommelt.
REmeEnpÄö, 3. m. ravandeur:: raccommodeur
de rieux habits, etc. Savetier. '
REMENDÄR, ©. a. rapi6cer, rapetasser, TAC-
commioder. Suppli6er Ase qui mangue dans une
f " Rewenpanla, s. f. grande quantitd de
piöces mises sur un manteeu, eto.
+ Rmsenntira, 6. f. ravaudeuse.
Reuznpinno, dim. de
Reutnpo, 8. m. piöce qu’on met & un habit
@öchire , eto. Raccommodage , rapiecetage.
Changement , addition, correction, au propre
et au figure. ' Röparalion Ikgtre qu’on fait &
une chöse. "Tathe, marque sur [a peau d’un
animal. (A#g.) Replätrage : moyen employ& pour
röperer une faute. Ser — d’ouiro panno, Pire
@ane autre natare,, d’une autre espece. A —s,
par moroeaux, & diffbrentes repfises, & bAtons
rompus.
"Heuznczin , oo. 7. Agradever, ete.
+ RENERECEDOR, A, adj. qui merite beau-
c0up, qui merite & un haut degre.
Rzuunzcen, vo. a. ıneriter & un haut degrö.
- REMERECIDO, A, 9. p. de Romorecer.
Rem£ssa, s. f. action de romettre, d’envoyer.
Remise, enroi d’argent, de merchandises.
Rezuzssiö, s. m. aug. de Remeseo. it. Mesure
agrsire de diz peimes et demi.
Reuessin; V. Arremessar.
Remtseo, 8. m. arme de trait, javelot, eic.
V. Arremesso.
Reugstez, s.ım. ( burl.) passö maltre.
Auuzrranönı. V. Aomeilida, Envestide.
f RENMETTENTE, s. m. (1. de comm.) donneur
de valeur,-preneear W’une leutre,
Reustrita, v. a. remellte, envoyer, ren-
voyer. Conßer, livrer. Pifförer, retarder. Rap-
porter, attribuer, referer. V. Arremeiler cı Re
'Remerrün-s8 (a), vo. r. s’en remellre,, s’en
rapporter au jugement de queiqu’en , eie. S'en
rapporter & un passage , A une aulorite.
tpa , e. f. charge, assaut; attaıc;
tien.
ReEsettino, A, p. p.Ge Remoller.
Raustrivöna. V. Zemettida ct Commellı-
mento.
Rrusstr, v. a. mölor de noaveau ; TemurT,
1016 Ken
agiter, secouer. Troubler, mettre en desordre
Farfouiller. Bouleverser, melire sens dessus
dessous.
Reuzxioo, A,p. p. de Hemexer.
Reuivo,A,p.p. de Remir.
Reuınör, s. m. qui rachöte, rödime. V. Re-
demptor.
Räuıcks, s. et adj. f. pl. les grandes plumes
qui font le bout des ailes des oiseaux.
+ Reuicıo, s. m. mouvement, battement des
alles des oiseaux. .
Reuicaaciö, s. f. * relour au meme endroit
d’oü l’on dtait parti. V. Regresso.
+ ReuıLniö, s. m. (ti. dw Brös.) grande
cuiller de cuivre pour remuer lo sucte.
*Reuımtnto. V. Remissdo.
ReEmınHöL, s. m. grande cuiller de cuivre.
V. Remilhäo.
Reuınısckncia , s. f. r6miniscence : löger
souvenir ; renouvellement d’une idee presque
effaode et qui revientinvolontairement.
Reuir, v. a. racheter : acheter ce qu’on a
vendu. Degager : retirer ce qui &lail engage,
bypotheque. Racheter un capli[, payer sa ran-
eon. Secourir, tirer de danger, delivrer. Rache-
ter une rente, seen liberer. — uma divide,
amortir, eleindre une deile en en remboursant
le montanut. — uma praga,reprendre uno place.
= 0 penkor, degager ce qu’on a mis en gage.
— 08 s com esmolas, racheter les pöches
par des aumönes. — o vexdme, se rödimer
d’une vexalion ;: s’exempier & prix d’argent,
eic., de faire quelque chose de dössgröable,
olc.
RBezuin-sz (de). v.». so redimer, se racheter.
ih. V. Remsdiar-se.
Reuınänpo,A,P9.p.de
} Reuınir, o. a. regarder de nouveau, & di-
verses reprises. Examiner, considerer de nou-
veau el avec soin. Il est aussi reciproque.
Reuissamäntg, adv. [aiblomens, molloment,
negligemment.
Reuıssiö, s. f. römission : pardon, gräce,
indulgence ; diminution, relächement de la
maladie, etc. Ändolence , lenteur dans les aflai-
res.* Renvoi : Paction de renvoyer. V. Remis-
soria.
Remıssiver, adj. 2 gen. römissible : qui peut
&ıro pardonne.
+ Reuıssivo, A, adj. qui renvoie.
NEMISSO, A, adj. mou, läche, paresseux,
indolent, negligent. Ralenli : qui ost devenu
plus lent.
+ Reuıssönıa, s. f. (4. de prai.) acte par lo-
quel un juge renvoie une cause Ou uR prison-
nier A un autre tribunal,
ReuıssüRıo, A,adj. qui a le pouvoir de re-
mollse, de pardonner ; qui conlient remission ,
prrdon. Caria —a, lelire remissoriale. V. As-
snissöria.
HauırTtnte, adj. 2 gen. Feure —, (I. de
nıed.) fidvre römittente, avec rodoublement.
Rasırtido,A,p.p.de
REmITTiR, 0, a. remettre, patinıner. Delier,
REM .
absoudre. Relächer, cöder de ses droils. Dini-
nuer, moderer. V. Afrouzxer. —a plus, mode
rer la peine.
RENMITTIR , ©. ®. 6PFouvor une remission, en
parlant de la örre, etc. ; diminner d’intensit.
RENITTIR-SE, v. r. se relächer, s’aßaibir,
perdre de sa force, de son actirite. V. Beai-
ir (v.%.).
Reuiven, adj. 2 gen. rachetable : qui peu
@tre rachele.
R£MO, 8. m. * rarme, aviron : lopgue spatelt
en bois qui sert & faire voguer uno nacelle, s
bateau , une galere, etc. Armada de —, Det
de navires & rames. — om punko, rame ©
main, pret & ramer. Picer, eperler o-,
forcer la rame. Navegar d vila 1a —, narıyw
&voile et ä rame. (Ag.) Faire lous ses ehr
pour Teussir. Remar sou —, fire ä la rane.
tirer la rame. (Ag.) Mener une vie laberitex,
dure; tirer le diable par la quone.
Reuocin. V. Remoqueer.
Reuocino, A, p. p. de Romoyar.
BENOGANMENTO , 5. m. Fajeunissemen. -
Rznocgäö, s. f. " renvoi : action de resroftt.
* Rloignement. * Deplacement.
Rzuocin, vo. a. rajeanir : rondre la jeune,
la vigueur, la fralchoer. v. w. —, redest
jeune; reprendre Y'air et la vigueur de la m+
nesse. Il ost aussi r&ciprogue.
Rzuozpöna. V. Ruminapdo.
Rzuo£La, s. f. (buri.) niche, gesie dental
V. Pirrags.
RzuoßR, 0. a. et m. ruminer, remicher. be
moudre. — 08 ‚srinoer les dent.
REMORR-SE, v. F. onrager, se molite @*
iöre.
Reuolno, ı,p. p. de Remeer.
Rzmolnnin, o. ®. tourbillonner, jeMTE.
vo. a. Faire tournoyer.
Remolnno. V. Hedomeoinke.
+ Reyoınndso, A „adj. toarbilleax, quiie-
billonne. V. Voraginoso.
RemoLzino, 4,Pp.9. de
REMOLRÄR, ©. a. dötremper, remonibe:, 5°
o6rer.
BzwöLn0, 3. m. action de tremper, dm.
macsration. Estar de —, dire ä trempel. iM}
Eure au lit, en prison, eto. Porde — uuf"
eio, (fig.) laisser mürir une afaitt.
vires arder as barbas do iou vizinhe pie u"
de —, (prov.) quand on voit le fen dans Wen
son de ses voisins, on peut craindre p®
sienne, kr er
+ Rzuonsraäntes, s. m. pi. calvinisies #“
taires d’Arminius.
Rauöwra, s. f. (1. de weil.) remonte: We”
sure ou achat de nonveaux ohevanz peu 2
valerıe ; tous les chevanx d'une remone. Fri
Rzwontino , A, p. p. de Romontar. al
monte. (ig.) Grand, &minent, elere. Distatl,
6loigne. V. Remoto. (4.6 chasse) Elarwadt:
retir6 au plus &pais de bois.
+ REMoNTinTe, adj. 2 gen. (1. de bh)"
dant : qui monte, qui Ya en monlanl,
REM
Bawmontin,v.a. ($. de chasse) effaroucher,
&pouvanter, faire fuir le gibier. Remonter ( un
Deuve), aller oontre le courant. Remonter la
cavalerie. Remonter les boltes. Remonter, re-
mettre en &iat (une voilure, elc.). Elever,
exalter. (a) v. ». Remonter : lirer son origine.
REMONTÄR-SE (a), v. r. s’slever, voler fort
haut, en parlant des oiseaux. Remonter &, re-
prendre de plus loin. ( ig.) Remonter dans un
endroit dlev&; s’clever, s’exhausser. (id.) S’d-
lever au-dessus des autres : s’enorgueillir. S’es-
sorer : prendre l’essor.
- + Resönte, s. m. (Ag.) l’action de s’dlever,
de s’oxhausser. (id.) Lieu eleve. Essor : vol en
ınontant. Action de remonter des bottes, ce
raccommodage.
Reumöqux ,s. w. brocard : mot piquant. Re-
proche secret, qui n® 56 Feconnalt pas assez.
Insinuation indirecte.
REMOQUEÄDO, A, p. p. de Remogquear.
REMOQUEADOR, A, 8. brocardeur, —se: celui
ou celle qui lance des brocards. Celui 0% celle
qui fait des reproches caches et avec deguise-
ment; qui fait une insinuation indirecte.
RENMOQUEÄR, v. a. brocarder. Reprocher avec
deguisement. Insinuer d’une manidre indi-
recte. V. HRemocar.
Remora, s. f. remore ow "remora, sücet,
arrete-nef : poisson du genre de l’öchöne, au-
quel les anciens croyaient le pouvoir d’arreter
un vaisscau. (flg.) * Remora, obstaele, retar-
dement.
+ REMorÄDO, A, adj. (fig.) retarded , emp£&che,
entrave.
+ Reuorpiz , dj. 2gem. ) qui cause des re-
+ REMORDEDOR, A, adj. } mords, rongeur.
Reuoxrpin, v. a. remordre : mordre de nou-
veau. (fig.) Tourmenter intsrisurement, causer
des remords. Censurer, critiquer durement.
Redire, repetailler. Il est aussi neutre en ces
deux dernieres acceptions.
REMORDER-SE, ©. r. t&Emoigner au dehors oe
qui nous contrarie au dedans.
REMoRDiDo, A, p. p. de Remorder.
REMORDIMENTO,. V. Remorso.
+ Remoröso, A, adj. qui arreie, relient.
REMmoRso, 3. m. remords : reproche d’un
crime que fait la conscience.
+ REMÖTAMENTE,, adv. d’une maniere &loi-
gnee, distante. ( fg.) Confussment, avec con-
fusion.
REMOTISSIMO,, A , adj. sup. de
RENöTO, A, adj. loinlain, &loigue, recule,
distant. ( ig.) Oublie. Estar — de,(fig.) €ire
bien &loign& de, n’eire pas dispose A, avoir de
la r&pugnance pour. (id.) Avoir presque entid-
rement oubli6 co qu’on avait appris. Noticiae ou
idea —s , souvenir confus d’une chose. Na mais
—a antiguidade, dans l’antiquite la plus re-
culde. Folkas —as, (t. de bot.) feuilles &loi-
gnees.
RENOVER, v.@. emouvoir, remuer, changer
un corps de place. Eloigner, renvoyer, depla-
cer. Ecarter ow prövenir un obstacie. Frusirer,
REN 1017
rendre inutile. Remuer, &mouvoir les hameurs.
Retommencer, renouveler. — alguem do cargo,
do eınprego, destituer quelqu’'un de son em-
ploi, le deplacer, P’öter de sa place. — alguem
de sus resolusdo, ( fig.) dissuader, detourner
quelgu’un de sa resolution.
REMOYIDO, A, P. p- de Remover.
REMOYIMENTO, s. m. remuement, deplace-
ment d’un corps; @loignement, renvoi. V. Re-
morgd:
0.
REMOVIVEL, adj..2 gen. amovible.
REemuUDÄDo,A,p.p. de
REmUDÄR, dv. a. rechanger, changer de nou-
veau. Il est aussi neulre.
Reuvinuin, etc. V. Remoinhar, etc.
Reuungerackö, 8. f. remuneration : recom-
pense juste; rötribution, gratiflcation;; salaire
honoraire.
REMUNERÄDO, A, 9.9. de Remunerar. adj.
Remunere, recompense.
REMUNERADÖR, A, 3. r&ömunerateur : Colui qui
r&ecompense® avec juslice.
RENUNERÄR, v. a. remundrer, röecompenser,
gratifier.
REMUNERATIVO, A, adj. römuneratif: qui r6-
compense.
REMUNERATÖRIO, A , adj. römunsratoire : qui
tient lien de r&compense.
Rewuscäir, v. Rn. (Pop.) soupgonner, enirer
en defiance. V. Resmonear.
Renacka, etc. V. Renascer, eic.
ReniL, adj. 2 gen. (1. d’anat.) renal : voisin
des reins; des reins,
RENASCENGA O8 .
RENASCENCIA ‚8. f. | V. Ronascimenio.
RENASCENTE, adj. 2 gen. renaissant, qui re-
nalt. p. a. de
RENASCER (de), v. n. renaltre : naltre de now-
veau; pulluler; (Ag.) etre regensre par ke
bapteme.
Renascino, A, 9.p. de Renascer.
RENASCIMENTO, 3. m. " renaissance : nouvelle
naissance; renouvellement; (ig.) renaissance
(des lettres). Regeneration par le bapteme.
“Renco. V. Rango.
Rencöntao. V. Recontro.
Rena, s. f. renie, revenu. Dentelle. (ant.)
V. Redea. — vilalicia, rente viägere, rente ä
vie. — em bens de raiz, rente foncidre, yei
provient d’ane terre. De —, & ferme, qu’on
loue. Herdade de — , beritage palmier. —s pu-
bJicas , revenus, deniers, tresor public. Comer,
gastar os suas —s adianladas , manger son bi6
en herbe.
Renpipo, a, adj. garni de dentelles. Rente.
.p. de
Renoir, v. a. (anf.) payer un revenu. Biner. |
V. Arrendar.
* BenpävsL. V. Rendozo,
Renp£ıra, s. f. fermiere, tenaneiöre.
seuse de dentelle.
BENDEIRO, 8. m. celui qui arrente, formier,
tenancier. Fermier des imp6ts,, partisan.
RENDER, v. 6. soumetire , assujoltir; vainore,
Fai-
a8 REN BEN
subjugues, dampiar, »sdulce. Liveer, somelitse ı (Ag.) Chand. Palfa a, combei & onisantr,
au pouvoir d’aufrui. Rendre, rapporter, pro- | opiniätre. 9.p. de
Quire. Accabler, abatire,fairs succomber, [sire | Rsnzin, 9. #. quereller, dispuler, comlasier,
‚seder A la peine, au travail. Relever, romplaner. | se debalire ; avoir dispute. V. Rinkir.
— as sentinellas, relever les sentinelles. — um *Banuucan. V., Benuncier.
magisirado, remplaser un magistrat.— o sapi-| 7 Runwöaun, adj. 2 gen. (fl. de bei.) riai-
rito, o a alma a Deos, rendre l’äme, rendre | forme : en forme de rein.
son Ame & Dieu, s’endormir dans le sein du | Renıräucıa,s. [. zesistance, oppasitien, m-
Seigneur, mouris. — gragas, remercier. — A- | Pugnanoe.
REnITENnTE, adj. 2 gen. rönitent, qui resisie,
r
nezas, Courliser, galantiser, dire des douceuss.:
— as armas, rendre les arınas. — 0 bordo em | contraire, oppost; röfraclaire. Ense, opisik
tre. p. a. de Renxilir.
ou sobre alguma parle, (t.de mar.) aborder
@’une bord6e. — o bordo ao mar, (id.) repren- | AsnrtäutEmäutg, edo. avec rösistante ; are
röpugnanoe.
dre la mer. — o quarto, (id.) changer le quart.
— 0 homem do lems, (id.) relever lo limonier. Renrria, 9.0. z6sisler ; ropuguar. S’obsunen,
s’opiniätrer.
RBezupta, vo. ». Döchir, se courber ; s#’aflaisser ;
Beuna,s.f.os } V. Rongifer.(i.debia)
se Casser, se rompre. Rendre, rapporter, p£o-
duire. Fazer —‘o oflieio, faire sa main dans un | Räuno,s. m. Ranger, rangier.
+ Beno, 0. m. (. de gieg.) Rhin : Besve ds
/’Europe.
emploi.
" Renpea-se, o. r. so rondre de lassitude,, Atre
Benoczaors. V. Rhinocerote.
RENÖNE, s. m. ronoın, röpmiation,, o6ldbrik
axirämement las, u’en pouvoir plus. S’abalıre,
Rexöva, s. f. "rejeton, pousse, jet (d’um
BRenovo
s’abaisser, se prosterner. Se rendre: 56 s0u-
‚melire. — 4 clemeneis ou mercd do vencodor,
plants taillde). V. .
Benovagkö, a. /. " renouvellement, zenour
se rendre & la discretion du vainqueur.
"Reupıcäö, 3. f. prix auquel on rachdte, V.:
ment, reitsration; retablissement dans un dia}
meilleur. "Chaugement, passage d’un dialduı
Resgate. i
Benpioastnte, ade. humblement : d’une
autre plus parfait. Römovation : renouvele-
ment des verux, etc. On le dit de Faclion da
maniere soumise.
f Renoioo, A, p. p. de Render. adj. Rendu.
Koumis. Rendu de lassitude, eto.Rompu, casse. '
— das virilhas, qui a une hernie. qui consomme les vieilles hoslies FOR
+ Reupınöna,s. /- “endroit oü un mät, eic., | en consaorer d’autres.
s’est casse. Bzuovino, A, p. 2. de Benovar.
REnnıM&nTO, 3. m. revenu, rente. V. Red-| Renovanöa, A,s. colul qui renourelle.
dito. Rapport, revenu annuel, produit. *Red- | Ammovamaxro, a. m. V. Renovagio
Renovir, 9. 8. senouveler:rendre nourta8;
retahlir, remeitre en son premier &lal; rec@ß-
mencer de nouveau ; remplacer une chose MI
uns autre de meme espece. Renouer, repfet-
dre. Rajennir. — memoria, renoureler b
souvenir, ralraichir la m&moire. — a ferida,b
ehega, (fig.) zourrir la blessure: renourelt
la douleur, le mai. — 0 sacramd&nlo, consoW
mer de vieilles hosties pour en consaciel
nouvelles. — um sscrilo d’obrigagäo, passti IM
nouveau titre. — as forgas, reparer les [oree.
Runovin, v. ». pousser des rejelons, en a"
lanı des plantes; se succ«der, en parlanl &4
salsons, Olo.
Reuovinse, vo. r. se renouveler. S’slternef,
se relover tour A tour. — nos vicios, repreodf®
ses anolens vices, y Kevenir.
RBanövo, s.m. jot, zejelon, tendron, pous®
d’une plante, etc. Jeune plant d’arbre. —,
les moissons, les fruits de la lerre, eic. l00l
0a qui se reproduil tous les ans.
Renguz, s. m. rang, range, file. Pör en,
Fanger, meitre sur la mdme ligne.
Rente, adv. ras; tout court. — da terra,
dision d’une plaee. Action de rendre, de se
soumettre. "Soumission, subordination. *Defle-
zence, derouement : entier abandon aux vo-
lonsds, au service d’un autre. * Fatigue, lassi-
tude exir&me, accablement; decoursgement.
-— liqwido , rovenu net, produit liquide.
Rannöso, a, adj. lucralif, fractueux; pro-
duclif, d’un grand rapport.
Banzcina. V. Arreneg
Benzcino, p.p. de Renegar. adj. et «, Re-
ndgat : celui qui a renie le christianisme.
Reanzoanon. V. Arrenegador.
Runzcia, v. a. nier forloment. Renier, blas-
pobemer, jurer. V. Arrenegar.
“"Benzuuninca. V. Lembranga.
„Benaunnin, eic. V, ziehmörer.
"Runca. V. Renque, .
BescäLHo, s. m. fond uni de la dentelle,
"Ränce, V. Rengo.
Bumosa ou Bencia. V. Ranger.
Rencirzao. V. Rangifer.
Ränco, s. ın. coton fil6 pour tisser la mous-
seline os la mousseline alle-m&me,
+ Rennanöaa, 8. f. (i. de Ionnel.) — d’uma
#Hodla, * clain d’une douve, eur de terre. 1
Rexnioa, s. f. oontestation, noiss, difförend, | + Rexrz, adj. 2 gen. (f. de bot.) sess®
dispute. (feuille, leur) sans queue; toutautre obje! q
adhere ımm$diatement & un aulfe, sans bar
Rennino, A, adj. brouillö avec quelqu’un
: [ou sans pedoncule. Planta —, plante acaulk-
Wehd contre lui; obstine. Debaltu, dispulc.
Beust , 2, 9. Telaser, rejeter.
*Rewungie. V. Renunciar.
Remöncia, 3. f. renonciation. Cession, d&-
mission, abandon volontaire. Renonce, au jeu
de cartes.
Renuncucäd, s. f. renonciation. V. Renun-
cia. *Renoncement, desappropriaion, renon-
coment & soi-meme.
Rexuncıäno, A, p.p. de Renunciar.
RENUNCIADÖR,, A, adj. ots. qui renonce; qui
re[use, qui rejette.
RENUNCIAMENTO. V. Renuncia.
RENUNCIÄNTE, adj. 2 gen. renongant, quire-
nonce.p. a. de
RENUNCIÄR, 9. @. et m. renonoer (A) : se de-
sister, se departir, cöder. Reluser, rejeter. M&-
priser, abandonner. Döchanter, renoncer, chan-
ger d’aris. Renoncer : ne pas jouer la couleur
donnte, en termes de jeu. — ao mundo, a Sa-
Sandz, eto., renoncer au monde, A Satan, Btc.
—- 6 vontade , renoncer & soi-m&me. —
um beneßcio ,olc., em favor d’alguem ‚rösigner
un beneflce ,eto., en faveur de quelqu’un.
BENUNCIÄYEL, adj. 2 gen. & quoi Pon peut re-
nonucer. Que l’on pcut resigner (bönefice, etc.).
Reuziuma, s. f. querelle dont on conserve la
rancune.
Rko,s. m. prövenu , aceuse. Coupable, cri-
minel. Defendeur dans un procds.
+ B£o-T£o-PL£o, s. m. ran plan plan : bruit
röpetö du tambour.
Beopanno. V. Rheubarbo.
Reonnenagäö, s. f. reordinalion : aclion par
laquelle on r&ordonne (un prötre). Nourel ar-
rangement.
REORDENÄDO, A, P.9.do
REoRnDznÄR, vo. a. reordonner : cnnferer de
nouveau les ordres sacres & qualgu’un. Acoor-
der de nouveau l’exercice des ordres sacres.
Remettre en ordre.
“ Reorpıman, etc. V. Reurdonar, eic.
Reonounızackö,s. f r&organisation : action
d’organiser de nouveau ;.sas eifels.
BEORCANIZÄDO,, A, Pp. 2. de
RRoncanıziR, v. a, reorganisor: organiser
de nouveau,
+REPACAR, 9. a. payer beaucoup, avec es-
ces. Surpayer.
+ Rerico, A, p. p. irr. de Repagar. ct adı.
Bien pay6, pay& avec exc#s,
Rerammän, etc. V. Repardr, elo.
Reriıro,. V. Reparo.
+ Rerampinas adj. f. pl. Folkas—,(4. de
bot.) feuilles godronndss, sinneuses.
“Reranco. V, Ripango.
REPANHÄDO, A,p. ?. de
+ BeranHir, v. a. (P. ws.) emporter, enlever
avec force et violence.
Rerarackd, s. f.röparation, rötablissement;
(fig.) satisfaction d’une injure, d’une ollense.
Reranino, A, p. p.de Reparar. adj. Repa-
r6; remargu6. (fig.) Muni. Lugar — , lieu
abrits. Andar bem —, Cire bien vöty., bien
Couvort. nt
RER 404p
REPARADOR, A, 8. gatgur ; reformalsnr.
Observatsur.. senr, Ariane, qui ns Untsse
rien &chapper. Restaurateur : qui refait, qui
rötablit. Il est aussi adjectif. Restaurant, qui
restaure (les forces).
} REPARANTE, 5. m. espöce de surveillarıt os
maltre d’etude aux commuhbute&s religieuses.
BepaRärR, v. 0. reparer, refaire, retablir,.re-
mettre en bon &tat; raccommoder, restaurer;
corriger, remsdier; faire röparation d’une ol-
fense ; rötablir ses forces, recouvrer sa sante;
compenser, dedammager, r&öcuperer; donner
la derniere fagon, retoucher. Parer un coup,
s’en garanlir. Restaurer, regenerer, reformet,
renouveler. Garantir de, preserver. — os dam-
nos, reparer les dommages, les torls.
Reranir (em, para), v. n.regarder, obser-
ver avec atiention. Considerer, examiner.
Prendre garde &, se precaulionner. Remar-
quer, faire attention &; &tre regardant. Ndo — .
ne pas faire attention. Ninguem Teparou em
tal , personne n’y fit attention.
Reraräa-se (de, conira),v.r. se Tefaire,
sa retablir. Se meitre & l’abri de, se garanlir.
Faire ressource. — conira 0 frio, se pr&munir
contre le froid, s’en garanlir.
+ REPARATIVO, A, adj. qui r&pare, qui röla-
blit.
ReranäveL, adj. 2 r¶ble : qu’on
peut röparer. Remarquable, notable. Qui se
prete ä la censure. Fazer-se—, se faire re-
marquer, donner prise sur s0i.
REPARÄVELMENTE, adv. d’une maniere peu
convenable. j
Rerainıcäd, 8. f. (t.d’astr.) reapparition : vuo
d’un astre qui reparalt apres une eclipse.
Rerino, s. m." reparalion, retablissement,
rem&de apport&. — , ouvrage fait & un bätiment
qui menace ruine. "Observation ‚ consideration
attenlive; reflexion, remarque, observation.
Abri, chose qu’on emplole pour se garanlir,
pour se defendre. * Attention qu’on apporte &
ce qu’on dit ow fait. Doute, difficult6, obstacle,
Rempart, retranchement, Afät de canon. (fg.)
"Defense, garantie. Fazer —, remargquer, faire
attention.
Rararricäö, s. f. repartition, division, dis-
tribution; partage. “Departement d’un minis-
töre, etc. ; ressort d’un juge, etc.
+ Rupantivamente, ode. par parties, avec
repartition.
Reranrınkıra,,s. f. petite bassine & manche
de bois (aux monlins asacıe ). ir
Rerantivo,A,9-.p. de Hepartir.
REPARTIDÖR, A, 8. celul qui repartit, Jistei-
bateur. Celul qui fait la r&partition d’un imp@t,
eto. V. Partidor.
REPARTIMENTO, 8. m. * division, söparatieh,
compartiment, cloison.
Repantir (a, com, enfre, por), d. 6. Tepar-
lir, partager, distribuer; d&partir. Acoorder des
gräces, des fareurs. Asseoit, repartir un im-
pöt. (ant.) Diviser, s&parer. (1. d’artih.) DIVi-
ser, faire une division arithmaetique.
1020 REP -—
REPARTIR-SE , v. r. Se partager.
‚tREPARTIVEL, adj. 2 gen. qu’on peut repar-
üir.
Reras, s. f. pl. (burl.) poils rares & la töte,
Ala barbe.
+ Rerasicz, s. f. plante de Portugal , esp&ce
d’endive.
Rerassino, A, adj. garni, orne (de galons,
de franges, etc.). Tress&, natte, entrelace. Im-
bibe, trempe, mouill6. (fg.) Bien penetre;
eonsomme, fieff6. p. p. de
REPASSÄR, v. a. Tepasser : passer de nou-
veau. Relire, revoir, examiner de nouveau.
Repasser dans sa me&moire. Cordonner, entrela-
cer. Imbiber, tremper, mouiller. v. ». Boire,
cn parlant du papier. Suinter, filtrer.
Rerassin-sE (de, em), v. r. s’imbiber. (fig.)
: 36 penetrer.
Rerastino, A, 9. p. de
Rerastäirn, v0. a. faire paltre une seconde
fois ; repaltre.
+ Repisto, s. m. "augmentation de päture
donnde aux bestiaux.
+ REPATRIÄR, v. a. rendre ä sa patrie. ©. %.
et — ss, v. r. retourner dans sa patrie.
Rerein. V. Serpear.
"Rereoie. V. Recuar.
“REPEENDIMENTO, 5. m. V. Satisfacgdo, Im-
demnizagäo.
+ Repgıtin, v. @. Ccorrompre, gagner une
secondo fois par des presents, etc.
RergLLino, A, p. p. de Repellar.
RereLLiö, 3. m. violente secousse. V. Em-
quxdo. (fig.) Courte carriere qu’on fait fournir
: 'oute bride & un cheval. (id.) Coup leger
i.’on donne ow qu’on se donne en passant.
', saut soudain (& une place). (fg.) Repri-
. ande verte. Dar um —a alguem, (fig.) rö-
swander quelqu’un verlement. Dar oulro —
umu forlaleza, assaillir de nouveau une for-
sressc. — de vento, *ralale, coup devent. De
- „‚brusquement.
RersLLär. V. Arrepellar.
REPELLENTE, adj. 2 gen. r&peroussif; Tepous-
‚out. p. a. de Repellir.
NEPELLIDO, A, P. p. de
REPELLIR , ©. @. repousser, rejeter; rebuter.
+ Rep£ıLo, s. m. A—, ade. ä& rebrousse-
} oil; (fig.) avec violen:e.
*REPELUSÄDO. V. Amedreniado, Assustado.
REPENDIMENTO. V. Arrependimenio.
Rersnicia, v.n. (fl. vulg.) repeler les coups.
V. Reptear.
Repansäö, s. f. seconde pension ow pension
imposee sur un beneflce dejä pensionne.
+ REPENSÄR, ©. 9. repenser : penser, Tefl&-
chir de nouveau , penser plusieurs fois.
REPENTE, 5. m. mouvement ou evenement
subit, imprevu. “Repartie, saillie, boutade.
Um —, impromptu : ce qui se fait sur-ie-
champ, sans preparation. (flg.) * Incartade,
brusquerie inoonsiderde. Orar, pregar, poelar,
ele., de —, improviser : composer et reciter
sur-le-champ un discours, des vers, eic., sur
REP
un sujet quelconque. Ter bons —e, avoir de
bonnes saillies. De — , sur-le-champ; subiie
ment. V. Repentinamente.
REPENTINAMENTE, adv. soudainement, sabi-
tement, tout ä coup, a l’improrviste.
REPENTINO, A, adj. subit, soudain , imprevs,
inopine. Morte—e, mort subite.
+REPENTisTta,s.2 gen. improvisateur, —riee
celoi, celle qui a lo talent d’improriser, ds
composer et röciter sur-le-champ une suüe de
vers sur an sujet donne. Musicien, —enne ‚gu
chante ow qui joue & livre ouvert.
Rerencussäö, s. f. röpercussion : rekten
des sons, de la lumiere; ($. de med.) repulsa
4 U’interieur des humeurs qui sont pre&s de ser-
tir. * Contre-coup.
REPERCUSSIVO, A, adj. repercussif : qui m
percute, qui fait rentrer.
+ Rereacösso,, s. m. (pP. us.) ” reverberatss,
repulsion.
REPERCUTIDO, A, P.p. de
REPERCUTIR, ©. @. repercuter : reposszt,
faire rentrer (les hameurs) en termes de mede-
cine; (8. de phys.) rellechir, renvoyer (le su,
etc.). v. n. Rebrousser en arriere, em pariau
d’un corps qui en choque un autre. V. Berır-
ber
ar.
RerEacönTa, s. f. question sur questien.
REPERGUNTÄDO, A, 9. P. de
REPERGUNTÄR, v. a. redemander; interregs
de nouveau.
REPERTÖRIO, 8. m. repertoire.V.
Calepin, recueil de notes, de mots. — des here,
index , table d’un livre.
Reresipo,A, p.p. de Repeser.
REPESADOR, A, 3. celui qui repese.
ReEPESÄR,, 0. a. repeser, peser de noureau.
REPp&s0o , s. m. action de repeser. Lieu culaa
repöse. V. Contrapeso.
REPETANÄDO ou REPETENADO, A, aubj. (berl)
insolent, orgueilleux.
Rererincıa,, s. f. (t. de mid.) axion.
REPETENTE, 5. m. röpeliteur.
Reretıcäö, 8. f. röpelilion, reiteratiea; r-
dite , emploi des m&mes tours; action de repe-
ter; action en justice pour redemander ce qu's
a pay6 de trop, etc. These qu’on soutient post
obtenir le grade de licencie. — , sonnerie gr.
dans une pendule, etc., röp6te les heeres. —,
figure de rhetorique.
REPETIDAMENTE ‚adv. de nouveau „ derecbif‘
frequemment, & plusieurs reprises.
REPETIDO, A, p. p. de Repetir. adj. Bepen.
— as vezes, souvent, & plusieurs reprıses.
REP£TIDOR, 5. m. celui qui repete. Repet-
keur : celui qui fait repeter les lecons auı =
iers,
* Rererimeuto. V. Repetipdo.
RErerik, v.a. repeter:: redire ce ai
ow appris; redire, refaire ce qu’on a dit os lan;
repasser dans Sa memoire; Fapporter ce ges
’’on a entendu. (1. de prai.) Redemander a
justice ce que on a donne, etc. Soatenir, pow
etzo gradus, l’acte appeld repefigds. Narr:
REP
raconter. Reboire, boire de nouveau; manger
de nouveau du meme plat, yrevenir. — o ala-
que , revenir & la charge, altaquer de nouveau.
— enfadosamenle a mesma Cousa, reballre,
röpeter inutilement une chose, n’avoir qu’une
chanson. — suas instancias, redöoubler, reile-
rer ses instances. Esto vinko convida a —, ce
vin rappelle son buveur.
Repegrtia, vo. 9. revenir, en parlant de la fd-
vre, etc. Il est quelquefois r6ciproque.
Rerıir. V. Arripiar.
RericÄDo, A, pP. pP. de Repicar.
Rericanor,, s. m. Carillonneur ; celui qui fait
sonner le carillon.
RxricaPpönto (de), adv. artistement : dans la
derniöre perfection.
Rerıcir, vd. a. et 8. copter, carillonner sur
les cloches. Sonner le tocsin. (fg.) Montrer de
la joie,, @ire gai, se rejouir. Faire repic au pi-
quet. Em salvo estd o que repica. ( fam.) On le
dit pour faire entendre qu’on donne de bons
eonseils lorsqu’on est hors du danger : les con-
seilleurs ne sont pas les payeurs. Viüuva rica
com um chora, com oufro repica, veuve riche
tanlöt pleure, tantöt se rejouit, ow pleure d’un
@il ei rit de Pautre.
+ RerıLocär, v. a. faire de nouveau un
abrege.
Rerımpipo,A,p. p. de
Rerımrir, v. a. remplir la bedaine, farcir
Pestomac.
Rerımpän-SE, v. r. (8. vulg.) se rassasier, 80
zengorger. (fig.) Se redresser avec affeclation,
30 carrer.
RerınäLno , adj. m. Pero—, espece de poire-
mnme.
Rerintäk, v. a. repeindre : peindre de nou-
veau.
Rerique , s. m. carillon : son repete et har-
zmonieux des cloches. Tocsin : bruit d’une clo-
che pour donner l’alarme. (fg.) "Inquietude,
sensation subite. Repic au piquet.
Reriqufte, s. m. V. Cacha, Rebate. * Pente
courte et rapide. Vento de —s, (tl. de mar.)
vent qui parcourt rapidement les rumbs, sans
s’arreter A aucun.
Rerisa, s. f. action de refouler la vendange.
Vinho de —, vin du second pressurage, de
mauvaise qualite.
Reriısino,A,p. p. de
Rerisir, v. a. fouler de nouveau, refouler.
Pressurer une seconde fois le raisin. (fig.) Re-
dire, r&petailler, rabAcher.
RerLantäno, A,p.p. de
RerLantäir, v. a. replanter : planter de nou-
veau.
Rerı£ciö,s. f. replötion, plenitude, sura-
bondance d’humeurs.
RerLenäipo, V. Terraplenado , Cheio.
Rerıtno. V. Terropleno.
RePrL£TO, A, adj. replet: qui a trop d’em-
bonpoint. Plein d’humeur. Rempli , farci.
RerLica, 3. f. röplique : reponse verbale ou
dcrite a co qui a Et& dit, repondu, "e..artie:
+ un...
“= REP
reponse vivo, ingenieuse. (1. de prat.) Dupli-
que, Ecriture contre la replique. Sem — ‚s3a8
eontredit, sans difficulte. —s, pl. difficultes ,
obstacles,, objeotions.
t RerLicagÄd, s. f. action de röpliquer. V.
Repeligdo, Reileragdo.
RerLicino,,A, 9. p. de Replicar.
1021 °
REPLICADOR, A, 3. celui qui röplique; qui
fait dificults d’obeir. Raisonneur, disputeur :
qui repligue sans cesse, qui n’est d’accord sur
rien.
REPLICINTE,, adj. 2 gen. repliquant, qui re-
plique. p. a. de
Reruicin, o. a. et 9. röpliquer : faire une
repliqus; repondre, repartir; faire difficulis
d’obeir. (1.de prat.) Dupliquer : repondre & la
röplique. (an$.) Röpeter, redoubler.
REPOLEGÄDO, A,p.p. de
REPOLEGÄR , ©. a. ourler la toile, etc. ; plis-
ser. Faire des bords & un p4tl6, A une tourte.
REPOLECO, 3. m. ourlet, repli, gaine qu’on
fait au bord d’une &toffe. Bord qu’on fait A un
pät&, & une lourte,
+ ReroLriL, s. m. terrain, planche plantdo
de choux cabus ow pommes. adj. V. Re
Ihudo 7”
7 Rerormär, v. 9. se former en manidre do
pomme, en parlant du chou, de la laitue , eic.
Pommer.
REPOLHINHO, 8. m. dim. de
REPOLRO, 8. m. chou cabus os pomme. On le
dit de l’interieur de certaines plantes qui est
compacte ei ramasse.
REPOLBUDO, A, adj. qui ressemble au chou
eabus : pomme. (Ag.) Rebondi. On le dit d’un
homme gros et trapu. Alface —a, laitue pom-
mee.
Reröncıo. V. Rapongos ou Ruiponto.
REPÖNTA, 8.
Ponta. — da mard, commencement du montant
de la maree.
REPONTÄDO, A, 9. p. de
REPONTÄR, v. m. commenter & monter,’ en
parlant de la mare.
RerönR, v. a. remettre, replacer;; &lablir en
son premier &tat. Remettre la poule, au jeu de
’hombre, faire la remise. Restituer.
Rerontacäd,s. f. moderation, relenue, mo-
destie.
Rerorntäno,A,9.p. de Reporlar. adj. Hon-
nete, modeste; moder6, retenu.
+ REPORTANENTO, s. m. (1. de prai.) aclion
de s’en rapporter & une piece, etc.
REPORTAR, v. a. respecter, honcorer. Obtenir,
s6 procurer (p.ws.). Reprimer, refrener, inspi-
rer de la moderation (ant.).
REPORTÄR-SE, ©. r. se contenir, r&primer sen
passions. (a) Se referer; s’en rapporter. V. Re-
ferir-se, Remetter-se.
Rerontönıo, s. m. calendrier, almanach. V.
Repertorio.
Rerosıcäö, s. f. action de remetire, de rdta-
blir en son premier dat; restitution. #4, V. Vo-
wuilo.
f. querelle, contestalion. V.
1029 REP
Rerosıriz,, eic. V. Deposilar, etc.
+RerOsıTöRıo, s. m. “armoire, lieu oA l’on
gerde queique chose.
REPOSTA, 3. f. remise qu’on fait au jeu de
Phombre, lorsqu’oa n’a pas un nombre suffi-
sant de levöes. V. Resposta. Fogulie de —s,
pstard, piece de feu d’artifice qui deionne,
Rurostänı, 3. f. repartie prompte ei gros-
siöre ; coup de boutoir.
Repostir, v. 6. faire ane reparlie piquante.
(1. d’eserim.) Riposter.
+ Rerosrania, s. f. garde-meuble ow oflice
de la maison du roi.
*Repöstz. V. Repostaria , Despensa.
Herosttino, s. m. officier, chef d’office. V.
. Domestique du palais altachd au
garde-meuble. * Couverture aux armes du mal-
tre, qui se met sur les betes de charge. * Por- |
iiere , rideau avec des armoiries. — mör, chef
du garde-meuble.
Rerösto, A, p.p. ter. de Repor
RepoTasär-sE, ©. r. B’asseoir
aise.
Rerousipautnee, adv. palsiblement, tran-
quillement, en repos.
Rerousino, A, adj. tranquille, paisible.
P firo
POUSÄR, 0.G. reposer: meltre dans un Etat,
une situation tranquille. (Ag.) Apaiser, tran-
quilliser. o. n. Se reposer, prendre du repo8;
reposer, dormir ; se delasser, cesser de travail-
ler. Etre tranquille, en paix, en repos. — em 0
senhor, em pax, Teposer en paiz , jouir du re-
pos &ternel.
“Reroustıra, s. f. | malson de plaisance,
* Rupouskino, 5. m. lit de repos.
REPOUSO , s. m. Tepos : privation, cessalion
de mouvement, d’agitation, etc.; cessation de
travail, d’occupation,, d’applicalion, etc. ; tran-
gafltitö, quietude, calme d’esprit, eat paisi-
bie. Lieu ou Fon peut reposer. O — da noile,
le sommeil. —mortol, elerno,, 16 repos &ter-
nel. Dormir com —, dormir tranquillement.
REPREGÄDO,, A,-p. p. de
BREPREGÄR, v. a. reclouer, Fiver.
+ Reratco, s. m. action de reclouer.
REPREHENDEDON, V. Reprehensor.
REPREHENDRR, v. a. CoTTiger, reprendre, blä-
mer. — alguem com. palauras, corriger quel-
qu’un de paroles. — asperamente, gourmander.
REPREBENDIDO, A, 9. p. de Reprehender.
RePREHENDIMENTO „s. m. V. Reprekensdo.
Rerneuensiö, s. f. reprehension, bläme,
r&primande, correction. Dar uma — amigavel,
reöprimander avec douceur. — sspera, verie
remontrance,
REPREHENSivEL, adj. 2 gen. röpröbensible :
qui merite une r&primande, le bläme.
f BEPRERENSIYBLMENTE, adv. d'une manidse
r&prehensible, biAmable.
REPREHENSOR, A, &. celul qui Feprend, qui
r&primande, qui bläme.
BPRENDER , ölc. V. Reprehender ‘ec.
* ReraBnnodıno. V. Reprehensivei.
bien & son
REP
Neprensio, etc. V. Reprehensäe , ete.
Rerrgsı, s. f. lY’aclion d’arreter, de reienir.
On le dit suriout de l’eau dont on arrti k
eours. Ectuse. ($. de mar.) Reprise, vaisseaa
repris. di. V. Represalia,
Rerrzsino, A, 9.9. de Represar. adj. Cor
tenu, arre£iö par une &cluse. Bepris, reissa
Odio —, haine cach#e, secröte.
Rerazsapön, A, 6. et adj. celui gei om-
Kae, qui reprend. Recapleur. Agude — ‚base,
e
ide.
Berazsanöna, 5. f. action de reprendre. T.
Represalia.
Rerazsilia,s. f. represallle : ce qu’en sl
ou prend pour s’Indemniser ow 58 vanger ; dem
mage fait aux ennemis en Compensatien de
eelui qu’ils causent. di. V. Presse.
RBerazsin, 0. 6. retenir ’eaa courante. (Sg,
Arreter le cours d’une chose, r&primer les pas-
sions, un sentiment. User de represailles. (£.de
war.) Reprendre un navire. — us nass ap»
sado , (id.) reprendre une prise.
* REPRESARIA. V, Represelia.
REPRESENTACAO, 8. f. reprösentation , exkib-
tion , exposition devant les yeux ; action dem
prösenter une piece de tbeätre;; rermonizans
respectueuse; figure, image; apparence, ei
rieur; pompe, faste crus necessaires. Aularii,
dignits , caraci£re , qualites qui rendent res»
mandable. (f. de prat.) —, droit de succhder a
lieu d’un beritier pred6cdde.
Rereisentipo, 4, 9.9. de Röpresentar.
'REPRESENTADOR, A, 5. Celui qui repriseni.
Acteur de comedie. V.
REPRESENTÄNTE, 8. 2 gen. representant, qui
en represente un autre. Acteur de comsdie, &
piece de thöätre.
BEPRESENTÄR, v. 6. et n. repräsenier ı ax»
ber, mettre sous les yeux, dans Pespeit; eis
image; @iro le type, la figure; tenir la placs
de; succ&der comme representanti; remouizu
respectueusement; imiter par Paclion, le &>
Courb; peindre , ügurer sous telle ou wi
orme, lelle couleur, aspect; joues um
piece de thöätre.
REPARSENTÄR, 9. 8. Topresonter, parılm
en public; avoir de Pautorits, une charge, eic,
qui rendent recommandable. — Des, jener kun
Bon rec.
RESENTÄR-SE (@), 9. Y. Se TEprönssis,
s’offrir & l’esprit; se Boarer, s’imagines,
REPRESENTATIYO, A, adj. repröseniakif: gu
reprösente,. Il est quelguefois substanuf, au
gnifle: image, figure. Governo, zysisns —
gouvernement, sysiäme representauf, e& I
nation ost representee par des depuis.
T REPRESENTÄYVEL, adj. 2 gen. qui peut sere
presenter.
Reraßso, A, adj. repris (apc&s s’&tre dehapgt
de prison). Repris, saisi en represailles.
Rarazssiö, s. f. repression : action de re
nn ast odj. röpressil: ei Käptize:
RPRESSIVO , A, adj. : ‚zur.
Rerarca , etc. V. Replica, eic. ar
REP
+ Revanmfnna, s. f. saccade, röprimande.
Reraınipo,A,p.p. de Reprimir.
Reransınön, A, adj. et s. qui r&prime, rd-
pressif.
Rersımig, 0. a. röprimer, contenir, moderer.
Rerniwin-sE, 0.r. se vaincre, se contenir, 86
eontraindre, se moderer. S’arreter.
Rernosacid. V. Reprovagdo.
RurRon0, A, af. et 8. reprouve: rejetd et
maudit de Dieu; damne.
* REPROCHAR,, U. a. reprocher.
BaEPaöcHz, 5. m. reproeche , objurgation.
Rerropcccäö, 3. f. reprodaction : action par
Jaquelle une chose est produite de nouveau.
RerropuctisıLivioe, 8. f. reproducäbillts :
faculte d’ewwe reprodait.
Berropucriver. V. R
+ Rerronucrivo, A, adj. reproductif: suscep-
tible de donner lieu & une nouvelle produo-
tion; qui reprodalt, rögenere, feconde.
REPRODUZIR, ©. a. reproduire: produire de
nouveau. Allöguer de nowreau ce qu’on a dit
pr6eödemment en Justice; presenter de nou-
veau des titres, des pidces, etc.
+ Ruraopozivar, adf. 2 gen. reproductible :
suscoptible d’ätre reproduit, de se reproduire.
Reraomıssiö, 3. f. promesse reciproque;
promesse repälde.
Rurnommssönm, 8. f. (f.de prat.) nöuvelle
caution.
Rernöva, s. f. nouvelle preuve. "Rejet. V.
Reraovaciö, 8. f. aclion de röprauver, de
sejeter. Röprobatien des peehours Impönitents
anf la part de Dieu. *Dessaveu, desapprobation ;
rejet.
+ Bzprovipamtwıe, ade. d’une manidre N-
prouv6e.
Rerrovino, A, p. p. de Reprovar. ah. Re-
peouvo, damnd,. Befuss, qui n’a pas old adımis.
REPROYADOR, A, 5. d6sapprabaleur, imppo-
hateuz, qui desspptouve. Celui qui improuve,
eenseur ; celul qui rejetle.
Reraovik, v.a..blämer, r&ptouver, rejeter,
de&sapprouver, improuver; E6prouver, condam-
ner (une doctrine, une proposilion, elC.).
REPROVÄVRL, adj. 2 gen. reprouvable : digne
de reprobalion; reprochable.
f Repaufa, 0. a.et n. d&manger de nouveau.
Repti0o, 4,9. p. de Reptar.
Rertapön, 5. m. duelliste : celui qui en
appelle un autre en duel, ou qui l’accuse de
traliison ; agresseur, pfovocateur.
REPTANENTO. V. Repto.
AxPräntz, adj. et s. 2 gen. rampant: qui
rampe, qui va en rampant (animal, piante —e).
V. Reptil.
Rerrän, 0. 6. acsuser de Irahisun, et s’n-
gager & soutenir eefte accusallon en champ
elos. Appeler en duel, döfler, provoquer.
Rerrir, adj. eis. 2 gem. roptite : animal qui
raınpe,, ou & pieds Courts et sans peils.
+% a “
:reptils..
B£Pr9, s. m. ° achusalliu: de trahison qu’on
' partienst ala republique,
REP 1033
s’engage ä soutenfe en champ cles. DER, curtel,
appeb, provocation.
Rerösuıca,, s. f. republigus : tat gouvemed
par plusieurs, par des concitoyens, des pe#-
sonnes de meme espöee, droits, qualite, dtat;
6tat, gouvernement; chose publique, bien pu-
bHe, cause commune. — kilteraria ou das lef-
iras , röpublique des lettres, corpe des gens de
lettres.
REPNBLIGANISNO, 6. m, röpublicanisme: vertu,
‚etat, qualitö, opinion du repablieain.
+ Rerusıranızin, v.6. r&publicaniser r det-
ner les opintons, le r&gime de la röpublique.
RzrusLicixo, A, adf. röpublicain : gei ap-
qui a favorise. Se dit
ironiquement des Jacobins, des ellgarques, ote.
sm. —, partisan de le röpublique.
RerönLıco, a, adj. homme z6i6 pour lo biew
public, patriote. Nomme en &lat d’exercer das
eharges publiques.
RepupıÄiDo, A,p. pP. de Ropudlier.
REPUDIÄNTE, s. 2 gen. colui, volle gqul r&-
podie. 9. a. de
Rarumiär, vo. @. röpudier : renvoyer sa femme
avec les formalites legales; ( Ag.) rejeter, abam-
donner.
Repipıo, 8. m. * röpudiation, divoree; &b-
ion de röpudier (sa fenıme); (Ag.) rejet,
abandon.
Rercunane, A,p. P. de Repuymar.
REPUCNADOR ; ;A,s. celui qul röpagne & falrsı
quelque chose.
REPUCNÄNCIA,, 8. f. FEPUENEREO : sorie Karen
sion; opposilion, degott & faire une chos6;
peine & agir. (fig.) Contrariei , oppositlion en-
ıre deux choses. Ineompatibilils de deux qua-
lites dans un meme sujet. Ter — e..., kalt;
avoir de l’aversion, de la r&pagnance poRut...
Com —, & eontre-oWur.
REPUGNÄNTE, 9. p. de Repugnar. adj-2 gew.
Röpugnaut, contraire, oppose} rebatent; In-
compatible. Termos —s, ( f. de log.) termes r&-
pugnants, eontradicioires.
Rerucnäirn, 9. a. (9. us.) rebuter, d@dalgner,
Combattre, resister 4. (awf.) Contredire, nier,
donner des ralsons oontre.
Rervcnin (a), 9. ». r6pugaer (d): @tre plus
ou moins oppos6, contraire A; inspirer, avoie
de la repugnanee. (. de pAil.) Impliquer con-
tradiction. Avoir de la röpugnanee, faire & re=
gret, & contre-caur. Heurter, choqser la rai-
son , los passions.
*° REPUCHÄR-SE ‚9.7. renonoer Asel-möme. Se
contredire, ötreen oontradiclion aves sol-ındıme.
* ReruL2co,. V. Aopoleyo.
*ReruLcan. V. Repolegar.
"Rzrdıco. V.
+ ReruLLir, ©. ©. ressauier : sauler de now»
veau. V.
REPULLULÄR, ©. n repulluler : renslire ei
grande quantiits.
RBazröLsı, s. f. "rofss. "Bebut, döment, dass
agrement de ne pas rimesin. Aclien ds FOpdun=
ser. —groseira, rebuffade, .
1038 REQ
Rerutsi00, A, p. p. de Repulsar.
Rerunsiö, s. f. (l. de phys.) repulsion ; ac-
tion dece qui repousse; &lat de ce qui est re-
poussö ; l’oppose d’attraction. (fig.) V. Repulsa.
ReruLsin, v. a. repousser; rojeter, mepri-
ser, rebuter. Refuser.
RzroLsivo, A, adj. (1. de phys.) repulsil: qui
repousse (vertu,, force —ive).
ReriLso, A, p. p. irr. de Repellir.
“Repunin.
“REPUNHÄR , eic. | V. Bepugner, ec.
Reruncacäö, s. f. seconde purgation ow me-
decine. Action de neltoyer de nouveau.
ReruaciD0,A, 9. p. do
Reruncia, 0.6. repurger : purger da nou-
veau, une seounde fois. Nettoyer de nouveau.
Rzruticäd, s. f. reputation, renom ; estime,
opiuion publique.
Berutipo, A, pP. p. de Repular. et adj. Mal
—, mal fam6 : qui a mauvaise röputation, qui
est en mauvaise odeur.
Rerotäa, vo. a. F&pulter, estimer, presumer;
eroire ;tenir,compter pour...; reg comme.
Betimer, priser, apprecier. Donner de la repu-
tstion.
Reruxino, A,p.p. de
Reruxin, vo. a. tirer & sol ow en arriere. Re-
pousser. V. Repellir. Donner la pente ow lo ta-
ius & un mur.
Rerixo,s. m. jetd’eau. * Pente, talus d’un
mur. Aro-boutant; appui d’une voüle, d’une
arche. Recul des armes ä feu. — de calafaıe,
(4. de mar.) repoussoir de callat.
*Requa. V. Recua.
Requzaaipo, A, p. p. de ARequebrar. adj.
Langoureux , minaudier, amoureux, galant. ($.
de bot.) Refracıe. V. Requebrador.
+ REQUEBRADOR ‚3. m. soupirant ‚doucereuz,
muguet : celui qui courlise, qui cajole une
femme.
REQUEBRÄR, v. @. (inus.) rompre & plusieurs
reprises. (fig.) Courtiser, cajoler une femme,
Iuidire des douceurs. — os olhos, lourner lan-
goureusement les yeux, faire les yeux doux.—
@ vox , prendee un ton langoureux.
Reqigsaän-sE, vo. r. se pencher avec aflecte-
tion. Prendre un air lengoureux, faire le mu-
guot, le galanı.
Requsano, s. mi. * declaralion d’amour, dou-
osars dites Aune femme ‚etc. ; air, ton langou-
reux ou doucereux. "Cajolerie,ülatlerie, louauge
inleressee pour seduire. — amoroso, radoucis
sement, empressement aupres d’uno femme.
— da vöz, inliexion de la voix, fredon. — dos
olhos, yeux doux. —s, pl. "mignardises, ca-
resses.
Requsnäö, 5. m. fromage &cröme6 ou A In
oröme,
ARRQUEIMÄDO, A, P. P. de Requeimar. adj.
Exiremement bran,, bruni, brüls par le soleil.
Reguzimän, v.a. brüler une seconde fois,
Beäler : faire trop euire. Griller, roussir, risso-
ler. Blaser, braler, &mousser ies sons. Piquer,
broler la langue.
REQ
REQUEIMAR-SE, ©. 7. se Consumer intärieute-
mentde douleur, etc.
7 Requtımz, s. m. sorte de poisson de mer
qui a deux pointes & cöt& des nageoires.
7 Regutiug ou chaleur piquanie goe
REQUEIMO, 3. m. produisent cerlaines
choses sur la langue.
"Rzqugıxino. V. Acankado, Estreile.
*+Rezougıxania, s. f. office. metier de B-
queizfiro.
* +REQUEIXtIRO, 8. m. pätissier cr&mier.
REQUENTÄDO, A, P. P. de Requentar.
REQUENTANENTO, s. m. röchauffement : !x-
tion et l’effet de rechauffer.
REQUENTÄR, v. a. rechauffer : &chauffer une
seconde fois. Il est aussi r&ciproque.
"Reguerzciö. V. Requisisdo.
REQUEREDOR , 3. m. roceveur (amf.) ü.V. Br-
e.
"REQUERENTE, 6.2 gem. requerant, sollic-
teur, postulant.
REQUER£R , v. a, requerir : prier de ; demit-
der en justioe; demander, exiger. Solliciter,
postuler; presenter une requetie. Recherche
(ant.). Reconnsttre, examiner, verißer (p.w..
Avoir soin, prendre garde A ce quiesinecesain
(inus.). — alguem d’um crime, sccuser qwl-
qu’un en Justice, P’attaquer. — d’emorcs ums
dema, prier d’amour, döclarer sa passion dee
dame. — que se levante o deposilo, o emberge,
demander main lev6o. Esie megocio rege
muila prudencis, cette affaire demande baue
coup de prudence.
Rzquzata-sz, v. impere. falloir. Reguire-u
muile allengäo, muwito cuidade, ı) lani ber
coup d’attention, beaucoup de soin.
Rzqusrino, A, P. p. de Requerer. adj. &-
quis, demande. Necessaire , indispensable. N*
uße, somme (p. us.).
REQuzammenTOo, s. m. °requdte : dem
verbale ou par ecrit, en juslice, ete. *Petlet,
placet. Recourrement, perception, recetie P-
us.). *Demande. A — da parte, (t. de prei.) I
la requisition de la partie.
*Regueriz. V. Regoliz , Alcapus.
Reguista, s. f. requöte, demande, prätt,
requisition. Recherche, pr&tention amoureus-
*Defi, duel, cartel. (ant.) Querelle, dispal,
demele, combat. Brigue, pretention. Deieast.
fortiication (p. us.). Tomar — por algem.
prendre fait ot cause pour quelqu’un. 4 Ida
—, (ant.) atout hasard,, & outrance.
REQUESTÄDO, A, p. pP. de Requestar.
T Requzstanor,s. m. celui qui prie d’amel,
qui dit des douceurs Aune femme, gqei lei
la cour.
Rzquestär, o. 6. cherober, rechercher, 50%
lieiter ; briguer, pretendre &. Requerir, dems®
der, prier de (ant.). Defier, appeier en dadl
(ig.) Prier d'amour, cajoler, dire des deuceef!
ä une femme, courtliser.
°Akotın, * repos, tranguillit£, cal
Reouig,s.f. 1 Bissade—, mere de mi
RES
+ Reouiss, s. m. "garniture, broderio qu’on
metlait autrefois autour des habils.
+Regrin, s. m. (4. d’Asie) " liqueur spiri-
tueuse de’!’Inde.
+ Regquinta, s. f. pelite olarinette, instru-
in«nt de musique.
Nequintipo, A, adj. fin, delicat; parfait,
acheve; affecte, recherche, alambique, rafüne.
p.p. de
Requintär, o. a. ( fig.) raliner, alambiquer,
quintessencier. (em) v. ». Faire les choses
avec une perfection recherchee; mettro de l’al-
fectation dans ce qu’on fait, dans ce qu’on dit;
raffiner sur la langue, eic. (fig.) L’emporter,
esceller, avoir le dessus.
REQUINTE, s. m. * quintessence, recherche,
alfectation.
Regtir£r. V. Requerer.
Reocisıcäö,s. f. requisition : requete , aclion
de requerir; demande faite par autorit6 pu-
blique.
* Reouisın. V. Requerer.
Rrauisiro, s. m. "circonstanuce, condition,
qualit& requise pour une chose. adj. (p. us.)
Voulu, dü. V. Requerido.
Regcısıtönıa, 8. f. commission rogatoire. V.
Deprecaloria.
Ris ou Rötz, s. f." mouton, bauf ou toute autre
piece de betail. (g.) V. Reid. Mid —, (Ag. fam.)
mauvais garnement.
Resaptn, vo. a. savoir & fond, savoir trop.
v. n. Faire trop le savant, fatliguer par l’etalage
de son savoir.
ResaBıiDo, A, adj. vicleux (cheval) ; degomte,
ennuye.p.p. de
TRESADIÄR-SE,o.r.prendre un vice, une mau-
vaise habitude , surtout en parlant des chevaux.
(ig.) S’ennuyer, se degoüter; se fächer, s’ai-
grir, se metire en coldre.
Resapido, A, p.p. de Resader. adj. qui fait
trop le savant.
Resänt0, s. m. arridre-goßit. V. Resaibo. (fig.)
Tic, vice, mauvaise babitude. (id. anf.) Deplai-
sir, aigreur, ennui. V. Desgosto.
Resäca , 8. f. (f. de mar.) "ressac : choc im-
p@lueux dcs vagues en mouvement contre la
cöte, & leur retour. Sorte de baie ow de havre
forme par le flux de la maree.
Resi1nO, 3. m. arridre-goüt, mauvals goüt;
deboire, relour, saveur desagreable, mauvais
gout laissd & la bouche. ( Kg.) * Trace, vestige.
“Pretention de savoir, olleclalion (ant.). V. Re-
sabio. Ter — de, sentir, parliciper de; se res-
sentir de. Esta dowirina jem — de fanalismo,
cette doctrine sent le fanatisme. ;lem ou con-
serva —ı de suas mds manhas, il se ressent de
scs mauvaises habitudes.
*Resiıu. V. Ressio.
ResaLcar. V. Rosalgar.
Resaioo, A, adj. saillant : qui: avance, sort
en debors. 9. p. de
+ Resain, v. n. salllir, s’avanc ar, deborder.
RESALTÄDO,A, 9. 2. de
ResaLtin, v. n. rejaillir, rebı ındir, So deta-
. PORT.-FR,
RES 103
cher, se decoller, s’ccailler. Saillir : arancer en
dehörs. ( Ag.) Frapper les yeux par son sclat,
eic., sauter aux yeux, @lre saillant. o.@. Rele-
ver, rehausser.
t Resäıte, s. m. *saillie : avanco hors du
corps du bätiment, etc. V. Resalto.
ResaLT£ir, v. a. sssaillir de noureau.
RESÄLTO, s. m. rebondissement d’un corjıs ;
bond, rioochet. Rejaillissement. (£. d’arch.,
*Avance, ressaut, saillie, balevre. Contrc-coup :
repercussien d’un corps sur un autro.
ResiLva, s. f. conire-leitre, contre-6crit,
contre-promesse : acte secret qui deroge b un
acle public. Sauve-garde. Exception, reserve.
ResaLvänQ, A, p. p. de
ResaLvir,v.a. [aire une conire-leliro. Ex-
cepter, röserver. Delivrer, sauver, meiire en
sürete. — para si, tenir secret.
RESAMPHONINÄR, v. a. (burl.) rcdire toujours
la meme.chose.
Resi6. V. Raxäo.
Resiqug, s. m. (f. de comm.) ’conire-lettre de
change, retraite. Conla de —, compte de relour.
Resarcino,A,p. p. de Resareir.
RESARCIMENTO, s. m. * indemnite, röcom-
pense, d&edommagement.
Resancia, v. @. recompenser, dedommager,
indemniser, r&parer une perte, un dommage
caus6.—o lempo perdido,r&parcer letemps perdu.
Resaöväipo, A,p.p. de
Resatpar, v. a. resaluer : rendre Ic salu! de
nouveau.
RessaLin, etc. V. Resvalar, etc.
Ressörpo, s. m. (I. de mar.) sabord dans la
cale d’un vaisseau , A embarquer le lest, eic.,
sabord de charge. Tdboa do — , gabord.
Rzssöros, s. m. pl. sauvages de Tambale ou
de Guzarate. V. Rasbutos.
RescaLpiDo, A, 7. p. de Rescaldar.
+ ReEscALDAMENTO, 8. m. embrasement.
RescaLpir, v.a. brüler, echauder. V. Escal-
T RescaLp£ıno, 3. m. rechaud : ustensile ds
menage. *° Bassinoire. * Chauffereite.
RescäLpo, 3. m, cendre chaude od il restn
quelques &tincelles de feu. (A4g.) Levain d'une
passion, etc.; crainde, soupcon,, sCrupulc.
*"Resciuso. V. Tyr'oca.
Rescaäö. V. Rasedo.
RESCENDENTE, adj’. 2 gen. qui exhale une
bonneodeur, quieml sauıne,,odoriferant. Puant,
qui sent mauvais (p. ws.).
RESCEnDER, v. n. exhaler une bonne odcur,
embaumer. Puer (p.xss.).
Rescınnino, A, pP. gr. do
RescınDir , ©. a. res:cinder, casser, annular.
Rescısiö, 3. f. resci,sion: cassation des actes,
des contrats, dcs arreıls.
Rescıs6r10, A, adj. (fi. de pral.) rescisoire,
qui rescinde, annule ( acle).
ReEScaEVvEr , v.n. r&cıfire: ecrire de nourveati.
Repondre & une lettre, etc. Donner un rescrit,
Rescrircäö, s. f. tescription : mandat par
dcrit pour Woucher une somme.
65
108 RES
Rescatero ow Ausenıto, 3. m. rescrit : ve-
ponse de Pautortt pablique, servant de lol;
bulle moniteire,
+ Reseoa, s. f. (t. de bot.) gaude, herbe &
jaunir, — de okeiro, "r&sela odorant, rösöda
d'Egypte, herbe d’amour.
+ Reszocacäö, 8. f. l’action de ressöcher.
Ressccino, A, p p. de
+ Ressccin, v. a. resstcher : sboher denon-
voau.
+ Restcoco, a,adj. qui est trop 506.
RESEGÄDO, A, 9. 9.48
+ Resecäin,,v. a. moissonner de nouveau.
Resecunvär. V. Redodrar, Amtuder.
RESECÜRO, 5.m. (I. de 00mm.) " v6önsBaTamde.
RrskLL.ä00, A,P. p.de
+ REsELLÄR, 9. a. metire un® 00Rlre-margut.
+ ESELLO, 5. 9. "vontre-margue, seconde
marquc.
Resem£ÄDo, A, p. p. de Resemear.
RESEMEADUNA , 5. f. nouvelle semaille.
Rrseuein, d. &, FeSs6mer : saner BN® S6-
conde [ois.
\ESENHA, s. f. revue de gens de guefTe,
monire; revue.
RESENHÄDO, A, p. P. de
HEsenHÄR, 9. 6. Passer en revue, inspedter.
Resennön, &. m. (4. vwig. dur.) deux feis
seigneur.
ResenTiDo,A, 9. 9. de Resenlir.
RESENTIMENTO , s. m. resseontiment d’une in-
jure, etc. Offense Iegere os que l’on cache.
RESENTIR, 9. a. ressehllf : sentir, Eprouver;
sontir vivement.
Rusuntia-sg (de), v. r. 50 rossentir, avoir oW
(ömoigner du ressenliment! ; sentir queique al-
teinte ou les suites du mal qu’on a ow qui est
arrive & un aulre. Reprendra ses sons, s’6rell-
ler. S’apercevoir.
Reszquino, A, adj. desserh6, Retri. Sec : on
ie dit d'une chose qui, humıde de sa natare,
est devenue söche par accicient.
Reserva, s. f. röserve : action de reserver,
de garder pour le besoin, etc.; chüses röser-
v6es ; troupes, valssoaund l’arriere ; exceplion;
(Ag.) diserötion,, ciroonspection, retennue. (1d.)
Dissimulatien ‚duplicite. Sem— ‚tranchement,
ouveriement, sans döguisement. Andarcom —,
agir avcc precaulion. — no fallar, röserre ä&
rier.
Reservaciö,s. f. röser vation : aolion par la-
quelle on reserve; droits röserves.
+ RusERYÄDAUENTE, 0 jo.avec röporve, d’un®
manitre röservöe,
RESERVÄDO, A, 2.9. de Reservar. adj. Re-
serv6, relenu, circonsj ect. Caso —, 083 T6-
servö : p&ohe dont le pa pe ou l’ör&igue peuvent
seuls absoudre.
+ REsERvYaDOR,A,s. colai qui söserve,.
RESERvÄR (para), v. a. röserver : garder, re-
tenir queique chose de: total; gamdor pour un
autre temps, un autre usage. Remetite , diffe-
ser, sonvoyer. Exempte: r, dispenser. V. Preser-
Car. De Teservor.une et ıoge, Mc pas Ja 0onlulu-
1
"RES
wiquer, en restteindre V’usage, wie. Cacher.
taire, dissimwler,
RESERYÄR-SE (para), ©. r. se röserrer:v
conserver pour uns aulre orcasion ; Femelire 4
faire, & parler. Se garder, se delier.
RESERVATÖRIO, 5. m. reservoir : Ileufaitpen
amasser et conserver cerisines cheses,
l’osu, etc.
Reservir, 0. a. servir Je nouvean.
BRESFOLEBCABGURO, 5. m. soupirail, ewai,
endroit o& Fon respire un air (rais.
Resroıscär, ©. w. soufller:: irer mr
beuit; reprendre baleine. (fig.) Se deisser,
respirer, avoir quelgue reläche aprös de Io;
travaux, eic. v. a. (p. us.) Jeter, kancer, lızt
sertir.
RssröLeco.V. Ankelito.
RESFOLGADOURO. .
ReESFOLGAR , eic. | V. Resfoleg_., eu.
Resrgıino, a, 9. p. de Resfrier. adj. ie
froidi, au propre et au figure; morlonda —
com a nere, rafratchi ä la glace. a. m. ip. ww.)
Rbume, iranspiration arr&ide, etc.
Resraıands, A, adj. qui refroidit os rafız-
chit. Refrigerant. s. m. Vase pour ralrsicht
is ligeides.
RESFRIAMENTO ,. 5. m. Tefroidissement:4-
minution de chaleur, (4g.) d’amitie, de pw
sion, de zele.
Resrrıär, v.a. refroidir, rendre freid; a
fraichir ; morfondre. (Ag.) — „ ralentir, des
nuer P’ardeur, l’activite. u. ». Befroidir, der
nir froid.
Besreiän-sE, 0. r. 80 refreidir, s'’eurhemer
etc. (fig.) —, se ralentir dans une eairepris
eio. ; diminuer d’ardeur , d’actirild,
RzscaLin. V. Arregaler.
Rescan, V. Rasgar.
RescATi00, A,p.p. do Resgelar.
HunsoaraDön, 5. m. racbeleur : celui qgei >
cheie.
Rescatänte, s. V. Resgetader. p. p. de
RESCATÄR, v. a. racheler : recpearrer a pa
d’argent; rediiner, dölivrer, rangonner. Tre
quer, changer, echanger. V. Remir. — am
pr6sa, EANCONDET Unc pEise.
RescatävkL, adj. 2 gen. rachetable : m
peut etre rachel£.
REscäTK,, s. m. rachat. * Rangon d’sa pr=*
nier. Rangon : argent doune le zarbıt
Troc, &change. (fig.) Lieu od l’on fait le rackzs
des esclaves , etc.
* Rescuinnpa. V. Befaguarde,
RESGUARPADO, 4, adj. (Ag.) avish, preroymet
eirconspect. p. P. de
BESCUARDAR , 9. @. garder, defemdre , gEFER
Ur, prolöger. Considerer, faire allembea-
Rescuannpäir-sK (de), v. r. sa garder, 0 Es
ranlir; se pr6cautionner, &ire sur ans garde>:
se soigner, so choyer.
Rescuänno, s. m. soin, attention PO u
consorvation ou la särels d’uue che. 'T-
fense, abri, süretd. ° Caulion , garanuıt, '®
‚reis. ' Proceulien „ oirconspoction, prudre®
RES
°Surveillanne. Mespeet, altantioh, Bonaldarndı
ıion. Moyens de defense. Pröparalif, prövalı-
tion prise d’avance. * Reserve de troupes, ec.
Ter de —, avoit de röserve, on r&ßerrvo. Tor
na comida, avoir soin de sa nourriture. Dar #
alguem, eviter & quelgu’un le mal qui je mıe-
nace, l’avertir du danger qui le menace.
Resıcacä6, se. f. dessiccation.
Restcin0, A,P.p. de
Remcin, v. a. dessecher.
Resıntwcıa, 8, f. demeure, residenoe : de-
meure fixe ou ordinaire. Rösidence : sejour
habituel d’un beneficier dans son böntfke, ete.
Comparution d’un prövenu devant le juge. Ao-
tion par ianaello un gouverneur, olc., reMmol 808
pouvoirs ä son successeur. Compie qu’on feit
rendre & un juge, elo., de sa gestion. Resi-
dence : emploi d’un resident aupres d’an
prince; sa durde. Nom que donnalent les j6-
suilcs & quelques-unes de leurs malsons, Ti-
rar, lomar —, s’enquerir, enqueöter, s’Infor-
mer. Dar a sua —, tendte comptie de za con-
duite, etc. -
+ ResinenotäL, adj. 2 gen, On le dit d’an
' emploi qui demande une rösidenoe babituelle.
+ Resıoenarän, v. @. (9. us.) demander
compte & quelqu’un de la manläre dont il s’est
' sequitie de l’emploi qu’en lui a denne; s’infor-
-. >
u}
mer, prendre des rensslgnements.
Resınknte, adf. 2 gem. resident, qui reside;
demeurent, qui demeuro, p. a. de Residir.
AusınenTe ‚s. m, resideni: onvoy6 pour r6-
sider aupr&s d’un prinee.
+ Resınanttza, 5. f. fomme du rösident.
Resivin (em), 0. w, resider (&): faire sa de-
nmıeure; habiter ordineirementi. Assisier : &tre
present, en vortu d’une dignite, d’en em-
loi.
Resiovo, & m. rösida, rente, resiant. ( 4. de
:ehdm.)—,ceo qui reste d’une substance sou-
mise & une operation. —s, pl. legs pour des
bonnes Bavres.
Resıcnackö, s. f. rösignation : d«mission
: d’un bönefice; abandon en faveur de...; soti-
‘ mission (& la volent& de Dieu, & son sort, ole.).
+} RESICGNÄDANENTE, ade. avec resignation.
Assıcnasissino, A, adj. sup. de
Resıcnäno,&A,p.p. do Resignar.
ReEsıcRÄnTE, 8. 2 gen. r&signant : celui gui
resigne un oflice, un benefice.
Resıcnirn, o.@. rösigner : se d&meltre d’un
office, d’un benefice en faveur de quelyu’un.
(fig.) Abdiquer. (id.) Renoncer (& soi-möme, &
sa propre volont6).
Resıcnin-se (a, em),v.r. sc resigner (ä),
se soumeltre; s’abandonner & la volontd de
Dien, etc.
RESICNATÄRIO, 3. m. resignataire : colui Aqui
ou a resigne.
Resina, s. f. resine : matiere inflammabie,
soleble dans l’alceol, qui suinte de la surface
de quelques vögetauz.
+ Rasıntına , s. ft ,de bob.) = des borre-
RES 1087 -
dhtiiks du do Pard," kieve vu eabutchone de fü
Guyanc.
Resısenro. V. Resindso.
Rusinca, 8. fi (8. pop.) alteruation, diepum.
Aasından (com), vo. n. (#. pop.) displter,
querellurı — cum ulyuem ; se dırputer aven
qubkauun.
tr Resınuukıno, A, adf. qui a Phabitude de
dispuier, querelleer,
*Rusınnan-se, V. Rest e.
Resınönb, A, adj, resineux : qui produit la
resine, qui en a la gualii&(arbre, kois,,etc.).
Resio os Rzssio, V. Reeto ou Roelo.
Resırıscencıa , 8. f. r@sipiscence : reronnais-
sarıce de sa faule, avec promesse (’arnende-
ment.
Resıstän; etc. V. Reyisirar, eie.
Atsisrenoıa, 3. f. resistance : qualitö par la -
gaslıe un corps r6ösiste au oh0d, au [rottement,
la division; (fig.) defense contre Yattajue;
opposition. Oppör, faser — , opposer, faire dd
la #6sislance.
Resıstente, adj.2 gen. qui r&siste , tenace.
P. “ de Resistie.
Rzeistivo,, A,P.p. de Resistir.
Resıstıpör, 8. m. celui qui resiste.
RAzsısria (a), v9. #. resinter (A): opposer de
la resistance ou de la force & ld force , ne pas
töder, ne pas plier; faire effort contre; ve d&
fendre , s’opposer ä ; emdurer, souffrir, suppor
ter difieilemeni; (Ag.) reppusser, terir bonj
ne pas etder ow plier. (1. de phys.) Reagir : re
sister d un eorps qui frappe. (Ag.) Combattre :
rösister aux passions, aux desirs. Durer, sub-
sister. Ndo —, obeir, ceder, plier. Näo passe
resistir-Ihe, c'est plus fort que moi, en par
lant d’une passion ‚, d’en penchent , eis: Nde se
pode — ds suas randes,, oh ie peuticnir ounlse
8es raisons.
Aesısrir, 0. & (p. we.) rösister &, ete.; ro
poasser, röprimer, oontenir.
ResısTir-sE, u.7r.— um homem a si, repri-
mer ses passions. V. Refreur-se.
Resisto. V. Registo,
Resuumanan. V, Translusir.
RAeswa, s. f. rame: vingt maihs de papier.
RESMONBAR, RESMOWINnAKk dm Nesmroan.V.
Resmungar.
REsmoneÄR , 9. ®: (}. faom:) marraolier, gro-
guter, grorameler; marmonner.
ResoAno, A, p. P. de Reseir.
Resoänte , adj. 2 ger. fösennant, retenlis-
sant. p. a. dd
Resoir, ©. ». r&sonner, retentir, renvoyer
le son ;rendre un grand soh,, Besucoup de son.
V. Razoar. Tudo resoava com oclamor de sous
lowores, tout rösonmait du Wruit de ses louan-
ges. o. a, Faire retentir. Assoom doces versos
tous louvores, que de beaux vers lesaent ro-
tenlir vos louanges. Hymnos que resoem os luu- _
vores do Senkor, des hymiles [aisaut retenlir
les Iouanges du Seigneur.
ResosaA0o0,A,P.p.de .
Resoarär, v. @. zesier boanenup.
1028 RES
RısöLro (V. Assolvido). p. p. irr. de Be-
solver.
ResoLtciö, s. f. resolation, proposition,
deeision; dessein; fermels, „ourage; parti
pris; hardiesso constante, franchise, liberie.
(t. de phys.)—, cessation totale de consistance.
(i. de med.) solution, resolution d’unetumeur,
eic. ; relächement des nerf[s, eto. (1. de chim.)
Reduction d’un mixte & ses premiers princi-
pes. (4. de malh.) Expos& des procödes pour la
solution d’un probleme. — de forcas. V. Frou-
ziddo. — do venire. V. Soltura. E mui arris-
eado lomar uma md — ‚il est ir&s-dangereux
de prendre un ımauvais parti.
RESOLUTAUENTE, adv. r6solument, avec re&-
solution ; avec intrepidite ; hardiment.
RESOLUTISSIMO, A, adj. sup. de Resuluio.
NesoLutivo, A, adj. rösolulif : qui peut re-
Soudre une tumeur, etc. Meihodo — „ meihode
analylique.
REsoLUTO, A, adj. resolu ; dötermin«,, hardi,
decid6; prompt, expeditif. p. p. irr. de Resol-
ver. V. Resolvido.
ResoLvrörıo, A, adj. (f.de prat.) rösolu-
toire : qui emports la resolution d’un acte
(clause ,cas).
RzsoLövgL , adj. 2 gen. rösoluble : qui peut
€ire resolu (problöme ).
ResoLv&nte, adj. 2 gen. (4. de phys. ei de
med.) resolvant, qui resout, r&solutif.
BesoLv£a, v. a. resoudre : faire cesser la
eonsistance ‚ l’union entre les parties; reduire
un corps en ses plus petites parties; amollir.
— ‚faire prendre une resolution; determiner
ä. Heduire &, resumer, recapituler. —, deci-
der une question, une difüculis,, un probleme,
eic. (em) —,, reduire,, changer en. v.n. Resou-
dre, former un projet, prendre une resolu-
tion.
REsoLY&a-SeE (a), v. r. se resoudre, se de-
tcrminer & ; se resigner ; prendre un parii. (em)
Se resoudre, se dissiper en vapeurs, eic. Se
reduire &, ölre renlernas, consister dans. Se
resoudre, samollir, se dissiper, en parlant
d’une tumeur. — ,, s’arröter, se d6terminer. Se
dissiper, disparaltre. Resolvodräo-se os perigos,
les dangers se sont dissip6s , ont disparu.
ResoLvipo, A, p. p. de Resolver. adj. Re-
sous, change en, dissipe. Resolu, decide.
Resonincıa, 3. f. resonnance : battomen)
prolonge et graduel du son. Resonnement, re-
tenlissement. (podt.) V. ia.
ReEsonÄnTE, adj. 2 gen. r&sonnant, relenlis-
saht. p. a. de
Resorir,v.n. V. Resoar. it. Ronfler en dor-
mant.
ResraLpan, (Sb. de relisur). V. Solfar.
ResriLvo, s. m. revers d’une feuille de p=
pier. Dossier de chaise, eic. ° Maladie des che-
vaux.
Resrancivo. V. Raspado.
RESPANGANENTO. V. Raspadura.
Respectativo. V. Lisongeiro, Adslador.
Rasrscrivamanıe , adv, Fespeclivement-
RES
Ruspecrivo, a, adj. respeclif : relalif, ga
rapport, qui comserne. ü. V. Bespriledr
(p. we.)
RespEcTU080, A, adj. respectuemz. T. Ba
poitoso.
Resrgıtino, A,p.p. de Aespsiler.
RESPEITADOR, A, 8. Celui qui respecie.
REsPEITäR, ©. @. respecier: perier respd:
reverer, honorer; epargaer, ne point enden-
mager. Regarder, @tre vis-h-vis, & l’oppoxie de
(ant.). Considerer, faire attention. — use,
(f. de mar.) faire honneur & une roche es a0
pointc de terre.
RESPEITÄR (a), v. #9. Concerner, avoir derar
port; regarder, apparienir. Pelo que respisi
segurangea da republica, quamt ä ce guı
cerne la securite de l’Elat. Pole que m
peila, pour ce qui est de mol.
TRESPEITATIVO, A ‚adj. ( P. us.) respeciseni,
qui marque du respect. il. V. Bespectieo.
RESPEITÄVEL, adj. 2 gem. respectabie: m
merite du respect; qu’on deit respertier.
T RESPEITÄVELMENTE,, ade. respectablemes
d’une mapiere respectable; de maniin ı 8
faire respecter.
Respkıto, 8. m. respect : sentimeni gu +
proche de la veneration ; deference, altern.
tgard. BRapport. * Raison, cause, sujet. Dee
a —, se Tespecier, se faire respecter: uf
avec soin la decence convenabie ä son a2.ı
son dat, eic. Ter — a alguem, otc., 1x &
respoct pour queiqu’un, ote. Falter w -ı#
guem, manquer de res & queique, +
blier le respect dü & queiqu’un. Couss, pe
de — , chos6, personne respectable. Nös pr
dar nenkum —, ne pas marchander, malin«".
ne pas epargner. Dizer — a, cencermer, 1@
rapportä..A — de, par rapport ä; äl’egar. =.
ausujot. de ;en comparaisonde, äproperum
Aecste —, acetegard, souscerappeort: In
A seu —, sur volre 0% son oompie; par za
& vous ou & lui. A que — ? pouryuei, pet e®
motif; & propos de quoi? De —, par sent
lion; de rochange. —ı humanos, connder30
humaines. A lodos os —s, sous tous 5 27
ports.
RESPEITÖSAMENTE, adv. respecisesseuen.
avec respect.
REsPEITöSO, A, adj. respecwueus: gu EX"
que du respect; qui porle respect.
* Respzıttäa. V. Respeitar.
+ Resricg, s. m. (fam.) "reponse be -
rude; reprimande.
+ Respica, 8. f. "glanage: aclisa de x»
V, Respigadura.
ResricAdeina, s. f. glaneuse.
RESPIGADOR, 3. m. glaneur, celui gu fo
Resricapira, 8. f. glanure: ce quelmr:
apres la moisson. j
Resricaö, 5. m. "envie autour des u>
Espigädo. ...
Respicän, ©. @. glaner : ramasser IS -
apres la moisson ; ( ig.) faine des mut ®
apres les premiers, et quelqueleö ubenEr
ar mn ne
RES
RespincABöR, A, adj. els.qui raue, qui re-
gimbe; röoaleitrant, indocile , hargneux.
Resrınchö, Ona, adj. bargneux, relif. V.
BHespingador.
RespıncÄr,, dv. a. regimber, ruer, en parlant
d’un cheval, surtout si c’est en hennissant.
(9.) —, resister : ne vouloir pas obeir; eire
recalcitrant; s’emporter de depit, de colere.
RESPINGO , s. m. regimbement, aclion de re-
gimber, de ruer ; ruade. Petiliement.
RespiRacäö,s. f. respiration : action de res-
pirer; haleine, soullle. Tomer a —, prendre
haleine. — do trabalho, (Ag.) "repos, delasse-
ment. V. Fölge.
Respinapkıao. V. Respiradouro, Resfolga-
douro.
Re£spıRino, A, 9, p. de Respirar.
RgspırADöuRo, 3. m. canal do la respiralion,
conduit par oü l’on respire. Soupirail, event.
V. Resfolgadouro,
+ RESPIRAMENTO, 5. m. vent, souffle, haleine.
RESPIRÄNTE, adj. 2 gen. qui respire; qui
couflle doucement. (fg. podi.) Qui paralt vi-
vant, qui semble anime, en parlant d’une sta-
tue, eic.
RespirÄR, ©. a. respirer : Jouir, marquer, t&-
moigner, exprimer. Exhaler, repandre quelgue
odeur. Soufller.— um bom ar, um ar sadio, res-
pirer un bon air, un air sain. — vinganga, ale-
gria, eic., respirer la vengeance,, la joie, etc.
Tudo respira guerra, tout respire la guerre.
Em quanio respirar os vilaes alenlos, tant que
»änıe me batira dans le corps.
REsPIRÄR, ©. n. respirer : allirer ei repousser
Y’air par le mouvement des poumons; vivre;
( fg.) prendre, avoir quelque reläche, sortir
de l’oppression, etc. Se recreder, se r&jouir.
Soufller doucement, en parlant du vent. Pa-
raitre vivant, sembler anime, en parlant d’un
tableau, d’une statue, etc. O bronze eo mar-
gnore respiräo, le bronze et le marbre semblent
animes. Respira ainda o amor da palria, l’a-
mour de la patrie vit encore. Ndo —, ne pas
souffler, ne dire mot. Sem —, ( fig.) sans re-
läche.
RESPIRÄVEL, adj. 2 gen. respirable: qu’on
peut respirer (air).
Resrino, s. m. Yactlion de respirer; haleine.
Moment de repos qu’on se donne pour repren-
dre son travail avec une nouvelle ardeur;
temps de respirer. Repit : temps qu’on accorde
pour le payement d’une dette.
+ RESPLANDECENCIA, 3. f. " Eclat, splendeur.
RRSPLANDECENTE, adj. 2 gen. resplendissant,
rayonnant, brillant.
RESPLANDECENTEMENTE, adv. avec splendeur,
avec eclat.
RESPLANDECENTISSIMO, A, adj. sup. de Res-
plandecenle.
ResrLAnDeEcRn, v. n. Eclater, luire, briller,
jeter de la lumidre; respiendir, briller avec
grand eclat. (fg.) Se manifester avec eclat.
e. a. (p. us.) Faire briller.
’ T Respıannacieamiase,, ade. avec splan-
eur.
RespLanpexte. V. Resplandecente.
RespLanoon, s. m. spiendeur, &clat, au PrFo-
pre ei au Ägure. Rayon, resplendissement,
spiendeur : grand &clat forme par l’expansion,
le rejaillissement, la rellexion de la lumidre.
* Aureole sur. la t&ie des sainis.
RESPLENDECER, etc. V, Resplandecer, eic.
Rzsronpäd, OnA, adj. raisonneur: qui r&-
pond, qui repligue toujours lorsqu’on lui com-
mande quelque chose; epilogueur.
RESPONDEDOR, A, 8. celui qui F&pond.
REsponpencıa. V. Correspondencia.
REspondente,3.m. V. Correspondente. (I. de
prat.) Celui qui r&pond en jugtice.
RESPONDER (a,cum), v. a. ei ®. röpondre:
repartir sur ce qui a ele it ou demande; faire
une röponse; faire la r&ponse A une lelire;
röpliquer, raisonner au lieu d’ob6ir; refuter;
röpeler ; avoir proporlion , conformile, commu-
nication avec, avoir rapport &; correspondre
aux bons oflices, eic., @ire reconnaissant; re-
pondre A l’atienie, succ&der selon nos vaux;
repondre aux soins du laboureur. On le dit
d’une terre [ertile. (per) Repondre de, &tre
caulion, garant. — com a sua cabega, en re-
pondre sur sa t&te. — pela fianga, certiller une
caution, en &tre garant. Bu respondo por elle,
je reponds de lui. Eu ndo respondo sendo por
mim, je ne re&ponds que de ma personne. Se
canlas ao asno, le responderd com couces,
(fam.) chantez devant l’äne, il vous lancera
des ruades. Obrigou-me a —, il m’obligea de
repondre.
Responnöna, 5. ou adj. f. raisonneuse. V,
Respondäo.
R&sponpino, A, 9.9. de Responder. adj. Rö=
pondu : A quoi on a repondu. Qui a eu une r&
ponse.
RESPONSABILIDÄDE, 8. f. responsabilit&: obH-
gation d’etre responsable de soi-meme, d’une
autre, d’une chose confl&ee, etc.
RESPONSADILIZÄDO, A, 9. P. de
t ResponsaBıLızän, v. a. fFendre respon-
sable.
+ RESPONSABILIZÄR-SE (por), v. r. repondre
de, se rendre responsable, prendre sous sa
responsabilite.
RESPONSÄDO, A, p. p. de Responsar.
* Resronsäd, s. f. V. Foro ou Censo.
* REsponsär, %.®». dire des r&epons.
RESPONSÄYEL, adj. 2 gen. responsable (de),
qui doit r&pondre, .öire garant de queique
chose, de ce que fait quelgw’un; qui doit ren-
dre comptle de sa gestion, etc. .
Respönso, s. m. röpons qu’on chante pour les
morts. V. Responsorio.
* Responsum. V. Resposta, Responsäo.
RESPONSÖNIO , 8. m. r&pons : partie de l’office ;
antienne redoublee, apräs les legons.
Resrösta, s. f. reponse & une question, etc.;
replique ; repartie , refutation ; lettre ecrite
pour repondre; co qu’om repond. tAg:) Ban rö-
flechi , renvoy6 par un &cho. V. Reposta.
Resrostäpa. V. .
Resrünuica , eio. V. Republice. .
Resasicıe, 3. m. “ouverture,, jaur ebire le
gund et la porte, et, par extension , fonle, 08-
veriure queleong@e; (Aig.) jour, meyen, expb-
dient. (id.) Portion wös-modiqne, potit resie.
ResneeninO,A,P- p. de
Rrsascrin, ©. a. rögter les valeurs des mar-
ehandises qu’on pormots. V. Pormuler.
d’une serrure, et euvertares deiseiel 1:
r&pondent. V. Paihetdo. it. V. Rositik,
ResreLLi0o, A,P.p. da
ResteıLLia, v. a. serancer : peigner ie cha
vre, ie lin.
RzsretLLo, 5. m. peigne ow soran: int+
ment pour pelgner lo chanvre.
Resreva. V. Restolko.
Resta ,s. f. "rejeton qui pousse as 6:
d’un arbro. — de sol, petite Iueur des raıch
da soleil. V. Resten. '
Hessauıän, ote. V. Aessbier, elc. Restrinca, s. f. (4. de wer.) 'rocher. as
Ressica. V. Rosace. au fond de l’eau ; bano de sable. Lies edutı
Nessio. V. Asclo ou Roeie. peu d’eau.
Kussepin , ete. V. Resuder, elc. Restincuin, v. a. (p. us.) &teindre de me
Ressuusaän, 9. n. salnier. V. Rogumar. vcau ; eleindre, extirper.
Restıtuigäö, a. f. restitation : acion den:
tituer, de retablir ; action de rendre ce quitı
pris owrecn.
Resriruipo, A, 9-9. de Restikeir.i.ie
titad ; retabli; restaure ; rendu, — de dis,
rappel6 de l’exil, |
Restıtufoen, 4, 9. oelui qui resliiee, ar.
tablit.
Restırufa (a), v. @. restituer (d): eit®
qui avait &t6 pris, possdde indüment; r;!?
rötablir ; remettre & P&tat pröoddent ren
Hessuscırän, ete. V. Rosuseilar, et0.
RestaseLeckn, v. a. rötablir : romeliro dems
son premier dtat, en born, en meilleur tat.
NESTABELBCER-SE, ©. r. so rölablir: se ro-
nnettre d’une maladie, d’une perie, elK.
RESTABELECIDO, A, 9. p. de Restabdeloeer.
RESTABELECIMENTO, s. m. rölablissement:
action de rötablir; #tat de oe qui est rötabll.
Recourrement : l’action de recouvrer.
Resranuoı, 3. m. (6. de bot.) " bugrane ou ar-
röte-bauf : plante lögumineuse, A piquante
dangereux ,& racines trds-fortes. ildolt @tre; rötablir, remetire en usap.?"
-+ Resrämpa, s. f. second tirage d'une 66- | gueur. Rendre les forces, donner une wir
tampe, d’une gravur®. vigueur. — a konra, reparer !honnts.-‘
damno, reparer lo tort, le dommag Ti
quelqu’un. — algusm de perdas, dan,
.| dommager quelqu’un d’une perte, ei.-#
custas, refondre, restituer, r&parer Is [n‘
Resritufe-se (de), ©. r. se reiabli, «=
mettre d’une perie, etc. Reconvrer une &
perdue ou usurpde. — em honre, tip ®
onneur.
Restirurörio, A, adj. qui conceme *#
danne la restitulion.
Resto,s.ın. reste : co quı demeum du
partag6, separe, d'une quanlile, ek. Basis
ce qui reste; residu, relignat de comp. *
— ds conlas ‚solde de compte. De —, amt
au surplus, du reste. Jogar, melter 0 -. 5
de son resie, Jouer l’argent qui resie Ji®'
—, ou meilero sou — na batalke, (1
deson reste, faire los derniers efforts.
+ Restoruin, v. a. chaumer, wirt‘
chaume. V. Rebuscar, Respigar.
RestöLHo,s. m. chaume, esteuble, &-
V. Rasiolho.
REsTRıpÄR, on. se Lenirträs-ierme te"
avec force. V. Esiribar.
Restaıccäö, 4. f. restriction : modiia-®
Himitation ; condition qui restreint. —
restriction mentale : räserve que l'on [al a"
son esprit, d’une partie dece qu’on prü#-
RESTRICTANENTE, ade, & la riguear, SIE
ment.
Rzstaıcriva. V. Resiriegde.
RESTRICTIvAMENnTE, ade. avae Testitd@-
Restriclamenie.
+ Restaurir, o. e. faire un second tirage
d'une estampe, d’une gravure. (fg.) Marquer.
Restänıe, 2. m. restant: ce qui resie. }
—, qui reste, qui estde Surplus. p.@. de
Resrär (de), u. m. resier : etro de reste, de
‘surplus. Manquer. V. Faltar. Restäo-me pou-
eos dias da vida, il me reste peu de temps &
vivre. II est quelquefols aeif. Ex. : Resto-Ihe
ainda tanto, je lul dois encore de rest# tant.
Azstaunacäö, s. f. restauration : rötablisse-
ment, r¶tlon ; (fig.) r&lablissement d’uno
dynastiedechue. Delivrance, affranchissement.
Restaunino, A, p. p. de Restaurar.
RESTAURADOR, A,5. Festauratenr : celul qui
relablil.
RESTAURÄNTK, adj. et 5.2 gen. restaurant:
yui restaure. g. a. de
RESTAURÄR,, dv. a. restaurer, rötablir, remet-
ire en bon eat. Rötablir : remeitre dans le
nıeme dat «u’auparavant. So racquitter : ra-
voir co qu'onaraltperdu. V. Aecuperar.
RESTAURÄR-SR, 9. F. 86 Fötablir : se remelire
d’une ınaladie, d’une perte, etc.
RESTAURATITO, A, adj. reslauratil : qui res-
tauro; restaurant, propre & ToSlaurer.
REsTauRATEL, ad). 2 gen. qui peut se res-
taurer,
Reste. V. Riste, Resto, Risten or Restia,
Restga,s. f. "gland » chalne, chapelet d’o-
gnons, etc. (g.) File, bande, rangee. V. Res-
tia. Heiter-se em — , (burl,.) se melire au nom-
bre .lo, se ranger parmi ; sieniremmclire, s’in-
gerer.
REST£LHO, 5. m. räleau : garniture ou gardes
ZT 7 10 vu
a > San Ve er!
mn —m— u nu,
RES
Resraicriro, A, adj. rosirietiß:: qui limite,
qui restreint.
Assrricta, A, adj. restreint » resserre, Ni-
mile.
REBTRINGENTE, adj. 3 gen. resiringent, qui
resireint. p. a. de Resiringir.
RESTRINCIDO, A, P.9. de Restringir.
RESTRINGIMRNTO, &. m. action de restreindre;
oempression , resserrement,
Resraıncia, v. a. restreindre, resserter, li-
miter d; diminner, reduire.
BESTRINCciR-SE, v.r. serestreindre, se horner
&, borner ses pretentions. So moderer, se T&pri-
mer. V. Refrear-se.
+ Restaıncivsr, adj. 3 gen. qui peut ötre
restreint.
RestucäkdO, A,p.p. de
Ürsrucän , o. a. boucher une [enie aveo de
la colle, etc.
Rrsuvdackö, s. f. (t. de med.) transpiration :
sortie des humeurs paris pores." Suinlement,
Tessuage : tat d’un COFpB qui SUB.
Resepär, o.n. transpirer. Ressuer. V. Re-
gumar.
Resörra, 5. f. suite, effet, rösaltat. Resultat
d’une conference, etc. V. Resultdde.
+ ResöLTa, 0. imp. Il appert, il est mani-
feste.
ResuLrino, A,p. 9. de Resullar. s. m. Re-
sultat : ce qui r&sulte, ce qui suit d’une deli-
beratlon , d’un prineipe, d'un fait; eonssquen-
ce ,elfet d’une eause, d’uno aetion, d’un dis-
cours.
ResuLtäincıa. V, Resulia.
RrSuLTÄnTR, adj. 2 gen. rösultant, qui re-
sulte. p. a. de
ResoLrär (de), v. n. resulter (de) , s’ensui-
vre; ötre la consequence, le r&sultat de. (em)
Tourner en faveur, ar proflt os au prejudice
de. Rejaillir, rebondir (p.us.). D’aqus reswlld-
rdo grandes desgragas, il en est resulis de
grands malheurs. Que resullou? qu’s-Hil,
qu’est-il resulte?
Ausumue.V. Resumo.
Resumipaußnte, adv. sommairement, en
abrege.
Resumino, A ,p.p. de Roesumir.
RESUMIDOR , s. m. abreviateur.
Resumir, v. a. resumer, recueilli® ; repren-
dre, r6öduire en peu depareles ot conclure;
abreger, faire un preeis. Reprendre. V. Reas-
sumir. Resoudre. V. Reduzir, Coneluir, Re-
solver.
RESUMIR-RE (em), v. r. se renfermer, 56 con-
tenir dans. Se rösumer. it. V. Cifrar-se.
Res6ömo, s. m. rösume, sommaire, pröcis,
sbrese. Em —, en abrege; bref, en peu de
mots.
ResospcÄiö, ss. f. resumption , action de rö-
sumer. (inus.) Reprise, continustion spr&s
interruplion.
Resömrra, s. f. V. Resumo. Röpetition d’un
svllogisme, d’un argument, avant l’y repondre.
Resumpte : derniöre thöse de Ih6ologie.
RET 4031
Rasunerivo, a, ed. (4. de mid.) rösumptif,
qui zepare, qui retablit (remede).
t Resurinacäö, s. f. (1. de bat.) rösupina-
tion : &tat d’une Qeur dont la corolie ow le p&-
tale sup6rieur devient inferieur.
rResurInÄäDo, A, @dy. (8. ds bof.) rösupind ;
(corolle, petale)en elat de resupinalion.
REsurino, A, adj. couch6 gur lo das, ren-
vers36 en arriere, N
Resurcipo, A,p.p. de
Resuncis, v. m. ressusciler, Y, Aessuseiler.
(fig.) Renattre.
Resurnneicäö, s. f. resurreetion : rolour de ;
la mort ä la vie. (flg.)—, recouvrement de la !
gräce. — da carne, dos morlos, r6surreglion '
de la chair, des gorps. Bsperar ald au pela—
dos capuehos, ( fam.) auendre une ohase qui
n’arrivera jamais.
Reserria,o. ®. rejaillir, rebondir. V. Aro-
tar, Sair.
. Resuscıracäö,s. f. action de ressusciter ow
de ramener & la vie.
Resuscırino, A,p. pP. de Resusciter.
RAzsuscıranör, 5. m. celui qui ressuselte.
ResuscıTÄR, ©. a. ressusciter : ramener de la
mort, ranimer, redonner la vie. (fg.) Renouve-
ler, faire revivre. v. n. Ressusciter : revenir de
la mort; (ig.) d’une grande maladie.
RESUSCITÄR-SE, v. r. 80 ressusciier solmöme,
se dit de Jösus-Christ,
RESVALADRIRO,, 8. m. Caase-cou, lieu glis-
sant, glissoire.
+ Resvaranio, A, adj. glissant, V. Zsoorre-
gadio.
ResvaLanduno. V. Resvaladeiro.
+RusvaLapöra , 8. f. trace qui resie & on»
droit od !’on a glisse. Glissade.
RzsvaLin (por), v. ". glisser, faire un fauz
pas. Patiner. (A4g.) Manquer & ses devoiss,
tomber en faute. V. Deslizar-se.— da fd, etc.,
s’ecarter de la foi, eio.— em erro, Bi6., LOUM-
ber en faute, eto.
Resvetar, etc. V. Resvalar, etc.
RETÄBOLO, 3. m. tabloau reprösenlant quel-
que &vönement ‚etc. Retable : ornement d’ar-
obilecture eontre lequel est appuy6 un autel.
* Rerino. V. Reptado, Desaflo.
"Reranen. V. Be .
Reracuinna,s. f. arriöre-garde d’une ar-
mee. Arcommellter o inimigo pela —, prendre
l’ermemi par derriöre.
RETALBÄDO, A,p.p. de Rolalkar.
RETALHADOR,, 3. m. oolui qui ooupe ou mel
en pieces.
RETALHADERA, 9. f. mise en pidoes ow en
moresaufT.
RetaLuin,v. a. retailler, couper, bacher,
meltre en piöces, Faire des retailles, des
pieces.
Reraımemo,s. m. celui qal vend en detail,
dctaillant.
RFETALBIRBO, 5. m. dim. de
ReräLno, s.m. "rotaille, parlie reiranchce en
fagonnant, elc.; mosceau. Coupon d’Stofle, eis,
1033 RET
Mersador ao —, marthand en detail, detall-
lant. —s, pl. morceaux d’etoffe. —s de pellica
para eolla, rognures ow retailles de peaur,
orillons. Manta, capa de —s, couverluro,
manteau de plusieurs petits ınorceaux d’etofles
de diverses couleurs; habit rapiscele. ( fig.)
Centon : ouvrage plein de morceaux pilles;
rapsodie. (id.) Homme d’une instruction mal
Jigerte.
ReraLıkno,A,p.p. de
+ ReraLıän, v. a. user de la loi du talion.
RETÄuNA. V. Giesta.
“Reräug. V. Apucar.
ReTancHino,A,p.p. de
+ RETANCRÄR ‚ v. a. replanter la vigne.
“Reräin,etc. V. Reptar, eic.
RetanDaGäd, 8. f. "retardement, relard, d&-
lah
RETARDADO, A, P.p. de Relardar.
RETARDADON, A, s. et adj. qui retarde.
RETAnDANMENTO, 5. m. reiardement, delai;
retard.
*Reranpänga, s. f. V. Relardamenio.
Reranpie, v. o. Fetarder, differer, s’srrid-
ver.
Reräano,, s. m. retard, allongement, delai,
romise.
RrrivoLo. V. Retabolo.
* Rerkan. V. Relirar.
ReteLgino,A,9.p. de Retelhar.
Rereıuanisa,s. f. aclion de recouvrir un
tolt, reparation d’un toit,
RETELHÄR, 0. @. recouvrir un toit, remplacer
les tuiles qui manquent.
+ Rertu,,s.m.*reserve : provision pour le
besoin, cic. (8. de mil.) —, troupes & l’arriöre.
De — , en reserve, & part. Armazem de — , de
p6t (de märchandises ), entrepöl (de vins,
eit. )
Bermınisıız, s. f. ($. d’anat.) "lissu des
pelites ariöres sous lo cervean.
Rerengäö, s. f. retention : aclion do retenir,
röserve, reservalion. L’action de conserver un
emploi en passant & un autre. Acte par lequel
le roi suspend l’ex&cution d’une bulie, jusqu’&
ce qu’il ait 6crit au pape. — d’ourinas, relen-
tion d’urine : dificultt, impossibilite d’uriner.
+ Reresida , s. f. (1. de mar.) cordage de
setenus , palan de reiraite os de recul des ca-
aons. — do escaler, hale a bord du canot.
Ükrentiva,s. f. facultö de retenir, me&meoire.
Prudenze, eirconspeclion.
RETENTIVO, A, adj. (4. de med.) retentil, qui
retient.
RETENTO,A,P. p. irr. de Beier.
RETENTOR, A,s. rötenlionnaire : qui retient
la propriets d’autrui.
Nerentriz, adj. [. ($. de mdd.) on le dit de la
facult6 propre ärelenir. V. Retentivo.
Rer£r, v. a. reienir : garder par devers soi
ee qui est a un autre; ne pas lächer, ne pas li-
vrer; arcöter; empe£cher ; garder dans sa mec-
moire; (fig.)repriner,moderer (sacoläre, elc.).
Garder, conservon it. V. Apener.
RET
RETER-SE , 9. 7. se oontenir, se mode.
Reresino, a,p.p.de
RETESÄR, v. a. tendre, bander. V. Alm.
Endurecer.
RETESÄR-SE, ©. 7. s’endureir. On We dit da
mamelles des animaux, surtout lorsqu'che
sont trop chargees de lait.
RETEÜDO, A,p. p. irr. de Reter.
Rericancıa , s. f. (b. de hät.) rölieese:
interruption subite et faite & dessein dam l
discours.
Rericu.a, s. f. (l. d’astr.) "reüiele: m
neau garni de fils croises pour mesurer le di-
mälze des asires.
KericuLAno, a ,adj.{f. d’arch. anc.) reitet:
(magonnerie —e) cailloutage en carres leeti,
imitant un filet.
Rericu.in, adj. 2 gen. retioulaire os tn»
forme, qui ressemble ä un reseau.
RericuLo, s. m. V. Retieula.
Rerirican,, etc. V. Reelificar, eilt.
RETIFÖRME, adj. 2 gen. (4. d’anal. ci dem!
rötiforme : qui a la forme d’un reis. |
+ Retıntım,, s.m. retentissement, tiniemek
bourdonnement dans les oreilles.
Rerina,s. f. (&. d’anat.) reline : Slew art
laces, &panouissement du ner[ opligee, u"
goivent les images. dt. V. Raline.
Rerınaia, 0. 6. reteindre : teindre de ur
veau.
Berınino, A, p. p. de Relinir. s. m. kur
tissement; tintement d’oreilles.
Rerininte, adj.2 gen. qui reienik; qui ie®
p.a.de
Rerınir ow Reriınnia, v. m. reienür. Tor,
resonner, en parlant d’an melal, d’en vr,
eilt.
Rerina ou (4. dimpr.) runs“
Reriaciö,e.f. } verso d’ane lecik #
papier imprimee d’un cöle ; action de [=
primer.
Rerıaäpa, s. f. retraite : sclion de se re‘
marche de troupes qui se retirens; lien =!“
se relire, ou l’on se refugie. V. Retirod.b-
soncia. Faser uma -— airosa ‚faire une haaXt
retralte.
+RerıRipauantg, adv. dans la reirad.*
litairement. L\
Rerıäpo,A,p. p. de Retirar. dj. Bett:
eloigne. Vida —e, vie solitaire et relrer. 6
mem —, homme relire, qui vit dans la nit“
Luger — , lieu retire, solitaire.
RETIRANENTO, s. m. action de relirer. \.E
hiro.
Rerırän, o. a. retirer : ürer & soil, nm &
fitre; ecarter, 6loigner, reculer; dler wat iM
de l’endroit ou elle dtait; öler de derasi &l
yeux; cesser de donner un secours necrs2@t
Detourner, meitre & l'&cart. — os Iuzimre'@.
( loc. an.) eviter les occasions de hruler. Fe
zer — lodus, faire en aller tout le monde
Rerinin-se (0, de, pera), ©. r. se reife!”
commerce du monde. Rompre avec guet ®-
Se retirör : s’en aller; se relirer dans, se
RET
gner, se röfagier dans; ne reeuler; rentrer chez
soil. (8. de mil.) Se replier. plier, reculer; battre
en retraite, — a um clausiro,, se jeter dans un
eouvent. — dos negocios , renonoer aux affaires.
— do jogo, ne plus jouer. — para casa , 36 re-
rer au logis,, rentrer chez soi.
Rerino, s. m.“ retraite : lieu retire, demeure
solitaire ; $loignement du oommerce.du monde,
eic.
Rero. V. Repto et Rooto.
*Azroär. V. Beptar.
Retocäin0,A,p.p. de Relocar.
RETOCABOR , 3.m. outil d’orfövre. !
Rerocär, ©. a. retoucher, revoir, corriger,
perfectionner ; reformer. — uma obra , um pai-
nel, retoucher ä un ouvrage, reloucher un ta-
bleau.
ReroLo. V. Rötulo.
Rerosmävo,p.p.de
ReromAÄR, 9. a. reprendre : prendre, saisir
de nouveau.
Retomsin. V. Relumbar. .
ReT6öQueE, s. m. * recherehe, dernidre maln
qu’on met ä un ouvrage. (S. de peint.) “ Retou-
che, changement, endroit retouche. * Correc-
tion , perfectionnement.
Reroncepeıno, 8. m. " machine & retordre le
al.
Reroncedör, A, s. reiordeur : celui qui re-
tord des Nils.
Rerorcepüra, s. f. Paclion de relordre du
fil, etc.
Reröncka, v. a. relordre : tordre une seconde
fois. Retorquer un argument. (fg.) Mal inter-
pröter, prendre en mauvaise part. Retourner.
V,. Torcer. — oceaminkho, pelos proprios pas-
sos , rebrousser chemin , retourner Sur 868 pas.
RETORCIDO, A, p. P. de Retorcer. adj. Reiors,
retordu. Crochu , recourbe, torta. Tortille, en-
tortille. Tortueux. Cabello —, cheveux frises,
Reröxıca, etc. V. Rkelörica, etc.
RETORNADO, A,P.p. de
RETORNÄR, dv. 6. ein. Felourner dans un en-
droit. V. Voltar, Regressar.
RETORNELLO,, 8. m. * ritournelle d’un air, re-
train de chant, etc.
RETORNO,, 3. m. renvoi, retour dans un en-
äroit (p.us.). Retour, reconnaissance d’un bien-
fait, etc. Troc, echange. Retour d'une voiture
a vide. —s, pl. (t.de comm.) marchandises de
retour ow de renvoi. Sege de —, carrosse de
renvoi.
ReToRgtir , v. #. relorquer : toumer contre
son adversaire les arguments dont il s’est servi.
st. V. Retorcer.
+ Reronsiö , s. f. retorsion : aclion de retor-
quer.
Rerörta, s. f. retorte, cornue : vaisseau de
chimie. La partie recourbee de la crosse d’un
ereque.
RETORTO, A, adj. crochu, recourbe, torlu.
Mourisca —a, sorte de danse ancienne.
Artosin. V. Relougar.
BET 1033
f Rerosräa, v. a. röpeter les loasis, les
santös.
+ RETOUCAR , vo. @. recoiffer : coiffer de nou-
veau.
RerougaDoR, A, adj. et s. badin, folätre. Y,
Reiougdo.
REToUGÄO , öna, adj. qui badine, qui folälre
d’une ınanidre indöcente (inus.). Bondissant,
qui bondit ( cheval).
RETOUGÄR, 9. 9. et —SE, 0. r. jouer, folälrer,
sauter, bondir,
Reröugo, s. m. saut, bond d’un animal, en
signe de joie.
Rernäccäö,s. f. V’action de retirer. (8. de
chir.)* Relirement: contraclion,, accourcisse-
ment.
f Retrracinas, adj. [. pl. ( t. de bot.) Folhas
— , feuililes ruminedes, en lanieres recourbees.
f Rerracän, v9. a. so dit des animaux qui
€parpillent la paille 4 demi mächec. (Ag.) Re
buter, dödalgner.
* RETRAGAR-SE. V. Recolker-se.
Retrico, s. m. les debris de la paille que
mangent les animaux. (fig.) Rebut.
RETRACTACÄO, 5. f. reiractalion : action de
se rötracter ; d&saveu,.
RETRACTÄDO, A, 9. p. de
RETRACTÄR, vd. G. rötracter ; desavouer. Trai-
ter de nouveau.
RETRACTÄR-SE, v. r. 56 rölracter, se dedire;
revenir sur c8 que l’on a dit ou fait; detruire oe
que l’on avait avanoe.
Retnatn ou Rernanen. V. Reirahir.
*Rernacuvinna. V. Relaguarda.
Reraagipo, A, 9. p. de Retrahir. adj. Con-
centre, relire; dissimule.
RETARAHIMENTO, 5. m. action de relirer; reli-
rement. * Retraite, reluge, asile. * Reserve.
RETAAHIR ‚9.0. relirer : tirer vers soi os d’un
lieu dans un autre. Dissuader, detourner d’un
sentiment. Retraire, retirer un heritage aliöne.
Faire rentrer. ( ig.) Cacher, dissimuler.
RETRABHIR-SE (G), dv. Tr. se retirer, batire en
retraite; se relugier, s’absenter. (de) Se relirer,
s’enfuir.
Retrair. V. Retrahir.
RETRAMÄR, v. a. tramer de nouveau.
Retränca, s. f. avaloire: large courroie qui
sert de croupiere aux betes de somme; culiere,
(1. de mar.) Civiere, moustache. — d’uma cha-
lupa,, (id.) bome ow baume ‚grande voile d’une
chaloupe; voile & gui.
ReTRATADO, A, p.p. de Relralar.
RETRATADOR, 5. m. V. Reiralisia. ( ig.) Qui
decrit, depeint.
RETRATÄR, 0. a. peindre : faire un portrait,
Imiter, copier. (g.) Decrire, depeindre. V. Hs
(raclar.
RETRATÄR-SE (em), v. r. se voir, se revoir.
(ig:) Se reproduire par la ressemblance. Ne
filho se retralou oulro pei,, le fils est le portrait
de son pere.
RETRATISTA , 3.2 gen. peinire en porlraits,
1084 RET
Reroiro, s. m. portrait: renräsentatian do la
figure d’une personne; description cn vers 0%
en prose des traits, du caraciäre, elo.; (flg.)
figure, image, representation. Este Alkado —
de seu pai, co llls est la vraie rassemblance de
son pe@re.
* Rernaourär. V. Reiractar.
“Rerrazea. V. Heirakir.
Rerreuea, o. m. trembler de nouveau.
Beraßta,s, f. reisaite: signal donnd aux Sol-
dais de se retirer au quartier. Tocar 6 —, 300-
ner la retraite.
Rerntte, s. m. cabinet secret, ratird. Retrait,
privs, cabinet d’aisance. Cadsira do —, clıaise
perc6e.
Reraistıcäö, 3. f. retribution : salaire, r&-
eompense d’un travail, d’un service, d’une
peine, olc.
Rerkızufpo, A, p. p. de Reiribuwir.
Rrraıgvidön, A, 8. 0elui qui r&compense.
RETRIBUIR , v. 8. r&compenser, donner le sa-
laire, la röcompense, elc:
ReraıLnido, 9. p. de
ReraıLuin, o. a. fr6quenter souvent un che-
min. V. Repisar. '
Retaıncäno, A, adj. narquois, fin, ruse, qui
se platt A tromper. V. Cavilloso. 2. p. de
Rerriıncia, v. a. entortiller, embrouiller,
( Ag.) Interpreter malicieusement.
RETRINCHEIRANFENTO , s. m. (d. de fort.) "re-
tirade : retranchement derriere un ouvrage.
RETRO, adv. (mot lat.). V. Alraz.
Rerno, s.m. (6. de prai.) remeor6 ı pacie avec
facult& de rachat, faculıi& de reprendre une Id
echose vendue en donnant son prix; rachat, re-
trait der&mer6. Vender a —, vendre & renıere.
— fechado , römerö limit, dans un terme fıx6.
— aberto , r&märs illimite,
Rernoaccid, s. f. rötroaction: ellet de ce
gui est rötroactif.
RerroAcrivo,4a,adj.(I.de prai.) rötroaclil :
qui agit sur le passe.
+Rerroär, v. ». relenlir de nouveau,
+ RerTRocänos, s.m. pl. sorie d’ancien orne-
ment dans les broderies.
RETROCEDER, v. n. rebrousser chemin, reiro-
grader, reculer. (fig.) Reculer, se dösister d’une
euntreprise.
RETRocEDIDO, A, 9. p. de Reiroceder.
RERTROCEDIMENTO. V, Reirucesao,
Retnocea. V, Retorcer.
Retrocessäd, 5. f. l’action de reculer. Retro-
Cession.
Rertaocksso, 8. m. V. Relrocessäo. L'aclion
par laquelle leshumeurs rentrent du dehors en
dedans.
Rernocradackd, 5. f. (1. d’astr.) rötrogra-
datlon : action de re&trograder.
RETROGRADADO, A ,p. ?. de Retrogradar.
+ RETROGRADAMENTR, ado. ei rötrogradant,
d’une manidre r6trograde.
RETROGRADAR, ©, ®. Felrograder : rolourner
en arriere.
REV
qei va on arriäre, Verse — , (1. de pods.) von
rötroyrade ; quia les mmämes leiten ei le ındme
sens des daux cölea. Ex. : oma tibi subilo ne
hihua ibit amer,
Ratrocuians. V. Reisguards,
* RETROITÄR , 0, 0. ( 4. de pre.) aulredina
justioe,
Reraos. V. Reires.
RETRoTRAcTivo. V. Retroactivo.
t RETROTRAUIR, 9. @. Fapporier ume cha ;
un temps anttrieur & oslui de san exisise«:
donner un effet r&isoaclif.
Rkrnovsnneeno, 3. m. mol [orme des den
mots latins reiro vendendo. On dit en pariı-
gais: Cunirsto, paclo de —, römeans, tatbil,
recouvrement d’une chose venduo on es fer
dant le prix. V. Retro, s.
RETROVEnn£R, v. 6. (f, de prei.) rerendn un
vendeur ce qu’on a acheie de lui et pow k
möme prix, remerer.
+ Reraovamiciö, 3. f. (td. de prai.) ieie
de revendre au vendeur.
BETROYENDINO, A, p. P- do Reirovender.
Reraöz, &. m. soie lorse, fil de sole.
+ Reraucia, 0, 6. V. Retorguir. 0. n. Ba
vier, au jeu.
+ RETRÜQUE, 5. m. contre, contre-ooup dm
bille qui, apres avoir touche la bande, vi
frappar celle qui l’avait daplacke. Banvi, au rt
de cartes. |
Rerouran. V. Rofuler.
RETUMBÄDO, A, P. p. de Relumber.
RETUMsaÄnTe, adj. 2 gem. retentissaal #6
L)
Reruusän, 9. m. retenlir, resonnet.
BETÜN2O, 3. m. relenlissement: son read.
renvoy6 aveo 6clat ; resonneomen!.
Raruspino, A. 9. p. de
Reronpia, ©. 6. (1. de ndd.) dmoune; !
primer.
Reu os Raso. } V. Ruibarde
ReUBARBO, 8. m. ° .
Rtuna, te. V. Aheume, elc.
Reünıkö, s. f. röunien : action de rasiı, I
se röunir; (Ag.) reoenciliation. " Rassemdt-
ment, concours de personnes, allroupeBi®“
(1. de mi}.) ' Ralllement: l’aotion de ralliz, &
se rallier.
Reönino, A, 9.9. de
Rzönin , 0.6. röunir : rassembler co qei #3
&pars, desuni, s4pard; unir, joindre.((. dem)
Rallier, rassembler, remelire ensemble. \L.#
ekir.) Agglutiner : röunir les chairs, jap
m os qua fogem,vallior les [uyards, las rasın®
er.
Reünia-sE, v. vr. se rsunir, se rassembiet, #
rejoindre.
Revauınackö, s. f. röralidalion : aclicn #
rendre (& un acte) sa validile. Rauiflcalie.
REvaALIDÄDO, A, P. 2. de .
Revauınaa, 0.0. revalider : rendre la ra
‚ dit: ratifler, confirmer, donner une
Ruraocsano, a,adj. (4. d’asir.) röiragraule: | force.
REV
Revedön, s.m. celui qul rarolt. Correeteur
d’ınprimerie. Censeur. V. Rerisor.
IiseL,adf. 2 gen. (1. de prai.) contumax:
a: use qui ne comparalt point sur la eitation,
Ser —, nepoint comparaitre, laisser prendre
defaut contre sol. V. Re .
ReveLacid, 8. f. rerelation » action de re-
reler; chose , religion r&veite; inspiration.
ReveLivo, A,P.p. de Revslar.
REYELADOR, A, 8. celui qui revdle. -
Reveriö, adj. m. aug. de Aevel. Rätif (che-
ral). V. Rebelläo.
Reverir, v. a. rövsler » Adoouvrir, deolarer,
faire savoir, deelarer, manifester. Annoncer,
predire, avertir de. — mulher, connaltre une
fomme.
Revsındösco, a, ‘dj. (durl.) un peu 4g6.
RevsLia, s. f. *defaut de comparution aux
termes de Passignation. Sentencoiser d—, 000-
damner par delaut. 4’ winhe —, & mon insu.
ReveLim, s. m. (6. de fort.) ravelin : ouvrage
de fortilication exterieure, demi-lume. — feilo
em lenalha, contre-queue d’aronde.
ReveL.in, 9.0. 08 REVELLAR-SE, ©. v. V.
Rebellar-se.
ReveLL&nte, adj. 2 gen. (f. de med.) rerul-
sif. p. a. de
Revsıria, 0. a. (6. de med.) donner aux hu-
meurs une autre direction, faire rövulsion.
Revzııöso. V. Rebelde.
Revzıöa, 8. f. de Roveiko.
Revenpa, s. f. rovenie : seconde vente,
ReEvEnDÄÖO, ONA ,s. revendeur.=uS0.
*Ravunnackö. V. Revendila.
Revzunnnör, A. V. Revenddo,
REVENDER, 9. @. revondre : vendre de nou-
'0au ; vondre 08 qu'on avait acheis.
Revanpıcıö, 8. f. action de revendre. V, Rs-
sende.
Revanoıcie. V. Revindicar.
Revaunino, a, p. p. de Revender.
Revanpınniö. V. Revendde.
Revenpira. V. Roviadieta,
REVENDORA, 8. f. revendeuse.
REVENSRARO, A, P. p. de
REVENERÄR, 9. a. rövörer, vöndrer.
Revta, ©. 6. revoir : voir de nouvean ; 00r-
iger, retoucher, examiner de nouveau; reri-
er. vo. ». Suinter.
REVER-SE (em), v.r. sa rezarder, se mirer
ans une chose qui rend l’image. —em alguma
usa, se plaire A examlııer un objet.— na sua
bra, so mirerdans son Ouvrage. —em alguem,
»garder, aimer quelyu’un comme un aulre
Ji-Im&eme,
Revenı , ade. (mot lalin) en effet, en verite,
Revanseniciö, 3. f. reverberation: refe-
‚issement, röfexion (de la lurmnidre, de la
‚aleur). Calcinatlon dans un fourneau de re- !
ırbere.
Rzvsnnzräng, A,Pp. p. de Hererberar.
REVERBERÄNTE, adj. 2 gem. reverberans ı qui
werbere ow röflschit,
REV 108
Reversenin, ©. a. et mw. rörerbörer, rölls-
chir, se dit de 1a Iumidre. V. Brilkar
Revenpeno, s. m. V. Reverberapdo. Fogo-
fornilko de —, fea,, fourneau de röverbere.
RRVenDEceR, v.e. faire revordir. v. w. Re-
verdir: redevenir vert; fg.) rajeunir; rode-
venir plus fort, reprendre une nouvelle vi-
gueur.
RevEnvxzckntg, adj. 2 gen. p. a. do Aever-
deoer. Reverdissant, qui reverdit.
Revanpscino,, a, p. p. de Reverdecer,
REYRADECIMENTO ‚3. m. reverdissemen! : 26-
tion de reverdir. (Ag.) Rajeunissemient.
Reveninca.V. "respect, ventrallon.
Reveatnaa,e. f. I Reverence:saiutenın
elinant, en pliant le eorps; Liire donnd aux re
ligleux.
Revenuncıäno, A, p. p. de Roceveneiar.
REVERENCIADOR , A, 8. oelal qui reröre, qui
respecte.
RavsasıcıÄı, adj. 2 gen. qui marque du res-
peet. Temor — , crainte r6vörentielle.
Revenzncıän, 0. a. rör6rer : henerer, res-
peeter profondöment,
RurYzaancıösaußuts , ade. revörencieuss-
ment, avoo respect.
RanYzasncıös0o, A, adj. rövörencleux, Irds-
respeelueuz.
Ravantnnas, 3. f. pl. dimissoires : permis-
sion de se faire ordonner par un autre 6v@gue
que le dioessaln.
+ Ravensnpissima, 8. f. titre donns aux gb-
neraux des ordres reiigieux.
Ravsaznpissıuo, A, adj. revsrendissime :
dit plus que irds-röv6rend ; titse elaustral ; titre
des göndraux d’ordre, den archevögues, des
patriarches , #0. sup
Revnatıeo, ad. digne de respeot, de vent-
ration. (fam. ) Extzömementeirconspect, d’uns
vöservo, d’unegravite affectde, etc. Rerörend :
ütre d’benneur donne anz religisuz , ele.
REVERENTE, adj. 2 gen. respeclueux.
REVERRNTENENTE, ade. roröremment, Tes-
eusement.
Ruvznis, V. Reuslie.
Revsnsa. V. Hevassa.
Reversit, adj, 2 gen. Corla — ‚leiire röver-
sale, qui se repporte d une autre. V. Asselva.
Revensiö, s. f. reversion, retour.
RevsasiveL, adj. 2 gen. röversible ı gai doit
retourner & son proprietiaire, 6i0.
Revzasivo , a, adj. qui selourne ; sujot A rö
version (bien). V. Reversiuel. Nervos -os, (1.
d’anat.) V. Recurrenie.
Reveaso, a, adj. eontraire, opposs. 4. \.
Bevesso.
Rzveaso, s. m. revers de medallle, de mon-
naie; envers, le cötö le moins beau.
+ Revaatür (a), ©. n. relourner & son pro-
| prietaire,, & la couronne, etc. V. Reversivel.
Revaatino, A,p. p. de Reverter.
Revaarivaı. V. Reversivel,
Bzvts, V, Royes.
1036 KEY
Ravsssı ,s. f. conire-oourant dans une Ti-
viere,, eio.
REYESSADO, A, adj. tortueuz. p. p. de
RETESSÄR, 0. a. vomir, rendre ce qu’on a
mange. vo. n. Tourner en arriere, faire un CON-
tre-courant.
Aevesso, A, adj. neueux, difficile & travail-
ler, en parlant du bois. (fg.) Revöche. V. Re-
000.
REVESTIDO,, A, adj. muni, pourvude. p. p.de
Revgstin (de), v.a. revölir, melire un habit
sur un auire,, v&lir par-dessus. Rev£tir un has-
ion, eto., le couvrir, lo remparer de pier-
res , etc.
HEVESTIR-SE, 0. r. se rer&lir, s’habiller. On
le dit surtout da prötre qui s’habille pour dire
la messe, etc. (g.) Se munir, se pourvoir de.
Rev£z, s. m. dos, Tevers, eNYefs: second
edle, ce qui est au dos. Revers : coup d’arriere-
main. Revers : coup d’&pee donne diagonale-
ment sur le cöt6 droit. Coup de revers. (fg.)
Revers, disgräce , accident fächeux, infortune.
V. Reverse. Ap —, oude—, de lravers, ä& re-
bours, ä contre-sens; obliquement, de biais,
de gauche & droite; &.dos, par derriere. 4o—,
ä rebours, Al’envers, & revers. Revszes, pl.
alternative; vioissitudes ; disgräces, rovers.
A —s, adv. tourä tour, allernativoment.
RevgzäpameEnte, adv. alternativement, tour
& tour.
KEvezino, A, p. p. de Revezar. adj. Faital-
ternativement, qu’on relöre.
REVEZAMENTO , s. m. "alternative, action de
taire une chose alternativement.
Revezir, v. a. relever, remplacer alternati-
verment,. v. ». Allerner.
HEYZZÄR-SE, ©. r. se relever, se suocöder
tour & tour, travailler alternalivement.
REYEZILHO , 3. m. point de coutare; ooulure,.
Rev?zo, A, adj. orageux, violent, en par-
lant de la mer. (Ag.) Scabreux, difficile. V. Re-
©0880.
+Revizo, s. m. enclos de pälurage; pacage
abondant. (fig.) Bonne chere,, ripaille.
Revıpino, A , adj. (Ag.) repete. p. p. de
REvIıDÄR, v. a. renvier au jeu. (fg.) Faire
autant ou plus. Contredire (p. us.).
+ Revinento, 3. m. suintement, action de
suinter. * Revue (awf.).
REvENRDIcAGAÖ. .
REVENDICAR , @tc. } Y. Reivind..., elc.
Revınnicra „ s. f. double vengeance.
Revıncino,A,p. p. de
REVINGÄAR , v. a. venger doublement.
Revirano,A,p.p. de
Reviaär, v. a. revirer, tourner, relourner
une chose du cöt& oppose. River. Retorquer.
— ums bofelada , rendre un soufflet.
Revınin-se, v0. r. se tourner d’un cöts el
d’autre.
Revintte, 5. m. ° riposte : ropartie prompte,
r6ponse vive pour repousser une raillerie.
Revısiö, s. f. revision : aotion de reroir,
REV
d’examiner ; nouvel examen (d'un sup,
d’un proc&s, elc.).
Bevisita ‚3. f. seconde reconnaissance; s-
conde visite.
Bevısırackd, s, /. nouvelle visite.
Revısıran, 0. a. faire une seconde visile.
REVISOR , 3. m. röriseur : qui revoit apres m
autre. Censeur des livres. — das conlaı, t68-
recteur des comptes. — do santo offeio, qui:
ficateur. V. Qualificedor.
T Revisörio, A, adj. qui a rapport ä la nini-
sion.
Revista, 5. f. revue, examen, recherche.
Revue des soldats. Revision d’un proce. —
d’inspeelor, (1. de mil.) inspeclion, rerue die
specteur. Passar — ds tropas, passer les er
pes en revue.
Revistino,aA, 9.9. de
ReEvisTÄR, 0. a. reroie un proces, lessmi-
ner. (6. de mei.) Inspecier, passer en ferk.
Reroir, examiner. V. Rever,
Rsvisto, p. p. irr. de BRever. adj. Ber,
corrig®.
Revmär, v. 8. river. V. Arrebilar.
Bevite, s. m. renvi au jeu.
° Revivacka. V. Reviver.
Revivea, vo. ®. revivre : revenir de ls wei
la vie. (4g.) Vivre de nouveau ; se reneurekt:
reparalire.
Revıvırıcackö, s. f. (t. de chim.) reririie-
tion : operation pour rendre au ıneial sa form
naturelle.
Revivirsckpo, A,P.Pp. de
REVIVIFICAR, 9. ®. Fevivißier : vivißer de mt
veau. (f. de chim.) Opörer la revivißcatioa.
Revızıracaö, etc. V. Revisitagdo, eic.
Revoipa, s. f. action de revoler; reiwur det
oiseau en volanı.
Revoir, ©. ®. revoler; revenir en velan
Voltiger.
+ Revocacäö, s. f. " rappel : action de ra»
peler. V. Revogapio.
REVOoCiDO, A, p. P. de Recoear.
+ Revocanön,4, 5. celai qui rappelle (inm..
REvocÄR, v. @. revoquer, rappeler gr
qu’on. Ranimer, restaurer, faire revivre. a,
V, Rebocar. it. Revoger.
REVOCATÜRIA , 3. f.” acte, clause rerocaiet.
REVOCATÖRIO, A , adj. revocaloire, qei nt
que (acie, clause).
Revocaciö, s. f. rörocalion : aclion de m
voquer; acle qui Tövoque.
REvVOcino, A, pP. p. de Revogar.
RevocäAnoR, A, 5. celui qui revoque.
+ REVOGÄNTE, adj. 2 gem. reroqusal, gü
revoque. p. a. de
Revocär, ©. a. revoquer : declarer nal.
ordre donns, une donation faite, etc.)
Revocatörıo. V. Revocalorıo.
RevOGÄYEL, adj. 2 gen. qui peut @ire Ter®
qu6, annule, revocable.
REVÖLTA, 5. f. rerolte, rebellion , souler®
ment contre l’autorit& legitime; trouble, fr'®
lution, södılion , insurrection. " Diserdre, °®
REV
Revedön, 8. m. celul qui ravoit. Correeteur
d’inprimerie. Censeur. V. Rerisor.
Ngier,adj.2 gen. (1. de prat.) contumazx:
sccuse qui ne comparalt point sur la citation.
Ser —, ne point comparailre, laisser prendre
defaut contre sol. V. Hebelde.
Reveracıb, . f. rörelation » aolion de re-
reler; chose, religion reveiee; inspiration.
RgveLäno, a,p.p. de Revslar.
REVELADOR, A, 3. celul qui revele. -
ReveLiö, adj. m. aug. de Revel. Retil (ohe-
val). V. Rebelldo.
Reverin, v. a. rörsler : deoouvrir, deolarer,
faire savoir, deolarer, manilester. Annonoer,
predire, averlir de. — muiher, connallte une
femme.
Revsınösco, A, ‘dj. (buri.) un pea &g6.
Revsuia,, s. f. "defaut de comparution aux
termes de l’assignalion. Sensencier d—, 00N-
damner par delaut. 4’ minke —, a mon insu.
ReveLim, s. m. (6. de fort.) ravelin : ouvrage
de fortilication ext#rieure, demi-lune. — feilo
em tenadka, conire-queue d’aronde.
RevexLin, 9.9. e8 REVELLAR-SE, 9. 7. V.
Rebellas-se.
ReveeLente, adj. 2 gen. (1. de mid.) rörul-
sit. p. e. de
Revzuıin, 0. a. (£. de mndd.) donner aux ha-
meurs une autre direction, faire revalsion,
Revsııöso. V. Rebelde.
RAzvzıöı, s. f. de Roveldo.
Revempa , s. f. revenie : seconde vente.
Revanpäö, ONA ,s. rovendeur.—@u80.
"Revaapschö. V. Revendila.
Ravzunenön, A. V. Revenddo.
REYENDER , 9. a. revendre : vendre de nou-
veau ; vendre oe qu’on avait acheit.
Revanpıciö, 5. f. action derevsndee. V. Rs-
wende.
Resvenoicia. V. Revindicar.
Rzvzu2ino, A, p. p. de Revender.
RevanpıLniö. V. Revendäe.
Revenpira. V. Rovindieia,
BevanDöna, 9. f. revendeuse.
REYENEBRAABO, A, P. P. 06
Revanzain, 0. a. rövörer, vöndrer.
Rev£a, v. 6. revoif : voir de nouveau ; 00r-
riger, retoucher , exsminer de nouveau; reri-
ser. dv. w. Suinter.
Rev£x-se (em), v.r. se rezarder, se mirer
dans une chose qui rend l’image. — em alguma
cousa, se plaire ä examiner un objet. — na sus
obra, se mirerdans son ouvrage. —em alguem,
regarder, aimer quelqu’un comme un auifse
soi-meme,
Raven, ado. (mot latin) en eflet, en verite,
Reveneznacikö, s. f. rörerberation : refle-
chissement, r&ßlexion (de la lumiere, do la
chaleur). Calcination dans un fourncau de re-
verböre.
Revsanenän0, A,Pp. p. de Reverberar.
REVERRERÄNTE, adj. 2 gem, teverberant : qui
röverbäre ow röflschit,
REV 1085
Revenserin, v0. a. et m. räverbörer, relld-
chir, se dit de la Jumiere. V. Brilhar.
Revenpeno, s. m. V. Neverberagdo. Fogo-
fornilko de —, fea,, fournesu de röverböre.
Ruvenpeckn, 0.0, faire reverdir. v. ». Re-
verdir : redevenir vert; (fig.) rajeunir; rede-
venir plus fort, reprendre une nouvelle vi-
gueur.
REVERDECENTE, adj. 2 gen. p. a. do Hover-
deoer. Reverdissant, qui reveordit.
Revanpecino,, a, p. p. de Reverdscer,
RRVERDECINENTO, 3. m. reverdissement : 86-
tion de reverdir. (Ag.) Rajeunissoment.
Revertnca. V. } “respect, ventralion,
Revsatncıa,s. f. 9 Revsrence:salulenın
elinant, en pliant le corps; Liire donn6 aux re-
ligieux.
ReverancıAno, A,p. p. de Roevevenciar.
REVERENCIADOR, A, 5. oelei qui revöre, qui
respecie.
RavenancıAL, adj. 2 gen. qui marque du res
t. Temor — , orainte r&värentielle.
Revenzucıär, v. a. rövörer :ı honerer, res-
poster profond6dment,
REVRBAENCIÖSAURNTE „ ade. revsrencieuse-
ment, avoo respect.
RnYzasncı650, A, adj. rövsrenolenz, Irds-
respeetueuz.
Ravaaennas, 8. f. pl. dimlissoires : permis-
sion de se faire ordonner par un autre 6v@gue
que le dioedsain. ,
+ Revensnpissıua, s. f. itre donnd aux gb-
asraux des ordres religieur.
Revzaeupiserwo, A, adf. revörendissime :
dit plusque Irds-röv6rend ; titre elaustrai ; litre
des g6n&raux d’ordre, des archev&ques, des
patrisrches „ eto. sup. de ‘
Rzvzatnno, a,ady. digne de respect, de vont-
ration. (fem.) Extzömementcirconspect, d’une
röserve, d’une grarite affecide, eis. Reverend :
titre d’bonneur denne aux religisux , eis.
REVEREBNTE, adj. 2 gem. respeclueux.
RETERENTENENTE, adv. reriremment, Tes-
peotueusement.
Auvzaia, V. Revslie.
Ruvansı. V, Hevassm.
Revansit, adj, 2 gew. Carla — ‚leitre röver-
sale, qui se repporie A une autre, V. Assalva.
Revensiö, s. f. röversion,, retour.
ReveasivgL, adj. 2 gen. röversible : qui doit
retourner & son proprielaire, eio.
Revzasivo , a, adj. qui rsiourne;sujet ä r&
version (bien). V. Reversiuel. Nereos —ss, (I.
d’anat.) V. Reeurrenie.
Rev&nso, Aa, adj. contraire, opposs. 4. V.
Bevesso.
Rzveaso, s. m. revers de medaille, de mon-
naie; envers, lo cot# le mains beau,
+ Revarter (a), v. n. relourner & son pro-
prietaire,, ä la couronne, eto.V. Reversivel.
Revsatino, A, pP. p. de Reverter.
RevearivaL, V. Reversioel,
Ravss, V, Royes.
1038 RIB
Turtrörnıcin, v.n. (fam.) parler, derire selon
les rögles de la rhetorique ‚en rhötoricten.
Rnetörıco, A,adj. qui apparlient & la rhe-
torique. s. w. Rhetoricien : celui quali sait la
ehetorique.
NEUBÄRBANO, .
Ruzusirso. IV. Ruiborbo.
Rutuma, s. f. pitulte, flaxion, rhume.
Rneumitico, A, adj. (f. de med.) rhumati-
que, de ou du rhume; rhumatismal, du rhu-
ımatisme. Dores —as, douleurs rhumatisruales.
RuEUMATISMäL ‚adj. 2 gen. (1. de med.) rhu-
matismal, derbumatisme.
Rurunatisuo, s.m. (i. de med.) rhumalisıne:
douleur dans les muscles,, les membranes, le
perioste, avec difficulid de mouvement.
Raima. V. Rima.
Rein. V. Rheno.
7 Raincıa, 8. f. (t. d’hist. nat.) rhingie : di-
pfere , syrphie.
RuNocERÖNTE, (1. d’Met. nat.) rhino-
Ruınöcenos ou ceros, quadrupede pa-
RııxocERüTE, s.m.) chyderme.
} REINÖLOPRO, 8. m. (4. d’hist. nal.) rhino-
lophe : mammifdre cheiroptere.
f Rowwöuacro, 3.m. (f. d’hist. nal.) rhine-
macer : col&optere @denhtrite,
Raısoruacos, V. Risophagos.
Reirwı. V. Rima.
Ratrmo, eto. V. Rhyimo, eie.
+ Ruönano, s.m. (8. de g6og.) Rhöne : fleuve
de France.
f Raöpes, s. f. (t.de geog.) Rhodes : 1le et
“Alle de la Natolie.
Ruonöreo, a, adf. de Rhodope, montagne
de Thrace.
Ruöwso, s.m.(l. de gdom.) rhombe , losange :
figure qui a deux angles aigus, deux obtus,
les quatre cöt&s paralities deux A deux et
egaux.
-Ruossöipär, adj. 2 gon. (1. de geom. et de
bot., etc.) rhomboidal : A quatro angles, deux
aigus, deux oblus, respeelivement oppos#s.
Ruousöinde, adj. 2 gen. (1. de geom.). V.
Akomboidal. s. m. Rhombolde : figare rectili-
en qui a deux anglos algus et denx obtus. V.
AnDIBARDO. } V. Rui..., eie.
+ Rav’tuuica, s. f. art des rhyihrnes.
Ruw’remıco ,a,adj.thythmique: du rhythme.
Ruy’tuso,s.m. rhyihme : nombre, eadence,
mesure.
Ria, s. f. embouchure d’une riviere.
Rıäcmo, s. m. dim. de Rio. Petite riviere,
Risa, s. f. (anl.) rive, bord. V. Ribeira.
*Monticule, pelite eminence, petit terire. V.
Ribanceira.— mar, cöte, rive, bord de lamer.
RC
RınaL.bzuta. . f
Rısardıa. \ V. Bibaldaria.
RızsıLnio, adj. m. Figo—, espöss de Agu
sauvage.
Rısiıpo,edf. et &. soquin, vaurien. V. Te
Ihaco
Rraa-wan,. V, Ribe. "
* Rısinca. rive escarpte Euns r-
Rıranckına ,s. f. | viöre, berge, ela.; PeR-
chani d’une moniagne, 00Wau, Eli
+ Rısancaio ou Aıpnandalo, 6. A ef, a
varieie de figaes d’Europe, rougen dedans «
blanchätres dehors.
*Rımin. V. Derriber.
*Ripas. V. Acime.
Rıntına, s. f.* bord, five, rivage. "Aulssess,
riviere. — do mar, rye : rivage de la mer. \.
Proia. — do peisie, poissonnerie. — das ndat,
chantier de construction de marine; arsensl de
marine,
"Rızernida. V. Corrente, Arroie.
RızzıriO, aug. de Ribeiro.
Rıperniuma , s. f.dim. de Rideire. "Petilreie
seäu , petlte riviere.
Rıseıninuo, a, adj. de riviewe, de rıwage:
equatique; qui habite le rivage (d’un feure
eto.). Auos—as, (1. P’kist. nat.) olseaux den-
vage.
Rızgıainno, s. m. dim. de Ribeiro. Petit russ
seat , 6ourant d’sau, Botnemr , gravatior, adin
de basses wuvres; condasteur 66 chevanı
melets charges de pierres , de G6eombres, eu.
Rıntıne, s.m. ruisseau, peilt Osufani d'ent
Rınes-ntoro, s. m. cazis, plante.
Rıstre,, s. m. rebor@, bord, bordaro: gar
tore qu’on met au bas d’an babit, ete.
Rınompän, etc. V.A , 0.
Arananüvio. V. Albunchte.
Rıcäco,, adj. et s. m. ag. de Mic. Richert,
trös-riohe.
Rıcivo, s. m. *frisure des cheveuz. ab.
Frise. 9. p. de Riger.
+ Rıcanona , s. f. (an6.) Mile, femme du
grund. V. Hicpkomen.
Rıcauinıe , adv. richersent, mungkiäeet-
ment; trös-bien, parfallement.
Rıcinno, a, adj. (p. we.) avare (Triebe).
Ra, 9.6. friser les cheveuz-
Rımiatg, adj. 2 gen. (duri.) peiis, grad
raide (homme).
+ Rıcino, s. m. ( £. do bot.) — nener vu nik
nario, ricin ordineire. V. Carrapsielre —
meior, curcas noir. V. Pinh6se do Brasil.
Rico, A, adj. riehe, opulent, megnißget:
abondatıt, fertile, Preeieux , enqwis, ennefien,
delicieux. Parlait, ires-bon. Homem— gut 1"
endividado, riche malaiss. Ester podre de -—.
avoir des monceaux d’or, dire tant ogueu FT.
— Tejo, les rives du Tage. De— ‚d’en haut. V. . — avarento, Ticho avare, meuvais riche. der
Ci
ma.
Rızipa. V. Riba ; Alcantildda.
Rısapirma. V. Rabadilhe.
‚Rıpabania, s f. action de coguin, de vau-
rIon«
rento — ndo lem parenis nom amige, (FR
l’avare opulent n’a ni parenis =. amiS.
Rıco. V. Risso.
Rueoastre. V. Chapsleia,
Ricorteırie, 5. n./p. us.) image GOES
REV
fusion. —s, pl. (8. de praf. anti.) delal, remise.
RevoLtäpo, A, p. p. Je Revollar.
RevorLtanon. V. Revolloso.
REvoLTAR , 0. a. revolter, porier & larövolte.
Faire retourner. Retourner, relorquer. o. ®.
Retourner (p. us.).
REVOLTÄR-SE, vd. r. se rövolter, s’insurger.
S’agiter, en parlanı de la mer. Se couvfir, se
brouilier, en parlent du temps.
RevöLto, a, adj. orochu, courbe , recourbe;
&mousse. En mouvement, agits, en desordre,
sous dessus dessous. Souleve, trouble, revolte.
Pique , offense. Couvert, obscur, sombre. Trou-
ble, en parlant de l’esu, etc. Pescar a rio—,
pecher dans l’eau trouble. V. Rio.
RevoLTöso , A, adj. remuant, hrouillon, s6-
ditieux , turbulent, mutin.
RzvoLugiö, s. f. revolution : relour d’un-as-
tre au point de son depart; cours accompli ;
mouvement d’un plan autour d’un axe; mou-
vement d’humeurs. ( Ag.) — , changement dans
lest politique, etc.; bouleversement total.
"Trouble ‚ tumulle, mouvement seditieux. — de
eabellos. V. Redomoinko. — das almas. V.
Transmigragäo.
REvoLUCIONADO, A, 9. p. de
REVOLUCIONÄR , vd. a. rövolulionner : meltre
en revolwlion ; propager les principes de la re-
volution.
.$ REVOLUSIONÄRIAMENTE, adv. revolution-
nairement, d’une maniere rövolutionnaire.
REYOLUCIORÄRIO, A, adj. et 3. revolulion-
naire : de la revolution ‚qui la propage, qui en
est partisan.
RezvoLüro, A, adj. zövolu. d6. V. Enrolado.
+ RevoLur6so, A, adj. (td. de bot.) rövo-
lute : rould en dehors.
REvVOLVEnDOR, 3. m. brouillon, seditieux,
pertarbateur du repos public.
REVOLVER, o. a. tourner, retourner. Remuer,
agiter ; rouler. Examiner separ&ment, en detail.
Exciter des troubles, des seditions ; meitre le
trouble, la confusion. Möditer, examiner, ima-
giner, reflöchir. — 0 estomago , soulever l’esio-
mac, Causer un mal d’estomac. — a lerra,
fouiller la terre. — um livro, feuilleter un li-
vre. —grandes projeclos em sus imaginapdo,
rouler de grands desseins dans sa tele. — oca-
vallo, wurner un cheval, le changer de main.
— os olhos, tourner les yeux. — 08 humores, re-
nmer les humeurs. — iudo, fureter. — 0 cdo ea
terra, remuer leciel et la lerre,causor degrands
troubles. O Oceano revolve na praia suas
aguss, l’Oc&an roule ses flots sur les rivages.
REVOLVER, v. n. rouler : faire un lour en-
sier. V. Girar.
BEVOLYRR-SE , ©. 7. S6 lOUFNEF, Se Telourner.
Se rouler. Se vautrer. S’agiter, en parlant de la
mer. Se lroubler, se soulever.
RevoLvino,, A, p. pP. de Revolver.
REVOLYIMENTO, s. m. l’action et l’eflet de
tourner, de se tourner. Remuement, trouble,
agitation. * Revolution, Remue-menage, des-
ordre, confusion.
RHE 1037
+ Revöo, s. m. vol rapide en rond; second
e8sor que prend un oiseau. V. Revoada.
* Revona,s. f. * Age de puberie.
*Rrvoain. V. Roborar.
° Revöso. V. Cuidadoso , Pensalivo.
Revuusäö, s. f. (, de med.) revulsion : mow-
verment des humeurs dont le cours cst change;
action des revulsiis.
REVULSIVO,A,08 ) (dt. de med.) revulsif:
REvuLSöRIO, A, adj. ) qui delourne les hu-
meurs sur les parties opposees.
"Rex, V. Rei.
Rexa, s. f. grille, grillage en boir. (ant.) Ve
Arado.
Rexio. V. Recio.
Rev, etc. V. Rei, eto.
" Revcno. V. Reino.
Revo. V. Reio, Arreio.
Rez. V. Bös.
Rez, s. m. niveau du terrain. Ao —da lerra,
au rez-dechaussee. P6r —, raser, delruire.
Reza „s. f. oraison, pridre. Ofice divin.
Rezino, A,p.p. de Rexar.
Rezanon, A, s. celui quiprie beaucoup..
Reziö.V. Razdö.
Rezin, vo. a. et». prier Dieu, @ire en prieres.,
Lire, r&citer altentivement l’oflice divin. Reci-
ter, par opposilion & chanter. ( fam.) Predire,
en parlant d’un almanach, eic. (id.) Proförer
(une sentence). Gronder, murmurer. Como r&
zas mödres. ( fam.) On le dit & queliqu’un qul
murmure tout bas quelque chose qu’on no peus
entendre. — 0 officio divino, dire son breviaire,
en parlant des ecclesiastiques. — 0 fern, a9
conias , dire son chapelet.
Rezenua. V. Resenha.
” REZENTAL.
“REzEnTE. | V. Recen..., ele.
Rezina, et0.V. Resina, etc.
Rezoir. V. Raxoar, Arrazoar.
Rezözs, s. f. pl. raisons, dispute, döbat. V.
Razdo.
Rezumerän. V. Ressumbdrar, Regumar.
Ruia,s.f. V. Dragoeiro.
Raracänus, 8. f. pl. (1. de med.) rhagedes ı
fentes, crevasses aux mains, aux pieds, elc.
+ Ruacıkö, s.m. (l. d’hist. nat.) raghion :
diptere , tanystome.
Ruicıo, s. m. (l. d’hist. na$.) ragium : C0-
leopiere tetramdre.
Rniuno,s.m. (f. de bot.) nerprun, arbris-
seau. V. Espinheiro-Alvar.
Ruarontico. V. Ruiponto.
Rnıpsönıa. V. Rapsodia. -
+ Ruta, s.f.(t. de myth.) Kh6a, femme de
Saturne ; Cybele.
+Rutxo, s. m. (t: de geog.) Rhin : Deuve
d’Europe.
RuENocERÖTE. V. Rhinocerote.
Rugtönıca, 3. f. rheötorique : art de bien
dire; classe, trait® de rhetorique; arı de la
persuasion.
Rustönscausnte, ade. selon les rögles de
la rhetorique; en rhetoricien.
1040 RIQ
Rımar (oom), 6. ®. rimer : se lerminer de
meme o% par un möme son. (fig.) S’aoovorder,
conveniz, cadrer.
Rım2öuso. V. Rebombo,
Rımia. V. Remir.
Rımsöso , A,adj. plein de fentes.
+ RimuLa, s. f. dim. de Rima. Petite fenie
Rınca6, s. f. (pP. ws.) * encoignure, coin,
angle d’un ınur, etc. Coin :lieu retire, &troil.
Rıncnipa. V. Gergalhada.
Rıncnäö, ÖnA, adj. qui hennit beaucoup,
fringant (cheval). Qui conte des fleureties.
Rıncui6, s. m. (4. de bot.) la moutarde dite
sönere des champs.
Rincuia, vo. ®. hennir : faire un hennisse-
ment, en parlant du cheval. (fig. fam.) Pousser
des cris de joie dans une rejouissanoe puhli-
que.
Rıncaaveinäpa,s. f. 6clat de rire immo-
dere.
Rincuo, s. m. hennissement : cri naturel da
eheval.
Rınp£ıno. V. Rendeiro.
Rıncın ‚etc. V. Ranger, eiw.
Rınniö ,s.m. rognon. V. Rim.
Rısaın. V. Renhir.
Rınocenöre. V. Rhinocerote.
Rıxs, pl. V. Rim. .
Rıxnzes. V. Rises.
Rio, s. m. fleuve, riviere. (fg.) Torrent ( de
larınes, etc.) ; grande abondance d’une liqueur,
eic. — navegarei, riviere marchande, riviöre
navigable. A — revolto, (fig.) dans laconfusion,
dans le desordre. A — revollo ganancia
pescadores , il fait bon & pecher en eau trouble.
— arribs ou acima, en amont: en montant la
riviere. — a baizo, en aval, avalant: en des-
cendant la riviere.
+Rıö, s. m.(t. de mar.) luzin, merlin, ä
trois fils.
Rıozinno, dim. de Kio.
Rirı , s. f. planche mince , lalte, dosse ; bar-
deau , ain. 4. V. Riba, Ribanceira.
Rırioo, s. m. laltis : lates disposees sur des
supports pour former une cloison , eic.
+Rırir, adj. m. Pregos —aes , clous pro-
pres pour clouer les lattes.
RırancADO, A, p. p. de
Rırancar, v. a. serancer le lin, etc.
RırÄngo, 3. m. livre qui contient l’office de la
seınaine sainte, quinzaine de PAques. "Herse,
räteau de jardinier. Seran, oulil pour pr&pater
le lin, etc. Canape, lit de repos. ( t. pop.) * Pa-
tience, flegme ; loisir, commodite.
Rırir, vo. a. serancer le lin. Epierrer. Latter,
garnir de lattes;; placer des ais, des bardeaux.
(t. pop.) Piller, voler.
Rırınaa , dim. de Ripa.
Rırio, s. m. blocage, plätras, gravois, re-
coupes de pierres, etc. * Cheville dans un vers.
* Rırrıcan. V. Repicar.
+ Rıpuirıo, A, adj. ripuaire (loi\, chez les
peuples des bords du Rbin et de la Meuse.
Rıqukza, s, f. richesse : opulence, aben-
RIS
dance debiens, Idar possession ; qualiii de ce
qui est riche.
* Rıquıöva. V. Rdcone.
Bequiseıno, a, adj. sup de Rico.
Ria, v.». rire : oxprimer 1a joie, on que
fois le dedsin, le mepris, eic., par un mou-
ment des lövres, de la bouche,, et souveni art
bruit; se divertir, railler; badiner, se moqeer
de; ne pas parler, ne pas agir serieusemen.
On ledit, au figure, des choses inanimes gu
sont agreables, qui plaisent. — ds gargalksdeı,
rire & gorge deployee, rire aux enlais. — ei
ndo meis, se donner & cur joie. — sem ım-
lade, rire du bout des dents. Pör-se «—,
prendre & rire. — por ironia , malicis on esi«-
pidez, rTicaner. — com sSige mesımo, rire dası
sa barbe. —, nesciamenie € sent CAuSS, Fite aui
anges.
Rın, v. a. (ant.) railler, so moquer de.
Rın-se (de), o. r. rire; se moquer de; ne ps
se soucier de. (fg. fam.) Commencer ä se «
chirer, en parlant d’un habit, d’une chemre
usee, elc. — com sigo mesmo. V. Bir. — ds pe-
r6des, (loc. fam.) rire niaisement.
Rir,s. m. rire, ris. V. Riso,
Risa, s. f. V. Risdda ei Riso.
Rısiva, s. f. *6clat de rire. V. Rise. Dar ı
Fire aux eclats.
Rıss6ano, 8. m. (4. de mer.) ribord. V. Brı-
Risca, s. f. raie: trait de plume; ligue. 4 —
adv. exactement; litieralement ; ric-a-ric.
Rıscipa, s. f. "trait de plume pour ralarer,
de | rature.
Rıscino, A, p. 9. de Riscer. s. m. Eiche &
raies.
RıscapOR, s. m. tire-ligne, insirumest 43
sert ä tracer des lignes ; plume & dessiner.
Rıscanöa, A, adj. eis. qui eflace , quı a2
Rıscapüra, 3. f. rature, efiacure.
Rıscaänto, s. m. V. Riscadura.
Rıscär, v. a. rayer, biffer, effacer, rast.
Tracer des lignes, des raies. Esquisser, ebst-
cher, crayonner; dessiner. Effacer le uoa de
quelqu’un d’un registre, etc. ; le revoquer d’zue
charge, eic. — 05 ponlos ao juge, marquer ie
points au jou. — por cima. (fig.) \. Juan
lajar-se.
Risco,s.m.risque, danger, peril.“ Avenlianı,
hasard, entreprise hasardeuse. ° Raie, h:i7,
trait. V. Risca. " Ebauche, esquisse, plan © @t
edilice; dessin. * Marque des points au 2
Rocher escarp£, diffieile a gravir (p. us.) Pr-
se a —, s’exposer au danger. Correr —&.
courir risque de. Correr 0 — a algume cou8.
courir le risque d’une chose, la prenere :«
ses risques et perils. Dar dinkeire e —, 1”
quer, hasarder son argenı. Em — de rids, ft
risquant sa vie. A lodo —, ä tout hasard , 2 ei
öv&nement, A tout risque. Com —, hasardtı-
sement, d’une maniere hasardeuse. Por mas
conia a —, ä ses risques el perilg.
Rıscoso. V. Arriscado. un
RısisiLiDÄDE ‚3. fi risibile ° faculte de rmt-
m
RIX
Rıeiatuo , dem. de Riso.
RısivsL, adj. 2 gen. risible : qui ala Taoulis ;
de rire; propre ä faire rire, burlesque.
tRısıvzLuenıe, adv. d’une maniöre Fi-
sible.
Riso, s. m. ris, fire: action de rire ; maniere
de rire. Chose qui fait rire. * Moquerio, risde.
(Ag.) "Apparence risnte. Cousa de — ,chose
risible, qui fait rire. Ceusar, dar —, mover &
—, fäire rire, exeiter le rire. Faser — d’el-
guma cousa, se moquer d’une chose. Ser — a
alguem, ötre la ris6e de quelqu’un. Chorar de
—,rire aux larmes. Ndo susier 0 —, D6
pouvoir s’empöcher de Fire. Esialar com —,
orevor, &touffer de rire, faire de grands &clats
de rire. Fr6cho de —, &claı de rire. — amarello
ou conirafeito, (fam.) rire simule, faux Fire.
On le dit de celui qui rit du bout des denis. —
sardonico, (t. de med.) rire sardonique, espece
de rire convulsif; (Ag.) rire & contre-caur, par
grimace. O que excila o — do vulgo, causa
admirapdo ao plilosopho, 1a oü le vulgaire Fit,
le philos&phe admire.
RısOnB.AMENTE, adv. galement, d’un sir en-
joue. .
Rısonuo, A, adj. riant: qui rit ow somble
fire; gracioux, agreable A la vuo.
+ Rısöpnacos, s. m. pl. peuples de l’Eihiopie
qui habitent l’ile Meroß.
Rısöta ‚s. f. derision,, moquerie, rise; rica-
nerie.
Rısötg, 8. 2 gen. ricaneur, qui Ficane.
Rispınam£xtE, adv. Aprement, rigoureuse-
ment.
Rıspiptz, 3. f. Apret6, rigueur. Ferocite, ar-
Fogance.
Rispıno, A, adj. Apre, acerbe, dur, rude. F&-
roce, arrogant, cruel. Ferro —, fer aigre ow
pailloux , tres-cassant.
Risso, s. m. velours ras, qui n’a point de
poil. Panne, peluche (etofle).
Ristg, s. m. arret de la lance.
Rito, s. m. rit, rite : ordre prescrit des cer6-
monies religieuses. *Coutume, maniere, obser-
vance.
Rıruir, s. m. rituel: livre de c&remonies,
de prieres d’eglise. adj. 2 gen. Qui concorne les
Frites; fait d’apres les rites.
RıTUALMENTE , adv. selon le rit.
Riva, s. f. (p. us.) rive. V. Ride, Praia,
Margem.
RıvaL, adj. 2 gen. rival, o0ncurrent, surtout
cn amour, Qui aspire, qui pretend A la meme
chose qu’un autre.
RıvaLıpäne, s. f. rivalitö, concurrence,, mu-
lation.
Rıvanızäa (com), o.». rivaliser, @tre le rival
de, Jisputer. 0.4. (p. us.) Exoiter & la rivalit6,
rendre rivaux.
Rixa,s. [. fixe: dispuie, querelle, contesta-
tion, debat, demele.
RıxaDör, A, adj. querelieur. V. Risoso.
Rıxir (com), ©. %. 86 queroller, isputer,
scontesier; 56
PORT. FR.
72
ROC 1041
Rıx050, A, adj. querelleur, qui aittiö les rizes.
TRızas, v. a. (1. de mar.) rider : prendre
des ris, accourcır une voile avee des rides.
Rizss, s. m. pi. (1. de mar.) ris : aıllets pour
passeor les garceties; bandes de toile qui Ira-
versent les huniers. — das velas, garotlies ou
rabans de ris. Colher os — , meiter a oda nos
—, prendre des ris, replier la voile au moyon
des ris ei des garceltes.
Rızin. V. Ricino.
Roiö, etc. V. Rudo, etc.
Roäz, adj. 2 gen. ravisseur, rapace, VOraCce,
en parlant des auimaux.(Ag.) V. Murmeurador,
Mordaz.
Roiz, s. m. (1. d’hist. nat.) — bandlira,
marsouin. V. Toninha.
RosiLLo, s. m. loup, poisson de mer.
"Rosäz. V, Roubador, Rapace.
* Röne. V. Arrobe.
Rosın. V. Rubim.
Rösız, s. m. (t. de botl.) robre ou rouvre:
gros chöne tortu, Ires-dur. D’um sö golpe nde
se derriba um —, (prov.) d’un seul coup on
n’abat point le chene.
RosL£po, s. m. lieu plante de robres.
Ropueira. V. Reboleira.
Röpona. V. Revora.
Rosoracäö, 5. f. action de fortifier. V. Com
roborapdo.
Ron0RADO, A, pP. p. de Roborar.
RoBoRÄNTE, adj. 2gen. fortilant, roboralıf,
en parlant d’un remede. p. a. de
Roporär, v.a. fortifler, corroborer; alfer-
mir.
Rosonarivo, A, adj. roboratif : qui fortifle.
Röse. V. Robie.
RoBUSTAMENTE, ade. robustemen!, d'une
maniere robuste.
Ronusttz ow force, vigueur; qualic,
Ronusttza, s. f. | elutdecequiestrobuste,
Ronustissımo ‚A, adj. sup. de
Rosüsro, A,adj. robuste,. valide, fort, vi-
goureux. Fort, solide, qui resiste.
Röca ‚s. /. quenouille a filer. (Ag.) La femme.
Epee & petites garnitures. Sorte d’ancienne
garniture de robes, etc., en taillades. Le fort
de la lance. V. Toral. —de flores, (i.de bot.) V.
Espadice. Ide far na—, alles filer volre (ıue-
nouille. Cada — com seu [uso, cada lerra com
seu 450, (prov.) chaque pays, chaque guise ow
coutume. Mal} vai d casa onde a — manda mais
que a espada, (id.) malheur & la maison oü la
quenouille commande & l’&pee.‘
Röca ,s. f." roc, roche,rocher. V. Rooka.
Röca, s. f. l’action' de sarcler, d’&chardon-
ner. Terrain defrich6 , pret ä semer ; ossart,
Plantation, habitation dans le Bresil. Pr «a aw-
corad —, (l. de mar.) traverser l'anere, melire
Pancre en place. .
Rocipa, 8. f. quenouillee.
+Rocipo, A, adj. taillad&, en taillades.
Rocäipo,A, p. p. dc Roger. adj. Frotie, ef-
leurs6; use: sareld, #eulkardomned; defriche,
Cabo — , cäble rague.
os
1042 ROCG
Rocapör, 3. m. sarcleur, celai qui öohar-
donne. Celui qui ratisse, qui frotte. Il est ausei
adj. Foucs —a, serpe a couper le bruse, ete.
Rocapdaa, s. f. l’action de sarcler ; defriohe-
ment. L’action de frotier. V. Attrito.
Rocacints ,adj.2gen. tratnant, majestueux,
en parlant d’un babit long, d’une robe. (fg.)
Pimpant, brillant, &clatent, magniflque.
tRocäu, s. ws. chapelet, perles enüldss que
les femmes portent comme parure.
Rociısa , s.f. rocaille:petits grains de verre
eolort.
ROGAMÄLHA, s. f. (t.de Pinde) °storax N-
quide.
+Rocamento, s. m. l’action de frotter. V.
4Altrito.
Rocin, v.a. rec&per, essarter : döfricher en
arrachant les bois, les &pines, etc. Sarcler,
&chardonner. Frotter legerement, effleurer.
Ecorcher, Öter la peau , l’6corce. User, gäter. —
mäto, couper le bois, arracher les mauvaises
berbes,
Rocäir (por), v.n. toucher Jögerement; ra-
ser, passer tout aupr&s.
Rogär-sg (com, por),o.r. se couper, s’entre-
tailler, se donner une atteinte. Passer tout au-
pres; toucher en passant. (fg.) Ressembler,
&tro semblable. C6r que se rogacom o gridelem,
eouleur qui ressemble au gris de lin.
Rociz, s. m. espece de polsson. V. Roaz P
Roceviö, s. m. fl de cordonnier.
+ Roctca, eto. (ti. de mar.) V. Rossege.
Roctıro, 3. m. planteur de manioc, de l&-
gumes, etc. (au Bresil).
ÖcHı, &.f. *roo, Foohe, rocher, au pfopre
ei au gure.
Rocniz, adj. 2 gen. &ievs dans les rochers;
qui habite les rochers : se dit de tertains ol-
sesux de proie comme le gerfaut.
Rocutno, s. m. rocher, 6caeil; brisant. V.
Penhasco.
f Rocaerör, s. m. (t. de geeg.) Rochefort :
nom de deux villes de France.
Rocntıno. V. Aoqueiro.
+ Rocztıra, s. f. (t. de gdog.) la Rochelle:
ville et port de mer de France.
Rocuerg , s.m. zochet : sorte de surplis in.
Rccıipa, s. f. rosee, broine. (Ag.) Pluie,
grele (de pierres, de dards, de balles, ete.). As
prüneiras —s, les premitres heurss du malln
oü il bruine.
RocıÄpo, a, adj. mouille, arros6, oouvert de
rosce. 2. 2. do
Rocıär ,v.a. arroser avec de l’eau, ein.,jet&e
par goulles , asperger. vo. n. Bruiner. V. Orva-
ar.
Rocıcas. V, Rosiere.
Rocim, s. m. *rosse,, baridelle: möchent che-
val; mazette, m6chant pet cheyal. Roussin :
«harvel enmtier, öpsis et fort, cheval de labour,
ic. (p. we.)
ROD
äne de peu de dur6e. V. Orvdiko. (Ag.) Inspi-
ralions divines, mouvements de la gröoe.
Rocio, s. m. grande plaos; grande plaine.
+ Rocı0so, A, adj. Lout oouvert de roste.
RöcLö,s. m. "roquelaure : sorte de mantoau.
V. Jostzinhe.
+R6co, s. m. olseau d’Asie d’une graudeur
et d’ane force extraordinaire.
Roc#, s. m. roucou ow rouooyer. V. Urwen.
Röpa, s. f.roue: machine ronde, plate, tour-
nant sur un essien on axe; sa forıme. * Cercle.
"Tour, eontour, alentour. Marque de gris et de
blanc dans le poll de cortains chevanz. Boue :
queue de paon, etc., d&pioy6e en rond. Darne,
rouelle : tranche de citron, de sausisson „ eic.,
coupee en rond.*Bouclier. V. Broguel. Boue de
supplice. (Ag.) * Tour, eireuit, mouvement cir-
culaire. V. Giro. — d’agua, reue d'un moulia
& eau. — d’enconiro, calarina. V. ces mols. —
dentada," herisson, roue dentelde.—d’sscacher,
roue d’ecacheur d’or. —de fogo, roue de eu
d’artiice. —de freiras, "tour de couvent. —
dos enjeilados, "tour pourles enlants trouves.
—de loteria, roue, machine ronde ei creuse
dont Paxe est mü avec la main, conienant les
numeros de la loterie. — da forlune, (Ag.)
roue de la fortune : inconstance, instabilite des
choses humaines. — de homens,, de gemie , cet-
cle, assembleo ,socield. — do joelho, rotule. —
do vestide, eto., ampleur d’une robe, eis. — de
pr6a,(t.de mar.) rode de proue dans une ga-
lere. c’ost l'’&trave dens un vaisseau. — de pop
pa, (id.) rode de poupe, estambot. —d’um mei-
(do, “"rouet de poulie. — de moildo bronzeade,
rouet de gayac & d& de fonte. — do ieme, roue
du gouvernail. Psixe —, möle ow lune, pois
son da genre du bienne. — viva, Foue qui
tourne toujours, qui ne s’arreie jemals; (Ag.)
peine, fatigue continuelle. Am — viva, sans
ce88e, GoRlinusilement. Ander n’uma — vise,
(Ag.) travailler sans reläche ot aveo activiie.
4'’—, &la ronde, auiour. Em —, aulour, cir-
euleirement. Na — do anno, dans le courant
de l’annee. Andar d—, tourner, lournayer.
Anda-me a cabera d—, la title me lourne. Des
fazer a — a alguem, (fig. p. us.) abalire l’er-
gueil & queiqu’un. Dar d—a foriena, changer,
en parlant de la fortune. Unter a —s, (fig.)
graisser la patie.
Ropano, A, 9. p. dd Rodär. adj. On le dit
d’un cheval blanc mouchet# de noir; gris pom-
mele. — oivo, rend lout vil. Alqueire —, beis-
seau racle. Chdo, caminko —, terraln „ chemin
sillonne d’ornieres. Corolla —a, (l. de bot.) ce-
rolle roiscee, eialee en rond. Carla —, (ani.)
charte, brevet, cic.,scell& avec un s£cau rend
ou cwcalaire.
Ronäno ‚5. m. "orniöre : trace des Foues sur
le terrain.
Ropiceu,s. /. l’ensemble des roues d’une
machine.
Rooosontäna, s. f. rodomontade, fanfaron-
Rocmir, adj.2 gem. de la rosse, du roussin. : made, vanterio en fait de braroure.
Röcıo ow Röscıo, 3. m. "rosee: pclile pluie !
Konaxo.V. Akodano.
ROD
RopänTK, adj. 2ger. qui roule, Qui lourne
os qui tombe en roulant. (Ag.) Coulant, on
parlanı da style, etc.
Ropark,s. m. soubassement de lit. Sorte de
tapis qui enteurait les pieds d’une table. Lam-
bris , peinture, eto. , ä hauteur d’appui.
Robin, v6. rouler: faire avancer en faisant
(oumer sur soi-meöme. Rouer : punir du sup-
pliee de la roue. Tourner, faire lo tour. V. Gt-
rar, Correr.
Rovir (em, por), v. w. Touler : avancer en
tournant sur soi-mäme; se mouvoir sur des
roues ; tomber en roulant; eirculer en abon-
dance, en parlant de l’argent. (Ag.) Dechoir de
son rang, de sa fortune. Röder, errer gä et 1.
V. Girar. Rode a forluna prospers ou adver-
sa, que la fortune daigne vous sourire ow
qu ’elle vous soit contraire. — mundo ou pelo
mund, rouler ie monde, voir beaucoup de
pay
Ropaviıno, V. Rodovalko.
Ropaziuma. V. Rodinha.
RopeinO, A, p. p. de Rodear. adj. Entoure,
environne. Parcouru. Kstar — de negocios,
etre accabis d’affaires. Cavallo —. V. Rodado.
Ropsanon, A, s. colui qui lourne aulour;
rödeur, qui va oA et ia.
RopEAMENTO, s. m. action de rouler, de
teurner. V. Rodeio.
Ropsir (com, de), o. a. entourer, environ-
ner, ceindre, mettre autour. Toarner, faire
mouvoir en rond. Faire le tour, tourner au-
tour, embrasser ; paroowrir. (1. de mil.) Enjou-
rer, ceindre, environner une place. — osmi-
nıhos ‚ aller par un chemin plus long. —razöss,
user de circontoontions. V. le v. ®. 4 ambigdo
sod£ta o mundo ,(fig.) ’ambition fait le tour du
monde.
Rovezin, vo. n. aller, tourner autour, faire le
tour. Aller par un chemin plus long, faire des
detours, etc. (fig.) User de eirconloeutions,
tourner autour du pot. Röder.
Ropkıo ou Ropko, 3. m. tour, circuit z en-
ceinte. Detour, au propre et au Ägure. Tours et
detours qu’on fait pour s’chapper. (Ag.) Delal,
remise, excuse, pretezte. (id.) Faux-fuyant,
deiour, öchappatoire. —s, pl. (Ag.) tortille-
ment, petites finesses ; moyens torluoux ou
caches. —s de palaures, etreonlocutions. V.
Ambage. —s do rio, detours, sinuositss d’une-
riviere. Com —s „ obliquement, indirectement.
Sem —s, (flg.) sans detours, tout uniment,
sarıs circonloculion. Buscer —e, (fg.) chet-
cher des dewours.
Roptına, s. f. touriöre : religieuse qui a
soin du tour. Orniäre : trace des roues sur le
terrain.
Rootıro, a, adj. qui appartient ow sort aux
roues. Mao —. V. Maco.
Ropkıno,s. m. ou Ropzınos, pl. les rouos
dans l’essieu sans le eharriot.
Ropsıuas, s. f. pl. (1.de mar.) tours d’un
eäble.
Ropskııi,s. f. rondache: bouclier rond er
ROG 1083
(ant.) V. Moita.
RODELLAZINNA, dim. de Rodella.
RopgLı&iao, s. et adj. m. arınd d’une ron-
dache.
Ronzııinma. V. Rodellaxinhe.
RontLo. V. Tombs.
Rop&nno, 5. m. sorte de poisson d’Alrique.
Ronto. V. Rodeio.
Rontra, s. f. diem. de Roda. Petite reue.
Ropete, s. m. V. Rodizio.
- Ropiao ‚s. m. * roselte de fer au bout des
disciplines.
Ropiıma, 3. f. * bourrelet que les fommes
metient sous un fardeau qu’elles portent sur
la t&te. * Torchon ‚ tortillon. Rotule du genou.
RopıLniö, s. m. aug. de Rodilhe. Grand tor-
chon; grand tortillon. Petite roue d’an coba-
riot , etc.
Rosiuua, s.. f. dim. de Roda. Petite roue,
reulette.
Ropizıo, s. m. roue & anbes d’un moulin &
Sau.
R6no, s. m. räteau sans dents. A—, & fol-
son , en abondanoe.
RoporoLLe. V. Redefolle.
Ropöua. V. Redoma.
Ropowotnno. V, Redomeoinho.
Ropor£LLo, s. m. do — ‚aulour.
Roporio,, s. m. epi de cheveuz. " Vertige.
Tournoiement!. Em — ‚, tvernent oomme une
toupie. Trazer alguem w’um — , [aliguer quel-
geun continuellement, lui donner beaucoup
o peine et sans reläche. V. Roda viva.
Ropon. V. Redor.
Ro»oväLno, s. m. ($. d’hist. nat.) Lurbot:
peisson de mer, plat, du genre da pleuronecte.
‚turbotin,, petit turbot,
+ Roeotıno, s. m. piöce avec laquelle io
chasseur l&öve le faucon, quand il mange la
viande qu’on lui a donn6e.
RozporR, A, adj. et s. rongeur, qui ronge.
4 } Mödisnt. adj. ets. m. pl. (t. d’hisi.nat.)
rongeurs : classe de mammildres.'
Rozpüna, s. f. Yaction de ronger. Mangeure s
endroit mange d’une &tolle, d’un pein. — de
ferrugem, rouillure.
Ro£ı, s. m. (4. de blas.) besant, tourtean. .
V. Arrudla. — asul, wurtean d’azur. — de!
prala, plate, besantı d’argent. |
Ro£r, v. @. ronger: couper avec les dents
peu & peu; (fig.) consamer; agilier ; tourmen- '
ter; miner, döireire peu & peu; se dit d’uno
maladie, des chagrins, des remords; (eu pro-
pre) des seides, de l’air. Ronger un os. (Ag.)
Medire de quelqu’un. (fam.) Gruger, manger,
Der bem que —, (fig.) donner du Bi ä retordre,
bien de P’emibarras. 2 oadeados, (id.) röprimer
sa colere, endurer ges peines.
Röro, s. m. pli, plissure.
Rovo, A, adj. mat, qui n’a pas d’öolat, de
poli (or, ete.).
Rocacöss, 8. f. pl. rogations: prosenwions et
1044 ROL
prieres pabliques au printemps, pour les Diens
de la terre. “
Rocino, A,p.p.de Rogar. adj. Inviis, prie.
Rouapör, A ,s. celui.qui prie; qui invite, qui | Rol
convie. Intercesseur.
Rocir, adj. 2 gen. (podi.) de bücher. —
chamma , flammes du bücher. |
Rocia (a, por), v. a.et m. prier, supplier.
Prier Dieu. Inviter, convier. — prdgas. V. Pre
guejar. Rogai a Deos por mim, pries Dieu pour
moi. Fazer-se de —, se faire prier. ;
Kocativa, s. f. priöre, instances, sollieite-
tion , supplication , supplique. V. Rogo.
t Rosarivo, a, adj. qui prfie,, qui supplie.
RBocarönıa. V. Rogalive,
Rockıra. V. Rageira.
‚Rocino.V. Rugido.
* Rocınir. V. Original.
Rocır , etc. V. Rugir, etc.
Röco, s. m. * priöre , supplicalion. “ D&preca-
tion, demande avec jnstance. A — de ou a ses
—, ala demande de quelqu’un.
Röcos, pl. “prieres, instances,, suppliques.
Roioo,A,p.-p. de Roer..adj. Ronge, cor-
rode. — do gado, abrouti. V. Rwedo.
Roi, etc. V.-Huim, etc.
Ro10. V. Arroio.
* Roısınaon ow Roıxınuor. V. Rowuzinoi.
Roıxzin,ete. V. Roxear, etc.
Rosina! V. Rajada (de venio).
"Rorino,:V. Torrddo, Assado. '
Rosino, A, p. p. de Rojar.
+ Rosapor, a, adj. trainant, qui traine. V.
Rasteiro.
RosaLcar. V, Rosalgar.
Rosä6, s. m. espece de demi-lance ou de ja-
valot pour les combais de tsureaux. Action de
trainer. V. Rojo. (1. pop.) Prelude sur la gui-
tare. Rajöes , pl. V. Torresmos. Levar de ro-
jöes ‚ Lrainer. oo.
Rosir. V. Arrastar.
Rostına. V. Rageira. -
ROJ0, s. m. l’action de trainer ; bruit que fait
un corps qui traine. De —, adj. en trainant.
Andar de —, ramper, se trainer.
RöL,s. m. röle, liste, lat, catalogue ; Carte,
mömoire de la depense. Leurre pour rappeler
Poiseau de proie. — de egwipagem, röle d’e-
quipage. ' .
Noöua,.s. f. wurterelle: oiseau du
pigeon. .
"RoLacAö ou RoLacon. V. Relacdo.
RoLino, A,».p. de Rolar. .
TRoLinse, adj. 2 gen. Fogo —, (1.de mil.)
Seu conlinuel de peloton.
RuLiö, s. m. farine bise, recoupe. Pdo
pain bis.
*__Rouäa, v. a. rouler. Couper en rond. v. n.
Rouler. et. Roucouler, en parlant des pigeons.
"Rouoa ‚etc. V. Ronda, etc.
RoLpäna, s. f. poulie, moufle.
Roıpaö, s. m. lanfaron. it. Grande rone.
Grand tour. De —, d’emblee, tout d’un <wup,
en sursaut, & l’improvisie.
Fi _
ww.
genre du
-u.-
ROM
" Rosie. V. Rondar.
Routına, s. f. "hougeoir. ,
RoL&ıno, s. m. celai qui fait des röles. \.
Roıßıao, A, adj. qui roule. Mer —, met
houleuse. Felcds —, [auoon exeree a voler au
leurre. .
RoLkte, s. m. rouleau. — de canns, Iujau
d’un roseau , d’une anne. —s de cabello, wr-
tillons , bourreleis de cheveux au sommei de
la 1ete. u
RoLna, s. f. " bouchon , lampon. Tirare-
a uma garrafa, deboucher, decoilfer unt bei
teille,.
RoLHiD0,&A,9.p. de Rolkar
RoLuiö, s.m. aug. de Rolha. it. Rouleas,
pidce de bois ronde pour mouroir de grossti
pierres, etc.
RoLnär, v. a. boucher (une bouteille, ei.,
avec un bouchon).
RoLnkıno, 5. m. torrent , ravine.
*RöLno, 5. m. *rotule du genou om cherille
du pied.
RöLno, A, adj. rond, gros, trape.
RoLico, a, adj. artondi, long et poli; des,
ferme, rond, en forme de rouleau. Bebondi,
dodu, fort, robuste. (6. de bob.) Cylindriget,
rond.
RoLim , s. m. V. Roolim. Peixe —, '\ust,
poisson de mer.
RöLixwo, s. m. dim. de Rdlo. Petit soulean.
TRouLııro, s. m. (8. d’hist. net.) rollt:
oiseau plönirostre qui a beaucoup de rappell
avec le geai. \
RöLo, s. m. rouleau : paquet, bois cylisdni-
que; cylindre. Piece d’un procds qu'on pie!
autrelois en rouleau. Piece d’etofle,, ei-, ©
rouleau. * Bougie en rouleau, rat de tt.
* Houle, vague, lame. Gite, has de la cut
du bauf. — de tabeco , " carottie de labat.
.Rön, s. m. couleur jaune.
+Röu, s. m. rhum: esprit, aleool üre da
sucre.
Roma,a. f. (4.de gdog.) Bome : capitale dei
Etats ecciösisstiques et du monde calkoligee.
— näo so [fezn’um dia, (prov.) Paris ua pas M
fait en un jour. .
:Romä os Roma, s. f. grenade, [rail du ste
nadier. — do masiro, ($. de mer.) joutle, ftal
ou flasque de mät.
-Romicsu,s.f. V. Romaria. -
Romän.V. Rom.
-Romäna, s. f. Fomaine: peson, sorie de Di
lance.
Rosince, s. m. langue portugaise valgalft.
" Romance : sorte de podsie en stances Du CI"
jlets. Roman : reeit ictif, en prose, des are®
(ures de la vie, et peinture des passioas, W-
‘Em bom —, ( loc. prov.) clairement, sans 84%
voque, en bon frangais. .
RoMANCEÄDO, A, 9. p. de
RomancEin, o. a. Iraduire en langas® ni’
gaire. Introduire dans le langage vulgaire dei
Wrmeos d’autros languos. ‘
.
ROM
Romanckscamänte, adv. romanesquemen!,
d’une maniöre romanesque. ’
ROMANCESCO, A, adj. romanesque : qui tient
du roman, fabuleux. V. Rumanlico.
RomancisTa , s. m. romancier : auleur de ro-
mans. Celui qui e&crit en langue vulgaire sur
des matidres ordinairement! traildes en latin.
Rouantıra. V. Romeira.
+ Rouänıa, s. f. (l. de gdog.) Romagne: con-
tree de V’Italie. Romanie ou Romelie, province
de Turquie.
Romania, s. f. De —, d’embiee, tout d’un
eoup. V. Redondamenle.
+ ROMAncisMo, s. m. romantisme : amour du
romantique; fiction, description, 6t0., roman-
tiques.
RouaninHo , dim. de Romano.
RoMANISCO, A, adj. exerc& aux allaires da la
eour de Rome. Qui a le goüt, le style de l’öcole
romaine (de peinture).
+ Rowino, s. m. (1. d’arch.) feuillage & la
frise. s
Rouino, a, adj. eis. Romain : deBRome, des
Romains. Lingua —a,, langue romane.
+ RomänTıco, A, adj. romantique, roma-
nesque..
Romanztina. V. Romeira.
"Romäö. V. Romano.
Romania, s. f. "pelerinage: voyage fait par
devotion.
Roupädas. V. Arrombadas.
+ Romsam£nte, adv. bölement, d’une ma-
niere stupide.
Römso, s. m. (i. de mar.) voie d’eau. Trou.
dt. V. Rhombo, eic.
Rönpo, A, adj. emousse. ( lg.) Obtus, stu-
pide, hebeie. Camus, camard (nez). j
Roweıra, s. f. (6. de bot.) “ grenadier : arbre
qui donne les grenades. — brava, "balaustier.
Romgıno, A, s. pelerin. Petit poisson qui
s’attache A la baleine et no la quitie jamais.
+ Romriö,s. m. crampon du fer ä cheval;
6caillon, croc ou crochet d’un cheval. Ferrar de
—, ferrer & glace, cramponner (un cheval, etc.).
RowPpeEoptıra,s. f. instrument de forgeron, en
forme de coin, pour couper le fer lorsqu’il est
rouge. V. Talhadeira.
RoMPEDöR, A, 5. colui qui rompt, qui use.
On le dit surtout d’un homme qui use beaucoup
d’habits : brise-tout. Infracteur. V. Rompente.
Rompzoöna. V. Rupiura ; Rolura.
ROMPENTE ‚adj. 2 ges. rompant, qui rompt,
Lacerant, brisant. p. a. de
RoMP£R, v.G. rompre, casser, briser, mettre
en piöces; fracasser, dechirer, user (un habit,
ete.). —, enfonoer, meitre en desordre (un ba-
taillon, une aile, etc.). Percer, ouvrir, s’ou-
vrir un passage. Rompre (le cours, le fl de
Peau, eic.), dötourner le mouvement droit (du
vent, ete.); &loigner de la ligne droite (un
rayon de lumidre); causer une rupture; de-
truire , rendre nul (un traite, etc.); faire cesser
<Pamiti6). Delricher un terrain. (Ag.) Commen-
cer (la guerte, etc.). Jnterrompre, couper la
RON 4085
parole. (Ag.) Transgresser la loi, violer um
precepte, manquer & un devoir. Franchir les
bornes, les limites. — campos, malos, defri-
cher un champ, des bois. — um segredo, rev&-
ler un secret. — o silenoio,, rompre le silence,
commencer:ä parler. — o nome, 0 sanlo: on.le
dit du mot du guet, donn& le soir pour-la'nußt,
et qui devient inutile au lever du soleil.—& ca-
bera, a ldsta; blesser A .la töte,. au front, I4s
fracasser. — um caminkho, ouvrir un chemin.
— os diques,, ( ig.) rompre les digues, selater.
Com sailde 0 rompa, (fam.) usez-le en sante.
Gompliment & quelgu’un qui a un. babit neuf.
De rompe e rasga, (id.) resolument, töte bais-
see. Rompe galas. On le dit ironiquement d’un
homme mal veta.:: .
Roup£r (com, em, por), v. ». rampre; &cla-
ter. Sortir aveo.violence, avec impe6tuosile.
S’engager dans un combat. $S’ouvrir un pas-
sage. Se r&soudre & une entreprise dont les dif-
fioultös arre&taient. (Ag.) Pousser,'sortir, paral-
ire. — com alguem, rompre, se brouiller aves
quelqu’un. — em izas, em pranlo, 6clater
en plaintes, en pleurs. — por lodas as difiewi-
dades, surmonter tous les obstacles. — pele
meio da gente, se [faire jour ä travers la foule.
— por enire as NMOORS, O0 Nevoeiro, peroer A
travers les nuages, les brouillards,, en parlant
du soleil. — 0 dia, vommencer &ä poindre, en
parlant du jour. Ao— do dia, au point du jour.
Romp£a-se, v.r. se briser, 86 Cusser, se rom-
pre. S’user, en parlant d’un habit. (Ag.) Se de-
couvrir, se divulguer, en parlant d’un secret,
d’une nouvelle, etc.
+ Roure-TEnRA ,adj.2 gen.(poei.) quiromps
la terfe.
Roueipo, A,p.p. de Romper. adj. Rompu,
brise. Defait, en desordre (bataillon, arınde,
eic.). V. Roto. .
RoMPIMENTO, 8. m. "rupture : aclion par la-
quelle une chose, (fig.) la paix, eic., est rom-
pue; &tat d’une chose rompue; division entre
des personnes, des Etats qui etaient amis; (fig.)
brouillerie, division. V. Romper, v. a. et’m.
— da batalha, commencement du combat. —
do canal, ouverture d’un canal.
Rourözs, s. m. pl. crampon du fer & cheval.
V. Rompöo.
+ Rom6Lxo, a, adj. (poet.) de Romulus.
Rönca, s. f. bravade, rodomontade. * Cri da
chamois en rut. Son rauque des instruments &
vent. * Bourdon de musette. Trois eu’ qualre
hamegons attaches ensemble pour p£cher les
gros poissons dans la haule mer. nn
+ Roncankıra , s. f. (t. vulg.) la vessie
atrienne. " "
RoncADOR, A, 3. ronfleur. Rodomont, fanfa-
ron. "
+ Romcapöra, 3. f- “ronflement, bruit fajt'en
ronflant. V. Roco.
Roncäe, v. ». ronfler: faire en dormant an
bruit de la gorge et des narines; (fig. fam.)
faire un grand bruit. Rendre un son sourd et
raugue, mugir, rugir: se dit de certains instru-
10850 - RU RUM
:comj o5\. —bustardo , grande oonlauröe. -ds
ierra, "cenlaurte du Tage.
+ Ruin, vo. ». (p. us.) tomber en ruine, 1%
erouler.
Rulva, s. f. ($. de bof.) garance: plante gui
sort & leindre en rouge. — do Levanıe, "la:
garance du Levant. Tingir com — ‚garancet:
leindre en rouge avec la garance.
RAulvaca, s. f. (1. d’hist. nes.) poissen dor
de la Chine. — dos rios, rousse ou rougeälr,
poisson du genre du cyprin.
Rutvıoäö, s. f. rousseur, couleur roussäte.
Reivinäöd, a, adj. dim. de
Ruivo, A, adj. roux; de couleur rousie;
rousseau. Biond, dore, de couleurd'or. Be
mem — oe mulker barbude, de lange os seuds,
(prov.) homme roux et femme barbue, de qus
tre lieues les salue.
Ruivo, 8. m. (4. d’Aist. nat.) wigle, perioo,
Touget : poisson de mer.
RuLär, v. ». roucouler. V. Rolar.
KöLLo,s.w. *lame, houle, vague.Y. Rok.
Rima,s.f.“tas, pile, monceau, omas.
Rumacäd. V. Arrumagdo.
a f ° T roulement de fambours.
Röro, a, adj. (podi.) rouz, Fousseau. V.
Röca, s. f. ride: pli qui se fait sur la poau
du {ront, du visage, eic.
Rocir. V. Enrugar.
Röcz-röcz, 3. m. borborygme : vent bruyant
dans les intestins. (fam.) Bruit sourd qui cir-
cule, fron-fron.
2pcino, 8. m. rugissement: eri du lion. Bruit
Jons les intestins, borborygmes. Bruissement.
Rucınör, A, adj. rugissant, qui rugit.
Rtcıe, 0. ». Fugir, se dit du cri da lion.
Bruire,, craquer, faire beaucoup de bruit.
‚ Recc6so, A, adj. ride, plein de rides. Rade,
äpre au toucher ‚ rugueux.
Rrızirso, s.m. (I.de bof.) "rhubarbe : plante
medicinale. — verdadeiro ou da China, rhu-
barbe de la Chine. — dos monges , rbubarbe des
moines, la grande patience des Jardins, pa-
relle des jJardins. — dranco, mechoacan, lise-
ron du Brösil, rbubarbe blanche.
Rcioo, s. m. bruit, vacarme. Bruit : son
.agreabie, murmure d’un ruisseau. Bruit, que- | Ruuia. V, Arrumer.
relle, demele, tumulte, &clat. —, eclat, vain | Rüuso. V. Rumo.
sppareil, ostenlation; renommee. V. Fama,| + Rüus, adj. eis.2 gen. natil do la Grid
Nome. — das aguas, murmure des eaux, d'un | de la Thrace.
Tuisseau. — das armas, cliquetis des armes. RAuMianor, A,0dj. ruminant, qui rumikt.
Rviposauante, ade. brayamment:aveofasie, Rumıapouno. V. Rumidouro.
avec ostenlation; aveo bruit. Rumsaoöaa, 3. f. ruminalion : action den
Rulnöso, a, adj. delatant, bruyant, qui fait | miner. .
du bruit, Cöl&bre, fameux, renomme. Rumiän, ©. &. rumminer : romäoher co qua ı
Arim, ad/. 2 gen. vil, abject, meprisable, | mange; se dit de ceriains animauı. V. Aumi-
mauvais. De peudevaleur, donton ne fait point | war.
de cas. Mechant, pervers. Mechant, vicieux, | + Röuıcz,s. m. (8. de 508.) oseille, patiene:
traltre, en parlant des animaux. (fam.) Pi@ire,, | plantes. V. Azedeira.
chetlf, on mauvais dat. Villäo—, vaurien, fri- | Ruumövao, 3. m. jabet om poche des u
pon ; homme grossier et mechant. A um —, — | maux qui ruminent.
emeio, (prov.) Acorsaire, corsaire ei demi. Em | Rummnacäd, s. f. V. Ruminadurs.
llando no — de Roma, logo assoma, (id.)en | Ruminipo,A,p.p. de Ruminar.
parlant du loup, on en voit la queue. Quem | RuminäL, adj. 2 gen. ( 6. d’ant.‘ Figueirs-,
— dem sus lerra, — € fora d’ella, (id.) celui | guier ruminal, de Remus eı Romulas.
qui est möchant chez Iui, est mschent partout,. | RrminÄänte, adj. 2 gem. ruminant ow bisul-
Ruluutnte, ade. möechamment, piötrement, | que, qui rumine (animal ). Os —s, 5. pl.lesrs-
chötivement. minants : classe de mammiferes qui ont quaite
Roina , s. f. *&eroulement, ruine, döperisse- | ostomacs.
ment, destruction d’un batiment, etc. (Ag.)| Rummär,v.a. V. Rumier. Buminer: (A4-)
Ruine ‚d&cadence,‚perte.(id.)Causede la ruine, | penser et repenser & uno ebose, la bien digere!
de la chute de quelqu’un. (Ag.) "Ravage, ren- | dans son esprit.
versement, suppression, desolation, entire | Rüuo,s. m. (8. de mar.) rumb : sire de reül:
destruction, ruine. (fem.) Deconliture, ban- | trente-deuxieme partie de la boussole. "Bari:
queroute, rulne.—s, pl. masure, reste d’un |d’un vaisseau. (ew£.) Mesure marilime du:
6difice tombe en ruine. Kald proximo d sus —, | palme et un pouce, os de cing palmes. (M-
il est sur le penchant de sa ruine. Chemin , route qu’on suit dans une aßeire; Bi
Ruımäin. V. Arruiner. nidre d’agir, conduite, procdde. Muder de -,
Ruinpäne, s. f. mechancete, malignitt; in- | virer de bord, prendre une autre roule. — 47
dignits, sclion vile, InfAme , bassesse ‚infamie. | parenie, (1. de mer.) route apparenie. — 607°
Pelitesse, peu de valeur. rigido do abatimento,, route corrigee de la d£-
Ruinösauturte, adv. d’une manidreruineuse, | rive. — vordadeiro d’uma derrofa, route droit
‚ Roınöso, a ‚adj. ruineux : qui menace ruine; | ow rödelte. -- estimado, route estimee. — [el
qui cause la ruine, de la perie, du dommage, | ou desoio de — verdsdeiro, fausse roalt. Der
une depense excoassive,. 0 —, etommander, douner la route.
Rusröuro, s.m. (6. de bo4.) rhepontios plante | Bumon, s. m. "ramenz : bruit qul so röpend;
SAB
bruit ezeitd par la erainte, l’indignation, la co-
löre; jugemenis publics, incerlains, vagues.
— confuso, broubaha,. Correr o—, courir le
bruit.
Romonzinue, s. m. dim. de Rumor. Petit
bruit, petite rumeur.
+ Röundw, s. m. (fam.) * rumeur, brult qui
eourt. V. Rumor.
“ Runra ou RUMFA, s. f. sorte d’ancien jeu.
Rönua, etc. V. Ronha, eio.
+ Rönıco, a, adj. runique : des anciens peu-
plos du Nord (langue, caractäres, po6sies—s).
"Runn£uto, s. m. V. Roedura.
Ruria, s. f roupie : sorte de monnaie dans
les Indes.
+ Rurickpra, 8. f. (poet.) * chamois, chöv
sauvage.
RourTönio, 8. m. instrument de chirargie pour
ouyrir les cauleres.
Roprura, s. f. rupture, fracture; hernie. V.
Rotura.
RouriL, adj. 2 gen. rural : situ6 & la campa-
gne; des champs, qui les concerne,
Rösco, s. w. brusc, brusque : arbrissean. V,
Gilbarbeira.
Rössıa, e f. (1. degeog.)Russie: empire situ6
partie en Asie, partie en Europe.
Reesıino, A, adj. ers. V. Russo.
RossiLno os RusıLno, A, adj. d’un roux clair;
de couleur rose et blanc.
Rösso, a, adj. et s. Russe, de Russie.
Rüsso, a, adj. V. Rugo,
SAB 1051
j Rousticausnte, adv. rustiquement.
t Rusticia, vo. ». demeurer ä ia campagne,
y passer quelque temps.
Rusricınine, s. f. qualitö de ce qui est rusti-
que, champetre. Rusticit6, grossidrets, rudesse
dans les manieres, le langago, eto.
Rüstıco, A, adj. rustique, champetre, de la
campagne; inculte;, sans art; (Alg.) grossier,
peu poli, malgracieux, rustaud, agreste, im-
poli, brutal, rustre.
Rüstico, A, s. paysen : habitanı de la cam-
payne, homme grossier, rustaud.
Rusrıqueza. V. Rusticidade.
Rura-capränıa, s. f. (t. de bot.) "galega ou
galec, rue de cheyre. Rula-muraria. V. Ar-
ruda dos muros.
Rutußno. V. Russo, Russiano.
RuriLänte, adj. 2 gen. brillant, qui brille,
resplendissant. p. a. de
Rurı.ia, o.n. briller, respiendir, avoir l’6-
clat de l’or, reluire.
RötıLo, a, adj. (podt.) &olalant comme l’or;
brillant, respiendissant.
Rorina, ete. V. Rotina, etc.
"RöTo, s. m. "route, chemin qu’on fait; iti-
neraire.
RöruLo, a, adj. Rutule, du Latium. Os —s,
s. pl. peuples du Latium.
Rotöra. V. Rotura.
Ruvınnöso. V. Carunchoso, Carcomido,
Ruxoxo, s. m. cri pour faire fuir les oiseaux.
Rry’ramo, oto. V. Rhyikmo, eto.
S.
S, s. m. dix-neuvidme lettre de Palphabet
portugais, et la quinziöme des consonnes; ce
qui a la forme de s. La lettire S mise seule si-
gnifle säoou santo, Saint; designe aussi le sud;
elle est aussi P’abreviation de santidade et de
sua, comme dans S. S. sa saintete, S. M., sa
majeste. Deux s (SS) signifient saints ow trds-
saints.
* Sa, aulieu de Sua. V.ce mot.
SA ouSia, f. de Säo. V. ce mot.
"Sir. V. Som.
"San. V. Sarar.
tSamä, s. f. (4. de geog.) Saba: ville de
Perse et d’Arabie.
SABADEAR, eic.
SiBADO » etc. } V, Sabbad..., etc.
SaBAisMmo. V. Sabeismo.
SABÄÖ, 5. m. savon : päte faite d’huile ou de
graisse ot d’un alcali, pour degraisser. (Ag.
fam.) " Reprimande. Sorte de fruit du Bresil en
grappes. — das Canarias. V, Saboeira das Ua
sarias,
Sınisto et
SABASTRO. | V. Sebasto et Sevasiro,
SABBADEADÖR, A, adj. qui observe le sabbat
comme les juifs.
Sazsanear. V. Sabbalizar.
SÄBBADO , 3. m. samedi : septidme et dernier
jour de la semaine. Sabbat : jour sacr& chez les
juifs ; leur r&union en ce jour.
TSABsATÄrıos, 8. m. pl. sabbataires : juifs,,
heretiques qui observent le sabbat.
SaBBÄTICO,, A, adj. Anno — „ annde sabbati-
que, chaque septieme annee chez les juils.
SaBBATINA, 3. f. office da samedi , lorsqu’il
n’y a point de fete. Sabbaline : petite thdse que
les ecoliers soutiennent le samedi. Legon com-
posee de toutes les legons d’une semmaine, que
les &coliers r&citent je samedi.
BaBBATINO, A, adj. du samedi : qui concerne
ou 56 [alte samedi.
T Sansarisuo, s. m. oslebretion du sabbat
chea les juifs.
' 1063 SAB
Sanzarızän , v. m. sabbaliser : faire le sab-
. bat; observer, celebrer le sabbat.
BanecHid.
Banzcnöso. } V. Sabich..., eic.
SanEDOR,A, adj. ei s. qui sait une chose, in-
struit, informe de. (inws.) Savanı. Faser —,
faire savoir, informer de.
SasEnOnia, 8. f. sagesse, pradence, discer-
nement. °Savoir, doctrine, erudition.* Avis,
connaissance, notice. Livro da —, la Sapience:
lirre de Salomon, intitul& Ja Sagesse. — eler-
na, increada, sagesse &ternelle, increee : verbe.
divin.
*+ SusEponumäntg, adv. V. Sabldamente,
Saebiamente.
SABEDORZINHO, dim. de Sabedor.
Sıs£ismo,s. m. sabeisme : religion des ma-
ges, des Chaldeens , adoration des astres.
Sıanenga, 8. f. (1. iron.) * savoir.
* + Sastnnas (A), adv. sciomment, avec 60n-
naissance de cause. Fazer alguma cousa a —,
faire quelgue chose ä bon escient, ä son es-
cient, la faire sciemment.
" SaBente. V. Sciente.
SısEo, A, adj. de Saba. Sabsen, qui a rap-
port au sabeisme. Lagrima — a, (podt.) Pon-
eens.
Sınkos, s.m. pl. Sabsens : pouples de l’Ara-
bie heureuse.
SABR , 9. a. savoir : connallre, no pas igno-
rer ; avoir dans l’esprit , la memoire; avoir l’a-
dresse, le pouvoir, la moyen de faire ; ötre in-
struil, informe de ; &ire vers& dans un art, une
science. —de cör, savoir par cur. —
ie, ao cerlo, savoir au juste, savoir preeise-
ment. — dem de seu ofleio , entendre bien sa
charge ; se connaltre bien ä son metier. — vi-
vor, avoir du savoir-vivre. Fazer — ‚ faire sa-
voir, informer. Fazemos—, savoir faisons. Näo
— ‚ne pas savoir, ignorer. Ndo — de si, n’avoir
pas letemps de penser ä soi. Nädo — da missa
ametade , (fg. fam.) ignorer parlaitement uno
chose. Ndo — cousa algums, ne s’entendre &
rien. Ndo sabe menlir, dar uma esmola, eic.,
jl ne sait pas menlir, faire une fois l’aumöne.
Ndo sei o que lenho, ou lenho um ndo sei que,
j’ai un malaise. Sem o saber, insciemment, &
l’insu, sans je savoir. Sem eu 0 — , sem Pr 0
saberes, sem elles o sabfrem, a mon, & ton ou
A votre, ä leur insu. Ndo quiz mais saber d’elle,
je l’ai plante l&. Sabe Iros..., Dieu sait... Deos
bem sabe que..., Dieu m’est 1Emoin que...
komem que tudo sabe , c'est un homme qui a’ i-
gnore de rien. A—, savoir. Ba — s concem a
— ‚il faut savoir, il est bon de savoir. Näo ha
ninguem que o ndo saiba, personne ne l’ignore,
tout le monde le sait. Elle bem sabe 0 que fax,
il connalt son affaire.
Basta, ©. ®. savoir, ölre savanl. Eire in,
experimente, en savoir long. (a) Avoir le goät,
la saveur de. (4g.) Plaire , ötre agreable. — bem
ou mal, avoir une bonne 0% mauvaise Saveur.
Iso ndo me sabe bem , (fg.) cola ne ıne plalt
pas.
SAB
Sanka-ez, ©. r. ötre conku, neleire. Sabs-a
que..., an sait que... Vir a— , devenir neteire,
public ; se decouvrir. Se isto vom “—,si l’on
vient ä le sevoir, si cela se decouvre. E digns
de —,il est bon, de saroir. Come tempo tude
se sabe ou vem a saber-se „Loul se decouYrezwee
le temps. Jd se sabe, ‚(loe. adv.) bien eniopdu,
cela va sans dire.
SAB£R, 5. m. savoif, science.
“SAnERETES ‚s.m.pi.ı1.burl.)savoir, science,
6rudition.
SÄBIANRNTE, adv. saramment ‚prudemmsest;
sagement.
Sasıcniö, Ona, adj. et s. (I. berl.) savan-
lasse.
t Sısıcnöso, a, adj. (t. buri.) faux sarvant,
aliboron.
SABiDAMENTE , adv. ouverlemeaut ‚claireıment,
evidemment, manifestement.
Sasino, A, p. p. de Saber. adj. Savant,
docte, &claire ; sage, prudent. — de lodes, me-
toire, 'manifeste, connu de tout le monde.
Sısıporia. V. Sabedoria.
+ Sasinos, s. m. pl. fixe, appoiniemenis,
traitement d’un cure, d’an vicaire; emels-
ments, casuel legal et connu.
Sapina ,s. f. (6. de bot.) sabine : petit arbasıy
toujours vert, espece de genevrier.
+ SasınäL, s. m. terrain plante de sabines.
7 Sasino, A, adj. qui concerne les Sabizs.
On le dit d’un cheval blanc et chätain.
+ Sasinos, s. m. pl. Sabins, anciens peupie
d’Italie.
SiBlo, A, adj. savant: qui a beaucoup do
science; sage. Qui conduit, qui forme & la ss-
gesse,, qui est plein de sagesse. s. me. Savani:
personne sage, prudente, savante. O —, ie
sage, Saloınon. Os —s, les savantıs.
t Sasis, s. m. pl. nom que l’on donnail sux
anciens chretiens de Babylone.
T Sasisuo, s. m. sabisme. V. Sabeismo.
SiBLE, s. m. (i. de bias.) sable vert, en fran-
gais couleur noire.
SanoaRia, s. f. savonnerie : lieu o& Pon im,
brique le savon.
SaBOßIRA, 8. Ark savonniöre : femme guı lait
le savon. (f. de bot.) —ordineris ou meier,
‚saponaire, savonniere: plante caryopbyliee. —
menor , baslarda ou dos rios. V. Escropkuls-
ria dos rios. — ou saboeiro do Brazil, savon-
nier, arbre aux savonnelties, — ou sabodire das
m | Canarias ,savonnier des Canaries.
SaB0£ıa0, 8. m. savonnier : celui qui fait om
vend le savon. (5. de bot.) V. Saboeire.
‚ Sanöca,s. f. espöce de petite alose. V. Sarel.
+ SaBöla, 8. f: \ 6. de geog.) Savoie : prevince
des Etats Sard
+ Susann, & 4, adj. et s. Savoyard, de Ss-
voie.
SasoıLkra,. V. Ceboleta.
SABontrE,s.m. "savonnelte: boule, labieus
de savon prepare. (Ag. fam.) * Hude ,moquerie.
(bdurl.) Reprimande publique, savon.
SABÖR, 5. m. "saveur: qualil# sentie par ie
SAC
goßt. (Ag.) Gott, desir, envie. A—oua0— de,
au goüt de, au grö de.
SABOREÄDO, A, P. P. de Saborsar. adj. Sa-
voure.
*f SABORBADÖR, A, adj. ( p- us.) qui donne os
cause de la saveur, qui assaisonne.
SaBOREKÄR, ©. G, assaisonher : donner du
goüt, de la saveur; temperer. Savourer : goü-
ter avec attenlion et plaisir; (Ag) jouir aveo
delices.
SasonsBÄr-SE (de, em), dv. fı Savourer: go0-
ter avec allention et plaisir. (Ag.)- Eire cbarme
de, so complaire, prendre plaisir.ä.-
SanoRiDo, A, adj. (p. us.) qui a uno Saveur.
(fig.) V. Agradavel.
SABORÖSAMENTE, adv. savoureusement, d’une
manidre savoureuse. (flg.) Agreablement.
SAROROSISSIMO, A, adj. sup..de
SABOROSO, A, adj. savoureux: qui a bonne
saveur, beaucoup . de,.saveur. (g.) Flatteur,
agreable; discret.
+ Siska, s.f. sorte de raisin.
SäBRE, 5. m. sabre. V. Tergddo.
SıBro. V. Saidro.
* Sasino. V. Sabido.
SaBUcÄL, 8. m. lieu plante de sureaux.
SaBucäL, adj. 2 gen. Uva —. V. Uva de ode.
SaBüco, s.m. Facine des cornes, de la queue
des animaux ; racins des ongles. v. Sabu-
gueiro.
SanucugiriL. V. Sabugal.
Sa2uGußıro, 3. m. (#. de bof.) sureau : plante
caprifoliacee.
Sıa26J0, s. m. sorte de chien de chasse, ela-
baud, limier.
SasuLöso, A,adj. sablonneux : qui roule du
sable (ruisseau, eic.). Urina —a, urine s8-
blonneuse, chargee de graviers, et qui indique
la pierre.
Sanünnı,s. f. (li. de mar.) saburre : gravier
pour lester. (1.de med.) —, ordures dans les
premieres voies, crasso de la languc.
+ Sanunräia, v. a. (i. de mar.) saburrer,
lester.
SABURRENTO, A, 0% |] saburreux, p4leux. Lin-
SABURROSO, A, adj. } gua—a,langue päteuse.
Sısüano. V. Milho,Zaburro.
Sica,s. f. traite, transport, exportalion de
marchandises. V. Saida. * Tirage, action de
tirer. ı6. V. Sacca.
+Säcı-BiLa, s. m. tire-balle : instrument de
chirurgie pour tirer une balle d’une plaie.
+ Sica-BiLas, s. m. tireballe : instrument
pour tirer une balle d un fusil, d’un canon.
SACA- BOCÄDO, 5. m. emporle-pidce : insiru-
ment propre & decouper. V. Almofale, Vasa-
+ Saca-50civo, adj. m. Panno —, (p. ws.)
drap, &loffe decoupte avec l’emporte-pitce.
SACcA-BUXA, 8. f. saquebute : petit instrument
de musique & vent,, sorta de trompetle ou trom-
bone. Espece de pompe marine. * Tire-bourre:
instrument pour tirer la bourre, la charge d’une
arme ä feu.
.
SAC 1058
Sıacipa,, s.f. (l.d’arch.) saillie, avance; bal-
eon. Traite; transport, exportation de marchan-
dises, "Impöt, tfibut, droit de Lraite foraine.
Sacan2BLLa, s. f. aclion de relirer la ligne
lorsque le poisson a mordu & l’hamegon.
SacAD0, A,P. pP. de Sacar. : i
SACADÖR, A, 8. celui qui Llire, qui Öte. (1. ds
comm.) Tireur d’une lettre Je change. Roceveur
de deniers publics, etc. it. V. Qwsitador.
SıcarıLca, s. f. instrument d’artilleur &
bord des vaisseaux , espece d’aiguille A erocher-
SacaLADOR. V. Ayac .
SıcaLiö ou Sacko. V. Empuzxäo.
SacaLinna, #. f. espece d’ancien dard. V,
Sancadilha.
Säca-MmKTäL, s.m. V. Agulks de garvalo.
SiäcA-MÖLAS, 8. M. „arrachenr de dents.
+ Säca-näse, s. m. (fl. de. mar.) creo de .
pompe.
SicA-PRLÖURO,, 3..M. V Sacabalas.
Sacäa (de), v. a. lirer, sortir, Öter ;arracher,
V. Tirer. —, arracher, öter de force; arracher, -
forcer.de donner. — umea lelira de cambio,
tirer une lettre de change. — a espada, lirer
Pepee , degainer. — algum dinheiro a alguem,
arracher, oxtorquer, acorocher quelque argent
& quelqu’un. — om branco, (1. de comm.) tirer
ä decouvert, lirer sur un nom imaginaire.
SäcA-RÄBO, s. m. quadrupöde qui ressemble
au furet. V. .Towrdo.
Sıcaria,s.f. grande quantit6 de sacs. Impöt
sur les exportations, droit do traile foraine.
'I (ant.) Fausse alarıne.
Sıcarino. V. Sacharıno.
Saca-TaÄPO, 8. m. Lire-boufre : instrument
pour lirer la bourre d’un fusil, etc.
Sicca, s. f. grand soc; son contenu. Balle
(de coton, ete.).
+ Saccäpa, s. f. sache6e : plein un sac.
Sicco, 3. m. sac: sorte de grande poche de
toile; son conlenu; mesure de grain, de la-
rine, etc. (6 slquiers en Portugal). —, habit de
grosse Loile ou bure, habit de penitenoe, d’hu-
miliation; (fig.) ce quiena la forme. —, pillage
d’une ville, etc. Melter.a —, voler, piller, de-
rober. Dar a cidade a —,, livrer la ville au pil-
'} lage. A cidade # dads a —, la ville est au pillage.
Homem de — , porte-faix. Nabos em —, chat en
poche. Seile 00 —, e 0 — em lerra, (fam.) beuu-
coup de gens pour ne rien [aire ow faire mal.
E um —de carne, c’est une masse de chair.
Fazer meiter a alguem a lingua no —, (9
fam.) meüre quelqu’un au sa0.
SaccöLa, s. f. besace, biusac de fröre qu&«
teur. Saooche.
* SACCOMÄNO, 8. m. Sal, pillage. it. V. Saca-
mardo.
* SAcomÄO ou
© Saccowänno,. } V. Saqueador, Salteador.
+ Sackııo, s. m. "chapelle, petit temple.
SACERDÖCIO, 8. m. Sacordoce: caraclitre des
pretres; prötres; oorps de pr&tres; ministöre
des sacrilicateurs.
Sackandra. V, Sasordolize,
1058 SAC
Sacennorir, adj. 2 gen. sacerdolal : du sa-
oerdoce.
SAcERDÖTR, 5. m. pretre. V. Presbylero. Sa-
cerdote, pr@tre böbreu. Saerißicateur, chez les
paiens. Summe —, souversin pontife: se dit
de J&sus-Christet du pape. Grand sacrificateur.
SAcEnDOTizA, s. f. pretresse : fomme allachöe
ia service des faux dieuz.
Sicna, s. f. sarclure. V. Sachadurs.
Sıcnin0, A, p. p. de Sacher.
SACHADOR , 8. m. Sarcleur.
Sıcsandaa,s.f. l’action de sarcler, etc. "Ber-
foueltage.
Sacniö, s. m, aug. de Sacho. Grand sar-
cloir.
SıcHÄr, v. @. sarcler : arracher lies mau-
vaises herbes ; serfouetier, remaer la terre au-
tour des plantes. "
TSacnanirena, adj. f. sacchariföre, (plante)
qui donne du sucre.
TSacuarino, A, adj. (1. de chim.) saccha-
reux ou saccharin : de la nature da sucre, qui
en contient les principes. Acido —, acide sac-
charin os oxalique, tir6 du sucre.
SıcHO, 3. m. sarcloif : instrument pour sar-
cler. * Serfouette : outil de jardinier pour ser-
fouetter ou serfouir,
SacnöLa, 3. f. petite beche, grand sarcloir.
Sacıl0o, A, pP. p. de
BacıÄr, v. a. rassasier, assouvir. Desaltsrer ;
abreuver.
Bacıirn-sE (de), ©. Fr. Se Tassasier, au propre
et au Ögure.
SACIıÄVEL, 0dj. 2 gen. qu’on peut rassasier.
SACIEDÄDE, 3. f. satiötd, rassasioment.
Sico,, etc. V. Saceo.
* Sıcom. V. Sazde.
* SacomÄo, elc. V. Saceomdo, etc.
+ Sacönpno, 3. m. inseole aplaire de Pil6 Ma-
dsgascar : il fait une espeöce de miel.
Sıacorkis. V. Socotorino.
Bicra,s. f." canon d’autel : tableau de pridres
mobile sur Pautel. Canon do la messe. «si. V,
0.
SACRAMENTÄDO, A, 9. P. de Saoramenter.
adj. A qui on a administre les sacrements,
Transsubstantie. O doente foi —, lo malade a
616 adminisıre.
SACRAMENTÄL, adj. 2 gen. sacramental ou
sacramentel : qui spparlient au sacrement.
SACHRAHENTALMENTE , adv. sacramentalement
ow sacramenicllement.
SACRAMENTÄR, ©. a. donner, administrer les
sacrements. Transsubstantier. : changer en
corps et en sang de Jesus-Christ le pain et le
vin dans l’eucharistie.
SACRAMENTÄR-SE, ©. r. recevoir les sacre-
ments. Se traussubstantier.
SACRAMENTÄRIO,, adj. eis. m. sacramenlaire:
köretique, calriniste, zuinglien, qui est dans
Perreur sar l’eucharistie.
BACRANENTO,, 5. m. sacrement : signe visible
d’une chose ou d’une gräce invisible instituee
par Dieu pour la sanctifieation des Ames ; l’eu-
SAG
charislie, Corps de Jesus-Christ sous es espirns
eucharistiques, Tres-Saint-Secrement. Mystöre.
* Saintete. (ant.) Serment.— do alter, Saiat-
Sacrement del’autel, de l’eucharistie.
SacaARı0, 5. m. tabernasle : petit temple qui
renferme le ciboire. Sacraire, petit temıple. Ex-
droit od l’on garde les reliques, etc., wise.'
(fig.) Interieur d’une personne-
Sicaas, s. f. pl. les trois canons dag. T.;
Saera.
Sacrarissıno , a, adj. sup. de Sure se,
gredo. Tressacre.
SÄCRE, 8. m. sacro; sorle de [aucen qui beit
du lanier; demi-canon, quart de eonlerriet.
V. Saero.
Sacaırıckvo, A, 9. p. de Sarrifker.
SACRIFICADÖR, A, 8. sacrificateur.
+ Sackırıciı, adj. 2 gen. qui ooncerne les»
orifice.
Sıcairicänte,, adj. 2 gen. sacrifiant , qei #+
erifle. 9. a. de
Sacrırıcaa (a), 9. @, sacrifier (&), ofrir =
sacriice A Dieu, aveo des osrdmonies sole
nelles, pour lui rendre un souverain hommaft:
immoler ; se priver de quelque chose agresik
pour l’amour, en fareur de quelqu’un; rein
viotime, exposer & un danger &ridemi, ei.
abandonner.
Bacrırıcka-s8, ©. 7. se oonsacrer & Die
(por) Se sacrilier, se d&vouer, s’immoler.
+ SacrırıcaTivo, a, adj. propre au sarrik
+ Sackımchvzı, ed). 2 gen. sacrllable;
doit &tre immol6 en sacriflce ; qui peot ou deb
etre sacrilis.
+ SacaıpicaL, adj. 2 gen. qui comoerae Im
sacrifices.
Sıcaırliao, s. m. sacrifice : offrande ä Dies
aveo des otremonies ow A des Otres dirisie.
aux passions, otc.;(flg.) renoncement, aber
don; meurtre pieux en l’honneer de Dia ®
des dieuzx. Saorifice de J.-C. ser l’arbre de ı
eroix. Action de sacrifier, la chese serriit.
(Ag.) * Soamission , deference, m&me Intelet-
taire, au sentiment d’autrui. — de elr, d
misse , sacrilice de Yautei , ia messe.
+ Sacairico, adj. et s. (pods.) qui prend w"
des sacrifices. j
+ SucaıricoLo, 5. m. terme de mögris EM:
les anciens. dim. de Saeriflce.
SACRILEGAMÄNTE, ade. sacrilögement.
SacrkıLacıo, 3. m. sacrilege : action lm:
profanation des chosss sacress ; allaniat wel!
une personne sacree. "Peine contre les sacnit
es.
i SıcriLuco, A, adj. ot s. sacriläge : calei TE
commet un sacrilege ; souille d'un sacrilege
+ Sacaista, s. m. sacriste. V. Saeriside.
Sacaısti om Sacnıstka, 8. f. sacrisline:
ligieuse qni asoin de la sacristie. Femme
sacristsin. u
+ Sıcaısrania, as. f. emplei de satrsluM
Sacristie, benefioe. .
Bacnıstkö, 5. m. sacristain : colui qei 243
d’une sacrislie ; dignits dans certains bapl*
SAF
0. mör, grand sacristein , prölre sacrislain.
:meRor, SOus-Sacristain. Como canla 0 ab-
de responde o—, (loc. prov.) tel maltre, tel
let. Bens de — canlando vom tanlando vdo,
rov.)ce qui vient de la flüte reiourne au lam-
ur: bien mal acquis ne profite pas.
Sacrıstia,s. f. sacrislie : lieu od l’on ren-
'me les vases sacres, les ornements, ele., oü
ıpretress’habillent, etc.
Jicao, a, adj. sacre. V. Sagrado. O -- eol-
no, le sacre eollöge. Osso —, sacrum. Or-
ss — as, ordres majeurs : la pretrise, lo
ıconat et lo sous-diaconat.
JACRO-LOMBÄR, 8. m. (f. d’anat.) muscle Sa-
Hombaire.
ACROSÄNTO, A, adj. sacık, trös-saint.
'ACODIDA. v. Sacudidurs.
ACUDIDELLA, 5. f. löger secouement, Idgere
Qusse,
‘ SACODIDAURENTE ‚ adv. avec socousse; brus-
'ment.
ACUDIDO, A, P. P. de Saeudir. adj. Secoub.
ısque , de&daigneux; dur, intraitable.
' SacupınOR, A, 3. celui qui bat, quisecone.
ACUDIDURA, 8. f. action de secoues, de bat-
‚ d’e&pousseter un habit. Y. Saewudimento.
ACUDIMENTO, 8. mM. 8600 48ment: action de
duer, L’action de repousssr, de rejeter : de-
n, mepris. Ebranlement, agitation , commo-
|, SCCQUSS®. -
ACUDIR, ©. a. secouer, 6&ranler, agiler, ro-
er forterment. Secouer : bettre un habit pour
)ter la poussidre, eto. Chetior, battre. Jeter,
yusser, eloigner de soi avec violence. On
it au physique et au meral. Rejeter, chas-
renvoyer. — 0 pda alyuem, &pousseler,
re quelqu’un. —o p6 dos pes, ou dos sapa-
secouer la poussiere da sef souliers : #’6-
ner d’un lieu qui ne merite que haine et
ıris. — 0 jugo,(fig.\ secouer le joug, w’af-
chir de la dominstion.
SACUPSMA,s. f. (l. d’hist. nal.) "guan : >
ı qui tient du hocco.
SADiAMBNTE,, adv. on bonne sante. V. Sam
Umente.
Sıpio,A,adj. salubre, sain , qui eontribue
sarnıte. V. Seudavel. Sain, qui jouit d’une
ne sante. Qui menage sa vio etsa sante. (fig.
.) Peu liberal.
Sıpo, 8. m. sorte d’embarcation pour la
ıe, dans l’Inde,
‚DUCEISMO,S. m. saduceisme : doctrine des
ıc6ens.
‚DUCROS, & m, pl. Saduodens : Seotaires
;, materialistes.
‚Era. V. Seisls,
ıFA, inserj. fam. fayons, eic., ow sortez
‚ etc. Safa! Dieu m’en garde: loin d’ici!
ıFAÄDO,A,P.P. de Sefar.adj. Uses. Dinksiro
monnaie dont l'’empreinte est eflacee.
\FÄR, ©. @. user : deiöriorer par l’usage, lo
sment. Digager d'une chose qui empeche,
; debarrasser. Alleger un vaisseau : le de-
SAG 1053
combat. — una talka, (8. de mar.) parer un
palan.
Sarin-g, v. r. s’enfuir, s’öchapper. (fg.)
Eviter,se dispenser, refuser de faire une chose.
+ Säranı,s. f. desert rocailleux.
T Sarisıo,a, adj. Romä —a, grenade A
grains carres.
Siraro, A, adj. hagard. On leditdu faucon,
ete., difficile & apprivoiser. (ig. fam.) Dedai-
gneux, farouche, intraitable.
Sarire. V. Arafate.
Sırtna. V. Saphena.
Bario, s. m. espöce de oongre. V. Congro.
Sirio, A, adj. Fustre, grossier, ignorant,
malgracieux.
Sarina. V. Sapkira.
Sıro, Aa, adj. debarrasss, pröt. Vide, qu’on
a döchargs (vaisseau , etc.). (Ag.) Libre ,
quitte, etc.
+ Sarözs, s. m, sorte de larges culottes & la
suinse.
Sirka, s. f. grande enclume carree. Reöcolte
d’olives. Olivaison. Anno de —, annde od la r&-
colte d’olives est abondante. dt. V. Sdfara.
Sarrantına, s. f. oulil de forgeron pour per-
cer les @ils & certains instruments, comme la
hache, le marteau, etc.
+ Sırniö, s. m. (f. de mar.) — do leme, sa-
fran du gouvernail. —do beque ou apoio do
talhamar, repos & l’angle du brion pour rece-
voir le bout inferieur du taille-mer.
Sica, s. f. charge qu’on met sur le derriere
d’une voiture. Derritre : parlie du derridre
d’une chose,. V, Retaguarda. Borcidre, magi-
cienne.
"Bacagania.
“Sacackza. V. Sagacidade.
*Sacacia.
Sacaclving, 8. f. sagacit6: pemetralion d’es-
priı. V. 4stucia. Finesse de l’odorat dans un
cbien de chasse. * Instinet des animaux & pres-
sentir ce qui leur est bon ou nuisible, etc.
Sacacissımo, A, adj. sup. de Sagds. Qui a
beaucoup de sagacite.
SAGAPENO, 5. m. Sagap6num, KOMMO-S2gA-
pin ou gomme-seraphigue.
Sıckz, s. m. inseote qui poursuit et Iue les
araigndes.
Sıcız, adj. 2 gen. sagace, dous de sagaciie,
penetrant; adroit, fin, ruse. On le dit d’aı:
cbien de chasse qui a !’odorat fin, des animau x
qui pressentent ce qui leur est bon ou nuisible.
Sacazıpinz. V. Sagacidade.
SAcAzNEnTE, ade. aveosagacilö, aveo inesse.
“ Sıckıra ou Sackria. V. Sabedoria.
+ Sıckma, s. f. prison des captils, chen les
Maures.
"Sıckz. V. Sabedor, Sabio.
“Sıckza ,etc. V. Sabedoria.
*Sıcıkö. V. Seidö, Algor.
Sacınäno, A,P.p.de
+ Sıcınin, 0. a. engraisser. V. Cover.
+"’Sacıon,s.m. bas oflicier de Justice, sbire
rger de 06 qui pout lFambarrasser dans un | etc. V. Sasido.
1056 SAI
+ Bacırivg, s. m. (1.d’Asie). V. Praleleire.
+ Sacıranas, adj. f. pl. Folkas— ‚(t. de bol.)
sagiliees, (feuilles) on forme de lance, de üd-
che. V. Afrechadas. .
SıcıraL,adj. 2 gen. Suturs —, (t. d’anal.)
suture sagiltale, du eräne, en forme de fläche.
+ Sacıramaıöon, 8. f. plante aquatique, &8-
pece de renoncule. ' u i
SacırÄkıo, s. m. sagittaire : neuvidme signe
du zodiaque; archer qui tire de l’arc.
SAGITIFERO, A, adj. (Podl.) qui porte des fld-
Si60, 3. m. "sale ou sagum : vöternent mili-
taire , antique, attach6 A la ceinture ot couvrant
les cuisses.
+Säcaa, s. f. föte patronale.
Sıcols. V. Sagui.
Sacnackd,s. f. "sacre : action de sacrcr un
roi, un &veque; cer&monies qui l’accompa-
guent. Constcration d’une eglise.
SAGRÄDAMENTE, adv. avec respect, voneration.
Sıcaipo, A, p. p. de Sagrar, adj. Sacre::
qui a regu P’onctlion sainte; saint, respectable;
inviolable; mis en reserve; consacre & Dieu.
(%g.) Qui merite une veneration particuliere.
SacaiDo ,s. m. * franchise ; asile ouvert aux
criminels dans les &glises, etc. Lieu saint. (Ag.)
Asile, rofuge, lieu de sürele. Misturar, con-
fundir 0 — com 0 profano , meler le sacr6 et lo
profane.
" Sacaiı. V, Seoular.
SAGRÄR, ©. a. sacrer : conferer, avec des 06-
rdmonies, un caraciere de sainteis; faire la
cerömonie du sacre. Consacrer une öglise.
SÄckE. V. Sders (demi-canon).
Sicd, s. m. sagou : espäce de päle vegetale,
alimenteuse ; moelie du palmier landan. Bois-
son spirilueuse laite du sagou.
Sacviö, s. m. potite cour dans l’interieur
SAI
"+86, s. m. (1. de bot.) joubarbe arbore-
cente : plante orassulös, -— curlo, joabarbedes
toits. ‘
BäısO, s. m." saveur. V. Resabio.
Sıamaiö, aug. de
Saipro, s. m. gravier : gros sable mält de
tres-petits cailloux.
. Saısa050, A, adj. graveleuz, sablonneux.
Sıloa, s. f. sortie, action de sorlir; issue,
endroit par oü l’on sori. Promenade hors des
portes d’une ville, dehors. (fig.) Raisons,
moyens qu’on emploie pour r&soudre une dili-
cultö, pour sortir d’eınbartas, etc. (id.) lsser,
tvenement, succ#s d’une affaire, denouemtal,
*Debouche, moyens de vendre, facilite de de-
bit. Sortie: attaque de gens assieges. Sailke:
partie qui avance, qui sort en debors. Lerke:
l’heure & laquelle une assemblee se Eve poat
finir la s6ance. 4’ — de, au sorlir, en sorant
de; & la fin de (l’annee, de Phiver, ew.).— &
anno, fin, bout de l’an. —da vide, la mort.—de
'proposito. V. Digressäo. Faxenda,
que lem —, marchandise de debit. As [sendet
ndo tem — , le commerce. ne va pas. Zsis cu
iem — duas ruas, cette maison dokät
dans deux rues.
Saloa ‚adj. f. On le dit. de la femelle de ox-
lains animaux lorsqu'elle est en chaleur. dw
der —, tire en chaleur. j
Sıloo, A, 9. p. de Sair, adj. Saillant : q@
avance, sort en debors.
Saıkra, 3. f. salöte, serge.
“ Sııkza. V. Sagacidade, Astucia.
+ Salca, s.m. (6. Phist. mat.) salga : espftt
d’antilope du Nord.
. Saım£L, 5. m. premiöre pierre, sur lechap-
tesu, qui commence & former la voüte.
SAIMENTO, s. 1. (aw5.) pompe fanebre,
t&ge en deuil. *Fin, terme, conclusie. V.
d’une maison; entrös couverte d’une grande | Saida
meison ; sorie de vostibule ow plutöt de grande
allee.
SAGUÄTE, 8. m. (4. d’Asie) present, cadeau.
t Sacükıno, s. m. (6. de bot.) sagoutlier : pal-
mier, fougere qui donne le sagou.
* Sacukza. V. Sagacidede.
Sacti, 6. m. (1 anist, nel.) sagouin : petit
singe. — praieado do Pard , mieo. — peguenino
do Marenkäo, Pouistiti.
Sıacum. V. Sdgu.
SAGURTINO, A, adj. de Sagonte. Os —, m. pl.
les Sagontins, habitanıs de Sagonte.
t SacUnTo, 8. m. (1. de g6og. ane.) Sagonie,
ville d’Espagne, aujourd’hui ruines de Mor-
viedro.
Bacda. V. Sdgü et Sagueiro.
Sauipa, etc. V. Saida, etc.
Sira, 5. f. jupe de dessus. — de malke, cotie
de mailles.
* Saıagußz. V. Grosseiro, Rustico.
Sarkı, s.m. bugle, bure, burat:: grosse dolle
de laine. Drap crois6, cuir de laine. (Ag.) Ve-
tement fait de bure, etc.
"Baukd, 3, m, bourreau. V. Algoz, Aguazil.
Saınkrg,s. m. morosau de graisse, de mörlt
ou de cervelle qu’on donne & un faucon, eIE-,
& son retour. (fig.) Morceau delicat. (id.) GH,
saveur agreable d’un nets. (id.) Allöcheme!:
tout ce qui allire, gagne le cur. (id.) "Saure,
assaisonnement; du piquant. .
Sainna, 8. f. (ant.) saline. ds. dim. de Sös,
petite jupe.
SaInno, s. m. dem. de Sdio. Sorte de vor
de femme. .
SAINTE, adj. 2 gen. qui sort; gui Änil 9%
de Sair.
Siro, 5. m. sorte de casaquo large et SI
boutons. * Saie. V. Sdgo. — das mulkeres, ı#
cien habillement de lename croise par deraklı
ä manches pendantes et A Jongue queue.
* Saroania,s. f. ex6cution Saite par ıR
guazil, eto. V. Algozaria.
* Sıronizıo, s.m. V.Carreragem.
Saıöre, s. m. dim. de Sdio. Jupon, eotiflen;
colie.
Sain (de), 0. n. sortir: passer du dedans M
dehors, (Ag.) d’an temps, d’uno saison, d@
. etal, d’une situation ponibie, elc., d 03° aus
DEE an nt
SAI
no pas demeurer ou rester; (Ag.)se dii des bor-
nesdu devoir, ducaractere ;partir, s’echapper;
se lirer d’embarras, se degager, sorlir d’une
difBculte. Sortir de, @tre issu , tirer son ori-
gine, venir de; avoir pour principe. (flg.)
Naltre , en parlant de quelque production. Pa-
raiire au jour, ötre rendu public. S’offrir, se
presenter. Surpasser, exceller, se distinzuer, se
tirer de la foule. Codter, revenir & tant. Salllir,
s’avancer en dehors. Aller ä. (i. de peint.) Bril-
ler, paraltre. Eıre en chaleur. V. Saida ‚adj. f.).
— dcampanha, aller & la guerre, se meiltre en
campagne. — ao inimigo, marcher & !’ennemi.
— a .campo,, enirer en lice, s’engager dans une
conteststion. — ao enconiro. V. ce mot. — d
luz, naltre, venir au monde; paraltre, ötre
donne en public. en parlant d’un livre.—a pu-
blico, d prasa, se divulguer, devenir public.
— # alguem, ressembler & quelqu’un. Sai a
seu pai, il ressemble A son pere ow il lient de
son pere. — cdro, coßter cher. — com a sua,
en venir ä ses fins, l’emporler sur ses con-
eurrenis. — com alguma cousa, dire ou faire
queique chose d’inattendu ou hors de pro-
pos.— certo, se verifier, se conrmer. — d’este
mundo ou da vida, mourir. — do siso, perdre
V’esprit, devenir fou. (Ag.) Extravaguer de
joie, etc. — do proposilo, sortir de son sujet;
faire une digression. — do barranco , do ato-
leiro ,(fig.) setirer du bourbier; sortir d’em-
barras, etc. —da madre. V. ce mot. —de si ou
föra de si, sortir de son assiette naturelle; etre
furieux. — em terra, descendre en terre, de-
barquer. —d’um porio , partir du port, en par-
lanı d’un vaisseau. — föra , sortir. — föra do
ecaminho, s’ecarter du chemin. — em comboio,
aller sous convoi. — por alguem, prendre le
parti de quelqu’un, se declarer pour lui. —
bem , r&ussir, avoir une bonne issue. — mal,
echouer, avoir une mauvaise issue; Mandquer,
ne pas reussir. — bem de tudo, se tirer toujours
d’affaire. — com impeto, jaillir. -- a conia
errada, (fg.) trouver bien du mecompte. —
“ma nova, se repandre, en parlant d’une nou-
velle. — uma sorie a alguem,, gagner un lot ä
la loterie. — a sorle em pr£ito , tomber (le sort)
sur quelqu’un pour @ire soldat. — sobre as
fontes,, tenir (an enfant) sur les fonts baptis-
maux.— dasconchas, (flg.) sortir de sa coquilie.
4o —, au sorüir, en soriant. Ao — do sol, da
iua, etc., au lever du soleil, de la lune, etc,
Sdia o que sair,, au hasard,, ä tout &venement;
arrive qui pourra. A fome fas— o lobo do mato,
(loc. prov.) la faim chasse le loup hors du bois.
Sala-sz, v. r. sorlir; s’&carter — bem de...,
reussir, venir & bout de; bien s’acquitier. —
mal, echouer, ne pas r&ussir. — com alguma
tousa , dire ow faire quelgue chose d’inatiendu
ow hors de propos.— do perigo, se delivrer da
danger.
+ Salai Do Baazır. V. Colinga ax.
SaıssÄiL, 8. m. * oseraie: lieu plant6 d’osiers.
Sätss0 , 6. m. osier, arbrisseau, saule nain.
V. Vie.
PORT.> FR.
.SAL 1057
+ Saitkıa, 3. m. (tl. d’hist. nal.) sapujou 8
petit singe d’Ameriqne, & yuose prenant«,
museau Court, t&te plate. —negro do Purd, le
coaita. — chordo, le sat. —amarellado do Pard,
le salmiri.
+"Sasrınia. V. Sageria.
Sir, 3. m. sel : substance dure, [riable, eris-
allisee , seche ‚ soluble et picotante; sel de In
mer, hydrochlorate de soude; acide combıne
avec un oxyde; alun, nitre, etc.; (fig.) ce qu’il
ya de piquant, de vif, dans un bon ınot, elc.:
tout ce quireleve, assaisonne , rend agreable
et piquant. (fig.) Sagesse dont le sel estregard6
comme le symbole. —dos muros, sel mural. --
de contrabando, faux sel. Deitar—na comida,
saler, assaisonner avec du sel (un mels, etc.).
Fabricar, faser—, faire du sel.
SiLa, s. f.salle, salon : grande piece destinde
A recevoir les visites; piece principale d’un ap-
partement. — d’espera, salle d’attente. Fazer
— a alguem , [aire la cour & «quelqu’un. Dar —
[ranca, (anf.) avoir table ouverte.
Sıri, 3. m.acte de religion des mahometans
qui consiste & s’incliner profondement en oroi-
sant les mains sur la poitrine. V. Salama et
Salema.
Sırasönnia. V. Semsaboria.
SaLina, s. f. salade: melange d’berbes ow de
viandes, etc., assaisonndes aveo du sel, de
Phuile, du vinaigre, etc. (fig.) * Melange de cho-
ses en confusion, en pieces. (id.) Composition
poetique oü entrent toutes sortes de vers.
Sırapkıra, s. f. *saladier: vaso od l’on serb
la salade.
+ ° Sıapinua ow SaLapima, s. f. dime sala.
dine, imposee pour la guerre contre Saladin &&
les Maures.
Sırima,s.m. salam : salulallon turgue. V.
Salema.
+ SALAMALE oW salamalec : r&verence
+ SALAMALEE,s.m. ) profondechezies Tures
Sıramänca, 3. f. (l. de g6og.) Salamangque %
ville d’Espagne.
SaLaminnra, 5. f. salamandre : reptile ba-
tracien d’oü suinte une liqueur lorsqu’on le
brale. (fig.) V. Amianto.
* SALANANGQLUE. V. Salamanlico.
SALAMANTBCA oW SALAMANTEIGA. V. Sals-
mandra.
SaLaAMÄNTICO, A, adj. et s. de Salamanquey
natif de Salaınanque.
SıLamantica. V. Salamandra ei Centopfa.
Sıramio ou SaLomio, s. m.Salomon, fils de
David. (fig.) Homme tres-savant.
Sarameän, v. n. V. Psalmear. (t. de mar.)
Chanter en manauvrant. V. Celeumar.
Sırauim. V. Selamım.
SıLiö, s. m. aug. de Sdln. Salon, grande
salle. Terre glaise. (f. de mar. Fond do sable
et d’algue presque petrifice.
Sırantin, etc. V. Assalariar, etc.
SALARIO, 5. m. salaire : zages d’un domesü.-
que; payeınent d’un ouvrier, eic.
Saravinco, V, Solaranco,
1058 SAL
SaLaz, adj. 2 gen. lubrique, kascil, imps-
sun.
Sarcnicaa, 9, f. saucisse : boyau rempli de
viande erue hacbee;; (I. d’artil.) roulean plein
d’aruißce. .
SaLcaumkd, s. u, aug.de Salchicha. Sanlis-
son : sorie de grosse saucisse ; (1. de fort.) lagei
de grosses hranches pour les breches, eic.
+ Sarcacatıno, s. m. celui qui [all des sau-
eisses ; charculier.
SaLsipo, A,P9. pP. de
BaL2in, 9. a. solder un compie.
SiLn0 ,s.m. (1.de comm.) solde d’un bompie,
ce qui sert a solder, a compleier un payement.
Bas. V. Seit.
BaLzıainno, dim. de
BaLkıno,s. m.“ salidse : vase, ustensile pour
meure lo scl; creux au-dessus des yeux du
oheral, eis. Saunier : celui qui fait et vend du
BaLtua, s. f. tövirente, salut respeciueux,
salamaloe. Faser 0 —, faire un salamalee. (1.de
mar.) V. Celsumae. (1. dhist. nat.) Saupe : pois-
son du genre du spare.
SıLzuinna, s. f. dim. de Salema. Petite
saupe , poisson.
TBaL&Po, s. u. (4. de bot.) orchis bouflen,
morien : plante & racines Labereuses. Salep:
saeine buibeuse d’orchis des Indes.
f BaLkano, s. m. (1. de geog.) Salerne:: ville
du royaume de Naples.
Bıautra, s. [. dim. de Sala. "Salon, pelite
salie.
Aruaa , " f‘ salaison ı action de saler. "Lieu
oü l’on sale lo peissen. "I t sur le sei. V.
Salgadeira. m
BaLoÄBamANTE, ade. (fam.) agreablemenı,
gracieusement.
SaLoantına ,s.f."saloir : valssoau pour saler
les viandes, eio. Lieu otı !’on sale les viandes ,
je poisson, etc. (4. de bof.) * arroche halime,
ouig. pourpier de mer, arroche en arbriseeau ’
sontenelle s arbusie,
SALGADISSIMO, A, adj. sup. de
BaLcino, A, p. p. de Salger. adj. Balsı qui | F
a trop de sel \ragoüt). (Ag.) Gracieux, enjoud,
piein de sel, Piquant, croustilleux. Cher, qui a
eodie cher. Esta cousa foi bem —a, celie chose
a 616 bien poivrce. O — reine, ( god.) les plai-
hes saldes, la mer.
BaLoanOn, A,s.saleur : celui qui sale.
SuLorpöas, s. f. salaison, salage,
+ Saroaınäpa,s. f. (6. burl.) * gächis.
SaLcin, 0. a. saler : assaisonner avec dn se);
meltre du sel; meltre dans le sel; meltre Lrop
de sei dans un ragoüt. (Ag.) Corriger, reformer.
— as casas, um edifcio, semer de sel les rui-
Bes d’une maison, d’un edifice ras& jusqu’auz
fondements.
abo, ®. er — s terra, dire baigı.o et
rondusteriie par les eaux de la mer, en parlant
d’un lerrain. m Bi
Ban-oßua, 5. m. sel gemme,
näral. fossile, mi-
SAL
Sırerkırı ,s. f.eseraie : freu plante Fosiern.
V. Salgueirs.
SılccEıR it, 5. m. *sausszie om saulaie : ken
plante de saules.
Sırerkino, 3. m. L. de boi.\ saule: arbee
agquatigue, ameniacde. — de ia, saule»
parasol — da Indie, espece de daphue! ;Bin-
fie germinans).
*Sıınia, 0. 6. trainer, remuer.
Sırıir, adj. 2 gen. salien, de Mars.
Sarsciata, 8. f. (1. de bot.) salitaire, Iysime-
ebie rouge : plante rosacee.
+ SıLıcisrro, 3. m. V. Doramarge.
SiLico, a, adj. des Saliens. Lei —e, lei
salique : disposstion qui exclut les femme
de la couronne de France „ ei des demaises
Foyanx.
TSauıcöamik, 8. f. \t. de bot.) " salicorae:
plante atriplicee.
SALIENTE,, adj. 2 gen. saillant; qui avante,
sort en dehors.
Saricas om Sıuiorzs, 8. m. pl. (1. dA)
sorie d’arıne de trait.
Sarina , 3. f. saline. V. Merinka (de mi).
SALINÄVEL, adj. 2 gen. salifiabie : qui peei
ötre converti en sel.
' SALINEIRO, 6. m. saunier; proprietaire de ı*
ines.
SarLino, A, adj. salin : qui conlient des par-
ties de sel.
SiLios, #. m. pl. (1. d’ant.) Saliens : pre
de Mars , & Rome. Saliens ow Francs-Saliens:
premiere tribu de la ligue germanique qui e&
vahit la Gaule au cinquieme sidcle.
* Säuın. V. Sair. ‘
+Sarıraaciö, s. f. formation naturrlie di
salp@tre.
SıLırräpo, A, adj. plein, compost ow forms
de salptire. p. p. de Salilrar. Agus —s, a
ralraichie avec du salpt@tre.
SaLıtrir, s. m. mine de salpetre, nitriere.
+ SäLıraäa , v. a. reduire en salpeıre. Pre-
parer avec du salp£ire.
BaLitag, 5. m. salpeire : sorte de sel, nilre-
dbrica de — , salpetriere : lieu od Pon faille
salptire.
Bauıtakıno, 6. m. salpetrier : ouvriet gu
travaille a faire du salp@tre,; marchand qui
vend, le debite,
Bauıtrısaciö,
BALITRISAR, @le. | V. Balıyar..... ot.
BALITROBO, A, adj. salpötreux , nitreux: qEi
oontient du nitre.
Sariva, s. f. salive: humeur aqueuse qui
coule dans la bouche. is. V, Baba. Engulir 6
—, (fg.) ne pouvoir, n’oser dire une chose.
SaLıvaca6, 5. f. salivaliom : dcoulemeni de
la salive. u
SarıyäL ow SaLıvär, af). 2 gen. saliraire :
qui regarde la salive. Glandulas —ea, glandes
salivaires , destindes A secreier la salive.
SıLıvia, v. m. saliver : jeter de la salive.
SıLıvöso, A, ady. qui rend beaucoup de s=
live ; baveux, plein de salive,
SAL
Barmiö, 3. m. saumon : poisson de mer.
Bino ou signo—. V. Samdo.
*Baımän. V. Apaimar.
t SaLwuTıcense, adj. et m. de Salantangue,
Sarıuzin. V. Psalmenr.
Freien , 9. ». porter le bl6 & l’aire.
a
Saumo eh. ' V. Psalm..., eie.
SaLMmokına, s. f.“ vaisseau od !’on fait la sau-
mure. V. Salmours.
SaLmoßınin, V. Selmourar.
SaLmoßıro. V. Salmotira ei Salmoura.
SaLudıaa. V. Salmoure.
tSaruonino, a, adj. saumond : & chair
Fouge comme celle du saumon (truite—e).
SALMONZJO ou (8. d’hist. nat.) surmu-
SALMoNgTE, 0. m. } let: poissen de mer du
genre du mulet. —vermelko ou barbadim,
surmulet, barbarin, moil, Saumoneau : petit
saumon.
SALNÖDRA, 8. f. saumare : melenge d’eau ei
de sel pour conserver les olives, etc. ; eau que
rendent la viande et le poisson sales. * Garum :
saumure pour conserver le poisson. (fig.) Re-
proche amer; verte reprimande, etc. Baston-
made, volee de coups.
SALMOERÄDO, A, 2.9. de
SALNOURÄR,, d. a. mariner, tremper dans la
saumure. (fg.) Molester, tourmenter, maltrai-
BALÖBRE, adj. 2 gem. qui a naturellement
BALOBRO, A, adj. le got du sel. Agua
—@, eau saumätre ou saumache, quia le goft
de celte dela mer. Homem —, homme insipide,
ennuyeux.
SaL010, A, adj. et s. paysan, villageois des
environs de Lisbonne. {fg.) Champfttre , rusti-
que , grossier.
SıLowmid. V. Salamäo.
tSaLöna, 8. f. (8. de geog.) Salone : ville de
Grece.
tSardmca ‚s. f.(t. de gdog.) Balonique : ville
ei port de la Grece.
tSiLra, s. f. (1. P’hist, wet.) * biphore:: ver
merin transparent.
SALPICADO, A, p. p. de Selpicar. Parseme.
Tachete, moucheit.
SaLrıcapfaa, s. f. selaboussure. V. Salpico.
Sarrıckö, 3. m. viande froide hachse ei as-
saisonnee. Baucisson & l’ail.
SarPIcäa, u. @. eclabeusser : faire rejaillir
de la boue, ete., sur quelgu’un. Moucheter,
tacheter. Saupoudrer. (Ag.) Ternir-la repuus-
tion de.queiqu’un: (id.) Sautiller : sauter d’une
matiere, d’un chapitre A un autre , sans ordre
ni suite.
SaLrico, s. m. * dclaboussure. * Moucheture.
(fig.) * Fletrissure, tache A Ja *&putation. (id.)
Raillerie piquante.
+ SaLrıc6La, s. f. nom d’une plants portu-
galse & fleurs bleues ow couleur de chair.
SALPIMENTÄDO, A, 9.9. de
SALPIMENTÄR,, d. 0. saupondrer rle sei et de
poivre. (fig.) Deguiser sous des pretextes spe-
SAL 1059
eiouz, assalsöuner ie ralsons plausibles. tid.)
Dire des paroles dures ei piquanies.
T8aLzıuknta, s. [. " melsnge de sel et de
poivre. Couleur chinee, melange de gris et ds
blanc. j
TSaıringa, 6. f. * serpemt d’Alrique. .
SıLrazsir,, v.a.saler une viande et la char-
ser d’un poids pour qu’elle prenne mienz le
sel. Saler un peu.
BaLphtee, a, adj. 9. P. irr. de Salpresar.
Sale, etc. Un peu sale, a demi-sel.
SiLsa, 5. f. (6. de bot.) * persil oommun ou
des jardins. — de Macedonia, bubon de Maoi-
deine. wulg. persil de Maotdeine. — de csaia-
nheiras. V, Letistico.
Biısa , 8. f. 0auce : assaisennement liquide,
(fig.) Tout ce qui plalt, fatte, «veille le gen,
Ter —, (ig. mb.) &iro maltraits & la guorse.
Sıursiva,s. [. inirigue. V. Anredo, Bmirs-
Ihads.
Sıarsıraaz, V. Sastefraz.
Bazsspanniina, 8. f.(t. de bot.) salsepareille:
racine medicinste du Porew, sudortfque, ati
nuante ; sa planie sarmentaobe.
SarLsbına , 8. f. sauchise : vase od !’on mei la
sauce.
SaLsamiinml, a. [. dim. de Salssire.
SaıLstıro, s. m. V. A ro.
f SıaLsinga, s. m. (li. durl.) petit hamme,
horame de rien „ intpte.
SiLso, a,.adj. (podt.) sale. — argdato, -— as
ondas , los plaines saldes, la men
SaLadonu, s. [.salare ; humeur salsugineuse.
Sıssucme6so, a, adj. salsugineux : qui a zap-
peetau sel. -
SALTADA ‚8. f. atlaque improrus, incuesien.
"Beigandage. Desvente, visite domiciliaire.
8aL1Ä00,d, P-p- de Salter. dj. Baillente
V. Resaltado. Olhos 3, (anf.) yenx qui som
tens de la iöle.
SaLtasoR, A, adj. ots. sauteur, qui saute.
Bauvinvz, adj. 2gon. 9. a. db Seller. Bau-
anti ‚ai saute. (1. de Dias.) Sautant, rampamt,
pret.h s/dtaneer. "
Sınnkö , 3.0. sorte de poissen de Seolsia,
qui sunsermbie au muge. " Bamterelle verte.
Buryaö, Oma, af. (P. us.) qui saute beag-
eerie, o.a.sauter: fcanchir (mu foume ,.
0t0.); ommetire un pariaut ou en.tnanscrivanig
pervenir-d’une ylace Införksure A-une placssu-
pirieure,, sans ooguper es iaterınddieises.
BaLrin (de,s,em), v. %. sauter : s’dlever
de terre uwer elort; «!Blancer don Heud um
autre ; faire des sauts ı :bondir, rejaillär ; sed
tacher, se söparer. (Ag.) Se füsher, siiınmpatien-
ter, Sauter aux nugs. (1d. ):Parlpr, röpondee,
kors de propos. Jaillir, jouer : soriireveo imnpe-
mositd. Seurdre, surtir deterre , d’ım ırwaller,
en parlert d’une fentaine, Samullärg ehanger
d’objet, de matiere. Fretiller. Burvenir. «uam
em terra, dessendre. de uatem, vlöberquer.
Faxer - os miolos a alguem, brüler la carvellok
quelquum, — an 00 ‚(m algemmn, ansabllie
1060 SAL.
quelgu’un, tomber sur lul. — d’ums cousa @
ouirs, passer rapidement d’un sujet & un a%-
tre, en parlant, etc. — de coniente, d’alegris,
sauter de joie.
+ Sırranfcaa , s. f. saulerelle gradude, rö-
eipiangle , pantomötre : instrument de geome-
trie
SaLrarfıLo, 3. m. (i.pop.)sauleur, mauvals
danseur.
SaLTaraice, s. f. denseuse de corde. Femme
qui danse d’une maniere ind6cente.
Sıurzida. V. Sallade, Assalto.
SaLTrzino, A, p. p. de Sallear, adj. Surpris,
pris & P’improvisie. Saber de cör e—, savoir au
bout du doigt.
SaLrzanon, s. m. brigend, voleur de grand
chemin , bandit.
SALTEAMENTO, 8. m. assaut ; Surprise.
Sıırsin, v. a. brigander : voler sur les
grands chemins, detrousser les passants. Atta-
quer, assaillir & ’improviste. (4g.) Surprendee,
prendre & !’improviste ; charmer les sens, ravir.
Feire une chose & bätons rompus.
SıLTEÄR, 0. ®. brigander : vivre en brigand.
SALTEÄR-SE, vo. r. s’ellrayer, s’alarıner ; eire
saisi.
SıLrkıno, s. m. talonnier : qui fait des taloms
de bois.
Sarrknıo. V. Pselterio.
SıLrımpänco, s. m. saltimbanque : obarla-
ten , bateleur.
SıLrımbänca, 6. f. sorte de casaque pour le
peuple , ourerte sur les cöl&s ou par derriere.
SaLrıuvid, 5. m. sorie de jeu d’enfants.
SıLrinuo, s. m. dim. de Salto. Sautillement,
petit saut, etc. Petit talon.
SiLTO, 5. m. saut : action de sauler ; MOUY&
ment par lequei on saute; espace de ‚lerrain
qu’on franchit en sautant; chute, jet d’ean.
Endroit qu’on ne peut franchir qu’en sautant.
(fig:) >, passage d’une matiere, d’un objet &
uR auire , oontre l’ordre naturel. Elan : mouve
ment subit avoc effort. Bond , rejaillissement,
saut d’un corps &ldstique; saut (du cerf, de la
chevre, eis.) Bondissement : mouvemeut des
agneaux en bondissant. Vol, rapine, brigan-
dage. Talon de soulier ow de botle. — mortal,
saut perilleux desdanseurs de corde. Cous aque
ss abre, [cha de—, chose qui s’ouvre, se ferme
par un ressort. Tomar o— de longe, (fig.)
»’y prendrelongiemps ä l’avanoo. De—, subile-
ment, tout & voup, & l’improvisie. Por —,
a ba tons rompus. N’um —, vite. Dar—s, bon-
ılır, faire des sauis. Dar —s d’alegris, sauter .
de joio. dos —s, par sauls et par bonds. Pör-se
ce, se melire en embuscade pour assaillir.
Tomer 0o—, prendre occuper le lieu par oü
l’en nemi peut assalllir. Mover-se de —, sauter.
tın le dit d’une piöce d’schees qu’on change de
ca rei en la falsant passer par-dessus d’autres
pt .
SALTO A SALTO . add. saııis , & 010-
ch ‚phr par ‚a0
BALUBERAINO „A, adj. sup. de Saludre.
SAL
SaLlang, adj. 2 gen. salabre , sain ;qui co»
tribue ä la sante.
SaLupatpäDe, 5. f. salubrite : qualile de c0
qui ostsalubre.
Sarucar, etc. V. Solupar, elt.
SALDDADOR, A, 5. charlatan qui pretendgut-
rir avec des pridres , des cer&monies , par s0R
souflie, etc.
BALUDÄR, 9. a.gu6rir par son souffie, par “es
prieres , des cer&monies supersliticuses, eic.
SaLurir, adj. 2 gen. salutaire. V. Selah-
fero.
SuLurirgao, A, adj. salutaire; qui apporie
la sanıd ow le salat; (Ag.) utile, avantageux.
+" SaLdro, s. m. sorte d’ancienne monnait.
SiLva, s. f. salve: coups de canon lir&s ä
intervalles egaux et en nombre determine. Sou-
coupe, ouvrage d’orf&vre, eic., Sur laquelle oa
sert les verres, etc. “Essai qu’on fait des mebs,
du vin, etc., qu’on sert au roi, ele Salatation,
salut. Provoyance, precaution. " Toast, sanie.
Reponse anticipee
solennelle. Responder d—, rondre le salul, &8
termes de marine. Tomar a — , goüteries mes,
etc., avant de les servir au roi,el6-, POL per
ver qu’ils ne sont pas empoisonn
sayer, experimenter, &prouver.
prouver, montrer son innocente; promelire 6°
lennellement, protsster,
Gasiar a polvora em —s, (fig.) ürer 94 poude
aux moineaux,, mal employer sa peiß®.
& une objection. Promes#
ds. (Ag) ir
Faser I.
assurer fortemen.
Siuva, a. f. (1. de bof.) sauge: planle aromt
tique, vivace, labiee : Ir&s-estimee aus Indes
— esclarda ‚sclare, toule-bonne,, orvalt, kr
henri. — dos prados, sauge ow orvale des pr.
— baslarda, sauge sauvage , sauge des bo. -
braca, * ormin. V. Hormino.
Sırracaö, s. f. "salat: l’aclion des sarrdı
d’echapper A un danger; retour ä la san, ält
sürete, etc.; felicit6 &ternelle. Conserrau®;
sürete. it. V. Saudapdo. Bois de —, (1.% sur.)
bou&e de sauvelage.
SıaLvano, A, ?. p. de Selcar.
SALYADOR, 3.m. sauveur : celui qui sat
liberateur. On le dit par antonomase de 14
est aussiadj.
SaLvicem, 8. f. (4. de mar.) salvage: drei
sur co qu’on a sauve du naufrage; sauteht"
it. Sorte d’ancienne pi&ce d’artillerie-
SaLväcam, adj. ets. eic. V. Seloagem,
Sırvacvinda, 3. f. sauvegarde : pro“
accordee par le prince, etc.; letire, pla’2Tı
&erit qui Pannonce; garde envoyde par" a
neral, etc.,pourgarantir du pillage- (gr
qui protege, defend.
SıLvaröla, s. m. (t. burl.) grand sanrazt
*Sııva. V. Savel. u
SıLvamBnTo, s. m. l’aotion de saute! Pear
se saurer. Port, asile, refuge. (1. de msT-.”
velage ou sauvement : action de sauvei
marchandises naufragees. Chegar 8; a
sain ei sauf, arriver ä bon port,
'SAM
Salve ou } (gop.) sauf, & Yexzsep-
*SıLvinte, ado.) tion, a la röserve. V.
Salvo, adv.
SaLvan (de), v. @. sauvor, dölivrer, garamtir;
inelire om süret6 (la vie, l’honneur, elc.); pro-
eurer lo salut dternel; pargner, öviler. Eviter
un inoonrvenient. Eviter de toucher une chose,
en passant par-dessus ou a oöl4. Franchir. Ba-
Iuer. Approuver les renvois, les addilions,, les
ratures d’an acie. Saluer, lirer le canon en
salvo.-—s vida, lirer du tombeau : sauver la vie
4 quelqu’un. — as apparencias, sauvor les ap-
parences. — #03508 erros, disculper, excuser
nos fautes. — fazendas, exempter lea marchan-
dises des droits d’entr6e. ll est quelquefois ®.
Ex. : — d bandeira, saluer le pavillon., —
com vinte e um liros, ssluer (un vaisseau, le
drapeau, eto.) de viugt et un coups de canon.
SaLvin-sE (de), v. r. so sauver, s’ö&chapper
(d’un danger, du peril); fuir; seretrer dans un
lieu sr ; (aire son salut, obtenir la gloire eter-
nelle. — em juwizo, prouver son innocence en
justice.
SALVATELLA, 8. f. (i. d’anat.) salvatelle : pe-
tite veine situde entre le troisidme et le qua-
wriöme os du melacarpe.
SıLvirıco.V. Selvatico.
SALVÄVEL, adj. 2 gen. qui peut @ire sauve.
SALYAZINHA , 3. f. dim. de Saloa. Petile sou-
coupe.
Save, 206 lat. je vous salue, je vous sou-
haite le bonjour. Salve! je te salue!
SiLve ou SaLve Rainua, s. f. "salve : priere
en l’'honneur de la sainte Vierge.
SıLv£ra, s. f. plat d’une Jampe. (I. de dos.)
Petite sauge,, sauge franche.
SıLvina, s. f. ancienne preparation pharına-
ceutique [öbrifuge.
SiLvo,A,p.p. ter. de Salvar. Sauve, etc.
adj. Saul, hors de peril. S8o e—, sain el auf.
A—,sens rien risquer. A sou —, en sürei6, &
son aise, sans rien craindre. Em — , en süret6,
& couvert, hors de peril. Poz em — seus boms,
il mit ses biens A couvert. — erro, saul erreur
de calcul.
SıLvo, ade. sauf,exceptö,& la röserve , hor-
mis.
SALYO-CONDECTO, 5. m. sauf-condait : per-
wission par autoril& publique d’aller, de venir
librement. (fig.) Chose qui donne permission,
liberts , süreit ; priviläge, exemption.
"Sım ow Siö, pour sow (je suis). «4. V. Sdo,
+Siua6, adj. m. Sino ou plutöt Signo
deux triangles entrelaces formant une &toile &
cing pointes : sorte d’amuletie ou talisman en
vensration chez le peuple (en Portugal), quo
l’on suspend au con des enlants, eic.
+ Sawania, s. f. (1. de geog.) Samarie : an-
cieone ville et royaume de Palestine.
+ SAMARITÄNO, A, adj. et s. Samaritain : de
Samarie.
Samannı,s. f. velement de peau de mouton
avoe la laine, que porient les bergerscn hiver;
elisson de berger. Simarre : soric de robe lon-
SAN 1068
gue de magistzat, elo.;, sorte de soulano ow
soutanelle.
SamanRa0, s.m. aug. de Samarra. Grand
pelisson de berger.
Samsära. V. Zumbase,
*Saubänco, s. m. " bande de cuir sur rie p0i>
trail d’une mule,, pour empecher que les Lrails
ne blessent. (Ag.) Sorte de ceinture de femme
pour elever les mamelles,. Vieux soulier ow
vieux morosau de cuir.
SAMBENITÄBO, A, 9.9. de
SAMBENITÄR, ©. @. meltre le san-bönito & um
criminel condamne par le tribunal de P’Inqui-
silion.
SANBENITO, 8. m. san-bönilo : espece de sea-
pulaire de drap jaune, aveo une Croix rouge
en sautoir, qu’on metiait aux criminels con-
damnös par l’Inquisition. (Ag.) Note d’infamie
que laisse une mauvaise action. Fazer gala de
— ‚tirer vanitö de ce qui deshonore.
Sıusıxüda. V. Sengussuga.
SANBLADÖR, 3. m. menuisier, ouvrier qui
assemble diverses piöces de bois.
SANBLACEN, 5. m. " assemblage : maniere
d’assembler le bois de menuiserie ; piöces prin-
eipales qui servont & cet eflei. Carpinteiro de
— ‚ menuisier.
SıumBLir, v. a. assembler, joindre, embol-
ter, enchässer plusieurs pieces de bois.
Samsüca, s. f. ancien instrament de musi-
que & cordes, sorte de harpe. i#. Pont de cor-
des, machine de guerre.
+ Sausöco, s. m. (4. d’4sie) sorie de zetit
bateau ou chaloupe usilee dans .’Inde,
+ Sıwsurä, s. m. (I. du Bresil) sorie ds pe-
nier de liane des p6cheurs du Bresil.
Sıusixa. V. Sacabuxa (ins. de mus.).
SAM&nTE, adv. sainement; avec droiture,
* SAMiCAS, 5. m. bomme sans moyens, igne-
rant. adv. Peut-tire, par hasard.
+ Siäuıo,A, adj. ei s. Samien : de Samos.
Sauıraaka. V. Cimilarra ou Semilarra,
+ Sıuniras ow SANNITES, 5. m. pl). Samnitess
ancien peuple d’ltalie, dompie avec peine per
les Romains.
+ Saunirico, A , adj. desSamnites.
Siuo, s. m. aubier. V. Alburno.
+ SamöLo,s. m. (il. de dos.) samole, Iysima-
chie, mouron d’eau.
f Sauöaa,s.f. (t. de geog.) Zamora : ville
d’Espagne, dans le royaume de Leon; ville du
Perou, pres des Andes ; ville d’Alrique, dans
— 9 la Barbarie.
+ Siuos, s. f. (t. de geog.) Samos : lle et ville
de !’Archipel, sur la cöte d’Anatolie.
T Samosara, s. f. (4. de g6og.) Samosale:
ville de Comagöne.
+ Sauornnicıa, 8. f. (l. de geoy.; Sanıo-
thraoe ow Samandrachi : Ile de PArchipel.
+ SAMOUuNA, 6. r. “ de bot.) espece d’esculus
(ZEseulus pavia). V. Esculo.
San. V. Sdo.
Sani00,A,Pp.p. de
Samän,v.a. guerir, rondre la sante; (Ag)
1068 SAN
eorriger @’an döfaut, ete.; Foparer une [auis,
eie. V. Sarar.
Sınıriro, a, adj. caratil ; qui gusrit om doit
gusrir.
SanivaL, adj. 2gen. guteissable ı qu’on peut
gu6rir. (fig.) V. Romedievel.
SıncapiLna, e. f, "oroo-en-jambe. V. Cam-
6.
Sıncanakd, so. m. ang. de Sanoo. Os d4-
pouills de sa chair. — de Mefoma. Terme de
Inoquerie par lequel on designe les os de Ma-
komet que les musuimans vont visiter & la
Aurque.
Sanccäö,s. f. sanclion : confirmalion , foros,
autorit6 dennte & une leis; oonstitullon, #a-
blissement qui a force de lol.
Bıuccıonäno, A, 9: p. de
Sınceıonir, @ a. sanetlionner : donner Ya
sanetion &, eonfirmer (une lei); donner foree
de loi & qeeique chose.
Sıncnina, 2. f. V. .
Buancuassräß. V. Saoristäo,
Sinco ,, s. m. * jamabe d’eiseeu , depuis la patte
Jasqu’& la Jointure de la cuisse. (ig.) Jambe
longus et greie.
BANOTA-SANCTORUN, 5. mu. vanotualre du tem-
Ye de Jerusalem, le saint des gaints ı sanc-
waire.
Bancrıkoe. V. Santidge,.
Baucrırcagä6, 8. f. sanstiäicetion « action de
Banctitier ; elfer de la gräse qui sanotilie ; odld-
teation des [ötes.
Suncrısickno, A, P. p. de Senefikser.
BancrimcaDeR, A, adf. ot #. sanslifienienr;
ui sanotiße.
Suxcrisiciure, adj. 3 gen. sanotillent : qui
‚ ytlle. p. a. de
Sancrımcha , 9. @. sanetißer : rendre Saint;
louer, benir, odiehrer. Deslarer saint. Consa-
crer entitrement A Dieu, conserver pur ot sans
tache. ( Ag.) Justiller, exouser, discuiper. — 0
domingo, as fostas, sanctier le dimanche,, joa
fötes, los observer, los garder.
Bincro, ete. V. Santo, elo.
Sancruikıo, s. m. sanctualre : ie lieu saint
du temple des Juifs ; liou od est lo mattre-autel;
(Ag) l’eglise, lo sacerdose; choses saordes,
*Rglise, ohapelle od sont los rellques d’un saint.
+ Sancrus, 5. m. sancius: parele que dit le
preire apres la preface ei avant le canon. A
misse esld a — , Idee & —,, On MOL au Sumehus,
on sonne io sanohus.
BANDÄLHA 08 sandale : anolenne ohaus-
SımsiLıa, 8. f. } sure de femme; ohaus-
sure de roligieux d6chausses.
+BanpaLlno, A, ady. (podi.) falı de sandal
ou qui en a la couleur.
BinpaLo, s. m. (6. de bot.) sandal : hois des
Inge. " Menthe d’Arable. — branse, sandal
blane; — vormeike, sandal rouge : bols odo-
rants ei medicihauz. — korien. , aenthe des
jeardins. V. Vergamota.
Sanpäracı, 8. f. sandarague, sandaraz:
gemame, resine söche du grand gendvrier or-
SAN
souge, substance dont 09 nauusrissen!
Chupamal.
Im abellles ouvriäres. V.
SAnDRO ou SANDEU, adj. m. nigaud, nleis,
ben6t, fou, insensö, sot, imbecile. Meis sade o
= no sou que © sisudo om awisado me alheie,
(prev.) plus salt le fou em sa maison que k
sage dans la maison d’autrul.
Saupia, adj. f: de Sendbe. Polle, ,
niaise, nigande,
Samslamäntz , ade. follement, selloment.
Sanpioe, s. f. elle, seisise, niaiserie, erima-
vogance.
+ Bansıchno,, A , adj. reuge, de conleur dem-
late. V. Sandis.
+Bamtoo, a, adj. nlale, not, de Sanden.V.
ce mei.
Sınnfo. V. Sandeo.
fBansiz ou | sandix ew sandyz: viren
Sumiz, . f. 1 calcinde. *Bandix, esptce de
minlarm. Roage orange fait aveo de ia cerase
oalcinde. Herbe dont la leur est de vouleur
ücarlate.
tSampnanä, s. m. arbre dont le bois est eu-
eere plus nofr que l’6bene.
SanziB0, A,P.p. de Sansar.
u SANEAURNTO, 3.0. assaintssement. "Röpart
on.
Bawzir, 0. e. asseinir, rondre saln. Reparıt,
remedier, gudrir. Paltier. — atengdö, disculpet,
excuser l'intenlion. — ums pessoa com ulrt,
röeoncilier une persenne aree une auir. —
amizades ‚renouer l’amitiö romper.
Sanzin-ag (de), u. r. r&parer (ame perie, une
faute, eic.). — com algusm, so röconcllier, 9
raccommoder aveo quelgu’an.
Sanzoaim. V. Synkedrim,
Banfra, s. f. penie de lit, castonniäre; Bat-
delette large qu’on met sur le rideau. Trarera
de bois,
Banröna,s.f. vielle : instrument de masiget,
& cordes frotides ei mises en vibralion par une
roue,
Banrönza, . f- * Gageolet, fikte de berger:
plutöt vielle,
Sanronina, s. f. V. Sanfona. s. m. Oelal qii
}oue de la vielle.
Sanronınän, o. ®. Jouer de la viele. (A.
Etre importun,, parler mai ä propos.
SANFONINRIRnO, a. m. vielleur : qui jone de
vielle.
+ Sina, s. f. (1. de Bresil) onvertare dans
lo let par otı entre le poisson.
tSancivo, a, adj. qui a entre par la songt
(V. ce mot), pris dans le filet (polsson).
+ Sanciıea , s. f. ancienne mesure de s%
Ndes et de !iquides.
+ "SAancÄLno, 8. m. anclenne mesure egalei
eing litrons.
+ Sanclaca, #. m, sangiae : gouverneut luft,
sous le begler-bey.
Sıncokıra. V. Sangueira,
SANGKADO, A, p. p. de Sungrar.
SANCRADOR, 8. m. saigneur, chirurgien gel
fait la saignee, phlebotomiste.
SAN
SAncRADdURO, 3. m. pli du bras ol se pfä-
fique la saignee. "Saignde faite A une riviöre, &
un canal; Iranehe6e.
Sancnapöra,s. f. seignse falle A un canal.
SanonaLinga, 9. f. berbe & feuilles longues ,
&pres et piquantes par-dessous.
Sımonin, u. e. phlöbetoriser, salgner , eu-
vrir la veine; ter le sang. Ordonner une sai-
ende. (Ag.) Saigner un foss#, un marais, une
niviöre; exiger, tirer de l’argent de... partaxe.
®. ». Salgner : perdre, Jeter du sang.
Banonin-sE, o. r. Oiro saigne, se faire sal-
gner. — em sallde, (Ag.) prendre des precau-
tions; faire des excuses antieipees,
SANGR£&NTO , A, adj. couvert de sang; od il y
a effusion de sang. V. Cruenio et Sanguento.
Sancala, e. f. saignee : ouverture de la veine
pour tirer du sang ; ce sang ; (Ag.) rigole, petit
canal creus& pour dessecher un terrain ‚etc. ;
tranchee. (id.) —, moyen de tirer de l’argent
de quelqu’un. * Sans-gris : sorte de limonade
falte avec du vin, du sucre, du citron et de
l’eau. Näo d — desatada, (prov.) 1a foire n'est
pe sur le pont. Herva de sete — s, ‘greömil,
erbe aux perles : plante borraginte.
SÄNGUE, 3. m. sang: liqueur rouge qui cir-
cule dans les veines, les artöres; liqueur qui
en tient lieu dans certains animauzx. (fig.) — ,
race, extraction ; qualit6 du temperament,
6.) Meurtre, carnege. (fig.) Substance, sub-
sistance (des peuples); finances d’un dtat. —
do drdgo. V, ce mot. d—frio, de sang-froid
Alogeea—,Aleuetä sang, A toule rigueur.
Fazer —,(fg.) aflliger , chagriner,, faire de la
peine; blesser, Carno e—,(Ag.) la chair, la
concupisceuce; la nature humaine, l’bomme
torresire. = das uvas, da parreira , de Baccha,
(Ag.) le vin. Ndo ficar gola de — no corpo,
(Ag.) pälir, trembler de peur. A ehaga, a feri-
de ninda verle— , ou esid aindo golsjando —,
la plaie est encore saignante. Lavar com —, la-
ver une injure dans le sang. Fervs-Ihe o — nas
ooine , le sang lui beut dans les veines. Deitar
— pelo nariz,, saigner du nez. O--se herda 0 0
vicio se apega : reproche A un gentilhomme qui
vit plong6 dans le vice, dans la debauche.
"BANGUSCHÜIVA 0% BANGSECHUYA,, 8, f. porte,
flux de sang (chez les femmes).
+ Sancufıaa,s. f. sang qui decaule des ani-
manx tuds, grande quantii# de SAng; Bang
aqueux, plein de serosile.
Sangusytkno. V. Ensangueniade,
Sancu£nTo, A, adj. sanglant, lache, aouilie
de sang , ensanglanıs. Qui cause eflusion de
sang ;(fig.) cruel , sanguinaire.
BANGUESÜCA ‚&. f. sangsue : animal aquali-
que, ver endobranehe, evipare, qui suos le
sang ; (Ag.) celui qui exige plus qu’il ne lui est
dö ; exseleur avide,.
BAncuszüra. V. Sangussuga.
' Sancesxöva. V. Sanguschuue.
Sınsviaäı, s. m. (}. d’4sie) petite embarca-
sion de l’inde.
wo.
SAN 1063
+ SancuiseRo, A, adj. qui conlient du sang.
Bancvıncagsß, 9. f. sanguificalien ; lans-
formation du chyle en sang.
Sanovımeido, 4, P-p. da
SAnGUıPıckk , 9. © sanguiller ı nenverlir om
sang-
+ Sancvırıcariva, a, adj. sanguiliostif: qui
convertit on sang.
+ Sancvirıco,, A, adj. qui facilite la sangui«
fication. V. Sanguifhestioo,
* SANGUILEIXÄDO, A, adj. saigne.
* SANGUILEIXADOR. V. Sangrader.
* SıncvıLeixia , 5. f. lieu ed l’on saigne ; 8
ilon de saigner.
+ Sancvımäntamäntg, ade. d’une manlöre
| sanguinalre.
Sancuınänto, A, adj. sanguinaire, oruel, ine
humain, qui aime & röpandre le sang humain.
Ser um homem —, ötre un homme de sang, UR
huveur de sang, aimer & röpandre le sang.
Massa —a, (1. de mdd.) la masse du sang.
Sıncrinza. V. Sanguinka.
Sancuineo, A, adj sanguin : en qui lo sang
domine (personne, temperament); qui abonde
en sang; de oouleur de sang.
Sancvinsa. V. Semprenoiva.
SANGUINHLIRO OW } (1. de bot.) sanguin, bois
SanGuinHo, s.m. ) punais, cornouiller fe-
melle. -— d’agua, * bourdaine.
Sancuinno, s. m. purificatoire : linge avec
‚lequel le pretre essuie le calice.
SANGUINHO, A, adj. V. Sanguinso et Sangud-
nalento, :
Sıncuinıpipe. V. Consanguinidade.
Sancvino. V. Sanguineo,
SAXGUINOLENTO, A , adj. sanguinolent, san-
glant. V. Sanguenito,
Sanavındso, A, adj. de sang. Sanguinaire, V.
Sanguento.
SancuiskL, V.S icel,
+ SanGuisonBa, 4, f. (f. ds bot.) sanguisorbe:
genre de pimprenelle,
SANGUISÜGA,
SANGUIXÜGA, } V. Sanguoruge.
. SÄuBA, @. fu coläre, fureur, emportement,
courroux. (Ay.) Effet de la fureuy, da la calere.
Bannano. V. Assenhade er Sankude.
Sannzanim. V. Synhedrim.
* Sıusoänz, s, m. Saint-Jean , la Saint.Jean.
* Sanuoantına. V, Sanjoansire.
* SAxHOANEIRO. V. Annual, Anneiro,
Sanu6so, A, adj. furienz. V. Sankuda,
SAuHÜnANENTE ‚, ade. avec aolöre , rege, für
reur.
Saunloo, A, adj. furieux, ealöre , omporid,
courrouck.
Sınıka. V. Sansar.
%# SanicuLa , s. f. (6. de bat.) sanicle ı plante
ombelliföre. .
SanınÄde, 5. f. sante : etat de l’hemme sain ;
guerison.
Sinig,s. f. (4. de med.) sanie ı Pus söreux
des ulceres.
Banıdan. A. adj. sanlouz ı ohargd de sanie,
‚ N , ku | . -
1068 SAN | an saO '
Sınisumo, a, ad. sup. de Säs. Trbs-sain, [ Surrıovine, 1, p.p. de
eie. " SANTICTÄR-SE, ©. r. se servir d’em sainl
+Sanırinıo, a, adj. sanitaire : relatif & la | pritezie pour Lromper, eic
SaxrıL.iö, s. m. hypeocrite,, biget, lauı devon.
Sayrınönıa,s. f. sanelimonie, sainieid. Bi-
goterie , hypoerisie.
Suntımoni:ı, adj. 2 gem. de saial,quialei-
terieur de saint.
Sastiuua, s. [. dim. de Sense.
SARTINNO,, A, adj. dim. de Sanio. Qei mine
une vie sainle. s. Jeune ow peüt sainl. Sein
bomme ,sainte ferame; personne hambie, ver-
Iucuse, ou d’esprit doux, paisible.
SanTissımo, a, adj. sup. de Sense. Trössaial.
O0 —., le Ssint-Sacrementı.
SAXTO, a, adj. ol 5. saint : essentiellement
pur ; souxerainement parfait ; conssere 4 Dien,
a la religion , & un usage sacre; respectable,
tres-verlueux ; qui suit exaciement la lei de
Dieu et de l’Eglise, qui s’y conforme. Sin-
pie, peu avise, bon homme. Uule, salulaire,
surtout en medec:.ne. (fig.) Agreable, üatleer.
Corpo —. V. Sanlelmo. Um — , Vimage, la si»
tue d’un ssint. Dia — de guarda, [eie d’oblıga
tion. — padre ou padre —, saint pere: noa
donne au pape. — officio. V. ce mot. Tode -
dia , toute la sainle journde. Expression lai-
litre qui, dans les deux langues,, &quirvaui dus
jour tout entier. —s palevra, (loc. ade., lort
bien, c’est bien dit, vous avez raison.
Sinto, s. m. salat: bienheureuz canonis#
par I’Eglise ; image, statue d’un saint; saint
homme. Mot du guet. Encommendär-se s ben
— , (ig.) se tirer d’un mauvais pas contre touie
esperance. Die, festa de todos os —e, la Tom-
saint. Ndo sade a que — se encommende, il Di
sait d quel saint se vouer. Cada — quer am
oela, (loc. prov.) chaque saint, chaquo chat
delle.
* SANTOÄNE,, s. m. sorte d’ancienne tolle.
SantöLa, 5. f. (1. d’hist. nal.) arsignee be
mer. — navalkeiro, ° fauchenr : ospece d’der-
visse de mer.
+ Sıntouta, s. m. (1. de gdog.) Saint-Omt!
ville de France.
SANTO-OFFıcıo. V. Ofßleio.
+ Sartonina, s. f. (8. de bol.) santoline, s°
mencine, petit cypr&s, aurone [emelle : planit
synantherce.
SAnToR , #. m. (1. de bias.) sautoir. V. Arpt.
SanTonkL, 5.1. rocueil de sermeas ou dr
vie de saints.
Suntönum, a. m. (4. de proo.) le pain bnit
V. Pdo por Deos.
Santuinıo: V. Sancluario.
Sio, ä, adj. sain . qui se porte bien; 0%
bre, bon pour la sanıd; parfait, anlier, SUR!
defaut, qui n’est pas gäl6 (fruil, eic.) Exesapl
de risque, de peril, en süreie. (fg.) —, el
’de jugement ; sage (esprit); donforme aux d#
cisions adopiees ( dockine —e ) — 0 1%,
sein et sauf. — e escurreilo, sain el nt. Nö?
deisar 0830 —, allaquer loutes les parlit da
corps, en parlant d’une maladie. Malwal,
eanservation de lasamte. Cordäo —, corden Sa-
nitsire : ligne militaire pour empöcher la pro-
pagation de ia pesie entre les pays limitropbes.
Sinsa, s. f. rigole, tranchee pour conduire
ou faire &sonler Yes.
+ Saxsacivo, s. m. arrondissement lurc.
+Samico, 6. m. geuverneur de province
parmi les Tures.
Sımsino, a, 9.p. de
Sınsin, vo. a. saigner les terres, ouvrir des
sigoles ou des tranchses.
Sınsoankina, s. f. sorte d’ancien tribut que
Yon payait & la Ssint-Jean. si. Poire de Saint-
Jean.
Sınquıräa ,o.6. V, Mexer, Amassar.
BSinTA, s. f. sainte.
+ Sınra-invone, s. f. "arbre ow arbusie de
rıle de Fer, dont les feuilles sessemblent & cel-
les du laurier.
Sınrardıuo. V. Contiföhio.
+ Sauta-Mäiuna, s. f. (t. de geog.) Sainte-
Maure : Ile du golfe de Venise.
BANTANRuUTE , adv. saintement.
+ Santanänıo, s. m. (1. buri.) mangeur de
erucißix, d’images , bigot.
Banrännen ,s. m. (1. de g&og.) Saint-Ander :
ville ei port de mer d’Espagne.
SANTAO, 8. m. santon : esp&ce de ınoine lufe,
saint mahometan. Hypocrite.
Sınrannid, s. m. aug. de Santo. Hypocrile,
faux devot.
+ SunTkinaußxte, ado. superstiieusement.
Sanrtıno, A, adj. devot, cayot. V. Santanı-
rio. Dias — , jours de föte.
+ Sanrtıno, s. m. sculpteur qui lait des
images de saints. Imager.
SanTtıLo, s. m. sorte de fllet de p&cheur.
SARTELNO, s.m. feu Salut-Eime. (f%g.)Chose,
porsonne qui delivre d’un mal eminent.
+Sanrıä0o,s.w, Seint-Jacques: eri deguerre
des Espagnolis et des Portugais dans leurs com-
bats contre lies Maures. Le combat, la bataille
elle-meme. ( fg.) Attaque imprövue, surprise.
Der — no wwimigo, fondre, sur l’ennemi en
eriant : Saint-Jacques! aw l’atiaquer & Fim-
proviste. 4A esirada de—.V. Via ldclea.
+ Bantıäao,s.m. (8. de gdog.) Baint-Jacqyues :
ville d’Espagne, en Galice.
BANTIANEN , 8. us. un moment, un instant, un
olin d’eil. Num —, ade. en un clin d’ail, en
ınoins de rien.
Banrıco, s. m. bijou od Pimage d’un saint es:
empreinte.
Sıntiväne, s. f. salntels : qualil6 de ce yui
esı saint; perfection divine. Divinits du paga-
nisıno (p. u8.). Sua —, sa saintele : Uütre d’hon-
nenr donn6 au Pape.
BANTIFICAGAÖ, ,
Sınrınncıa, eic. V. Sanchif..., etc.
“ Sıntıcan 0W BaNTıcuir, ©. a. faire le signe
de la oreix , dire des esalsona sur un malade,
SAP
batlre de facon que tout le corps s’en rossente.
UV —,(subst.) la partie saine d’un fruit, etc.
Sıo ow Sin, abreviation de Santo. On le
inet toujours avant les noms masculins qui
eammencent par une consonne. Sdo Domingos,
Nao Franeiseo, etc., saint Dominique, saint
Francois.
+ Sio-Douincos, #8. m. (t. de geog.) Saint-
Dosmingue, Haiti : 1le et ville d’Amerique.
*Sıözs ou Sııözs, pl. V. Saido, Algoz.
+ Sio-Tuome, s. m. (t. de geog.\ Saint-
Thomas : tle d’Afrique, dans le golfe de Guinee;
tie des Antilles ; d$. de la mer Atlantique.
+ Sio-Tuouß, s. m. ancienne monnaie d’or
portugaise frappee dans Finde.
Sirı, s. f. houe, beche. Sape : action de sa-
per ; ouvrage fait en sapant.
SaranoR,s. m. sapeur: soldat employ6 au
travail de la sape. V. Gastlador.
SıriL,s. m. marecage , crapaudidre,, lieu has
et humide.
+Sariö, s. m. sapan: bois de teinture du
Japon. Sappan , brösilletdes Indes.
Sarin, v.a. saper : travailier & dötruire les
fondements d’un bastion, etc.
Sarita, s. f. console pour soulenir une pou-
tre, etc. *Fondement de mur qui sort de la
SAP
Sararinno, s. m. dim. de Sapaio.
SarirTo, s. m. sonlier : chaussure du pied,
en culr ow en &toffe. — velho, * savale. — de
‚ gros soulier a plusienrs semelles. Ps
de —s, noir de fumde. Ndo chegar d solado —,
(fig.) etre tr&s-inlerieur, ne pas aller ä la che-
ville du pied. Ndo ganka para —s, ilne gagne
pas de quoi avoir des souliers. Cada um sabe
onde Ihe aperta o —, chacun sait oü le bät le
blesse. Quem espera por —s de defunto, lode
a vida anda descelco, (prov.) en altendint les
souliers d’un mort, on va longtemps pieds nus.
SirE, mot pour chasser les chats.
Sari, s. m. sorte d’berbe au Bresil dont on
couvre les chaumiedres, Casa de —, chaumiedre.
+ Sırtanıs, s. f. pl. (tl. d’Mist. nal.) saper-
des : famille des col&opleres.
SıpeziL,s. m. lieu ou il y a des sapds. V. ce
mot.
Sırutna,s.0u adj. f. Veis—, (f. d’anal.)
saphene : veine du pied.
SärHıco, A, adj. saphique : (vers) de onze
syllabes.
Sıpaira, s. f. *saphir : pierre pr&cicuse,
d’un bleu fonc& oomme P’indigo.
Sirıa,s.f." bois desapin.
SaPıEncıa, 3. f. sapience, sagesse. V. Sabe-
1065
terre; oontre-fruit. *Soulier de femme. Sorte | doria
de bottine qui ne va qu’ä mi-jambe. (f. de mar.)
Moque ; moufle sans poulie. —s em que passdo
os colhedores dos estais, (id.) moques de tre-
lingage, ou moques & caur, moques d’etai. — de
trds olkos, moque & trois trous. — para a escola
da sevadeira, moque de civadiere. Feijöes de
—s , haricots cuits dans leurs gousses.
Sıraripa,s. f. "coup de soulier. On le dit
surtout lorsqu’on frappe du pied avec force.
“Coup bruyant donne avec quoi que co soll.
* Bruit que font les clievaux en posant le pied &
terre, lorsqu’ils viennent & glisser. Coup que lo
lapin donne avec ses patles lorsqu’il sent le
chasseur ou les chiens.
+Sarıtäö,s.m. aug.de Sapalo. Gros soulier.
Sarararia, 8. f. cordonnerie : rue, quartier
od il ya beaucoup de cordonniers.
+ Saratripa, 8. f. action de frapper du ta-
ion en dansant; Ir&pignement.
SAPATEÄDO, A, P.p. de
SaraTrir,v.». frapper da talon, en dan-
sant, pour battre la mesure. Trepigner.
Sırırkıra, 5. f. cordonnidre. i6. Sorte de
eoquillage. adj. f. Azeitona— ‚olive gätse, de-
vonue noire dans la saumure.
SaPaTkıro, 8. m. cordonnier : artisan qui
fait et vend des souliers, des bolies, etc. —de
botas ou que faz bolas „ bouier. — remenddo,
savalier.
SAPATETA, 8. f. sorte de soulier de femme os
de pantoufle. Bruit que fait celui qui frappe du
talon en dansant, eic. V. Sapalear. Correr a—
aalguem, huer, faire deshueesapr&squelqu’un.
SarıtiLHos, 5. m. pl. (1. de mar.) * cosses,
anneaux de fer.
BArATinHA, 8. f. dim. de Sapala,
SAPIENCIÄL, adj. 2 gen. de la sagesse. Sa-
pienciaes, pl. Sapientiaux,, (livres) de }’Ecri-
ture Sainte : les Proverbes, la Sagesse, les
Psaumes, etc.
SAPIENTE, adj. 2 gen. sage, prudent, judi-
cieux. V. Sabio.
SAPIENTEMENTE, adv. sagement, prudem-
ment.
SırıEnTissımo , A, adj. sup. de Sapiente.
SAaPinHo, s. m. dim. de Sapo. Petit crapaud,
—s, pl. * aphthes. V. Aptha.
+ Sarinno, s. m. (t. de bot.) espece d’alsins
os morgeline , plante (Arenaria serpyliifolia).
Sıpino, s.m. ou Sarina,s. f. V. Abeto.
Siro, s. m. (l. d’hist. nat.) crapaud : animal
batracien , amphibie, reptilo, ovipare. — con-
echo. V. Cdgado. — da terra, (fig.) avare insa-
tiable. Pedra do — , crapaudine (pierre). Olkos
de —, yeux bouffis et chassieux.
Sıron. V. Sapäo.
SAPONÄCEO, A, adj. savonnenx : qui lien? de
la qualite du savon. Seponace : de la nature
du savon. —as, s. etadj. f. pl. (t. de bot.) sa-
ponacees : famille de planten.
Sıronänıa. V. Sabofira ordinaria.
SAPORIiFERO, A, adj. savoureux : qui a de la
saveur. V. Saporifico.
Saronirico, A, adj. saporifigue : qui appar-
tient A la saveur, qui la produit.
+Baruciıa ou Sarucäva,s. f.(l. du Bresil)
espöce de coco du Brösil, dont le noyau est en
chaätaigne.
+ Sapucaskırä ou SAPUCATEIRA , 8. f. V’arbre
qui donne la sapucaia. V.ce mot.
Sarücaz , s.m. herbe du Bresil ot d’Afrique :
contre-poison pour Ja morsufe des serpenis,
1066 SAR
Sırısösa no Baazır. V, Criolo,
"Siosa. V. Saca, Exporlapäv.
Siuue.s.m.sac,pillage. V. Saco. (1.decomm.)
Action de tirer une leltre de change, Lrailo,
Sıqrzana, A, pP. pP. de Saqusar,
Sıqusanön, 4. m. celui qui 3ac0age, SACCa-
geur.
Sıqurautnro. T. Saqus,
SAQUEÄR,, 9. @. Saccager : meltre ä 880, au
pillage; piller une ville. Voler, piller. sido
saqusando e cidade, la ville ont au pillage,
Sıqugrania, s. f. paneterie ı lieu ou l’on die
wribusit le pain chea le roi.
Saqueränıo, s.m, grand panetier, chef de
la paneterie.
Saqustz, 5. m, dim, de Sacco, Sachet, petit
Bac.
Saquınipa, 8. f. "sacde nouveau bit.
SıqrıLuid, s. m. branche d’arbre, etic.,
qu’on met & l’exir6mits du versoir de la charrue
pour 6carier la terre afin qu’sile no tombe
pas dans le sillon.
Sıquim. V. Sequim (monnaie).
SAQuinuo , 3. m. dim. de Saeco. Petit aac,
BaauinD. V. Seguim (monnsie).
AQUITÄRIO.
Suguırkıro. | V. Saqueterio.
Saquitkı, s. m. dim. de Sacco. Sachet, petit
Sao.
Bananinco. V. Solavanco.
Bananänna, a. [. sarabande : sorte de danse
shcienne ;son air.(fam.) Reprimande, semonce,
BARABANDEÄR, do, m. danser la sarabande,
Sarınatrina. V. Zarabalana ei Buzina.
SanasöıLha,s. f. V. Sarabulko,
SARABULHRNTO, A, adj. rude, äpre au lou-
cher, rabotaux. ( Ag.) Couperose, bourgeonne,
plein de boutons (visage).
+ SarasöLno, s. m. "inegalitd, Aprete & la
superficie de la falenco, etc.; grains de gra-
vier,
SanasuLndso, A. V. Sarsbuihenio.
Sanica, V. Sarasa.
BuRACcöTE, 5. m. agilation de celul qui court
gd et lä, quimercsie pas en place.
SARACOTRÄDO, A, p. p. de Saracolear.
BARACOTEADOR, A, 3. celui qui oourtgä et lä,
yuı est loujours par voies et par chemins.
SARACOTEAR , 9. #. courir cä et lä , lournall-
ler. (pop.) Sautiller, ir6mousser; remuer les
lesses on dansant.
T Sanıcot£o om SARACOTKIO, 8. M, TEMUS-
ment des fesses en dansant. V. Saracoisar.
SaniDo,A,p.p.deSarer.
Sararina. V. Serafina.
Sınacica, 8. f. (tb. de bot.) " beliantheme,
cyste bas. (Cistus Aalimifolius). V. Sargago.
Saracöcga, 8. f. drapgrossier de laino brune.
tSanachca, 8. fı (4. de gdog.) Saragosse ı
Ville cel&bre d’Espagne.
tSanıcocine, A, adj, ei 3. de Baragosse.
Ameixa —a. V, Ameiza,.
Sanlıva, s. f. grele plule galse. V. Graniso.
Banaıväa,o. m. greler , tomber de la gröle.
SAR
0.a, Greler: (capper de la grele; zäwr par Is
greic.
Sanauico,s. m.(l.de bol.) railorl saurage;
örucague, capdce de raquelis. = mai. V.
drmwracis.
SARAMaNTaGa ef | V. Salamasliga ei Se
SaRrAMaNTica ‚8. f. lamandre,
SAnAuSEqug, a. m. " danse [art gaie das a
gres ; son air,
SARANÄTULOS, 5. me. Pl. nouveaux bais du
cerf,
Sarnausöna, 8. f. "lssu de colon du Bengale.
Sarnanunutıaa, 6, [. peirier qui porte 4
SARAMENBEIRO, 4. iM. | musoadelle.
SARAMENBO, 5. m. poire muscadelle.
Suniurio, * rqugeole : ınaladie qei
BARAMPELLO ou | Cause des raugeurs Si
Sanimro, s.m. ) la peau,
Saraurüra. V, Sar a.
Sanamüco, s. 9, nom d’un poisson du Tage.
+ SarınpiLna, s. f. (fam.) ordure ‚balajurı.
(ig.) V. Gentalka,
SarincuE,, 3. m, pilote, garde de proue.
Sankd, V. Serde.
Sırio,s.m. bal par6 , assemblöe de gens da
distinction, etc. ; feslin nocturne.
Sınarınkı, s, m. Volta de —, (1. derd)
voüle surbaisaee.
SARAPANTÄBO, A, p. p. de
+ Sanarantia, 9, @, ellrayor, &pouvanl,
“tourdir.
SarAPATEkL, s. m. sang de cochon cuil dans
Yoau at pröpar6 avoo du sain-doux, oic. (Mi
Ragoüit.
Sararııntıaa, s, f, baline, cordal, serp-
liöre, treillis : grosse toile d’omballage.
+Sanarınräno, a,adj. (fam.) tacheld, met
chet£ de differentes oouleurs ; parsemd de ro®*
sours.
Sarıpdına. V. Sarabülhe.
Banin,o.a. guerir, rendre la sanld; (MM)
corriger un delaul, etc. u. a, Gusrir, reoourı
la sanık,.
Sanisı ou l’Tode, nore di
Sıarissa, fi dienne.
Sänca, 5. f. tanoe, buisson. V. Sion. - par
’ V. Salsa ;
los de
Sanciı ‚3. m. buisson ; lieu couveri de 0%
C#8 , Fonceroi ow ronoerale.
SAncÄsu0, 9, m. sarcasme ; raillerie am.i?
et insultante.
* Baacıımas, 8. m. pl. V. Auricules ‚det
rapdo).
+ Bincma, 3. f. (p»ws.) oharge, fardert!
(prop. 1 g.).
+ SırcoceLg, #. m. (i. de ehir.) garecede:
tumeur charnue aux testicules , aux yalstau!
spermaliques, au scrolum.
+ BarcocoLina, a. f. sarcocoline : substanre
decouverte dans la sarcocol!e,
+ SancocöLLa, s. f. sarcocolle ; ganme de
Perse qui consolide les plaies.
+ SARCOCOzLERA „8, f. (4: de boi.) "narcadt-
SAR.
Har ı planie de la pentandrie qui donne la sar-
eooolle
Saschraso. V, Sareophage,
tT SARCORYDROCELE, 8, m, (4. de ehir.) sarea-
hydrocele : sarcoc&ie aveo bydrockle.
t SancoLocia, 5, f. (1. de med.) saronlogie:
traite des parties molles,
Sıncöma,s. f. (4.dachir.)"sarcome ı lumenr,
ezcroissange charnue.
SARCOMATOSO , A, adj. (1. de chir.) sarcome-
lsux : du sareom®, de sa nature.
T SancöupRALo, 8. m. (d, de chir.) Sarcamı-
phale : exoraissanoe charnye au nambril.
SARCÖPHACO, 8. m. Saronphage : tomheau,
cercueil ; sa representation. Pierre caustique ou
assienne, qui, selon Pline, avait la vortu de
consumer les corps ; sarcophage, tomheau
creus& dans coits pierte.
t SancöpRAcQ , A, adj. at s. (4. de mdd.) sar-
cophage : qui brüls les cheirs (medicament).
Saacörıco, A, adj. (4. de chir.) sarcotique
qui fait renaltre les chairs.
f Sancöso, A ,adj. rempli de rances.
Siapı, s. f. sarde, clup6 (poisson), V. C4-
valla. it. V. Sardas.
Siroa, adj. f. [emme qui a des taches de
zousseur. V. Sa .
Sanpiö, s. m. lezard vert.
Sinnas, s. f. pl. rousseurs, taches de rous-
seuf.
Sınptuna, s. f. (6. de gdog.) Sardalgne : 1ie
de la Mediterrande; royaume d’Europe, 6tats
sardes.
PBARDENNO, 5. m. sorte de böte de somme.
SARDENTO, A, adj. quia des taches de rous-
seur.
+ SanDicknse, 8. ei adj. 2 gem. lo naturel de
Sardica, ee qui appartient & coetie ville.
SARDINHA, 8. m. sardine : petit poisson de
mer du genre du elupe. Astar como — om Higd-
la , &ire comme des harengs en caque, oxtrö-
mement presse, foule. P6r meis ums — na
drasa, metire une grillade dann la potle. Tirar
a — da brasa com a mäo do galo, (Ag) tirer les
marrons du feu aroo la patte du chat. Chegar a
brasa d sua— , (adage) faire rovenir l’eau & son
meulin. Dinksiro de —s, (fam,) argent que
l’on regoit en ir&s-petiles portions, argent en
mietias,
Saupımakıra, s. f. p@che de la sardine, i#. Es-
pöce de geranium, vwig. geranium gros bois,
geranium carmin.
Saapınmtıno, A, 5. marchand de sardines,
Sanpınmkıno, A, adj. de sardine, qui falt ia
peche de la sardine (bateau).
Skn2ı0, 8. m.* oermnaline sarde : plerre pre-
cieuse.
Sin00, A, adj. et s Berde : de Sardaigne.
Sanvpönta , s. f. (f. de bot.) herbe sardonique,
renoncule des marals,, grenvulllette d’eau.
Sanpönica , s. f. plerre pröcieuse qui est une
variöts de la enloddoine, sardeine. V. Sardo-
ey.
SAR 1067
Bannömco , A, adj. de L’herbe sardonigue.
Rise —, (Ag.) rire ironique, mechant, V. Riso.
+ Saanönyxz, s. f. sardonyx: agale formöe de
sardoine et d’agate-onyz.
Sanzcorzin. V. Seracolon ,
Sarcica. V. Saragdga.
Sancacinua, adj. f. Uoa-, ralsin A grains
menus.
+ Sıncico ou (6. de dot.) sarg, kocmıon,
Saacässo, e. m. | varech, harbe flottante ;
sargasse, lentille de mer, & fruit vesioulaire,
algue. Mar de — ou simplement Sargdgo , Sar-
gasse, partiode !’Oosan atlanıiquo enire lesiles
du cap Vert, lesCanarioa et la torre lerıno (’A-
frique.
* SınciL, 5. m: tissu grossier de laine.
Sancenta, ss f, "conduit, eanal, rigole d'e-
ooulement , tranchte, Saar oonverse d’un Or-
dre religieux.
* Sanckurz, 5. m. V. Seroidor. il. Sorgen!
has officler de Justice.
SARGENTRÄR,, dv. #. arercer Pemplol de ser-
gent dans un rögiment, eto. (Ag.) Animer une
entreprise hardie, se meitre & la t&te. (fam.)
Commander, faire le maltre; se donner du
mouvoment.
JARGENTO, a. m. sorgent ı sous-oflcier d'in-
:tanterio. — mör ou majer, major d’un regi-
ment. — mör de brigdda , major de brigade.—
mer da ‚major d’une place : officier qui
commande apres le lieutenant du roi.= mör de
batelha „sorgent de bataille,, sergent-masjor de
batalllo.- de oavalaria, maröchal-des-logis.
+Sancara, s. f. din. de Surja. Sergetie,
sergo fort lögöre. i4. V. Sargenta.
Sinco, A, adj. Uva —a, varleid de raisin.
Sinco, 8. m. sargue, poisson de mer. — das-
tardo. V. Scaro. Tomar — ‚(de mar.) faire
ehapelle.
Sunica. V. Sarissa.
*Sırino. V. Soido ou Ruglido.
Bınıcuf , s. m. ou (6. d’Alst. nat.) sarigue
SarıcufLa,s.f. ) ou opossum ; mammi-
före didelphe.— ordinaria do Brazil , le sari-
gue.— earanguejeira, le crabier.—da Virgi-
“is, manicou, sarigue de la Grenade. — uri-
forme ou marmosa, la marmose.— cayopollim
le cayopollin. — de cauda curta, le touan ou
toin. — lontring, le yspock. t
SARILBÄDO, A, 9. p- de
SarıruÄn, vd. a. derider : mettre le Al du fu-
seau en &cheveau,
Sariıno, s. m. devidoir: instrument pour met-
tre le fl du fuseau en &cheveau. * Tour, espece
devindas. Rätelier: piguet auquelsontattachees
destraverses pouryappuyerlesfusils. Faisceau:
fusils dont les baTonnettes s’entrelacent. Pör
as arm em —, mettre les armes en faisceaux.
t Sanissa, s. f. (1. d’ant.) pique mactdo-
nienne, qui &tait forı longue.
Binsı,s, [. sorge : &tofle legere de laine om
de soie.
Sina, s. f. Incision, scarification. V, Sarja-
düre.
1068 SAR
Sırıikno, A, p.p.de Sarıar.
SARIADOR , 3. m. scarificateur: instrument de
ehirurgie pour faire des scarifications. Gelui
Qui scariße. , .
Sınsapüna ,s. f. scarificalion : incision faite
sur la peau.
Sunsär, ve. a. scariller : d&oouper, dechique-
ter, inciser la peau. (fg. burl.) Saigner quel-
qu’un dans la bourse.
+ Sınuicıa,, s. f. (1. de geog.) Sarmalie : an-
eienne conirede d’Europe et d’Asie.
Sıruiö. V. Salmdo.
+ Binıaras, s. m. pl. Sarımates : peuples qui
babitsient la Sarmaiie.
+9ıamitıco, A,adj. quiappartientaux Sar-
mates, & la Sarmatie.
+ Saauenticzas,s. et adj. f. pl. (}. de bot.)
sarmentacses : famille de plantes dent la vigne
est le type. Viniferes de Jussieu.
+ BARmEnTiceo, a ,adj. desarment. Nom que
les paiens donnaient aux chreliens qu’ils fai-
saient brüler avec du bois de sarment.
SARuENTO, 8. m. sarment : bois que pousse
la vigne; tige longue, faible et rampante ow
grimpanie.
SARMENTOSO, A, adj. (I. de bof.) sarmentoux :
de la nsture du sarment; qui produit du sar-
ment, qui pousse des brins, des branchss en
formu de sarment ( plante).
Sansa, s. f. gale : maladie de la peau. —cas-
telhana. V. Gallico. Näo Ihe falle sondo — para
corar-se. (fam.) On le dit d’un homme qui a
tout ä souhait,, ei qui se plaint sans cesse. Ser
mais velho qua a —, ( fam.) dire vieux comme
Herode , &ire exir&mement ancien.
BARNENTO , A,0%
Sıaanöso, A,adj.
Sino. V. Sardo.
+Sanösına, 8. m. saronide: espeöce de prötre
ou barde gaulois.
SarPiDO,A.P. pP. de
Sanrir,v.a. (4. de mar.) serper : lever l’an-
cre, la retirer dans jo vaisseau. (Ag.) Faire
voile.
SıaaanuLuipa, s. f. grande quantiie des
nıcnus d’un cochon accommodes avec le sang.
(fig.; “ Tapage, desordre, charivari.
SARRABÜLUO, 5. m. les menus d’un cochon
s::ommodes avec le sang ; regal lorsqu’on tue
viı cochon. (Ag.) Charivari , tapage, desordre.
+ Sansacenıco,, A , adj. des Sarrasins.
| galeux : qui a lagale.
Sankackno,A, adj. eis. V.Mouro. —s, pl.
Sarrasins : peuples d’Arabie, mahometans.
Sanaino. V. Corrado.
SARRAFAGADÖR, 3. m. celui qui Coupe arec un
ınauvais instrument. V. Sarjador.
SARRAFACADÜRA, 3. f. aclion de couper avec
ıın maurais instrument. V. Sarjadüra.
FIARRAFACAL, 8. m. mMauvsis ouvrier, Sur-
tout en menuiserie, eic.; mazelle. (burl.) Mau-
vais barbier.
Sanrarıcia,o.a. (P. us.) V. Sarjar. Cou-
per avec un mauva,s instrument.
Sanrarin, v.a. V. Sarjar.
saAr
"Banuitö,s. m. (1. de charp.)" alte: pre
de bois mince.
+ Sırnärozinno, 3. m. dim. de Serrafe.
Liteau ‚ tringle de bois.
SaraaıHa. V. Serralks.
Sınaaıutıno. V. Serralkeire.
Sırnriö,s.m.V. Rasa et Serräs.
Sınnia. V. Serrar et Correr.
SaRREnTO, A, adj. crasseuır, tartreuz. Se-
burreux.
Saanivo, s. m. (P. us.) difäcultö de respirer.
Räle, rälement d’un moribond.
+Sanniıua, a. f. * let, aordon de monnaie.
V. Serrilka.
SanaıLnido, A,p.p. de
+Saannıınän, v.e. faire lo Niet om cordon de
monnafie.
Sankim ,s. m. (4.d’Asie) sorte de drap fait
avec les filaments d’une plante da Bengale.
Sirno, 8. m. " crasse, lartre qui s’attache
aux vaisseaux, aux lOnneaux, aux denis, eic.
(#g.)" Saburre : humeur qui sS’amasse sur la
langue dans les fiövres ardentes, gui la ren?
rude, ete.
+ Sınnöso, V. Sarrento.
Sanaüca, V. Saruga, Aresla.
+ Sinta, e. f. V. Enzareie. it. Cordon «e
choses enfilees, chapelet, collier, ete.
Sanri ou poele : ustensite de euisine.
Sarria,s. f. } Disse a caldeira d — ir
ld ndo me enfarrusques, (prov.) la pelle s’est
moque&e du fourgon. Saltar da — e caır nes bra-
sas, (loc. prov.) Lomber de fiövre en chand mal.
SaRtaEm ou SARTAGEN, 8. f. po@le & frire.YV.
Sariö.
Sırtrar,s.m. V. Sarla,
Sıariö. V. Serläo.
Sites, s. f. plaque ou lame de fer, insire-
ment de supplice. V. Sertd.
+ Sanüca, e. f. barbe des epis da ble. ete.
Sarzia. V. Serzir.
Sısä0. V. Sazdo.
Sassaraaz, s. m. (8. de bot.) sassalras : lau-
rier des Iroquois; arbre vert & bois oderiferant.
Sıssär, v. a. sasser. V. Peneirar.
Sıssiraaca. V. Sazifraga.
* Sarin ou Satan: lechef des d&mens,
BATANAZ, 8. m. le diabie.
Sırinıco,A, adj. satanique, infernal, dıa-
bolique.
SATSBLLITE, 5. m. satellite : homme arme,
ministre des violences de celui qu’il seoomps-
gne; (ti. d’asir.) petite plandie qui se ment au-
tour d’unegrande, comme la lune auteur de ls
terre.
Sararöza ,s. f. (d. d’Asie) eloffo de colea de
Bengale.
Saruan. V. Satandz.
+ SaTiLuas, s. f. (4. debof.) * coqueret semmi-
fere : plante solanee.
Sitıaa, s. f. satire: peinture du vıce:; eu-
vrage crilique, piquanl, medisent ; censure da
vioe, disoours piquantı, le plus souvent en vers.
SAT
— morddz , sarcasme : raillerie amöre et insul-
tanle.
+ Sarıniö,s.m. (4. debot.) le bois caca, le
bois de merde.
Sırırıäö, etc. V. Salyrıdo, etc.
BATIRICAMENTE, ade. satiriquement : d’une
maniere satirique.
Sarieıco, A, adj. satirique : de la satire; qui
yestonolin. s. m. —, auteurdesatires.
Sırıaızipd, A, pP. p. de
Sarıaızia, o.a. satiriser : ra !ler, critiquer
(queiqu’un) d’une maniere piquante. Faire des
Satires.
Sarınismo,s. m. V. Sasyriasis.
Sirtıno. V. Satyro.
Sirıs , adv. lat. assez, autant qu’il faut.
*Sarıspagäö, s. f. V. Fiange.
*Sırıspia, v. n. donner caution.
Sarısrackö, 3. f. satisfaction : l’action de
satisfaire; excuse, röperalion, raison; CON-
tentement, joie, plaisir. —, une des lrois par-
ties du sacrement de la penitence. Acquit d’un
devoir, d’une commission, ete. A’ — de..., & la
satislaclion, au gre de. Tomar — ‚tirer raison,
so venger, tirer vengeance. — püblica, amende
honorable, aveu public du crime. Tenho a —
de vos annunciar, eto., je suis heureux de vous
annoncer, eic.
SATISPACTÖRIANENTE, ade. d’une maniere
salisfactoire.
SATISFACTÖRIO, A, adj. satislactoire : Propre
ä reparer, ä expier les fautes, etc. Salisfaisant :
qui satisfait, quicontente.
Sırısrazta, v. @. salisfalre : payer un crean-
eier ; s’acquilter de; contenter, donner la ou de
la satisfaction. Reparer, espier une faule. —,
eontenter son ambition, sa colere, eic.; con-
tenter, lever un doute, resoudre une difficulte.
(Ag.) Rassasier les passions. Recompenser los
services de quelqu’un. Assouvir, satisfaire com-
pletement la faim. — a penilencia,, s’acquitter
de la pönitence.
SATISsvaztr (@, com, por), vo. m. satislaire &;
feire ce qu’on doit; faire röparation do. Repa-
rer, expier uno faute. — ds ordens, executer
les ordres. — com as suas obrigaröes, acquit-
ter, remplir ses devoirs. — pela culpa com pe-
nitencias, etc., expier sa faute par des peni-
tences, elc.
SırTısgazeR-SE, v. r. se payer de ses Mains,
s’indemniser. Tirer vengeance. Satisfaire, apai-
ser sa faim, eic., se rassasior. (de) Se laisser
convaincre, se persuader; tomber, demeurer
d’accord. (fig.) Se satlisfaire, se conienter. —
de si, &tre content de soi-meme, ©tre satislait
de sa personne.
SATISFAZIMANTO , 5. m. V. Sasisfardo.
Sarısrttto, A, p. p. irr. de Seiisfazer. adj.
Satisfait, content. Estar —, se louer, dire con-
tent du service, des procddes de.
Sırivo, A, adj. qu’on seme,cullive.
Sıro,s.m.(t. d’Asie) espece de serpent.
SiTRAPA, 3. m. salrape : gouverneur d’une
province chez les anciens Perses; (Ag.) grand
SAU 1069
seigneur despote, riche et velupiueuz. (id.)
Homme fin, ruse, expörimente.
SATrarEin, v. n. faire le satrape ; S6 donner
des grands airs,
Bataaria, s. f. satrapie : gouvernement d’un
satrape.
T SıraaPpisuo, s. m. autorits, air, mani
pretentions d’un satzape. . ‚ron,
Sırunagäö, 3. f. repiötion d’alimenis, sa-
uöls. (l, de chim.) Sataralion : &tat d’un corps
galure,
Sarunipo,A,Pp.Pp. de Salurar.
Sarurices. V. Sogureiha.
Sarunia, v. a. (inus.) sodler : rassasier d’a-
limenss. (4. dechim.) Saturer : donnar & un li-
quide la quantits de maliere qu’il peut dis-
soudre.
SATURNÄL, adj. 2 gem. qui apparlient & Sa-
turne. Festas Saturnaes, Saturuales : feles en
’bonneur de Saturne; fetes bruyantes, licen-
cieuses.
SATURNILÄBIO, 8. m. salurnilabe:: instrument
pour observer Saturne.
SATURNINO, A, adj. de Saturne; de plomb.
(Ag.) Satarnien , taciturne, sombre, meianco-
lique. Os —s, s. m. pl. peuples d’Etrurie.
SATUnnıo, A, adj. de Saturne.
SATÜRNO, s.m. Saturne : la plandie la plus
6loıgnee du soleil. (4. de myih.) —, Als d’Ura-
nus ; (A9.) le temps. (t. d’alchim.) —, le plomb.
Sityaa, etc. V. Salira , etc.
TSıtrrıkö, s.m. (t. de bot.) salyrion ow
teslicule de chien, orchis mäle : plante orchi-
dee.
SATYRIASIS, 8. m. satyriasis : ereclion COn-
tinuelle, jointe au desir le plus violent du coit;
fureur venerienne.
SATY’RIO, 5. m. (fl. de bot.) satyrion & larges
feuilles, le grand testicule de chien. — bas-
tardo. V. Salyrido.
SATTRO, 8. m. satyre : demi-dieu des Palens,
moilie homme et moiti& bouc ; monstre fabu-
leux n6 d’un homme et d’une chövre; (flg.)
homme mal fait et luxurieux.
Sıöco, s. m. partie du sabot d’an cheval.
Saüvacid,s. f."salut, salutalion, saluade,
reverence, action de saluer. — angelica, salu-
tation angelique, Ave Maria.
Saloing, s.f. ’desir ardent d’un bien dont
onest priv&; regrot de l’absence ; triste, tendre,
doux souvenir, tendre regret. C’est un mot ex-
clusivement portugais. Ter—s, esiar com —
d’alguem , regreiter beaucoup «uelgu’un, pen-
ser beaucoup & lui, ayant & la fois un desir ar-
dent de le revoir ow de le posseder. Dar —s,
faire savoir ä quelqu’un quo Fon pense beau-
coupä lui,, que l’on regrette son absence, ete..
lui dire bien des choses. Fazer —s , manilester
son regret d’absence, eic.; di. causer ce senli-
ment. —s minkhas, les regrets , les douz Souve-
nirs qu’on a de mol. —s tuas ‚les regreis, etc.,
que j’ai de toi. Ter mwilas —s da sua lerra,
da sus palria, regreiter beaucoup son pays,
avoır la maladie du pays. Morrer de —ı d’al-
1078 SEA
que , membrane übreuse qui enveloppe !’anil.
+ ScoLtcas, 8. f. pl. (4. d’hist. nat.) * massd-
tes : vors des poissons.
* Scouriro. V. Esceuipido.
* ScoLutuca, etc. V. Escolhe, etc.
Scorsasres. V. Bscoliaste.
+ Scöras, s. m. pl. (1. d’hist. nat.) scolies :
famille d’hymenopteres.
ScoLop&upaa. V. Escolopendra.
Scöunao, s. m. (t. d’hist. nat.) seombre:
poisson bolobranche.
* ScoMmsunGan6lno, A, adj. qui merite l’ex-
communicalon.
* Sconoöng. V. Escondido.
Scöro, s. m. but, objet.
Scoxnuto, etc. V. Kscorbuto, etc.
Scöanı0. V. Kscordio.
+ Scoaonomıa , 8. f. (1. de bot.) germandröe
Sauvage ; plante labiee.
+ Scorıa , s. f. (6. darch.) sootie : intervalle
creuss en rond entire deux tores de la base or
rintbienne.
Scorıswo, eto. V. Bscolismo.
Scoromia ,s. f. (i. de med.) seotomie : mala-
die des yeux ; vertige avec obscurcissement.
+ Scortoriras, s. m. pl. herstiques circonoel-
Bons, branche des donatisles.
+ Scaavonkra, s. f. rubis fin, non poli.
Scaorsurinıa, V. Bscrop i
° Scörca. V. Jnouica.
+ Scr’ruo, s. m. (8. de bot.) (scyphus, cya-
thus) cotyle, cavils cotyloide (des lichens). V.
Fronde.
+ Scrruöso, a, adj. (1. de bot.) scyphiferus,
ius) pourvu de ootyles, de petites cou-
pes (lieben); qui s’embotle l’un dans l’autre.
Scrıla,s. f. (li. de geog.) * Scylla : gouffre
opposs & Charybde, scueil dans le detroit de
Messine. Cair de — em Carybdis, (fig.) de mal
en pis, tomber de örre en chaud mal. V. Ca-
rybde.
+ Scriuta, a. f. (1. d’hist. nal.) scylite:
mollusquo gastöropode.
Sr’ılzo, A, adj. de Scylia.
ScY’TRA, 3. el adj. 2 gen. Scythe, de Scylhie.
+ ScıraäL ou ScrräLe, 5. f. (f. d’ant.) scy-
tale : cylindre autour duquel on roulait une
bande de cuir ow de parchemin pour lire ow
serire une lettre secröls, methode stenographi-
quo employee surlouläSparte. * Scytsle ou bä-
on ; espeöce de serpent.
Scr’THia, & f. (t. de geog.) Scytbie : contree
d’Asie.
Se, comj. conditionnelle, si, en cas que,
pourvu que, & moins que, quand. Se acaso ou
se por acaso, si par hasard. Se bem que, en-
core que, quoigue, quand meme.
Sp, pron. 2 gen. de la troisiöme personne.
‚soil.
Be, s. f. *siege 6piscopal, öväche et sa Juri-
diction. Metropole, &glise mötropolitsine, ca-
thedrale. 4 sanla — , le saint-siege,. — vdge,
siege vacant.
Szina, 5. f. moisson; bi&s ei auires graine
SEC
sur . Petıle portion de terre qu’ensemenrt
un laboureur peu fortune. (fg.) —, quanlite
d’ämes a convertir. A — 6 sbundenie mas sä.
poucos os operarios,ifg.)lamoisson estgraudt,
mais il y a peu d’ouvriers. Melter foice em —
alheia,, (fig.) meltre la faucille dans la moisson
d’autrui; chasser sur les lerres de quelqu’un.
SzankıRo, s. m. labourcur paurre , qui nen-
semence qu’une petile porlion de terre. Labou-
Feur, cullivaleur.
SeARINHA , dim. de Seara.
SesA,s. f. algue , goeınon.
SzsÄicso, A, adj. ($. d’anal.) sebacce. On le
dit d’une humeur de la consistance du suil, et
des glandes qui la filtrent.
+ Sesäcıco, A, 0dj.(t. de chim.) sebacique,
(acide) de la graisse.
+ SEBASTIANISTA, 5. m. parlisan d’une [ausse
croyance (en Portugal) qui attend encore le re-
tour de don Sebastien , mort en Alrique.
Sesisto, s. m. "bande, bandeletie d’une
autre couleur dans les veiements. Orfroi, mi-
lieu d’une chasuble.
+ Sezito, s. m. (f. de chim.) sebate - se‘
form& par la combinaison de l’acide sebaciyue
avec certaines bases.
Sense, 3. f. haie, clayonnage, enceinie «e
haies. — viva, haie, cloison de plantes vives.
KonBenTo, ı,adj. plein de suif. Sale. V. Se-
80.
+8xstsra, s. f. "stbeste ; petile prune net-
rätre du söbestier d’Egypte.
+ SEBESTE, 8. m. 0% ($. de bot.\ sebestiet:
+ Senesteına, 2. [. } arbre ow planie at- ı
borescente, qui donne le sebeste.
S£EBEZINHA , dim. de Sebe. .
SEs0, 5. m. suil: graisse de mouton, de
bauf, de cerf, ete., fondue. Toute espece de
graisse.
SEBOLLA, etc. V. Cebolla.
SEB650, A, adj. plein de suif; froti& avec du
suif; gras ow lache de graisse, suive.
Stca ‚s.f. V.Secca. Correr — eMeces,, ije®.:
voyager beaucoup, parcourir tout un pays.
SecinTe, 5. et adj. f. (l. de geom.) secanle :
ligne qui en coupe une aulre ow la eirconfc-
rence.
Sscatöra, 8. f. (fam.) propos ennuyeurx.\.
Secca. (ant.) Secheresse.
*Seciz. V. Sequaz.
Stcca ‚s. f.secheresse :lemps Irop longtemps
sec; aridits; saison aride.
Secca, s. f. importunite, eanui. Der — #
alguem, importuner, rompre la lete & quer
w’un.
h SEcca, 3. 2 gen. un importun. un ennuycat.
SEccamente,adv. söechement. d’une manitre
söche ; (ig.) d’une maniere incivile, rebutante,
peu agreable; seo, crüment. (dd.) En peu de
mots, sans chercher beaucoup de faxen.
SECCÄNTE, adj. 2 gem. qui söeme. (fam.) Qwi
ennuie. s. m, Un importan, u» ennuyenz. sl.
Huile os drogue dessiccative den peinires.
gecgkö, s. f. section ı division d’un livre,
SEC
d’an traitd, ete. (4. de geom.) —, endroit oü des
Itgnes, des plans s’entrecoupent; ligne, point
determine de cette maniere. (tl. de mil.) —,
moitie d’un peloton. Division, separation.
Seccir, v.a. secher, rendre sec, mettre ä
sec, dessecher, consumer l’bumiditsdes corps.
(ig. fam.) Importuner, ennuyer. — a odla, (1.
de mar.) ferler la voile. vo. ». Secher, devenir
sec.
SECCÄR-8E, 0. r. secher, devenir sec. Se des-
secher, tarir, en parlant des ririeres, des
sources. Se dessecher, se faner, se fletrir, en
parlant des plantes. (flg.) Se dessecher, mai-
grir, perdre son embonpoint. (id.) Prendre un
air sec et froid, mal accueillir, traiter dure-
ment.
SECCARRAÖ, adj. aug. de
SEccO, A, adj. sec: aride, quia peu ou point
d’humidite, de graisse; (%g.) qui manque d’a-
grements, de gräces, d’affabilit; froid, peu
caressant; dur; qui n’est pas vert, moulll6,
couvert d’eau, moite, huileux, onclueux ow
gras, etc. Maigre, aride, sec, sierile, en par-
lant de la terre. (fig.) Seul : sans melange d’au-
tres choses. s. m. Sec , ’oppose d’lumide. Ho-
mem — , homme sec, maigre, exlenue; (flg.)
sec, rude, qui manque d’affabilite,, etc. P&o—,
psin sec, du pain tout seul. Also —, rire si-
mule, [aux rire. Amores —s, amour sans les
plaisirs charnels. Ama —a, bonne d’enfant.
Ärvore —,(t. de mar.) les mäls sans volles.
Em arvore —a, (id.) A sec, ä mäts et ä cordes,
toutes les voiles serrees. Batalka —a, bataille
sans efflusion de sang. Bolsa —a, bourse ä sec,
vide. Frula —a, fruits & coque dure ou qu’on
a fait secher. Missa —a, messe qui se dit sans
consacrer. Reposia —a, reponse dure, rude,
seche. A — ‚ou a dinkeiro — , pour le salaire,
tant de gages, eic., sans nourriture. Em —, &
ser, hors de l’eau. Dar em — , echauer, en par-
lant d’un vaisseau. Pör um navio em —, met-
tre un vaisseau & sec. Ficar em — , (flg.) rester
court.
Seccöüna, s. f. söcheresse; siccite. V. Scocca
ei Sequiddo.
Secean. V. Cecear.
SecEDImEnTo. V. Succedimenio.
* Sectsso,, 9. m. * s6paratien, &dleignement.
+ Sgcıo, a, adj. (fam.) diegant, caquet. V.
Casquilko.
Secıöso, V. Ceceoso.
Secreciö, s. f. (t. de med.) secretion : Bltra-
tion et separalion des humeuss ; maliöres qui
sortent du corps.
* SECRESTÄR, ©. a. söquesirer, separer, met-
tre A part. V. Sequesirar.
Secr&sto. V. Sequesiro.
Secnkta, s. f.* prive, latrine, commoditös.
—s, pi. secrötes : oraisons que le pretre dit tout
bas avant la Preface.
SECRETANÄNTE, adv. sourdement, soorete-
ment, en secret.
Secautania,s. f.“ secrölariat: eınplol, [one
won & secretaire; buresu da secr6laire, 303
RT.-PR,
SEC 1078
employ&s; depöt de ses actes. — d’esiado,
d’embaixada, eic., secretairerie d’etat, d’am-
bassade, etc.; buresux, fonclion du secretaire
d’etat; bureau dessecretaires d’ambassade, etc.
SechgTänta, 5. f. femme & qui l’on confle un
secret, conlidente; femme seerttaire, qui fait
Pofllce de secrötsire. — de Irsloe amorosos,
entremetteuse.
Sechzräntautnte. V. Soerdfamente.
* + Sscagtarıäin, 0.0. faire l’ofice de scer&-
taire.
SECRETÄRIO, 8. m. secretaire : colui qui est
charge d’ecrire les lettres, eto., d’un superieur,
d’un personnage, ow corps auguel il est attach6 $
qui redige les actes, etc., d’uno assembliöe.
(ant.) Homme & qui l’on confle un seoret , coM-
fident. — do estado ou d’estado „ secretaire d’&-
tat, ministre & portefeuille et dirigeent un de-
partement.
SECRKTISSIMO , A , adj. sup. de
SECRETO, A, adj. secret, cachd, peu connu
Mairimonio —, mariage de conscience, ma-
riage secret, de main gauche. Homem —, bomme
qui garde bien ses secreis. Parles—as , les par«
ties honteuses de l’homme et de la femme. Ne
boeca do diserdto o publico d —, (prov.) dans la
bouche du discret, co qui est public devient se-
cret.
Seca£to,s. m. V. Segredo.
SEcRETÖRIO, A, adj. (4. d’anat.) söerötolre :
qui sert & la secretion (vaisseau,, pore).
Secra. V. Seite.
Secranor. V. Secldrio et Sequaz.
SECTÄRIO, 5. m. seclaire : attach6 A une seete,
un de ses chefs. Sectateur, partisan (d’un pbi-
losophe, etc.) , qui soutient une doctrine.
Secriton. V. Sectdrio et Sequaz.
SECTOR, 5. m. (fl. de geom.) secieur : porlion
de cercle comprise entre deux rayons et Y’aro
qu’ils renferment. —, instrument d’astronomieg
compas de proportion.
SECULAR , adj. 2 gen. seculier : qui vit dans
le siecle, dans le monde; l’oppose & regulier,
laique ; l’oppos& & ecclesiastique; mondain,
temporel. Seculaire: qui se fait de siecle en
siecle ; qui termine un sidcle; qui a un siecle
ou des siecles. Brago —, bras seculier, Justice
civile. Em — ou veslido.de —, en lalque, qui
n’est pas en soulane (pre£ire).
SECULARIDÄDES, 8. /. pl.” propos, manieres,
etc., seculieres, mondaines, propres des lai-
ques et blämables dans les ecclesiastiques.
SecuLAnızacaö, s. f. secularisation : action
de seculariser.
SECULARIZÄDO, A, P. p. de
SECULARIZÄR , U. a. seculariser : rendre secu-
lier (un moine, un benefice, etc.).
SecuLirmänte, ade. seculidrement, d’une
maniöre söcaliöre.
SecuLo, s. m. sidcle : espate de eent ans}
espace de temps, #poque remarquable, beil-
lante, extraordinaire. —, lo siecle, vie mom»
daine; lo monde ; temps oü Yon vit. (fig.) Temps
trop long. — de ouro, de prala, de oobre de
..
1078 SED
forro, sidele d’or, d’argent, d’airain, de fer ı
les quatre differents dges du monde, selou les
po&tes. E 0 oosiums do —, ainsi va le monde.
Pelos —s dos —s, a tous les siecles, aux siöcles
des siöcles,, öternellement.
* + Secönna,s. f. Pdo —, pain bis de mals et
de panicum.
SECUNDÄRIANÄRTE,, ade. secondement, en se-
cond liou. D’une maniere secondaire.
SECUNDÄRIO, A, adj. secondaire, accessolre;
qui ne vient qu’en second.
*+68rcumdäıno, A, adj. Moinko —, moulin
& moudre le mals et ie panicum.
Bucunpinss, s. f. pl. (l.d’anal.) secondines
ea secondes, placenia et membranes du forlus,
delivre.
SECUNDOGERTTO , A , adj. et 5, le Als second,
le cadet.
Secöra, s. f. V. Soccura.
Sepa, s. f. sole: fldu ver a soie; fil com-
post de KAusieurs crins de soie. Kioffe de soie.
Sote : poil de perc, de sanglier, ele. —, pedon-
eule des mousses. Paille dans les outils de mar-
beier. Bicko de —, ver & soie. —crua, malasse,
soie en meöche, soie crue. Pelle macia come
ums — , peau salinde , peau trös-douce.
e 0,8. m. celui qui [ait la soio A ta-
mis.
Senico, 8. m. * sole ä tamis. Solamire.
* Sevaı , adj. 2 gen. Fein —, veine de l’anus.
Baaisur. V. Sedella.
asnin , d. a. peigner ie chanyre, eic. V. Asse-
r.
Sevarivo,a, adj. (tb. de dd.) södatif: qui
uaimıe les douleurs.
Seoe, s. f. "siege; lieu, siege, place: de»
Meure, sejour. V. Se. —vacanie, siöge vacanı,
pendant la vacance du siege. — de janella, (£.
de maron.\ peilte banqueite de pierre au de-
dans d’une croisde.
Stoe ,s. f. soif, alieration ; besein, envie de | Sid
boire. (fig.) —, besoin qu’a une terre d’etre ar-
roste. (id.) —, desir ardent. Fazer —, provo-
quer la soif. Apagar, malar a —, #tancher,
apaiser la solif, su desalierer. Ndo der nem
ums — d’agua, (fig.) ne pas donner un verre
d’eau ; Etre d’une avarice extr&me. Ter — a al-
guem, (fg.) eu vouloir & quelqu’un.
SepEino, A,9.p. de
SEdEÄR, v. a. (4. d’orfev.) nettoyer les pier-
res precieuses , l’argenierie, etc. avec la sale,
saldter. V. Cartsbucher.
Sapkıno, 5. m. afBnoir, rogayolr : insirument
pour passer lo ehanvre et l’affiner. Dar com as
venlas no —, (fg. fan.) donner dm nez,se ca8-
ser le nes em lsgre.
SenkıLa, s. f. Haus de p&cheue fa.ite de soles
de vochen ou de sangtiier. Frincer a —, (Ag.)
user Itspersuee, (rastrer (qusign’un) de
obn uitente,
SEnänup, 8. m, (1. de chir.) siton : petit cor-
SEG
don ou möche passce ä travers [es chairs pour
faire ecouler l’bumeur.
t Sep£xuo, A, adj. qui a des soies, des
poils.
Szpentärıo, A, adj. stdentaire. Fide-—e,
vie sedentaire, de celui qui demeure ordinäi-
rement assis.
SEDENTE, adj. 2gem. | altere, qui a soil. (Ag.)
Suntnto,A,ad). }Avide, qui diaire ar-
demment. — de sangue , alterö de sang.
Szven£xato. V. Sedenio.
S£vgipo, A, adj. couvert de soies, de longs
poils rudes. V. Gebelludo. Rocepiecule —, (1.de
bo$.) röcepiacie garni de soies.
Seviciö, s. f. sedilion : rerolle, Emenie pe»
pulaire ; soulerement contre la puissance löf-
Ume , stablie.
SEDICIÖSANRNTE, ade. sediliensemnent.
Seviciöso, A, adj. sedilienx : qui omeul le
peuple; qui a parı & la sedilion ; enclia A las-
dition.
S&nico , A, edj. pourri; corrompu. !ßg.) Pat
s6, vieilli, rebatia, suranne. Or —, ed
ga.
Sevım&nzo, 5. m. sediment: ce qu'une I
queur depose au fond du vase.
SEDINENTOSO, A, adj. qui a du sediment,d
stdiment. Qui depose (liqueur).
Sanonnuo, s. m. maladie des cocbons, ge
consiste en des soies qui leur viennent dans
gorge.
* Saponkuro. V. Sedento.
Sapucciö, s. f. seduclion : action par Ir
quelle on seduit.
Senucron, A, 5. söducleur, oerrupleut ; celsi
qui seduit (une femme), qui fait tomber a
faute, en erreur. adj. Södeisanl : qui sedu,
touche, charme, persuade ; söducieur. Dix
eo, palauras —as, disoours seduissul u Fr
ducteur, paroles s6duisantes.
Senoıa. V. Chdula ei Scheduls.
+StouLo,&A, adj. soigneux , empressd, &
a.
Sepuzino, A ‚adj. stduit, quia did onguiii
seduit. p. p. de
Szouzir, v. a. stäuire, Lromper; faire IM"
ber en errear per ses insinuslions, par 9!
exeimpie, en ce qui eencerne la religion. !6
meurs, les opinions; faire tomber en faalti
corrompre, debaucher (une femme, it.)
Senrzivaı, adj. 2 gen. qui peut dire stdell
* Suzpa. V.
*S£rrLar, V. Sellar.
* Szerro. V. Sello.
* Szenna. V. Enirdde, Admissdo.
* SKENTE pour SERDO. — e presendat, ) EN!
prösents.
"Ser, vo. n. dire assis, s’asseoll.
*Suzerao. V. Sestro, Sinistre.
Seca,s. f. "fauchage : temps et peine 88
ployds & fauoher; action de faucher. Faubl
son: temps oü l’en feuche. Moissen Y-
—.do arado, contre de la chartum
SEG
Secipa, s. /. fauchaison, molsson, r6colle
des grains et sa duree.
Secankuua. V. Sega, Ceifa.
SEcÄn0, A, p. p. de Segar.
Szcanon, 4. m, faucheur, moissonneur. Y.
Ceifeiro.
SECAnöURO, A,adj. qui est en elat d’etre fau-
che ou moissenne, mür. Fouce —a, faux, fau-
eille : instrument pour faucher.
Secanöna,s. f. V. Sega.
Sgold, 5. m. coutse ı fer de charrue Iran-
chant en couleau,
Secir, v. a. faucher l’'herbe, moissonner le
ble. (fig.) Couper de quelque maniere.que ce
soit,, surtout ce qui domine. — a cabesa, Cou-
per, trancher la i£le.
Secaratca, s. f. V. Cigorre. Crecelle, jouet
d’enfant.
+ Säca-ViDas, adj. 2 gem. (p. us.) qui mols-
sonne beaucoup de vies.
Stos, s. f. espece de cabriolet & deux che-
vaux (en Portugal), chaise & deux roues; oar-
rosse. — de posla, chaise de posie. Teer — sua,
Kauior carrosse.
. 66oEıR0, 8.78. sellier, carrossier, qui fail des
carrosses.
° SECELBÄR. V. Sigiller, Seller.
* Sechımo, V, Sigilla, Selle,
"Sec£Los, pl. V. Sello, Sinete.
* Sgcıstörıo. V. Sugistorio,
“ SEGLÄES, pl. secullers, Isiques. V. 8e-
* SecLän. 7. Sscular.
Szaomärto,, s. m. (L. de geom.) segment: por-
tion de cercle; portion de sphere comprise en-
tzo une calolte sphörkme ei sa basc.
Szexicıo , A, adj. lent, Lardif, paresseux.
+ Incövia, 8. fı (8. de geeg.) Segovie, ville
d’Espegne. Drap de Sögowie.
f Szoovıäno, a, adj. eis. de Begorie,
* SeeniLr. V. Segler.
* Skcaz, a. m. V. Seonls. As moras de — , las
filles pubiiques.
+ Spcaspkıno, A, ad). qui sall gender un se-
eret; discret, Addle au sogrei.
Bacrzeinno, s.u. dies. de Segredo. " Chu-
obelerie, eschoterie. Disgr —e a0 oueido , chu-
ter.
Seonzoisra, s. es. chuchsteur : celwi qui cha
chote, yai a costume de ehucheter. Celui qui
sait des secrets,, des proc&des cach6s.
SEGRE£DO, 5. m. seeret: silence qe’on garde
sur une chose G0nß6e ou gu'on sais; eo qui deit
etre cache, lenu secret; ce qui est peu oommm;
lieu s6par6 dans une prison ; moyen, pessort,
procöde, invention oachös; remöde; endreit
cachd d’um secrötaire, d’an poriefenille, etc.
*Intrigue, secrei, pratigque secrdte. — de ns-
iurexa, secret de la nature. — natural, secreL
que la natare möme zous apprend & Laire, &
cacher. Foi participante de meus —s, il entw&:
dans mes seereis. Qusm diz sou —, mal calard
o alheio, ( prov.) qui dil son secret ne tafım pas
celui d’autrui. Ndo Aa = que farde om cedo nano
SEG : 1075
se;a descoderto, (1d.) ii n’y a point 6 seores
qui ne se decouvre töt ou tard, owil n’y a rien
de si secret qui ne solt d&couvert.
Sporzcaci0, e. f. segregatidn : action pär
laquelle on mei & part: s@paration.
SecnecÄn0, A, P. P. de
Secrecir (de), 9. @. separer, melire & part,
sögreger.
EOREGÄR-SE, d. f. se separer, sa dätacher.
Sscöpe. V. Segure et Cegure.
Secviva, 8. f. suite. V. Segulmenio.
SectinaNente, ado. de suite, conssculive-
ment, sans interruption. |
Secumiınas, s. f. pl. seguedilles: sorte de
poesie et chanson espagnoles et portugaises;
sorie d’air et danse tr&s-gais.
Seculno, A, p. p. de Seguir. adj. Suivi, con.
tina, non interrompu; qui atllire beaucoup de
monde. Todo —, tout d’une tenue, sans inler-
ruplion, d’une meme continuile. Eutrada, Ca-
minko —, chemin battu, frequente. Homem —,
homme qui est en vogue. Pregador —, predica-
teur suivi. Ndo pöde dizer duas palavras —as, _
il ne peut dire deux mots de suite.
SEGUIDOR, A, 8. celui qui suit, qui accompa-
gne quelqu’un; qui frequenate, Partisan, gal
sujt le parti ou Popinion de...; imitaleur.
SEGCUIMENTO, 3. m. * sulte, poursuite. Ir em —
d’älguem, suivre quelgqu’un, aller & la pous-
suite de quelqu’un.
SECUINTE, adj. 2 gen. suivanl, qui suit. Il est
aussis.m. Q —, ce qui suit.
Secrir ,v. a. suivre : aller apr&ds ow derridre.
(Ag.) Poursuivre. —, poursuivre, conlinuerz
accompagner ; exerter une profession ; embras-
ser une opinion, elc.; se conformer & des r&-
gles, des consefls, des principes, des usages
etc.; fr&quenter; imiter, suivre l’exemple, les
| traces. ( Ag.) Suivre son chemin, ne pas s’ecar-
ter de son but. — 08 passos ou pisadas d’al-
guem, (fig.) suivre les traces de quelqu’un,
sulvwre son eremple. — alguem com os olhos,
sulvre quelqu’un des yeux. — a Bandeira d’al-
guem,( fig.) suivre la banniere de quelqu’un,
etre de som parti. — a oflagem', poursuivre lo
voyags, continuer son voyage. — 0 rumo do
norie, porter au uord.
Secrir „vo. R. (P. us.) et —SsE, 0. r. se sulvre,
se succeder ; venir apr&s. (de) S’ensulvre, eire
une suite, ame cons@quence, rösulter. (g.)
Naltre, proc&der, tirer son origine. Segue-se
que..., Il rösulte que... EZ o mals que su segue,
et lout ce qui s’en suit.
Secuıro. V. Sequito.
SectnvA , s. f. classe de seconde. {f. de mus.)
Intervalle d’une seconde ou d’un ton & un au-
ire. Seconde voix dans un chaur. V. Secunda;
SecunpiDO, A, p. p. de Segundar.
SECUnDA-FEIRA, 3. f. "lundi: deusiöme jour
de la semaine.
SECUNDAUENTE, ade, secondement, en #6-
cond lien.
SEGUNDAR, d. a. ei m. röpdtier, räildren;, vos
commencer, revenir une seconde fols,
1076 SEG SEI
Sscunpärıo, etc. V. Secunddrio, elc. Securinioe, 5. f. süretd, söourild. "Bafler-
Secunpas. V. Socundinas. missement. V. Seguranga et Segure.
SEGUNDÄYO, 5. m. ° moilie, SecUrissiMO, a, adj. sup. de IL
Secunptira, 5. f. seconde portion de vin Secdno, A, adj. sür, en sürett, ä Yard
qu’on donne aux religieux les jours de föte, etc. | tout risque ; assure; (ig.) assure, hardi, sans
V. Repeligdo. erainte; certain; ferme, solide. (1. de oma.)
Seuenp£ıro. V. Secundeiro. Assure, qui a un contrat d’assarance , garamı
+ Secuxpino, A, adj. (4. de bot. secundus) | des pertes &rventaelles. Luger—, lieu de ıt
qui tourne d’un meme cöte. Espiga —a, Epi retd. Pessos —s, personne süre, de conhanr.
dont les fleurons tournent du meme cöt£. — em alguma pessos ou cowsa, conäd i sw
SecönDo, A, adj. second, deuxieme, deux. | personne ow chose. Estar — d’alguem, ve m
Carlos, Jodo —, eic., Charles, Jean, etc., Il | craindre de quelqu’un. Dar por —auma en,
(deux). Sem —, sans second, sans pareil. A |assurer, aflirmer, atlester une chese. Nöe #
nenkum, a ninguem —, qui ne cdde & per- |dar por —, n’eire pas bien affermi. Ne pas
sonne. Em — lugar, deuxi&mement. croire en süret&. .
SEGÖNDO , adv. et pr&p. selon , suivant,ä pro- | Secuno,s. m. sauf-condaitl, passe-port. "S-
portion; d’aprös. — doa politica, en bonne po- | rete. * Assurance, en ierme de commerte. (on
litique, selon une bonne politique. — as or- | dos—«, chambre d’assurance. Carte de—. |
dens, d’apres les ordres. — o que elle diz, | conduit. — de vida, assuranoe Sur la vie. des
d’aprös co qu'il dit. — que, selon que, selon | hommes. — contre 0 fogo, assurance eaitt
les occurrences. le danger du feu.— do freie, assurane sark
SECUNDO, 5. m. "seconde : soizantidme partie | fret. — da liberdade, assurance sur ta hberi
d’ane minute. des hommes. A bom — , eertainement, nde#
SEGUNDO-GENITO, A, adj. cadet, puine. tablement. Sobre —, avec prudence ‚art 6°
+ SEcunTino, A, adj. et s. de Siguenza, n& & | conspection; hardiment, en toute assurantt,
Siguenza. sans rien craindre. A — , pelo —, terre LIEN,
Sechr,, s.m. V. Segure. avec precaution.
Secöra,s. f. doloire, hache de tonnelier. V.| Sean. V. Ceier, Ciar.
Sequre. °"Szıza. V. Saliva ; it. Seien ou Som.
Becvniıcäö,s. f. V. Seguro. *Szınaö. V. Alpendre.
SEGURÄDO, A, P. p. de Segurar. V. Segura- | "Skına. V. Saide.
dar Brinıgo. V. Sedipo.
Seıria,s. [. poisson de mer qui resunlh
au Scare.
Stıo, s. m. sein: partie du corps depas I
cou jusqu’au creux de l’estomac; mameiS,
gorge d’une femme; l’endroit od les (a8
congoivent et portent leur frait; (Ag.) Tem'.
le caur de l’'homme. (id.) Divinits de Die}
pere, d’oü le fils proodde. Sein, le mil *
la terre, de la mer); golfe, petite mer ent"
de terre; (fig.) le sein de !}’Eglise, sa um"
nauts. Giron. V. ARegayo. Creax, cavite. DH
cune des concavites interieures da cart ®r
main. Pli, repli d’une robe, etc. Ser ots
guem , (fig.) ötre ami inlime de b-
@4brahöo, le sein d’Abraham. 0 —, u
dalma, (fg.) les replis de l'ame. Or-1P
averno, les abimes de Penfer. Met e me"
ten —, e ndo dirds mel do fado alheie, (f"
mets ta main en ton sein „et ia ne mödra 4}
SECUNADOR, 8. m. assureur : celul qui assure
un vaisseau, des marchandises ou tout autre
chose. it. Garant, caulion, repondant. — do
campo ‚tenant d’une joute, d’an tournoi, etc.
SECURAMENTE, adv. sürement, assur&ment,
serlainement, ä coup sür.
Secuainga , s. f. süretö : exemption de ris-
ue, de perils; caution, garantie; assurance.
scurit6, confance;cerlitude. Sauvete, salut.
Raffermissement, aflermissement. Carla de
-—, saul-conduit. V. Seguro. Com —, en sü-
SecurnÄR, v. a. assurer, rendre ferme, sür,
affermir ; mettre en süretö; garantir des peries
eventuelles. V. Assegurar. Tenir, retenir, arre-
ter, soutenir. — alguem pelo brago, tenif, Te-
tenir o@ soutenir quelqu’un par le bras.— 0
Raviv, acarga, assurer lenavire, la cargaison.
— sobre boa ou ma nova, assurer sur bonnes hai
os mauvaises nouvelles. — sobre ida, assurer Dakine V. Ceirs eto
D — - ’ „ro. ’ . .
sur Faller. sobre volla, assurer pour le re Skıs, adj. num. 2 gen. sir, deus fe une
SecoRän-sE, ©. r. s’assurer. Se rassurer, | ae sukmuo. 7 Boragisine.
s’allermir. Se prömunir d’un saul-conduil. — | + Sesaro 5. m. sizieme.. la sizieme parit:
bem acavalio, se tenir bien A cheval. a )
SEISCENTOS, AS, adj. num. pi. sis cm.
Secöng, s. f. hache , cognee. Hache entourse SeurspösRo. Y. Pen hlrug ei
de [aisceaux que les licteurs portaient devant | Sema, ole. V. Sesma, eit.
les consuls romains. . Smeravißo, A, adj. qui a six odias ei
Secuakına , 8 f. (i. de bol.)sarrielte,,sadree, | angles.
savorde, la sauce aux pauvres. dl. Piece d’un | SäseriL,s. m. je sizieme. V. Coiih
moulin, Sisto. V. Sexie.
, ‚SEL
Serra, s. f. serie : röumion de personnes qui
suivent les memes opinions, . une opinion be&-
retique,, une doctrine nouvelle , erronee.
Seitia. V. Setia.
SgıriL. V. Cettil.
’ Seıröso, V. Afraigoado, Traidor.
+ Skıva, s. f.(t. de bot.) söve : humeur active
des arbres.
+ Szıvöso, A, adj. (f. de bof.) söveux. qui
sert ä la circulation de la söve (canal).'
Seıxa,s.f. oiseau gallinace qui ressemble
& loie, ou au canard. (ant.) Sorte de turban
turc.
SerxiL, s. m. lieu plein de pierres, de cail-
lonx;; sol pierreux.
SeixÄtır. V. Saxatil.
SEIXINHO , s. m. petit caillou,, dim. de
Serxo, s. m. caillou, pierre trös-dure.
Seıa,s.f. — de janella. V. Sede.
'Besina. V. Sagena.
SeLipda. V. Salada.
SeLAco, s.m. (t. de bot.) * selage : plante
pyrenacde. — abefina, Iycopode selagine, sela-
ginelle. — da Eihyopia,, selage corymbifere.
Seramism, s. m. litron, la i6me partie de l’al-
quier (en Portugal) , mesure de choses seches,
SeL£ ow SıL£, s.2gen. Carne de —, viande
salee.
SeL£ı, s. f. "traineau, vollare sans rToues
pour aller sur la neige.
SeL£cciö, s. f.* choix, triage.
SeL£cro, A,adj. choisi, mis & part, tri6; (g.)
excellent.
SELENITES, s. f. selenite : sorte de sel form6
par la terre calcaire et l’acide sulfarique.
SELENITÖSO, A, adj. seleniteux : qui a rap-
port & la selenite.
SELENOGRAPHIA, s. f. selenographie : descrip-
tion de la lune.
SELENOCRÄPHICO, A, adj. selenographique:
de la selönographie.
Seızuua. V. Celeuma.
Serca. V. Acelga.
Seıua. V. Ceiha.
“Seıxos. V. Senho.
Szricıo. V. Cikeio.
StLıi, s. f. selle de cheral. * Fauteuil. — de
ginefa , solle & la genetle. Esiar posio na —,
(ig.) aroir le commandement, l’autorit£e. Estor
firme na —. (id.) eire ferme sur ses e&triers,
dans ow sur les arcons , ätre bien en selie, af-
formi danssen poste. Näo se sogurar na—,n6-
gliger son corps & cheval.
*TSELLÄDA, Ss. f. gorge ou enloncement d’une
monisgne.
SELLADO, A,P.p. de Sellar. adj. Selle, a qui
on a mis la selle (cheval). Scell&, & qui on a
appose le sceau. Gourbe en manidre de selle.
Papel —, papier timbre, oü il ya un timbre.
SELLADOR,, 8. m. scelleur, celui qui scelle;
garde-scel. Celui qui selle, qui met la selle &
un cheval.
SELLADOURO, 5. m. partie du dos de l’animal
od nose la solle.
SEM
SetLicid, 5. m. solle rase.
SELLÄGEN, 3. f. action d’apposer le sceau , le
cachet. .
SELLÄR, v. a. sceller : meltre, apposer le
sceau ow le scelle. Timbrer (du papier, ete.).
Empreindre, imprimer. ( Ag.) Finir, terminer,
conclure. (id.) Fermer. V. Cerrar. (id. p. ws.)
Estimer, apprecier. — os labios, (id.) tenüı
bouche close, ne dire met. 11 est quelquofois
neutre, et signifle plier, se courber.
SELLAR, v. a. seller:: melire la selle & un
cheval, etc. .
SeLLaria, s. f. sellerie; rue oü sont les sel-
iers.
SeLzcid. V. Sellagdo.
SerLdiro, 5. m. sellier, celui qui fait des
selles,. '
'SeuLßino, A, ady. habilue & la selle (cheval);
qui se tient bien en selle.
' SeLLiM, 8. m. sellö rase.
S£LLO, s. m. sceau : grand cachel; son em-
preinte. Lieu oü !’on scelle. Timbre : marque
imprimee au papier, pour les actes,, etc.; droit
sur ie pepier limbre6, droit du timbre; lieu oü
Fon timbre. Scelle : sceau en bande appose sur
des portes, des armoires, etc. ( Ag.) Dernisre
main, perfeotion. — pendenis,, sceau pendani,
grand sceau royal de chancellerie. Guarda
sellos, garde des scoaux. Por 08 —s w’ums por-
fa, etc., meltre les soelles sur une porie, etc.
Pör o —,( Ag.) metire le sceau, achever, fin,
sendre stable; ceonsemmer. Passer alguma
cousa sem — : ig.) se dit d’une clıosg qui est re-
gue sans examen. —de Salomäo. \. Scello, etc.
Stıva, s. f. foret, bais. (fg.) Epaisseur,
densite.
SELVÄCENM, adj. ei 9. 2 gen. sauvage: qui vit
dans les bois, sans lois, sans habitalion fixe,
etc. Grossier, stupide,, rusire, ignoranti.
T SELVAGERIA, 3. f. grossierele, ruslicile,
action de rustre, eio. Qualite,, &lat de ca qui est
sauvage.
+ BeLvacina,s. f. böte sauvage, b£le (aurve,
SeLvAacino, A, adj. sauvagin (goüt). De
sauvage. Carno —a, sauvagine, chair de bite
sauvage.
SuLvasania. V. Selvageria.
SELVÄTICAHENTE, adv. en sauvage, ä la mı3-
niere des sauvages.
SELYÄTICO, A, adj. de for&t. Sauvage. V. Sr!-
1077
SELvarıQußza, s. f. sauvagerie. V. Selva
gerie.
SeLvöso, A, adj. boise, plein de bois, de u
reis.
* Sem. V. Gerapdo.
S£u , pröp. exclusive , sans : exprime l’exch
sion, la privaliom , ’absence, la non-oxistenca.
— demors, tout de sulte. — lempo, avantlerme,
premasturement. — razdo, ä tort. — que nem
para que, sans raison ni molif. Les anciens
mettaient souvent le sem avanı les gerendils.
Ex.ı — querendo , on dit mieux sujourd’hei :
ndo quorende vu sem querer, sans le vouleir.
— que, pa
‘ 4
que. Nie porlurd som qua inde | senäs, (dd.) camıma tu sömeras, alnsi ia zueis-
osieja prempie, Il me parlira pas que laul ne | Sonneras.
soil pret.
Suninı, s. f. samaine ; suite de sept jours,
du dirusnehe au semedi; sopt jJours de suite;
wavail de sept jours; son prix. Periode septe-
neire de mois, d’annses ou meme de sidcles.
_ sone, semains sainie, la derniöre du ca-
some. Ester de —, tizo de semaine auprös du
soi, eic. Parse a — de nove dias, (loc. prov.)
dans la semaine des trois jeudis.
+ SewaniL, adj. 2 gen. hebdomadaire ; de
dasgque semaine.
+ SEMAnÄLNMENTE, ade. toutes les somaines;
par semaine.
Sauaninıo, A, adj. hebdomadaire, de cha-
que semaine. Semainler, qui est de somaine.
Qui paratt toutes les sesmaines, une fois par Se-
maine (publication).
SzuAnRıRO, A, adj. semainier, qui est dese-
maine. V. Semsnario.
Seuszuito. V. Sambenitlo.
SeusLicen, elo. V. Semblagem, oto.
SeusLinte, 5. m. *physionemie, air, mine,
aspect. Visage, face. ( Ag.) Dehors, apparence
extsrieure des choses. ° Contenance, air, main-
Vien, posture. — alegre, risenhe, visage gal,
rient. — ‚sanhudo, visage chagrin,
courrouos. — iguel, visage dgal.
+ Stwsun, s. f. (4. d’'hist. nel.) "semblide,
ndvroptäre. — ou Aomerobio des lodos, sem-
blide de la boue. — bieaudasa , semblide A lon-
gue queue. "
Beusıtı. V. Assembide.
“Seunnı, Em —, ado. ensombie,
Seuanicem. V. Samblagem.
*Seupninre. V. Semblanie.
Beuza, s. f. “son (de [arine).
+ Suweıciö, s. f. (1. de bot.) — natural, s6-
minstion , dispersion naturelle des grains.
Seuzipa, s. [. somallle, terre ensemenose,
champ seme.
Bemsino, A, P. p. de Semsar. adj. Parseme.
SENRADOR , 8. m. semeur, Celul qui söme. Se-
moir. V. Sementeiro.
+ Sruzapöuro, s. m. terrain qui deit dire
ensemenc#; propre ä dire ensemenete.
Semzanöna, &. f. semaille : action, temps de
semer;; grains som6s. Um alqueire de —,
selde de terre.
SgukÄin, o. a. semer ı r&pandre (de la graine
sur une terre proparde); röpandre cA ot 1A;
(ig.) faire naltre (la disoorde), causer, ecca-
sionner, eie.; röpandse, publier, divulguer.
(id.) Faire une chose dont Il doit revenir du
prolit, semer pour rocueillie. (dd.) Joncher,
parsemer, couvrir (de moris, de fieurs, d’her-
bes , et0.). -- de aa} uma casa. V. Salgar. — em
nd isrra, (fig) somer en teree ıngrale: [aire
du bien & un ingrat. — ns areie, (id.) semer
sur le sable : donner des instruclions & qui
n’en proßte pas; perdre son lamps. Qusm ndo
semta ndo colke ou apamka, (prev.) il laut se-
mer peur zecneillie. Cöibe sada um segundo
SeugÄivYEL, ads. 2 gen. qui peut @ire ense-
mence. (an}.) Vene, m
Seuzoxıno. V. Semidelro, Altalko.
SeutıoLosia 0w (1. de mdd.) stmeiolo-
Sembıörica,, 5. fı I gie, semeiolique : traite
des signes des maladies.
*Stuzı,s.. V. Goraplo, Descendencia,
Seuernino, p. p. de Semelker.
Szusıulnca, 5. f. ressemblance : rapport,
conformit entre deux eires. (Ag.) Image, pot-
rait.
SENEZLRÄNTE , adj. 2 gen. semblable reil.
V. Parecide. Nunca se vo Oua—, on va js-
mais vu rien de pareil. s. 2 gen. semblable. Um
—, un exemple. V. Simile.
SENMELHANTENENTS , ade. semhlahlement,
pereillement, aussi.
EMELHANTISSIMO , A . . de
ne ‚A, adj. sup Seme-
SENELRÄR, v. 6. (9. us.) conirefaire, imiter.
(a) Comparer. — (s), v. ®. ressembler, dire
semblable. Sembler ; Juger d’une chose.
SENMELHÄR-SE, 0. 7. — a alguem, contrelsire,
imiter quelqu’un par &mulalion.
SeuezLnäveL. V. Com vol et Semelhantie,
SEUELHATELMENTE. V. Semelkantemenis.
ÖRMELITUDINÄRIAHRNTE, V. Similitudinerie-
menis.
SeEuEn, 5. m. °Semenos, SperMme ı naliäre
dont les animaux sont engendre&s,
Suuengan. V. Femenger. .
TSenznista, 3. m. söministe : physıologisie
qui coll & l’existenoe de la semence dans les
deux scxes.
SzusntäL, adj. 2 gen. qui appartient aux se-
mallies, Destine & dire sem6 (hid). Carneiro
-_, .
SEMENTÄR,, 9. &. semer, ensemencer. —
lavradores, fournir ow pröter les semencs
aux laboureurs.
SEMENTÄR-SE, ©. Tr. 50 pourvolr de semenees.
Seuente, s. f. semence, ce qu’on scene;
grain ; graine des plantes, ots. V. (A8.)
Race, posterits. (id.) Semence, source, prie-
eipe. = d Alsoandris, — conira vormes, Bemer-
eine, sanlonine, SOMen-cönlra, Bemence }
vers : plante vermiluge. — d’agno ensie, pri
poivre.
Sananttına,s. f. somallle : aotion , lemps,
saison de semer. Terre ensemenose, eınhia-
vure, (fg.) Semence de diseorde, pöpiniere dı
SENENTEIRO , 8. m. semoir : Sac Pour porter
le grain en somant. Bemeur, aa propre ei au
figure.
Sewantiunas, 8. f. pl. graines de sapo-
nalre.
SEuentinna, dim, de Sements.
SEMESTRE, 4. m. semesire: espace de Sit
mois ; prix de six mois de service , eis,
GEMETRIA , etc. V. Symeirie,
SEM
Seui, ade. (mot lalin en compos.) soml,
demi ow & demi.
+ Sewmiasancintes, adj. f. pl. (ti. de bot.)
Folhas —, leuilles demi-amplexicaules, qui
eınbrassent & demi le lour de la lige.
SEMIÄNIME, adj. 2 gen. demi-mort, semi-
elcint,
SEmiBRaKvE, 8. f. (l. de mus.) semi-bräve,
moiti6 d’une hbröve. On l’appelle aujourd’bui
ronde.
SEMICADÄTER, 5. m. homme presque mort,
moribond.
Sswicirro, 8. m. demi-bouc : surnonı de
Pan. 11 est aussi adj. m. moiti6 bouc et moi-
tis6 homme,.
*SeuicHas, 6. f. pl. surplus d’unce mesure de
äquides.
SzuıcıacuLia, adj. 2 gen. demi-circulaire,
du demi-cercle.
BsMIciRcuLo, 8. m. demi-cercle.
SzuicoLcakıa ,s. f. ( i. de mus.) double cro-
che : nole de musique qui vaut la moitie d’une
croche.
SEMICOMPLEMENTO, 5. m. (4. de malh.) demi-
complöment.
7 Sewicoripo, s. m. (fi. de mus.) nole qui
divise la mesure en deux temps.
SEMICROMÄTICO, A, adj. (inus.) On le dit du
genre composs du chromatique ei du diatoni-
que.
SEuıcöpIo, 8. m. demi-bain.
SEMICYLINDRICO, A, adj. demi-oylindrique ,
eylindrique d’un seul cöte,
SEuıDKka, 8. f. demi-deesse. V. Semideosa.
SEMIDEFÜNTO, A, adj. demi-mort, demi-
dleint,
*SEMIDRıRO,. V, Alalho.
SEMIDROS , s. m. demi-dieu du paganisme.
SEuInkosa, s. f. parımi les paiens, haroine
qui descendait d’un dieu.
SEMIDIÄNMETRO, s. m. demi-diamätre : rayon
du cercie.
SemıDıaPAsÄ0, 8. 2. (4. d’anc. mus.) somi-
diapason : octave diminuse d’un demi-ion.
SEMIDIAPENTE, 3. m. (I. d’anc. mus.) somi-
diapente : quinie diminude, fausse quinte.
BEMIDIATRSSERÄO, 8. m. (I. d’anc. mus.) 86-
mi-distessaron : quartediminude, [ausse quarte.
SENIDITONO , 5. m. (I. d’anc. mus.) tierco mi-
neure, intervalle de musique.
+3amıDosaino, A, adj. (8. de bot. et de leur.)
Flor —a, üeur semi-double, a deux rangs de
petales. ‚
+ Semiponntz, 8. 6 (£. de bot.) qualite des
Neurs semi-deubles. V. Semtdodrado.
Seuioöuro, adj. m. demi-savant.
SeuipürLes, adj. 2 gen. (1. de lit.) semi-
double. On le dit des fetes moins solennelles
que les doubles, et plus que les simples.
+Sewipnacäö, 8. m. moili6 dragon et moilis
komme,
+ SewırLöscuLo, s. m, (4. de bot.) demi-fleu-
ton : petile Baur sur un oalice commun.
SEM 40:9
+ 3euırLoacuöso, a, adj. ($. de bot.) semi-
Nosculeux : A demi-Neurons ( flear —se).
Sewirösa, s. f. (}. de mus.) quadruple ero-
che: note de musique valanı la moilid d’une
double croche.
tSemicLonds0, A, adj. (l. de bot.) demi-
spbeörique.
SemicöLa. V. Demigola.
Sznınöuzu, s. m. demi-homme.
+ Sewirna, s. f. On donne oe nom en quel
ques endroits aux pommes de terre anglaises.
Semumsrinacäö, 8. f. demi-soupis, saorle de
pause de musique.
SEWILETTRA, 5. f. signe qui vaut moilid d’une
lgtire,
SENMILUNÄR, adj. 2 gen. semi-lunaire, en de-
mi-lune. De la demi-Iunaison.
SESILUNIO, s.m. * demi-lIunalson.
Sauınknıco, s. m. A demi medecin , peu In-
struit en meödecine.
SEmIMRTÄL, 3. m. demi-metal : substance
minerale moins pesante, moins solide que les
melaux.
Bzuinmma. V. Sominima,
SEMIMÖRTO, A, adj. a demi-mort, demi-
&teint,
Szwinagäö, s. f. &)aculation de la somence
des animauz. V. oe
Seminäu, adj. 2 gen. söminal : qui a zapport
& lasemenee des animaux oy des plantos.S6mi-
nilöre.
Suumin. V. Dissewinar.
SEMINÄRIO, 8. m. *pepiniere : plant de jeunes
arbres pour replanier. Sömineire : collöge d’ec-
clösiastiques ; ces ecclösiastiques ; (Ag.) lieu ou
l’on forme les sujets pour les aris, etc. (id.)
Pepinidre, source , origine,
SEMmÄRIO, A, adj. V. Seminal. Vaso —,
vaisseau seminiföre, de la somence.
SENINARISTA, 8. m. stminariste : dldve dans
un söminaire.
Saminıma ,s. f- semi-minime : nole do mu-
sique qui vaut la moiti6 d’une minime ou d’une
blanche : e’est aujourd’hui la noire.
+ Szumö, ba ‚adj. 4 demi-nu.
TSmmocräva,s. f. (4. de pods.) * quatraig ı
stance de vers & rimes crois6es.
Semrpauivaa, 8. f. (P. 8.) "demi-met, mot
mal articule.
SEMIPARANTE, adj. el 8.2 gen. parent sloigne.
+SENMITBLAGIANISMO, s.m.semi-p6lagianisme:
secie , doctrine des semi-pelsgiens.
+9ammreLacıäno, A, adj. eis. semi-pelagien:
partisan du semi-pelagianisme,, qui se rapparte
& cette hördsie.
Szwpsaıpmania , 3. f. semi-pöripbörie.
Szuwiäno, A, adj. a moiti6 plein. Provs—a,
(4. de prat.) preuve imparfaite,, semi-preurve,
+SuumLenauünte, adf. (1. de pral.) avec
une preave imparfaite , ineompledis.
+ SENIPOSTA, 8. m. mauveis podie.
f Sewmipöraıno, A, adj. & demi-pourri.
+ SaminacıonkL, adj. 2 gen. stupide, gros-
sier, guitient de la brute plus quo. de Phomme,
4080 SEM
Sewintcro, A, adj. On le dit d’an angle qui
vaut la moitl& d’un droit, ou quarante-cing
degr&s.
F Seminorico, A, adj. (1. de bot.) semi-teret,
demi-cylindrique sans inegalites.
+ Sewir0ro, a, adj. ademi rompu,, & demi
brise, elc.
+ SEMISERPENTE, 8. m. corps molti6 serpent.
°Seuita,s.f. V. "Alalho, Vereda.
SEMITARRA. V. Cimitarra.
SENITERCIÄNA ‚adj. et s. f. hemitritde(fdrre).
SENITOM, s. m. voix basse.
SEMITONO,, s.m. (l. de mus.) semi-ton : moiti6
@un ton.
+ Szuıvınnacäö, s. f. demi-vibration d’un
pendule.
Szuıvino, adj. m. a demi homme. s. V.
Afeminado.
+ Ssuıvivo, a, adj. a demi virant. Demi-il,
& moitie mort.
SewivocäiL, adj. et s. f. demi-voyelle. On le
dit des consonnes dent la prononclation com-
mence par une voyelle.
SEmIvöLPA, s. [. "sarigue, opossum. V. Sa-
gueia.
*Semsostica. V. Injustica.
Srund, s. f. espece de jonc.
SENNÜMERO, s. m. quantile innombrable.
+ Stmora, s. f. semoule : päte de farine en
petits greins;; bie arrondi sous la meule.
*SzuörTo, A, adj. sloigne, &carte.
SEMOYENTE, adj. 2 gen. qui se meut de sei-
meme, mobile.
Seurirn, adj. 2 gen. sans dgal.
SEUPFITRANAMENTE , adv. eternellement.
SegurıTfano, A, adj. sompiternel,, &ternel.
*Seurıe. V. Sempre.
Sturag , adv. toujours, de tout lemps, sens
oesse. De — , (amf.) de tout temps. Para —, &
perpetuitö; & jamais. Pers fodo —, a jamais,
pour toujours, au grand jamais. Cousa perdida
para—, cause & Jamais perdue. — que penso...,
toutes les fois que ie pense...
* SEUPREWÄNnTE. V . Simplesmenie.
SENPRENÖTA, 8. f. (1. de bot.) renouee vul-
gaire, centinode : plante 4 nauds, medieinale.
Seuprnev£nne, 8. f. V. Semprenoiva. adj. 2
gen. Toujours vert arbre, feuille, etc.).
Seuracgviva, s. f. (tl. de bot.) V. Seids. —
$rance, pelite jJoubarbe, trique-madame, or-
pin blane.
Semnaziö,s. f. " tort, injuslice,
Sensanon, adj. 2 gen. insipide. V. Desemaxa-
vido. (Ag.) Fade.
Seusasor, s.m. deplaisir; fadeur, insipi-
diıe ; defaut de gräce, d’agröment.
Seusasorädö, OMA, 5. (P0p.) personne insi-
pide, deplaisante.
Seusasonia, s. f. “ däsagrement, chose des-
agreabie; ennui. V. Semssber. Com —, e0-
nuyeusement.
SEusaL, adj. 2 gen. qui manque de sel; quı
r'a point "de sel, frais. (fg.) Qai manyue Je
SEN
SEuVALOR, adj. 2 gen. qui ne vaut rien, qui
n’a aucune valeuz.
"Sen. V. Sem.
+ Stna, s. m. (8. de geog.) " Seime : leave de
France. Sienne : ville de Toseane.
SENADO, 5. m. senat: assomblee, conseil des
plus notables d’une republique, ete.; lien ou
les senateurs s’assembient. (fig.) Assembiee
gens respectables. U — da camere, lo cur
municipal d’une ville.
+ SENADO-CONSÜLTO , 5.0. senalus-Conseite:
decision d’un senat.
SENADOR , s. m. senaleur : membre d’en s-
nat,
SenäL, adj. 2 gen. brut, et de peu de poids
(diamant).
Senäö, s. m. defaut, imperfection.
SENAÖ, conj. et part. condil. sinon, autre-
ment; sice n'est, hormis, excepie; & meins
que; bien plus , qui plus est. Que. Ex. : Ooure
ndo se enconira — em pPoucos ‚For me
se Lrouve qu’en Irds-peu d’endroits. Nös busce
— a verdade , il ne cherche que la verite. Quem
— vösP? quel autre que vous?... Quem — elle
suffrer P... quel auire que luı peut sonf-
frir? mais plutöt. Ex.: Nüo ed brauco — pards,
il n’est pas blanc , mais plutöt gris. Mais encore.
Dans ce sens, sendo esi toujours preckde de
ndo sö, non-seulement. Ex. : Ndo 26 combelse
— 060080 0 inimigo,, non-seulement il a ce
baltu , mais encore il a vaincu Pennemi. Seuie
ment, et alors il est precdde de ia perticauls a»
galivo ndo. Ex. : Ndo espero — que ls eds, Yal-
tends seulenient que ta ten ailles. — se, saul,
excepi6, & moins que. — quanlo, & la seek
difference. — que, cortes, cerlainement. —com
pai, como amigo DU GO mMEeROs COMO amipe,
sinon Comme pere, au mMoins comme amı.
Sendö!... (.de menace) sinon!... sans quei, ei
faute de quoi.
Senärlo, A, adj. compose de six. Numers
— , nombre de six. Verso —, vers latin de siı
pieds, ordinairement Tambes,
Stnas, s. f. pl. sonnez, double six au irk-
trac.
Senatörto, A, adj. senatorial : de senateer.
Senatorien : qui est de la famille de s@nateur.
SENATUS-CONSULTO. V. Senado-consulte.
SenniL, 3. m. volle, lissu transparent os
Irds-Ieger, crepe. V. Condel. (ami.: Serte de
garniture de raobe. (l. de chir.) Bandage poar
les blessures du cervoau. Cendass, pi. (port) )
tes jarreliöres.
"Senpas. V. Sendos.
Senokıno, s m. "ronse: cheval sans lorcs,
sans vigueur. *Mazxetie : mauvais petit cheral.
*Sknnpos, As, adj. pl. un, une : chacun em
particulier. Dee a cada um — cavsilos, il donaa
un cheval & chacun.
Senz, adj. 2 gen. (inus.) V. Velhe, Idess.
s.m. V. Senne.
Sengca, s. f. V. Arsonico. Faller —, (Sp)
perier senioncieusemen
SEnEcA OU Benz af. (6. de ba.) * peiygela
SEN:
de Virginie, sendka, racine de serpent A son-
netles: plante medicinale.
SEWECTÜDE, 3. f. vieillesse.
SEneuB£, s. m. V. Igquanado Brazil.
SENESCÄL, s. m. grand-maltre de la maison
du roi. V. Mordomo mör. Senechal : chef de la
$ustice dans un certain ressort, et dela noblesse
convoqu6e pour V’arriöre-ban.
+ SenzscaLia , s.f. senschaussee: jaridiction
du sön6chal, son &tendue, son tribunal.
’SeEnco, A, adj. prudent, sage, disoret.
Sencnapüna. V. Singradura.
S£nHA, e. f. "signe, marque, indice; signal.
* Geste, etc., convenu enire deux personnes
pour s’entendre. "Mot du guet. Contre-marque.
SENHRDRIM. V. Synedrio.
SEmuo, 5. m. "grimace, vilaine mine. V. Car-
ranca.
* SENHOANNRIRO, A, adj. de ohaque anne.
SENHÖR, 5. m. maltre, seigneur. Dieu, le
Seigneur. Le sacrement de l’sucharistie. Sei-
gneur : maltre, possesseuf d’un pays, d’un
etat, d’une terre, etc.; grand d’un dtat, etc.
Titre qu’on donne ä quelques saints. Sire : ti-
tre donne & un roi, & un empereur. Monsieur :
titre de politesse. Maitre, par opposition A do-
mestique. Maitre de ses actions, libre, inde-
pendant. ($. d’astrol.) Astre, plandte domi-
nante. Grdo — ‚ grand-seigneur, le grand-lurc,
V’empereur de Turquie. Descangar no — , repo-
ser en paix. Ficar — do campo, demeurer
maltre du champ de bataille, au propre et au
figure. — de si, maltre de soi, homme qui sait
se possöder ; qui a de la prösence d’esprit. — di-
recio d’uma lerra, seigneur foncier. Fazer de
— , faire le monsieur, faire ’komme d’impor-
tance. — de barago e cutello,, haut justicier. V.
M.d— de faxer o que quizer, vous £ies libre
de faire ce que vous voudres. Cada um d— om
sua casa, le charbonnier est mallre en sa mai-
son. Senhores nossos, nosseigneurs.
SENHÖR,A, adj. puissant; malire, proprie-
taire. — de, jouissant de toutes ses faculies,
en pleine liberte. V. le pr&cddent.
SENHÖRA , s. f. maltresse : cello qui a des es-
claves, des domestiques. Femıne, 6pouse. Dame
de qualit&, grande dame. Madame, ınademoi-
selle : titres d’bonneur. V. Senhor. Nossa —,
la Vierge, la sainte Viergg, Notre-Daıne. Ro-
ma, — do mündo , Rome, ınaliresse du monde.
Senuoräica,s. [. aug. de Senhora. Grande
dame.
SenHorÄco, s. m. aug. de Senhor. Grand
Beigneur.
Sennorzino, A, p.p. de Senhorear.
SENHORRADÖR, A, adj. qui maltrise, qui do-
mine.
SENNOREÄGCE. V. Senhoriage.
SENHONREÄR, vd. a. maltriser, dominer, gou-
verner en maltre. (fig.) Commander avec em-
pire, hauteur, faire le maltre. Se rendre mal-
tre ‚assujetlir. En ce sens, il est souveni em-
ploy& comme r£&ciproque. Coinniander, domi-
ner, ötre plus &leve. Il est souvent neutre dans
SEN 1981
ceite accepilon. (Ag.) Maltriser, dompter ses
passions.
SENHORLÄR-SE (de), v. r. se rendre malire;
s’emparer de.V. Senhorear.
SEnEoRiA,s.f. V. Senhorio. Seigneurie : ti»
tre d’honneur, de politesse. (g.) Personne &
qui on ledonne.— domaine,, souverainele ds
quelques repuhliques ; nobles venitiens , eic.,
qui avaient la principale part au gouverne-
ment; gouvernement de certaius dtais. it. Le
proprietsire d’une maison. Encher de —s,
monseigneuriser.
SENRORIÄGEM, 8. f. " seigneuriage : droit du
seigneur, droitroyal sur les monnaies.
SENRORIAL, adj. 2 gen. seigneurial,, du sei-
gneur, qui appartient au seigneur.
SENAORIL, adj. 2 gen. noble, de seigneur;
qui domine, qui commande. (fig.) Grave, im-
posant.
SENDORILMENTE,, adv. noblement, en sei-
gneur; avec un air grave,, un air de seigneur.
SENHORIO, 3. m. * seigneurie,, domaine, puis-
sance, autorit& de seigneur, de malıre. * Do-
minaltion, puissance, aulorite. —, terre, do-
maine d’un seigneur. si. Propridtaire d’une
maison, eto. — mdior, le souverain. — provei-
toso. V. Dominio util. Lugar de —, terre sek
gneuriale. —s, pl. domaines, lerres seigneu-
riales.
Senhuonita, s. f. dim. de Senhora. Petite
dame; mademeiselle,
SENHoRIiTo,, s.m. dim. de Senkor. Petit sei-
gneur ; jeune homme noble.
SENHORIZÄR, dv. a. rendre quelqu’un sel-
gneur.
* Stwuos. V. Sundos.
SeniL ‚adj. 2 gen. senil, e: qui spparlient &
la vielllesse ow aux vieillards.
SentLiDäne, 3. f. vieillesse.
* S£nıo, s. m. " vieillesse.
* Sznıön. V. Senhör.
Senior , adj. 2 gen. (mot lat.) plus vieox,
plus ancien.
Senne, s.m.(t. de Bol.) sen# : planie rosa-
cee , mödicinale.
Stno,s.m.(#. de matk.) sinus : perpendi-
culaire abaissee de l’extremite d’un arc sur le
rayon. (tl. de chir.) —, cavile, espece de poche
pleine de pus, dans une plaie.
* SERöGA. V. Synagoge.
* Stnos. V. Sendos.
Senöura. V. Cinoura.
* Senra.V. Sedra.
Seuraziö. V. Semrazdo.
° Senrkına. V. Inimizade , Anlipathia.
SensasoR, etc. V. Semsabor, etc.
SEnsAGAd, #. f. sensalion : impression que
Päme recoit des objets par ler sous ; sentiment.
SENSÄTAMENTE, adv. senseinent.
Sensito , A, adj. sense: qui a Ju bon sena,
de la raison,, du jugement; conlorme & la rai-
son , au bon sens,
SENSIBILIDÄDE,, 3. f. sensibilile : qualiic par
laquelle un sujer esı accossible aux unprea-
sions des objets; oapacit£ passive, aplitade &
sentir ; qualits de ce qui est sensible, dou& de
senliment ; tendresse ; ressentiment.
SENSIENTE, adj. 2 gen. sonsilif, qui sent.
p. a. de Senlir.
Sensiricär , v. a. rendre libre, rendre la sen-
sibilite (aux nerfs),
Sensitiva, s. f. (4. de bot.) sensilive : herbe
mimeuse, plante qui replie ses feuilles lors-
qu’on les touche, plus sujetls que toutes A la
mulalion.
Sensitivo, A, adj. sensitif : quiaa la facultd
de senlir. Qui apparlient aux sens. (Qui Cause
du ressentiment, mortifiant.
SEnsiVEL,0dj. 2 gen. sensible: qui a du sen-
timent, qui a le sentiment de...; qui regoit fa-
eilement les impressions des objeis; qui est
aisement touch, &mu ‚irritö; humain, tendre,
compatissant. —, quitombe sous les sens, se
fait senlir, apercevoir aisement. Touchant, qui
touche le caur, delicat, tendre. — , doulau-
reux ‚ fächeux. Midi —, mortiliant, qui cause
du chagrin.
SENSIVELMENTE, adv. sensiblement : d’une
maniere sensible ou qui aflecte le cur.
Stuso, s. m. bon sens, jugemen!. — coM-
um, sens Commun.
BENSsÖRIO, A, adj. du sensorium. Orgäos —s,
organes de la sensibilile.
Bansönıo 0% BENSÖRIO COMMUM , 4. M. SENBO-
rium : parlio du cerveau re&puise le siege de
P4me ; organe de la sensibilite.
Sensuir , adj. 2 gen. Co mot, le möme, dans
son acceplion rigoureuse, que Sensifivo „ si-
gnifle plus commun&ment sensuel, voluplueuz,
altach6 aux plaisirs des sens. Luxurieux, sen-
suel, lubrique, impudique.
SunsuaLıväne,, 8. f. sensualils ; altachement
aux plaisirs des sens; lubricits, lascivite.
+ SENSUALIZÄR, 9. 8. Fondre sensuel ; exciler
la sensualite.
BEnsuaLußute,, adv. sensuellement : d’une
maniero sensuelle.
"Santa. V. Pinte,
Santär, etc. V. Assentar.
BentzaL, oto. V. Conssal, etc.
Sextänca,s. f. sentence : jugement rondu
dens un proo&s; decision des juges, d’un ar-
bitre; arröt, decret, jagement; jugement de
Dieu contre les p6cheurs; dit memorabie; apo-
phihegme; maxime, pensee oourte qui a un
grund sens, une belle moralite. *Sentiment, avis,
opinion. — nulls, illegitima, mal juge. Tantas
eaberas, lanlas —s, autant d’hommes, autant
d’avis differents.
Sentzucıino, A, 9. p. de Sentenslar. adj.
Centre qui on a rendu une sentenoe, oondamne. | £
—d4morie, condamnd & mort.
SENTENCIADOR , A, adj. qui juge, qui rend !
une sentence, qui condamne, ole.
Bentencıin (@), o. a. sentencier : condamner -
par sentence & une peine affliclive. Juger, ren-
dre une sentence contre quelqu’un. Prononcer
wme senienos, juger en matidre civile. (Ag.) ;
SEN
Deeider, danner son avis dans une dispuis. (id.)
Juger, decider. — a gales, a degrede,, d worte,
eic., condamner aux galöres, a la depertalien,
ä mort, elc.
SENTENCIÖSANENTE,, ade. sonlencieusement,
d’une manidre senlencieuse,
SENTENCIÖSO, 4, adj. seniencieuz : qui cem-
tient des maxzimes; qui parie par maximes.
SEnTipauänıs, sdo. dolemment, d’ane ma-
niere dolente. Sensiblement, d’une manites
sensible.
Sentipissıno, A, adj. sup. de
Szntioo, a, p. 9. de Sontir. edj. Qui ren-
fermeo ou exprime un senliment. Sonsibie,, sus-
ceplible, qui s’oßense de tout, eic. Passionne,
rempli de passion, de tendresse, touche. Me-
content, qui n’est pas satisfait. Conirit, triste,
afflige, chagrin. Fendu, ouvert, f2l&, söpare.
Gäws, qui commence A sentir fort. Der-es por
—, tömoigner son ressentiment!. Cara —e,
viande qui commence & sentir fort. Mulher
—s, (fig.) femme dent la condsite est deu-
leuse, qui penche vers la prostitatien.
SanTipo, 8.m. 50D8 : organe par legquel Päme
regoit les impressions des objels exterieurs;
appetit concupiscible. —, jugementi, raison,
bon sens. — signilicetion d’un mot, d’un dis
cours, eto.; esprit, diverses inlerpreistions
qu’on peut donner & une proposition, ete.:
pensse. Soin, attention, garde. (an5.) V. Sen-
timenio, Mdgen. — commum, sens Commıan,
bon sens. — ‚ confrario,, contre-sens. — eqw-
0060 , mot & double sens, & double entente. %
— rigoreso ou restricto, dans le sens &treil.
Forgar, inverter 0 — d’uma lei, d’uma peis-
ora, etic., detourner le sens d’une lol, d’une
parole, eic. Tome —, laites attenlion , prene:
garde. Com lodos 08 seus einco —s, ( ig.) avec
müre deliberalion , aveo toute laltention con-
venable. Perder os —s, car sem —s, perdre
connaissance,
Senrino! intery. garde ä vous! gare!
SEntiänte. V. Sensionte.
SentiLuo. V. Cintilko.
SENTIMENTÄL, adf. 2 gen. senlimental : quia
le sentiment poor prineipe ow pour objet; oa il
entre beaucoup de sentiment.
SENTIMENTO, 8. m. sentinient : perception que
l’Ame a des objets par les sens; capacits, apti-
tude & recevoir les impressions, faculte de sen-
tir; sensibilitd physique os morale; pensce;
impression regue sur l’Ame; sensibilils; affec-
tion, passion, mouvrement de Fäme. Doulear,
aflliction, chagrin. Avis, sentiment, opinion.
Ressentiment, sujet de plainte. “Fente, crevasse
dans un mur, etc., qui le fait menacer raine.
menor 0 — de quem se vai do que o de quem
fica, on est moins fäch& lorsqu’on part que
lorsqu’on volt partir.
SEentina, s. f. sentine: partie basse d'un ns-
vire oü s'arretent les ordures. (Ag.) Cloaque,
endroit rempli d’infection, d’immondices. {a2}
Endroit oü se commelient toules sortes de eri-
mes, etc. : senline de tous vices,
BEP
Sanrınluna, s. f. sentinelle : soldat qui fait
le guet , la fonction qu’il remplit; Tactionnaire.
Personne yui gueite, qui epie, qui observe, —
perdida, sentinelle perdue. Astar de —, fazer
‚etre en laclion, fairo faclion. — de ca-
vallo , vedelte.
SENTIR , s. m. seutiment ; faculiö, action de
sentir. Denlimnent, avis, opinion.
SENTIiR, ©. @. ei m. senlir : recevoir par les
sens u1e Impression sur l’äme; avoir l’Ameo
smuo,lec@urWouche ; ressenlir, goüler, &prou-
ver; 64 8 pendtr6 d'un senliment, d’une verit6,
d’unge sensalion, d’une Impression; souflrir
quelqus douleur, &prouver queique besoin;
eonnaltre, s’apercevoir que; ouir, enlendre;
penser, juger, eire d’avis; prevoir; ressenlir.
Eire fäch6 ,avoirdu regreide. — deniro d’alma,
de morte, senlir vivement, &tre sensiblement
afflige. Sinto mwilo, je suis bien fäche. Sinto
muilo isso, jen suis bien fäche. Sinto muilo
selo offendido,, j'ai un grand regret de l’avoir
olfense. Como 0 sinio, vraiment, comme je la
nse.
Sentia-se (de), v. r. 88 ressenlir, se piquer
de. Se sentlir, connaltra l’&tat ou l’on est, ses
wslents, ses forces, 585 ressources. Se sentir
obha6 & quelque chose. Se fendre, se fäler,
s’ouvrir, menacer ruine. impers. Se faire sen-
tir, so faire entendre. Sem se —, sans s’aper-
cevolr, sans connaissance, sans allenlion ; sans
bruit,ä la sourdine. Ndo me sinio com animo
de, com forpas para..., jo ne me sens pas l6
courage, la force de... Sentinse um grande
iremör, um grande rwido, un grand Iremble-
ment de terre s’est fait sonlir, un grand bruit
s’est fait entendre.
Senziäua, s. f. (t. da Bresil) logement des
esclaves nögres ; obaumiöre,
S2o. V. Sem et Seie.
Seranachö, s. /. s6paration : action de söpa-
rer ow de se söparer;; ses elfets; chose s6par6e ;
divorce; abandon de sommunion ; chose, cloi-
son, eto., qui separe. Disjanotion, segrögation,
sloignement; &cartemeni. —, adieu, conge.
SEPARADAMENTE , ade. söpar6ment, A part.
°+Separänas, 8. f. pl. pensions accord6es
par Alphonse V de Portugal.
Serankno, A, P. P- de Separar et adj. Ser
— duma [role ou d’wn navia, (1. de mer.) &tre
efllots ow ecarı6 d’un valsseau avec qui Von
allait de oompagnie.
++ SEPARADOR , . m. oolui qui söpare.
Serania (de), v. e. s6parer : d6sunir les par-
ties jointes d’un tout ow 06 qui elait uni; faire
‚SEP 1083
Seranativo,A, adj. quisspare, quiala fa-
cult& de s&parer.
SEPARATÖRIO, 5. m. separatoire : vase de chi-
mie pour faire une separalion.
SeranävgL, adj. 2 gen. separable: qui peut
ötre separd ow desunl.
Skro. V. Cepo.
*+Sgrosıchö, 5. f. priöre, instance pour ob
tenir quelyue chose.
Serrsusno. V. Setembro.
+ SepreurLuo, A, adj. (podl.) qui coule par
sep canaur.
BPTEMPLICR, adj. 2 gen. qui a sept doubles.
SEPTEMVIRAL, adj. 2 gen. qui Concerne 163
septemvirs.
SEPTENVIRÄTO, 5. m. septemvirat, dignilö de
septemvir.
SEPTEMVIROS, 8. m. pl. septemvirs : sep! ma-
gistrats (A Rome) qui conduisaient les colonies
et distribuaient les terres.
Serrenipas, adj. f. pl. (8. de bot.) Folhas
—as, feuilles digiises A sept folioles.
SEptenÄL, ad, 2 gen. septennal : qui arrive
tous les sept ans.
4 Iepremärıo, s. m. nombre sSeptensire,
nombre de sept. Espace de sept jours: il se dit
de certains exercices de dövolion qui dureni ce
temps-lä. Septenaire : espace de sept ans de la
vie de !’homme.
SEPTENÄRIO, A, adj. de sept, qui a 0% Con-
dient sept.
+ SEPTENIO, 8. m. Espace de sept ans, seple-
naire.
Serrextnıiö, s. m. septentrion, nord, p4le
arctique. Nord, vent du nord.
SBPTENTRIONÄL, adj. 2 gen. sepientrional:
du cö1s du septentrion; qui vient du Nord.
Serrico, a, adj. (l. de mdd.) septique: qui
fait pourrir les chairs,
+ Ssrricönpe, adj. qui a sept cordes (Iyre).
+ SEPTiFÖRME , adj. 2 gen. qui est de sept fa-
sons.
Strriuo. V. Sdlimo.
+ Szrrisono, A, adj. qui a sept suns.
SzrtTiVoco, A, adj. qui a sept voiz.
Serro, 5. m. (1. d’anat.) septum, cloison , a6
paration. — fransvudrso. V, Diaphragma.
Serrao. V. Scepiro,
SEPTUACERÄRIO, A, adj. Sopluagänaise : Age
de 70 ans.
Sgrruasgsiua ,s. f. Septuagösime : lroisienie
dimanche avant le car&me,
SErTUAGBsıNd,, A, adj. soixanie-dixieme.
SEPTÖPLICAR,, ©. 8. septupler ; repster sapt
que des dtres ne soient. plus ensemble; &loi- | fols.
gner; disiinguer, ranger, diviser, partager;
mettre ä part, ohoisir, Boarter. Rotrancher. —
o bom de mdo, söparer la ben d’avec lo mau-
vais. — o meridode mulkor,söparer un mari et
une femme, söparer le mari d’avos sa femme:
empe6cher leur oobabitatien,
Serarin-se, 9.7. V. Dieidir-se, Apartar-se.
Se Jötacher, s’dloigner de, renonoer &, FomMpre
aveo, so quiiier, 30 söpareR, prendre vongb.
BErTurLO, A, adj. ot 5. m. sepluple : sopt feis
autant.
SrruLcaiL, adj. 2 gen. sepuloral: qui eon-
oerno les söpulores. Vox —, voix söpulerale,
sourde, qui semble sortir du tombean. Louss
. tombe.
SerdLcano, 3. m. söpulcre, tombeau, seöpul-
ture; monument pour deposer, oü est d&poss
un mert. O sanfte —, söpulcre, tombeau: espece
1084 SEQ
de chässe oü l’on enferme lo Saint-Sacrement
le Jeudi-Saint.
SEPULTÄDO, A, P. P. de Sepullar.
+ SEPULTÄNTES, s. m. pl. (t. d’hist. nat.)
* porte-moris, col&opteres. V. Nicrophoro.
SEPULTÄR, v. a. enterrer, inhuiner, donner la
sepulture. ( Ag.) Ensevelir dans l’oubli.
SEPULTÄR-SE, dv. r. s’enserelir. — em vida,
s’ensevelir tout vil.
SEPÜLTO,p. pP. irr. de Sepaltar.
SEPULTÜRA, 8. f. sepulture: lieu od I’on en-
terre un mort; l’inhumation ; tombeau ; fosse.
Der — a um morto, inhumer, enterrer un
mort. Ir para a —, descendre au tombeau. Ca-
var a sus —, creuser soi-m&me sa fosse. Zevar
4 — ,(ig.) mener au tombeau, causer la mort.
SEPULTUNEIRO, 8. m. fossoycur. V. Coveiro.
SEQUÄCE ou sectateur, partisan
Srquiz, adj. 2 gen. d’une doctrine, etc.
Segoukıro, 5. m. terrain sec, aride; terrain
non arrose.
SEQUELA ‚s. f. suite, consequence, induction,
resultat. L’action de suivre un parti, une Opi-
nion ; sequelle. Suite. V. Sequito.
SeQuencıa,, 5. f. sequence, prose qui se dit &
la messe. —, suite de cartes de meöme couleur
“(aujeu).
Sequtnte. V. Segwinte.
Sequ£r, adv. au moins, du moins. Nem —,
pas möme, pas seulement. Nem — um s6, pas
meme un sul. Nem — teve tempo de..., ilwa
pas eu seulement le temps de...
SEQUESTRAGÄD, 8. f. söquestration : action de
söquestrer, V. Sequesiro.
SEQUESTRÄDO, A, pP. p. de
SEQUESTRÄR, ©. a. sequestrer : melire en
main tierce. Saisir. ( fg.) Priver de Pusage ‚des
fscultes, etc.
SEQUESTRO, 3. m. *a&questration ‚ söquestre :
depöt en main tierce d’une chose contestee.
Böquestre : le döpositaire du sequestre. *Saisie.
(Ag.) * Separation, &loignement. Faser —,
meltre en söquestre , söquestrer; saisir.
Szourine, s. f. V. Secure et Sequidäo.
Szqauıni6, s. f. secheresse : dtat, qualit& de
06 qui est seo. V. Secca. ( Ag.) —, froideur, ru-
desse de caraotere, durei®, brusquerie, ru-
desse. (id.) Secheresse de style, manque d’elo-
quenoe, de fecondits. — d’espirito, s6cheresse :
etat de l’Ame refroidie qui ne trouve plus de
oonsolation dans les exerceices pieux. Com —,
malgracieusement.
+} SzaviLuos, s.m. pl. massepains, Craque-
lins, gimblettes, etc.
SEQUIM , s. m. sequin : monnaie d’or de difße-
rents Etats italiens (environ 12 fr.) et du Levant
(de 749 fr.), etc.
SEQUINROSO, A , adj. Sec, aride.
SEQUIÖBANENTE, adv. avec srl; (Ng.) avec
ardeur.
Sgquiöso, A, adj. altöre; sec, aride. V. Se-
denio.
SEQtissimQ, A, adj. sup. de Secco,
SAquıto, s. m» "suile, coflegı. l.onanges,
SER
applaudissemenis pablics, approbstion unire-
selle, renommee, vogue.
Ser, s.m. @tre: essence d’wme chese; larız
lite, Vexistence actuelle; ce qui est: ch,
personne. V. Ente. En —, en natare, en espkee,
en entier, inlact. Voltar ou resfituir as cum
a0 seu — ‚ remettre la chose en Son entier.
Str, v.». @tre, exister, subsister de teilen
telle maniere, avec telles owtelles qualites; >
partenir; arriver, se passer de telle manike:
tirer son origine, @tre natif de; &tre d’unep=
fession,, d’un conseil, ete., exercer un emp:
ötre tel, avoir telle proprietie; ©tre ainsi, %
telle manidre. Assister, @ire present. — de
guem, tire du parii de quelqu’un. Fir «-,
devenir. A — assim, cela diant. A — ars, a
c’esı vrai. A ndo — que, si 08 n’est que. Tiais
de— , cela ne pourai manquer d’arrne.—ı
gosto de lodos,, &ire au goßt de tout je merde
Como quer queseja ou Seja 0 que for, quasi gt
en soil. Saja qual for vossa intenpäo. gueia
que soit votre intention. Seja ou mde sejs, gen
qu’il en soit. Sendo Deos servide, s’il piRi
Dieu. Ainda que fosse, füt-ce. Quandı as
fosse sendo..., ne [ül-ce que... Quande un»
sim fosse ou dado que assim fesse, pen qu
cela füt. Diz-se muilo meis do que 4, onmä
beaucoup plus qu’il n’yen.a. Zsio e, can
dire. Era d’uma vez,(pop.) il y avait autreisa
Commencoment oblige de tous les rocks &
bonne femme. Sow eu, d elle, ete. Cosi ma,
c'est lui, eit. Sdo os rieos, säo os gramdes, #.
ce sont les riches, ce sont les grands, etw. %
eu [öra fwlano, si j'&tais & la pl dam
Näo d cerloP ndo d evidente...? n’estil pas cn
tain? n’est-il pas evident...?2 Qwe serö...! zu
sera-ce!...
Senacorzar. V. Seracofeer.
SzrarıM, eic. V. Serapkim , oc.
Serarina, s. f. &tolfe de laine ass w=-
blable & la ratine.
Serauico. V. Saramago.
SERAMPELO. V. Sarampo.
Seramüco. V. Si
Ssaiö, s.m. "veillee, travail d’sme vesie
* Boiree. V. Sardo.
+ Searärırn, s. f. (1. de bot.) V. Weioberiake.
7 SerärBicä, s. f. nom d’une fleer.
+ SERÄPHICAMENTE , adv. & maniere dis =-
raphins.
SERÄPHICO, A, 6dj. seraphique : qui app#-
tient aux seraphins, qui leur ressemshle; »p-
theie donnee A Saint-Prancois d’Assise et i se
ordre.
SErarHis, 3.m. söraphin : celesee de
la premiere hiörarchie. (Ag.) Persenne d ws
beauts, d’un caraotöre angeligue. (sd.) Hamm
enflamme de Pamour de Die. Serapkins, F
(1. de bot.) V. Amor perfeite.
SeaariLutına. V. Serapilkeira.
Serarino. V. Sagapeno.
GERASQUIER , 3. we. strasquier : gemesal keit.
SeniruLa. V. Serretule.
SERBUND, A, adj. ohtlain fomes.
SER
Szata ow Sungıa, s. f. Sirdne : monsire fa-
ıleux, moiti6 femme et moıti6 poisson ; (fig.)
mme trös-söduisante, dont la voix touche,
ndtre.
SeaeröLio. V. Cerofölko.
SERENÄDO, A, p. p. de Serenar. adj. Rendu,
venu serein, etc.; calme, tranquille. Expose
serein, rafraichi au serein.
JERENAMENTE, adv. avec serenite,
‚ubler ; paisiblement.
SERENÄR, ©. 6. rendre serein, rasserener.
1.) Exposer au serein, meltre (de Peau), ra-
ichir au serein. Apaiser, calmer: — 0 sem-
ınle, adoucir l’air du visage.
JERENÄR, 9. %. 56 rassurer, So meltre au
ku, devenir serein, en parlant da temps; se
Imer,devenir calme, en parlant de la mer.
JERENÄR-SE, 0.7. Se Fassurer, se calmer, 8’a-
ueir, se remettre de son trouble. Se calmer,
paiser.
IERENÄTA, 8. f. sörönade : concert que l’on
ıne la nuit, dans la rue, sous des fene@tres.
JERENIDÄDE „ sf. serenite : ötat de ce qui est
ein; trangusliiie, calme. — da eunscionche,
‚enite de eonscience. — danimo, sang-froid,
ssence d’esprit.
jJERENISSINO,, A, ad). sup. de Sorene. Sert-
sime : titre qu’on donne & oertains prinoes,
sans se
JERtNO, 8. m. sorein : vapeur humide, rosee
ttombe au ooucher du soleil. do —, adv. &
couvert, & la belle tolle.
jentno, A, adj. serein : beau, elair; doux
talme, en parlant de l’air. (4g.) Doux, calme,
nquille. Gola —s,, goulte sereine, amaurose.
23 —s , ( podt.) jours sereins.
IERGANTÄRA. V. Lagerliza,.
SEAGENTA , 3. f. servanie.
SEnckute. V. Sargents.
'Sercuß ınas, 3. f. pl. Usen grossier de laine
le lin.
IERGUILB A, 8. f. ancienne 6toffe de laine.
IERIANENTE, ade. sörieusement , d’une ma-
re grave et serieuse, Bans Fire, tout do bon.
Sisudamente.
r Serscäua, 5. f. " mets trös-exquis dans
ıde.
jERICO, A, adj. de solo, soyeuz.
an, s. f. serie, suite, encbalnement, or-
, liaison. — dos ü es,
"suite gönsalogigue des emmpereurs, etc.
JuRIBDÄDE, s. f. * serieux, gravite dans l’sir,
ns les manidres. "Air, ton, regard s6rieux,
&re. Sincotrits, franchise.
jgnire. V. Xerife.
'Senisa. V. Sesoge.
jznıLair, eis. V. Sarlikar, etc.
3ERINGA , 8. f. Seringue.
JERINGADA, 8. f. " jet de seringue.
JERINGÄR, ©. @. seringuer : pousser une li-
eur avoo la seringue.
JERINGATORIO, 8. m. "injection faite avec une
ringue®.
3ERIO, A, adj. aurieux, gravo ponc; stväre,
SER 1085
rude , sincerö, vrai ; important. Pör-se —,
p endre son serieur. Fallar — ‚ parier serieu-
sement o% sinctrement. Tomar em lom —,
prendre au serieux. s.m. V. Seriedade.
Seruiö, s. m. sermon, predication : discours
prononc& en ohaire. fg.) Remontrance Iongue
et ennuyeuse.
SERMÄOZINHO, 3. m. dim. de Sermdo.
SERMONÄRIO, 8. m. Sermonnaire : recueil de
sermons. '
" SERMONRTE. V. Salmonete.
SERMONTESIO, V. Serventesio.
"Stans, s. f. morceau de terre labourable.
TSerö, s. m. eımbarcation & rames dans
Finde.
SERÖDEO, A, adj. tardif, qui märit lard,
d’arriere-saison.
Serosinäde , 8. f. (l. de mdd.) serosilc : por-
tion aqueuse da sang, du lait, etc.
Sen6so, A, adj. seteux, aqueus, charge Je
serosites.
SERÖTINO, A , adj. du solr. 4. V. Serodio.
Senräö, s. m. (t. de bot.) serpolet, thyın sau-
vage : plante labide.
S£nrE,,s. f.* serpent. V. Serpenle.— do ar-
cabuz , do le, serpenlin,, piöce d’un an-
cien mousquet qui venait la möche. Z mais ve-
ho que « — ‚(phrase prov.) il est vieux comme
Herde. exirömement ancien. —s de crisial,
(podt.) eaux qui coulent en serpentant.
SEnrEiR, o. ®. serpenter : avoir une mar-
che, une direction , un Cours toriueux , comme
les serpenis.
SeareEsin, eic. V. Serpsar, elc.
f Senrantante, (8. de bot.) V. Replante.
SERrEnTÄö, 5. m. serpent : instrument de
musique en Berpent; celui qui en joue.
SERrPENTÄn. V
Suarantänıa, 8. f. (1. de dof.) * gouet ser-
pentaire, la grande ntaire : planie arolde.
— de Virginia, eristoloche serpentaire , vulg.
sorpentaire ou colavrine de Virginie.
SERPENTÄRIO, 6. m. ($. d’asir.) Berpentaire,
Ophiuchus:oonstellatiion N. de soizanie-qua-
torzo &toiles. — d’Afriea, (8. d’hist. nal.) mes-
sager, secrötaire : oiseau.
: SERPRnTE,s.f."serpent, replile. (Ag.) Femme
extremement laide, monsire, vipere. — in-
fernal , serpent, le demon sous la forme d’un
serpent.
SERPENTEAR. V. Serpear.
+ SERPENTICIDA , 8. 2 gen. lueur de serpenis.
T SERPENTICOLA , adj. ol 5. 2 gen. serpentli-
cole : adoralsur des serpenis.
+ Sgarantireno, A, adj. ( Pod.) qui produit
des serpents.
+ SEarENTIOERA, adj. 2 gen. engondre d’un
serpent
+ SeRPEATIGERO, A, adj. qui porie des ser-
penis.
Senrentina, 8. f. "chandelier ä trois bran-
ches. "Cierge A trois branches, en triangle,
qu’on allume lo samedi-saint. Serpentine , ha-
mac de coton & röscaux, palanyuin 3 zideaux
1084 SEQ
de chässe oü l’on enferme le Salnt-Sacrement
le Jeudi-Saint.
SEFULTÄDO, A, p. p. de Sepullar.
+ SeruLTÄnTEs, s. m. pl. (1. d’hist. nal.)
* porte-moris, col&opteres. V. Nicropkoro.
SeProLTÄR, v. a. enterrer, inhumer, donner la
sepulture. (fg.) Ensevelir dans l’oubli.
SEPULTÄR-SE, v. r. s’ensevelir. — em vida,
s’ensevelir tout vif.
SerÜLTo,p.p. irr. de Sepullar.
SeroLTüra, 8. f. sepulture: lieu oü l’on en-
terre un mort; l’inhumation ; tombeau ; fosse,
Dar — a um morto, inhumer, enterrer un
mort. Ir para a —, descendre au tombeau. C#-
var a sus —, creuser soi-m&öme sa fosse. Levar
4 — ,‚(g.) mener au tombeau, causer la mort.
SertLTuntıro, 8. m. fossoyeur. V. Coveiro.
SEQUÄCE ou sectateur, partisan
Sequiz, adj. 2 gen. d’une doctrine, etc.
Sequtino, 3. m. terrain sec, aride; terrain
non arrose.
SequtLa,s. f. suite, consequence, induction,
resultat. L’action de suivre un parti, une Opi-
nion ; sequelle. Suite. V. Seqwito.
Srqusncıa, 5. f. sequence, prose qui sedit ä
la messe. —, suite de cartes de me&me couleur
(au jeu),
Sequänte. V. Seguinte.
Sequ£r, adv. au moins, du moins. Nem —,
pas meme, pas seulement. Nom — um sö, pas
ıneme un sul. Nem — eve tempo de..., il n’a
pas eu seulement le temps de...
Szquestaacäl, 8. f. sequestration : action de
söquesirer. V. Sequesiro.
Sequsstnino, 4, p. p. de
Seoussträn, 9. a. sdquesirer : melire en
main tierce. Saisir. ( Ag.) Priver de Pusage , des
fecultss, etc.
SrQuEstao, 5. m. "s6questration ‚ s&questre :
d4pöL en main tierce d’une chose contestee.
Bequesire : je depositalre du sequestre. ° Saisie.
(Ag.) " Beparation, 6loignement. Faser —,
metise en s&quesire , söquestrer; saisir.
Szquraine, s. f. V. Secure ot Seqwid6o.
SzauıpA6, s. f. söcheresse : &tal, qualit£ de
ee qui est sec. V. Socca. ( Ag.) —, froideur, ru-
desse de caractöre, duret, brusquerie, ru-
desse. (id.) Secheresse de style, manque d’elo-
quenoe, de l&condils. — d’sspirito, secherease :
&tat de l’Ame refroidie qui ne Lrouve plus de
oonsolation dans les exorcices pieux. Com —,
malgracieusement.
+ SrquiLnos, s. m. pl. massepains, craque-
ins, gimbleties, etc.
SEQUIM , 5. m. sequin : monnaie d’or de difße-
sents Eisis italiens (environ 12 fr.) et Au Levant
(de 7&9 fr.), etc.
SzQuınnöso, A, adj. sec, arıde.
BEQUIÖSANENTE, adv. avec serl; ( Ag.) avec
ardeur.
Sequ6s0o, A, adj. altärk; sec, aride. V. Se-
SEQuissıma „A,ady. sup. de Secco.
Saguıro, s, m» "suile, coflegc. LOusnges,
SER
applaudissements pablics, approbation univer-
selle, renommee, vogue.
Ser, s.m. &tre : essence d’une chose; la rea-
lit, Vexistence actuelle; ce qui est; chos,
personne. V. Ente. Em —, en nalare, en espere,
en entier, intacı. Volter ou reskiuir as consm
a0 seu — ‚ remettre la chose en son entier.
S&r, v. ». @ire, exisier, subsister de telle on
telle maniere, avec telles owtelles qualites ;ap-
partenir; arriver, se passer de telle maniere;
tirer son origine, @tre natifde; &tre d’une pre-
fession,, d’un conseil, elc., exercer un emple;
ötre tel, avoir telle proprieie; @ire ainsi, de
telle manidre. Assister, @ire present. — dal
guem, eire du parti de quelqu’un. Vir —,
devenir. A — assim, cela dtanı. A — carte, ü
c’esı vrai. Ando — que, si co n’est que. Tiake
de—, cela ne pouvaiß manguer d’arriver. —a
gosto de lodos, &ire au goüt de tout le monde.
Como quer que seja ou Seja 0 que for, quoi quü
en soil. Seja qual for vosse intenpdo. quelle
que soit votre Intention. Seja ou ndo seja, quei
u’il en soit. Sendo Deos servido,, sil plaltä
jeu. Ainda que fosse, für-ce. Ousmndo nis
fosse sendo...,ne [üt-ce que... Quande isse a»
sim fosse ou dado que assim fosss, Pose qus
cela füt. Diz-se muilo mais do que 4, on en di
beaucoup plus qu'il n’yena. Jste 6, c’es-a
dire. Era d’umsvez,(pop.) ily avait autrefen
Commencement oblige de teus les recits de
bonne femme. Sow ew, d elle, ste. C'est mu,
c’est lui, eier. Säo os rieos, sdo os „ee,
ce sont les riches, ce sont les grands, etc. Se
eu [öra fulano, si j'&tais la place d’un tel
Näo d corto? ndo & evidense...? n’est-il pas cır-
tsin? n’est-il pas evident...? Owe serd...! gue
sera-ce!...
Seracorsan. V. Serasolser.
SErarım, etc. V. Serapkim , etc.
Serarina, 3. f. &toffe de laine assez sew-
blabie & la ratine.
Seaauico. V. Seramago.
SERANMPELO. V. Sarampo.
Saaınico. V. Seramugo.
Seriö,s.m. "veillee, travail d’ane rveiliee.
* Boirde. V. Sarde.
+ Sexirıa, s. f. (1. de bot.) V. Helsberiahe.
T Serirnica, s. f. nom d’une leur.
+ SERÄPRHICANENTE,, adv. A manitre des se-
raphins.
SERÄPHICO, A, adj. seraphigque : qui appar-
tient aux straphins, qui leur ressemble; ep«-
thöte donnde & Saint Francois d’Assise ei ä son
ordre.
Senaruis, s.m. söraphin : esprit cöleste de
la premiere hisrarchie. (Ag.) Personne d’uss
beauts, d’un caracidre angelique. (sd.) Home
enflammö de l’ameur de Dieu. Serepkins, Pl
(1. de bot.) V. Amor perfeite.
Seraarımtıaı. V. Serapulksirs,
Serarino. V. Sagapeno.
Sgnasguisa, 5. m. Btrasquier : gendral tart.
SsaituLa. V. Serratula.
SERBUNO, A, adj. ahutain Someb.
SER
Senka ou Sunzıa, s. f. Sirdne : monstre [a-
buleux, moitie femme et mo:ti6 poisson ; (lg.)
femme tr&s-s$duisante, dont la voix touche,
penetre,
Sereröuio. V. Corofölho.
SERENÄDO, A, p. p. de Serenar. adj. Rendu,
devenu serein, etc.; calme, tranquille. Expos6
au serein, rafratchi au serein.
SERENAMENTE, adv. avec serenite, sans se
troubler ; paisiblement.
SERENÄR, ©. a. rendre serein, rasseröner.
'fg.) Exposer au serein,, metire (de l’eau), ra-
'raichir au serein. Apaiser, calmer. — 0 sem-
blante, adoucir l’air du visage.
SERENAR, ©. ". 86 Tassurer, se meltre au
beau , devenir serein, en parlant du temps; se
calmer,devenir calme, en parlant de la mer.
SERENÄR-SE , U. 7. se Fassurer, se Calıner, 8’8-
doueir, se remettre de son trouble. Se calmer,
s’apaiser.
SERENÄTA, 8. f. sörönade : concert que l’on
donne la nuit, dans la rue, sous des fen#tres.
SERENIDÄDE,, 8. f. serenite : otat de co qui est
serein ; tranqulillite, calme. — da eonsciencta,
serenits de conscience. — d’animo , sang-[roid,
presence d’esprit.
SerENissımo, A, adj. sup. de Sereno. Sere-
nissime : titre qu’on donne & ceftains princes,
etc
SEr2nO, 3. m. serein : vapeur humide, rosee
qui tombe au ooucher du solell. 4o—, ade. &
decouvert,, & la belle &toile.
Sentuo, A, adj. serein : heau, clsir; doux
et calme, en parlant de l’air. (#g.) Doux, calme,
tranquille. Gols—e, goulte sereine, amaurose.
Dias —s , ( podi.) jours sereins.
Sencantänua. V. Lagarliza.
* BERGENTA , 5. [. servante.
“ Serngknte. V. Sargente.
+ Sencutıaas, s. f. pl. sen grossier de laine
et de lin.
SERGUILBA, 8. f. ancionne &toffe de laine.
SERIAMENTE,, adv. sörieusement , d’une ma-
niere grave et serieuse, sans rire, tout de bon.
V. Sisudamente.
+ Saxıciua, s. f. * mets trös-exquis dans
l’Inde.
Serico, A, adj. de sole, soyeux.
SERIE, 8. f. sörie, suite, enchalnement, Or-
dre, liaison. —g adores ,
etc. , suite gendalogique des empereurs, etc.
SerIEDÄDE, 5. f. * särleux, gravite dans air,
dans les maniöres. "Air, ton, regard sörieux,
sörere. Sinctrits, franchise.
Szuire. V. Kerife.
* Serica. V. Sesoga.
SenıLain, oie. V. Sarülkar, etc.
SERINGA, 8. f. seringue.
SErınGÄDa, 8. f. * Jet de soringue.
Senincik, vo. a. seringuer : pousser une li-
queur avec la seringue.
SERINGATÖRIO, 8. m. "injection faile avec une
seringue.
BERIO, 4, adj, serieux, geava pose; sövöre,
SER 1085
rude,, sincerö, vrai; important. Pör-se —,
p endre son serieux. Fallar — ‚ parlor serieu-
semient ow sincerement. Tomar em lom —
prendre au sörieux. s.m. V. Seriedade.
SERMÄO, s. m. sermon, predication : discourse
prononce en ohaire. Ag.) Remontrance longue
et ennuyeuse.
SERMÄDZINHO, 5. m. dim. de Sermdo.
SERMORÄRIO, 8. m. Sermonnajre : recueil d@
sermons.
* SERMONRTE. V. Salmonete.
SERNONTESIO. V. Serventesio.
“ Stana, 3. f. morceau deterre tabourablie.
tSerö, s. m. embarcation A rames dans
PInde.
SerODEO, A, adj. tardif, qui müril Lard,
d’arriere-saison.
SErOSIDÄDE , 8. f. (l. de med.) serosile : por-
tion aqueuse du sang, du lait, etc.
Sen6so, A, adj. seteux, aqueux, charge Jde
serosites.
SERÖTINO, A , adj. du solr. 6. V. Serodio.
Serriö, s. m. (1. de bot.) serpolet, thyım sau-
vage : plante labiede.
S£are,s. f." serpent. V. Serpente.— do ar-
cabug, do mosqueie, serpentin,, piece d’un an-
cien mousquet qui tenait la möche. E mais ve-
Iho quea—, ase pr09.) il est vieux comme
Herode, exir&emement ancien. —s de cristal,
(podt.) eaux qui coulent en serpentant.
SENPEÄR, 9. ®. serpenter : avoir une Mar-
che, une direction , un Cours tortueux , comme
les serpents.
Senrzsän, etc. V. Serpsar, etc.
+ SERPENTANTE, (8. de bol.) V. Reptante.
SERPENTÄÖ, 5. m. serpent : instrument de
musique en serpent; celui qui en joue.
Serpentän. V. Sorpear.
Surrantänıa, 8. f. (1. de Bot.) * gouel ser-
pentaire, la grande serpentaire : plante arolde.
— de Virgimia, aristoloche serpentaire , vulg.
serpentaire ou coluvrine de Virginie.
SERPERTÄRIO, 5. m. ($. d’asir.) Serpentaire,
Opbiuchus:constellation N. de soizante-qua-
torze &toiles. — d’Afriea, (4. d’hist. mas.) mes-
sager, secr&laire : olseau.
- BERPENTE,s.f."serpent, replile.(Ag.) Femme
extremement laide, monsire, vipere. — im
fernal, serpent, le demon sous la forme d’un
serpent.
SERPENTEAR. V. Serpear.
+ SER PENTICiDA, 8. 2 gen. tueur de Serpenis.
+SERPENTICOLA ‚adj. ei #. 2 gen. Serpenli-
cole : adaraleur des serpenis.
+ SERPRNTIFERO, A, adj. ( Podi.) qui produit
des serpenis.
+ SERPENTIGENA, adj. 2 gen. engendre d’un
serpont
T SERPENTIGERO, A, adj. qui porle dos ser-
penis,
SERPENTIinA, 8. f. “chandelier & trois bran-
ches. *Cierge & trois branches, en triangle,
qu’on allume le samedi-saint. Serpentine , ba-
mac de coton & rescaux, palanyuin 3 sideaux
1088 SET
Srsmerro, s. m. celui qui administre la divi-
sion territoriale appelde Sesmaria. V. co mot.
Sesuo,s. m. le sixieme. V. Sesma. La reu-
nion des endroits gouvernes par des Sesmeiros.
V. ce mot. it. V. Sesmarla.
SESUTIÄLTERA,, adj. 2 gem. sesquialtere. On
te dit du rapport ‚de deux nombres qui sont en-
ire eux comme 3 est ä 2.
S5sQuipEDÄL, adj. 2 gen. d’un pied et demi
de long.
Sessäö, s. f. session : seance d’un coneile,
ses decisions. (Ag) Conference, seance, as-
sembise pour decider quelque chose.
Sessin. V. Sassar.
* Sesseca,s. f. V. Socego.
*Sessecir, etc. V. Socegar, etc.
BESSENTA, adj. 2 gen. num. solxanie.
S£sso, 8. m. fondement, anus.
S£sta,s. f. sieste: temps de la plus grande
chaleur du jour, pendant lequel les Portugais
dorment; meridienne, sommeil apres le diner.
Dormir a — , faire la sieste, la meridienne.
Sestein,o. n.[aire la sieste, la meridienne;
passer le temps de la sieste quelque part. Il est
«uelquefois actif. Ex. : — o gado, mener lo be-
tall dans un lieu [rais et couvert pour y passer
la grande chaleur du Jour.
Sesteino, s. m. (1. de prov.) mesure de trois
ou quatre alquiers (en Portugal).
SESTERCIO,, 3. m. seslerce : monnaie ancienne
#’argent, & Rome.
h Sesto, 8. m. compas, corde, vare; Me-
sure.
Starno, 3. m. V. Sistro. «is. Caprice, fantal-
sie, tic, manie, vice.
Sestno, A, “dj. (p. ws.) V. Baquerde, Si-
nisiro.
Sesra6s0, A, ou }
Bestand, R ‚adj.
val). V Mankoso
SEsino, etc.V. "Sisädo, eic.
Sera ou Strra, s. f. Nöche, trait, arme de
jet. ( Ag.) Ce qui fait Impression sur l’esprit, le
caur: trait, aiguillon, eic. Flöche : constella-
ilon boreale. Aiguille de montre, de pendule.
diirar d — , tirer de l’arc.
+Serrtäczo, a, adj. (1. de bot.) V. Filiforme.
Stripı, s. f."coup, blessure de öche.
BkrTez ou Serre, adj. 2 . num. ei 8. m.
sept: nombre egal & 3 plus 4; le chiffre 7. — em
rama. (4. de bot.) V. Tormentilla. — de levar,
(8. de jew) sept et lo va : second paroli au pha-
raon, etc.
+ Serg-cisas, s. f. pl. bureaux pour la re-
ception de l’octroi, & Lisbonne.
SETECENTOS, AS, adj. pl. sept cenis.
SETRESTRRLLO,, 8. m. (4. pop.) V. Pleiades.
SETEIRA, 3. f. meurtriere : ouverture dans un
saur pour lirer & couvert. (fg.) Lucarne de pri-
son, elc.
+Serkıno, s. mw. dardeur:: soldat arme de
flöches,, archer ; celui qui tıre des öches.
BeraLani. V, Serspüheire,
mutin, revöche; fan-
tasque; viclaux (obe-
SEV
SETELEYÄR , 3. m. faire sopt et ie va:
päroli au pharaon,, etc.
SET£UERO, 5. m. septembre : mois d’au-
tomne, neuviöme de l’annee.
SETENBZINNO, A, adj. ets. enlani n6 & sept
mois; accouchement au bout de sept meis-
SET£MPLICE, eic. V. Seplempliee, etc.
Ser&no, A, adj. seplieme.
SETERTA, adj.2 gen. num. seplante, Soixanie-
dix. A versdo dos —, la version des Septante.
Serentaıäö, etc. V. Septeniride, ete.
+ Seria, s. f. salque : batiment de Iransport.
Canal de bois qui conduit l’eeun sur la reue de»
moulins & eau.
SeriäL, s.m. banc, etc
garni de soie. V. Sihial.
Srrireno.
SEriczno. } V. Sedelido.
Szrim, s. m. satin. Sorte de beis du Bresil.--
papel, "satindde : pelite stoffe mince, imitan!
le satin.
Serima, s. f. septiöme (en musique ei au pi-
quet).
SETINMO, 5. m. Soptiöme : parlie d’en tout di-
vise en sepl. —, A, adj. septitme : nombre or-
dinal aprös le sixiöme ; sept. Carlos, Pio, eic.,
— ‚Charles, Pie, etc. sept (VII). Em — luger,
septiönement,
Sernino, —6s0. V. Assetinade
+ Stro, s. m. sorte d’ötoßle.
Seröura, s. f. faucille.
Serra. V. Ceira.
"Seraina,s.fı * „aprice, fantaisie. V. Sestre
Strao. V.
+ SETrRÖössos, nn m. pl. (t. de mer.) cwe
d’affüt.
"Seruir. V. Setisl.
Serra, etc. V. Seis, ete.
BurCAGznÄnıo ,eie. v Sepfuagenaris, ex.
Seu, Sua, pron. posses. de ia troisicme per
sonne. Bien, sienne, leur; son, sa; voire, le
vötre; vous, Alui. De seu, adv. de soimndme,
de son propre mouvement. Tor de—,
en proprielsö; avoir de quei, @ire aise. Os 5,
s. m. pl. les siens, ses paronis, 505 amis, eic.
Sevantına. V. c
TADILRA, ‚s. f. poudre d’ellebore, V. Sere-
ilka
second
. (d’öglise) couvert,
SEYANDIIA, 85. f. insecle, ver, Vermissene.
(Ag.) Homme meprisable par sa figure , ses a-
tions, son eiat, canaille.
SEVANDUADO, A, P. P. de
SgvanpuÄR, v. a. trailer avec mepris.
SEVANDLIÄR-SE, v. r. sencanailler, se pr®
stituer, s’abaisser.
SgvanbiLna. V. Sevandyae.
Szväan. V. Cover.
Sive,s.f. V. Sdie et Seiva. s. we. Sorte de
jeu de des.
SEY&nAN£NTE, adv. sererement.
SEYERIDÄDE, 8. [. Sövörite, rigucer, rigidiid.
Gravils, serieuz , mine severe. Exaclitade, par
tioularit6, observalion rigide des leis, — ds
cooles ‚spreis de maurs,
SEX
BerEnissınd, A, adj. sup. de
Szv&no, A, adj. sevöre, rigourenz. Exaot,
ponctuel, rigide observateur des lois. Serieux,
grave, compos®.
Szviera,s. f. erasuts oxcessive , inhumanite.
(1. de pret.) Sevices : mauvais- trailement d’un
mari envers sa feınme.
SEVICIÄR, v. a. faire des sövices ; sevir, trai-
ter avec rigueur.
+ Sevinaa, s. f. (4. de geog.) Serille : ville
d’Andalousie, en Espagne.
+ SzvıLBäno , a,adj. et s. de Serville.
SEVIssıMO, A, adj. sup. de
Sdvo,a,ad. "oruel, inhumain ; [6roce.
Sevo, s. m. eio. V. Sebo, eic.
SEXAGENÄRIO, A, adj. sexag6naire : Ag6 de
soixanie 2n8.
Sexacksima, 6. f. sexagesime :
avant le dirnanche gras.
SExAcHsımO ,A,adj. soizanliöme,
+ SexinguLo, A, adj. (4. de geom.) hexa-
gene: qui a six angles.
SEXCENTESINO „ A, adj. six cenlidme.
SEX£LNNIO , 8. M. 68pace de Six ans.
SExHA, SExno. V. Sesma, etc.
Buxo , Ss. m. S6KO: : difference physique, con-
stitulive du mäle ou de la femelle. O — femr-
nino,, le beau sexe, le sexe, les femmes.
SEXQUIALTERA. v. Sesqwialiera.
Sexra,s. f. une des parties en lesquelles les
Romains et les juils divisaient le jour: elle
commengait & midi, et comprenait trois de nos
heures. Sezte: troisiöme des petites heures ca-
noniales. Seizieme : suite de six carles au pi-
quet. Sizte : intervalle de six notes dans l’or-
dre de la gamme.
SextÄnte,s. m. sextant : instrument d’as-
tronomie de 600.
BEXTÄARIO, 5. m. Böller : mesure qui dtait la
sixiöme partie du conge romain,
SEZXTAYADO, A, adj. (4. de geom.) hezagone :
Aa six angles et A six cÖtes.
SuxTkıao, s. m. la sixieme partie d’un muid.
Sexrt£acıo. V. Sestercio.
SextiL,adj. 2 gen. sextil (aspect, Opposi-
tion —e), distance de 60° entre deux astres.
SEXTILHA 04% * sizain : slance, Couplet
Sexrina,sf. ! de six vers.
SRxXTO, 5. m. sixiöme: portion d’une chose
divisse en six parties. —, es, adj. num. ord.
sixieme , hombre ordinal;; six. Alexandre,
Jodo —, "Alexandre, Jean, elc., six(Vl). —a
feira , vendredi. Em — Ingar, eixiömement,
SEXTOGENITO, A , adj. sixieme ne. Enfant n&
le sixiöme.
SsxTuuviräto,s. m. tribunal de six magis-
trats; charge de sextumvir.
SEXTÜNVIRO, s m. sextumvir, l’un des six
pretres d’Auguste.
SEXTÜPLICAR,, ©. a. sexlupler :
fois, multiplier par six.
SaxrurLo, s. m. sextuple. —
conlient six fois une quanlil£.
SRxUVÄL, adj. 2 gen. sexuel:
PORT.-IR.
dimanche
repeter six
„A, adj. qui
qui dent au
SIC 1089
dere, qui le earaoierise ; du sexe, de ohanııa
sexe; par sexe. Systema — de Linse, systäme
sexuel de Linne6e.
* Serauento. V. Funeral.
* Sgvar, etc. V. Seiar, Ciar, ete.
* Seravöaa. V. Ciavoge.
Sevria, V
Saro, 3 V. Sei...
Szziö, s. f. accks de flörre. V. Sande,
Sısıa. V. Sesie.
Sazıriö. V. Cizirdo.
Szzöss, s. f. pl. fövre intermiltente.
T Szzonitico, a, adj. od il y a des Advres
intermittientes.
Smuuınc. V. Chekim.
*Si,adv. V. Sim.
Si, pron. person. de la 3% personne, so, sol.
De per —,, stparöment, en parliculier, chagque
chose & part.
Si, s. m. si: note de musique; b4-fa-si.
T SuancouscH, 3. m. quadrupede de la gran-
deur du chat.
Sıar. V. Ciar.
SıÄrıca , to. V. Scialica, etc.
Sisa, s. [. söche, seiche : espdce de poisson
0% polype de mer qui donne un suc ou encre®
noire connue sous le nom de söpia.
SıpiLa,s. f. espece de palınier sauvage de
’Inde.
*Sırana. V.C
SıBÄär , 8. m. sorle d’embarcation d’Asie.
Sıparita , etc. V. Sybarita.
+ Sıagaıa ‚a. f. (t.de geog.)Siberie : immense
contree occupant toute l’Asie septentrionale.
SIBILÄNTE , adj. 2 gen. sillant. p. a. de
SırıLir, v0. 0. siffier, imiter lo sifflement du
serpent.
SıeiLO „3. m. sifllement, coup de silllet.
SıpyY'LLa, 3. f. sibylie, prophetesse.
SıBY'LLICO, A , oW sibyllin : de la sibylle
SIBYLLINO, A,adj. $ (livre); des sibylles
| (oracles, vers .
SısyLLista, s. m. libre sibyllin.
*Sica ,s. f." poignard, dague, stylet.
+ Sıcäusros,s. m. pl. Sicambres : peuples
de Westphalie.
Sıcinıa , etc. V. Sicilia, etc.
SıcaRıÄTO, 8. m. assassinat fait avec un poi-
gnard, etc. V. Sica.
Sıcär1o, 8. m. sicaire, Assassin.
SıciLiDE , adj. 2 gen. (1. de poet.) de Sicile.
+Sicera, s. f. toute boisson enivranle, ex-
cepte le vin; bidre.
Sıci.ıa,s. f. (t. de gdog.) Sicile : tle de la
Mediterranee,.
SıcıLıäno, A, adj. et s. Sicilien : dela Sicile.
+Sıcinno, A, adj. (poel.) des sicinnistes,
propre aux siciunistes qui dansaient aux fund-
railles, etc.
SicLo, s.m. sicle : poids et monnaie des Juifs.
SıcöMoRO. Y. Sycomoro.
+ Sıcorira, s. f. espece de bois du Bresil.
V. Sipipira.
SıcrÄno, A ,s. un tel, une telle. Quldam,
1080 SsiG
Sıosacıa, adf. m. Vagyumie » , arte d’am»
cion anguont.
Sın£ago,A, adj. sideral: qui sautesne les
astres et les dtoiles. Beillanı, resplendissant.
Anno —, enube sidärale, lemps de Venkärb
revolution de la lerre agieus du Jolekl.
+Sıpzaits, #. f. (t. de bot. } siderilis, esapae-
dine : plante.
Sipo, (supik du verks Ser) dih.
Sırönıa,s. f. (t. de Dior, ) Biden : ville de
a Phenicie.
* Sıapa. V. Bilde, Gadeire,
Srtıne. NV. Oibirä
Sıancıa,, eic. V. Sciencia, eto.
* Sıssrno. V. Sestro, Empuordo.
Sıräac. V. Peritoneo.
Sıriß. V. Sophte.
Bogas , etc. V. Olfes, ei8.
SıcäLno, s. m. (4. burl.) "bouchee,
Sıciuo. V. Algane.
FOrcinı,s. (6 d’kist. nal.) osrise ı Insecke
aquatique.
Sıcäaao, etc. V. Cigarro, ete.
Sıcı..äa, v. a. sigiier, booller. Dose les
scolles \
Sıoıuänıas, s. f. pl. deux jours de fütes
ajoules aux saturnales, & Rome, en faveur des
esolaves.
SıcıLıAra, adj. f. Terra —, terre sigillee.
SıciL1o, s. m m. (ant.)V. Bello, Sintid. Becret
qu’on garde. 0 — da eonfissdo, te sceay de la
oonfession.
BieLa, 8. f. abreviations, signes abreviatifs.
Siawi. V. Sina.
SıcnicoLv. V. Selto.
BIGNALÄR, lc. .) V. Assigna..., elc.
SIGNATÜRA , 686.
SIGNIPERO, A, .ü. gu porte un Signe, une
snarque diglinctive, e c. s. m. Enseighe, gui-
don, porte-eiendard (chez les Romains).
Sıcmricagi6, s. [. signifieetion : action de
signilier ; ce que gignifle une chose ; sens d’un
mol,
Sıcnırıckdo, A,P. p. de Stgnifser. s.m. *Si-
gnlfication, sens d’un mot; objel, chose signj-
e.
SicNHIFIcADOR, A , ddj. et 3. qui signille. 7. Si-
gnificalivo.
SIGRIFICÄNTB, adj. 2 gen. signiflant : qui si- |
gniße, qui ezprime beaueoup. p. @. Je
Sıchtrichr, ®. a. sigtilier, marquer le son$;
exprimer, vouloir dire ; &ire signe de quelque
ehose; denoter, marıuer quelque close; de-
clarer, faire connattro; nolifler. Que siqnifca
6830 ? qy’esit-ce? (jue Yeut dire cela? qu’est-ce
que cela signille 0% veut dire?
SICNIFIcATIVO, A, adj. signiflcatif: qui ex-
prime bien la pensee; qul contient un grand
sens; ezpressif, signifiaut, qui exprime beau-
coup.
Siaxo,s. m. (l. d’astr.) signe du zodiaque,
consiellation. ” Fortune, destineo, astre, sort
parliculier de l’hoıyıno, que l’astrologie fait
sependte Je l’Influencce des astres.—s, pl, tons
SIL
de la musique repragenids ner has supt FOR
zudses felires de Valphabel.
Siono-Baniö. V. Simde,
Becaiıma, 5. f. espbse ds esmeille, eistn.
T Sıczänga , s. fı (8. de ging.) Eiguamge : vuls
de la Vieille Castille,, en Espagnb.
’ Sıeußwen. V. Soquencie. '
Sıcuatıua. V. Segureika.
Sıloa. V. Glase.
SıLascıän, v. a. impeser gllenes,
StLäncıo, s. m. silenoe : valme, euanatien de
bruit; eat d’uno personne qui se alt, qui me
gexprion pas; (fig.) consation Eunsrastespen-
ance. Pör —, itmpeser silenes, Maine tmise,
ferner la beuelie.
+ SILENCIÖSANENTE, adv. en silenee.
SıLenciöso, A, adj. siteneleuf : qei gaude is
silence; quine dit mol; qui us yarle gudre; ia-
oiturne; qui us s'exprine nss. Oü ügue le s-
lence, paisibie.
rt SiL8no, s. m. sildne : gusdsupeäde de Cey-
lan. Paresseux Je Ceylan.—e, pl. sildues : nom
u’on donnalt aus satyres Inrsqu'ils dewemalest
jeux.
+ Sıueaı ,s. f. El. de g6og.) Bilesie : grande
prörince d’AHemagne.
SiLER, 5. m. osier, saufe-naitı , urbrissens.
_ monidno. V. Liyustico.
Stun, s. f.Sangle , ventriere: sancde «qui ser
ä keindre, serrer. Berie, suite. (am8.) V. Ca-
a,
Sıakd, m. aug. de Silke. Grande sangla.
6. Grande selle a dossier pqur les fernmes qei
möntent & cheval. (7. de foPt.) Bitlon , reempatts
e retsancheinenis. i
+ SıLnir, s. m. pierre taillde en carrd qui
ser d’assige aux aulres.
+ dırmir,o. a. sangler : etinäre, nerrer set
des sangles; auacher asar
SILHaRia, 2 !. batimen} , etz: ‚en pietre de
taille.
+Siuıca ow Sıulcız, $. f. silkke, Pune des
pretendues torres primilires, oxyde de sili-
cium.
+ SıLıciro ow SıLicıito, 4. m. siflicate : emn-
pose forme par la silice et ies vorge dits alcals,.
Sıricıo. V. Cilieio.
SıLıcıöso , A, adj. siliedtüx : de ia nature da
silex ; de ta si ce. Peodrg —a, silex, plesre ä
fasit.
SıLıcöso. V. Silietoso et Sufyuoso.
+ Sıricura , s. f. ( t. de pl.) silicale : wupten
de pericarpe, sillquo fort ceurte.
+ Sıuicunösas , 8 f. pl. (t. de bot.) siffeulee-
ses : premier ordre de la guinzieme elasse des
vfgelaux,
SıLıcoıöso , A , adj. (1. de bot.) silicnienz s
en silicule, qui a une silicule ( fruit).
SiLıncönno, A, adj. (f. P0p.) qui parie döe-
cement pour trompe Y
SıLiaua, s. cd. Pe bot.) sifigue : envelenpe
he. pericar de certzins fhults, compes®
deux panndanz ; BONSSe,
SIM
StLiquistne ou —TRo. V. Oldie.
SıLıquösas, s. f. pl. Lt. de Bot.j siingneuses:
second ordre de la quinziöme classe des veg6-
taux.
SıLıquöso, a, adj. (8. de bot.) siliqueux : en
silique (fruit). 1
t SıLisraıa, s. f. (8. de gdog.) Silistria ou Da-
restro : ville de Bulgarle. j
SiLLara, etc. V. Syllaba.
Sırice. V. Singradura.
SıLLocısuo, ete. V. Syllogismo, etc.
+ SiLpma, s. f.(l.d’hist. nat.) syIphe : insecte
col&optere. — sepelladora, le fossoyeur 0%
point de Hongrie. — verdadeira ou brogüe-
leira, le bouelier.—de qualro pontinhos, le
bouclier & quatre points. — Fisa, te bouclier
lisse,. — denegrida , le bouclier gonctue.
SiLva,s. f. (1. debof.) ronce ordinalre, ronce
des bois. — gdrga, ronce des haies, müre de
renard. — framboezeira, le framboisier. —
macha. V. Rosa de cdo. — d’agya, plante du
Bresil, esp&ce de sensilive. Amör.as de —, mir
res sauvages, müres de ronce. Silve : piece de
poesie composee dans un moment de fougue.
Collection de traitös sur divers sujets. * Cilice
de fl de fer. "Bois, foret. V. Selva, Mata.
SıLvivo, s. m. lieu couvert de buissons, de
ronces. Hallier, haies de rfonces. Petit bos-
quet.
SıLvino, s. m. (l. de myth.) silvain ow syl-
vain: genie des bois, dieu clampetre des f -
reis. ( ig.) Homme rustre, grossier.
Sı.vaö,s. m, V. Silva macha.
SıLvir,o.n. silier. On le dit du bruit algu
que fait le vent, etc.
SıLvartıco. V. Selvalico, Silcestre.
SıLveıra. V. Süra.
SILVESTAE ,adj.2 gen. sauvage: qui crolt na-
turellement, sans culture ; rustre, grossier,
rustique, cbampetre, inculle, sans art.
SiLvıa,s. f. V. Pintarrowo.
} Sırvicora , . 2 gen. qui habite les bois, les
fareıs.
SILYINBA, dim. de Silva.
SiLvo, 3. m. sifllement (des serpents, des
cien, eic.); brujt gigu qup fait le vent. V. 4s-
gu,
Sybsn A, ad). (podt.) qui giffle., is. Buis-
SONNEYX. y. Selcgo.
Sim, adv. gfirmal. oui, si. Dizer que —, dire
aui. a. m. Cansentement. Dar o —, donner son
consentoment.
Sina. V. Cime.
Sımanöna,s. f. (t. de bat.) " simaramla : Apr
bee d’Anıtsique & doasce mödioinale.
BisoeLe , elo. j
Bıeruia,, eis, | V. Sym..., etc.
Sisıa, 5. f. guenon. V. Bugio, Hono, Me-
carı,
Sıvuır. V. Simile.
SımıLir, adj. 2 gen. similaire, homagäne,
de ıueıne nalure.
’Sımıoio. V, Semelkange,
SIM 1091
Hmır, s.m."resscmblanoe, fapport. "Cern-
paraison , exemple.
SımıLninga. V. Semelkanga.
SımiLımo, a, @df. sup. tres-resstmbiant.
Sımiuıtüng, s. f. ressemblance. V. Some-
Ihanca.
SIMILITUDINÄRIANENTE, ade. par aimilitude,
SınrLitcpınÄrıo, A, adf. un’ peu Tessein-
blant.
T Siyıo, s. m. sınge mäle.
Sısiry,s. f. V. Hemate.
Simo. V. Cimo, Cume.
Sımonta. V. Escamonen.
Sımonia, s. f. simonle: vente des ehoses
saintes.
t Sısontacamtute, adv. en simonlaque,
avec simonie.
Sımoniaco, A, adj. simoniaque: od il y a de
la simonie. s. m. —, qui commet la sImonie.
Sınöxte, s. 9m. Tabaco —, tabac de la pre-
miere feuille.
Sımorricea, adj. f. Pedra—, pierre sem-
blabie au jais.
' Sısearaia, etc. V. Sympathia, etc.
SıurLacHeiniö,0na, 1% (f. bwri.\niais, be-
SINPLÄCNO, A, adj. net. V. Stmplorio.
Sinrıe. V. Simples.
SivPLES, adj. 2 gen. simple : non compose,
sans accessoires; l’oppos® de double, de com-
plique.—, qui n’est que Lelle ow telle chose,
n’a que telle qualit6, tel titre, telle fonction;
sansornement, sans parties; sars proporlionsz
sarıs deguisement, sans mallce; (Ag.) niais,
credule,, facile A trompez. Fade, insipide, sans
goöt. Simple. On le dit de l’offlcs le moins so-
lennel. Beneficio —, benefice simple, quf
n’exige pas räsidence, elc. — promessa, sIn-
ple promesse,, sans vau ni serment. — sacer-
dote, simple pretre, qui n’a point de beneflce,
gui n'est ni predicatenr, ni confesseur. Doagdo,
renuncia —, donation, renoncialion pare et
simple, sans condition, sans Festriction. Valo
—, vu simple.
SimrLgs,, s. m. simple : toute herbe ow plante
medicinale. #4. Cintre. V. Cambotfa.
SIMPLESMENTE, adv. simplament; tout bon-
nement.
SısaLtza, s. f. simplicitö, simpiesse. V.
Simplicidade.
Siuruices, adj. pl. de Simpley.
Sıupuicınäag, 8. f. Simplicit& : qualit& de ca
qui est simple; candeur, ingenuil6, nalvelö;
niaiserie, betise, nigauderie, platitude; fgei-
its A crolre, & se laisser Lronıper.
Sısruicissimo,, A,0dj. sup. de Simpiss. Bier
plieissime,, te&s-simple.
SımPLicista, adj. et 3. :ı. auteur qui trais
des simples, betaniste. Medico —, medeoin
qui guerit avec des simples.
+ Sıuruirıcacid, 8. f. simpliliestion : Pao»
tion et l’elfei de simplifier.
SIMPLIFICADO, A, A. P. de Simplifcar.
SIMPLIFICADOR , A, 8. celuiguj simplifle,
1092 SIN SIN
Smcit. V. Siaxel.
Sıncinos, s. m. pl. (t. de prov.) Klagons qui
pendent des gouttieres.
SINC£RAMENTE , adv. sincdrement!.
SıncErıdäne, &. f. sincerite „ franchise, can-
deur ; qualit6 de ce qui est sincäre ; ouverture
de cur.
SınceaissınO, A, adj. sup. d®
Sınc&ro, A, adj. sincöre, veritable; vrai,
franc ‚sans arlifice, sans deguisement, ingönt,
nalf.
Sinco, etc. V. Cinco, etc.
Sincora, etc. V. Syncopa, eic.
Sınnkno. V. Sondeiro.
NDERESIS.
Sımbicär, elc. | V. Synd..., eie.
Sinvo, (8. d’Asie) V. Bandarım.
Sınkıra , s. f. foınme de fondeur ow de som
neur de cloches.
Sınkıno, s. m. fondeur de cloches; sonneut
de cloches.
*Sınzstao. V. Sinistro , Esquerdo.
Sıntra, s. f. clocbette, clocheton, petit?
eloche.
Sın&te,s. m. cachet : pelit sceaa pour I
missives, son empreinle.
SınckL,3.m.ow ı couple d’animaut,attelagt
SınceLända,s.f. )de baufs. — de perdise,
une couple de perdrix.
SInGBLAMENTE, ade. nalvement, sincdt-
ment, avec candeur, ingenuite; simplement.
SıncuLkıra , s. [. sorte de flet de p£cheur.
SıncgLtino, s. m. laboureur qui n’a qe’ußt
couple de bauls ; laboureur & gages.
SıncEL£za, 5. f. sincerite, ingenuile, naive,
simplesse,, simplicite. Com —, natureliemeil,
d’une maniere franche, naive.
SınGeLissimo , A, adj. sup. de ,
SınctLo, a, adj. simple : qui n'est poißl
compos6, qui n’est pas double, qui est sans
melange: seul. Simple, ingenu , sincere, nal.
sans deguisement, sans malice. (f. dert. OR
le dit des pidces d’artillerie qui ont jasie [®
paisseur qu'il faut. A’s singelas, ado. seul, saB
compagnie. Ester — d’alguma couse, mangief
d’une chose, en avoir peu.
Sıncaanuna , s. f. (l. de mar.) cinglade: b*
min que fait un vaisseau en vingt-quaire heaft®.
SINGRÄNTE, adj. 2 gen. pret ä eingler. Fendet
sal —, vendre du sel mis & bord d’an narift:
tous les [rais de chargement compris.
Sıncnär, ©. n. (1. de mar.) cingler : vogt
& pleines voiles.
Sınsttän, adj. 2 gen. singulier : unigit,
partieulier, quı ne ressemble point & daulre;
rare, exiraordinaire, excellent, inoal, eirange-
—, Qui no margque qu’une personn®, uR®
en terme de grammaire. Balalka —,
singulier, d’bomme & homme. j
SıRCULARIDADE, 8. f. singularite : ce qül rend
une chose singuliöre; maniere extraordisaife
d’agir, de parler, de penser, eic-; bizarrefti
rareid.
SınouLanissımo, A, adj. sup. de Siugwlor:
SıurLiricir ,v. a. simplifier : rendre simple,
moins compos6.
SımrLissımo. V. Simplicissimo.
SımpLörıo, A,adj. niais, idiot, benet, ni-
gaud, badaud.
“Sıurass, etc. V. Simples, etc.
Sıuproma, ec. V.Symploma, etc.
Sınur, adv. lat. ensemble, avec, de compa-
ie.
SınuLacäd, s. f. simulation, deguisement.
SımuLAcao, s. m. simulacre : image, statue,
ıdole, representation d’une fausse divinils;
speotre , fanlöıne; (fig.) vaine representation.
SIMULÄDAMENTE, adv. avec feinte, deguise-
ment.
SınuLino,A,p- P. de Simuler. adj. Simule,
faux, feint, contrefait. Homem— ‚ homme cou-
vert.
SımuLapda, s. m. celui qui simule.
SısuLia, 0. a. simuler, feindre; fsire p=
rallre comme reel ce qui ne l’est pas.
+ Sımucanancıa, s. f. figure qui consiste &
empioyer des mots qui alent le möme son, la
meıne cadence, ec.
SIMULCADENTE , adj. gen. qui a la m&me son,
la meme cadence. V. Simulcadencia.
SIMÜULDESINENTE , 3. f. V. Simulcadencia.
SIMULTÄNEANMENTE , adv. Siniultanement.
SINULTANEIDÄDE, 3. f. simultaneits : exis-
tence dans le menıe temps.
SIMULTÄNKO, A, adj. simultand: qui se fait,
gai a lieu daus un meıne instant.
Sina,s.f.* sort, hasard, destin. /ant.) V.
Bandeira.
+ Sınasära, s. f. toile derue, qui n’a que sa
eouleur naturelle et n’a pas e16 lav6e.
Sınäpo, eic. V. Assignddo,, etc.
Sınacöca. V. Synagoga.
SınaL ou SıcnAaL, 3. m. signe, Mmarque, in-
dice; marque, lache sur la peau; deinonsira-
tion exierieure.— ‚geste, mouvement du Corps,
des membres ow des yeux pour averlir, etc.
*Mouche qu’on met au visage, etc. Signal : si-
gne reınaryuable et convenu pour averür, elc.
Indice, presage. Seing, signature, seing en
grand que les nolaires mettent au bas de leurs
acles; paraphe.° Trace, vestige. “ Arrhes. (ant.)
Y, Joia. — da erus, signe de la croix. — em
branco ‚ blanc-seing. Dar — em branco, donner
earte blanche. Dar — de si, se ımonirer; don-
ner signe de vie. Por —, ä telles enseignes.
des pi.) de sinos, glas. V. Döbre.
Sımatän, elc. V. Assignalar, elc.
SınaLkra. V. Synalepha.
* SINALPENDER, 3. M. ANCIENNE TNesure agraire
de 120 pieds carres.
SInaPisMo,s. m. sinapisıne : topique de graine
de moutarde.
Bınapızaa , ©. #. appliquer des sinapismes.
*Sımär. V. Balizar.
Sınca , eto. V. Cinca, elc.
SıncapiLna. V. Sancadilha.
SınckıräL.
Sinckıno. } V. Salgueir..
SIp
SımGuLARIZzÄnO, A, p.p. de
SınGuLanızär, dv. a. distinguer, particulari-
ser, faire plus d’attention, etc.
SINGULARIZÄR-SE, ©. 7. se singulariser, 86
distinguer du commun.
SINGULÄRMENTE, adv. singulierement, parti-
eulierement. Separöment, en particulier.
Smcörro. V. Soluco.
Sınırıcacäö, etc. V. Significagdo , etc.
SINISTRAMENTE , adv. sinistrement, d’une
manidre sinistre, defavorable; mal, mechaun-
ment; de travers.
Sımistein, v. ». (1. de comm.) &prouver un
sinistre, perir, en parlant d’une marchandise,
eic., assuree.
Sınisrro, A, adj. mechant, pervers, malin-
tentionne. Sinistre, malbeureux, funeste;; me-
ehant, pernieieux. (Ag.) Oblique, frauduleux,
suspect.
Sınistro, s.m. (fl. de comm.) sinistre : desas-
tre, perie causee par un naufrage, un in-
cendie.
Sino, s.m. V. Seio, Enseada. it. Signo. it.
(ant.) Sinal, Assignalura.
Sino, s. m." cloche : calotte profonde de m&-
tal avec un battant pour sonner. — de relogio,
timbre. — de vigia, tocsin.
SinösLe. V. Sinopie.
Sınöcha.
Sınono, ete. | V, Syno..., etc.
SINONINO.
Sınörgra ow SımöpLa, s. f. rubrique, craie
rouge.
Sınörız , 8. m. (t. de bias.) sınople, le
vert.
Sino-simiö, s. m. (corrompu de Signo ei
Saman, ti. arabe ), signe cöleste. V. Samdo.
Sınöına. V. Cenoira.
Sınquinno. V. Cinquinko.
Sıntacua. V. Syniagma.
Sinte. V. 4cinte.
SınT£L, s. m. simbleau : cordeau pour tracer
de grands arcs de cercle.
SINTILLAR, etc. V. Scintillar, etc.
SırrıneıLa. V. Sentinella.
SıntTöma , etc. V. Symploma, etc.
Sınuosınäng, s. f. sinuosite: elat, qualils,
detour d’ane chose sinueuse.
+ Sınuösas ou Sınuäpas, ady. f. pl. (t.de bot.)
Folhas — , feuilles sinuces ow sinuoldos.
Sınoöso, A, adj. sinueux, lorlueux.
Sınxö,s. m. (4. d’Asie) bois ires-inflarmmabie
dont on fait des torches, etc.
Sınz£L, s. m. ciselet, petit ciseau pour ci-
seler les metaux ; ciseau de sculpteur.
SINZELADO, A, ?. p. de Sinzelar.
+ SınzkLaDöR, s. m. ciseleur, ouvrier qui ci-
»ele.
Sınzzıin, v. 6. ciseler: faire des ornemenis
avec le ciselet sur un metal, elc.
+ Sıösa , s. f. gros poisson du Bresil.
Sirmäö, s. m. siphon : tuyau recourbe & deux
branches inegales , pour iransvaser les liquides
sans les agiler.
SiS 1093
SıpniLıs, s. f. (f. de mdd.) syphilis : maladie
venerienne, grosse värole.
SırHiLitico, A, adj. syphilitique : de la sy-
pbilis.
+ Sıeırina, s. f. bois du Bresil,, tr&s-dur.
Sırö, etc. V. Cipo, etc.
* Sıpnes, etc. V. Stimples.
+ Sıräce, s. f. huile de Jugeoline.
Sırinpa, etc. V. Ciranda.
SirE, 8. m. sire: tilre qu’on donne & un rei,
ä un empereur.
Sıntna. V. Sereia.
+ Sırenico, A, adj. (podt.) sirenien : des sie
renes; (fg.) qui charme comme elles (voix,
chant).
Sirca,s.f. (1. de mar.) "halsge : action de
tirer, de remorquer un bateau ; remorque,. °CA-
bleau, cordelle pour tirer les bateaux. Le-
ver d—.V. Sirgar. Trazer alguem d —, (ig-)
remorquer quelqu’un. Andar d — d’ouirem,
(id.) etre & la remorque d’un autre.
SırcÄr, v. a. 't.de mar.) haler ä la cordelle,
tirer un bateau, un vaisseau & la cordelle.
Pourvoir (un bateau) de cäbleaux, de cor-
delles.
Sıacınkıras. V. Cergideiras.
Sırcır, etc. V. Serzir, etc.
Sirco, s. m. (amt.) soie torse et l’6toffe qui
en est faile. Ver & soie.
SırcukiırO, 8. m. passementier.
+ Sıri, s. m. sorte de poisson & coquille du
Bresil.
+ Sıaınöa, s. f. (6. de bot.) espece de poivrier
(Piper siriboa).
Sırıckıa,, 3. f. Leite de —, aufs au lait.
+ Sınice, s.m. (1. d’hist. nal.) urocdre: in-
secte des pays froids qui a une corne & la
queue.
Sırıcärra, 8. f. petit oiseau grimpenur. (Ag.
Fille öveillee, petite femme ow fllle vive et
alerte.
Sıaıcußino. V. Sirgueiro.
Sırinca, eto. V. Seringa.
Sirıo,s.m.(#.d’asir.) Sirius : &toile, cons-
tellation du Grand-Chien. Fete patronale; pele-
rinage. V. Cirio.
+ Sırıdura, s. f. plante qui ressemble d Pa-
neth.
Sın6co, 6. m. siroo om Siroeo : nom qu’on
donne sur la Mediterrande au vent du sud-est.
SıroLico-TicO, 3. m, sorie de jeu d’onfants,
Sırro. V. Scirro.
Sırre. V. Syrtes.
Sırzino, s. m. petit oiseau de la grandeur du
canari, gris jaunätre.
Sırzin, etc. V. Serzir, elc.
Sisa ow Siza, s. f. taille, imposilion sur les
denröes, eic., accise, excise.
Sısino, A, 9. p. de Sisar. adj. Dont on a
pay& l!’imposition ; ımpose.
SısaLua, 8. f. (6. de balteur d’or) rognure;
eisailles , rognures de monnaie fabriquee.
»tsänıa. V. Zizania.
1094 sıT
Sısiö, s. m. olseau, espece de francolis de
couleur cendrde.
Sısas ou Sızaa,, 9. a. imposer, laxer. Perce-
voir la taille. ( Ag.) Ferrer la mule, faire dan-
ser l’anse du pani'er, en parlantı des cuisiniers,
eto., garder une partie de ce qu’on achete, le
compter plus qu’il ne coüts, etc. Rogner, ca-
cher, retenir.
Sisano ow Sısaniö, s. m. (1. de bot.) chervis
ou gyrole: plante potagere oleracee.
Sıssonno. V. Resdordo.
Sıstıno, 5. m. celui gai regoit !’impöt dit
Sisa. V. ce mot. Celui qui ferre souvent la mule.
V. Sisar.
SıscöLa,s. f. pidce du harnals du cheval.
Sısma, etc. V. Schisma ei Scisma, 6lc.
Siso,s. m. bon sens, raison, jugerhent, cer-
velle. V. Juizo, Descrigdo. De — , adv. serieu-
sementi. Dente do —, dent de sagesse. Vender
— 4 Caldo, .prov.) c’est gros Jean qui remontre
son cure.
*Sısoo. V. Siso.
Sısörıo, 8. m. De—, (burl.) judicieusement.
Sıstrama, eic. V. Sysiema, eic.
Sıstrkano, A, adj. qui tient ou porte un sis-
trc.
Sistao, 5. m. sistre : instrument de musique
des Egyptiens. Espsce de tambour de basque &
sonnailles de laiton.
Sısonamente, ade. prudemment, aveo rd-
Dexion;; sensement, sageinen!.
Sısuntza, #. f. circonspection, gravit, aa-
gesse , prudence.
Sıs6no, A, adj. sense, sage, prudent, Judi-
eieuz , circonspect,gravc. .
*Sıran. V. Situar, CGollocar.
SırıApo ‚p. p. de Silier.
+ Sırıanoa, s.m. celui qui sssiöge une place,
asgiegeant.
ITIÄL, 8. m. Siege, fauleull au-devant du-
quel est un prie-Dieu avec un coussin, ele,,
pour les princes, eto.; sitge des tois, priuces
et prelats dans les car&monies publiques. *Ten-
ture de chapelle,
+ Sırıinıe, adj. 2 gen. assiögeant, qui as-
siege. Os—, s.m. pl. les assiegeanis, los rom
qui assiegent, pn. a. de
ITIÄR , 9.4. assieger : meitre le siege devamı
une place, faire lo sioge d’une plase.
Sırısönno, A, adj. altöre,, qui A soil. V. Se
demio.
Sıriz. V. Setim (bois).
Sirio, s. m. lieu, place, endroi, espace
qu’occupe un corps. Einplacement, lieu, ter-
rain destine pour une chose. Situalion, as-
siette; site. Siege ow blocus d’uue place, d’une
ville. Maison de plaisance. O —, 18 local. — de
recreto, llea , maison de plaisarfee. No —, sur
la place.
Biro, Aa, al). site, sis. V. Situado.
+ Siro,s.m. V. Mofo, Bafo.
+ Sırra,s.f. (i. d’hist. nal.) sitelie ou sit-
telle , torchepot, olseam.
BıTvagäö,s. f. assietle, Ailunlien, position;
SOA
emplsoement. (fg.)Situalion ‚etal, dispositn
des aflaires.
Sıruino, A, adj. silu6, sis, assis. p- p. de
SıTrar, v. a. situer, placer, poser, assıtei,
&tablir, bätir. ,
Sıza, etc. V. Sisa, elc.
Sızınaö. V. Cizirdo.
+ Sur'ana, s. f. (i. de geog.) Snyrae vile
et porı W’Anateolie.
"Bo. V. Sol.
56 ou Sö pour Sexuon.
Sö, adj. 2 gen. scul : sans Compagnie; un
que, simple; prive de tout secours, de tu
appui, abandonne de tout le mende. Assecie.
desert. $6 por —, lele atete: seul ä seul Ai.
V, Sölas. Hem venhas, mel, se vons —, (prrt.'
un ınalheur ne vient jamais seal. Anlıs u
mal acompanhado , (id.) plutöt seul quien ner
vaise compagnie.
S6, ‚ade. seulement. Nüo s6.., sende, nr
seulemen!..., mais encore. Ndo — por iso, ct
n'est pas seulement pour cela. Sö elle era
pa= de fazer isso, il m’y a que luigei peund
ou püt faire cela. $ö por foms ow Irayiı u
podia lomer a praga, ce n’esi que par lame
ou par trahison que la pl&ce pouvail &ire prit
ou la place ne pouvait &ire prise que pa is
mine ou par trahison. —o referil-o va sur
horroriza ou faz horror ‚le seul recii lailber-
reur.
Boi ou SoAa , s. f. echinde de porc.
fr Sossain, 9. . enir’oavrir, onrrir un PR
Soagar. V. Soassar.
Soapa, #. f. "air d’une cbanson. (fg.) Br
meur, bruit qui court. V. Todda.
SoA00, a, p9.p. de Soar. adj. (Ag.) Temeu,
renemme, o8l&bre, dem on parle beautsk
Qui a fail du bruit, de !’delaı dans le pabiit-
t Soäcen. ($. de dot.) V. Viperine.
SoiLna, s. f- sonnaille: petite plague de +
tal attachee & un lambour de basque. Pir 1»
umacowss, (Ag.) divuiguer, publier un0 cheit,
faire parade, lirer vanite de.
SoaLnän,eic. V. Assoslhar, etc.
Soarntıra, 5. f. exposilon & un selei ir
dent. V. SoslAsiro.
SoaLntıno, s. m. lieu expoed au aeleil, „il
s..leil donne en plein. —, a, adj. azpont 00°
leil.
SoÄLBo,s. m. plancher, parquet.
Sointg,adj. 2 gen. eip. a. de Som. du
nant, qui sonne. Sonore.
SoAö,s. m. vent d’est, tnischand, it
commode. Siror.
"Soia,s. m. V. Solar.
SOÄR ‚©. ®. Sonner : rendre un son; I
ner, reientir. So divalguer, se r&paadre, OM-
rir, faire du bruit, en parlant d’une nourell.
Il ost quelgquslois actil, er signiße jener Frl
instrument. (Ag.) Chanter; annonoet. Tal
soava alvorops , tout annongait la r&jvwissnd®
— ben, aveir une belle voie, um beau Mi
agrter, plaite; cadrer, oonvonis. — mul, U?
dissonant , dur; deplaire ‚ #tre ‚ne
sQ3
pas Wagcorden, ne Bag gadrer; Eine mal son-
Soär-sE, 0. r. (p, u.) se publlet, se divul-
guer, se meltre au jour,
Böissäh, 6. . fölir legerernehl, r demi. y
SoB ep. sous, dessous, Har-dessous. V.
Detail cha £, / feine, 8ous peine de,
— tör, —preiezlo, sous couleuf, sous pretexte.
Sob entre dans la compasilion de plusieurs
ınots , et Souveiil, par eonthacliön,, comıne
ns hoabtir, Zöakbaf, eid. >.
Sgaäco ‚sm. " sisgelle ; croux Sous le bias,
on 55 jornt ä Pehadle,
* Sosaugän. V.Algar, Aclamat, ,. .
4 Sosahnzädände, s. m. söus-fefinier : Qui
tient ä sgus-Terine, u
SonAakk ktdinettd, 2. m. kouk-Terihe ; parlie
Wun bAit alferine a un Autre; sous-bail,
Sberukinnie, d. a. söüs-lermer :
au prendre & sous-farme.
üsciLco, V. Jocdlco,. lan
„rt"Sonchizi, 17 partie 1A plus basse d’ung
Mmohlägne, ,
ShstoLch Hi Schcon, adv. Ibus Coulcur, sous
prelexie, lem
Soscnestäg, eic, V. Se jüestrar, elc.
Sohrcınäö,elc. 2 Sobejilan. In
. SOREIRA, uf rangee de tuiles £Qus 1e$ goul-
tiere: W’un Toll. "
SOBEJÄDANRNTE. V. Sobejamenlie.
Sosgsäno,a,P.p.deSobjar.
SoBksau&iärte, Add. olire inesure, avec Pro
fugion, irop, exgessivemogl. oo.
oBrsäl, v. n. resier, &ure de resio; sura-
bonder, exccder, &ire de Lrop. (anl.) Sortir,
Avanicer au dehors. V. Subrar,
Sosesıdid, ». [. “exces, prolusion , surabon-
dance, superfluite. (g.) Excds, hardiesso, in-
solence, manque de modefalion dans les pre-
pos,6eic, un
SOBEJISSIMO , A, adj. & de on
SoBt3o, A, adj. etoessif, surabondans, Aui
est de trop. —a coanfianga, —45 Provas, IEop
de conflance , irop de preuves. , .
Son&so, a. m. sürplus , resie, restan). De =
de reste, d’abondant, de Irop, —s, Pl. Testes
des viandes qu’on a gervies, debris, £}c., der-
serte ; bribes, rebut. V. Sobra.
BOSENXTEnpER, eic, V. Subenlender.
SOBERÄNAMENTE , Gdv. souverainement, &U
saurgggin. .
Soserania, s. f. souverainsts, auteritd su
pröme; puiäsamee solivaraikie. (Ag.)Üzeniienoe,
superioritt. * Orguebil; beuteur, areganse.
Bunek antenne; 2 will. sup. 60 BROFERD.
BOBERANIZÄDO, A, 9. 9. @b
Sopenihrtin, da d. reitlire böitkfath. CRp.)
Exalter, vanter. Gon?erner en södteräitt.
Söonthanızik-st, 6. P. Ayir eh Souverain,
s’arroger la souvesaineit. Eire exali6, Etre
vente. . 1. rer B
SonzaÄno, A, 8. Souverain ; empercur, Fol.
Prince souverain, Peisonne en qui röside la
dönner
w C}
.
.
OR 1005
qeoveramek, 4 piien d’ez dans Vansietine
Flandre, en Angleterre.
Sorzaiuo, a ‚adj. souverain , indöpendant,
absolu ; supröme ; Irda-ozeallant ou. son genze,
‘4. Imperieux, fier, hautain ‚argueilldur.
Sostrea, s.f. "orguell, vanitd, vaimv gleire,
superbe. Prasomptien, estime autrke de woi-
meme, flertö, sußjsanoe. Magnifiendet, domp»
tuosil& excessive. Transpert da soldre, empor-
leroen!. 4bsier, quedrar 0 — ‚ubeisser ia Hu-
perbe. . f
Anserpäco, aug- de Soberbe, V. Siberbäo. ,
SOBERBAMENTE , adv. sapbrdefient, erguedi-
Iausement. . ME
Sopannäö, ua, ad; ot m au de Süberbe.
Trös-Ner, Irda-orgusilleus, .
SOBERARTE, adj. 2 gen, dim. de Suberdei Un
peu fer, eic.
SOREBBINgA ı dies. de Seberbm
SOBERBINBO ‚ ddm. de Sudirke.
GOBERBISHNO, A, adj. sup. de Suberbe.
fres-Aer, eio.
. SOBRRBO, A, wel/. Nupbrhe, orgueilleur, al-
Her, arrogant, pleis de Beorts; qui B’estime Inep,
presume trop de lui. (fig.) —, %rand, &lov6x
somptueux , magnifigue:
* SoBERBÖSAMSuTE. V. Soderbaments:
. SOBERaBGBQ, 4 ‚ads. V. Soberbe.
* SOBERNACAG. V. Subornapio.
SonnscaevEn,V. Sußsererer. .
Sosescaito. V. Subserito er Sobrsssrito:
_ $ausaerin, v. 0. (4. da mar.) wnes-irdier :
sous-louer le vaissenn qu'an ara Jows.
. BomaasıE, od. 2 gen. (f. de yına.) audinssdtıs
de grave.
Syaina ‚ein: Vı Sndide, kis.
" Somuexto, 0. m. ° banise; baussemenit
achon de monMt.
* SoBinTg. V. Ascondemie.
Sogir. V. Subir. _ .
Sossucär , elo, V. Sulfuger, alo-
ÜTSOBARVANTAR, ©. © 6lRYEr FRE Une aMiro
se. .. ..*
KosLEviR, oc. V. Smblevor, ee.
SOSLINBÄRO, A, P. de
SoBzınuin, ©. a. souligupr ı rei une Lgns
sous un ou plusieurg mein .
BonLocsgiö, e. f. sousincakien : aciien de
seus-lauer. ,
.SORLOCÄR, ©. &. BOUSFOHEN ; TOUR LAS paN-
tie de ia chose dejä tenue d layer. _
EnpLocaTÄnie, a mM. Snus-iecateize z qui
Bonp-Joue ‚prend £n Aays-laaalom:
SOBNERGRR,alc. V. Submerger, 2ie.
SosuxtrEa ‚ale. V. Submelter, eisı
Bosnzsar , at Vi Sonsyar, star
SOneLA, S0n016;, Were SEtb ix Score o,
sur la, surle.
Soporir. V. Sodtkl,
Sos0rmRıAno. V. Subbrdiiiud,
Sonönno, etc. V. Suborno, etc.
8080. V. Sobro.
SOBORRALBABOURD. V, Verredouro.
1096 SOB
SOBORRALEÄR, 9. e. meltse sous Ta vendre
ohaude.
Sosonniıno, s. m. la oendre chaude. Bolo
de — , gäteau cuit sous la cendre chaude.
Sons. V.P6, Raiz.
Sosrtna, adv. sous peine.
Sosroptr , adv. sous le pouvoir; sous. — de
Ponciv Pilsto, sous Ponce-Pilate.
So2qusıxano. V. Soqueizado.
+ Söpna,s. f." excös, superfluite, surabon-
dance. De —, surabondamment, de reste, plus
qu’ii ne faut. —, pl. reste de viandes qu’on a’
servios, eto. V. Sob4jo.
SoBRAGÄR, ©. a. prendre, emporter seus lo
bras. Donner, prendre le bras ä queiqu’un.
Sopnacin-SE, 0. r. aller vw marcher bras
dessus , bras dessous , se donner le bras.
SOBRADADO,, A, 9. p. de
SOBRADAR, ©. a. bälir une maison A un ow
plusieurs etages. V. Assobradar.
Soskino, s. m. plancher, parquet; diage
d’une maison.
Sosaäno, A, 9. p. de Sobrer. adj. Surabon-
dant,, superfla; qui en a de trop. Riche,, opu-
ent. V. Sobejo.
SosriL, s. m. " foret de lieges.
SoBaangania. V. Sobranceria.
SOBRANCEIRAMENTE, adv. par-dessus, au-
dessus, sur, dessus , dominant.
SOBRANCEIRO, A, adj. haut, eleve; qui do-
mine, öleve. (Ag.) Sourecilleux, hautain.
SOBRANCRLBA , 3. f. “sourcil: poils au bord
du front etau-dessus de l’ail.
Sonnanczria , 5. f. "affront, bravade; air
hautain, flerte.
SOBRÄR, dv. ». Burpasser, excöder. Avoir au
delä de oe qu’il faut. Eıre de Irop; rester. V.
Sobejar. Nem sobrou, nem fallou, ( fam.) il y
on a eu juste co qu’il fallalt.
Sösras, pl. V. Sobra, Sobejo.
+ SosaaxıLrän. V. Sobrefolhedceo.
SOBAz, pröp. sur, dessus, au-dessus, par-
dessus; touchant, concernant; & l’ögard de. De
plus, on outre. Un peu plus de. Apres. V. Ap6z.
Sobre, marque la superiorits , la domination,
Pavantage. llentre dans la composition de plu-
sieurs mots dont il augmente la signification,
eu bien auxqueis il ajoute la sienne propre. —
si, avec soin, altenlion, precaulion, reserve;
sur sol, & part, reserve; libre, independant.
Zıtar — ums praca, assiöger une place. /r —
alguam , suivre quelgu’un de prös, poursuivre,
courir, courre sus. — que, & cause de quoi,
par laquelle raison. — iso, en ouire, outre
cela, de plus, apres oela. — feia 6 indiserdta,
elle n’est pas seulement laide, mais encore
elle est indisorete, ow elle osı & Iu fois laide ei
indiscerete.
SOBREABUNDAR ‚ etc. V. Superabunder, ete.
DoaasacuAno „A,adj. couvert d’eau. V. Ala-
Sonakacdno ‚„A,adj. (l. de mus.) suralgu,
fort aigu (son.
SUBABALCUNUA, 3. f. second sobrique.
SOB
SOBREAPFELLIDO, 8. m. Socend surzem ‚te
cond sobriquet.
SOBREÄRCO, 8. m. linteau.
SORREAYISO, 3. m. avis antieipe. Eslar e-,
etre prevenu.
" SOBREAVONDÄYEL. V. Su
SOBREBAILEO, 8. m. (6. de mer.) " courikn
sur une aulre.
SOBREBAINHA, 8. f. faux fourrean.
SoBresico ,‚s. we. la partie supsrieare dale
d’un oiseau.
tSosazcasino, A , adj. qui est surlene-
mel, sur la pointe d’uncap.
Sonazcina, 8. f. (1. de oeler.) * sure: u-
meur dure sur la jJambe du cheval.
Sosascirca, 8. f. surcharge: nouvelle charm
ajoutee ; (fg.) surcrolt de peine. Corde are
Iaquelle on assure une charge, surfaiz de sa
gie.
Sosazcinca, s. m. (6. de comm.) sabrear-
gue : fond&6 de pouvoir d’un arınatear, gu
veille sur la cargaison ; officier de la compazme
des indes, qui vend et achtte poar elle dei
ses comptoirs.
SOBRECARRECÄDO, A, P. P. de
SOBRECARREGÄR, 9. a. surcharger : charge,
imposer trop.
+ Sopazcasica, s. f. redingole.V. Ser-
tudo.
SonrzceLtste. V. Celestiel.
SOBRECELESTIÄL, adj. 2 gen. plus ge
este.
SopazceL.önte. V. Sobreeseellenis di S>
bresalente.
SOBRECENHO , 8. m. froncement des watch.
Sonascko, s. m. dais , baldaquia, ci, ı=
periale, au-dessus d’un lit, ete.
SOBRECEVADKIRA,, 5. f. (6. de mer.) asin
civadiere.
SOBRECHECÄR , 9. #. survenir. V. Sobrew.
+ SosrecHkio, a, adj. plus que plein.
+ SOBRECLAUSTRA, 8. f. cloltre sapenest.
BOBRECH, 8. m. croupion d’un oisesa.
SOBRAECURYA, 8. f. courbe, enflare quı rm
aux jambes des chevaux.
+ Sosrecouröstas, adj. f. pi. (1. de bi
surcompostes (feuilies), divisdes plus de du
fois.
SOBREDENTÄL, adj. 2 gen. qui est auden®
des dents.
SOBREDENTE, 5. m. * surdent : dent her &
rang ou entre doax.
SOBREDITO, A , adj. susdit, nomme old!
SOBRSBBOURÄDO, A,P.p.de -
Sonazpounka,, v. a. surderer, derer deal
ment, & fond. V. Dewrar.
SOBREREINENTE, adj. 2 suremisih,
&minent au supröme degre.
SOBRERRGUER , v. m. hausser plus, dlerer pi
haut.
SOSRERRGLIDO, A, P. pP. de Sebreorgen:
SOBREEROGACAÖ. V. Sobrerogagäe.
Sopazzscarven. V. Sudserever.
Sonnzascarro, V. Sobreseriie
SOB
+ SOBREESPERÄR, ©. a. altendre longlemps.
SORBREESTADO, A, P. P. de Sbreestar.
T Sosreestäncık, 5. f. surveillance. V. Su-
perintendeneia.
+ SOBRFBSTÄNTE, &. m. surveillant. V. Su-
perintendenle.
SOBREESTÄR, d. G. Surseoir, suspendre, Te-
meitre, differer. V. Sustar. v. n. Gesser, dis-
continuer, s’arröter.
+ SOBRERXCEDENTE, adj. 2 gen. quieexcede,
surpasse. p. p. de
+ SOBRBEXCEDER, v. a. excdder, BUrpasser,
l’emporter de beaucoup sur quelqu’un.
SHBRBEXCELLENTE, Gdj. 2 gen. ce qui est ex-
cellent au supreme degre.
SoBREFÄCE, 8. f. surface, superlicie. (1. de
fort.) Distance entre angle exterieur d’un bas-
tion et le flanc prolonge.
+ SOBREFOLHBÄCEOS, adj. m. pl. (1. de bot.)
Peduncuwlos —, pedoneules situes au-dessus de
l’aisselle (suprafoliaces).
+Sosasrrnerän, v.a.(l. de mar. ef decomm.)
sous-Ireter : sous-louer le vaisseau qu’on avait
frete.
+ Sosarcäta, 3. f. if. de mar.) perruche:
voile de vaisseau.
+ SoBRscATinBA, 8. [. (f. de mar.) perruche
volante.
SOBREGAYEA, 3. [.(d. de mar.) perruche, voile.
SOBREHUMÄNO, A, #dj. surhumain, au-dessus
de l’humain ; au-dessus des forces de l’'homme;
au-dessus de l’homme ; qui n’ost pas de !’homme
seul.
SOBREINTERDENTE. V. Superintendente.
Sosntını ow Soprkıro. V. Soverdiro.
-f SOBRABJIOANRTE, 3. m. (4. de mar.) perro-
yuet volant.
SOBaEJUfz, 5. m. (anf.) juge sup6rieur & qui
on en appelait. '
“SOSREJIUSTIGA, 5. m. V. Sodrejwiz.
SOBRELÄNGO, 8. m. * surenchöre : anchere au-
“ dessus d’une autre,
SOBRELEVÄDO, A, P- p. de
SOBRSLEVÄR, 9. a. surmonier, Surpasser, &le-
ver au-dessus. Supporter, endurer, tolerer,
souflrir. 0. ». Passer par-dessus, ne pas allein-
dre. Exceder, surpasser.
SOBRELEYÄR-SE, d. r. s’6lever au-dessus des
autros,, se distinguer; l’emporter sur.
* SOBRELHAS, pour sodre as, sur les.
SOBRELIMINAK, 5. m. (1. de fort.) iravers du
pont-levis.
SOBRELÖGEN ou SOBRELÖJA, 8. f. “ entresol:
&tage entire le rez-de-chaussee ei lo pre-
znier.
SOBRENANKIRA,, adv. excessivement, exir6-
ment, Oulro ınesure, esiraordinairement. Par
excellence.
Boenzuiö, 8. m. (tl. de vdler.) tumeur 08-
seuse quı vient aux betes de somme sur la
couronne du sabot, A la partie anterieare et in-
ferieure des pieds de devant.
Sosunuiö, ade. De—, avec loisir, en per-
fdetion, avec efücaeilt. Vbra de —, ouTrage
nn .
=
°
an
SOB 1097
parfait, fin. Cauldlas de —, precaulions 6x-
traordinaires.
f SOBREMARAVILHAR-SE, 0. fr. s’emerveiller,
s’etonner extraordinairement.
SOBREuRSA, 3. /." dessert: fruils, sucreries,
etc., servis sur la table & la fin du repas; le
moment de les manger.
SOBREMISTICO, A, adj.mystique parexcellence.
SOBREMÖODO. V. Sobremaneira.
SOBREMUNHONRIRA,S. f. (d.d’artil.\surbande:
bande de fer pour retenir les tourrillons J’une
piece de canon dans l’encastrement.
SOBRENADÄR, 0.9. surnager : nager dessus,
SOBRENATURÄL, adj. 2 gen. surnalurel : au-
dessus des forces de la nature. Prodigio —,
prodige au-dessus de la nature.
SOBRENATURALIDADE, 3. f. qualitö de ce qui
est surnaturel.
SOBRENATURALMENTE , adv. surnaturelle-
ment : d’une maniere surnaturelle. -
+ Sosnenervo, s. m. (f. de völdr.) tumeur
sur le nerf.
SOBRENÖME, 5. m. surnom : nom apres le
nom propre ; &pithäte ajoulece au nom.
SOBRENOMEÄDO, A, p. p. de
SOBREXOMEÄR, ©. 4. surnommer : ajouter
une &pithete au nom propre. ’
+ SOBRENUMERÄVEL, adj. 2 gen. innombra-
ble , incalculable.
SOBRENTENDENTE. V. Superintendente.
SoBrEösso, s. m. (f. de veler.) suros : tu-
meur dure sur la jambe du cheval et depen-
dante de l’os. Fusse. (Ag.! Chose incommode,
qui gene, obstacle, emp@chement.
+ Sosreräca, 3. f. augmenlalion de paye,
de salaire.
SOBREPÄRTO, 3. m. temps qui suit immedia-
tement les couches. Morreo de —, elle est
morte en couches ou par suite de couches.
SoBrEPeı.tiz, 3. f. "surplis : vetement d’6-
"glise, en toile.
SoßnEPENSÄDO, adv. de propos deliböre, &
dessein. p. p. de
+ SOBREPENSÄR , U. a. el R. penser souvent &
une chose.
SORREPESO, 8. m. * surcharge.
Sosrerosir. V. Sobrepujar.
SOBREPÖR, ©. a. Superposer, poser dessus.
Mettre par-dessus, plier par en haut.
SOBREPOSIGAÖ, 8 f. superposition : action de
poser une chose sur une autre.
SOBREPÖSSE, adv. avec exc&s, excessivement,
trop.
SOBREPOSTO, A,p- P. ırr. de Sobrepor. adj.
Mis dessus ou par-dessus. (f. de bot.) Couron-
nant Porsire (corolle, periantbe, etc.). —,
s. m. pl. broderies de rapport, passemenis,
etc., au bord d’une robe, des harnais, etc.
SOBREPRATEÄR, d. a. argenter por-dessus.
Soprzpusino, A, 9. pP. de Sodrepujar. adj.
Surpass#, eıc&de,, surmonte.
SOBREPUIAMENTO, 3. m. (p. ws.) laction et
P’effet de surpasser, d’exceder, etc. ; exces.
BOBaKrOJÄänga, 8. f. force, vigueur xgessive.
1098 SOB
SOBREFUJÄNTE, adj. 2 gen. qui surpasse,
exctde. p. a. de
SonaeEruJsäir (em), v. a. et n. Surpasser, ex-
ößder, surınonter;; exceller, vaincre.
Sosreruxin. V. Sobrepujar.
SosreutiLna, 5. f. (l. de mar.) catlingue du
fond du vaisseau.
SourerontLLa, 8. f. (t. de veler.) lumeur
sur le genoa d’un cheval,
"SopasröLpa, eic. V. Sobreronda, etc.
Soprerocacäd, ss. f. (f. de myst.) sur&roga-
tion : ce qui cst au delä des promesscs, des
obligations @uvres de —).
Bonrerönna, 8. f. cörthe-ronde : seconde
tönde. (Ag.) Cälul qui sarveille les surteillanis.
Sonrenonnik, v. a. faire la cohıte-ronde.
SOBRESAIR (EM), o.n. surpasser en gtandedr,
en hauteur, exotder. (flg.) Surpasser, exceller,
Pomporter, briller, effacer l’eclät.
Sonkksahin. V. Sodresair.
SopngsaLänte, Ad). 2 gen. surabondant.
Sütrumeraire, destin&ä remplacer les absents.
s. m. (ani.) On le disail dans l’ancienne milice
d’un eäpitaine, d’un corps de tfoupes foujours
pröt a marcher: piquet. De—, adv. de rtserve,
en reserve, de rechange.
SAGRESALTÄDO, A, adj. assailli; surpris,
w “u depourvu. Äarınd, elfraye, trouble.
.p. de
BOBRESALTÄR, v. a. sauter, se jeter, s’ölancer
sur, assaillir; surprendre, atlaquer & l’impro-
viste. Effrayer, troubler, alärmer. Frapper d’e-
tonnement. Interrompre, sauler, omellre.
BOBRESALTÄR-SE, ©. 7. s’elfrayer, se Lroubler,
s’alarmer; dire Baisi.
BosatsaLrkär, v.a. sürprendre, allaquer &
Yimproviste; assaillir. V. Sobresallär.
BOBRESÄLTO, 5. m. sursaul, Surprise, alarme
subite. Attaque inopinee. (ig.) Alarıne, &pou-
vante, effroi. De—, en sursaut, & l’improvisie.
SosaBsarino, A, adj. gusri superlicielle-
ment. p. p. de
Bornnesarin, o. n. (Pp. u.) Zuerir superd-
elellement, pallier.
Sopnescnevän. V. Subscrever.
Sosazscaito, s.m. “enveloppe, couvert, le
dessus d’une leltre. * Suscriplion,adresse qu’on
met & une lelire. Fazer, pöro —a uma carla,
metire le dessas d’une letire.
* SoBRESEER. V. Sobreesthar.
SOBRESELENTS. V. Sobresalenie.
‚ BOBRESENEAR, ©. a. Burseiner : semer das
une terre dejä ensemencee.
Bonazsenno. V. Senky et Sodrecemko.
Sonnzsin. V. Sobreesiar.
Sonresina, s. f. *surfaiz. n
+ SosrzsımiL, s. m. * devisc que les ansiens
, ehevaliers prenaient & leur choix.
SoRsEsoLäıka ,s. f. pidce d’un carrössd sur
le marchepied. ,
SosagssaL£nte, V. Sobresalente. er
“ BOBRESSIMÄNTO, 3. m. “surstance, dilai,
suspension. el
SOBAESTÄNTE, 5. m. plqueur:: celul qui lient
SOB
ie röle des marons, etc., qui veille sar lu
Öuvrage. Surveillanl.
SURRESTÄR, T. N. Surseoir, suspendre, te-
meltre. V. Sobreestar.
BUBSLESUBSTANCIÄL, adj. 2 gen. plus gee seb-
sianlıel.
* SORKETÄL, ade, finalement, enüin.
SoprEıkıma,, ade. V. Periinsimen':.
+ SOBRETENRESTRE, adj. 2 gen. qui esta
dessus de la terre.
SOBRETOALHÄ, 3. f. servielle yu’on mel pü-
dessus la nappe. Volle qu’on net sur un asut
voile.
SOBRETÜDO, adv. surlout, prineipalemenl.
SOBRETÜDO, 5. m. surloul, redingois de
dessus.
*SuBREVENGA, 5. f. aclien de surrenir, &-
rivee imprervue.
° Sopasventa,s. f. arrivee A l’improvisie.
SOBREYEKTO, 8. m. coup de vent. (Ag. 00"
lacheux.
SOBARYEsTE, 5. f- soubreveste : velemeni it-
litaire sans manches. “ Hogueton: onsager dur
cher.
SoaREVESTINO, A, 9. p. de
SOBREYESTIR, ©. a. surv&tir: mellse on Br
billement par-dessus um aulre. (Ag) VB
veslir.
BOBARBVIKDO, A, P. p. de
SOBREVIiR, ©. ®. Surfvenir : arriver inopk*
ment; arriver; arriver de sur@oll.
SOBREVIRTÜDE, 8. f. sorto de peiil volle gi
portent cerlaines religieuses.
Sonasvisra, s. f. visiere de easqe. 1.5
breveste.
SoBazvıvancıa ,s. f- survia: eiat de alui gt:
survit & un autre. Survivance: successioh Öff
gade & un emploi lors do ae racanın, iM. !
un bien quelconque.
SonREvIVAnTE, adj. 0.0.2 gam. sarriranl,
survii A um aulte.
Sonrevivän (a), v. m. survirze : domesta ®
vie apres un autre; exister aprda la parte ©
— a son Alko, a sus mulker, aic., are
son ls, A sa feınme, eic.
Sosauıckıaure. V. Sobreescallea dft
bresalente.
SOBRIANENTE, adv. sobrement.
Sosrızsäng, &. f. sebriele: temaphranee dam
le beire et dans le manger; ( Ag.) modireimt,
rutenus, diserdlien.
Soaninua, s. f. nidce: Alle du frere su dh
saur. Segunde —, arrierenidce, peÜ b
SOBRIRRO, 5. m. neres : Als de fväre 00 &
saur. Segundo —, arridre-neveu, pol
“Bonaine. V. Sedrinks. i h
Bönnso, a, adj. sobre ; guia,cd U 20
sobriete; ( ig.) retenu, modere, diserek
Söano. V. ifo.
Bonnede. Behr
LU} L ] 00889.
SoBaocagiö, eis. V. Subrogapie,
. + Bosn’tıuso; e. m. soukeil. V. Sohranmaiht
Frrensir 0 — ftoseer je souttil,
TSoB-n08i00, A, adj. lirant sur le Tase.
Sonrösso. V. Sobreosso,
Sosscreven. V. Subscerever.
SOBSTABELKCER, eic. V. Subslabelscer, eto.
SoBSTAR. V. Sobreestar, Sustar,
SoBTERRAR. V. Suterrar.
aTina, V. Tılha,
BYERSÄÖ.
SOBVERTER. } V. Sabver...
Soca,s.f. it. dw Brasil) eänne A suore qui
Fepousse spres avoir el& coupse. Ndo ler nem
—.,(fam.) n’avoir pas le sou.
* Söga,s. f. sauce. V. Mulho. ,
Socino, A, P.p. de Socar, etadj. Homem—,
bomme bien fourni de chair, qui a de l’eınbon-
point. Trapu.
Sociıro, s. m. (i. de mar.) On appelle ainsi
la partie du oordage d’un palan ou moulle,que
l'on fait passer dans un chevillot au moment
de hbaler queique fardeau, eic., laquelle est
tenus par un matelot; &!. la partie du cäble qui
ost lenue par deux matelols assis au moment
que d’auires font tourner le cabeslan pour laver
Panoro. Garant d’un palan. Esigr a0 — , aguen-
ar o0— ‚tenir dessous (un cordage, le cable).
Ao —,(fg.) en arriöre, par derridre, & l’abri.
Ao — da fortalexa, (id.) le lung ou & l’abri de
ia fertaresse , ou Jderriere la forieresse. ir 0 —
d’alzuem , suivre quelqu’un & une oerleine
distance.
SocALco, s. m. "chaussee, levde de terre.
Socäpa, 8. f." prelexie, raiSan apparenie.
A’ —, adv. sous Cape , en cachelte,, A la sour-
dine, sous main.
Socir, v. a. refouler : beurrer avec le refou-
koir; donner des coups de poing, bourrer.
*Bocanniö, Ona ,adj. eis. fin, russ, dissi-
mule, sournois.
Botiva,s. f. Taclion de miner, de ereäser
par-dessous; fosse, conduit, souterrain.
SocavADo, A, P.P. de Socdver.
Socaväö, s. m. aug. de Socnva , tonduit
souterrain sous une montagne, galerie de
mine, elc.
Socavär, v.a. creuser par-deösous, miner,
fouiller, souchever.
Söcco, s. m. (t. d’anl.)brodequin : chaussure
hasse en usage chez les Grecs et & Roine, par-
tieuli6re aux acleurs comiques. Socque ; la
chaussure de lacomedie. (Ag-) Comedie, poesie
d’un style simple, peu eleve. Sabaı, chaussure
de bois, Socle - base d’un pitdestal ; base cat-
rege (d’un reliquaire, d'une oroix, eic.). (ant.)
CGachot; 4. encan , vente ä l’enchöäre.
Soccoaaßa, v. 6. secourir, aider, soulenir,
soulager, preier une main secourable, venir au
secours de. (Ag.) Sider, secourir Guelqu’un
dans ses besoins, lui preter une main sesoQ-
rable. — « prögs, sesauzir une placo, la ravi-
ailler, etc.
Soccornntn-st (6), 0.7. Fecourir, avoir re-
cours &. (de) Be setvir de, V. Valer-se.
SOCCORRIDO, A, p. p: ae Soworrer. adj.
. 806 10%
Secouru, subrenu, soulag6. Qui pourvoit aise-
ment auı besoıns d’autrui, secourable.
* SOCCORRIMENTO. V. Soccorro.
SOCCÖRRO, 8. M. SOCOUrs, aide, assistamoe.
A-compte qu’on donne sur une dette,eie. —,
renfort de troupes, de vivres qu’on [ait entrer
dans une vılle assiög6e. * Main forte. Novo —,
ravitaillement.
Soceotr, etc. V. Sucesder, eio.
SockGa, 8. f. vin qu’on prend pour s’endor-
mir, vin de coucher.
SOCEGÄDANENTE. ade. franquillement, pal-
siblement,
SOCEGÄNO, A,Pp. 9. de Socegar. adj. Tran-
quille, paisible, calme. Estar —, se lenir en _
repos, demeurer tranquille, ne se meltre en
peine de rien.
SOCEGADOR, A, adj. et s. quiapaise, tranquil
lise. Rassurent.
SOCEGÄR, ©. a. apaiser, tranquilliser, calmer.
Rassurer , assoupir, endormir. ©. ». Reposer,
dormir.
SOCBGÄR-SE,, ©. r. 50 calmer, reprendre ses
song, 56 FASsurer. .
KOcRao, s. m. repos, tranquillits, calme, paix.
Soczssiö. V. Successäo.
BOcHantRino , s.m. dignite de sous-chantre.
SOCHANTRARIA, 3. f. office, place de sous-
chantte.
SoCHÄNTRE, 8. m. sous-chanire do chapitre;
celui qui remplace le chantre.
SOCHANTREAÄR, U.n. exorcer l’offies de sous-
ebantre.
* Socsıkn. V. Esconder.
Söcıa , s. f. compagne. V. Sorio.
SocıaBiLiDäoe, 8. f. sociebilild : qualit& de
l’borome sociable; aptitude & vivre en socidle.
*Caractidre , hameur sociable.
Socıär , adj. ? gen. social ; qui concerne la
societ6, qui Iui est nöeessaire; qui a rapport &
elle. V. Sociavel.
+ SocıaLmenTE, adv. socialement, dans Por-
dre social.
Bocıäe. V. Assoolar.
SocıäveL, adj. 2 gem. sociable : de bonne
bocietö; fait pour virre en sociel&; qui V’alme.
Compatible (p. us.).
SOCIEDÄDE, 8. f. sociel6 : assemblage d’hom-
mes unis par la nalure et Ics lois; union des
hommes; leur comnıerce nalurel; union de
ı personnes pour [6 me&me inlör6t et sous Ccet-
taines regles ; compagnie de commerce.
SUCINIANISMO, 8. Mm. socinianisme : secle des
Soriniens qui rejettent les mysiöres, le p6&ch&
äriginel, la gräce, et la divinits de J.-C., w’ad-
meltant que l’eridence.
SocımıÄno, A,adj. ets. Socinien, partisan de
Bocin; ce qul a rappert A cet hörssiarque ou
& sa doctrine.
Söcı0, A, adj. ei 8. rumpagnon , ete. V. Com-
pankheiro. Associe. Parlisan. Complice. — d’ıs
Aavfo, co-bourkeuls: Int6ross6 dans un valssoau
marchand.
Soco, V, Söceb,
1100 SOF
8öco, s. m. coup de poing, mornifle, gouf-
made.
Söco. V. Ensosso.
Socosnin, etc. V. Sossobrar, ele.
* SocOLUEDOR, s. m. sous-collecteur, receveur
en second.
Socouıre. (1. de prov.\ V. Pöspello.
SOCOLOR, #. m. pretexie , raison apparenie,
spöcieuse. V. Sobcolor.
+ Socörvıa, s. f. lächet, paresse, negli-
gence, indolence.
SoconRER , ett. V. Soccorrer,, etc.
+ Socoröra, s. f. (1. de geog.) Soootora : tie
entre l’Arabie Heureuse et l’Alrique.
SOCOTORINO, 0% — TRINO, A, adj. de Soco-
tora. On !e dit du jus de l’alo&s de Soootora.
+ SocnärTico, A, adj. socralique : de Socrate;
qui suit sa doctrine.
* SocrEsSTÄR , eic. V. Sequesirar,, etc.
Sova, 8. f. (1. de chim.) soude, oxyde de so-
dium. s
SovaALicıO, 8. m. * societ6 d’amis.
* Sopıäco. V. Subdiacono.
+Sonoua,s. f.(t. de g/og.) Sodöme : une des
quatre villes ablınees dans la ınor Morie; (g.)
ville de perdilion, de desordre.
Sopouia, 3. f. sodomie : pech6 contre na-
ture.
Sopowita, s. m. sodomite : coupable de sodo-
mie. —s, pl. habitanıs de Sodöme.
SODONITICO , A , adj. de la sodowie.
Sospine. V. Souliddo, Soledade et Saudade,
*Sokıras, 8. f. pl. ce qui est de coutume,.
So&a, ©. Rn. avoir coulume, accoulumer. On
disait anciennement souloir.
Sorncufn, v. a. surhausser, soulever, lever
un peu, soupeser. ll est aussi reciproque.
*Sorscreväkn. V. Sudscrever.
* SOERSTABELECUDO. V. Substabelecido.
*SOESTAMENTO. V. Sequesiro.
*"Sosstno. V. Esquerdo.
Sori,s. m. sofa, lit de repos; espece d’es-
trade couverte d’un tapis. Canapc.
+ SoräLa, s. f. (6. de geog.) Solala : ville
d’Afrique meridionale.
sol
SOFFRINENTO, s.m. " soulfrance : peins, dee-
leur ; öiat de celui qui souffre. * Palience ä seul-
frir, a supporter, resignalion.
SorFniveL, adj. 2 gen. supportable, w'err-
ble. Passable.
SoFrrivHi.MENTE,, adv. d’une manidre sap
portable. Passabloment.
Sori ow Sorni, s. m. soß om sopbi: rei de
Porse.
Sorısua, etc. V. Sopkisme, eic.
Sorocacaö, etc. V. Suffecagio, ele.
SoroLıg, 3. m. tissu de coion de differeniss
couleurs.
*Soronär, ©. a. percer par-dessoms. ü.).
"SOrRAGÄNnO
*SorrackYo. ’ } V. Sufraganeo.
SOFRALDÄR, ©. @. bausser, lever le pan enlı
queue d’une robe.
Sorazipa, s. f. saccade. escavessade, tırk
lade : secousse prompte etriolemte qu’on deas
& un cheval avec le frein. Ag.) Ssceade: rodk,
sövere reprimande. (id.' Maladie, afllichen, c
lamite qui nous fait rentrer en nous-ımemt, ei.
SOFrEADO, A,Pp.p. de Sofrear.
Sornkapuna. V. Sofreada.
SOraRÄR, 9.4. sancader : donner une 3
cade d un cheval. (Ag.) Tancer, reprimank!
verisment. (id.) Gourmander ‘ses passe,
etc.), les dompter. Refrener, reprimer, weit
rer.
Sorazoon. V. Soffredor.
SOFREGAMENTE, ade. avidement, goulunet
SÖFRECO, A, adj. vorsce, glouten. A.' Dr
sireux; avide, impatient, acharne.
SOFREGUICE Ou ' voracile, giomoupent.
Sorrscuıpäö,s. f. \ıfig.) Avidite; arlet,
empressement, impalience.
*"Soratnga, 5. f. V. Podecimenie, Sfr
meonto.
“Soraknte. V. Soffredor.
Sorrör,etc. V. Sofrer. eic.
Söca, 5. f. grosse corde de jonc, de spa
rie, etc. Courroie pour alieler les beuls-
nkor de — e cuiello. V. ce mot. Ver-we u
Sorragpon, A,adj. ei s. durau travail, & la! coma — na gargania. V. co mol.
faligue; endurani, patienl, resigne. Indul-
gent.
Sorsa£a, v. a. souffrir, endurer, supporter :
patiomment. Supporler, soutenir’—, ne pas
s’opposer; perınelire, tolerer; pälir; subir.:
Essuyer une perte, supporter des [rais, eic. — '
mai , subır, tolerer a contre-caur.
Borrnka-sE, v. r. dissirnuler sa souflrauce,
endurer (une peine, eic.) avoc Tesignation. Se !
reprimer. — de fazer alguma cousa, sabstenir ,
d’une chose mıalgre soi. |
SOFFRIDAMENTE , adv. patiomment, avec re-
signalion.
Sorraipo, A, pP. p. de Soffrer. adj. Souffert.
Palient, endurant, resigne, Qui souflre sans
seplaindre. Mai—, impatient, qui endure peu.
V. Insofrido. it. Qu’on endure aveo peine,
qu’on supporie A contre-cwur,
SuGkıgaö, s. f. V. Sujeipdo.
SociLna. V. Soguilha.
Socka,s. f. beile-mere : mere de la feat
ou du mari. " Tortillon, bourrelet que !® ir
tieres ei les fruitieres metient sur leur täie I"
porter plus aisement lears charges-
Söcro, s. m. beau-pöre : marı de la meft-
Socviına, s. f. dim. de Söge. *
pour garnir les vetements.
*Soica,s. f. exereice militaire , osmbat,
taille feine. Compagnie d’borames babill
la mode de la Suisse pour danser dans @*
fete.
*Soicıa ‚s. f. reglement mitnaire des Set:
musique mulitairedes iroupes suisseh V-
Sumwans. V. Sewdade ei Solidde.
Sofno, s. m. son, bruil. V. Som.
"Borntso. V. Saudoso.
SOL
Sorkıra, s. f. V. Malricaria. (ant.) Metier,
peine, ete., de chasser aux lapins.
Sosgıtar. V. Sujeiler.
SOJ6RNO,, 8. m. (p. u.) s#jout, demeure.
Sosucär, elc. V. Subjuger, Sujeilar, etc.
*SöL, ade. V. Sömenie.
SöL, s. m. soleil : astıre du jonr, centre de
notre syst&me plandtaire, sa figure; Por, en
termes d’alchimie. Le jour, en prenant la cause
pour l’effet. La chaleur produite par ie soleil.
Sol : cinquieme note de la gamnıe. (ant.) V.
Solo, Ch6o. — cris , öclipse de soleil. Do—a—,
entre deux soleils, depuis le lever du soleil
jusqu’ä son coucher. Ao p6r do —, au coucher
du soleil. 40 sair de —, au lever du soleil. 40
— posio, A la brune, sur la brane, au soleil
couch6. Adorar o — que nasce , adorer le soleil
levant. On le dit des courlisans qui s’sttaobent
toujours au ministre nouvellement en place,
ete. Tomer 0 —, se tenir, se promener au 80-
leil pour s’&chauffer ; observer le soleil, pren-
dre la latitude geographique. Ndo ver — nem
iss, ne voir ni une ni soleil. Melter alguem
onde ndo veja— nom Ina, jeter queiqu’un dans
un cui de hasse fosse, l’enferıner dans un ea-
chot. Quando o — nasce d para lodos, (fig.) le
soleil luit pour tout le monde. — de inverno,
(Ag.) amitie6 qui se refroidit bientöt, chose de
peu de duree. Ndo deizar alguem a — nem a
sombra, eire sans cesse aux lrousses de quel-
qu’un, ne pas lui laisser un moment de repos,
de reläche. Partiro — nos duellos, etc., par-
Lager lecamp de maniere que le soleil ne donne
de [ront sur aucun des obampions, etc. Sodes,
pi. (fig.) les grandes chaleurs. (podt.) Les jours.
(id. Soleils. On le dit de deux beaux yeux.
SuLa, s. f. somelle : piöce de cuir qui fait le
dessous du soulier, otc. " Cuir de baufcorroye,
cuır & semelle. Solo du cheval. —do pe, plante
iu pied. Pör —s, ressemeler.
SoLac6so. V. Aprasivel, Delsitavel.
SoLa1Ro. V. Salario.
"SoLim. V. Soldo.
"SOLAMENTE. V. Somenie.
SoLino, s. m. (t. de bot.) V. Herva moura.
— irepador.\. Dogamarga. it. Vent d’est. V.
Soäo.
SoLid ou *romance, chanson tendre,
SoLA0, s.m.) triste, m&lancolique. (viewr)
* Consolation, soulagement.
SoLära,s.f. sape, action de saper, de mi-
ner; mine, creux, cavile.( fg.) Vain pretexie,
[ausse couleur, deguisement, dissimulation ,
sousentente. Ter musilas —s, ( Ag.) avoir beau-
coup de replis.
SOLAPADAMENTE, adv. avec feinte, ruse, dis-
simulation ; furtivement, en cachette.
SOLAPADO, A, 9. p. de Solapar. adj. Russ,
fourbe, dissimule, artificieux, sourmois; 80-
eret, cache.
SOLAPAMENTO, s. m. V. Soldpe.
SOLAFÄR, ®. 6. miner, saper, creuser. ( Ag.)
Saper, detruire,, fenverser.
SoLir, edj. 2 gen. solaire : qui appartient au
. SOL 1101
solell. Plantas solares, (1. de bot.) plantes so-
laires : dont les fleurs restent &panouies pen-
dant la presence du soleil.
Sorin, s. m. sol, emplacement, place sur
laquelle une ancienne maison noble est ou &
ete bätie. Manoir seigneurial. *Souche d’une
maison noble. ( Ag.) “ Demeure, sejour.
SoLir,v.a. ressemeler :meitre de nouvelles
semelles.
SoLartcO, A, 0% qui appartient & une
SOLARENCO, K, adj. ) maison noble, A sa
souche, etc. Noble, ancien, selgneurial, Casa
u maison oü a pris naissance une ancienne
famille. —s, pl. adj. ei s. ceux qui habitaient
les terres d’un seigneur, pr&s de son manoir, et
lui &taient tributaires.
° SoLänzs, s. m. pl. (P. us.) adorateurs du
soleil.
SoLarrtoo. V. Solarengo.
* Soränıo. V. Soalkeiro.
* Sor.an6s0o. V. Consolador.
"SoLas ow SoLaz, s. m. soulsgement de
peine. adj. 2 gew. Consolant, qui console.
S6LAS (A), adv. tout seul, sans Compagnie;
w#te A töte; A l’ecart, en parliculier. A — com
alguem , en töte-d-lete.
SOLAVANCO, 3. m. * secousse, cahot, caho-
tage.
SöLpa, 8. f. soudure : composition metal-
ligue et minerale qui sert ä souder.
SoLoa , s. f. (4. de bot.) " gaillet blanc : plante
rubiacde. 4. Torıneniille. — real. V. Sami-
cula. — alcalina, soude, salicot, salioor, kali.
— de Veneza.V. 'Salicornia.
SoLoipa, 8. f. "salaire, gages d’un domes-
tique; solde. (Ag.) Recompense. Quantiis de
sous. Cens paye en sous. — de marinheiros,
" mateloisge. Homem de —, celui qui esi aux
gages,. mercenaire. Ester de — com alguem,
öire aux gages de quelqu’un.
* SOLDADEIRO, A, adj. qui Ost aux gager, qui
a un salaire. it. V. Soldado.
SoLpapksca,, 8. [. soldatesque : nom collee-
tif des siınples soldats. (ans.) Armee. if. Action,
chose propre de soldat.
SoLDADEsco, A, adj. soldatesque : qui sent
le soldat; de soldat, qui appartient aux soldats.
SOLDADINBO, 8. m. dim. de Soldado. Soldat
de petite taille, de ımauvaise niine, elc.
SoLpino,s. m. soldat, militaire, homme de
guerre. Siınple soldat. En ce sens, on dit ordi-
nairement soldado raso. ( lg.) —, homnie de
Kiterre, brave, vaillant, determine. Soldat de
Jesus-Christ, chretien. Sorte de poisson du Br&
sil. — de cavallo, cavalier. — velho, velerano,
eurlido au cortado nas betalhas, vieux soldat,
qui’a longteinps servi. — malreiro, soudrille.
Dinheiro de conlado acha —, (prov.) argent
comptant porte medecine. Poriou-se, ou obrow
como—, il se comporla en soldat.
SoLpano,A.Pp.p. de Solder.
Soı.papor, 3. m. ouvrier qui soude. adj. Qui
soude.
1193 SOL . SOL
SoLpanußa „4. f.gondaps : artion de Mader; SorLgrain,®.u. Apeler : MONMEEER Sl SUSER-
endroit saude. bler les leitreg qui coımposent un mol.
SorpaneuLa,s. f. (4. de bot.) soldanelle des | SoLzvantan. V. Soerguer.
Alpes. — bestarda, soldanelie chou-de-mer, BoLEvAaR, v. a. soulerer, bansser. V. Sell
liseron mwarilime : plante medicinale. vor, Supporlar.
SoLpkö, 8. m. soydan : prince, general ma- Söura ‚a.[. musique : stionse des sans. Katıs
hometan. de musique.
SoLnäa, v. a. souder : joindre par le mayen | Souria, o.«. (5. de rei.) atiacher, onlıı
de la suudure. Cicatriser (une plaie). ( Ag.) Re- | des onglets, eto,
nopner (une amitie), r&conciljer. (id.) Beparer | Soursäa, eis, V. Solfejar, olc.
(un dommage), dedommager. (fd.) Corriger,re-| BOLsBaDO, &,Pp.p. de
medier, replätrer. (4. decomm.) V. Seldar, SQLFEJäR „ 9. 6.ut 8. solßer: abaniarıa m
SoLpäass, 0.7. — comalguem, (Äg.) se mans les notes.
ooncilier avec quelqu’un. SoLrsso os SoLrkıo, s. u. nalläge : sum
" SoLnants, s. /. cordage de vaissesu, miniöl | hinge des notes de musique ; eimde de m
ligne de sonde. notes, de jeur valeur, des inzervalles men
SöLnD ‚8. m. * solde : paye dannde aux gens | caus; ölemeanis de la musique vorels; Farım
de guerre. Appointements, honoraires. Soa : | do aolßer.
ancienne monnaie de differentes valeurs en | Bourisra „a. 2 gen. habile musieien ; camp
Portugal; sou, monnaie de Eranse, vingli&me | siteur de musique. Celui qui solle.
partie de la livre. Pagar ou contribwr —d K-| Sara,s.f.(i.d’hist. nat.) sole, Liamede. |.
wrs, payer, coniribuer au prorsta. Reiruga. — espinhasa do Norte, ie Di,
SOLkCISMO, 8. m. »ol6cismie : [aule gEossiöre | picaud. it. Sorte d’anoienne armere.
contre la synlaxe. SoıHino, s. ım. V. Solko, Sobraie, Pas
. SaLEpÄDE, s. f. solitude, eloignement de la | mento.
socielö, du commerce des hommes, retraile. | Soımir,ete. V. Sodrader, Asseniher.
—, absence : privalion delayue d'unepersonne. | SoLukno. V. Soalkeire.
V. Solidäo cı Saudade. S6rıu0, 5.m. (1. d’kist. nad.) ? pie : peoame
“Souepäd. V. Soliddo. pleuronecie. V. Patenga. — rei, V’esturren «-
Sotıra ,s. f. pierre plaie sur Isquello pese | dinajre. st. Plencher, parquet. Pizwebes pe
un piad droit. *Seuil. °Marchopied. Pico en fer | plencheier, parqueter, etc., bois de stiar.
d’un earrosse. "Bousa ‚s. f. sorte d’aneienne tiefe de Im
SoLtuns, adj. 2 gen. solennel, odlöbre, pom- | grossiere. V. Sulia.
peux , accompagne de ceremonies ; auihon- | Soricıragäö,s.f. sollicitation : actendes®
tique. Qui se oelebre d’anneo em annda, eu | liciter; insligation , instance.
6gard au cours du soleil. Souicıräpo, A, P. p. de Solieiter. adj. Se
SoLsunzuente, adv. solennellement : d’une | licits. Mei — , recherche.
maniöre solennelle. SoLicırapek, A, 3. personne qui vr
BoLzmnınäns, s. f. solennite , celebrite ; c#- | Sellicileur de proods, etc. V. Sofiellentr.
römonie publique qui rend volennel ; flo se-| SoLicıtamente, ade. avec sotticituae, sel.
lennelle , on tesmes d’eglise. empressement; soigneusement.
SOLEMNISSIMO, A, adj. sup. de Solemms. SOLICITÄNTE, adj. 2 gen. p. a. Je Sehur.
SoLsumızackö, a. f. solennisalion , action de | Qui sollicıte. Sollieiteur. On le dit surtsetin
solenniser. , confesseur qui cherche & seduire sa pen?
SOLEuNIzÄnO, A,p.p. do Solemnizar. SoLicıtÄr ‚vd. @. solliciter: prendre sorr {ste
+ BoLzmmuzaDöR, A, 5. persone Qui golen- | affsıre, la poursuivre; inciter, ezeiter 3. !;
nise, qui celöbre.
. Solliciter une femme, l’engager ä rege: :
SOLENNIZzÄR, vd. a. solenniser : celebrer aveo
j ah notre passion. —, postuler; demande'”r
solennite. Celebrer,, louer, exalter. ment, avec instance, chercher & obwrr E-
SoLtxg, ctc. V. Solemne, etc.
SöLxo. V. Sölo, Chä chercher. — honras, etc., courir aprös kt ::*
Ye „ Sna0. neurs, etc. — com manejos e enris, Mi."
f Sour. V. Sodr, Acostumar. '
SoLICITÄR-SE (de), ©. Tr. Siinyuieles, REF”
Sareacıa ,s. f. industrie, adresse, babileld, | cier de.
ünesse. Kuse adroile, arlilice. * Sosscırinaö. V. Solieitude.
SoLäaTE, adj. 2 gen. indusirieuz, adroit,| SoLisırn, a, adj. soignewz, delieemt., €
habile, ingenieux. Ruse, lin , sstucicux.
presse , assiilu, sursjsble. Uhagrın, mis '
SOLÄRTEMENTE , ade. adroilement, habile- | Aadar — , sermprosser, se domaer de as!
ment, avec finesse. ment.
SöLzs, s.m. pidce de bois A faquelle on at-| Souicıtüng, s. f. sollicitude, sousi: um
tache lcs baufs quand on en emploie plusd’une | quiet ou allectueuz ; insiamce, densude; 5%
couple. V. Cambäde, dyite.
Boıtra,t. f. sermells taillde.
SoLinine. V, Solidez.
RBoLutadne, A, p. p.de Solelrar. + Boıtmicen. (l. de Bol.) V. Yaro #oarn
BaL
m antorn ‚ade. selidamant » aN2e gplin
ih 7
Soisnäß, 6. f- elitade, lien dapert, inhalik,
V. Soledade
GoLmia, ©. a. pansalider, eflewsir. (Ag.)
Anpuyer sur des preuves, des zaisans galides;
corroborer,, confirmer,, fartißer. Kiger, 6paig-
sir (des liquides).
SöLısän,s. m.” ealolie, pelit bonneb de pib-
tre qui ne cnuvre que le hayı de la LAle.
‚ Souiptz, s. f. solidiid :quelis6 de ne qai ost
solide, au propre ei au Agure.
SoLipissıMo, A, adj. sup. de
Sös120 , 4, adj. solide : qui niest pas Anide;
long, large et profond ; qui a de la cansisianne;
qui n’est pas fragile ou peu durable; (Ag.) qui
n’est pas fragile, ni vsin, ıi ehimerigne , pi
frirold;(id.) vrai, veel, eiectif, onumiant. —,
dur; (Ag.)appuye sur des prineipes eertains,eic.
SöLine, 3. ©. nelide: fesne, der;
corps A tzois dimensions ; (Ag.) os qu'il yade
bon , d’uslle. i
SöLıpum (ön), s. m. (mot lat.) solidairement,
d’une mäniäre selidalre; tous ensembie ;
soul ou plumieues pour tous. Obrigugde „ GCau-
gdo in —, (t- de prat.) obligation, caution solt-
daire: qui rend plusieurs esobliges cautions
les uns des auizes, qui eblige solidairement.
SOLIiF0GO „ A, adj. (podt.) qui fuıt la clarıs du
soleil.
SoLıLöQuı0, 8. m. soliloque, monologue, dis
cours de oslai qui parie soul.
SoLımi6, s. m. sublim4 eorrosif, deutoxyda
de meroure.
SOLINHADRIRA, 8. f. “ marteau de carrier.
+ SoLınnin, v.e. doter ıde bois), twiller (ta
pierre) au-dessous d’une Hgn6 waote.
SöLI0,s. m. tröne. (fig.)” Royaute, puissanoe,
souverainete, domination. Lit de Justice. Haut
dais. © — puro, (po6t.) le ciel.
SOLIPEDE, adj. 2 gen. solinede: qui n’a qu’une
corne au pied ; quia lo pied en sole. —s, #.'m. Pl.
solipedes, genre de quadrupedes.
+ Sorrranıa, 5. f. vor solltaire, Lönie.
SOLITÄRIANERTE,, adv. Solilairement.
SOLITÄRIO, A, adj. »olitaire : quı est seul,
aime ä eire seul;quiTuftie monde; retire, isole,
desert (lieu). s.m. —, anachortte, ermite, qui
vit seul. —, diamant isole. Pdssaro —, merle
de roche,, passereau solitaire. Beliyo —, ermi-
tage. Verme —. V. Solildria.
+ Soustaunkııas, 8. P. pl. (b. Pant.) fktes
quinquennales oü l’on ofrait aux dieux des
vietimes tout enticres.
Sorir6pr. V. Sotedade, Solidto.
SOLLEMNE, etc. V. Sulemne, etc.
SoLLevär, etc. V. Sublevar, Suerguer, Sup-
portar.
SoLrieitan, eic. V. Solieilar, etc.
8610, 5. m. sol, terrain. V.Chdo. t. demus.)
Solo : ınorceau jouc ou chanid par un seul.
801.0G18aR. V. Syllogisar.
SoLasıL. V. Selamim.
’BoLonsıhd, V. Lirurgiäo,
SQL 1108
SaLrig20 , . m. a anuches da solell. V. Sal.
SojsticiäL, adj. 2 gen. solslicial, des sol-
stjces ; Qui 8 VApPOrs aux solslices.
SOLSTICIO,, 5. m, Bolstice : point od le soleil
est le plus eluigus de l’6quateur, ot on il sem-
bla stelionnsire ; &paque oü cela a lien.
SoLTa,s. f. entreves pour:les chevauz. (Ag.)
* Lien, attache. Quebrar as -—s, ( fg.) Sompre
tous les liens merauz, meconnaljse lautes Je8
eanvanances, pordre laute veienus.
Söurs, » f. Yastion de delier, de lächer.
Bauts de reohange, de zelais. Lieu od l’on de
telle les baufs pour les false paltze. £i. de
Yener.) Laissor ceurse.
+&8orrine, a (V. Selle), p. p. le Sollar.
BoLsanen, s. m. celui qui derte, qui deutsche;
qui r&yont (une qyession, el0.).
SoLTsuänTe, ade. vilement, prompislLent.,
Eiremenı’ sans emberras, egilement. ( fig.)
ibrement, lloeneigusement.
SoLraniw. V. Suktanim.
SoLräß. V. Soldäp at Sul
SoLtin, 9. e. delier, dutacher. Lächer, der-
serrer, denouer, laisser aller. Lächer, delivre»,
€largir, melire en libert6, relächer. Ressudre,
decides, expliquer, &elairoir. Manifester par des
signes exlörlours ce qui so passe en dedans de
noas. — 0 riso, seilster de rire. — o pranfo,
fondre en pleurs, eic. Remettre (une dette, eto.),
„Martehlr (d'un impst, eto.). Laisser, abandon-
ner. Be dösister, renonoer A, ne pas poursul-
yre. (anf.) Permeitre. — os diques, ouvrir los
Jigues. V. Dique. — amizades, rompre des
aniftiee. —pulderas, lächer, prolerer des mots.
—0 vEHfre, purger. — suspiros, soupirer. — a
diolda , (anl.) remettre une detie. — a diffieul-
dade , rdsoudre une difficulie. — a presa (d’a-
gua), lächer la bonde d’un &iang, etc. — a rd-
dea. V. ce mot. — 0 aror, etc., lächer l’autoar,
ete. — as agquas, [aite Jouer les eaur. — a
roupa ou roupes, de#irousser sa robo, ses v&-
tements, etc.
SoLrir-se, 9. r. ve delivrer, briser ses liens;
se dechatner. Echapper. (Ag.) S’abandonner
au vice, & la debauche, etc. Se debaucher.
— em palarras, parler sans retenne. — em
infurias contra alguem, se dechalner conire
yuelqu’un, — em vento, (fig.) s’en aller en
fumes.
*+Sorrtınamentg, ado. librement, sans em-
barras, agilement.
Sourkıno, A, adj. et 3. c#libataire : libre,
ui n’est poin! maric. Garcon. (anf.) Libre, in-
&pendant, qui se permet tout. Molher —a,
Alle non mariee, deinoisclle. (anf.) Feame ga-
lante, courtisane.
S61T0,A, p.p. irr. de Soltar. adj. Delie,
detache, läche. Elargi, mis en liberte. Libre,
independant, degage. Vile, prompt, leger.
(p.us.) Detendu. Epars, en parlant des che-
veux.( ig.) Libre, qui se permet tout; libre en
paroles ; derezle, dissolu, licencieux. — de
kingua, medisant, impudent, ınauvaise langue,
Lingua —a, mauvaiso Jangue. Fids —a, vie
1108 SOM
dissolue , liconcieuse. + —, profond som-
meit. Verso —, vers libres,, vers blancs. Ande
e diabo —,( fig.) les diables se sont dechaines;
tout est en confusion , sons dessus dessous.
Soı.Türa,s. f. l’action de delier, de lächer,
etc. *EBlargisseınent, delivrance, mise en li-
berte. Agilite, souplesse, dexierite, etc. Li-
cence, dereglement, dissolutlion, debauche,.
Solution, interpretation. — de vensre, diarrhöe,
devoiement. Dizer o sonko e a —, dire tout cs
qui vient A la bouche , parler sans ınönagement.
Viver n’ume — ilimilade , vivre avec une li-
conce sans bornes.
SoLucino, A, p. p. de Solupar.
SoLugaö,s. f. Vaotion de delier, de detacher.
Solution , dönouement, 6claircissernent (d’une
difculte); resolution (d’un problöme). (4. de
ekim.) Solution : union & un liquide en fondant,
sans se docomposer. Payeınent final.
SoLucär, v. ». sangloter; avoir le hoquet.
Tanguer, en parlanı d’un vaisseau.
SoLigo, 5. m. sanglot, hoquet. Tangage d’un
vaisseau. Ter —ı, estar com —s, avoir le ho-
quet.
SoLucdso, A, adj. sanglotant.
SoLurTivo, a, adj. \t.de med.) dissolvant, qui
a la vertu de dissoudre; fondant; lazatil.
SoLöro, a. V. Sollte. Oragdo —e, (p. us.)
prose.
SoLÜVEL , adj. 2 gen. soluble, qui se dissomt.
t SULVENTE, adj. 2 gen. qui a acquiliö ses
deites, ei qui est en &lat de payor celles quil
contractera , solvable. p. @. de
SoLvir, v. a. (inus.) detacher, etc. V. De-
salar. Resoudre, Jıssoudre, etc. V. Resolver.
SON, s. m. son: vibration des Corps sonores,
de l’air; ce qui [rappe l’oule. Ao — de, au son
(d’un instrument), ı Ag.) au gre, selon, d’apres.
Em —,de facon, de ımaniere. Em — de pas,
(fig.) avec un air pacilique. Dizer alto e bom
—, dire tout haut, haut ei clair. Sem Jom nem
—,(/fam. sans riıne ni raison, A lort elära-
vers. Bailar 00 — que se loca, (flg.) S’accom-
moder au leınps, aux circonslances : hurler
avec Ics loups, vrier selon les terups:: Vive le
ui: vivela Ligue! Bailar a qualquer —, (fig.)
ceder d la premiere impression , lourner & tuut
vent.
Su. variation antiquee du verbe Ser, pour
Su \ı je suis).
Soua. V. Somma.
Suuaca. V. Sumarca.
Souapa. V. dssumada, Allura.
"Susänı. V. Semana.
Susan,eic. V. Summar, elc.
+ SomaroLocta, 8. f. somatologie : trait& des
parties solides du corps humain.
Somarna, s. f. ombre: obscuril® causee par
l'interposition d'un Corps opaque; espace prive
de lumiere;, sa representation; ce qui l'imite.
"Ombrage : asserublage de branches, de feuilles
qui donnent l’oınbre. | fig.) — , protecijon, fa-
veur, appui; prelexte; pelit defaul. —, appa-
rence vaine. —, specire, fantöme —, coulauır
SOM
ebsoure employde dans un tables. V. Om
drins. Faser — ‚ donner de l’ombre, proleger,
Faser — a alguem, (flg.) porter ombrage I
quelgu’un : on le dit d’une personne gei a
eclipse une autre par son merite. 4’— de, 14.)
avec !’appui de, sous les auspices de ; 5003 pre
texte de. Por d —, (fam.) melire en prisee.
Nem por —ı , pas l’ombre, point da iont, dı=
cune maniere. —s, pl. oımbres, sonleur eb-
scures, en peinture; obscurit6, tWmebres. —t
dos morlos , ombres , mänes.
* Sounaacäa. V. Sodragrer.
SOMBREIDO, A, P. p. de
BousazAr, 9. 6. ombrer : mettre les ombrus
: un tableau. Ombrager : donner, lsire de om
Fo.
+ Sommatına, s. f. p6tasite, plante.
Sousasınkıno ,s. m. chapelier : eelui qui ll
et vend des chapessz.
SOMBREIRINNO, 5. m. dim. de Sembreir. -
de m#o ou de sol, petit parasol de deme, m
breile. —s do teikado, nombril de Vena. \.
Comchellos.
Sousatıao, 5. m. V. Chapte. (Ag.)Ce qii
donne de l’ombre. Nom d’un peisson men
trueux,
Sounatatre, dim. de Sombreire.
} Souaaia,s. f. oiseau qui ressesmble au «=
chervis.
Somaninua, 8. f. dim. de Somöre. Peite
ombre.
Sowario, A, adj. sombre, obscar, ombrapk
(Ag) Taciturne, melancolique , morne.
Son2n080, A, adj. sombre, obscur. (Qu deoa®
de Pombre.
Somkınos, 8. m. pl. sommiers d’impriment.
Soutnos, adj. 2 gen. inferieur, de wend
valeur. .
SOm£nTE, edv. seulement; rien que #
—..., BERdO OU ME8..., Hon-seulemenl.., BA
encore... — 03 meninos, elc., rien que Id #8
fanıs, etc. V. Sequer. Excepte, hormis (#8.
Tdo —, uniquement, simplomen!.
86 — Comsigo, ne prendre conseil que de a.
Souzacka. .
SOMERCIR. | V. Submergir, eice
SomErEa, elc. V. Submellter, Sujeilar.
* Sosichas. V. Semiches.
* Sonicno. V. Submisso.
Suuir, eic. V. Sumir, ete.
Somissaö. V. Submissdo.
Somitscania, 5. f. 4. ewig.) avarice, Il
nerie. ‚ant., Sodomie.
SonitEco ou Souitico, A, 8. (4 only.) araftı
erasseux, vilain, chiche. (anf) Sodomile.
* Sosıtisento,. V. Submelimento.
SOmMA,s. f. somme : quantils d’argent: f%
sultat des sommes ajoulees; addition; Wu,
ensemble, portion. ( ig.) * Abrege, recapitalt-
tion, sommaire, subsiance, eic. V.
Somine : vaissesu marchand chineis. —
gente, foule de monde. — de males, loulh &
maux, des maux & l’infini.
SONMADO , A, p. 9. de Sommar.
SON
Soınsia, u. 6. sommer : trouver la sommc de
plusieurs quantites ; additionnef. Abreger, r6-
duire. v. ». Monter &. Conia de —, addition,
operstion d’ariihmetique.
Bouuin-se, vo. r. V. Besumir-se, Cifrar-se.
Soumäirıo. V. Summeario.
SONNETINENTO. V. Submettimento, Swjeipdo.
SONNAMBULISMO ‚3. m. somnambulisıne ; ötat
du somnambule ; röve en action.
SOMNÄNMBULO, A, adj. et s. somnambule : qui
agit et parle on dormant,
SOmNiFERO, A, adj. somnilöre : qui PFo-
voque, qui cause le sommeil.
SOMNINHO, 8. m. petit sommeil. dim. de
SOMNO, 3. m. sommeil, SOoMme, FOpos; en-
lier assoupissement des sens; grande envie de
dormir; (Ag.) indolenee; illusion, insensi-
bilite. (4. de bot.) —, tat d’une fleur, d’une
feuille qui s’est ferme&e. — ldve , sommeil löger.
— pesado, sommeil profond. Dormir a — solto,
dormir d’un profond sommeil. Levar toda «@
noite d’um —, faire sa nuit tout d’une piece.
Vonsos que fazem — , des conies ä dormir de-
ur...
SONNOLRNCIHA , 8. f. * assoupissement.
SOusoL&nTOo, A, adj. accable de sommell,
a8s0upi ,, endormi.
Souönts. V. Simonte.
*Sonäsas. V. Soalhas, Pandeiro.
Sorincia, s. f.’ton de musique. V. Conso-
nancia.
Soränts. V. Soante, Sonoro.
Sonita,s. f. sonate : piece de musique in-
sirumentale ou pour le piano.
t SöncnHo, s. m. (. de bot.) V. Serralka.
SönDa, s. f. sonde : instrument pour sonder
les plaies,, les voies urinaires , etc., pour con-
naltre la profondeur de l’eau, etc. (1. de war.)
Endroit de la mer dont le fond est conna ; fond
que touche la sonde. Tomar a— , sonder, au
propre et au figure.
Sonpipo,A,P.9.de
Sonpän , v. a. sonder : chereber a connaitre
la profondeur, la nature du fond par le moyen
de la sonde ; melire, empioyer la sonde dans
ung plaie, ete. ; (g.) tächer de connalire ( l’in-
tention, la pensde, elc.).
+ Sonvantza, s. f. (tl. de mer.) ligne de
sonde , la sonde elle-meöme.
* Sonpes, varialion antique du verbe Ser
pour sois (vous &tes).
SONEGÄDAMENTE, ado. en cachette, furti've-
ment.
SONEGÄDO, A,P. 9. do Sonegar.
SOnecaDöR, A,s. celulquicache, qui recdle,
qui denie , rec&leur.
SONEGANENTO,, 3. m. rectlement: action de
receler, de cacher ; soustraction frauduleuse.
SONEGCAR, v. @. cacher, receler, soustraire;
denier, nier. — cabedaes e obrigardes acliows,
(8. de comm.) detourner des efleis au prejud ice
de ses cr6anciers, detourner leurs effeis, les
soustsaise frauduleusement,
PORT.-FR,
sop 1108
+ Soxstiie , o.o. ein. (burl.) lalre, röcitee
des sonnets.
Songtista ‚s. m. faiseur de sonnels.
Sonkro, 3. m. sonnet : ouvrage de po6sie,
de quatorze vers; deux quatrains et deux ter-
ceis.
SORBADO, A, pP. p. de Sonkar.
SONHADOR , A, 3. SOngeur, celui qui racont,
565 songes , qui y ajoute foi; r@veur, qui röve,
qui s’abandonno aux röveries.
Sonmar (com ‚em, que), o. a. et #. SONgErT,
faire un songe ,r&ver. (fg.) Röver, laisser errer
son imagination ; mediter legerement; dire des
extravagances. — com alguem, röver de quel-
qu’un. Sonhei com meu pai, j'ai rev& A ınon
pere. Nem sonhdl-o, n’avoir pas la moindre
pensde d’une chose. Ndo sonho em oulra couse,
je ne reve que cela, c’est mon reve.
SONHO, 8. m. songe, r&eve. (fg.) —, chose
vaine qui passe rapidemen!. (id.) Revo : espoir
mal fonde; id6e chimerique. Nem por —s, pas
meme en songe. Em —s ou enfre —s, en SOnge,
en dormant. it. Pet de nonne, espece de bei-
gnet.
Sonino,s. m. son, hbruit, fracas. Timbre.
+SoniL, s. m. (4. d’Asie) titre d’honneur
chez les Persans.
SoniPEDE ‚adj. 2 gen. (podi.) qui Lait du bruit
avec les pieds.
Söno, etc. V.Sommo, etc.
SONÖRAMENTE, adv. d’une maniöre sonore
karmonieusement.
Sonontuto. V. Somnordnio.
Sonoripäne, 5. f. qualitö de ce qui est 80-
nore, barmonie. * Resonnement.
Sonön0, A, adj. sonore : qui a un son
beau , agr6able, &clatant ; ronflant. Resonnant,
bruyant. O — da vox, la netiet6 de la voix.
SOnorösamentE , adv. harmoniousement;
d’un ton, d’une voix sonore.
Sonoa6s0, A, adj. sonore, reösonnant. V.
Sonoro.
Sonöute, s. f. "erepuscule du soir, la nuit
fermante,
Sössa ,s. f. simplieits affecteo. Pelsa—, en
sournois.
Sonsice, s. f. simplicits affectee.
Sönso, A, adj. fin, ruse, dissimule, qui al-
fecte un air de simplicite, qui fait le nieis;
sournois, qui cache ce qu’il pense; qui medite
le mal en silence.
SOnsoxtte, 8. m. quantitö, nombre, PFO80-
die d’une langue. (fig.) Ton de voix railleur.
"800. V.Sob.
* S6oDEs pour vös sois (vous tes).
* Soopt. V. Sobpe.
Söra, s. f. soupe, polage : tranches de pain
irempees dans du bouillon, eto. — de vinhe, de
cavallo cansado , soupe au vin, soupe & l’ivro-
gne ‚soupe au perroquet : pain tremp6 dans lo
vin. Molkar a —, tremper la soupe. Bebado
Como ums —, soül comme uno griwe. Bslar
fetlo uma — , ötre iremp6 comme ut16 SOUP®,
ötre mouill& jusqu’ä la chemise, j.erc6 jus-
zo
„rn.
1106 sop . “ 8OR
’ alguem,, manger lo | dre, ealmer pour un tenaps (des deulews &
in de larane u ’ er gubs, des passions violentes, eie.). (A) Ir
Sorina , s. f+ (fam.) beaucoup de soupe. peeher "öclat, tes progrös, les suites dun mul.
Sopiö. (burl.) V. Beberröo. d’une sedilion, etc.; comprimer, doußer.
SoriPo, s. m. coup sur les Jou6s gonfises de | Sortro, A, adj. assoupi , endormi , appeseil.
vent. Sous-barbe , relöve-menton.
Sopt, s.m. V. Cambapd. 40 —, auprös.
SorzinO , A, p. p. de Sopear.
V. Sopitar.
“SnronTanöra, 5. f. polnis sous un meipel!
lo faire reımarquer.
SOPEADOR , A, adj. et 3. qui röprime, qui a8- “ SopoNTir, 9. a. meltre des poinls mu
sujettit, etc. mot pour fe faire romarquer.
SOPEAMENTO, 3. m. action de contenir, de SoröR. V. Sotopör eı Bupper.
reprimer, etc. ; assujellissement. Soroni2o. V. Soperifero.
SOPORATIYO, A , adj. soporatif: guiala rel
d’endormir.
Soronirsro, A, adj. soporifäre, soporläge:
qui falı dormir.
BoPORIZÄR, ©. @. asSoupir, endommir.
Sorondso, A, adj. soporeux : qui cut
assonpissement.
“BOPORTAMENTO, 5. um. entreien. V. Ds
Sorzir , v. a. fouler aux pieds; assujetlir;
contenir, r&primer, comprimer, apalser. (Ag.)
Dominer, gourmander, maltraiter.
"Sorte. V. Sope.
Sopfıra , s. f. soupiere : vase pour la soupe.
Sorp£ıro, 8. m. soupier : mangeur de soupe.
Porasite.
Sorptna. V. Sobpena.
SopErERocAGäd. V. Supererogapdo.
SorEsÄDO, A, p. p. de
SopEsÄR, v. a. soupeser : soulever un COrp$
pour juger de son poids. Brandir, mettre en
branle, tenir en &quilibre. (fig.) Donner avec
&conomie. (ant.) Souffrir.
SOPESÄR-#B, 9. r. se tenir en dqailibre. Pla-
ner, en parlant des olseaux. (com) Etre contre-
balance, eire compens®.
SOPETEÄR, d. a. et m. Saucer : tremper (des
tranches de pain) dans la sauce.
SOPHETIM, s. m. juge chez les juifs.
lenga.
Soroarin, ete. V. Supporter, eic.
Sorsetro. V. Supposto.
Sorkäno, A,Pp. p. de Soprar.
SOPRABOR , A, s. souflieur, celeigei me.
(Ag.) Boute-fen : qui sonfle le [eu de his
corde.
Sorrir, ©. @. ei m. souflier.V. Apr
Ebrouer, s’ebreuer, en parlant du cbersl.
Sorassin. V. Apresdr et .
" Sopricagäö, etc. V. Supplicapde, eit
SorriLRo , s. m. stoße de zul Iresiigin.
Sorsi. V. Sof. Borniör , 5. m. SOuS-prieur.
Sornfa. V. Herva sophia. SOPRIOREZA , 5. f. Sous-prieure.
Sornisma, s. m. sophisme : argument cap- | Soraia. V. Suprir.
BörRO, s. m. souffie. V. Assopre. -Dum
lo, <hrouement : ronflement de cherel !
eur.
Sogumızäno, A, adj. nous, attacht mei
menton.
Soqusıxo, s. m. tour de mouebeir @*
menton.
Sogutrz, s. m. refouloir : instrameni FF
beurrer les eanons. — de code , (1. de mer. *
fouloir de corde.
Soquersin, o. e. refouler arec ie relasiet.
Soqtir, v. a. (1. burl.\ rmangeren card”.
Sör. V.Sorer.
Sonia, v. a. convertiren pelit-lit
°SoravaLHina , 3. f. frults &pars.
Sonptıra. V. Sorveira. ,
Sonaona ‚s. f. Sorbonne : maison de 1 *
eultö de theologie A Paris; (fg.) ceue rw
Doutor, bacharel da — , sorbonnisie : Lt“
hachelier en Sorbonne.
° Sörca. V. Capoeira ou Sarpe.
Sörva. V. Acorda.
SönDEs ou | (1. dechir.) mathire same!
f.
tieux , qui ne conclut pas juste.
SorsısmÄr, o. n. faire des sophismes.
SoPHIsMÄTICO, A, adj. qui concerne les s0- | P
phismes.
Sopuista, s.m. sophiste : philosophe ancien,
principalemen: entre les premidres &coles grec-
ques et Socrate; rhöteur; qui fait des sophis-
mes. '
Sormistania 0% } argutie, fausse subtl-
Sormsteria, 8. f. I lite dans le discours,
dans le raisonnement, sophistiquerie.
Sornistickdo, A, pP. p. de Sophisticar.
Soruisticaminte, adv. d’une manidre 80-
phistique.
Sopgistichr, ©. @. dw. sophistiguer : subti-
liser avec uxcös,
Sopruistico, A, adj. sophistique : trompeur,
captieux (reisonnement).
+ SoruöcLeo, A, adj. de Sophocie, podte
grec.
+Sornuomanla, s. f. sophomanie : manie, af-
feelation de philosophie, de sagesse.
SOPRRONISTAS, 3. m. pl. (1. d’ant.) sophronis-
tes : cenaeurs a Athenes. Sonpicık , 8. des pleies-
Y_Sorinn«,s. f. dim. de Sope. Petite soupe, | Sonpipamanız, ade. sordidement
soupe [riande. Sorpınkz 0% sslett, maiproprei M-
Sorisra. V. Sopeiro. Sonvınkza,, 2.f. } Impurets, eia Sort:
Soriran,v. @. WBOUPH, enrdormir: ayerern- } SceninO, A » adj. aale, malprepre. |
put, Indecent, scandaleux. Sardide, sale, vi-
ain; orasseux, mmesquin; vil, bas. Zuero —,
sordide interöt.
ORDINA, .
-BORDIR, elc. V. Surdi... elc.
+ Son, e. f. (&. de gdog.) Borla : ville de la
Vieltle-Castille, on Bspagne. (f. Sorte de bure.
+ Sorıäno, A, aulf. ei s. do Boris.
Sonitzs, s. m. (f.de log.) sorite : argument
form6 d’une sults de propositions acoumıuides,
ineoberentes entre elles.
+ Sontincas, s. f» (4. de gdog.) Sorlingues :
tles de la o6te de Cornousilles (Angl.)
Sönna, s. f. lenteur & agir, nonchalance.
(Ag.) Fiegme, tenteur, paresse affectte. s. et
adj.2 gen. Lent, nonchalant, paresseux, lam-
bin.
+Sonnär, © m. (p. us.) lambiner, agir ien-
tement.
Sonutıno, A, adj. lambin, qui agit ionte-
ment. V. Sorsa.
8öno, 5. m. potit-laft. * Särosit# ı humeur
serense du pericarde ou du sang.
SoRönEOo,, A. V. Serodio.
Soroukwnuo. V. Saramenko.
SÖROR, 8. f.saur : titre qu’on donne aux r®-
ligieuses.
Bon6so, A, mij. söreux : aqueur, charge de
serosite.
SorFruruSHR , atc. V. Surprender, ete.
SORRABÄDO, A,P. p. de
Soarnanir, ©. a. fünus.) balser sous la queue.
(Ag.) Flagorner, valeter. V. Bajwlar. dt. V.
Rabear.
Sonnits, 8. m. De —, edo. (durl.) a la 44
robee.
SORRATSIRAMENTE, adv. adrolitement, mall-
cieusement; & la derohte.
Soarnarkıano, A, adj. (fam.) malin, russ,
sournois, malols, espiegle.
* Soragıcöm. V. Subr
Bonatıra, s. f. (burl.) matoiserie. A’ —,
pela —, ala dsrobte, aveo dissimulation, em
sournois, en tepinois.
Sorn£Lro, A, adj. (buri.) matois, fin, ruse.
+ Sonamäntz, adj. 2 gen. qui sourit. V. Ri-
Sonaipo,A,p. pP. de
Soarir, v. #%. OwW—sE, ©. Tr. sourire : rire
sanıs dclater; margquer de la oomplaisance, de
’amour, de Yaffootion, ete., par un sourire;
presenter un aspect agr&able. — para alguem,
so urire & quelqu’un.
Sonriso, s. m. souris, sourire : ris iger, ris
m odeste; action de soarire. V. Sorrir.
"SORROBOLHADOURO. V. Varredouro.
SORTE ‚3. f." sort: destinde considerde comme
ca use des &r&nements de la vie; effet de ia des-
iinee; etat, condition; renoonire fortulite des
sv enoments ; manidre de döcider une chose par
le hasard ; destin,, son influence, ses decisions,
etoile, fortune, fatalit6. Sorte: classe d’indt-
vidus ow subdivision d’une olasse; esp&oe,
gpare; manidre, fagon, Htak, condilion; gus-
SOR 1107 -
Hs. Coap heurenx, ooup de fortune ‚au Jen.
L’action d’attaquer, d’agacer un taurean en }ul
presentant un manleau , et s’esquivantlorsqu’il
vient frapper. Hiller de loterie, tot. Boule pour
tirer au sort. Portion, lot, partage. De—, de
sorie,, de fagon que, de maniäre, alnsi. De
nmeira, segunda ou fereeira — , de premiöre,
seconde ow troisi6me qualite. Deitar —s,tirer
au sort. Caber om ou por — ,salr em — , 6choir
en partage. Calo-IAs, saio-IKe a — le sort est
tombe& sur lul. Faser uma — on —s ao louro,
attaquer le taureau, le oombattre & pied, en
l’exeitant aveo le manteau ou autre Chose dqui-
valente. Bst4 lancoda a —,, le sort en est jete.
N60 estar conlenis com a sua — , &ire möcon-
tent de son sort. Toda a — de animass, eit.,
toutes sortes d’animaux, etc. De oda a—, de
toutes sortes, de toutes facons ; en toutes SOT-
les, en toutes manidres, etc. Procoder d’esta
— ‚user de la sorte. —s, pl. loterie.
Bontnackd, s. f. V. Sorleamento.
SoatzEinpo, A, 9. p. de Sortear. adj. Tire,
jet& au sort. Assorti. V. Soritido.
BORTEBADOR, 9. m. olui qui tire om fait tirer
au sor!.
Sortrzauento. V. Sorten.
SonTzär, v. a. liter, jeter au sort, ballotter.
V. Rifar. Foornir, pourveir, assortir. (flg.) V.
Aquinhoar.
*Sonreoin, ete. 7. Sorlear, etc.
Sorrtıo, s.m. action de jeter, de tirer au
sort; balloitage. Assortiment; provision.
"Soattıro. V. Sorisader.
"Sorrtıa. V. Soriija ei Sortilke.
Sorrto ow Sonrtro. V. Sorteio.
Sortipa, #. f. (4. demil.) sortie: attaque falle
par les assieg6s; Issue, ouverture. Poterne s
fausse porte au bas de la courtine, etc. (flg.)
Porte derobde.
Sorripo, A, P.9. de Sorfir. adj. Assorti;
ourvu.
"Sonrisa, 0. fı bague; bijou. V. Sorfilha.
SorrıL£cıo, 8. m. sortilge : malefice deu
pretendas soreiers; charme, enchantement;
sort, diablerie, nouement.
SonriLn00, s. m. faiseur de sorifiöges , sor-
eier.
*SorriLna, 8. f. bague: anneau qu’on porie
an doigt. Anneau de rideau, etc. Correr —,
tourir la bague. V. Argolinha.
SORTINENTO, 3. m. assortiment; prorision.
Sorrir, v.a. sortir:obtenir, avolr, produire.
Fourtir, yourvoir. Avoir en partage. — effeilo,
sorlir son elet; r&ussir.
Sontia,v.». avoiz son effet, obtenfr.
Sorrir-sE (de), vo. r. s’assortir, se pourvoirz
so fournke.
SorumsÄtico, A, adj. sombre, morose, 1a-
eiturne, m6laneoligue, röveur.
Bönva, s. f. sorbe : fruit da sorbier, corme.
Sorvino, A, p. p. de Sorber. adj. Diet.
Pöra —a, poire biete, trop möüre, & demi
urrie.
SorYin,o. a. rendre biet (le fruit), Küter.
1108 S08
SoRvÄR-SE, 0. r. commenoer & 50 gäter, de-
venir blet, en parlant des fruils.
SORVEDÖURO , 5. m. koullre.
Sorvsoüna, a. [. aciion de humer, de boire,
d’avaler en aspirant. V. Sorvo.
Sonvkına,s. f. (1. de bot.) — mdnsa, ° S0l-
bier domestique, cormier & fruit en forme de
poire. — bravs, sorbier saurage, 00rmior sau-
vage, cormier des oiseleurs.
Sonv£ka, v. a. humer, boire, avaler.en aspi-
rant; avaler ä petits traits. ( Ag.) Absorber, en-
gloutir, emporier. (id.) Endurer, souffrir pa-
tieınment. — 0 ranko, — pelo nariz, renilier.
SORVETE, 3. m. sorbet: breuvage, composi-
tion de citron, de sucre, d’amhre, ete.; jus
sucrö de fruits (rais avec de l’eau.
SORVETRIRA , 3. f. sorbeliöre : vase pour geler
les sorbeis, etc.
SoRVviDO, A, 9. 2. de Sorver. adj. Englouti.
(Ag.) V. Absorto, Enisvado.
SORVINNO, 3. m. pelit trait, petit coup, petite
gorgee. dim. de
/ SET
SösTau. V. Costre.
S6TA, s.m. pnstillon qui conduit des eberser
de volde. Gargon d’ecurie. Chef d’en cerps de
melier, etc.
SOTA, s. f. anciennement c’&tsit le valei a8
jeu de cartes,, aujeurd’bui e’est la daımne.
Söta, pröp. qui entre dans la compenlisn
de plusieurs mots. Sous, vice, secend, a»
cond.
SOTAALNIRÄNTE, 8. 9. vico-amiral.
+ SoTacarırinka, s. [.vaisseau vios-smml
f Soracapıräö, s. m. lieutenant.
+ SörTacocukıno, s. m.coocher en second. !.
Sois, s.
+ SOTACONiTRE, #8. m. SouS-comite de gr
löre : argousin.
f SOTAENMBAIXADOR , 5. m. ambassadesr su-
dessous d’un autre, qui le remplace.
+ SÖTAESTRIBEIRO,, 3. m. SOUS-Ecuyer.
SoTäına ow sonlane : habit long des
Sorina,s.f. } prewes.
Sorinsziuua,s. f. din. de Sotens. Seuis-
Sörvo, s. m. l’action de boire, d’avaler. | nelle.
Coup, trait, gorgee de liqueur. Aos —s, ä pelits
trails.
* Sosino. V. Desembaraco , Resolugdo.
SosLäl0, s. m. Ce mot n’ost usile quo dans
les phrases: do —, de,em — , de biais, de tra-
vers.
’ * 8030 ou Suso, adv. ci-dessus. — dilos, sus
ils.
SosopräR, etc. V..Sossobrar, etc.
OSPEIGÄÖ,
SOSPEITAR, eic. V. Suspel..., elc.
Söspıta, adj. f. (podt.) V. Salvadora.
SOSQUINABO, A, 9.9. de _
SosQtinär, v. a. incliner, penchar.
Sossecir, eic. V. Socegar.
“Sosso, a,adj. Pedra em —a, pierre sans
eiment. V. Ensosso.
SossösrA, 3. f. V. Sossobro.
8oss0saino, A, adj. (fig.) trouble, agite,
inquiet, chagrin. p. p. de
OBRÄR, ©. a. submerger, noyer, couler &
fond. (g.) Troubler, aflliger, chagriner. vo. n.
Rıre en peril, battn par des venis contraires,
en parlanı d’un vaisseau. Faire naufrage, cou-.
er atond, sombrer. ( ig.) Courir risquo, ötre
en danger de se perdre. (id.) Se troubler ; s’al-
iger, s'inquieter, se chagriner.
SOSS0BRETA, 5. [."mauvais augure, guignon
(au jeu). V. Grima, Zanga.
BuSSOBRO, 5. m. *submersion, naufrage. (Ag.)
*Perturbation, inquistude; peril, danger.
SOSTENTAGÄÖ,
SORTENTAR, alc. } V. Sustent..., etc.
SOSTER, ©. a. soulenir, Supporter; appuyer;
( Ag.) protöger, souffrir, endurer.
SOSTER-SE, ©. @.. 86 SOulenir; se conserver;
se retenis, se soutenir. Se soulenir : dtre ferme
sur ses jambes.
Sostivo, A,p. p. de Soster. adj. Soutenu.
Sostım&nto, s. m. l’action de soutenir. Soa-
tieg , appui. (ant.) Maintien, antretien.
en
SöTÄ0 , 3. m." cave, souterrain, volts ser-
terraine ; soupente. Piöce , chambre as reı-de
chaussee,
SOTAPILÖTO,, 5. m. socond pilote.
Soriquz, a. m. bon mot, riposte, beucanl,
saillie enjoude et plaisante.
SOTAVASTEADO, A, adj. mis zeus je vom
(vaisseau). p. p. de
SOTAYERTEÄR, ©. a. (6. de.mear.) zusütre b
valsseau saus le vent.
SOTAVENTEÄR-SE , 9. r- perdre le des da
vont, relalivement A un point quelcosger, en
parlant d’un vaisseau.
SOTAYERTO, 5. m. (1. de mar.) le demeus da
vent. Göts du vaisseau sous le vont, appeseä
celui:d’ok vient le vent. Cosiade de —, ob
sous le vent. A — da costs, sous le vent de a
edle; Al’abri de la cöte.
SOTEA ou SoTka, s. f. "terrasse, plate-ierme,
beivedere : espöce de galerie couverie ou &=
couverte, pratiqu66 au haut d’une maisee. 2
. Scläo.
Sorkaıa,s. f. piece de vers en isusugt.
ou plulöl poßme sur le relablissement de &
santö d’une personne.
Soreaim. V. Sopkelim.
* SOTERNOCAMÄNTE. V. Sorralsiremiai.
‘ *SOTERaRAGOM, 5. f. V. Soterramento.
SOTERRAÄDO, A, 9. p. de Soterrar. ady. Er-
terre. Souterrc, qui se cache seus la ker
(frait).
SOTERRANENTO , 5. 9. enterreiment, iaben+
tion.
SOTERRÄNKO.
* SOTERAÄNHD. } V. Sublerranse.
SOTERRÄR, v. a. enterrer : meltre en ierfe
(Ag.) Enterrer, enfouir, cacker avec soin. I
est aussi reciproque.
SoTErnänno. V. Sublerraneo.
SOTBESOVRKIRO , 3. W. BOUS-Lreserier.
Bovwira ‚adv, (buri.) sous cape.
ng
SsoV _
Sorir, ete. V. Subti, etc.
86T0 , adv. sous, dessous. V. Söla.
S0T0 ,s. m. V. Suuto.
SOTOALMIRÄNTE. V. Sosaslmiranle.
Borocarırkd.
Sorococakiro. V. Sota..., elo.
SOTORMBAIXADOR.
SoTOMAsSTRE, 3. m. (1. de mar.) sous-mallre
de vaisseau.
SoTonınisTRo, 8. m. sous-minisire.
SOTOPENITENCIÄRIO, 3. m. sous-p6nilencier,
alde du p£nitencier.
SororiLsT0. V. Sotapiloto.
SoTOPÖR, 9. a. meltre dessous. "
SoToPr6STo, A, p. p. de Sotopör. adj. Infe-
rieur, qui est au-dessous.
SOTRANCÄDO, A, p. p. de Sofrencar.
SOTRANCÄÖ, dA, adj. (1. vulg.) malicioux,
dissimul&, sournois,
SOTRANCÄR, d. @. intercepter. V. Abarcar.
Sorver. V.
SoTöRno, A, adj. sombre, melancolique;
tfrisie, noir.
Söuro, s. m. bois, bocage touffu. * Chätai-
gneraie.
*Sourro. V. Essoufro.
Söva,s. f. bastonnade; volede de coups.
Söva,s. m. (1. dAfr.) gouverneur de pro-
vince, en quelques royaumes de l’Afrique me-
ridionale.
Sovico. V. Sobaso.
Soväno, A, p.p. de Sover.
Sovanöna, s. f. * pötrissage; aclion de frai-
ser la päte. V. Sovar.
Sovaqu£rg, s. m. l’action de prendre la balle
de paume, etc.
Sovir,v.a. petrir la päte; fraiser, bien p6-
trir. (Ag.) Rosser, batonner, donner une volee
de coups.
SövaRo, V. Soversiro.
SovtLa, s. f. alene : outil de eordonnier
pour percer le cuir.
Soveräpa, 8. f. Coup ow pigqüre d’alöne, (Ag.)
Sollicitation pressantie, instance röpeice.
SovgLid, s. m. aug. de Sovdla. Grosse aläne.
Falla de —, ( fam.) voix eriarde.
SoveLtıno, s. m. alönier : qui fsit et vend
des alenes.
SoveriL. V. Sobral.
Sorsaztıro, 8. m. ($. de dof.) liöge : sorte de
:thene vert, chene-lidge.
Söanzeno. V. Soverdiro et Sobro.
Soventik, otc. V. Subverter, eio.
SovEatıuknto, s.m. V. Subuersädo.
Sorina , s. f. eheville de bois;; tenon, queue
d’aronde ow d’hirendelie. * Poignard , eonteau.
Sovina, s.? een. (6. vulg.) missrable, ladre,
Chiche, avat?, orasseux.
7Sovınipa, 3. f. coup, plgüre d’un instru-
ment aigu. (flg.) Brocard treös-piquant, tres-
mordant.
Sovisir, v. @. piquer, enfoncer un instru-
ment aigu. ( Äg. durl.) Brocarder, .piquer par
des raillories mordantes.
SPL
Sovınaria, s. f. lesinerie, Iadrerie.
S6zixsno, a, adj. dim. de Sö. Tout seul,
seulet.
Sp. | Pour tous les mots qu'on ne Lroure pas
par Sp, voyez & Esp.
}Sracraica, s. f. spagirie, chimie ; chinie
Spagirique.
‚T Sracizico, A, adj. spagirique, de la spa-
girie. .
tSriu ou Spimo, s. m. spehi : cavalier
tuorc.
+ Sparapnäro, a. m. (4.do chir.) sparadrap :
toile irempee dans un emplätre fondu.
Spiro, s. m. spare. V. Pargo.
Spancir,, eio. V. Espargir, olo.
TSparTinco, s. m. (b. d’hist, nal.) spalangue
94 spatague : coquillage, oursin.
Specutäsıa. V. Gatöptrica ei Erpecularia.
Sperrär. V. Despeildr ou Espeiler.
* SPERGUNTÄR. V. Perguntar.
SPERMA, eic,
SPERMACETE, ete. | V. Esporm..., etc.
SPHACELÄDO
SprAackLo, el. } V. Esphacel..., etc.
SPRENOIDÄL, adj. 2 gen. sphenoidel, du sphe-
noide.
SPHENÖIDE 0% SPRENOIDEO, #3. 7. (1. d’anst.)
sphenolde, basilaire : 08 de la 14te.
SpH£RA, eic. V. Esphera, etc.
SPHERIDIOS, 5. m. pl. (f. d’hist. nat.) spböri-
dies : col&optöres, pelils, Fonds, qui vivent
dens la bouse, Spheridio em forma de crebo,
spberidie A qualre taches.
Sputspa,s. [. (6. d’hist, nat.) " sphex, guöpe
solitaire. — figulins ou oleira, la ligule, sphex
potier. — dos camimhos , sphex des chemins. —
fusce, sphex brun. — exaltada, spbex orne.
— variegade, sphex varie. — spiropifice, sphez
tourneur. — lobulada , sphex vert dore. — ss-
bularia ou do sasbro, sphex du sable, — are
naria ou da arda miuda, sphex du grarier.
—s [oseadoras ou coveiras, les fouisseurs.
Spuincten. V. Esphincter.
SPRIinx 04 SPHINGE, 3. f. " sphinx : Monsire
fabuleux; (4. d’hist. nat.) sphinx : inseeto lepi-
doptere.— diropos, aphinx tEte-de-mori. — dos
eupkorbios, sphinx du tiihymale. — das planılas
estrelladas, la sesie des rubiacdes. — da fili-
pendula, la zigine de la filipendule. V. £s-
1109
6.
Spicaninno, s. m. (f. de bot.) spicanard : nard
indien.
SPıRÄCULO, 8. m. (P. us.) *respiration, souflle
de la vie, inspiration. V. Espiraculo.
} SeLancmnocrarpia, s. f. splanchnogra-
phie : description des viscäres.
+ SpıancunoLocia, 8. f. splanchnologie ;
trait6 des viscöres.
+ SpLanchnoronmia, s. f. splanchnotomie ;
dissection des visceres,
+ SpıenaLcia, 8. f. ($. de med.) spienalgie ;
douleur de la rate.
Spuänsco, A, adj. splönique : conoernant ka
rate.
1110 STH
+ Spuenbrn, s. f. (1. de med.) splönite : inflam-
mation de la rale.
+ SpLexocrarpula , s. f. splönographie : des-
eription de la rale.
+ SeısunoLocka , 8. f- splönologie : Iraild sur
la rate.
+ Srı.exoromia ,s. f. splönotomie»dissection
de la rate. VR
Sronop&o. V. Espondeo.
+ Sronpruwa, 6. [. (u. C’hist. nat.) epondyle:
col&opt£ere.
Sponsr'Lo,s.m.pendyle, veriöbre.(t. d’Rist.
nat.) * Spondyle : ooquillage bivalve du genre
de P’hultre.
* Spnenuntir. V. Zaperimeniar.
’Ssı. V. Sua.
Pour sous les mots qu’on no troure pas
ar. par St, voyez & Bst.
’Sta. V Bıta,
Stipa.
STADI0.
Stapo, elc. V. Beta..., eic.
STAGnAGäb, ale.
"StiLa,s.f. Presepio, Curral.
’SrALLo, s. m. "stelle : sisge de bois dans le
chaur.
Srinca. V. Bstanga et Fnstamcia.
StaruıL. V. Asorragus.
+ StaruıLino, a. m. ($. d’hist. nat.) staphy-
fin » Inseote eoldoplere. — felpudo, staphylin
iricelore. — de grande queizo, stephylin & mä-
eheires.--cor derato, staphylin gris de souris.
—d’elyiros vermelhos, staphylin & eiyires rau-
ges. ribeirinko, lo pedere des rirages. —
rwioo,, l’oxypore roux.
Srarnısacat. V. Estapkysagria.
Stise, s. f. (f. de med.) stase : s4jour, im-
mobilil6 du sang ow d’humeurs dans les veines
vapillaires.
T Starsouonn, V. Bslathuder.
TÄTıca.
aenh. } V. Etat...
+ Steatirg, s. f. stäalite s marne fouilletde,
dissoluble, savonneuse.
StuaröckLe. V. Kslealocela.
Stearöua. V. Esteatoma.
“Sreoz pour Esteve, Il a 846,
STEGANOGRAPHIA , 610.
STELIONATO,, otO. } Ve Bile..., eis.
i Stano,s. m. (6. d’hist. nal.) stöne, coldo-
re.
STEXOGRAPHIA, elc.
STEREOCRAPBIA, etl,
STEREONETRIA, Elc.
STEREOTONMIA, eic.
ÖTERROTYPAR, Bil,
STERNO, eis.
’STEvVaniug, s. m. V. Eslıva.
"STRVÄDAMENTE. V. Bssivadamenie.
TSrutua, s.f. (1. de med.) sıhenie : force
des fibres musculaires.
tSIrutmco, a, adj. (1. de mdd.) sihönique ı
quiaffermit,, qui fortifie.
Vv Ester. 6.
suUA
Sricua, etc. j
STIPULAR. lc. | V. Eiti..., elc.
*Srto.V. Isto.
StöLıno. V. Aatolide.
+Srowöxva,s. f. (f. d’hist. nal.) siamsır:
insecte diptere.
STRAZBISMO.
STRANGURIA.
Stranuir,elic.
STRATAGEMA.
SraaTscıa, eic.
STRATIFICAR,, ec.
f Staırröua,s. f. (. E’hist. nat.) "Sur
Iyamo : mouche armöe de deux peintes.
REPITÄR,
Staia, eic. h V. Esir..., etc.
STRICTO, A, adj. striet, &lroil, resserte; '-
goureur.
TRICE.
STAONCIÄNA. | V. Batr...
+ SrröncrLo,s. m. (i. d’hist. nat.) susczzr:
ver long etrend dans las intestins.
STROPHE,
V. Est..., ete.
Y. Bisir.., le.
Sravcröaa,
Sripo, etc.
STULTILÖQLIO, 8. m. (P. u8.) * soltises, (südl
ses, impertinences.
StuLto,A,adj. sot, fou, sarıs jugemen.
Str'ok, etc. V. Esiyge, elc.
*Strı. V. Astil ou Hasfim.
StıLita,s. et adj. m. siylite : quiseiel
sur une colonne, qui y vi (saint Simeos — .
Stv’zo. V. Estylo. u
Styericınine, 8. [.(. de med.‘ stıpwie:
4ualit6 astringenle.
StY’prTico, A, adj. (l. de med.) stypiujee 3°:
resserre et arrete le sang.
“Strus, pi. de Siyl. V. dstil om Haslım
Söa,pron. f.sa,sienne, leur. V. Ses
Suinıa, 5. f. (i. de gdag.) Souabe : priı- :
d’Allemagne.
Suapir, eic. V. Persuadir, ew.
Suipo, A, p. p. de Suar. adj. Cosi:
sueur; (fg.) acquis avec beaucoup de pi.::-
SuADOR , A , adj. ei 3. qui sus beauroup.
StaDöuRO , 6. m. "eluve de hain, Rem: =
fait suor. Pannesu : eoussinel rembont:c -:
chaque cöt& d’une selle.
Suiö.V.Sodö.
Suin, 9. 6. ei ®. suer, iranspirer : rex”
une humeur liquide par les pores; (A. =
vailler beaueoup „ se denner beamceap :!
peine, beauconp de mal. (id.) Asquerir ar
beaucoup de peine. (td.) Suinter : en Jedi de
arbres, des planies, des mars d’oü izasp!
quelque bumidiis. 2 meibor — que pas.
(prov.) il vaut mieux suor que Iremiser. — -
topfle, (fam.) faire tous aus elforts, suct san
etem.
+ Soiapa, 3. f. humidits hulleuss quı =:
des draps quand on les foule.
SuarknTo, A, ac. baigtıd de sucar; qui’ -“
beaucoup.
Suasid. V. Porsuasis.
SUB
Suasöao , A, ed}. qui tond A persuader, oü
il sragıt de persuader. V. Persuasivo.
Suive, adj. 3 gen. suave, doux, agreable,
flatteur. Doux, paisible, tranquille. Doux , sou-
ple, docile, en parlant du caractöre.
Suivaukute, «do. avoc Suavild et doucenr,
suavement, douocement, moelleusement. (f. de
ınus.) Piano.
SuavıpÄns, s. f. suavits, douceur, agr&ment,
Tranquillits, douceur de caractöre, ote. Mol-
lesse ‚, souplesse.
Suarissımo, A, adj. sup. de Suave.
Suarızino, A, adj. adouci. p. p. de
Suavızir, 0. a. adoucir,rendre doux, rendre
suave.—, miliger, soulager.
Suazöaıo. V. Sussorio.
Sus,, prep.iat. qui enire dans la composition
de plusisurs mols, sous.
Susarirzs,s. f. pl. plumes sous les alles,
subalaires.
SuBALPIiNO, A , adj. sous-alpin. °
SURALTERNACAÖ,, 3. f. d6öpendanee, sujetion,
&tat d’un gubalterne.
SUSALTERNÄDO, A, P. P. de Suballormar.
SUBALTERNAMENTE, adv. on qualits de sub-
alterne.
SUBALTERNÄR. vo. n. V. Allermar, Reussar.
SUBALTERNO, A, adj. souvent employ6 comme
substantif. Subalterne, subordonnd, qui est
sous un autre.
+ Susaasüstgo, A, adj. (4. de bos.) du sous-
arbrisseau.
+ SuparBösto, s. m. (t. de bot.) sous-arbris-
seau : plante entre l’arbrissenu ei l’herbe.
+ SusaxıLan, adj. 2 gen. (1. de bot.) sous-
axillaire ; insör& au-dessous d’une partie axil-
laire.
SUB-BIBLIOTHECAÄRIO,, 8. m. sous-bibliolhe-
eaire : garde adjoint au bibliothecaire.
SUBCINERICIO, A, adj. cuit sous la cendre
(pain). Couleur de cendre,
SupcLivıo, A, adj. (6. d’anat.) sous-clavier :
plac6 sous les clavicules (muscle, arläare—£re).
SUBCUTÄNEO, A, adj. (J.d’anal.) B0UB-Cutane:
qui est sous la poau.
SUBDELEGACAÖ, 8. f. subdelegation.
SUBDELEGADO, A, P. p. de Suöddelsgar. adj.
eis. m. Subdelegnd, commis pour agir, elc.
SUROELEGÄNTE, adj. 2 gen. qui subdelegue.
.a. de
? SUBDELRCÄR, v. a. subdeleguer : commeltre
avec pouvoir d’agir, de negocier, etc,
+ SuBDRLEGÄVEL, adj. 2 gen. qu’on peut sub-
delöguer.
SCBDIACONÄTO „&. M. Bous-diaconat: Lroisidme
des ordres sacres.
SUBD1ÄCONO, 8. m. sous-diäcre.
+ Suanisrincgäß, s. f. distinction d’une dis-
tinclion.
+} Suapistıncvia, 9. @. distinguer 00 qui a
Jeja eis distingus.
Suspıro, A , adj. sujet, soumis.
S6Bo170,, 9. m. ujot, vassal.
SUB 1111
Surmvıniso,, A, ady. subdivisd, p.9. de
Susnivimir, 9. a. subdiviser : diviserunepar-
tie d’un tout en plusieurs auires parties.
Sunsırisä6 ,s. f. subdirision.
Susoörro, A, adj. sous-domble, subduple :
qui est la moitie.
u T Suseurerrtoss, s. f. sous-bail emphyiso-
que.
f SusEwPRYT£orA, 3. m. oolei qui fait un
sous-bail emphyttolique.
SUBENPHTTEUTICAHR , v. a. donner & sousbeil
emphyl£otique.
SUBENTENDER , ©. a. Sous-entendre.
SUBENTENDER-SE, U. r. 50 sous-enlendre: de-
voir, pouvoir dire sous-entendu.
SUBENTENDIDO, A, p. p. de Subenlender.
BUBFEUDATÄRIO, A, 8. soas-feudataire.
n ‚prarkuno, s. m. flef dependant d’un auire
ef.
StarRAcAunO os SUFFREGANHO. V. Suffre-
ganeo. _
Susipa, 9. f. P’ection de monter. Montde :
endroit qul va en montant. (flg.) Cruc, &®
croissement, augmentalion. Hausse, hausse-
ment, rebaussemen!i, rencherissement. Asce®-
sion. Elevation (de ’Ame & Dien).
Susipissimo, A, adj. sup. de
SuBipo, A, 9. P. de Subir. adj. Monte. (fig.)
Haut, elev6; &minent; qui coüte cher. Le phus
exquis, le plus parfait, pori6 au plus haut de-
gro, eto. Fort, en parlant d’une odeur. Claiz,
en parlant d’une couteur. Preope —, haat prix,
prix 6leve.
“SuUBIMENTO, 8. m. "crue, accroissement,
augmentation. V. Subida.
* SUBINTELLECTO. V. Subeniendilo.
SOBINTENDER , etc. V. Subenlender.
SUBINTRÄNTE,, adj. 2 gen. subintrante, (Rd-
vre) dont un acc&s commence avant la fin da
jour, quand elle a cess6 le matin.
Sugir ,o.a. monter (un escalier, etc.), gravir
(un mont, eto.); €lever, porter, meitre plus
haut. (g.) Encherir, augmenter le prix.
Supir, ©. #. monter : 86 transporler en un
lieu plus haut; s’dlever. —, croltro, en parlant
des riviöres, eto. ( Ag.) —,s’ölever, parvenir
aux dignites. —, hausser de ton, en termes de
musique. — 4 empregos, parvenir aux charges.
— a0 pulpito, monter en chaire. — ao Ihronu,
monter sur le tröne. — de pensamenio, s’enor-
gueillir, — d’esWlo, relever son style, lui don-
ner plus de force, etc. — de prego, rencherir,
encherir, hausser, en parlant du prix d’une
chose. — de ponto. V. ce mot. — a consulia:
se dit d’une consultation adress6e au roi par
les conseillers des Oours royales. Ndo —
de ....ne pas excöder... Vinho que söbe d rı-
bera, vin capltoux, qul porte & la lL&te. — peln
rio acima bordej ‚Lt. de mar.) remontier
une riviöre en bordeyant,
Susin-se, v. r. monter, s’6lever.
SÖBITAMENTE, adv. subitement, soudain, tout
Acoup,
1112 SUB
SUB
SosıTinzauinre, ado.soudein, out A 00up. SonımoväL, adj. 2 gen. sublingual:placi uns
SuUBITÄNRO, A , adj. soudain : qui arrive tout
&coup. .
Sönıro, A, adj. subil, prompt, soudain.
Sösıro, adv. subitement, tout & Coup.
Sösıro, s. m. chose qui arrive tout A coup;
surprise; coup de main, en termes de guerre.
Elan, repartie. Transport subit (d’une pas-
sion, etc.). Neselution prompte,, subile. De—,
adv. subitement, soudain, lout & 00up.
+Sussacknte, adj. 2 gen. subjaoent : situe,
place au-dessous, au bas.
Suslecto. ; ‚
SusseocÄ0. | V. Sujetto, ete.
*Sussıcäin, etc. V. Subjugar, etc.
Susıucäno, A, Pp.p. de Subjugar.
SunsuGaDön, 3. m. celui qui subjugue, qui
dompte, qui assujetlit; dompteur. V. Con-
quislador.
Sussucie , v.@. subjuguer, assujetlir, domp
ter, asservir.
SuBJ3UNTivo, 3. m. (i. de gramm.) subjonchil:
mode personnel de la oonjugaison des verhes.
SusLsvacäö,s. f. "souldvement, ömeule po-
pulaire,, sedition,, mutinerie.
SusLevino,A,Pp. p. de Sublevar.
+ SusLEVvADöR, 3. m. colui qui soulöve, qui
excite & la revolte, mutin.
SUBLEVANENTO, 3. m. (inus.) V. Sublevagäo.
SusLevän, v. @. soulever : exciler & la re-
volte, revolter. (p. ws.) Soulever, elever un
peu. (fig. et plus us.) Secourir, soulager.
SUBLEVÄR-SE, v.r. se soulever, se rövolter,
se rebeller, se mutiner.
Susuiuacäö, s. f. l’action d’dlever, de placer
plus haut. (#. de chim.) Sublimation, volatili-
sation.
SuBLIMÄDO, A, 9. p. de Sublimar. adj. (fig.)
Excellent, elev6, sublime, cel&bre.
SUBLIMÄDO, 5. m. sublime : mercure volati-
lis6 avec l’acide hydrochlorique;; sublime cor-
rosif.
SusLısär, v. a. &lever : mettre plus haut.
(1. de chim.) Sublimer : &lever les parties vola-
tiles par le moyen du feu; volatiliser. — lou-
vando , exalter, louer, vanter.
SoBLıMÄR-seE, v. r. s’elever, monter en di-
gnils; se rendre celöbre.
SoaLımarörıo, A, adj. (t. dechim.) qui ap-
parlient, qui serı & la sublimation. Vaso —,
sublimatoire,, vaeisseau pour la sublimation.
SusLimäveL, adj.2 gen. (. de chim.) qui peut
eıre sublime.
Surrime, adj. 2 gen. sublime, haut, elev6,
releve.
ScepLime, s. m. le sublime : ce qu’ii y a de
erand, d’elev&, d’excellent dans les senti-
ments, les actions, le style, les pensees, etc.
* SunLıseEAö, adj. V. Sublime, Eminenle.
SUBLIMEMENTE, adv. sublimement,.
SusLiwivadg, 3. f. sublimite : qualits de ce
qui est sublime ; elevation;, excellence.
SUBLIMISSIMO, A, adj. sup. de Sublime.
la langue. ”
Sosıumän, adj. 2 gen. sublunalre : qui m
entre la terre et la lune; qui est sur la lerne,
dans Pair.
SURMARINO, A, adj. qui esi sous la mer.
SUSMERGIDO, A, p.p. de
SUBMERCIR, ©. @. submerger : eowvrirdus,
inonder, noyer.
Susuersiö,s. f. submersien : grand we
dation ; action de submerger.
SUBu£nso, A, 9. p. irr. de Submergkr.
SUBMETTEDOR, 3. m. colui qui sonmel, wi
asservit, etc.
SUBMETTER, d. a. soumellre, assujetlit, #
servir, dompter. — 00 sew mendo, ranger mu
sa dominalion,, sous sa puissance.
SUBMETTER-SE (6), ©. r. se soumelise Sum
jettir, Shumilier.
SUBMETTIDO, A, P. P. de Submelter. adj.
mis, assujetti.
SUBMETTIMENTO, 8. m. " BOUMISSIOR ; seliss
de soumettre ow de st soumelttre.
SUBMINISTBAGAÖ, 5. f. l’action de formt.
fourniture; sabvenlion.
SUBMINISTRADO, A, p. p. de Subminuirer.
SUBMINISTRADOR, 8. m. celui gai fourak, ge
subvient.
SUBNINISTRÄR,, 9. a. fournir, donne, +
pleer ; subvenir; preter. Tudo submisutre-
masaodeleite, Loutprete des armesälaraigt.
SUBMISSAMENTE, adv. avec soumissiee ; BEP
blement.
Susuissiö, s. f. soumissien, dispeike &
obeir, deference respectueuse ; humiik.
Sunuisso, A (a), adj. soumis, abi,
humble. Com vox —a, ä voix hasse.
Sus-MuLrirLicg , adj. 2 gen. sows-malipk.
SUBNEGÄR, eic. V. Soneger, eic,
Supoanenapo,. V. Subordinade.
Suponpinacäd, 8. f. subordination : dt
entre les personnes, les arts , les seiences, &
pendants les uns des autres ; so dit saried ds
militaires et des choses personnißtes-
SUBORDINÄDAMENTE, ade. subordonnmel:
avec subordination, en s0us-ordre.
SuBorpınÄDo, A,P.p. de Sulerdiner.
Subordonne.
SUBORDINADOR, 8. ol adj. we. qui suberden,
qui etablit la subordination.
Susorpınir, v. a. subordonner, assejedl,
soumettre & la volonte, etc. Sabordonner:T**
dre une ohose d#pendante d’ane autıe.
SuBORDINÄR-SE, ®. Fr. Se soumelite.
Sounonnacäd, s. f. V. Seberne.
SUBORNADO, A, P.p. de Suborner.
SUBORNADÖR ‚A, 3. suborneur : qui sabert
oorrompt. — de lesiemunkes , subornalet, 1?
suborne les temoins.
SUBORNAMENTO. V. Subormo.
Susornir, o. a. suborner, södeire; pt
ä agir contre le devoir, & une mauvals?
— as teslomunkes , subormer, sbdsitt in
SUB
moins. — ofleios, cargos, obtenir des plaöes,
des charges par subornation.
Sus0ano, s. m. *° subornation, sedaetion,
son effet.
+SuproLir, adj. 2 gen. qui est sous lepöle.
tSupram0so, A, adj. (t. de bot.) un peu
branchu (subramosus ).
Susageciö, s. f. subreption : surprise faile
ä un juge, etc., en lui cachant une veritö im-
portante.
SUBREPTICIAMENTE, adv. subreptioement.
E Sunn&ericıo, A, adj. subreplice, oblenu par
' surprise,sur un faux expose. Fait en cachette, &
t la derobee.
* SuBRictO, 3. m. gentilhomme non titre.
Sennoumgäd, s. f. subrogation : acte par le-
quel on subroge.
SUBROCÄDO, A, P. p. de Subrogar.
SUBROCADOR, &, s. celui qui subroge, qui
met quelqu’un en sa place.
SUBROGÄNTR, adj. et 3. 2 gen. qui subroge.
». a. de
SusaocÄin (em), v. a. subroger : mettre a la
place de quelqu’un ; substituer.
SUBROCÄR-SE, 0. T. S’arToger, uSUrper ce qui
apparlient & un "autre.
+ Susrotünnas, adj. f. pl. (t. de bot.) Folhas
— ‚feuilles presque rondes.
* SUBAREGÄNO , 3. m. propriöis rurale qui
payait un cochon de lait, un pelit porc, etc.
SUBSCESSIVO, A, adj. ce qu’on m&nage, ce
qu’on a de reste. Horas —as, heures de loisir,
beures perdues.
SOBSCREVAR, d. 4. SoUSCrIre : approuver un
ecrit, en metiant sa signature au bas. (a) v. %.
(fig.) souscrire, acquioscer, se conformer ä&.
ds. (a, pare) s’abonner (A un journal, etc. ;;
souscrire pour (une enireprise, elo.).
"SUBSCRETIMENTO.V. Assignalura, Subserip-
Sunscrircäö, 8. f. Souscoription : signature au
bas d’un acte, ete.; engagement de fournir,
d’acheler ; regu du prix de la souscription.
* Abonnement (& une publication littsraire ,
etc.). ° Sommaire des lettres que le roi devait
lire et souscrire.
Susscrıto. V. Sobreserito.
SUBSCRITÖR,, A, 3. souscripleur, abonne.
Sunsecivo. V. Successivo.
SUBsgQquänte, adj. 2 gen. subsöquent: qui
suit, qui vient apr&s.
SUBSEQUENTEMENTE , adv. subsequemment
ensuile, apres.
SussınıAÄno, A,p.p. de
Sunsınıär, v. a. aider, fournir des subsides.
V. Auziliar.
SussiDıäftiamente, adv. subsidiairement.
Susapıinıo, A, adj. subsidiaire : qui fortifle
le principal;; qui vient ä l’appui.
SuBsivıo,, 3. m. subside : secours d’argent,
d’hommes, etc., donns par un &tat A un allie;
impöt, levöe de deniers pour l’etat. (Ag.)" Aide,
secours; co quiaide. —lillerario.imp6t sur les
vins (en Portugal) pour Venseignement public.
SUB 1113
Sunsisränch , s. f. permanence, stabllite.
Ce qui fait qu’ une chose subsiste par elle-ıneınc,
ce qui oaracisrise la subsistance. Subsissance :
nourriture et entretien.
SUBSISTENTE, adj. 2 gen. qui subsiste ,
sistant.
SuasısTipo, A, p. pP. de
SussıstTir. vo. ». subsister : exister encore;
continuer d’&tre; demeurer en vigueur; (Ag.)
vivre et s’entretenir.
SUBSOLÄNO, 3. m. vent d’est.
SUBSTABELECER , ®. &. substituer, sabroger.
SUBSTABELECIDO, A, P. pP. de Substabelecer.
SUBSTABELECIMENTO, 5. m. “ substitulion.
Susstäncıa,, s. f. substance: &tre qui sub-
siste par lui-m&me; hyposiase, personne; ına-
tiere; ce qu’il ya de plus sueculent, (g.) de
plus essentiel ; ce qui est necessalre ä lasub-
sistance du peuple , etc. ; biens , revenus,
riohesse. Prix ‚valeur, importance; force. Em-—,
en substance, en abreg6, en gros; sommaire-
ment. Caldo de — ‚, consomme.
SuBSTARCIÄDO, A, P. p. de Subsianclar.
SUBSTANCIÄL, adj. 2 gem. substantiel.
SUBSTANCIALMENTE, adv. substantiellement :
quanı & ja substance ; en substance. Tres-
utilement.
SUBSTANCIÄR , ©. a, donner des aliments sub-
stantiels. Abreger : faire l’extrait, ne prendre
que la sabstance.
SuBsTancıösO, A, adj. substantiel,
ient, nourrissant.
SURSTANTIVÄDO, A, p.p. de Substantivar..
SUBSTANTIVAMENTE, adv. substantiverment.
SUBSTANTIYÄR, 9. a. substantiver : donner la
valeur de substantif(& un mot); employer ( un
adjeclif, un verbe) comme substaniif.
SUBSTANTIVO, A, adj. qui subsiste, ou peut
subsister par soil-meme.
SUBSTANTIVO, 8.m. ( f. de gram. ) substanlif:
mot qui signifle une substance,, un @tre.
Sunstar. V. Sobrestar et Sustar.
SussTaTörıo. V. Susiatorio.
Susstiruichö, s. f. substitution, subroga-
tion : action de substituer, de subroger; acle
qui la constate ; son elfet. (tk. de prat.) — , dis-
position d’un testateur qui substitue os appelle
un heritier au defaut d’un autre.
Sussriruipo , A, p. p. de Subskiluir.
SunstirufooR , A, s. celui qui subatitue.
Susstırvir (a, por, em), v. a. substituer,
sub-
succed-
‚ | remplacer, subroger.
Sosstirüta,s. f. remplagante : femme qui
remplace une autre.
Susstıröro,s. m. substitut,, remplagant. —
dum lente de leis, de medecina, etc., agrög&
en droit, en medecine, elc.
* Susstaacäd, s. f. ancienne penitence Cano- .
nique.
*SuBSTRÄTO, A, adj. condamne & la peni-
tence de Substragäo. V. te mot.
Susstaucgäö, s. f. fondement d’un &difioe.
SUBTENDER , O. a. (d. de gdom.) mener um
1114 SUB m
sous-tendante & un are, une ligne dreiis ep-
posee & un angle.
Susränsa , 8. f. ( 1. de gdom.) sous-tendants:
ligne tiree d’un bout de l’arc & l’autre.
+ Suartnso , A, p. p. irr. de Subtender. adj.
(1. de geom.) On le dit d’un arc auquel on a
mene une sous-lendanie.
Suprsaröcıo, s. m. subterfage, dötour, dchap-
patoire.
Stnrearucik, ©. a. (p. us.) user de subter-
fuges, &luder.
Sustsaniso, V. Soterrado.
+ SUBTERRANEAMENTE, ade. par-dessous
terre.
Sunrennineo, A, adj. soulerrain. Soüs lorre,
de dessous lerre. s. m. Souterrain : cavile , lien
voüte sous terre.
Susteaain. V. Soterrar.
SoeriL, adj. 2 gen. subtil, deli6, An, menu.
(Ag.) —, fin, adroit, p6en6traut, qui comprend
alsement; qui s’6chappe aisement; qui pendire
promptement ; imperceptible ei ires-actlil.
(s»t.) On le disalt d’nne galere fine voiliere.
srıLkza, 6. f. subtilitö : qualit6 de ce qui,
de celui qui est subtil; finesse, tour d’adresse.
(Ag.) Penetration d’esprit, eto.; argulie. —,
qualit# des corps glorieux, en terme de theolo-
gie. — de mäos, sublilildö de mains, adresse
exiröme; adresse & filouter.
SustiLipins, 8. f. subülits, tsnuite. V. Sud-
hileza.
« SuprıLissımo, A, ady. sup. de Subtil.
Susriuizacä6, s. f. subtilisation.
SusriLizino, A, P. p. de Subtilizar.
SUSTILIZADOR, A, 8. colui qui subtilise,
SusriLızia, o. a. subtiliser : rendre subUül ;
delier ; rendre penötrant. (Ag.) Limer, polir,
mettre la derniöre main. v.». Disoourir, rai-
sonner avec subtilite.
SUBTILUENTE , ade. subtilement , avec subti-
lite; adroitement, nement.
Sostaaccäö,. s. f. soustraciion, aclion do
soustraire ; rögle d’arithmetique.
Sustaucrivo, A, adj. A soustraire.
ScRTAABiDO, A,P- p. de
SUBTRABIR, 9. @, sOustraire, Öter; relirer.
V. Deminwir.
Susrrania-sE (a), 9. Fr. 50 soustraire, se dh-
rober A; se tirer de; 6viter.
1 Susvasino, A, adj. de faubourg, de la han-
euo,
StnunsıcÄn10, A, ady. suburbicaire ı qui com-
posait jadis le diocdsa de Rome,
Supürnıo, 8. we. faubourg, banlieue.
SUBYASSÄLLO, 3. m. vassal Sous un autre
vassal.
Susvauci6, s. f. alde, secours, subvention.
Susvautinzo. V. Infooundo.
Soavznsid, s. /. subversion, renversement,
ruine. (fig.) Perversion, corruption morale.
StnvEasivo, A, adj. subversil, qui renrerse,
detruit.
Stuvencor, 3.0. dentructeur,
. BCavkartkn, 9. a, audveglir, Tenverger, d&-
200 SUC
twuire. (Ag.) Pordre, porvertir, catrempre (le
maurs, etc.)
Bunvsarkusz, v9. r. se sabmerger, co3.
bas , on parlant d’un valissean.
Busvaasioo, A, pP. p. de Subuerter.
* Sucir. V. Chucher.
Succzptumo. V. Successe, Ineidenis.
SuocEaßa (e), 9. ». succöder : prendre lı
place de; venir apres; ae smccdder. (em. -,
heriter des biens d’un defunt. Surveair, m
ver, avenir. — dem, reussir. -— mal, ne pa
röussir, dohouer. A ordem succede d deserden,
Pordre fait plaoe au desordre. Suessdeo m: uk
menos 0 esperava, cela m’esl amt
lorsque }’y pensais lo meins. Sweceda ı m
suoosder, quoi qu’il en arrive; arriıe gi
pourra; vogue la galere! Para e que peder -,
pour oe qu’il peut en arriver. Nisto succde =
mo em a maior parle das cousas , il en ed
cela comme de la piupart des cheses. Neda u
vo suecede, il ne se passe rien de nourte. Ü
mesmo succede com as muilheres, il es ei &
mtme avec les femmes.
Succkdär , v. a. (am$.) suechder, böriter du
biens d’un defunt.
Succepino, A, p. p. de Sucesder. adj. u
obde. Sarvenu.
® SuccEDınEnto. V. Sucessso et Succesmis.
Succkuso (imus.). V. Aceso, Ineendide.
Succznrunsins, adj. m. pi. (I. d’anel‘ ur
oenturiaax : (corps) glauduleax au-dem® de
reins.
Succnssäö,s. f. succession , procralen, fr
nöratien , ligne; suite de personnes dans 0
meme rang; cours, suite de Lampe; sale dk
ohoses. —, heredit*, bien d’un defen.
SUCCESSIVAHRATE, ado. successiremtn!.
BucckssivgL., adj. 2 gem. suosessibie: habk
& suoodder.
Soccassivo, A, adj. sucoessil: qui sul, |
suootde, qui vient apres.
Bucckaso ‚s. m. succds ‚ reussite. Eriuene
Bom —, suoobs, reussite. it. (Ag.) Heur®
delivrence (d’une fomme enceinie). Hi -,
malheureuse issue d’une affaire, eie., mat'3l
sucoös. it. (Ag.) Fausse couche. Aflanper '-:
röpondre de l’dvenement. ,
R,A,$. Su0ogesseur; onlal ga Mt
odde & un autre.
Socozssörto, A, adj. quia rappori, gü if
partient & la succession. -
+8So0camäro, s. m.{1. de chim.) socelnale: #
forms par la oombinalson de l’scide succin!g®
avec differentes basos.
Succinico, adj. u. sucoinique (sale), ertäl
du sucein.
Succino,s.. succin, auıbrejaund; oukart?.
matidre bitumineuse, devenue solide, 9X
trique.
Succıntautuse,, ade. succimciement.
Succinto, A, adj. suceinot, brei, eoncis, 1
canique.
BC0O , 8. 8. 880 1 Ugueuz exprimee de: ’P
palpeux; jus, 00 qui ya de subasaniel 4
SUF
une viande, ete. ; humidits de la terre. — nu-
Iritivo, suc nourricier. — das planlas, suc,
söve des plantes.
Succöso, A, adj. juteux : plein de jus, de
suc.
* Sdecusa, &. f. conenubine.
Söccuso , adj. et s. m. succube : ddmon
qui, d’apres une croyance populaire, s’unit &
"bomine sous la figure d’une femme. Celui qui
se livro au pedeöraste.
SuccuL&ncıa,s. f. (4. de bot.) qualits succu-
lcnte des plantes.
SuccuL&xto, A, adj. succulent: quia beau-
coup de suc.
Succomaino, A,p.p. de
Succumeir (a), v. n. succomber : flechir sous
le poids, le fardeau que l’on porte; avoir le
desavantiage ; so laisser vaincre,.
Suc&na. V. Agucena.
+S0ca, s.f. (t. durl.) sociele, rassemble-
ment, reunion de personnes pour s'ıamuser, etc.
° Sucaısso. V. Deigado, Tenue. ,
SöcuLas, s. f. pl. (1. d’asir.) Hyades, dtoile
u front du Taureau.
+ Sucuaıst ow SUcuRUYOBA, 3. m. espece de
boa du Brösil.
Sonärıo, s. m. moacholr pour essuyer la
sueur. Suaire. O Santo —, le saint-suaire de
Jesus-Christ, son corps empreint sur le suaire,
Sunparönıo. V. Sudorifleo.
“Suptıno. V. Sudario.
Bunouitıco, ete. V. Sodomitieo.
SuponirEro, a, adj. sudorifere. V. Sudorifico.
Suporirico, A, adj. surlorilique: qui pro-
voque la sueur. '
Sönno, s. m. (4. d’Asie) homme de caste in-
ferieure dans Pinde, roturier. t4. Celul qui re-
eueille ie suc des palmiers.
Scpußsts, s. m. sud-ouest : vent entre le sud
ot Pousst.
Bozcıa , s. f. (4. de gdog.) Suede: royaume de
P’Europe.
Sutco, A, adj. et s. Susdois, de 1a Sudde.
° Sukınas, 5. [. pierres pr&cieuscs.
Qusstz,, 5. m. sud-est: vent entre le sud et
Test.
Bugro, s. m. cong6, jour de conge pour les
&coliers.
k Sotvıa. V. Swabie.
i Sußvos, s. m. pl. Sudves: peuples de Pan-
sıenne Germanie.
Surricıkncıa , s. f. suflisanoe; capaoite, apti-
fude.
Surricıente, adj. 2 gen. suffisant, qui suft,
Capable, apte. Em — quanlidade, ä suffisance,
SUFFICIENTEMENTE , adv. sulfisamment, assez.
SCHFICIENTISSIMO , A , adj. sup. de Sufficiente,
Surrocacäd,s. f. suflocalion,, &toullement.
SurrociDo,A,p.p. de Suffocar.
SorrocanöR ,A,adj. qui suffoque , suffocant,
«touffant.
Surrocinte, adj. 2 gen. suffocant, dtoaffant.
‚a.de
9 Bumwocke, vo. a. suffsguer, dioufler : faire
SUJ 15
perdre la respiration. Etouffer, öteindre lo feu;
(Ag.) arreter, einp£cher l’usage, l'effet, le
cours.
Surrocarivo. V. Suffocante.
Scrrnacino, A, p. pP. de Su/ffragar.
SUFFRACÄNEO , adj. ou s. m. Ssulfragantl:: dvd-
que qui relöve d’un metropolitain. On le dit
aussi de son sidge.
* Surrnacixuo. V. Suffragdneo.
SUFFRACÄR, ©. #. donner son suffrage: ap-
prouver, agreer. 11 est quelquefols actif. Ex.:
— 0s morlos, prier pour les moris.
SUFFRAGATÖRIO, A, ad}. (p. us.) relatif aux
Sullrages ou votes,
Surrräcıo,s. m. suffrage : ddclaration de sa
volonte, de son cholx, dans une &lection, une
deliberation ; vote, volx donnee en matiöre d’&-
lection ; approbation. —s, pl. suffrages, pritres,
bonnes @uvres en faveur des ämes du purga-
toire.
Sorruuicacid,s. f. suffumigation, fumiga-
tion.
Surrunicıo, s. m. V. Suffumigagädo.
Surrusiö,s. f. (1. de med.) suffusion : &pan-
chement du sang, de la bile sous la peau.
Suristarla, etc. V. Sophisleria , elc.
Surnacknte. V. Fragante ou Flagranfe.
Surnen, etc. V. Soffrer, etc.
* Stcar. Y. Chupar.
Srcgıro,eic. V. Sujeilo,, etc.
SUGGERIDO, A, P. p. de
StcGerir (a), o. a. suzgerer (A), Insinuer,
inspirer; mieitre dans l’esprit de quelqu’un (un
projet, une idee, etc.).
SucGEsTa0, 3. f. suggestion : Instigation,
persuasion en mal; lenlation du d&mon.
+ Stocestivo, A, adj. qui conlient sugges-
tion; qui suggere.
Stcctsto,s. m. suggeste : tribune aux ha-
rangues, chez les Romains.
Sucivine, etc. V. Sujidade, eto.
Stcicän, etc. V. Subjuger, eic.
SucıLLacid,s. f. sugillation,, meurtrissare.
SucıLuär. V. Filuperar.
Sucıa ou Suctın. V. Chupar.
Stcistönio, s. m. homıne qui portait un ha-
bit ridieule (dans les processions).
StcrTönio. V. Sugilorio
Söco. V. Succo.
+ Srica,s. f. ‘t. de geog.) Suisse : dat f&ıle-
ratif d’Europe. is. V. Soiga.
+ SoYco, a, adj. ets. Suisse, de la Suisse.
Sofcioa,s.2 gen. suicide : celui qui se tııc
volontairement.
Suicıpär-SE, vd. r. se suicider : se luer soi-
meme.
Sticivio, s. m. sulcide : action de se tur.
+ Sumäpe, s. f. (l.de prat.) qualiie dleri-
tier necessalre.
+ Sutno, a, adj. de cochon, de porec.
Susido,A,P.Pp. de Sujar.
SCJAMEnTE, adv. salement, ımalproprement.
Sur v.a. souiller,salir,tacher. (fg.)Soull-
ter ; salir Fame, la conscience par des p6ches;
41116 SUL
entscher !a noblesse, la reputation par des
cerimes, elc.
Susän-sE, ©. r. se salir : faire des ordures
dans le lit, dans la culotte, etc. (fig.) Se laisser
corrompre par des presents; prendre quelque
chose qui ne vousappartient pas.V.Manchar-se.
Suseicäö, 3, f. sujelion, assujetlissement,
dependance, joug, obeissance; gene, escla-
vage. Ce qui assujettit, joint, lie, empeche de
se separer. j
Sustıra , s. f. femme qu’on ne veut pas nom-
mer.
Susgıräno, A,p. p. de Sujeitar. adj. Assu-
jetii; soumis.
+ Suseıranor, A, adj. qui assujetlit, sou-
met, dompte. .
SUJEITÄR, d. g. assujettir, soumeltre, sub)u-
guer, dompter, asservir. — , astreindre.
SUJEITÄR-SE (a), v. r. gener, se soumelire;
ebeir; se vaincre, s’astreindre; plier. As
paixöes devem — d razdo, il faut quo les pas-
sions obeissent & la raison.
SuJEITISSIMO, A, adj. sup. de
Sutıro, A, ad/. sujet, soumis; assujelti;
dompte ; docile, obe&issant; sujet, expose. Ma-
leria —a,, sujet d’uneconversation, etc.
Sustıro, s. m. sujet, individu,, personne in-
jeterminde. Ex. : Um —, cerlo —, un tel,
quelqu’un, une personne. Sujet : personne
distinguece par ses talents, etc. —, matiöre
qu’on traile; motlif, raison, cause. it. V. Sub-
dito, Vassallo.
Susıpänz, s. f. saleti6, malpropreis, ordure.
3, pi. mots sales, obsceniles.
SuUJInH0, A, adj. dim. de
SiJo,A,adj. sale, malpropre ;ordurier.(fg.)
Souille, impur. Sale,deshonnete, impudique,
obscöne. Rempli de fautes.
Bör, s. w. sud, midi : partie du monde oppo-
s66 au nord ; vent du sud.
+ SuLa-PaToLa, 8. f. V. Ganso paldo.
BULAYENTEAR. V. Sotaventsar.
BuLav&nto. V. Julavento, Sotavento.
SuLcipo, A, p. pP. de
SuLcär, tv. a. sillonner : faire des sillons,
(Ag.) Sillonner les mers, naviguer.
SöLco,s. m. sillon, rayon:: trace que laisge
le soc de la charrue.
SuLriTo,s.m. (1.de chim.) sulfate:: sel forme
par la combinaison de l’acide sulfurique.
SuLrerino. V. Sulfureo.
Scerritg, s. m. (4. de chim.) sulfite : combi-
naison de l’acide sulfureux avec un oxyde.
Surrur. V. Enzofre.
SULFURÄDO, A, P. p. de
SULFURÄR , v. a. soufrer : enduire, frotier de
. soufre.
SuLrünko, A, adj. sullureux, sulfurs: de !a
nature du soufre, plein de soufre.
BULFURETO, 8. m. (4. de chim.) sullure : com-
binaison du soufre avec les melaux.
SuLrönıco, A,adj. (4. de chim.) sulfuriquo :
(acide) obtenu par la oombinaison du soulre
avoo l’oxygöne.
SUM
SULFORINO,
STLFURÖSO. } V. Sulfureo,
SuLia. V. Solia.
SuLrnATo, etc. V. Sulfäte.
ScLräna, s. f. sultane : fomme da pais.
gneur. — favorite, wmdi do sulido runs,
sultane valide.
SULTANIM om SuoLranino, 6. m. san:
monnaie d’or turque.
SuLTiö,s. m. sultan : le grand-seiguen m
pereur turc.
SuLv£nto,s. m. sud, le vent du mid.
" Söu, adv. V. Juniamentis.
Suma,etc. V. Summa, etc.
Sumäca, s. f. (1. de mar.) " smack : enbım
tion de iransport ä deux mäls.
SOMAGRE, 5. m. (f. de bot.) sumar ou vis
grier : plante terebinthacde. Roux ou ron is
corroyeurs.
SUMARENTO, a, adj. juleux, qui a braun
de jus.
TSumärra, 3.f. (8. de geog.) Sumain:
de la mer des Indes.
Sumsära. V. Zumbaia.
. Buukas. V. Chumedes.
- Sumencia, etc. V. Submergir, ole.
Sumico, s. m. * disparition. Lover —, üe
rallre.
Sumipigo, A, adj. qui disparatt lacikaml
Sumipo, A, 9. p. de Sumir. adj. Ealun. |
eteint; effac6. (fg.) Plonge. Olka -ı,1=
enfoncoes. Voz —a, voix eleinte. Cora #,
couleurs eflacees.
SUMIDOURO, 3. m. egont, condul,cn,mU
faciliter l’6coulement des eaux. (dt,
abime.
SUMIDÜRA, s. f. disparition.
SUMILBER, 5. m. sommeiller : nom ginerim
de divers grands officiers de la maison da ra
—dacortina, ecelesiastique qui oaıre Ale
ies rideaux de la tribune d’oä le roi can 4
messe, elc.
Sunie, vo. e. absorber, engloulir. Cacet,®
fouir, faire disparaltre.
Suuirn-sg (em), v. r. s’enloncer, senkt
s’engouffrer. (Ag.) Se cacher ; disparalie.’?
vanouir; @ire de peu de derer, se dwet.
s’eventer. S’effacer, en parlant des wh &
visage. S’&teindre,, en parlanı de la voii.
Sumissiö, etc. V. Submissde, ei.
Söuwa,s.f. V. Somma. (Ag.) "Abregt, "®
eapitulalion, sommaire, eic. Au —, ı&*
abrege; en somme, en un mot, brei, M#
conclusion.
SOMMAMENTE, ade. extremement, pa |
ment. Sourerainemönt.
Suusär, etc. V. Sommar, elc.
SCMMÄRIAMENTB, ade. Dommalreimesi, @
ahrege.
SomManıin, ®. a. abröger, resumer. [At
prooös-verhal & quelqu’un.
SCHMäRıO, 5. m. sonmaire abröge, 0
prücls, Proocds-verbal.
SUP
Sumumäno, A, adj. sommalrs, seocinot,
eourt, abrege.
SUMMARISSIMO, A, adj. sup. de Summario.
SUNMERGIR , etc. V. gir, etc.
SUsMIDADE, s. f. sommil6, cime, sommet;
comble.
Summissiö, etc. V. Submissdo, eis.
SruuNisTta , #. m. auleur d’abreges, de som-
maires, abc.
Söuwo, A, adj. le plus haut, le plus eleve,
le plus grand ; supr&me. Souverain : grand, le
premier en songenre.—ponftifice, le souverain
pontife. — sacerdote,, le grand-preire. Em —
grdo, au supr6öme degre , souverainemen!.
SUMMULA, 3. f. petil sommaire, court abrege.
* Sommaire qui contient les premiers el&ments
de la logique.
SUMMULISTA, 3. ©. celui qui &tudie les &l6-
ments de la logique; qui y est verse.
Simo,s. m. jus (des [ruits, des plantes);
suc (des viandes.) p. us. V. Succo.
Sumpro. V. Cusio, Despeza, Gasto.
Sumpruirıo,A, adj. somptuaire. On le dit
des lois qui reglent la depense, etc.
SUMPTUÖSANMRNTE, adv. somptueusement.
SCMPTUOSIDÄDE, 8. f. sompluosile : grande
et magnifique depense.
SUMPTUOSISSIMO , A, adj. sup. de
ScmPrTuöso, A ‚adj. somplueux : magnifique,
splendide, de grande depense; qui fait beau-
coup de depense ( personne).
SUNTUOSIDADE,, etc. V. Sumpluosidade , eic.
Suor, 3. m. "sueur : humeur liquide, serosite
qui sort des pores; aclion de suer; (fg.)sueurs,
peines ‚iravaux.—es, pl.ifig.) [ruit de grandes
peines. B em — ,‚couvert de sueur. Como
—.do seu rosso, ä la sueur de son front. Causar
suores, faire suer. Estar em suores frios, (fig.)
suer sang ei eau; dlre aux abois.
Sorepdäneo. V. Suppedaneo.
SUPERABUNDÄNCIA, 8. f. surabondance, abon-
dance excessive.
SUPERABUNDÄNTE, adj. 2 gen. surabondant.
SUPERABUNDANTENMENTE, adv. surabondam-
. ment.
SUPERABUNDÄR, ©. a. surabonder : abonder
au delä de ce qui est necessaire; £ire tr&s-
abondant. "
SurenÄDDITO, A, (p. us.) V. Accrescenlado.
SurznäDo,A,p. p. de Superar.
* SUPERALTÄRE, 8. m. pierre sacrdo de j’au-
tel; autel portatif.
SUPERÄR , U. G. surpasser, surmonter, excol-
ler ; ötre au-dessus de la porise. Jsso supera a
de mou entendimento, cela est au-
dessus de la portse de mon esprit.
+ SurgaäveL, adj. 2 gen. surmontable, qu’on
peut surmonter.
SuPErBıssımo. V. Soberbissimo.
SUPERCHERIA, 8. f. (mob rang. P. 8.) super-
cherie.
SureaciLio, s. m. V. Sobrancelha.
+ SUPEREMINENCIA , 5. f. preeminence, l’Elc-
ration, le poste, la dignite esnincnte dans la-
Sup 1147
quelle une persanne est oomstliade, par rapport
ä une autre,
SUPERENINENTE, adj. 2 gen. sur6ıninent,
irds-dieve.
SURERENTENDÄNCIA , eic. V. Superinienden-
ci, eie.
Supensrocackö. V. Sobrerogapio.
*+ SUPEREVANGALIA, 3. f. oouverlure Pr&-
eieuse de Saints Kvangiles.
Supzarttacäö, s. f. (6. de med.) superlela-
tion : congeption d’un second [atus.
SurzarıcıäL, adj. 2 gen. superliciel : qui
n’est qu’a la superlicie, qui ne s’arrdte qu’ä la
superficie ; (fig.) leger, qui n’approfondit pas.
SUPERFICIALIDÄDE , 8. f. superlicialile : qua-
lit6 de ce qui est superficiel.
SUPERFICIALMENTE , adv. superliciellement.
Sursaricız, #. /. surfacn, superlicie.
SUPERFINO, A, adj. superfin : co qui est Irös-
fin.
SUP£RFLUAMENTR, adv. d’une mäniöre super-
flue.
SUPERFLUIDÄDE , 8. f. superfluite, abondance
vicieuse.
SUPERFLUO, A, adj. superflu , inutile; ce qui
est de trop.
+ SUPEgaHUMERÄL, 5. m. ephod : ceinture da
grand-pretre des juils.
SUPERINTENDENCIA , 8. f. surinleudance : in-
spection, direction generale ; charge, emplei
de surintendant.
SUPERINTENDENTE, 8. m. surintendant, di»
recteur en chef.
SUPERINTENDER (a), ©. R. avoir ja surinten-
dance de.
SUPERIOR , adj. 2 gen. superieur : qui est au-
dessus, au propre et au figure. Haut, en par-
lant d’un pays, d’une province plus elev6e
qu’une autre. Ser —a..., eire au-dessus de...
Homem — aos elogios, homme au-dessug des
louanges.
SUPERIÖR, 8. m. Superieur : qui a Comman-
dement, autorile sur un aulre ou sur d’aulres.
V. Soprior.
SUPERIÖRA , 3. f. Superieure d’un couvent.
SUPERIORÄTO, 8. m. " sup6riorite : emploi de
superieur d’un couvent, ei lo temps qu’il
l’exerce.
SurERioRipäne, 8. f. superiorile, preemi-
nence, excellence,ascendant. Le dessus. "Avan
tage.
SUPERIÖRMENTE, adv. superieurement, avan-
lageusemenl.
SUPERLATIVAMENTE , adv. superlalivement.
StPERLATIVO, A, adj. plus grand, plus er
cellent, etc.
SUPERLATIVO, 8. m. ( I. de gramm.) superla- -
tif: plus baut degre de comparaison.
SUPERNÄAL, adj. 2 gen. V. Superno.
Scr&nno,A, adj. divin, celesie, supreme,
d’en haut.
SUPERNUMFRÄRIO, A, Gdj. sufnumcraire.
Sipeno,A,adj. d’en haut, qui est en haut.
SUPERPARUENTE , adj. 2 gen. (tl. d’arılh.)
1118 sup: sup
surpardient. On ie di d'une raison dent ım | StreLwTönd, A, adj. suppläil: qai sup
terıno contient l’autre une fois, et en sus quel- Iplee, complete; qui sort & suppiter, suppie-
Ques-unes des parties aliquotes.
SUPERPARTICULAR, adj. 2 gen. (I. d’erüh.).
On le dit d’une raison dont un terme conlient
l’autre une fois, et en sus une de ses parties
aliquotes.
SuPERFARTICDLARIE. V. Superparticuilar.
SUPERPÄRTIENS. V. Superparciönte.
SurEnrosicäd, 3. fı superposition.
Supzaruncacäö, s. f. superpurgation : PüF-
galion excossive.
Surzrnocacid. V. Sobrerogapße.
Borenstichö, 8. f. superstilion : fausse ide&e
de Yelficacits de certaines pratiques religieuses
aloptees par crainte os par espolr ; fausse opi-
nion ‚eredulite religieuse ; eroyance & la ma-
gie, aux @ires surnalurels, & l'influence de cer-
tains mots, de ceriaıns objels , eic. ; vain pr»
sage; praliue superstitieuse; ce qu’il y a de
faux dans los fausses religions.
SUPERSTICIÖSAMENTE , adv. superstitieuse-
ment.
SUPERSTICIOSO, A, adj. et s. supersttienx :
qui a de la supersütilon,, oü il yena.
+ SursasusstancıäL, adj. On lo dit du pain
euoharistique.
+Surzatunıcir,s.m. vöternentsur a unique.
Borzavacineo, A. V. wo.
Borunvsucäd, 3. f. action de survenir.
SUPERVERIENTE, adj. 2 gen. qui survient,
survenent.
SuPERviv&ncıa, elo. V. Sobrevivencia, etc.
+Surstiö,s. m. De —, adv. subitement,
tout & coup.
Sörero. V. Supito.
SuriLir£. V. Pospello,
Surino, a, adj. haut, elev&. Couche & la ren-
verse sur le dos. /gnorancia —a, ignorance
crasse.
Surino, s.m. (1, de gramm. lat.) supin : sab-
stantf verbal, faisant fonetion de l’infinitif.
Börirauente, (inus.) V. Subilamenie.
Surıringo. V, Subtlaneo.
Surıro, A, adj. V. Subito.
Buronir. V. Suppurar.
* Supösıra. V. Trapapa, Enredo, Falsidade.
SuPPEDÄneo, 3. m. marchepied : banquelie
pour les pieds aupres de l’antel ; escabeau.
Surpeodıtär, vo. @. fournir, subvenir.
SuprPrLAntaciö, 3. f. supplantation.
SuUPPLANTÄDO, A,P.p. de Supplanfar.
SUPPLANTADOR , 8. m. celui qui Supplante.
SurpLAnTÄr, o. a. supplanter : faire perdre
ä quelqu'an sa place, son credit et lui Succ6-
der. Donner le croo-en-jambe. Fouler aux
pieds. (fig.) Renverser, abatire.
QUPPLEMENTÄR,, 8dj.2 gen.
SUPPLENENTÄRIO, A, adj. }
supplement,
SUPPLENENTO, 3. m. suppl.ment : ce gui
supplee; ce qu’on donnce pour suppleer: ce
qu’on ajoute & un livre pour stipplcer ce gi
manqualt.
suppl&mentai-
re: en 0% par
|ture humaino & la personne divime, 4
mentaire.
Sörruica, 3. f. supplioation s depreestien:
priere instante. Supplique, plecet, requtie.
Deixou-se vencer das —s, il se laissa alier aeı
prieres. .
SorrLicackd, 5. f. supplieation. 7. Supplien.
Casa da —,, baule cour de justice (em Porte-
SurpLicino, A, 9. p. de Supplicar, ı.n.
(4. de prat.) Defendeur, intime. —e, f. die
deresse.
SuprLicÄnte, 3. 2 gen. suppllent , etposaul
(6. de prat.) Demandeur, —esse.
SurrLicär (6), dv. a. supplier : prier ec =
stance, Soumission. — alguem..., supplier quil-
gu’un de... Per mais que o ou Ihe suppiiar
sem, ils avsient beau lo supplier.
SOrPLICATÖRIO, A , adj. qui contieni an6mp-
plique.
SörrLica, adf. 2 gem. suppliant.
BurrLicıia, 0.6. supplioier : faire souftie
supplice de la mort; lourmenter & Fexots.
SurrLicıo, 8. m. supplioe : punition cafp®
relle ordonnee par la justice; douleur vire d
longue.
Surrontnno, 8. m. V. Suppongie:
Sorrör, ©. @. supposer : poser, 6euobdel,
faire admetire une chose comme &ablie,
moniree,, regue, sfin d’en tirer une induebet]
allöguer comme vrai om veritsble ce qui
faux. — culpa a alguem, inculper queigu'u.
Supponhdmos que assim & ou saja, pei3 12
cola soit.
Surpoatino, A, pP. pP. de Supporlar.
SUrPORTADOR, A, 5. celul qui upper,
durent.
* SUPPORTANENTO. V. Anireionimens, Dar
lenca , Conservagad.
Surronrir, 0.0. Su : porter, mul
nir; (Ag.) endurer; tolärer; soufrir arec Pr
tience, avec resignalion.
SurrorrävEL, adj. 2 gem. supportable: gen
peut supporter, qu’on peut souflrir.
SUPPORTÄYELMENTE, ade. supportablems!
Suprosigiö, 5. f. supposition : propom
mise en avant comme yraie, pour ea lirer IR
induction ; action de supposer ; cbose conlt*
voe, fausseis. Copsideralion, rang, BUN.
Homem de — , homme de distincliea,
qui a des qualitös recommandabies.
+ Suprostraciö, 5. f. (1. de thöel,) under &
la nature humaine & la divins, #
maniere qu’il y ait deux natares ei UM mat
persenne.
SurrosıTino, A,9.P.de
Surrosırän, v.G. (4. de tAdol.) wib”
niöre qu’il y ait deux natures et une sul FM"
sonne.
Suproösıricıo, A, y. sapposd , ui 41a Bf
du vral, faux, substitue.
SUR
Suproströrto, 8. m. (1. de med.) supposi-
toire : sorte de medicament topique place dans
le fondement, pour lächer le ventre.
SuPPösTo, A, P. P. irr. de Suppor. adj. sup-
pose, sous-entendu. — que, adv. en 028 que,
suppose Que; quoique.
Suppösto, s. m. (tl. de melaph. ct de thdel.)
objet qui n’est point exprime dans une propo-
sition, mais qui lui sert de base. *Supposition,
chose supposee.
Suprressiö, #. f. suppression : aclion de
supprimer ; defaut d’&vacuation.
Surprisso. V. Supprimido.
* SUPPRESSÖRIO, A, adj. qui supprime.
SorPrino, A,Pp. pP. de Supprir.
Surpnipön, s.m. celui quisupplee,, qui rem-
place, supple&ant.
SUPPRIMENTO, 5. m. action de supple6er ; frais,
fournissement, fourniture. V. Supplemento.
Supprimin, ©. a. supprimer : empecher ow
Sairo cesser de paraltre; passer sous silence;
abolir, annuler.
Stpprin, ©. a. et n. supplieer; remplacer ;
defrayer. — a despeza, o cwsio, fournir aux
depenses, subvenir aux frais. O ouro muilas
vezes suppre o merecimento,, Por supplee sou-
vent le merite.
+SuppaiveL, adj. 2 gen. qui peut @tre sup-
piee.
Surpuracäö, 5. f. suppuration : formation,
€&coulement du pus.
Suprunäpo,A,p.p. de
SurPurÄR, v. N. suppurer : rendre, jeter du
pus.
SuPPURATIVO, A, adj. suppuratif : qui fait
Suppurer.
SUPPURATÖRIO, A, adj. qui est en suppura-
ton. V. Suppuralivo.
SurPUTAGAÖ, 3. f. suppulalion, calcul.
Supptrino,A,p.p. de
SupPUTÄR, v. a. supputer : compter, calculer
par addilion ow multiplication.
Sipna, prep. lat. ci-dessus.
SuprAcıräpo,A, adj. cite ei-dessus.
+Surnino, s.m. (fl. de mus.) dessus, 80-
prano : voix la plus haute dans la musique.
SUPRANUMERÄDO, A, adj. nombre& ei dessus.
SUPRANUMERÄRIO, A, adj. et s. m. surnumed-
raire.
fSupnewacia ou Supremazfa, s. f. °pou-
voir, influence supr&me; suprematie, superio-
File.
SUPREMAMENTE,, adv. au supr&öme degre.
Surr£MmO, A, adj. Supreme : au-dessus de
tout en son genre; dernier.
* SUPRESITO, s. m. "appartenances d'un h&-
ritage.
Suraessäö, etc. V. Suppressäo, ec.
SurriLno , etc. V. Soprilho.
QUPRIMIR, etc.
Surkia, elc. . un el.
SUPURAR ‚ etc. Y. Supp..., eW
Sura, s. f. (fl. d’Asie) suc de palınier.
Suncar. V. Suilcar.
SUR 1419
+ StacuLo, 8; m. (1. de do6.) brauche unie.
AmERBANENTE, ado. sourdement; & ja sour-
ine.
Sunpzir,v.n.(p. us.) faire le sourd,
SoantLo. V. Car .
Suaptz ow } surditd : perte os diminu-
Bunptza, 8. f. ) tion de l’ouie.
Surpido, A, 9. P. de Surdir.
Sunpina, 8. f. söurdine : ce qui aflaiblit le
son. 4° —,ä la sourdine,, sourdement, secrö-
tement, ä petit bruil.
SURDINHO, A, dim. de Surdo.
Suapia, ©. #. sourdre, jaillir, sorlir deterre,
d’un rocher, eto.,on parlantde l’eau. Surnager.
(fg.) Sortir, se montrer en sorlant d’un lieu
cache. V. Surgir.
SeRDO, A, adj. sourd : qui n'entend pas; qui
n’est pas sonors; qui n’est pas &clalant; (Ag.)
insensible aux remontrances, eic. Faser-se —,
faire le sourd, faire la sourde oreille. Pels
surda, insensiblement. 4’s surdss, en silenge,
sourdement,
*Suncia, etc, V. Cirurgia, etc.
Jurcino, A, pP. p. de Surgir.
SuRGIDÖURO, s.m. havre, port, rade, moail-
lage , attörage.
Surcin,v.n. (fl. de mar.) surgir, aborder,
atterir, mouiller ; Jjeter Pancre. Sourdre, jaillır,
S’elever, so lever, — dos perigos, s’aflranchie
des dangers, etc.
SoriLno , dim. de
SörRO, A, adj. sans gqueue (poule). Tonsurs,
qui ne dit pas encore la messe (moine).
SURPRENDER, vd. a. Surprendre, prendre, at-
taquer & l’improviste. (com) Surprendre,, &ion-
ner.
SURPRENDIDO, A, 9. pP. de Surprender. adj.
Surpris, pris & Pimprevu, etonn&, eic.
Sunratza,s. f. surprise: aclion par laquelle
on surprend ; &tonnement.
Sürra, s. f. volee de coups. Dar umabia-—,
fouetter, etriller d’importance.
SuUariDO, A,Pp. p. de Surrar. -
SURRADÖR, 8.1. corroyeur, ındgissier. Fouet-
teur.
Sonraracıa. V. Sarrafagar.
+ SURRAMENTO,,3.m. action de corroyer; ap-
pret des cuirs.
Sunräö, s. m. "panetidre de berger, sao de
euir de berger. Suron ow c&ron : sorte de sac
de cuir pour Yindigo et autres marchandises.
-SurnäPA, s. f. mauvaisvin, vin gäle.
SurrÄn, 9. @. corroyerles peaux; passer en
megie. Chätier A coups de fouel, debäton, etc.
User la superficie de quelque chose, la rendre
raboteuse.
SURRÄR-SE, v. r. s’user, en parlant du drap.
(burl.) Se sauver, s’en aller ä la derobee.
Sunrirte. (8. burl.) De —, adv. en cachette,
& la derobes.
Sunaat£ıro. V. Sorraleiro.
Sunreıcid. V. Ressurreigäo.
Sunatıra. V. Sorrelfa.
Sunzerricio, etc. V. Subrepkiele, etc.
120 guS
Burnıida, 8. f. volded’artilierie. (Ag.) Hude.
Bunnisa, s. [. "ameublissoment des lerres. it.
V. Soecaleo.
Euraı2i00,A,Pp.p.de
Suarısan, v. a. ameublir la terre, labourer
Ala boue.
Suariıriär, v. a. (4. burl.) derober, voler,
Blouter, escroquer, griveler.
Suaria, v. n. voler, s’elever bien haut. V.
Sortir.
SöaTo, 5. m. vol rapide d’un oiseau qui 8’6-
leve, essor. (Ag.) Essor de esprit.
Sisto, A, p. p. irr. de Surgir. adj. surgi,
mouille, &ä l’ancre, en parlant d’un navire.
*Suatö, s. m. V. Sobreiudo.
" Surrüm. V. Sobreiudo,, Casacdo.
Surzia. V. Zurzir.
Sus! inter). sus, bon, courage!
Susäno, ow Susäö, A, adj. ce qui est plus
baut, ci-dessus. Veis — es, (anf.) veine du front.
} SusceptisıLıdang, s. f. susceptibilile :qua-
lit6 d’etre susceptible.
SuscErtivKL, adj. 2 gen. susceptible, qui peut
recevoir telle qualii&, telle modißcation, ca-
pable.
Suscıracäö, s. f. l’action de susciler, susci-
kation,, instigation.
Suscıräno, A, P. p. de Susciter.
ScscıTapon, A, 8. velui qui suscile, 6le. ;
insligateur.
Suscırär, v.a. susciier, faire nalire ; faire
paraltre ; exciler , causer. (Ag.) Ressusciler,
faire revivre. — desgoslos , oocasionner des On-
nuis, des desagrementis.
Suscırän-se, v. r. s’olever, 56 susciior.
Buscahevkn, etc. V. Subdscrever,, etc.
*S080 , ade. en haut, dessus. V. Acima ,
D’antes.
* Susovito, A, adj. susdit, ci-dessas dit,
mentionne.
Susp£cto. V. Suspeito.
Susreicäö, 5. f. suspicion, soupcon, defance.
Suspäita, s. f. * seupgon, oınbrage, doute;
cenjeciure, deßance peu fondee.
SuspeitäiDo,A, pP. p. de Suspeilar.
BLSPEITADOR, A, 5. PErSOUDE SOUpgonnEeuse.
QUSPEITAR, U. @. SOUPFONNEr: avoir des soup-
gons; conjeclurer. (de), v. ®. SOupgonner:
former, concevoir des soupgous conire, des
doutes sur.
Susräıto, A, adj. suspeci, soupconns; qui
nıerite de !’eire; qui inspire la me&liance; de
ui On a, On peut aroir du sOupgon. Soupgon-
neux, dößant (p. us.). Dar por — um juiz , re-
cuser un juge Pour cause de suapicion. Dar-se
Dr decliner une cause, en parlant d'un
uge.
SUsPBtTÖSAMENTE , ado. avec SOupgon.
Susrgıröso, A, adj. suspect : qui donne lieu
aux soupgons. Y. Suspeila. Soupgonneuz, de-
Rant.
SUSPENDER, v. a. Buspendre, €lever, enlever,
atlscher, soulenir en l’air; lenir eu suspens ;
surseoir, dillerer ; arrtier, retarder. (Ag.)Sur-
SUS
ptendre, &tonner, saisir. Saspendre : interdin
un ecclösiastique de ses fonclions. — 0 juıze,
suspendre son Jugement. — aneora,(l. de mar.)
levor l’ancre. — a encore d’um ouiro nerie,
(fd.) p6cher l’ancre d’un autre vaissean.
SusPEnDER-SE,, ©. 7. 36 suspendre : din,
pouveir öLre suspendu.
SUSPENDIDO , A, p. p. de Suspender. adj.
Suspendu. Surpris.
*Susp&npıo. s.m. V. Farce, Garrois.
Susransäö, s. f. suspension: aclion Je ser
pendre, d’arröter , etc. ; surs6ance, Oessalna
d’operation pour un lemps; inlerdiclion poer
un ‘emps; ügure de rhötorique par laguelk a
tient Pauditoire en suspens. * Doute, irresole
tion. * Eionnement, surprise, saisissemes.
Grande attention. Suspense : censure qui de
clare un prötre suspens;; &iat d’un pr&tre inler-
dit. —d’ermss, suspension d’armes : cessalma
d’actes d’hostilite. Sob pena de — , sous peitt
de suspense. Ponto de —, (1. de mus., nit,
point d’orgue.
SusPENSsivo,, A, adj. suspensif: qui suspen,
arröte, Lient en suspens, empe&che de proceder.
Susptuso, A, pP. Pp. irr. de Suspender. eüi
Suspens, suspendu ; (Ag.) indecis, irresela,
interdit ; qui 6coute alientivement. Fiar-,
s’arröter, resier interdit. Ter alquen — ‚ul
queiqu’un en haleine.
SUSPEXSÖRIO,, 3. me. Suspenseie : bandayt
pour une descente ou hernie, eic.; ce qui Kerl
ä suspendre. —s, pl. ° breielles : sangles elar
ues pour porler les panlalons, ek.
u a,adj. (8. de med.) qui
suspendre. Bu
Suspirino, A, p. p. de Suspirer. adj. Dasitt
ardemment.
+ Suspırap6a, 3. m. soupireur, qui put
des soupirs.
Susririn, ©. @. et m. soupirer : pousser di
soupirs. (por) Soupirer apres, desirer arle®-
ment, rechercher avec passion, beer apres J
ki ou a ods suspirdmos, nous poussons 2
soupirs vers vous. — por voller d sun poll,
langnir apres sa patrie. — pela suo liberie.
soupirer apres sa liberte. Corardo que if"!
ndo lem 0 que deseja,, (prov.) caur qui u“!
n’a pas ce qu’il desıre.
SusPino, 8. m. soupir : aspiralion el Ip:
tion penible, prolongee par la “ouleur 00 !
pleisir. (Ag.) Desir ardent. (1. de bot.) Belic-de
nuit, merveille du Perou, jalap laut.
Susgtinär. V. Sosquiner.
* Susso. V. Suso.
Stssurnran, eic. V, Susurrer, elc.
Sustäncıa , eic. V. Subsiancis, elc
Sustäno,Aa,p.p. de ‚
Bustän, 0.8. suspendre, arreier, empfeit
le progres. V. Sobresster.
SUSTATORIO, A, adj. qui suspend, are,
empeche le progres. .
Bustanido, s. m. (l.de mus.) "didse ou dies‘
double croiz en sauloir qui margat quel’oR
deit diever le son d’un demi-ton.
JUX
Sustuwnrackö, s. f. Faction de soutenir, de
sustenter. Nonrriture. V. Sustenio.
SUSTENTÄCULO, 5 m. soulien, appui, &tal,
soulönement.
Susrexripo, A, p. 9. de Sustenlar. adj. Sou-
tonu. Bustente.
SUSTENTADOR , A, 3. celui qui soutient,
SOSTENTANRNTO, s.m. V. Sustentapdd er Sus-
Iento.
SusTenTÄntE, s. m. soutenant, röpondant :
celui qui soutient une thöse. st. 9. @. de
SUSTENTÄR, v. a. soutenir, porter, supporter.
Sustenter, nourrir, alimenter, entretenir. Sou-
lenir une these, r&pondre. Appuyer, &layer,
„utenir. — ums amigs, entretenir une mal-
„Tesse.
Sustentärse (de), v.r. s’alimenter, se nour-
rir, vivre de. Subsister, tirer sa subsistance de.
Resister, tenir bon , se soulenir. — do ar, se re-
paltre d’espörances chimeriques ow vivre de
Pair, manger ir&s-peu.
SostEentäveL, adj. 2 gen. soutenable: qu’on
peut soutenir, defendre.
SuSTENnTO, 8. m. * noufriture, aliment, sub-
sistanco, entretien. L’aotion de sustenter, elc.
(fig.) Ce qui entretient, alimente quelque chose.
V. Sustentaculo.
Sustenton. V. Sustenlador.
Sousria. V. Sosier.
Sustıntncıa. V. Sustentapdo.
Susnrufs, etc. V. Substiluir, etc.
Susro,s.m." pear, crainte, frayeur, alarıme,
‘pouvante, eflroi.
Bu-SUDONSTE , 5. m. sud-sud-ouest.
Su-SUEßSTE, s. m. sud-sud-est.
Sussunnäpo, A, p. 2. de Sussurrar.
Sussunnapor, A, adj. qui murmure, qui
bourdonne, qui souflle ow sillle.
Sussuanints, adj. 2 gen. V. Sussurrador.
p. a. de
Sussunniea, 9. ». murmurer: parler bas, se
plaindre sourdement, etc. (fig.) Murmurer : so
dit du brult que fait un ruissesu, lo vent, etc.
Bourdonner, en parlant des abeilles. Souffier;
sifiier.
Sussöano,s. m. bourdennoment, bruit sourd ;
mMurmure, au propre ei au figure.
* Sustanton. V. Sustontador, Defensor.
Surina. V. Solaina.
Surir, ete. V. Sudiil, ete.
Sutazsücıo. V. Subterfugio.
Surüaı,, s. f. (f.d’anat.) suture : jointure des
os du cräne dont les inegalit&s s’engrenent;
r&union des parties molles.
SuruniL, adj. 2 gem. sulural : qui nalt, dö-
pend d’une suture.
"Suu ow Söu,, adv. conjointement, ensemble.
Viver de —, vivre ensemble. Fazer algum de-
licio de — , commelire un crime avec des com-
plices.
Suxino,&,P.p.de
" Suxir,v.e.lächer, relächer, detendre. (ant.)
Remettre, moderer, relächer.
Böxo, A, adj. reläch& , detendu. V. Solto.
PORT. FR.
SYM 1181
Böz. V. Sus.
SYaarita, s. m. ( Ag.) sybarlie : bomme inte»
voluptueux, livr6 & la mollesse; (au propre)
peuple de la Grande-Grece. 11 est aussi adj.
SYsanirico, a, adj. des Sybarites; Sybarfte.
SrsiLza, etc. V. Sibylle, etc.
Sycömoro, s.m. (l.de bof.) sycomore : erable
blanc de montagne, arbre & larges feuilles,
semblables & celles de la vigne, du figuler et
du märier. — bastardo, azedarac, bipinne,
margousier, sycomore faux.
SycorBÄnta,s. m. sycopbante,, fourbe ; men-'
teur ; imposieur ; fripon; delateur; coquin.
+ Sıcöss, s. f. (t. de med.) sycose:: tumeur &
Panus semblable & une figue.
Sro&aeo. V. Sidereo.
+Sroenire ow Sıperite, s. f. (1. de bot.)
crapaudine ou sideritis : plante labiee.
" Syua pour Sia ou Esieva, il elait os il dtait
assis.
Srıra. V. Seylla.
Sr’ırasa, s. f. syllabe : voyelle seulo ow
jointe a une lettre qai ne forme qu’un son.
(A%g.) Quantite : mesure des syllabes longues
ou breves. ‘
SyrLıasina ‚5. f. faute de prosodie ow d’ao-
cent.
SYLLABÄR, 0. ». syllaber : assombler les let-
res par syllabes.
SYLLABARIO, A, adj. qui prononce par sylia-
bes. s. m. Syllabaire : livre elementaire pour
apprendre ä lire.
Syırisıco, A, adj. syllabique: qui a rap-
port aux syllabes.
SyLL£rsk ‚s. f. syllepse : emploi d’un mot au
propre et au figure ; figure grammaticale par
laquelle le discours so rapporte plutöt & la
pensee qu’aux regles.
SYLLOCISMO , 8. m. syliogisme : ralsonnement
renferm& dans trois propositions, la majeure,
la mineure , la consequence.
StLLocistico, A, adj. syllogistique ı qui
concerne le syllogisme.
SYLLOcIZAn0, A, 2.9. de
SrYLLocızir, ©. n. syllogiser : faire des sylie-
gismes, argumenter par syllogismes.
Sr’ıeno, s. m. syiphe, sy!phide : genie de
Pair.
Srıra, etc. V. Silvs, etc.
SYMBÖLICAMENTE ‚ adv. alldgoriquement.
"SYMBÖLICO, A, adj. symboligue : qui sert de
symbole,, qui s’explique par symboles. '
SrYusoLızacäkö,s. f. symbolisation : acliom
de represenier par des symboles. Analogie,
ressemblance,, sympathie, conformile.
SYMBOLIZÄDO, A, pP. pP. de
SrmaoLizär, v. ». symboliser : avoir de la
conformits, du rapport. v. a. Symboliser : rc-
presenter par un symbole; expliquer par syaı-
bole.
+SyusoLismo, s. m. qualite d’Eire symboli-
que.
Sy’uBoLO, s. m. symbole: figure, image qui
designe une chose par la peinture, In sculptare
1198 SYN
ow le discours ; signe exierieur des saoremeuts;
formulaire des articles de la foi. (g.) "Sen-
tenoe, devise, oic., qui disiingua, caraclörise
quelqu’un. ,
*Sy’us0L0, A, adj. V. Symbolioo, Paris
— 1, quoles-paris, &cols. .
+ SrusoLocia , s. f. symbologie : traits des
symptömes des maladies.
Srmstaia, 3. f. symölrie : proporlion de
grandeur, de figure , des parties d’un corps en-
ire elles et avoc leur tout; proportion d’ögalile,
de ressemblance; rapport des [ormes.
ÖYNSTRICAMENTE, adv. symelriquement :
aueo symötrie.
Srmeraıco, A, adj. symetrique : quia de la
symetrie.
Srustaızin,v.a. ot m. symötriser : disposer
avoc symetrie ; faire symötrie.
Sruu,sf. .
Syuı 0, m. | V. Simia , Macao.
Sruratsia, 5. f. sympathie : convenanc®,
napport d’humeurs, d’inclination, elc. ; interei
naturel, affectueux pour quelqu’un,; corres-
pondance imaginaire des qualilös du corps; 5©
dit des Ames.
STMPÄTRICANENTE, adv.d’une maniere sym-
pathique.
BYMPÄTHICO, A, adj. sympathique : qui ap-
partient aux Causes, aux elfeis de la sympa-
e. ’
SYmMPaTrkızino, A, p. 9. de Sympalhizar.
SYMPATHIZÄNTE, ad. 2 gen. qui sympalhise.
p. a. de
Srmratnızin (com), v. n. sympalbiser: avoir
de la sympaihie, se convenit.
Sıupuisıs, s. f. (£. d’anat.) sympbise : liai-
son de deux os du bassin.
+ Srurnr'ta, (t. de bot.)V. Consolda maior.
Srursonia, s. f. symphonie : concert d’in-
struments de musique ; sone de composition
Mmusicale.
SYuruy’To, s. m. V. Symphyla.
SYMPTOMA, 8. m. symplöme : signe, accident
donton tire quelque presage , quelque conse-
geence.
Srurrositico, A, adj. symptomatique : qui
appartient ausymptöme, qui en depend.
SYMPTOMATOLOCIA , 8. f. symptomatologie :
trait6 des sympiömes.
Sına, eis. V. Sims, eic.
Srnao6sa, 6. f. symagogue: assembiee de
Ndedles sous l’ancienne hei ;assumbiede roligiouse
des juils ; lien oA ils sassembient pour leurs
awercioes de religion. (fig.) Les juils.
SrnaLärea, 0. f. synulöphe : contrection des
syliabes de la fin d'ua mos ei du oommente-
ment du mot sulranı.
Sruavracmirnod, a, 847. synallagmetigwe :
qui content wa Vagagement mutuel ( contrat).
*Synin, etc. V. Assignar, etc,
Synantrundsg, 8. [.( 1. de chir.) synarlhrose:
articulation des 08 sans mouvement.
SIRiXE, 5. f. (& d’ant.) synaxe: asscaubldc
SYLN
de chretiens pour prier, pour celöbrer la cine.
+SYNCATOGOROSNÄTICE, A, adj. (4. de dialecı.)
potentiellement infni.
SrncäLLö, s. m. syncelle, compagaea de
chambre,
SYNCHRONiSMO , 5. m. synchronisıne z Fapperi
des choses falles , arrivees en mı&me lermps.
Srucaaöxo, A, adj. syuchrone : qui m fat
au möme temps (mouvement, oscillation‘.
Sv'ncora, 3. f. syncope : retranchemen
d’une leuro, d’une syllabe au milieu d’un m
Srncori00, A, P-.P- de Syncoper.
SıncoräL, adj. 2 gen. (I. de ned.) syncopal
ou syncopique : de la syncope. On le dit d’une
fire accompsgnee de syncope , de defaillaner.
STNCOPÄR , d. &. Syncoper, retrancher; faır
une syncope. u. ». Tomber en syncope.
Sr’ncope, &. f. (1. de med.) syncope : delail-
lance, pämoison. dt. V. Syncopa.
Srncorızipo, A, adj. tomb& en synospt.
p. p. de
SYNcopIzÄn, u. @. Gauser des syhcopes , des
defaillances. v. ». Tomber en syncope.
ST’nCaRSE, 6. f ByDor&se , CORCTELIOR ; CHagE-
lation.
SYNCAKTISNO, 5. m. Syncrölisme ı rap
chement de diverses sectes ou communiamis
divers systemes incenciliables.
+ SYNcRETIiSTAs, s. m. pl. symor&listes : pls-
losophes qui veulent concilier les difarests
systemes.
ÖTRDER&SE ou —ı5, 8. f. synderese : remard
de conscience, conscience droits; inchnetas
naturelle qui porie a l’öquite ei prend sujeur}
le parli le plus sür.
Srnoicagäö, s. /. action d’ezarniner, ds Im
chercher, de s’informer ; recherche, engedit.
SYnpiıcäno, A,P.p. de Syndicer.
SranicäL, adj. 2 gen. Syndical : qui a rap
port au syndic.
SINDICÄNTE, adj. ot 0. u. Qui recherche, ge:
ezalmine ; enquelsur.
Srnbicär (de), o. @& ei ®. eXauniner, reckt!-
cher, ooniröler, engatier, siinformer. Syadı
quer, blämer les actions d’autrui, les cornge-
Srnsicirte,, 3. 0 syndioat : charge, fanek:
de syndic.
Srworcartua,3.f. V. Syadiedis ar Syadı: -
gdö. üt. Censure,, bläme.
SY’npıco, s. m. syndie : qui est dar
affaires d’une coramunaut€ dont il est memi
Celul qui regoit les aumOnes falles auı rrh-
| gieax mendiants.
SYNECDOCHE , 8. f. synecdogue: Bgare derbe
torique par laguelle on fait entendre le pie: eı
disant le moins,, le tout pour fa partie, la par-
tie pour le tout; l’esp&ce pour le genre, ei rı-
ciproquement.
SYnHEDRis,, ou syneärin, sanbedrü ı
SYNHEDRIO, 8. Mm. } premier tribenal jeıl
Sru£azsıs, s. f. (4. de gramm.) synerdst-
contraction de deux syllabes en une senle, 4
deuxvayelles en une diphihongue.
SYN
Srngvaösis, 3. f. synerrose : sympbyse liga-
menleuse.
Srmronia. V. Symphonia.
Syncenäsia, 8. f. (l. de bot.) syngenesie :
dix-neuvieme classe de vegelaux, dont les
fleurs ont les &tiamines r&unies par leurs som-
meis.
Sr’nocha, 3. f.et } (1. de med.) synoque
SY’NOCHO, 8. m. (&vre), continue sans
redoublement.
SrnopiL, adj. 2 gen. synedal: qui appartient
au synode.
SNNODALMENTB, ade. synodalement!, en 8y-
node.
Srnopärico, s.m. contribution des paroisses,
en la ville de Braga (en Portugal), pour l’entse-
tion des membres d’un synede, quand il s'y
assemblait : c’eisient 600 r&is pour chaque PA-
+ Srnontupaos, s. m. pi. (tl. d’hist. net.) sy-
nerdendres ;: col6opitres vivant sur les arbres.
SUZ
Syntenesis. V. Synderesis.
SY'NTBESE, 04 SY’NTHESIS, 8. f. synihäse ;
methode de composition, opposee et posie-
11923 °
rieure a l’analyse, en allant du generalau par-
tculier, des causes aux elfeis, des principes
aux consöquences. .
SYNTHETICAMENTE, ado. synihetiquement :
d’une manidre synthötique.
SYaTBtrico, A, adj. synthölique : dela syn-
thise (mölhade).
Sıntonia , &, f. syntonie ; conlinuiis du
meme son.
Sreanus, eto. V. Sipkilis, etc.
Srauccsa, 5. f- (i.de gdog.) Syracuse, ville
de Bicile.
Sraacusimo, A, ady. et s. Syraomsain : de
Syraeuse, qui lui appariient.
SrYasuıco. V. Sirenico.
Sr'nia,s.f- (b. de geog.) Syrıe ı provisce de
la Turquie Asistigue.
Srniaco, A, adj. obs. Byrisque, langue de
Synöpıce, A, as. synodigque, de synode, | Syris
synodal. Mez, movimento —, (4. d’asir.) mois,
mourement syaodigue, d’une nouvelle June ä
Yautre.
SY’n0B0, s. m. synode, concile.. assembie&e
de prelats, de sur6s,, eic. (}. d’astr.) Conjonc-
tion de deux plandtes dans le meme degrö de
Pocliptique. — diocesano, synode diocesain.
= nacı jal , concile national, pro-
vincial.
Synonv’uta, s. f. synonymle : qualitö, rap-
port des synonymes; Ägure de rhätorique qui
exprime la meme chose par plusieurs synony-
mes; couoordance des noms; Fapprochement
des mols synonymes.
SYNORT’NICO, A, adj. synonymique: desy-
nonyme,.
SYNÖNYNMO, 8. m. et adj. synonyme : (mot)
qui a striclement os & peu pres la mäme signi-
ficalion qu’un aulre.
SYnopsg ou Sınöraıs, s. f. “ dessein, plan,
exposition d’un ouvrage ; abr&ege&, precis, som-
maire.
SYNnÖPTICO, A, adj. synopüique : qui soffre
d’un meme coup d’ail (table, tableau).
Srnövıa, 3. f. (. d’anat.) synovie : liqueur
visqueuse enire les arliculations mobiles.
SrnoviäL, adj. 2 gem. (if. d’anat.) synovial:
de la synovıe.
Srnricha, s. m. (f. didacl.) syntagme : or-
dre, arrangement. Recueil, livre de remar-
ques, olc.
SYntaxg, 8. f. (f. de gramm.) syntaxe: ar-| 97
raugement, construction des mots, dos phrases
selon les rägles de la grammaire: partie de le
grammeire ; ces rögles , ie livre qui les con-
dent.
Sraıino,A,adj.Syrien, deSyrie.V. Syriase.
Buainz, s. f.(t. de myth.)" syringe: silllet de
Pan. La nympbo Syriaz , aimebe de Pan.
Sy’rıo. V. Sirio.
+ Srarnos, s. m. pl. (1.d’kist. wat.) syrphes:
diplieres sarcoslomes.
Sy'arze, ou Sınrzs, 3. m. pl. syries : bancs
de sable wös-dangereux ; sables mmouvanis sur
les bords de la mer. (Ag.) Ecuells, dangers de
le vie.
SysriLrico, A, adj. (6. d’anas.) systalique:
qui resserre, ooulzacle.
SYsrkua, 5. m.systöme : assemblage de pre-
positions, de priucipes et de Consequences
formant une doctrine, un dogme,, une opinion;
röunion d’astres, de parties, de Corps ; zö&union
de principes de conduite,, ete. ; plan, desseins.
— do universo , systäme du monde : ordre
qu’on suppose enire toules ses parties, eic.
— music , systöme de musique.
Srerzuino,A,p.p.de
SYsTeuäk, v. a. systömaliser : reduire em
systöme.
SYSTEUÄTICANENTE ‚adv. systämaliquemenk
d’une maniere syslemaligue.
Bysremärico, A, adj. systömatique : qui ap
partient aux systömes; regie d’apr&s un sys-
iöme; qui fait des systömes , qui les suit.
Sr’svoLz, s. f. (t. d’anat.) systole : mouve-
ment naturel du c@ur qui se resserre. (tl. de
am.) —, ügure, ou plutöt licence poetique,
par laquelle on fait breöve une syllabe longue.
Srzicıo, s.m. (1. dastr.)" syzygle: lemps de
la nouvefle ow de la pleine lune; conjonclion
al’opposilion.
1124 TAB
TAB
T
T, 5. m. vıngliöme lettre de l’alphabet portu-
gais, ot la seisidme des consonnes. (’dtait an-
ciennement une lettre nume6rale qui valait 160,
et avec un liret au-dessus 160,000. Le T, chez
les Romains, mis au bas d’un sönatus-consulle,
indiquait le consentement des tribuns. Teer ou
Iraser um T na lesta, ( fam.) &iro sol.
Ta! interj. par laquelle on avertit quelgu’un
de discontinuer un discours commeno®, de
changer de propos, eto., de se sauver promp-
tement:: on dit aussi #die. Doucement! tout
doux! arrötex! Td, td! interj. qui fait connal-
tre qu'on est au fait d’une chose qu’on avait
ignoree jusque-lä. Ho, ho!
Tir, s. m. (mot arabe) chef d’un parii. Divi-
sion territoriale faite par les Arabes en Espagne,
gouvernee par un alcade.
"Tia,ade.V. Abd.
TasıciL, s. m. plantalion de tabac.
Tasico, s. m. tabao : plante. V. Horoa sau-
ls. -— , poudre sternutatoire. — de fumo, tabac
& fumer. -- de folha, tabac en [euilles,, tabac &
famer. — de rölo , tabac en rouleau. Tömar—,
prendre du &abac, priser. Pilada de —, prise
de tabac. Caixa de — ‚tabatiöre; plein une la-
baslere.
+ Tanachso, A, adj. et 8. grand priseur de
tabac. Plein de tabac.
* Tasarnıom. V. Tabellido.
° TABALINEO. V. Atabalinho.
* TABALLIADECO, .
TABALLIÄDO , 8. m. | V. Tabelliado.
Tasaruıkd,. V. Tabellido.
; + Tasinca, s. f. (I. d’Asie) " peage.. V. Por-
Tasantz. V. Tavanez.
Tasid. V. Teodo.
Tasigue. V. Alsbagque.
TABAQUEÄR, v. @. et ». donner & quelqu’un
du tabac, prendre du tabac. (#. burl.) Bailler,
plaisanter quelqu’un ; aliraper, tromper quel-
qu’un.
Tasaqutıra, s. f. (t.de 5of.)* tabac : plante.
V. Herva santa. it. Tabatiere ou. boite & mellre
du tabac.
Tasaqutıao,A,s. marchand de tabac. Grand
priseur de labac. Tabatiere ow holte a meltre
du tabac.
Tasaquista, 3.2 gen. celui qui prend beau-
coup de labac ou qui se piqu e de le connalire.
Tasanpeına, s. I. dim. de, Tabardo.
TaBaRDETE, ou * 8 &vre pourpree, fid-
TasınpiLno, s.m. I vr o maligne.
"TaBiaDo, 5. m. Oasaque + de gros drap pour
los gens de la oampagne, ı« ;wc
Tananko ow Tanankı, 3. m. (f. valg.) mi
cien , soldat mal exeree.
“Tasirnno. V. Tabardo.
+ TananzEr, 5. m. sorie de suore de came.
Tasaxie, s. m. sucre de bambou.
Taxiz. V. Lobo. .
Taners, s. m. lait &paissi des brebis, *k-
babeurre ; petit-lait.
Tautıra, 3. f. table, tablesu. V. Pauls.
Electuaire en pastilles. is. V. Toblike.
TABELLIÄDO, 5. m. office, fonctions de ul"
lion; notariat, ofice,, fonctions de nolalre. dl.
Imposition que les notaires payaicn! auinieo
au roi.
TABELLIÄÖ, 5. m. notaire : ofßcier,
note qui regoit et passe les acles, El6;
lion.
TABELLIAR, ©. ®.
notaire.
TaseLLıda, adj.
[aite et trös-grosse. Palaoras — s, MO
mots de simple formalite. j
TABERnÄictLo , s. m. tabernacle : ten!- N
villon chez les juifs ; tente oü &tail Farce 13
liance ; partie du temple ou elle re“.
etaient les pains de proposition, ei"
dos—s, [eis des tabernacles, une de I
grandes solenniles des Hebroux. —
sank.
tarel-
exercer les fonclieds &
Letire —, kerilun wi.
[ ’ sdust
da Fra ®.
(fg.) le sein de la vierge Marie, en |
de mysticite.
TABERNÄRIO, A, adj. de cabarel, Gb“
que. sone
Tapi, s. m. tabis : sorte de grös tafleus! u
Tasica, s. f. (1. de mar.) planche qu' gr
par-dessus lo plat-bord d’un valsseat. ii
emboltee au bout des planches pour qU?”
se fendent pas. Au Bresil, e'e# one
canne de liane. .
+ Tazıcir, v. s. embolter des Pi
bout des planches pour qu’elles De
pas. . Gore
Tisıno,A,adf. (1. de mdd.) poutti, ya
pu; tabide, d'une maigreur excessire p
somption. ich
TaBigug ‚8.
en lattes.
Tapısär, v. e. labiser :
ondee & la maniere dutabis.
Tisıa , adj. m. Diememnis —:
table. Pr
TasLino, s. m. plancher d’an ihesıre, DM",
ire, scene. Echafaud. pt
TapıiLna ‚s. f. bande de billard. Por
bande ‚en parlanı de ooriains e0uf?
nn. * cloison de briqu®s;
rendre unt AR
diamap! 9
TAB
( Ag.: fam.) Par rieochet, par hricole. — de
forrer, (l.de mar.) table ä fourrer.
Tis0o,s. m. sorte d’embarcalion asiatique.
e.V. Tavdo.
Tisoa, s. f. planche, ais. Carte g6ographi-
que. Table de matiöres, index d’un livre. Liste,
catalogue par ardre. (amf.) Acte notari6, charte.
Partie la plus large. et la plas charnue de cer-
tsins membres. Ex. : Tabos do pescogo, etc.
Table A manger (p. us.). — rasa, (1. de peini.)
toile preparse pour peindre. (Ag.) Table rase ı
esprit neuf, susceplible de toutes les impres-
sions. —s, pl. tables astronomiques, öpheme-
rides, etc. Tables de la loi donnde par Dieu &
Moise. Tables du oräne. —s afonsinas, tables
allonsines: tablos astronomiques dressees par
ordre du roi Alphonse-le-Sage.—s das boeiras,
(6. de mar.) parcloses. —s do costado enire as
einlas , "bordages d’enire les pröceintes. —s de
resbordo, "gabords. — de fundo, "bordages de
fond. —s dos Irincanizes , goutliäres.
Tasoipa, s. f. table de matiöres, index d’un
livre. Table de multiplication, livret. — pylka-
gorica, table de Pythagore,, contenant les pro-
duits de tous les nombhres simples.
TaBoino , s. m. quantilö de plauches. Lit de
camp. V. Tablado.—sdo fundo, etc. (l.de mar.)
V. Taboas.
Tapoäd, s. m. aug. de Taboa. Grosse planche
©paisse, madriers, etc.
+ Tasöca ,s. f. canne sauvage, au Bresil.
+ TapocaL, s. m. foret, bois de cannes sau-
vages. V. Tabdca.
Tanoinna, s. f.dim.de Taboa. Petite planche,
planehe mince. (8. de mar.) " Bordage mince.
Salvar-se n’uma —, (fig.) se sauver d’un dan-
ger, se tirer d’affaire comme par miracle,, l’6-
chapper belle.
Tisora,s. f. dame : pidce ronde et plate, qui
sert A jouer aux dames, au triclrac. (ans.) Table
a manger. (id.) Bureau oü l’on pergoit les droits
d’entree, eto. —s, Pl. ou jogo das —s , jeu de
ırictrac. Cavalkeiros da — redonda, chevaliers
de ia Tabie ronde.
: TagoLäno, s. m. plancher,, lieu garni de
pianches. Tirar a—, (ant.) sorte d’ancien
exercice milltaire.
TABOLÄGENM, 8.f. scad&mie, maison de jeu de
trictrac, ee. Dar—, tenir maison de jeu.
+ TasoLäö, s. m. planche de buis sur Jaquelle
travaillent les orfövres.
TABOLEIRINHO , dis. de
TanOLkıRO, 5. m. plateau, 6sp6ce de table ä
rebords sur laquelle on metle pain en päle pour
le porter au four, etc. Cabaret, esp£ce de pla-
teau. — de gamdo, tablier de trictrao. — de jo-
gar as damas, damier.— do zadrex, echiquier.
— d’uma escada , palier, carte. — de horia,
“ planche, carreau de Jardin potsger. — d’uma
igreja , vestibule d’öglise,
TanoLkra, s. f. tablette, enseigne de bou-
tique , d’auberge, eic.“Comptoir de marchand ,
monire d’orfövre, otc.
Tantano. V. Tabardo.
..
a Er
:
. *
m Veh
TAC 1125
Tan, s.ın. (i.de Zrösil) suere qui n’a pas eis
bien purifie. "
Tasua, 5. f. (4. de bot.) masselte, masse
d’eau : plante aquatique. Paille de masseile ä
fsire des naties. — lerga, masselte & larges
feuilles ( Iypha latifolia). — estreils , nasselle
& feuilles Etroiles. Mandar d —, ( am.) en-
voyer promener.
TanuiL, &. m. liou oü il y a des masseltes.
Tisuxa. V. Tabola.
TasuLin,, adj. 2 gen. tabulaire, en lable.
+TasuLinıo, s. m. (f.d’ant.) archives, chan-
cellerio, lieu oü sont conserves les acies pu-
blios. Etude de notaire, greffe.
TasuLäro. V. Tablddo.
TasuLista, 3. m. auleur de tables asirone-
miques ou g6ometriques.
+ Tanönno,s. m. V. Degrdo, Suppedanso.
Tica, 5. f. lasse : coupe pour boire. Amigo
da — , qui aime le vin.
Taciıuo. V. Tassalho.
Ticamacı, 8. m. ° lacamaque ou lacama-
haca : sorte de gomme resineuse.
+Tacamagqutiro, s. m. (8. de bot.) baumier
qui donne le tacamahaca.
+ Tacänuamentz, adv. sordidement, mes-
quinement.
TacinHARiA, 3. f. taquinerie, avarica Sor-
dide, lesinerie. Ruse, astuce, fourberis (9. ws.).
TACAÄNHEÄR, %. m. agir avec leösinerie, sordi-
dement. |
Tacanukza ou TAcantice. V. Tacanharia.
TacinB0, A, adj. taquin, vilain, avare, mcs-
quin. Rus6, fourbe (p. «s.).
Tacanica, 5. f. *entablement ow charpenie
d’un toit.
Tacäö, 8. m. talon de soulier, etc. (fg. fam.?
Nabot : personne de Irös-petite taille.
Tackıra, s. f. montre d’orfevre.
Ticsa, s.f. "defaut, vice, tache, nole, tare;
bläme, reproche. Sorte de petit clou ä täle
plate, broquetie. V. Taxa. Homem sem —,
homme sans reproche. Pör — em alguem,
taxer, blämer, noter quelqu’un. Por —s a uma
cousa, Lrouver des defauis & une chose. —s da
bomba, (1. de mar.) clous & pompe.
+ Tacuäpa, 3. f. ce quo peut conlenir une
bassine; plein une bassine.
TACHÄDANMENTE. V. Taxddaminie.
TacmAp0,&A,P.p.de Tachar. adj. reproch?,
marqu6, note.
Tacuanor. V. Censurador et Taxador.
Tıcsid, s. m. aug. de Tacha. Clou & töte do
rte ou argentee.
Tıcnin (de), v.a. blämer, reprendre, eriti-
quer, noter; ternir la r&putation; reprocher,
censurer. Trouver des defauts aA une chose,
V.Taxar.
Tıcneocrarufa, etc. V. Tachygrapkia, eic.
TacHiu, 5. m. sac ou ötul pour melire um
livre.
Tacainua , s. [. dim. de Tacha. Broqueite, '
Täcao,s. m. * bassine : some de grand bas-
1126 TAF
sin large et orenz pour los chimistes, les con-
fiseurs, elc.
+ Tacnonino, A, adj. garni de clous dords.
p. p. de
+ Tacnonäa, 9. a. garnir de clous dords ou
argeni6s.
TıcHorinno, dim. de Tacho.
TıcHvcRaPnia,s. f. tachygraphie : art d’serire
aussi vite que l’on parle.
Tacnvcaärnıco, A, adj. tachygrapbique :ı de
la ischygrapbie.
TacaıY’caarBo, 5. m. tachygraphe : qui derit
aussi vite que l’on parle.
Tacinaa, dim. de Tags,
TäcıtaukıTz ‚adv. tacitement, sans &tee for-
mellement exprime. Sans brait, en slienoe.
Ticıro, a, adj. tacite : qui n’est pas dit, eZ-
prime formellement ; sous-entendu. Seorel, ca-
ch6. Qui ne dit mot, sllenciauz.
Tacıruanınang, 8. f. tacitumit6 : dat, bu-
meur, temp6rament de oelal qui est taciturne;
habitude d’un silence deplack. Silence profond.
Tacırüano, A, adf. laciturne : qui parle peu;
sombre, röveur, melancolique.
Tico, 3. m. coin, oherille de bois.* Bourre
de canon. Queue de billard. (4. de mar.) Bou-
chon prepar& pour boucher les trous des ballos
dans un navire.
Tıcreir, v. s. V. Apalpar.
Ticrıca, s. f. laclique : art de les
troupes en bataille et de faire les svolulions
wilitalres.
+ Ticrıco, s. m. taoticien : habile dans la
Dctique.
TicrıL, adj. 2 gen. taclile : qui est Pobjet
du toucher; aise A toucher.
Ticro, s. m. lact: sens du toncher; atlou-
ehement, maniement; (flg.) jugement fin, de-
liest. V. Toque, Contaelo. 40 —, n0 —, au
toucher. Pelo —, & Lätons.
“ Tactöna, s. f.(P. us.) action de toucher, de
pincer d’an instrument. V. Toque.
Tipeca, s. f. (1. de bot.) V. Tagueda.
- TaEL, s. m. taBl : monnale de complie de la
Chine.
Tizs, s. m. * enclume d’orfövre.
Tarıckına , Taracina. V. Tafeira.
TarEtä , s. m. taffetas: dloffe de sole minos
et lissue comme la tolle.
+ Tarıcina , s. f. sorte de lissu d’Inde & raies
et ä ramages, de toile ou de s0i®,
Tarowtıro. V. 4Alafoneire.
Taronta, 8. fı (4.8 Asie) batliment de guorre
ow de transport.
Taröı , so. m. joueur de prolession,, brelan-
dier; habile joueur; pipeur, tricheur, escroo,
joueur qui triohe. (Ag.) Bon vivant; petit mal-
tre , coquet, elegant.
Taröıa, 8, f. voquetie , femme &itgante,
parde avec recherche. V. Taful.
TaruLie, v. m. mener une vie de brolandier.
u) Vivre , eto., en petit malire.
AruLAnla, 8. f. maison de Jeu, acaddmie,
Siouterie, tricherie au jeu ; passion pour le
TAI
jeu. (fg.) Passion pour les amusemenis eilı
parure; la parure elie-m&me, la cogueliere.
Tarul.sin, v.6. V. Alafulber.
TaröLno, 8. m. tampon, Chose qui bosche
ou bourre.
Tarurice V. Te
Tarıa.V. Tafut,
Taokna, ow Taciuma. V. Tainhe, Faispe.
+ ° Taoınrar, 9. e. fouelter em osupeni la
chair.
“Taeinre, 5. m. c0up de Souet qui auu la
chair.
°Tacin. V. Coriar, Ferir.
Tıeankıra, s. f. criaillerie, tspage, behil
outrd, flux de paroles (p. wa.). s. 2 gön. Brei-
lard, babillard,, bevard ; porsonne qui pırk
beaucoup, & tort et Atravers, moulim d parelm.
AINROARALLÄR ‚vu w, brailier, bavasder, be
ler.
+ Taoanzıuica, s. f. (fam.) " bavardagı, d*
vardise , bevarderie; babil, eaquet.
+ Tacaninos, #. m. pl. aneiens Maures ge
vivalent oonfondus avec les chratiens, dest
parlaient la langue, ei.
TACAROTE, #. m. lagarot : espöce de [som
d’Egypte. (Ag. et buri.) Pauvre gemtilbemne
qui vit de oe qu’on lai donne.
Tackcıa, 5. f. (t. de bot.) V.Crave de defualı.
Tıczoa. V. Tagueda.
Ticıco, a, adj. (1. podt.) da Tage.
Ticıpe, s. f. (1. podi.) nympbe de Tage. (Ag
Dame de Lisbanne.
Tico.(podt.) V. Tejo.
* Tiona, s. f. les quatre quartiers de wir
tanne. Ancienne mesare de liquides, ö pen prüs
deux pintes.
Ticueda, 8. fi (lerme de bot.) oonysr, berke-
auz-puces, aux moucherons, qee sen edeu
Chasse, dit-on.
« Tiıs0 „A, ad). insiplde, fade, ow Imäiseset.
° Tiıso, ow Tiıuno. V. Tome ei Thakamı.
„Amino, A, adj. rass, fourbe, diesime..
ute.
Tiıuso. V. Tambo, er Tame.
TaInna, 3. f. " muge ordinsire. V. Foters
Tiıra , s. f. mur de terchis, pise, beusil'se.
— real, mur de terre meleo de chaax. —ı de
pogas , (1. da mer.) " tampons ow lapes des c=
nons.
Tımrino,A, p. p. de Teiper. adj. Oies &
mur en torchis.
TiıriL, s. m. moule ew forme peur dierer is
murs de torchis. Ce sont deux planches asmıeı
par des traverses. Pison. Cles ow reirsnehe-
ment de mar de torchis. Tetpnes da ser:.
höches d’un tombereau.
TitrirL, adj. 2 gen. Carro —, twenberesc
Parapeilos —as8, parapeis ew rotranchem: :
en torchis.
Tirıeia,v. #6. murer, olore de mers u ter
chis; faire du pfsd es torchis, piser.
+ Tirtıno, s. u, ouvrier qui fait des men
de torchis, piseur.
Taızä. V. Zeid.
|
|
TAL
Tiıxa.V. Tas,
Tarzan, V. Taxar et Tachar.
+ Tasıch, s. m. (4. d’hist, as.) fajagu, p4-
cari : sanglier 0% cochon des hois d’Amnerique
du sud.
TiL, adj. 2 gen. tel, pareil, semblable; si
grand , etc.; teile chose; cela. (ani.) Pur, sans
melange. Tel s’emplole pour donner une signi-
fieation deiarminde et präcise, et, ON OB Sens,
il se r&pdte souvent pour plus d’önergje, Ex. :
Faxia lass 0 lass cosas, il laisait tolles et telles
choses, Tel. On le dit pour exprimer la nature,
Y’6tat, les qualitss, eis. Tel : quelgu’un inde-
terminemeni : un tel, une telle. Com —, ä con-
dition,, pourvu que. Ndo fex— ‚il n’a pas fail
cola. Ndo ha—, cola ost faux, cela n’est pas
rrai. Ningusm ssperava por —, personne ne
s’attondait äcela ou s’y attendait. Tal gual, tel
quel, aussi mauvais que bon, do mediocre va-
leur, passable, etc. adv. Passablement, assez
bien, comme oela, la la. Tal e qguel. On le dit
d’une cbose telle qu’elle est, avec ses bonnes
ow mauvaises qualitss. A tal, adv. & oonditlon.
Outro qus —, voilä son pareil. Mediante tal e
tal condicäe , sous telle et telle condition. Tal
ame -— eriado , tel malire, tel valet. Tal vida
— morie, telle vie, telle mort. De — mansira,
de — sorle que..., tellement que, de mauiedre
ou de sorte que. Creo ser rei 0 obrow como —,
il se orut un rol, et ilagit en consöquence.
Tau, adv. tellement.
TiLa, s. f. presse, latte. Tout ce qui est mis
contre une chose pour la soutenir, l’allermir.
(1. ds hir.) Auslle, 6alisse. —s, pi. (Ag.) " om-
barras ; torture. Ver-se, estar em —, se trou-
ver dans de grands ombarras , ötre ä latorture,
sur les &pines.
TiLa, es. f.’ degät, ravage que fait une am
mee en pays onnemi.
TaLABÄRTE , s.m. cointaron d’6p6e , baudrier,
porte-&pde.
Tarica, s. f. (f. dAsie) V. Repudio.
TıLido,A,P.p. de Talar.
TaLapoR, 3. m. celui ou ce qui ravage, qui
ruine, ravageur, destruotsur,
Tarica, TaLicas 08 ARVORE DOs Sommakı-
nos, s. f. (t. de bot.) coryphe de Malabar, ta-
tipot de Ceylan, le grand palmier en sventail.
+ Tarasinsa, 0. f. "canevas ı grosse Loile
eiaire pour faire la tapisserie.
+ Taracizı, 9. f. sorto de toile de lin. V.
Talagarsa.
Tıraontro, 8. m. pretre idolätre de Finde.
Taraunöa, s. m. Fochadura de --, (t. de sor-
ywurier) sorte de serrure.
TALANSNTO, 8. m, astion de ravager; dögät,
ravag®.
TALAWMO. V; Thelame.
*Tırin. V. Talante.
+ TaLiwmo, s.m. (f. #Aste) sorte dasacrifice
gentiliqus ches les peuples du Pogu.
"TabänrR, s.m. talent, maniere, art de faire
les ehoses. Gott, volonts, penchant, desir.
De =, 0 000 , volenieirement, de son gre.
TAL 4137
TaLäü,s. m, Lalon de soulier, de has. Partie
posterieure du sabot du cheval,
TaLaräö,s. m. talapoin: pretre idolätre de
Siam , du Pögu.
TaLiR, ©. a. couper un bois (p. us.).Yailler,
€braucher des arbres. Ravager, saocager, d6-
vasier.
Tauin, adj. 2 gen. long, trainant : qui des»
cend jusqu’aux lalons, en parlant d’un certain
babillement,
TaLantıo, 5, m. pidce du mors du cheval,
TaLiazs, s. m. pl. "talonniöres : ailes que
Mercure porte sux talons.
* Tarizıa, s. f. jarre,oü l’on garde lovin
pour le vendre en detail.
TiLco, s. m. talc : pierre transparente, in-
combustible et per feuilles.
TaLtıaa, 8. f. * sa0, bissao, besace. (Ag.) Ce
qu’on met dedans. — de Irigo , quatre alquiers
de froment, en Portugal. — d’azeils, (anl.)
deux almeudes d’huile.
TaLEIGADA ‚8. f. plein un sac,, sachde. — d’a-
zeite. V. Telsige (d’aseile).
Tattoo, s. m. sac de toile ; sac qui conlient
& peu prös deux alquiers. V. Taleige,
Targınid,, 5.0. aug. de Taleira. V. Talsira
da conleira.
Taukıras, s. f. pl. (t, dartül.) entretoises '
traverses assermbiödes avac les flasyuos d’un af-
fat de canon. Taleira da Isle ou dianleira,
entretolse de vol6e.— baiza ou do leito, entre-
toise de oouche. — alla ou de mira, entreloise
de support ou de mire. — da c son ir
lsirdo , entreloise de lunetie.
Taranpäncıa. V, Abundancia,,
* TaLente. V. Talante.
TaLkuto, s. m. lalent: poide, ei ger suila
polds d’or et d’argent, monnaie des anciens;
(Rg.) capacit6 , habilete ; don de la nature; dis-
posilion, aptilude (pour les aris, elo,) ; esprit,
moyens. — invenlivo, genie.
TALEnTO80, A, adj. homme, femme, per-
sonne & talents, qui a du Lalent, (anf.) Dösireuz.
+ TaLer,, s. m. laler ou daler, monnaie d’Al-
lemagne et de Pologne ; un &ou & peu prös.
TiLaa ,s. f. jarre , grande oruche pour met-
tre du vin,de l’huile, etc, Taille, coupe. Taille:
sorte d’impöt. Sculpture on relief, gravure, ic.
Marque, mesure. Taille, en terme de jeu.
Solde „salaire, gages. Somme oflerte pour la
rangon d’un esclave, eto., pour l’ölargissemens
d’un prisonnier.* Prix , röcompense qu’on offre
pour la t&ie, l’emprisonnement d’un criminel.
(1. de ehir.) Litbotomie ı operation de la taille
pour tirer la pierre de la vessie. (4. de mar.)
*‘Palan. — das porlinholas , palan des sabords.
—da (rosa das vergas, dresse ow droussede ra-
cage.—ı da cana de leme, Aronses de le barre
du gouvernail. —d’ertülheria, drossse da c»-
non. -— da trosse da vela ‚od
queie, drosse de racage; lanidre de la grande
voile ot de la volle de misaine. — de eonlsire,
palan de retraite. —singela, palan simple. —
dobrada, palan double, — de rabino, palan &
1138 TAL
fouet, — ou aparelke do lats, palan de beut de
verguso. — ou aparsiho do estai, palan d’stai ou | fen
de charge. Tozar uma —,, palanquer. —e do
les, palans aux cötös du gouvernail. Obra de
—, ouvrage en relief. Meis —, bas-reliel, demi-
relief. — Ans, tailledouce. — de fuste, (anf.)
:aılle, bois pour marquer, par des entailies, ce
ju’on fournit ow regoit, etc. P6r —, (dd.)metire
4 prix la töte d’un criminel.
Taınipa,s. f. anche, morceau. — de me-
do , tranche de melon. Caldo em —s, bouilion
wrös-öpais. Corler em —, Oouper par moroeaux.
TaLnaptıra, 5. f. instrument & talller, cou-
erei,
u Taınaninna, s. f. dim. de Talkada. Petite
tranche.
TaLnipo, A, p. p. de Tailher. adj. Taille,
coupe, tranche, etc. Soulpie, gravs. (pers)
(Ag.) Dispose, calcul6, apte. Bem — , bien
talli6, bien fait, qui a une belle tallle. Penhe
—$&, 100 escarpe. Leite — ‚ lait coupe.
TALBADOR , 5. m. 00upeur : celui qui coupe,
qui-taille, etc. Gargon boucher. Tailloir, billot
de cuisine. Commis de la gabelle. Coutoau pour
hacher la viande, eic., couperet.
+ Taruanöaı, s. f. fomme quali coupe la
viande.
Taınapöra. V. Tolkedure.
TaLuaraio, 5. m. outil de menuisier.
Tarzauir, 5. m. (8. de mer.) taille-mer :
partie inferieure de l’avanı, gorgöre. Eperon :
ourvrage en pointe peur rempre la violence du
couts de Yean.
+ TaLnasento, s. m. "taille, coupe, ineision.
*Amputation d’un membre. * Taille, imposi-
tion.
TaLzänre, adj. 2 gen. coupant, qui o0upe,
qui taille; tranchant, qui coupe bien. (anf.) V.
T
alante.
Taınid, s. m. plate-bande de Jardin petager;
planche.
Tarmän, ©. @. talller, oouper; wrancher.
Beulpter, graver. V. Entalker. Tailler : impe-
ser & la taille. Teiller au jeu.
tTaızaaiu, so. m. pate d’Italie coup6e par
petils morosaux.
Ting, s.m. "taille:r steture, dieration da
corps. * Taille, coupe d’un babit.” Forme, fgure.
— delgado, esvello, taille svelte.
TaınER, 5. m. esp&ce d’assiette au milieu de
laquelle ost une saliöre , et aux gqualre coins un
kuilier, un vinaigrier, eto. Porte-huilier. Cou-
vort de table.
+ Taruinna, s. f. din. de Talka. (1.de mar.)
*“Bredindin, petit palan.
TaLno, s. m. "Wille, coupe. Coup de tran-
ohanı d'un sabre, eic. Mode, maniere. V. Talks.
“6. Billol. — do apougue, Lailloir, elal. — de
wmelo, talllis : bois em coupe, Yue l’on coupe de
mps em leınps. Dir —. V. Cörte. Ter bum —
de slira,, avoir une belle main. Der —s e eslo-
oadas , [rapper d’estos ot de Laille.
Taul, V. Talım.
TAM
TazıiG, s. m. tallon : paniten parellie üel-
se.
Tariea. 7. Talsiga et Teige.
Tııla, s. oe. V. Taleberte.
TaLmciDo, A, P. pP. de Talinger.
+ Tauıncandaa, s. f. (f. do mer.) ttaliagır
du esble.
Tauıncär, 9. a. (8. de mar.) taliugeer, üs-
Ilnguer : atiacher ie o&bie & Farganmıı &
Panere.
“ Taınmr6so. V. Dessjose,, (usrengee.
Tarıonäa, 0. @. imposer la peine de tale.
+ TauıoniTo, 5. m. peine du lalien.
Tauisca, s. f. fente, crevasse dans ke m
chers.
TarısuÄn, s. m. talisıman : Ggure, mddaille,
plaque , etc., falle sous certsıne congiellaue,
etc. , supposte aveir des vartus surnatarels;
( fg.) tout ce qui opere un efliei subit, merrek+
leux, eto.
TaLısmänıco, A, adj. Lalismanigee : qusp
partient au talieman.
Tarrär, v. 6. talller. V. Taler.
Tauuöp, s. mn. Talmed : livre qui contieniı
loi orale, la dectrine, la mersle ei les trad-
tions des juils; tradition sur les lois eralıs de
Molse.
Taumönıco, A, adj. talmudigue: gei appear
tient au Talmud.
TALuUDista, 6. m. talmudiste : qui wi ar
che aux opinions du Talmud. —, pl, ulm
distes : auteurs du Talınud.
TaLsupisrico. V. Zeimudico.
TäLo, s. m. "tige des plantes ; cöle, Iugael
(d’an chou, eto.).
TaLön,s. m. (6. d’arch.) talom : meslat 008
cave on bas, convexe en haut; exirdmild, DM,
appei.
Taıpänı, s. f. (6. de chir.) taupe: abo m
tumeur dans le perieräne.
TaL6p, s. m. talus: ponte que Fon densel
une muraille, & un terire, eie.
TaLtvo, a, adj. qui a une grosse lige. (Pf
Grandelet.
TaLv£z, ado. pout-Sire; par hasard. (ml!
Parfois.
Tarr’. V. Telim,
Tam. V. Tao.
* TaAN-A-LAVSZ, age. un pen, tant sol Pit;
raremen!.
Taminca, s. /.ow } sabet, sonlier de beis
TAmÄnRCO, 8. m. oche-
Tauanpui, s. m. (4. d’hist. nat.) Iamandil,
oars aux fourmis : feurmilier de la deasiäm
ospöce. — de cauda crimils, tamaneit.—
quono, lourmilier. — de cube de Dos Kr
Tanfs, OfyClörope.
Tauannid, Oma, adj. ang. de Tamanle.Si
grand, aussi grand. ,
TAuannıno ou Tamanıiro, a, adj. din
Tamanko, Si petit. V. Poquenine. (Ag.) Cut
üf, ümide. Ficer — , tember de son hask.
Taminno ‚A, adj. si.grand, aussi
TANANUO, 3 1. *graminnt, *
TAM
Isme, dtendae. Dosis —, de Gslle grandeur,
elc., grand comme oela.
Tauanino. V. Tamankine.
Timarı,s. f. dalte : fralt da palmier, sorte
de prune oblongue. —s. pi. "trochets de dalies.
V. Tamareira.
Tauantına, s.f. (6. de bot.) *dattier : paimier
qui porte los daties.
Tauantz, adj. 2 gen. Uoa—, variöis de
raisin qui ressemble aux daltes.
TamaacäL,s. m. lioeu od il y a beauceup de
tamaris.
Tamancutına, 8. f. ($. de bof.) tamarisc de
Narbonne, tamaris commun : arbrisseau.
Tamarinnos, 8. m. pl. tamarins : fruits du
tamarinier.
TamaRrınHEtRO ou 16. de bot.) tamarin, te-
TAMARInRO, s. m. J marinier,daltier d’Inde:
.arbre.
Tasarisco ou Tamanis. V. Tamergusira.
7Tauand, s.m. (1. d’hist. nel.) —do Brasil,
° mante de mer.
+ Tauirıa, s. f. (t. d’hist. mat.) " barbu::
genre d’oiseaux gallinaces & quatre doigts, &
barbe. — barbuda das Philippinas, barbu &
gorge jaune. — do Brasil, tamatia A collier.—
aqualica, savacou ow cuiller.
Tampica, Ss. f. tomba6 : composs m6-
TANBÄQUE, s.m. } tallique de cuivre et de
sino; d’or, d’argent’et de cuivre; d’or, de tou-
tenague et d’acier, & la Chine,
TANBARÄNE, s’ m. pierre blanche de la gros-
seur d’un auf que les preires idolätres d’Asie
portent suspendue & leur cou : 0’08t une esp&oe
d’idole.
Tamzfıra,s. f. marraine d’une maride.
TAMma£M , conj. ot ade. aussi, encore, möme;
ögalement, pareillement, de meme; de plus.
— c0mo, aussi bien que.
* Tau»? , s. m. lit naptial; noce. Salle oü les
nouvsaux maries Fegoivent leurs visites. V.
Thalamo.Petitetable & manger.
Tausokına, 8. f. (i. du Bresil)* manioo qui
n'a pas bien grossi ; canne & sucre ohdtlive.
TampOR, s. m. tamboaur, Caisse : instrument
militaire; celui qui le bat; ce qui a la forme du
tambour. — mor, tambour major. Cabo de —es,
tambour-maitre, caporal-iambour.
Tamaorn£ıe, s. m. tabouret, placet : espöce
de si6ge rembourre, sans bras ni dos. —s, pl.
(4. de mar.) choqueis.
TamsoaiL, s. m. tlamhourin : petit tambour.
Tamboril (poisson) ou r& de mar, raie p6-
cheuse.
TANMBORILEIRO, A, 8. tambourineur: oelui qui
joue du tambourin.
TAMBORILETE, 5. m. dim. de Tamboril. Petit
tambourin.
Tamzorim. V. Tamboril.
° Tautına. V. Tambeira.
Tauenovi. V. Tamandud.
Tamica, 8. f. celle de sparterie.
Tamıokino, #. m. oelul qui fait de la ficelle
de sparterie,
TAN 1129
tTauina,s. f. (8. da Brösil) ce qui sert
pour mesurer la portıon os pitance de manioc
qu’on donne aux esclaves; cette pitenee.
Taniz, s. m. lamis : sac a passor les matieres’
pulverisdes, etc. Sorte d’&tamine, ou drap an-
glais. ‘
* Tamo. V. Tambo,
TaMotırO, s. m. courrole de peau de bauf,
laniere qui attache lejoug des baufs au timon.
TTauoaLiö,s.m. nom da grand kan des
Tariares,, par allusion & Tamerlan.
Tämra ,s. f.“ couverele : oe qui est fait pour
couvrir, fermer un pot, un ooflre, etc.
Taupäö,s. m. grand couvercie.
TAampÄoainno, s. m. dim. de Tampdö. Petit
couvercle.
* TaupeLo. V. Templario.
+ Taupo6R , 3. m. vin artificiel de Borneo.
Tämpos, s. m. pl." caisse, tables ( de violon,
de guitare, eic.).
+ Taup6uco , adv. ndg. non plus.
t TAnsömente , adv. seulement, unique-
ment.
+ Tamöce, ow Tamlıo, s.m. arbusie epi-
Benz dont les feuilles ressemblent & celles du
uis.
Tauönco, s. m. (l.d’Asie) capiteine, com-
mandant d’un port.
Tanapin, s. m. (ft. d’Asio) fermier general
(dans l’Inde ).
Tanavania , s. f. charge d’un fanadar (V. oe
mot), &tendue de sa Juridiction,
* Tanino, A, adj. V. Casianko.
Tanasüna ,s. f. (4. due Bros.) fourmi ailde.
+Tanäsıa, s. f. (tl. de bot.) tansisie, herbe
aux vers : plante medicinale.
Tanaz. V. Toner.
Täncna, 8. f. outil pour la p@che,
TANCBÄGEN, s. f. (1. de bot.) plantain: plante
medieinale dont il y a plusieurs espöces. —
maior, grand plantain, plantain Alarges feuilles
ou & bouquet. — mediena, planlain moyen,
plantain blanc, langue d’agneau. — menor ou
lanceolada,, plantain lanceole, petit plantain,
plantain etroit.— aqualice, Aüteau plantagine,
plantain d’eau.
TancHÄ0, s. m. * boulure, plangon ou plan-
tard : branche garnie de boutons, separte et
replantte. Echalas; pilotis; 6langon. r
TancHAn, ©. a. enfoncer un pieu, etc. Plan-
ter des boutures. .
TancHoiL, s. m. plantation de jeunes arbres.
Pöpiniedre.
TancHoßıra, 8. f. bouture, scion d’olivier.
Tinca , s. f. ( 1. d’Asie) ancienne monnaie
portugaise dans l’Inde, de diff6rentes valeurs,
i$. Espöce de cens sur lesterres, eto. * Pagae :
toile qui enveloppe le corps, de la ceinture
jusqu’aux geuoux, couvre les partieshonteuses
des peuples qui vont presque nus. *Calimbe :
ceinture en teile, seul velement des nögres ä&
la Guyane, etc.
+ Tancino, A, adj. couvert d’un pegne,
d'un caluınbe. 9. 9. de Tanger,
11% TAN
Tansıuniö,s.m. marchand dosclaves; ro
vundeur qui oherohe A Lromper; maquignon,
brocanteur.
+ Tancanußıno, a, adj. (8. d’Afr.) Negra—a,
neögresse qui a les ımamelles pendanies.
+ Tancäa, v0. a. couvrir d’un pagne ow d’um
calimbe. ll est aussi r&ciproque.
Tancanı, 8. f. (8. d’hist. nat.) * tangara,
petit oiseau du Breösll : il a lo caractere de
moineau, ne obante point. — do
Brazil, le seplioolor, esp&oe de langara dent
le plumage a sept couleurs. — dinigrids
Brasil, manakin ä töte d’or.
+ Tancant, s. m. (1. d’hist. nal.) tangereu :
langara roux de la Guyane,.
TAaxGEDOR, A, 8. joueur, Joueuse ( d’instru-
ments & cordes). Celai qui frappe, qui pique.
Tanozpöuaos, 3.1. pi. "touches ou baguettes
d’un soufllet de forgeron.
TANGE-FÖLLES, s. m. souflieur, qui falt aller
le soufllet de forge ow d’orgue. (Ag.) Celui qui
falt jaser quelqu’un.
TanceExcıäL, adj. 2 gen. (1. de geom.) de la
tangeonie.
TAnsante, 5. ot adj. f.(i. de gdom.\tangente:
ligne droite qui touohe une courbe en un point
sarıs la couper.
TancEnTE ‚adj. 2 gen. teuchant, qui louohe.
p.0.de
Tancka, v.8. jouer d’an instrument & oordes;
sonner (des eloches) ; loucher. V. Toxer. —
bois, besias, piquer des baufs , des bötes. 9. ®.
et imp.(ans.)importer, conoerner, regarder.
+ Tincen ow Tänonaz, 8. f. (1. de geog.)
Tanger : ville de la Mauritanie Tingitane.
Tanctnzs, s. ws. 9. fanfares : conoeris de
trompeltes, etc.
+ Tancanina, s. f. orange de Tanger, orange
mignonne.
Tanoino, A,P.P. de Tanger.
*+Tancıuanto, o. m. action de toucher,
oontaet, attouchoment.
Tanoivzr, adj. 2 gen. qui peut @lre touch6,
Tancouiö,s.m.marchand d’esclaves sur la
odte d’Alrique. Fugliif, qui a deserts sa patrie,
. V. Sertanejo er Tangankdo.
+ Tangsußıano, 8. m. pagne, calimb#. Il est
aussi adj. Panno —, tolle & faire des pages,
des calimbeös.
TanchL, 8. m. oulvre de la Barbarie.
Tinmo, s. m. siöge fait de paille, de masse
d’cau ou masselle.
Tansisno, s. m. oiseau ennemi de l’Ane,
TanszroLLes. V. Tangefolles.
*Tanı6no. V, Tangido.
Tanöı, s. f. labricallon ow raosemmodage
des Ionneauz.
Tanoin, v.». exeroer le mötier de tonnelier.
Tanoania 0W tonnellerie, rae des ten-
Tanogınia, s. fı | neliers.
Tanotıno, 8. m. tonnelier, qui [alt des ten-
neaux, elc.
TAP
Tınozlı. e. f. medioament döplistelre la
d’orpiment et de chaux.
Tantein. V. Tentser.
Tanrınno, 4. m. dim. de Tanko. Un Lantiaet
Taariro, s.m. dim. de Tante, a ade. Iu-
tin, tantinet, tant soil peu.
Tinto, 4, adj. qui marque une quenük, m
nombre, une portion determinee. Tant, astan,
d’autant:ıc’estlooorreiatif de quamioı.: en
quunto mal me ka feile, aulanı de bien ni
m’a fait de mal, Si grand. On le dt para
do | primer un aceroissement indeßni. Er.: Fiakı
«= , vingt et tant. ==68 vazen, autanı de les; ı
souvont, tant de feis. A’ as horas, d ul
heure.
Tinto, s. m. tant, nombre, somme, gu
us determinse. Outre — , double, sulani.
Tinto, ade. tant, autant. —, si fort, de ul
maniere, A tel degre. Longtemps,, si longiempe
Autant, aussi, de möme que. Joint are}
verbes mais, monos, , poior, il erprime
comparsison : d’sutant plus, d’autani mas,
d’autant mieux, d’autant pire, eic.— gw, 0
silöt quo. -—- monss , autant vaut. Tania pır
au möme prix, sur le möme pied, auı mine
eonditions. Alguem — , tant soll peu, Zn — A
entre — ,tandis,, pendant, dans je temps I#.
on attendant. Nom =, news (do powoe, Di Lil,
ni si peu, ni trop, ni Irop peu. Por—, ci
poarquoi, partant; tant, tel prix. Com 1
pourvu que. Taontose —s, tant & tant, (El
en nombre. — 6 vordede, tanı Il est mi. =
homens como muilheres, tanı bommei 1"
forames. Chogou @ — sua inseloneis fu. |
vint ä tel point d’insolence que...
Tiö, adv. comp. autant, aussi, i,tamt, Ich
lement, V. Tanio, ade. — powe, ma MM.
V. Tam . Noms — edlebre come Wirt,
nom aussi cöldbre qu’illustre.
Tira, s. f. oorne ezisrienre du abe fii
ebaral. (1. d’ertill.) * Tampon d'un can0®.
+ Taranocca, s. m. (farm.) ooup de puil
la main sur ia bouche, ow du bauten due*
ret, en falsant des armes. (fg. am.) Prep®:
ralson gui ferme la bouche & qualguu, 7
ie fait Lsire. .
Tarisı,e.f.° V. Coutede. fm
qui se cache aveo sa mantille om son voll 1
ne pas @lre connue.
Tarino, a, p.p. de Taper. adj. Boucht, 0
vert. Epais, serre.
TAPADOR, 5. m. oouverele, beachen,D0°
Taraporna, s. f. | pon : tout ce q! vi
oouvrir ow A boucher un vage. Bioufeir:
Taranouro, #. m. piöce qui arte fer
d’une voiture. .
Tarandna, s. f. action de boueher, de’
vrir. it. V. Tepige. a
Tarazmsonnies, 8. m. (1. de mar)’
gere ou mauge.
Tariozm. V. Tapige ot Sobr.
Tarautnro, V. Tapige, Topum.
Tanqus, s.m. ötang, bassin, röservoir, pidoe | + Taradızo, 8. ©. (fm) ooup de push
d’oau. — das pelles, (1. de mar.) * gatie.
| main sar la bouche.
TAR
Tapin, 9. 6. boucher, fermer, courrir. (fig-)
Couvrir, cacher, dissimuler. — com sebe, en-
clore, environner, clore de haies. — a bocca,
(Ag.) fermer la bouche par un mol piquanl,
une raison sans replique, 0% par un present
qui engage & so taire. — os olhos, fermer les
youx. — es orelkas, os ouvidos, se boucher les
oreilles, ne vouloir pas entendre,
Tarucania,s. f. lapisserie, etolle pour ten-
ture.
Tapuckıno, 8. m. Lapissier.
Tarzcemia. V. Tapegaria.
Tipzaı ow Tartaı, s. f. (I. du Bresil) blen
de campagne qu’on a abandonne.
Tarztän. V. Topizer.
TaP&te, s. m. lapis. Drap de pied,
+ Tärıa-po-Baazın, 8. f. (6. de bot.) V. Pd de
wmorto.
Tarico, s. m. *hale de buissons. V. Tepume,
® Barricade, palissade.
Tarıöca, s. f. "tapioca : föcule, sus salutaire
du manioc.
+Tarıa&te ou Anta Do Baazir,s.m. (4. d’hist,
nat.) tapir : le plus grand animal d’Amerique,
äanez en trompe : fissipdde, mammildre, pa-
ebyderme.
° Tapiz, s.m, "tapisserie de haute-lice. Tapis,
Etoffe dont on couvre une table, un plancher.
Tapızipo, A, 9. p. de
Tarızia, ©. a. lapisser » garnir de tapis, de
tapisseries.
Tarona, 5. f. (fem.) V. Pancads,
+Tapaosina, s. f. (i. de gdog.) Taprobane ;
«le des indes, aujourd’hui Ceylan.
Tar6ıno, 8. m. tampon, bouchon.
Tarbus, 0, m. ° haie, enclos, haie Vive,
* Cloison.
+ Taorina, s. f. canne sauvage du Bresil,
V. Teboce.
+ Taqavani ,e.fı for&t, bois de cannes
+ Taquaniı,s.m. ) sauvages. V.Taqudra,
Tagvıcanaria, eio. V. Tachygrapkia, etc.
Tina, s. f. tare : diminulion sur le poids des
marchandises, ä raison de la calisse, de l’em-
ballege, eto.; döchet sur la qualits, la quan-
tits; ( Ag.) vice, defaut, delectuosils.
TarastLA0, 8. m. "cheville de scie,
Tanackua. V. Tercena.
Tari00,A,P.Pp. de Tarar.
Tanaınkö, 5. m. espece d’ortolan, olseau.
Mette-se a —,( Ag. [am.) il so möle de oe qui
ne lo regarde pas.
Tansusöra, 8. f. (de d’hist. nat.) * pluvier ı
oiseau de passage. — dourada, plurier dore,
— oplleireda, piuvier & collier. — pequens,, po-
tit guillemot,, colombe de Groänland.
TABANBOTE, 8. m. (4. dur.) concert de voix
et d’instruments.
Tanaufıı ou TaauSıs, s. [. "iraquel : cla-
quet de moulin. Sorte de petit tourniquet en
bois pour fermer une fen&tre, etc., birloir.
(Ag.) Persoune qui parle beausoup, A tert et
ätravers, moulin & paroles; havard. Der d,
(fom.) bavarder.
.
TAR
TARANKLIiDO,, A, 9. p. de
TARAMELÄR ou TARANELEÄR, ©. Rn. bavar-
der, parler ä tort ei & Iravers.
Tarıugı£ıno,a,s. (fam.) bavard, moulin
& paroles,
TarauPantäö, s. m. bruit redoubl& d’un
tambour : ranlanplan.
T Tanindo, 3. m. (f. d’hist. nat.) tarange,
tarente : renne de Laponie.
tarentule ; araignee que
um
TarixTA ou l’on dit venimeuse. Pi-
cado, mordido da—, (fig.)
TarinTuLa, 8. f. agite, tourmenis de gucl-
que passion.
Tania, v0. 0. tarer : peser un vase avant de
le remplir;; porter la lare en d&compte.
Tarasina. V. Tercene.
Tanräsca, s. f.(t. oulg.)guenon, femme laide,
mechante, effrontse, (buri.) Vieille &pee.
Taraxico, s.m. (4. de bot.) pissenlit, dent-
de-lion : plante.
Tanckna. V. Tercena.
Tanpida. V. Tardanpa.
Taroino, a,2.p9.de Tardar.
TanpanOn, s. m. homme ent, paressoux ;
celui qui tarde,
TiRrDamente. V. Vagardsamdnie.
TARDAMENTO, s.m.V. a, Tardanga.
TarDAnGa, s.f. "retardement, delai, lenteur.
— em amadurecer, lardivetie.
Tanpaö, adj. m. V. Tardador, Vagaroso.
TArDAR, v. n. tarder, demeurer longlemps,
venir tard. u, a. (p. us.) Retarder, differer. O
mais — , au plus tard.— a falls a alguem,
begayer , @ire begue. .
Tänpe, 8. f. apres-midi, soir. A—, l’apres-
midi. Do—,d —, dans l’spr&s-midi ; au soir, le
soir. Dar as boas—s, souhailer le bonsoir.
TäapE, adv. tard: apres le temps necensaire,
prescrit, ordinaire , apr&s coup. — ou cedo , Lt
outard. Do—em —, deloin en loin, de temps
entemps. Faxer-se —, se faire ltard. &’ —, il
esttard; c’est irop tard, il n’est p!us tempa,
Mais vaole — que nunca, (proo.) mieux vaul
tard que jamais. — piache, V. co mot,
Tarpkıro. V, Tardio.
Taapkza. V. Tardanga, Preguica.
TARDIANENTE, ade. trop tard, apr&a le temps
presorit , convenable. Tardivement.
Tanpıarino. V. Vagaroso.
T Tarpuueenro, s.m.(podt.) Ane qui marche
lentement,
f Tanpinea, 3. f. dim. de Tarde. 4’ —, au
declin du jour.
* Tanpınnzınamukuıe. V. Tardamenise, Va-
garosamenie,
*Tanpınntıno. V. Tardonko, Vagareso,
Tanpio, A, adj. tardif. On le dit des frults
qui mürissent apreös les autres. V. Serodio. =,
qui tarde, qui vient trop tard, qui n’arrive
pas & propos; qui produit tard. Morosif, lent,
tardil, qui marche & pas compiss, 010, — ne
fellar. V. Gage,
1138 TAR
Tannissıno, A, adj. sup. de Tardo, adv.tzds-
Tärpo, A, adj. tardif, Ient, paresseux, In-
diligent, lambin,, lendore; lourd, pesant. —,
quia laconception lenie, — no andar, lent ä
marcher, qui marche lentenıent. — no fallar,
lentä parler, qui parle lentement. —d’engenko,
qui al’esprit tardif, pesant, lourd.
Tarnpöa, fem. de Tarddö.
Taroöuuo. V. Tardo, Tardio.
Tann6z,s. m. 0616 raboteux d’une pierre.
V. Lios.
Tareckna. V. Torcone.
Tırk£cos, 6. m. pl. (t. burl.) vieux meubles
grossiers; choses de peu de valeur, babioles.
Tar£ra, s. f. täche : ouvrage A [sire dans
un temps determine, besogne. (fg.) Peine,
fatigue que cause un travail assida. — , ou-
vrage qu’on donne & faire dans un temps li-
mite,
+ Tantoı ,s. m. marohand de vieax men-
bles
t Taszcickceu, s. f. commerce de vieux
meubles.
+ Tartına , s. f. sorte de poisson du Bresil.
+ Tanenäa, 8. f. (t. de bot.) * mosamb6 :
plante de la töiradynamie ( Cleome spinosa ).
+ Tarcana. V. Taınha.
Tarctra. V. Tarjeta.
Tärco ou Taacum, 5. m. targum : Commen-
taires chaldaiques du texte höbreu de l!’Ancien
Testament.
+ Tarcunista, 5. m. largumiste : auleur
d’un targum.
Tıxiri, s. f. "tarif. V. Paula.
+Tarırir, vo. a. tarifer : reduire & un tarif.
Taric, s. m. livre qui contient l’histoire des
califes , successeurs de Mahomet.
+ Tania v’Acva, 5. f. (f. de bot.) * Jujubier
ectonneux ‚, Masson : plante rbamnolde.
Tarima,s. f." marchepied, estrade, etc. V.
Tarimba.
Tariupa, s. f. lit de corps-de-garde.
Tarsıa,s. f. large: sorte d’ancien bouclier.
Bordure ‚, ornement en sculpture qu’on met au-
tour du cadre d’un tableau, etc.
Tarıßra , dim. de Tarja.
Tarptına. V. Trapeira.
Tannacipa, 5. f. grande porlion ; gros mor-
ecau. — de vinho, rasade devin.
TarnräcHa,s. f. vis: piöce cannelde en spi-
rale.
Tanrıcair, eis. V. Alörracher.
Tarnacing. V. Tercens, Almazem.
Tarrära, s. f. "tramail, epervier (filet de p&-
eheur).
Tarnarir 0% TARRAFBÄR, dv. m. p&cher avoc
l6 tramall.
+ Tannacona, 8. f. (6. de g6og.) Tarragone :
ville de Calalogne, on Espagne.
TARRAGONENSE, adj. et 8. 2 gen. de Tarra-
gone. . '
MR ARRANGOIN, s.m. sorle d'’embarcation d’A-
UM
TAR
Tannaurta, V; Terranter.
Taarırin, 5. m. sorte d’oisean.
Tanrixa, elo. V. Tarrache, etc.
"TARRAZBORnRÄZ, ade. ( Pop.) confesia
sans ordre. '
Tanrkına. V, Tareira.
TÄRRO, 5. me. * lerrine pour traire les raches,
les brebis, etc.
t Tanstıro, s. m. ou Lemur — adj. (L.dbel,
nal.) tarsier, espöce de gerboise,
Tänso,s. m. (8. d’ansi.) tarse : para a
pied au-dessus des doigts.
TarTÄCO, 8. m. (4. de bot.) V. Catapwis we
nor.
TaaTauELEÄR. V. Balbueier.
* Tartautıo. V. Tertamudo,
TARTAMUDEÄR , v. ». begayer, balbeiier.
+ Tarrauuptz, s. f. * begaiemenl.
TARTANUnO, A, adj. bögne.
Tartina, 8. f. tartane : petit biümelı
voile latine.
TARTARANETO. V. Talaranelo.
Tarräninga, 8. f. crecerelle, sic &
proie. Ancienne barque de p6cbear dank
Tage.
TantarıanHid, s. m. (tk. d’hist. nei.) "ben
os bondree : oissau de proie du gente di»
con. — pygargo, la sous-buse. — arulah u
ritaforme, l’oiseau saini-martin. — run
paüss ‚le busard.
Tartanzir. V. Taramelar ei Terlemks.
TARTAREO, A,adj. ( post.) qui apperiisia
Tertare, infernal.
+ Tanränıı, 5. f. (d. de giog.) Tand
grande region d’Asie.
Tarrärıco, a, adj. V. Teriärse. 1. di)
tartarique (acide).
Tanranızido, A, P.9.de
TARTARIZÄR,, ©. a. tartariser : priparet m
du tartre, purifier par lo sel de tar.
Tirraro,a,adj. V. Tetaro, Gap.
Tärtano, s. m. (poedi.) Tartare: ala #
poßtes. Tarire: döpöt tarıreux et salin darz
Sal —, sel de tartre.
+ Täxranos, s. m. pl. Tarlares : pi
belliqueux, habitanıs de la Tartarie.
Taxtan0so, A, adj. ($. de chem.) rue ® |
tarlareux : qui a la qualite du larire.
TARTaRüGa , 5. f. (t. P’hist. nat.) term: @
mal amphibie. — verde meior. V. Jerwws-
grande de laminas imbrieadas, le card. -
grande encourada ‚le luth. Beaille:: cap
de tortue. ($. durl.) Homme vioux , sure 5:
est courbe ; femme vieille et laide.
TARTUFICE, s. f. lariuferie : caractäre,
du tartufe; hypocrisie religieuse.
„Tanrtro „a. m. tartufe: faux direi,ijr
crite.
+ Taxöcı,s. f. (td. Phil. net.) rap: 5
pece de vigogne du Perou.
Taaucäno,A,9.p. de
Tarucin, 0. 6, cheviller, atlacher, sushi!
avee des cherilles de bois.
Tardco, s. m. * cherilie de heis..
TAU
TascaNTB, adj. 2 gen. qui mäche. p. a. Je
Tascin, v. @. V. Tasquinkar. Mächer, ron-
ger, mordre. Brouter, en parlant des besliaux.
Gtinoer les dents en dcumant, en parlant da
cheval, du sanglier, ete. —- o frreio, ronger son
frein. — a lä, carder la laine.
Täsco, s. m. *taille, pignon : oe qui se deta-
che du chanvre qu’on espade.
Täsngına, 8. f. (t. de bot.) Jacob6e, herbe de
Saimi-Jaoques : plante radise.
t Tisumıninua, s. f. (6. de bof.) senegon
eommun, le petit gonegon.
fasQuinua, s. f. espade, brisoir, &cang.
Tasqgummipo, A, 9. p. de
Tasquınmir, v. a. espader, &cagner, batire
le chanvre aveo l’espade. ı $. burl.) Pignocher.
Tassıınin. V. Alassalhar.
TassiLno, 8. m. morceau de viande salde ou
fum6e; et, par extension, morceau de toute es-
pöce de viande,.
Titk, s. m. papa : nom que les enfants don-
nent Aleur pere, etc.
Taralsı. V. Amoreire lataiba.
+ Tarasöea, s. f. arbre du Bresil & bois
June : peut-ötre le tatauba os mürier teintu-
er.
* Taräuz ‚s. m. sorte d’estrade ou plancher.
Taranamöoo. V. Tartamudo.
TATARANETO, A, 8. arriöre-petit-üiis , arridre-
petite-üille.
Taraninnı. V. Tarteranha.
Taranıvo,s. m. Taranavd, f. ancötre trös-
&loigne&, trös-ancien.
TATARO, A, adj. begue.
t Taravnanı ‚s. f. chenille chevelue du Br&-
+ Tirz, iater/. V. Te. U #’emploie lorsqu’on
so rappolle une chose qu’on avalt oublide. Ah!
ah 1
Tirıpırärı ou Tarıaırärısı. V. Tartamudo.
Tirt, s. m. (tk. d’hist, nal.) — do Brasil ou
Armadilko ‚„tstou ow armadille:
mammiföre ddentd, cuirasse.
+Tarösa,s. f. (1. disk. nal.) talouette om
tatudte : espöce de tatou. V. Taim.
Tiv, s. m. tau : sorte de croix en forme de T
que portsient sur leur habit les comınandeurs
de Pordre de Saint-Antoine, etc. ; dix-neuridöme
tettre de l’alphabet grec.
Taumartönoo. V. Thaumaturgo.
*"Tiurta, s. f. meuble ancien.
Tivazo. V. Taurino.
Taurim , s. 0, sorte d’embarcation d’Asie.
Tavaino, A, adj. (Po6l.) qui appartient au
taureau.
+ Tivao, s. m. (. d’astr.) Taureau: sevond
signe du zodiague. (1. de gdog.) Taurus ; mont
de V’Asie,
+Tauromacnia, s. f. tsuromachie s art de | Bres
combstire et de luer les taureaux.
* Tausa. V. Taza, Talha.
* Tausacöm. V. Taxapdo.
° Tausin el Taussär. V. Taxar.
* Taure, V. Tacto.
TE 1133
Täuröcaaono, A, adj. tautschrone. V. /se-
cArono
TauroLocia , s. f. tautologie : röpetition inu-
Ule d’une meme idee en termes differents.
TartoLöcıco, A, adj. tautologique : de la
tautologie.
Tauxia, #. f. marqueterie, damasquinure.
Tavzıdno, A ‚pP. p. de
AUxXIıaÄR, 9. @. oter, d uiner. V.
Melizar. ’ MRReceR, Camasıl
Tavantz, adj. 2 gen. ($. vulg.) intrigant,
brouillon, qui se möle de tout, et qui ne s’cn-
tend bien A rien. ds. V. T'r&fego, Estavangdo.
Tavid, 5. m. tson : grosse mouche sclero-
stome & algullion : pique les animaux.
+ Tivsoa, s. f. plante dont les feuilles res-
semblent & celles de l’olivier, & leurs odorile-
rantes. — de Dioscorides, (t. de bol.) solidage
visqueuse.
Tavzanı, s. f. taverne, cabaret. Ruim —,
cabaret borgne.
TavzanäL, adj. 2 gen. de laverne, de ca-
baret.
Tavanntını, s. f. cabareliere; tavernidre.
Tavennkıro, s. m. cabarelier; tavernier. adj.
V. Tavernal.
TAVERNinHA , dim. do Taverna.
Tivoa, eto. V. Taboa, etc.
Tivora, etc. V. Tdbola, etc.
* TavoLackıro, A, adj. qui joue dans les
maisons de Jeu.
TavoLtıro. V. Taboleiro.
Tavoı£ra. V. Taboleta.
Tixa, s. f. laxe ou laux: prix &tabli pour des
denrees, eto.; tarif. (Ag.) Manidre, terme, li-
mite (p. ws.). Taxe, taux de l’impötl; somme
imposse. V. Tacha.
Taxacid, s. f. taxallon, action de laxer;
taxe, Impöt.
Taxipautnte, adv. moderöment, sobre-
ment, avec €pargne. V. Taxalivamenie.
Tıxino,a,p.p.de Tazer.
TaxapoR, 3. m. laxateur : Celui qui laxe, qui
met le taux, Is prix; appreciateur, estimateur.
Taxir,v.a. taxer: regler le prix des den-
r6es ‚ie salaire d’un ouvrier, elc. Prescrire un
regime, des regles de conduile, eic.; regler,
borner. Taxer, apprecier. Blämer, etc. V. Ta-
char
+ Taxarivanente, adv. avec laxe.
Taxarivo, A, adj. qui fixe, qui limite, qui
eirconserit.
+ Tararara. 2 f. (l. d’hist, nal.) " bec cn
ciseaux : olseau palmipede.
t Tarösa, s. f. plante du Bresil, de la fa-
mille des aroldes, & larges fenilles, bonne a
manger.
+ Taröca, s. f. grosse fourmi noire du
u
Te, cas oblique du pronom de la seconde
personne. Te, toi, & toi. Amo-lo muslo, j6
Yaime beaucoup. Detie, je te dennai, Lemdre-
fs , souviens-tol.
Te, adv. V, Alt.
113% TEC
Tex ou Teıa, s. f. "tissu de laine, de soie, de
il, etc., toile, etoffe. Portion de teile ou d’6-
toffe qui est sur le metier. Tunique, membrane,,
enveloppe de parties du corps. Pelliculs qui se
forme & la surface de quelques liqueurs. Taie
sur l'ail. Enceinte pour une föte, lice, eto.
° Cirgae: lien destind aux Jeux publics. V. Lies,
Ligode. ( fig.) " Examen, dispute, coniroverse.
Morceau de pin qui sert de Nambeau ; lorcheo.
-— de lustro, toile glacde, — de casa ou caseire,
toile de mönage. — d’aranka, toile d’araignee,
(Ag.) Chose futlle, qui a peu de consislance,
Ter —ı d’aranka nos olhos, ( fig.) ne pas s’s-
percevoir de ce qui est devanı nous. Olkar
para as —ı Ed ‚ (id.) bayer aux cor-
neilles; @tre distrait, ne point faire altention.
Dar os losd —, (id.) finir, mourir. Manier a
— , &tre le princlipal, le dernier dans un jeu ow
speclacis public. —s nupeiass, torches nup-
Usles : celles qu’on porlalt devanı l’öpouse-
Noces.
‘ Teipda, s. f. plöce de tolle.
TEÄGEN, 3. f. tissure ; issu r6tieulaire,.
Tein,s. m. mötier A lisser ; cousoir de re-
Heur. Rouage de monlire.
t Teaningo, A, adj. (4. de bot.) en forme de
tolle d’araignee ( araneosus).
Teinı. V. Tiere.
Teirno,etc. V. Thealro, etc.
Tesino , etc. V. Thebano, eto.
Teca, s. f. (6. d’Asie) * ıck ow teik : ciste des
Indes orientales, & bois pour la construclion.
TecgD£ıra, 8. f. ouvriere qui fait de la Loile.
TeEceDOR, 5. m. Usserand, lisseur. (fg.) Ma-
chinateur.
Teceoüna, 3. f. "lissage : action de lisser.
Tissure , ourdissure. V. Texiura.
TecrLicen, 8. f. lisseranderie ; tissure,
TeckLaö, 5. m. tisserand : qui [ait des Loiles,
des #toffes.
TecEL6A , 8. f. feınme d’un tisserand, V. Te-
eedeira.
Tec£r,v. a. tisser : faire un lissu. (Ag.) Dis-
poser, arranger, meitre en ordre, Composer un
discours , etc. (dd.) Ourdir, tramer, machiner
un complot, etc. (ant.) Aller et venir conti-
nuellement.
Tecnnico, a, edf. technique : propre & un
art (terme), qui lui appartient ; aflectö aux
arts , aux sciences (mot).
+ TechnoLocia, 8. f. technologie : trail& des
aris en general.
+ TecanoLöcıco, A, ad. technologigus : de
la technologie.
Tecivo, A, pP. p. de Tocer. s. m. Tissu, stoffe.
(fig.) —, longue suite; ordre , suite ( d’un dis-
cours, eic.).
Tecımento. V. Teoeedura.
Te£cLa, s. f. louche d’orgue , do elsveein, eio.
(Ag.) Matidre &pineuse, dölicate, qui exige de
la circonspecotion. "Pidge, ir&buchat pour pren-
üre les oiseaux. Tocar na —, (Ag.) loucher au
t
TscLiBo, s, m. olavior d’orgue, etc.
TEI
Tecnıco , etc. V. Technieo , ole.
Tecro, s. m. plafond , planober, lamhria,
* Tepa, s. f. morceau de pin gei est de Sam
beau ;torche. V, T’das nupeiass.
Taokıno, 5. m. sorte de chandelise de ir
pour lestorches. V, Teds.
Te Dev, s.m. Te Deum : bymne de Image
er d’aoılom de gräces; sa oöremenise.
Tapirzno, a, adj. ( Pod.) qui porte uns ur
ehe V. Teda,
8DEO, s. m. dögoüt, aversion „ Föpugmme.
Ennui , chagrin. ’
Teoıösau&ntz, ade. areo degoßS; anmuyer-
sement.
Tzoıös0, A, adj. ennuyeuz, fastidisez; @-
nuyant, degoütant.
Teno. V. Toado.
* Tenor ow Texooa, adj. eb 5. qui timmt, qui
oecupe. Possesscur, qui possöde. Calai qui
tient, qui possede su nom d’an ame.
"Tekıca. V. Teige.
. Teenca. V. Detengio N) Pose.
* Teunte. V. Tenente,
Ter, s. [. sorie de graine d’Eibiepis.
+ TerıLie, s. m. ornement des juifs.
Tzcsıipa, V. T:
* Teckıo. V. Tijolo,
‘ TEGERENO,, A, adj. treiziäme.
TecesÜ, s.m. oiseau du Bresil,, plas grasgm
je dindon.
t Ttcıco, A, adj. (p. us) da Tage, qui ap
partient au Tage.
Tec6na pour AT£ A00nA (Jusqu’ä passen).
TECUN&nTo, 3. m. (1. d’amt., de bot. air.) %-
gument : ce qui Courre, enveloppe We cry,
les graines ; peau.. öpiderme ; Corps nötiguisire.
Tercunıo. V. Tugurio.
Tetıa, etc. V. T6a, etc.
Teıca, s. f. “panier, oorbeille de paille a
d’osier. Sorte d’ancienne mesure peu is
grains. — d’Abräo : dans la provineo F’Ale-
Icio, c’est une mesure qui dguivanı & un a-
quier.
* TEeıcuLa. V. Teiga,
Teıma, s. f. opiniätrets, entötement, obss-
nstion. Fantaisie, idee que les fous emi som
cesse prösente & l’esprit ; marelte. Cade bvur
com sus —, (loc. prov.)chaque low a 88 Bnaseiit-
Taımir, ©. n. S’opiniätrer, s’enıäter, s’ehsi>
ner, insister, pereisier,
TEINÖSANAÄNTE , adv. opinlätsement.
zinoso, A, adj. opiniäue, eobasind, amiötl,
tu.
+Tkırı, s. m. (6. d’Mst. nal.) vera : peimen
de mer du genze du chetodon.
Tanı,sf. 7. Telds.
Tuıa6,s. f. cherille de la charruwe. (Ag.\ A»
lipathio qui n'est fond6e sur aucun metif rar
sonnable. V. Proßa, Teime.
Taınöca. V. Teird.
* Terıo. V, Teeto.
r Teıxz, s. m. rellquaire, amulelie, 5°-
d’or, autrefols on usage,
TEL
Texoe, s.m.{t. de bot.) il: arbre toujours
veri.
Teıxdoo, s. m. (1. d’hist. nal.) blaireau :
mammifere de la famille des plantigrades. —
glotdö, glouton. — mellisoro,, rattel.
TuJADILmO, 3. m. ° Imperial d’un carrosse.
+ Tayo, s. m. (1. de gdog.) Tage : eure d’Es-
pagne et de Portugal.
Teı6ıLa, 8. f. (t. de veldr.) os du sabet dan
cheval.
Tera, s. f. teile, etoffe, tissu de zoie, de
Sl, eic. V. Teis. — d’ouro, de praia, lissu,
drap d’or, dargent.. Pör um — ds juixo, porler
une affaire en Justice.
Teraria,s. /. grande quantiis de tolles.
t Teıcainos, s. m. pl. habilants de I’ile de
Rhodes (dite ancieunement Teickinis). (4. de
seyih.) Teichines,, nes du Soleil et de Minerve;
sortie de magiciens,
t TeLunöns, s. m. pl. Teldboens : peuples
d’Acarnanie.
t Teuecraruia, 8. f. Welögraphbie : art de
construire, de diriges, observer, comprendre
les telögraphes.
TELEGRAPRICO, A, adj. Lölegraphique : du 6-
lögraphe (signe, ligne, eic.); pervenue au
moyen du telegraphe (nourelle). Nolieis —a,
depeche Lilegrapbique.
TRLEGRAPNO, 3. m. tel&graphe : machine &
ailes mobiles, dont les mouvements indiquent
des signes convenus,
t TELaPmO, 5. m. (4. de bot.) telöphe : plante
portulacee. — bastarde, ou kerva dos callos,
orpin reprise, repriso, grasselle, joubarbe des
vignes, feuille grasse,
TELESCÖHPIO, 3. m. tElescope s instrument
pour observer les obJets dloignes.
TEuua, 8. f. tuile: terre cuite pour couvrir les
toits. Sorte d’ancien chapeau de dames. (1. de
501.) V. Til, Tilka. De —ı abaizo, (loc. fem.)
ici-bas, dans co bas monde. — vd. V. Levadio.
TELBADINBO , 3. m. dim. de
TELBÄBO, 6. 9. toll couvert de tuiles, cou-
verture d’une maison, toiture. Ter —e de vi-
dro,(fig.) avoir des defauis. (Juem lem —s de
vidro ndo alira pedradas ao do sew vizinho,
(prov.) celui qui a son toit de verre ne doit
pas jeter des pierres sur celui de son voisin.
TgıLnipo, A, 9. p. de Telhar.
TELHADOR, &. m. ogaYreur, laileur. i$. Cou-
vercle de pot de terre.
Teınanöaa, s. f. l’aclion de couvrir un Lloit
de tuiles; ouvrage de couvreur.
TexuÄL, s. 5, * tallerie : liou od l’on fait des
tuiles.
Tsımid, a.m. aug. de Telka. Grande tuile.
TELNAR, 9. @. oouyrir un teit de tuiles.
Terutına, s. f. V. Telkal.
Terutino, s. . tuilier : ouvrier qui lail des
tuiles. is. Toit, auvent, appentis, hangar, etc.,
couveri de tuiles.
Teuoinna, s. f. dim. de Telha.
casde.
t Teuno, sm, tuilsau, morcsan de Lulle |
TEM 1485
Teıfına, s. f. dim. de Tela. Toile fine.
Teufz, s.m. eaparagon, oouverlure d’etofle
pour lecheral.
Teıra. V. Tele.
TeıLima. V. Ameijoa.
TeLowirıo, 5. m. douanier, receveur ein
is.
inönıo, s. m. bureau de douanier, de re
ceveur d’impöts. —dos fafues,, acadasule,, mal
son de Jeu.
Tauı.V. Thema.
Temiö.V. Timäo.
* Teumenöso, V. Medroso.
TENRLNTE, adj. 2 gen. qui eraint de malfaire,
— a Deos, craignant Dieu, pieux.p. a. de
Teuta, v.a.craindre, redouter, apprehen-
der, avoir peur. Craindre, r&verer. On le dit
de la crainte respectueuse d’un ls envers son
pere, etc., etc. —, soupgonner, se defler, se
douter. —algusm d’ouirem ou d’alguma cousa,
craindre pour quelqu’un. EB de —, U est &
craindre, T'emendo que, de crainte que, crai-
gnant de.
Teutr-se (de), v. r.craindre, avoir peur de;
se douter, — ds si, avoir peur de soi-meöme.
TEMERÄRIANtNTE, adv. temerairement.
Teuerirıo, a, adj. temeraire, hardi aves
excös, avec Imprudence. —, denue de fonde-
ment, de preuve (Jugement).
Temerınpipe, s. f. temerite, hardiesse Impru-
dente et Inconsiderse; imprudence,
TEMERÖSAMENTE, adv. avec crainte.
TEmERosissıno,A, adj. sup. de
TEMERÖSO ,A, adj. redoutable, formidable.
Craintif, timide, peureux.
Tewino, a A,Pp. p. de Temer.
+ TemiveL, adj. 2 gen. terrible, redoutable,
formidable. Dangereux.
Tewotıno. V. Tamoeiro.
Tewontıro, 8. m. timonier; matelot qui gou-
vorne le timon.
TeuOR, s. m. °crainte, frayeur, appr&hen-
sion, peur; respect; deflance, soupgon; in-
quistude. —de Deos, orainte de Dieu; religion,
pieie. Por, com — de, de crainte, crainte de.
Causar —, faire peur, &pouvanter.
Temonszin. V, Alemorizar.
Temonöso. V. Kemeroso.
Me V. Tempo
upR,28.f. 1) *jardin, site oharmanı
ileu delicleux. Do ’
TeurERA, 8. f. trempe : aption, manidre de
tremper le fer, etc. ; qualite que le fer contrartı:
quand on le trempe; (fig.) caractere , humeur,
maniere. Sorte de coin dans les chariots et
dans les moulins & sucre. Preparation d’un
faucon pour la chasse en le faisant jeüner Is
veille, etc. Oofle faite avee du blanc d’auf de-
lay& dans de l’eau pour peindre en detrempe.
Pinturse d — , peinture en detrempe. — do ar.
V. Temperalura.
Tenrerinautente, ado. moder&ment, avec
sobriete.
Taurraanissıuo, a ,ad/. sup. de Temperado.
1136- TEM
Trureaipo, A, P. p. de Tomperer. adj. Mo-
dere, temper6, eic., dans ses diverses a0Cop-
tions. Teınperant, sobre, relenu. Assaisonn®.
TEMPERADOR, A, 5. oplui qui modere, qui
tempere,, moderateur.
TENPERAMENTO, s. m. tompsrament : consü-
tution, complexion du corps ; melange des hu-
saeurs du corps de l’hosame, de l’animal; (Ag.)
earactöre. (dd.)" Temperance, moderation, re-
tenue; adoucissement; lout ce qui tempäre,
modere, adoucit. — do ar, temperature de
Pair.
Temreninga, 8. f. temperance : vertu qui
rögie les passions ‚les desirs, surlout sensuels;
sobriel6; moderation sur les plaisirs; retenue.
— nas despesas,, &c0no1nie.
TEMPERÄNTE, adj. 2 gen. (1. de mid.) tempe-
rant, adoucissant. On le dit surtout des reme-
des propres & temperer les humeurs. p. a. de
TEMPERÄR (com), o.a. temperer: moderer,
diminver l’exods d’une qualits; soulager, all6-
ger, moderer, adoucir. (fg.)— , calmer (la co-
iere, etc.), desarmer. Möler, mixtionner une
chose avec une auire pour lemp6rer son acli-
vite. Tremper : donner la trempe aux mötaux.
Preparer un faucon pour la chasse en le lai-
sant jeüner la veille, etc. Accorder un instru-
ment. Assaisonner (des meis). Metire de l’ac-
eord dans les couleurs d’un tableau, menager
les teintes, eic.— 0 relogio, monter et rögler
une monire, une horloge, etc. — desavindos,
metire d’accord ceux qui etaient brouilles. — as
odlas, (1. de mar.) rögler les voiles selon le
vent. — a lingua, ( am.) retenir sa langue.
TEMPERÄR-SE, vo. r. se moderer, &viler les
excös.
TEurERATÜRA, s. f. temperature de l’air.
TENPER£IRO, 5. m. piöce d’une noria.
Teurkaız, s. f. V. Tempsramento, Tempe-
ralura.
TeurEritHa, s. f. chose qui lempöre, mo-
dere, etc.
TEMPERILHO, 5.1. "adresse, dextöritö du ca-
valier. (Ag.) V. Geilo. —s, pl. assaisonnements
grossiers. V. Tempero.
TENPERO, 5. m. assaisonnement; ACCOmmo-
dage, appröt. (Ag.) Temperament, exp6dienis ,
moyens.
TEuPESTÄDE , 3. f. tompöte , orage. (fg.) Agi-
tation, trouble, desordre, sedition, grand bruit;
violence, impetuosit#, etc. — de venlo worle,
(1. de mar.) anordie ow fort ventdu nord.
TEUPESTEÄR, v. n. tempeter, eXprimer 88
colere, son indignalion. v. @. (9. us.) Exoiter,
maltraiter a plusieurs reprises.
+ TEuPESTIvAmdnTE, ado. & temps, & PTOpos,
en temps et lieu.
+ TEmrEsTtivo, A, adj. opportun, favorable,
qui vient & propos, & lemps.
_ TENPESTUÖSAMENTE, ado. avec ofage, d'une
maniedre orageuse.
TENnPESTUOSIDÄDB, 8. f. qualits d’etre ore-
geux.
TEnPrEsTU0s0 A,edj. qui exoita des tompt-
TEM
tes, des orages , tempötacuz , sujot anz Vempk-
tes , orageux.
TzurLinıos, 5. m. pl. Tompliers : ordre m>
litsire aboli dans le concile general de Viemse.
* Teurız. V. Moderspdo,, Tempere. .
TeurLo, 5. 9. temple: ddifice puklic anum-
erö & Dieu ‚aux dieux, au culte; &glise. Ordem
do —, ordre religieux et militaire des Tam-
pliers. V. Templarios.
TRUPO, 8. m. temps: succession de meweis;
mesure de la durde des choses,, des [aits; wıne
preAx; delai ; loisir ;conjonctore, circenstane,
occasion ; saison, moment propre ä; les subele,
les Ages ; dtat deschoses, des maurs, elr. Lex
espace de temps, terme fort long. — ‚ei &
l’air, du ciel. (4g.) Mauvais temps , groswe®.
tempeto sur mer; saison, au propre ei au fget.
— , infieıion des verbes. —, mouvemen: ge
caractörise la mesure (de musique); mem
ment precis pendant lequel doivent s’ererais
certains mouvements dans les exereices =.
taires , eic. Ander, ir com 0 — „ s’a0nsmmeiK.
s’ajuster au temps. A —, ä temps , ä propee |
— que,comme. Aum —,ä la fois, en mim
temps. Antes de —, hätivement, avanı term
Com —, d’avanco, de bonne heare, de mr
leure heure. Com 0 —, avec ie temps , & lacee-
tinue, & la longue. De — em — ou de —:—
de temps en temps. Em —, & propos, cu kp
opportun. Em —— de..., sous... Ex.: Fieis em
—de Nero ou no reinado de Nero, il vira on
Neron,. Föra de — ou sem —, bors de prepss, &
contretemps, hors de saison. Jdnde d—, ü
n’est plus temps. Por —, pour ua zps. Em
outro —, dans le temps, autrefeis, uagetre,
jadis. Des d’algum — , depnis queigw temps.
No — de, dans le temps de, lors de. Hab
— , longtemps. He mwitoe —, üyakor
temps, de longue main. A iwolemeucie do—,
Pinjure, les injures da temps. O — obacurt de
historia, les temps lEnebreux de Thisteire. F-.
il fait bon, il est temps. Tens — , vous sırıı E
temps. Que — ka depuis quand? Perder vs
— , perdre son huile et son temps. Ter ind «
— por seu, avoir lout son ternps libre. — hse-
ve ou Aouve — que..., un ternps faul que__. Pe
sou o— ‚letemps est &coule. Si Id wuie—."
temps est passe... Passado algum —, queig=
temps apres. Em — de figos ndo ha amıpe.
(prov.) si vous @tes dans Fadversite, vom
n’aurez pas d’amis. O — perdido ado se rer
pero, le temps perdu ne se recouvre point. IM
ter — em meio, retarder, differer la concdless
d’une affaire; laisser passer quelque kur
Ganhar — , gagner du temps. — ınde, de D”
menia, borrascoso, gros temps. O — ent #
chuva ou estd— de chuer, le temps esta
pluio. Faz bom , beilo —, il [sit bean.
Teurorina, 5. f. long 65pace de temps. I
de temps.
TeuroniL, 2. m. " tourmente, tempetc, £7%
temps, oragö, OUTagan, Coup de vn. u.1”
des tempos. Temporel, revenu d’un beneist
m. ww ww — wr 0
TEN
puissanoe effective, politique : ’oppos# de spi-
rituel.
.TENPORAL, adj. 2 gen. temporel : qui passe
avec lotemps; pörissable, passager; seculier :
l’oppos6 d’eternel, de spirituel. (t. d’anat.)
Temporal : qui a rapport aux tempes.
TemronaLınäng, 5. f. qualitö de ce qui est
teımporel. Teımporalite: juridiction du domaine
tzınporel d’un &vöque. "Teomporel : revenu d’un
beneflee. —s, pl. biens de ca monde.
+ TENPORALIZÄR, ®. 6. rendre temporel et
perissable.
TEMPORALMENTE, adv. temporellement, du-
rant un temps; bumainement, selon le monde.
TEMPORÄNEZO, A, adj. temporaire, de peu de
duree.
Teurorä0, A, adj. precoce , hätif, mür avant
terme (feuit); prömatars, qui 86 fait ou qui
vientavant le temps. O —, "hätivete. Il est aussi
ade., de bonne heure ow trop Löt, hälivement,
avant le temps.
TEMPORÄRIAMENTE, ade. lemporairement :
pour un temps.
TEMPORARIO, A, adj. temporaire : qui ne
dure qu’un temps limite.
Teuronas, s. f. pl. les Quatre-Temps.
TEMPORIZACAÖ, &. f. teımporisalion : action
de temporiser ; relardement.
TemPoRızino, A, pP. 9. de Temporizar.
TEMPORIZADOR, A , 8. lemporiseur : qui tem-
porise.
TEMPORIZAMENTO, 5. m. temporisement. V.
Temporizagdo.
TEMPORIZÄNTE , adj. 2 gen. qui temporise.
p. a. de
Tewporızin (com), v. m. temporiser : retar-
der, differer avec espoir d’un meilleur temps.
Gagner du temps. S’accommoder au temps,
eic. (P- %8.). — com alguem, temporiser par
rapport & queiqu’un , chercher & ne pas rompre
avec lui. V. Comiemporizar.
TENPRA, etc.
TEnPrRAn, eic. | V. Tempera..., eic.
*Teurakıao. V. Templarios,
*Trupracid. V. Tentardo.
TEMULRNCIA , 8. f. ivresse.
TEMULENTO, A, adj. ivre, pris de vin.
Tenaca,s.[.V. Tenaz, s.
Tenacıpäpe,s. f. tenacite : qualile dece qui
st ienaco; (fig.) obstination,, enlötement, opi-
ätrele.
TENXACISSIMO,, A, adj. sup. de Tenaz.
Teniıua,s. f. (t. de fort.) tenaille : ouvrage
n avant et au pied de la courline.
TenaLniö,s.m. aug.de Tenalha. {t.de fort.)
“enaillon : ouvrage de fortification.
Teninto,s. m. V. Corda.
Tenania ou Tananıa,, 5. f. V. Pellame. -
+ Tenaxirg ,s. f. (k. de g9e0g.) Tenerife: tle,
une des Canaries. Pico de —, pic de Tenerilfe
ou d’Adam.
Teniz, s. f. tenaille : instrument de fer pour
artacher, eic. Pinceltes, pince. Morda-
PORT. Ra
TEN 1137
che. Dents, serres de cerlains animauz. V. Te-
nalha. Dans l’ancienne milice romaine c’elait
un escadron forme& en tenaille. — d’owrives,
bercelles. —es dos caranguejos, sorres des 6cre-
visses, des crabes.
Teniz ‚adj. 2 gen. tenace, visqueux, yui
tient exiremement. (fg.) —, attache6 opinidtre-
ment ä ses idedes; tetu, obstine, rötif. (td.) Qui
retient fortement (memoire). (id.) Importun,
ennuyeux.
Tenazinua , dim. de Tenaz.
TEemäzm&nte ‚ado.tenacement, aveo 1&nacite,
opiniätrets, mordicus.
Tenca , s. f. tanche : poisson d’eau douce.
Tanca, s. f. pension sur l’Etat. (ans.) Action
de tenir, de er, possession. (id.) * Entre-
tien, defense (d’un chbäteau). Ter-se ds —e
d’ousrem ‚so confler sur la protecolion de quel-
qu’un.
Tungid, s. f. Intention, dessein, volont6,
projet. V. Intengp&o. Opinion, avis que le juge
smet par &orit. * Eınbläme, devise, figure alle-
gorique accompagn6e de paroles. *Sujet, ma-
tiöre (d’un chapitre, eto.). Tinka—, j’avais
Pintention. Segunda r— , arriere-pensee. Dizer
missa por — d’alguem, dire la messe & l’in-
tention de quelqu’un. Estar com mds longöes,
penser a mal.
* Tanckıno, s. m. receveur de Pensions sur
P’Etat. V. Tonga.
Tencıonänpo, A, p. p. de
TENCIONAR, ©. 6. resoudre, arreter, döcider,
deliberer. Emelire son opinion par &crit dams
un proees. v. ». Avoir l’intention de,
TencıonArıo, &. m. celui qui a une pension
sur l’Etat.
Tengokıno, A,adj. qui een veut A quelqu’un,
qui pense & mal. it. V. Teimoso, Rixoso.
*Tencöe. V. Briga, Rixa, Dispula, Aller-
Tenpa, s. f. tente, pavillon & la guerre. Bou-
tique, boutique d’öpicier.
Tenpir, s. m. * banne, grosse toile dont on
couvre les bateaux ‚ etc., tente os banne de ga-
löre. Lieu oü l’on tond les brebis. — de poppa,
(t. de mar.) tendelet.
Tenpiö, s. m. (6. d’anat.) tendon : extr&mitd
du muscle, cordon de fibres qui se rattache &
Yos. — d’Achilles, vendon d’Achille.
Tenpeneına, s. f. planche sur laquelle on
forme le pain.
Tenp£ıro, 3. m. boutiquier, marchand en
detail; epicier.
Tenpencıa, s. f. tendance : action de tendre
vers, direction de mouvement d’un corps vers
un point; disposition de l’Ame dirigee vers un
objet.
TENDENTE, adj. 2 gen. tendant A, qui tend &
une fin, qui y va; qui est dirig& vers. p.a. de
TeEnDEnR (so), v. n. tendre ä, aboutir vers,
tendre & une fin; avoir pour but; diriger ses
vues, ses projels, elc.; avoir une tendanoe.
no. a. Etendre, deplier, deployer, derouler. Vo
1138 TEN ”
Estender. — o päo, former le pain, donner la
derniöre facon & la päte.
Tanpen-sE, ©. r. s’ötendre. V. Esiender-S6s
Tenpido, A, p. p. de Tender. adj. Etendu,
deptie, deploy&, deroule.
Tenpiema ow —inna, 5 f. dim. de Tonda.
Echoppe , petite boulique.
TsnoıLuä6, 5. m. petit pavillon, lente. st. V.
Tentilhde.
Tenpınöso, a ‚adj. (1. d’anal.) tendineux : de
la nature des tendons, qui y a rappork,
* Tantuna. V. Treva, Escuridäo.
Tenesrıkd, 5. m. (l. d’hist. nat.) tenkbrio
ow tenöbrion : col6optäre qui sent trös-mau-
vets
+ Tenenatcosıpäse, 8. f. * obscureissement
de la vuo ; obscurite. V. Tenebrosidade.
TENEBRIChEO, A , adj. aecompagne d’obsrer-
cissement de la vue. ii. V. Tenebroso.
Tenepnösautnte, ado.tenöbreusement, dans
les tendbres, d’une manidre tönebreuse.
TenssnosıpADE, 8. f. tEnebrosits : qualits de
ce qui est ten&breux; ombre dpaisse, Grande
obscuriis, tenebres.
Tenennöso, a, adj. tenebreux, sombre, ob-
scut ; oouvert de tenebres. Obscar, en parlant
da style. (Ag.) Maelveillanı, infernal.
TEn£ncıa, 8. f. lieutenance ; maison habitse
par te Ifentenaht. Charge, departement, adıni-
nistration du grand-matire de l’artilierie ; depst
d’artillerie.
TEnenTE, 3. m. lieutenant, second. — eoro-
nei, lieutenant-eolonel. — general, lieutenant
general. Segundo — , sous-Ieutenant. Primeiro
de nerinkha, lieutenanı de vaissoan. Segundo
—.de marinha, enseigne de vaisseau. —do n4-
vio, lieutenant d’un vaisseau de guerre, second,
— rei, Heutenant de roi, gouverneur d’une
place forte.
TEntnTE, adj. 2 gen. A’mdo —, A la portse
de la main.
TENtSMO, 8. m. tönesme : öpreintes donlon-
reuses au fondement, aveo envio d’aller & la
solle, sans dvacnation.
Tanzamöp e
ER, 1CO, A, adj. aecompagnd de t#-
Tendra, % f. v Tindie.
t Tenca, 8. f. * tenga, ou oachi : arbre.
Tenxıa , s. f. “ tönia, ver solitaire,
Texıa. V, Tinir.
Tenön,s. m. * taille: voix entre la basse et
la heule-contre. Tener: musicien qui chante la
taille. dd. V. Teor.
TENAANEATE, adj. tendrement.
Tenn£ıro, A, adf. V. Tenro. Henina— a,
jeune file.
TENRILEO, 06 — ImnO, A, adj. dim. de Tenro.
Fort tendre, tres-delicat.
Tenno, A, adj. tendre : qui n’est pas dur,
deficat, etc.; mol et frais; jeane. Tenra idade,
8 @nnos: on lo dit du premier Age de la vie;
Jeune Age.
TEnnorinuo, A .dım. de T: .
0, ‚ tdj.dim. de Tenro. Un peu
TEN
Tennöna, 8. f. tendreie : qualit& de ce qu
esttendre. V. Ternura.
Tensa. V. Tonga.
Tensid, s. f. lension : elat de ce qui u
tendu. V. Tenpdo.
TENsivaMÄNTE, adv. avcc tension.
Tansivo, a, adj. iensil : accompaga
tension.
* Tenaokıno. V, Tengoeimo.
TEnTA, 8. f. tente, sonde de chirurgien.
Tnuragäö, s.f. tonlalien : meuremeniipi-
rieur qui porte & (&crire, voyager, ete.‘, qu
exoilo au mal; envie de; desir blämable. Obri
qui tente, qui seduit. id. V. Tenlative.larm
—, succomber & ia tentislion. Nde nos dei
cair em —, ne nous induisez point en weis
ton.
Tenrigioziuna,s. f. dem. de Tenlerio.Tr
tation Idgdre
Tanrino, a, p. p. de Tentar:
TENTADOR, A, adj. et 5. tentateur : celei ga
tente. On le dit aurtest du damen. Y. I®
tante.
TEnTiugR, ou WEN, 5. m." temtalive, eMäl
* TENTANERTO, 5. m. " tontalien, desir de la
queique ebose.
Tenvinte ,odj. 3 gen. tentant, qui vente, &
trayant. p. a. de
Tenrän,o. 6. tenter, sollieiter an mal. &°
citer ledesir; donner envio; essayer; eproutt,
metire en usage pour le succes. Täter, 140%
ner: sonder. V. Intenfar, Commetier. - Det
tenter Dieu. — a paciencia, melre la paheuc!
a P&preuve. — 0 ede, sonder le gat. ae pfep*
et au figure. — de novo, revenir Alacharft.
Tentariva, 8. f. tentative, essai, entf.
experience, entreprise. —, premier scie gu
sonttent en Iheologie, etc.
TExTtarTiro, A, adj. tentatif. V. Tenioak-
Texte, adj. V. Tenente , adj.
TENXTEÄDO, A, p. p. de Tenteer.
TExTKanon, &. m. celui qui caleule, EWiK:
examine, etc.
Tentein, v. a. mesurer, calcaler, Mt #
une chose s’ajuste avec une aulre. Peser, ©
miner, reflechir. Eprouver; sonder, ef?
titer. Täter le re — uma chags, #
une plaie. — suar forcas , sus CORKUREH.
hola, ‚eto., consulter ses bares, aa consclt,
sa bourse, etc.
* TENTELöoO. V. Substiluto, Lugerimen
+ Taxtunupen, 6. f. (1. dis. mat.)
äscie. ns:
Tenrıımiö,s. m. (1. d’hist. nal) Dan
oiseau fringille 4 bec gros et dur, de bar 1%.
d’espöces. — do Norte, le pinson. — #7.
pinson des Ardennes. — grande des puma!
la räesange & t&te noire. _m
Tenrim, s.m. de Tento. Petli ei f
— , (loe. add.) article par articld, en MT"
point en point. .
Texto, s.m. jeton (au en), fiche. Apps ne
main de peintre. (Ag.) * angetlOR ,
TER
flexion, prudenee ;soin, attenlipn. Dar — ‚laire
attention. Perder 0 — de suas obrigapdes, ne-
gligorses devoirs. A—,(loc.adv.) atientivement,
avec soin; i4, A lAtons; doucemen!t, pvu & pen.
Com —, avec prudence; doucement, terre &
terre, piane-piane. Sem —, inconsideröment,
imprudemment.
TEnTöRm , 8. m. *tente, pavillon de guerre.
Tenos, ajd. 2 gen. tönu, delid, peu com-
pacte. Faible, delicat. Petit, de peu de valaur.
Modique. Mince.
TRNUBNENTE ‚adv. petitement, laiblement.
Tenvipine, 8. f. tönuile : qualils d’une sub-
stance tenue ei delise. Pelitesse, chose de peu
d’imporlance ou de peu de valeur,, hagatelle.
Modicite. — de offerta, modicits da don.
TEnUissIno, a ,adj. sup. de Tenus.
TeoLocia, etc. V. Theologis, ele.
TEOR, s. m. *teneur: le contenu d’un 6crit;
suite, cours. "Manidre, moyen; ton. — de vida,
manisre, facon de vivre.
EOREMA,
ToRIA, cite. } V. Theor..., etc.
Terz, s. m. morceau de gason qu’on coupe
pour faire des murailles,, eic. V. Cespede.
* Terkz. V, Contumas.
T£PIDamKnTg , adv. tiödement. .
Terınkz, s. f. * attiedissement,, tiedeur.
T#rıDoO, A, adj. tiede: enire lo chaud et le
froid. ( lg.) V. Tibio, Frouxo.
TErOn, s. m. "tsdeer : qualiks de ce qui ost
Tequs, adv. V. Ald que.
Ten, ®. a. aveir, posssder. Tenir, avoir & la
main. Aveir beauceup de biens, Ödtre riche.
Tenir, soutenir ; contenir; arröter, retenir. Ju-
gor, penser, croire,, se persuader. vo. au. Avoir.
V. Hover. — ds oostas ou sobre si, ötre
avoir soin de. — @ seu favor, avoir en sa [a-
veur, pour soi, de son o0l&. — alguem Dor st,
eire prol&ge par queliqu’un. — em muilo, [airo
grand cas, beaucoup de cas de... — sm pouco,
ou em menos, faire peu de cas de... lastima,
vergonha, bea voniade, avoir pili6, honte,
bonne volonte. — medo, cwidade, experiencie,
avoir peur, du souel, de V'expsrıence. — faslio,
@tre deögonts, n’avoie pas d’appeüit. — falle,
manguer de. — mio, se modörer. — 2. )
elguem , conterir quelge’un , lo surveiller. —
odio, mä vontade ni Bo ’ en vouleir & quel-
qu’un,,aveir dela rancune, de la kaine. — pars
si, eire d’avis, creire, penser, se persuader. —
por, tenir ow repuler pour, juger, eslimer, re-
garder. opınme. — por bem, vouleir, daigner,
agrder, approurer. — que, aveir a, tiro dans
l’obligation ou le dessein de. — (emado 0 ba-
bite, aveir pris sem pli. — cuiddde qus..., prei-
dre garde que... — olho dierta, avoir leil eu
guet. — alguem , tenir queige'un en
SUSDERSD
‚ haleine. Ir — a..., aboutir A... Esla rua ve —
6 prasa, cette rus abontit A la place. ir — com
elguem, aller trouver quelqu’un. Tonhe um
nao sei que ou ndo zei o que fendo, (fam.) j’ai
en mal-Stre. Quem mais lem, mass deseja, ou
TER 1039
quanlo mais lemos mais desejamos, (prov.)
plus on a, plus on veut avoir,
Tea-s2,o. r. se tenır; se tenir ferme pour ne
s lomber. S’arröier, s6 eonienır, se Felenir.
esister, tenir idte. — em oe, se tenır debout.
Näo poder —, ne pouvoir se lenir, dire d’une
Taiblesse axtröme. — em casa, garder la mai-
son, — com alguem, tenir iöle. rösister A quel- '
qu’un. — por felix, s’estimer heureux, — 6 al-
GUma cousa, Compter Sur une chose ; en &lse
content. V. dier-se.
Ten, s. m. V. Täres.
Tenca , s. f. le liers d’un tout; le liess des
aaa Tieres, heure eaneniale; lierce (au pi-
quet).
- Tunck ou Tznckı, adj. ots. f. Tanckus, pi.
Fiövre lierce. ,
Tencäpo, & m, coutelas: sabre d’un liers
plas ovurt qu’il n’est port par les orden-
NAanops.
TerciDo,A,Pp.p. de Tergar.
Terganon , adj. V. Terceirv, Mediansiro.
Tunca-stusı, 5. f. "mardi. — d’enirude,
mardi gras.
Tenci6, e. m. brauche de la vigne sortant du
OP. V, T orgöo.
Tencär, v. a. meler, melanger trois choses,
Pattager en trois. Melize en ravors, en diago-
nale (la lance, l’&pee,elc.). —a@ caps, reireus-
ser ie manteam. V. Z’ragar.
Tercir (por), v. w. intervenir, s’ontremeltre
dans un difäreud ‚ etc. Intervenir pouz un tiers
dans une affaire; s’interposer pour ; interchder
pour. V. Favoreeer.
* Tencania, 5. f. mediation, entremise, im-
tervontion d’un tiere, " Depst confid A un Uers.
Impöt du tiers.
»| Tengas, s. f. Pl. le tiere du revenu; impöt.du
tiers.
Turckıra, 8. f. eniremetteuse; mediatrios,
Tierce (en musique). Clame de trolsieme.
TTEMZIRANENTE, adv. Woisidmemen!, en
troisidöme lieu.
Teackıao, A, adj. woisicme; Levis. /nnocen-
cio, Jodo —, Innocent, Jean reis (Ul). Em —
lager, troisiömement. Tiercheire, qui est du
Vers-ordre. Orden —a, liers-ordre de Saitıt-
Frangeis, eic. Ha de d’um -—, em main lierce.
Tenctıno, 3. m. tiers, mediatser, Ontreimel-
tur. Ma w. V. dicopileire. Membre du
tiors-ordre de Saint-Framgeis, Bio.
bin 4,8. f.” geenier, cellier, magasis pu-
c
T Tencenkaso, s. m. benöficier qui m’a que le
tiers des dmoluments ou du casuel.
Tancnmiıno, >. m. oelui qui tsavaikle aux
greniers publics. V. Tercena.
*° Tancka. V. Terosiro.
* + Tzacerpia, #. f. "dekai de trois ans, trois
mois, twois semaines ei weis jomes guo In lei
accordait, en certains Cas, pour le BSCeuvoe-
ment d’une delte,
* Tencksımo. V. Trigesisne.
TERCETÄR , 9. ®. faire des terceis.
1180 TER
Tenctro, 8. m. tercet : espöce de couplet
compos6 de trois vers ; partie du sonnet.
Tercıa, 8. f. troisidme heure du jour, selon
les anciens Romains : elle r&pond & neufheures
du matin. Tierce : une des heures canoniales.
TercıÄr, 9. 6. melire en travers, en diago-
nale (la lance, eto.). V. Tergar.
Texcıknı0, A, adj. tertiaire : de la troisiöme
grandeur; form6 en troisiöme lieu (terrain —)
(. de geol.).
Texcıtna. V. Toreme.
Tercıntı ou TencıontLa, e. f. sorte d’&tolfe
de soie d’Italie.
TERCIODECIMO, A, adj. treizidme.
TencıortLLo, 8. ou adj. mw. velours d’Es-
pagne.
Tenco, A, adj. Wetu, obstind, opiniätre, mu-
iin, tenace.
Terco, s. m. tiers, troisieme partie d’an
tout. Tiers du rosaire, chapelet. — de soldados,
regiment. — da espade, lo fort de l’öpte. Resar
0 —, dire le chapelet.
Terco. V. Tregs.
TencöL, s.m. orgeolet, crite, petit bouton
aux paupiöres.
TEREBELLASOS AUFRTNOMES, 8. [. Pl. (d.d’hist.
nat.) ’amphinomes : vers ä deux rangs de soles
ou branchies dorsales.
Tenzsintuıa ou TEREBINTEINRIRA,S. [.V. To
rebintho.
TEaEBınTRina, s. f. ter&benthine : resine de
terebinthe.
TTerzumTnicaas, 3. f. pl. (6. de bot.) teröbin-
ihaodes : famille des ter6binthes.
TEREBINTRINADO,, A, adj. pr&pars avoc la %%-
rebenthine. -
Tenzsintuo, s. m. (4. de bot.) törebinthe :
pistachier sauvage, arbre resineur.
Tenzana, s. f. ancienne machine de guerre.
TEnEBRÄR, ©. @. (P. us.) P6rcer avec une
veille.
+TunzenÄruLa ou Psrrunina, 5.f. (4 d’hist.
nal.) terebratule : coquille bivalve du genre
des huttres. — vidrenia , la poulelte. — coreo-
vada , la törebratule bossue. — Ironcada, tere-
bratule tronguee.
Terzckna. V. Torcona.
+ Teazosn, s. f. (t. d’hist. nal.) * taret, ta-
riöre, ver rongeur qui perce le bois. — acls-
ovoda ‚1a fistulane.
+ Tenzncıino, A, adj. qui appartient au
poSte comique Terence.
TünRS E BAVRRES, 5. m. p}. biens,, richesses ;
avoir.
TEacENINO, A, adj. (Podi.) triple.
TRACIVERSACHO, s.f. tergivorsation , d6tours.
TERCIVERSADOR , A, adj. ei 3. lergiversateur,
qui tergiverse
TEROIVERSANTE. V. Tergiversador. p. a. de
Tensıvaasir, v. n. tergiverser, user de de-
wars, do faux-fuyanis; biaiser. Tourner le
den ip. “s.).
Go ,8. m. (p. us.) le dos.
Taaicıa. V. Teer,
TER
f Terıö-92-G64. V. Bicho-vergonhoso.
Texisrno. V. Theristro
Tensorir. V. Tresjurer.
+ Teauz, s. m. (1. d’hist. nat.) termile :
grosse fourmi blanche tris-nuisible. — fatal,
ermaito belliqueux. — erdiloso, termite atroce.
‚ termite mordant. — destruider,
termite des arbres.
TErNenTtina. V. Terebenthine.
Terumaciö, 8. f. fin, conclusion. Termi
naison : : desinence d’un mot.
TERMINiDO, A, p. p. de Termiser.
Teamımin, adj. 2 gen. qui Anit, termine ; qui
eoncerne les bornes, les limites. (#. de bet.)
Terminal : qui forme le sommet.
+ Teammäutas, s. f. pl. (8. anf.) termine
ties : fötes du dieu Terme.
TermınÄnte, adj. 2 gen. qui termine; tran-
chant, qui decide. On le dit d’une lei, d’m
texte, etc., qui deöcide en termes formels wa
ca8, une question. Aboutissant.
TauMınANTissıno, A, adj. sup. de Terw-
nanis.
Teruınin, ©. a. terminer, achever, fnir;
borner, limiter, v.». —, @iro le terme, la En.
l’exir&mite. (em, por) Se terminer. On le da
de la desinence des mots, d’une crise qui de-
cide une maladie. Aboutir. Il est aussi reei-
proque.
+ TERINKANTIVANENTE, adv. d’une maniere
terminative.
+ Tanısınarivo, A, adj. terminatif, qui 1er-
mine. Qui a rapport au terme, ä l’objet d’une
action.
Teawıno, s. m. la diea Terme, qui presidait
aux bornes, aux limites. Terme, borne , limite.
Bont, fin, extremite.
Teru0, s. m. terme : in, borne d’un temps,
d’un espace, des choses, des actiens ; (Ag.) ie,
borne, limite ; temps prefix de payement ; met,
diction , expression ; mot particulier ä& un art,
etc. Facon de parler, d’sgir, etc. Distriot, res
sort, lerritoire d’ane ville, etc.; banliewe. .t. da
prat.) Declaration faite par ecrit, devami ua
notaire, de faire ow de ne pas faire telle chhose,
etc. — echpfico, distance de la lune & Tun des
n@uds de l’&cliplique. — perempforie,, lerms
peremptoire, decisif. Metio —, milieu queu
prend dans une affaire, parti milayen. —s, pl
termes d’un syliogisme. Termes d’une raisen,
d’une proportion en mathomatiques. Tormes :
6tat oü est une affaire, ete. Confins, limites.
Maniere d’agir, etc.; moyens, expedients. ia
—s , on rögle, en bon &lat. Em —s Aubeis, sila
chose est possible, si cela so peut. Bieiss —«,
detours,, faux-(fuyants, subterfuges.
+ Tsanino, a, adj. (Lt. de bot.) Folkas —er,
feuilles terndes, trois par Ireis sur un petieie
commun.
T6RanAMkNnTE,, adv. tondrement : aves ie®-
dresse.
Teanirıo, A, adj. ternelre : de treis, diri-
sible par treis (nombre); & treis temps (mms-
sure), en terine de musigen
TER
Tennas, s. f. pl. V. Ternos.
+ Teanite, s. f. ( 1. de geog.) Ternate : la
plus septentrionale des Moluquos.
Tennatkz, adj. et s. 2 gen. de Ternate.
Teaukına, s. [. veau ou genisse. V. Novilka,
Vitella.
Teantza. V. Ternura.
TgRnissıMo, A, adj. sup. de
T&rno, A, adj. tendre, sensible, caressant,
affectueux; facile & attendrir , qui pleure aise-
ment; touchant, attendrissant, qui inspire la
tendresse,
T£rno, s. m. terne (A la loterie); trois numed-
ros de suite; nombre de trois choses de möme
e spece.
Ternos , 5. m. pl. ternes: deux trois, au | Find
jeu de des.
Ternöra , s.f. tendresse : sensibilits & l’ami-
tie, A l’amour; amour tendre et passionnd.—,
son expression dans les regards, les gestes, les
paroles ‚les caresses, etc.
T£EROLERO, 8. m. sorte d’ancienne danse por-
tugaise; son air.
Terra, s. f. terre : matiöre homogöne, molle,
friable,repandue sur la surface des continents,
et servant de couche aux vegetaux; portion de
terre cultivee, terre labourahle, champs ; ter-
reau ; sol; le globe terrestre; terre oü l’on en-
evelit; partie de la terre, du globe; &iendue
d’un pays; bords de la mer. Patrie, pays natal.
(fg. Terre : les babitanıs de la terre; les biens,
es plaisirs de la vie. — adamilica, terre ada-
mique, terre rouge.— firme, terre ferme, con-
tinent. POr pd em —, mettre pied ä terre, des-
cendr3 de cheval. Langar, deilar a — ou por
— , jeter par terre. — lavradia ou de lavuradio,
terre labourable, terre en labour. — frias, la
fosse,, la sepulture. Metter — em meio, gagner
pays, s’enfuir, prendre le large. Gankar —
com alguem, gagner les bonnesgräces de quel-
qu’un. Dar d—. V. Sepullar. Terras —, terre
ä terre, au propre et au figure. Tomar —,
prendre terre, aborder. Saör em —, descendre
& terre , debarguer. Botar, langer — nos olkos,
jeter dela poudre aux yeux. A minAa—, mon
pays. Eserever paras—, tcrire au pays. Onde
mevaiben ahi da minka —,, mon pays est celui
oü je me trouve bien. Descodrir—,, (l. de mar.)
decouvrirlaterre. — alta, terre haute. — baixze,
terre basse ow plate. —clara, terre ins etclaire.
lada , terra coberia de nevoa, terre em-
brumese. Vista falsa de —, terre de beurre.
Perders—devista, noyer la terre. Signaes de
—, margques de terre. — pela pröa! terre de-
vant!
Tenrica,s.f. V. Torrado.
Ternrackna. V. Torcons.
Tzarico. V. Terrado.
Tennäpa,s. f. petit bätiment de guerre, en
Asie.
* TERRADECO, 3. m. quarantidme du cent,
sorte do lods ei ventes.
* TERRADECDRIRO, 3. ge. chanoine qui rece-
vaitie Terradego. V.ce mot.
TER 114
* Ternanico,, s.m.rodevance annuelle qu’un
fermier paye au propridtlaire.
Teanapinna , dim. de Terrada.
TeaRino, 5. m. * terrasse: Loil d’une maison
en plate-forme st decouvert, contre-ierrasse.
* Aire, espace qu’oocupe une foire, et ce qu’on
paye au seigneur, etc.
+ Teanäino, A, adj. dont le toitesten lorrasse
(ediflce, maison). En terre, qui n’est ni par-
quets, ni pavö, eto.
TerriL, adj.ots. m. terral, vent de lerre.
+ Teazınova , s.f.(t.degeog.) Terre-Neure:
lledel’Amesrique septentrionale. Terra-Nuorva:
ville de Sardaigne, i
TERRARQUIM,, 5. m. sorte d’embarcation de
nde.
TeRRANTezZ, adj. 2 gen. naturel, natif.
Tenni0. V. Torrdo.
TERRAPLENÄDO, A, P. pP. de
TERRAPLENÄR, v.. remplir de lerre rappor-
tee, terrasser. Construire, dlever un terre-
plein.
TERRAPLENO, s. m. lerre-plein : surface plate
et unie d’un amas de terre; lerre rapportse
entre deux murs; partie du rempart derriöre
le parapet et la hanquetie.
TERRÄQUEO,, A, adj. terraqus : compos6 de
terre et d’eau. On le dit du globe terrestre.
+ Teana-Sinta, s. f. Terre-Sainte , les
Saints-Lieux ; la Palestine.
Terastörıo. V. Territorio.
TerrEiL, adj.2gen. terrestre, de la terre,
+ Tenaezin, v. m. 6tre clair-semö, en parlant
d’un champ. On le dit aussi quand les bl&s sont
si pelits qu’ils no couvrent pas la lerre.
Tenrkıro, s.m. place publique; grande cour
d’un palais. (oams.) * Terrasse, plate-forme,
plateau. (fig.) But, objet.° Hallo au bi6 & Lis-
bonne. Tirara—, provoquer, defler. Ser—,
ötre P’objet de.
* Tenatıno, adj. V. Torreo.
TernEuöTo,s.m. tremblement de terre. (Ag)
Grand bruit, [racas.
Tsantnuo. V. Terreno.
TernnkNO, A, adj. lerrestre, de la terre; de
terre; terreux ; l’oppos6 de spftituel,, d’dternel.
Cor —s, couleur terreuse. Vonto —. V. Terrel.
Tenntno, 3. m. terrain: espace de terre;
terre, sa qualitö; terroir, terre oonsiderede par
rapport & l’agrioulture.
TerntnTo, A, adj. terreux, me&l& de terre,
* Ternentörıo, V. Territorio.
T£rnneo, A, adj. de terre, qui appartient A la
terre, qui tient de laterre. Au rez-de-chausser,
sans 6tage (maison). (Ag.) Bas, humble, alı-
jeet. Cör —e,, couleur lerreuse,.
* Tennko, 5. m. terre inculte.
Taangr.amin, V. Toerraplenar.
TERRESTRE, adj. 2 gen. terrestre : qui appar-
kon ä la lorre.
ERRiBEL, lc. errioel
TenaisıL, etc. | v.tT „ew0.
TenatsıLıpäng, 8. f. qualits qui rend terrible,
: Rurdesse, dureis de caractöre, [erocite.
1148 TES
TranısıLisstuo,, A, adj. sup. de Torrikll,
Tennicora , s. m. habitant de la terre.
* TERRICOLAMENTO, 8. m. * Irayeur, lerreur.
TERRIFICiDO, A, p. P. de Terriflcar.
TerriricintE, adj. 2 gen. qui terrifle, qui
frappe d’&pouvante. p. a. de
ERRIFICAR,, ©. @. terrifler: frapper d’&pou-
vante, de terreur.
Terrirıco, A, adj. terrible, effrayant, öpou-
vantable, effroyable.
TERRIGENO, A, adj. nö de la terre.
Terrina, s. f. terrine, soupiäre.
Terrırıenin, etc. V. ‚etc.
TerrıtonıkL ‚adj. 2 gen. territortal : qui con-
eerne, comprend le territoire.
TERRITÖöRTO, 3. m. territoire : sspace de terre
qui d6pend d’une juridiction, elc.; etendue de
terre.
TeanivgL, adj. 2 gen. terrible, menagant,
eifrayant, eifroyable. Dur, feroce, intraitable.
TERHiVELUENTE, adv. terriblement : d’une
maniere & inspirer de la terreur.
Tenkoida, 6. fe" coupdonne avec une molte
de terre.
TERRÖR, 5. m. "terreur, frayeur, effrol; &pou-
vante, grande erainte. — pdmioe, lerreur pa-
nique. Causar, pdr —, donzer, inspirer de la
verreur.
Tennonisuo, s. m. lerrorisme : Systöme, r6-
gime de la terrear.
Teanonista, s. m. terrorisie : agent ou parti-
san du systöme de la terreur. Homme qui inli-
mide, qui effraye, qui &pouvante.
Ternonızin, v. a. lerroriser, inspirer de la
vorreur, terrifier. °
TEand80, a, adj. terreux : meld, sall de terre.
V. Terreo.
Tersi0. V. Torsdo.
“ TensanöLa, 5. [. sorte d’arme A fau, argue-
buse.
Teasissıuo, A, adj. sup. do
Ternso,A, adj. poli, luisant, elair, net. (Ag.)
Pur, chätis, poli, en parlant du style.
Tenso, V. Tergol.
“TersöL, s. m. V. Manustergio.
Tenzo. V. Terso.
Tas. V. Tez.
TESANENTE, adv. fortement, fermement, aveo
roideur.
Tssiö, s. m. "roldeur, tension; vigueur; ri-
gueur. *Erection du membre viril. (Ag.) Grande
fermet&, constance, infexibilite. * Seine, sarie
de lilet de p&obeur.
+ Tesir, o. a. (8. de mar.) — 08 ovens, 08
eslais, etc., reprendre les haubans, lea &iais,
etc, — uma tralke, palanquer.
Tssciö. (bur!.) v. Yadio,
Tesıpäö, s. f. vonsien, raldear.
T&so, a, adj. tendu , band; rolde; escarpe;
fort; dur, ferme, solide. Robuste, bien portant,
bien retabli d’une maladie. Brave, vaillant,
courageax. YVielent, imp6tneux. Dur, rigou-
reux, rigide. (Ag.) Inflexiblo, severe; ferme.
@rave, d’un outr6, empese. Pör —,
TES
roidir. Ter — ou fer.gs —,tenir ferme, au pre-
pre et au ägure. Ter-s — com „mir
tete & queliqu’un, lul resister, ne point chder.
T£so,, s. ss. tertre, &minence de terre, petitr
montagne. — de monle, cime, sommei dun
coteau , d’une colline. Escarpement.
TesduRA, 8. f. " ciseaux : instrument & deu ı
branches tranchantes, mobiles sur un aıe.
( Ag.) Chose erolßte en forme de ciseaux. "Che-
valet, Ireteau, Iretolre. Tondeur de bötes 3
laine. (Ag.) Medisant, calomnisteur. —e, 8.
premieres pennes de P’aile du faucen. Caurraie s
de guindage attachdes en sauloir aux ımoulons
et au coffre d’un carrosse , arımon. (4. de mar.
Crampe, crampe de carene.— da Parca , cisesa
de la Parque. — de losar 0 „ botres oa
desertes. Boa —, personne habile dans Is
coupe des &olfes. (Ag. faw.) Gros mmangeer,
plieur, mächeur,
Tesounipa,, 8. f. coup de ciseau,, dechigue-
ture. (fig.) Medisance, calomnie.
Tesouatıno. V, Thesoureiro.
Tesovninna, 8. f. dim. de Tesowre. Petis ci-
seaux. —ı das vides, vrilles, nilles de la vigne.
V. Elo. Fazer —s com asdedos, (ig. fam.) sen
Wöter, s’obstiner Jusqu’aw dernier point.
Tesöuno, etc. V. Thesduro , elo.
TESSELÄRIO, 3. m. OuYrieren margquelerie.
r Itssena, s. f marcoau oubique de bois,
d’os, ete., qui se«vait aux soldats romains de
mot du guet, de billet pour leur paye, etc.
TessöM. V r ish,
Testa,s. f. lehaut de la täte, le front. (Ag!
La tete entire (p. us.). (id.) Töte ou froms de
Parmöde, etc, — ooroada, lie couronnee, som-
verain. — de ferro, (fig.) pröte-nom. Faser—
tenir töte. Pör-se d— , se meltre & la title.
TestÄcko, A, adj. testacd : convert d’ws
6callle dure et forte, Os—s, 6. m. pl. ($. d’him.
wat.) les testaces : genre d’animaux, mollas-
gun, reptiles, cauverts d’ane e&caille dure et
orte.
* Testagom. V. Sequastro, Embargo.
TEsTacino, A, adj. tein, enlels, opiniätre.
Testina, s. f. terrain limitropbe.
TestÄoo, A, p.p. de Tester.
TESTADOR, A, 8. lestateur ; quiteste, quifah
son teslament.
Testauentania, 5. [. execulion lesizmen-
taire; biens du lesiateur.
TESTANENTÄRIO, a, adj. lestamenlaire : qui
concerne le tostament,
ui STAMENTEIRO, a. m, exeouionr lesiamen-
ire.
Testamento, s. m. testament, aulhentique
ou prıv6, qui conlient les dernidres ralontes.
—, livre samt de l’ancienne et de la nourelle
loi. On dit ordinairement :; O — velko an ssti-
0,0 —movn, 16 vieuz, l’aucien Testameut, le
nouveau Testament. —s, pl. (ant.) maisons re-
ligieuses, maneirs, alc., (andes per des nabies;
donations, titres auıhentigueg qui les onnsis-
tent.
Tzsti6. V. 7 ostäg,
TET
Testir, v. a. tester : faire son testament;
laisser en testameut.
Tastkına, a. f. face, front, fagade, TMidre :
partie de la bride qai est autour de la töte du
%heral. V. Tessada.
*Testtıno, s.m. V. Tesidde.
* Testeudıo.
;Teeranöno. | V. Testemunke.
° TESTEMOTO. .
Tesreuunuä, s. f. " t6moin : (personne) qui
'yeut faire rapport d’un fait qu’il avu ow en-
-endu; quı atteste ou peut atlester ; specialeur.
Ag.) * Temoin : on Io dit, par extension, des
choses inanimdes. — de vista, tömoin oculaire.
— d’owvido, t&moin auriculaire, d’ouf-dire. —
falsa , faux t&moin. Tirar —s , entendre, oulr
les tEmoins. Tomar por —, prendre
quelqu’un & t&moln.
TESTENUNHÄDO, A, 9. p. de Tostemunker.
TESTENUNHADOR, A, adj. qui rend tömoi-
gnage.
Tesremonnir, vo. a. tömolgner, döposer
comme t6moin ; attester, porler tömoignage.
TESTEMUNHÄVEL, adj. 2 gen, teslimonial :
qui rend t&moignage.
Testemünno, s. m. tömoignage : rapport
d’un ow de plusieurs tömoins sur un fait, un
discours ;preuve de la verils. Faux tömoignage,
fausse accusation. On ajoute ordinairement le
mot falso. Levantar -s au falsos —s , caloın-
nier, inventer une caloganie.
Tesricos, 8. m. pl. montants d’une scie de
charpentier.
TESTICULO, 8. #8. testicule : corps glanduleux
oü s6 pröpare la semence.—de frade, testioule
de chien, satyrion (plante).
Testırıcagäö, a. f. "tömoignage, attestation.
TestırıckDo, A, 9. p. de Testificer.
TESTIFICADOR, A, adj. obs. qui atiesie, qui
tsmoigne,.
Tesrırıcr, v. @. attester, cerlifer, rendre
ts#moignage. V. Testemunkhar,
TestırıcaTivo, A, sdj. qui atteste, oertiße,
rend tömoignage.
Testixno, dim. de
T£sTto, & m. couverole. T&t, tesson ; morceau
d’un potde terre 0asse. Cräne (d’un bauf, etc.).
Tästo, 4, adj. ferme, rösole; inflexible , a6-
vere; tötu, entöte.
Tesrunpigo, aug. de Testudo.
Testöpze, s. f. ) tortae :espöge de teltgue
Taeripo, s.m. $ les Romains formaient
avec leurs boucliers dlev6s ot sorres los uns
contre les autres.
TzsTinDo, 4, adj. qui a un grand front. (Ag.)
‘fetu. V. Cabegude. e
Tesöra, s. f dureis, fermet6 , tension, rei-
‚leur. (Ag.) Severite, rigueur, Inflexibilits. (d4d.)
. sravite, sörieux afeete,
Tetra, s. f. mamelle, t#ten ; tötine, tetie, pis
"de vache). — de ferra, mamelon, petlite &mi-
kence. — de vaces, sorte de gros raisin, raisin
d’Espagne. Um — , (burl.) homme effemine,
poule meuillee.
TET 1183
Tsränıco, A, ady. (t. de med.) tetanique:
qui est prapre au !Wianos, eu qui Heni de sa
nature.
Tiruno ou (4. de ndd,) Wlanos : ma=
T£Tanos, s. m. ) Iadie spesmodigue,, plus
oommune en Amerique qu’en Rurope, ei dont
le caractöre prineipal est une reideur gönärale
du eorps. Quand il viont A la suite d’une bles-
sure, on P’appelle t#tanos traumalique.
+ Tertıa, s. f. (1. du Brosil) joust d’enfant,
joujon.
+ Teruvs ou Tirmya, 8. f. (1. EMal. ua.) 16»
thys : mollusque gastöropede.
Terim, s. m. ciment de poudre de brique, de
chaux et huile.
Teror. V. Tutor.
TETRACÖöRDIO, 5. m. tötracerdea: Iyre A quatre
tordes; systöme de musique des anelens, qui
n’embrasse que quatre tons ou treis Intervalles.
TETRADRÄCHA , 8. f. tetradrachme : mounaie
qui valait quatre drachmes.
TerRADYNäMIA , 8. f. (#. de bol.) tödradyne-
mie: quinziöme classe des vegstaux, & fleurs
bermaphrodites, deux grandes #tamines et
deux petites.
TETRAEDRO , 5. m. (f. de gdom.) Lötraddre:
corps regulier, formädequatre triangles dgaux
et &quilatsrauz.
Teraicono, a, adj. (1. degdom. et dp bof.)16-
tragone : qui a qualre angles et quatro oöt6s.
s.. m. —, figure rectiligne & quatre angles
egaux.
TETRAGRÄMMATON, 3. m. le tötragramme : lo-
culion mystique, Synonyme respectueux pour
exprimer, sans le prononcer, le nom de Dieu,
qui etait tetragrammatique en grec, comme il
Pest dans la plupart des langues.
+ Teraacy'nıa , 8. f. (1. de bot.) tetragynie s
quatritme ordre des treizg premieres classes
des vegetaux A feurs de quatre pistils.
+ TerraLocia, s. f. tetralogie: quatre pidces,
irois tragödies ei une comeödie d’un poöte (greo)
qui voulalit obtenir la oourenne,
TETAÄNETRO, 5. m. tölramötre ı vers gre6,
latin, de quatre pleds.
Terrinpasa, 8. f. (6. de bot.) tötrandrie: qua-
triöme classe des vögetaux, & fleurs herma-
phrodites, A quatre &tamines &gales.
+ TETRAPBALANGARCHfA , 8. f. commande-
ment de quatre phalanges.
+ Teraaptralo, A, adj. (1. de bot.) lötrap6-
tale: & quatre petales.
+ Terkarnr’ıLo, a, ad). (8. de dot.) Wire
phylie : & quatre folioles.
Terripro, 3. m. tötraple : bible d’Origene A
quatre colonnes. dt. V. Quadruplicado.
TETRÄRcHA, 8. m. tötrarque : prince de se-
cond ordre, mattrede la quatri&me partie. d’ane
monarehie.
Ternanchia, s. f. tötrarebie : dignitö de 16-
trarque ; territoire soumis & sa juridietien.
+ TETRASPERMA, adj. 2 gen. (1. debol.) telra-
sperme : qui a qual£e
1184 THA
Teraisrıcno, a. m. töiraslique, quatrain;
stance, &pigramme, et6., de quatre vers.
TernisrrLo, e.m. ei adj. (1. d’arch.) Lätra-
stylo : qui a quatre rangs de piliers.
TeTRAsY'LLanO, A, adj. teirasyliabe : de
quatre syllabes. .
+ Taeraiz, s.m. (1. d’hist. nat.) Lötras : oiseau
gallinac6, palmipdde. —das serras, tötras, coq
des bruyöres.
Teraıco, a, adj. melancolique, qui a l'air
somhre,, serieux,, de mauvaise humeur.
TeTRo, A, adj. noir, sombre, obscur.
* Terupia. V. Titubear.
Ter6po, A, adj. qui a de gros Lelons, V. Ma-
) [}
Tec, Tua, prow. possessif de seconde per-
sonne. Tien, tienne. Os teus, pl. les tiens, Les
parents, tes parlisans, elc.
Taucno, a,adj. eis. V. Troiano. On a donne
ce nom aux Troyens & cause de Teucer, qui re-
na en Troade avec Dardanus.
Teüno. V. Tido. Teida e manleüda, femme
entretenue.
Teutme, s. f. (6. hist. nat.) "theuthie : pois-
son d’Amerique,
TEUTÖNICO, A, adj. teutonique : qui appar-
tient aux Teutons,, aux Allemands.
TeuTönıos, 8. m. pl. Teutons, anciens peu-
ples de la Germanie.
Tex. V. Tex.
Texo. V. Teizo.
T&xTo, s. m. texte : les propres paroles d’un
anteur ;passage de l’Ecrituresainie, etc. Theme.
Historien (dans la Passion). Gros-lexie : carac-
tere d’imprimerie.
TexruaL, adj. 2 gem. textuel : qui est dans le
texte, conforme au texte.
t Texrualista, s. m. textuaire : celui qui
s’attache au texte et neglige les gloses.
t TextuiLmture, ade. textuellement : sans
s’öcarter du texte, mot & mot.
Texröna,e. f. tissure d’une &toffe. Texture :
ce qui fait qu’une chose est tissue; (Ag.) le
tissı , la liaison d’un ouvrage; disposition des
partiescontigu&s et consliluantes d’un corps.
Taxtoo. V. Teizugo.
"Tero. V. Tio.
Teıön. V. Teor.
Taz, s. f." öpiderme, peau. Surface polie, lui-
sante, d’une chose, et surtout leint frais, de-
lioat. — dorosto, teint , coloris du visage,
Teziö,ele. V. Tesdö , eic.
TuiLauo, s.m. lit nuptial.—s , pl. (Ag. podi.)
noces.
Tuiua,s.f. (6. de mytih.) Tbalie : une des
Muses ; une des Gräces.
TmaLicrno, s. m. (4. de bot.) thalleiron :
plante vulnersire, febrifuge.
Tuäo, s. m. mesure ilineraire au Pegu, une
lieue portugaise & peu pres.
t Tuarsıa, 5. f. (6. de 504.) thapsie : genre
do plantes de ia pentandtrie.
T Taanotuas, 5. f. pl. (6. d’ums.) Thargelios:
THE
f&tes d’Apollon et de Diane, avoo offrandes des
premices de [ruils euits.
Tuasntıra. V. Tasmeirs.
Tnäu, 3. m. derniöre letire de l’aiphabe
hebreu.
Taaumatürco, s.m. thaumalurge: qui fs
des miracles.
TBEÄME, s. f. pierre d’Ethiopie qui repoesı
ler
Taginpeıco, A, adj. Iheandrique : diris u
humain.
+ Tuxantıeoria, s. f. tbeanthropie: erre
gönerale qui atiribae & Dieu les qualilds ke-
maines.
THEATINO, A, adj. et s. Iheatin : clerc regr-
lier de saint Gaetan.
TueATRÄL, adj. 2 gen. theätral : qui appr-
tieut au iheätre, Jui est propre, ne Conıil
qu’ä lui; qui concerne le theätre, la pet
dramatiyue.
t TugATRALMENTE, adv. Iheätralement: (m
maniere thöätrale.
TReiTRo, 3. m. theätre : lieu od Fon reptt-
sente les piöces dramatiques, etc. ; ce bätinen!
tout entier, y compris les places des spedi-
leurs; lieu de la scöne; estrade qui porte ii
comediens; sorte d’schafaud; profession &
comedien; r&ögles de la poesie dramatigkt; =
cueil de pieces de theatre; (Ag.) lieu dm
scene, d’un dvönement, etc.
Tuxzsiıco, A, adj. thöbalgue (pierre), dest
granit d’Egypte.
+ Tezsirpa, 3. f. (6. de geog.) Thebalde : pJ°
et desert d’Egypte ; (Ag.) solitade prefonde.
Tarsino, A, adj. ei s. Thebain, da Thde.
Tutnıs, s. f. (6. de geog.) Thebes : ville «el
Hauto-Egypte; if. ancienne ville de Grket.
Tnesto. V. Thebano.
Tueisuo,, s. m. theisme : oroyanoe de Pe
tence de Dieu, tout-puissant et actil; Yopi
d’siheisme,
Taxisra, 3. m. theiste : qui oounalt Te
tence d'un Dieu reel, tout-puissant, er
Tatua, s. m. theme : sujot d’un diseeif;
matiere ; texte, sujet du sermon.
Tazwılua.V. Thymiams. 0
Turocaacia, 3. f. thöoeratie : gouvernem®!
des pretres oü les cheis sont regardes torı"
les ministres de Dieu. ,
Tugocaärıco, A, adj. Ihöocratigus : dr"
theocratie, gui ui apparient. =
+ Tuzoposıino,,a, adj. Iheodasien : q!’;
partient ä Pempereur Theöodase: comme
theodosien, eic.
Tuzorörıo, a. V. Divine. u
Tazoconia, #. f. theogonie : nalssance “
dieux ; systeme religieux des palens ; O0‘:
sur ceite matitre. bo:
TuzoLociL , adj.2gen. 2 hen
logal : chanoine charge de prolesser 14 Fol
gie, de pröcher. Virtudes —aes, Yorlls Fespe
gales, qui ont Dieu pour objet (la [tt
rance et la charite). NR
TreoLocia ‚2. f. Iheologie: solenoe di! apuif
THE
objet Dieu et la rövelation, la religion ; olasse
od on l’enseigne; dootrine, traits, reoueil th6o-
logique ; &tude des choses divines.
TagoLöcıcamante, adv. tbeolegiquement :
d’une manidre ih6ologique; selon les principes
de la theologie ; en thöologien.
TagoLöcıco, Aa, adj. theologique : qui con-
cerne la theologie.
+ TuzoLöcızir, vo. n. thöologiser: discourir,
raisonner sur la theologie.
TBEeöLoco, s. m. theologien : qui sait, ensei-
gno la theologie, qui &crit sur celte science,
qui l’ötudie.
+ Turowancia, s. f. tbeomancie : divination
par le nom de Dieu; iheomantie, divination
par l’inspiration d’une divinite.
‚Tazopnania, 8. f. Iheophanie : manifestation
de la divinite.
+ Tugornosia, s. f. theophobie: haine de
Dieu;; par extension, des inslitutions de Dieu.
+ TaEöPHOBO , 5. m. iheophobe : ennemi de
Dieu,, qui hait Dieu en reconnaissant son exis-
tence.
Tuxön. V. Teor.
+ Tarörsa, s. f. " theorbe : instrument de
musique & cordes, sorte de sistre; archi-luth.
Tusortua, 3. m. (f. de malh.) theoreme :
proposition d’une verite speculative qui peut se
demontrer.
TBEORIA 0% (heorie : sp6culation, con-
TBEÖRICA, 8. f. ) naissance qui s’arrete A la
sptculation, sans passer & la pralique; lois,
principes d’un art, etc.
TURÖRICAMENTE,, adv. theoriquement : d’une
maniere theorique.
Tug6aıco, A, adj. theorique : qui regarde la
theorie. s. m. Theoricien : qui connatt les prin-
cipes d’un art, souvent sans le pratiquer;; au-
teur d’une theorie.
Tazonista, 3. m. theoriste. V. Theorico, s.
+ Tugostpıa , 3. f."culte dä & Dieu.
+ Tueosopeia , s. f. th6osophie : systöme des
theosophes. V. Theologie.
+ TuzosornHisuo ‚3. m. theosophisme : sys-
ıöme de ceux qui pensent que nous voyons,
nous sentons, nous pensons en Dieu ; systäme
de Mallebranche,.
+ Tugösorno, s. m. th&osophe : qui sail ia
t heologie. —s, pl. theosophes : illumines qui
eroient communiquer avec Dieu.
+ Tuznapforas, s. m. pl. therapentes : moi-
nesjuifs, livres & la vie contemplative , extali-
que et mortiflee ; branche des Esseniens. .
Tugaargutica, 3. f. tberapeutique : partie de
la medecine qui enseigne & guerir les maladies
ow sdoucir leurs accidents.
Tagaarfurıco, A, adj. therapeutique : qui
arapport aux Thörapeutes ‚a lathörapeutique.
TURREBENTINA. .
TBEREBIiNTO, etc. | V. Torebinih..., ete.
TueriacäL, adj. 2 gen. theriacal : qui a la
vertu de la ihöriaque.
Tuazaıkca ow Trrkica, 8. f. theriague : com-
pesition de chair de vipöre et de cinsuante &
THE 1148
solzante drogues plus ou moins efflcaces en
opiat: cordial et antidote. (Ag.) Presorvatif,
antidote, remdde A un mal impreru, etc.
+ TuenıocoLocia, 3. f. theriocologie : traitd
des betes venimeuses.
+ Taexıorouia, s. f. theriotomie : anatomie
des brutes.
TBERISTRO, 8. m. theristre » grand volle des
femmes orientales ; espdce de chemise,vete-
ment d’et& des anciens.
Tu£aua, s.f."\hermes, bains chauds,
TugamiL, adj. 2 gen. Ihermal : qui appar-
tient aux ihermes. Agua —, eau thermale, mi-
nerale et chaude.
+ Tueauıpör, s.m.thermidor : onziöme mois
de l’annee republicaine [rangaise.
Taerruögo.V. Tremogo.
+ TBERMOMETRICO, A, adj. qui a rapport au
(hermomitre.
TBERMÖMETRO, 8. m. thermometre : instru-
ment meletorologique, tube avec de l’esprit de
vin ou du mercure pour indiquer les degres de
froid ou de chaud.
THERMÖPYLAS, 8. f. pl. * Thermopyles: d6Ale
de l!’OEta , en Grece.
Tasse, s. f. tbedse : proposition, question &
discuter owque l’on d6fend publiquement dans
les ecoles.
Tagsounipo,s.m. charge de tresorier.
Tussoria, 8. f. tr&sorerie : emploi, bend-
fice de trösorier; maison, bureau du tr&sorier.
Tazsountıao, 8. m. tresorier : garde d’un
tr&sor ; celui qui regoit et distribue les deniers
d’un corps ; chanoine , etc., Pourvu d’une tre-
sorerie.
THEs6URO ‚s. m. trösor: amas d’or, d’argent;
tresorerie; amas de choses pröcieuses mises
en r&eserve, d’ornements d’eglise, de reliques,
d’archives, de titres, etc. ; lieu oü on les garde;
lieu de leur de&pöt ; (Ag.) r&eunion de choses pr#-
cieuses , d’excellentes qualites, de sciences, de
notions, de faits, d’idees, etc.; chose pr&cieuse,
admirable, excellente. Garde-meuble de la cou-
ronne. Fazer — de, se pourvoir, se munir de.
Pör em —. V. Enthesourar. Onde esid 0 v0sso
— ahi estd 0 vosso corapdo, Ih oü est volre Ir6-
sor lä est votre c@ur.
+ Tazssirıa,, s. f. ( t. de geog.) Thessalie :
province de Pancienne Grece, sur ia mer Egee,
+ TuessäLıco, A, adj. de la Thessalie.
+ TuessaLönıca , s. f. (f. de geog.) Thessalo-
nique, Salonique ow Saloniki : ville de Mace-
doine.
TuEssaLoNIcEnse, adj. ets.2 gen. Thessalo-
nicien, de Thessalonique.
TazssaLönıco, a, adj. et 8. V. Thessaloni-
canse.
+ Tatrıco ow Tn£rıo, a, adj. (podl.) de
Thetis.
Tutrıs, s. f.(t.de myih.) Theis : Mile de
Neree. (fig. podt.) La mer.
* Tagöno. V. Tido, Obrigado.
+ Tueöncıa ‚s. f. theurgie : magie pour en-
1146 THU
tretenircammerco avec les dieux bienfaisants;;
svocation des gönies,
+ Tazöncıco, A, adj. Ihödurgique : de la
(höurgie.
+ Taumno, V. Thuia do Orients.
Tnıuılma. V. Thymiama,
Tnisıca , ete. V. Tisies, olc.
Tnıispia. V. Thlipsia.
+ TuLisrıo, s. m. (4. de bot.) thlaspi : plante
erucifäre ; taraspic ordinaire, moutarde ou s6-
nev& sauvage. —agresie , Ihlaspi des champs &
large silique.
+ TaLıpsia, s. f. thlipsie ; compression des
parois d’un vaisseaa.
+Tuouisuo, s. m. thomisme : doctrine de
saint Thomas d’Aquin sur la gräce, la predes-
tination.
Tuowista, s. m. thomiste : partisan de la
Goctrine de saint Thomas.
T Teöna, s. f. (4. de bot.) thora : espe&ce
d’asphoddle dont le suo empolsonne les armes.
7 Tuonackre, s. m. (1. d’hist. nat.) corselet:
partie du corps des insectes, entre la t&te et le
venire ; leur poitrine.
Tnoricıco, A, adj. thoracique : relatif & la | gre
poitrine; du thorax.
Tuoricıcos, s. m. pl. (6. d’hist. nat.) thora-
elques : genre de poissons osseux, holobran-
ches, col&optäres. .
Ta6nıx, s. m. (4. d’anal. ) therax : capaalis
de la poitrine,
Tuöro, V. Toro.
A H Taricıa ‚8. [.(8. de geog.) Thrace : contre
’Asie. °
tTanicıo,a, adf.ets. Thrace, de Thrace,
—s,s. pl. Thraces : peuple de la Thrace.
{ Funucanıco, A, dj. traltre, fourbe,
RASONISMO, 5. m. (Pp. us.) V, Insolencia,
Temeridade.
Tunelcıo. V. Thraeie.
+ Tartno, s. m. Ihrönes : chant Iugubte.
Tauöuno, s. m. (1. de mdd.) Ihrumbus ; tu-
meur & l’endroiı de la saignee,
Tuaöxo, s. m. tröne : siöge dlavd pour un
souverain, dans ses fonolions solennelles ;
(Ag.) pulssance souveraine des rois, Foyauis.
Gradins en forme conique, terminant en une
esp&ce de pelit tabernacle, oü l’on expose le
Saint-Sasrement, oü l’on place la siatue d’un
saint, el6. -—, siöge pour le pape, pour un ev&-
que, dans les c&r&ömonies. Os—s, vl. les Trönes:
lv Lroisiöme ordre de la hi6rarchie osleste.
tr Tadıa, 8. f. (t. ds bot.) — do Orionss,
"tihuya awtbuye: arbre voisin du cypräs. do
occidente,arbre de vie, o&dre amerisain.
TauRIaUL.ärto, &. m. Ihuribulaire; qui en-
cense. V. Thuriferario.
TavalauLo, 4. m. enconsoir : cassaleite aus-
pendue & des chalnes pour encenser.
Tuvaıcakuo, A, adj. (podl.) qui brüle de
Penoens; oü l’on br&le de l’encens,
Taunıreninıo, 6. m. thurifsraire ; qui porte
Fencens ou l’ennensoiz, qui enconse,
TIB
Turairero, A, adj. qui ports, predait de
Fenoens.
Tavammasgid, s. f. ' emeensemeni: asien
d’encenser.
Tavumeapon, 5. m.
Tayaımcinre, 3. etadj. 2 gon.
Tausırıcir, eto. V. Fnsenser.
+ Tavxinora, s. f. (1. de gdog.) Tharisg:
ooniree d’Allemagne.
Taösco. V. Toscano.
Tar'ı. V. Tine.
+ Tarzstio, a, adf. de Thyeste. (Ag.) Gi,
atrooe
Tavunaa ou Taruankına, s. f. (I de be)
*thymbre : plante odoriferente. Thymbee:
plante qui ressemble au thym.
+ Turusato, adj. m. (1. de mgik.) Tiye-
breus : surnom d’Apollon, adors & Thymin,
gel enceam
en Troade.
+ Tav’uza, s. f. sacrifice d’un Ihon ofen
Neptune par les p&cheurs.
+ Turiuzıs, s. f. (1. dent.) teibune ei
placaient les bouffons dans les entracies fi
ihe4tre grec. * Thymel6 : orchestre da tköäirt
c
Tarmıäma, s. m. parfum, paslille & brüler.
Tar’uo, s. m. (1. danat.) tihymus : glande &
la poitrine dont on ignore Fusage. (1. dab.
V. Tomilko.
Teraöıng, s. f. (8. d’anat.) thyrole : earli-
lage du larynx, en forme de bonclier; nand 4
la gorge. adj. V. Th .
YROIDEO, A, adı. (t. de bot.) tbyreldien:
des thyroldes (muscle, art&re —me).
TuYasicERoO, A, adj. (podi.) qul pre fi
tbyrse.
Tav’aso, s. m. thyrse : javelot enisart de
pampres, etc., termine par une pomme de Pf,
dont etaient armees les bacchantes. (1. de bl.
—, disposilion des feurs en pyramide, com
le lilas : les p6doncnles montant en diM*
nuant.
+ Tarasöso, a, adj. (1. de bot.) hyrailert:
qui porte ses fleurs en thyrse (plante). Flr#
— ss, fleurs thyrsiflores, en Ihyree.
Ru TuYEsöide, adj. 2 gen, Ihyrsoide : M
yrse.
Tav'sıco. V, Tisieo, Lk:
Tı, terminaison Irreguliäre da proaom -
dans los cas obliques. Tol. .
Tia, 6. f. tante. Ficar para ) vr
pour ooiffer sainte Catherine. On le dit des n
A qui leur Age ne permet plus d’espere! &
FT pour finde (Naval
* Tia pour avalt), .
Tıära, 8. f. tiare : ornement de t4te ehe! '
Perses; triple oousonne du pape; (MR "
gnits papale.
TıBer:no. A, adj. du Tibre.
Tınkza. V. Tibieze. est
Tiyıa, s. fe (hdanas,) "Ubla: 09 Intert
de la jambe. Fiüte. (a0
Tıpıän, s. m. et adj. (1. deal.) ubial (
cle) : extenseur de la Jambe.
,{
TIL
Tıatamänte, ade. tiedement, aveo noncha-
ance.
Tıaıtza, a. f. üödeur : Etat entre le chaud
et le froid ; (Ag.) nonchalance ‚'manque d’aoti-
vite, de forveur, attiödissement, Indifference,
eloignement,
Tisıo, A, adj. liöde: entre le chaud et le
frold ; (Ag.) nonchalant, qui manque d’activite,
de ferveur; sans devolion; sans ardeur ; (roid,
indifferent,
Tıpöans,s. f. eapdce de soupe faite avec du | ba
i
pain rötli et de !’buile nouvelle.
TIN
Tıunörı. V, Til (arbre).
Tirıa,s. f. *ülle: &corce de jeunes tilleuls.
üd.V. Tü (arbre).
+ Tirro, s. m. (l.dMst. wat.) Uülle, coleo-
piere.
TımAö, s. m, tImon de navire, barre de gou-
vernail. Timon de voiture. Timon de charrue.,
TıupiL ow timbale : instrument mi-
TımsäLe, 8. m. litaire. V. Alabal.
TınsaL£ınO, s. mn. timbalier ; qui bat les tim-
es.
Tıma6, a. m, ((. du Bresil) espece de Ilane.
1147
+ Tisar, &. m. (1. de geog.) Tibre: feure dI-| V, 7
lalie.
- Tıciö, s. m. lison : morceau de bois & demi
brüle, — do inferno , (Ag. fam.) personne 00n-
damnee au feu de l’enfer; celui qui induit &
pöcher.
Tıgoipa,, s, fı coup de lison.
Tıgogıro, 8. m." pinceties.
Tioo, a, 9. p. de Ter. adj. Tenu; röputs,
V. Havido, Ser — por sabio, eic., avoir la ro-
putation de savant, etc.
Tıckra, s. f. &cuelle, Jatte, — de barro, ter-
rine. Fidalgo de meia —, noble d’une olasye
moyenne, gentillätre.
Tıee.äpa,, s. f. eouellde : cantenu d’une
ecuelle. Manidre d’assaisonner le poisson , ma-
rinade.
Tıceuımma ‚es, f.dim. do Tigela.Petite dcuelle.
* Tıaßıo. V. Tijolo.
Ticaz ‚s.m. (i. d’hist. nat.) tigre; bete fEroce,
qui ressemble au chat, du m&me genre; (fg.)
bomme cruel. — real do Brazil, jaguar. —
louro do Brazil, pumar ou couguar. — femes,
uma— ‚tigresse, femelle du ligre.
Tıonzzinno , dim. de Tigre.
Tıcrino, a, adj. de tigre; tigre.
ad Tiorıs, s. m. (4. de geog.) Tigre : Neure
’Asie,
"Tirmento, s. m. V. Detonga.
+ Tuyzauicd vo Baazsı , s.m. (f. d’hist. nal.)
srand manakin hupps : bei oiseau d’Amerique.
TuoLßıao, s.m briguelier ; qui fait ou vend
&o la brique,
Tıı6Lo, s. m. "brique : terre argileuse rou-
geätre, moulee ei cuite ow sechee, V. Ladrilko.
Outil d’orförre. Doce de —. V. Guaiabada.
TıL, s.m. nom d’un signe (”) orthographique
qui, en portugais, rend nasale la voyelle sur
l aqmelle il est placd; ss, signosd’abrevialion qui
remplace le m ou m, comme en cäpo, sdlo,
qu£is pour oampo , sanio, quenie. (fig.) Chose
ininime, un rien.
Tır ou Tina, o, m. (4. de bos.) tilleul : grand
et bei arbre rosack.
Tırad. V. Til.
Tııps. V. Til (signe orthog.).
Tirua, V. Til (arbre).
*Tırai,s. f. (t. de mar.) *tillao d’un navire,
V. Toölde.
“Tırnido,s.9.V. Tiikd.
+ Tino, 8. m. (8. de bot.) croton calhartique,
grains do Tilly ow desMoluques.
. Tingui,
Tınanind,A, 9. p. de
Tıupain, 0, @. &u blas.) timbrer ; melire
un timbre.
Tiusag, 8. m. (#. de blas.) timbre : sommet
d’un casque; plöce au-dessus de l’Ecu. (fig-)
Action glorieuse, 6clatante. (id.) Point d’bon-
neur. Faser — de..., se glorißer ou se piqus®
de...
Tıyıäma. V, Thymiama.
Tivınamäntre, adv. timidement, .
Tımınaz, s. f. timidite : qualiis de l’etre d-
mide; crainte habituelle.
Tımıpfssıno,, a, adj. sup. de
Tiumo, a,adj/. timide, craintif, peureux,
*Tımon. V. Timdo.
Tımonkına, 8, f. (f. de mar.) Jaumiere : on-
verture par laquelle la Löte du gouvernail passe
dans la voüte,
Tımoxtino, s. m. (4. de mar.) timonnier:ma-
telot qui gouverne le limon. O— virou a ampo-
Iheta anles de lempe, le timonier a mange du
sable.
TıMORÄTAMENTE, adv. avec uno crainie sa-
Iutaire.
Tımoriro, A, adj. timore6 : peneirö d’une
eraintesalutaire,, delacrainte de Dieu. Craintif.
Tısonısapg.V. Alemorizade.
Tiurano, etc. V. Tympano, etc.
+ Tıuoch, m. (. du Brisil er d’hist, nat.)
brochet espadon : polsson de mer,
Tina, s. f. tine, cuve, baille; auge. — de
bankos , baignoire, — da sonda (.de mar.)
haille de sonde. — de combale , baille de com-
bat. — das adrigas das gaveas, haille ou oage
dea drisses des buniers.
Tısipa, 8. f. euvde : contenu d’une tuve;
augee.
* Tıniıus, s.f. ouve,, ouvier.
Tınazinaa,s. f. dim, de Tina. Tinette, petito
cuve.
Tinca, s.f. V. Tenca.
Tıncäu, s.m, linchal ow linkal, borate de
soude, borax d’Asie : sel propre & faolliter la
fonie des ıneiaux.
Tırcakına, 5. f. vase oü l'on mot le tinkal
ow borax pour fondre lcs metaux.
Tısctöna ‚#, f. (f,de phurm,) lincture, lein-
ture.
* Tinpo. V, Tide.
Tixea.V. Traga, Caruncho.
TINELLEIRO, 8. m, colui qui a sein du inello
1148 ' TIN
(V.cemot), qui fournit les provisions. elc. it.
Commensal ow domestique d’un seigneur.
TıxtıLo, s. m. salle basse oü mangent les
officiers d’un prince, d’un seigneur.
+ Tınkra,s. f. (inus.) |, dogme, opinion er-
+ Tınf re, s.m. } ronee, Caprice, ma-
nie. V. Sesiro. .
Tınciovo, A,p. p. de Tiagir
Tıncınöa. V. Tintureiro.
Tıncınöaa, 8. f. teinture : action et effet de
teindre.
Tıxcin ,v. e. teindre : faire prendre A quel-
que chose une couleur differente de celle
qu’elle avait; colorer; imprimer une couleur.
Teindre, tacher. On le dit surtout du sang.
Il est aussi r&ciproque.
+Tincırino, a, adj. ot s. de la ville de
Tanger, en Afrique, dans la Barbarie.
Tıncutıro, adj. m. Bote — , espece de petit
bateau sur le Tage.
Tıxcvi,s.m.(t. du Bres.) espece de liane
puantie dont on se sert comme de la garoulte
pour tuer le poisson. «4. Sorte d’herbe qui tue
les bestiaux.
+ Tımcvısäna, 8. f. (1. du Br&s.) peche faite
avec le Tingui. V. ce mot.
+Tınsusär, 0.0. (t. du Bres.) — os rios,
jeter le Tingul dans les rivieres pour tuer le
poisson. v. ». Etre empoisonns par l’herbe dite
Tingui, en parlant des bestiaux. V. Tinguf.
Tinua, s. f. teigne : sorte de gale plate,
söche,, Ala tete. (fg.) *Defaut, vice. (ant.)V.
Tina.
Tınwid, s.m.aug. de Tinha.
Tınsöso, A, adj.teigneux, qui a la teigne.
Tınino ow Tınnıno , s. m. tintement, son aigu.
+ Tınino, s. m. (1. de bot. ) sorte de laurier
sauvage ( tinus oecidentalis). — bastardo.V.
Folhada.
Tıninte, adj. 2 gen. qui tinte, qui retentit,
.a. de
Tımin ow Tınnir, 9. ®. sonner, retentir
comme les mötaux, tinter. Os owvidos finem,
les oreilles me tintent.
Tino, s.m.* facilit6 acquise par l’häbitude,
rontine. (fg.) Jugement, bon sens , prudence,
discernement, tact; intelligence , penetration.
Perder o — , peräre la tramontane. if. V.
Tina.
TınöTg , s. m.” tinette,, corveau.
Tinta , s. f. teinte, teint, teinture. Couleur :
drogue & peindre, & teindre. Encre & &crire, &
imprimer. (Ag.) Couleur, nuance. Fazer-se de
melhor — , devenir plus poli. Tomar muila—,
(fig.p. ws.) prendretrop de familiarite. Tomar
—d’alguma cousa , prendre une teinture, une
connaissance superficielle, de quelque chose.
Recummendar alguem de boa —, recomman-
der quelqu’un avec &loge.
* Tinte, 3. m." boutique, maison de teinto-
rier. V. Tintsaria.
Tıntkıro , 8. m. encrier : petit vase & mettre
deV'encre. Ficar no— ,(Aig.) rester au boutl de
: la plume. On ie dit d’ane chose qu’on vublie.
% Pr,
Tagı
TIR
Lorsqu’on le fait & dessein, on dit : Deiser ns
linleiro.
+ Tınrım. (espress. fam.) Tinfimper — ur
nutieusement, motä mot.
“Tınrını,s.m. ancien jeu defende.
Tinto,&A.p.p. irr. de Tiagir. Teint; cslore.
Vinko—, vin rouge.
Tıntöa. V. Tintureiro.
Tınroazıra. V. Tinsureire.
Tıntöaa, s. f. teinture : action de sand;
liqueur preparee pour cet ef ;couleur, teimz;
couleur extraite d’un mineral ow d’un vegetal;
($.de mdd.) extrait liquide et color& d’une su
stance; (fg.) connaissanco superficielle da
art, etc.
Tınturaria, s. f. teinturerie : meter, ar,
atelier, laboratolre de teinturier.
Tınturtıra , s. f. espece de grand regeis.
Tmrtuatıro, 3. m. teinturier : qui exerr
l’art de leindre ; sorte de raisin rouge fearz
Tınrurftıro, A, adj. qui teint, qui ser a
teindre. Plantas —as , (t. de bot.) plantes Ler-
toriales ‚ qui peuvent servir & teindre.
Tio ,s. m. oncle. — carnal , oncle, frere ca
pere ou de la möre.
Tıörsa. V. Theorba. “
+ Trıti, s.m. (f. du Bres.) sorte de eyladıe
de paille dans lequel on met le manioe port ke
meitre en presse.
TirLE, s.m. dessus : partie la plas hauie
la musique; oelui qui la chante.
Tırösa, s. f. "palanquin & filets. V. Serpe»
lina.
Tırockaria, etc. V. Typo is, eit.
+ Tirvıa, s. f. (1. d’Aist. nal.) tipule: meuche
hydromye, qui ressemble au cousin.
Tioue Tiguz, 5. m. jeu de trictrac.
Tira, s. f. bande, bandeletie. Häte, dir
gence. Fazer —, ou em —s, dechirer.
+’ Tıra-paaciL, s.f. ou m. bandage peur io
hernies.
+° Tıaa-zrscußı.. V. Tirsbregel et Tr
vergal.
TıracöLLO, 3. m. sorte de beudrier ou bas-
doulidre. A—, en dcharpe. — do terpads. V.Te
labarte.
Tıripa, 3. f. traite, transport, expert
de marchandises (p. us. ).” Tirage, action de
tirer. Traite, dtendue de chemin d’un en s
un autre. Long espace de temps. Dums-.
tout d’une fraite, d’une lire, sans e m
poser.
Tırapkıras, 8. f. pl." traits, longes de cards
avec lesquelles les chevaux lirent lelmanjarrı
(V. ce mot) d’an moulin & sucre.
Tıaivo, A,p.p. de Tirer.
Tırapon, 3. m. tireur : celul qui türe. Pre=
sier : imprimeur qui travaille & la presse —
d’ouro ,lireur d’or. — d’uma talha, (k. de mer.
garanı d’un palan.
Tıaa-FÜNDO,, 5. m. grande taridre.
Tıricem , s. f. (l. dimnpr.) " irage.
” Tira-Linuas, s. m. lire-ligne : instrumens de
dessin pour iracer des lignes & l’enere.
TIR
Tıaamenro, 8. m. Yaction et l'effet de tirer.
V. Exportaglo et Cobrance.
+ TırauorLia, v. a. (f. de mar.) — uma la-
Iha, etc., aflaler un palan, ofc.
Tıaino,etc. V. Tyrano, etc.
Tırinte (a), adj.2 gen. approchant, peu dil-
förent de, tirant sur.
Tıräntg, 3. m. tirant : pidce de bois de char-
pente qai entre dans un toit. Ligne de [er qui
passe d’un mur ä un aulre. —s, pl- traits : lon-
ges de 'corde ow de ouir avec lesquelles les che-
vaux tirent.
Tıräd, s. m. action de tirer avec violence,
secousse, eto." Saceade. V. Estirädo.
Tırar, s. m. tire-pied : esp&ce de courroie,
instrument de oordonnier paur tenir l’ouvrage
sur le genou.
Tıraa, u.a. V. Alirar. Tirer un carrosse,
une charrette, etc. V. Puchur. (de) Tirer, Oter;
delivrer, degager; retirer d’un e&tat penible,
d’une siluation dangereuse, elc.; recueillir,
percevoir, recevoir (des profils,, etc.) ; exiraire,
copier ; enlaver; arracher, Öter de force ; pren-
dre; deduire une consequence; delivrer copie
d’un acte; tirer d’un emploi, detourner d’une
occupation ; priver de. Excepter. Extraire. Alti-
rer. —,-produire, mettre au jour. On le dit
des oiseaux qui couvent leurs @uls, surtout
lorsqu’ils sont pröts A &clore. Detourner, dissua-
der. Empe6cher. V. Tolher. Dresser, redresser.
Demander, exiger, recouvrer. Tirer l’or, l’ar-
gent, etc., les etendre en His delies. —, impri-
mer. — a publico, d luz, meltre au jour, ren-
dre public. — a campo, a lerreiro, defier, ap-
peler sur le pre, en duel.— das mäos, Öter,
arracher d’entre les mains. — fructo , obtenir
ce qu’on desirait. —a espada , tirer l’öpee, de&-
gainer. — forgas da fraqueza, [aire de neces-
sit vertu, faire contre fortune bon caur. —
uma duvida, lever un doulte. — copia d’uma
escriplura, lever copie d’un acte. — 0 reiralo
de..., tirer, faire le portrait de... — devassa,
faire unsenquäte. V. Devassar. — a gallinha os
000s, faire eclore ses @ufs, en parlant d’une
poule, eto.—o ferro dlanga, deferrer un ja-
velot. — informagöes, prendre des informa-
tions. Sem — nem por, au pied de la leitre,
sans exagöration, sans figure. —o chapeo, 0
barr6te, etc., öter son chapeau, son bonnet,
‚etc., se d&couvrir. — 0 seu chapeo, melire cha-
peau bas.—um olho a alguem, crever un @il ä
quelqu’un. V. Olko. — alguma cousa da cabera
s alguem, dissuader quelqu’un d’une chose.—
o somno, emp£cher de dormir.—por sorte,
tirer au sort. — alguem do seu sıs0, faire per-
dre latramontane , le jugement & quelqu’un. —
uma linha, tirer, tracer une ligne. — foros, di-
vidas ‚etc., recouvrer des &cus, des detles, etc.
— licengs para..., demander une permission,
le pouvoir de... — esmolas, demander ot ob-
tenir des aumönes, quöter. — palavra d’al-
guem , obtenir la promesse de quelqu’un; lo
faire parler, lefaire jaser.—a palavra da
d’alguem , prövenir ce que quelqu’un voulais
TIR 1149
dire. —o boccado da bocca, (fg.) 56 priver du
necessaire. — a prova, verifler un calcul. —
vangloria, lirer vanitd. — os olhos d’alguma
cousa, &carter les yeux d’une chose. — 0 se®-
lido d’um objecto , ne plus penser ä un sujet.—
d’uma lingua em ouira, Iraduire, faire une
traduction. — a sua a limpo. V. ce mot. — &
alca a um moildo, (1. de mar.) destroper une
poulie.
Tırär (a, para), v.". se diriger, se porter
sur. (por) Tirer, mouvoir vers sol. V. Puchar.‘
para uma cör, tirer sur uno couleur. — da
espada, tirer l’&öpeo, deyalner. a
Tıran-se (de), v. r. se tirer, sortir de; sion
tirer, .
+ Tıaaresta, s. f. sorte de t&tidre de cheval.
+ TıraveaciL, s. m. caurroie qui retient les
muleis & la litiere.
+ Tıravira, s. f. (li. de mar.) trevire : cor-
dage en double pour embarquer les futailles.
* Tıriz, s. m. sorte d’ancien lissu de lin.
Tiaicıa. V. Ictirieia.
f Tirıcıäpo, A, adj. qui a la jaunisse.
Tırinua , dim. de Tira.
+ Tırınrımtim, s. m. son du clairon, de la
trompelte.
Tıaırana , s. f. V. Parielaria. it. Sorte de jw»
pon de paysanne. V. Tricana.
Tırıraa, v. w. trembler de (roid, Lrembloter,
grelotter.
Tino, s. m. tir : action de tirer; ligne par-
courue par le boulet. Coup, jet. Coup d’arme &
feu , charge d’un canon, etc. (fig.) Piece d’ar-
tillerie, canon, etc. Attelage de chevaux, de
mules de m&me poil, ete. Trait de carrosse. V.
Tiranie. Errar o —, manquer son coup. A—
do canhädo, & la portde du canon. — de pedra,
d’espingarda,, etc., distance d’un jet de pierre,
portee de fusil, etc. Fazer — aslguem,, (flg.)
attaquer quelqu’un. Fazer — a alguma cousa,
(id.) viser, pretendre ä... Cavallos de —, che-
vaux de trait. —s morlaes, traits meuririers.
Nem todos os —s acerläo, tous les coups n®
portent pas. — d’alvorada (tl. de mar.) coup
de canon de Diane. — de recolher, coup de ca-
non de retraite. — parschamar d [alla um na-
vio, coup de canon ä heler un vaisseau. — ds
leva, coup de canon de partance. — para fir-
mar a bandeira, coup de canon d’assurance,
— d’experiencia, coup de canon d’epreuve. —
por baixo do horizonte, coup de canon sous la
ligne horizontale. — de ponto em branco, coup
de canon but en blanc. — por oda a bulada,
coup de canon & loute vol6de. — ao lume d’a-
gua, coup de canon & fleur d’eau. — 00 cosia-
do, coup de canon en bois. — a metler no fun=
do, coup de canon & couler bas. — a desarvo-
rar, coup de canon & demäter. — de balla ver-
melha, coup de canon & boulet rouge. — de
palanquela, coup de canon ä& boulet barr& ou
ram6. — de balla encadeiada, coup de canon
& boulet enchaine os rame. — de balla dca,
coup decanon & boulet creux.
TıROCINIO, 8. 9. apprentissage ; RoYicias,
&
1156 Tır
Tırorico-ıico, 3. m. expression usit&e dans
ub jeu d’enfanıs.
Tır-Te pour Tırı-re (öte-toi).
® Tıadpo. V. Teüdo.
Tırvßra, s. 1. sorte d’stoffe de sole qui venalt
de Castille,
Tısina, s. f. tisane.
* Tisiea, 3. f. phthiste : maladie de consomp-
tion.
Tisıco, a, adj. phthisique : malade de la
thisi
Tisıquibios. V. Riiguidade.
Tısna ,s. f. tache de suie. V. Tisne.
Tısnipo, A A,P.p. de Timar.
TISnanuna, 8. f. tache de noir, noireissure
V. Tisna et Time.
Tıswik, vd. s. nofrelr, barbouiller avec de la
suie , etc. ; barbouiller de noir. Roussir. Häler.
(Rg.) Noirelr, denigrer, ternir la r&putalion,
souiller.
Tısnz, s. m. *noircissure causde par la Iu-
mee, etc. Roussi. Häle.
Tısöuna, ete. V. Tespurs, elc.
Tıssö, s. m. tissu : 6toffe de soie, d’or, d’ar-
gent ä Neurs.
Tırinıo ow Tırino , s. m. titane : metal cas-
sant, oxydable.
Tıriö, s. m. (1. de mytA.) Titan : Bis du Ciel
et de Vesta. (podt.) Le soleil.
Tırgua, s. f. blanc de la volaille.
Tırzazin, v.». faire mouvoir les marion-
neties.
Trırertino, 8. m. joaenur de marionnettes,
jongleur.
Tireres, e. m. pl. * marionnettes.
Tırnönıa, 3. f. (podt.) Paurore.
TırnruaALo, s. m. (ti. de bot.) titbymale :
ptante dont le suc est laiteux el corrösil. — pe-
iustre , euphorbe des marais.
Tırrr.aciöd,s. f. uulltavion, chatoufliement.
Tırı.L.Äipo,A,Pp.p. de
I TırıLıär, o. a. et". titiller, chatouiller, dö-
mäanger. (fig.) Flatter agreablement.
Tırı.ıär, adj. 2 gen. (}. d’anat.) Veias — es,
veines sous l’aisselle.
+ Tri, s. m. (t. du Brs.) sorle de garoute
pour tuer le poisson.
Tırina , s. 7. sorte de petit oiseau.
Tirıez, etc. V. Titere, eic.
Tırör, "etc. V. Tutor, eic.
Trusinte, adj. 2 gen. vacillant; irrösola,
qui hesite. p. a. de
Tıresin, v. ». vaciller, chanceler, n’ötre pss
ferme. Begayer. (fy.) Balancer, hesiter, eire en
süspens.
Tıruseaci6, 3. f. litubation, vacillation.
Tırupein, etc. 7. Titubar, etc.
„nroLäpo, 4,9.p. de Titular, ad). Intitule;
titre
Tırvıia ‚adj.2 gen. titulaire ı qui a le tilre
etie droit d’une dignite , sans en avoir la pos-
session. Titre : qui a un titre.
Trrumir,, v. a, V. Intitular. Titrer : donner
un tiu®,
TOC
* TıroL£ıao. V. Epilapkio.
TireLo, s, m. titre : inscriplion & ia Idie d’e
livre, d’an cbapitre, eto.; it& benerabis,
hom de dignits ; acte qui &ablis un drei um
qualite ; droit de posseder; degrö de Encme
d’un metal (p. us.). Titres : provision d'un el-
Bce, etc. Nom,renom, röputation. (Ag.)'Om-
bre , pretexto. A—de, Aliire „ en qualäl, mus
pretexie de.
Tırrmäro V, Tiikymals.
Tızöura, etc. V. Tesoure.
Tıaser. V. Tilaspt.
TuEsg ou } (8. de gramm.) tendse : partag
Tuzsıs, s. f. G’on ompeasendeut äpm
de diction dont voici un ezosnple em lalia: ap
tem subjecla Irioni pour subjecis soplewirien.
To , interj. pour appeler les cbiens. Tai!
Toon To pow Treo {te lo). Zu 5 dirsi, %
te ie diral.
Tea, 8. fı (d. de mer.) reinerqwe, toue ; cot-
dage pour touer. Lover um navio d—, wur
un nevite. r&—, «fer & vau Feau. Trasr
ums amarra 6 —, Iaisser wainer un edble a
lo sillage du veisseau. Fazer ums wumd-,
(Ag.) agir en #tourdi,, Inconsiderement. Fogr
d, errer & l’aventure.
Toäva, s. f. "ion ouson de voix; gir deme-
sique, chanson.
Toipo,ı,p.p. de Todr. ud). Harmouiset,
melodienr.
Toiuma, s. f. — ds mörs, nappe, — de mies.
essuie-mains, serviette.—de Isvatorie, twazilie.
Cofffe de teile de religieuse.
* ToaLntıe. 7. Gessdenap2-
T ıLninna ‚8. f.dim. de Toalke. Servielie.
ToinTE, adj. 2 gen. sonnant; Consonnsal P.
a. de
Toir, 0.%.somner, rendre un son, resonter,
retentir.(fg.) Plaire, convenir. Togner (p. u...
Iso ndo me !öa, (fig. [am.) cela ne me il
oknnas. V. Zloarda.
Toca,s.f. ereux, trou. (burl., V. Cazebrs.
de eoelhor, ete., "terrier de lapins, etc.
TocıpiLHo, s. m sorle de jeu de trieirze.
Tocipo, a, p.p. de Tocar. adj. Auteint —
da pesie, atteint da viras de la peste. — de
vinko, un peu pris de vin. Fruis —e, fruü gu
ctömmence ä 56 gäter.
TocapdR , A,3.celui quitouche. Jouenr d%-
strument.
Tocapüra, 3. f."toucher, altouchement, tı#-
kact.
Tocautxto, 3. m. (p. us.) V. Toradars ei
Toque.
Tocino. V. Tucano.
Tocänte, adj. 2 gen. touchant, sensihis;
eoncernant, quant ä, ir l’ögard de.9.0 de
Tocär, v.@. toacher, manier, täter. AlteiB-
&reaveclamain. Toucher. On le dit d’une ches
en conlact avec une aulre. (flg.) —, dmouvoik.
—, Iraiter legerement, effieurer. Regarder, ca»
cerner. Sonner. Ex.: —a defunios, a resolker,
s"»r nour un mort, Ssonner 3a reisale
ar 2 3.
- 1.1 mw zn ap Eu
Rn
TOD
;, Touther, eprourer les metlaux avec laplerre de
.! touche. Batire , etriller, chätier, Criliquer, cen-
surer (p.us.). Gäter. V. Eivar. — legsiramente,
de passagem , eflleurer. — cavallos, etc. , fouet-
1er les chevaux , eic. «= Iamndor, batire la caisse.
— quilarra , harpe Iyra, pimcer de la guitere ,
de la harpe, de la Iyre.— rabeca, flausia, jouer
du violon,de la flüte, — oraso, orgdo, toucher,
}ouer du olavecin,, de l’orgue. — trompa, den-
ner du cor. — irembetae, clarins, jeuer de la
trompette, du olairon. — sinos, sonner les olo-
ches. — d missa, sonner la messe. —@ vesper’as,
ao sermäo, etc., sohner vepres, le sermon, ei6.
— a rebate , sonner l’alarme, le toesin. — 4
degoils, sonner la charge. Bailar conforme
foedo , (fig. fam.) s’accommoder au temps, aux
eirconstances; hurler aveo les loups, erier 5&-
Ion les temps : Vive le Roi! vive la Ligee! — 0
painel, retouchber un tableau.
Tocir (a, em), v. n. toucher, coneerner, re=
garder, appartenir. Rıre da deroir, de l’obli-
gation. Importer. Revenir, en parlant d’une
somme, dans un partage. (fg.) Tomber, echoir
par hasard. —, &tre pres, contigu, avoisiner,
(Ag.) —, &re parent, allie., Touchor : heurter
le fond, un rocher, en parlant d’un vaisseau.
Sonner, en parlant des cloches. Töos ou estd
tocando d mitsa, la messe sonne. -— por sorie,
tomber, schoir. — d’alguma cousa, (Pp. %s.)
etre meld, parliciper de... Fallarei quando me
—, je parlerei & mon tour. Pelo que foca ao
mais, de reste, au reste. T’öca u dansar, afol-
gar, (fam.) il est teınpa de danser, de samuser;
allons danser, allons nous amuser. Pelo que
toca &..., quant &, pour ce qui est de... Podra
de — , pjerro de touche.
TocäR-SE, ©. r. 86 couper, en parlant des
chevaux, etc.
Tocita, s. f. piöce, ınorceau de musique in-
strumentale.
Tock, etc. V. Tosse, etc.
Tocua , s. f. "Nambeau de cire; totche. (Ay.)
Flambeau celeste, astre. V. Velador.
Tocueıra,s. f. Jtorchäre, grand chändelier
Tocukıro, s. m. | pour les Dambeaux de cire.
* Töcno, s. m. "barre, piece de bois ronde.
Töco, s. m. *souche, ehicot d’arbre, Ecot;
partie qui reste en terre d’un arbre aballu.
Tona, s. f. sorte d’olseau.
Tönaras pour Tonas as (loutes les, au fEmM.).
Topavia, adv, toutelols, cependant, nean-
moins, pourtlant. oo
+ Tonkıno;, s. m. (6. d’hist. nal.) todier : träs-
peiit oiseau de P’Amerique septentrionale.
° Topınosa, adj, tout co jour. —
Töno, A, adj. tout. Entier, en entier. Um co-
ragdo — 00880 , un cur toul A vous. Em toda,
sor oda a paris, partout. —s 08 dias , Louis les
jours, chaque jour. '
TöBo,s. m. tous : chose consideree en son
enlicr; toutes choses. —, quantilö comparde &
une de ses parties. 4 —, autant qu’il est possi-
bie. &x.: A— correr, eic. De — ‚ entiörement,
sans exception De —em— tout A fail. -
TOL 1151
smounon eu T6öu0Los pour Tomos os (tous
3 ®
Ten0o-Popandse, A, adj. tout-puissant, toute-
ulesahle, Comme substanilf, ilnesedit que de
eu.
Tossa, e. f.teise: mesure de longusnr de bik
pieds francais,
Torägeo. V. Tophacso,
+ Torsı, e. m. sorte de tambour de basqae.
Tooa , #. f. oge : robe Iongwe des Romains,
en temps de paixz. Robe de magistrat. Robe,
magistrature.
Tociso vw TociTo, A, ad. et 8. dB robe:
Gai, par &tat, porte la robe, etc. ; revetu de la
tobe. Os—s, les gens de robe.
Toıca.V.T .
Toıcineo. V, Toweinho.
® Toison. V Torte. .
Tosir, s m. ehamp oouvem de jons marin,
de gentt &pineux, etc.
Tostına, e. f. "jone marin. V. Tofo.
7 Tostıro, s. m. celui qui epporte da jones
marin, ets., pour chauffer les lodrs.
T610, s. m. (t. de bot.) jon« marib, ajone,
gendt Epineux : arbrisseau Woujonrs vert, dpi-
heux. — mellar, genet de Portugal.
+ Töra, s. f. (burl.) la tdte,
TOLAMENTE, adv. Bottement , follement , bö-
temen!t.
ToLin. V. Folina.
Toriö, V. Toleirdo.
TöLpa, s. f. chancissure qui se forme sur le
vin. (8. demar.) * Tiltao d’un valssean; gaillard
d’arritre, demi-pont. * Banne sur un ba-
teau, elc.
Torino, A, p.P.de Toldar. adj. Couvert
d’une banne ou d’un tendelet. Couvert, nebu-
leux, en parlant da temps. — com vinko, pris
de vin. Yinho —, vin chanci ou teurme.
TorLpär, 0. a. Banner : couvrir d’une banne,
d’un tendelet ou d’une tente. (fig.) Obscurcir,
couvrir de nuages.
Toıpär-se , 0. r.se chancir, tourner, en'par-
lant du vin. S’obscureir, se couvrir de nuages,
en parlant du temps.
TöLpo, s. m. *banne, tendciet, lente, pa-
villon pour garantir du soleil. (}. de mar.)
* Tente. — do escaler, tendelet.
Ri ToLRDANO, A, adj. et s. tolddan : de To-
e.
+ToLßno, s. m. (4. de gdog.) Toldde : ville
pagne. y
ToLkıua ,s. f. betise, niaiserie.
ToLgıräd, s. m. aug. de Tölo. Grau sot,
beta, grand nigaud, benet,
ToLsınöna,s. f. V. Toleiräo. Grande sotte
"Tote. V. Tolker.
ToLzrino, 4,7. p. de Tolerar.
Torzaäncıa, s. f. tolrance : condescen-
dance, ındulgence pour ce qu’on croit ne de-
voir ow ne pouvolr pas einp£cher ; permission
d’exercer un culte, de prolesser une docirine,
une opinion. Patience & souffrir, souffrance.
ToLErÄnTK , p. a. de Tolerar. adj. Tolerant,
1152 TOM
qui toldre; partisan du tolerantisme ; indal-
ont.
8 + ToLeranrisuo, s. m. toldrantisme : Sys-
i&me qui fait tolörer toutes sortes de religions,
porter trop loin la tolerance.
ToLerär, o. a. tolerer : souffrir, permetire,
supporter des choses röprehensibles, des per-
sunnes; avoir de la tol&rance. Souffrir, suppor-
ter avec patienoe ; endurer. Dova-se na vordade
—.0 que se ndo pode impedir, il laut bien to-
leror co qu’on ne peut pas emp6cher.
TOLERAVEL, adj. 2 gen. tolerable: qu’on peut
tolerer ; qui se peutsouffrir ; supportable.
TOLERAYSLMERTE, adv. d’une maniere tole-
rable; passablement.
Toıxrino. V. Toledano.
ToL&re, adj. 2 gen. V. Tolinko.
Toutes, s. m. pl. (t. de mar.) tolets, &cho-
mes : chevilles sur le plat-bord d’une galöre,
etc., pour retenir la rame.
+ Torertıras, s. f. pl. (t. de mer.) * taqueis
de nage, tolletiöre .
ToLneoöra, 8. f. fiente d’oissau de proie.
Toraßıro. V. Tolhido.
Toruta, vo. a. empecher, embarrasser. Rete-
nir, arreter. Interdire, defendre. Engourdir.
— 0 passo, barrer le chemin.
Toınta-sE, v. r. ötre perclus ow engourdi ;
se paralyser.
ToLuivo, A,9.p. de Tolker. adj. Emp6ch&,
ombarrasse. Engourdi; perclus.
ToLuıM&nTo,, s. m. emp£chement, obstacle.
Engourdissement; paralysie.
T6LB0, s. m. poisson de mer qui ressemble
au spare.
ToLicg, s. f. sottise, betise, niaiserio; sim-
plicite , ineptie.
ToLina, s. f. (durl.) ecornillerie.
ToLinär, v. a. et n. &corniller, trucher.
ToLın&ıro , adj. ets. m. (durl.) &cornilleur,
trucheur; &cumeur de marmite.
ToLinuo, a, adj. dim. de Tolo. Sot, solle.
ToLıpa. V. Tulipe.
TöLLe, s. m. (t. latin.) Tomar o —, (loc.
fam.) plier bagage, s’eclipser.
ToLo,A,.adj. sot, nigaud; niais, imbecile;
fou. E bem — quem se esquäce de si, est bien
fou qui s’oublie.
tTouön, s. m. (l. de geog.) Toulon : ville
et port de France.
TorLöna. V. Toleiröne.
ToLöntRo, s. m. V. Tubara, Carogo. Ü.
"Bosse, enflure, dlevure qui vient de cantusion.
+ Torösa, s. f. (t. de g&og.) Toulouse : ville
de Francc. solose : ville d’Espagne.
t Torosäno, a, adj. ei s. Toulousain : de
Toulouse. De Tolose.
+ ToLukına paLsämıca, 8. f. (1. de bof.) plante
balsamıque (Toluifera balsamica).
Ton, s. m. ton : inflexion , degr6 d’slevation
ow d’abaisserment de la volx; ımaniere de par-
ler: caracıdre de l’&locution , du style, inter-
valle entre deux noles consecutives (comme de
TOM
degr&e d’6lövation du son des insirumens;
mode dans lequel une musique est oomposet.
Mode : relation des notes formant Yane des
deux echelles toniques, majeure om mineswre.
—, maniere particuliered’agir, etc. ; (Ag) foree,
vigueur, energie; mode, manieres; osndaile
en sociöts. Motif, occasion , etc. A qus —, 084
que somvem isso, (fam.) ä quel propes, i ye-
pos de quoi cela? Sem — nem Som, Sans ram
ni raison,, ow & tort ei A travers.
Tou,s.m. (l. de bot.) V. Peucedano. (tl. d’ Asa,
Edifice, temple.
Touipa, s. f. action de prendre. Prise du
place assiögee, eic.
Tomapäre, adj. m. dim. de Tomadı. — de
vinko, un peu pris de vin.
Tomapia, s. f. prise, butin ; saisie, caplurt
de marchandises.
TowaADico, A, adj. (pop.) V. Agasiadıyı d
Desconfiado.
Towino,A,p.p. de Tomaer. adj. Pris; sam.
it V. Agasiado, Aggravado. — da colsre, de
peixäo, qui est en colöre, emporie, irriie —
do vinko, pris de vin. —d’amer, &pris d’aszest.
Cadella, etc., tomada do cio, chienne, eic.,
chaleur. Besta de carga —a, beie de sewax
blessee sur le dos. Couwsa —a ds mdos, chmi
connue, averee, palpable,, evidente.
TomanOR, s.m. preneur: celui gei premt.
— de dinheiro arisco marilımo, (1. de oımm.
preneur & la grosse. —esde geirtia, (1. demar.!
lignesowrabans de frelage, garceites de vodes.
+ Tomap6un0s, 5. m. pl. (1. de mer.;V. Ti-
Tomapüna, 8. f. blessure, &corchere su das
d’un cheval,, etc.
* TONAMENTO, 5. m. " prise : action de pre=-
dre. V. Tomada.
TOoMäR, v.a. prendre : saisir avec sa mais;
meitre en sa main; Semparer de; recevor., 3%
cepter. (fg.) Prendre bien os mal, inierprrief
en bonne ou mauvaise part, etc. Preudre dass
un sens. Lever, percevoir. —, emporter d=-
saut, eic. Manger ow boire : prendre un repsi.
un bouillon, du cafe, etc. Prendre le cha:
de, s’acheminer vers. S'’emparer d’un pssss”.
etc. —, öler, attraper; voler, derober ; sache.
embrasser un 6lat, une profession, ete.: m.:-
ter les maniedres, le style, eic. Relever, reire.-
ser. (fg.) Surprendre, saisir, survenir, en par-
lant des accidents, des afflicions, ei. —.,
choisir, preferer. Couvrir, saillir , en paris
des animaux. Dösirer. Tomar, joint & queilgus
noms, signifie la meme chose que les verie:
relatils A ces noms. Ex. : — resolugde, dem»
s0, eic., S6 Tösoudre, Se reposer, etc. Joint aut
noms de certains instruments, il expriase Fat-
tion & laquelle oes instruments servent. Es..
— 5 pyenns, prendre la plume : öcrire. —e
agulka, prendre l’aiguille : coudre. — mer,
affeicdo, s’afleclionner pour. — d sus mei
prendre sur son compte ; se charger de. — a»
lor, prendre chaud, s’schauffer ; (%g.) s’aniss.
wsärd, etc.); mode de chantdes psaumes; son ; | Prendre [eu,0t0.—conias, ozammineor an o0EHpf%
TOM
ou la conduite de quelgu’un. — 0 fresco, ar,
etc., prendre le frals, prendre Y’air, etc. — o
vento, prendre le vent, en termes de marine
ei de chasse. — folego. V. ce mot. — a lirdo a
um esiudante, faire reciier A un ecolier sa
lecon. — as de Villa Diogo , (fam.) prendre le
chemin de saint Jacques, s’enfair, prendre la
poudre d’escampetie. — Jingus, prendre lan-
gue, s’informer. — parscer, conselko, prendre
avis ow consell. — porio, prendre port, abor-
TON 1153
ner. v. #. tomber en roulant; culbmter ; saho-
Pe
Tömno, s.m. *" chute en roulant; culbute. ‚
Plan terrier; cadastre, cartulaire. — dos
coup de des. Aos—s, (loc. adv.) en roulant, on
oaholant. Ser —,ötre Ires-srudit. —s do reine,
les archives du royaume. Torre do — ‚ char-
wier, lien od sont deposses les archives de
royaume. da torre do — , garde
general des archives da royaume, grand-archi-
der. — ierra,, prendre terre, aborder, terrer. | yiste en Portugal.
— eriados , composer sa maison. — com ambas| -Townono.V.Combro.
as mäos, prendre des deux mains. — augmenio, TomzattLLo , dim. de Tomento.
augmenter. — por sorpresa, eımporier par sur-
prise. — a peilo,, prendre dä omur. — ezempio,
prendre Pexemple de queiqu’un. — por per-
dido, saisir, confisquer. — de eör, apprendre
par caur. — ordens, öire ordonne (diacre,
pretre, eto.). —as ordens d’alguem, prendre les
ordres de queiqu’un. — ums d me-
zena, ( 6. de mer.) prendre le fanon d’artimon,
la pointure. — a altura do sol, (id.) prendre la
hauteur du soleil. — dögs, (dd.) saisir aveo une
bosse & aiguilletts. — sobre si, prendre sur sol,
se cChargerde. — a oocasido, saisir l’oocasion. —
o tempo a al.guem, deranger, importuner quel-
qu’un. — & miorie por suas mäos, so suicider ;
(Ag.) attenter sur soi-möme, agir contre ses
propres intör6ts, eto. — alguem em ooche, soge,
etc. , faire entrer quelqu’un dans sa voiture.
—alguem em palavras, faire parler quelge’un,
iui faire avouer. — casa, leuer une maison. —
mulker, prendre femme, se marier. Tomdi-@
com alguem , (fg.) prendre gaelgwun en
grippe, s’on prendre A un autre. Toma ou
toma Id, (fam.) attrape cela. On le dit en don-
nant un coup & quelqu’un. Töme-o Y.M. por | nant au-dessus de 60 almndes ; mesure de B-
si, promes-le pour vous; avis au lecteur. To-| uides, deux pipes ow 5# almudes. Tonneen.
mdra elle! il ne demande pas mieux. Fal mais| V, Tonslada.
um ioms-I6, que dous is darei, (prov.) un TonzLäpa, 8. f. *tonneau: poids de deux
Tomzutina, s. f. esp&ce d’harbe.
ToM£xto, 8. »." &toupe, bourre.
tTomauroso, a, adj; (6. debot.)tomenteux: '
de bourre, ootonneux.
Tomiıno, s. m. ($.de bo6.) thym oommun :
plante odorifdrante. — de Crdta,ihym de Crete
salureia
* Tomim, s. m. sorte de poids : un peu plus
que le gros.
Tomo,s.. tome : volume qui fait partie
d’un ouvrage. (inws.) Volume, grosseur d’un
corps, (fg. pP. ws.)“ Importance d’une chose.
* Tömono. V. Cömoro.
Tona, s. f. &corce d’arbre; pellicule des
frults ; pelare d’olgnon ; surface d’une iiqueur.
— d’agua, surface de l’ean.
TonänTE, adj. 2 gen. {Podi.) tonnant : sur-
nom de Jupiter. p. a. de
+ Tonir, o.n. (inus. Podi.) onner : faire da
ionnerre. e ie
TOn8, #. m. sorte d’ermbarcation aslatique.
V. Almadia.
Tontı, s. m. *tonne, gros founeau , conte-
tiens vaut mieux que deux ta l’auras.
Towär-sz, v. r. se [ächer, monirer de P’hu-
‚se querel-
mear. Se prendre d. — com
er, avoir une priseaveo quelqu’un. —devinho,
se prendre de vin, s’enivrer. — de ira, eic.,
se metise en,colere, eto. — de palauras , se
disputeor, se querellar. — por elgums cousa,
se formaliser, se fächer de.
Tomära, s. f. arme offensive en Asie.
Touänzs, s.m. pl. V. Dares-o-Iomares.
Touärs,s. m. tomate ı variöt6 do la pomme
d’amour, pour les sauces.
Towarkıno, s. m. (6. de bot.) tomale, la
plante.
Tousa, s. f. pidce A um soulier.
ToMBADILHO, 8. m. ($.de mar.) franc-tillae j
dunetie.
Tossino,a,9.9.de Tombar.
Tousapön, #. m. celui qui pröside ä la de-
marcalion des lerres.
Tomsän, v.s. culbuter, terrasser, abatire;
fenverser. — lerras, borner, fixer la d&marca-
Uen des terres, faire le cadasiro, faire un ter-
DORT. =-FR,
mille livres, 40 pieds cubes. Nombre de ten-
heaux quo oontient un navire. Droit sur les na-
vires. Mesure de liquides,, deux pipes ou 50 al-
mudes. ni
Tonzranfa.
TonzL£ıno. } V. Tanoaria, etc.
ToNBL£TES, s.m. pl. "basque : parlio bassa
d’une armure qui descendait jusqu'au genon. ,
Tönmıco, a, adj. tonique : qui donne da ten.
.m.—, qui rend l’action aux fbres,
en augmentant leur scotivitt, etc.
Tonioo. V. Tinido , Sonido.
ToniLno, s. m. air, chanson, vaudeville.
Toninna, s. f. petit ihon fernelle. — marsopa,
* marsouin. V. Roaz bandeire.
Toninno , s. m. Jeune thon.
+Toxıontia, s. [. ir&s-petit olseau du Bresil.
Tonıtauöso, A, ad/. orageux, sujet au ton-
nerre ; qui lance la foudre (Jupiter).
Toxo, s. m. (6. de mus.) ton. — musıco, mode
de musique. V. Tom, Titre de noblesse, au Ja-
on.
’ Tonsa, s. f." raccommodage de futailles. V.
Tanoa.
23
+
1154 Top | TOR
“Tuwsan. V, Tosgufar. be ei ” we Hehier, brigne gras be
Tonsura, 8. f. tonsure : margue faile par bercnles senıhlabier gx a del 4 Er.
au l; ces Span
veque d um erchtstasıhtuß, {ui tofpant deb
cheveat; ebremonie de Hi tonsüre: elite: tote | 12, #2 aborga.
sufed’an qrälnknd: nur.) Conpe Ges chereut, hau pe
tonte De etc, ognonder 14 get, Kann:
exirämild, e. Aue \p-
Apo) _
er serihe br .a Komet : defekt Fo 1® ade , Bnaci al pi Er
(ihr. Y nu nie but A’yoaliran
Tontkir, un rt I been et-
wavaguer, nigauder. ir des eiberdienbehen
. rt derte 53 dät-
Toren N Bi ıkoli, Anriräfnee,
Ei ite Nr A
NERLLCUR easneth;
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qxoR Gherpbe,, Tappr A/GHNSEHLL, au isu,
Prapasiieu, Jenis.ay.parkı Alf. ge dugher,
alguem ou com alguem, ZPRFONKTER,quelgu. u.up-
— 80..uhar Jan. Joonsenlr A loutes Sorles
proposilions, etc.
JoRin, 5. A.Nn Topazio. & 4.(k d’Asie) due
* TognäıEo, 9. we. ancienne
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MOND, SeW.Uinpait ; Piero prösicuse d’un d’un
jaune d’or tres-vil.
TORE, s-m,chee „beyr) ‚„ Tenröntse. Dhstache,
endastas. Exrisetmisb superiauns-desmAls pü RD
arbera le} [laskensa.: ahomquet, Noud de Au-
bans, cocarde. Coup de marteau de‘forgeron.
Vi@dpe,
Teosrünn,. 8 Y. coup de Löte que.se donnent
les. beilers,, ots. Osup ron se donne & la
wie -
Torgrin (com), om. cosser, se doguer, [
heurter de la ı&te. Renconiger, se housier, broßi-
cher. — coım'o ded, com as #strellas, com a5 nu-
ons, 619,, (fig.) Wuucher su alel de zu Kite, Fb
perdre Gars ivs much.
ToraYE, ». m. toupel.. - Med ; uetan yo"
-Torinsina, e. [. (dılvedenberdi, - Rt, al na A tler
Torgı bdo, a, adj. quiiporte un taupet, : Ge rar
Tormigro , a 1,08. (t. te mid.)topheot, Ma Mayen » Eanat, qui
tophus. Concrefdes us, gHhflöinen: valfeuk | „6.}. watibn desondre. "1
d’üh 08, lc.
+ Tormäna ‚adj. f. Mita —, aqda töphent »
son vialent.
A s. 1. Yıt'de donner Alverses'for-
mes aux afdres en lestaillant.
Typ co, A, däj. eis. 1 de möl.) topic e
ui ragt ue sur une partie od it est appii u
\ \ .w. iu (1. de vhdt onlauch: traite des | khanger d’avis; aınener ä$ ri ie
pr, eammuns d’od J’on tire les argumenis. tre pencher Ya bilsüce eh Taveat .
+ TorınaWiaa, 3. m.'nutn des ındigönes de | parties, donner une 'entorse k RPast.",
yamssiqus meridionae, Bu M, — vr vihor, tourmer es
[ud
ment. Tortuosile. — do pe, ec. entorft.
"Tonne 1, Togeille
. TORDELÄRO,
Toncer, v. a. tordre. Plier, cohrber. ar
Fr r, incliner, (geiler; [er Ti ne mat ar
rendre du mauvais c6
2150 nterpretktiön, ah vu a
u / Ze Ze
wm Dam we Ta vg uw
um um mil eier mm VOHBBn uMDGg pt vu: Top m Tr - "Egg ED Gin
roR
-— a boees ou o rosto, tordre la hauche, faire
des grimaces, dösapprouver, fäire la mine. —
o Pescogo, toräre le cou. — 0 Pe, se donner
une entorse au piea. onariz, (fig.) rejeter
une demande, etc., d&sapprouver ; rechigner.
— a chave, lorcer ine eleT, une serrure. — 2
caminko, faire un dölnur. — o senlıdo ‚08 Teis,
donner une interpretation forcet aux lois, efec.
— a verdade, donnor une entorse A la veril.
— alguem, tourner quelqu’un comme on veut,
le faire cbanger d’avis. — e passo, rebrousser
chemin, — as redeas ao carulio,, Lourner hride.
— os cordöes d’um cabo, (1. de mar.) tordre ies
torons d’un eäble. — os Carılöes A’um cabo ale
que percdo um leryo do scu comprimenio,com-
ımeitre des cordages au tiersderne.
Torctr, vo. #. se delourner, s’ecarter du dreit
chemin, au prepre el au Ügure. Faire es de-
tours, serpenter, en parlant d’une riviere.
Torc£r-sE, v. r. s’esquiver. mootreg de la
repugnance. Plier, courber; fechir. anger
d’avis ; se laisser gagner ou Corromptp.
Torcnino. V. Trochado.
"Torcia, 3. f- difficulie, obstacle, embarras.
TorcıcöLLo, 8. m. detour, jorwosite, (fg-)
ambiguite, double sens. (4. d’hist. yak.) Tor-
gol : oiseau de passage , grinpeur
TorcıcöoLLo, A,ad. et s..tortichlis : qui a-le
cou un peu de travers, la t&te ph neu penchee;
ng) faux devot, hypoerie.
ORCIDA , 9. f. mäche de lampe, elc.
TorcipawEntE, adr.nbliquermment, de biaie,
de travers ; tortueuseinent, .
Torcivo,A,Pp. p. de Torcer. adj. Tordu, tor-
Ulle; tars; de wavers; delourue (chemie).
Bocca —a, bouche torie Cabega —s , Larlicolis,
Perna —a, jambe torte. Escuda —a, escalier
en limagon. Columna —a. colaune Iprse.
ToscıLuäd, 8.0. " coligae, tranchee, auztomt
des chevaux.
Torcınarto, sw. V. Torosdura. (Ag. P.8.)
rt, dgarament, abandon de la veriu, ela.
+ TORUTIOAARIO , Au adj, aacamıpagne de.coh-
ques, de tranchien.
ToRcvro, 3. m. palite parese. Machine pour
polir les oristauz.
+ Toanä, a, (AL d’hisi.nu1. epson daduosne
grive. — merguiheiro , * pingeuin,
TorniLsıd., a ‚adj. grins Sple ; gris-pometheie ,
en parlant d’un cheval. — fisnado, gris isonee
ow chharbanıe. oo
Torpo, s. m. (k. dhist. nat.) * grive : oisemı
orönirosiee ‘da pkıre du male. -— aetwlio ,
manvis. — dos remedos, le ınegueur. -— vin-
gueiro, " drenne. Caır eva» 5,‘ [am.)sorliDer
comnie capucins de curlon. '
Türca. )
Törcia, d V. Urze. j
Tort, m. (tl. WAule) surle Vu \ayuftw 'A6nı
on fait un bonillon dit Orna.
Torinıos, 8. m. pl. (et. d’Aste) bapeien Ide
eristal qt'on appeorte de 1'Inde. "
Foxıowve. V. Touriondn,
Torur, V, Turma,
ı10B 1153
Torsenta,s. f. tonrmente : orage, bourras-
nue, tenıp&te sur la mer. Ourakan sür terte.
(ng) — , revolutian, tempete. (dd.} > Mathenn,
2 Tversitd, Aisgräce.
TorueNTtän. V. Alormenfar.
ORMEXTATIYO, A , adj. V. Aforimeitiador.
ORNENTILLA, 8. f- (1. ds bet.) tormentillö:
plante rosacde,, medicinate.
Tormento, 9. m. Vaclion de tohrmmenter.
Tourment : grande et violentt dowledr corpe-
relle; supplice, törlure. (fg.) Peines d’esprft
un qui en 68t causß, souffrance ; vive inguid-
tuge.
Tonuertörıo,A,adf. V. Tormentos. Cabo
—, cap des Tourmentes.
TORNENTOSO. A , adj. orageux, tourmentenx,
au propre el au Aare. Cabo-, vap Wer Tem-
peies, des Tourmentes, appelö plus tärd cap
de Borme- sperance. j
Torys, s. [. "retour qu’on dottie Hans th
troc ou dans une suctession.
Toasiva,s. f. “retour d’un voyage. Liyweur
qui Jaillit d’un tonneäu torsgu-of 0 vre Te rb-
binet.
Tounapigo, a ‚adj. deserteür, tränsfuge. Ro-
tegat; converu.
Torsiuo,A,P.p. de Tornat,
TonnaDouna, s. f. mächine & faire dies cer-
craeX.
"Tonvaise. V, Pomer.
"TunnaserTtd,s.m.YV. Törna.
To.sän, 0. a. rendre, restliuer. Repondre,
Riposter. Chauger en. Traduire d’une Tang
da: s une autre Repeler, faırc de nouveau. En
c2 5298 pn le joint avze Finfnitif des autres
verbes. —adiver a füzer ,ater,acair,apedir,
eie., redire, refaire, zevois, kelomber, he
Runden, eic.—a dar d, ela,remetire A la v
Neo 0 Jurneat a ver, je pe Vai ‚plug revu. — &
culpa.a algmem, zejkler la [amte sur un autre.
— nıdo, zägtten — demfe, mentser les depta,
Tausin (de, #, para), v. @. Teleurner Au
lieu d’ou P’on vient; revenir A; Gopamenger. --
alrds , relrorraden, ZEYenitaurschpas. — alsıdz
| oom a ynierre , se dedire.— emepug si, se Te-
motife , xopfrewdre 405 sans, rexanie & lai, a
elte ..regtreren s9i. +- A vdcas (rise, Sam.) Lau
ober stu)ors ia mrömae comde, rewenir A ‚nes
möutens; ‚(rammilar sa Twain. — eWw prronaslon
tourner au profit.
Torxkassıfem),o.7 ‘sechanger, se ITABS-
(ormer ew; devair, nadercair. — amarsiie,
vermelho, Aantir jaune, zEufE. — MERMMA,
warlesbo-, ruıkiwenir enfant, (runs.
Kornasöı. V. Teorthesol.
Tö..namusdan „s. f. “.petotr ıd’um Boyage Ssuf
IDeT.
To.xıyopa, 8. [sstdndemsinde nooces. Feslin
qui we downe-te-lendeinzin des noces. Nde Ra
Badu sem +. il,ı'y a pas de [dte sans Iendemain.
TowxıÄno,A,p.p. Je Tornear, adj. Fowrge:
fait, Fae-net.an taur. NAond et lang, oylihdri-
que, V. Rolip. Er:vir=und, chtlwurd, lo. (Pi)
Solane.
-
1156 TOR
Tonnzapon, s.m. V. Tornador. it. Banc de
earrossier. Outil d’armurier.
ToRNEÄR, ©. a. lourner : faconner au tour.
Ceindre, environner; enlourer; tourner au-
tour. V. Torneiar.
Tunnzania, s./.quariier, rue des tourneurs.
+ Toanzıanon, s.m. chevalier qui combat
dans un tournoi.
Tonneıän, v. a. et w. combatire dans un
tournoi; jouter, faire des tournois. st. V. Tor-
near.
Torntıo, s. m. tournoi : fete publique et mi-
litaire oü l’on s’exorcait ä des combats. if.
Forme cylindrique donnee au bois par le tour-
neur.
Tonntına, &. f.
neau, etc.
ToRntıno, s. m. tourneur : ouvrier qui fa-
gonne au tour.
Tonntıa, s. f. cale qu’on met aux roues des
voitures,
TunndL, s. m. anneau tournant de mötel.
Toauznses. V. Tornez.
Tonnko. V. Toradio.
+ ToanzsöL, s. m. (1.de bot.) tournesel. V.
Girasol. — vastifloro, helianthe A grandes
fleurs , soleil, tournesol, couronne du soleil.
— da ’Europs, heliotrope commun ow d’Eu-
rope, vulg. herbe aux verrues, la verrucaire.
— dos lintwreiros, croton A teinture. — de
Hollanda ou em pasias, lournesol en pierre,
en päte ow en pain, orseille de Hollande.
Tonntz,s.m. ancienne monnaie d’argent qui
valait sept sous & peu prös.
Tornntza, adj. f. Litra—, livre toumois,
de vingt sous (fabriquee & Tours).
Tonngrär, etc. V. Torneiar, eto.
ToRnıLatıRo, a, adj. eis. (p. us.) döserteur
d’un regiment, soldat qui deserte ä Finterieur.
ToaniLuo, s.m. sorte de punition militaire.
dt. Petit tour A tourner. Etau. V. Torninko,
Toaninno, s. m. dim. de Torno. Petit tour ä
tourner. Etau ä vis.
Tonnıgu£te , 3. m. tourniquet.
Tonno, s. m. tour : machine pour faconner
en rond ie bois, les metaux, etc. Etau. Tour,
mouvement en rond (p. ws. )— de pipa, ro-
binet. V. Torneire. — de pdo, clou, chevillo
de bois. — d’agua, Jet d’eau, sau jaillissante.
Em— , autour, ä l’entour.
TonnozkLo, s. m. "cherille du pied. — do
jevell, 6peron du sanglier. Homem de Ir6s —s,
(fam.) homme trös-[ort, tres-robuste.
Tono, s.m. tronce, souche d’arbre; billot,
trongon de bois. (fg.) Tronc : le corps de
Yhomme sans la t#te ni les membres. (4. d’es>
euip.) Torse.
Toao,s. m. (podt.) V. Leito.
Tononsa , 8. f. sorle de gros ciiron, esp&ce
meoyenne entre le citron et l'orange ; !’arbre qui
le perte.
t Ton6so, a, adj. (imus.) fort, robuste, vi-
geureux. (f. de bot.) Noueux, quia des n@uds.
. Tonpr, adj. 2 gen. deshonnete, obscane,
*robinet, canelle de ton-
TOR
impur. Honteux, ignominieuz, desbouorant,
(vieuz) Lourd, pesant, engourdi.
Toarpzcar. V. Tropegar.
Toarzcta. V. Enlorpecer.
Tonr&co. V. Tropepo.
Torr£tpo, s. m. V. Tremelge.
TorPsm£nTE, adv. honteusement,
ment, avec turpitude.
Tonrp&ntg, adj. et s.2 gen. (1. de med.) tor-
pefiant.
Torptza, s. f. leideur : defaut de perure ou
d’ornements, salete, etc. (Ag.) Turbitude,
obscenite, impudiecite, impureie. (id.) Bas-
sesse,, infamie, aclion basse, etc. Parties bon-
teuses de la femme.
Toarınäpe,. V. Torpesa.
Töarıno. V. Ent
Toarissımo, A, adj. sup. de Torpe.
Toarör, 3. m. “torpeur: engourdissemesf
profond, cessation de sentiment.
Touqviz, s. f. tenailles: instrument de fa
pour saisir, arracher.
Tonqukza. V. Turqgueza.
Tonguszina, s. f. coup de tensilles. (Ag.
fam.) Coup de dents (d’un chien, d’an saı-
glier, eto.).
Tönaa, s. f. action de rötir. V. Torrade.
Tonnipa, s. f. rötie : tranche de pain ro6lie.
ToRnADIiNEA, 3. f. di. de Torradae.
Toaninpo, a, p. p. de Torrer. adj. Reii,
grilld, torreäe; beale du soleil. Zone —e. V.
Törrida. Amendoas —|ss, pralines.
+ Tonaanttz om TEnnanTEz, adj.2 gen. Uva
— ‚ espece de raisin blanc.
Torrid, s. m. "mottie de terre, terresn. Gru-
meau forme de pelites parties qui se reunissent.
(ig.) Pays, coniree; sol, terrain. — d’eseucer,
morceau de sucre. Araps — , (fem.) rasibus
Forröes, pl. biens de campagne , champs, vi-
gnes, etc.
Torrir, v. a. rölir, torrefier, grilter.
Toraz, s. f. tour; tour ou roc (au jeu d’+-
ohecs), — dos sinos, ” clocher. — de fombe. V. ce
mot. — de vento, (fg.) vaine Imagination , pro-
jet chimerigue, chäteau en Espagne. Fabricer
—s de venio, (id.) s’eraporer en vaines ideen,
on chimöres,, bitir des ohäleaux en Espagne.
Tonazino, A,?.p. de Torvear.
+ Tonnkiusz, adj. 2 gen. qui selöve aumme
une tour.
Tonaziö, s. m. aug. de Terre. Gresse leur,
tour dlevde.
Tonnzin, v. e. ceindre, fortilier avoo des
tours. vo. m. (podi.) s’elever comme une leur.
° Tonnzau. V. Torteow.
Tonnezracgiö, s. f. torrelaclion: action de
torreßer.
Tonagricro, A, adj. torrelid, grülle.
Tonatına , s. f. forte chaleur, ardeur excus-
sive du soleil.
Toaazsi2o. V. Forreddo.
*Tonatını, s. f. ancien jeu defendn.
TOoRnentTE, s. m. et f. lorrent: courant d’eaa
imp@tueux et rapide; ( fig.) se dıt des cheses,
vilaine-
TOR
des paroles, Jos erreurs, des passions, do !’d-
loquence.
‚. Tonatemo, s. m. ınoroeau de Jambon ou de
lard frit dans la po6le, griliade.
ToRREzinHA, 5. f. dim. de Torre. Tourelle,
petile tour.
Tönaıno, 4, adj. torride, brülamı. On dit sur-
tout: Zone —a, zone lorride.
Toanisa, s. f. tranche de pain trempee dans
du vin, etc., oouverte d’auls batius et [rite |
dans du beurre ow de l’huile.
Tonrinna, s. f. V. Torrezinha. it. Loge du
dernier rang (du thöätre).
Torxo. V. Tarro.
Tornoipa, s. f. coup donn6 aveo une molte
de terre. Quantite, amas de motles de lerre.
Toraontez. V. Torrantez.
Tonsäö, s. f. torsion. V. Torg&o. üt. Colique,
tranchee.
Tanso, s. m. (f. de sculpt.) torse, Ögure Iron.
quee.
TorsöLno, s. m. (20p.). V. Torgdo.
TOrTa, s. f. tourte: espöce de pälisserie. .
+ Tönta, adj. ets. f. borgnesse.
Toatiö, s. m, (4. de bias.) tourtesu, pidce
ronde.
Torteav. V. Torido.
Torrtıra,s. f. tourliöre; ustensile de cui-
sine pour faire des tourtes.
TorT£Los, adj. m. (buri.) qui a les yeux de
travers, louche, borgne.
ToaTtiLua, s. f. dim. de Torte. Petile tourte.
Omelette.
* ToaTo, 5. m. tort, dommage. —e, pl. *iran-
chöes, douleurs qui suivent l’enfantement.
TORTo, A, adj. tortu; oblique, de Lravers;
tortueux; torlill6, recourbe. Borgne; louche.
— das pernas, bancal. — dos olhos, louche.
— dum olho, borgne. A — ea direilo, A lort
et A lravers; Alort ow avec raison. Na lerra dos
00908 0 — drei, (prov.) au royaume des aveu-
gles les borgnes sont les rois.
TontuäL,s. m. barre qui fait tourner la vis
du pressoir.
TontüLno, s. m. (1. de bot.) chaınpignon. V.
Cogumelo. it. *Truffe. Botie de boyauz pour
cuire. ( Ag.) Homme trapu.
TORTUÖSAMENTE , adv, torlueusemment.
TokruosınaDE, 3. f. tortuosile.
TorTuöso, a, adj. tortueux; qui fait plusieurs
(eurs et relours; qui n’ost pas droit (grop. et |
lg.). (1. de bot.) —, courbe inegalement et par
places.
Tonröna,s.f. obliquits, courbure, tortugsite.
Torture, question. V. Tormer&o.(fig.) Torture,
gene; grand embarzas. — dos olhos, sirabisme.
+ TöruLo, 8. ww. (1. de bot.) renflement en
forme de cordonnet (torulus), torile des
plantes.
t TonuLöso, A, adj. (1. de of.) toruleux ;
renfl& ei contracie sans articulalion.
*" Tonva,s. f. V. Estorvo, Impedimento.
suonvacid, &. f. "trouble. V. Perturbarde,
usto,
TOS
Tonviso,A,p.p.de Torvar.
Tonvamenıe, ade. avec trouble ; d’un air
terrible, menagant.
TORVAMBNTO, s. m. V. Perturbardo, Desasso-
ceg0.
Tonvir, v. a. troubler. V. Perturber. Tl est
aussi noutre. — de repente , ( lg.) agir inconsi-
derement.
TorvsLingO, 8. m. tourbillon , rerolin.
Tonvisco. V. Trovisco.
Tonvo,&A, adj. terrible, menagant, severe;
horribie, &pouvantable, terrible & voir.
* Tonvo. V. Estorvo, Impedimente.
Torvorinso. V. Torvelinho.
Tosa , s. f. (E. vulg.) vol&e de soups.
Tosipo,&a,p. p. de Toser.
Tosapor , s. m. tondeur de draps.
Tosapuna, s. f. tonte, tonture; tondaison
des draps.
Tosiö,s. m. "tolson: depouille d’an meu-
ton, d’une brebis. Ordem do — d’ouro, ordte
de la Toison-d’Or, inslitu6 en 1429, par Philippe
le Bon, duo de Bourgogne.
*Tosiö, adj. V. Tosgqueado,
Tosia, v. as. tondre les draps; tondre. (1.
uuig.) Rosser.
TOscaMEnTE, adv. grossiörement: sans gräce,
sans culture.
+ Toscina, s. f. (1. de geog.) Toscane ı grand-
duche d’ltelie.
ToscanzıÄr, v. ». sommeiller.
Toscino, A, adj. et s. Toscan : de Toscane.
Ordem -—a, (t. d’arch.) ordre toscan, le plus
simple des cing ordres d’architeoture. .
Tosco, a, adj. grossier, brut; (fig.) rustre;
impoli, rude, ineulte.
Tosqusnessän. V. Toscanejar.
Tosquia, s. f. tonte, tondaisen : action de
tondre les moutons, etc.; temps oü l’on tond
les troupeaux.
Tosquıipo, A,Pp. p. de Tosqwiar.
Tosquianör , s. mn. Londeur : celul qui tond,
Tosquiapöra, s. f. V. Tosqwia.
Tosquiir, v. a. tondre : couper la laine, le
poil des animaux, des &tofles , etc. ; raser, cou-
per les obeveux. (Ag.) Depoulller avec violence,
par des moyens illicites.
Tössz,s. [. oux. (view) Dissimulation , pro-
jet cach& de tromper.
Tossecöso, A, adj. qui tousse beaucoup.
TosszzinBA, s. f. dim. de Tösse. Petite toux.
TossıpzLa , s. f. (Pop.) tousserie : action de
tousser.
*Tossipo, s. m. indice de vouloir faire une
chose , donned en toussant.
Tossıcöso. V. Tosseg0so.
Tossır.äcem, s. f. (4. de bot.) * tassilage , pas-
d’äne : plante & fleurs bonnes contre la toux.
Tossixua ,s. f. dim. de Tosse. V. Tossezinha,
(fam.) Toux affectde par mignardise, etc.
Tossin, v. ». tousser: faire l’effort et le bruıt
cause la toux.
Tösta. V. Torrada.
Tostäno , A, p. p. de Tostär. adj. Röli. Jaune
1157
1158 TOU
dor tres-fonc. — do sol, grillä; brald, Wald,
\Pdo —, baton brüla par ja pointe 3 jes saugen
B’en servent au lieu de javglois.
Tostandaa, 3. f. action de faire pätir on de
roussir torrelaction.
Tostaö, s. m. tesian ı zapnRale d’argeni du
Portugal, 100 reis.
Tostiozinnuo , dim. de Tostdo.
Tostär , v. e. rötir, faire rülis; yomasir, ris-
soler, griller; häler : on le dit d’ane ohaleur
BZCESSIVE.
ToSTÄR-SK , 9. vr. se rölir. (Ag.) Rrillar.
Töste ,s, /. bano d’unep galere o& vomt lea
forgats enchalnes.
* Tösıs , ade. wi, vito; sans lasder, pramp-
toment, dans peu de temps.
“ TOöstE, ad. 2 pen. V. äraue, Prompto.
* TOSTEuEuTs ‚adv. iii. Wilen
“ Tösto, adv. V. Töste (adv.).
Torär, s. m. setal. compliet, entier.s. m. —,
le tout, la totalil6, je somme vbienus par ad-
dition, te montent.
ToraLınipe, s. f. intelils, le wwtal.
ToOTALMENTE, ade. sotalement.
Torb, s. m. (mot en faniie) Leuteu, chen.
Töuca, s. f. coiffe, coiffure de femme, bon-
net defemmie. Espece de kurban des Orisniauz;
mante. (view) * Allubienient pour sacher ie
Viaagp.
Touga ,s. f. souche d’arbre d’oR poassant ins
rejetons,
Tocipo, s. m- * colfiure de feınme.
Toscino, 4,9. 9. Je Fetisar.
Toucapp, #. m. able om colfen A la teilelin;
eahinet de toiletie. Moucheir qu’sn mei auldur
de la t&te, en forıne de konnet de null; Besre-
wste. Estar no —, feine se Jailelie. -
Toucino, 4 m. pt Tuueäun, s. f. V. Zuoano.
‘6. Touran : onnstellation S.
Tovcirk, v.a. cooiffer (une femme), Il osi aussi
r6ciproqun
. Touctaaı, 0. fı grande souche J’arbre. V.
Touga.
Towmutiao, A, & pbarcutier, vendeur de
chair de porc.
Touoixsp, «. m. Jard, 1, n. (4. de fort.)
sacs pleins de iorre. — de do, serie de bonf-
Wire teäg-dälienie. Diser d’siguenn 0 que Ma-
foma ndo disse do —,, (fam.) die pls qua pom-
dre de quelquy’un.
° Toopa. V. Touca,
Tavso. V. Tajo,
+ Toucug, s. m. toug, touc : dtendard Iupe d
queue de cheral.
Tourgıra, 5. f. taupe : pelit animal noir qui
fouit la terre. (4g.) Homme qui branshe & aha-
que pas ; homme de peu d’esprit.
Toquinus, s. f. dim. de Joues, dt. Teliöre
d’enfant,
Touna, #. f. vache sierile; teure, Renisse.
(ent.) Le livre de la loi des juils. in Espagne, -
signillait fanillo juive, et tribut que los Juifs
Payaient par famille. V. Toyrıpha,
; Touaaco vu Gun. V. Guco Bovpude.
TRA
+Tounäsa , s. f. * Iroupsau de Isurssgt.
Tovaiı, s.m.lieu od le lapin fait sos oedume
Touvaiö,s . (k. d’kist. wat.) (arel Sauvage,
— fetido, putais.
Touraala. V. Desordem, Estronde.
Tovazino, A, p. p. de Towrear.
Tovazıuen, 3. w. cavdliver qui usmbei les
taureaux, taurösdor.
Tovazix, o. u, coınbattee les Lauresu dıns
les cousses publigques. ı Ag.) Devenirfen re «a
(fig. fam.) Faire enrager queiqe’un, se isst
de gaelqu’un.
Tour£ıro, s. m. o0lel qui combat ke tie
reaux & pied. V. Towreader. Delui qui möze is
taureaut pour les enurses.
Teunzssid, o.m. *'cherille qui awitdenz jasts
de roue.
Touassan. V. Foureer.
TouriL, s. m. *loge od l’on enferme les u»
reaux Usstinedd Hux o0trses. .
Tousinua, s. f. dim. de Towrs, tauraun
carion on en bois. —#, Hl. courses de gene
apprivolseen, Imitation de ces Courses ar cs
pelils tauredus en carton , ete. TR. (ant.' Press
ivres de ta lol des juißs. 1s les portaient sar a
poitrine quand ils allaient au devanı des rem,
lorsque ceux-ci entraient dans une vüle ed ıs
Htsiemt toleres.
Tovrixuo, dim. de Teure.
Touzıömoa, sij. [. on le dit Kuno vadhe a
chaleur.
TOUuRo,». m, Tsdremu : male do ia vache. —
monlez, ure, urus: laureau sauvage de l>
ikuanie. — monisz gebe ou rereuendb. V. Gebe.
Esiar, verse nn ornee de — , (Bg.} are,
roir dans un porit imınimemt. ‚Deiser eigern
nos eurnos do —, (dd.) \aisser quelza'm dem
la gueule du loup. Lonyer a cap w—, #)
abandoaner lLout pour se saurer. —s, pl. coa-
bat, course (io taureaux. Correr —ı, tombsun
ins lauresux dans les coweses. Certss zu’ u
am) 1a chose est süre, ıl m’y a pemi &
ie,
„ Tousagon. V Taizapdo ou Taseyie.
* Tousin. V. Taiser.
Toura. V. Tontipo, Cubops.
Touteäir, eio. V. Yoskear, «te.
Tourigada, 3.f. coup sur P’recipel.
Tourico, 3. m. seoiput , chignom.
Tourigas. V. Towiieanem.
Teurıntana, s. f. fauvatie : Olsen da guur
du bec-lgue.-— rabalos, ” cal-Aime.
Toutıvänas. V. Doudircanas.
Tözıco,, 5.0. wıique, nem genärigue de
poisons.
Tosax, ete. V. Toser,, 008.
* Taasta.V. Trekir.
Taasnis , adj. 2gen. on le dit des chi &
poutre, des clous propres & joindre, 4 wem
bier lea poawes, eic.
TuABALHADANERTE, ade. pimsblemusent. bube
ricussment.
Taanaısaakını, a. f. [tmmes qui ame &
(ravail, bonne ouvriere.
— Ten or OT 8
TRA
Xnansaniso, a, pp. de Trebsiäar. adj.
Travgiliö, (aid oveo grand soin ; pöli, lime;
Sstigäe, bab. Bieurso bom - discours fait
aven soin.
' TRABALBADAR , 8. m. iraxeilieur, Jquenglier,
Juvrier, mana@uvre ; homme laborieux ‚appfti-
jue.— ‚4, adj. Laborieuz, qui dlme ie avail,
don ourrien.
TrasarLtin, 9.@. travailler, (aganner la ma-
löro: fgise ayon applicalion, areo sein; sol-
gnor, execuler arkc soin; laurmemier; causer
de la peine. — s erra , labourer la’ terte. —
um eapallo, Mayailler us oheral, le dresset
durament.
Trasaınin (de, em, por), v.%. travailler:
prendre qyelguo fatimue do corpe nu d’säptit;
faire une besöogne, un ouvrage; faird de lou+
vrage; sc denner da ja peins ayao um bus, pur | Y.
unobjat; S'Tappliquer , denner toua ges soinä ä,
aocnuper dp. «B.) ajro uneffert pdur veincre
un nbalacle,, qio.; iira Loyus ses offoris Pont...
Kairo une chnsg aven erdce a5 methode. -- por
jornal, travailler & la journge. — #0 sou Off.
eio , isawgiller A von melief. — some wın wegto,
travaillog comme un negre, comıne tin mial-
beurcug. — de meis, Iravailier 'Lrbp," ex-
göder Je travasl. — de je. travaillor imutlle-
ınent, perdre son hole et son kemps. — m
vao, inutilmente, traysiller zn pure'perte. "
- Tnanauzän-sE (por), v. 7. so iravailler, se
tourmenter ; faire ses oflaris pour..."
TRABALBINNO, 1. m. dim. da Trobdiho. Tu-
vi] löger, peu faligant.
InaniLyp, 5. we. gavail, labeur, peine, fa-
tigue. (49.) "Difienlie, peine. )-, peise
d’esprit, chagrin, malheur ‚" aouffranee ; 'hfi-
sere, malaiso, —,ouvrage fait owa lsire. Dia
de —, jpur puvrier. Ndo ba asalko som --, itüi’y
a pas de pnlaisır aans peine. dus lerras, fe-
znuement des terres. — gerdide, peine perdee.
Gaulle „Sale eis: de — , charal ‚.hahit, kıc. Ge
fatigun. —, pl. peines „ chagrime, misäres de
la vie. Os —s de Jesu Christo, los souffances
de desus-Chriat.
TRABALHASANMENTE, adn. Pinibiomen, iabo-
zieusemen}.
TRABALHOSISYMO, A, adj. sup. de
TRABALBOSO,, A, adj. p6nible ; faligamt, dr-
Sue: jabexieux. -
rt Triprs, s.£. ou Taäpze, s. m. sobs jongue
des rois, des senateurs, des prelres palens:
"TRABOLHAR. V. Trabalkar:
Taaptcino ,A,P.Pp. de Ivaberer.
TRARCGAPOR, f. m. soldat charge de la ma-
nauvre d’un irebuee. V.ue mot. Biögocient
actif et intelligent. V. Lidador, Traballuder.
Taanıcin, o.a. at. haltse, vonverser adec
un (rabucg. N. ce mot. Ftapper.ä llutidurs rer
prises, donner des coups reiteres. (l. demas:)
Sombrer, chavirer.v. n. Faire de bötınes pe-
eulalions, trafiquer.
TrApico, sm.’
calspalie : machine de \ Taicrömo, A, all.
BRA 1139
Taısvgutrz, s. m. im. de Trabuco. An-
eienue machine de guerre & lancer des piertes.
Taasuzäws , s: f-(dumf.) temp&to, döserdre,
v, Torwmenie. ee |
Tracasantknıa. V. Trachen.
Trica,s. f.* ver,teighe : Ihsecie qui ronge
les dtoffes. (Ag.) Tour ce yu) mine, detwwuit In-
sensibleıment. st. Premier plan ou dessin'd’am
edißce, ete:, #bauche, esmurisse. (g.) Plan
qu’on forme dans sa t#te, projet | dessim. ? Ae
nangerhent; erdde; symetrie. '(fam.) Rude,
menee, artiise: * Vestige, Trace; Hein ., 00
celiu sorte', Werceitg maniäre.
Taagino, a, pr P. de Trupar. adj. Beupt,
piqu6 du ver, de la teigne. Dessine, elcs "1" >
- Inagape, a m: v nenne
Taaganor, sm. eotei qui dohne le pen.
Taacaraiz. v. Tracanaz.
Thacanäz2; s.ın: (pbp.y fros morceau.
’ Tanid,s fi Vi Erapa. “- do'rbsto,
fl, srailb de viange. a: m. 'bloveban , dplas. 7 *'
Tnicin, v. 6." ronger om piquer (tes Sollen
en parlant du ver, deta- wihne. (Ah: Ronki
miner insendiblömelit. Dovner ie plan te die-
sin d’un ouvrage, iräceh, esyulsserrebumhtr.
erayonmer. Ag) Former un plan dass sauek,
projeter, minuter, Machimer;' tramer? % Tori
gar.— o plano, tirer le plan. -2 "@'0apa, 26%
sser U maintnu: © ° moernas T
RACÄR-SE, ©. r. 6lre piqus an rongb des
vers. Se retrousset. " ' LE
Traccid, 8. f. (1. de te) traetion : aculoR
d’une puissande qui lire un mobfic.
TRÄCHA-ARTERtA, 8. f.wechec-artöse. '
Tuscata, 8. f. 't. damst.) frackte-ortöre.r
canal par ob passe l’air que l’on respise. (4. de
bot.) Drachse; valssası pour bair; poumen des
plantes.
FaACHBOTONiA , uf. de. de chin.) Lrachöete-
mie: operation qui consisitd dawrir in 1raahöe-
" Taacmomo, 8m. ci. de hir. Jirashome; un
rise de la partie iplerieuse des paupiöres.: "
+ Taacaino. s. m. (I. d’hist. nal.) wreebine.
vive : poissen ä sie obluse.
Taacamänd. V. Buirezilkade. .
Träcıo. V. Thracio.
Taacista ,s. m. maahinalenr, homme Inrille
en zuses , om suppsoheries „ abiegnane; SeDrbe
gei empieie mutige anres de mpyens pone pär-
venir ä ses fins. Ze 2a
Prigo, se. In. Wracsment,-trai) de plums, eic.
* Mäniöre , usöge, vowtamye (p. us. '° 7
° Tnacöm. V. Trapäo.
* Tracoo. V. Fropb.‘
Inacrıx, eto.Y. Tretar, ete.
Taiero,:s. m. ’tiehdue; wopaes, laps de,
temps ; region. V. Tralo. — de meisse, traite
versn quen ehahte 4 fa messe entre Te Graäuel
et i’Evangile.
traotpire, de ironuon,
guorfe des apcjens. sl. Sorte de Inousqeel de | Linha —a, ligne tractrice.
pros calıbre,
Taaunipt| A, PP. de Trader.
1160 TRA
Prapein, v.0. peroer aveo la tariäre.
Taanıcäö, s. f. tradition : obose qui se trans-
met de siöcle en siecie; voie par laquelic elle
se transmet; fait transmis de boache en bou-
che. (4. de prat.) —, action de livrer ä..., de
teansınetire. V. Anirege.
Faanscıonäu, adj. 2 gen. träditionnel : de la
tradition , Sonde sur elle ; venu par tradition.
TNADICIONALMENTE, ade. waditionnellement :
selon la tradition.
Taanıcıoninıo,, s. m. traditiennaire : juil qui
explique t’Ecritare par la tradition du Talmud.
+ Trapıcıonistas, s. m. pl. traditionnistes :
Somauss tarcs attach&s & la plus aucienne tra-
on.
Taioo, s. m. * tariöre : outil.de charpentier
pour Isfre des trous ronds. Trou fait aves la
taridre.—— grosso, (l.de mer.) cuiller de pormp&,
rouane de pompe.
Taanucck6, s. f. traduction : version d’un
ouTeage, d’une langue dens une autre ; action
de celui qui wadeit; son ouvrage, son livre.
Taapvcren, A, 8. traduoteur : oelui qui tra-
duit d’ene langue dans une autre.
TRapuzipo, A,p. p. de Tradusir.
Taapusınen. V. Traductor.
Taapuzia , 0. 6. tzaduire : [air une iraduo-
tion ; rendre en une amtre langue. (Ag.) Chan-
ger, convertir en.
TrapuziveL, adj. 2 gen. traduisible : qui
peut dire traduit.
° Traßn. V. Trahir et Traser.
Träraco. V. Trefego.
Taırzcar. V. Trasfeger et Lidar.
Trärneo, 3. m. twralc, commerce, n6gooe.
Beins,, soueis que causent les affaires, * Fre-
tation, oommeoroe des hommes.
Trarscunia,v. =. traiquor tres-activement.
Taarsoutıno. V. Trasf
Taarmıcäncıa , s. f. " trafic. (fe, ) Finasserie,
oseroquerie , trieherie,
TRAYICÄNTE, s. m. traficant, commergant,
(fun. ot pl. we.) Escrequeur, finsssier, finaud.
Trartcän (sm), o. ®». Iraliquer, oommeroer,
nögoeier.
Taärıco, s. m. trafle, commerce, Wegooe.
Cidade de mwito —, ville marehande. — de
negros," traite des negres.
Taarocvsıno. V. Trasfogusiro.
+Tasroriu, s. m. frult du palmier sauvage.
- Tnacacanrua, s. f. * adragant : sorte de
gemme. V. Tragacantko.
Tuasacintme ‚a. m. (6. de bot.) V. Alguilire.
TRacapkınO, 8.9. (Pop.) @sophage. Gouffre,
abime, ete.
Tascipo,A,Pp.p. de Trager.
TRACADOR, A, 3. avaleur et surtout glouion,
EDS Inangeur, vorace. adj. Dechiraat, qui con-
sume, qui ongloutit.
+ Taacamkıno, 5. @. imposition sur les p6-
cheurs, ä Lisbonne.
TRAGANEATU ,s. m. action d’angloulir, d’ava-
ler.
Tracin, vo. a. avaler. Manger beauanup et
TRA
goulument. Engloutir, absorber, «u parlanl da
la mer, d’un goufire, de la terre lersguch
s’entr’ouvre ; d&vorer, consamer. (fig.) Bate-
rer, souffrir. "Ndo poder — elguem, (fg.\me»
dre quelqu’ un en aversion, ne pouveir k ser
frir.
Taioz. V. Trajo.
Trackoıa , 5. f. tragedie : podme kmeii-
oe; piöce de theätre qui repr&senie une
beroique, importante, qui se passe Je Nu
vent entre des personnages illastres , et port
& exciter laterreur ou la pitie. (fig. (As rem
funeste. Parer, acaber em — , (fg.) et m
in tragique. Compor —s, chausser le ooßarı.
"Taacka. V. Trazer.
T Taacia, s. f. (1. de bot.) wagie: pe k
ikymalolde.
TRÄCcICAuENTE , adv.
Taäcıoo, a, adj. tragique : qui srl, gi
oonoorne la tragedie; (Ag.) fanesie, mıbe-
reux. Podia —-, tragique , autour de tragiäm.
s. m. Tragique : genre tragique; auleut, arm
de trag6dies , tragödien.
TAACICOMEBIA , s.L ie een as
meide d’incidents et de personnages comigts
es dont le denouement n'est pas tragique.
Taacıcömico, A, ae. Iragi-oomige : Ai
tient du tragique et du comique.
* Taacioo. V. Frazide.
* TRAcımEaTO, ” m. action de perier. &T.
Conduis, Procedunende.
+ Taacina, 8. f. (4. de bot.) V. Trage
Taico, 5. m. ooup, gergee, trait. (Ag)' I
versite, disgräoe, calice amer ; trame.4-J.
par gorgdes; peu & peu, toet doucammt
* Taacvan, V. Tregar.
* Taacvımento. V. 7' 0
TRAGUINNO ou } dim. de Trage. hüıd,
TRrAcUiTO, 8. petit ooup-
Taanioo , A,p. 9. de
Taazir,v.o. trabir: user de trahisen rei;
lsiro une perfdie & queiqu'un,, lei mu
de foi.
Taaıcid, 8. f. trahison, perßidie; acisa &
oelui qui trahit; feurberie. 2 —, un thin,
en traltre, tratireusement. Alte —, amt u
haule trahison , de löse-majeste.
Taaino. V. Trakido,
TaamOR, A, s. traitre , —tresse : qui fsRım
wrabison. adj. —-, perßde, qui irakit,
Taaiukxto,s. m, V. Traigde.
Taaln. V. Trakir.
Taiıra. V. Adalada,.
+ Taie, s. m. lainager opörafen de
neur; action de chardonner les drape.
TaasiB0,&A,P.p. de
Taasin,o. a. ei m. s’habiller de, orte vl
ow tel kabillement; draper. fl est aussi N#
proque.
Taiıe. V. Trajo.
Taa)&cto, 5. m. trajet.
Taiso, s. m. maniöre de sbabiller pro
wme ciasse d’homme , & une previne, &
cosltume.
En ME DE — KT
— [u eo
TRA
Taiıma, s. f. petit Blet de p£cheur. Eopace
entre les bords et les poids du filet. — da oda,
(1. de mar.) ralingue.
I aumÄno. V V. Traslado. it. p. p. de Tra-
Taaınid. V. Taraikto.
TraLHiR, o. a. melire la oorde et les poids
au let; trailler. (4. de mar.) Ralinguor, ooudre
les ralingues & une voile.
TaiLno, 3. m. petit fllet A p&oher.
Trartscäd. V. Trasiadagio.
"Tai, adreo. de Terre.
Taiua, s. f. trame : fils passes entre la
chaine d’une &toffe. Soie dont on se sert
pour la trame. (Ag.) —, complot, machina-
tion, cabale, intrigue. (dd.) Tissure, textare,
enchainement. Eorouelles, maladie.
Taauino, A, p. p. de Tramar.
TRANADOR, A, 3. celui qui trame, au propre
et au gure.
Trauir, ©. @. tramer : passer la irame entre
les fils de la chaine; (Ag.) machiner, comploter,
cabaler.
TrAMBOLHÄDA, 8. f. V. Trambolko. Quaniite
de choses suspendues au Ccou, elc.
TaausuLmiö,s.m. "chute en roulant. Cair
aos —öes, tomber en roulant,, degringoler.
TRANBOLHO, 5. m. billot qu’on attache au c0u
des chiens, etc. , pour qu’ils ne s’6loignent pas
de ia maison. (Ag.) Entrave, ombarras. Paquet
de clefs attach6es & un bloc.
TaauBULHiR, v. ». (fam.) bredouiller.
Taauzcutira. V. Tamargusira.
Taautıa. V. Taramela.
TrautLaca. V. Tremelga.
+ Taauite, 5. m. (Ag.) "vole,cours, marche.
Taamoöco, 8. u, otc.V. Tremag..., elc.
Taauöss, 5. f. ruse, artifice; cabale. Sorte
de dentelle. —s, pl. machine de theätre.
. TRAMOLHÄDA, pour Terre molhada (terre
mouillde).
Tramontäna, 8. f. tramontane, bise, \ vont
du nord ; etoile ow cöl& du nord. Perdera—,
perdre la tramontane, 56 troubler, 5 »egarer.
TRAMONTÄNO, A, adj. ultramontaio : de delä
les monts.
Trauontär,v.». passer de l’autre cö1iö des
ments. On le dit surtaut du soleil lorsqu’il se
couche.
Taauostıno. V. Tremoceiro.
Taiurı, s. f. foire, excröment, merde.
(eious) Foarberio , artilice , plege qu’on tend.
Trnampiö,ONs, edi. Vv. Trampisia.
TuaurRanoR, a. V. Trampista.
TaaurgÄR, vo. a. tromper, escToquer. v. ®.
User de ruse,, d’artifice pour tromper.
Taaurista, s. m. escroo, fourbe,, chevalier
d’industrie.
TRAuPOLINA, 8. f. * tremplin. (fam.) Fraude,
fourberie.
TnaurÖsamEntE, adv. trompeusement, avoc
fourberie.
Taauröso, A, adj. frauduleux, fourbe. V.
Trampisis, Trapaceiro. it. Sali de la foire.
TRA
Taania,v.a. traverser ä la nage.
Taänca,s. f. barre pour ferımer et assuree
une ports, etc. Dar ds —s, (fig. burl.) escam-
per, prendre la poudre d’escampette.
Tainga, s. f. tresse; natte. A — de seus dou-
rados cabeilos, !podt.) l’or de sa tresse blonde.
6 de morräo dar fogo ds peras, boute-
fou, tresses de möche pour mciire lefeu au ca-
non.
TaanGantraa, s. f.° ruban pour attacher les
eux.
Taancino, A,9.p. de Trancer.
Tarantino, a, p. p. de Trangar. s. m. Cor-
ahnt
ARCAFIÄR, 9. &. (f. de mer.) gen
beider, appliquer la genope. ) genopen,
TTaancario, 5. m. (8. de mer.) * genope :
amarrage de bitord.
Taancia, vo. a. bäcler : former une porie,
une feneire par derriöre avec une barre. Bar-
rer, barricader.
TRranciÄr, v. 6. tresser, natter.
Taancanalas, s. m. spadasein, breiieur.
Taince, s. m. peril, danger, moment ceriti-
que dans uno affaire, oie. (Ag.) Transe, conlit,
detresse. Dernier instant de la vie. 4 isdo -,
& tout basard; & outrance.
TRANCZLIM , 6. m. petite Iresse de sole, olo.
Petit galou d’orow d’argent, oordonnet.
Taancuäpo, A, adj. (1. de Dias.) partage dia-
gonalement de dreite & gauche.
Taanciuuı , diem. do Trange,
Tainco, s. m. long pas, saut, enjambee;
bond, courbeite. Espate de quelques pieds.
A—, asauts, ä la häte, sans ordre, etc. Em
dows —s, en deux enjambees,
TaincoLa, 5. m. bomme grand ot mince,
tlano6, long comme une perche, flandrin.
Tringqua. V. Tranca
Taıuautına , s. f. palıssade : retranchoment
fait de pieux fichös en terre.
Taanqufıro, s. m. support de bois pour sou-
(enir une poutre qu’on scie de long.
Taangutra, s. f. "loquet, cadole.
TaAanQuia, v. Tranqueire.
Taaroviımı, s. f. quille en travers. ($. de
mandge)Barre. Por —, ou por pdo de—, (fig.)
par des voles detourndes, par finesse.
TRANQUILLAMRNTE , adv. tranquillement.
TRanguıLLıIDÄnE, 8. f. tranquillits, calme,
repos,, paiz, quiötude. (4g.) Tranquillite d’es-
ben, calme; sang-Iroid. — Publica, repos pu-
1161
TRANQUILLIzÄDO,, A, 9. 9. de
TranouıLLızär, 9. a. tranguilliser, calmes;
rendre tranquille. I} est aussi reci
TrangviLLo, A, adj. tranquille, paisibie,
calıme, sans dmotion.
Taıns, prep. lat. qui entre dans la composi-
tion de quelques ınota. De !’autre chl&, au delä.
Traansacckö, s. f. transaclion : acıe par le-
quel on transige sur un difförend.
TnansacTüß, &, 8. gelui qui fat une trans-
action.
1163 TRA
TRANSALPINO, A, adj. trangalpin : qui est
au delä des Alpes.
+ TaANSATLÄNTICO, A, adj. transatlantique ;
qui est au dela de l’Allantique.
Taanssgorvin. V. Trasburdar.
TRANSCENLENCIA, 8. f. LLanscendsnce : sup&-
riorilö marguee, &uinenge de genie, de Isient
(d’un eire) sur un auire. Ce qui kalt qu’un at-
tribut, une qualite est transcendante. (Ag.)
Pönetralion desprit, fecilil6 & aameezoır.
TRANSCENDENTAL, adj. 2 gen. transcenden-
tal : quı l’emporte par-desgus ya autse. V.
Tronmendenis.
TRANSCENDENTE, ?. @. de Tranassader. ady,
gen. Quipasse, qui va au del. Transoradanı,
&leve, sublıme; qui exoelle en sop gegse; com-
venable A toms las Eircs (aliyibu, qualite);
(8. de maih.) (equation —e). Algshre, aritbas-
fien —. ainöbre, ariihnıslique Iranscendanies,
qui s’qacupent du esloul des dqyations Lrams-
eendantes, qui ne renferment que los dißff&ren-
tielles. r
Taanscenpta, ©. w. passor de so oßtd-#i A
P’auise ; aller, ei surtoui mopier au detä. Bire
transcendaat ; Burpasser.
TRANSCENDIBO, A, P. P. de Fransusnder.
Taanscosci0 ou TaanscoLacid, 8. f. (tk. de
wıöd.) inältration. .
Taınscokn ou TAsmgosLin, ©. N. ITENESUr
der, tanspirer.
Taanscazveose. V. Copiste,
TRınscaEY£a, 9. @. tFAuSckine ı eopier Un
#erit. j "
Taansoaırcäd, s. [. wapseription.
TRANSCKIPTO, A, P. p. ir. de Fransersuse.
adj. Transcrit, copi6. s. m. *Copie.
Taınsconsäin ‚9. 6. d6pässer, passer au delä.
+ Taanscduso, 5. m. eoure, tape de temps.
Taanız. V. Trano. j "
+ Tasussar, ewpr. iaf. passe, soll, Jo le
veux bien.
Taunszsrusiß. V. Transfusds.
TRAuszönte, adf. 2 den. (k. de phil.) qui de
la cause passe ou ss sonmuniyae & Voller.
Passager. V. Transtorie. .
Tarnsreneacıa, 8. f. l’aclion et Voller de
tzansieror, wanslörement. V.'Mudansa, Pas
sagem. j ’
TaanssaRiDO, A, pP. p. de Transferer.
TRANSFERIDOR , 3.m. colui qui irausläre. Rap.
porteur, insiramen! do mairemasiguus,.
TRAnSPERja (6, Bara., v.«. Lranzferue : Lira
passer, porter d’un lieu, d'une personne, d’ea
temps & un autre. Trangiörer une (öle, ete. : la
remetiee & un außeo jour. Transporter un mot
du Promo au tigure. — 0 dieiie, subröger
queigqu’'wn & vos dreiss.
+ TransreniveL, adj. 2 gen. transförable :
qui peut ewe trahstere.
Taansmceunıcke, e, f. 1ransöguration :chan-
gemont.d’une gure en une Auire. Transägu-
ratıon de N. S. sur le mom Trabor.
Tuanemnwonivo, a,udj. Kanslönnd, translı-
gure. 2.p. de Transigurer. "
TRA
Taanssıcunis, vo. a. Iragsügurer : dbanger
d’une forme on uns aulse.
TRANSFIGURÄR-SE em), 9. r. 80 Isansformer,
ebanser de ügum; satransfiguren, em parlanl
eJ.-C.
t Transrıxiö, s. f. Yaolion de Irenspercer,
de ppreer de part en part.
Taınspunsagiß, s. fı wanglormatien : ekan-
gement de forme, meismorphose.
TRAansYOosminO, A, P. pP. de Zransformar.
t Transronnansa, 5. me oeldi qui trans
forme. .
tT TaansronyımıE, adj. 2 gen. qui trans
forıue. . .
Taaussonnis (em), v. 0. iransformer, mes
mesphuser; ehanger d’une Sorme en une autre.
(Ag.} Gagner l'afleolion @’und persenne, au
point de paraitwe ne laire plußga’un avec elle.
Transpoawin-eR, 9. 1 de trahsformer; se
changer en.(Ag.) Changer de meurs, @’kabits-
de, ete. F . oo. a. D)
+ Taınssonuarivo, a, adj. quia ta vertu de
transformer.
" +Tıansrertino,, A, adj. d’outre-imer, qui
est au de)a des'mirs. ' ..
""r’Tninstakrän, b.n. (dnus.) passer 13 mer.
TrÄnsrtca, 5. M. anf e , "Ulsertehr.
Tuaxsrcct£iko.V.T eye .
Traxsrennido‘, a,’ p.P- be
Taınsrenpia, O.d. transvaser : verser d’us
vaso dans un autge. Trarnsihser : faire passer
d’un rädipfent 'däns un aöty$; faire la trans-
fusion du sang. (Ag.) Comrhuni \successire-
ment & plusieurs. Ei ce‘ „ ce verbe 658
suriout employ6 oolnme r nt
TaunsröHid, 5. fi commalfichueon des uns
aux autres. Trerisfasıon : actidt de transfuser,
de tfansvaser. — do sangus ‚ lt. de'chir.) trans-
fusion du sang : bperallon per füquefie on fait
passer le säng d'un animal dans 164 vefnes d’an
aulre.
Taansorepino, &, e- P- de
TRANSCHEDIR, 0. a. transgresser : contrevent
Aunelol, az preceptes divins, X an dr@re, etc,
Penfreindre , Foutre-passer. " °""
TRANSCHESSAÖ, 5. f. Lrausgression : aatien de
transgresser une bi. ° ' .
"ATRANSCEE.SÖR, A, 5. transgrosseur, infres
teur. delinquant.
Transıcaö, 8. f. transition :
sonnenen!, d’un stujel & un autre.
TRansido, a, adj. lankussant, delle, men-
ranı d’inanttion , etc.: ılhalgre, fäible. Teansi.
Transıcino, A, pP. p. de
Tainsıdin, v. 'aet n. transiger : passer en
acte pour aceöınpagner une aflaıre. False une
transaction, trausiıger guf. u "
Lim SITAYEL, adj. 2 gew. praticabte,, ea
psrlant d’un cheinın. " ' " '
+ Taansıtan (por), v. n. passer, traverser
un pays, voyager. ’
TRANSITIVAMENTE, adp. par transiliom. Acti-
vement» dans’ le mode act, %p pariaıt des
rien
d’sa rar
TRA
Inamgmiao, a,n-p. de T adj.
DRAA 4139
Taaseguiee, s. ws. dim. de Trebuco. An-
saballer.
Traveitie, lei avec grand soin ; poli, lime; | cienne machine de gwerre & Jancer des piertes.
$igäe, as. Discurse - diseours fait
avog soln.
TRASALBANOR , 8. w. trarailleur, jqurnalier,
Juvrier, manauvre ; homme laborieux, apptli-
yue.— ‚A ad. Laboricuz, qui dine le Tarail,
ann ourrier.
TnaBaLnän, 9.4. travailier, (agenner la ma-
liöro: fgire auoc application, areo' sein ;' soi-
gnor, executer aväc soin; laurmenier; causer
de ia peine. — a lerra, iaboorer la terre. —
um eapailo,, Arayailler un oberal, te dvesser
duroment.
Trasaınir (de,em,por),v.». travailler:
prendre auelque falinue de corps au d’esptit;
faire une besogne, un ouvrage; faire de Fow-
vrage; sc denner da la peine ayco un but, pöur | V.'
un objat; s’appliquer , donner tous ses soind a,
ancouper de. Ag.) Kairo unelfert pdur vaincee
un nbstacle, elo.; isira tous ses eforts poar. .s
Kaire une chnse avoo ordre ei möthode. >- por
jornal, travailler ä Ix Journee. — no sew ff.
ei9 , iravailler & son melisf. — sonawen wegto,
trergilles comme un negre, couthe tun mal
beurcug, — de mais, irevailler ' Irbp,"ex-
adder ds Iravall. — de beide, travaijer inulie-
weni, perdre g9n hule et son temps. — om
vo, inutilmenie, Lravalllor zn pure'pertie.'
- TRABALHÄR-5E (por). v.7. se iravailler, se
tourmenter ; [faire ses ofloris pour..."
TRABALDINNP, 4. m. dim. de Krabdiho. Tra-
vaj) löger, peu faligant
Taaaınn, em. Ikayail labeur,, peine, fs-
tigue. (Ag.) :Difieulie, peine. (d.)—, peine
d’esprit, chagrin, malheur ‚" aouflrance ; 'nli-
Bere, malaise -r, Quvsage fait owä [sire. Dia
fe —, jour ouvrier. Nöo ba asalho som --, itäi’y | bot.
a pas de plaisır sans peine. — das Ierras, fe-
muement des terres. — ‚peine perdie.
Gauelip ‚fate ci: de —, charal haut) kio. Ve
faligup. —e, pi. poines, chegries, misdres de
la vie. Os —s de Jesu Christo, les souffcances
de desus-Chrigt,
TRABSL.BÖSAMENTR, adp. pinibiament, Iabe-
zieusemean}.
TRABALHOSISIMO , A, adj. sup. de
TRABALHOSO , A, adj. peible ; (aligant, aif-
SCH Inborieux. -
+ Träsey, 5.6 04 Taipze, s.m. pobe longue
des rois, des seusteurs, des pretses palens:
"TRABOLHAR. V. Trabeiher.
Teaptcino ,A,p.p. de Frabucav.
HRABUGADOR, 2. m. Soldat charge de la ma-
n@uvre gun irabuco. V. ee mot. Mögacianı
actif et intelligent. V. Lidador, Trabaikador.
Tarsicin, oa, ot. hatlıe, venverser avec
un frabuco. x ce mol. Ffopper.ä plusidurs rer
Trapuziws, s. f ot. ) vempeis, Geadrdre,
V. Torınense.:
Tnacaeanrknnn. VW. Trachea.
Trica,s. f.“ ver, teighe: fısecte qui ronge
les 6toffes. (Ay.) Tour ce yuj mine, detnnt In-
sensiblement. it. Premier plan ew desein d’em
&dißice, ete:, dbauche, esquisse. (Ag.) Bian
qu’on forme dans sa t£te, projet ; dessis. ? Ay«
nangerbent) ordte, symetre. '(fawı) Rule,
mente, artilice. " Vestige , trace. ı4Ybin —, do
cette sorte', dercelig maniäre. '
Taagino, a, pr, pP. de Truser. adj. Beugb,
pique du ver, de la teigne. Dessine, eo, "iv >
- Iaagano, s mi; Vi Terfado!
Tnaganon, 8. m. eolui qui dohne i rer
. ande
on
Tracaunär. V, Trocanaz.
Thacanä2; s. m! (pbp.y fros morceau.
14 Targid,.s: fi V: Zrapa. =: de'rbsto, pre»
fl, traitb de visage. a. m. :Morebau , #plät. 3° -
Tnichn, v.a. ronger on piquer &ies rollen
en parlant du ver, deta- teihne. (Ah) Bell
miner insensiblameht. Donner he plan, te dbs-
sin d’un ouvrage, träcer, esyufsser,ebanchör.
erayonner. fig.) Formier un planiaris sarık,
projöier, minuter, Maeisiner,' tramer? % Tore
far.— o plano, tirer le plan. 2 WE CRPR, 2
ssor le maintnn. | none
RACÄR-SE, ©. r. elre piqus songs den
vers. Se retrousser. °'
Tnaccäd, 8. f. (1. de mie.) traetion : acıion
d’une puissante qui fire um rhobfic.
TRÄCHA-ARTERLA, & $. S. wachee-artöre.
Tuscuka, 8: f. 't. densl.) jrachbe-ariöre.e
canal par ob passe air que Von espise. tI. de
)iPrachse, vaissonu pour bein poumen Ges
plantes.
Fascma0Tomis ,s. f. d. de chin) Kachöeto-
mie: operation qui consist & amveir in iegahöe-
aredre:
TRAcaONo, 8.8. . de ebir. Jtrashome; uns
rise de la partie ipterieure des paupiöree.: '
+ Taacuino. s. m. (1. d’hist. nal.) wachine
vive : poissen & L#ie obiune.
Taacıuusud. V. Entrezilkado. v
Träcıo. V. Thracio.
" Taacisra , s. m. machinaleur, homme fartiie
en suses , en supproberies ‚ shiesnuns; Seirbe
gai emploie twutgs sor(es de mpgens pous Fir
venir & ses Ins. . .
Trnigo,s. m. tracament,trai) de plume, etc.
* Maniöre , usage , Doutame (P. u.) “T
° Taacöm. V. Tragäo.
“Tracoo. V. Prrupb.‘
Tuıctan,ete.V. Treiar, ete.
Taicto,'s. m. * fiehdue; eopaee , laps ds.
prises, donner des coups reitdres. it. deman.) | temps ; region. V. Trato. — de zeisse, trait'e
Sombrer, chavirer.v. n. Faire de botınes sp6- | verset aquen ehante &’ iu messe enire le Graduel
eulations, trafiquer.
TraBico, 5. ’
csispulte : machine de || Taacromo, A, af. Irastnite, de Lrastich.
et l’Evangile.
gucrte des aprjeus.st, Sorie de Ibowuugeet de | Linha —a, ligne tracirice. m“
pros calıbre.
Taasniro| 2, pP de Trader. .
1164 TRA
Taansrösto, A, p. p. irr. de Transpör.
+ TRANSSUBSTANCIACAO, s. f. (1. de thöol.)
transsubstantiation : changement d’une sub-
stance en une autre dans l’eucharistie.
TRANSSUBSTANGIÄDO, A, P. p. de Transsub-
siancier.
+ TaanssusstancıÄL, adj. 2 gen. qui se con-
vorüt totalement d’une substance en une aultre.
TRANSSURSTANCIÄR,, ©. a. transsubstantier :
changer une substance en une autre. Il est
aussi reciproque.
+ Taanssopagäö, s. f. Irenssudalion : action
de transsuder.
Taanssıpino,A,p. p. de
+ Transsupän, v. m. transsuder : passer au
travers des pores par une espece de sueur.
TRAnsSTaciRO, A, adj. et s. d’au delä du
Tage.
Taansronnän. V. Trasiorner.
TRANSTRAYÄDO, A, adj. balzan dos pieds de
devant et du pied droit de derriere (che-
val, etc.).
Taansraock a, v. @.changer, converlir on une
autre chese.
TaınsöurrTo, 5. m. ° copie d'un &orit, mo-
dele. (Ag.) “Image, representation, vrei pot-
wait.
TaansvEanenin (p.us.). Transluzir, Re-
verberer
TaınsvensiL, adj. 2 gem. transversal : qui
osape obliquement; non parallöie & la base.
Cellattral : parent qui ne descend pas en ligne
direote.
TaınsvensaLımäne, s. f. qualitö de oe qui
est transversal ou collateral.
TRANSVERASALNENTE , adv. transversslement :
ebliquement, en travers.
TaınsvERsänıos, 5. m. pl." traverses d’arba-
lostrille.
TaansvEnso, A, adj. transverse,, oblique.
Taansvzarta, 9. a. ronvorser. V. Tres-
torsar.
TRANsSYEaTiDO, A, P. P. de Transverier.
Taınsvıan-ez. V. Hıtraviar-se, Desenca-
miakher-se
Trira, s. f. wape, piege.
Taaricı, s. f. fraude, dol, tromperie dans
un marche. Tromperie, fourberie geelconque.
Chicane. Tricherie, trigauderie.
jeogo, wicher au Jeu.
Traracanon. V. Trapaceiro.
Taaracan. V. Trapaoser.
Taaraczär, v. #. frauder, tromper dans un
marche. Chicaner, tricher, trigauder.
Taarackıno, A, 5. fourbe, benneteur, nar-
quols. Trompeur, qui frande, qui use de del
dans les vontes, oto. Chicaneur, tracassier; Iri-
eheur, trigaud.
Tuaracenia, s. f. tracasserie, chicane; chi-
canerie, tricherie. V. Trapapa.
TaarıaLuipa, s.f. quantiis de guenilles. (Ag.)
Confasion ; affaire embrosilide.
TaaraLnäno, adj. m. Leite — , lalt teurne.
Trararuiö, Ona, adj. ot e. (fam.) persenne
TRA
deguenilide. Brenition, qui veut se mauiler dı
tout et qui gäte tout ce quiil fait.
° Taarassin. V. Passar, Decorrer.
Trarassänto. V. Trapeceiro.
Tuärz ‚ voix imilslive qui indigus caup.
Taaprin, 9. n.($. de mer.) balıre cuuire le
mät, en parlant des voiles.
Taaptına, s. f. lacarne en labatiir; mme-
sarde. (fig.) Trappe, piege, trebuchet,
Taartıno, A, s. chiffennier:: celei qui a-
masse les chiffions pour lsire du papier.
Taartıto, a, adj. (fam.) deguenill.
Tairzzirg, s. m. (fam.) oliquetis des pie
dans un combat.
+ Taurezisönug, adj. 2 gen. ( 8. de bei. in
peziforme : en forme de trapeze.
Taır£zıo, s. m. (1. de geom.) Lrapdae : igwr
de quatre cölös, dont deux seulernent sonl >
ralleioe.
TaaricHz, s. m. magasin au bord dei: we
(su Bresil).
Taarıcnkıao, 3. m. cplai qui a um magamı
au bord de la mer, qui le tient & ferme eu gei
Padministre. V. Trepiche.
Trarinno, dim. de
Triro, s. m. chiffen, halllon,, gwenilie. (Ag.
Vieux habit. Linguads _s, hemme qui aruzua
mal, bredeuilieer.
Tairoıa ow Tairula, s. f. wrappe, pi,
trebuchet; filet, traquenerd.
Taigqve, s. m. bruit d’une fusde qui crew;
pttard. (Ag. vuilg.) Pet.
Taaquzia. V. Traquejar.
Taagotıaa, adj. f. Herva — V. su mei
Herve.
TasaquEsino, A,P-P.
Taaqunsin, v. a.(Ag.) leniaiser, digen.
u. ». Peter, petarder.
TRAQUETE, 3. m. (1. de mar.\ * misaine : vo
ontre io beauprö et la grande veile. — &
moinhe, traquei de mostin. Por d cape cm»
— , metire ä la ospe A la miseine.
TRAQOETINBO, 5. u. din. de Traqufis.
Taagvınipa, s. f.“üntamarre, [racas, brui.
vacarme.
Tragvınia,, v.w, (fam.) faire de vararımı,
du bruit ; ötre turbulent.
Taaquinas, s. mw. onfant turbulent.
+ Taagorräma , s. f. voitare bowurgesim &
.| quatre roues et A un si6ge.
Träs, prep. apres ; derriöre. V. Höre. Par
en arriere; ärecalons. Trds, —, bruit gr
fait en heurtant une porie , eic. : pam, pen-
+Tais, s.m. (fam.) lederriere. Coup bruys
TaAsanDaR,, 9. a. ei m. faire recaler «u
euler.
TRAASANTONTEe, adv. Il y a quatre jew.
Tnassorpino, A,9.9. de
TRASBORDAR, 9. a. el a, döhorder, veruer par-
dessus les bords. ( Ag.) V. Exusder, Behr
ebunder.
TarascaLin. V. Trescslar.
* Taasciuans , 8. f. pidce derriöre uns cha
bre ä opucher.
TRA
Traseorıci6. V. Transcolarkd.
Trastıno. V. Trazeiro.
T Trasstca, s. f. action de transvaser, de
soutirer une liqueur, soutirage.
TrAsr£cÄDO,, A, 9. p. de Trasfegar.
Taasrecanöna, s. f."soutirage. V. Trasfega.
TRrASFECAR,, ©. @. transvaser, soulirer une
liqueur. (Ag. inus.) Transporter, chauger de
place. Tratiquer. V. Lider, Negocier.
Taasreco, s.m. V. Trasfdga ei Trafego.
Taaspecußıno. V. Trasfogueiro.
Taaerıön, s. m. (1. dorf.) Neurs d’or sur !’6-
mail.
Trasrocufßıno, 8. m. grosse büche qu’on met
Jderriere le feu.
TaasruLzipo, 2,9. p. de
TrasroLzir, o. @. (8. de peinf.) calquer (un
dessin,, etc.) sur un papier huile.
Taisco, s. m. latin, esprit follet; ( Ag.) en-
fant petulant.
TRASCUEAR, v. #. lutiner, faire le latin.
TrasLacid. V. Translagdo, .
TaasLapackö, 8. f. translation du corps d’un
saint , etc. Traduction; translation. V. Trans-
lardo.
TraasLapino, A,P. 9. de Trasisdar.
TRASLADADOR , 3. m. celai qui transporle,
qui fait la translation. Copiste. Traducteur.
TrasLanän,v. a. translerer, transporter d’un
lieu & un autre. Copier, transerire. Traduire,
faire une traduction. Donner & un mot un sons
Sgurs, metaphorique.
TaasLino, s. m. double : copie faite mot pour
mot sur l’original. Exemplaire, modeie d’deri-
ture. * Transeription, copie, image; portrait
ressemblant, vrai portrait de quelqu’un.
+ Taaurin,s. m. la partie qui est derriöre
Fätre d’un four.
Taasıozın, etc. V. Transluzir.
TRASMALHÄR.
TaısuiLno. }V. Trormaelk..., eie.
TRasmonTino, A, pP. p. de Transmonlar.
Taasuontino, A. V. Transmonlano.
. TRASmONTÄR, vo. ». passer au delä d’un mont.
(fg.) Disparaltre, s’&vanoulr. V. Transmontar.
Trasuupin, ote. V. Transmuder ou Trans-
auler.
Taısnortino, A, adj. quia passe la nuit sans
dormir. Biöme, abattu, ete., pour avoir passe
la nuit sans dormir. p. p. de
Traswoıtia, v. ». passer la nuit sans dor-
mir,
Taasöra, 8. f. (6.de proo.) V. Cavalla.
Trasonpıninio. V. Transordinario,.
*Taaseissa. V. Trapara, Freude.
Tnaspassaciö, s. f. "iransport, oessien.V.
Trespasso.
TaaspassiB0, A, p. p. de Traspassar.
TnasPpAassauenTo. V. Trespasso.
TInaspassär (6), Y. 8. iransporter s porlo
d’un lıeu & un autre. Traverser, passer de l’au-
(re cöt#; passer outre ou au delä. Bepasser,
passer une seconde fois. Transperser : percer
de part en part. (Ag.) Transperoer, navrer lo
TRA 1165
etfur, penötrer de douleur. (fd.) Transporter,
otder ses droits , ete. (dd.) Pöneirer, saisir: om
le ditdu froid. Ilest aussi neutre et reciproqgue.
V. Trespassar.
Traspisso,, 8. m. transport : cesslon d’um
droit, d’une propriets. V. Trespasso.
Traspt, s. m. croc en jambe (inus.). Faux
pas, glissade, bronchade. Dar —s, vaciller sur
ses jambes, chanceler, se soutenir ä peine.
TaasrıLin, s. m. pilier derriere un autre.
TaaspLantin, olc. V. Transplantar.
Trasrosıcäö.V. Transposigdo.
TaıspOn, v. a. ein. disparaltre ensecachant
derridre ; se coucher derri6öre, en parlant du
soleil; s’d&vanoulir.
Tnaspon-sE, ©. r. disparalire, n’evanoulr,
passer. V. Tranıpor.
* TaAsPoRTaLecee. V. Traspor ei Desappe
recer.
Taıspontia, etc. V. Transporiar , etc.
Taaspösta. V. Emposte.
Trasprautin. V. Transplaniar.
Taiste , 3. m. meuble ; bijou ; usiensile,
* Touche : piöce qui, dans cerlains instruments
äcordes, sert ä marquer la division des lons;
corde & boyau. (buri.) Vaurien, mauvais gar-
nement.
TRASTEJÄR, 9. ». remuer, arranger les meu-
bles. (Ag.) Se donner du mouvement; chercher
ü gagner sa vie, brocanter.
* Taastzurän, etc. V. Prescrever ‚etc,
* TAASTENPO, 5. m. V. Prescripgäo.
Taisto. V. Traste.
Taastoanipo, A, p. p.de Trastornar.
TasstonnapoR, A, 8. celui qui relourne,
renverse.
Taaıstoauirk, 9. a. relourner, renverser,,
bouleverser, zmetire sens dessus dessous, sub-
vertir. (Ag.) Reoverser, troubler la raison. \id.)
Tourner l’esprit de quelqu’un ‚le faire changer
d’avis, etc. (dd.) Troubler , confondre, metire
on desordre.
TRASTORRO, 6. m. renvorsement, boulever-
sement , trouhle „ subversion. (Ag.) Conire-
temps fAcheux.
Taastaaväpo, A, adj. trastravat ; (cheral)
qui a des balzenes en disgoenale aux deux
pieds. (Ag.) Lourd, gauche, malauroil, pe-
santı.
TRASTROCAÄDO, A,P.p. de Trasirasar. adj.
Dont on cbange l’ordre , l’elat; renverss.
TaasTaocha, u. a. Changer, renverser l’or-
Are, l’&tat des choses. Intervertir, (Ag.) con-
fondre, wroubler.
Taasvauııa. V. Tresverier.
Taasvasian. V. Transvsser.
Taaräoda , 3. f. Irame, complet; friponnerie.
TaaTapo, A, P. p. de Traler. s. m. Traite,
convenlion , aocord. —, ouvrage oü l’on tzaite
?| d’une science, d’une matidre.
Taatapör, A, 5. (P. ws.) V. Traiants, COn-
(raclador.
TRATANMENTO, s. m. Lraitement: bon ow HAMM“
vals accueil. Titre qu’on denne & quelquim.
14166 TRA
Entreiien om semmerce aveo quelqu'un. \.
Tralo. a
Taarlätk,s. m. marchänd, wafllguant. (Ag.)
Fripon,, escroc. .
Taıtia, o. a. traiter : agiter, discuter, dis-
eourir, raisonner sur ug sujel. Trailer : se con-
duire avec quelqu’un. Soigner, surtout en
parlant d’un mederin. Ernployer, pratiquer.
Toucher, manier. (Äg.) Manier, conduire une
effaire. (com.) Trailer: negocier an Acccm
modement, elc.; traiter, avec qäeTqu’un. —
alguem, fr&quenter quelgu’un. Soigner quel-
qu’un, Iui donner ses soins, en parlant d’un
medecin. — armas, manier les armes. —
amores, faire l’amour, avoir une liaison ammou-
reuse. — verdade com lodos,, Eire [ranc, sin-
eöre, de bonne fol envers Lout le monde. —
alguem por excellencia, por senhoria, trailer
quelqu’un d’excellence, de seigneurie. — com
arrogancia , auloridade, preudre sur le haut
ton.
Taarir (de) , v. ». Iraiter ; agiter, diseourir
sur. Avoir soin de; songer 4, w'occuper de;
tächer, s"efforcer de, travailier, Sapptiyuerä.
-— d’um döente, trailer, soigner üh malade.
— com ofguem , avoir des relations avec guel-
qu’wı. — com Deos, s’entrötenir avde Dieu
danmia priere. Suber alguem com quem (rala,
eöhnsitre bien son monde. — ein merränckas,
fsirele commerce, Üöhnthercer, traffgırer.
TRATAR-SE, v. r. xe vöir, be tröquenter , 1b"
ce 5a per-
sonne se noürrir bien ou mıal, etc. —d Brnden
€tre somptueur, faire bonrie cheıe, elc. Träla-
se de... 8’agit, il est qnestion de... De que 36
train P de quai est- il Question? de quoi s’agıt-
il? E a maleria ae que se Irala, c’est Ta chose
vre ensemble. Avdir goin ou nöh
en question.
ıtkveL,adj.2 en. shanlavie, En parlant
des ınötanx ‚ete. Traftäble, donz ; avec qui on
peut tralter. Fazer-se — , sv apprivoiser.
+ TrariveLwiere, adv. d’une tbantere fral-
table.
Taarzivo,A,P.p. de
Tnarxir, 6. a. applitgueria forture,
Träto,s. m. maniement : action de mänfer.
Maniöre de se fraiter, de Ne hourfir, to. (y.)
Traltemenn : fegon d’en user 'ärec queiqu’tun‘, f
bon os mauvets acceueil, ete. (3d.) " Liaison,
amilie, communication, commerce, farnitia-
rise; (r&uentation. (dd.) Cöinmerce iMteife
avec une ferame. Traßc, negoce‘, tOnrHeru®.
°Convention‘, accord. —dodre,, ehtitie donbke
et fausse. Dar bum —, Waiter bien. Darmdo—,
maltraiter. De—agradavel , d'un agreable com-
merce. —s, pl. "tortare, wucstion. —e de yold.
V.ce mot. Dar —s wo Juise, tig.) meitce Pes-
prit en tortore. ‘
* Tuausir.V. Taxer. '
”"Taruso, 8. 1%. V.'Tana.
* Traussagad. V. Trunsaeedo;
Taiura,e.-f..piste, Mucc. V. Rasio.
* Tuautär, etc. V. Tralar, eto.
"Paiuoro, %.mM, y, Yirade;
TRA
[niva, e. f. olive, pouise qui Iravesse —
erus, bras d’une croix. — das Besias,
raves.
ravacid, s. f. liaison, opnnexion, enchai-
ement.
Travaoontas, s.]. pl. * diffärends . dispates,
contestations, d&bais, demeles. II est soovemt
usit& comme subs. m, Tive um — com eis, jai
eu un differend avec luj.
« TRAVÄDANENTE, edv. d’une manläse eu
hacse. Pete-mele.
Tnavansına, 8. 7. outil d’artisan pour ee-
her les dents d’une sche.
Travinpo, A,P.p. de Travar. adj. Jet. ie.
assemble. Entrelace. Melk, eınbrouille. Ex. ı:.
dl trav6, enirave. On le dit d’un cirıa
yia des marques blauches aux deux pieis de
In&me cöt£.
Taarapor, adj. eis. güi lie, joint enserb.r:
qui eniame, commenc», etc.; qui entrave. ri.
Teavipos, 6. m. pl. Iravates : Ouragans IT-
kibles sur la cö3e de Guinde; vonts wes-has-
u Er
RAYaDÖURG, #. m. paluron : parie du p--
du cheval, eto., od s’attachent les entrave«.
Taavapürı, $./. Jiaison : action de lier ; I:
ee qui sert & lier, & joindre anne cbose & an
kutre ‚lien , allache
RAVAL. Y. Yrodal.
RAVANBATO, 5. m. engagement de baaü'r.
Tuavänca, s. f." enträve, obstacle.
Taavancir, elc. V. Älragancar, etc.
Travad, s, m. anncau de Ior om chalnr ge’os
mel aux pieds d’un cheval.
Travia, o.a. foindre, lier, assember. =
cer. Entärher, commencer, engager. basıt-t,
empetrer (lds aniınaur). Tourner le Li“
d'une scle. — ührisade, nouer, her am:». —
batalha, en veniz aux mains, engazer ie a
bat. — de, saisir, prehdre, empoigner.
Traavin, 9.9. air aa goM Apre, rest,
en parlant des fruiis.
Taavik-sk, 'd. #. 5b Tier, sanir, se joi-?,
&ic. Se battre, en venir Aux mans. — dr pas
erns , He razdes, se prenäre de parofcı.
Tkive. s. f. poulre, solive, cherrm. E-
fraves dt Cheval.
Travecia. V. Trovessie.
TuUANMABERTO, 8. m. ahauzpente de mai‘
TravEsin, v.@. pesericasaliwes; zum ©
poutren,
Traves,s.m. travers, biais, obliqnite. # ı*
dc bastion. — da fortane , fig.) uscnhe id»
gräce, mallreun 4,0 , & trau Mr—.
de travers, en drators, de ddais, Bussen?
Por a =, (8. de mar) aıellsc zu pamme. Dar s
— , (id.) echouer.
Travnswa is. f. tioveitsa, Bidee de beie >
Ilte rue troversiire. Okanin de fraverw *T->-
jet, wen erste bar new. "Bras de croim. "irr-
en-Janrtte. '
Tram od). f. ObNique, de URS, por *
irdvef®. Pdrie = ‚’pdtto Inlerie om derenc'
TRE TRE 1167
(Ag.) meyen deiaurne. Mär — , [a largeur de la verlit, s’smuses, se laire des niches. Jouer aux
main. Flaute — , flüle Lrayersictt, .. cheos.
IRAVESsAG, „m. vent are sier, Filau de, Tarpdıno, s. M. Jouet d’enfant, Jotjon, bim-
balance. — d’abita , lt. de mer.) ırayersin des| Helot. Badinage, plaisanterie. Petit vase. 8,
bittes. adj. m. Vento —, vent contraire ow tra- | Pl. piäces du jeu d’Echecs. Sorte d’ancien im-
vorsier. , un t sur le vin.
Anavapsin. V.dtracessar., u. TasBeLLiana. adj. f. Quarts—. V. Quarls
FTaavessein, v. m. ölre inquich, türbulent, Tar.sero. V. Trebelho. ,
n’tire jamgis.en repos, On Ip dir des enlants,| TREBOLA, 2 f. sorte de gros poisson d+ rO-
etc. Ay.) Mener une vie dereglee, digsolue. „| @&an. a akıd
Taarzsstıau, s.m.Lraversin,chevel,oreiller] * Tazaöına, s. [. grande outre ä in.
TaEBÜCAR, ©. %#. chävirer, en parlant ach
1,04. Y. Zrabucar.
long.
Taavssuja, 2. f. veni senicaire au trawiorlier. escco. V. Trabwco. 5 .
TaEbıraR, eic. V. Tribular, eie.
TRAYESSO, A, adj. traversier, de trawers. W.
Travessa , adj. f. T v.T
Taavesso, A, adj. mistim, Mechant; inguiet RILADN: 1» . a
vif,\orbeleng, enpiögle, sanb-sesse ap, Taecatıo (A), loc. adv. en abbndance „a
ment. On le dit des. enfands ‚ sic: ‚ „'08on. - eh .
Tnavsaguns, s. f. nmchamceld; ımallige: e-| , T TBECHO, 8. m. Espace, intervafie de temps
piegtesie. V.Keturdda. . . s de lin. A—a, parinlerrelle, de lemps en
TRAVESSURINHA , din. de Trotessura. emps , de distance en dis:ance, g& et ld. A
Tamm: V. Sr —t, de loin.en pin. _,
TRAVINCAVAR. V. Alravancar. Inecö, 8, m. tiercelöt. V. Torch.
Teıvısia. V. Travossia. Er Taschı. V ‚Targol. ..
Taivo, s.m. "Apreid,. gMt äpre. il. (p.ur.)| ° Tazpice. V. Trairde. I.
Bakourdissemen}, sontzaction des nerfs. *Trtno,A, ad. V. Traidor, Bomensido.
Taıvotıa, a. f. " foret.: instinunent pour "Zuzbdn. V. Arador.: .
“ Tatposamante. V. Alraigoadamente.
vor, Perser un Sonneatı, elb.
Taiz. V. Träs. . Tatnoao, eto. V. Trasdär, 8. .
TRAZENOR, A,.F. calei yui,.Fppauie. «. . Taßrrco, A, adj. remuank, vil V. TrAfo..
+ Taaziına, a. f. "derriere d’uns vaituze.
Hogo da —, laquais qui va darriöre la Weitnre-.
Taaztıno, a, adj. qui enkıomrasle dasriäre;
posterieus, .de eu on Aseriäre. Paria —a,po
de derriere. j ur ‚
Taazkınd, w.tederriörz, le eul, lo Sonde-
meRB e
Trazer (a, de, para),o.a. porier, a ;
transporter, conduire j Ya fen Fe
rer. Causer, octasfonner. SV.) Apporter Ir
guer des raisons, etc. Ameher dson sentl
attirer & son 'parli. Avdir, trafter ‘line atfafre
avec quelqu’un. Avbfr, pörter üh höblt‘, ete.
“ Mener, amener. — or fortä, com eillenchh ’
Tatro , a, ey. An, russ , adrait. V. Tröfegp.
‚Tnaosttanös , A, s.:bateleur, Jaunpr de g9-
Ihelets; geirascier, —bre. u
TanokutaR, 8. M. gESLEN, MINAE, SONLOFEIONG,
(grimaces. Tours de passe-passe , escamolage.
Eutcoa 0% Mine. suspensinn d’ArMEB,
Tr£cur,s. f. | cessalion d’hemililss pour
iın temps, par oehmueiiens (AY.) reiäche, GEB-
'sallon ; rupos, interruptien de warail. —@, I.
VEcanoss.
Tagıgkö. V. Traipdd.
Tagıcoan, etc. V. Alralganr, olo.
Taxınon. V. Treldor.
Fran. V. From.
Tazını, s. f. carte douhte aux. faucons , Ol:
obliger, forcer, conträindre. — dd, rappdr-
ter, en parlant d’un chien de chasse, Bi „'|\(Ag.) * Allechement , zttrait‘, app&t, amoros.
moria, rappeler, se go hif, La Yıidmorda, Freınkpd, A,9.p. de
no pensamenlo,, relenir’äshıs Pa fnettidite, Con-. Trlwän, ©. 0. Houner la surde aux faus
server le souvenir. — origem ‚'Adscenüre. —'z'| Cöhs ‚u. 0
propostlb b’que'se diz ‚!pläcer Hönce quon the | _Frtıra‘, & if. wos, vestiges, piste. V.
— rontade, avoir 'ehrie ow dihir Te. — a bar- | Trete.
x, 0). Moni, russ, rom. .
riga d beeca, ötre endeinte, 'etre grosse d’eh-' a
K- Takıro, A, ij. sufe®, ekpos6. Usit# , suiri,
fänt. -- ulguerh entre dentes, avolr une dent |
eortre juelgh’un, fri en vouloir. —'de renlia,'| seddufume. Weiaur) V. Trrasado. Mal, mal-
Il traite.
tenir (une terre, elc.) äferme, & bail, u \ vr eo.
“Tnazer-sk, v.r. Are bien ok nia Yalı,y.| Tnzssıranor, etc. V. Troyatiädor
» o bien ok mia veta.v.| IR an V. Proojuren, )
Trajar.
Traziva,s.f. "transport d’un lien un autee.. re s : pr ae car, oi8 u
TnAzINERNO , 8, miransport, imporlalion. TreLLa, s. f. laisse : corde pour mener leb
Inazöua, V. Trerois. | chiens. Zevar & —d eBo, mener iv chim en
Tre, s. m. espece de toile de lin. '| Iuisse. Sollar a — ad ae, lacher ta 'laisse au
TarDELHÄR, 0.0..jower.’ Ok dit’Nes enfants | chien. Soltar a — , dar —. {fiy.) donner peid-
gut s'amusentavec feupp jone®.Rire,:se di-|'che, liberts, permeiue, Redrwa-—, (4d.) Hire
’
1168 RE
impatieni pour faire une chose. Esganicar-se
na —, (id.) precher dans le desert. Trazer d—,
(id.) ınener quelqu’un en laisse.
Indus, s. m. train, atlirail, arroi, equipage
de voyage ‚etc. — , suite, cortege, etc. — d’ar-
Klkeria, iraiu d’artillerie.
Tazuııno. V. Tresmalko.
Tazuinte. V. Tremente.
Tazuar, v. a. efler du linge, ete.; faire de
la charpie. o. ». (vieux) V. Tremer.
Tazuzsündo, A, adj. terrible, redoutable,
effroyable, &pouvantable.
+ Tazuire, s. m. (t. de bof.) becchante de
Bresil (baecheris Brasiliens).
Tazuezckm. V. Tremez.
TazussiL, s. m. lerrain mardcageuz, Irem-
blant. "Fondriöre, crouliere.
Di EnunoR ‚A, adj. ot s. irembleur, qui trem-
e.
Taxusıtan, V. Tremeliar. it. Bambalser ;
er.
Tnausıaca ou torpille : poisson plagios-
Tagutıca, a. f. | tome, edlectrique, du
genre de la raie, qui cause un engourdisse-
ınent quand on le touche.
Taeuzıurcia , 9. ®. trombloter.
"TazuzLıchso, A, adj. trombletant. V. TZrd-
ulo
TREuURNDAuSNTE, ade. Lerriblement, d’une
maniere redostabie.
TRENENDISSINO, A, adj. sup. de
Tazuinno, A, adj. terrible, redeutable,
tpouvantable, affreux. Digne de respect, de
yendralien. Eivanant, grand, exoessil en son
genre.
Tazutnte, adj. 2 gen. tremblant, quiirem-
bie. p. e de T'remer.
Tazuzeutina. V. Torebinikine.
Tazuta (de, com), o. n. trembler : öire agit6,
interrompu ; &iremü par de [röquenies sosous-
ses ;n’ötre pas ferme ; s’ebranler aisement ; (fg.)
eraindre, avoir grande peur de, que.
Tazuztrea-ıe. V. Entromelter-se.
Tarxutz, adj. 2 gen. de trois mels. Trio —,
wemois : bio gui müril em izeis meis.
Tazuszinno. V. Tremes.
TRrENinO,,A, p.p. de Tremer. ady. tremblant.
Letra —s, teriture falle d’ane main mal 38-
surede. Linhas —as, suite de points dans los
esttes marilimes peur indiquer los venis iater-
mediaires.
Taguınnıcia. V. Tremeibicer, Cambelsar.
Tnemurıchso. V. Tremeligoss.
Tusuisses, s. m. pl. ancienne monnaie, qui
valait un franc ä peu prös.
Tazmo. V. Trumd.
+ Tazmockıno,s. m. ($. de bot.) lupin: plante
l&gamineuse.
Tazuöco, s. m. lupia :graine en före. V.
Tremecsiro
TazuoLino, A,p. p. de Tremolar.
TarzsoLiänte, adj. 2 gen. agilt, flottant au
gr6 du vent. p.0.de
TaxzmoLin. ©. a. arborer, deployer, faire
TRE
Botter (on drapeau, un etendard, ele.).v.s
flotter, &ire agit& par le vent. — ao venie, (L
de mar.) dejouer, tourner, volliger au gröda
vent. Vaciller, en parlant de la lamiöre d’we
ebandelle.
Tazuonna, 8. f. tr&mie de monlin.
Tazmonuino, 8. m. huche de meulin, auge
oA tombe la farine.
TnzuOR , s. m. tremblement. — de frie, fü-
son. — de terre, tremblement de terre.
Takurs, s. [.“iwepiod de cuisine.
Tazuueis. V. Trensmuder.
+ TasuuLautute, ade. d’une manlise wen
blente, on trombianı.
TatuuLinte. V. Tremule.
Tauzuia. V. Tremelar.
TasuuLo, a, adj. tromblant : gei Irsmbk.
(Ag.) On le dit de la Iamiere.
+ TatuoLos, s. m. pi. foars de pierterik
soutenues par des Als d’archal qui irembient.
TazuuLsso. V. Tremule.
Taxuöras, s.f. pl. (Pop.)” transes. V. Apıra,
Angustia,
Tatnı,s. f. “rauban, tresse. * Fouet de wapie.
Tatuca, ete. V. Trengs, ete.
Taund, s. m. iralneau : veiture pour alt
sur la neige;; veiture sans roues.
t Tagnos, s. m. pl. * plalntes, Ismentahtes
(de Jertmie).
Tasraptına,s. f.(t. de bet.) "Tiseren des baies,
grand lisoren ‚ liset: plamte grimpante. (1.2bot.
nat.) “ Grimpereau - eisonu qui grimpe ie jef
des arbres ; u tönairesire. — ds ur
rose, grimpereau de muraille. 45 —ı 00 PER
eilhas , les grimperesux.
Tanvantına, adj. f. (4. debet. a dhiel. wel.)
grimpante , (plante) qui grimpe. Ave —, iR
u
Tazrınön, A, 8. voltligeur, dansenr de card.
TaErADOR, A, adj. grimpant, V. Trepadsire
+ Tazranonıs, 8.0l adj. [.pl. (1. Chi. nal)
“grimpeurs : ordre d’oiseaux & qualre dei)
opposts ‚ qui grimpent le long des arbrei.
REPADÖURO, 5. me. (dmms.) emdroit par el
Yon grimpe.
Tazranipo, A,9.9.de
Taaranin,o. 0. (1. dechir.) tröpsner : hit
Poperation du tröpan.
Takrano, s. m. tr&pam : operation qui IR
siste ä enlever un morceau da eräne post K
sonder ; instrument de chirurgie pour la lift.
Tazrir, 0.n. grimper, gravir. Grimper, @
parlant des plantes grimpantes, et des pi
ars.
P Tnureca, s. f. "siöge ä trois pieds, trpiel.
Tagreas, pl. V. Trempe,
Ingrıca. y4 Tröplies.
nericae. V. Trepiche.
Tanrınackö, 5. f. (8. desire.) töpldeten:
balancement que I'on atiribuait autrefoi 41
" Teurniure,adf 18. 0. de
PIDÄRTE , adj. 2 gem. agilb.
Tasrınia ‚v.n. (p. us.) trembier,areit peü'.
TRE
TRI 1169
Tageızo , a,adj. craintil, timide, tremblant. |, Tarsronzauzcee.V. Trasporlalscer.
Tagruıca, 3. f. (4. de praf.) triplique : re-
ponse & une duplique.
TazrLicano, A, 9. p. de
Tazrıicia,v.0. (8. pret.) tripliquer :
r&öpondre & des dupliques.
Tas, adj. num. 2 gen. ot s. m. trois, deux
et un; le chiffre 3.
TInzsanpir , v. a. V. Transformar. vo. ®.
Puer, empester. V. Trasandar.
Tausıavö,s. m. trisaleul.
Tazsavö, s. f. trisaleule.
Tnzssonpäa, etc. V. Trasbordar, etc.
TAESCALÄR, 0. 2. avoir une odeur Ires-(orle,
et qui p6neire dans les narines.
TaEsDOBRÄnDO, A, p. p. de Tresdobrar. adj.
Triple.
TaEspoBRADÜRA, 8. f. "triplement.
Taxspoprnär, v.a. tripler. V. Triplicar.
Taespösae, adj. 2 gen. (t. mil.) on le dit
d’une sorte d’6&volution militaire.
TkespöBR0O , s. m. le triple, trois fois aulant.
Tresrecir, etc. V. Trasfegar, etc.
TRESIURÄR, 9. n. jurer souvent.
Taxsıapär, etc. V. Trasladdr , etc.
TrnesL£r, vo. w. (fam.) deraisonner, extra-
vaguer & force de lire.
TaEsLıDo, A, p. p. de Trester.
TRresLoUcinDo, A , adj. tres-fou,
TRESMALHÄDO, A ,P. p. de
TagsmaLHir, vo. a. laisser &chapper, perdre.
TRESMALBÄR-RKE, ©. r. s’echapper ; 8’6garer;
se ımeler, se confondre.
TaksuäLHO, s.m. tramall, tr&mail : sorte de
Rlet de p£cheur.
Taesuontin.V. Trasmonlar.
Taxsuupir, etc. V. Trasmudar, eto.
Tausundta,s. f. arriere-petite-lle.
Tazsu£ro, s. m. arriere-petit-Nls.
Tagsxoırano. V. Trasnoitado.
* Tatso. V. Tredo ou Trefo. .
Tazspinno, s. m. sorte de tissu de trois
trames; toile pour faire des matelas.
Tazsrassacä0, 3. f.V. Traspassardo, Trans-
migrapio, Transgressäo.
TREsSPASSiDO,, A, 9. p. de Trespassar. adj.
Saisi , wansi; interdit.
TRESPASSADOR, A, adj. et s. qui perce, qui
"pendtre, etc. V. Trespasser.
TRESPASSAMENTO , s. m. action de traverser,
de percer d’oulre en oulre. Transgression d’uns
loi, etc. V. Trespassagdo et Trespasso.
TREsPASSÄR, v. a. et ». traverser; passer
outre; percer de part en part. Violer, trans-
gresser ( une loi, un pretexte ). Rösilier (une
vente, etco.). Transcrire, copier, traduire. Alon-
ger, prolonger. Excöder. V. Traspassar.
Trespisso, s. m. V. Traspasso. " Transmi-
gration. Chagrin, douleur, aflliction, transe.
Trepas, mort, de&c#s de ’homme. Delai, retar-
dement. * Transgression d’une lol, ete. Jejuer
0 —, ne manger ni boire depuis le jJeudi saint
& midi jusqu’au samedi saint ä la m&me heure.
Tazspon.V. Traspor.
PORT. FR.
Tarsrösta. V. Emposia.
Tngssuino, A, P9.p.de
Taxzssuir, v. 0. oi m. suor A l’excds.
rt Tassraurin, o, ». (burl.) oxtravaguer ü
Voxces.
Tassraavino. V. Tresirevado.
Tagsvausan, oto. V. Tresveriar, oto.
TagsvaRıADO, A, adj. en delire. p. p. de
Tazsvanıka, v. ». delirer, ötre en deline;
batire la campagne. Exiravaguer.
Taxsvanio,s. m. delire, transport, röverie.
Tassventepuna. V. Verledura,
Intra, s. f. botte d’escrime : moyen qu’on
emploie, soil pour altayuer, soil pour parer,
feinte. (Ag.) Ruse, artifice, siratagäme, wmani-
gance.
Trku, s. m. (l. de mar.) tröou: voile carrde
que les galöres, les tartanes, etc., porient dans
le gros temps. Voile, en general. A— ce a
remo, avoile et ärame. Panno de — ‚toile &
voile.
* Tagusassöm. V. Travagdo.
Tntvas, s. f. pl. tenebres, obseuritd; pri-
vation de lumiere; nuit ; (Ag.) erreur, &gare-
ment, aveuglement de l’esprit, etc. —, Ma-
tindes des trois derniers jours de la semaing
sainte. O reino, a mansdo das —, le sejour
wönebreux.
+ Taßverıs, s. f. ({. de gdog.) Tröves : ville
d’Allemagne.
Trevire, s.m. drogue me&dicinale de l’Inde.
Tatvo,s. m. (1. de bot.) tröfle ,triolet : plante
vivace, legumineuse , de diverses Ccsp&o6s :
bon fourrage. — branco , trelle blanc et ram-
pant. — colonilhoso, tr&öfle ootonneux. — az0do.
V. Azedinha. — de cheiro, melilot-baumier,
tröfle margue. — dos charchos, menianıbe,
tr&fle aqualique.
Tatvoa. V. Trevs.
Tazv6so. V. Tenebroso.
“ Tazvupar. V. Tributer.
*“ Tazvöno. V. Tributo.
T, Tanz, s. m. V. Trespanno. adj. num. V.
res.
Tatze , adj. num. 2 gen. Lreize, diz ot Irois.
Eslar nos seus —, ( ig.) persister opiniäund-
ment dans une enireprise,, etc.
TIngzena,s. f. treizaine: nombre de treize;
prieres, devotions de treize jours.
Trezeno, A, adj. treizieme : nombre d’ordre
qui suit le douzieme.
Tazzentos, as, adj. pl. num. Lrois cenis,
—o,,s. f.trois cents Aveo Maria, ou deux ro-
saires de la Sainte-Vierge. As —as de Jodo de
Mours , couptets e&l&bres de ce po&te espagnol.
Tarica, s. f. theriaque. V. Theriaga.
Taracukıno, 3. m. celui qui prepare la Ih6-
riaque.
Taıinpnıa, 8. f. (. de bot.) triandrie : troi-
siörme ciasse de vöogötaux, & Neurs hermephre-
dites, & trois dtamines.
TRIANGULÄDO, A, adj. triangulaire : fait em
triangie,.
v
1470 TBI -
TrıancvLin, adj. 2 gen. triangulaire : qui a
trois angles. (4. de bat.) Triengule, & trois an-
gles. Chapeo —, tricorne, chapeau & Lrols cor-
nes,
+ TatanguLanuänte, adv. triangulairement:
en triangle.
TrıäncoLo, s. u. triengle; figure qui a trois
odtös et troisangles ; constellation composee de
trois dtolles de la quatriöme grandeur.
Taıino. V. Triennio.
TaıapnÄänMaco, s. m. sorte d’emplätre.
Taıinros, s.m. pl. (1.d’ant.Ytriaires : soldals
du troisi&me corps de la l&gion romaine; c6
5.
* Tarso. V. Tribu.
Taisoro. V. Thuribulo.
+ Taısrico, s. m. tribraque : vers de trols
bröves.
Taieu, s. m. tribu : une des parlies du peu-
ple (romaln,, juif, etc.). —, peuplade.
TrisuLacäd, s. f. tribulation , affliction, ad-
versite.
TaısuLino, A, adj. alllige. V. Atribulade.
p. p. de
TeipeuLie. V. Alribular.
Trıauıso ou TaıwurLo. V. Abrolko.
TaisuLo. V. Thuribulo.
Taısüna , s. f. tribune aux haranguss, ches |.
les Grecs eties Romains;; lieu .elev6 pour ba-
Fanguer; lieu particulier et elev6 au-dessus du
res-de-chaussee,, dans l’interieur d’une &glise,
pour entendre le service divin plus commode-
ment.
TaınunÄäno, 5. m, tribunat: dignit6 de tribun,
sa duree ; corps des tribuns.
TaısumäL, 3. m. tribunal : siege, juridietion
d’um Juge, d’un magistrat. Senat , eour de jus-
tice, cour d’assises. Levar ums causa a um —,
saisir un tribunal d’une affaire. Tomer um —
eonhecimento d’uma causa, ©ire saisi d’une
affaire, en parlant d’an tribunel. — supremo ,
haute cour. — do almireniado, conr de l’ami-
raute. Tribundes, pi. tribunaux ; plaids. Dia
de —aes, jour plaidable.
+ TrisunaLı (pro), phras. ade. lat. en au-
dience publique, avec le costume et !P’apparell
du juge (fam.) D’un ton tranchant, decisif.
Teıeoniro. V. Tribunado.
Taısunicıo, A, ou | de tribun, qui appar-
Trisönico,A,adj. | tient au tribun, au
tribunat; Iribunitien.
Trıpöxo , s. m. tribun. — do povo, tribun da
peuple romain, membre de tribunat. — mili-
weh tribun militeire, officier romain , chef d’ane
'on.
Taıpurino, A, p.9.de Tributar. adj. A qui
on paye tribut. Surcharg6 de tributs. Donne en
tribut,
TRIBOTÄL, adj. 2 gon. (p. us.) sujes au tribat
ow & une redevance.
R Zarnurän » » a. payer tribut, rendre tribut.
ondre & quelqu’un le respect, les homumages
qui lui sont dus; vouer, e-
TRI
Torsırimo, Aa, adj. wibutahre: qui per k
tribat.
* Trisurtino , s. m. receveur de tribata.
TrIıBÜTO, 5. m. tribut: ce que le vasıl, m
paye en signe de dependance; mp,
taille, etc. ; (Ag.) ce que Fon est oblig6 Kar
der, de souffrir; dette, devoir, n&cessik. Pr
— d nalureza, (fig.) moafir.
Taica,s. f. cabale, chicane. V.
Trıcäna,s.f.* cotillon de paysarne; pays.
+ TrıczııuLir, adj. 2 gen. (1. de bei.) qai
trois celiules.
Trıc£sımo, A, adj. trentidme.
+ Taıcntco, s. m. (1. @’hist. nal.) — dentus,
morse, vache marine, poisson beul. — rw
maro ou elephante marınho do mar de nerk,
le grand morse. — dugomgo , ou elepkenu ms
rinko do mar da India , le dugong.
Tricniasıs,s. f. (1.de med.) trichiase: malade
des paupieres.
+ Trıcuisxo, s. m. (#.de bot.) trichisme du
plantes.
+ Tricnomane. (f. de bot.) V. Polyirce
baslardo.
+ Teıciprte,, adj. 2 gem. A trois töles.
TrıcLinıo, s. m. salle & nranger des ano
Table entourse de lits de trois cöles, qui da)
dans la salle ä manger des anciens.
+ Taicoc&ruaLos, 5. m. pl. (1. dh. ml
trichures : vers intestinaux, & trompe losgat.
+ Tnıcöcca, adj. f. (4. de bot.) Capmis-.
capsule ä trois cellules,, & trois coques.
+ TaıcHockacos, 5. mm. pl. (t. dhit. si)
trichocerques : zoophytes qui Liennesi du tet
(&re et du brachian,, ou polypes amonkt“-
TaıcoL6R , adj. 2 gen. trieolore : de Las Or
leurs.
TricoLöneo,A. V. Tricolor.
+ Tricönng, adj. 2 gen. qui a lrois tufß?*
+ Trıcösping, adj. 2 gen. (1. de bei.)
pidal ow tricuspide : & trois puointes
+ Trmmicne, 3. f. (1. d’hist. nal.) indart
testace bivalve. V, Chamaia giganiens.
TRIDENTE, 5. m. trident: sceptre de Nrpi%,
en forme de fourche & trois dents; (Ag. d®
nation des mers. nen
+ Taınautzo, A, adj. (1. de bot.) Iridenie-
trois dents. .
+ Taıpemriceno, a, adj. (podt.) qui port
trident. i ya
Taıpzıntino, adj. Concilio —, ai
Trente. .
Tripuo , s. m. espace de Irois jours.
Taızuuiı, adj. 2 gen. wriennal::
trois ans.
TrıEnnäRto, A. V. Triennal.
Taıtnnıo, s. m. triennat: espaCe,
de trois ans.
Taıgnäncmo, s. m. (4. dan.) wrierarge!
capitaine d’une galere , d’une trireme- u
+ Trıkrean, s..m. trielöride: espeCe
ans.
«+ Trieterıco, A, adj. trieterique: WU! ae
qui arrive tous les trois ons.
gei et
erereiß®
FRI
TatrAvce, adj. 2 gen. (podl.) qui a troisgueu-
les. On le dit surtout de Cerbere.
Tairıpo, A, adj. (poet.) twrißde : fendu en
trois.
+ TaırLöno, a, adj. (. de Bot.) qui a trois
Deurs, .
Taıröuto,, 8. m. tröfle. V. Trevo.
Trırönue, ad/.2 gen. qui a trois formes.
Taioa, s. m. (f. d’anf.) trige : char attel& de
trois chevaux.
Taıcamia, a. f. trigamie : troisigmes noces ;
erime de celui qui a trois femmes.
Tricamo, a, adj. trigame : marid A trols per-
sonnes & la fois ; mari& trois fois.
" Trıcinga. V. Pressa.
“ TrıcAR, v. a. exciter ; stimuler.
Trıcän-s8 , ©. 7. S’empresser.
Taiceınno, A, adj. triple , röpste trois fois.
s.. Trigemeau. Folhas —as, (1. de bot.) feuil-
les tergöminees , composees trois fois, trois fols
binges.
Taıctsıno , A, adj. trenlidme.
+ TrıcLocHins, adj. et a. m. pl. (1. de bof.)
" teiglochines, tricuspidales ow tricuspides.
TaicLy’?uo , s. m. triglypbe : ornement d’ar-
chitecture dans la frise dorigue.
Trico, s. m. bl6, froment. — Iremez ou ire-
mezinko, bi6 avrilet om tr&emois. — moxo ou
eandeal , iroment d’hiver. —espelle, epoautre,
Brand &peautre. — sarraceno ou negro. V.Fa
gyopyro. Cana de —, tige de bie. —s, pl. bies
sur pied. Vender bem o seu —, (fig. fe.) faire
valoir sa marchandise,
Taico, a. adj. de froment. (vieux) Coura-
geux.
Taicono,s. m. (t. d’ast.) trine aspect. st, Tri-
RONS, prisme ; instrument pour tracer los arcs
des signes sur les cadrans.
Taicono, a, adj. (1. de d04.) trigene ; Atrois
angles, trois cötss.,
Taıconousraia, 6. f. trigonomötrie : seienoe
gei enseigno ä mesurer les triangles par los si-
nus, cosinus, etc., des angles.
TRIGONoMETRIcAmENnTE, ade. trigonometri-
quement : suivant les re&gles trigonometriques.
Triconomerrico, A, adj. trigonomötrique :
de la trigonometrie.
*" TRıGösamente. V. Apressddamenie.
* Trıcöso. V. Apressado.
* Trıcoär. V. Trigar.
Taıcugınäö,, s. m. proyer ou preyer : oiseau
qui se tient dans les bles.
Tricueıni6, Ona, adj. tres-brun, aug. de
Triqueiro.
+ Taicveininno, a, adj. dim. de Trigueiro.
Brunet,
Teıautıro,, A, adj. brun , basand; noirätre,
tanı soit peu noir. Bis, en parlant du pain.
* Taıccöso. V. Trigoso,
f Taicumzo, A,.adj. (f. de bet.) triquätre :
prismatigue, & trois angles vils, trois faces
planes,
Trıcy'ma, 8. fı (t. de bot.) trigynie: troi-
RI 14y1
sienge ordre des treize premieres olätses des
vegetaux & fleurs & trois pistils.
TYanucivas, ady. f. pl. (4. de bot.) Folhas
—, feuilles trıjuguces, conjuguees trois fois.
+ TrıLitro, a, adj. (t.de geom.) trllaterat ,
& trois cölds. Figura — a, trllatere „triangle.
Tritnı ,s. f. * vestige, trace, piste. Chemin
frayd. V. Trilko. (fg.) Routine. Action de fou-
ler. Dar na - de, (vulg.) deviner, peneırer
Pintenuton de.
Trırnioa. V. Tyilka, Rasto.
TrıLnäpo, A, p. p. de Trilhar. adj. Fraye,
Ir&quentt, battu, foule. Rebatiu, commun,
trivial. Caminho —, chemin battu. (fig.) Usage
commun, que tout le monde sult, etc.
'TrıLzapOn, 8. m. broyeur. Bafteor de bie.
Teıruanöra, 8. f. * brolement, Aclion de
battre le bie. Foulure.
Teıni. V. Trillido.
TRILBÄR , o. a. broyer;; batire. Egrener, bat-
trele bie. Fröquenter un chemin, suivre une
roule, au propre et au figurg. (fg.) Meurtrir,
fouler.
TriLno, s. m. rouleau & egrener Je blö; trat-
neau. Balte ä beurre. V. Trilka.
tT" TaıLpoAna, s. f. araire leger, instrument
aratoire,
"Trıizice, adj. 2 gen. de trois Als (de la
trame).
TaıLincug,, adj. 2 gen. quia, ei surlout qui
sait, qui parle trois langues.
Taısıäö, 5. m. trillion , mille billions.
+ TrıLosivo, 4 , adj. (lt. de bot.) wilobe: &.
trois loges ou lobes.
- TaımsnskL, adj. 2 gem. Iriiiensuel : qui 26
fait , qui errive vous Ins treis meis. .
TaımdstaE , 3. m. trimesiro : espa6n de trois
mois; payement pour ce temps.
"TriueTRo, 8. m. (fl. de podr.) vers trimötre,
Tambique.,
Trınäno, s. m. fredon, cadence, en terınes
de musigue. 9. p. de
Taınär, vo. n. faire des fredons, des caden-
ces. (l. d’astrol.) Se montrer un asire en Irine
aspect. ©. a. Exprimer en chantant.
Tainca, s. f. (b. de mar.) liure, tour de
corde. Pör-se d—, bouliner. —s do gurupes,
saisine de beauprö ou liute : tour de cordes
qui lient le mät de beaupre ä l’aiguille de l’epe-
ron.
Taıncanpkıra , adj. f. Uca —, espece de rai-
sin croquant. ,
Taıncino, A, 9. 9. de Trincar. adj. V. Ast
to, Sagaz. ,
+ Taıncarıino, A, adj. cousu avgo le fl de
cordonnier.
Teıxcario , & m. Al äcordonnier. (Ag. sig.) -
Deisur, Sinesee.
Tomcäu, eio, V. Tıncal, etc.
TnıxcäLHo ou Tn'ncaLnöz. V. Sino,
+ Taııcaniz, a us. (id. de mar.) dalot, geub
tiere.
+ Trıncapä0, adj. 2 gen. qui songe le bois.
1175 TRO
Rome; vietoire remporieeä la guerre, dans une
dispute, sur ses passions, etc. ; grand succes
«ailitaire;; victoire, succös, en gendral.
Taıumpnöso. V. Triumphänte.
Taıbmvır. V. Triumorro.
TrivmrınäL, adj. triumviral ; qui concerne
les triumvirs, leur appartient,
Trıusviräto, 8. m. triumvirat : gouverne-
ment des trlumvirs qui usurperent l’sutoritö &
Rome, 1’an 43 avant J.-C.; gouvernement de
trois chefs de parti qui ont usurpe l’autorite.
Tarimvıro, 5. m. triumvir: magistrat & Rome
qui n’avait que deux coll&gues, V. Triumvi-
ralo,
Taiıtxrär,etc.V. Triumphar, etc.
+ TnıviLve, adj. 2 ger. (1. de bot.) trivalve:
‚(capsule) & Lrois valves ou panneaux.
TriviäL, adj. 3 gen. trivial, commun, use,
rebaltu.
+ TaivıaLınäng, 3. f. trivialit6 ; caraclöre de
ce qui estirivial.
TasvıaLızäno, A, 9. p. de
t Tasvıauızia , v. @. rendre trivial, dirul-
guer.
Taıvıauissıno, A, adj. sup. de Trivial,
TaıVıALMENTE, adv. trivialemen!.
Taivıo, s. m. carrefour, place, endroit od
aboulissent trois rues, trois chemins.
* Taıyunpaa. V. Tributer.
* TaIVUDan-SE, 9. 7.50 faire tributaire.
Taiz. V. Tris.
Taoipa, etc. V. Alroade, eic.
Troiurs. V. Tonenis.
Taoir, v.a. V. Atroar, v. m. V. Trovajar.
Taöca, s. f. "iroc, 6change. * Changoment
(de vie, d’babitudes). — vor —, (fam.) chou
pear obou,
Tröga, s. f. (lt. de mar.) "racage: collier |
dont on entoure le mät. — de ferro que sujeile
so masiro arorga dalancha ou do escaler, ra-
eambeau : anneau de fer qui fixe la vergue
d’une chaloupe. — com lebrese cassotlos, ra-
eage ä pommes et bigols. —s dos papafigos,
.drosses ä palans des basses vergues. -—s de
amarra , bout de cAbies.
TROcÄDAMENTE, adv. A rebours; röciproque-
ment.
TrocaDiLBO , 3. m. calembourg, jeu de mots,
Trocino, a,p. p. de Trocar.
Trocanda, A, 5. troqueur. adj. Qui troque,
qui change.
t Taocäipos, s. m, pl. inversion de mots,
jeu ds motis. Fegon dans les anciennes bor-
dures.
Taogaı. V. Torpal,
Taocin ‚©. 6. troquer, sehanger, sommuer.
Dönsturer le sens. — as pernas dansando,
eroiser les jambes en dansant. — 0 nome, 05
cselumes, eto., ohamger de nom, d’babitades,
“ie. — ma cousa Por ouirs, changer une
chose contre une autre. Näo ms Irdco por Ki,
(fam.) je m’estime autanı que vous.
Tasciu-s8, 0.0. (p. 08.) chenger de carac-
TRO
tere, d’bumeur, de genre de vie, eie. Changer
de place avec quelgu’un.
Taöcas-BaLpnöcas, 8. f. BB. (. vulg.) * trocs
de peu de valeur.
TRoCäÄTE, 8. m. trocart, trois-quarts : instru-
ment de chirurgie pour faire des ponctions.
TrociveL, adj. 2 gen. &changeable , com-
mueble,, qui peut se troquer, changer.
Taociz, adj. m. Pombo —, pigeon ramier.
Trocta. V. Torcer.
° TröcHA , 3. f. "sentier, chemin de traverse.
Taocnipı, a. f. ooup de bäton.
Taocnipo, a, p. p. de Trocher. adj. (inus.)
Broche. (ano —, canon de fusil renforch, ea-
non & ruban.
Taocriıco, A, adj. trochsique : vers latin,
compos& de trochdes.
TRocHÄnterR,, s. m. (1. d’enat.) trochanter:
apophyse du femur.
TrocHär, v. a. renforcer le canon d’un [ssil.
TRÖCHE-MOCHE (A), ado. (fam.) pele-mele,
sens dessus dessous; ä l’6tourdie, sans re-
Dexion ‚ä tort et A travers. Julger a —, sabrer
une affaire.
Taocuto ou Taoouko, s. m. trochee: pied
de vers compos6 d’une longue ei d’une breve.
7 Taöcuıo, 3. m. (4. d’kist, nat.) "tompie,
ITompe ı coquillage univalre. — de beila pers-
peclivs, le oadran. — de forma de turbanie de
Pharaö, le bonton de camisole. — em forma
de boldo de vestis , le meule de houten. — @p-
glutinado ‚ia Iripiöre,
Taocaisco, 3. m. troobisque : pastilles, md-
dicament on päte.
TaöcHo, s. m. gourdin, bäton.
Taocnosıa, s. f. V. Bacsihdo.
Tnocisco. V. Trochisco.
Taöco, s. ®. troc; menus monnale ; reiour,
&change. A — de, ade. afın de, & cause de ; em
echange, en r6compense, pour prix de.
Tao0co, 8. ı. trongen, pidce, morceam, frag-
ment; tirade. — d’infanteria, troupe, deta-
ebement d’inlanterie. — de cavallaria, gros de
cavalerie. A—s, par intervalles.
TaöcuLo. V. Toreulo.
Taörı ,s. f. “ manleau en jone.
Taorto. V. Tropheo.
TrocäLRo, 3. m. (f. Pop.) plöce pour alta-
cher.
+ Taöczs, 8. m. pl. (1. d’hist. nat.) trox : &o-
l6opteres voisins des scarabees.
TrocLodY'ras, s. m. pl. Troglodytes: peuples
qui vivalent dans des cavernes.
+ Trocossitas, s. m. pl. (1. d’kist. nal.) Iro-
gossites : col&optöres qui zongent le bie.
Taoıa, #. f. sorte d’aneien jeu. V. Canas.
+ Taöıa , 8. f. (8. de göog.) Troie: auckenne
ville dans l’Asie mineure.
+ Taoıäno , a, adj. ets. Troyen, de Troie.
+ Taolız, s. m. (1. d’hist. nat.) gulliemet :
oiseau aquatique , palmipdde, du genre de
Yalque.
Tr6LzA, 3. f. wuelle: instrument de marom
TRI
TriroLia, 0.8. dguiper un valsseau.
Taipouı,s.f. (1. de geog.)Tripoli :republique
d’Alrigue, dans la Barbarie, et la capitale de
cette republique; ancienne ville de Syrie, sur
la cöto de la Möditerranee.
+ TaımoLmo, a, adj. et s de Tripoli.
Tarpopıino, A, 9. pP. de Tripudiar.
Tatpupıänte, adj. et 3.2 gem. qui danse en
eepignant, danseur. p. a. do
TaırunıÄr, v. ». danser en tr&pignant.
Tarpöpıo, s. m." danse, bal, en tr&pignant.
TrıquesiL, s. m. (f. d’artill.) triqueballe :
machine pour transporter des canons.
Triques-Taöquzs , s. m. pl. (1. burl.) confu-
sion de termes ow diversit6 de phrases qui ont
- A peu prös le möme sens.
Taıqu&te, s. m. (vieuxr).V. Trinqueie. A cada
-—, & tout bout de champ, & chaque pas, &
chaque instant.
Trıqueraäiz. V. Traqwinas.
+ Tamamoso, a, adj. (f. de bot.) qui a trois
branches. V. Tripartido.
Trıa8cno, 8. m. trirögne : tiare du pape.
Possession de trois royaumes.
Trıneuz, 3. f. trirdme : galdre des anciens,
A trois rangs de rames,
Teis, s. m. bruit du verre quand il casse.
(fam.) Peu de chose, rien, presque rien. Estar
por um —, etre sur le point, au moment de,
surtout lorsquw’il s’agit de quelque chose de f&-
cheux. Em um —, en un tour de main. Esca-
por um — , il Pa öchappe6 belle.
Taısäcıo, 3. m. trisagium : bymne des sera-
phins, dans lequel ils r&petent trois fois le mot
saint.
+ Trısico, 3. m. espöce de germandröe ofll-
sinale, plante.
TaısamnuiL, adj. 2 gen. (f. de bot.) trisan-
nuel : qui dure trois ans.
Taısavo, ots. V. Tresavo, etc.
Taisca,, &. f. (p. ws.) rixe, querelle. V.
a.
Taıschk, v. m. so quereller. Meler, em-
brouiller.
+ Triszcin, v.a. (4. de g6om.) diviser en trois
parties &gales.
Taıseccäö, s. f. (. de gdom.) trisection:
division (d’un angle) en trois parties &gales.
Taısuecisto , adj. m. trismegiste : trois fois
grand (Mercure, Hermes).
Taısn&£to. V. Tresneto.
t Taıspeaua, adj. 2 gem. (1. de bot.) tri-
sperme : a trois grains ow ä trois semences.
Trissy'LLaso, a,adj.trissyllabe : de trois
syllabes. .
Taiste, adj. 2 gem. triste, ohagrin, afflige ,
melancoligue, morose, morne; (ächenx,, cha-
grinant, atiristant; ennayeux, qui inspire de
la melancolie. Malheureux, infortuns. — de
mim! malheureux que je suis! O — demim,
moi malheureux. Os —s, anneaux que les
femmes portaient autrefois aulour de leurs
Wtes. As —s, les heures d’etude ä l’universits
de Ceimbre,
FRI 1178
t° Taısteca, s. f. edifice de lrois &lages; la
partie la plus &levee de cet edilice. Terrasse,
beiveder ou mansarde.
TRISTEMENTE, adv. tristement.
Taıstkza,s. f. tristesse : affliclion, deplal-
sir, chagrin exprime ; melancolie ; abaltement
de ’äme cause par un accident fächeux; effet
sur l’Ame de penstes tristes ; douleur de l’ame.
* Deuil. — ndo paga dividas, ou com a — ndo
se remedeiäo males,, (prov.) melancolie ne
paye point de dettes, ow les chagrins ne payent
pas un sou de deties.
Taısrissıuo, a, adj. sup. de Triste.
TrısTonno, a, adj. de mauvaise humeur,
melancolique, chagrin.
Trısrüna. V. Tristeza.
TrisöLco , A,adj. qui a trois pointes. Tri-
sulce : & trois divisions aux pieds.
Trıräö, s. m. Triton: dieu marin , moitis
homme et moitie poisson. -
t Trıtgeanipas, adj. f. pl. (1. de bot.) Folhas
—, feuilles triternees, posees par trois sur
chacune des trois divisions d’un petiole com-
mun.
Trırönco,, s. m. triphthongue : syllabe com-
posee de trois voyelles.
- FTrırönıa, s. f. (1. d’hist. nat.) tritonie:
mollusyue gasteropode.
Taıröno, s. m. (t. de mus.) Iriton : inter-
valle dissonnant de trois lons.
Teıtüna. V. Trituragdo.
Triırunacäö ‚s. f. trituration : action de Iri-
turer, broiement; &tat d’un corps tritare.
Trırvaino, A,p.p. de
Taıtunär, v. a. triturer : reduire en pou-
dre, en petites parties, broyer.
TrıTtunäveL, adj. 2 gen. triturable : qui pest
&tre broye, pile.
Taıumpuäno, a, p. p. de Triumphaer.
TRIUMTBADOR , A, adj. et s. triomphaleur :
qui triomphe, qui a regu les honneurs du
triomphe ; qui a remportie une vicloire.
TrıusrHäL, adj. 2 gen. triomphal : de
iriomphe, du iriomphateur (couronne —@);
par oü les triomphateurs entraient (arc —,
porte —e). Triommpbant.
TRIUMPBALMENTE, adv. triomphalemeni: en
triompbe , en viclorieux ; d’une maniere Lrion-
phale.
TRIUMPBÄNTE, adj. 2 gen. triomphant : qui
triomphe, quia regu les honneors du triomphe,
victorieux.
Taıourmän, vu. n. triompher : receroir lea
honneurs du triomphe. (de) Triompher de: vein-
cre par la voie des armes; (fig.) remporter un
avantage sur quelqu’un; Pemporier sur, ex-
celler en quelque chase; @tre ravi de jJoie;
tirer vanit6 de, venir A bout de.
Taıumpnir, v. @. (pP. us.) faire trlompbant,
faire triompher. — fama a0 autor. V. Afswer.
TaıuupRän-SE, v.r. (vieuz) se rendre Iciom-
phant ‚ triompber de ; tirer vanite.
TRıöMPHO, 5. m. triomphe; cer&monie porm-
peuse, ä l’eniste d’un general yiotariasın dans
1176 TRU =
Trosauia ,eie. V. Tosquis, etc.
Taössı. V. Troga.
Tnösso. V. Trogo ou Targo.
Troräö ow TaoranOn, s. m. trotleur ( che-
val).
Teorin, v. n. frotter, aller le rot; (Ag.)
marcher beancoup & pied.
TaöTE, s. m. Irot: allure entre le pas et le
op. .
TroTeıno, 5. m. et adj. trotteur. Courrier.
"Taoro. V. Trote.
*Trovcıin. V. Passar, Exceder.
° Trourer. V. Trouxer.
°Troussir. V. Taxar.
* Taouven. V. Trouxer.
Tnöuxa,s.f. “ paquet de hardes, de linge, etc.
(inus.) V. Telhado.
+ Trouxipa,s. f. grand paquet de hardes,
de linge, etc.
Trouxsı. V. Tardo.
Trouxinna , s, f. dim. de Trouxa. Petit pa-
quet de hardes, de linge, etc.
Tuova,s. f. cadence, rime; pidce lögere de
vers on langue vulgaire , chanson.
Taoväpo, A,p.p. de Trovar. adj. Rims, en
vers.
Trovapor, 5. m. troubadour, nom des an-
ciens podtles provengaux : ceux des provinces
septentrionales de France s’appelaient fIrouvd-
res ou frouveurs. Versilicateur, rimailleur.
Taoviöd, s. m. tonnerre. (fig.) Bruit du ca-
non. Fazer trovöes, tonner. Näo lembra sanla
Barbara sendo quando fax Irovöes, ( prov.)
on ne dit les litanies que pendant l’orage.
Taovär, v.». rimailler. V. Torvar.
TaovEJÄirR, v. 8. tonner.
Teovinua , dim. de Trova.
Taovıscipa , 3. f. garou pild qu’on jette dans
les rivieres pour Luer le poisson.
Tnovisco, s. m. (4. de bot.) — femea ou Iro-
visqueiro, garou, laureole femelle, daphne,
garoulie : arbrisseau toujours vert. — macho,
euphorbe & fleurs pourpres. — ihymeldo, “ıhy-
melde.
Taovısqueıra, s. f. ou TnOVisquEino, 5. m.
V. Trovisca femea,
1 Trovista, s. m. versificateur, rimailleur.
V. Trovador.
Trovoipa, s. f. coups de tonnerre r&peids,
orage; grosse pluie melde d’eclairs et de ton-
nerrc. ( fg.) Grand bruit (de coups de canon,
eic.); lapage. Astd ar de —, le temps est ä l’o-
rage.
Taovoar. V. Trovejar.
Tavaniz, ang. de Trudd.
Tnuanein, o.n. faire le bouffon ow P’Impos-
teur.
TInvania, s. f. superstition, Imposture,
Tavanice, s. f. bouffonuerie. V. Truania,
Taviö, s. m. boulfon, plaisant, jongleur;
Innposteur.
TavaLia. V. Truania.
Trtecär, .n. onvrir le jeu,, proposer la pre-
mitre vade, au jou du irugue. — de falso, (fig.)
TUB
feindre oe qui n'est pas; demuer une fauıse
alarme.
Taucmän, v. @. (p. ws.) luer, massacrer.
Trüco. V. Truque.
TaucvLencıa, s. f. cruaute, atroeite.
TaocuLknto, a,adj. cruel, atroce, sangu-
naire.
Tnöra. V. Trunfa.
* Taopar. V. Gracejar, Mofar.
Truraria, s. f. raillerie, moquerie.
Tavcıwiö, s. m. trucheman, interprete. T.
Drogman,
Tuunid. V. Trudo,
Tadıra. V, Truta.
Tnund,s. m. trumcau : glace qu’on place
(re deux croisees.
Truncän,ete. V. Troncar, etc.
Taönra,s. f. mitre, turban; ancienne asd-
fure de femme. (#.de bot.) Coiffe (des mousses.
TRUNnFÄR, ©. 9. (f. de jew) jouer une carte de
la triomphe, faire atout.
TainFo, s. m. (1. de jew) * triomphe : sure
de Jeu de cartes; carte retournee apres la da-
tribution ; atout, couleur qui gagne.
Tauözs ow Tauizs, pl. de Trude.
Tavrpıtär, v.%. (vulg.) faire du bruit, des
page. V. Esitrepitar.
TrÜQuE, s. m. sorte de jeu de cartes ä vadas
et ärenvis. Truo, espöce de billard. — de ie,
jea de billard.
Trusgtıär. V. Tosgqwiar.
Taöta, s. f. truite: poisson de riridre fest
delicat. — assalmoada, truite saumense, d
ohair rouge. Ndo se gankdo — 5 d brapas came
las, (adage) il lau. casser le noysa peu
avoir ’amande, nul bien sans peine.
Taur&sco. V. Groiösco ou Brusesce.
Taorirero, A, adj. qui produit des traten.
Taöz,s. m. "delonation d’une arme ä fm,
elc. adj. 2 gen. (inus.) V. Feroz.
Tu, pron. singul. de la seconde perssans,
Tu, toi. Trafar por — ‚tutoyer. Tu ed, teld,
alu etätoi. — dsou ds —, c’est tel.
Tüs , desinence feminine de Tzu, ta ‚tiemne,
ton. V. Tew.
Trica, s. f. espece de vin d’Asie.
Tüpa, s. f. (poei.) Irompette. ( Ag.) Sa
€pique. A dpica —, (Podt.) 1a Irompetie dpigue.
Tipanı,s. f. truffe. —s, ph “lesticales de
moulton, eic.). —s porcinas, (1. da bat.) iralßes:
racines du pain de pourceau. —s lopi.
helianthe tubereux; le topinambour, la pein
de terre. —s da lerra, Irufles. is. Pommes de
terre.
Tepaniö,s. m. requin, chien de mer, ube-
ron : poisson Irds-vorace,
"Tusanösa. V. Tuberosa,
Tusera. V. Tübara.
Tusgriö. V, Tubardo.
? TusercuLino, 4, adj. (1. de bei.) en Inber-
cule,
TunencıLo, s.m. (1. de mdd.\ tabercele : ee
vure, petit abc&s au poumeon, (4. de bei.) —,
excroissance en bosse,
Tu]
Tosencvıöso, A, adj. (ti. de bot.) tubereu-
leux : garni de tubercules.
Tunertına, s. f. (8. de bot.) morelle tubs-
rouse. Tub£raire : plante medicinale.
Tunerösa,s. f. (1. de bot.) tubereuse : leur
irds-odorante ; son oignon, 5a plante ; jJacinihe
des Indes.
Tosenosınioz, 8. f. tubörosite.
Tuseröso, A, adj. (1. de bot.) tubereux:
charnu, solide, dur.
+ Tusinca, s. f. (4. de gdog.) Tubingue : ville
dAllemagne.
+ Tusuränı, s. f. (1. d’hist. nal.) "tubulaire:
zoophyte ä tuyau flexible comme la corne. —
campanulada, tubulaire A collet. — replanle,
tabulaire ouverte. — sullana, tubulaire sul-
tane. — indirisa, tubulaire chalumeau.
T6s0, s. m. tube, tuyau. — oplico,, *lunette
d’approche.
+ Tic, s. m. toug ow toue : dtendard turc.
+ Tosurir, adj. 2 gen. (t. de bot.) tubule:
garni d’un tube, d’un luyau. V. Tubuloso.
TuseLöso,A, adj. (1. de bot.) tubuleux : en
tube.
Tucino, s. m. loucan: oiseau & bec enorme.
* Tocano. V. Horrido, Cruel.
Trp&sco, A, adj. et s. Ludesque, germanique,
allemand.
*Töno, adj. V. Teüdo.
Töoo, 8. m. tout: toutes choses; la totalite;
ee qu’on a de plus cher; le principal, le plus
important. V. Todo. Com —, adv. cependant.
Com — iss0, avec 0% nonobstant tout cela;
neanmoins. Metter-se em —, fourrer son nez
partout. — bem pesado, tout bien considere; &
tout prendre. Homem capaz de —, homme ä
lout faire. Nem — € para lodos, tout le monde
ne peut pas lout faire. Ser o —, &tre le princi-
pal motif d’une affaire. Envidar, arriscar —,
risquer, Jouer le tout pour le tout. O dinheiro
— aleanga, l’argent fait tout. Sobre —, adv.
suriout, principalement. — esld em prineipier
bem, le tout est de bien commencer. Em — e
por —, en toutes manieres. Eo meu—, il est
mon tout, ma vie, tout mon bien ; tout ce quil
ya de plus cher pour moi.
Turipo, a,p.p.de Tufar.
Turi6, s. m. toufan : tourbillon qui fait bouil-
lonner les vagues; ouragan.
Turin, v. #. bouffr, enfler, gonfier. (Ag.
fem.) Se gonfler d’orgueil.
- Tüo, s. m. tulo : sorte de pierre spongieuse.
Flocon (de laine). * Touffe (du turban, etc.).
Bouillon d’eau. Bouffant (d’une robe, etc.).
Uutil d’armurier, mandrin.
Turöso , A, adj. enfl& , gonfie.
Tucir, v. m. bouger. Ndo — nem mugir,
(fam.) ne pas souflier mot, se tenir eoi.
+ Tucönıo, s. m. cabane de berger. V. Chou-
pana.
+ Tumira Do Barazır, 8. f. (1. hist. nat.)
effraie, sorte de ehouette.
Tuis, s. m. (4. d’hist. nat.) toui : pelit perro-
quet d’Amerique.
TUN 477
Torrivo, a,adj. qui defend, prolege.
Tusöco,s.. (l. du Bresil) V. Lameirdo,
Tremedal
+ Tusurin, s. m.(t.de Brösil) *chaumidre
des Indiens ow des negres.
Törua,s. f. “ grenier, grange ; foase pour les
olives.
Töuıra,e. f. (8. de dat.) talipe:: flcur, plante
bulbeuse qui la produit.
TuLip£ıno,s. m. (1. de bot.) tulipier
aux tulipes,
+ TuLuxı, s.m. (4. d’Asie) V. Mangericdo.
Töusa, s. f. primitivement signillait tombeau,
tombe vw representation, forme de cercueil
eouvert d’un drap mortuaire, etc. : aujourd’hui
signifle biöre, cercueil. O que o bergo dda — 0
leva , (prov.) ce qu’on apprend dös le berceau
dure jusqu’au tombeau,, le loup mourra dans
sa peau.
Tussaque. V. Tambaque. _
Tuma£ıano,s. m. celui qui porle les morls au
cimetiere, croque-mort. Clerigo —, capelan,
pretre pauvre.
Toseckncıa. V. Inlumescencia.
Tus£nte. V. Inchado, Intumecido.
TUMESC£NTE, elc. V. Intumecido.
Tomıpo,A, adj. enfle, gonfie; bouf. (Ag.)
— , ampoule; fier, orgueilleux.
TuuiLuo. V. Tomilho.
Tuuön, s. m. ”" tumeur :
accident ou par maladie.
Tuuordso, A. V. Inchado, Intumecido.
TumtLino,A,P.p.d
TumuLir, v. a. elre dans le tombeau. V.
Enterrar.
Ti“uLo, s. m. tombeau; tombe; catafalque.
Siege &lev& (p. us.).
TumiLTo, s. m. tumulte, sedition, emeute
populaire. Multitude de gens qui causent du
trouble, du d&sordre; cohue.
TumtLTuAR, v%. a. ameuter, exciter un tu-
muülte. o. n. Attrouper , causer du tumulte,
exciter des troubles, etc., s’ameuter.
TunuLroirtaueNnTe, ado. tumultuairement;
d’une maniere tumulluaire.
TunvLTuirıo, A, adj. tumultuaire : qui se
fait avec tumulte, avec precipitalion , contre
les formes et les lois.
TUMULTUÖSAMENTE, adv. tumultueusement ;
en tumulte, seditieusement.
TusuLtuöso, A, adj. tumultueux : plein de
tumulte, de trouble; emporte, seditieux. Ze
tagdo —a, (podi.) l’'hiver.
“ Tomunöso.V. Tumoroso.
Toms, s. f. vie faindante, erranie, vaga-
bonde. Andar d—, (fam.) qu&mander, truan-
der, gueuser, battre le pave. V. Entuna.
+ Towir, s. m. figuier du Mexique ; nopal,
figuier d’Inde.
Toninte, s. m. faindant, gueux, vagabond,
trucheor, &cornifleur.
Tünpa, s. f. volee de coups de bäton.
Tüxoıa, s. f. sorte de monnaie d’Asie.
Tixoo, s. m. (1. d’Asie) prölat des bonzes,
: arbre
enflure causde par
4178 TUR
+ Tunz, s. m. oiseau d’Angola.
+ Tünzs, s. m. (1. de 960g.) Tunis : ville, r&
gence barbaresque, et port de mer d’Afrigae.
+ Tünca ow Bıcho Dos PS DO BRASIL, 8. M.
tunga, puce penötrante.
Tünıca , s. f. Wanique : sorte de vetement des
anciens ou de religieux. (1. d’anat.) —, pelli-
cule, membrane.
Tonıctı.a, s. f. tanique : habillement des
6r&ques sous leur chasuble. Tunioelle, petite
tunique.
Tumquttg, s. m. dim. de Tunice. Petite ta-
nique.
Turino. V. Entupido.
Teröra, 8. f. ou Toror6, s. m. olseau de|.
Finde.
Turauid. V. Trugimäo,
Türeı ,s. f. foule, multitade confuse, cohue.
On dissit autrefols tourbe. *Chaur, troupe de
musiciens chantant ensemble. /r com as —s,
(loe. prov.) hurler avec les loups.
Tunnacäö, s. [. * trouble : l’action de Irou-
bler, de se troubler: confusion , desordre; 8&-
dition ; (Ag.) inquietude, emotion.
TURBÄDANENTE, adv. avec trouble, confu-
sion, etc.
Tursino, A, pP. p. de Turbar, adj. trouble,
agite, trouble. (flg.) Interdit. Vista —a, vue
trouble.
TunBADöR, A, 8. et adj. qui cause du trouble,
perturbateur.
TURBANULTA , 8. f. cohue : multitude confuse.
TorsiNTE, s. m. turban : coiffure des Orien-
laux.
Tursid. V. Turbante.
Tornsin, v. se. troubler : causer du trouble,
agiter ; rendre trouble;; (fig.) obscureir, deren-
ger, embrouiller, mettre en desordre ; embar-
rasser, deconcerter, faire rougir. V. Perlurbar.
TunBär-sE, v.r. se troubler ; s’emibarrasser,
s’inquieter ; s’obscurcir, en parlani du temps.
Torsartivo, A, adj. quitrouble, qui cause du
trouble.
TüRBıD0, A, adj. qui trouble; trouble ;obsour,
obscurci.
TunsıLuäöd, 3. m. tourbillon : vent impetueux
qui tournoie. (l. de pAys.) —, malidre qui se
meut aulour d’un centre ; (fg.) tout ce qui en-
traine les hommes.
TurgiLso , s. m. (t. d’hist. nal.) sabot : lima-
90n de mer opercule. — escadinha , la scalata.
— escadinha bastardo,, la fausse scalala.—del-
phino, le dauphin. — parafusdo, le sabot ä
vis.— cör de pfga , la veuve. — de bocca pra-
feada , la bauche d’argent. — rosela, l’öperon.
TuREınNADo, A, adj. surbine: contourne en
spirale ; conique, comme Une laupie,
fTunsıxöso, A, adj. qui lourmne en rond, en
manidre de tourbillon.
Tunnitao , s. m. (6. de bot.) turbith : plante
ow racine de l’tle de Ceylan. — vsgelal ou da
Europa, turbith do l’Europe (seseli Iurbish).
— mineral, sullate de mergure
Tuaso, V, Turvo.
TUR
TuapuLfucia , 3. f. turbulence : caracttre de
turbulent; imp@tuosite; trouble.
TURBULRBNTAMENTE, adv. turbulemment.
ToRsuLenTissimo , A,adj. sup. de
TuasuLtnto, A, adj. turbulent : imp+tuenz;
ports & faire du bruit, & exciter du trouble.
Törca, 8. f. (6. de bot.) turquette, herbe du
ture. V. Herniaria,
Tuscriman. V. Trugimen.
Törnco, a, adj. eis. Turc ; de Turgquie, qui
appartient aux Turca. Herva —a. V. Herniaria,
Tönco ,s.m.(#. demar.) bossoir : poutre en
saillie qui soulient l’ancre,.
Turcör, s. m. (i. d’Asie) couvent,
+ Tunperino, A, adj. et s. de l’ancienne
province d’Espagn®e,, appelde Turdelania. Elle
s0 Irouvo maintenant enclaree dans le Portn-
gal.
+Tünrı, s. [. tourbe: motte de terre bitumi-
neuse, propre & brüler.
Turcencıa, 5. f. (6. de mid.) enflare, tumenr;
OrKasınd.
TuncenTe, adj. 2 gen. (f. de med.) on le dü
d’une humeur qui cause une enflure;; enfle.
Töacıno, A, adj. enflö, gone
Turcımid. V, Trugimäo.
Tönıas, s. f. pl. toiles de coton de Cambrai.
Tunisıos. V. Toribios,
TurisuLo, ete. V. Thuribule, etc.
Tunıönno. V. Touriondo.
Tiama,s. f. corps de trente cavaliers, dans
l’ancienne milice romaine. Bande, compagnie;
foule, multitude,
Tönno , s. m. lour : rang sucoessif, alterna-
til. Por —, tour & four, successivemeat. Por
sen —, & Bon tour.
+ Tuarı.öguio, 3. m. pFopos , discours des-
honndte.
Tuarissımo, V. Torpissimo.
Tuaqussca. V. Turgueze.
Turgußsco, a, adj. de Turquie, qui appar-
tient aux Turcs.
Turgugri. V. Turbitko.
Tunqußza , s. f- turquoise : pierre preciense,
bleue, sans transparence.
Tuaquszino, A, adj. de oouleur de Lur-
quoise.
Tunqvi , adj. 2 gem, bleu turquin, fonce, co
vert.
Tungquia , 8. f« (4. de göog.) Turquie, l’em-
pire turc. .
Tunquina. V. Turquese.
+ Töana, s. /. (owig.) dispute opiniätre.
Turrä6, 3. m. touron : sorte de [riandise
confites. adj. V. Turrüsta.
Tunnir, v. m. oosser. (g.) S’enteler, s’opi-
niätzer.
Tunziraa00, A, adj. (Polk,) qui renverse les
‚Wurs.
Tunnicero, A, adj. (Podl.) qui porie une
tour (#iöphant).
Tuanista , 6. 2 gen. (fam.) lötu, obstind, opr
niälre.
Turrusıiräl. V. Tortual,
TYM
Tenronino,, a, adj. de tourterella.
Tunusäntse. V. Turbantie.
Tunvagäd, s. f. *trouble d’esprit.
Tuavir, v. a. troubler, rendro trouble. V.
Turbar, Perturbar.
Toavsıia. V. Turvar, Turbar.
Tönvo, A, adj. trouble; obscur. Finko —,
vin louche.
Tussı.icem. V. Tosstlagem.
Tussin. V. Tossir.
Toranica, s. m. toutenague : subslance mö-
tallique ; cuivre do la Chine.
Torino, s. m. " moelle : substance molle et
grasse dans les 08; (g.) substance Interieure,
(id.) L’esprit (des lols, ete.), le plus essentiel
d’une chose. Ald aos —s,, Jusequ’ä la moelle des
os. Tirar, chupar 08—s, tirer, sucer Jusqu’ä
la moelle.
Turiö,s. m. ($. d’Asle) gouverneur d’Asie.
Törz (A), adv. en abondance, & foison.
ToreLı,s. f. tntelle : charge, fonction de
tateur. (fig.) ° Appui, protection , defense,
TorzLino,A,p.p. de
TurzLir, v. a. prolöger comme tuteur,
TureLir, adj. 2 gen. tutelaire : qui garde,
qui protöge.
Turznica. V. Tutanaga.
Turia ,s. f. tutlie, oxyde de zinc.
Turmtora,s. f. (1. d’hist, nat.) fauvelte : or
seau du genre du bec-figue. — rabalva do
norte , le molleux 0% cul-blanc. — canura do
norte, fauvette ä Löte noire.
Toro. V. Seguro,, Firme.
Turön, s. m. tuteur : qui a la tutelle de qucl-
qu’aon. (fg.) Defenseur, protecteur.
Turöra,s. f. tutrice : femme chargee de la
tutelle d’un pupiile.,
Tororin ow Tutornzärn, 9. m. Kouverner eu
tuleur.
Tutonta, 3. f. tutelle : antoritö donnde par
la loi, le magistrat o% par un lestament, pour
ervoir soin d’un mineur.
Tırniz. V. Tutora.
Turd, s. m. (1. enfanf.) croquemitaine.
Terunica. V. Tulanags.
Tuzäö. V. Tosdo.
Tur, s. f.(t.de geog.) Tuy : ville de Galice,
en Espagne.
Truo, V. Thymeo.
Truraniıno, s. m, dim. de Tympano. Petit
ympan dimprimeur.
Trurınızan, v. a. (l. de med.) causer la lym-
panite. Jl est aussi reciproque,
Trıuranites, 8. f. (4. de med.) tympanite :
hydropisie söcbe , enflure du bas-ventre, 0su»-
söe par lea vonig,
TZA
Truranitico , a, adj. de la iympaniie.
Tr'urano, 8. m. (I. d’anal.) iympan: mem-
brane & l’extr&mite intörieure du conduit audi-
Uf.(t. dimpr.) —, peau ow toile sur un chäs-
sis de bois ow de fer.
+ Trrato, a,adj. (podt.) du geant Typhee.
TY’rno, s. m. (l. de mdd.) typbus : genre d
fiövres malignes , nerveuses. (inus.) Orgueil
vanite , pr6somption.
Trrnomania,s.f. (l. de med.) typhomanio
coma-vigil, maladie du cerveau.
Tr’rıco,A, adj. typique, allögorique, sym
bolique.
Tr’po, 8. m. type : moddle, figure originale
idee generale personnifite; symbole de mysiäre.
Caractöre d’imprimerie.
Trpocaımia, s. f. typographie : art de
Pimprimerie. Imprimerie : lieu oü Yon im-
prime.
TrrocrÄrmco, A, adj. typographique : qui
a rapport & l’imprimerie.
TYPöcRAPRO, &. m. typographe : imprimeur
en lettres ; qui connait la typographie.
TrYRAnaMEnTB, ade. V. Tyrannicamenle.
Treannia,s. f. tyrannie : domination usur-
pee et illegale; gouvernement d’un tyran, d’on
usurpaleur, d’un prince legitime, mais injuste
et cruel ; oppression et violence; (flg.) empire
despotique des passions; cruaute.
TYRÄNnNIcAMENTE, adv. Lyranıniquement.
TYrannıcina, 5. m. meurtrier d’un lyran,
tyrannicide.
TYnannıcipıo, 8. m. meurire d’un tyran.
Trainnıco, A, adj. tyranniıue: de la tyran-
nie ; injuste; violeni, contre le droit ei la rai-
son.
TrnannıziÄdo,A,P.p. de
Traannızär, v. a. tyranniser : trailer tyran-
niquement; on le dit au figure des passions,
(Aig.) Opprimer, vexer.
Tyrinno, s.m. tyran : celuiquia usurpe,
envahi la puissance souveraine dans un &tat ;
prince qui gouverne aveo injustice, avec
cruautls , sans aucun respect des lois divines
et humaines ; celui qui abuse de son autorite,
de sa preponde@rance, contre le droit et la rai-
son; qui n’a de lois que sa volont&.
-TrRännO, A, adj. tyran, injuste, cruel.
Tr’aıo,A,adj. ets. Tyrien, de Tyr. Cor—a,
(podt.) couleur de pourpre.
Treo, s. m. (poet.) V. Purpura. (1. de geog.)
Tyr:: lle et ville de la cöte de Phenicie.
Trrocinıo. V. Tiroeinio.
Truso, V. Thyrso.
TrruımaLo, V. Tithymalo,
Tzrar .ete. V. Crar, etc.
1179
1180 U
ULT
U.
U,s. m. vingt-et-unidme lettre de l’alphabet
poriugais, et la derniere des voyelles. Cette
lelıre est toujours muelie dans les syliabes
que,, qui, qu’on prononce Ad, ki,
*U’, adv. od. V. Onde.
"UAı,adj. f. une. V. Uma, -
+ Usi, s.m. (i. dw Bres.) espöce -de canne
sauvage.
+ Unir, s. f. sorte de frult du Bresil.
Usenpäog, s. f. fertilitö, Secondils, abon-
dance,
U’pene. V. Ubre.
ÜBErrıMo, A, adj. träs-abondant, Irös-fer-
tile, au propre et au figure.
U’sı, s.m. lieu, demeure, domicile, espace
qu’un corps occupe.
Unıcagäö, 8. f. (f. scol.) existence actuelle
d’un corps dans un lieu determine.
UÜsıcär-se,v. r. (f. scol.) @ire dans un lieu
determine.
Upıquipäne, 8. f. (f. scol.) presence actuelle
de Dieu en tout lieu.
+ Usiquista, s. m. ublquiste : docteur en
Sorbonne qui n’6tait attach6 A aucune maison
particuliöre.
+ Unıaurräntos, #. m. pl. ubiquitaires : secte
de protestants.
U’are, s. m, pis, tötine : partie de la mamelle
des animaux.
"Vcua,s.f. " coffre Aserrer du pain, elo.
V. Caixo,
Ucuäöd. V. Despenseiro.
Ucharis, s. f. depense, office; cuisines
royales.
Uno, adj. m. Il n’est usit& que dans cette
phrase proverbiale. Ndo deizar — nem miudo,
ne laisser ni grand ni petit,
Uri, interj. mais!
UrıniDo,A,p.p. de Ufanar.
UFANAMENTE, adv. avec faste, arrogance,
fierts, d'un air triomphant.
Urinir, v. a. rendre flcr, arrogant.
UranäRsg, v.r. se vanter, tirer vanitö, s’en-
orgueillir.
Urania, s. f. vaine gloire, fiert£, arrogance;
jJactance, ostentation. (fig.) Joie, plaisir, satis-
faction.
Urino, a,adj. fier, arrogant, presomplueux.
(Ag.) Joyeux, satisfait , content.
U’ca, Ucz, Ucen ou Ucıa, s. f. (t. d’hist.
nal.) pastenague ou tareronde : poisson du
genre de la raie.
Uoiına (I. rust.). V. Igualdade,
UcAkx (8. rust.). V. Igualar,
Ut iaterj. V. Aw.
Ye.
ah Ts
Uvia,o.n. V. Zuiver, eie.
U’jsa. V. Uge.
U’xase , s. m. ukase: edit Imperial, en Remie,
U’ıceaa,s.f. "ulcere: plaie causce par
corruption, V’Acrei6 des humeurs.
Urcersciö, s. f. ulceration : formation du
ulcere; ouverture de la poau cause par un ar-
re.
Ücrceripo, A, 9. p. de
ULcerän, ©. 6. ulc#rer : eauser un ulerre,
entamer ; blesser;; (Ag.) faire naltze un rene-
timent profond et durable, blesser viremesi.
ULcErRÄR-SE, ©. r. s’ulcerer, devemir sie-
reux.
U’Lcere. V,. Ulcera.
ULceröso, aA, adj. ulcereux : de la nature de
Pulcöre. Couvert d’ulcäres.
"ULLo,ı,ow ULo, A, mot compose del,
adv. oü, et de lo ‚pour o) ou ls (pour), wii
oü elle. On l’employait interrogativemest Eı:
Ullos iIhesouros dos antigos reis ds Pers’
que sont devenus les Iresors des andiens res
de Perse?
+Uıur, s. m. (tl. de gdog.) Ule: ville de
l’Allemagne.
ULmärıa 0% (£. de bot.) ulmım,. reme
Urutiına,s.f. des pres,
ULn£ıra, .[ 4.de bot.) x orme, urbre 23
ULu£ıro ou ULwo, 5. m. j psurre hommı,
arbre grand et gros, monope&tale.
Uıma, s. f. (. d’anat.) "” ulna : un des a
qui va du coude au poignet. * Coudee, aem.
ULterıön, adj. 2 gen. ulierieer : quiesi a
delä; qui vient apr&s.
ULTERIORIDÄDE, 3. f. qualit# de oe qu et
ulterieur.
ULTERIORNENTE, adv. ultsrieuremeni : par
delä ; outre ce qui a &te dit ow fait.
ULTIMÄDANRNTE, adv. finalement.
ULrrımipdo,a,P.p. d’Dltimer. adj. Fini, w
mine, entierement achere.
ULTINAMEnTE, adv. dernidremeni, inak-
ment, en dernier lieu.
Urrıuär, v. &. achever, fnir, terminer.
ULrımÄTos, 5. sw. ulimatam : dernireiır
rövocable condition que Fon met & um Ira.
U’LTINO, A, adj. dernier : apr&s queil 23
plus rien ; qui vient apres tous les auires; er
iröme. O — suppkicio, la peine capilsle. 4—
möo, la derniere main. Fezer o — esferm,
jouer de son reste, faire tous ses eferts. Zar
no — da vids ou nas —as, dire A l’extrü
toucher ä sa derniöre beure. Por —, Esa-
ment, onfin.
ULron , adj. m. (8. Jajin) vengeur.
UMB
WFıraa, pröp. let. ultra, au delä. Elle entre
dans la oomposilion de plusieurs mols porlu-
gais.
ULrrasipo, A, p.p. d’Ultrajar.
ULrrasapon, &, 5. colui qui outrage. adj.
Qutrageux.
ULTaasinte, adj. 2 gem. outrageant, qui ou-
Irage ; injurieux.
ULrrasin, v. a. outrager : faire outrage;; ol-
enser cruellement. Möpriser ; trailer avec me-
w1S.
ULraäse, 5. m. outrage ; injure atroce de fait
ou de parole ; insulte.
ULTRASÖSAMENTE ‚adv. outrageusement,, avec
outrage.
ULraasöso. V. Ultrajante.
ULTaıuän, 3. m. outremer. adj. V. Ulira-
marino.
ULrrawanino, a, adj. d’outremer, qui est
au delä de la mer. Azu) —, bleu d’outremer.
Outremer : couleur bleue faite avec le lapis
pulverise.
ULrrauontäno, A, adj. ultramontain : au
delä des monts; au delä des Alpes; parlisan
du pape.
ULrrice, adj. f. vengeresse.
ULrriz, adj. 2 gen. (f. lat. et podi.) vongeur,
vengeresse.
ULTaoönzo, A, adj. qui s’oflre, qui se pr&-
sente de soi-möme, sans qu’on le oherche. V.
Esponianso.
ULsuinte, adj. 2 gen. burlant, qui hurie.
p. a. de
UruLia, 0. n. hurler : pousser des hurle-
ments, de grands cris de douleur, des cris
feroces.
t ULuLitTo, s. m. (inus.) hurlement, cri la-
mentable.
Us, U’ua, adj. et m.un, une: lepremier de
tous les nombres ; le chiffre 1 ; seul ; confondu,
qui ne fait qu’un. L’un : se dit dans certaines
phrases distributives, par opposition ä l’autre.
— «owiro, Pun l’autre : mutuellement, reci-
proquoement. — 8 —, ou — por —, un & un. —
alrds, apös ouiro, l’un apres l’autre , suocessi-
vement. —e ouiro, l’un et l’autre, tous deux.
— por ouiro, l’un portant Yautre. Tudod—,
c'est tout un. Uma couse, une chose, quelque
chose, A’uma, enseinble, tout A la fois. Uma
das duas ou das duas cousas uma, de deux
choses l’une. Umas sobre owiras, coups sur
coups. Uns e oulros , les uns et les aulres.
Umanıpang, ete. V. Humanidade, etc.
Uuatııa, s. f. sorte de baldaguin, en forme
de parasol, sous lequel on porte le Saint-Sa-
crement,
UusELLirEnO, A, adj. ombelliläre. V. Um-
brellado.
Uusico. V. Embigo.
T Uuszuicino, a, adj. (1. de bot.) en forme
d’ombilic.
UusiLiciL, adj. 2 gen. ombilical » qui a
tion & Fombilic, au nombril. Pe
uNG 1181
. + U’ueua, s. f. "umble, ombre: poisson du
ı genre du saumon,
+ U’unılma,s.f. (8. d’Asst. nat.) ombre: pois
son. — das lagoas do Norte, ombre chevalier.
f Uusnicuro, 3. m. — dos musgos, (tl. de
bot.) V. Apophyse.
Uusnär,s.m. pas, seuil d’une porte;; linteau
.de porte ow de fen&tre. (fg.) * Entree.
Uusniö, e. m.(t. d’Asie) titre de noblcsse
au Mogol.
+ Uusaärico, a, adj. (antastique, chimeri-
que.
UmsnirıL, adf. 2 gen. Aguratif, cache. Om-
brage.
Uusrtına. V. Umbral ori Hombreira.
Umensıra,s. f» (4. de bot.) ombelle : pctils
rameaux en forıne de branchesde parasol, qui
portent les fleurs.
+ UmsagıLivas, s.f. pl. (t. de bot.) ombelli-
feres : famille des plantes qui porient des onı-
belles.
f UusaeLLino, a, adj. (t.de bot.) ombelle:
en ombelle , qui la porte, ombellifere.
+ Umprgıuura, s. f. (tl. de bot.) umbellule :
petite ombelle.
+ Uupnia, s. f. (inus.) endroit od il y a de
Pombre. V. Humbria,
+ Uunsia, s. f. (8. de geog.) Ombrie : centre
de Pltalie.
Uusnina. V. Umblina.
Umsn0so, A, adj. ombreux : od il y a de
Pombre os qui en fait; ombrage. (fig.) Obscur.
Noite —a, (poei.) nuitrembrunie.
Uusd ow Imnd, s. m. plante fructiföre du
Bresil. .
ano, a. V. Humido.
MIDÄDE,, eilt. .
Umpiog, etc. } V, Humi..., elc.
+ Unanımär, 9. a. rendre unanimes, con-
formes en sentiments. Il est aussi reciproque.
Uninmz, adjı 2 gen. unanime : d’une com-
mune voix, d’un commun accord.
UNANIMENEnTE, ade. unanimement : d’une
commune voix ; d’un commun sentiment.
Unanısmınpäpe, 8. f. unanimite : conformit&
des sentiments ; universalit6 des suffrages,, etc.
Uncäiö ow Uncgiö, s. f. onclion : action
d’oindre. Les saintes huiles pour V’extr&me-
onction. Sacre des rois, des &v&ques. (flg.) —,
mouvement de la gräce, consolation du Saint-
Esprit; eboses, pensees qui portent & la piete,
qui touchent le caur. A extrema, a sanla —,
Pextreme-onction, sacrement de l’Eglise catho-
lique.
UncıiL, adj. 2 gen. de l’once. (t. d’ant.! On-
eiale : ( leitre) pour les inscriptions et Ics Epi-
taphes.
Uncıirıo, adj.m. Herdsiro —, hörilier da
douzi&me d’une succession.
Uncınäpo, A, adj. crochu , en forme Je cro-
che:.
+ Uncwmäins, s: fi (1. d’hist. nal.) "unci-
naire; ver intestinal, & bouche ciliöe.
1182 UNH
+ Uncrönio,s. m. (4. d’ant.) lien dans les
bains od se faisalent les onclions.
UxcToRIO, A, adj. (P. #8.) qui sert & olndre.
Uxcruosipäng, s. f. onclaosite : qualite de
ce qui est onclueug.
UncTU0s0 , A, adj. onctueux,, hulleux , gras.
Unsagäö, 8. f- V. Dosaguamenio, Inunda-
Fe xbinre ‚adj. 2 gen. ondoyant. (fig.) Trös-
copieux. V. Undoso.
* Uns. V. Onde.
UNnDECÄGONO, 8. m. (1. de gdom.) ondecagone,
Bgure de onze cölds.
UNDECENTESINO, A, @W- quatse-vingi.dix-
neuvieme.
+ Unpec#uviao, 5. m. un des onze magisträts
& Athenes.
Unp&cımo, A, adj. num. ord. onziöme; onze.
Clemenie, Luis —, Clement, Louis XI. Em—
lugar, onzidömement.
+ UnpscupLo, A, adj. onze lois autant.
UnpicoLa , s. m. (prat.) habitant des eaux.
Unpisono, adj. (poet.) bruyant, en parlaut
des flots. Qui mugit comme les flots.
Unpivaco, A, adj. qui floite sur les vagues;
qui court los mers.
Unn6»0,& ‚adj. ondoyant,qui fait desondes;
kouleux.
Unvoracäö, s. f. ondulalion : mouvement
oscillatoire par ondes.
TUnpuLarönıo, A, adj. ondulaloise (mouve-
ment) d’ondulation.
Uxcivo, A, adj. eis. m. oint; qui a regu
l’extr&äme-onction. Os —s do Senhor, les oiuis
du Seigneur, les rois et les prötres. p. p. de
Uncin, v. a. oindre : frotter de choses one-
tueuses. Oindre les rois, les eröques dans lour
sacre. Donner l’exiräme-onclion. (Ag.)Conlerer
le pouveoir.
Uncuentania, 8. f. parfumerie, labrigue
d’onguents ou pommades.
UnauanTaRıo , A, adj. ets. qui fall des On-
guents ow des parfunıs, parfumeur (chez les an-
ciens). Qui concerne ow contient les onguents,
les parfums. Loge —e, boutique de parfumeur,
parfumerie.
Uncoentärıo, 3. m. endroit od les apothi-
caires tiennent les onguenis.
Uncu£nto, s. m. onguent: medicament mou,
onctueuzx, Tout ce qui sert ä oindre. (anl.) —,
parfum compose „ de consistance molle, pour
embaumer les corps. — de soldado, onguent
gris, napolitain ow mercuriel.
Uncvindso. V. Oleoso.
Um’cuis, s.m.unguis, os lacrymal, petit os du
nez.
U’ncuLa, 3. f.* ongle,, tameur de l’@il. V.
Unha. — cavallinha. V. Tossilagem.
UncuLäpo, A, adj. onguld ow onguicul& : qui
a des ongles.
Unua ,s. f. ongle: partie dure & l’extremitd
da doigt; griffe des anlmaux. Corte du pied
du cheval, ete. Pointe recourböe de certains im-
etruments, &pine crochue de cerlaines vian!=*
UNI
V. Presunto. — de cavallo, pas d’äne, plante.
V. Tossilagem. — no olko, eıcroissance,tumeur
dure sur la paupiere „ongle, Laie. Finoar, ıwei-
ler a—,(fig.)exiger plus qu’ilr’est dä. Mostrer
#—, (Ag.) montrer le bout de Poreille. Ser —
tarnscom alguem „(Ag.)Eireles deux doigts de
la main, &tre l’ami intime de quelqu’un. Aslar
#4—: on le dit d’une cbose qu’on possede,
u’on a obtenue. Ter — na palma de mdo,{fg
Im.) avoir des griffes, &ire voleur. Escapar
por uma — negre , (fam.) l’echapper belle. —ı
sbaizo, (8. d’escr.) quarte. —s @ cime, (id.
lierce. Fugir a —s de cavallo, fuir ä bride
abatlue, venire ä terre. —s da ancora, ( f. de
mar.) paties de Pancre. —e de fome, s. m.
grippe-son, bomme Irds-avate.
"nina, 8. f. coup d’cngie, Impression de
Fongie sur quelgue chese ; griffade ; &gra-
lignure.
Unnipo,A,9.p9.de Unkar.
UNBACATA, 8. f (4. de bot.) V. Restabei.
UnBANEKTO, 3. m. provignement.
Uxnäa, v.a. provigner ; coucher en terre les
brins d’un cep entaill6 pour qu’ils prenneal
racine. Egratigner avec les ongles.
Ungkıao , s. m. panaris, mal d’aventure:
sorie de tumeur, abc&s qui vientä la racine de
ongles.
Uni, e. f. union : Jonetion de dewx om ple-
sieurs choses; action d’unir ; concorde,
intelligence, soci&tö; Jonelion au physique et
au moral ; alliance, oonfederation. Correspon-
danee, conformits, uniformits. Böunien des
lövres d’une plaie, ete.
UrmIcaMenTE , adv. uniquement.
+ Unicänrg , edj.2 gen. on ledit d’ame plante
qui n’a qu’une lige.
+ U’nxcıoäps , 6. f. qualii6 de co qui esi
unique,
U’nı00, A, adj. unique » seul; simgulier;
extraordinaire, exoellent en son espece.
Unıcöang , 08 jlcorne, unioorne: auimal
Unschanio , e. m. ) sauvage, labuloux ; che-
val avec une come au front, Sorte de piert
minerale.
Unmips, s. f. anitd : qualıtd que Fon prend
pour commune mesure de toutes les autres de
meme espece, considerte abstraitement; prin -
cipe des nombres; ce qui exprime un seul @ure:
opposd i pluralit&; union, conformite de sen-
timents, ete.; identite (de foi); (6. de Kil.\ se
dit de !’actlion, du temps, de lioe qui sonl
unigquss. —, attzibut de Dieu, de la souverai-
neis, ei.
Unipamente,, adv. oonjointement; unakime-
ment; uniformement; ensemble ; amiment.
Unipo,&A,Pp-p. d’Unir, adj. Uni, joint, ke;
associe. Confedere.
Unmn6R0, A, ey. (1. de bei.) unilere: qus
m’s, qui ne porte qu’une fleur.
Uxıpoauino, 9.9. de
+ Unroasir, v.o. rende wnılorme.
"rnrönHe, Odj. 2 gen. unilorme ; sermblabie
UNI
em toutes ses parties, &gal; qui & la m&me
forme; qui ne varie pas; sans varlete.
Unırönuez, s. m. uniforme : habit militaire ,
costume de Corps.
UNIFORMEMENTE, ado. uniformement : d’ane
maniere uniforme.
UNIFORMIDADE, 8. f. uniformite : conformite,
rapport, ressemblance avec 30i-m&me ow entire
plusieurs choses ; qualit& de ce qui est unifor-
me, sans variete.Uniformit6 de sentiments, etc.
UNIGENITO, A, adj. et s. unique (fils), seul
engendre. On le dit par excellence de Dieu le
ils.
f Uxutcipas, adj. f. pl. (1. de bot.) Folhas
— , feuilles unijuguees. "
+ linıLarasiL, adj. 2 gen. (1. de bol.) uni-
lateral : qui vient d’un seul et m&me cöle, qui
n’a qu’un cöl&. j
Unıda, 8. f. ($. d’hiss. nal.) unio ou union:
mollusque acephale. — dos pintores , unio
Epaisse, — sljofreire bestards, la maule du
in.
Usir (e, com), ©. a. unir, jeindre. Möler,
incorporer. Joindre, attacher : au physique et
au moral. Reunir, approcher, faire toucher.
Reunir les lövres d’une plaie. Unir, r6unir les
espriis.
Unin-sg (a,com, om, enfre), o.r. s’unir,
s’sllier, s’associer, se liguer, se confederer ; se
reunir. Convenir, s’accorder, prondre des ar-
rangements ensemble. S’allier, s’acoorder. Se
joindre , se toucher, dtre irds-pres l’un de
Pautre.
UnisexuiL, adj. 2 gem. ($. de bot.) unisexd::
qui n’a qu’un soxe (fleur —€e).
Unmonäncıa, s. [. * aceord de deux ow plu-
sieurs voix , eto., ä Punisson. Monotonie, de-
clamation sur un meme ton. Conformits, ac-
cord, harmonie.
UnIsonÄxTE, ad). 2 gen. V. Umisono.
Unfsono, A, adj. qui est ä l’anisson. (fig.)
Conforme, egal, semblable, de möme condition.
Uxisoxo, s. m. unisson. V. U: ia.
Unisonts. V. Unisono.
+ Unispicäno, A, ad. (f.de botl.)quia un
soul Epi.
Unissımo , adj. sup. de Uno.
Usırivo, A, adj. quia la verta d’unir. Vida
—1s,(t. myst.) vie unitive: &tat de ’ame dans
l’exercice du pur amour.
UniväLvE, adj. 2 gen. (f. d’Rist. nal. er de
bol.\ univalve: & coquille d’une seule piece
(lestace); qui a uno seule valve ow valvule
(capsule, eic.).
Unıvarsies, s.m. pl. (1. de log. scol.) univer-
saux : ce qu’il ya de commun dans les indivi-
dus d’un meme genre, d’une m&me espdce.
UxivensäL, adj. 2 gen. universel : general;
qui s’etend & tout, partout; qui comprend,
embrasse, renlerme tout, Umiversel : on le dit
d’un homme qui a une grande &tendue de con-
naissances. Em —, (p. 48.) sans exceplion de
personne.
UNIVERSAL, 8, m. V, Universdes.
URA 1183
UNIVERSALIDÄDE,, 5. /. universalils, gönera-
ll ;totalils ; qualitö de ce qui est universel.
UNIVERSsaLissımo, A, adj. sup. de Universal.
UnıvERsalızia, vo. a. universaliser, rendre
universel.
UNIVERSALMENTR, adv. universellement.
Untversınäne, 8. f. " assemblage de toules
les choses cr&ses. Collection , assemblage de
toutes les choses de m&me espece. Universite:
corps de professeurs et d’ecoliers. Acad&mie
ou l’on apprend les leitres ot les sciences
Corps, communautö de personnes de mäme
prolession, etc.
Unıv£aso, 8. m. univers : le monde entier.
Unıv&aso, A, adj. tout, total, universel.
Unmvocaciö, s. f. univocation : caraclöre de
ce qui est univoque.
- UNiVOCAMENTE, ade. aroc univocalion.
Unxivoco,, 4, dj. univoque ; (Dom) coımmun
& plusinurs eires. Semblable ow uni, qui ne
fait qu’un. Unanime,
FU’no, A, adj. un: seul, qui n’admet pas de
pluralite (Dieu).
UnöcuLo, A, adj. m. qui n’a qu’un @il.
Untipo, A, P.Pp. d’Untar.
UNTADOR, A, 8. celui qui oint.
Uarapdöra, s. f. onclion : action d’oindre.
Untär, o0.a. eindre, enduire, graisser; bar-
bouiller. (4g.) Gorrompre, suborner un juge,
etc. On dit commune&ment : Untar as mdos,
graisser la patie. — as dos ao porleiro , lg.)
graisser lemarteau d’une porle.— ocarro, td.)
procurer & force de presents l’ezp6dition d’une
affeire,, graisser la palte.
U’ntTo, s. m. toute matidre grasse. “ Graisse
des animaux. Oing. — de porco, saindoux.
Untöso. V. Unetuoso.
Untüra, s. f. onction : action d’oindre; frie-
lion. Matiere avec laquelie on oint.
+ Ü’ra interj. houp! Mot qui sert & encou-
rager les pelits enfants ä se lever, A se tenir de-
bout, ete. Allons, Courage! j
U’pa, 8. m. officier de justice, en Chine.
* Uquek ; adv. od l’on voudra.
Una, s.f. (t. d’hist. nat.) * ura : ecrevisse
du Bresil.
+Unrica, s. f. (1. @’Asie) vin de palmier.
Unacäö.V. Furacdo.
Uräico, s. m. (t. d’anaf.) ouraque : rordon
de la vessie ; cordon du fatus qui va de la ves-
sie au nombril.
Urima,s.f. (t. de myth.) Uranie, Venusce-
leste : muse de l’astronomie.
Uranocrapnia, 8. f. uranograpbie: descrip-
tion du ciel.
} UsanocräÄPrnico , A, adj. uranographique :
de l’uranographie.
7 UranoLocla, s. f.uranologle: discours sur
le ciel.
+ Unanoseraia, 8. f. uranomöfrie : science
des astronomes qui mesurent le ciel.
URAXÖSCOPO ou uranoscope: genre de
URANOSCÖPIO, 8. m. | poissonsdonties yeuz
sont tournes vors le cicl.
ö
1184 URI
Uriro,s.m. ($. de chim.) urale : combi-
nsison de P’acide urique avec difförentes sub-
stances; sel forme6 dans l’urine.
URBÄNANßNTE, adv. civilement, poliment,
konnetoment.
Ursanınine, 8. f. urbanite, politesse.
UrzBanissıMO, A, adj. sup. d’Urbano.
+ Unsanita, ad). 2 gen. (inus.) citadin, ba-
bitant d’une cite.
URBANIZADO, A, P. p. de
URBanızir, v. a. civiliser, rendre poli.
Unzino, a, adj. poli, civil, honneie. Ur-
bain : de la ville, qui appartient & la ville.
Guarda, milicia —a, garde bourgeoise.
+Unsino,s.m.(1.de gdog.) Urbin:: ville d’Iltalie.
U'acı, s. f. ourque : sorte de vaissean hol-
landais. Orque : poisson. V. Orece.
UsceıLa. V. Urzelle.
+ UrcniLıa ou UrchiLta, s. f. couleur vio-
lette qu’on tire de certaines plantes.
U’acno, s. m. (p. us.) bouchon , tampon.
U’nco, s. m. cheval [rison de carrosse. i#.
Oouvercle, tampon des cuves.
Unpınkıaa, 8. f. ourdisseuse. * Ourdissoir :
instrument de tisserand, etc. As —s ( podl.).
V. Parcas.
Unpivo, A,P.P. d’Urdir.
Unoınor, s. f. ourdisseur : celui qui ourdit.
Unpındaa „ 3. f. ourdissure, ourdissage ;
ehatne ; contexiure, tissu ; ( Ag.) complot, ma-
obination.
Urpımäcas ou } quiourditdes intrigues,
Uapımäras, adf,inv. ) qui fait des complots.
UnDIM&NTO, s. m. °ourdissure ; trame.
Unpin, 0. @. ourdir; (fg.) tramer ; machiner
un complot, etc. V. Ordir.
Unpduz, s. m. V. Urdidura.
Ungaı, s. f. urse ı substance qui constitue
l’arine.
Ungrenzs, s.m. pl. (6. d’anal.) ureldres : ca-
nal double des reins A la vessie.
Ungrero, a, adj. de l’ureire.
TUngrıco, A, adj. urölique : de l’urdtre ; uri-
neire, diurötique (remede).
Ungraa,s. f. (t.d’anal.) urötre : canal par
ed sort l’urine..
TUazraiL, adj. 2 gen. uretrique :del’urötre.
Ungrairis ou Üaerasıtıs, 5. f. (6. de med.)
urethritis : inflammatıon de l’uretre.
UV’aca , s. /.roquetie, plante.
Unozsiö,s. m. (4. de bot. ) V. Verbena.
Uncencia, s. f. urgence : necessile urgente;
cas urgent. Nöcessile, obligation indispensable.
Besoin urgent, pressant,
UncenteE, adj. 2 gen. urgent, pressant. '
+} URGENTENMENTE, adv. d’une manidre pres-
sante.
Uncentissımo, a, adj. sup. d’Urgenie. °
Uncin,o.n. eure urgent, presser. v. a. Pres-
ser, solliciter, demander vivement, contrain-
re
U’rıco, a, adj. (f. de chim.) urique ou lithi-
que, ı acide) tire du calcul de la vessie.
Ukins, s. f. urine, V. Ourina
USA
Usinia. V. Ourinar.
Urnıminıo, a, ed. (1. d’anai.) urinaire : (ca-
nal ) de l’urine.
Urınöso, a, adj. urineuzx : de la nstare &
Purine, quia Podeur de l’urine.
U’ana, s. f. ume : vase antique oü !’on ınet-
tait les cendres des morts, etc.; vaso d’orne-
ment. — dos musgos , ( i. de bot.) V. Anthera.
U’no, s. m. ure, urus : laureau sauvage de la
Lithuanie.
Unoricıo , 8. w. croupion des oiseaux.
Urrica, s. f. V. Uraca. (vieuz) V. Plga,
seau.(#. de mar.) "Racage.
Uaräin, v. 9. rugir, en parlant de } lephant,
du lion, etc.
U’aro,, 8. m. ragissement.
U’asa,s. f.ourse: femelle de !’ours. —maier,
— menor, grande ourse, pelite ourse : consiel-
lations septentrionales.
Unsino, a, adj. de l’ours, ursin. Zerve —.
V. Hervu ursa.
U’Rso, s. m. ours : quadrupäde plantigrade,
föroce, velu.
Ursozinno, s. m. dim. d’Ürso, oursen , peüt
d’un ours3.
-UnsoLimas, s. f. pl. ursulines: religieuses
de sainte Ursule.
Uxrtica , s. f. ortie. V. Ortiga.
Uaricagid, s. f. urtication : remdde qui con-
siste & foueller avec des orties, et laver la chair
devenus rouge avec du vin chaud.
UnricäApo,A,P. 9. de
Unricin,v.a. fouetier, piquer avee des orties.
Uaricin-88, o. r. se piquer dans des orties.
+ Uaund, s. m. sorte de grand corbeau de
Bresil.
Uauch, #. m. Foucou : päle violelie de se-
mence de roucouyer. V. Urucueine.
Urucutira, s. f. ($. de bot.) * rouoeuyer, reu-
cou : plante, arbre rosace dont on lire ane päie
pour la leinture rouge du roucou.
Ununsäsa, &. f. plante du Bresil & grosses
feuilles garnies de pointes.
Unureua 08 N (4. du Bras. y "iissu de
Uaup&usa, 8. f. paille, au Bresil.
Ururicıo. V. Uropigie.
Uruxi,s. m. vernis du Japon.
Unz. V. Urze.
Unze, s. f. (. de bot.) — ordinaris, brujere,
bruyere commune. mie vassouraes, bruyere ä
balai.
Urzeıra. V. Orzella,
Usino,A, p. p. d’Usar. Ust: gäts par Fu-
sage. Usite. Exerce, babilud. Experiments,
verse dans une science, elc.
* UsAGENM, 3. m. impöt ancien.
Usicae, s. m. croüte laiteuse, dartre gqei
vient & la t&te des enfanls.
Usänca, #. f. usance, usage, mode, 004
tume. V. Üso.
UsÄNTE ‚adj. 2 gen. qui use. 2. a. de
Usir de), v.a. user : faire usage, se serrit
de. Metire en usage. Exercer un emploi.—, g&
Itor ronsommer. od. 9%. User, faire usage de.
USU
uveie coutume, dire on usage de. — do seu di-
reılo, user de ses droits, !es faire valoir.
Usär-sE, v. r. dire en usage, S’usor. (imus.)
User, fsire usage, so sorvir de. Usa-se, il est
Ustıno,, A , adj. (4. vulg.) habitus A. V. Asos-
tumado. Ser — 0 oszeiro , $ire ooutumier.
Usuza, s. f. (6. de boi.) usnee : sorte de
mousse d’arbre, espece de lichen. — dos era-
nos , usnse humaine, Mousse qui pousse Sur
le cräne des pendus, sur les 08.
U’so, 8. m. usage : Coutume, pratigue regue.
* Mode. V. Mods. —, emploi, action d’em-
ployer ; maniere de se servir, habitude qu’on
acquiert par la pralique; exercice , experience,
jouissance, possession ; droit de se servir de la
propriet6 d’un autre; service, utillt& qu’on
relire ; user, usure;long usage ; emploi habituel
qu’on fait, usage du vin, du cafe, eto. Emploi,
maniement trop fr&quent qui use, qui gäte. Ao
— , selon l’usage. — de razdd, usage de la rai-
son. Em cada lerra seu —, (prov.) ohaque
pays, chaque coutume. Usos e cosltumes, us ol
coutumes.
Usuraöcto, etc. V. Usufrwclo, eio.
Ussa. V. Ursa.
* Ussıa. V. Adussis. Capella-mör.
*Usso. V. Urso.
TUstica, s. f. (t. de mer )* moulle ow pou-
lie da mät de hune,.
Ustäö, s. f. (1. de chir.) ustion : aclion de
bröler avec le cautere; (#. de chim.) calcina-
tion , combuslion.
Ustkpa, s. f. sorte d’etofle de laine.
Ustörıo, A, adj. brülant. Bspelko —, miroir
ardent, verre ardent,
UsuiL, adj. 2 gen. usuel : dont on se sert
oröinalrement, Tributo —, impöt sur les den-
es.
UsuaLM&nte , adv. usuellement, commund-
ment. -
} Usuänıo,a,adj. qyin’a que Y’usage, la
jouissance sans la propriets.
Usucarıäd, s.m. (1. de jur.) *usucapion : &0-
quisilion par prescriplion.
UsucaPi&ntg, adj. 2 gem. qui possede par
usucapion. p. a. de
Usucarir, v. a. (f. de jur.) acquerir la pro-
prieis par possession non interrompue, POS-
seder par usucapion.
Usucäpro, Aa, adj. possöde par usucapion.
V. Usucapiente.
Usuraöcro, 8. m. usufruit : jouissance des
[ruits, des revenus sans avoir la propriets du
fonds.
Usuraucruir, v. a. avoir P’usufruit de.
Usurrucruänıo, A, adj. usufruitier, qui a
l’usufeuit,
Usöra, s. /. usure : inter6t trop fort de V’ar-
gent; intöret illdgal; profis illegitime tird de
l’argent, des marchandises preites. Pagar
com — , Tendre avec usure.
Usurär, vo. n. donner, pröter ä usure.
PORT.-FR,
UVA 1185
Usuränssmäntg, adv. usurairement, d’ume
inaniere usuraire.
Usunäirıo, a, adj. usuraire : oü il y a de
Pusure; qui en vient. s. Usurier, —ere : qui
donne son argent & usure; qui fait un gain il-
l&gitime,
Usuakıno, A, s. usurier. V, Usurario.
Usurraciö, nL usurpation : action d’usur-
per ; chose usu
Usunpino,a, p.p. d’Usurpar.
Usunpapda, A, 8. usurpateur, —trice : colui,
celle qui usurpe.
Usurrär, v.G. usurper : s’emparer par vio-
lence, par ruse, d’un bien, etc., qui appar-
tient & autrui, qui ne nous appartlient pas.
UstuLacäö, s. f. ustulation : action de faire
griller ow brüler.
Ur, s. m. (t. de mus.) ut: premidre note de
la gamme.
Urir. V. Outer.
UTENsiLıos, 5. m. pl. ustensiles : pelits meu-
bles de menage, de cuisine. Outils d’artisan.
UTERINO, A, adj. utefin : ne d’une medme
möre, mais non pas d’un möme pere (frdre,
seur —e). Qui concerne la matrice. Furor —,
fureur uterine, manie ou maladie des femmes,
U’TERO, s. m. *matrice, ulerus.
+ Urica, s. f. (t. de gdog.) Ulique: ancienne
ville d’Afrique.
f Uricensz, adj. et s.2 gen. d’Utique.
VrıL (es, para), adj. 2 gen. utile : profltable,
avanlageux: qui sert A quelque chose; qui ap-
porte du gain, du profit, de Lutilits. Dies uieie,
(4. de prat.) Jours utiles, oomples dans les dö-
lais accord&s par la loi.
Urin, s. m. utile : co qui ost utile. V. Uli»
dade.
"UrıLzs, pl. d’Ull.
UrıLipipg, s. f. utilit6, proßt; avantagez
qualit& de ce qui peut servir. V. Prestimo.
Sem —, en vain, inutilement.
UriLissıno, A, adj. sup. KU.
UrıLızipo,A,9.p. de
Uriuizir, v. a. utiliser : rendre utile. Melire
& proft, tirer parti de. v. m. Etre utile, rappor-
ter du profit.
UriLizäg-se (de), v. r. relirer du prot, se
servir de. (em) Retirer du profit, de l’avanlage.
UrıLuinte, ade. utilement. Empregar —,
meitre & profit.
Utopia, s. f. utopie : plan d’un gouverne-
ment imaginaire et parfaitement rögl6 pour le
bonheur commun.
+ Urszqug, s. m. ($. de geog.) Utrecht : ville
de la Hollande. .
+ Urricurin, adj. 2 gen (t. de bot.) de Putri-
cule.
UrricuLo,s.m. (6.de bot.) utricule,, tunique.
+ Ur supaa, (ial.) comme ci-dessus. Die,
mez e era-. „les jours et an que dessus.
*Uum. V. Um.
Uva, s. f. "raisin: fruit de la vigne. — de
eäo. V. Dogamarga. — d’urso, la bousserolie
ow arbousier trainant, vwig. Falsin d’ours. —
sin.
+ Urin, s. f. osniture, oonserve de ralelns.
+ Uvir, adj. 2 gen. de raisin.
Vvar,® f® d’ensi.) urbe : une des tumi-
ques de
Urtina,s.f. la Arbre & qui se marle
rd vigne. quise
v,s. m. vingt-deuziöme Istıre de Yalpkabei
portugais; lettro numerale qui vauts, ei sur-
montde d’un tiret 8,000; avoo une barre em !ra-
vers (7) signifle versei ; par abr&ristion sigai-
Re voyex, etsuivie dun M, un8, un E, signi-
Be votre. Ex. : Y. M. votre malesie, ou vous.
V. Merct. V.8. vowe seigneurie. V. Ex. volre
excellonce.
Vi, loe. adv. solt, va.
Vi ou Vir, adj. f.de Vo.
Viaoröaıa, etc. 7. V. ee.
VIautute , oder vainement, on vein, fau-
tiiement. Sans fondement, sans motil, eie.
Avoc vaniid,, preösomption.
Vıca, eio. V. Vaece, etc.
Vacaciö, s. f. usitö commun6dment au ple-
riel, vacapöes, vacations, vacances des tribu-
aux, des dtudes.
Vacincıa, s. f. vacance d'un emplol, d’un
beindfice, etc.
Vacinte, adj. 2 gem, vacant : qui n’osi pas
eccupe; qui estäremplir. Side —. 7.
Vıcia (a), v.m. vaquer &, Fappliguer, va
donner a. V. Vager.
Vacatina, V. Vacaneis.
Vicca, 8. f. vache : Iamelle de tauresu.
Viende , chair de vache ou de bauf qu’on
vend & ia boucherie; du beauf. — do chocalko,
vache apprivolsee qui guide les laursauz pour
las oourses ; (Ag. fam.) debaucheuse. — forra,
(8. d’Asie) Auindant, olsif. Torner, volter d
_ ve V. Torsner.
acchpa , s. f. * teoupemu de baufs, de
vaches,
Vıcca-röma, 8. f. (0. EMst. nal.) ABADEIO
ou Insecro Unctuoso , s. m. le proscarabee , | &
tentarelle : insecte. Vacea-lowra de Malo,
Ik melos de mal. — da chicoria, Yo mylabre de
la chicorde.
Vaccania. V. Vaooade.
Vaccina, s. f. vaceine : esp&ce d’Inoentatlon
ereo le veccin, maladie boutonneuse particu-
Röre aux vaches, et qui, Inoculde aux enfan,
..o2.,
u vaD
Orivune, a, adj. (pait.) qui ports des guep-
de raleim.
Uwan ‚ots. V. Aisiver, ots.
Uwan 7. Biro
U’ va, s. f. urule, la luelte.
UrrvLia, adj. 2 gen. urulalse, de ja Imette.
Uvrin, ot. V. Huiver, ote.
Uzaean V. Ihagee.
Unren,s. m. (t. de chim.) usifer : oimabse
fa de soufze si de mereuse,
u V.
les pröserve de la pelite wirele. Art d’mesuler
le vasein. * Vagein : virus de pustules du pis
d’une vache ou d’an voceind.
Vaccmacid, 8. f. vaccination : actiom , @p6-
ralion de veseiner.
Vaccınäpo,&A,9.p. de Vacriner.
VACCIHADOR , 8. m. veseinetsur, qui vascine.
Vaccınär, v. 6. vacciner : inosulsr aves le
Vaccöu, adj. m. de bauf vw de veche. Gade
— , >iies A come, gros bötail, besufs et
vaobes.
Vacıınaciö, 8. f. vaciliaien : mowwement
de co qui veciite ; (flg.) incertitude,, rdsols-
tion, perplexite.
VacıLLinte, adj. 2 gen. vacliient: qui va-
eftie, chancelle; (Ag.) Irresahe, insertain. p. ®-
de
VacıLrir, v.n. vaciller : branler, chanceler,
n'ttre pas ferme; (fig.) hesiter en repondamt:
@ire incertain,, irresolu.
Vaeno om Vachme, #. f. veciet, serie
d’arbrisseau qui porte des bates noires.
Vacvacko. V. Eoacuagdo.
Vacvipäne, 8. f. (2. de phys. ot de möd.) vr
cuXd : etat d’une chose vide.
Vacöu. V. Vaccum,
Vicro,s.m.* vaculte, vide, espace od in’
a pas meme de Fair; en terme de physiqwe.
Vicvo, A, adj. vide, vacant.
Vınzaciö, 8. f. " passage A gu.
Vapzino, A, 9. p. de
Vıpzir,v. a guter une riviäre, etc., pass
U gut.
Vapaivzı, adj. 2 gen. gusable :oü l’on passt
€
ue.
Fanzutco os feuftte d’&colier.
Vanznecum, &. m. | Vade- möcum : chase,
iivre que Fon porte ordinairement avec s6i.
Vipla, s. f. Alle publique.
Vıpuck®, 5. f. traanderie, lalndentine, vie
vagsbonde , flänerie.
Viptawtere, ade. om feindent, en oiell.
VAG
+ Vanıin, u. =. (fam.) mener une vie elsive,
vagabende, Däner
Vapicg ou Vaorice, s. f. fainsanlise, vie va-
gabonde, flänerie.
Vipio, a, adj. ers. vagabond,, [aindent, N&-
Deur.
Vapöso, A, adj. gueable. ss. Plein de bas-
fonds qui rendent la navigation dangereuse.
Visa, s. f. vague: Bot, lame d’eau de mer
agitde. Vacance.
VaGABöNDO, A „adj. et s. vagabond : qui erre
ne lä ; rödeer; qui n’a point de demeure
Vacıacid,. V. Vagueapdo.
* Vacsche.V. Varamcia.
Vacipa, V. Vacancia.
VAci00,A,P. 9. de Foyer.
uncano, s.m. verlige, dtourdissement de
ie.
VacaLdmE, 5. m. vor lalasmt.
Vieauswrs, ade. vaguoment, imiötermind-
ment,
VACANUNDEAR, v. ». (fams.) sourie, error cä
et lä, mener une vie vagabende.
er .V. Vagabunde.
*Vacankö, s. m. V. BMariels ei Vegsbunde.
Yıaınra, 2. f. V. Vaommeis. adj. V. Vacmmie.
8. Oisif,, aindenı, vagabond.
VYıein,o.m vaquer : dire vacant, er per-
laut d’un eımplei,, d’un Dundfice, ete. (por) Ve-
guer, error cä et l&. Marcher & travers champs
ou dans un desert, sans chemin fraye. Bıre
desawvrö, eleil; battre Io pave, viwre. dans le
des@uvrement. Peter. Aveir io temps, te foi-
sir nöcessaire pour une chose. V. Pasar ei Va-
gwar. — para a corda, reiourner & la oou-
Tonne, en parlant d’um Bet, ete. , quiostdövolu
& la couronne.
Vasin,s. m. loisis : mengue d’sccupetion.
*"Lentenr, nenchalance. Be —, oe. ade. deuce-
ment, lentement, sans 50 presser; tout beat.
Fer —, star com en de—, te de loisir. Näo
ter —, w’svoir pas de loishr, n’evoir pas ie
termps.
Vıcanösamtere, ade. Tentement, lardive-
ment.
Vacanso, 4, adj. Imnt, terdil. — no amdar,
no faller, tens a marcher, R parier, qut merche,
qui perie lontoment.
“Vackıno. V. Baldio.
Vicam, s. f. gousse, conse (des pots, des ha-
ricots, etc.).
Vaeine, 8 m. vagmoomen! : : eris des enlanis
au berceau.
Vacina,s. f."vagin: canef qui eondeit de la
vuive & le matries.
VacıniL, adj. 32 gen. vaginal : qui a repport
au vagin.
T Vaomntris, s. f. (8. de dd.) vaginlte: im-
Raramstion du vagin.
Vıcito. V. Vagido.
Vico, 2, adj. vacsni, qui west pas ouwupe ;
qui est ä remplis.Berant: qui we point de de-
meure lixe, vagabond, Vague : qui n’est pas
VAL 1187
Mxd, arrötö, defini, deerit, determine. (Ag.)
Ingeiet, hogen, Ineomsiant. Oisif, desaaurne. De
—, & loisis. Bstar de —, n'dize pas oreup6,
n’öire pas loue. Fox —a,bruit vague. Nas ke-
rag —$#3 ‚382 heurauperdues..
Vacugacäd, s. f. action d’errer guet ba. (Ag,)
Disiracttiew , röverie, inquistude „ kmongtanee,
egarement Gesprik, “east d’Imaginatien.
Vacuzino, 2,P. PL de
Vacuzir (por), ©. @&. vaguer, eurer gb ei |ä.
Flower. R-) Stgarır deme sos ideen „ dans
‚Osnmeu carıiöya A son Imegine-
dgao.
VıRU,s.m. quserwpriede Paiestine.
Visa, f. Iute, buis, mequwie Dur — a
alguem,, huer, stiller quetgwun.
Vamisoe, se. f.veulte: immbilik, pam de soll-
dis , ntant; peisemptiem. Pontpe, vains 08-
tentakiom, parade. Dasola inuiile, vide de BEUS,
ete.
+ VaspösauänzE , ade. arac wenile.
Vam6sR „A.,adf, veiR, vamilsuK, PIÄSAED-
tusuxL.
* VarLtra.V. Velites.
Viis pour Ides (vous allez).
Vive, s. m. belier: machine da guerre des
anciens. Branlemens, balancement. (f#g.)* Inst»
bilfie, imconstance, vicissitude; risque, dan-
ger. (viewr) * Intrigue, cabale, machinatiom.
(£. de mar.) Blin ow belin. Buter om o—,
(#d.) faire agir ie blin.
Varröna, 5 m. vayrode : geuverneur ow
prince souverain de ia Mofdavie, de !a Vala-
chie.
Vir
Vıra, \ V. Fall
“Vırıvio. V. Baldio. Be — , loc. adv. en
vain, inutilement.
Vırivo.V. Vallado.
Vıranchna, s. f. sorte d’etofe de laine fabri-
qude & Valence.
+ Vıriogurr, 8 f. (t. de geoy.) Vallachte ow
Valagquie : province d’Europe, apparienant a ia
Russie.
+ VaLderinos, s. m. (fam.) vaurlen,, liber-
Un.
Vıroto. V. Baldie.
* ViLoo. V. Baldo et Vadko.
Vıre, s. m. (mot lat.) adiew qu’on fait,
cong& qu’on prend. O derrsdeire—, ie dernier
adieu.
"Vıredfino, &, adj. valable,, qui dolt va-
loir. Valide. Ssin. Vigoureux. v. Valldo.
“VıaLevio, A, adj. on le disait de cerlaines
piöoes de monnaie espegnoles qui avaldns
cours en Portugal.
Yaueoo6ıno. V. Valedeiwo.
VaALEDOR,.A,.s. pmaianlaur, ölensenr; DOE-
sonne serviabla.
VAaLEnOaR , A tt
VALEMOURR, Asa.
* VaLkco. V. Novo.
veiahie, quisdeit valoir.
hiigeteire, V.- Faliitn.
".. .
1188 VAL
°+Vaıtıro, s. w. ancien soldat qui ne por-
tait pas d’arbaidte.
+ Vatnca,, 3. f. (4. de gdog.) Valence : pro-
vinne et ville d’Espagne, ville de France, ville
d’lislie.
+ Vartucıa, s. f. plante qui porte des fieurs
comme le genöt.
+ VaLzncıino, A, adj. eis. de Valence.
* VaLkusa,s. f. valour, force, vigueur.
VaLEnTio,, ONA, adj. ei 8. Fodomons, Ser->
bras,, matamore ; fanfaron.
VaLtutg, adj. 2 gen. fort, vigoureuz, ro-
buste. Vaillant, brave, courageux. Champion.
Utile , eficace. Excellent. Grand, excessif. Es-
tar rijo e —, (fam.)avoir une sante vigoureuse.
s. m. Brave. O — acode a onde ha perigo, le
brave passo toujours du cöl# du peril. Affecler,
inculcar-se de — , laire le brave.
VALENTEMENTE, adv. puissamment, vigou-
reusement. Vaillamment, bravement, on brave.
Varantia, s. f. veillance, valeur, bravoure;
vigueur; action de valeur. Action, effort au-
dessus de !’6tat des forces actuelles. Affectation
de bravoure, fanfaronnade. Vivacits d’esprit,
d’imagination,, nergie. Imitation parfaite de la
nature dans un tableau.
VALEnTissımo,, A, adj. sup. de Valente. tr&s-
fort, tr&s-vaillant, etc.
Varentöna (A’), adv. en fanfaron;; par vio-
lence.
Varta, v. m. valoir : avoir une certaine va-
leur, öire d’un certain prix; servir, @ire bon
pour. Prevaloir, l’emporter sur. Aider, favori-
ser, secourir. —, aroir de l’imporlance, Je la
consideration. — a alguem, [avoriser, prole-
“ ger, defendre quelqu’un. — aos desgragados,
socourir les malhoureux. Valka-me Deos / grand
Dieu! Dieu me soit en aide I — com alguem,
{Ag-) avoir du credit, du pouvoir sur Pesprit
fe quelqu’un. Ndo poder — com alguem, ne
pouvoir reduire quelqu’un, en venir & bout
avec quelqu’un. Mais vale ou mais valdra, il
vaut mieux, il vaudrait mieux. Ndo poder —
@..., NE pouvoir remedieräun mal. Ndo se poder
= , De pouvoir pas se tenir debout, @tre perclus
de ses membres, etc. Menos —, mepris, peu
de cas. (ant.) Note d’infamie, deshonneur.
Tante vales quamio has, (prov.) on ne vous
estime qu’en raison de votre [ortune.
VaLta-s8 (de), v.r. se servir, faire usage de.
8S’appuyer du credit, de la protection de quel-
qu’un. Avoir recours &. Se servir, dans un cas
pressant, du bien, des revenus d’autrui. Se
yrecautionner, &tre sur ses gardes; se garantir
de (p. us.). — de lodos os meios,, employer lous
los moyens,, employer le vort et le sec. Quando
falläo as forgas conudm — da arte, & delaut
de force, il faut user de ruse.
Varzriäna, s. f. (l. de bot.) valeriane: plante
me6dicinsle de quatre especes. — ordinaria ou
silosstre , valerisne commune, sauvage ou des
bois. — phus, grande valeriane, valeriane
VAL
tique, valöriane des pres ow des marals. — hor-
tonse ou velerianinha, valtrianelle, mäche.
+ VaLznıaninma (8. de bot.) V. Valerianae
horiense.
VALBRÖSAMENTE , ado. valeurenserment, cou-
ragousemeut,
VALEROSIDÄDE, 5. f. (pP. us.) vaillance, va-
leur ; force, vigueur.
VALEROSISSIMO, A, adj. sup. do
Varza0so, A, adj. valeureux, brave, vail-
lant, Fort, aclif, efficace. Qui a de la valeur,
du prix.
VaLEte, 5. m. valet (du jeu de cartes).
VALETUDINARIO, A, adj. valötudinaire, ma-
ladif.
° Varca, s. m. Ser —, tiro bon, approuvt.
“Vaırnäco. V. Velhdco. *
VALBACöUTO, 3. m. asile,, reluge.
Vaınsa. V. Valer.
VaLia,s. f.“ prix, valeur. V. Velor. ” Credit,
. V. Valimento. " Merite, capaeite. V.
Prestimo. (fig.) Protection ; preiecieur, —trice.
Carta de — , leiire de recommandation. Guar-
elguem, a sigums cousa, Tespecte
quelqu’un, estimer une chose.
Vartia. V. Avaliar.
Vauınacäaö,s.f. validation : action de va’ider.
Vauıpipz ‚s. f. validitö: force ei valeur qu’un
acte, un litre, un sacrement, regeivent des
formalitss et des condiliens roquises les
rendre valables;; bonis essentielle d’une chase
faite dans les formes.
VaLıvipo, A,p.p. de Valider.
ViLIDAMENTE, adv. validement, valableımen! ;
avec assurance de l’execulion d’un acle.
Vauipir, v. a. valider : rendre valide; faire
valoir.
Vaumıcid,. V. Validapds.
VALIDISSIMO, A, adj. sup. de
ViLmo, A, adj. valide, valable; qui a les
conditions requises par la loi. —, sain, vigea-
reux. (fig.) Fort, actif.
VaLipo,&A, p. p. de Faler. ady. et s. qui est
en credit, en faveur, en vogue; favori d’un
prince, etc. Ser —do principe,, ötre le favori
du prince, possöder les bonnes gräoes du
prince. Sullana —a, valide, sultane valide.
VaLIMENTO, 5. m. crödit, faveur auprös d'un
prince, etc. “ Faveur, proleclion , appui. Tar —
para com 0 principe, poss6der les bonnes grä-
ces d’un prince.
Vauıösamänte, ado. valabiement, valide-
ment.
VaLıs6s0, A, adj. valable, valide. De priz,
precieux.
* Virıa. V. Valke,
VirLa,s. f. *[osse; tranchee, rigele.
VaLLipa, s. f. vallde longue.
VarLino, s. m. [oss6, fosse creusde em eng
pour clore un champ, defendre une ville, faire
&couler les eaux. Enclos enteure de haies. ü.
». p. de Vallar.
VaLLapöR, 5. m. celui qui ourre des LaR-
: Tanche, — dos brajos, petite valtriane aqua- | chtes, qui fait des rigoles, etc.
-’ -
VAN \
VaLzir, v0. a. entourer de foss6s ; palisssder.
(com) Entourer, environner de fosses.
Varriasa, adj. f. Coroa —, couronne val-
laire - donnee & celui qui avait le premier fran-
chi las retranchements de l’ennemi.
ViLLz, s. m."vallee: espace entre deux mon-
tagnes, pays au picd d’une montagne, vallon.
— de lagrimas , vallöe de larmes, ce monde, en
termes de devotion. Por montes e —s, par
monts et par vaux: en toutes sortes d’endroits,
de tous cöt&s.
VALLEZINHO, 8. m. dim. de Valle. Vallon, pe-
tite vallde.
VirLLo, s.m. retranchement, palissade. ° En-
ceinte faite avec des pieux, etc. * Barridre, rem-
part. ° Tranchde. V. YValla, Vallado.
VaLöR, s. m."valeur, prix, ce que vaut une
chose. —, bravoure, vaillance, courage. * Force,
tertu, efficacite. ud
VALORÖSAMENTE, v.
Varomdso a adj. | V. Valeros..., eio.
Visa , s. f. valse : danse en tournoyant.
VaLsir, 0. w. valser : danser des valses.
ViLra, s. f. valve : 6caille ou ports ow bat-
tant d’unv eoquılle.
VaLvänpe, s. m. (f. de bot.) beiveder ow
belvedöre,, beile-a-voir : plante.
+ VALVIFÖRME, adj. 2 gen. (t. de bot.) en
forme de valve.
ViLvora, s. f. (f. d’anat.) valvule : espece
de soupape dans les artöres, aux oreillettes du
e@ur; corps membraneux dans les veines. (f.
de bot. ) Valve ow valvule: panneau de la cap-
sule multivalve; segment du pericarpe. Sou-
pape dans les machines hydrauliques.
VarvuLin ‚adj. 2 gew.valvulaire: qui a beau-
eoup de valvules. .
Vim. V. Vüo.
VauriRO, 3. m. vampire : cadavre qui, dans
P’opinion du peuple, sort de la tombe et suce
le sang des personnes que !’on voit tomber en
phthisie.
Vaurınisuo, 3. m. vampirisme : &iat des
vampires; croyance & leur pouvoir.
van. V. Ve.
+ Vancäö, s.m. sorte d’embarcation de la
Chine.
+ Vanpirun, s. f. (1. de gdog.) ancien nom
de l’Andalousie.
+ VanpaLıino, A, ady. ets. de ’Andalousie.
+ Vanpilıco,A, adj. du vandalisme ow des
Yandales.
VandaLismo, s. m. vandalisme : systöme
destructif des sciences et des arts, de leurs
monuments.
+ ViupaLos, s. m. pl. Vandales: peuples
barbares @e la Germanie (aujourd’hui Saxons)
qui, dans lecinquieme sidcle , entrörent on Es-
pagnv ei s’y $isblirent.
Vanvaväar. V. Vendaval.
VanpöLa, 8. f. (l.de mar.) mät provisoire,
gui romplace oelul qu’on a perdu par uno lem-
pete, oic.
VANDOLEIRO, V. Bandolsire.
vAaPp 1189
VancLöna, s. f. vaine gloire , Jactance, glo-
riole.
VaRcLORIÄDO, A, P. p. de
VANGLORIÄR-SE de), v. r. se vanter, se glo-
rifier, tirer vanit& de; se larguer.
VANGLORIÖSAMENTE , adv. avec vanile , Oslen«-
tation, etc.
VAnGLoRIöSO, A, adj. vanleur, vain, Kla-
rieux, plein de vanite.
+ Vancor, s. m. (l.d’Asie) chef d’une [a-
mille.
Vancvirna, 3. f. avantgarde d’une armee.
(Ag.) Le devant.
VARGUEJÄR , v. 9. vaciller, glisser.
VAniLHA. v. Beaonilha.
VAniLOCAMENTE, adv. avec häblerie.
VanıLoquencıa, s. f. häblerie, fadaises,
vains discours; verbiage, sols propos.
VAnıLöQLIO, 8. m. propos, discours inutile,
V, Vaniloquencia.
+ Vino, s. m. caste des Indiens.
Vanissımo, A, adj. sup. de Vdö.
Vanmente. V. Vamente.
"VAnTicen, 8. f. "avanlage, sup£rioritö, c®
qui rend preferable; meilleur parti, plus fort
salaire, etc. Levar —, surpasser, primer, exX-
celler; avoir le dessus. Tomar a — d’alguem,
prendre les devants sur quelqu’un. De —, da-
vantage, de plus.
VANTAJIÖSAMENTE, adv. avantageusement.
VaAnTAI6sOo,A,adj. avantageux, qui apporte,
qui contient quelque avantage. Qui a l’avan-
tage, qui l’emporte, quiexcelle.
"Vante. V. Avanle, Adianle.
Vanzein, o.9. (f. de mar.) €tre un peu
agitee, etre houleuse, parlant de la mer.
Vanztıro. V. Banzfiro.
Viö,s.m.creux, espace vide, vide, cavite,
trou creuse (dans un mur, etc.).
Vi6, vä,viäa ou vÄin, adj. vain, frivole,
sans realite, etc. Vide, creux, qui n’a point de
solidit#. —, inutile; fragile, perissable, pas-
sager; imaginaire, chimerique, sans fonde-
ment raisonnable. —, presomptueux, orgueil-
leux, superbe. Em —, en vain, vainement,
inutilement ow sans cause, sans motif, sarı=
necessite.
Vio, s. m. gu6 : endroit d’une rividre od l’on
passe & pied. (fg.) Moyen de reussir; exp:-
dient, ressource.(4.demar.) Bas-fond. Teniar,
tomar o —, sonder le gu6, tenter. O rio nie
dd —, la riviere n’est pas gudable. Ndo ackar
—,{fig.) ne pas irouver moyen de r&ussir. Ma-
deira a — ,bois flotte. Se o tempo der -, fig.)
si le temps le permet.
VarOn, 8. m. " vapeur : espece de fumde qui
g’eleve des choses humides; liquide dilst# par
le feu,, qui s’dldve d’un corps; force d’expan-
sion de l’eau vaporısee. Barco, maquina de—
bateau, machine & vöpsur. Vapores, pi.(1i. de
med.) vapeurs:: affections hypocondriaques &
bysteriques.
Varornacid,
Varorin, eie. | V. Zuspor....eıc.
110 VAR
Varonıziagäö,s. f. vaporisation : action par
laguelle une substance se röduit on vapeur,
conversion d’un liquide en vapeur.
+ Varonızäa-se, ©. r. se vaporiser, so T6-
deire on vapeur. .
Varonöso, A, @d/. vaporeux : qui a des va-
years, qui les cause; sujot auz vapeurs (Per-
sonne —s0).
Varonzinno , dim. de Vapor.
VarcLän, v. a. fouetter, eingier, battre. V.
Acoilar.
Vaqutıno, s. m. vacher ; celui qui garde les
vaches. it. Sorte de casaque de berger, etc.
+ Vaqukıno, a, adj. qui concerne les vaches.
Saio — , sorte de casaue de berger, etc. Her-
va —a, souci de vigne. V. Herva.
Vaqutra, s. f. cuir ınince tanne, peau de va-
che. Baguette de tambour. it. V. Vareta.
Vaorimua, 8. f. dim. de Vacca. Genisse :
feune ow petlie vache.
Viaa ,s. f. branche mince d’un arbre, verge,
baguette, gaule. Verge : baguette que portent
les huissiers, les alcades, etc.; baton blanc
que portent les ministres de la justice en Por-
tugal. (Ag.) Juridiction dont la verge ostla mar-
que ; officier de Justice qui la porte, etc. Vare :
mesare portugaise de trois pieds et demi de
long. Portion de toile, d’etolfe, de la longueur
d’une vare. (Ag.) * Chäliment, gouvernement ri-
goureuz ‚, verge de ler. — de cagar aves , de co-
Iher passaros com visco," gluau:: pelile bren-
che froti6e de glu pour prendre les oiseaur.
— de lagar, arbre du pressoir.— de varar 0
vinho,, jauge,, bäton de jauge : vorge de bois ow
de fer portant une division’ pour mesurer les
futailles. — do palio, colonne, bäton d’un dais
portatif. — de percos, iroupeau de quarante &
cinquante cochons. — de conddö, baguelie di-
vinatoire. — da vide, sarment qui doit porier
du rsisin. Corrido d —, poursuivi par la jus-
tice. Empunkor a —, entrer dans l’exercice de
magistrat, de juge. Encostar —, renoncer ä la
magistraiure. — de castello, la partie la plus
dievde d’un chälsau. — de jesse, tubereuse,
leur. — de paslor, cardere velue, plante, —s,
pl." brancards d'une voilure. Cavallo, mache des
—ı, mailler, cheval, mulet de brancard. —s
Sonras ,(Ag.) lesjeunes gens , lajeunesse. Tre-
mer como —s verdes, trembler comme la feuille,
avoir grand’ peur.
Varaciö,s. f. action de haler un valsscau &
terre.
Vanipo, A,p. p. de Varar. adj. Hald & terre;
$chnud. Barco , wavio — em terra, (1. de mar.)
baleau, navire amortli dans un port, ir en
terre. Ficar —, (fig. [am.) rester stupslait, in-
terdit.
+ Vanınon, s. m. jJaugeur : oelul qui Jauge
(les futailles).
Varnapöuno, 8. ww. lieu oA l’on ensable un
bällment pour on neltoyer te fond ou le r&ps-
rer, gare. (fig. p. us.) Lieu oü sa rassembient
='= rg personnes Pour causer, eic., Fendez-
VAR
Varir, s. m. "perche, gaule, long kim
Brancard, limon de voiture. — de cadeirah,
bäton de chaise & porteur.
Varanciva. V. Verdascade.
Varinpa, s. f. grand balcon ; terrasse." Pın
die (au thöätre). Rouo dentse d’un meu.::
aile.
Varunoinna,, din. de Varenda.
Variö, s. m. mäle, enfant mäle; kenn
falt, qui est dans l’äge viril. Mari. ce
caur, d’un caraci&re mäle. — de ferre, in:
de fer, barre de fer. —de escolilha,, (L.dems
barre d’&coutille.
Varario, s. m, “gaule, jongue perche,
bäton,
Varir, v. 6. mellre un navire A ses, klar
€chouer; tlirer un bäliment en terre. Gar
Causer de l’embarras, interdire. Percı >
part en part. Franchir. v. ®. . Ser.
au debors; passer & Iravers. — es vinhes.\u:-
ger, ınesarer la capacite& d’une futaille, ew.-
em lerra, n’um porlo , (l. de mer.) eLre amer.
dens un port, en parlani d’un narire.
Vanpisca, s. f. baguelie, gaule, vergete-
mince , houssine.
Vanpascipa,s. f. coup de houssine ou %
baguette.
Varzıcid, 5. f. V. Versapde. Action de me-
surer ä la vare,.
Varkip0,A,9.p. de Verser.
T Vanzicen, 5. m. laociion de mmesurer, de
vendre ä la vare,
tf Vaazia, 9. @. mesurer ou vendre ä la
vare.
Varta, V. Verdde.
Varta, s. f. aufs de la meuche viripare.
Varzıkno,A,p.p. de,Varsjer.
VanEıaDOR, s. m. celui qui falsait le var.
.c& mol,
Vanzyapöaa , 8. f. action de gauler.
VARgJANÄNTO, 5. m. mesurage , auNRgE ; Mr-
cberche, visite (de marchandises).
art, 8. m. "gaule, grosse ot Jamgue per-
e.
VarEIıAR,o. a. mesurer & la vare, auter.
Faire la visite des marchandises, verißer. eu-
miner. Gauler : secouer, abaltre avec use per-
obe. Foudroyer (ave6 l'artillerie). Soalller
fort, en parlant du vent.
Varzıtına, 5. f. mouche viripare.
VarEı0o, s. m. action de gauler. Actioa de
mesurer & la vare, Visite, examen ( des wsr-
chandises), recherche des Juges de police. Jeu
d’une batterie. (Ag.) "Reprimande „ semontt.
Dar —, essminer, visiter, faire la perquisitee
des marchandises, des denrees, ey. Der wm
— aalguem, (fg.) repriunander quelqu'un ver-
tement.
Varzıete. V. Veridte.
Varsıra, s. f. " pegode, tomple d’idelstre:.
Vantra, s. f. pelite verge au baguetie. Ba-
guetie de fusil. — de leque, d’adenie, brin,
baton d’öventail. — de tambor. V. Faquela.
VAR k...
Passar polas —s, dire fouett6 A ooups de ba-
guette. \
“Varoa, 0. f. sorte d’aruiice pour ia pöche.
it. Plalne mardongeus®.
Vancrarimma , dm. de
Vinceu. V, Vorsea.
Vırcmman. V. Verger, Dobrur.
Vinta, s. f. sorte de poisson de met.
VARIABILIDADE, 8. f. variabilits : dispositioh
habituelle & changer.
Varıackö, es. f. action de varier. Variation,
changement; une chose qui varie. (f. de
mus.) —, repetition d’un thöme arec des notes
accessoires qui ne changent ni le mouvement
ni la meölodie. — da ka, vatiation, Adeli-
naison de Y'algaille aimante6e, de Ia boussole.
+ VartÄDAMENTE, adv. avec variation, d’une
maniöre variöe.
Varıkno, A, pP. p. de Varlar. adj. Varie. | Z
Naance, de differentes couleurs.
Varıicen, s. [. sorte d’impöt & la douane.
ViÄRIANENTE, adv. diversement.
Varıänte, adj. 2 gen. variable, changbant;
delirant, qui delire. Testemunks —, leınoin
qui varie dans ses depositions.
Vanıänte, s. f. variante. On le dit des di-
verses legons d’un meme texte.
Vanıkr,o.a.varier, diversifler; apporter de
la variötd, changer. Rendre inconsiant, varia-
ble. — 0 juizo, tourner la läte.
Varıin, 9.9. varier, changer, dire ou deve-
mir different. Decliner, en parlant de la bous-
sole.
VaRTÄR-SE, ©. r. se varier, se changer.
VarıiveL, adj. 2 gem. variable : sujet A va-
rier, qui change souvent; inconsiant. Qu’on
peut varier, diversißer.
Varıiz, s. m. V, Yäria:
Varıc£ila,s. f. (t. de med.) varicelle : pe-
title verole volante.
Varicegs. V. Varizes.
Vanıcoczııe, 8. f. (f. de med.) varlcocele :
sorte de tumeur qui prend naissance dans le
scrolum.
Varıcöso,A,adj.variqueux: quiades varices.
VARIEDÄDE, Ss. f. variöte, diversite ; melange;
manidre de varier les choses ; Inconstanoe , in-
stabilild.
Varıeckpo, A, adj. de diverses oouleurs,
higerre&, Lacheit, eto.
Varixa, 5. f. pelite embarcation #troite &
ramen.
Varınär. V. Barimel,
Varinna,s. f. dim. de Vara. Petite, vorge,
petite baguette, houssine, gaulelte. — de con-
däo,, baguette divinatoire. Ter — de condde,
(Ag.) #ire beureuz,, avoir du bonheur.
Virnıo, A, adj. divers. Variable, insonsiant,
changeant. Vague, incertain,, ind&tiermind. Bi-
garre, tachele,, etc. —s, pl. quelques-uns, di-
vers, plusieurs.
+ VanıoL600,A, adj, (1. de mdd.) varlolique:
de ia petite vörole, qui a zapport & la petlie
vörole (matiäfe, virus).
VAas 119
Vanizes, s. f. pl. (6. de mdd.>varices ı veines
anömement dilatees.
Vanr&rz, s. m. varlet: page dans P’anclenne
ebensierie ; valet militaire.
ARLOAS, 8. f. pl. (t. de mer.) atirapes
eahıen de vodreses, A. ( ’
Vında, 3. f. virago : femme qui a Pair, jes
habitudes, la demarche, etc. d’an homme.
Varör., etc. V. Varomil, etw.
Varonia, s. f. ligne masculine. Maseulinits.
. VaroniL, adj. 2 gen. viril : qui appartient &
Phomme; mäle, ferme, courageuz, ew. Fir-
Nude —, vertu mäle. “
VaronıLıwäng, s. f. virie.
VARONILMENTR, Ado. virilement, aveo vi-
gueur, avec Courage, olt.
Vanrib, 5. m. verrat : pourteau mäle.
+ Vanrisco, s.m. V. Varrdo. — do mar. V.
scorpena .
Varrentina, 8. f. (3. de mer.) bonnette
basse, volle.
"Varnredkıno, V. Verredor.
VARREDOR, A, 8. balayeuf, —euse.
Varnenöuna,, s.f. V. Varredeira. il. ad). £
Rede —, verreux,, fllets de p£che en pointe.
umarede—. (loc. fg. fam.) Il se dit d’une chose
qui emporte tout, qui detruit tout, & qui sien
n’&chappe.
VARREDÖURO,, 5. m. &couvillon du four.
Vanreoöra, s. f. action de halayer ; ba-
layure.
Vırrtr, v.0. balayer : öter les ordures d’un
lien avec le balai; (Ag.) emporter tout ce que
Pon troure. (dd.) Oter. Trainer par terre. Il est
uelquefois neutze — da memoria, s’ellacer
de la memoire, s’schapper de l'esprit,
Vıarnaipo,A,p. p. de Farrer. adj. balay6.
—, fou achere, fou & lier. — de vor-
gonkha , eflronte.
Vaar0po, A, adj. qui a une longue tige. Pdo
— ‚arbre haut et droit.
Vinzeı, s. f. plaine cultivde, rase cam-
pagne.
Visa, s.f. vase ı bourbe au fond de l’eau ; li-
mon. Levee, au jeu de cartes. (inus.) V. Base.
+Visasnannis, s. m. lieu, sur la cöte du Br&-
sil, ou il ya eu beaucoup de naulrages. Dar
com ludo em —, (fig. fam.) tous gäler, tout
zuiner.
Vasino,A,p. p. de Vasar. adj. Vide; Jets ea
moule, mouls.
VasaDOR, 3. m. emporte-piöce ; outil de cor-
Gdonnler, elc.
Vasandas, 9. f. action de vider, de dösem-
plir, vidange,
Vasänte, adj. ot 5. f. basse marde. V, VYasdd.
(4. de mar.) ‚jusent, reflux de la mer.
Ponta da —, seommenoement de l’öbe. Meis —,
demi-reflux , demi-jusant,
Vasiö, 8. fı action de vider un diamg, ec.
(fig.) Traile, exporistion; vente, debit; issue;
ion.
Vasin, 0. a, vider: rendre vide, Oter co qui
est dedans; deseraplir. Taris. Vesser. Travar-
1192 VAS
ser. Mouler, jeter en moule. Creuser, faire un
creux, Deöcharger ses eaux dans la mer, on par-
lant d’une riviere. — os olhos , arrachor, crevor
les yeux. ,
Vıasir, v.n. decroitre, baisser, en parlant
de la mare. Sortir ; couler, s’ecouler. A mard
vasa, la mare haisse.
Vasin-sE, vo. r. se desemplir, s’&couler, 86
vider, se verser, s’&pancher. ( ig.) Parler in-
consideröment; dire son secret.
Visca, s. f. mouvement convulsif, convul-
sion. Nausee. ( fig.) V. Desgosto, Angusiia. —s
da morie, aflres de la mort,
VAscoLgJipo, A, 9. P. de Vascolejar.
VASCOLEJADOR, A. 8. Celui qui secoue une li-
queur. (fig. p. us.) Remuant, inquiet.
VASCOLEJAR, v. a. agiler une liqueur dans un
vase. ( fg.) Troubler, inquieter.
t Vasconcäno, A, adj. et s. biscalen ou can-
tabre. On le dit du dialecte usite dans la Bis-
caye.
+ Vasconceir, v. a. et m. parler basque.
Vascönco, s. m. V. Vascuencs. (fig.) Patois,
baragouin, baragouinage.
Vascönco, A, adj. et s. Basque,n& en Bis-
caye. ( lg.) Grossier, inintelligible (langage).
+ Vasconcino, A, adj. V. Vascongado. Pro-
vincias —as, provinces Basques, en Espagne.
Vascös0, A, adj. quia des convulsions, des
naustes.
Vascußnse, s. m. basque: langue des Bas-
ques; langue biscafenne ou canlabre.
VascuLin,adj. 2 gen. (1. d’anat.) vasculaire:
rempli de vaisseaux.
VASCULHÄR, v. a. balayef (un four). Netioyer
(te plafond, etc.) avec une l#te de loup.
Vascöıno, s. m. balaı & long manche; täte
de loup. — do forno. V. Varredoure. ( fig.)
Chose ou personne tr&s-sale.
VascuLöso, A, adj. vasculaire ow vasculeux.
Vaspıro, A, adj. Veado —, cerf de petite
race. .
Vastnto, A, adj. vaseux: qui a de la vase.
Vasıanorn,a,adj. Cavallo —, cheval de mau-
vaise race.
VısiLua, s.f." vase, valsseau , futaille. Chei-
rar d—, avoir le got de füt, en parlanı du
vin. ( Ag.YOn le dit d’un ötranger gui prononce
mal le portugais. & md —, (ig. fam.) c’est un
miauvais garnement.
t VasıLBÄME, s. m. assemblage de futailles,
ete. , vaisselle de cave.
Vasio, V. Vazio.
Viso, 8. m. vaso : valsseau pour contenir les
liquides; ornement qui l’imite. Vaisseau , na-
vire. Pot & fleurs, pot de chambre. * Capacits
d’un vaisseaa, d’un narire, lit d’une rividre.
(Ag.) Tout ce qui peut contenir quelque
chose. * Coupe, constellation meridionale.
(ant.) Ancienne #toffe de laine noire pour deuil.
— terreno ou de berro, (fig.) le corps humain.
O negro —, (id.) le tombeau. — d’eleipdd, vase
d’&lection. On le dit de l’apötre salnı Paul. —
de misericordia , de noquwios, eto., vase de mi-
vAZ
serioorde,, d’iniquitss, ete. — de hours, keamı
juste, qui honore Dieu. — de foris, un, da
vinganga, ete., (fg.) la farie, la celin, I
vengeanoe, etc., dlevöes au suprias dat.
Beber o — da ire, da furis, (id.)nuime
colöre, s’emporter, entrer en farie. ieı-
das amarguras , (id.) boire le calice, huge
d’amertume. O — da muiker, les prie\n-
teuses do la femme. —s, pl. bassins de ab
robe, pots de chambre, etc. (1. du. \e
Seaux, veines, arläres, pelils cansaı mi
Charpente de chanlier de marine.
Vasosinno,dim. de Van.
:f Vas6so, A, adj. vaseux : qui a deut
VASQUEJÄR, ©. 8. Öprourer des cearuk
ou des angoisses.
Vasqueıno, A, adj. qui cause des vun
sions, des angoisses. ( Ag.) Difhicite A ea.
Vasquinaa, 3. f. jupe auteleis en up:
cotte; colillon noir garni par le bas.
Vassa. V. Vaso.
VASSALLÄGEN, s. f. " vasselage : el, cab
tion de vassal; tribut d& par un vasalanıe
gneur. Sujelion, dependance.
VASSALLÄR, ©. a. payer le tribat de vast
lage.
VassiLLO, A, 5. vassal: qui relerefums
gneur & cause d'un flef. Sujet d’an print mr
verain. — de —, arriere-vassal : eelui ge!
d’un vassal. —s, pl. vassautx.
Vassöura, 8. f. " balal: instrument & Br
nage pour Öter les ordures, poar neleytt,
— de navio, "goret, balai plat.
VassovräpA, 3. f. coup de balai.
Vassourinna, 5. f. dim. de Varmst.-
Brasil, (1. de Bot.) le halai dem, kat!
balai.
Vastacid, 5. f. d&vastalion, rarage.
VASTADOR, 8. m. devastateur.
VÄSTANENTE, adv. amplemen!.
ASTEZA 0%
Vıastmid,s. f. } grandear, van eu.
VAsTissımo, A, adj. sup. de
Visto, a, adj. vasıo : trös-sienda, zuptw!
et au figurs. Enorme.
VÄTE, 8. m. t.) derin ou
Varcinon a. Er Yaulcan : Ar da uf.
& Rome; ia cour de Rome.
Varıcınino, a, p.p. de Valiciner.
VATICINADOR, 3. m. prophöte, devin, MP
nosticateur.
VATICINADORA, 3. f. devineresse.
VATIcınÄnTE, adj. 2 gen. qui derm, ®
predit. p. a. de
Varscımäir, 9.8. deviner, prödire, pa
tiquer \L
Varıcinıo , s. m. ° prophötie, peidi:
prognostic.
Vi-rboo, s.m. (1. de jou) va-toel.
Vira.V. Vaia.
Viza,eic. V. Vass, etc.
Vazio, a (de), adj. vide:
pli; qui necontient que de Fair; (Ag.) 4#!
pas rempli, occupe. Tari, vide. Vide. On
qui wien pn
u
VED
d’une obarretie , d’une b#te de somme Ron
chargee, d’un carrosse od il n’y a personne,
eto. Vide : qui n’est pas habit# , en parlant
d’une maison, eto. (Ag.) Qui manque de quel-
que chose; libre de... (id.) Vain, chimerique,
frivole. (id.) Olsif , d6suvre. De —, sans tra-
vailler, en oisivels; & vide. Pager os allos de
—, (fam.) avoir beaucoup de chambres & louer
dans sa Iöle.
Vazio, s.m. vide, espace vide; creux,carvits.
V, Vdeuo. — da ige , bas-ventre. Os —s.
V. Hypochondrios.
Vera ow Veıa, 8. f. veine : vaisseau, petit
conduit qui oontient le sang. (fg.) Fibre des
piantes par oü elles pompent les sucs,, etc.
Veine: couche de terre, de sable, raie d’une
autre nature owcouleur; fillon de mine; couche
ob se trouvelemetal, lahouille,etc. ; marques,
raies dans lobois, le marhre, etc. (Ag.; Sang,
race, lignee. — d’sgus, courant d’eau; if. veine
d’eau, .petile source sous terre. (1. de mar.)
Veie d’eau. Topar ou lomar ums — d’egoa,
(1d.) boucher, &tancher, aveugler une voie
d’eau. A— d’agua lapou-se por si mesma,
la voie d’eau est nt soupee. — de podla, (flg.)
veine po6tique; gönie, vorve, talent, esprit
po6tiques.—de doudo, (id.)esprit, caract£re in-
constant, grain de folie. Ter — de doudo, avoir
un coup de marteau sur la löle,avoir un grain
de folie. Dar o sangue das—s, ( Ag.) aider, secou-
zir quelgu’un de tout son pouvoir, se saigner.
Veacäö,s. f.“gibier, venaison.
Vgipa,s. f. biche, femelle du cerf.
Vgino, s. m. cerf: quadrupede [auve, rumi-
nant,ä cornes branchues ou bois.— do Ganges,
axis, corf du Gange, daim du Bengale : qua-
drupede tachets ä cornes blanches. Ponlas de
— ,bois de cerl.
VaADoR, s. m. contröleur, inspecteur, celui
Een eonduite, la regie d’une maison. V. Ve-
et Viador. (vieuz) V. Cagador.
VrADoRia, s. f. charge ou bureau do veador.
V. ce mot.
Vzaria ou Vemania, s. f. resserre oü l’on
gardait le gibier.
Verazinua , dim. de Via.
Vacasir. V. Vicejar.
Vacraciö, s. f. exercice en voilure ow Ache-
sal , gestalion.
Vecrärıo, A, 0dj. de transport.
Vxcrör , adj. m. (t.d’asir.) Raio—,rayon
wcteur, tir6 du soleil & une plandte.
Vanino, s. m. (p. us.) endroit dont l’entree
est defendue, röserve, bois od il west pas per-
mis de chasser, etc.
Vgpipo, A, p. p. de Vedar. adj. Defendu.
Arrei, &tanch6, en parlant du sang.
VEDADOR ‚A,s.celul qui defend.
VEDBÄLRBAS, 8. f. pl. (1. de prov.) bijou que le
parrain donne & une mariee.
Vzpir, vo. a. delendre , prohiber, interdire.
Empetcher, embarrasser, meitre obstacle. Ar-
röter, ötancher (le sang).
VanoR, 5. m. sorte d’intendant dans les
VEL 1193
grandes maisons. Inspecteur des troupes. V.
Veador. — d’agua , sourcier,, celui qui decou-
vre os qui prötend decouvrir les sources d’eau
par leur &manation.
Vapoaia, s. f. Jurande,charge,, emploi d’in-
specteur, etc. ; bureau od il travaille. V. Vedor.
"Veoro,A, adj. V. Velho. s. m. Haic de
buissons.
Vezca. V, Beca.
Vezoon. V. Vedor.
* Vr8ıR0 , s. m. fourrure coßteuse. V. Feiro.
"Vzex. V. Ver
* Vecida. V. Vex.
VeEsErAacÄö, 5. f. vegetation : action de vege
ter ; force vegetative; son eflet.
VEGETÄL, adj. 2 gem. qui vegete. Vegetal :
qui appartient & ce qui vegete; extrait des
vegelaux (sel) , propre A ou de la vegetation
(sol, terre, rögne, eio.). Vegelaes,, pl. s. vege-
laux, co qui vögäte.
VEGETÄNTE, adj. 2 gen. vegetant, qw ve-
göte. p.a.de
VEGETÄR „ v. m. vegeter : croltre par un
prineipe interieur et par le moyen des racines,
comme les vegelaux; ( fg.) vivre dans l’oi-
siveiö,, la detresse, la stupiditd, l’imbecillite.
VECRTÄR-E,, v.r. vegöter (au flg.).
VEGETATIVO, A, adj. vegetanif:quiala faculis
devegöter; qui fait vegeter; en eiatdevegetation.
VaGETÄVSL, adj. 2 gen. vegetable, qui peut
vögeter.
VEGETO, A, adj. vigoureux, fort, robuste.
Vegetatif : qui fait vegeter.
+ VecETo-MInsräL, adj. 2 gen. (l. de med,)
compos6 double d’une substance vegetale et
d’une substance minerale.
+ VEcgTOs0,A, adj. (I. de bot.) Terra —a,
terre vegetale,, propre & la vegelation.
Venania. V. Vearis.
VEREMENCIA, 8. f. vehemence : force , imp6-
petuosite ; mouvement [ort rapide ; force , efll-
cacit& des raisons qu’on empluie; (fig.) violent
emportement des passions.
VEHENÄNTE, adj. 2 gen. vehöment : ardent,
impetueux; plein de feu, d’ardeur; efficace,
fort, persuasif.
VEHEMENTEMENTE , adv. avec veh&mence; et,
en termes de palais, "rehementement.
„VEBENENTISSIMO, A, adj. sup. de Vehemenie.
“VeBiccLin, adj. 2 gen. de voitures.
VgBicuLo, s. m. vehicule : vaisseau qui sert
& conduire le sang, etc.; liqueur qui sert d eu
conduire, & en faire passer une auire.
Veıa. V. Va.
Veica,sf. campagne, plaine fertile, etc.
V£Eio,s.m.”*veine dans un metal, dans du
marbre, etc.
*Vein.V. fir.
Verrivo,Aa,adj. (1. de bias.) vaird : de vair,
gui Pimite, Garni de vair.
Veıros, s. m. pl. (1. de blas.) vair: fourrure
blanche ei grise; emaux d’argent et d’äzur.
* Veıza. V. Versa.
Ver», s. f. Vaction de veiller, veille, veillöe.
1194 VEL
Personne qui veille; sentinelle. V. Vigis et V-
gilia. 4 —, sans dormir. Pasar d — foda a
noite, veiller toute la nuit, ne pes dormir de
Ja nult. Em —, sans dormir, vigilant. — das
fores, (1. de bot.) &tat d’ane fleur Duverie,
temps quelle est ouverte, l’oppos6 de sommeil
des feurs. — de core, bougie, oierge. — de
bo , chandelle.
Vera, s. f. (1. de mar.) voile de navire; (Ag.)
volle, vaisseau. — grande, grande volle. —
grande ialins d’um bergantim, baume, bri-
gantine. — latina, volle latine ow iriangulaire.
— d’estei do conoex ou cozinkeire, la grande | ie
voile d’ötai. — d’estat de gdven, la grande voile
@&tai de hune. — d’estai de foanele grande,
voile d’6tai du grand net. — d’sslai de
sobrejoansie grande, volle d’etal du grand per-
uet volant. — d’estal de mexzena ou rabeos,
voile d’&tsi d’artimon. — d’estai da gela, volle
@’stai de logue ‚le diablotin. — d’esiai de sodre-
gale, voile d’stai de la perruche. — d’esiai de
sobregatinka, volle d’&tai de la perruche vo-
lante. — d’estai do Iraquete , — d’estai de prös,
peut foc, trinquette,, tourmantin. — d’estai do
veldcho,, [oque ou bujarrona, second foo. — de
re, artimon & gui. — redonda, voile carrde. —
de carangueja, volle aA corne. — d’espiche,
voile & livarde. — formosa, petite ou seconde
volle d’&tai de hune, voile d’entre deux. —
— d’uma belandra, la grande voile d’un ba-
teau. — da mezeng, voile d’artimon. — de ca-
rangueja com reiranca, — de bome, volle ä
gui, baume. — envergada, voile envergude.
— ferrada, voile ferl&e. — desferrada, voile
deferiee. — carregada ou sobre os cabos, voile
cargude ou sous les cargues. Cassar uma —,
border une voile. Garotil d’uma —, letiöre
d’une volle. Esteira d’uma —, fond d’une voile,
bordure. Baluns d’uma —, chule d’une volle.
Navio bom ou mdo de —, vaisseau bon ou mau-
vais vollier. 4’ —, & la voile, sous volle. Ander
6—, einpler, faire route. Dar d—, fazersed—,
meitre & la voile, faire voile. Tornar a dard—,
remettre & la voile. Fazer d—sobre qualquer
objeclo, porter vers un objet. Molhar as —s,
empeserles volles. Com lodas as—s largas, tou-
tes les voiles dehors. Cambiar as —s, changer
les voiles. —s de pröa, volles de Pavanı. —s
de popa ou de r£, volles de !’arriere.—sdaizas
ou rasleiras, basses volles. —s altas, hantes
voiles. —s de sobrecellente, voiles de rechange.
Casa onde se [azem 0 ronseriäo as —s, voilerie.
endroit oü se font etse conserventies volles, —s
Wummoinho de vento , toiles d'un moulinä vent.
VeLigiö,s. f. (p. us.) benediction nuptiale.
VELäcHo, 3. m. ($. de mar.) petit hunier ow
hunier d’avant.
VeLipo,A,p.p. de Velar.
VeLaDön,A,s. et.adj. celul qui veille; senti-
nelle, etc. Veilleur, vigilant.
VeLanön, s. m. chandelier de bois dont les
ouvriers se servent;, porte-chandelle,.
velaadöna, s. f. Yaction de veiller, veille,
VEL
Vzrius, s. m. "voilure : toutes los veilesd’un
valsstau. Jei de veile : appareli vompiei &
toutes es volles d’um valissuau. ( Ag.) Veil,
apparence sp6clsuse.
+ VRLANENYO, 3. m. volle, oBurertar.
*Varanca. V. Veladure.
VauLär, dv. 6, voller: couvrie d’en volle. Vai
ler; observer attentivement, serreilier.
Varia, 9.0. veiller, ne point dormir. per,
(Ag) surveiller. — sobre, (id.) observer atms-
tivement
Verin-se, u. r. prendre garde & sei. V. Ares
lar-se
Vzreid0, A,p.p. do
VeLzin, 9.5. gröer, &quiper (un valssean\.
* Verzcäipo. 7. Relogadeo.
+ Verkına, 5. f. servante da dehors dam u
couvent de religieuses.
VeLtino, a, 5. faiseur de chandelles md
bougies. Voilier : faiseur de voiles de navire.
VeLtino, A, adj. voilier (navire). Dem —,
bon voilier. Mdo —, maurals vollier. Nav
muito — , vaisseau bon vollier. Soldede-, wi
dat arme & la lögere.
Verzsir, v. n. faire voile, naviguer.
+ Vento, s. m. (8. de bot.) V. Moimendn
— bastardo," nicotiane & fenilie ronde ol oblen
gue, petite nieotlane, tabae femelle.
Vertra, s. f. girouette; ( Ag.) pormenat I
gere, Inconstante. V. Calavento.
Veına, s. f. viellle feınme. Area de —, ae
en-ciel. Conlos de —, oontes de viellles, fables
ridicules.
Veruackna, s. f. eogquinerio, fripmmerie,
tour de coquin. Troupe de beittres, deeegelns,
de gueux.
VrLBicantnTE, ade. avoe fourberie, en &-
uin, en fripon.
' VELBACAO, 3. m. et adj. aug. de Fellen.
Mattre fourbe, grand eoquin, malire fripen.
Grand debauch#, poilssen (p. we.).
VsLnacania, 8. f. Raeuserie, fonrberie, Mi
ponnerie, tour de coquin. Aotion Indeomate,
impudique (p. u8.). u
tındcas,s. m. aug. de Volk. ( fan.) kit
lard decrepit.
Veruaciz. (fam.) V. Velhacle.
VELBÄCO, A, adj. ets. cogquln, fripen, vanrike:
fourbe. Fin, ruse, madr&, matols. Liberün,
polisson (p. w8.). E um Anado —, gen la
madre. Para —, — e meio, (prov.) A coat,
corsaire etdemi ;ä trompear, trompenr ei dem).
VeLuacöuro. V, Valkacouto.
VeLnioa, s. f. reunion de vieut; bes wieilles
gens. Vieıtlerie. V. Antigelke, Volkiee.
VELBANCÄO, ONA he.
Vernkö, ona, ad. | awem. de Tal
VELBAQUEÄR, o. 0. friponner, tromper. 9. ®
Faire des friponneries ; fourber. Potisseun!
pP. u8.).
VELBAQUßscO, A, adj. mmalicieut, malla, &
pitgle, gaillard. De foarbe, de caquio.
VrLnagutre, 8. m. dim. de Volhese. Un PM
coquin, eto. j
VEL
VELHAQUINHO, A, adj. eis. dim. de Velhaco,
Fiponneau, petit coquin. Petit Nibertin.
zınicg, s. f. vieillesse: dernier 4ge de la
vie; vetusis. Faiblesse, incommodites de la
vieillesse. Vieillerie.
VeLninua,s. f. dim. de TVelka. Petite vieille
Yfemme; femme tres-ägee.
ı Vexinno,s.m. dim. de Velho. Petit vieillard,
vieillot. »
Vernissımo, A, adj. sup. de
Veıao, A, adj., vieuz, vieille : qui a dare,
qui est, qui vit, dure depuis longtemps ;
qui a eonsomm6 la plus grande partie de son
existence; fort avance en Age; use, qui n’est
pas neuf; ancien, du temps pass6, antique. A
Lei—a, Vancienne loi, l’Ancien Testament. Sol-
dado—, vieux soldat. Despir o komem—, (fig.)
däpouiller le vieil homme. Rstar no calpado —,
(fam.) &tre dans le dernier Age, Fazer — aal-
guem. On le dit d’un homme fait qu’on a vu
enfant. On dit de m#me en frangais : Cela me
vieillit. (Ag.) Se faire vieux avant le temps : se
chagriner, se tourmenter ä tous propos. Fazer-
se — , vieillir.
V£Lno, s. m. vieux, vieillard : qui est dans
le dernier Age de la vie. — galleiro, (fam.) co-
quard : vieillard qui fait lecoqnet, le galant.
Veruori, adj. 2 gen. Cavallo—, cheval gris,
cendre.
+ V£ıLnöre, s. m. vieux bonlomme.
V£ıLaozinno. V. Velhinho,
Vericagäd. V. Vellicacdd.
* Vericr. V. Velkice.
*Verina. V. Belida.
VeLireno, A, adj. (po6.) qui porte des
voiles.
VELiLBO, 3. m. sorte de gaze broch&e, parse-
ınee de fleurs en argent.
VeLinHa, s. f. dim. de Vela. Petite volle ; pe-
tite bougie, petite chandelle. (#. de chir.)
Bougie.
Veuiscän, ete. V. Beliscor, etc.
VeLires, e. m. pl. (1. d’ant.) velites : soldats
armes & la legöre.
VELivVoLO, a, adj. (Po#t.) qui va A toutes
voites, A voiles deployees, qui fait force de
voiles.
VzrLik, v. a. voiler. V. Velar.
+ VeLLEiNO, adj. m. (t. d’hist.) velleien (se-
natus-consulte —), de Velleius.
VELLEIDÄDE, 8. f. velleitö: volonte faible et
imparfaite, sans effet. (%g.) Inconstance dans
ses desseins.
Verricackö, 8. f. (4. de mdd.) * pincement,
picotement, vellication,, agacement nerveux.
VerLicino, A, p. p. de
VeLLicäa, v. a. (l. de med.) picoter, pincer:
on le dit de la sensation desagreable qu’on
6prouve dans certaines affections. ,
VELLO, 3. m. * toison : tondaille d’une bre-
bis, ow la peau avec la laine. Flocon de laine
grasse. .
* Vaııo. V. Velho.
VarLxocing,s. m. peau de moaton, de brebis,
VEN 1195
avec lalaine, et, par extension, la toison. La
toison d’or, en lermes de mythologle. (}. de
bot.) V. Peristoma.
f Veruosinios, s. f. qualitö de ce qui est
velu.
VeLLöso, A, adj. veln : convert de poll. Cou-
vett de duret, de coton, en parlant de certains
fruits, de certaines plantes.
7 VeLLopiLuo,,s.m. dim. de Velludo. Velours
de coton.
VeLL6oo, A, adj. velu ; couvert de poil.
VELLUDO, 8. m. velours de sole. Flor —. V.
Amaranto.
Vrröces, pl. de Veloz,
VeLocıpäng, s. f. velocit&, vitesse, rapidits.
Verocissimo, adj. sup. de Veloz.
VezLörıos, 8. m. pl. V. Avelorios. Raisin sau-
vage, verjus. * Verroterie.
VELöZ, adj. ? gen. prompt, leger, qui va
vite; rapide, vite, velore; vil, actif, expedi-
tif. — como um relampago, prompt comme
l’eclair.
VeLözwönte, adv. rapidement, avec velo-
citö, vilesse ; vite; pronpternent, vivement.
VeLuvino. V. Areludado.
Veröno. V. Velludo.
VeniBULo, 3. m. javelot, Epieu : arme d’hast
pour la chasse du sanglier.
Venir, adf. 2 gen. venal : qui se vond, qui
se peut vendre ; (fig.) qui se laisse corrompre
pour de l’argent. Qui appartient aux veines.
VenaLıpADe, 8. f. venalit6 : qualit& de 06
qui est venal.
VENALNMENTE, adv. venalemen? : d’une ma-
niöre venale,
“ Venirıo. V. Findigo, Estrangeiro.
VExATöRIO, A, adj. qui apperlient & la
chasse : de chasseur, qui concerne l’art de la
venerie.
“Venitöna. V. Veapdd.
VENCEDOR, A, adj. et s. valnqueur, qui a
vaincu, vietorieux.
VENc£LHO, s. m. lien, surtout pour attacher
les gerbes. it. Rpervier. V. Gavido. Emum —,
ensemble, conjointement.
VencEr, 9. a. vralncre : remporter une vio-
toire, un grand avantage & la guerre, sur 568
ennemis ; ’emporter sur un Concurrent; Pem-
porter sur; surmonter (les obstacles); domp-
ter (ses passions, elc.); surpasser (ses rivaux,
etc.). (fig.) Prevaloir, avoir le dessus, en par-
lanı des choses immate£rielles. (id.) —, gagner,
convaincre, persuader. (id.) Souffrir avec con-
stance, vaincre la douleur, etc. (id.) Surmon-
ter, franchir une montagne, etc. (id.) Venir &
bout d’une enireprise,, gagner un procös, elc.;
obtenir. — alguem em alguma .cousa, Surpas-
ser quelqu’un en quelque chose. — a demanda,
gagner un procds; avoir gain de cause. —
soldo, avoir droit & la paye.— o praxo,echoir,
en parlanı d’un terme. — com alguem que...
venir & bout de quelqu’un... Deizer-se —
rogos , se laisser fl6chir aux priöres. — @ cor-
1196 VEN
ronte, a mard, (1. de mar.) refouler la marde,
je courant.
Vencka, o.». vaincre, prevaloir, sortir vic-
torieaz. Viva quem vence! vive le vainqueur!
— ou morrer! vaincre ou perir! la mort ou la
victoire:
Vencta-sE, 0. r. se vaincre : dompter ses
pessions, reptimer ses desirs;, Eire, pouvoir
&tre vaincu. (1. decomm.) Echoir, en parlant
d’un engagement.
Vencipa, s. f. action de vainere, vicloire;
deroute, defalte. Levar de —, vaincre (l’en-
nemi), le metire en deroute. Ir de —, &prou-
ver une defaite , öire vaincu.
Vencivo, A, p. p. de Vencer. adj. Vaineu.
Echu, payable, dü. — com rogos, flechi, tou-
ch6 par les prieres.— por jwizo, convainca
d’un crime. Ser, ficar —, ötre vaincu, @ire
bauu. Ficar — em volos, avoir la majorit6
contre soi. Dar-se por —, s’avouer vaincu.
Vsencı.no. V. Vencelko.
Vencıutnto, s. m. l’aclion de vaincre, de se
vainere, victoire. * Echeance : terme de paye-
ment d’un billet, d’une detie, etc. No souw—,
& son &cbe6ance.
VencireL, adj. 2 gen. qu’on peut vaincre ow
surmonler.
Venpa,s. f. vente: alienation de la propriet6
& prix d’argent. L’aclion de vendre. Hötellerie,
cabaret isol& pour les voyageurs. Bande, ban-
delette, bandeau. (Ag.) "Aveuglement. Ter uma
— nos olhos, avoir un bandeau sur les yeuz.
Venndäpo,A, P.p. de Vendar. et adj. Ter os
olhos—s, avoir un bandesu sur les yeuX.
+ Venpäce, s. f. proßt qu’on donne & celui
qui vend une marchandise par commission,
droit de commission , de courtage.
VERpiceEN, s. f. action de vendre.
Venpin,v. a. bander, lier, sorrer avec une
bande ow bandeau. (fg.) Aveugler, offusquer
l’esprit, ermpecher de juger sainement.
ENDAvÄL, s. m. vent d’aval : vent fort qui
vient du sud et un peu d’ouest.
VenväveL, adj. 2 gen. vendable, de bon
aebit
“Venozcid. V. Vindicasdd.
Venpepkina, s. f. vendeuse : femme qui
vend en place publique.
*VEnDEDOIRO, s. mu. march6, halle.
VEnDenOn, A, 3. vendeur, vendeuse.
VENDKIRO, A, s. aubergiste, cabaretier.
Venper, v.o. vendre : aliöner, pour un cer-
tain prix, une chose quo l’on poss&de; exposer
en public des marchandises, etc.; trabir quel-
qu’un par inieret. Vendre son honneur, sa li-
berts, etc. — caro, vendre cher (prop. et fg.).
— a vida caro, (fig-) vendre bien cher sa vie:
la bien defendre, faire perir besucoup d’en-
nemis. — alguma molicia pelo mesmo prego,
(fam.) debiler une nouvelle, la donner & prix
VEN
ötre venda ; areir de d£hit. (ger, fg.) Fe üse-
ner pour, se faire valoir, se vanler de Lalents,
de qualitss qu’ou n’a pas. —caro , (fig.) se (aire
desirer, rechercher.
"Vzxsisıı. V. Vendivel.
Vewdicin. j
Venpicarivo. +} V. Find... '
VERDICO.
*Vennicöm. V. Fonda.
Venpipico,, A,adj. qu’en feint d’avoir vende.
VExpipo, A, 9. p. de Vender. adj. Vende.
Ander, estar, acher-se — ,&tre venda, livre ä
des tralıres, des fripous, eie. Ester come —,
se deplaire, ne pouvoir se souffrir dans une
compagnie.
VenniLniö, 5. m. colporteur, ınarchand am-
bulant.
Venpima,ete. V. Vindims, etc.
"VEnDımEnto,s. m. V. Vends.
Venpita. V. Vindicla, Vinganpa.
VENDIVEL, adj. 2 gen. qui peut se vendre.
Qui est ä vendre, de vente.
*Venpuno. V. Vendido.
Vengricıo, s. m. ventfice : empoisonnement,
erime d’empoisonnement avec preiendu sorti-
löge. Sort, malefice.
VEntrFICO, A, adj. veneneux, qui a du venin;
venefique, qui [orme le poison.
Ven£rico, 8. m. empoisonneur, qui prepare
ow vend des poisons.
Venznän. V. Envenenar.
+ VEnENIirERO, A, adj. (podl.) venöneux, ve-
nimeurx.
VEN£NO, 8. m. poison, venin. Poisen : cbose
nuisible & la sante. (Ag.) Poison : teut ce qui
est pernicieux ; malignite.
+ VEnznösauenteg, adv. avec qualitts vend-
neuses.
VENEROSIDÄDE, 3. f. "venin : qualit& de cs
qui est ven&neux, venimeux.
VENENOSISSINO , A, adj. sup. de
VENEnöso, A, adj. vöneneux : qui a du >
nin, venimeux.
+ Vega, s. f. pölorine, peigne, petonele,
coquille de Saint-Jacques. Croix ow medaille
que portent sur la poitrine les chevaliers des
ordres militeires.
f VERBaABLLIDÄDE,, 5. f. qualit6 d’eire ven&-
rabie.
Vanzrasılissıno , A,adj. sup. de Venerarel.
VENERABUNDO, A, adj. plein de veneration.
Vensnachö, 8. . veneration : respect pour
les choses saintes ; bonneur qu’on leur rend;
estime respeclueuse pour quelqu’un.
+ VENERÄDAMENTE,, adv. avec vendratien.
VeEnenino, A, 9. p. de Venerer.
VENSRADOR, A, s.celui qui rendre, qui a de
la ventration pour, devoue.
Venzrinno, A, adj. V. Veneravel.
VEnzrir, v.o. venerer: porter honnear &;
d’empletie. — a sua palavra, vendre safoi, sa röverer; avoir de la veneration pour. Rendre &
üldelile. )
Venpta-sE, v.r. se vendre : se donner, 86:
Dieu, aux saints le culle qui leur est dA.
VERERAYEL, adj. 2 gen. venerabie : digne de
- livrer & prix d’argent, Aun part: . le Lrahir; | veneration, de respect; Mitte d’bonneur d’wm
,
VEN “
pretre ‚d’un religieux. Titre que l’&gise donne
& ceux qui sont morts en odeur de saintete.
VENERAYELMENTE , adv. avec vöneralion.
Ven£aEo, A, adj. venerien : qui appartient &
Venus, aux plaisirs de l'’amoar.
Veneno, A, adj. (podi.)de Venus.
Ventra,s. f. pelite veine. (Ag.) Envie, lan-
taisie; boutade. Deo-Ihs na —, (fam.) Y’envie
lui en prit.
Ventza,s. f. (#. de geog.) Venise : pays et
ville d’Italie. Promssier —, (Ag.) promeltre
monts et merveilles.
VEngzıÄno, A, adj. ot s. Venitien, de Ve-
nise. A’ veneziana, & la venitienne, A la mode,
& la maniere de Venise.
VanGiLa. V. Bengala. .
Vena, s. f. permission qu’on demande;
pardon , exouse. Salut, inclination de töte.
Venıica, s. f. marchandise. De —, pour
vendre.
Vanıkı ‚adj. 2 gen. veniel : qui merite par-
don, qui se peut pardonner (peche); leger,
qui ne fait pas perdre la gräce, n’exige pas de
trop fortes penitences.
VENTIALIDÄDE, s. f. qualitö d’un p&che veniel,
@une faute lögöre. (fg.) Faute legöre; peche
veniel.
VERIALMRNTE,, adv. vöniellement.
Vanida,s. f. V. Vinda. Altaque imprörue,
surprise. Altaque, assaut, on termes d’escrime.
As idas e —s, los alldes et les vonues.
VenisLuo, A,adj. (9068.) qui circule dans les
veines (sang).
Vgnöso, A, adj. veineux: plein de veines;
des veines. Veine: qui a des veines ( bois,
warbre, feuille).
" Vanz. V. Oufrosi.
VARTA, s. f. narine : ouverture du nez. *Na-
seau, narine des aniınaux.
yuanriı. V. Venta.
ENTAGEN, eic.
VENTAaJiR ‚ etc. | V. Vanta... ) etc.
* VENTAM. V. Venta.
: Vantina. V. Ventanilha.
. VRNTANEBÄR, v. a. &venier.
‘ Ventankiaa,s. f. grand vent, vent imps-
tueux.
VENTARIA , 8. f. vent fort et continue.
VENTAniLHa, s. f. blouse de billard. Meiter
« bola na —, blauser, faire entrer la bille dans
la blouse.
Venrtar6pPA , loc. ade. vont en poupe vent
arriöre. V. Poppa.
Ventir, v0. ®. venter, faire du vent. o. a.
Soufller.(Ag.) Favoriser.V. Aventar. Em quanio
venia, mölha a vdla, ( prov.) pendant que le
vent souflle, il faut empeser los voiles; il faut
prolter de la fortune pendant qu’elle est favo-
rable.
VentanöLa,s. [.V. Abano, Venkilador.
* Vense. V. Videnie. st. Visivsi, Evidente.
p.a de Ver. Voyant.
VENTicENno, A, adj. (Podi.) qui engendre du
vent, d’oü sortent los vonis.
VEN
+ VERTILÄBRO , 5. m. van ä vanner.
Virrıuacäö, s. f. mouvement, eirchlalion,
sgitstion de l’alr. Ventilation : renouvellement
de l’air. (Ag.) Discussion, däbat sur une. ma-
VsntiLino, A, pP. p.de Ventilar.
VERTILADÖR , 3. m. ventilateur : machine qui
sert A renouveler l’air dans un lieu ferme&.
VENTILÄNTE ‚adj. 2 gen. qui agile, renouvelle
Pair. Ondoyant, flottant au gr6 duvent (p. %8.).
p. a. de
VErTILÄR, 9. a. ventiler : renouveler l’air.
Exposer & l’air. V. Arejar. Agiter, mouvoir, en
exposant au vent. (fg.) Ventiler : discuter, de-
battre uns quesliion. — a veia ‚ faire une petite
saignee.
VEnTiuno,, s. m. dim. de Vento. Petit vent
doux, löger.
VENTO, s. m. vont: air en mouvement, agile ;
air renferme dans le corps; odeur, &manation
des corps. Flair, odorat du chien, etc. (1. d’ar-
will.) Event. (Ag.) *Vanite, prö&somption ; chos®
legöre, peu solide. (id.) Chose qui meut, agite
l’Ame avec violence. (id.)Coquiconduitä une fin,
vent de la foriune, sic. — em poppa. V. ce mol,
Tumar —, prendre, gagner le large , prendre
la fuite. Ir contra — e mars, (fig.) aller contre
vent ei maree, avoir loules Choses Contraires.
Instrumenios de —, instruments de musique ä
vent. ir com 0 — que corre,, suivre le torrent,
le parti le plus fort, etc. Navegar com todos 08
—s,(fig.) saccommoder au lemps, suivre les
conjonctures, les circonstances. Mover-se a I0-
dos 08 —s, lourner & tout vent, #ire löger, in-
constant. Sollar palaoras ao —, parler en vain,
inutilement. Ander de —, &tre perdu, €gare.
Gädo do —, betail, bestiaux qui n’ont pas de
malire. Dar — a alguem, (Ag.) Qalter, Dagor-
ner quelqu’un. O — ebonanga, (ti. de mar.) le
vent mollit, la teımpete s’apaise. O — a calmons
de todo, le ventacalme, il ya uncalme plat,
lo vent est au consell. O— vai conirao sol, le
vent se range contre le soleil. O — caminhe
com o sol, le soleil chasse aveo le vont. — Jarge,
— a um largo, vent largue. Pequona arage de
—, fraicheur. O — refresca, le vent aflraichit
ou fraichit, le vent se leve.— rijo, forte, grand
[rais. — que serve para ir e vollar ao mesme
lugar, vent roulier. — de joaneies, vont & per-
Foqueis. —do mar, vent de mer ou du large. —
conirario, ponteiro, pela proa, vent devant,
ventdebout, ventcontraire. Gankar o—,gayner
au vent, le vent, le dessus du vent. Cair de baine
do —, wmber sous le vent, perdre ie dessus du
vent. Estar debaixo do —, ötte sous le vent. O
— descas , abranda, le vent mollit. O — alarge
ou comera a ser largo, mais favoravel para a
viagem ‚ le veni devient largue ou commenoe ä&
devenir largue. — 6804380, vont au plus pres ——
d pops, ven! arriöre ow venten poupe. — de do-
lina, oudbolina, vent de bouline. — eonirario,
vent contraire, vens debout. — freseo, vont
frais. — mwito frresco, — forie, gros vent. —
variavel , vent variable ou insonsiant.— feilo,
1197
r
1198 VEN
duravel, — sorio, vent fait, vont stable, vont
constant. ‚vent menu, vent fal-
bie, petit v vent. Geipe de —, coup de vent.
O — salla d pria, le vent se rımge de "a-
vant. O — vom d pope, }e vent se range & Far-
riöre. O — sella ao norie, le vont so range au
nord. O-- muda, le vont se obange. —s dos
- quadraniss de N.E.o 8. E., vont damenı.
—ı dos quadrantee de N. O. 0 8.0.,
J’aval.
+ Vento, 0. m. anclen meuble, espöce de
beresu ä derire.
Ventoinnı, #0. f. banderele, giremette. 4.
ad. ei 3. 2 gen. Gireuelte,, qui a le 1öte lögöre,
etourdi. Ventoinka ou Pavoncino, (1. #’Mat.
nal.) venneau, olsoau dohassier.
Ventön, s.m. chien de quöte, qui ehasse &
la piste.
Veantösa, s. f. ventowse: valssese que Ton
applique sur la posu pour altirer les bameurs
en rerefient l’air & Yaide du (ea. On dennsit le
nem de vonfosa aux Calotties des Jesuiten.
Ventrosıning, 5. f. veniesite : amas de venis
dans le corps. ” Vent, pet, vesse.
T Ventöss, s. m. vontöse : siuiöme mois de
Pannde republicaine frangaise, du 19 ferrier
au 21 mars,
Verrosinno. V. Vontinko.
VEnT680 , a, adj. venteuzx : sujet aux vonts;
qui cause des vonts ; cause par eux (cellgue
80). (fig.) Vain,, vaniloun.
VEnTRE, 8. m. vontre : la oapaciiö du O0rp®
o& sont renlurmös les Inlestins; capaeite sows
los odtes om inferieure; ce qui ressembie au
venire ; partie renfiee d’une beuteille , ete.
(Ag:) Creuz, capaeitd. " Grossesse d’une fenrme,
ou !’enlant qu’elle porte. (f. de praf.) Venire,
la mere. Desde o — de sua mäi, des Io ventre
de sa möre, dös se naissenee. Adzee de —,
möres : brobis, vaches qui portent sourent.
Zigea de — , jument pouliniöre. — de dragio,
veawre de dragen.
Vantatcaha,s. f. "irongen de peissen au-
duseous de ja Iäle. (buri.)” Venire, panse.
Vanraicuno, s. m. ventricule : cavitd dans
looorps des animauz ; estomao des raminents,
Vanrniıno, 2.0. * ventriere.
+ VentrniLoguo, A, adj. ventrilogqwe (per-
suan6) : qui prend une voix sourde et euver-
neuse , de sorte qu’on ereirait qu’elle perie de
vontre,
Vanrainme, dim. de Fontre.
Vanraisca. V. Vontroche.
Venradpo, A, adj. ventru , qui a un gros
avonlure ‚„benne fortene, bonheur, (öleite,
V. Felieidede, Dita, Fortune, hasard, sort.
y —,ü& !aveniere, au hasard. Bd—, malbeer,
mauvaise fortune. Per —, par hasard. Por om
—, riaguer, szpeser au hasard. Ouento maior
da, iante d musnse segure, plus la jortune
est grande, moins ello est assurde.
4
VER
Venronid, adj. (inus.) V. Vonturese, Afer-
tunade, s. m. aug. de Venture. Grand benheur,
fortene oonsictrable ei inepinde.
Ventunie,
Ventuntino
Vanronfna,
+ Vanzöao, a, adj. (P. us.) later, qui et ä
venir.
Venrurnössrtnte, odo. beurewsement.
Varrundso, a, adj. beureuz, fortund , favo-
rable. is. (p. us. )Casuel, forteit. V. Aventu-
r0os0 et Aventureiro.
Venos, s. f. (1. de mylh.) Venus : ddesse de
la beautd ; une des sept plandtes; (#. d’eme.
ehim.) le cuivre ; (49.) tre»Jotie femme bien
laite, beauts rare. Plaisir, acte charnel. Monis
de—,(t. de chirom.) petite &minence dans le
paume de la main, & la naissance des deigts
(1. d’anat., Mont de Venus ow penil. Vemus ou
concha veneres, (1. d’hist. nei.) venus ‚ testach.
— dionfs ou espinhess , a verdadeira cenchs
de Venus, la conque de Venus. — pepkhis ou
rugase ‚la vieille rid6e. — chionda ou Kiss, la
isse
| V dynfar...
Venssripe, s. f. grande beauts, bezute ac-
eomplie, bonne gräce, 6legnnce: eic.
Venösto, 2,0. besu , plein de gräce, d’a-
gröment, gracieuz; gatant, poli.
Vg0, s. m. voile: etoffe qui sert & cacher
quelque chose, la tie, lo visage. Voile de
femme ‚de rellgieuse. ung. ) —, wat ce qui est
obscur, qui sert ä cacher, etc. ; prölerte, cou-
leur specieuse. (id.) * Confusion d’idees. sd.)
Ce qui deguise om cache une chose,ce qei
empeche de la connaltre. (1. danat.) Hem-
brane, tunique subtile. Correro—, trer is
ridesu. Levautero —, lerer le voile, d6coe-
vrir, faire voir.
Veozinno , dim. de Feo.
Ver, v.a.voir : recevolr les images des
objets; y voir; apercevoir, connaltre per les
youx; observer, oexaminer; dprourer, expdri-
menter. Trouver. (Ag.) Preveir. (id.) Coneeveit,
Imaginer. (id.) Connaltre, Juger, d&couvrir par
le ralsonnement. — , voir le mende,
voyager, courir le pays. — vir, voir vemir,
attondre lissue , ie suoods. Aldmewis — , zu re-
voir, Jusqu’au reveir. Bara —, vu faser —,
fstre ou lalssor voir, montser. Paser — ‚ faire
voir, prouver. B de — ou pare—, la choseme-
rite attention , merite d’#tre vue. Zuter por—,
6ire douteuz, incertain. Ndo peder — elguem,
(Ag.) ne ponvolr veir une personne, VYareiren
horteur. Nöäo—, ne pas veir elair, m’y pes
veir. Ndo — dem , avoir ia vue besse, ne ps
voir clair. Ter de — ou que vor com... avolr
de la lieison, du rapport aveo... Bste home
ndo tem que — com ouiro, cet homme u'a riem
& voir suaron autre. Faser que ndo v4, fermer
les yeaz sur quelque ohose. Aywi onde me of,
ali onde o 06, tel que vous me voyez, tel que
vos io voya. Agore verieis, H fallalt veir.
Pelo que vejo, segunde vrje, & 00 que jo vols.
Veanos vonde, conlinuons A voir.
VER
Vön-eR, ©. r. se volr: dire en Yue; dire,
Peureir öire vu ı se ragarder (dans um wireir);
se visiter, s’aboucher aven quelgw’un ; 20 Irou-
vor dans un endroit. Se veoir, se trauver, #ite
daua tel dtal, sa veir pauvre, elo. + am gram-
des embaracos es aperlos, se trouver dans de
grands embarras, de grendes difieultss. Fio-
“ uunes cosse eimilhamte?) a-Lon jamais
va cobase pareille? Jd se a4, Hest olaiz, &vi-
dent. Veja-se , voyea.
Vaa,z. m.“ spparence des ahoses. Sens de
la vus. Ameu — , ä mon avis, selon mol.
VEnAcıDÄDE, 5. f. Treraeile : attachement con-
stant & la vörite.
Venacissımo, A, adj. sup. de Veres.
VhaauinTs, ade. veritsblement, en vorit.
* Vgaansöuno. V. Versdsuro,
VERANIcO ou —tTO , s. m. dim. de Verde.
Petit 616. — de Sao Martinho, et6 de la Baint-
Vzxid, 5. m. 616 : saison la plus chande de
Yannde. Printemps (p. us.). Tante de -—- como
de invorno, dt6 oomme hiver.
VznAödziumo. V. Veramieo,
Veras, 0. f. pl. vorite, röaitd, sinedrild:
ehoses avördes. Ardeur, chalear, activitd. De
— ‚on vörii6 ou tout de bon, sörteusement, en
effei. De —? vraiment? Bomem de —, homme
vrai,, freno , veridigne.
VERÄTRO, 5. m. (4. de bof.) veratrum, elld-
bore blanc : plante. — negro,, ell&bore blanc ä
fleurs d’un rouge noir.
Veni2, adj. 2 gen. veridique, sincdre, qui
ne ment pbint.
Veapa, s. f. "article, olause d’un testa-
ment, ete.
VeRBÄL, ad). 2 gen. verbal: qui m’est que de
'ive voix; (1. de gramm.) deriv6 du verbe.
VERBALNSSTE, ade. verbalement, de vive
voix.
Vernisee, s. m. (4. de bot.) — Branco,, bouil-
ion blane : plante. — amarello, * blattaire »
herbe aux mites.
VerBena, 5. f. (8. de bot.) verveine : plante
annuelle et mödicinale.
VERBENADO, A, adj. Orn6, Soureane de ver-
veine.
VERBENfCA, 8. f. sorte d’herbe.
VerBEnACAö,s. f. verberation de Pair. * Power,
action de fouelter.
Verseräid,. V.Orgevdo, Verbena.
t VeRBerÄR, v. @. fouelter, frapper, battre.
t VERBERATIVO, A, adf. propre & [ouelter.
VERBIGRATIA , ado. lat. par exemple.
VerBo, 8. m. verde : partie du discours.
Verbe : la soconde personne de fa Trinite, la pa-
tele divine. Mot, terme. De — a-—- , mot ä mot.
Versostrpäne, 8. f. verbosit# : superfiuite de
paroles.
VerB6%0, A, adj. verheux : qui abonde en
paroles inutiles; diffius.
Vanga, 2. f. (1. de bot.)*cheu, chou potager.
= de ode , le chiendent ordinatre.
Vengär, etc V. Versar, etc.
VER 1199
Vangöne, A, adj. vol, touffu, (Ag.) Birne,
rechigne.
VERDÄCHO, adj. et s. m, verdälre , vor psle,
tel gue oeini da regean. Gonicur mintrale em-
ployee en peinture.
VerDine, 5. f. variis ı eaufarınita de Vidde
aroc son objet, d’un räcii even lo fait, du dis-
cours avec la pensee; veracile ; sinodrits, [ran-
chise; konne fois Yoppos& d’erreer, de men-
songe, de flatterie, de faux,, de [ausse opinion ;
principe, aziome ; ısaxime, ralson. — , 08 qui
ost vrai,, le vraiz; imitatlon , 6 parfaile
de la nature. Röalite des choses. Verite dure,
reproohe offenseni : em oe sens, em le dit plus
souveni au pluriel, verdedes. Em —, na —, en
verit6, osrtainoment. E’—, c’est vrai; la veritd
est que, ou c’est laverits,la pure verite. B’ bein
— que, eu — dqus, il) est vrai que, bien est-il
vrai que.— pura, la pure verite. Homem de —,
komme veridique. Traier — , tire [ranc, sin-
cere, de bonne loi. Fallar a —, dire la vöriie. A
“—, s’ib faut dire a vorits. Adivser
s“—,äAvraidire. Ao medico e ao abbade , deve
dizer-se a — ,(prow.) & ton confesseur, & ion
m6desin ne eache Jamais rien. Nem fodas as
—s se dizem, ( id.) leute werits n’est pas bonhıo
& dire. .
VERDADRIRANENTE, adv. veritablement, vrai-
ment, certainemsent, ro6ellement. A le vorite.
VERDADKIRISSINO, A, adj. sup. de
Vannastıno, ı, adj. vrai, veritable, rel ;
franc, sincere, veridique.
"Vxapaponas, V. Esvordados, Verduras.
Venpäsca, #. f. (4. ds dos.) "jet, trainde,
brin de certaines plantes. V. Vardasen.
Veape, adj. 2 gen. vert: qui ala coaleur des
herbes fratches,, des feuilles d’arbres ; qui n’ast
pas mür (fruit); qui n’esı pas see ( bois, elo.);
(Ag.) frais, jeune; dtourdi, $dvaporeı vigeu-
reuz. Finke —, vin fait de raisins qui n’stalent
pas mürs. Veiko — , vielllard encore veort, vi-
gourenz, ow qui fait le jeune homme. Uonie
—, conte geillard. Ndo deisar — nem Be000,
(Ag.) ravager, detruire lont. Apostdäma — abcds
non mür ou vert. Em —, en herbe (fig.). Eor-
far em — ,! fig.) couper en herbe. Mares —s,
mers orageuses. Cowros —s, cuirs non lands.
Dar ums — com uma madura , (loe. fam.) don-
Der entre deux veries une müre.
V£RrDE, 8. m. vert : couleur verte. Vert : aci-
dit€ d’an vin qui mest pas bien mür. Vert:
berbes qu’on dormme aux shevaux.— er, vert
dore. — gdio, vert gai ow clair, vert diris. —
garrafa, vert de bouteille. — mar, vert de mer.
= negro, vert obscur. — montanka, vert de
montagne. — de carneiro, de porco, ete., sany
de mouton, de pore, etc., fricasse. Pör os ca-
vallos ao —, mettre les chevaux au vert. Fo-
grar um —, lomar —,(fig.) se donner du bon
temps, se divertir.
Verneka,s. f. verdee : vin verdätre de Tos-
cane.
VerneäL, z. m. huissier de lFaniversite de
GCoimbre.
41200 VER
VeapziL, adj. 2 gen. qui tire sur le vort. On
je dit d’une espece de bis et d’une esptce de
pommes.
Varvein. V. Verdejer.
VERDscee , v. a. vordir : devenir veort. Om le
dit des arbres.
Vernsca:. V. Verde gaio.
Vrapxsia, o. a. verdir, verdeyer. On le dit
des pres, des champs.
+ Venptıuma, s. f. (6. d’hist. nei.) * beuant:
oiseau vert,
VerpeLnäd, 6. m. (1. d’hist. nal.) vordier :
oiseau du gemre de l’oriolan, & dos vert, venire
jaune.
VEaDE-rtso ou VER-O-riso, 5. m. aveir du
poids, poids du roi, verißcalien des poids.
Verpestıeua, s. f. (f. de bot.) * liseron des
champs.
VenpsetLLa ow VarpıskLla, 5. f. sorte de
piege pour prendre les oiseauz.
Veaptre, 5. m. verdet, vert-degris : oxyde
vert de cuivre.
Veapezinno, A, adj. diem. de Verde. Ver-
delet.
VznpıLmio. V. Verdelhäo.
Vexpınäcao, A, adj. d’an vertbrun, fonod.
Veupissıra. V. Vordesella.
" VgapızELLos, s. m. pl. buretias-
Vznpoica.
V. Beldrodge.
VERDOGADA.
VERDOSCA.
Veapoknco, A, adj. verdätre. Un peu vor,
qui n’est pas bien mär ([ruit).
Vaapör, 5. m. "veordure, couleur verte des
arbres, etc. (Ag.)‘Verdeur, force, vigueur;
verdeur de l’äge, jeunesse.
Vga2680, A, adj. verdätre, qui tiro sur le
vert. V. Verde.
Vernpucäpa. V. Averdugada.
Vsapöco, a. m. sorie de lame d’epse Iräs-
delite. Rasoir #troit; petit'couteau delie. Bour-
reau:executeur de la haute justice. (Ag-)Bour-
reau, cruel, inbumain. (Ag. inus.) Pli long
fait exprös dans une robe, etc. (l. de mer.) Re-
bord , ceintes. — da dorde, (id.) "lisse de vi-
bord.
Veapüna, s. f. verdure. V. Verdor. Herbes
potageres, horiolage, legumes. — da idade,
force, vigueur de l’äge. —s da mocidade,” 6caris
de jeunesse.
“Vgasa. V. Vereda.
Verzagäd, s. f. corps municipal ; assembiee
du corps municipal; arr&ı du corps municipal.
Taxe, taril.
VgazAnDO, A,P. p. de Ferear.
Vensapor, 3. m. echevin, membre du corps
municipal.
+ V£EngANEnTO, 5. m. charge d’öchevin, sa
jJuridiciion. Administration &conomique, Fegie
d’une ville, etc.
+" VEREÄR, v. 6. gouverner, regir, surveiller
les intereis d’une municipalile, eic.
VeragciveLmäntg. V. Verissimilmente.
Vrazcinpıa. V. Vergonha, Pudor.
VER
Verxzcönno. V. Vergonkoss.
Vuatpı, s. f. "sentier : petit oheunin de üra-
verse, chemin 6troit. Tortillidre. (Ag.) Semtier,
cbemin ; direction, manidre.
° Veripe. V. Pomaer.
+ VeazrıLLo, s.m. (1. E’hist. nat.) " verdtille :
polypier libre.
Vgatndo. V. Vonerassi.
Venca, s. f. verge, baguette. V. Vera. Ver-
gue, antenne de vaisseau. Barre de fer. — da
porta, "lintesu. De —d’slie, (1.ds mer.) pr& ü
appareilier, en parlant d’en navire. — grande
grande vergue. — de iragquele, vergue
saine. — söca, vergue barrce ow vergue de feu-
gue. — de gaves, vergue du grand henier. —
do velacho, vergue du petit hunier eu du ku-
nier d’avant. — da gala, vergue da perrogsel
de fougue. — da sobregsia, vergue de la per-
de w-
ruche. — da sobregstinhe,, vergue de Ia perre-
che volante. — do joanels grande, verguwe de
grand perroquet.— do joanele de pres, vergut
du petit perroquet ou du perroquet d’avamt. —
do sobrejoanele grande , verguo du grapd pe7r-
roquet volani. — do sobrejoanete de pres, ver
gue du petit perroquet volant.— de cscadeirs,
vorgue de ciraditre. — de mesens, vergue d’ar-
timon. —s dos cwtellos,, vergues des benneliei.
change. — ds ferro do junce da bomba, verge
de pompe.
VeErcäiDo, A, pP. p. de Vergar.
Vercar. V. Tira-vergel.
VercaLnana, 6. f. coup de nerfde beat,
coup de fouet.
+ VencaLnid, s. m. * barres de ler minces.
VERCALBO ,s.m. membre genital da lauresa
et autres quadruptdes. Nerf de baul, fouel.
Vgrnciö, s. m. aug. de Verge. (Ag.) Seien:
marque, impression que laissent les oeups de
fouet sur la peau ; einglon, sanglade.
VEacamoTa , 8. f. (6. de bof.) menihe des jar-
dins, ’herbe du caur. Bergamote : espece de
citronnier ; son [ruit tir&s-odorant.
Vescir, v. a. et m. ployer, courber, plier.
Vercästa,s. f. badine, houssine,, verge.
Vxacastäpa , s. f. coup de badine, de keur-
sine, de verge; cinglade.
Venc£L, 5. m. verger: lieu closet plante d’ar-
bres fruitiers ; Jardin o& !’on cultive des Beuıs.
Vercöss, s. m. pl. gros ls de la trame des
&toffes.
° Vencönca. V. Vergonhe.
* VERCONGÄNTE. V. Envergonkado.
* Venconc6s0. V. Vergonkhoso.
VEncönBA, 8. f. honie, vergogne ; deskem-
neur; conlusion; Irouble de l’Amıe cause pa
le desbonneur;; opprobre, ignominie ; (Ag.) c®
qui deshonore, cause la honle. * Pudeur, r»
tenue. Timidite, embarras. Action bontense.
Näo ter —, n’&tre pas honteux. Perder s—-
sc devergondcr, perdre toute pudeur. Sem
.\effrontement, sans bonie, sans pudeur. Com
. VER
— o.dige, jo Yaroue A ma honte. —s, Pl. pat-
ties honteuses.
Verconnösa. V. Sonsilive.
VERCONHÖSAMÄNTE ,adu.honteusemens ; avon
pudeour.
VERGonHosissimMO, A, adj. sup. de
VERGONHOSO, A, adj. hontenx: qui a de la
honte;; timide ‚embarrasse; pudique; qui cause
de la bonte. Cousas 18, choses qu’on est hon-
teux de dire ow de faire. Partes — 4, parties
honteuses, celles de ia generation.
VERCONTA oW *rejeton, scion, jet des
VErcöntEa,s.f arbres, (19. )—, descen-
Jant. (l. de mar.)" Epa
+ VERGONTEADO, A, ah. ($. de bot.) T'ronco
— ‚tige en forme de rejeton.
VERGONTEÄR, v.n. pousser des rejeions.
Vracusıro, s.m. manche en bois des cou-
pereis. (ti. de mar.) Cäble double; brague. —
d’artilheria, brague de canon. — para enos-
Ihar um navio, brague & tirer un vaisseau &
terre. —s do lome, sauvegarde du gouvernail,
bragues du gouvernail.
Verınıcıpäne, 5. f. veridicits. V. Veracidade.
+ VERIDICAMENTE, adv. d’ung maniere veri-
ue.
Veninıco, A, adj. veridique : qui aime & dire
la verite; qui ia dit. Vrai, veritable, avöre.
Varıpıcackd, s.f verißcation: examen, &0-
tion de verifer. *Accomplissement d’une pre-
diclion, etc.
VERIFICANOR, 2. m. verißicateur : qui verifle,
qui examine, etc.
VERIPIciDo, A,p.p. de Verifkcar.
VerıricÄR , v. a. verißer : faire voir la veritö
d’une chose ; comparer, 6ollationner, enregis
trer ; examiner si une chose est vraie.
VERIFICAR-SE, v.r. se verifler, s’accomplir,
en parlanı d’une prediction , ete. — a condigdo,
arriver, en parlant d’un cas, d’une condition
pos6e pour l’exöcution d’une chose.
Veaıricariyo ja . adj. qui sert ä verifler.
VerıLaa. V.V
VERISIMIL, au; i gen. vraisemblable, qui
paralt vrai.
VERISIMILHÄNGA , $. f. vraisemblance: appa-
rence du vrai.
VERISIMILIDÄDE. .
VERISIMILITÜDE. } V. Vorisimilhangs..
VERISIMILMENTE, ado. vraisemblablement,
avoc vraisemblance.
Vanrissımo ‚A, adj. sup. de Vero.
VERUB, 8. m. ver: animal long, rampant,
sans os ni veriebres , ni arliculations. Vermis-
seau, petit ver de terre. —s, pl. vers, vor-
mine, — inteslinses, vogs intestins.
Veruße.V. Verme.
++ VERUELHÄCO, A, adj. un peu vermeil, rou-
geäfre.
VERMELBÄÖ, 5. m. vermillon, minium, ru-
brique: mineral d’un rouge £clatant. (Ag.) ’Fard
ow rouge. (4. de but.) V. Dragoeira.
VERNELHIDAÖ, 5. f. Fougeur. fg.) Pudenur.
NEnMELBO,A,adj vermail, rouge. Bala —a,
FORT.-FR.
VER‘ ad
bauletrongs. Raser-se "—devonir roupe, rou-
gir, monter la couleur au visage.
Veauxu.V, Forme.
+ VermcvLivo, a, adj. (8. Pareh.) vermi-
oul& : qui roprtsente les traces somblables A
celles des vers.
Vermschuints, adj. 2900. ( 1. de mid.) ver-
miculant : (poels ) ondeyanı omme le ver qui
‘ ronge.
Vermwionıän, adj. 2 ge vermiculaire : qui
a quolgue Fappert aux vers, qui leur ressöän-
ble, qui ea provient. Herva —. V. Vermiosia-
rie.
r VenwicuLinu ‚s. f (1. de bes.) vermieu-
laire brülante : joubarbe & petites tiges termii=
.| n6es par une fiatır.
VrauicnLo, s. m. dim. de Verme. Vernie-
sosu.
VRaNıFrönnz „adj. 2 gen. vermiferme : qui a
la forme d’un ver.
Vsauirueo ‚a, ads. ( f. de dd.) vermifege :
qui chasse, fait mourir los vers.
VzauıLniö, eio. V. Vermeikäo.
Vzauındso, A, adj. (#. de mid.) vorminenx :
od il ya des vers.
Veanicwo, A, adj. du pays.
VerniL, adj. 2 gen. vornal, du printemps.
VERBÄNTE, adj. 2 gem. ( peet.) vernel, du
printemps.
Vzeniz, 3. m. vornis : Komme du gemiärre
composition areo laquelle on vernis; endait H-
quıde et brillant dont on onuvre la surface des:
corps pour les rendee luisanis,, kes osnserver.
(Ag.) Teinte, apparenoe brillante, favorable.
+ Vranıztıno , s. m. (8. de bot. ) Vornis: arıre
gommeux,sandsraque. .
Verno, A, adj. vernal, da printemps ; prin-
lanier.
V£n0,&A,adj. vrei, veritable.
+ Verona, 8. f. de. de geog.) Verone:: ville
d’Italie.
Veronica, s. f. imege de la face de Notre-
Seigneur peinte sur un meouchoir. Medaille de
saint. Face, Vi “(#. de bot.) Veronique :
plante rhinantholde.
Vgrn-o-rRso. V. Vi
Varosim., eio. V. Verisied, eo.
“Vxaxi, pour Vırä (il viendre).
Vernisco. V. Verrasco.
Verauciktia,s f+(t. de bot.) verrucaire, kerbe
aux vorrues.
VRRRÜcA , 9. f. vorsue, peireau : : sorte de de-
rillon aux mains, au visage, etc.
VERRUCOSO , A, O8 qui a des verruss,
VEARUGLENTO, A, adj. Yerruguenz.
VERRUGUINBA ‚dim. de F,
Voraina, 5, f. vrille » outil & ndche en vis
propre & percer.
Vsanumiö,s. mu aug. de Verrums,. Grande
vrille, tariere. Insecte qui perce le bois.
VERRUMÄR,, ©. a. percer avec une vrille ou
tariere.
Versı. V. Verse.
. Varsapissımo , A,0dj. mp.de Veraedo.
%
1008 VER
Varsäne ; 4; pP. p. de Vorsit. af. Veibe:
acer ad ( u
ansiL, adj. f. Leiteas =, (th dipr.
lettage espitalen,, ules. )
melden
‚tr Vsasastärm, pl. din: de Versul: beta
de haut de casse : pelites capitales;
. Yansıö, a f vorsion s inte y wh-
dwiien d’une lengus om une autıre, Retetetidlt'
d’une plandte.
.% Vamsin (vun, sobre), v. u. raularf Ardir
paur abjet, pome aujet: (fam.) Faire das vord;
rigieiller. 4. & (p.: 02.) Exreruen, faire praleh-
sion de. A coonversagdo , a discusedo versou d&-
Drau... ia vemveisaliön) ia diseuBehitt Ybdla
BUT... oo. ' ' ’
VensiR-sE , v. r. s’exercer; &erenit Nahlte,
veons6 dans ame hciehcoa; bic. V. Versiift dr R.
VersäriL, adj. 2 gem. qui lourne aisenıMt:
On. dit an uncal vossatite, varkabie, 'Mbh-
stent.
Veasarsuınibe, 2: f. Tersatilite + dtmmHe6' de
ce qui est versatile; intonstande,
VERSEJADOR;.A, 8. Fimhilbun
- Vaaanıka, 6. & riimailler
VERSETO, s.'m. dim. de Verse. Velnst: pi
roles suivies d’um mpbns yu’sa 4, du’sn
chanis dans Vofüce dirin.
Vzusionne , 3. ms. dim, ds Verso. Vorbei : pe-
tite section d’un chapitre de la Bible, we. V.
Versste.
Vnasirero, A, af. (po#k.) gei pure
vous ; qui fait des vors.
NVensırcagäö, 3. f. vorsilcation ı 'ert A8
faire, de tourmer les vers; manidre de Teh
Saige. "
Versirickno, A,p.p. de Versifwer.
Vaasırıcandn, A, s. versifichtur : qui Tait
des vers.
Vgassrıcir, v. w. versißer : Kaire des tärs.
Or 8. — , IEhLB ON vors.
Veasivyıco, a, adj. des vers.
Vaasinuo , s. me. dim. de Verso. Petit vers.
t Veasssta, s. m. [nissur de peilis vers
oux.
VEnso, s. m. vers : agscnublage de imote, Pä-
roles mesurdes ei oadenodes d’apräs dus rögieds
ixes. — solto, vors libres, vers bianes. 4- dd pa-
gina, verso, seconde page d’un fenillat. 4 n&-
(orent, #2.) Pe dos olscehwm.
n80, A, adj. ( I. de geom.) vers (fiel);
Yanbbera, V. ’ Beyer .
Verso, V. Fargo,
Vassdro. V. Asiete, Sag.
un ERTBAS, 5. m. pl. sofie de religieux Ad Geti-
ie. ‘
Verreanz ,3.f. (6 Want.) vertöbre: chacuhı
des petits os de l’ö&pine du dos.
Taarzanine;, a, adj. (4. Phist. Wal)
bre : (anieual) & versökees.
Ventinean, af. 2 yon. Verebial : dufa Pip-
port aux verlöbres.
VERTEBAOSO. V, Vertebräde.
Vaurabon, 5. in, selui Yad vere, qui n0-
‘I dre
vE3
ah, Bbtut qui MAN ame vertion, tradakeı.
4. V. Vertedouro.
VERTEDOUNDO, 8. bh. "eope : peiit ıreue
‚pour otdr, Jäter’ Prau des baleaur.
Veateoüns, s. f. action de verser, krips-
eMusion , &pahchenmeht. Bonne user des
Iyulden.
Verräncia, 3. f. * Tapı de temps.
Verreate, adj. 2 gen. Qui sa I pre
Füne modtagne. Aguas —, eadı kalah
s. [."Versant, pente des edux qui dk &
aut des montaghes. ,
Verrär, o. a. verser, röpandie. Trdım
d’une langue en une autre. — sangwe SUR?
— üydds, lächer de l’ean, uriner. aM,
mourir.
Venrek, vo. sulnter; Wdberder. (de. m)
Däkouler ; se jeter, se d&charger dans lı me.
Venrex. V. Verlice.
VentichL, adj. 2 gen. vertixal : perpait
1ire 4 l’horizon.
Verricaımtnrk, Abe. Yertitälemtst, 1
pagdiculairement 4 Y’horizon.
Errice,.s. m. ver : sorimel de u Me
Sörnmet Füti Biärigle, Mrand Eourke, #
point culminant. Sommet, sommil, bat
+ Venricıpäng, 3. f. facults, puissunıt tt
mgutoir En tous kens ou en Ichl.
VerricıLLino,A, ad}. (1. de bot.) ver
(Adut —e) qut forme des aıneauz rayonsı
aufaur d’une tige. | .
VearıchLıos, 3. m. pl. (ti. u Wi wi
cilles : anneaux, de fleurs ow fenilıs *
tourent la tige des läbides.
erribo, A, p. p. de Verler. ag Ta, n
patıdu; tradult. N
Varticem, 5. f. Vertige : Vowrnoime!
| t6te , &lourdissäment.
"Verricınöso, A, adj. vorlig eui: qua
verliges. Qui cause des en (de) Wi
tourne enrohd.
VEsino, A, dd). Inzest, Tafitet
+ Vesco, a, edj. bon & Hiähfer, nAfN
comestible. adj. Youche ‚big
Vasco, A, ad. louche e.
Vescuein, d.h. touche?. $. a
Vesicacid, 8. f. (1. de mid.) vi
halssance dm veslontes} offer des Tesica“
VESICäNTE, adj. 2 gem. (1. de Id.) '
vesicatölre. a
VESIcATöRIO, 8 m. (f & ned) ptsichwi
medicament externe ei in tänit des vd
la peau. Tl est aussl ddj. .
Vesicura,b.f. (l. de Lade mie
ötile vessie.
VesicuLin, 6A. 2 gen. (il. da Bel) vide
aire, en forme de vessie; (}. ds AL
de Vesicules. jat:
+ VesicuL680 , A ‚adj. (1. de bei.) en
editpond de petites veßhtes; Häsiäueut,'
laire
Vesica. V. Beige.
Vekınninca, ete. V. Vüsiaheimb, Et.
Yrrpz, b. J. (1.8 M8. Aal.) gusge ; much
vES
carnassiäre. — mtenor, guäpe des arbustes, —
nidulosa de Cayano, guepe a carton fin. — da-
küa d’America, guepe & carlon grossior. —
eoarciada, guöpe ötrangtät.
Vasriö, s. m. aug. de Vespa. Grosse guepe.
— spivoro, Irelon.
Vespen. v. Vespero.
Vesprna, s. f. "soir; veille, jour d’aupara-
vant. (fg.) Chose qui en precede, qui en an-
nonce une autre..— de Nalal, etc., veille de
No&l, etc. —s, pl. une des parties du jour, sui-
van la division des anciens Romains. Vepres:
une des beures canoniales. Primeiras —s, pre-
mieres vepres qui se disent la veille de la fäte.
Estar em —s, (ig.) etre & la veille, sur le
point de. —s sicilianas, v&pres siciliennes :
massacre qu’on fit en Sicile de tous }e$ Fran-
is, ä l’Leure de vepres, en 1282, sous le rögne
@ Philippe II, dit le Hardi.. a
VespzRiL, adj. 2 gen. (poel.) du soir. s. m.
Vesp£ral, livre de v&pres. j
Vesr£ntas, s. f. pl. vesperie : derniere thäse
de theologie. _ , .
Vesrano, s. m.’stöile dh soit, &loile du ber-
ger. ( Ag.) Le couchant.
VEspeRrino, A, adj. du soir. Astro —, astre
qui se eouche apres le sbleil.
Vesricias, s. f. pl. toiles de Cambaye.
Vesrona. V. Vespera.
Vessina, V. Geirg,
*“VzssaneLLa. V. Versade.
* Vgsaamtın0, 3. m. dreit de Jabourer; la-
bourage. on
*" Vessir, 9. a. ouvrir de profonds sillons,
labourer.
Vessas (ie), adv. & rebours, sens dessus
dessous; au contraire.
TVesta, s. f.(t. de mylik.) Vesta : feınıne
dUranus; 8lle de Saturns et d’Opa.
* Vesta, V. Besta.
VestiL, £ f. vestale : viorge consacrde &
Vesta, aux ieux;(fig.) Alle os fenme d’une
chastels exemplaire. Vesiass ,„ pl. vestales,
preiresses de Vesta.
t Vestausas, >. f. pl. vestalies ı fötes de
esta.
Veerz, 5. f. "habit, vötement. 7. Vestia. —s
sacerdolaes, vötements sacerdotaux.
* Vestenia, s. f.“drep, öloffe pour laire des
völemenis.
Tu, s. fı veste, völement court sous Ph4-
*‚Vxsrıäino, 3. m. calul guia soin du ves-
taire.
Vestiania, s. f.* vestiaire : Tieu od sont, led’
bits d’une communauis religieuse , argent,
epense pöur Phabillement des feligieux; det
bahillemen!. un
Estianıo, A,adj.duvesliälre. _ u
„VgstiauLo, 5. m. vestibule : premidre pidde
servani de passage aux aufrel.
Vestıolxa6,dim. de
Vsstipo, s. m. habit, vdlement, Habilfensdht '
veX 1203
bil de cour. — inierior, velemen! de dessous.
Vestino,A, p. p. de Veslir. adj. Vetu, ha-
bille. (Ag.! Couvert, rey&tu, orne.— e calfado,
(Ra) sans peine. — em corpo, en habit. Bew
—, bien babilld, bien mis.
Vestipöra, 8. f. "vötement; habillement, V.
Vestido.
Vestioıo ,b. m. vestige : empreinte du pied;
(Ag.) traces, restes informes Jes anciens edi-
Üces ; trace, souvenir d'une Chose; margque,
indige qui conduit & la connaissance d'une
chose.
VESTIMENTA, 8. f. " habit, vetement, surlous
habit gacerdotal —s, pl. arnements sacerdo-
laux.
VEstimenteıro, 3. m. chasublier : qui fait
des chasubles, des ornemenis d’eglise. u
Vestir,o. a. völir, habiller. Revetir, orner
de tapisserie, eic. Revelit ; couVrir, remparer,
Karnir exidrieurement, Velir, quelgu’un, lui
donner de quoi s’babiller, (4g.) Orner un dis-
cours, un recit. Habiller : faire des habits pour
quelqu’un. Mettwre des anses, des supporis aux
vases de poterie. — asarmas, s’arıner.
Vestia,o.n. — dıfranceza , d ingleza, s’ha-
biller A la frangaise, ä l’anglaise.
‚Vestir-se (de), p.r. se vötir, s’babiller. S6
reyötir de feuilles, de verdure, en parlant des
arbres, eic. — de marwjo, de paslor, eto., se
vetir en marin, en. berger, etc. .
Vestoria, 8. f. inspection, examien, 6Xper-
Lise , visite. .
Vestuirıo,s. m. assemblage de choses n6-
cessaires pour se vötir, habillement complst.
Vetement, costume. F
Yesöco,s. m. pagre, poisson de met.
Vesivio,s. m. (L. de geog.) Vesuve : mon
volcanique pr&s de Naples.
Vera.V. Beta.
VETERANICR, 8. [. velörance : qualii6 ä6 vel-
rFan.. ,
Verenino, adj. et s. völdran : soldat qui &
servi longlemps.
Vererinäna, adj. f. Arle—, art veltrinalre,
medecine des animauz.
Vereninärıo, A, adj. vetsrinaire , de la mö-
decine des animaux. s. m. V. Alveilar.
Vero,s.m. veto : formule employ6e par led
tribuns pour s’opposer aux ärreis du senat,
eic.;parun rol, pour s’opposet & une lol.
VETRESCiVEL.
VETRIFICAR,, lc, | V. Vür..., 800»
VErösto,A, adj. vieaxz, ancien,, anlidue. .
‚Versgiö, 8, f. vexation ı action de voxetz
sorie de perssoulion. Peins, Mourınent, Mall«
veis trailoment; avanie,
Vezino,a,p.p. de Vener.
VexaDorR, 2; 3. vexatent : qui voxe, almdä
vexer ; persöduleur.
Vexiue, 8. m. ermbarras. 7. Vexaplo.
Vesin,o. d. vexer: pers@cuter; faire de la
peine injustement, molester ; jourmenter; mal-
eömplet. — de mulker," robe. -de corte, ha- fraltet, opprimer,
1204 VIA
Vexırönıo, A, adj. vexatolre: qui a lo ca
ractere de la vexalion.
Vexica. V. Bexiga.
VEXILLÄRIO, 5. m. vexiliaire, porte-enseigne.
VexizLo, s. m. vetille, enseigne, 6tendard,
drapeau, etc. '
Vera ,etc. V. Veis, etc.
V£ro,s. m. barre de fer sur laquelle tourne
une roue horizontale ou verticale. V. Veio.
Vez,s. f. fois, tour, alternative, retour, vi-
eissitude, succession. * Temps, &poque, ctir-
constance determinde od l’on fait une chose.
* Coup: quantite6 de vin, etc. , que l’on beit en
une fois. 4’ — ou por —, Successivement.
D’uma —, d’une seule [ols, d'un seul. coup.
Em —, en place, au lieu de. Uma —,, une fois.
Oulra —, encore une fols. Uma — por oulra,
de fois & autre, quelguefois. Sealguma—, si ja-
mais. De —, a propos, dans le temps qu’ifl faut.
Bstar de —, (fig.) eire bien dispose, de bonne
humeur. Apanhar alquem de —, (id.) pren-
dre quelgu’un dans le bon moment, le trouver
de bonne humeur. Vezes, pl. tieu, place. On le
dit lorsqu’on fait les foncıions d’un autre. Sup-
priras — de, tenirlieu de. Fazer as — d’alguem,
remplacer guelqu’un, faire l’office d’un autre.
4's —, parlois, quelquefois; tour & tour. Mus-
tas —, souvent, plusieurs fois, un grand nom-
bre de fois, maintes fois ( fam.). As demais
das —, le plus souvent, la plupart du temps.
Poucas — , raras —, peu souvent, Tare-
ment. "
Vxzir. V. Avezar.
Vertıra.V. Vara de porcos.
Ver£ıno, A, adj. accoutume, habitud &.
Vzzinno, etc. V. Vizinho, etc.
V8zo ,s.m.* coutume,, habitude, accoutu-
mance. On le dit en mauvaise part. Tomar —,
(fam.) s’acoquiner. V. Avezar-se.
Vıa,s. f."chemin, route. Voie, moyen dont
on se sert, etc. (fig.) Voie : canal, entremise
d’une personne. Voie : conduils qui regoivent
fes aliments, intestins , etc. Voie : &tat de
PAme ‚en termes de mysticite ; voie purgalive,
etc. Voie : maniere de proc6der en justice. —
lactea, voie lactee, cheinin de saint Jacques.
— sacra, Chemin de la croix. Secunda —, du-
plicata, seconde expedition d’une depeche, etc.
Fazer d’uma — dous mandados. V. ce mot,
"Via. V. Vinha.
+ VıapöR, 8. m. voyageur, homme qui vit
surla terre :c’est un terme de mysticits. — da
r ainka , &cuyer de la reine. V. Veador, Vedor.
Vıacfıro, s.m. voyageur.
Vricen, s. f. " voyage, traversde. Boa —,
bon voyage. On le dit & quelqu’un qui part ,ow
pour marquer combien peu on se sousie qu’une
chose se perde, qu’une personne s’en aille, ou
enfin lorsqu’on jette un cadavre Ada mer.
VIaJADÖR, A, 5. voyageur. V. Viajante.
VIASÄNTR, 5.2 gen. voyageur, —se : qui a
voyage; qui cst actuellement en voyage, qui
va voyager.
VIasÄR, o.n. voyager, fsire un voyage; aller
ViG
en pays lointain. ]l est quelguelois sl. -
terras,, parcourir du pays. Fair - una:
vallo , faire marcher un eheval,, le pramener.
Vıastiro. re
Vuarin. | V. Viajenis,
Vıamoa, 8. f. * aliment, nourrie. Has
qu’on sert ä la table, manger. Pätee we ks
oiseaux de proie. '
VIANDÄNTE, 8. 2 gen. voysgeur; puma.
Caminhante.
Vranpeıno. V. Comildo, Glolde.
VıiÄrıco, 8. m. viatique : provisies, unge
pour le voyage ;' sacrement de leschunsis
administreö aux malades en peril de wer.
Vıarörıo, A, adf. des routes, des cheam
Visora , s. f. rip&re : serpens vivipare, &#
gereux; (g.) personne trös-trriiee.
Vırracaö, 3. f. l’action de brandie, de Ie-
cer, etc. Vibration : mouvement regaie
reciproque d’ane pendule; trembiersesi (st
corde tendue et frappee , des neris, ex, T®
corps elastique.
Visrido, A, p. pP. de Vürer.
Vırnäntg, adj. 2 gen. qui vibee; qeilar.
.a.de
? Vırrin,v.a. brandir, agiter, brasirtan
main une pique, un &piea, ete. Lancer, ia
der, jeter aveo force. v. m. Vibrer: him di
vibrations ; ömouvoir, agiter, transmeirt ©
son, une sensation.
Vınnarönıo ‚A ‚adj. qui fait des vürzlee,
oscillatoire. "
+ Vianiiö, e. m. (6. Ihlet, nat.) wir:
infusoire , rond et allonge. — domem,
grude,"anguille du vinaigre, dei
ViBörno,s. m.viorne, plante.
Yıcavas, adj. f. pl. (1. dee.) Fae-i
fleurs monsiEneuses.
Vırar. V. Vicejar.
Vıcarıkto, s. m. viosriat : fonetion, sepll
de vicaire; sa duree, son territoire ; vH.
Vicärto, A, adj. qui remplace, gei Seal
place d’un autre. V. Vigerio. ur
Vice , (mot latin en composition) vie:'*
dique qu’un homme tient la place den am
+ VIcB-ALMIRÄNTA, 8. f. gi
aprös P’amirale ow la oapitane : glät
wonne. Vico-amiral: deuxiöme valseanl#
armee navale.
Vicu-ALmıninte, 3. m. vico-amin!: 6%
de marine aprös Pamiral. b
Vıce-BarLio, s. m. viee-bailll : Be
robe courte.
VIGE-CHANCELLER , 5. #. vice-ane
qui fait les fonctions du ohancelier ©
ahsence. .
VIcE-CÖNSUL, 8. m, viee-consul: gei til
lace du consul.
? Vice-ConsuLino, s. m. vice-consalat
ploi du rice-consul. Im
VıcE-Deos , s. m. nom qu’on deaße
tains saints ; on le donne aussi aux PAP&
rois, comme tenant la place de Diet. a
+ VIcE-DÖMIRO, 5. m. elui qui rempief!
vES
carnassläre. — menor, guöpe des arbustes. —
nidulusa de Cayana , guepa A carton fin, — da-
küa d’America, gutpe & carlon grossier. —
evarciada, gu6pe #tranglät. -
Vasriö, s. m. aug. de Vespa. Grosse gu£pe.
— spivoro, [relon.
Vespen. V. Vespero.
Vispena, s. f. "soir; veille, jeut d’aupara-
vant. (fg.) Chose qui en pre&c&de, qui en au-
nonce une autre, — de Naila}, etc., vcille de
Noßl, etc. —s, pl. une des parties du Jour, swi-
vant la division des anciens Bomains. Veptes:
une des heures canoniales. Primeiras —s, pre-
mieres vepres qui se disent la veille, de la fEle.
Estar em —s, (fig.) eıre A la veille, sur le
point de. —s sicilianas, vepres siciliennes :
massacre qu’on fit en Sicile de touk les Fran-
galt, &l’heure de väpres, en 1282, sous le rögne
a Philippe III, dit le Hardi.
‚VaspsriL, adj. 2 gen. (poet.) du solr. s. m.
Vesperal, livre de v&pres.
Vesre£rtas, s. f. pi. vesperie : dernidre thöse
de thöologie. ,
Vasrzro, s. m."ätöile dh soit, &toile du ber-
ger. ( ig.) Le couchant.,
VEsPErTino, A, adj. du soir. Äströ —, astre
qui se eouche apres le soleil,
Vrsricıas, s. f. pl. toiles de Cambaye.
Vesrona.’. Vespera.
Vessina. V. Gejra.
“VessaneıLa. V. Versada.
“Vzssandıno, 3. m. dreit de Jabourer; la-
bourage.
*“ Vgssin, o. a. ouvrir de profonds sillons,
labourer.
Vessas.(is), ado. & rebours, sens dessus
@essous; au contraire. ,
+Vesta, s. f.(1. de myih.) Vesia : feınmo
«Uranus; Alle de Satucne et d’Ops,.
“ Vesta. V. Beste, 2. ,
VestäL, 4. f. vestale : vierge consacrde &
Vesta, aux dieuz; ( Ag.) Blle ow femme d’une
chastelö exemplaire. Yestass , pl. veslales,
pr&tresses de Vesta.
.% VEstäLsas, 3. f. pl. vestalies « fätes de
esta.
Vestz, 5. f. "habit, vötement, V. Veslia, —ı
sacerdolaes, v&lements sacerdolaux. .
"VssTguia,s. f."drap, etoffe pour faire des
väteınenis.
i Vesrıa, 5. fı veste, vöteinens courl sous Phä-
it.
“Vesrıiiao, a. m. colul qui a söin du ves-
Vaire.
Vestiania, s. f.* vestisire : lieu od sont led’
bits d’une communaulö religieuse ; argent,
&pense pöur Phabillement des feligieuz; cet
bahillement. u
Vestiinıo,A,ädj.duveifidire. _
„VesTianLo.s. m. vestibule ; premidre piäXe
servani de passage aux aulreN,
Vestıoindo, din. de .
Vestino, s. m. babit, tdtement. Häbilf&nsent
eönplet, — mulher, "robe. -de corte ‚„ha-
2
vet 1203
bit de cour. — interior, veterien! de dessous,
Vsstino, A, p. p. de Veslir. adj. Velu, ha-
bille. (fg.! Couvert, reyätu, orne.— e calsado,
(ka) sans peine. — em corpo,.en habil, Bem
—,, bien babillö, bien mis,
Vestinöna, s. f. * vetsment; habilleiment, V.
Vestido.
Vesticıo ,&. m. vestige : empreinte du pied;
(fg.) traces, restes informes des anciens &di-
fices ; trace, souvenir d’une chose; marque,
indice qui conduis A la connaissance d’una
chose.
VESTIMENTA, 5. f.* habit, velement, surlous
habit gacerdotal —s, pl. arnements sacerdo-
laux.
Vestimenteıno, 3. m. chasuhlier : qui fait
des chasubles, des ornemenis d’ylise. .
Vestir,y. a. vötir, habiller. Revetir, orner
de tapisserie, etc. Rev£lir ; couYrir, remparer,
garnir exsörieurement, Välir quelqu’un ; lui
donner de quoi s’babiller. (Ag.) Order un dis-
cours, un reecit. Habiller : faire des habits pour
quelqu’un. Mettre des anses, des supports aux
vases de poterie. — as armas, s’armer.
Vestin,o.%.— dı/ranceza, d ingleza, s’ha-
biller A la ftangaise,, ä l’anglaise.
‚Vestig-s® (de), 9. r. se vlir, s’babiller. S6
revätir de feuilles, de verdure, en parlaht des
arbres, ei. — de marwjo, de paslor, eto., se
veijr en marin, en. berger, etc. _
Vestoria, 8. f. inspection, exanien, exper-
tise , visite. . \
Vestuirıo,s. m. assemblage de choses ne-
cessaires pour se v&lis, habıllement complat.
Vetement, costume. „.
Vesöco,s. 1m. pagre, poisson de met.
Vesivıo,s. m. (t. de geog.) Vesuve : riont
volcanique pres de Naples.
Yera.V. Beta. .
Verzaunich, s. [. vetlörance : qualitöäs vels-
ran... ı .
Verenino, adj. et s. völdran : soldar qui
servi longtemps. .,
Vererinärsa, adj. f. Arle—, art velörinaire,
medecine des animaux,
VerenımÄRıo, A, adj. vötsrinaire , de la mö-
decine des animaux. 3. m. V. Alveilar. j
Vero,s.m., veto : formule employte par le#
tribuns pour #’opposer aux arreis du senat,
eic.;par un roi, pour s’opposet & une lol.
VETRESCIVEL. | |
VETRIFICAR, 0l0. | V. Vür..., dic.
VErÜsro,A, adj. vieax, ancien, anlique.
‚Vexesiö, 8. f. vexalion ı action de vaxatz
sorie de persönulion. Peine, Wourmeni, Mar
vais trailoment; avanie,
Vezino, 1,p. p. de Vexer.
VExADOR, 2, s. vexateur : qui voxo, alımd
vexer ; pefsöbuleur.
Vexiuf, 3. m. enibarras. V. Vexapia.
Vexin,o. d. vexet: pers&tuter; faire de [A
peine injustement, molester ; joarmenier; walk
ralter, opprimer,
1296 VID
en eux le principe du mouvement,, des sen$3-
tions, etc.; ensemble des fonclions organi-
ques; exercice deces fonctions ; union de l’äıne
et da corps; se dit Ag. pour existence, exercice
des [acultes, des forces , des moyens; sa dur&e;
existence de !’'homme, ce qui laremplit; espace
de temps de la naissance & la mort; maniere
de vivre. en ce qui regarde la conduitc, les
maurs ; &tat, prolession qu’on embrasse; ali-
ments , choses necessaires & la subsistance ;
chose necessaire & P’existence,, & la conserva-
tion d’un autre; higtoire dela vie d’an homme,
Fun saint. (fig.)—, chose qui plalt extreme-
ment, dont on fait sa principale occupalion,
etc. — fulura, eierna, de sempre, vie future,
beatitude öternelle. A ouira —, l’autre vie, .
vie future. — passada,, vie qu’ona men&epar le
passe. — curla, courte vie, vie de peu de
durde. Desprezar a —, faire bon marche de sa
vie , Pexposer, la prodiguer. N’islo Ihe vai a—,
il yva de sa tete. /r passando a —, passer sa
vie. — espiritual, vie spirituelle, passe dans
les exercices de piete. — minka, ou minha—,
ma vie, mon caur : expression de tendresse.
Buscar « —,chercher sa vie, de quoirivre. Dar
md—,rendre la vie dure,maltraiter, etc. Lerar
Boa —,se donner du bon temps , mener joyeuse
vie. Estar d boa —, Eire oisil, deswuvre. Fazer
— ,vivre ensemble, en parlanı d’un mari el de
safernme. Fazer — de rasados , irre marilale-
ment. Fazer — de..., eyercer une profession.
Pio da—, fl de la vid. '"Homem ou mulker de
mä —, (fg.) homme ow femme de mauvalse
vie. Mudar de— , changer de vie, reformer sa
conduite. Perder a—, perdre la vie, mousir.
Por — minka, sur ma vie, sorte de serment
affrmatif. Em — , pendant la vie. Em minha,
: em sua—, de mon, de son vivanı. Em — de sew
pai, etc., du vivant de son pere, etc. Em sug
—,enson vivant. Duranle sua—, sa vie du-
rant. Condemner a Irabalhos forgados por
toda a — ‚condamner aux travant forces Äper-
petuitd. NA6 fer casanem—, vivre comme un
vagabond, n’avoir ni feu ni Mleu. Tal—, tal
morie, telle vie, telle fin. Modo de—, xid,
&tal, profession qu’on embrasse.
Vırir.V. Vital.
Vıräma,s.m.vidame : qui reprösentait P’&-
veque au temporel et commandait ses roupes.
Vıramia, 3. f. vidamie : dignite, charge de
vidame. \
" Vıpän, ©. a. planter la vigne ‚ provigner.
Vıpazinua, dim.de Vida. BE» BEOTEEN
five, s. f. vigne , branche de vigne coupe.
öordon ombilical, par lequel le fatus tiens &
Parriere-faix.
Vroßıra, 5. f. vigne: plante, ärbrisseau sar-
menteux qui porte le raisin ; cep de vigne. —
brava ou labrusca, vigne sauvage, lambrusqpe.
— d’enforcado, vigne mari&e A un arbre, vigne
Krimpante.
t Vıinente, s. ww. autre[ois on Appetalt ainsi
les prophötes.
Vırma,s.f.(1.d’anat.p. ws.) eördan orahllical.
YiIG
Vıpokiga , 5. m. henlaan bie, Hin
amentscee.
VIDONRBO, 5... sarızent, brin de lar.-
* Espece , qualit& des vignes. (Ag. "I: +«
caractere, naturel de quelqu’un. -ülrsr.
vigne sauyage , lambrusgue.
Vınrica , s. "vilrage : cloison vim Tr.
fenttre vitree. Janella de —, wi.. -
vitree. Porla de —, porie vitrde. up -
traux.
Vıoracasia , 3. f. " vitrage: Ies rim :.
bätiınent.
Vınprackino, 8. m. vilrier : Outer g.ir
vaille en vilres.
Vıprioo, A, adj. vernisse. Tem .ı
p- E de
IDRÄR, Y. a. vernisser de la peirie I-
drarem-se {v. r.) os olkas : an ke.
yeux d’un moribond gai s’ehscurin..
perdent leur eclat.
Vınraria, s.f. verrerie :lieuoh lau,
le verre; art de faire le verre, ,
Vıor£ıro,s. m. verrier : qui fa, gu wi
des verres.
ViDr£xto, A, adj. de verre, comme ki
(fig.) Fragile, fscile ä casser. Sweiß-. k
borme tr&s-susceptible „ qui sehen, #
pique de tout, j
+ VınriLnos, s. m. pl. * verrotent: RE#
marchandise de verre.
Vıaisno, s. m. gim. de Fidre. feulxn.
petite fiole, ete.
Vıpging , A, adj. dav i
Vioro, 1. m. verte Fern vangareal &
fragile , produit par la fusign FELL
sable et d’alcali. Vaisseau de nm, har,
fole, eic. Vitre, carreau de croisee, ur (kt
faite de verre, comme loupe, eig. A,
fragile comme le verre. (id.) Perwes: er
susceptible , qui se fäche de tet. +46?
das anligas igrejas, vilrauz d’eglises -ı an
relogios d’algibeıra, verres de malt.
Vıpaöso,, A, adj. vitreux : quad um
sernblance avec le verre, de sa nature.
VinviL, adj. 2 gen. qui apparien er
vage, & la viduile.
Vıeira, 8. f. coquille, coguillage.
VıEıRinuA, dim. de Viaire.
Vırıno,s.m. * veine des mine. Be!
Veio.
Vızis. V, Viez.
Vıtıas, s. f. pl. quasre fen dent
moulin.
Vıgııa, s. f. zuelle, rne droite.
+ Vıena,s. f. (1. da göeg.) Vie
d’Autriche. C’est aussi le nom diese T.#
d’une riviere de France.
+ Vıenense, adj. eis. 2 gem, de Tun
Vrez, s. m." obliquitd; biais. J0 —®
adv. de biais , de travers.
"Vica, s.}. poutre, solive. — de lager,
de pressoir.
Vıcipo, 4,g.p.de Figar.
+ Vicamgarla, V. Tigararie.
VIG
Vıokıao, ic. V. Figario, ete.
Vi@anEnto, 5. m.’ charpeuie, les pauizes, los
salives d’un bätiment.
Vıaia, ©. a. poser la charpente, garnir de
salives.
Vıcanaria, 8. f. vicairie : paroisse, eglise
dessorvie par un vicaire. V. Vicarialo.
Vıcarıa, 8. [. religieuse qui vient immediate-
ment apres la superieure.
Viıoanın, 8. m. vicaire : celui qui est &tabli
sous um superieur, uncure, elc., pour le reım-
piacer, l’aider. Cure. V. Cure. — gerel ,graud-
viegirp. — dayera, delegue du grend-vicaire
dans certains districets. — do coro, religieux
qui gouverne le ch@ur, maltre de chaur. —
de J.-C., viasire de Jesus-Christ : un des fiiyes
du pape. — do imperja, viogire de l’ompice.
— de freires , aumönier „ directeur de reli-
gieusss.
+ Vic£xTE, adj. 2 gen. en vigueur.
Vicssıno,%, ad). vingueme. Em -— lugar,
viugliömement. im — primssrolugar , viugt
ei uniömemenk,
Vıora ,a. f. veille : action de yeiller; temps
de la nuit qu’on passe 4 veiller; privalion du
sommeil de ig nuit, insomnie. Sentinelle, es-
pion. Surveillance, vigilance ; surveillans.
Kohauguetie , guerilr eleyee. V. Vigilia. —s dos
eamaroles, . 4. de mer.) sabords de chaınbres.
VıcıÄno,A,p. p. de Fi
ViGıaDOn, A,4.colui qui yeile, surveillant.
Celvi qui 6pie, qui guetie.
+ VıctAnte, adj. 2 gen. qui veille, qui &pie,
gui guatie. pP. a. de
Veran, v. a. veiller, surveiller. Epier, obser-
ver, guetier. v. n. Veiller, ne pas dormir.
Vıoıan-s2 (de), o. r. se tonit sur ses gardes.
VıazLäncıa , 5. f. vigilance ; altantion sur...,
auen diligence ei aclivite.
Vıos.iurz, adj. 2 gem. vigilant: sojgneux,
sttentil, applique, qui veille avao sein Ace qu/il
doit faire.
VICHKLARTENMENTE , adv. vigilammen!, ayas vi-
gilance ; altenlivement.
VieıLantissumo, A, adj. up. de Vigilante.
Vieinia, s. f. veille: action de veiller; pri-
vwation de sommeil pendant ja nuit. Veilles:s
grande, longue application a l’etude. V. Yes;
pera, surianı au ligure. Veille d’ung [die, vi-
gile. Oflee qui se dit la veille d’una [ete. — =;
partie de la nuis. Les aneiens finisgient la nujt
om queire veilles. — des Aores. V. Vela das
flores. Uma ancorad —, (f. de mar.) une ancre
prete a eise jatte , aucre de Salut. Papneor -s,
avoir des insomnies.
*Vıeiven, to. V. Fisioel, ein,
. Vicänma. V. Vieuake.
VicoR, 5. m. "yigueurf: foroe, apfivilä; pou-
Tape: dmergia. — autorite das lois suhsistantes,
non abrogees.
Voonäm , A, pp. de Figarar.
Vicoränts, adj..2 gen. yui donne de la vi-
gueur, lortiflant. P. ©
worÄR, v. 6. donner de ja viguegrs, forli-
YiL 4207
fier; affermıin, sorroherer. ©. m. Ei Mt, v.r.
aoquerir de la vigueuz, devomir vigemsauK.
Vıconızär. V. Vigprar.
Vısosösamints, adv. vigoureusement.
Vicorosissino, A, adj. sup. de
Vaonöso, A, adj. vigeureux : qui a de la vi-
gueur; fort, robuste.
Veöra,s. f." soliveau,, ponirelie.
VIicöTE, s. m. V. Vigola.
"Van. V. fir.
ViL, adj.2 gen. vil, bas, ahjeot,, menrisahle.
Vil: on le dit des actions desbenezantes, VIl :
on lo dit des professions mecaniques.
Vırtza,s. f. qualits de co qui est vil, vilste
ou vilite. Bassesse : action vile, hasse , eis. On
le dit des dtats vils.
VıLmantsca, s. f.
VILHANCETE, [AR % } V. Filloncste.
* Vaters. V. Buhtke.
* Vırıas, V. Auiltar, Fllipendier.
“ Vıricn. V. Velhice.
* Vıriva. V. Belida.
Vıusrioän, etc. V. Amltar, Emnvilscer.
VILIPByDIADO, A, 9. p. de
VILIPENDIÄR,, v. a. vilipender : deprimes,
kalter av möpris.
VıiLıp&nvıo, a. m. mepris, dedain, mdignise,
+ VILIPENDIOSO, 4, adj. qui indigue le me-
pris, dedaigneux.
Vırissigo, a,adj. sup. de Vil. Le plus vil.
VirLa, s. f. "bourg, petita ville..Maiean de
campagns (pP. w0.). Mosa de —, villageoise,
paysanne.
Vııä ou Vırnäa,s. f. villageoise.
+ Virıapıdao, m. On na “ie air dis quo dane
cette phrase: Tomer as de —, döcamper. V.
Tomar.
VirLicem. V. Ville.
Vır.imente, ade. vilainemens, ineirilement.
VnLanäcen, &. f. multitude de villageols;
menu peuple des villages.
ViLLABAZ, adj. 2 90m. wös-Tilain ; tsis- gres-
sior, rusiaud.
VILLANCETE, 8. m. petit polme rastique.
VILLANESOO, A, ad. villageois ; ruslique,
champttre. Poema —. V. Fillanoste.
Vırıania, 3. f. bassesse de maissanee, Fo-
ture, eie. Aclion basse, bonleuse eu groesiere,
impolie. d4. V. Villanasgem.
VaLi6, &, adj. es s. ratarier : qui n’sst point
neble. Persenne du commun, ds hasse nais-
sance. Villageois : babitant de village. Ausire,
gronsier, impali, vilain, masent. Bas, abjert,
honteux. — ruim, homme grassier ot impolı,
au maohant. C'est un terıne de mäpria. Se que-
res conksar 0 — malle-Iha @ varı na mir,
(prov.) ’emploi fait connalire l’homme, & !’aru-
vre on connal l’ouysior.
Vırıloziano, diem. de Fi
* Vırzin, 5. m. village, hanısan.
VıLıiozio. V. Villanaz.
Vırıkra,s. f. dim. de Villa, Petit hourg.
* ViLLıco, s. m. fermier, ma6tayer. Adminisire-
teur, regisseur.
1208 VIN
‘sı2008, 8. f[. villegesise. V. Villdo.
7 Vısonse, 5. mu. hamese. On ie dıt par md»
prı - d’ane peiste vılle mal peupiee.
VsLaoLa, 5. f. potiie mamen de esTnpagne.
v ILMÄRTE, ade. d’ane man.cre vile.
“Viers, 6. f. "propos, actıon pour arllir
quelqu’un.
. VILTanga „se Sf. V. Aulllememie,
® Vırin. V, 4viller, Deskonrer, Affrontar.
Vima ,s. [. sorie d’emplätse
Vins, s. m. osier, jet d'osier. V. Vimseire.
Vıntıno, .m an. osier, sauie nein, achrissese.
*Oseraie.. lien plante d’osiers.
Vıraw. V. Vioss,
Vıuinzo, a, adj. (podi.) d’osier.
"Visa. V. Finke,
Vınacaäa,eic. V. Acinagrar.
Vinaces, s. m. vingigre : via rende, devenu
are, " Acidid des fTails encore vorts. (Ag.)
Bebarbailf, moine bousre. (dd.) Chese qui
ehange de bien en mal.
Vinaoatına, s. f. "vinsigrier: vaue pour le
vinsigre. Vinaigrerie : iaberatoire pour distller
6 vinaigre.
Vınacasıno, 5. m. vinaigrier : qui fait om
vend du vinaigre.
f Vınäruss, s. f. pl. (8. d’ans.) Vinales: Teies
de Jupiter avant les vendanges; 6. od Yon fal-
sait & Jupiter des liballens de vin nouveau.
+ Vınänıo, A, adj. de vin.
Vıncarzavinca, 3. f. pervenche, V. Cloms-
file,
+ Vinczröxico, e. m. dempie-venin ou ascie-
pinde Dienuche : plante de la famille des apocy-
ndos.
VıxcıLno, V. Vencelho.
Vixco, s. m. pli, raie ; orniöre,
VrxcaLin®,4,p.p. de Vineuiar.
VrmauLapeR, A, 5. Instituteur de mejeorat.
VixcvuLän, ©. a. lier, atiacher. Substituer des
biens , les grever de substitutions, Instituer un
majorat, Annexer. (flg.) Fonder, 'appayer sar.
(fd.) Perpötaer, rendre derable
yınouıd zu, vr. s’unir, so ler.
'INCULATIVO, A, 08 .
Vıneuraröaro, A, ad. } gul sert ä lier.
+ Vuasuivsr, adj. 2 gen. qui peut so substl-
wer.
Vırcuro, s. m. lien, surtout au Agurs. Sub-
sduution des biehs d’ane faınille aux ainds, ete.,
mejoret,
Vında, s. f. venue, arrivde. Bia
venue,, heureuse arrivse.
Vınpicagkö, s. f. acllon de revendiquer.
Apologie. (Inus.) Vengsanoe, vindiote.
VınseichB0, 4,9. 9. de
Vinpicäa, v. a. venger une Injure (fnus.). V.
Vingar. Revendiquer son bien. V. Revendicar.
Difendre , surtout par dorit, un homme atiequd
inj ustement.
Yırmwarivo, a. adj. V. Vingative. (4. Apo-
borötique ı qui "Astend ‚qui OXouse,
Vındigo, V. Clruntieio,
Des-
— , bien-
vıN
Veseivi, 5. f. veszeamte. — pulfirs, vin
dee pabligse - peursuifle d’UR crime au noC:
de l’Eıst.
Virsiws, s. f. vendange: recelie de ra:sı.
pour faıre da vın; lemps ou elle se [sıt, ven-
danges. A larer dee eestasde—,!'prw.
ne faut pas chanler vieleire avaut que 1a bı-
kaifie soit Bunte.
Vıssımaotiea,s. f. vendangreuse.
Vmorsino, 1, p. 9. de Vindimer, ei adj.
Come poreinha —a, (ise. fom.) sans dıfllestie ,
sans embarras , sans obstacle.
Vıenpıuanör, 5. ms. vendangenr : ceiuel gei
side ä (aire la vendange.
Vıreruasnena. V. Vindims.
Vinsmir, v. a. vendanger : feire ia rocelie
de reisin. (Ag. ewig.) Tuer, öter ia vie.
Vınpino, a, adj. qu’on cueille dans le temps
des vendanges. Cesio —, panier ä vemdange,
vendangeur.
* Vnmwirı. V. Vendits et Vindiela.
Vinno,a,p.p. de Vir. adj. Vonw, arrive.
Sejais ben —, soyes lo bienvenn. — deeds,
' ig.) venu du ciel. Om lo dit d’une chose avan-
isgeuse,, qui vient ä propos. Il est aussi geren-
dif. En venant. Em —, quand il viendra ow ar-
rivera , dds qu’il sera arrive.
Vnpöuro, A, adj. fater, ä venir. Vindsures,
s. pl. nos desvondants , la pestöriie.
"Vıner. V. fir.
Vmcis0,&,Pp.p. de Finger.
VınGapoR, A, adj. et 5. vengeur, Vesıgeresse,
gei punit, qui vonge.
Vıncäinca, 8. f. vengeanoe : sclion par ls-
quelle on se venge, on punit; desir de se ven-
ger, ses effets.
Vıncia,v.a. venger : lirer vengeance, raisen,
satisfaction de gueique outrage. Atteindre; ar-
river &; franchir ; vainere. Recevoir, peroeveir.
Vnoin, v. ». parvenir a la matarite; se
houer, en parlant des fruits. Ndo vingerem os
fructos, couler, en parlanı des fruits.
Vıncia-m8 (de), v. r. 90 venger, üirer ven-
geance de...
+ Vıroarivaniiz, edv. avoo vengeance.
Vıncarivo, a, adj. vindieatif : qui aime 4
se venger, qui ne pardonne pas; ports & so
vonger.
Vıraa, s ®. ren vigneble : : terrain plants de vi-
sonhor, ( fg.) Vigno du Beignsur,
ehlnccdt. se. Paliment spiritael de l’Ame.
mich, s. f. mauvais vin. (Ag.) Ivresse.
Coser —, cuver son vin.
° Vmmanpkco ou Vınukoo. V. Vinke.
* Vınuankıno. V. Vinheiro.
“ Vınmär, s. m. vignoble, oomplamt.
+ Vınmatania, s. f. culture-des vignes.
° Vınuarbco, a. m. V. Vinke.
Vırsarlteo, sm. rigneron : qui owltive la
vigne.
Vınnirico, s.. beis jaune du Beisil dent
on feit des futallies, de gres tsancauz.
Vınußno, 8. m. viguebie ı dtundus de pays
planıtse de vignes.
v10
Vınultno, #. m. paysan qui garde Ies \iaues,
messier.
Venutra, s. f. vignette, petile estampe.
Vınntre, s. m. dim. de Vinho. Petit vin.
Vinno, s. m. vin: liqueur potable qu’on lire
du reisin, eis. ( Ag.) Chose qui trouble la rai-
son. Infusion vineuse, en lerme de pharmacie.
— abafade, vn bourru. — donzel ou mache,
. du vin pur. — de cuiello, vin de son crü. —
molle, moüt. — turvo, foldado, du vin louche.
-— de p6, vin de vignoble, par opposition A
Vinho de inforcado. V. ce mot. Sobre leise —
faz o velho menino, (prov.) vin sur lait rend
le caur gai. Solas e — anda caminho, (id.) faire
Jombes de rin.
” Vınnöco. V. Vinhddo.
yumaıa > } petit vignoble.
VIGROTR, 8. m. (fam.) ivroyne.
VnoLßncıa, 8. f. ivrognerie.
VINOLENTO, A, adj. ivFogne ou ivre.
+ Vınssinine, s. f. qualite, proprieis du
vn.
Vınöso,, a, adj. vineux:gaitient du vin, qui
en a lo goät, l’odeur, etc. Adönn6 au vin,
yyunn. V. Vir.
INTADOZENO. .
Vınrankıao. | V. Vinte..
VInTe, adj.num. 2 gen. vingt: deux fols dix.
(vieus) V. Vindo.
Veuss, 5. m. quille qui vaut vingt, au Jeu de
quilles.
t VEntTenozeno, a, adj. qui appartient au
nombre vingt-deux, qui le contient, etc. On le
dit surteut d’ane espece de drap oü il enire
deux mille deux cenıs fils.
+ Vıntz 8 ocntno, A, adj. On le dit d’une
espöco dedrap od il entre deux mille huil cenis
üls.
+ VEnTE 8 Quaratno, A, adj. On le dit d’une
ospöce de drap od il entre deux mille qualre
cents fils.
+ Vınta-z-quitno. Os — ou casa dos —,
eonseit de vingt-quatre prad’hommes, & Lis-
bonne.
Verrem, s. m. monnaie d’argent porlugaise
valant 20 r&is ; 20 reis.
Vmränis,s. f. vingtieme partie d’une chose.
Vingtaine, nembre de vingt. Impöt du vingtieme
des biens. Yingt volsins. Juiz da —, juge de
kenoan.
+ Vıntzneino, s. m. caporal, bas-officier,
qui oommandait vingt marins au service des
Belöres, etc.
+ Vınrano, a, adj. vingtitne. Panno —,
drap od il entre deux mille Als.
+ Vırrsauatuia, s. [. asseınblee des Vinie-s-
qualro. \. ce ınot.
"Viv. V. YPinko.
VıöLa , 8. f. viole:: instrument de musique &
cordes. Gailare. Sorte de poisson en fagun de
viele. — d’arco. V. Redeee. —ı, pl. (1. de bob.)
“violler conamun. V. Violehe,
41209
VIR
d’enfreingreun engsgement, de profaner une
chose sacrde, — demwiher, “ viel.
u oLÄceR, 4, adj. violet , de oouleur devio-
ue,
VıoL.iäno,A, 2. p. de Visier. ady. Violer, de
couleur de vieleue. On le dit du sirop, da miel
ou il entre des violeites.
VıoLanöa, A, s. Violateur : qui viole, en
freint la loi, Je droit, ete. Profanateur.
VioLAL,s. m. obamp de vielettes.
VıoLiö, s. me. aug. de Viois. Grande viole
grande guitare.
VıoLir,s.m. V. Vielal. '
VıoLir, 9. s. vieler : enfreindre (les Idis,
un trait6, ots. ); faire violence A une femme, ä
une fille, en jouir par force. Profaner une
&glise.
VıioLAYEL, adj. 2 gen. qu’on peut violer ; Juı
peut ötre viold.
VıoLkıno, s. m. falsour ou marchand de gul-
tares , luthier. Joueur de viele ou de guitare.
VıoLsncıa ,„s. fı violenee : qualite de ce qui
est violent; impeluositd; vehamence; foros
dont on use contre le droit commun ; contrainte
exercde conkre queigqu’un. (Ag.) Action vio-
leute, empeorisment ; violenco falle & uno
femme, viol.
VioLextino, A, p. 9. de Violentar.
VIOLENTAROR , 5. m. oslul qui fait violence.
VIOLENTABENTE ‚edv. violemment, avec vio-
lence ; par violenae.
VioLzutia, ©. a. vioienter : contraindre;
faire faire quolque chose par fewce.
VIOLENTISSIMO , A , 6d/. sup. de
VıoLsto,A, adj. violent : impetueux; qui
agit avec force, impetuositd (prop. et fig.),
avec veb&mence. Hers de son etäl, de sa #ilua-
tion naturelle. Forca : qui se fait contre le got,
la volonte. (Ag.) —, fougueux, oolere, em-
porte. (id.) Contraire & la saison, A l’equile.
Morie —a, mort violente, l’opposs de natu-
relle. Pör mdos —as em alguem, [rapper, mal- _
‚Araiter quelgu’un, surlout un eechesinstique.
VıoLßra,s. f. (t. de dot.) violelte : violier
comınun; sa fleur.
VıoL#TE, adj. 2 gen. violet: de conleur de
violette.
VıoLisua, s. [+ die. de Viola. Petlle guitare.
+ VıoLino, a, adj. (6. de bei.) pandure, pan-
duriforme : (fouille —e) quia la forme d’un
violon.
+VıoLino, 8. m. ($. de mus.) violon : iastru-
ment do myaique & quatre sardes. V. Rebeca.
+ Vır&rgo, A, adj. de vipdre, de serpent.
Vırunina, s. f. (& de dei.) Yipsrine, langue-
de-bouc, £chium, herbe aux viperes : plante
borraginee et mıtdicmale.
ViıPRRıNOo, A, ady. de vipere, do serpent.
Vin (d,de, para, por), v.n. venir: se Iran
porter d’un lieu eloigne dans um lies plus
pres; arriver de lei od46; avoirsen cours ; ar-
river fortuitement, par acoldent, par hasard,
elo.; ötre issu; sorlir; naltee; deriuer; dire
VioLauäd, s. f. vielalion : action de violer, | cause par; avoir pour origine, pour prineipe;
4310 vıR
proc&der ; &maner, tirer son origine; parvenir;
monter, s’dlezer, ateindre; vomtenir, Fire con-
venable, vepir ow ire & propos; s’offrir ä l’es-
prit, & l’imaginstion. (Ag.) Tomber d’secord,
convenir, se rendre au sentiment d’autrui. Aller
bien ow mal, on parlanı d'un habillement, etc.
(imus.) Doaner sur (la rue, le Jardin, en parlant
d’une croisee,, d’un baleon, et8.). — ds ındos,
en venir aux maine. V. Mdo. — d memoria, vo
nir & l’esprit.— e saber-w, mu repandre. — no
eonhecimento de..., pawrenir & eonnaitre une
chose. — d.boces,, Terenir, eauser Vestapporta,
en parlant de ceriains mets. (Ag.) Vent? & la
bouche, en parlant des paroles qui se pre-
sontent. Tude nos vem de Dass, nous lenons
tout de Dieu. Vanke 0 quo eier, arrive qui
Pqurra.
ViR- sg, o.r. venir, rerenir.
Viaa, se. f. sorte de wait ou de Rlöche mince
et tr&s-aiguä. “Trepoint : bande sur iaquelle on
coud la semelle. Meise —, irtpointe. {fig.) Moi-
tiö de co quiil faul.
Vıragiö, 8. f. vent de mer gei souflle ordi-
nairemeat le jour. Petit vent, vent douz, brise.
— da gross, (Ag.) meuliie de la gräce. Ndo
corre — alguma, il ne felt point @’4ie.
Vıaacctto, 6. 9. *apostrepie (*) : Bigne or-
thographique. " “
Vıripo, 4,9.9. de Firer.
Vıaaner,, s. m. (8. de mar.) oAbieau pour ti-
rer; grelin , trds-petit cAble. * Tournerire. Dar
um salto, ou lascar 0 —, ohoquer la tourne-
vize, Virsdores de lioreiro, * roulettes & Nlets,
outils de relieur.
Vırico, s. f. virago, hommasse. V. Varva.
VIRAMERTO, 8. m. action de tourmer.
Vıria, o. a. tourner, virer. (I. de mar.) Vi-
rer : tourner d’un cöt& sur un sutre. — a ca-
saca ‚ tourmer casaque. — de cima para baizo,
renverser sens dessus dessous. — s amarra,
virer l’anore ow le eable. —ocabresiante a mel-
ier lingueie, virer lo cabestan & mettre lin-
guet,
Vırir, 0.9. (8. de mar.) chavirer, en par-
lant d’un navire. Virer : tourner d'un: cöt& sur
Pautre. — em roda, virer vent arriere. — por
d’avanse,virer vent devant. — de crena, virer
un vaısseau en quille. — de bordo,, changer de
board. (para), #u — se{Pare), vo. #. se tourner
vers. No saber para omde se virar, ne savoir
* de quel c#t& se louraer, o& donner de la 1ete. Fi-
n.
ror-se o miolo a alguem, perdre la iete, dave-
nis (ou.
Vinariö, a. m. aug. de'Vira. Sorte de jare-
lot. V. Viretse. -
VinavöLza, s. fi virevelte. —, pl. tours et
ddtours ; alleng. et vonues. (fig.) Vicissitudes,
variations. Dar —s, tourner ei rond.
VıränrTz, adj. 2 gen, vort, verdoyant.V. Vi-
Vinsa, s. f verge; fouet, A’ — ferrea, par
force, avec loute da riguour. — dures, Yerge
deren, vorge d’os : plame. |
Nıscruy a. f. vierwo:: Alte qui a veru dans
VIR
wne eontinencoe parlaite; nom au Ti»
donne aux sainies qui ont veeu dans ka ami-
nence. Signo de —. V. Yirgo. A mais Ir.
gem la sainle Vierge, la Vierge Mai; mar,
sistue de la Vierge. Virgens da ler, pri
droits qui tiennent en raisan Yarbr u re-
soir, le madrier qui presse les olise
VracEN, udj. 2 gen. vierge : gui a varias
une contineuce parfaile; (Ag.)gei sıpe-
core servi, intacl; qui n’a pas et seine
ploy6; qui n’a pas eis laboure (kn-,;g
n’a pas et£ fonda (metal).
Vıircko. V. Vergel, Pomar.
VircmmäL, adj. 2 gen. virginal: qui ge
tien!, qui a rapporti ä une rierge. lau-.«
virgiaal : composition por hlapchu k ut
ViacınDÄDE, 8. f. virginile : dal due >
sonne vierge. * Pucclage. Hoyer um ner
de —, depaceler une ülle.
+ Vırcınıa, s. f. (t. de giog.) Van: en
des Etats-Unis.
ViRcinEo, A, adj. virginal. V. Tırgad
Viaco, s. m. la Vierge: un des apuun
diaque. Pucelage, virginile.
VikcuLa, L virgule (,) : sigus de me
tuation.
ViacuLipO,A, 9. p. de
Vırcu.ia, 9. @. virguler, mess da!
gules.
VırcoLösa, 8. f. virgouleusg : pein dies
VırcöLta, 8. f. virgulte, pousse, ji, p8*
branche.
ViRiDÄNTE , adj. 2 gem. vordeyas
ViriL, adj. 2 gen. viril : d’bomm, nik
* VıriL, s. m. verre blanc, gar gu st
devant une estampe, etc. V. Bodens, Isle
Vırııya, 5. f. aine : partie ducemmir
baut de la cuisse et Ie has-renise, ker m
tion.
Viertwäpe, &. f. virilitd : dge wnl, da
homme fait; capacite d’engendrerdaus[benm
Force, vigueur, activite.
ViRILMENTE,, adv. virilement.
VırıPoTEnteE, adj. 2 gen. nabie, bt!
marier, en parlant d’une älle.
VıröLa, 8. f. virole : petit agree de ai
autour du manche d’un oytil, pres de ie
+ Vıröso, adj. (1. de bot.) virenz (plast-#h
trös-puante;; (odeur —se), qui PO8-
Vıroräö, a. m. aug. de Firole. Vıram: #
pöce de Adche & pennons croists, gu
en Vair.
Vırörg,s. m. sorie de javelot, de de“
de Böche. —s, pl. 1. de mer. pitcts des ®*
vres mortes d’un vaisseau. 5 de espoda, We
ches d’une garde d’&pse. Qider gel -, M'
veiller, eire altentif, se tenir sur ses guide
Vıariss, s. m. pl. (t. @’Asie). V. deasd
Viarz, 3. m. (1. d’4Asie) liste das dcewst.'
Avengcal.
VıaruiL, adj. 2 gen. viriael: ia"
sance d’agir, sans l’exercen:; qui em u
sarıce Seulement, ran sp achien; Topp
„tel.
y1$
VirruaLipäne, 5. f. virtualitä : qualite da oo
qui est virtuel,
VIRTUÄLMENTE, ade. virtuellement, d’une
yı$ aid
Vıscnutipp, s. m. arbre du Brögil qui porie
des gousses pleines de glu.
VisiBiLipäne,a. f. visibilits : qualilg yol rend
maniere virtuelle; J’oppase de formellemens, | une cbose visible.
d’actuellement.
Virtöpe, s, f. vertu : habitude, disposition
habituelle de l!’Ame, qui porte & faire le bien pt
& fuir le mal; droiture, prabite; qualije qui
rend propre & produire un bon eilet; se dit des
plantes, des remddes; faculte, puissance d’g-
gir, activite. Action vortueuse, vonduite irre-
prochable. Vertu, elficacite d’un sacsement.
Force, vigueur, yalidite (d’un acte, atc.) Zu —
de, en verlu de. —s, pl. vertug : cinquieme
chaur des anges.
VIRTUÖSAMENTE, adv. vartuensement
Vırruosissımo, A,adj. sup. de
Vırruöso, A, adj. vertueux : qui a de la
vertu; qui part d’un principe de vertu. Puis-
sant, efficace, en parlanı d’un remede,
VirtLencik, s. f. virulence : qualit# de ce
qui est virulent.
VravLtxto, A, adj. virulent : qui a du virus,
du venin, du fiel au flg.).
Virus, 3. m. (1. de med.\ virus: principa des
maladies contagieuses.
Visicem,s. f. mine, grimace. * Visage (inas.).
V. Rosto, Cara. — da celada. V. Viseira.
Visäcıa. .
Vısacra. } V. Bissgre.
* Vısinte. V. Besante.
Vısäd, s. f. vision : action de yoir, d’&tre vuz
presenee, aspect; elat de celui quj yoil; spn
effei; revdlation faite aux prophätes, aux elus,
»lc.; (flg.) idee folle, chimegre; apparition d’un
spectre, fantöme, etc.; Illusion d’optique; ef-
fet de Yimagination, des vapeurs, de la Ju-
midre, qui semblent avoir une forme,, une r#a-
te. — beatifßca, vision beatifique ow intyi-
ir celle que les saints ont de Dieu dans le
ciel. r
Vısavö, etc.V. Bisavd, etc.
Viscena, s. f. *viscere. V, Entranha.
Viscenaciö,s. f. (I. d’ant.) "repas od l’on
ınangeait les visceres Jes animqux sacrifids.
ViscerÄL, adj. 2 gen. visc6ral : qui appgr-
tient aux visceres.
VISCER6S0, A, adj. qui a rapport aux viscäres.
Visco, 5. m. "glu : composilion vegelele et
tenace pour prendre les oiseaux. (Ag.) Taut ce
qui attire, qui attache, prend, etc. — dps cer-
valhos, (1. de bot.) gui, plante parasile.
VıscomdÄno, s. m. *Yicoıntd : titre de terge;
ressort du vicomte. j
Viseönne, e. m. vioorate : qui possöde une
vicomts ; itre de neblesse au-dessous de comte.
Visconn£ssa, s. f. vicomtesse : femme da
vjgomte ; femme qui a uno vioomie.
Viscosiväine, s. f. viscosits.: qualit# de oo
qui est visqueax, _
Vıscöso, A, adj. visqueux : gluant, tenace,
Viseina, 8. [ vigidra do casguy. Calar a —,
baisser la riviere.
Visco. V. Visce.
Vısıc600, A, adj. ats. Visigosh ,„ Geth onch-
dental.
Visingo, ete. V. Vizigbe.
Visıonsgio, A, adj. et s. visionnaife : qui a
des visions, des jd4es folles, exiravaganten.
Visir, s.m. visir, ministre da grand-seigneur.
Gräo — , grand-visir, premier minisire de l’em-
pire olloman. .
VisıRÄTO, 4. m. visirat ı place, pflieg de vi-
sir; sa duree.
Vısita, &, f. visite : action d’siler voir quel-
quun par civilile,, devair, etc.; visita qu’on falt
dans une eglıse par devolion ; perguisilion, F@
ebesche; exanıeu d’experia, etc.; inspeciion.
Personne qui fait unc yisue. Visite que [ail un
eveque, un general d’ordre, un provinoial dans
un diocese, dans un couveni, eic. Gräee,
eonsolation 04 6preuve que Dieu anwie aux
hommes, Nombre de magisirass eharges de vi-
siter les prispna. — de medico , visita de mede-
cin, (Ag.) visite wös-courte. — de saude. V.
ce mol. — judiciel, descente, visite des lieux
par autorise de justiee.
Visıragad, s. f. action de vieiter. V. Visite.
Visitaion de la Vierge, fäte de la Visitatien.
Freiras da—, visitandines, religieuses de la
Vıs}TA0D0, A, 9. 9. de Fissler.
VısıTadöa, 4. 9. celui qui fait de fröquentes
visites. Visileurg : qui a la ebarge de visiter; in-
specleur.
Yısıran, 9. 6. visiter.: rendre visite; aller
veir quelqu’un.chez lai : aller voir par charite,
eic.; faire une perquisilion, un examen des
lieuz, des choses; viailer une dglise par deve-
tion; faire la visite d’un diocese, etc. Vısiter.
On le dit de Dieu qui &prouve les justes par
quelque aflliotiem. Punir, abätier. Complimen-
%
I ter, felieiter. — as allares, faire une station A
shaque aultel.
Yısiva, s. f. vision, sens de la rue.
Yısiveı, ady. 2 gem. visible: qui se volt, peut
ss voir; evrident, elair, manifeste.
VISıVELMERTE, adv. visihlement : d’une mas-
niere visible ; manıfesterment , dvidemment.
Vısivo, a, adj. quieoncerne la rue; qei peut
voir. V. Visusl. Lux —a, les yeuz.
VisLuMsRäno,A,p.p. de
+ VısLompaia, v. a. entreveir: voir ebseure-
ment, dans le lointain, etc. (Ag.!Connafire in-
parfaitement, oonjeclurer, ontrevois. dv. ». Be
montrer indislinoisıment, sommenser & Pä-
ralire. j
VisLöusag, 3. m. (aux-jour, lumidre ineer-
taine , lugur passegäre. —s , PR. (fig) sonjen
ture, soupgon , indice ; connaissance deuleuse,
imparfajte , meurs; ombre, apparenee, 'res-
semblanoe fsible ot legere. '
Vısuumg. V. Visiusöärs. ’
‚ Nısnica, Vr Äisange.
1212 vis
Viso, s. m. "vuo. V. Visto. * Hanteur, Neu
ölere d’oü l’on voit au loin; sornmaet . po us
vur; 28 ‚ spparence. —s, pt. Bir. BPPa-
ronces Dessenzblance apparenie. 4 dous — 8,
& deux Aus, avec uno double intention.
* Vıso. V. Vice. .
Vıso-azı. V. Vice-rei.
Vısör0, a.m. (f. d’impr.) visorion.
+VYısönıo, a ‚adj. V. Visual.
Vısöcno. V. Besouro. j
- Vısqutina,s.f. berbedu Beesit. V. Visguesiro.
Yısta,s.f. vuo: faculis, aclion de voir; ie
sense par loquei on aporgoit les objets ; Inspec-
tion, regard ; ( Ag.) organe de la vuo; les yeuz;
inspeotion de ce qu’on voll; manitre dont on
reyarde un objet, dont il se presente; etendus
de pays, ote., quel’onvoit; perspective. Vision,
apparilien. Entrevue, assomblee pour une af-
(aire, reucontre. (4, de prei.) Connalssante
au'un Juge prend d’une affaire, en premiere
instance ; communication des pidces, vue d’an
arreı, d’une senlenee, etc. Faser a — grosse,
fermer ies yeux sur queique chose, [sire sem-
blanı de ne pas la voir. A’ primeira — , aupre-
Rıier aspect. 4’ —, & la vue, en prösence de;
d’apres, va; aupres, en comparaison de; en
facc, auprös, en vue, & portee d’ire vu; &
vus ; sans pordre de vee; sur-de-champ, sans
delai, d vuo. 4’ — sem presenga de toda a gente,
#u de tede o mundo, au vu et au su de lout le
monde. 4’ minka —, d ua —,d — delle, sous
mcs yeux, 80us 106 Yeux, 8005 Bes youz. Isso
Yusson-se d , cola S’est passd sous mes
scux. Conksoor ds —, commaltre de vue. —
d’olkos, regard, olin d’eil, ooup d’eil. Der
uma —#olhos, jeter un coup d’ali sur. Peder-
sa de —, se pordre de vue, disparatire, so de-
rober ä la vue. Eire excellent, dminent, supe-
rinur on son genre. A porder de —, ä perie
derae. Pör a -—— em, avoir en vue, se proposer
speoislement. Ter d —, avoir sous les yeax,
avoir presentä l’esprit, & la mewmoire. Gesiar,
enfraquecer a a [org de ler, user sesyeux ä
force de lire. A — en/raqucce-se , dimimue-00
na veihiee,, ka vuo faiblit dans la vieillesse.
“ld ondea — pöde alcanger, jusqu’oü la vue
peut porier. Pedir —, (1. de prat.) demander
sonmunication de piöoes. Longede — longe do
cursgde, bors de la vue, hors da souvenir. Ndo
* perdi de—, je no l ai pas pordu de vue. Estar
con sonlinellas d —, &ire gariid avue. —s, pi.
decoralions de the4tre, vues d'un tebleae, etc.
Vuen, jeurs, (ensises d’un #difice. Ouverture
d'une lanterne, etc. Entrevae : asseınbl6e de
plusieurs personnes pour une aflaire. Vaes,
projets, intentions, desseins, bat, fins. —s de
ponia de boi para laniernas ,corne de lan-
ierues. Leser, ler em —s, avoireu vue, Be pro-
posor speeialeıneni. —s d beeea do ferne, al-
Innos, Barnbaris,
VisT0, A, pP. pP. irr. de Ter.
&6 vu. Vise. Verso, experiments. Su, connu.
Accueilli.Regarde, comsiders, röpuis. Beta _,
cola ust olair, c'est clair.- gwe,vuque, attenda
adj. Va, qui a | Rable
VviıT
que, poisque. 4’ escala— a, adecouvert. O que
obra mal leme 0 ser-—, celei qui pöche faitla
Iumiere. —s 03 documenios menchonados, — as
asrasöes d’uma e oulra parie, vu les piece
mentionnees, vu les raisons de part et d’auire.
|; u seroigos, vu ses Krands ser-
vioes.
Visro,,s. m. visa: formule, signature qei
round l’acie authentigque ei exsculoise. Pör o—,
meitre le visa.
* Vısron. V. Lowvado.
Vısronia. V. Vestorie.
Visrosauketz, ade. richement, ölögamment,
superbement.
Vierosissino, A, adj. sup. de
Vıistoso, a, adj. beau, agr&able & voir, riche,
superbe, brillant, &clatant, magnifique.
+ Visruus, z. m. (1. de geog.) * Vistule: grand
fleuve d’Europe.
YısoiL, adj. 2 gen. visuel : qui apparlicat su
sert a la vue.
VISUALMENTE, adv. au moyen des yeaz.
+Vira, s. f. (8. d’ent.) bandeletie, rubsn
que les pr&tres attachaient & leur [ront, et dont
on ormait los viclimes.
Vrrär, adj. 2 gen. vilal : qui tient aux prin-
eipes do la vie, necessaire & la Conservation de
la vie.
+ Vıräuna, 8. f..(t. de boi.) clematite de
haies, oulg. Y’herbe aux gueux.
VITALICHAR , ©. @. rendre viager.
Vırauscıo, a, adj. qui est ä vie, qui dare
pendant la vie, visger. Juro — , renie vis-
"gere.
Vırarmiog,s. f. vitalitö: mouvemeni vital;
force , persistance (de la vie. j
+ VıraLmönte, adv. d’une maniedre vitale.
Vırinpo, a, adj. qu’on doit eriter, fwir. On
le dit surtoutd’un excominanie.
Vrrecomino, A, adj. (podi.) dont le front
est couvert de pampres.
Vırsııa, s. f. genisse, jeune vache ; vean.
VırerLisua, s. f. dim. de Vi Petite ge-
nisse; veau qui telie.
VıreLLino, A, adf. couleur de Jaune d’auf.
Colera, bilis —e, (1. de mdd.) bile qui est d’em
jaune fonce.
Vır&i.Lo, s. m. veau mäle, bourillon.
+ Vırinca , s. f. sorte de [arine,, au Bresil.
Vire, V. Sustento.
Vırora. V. Bitola.
Vrröasa , etc. V. Vicloris, eio.
Vıronina. V. Venturins.
‚Virazo, 4, adj. fsit de vorre ou qui en a les
propridies. Vilreux : qui a de la ressemblanoe
avec io vesre, de sa natare.
? Vırazschuiming, so. f. vilrescihilite : fa-
oultls d’ötre vitrißebie,.
+ VırazacivaL, adj. 2 gen. vitrescible, vitri-
bie,
Vrrammeackö, s. f. viteilisasion : Conversion
en verre, son eat; action de vitrißier.
Virayıcapo,,a,p.p. de Fürifcer.
vv
Vmerpeia, a. Vileißer : cohverlir em
verre. "
VırasrıchvsL ‚, adj. 2 gen. vrilable : propre
& ötre change en verre.
Vırrsöua, a f. piece de fer & Y'usage des
faisours de boutons plaques. .
VırawLino, A, adj. vilriol& : fait avec Yes-
prit de vitriol; od il y a du vitriol.
VırasöLice, A, adj. vitrieligue : du vitelol,
de sa nature.
ViTaioLo, &, m. vitziol : sel astringent form&
par l’union d’un mätal avec l’anıde vitrioligue
os sullurique; sulfate. —asul „ sullate de cui-
re. — „ sulfate de zino. — verds, sul-
fatlo de fer.
Virao. V. Vier.
VırUaLnip0, A,P. p. do
Vıruanaia, v. a. avitailler: faire Pavitaille-
ment d’une place, d’une flotte.
VıruäLmas, s. f. pl. vietuailies, vivres.
ViruLo , 3. m. (9. us.) veau, bouvilien.— me-
rieo, veau marin os loup marin , pbeque.
Vırurgaacäö,s. f." biäme ; difamation.
Virursaipe, A, 9. p. de Filuperer.
VITUPERADOR, A, 3. celui qui bläme; diffa-
mateur.
Vırupsnia, v. 6, blämer, reprendre ; oonsu-
rer; diffamer, traiier avec möpris.
VITUPERÄVEL, ady. 2 gem. biämable, röpre-
bensible; digne de mepris.
Vırur£nıo, s. m. bläme, reproche outra-
geant, etc. Action homtense , möchanie action ;
deshonneur, meöpris, iguominie.
Vırurzaıöso, A, adj. qui contientie bläme,
igaominieux.
VIiTUpERÖSAMENTE, ado. honteusement, igno-
minieusement,
Verupaaöse, A, adj. injurieux, outrageant,;
bonteux, ignominieux, infäme; blämabie, r&-
prehensible.
* Vıopkaz. V. Viuoaz.
Vıiva, s. f. veuvo: femme qui a perde son
mari. Veuvo: eisesm. Veure : sorte de fleur
violette.
Vıövin,o,». V. Zuviuvar.
ya ‚s.f. videitö, veuvage.
ıuvBza „es. f. et
Viövioans, s. f. | V. Viunex.
Vıiöovinna,s. f. dim. de Viaos. Jeune vouve.
Viovo, 3. m. veul : mari qui a peordu sa
femme.
Vıövo, A (de), adj. vonf, veuve, on dtat de vi-
duite. (Ag.) Prive, denue.
Viva, s. m. vivat, ori d’applaudissement.
(Ag.) Applaudissement.
Viva! oaterj. qui exprime la joie et l’appro-
bauon. Bravo! bravo ! Vive! vivat!
Vrvion, adj. 2 gen. (4. de boi.) vivace :'qui a
eu so: les principes d’une longue vie (plante,
raoiae).
Vevacısiog, &. f. vivaeits : promptitude &
agir, A se mouvoir, aotivit6; ardeur ; brillant;
penetration, promptitude de l’esprit, de ses
operations ; delat des sonleurs,
viV
Vreaclsmmo, a, adj. sup. de Vösds.
VIiVAM&NTE, adv. vivement: avec ardeur, vi-
gueur ; avce vivacliö; sonsiblement; fartement,
profondament.
Vevanptrno, A, s. virandier, —öre : qui
vend des vivres aux troupes et les suft.
Vıräs, adj. 2 gen. viraoe : qui a om soi les
principes d’une longue vie. Planias vivazes,
plantss vivaces.
VIV£DöR, A, adj. ot 5. qui vit iongtemps, vi-
vace. Qui sait gagner sa vie, qui prend soin de
ses affaires, qui menage son bien , eic.
Vıvapouao. V. Vividoure,
Vırkıno, s. m. vivier : 6tang od Y’on met du
poisson pour peupler. (Ag.) "Pepiniere. — de
cesihos, *garenne. — de passaros,"voliöre. —
de planlas,* p6pinitre.—- de gamos, veados, eic.,
parc ou l’on nourrit les bötes fauves, elc. —
d’ostras, paro ä hultres.
Vıranpa, se. f. demeure, logis, habitatien,
desuicile. (iaus.) Maniere de vivre; condauıte
morale.
Vıranre, adj. et s. 2 gen. vivant, qui vit.
p. a. de
Vıver, 9. n. vivre : @tre en vie; sentlir, vou-
loir et penser;; durer, subsister ; se nourrir ; 86
procarer la subsistance par quelque moyen;
soutenir, avoir la vie; l’employer &...; soutenir
son existenoe par tel moyen; jouir de la vie,
1213
'en user, en proflter; se oonduire,, se coomporter
relativomen! aux M@turs; se Comporter avec
queiqu’un,, ötre ou n’ötre pas en bonne intelli-
gence, en relation amicsle; relativement & la
religion, & la sotieie, aux lois, aux usages;
habiter, demeurer. — Com, vivre avec, avoir
un oommerce habiluel ; @ire loujours ow sou-
vent avec; virre avec Une personne, Cor.me
dpoux, sans l’etre. — aos dias ou dia por dia,
vivre au jour le jJous. — com sigo, vivre retird
du monde. — vide folgada, regalada, mencr
une vie joyeuse. —honeslamentie, sanlaments,
escandalosamente, etc.,ımener une vie honnele,
seinte, scandeleuse, etc. — cavalkeiramenie,
4 fidalga,, soutenir noblesse. — d grande , vivse
en seigneur, eri grand seigneur. — com pouco,
vivre de peu. — föra do seculo, n’&ire plus de
ce monde. Viva / vivat! cri de joie, d’applau-
dissement. Vive Deos! vive Dieu! sorte de ju-
rement. Viva V. M. mil annos ou mdilos an-
nos. Remerciment d’un: bienfait accorde, d’un
service rendu. Cada qual vive como quer, cha-
cun vit & sa mode.
Vivenes, 3. m. pl. vivres : provisions de
bouche.
Vırkza, s. f. vivaciiö,, vigueur, forte, eflioa-
cite. V. Vivacidade.
Vırimo, p. p. de Fiver.
+ Vivo, a, adj. quia de la vivacite, vil,
anime.
Vıyıpoöuro, A, adj. qui vit longlemps. .
Vırmcacid, s. f. vivilication : aclion de vi-
vifier.
Vırmcivo, a,p. p. de Vioifkcar.
Vırımıcanin „2. M. celui qui vivifie.
1214 vi
Vıvirickuzg, adf. 2gen. tirifant, qui vivilie.
.a.de . j
’ Virisscän , m. a. ririfier : denner el eonsarver
la vie; 'Ag.) la force, la vigueur.
Vıyırıgarivoz a, af. vivißant, qui virifie.
V. Vieifeo.
Viyisicg, a , adj. vivißque ı qui a ia prepriöte
de vivißer. .
Vıvırano, A, adj. viripare (muimal—), ge
mei au monde ses petils tmut tivanis.
Yırıssıno, A,ady, sup. de .
Vivo, a, adj. vil: vivant; qui a beautoup
d’activilö, de vigueur, de lau, de vie; qui fait
une impression violente; anime; sensible ei
aolif; eclatant, en partanı d’une couleur, elo.;5
subtil, ingenieux; diligent, prompt, atlif; ex-
pressi[, #nergique, persuasil. Vif. On ie dit
d’un feu ardent. Trestessemblant. (Ag.) Qui
subsiste,, qui a toute sa foroe, surtout ou ma-
tiere d’actes, d’obligalions, eis. Durabies, qui
sit dans la memoire. Pur, sans mislange. Qui
est en activilö, dans l’exercice actuel d’un eo-
ploi, eis. Qui est.en dtat de gräce. Ao—, au
nalurel, avec une ressemblance parfaite. Em
carae —e, auvil, les chairsauvil. d,
guerrovive, animee. 4’ —a forga ‚de vive force.
al —a, chaux vive, qui n’s point 6t& dteinte.
Caris—a, personne charges de dire de bosche
une close qu’on devait e«crire. Comer —, ava-
ler tout vif. Menace d'une vengesuce sanglante.
(#g.) Manger tout vif, en parlant de la ver-
mine, eic. Dar ou locar no —a alguem ou che-
gar-Ihe a0 —,( ig.) loucher, piguerauvil, (siee
une offense sensible. Mais morlo qgue—, plas
mort que vif. Nem morio nem —, chose qu’on
ne trouve point,avec quelque soin qu’on lacher-
che. Penha, rocha —a, roche vive, pure, Pro-
fonde en terre. —@ v0Z, vive yoiz. Jgua —a,
eau de source. Aguas —as, (de mar.) les plus
grandes mardes. Obras —as, (id.) Noltaison.
Em quanio — , en son vivant. Seeu for—,si
je suis cn vie. Andar com o olho— , &ize sur
ses gardes, prendre garde & soi. Olkos—s,
yeuz vifs, brillanıs.
Vivo,s.m.levif: la chair vive; le caur d’un
arbre. — da columna, [at d’une colonne. Os
—s, les vivanis. —s d’um vsslido, eic., passe
poil; agrement de garniture d’une robe, etc.
Vıruss. V. Piveres.
Yızicaa. V, Bisagra.
Vızkıra. V. Yiseira.
"Vızınnipo. V. Avizinhado.
VizinBänga, 8. f. *voisinage, proximits; lieux
pröchss; les voisins; liaison entre eux. Voisi-
nage de deux maisons conliguäs, etc. (Ag.)
Proximitd,affinite , rapport. Fazer boa-- , vivre
en bon voisin. Fazer md — , &ire fächeux, in-
commode auz voisins. (fg.) On le dit d’une
ciose dönt le voisinage nuit A une autre. Na—,
au voisinage, dans le voisinage.
vos
‚setre; Henitzophe. Mehitant, Kuerper Fun:
ville, et.
Vıria, ete. V. Fisw, ste.
Voipo,A,p.p. de Foar.
Voantn, A, adj. velant, qui vola. ie} Trb-
rapide.
VoAanoR, 3.1. polsson volant. — de bei,
trigie volant.
Voapöns, s. f.aotion de voles,ved.\. Ih
VoÄnTE, adj. 2gen. volant, qui reie.p.ıu
VoiR,v.0.(p. us.) faire lever kein.
(Ag.) Faire voler en l’atr, faire santır, ar
lant d’ane mine „ote,
Voin,®.n. voler: 90 sowiemir, 16 meint
en Pair; s’envoler; voltiger au gre deren: 4:
courir, avancer avec vitesse. nr >
tement, s’dvanouir. (Ag.)Ag® aveo wem
tilade, um Itgerenb axitrönge, aller vorn
(id.) Faire des progres rapides dam ks rr*-
ces, eis. (#d.) Voler, se repandre damk p-
blie, eu parlant d’ene nouvelle. —ı mm,
ceclater, sauter, en puriant d’wme mim !
Mina. .
*Voania,s. f. volatile, votaille. V. dee Mel.
Chasse avec los oiseaux de preise, V. Folra.
Voito, s.w. bruit public. V. Besis.
Vocsnunkmo, 5. m. Vorabeiaire : rei,
liste alphabeligue des reis @’umplangwe, dat
sejotioe, atdcamd explie stiem Duckise®.
VocasuLista, 3. m. vogabulistt, rue !#
vooabulaire,
VaoaBuLo, s. =. not, terme, pre.
Vocacäö, 8. f. vomtion : meurebe inf
rieur par lcgel Dieuappelte a ange drk,
surtout monastique; inclinatios, arm
pour un dtat; (Ag) dispesilien ; nie nEr®
pour un travail. Convocation (p. w.).
Vocat, adj.2 gen. vocal : qui swıprme Mt
a voiz.
VocäLuänte, adv. de vivo veix .
Vocarivo, s. m. (1. de gram.) wall:
quiörme cas des deekimalsons.
Vocıgananis, s. f. vociftratiem : pardeı &-
compagnees de clameurs.
Vocırssipo, a, pP. 9. de Vorifare:
VocırgaanoR, a, 8. oelai gei verikrt.
Vocırsainte,adj.2gew. qui vocere. galt
Vocırzria, v.a. crier, publier & hour mi,
avos 6clat ot osteniellon. ©. s. Vockiere, di.
6ievar la yoix, noussse des arts.
Vöoa. V. Bode.
* Venivas. V. Beide at Bodies.
V0no. V. Bodo.
YoRnnoa,
VOENGCOS. | V. Zooöng...
Voca, 8. f. (t. de wer.) vogae : mentune
imprime par rames; (Ag.) eredit; repeubt®.
estime; grand cours, grand debit. Apr:
forgar «—, (4. de mar.) fnzoer iss mt: D
ı — arrancada, (id.) ä force de rameı, MR®
VızixuÄr, o.a. ein. avoisines; dtre limitre- | vogue. 4’ — surds ‚(id.) en ramant dewmest®
phe. V. Arizinhar.
Vızinno,a, adj. eis. voisin : qui est proche;
qui demeuse aupres; ui Joge aupres d’un |
As—3,(id.) les rameurs du premier kam. If
em —, ti an vogne,
Vooa-AVAÄNTE, & m Fament, fargal.
voL
Vöciod, A, p.p. de Vogar.
Vociı, s. Tr. per voyelle, lellr& voyelle,
qui a un son parlait d’elle-meıne.
VocäiL, s. m. celui qui a droit de suffrage
dans une eleotion. Vogdes, pl. vocaus, volanis.
VocinTE, adj. 2 gen. qui vogue. p. a. de
VocäR, ©. 9. voguer : @tre pousse surf l’eau,
par les rames. (fig.)
vogue. (inus.) V. Advugar.
“Vocänia. V. Advocacia.
VüsuE , 3. m. petile embarcatich We. Pinde.
VoLinte,s. m." gaze, toile Äne ei claire de
laine ou de coton. Volant : morceau de liege,
eto., garni de plumes que Pon fait voler avec
des raquettes. Volant, piece d’une horloge. La
quais, coureur, ,
VorLinte,adj.?2 gen. rolant : qui a la faculld
de se soutenir en l’äir; qui s’el&ve en sir; qui
n’est pas stable, fixe ow & demeure. Errant,
qui court cä et 1A. Trös-rapide. Peire —. V.
Voador. Cervo — , cerf-volani, sorie de scara-
bee. Papel— ‚ fäuille volanıe.
Vorantim. V. Bolantim ei Foldlim.
VOLATARIA 0% } chasse avec les oiseaux
VoLareria, 8. f-J de fauconnerie. " Vola-
tile, volaille.
Voratreir,v.%. (p.us.) V. Adbjar, Esvoa-
far.
VoLirit, adj. 2 gen. volatile, qui vole ow
peut voler. Qui se meut, qui voltige au gre des
vents. (f. de chim.) Volatil : qui s& resout et se
dissipe par le feu.
VorariLipäne, 3. f. (#4. de chim.) volatilitd :
qualite de ce qui est volatil.
Vorarıuızacad, s. f. (1. de chim.) volatilisa-
sion : action de volatiliser.
VorArıLızino, A, p.p. de Volatilizar.
VoLArıLızinte, adj. 2 gen. düi volalilise du so
volatilise. p. a. de
VorarıLızar, v. a. (b. de chim.) volaliliser ;
rendre volatil. "
Voratnizin-se, v.r. se volatiliser..
VoLatim, s. m. danseur de corde. Voltigeur,
ar Courrier & pled; grand marcheur
. u.)
VoLcänich, A, adj. volcanique: ui appar-
tient aux völcans.
VoLcäi6, s. m. volcan : montaghe, kouffte
qui vomit dü feu. iflg.) Fe artient, chaleur
excessirve. (id.) Passion violente.
+ Vorentina, s. f. sotte d’ankiön tissa de
laine, fait A Vafence.
Vouıgäö, 8. f. (1. schol,) volition : acte par
lequel la volontd se determine; fadulte pra-
tique de vouloir et de se deterininer.
* VoLi£ne. V. Aciario.
VoLITÄNTE, adj. 2 gen. voltigeant, qui vole
ca et 1.
Vouirivo, A, adf. qdı prorient de fa volomte,
par lequei ta volonie veut ou se determine
(acte ). ' '
VoLiveL, adj. 2 gen. (P. us. que l’on peut
vorloir; qui peut dire objet de la vuintte.
VuLTa,s. [wur mıöoureiucht en ro: now: | cHfel de 68 gu voltige,
tre en vogue, avoir Ja|
voL 1215
veinent d'un eörfx Au’on tnurde, quon thhhge
de sens; mouvement d’un corps qui toumme en
Phir,d’un volligeur, etc. Detour, circuitd’un che-
min, etc.Courbure, arc d’une tohte. Tour d’une
chrde, etc., autour d’un corps qu’elleserte. Par-
tie d’un corps quise replie sur un autre. Retour
alı lieu dvü Fon dtait parti. Restisution de ce
'on avait pris. Courbure, inelinaison. Tour
and clel dans !ä Kerrure.'Toat: horhdre de
ıhailles formant la eirconference d’un bas tri- '
bi. * Retour: supplemebt de prix. qe’oh' donne
dans un 6change, etc, Volte, en terme d’equi-
tation, Vicissitude, instabllitö ; changement.
Direction. * Rabat, collier de pretre. *Rondedü
d’an air, refrain d’ane chahsor. (ofeuz) Que-
relle, dispute, rixe, combat; bruit, tümulte,
sedition. — d’olhos, clin d’eil. — d’um rio,
doude d’une riviere. A’ —, au retour. A’— de,
dutour de , aux environs de. Dar uma —, laire
un tour de promenade, dw un petit voyäge,
dans un endroit; faire un four dAns sa maison,
6zaminer si tout esi en ordte. Meia —, demi-
tour. Pela — das duas, düs Ires, ele. horas,
vers deux, trois, etc., heures. Dd — com, totı-
fondu avec, dans la meles. Numa — de ımdo,
dri un tour de main. Estar de — ou para vol-
kar, &ire sur son retour. A cabera deo-Ihe —,
la l&te lui 4 tournd. Isto Ihe fez dar — 0 juizo,
tela lui a töurne la cervelle. Fazer-se aa — de
(#. de mar.) mettre le cap ä. Fazer-se woutrd
—. (Ad) changer d’avis. Ter —: (Ag.) avis
donne & un ernprunleüur de rendre ce qu’on lul
rete. — de böga, (1. de mar.) " amarrage en
uetl. — da amarra na abila, tour de bittes.
— redoAdä , tour et choque de bittes ; wur mort
avec deux demi-tiels. Meia —, demi-clef. —
felsa, faux naud, n@ud de chalne. — da ri-
beira, neud d’angulile. Andar ds —s, faire
des Ldurs et detours, se quereiler, se dispuler
(p. us.). Andar ds —s, dar —ı na cama, se
fourner souvent dans le lit. Dar —s, röder,
1 thercher partoat Imutilement. Dar —s por con-
Jegwir..., tächer de, fairo des ellorts pour ob-
tet... Dar —ı no Inferno : ( Ag.) onle dit pour
marquer l’extreme desir d’obtenir une chose,
se donner au diable pour Y’avoir. Tirar —s ds
ämarras,(t.de mar.) su defaire des tours däs
eäbles. Dar —s ao juizo, se creuser la tdie,
Ter-se ds —s com, ( ig.) rösister, tenir te A.
Vorra-cira, s. f. retraite, volle-face. Fazer
— ,(t. mil.) faire volte-face.
Vorrino, 4, adj. tourne; retoumd; frise.
p: p. de
Vorriu, o. a. tourner, retourner. V. Viror
v. #. Revenir, reidurner. — alrdz, — para Iraz,
tötrograder, relourtter sur ses pas.
Vorrär-SsE (para), ©. r. se retourner. Ndo
dei para onde me volle, Je ne sais de quel tÖls
are tedrner.
VOLTEÄDO, A,P.P. de Voltear.
ÖLTeADOR, A, a. cetri qai voltige, et sur
(obt vultigeur, danseur de corde.
VOLTBADERA, 5. f. “ volligement ı action,
1216 VOL
VoLrzir, o. a. faire tourner ou touler ; tour-
ner. — a bandeira, agiter le drapeau. v.». Vol-
tiger.
* Vortkıne, A, adj. V. Brigoso, Rixoso.
Voutssän, etc. V. Follear, etc.
VoLTsakte, s. m. jeu de l’'hombre.
VoLrivoro, A, adj. V. Inconsiante, Varis-
vel, Voluvel.
* VoLro, p. p. wer. de Volver. V. Volvido,
Voltado.
VoLüBEL.
VoLönt. } V. Volnosi.
VoLvusLipäne, s. f. volubilite: facilitö de se
mouvoir, detre mü en rond; arliculation nelle
et rapide (de la langue). (Ag.) Inconstance,
inslabilile.
VoLümz, s. ın. volume: &dtendue, grosseur
d’un corps; livre relie, broche,
Voronınöso. V. Volumoso.
Vorumdso,, A, adj. volumineux : etendu; qui
a un grand volume; compos6 de beaucoup de
volumes ( ouvrage).
Vorimno, s. m. (}. de mytk.) Volumnus:
dieu des noces.
VOLUNTÄRIAMENTE „ adv. volonlairement,
sans contrainte ; de bonne ei franche voloul£.
Sans’autre motif que sa volonte.
+ VoLuntarıEenäpe, 3. f. qualits qui fait gne
les cboses sont volontaires. Determination sans
sutre motif que sa volonge.
VoLuntänıo, A, dj. volontaire : sans con-
trainte; fait de franche volonte ; qui ne veut
faire que sa volonte. Sans auire molif que sa
volonte.
VoLuxTärıo, s. m. volontaire : qui sort vo-
lontairement dans les troupes.
VOLUNTARIÖSAMENTE, adv. sans autre molif
que sa volont£. Par opiniätrei& ow par caprice.
VoLunTaRıöso, A, adj. volontsire: qui ne
veut [aire que sa volonte.
* VoLurtärıo. V. Volupiuoso.
VoLUPTUÖSAMENTE, ade. voluptueusement,
avec volupie.
VoLurrvosıping, 5. f. qualits d’ötre volup-
wenx. Volupte.
VoLUPTUORISSIMO , A , adj. sup. de
VoLuptu6s0, A, adj. volupiueux : qui aime,
qui cherche les volupies ; sensuel, adonne aux
plaisirs des sens; ce qui cause la volupte,
linspire, la fait &prouver.
Voröta, s. f. (i.d’arch.) volute:: dcorce d’ar-
bre tortill6ee en spirale; parlie du chapiteau
ionique et composite. (4. d’hist. nal.) Volute au
inusique : coquille univalve, en cöne pyrami-
dal. — cymdriforme, la tasse de Neptune. — de
malhasde solfa,le plain chant, — milriforme,
la miıre, — em forma d’azeslona, l’olive. V.
Oliva,
Voı.vrägro, s.m. bourbier, bauge od se vay-
trenı les cochons.
VoLöveL, adj. 2 gen. aise d mouvoir en rond,
ätourner. (fig.) Changeant, inconslant , verse-
tile, volage , l&ger. (1. de bot.) Voluble : qui
monteen se lournant aulour d’un corps (lge).
VON
tra ,ef. (1. de bot.) volva au voln:ce-
veloppe, bourse, chemise du champige.
+ Vorvino. & ‚adj. (8. de bot.) vohe:qia
une volve (cbampignon).
VoLvenoa. V. Ensoloedor.
VoLYEr, v. a. tourner : faire tosrıa, u0e-
voir en rond. Remuer, mouvoir. Rem ın,
Retourner au lieu d’oö l'on &tait part.
VoLveta-sz, v.r. V. Revolver-w. Sem
vers quelqu’un ; se lourner, faire un lem.
VoLvioo,a,p.p. de Folcer.
+ Voıvöcg, s. m. (6. d’kist. nel.) vo:
petit globe, ver infusoire Lourbillonnsst ia
Veau.— globulifero, volvoce spberigee.- +
flicloso , volvoce du fumler.
VoLvo ou Vorvuro ,s.m. (1. demälj's
lique de miserer6; passion ilisget.
Önen,s.m.(6. d’anal.) vomer:lauupi-
pendiculaire de l’os ethinolde.
Vönica, s.f. (1.de med.) vomigue bci sı
Poumon.
Vönmıca, adj. f. Nox — , noix vomige: wi:
de poison des animauz.
* VouiL.V.Gomil.
VositiDo, a, 9.p.de Vomüldr.edi. (f.'®
Maigre, defait, päle, noye.
Vosıtänor, A, adj. qui vomit, qui jeliebe:
de sol.
VonıtÄrR,v.s. etm. vomir:jeierparia- ®
ce qulestdans l’estomac, miewz, reairı. I
vomir: produire en grand nombre, ts fa”
quantitd; jeter hors de soi; vomir des fas®®.
en parlant d’un volcan ; vomir des injum. =:
(dd.) Dscouvrir ce qui dtaıt cachk. Kür *
yer, surioutsic’est avec peine, mess?
oniade, ancias de —, souldvenmitt *..
hause, envie de vomir. — algucn, Iar!®
vomitif & quelqu’un. — a vide, moart, ref"
Päme. j
VowıTÄa-sE, o.r. prendre un vomill.
Voxıtivo, A, adj. vomitif, —re, qui ui"
mir. s. m. V. Vomitorio. .
VONITO, 8. m. vomissement ; action de '°8#
ee qu’on a vomi. — wegro ou priß, EA
negro,, maladie bilieuse, mortelie, tpidestt'
fiövre jaune. Provocer @ —. provogeet ?"
missement. Tornar ao —, (fig.) rewarne.-”
vomissement.
Vosırüro ,s. m. vomitif : remede @ F'
voque le romissement, eıneligue.
Vontäipe ‚a. f. volonte : facultt de Tiet,F
laquelle elle entre en ion de so X
les suspend, delibere, se determine ti ‚P.
puissance par laquelle elle veut; arte ©’ '
volont6; son expression ; ce qu’an ven:”- "
fait; disposition ä l’egard de; dıserelim. ©"
voir; ardeur;; intention, dessein. Libre ats "
* Amour, affection, bienveillance. Enie. den
bonne volonis. *Plaisir, complaisanct. U"
Consentement donne. Boa — , afeclion: »*"
veillance ; bon grö. De — . oude bs. Ct!
cour, de plein grö, volontiers. De mer“
—, Irös-volonliers. Md —, baine, ate®.
meuvais vouloir, Dr nd —, ä contret@el‘
vor
ad — a alguem, en vouloir A qualgu'un, avoir
malin vouloir eenire quelgqu’un. Genkar a —
d’alguem, gagner l’aflection, les honnes gräces
de quelqu’un. Faser a— @ , a0gaies-
cor ä la volontis, au desir de queiqu’un. Fazer
as —s a alguem, gagner laffestion, les bonnes
gräces de quelqu’un. Capfar a — d’alguem,
s’insinuer dans l’esprit, dans les bennes gräces
de quelqu’un, capier sa bienveillanoe. Com —
ou som ella, de gr& ou de force. Por que assim
dwossa—, car tel est notre plaisir. Dd-me.
— ,ienho — ds, il me prend l’envie de, Ulhiess
— , derniöre volonte enonche dans um lests-
ment. — divins, volonie divine, deoret dier-
nel da Dieu. Fasa-se a — de Deos, que la vo-
lont# de Dieu soit faile. Zstar, pOr-0e d ua,
eire, so melire & son aise. A’— dos vonlos,
dos mares, oic., au gr& des vents, des flots,
etc. Homem felto de sua —, homme volon-
taire, qui ne veut suivre que sa volonis; capri-
cieuz. —s, (pl. ine.) meubles, bijoux, offets
de luxe qui flaitent la rue.
V60, s. m. vol : mouvement des alles des oi-
seaux pour voler, des machines pour s’ölever;
leur eflet; poriee du vol d’un oiseau; ce qui
limite. (fg.) Essor, vol en mont; action de
prendre son vol. —, &levation de la pensee;
sublimite du style; essor &lev6. * Volse : dten-
due, durde du vol. — rapido, lire d’aile, bat-
tement d’aile prompt et vigaureux. Tomar 0
—, prondre l’essor. .
VORACIDÄDE, 8. f. voracitö : aviditö & man-
ger. (Ag.) Activitö du feu,
Vorscissiwo, a, adj. sıp. de Voraz.
VoranoR, V. Devorador.
Voriceu, s. f. " gouffre, abime.
Voracınöso, A, adj. oü ily a des gouffres. | V. Voss
Tournoyant, tourbillonnant.
Voriz, adj. 2 gen. vorace: qui d&vore, qui
mange avec avidite. (Ag., Actif, devorant. On
le dit du feu, otc.
t VorRÄzu&nTE, ade. d’une manidre vorace.
T VORTICE, s. m. tourbillon. V. Redemoinko.
— aereo,"trombe.
f Vorrictıua, 8. f. (8. d’kisl. nal.) vorli-
eelle : polype en bouquet. ll y en a plusieurs
es
Voarıcındso, A, adj. tournoyant, qui se
meut en tourbillon.
Vös, pron. person. pl. vous,
Vos. V. Vös,
V6sco (variation de Vös). Com —, avec vous.
* Vosquo. V. Vosco. -
“Vossanck. V. Vossemect.
Vosst (contraetion de Vossa mere#). On ne
le dit que par familiarit& ou par mepris.
Vosszusck (contraction do Vossa merch). V.
Merct.
VWöss0, a, adj. pron. f’de .ı seconde
personne. Votre, le vötre. Vossa senhoria, vo-
ıre seigneurie. Vossa mercd , vous.
+ Voragaö, . f. votation : action, effer de
voler.
Yoribo r) a, » P. de Your.— (8), ed. baute &.
POuT. FR.
voz ‚1217
"Vor’aminzs , serment burlesque, morbleu,
Vorinre, adj. ot s. 2 . votant s celui
oelle qui donne sa voix. pad u
Vorin,9.0.vouer, voter.o.n. Vouer:falre um
vu , promelire par vau.(em) Voter: donner sa
voix, son suffrage. se (0), se devouer, sovouer.
Voriyzno, A, adj. qui porte des offrandes
votives.
VorıvaunrE, ade. avoc ou par un vou.
Vorivo, a, adj. volif: quia Fapport, appar-
ent & un ven, est fonds, Spmsaere par unvau.
Painel —, ex-roto.
VöTo,s. m. vau: promesse falte ä Dieu, ete,
You que fait un religieux. * Voir, suffrage,,
vote. Avis, opinion. “Priöre, demando faile &
Dies. : offrande faite en m6&molre d’une
gräce regue. ( Ag.) Personne qui donne sa voix,
volant. Veux, souhalt, dörir. Dar o —, donner
sa voix; donner son avis, ömettre son opinion,
Ter—, avoir vols Jans une assembi6e. Tor —
na meleris, (fg.) ötre en dtal de decid.r sur
une-matiöre; en @ire juge, ötre oonnaisseur.
Querer tor — em ‚se medre en rang
d’oignon.
V6z,s. f. volx: son artiould ä Palde du laryız
et de la bouche, et modifis par !a langue pour
exprimer la penzde ;son barmonieuz pour expri-
mer uno passion; cri, clameur : en ce senson
s’en sertsurtoutau pluriel. Son d’un instrument
de musigue. *Mot d’une langue. —, chanteur,
chanteuse ; qualitö,, ötendue de la voix hu-
maine. Partie: chaguevoix qui ex6eute un ohant
stpare. "Bruit, nouvelle. * Pouvoir de parlerau
nom d’un antre. “Ton de la gamme. — , suf-
frage; droit de suffrage dans une assembiöe.
. . Ordre, oommandentent. Renommee;
brait. A uma—, de ums -—, tout d’une voix,
d’ur commun accord. — em grüa, & haute
voix, & grands cris. Tomer a —, prendro la
parole, parler A son tour. Se döclarer pour
quelqu’un. Ter «—d’alguem, suivre le parti de
quelqu’un. Dar — d’alguem ‚sppelerquelqu’un
qui est dloignd. (inus.) V. Bradar .
volx veloutde. — d’komem, forte, voix mäle.
Aumana, rögale, jou d’orgue. De eioe
- „de bouche, de vivo voix. Deiter — , re-
g adre le bruit. Corre—, le bruit oourt. E#’ —
ohnsiante , P’histoire dit. Levantar a —, levor
la voix, parler ä haute voix. Levanlar a con-
ira 0 vicio, otc., tonner contre le vice, parler
avoo vöhömence contre le vice. Em — alla, A
haute voiz. Em —baiza, a voix basse. A vozes,
en eriant, Agrands cris. Der oozes, crier, pous-
ser des cris. Musica a Ir&s, a qualro vozes,
musique & trois, & quatre parties.
Vozania. V. Vozeria.
Vozzino,A,p.p. de Voxzser.
VozEADOR,A,s. celui qui crie, crieur, oriall
leur.
Vozzautnto,, s. m. V. Vozearia.
Vozzin, o.%. gueuler, crier, elever la voix,
pousser des cris, criailler.
Voztıro, a, adj. crieur, criard, bruyant.
17
+
w- =
Yv endlose 0
1318 AC
“ Von, s. m. procureuz, sollichenr,
na, ef. ertlier clamenr, orin admnı
raubahan
808
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Vorarimı,$ Meilen
aus möridianele quir per
ULCANÄBS Metern
uleamiag | Volaniee >
voLcıne 0,Ää, ode de Vulcainı
% BE de Are \ulnaia, Rio dä
=; Od,
Jun! let
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Vorcid, "ei.
vLchpo, V, Pioniande:
LöiR, dl, Y9en, vulgaire,, samakhum ; tale
vl; ; Tegu bOMMYNEMPHL
paris, aM valgaite, du payl. dh
V. Tuigo. bieniger
vLchä 0. Wh ger
ua DAaR, & f. catsethre dm pobnle ou
dr de ul lui apparlient. Diesouss valgeire ; wi
atitude. Vulgaritd + guakiih, dien d
© qui est vulgaise,
ULcarzagiü,s. /, Aniien de vonder BE
eure, divulgation,
4,9: de Fulgarizen. aiyı
Re er ne
aa due 4,0. selui gui send valgelsng
ei qui dirulgue,
ARIZÄR , 9, a, divmigubr, röpemded; Aug
blier. endre vwulgsina; senlire öbinmum.
Q
dulte en lange vulgsise.
VOraaRzÄmER, dv. 7 66 Iemjlieisse werde ns
gens du commun, 48 des ähidses:
du peuple, s# ravaler, se sabaissen Darbnie
vulgaire, cammup.
VuLGARisMO , & 1: vulganismud 4 ohsd,
expression, ponade valgaiee.
ad. vulgeiremment, SERBERU
Mkverg
14 ul
Voroira,s. f. Valgate : tradusion ia 4
Nletturs Aupins, ”
Mehrere od. WEG, s Deo gens pe
ustsuits, bu suiniuny ‚nö
Verso , ady: Ist. wei
Vermenacis, & f. laoılan de im er
Vernzuius, 2,P. 9. 66
Vonuanın, od. 0. elenset, r
tan uf. FEN
Imötalde , Pietk:; se dir fin
essinmlandee peut lea piates. A
Vornzain®, a, dj. Faintraie: ad
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en gros, eh biüe, & een Fazer -, in
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Tre |igme, volumineux.
* Yhirtaind, a, di. de vanıse.
Vorröano, &. m. vet qui sit kann
spleil,, qui 86 läte &t B& coukhe arte
VöLTa, & L d’anal,) vulie:iiatıwe
rd s. [: Cl. da bl.) apderian Ibin,
“0,8.#.Pp IR
Mo.a Gun des ala
x
X, 8. m.riligt-Ito in da Yelphahak |
portigäl, es r dig ut a @pnsannes;
0 5 chilRE roman. Lö X a quaite ons Air
renls s 10 doch, ommme dans chani. 2: ehaegı
2. de etz bone dans «tal (eizalo); „> de
es ol te, Jans lei inols qui viennegt da, Ja»
eonutin Has höze, da (necso,
nexe, axiome); 246» ou 5 dass ka | des
mots, comme dans calie, Cadiz (
u galice Cadix),
Rı bu Kın,e. ih. rol, Souveraln, en Bere
av Cha.
+ Xavaupän, 6. m. (4. @4sis) congul d’une
natich.
Zäca, 4, m. la promiäke ilole des Japonsis.
ine.
Br. V. Zequema.
‚onjgühe de
Kicara, 5. f. ch
at inear, gei DO"
Xacsco, A,
Xapukz, ‚2 n Jou die na; Fedran 5
Uber, (L. de mar.
Yale 0 gurupds, anilleborie de Ihe
'Totme de Fögeron.
Karanız. V. Chafariz.
4 Kir, s. m, mennaisiungag, wei rail
pela poriugeis.
is. V. Xd.
Inän s. m. * baussa de oheral.
ALR. V. Chale
14840 5. Pi. Hiüaklen da chasreie.
XEI
Xuaröra , 8.5. (1. de bat.) schalotie , Mienle
medicinale.
Xauira,s fı(t. &Asig) nozie de roba orien-
tale en forme de menlsau. _
XiuarTe, s. m. echec ei mat.
Xuusae. V. Chamöre,
Xuanrnin, etc. V. Chanfrar, etc.
Aanttı. V. Chantel.
+Xintmno, s. m. (1.de bot.) xanthium: plante
Taquatique. V. Bardana menor. .
XantoLina. V. Santolina.
XAguz, s. m. echec (au jeu des öchecs ). —e
malte, &chec et mat. (fig.) Coup, tort, ruine.
Xagugino, A,p.p.de
Xaqugär, v. a. danner scher, faire Schec au
rol, etc. (Ng.) Opprimer, tousmenter,
Zugpion. V. Bazaqueca.
+ Xäguema, s. f. gros lissu de Älcelles pour
faire des sangles; liceu.
Xiquima. V. Xaqgusing,
Xira,s. f. sorle de fläche ou de dard dont
on aiguise la pointe. *Ledum, lede:: espece de
eiste qui donne le ladanum 0% labdanum.
Estevo. Espece de reptile trös-völdce.
„MAaapiit, a. m (1. d’Aste) motihaid de l’inde,
qui vaut & peu pr&s 300 reis portugäiß.
Xırid, s. m. vernis de la Chine; töle Termit.
+ XARiQuE, s. m. grande please.
Xirpä, 8. f. petit poisson, esp&ce de goujon
de riviöre.
Xır£ı. V. Zairel.
Xunßo, 8. m. ospece de gros poisson du
Bresil.
ÄARETÄR , 0. a. (4. de mar.) bastinguer, gar-
nir un vaisseau de bastingues.
Äantras, 8. f. pl. garde-corps : nalles ou
tissus de cordages qui couvrent les soldals
d’un vaisseau pendant le coınbat, baktinguägk.
Xınciö.V. Xergdo, Enxergdd.
.Zanire, 5. m. chöril : descendant de Maho-
met; prince arabe ou maure.
Xunöco. V. Enzarröco.
ÄaBOPÄDA, 8. [x Aulep, ‚ potion mödieln I.
Xıropido, A(V. Encharopadd), p. p.
XaroPpir, e. a. faire prendre des \uleps au
des sirops. Y. Enzaropar.
XıröpE, 8. m. julep, potion meditinale.
Sirop ou syrop.
Xır60c0, s. m. 8iro6 : vent Bud-est sur 1a
Mediterrane.
Xiruug, s. m. tassao ow tassaci:
de bauf sale, sechdes au soleil.
Xıratein, v. a. faire le tassao, söcher des
trancnes da bauf au soleil.
Xırnöuco. V. Enzarröco.
Zunala. V. Charrum.
Xustae. V. dlfsiste.
XuAUTER,, 5. m. guide
bie. .
Xav£co. V. Chaveco.
Aivgca. V. Enzavegd,
* Xg pour Se. V. Se.
z xsni, V, Goiveiro amargliaı
tranch2s
los duserıs WArd-
YYı 1919
Km A A na
Ken. an Heike schaft de iribu arab Y,
Xaqus.
Xerurim. V. Xarafiım.
Xerir. V. Xairdl.
Ataca, 3. f. ancien drap grossier dont on
(sisait des habits de deuil. V. Eaxerga.
Xzrcid. V. Enzergdd.
Xrzrinca. V. Seringa.
XzrorHacia, 5. f. ($. d’ami.) serophagie :
usage de fruits secs.
ÄEROPHTRALMIA, 3. f- (h de mdd.) xeropb-
thalmie : aphthalmie söche, dömangeaison,
Fougeur sans enflure ni larmes.
TXERQUE, adj. 2 gen. ä la maniöre orieniale,
Atava. V. Canamo,
* Xı pour Se. V. Se.
Xıan, V. Xak.
Xısinga, etc. V. Chibanga, eto.
+ Xwio,s. m. Pd da —, orte d’sucienme
danse portugaise.
XÄIBATA , etc.
XÄIFARÖTE. | V. Chi..„eic.
Xıranörsauo, V. Kylabeleume.
XımeaA. V. Sumen.
Xiwıo. V. Mono, Alaseoe.
Xina , etc. V. Chins, etc.
+ XırATom ‚sm. ie premier maltre d’hötel
dans les grandes hötelleries de Pekin.
Xıpndıde, adj. 2 gen. (t. d’anat.) Carfilagem
_ , xipholde os appendice de ce nom, tantöt
Össeux , tantöt carlilagineux.
*Xıquza. V. Sequer.
Xira ,s. f. chöre. Boa —, bonne chöre.
Zins 7 Kirk.
„Sertngs, öte.
ırinca, etc. 7
Kırıs. V. Pris fottd
Xırö, 8. m. (i. du Br.) boutiten, de rik
avec du sel.
Xis ow Xiz, nom de la lettre X.
Xixanv. F. Chicharv.
°Xixo. V. Secco.
xXoö, interj. 7. Ch.
XocoLÄTE, eit. V. CRoeolale, #6.
Xorninco, sm (&. dit Kat.)“ ortraie,
brise-os, ossilrage : ge d ai I! enmier.
Xorrin, elc. Chofrat,
F Xöpaä! inter]. d’adıh. LER Kenst van!
Zönca. V. Azörca,
Xöano. V. Jörro.
un. V. Chad.
Xurin, etc. V. Chupar, nie.
Xvcrävis. V. Eniremeilide
+XrıLo, 0. m. (8. ds bot) xylotı s plante il
por le coton. — #’Amdricn,
euillen. — da India, corsnhier arboreheen ’
kylon d’Inde ( Gossyphum arboreum).
XrropiLkıso. s. m. xylobalsame : petite
branche du baumrer de Judte.
+ XrLocnapula, s. f. xylographie: Imprinieb
hie areo des planches en hois grardes,
T
1320 ZAG
+ Xrıocairuıco, A, adj. xylographique ; de
la xylographie.
+ XrroLocia, s. f. xylologie: histolre natu-
relle, traitö des bois,
ZAN
+ XrLöruaco, A, adj. zylophage :qui range
le bois.
+Xrrormöas,s. f. xylopberie : füre des B4-
hreux oü l’on portalt le bois pour te few sucrä.
Y.
Y, s. m. vingt-quatrieme lettre de Falpbabet
portugais; elle a le möme son que Pi.
Yosını. V. Hyoseris.
Yrzcacvimsa. V. [pecamsanke.
Yrocusaı. V. Hypocheris.
YrsıLdınz, adj. 2 gen. ypsitolde. On is da
T Yanoon, s. m. grande autruche de File | d’une suture du cräne.
Saint-Laurent.
t Yapb, s. m. oiseau du Brösil qui ressernbie
& la pie.
Yinpa, 8. f.*yard, aune anglaise.V. Jarda.
* Ycnid. V. Uchao.
° Ycutco. V. Enzö6co,
Ysuir. V. Biemal,
Yerin ‚8. m. espöce de cousın du Brosil.
Yıuorsaiz, V. Almofariz.
+Yoscıämo. V. Meimeondro.
Z,s. m. vingt-cinquiöme et derniäre leltre de
Yalphabet portugais; elle a le möme son qu’en
francais. C’etait anciennement une lettre nume-
rale valant 2,000, et avec un trait au-dessus
‚000.
*+ ZaapOna, 3. f. dame, femme libre.
* Zapanßıea, s. f. femme eflroniee,
Zinra, 8. f. sorto de [rögate ou de brigantin
enge dans la mer de Biscaye.
ABUGÄRS. .
ZABUCälO. | V. Sopuedia.
ZaBüusa, 8. f. la grosse caisse.
Zanbaro, adj. m. Milko —, gros millet des
indes. V.Müho,
Zica ou Zico, 5. m. (4. d’Asie) grand-pröire
des bonzes,
f Zicoum ow ZÄCUM, 8. m. Za0COn : 6Sp6c6
de prunier de Jericho.
Zarira. V. Safıra.
*Ziaa,s. f.V. Saga, Retaguarda. it." Zaga ı
arbre dont on fait les zagaies.
Zucäta. V. Azagaia.
Zacaläda, 6. f.coup de zagaie.
ZacäL, 8. m. jeune berger; aide du maltse
verger. Jeune homme fort , vigoureux (inus.).
AGALA, 5. f. jeuno bergere. Jeune älle.
GALEIO, A, 0% N jeune berger, jeune bor-
ZAGALETO, 8, 8 göre.
Yrocısını. V. Hypociste.
YrsıLon , s. m. nom de la lettre Y.
“ Yaıın. V. Eıquadräo , Exereite.
Ysoriıno. V. Thymbra.
Yssöro. V. Hyssopo.
Yöca , s. f. yuoca : patate d’Amteiqus, dm
en fait du pain.
Yva. V. Ioa.
Yxzco. V. Enwsco.
2.
Zıcant, s. m. sorte de tolle de lin.
Zucönno. V. Zargumcho.
Ziımano.V. Zamödro.
Ziıno,, adj. m. zain : cheval tout neir eu iomt
bai, sans aucune marque de blane. (Ag.) Tre-
tre, fourbe.
+ Zurumia, ©. m. (. de mar.) desner ls
voix, chanter. V. Celewma.
Zimso,A, adj. V. Zambdro.
+Ziuno, s.m. animal sauvage et dilerme
d’Amerique.
Zausöa,s. f. sorle de eitron. V. Terupe
Sorte de coing ent£. V. Gambos.
ZaupBoßına, 3. [. arbre qui porte les zanlees.
V. ce mot.
+ ZausnÄäLHo, 5. m. olseau aquatique de
Portugal, de la grandeur d’une poule.
ZAMBRO, A, adj. cagneux, bancal, bancre-
che.
ZauB0co , s. m. sorte d’embarcation d’Asie-
+ ZıusuckL, s. m. arbre du Br&sil.
ZANBUJBIRINHO , dim. de
ZANBUJEIRO 0%
Zau20J0, 8. m.
Zıuorim. V. Samorim.
Zaxäca, adj. ou 5. 2 gen. V. Fosge, Zero
ho.
Zinch , s, m. aversion, antipafhie; guigneM.
Paz
} olivier sauvage.
El
Y. Grima. Sorte de jeu de cartes enire deux
personnes. (vigu&) ° Moulin & bras.
TR 7% de Zangar. adj. Ennuyt;
fıche, de maufaise humeur.
ZANGADOR, A, adj. et s. qui ennuie, rend de
arauvaiso bumeur.
ZuncaLHiß, 8. m. qui ma 6pouss qu’une
femme.
Zancano. V. Adelo ei Zingäo.
Zincko, s. mw. bourdon : grosse mouche-
gu@pe qui se mele avec les abeilles. (Ag.) Pa-
resseux qui vit du lravail d’autrui. Accapareur.
Zanoir, v. a, porier malheur. Ennuyer. V.
Enfader
„ Desgostar.. i
Zancia-sz (de,com), d.r. BENNUJET, 56 fä-
cher ;so dögohter.
ZANGARALHÄÖ, 3. m. homme grand 66 mal
bati , hallebreda.
ZANGARREÄR, 9: 0. (& burl.) räcler de la
uilare.
Zancuisiana, 3. f. (4. burl.) altercation ,
desordre.
+ Zancunnlänä (b burl.). V. Bebedice, Em-
briaguez.
ZınöLno. V. Zarolho.
+Zinvo,s. m. (l. d’Asio) * enchire.
ZiöziÖ, 5. m. son monolone, monotonie.
ZAPETE, 5. m. jeu de carles, espece de truc.
+Zuröta, s. f. (8. de bot.) — maior, "ma-
mei-sapote. — menor, " sapouillier, arbre d’A-
merique.
+ Zurötz,s. m. (8. de bot.) “sapotille : fruit
du sapotillier. V. Zapota.
ZARABATÄNA , 3. f. sarbacane.
TARACALHÄDA, 8. f. ($. dur.) cohue. V. Tur-
bamulia.
Zanacaröa, 8. f. (6. de bot.) herbe aux puces.
Tanacöta. V. Zaragaloa.
ZarAvATÄna. V. Zarabalamae.
Zanciö, 5. m. minlum, oxyde rouge de
plomb.
Zinco, A, dj. bleu clair, tirant sur le blanc.
Qui a les yeux d’un bleu clair.
Zinco. V. Zarolho.
ZancuncHina, 8. f. Coup , blessure de Zar-
ho. V. co mot,
+ ZARGUNCHÄR , 0. & blesser aveo un zargum-
echo. V. ce mot. (Ag.) Piquer.
Zuncöncao, 8. m. (mot d’Afrigue) dard
trös-court et trds-aigu.
ZaröLu0, A, adj. borgns, —6886; louche,
Ziura, V. Jarra.
Zis ou Ziz, s. m. bruit que feit un cöup, un
oorps quitombe. Zas, 208. On le dit pour eX-
primer plasieurs coups redoubits : pan, p&n.
6. iaterj. Paf, pouf.
Zırö. V. Tate.
Zıvantına. V. Zabaneira.
Zivaa. V. Zebra,
Ziz. V. Zis.
Zazacıränıa, 8. f- (6. d’Asfe) tojle de epkon
dont on falt des chemisos.
ZEN 1221
Zırunino,. V. Jazerino.
+ Zuzivrua, s. f. (1. de bof.) lamptane de
Zanthe : plante medicinale.
ZazintHinas. V. Zazintha.
Ziz0,8.m. (6. dAsie) grand prötre des Japo-
nais.
+Z8so,s.m. (1. d’hist. nat.) zöbu : pelite es-
pöce de bison. V. Gebo.
ZeseLina, s. f. zibeline, martre zibeline :
sorte de martre, qui tient de la belette; sa belle
fourrure , trös-estime&e.
Zeora,s. f. "zöbre: quadrupdde d’Alrique,
Ane raye.
ZeuriL, adj. 2 gen. de zebre.
ZEBRÜNO, A, adj. couleur de cerf( cheval).
“Zeeöna,s. f. virgule, sigae de ponctuation.
+ Zecona, s. f. quadrupede d’Eihiopie, es-
d’ane sauvage. V. Onagro.
ZEDOÄRIA 0% (4. de bot.) zedoaire bul-
Zepokına, 8. f- | beuse: plante aromatique;
sa racine meödicinale.
Zeıino, A,Pp. p. de Zelar.
ZELADOR, A, 8. zölateur : celuf qui agit avec
zöle pour la religion. V. Zelote. Membre d’une
confrörie, etc., cbargd de faire observer les
statuts. Surveiliant.
+ Zeuinnıa , s. f. (1. de gdog.) Zelande : pro-
vince de Hollande. Nova —, Nouvelle-Zelande,
tles de la mer du Sud.
ZeLinte, adj. 2 gen. quia du zeie pour. V.
Zelote. p. a. de
ZeıLiR,o. a. aroir du zöle pour; veiller avec
zdle, avoir soin au maintien des lois, etc. Ob-
server, surveiller : &pier la conduite, les ac-
tions de quelqu’un. Veiller ä, avoir soin de.
fire jaloux de. — a mulher, surveiller ta con-
duite de sa femme; en etre jaloux.
ZeLo,s. m. zele, soin, attention a fsire ob-
server les lois, etc.; affection ardente pour
quelque chose, pour la religion, la patrie, la
vertu, eto.—s, pl. ” Jalousie. V. Ciume. (fig.)
Crainte qu’on ne manque aux &gards, aux al-
tentions qu’on doit avoir. Ter —ı de, &tre ja
loux de.
ZELÖSAMENTE, adv. avec zele ; avoc jalousie.
ZeLosissımo, A, adj. sup. de
Zeıöso, A, adj. zel6 : quia du zöie, de l’er-
deur, de la ferveur. Jaloux, qui craint un ri-
val. V. Cioso.
Terörs, adj. et s.2 gen. qui affecte du zöle,
qui a un faux zele; zelote,, zelotype, Jaloux.
+ ZELOTY’PIA, 8. f. z6lotypie, ztle outre; ja-
lousie.
Zeuozta. V. Gelosia.
Zenpir. V. Sendal.
Zenıin. V. Azinhavre.
ZENiDO. .
Zenin. V. Zuni..
Zenitu, s. m. (1. d’asir.) s6önith : le point ed-
leste perpendiculairement oppos# & un polm
terresire, point vertical. (fg.) Falte, le plus
haut point (de gloire, etc.,. ’
+ Zanv-AYgata, 3. m. Zend-Avnia ı code des
lois de Zoroasite,
‘
1299 - -ZIR ZON
Zenzennkıno. V. Sinceiro ou Cinceiro, EIRUMBETE. V. Zerumbete.
ZeruYRO, 5. m. zephyr : ven agreshle eg | Zızankıne, 5. me. oelai qui aime lau
doux. (4. de myth.) Zephire : divigniis de la| Zizäma,e. f. (6. debof.) ivrale, maranpan
fable. dans le bie. — basterda , ivreie amehe 1.
Zequim. V. Sequim. Jolo (fig.) Dranie, discorde; div. Sas-
Zeasatina. V. Zarabalana.
Zereo. V. Zirdo.
Zerıninpa, 8. f. volee da coups. V. Sovs,
Tunda
T Zızamiäa , 9. ». semer la zizsak.
+ Zızanista. V. Zizaneiro, Karıdam.
Eırr’rmo, s. m. V. Bassire de um
ABA, 5. f. son fort, bourdennenat im
sement.
tZointeo, #8. mw. (4. dat. net.) nude:
polype & corps nu, sans envelonpe sale. -1,
pl. 00 Achniasd’Ellis, zoanthes: saininm
blables & une fleur syr un pediosie; ıstens
de mer.
Zoia, v. ». hruire, tinter, beurdenee.
Zovıacit,adj.2gem. zodiscal : quiseiei
ay zodiagqune.
Zonlacd, s. m. zodiague : grand unkih
spbere, divis$ eg donze Sippe; paröe da
oü les plandieB 38 Meuven
Zonoanın. V. Zedodria.
»aänco. V, Zofrango
ZuiLo,s. Mm. Zone Nom dk rhötenr sscita
qui, pour se rendre c&l&bre, eritigee jur
ment Ies ouvrages d’Homäre, de amt!
socrate. Son nom esı devenu an non came
qu’on applique & tout critique Injusk ai we
envieux,
Zousaptına, 8. /. mognense; bedise
Zomsino, a, 9. p. de Zomber.
FOMBAROR, A, adj. ot s. mogume, akt;
plaisant, badin.
oysiıa. V. Tunbdia.
Zomsir, 0.6. plaisanter, raflpr qui
x3e, com) v. m. Se moquer de; plasastr.—
unda.
ZerıbÄinDo, 8. m. fouet. V. Azorrague.
ZERO, 6. m. z6ro ; caractdre d’ariikimdtigue
qui decuple la valeur des chiffres apres les-
quels on le place (0); ne&anı, rien. —, margne
au thermoamötre le degrö de la congelation.
Zerostina. V. Zarabalana.
ZERÖNE. V. Cerome.
f ZERUMBRTE. V. Gengiore silvesire.
ZESTE, 5. m. 2e8t: cloison dans les noix, ato.
Zer£tica, &. f. methode $äystlque, pour re-
soudre un problöme en &tudianı ja naturede la
chose. .
TRUGHA, 6. f." zLugıne ‚ yorte d’ollipge, figure
de grammaire.
Zevaa. V,
ZEVRINA. .
Fe |v. Zobelina,
8 .
TZickna, 5. f- (t. d’hist. mas.) zigäne : espäce
de sphinz.
+ Zioussicın, 5 m. (1. de fort.) zigrag ı
emin, boyau en zigzag.
t Aeuszicug, 4. =, peut tambour, Janet
genlanls. (Ag. Tan.) Homme remyant, in-
quie
Zınians. V. Samarra,
Ziuso, 8. m. zimbis : coquillage unıvalve
qui sert de monnale on Afrique,
ZusaörIo, 8. m. dömp : Yvoßie en Cgupe zen-
vers6e qui couronne un temple.
Ziusaa, 5 fı V. Zimbro, &ulguem, so moquer de queiqu'un -au
Zıusaio, A, 2. p. de Zimtrar. guem, plaisanter, badiner Avee qeegr®
1 Zuunnär, a. m. * genärriöre : lieu plants | Eaid zombandu ? vous laisanies, vous beb
de gandvriers, ' nez? Ndo estow zombando, je ne plaisacie pe
Zımsain, vo. a. (#. oulg.) batire, frapper, |jene badine pas. Nem sombands, ps Din
TOBBOR. laisantanı, pas mema en badina.
ZIMBRO, 8. m. (#. de bei.) genävrier : arbris-
sean ndoriidrani, toujours var: — da Lycia
oy . Y, Cedro.
Zınäanuz. V. Asinhavre.
Zinn, s. m. zing: mötgl blanc, brillant,
bleu4tre.
Zinpanöcmo, 4. 0. baut, co qui termine une
ohose dlev6e.
f Zincı. V. Ninsingue da Chine.
Zmcımae. V. Gengiore.
ZINGRÄR, ©.@. (4. oulg.) SB jQuer, 54 moquer
de, railler.
Zınin. V. Zunir.
T Zinn, so. f- (4. de bot.) zinnia: plante de
Ma syngändsie.
BınziL, adj. 2 gen. (1, d’anat.) öpiplaigue,
de l’epiploon.
„Zins, & mm Ci, danas,) Spiplopm, V. ede-
ZiRcBLin, V, Gergelim,
MBania, 8. f. raillerie, mogueie, ”
santerie, badinage; derision. Y. Exerım,
Ludibrio. Fazer — d’ m, se moget, 0
jouer de quelgu’un. Fazer — delqum uw
mesma presen{a, fire au nez de quekgi®=-
insulsa, som grasa, raillerie fade. Perad--
raillerie A part.
ZOMBA-LOMBÄNDO, loc. ade. par maniirt &
plnisanıerie. . on
ONBETEIRO, A . se urogue @®,
raille.s. Mogueur, hr ie V. Enrarnndır.
Zumsino. V. Zumbido.
Zöna,s.f. bande, rale. Zone : une des def
bandes que l’on compte entre lag dee: piC
du globe.
ZoncBAaDüRa, 8. f. coup de pisign de preffi
action de pomper.
DNCHÄR „Q. 9. Romper, faire aller ie piet-
NCHO, 8. m. piston de ig pouipe.
Konxipo, V. Zunide.
Zube. I. Beoe.
+ Zeocıyruitas; 8. fı wi. Dookiyphtten : pp“
us qui aut des umproiuies des ininatiz.
+ Zoöcaarno, a m.S00grEPhR : qui vorit yar
los auksaatık,
4 Geomarniays. f sungrophe : deverfiiiih
des anımaukx.
+ Zaauaehiay u fo’ seultlits : Whdrelfch dos
animaux.
+ ZoöLımo, s. m. z0olithe : partie dure des
animaus fossiles.
+ Zoouocıa,, s.f. 200logie ı science qui traite
de tous les animaux.
+ ZooLocisTa,s. m. z0ologiste : qui 50 livre
a l’etude de la zoologie.
+ Zoomonraitzs, s. f. pl. z00morphiles
pierres qui ont une rassemblanov avcc Un anr
mal oonnu.
+ Zoonxito, s. m. (t. de chim.) zoonate : sel
de l’acide zoorlique.
+ Zoönıco, adj. m. (l.dechim.) Acido —,
acide zoonique, tir6 des muscles.
+ Zoonomia, s. f. zoonomie : recherche SAT
les principes de la vie animale.
+ Zoonömico, A, adj. zoonomique: de la
z2o0onomie. .
+ Zoörmaco, a, adj. (t. d’hist. nal.) 200-
phage : qui suce les animaux (mouche) ; carmi-
vore.
+ Zoormörıco, A, adj. zoophorique : qui
porte un animal (colonne).
+ Zoörmono, s. m. (f. d’arch.) zoophore :
frise chargee de figures d’animauz.
+ Zoöravyro,s. m. (i. d’hist. nal.) zoopbyte:
animal-Aeur, animel-plante.
+ ZoorarroLocia , s.f. zoophytologie: partie
de l’histoire naturelle qui teaite des zoophytes.
+ ZoorBYTroLituzs, 8.2. pl. zoopbytolithes;
zoophytes petrifits de fossiles.
+ Zoorouia, 8. f. sootomie : pr¶tion
anatomique des animaux.
+ ZooryroLituss, s.m. pl. zootypolithes :
pierres qui portent l’ompreinte d’un animal ow
de ses parties.
Zorissa , s. f. zopissa :goudron que l’on de-
tache des vieux navires; poix navale.
+ Zörrao. V. Clinopodio.
Zornims. V. Cerome.
Zönıa. V. Palmatoria.
+ Zoniıua, 8. f. (t. d’hist. nat.) zorille : po-
tite moufetie,, animal du Perou.
+ 7onLito, s. m. (1. d’hist. nat.) chevreuil.
Zonrı, s. f."renard. V. Rapoza. Chariot peu
dlevö, A quatre roues; 6fourceau, diable.
+ Zormiı, s.m. (b. d’hMst. nal.) la drenne.
Y. Tordo visgueiro.
Zonaicus. V. Azorraguse.
Zornnır. V. Estorninko.
Tonstıro, A, adj. ($. de mar.) lourd, pe-
sant; mauvais voilier (vaisseau). Qui demeure
en arriöre, quiapeine A sulvroles autres; lent,
paresseux , laıbin.
Zara0, A,0d/. fin comme lo renard, ruse.
-0
ZUR 1293
(Ag.) Qui lait le niais, Pidiot pour se dispenser
de sraraillar, ale. V. Zervedro
Zönaos, s. m. pl. V. devrowutje; Reboqus,
1:90. Langer = —, weinen, reuiorqudr.
Aautihs td We. "area, oisena;iltoftre, grosse
BIIYE,
ZorzaLbırno, A, adj. Falcdö — ‚ Tauicon qui
‘chasse aux gfiv
os.
ZÖTE, . m. (4. burl.) sot,, nigaud , idiot,
beta, benet.
+ Zorisuo ‚s. m. "sottise, nigauderio, bötise,
imbeeillite.
Zourtıno, A, adj. vieillard decorepit.
Zövo, s. m. hippopotame des riviöres de
Cuama et de Sofala.
+ Zuintg, s. m. (1. d’Asie) sorte de toile de
coton de l’Inde.
Zöcng , s. m. serpent du Bresil.
Zum es Zum zum, son imifalif. V. Zumbido.
Zumsira, 8. f. (8. d’4sie) zombaie : manidre
de saluer le roi des Indes röverence & l’orien-
tale , reverence profonde.
guuneı lan. A,p.p.de
uMBAlÄh, cv. a. faire des zombaies, de pfo-
fondes röverences.
Zuusir, v.n. faire une zombaie, une pro-
fonde rörerence. dt. V. Zumbir.
Zuusino ,„ s. m. tintoin, bourdonnement,
bruit sourd.
ZuM2ido,A,p.p. de
Zumnir , o.#. bourdonner, linier, corner, en
parlant des oreilles. V. Zunir.
Zuu2RiDo, A, P. p. de
ZumBriR-SE, dv. r. so plier, se courber; (lg.)
s’bumilier.
Zunca, s. f. (4. da Brösül)* bicho, bichios ow
bicios: ver sous la peau. V. Ningoa.
Zunıipa , 3. f. (4. burl.) bourdonnement oun-
tinuel, tintement.
+ Zonınkıra, s. f. outil d’orförre.
sourd; sifllement (des vents). — dos owvidos,
tintement d’oreilles.
+ Zunıpon,Aa, adj. bourdonnant, qui bour-
donne. Moses —a, mouche bourdonnante.
Zunım&nto. V. Zunido.
Zunin, dv. w. bourdonner, tinter, corner, en
parlant des oreilles; &prouver un tiniement.
Siffier, en parlant des vents. Bruire. Zunem-
Ihe os owoidos, les oreilles lui cornen!,
+ Zuaicn, s. m. (1. de geog.) Zurich : ville et
canton de Suisse.
Zunnicna, s. f. “bac, barque de passage.
Zunrino,p. p.de Zurrer.
Zunnira. V. Surraps.
Zunrin, 9. ». braire, crier, en parlant de
Pine.
+ Zunnunia, s. f. braires repetös de Pane;
grand nombre d’änes qui braient.
Zuazipo,A,p. p. de Zurzir.
Zunzipöna, 8. f- acion de baitre, de mali-
traiter.
Zunzfn , v.@. (1, vnig.) hatte, frapper, FOR
Zunipo, 8. m. lintoin,bourdonnement, bruit'
Zönno, s. m. braiement, braire : ori de Fäne,
1228 ZYG ZYT
ser. (fig.) Maltraiter, röprimander, gourman- | ZruoLoctı, 8. f. zymeiogie : zaii zur Is
der. fermentatien. V.
ZY’6OMA , 5. m. (8. d’anat.) zygoma:osjugal,| ZYMOSIMETRO, 5.1. 2ymmonimebtze : Imtrumeng
apophyss de Fos temporal. pour mesurer la formentatien.
Zrcouitico,a,edj.(i.d’enat.)zygomatique: | ZUYMoTKcana ,s. ut zymotschnie , syunlagie ;
du zygoma. Arcdde — |, arcade Eygomatique : partie do la ohimie qui tzaite de la um»
pro6sminenoe qui joint Pos de la pommetie au
tomporal. ermo.e. m. sytuum heissen du.
AN.
u...
FIN DU DICTIONNAIRE.
zo
VOCABULAIRE
DES NOMS PROPRES PORTUGAIS, LATINS, FRANCAIS.
A.
Noms masculins. Agustinho. Augustinus. Augustin.
Aires. V. Arlas,
Aaröd. Aaron. Asron. Aläno. Alanus. Alain.
Abd&6. Abdon. Akdon. Alarico. Alerious. "Alarie.
Abel. Abel. Abel. Aläudio. Alaydius. Allede,
Abrahäß. Abreham. Abraham. Albäne. Albanus. Alban.
Absaldöd. Absalon. Absalon. Albörios. Albervons. Auberi,Aubey.
Abundäneie. Abundantius. Abondance. Alberto, Alberius. Albert.
Abundio. Abundies, kan Albino. Aldinne. Ani
Acäcio, Acatins. Acaoe. Alc&o ow Alceu. Alcaus. Alcte.
Acehrsio. deoursius, Accurse. Alcibiedes. Aleiblades. Aleibiade.
hilleus. Alderioo. Aldericus. Alderie,
Achiilen. fZepuen } Achite. Aldovrando. Aldoprendus. Aldebrand.
Acrisio. Korisius. Aorise. Aldrico. Aldrienus. Audri.
Adalärdo. Adalardus. Adalard. Aleixo. Alexius. Alexis.
Adalbörto. Adalber tus. Adalbert. Alfredo. Alfridus. Alfred.
Adid Adam. Adam. Ally’rio. Allyrius. Aliyre.
. Ado. Adon. Almächio. Almachius. Almsche,
Adeiärdo. Adelardus. Adelard. Almerio. Almerieus. Almer.
Adelino. Adelimus. Adelin. Alodio. Alodius. Alen.
Ademäro. Ademarus. Aymar. Alphto ow Al-
Adjuteor. Adjwior. Adjuteur. pbeu. Alphous, Alphee,
Adolpho. Adolphus. Adolphe. Altino. Altinus. Altin.
Adriäno. Adrienuis. Adrien. A’ivaro. Alvarus. Alvar.
Adroäldeo. Adrosldus. Adraud. Amad£u. Anedans. Amedte, Ami.
Advenline. Adventinus. venün. Ami.
Alonso. Alonsus. Fe Amädo. Amasus. Aime,
Agäpio. " Agapius. ape. Amadour.
Agapito. Agepitus. Agapel. Amador. Amsier. Amateur.
Agathäd. Agatho. Agathon. Amäncie. Amantins. Amance,
Agathönico., Agethoniche. Agatbonique. | Amando. Amandus. Amand.
Agörioo Agericus. Agerle. Amaränthe, Ameranikus. Amaranthe,
. y Agtoy. Amäro. Maurws. Mau.
Aggto ouAggeu. Aygaus. Aggte.
Asilberto, Agilberius. Agilbert. Amävel. Anadilis. Aimabie.
°. e ce Amme
Ayricola. Agricola. Agrioole. Ammsönio. Ammonius. N Ammen,
Agripäno. Agripenus. Agrörve. Amphiäd, Ampkion. Amphion,
Aerippins, Agrippians, Agrippin. Anne Amylas. Any.
I
Aldogandes. Aldegondet.
Alena.
Arber. Artkurus. Arııe.
Ascimie. Astamims. Ascagne.
Asterie. Asterins. Asitre.
Atbsyasie, Alkanssins. Atbangss,
Afisnp, Attilanus. Asnılain.
Ausärte. Audartus. Aundacrs,
Audemsse. Audsmerus. Omar.
Andtne. Audenus. Anden.
mn nn
Aufrede. Aufridas. Aufray.
Kegule. Augelus. ver
Augustus. Auguste.
Augüste. n
Aunschirie. Aumacharims. { Anger,
Aureliäne. Aurckanus. Aurtlien.
Aurelie. Aurchis. Aurele.
A’ures. Jureus. Aun.
Ausberte. Ausbertus. Ausbert.
Aussnie. gusonins, Ausoniss.
Autöneme, ulonomus. Autoneme.
. Auzenus, Auxzsan.
Assencie. Auzenlius. Autenng.
Auzibie. Auzibius. Auxibe,
Avenline. Avontiaus, Avestin.
Avite,. Avitus. Avic, Arie
Azssiss. Azosias.
Noms [ahihEN).
Adela. ee, Adöle,
Adeldide. Adelais, Adtlelde,
Adelinz. Adelins, Adelihe.
Adılm. Adilis. Adıle.
Adriäha. Adırisab. Adrienne.
A’fra. Afre. Alre.
Agatha. Agelhe. Agatbe.
Agostinhg. Augusline, Augustine.
Agrippina. derippine, Agrippine.
A’gueda. 7, Ignite,
Albima. Albine.
Alda. a Alde, Aude.
Aldegends.
Alix,
Alexandrige
Alodie.
Aleydüı
Alexandrip. diecchärtäh
Alödta. Alod
Amalia. 7. Ajnelia.
Amalıhöa. Amalihea.
Amella. Amelie.
Anastäsia, Anaslasie,
Anatölin, Anstolie.
Angela. Angela.
Anne. dänne.
Annica, dt, de Anna,
Antsnia. Antoni
Antonine.
Apollinarie.
Apollönis.
Apra.
Astoria.
Astrda,
Athandsia,
A’uda,
Augia,.
A’urea.
Aurtlig.
Ausg.
Arte,
Babilas,
Babilänie.
Babelige.
Bacchao,
Bäldo.
Baldolno.
Baldom#&ro.
Raldrico.
Balthasar.
Barbado.
BardomiAne.
Barlaäe.
Barnab#.
Barönoie.
Barsab&s.
Barsanulpha.
Barıholomen.
Bärulo.
Basiiöu.
Basiliäno.
Basilico.
Basilio,
Basinio,
Bäsolo.
Baudedlie.
Bauduine.
Beato.
Beda.
Beiishrie.
Belträd.
Benedicteo.
Benevenato.
Renigno.
Benjeupiu,
Bento.
VOCABULAIRE,
Apofiinerie. Apollinaire.
Apollonis, Apolline.
Apra. Euvre
Asteria, Astarie.
Astrea. Astree.
Alhanarla. Athanasie.
Aude, Aude,.
Augia. Auge,
duros, Aurde,
durcli. Aurilie,
Ayla. er
vey,
Ave. Avoye,
B.
Noms masculins.
Babies,
Batnlas. Babite.
Babilanius, Babiten.
Babolinus. Baholim.
Bacchus,
Bacchu, Bacqus.
Baldus. Baul.
Baldoinus. Ban douin.
omer.
Beildomerws. Garmer.
Baldricus. Bauuri.
Balthasar. Balthasar,
Barbalus. Barbst,
Bardumianus. Bardomien.
Barlaam. Bariaam.
Barnabas. Barnabe.
Barontius. Baronce.
Barsabas. Barsanufpbe
arsanu .
Barıanulalus. Barsanoul.
Bartiholomaus. Barthetemil.
Barula. Barula.
Basilews. Basilte.
Basilkianus. Basilien.
Basiliews. Basilique.
Basilius. Basile.
Barinius. Basin.
Basolus. Bale.
Baudäle.
Baudelius. | Bausile.
Beusire.
Bauduinus. Buudouin.
Beatus Beat.
u Bienhaursnz.
Boda. Böde.
Belisariys. Belisuire.
Bertrandus. Bertrand.
Beriwanus. Borwan.
. no
Benedictus. Beneset.
Beneventus. Bienvemm,
Beniguus. { Deniene,
Benjamin. Benjamin.
Benediclus. Benoit,
Berälde,
Berardo.
Berino,
Bernardine.
Bernarde.
Bernöülpbe.
Ber6ön is.
Bertino.
Bertolde.
Bertrände, V. Belträo.
Bertulpae, Bertuipiuss.
Bessarihb,
Betario.
Betürie.
Birilo,
Boaventern.
Boleslau,
Bom.
Bonilsein.
Bonito,
Bonönie.
Bräncio.
Brandän.
Bräulio.
Braz.
Bricio.
Brüno.
Balbine.
Bärbara.
Basitia.
Basilissa.
Batildes.
Beata.
Beatriz.
Bemrindn.
-] Benedieta.
Berirana.
Bibiana.
Blandine.
Branea.
Brigida.
Caotano.
Csjane.
Calepodie.
Cahtepo.
Callisto.
1297
Beraldus. Berauid.
Berardas. Berard.
Berinus. Berin.
72 Bernerein,
Bernardus. Bernard.
ulphus Bernuiphe.
Bern ‘ | Bernould.
Beruwisus, rODIUS.
Bertinus. Bertia.
Berteidus. Bertawd.
Burton.
| Bertalpke,
Bardels.
Bessarien. Bessarion.
Betarius Boaire.
Beluriys. Beturg,
Birilus. Birile.
Bonaventum. Bona
Boleslaus. Bolesias.
Bonus. Bon.
Bonifasis. Bonifae®,
s Bon.
Bonilus. Bonet.
Bonontas. Bonoiue,
Brantius, Brantion,
Brandanus. Brandan.
Braulten,
Braulius. Braufs,
Blast, Blaise.
ar < Brice.
Bricius, 1 Brissen.
Bruno Bruno.
u Brumen.
Noms [dminins.
Balbina. Balbine,
Barbara. Barbe.
Basitie. Bastlie.
Basilissa. Basilisge,
» Batilde,
Betildes, Baudour,
Beate. o
Beatrix. Beatrix.
Bensventa. Bienvenue,
Benedicta. Benotte.
Bertrana. Bertranne,.
Bibiana, Bibiane,
Blandins. Blandine,
Blancha. Blauche.
Birgida. | Brigide.
Birgitta. Brigjise.
©.
Noms masuline.
Cajetanus. Gm
Cajanus. Cajan.
. Calepode.
Calliopus. Calliope.
Calliste.
Collisius,
1228
Calmelio.
Camerino.
Camillo.
Cäneio.
Cändido.
Canüto,
Capräsio.
Carano.
Carilepo.
Cariveldo.
Carlos.
Carios-Magno,
Carmörio.
Casimiro.
CassiAno.
Cässio,
Catäldo.
Catäß,
Cäto.
Catuiino,
Catällo.
Cecilio.
Celestine,
Celiäno.
Cölso.
Chrisliano.
Christino.
Christöväo.
Chromäscio,.
Chrysögono.
Chrys6stomo,.
Cicero.
Cindeo.
Cireno.
Cirido.
Cirioo.
Glar@uclo.
Cläro.
Claudiane.
Claudio.
Glemente.
Clementine,
Cleodulpho.
Cleömenes.
Cle&ophas,
Clöte,
Corolus Magnus. Charlemagne.
Ca
Carmerius.
Cletus.,
VOGaBÜULAlut:..
Chaumel.
Camarin.
Gamille.
Cance.
Candide.
Canut.
{ Capraise.
Caprais.
Cheroa.
Calais.
Carivauld.
Charles.
rmer.
Casimir.
Cassien.
Cassi.
Catalde.
Cataud.
Chagnon.
Cheledoine.
{ Chillin.
Chelly.
Chrötien.
Christin.
Christophe.
Chromare,
Gramas.
Chrysogon.
Chrysostome.
Cicöron.
Cinde,.
Cindee.
Cerneuil.
Cirice.
(Cie Cirgues.
Clarenee,
Glair,
Cler.
Claudien.
Claude.
Clöment.
Clementin.
Cleoduiphe.
Cldodoul.
ı Clöomeöne.
i Clömene®.
Cleophas.
Clodoaldo.
Clodoveu.
Codräto.
Colombano.
Colono.
Colaämbo.
Condeu.
Conrädo.
Constaneio.
Constantino.
Cornelio.
Cösme.
Cresco#neio.
Crescente.
Catharina.
Cecilia.
Cesäria.
Chelidonie.
Christiana.
Christina.
Gilinie.
Clara.
Claudia.
Claudina.
Clemeacia,
Clementina.
Cleüpatra
Clotildes,
Coltts.
Columbe.
Combe.
Constäncia.
Corina.
Cornelia,
Crispina.
CGunegundes.
Cyrenia.
Cyriaca.
%
Carolina.
7
Y
Penn,
FIEHEERE SETGRRRRERRGREENN
np
in]
D.
Noms masculins.
Yasiäno, Dacianus,
)Acio. Dacius.
)agoberto. Dagobertus.
jalmteio. Daimatius.
‚amäsio,
'Amaso. } Damasıs.
amiäd,. Domianus.
aniel. Daniel.
ıard4no. Dardanus.
ario. Darius.
ato. Datus.
avıd. David,
)&ciO. Decius.
'reicola. Deicola,
elphim. Delphinus,
Yeme&lrio. Demetrius.
nm6öcrito. Demoeritus.
wmösthenes. Demosthenes,
reniz, Dionysius.
Deodatus.
eodäto, D Jedit.
resideräto. Desideralus.
\esideörio. Desiderius.
dio. Didius.
idymo. Didymus.
Jiniz. V. Dewiz.
Jjiocleciano., Dioclstianus.
riocles. Diocies.
jiodöro, Diodorus.
jiögenes. Diogenss.
Jiögo. Didacus.
jiony’sio. Dionysius,
rioscörides. Dioscorides.
)iöscoro. Dioscorus.
Jomiciano. Domitionus
Jomicio, Domitius.
)omingoß. Dominieus.
)Jonaciano. Donatianus
)Jonato. Donatus.
)orotheu. Dorotheus.
)räusio. Drausius.
)rogo. Drogo.
Irogoveu. Droctoveus
Duärte, Eduardus.
Julcardo. Dulcardus
Durändo. Durandus.
Noms [eninins
De l phi na. De Ipkina,
Demetria. Demeiris,
Diana. Diane.
Didia. Didia.
Diony’sia. Dionysia.
Domingas. Dominica,
Domitilla. Domitilia. -
VOCABULAIRE.
Dacian. "
Derobert,
Dalmece,.
Damase.
Damian.
Daniel.
Dardanus.
Daire, Darie.
Dath.
David.
Dece.
Deile.
Dauphin.
Demiätre,.
Democrite.
Demosthöne,
Didyme,
Diocledtien.
Diocles.
Diodore.
Diogene.
Didace, Diögue.
Denis,
Dioscoride.
Dioscore,
Domitien.
Domice.
Dominique.
Donatien.
Douchard.
Durand.
Delphine,
Demetrie,
Diane,
Dide.
Denyse.
Dominique.
Domitille.
Donäta.
Donath6e.
Dorotbhöa.
Ebruipho.
Edesio.
Edilberto,
Edistio,
Edmundo,.
Eduardo.
Egberto.
Egesippo.
Egeus.
Egidio.
Eleäzaro.
Elesbä&6.
Eleuchädio,
Eleusippo.
Eleutherio,
Elezeario.
Elias.
Emiliäno.
Emilio.
Emy’gdio.
Enetas.
Enddio.
Eolo.
Eönio.
Epärcio.
Ephrem.
Epicteto.
Epicäro.
Epigmönio.
Epimacho.
Erasmo.
Erästo,
Erico.
Ermelando.
Ermino.
Ernesto.
Erostrato.
Esculäpio.
Esdras.
Esöpo.
Rsparidiäd,
Estanislau.
Esueväo.
Esy’chio.
Stephanus.
Rıychius.
1229
Donnese,
Donatile,
Dorothte,
Eleuchade,
Eleusippe.
Eleuthöre.
lin.
Emile.
Emygde.
Enöe ®
Ennode,
Eole,
Eon.
Cibard.
Ephrem.
Epictöte.
Epicure.
Epigmoine,
Epigomöne,
Epimague,
Epiphane,
Erasme.
Eraste.
Erric, Erry.
Erblain.
Ermin.
Ernest.
Erostra ie.
Esculape.
Esdras.
Esope.
Spiridion,
Stanislas,
Etienne,
Estöve,
Kayche.
1230
Eucärpfo. Eucarpius.
Eucherie Buchertus.
Euclides. Euclides.
Eudözies .Eudoswius.
Eugendo. Eugenaus.
Eugenio. Bugenws -
Eulämpio. Eusampius.
Euphräsio. Eugliaaeiun.
Euphrönie. Euphronius.
Euripides, Euripides,
Eusebio. Eusebius.
Zusico. Busicius.
Eusinio. Eusinits.
Eustäquio, Eustachius.
Eustöchio. ustochiass,
Eustörgio. uslorgius.
Eusträtio. Eustracius.
Eutröpio. Eutropius.
Euty’chio. Euiyckhius.
Euty’mio. Euiymius.
Euväldo, Ewvaldus.
Evägrio. Evagrius.
Evancio. Evantius.
Evandro. Evandrus.
Evaristo. Eraristus.
Evellid. Evellius.
Evenclo. Eventias.
Everardo. Everardes.
Eviläsio.._ Boilasius.
Erodio. Evodius.
Erönio. Evonius:
Exuperio. Exupertas.
Ezeguiel. Exzechtel.
Noms feminins.
Elödia. Elodia.
Emelia. Emelia.
Emervnciäna. Emereniiagna.
Emerita. Emerita.
Emilia. Knmilia.
Emiliäna. Zmiliana.
Engräcia. Engralia.
Epiphänia. Epiphania.
Ermelinda. Ermeslindis.
Recolastica. Scholastiea.
Spes.
Esperäng». Ezuperanlia.
Esıephany. Stephana,
Eudeösig. Eudoxia.
Eugenia. Eugenis.
Eulälia. Eulalia.
Eulämpia. Bulampia,
Eundjmis, Eunomia.
Euphömia. Euphemia.
Euphräsie. Euphrasia.
Eusebia. Eusebia.
Eustökhia. Eustocklum.
Eutröpie, Batropia,
Eva.
Ksupecia, Eruperia
VOCABULATRE,.
Bucarpe.
Eucher.
Euelide,
‚ Eudoxe
Eugent.
Oyant.
Eugene.
Eulampe.
Euphrase.
Eupffroine.
Euripide.
Kusehw#.
Eusice. '
Eusigde.
Eustathe.
Eustoche,
Eustorge.
Eustrate.
Eutrope.
Eutyckte.
Eutyme.
Euvald.
Evagre.
Evans.
Evandre,.
Evariste.
Evelile.
Evente.
Evrar@:
Evilaise.
Evode.
1 Evosy.
Igonie.
Exupere.
Ezechiel.
Elodie.
Emmeöle.
Emerentiane.
Emerite.
Emilie,
Emilienne.
Engrace.
Epiphane.
Ermelinde.
Scholastique.
} Esperanee.
Etienne.
Eudorie.
Eugenie.
Eulalie.
Eulampie.
Eunonmiie.
Eupheinie.
Euphrasie.
Eusebie.
Eustochiou.
Esstochie.
Eutröpe,
Es ©
Erupfre,
Fabiäß,
Fäbio.
Fabricio,
Factor.
Fagundo.
Faustino.
Fäusto.
Feliciano.
Felix.
Fergeolo.
Fernäindo.
Ferreolo.
Festo.
Fiäcrio.
Fiel.
Firmin®.
Firmo,
Flaminio.
FlaviAno.
Flävio.
Florbertö.
Florencio,
Florentino,
Floriäng.
Floriberto.
Flörido.
Flöro.
Fortunätd.
Francisco,
Franco.
Frederico.
Fredulpbe.
Frigdiane.
Fructusso,
Fruduiphe.
Frum£ncio.
Fulgencie,
Fursöu.
Füsculo.
Fära.
Faratides.
Fausta.
Fauslina,
Febrönia,
Felicia.
Felicjana.
Felicidäde,
Noms masculias,
, ‚Fabianus, Nm,
Fabius. re
Fabrietus. Fixb
Facor. Panel,
Facundus Il.
Faustinus. Frese,
Faustus. Frei.
Felicianus. Feines
Feliz. fe
Fergeolus. Fergesl.
Ferdinandug fell
Ferreolus. Fernel.
Festus. Feste.
Fiacrius, Fisere.
Fidelis, Fiat, „
LL.. Fums,
Firma | ar.
Firmus. Fıree.
lamınius. Flnms
lavianıs. fürm.
lavius. Fur ‚>.
lorberius. Ficken.
lorenPih. Fre
lorentinug, Flemis
Florianus. Frea:.
Floriberius. Eat
Fioridys. Man.
fisst.
Florus. Pen.
fe.
E: or funahtt. Kers".
Franciew. fine
Fre.
Francks. fat
Friderius, fe
Freduiphus. fr
Frigdiesu. fit
Fructueni. Freru
Frudulpuun. Fre.
. ( Frass"
Frumtnlius. |fes-
Fulgentiw. Ft.
Fursaus. Fer.
(Fe.
Fusculus. | le.
Noms feninia.
Fara. Port:
Phareildis. Furt
Fausla. aut
Feustind. Fa"
Febronia. Ks
Felicia. Polo
Felieians, Feic-
Febicitdi, Pe
VOSABULAIRE.
Firmina. Firmina, Firmine. . Qosrico.
Flävia. Flavia. Plavie. _ Beer
Flora. Flora. 1ore. ngallo,
Fioreneis, Florentia, Florence, Gandeberto.
Florina. Florina. Florine @ondulpho..
Y ‚Fortmala. ortunde.
Fortunäta, . Francoise. Gorgodin.
Francisoa Francisca. Fanny. Kothardo,
Frandisquinha , dint. BOPFERAWER, Franchon.
Fruoieosa. Fruciusse. Fructueuse. Ereere
‚Lk üregöri
rimoäldö.
G. Gualberio.
Gualrio.
Homs mernulini , uarino,
. uiberto,
Galdine, ° Galdimns. "Galdin, aicharda.
Galeno. Galenus. Galien. .
Galliane. Gallien kanus Gallien. &uilherme.
Gallileu. ' . allilde, n .
Gallo. Gallus. Gal. a
Gamaliel. Gamalid. Gamaliel. ustavo...
Ganimedes. Gunimedes. Ganimedes.
Gaspär. Gaspar. Gaspard.
Gaudense, - Gaudenfius. Gaudenge,
Gaudino. Gaudinus. Gaudin.
jaufredo, Gaufride. . Geoffrei. Galathöa,
Gaugerioon, Geugeriud. Äcan = pbaudelig,
Gedeaö, Gedeon. Göd audencias
ene
Gelasio. Gelasius. Cölase, * novöfa,
Gemello, Gemeilus. Gemel. ermana.
Gemino. Geminus. Gemine, rtrudes.
Genciano Gentianus, Gentien. rundia.
Genebalde. %G . Genebaude, uilhermipna,
Gen6sio, Genesius. Genids,
Gennadia Gennadius Gennade.
Gentil. Gentilis.. Genül.
Genulphes . Genon.
Gerärdo. Gererdus Gerard.
Gerebalde« Gerebaldan, Gerebguid,
Geremaro. Geremarun Germer. ’
Gerino. Gerimss. Gerin adsianeı
Gerläcio. Gerlacius. Gerlac. aduindo.
Germano.. Germanus Gr arduino.
eronce ; @r | Begesippo.
Geröncio. Gerontiun FouX. or
Gerumne. Gerummus. Geron. elano.
Gerunds. Gerundss. Gerondse eliberto.
Gervasio. Gervasius: Gervais. elio.
Gil. Kgidius. Gilles. eliodoro.
Gilberto. Güberius Gilbert. eliogähaleı
Gildardo. Gildardus. Godard; emeteri®
Gildäsie, Güldasius; Gildas, enrigases
Giraldo Gilardus. Girauld. eräclies
. Geraldus. Geraud. eräclito.
Gläuco. Glaucus. Glaucus. erbertau
Goato. Goatus. Goat. Herculmme,
Goberio. Gobertus. Gobert. ercules.
Godelrtle. Godefridus. Godefrol, Heribaldo.
Goihofrides. Ondel;ch Neriberw.
Kodolsäde,
Gualbertüs.
Gallerius.
Guarinus.
Guiberfus.
Gwillelmeds.
Gusiavus,
Noms [ERtHER.
Galathsa.
H.
Noms maschilil.
Hadriewäs,
Haduindus.
Hardwinus,
Hegesippuh.
Hector.
Helanus.
Hetiberius.
Helius.
Heliodorus.
Heliogabaies.
Gualbert.
Waubert,
Gautier.
Gue6rin
Guiber
Guichard,.
Gui.
Guillauie,
Guillem.
Guillebeäds
Gustave,
Galathöe.
Gaudeölie.
Gudule,
Gaudence.
@enereumd.
Genevidve.
Germaine.
Gertrude.
Geronde.
Guillemetie,
.
Adriew, !
Chadouin. }
Hardouin.
Bector.
Helan.
“ Heivert,
Beölier. »
Heliodore,
Beiiogabaimn
Homätdre,
Henri,
Biracie,
Heraolite.
Herbert.
Bercnlam,
Heroule,.
Beribauld,.
1932
Hermelände, Hlermelandus. {
Hermenegildo. Hermanegildus. Hermensgilde.
Hormes. Hermes.
Hermögenes. Hermogenes.
HerödoWo,. Herodoius.
Hesiodo. Hesiodus.
Hiacintho. V. Jacinto.
Hidulpho. Hidulphus.
Hilarisd. Hiüarion.
Hi Iärio. H tlar vs ‘
Hildeberto. Bildebertus.
Himärio. Himarius.
Himelino. Himelinus.
Hippöcra tes. Hippoerates.
Hippölyto. Hippolytus.
Homeöro. Homerus.
Honesto, Honssins.
Honoräte. Honoratus,
Honorio. Honorius.
Honulpho. Honulphus.
Horäcio. Horatius.
Hospicio. Hospilius.
Huberto. Hubertus.
Hugo. Hugo.
Hugolino. Hugolinus.
Humfrede, Humfridus.
Hyginus.
Hygine. | Hyginnus.
Noms [öwinins.
Heduviges, Hedwigis.
Helena. Helena.
Heliada. Beliada,.
Menriquete. Henrice,
Hertnia. Hoerenia,
Hiläria, Hilaria,
Honoräta. Honorala.
Honorina. Honorine.
Humiliane. Humilkiane,
I.
Noms masculins.
f’caro. lcarus.
Idalöele. Idaletiws.
Ignäcio. Ignalius.
}idebrando, Ildebrandas.
lidefonse, Ildefonsus.
Nlidio. Illidius.
Inacho.. Inachus.
Innöc#neio. Innocontius,
lren&u. Irenaus
Inasac. lssac.
lagias. + dsaias,
Hermenws.
VOCABULAIRE.
Herman.
Berblan.
Hermetan.
Hermet.
Hermogöne,
Herodote.
Hesiode.
Hidoul.
Hilarion.
Hilaire.
Bilier,
Hildebert.
Himer.
Himelin.
Hippocrate.
Hippolyte.
Homöre.
Hone:t.
Honorat.
Honor®.
Honore.
Honuiphe.
Horace,
Hospice.
Hubert.
Hugues.
Hugolin.
Humfrey.
Hygin.
Hyginne,
Heduvige.
.. Helöne.
Heliade.
Honriette.
Herenie.
Hilaire.
Honoree.
Honorine.
Humilienne.
lcare.
Idalöce.
Ignace.
lidebrand.
lidefonse.
_ Mlide,
Inachus,
Innoocent.
Irende,
lssaac.
Isale.
Isäure. Ismurus. issure.
Isidöro. .
Isidro. | Zriderus. Iiidene,
Ismadl. Imasl, \umaäl.
Jsoereies. Imerase,
Ivo. Ivo. Ira.
Noms föniadins,
Ia. la. BR.
Ign6z.
un } Amer. Agnis.
Iphigönia. Ipkigenia. Iphigisis.
Isabel. een 2 Tinten
Isabasa.
Iveta. Inetie. Ivette.
J.
Noms masculins.
Jacıntho. Byacinthus. Hyscafbs.
Jano. Janus. Jenm.
Januärfo. Jonuerius. Janvier.
jayme: Jucobus. jamı.
068. vannes.
Jo&ozinho, dim. de Joäo. Jesunst.
Jeremias. . Jerimis.
Jerönimo. Bieronimus. Jertme.
doaquim. Joachim, Joschi.
Job. Job. pe
Jodöco. Jodocus.
Joel, Joel. Jeil.
Jönas. Jones. Jesat.
Jorge. Georgia. Ger.
Josaphä. Jsephas. Josaphst.
Jose. ossphus. Joseph.
Josue. Josus. Jesue.
Joviniäne. Jovinianus. Jorinise.
Jovino. Jovinus. Jevin.
Jovita, dJovite, Jovi
J
Judas. Judas. { Fee
Juliäno.
Julikd, } Julionus. Juin.
Julio. Julius. Ju.
Justiniano. Justinianus, Jusiaiee.
Justine. Justinus. Justin.
Justo. Justus. Juste, ik
Juvenal. Jweonalis. Jurdsal
Juvencio. Juventius. Jurence.
Juventino, Jwormnlinus. Juvenim.
Noms fiminins.
Januaria. Jenyaria. Jaaritge,
Joana. Joanne. Jeanne.
Joaninha , dien. de Joana. Jeanne.
Joaquinbe. Joachins.
osepha.
Jucünda. Jucunda.
Judith. Judith.
Julia. Juha.
Juliana. Juliana.
Juno. Juno,
Justa. Jusia.
Justine. Justina.
L.
Noms masculins.
Ladislau. Ladislaus
Lamberto. Lamberius.
Landerico. Landericus.
Landoaldo, Landoaldus.
Landulpho. Lundulphas
Laomedönte. Laomedon.
Laudo. Laudus.
Lauriäno. Laurianus.
Lauro. Laurus.
L&zaro. Lazarus.
Leändro. Leander.
Leid. Leo.
Leobärdo. Leobardus.
Leonardo. Leonardus.
Leöncio. Loonlius.
Leonides. Leowides.
Leondrio. Leonorius.
Leopoldo. Leopoldus.
Leotardo,. Leotardus.
Leovigildo. Leovigildus.
Letäcio. Latatius.
Leufredo. Leufridus.
Liberato. Liberatus.
Liberio. Liberius.
Liboörio. Liborius.
Lieinio. ' Lieinius.
Lizinio. Lisinius.
Ligörio. Lig 07 UT, 1}
L.ino. Linus.
l.ivario, Livarıns.
Longiahos, .
Longino, } Longinus.
l.opo. Lupus.
Loihärlo, Lotharius.
Lourtngo. Laurentius.
Lucäneo. Lucanus.
l.ucas. Iness.
Luciäno. Lucianus.
Lueinio. Luciwius.
Lücio. Lucius.
Ludolfe. Ludolfus.
Luiz, Ludovicus,
PORT.-FR.
1233
Joschine. Lullo. - Lullus. Lulle.
Luperio. Luperius. Luper.
Jos£phine. Lyeurgo. Eycurgus. Lycurgue.
Juconde. Lysandro. Lysandrus. Lysandre.
Judith. Lysippo. Lysippus. Lysippe.
Julie.
Julienne. .
Junon. Noms füminins.
Juste.
Justine. Latons. Leiona. Latone.
Laura. Leuwra. Laure.
Lavinia. Lavinia. Larinie,
Leocädia. Leoeadia. Leocadie.
Leocrecia. Leoerefia Leoerecie.
Leöncis. Leontkis. Leontie,
Leonoria. $ L&onore.
Leonor. Eleonora. t El&onore.
Ladislas. Leopoldina.. Leopoldina. L&opoldine,
Lambs. Libänia. Libania. Libanie.
Lambert. Lour@nga Laurentia. Laurence.
Terre Lucrecia. Lueretie. Luordre.
Landoald. uise.
Landulphe. Luiza. Ludoviea. Hölolse-
setie.
Laomeden. Lutzinha, dies. de Lulza. Louison.
Laurien. Luzia, Lacia. Luce.
Laure.
Lazare.
{ Ladre. M.
Leandre.
Leon, Lie.
Leobard. Noms mesculins. .
Leonard.
Lienard. Macärio. Macarius. Macaire.
Löonce- Machabeu._ Machabeus. Machaböe,
Tdonor, Maclörio. Maclovius. Aaclon.
Lsopold. Macrino. Mecrinus. Macrin.
Lethard. Macröbio. Macrobius. Macrobe,
Leovigilde. Mafoma.V. Mahomet.
Lötace. Maglörio. Maglorius. Magloire.
Leufroy. , Magneric.
Liberat. Magnerico. Magnericus. N Magny.
Libere. Mahomet. Mahomelus. Mahomet.
Liboire. Majolo. Majolus. Mayeul.
Lieinie. Malachlas._ Malachias. Malschie.
Lizin. Mälco. Malchus. Malque.
‘ Ligoire. Mamante. Mamas. Mamant.
U Ligori. Mamöde. Hamas. Mammös.
Lin. Mamerto. Mamertus. Mamert.
Livar. Mamillo. Mamillus. Mamille,
. Mancius. nce.
Longin. Fern perl Mandelus. Mande.
Loup, Leu. Manfredo. Manfredus. Manfroy.
Lothaire. Manuel. Manuel.
Laurent. Manuel. Emanue.. Emanuel.
Lucain. Manve&u, Manveus. Manvien.
Luc. Margal. Marlass. Martiel
Lucien. Marcelliäne. Marcellianus. Marcellien.
Lucine. Marcellino. Marcellinus. Marcellin.
Luce. } Marceau.
Ludolf. Marcello. Marcellus. Marcel.
Louis. Marciano. Marcianus. Marcien.
VOCABULAIRE.
78
— [11m
1881 ,
. Mareius.
Marcio. Hartius.
Marco-Antonio. Marcus-Antonius. Marc-Antoine.
Marco-Aurelio.
Märcos. Marcus.
Marcülpbho. Marculphus.
Mardoch&u. Mardooheus.
Mardönio. Mardonio.
Mariäno. Marianus.
Marino. Marinus.
Märio. Marius.
Marte. Mars.
Martim. .
Martinhe, } Marlinus.
Martiniane. Marlinianus.
Martirius.
Martirio. Mariurius.
Mathens. Matthaus.
Mathias. Mathias.
Maurencio. Maurentius.
Mauricie. Mauricius.
Maurino. Maurinus.
Maxtneie. Maxentius.
Maximiäng, Maxzimianus,
Maximiliano. Maximilianus.
Maximino. Mazxziminus.
Maximo. Maximus.
Mecönas, Mecenas.
Medardo. Medardus.
Mederico. Medericus.
Melänie, Melanius,
Melano. Melanus.
Melchiades. Melchiades.
Memmeorio. MHemmortus.
Menändro. Menander.
Menardo. Henardus.
Menelau. Menelaus.
Menelenu. Meneleus.
Menulpko. Menuiphus.
Meralde. Meraldus.
Merourle. Mercurius.
Meroveu. Meroveus.
Metelle. Metellus.
Meihedie. Methodius
Metröble. Metrobies.
Mich6as. Michaas.
Miguel. Michael.
Milits, Melito.
Milleto. Milletus.
Minias, Mimias.
Mithridates. Mithridetes,
Modiöste. Modestus.
Modoslde. Modoaldus.
Mentano. Montenus.
Morpben. Morpheus.
Moyses. Moyses.
Müolo, Muchss.
Marcus-Aurelius. Marc-Auröle.
VOCABULAIRE.
Marce.
Marta.
Marc.
Marcou.
Mardochee.
Mardon.
Marien.
Marin.
Marius.
Mars.
Martin.
Martinien.
Mariyr.
Martory.
Matthleu.
Mathias.
Maurant.
Maurice.
Maurin.
Maixent.
Mazenoe.
Maximien,
Maximilien.
Maximin.
Mesmin.
Maxime.
Max.
M6eöne.
Mödard.
Mery.
Mederic.
Melaine.
Melan.
Melchiade.
Mesmy.
Menandre.
Menard.
Mendlas.
Mönele.
Menou.
Meraud.
Meroure.
Mörovöe.
Metelle.
Möthode,
Mötrobe.
Mich&e,
Michel.
Meliten,
Miller,
Miniat.
Mithridate.
Modesie.
Modoald.
Mentain.
Morphöe.
Mofse.
Moyse.
Muce, Mooe.
Macaria.
Magdalena.
Magna.
Maphalda.
Marcella.
Marcelline.
Märcia.
Marciana.
Margarida.
Maria.
Mariana.
Marinha.
Martha.
Martinha.
Mathilde.
Maxeöncia.
Maxima.
Medea.
Medusa.
Melania.
Michaella.
Michelipa.
Modösta,
Mönica.
Nabe£e.
Napole4ö
Nareiso.
Nars&u.
Natal.
Nazärio.
Necterio.
Nehemias.
Neme6rio.
Nemösio.
Neöpbito.
Neptuno.
Nere@y.
Nero.
Nesiör.
Nicändro.
Nicanör.
Niedsio.
Nicecie.
Nicephore.
Niceu.
Nicodemos.
Nicoläu.
Nicomödes.
Nicöstrate.
Noms feminens.
Macarie. Aacsire.
Magdalena. Madsisime,
Magna. Magm.
Mophalda. Naphalk.
Martella. Marcelle.
MHarcelline. Marcelime.
Marcia. Mareie.
Moarciana. Marciane.
Margerite. Margaerits.
Maria. Marie.
Marianne. Marianne.
Marinka. Marine.
Marika. Marthe.
Marlina. Martine.
Matkildis. | Frrrwer or
Mexonlia. Naerence.
. Maxime.
Maxime. | em.
Medes. Mödee.
Medusa. Medess.
Melania. Melsus.
Michaella, Michelle.
Michaciiine. Micheline.
Modesta. Modesie.
Monica. Meoaigee.
N.
Noms masculins
Nebor. Bro
Napoleo, Neopolus_Napelise.
Narcissus. Narcisse.
Narseus. Narste.
Natalis. yaul.
Nazarius. Nazarie.
Necterius. Neetaire.
Nehemias. Nebtmie.
Nemerius. Nömsire.
Nemesius. Nemtse.
Neophytus. Neophya
Neptunus. Neptum.
Nereus. Nerte
Nero. Nere.
Nestor. Nest.
Nieander. Niosadın.
Nicanor. Nicanes.
Nicasius. r
Nicelius. Dre
Nicephorus. Ni
Nicaus. Nicte.
Nicodemes. Niosdiune.
Nicolaus. Dr
Nicomedes. Nicomöds.
Nicostreias, Nicesiran
Norberto. Norberts.
Nuno. Nunmas.
Noms fiminins.
Natalia. Natalia.
Neomedsia. Neomesia.
Nicoleta. Nieolea. ı
Nicolina. Colelta.
Ö.
Noms maseulins.
Osctaviano. Oelavianıı.
Octävio. Octavins.
Odäd. Odo.
Odildd. Odilo.
Odolpho. Odolphus.
Odorico. Odorieus.
volau Olaws.
Utldegario. Oldegarius.
Olimpio. Olmpius.
Olipio. Olipius.
Oliveiros. Lil
Olivdrio. } Olivarius.
Ollegario. Ollegarius,
On &simo. Onesimus.
On.ofre. Onuphrius.
Optaciäno. Oplaltianus,
Optäto. Optatlus.
Urestes. Orestes.
Origines. Origines.
Orönclio. UOrontins.
Oseas. Osoas.
Oth&8. . Oo.
Ovidio. Ovidins.
Noms fiwinins.
Oda. Oda.
Olaia. Olalia.
Olga. V. Aldegundes.
Olympia. Olympia.
Opportuna. Opporiuns.
’ Othilia. Otkilie.
r
' P.
; Noms masculims.
PaciAno. Pacianus.
Pacilico. Pacificus.
Pacömio. Pacomins.
Paleölege. Palmoloaus.
VOCABULAIRE,
Norbert. Palinuro, h Pulinurus.
Nonne. Pallädiv, Palladius.
Pancräcio. Pancralius.
Pantalidö. Pantalsen.
. Papias. Papias.
Päpio. Papius.
le Päpulo. Papulus.
Pardulpho. Pardulphus.
} Nicole. Paschesie. Paschasius.
Pascoal. Paschalis.
Pastor. Pastor.
Paterio. Paterius.
Paterno. Palernus.
Patricio. Patricius.
Octavıon. | Patröole. Patroce.
Eudes. Paulino. Paulinus.
Odon. Paulo. Paulus.
Odile. Pedro. Petrus.
Odilon. Pedrinho, dim. de Pedro.
Odolphe. Pelägio. Pelagius.
Odorique. Pepino. Pepinus.
Olare. ererrino. P
Olleguier.. | es erogrinus
ee Perpetuo. Perpetuus.
Olfri Persio. Persius.
Vier. Petraroa. Pelrarca.
Olleguier. Phastente. "Phaeton.
On&sime. Phöbe. Phabus.
Onuphre. Phelisberto. .
Optatien. Philiberto. | Mlibertus.
tat. Philippe Pkilippus.
One Philo. Pkilo.
Origöne. Philomeno. Piilomenus.
Oronce. Phindas. Phinaes.
Osbe. Pilatos. Pilatus.
Othon. Pindaro. Pindarus.
Ovide . P io. P dus.
Pirame. Piramus.
Pläcido. Placidus.
Plat&d. Plato.
Pläuto. Plautws.
Ode. Plinio. Plinius.
Olaie. Plutarcho. Piutarchus.
Pödio. Podius.
Olympie. PoliAno. Polianus.
Opportune, | Polliäd. Pollio.
Othilie. Pollio. Pollius.
Polybio. Polybius.
“ Polycarpo. Polyearpus.
Polydöro. Polydorws.
Polyphemo. Polyphemus.
Pompeu. Pompeius.
Ponciano. Pontianus.
Pacien. ! Pöncio. Pontius.
Paciflque. Porciano. Portianus.
Pacöme. Porphirig, Porphyrius.
Palsologue. | Possiüsaio. Possidonius.
1235
Palinure.
Palais.
Pancrace.
Pantaldon.
Pantrate.
Papias.
Pape.
Papoul.
Pardoux.
Päquier, Pas
case,
Paschatl.
Pasteur.
Patöre.
Pater.
Paterne.
Patrix.
Parrice.
Patre.
Patrocle. >
Paulin.
Paul.
Pierre.
Pierrot.
Pe&lage.
Pepin.
Pertgrin.
Pelerin.
Perpötue.
Perpete.
Perse.
Pötrarque.
Phaäton.
Phebus.
Pbilbert.
Philibert.
Philippe.
Philon.
Philomädne.
Phinde.
Pilate.
Pindare.
Pie.
Pirame.
Placide.
Platon.
Plaute.
Pline.
Plutarque.
Pode.
Polien.
Pollion.
Polle, Pol.
Polybe.
Polycarpe.
Polydore.
Polyph&me.
Pomp6e.
Pontien.
Pourgain.
Ponc#, Pons.
Portien.
Porphyre,
Possidoniug.
1236
Presidio.
Pretextato.
Priamo.
Priapo.
Primo.
Prisciano.
Priscilliano.
Prisco.
Probo.
Procöpio.
Promeiheu.
Prospero.
Protäsio.
Proteu.
Prudeneio.
Piolomeu.
Püblio.
Py’ramo.
Py’rcho.
Pyihägor.
Pallddia.
Pallas.
Pandora.
Paschasia.
Patricia.
Paula.
Paulina.
Pelägia.
Perpetua.
Petronilha.
Philippa.
Philomena.
Polymnia.
Praxddes.
Prisca.
Priscitla.
Proserpina.
Pulcheria.
Quadrate.
Quintiliano,
Quintino.
Quinto-Curelo.
Quirino.
gYQuintilha,
Quitsria.
Quitte.
‘’
Prasidius. Pröside.
Pratextalus. Pretextal.
Priamus. Priam.
Priapus. Priape.
Primus. Prime.
Priscianus. Priscien.
Priseillianus. Priseillien.
Priscus. Prisque.
Probus. Probe.
Procopius. Procope.
Promelheus. Promäthe6e.
Prosper. Prosper.
Protasius. Protais.
Proteus. Proise.
Prudentius. Prudenee.
Pilolomeus. Ptolomde.
Publius. Publie.
Pyramus. Pyrame.
Pyrrhus. Pyrrhus.
Pythagoras. Pythagore.
Noms fdminins.
Palladia. Pallade.
Pallas. Pallas.
Pandora. Pandore.
Paschasia. Paschase.
Patricia. Patrice.
Paula. Paule,
Paulina, Pauline.
Pelagie. Pelagie.
Perpeina. Perpeötue.
Pätronille.
Peironilla. | Perrine.
Perrette.
Pkiligpa, Philippe.
Philomena. Philomene.
Polymnia, Polymnie.
Praxedes. Praxöde,
Prisce. Prisque.
Prisecilla. Prisciile.
Proserpina. Proserpine.
Puticheria. Pulcherie,
Q.
Noms maseulins,
Quadralus. Quadrat.
Quintilianus. Quintilien.
Quentin.
Q iams. Quintin.
Quinius Curtius. Quinte-Curce.
Qwirinus. Quirin.
Noms fdminins.
Quintilla. Quintille.
. Quitere.
Quiteris. Quiterie,
Qwilia. Quitte.
VOCABULAIRE.
Radamantho,
Radulpho,
Ramiro.
Ranulpho.
Raymundo,.
Reginaldo.
Regulo.
Reinaldo.
Remigio.
Renäto.
Ricardo.
Richario.
Rigulo.
Roberto.
Rodolpho.
Rodrigo.
Rogerio.
Rolando.
Roldäo.
Romäßö,
Romualdo.
Röque.
Ruffino.
Ruffo.
Rußllo.
Rumualdo.
Rüstico.
Radegandes.
Re
Reparäts.
Restituta,
Ricasda.
Rita.
Romana.
Rosa.
Rosalia.
Ruifina.
Rustica.
Sabas.
Sabımo.
Sy 5or.
R.
Noms masculins.
Radamantinı. nadanastbe
Rodulphus, r uiphe.
Radkirus. Ramire.
Ranalpbe.
Renulphus. |
Reymundus. Raymond.
Reginaldus. Rensud.
Regulus. Reole , Bienie
Rainaldus. Beynaulı.
Remigius. Remy.
Benstus. Bene.
Richardus. Richard.
Rigulus. Rienl.
Robertus. Robert,
Rodolphus. Rodelphe.
Rudry.
Rodsricus. Taster B-
drigw.
Rogerius. Boger.
} Bolendus. Roland.
Romanus. Roms.
Rommaldus. Remus.
Romulss Renuik.
" Bemules.
Rochus. Boch.
Rufinus. Rafıe.
Pe alle Iaeı Lale.
us. .
Rumualdus. ae.
Rusticus. Rustique.
Noms [dninins.
Radegonda. Radegonde.
Rebecca, Rebecca.
Rıperat a. preied
Restituie. Bestie.
Richardis. Bichssds
Rita. Rite.
Romans. Reossime.
Rosa. Bes.
Rosalia. Besalie.
Rufina. Rufine.
Rustica, Ruztigus.
S.
Noms masculias.
Sabas. Sabes.
Saebinus. Saba, sm.
Sador. Sadee, Set.
Salomäd.
Salustio.
Salvador.
Salviano.
Salvino.
Syivio.
S:ıınsäd,
S.ımuel.
Sanclıo.
Saurdanapalo.
£alurnıno.
Saturno.
Salyro.
Saviniano.
Sebastiäo.
Semprönio.
Beneca.
Septimo.
Seraphino.
Serapiäd,
Sereno.
Sergio.
Servaio.
Serrio.
Servulo.
Severino.
Severe.
Sidonio.
Sidronio.
Sifredo.
Sigirano.
Sigismundo.
Silvano.
Silverio.
Silvino.
Simäd.
Simeäo.
Similiano.
Simönides.
Simphorlano.
Simplieio.
Sindulpho,
Sirioio.
Sirino.
Sisenando.
Sixto.
Sophocles.
Sophonias.
Sotero.
Sozimo.
Stacio.
Salomon.
Sallustius,
Salvator.
Salvianus.
Salvinus.
Saloius.
Sumson.
Samuel.
Sancius, Saneio. Sanche.
Santiago. V. Thiago.
Sardanapalus.
Salturninus.
Saturnus.
Salyrus.
Savinianus.
Sebastianus.
Sempronius.
Seneca.
Septimus.
Seraphinus.
Serapion.
Serenus.
Sigiranus,
Sigismundus.
Silvanus. .
Silverws.
Silvinus.
Simon.
Simeon.
Similiamus.
Simonides.
Symphorianus.
Simplicius.
Sindulphus.
Sirenus.
Sisenandus.
Sisctes.
Sopkocles.
Sophonias
Soter.
Sozimus.
Stelius.
VOCABULAIRE.
Salomon. Sulpieio.
Salluste. 2:
Sauveur. Suplicio.
Salvian. Sylvestre.
Salvin. Sylvio.
Saire. Synesio.
(Saure Syro.
Sauge.
Samson.
Samuel.
Sardanapale. Sabina.
Saturnin. Salustia.
Sorlin. Sancha.
Servin. Saturnina.
Seroin. Sebastiana.
Savorin. Senhorinha,
Savin. Serapbina.
Salurne. vor@.
Silvia.
Satur, Satyre. Sita.
Sayinien. Sophia.
Stbastien. Sasana.
Semprone.
Söndque.
Septime.
Seraphin.
Sörapion.
Serein.
Bere:
Servais.
m [Ten
Serralk. Täntalo.
Serrin-. Tarquino.
Sevöre ,Sever. Tel&maco.
Tel&sphoro.
Sidoine.
| Sıdon. Teofredo.
Sins j Tertulliano.
Sigismond. Thaden.
Silver, Themistocles.
Silvin. Theobatso.
. Th 0.
Shmeon. Theodefr&do.
Semblain. Theodemiro.
Simonide. Theodoreto.
Symphorien. | Theodorico.
Simplice.
Sendulphe. Theodoro.
Sandou. a
Sirice. ulo.
Sirene. Theodulphe.
Cerneuil.
Sisenand. aa eaate
Sixte. eopbr: .
Sophocle. Theseu.
Sophonie. Tolaen-
Sotere. omas.
Zozime. Thome- .
Stace. Thucy’dides.
Sulpicius.
Sylvester.
Syloius.
Synesius,
Syrus.
Noms füminins.
Sabina.
Salome.
Salustie.
Sancie.
Salurnina.
. Sebastiana.
Senorina.
Seraphina.
Severa.
Silvie.
Zite.
Sopkia.
Susanna.
T.
Noms masculins.
Tatianus.
Tacitus.
Tantalus.
Torquinius
Telemachus,
Telesphorws.
Teofredus.
Tertius.
Terenfius.
Tertullianus.
T heseus.
Jacobus.
| Thomss.
T hucydides.
1237
Sulpice.
Supplice.
Souplis.
Sylvestre,
Selrve.
Synee.
Syre.
Sabine.
Salome.
Saluste.
Sanche.
Saturnine.
Sebasslienne,
Senorine.
Seraphine,
Sevöre.
Sylvie.
Zite.
Sophie.
Suzanne,
Tatien.
Tacite.
Tantale,
Tarquin.
Tel&maque,
Telesphore,
Chafre.
Tieorce.
Terence,
Tertullien.
Thadee,.
Tbale.
Themistocle,
- Thibauld.
Theodat.
Theodefroy.
Theodemir.
Thöodoret.
{ Theodoric.
Tbierry.
Theodore.
Theodose.
Thöodule.
Theodulphe,
Tbiou.
Theophile,
Theophraste,
Theste,.
Jacques. L
Thomas.
Thucydide.
9238
Thuderio.
Thyrso.
Tibero.
Tibullo.
Tiburcio.
Timötheo.
Tito.
Tobias.
Torcato.
Troilo.
Turiano.
Turibio.
Tussano.
Ty'ndaro.
Thäls.
Thecia.
Theodora.
Theöphila.
Theresa.
Triphonia.
Ulrioa.
Umbelina.
Urania.
Urröca.
Ursula.
Valdomiro.
Valente.
Valenıim.
Valentino.
Valeriane.
Valerico.
Noms masıulins.
Baldomeres.
Valons
| Valentlinus.
Valerianus.
Valerieus.
Theuder.
Thyrse. Valerio.
Tibere. Veillsbde. '
ae Venancio.
Timotböe. Venceslau.
Tite, Titus. Venelreode.
Tobie. Verissime.
Torquat. Vespasiane.
Trolle. Vicente.
Tarien. Victor.
Tyry. Victorino.
Turibie. Vigiberte.
Tougsaint, Vilfredo.
Tyndare. Virgilio.
Vital.
Vito.
Vitruvio.
Thals. Viviano
Thöcle
Theoodore.
Theopbile.
Therese. '. Valentina.
Tripheine. Valeria.
Veroniee.
Viblana
Victoria
Victorina.
Viridiana.
Übald. Virginia,
Ulpite. .
Ulrio,
Ulysse. .
ah sin . Xavier.
Urie. Alste.
Ursin. \ ..
Urse,
Usmer.
Y’vo.
Ulrique.
Umbeline.
Uranie.
Urraque. Zacharıas
Ursul .
raue Zachen.
Zene.
Zenobie.
Zephirino.
Zoreasis®.
Zö6simo.
Volodimer.
Valent.
Valentin. Zen obia.
Valerien. Zephirina.
Valtri. Zoe.
FIN DU_VOCABULAIBE.
Valdre,
Valier.
Yaufroy.
Venance.
Venant.
Venesslss.
Venfrey.
Verissime.
Vespssien.
Vincent.
Vieter.
Vieterin.
Vigbert.
Vilfrid.
Virgile.
Yital.
Vie.
Vie.
Yirien.