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Full text of "Neues und vollständiges Wörterbuch der deutschen und französischen Sprache. Mit Rücksicht auf Begriffsbestimmung, Arsprung, Verwandtschaft, Amendung und Amwandlung der Wörter .."

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Ir. 2 ver eu MM EEE 





NOUVEAU DICTIONNAIRE 


PORTUGAHS-FRANGAIS. 


Paris. — Imprimerie ei Konderie de BMENOUX, rec Mensicer-Ie-Prince, 31. 


NOUVEAU DICTIONNAIRE 


PORTUGAIS-FRANGAIS, 


coMross 


SUR LES PLUS RECENTS ET LES MEILLEURS DICTIONNAIRES 
DES DEUX LANGUES; 


auvommurs 


de Dis ‚de 10,000 mots nouveaux, et d’un grand nombre 
de phrases familitres, idiolismes, 'erbes ‚ eic.; ‚enrichi des nomenclaturen et des termes 
d’Bistoire naturelle et de Botanigue, d’apres BROTERO ; 
des termes de Marine, de Commerce, etc., selon les Dictionnaires polyglottes 
et speciaux de J.-H. RODING et de P.-A. NEMNICH, 
et dun tres-grand nombre de termes de sciences, d’arts et de mätiers; 


conranınr 
ies nems des principalcs villes ot tens los tormes do göegraphie, 
IE? SOIWI D'UN VOCABULAIRE DES AONS PROFRES FORTOGAIS ET FRANGALS; 


Dipık 


A L’ACADEMIE ROYALE DE LISBONNE. 


Par 3.-I. BOQUETTE, 
MENBRE CORBESTOHDART DE LA MÄNE ACADdnız. 


‚Le vocabulaire d’une nation est ume table ausez 
Ad2le de toutes ses connaiseances. 


 Röfleions wur len lapquss. 

a a >; 
» 1,8. . 
S 

BERN} 

Ka Sr 

RB 

/ 

l 

PARIS. 


V’" LeP. AILLAUD, MONLON ET C!* "LIBRAIRES, 
RUR SAINT-HONORE, 334, 


1853 


Ss. 1. K5h 





TEL ıU 


A T’ACADEMIE ROYALE DES SCIENCES 
23 LHIUSYBONNE. 


Ss vassons ger en end engage' a enhupiendie o 
diclonnace, ed ga 4 "enhase dans da far. vond das | 
emänes gas me font um deueii Fin fiir hammage 
aux chi me dell dag, 1% malt on op 
ek mon dat, dealer mon Aevadl, bad impasfait gu 24 
el, au Dass Jauant zu‘ Äonote & nalon fotlugacse 
es dont dis uoun onk doupouts eh dl emesutagen da Giketalure 
mahonalk, c ed un devas auquel je une ctacs edlige, ed 
dan! 4 sus Keuteua de omas m aoquekker dans ce mo- 
erenT. 

Aue dl Aoademiz daigne agteer mon dommage, de 
sera four mac .da las dauce veomfiense. | 


Daris, le 19 mars 1841. 


Jost Isnacıo ROQUETE. 





PREFACE. 


wa langne portugaise, fille alnde de la langue latine (1), cultivee 
depuis quatre siöcles par des &crivains de tout genre (2), r&pandue dans 
les quatre parties du monde au bruit des armes victorleuses des navi- 
sgateurs conqu6rants sortis du Tage (3) ; cette belle langue, dans laquelle 
tant d’historiens et tant de poßtes illustres () ont transmis & la post£rit 





(1) C'est lo jagement qu’en porte le pere Vielra ( Approvapäo da Parte III da His- 
teria de S. Dowingos, por Fr. Luiz de Sousa ), le Portugals , aprds Camödes, qui a 
ke sieax connu , le mieux parl& et le mieux &crit sa langue. La langue portugaise ss rap- 
woche tellement de la langue latine, que plusieurs auleurs se sont meme exercds A 
tutmposer des morceaux qui sont ögalement latins et portugais. Yoy. Ferdinand Denis, 
Risum# de Phistoire litidraire du Portugal, pag. & et 603. Paris, 1826. Consulter 
Jguiemnent & co sojet le morceau inlitul6 : Memorlas e louvores da lingua portugueza, 
gi pr&ctde le grand dictionnaire de l'’Academie de Lisbonne , p. 21,239, 26 et 38. 

(1) « Les bommes distingnds que ie Portugal a produlis, dit M. de Sismondi, omt 
» pris ä täehe de donner & leur patrie toutes les branchss de liltörature ; ils se som! eesayde 
» dams tous les genres, pour ne lnisser & leurs volsins aucun avanlage sur omg... La litö6- 
» rature portugaise est complöte, on y trouve de tout. » ( De Ja Littäraturs du miäs 
de? Europe, t. IV, p. 963. ) 

(3) « La langue portugaise, dit M. Sans, n’est pas restreinte au peupis qui la parle ; 
» elle si encore la langue du commerce asietigne; elle est söapandue depuis ie cap Nom 
» jasımu'saz Nies du Japon, et depuis 1iie de Madre jusgu'au Bresil : d’eiiieurs, cette 
» langue est helle, sonore, nombreuse , affranchie de cetts aspiration gulturele que l'on 
» reproche A l'espagnole, elle a taute la doussur et la souplesse da l'itallenne, ia gravitö 
» et les couleurs de la latine. » ( Podsie Iyrigus portugalee, introduction , pag. KC ı 


Paris , 1808.) 

(5) Volci les prineipaus po&mes portugais ‚avec le nom de leurs auteurs : 
Os Lasiadas. — Luiz de Camöes. Destruicko d’Hespanha. — A. da Silva Masce. 
Segunde eereo deDio. |--Jeronimo Lorte-| reomhas. 
Naufragio de Sepulveda. Real, Henriqueida. — D, Franeiseo Xavier de He 
Elegiada. — Luiz Pereira Brandäo. .. nezes, 


Lusitania Transformada. — Fern. Alo. dO| Afonsiada.—M. A. J. Osorio de Pina Lei- 
Orients 20. 


0 Condesiabre. — Francisco Rodrigues Lobo. | | Coramuru.— Fr. Josd de Bania Rita Du- 


Bionso Alricano. — Vasco Mousinko de Que- rdo, 

Elieaee. — Gabriel Pereira ds Lasiro, O Uraguay. — Basilio da Gama. 

Malaca Conquistada. — Francisco de Sd e ee: — Josd Agostinho de 
Benezes. AV ogem Es tatioa, acedo. 


Ulysipe. — Antonio de Souza de Macedo. 


- Donpa Branca ou A Con vista do Algarve, — 
Lasitania Restaurada Vieents Gosmäo 7. B. d’Almeida 2 


Dn'est peut-£tre pas une nallon qui possöde autant de poßmes Epiques; et nous croyons 
us si les personnes qai lesliront ne trouvent pas dans tous les beautds de Camses , elles 








mu PREFAGCE. 


les exploits et les hauts faits des heros leurs compatriotes; la langue 
portugaise, enfin, qui inspira A CAMÖEs (1) les doux accents d’/nez de 
Castro et le magniflque €pisode du geant ddamastor, n’stait, pour 
ainsi dire, pas connue en France, faute d'un dictionnaire (2). 

ll existait, il est vrai, un dictionnaire portugais-frangais-latin, par 
M. Joaquim Jose da Costa e Sa, imprim6 a Lisbonne en 179%; mais 
sans parler des döfauts communs & tous les dictionnaires de cette &po- 
que, sans parler de cette multiplicitö de pretendus synonymes qui 
s’appliquaient indifferemment & toutes les acceptions du verbe, du 
nom, de l’adjectif, ce dictionnaire fourmillait de barbarismes et d’i- 
nexactitudes, &tait absolument nul pour les articles des sciences et des 
arts, et manquait de plus de la moiti& des mots usuels de la langue 
portugaise. Cet ouvrage n’avait pas eu de seconde 6dition, et la pre- 
miere,, quelque imparfaite qu’elle füt, etait devenue fort rare et par 
oonssquent trös-chöre. 

En 183% , M. F.-S. Constancio fitimprimer, & Paris, un nouveau dic- 
tionnaire portugais-francais, en 2 vol. in-12; plus tard, parutcelui de 
M. J. da Fonseca, qui n'est que le r&sume du premier; mais ces deux 





seront au moins disposses & les Juger comme le pieux et savant traducteor de !’Einfante- 
ment de la Fierge: « Il est A remarguer, dit-il, que toutes les &pop6es de ce peuple res- 
» pirent le petriotisme le plus vrai : ses poötes sont en quelgque sorte ses historiens. » 
(Note 5, peg. CXxX.) 

(1) Camöses est le premier &pique des temps modernes ; il composa ses Lusiades avant 
que ie Tasse eht publi6 sa Jerusalem, laquelle n'a paru qu’en 1580, un an aprös la 
mort de notre poöle. « C'est le premier epique, dit l’abb& Andres , parmi les modernes, 
» qui ait entraind les applaudissemenis de toutes les nations, et le premier qui merlie 
» l’6tude des vrais poßles. » ( Deil’ origine dei progressi dello stato attuale d’ogns 
iitteratura, t. IV, p. 261.) « Son poöme seul, dit un savant allemand ‚ forme une litte- 
» rature toul enliöre. » ( Schlegel, Histoire de la Littdrature ‚t. I, p. 113.) 

(8) Ce que nous avancons ost si vrai, que mö&me des lilterateurs d’un haut merile se 
sont souveni möpris sur le verilable sens des mols et des phrases portnugalses. Nous ne 
citerons que deux ezemples ä l’appul de ceite assertion : 

M. de Sismondi, voulant traduire un des sonneis de Sd de Miranda, qui com- 
mıunce par Ces deux vers : 

O sol he grande, casm co’ a onlma as aves 

Do tempo, em al saxdo, que soe ser fria, etc. 
a dit : « Le solell grandit sur I’horizon, l’alr se rafraichit, les vents se calment et 
» les olseaux se talsent, elc. » Le poöte ne dit rien de tout cela, nous traduisons 
Htteralement : « Le soleil est brülant, les oiseaux #touffent de chaleur ( c'est-a-dire,, 
» il fait une chaleur excessive ), dans une saison de l’annte qui, ordinalrement , est 
» froide. » ( Yoyez Sismondi, t. IV, p. 206. ) 

M. Ferdinand Denis, en traduisaat une #giogue du m&me poßle, a rendu le vors 
saivant : 

Nam ja ho o quo ore almalko, 
par cock : « J1 n’est plus ce qu'il stail m&me sous le jong. » Ici encare le eontre-sens est 


PREFACE. oo. IX 


suvrages , outre leurs döfauts et le grand nombre de fautes (1) qui les 
parent, ne sont que des dictionnaires portatifs, qui peuvent tout au 
plus servir pour indiquer les mots, et qui ne sauraient jamais faire 
connaltre le g&nie et les beaut6s d’une langue aussi riche (2) et aussi 
&minemment po6tique que la langue portugaise. Ces dietionnaires 
sont aussi nuls pour les articles d’histoire naturelle, de botanique 
et surtout de marine, et ne sont en aucune facon & la hauteur des 
stiences. 

Un dictionnaire complet portugais-francais 6tait donc encore & faire: 
nous nous sommes propose de remplir cette lacune qui existait dans la 
littörature des deux nations. Cette täche &tait sans doute rude et difficile, 
et bien au-dessus de nos forces; mais apr&s plusieurs annees d’un travail 
asidu, A force de veilles et de recherches, et avec l’aide de plusieurs 
littörateurs portugais et francais (3), nous sommes venu & bout de le 





manifeste. Le po&te parle d'un baeuf, et il dit que quand il vieillit il n’est plus ce qu'il 
4ait &tant jeune taureau. ( Foyez F. Denis, Resum£ de l!’histoire litteraire du Portu- 
gel , p- 56. ) Avec un bon dictionnaire sous les yeux , jamals pareilles erreurs n’auraient 
pa tchapper ä ces &crivains distinguts, appröciateurs si &clair&s de la litt6rature portugalse. 


(1) En voici quelgues-unes : 


AsıLapa, terrier de lapins. Popznco , chien couchant. 
ALusıLuo, aumailles. PoLvo, polype (animal). 
ALGUEBRAR , s’ouYrif. PORQUETE, croix, potence. 
ALgugıvE, jachöre. Posr£ana , partie de la jambe (d’un cheval, 
Auzıno , ail-de-christ ( plante). eic.). ' 
Auvanso, revers des me6dailles. Postiga , pi6ce d’un vaisseau,, etc. ( Fons.). 
Basnaca , carotie. RAMALHAR, d.:n. bruit des branches agildes 
Gaxzoras (au liew de GAxEras,, anneaux | (Fons.). 
qui attachent les voiles aux vorgues. RoSICLER ‚ incarnat. 
Manra de toucinho,, barde, tranche de lard. | Rosmanınno, romarin (plante). 
MuLzan , caret. SıLEMa , stokfiche. 
Muatıos, cordages d’anore. SAMBCCA , saquebute. 
Mımi, millet sauvage. SıquiLnio, piece d’une charrue (Fons.), 
Mostnanox de relogio , aignille de cadran. SeL£a, char russe. 
Moana , tache de feu ( Fons.). SENMIDITONO, tierce majeure ( Fons.). 


PıcaPsicHe , sorie d’oiseau qui mange le pois- | VaccaLovrA, cantharide. 
son. Zaco ‚le pape des bonzes (Fons.). 
Pısco, sorte de gros pois. 

Comparez ces articles avec cenx de notre dictionnaire, et remarquez la difförence. 

(3) Notre Dictionnaire eontient environ 56,000 mots, non compris les participes et 
un grand nombre de superlatifs, d’angmentatifs et de diminutifs. 

(3) Nous manquerions a tous les devoirs de reconnalssance en ne döclarant pas que la 
partie la plus Importante de notre travall, c’est-a-dire la revision schentifique et litteraire, 
est due a M. le docteur C. L. de Moura,, dont les savantes öludes ont constamment &clair6 
et rectifie les nötres ; que c'est ä un de nos amis et compatriotes M. A. E. de Lemos, 
kabile et brave officler de marine, que nous devons presque toutes les recherches qui 
avalent rapport & la science nautique, et que c'est Loujours d’apr&s son avis que nous 
arons r&dig6 les articles qui s'y rattschent. Enfin nous avons &i6 a m&me d’appr&der le 
soin serupuleux et 6clair6 qui a &i4 apporis & la correction typographique , partie aussi 
ptnible qu’essentielle d’un diclionnaire. 











x PREFACE. .— 


terminer, sinon d’une maniere complete et satisfaisante, du moins avec 
la pleine conviction de notre bonne volonts, et avec la certitude d’a- 
voir fait tout ce qui dependait de nous pour que notre travail füt con- 
sciencieux. 


Nous avons dono rödig& notre dictionnaire comme s’il n’existait pas 


d’autres diotionnaires portugais-francais ; nous avons compos& tous les 
articles sur les dictionnaires de la langue portugaise, en mettant A 
profit les travaux de l’acad&mie de Lisbonne, de Moraes, de Constancio, 
et sur ceux de la langue francalse, en prenant surtout pour guide ceux 
de l’Acade&mie, de Laveaux et de Boiste (1\. Voici le plan que nous avons 
suivi : 

1° Nous avons admis dans notre dictionnaire tous les mots usuels de 
la langue portugaise, tous les mots de litt6rature ancienne et moderne, 
tous les termes göneraux des sciences et des arts avec leurs definitions 
owleurs explications, et avec toutes leurs acceptions anciennes et mo- 
dernes dans leur ordre rationnel et logique, presque toujours autori- 
s6es par des exemples puises dans les meilleurs &crivains. Nous avons 
täch6 de rendre les mots portugais, non pas par des p6riphrases et des 
circonlocutions comme ont fait souvent les lexicographes dont nous 
avons parl& plus haut, mais par des &quivalents , autant que cela &tait 
possible, et ainsi de m&me pour les phrases familieres , los idiotismes , 
les proverbes, etc. 

2° Nous avons conserv& tous les vieux mots du moyen äge, selon l’E- 
lucidario, et grand nombre de locutions aujourd’hui inusit6es, mais qui 
se trouvent dans nos anciens auteurs , afin que les litt6rateurs francais 
puissent comprendre nos anciennes chroniques, et &tre a.m&me defuger 
les maurs , les coutumes et la littörature des anciens Portugais. 

3° Nousavons ajout6 la nomenclature d’histoire naturelle, que notre 
savant BROTERO a fournie au traducteur portugais de M. Cuvier (2), 
comme aussi la nomenclature et tous les termes de botanique qu’il 
nous a laisses dans ses pr&cieux ouyrages sur cette science (3), avec leurs 





(4) C'est la hultiöme #dition, revae, corrig6e et oonsiderablement augmenite par 
M. Charles Nodier, Paris, 1836, que nous avons suivie, laquelle est infiniment supe- 
rienre & toutes les ddilions pr6osdentes, 

(8) Quadro elemeniar da historia natural dos animass, por M. Cuvier, traduil 
en porlugeis par Antonio d’ Almeida, imprims ä Londres en 1815. 

Yoy. les articles de notre diclionnalre : 

Ao6phalos, Agami, Agria, Aguia, Andori- | Esquillo, Graculina, Gralha, Gröu, Grypho, 
nha, Anomia, Antilope, Asteria, Ave, Borbo- | Hesperidas, Infusorios, Lagria, Lacinivo, Lar- 
leta, Carnivoro, Carocha, Chamaia, Coati, | va, Lemure, Lobo, Lucano, Mante, Manuco- 
Cobra , Conchellos , Cariphena ‚ Cotia , Contin- | diata, Mergulhäo, Mono, Morcero, Mosca, 
ga, Cotovia, Cucujü, Döninha, Escorpena, | Naveia, Nerite, Palpo, Papagaio, Peixe, ste. 


(8) Eldments de botanique, Flore portugaise. etc 


PREFACE. — zI 


aquivalents en frangais d’aprös le dictinnnaire polyglotte d’histoire nakı- 
turelle et de botanique du savant allemand P. A. Nemnich, et d’aprös le 
supplöment de Boiste, contenant la nomenclature de ces deux sciences 
selon les derniöres olassifications. Il est A remarquer que ces noamen- 
elatures manquaient tout A fait dans les dictionnaires portugais pubhliss 
jusqu’ä ce jour, et o’est pour la premiere fois qu’elles y trouvent place. 
Nous avouons A notre honte qu’il nous a fallu avoir recours au diction- 
nsire d’un Allemand (M. Nemnich) pour y trouver le nom de Brot&ro cit&ö 
avec Aloge , ettouta la nomenglature portugaise de oe savant botaniste, 
tandis que nos lexicographes, d’ailleurs si faciles & admettre tant de 
mots francais souvent contraires au genie de la Jangue portugaise, ont 
lsins6 dans l’oubli les termes de deux sciences aussi importantes que 
’histeire naturelle et la botanigque, termes si conformes d’ailleurs au 
siaie de notre Jangue (1), et pour la citation desquels ils pou- 
valent s’appuyer sur l'autorit& d’un nom aussi illustre que coelui de 
Brot£ro. 

4 Nous avons aussi enrichi notre diotionnaire d’un vocabulaire com- 
plet de termes de marine, que nous avons puis6s dans le dietionnalre po- 
Iyglotte de marine de Rönpme (9), termes qu’on cherchera en vain dans 
les dietionnalres portugais, ou qu’on n’y trouvera que tr&s-incorrecte- 
ment, et souvent de manisre A induire en erreur (3). Cette aoquisition 





(1) M. Constancio, dansson Dictionnaire de la langue portugaise (Paris, 1836), 
a admis , sans s’appuyer sur aucune autoril6, eomme termes de botanique, Scaule et 
Asiaseiforme, ei bien d'autres termes que nons ne ollerons pas, et qui n’ont aucun rap- 
port avec la langue portugaise. N'surait-il pas mieux fait de nous donner les termes de 
BaoTkao , Desoaulina ou Destronquecida (plants), et Alfanjada ( folka) ? Ne 
sont-iis pas plus conformes au genie de la langue, et ne sont-ils pas plus expressifs ? 
Pourquoi chercher chez les &trangers ce que nous avons chez nous ? 

Yooy. les articles de notre dictionnaire : 





Abarscante, Acacia, Acampainhada, Acarna, 
Arsfräo ,Acerosas, Aclavado,,Aculeado, Aru- 
, as, Agärico, Alabardinas, 
Alame, Alcanna, Alecrim, Alequeadas, Al- 
fsce, Albo, Alterne, Ameixa, Amendoim, 
Amentülbo, Amentilhosas, Amomeas, Ana- 
earde, Antmona, Anthyliis, Apediceladas, 
Arvore, Bigumeo, Cedro, Cha, Codeco, Coni- 
See , Conselda, Cauvo, Cysano, Desvenosas, 


Desvolvado, Diolynämos, Dracunculo, Esca- 
riola, Espicinardo, Espinheiro, Eupatorio, 
Garinhoso,Girasol,Goiveiro, Graciola, Grama, 
Groselheira , Hell&bro, Herva, Hortelä, Hor- 
tencia, Iva, Jalapa, Junco, Labaga , Labia- 
das, Laserpicio, Leonpödio, Liliäceas, Lirio, 
Livrilho, Losna, Macella , Magnölia, Malva, 
Marroyo, Melindre, Musgo, Nardo, Orelba, 
Päo, Perpetus, Rainunculo,, Rosa, 610. 


(8) Pour les termes francais, nous avans consull& la Dictionnaire de marine fran- 
gaise,, par Charles Ramme; le Dickonnaire historique, thdorique ei pratique de 
„asrine, par Saverien, et ie Manuel des marins, par Bourd£. 

(3) Nous ne citerons qu’un exemple. M. Constancio , dans son dietionnalre de la lan- 
gue portugaise, guide par une fausse &tymologie, dit que AHUSTAR vient de l’an- 
glais co hoist, ou du francais Aausser, et que ce mot signifle Aisser. Celte significe- 
dien est erronse et eoniraire au langage vivant de nos marins. Ce verbe vient toul 





.-e 


xn PREFACE. 


est d’autant plus importante, que la nation portugaise a &t& de tout 
temps une nation maritime, et que son ancienne gloire est due & ses 
flottes, A ses marins et ä leurs expeditions sur mer. Nos meilleurs &cri- 
vains, nos historiens d’Afrique et d’Asie, nos po&tes, sont pleins de lo- 
cutions et de termes de marine (1), et ce ne sera pas sans utilit& que 
les amateurs de notre belle litterature les trouveront recueillis dans 
notre dictionnaire (2). 

5° Les termes d’arts et metiers ont &t& de notre part l’objet d’un 
grand soin : convaincus par experience que cette partie des dictionnai- 
res est ordinairement la plus imparfaite , nous nous sommes impos& le 
devoir de ne pas admettre un seul mot sans verifier par nous-mömes 
s'il &tait le vrai mot, le mot technique. Aussi avons-nous pris souvent 
le parti d’aller nous-m&mes dans les boutiques et dans les ateliers pour 
demander le nom de plusieurs outils et ustensiles, et ce n’est qu’ainsi que 
nous avons &vit6 les erreurs si communes & tous les dictionnaires portu- 
gais-[rancais. 

& De l’aveu de tout le monde, l’usage des verbes et les pr6positions 
qu’ils regissent sont ce qu’il ya de plus important dans une laugue : 16 
sens de la phrase, la force de l’expression et la beaut6 du style en d&- 
pendent ; c'est lä le pivot de toute la grammaire, etc’est l& aussi la plus 
grande difficult€ qu’on rencontre dans l’&tude d’une langue. Or, cette 
partie si essentielle avait &t6 tout & fait n&gligee par nos lexicographes; 
nous ayons täch& d’y rem@dier. Nous avons commence par s&parer les 
verbes actifs des neutres et des r&ciproques, nous avons mis entre paren- 
thöses les pr&positions qu’ils rögissent , nous avons montre& leur usage par 
des exemples, et nous avons r&solu grand nombre de difficult&s que la 
langue portugaise pr&sente sous le rapport de ses verbes(3). C’est la par- 





“ naturellement du verbe espagnol ayustar, et du francais auuster : il signifie auuster, 
episser, unir deux cordes par leurs bouts en entrelapant les fils. 

(1) « Les €piques portugais, dit M. Sans, sont surtout de grands peintres de ma- 
» rine, co qui ne surprend point chez une nation qui avalt alors l’empire de la mer, et 
» dont ses poötes avalent souvent fait le voyage d’Amerique, d’Orient, des indes, 
» comme guerriers ou comme observaleurs. » Voy. Coup d’eil sur la littdrature por- 
tugaise, premier volume du Mercure &tranger, publi& par M. Amaury-Duval. 

(2) Yoy. les articles de notre dictionnalre : 

Agulha, Amarra, Amura,, Ancora, Appare- | Cavilha, Escota, Esceteiras, Escotilha, Ester, 
ho, Arriar, Arriba, Arribar, Banda,, Bandei- | Fundo, Gavea, Largar, Lastro , Mar, Masta- 
ıa, Barquilha, Bateria, Bogas, Boia, Bolina, |reo, Mastro, Moutäo, Navio, Talha, Tire, 
jormba, Bordo, Botäo ,Bracear, Braco ,Cagar, | Vela, Vento, Verga, etc. 

(3) Yoy. les articles de notre dictionnaıre : 

Abrir, Agradecer, Andar, Armar, Assegu- | razer, Fugir, Ganhar, Gostar, Ir, Lancar, Lar- 
ror, Assentar, Bater, Beber, Colher, Comer, | gar, Lembrar, Levantar,Levar, Melter,Morrer, 
Concorrer, Contar, Dar, Deitar, Deixar, Dever, | Mudar, Mover, Nadar, Olhar, Pagar, Parar, 
Dizer, Dobrar, Doer, Dormir, Empenhar, En- | Passar, Peccar, Pegar, VPerder, Persuadir, 
tender, Enirar, Errar, Estar, Fallar, Faltar, | Pertencer, Por, Saber, Salr, Tomar, Tratar, ote 








PREFACE. x 


tiequi nous a donne le plus de peine; souvent un verbe seul nous a 
oecap6 plusieurs jours : nous avons consacr6 une semaine entidre au 
verbe Dar. Qu’on lise cet article avec attention, qu’on le compare 
avec celui de Moraes et de Constancio , et que l’on juge ensuite. 
7° Lesadages et les proverbes, les idiotismes et leslocutions familieres, 
sont sans contredit l’une des parties les plus essentielles d’un diction- 
naire, parce qu'ils sont le genie m&me de la langue. C’est pr&cisement 
ca qu’on ale plus neglig® dans les dietionnaires des deux langues, oü ils 
ne figurent presque pas du tout ou fort incorrectement. Nous les avons 
rötablis et en avons peut-#tre decupl6 le nombre, ainsi que les locu- 
tions familiöres qu’on rencontre le moins dans la litt6rature,, et que par 
cons6quent on a besoin de trouver recueillies dans un dictionnaire (1). 
& La difference des genres etant si fröquente entre les noms des deux 

langues, et &tant, pour ainsi dire, la pierre d’achoppement pour les 
Portugais qui veulent parler ou &crire en frangais, nous avons pens& 
qu’il ne serait pas hors de propos d’etablir un signe pour marquer cette 
difference , ce qui eviterait souvent la peine ä nos compatriotes d’aller 
feuilleter les dictionnaires frangais pour trouver le genre des noms ; ainsi, 
nous avons adopt& l’ast6risque (*) pour indiquer cette difförence. Ce si- 
gne, plac6 devant les noms francais, indique qu’ils sont d’un genre 
difförent ; et comme dans les deux langues il n’y a que le genre mascu- 
lin et f&minin , il est &vident que la oü nous aurons fait usage de l’astö- 
risque, sile mot est masculin en portugais , il est föminin en francais, et 
vice versd. Nous n’avons cependant 6tablı cette r&gle que pour les mots 
principaux, pour ne pas trop charger la composition typographique. 
Nous appelons mots principaux le premier mot frangais de chaque arti- 
cle, et tous ceux qui reprösentent une acception tout & fait difförente, 
et qui, d’apres notre systöme orthographique, commencent par une 
lettre capitale (2). 





(1) Yoy. les articles de notre dictionnalre : 


äbarcar, Aduella, Agua, Ajuda, Amigo, 
Ancas, A , Argueiro, Arteiro, Asno, 
Alsleiro, Azeite, Bala „Balde, Baraco, Bara- 
te, Barba, Barriga, Beber, Beico, Bemfazer, 
Berliques, Bilha, Boca , Bocado ‚ Bochecha, 
Bem, Bota, Braoo, Bruxa, Cabea, Caixza, 
Cajadada, Caldeiräo, Caminho, Camisa, Can- 
deia,CBo, Capa, Cara, Caranguejo, Caridade, 
Carze, Casa, Caso , Castello, Cavallo, Cego, 
Ceo, Certo, Chaga, Comer, Concha, Conhe- 
cer, Conta, Contado, Corda, Correr, Cörte, 
Corvo, Cozido, Cravo, Custar, Dado, Dar, 
Dedo, Deitar, Deixar, Demanda, Dente, Deos, 
Dengraca, Despedir-se, Diabo, Dormir, En- 
eazar, Kucambar, Bacher, Encospas ‚„Enfor- 


cado , Entendedor, Envolto,, Escapar, Eseo- 
Iher, Esconder, Escusar-se, Esfolar, Espelho, 
Espinho, Estado, Estöpa, Estrella, Falla, 
Fallar, Falta, Falter, Fama,, Fazer, Feio, Fel, 
Ferro, Ferreiro, Filho, Fonte, Frio, Furäo, 
Fuso, Gallo , Garganta, Garra, Gato, Gosto, 
Graca, Homem ‚„Hospede, Inimigo, Irmäo, Je» 
juar, Ladrar, Lams, Lanca, Langol, Lebre, 
Lei, Levantar, Levar, Lingua, Lobo, Louco, 
Lusco, Madrugar, Mal, Manha, Mäo ‚Mio, 
Mare, Martello, Mosca, Nadar, Necessidade, 
Ocioso, Ouro, Ovelba, Pagar, Palha, Päo, Päo, 
Parede, Parte, Passaro ‚Paz, Ps, Pedra, 
Pelle, Perna, Perola, Pesar, Peso ‚Remolho, 
Reca, Sacrisıäo, Sapato, Telbado, etc. 


(2) Un signe pour connsitre 1a A’fMircnce des genres est d’autant plus nöcessalre, 


xıv PREFACE. 


% Un vocabulaire de g6ographie est chose indispensable dans un die- 
tionnaire de deux langues en le plagant & la fin ; mais nous avons penns6 
qu'il serait plus utile de l’intercaler dans le corps du dictionnaire, noh- 
seulement parce qu’on pourrait donner plus d’&tendue aux articles, 
mais parco qu’il en r&sultersit plus de clart6 pour les adjeotifs qui sont 
derives de tel ou tel nom geographique. 

10° Nous avons ajout6 & la fin un vocabulaire eomplet des noms pro- 
pres portugais et frangais, et, pour &riter toute €equivogue, nous 
avons mis les noms latins dont les noms portugais sont form&s. 

Nous croyons ayolr rendu un service & la litt£rature portugaise en 
composant et en publiant un diotionnaire qui püt faire mieux connaltre 
notre langue; mais nous sommes pourtant bien loin de crolre que notre 
travail solt parfait et exempt de fautes. La critigue y trouvera beaucoup 
ä censurer ; nous ne nous en ©tonnerons pas, et nous serons les pfe- 
miers & blämer nos fauıtes si elles sont l’objet d’une critique &quitable : 
seulement, nous prions nos censeurs, avant de porter leur jugement, 
de se rappeler que nous n’avons fait que d&fricher un terrain extröme- 
ment aride,, et que les ouvrages philologiques, m&me les plus profonds, 
n’ont pas 6t& toujours A l’abri de la critique. 

Nous esperons que les litt£rateurs francais nous sauront gr& de kur 
avoir facilitö les moyens de connaltre et d’appr£cier la langue et la litt&- 
rature d’un peuple qui jadis a rempli le monde de sa glotre, et qui a ou- 
vert les portes de }’Orient au commerce, aux sciences et & la civilisation. 


qu’en francais il y a des noms gul sont masculiss au singulier ot Fminiasau pluriel. 
Woy. Amor (d la fin), Delicia , Orgäo. 


= 6 





AVIS INDISPENSASLE, 


La virgule (,)sert & indiquer les synonymes, ou presque synonymes. 

Les deux points (:) indiquent la döfinition ou l’explication da mot qui les 
pweobde. it. Foy. & la lettre Q. 

Le point et virgule ( ;) indique une acception differente da mot portugais, 
mais toujours sous le premier mot francais, ou sous le mot principal qui pr&- 
c&de. 

Le point final (.) et une lettre capitale au mot suivant indiquent une accep- 
tion tout & fait differente, et n’ayant aucun rapport avec le mot frangais ui 
est en tie de l’article. \ 

Le — tient fonjours la place du premier mot portugais ou francais, selon que 
la phrase est portugaise ou francaise. 

+ Ce signe designe les mols nouyeaux qui ne se trouvent dans aucan die- * 
Gennaire portugais-frangais. 

*Ce signe, place devant un mot portugais , indique qu'il est inusitö et qu'il 
a vieilli ; plac& devant un mot francais, il sert & marquer qu'il n'est pas du 
meme genre que le nom portugais. /oy. plus haut n> 8. 

Le guillemet (»), plac& devant le ch , indique qu'il sonne k. 

Les parenthöses ( ) ranferment : 1° les prepositions que r&gissent les verbes 
oa leurs perticipes ; 2° le compl&ment des verbes, les substantifs avec lesquols 
Tadjectif semploie, rösiproquement, etc. ; 3° les differents styles, familier, 
figure , eic., et les abräwiations qui suivent. 


ABREVIATIONS. 

Adj. . adjeetif. Iron... . 0... . Ifonique. 
Ad}. ey sen... « .„ adjectif 6 deux genres, | Irreg. . ... . . . irregulier. 

masculın et f&minin. I..2220.... item. 
Adj.eis...... adjectif && substanti. La... .... . termetire du latin. 
Ade. . „0... . adverbe. Loe. ade... ...» locution adverbiale. 
Ant... ..... . terme d’antiquitö portu-| Loc. prov..... locution proverbiale. 

gaise (*). M.. .:.... +. masculin. 
art. - 2.2... . article Mi... ..... . milltaire. 
Aug. . „on 000. augmentatif. N. . » 0.0.0. . Deutre. 
4uziü. ..... . auxiliaire. Num. . ..... numeral. 
Bui........ burlesque. Num.ord.....- numeral ordinal. 
Eslleel...... . oollectif. P.&. ..cre er. participe actif. 
Comig... 0... comique. P.P. . 0... . „. parlicipe passe. 
Cmj. oo. r00 conjonction. Part... ...... participe. 
Conj. ng... -. conjonction negalive. Partic.....».. particule. 

8. 0 0 0.0. . derisoire. Partie. nfg. . . . parlicule negalire. 

Dideel. .... . didaclique. Pi... ..e.0... pluriel. 
Dim. ....... diminutif. Poll. ...... . poetique. 
Ez...... ... exemple. Pröp...».... preposition. 
Fam. ....... familier. Pron. . .. .. . pronom. 
F...2.2.0.. figure ou figur&ment. Pron. pers. ... . pronom personnel. 
Id ........idem Pron.relat. ... . pronom relalif. 1y 
impers. .. . impersonnel. Pron. relat. ind. pronom relatif indefini. 
Impre&..... . imprecation. Prov....c 2... proverbe. 
Isjer. . ..... injurieux. Provime. .... “. provincial. 
Interj. ...... interjection. IP.us... cv... peu usit& (terme). 
Inmus........ inusile. Recipr....... reciproque. 


(*) Nous arons adoptä cette abrärlation, ponr &tablir une diff&rence entre les mots d’antiquite poriugaise et 
ics mots d’antiquitd en general, qui sont Indignes par 2. d’ant. Elle sert aussi & Indiguer Ics locutlons gu ont 
zappogt am useges ancions, ei quianjaurd'kul sar' " 


P) 
xVvi 


Belat. - . . . . . relatif. 
Bust. „oo. . +. Fusligue. 

eo 0.0. . substenlif. 
S.f- » 0.0.0. substantil f&minin. 
S.M. ....0.0. . substantif masculin. 
Sup. ....... superlaüf. 
T.bok.... .. . terme de Bohemiens. 
T.d’agr... . . . . terme d’agrieulture. 
T. d’anal. . . .. lerme d’anatomie. 
T.dant. .... . terme d’antiquite. 
T.darch. . . . . terme d’architeciure. 
T.darith... . . terme d’ariihmetique. 
T,d’artil. „.. . verme d’artillerie. 
T.d’ast. .. .. . terme d’asironomie. 
T, d’astrol.. . . . terme d’astirologie. 
. .„ terme de blason. 


T. de bot... . . terme de botanique. 
T.du Bres. ... . verme du Brösil. 

T. de charp. . . termede charpeniier. 
T. de chim. . . . terme de chimie. 
T.dechir.... . . terme.de chirurgie. 


T.decomm. . . . terme de commerce. 

T.de const. ... . terme de construclion nA- 
vale. 

T. de cwis. . . . . terme de cuisine. 

T.de diplom. . . terme de diplomatie. 

T. d’eser. . ... . terme d’escrime. 

T. de fauc. . . . terme de fauconnerie. 

T.de fort... . . terme de forlificalion. 

T.de geog.. . . . terme de geographie. 

T.degeom. .. . terme de geomötrie. 

T. de gramm. . „ terme de grammaire. 

T.d’hist.net.... . terme d’histoire naturelle, 

T.d’impr. .... . terme d’imprimerie. 

T.de jur. ... . . terme de jurisprudence. 

T.de bit, oe... terme de Jiturgie- 


ABREVIATIONS. IE 


T. de log. . . . . verine de logique. 
T.de man... . . lerme de mandge. 
T.de mag... . . lerme de maconnerie. 
T.de mar... . . terme de marine. 
T.de math. .. . terme de malhtmaligue. 
T.de med... . . terme de medecine. 
T.de min... . . terme de mineralogie. ' 
T. de wor... . terme de morale. 
T.demus. .. . . terme de musique. 
T.de myth. . . . terme de mythologie. 
2 de not. . . . . terme de notaire. 
T.d’opt. .... . terme d’optique. 
T. de peini. ... . terme de peinture. 
. terme de pbarmacie. 
phil... . . . terme de philosophie. 
phys.. . . . terme de physique. 
..... terme pvpulaire. 
al. . + . . terme de pralique. 
0. . terme de relieur. 
. . . „ terme de rhetorique. 
. «. . ferme de scolasligue. 
... . terme de sculpture. 
I. . . . terme de theologie. 
«+. . lerme de venerie. 
veler. .. . terme de vettrinsire. 
comp. . . . terme en composilion. 
“0 0... terme familier. 
“000. . terme obscene. 
“oo... voyez. 
0... terme vulgaire. 
00... verbe acf. 
02... verbe auxiliaire. 
0... vieux mot. 
V.®n. 2.0.0.0... verbe neulre. 
Ver. 20.0.0... verbe reciproque, reflschi 
os pronominal.. . 


ars 
:F3 
;. 


! 


SSSSSSS NSS! 
HH 
22 


Sabe 
33 


Sb 
> 
} 


Rprd:p 


2, 


CLEF DES ACCENTS. 


a,€,1,6, { repond, en francais, & { 


1, 6,1,0,0 


idem. 


a, &, 1, d, od. 
4, 6, !, 6, 00. 
a, 6,1, 6, od. 


La diphthongue nasale do est breve quand elle est &crite avec le til sur l’s (do), comme 
duns oregdo, örgdo, etc. ; elle est longue quand elle est dcrite avec l’accont aigu pur Fat ie 
ul sur lo (di), comme dans coragdö, peixds , eic. 


I GE Tl 


.DICTIONNAIRE 


PORTUGAIS-FRANGAIS. 





A. 


ABA 


A, lettre voyelle yui forme seule un mot pre- 
sentant plusieurs acceptions. 


ä,8.m, premier caract£re de l’alphabet de.la 


portugaise. 
A,abreviation de appr6oo (dans les examens 
«es candidats); st. d’auteurs. AA. aulores. 
A, keure numserale chez les anciens Romains, 
pow designer 500, et avec un petit trait dessus, 


Sam. 

in ert. fem. Ex. Acidade, a casa, la ville, 
maison. —pron.rel. f., la, le, celle; pl. as 

kes , oelles. f.,la, le, pr. as, 

A, particule qui dömontre le regime direc 
ou indirectdes verbes. Ex. Deia Pedro a minha 
beisa, j’ai donnö d Pierre ma bourse. Amo a 
Dess , j'aime Dieu: 

A, prep., 2, au,aut; en,äaveo, vers; jusque; 
ser;de,par,pour. Ex. A’umahora,dune heure: 
&larde, au soir : äs ‚aux eauxX: passar 
a Portugal, passer en Portugal : d falsa fe, 
seec perkdie : amor ä palris, amour vers ou 
enosrs la patrie: de pelamanh# änoile, depuis 
le matin jusqu'au soir : 4 bocca da noile, sur le 
seit : äminha, & Iua, ü vossa vonlade , de mon, 
de ton, ds votre consentement : & forfa, par 
force : e & omusa d’estas cousas, et Pour Ces mo- 
is. 


A (contrastien de e prep. et a art. f.), d, Ala, 
au; en, dans, avec, etc., comme ci-dessus. 

A,conj. oa plutöt adv. devant un infinitif, 
equivaut ä si, dans ls cas : a saber isso, si j’a- 
vais su cela : a ser assim, dans ce cas, si cola 
etsit. 

(as) L’ancienne orthographe employait deux 
ss au lieu d’un d avec accent aigu; v.g. amas- 
rde, amärko; esieo, estä : inusitce aujour- 


A’sa,s. f. " bord, extremite. — do vestido, 
pan d’un habit, d’une robe. — do chapdo,, bord 
dan chbapeau. Chapeo d’abas grandes, cha- 
peau & larges bords. — do rio,i. e. borda, 
nargem, rivage, bord d’une riviere.—do forro 
(1. de charp.), bordure de bois. — do Lelhado, 
rebord d’un toit, avant-ioit, subgrande ou se- 
verande. — d’uma janella, d’uma porla, petit 

PORT.-FR 


ABA 


toitpourgarantirdela pluie, auvent d’une crol- 
see, d’une porie. ( lg.) Protection, faveur, 
gräce, eic. Au plur., Abas d’uma cidade, les 
environs, les alentours d’une ville. ° 

AB ABRUPTO ow Ex ABRuPpTO, adv. sur-le- 
champ, sans pr&paralion. 

Asica, s. f. "Abaca: lin, ou chanvre des iles 
Manilles. 6. Bananier des Indes. 

f Anıcanino, a, adj. basane, & teint noi- 
rätre, hale, brüld. 

«ApBicano, s.m. ef. Abacare, peuple de V’A- 
merique meridionale. 

ABACELLADO, 04). 9.p. d’ 

ABACELLAR, ©. a. planter de la vigne (ferme 
de jard.); buter, entourer de terre (une plante); 
enfouir en terre les racines d’un arbre. 

Anico,s.m.(t.d’arch.) abaque, tailloir de 
eolonne, la partie superieure ow lo couronne- 
ment du chapiteau de la colonne. 

ABACOT, 8. m. ornement de tete des rois d’An- 
gleterre,, qui avait par en haut la forme de deux 
couronnes. 

AnACTOR , s. m. voleur de bestlaux. 

Asipı, 8. f. toutce que peut contenir le pan 
d’un habit, d’une robe. Encher uma abdda de 
flores, remplir les plis d’une robe de’fleurs. it. 
Abade , femelle du rhinoceros, 

ABıAn210,s.m. " merluche, poisson. if. Insecte. 
V. Vacca lowra. 

Asıvennas,s. f. pl. (i. de mar.) Abadernes: 
pelites cordes qui servent pour fortifier et afler- 
mir les grands cäbles. 

ABAFADIGO, A, adj. renferme, qui a besoin 
d'air ; etouffant, chaud, ardent, brülant. Casa 
abafadica ‚maison oü on &touffe. 

AsırAnDo, A, adj. p. p.d’Abafer. 

ABAFADOR, 3. m. 6touffoir: ustensile pour 
etouffer le charbon; petite soupape, languette 
de drap pour temperer les sons dans le meca- 
nisme du piano. 

ABAFAMRNTO, 8. m. "suflocation, chaleur ex- 
cessive,, &touffement, 

ABAFAR, dv. a. bien couvrir pouf Cconserver la 
chaleur.—as terras,, herser les lerres labour&es 
pyurempecher leur dessechement. it. Duffoquer, 





2 ABA 


&touffer —umnegoeio, impedir uma pretenglo, 
etouffer une aflaire. — uma vela ( i. de mar,) 
etrang!er une voi®. — v. u. eire suffoque, res- 
pirer avec peine ‚eloufler, n’en pouvoir plus de 
chaud. — de gordura, &toufler d’embenpoint. 
— decolera, etisuffer de eolere. 

Auivas, ©. f. pl. Morrer d—, mourir de 
frayeur. 

Asiro „s. m. *chaleur etouffante.—do corpo, 
cu para 0 corpo, chaleur du corps maintenue 
par des couvertures, es de remede pour 
certsines maladies. Casa d’abafos, eluve. 

ABAINHADO, A, 0dj. P.p. d’ 

AsaInnar, v. a. ourler: faire un ourlet ä du 
linge ou 4 quelque autre &toffe. 

ABalonETaR, v. a. meltre la balonnette au 
bout d’un fusil, armer de balonnette; tuer & 
coups de baionnette. 

ÄABAIRRAR, ©. a. diviser en quartiers. 

ABAIXAMERXTO, s. m. abaissement, diminution 
de hauteur .(fig.) "Bassesse, humiliation volon- 
taire ou force ; diminution de credit, d’hon- 
neur, eic. 

Asııxan, o. a. baisser, abaisser, rabaisser ; 
decrottre. (Ag.) Humilier, deprimer, ravaler, 
avilir. Abai a soberba, lui abaisser l’or- 
gueil. — vo. n. descendre. — se, vo. r. s’bumi- 
lier, se degrader, s’avilir, s’incliner devant quel- 
qu’un. — a supplicas,, s’abaisser a des prieres. 

Asııxo, adv. a bas, en bas, au bas, sous, 
dessous,, au-dessous ‚par-dessous, ci-dessous. 

ABaJ0UJar-SE. V. Aloleimar-ıe. 

AsaLiva,s. fı ( 6. de chasse) direclion du 
vol d’un oiseau; trace, vestige, que lo gibier 
laisse & l’endroit od il a passe. 

AsıLlpo, A, Pp.p. d’Abalar. 

ÄABALANENTO, 8. m. *secousss,, ebranlement, 
d£part subit. Ce mot commence & vieillir. 

ABALARCADO, A, P. p. d’ 0, adj. 
resolu,, determine, Lardi , courageux. 

+ ABALANCAMENTO, s. m. 6&lan, mouvement 
subit avec eflort. 

ABALANGAR, D. 6. meiire une balance en equi- 
libre ; s’elancer, se debattre pour aller & quel- 
qu’un. 0 menino 30 corpo porairaal- 
guem, l’enfant se dehat pour aller & quelgu’un. 

ÄBALANGAR-SE, 9. r. se mouvoir d'un cöte ei 
d’sutre sur une corde, se balancer ;s’“lancer, se 
jeter impetueusementenavanti.(fg.) S’oxpeser, 
se hasarder, entseprendre une chose avec au- 
dace. «st. Quitter une chose pour une auire, 
changer. 

ABALAR, 9.8. socouer, ebranler queique chose 
pour la changer de place, meltre en mouve- 
ment; fig. &mouveir quelqu’un, l'inciter l’in- 
duire&; ul inspirerdessoupgons, des crainles; 
le deiourner de son propos, dessein, resolu- 
tion, etc. is. Eblouir. 4A luz absle os olhos, la 
lumitre eblouit les yeux. 

AsıLar, v. w. branler, vaciller ; partir subite- 
ment. —o arraial, o campo ‚d6camper, deloger, 
partir. Abaldo-me os denies,lesdenisme branlent. 

ABALAR-SE, ©. r. etro emu ‚surpris, interdit 
de quelque chose. 


ABA 


AsıLatstrar, v. a. balustrer, orner de ba- 
lustrade. 

AsıLpear. V. Baldear. 

ABALTENAGÄO, s. f. (1. de prat.) abaliena- 
tion , alienation de meubles , hestianx,, eic. 

ABALIZÄDAMENTE, adv. aveo Eclat, d'une ma- 
niere distingude. 

ABALIZADISSIMO, A, superl. d’Abalizado, tres- 
distingue ou cel&bre. 

AsıLızipo, A, adj. borne, mesurs; qui a des 
balises. (#g.)Celtbre,renomme; parfait, achere, 
complet. 

ÄBALIZADÖR , 8. m. arpenteur, homme qui 
maesure les terres ei plante des bornes, des ba- 

ises. 

ÄABALIZAR, ©. a. arpenter, metire, poser des 
bornes dans les champs, ou fonds de terre. 
(fig.) Signaler, monirer. (4. (1. de mar.) Baliser 
une passe, un canal, une rividre, pour indiquer 
los &cueils ou les endroits dangereux pour les 
batcaux. 

ABALIZAR-SE,, ©. r. 50 distinguer, so signaler 
par quelque action d’eclat; aoquerir de la r&- 
putalion, de l’estime, du eredit. 

ABÄLO ‚,s. m. mourvement, agilation ; ebran- 
lement, secousse. (fg.) Mouvement, perturba- 
tion , trouble „ &ınotion de l’esprit; changement 
d’opinion, d'avis. Sentir abdlo, se troubler, s’6- 
mouvoir, se sentir trouble. — de dosnga, de 
febre , attaque de maladie, de Rövre. 

+ ABALOFiDO, A, adj. p. p. de Abelofar-se, 
chose bouflie, enfi6e, ampoulee. 

ABALOFAR-SE, ©. r. se bouffr. 

AsıLonas, V. Balonas. 

AnııaÖa, 8. f. "grappin d’abordage de main : 
espece d’ancre & quatre becs dont on se sert 
pour grappiner ou accrocher un vaisseau & l’au- 
ire dans le moment d’abordage. 

AsaLnoAcköd (4. de mar.), ou 

ABALROADA, 8. f. "abordage,heurtiement d’un 
vaisseau aveo l’auire. 

ABALROADO, 8dj. P. 9. d’ 

ABALROAR, d. m. (4. de mar.) jeter le grap- 
pin de main ; se heurter (les vaissesux); appro- 
cher d’un vaisseau forlement, menter ä l'’abor- 
dage.—alguem, (fig.) s’approcber, aborder quel- 
qu’un pour lui parler. —cem al. disputer, 
else en question, en differenoe, en debat, en 
dispute aveo quelqu’un. 

ABALSADO, A, 6dj. 9.9. d’ 

f AsıLsaR, ©. a. encuver la vendange, mel» 
tre dans la cuve le raisin. 

AsıLtäatipo, A, adj. bastionne, imitant un 
bastion, p. p. de 

+AsaLuiatan,v. a. bastionner, fortißer; for- 
mer des bastions autour d’une place. 

ABANADO, A, p. pP. d’Abanar, adj. secoue. 

ABANADOR, 3. m. svontail, Eventoir; van & 
vanner; celui qui souffle, qui vanne, qui agite 
l’sir, qui chasse les mouches. 

AsAnapürı, 3. f. ventilation ; agitalion, 50- 
cousse. 

ABANANÖScAs (molcompose), castigo de—, pu- 
nition l&gdre (fam.). 


ABA 


äsaxAR , ©. a. Öventer : faire du vent avec un 
erentail ou arec quelque autre chose.—o Jume, 
e fogo , soufller le feu, Yexciter avec un 6ven- 
ir. — uma arvore, ebranler, secouer, agiter 
ua arbre pour faire tomber ses fruits. —as 
oreikas, dire que non, sa refuser & [aire quel- 
que chose (pAr. prov.). — 0 trigo, vanner le 
bi& pour le neltoyer.— es moscas, chasser, faire 
fair es mouches.— se, v. r. s’öventer. 

ABANAR,, ©. ». vaciller, n’&ise pas lerme. — 
com a cabega( fam.) laire un signe de L£te. (Ag.) 
Rıre agits, troabld par quelque passion. 

Assscip0,A,adlj.p.p.d’ 

B-5E, ©. Tr. 8’asseoir sur un bano, dans 

Finiention d’y demeurer longiemps. 

ÄABANDALHAR-SE , U. r. &ir6 ou se rendre ridi- 


eale par sa mise. (fig.) Se dögrader. 
Asaupaınan. V. Embandeirar. 


„ABARDEIADO, a,adj. ayant la forme d’an pla- 
u. 

ABANDOAR, ©. a. röunir en bandes.—se, v. r. 
se reunir en bandes, en diverses factions. 

ÄABANDONÄDAMENTE, adv. A l’abandon, sans 
frein „ sans retenue. 

ARANBONIDO „A, adj. abandonne, isole, es- 
seule, solitaire. Causa— a, cause abandonnde, 
inseutenable,que personne ne delend. Doente— 
des medicos , malsde abandonn6 ou delaisse, 
disesper®. Homem — corrompido, un aban- 
denne, un homme perdu, d&bauch£. p. p. d’ 

ABANDONAR, ©. a. delaisser, abandonner; 
gsitter. Livrer, melire au pouvoir, en la pos- 
session de queiqu’un. — a cidade, abandonner 
larille, en sorlir. — a sus profisedo, abandon- 
Ber, quitier, renoncer ä sa prolession. — se, 
e.r. sabandonner, se livrer &; laisser aller les 
cheses au hasard ;perdre courage. Se prostituer. 

ABASDONÄVEL, adj. 2 gem. qu’on peut aban- 
denner; digne d’ötre abandonne. 

Ausze0n0, s. m. abandon; action d’aban- 
donner; abandonnement d’un herilage, d’un 
parti, defeclion. ° Privation ; dslaissement,. 

tAsinca, s. m. [ruit d’une espöce de pal- 


mier. 

Asasico, 5. m. pelit erentail, dim. d’Abano. 
Faller por abanicos, faire des jeux de mots. 

Asino,s. m. eventail, &ventoir; BECOusse. — 
pare encholar as moscas, un chasse-mouche, 
ce qui sert a chasser les mouches. 

" Asanıksma,, corruplon populaire de Fan- 
lasma,. V. 

FäAsıQquzripo, A,adj. qui ala forme de ba- 
gmeite de Lamnbour. | 

Asin, v. a. relever ics bords d’un chapeau, 

un chapeau. 

AsasıriDo, A, adj. V. Barsto. 

ÄBARATAR, U. G. rabaisser; metire plus bas, 
dininuer le prix. —os mantimenlos, diminuer 
le prix des vivres, faire baisser de prix les co- 
mesübles.— ev. n. ou A e,v. r. baisser 
de son prix. O Irigo abaralou, le Iroment, lc 
bie est A meilleur marche. 

Asınaipo, A, adj. qui est bien proche, face 
ä face, (fig.) Occup6 & une grande multitude 


ABA 3 


d’affaires ; surcharg6 , accabl& d’un grand nom- 
bre d’alfaires A la fois. Estar — com a morte, 
etre ä toutsextremile. p.p. d’ 

ABARBAR , ©. a. &tre face A face de quelqu’un, 
s’approcher barbe äbarbe. (Ag.) Braver le dan- 
ger; &ire ou se voir en danger.—se com amorte, 
s’exposer & la mort, la braver.—com os peri- 
gos, s’exposer au danger ou se metire en dan- 


ger. 

ABARBARIZADO, A,adj.p.p. d’ 

ÄBARBARIZAR-SE, ©. r. devenir, se rendre 
barbare. 

FABARBETAR ,v.a.(l.demar.)brider,genoper. 

Asirca, s. f. chaussure rustique de peau de 
bauf non tannde, 

ABanciD0,A, adj. p.p. d’Abarcar. it. qui 
porte une chaussure rustique de peau de basuf 
non tannde. 

ABARCADÖR, A, 3. accapareur, monopoleur; 
celui qui embrasse, qui etreint. 

"FABARCADURA, 8. f. "ombrassement, &treinte; 
l’action et l’effet d’embrasser, d’ötreindre. 

ÄABABCAMENTO, 5. m. V. Abarcadura. it. (Ag.) 
Accaparement, monopole sur les denröes. 

f ABARCANTE, adj. 2 g. V. Abarcador,p. a. 
d’Abarcar. Folha—(t. de bot.), amplexicaule : 
feuille qui, parsa base, embrasse le tour. de la 
tige. 

ABARCAR , v. a. embrasser : ceindre quelgue 
chose avec les bras; environner, entourer, O 
mar abarca a terra, la mer environne la terre. 
Abarcar tudo, entreprendre toute sorte Jd’al- 
faires. (Ag.) Accaparer, contenir, renfermer, 
comprendre. — com 0 pensamenlo, compren- 
dre, concevoir dans l’esprit.(f.de chasse.) En- 
tourer l’endroit oü est le gibier pour s’en assu- 
rer. Quem muilo abarca pouco aperta (prov.), 
qui trop embrasse mal etreint. - 

f ABAREMO-TRMO, 5. m. esp&ce de mimosa du 
Bresil, plante. 

*" Anänca, 8. f. "Nlet, etc., pour la p&che dea 
aloses, lamproies, etc.; l’endroit oü !’on fait. 
cette peche. 

f AsanıLAM, imprecalion employ6e par les 
anciens, laquelle voulait dire : Englouti par la 
lerre comme Abiron et Dathan. 

ABARRACADO, A, 9. p. d’Abarracar. 

ABARRACANENTO, 6. m. lieu couvert de tentcs, 
barraques, pavillons, surtout de soldats; cam- 
pementmilitaire; caserne. 

ABARBACAR , v. a. faire lever des tentes, des 
barraques pour loger des soldats.— se, v. r. 58 
barraquer, se hutter;se loger dans des barra- 
ques, huttes, pavillons, etc. 

ABARRANCIDO, A, adj. 9.9. d' 

ÄABARRANCAR-SE, ©. T. se ravincr, tomber, 
entrer dans une fondridre. (fig.) Se fourvoyer, 
se melire, s’engager dans des dificulies, dans 
des embarras. 

* ABARREGCAMENTO, ABARREGAR-SE. V. Amam 
cebamento ‚, Amancebar-se , elc. 

ADARNEIRAR, ®. a. meitre des barrieres ; en- 
tourer d’enceintes une place, un lieu quelcon- 
que, 


g 


m 


& ABA 


ABARRETADO, A, adj. p. p. de 

ÄBARRETAR-SE, OD. T. eouyrir sa tete d’un bon- 
net, mettre le bonnet & la töte. 

* ABARRISCO, ade. indistinctement; inconside- 
rement; en grande abondance, & foison. 

AsanaoiD0, A, adj. (f. pleb.) entEts, obsti- 
ne , opiniätre. 

t Asaraorino, A, adj. p.p. d’4berrolar. 
Navio-, vaisseau trop charge, charge jusqu’au 
bor 

ÄBARROTAR, u. a. barroter, arrimer. (1. de 
mar.) Remplir toutes les parties vides d’un b4- 
fiment, —se, v.r. (fg.) manger ä n’en pouvoir 
plus ‚ regorger. 


ABASBACAR-SE, ©. r. nigauder. V. Eunbas- | d’ 


-.6. 

* AnısMaR. V. Despreszar. 

Apıssı ou ABASSıSs, 5... * monnale d’argent 
qui a cours en Perse. 

TAsussüs, s. m. (1.de mar.) "fosse aux lions, 

ÄADASTÄDAMENTE, adv. amplement, large- 
ınent, copieusement, 

ABASTADISSIMO, a,adj. sup. d’Abasiado, trös- 
riche, tres-abondant. 

ABASTÄDO, A, adj. riche, abondant, bien 
fourni, qui a de tout en abondance. Fiver— , 
eire riche, sis€, vivre ais6ment. 

° ABASTAMENTE, V. Bastantemente. 

ABASTANENTO, s. m. "abondance, afluence. 

Anıstinca,s. f. abondance, suflisance, ai- 
sance. 

* ABASTANTE. 

* ABASTANTENENTE. V. Bastante... 

ÄBASTAR, ©. a. apporter de ’abondance ; ras- 
sasier, remplir abondammment; approvisionner. 
— o.n. ötre suflisant, suflire, @tre capable de 
suffre & quelque chose.—se, se rassasier ;s’ap- 
provisionner abondamment. 

ABASTARDÄDO, A, adj. P. p. d’ 

ABASTARDAR, v.a.abätardir, faire degenerer. 
V. Bastardear. —s0,v.r. fig. s’abätardir, per- 
dre de ses facultes; degenerer, en parlant de 
la conduite, de Porigine de quelqu’un. 

+ ABASTECEDÖR,, 3. m. fournisseur, approvi- 
sionneur, pourvoyeur, celui qui fournit des 
vivres et d’autres choses necessaires. 

ABASTECER,, ©. a. approvisionner, pourvoir; 
fournir les choses ne&cessaires; avitailler, mu- 
nir, ralraichir, ravitailler, introduire des vi- 
vres , des munitions dans une place. Assorlir, 
fournir de toutes sories de choses une bouti- 
que, etc. 

ABıstecioo, a,adj.p. p. d’Abastecer. 

ÄBASTECIMENTO, 5. m. approvisionnement, 
avitaillement; fourniture. 

Asisto,s.m.V. Abaslanga. 

‘ AnASTÖSAMENTE, adv. V. Abastadamente. 

ABASTOSO, A, adj. V. Bastante. 

ABiTE, s. m. *° diminution de prix, rabais. 
sem dar nada de—, sans diminuer rien du 
De; & prix fixe. Com grande —, au grand ra- 

s. 


ABATEDOR, 8. ım. abattcur: celui qui fait des 
dimiioulions dans les prix des murchandises. 


ABB 


ig. Abaledores das honras, dos ereditos, dos 
merecimenios alheios, oeux par envie ra- 
baissent et ravalent Phonneur, le credit et los 
merites d’autrul. 

ÄBATER,v. a. abatire: jeter parterre, renver- 
ser, jeterbas, fairetoımber,demolir, ruiner, faire 
cesser, detruire, faire descondre. (fig.) Abaisser, 
deprimer, rabaisser, humilier, intimider, aoca- 
bler, terrasser, ravaler ; döduire; ternir, affai- 
blir, diminuer Peclat, faire pälir. O solabate as 
estrellas, le soleil fait pälir les dtoiles. — a 
poeira, 0 pP, borrifando o ch&0, abattre lapous- 
siöre en arrosantlaterre.—abandeira, erredie, 
baisser le pavillon.— asoberba, o atrevimen!o 

alguem , abaisser, abattre l’orgueil, l’audace 
de quelqu' un.— a fortuna d’alguem , abaisser, 
humilier la bonne fortune, la prosperites de 
quelqu’un. — a forga, o vigor d’alguem,, debi- 
liter, d&sanimer, affaiblir quelqu’un. — 0 ere- 
dito d’alguem, diminuer, retrancher, amoin- 
drir, abattre ie erddit de queiqu’un. — da som- 
ma, delalquer, diminuer du prix, faire un ra- 
bais, diminuer de la somme. — vo. n. 50 
calmer, s’apaiser. O venio abate, le vent so 
calme. if. Deriver, s’öcarter de sa route, en 
parlant d’un vaisseau. 

ÄABATER-SE, vo. r. s’abaltre, se renverser, 
tomber par terre. (fig.) S’humilier, devenir 
humble, quitter son orgueil ; «s. s’absttre, per- 
dre courage,, caur, 56 d&courager, avoir moins 
de vigueur. 

ABATIDAMENTE,, ado. bassement : d’une me- 
niöre basse,, abjecte. 

ABATIDISSIMO , A , adj. superl. d’ 

Asırivo, A ‚adj. p. p. d’Abater, abatla, ren- 
verse, tombe, mis par terre. (Ag.) Humilie, 
vaincu ; faible, d&courag6, qui a perdu ses for- 
ces, Bon Courage, 6lc. 

ABATIMENTO, 3. m. abatiement : l’action 
et l'effet d’abattre; d6molilion, renversement, 
ruine, destruction d’un bätiment. (Ag.)"Humilia- 
tion, abjection, abaissement, depression. — 
d’animo, de spirito, abattement, faiblesse, 
manque de force, de courage. — d’esiado, 
disgräce de la fortune, adversitd. —na somma, 
V. Abate. 

fAsıTınino, A, ady. p. p. d’Adalinar-se. 
Sobrecasaca abatinada, redingote en forme de 
soutane. 

f ABATINAR-SE, ©. r. s’babiller en soulanc; 
mettre la soutane. 

fABAULADO, A, 0d/. V. Convexo. Rus, esirada 
abaillada,rue, route bombee, qui a la forme 
d’un dos d’Ane. 

f ABAULAR, dv. a. donner la forme de bahut, 
de dos d’äne; "bomber. 

fAsivo, s. m. (8. de bot.) abavo : grand 
arbre d’Ethiopie dont le fruit ressemblo & la ci- 
trouille. 

Asixaa. V. Abaizer. 

ABBACIAL, adj.2 gen. abbatlal, qui appartient 
& un abbe ou & une abbesse. 

*ABBADADO, A, adj. qui a unabbe. /greja —a, 
€glise gouvernee,, reglee par un abbe, 


a Gr VE | 5 BE 


ABE 


+ Annapäicıo, s. m. grand goßter quo los an- 
eiens abb#s exigeaient de leurs paroissiens lo 
jeur quils prenaient possession de leur dignite. 

Assapio,s. m. aug. buri. grand abbe. 

® ABBABAR, ©. 6. pourvoir d’un abbe. 

Ausipz, 5. m. abbe : chef d'une abbaye. On 
denne aussi co nom aux pr£&lais des moines, et 
äAquelgques eur6s inamorvibles de Portugal et 


Anzantssa, 5. f. abbesse : supericure d’un 
menuastöre de religieuses. 

Ansapzssipo, 8. m. ° dignitö, charge, Juri- 
dietion d’ane abbesse; #lection d’abbesse; fes- 
tin dess lo jour de son 6leclion ; durde de son 
geurernement. 

Assıpiı,, s. f. abbaye : dignite, droit, pro- 
prietös, privilöges d’un abb6 ou d’une abbesse. 

st. °Monastäre dereligieux ou dereligieuses di- 
rig6 par un abb& ou par une abbesse. il. Cure, 
dent le cure est inamovible, et qui a ordinaire- 
meatplusieurs vicaires. i1.* Presbytöre : maison 
de eure. 

° Ausanıan0. V. Abbadia. 

+ Az2ıDınE0, s.m.dimin.d’Abbade, petitabbe. 
Ansırına,, s. f. V. Batina. 

4,B,C,s.m. alpbabet de la langue portu- 
giise. O — d’uma seiencia, d’uma arte, d’um 
sogecio „ le rudiment d’une science, d’un art, 
d’sao affaire. 

Asczoen. V. Aposiemar. 

Ancisso. V. Abscdsso. , 

TAsoxLirvı, s.m. abdelavi : melon d’Egypte. 

Aspıcacid, s. f. abdication : resignalion, re- 
soncement volontaire au pouvoir souverain. 

AnpKcı20,A,9.7.d 

Aspican, v. a. abdiquer: renoncer volontai- 
rernent au pouvoir souverain. 4. Abandonner, 
tenoncer, se dömeltre librement du droit qu’on 
yet avoir k unechose quelconque. 54. Annuler, 
abolir la facult€ accord&e & quelqu’un. 

ABBICAHVEL, adj. 2 gem. qu’on peut abdiquer. 

Ansousu,s. m. (d. d’anas.) abdomen, bas- 
venire. 

TAsomımizs, s.m. pl. (tl. d’hist. nat.) abdo- 
sılnanz : poissons A nageoires sous le ventre. 

AspouıniL, adj. 2 gen. (1. d’anat.) abdomi- 
sal, du bas-ventre. 

Aspucciö, 8. f. (1. d’anat.) abduclion : V’ac- 
tisn de mouvoir en dehors. 

Aspucrör, s. et adj. m. (F. d’anat.) abduc- 
teur : muscle qui fait mouvoir en dehors les 
parties auxrquelles il est attache. Musculos ad- 

ductores, muscles qui agissent dans l’abduction 
sur tous ives membres du corps. 

+ AsneırTino, a. 0dj.p.9.d’ 

ABEATAR-SE, v. r. devenir bigot. 

Astuzna. V. Böbero. 

fAutuerRADO,A, p.p. d’Aböderar, dquiona 
denns & boire. Sopa ab#berada, soupe bien 

. trempee. 

ÄBEBERAR,, v. a. abreuver, donner & boire; 
faire boire, mener boire (les bestiauxr). is. 
Tremper. 

Asscepinto,s.m. ABC : abecedairc: ordre 


in ABE 5 


des letires sulvant l’alphabetdechaquelanguc ; 
‘6. petit livre qui sert A montrer A lire aux en- 
fanıs.— adj. alphabetique, mis par ordre alpha - 
betique. 

AnzcÄ0, s. m. domestique d’un fermier; chef 
de ceux qui travaillent avec les baufs ; con- 
cierge, &conome,, qui a soln d’une maison de 
CaMpagne. 

Asecarla. V. Abegoaria. 

Asecöı, 8. f. fermidre, mötaydre, elc. V. 

gäo 


ABECOARIA, 8. f. (f. d’agr.) maison rustique, 
ou Pon garde tout ce qui concerne le labou- 
rage; train n&cessaire pour le labourage; lout 
c6 qui concerne une mölairie , une ferme, com- 
me baufs, charrues, etc. 

* ABEGOURA. V. Abegoaria, 

ABEJARUCO. V. Abelheiro. 

Astına,s. f. abeille, mouche & miel: insecte 
de l’ordre des hyme@noptöres , de la famille des 
mellites, qui produisent le miel et la cire. — 
mesira, abeille qu’on nomme reine, et qui est 
la mere de toutes les autres. (fig. fam.) Femme 
trds-astucieuse, Tus6e, eic. 

As£ıua-FLÖöR, 8. f. (t. de bof.) *"orchis papi- 
lionac6 (plante). 

Aszıuiö, s. m. bourdon: espäce de grosse 
mouche qui fait un bruit continuel et monotone 
avec sa trompe. 

ABELHÄR-SE, ©. 7.86 presser: agir avec acli- 
vits, diligemment. 

ABELBARUCO,. V. Abelheiro. 

‚ABtınasinua, s. f. dim. petile abeille. 

AseLu£ına,s. f. *essaimd’abeilles (pose6 dans 
le tronc d’un arbre). 

f Assıukına, s.f. (6. de bot.) *orchis papilio- 
nace. 

f ABELH£IRO 0% ABEJARUCO, 8. Mm. INETOpS, 
mesange bleue, gu£pier : petit oiseau de plu- 
mıage gris, ray& de noir, de blanc et de jaune, 
qui mange les abeilles. i6. Gouverneur des mou- 
ches ä miel, celui qui prend soin des ruches. 

ÄABELHINHA Ou ABELHITA. V. Adelhasinha ; 
‘4. plante. V. Abelha-flor. 

ARELHUAR-SE. V. Abelhar-se. 

ÄBELBÜDAMENTE. V. Apressadamente. it. In- 
discretement. 

ABELHÜDO, A,adj. [ortdiligent ‚tropempresse. 
st. Qui se me&le de ce qui ne le regarde pas; in- 
discret. 

Apeuicea,s.f. abölicde: grand arbredeCre&te, 

f ABELIDADO, A, pP. p. d’ 

} ABELIDAR-SE, v.r. avoir des laies dans los 
ycux. 

Aseııkıra. V. Avelleira. 

ÄABELMELUCHO,, 6. m. espece de raisin ou de 
palme de Christ, qui crolt aux environs do |: 
Mecque. 

ABELNÖSCO o% BELMOSCHO, 8. m. "ambrotte : 
petitc fleur d’une odeur agröable et qui sent le 
musc. Ketmie musquec, herbe au musc. 

ABELOTAMENTO. V, Abolelamenio. 

ÄABELPRAZER, adv. bien & son aise, sans la 
moindre gene, 


6 ABE 


Astu, ade. en bonne part, faverablement. 

AszNOoLinDo, A, p. pP. d’Abemolar (1. de mus.) 
en bemol; suave, doux. (Ag.) Afleet#,, trop re- 
cherch6 ; eff&mine. " 

ABENOLAR, v. a. ($. de mus.) mettre en b#- 
mol: baisser une note d’un demi-ton ; id. Adou- 
cir, assouplir, flüter la voix. 

Asancoapkıaa, s./. femme gui b£nit. 

ÄBENCOADO, A ,P.P. d’Abengoar :quia recu la 
benediction. (fig.) Heureuz, favorabie, propice, 
bon. —sejas no que inlenias, que Dieu benisse 
vos entreprises,, vos desseins. 

ÄBENCOADOR , A, 5. celui, celle qui donne la 
benedietion , qui souhaite du bien ä quelqu’un. 

ABENCOAR OW ABENDICOAR, v. a. benir; ap- 
prouver ; favoriser ; souhailer du bien & quel- 
qu’un.— ss, v.r. se benir: recevoir, prendre 
la benediction. 


Aunzuusses. V. Benesses. 
T Aszatua, s. [.(t.de bot.), aber&me : plante 
de la Gwiane,. 


Asznnıciö,s.f.(l.d’astr.) aberration : mou- 
vernent apparent et fort petit qu’on observe dans 
les etoiles. (Ag.) Action d’errer en morale, en 
politique,, etc. 

ÄBERRADO, A, P.9.d’ 

ÄBERRAR, v. ». s’6carter du bon chemin. — 
dos diclames da razdo, s’€&carter du bon sens. 
— da [@, renier la foi, renoncer & la foi. — da 
materia , s’scarter de son sujet. 

Astatı, 5. f. ouverture, l’action d’ouvrir; 
trou, fente, troude. (fig.) Occasion, conjoncture, 
avantage. A itar-se , ou lansar mdo d’uma 
—,profiter de l’occasion, prendrel’occasionaux 
cheveux, ne point laisser &chapper l’oocasion. 
Perder «—, ndo se aproveilar d’ella, perdre 
Poccasion favorabie. 

ABERTAMERTE, adv. ouverlement, clairement, 
manifestement; en public, publiquement, de- 
vant tout le monde. (fig.) Franchement, sans 
döguisement. 

Ankarıs, s. f. plur.* canaux „rigoles pour 
conduire freau. i4. Aberlos , blancs qu’on laisse 
dans P’öcriture pour remplir apres. 

Anßato, A, p.p. d’Abrir. Ourvert, expose. 
Portas, janellas aberias , portes, fenttres ou- 
vertes. Porta aberia em dwas, porte ä deux 
battants, qui s’ouvre en deux. Cavallo — dos 
peilos, cheval demis, boiteux. Homem de peito 
aberto, ( Ag.) homme franc, sincere, ingenu; 
sans döguisement, sans finesse. if. Large, vaste, 
spacieux. Campo ou campanha aberia, rase 
eampagne. Credilo—,, credit illimite. Risco— , 
danger &vident. Obras, negocios em — , OuYra- 

affaires en suspens, pourterminer, achever. 

AnErTÜRA, 8. f. l’action d’ouvrir. Ouverture, 
percement: fente, crevasse, ouverlure en long. 
Breche , bäillement: ouverture & la suite d’un 
tremblement de terre. Epauouissement: action 
par laquelle les fleurs commencent ä& deployer 
leurs feuilles. (Ag.) Franchise, sincerite,, inge- 
nuite, nalvets, simplicit£. df. Ouverture d’une 
assembiee , d’un concile,, d’une universite, des 
tribunaux, des sceaux, des tombeaux, d’un 


ABI 


testament; des ballois dans ia demane. — de 
pulso , do peilo, douleur trds-vive au peignet 
ou & la poitrine, & la suite de grands effeorts. 
U.(fg.) "Epanchement: l’actiondes’tpancher on 
d’ouvrirson caur aree sincerile, avec temdresse, 
avec conflance. — do etsio da garen (l.de mar.) 
trou de chat. 

*Aucsina, 8. f. "attelage de baufs qui la 
bourent. 

ÄABESENTABO, A, 9.P.d’Abesoniar (1. de blas.) 
besante, orne de besants. 

ABESENTAR „O.a. meltre des besants (dans un 
€&cu\. V. Besante. 

ÄBESOTRO,. 

ÄABESPA. 

ABEsPio. 

ÄABESPINHA. 

+ ABESPINNÄDAMENTE, ade. avec acrimonie, 
äcrete : comme une guäpe irrilee. 

+ ABESPINBADO, A, adj. agace, irrile : p.p. d’ 

} ABESPINBAR-SE,, €. r. s’agacer, siirrler 
comme les guepes;; entrer en fureur. V. Espi- 
nhar-se. 

+ Anessıno. V. Abexim. 

+ Astsso, s. m. "mechancele, malignitö en- 
vers quelqu’un. ( Viewr mot.) 

ABESTIM. 

ABESTO. | V. Asbesto. 

ABESTRÜZ OW AYESTRLZ, 8. m. autruche : le 
plus grand des oiseaux, fort baut sur jambes, 
qui a le cou fort long, les pieds faits comme 
ceux du chameau, etquin’a presque de plumces 
qu’au bout des ailerons el de la queue. 

Astra, s. f. dim. d’Aba, petit bord. 

ÄABETARDA, 8. f. outarde: oiscau de passage 
de l’ordre des echassiers, bon & manger, gros 
comme une oie sauvage. 

ABETARDADO, A, adj. couleur d’oularde. 

ABETE, 5. m. avet, sapin : grand arbre r&si- 
neux et toujours vert. 

AsETERno, V. Eterno (ab). 

+ Astro. V. Abete. — ntgro, le fanz sapin; 
sapin rouge. — do Canada, petit sapin de Vir- 
ginie;; &pinelte, sapinelle. 

ABETUMADO, p. p. d’Abetumar. V.(fig.,elen 
style burlesque ) severe, austere ; triste, sombre. 

ABETUHAR. V. Belumar. 

” ABETLN, 8.m. secours. (Fieux of.) 

AseExım, adj. Abyssinien. 

+ Anıpe, 3. m. vanneau : oiseau de rivasc. 

* ABIBLIOTBECADO, A, P. p. d’ 

“ ABIBLIOTHECAR , c.a. meitre, garder, placcr 
des livres en bibliotheque. 

Asıcano, A, 9. p. d’Abicar. (fg. Estar — a 
alguma dignidade, etre a la veılle d’obicnıe 
une dignile. 

Asıcar, 0. a. (1. de mar.) arriver, aborder; 
mouiller l’ancre. 

ABIETINO, A, adj. (f. poel.) dusapin. 

ABIGEÄTO, 3. m. abigeat : vol de betall. 

+ Asııpcaan, s.m.(l.d’hist.nat.) abildgaar: 
espece de spare d’Amerigue (poisson) du genre 
des iboraciques. 

AsıLe. V. Abil. 


V.sans A initial: Besowro,elc. 


ABJ 


"ASILBAURNTO, 8. m. Ornement, parure; 
mise. 

" ABILHAR, ©. 6. OrDEr, parer. 

+ Asımma , s. f. dim. d’Aba. 

+ As-mırıo, loe.ado. d&s le commencement; 
it. depais un temps trös-recule. 

AsNTEsTAnO, A, adj. ab intestat, intestat. Se 
dit d’ane personne mortle sans faire de testa- 
ment, 

Anscorrap0, A,P.P.d 

Asıscorrar, ©. 6. cuire le pain jJusqu’& le 
dessecher, en le soumettant & une double 
caissen. 

AusuapO, a, P.P. d’Abismar. Abim6, jete 
dass un abtime. Navio — nas ‚nomar, 
vaisseau coale & fond dans la mer, abime, en- 
gieati par les flots.— de dividas, (fg.) charge, 
perda de dettes. —, admirado, &tonn6, plein 
d’sdmiration. 

+ Anısmar ou ABYSWAL,ady.2 gen. quiap- 
partient & P’abime; tr&s-profond. 

ABISHAR Ow ABYSMAR, ©. a. abimer, renver- 
ser, pröcipiter. (fig.) Plonger, perdre, ruiner en- 
tierement, confondre,, humilier. it. Etonner 
qeeiqu’un, lui causer de Padmiration. — se, 
«.r.tomber, se plonger dans un abime, se 
perire , se noyer. (fg.) wos diverlimenlos, na 
der, nos vicios, sabimer dans les plalsirs, dans 
la douleur, dans les vices, s’y plonger,, s’y 
abandonner.—diante de Deos,, s’abimer devant 
Dies „ shamilier profond6ment en sa pre 
sence. 

Asısuo ow ABYSMO, s. m. abime, gouffre, 

ipi fondeur, trou sans foüd : ilse dit 
Dani des choses irös-profondes. (fg.) Abime : 
tut ce qui est immense, incomprehensible. 
Um — chama ouiro , un abime atlire un au- 
we „ dit-on proverbialement, quand d’un mal 
ea tombe dans un autre plus grand. Os oternos 
ebismos, Yenfer. it. Le dernier degreö de deca- 
dence. O0 abismo da miseria, da desgrapa, un 
abime de mistre , de malheur. 

+ AsıspapO, A, adj. soupgonneux, deflant; 
prudent, avise. 

Ausso, s.m.(1.podi.)V. Abismo. 

+ Asrıano, A, p- p. d’Abilar. 

* AuıraLHan. V. Abitualkar. 

Asıran,v.a. (f. de mar.) bitter, rouler le 
autour des bities. 

Asitas,s.f. (l. de mar.) pi&cesde bois rondes 
pour amarrter l’ancre mouillee, bittes. 

Anıtoziö, s. f. abjection, avilissement, me&- 
geis,, abaissement. 

ABSÄCTANENTE, ade. avec me£pris, d’une ma- 
mitre basse , mieprisable. 

Asstcrissino, A, adf. sup. d’ 

„Antcro, A, adj. abject, meprisable, vil, 


Anızıcio. V. Abjecrdo. 

AsstoıcaD0,A,Pp.p2.d’ 

ABICDICAR , 0. a. prendre par Justice, d@pos- 
stder quelqu’un d’ane propriet6 pour la don- 
ner A un aulre. 

Auscaacid, s. f. abjuration, l’action d’abju- 


u ® 


ABO 7 


rer, la formule ou les termes qu’on emploie en 
pareils cas. 

ABIURADO, A,P.p. d’ 

ABJ0RAn, vd. a. abjurer, renoncer solennelle- 
ment & quelque doctrine, ä quelgue opinion 
regardde comme fausse et pernicieuse, se T&- 
tracter. Elle abjurow, il a change de religion.— 
a poesia, abjurer la poesis, y renoncer. 

f ABJURcAR, ©. a. querelier, gronder, r&öpri- 
mander. 

Asuactacid, 8. f. (l. de m£d.) ablactation , 
cossalion d’allaltement; if. le sevrage des en- 

anis, 

ABLACTAR, ©. a. V. Destelar, Desmamar. 

ABLaquzcer. V. Excavar. 

ABLATIVO, 3. mı(f. de gram.) ablatil: ie 
sixiöme cas des noms dans les langues oü ils se 
deelinent. 

AsLecagid, 8. f. ablögation : sorte de bannis- 
sement prononce par le pere dans l’ancienne 
Rome. 

ABLEGADO, A,adj.p. pP. d’ 

ABLEGAR, v.a. ableguer, bannir. V. Ablegardö. 

ABLEITADO, V. Ablactado. 

ApLvciö, s. f. ablulion, action d’abluer. Co 
mot est particuli&rement consacre aux cer&mo- 
nies de la messe. Il signifie le vin que le pretre 
prend apres la cömmunion, et le vin et P’cau 
que l’on verse sur ses doigts et dans le calice 
apres qu’il a communie. Dans l’anciönne me&- 
decine et chimie, c’etait une sorte de lavage 
par lequel on pretendait purifler certains me- 
dicaments. On se sert aussi de ce mot pour ex- 
primer la cer&monie du bapt&me, 

Asıufa. V. Lavar. 

Asnecackö, s. f. abnegation: renoncement & 
soi-meme, et detachement de tout ce qui ne 
regarde point Dieu. 

ÄBNECADO, A, p. P. d’Abnegar. 

ABNEGADOR, A, adj. abnegateur. 

ABNECAR, ®. a. mepriser quelqu’un me&con- 
nallre. — 3e, v. r. renoncer volontairement ä 
ses desirs ou & ses passions, se mepriser soi- 
meme, 

ABNETA,s. f. troisi&me petite-Nlle. 

f Auto, s. m. troisieme petit-tils. 

A’soA F£, loc. adv. en veriis,, sincerement, 
de bon caar, avec sincörite. 

* ABOAR, U. G. avouer. 

ABÖOBADA, 8. f. voüte. Cerrar ou Fechar a—, 
placer,‚dans la construction d’une voüte, la clef 
oula pierre du milieu. (Ag.) Metire la dernidre 
main. A un ouvrage. Cerrar a— das culpa:, 
commettre le dernier peche, nn combler la 
mesure. 

ABOBADADO , A,P. 9. d’ 

ABOBADAR, d. a. voüler, muvrir avec une 
voüte, faire une voüle. 

ABÖBADASINHA, 8. f. dim. a’adobada, pelile 
voüte. 

ABOBADILEA, 8, f. voQte en plätre. 

}AnosiDO, A, adj. celui qui a l’air sol, 
niais. Cora abobdda, air niais, nigaud. 

+ AnopAR, vd. @. ebabir etonner, rendro in- 


8 ARO 


terdit,, stupeller. it. Entretenir, distralre. — se, 
v. r. devenir sot, nlais, nigaud. 

+ AB6BORA ou AuOpRa, 3. f. citrouille, courge 
(le frwit de ceite plante). —menina, poliron, 
pepon. — geromun, giraumont. — carnfira 
ou de carn£iro, calebasse, gourde, flacon, 
calchanse d’herbe. — silvestre, V. Cologuin- 


AsoporÄL, s. m. lieu some de courges. 
Asosorar. V. Abeberar. 


Anoponkıra Ou ABOBREIRA, 8. f. Courge, ci- | pdo 


trouille ( plante rampante de la famille des cu- 
eurbitactes). 

ABOBORINHL Ou ABOBRINHA, 5. f. dim, d’4- 

obora , petite courge. 

AB0CADO, A, p. p. d’Abecar. 

ABOCADURA, 3. f. ouverture, embrasure oü 
Fon place les canons ‚sabords. if. Eimbouchure, 
ouverture des canons. 

ABOCAMENTO, s. m. l’aclion de prendre avec 
la bouche; rencontre de deux canaux, veines, 
eto. (%g.) Abouchement, entrevue pour parler. 

ÄBOCANBADO, A,P. pP. d’ 

ABOCANHAR, ©. G. mordre, serrer quelque 
chose avec les dents. (fg.) Decrier, ternir la 
röputation de quelqu’un, medirc, reprendre , 
eritiquer; censurer avec malignite.—em lingus 
esiranha, estropier une langue eirangere. — 
muilas cousas a um lempo, entreprendre plu- 
sieurs choses & la fois. 

ABOCAR, v. a. gueuler. Il se dit des chiens 
qui prennentencourantlegibieravec la gueule. 
Commencer & entrer dans un detroit, barre,etc., 
en parlant d’un navire.—umarus, enüler une 
rue. — os canhöes pelas portinholas, braquer 
les canons dans les sabords. (flg.) Obtenir, 
reussir A avoir une chose (fam.). 

AB0OCAD0,A,p.p.d@ 

+ Asocan, vo. a. (f.de mar.) atlacher avec 
des cäbles, bosser. — as vergas com , 
de ferro, bosser les vergues avec des chaines 
de fer. . 

ABOCETADO , A, adj. en forme de bolte, ar- 
rondi. Rosto —, visage rond. 

° ABOCHORNADO,, V. Calmoso. 

+ Asot, s. m. (1. d’hist. nal.) abo& : poisson 
holocanthe des indes Orientales. 

ABOFETADO, ABOFETAR. 

AnorsteADo, Anorerean. | \- Zibofelsar. 

ABOIADO, A,P.2.d’ 

Asoıan,v.a.(4. de mar.) melire, attachor 
une bou6e pour faire flotter quelque chosc. Alta- 
cher un morceau de bois, de licge ou un baril 
vide, ä un cordage qui flotte au-dessus d’une 
ancre ou de toute aatre chose pour ınarquer le 
lieu oü elle se Irourve. dt. Attacher ainsi avec 
des bouses differents objets pour les jeter & la 
mer en cas de necessite. — v. w. flotter, sur- 
nager. 

Asoıs ow Anoız. V. Bots. 

AB0LADO, A, P.p. d’ 

AsoLar,, v. a. bosseler. V. Amolgar. 

AsoLeımino, A, adj. (1. burl.) stupide, lourd, 
qui a le visage plat. 


ABO 


ÄABOLETABO, 9. P.d’ 

ABOLETAR, v. a. donner des billets de loge- 
ment(& la troupe), loger les soldais dans les 
maisons des particuliers. 

Asouicäö, s. f. abolilion, abolisseınent, 
anetantissement, exlinction d’une loi, etc. ; re- 
siliation ; cassalion, r&solulion ; abolilion d’un 
acte, 

ABOLIDO, A, P.p. d’Abolir. 

ABOLIMENTO,, s. m. action d’abolir. V. Aboli- 


AsoLınan. V. Bolinar. 

ABoLIR, v. a. abolir, casser, annuler, efla- 
cer, r&voquer, öter, invalider. (1. de barreau) 
Resilier, casser un acte. —um crime, absoudre 
le coupable, remettre la peine d’un crime por- 
tee par la loi. — se,v.r. s’abolir, se passer, 
s’annuler, s’effacer, se detruire, perir. 

AsoLLar, etc. V. Abolar, etc. 

ÄAÄBOLORECER, vd. ®. chancir, moisir. — v. a, 
A hkumidade abolorece o pdo, le pain se moisit 
dans les lieux humides. 

ABOLORECIDO, A,P. p. d’Abolorecer. 

® ABoLöR10 , 8. m. les anc£tres. 

AuoLsino, A, adj. fronce, bouffant, plisse 
comme une bourse, ou qui a plusieurs godrons 
en forme de bourse. 

AsoLumino, A. V. Avolumado, Empachado. 

+A»oua,s. f. (il. d’hist.nal.)" aboma,ser- 
pent monstrueux de la Guyane. 

ABOMINACAO, 5. f. abomination , deleslalion, 
execration , aversion quo nous inspire la pre- 
sence vu le souvenir d’une personne,, ou 
chose. 

ABOMINADISSIMO, A,8up. d’ 

ABOMINADO, A, pP. p. d’Abominar. 

ABOMINADOR, A, 8. celui ou celle qui de- 
teste. 

ÄADOMINANDO, A, adj. abominable , detes- 
table. 

ADOMINAR, v. a. delesier, exe&crer, abhorrer, 
avoir de l’aversion pour quclque obose, l’avoir 
en execration, en horreur. 

ABoNınÄavEL, adj.2 gen. abominable,, detes- 
table, execrabie; qui merite d’eire deteste; 
ir&s-mauvais. 

ABOMINÄYELMENTE, ade. abominablement, 
detestablement, execrablement, d’une maniere 
abominable, otc. 

ABOMINAVILISSIMO, A, sup. d’Abominarel, 
trös-abominable, etc. 

+ Anoxınöso, A, V. Abominavel, ül. (I. de 
pods.) Superstitieux, qui chesche & &riter les 
choses omineuses. 

A-DOM-RECADO, (loc. adv.) assur&ment,, aver. 
assurance, avec securite. Pör uma cousa a 
bom recado, meilre une chose en lieu de sürele, 

Aponaciö, s. f. caulion, garantie. (fig.) 
Recommandation, louange, approbation. 

+ ABOXÄDAMENTE, ade. d’une manidrc digne 
de foi, avec de la r&putalion, du credit ; assu- 
rement; richement. 

ABONADISSIMO, A, sup. d’ 

ABONAnO , A,@dj. p. p. d’Abonar; accrediie, 


ABO 


riche, qui a da credit et de l’argent. Teste- 
nenba abonade, un tömoin irreprochable, di- 
ce de foi. Mercador —, marchand solide, fort 
nche. 
ABOSADOR, A, 3. caution, garant, r&pondant, 
velui qui repond, qui s’oblige pour un autre. 
+ Asonam£wro, s. m. l’aclion diacerediter, 
d’assarer; cautionnement, garantie. V. Abo- 


napdo. 

Apoxauca,s.f. V. Bonangs. 

ABONANCABO,P. p. d 

ABOSANGAR, ©. @. calmer, tranquilliser, mo- 
derer. — e. ». se rasserener, devenir serein, en 
partant du temps , d’une tempete. (1. de mar.) 

ollir, se calmer, en parlant du vent. 

one v..a. accrediter: donner de l’auto- 
rite, de la r&putation, du eredit; faire jouir de 
Festime , qualifier une chose de bonne. i$. As- 
saurer, avouer, autoriser une chose, un fait, 
use sction; porler en compte, inscrire la somme 
que Fon doit ou que queiqu’un a payee; cau- 
Gonner, se rendre caulion, Fepondre pour 
queilge’un. (£. de com.) Bonifier, faire bon.— 
em conss (f. de com.), metire en credit, cre&- 
diter. 

ABONAR-SE com alguem de, v. r. se vanlier 
derant quelqu’un, parler de soi-m&me avec 
vasiie , ostentation, eic.; se piquer de. 
„Jossinca, „Asonnan.V. Abundancia, Abun- 

A20n0, s. ms. Paction d’accrediter, 'd’assurer; 
canlisanement, garantie. (flg.) " Approbation, 
kouange,, recomimmandation. V. Abonardäo. Abo- 
nos, pl. (f. de jew) enjeu, Jetons. Fallar em — 
dalguem, parier en faveur de quelqu’un. 

Asoscan. V. Bolkar, Arrevessar. 

Anonpapa. V. Abordagem. 

ABORBABO, P. pP. d’Abordar. 

Asonsısön, A, 5. ((.demar.)oeluiqui aborde 
un vaissesu. 

ABORDpicEN, 8. f. (t. de mar.) "abordage : ac- 
usa d’aborder ; choc de vaisseaux. 

Asoxpar, v. @. (t. de mar.) aborder, se tou- 
eher, choquer, s’approcher dans quelque des- 
sem que ce soit, en parlant de deux embarca- 
tions. Aller a bord ; prendre terre. — alguem, 
aborder, approcher de Tuelqu’un pour lui par- 
ler. — om, v.». aller ä& Pabordage,, atiaquer. 
V. 4belroar. Aborda ! (1. de mar.) acosie! — 
peio gorupes (id.), aborder de franc etable. 

ABORBO, 3. m. (1. de mar.) abord. V. Abor- 


ABORBOADO, A,P. 7. d’ 

ASORDOAR, v. a. layer, soutenir avec un bä- 
sa. Tster le pav6 avec un bäton,, comme font 
es a .— ume vinha, tchalasser une 
vigue. (6. (famil.) Donner des coups de bäton. 
— ss, u>r. marcher appuy6 sur un bäton. 

ABORICENES, 5. m. pl. aborigänes : premiers 
habitants d’un pays. 

ABORRASCADO, A, P. pP. d’ 

ABORBASCAR-SE, ©. T. devenir orageux; me- 
nacer la tempete, 

ABORRECHBOR, A, 9, halnenzx ; velui qui halt, 


ABO 9 


qui deieste, abhorre et a en horreur une chose, 
ou personne quelconque. 

ABORRECER, v. a, abhorrer, hair : vouloir du 
mal, avoir de la haine, de l’aversion,, de la re- 
pugnance, avoir en horreur. — de morte, hair 
ä la mort. —v. n. causer de la haine, de l’aver- 
sion, del’horreur ; deplaire, ennuyer quelgqu’un. 
— s6, vd. r. eire & charge A soi-meme, 50 depi- 
ter, se fächer; s’onnuyer. 

ÄBORRECER , av60 les pron. me, l6,86, 008, 
vos, Ihe, Ihes, causer du deplaisir,, du degoüt 
(si ce verbe est & la troisidme personne du sin- 
gulier ou du pluriel). Ex. Aborrece-me isso, 
cela me deplalt, cela me dögoüle. Aborrecem- 
le meus conselkos,, mes conseils te deplaisent. 

ÄBORRECIDAMENTE , adv. odieusement : d’une 
maniere odisuse, haissable. A contre-caur, 
avec degoüt. 

ÄABORRECIDISSIMO , A, adj. sup. d’ 

ÄBORRECIDO, A, adj. v. p. detants, detestabie, 
las, lasse, fatigu6; malvoulu,odieux, ennuyant, 
fächeux, hat. V. Aborrecer. — de viver,, las do 
vivre. 

ÄABORRECIMENTO , 3.m. *aversion, haine, ini- 
miti6 ; deplaisir, eonui. 

ABRORRECIVEL, adj.2 gen. haissable, odieux, 
detestable, abominable ; ; qui exeite Paversion, 
la haine, Pindignation. 

ABORRECIVELMENTE ‚ adv. V. Aborrecida- 


mente. 

ABORRIDANRNTE,, adv. avec degoüt, avec hu- 
meur. 

Asonrino, A, adj. plein d’ennui, de degoüt: 
ilse dit d’une personne qui est mal ä son aise, 
souffrante, qui se degoäte de loul, qui ne 
trouve plaisir a rien. On le dit aussi des choses 
qui sont accompagnees d’ennui ou de quelque 
incommodite quinouschagrine, commo la vieil- 
lesse, les inßrmiles, elc. p. p. d’Aborrir. 

ABORRIMENTO, s. m. degoüt: ennui, chagrin, 
souci, lassilude, langueur, fatigue ou inaction 
d’ esprit causee par une chosc qui deplalt par 
elle-meme ou par sa dur£e. 

ABORRIR, v.6. ennuyer; rebuter. V. Abor- 
recer. 

ABORRIVEL, adj. abominable, detestable ; qui 
cause du deplaisir, du degoüt. 

Asonso, V. Aborto. 

ABORTADO, A, 9.9. d’ 

ÄBORTAR,v. a. et n. avorler,accoucher avant 
terme, en parlant des femelles de l’esp&ce hu- 
maine, et mettro bas par rapport & celles des 
autresanimaux ; faire une fausse couche, mellre 
bas avant terme. (fig.) Ne pas r&ussir, &chouer, 
teurner mal, 

Asoarivo,A, adj. aborlil: ne, venu avant 
terme ; avorte, qui n’a ni perlection ni malu- 
rite. (t. de med.) Ecbolique : medicament qui 
cause l’avorlement. . 

ABönTo, s.m. avortement : fausso couche, 
accouchenent avant terıne. Avorlement: ne 
s’emploie guere qu’en parlant des fenelles des 
animaux.(fig.)” Production qui est venue avant 
le terme, imparfaite, trop pre£cipitee. it. * Pro- 


53 a>R AER 


> 


Adnan eLrielname. nur, ui” Semuca, U chris. 

geuw. ! anımam. 2 a. PP. WAbrander. 
- lanırziumn.a. ud a5 f >» "BERSRIAEETTT. zZ m. zunellissernent ; adou- 
TÄBInTZ aa 2, 7 7 se saure daR BE- | Smemenc. 

Inins. ! Aaımak_4.@ zer. rendre mon, affıi- 


7 Asırsaas.a. ei al er Turms de gufire. zur zinumr. "untre meins dur. (g.) Adeucir, 
Betune. mnlmer. ınaser. — un kamen: irads „apaiser 
Fasırrazı9. 8 ff. rt debef "isn de m aamma zum de nelere.— es elkes, adoucir 
beutsuner. ie zuusser des DGUTZEUEE. EU DEE- as regaris. ZIEEmEr unpeurensemment j65 YEUX, 


amt des zuantes, eis. . a /amei. zıre es ven deux. — as leiras, adou- 
Asıımasdıma, s.f. ums qui int ou aiuehe Sr 2 srenemn.rzum — e. m. calmer, s’abatire ; 
des 300.18. ämmnuer a ere. Tziensite. O vente abranda, 


Ak.tıan..ı.087.P9 v. £ SBetser. Boatırıme. se went $abaL. se cable. 

garz. ie Beiwas. 2lı7ıe zuee !es Teams: un yaanaz. er. S’zmollir, #adoucir, de- 
».2 22 Baurr>023. de Baninns. For— ea. ferur nn ’ ” 

ae an apasan Gerne, uapr, Tour Emma. Derire S ders. (fg) Sadoucir, 

fem. yeuı prespae zveuzies. Fra nws—s. nero, ” 

w’arsı7 pas de purspeeaniie: Sie bee. Frei ya, wmacıe TV. Embrendecr. 

en earet, epre lermi:nze par un bouma farm ueu,uma,ee renfermer, conlenir.—e. ®. 

‚E. . on sufire , eize ser suisaet. Isto ndo abrange a 

Pre beutsunier. celai qui BR „ins cein me su pas pour tous. Ald onde a 
De . . . eistz ebrenge „janzu #a les yenx peuvent aper- 

j AB. »ızcaa, 8.f. "assortimment, garniture ER ugip em jusqw’oa a vee peal porier. it. Se 
our s zouır um babit. cemmuniygwer, sietendre. A lanio ndo 

’ ar n a passer In basten a razio kumena, ka rasen humaine ne s’etend 
3.13 ‚uwsanitre ; atiacher aver beu- pas jesque-lä 

tors. — r.». se couvrir de bouisus, POGEEET, Aemıucıao enger 

des borıınas : il se dıt des arbres, des plantes & ! . app ale t v 

l’epao:ue de ia Beraisen. ' ussrsinaukrıe, . ardemmenl, avec ar- 


AsuTurıDBO, A, ahj.P.P-.d a,mp.d 
ÄABOTOCAR, ®. a. bondonner : beucher avec s 

un bondon le treu par o& Fon remplit (les Asnısano, a,edj. p. pP. d’Abraser. h 

tonneaux , les fatailles, etc.) Anarsında, a, eh. brülant; qui brüle, qui 
Asoromino, ete. V. Absiomer embrase. ‚Ag. Consamant, qui consume. Sol 
Asocsan-se. V. Abober, Apatster-we. —, soleil brulant. Zeie —, zele ardent, brü- 
+ Asowna, s. [. &ioffe de laine fabrigquie a | at Foge —, [eu consumanl. 

Abberille, en France. ABRASABENTO, 2.0. emhrasement, grand in- 
Asovapo, Asovar. V. Abeier. cendie. 


u ABRASÄNTE, adj. 2 en p. a. d’Abrasar, 
Annucabisaa. s.m. abracadabra : mot caba- | Prülant, qui brüle, uiembrase.._—DO 

listique qui, disaiton, guerissait les malades Asnasıö,&f. (1.de mdd.)abrasion: irritation 
qui le portaient autour du con. a here des inlestins, causee par un Te- 


ABRAGADO, A, adj. p. p. d’Abragar. 
AnnACADOR, A, s. celui qui embrasse, entoure Flag nraise son h Deren eur 7 
.1 it d ire u. 
un objet quelconque. Il se dit dempersonnes et | Ton 2 terre, en detruire Phumidit jus- 


des choses. n , » 
* ABRACAUENTO. V. Abrago. qu'& ce qu’elle devienne sterile. (ig.) Dissiper, 


ABRACÄNTS, adj. 2 gen. V. Abragador. prodiguer, dilapider, oonsumer son bien. 4. 

ABRACAR, 0.6. embrasser, serrer, &treindre Exciter lardeur, V’envie, la Jalousie, la haine de 
avec les bras en signe d’amitie. (Ag.) Environ- | Juelqu’un ; lui faire honte, !ui donner du res-. 
ner, ceindre, entourer. it. Entreprendre une | senliment. — a algusm com palauras, in- 
affaire,s’en charger, en prendre soin. it. Suivre | Jurier quelqu'un grievement, le piquer jusqu’au 
un parti, un conseil; s’adonner & une profes- vif. it. Detruire,ravager, faire du degäl,ravage. 
sion. 41. Contenir, renfermer. — a vida reli- | Ascabrasabrasdrdo as searas , leschevres firent 
giosa, embrasser l’etat religieux, renoncer au | de grands degäts dans les plantations. 
siöcle. — 0 estomago o alimen!o, digerer bien | ABRASAR-SE, v. r. s’embraser, so brüler, 
tel ou tel allment. — 0 parlido do povo, se | prendre feu, s’enflammer. (fg.) Etre agits de 
tourner du cöts du peuple. quelque passion violenie. — em colera , s'en- 

ÄBRACGAR-SE, ©. r. s’embrasser bras dessus, | flammer, s’embraser de coläre. 
brasdessous. —com alerraoucosianavegando, | + ABRasEinO,A,adj. rouge comme la braise; 
oötoyer, raser la cöte. — com a virlude, suivre | ardent, enflamme; plein de rougeur, de cha- 
la vertu, se regler d’apr&s ses maxiınes. leur :p.p. @’ 

AsrÄco, s. m. * accolade, embrassement,, | + Annaszar, v. a. reduire en braise ardente; 
embransade. chauffer & blanc. V. Abraser. — se, s’enllam- 


A’snı,s.f. baie, havre, rade. 





ABR 


mer, dovenir rouge A cause de la grande cha- 
sur oa de is proximits du feu. 

ABREBÖCA , 8. f. " pas-d’äne : Instrument avec 
iegeel les mar6dchaux ouvrent la bouche des 
cheraaz , et ia iennent ouverte pour la consi- 
derer interieurement. 

’Ann2co, 5. m. autan: vent du midi ou sud. 

Annzuuan-eg. V. Embdrenkar-se. 

Asaestcuciö, s. f. Pacle de renonoer. V, 


ABREXUBGUR, ©. a. Fenoncer avec dösappro- 
bation. — a Salanaz, renoncer & Satan. 

Auresöxco, daterj. (mot latin par lequel on 
wargue de Faversion) loin de moi! Dieu m’en 
garde' me pr&serve! 

Asazrricıo. V. Possesso. 

Asaerucid, s. f. abröriation, retranche- 
ment , abrege. V. Epitome, Compendio. 

ABREVIADAMENTE, adv. en abrög6, sommal- 
rement, en peu de mots, en peu de temps. 

Asaevıäno, A, adj. p. p. d’Abreviar. 

ABREYIADOR, A, 5. abreöviateur, celui qui 
raccoureit, qui abrege. . 

Aszcgvıapöra. V. Abrevialura. 

ABRENIABÄNTO,s.m.V. Abreviardo. 

ABREVIAR, ©. a. abröger, accourcir, racoour- 
eir: rendre pluscouri,retrancher dela longueur. 
Coaper court, acc&lerer, depecher, häter, pres- 
ser, diligenter, augmenter la vitesse; serrer, 
redeire , melire & l’etroit. 

AsarVıaTcra,s. f. abreviation, abregement, 
abregt. —i. e. palavras abreviadas, mots &crils 
en abrege* ou par abrege, paroles abregees, re- 
tranchement de quelques lettres dans un mot 
pour &crire plus vite ou en moins d’espace. Par 
ezernpie, lorsqu’au lieu de monsisur, mar- 
chand, vötre, on &crit:M., Md., Vre. 

Asuıchte,, s. m. abricot. 

Askibo.V. Aberto. 

ABRIDÖR, 5. m. Ouvreur, Ccelui qui ouvre; 
graveur. 

Assıcipi,s.f."abri, lien & couvert du vent, 
de la pluie. (2. de mar.) Galangue ow carangue. 

ABRICADISSIMO, A, Sup. d’ 

AsaiciDo, A,p. p. d’Abrigar, ady. fourre, 
garni, couvert de hardes qui garantissent du 
froid ; eıpos€ au soleil. 

Azsıcido',3. m. V. Abrigada. 

ABRICADÖR, A, 8. protecteur, en parlant des 
personnes, et en parlantdes choses, tout cegui 
ahrite etprotege contre l’intemperiedessaisons. 

AzRIGAR, v. a. abriler, mettre & l’abri. is. 
Echauffer, tenir chand. (Ag.) Döfendre, prote- 
ger, soutenir les inter@is, prendre la delense, 
metire sous Sa protection , accorder asile. 

ABRICAN-SE, ©. r. chercher de Pabri ; se tenir, 
se mettre au soleil dans Fhiver. — a alguem, 
ehercher la protection de quelqu’an. 

Asrico,s.m. abri: lieu A couvert du vent, 
de froid et de la pluie, et tout ce qui garantit 
des injures du temps. (fg.) ” Defense, protec- 
ton, asile, refuge, appul. A solidäo € um bom 
— contra os roodzes da forkuma, la solitude est 
wa bon abri contre los ooups de la fortune, 


ABR 11 


Aufl, s. m. avril, le quatriäme mois de 
l’annee solaire. 

ÄABRILHANTÄDO, A, 9.9. d’ 

ÄBRILBANTAR, o. a. brillanter, facetter, tail- 
ler les diamants & facettes et les faire devenir 
brillante. (4g.)— 0 estylo, brillanter le style ‚ie 
remplir d’ornements recherches, de faux eclat. 

ABRIMENTO, 8. m.° ouverture,, Paction d’ou- 
vrir. — de boca, bäillement. 

ABRIR, ©. a. ouvrir : faire que oe qui est forma 
ne le soit plus. Rompre, percer: faire une ou- 
veriure de part en part; fendre; corever;; divi- 
ser; Separer;traoer; labourer; pratiquer; frayer, 
en parlant des chemins ; &clore, s’«panouir, en 
parlant des fleurs; developper, graver, d6bou- 
cher, d&oouvrir. (fg.) Commencer, &tendre, 
€pandro. — ums carla, um lestamenio, döca- 
cheter une lettre, un testament. — a veis a al- 
guem , saigner quelqu’un.—os eadaveres , disse- 
querlescorps.—osspirito ‚ sclairer, former’es- 
prıt, le rendre capable de mieux penser. — sew 
corapdo , ouvrir son cur, d&clarer ses plus se- 
crets sentiments. — os olkos sobre alguma cou- 
sa , s’aviser de quelque chose,, s’en apercevoir. 
—0: olhos a alguem, dessiller les yonx A quel- 
qu’un, le d&tromper, le desabuser sur quelque 
chose. it. Ecarquilier les yeux, faire de grands 
yeux A gueigulun. — amöo , [aire des largesses. 
—mäo cousa, so desisier, se dtpartir 
de quelque chose, yrenoncer.—o riso, arisade, 
sourire, faire un sourire.—prego,metire & prix, 
fixer le prix d’une chose , convenir de prix.— 
caminho, sefaire jour, frayer ie chemin, faciliter 
la r6&ussite de quelque chose. 4f. Faclliter les 
moyens d’offectuer le passage d’un endroitä& un 
autre.— elaros (I. mil.), ouvrir les rangs pour 
laisser passer la cavalorie et V’artillerie. — o 
olho (fig. fam.), se tenir sur ses gardes. — 
a cabera,, fendre la t#te.— a vontade de coomer, 
ragoüter, se ragofter, röveiller Fappetit, l’ex- 
citer, reprendre son appetit ordinaire. — as 
mäos,, recevoir des presents ; donner liberale- 
ment. — a porla, acheminer, faciliter, mettre 
en #tat de reussir.— 08 oweidos , &couter allen- 
tivement. — os olkos, s’orienter, ouvrir les 
yeux, voir les choses telles qu’elles sont, re- 
oonnaltre sa faute. — pass, se faire jour. 
— prepo, $iablir le prix de quelque mar- 
chandise en ouvrant la vente. — lende , ouvrir, 
etablir une boutique. — corda, faire la ton- 
sure. — irincheira, ouvrir la tranchee. 4o 
— de porlas, & porte ouvrante. Meio —, en- 
trouvrir.—peize,, vider, effondrer un poisson. 
—ımdo d’um negocio, se desister d’unsaffsire, 
Pabandonner. Em um-—e fechar d’olkos, en un 
clin d’@il. Näo— boea, ne point desserrer les 
dents. —as escolilhas , ( (. de mar.) commenoer 
& d6charger. — uma porla na parede, petcer 
une porte dans le mur. 

ABRIR, ©. #. s'ouvrir: s’6panouir, se deplier, 
6clore, se dit des Neurs; commenzer, &clore; 
se fendre, s’elargir. Paraitre,, se manifester. — 
o dia, reparaltre apr&s avoir ct& cach& par des 
nnacae . an parlant du soleil. il. V. AmanAscer, 


12 ABR 


— 0 lsmpo, se meltre au beau,, dervenir serein, 
en parlant du temps. —a cor, devenir plus 
claire, plus vive, en parlant d’une couleur.—dos 
peilos, devenir d6mis, boiteux, en parlantd’un 
cheval. Ainda se Ihe näo abrirdo as feicdes, les 
traits de son visage commencent & se former. 

ABRIR-SE , d.T. s’Ouvrir; crever; 6clater ; cre- 
vasser ; se fendre; s'entr’ouvrir; rouvrir.— com 

‚(Ag.)s’ouvrir & quelqu’an : :luideclarer 
ses senliments, et tout oe qu’on a dans Päme. 

* Annıxan, V. 

ABROCADADO, A, adj. qui imite le brocart. 

ABROCHÄDO, A, 9. p. d’Abrochar. 

ABROCHADOR, A, 3. tire-bouton : instrument 
pour boutonner, agraler ; agrafe. 

ABROCHADÜRA, 8. f.“ resserrement, l’aclion 
d’agraler, de serrer avec un crochet, une agrale. 

ÄBROCHAR, v. a. agrafer, boutonner; lacer; 
boucler, atacher avec une agrafe, une boucle, 
un lacet. 

Asnocagäö, ®. f. abrogation; annulation; 
revocation, suppression, derogalon. 

Asa0gino, A, 9. p. d’Abrogar. 

AsroGanoön,A,s.abrogateur : caluiquiale pou- 
voir d’abroger, ou qui Pexerce. V. Abrogaiorio. 

ABROCAR,, v. a. abroger, annuler, r&voquer, 
supprimer, deroger; detruire, casser par un 
acle positif. 

ABROGATÖRIO,A,adj.abrogatoire: quialaforce 
d’annuler, rävoquer, abolir, mettre horsd’usage. 

ABROLBÄDO, A, adj. (4. d’agr.) bourgeonne, 
plein de bourgeons, de boutons, p. p.d’ 

ÄBROLHAR, ©. 9. ( l. d’agr.) bourgeonner, je- 
ter, pousser des bourgeons, en parlant des ar- 
bres, des arbrisseaux et sous-arbrisseaux. 
Pousser. As arvores do cravo comepdo a abro- 
Ikar em. fevereiro, les girolliers commencent 
& pousser en fevrier. st. Herisser de clous ou 
pointes de fer, de tribules, herses. 

ÄABROLEINHO, 3.m. dim. d’ 

AsnörLuo, s. mw. tribule, herse : plante qui 
crolt parmi les bles. Chausse-trape; macre; 
croix-de-chevalier, plantes. if. Les pointes dont 
le fruit est garni. «6. (t. mil.) Chausse-trape : 
petite piöce de fer & quatre pointes dont on se 
sert A la guerre conire la cavalerie; cheval de 
frise. (g.) Abrolkos, plur. &cueils, brisants 
tres-dangereux, que !’on rencontre dans cer- 
taines mers. Il se dit aussi au ligurö, et signifie 
tout ce qu’il y ade plus douloureux et diflcile 
dans quelque entreprise ou chose. Os abro- 
Ihos da dor , les epines de la douleur. O mundo 
€ cheio d’abrolhos, le monde est plein d’&pines. 

ABAROLHOSINHO. V. Abrollunho.—doschercos, 
(#. de bot.) macre flottante; tribule aquatique, 
macle,cornuelle, chätaigned’ eau, truffe d’eau, 
corniche, saligot, escharbot, tribalorde, irape. 

ÄBRONZÄDO 0 ABRONZEADO, A,adj. bronze: 
couleur de bronze. 

ÄABROQUELADO, A, 9. P.d’ 

ABAOQUELAR, ©. a. couvrir d’un bouclier.— 
se, v. r. 56 couvrir d’un bouclier. (Ag.) Se ga- 

ranlir; se servir de quelque moyen pour de- 
fendre sa personne ou son opinion. 


ABS 


ABROTAL, 8. m. lisu couvert d’asphoddles. 

+ Aurötıno,s.m. (£. debof.)* aurone : plante 
vivace de la famille des absinthes. — femea , 
V. Santolina. — macho , armoise citronelle ; 
aurone des jardins, citronelle, garde-robe. 

ABROTAR. V. Brotar. 

Asnöteı, s. f. (t.de bot.) asphoddle : plante 
& fleur en lis, & racine farineuse, nutrilive, 
en forme de navet; bAton royal. — de Sicilia, 
asphodele jaune, vulgo, verge de Jacob. 14 Nom 
d’un poisson. 

ABRÖTEGA. V. dbrötea. 

ABRUNBEIRO,, 8. m. prunier : l’arbre qui 
porte les prunes. — bravo ‚ prunellier, pru- 
nier sauvage, epine noire, crequier. 

ABRUNHO, 8. m.* prune, fruit du prunier. — 
bravo, prune sauvage, prunelle. 

ABRUTECER. V. Embrutecer. 

* ABRUTELA. V. Arrotea. 

Azsctsso ‚s. m. (1. de med.) abce&s , aposieme 
ou apostume : lumeur causee par des humeurs 
corrompues. 

Asscıne. V. Apside. 

Asscisa, 8. f. (1. de gdom.) Abscisse : porlion 
de l’axe ou du diamätre d’une courbe comprise 
entre son sommetet la rencontre de l’ordon- 
nee. 

Anscısiö, s. f. (1. de chir.) abscission : re- 
tranchement,.d’une partie molle. 

* ABSCONDER. V. Esconder. 

* ABsconpıto. V. Escondilo, Occullo. 

ABSENCIA. V. Ausencia. 

ÄBSENTADO. . 

ABSENTAR-SE. | V. Ausenlar-se, etc. 

ÄBSENTE. 

Assıne. V. Apside. 

AssımiLe. V. Dissimilkanle. 

+ Assintuio, s.m. (1. de bot.) " absinthe 
plante vivace, amere, d’une odeur forte, medi- 
einale. (g.) -Douleur, amertume. —do Ponto ‚ 
armoise pontique, .vulgo, petite absinthe, ab- 
sinthe pontique, absinthe de Hongrie. 

} Assıt, loc. lat. qu’& Dieu ne plaise : loin 
d’ici, loin de nous. 

ABSOLTO. V. Absolvido. 

AssoLucäö. V. Absolvigdo. 

AusoLv£a, v. a. absoudre, pardonner, inno- 
center, delivrer, decharger un aocuse : d&cla- 
rer juridiquement un homme innocent du crime 
dont il etait accuse , exempt de paycr une 
detie ; le rendre libre, lui faire gräce. ü. Ab- 
soudre ( en confession), remettre, pardonnet 
les peches. Relever, delier : dögager d’un Ber- 
ment, d’un vu, etc. «t. Finir, terminer, ache- 
ver entierement, perfectionner.— da inslancia 
(1. de prat.) mettre hors de cours et de proces, 

ABSOLYER-SE, ©. r. obtenir l’absolution „ 
prouver son innocence, se so laver d’un crime, 
s’en purger, s’en justifler. 

AusoLvicäö, 3. f. absolution : pardon, re- 
mission des peches. u. Sentence , jugement qui 
absout ou declare innocent. st. Qualite d’abso- 
lu, d’independant. — geral, absoute : absolu- 
von »ublique, coer6monio qui se fait le Joudi— 


ABS 


Sıist au malin ou le Mercredi-Saint au soir 
darı les cathddrales. 

"IBOLVIMESTO, s. m. l’aclion d’absoudre. 
T. Adsslrigdo. 

ABSOLÜTANENTE , adv. absolument : parlaite- 
zent, entierement, resolument ; d’une maniere 
ıbsolue; sans restriclion, sans bornes, sans 


partage : tout & [ait, enlidrement, sans re- |& 


serve : independamment; avec inde 
d’ene maniere souveraine. ( Ag.) Sans rapport, 
sans relalion. 

t AssoLöras (flores) (#. de bot.) V. Bis- 
sezudes, Hermapkhroditas. 

ABSOLTTISSINO , adj. sup. d’ 

AssoLfro, a, adj. absolu: independant, des- 
poügue. Ce mot a les m@mesacceptions dans les 
deux langues. 

AssoLrrözı0, ı, adj. absolutoire : qui porte 
absolution. Brere—, bref absolutoire. 

Assoxso. V. Dissonante. 

ABSORBENCIA. V. Absorcencia. 

Azsoarciö, s. f. absorplion : action d’ab- 
sorber. 

ABSÖRTO, A, adj. transpori6, saisi, frapp6 
dewanement; extasi6.it. Absorbe, englouti par 
la mer. Ficar —, tomber des nues. it., p. P. 
isregulier d’Absorrer. V. Absorvido. 

AzsoavEncıa, 8. [. (l. de phys.) absorption: 
Facton d’absorber ; la facult# ou proprietö ab- 
sorbante. 

AssonväutE, adj. 2 gen. p. a. d’Adsorver, 
absorbant. 11 est aussi substantif; on Pemploie 
ordmairement au pluriel : Os adsorcentes, les 
absorbants. Forme de medecine et de pharma- 
cie. Substances qui ontla propriets de neutre- 
kser les acides en 8’y unissant. Substances 
absorbanies , pores, etc. 

Apsonv£z, v. @. absorber, engloutir; de- 
vorer, avaler, consumer; (1. de med.) des- 
secber Fhamidite , Pattirer, la dissiper , la 
consuuser. (g.) Emporter ; entrainer; endurer, 
supporter avec patience, avec fermets, avec 
conslance. 


ABSORYIBO, A, P. P. d’Absorver. 

ÄBSORVIUENTO, 5. m. V. Transporte, Extasi. 

” Asstäuıo, A, adj. abstöme : qui ne hoit pas 
de vin. 

Asstencid, s. f. abstension : Yaction de s’ab- 
sienir ; acie d’un berilier qui rejette un heri- 
tage, de celai qui refuse un legs. Ou mieux: 
disistement ,„ renonciation, repudiation d’un 
beritage par I’'heritier testamentaire. 

* ABSTESER. V. Abster, 

äAssr£a, ©. a. relenir, moderer, röprimer, 
agreter, fixer, borner, empecher. — ss, v. r. 
s’abstenit, se priver, se contenır, s’emp£cher, 
se passer, se donner garde; se garder. 

ÄABSTERANENTE. V. Ausieramente. 

ÄBSTERGENTE ,P.a.d’Abslerger, et adj. 2 gen. 
ei subst. (6. de phys. ei de med.) abstersif, ab- 

t: propre ä neltoyer et & dissoudre les 
dureies et les Epaississements. 

ABSTERGCER,, o. a. (I.de med. ei dephys.) ab- 

iierger : essuyer, nelloyer, 


ABU 13 


* ABSTERIBADE , Ansteno. V. Ausieridade, 
Austero. 

ABSTERSIVO, A, ady. (l. de mdd.) abstersif : 
propre & absterger, nettoyer. 

ADSTINENCIA , s. f. abstinence , privalion: 
P’action de s’abstenir, de se priver de quelque 
chose. it. Temperance,sobriet&:vertu qui porte 
se moderer sur l’usage d’une chose. — de 


‚| carne, privation de manger de la chair. Dia 


d’—, jour maigre. 

ABSTINENTE, adj. 2 gen. p.a. d’Absier-se, 
abstinent: quis’abstient. dt. Modere,continent, 
sobre. 

Asstınzntissıno, A, up. d’Abslinente. 

Austracchd, 8. f. (1. de melapk.) abstrac- 
tion : action d’abstraire ; idee abstraite. if. 
* Isolement : &tat d’une personne qui vits6paree 
de la societe.—d’espirito , abstraction, distrac- 
tion de Pesprit; rapt, ravissement. 

ABSTRÄCTAMENTE, adv. abstraitement, aveo 
abstraction, abstractivement, 

ABSTRACTISSIMO, A, sup. d’Adstraclo. 

Anstrictivo,A,(t. de melaph.) abstractif: 
qui exprime les abstı actions, qui abstrait. 

ABSTRÄCTO,A,P.p. irreg. d’Abstrahir, ab- 
strait ; adj. separe par abstraction. Em — , 
abstractivement : par abstraction. Il est quel- 
quefois substantif, ex. 0 absiracto e oconcrelo, 
Pabstrait et le concret. 

ÄBSTRAHIDO, A,p.p. d’ 

Anstrauin, v.a. (t. de melaph.) abstraire: 
faire abstraclion ; considerer separement des 
choses r&ellement unies ; separer par la pensee ; 
considerer une qualite essentielle separement 
de son sujet, ou le sujet d&pouille de tel ou tel 
sttribut. if. v. n. omelire,laire, passer sous Si- 
lence. — se, v. r. se recueillir, rentrer en soi- 
meme ;s’abstenir. 

ABSTRÜSO, A , adj. absirus : cache , difflcile & 
penetrer, A comprendre. Se dit des choses. 

ABSÜRDAMENTE , adv. absurdement : d’une 
maniere absurde, imperlinente. 

ABSURDIDÄDE, 5. f. absurdit6. 

ÄABSURDISSIMO,, A, 84p. d’ 

Apsünno, A, adj. absurde: contraire au sens 
commun, äla raison. Homem —, homme ab- 
surde, sot, qui dit des absurdiles. Systema—, 
systeme ridicule, deraisonnable, qui n’a pas de 
bon sens. 

Ausirpo, s. m. absurde, absurdits, ineplio, 
discours, aclion, opinion contraire & la raison, 
au sens Commun. 

fAssis, s. m. (1. de bot.) absus : espece de 
casse,qui crolt & Ceylan et en Egypte. 

tA2ö,s. m.(t.debot.) abu : especo de bana- 
nier, dont le fruit se mange röti ou frit. 

+ Asccaröxıa, 8. f. (.d’hist. nat.) abucalu- 
xia : poisson-Coq, espece de z&e ou gal. 

f Auunings,s.m.(l.d’hist. nat.) abouhannes; 
oiscau d’Egypte, de Pespece de Pibis. 

Asuız. V. Armadilha. 

AstJiö, corruption populaire de Yisdo. V. 


16 ACA 


AcaxaLLino ‚4, adj. cannele : qui ressenbie 
& une tuile creuse ou & un canal. 

+} ACANALLADÖRA , s. f. cannelure ; creux en 
facon de canal. 

+ AcanALLAR , v. a. canneler: faire un canal; 
donner une forme cannel6e. Creuser : faire des 
cannelures. Conduire par un canal. V. Enca- 
nar. 

ACANAYEÄDO, A,p. p. d’Acanavear. 

ACANAYRADÜRA , s. f. l’aclion de ficher entre 
les ongles et la chair des pointes de cannes ou 
roseaux. 

ACANAYEAR, ©. 6. ficher entre les ongies ot 
Ia chair des pointes de cannes ou Tos6auX. 
(fig.) Tourmenter, maltraiter, vexer, charger 
d’injures , d’opprobres , de reproches. 

+AcınczıLino, A, adj. ( t. de bot.) treil- 
lisse , mailie. 

Acınza. V. Hacansa. 

AcınzLipo, A, adj. de oouleur de cannelle. 
p.p.d’ 

ACANELAR, ©. G. p. us. donner, imiter la cou- 
leur de cannelle. 

ACANBÄDANMENTE,, adv. d’un air timide, avec 
crainto, contrainte, sans hardiesse ; mesqui- 
nement. 

ACANHADISSIMO, A, superl. d’ 

AcANBÄDO, A, adj. craintil, timide, mes- 
quin ; gend. Homem — , homme de petit esprit, 
sarıs caur. Alma —a , esprit bas et lAche, 
un petit esprit. Luger —, lieu etroit, resserre, 
petit. Engenkho—, faibles.facultes. Zstou mwilo 
— neslo assenlo, je suis assis A l’ötroit. 

ACANHADÖR, 8. m. qui rend timide, craintif. 

ACANHAMENTO, #. m. raccourcissement, 
mesquinerie. ( ig. ) Decouragement; honte, 
timidite ; abattement d’esprit , contrainie , 
gene. 

ACANHAR, ©. @. serrer, rendre e&troit; rac- 
coureir. (fig.) Decourager; rendre craintif, 
poltron, etc. it. Mepriser, abattre, deprimer, 
affaiblir. — se, v. r. se decourager, pordre le 
courage, avoir Crainte. «6. Se serrer, s’eirdeir, 
se raccourcir. —a alguem, s’'humilier devant 
quelqu’un. 

ACANHOAR, 

ACANMONEAR. } V. Bater, Cankonear. 

AcaNTHABÖLO, 3. m. acanthabole : pince de 
chirurgien pour enlever les esquilles , les 
«chardes. 

AcäinTHıco, A, adj. de Pacanthe. 

f Acinraıos, s.m. pl. (6. d’hist. nat.) acan- 
thies : insectes hemipteres (les punaises). 

ACÄNTHO, 3. m. acanthe, branche-ursine : 
plante emolliente: (4. d’arch.) ornement qui 
imite les feuilles d’acanthc. En mythol., c'est 
un jeune homme qui fut me&famorpbose en oi- 
seau. 

Acantnöno, s. m. (l.d’Mst. nat.) acanthure : 
genre de poisson & @pines sur la queue. — mo- 
reno , acanthure noiraud. 


AcanTıLävo, A. V, Alcantilado. 


ACA 


Aca#T0AD0,4,9.92.d’ 

ACANTOAR, ©. a. meltre dans un coin. (fg.) 
Sequestrer, st#parer de la conversalion du 
monde. — se, v. r. se melire dans un cein. 
(A4g.) Chercher une retraite; se separer de la 
conversation du monde. 

ACANTONÄDO, A, p. P. d’Acanloner. 

ACANTONAMERTO, 5. m. cantonnement : l’ac- 
tion de cantonner les troupes ; s6jour de Irou- 
pes cantonndes. 

ACANTONAR, ©. a. cantonner: @ire, mellr® 
on cantonnement les troupes. 

ACAPELLADO, A, 9. 9. d’Acapellar, adj. (t. de 
Bot.) en forme de cuculle. 

ACAPELLAR, ©. a. couvrir la t£le avec un Ca- 
puchon; (f. de mar.) ensevelir, engloutirdans 
les eaux,, submerger, noyer. — se, v. r. sense 
velir, s’englouüir, @ire noye, submerge. 

AcAPITULÄDO, A, 9. pP. d’ 

ACAPITULAR, ©. a. diviser en chapitres. 

fAcanamöco,s.m. (1. d’hist. nal.) balisie 
licorne, poisson cartilagineux du Brösil. 

* Acari0, ade. V. Cardo (a). 

ÄCARAPUCAR-SE,, U. r. V. Encarapugar-se. 

} Acariuna-sıconipa, 3. f. griselle : poisson 
du Bresil, de la famille des chetodons: la moi- 
ti6 anterieure de son corps est blanche , la pos- 
t#rieure rouge et la queue blanche. 

+ ACARDUMADO, 9.p.d’ 

+} ACARDUMAR-SE, ©. r. se reunir on lroupe. 
Il sedit des harengs, des sardines et d’auires 
poissons qui voyagent en grande multitude. 

Acırzıckd, s. f. (1.de prat.) accaration, con- 
frontation : Paction de confronter les temoins 
avec les aceuses. 

ACABEADO, A, 9. pP. d’Acarear. 

ACAREAMENTO, 5. m. V. Acareapäo. 

ACAREAR, 9. a. (f. de pral.)accarer, conlron- 
ter : melire en presence les t&moins et Ics accu- 
ses. Comparer, confronter deux ou plusieurs 
choses. V. Carear. 

A’carı. V. Acaro. 

+ Acinıaow Acarkıa, s. m. acarla: poisson 
de mer du Bresil. 

+ Acanıciaa ,s. f. (4. de bot.) hydrocotile ; 
plante medicinale du Bresil. 

AcARICIADO, A, p. P. d’Acariciar. 

ÄACARICIADÖR, A, 8. Caressant:: celui qui ca- 
ress06, 

ACARICIAR,, ©. 8. Caresser : faire des caresses. 
(fam.) Cajoler, mitonner, mignarder, ama- 
douer, flatter, dorloter. 

ACARICHTIYO,A,adj. V. Carinhoso. 

T Ananıcösa, s. f. (6. de bot.) hydrocotie om 
hydrocotyle, globei; &cuelle d’eau ; herbe des 
Patagons. 

ACARIDAR, ©. a. traiter, accueillir que)- 
qu’un avec charitö; se montrer charitable. 

f Acarinıos, s. m. pl. (1. d’hist.nat.) acan- 
dies ou acarides : mitles, liques. 

f ACARIMA, 8. m. acarima : quadrupede du 


‚genre des singes. 


m m Am MN Am A mn m — — 0 —_ 


— 1 an 





ACA 


ÄACAHRINHABO, A, 9. P.d’ 

ACARINHAR, ©. a. caresser; gätor. V. Acari- 
er. 

+ Aciana ,s. f.(t. de bol.)"cnique, enichaut: 
plante cynarocephale. — de Creia, carthame 
grille; chardon prisonnier; fusel6e. — de Hes- 
penks , carline vulgalre. 

+ Acausino ow ACARNO, 8. m. ACarne , Acar- 
nen : poisson de mer blanc du genre du rou- 


+Acano, s. ws. acarus, milte:: ver qui vit 
daus le 
® ACAROABO. v. dcardo. 
+ Acason , s. m. myrie sauvage. 
ÄCARnACänO, A, adj. attache comme la tique. 
Os ie dit aussi au Asurt. 
ÄACARRABO, A, P. p. d’Acarrar. 
}Acannararäpo, a, adj. a manitre de ricin. 
R,®. ». ötre ivre; dormir profond6- 
ment. — s., v.n.5s0 meure al’ombro, & Pabri 
da seteil,, eu parlant des bötes & laine. 
Acanazıan, V, Acarreiar. 
"hcannecı. V. Carge. 
ACARRETÄBO, A, P. 9. @’Acarreiar. 
ACARRETADOR , A, 3. porleur, voilurier, fou- 
Ber, charretier : colui qui charrie, qui Irans- 
ports des effets, des marchandises. 
ACanEETADERA, s. f. " cbarriage, charroi, 
renlage, portage : Yaclion de charrier, de 
porter. 
ACABRETAR, ©. a. charrier, volturer, ohar- 


ACA 17 
ÄCATADISSINO, A, super!. d’ 
AcaTa00, A, 9.p. d’Acalar. 


Acıtapuna. V. Caladura. 

+ AcaraLtras,s. f. (1. de med.) acatalepsie 
maladie du cerveau qui prive de l’intelligence; 
impossibilit6 de savoir une chose. (fig.) ( !. de 
phil. anc.) " Doute : scepticisme universel. 

ACATALEPTICO, A, adj. acataleptique : priv6 
d’intelligence. Philosopko — ‚ scoplique, qui 
professe l’acatalepsie. 

ACATAMENTO, 8. m." venetralion , respect, hu- 
milit, röverence,, &gard , crainte respeolueuse, 
consideration. * Presence, vue. V. Semblanie, 
Caladura,. 

ACATAR, ©. @. saluer, faire la röverence. V6- 
nerer, honorer, reverer ; avoir de la von6ralion 
pour quelqu’un, lui rendre hommage,. 

ACATARRADO. V. Encatharroado. 

ACATASOLADO, A, adj. moir6, onde6; de cou- 
leur changeante. (he. ) Inconstant, changeant. 

ACATBISTO , 3. m. acalhiste : f6te que les Greos 
oslöbraient A Constantinople en l’honneur de la 
sainte Viorge. 

ACAUDELÄDO, A, 2.9. d’ 

ACAUDELAR Ow ACAUDILHAR, ©. 4. Conduire, 
gouverner, commander des gens de gueorre. 

ÄACAUDBLÄDAMENTE, OU 

ACAUDILUÄDAMENTE, adv. en bon ordre o6 
discipline (dans le combat). 

ACAUDILUADO , AcaupıLuan,. V. Acaudelar. 

AcauLs, adj. 2 gem. (l.de bot.) V. Descau- 


royer : wansporier dans une voilure ou Char- | no 


riet; peorter sur les &paules. (fg.) Entrainer, 
amener, atlirer,occasionner ; {re cause de quel- 
que chese,, y donner occasion; porter avec 
sei. — fezios, senlengas,, eic., alleguer con- 
fas&ment un grand nombre de lextes, sen- 
wwmces, etc. — es arlilkeria, monter l’artil- 
lerie 


Acaraero. V. Carreio. 

Acıso,s. m. basard ‚casualits, forlune, sort, 
cas fortait. Ester aparelhado para lodos- 08 
acasos da forluns, &Lro prepar& & tout dvene- 
ment, & loui ce qui pourra arriver. 

Acäiso , ade. par hasard : peut-ötre. Dans une 
phrase interrogative, il &quivautä, est-oe quo? 
V. Porvsnturs. 

ACASTANHÄDO, A, adj. chätain, conleur de 


Acasreımasipo, A, adj. qui sentie Castillan; 
sttacht aux Espagnols. 
AcasteıLivo, A, adj. accastilie, defendu 
des chälesur, en parlant d’une ville. ss. 
forußs dans un chäteau pour se defen- 
dre. (Ag.) Relagit, aocueilli. p. p. d’ 
AZASTELLAR , 0. a. fortifier, munir de lours un 
ehöteau ou une ville, &tablir les gaillards d’a- 
vans et d’arriere d’un vaissesu. — se, rentrer 
dans un chätsau pour se delendre. 
® ACASTIGAR-SE , ©. T. devenir chaste, 
® Acascsa. V. Acaso. 
ACATÄDANENTE , adv. Tcespeclususement , 
kusmblement , avec uns crainte respectucise. 
PORT.-FR. 


ACAUTELÄDAMENTE, ado. avec precantion 08 
eirconspection, prudemment, sagement. 

ACAUTELADISSIMO, A , super. d’ 

AcautzLipo,, A, pP. p. W’Acauielar, adj. 
axisd, circonspoct, pradent; prövoyant. 

° ACAUTBLAMRNTO, 8. m." aclion de precau- 
tionner, prevenir, etc.; prövoyance, precau- 
tion. V. Caute 

ACAUTELAR, o. a. pr&cautionner, prevenir, 
prendre garde &, avoir soin de, garantir.—se, 
v. r. prendre des Pprecautions; so tenir sur ses 
gardes; so garanlir. 

AcaVvALLÄDO, A, 9. .d’ 

ACAVALLAR,, ©. a. ötalonner, saillir : couvrir 
une jument, en parlant d’un cheval. On dit 
baudouiner, en parlant des änes. 

+ AcavaLzınäpas, adj. f.pl. Folkas—, t. de 
dot. feuilles en recouvrant. 

f Acavıkco ow ACAVIAQUE, 8. m. acaviacı 
oiseau huppe de la Nigritie. 

+ Acaröına ,s. f. "acajou : anacardier : arbre 
de ’Amerique. 

° Acaacapon. V. Acacalador. 

* ACAALMADO. V. Apalmade. 

 Acasancan. V. Apambarcer. 

® ACACAL, 8. m, porteur d’eau. 

ACACALÄDAUENTE, adv. avec du lustre, avos 
peliment. 

AcacaLi00,A,p. pP. d’Apacalar. 

AGACALADÖR, A, 3. celui qui polit les arınasy 
fourbisseur, 


48 ACG 

AGACALADÖRA, 8. f. * poliment, fourbissure : 
action de fourbir des armes. 

AGACALAR, ©. a. fourbir leg armes; polir, 
nettoyer, rendre uni et luisant avec l’ömeri, etc. 

* ACACANHÄÖd, s. m. celul qui foule aux pieds. 

® ACACANHAR, ©. G. fouler aux pieds. 

Acarita, s. f. dame d’atour ; Jomme de qua- 
lite qui habille et accompagne la reine, etc. 

ACAFÄTE, 3. m.“ corbeille : petit panier d’o- 
sior; dventaire : plateau d’osier qui sert aux 
usages de la maison. 

Acarırinno, 8. m. dim. d’Acofate,, petite 
eorbeille. 

Acirri. V. Cafra. 

Acarri6,s. m. (1. de bot.) salran, crocus : 
plante vivace, & racine tubesreuse, liliacte : les 
fleurs sont employdes dans la teinture, dans 
la cuisine et dans la medecine; sa couleur est 
jaune ;(!. de chim.) preparation rouge, brune, 
jaune, fsite aveo du fer. — dos prados,, colchi- 
que de Fautomne, tue-chien. — da India, cur- 
oama, safran des Indes, curcumin, terre-ıne- 
ste „ souchet d’inde. (#. de mar.) La partie la 
plus large du gouvernail attenante & la fläche, 

" ACAFRAR , vo. n. devenir dödaligneux, reve- 
ch, etc. ; dificile, rude,, d’un commerce difi- 

o. 

Acırröa, s.Y. ” carfhame offieinal, safran 
Miard, salran d’Allemagne. 
sarnoino, a, adj. safrant, couleur de sa- 

an. 

AcarnoiL,s.w.“ plantatien de safran. 

ÄACGAFROAR, ©. a. safraner : appröter, jaunie 
avoo du safran. 

Acarrotına, s.f.” safran (da plante). it. Ar- 
bre du Bresil, & fleurs blanches : le tube de la 
earolle fournit une eouleur jaune sormblable & 
celle du safran. 

* Acarnoı. V. Acafroa. 

ACAINADO ou ACAMADO, 9.9. d’ 

ACAIMAR Os ACAMAR, ©. a. emmuseler : met- 
tse uno muselidce aux animaux pour les empt- 
cher de mordre ou de paitre. 

AGAINO ou ACAMO, 4.9." museliöre. V. Acat- 
mar. 

AcıuBHar, V, Salkar. 

* ACALMADO, A, 9. 9. d’Apalmer. 

® ACALHAMENTO. V. Apalıno. 

° ACALMAR, 0.4. avitailler. 

AGANBARCADO, A, 2.9.’ 

ACANBARCAR, ©. G, (imus.) accaparor. (f.) 
Conclure. 

AcınHar. V. Assankar. 

+ Acanıımipo, A, adj. (8. de do8.) croise. 

Acciö,s. f. action, acte, fait: operation d’un 

igent.(t.de morele) Teut co qu’on fait, bon ou 
nauvais. Faculte, possibilitö d’agir.“Maintien , 
tontenance , gesie; tout 08 qui regarde la con- 
tenance, le mouvement du corps et los gestes 
de V'acieur, eo en gendral de oolui qui parle. 
(£. mil.) "Combat, bataille: rencontre entre des 
troupes ennemies. Demande en justieo,droit.(8. 
ds pois.) Principal evenement qui fait lo sujet 
d’une pidce de theätre ou d’un potme &pigue. 


ACO 


(t. de pewmi.) Atitude, situation, position da 
corps. (#. de comm.) Part dans une entreprise 
ou dans les fonds publics. — de gracas, re- 
merciment, ttmoignage de reconnaissance , 
actions de gräces. — d’amigo , trait d’ami. Fa- 
zer una— insigne, faire un beau 00Up, un Coup 
d’eclat. POr, ow intenler uma — em jJwizo con- 
tra alguem, intenter, [aire , susciter un proc&s 
& quelqu’un ; P’appeler en Justice. Teer, ou ndo 
ter—de fazer ma cousa, avoir ou n’avoir 
pas le droit, la liberts, le moyen de faire quel- 
que chose. Ter acgöes, avoir un proctde noble, 
desinteress6, genereux. 

+ Acczptntz, p. 0. d’4eceder (4. de dipl.) 
acotdant : qui accede. 

Accepfr,, v. ®. (tl. de dipl.) aoodder, adherer, 
entrer danslesengagements oontractes dejä par 
d’autres puissanoes : entrer dans un traite. if. 
Croltre; survenir. — ao dielame d’alguem, @ire 
de Fopinion de quelqu’un. — aos rogos d’el- 
guem, se pröter aux priöres de quelqu’'un. 

Acceırar. V. Acsitar. 

AcceLeracid, s. f. acckldration : augmenta- 
tion de vitesse. is. Prompte expedition (d’af- 
faires, ete.). 

ACCELERÄDANRENTE, ade. vite, preeipitam- 
ment : aveo aoc#löration. 

ACCELERADISSIMO,, A , suporl. d’ 

Acceızrinvo, A, pP. p. d’Accslerar, adj. ac- 
eelere. (fg.) Emporte, qui s’irrite, se fäAche fa- 
cilement. 

ACCELERADÖR, A, adj. et 8. accälerateur 
celui qui accölöre (muscles, forces). 

ACCELERAMENTO, 3. m. V. Acceleragdo. 

ACCELERÄNTE, 2.0. d’ 

ACCELERAR,, ©. a. accelerer, häter, presser ; 
augınenter la vitesse ; faire & la häte, anticiper, 
devancer. 

ACCELERAB-SE, ©. r. S’accälerer, so häter, se 
presser. (fig.) S’irriter, se mettre en colere. 

Acceızaaraiz, adj. eis. f. acctleratrice. 

ACCENDÄLBA, 3. f.* copeau: toute malidre s&- 
che, susceptible de s’allamer promptement, 
(fg.) * Aliment. Ex. Dar owoidos aos praguenios, 
6 dar accendalhas a suas mäs linguas, preter 
Foreille aux disceurs des medisants, c’est 
fournir de nouveaux aliments & leur medi- 
sance. 

ACCENDEDÖR, s.m. allumeur: celui qui allume 
le feu,, les hougies, les lampes , etc. 

ACccENDER , 0. a. allumer, meitre le fen. In- 
cendier, embraser. Echaufler, brüler, renäre 
chaud. (fg.) Enflammer, irriter, exeiter, ani- 
mer. Fomenter, encourager, en pariant d’une 
querelle, d’une faction. — 0 forno, chauffer le 
four: y mettre du bois pour qu’il derienne 
chaud. 

ACCENDER-SE, 9. r. s’allumer, s’enllammer, 
prendre feu.—orosto,, rougir do honte, de co- 
lere, etc. A vergonha Ihe accendia as faces, la 
bonte lui faisait monier la rougeur au visage. 

ACCENDIDO, A. V. Acceso. 

ACCENDIMENTO , 8. m. l’aslion d’allumer, de 


ACC 


neäre le feu & queique chose; embrasement, 
rwendie. “ Ardeur : chaleur vehemente, tere, 
posante ;inflammalion. (Ag) Ardenr: vivaciis, 
srande aetivits, violence d’uns passion. 

ACCESSiö ‚.f. (t. de mid.) ardour. V. Enoem- 
dimenie. 


sorens0s,8.@. Pl. (L. lat.) aovenses. 

Acctsro,s.m. accent. Il a tou!es les ac0sp- 
ons du mei francais. 

ACCRNTOs,s.pl.(flg- ‚)Acoents: chant, module- 
usa , ınnsique, ie. 

ACCESTTACAO, s. [. accentaation : systöme de 
rerles pour placer les acoents ; !’art de les pla- 
cer; ka pesilion des aecenis. 

ACGERTEIDO,, A, 9.7. 0’ 

ACTCEITEAR , 6.8. accontuer: mmeiire des at- 
eents. (f. de gram.) Prononcer les mots comme 
ils deivent &tro prononckts; faire sentir les ac- 
ea. 

Acckrci6, s.f. (f. de gram.) acception, signir 

: sens regu d’un not. — de pessoas, 
scception de aAn0S : un certain dgard qu’on 
a pour quelques personnes plutöt que pour 

d’autres. 
"Accurracä0. V. Acesitapdo. 
* ACCEPTADÖR, 8. m. Celui qui fait acception 


: personnes. 
’acczeran. V. Acllar. 

ACERSO, A, np De d’4ccander, allume, en- 
Sasımd. (Ag.) Exci 

Acczssa6, 8. f. eoesslon, aoeroissement , 
ammentstion. -— de febre, acets de Aövre. ii. 
L’action d’sortder. (4. da dipl.) —, oonsente- 
ment par lequei on entre dans un engagement 
4) contracie par d’autres dans un tralts. 

MOCESSIORAL, adj. 2 gen. (1. de mid.) acces- 


‘e 


Acızseiver., adj. 2 gen. accessible : qui peut 
&tre aberds, dont on peut approcher. On le dit 
des lieux et des personnes. Mwi —, de facile 
abord „ parlant des personnes. 

Acctaso ‚s.@. aocds ; abord : l’action de s’ap- 
precher de quelgqu’un, de quelque chose, d’a- 
berder queigqu’un ou quelque chose. Il se dit 
des choses et des personnes dans les deux 
iangues,, et il est toujours joint aux adjectifs 
feril oa dißeil."Copulation charnelle. * Entree, 

(Ag) —, mouvement Interieur et pas- 
sager (de folie, de rage, etc.), en consöquence 
duquel on agit.—do sol, (f. d’astr.) mouvement 
par lequel le soleil s’approche de l’&quateur. 
—de ffbre (1. de med.) " acces, retour periodi- 
que de la f&vre; paroxysme de la Aövre. 

Acczsson. V. Assessor. 

ACCESSÖRLANEBNTE,adv. accessoirement: d’une 
manitre actessoire. 

ACCESSÖRtO, A, adj. accessolre, seoondaire, 
sddıtionnel : qui n’est pas le prineipal. 

ÄACGDENTAL, adj. 2 gen. accidentel :co qui 
nest point essentiel & une ehose. Contingent, 
casgei, fortuit : qui peut arriver, ou ne pas 

irmiver. 

ACCIHENTALNENTE „ adv. accidentellement : 

Jar accident, par hasard. ° 


ACC 


ACCHERTARIAMENTE. V. Accidenialmente. 

ACCIBENTARIO, A. V. Accidental. 

ACCınENTE, 3.m. accident: ce goi n’appar- 
tient pas essentiellement au sujet. Accident s 
cas fortuit. (6. de med.) Attaquo subite d’une 
malsdie qui prive de Pusagedes sens, it. Symp- 
tömes de lamaladie ; tout ce qui surviont d’la- 
prevu. (#. de thdol. la dgure, la couleur, la 
saveur, eic., apres la oonssoration. De.por—, 
par accident, aocidentellement; par hasard. 

Accmta. V. Acidia, 

Accıoma. V. Auloma, 

AccıoniB0, 9.9. d’Accionar, ady. 000 Ppa- 
gene de gestes, U, 9.0. " gesticulation, Panto- 


AcczONADOR, A, 5. gestleulatsur. 

ACCIONAR , v. ». gesticuler : aooompagner la 
voix de gestes et de mouvements dans la döcla- 
mation. 

Accıonista 0% AOCZONARIO , 8.0. actionnaire : 
celui qui a une ou plasieurs actions dans une 
entreprise, dans les fonds publics. 

Accıamaciö,s. f. acclamation: cri de joie, 
d’allegresse, d’applaudissement. Por —, par 
acclamation : maniere de donner son suffrage 
& haute voiz ; nominatlon & Punanimits , appa- 
rente ou reelle. 

ACCLAMÄDO, A, 9. p. d’Acelamar 

ÄCCLAMADOR, A, S. acclamateur ; qui fait des 
acclamations. 

AccLamänTE, p. a. d’Acclamar. V. Acela- 
mador. 


19 


ACCLAMAR, 0.0. applaudir, donner des ap- 
plaudissements approuver par acclamation. 

roclamer:con frer & baute voix et d’un com- 
mun accord un emploi ou des honneurs & quel- 
qu’un. Proclamer, publier hautement, avco 
solennit& (roi, une ordonnance, la paix). it. 
Demander ä haute voix. V Clamar. 

ACCLINADO,A,9.p.d 

ACCLIMAR, D. 0. Be matar : accoutumer & 
un nouveau climat. Il se dit des plantes. 

ACCLIMAR-SE, u. r. s’acclimater : saccoutu- 
mer &ä un mauvais climat. ll se dit des per- 
SoNnnos. 

ACcLivg, adj. 2 gen. en pente. 

ACCOMMETTER, etc. V, Acommeller. 

ACCOuMoDACAd ‚s.f.” accommodement:l’ac- 
tion d’sccommoder, d’ajuster ; accord , Fecoh- 
ciliation; logement commode. (fg.) Adapia- 
tion, application d’une maxime, d’un pessage, 
d’un discours, et en general d’une choso & une 
aulre. 

ACCOMMODÄDAMENTE, ado. commedsment, 
Justement,, convenablement. 

ACCOKMODADISSINO, A , adj. superl. d’ 

ACCOMMODÄDO, A, P. 2. d’Accommodar, adj. 
s000mmod6, approprie, qui convient, Conve- 
nable, proportionne, bien arranged, qui & uno 
bonne place ; commode, aise, s6ant, sortable,. 
(fg.) Pacifique, trangquilic, paisible. En parlant 
du prix dcs choses, equivaut d Moderado.V.ce 
not, 


> 


20 ACC 


ACCOSNODARURA. V. Accommodamenio. 

ÄCCOMMODAMENTO, 8. m. l’action et Vellet 
d’aocommoder. Aocommodement, ajustement: 
moyen, expedient pour concilier on terminer 
une affaire & l’aınlable. 

ACCOMMODAR, ©. a. a0commmoder, arranger, 
#tablir, assortir, accorder, ajuster, mettre dans 
un &ist convenable, mettre en erdre. Adapter, 
approprier (fables, lois, passages, lextes, etc.). 
Placer une personne; loger queiqu’un conve- 
nablement. Ajuster, arranger : melire d’ao- 
cord , terminer quelgue difförend. 

ACCOMMODAR-SE, ©. r. S’accommoder, s’ajus- 
ter ;s0 oonformer, se plior & l’usage, aux cou- 
tumes d’un pays, au caraciöre, & l’opinion, au 
sentiment de quelqu’un,, aux circonstanoes, au 
temps, eio.; cesser de disputer. 

ACCOSMODATICIO, A, adj. (1. de thdol.) qui peut 
s’acoommoder, s’approprier; allögorique. Sen- 
tido —, sens figure dans lequel on prend cer- 
laines expressions de la Bible, et on les appro- 
prie & difförents sujets. 

ACCOMMODATISSIMO, A, adj. superi. d’Accom- 


ÄCCOMMODÄYEL, adj. 2 pn. accommodable : 
qui peut s’accommoder, s’ajuster. 

Accöunuono. V. Apto, 

Acconno. V. Acordo. 

Acconnen. V. Soccorrer 

Accazriö,s.f. (tk. demed. )acer&tion, accrois- 
sement, 

} AccaEschncıa, 8. f. augmentalion, accrois- 
sement. Accrue : augmentation des droits de 
pr6sence dans les chapitres ecclesiastiques. 

ÄCCRESCENTÄDAMENTE , adv. avec augmenta- 
tion, accroisserment. 

ACCRESCENTADISSIMO, A, adj. superl. d’ 

ÄCCRESCENTÄDO, A, 9.P. d’Acerescenlar. 

ACCRESCENTADOR, A,s. celui quiaccroit, qui 
augmente. 

ÄCCRESCENTAMENTO, 8.0. a0croissement, Sur- 
erolt, redoublement. V. Augmento. 

ÄCCRESCENTAR, ©. G. accrolire, augmenter, 
agrandir, rendre plus grand, plus etendu ; join- 
dre, ajouter. — um crime a ouiro, sjouler un 
crime & un autre. — a vida, prolonger la vie. 

niar-se, v.r. prosperer, s’enrichir. 

ACCRESCER , v.®. Croitre ; survenir; s’ajouter. 

Accazscioo,, A, adj. P.p. ‚d’äccrescer. Accres- 
eidas, i. e. Cuslas —, (8. de prai.) frais survenus 
dans le procts. 

ACcakscivos, 8. m. pl. lerrains accrus ou 
torrains d’alluvion. 

ACcakscıuo ,s. m. surcrolt, ajoulage. V. Ao- 

io 


Accöaıto,, s.m." action d’ätre couch6 ou assis 
pres de quelqu’ un. i$.* Espece de lit o& les Ro- 
mains s’asseyaient quand ils mangeaient. 

AccumuLaciö, 3. f. accumulalion : amas de 
plusieurs choses ajoutsdes les unes aux autres; 
action et l’effet d’accumuler. 

ACCUMULÄDANENTB,, adv. en las, en mon- 
ceau. 

AccusuLanissıx0, A, superl. d’Accumulado. 


ACE 


AccusuLipo, p. p. d’Accumular. 

ACCUNULADOR, A, s. accumulation : celui qui 
accumule. 

ACCUMULAMENTO, 8. m, entassement: amas de 
choses entasstes ; (Ag.) d’aflaires, d’id6es, etc. 

ÄCCUMULAR, ©. 6. accumuler. amasser, en- 
tasser, amonoeler. — crimes a crimes, SCCUME- 
ler erimes sur crimes. 

ACCCMULAR-SE, o.r. sS'’accumuler, s’sntasser, 
s’amasser, s’assembler. 

Accumularivo, a, adj. cumulalif : qui se 
fait par accumulation. 

Accoran,, popw. V. 

ACCURÄDANENTE, ade. soigneusement, dill- 
gemment.(fg.) Exaciement, parfaitement. 

Accvunipo, A, adj. p. us. exact, fait aveo 
soin. 

Accunatissımo, A, adj. super!. d’Accurado. 

AccusaGäö, 5. f. accusation , denoncialion : 
action par laquelle on accuse ou on denonce 
quelqu’un. i6. Confession des p6ches. (Ag.) Tout 
reproche ou imputation que Pon fait & quei- 

’un. 

Accusin0, A,P.p. d’Accusar. 

Accusino, 8. m. accus6, prevenu : celui qui 
est accused en justice. 

Accusapön, A, 3. accusaleur, dönoncialenr z 
celui qui aocuse, qui denonce. False —, im- 
posteur, calomniateur, qui accuse faussement. 
u ost aussi adjecuif. Pe e8, COR- 

—a, p6chö, conscience accusatrioe. 

ACCUSANENTO, 5. m. V. Accusapdo. 

ACcuSÄNTE, p. a. d’Accousar. V. Accusador. 

AccusaR, 9.6. accuser, denoncer, delerer 
quelqu’un en justice: rendre une plainte en 
justice contre quelqu’un. Blämer, reprendre, 
inculper, charder, | taxer, faire un "procks; im- 
puter, reprocher & quelgu’un quolque faule, 
quelque defaut. — o recsbimento d’uma caria, 
accuser reception d’une lettre : döclarer qu’on 
Pa reque. 

ACCUSAR-SE, U. r. s’sccuser, se döclarer cou- 
pable. — em confissdo, declarer ses peches au 
pretre dans lo tribunal de la confession. 

Accusativo,Aa,adj.V. Accusalorio. 

Accusarivo, s.m. (l.degram.) accusalif: 
quatrieme cas. 

ACCUSATÖRIAMENTE, adv. avec un espril d’a 
cusateur, en accusateur, en formed‘ accusalion. 

ACCUSATÖRIO, A, adj. (4. de prat.) qui appar- 
tient ä l’accusalion. 

AccusäveL, adj. 2gen. (I. de prai.) accusa- 
ble, qu’on peut accuser; qui mörite d’ötre ac- 
cus®. (fg.) Blämable, digne de bläme, repre- 
hensible. 

Acgar, eic. V. Aceiar ei Asseiar, eic. 

ACECALADO, 4.7.4 

* ACEDÄRES, 3. m. pl. Nleis pour pecher les 
sardines. 

Actoıa. V, Acidia. 

* ACEDRENCHADO , A, V. Acolchoado. 

AceraLo. V. Acephalo, 

Actıado, Aczeıan. V, Asseiado, eic. 

Ackıo,V. Asscio, 


ACE 


kKarmiso, A, adı. gami d’acier. (Ag.) For- 
,delendu,P.p.d 

MEIRAR, e. s. prendre & bail. V. duugar. 
BR. Actrer : garnir d’acier. ‘4. Detruire les 
beissons, les ronces sur la lisiere d’une foröt, 
d’en bois, pour le preserver du feu. 

"Actıno,s. m. acier. il. Champ, lisiöre de- 
pouilise des berbes , des ronces pour preserver 
da feu une forei, ei. . 

Acutaci6, s. f. acceplalion, admission : 
Factien d’accepter, de recevoir, d’agreer. Ap- 
probalion., » applandissement, röussite, — de 
pessons. V. Accepgdo. II. Predilection,, partia- 
tite. Julger sem — das partes, juger sans par- 
ualitd poar les parties. 

ACEITADO, 4, P. p. d’Aceilar. V. Aceilo. 

ACHITADOR, A, 3. accepteur:: celui qui accepte, 
regeit. (Ag.) — de pessoas, celui qui se parlia- 
lise, qui s’attache aux interets d’un parti ou 
d’une personne, par preference ä une autre. 

ACHTANENTO. V. Acsilagdo. 

Aczurrinte, 8. (f. decom. ) accepleur : celui 

qui une letire de change. if. Celui qui 
Vepait le prix stipule. 

ACEITAR , ©. G. accepter, admeltre, recevoir: 
serter ce qui est offert, propos& ou donne. if. 
Consenlir, approuver, acquiescer d. — P6885008, 
avoar un certain &egard pour quelques personnes 

que pour d’autres, partialiser. — uma 

frs , accepier une lettro de change, s’obliger 

au paiement. id. Becueillir.—no seio da familie, 
receueillir quelqu’un chez soil. 

AcgıtivEL, adj. 2 gen. accepiable : qu’on 
pent accepter : qui est digne d’etre accepte; 
agreable. 

Ackrıe, s.m. (f. decom.) * acceptation (d’une 
ketiee de change): formule d’acceptation. 

Aczrtissıno, A, adj. superl.d’ 

Ackıro,&, adj. agreable, bienvenu, regu avec 
plaisir, agree; admis dans un college, une 
sociele, etc. ‚ apprauye, p. p. irreg. d’Aceilar. 

Acerrösautuıs. V . Insidiosamente. 

* Acarr0so. V. Aceilo. 

+ ıcaıcaı, 8. f. (t. de bot.) poir&e blanche; 
beue hianche, beite reparee. — brava ou bas- 
serda. V. Limonio. 

* ACENAMRNTO. V. Aceno. 

Aczsan, v.n. faire signe de la L£te, des yeux, 
des mains, etc. (fg.) Menacer ruine; provoquer, 
ineiter, exciler. 

AczupäLna, s. f. tognures; broutilles, menu 


‚ } V. Aeendelke, 


ÄCHNDEDOR, ACENDER, etc. V. Accendedor, etc. 

AcznBai00,p.p.d’ 

ACENDRAR, U. 6. purifler, afliner : &purer les 
beisux, les coupeller, passer, meitre & la cou- 
eiie pour les aflincr. V. Affinar, Apurar. 

Aczumı.V. Azenha. 

AczsmeıRO. V. Azenheiro. 

+ Actmıs, 8. f. (l. de bot.) acane : plante san- 
grisorbe. 

Ackso, 8. 9. Signe, mourement qu’on fait de 


ACE 21 


la tte, des yeux ou des mains, pour marquer 
sa volonte. Conforme o— dalguem, selon la 
volonte& de quelqu’un. 

TACENOSso, A, adj. (t.de bot.) qui penche 
(autans), 

T AcepHaLisu0, e. m. achphalisma : scote des 
ac&phalites. 

ACEPHALITA, 5. m. actphalite : sectaire gui 

w’adınet point le concile de Chalcedoine. 

AC£PHALO, A, adj. acephale : qui n’a point de 
tete. (fg.) Sans chef : qui meconnatt l’autorit6 
de son superieur. 

f AcE£rHALOS, 5. m. pl. ackphales : anciens 
heretiques eutych6ens qui ne suivaient aucun 
parti. ds. (1. d’hist. nat.) ac&phales : mollusques 
a töte cachee. 

AcerıLmiDo, A,p. p. d’dcepilhar. 

7 ACEPILHADOR, s. m. celui qui rabole, elc. 

ACERILHADÜRA, 8. f. l’aclion et l’effet de ra- 
boter, corroyer, etc. Polissure ; copeaux. 

ÄCEPILHAR,, v.a. raboter, doler, corroyer, 
rendre uni et poli avec le rabot. (Rd. ) Degour- 
dir, faconner, polir, debourrer : former quel- 
qu’un. 

: " AcEQDA. V. Acequia. 

Acequia, s.f.*canal, naville, rigole : condalt 
artificiel par oü l’eau passe. 

Acen. (£. lat.) V. Bördo. 

ÄACERAR, ©.6. acerer : ajouter de l’acier au 
fer pour le faire mieux couper. 

ACERBAHENTE,, adv. Aprement, durement, 
rigoureusement, sevörement. 

AcernipÄne, 3. f. acerbite, aigreur, duret6, 
Aprete. (Ag.) Rigueur, cruaute. 

ÄACERBISSIMO, A, adj. superi. d’ 

Acern0, A, adj. acerbe, aigre, Apre, rer&che. 
(Ag.) Rude, rigoureux, cruel ; ennuyeux, f4- 
cheux. 

A’CERCA,, adv. et prep. V. Cerca.—de, & 1'6- 
gard de, quant ä, relativement &, concernent, 
sur, au sujet de, quasi. 

ACERCADO,A,P.P.d’ 

ACERCAR, v.a. approcher ; rapprocher ; avan- 
cer aupres, mettre pres. V. Cercar. A Iristeza 
se acdrca lanto da loucura como a alegria, 
la tristesse tient de la folie autant que la galte. 

ÄCERCAR-SE,, ©. T. S’avancer, se rapprocher. 
Accoster, aborder, s’approcher de quelqu’un 
pour lui parler. 

ACEREIÄADO OW ACEREIJADO, 
de cerise. p. p. d’ 

ACEREJAR , ©. a. donner & quelque chose le 
brillant, la couleur de cerise; polir. —, 9. %. 
mürir. 

ACERRJAR-SE, dv. r. prendre,, recevoir la cou- 
leur de cerise. 

ACERO. V. Acoro. 

+ Acanösıs, adj. f. pl. Folhas —, 1. de bot. 
feuilles en epingle; feuilles menues et pointues 
du piu, elc. 

ACKRRIMAMENTE, ade. superl. avec le plas 
grand acharnement; tr&s-virement ; aigrement, 


A,adj. couleur 


‘[ aclivement, coursgeusement, severeinent ‚& 


oulrance. 


23 ACE 


Ackunıno, A, adj. superl. trds-violent, tr&s- 
impötueux; 'acharne; tres-vif, Irds-octif, trds- 
courageux, Irös-sövöre, Irds-ferme, Ires-obsll- 
nö ; tenace. 

ÄCERTÄDAUENTE ‚„ adv. convenabloment, & 
propos, habllement, adroitement ; avec pru- 
dence; avec succes, . 

ACERTADISSIMO, A, adj. superl. d’ 

AcErrinpo,A, adj. prudent, s sage. p.p. d’A- 
ceriar. 

ÄCERTADOR, A, 8. celui qui touche au but; 
qui devine, qui juge par conjecture de ce qui 
doit arriver. 

ÄCERTAURENTO, s.m. V. Acorio, It. Hasard, 
cas fortuit, casualite. 

ACHRTAR, o.a. toucher, atieindre, donner, 
frapper au but. Deriner : trouver, expliquer ce 

qui est obscur ou cachd; Juger par conjectures; 
Pressentir. AJuster les parties de quelque ve&te- 
ment. Rencontrer, trouver. Ex. Acerlou com a 
essa, il trouva la maison. 

ACERTAR,, ©, ®. arriver, survenir sans qu’on 
s’y attende. (fig.) Reussir, aroir du succds. 

er uma cousa a acerlar, dire quelque chose 
au hasard, & tout hasard. 

ÄCERTAR-SE, v. fr. se irouver present par 
hasard, p. us. 

Actaro, s. m. l’action de donner au but. 
"Reussite. Ag.)° Prudence, sagesse, assurance, 
tact, adresse dans tout ca que l’on fait. Hasard, 
cas forait, casualits. Succds. Por —, (loc.adv. ) 
par ba 

Ackavo, . m. amas, monceau de choses de 
ımtme espäce, 

Aczsckscıa, 8. f. (f. de chim.) acescence : 
disposilion NY Pacidiis; qualits de ce qui devient 
algre et acide. 

ACESCENTE, adj. 2 gen. (1. de chim.) acescent: 
au tend & Vaeidils; qui tient de l’acide, 

CESOADO , ACESOAR. 

ACESONADO, ÄCESONAR, } V. Sasonar, eic. 

Acastan, V, Assesiar. 

AcsrisuLo ‚s. m. (1.d’anas.) acetabule : ca- 
vild des os qui regoit un aulre os. 

tAcsriro, s.m. (4.de chim.) acdiale (de 
pomb, de for, eto.). 

Aczttn. V. Pucaro. 

Actrıco,a,adj. (tl. deckim.) aostique. Aei- 
de—, acide concenire de vinaigre; combinai- 
son de l’oxygene avec les eiömenis contenus 
dans le vin, la biöre,, ste. 

Acgrite, s. m. (l.de chim.) acttlıe : sel forms 

rl’union de l’acide acöteux aveo differentes 

ses , sel de vinaigre. 

Acero, s. m. vinaigro distill6. 

AceErösa. V. Azedas. 

AcerostıLa.V. Aredinke. 

AceEr0S0, A, adj. aigre, atide, acdteux : pi- 
quant au goüt. (1. da chim.) Actteux : : quia le 
goät du vinaigre, qui en tient. Acido —, vinaigre 
disulle, moins oxygene que l’acide acligue. 

ACRVADADO, & ‚p.p.d 

ACHYADAR, ©. @, engralsser avec de l’orge 


ACH 
(les heraus). (fig.) Rassasler. V. Farlar, En- 


gordar 

Acevo, V, Asseio, etc. 

A’caı, s. f. petite büche, mercean de beis 
fondu A brüler. it. * Fanal; torche. (anf.) it. 
bache d’armes. 

* AcHuaapa, au liew d’AcHäana, ÄCHANADA. 
V. Planice. 

* AcnÄanO, AcHäır. V. Achanar. 

AcHıcanıco, A, adj. V. Achacoso. 

Acuacipo, A, adj. infirme, maladif, souf- 
frant, valetudinaire. 

+ Acaıcina, s. f. achacana : espöce de cacte 
ou cactus du Potosi. 

AcHACAR, ©. a. impaulter, attribuer, p. us. 
vn. Devenir infirme, tomber malade. 

® Acuacer. V. Acaecer 

Acmacöso,A, adj. maladif, inärme, mal- 
sain, valdtudinaire, grabataire : qui est sujet & 
etre malade. 

Acuipa, 3. f. trouvallie ; action de trouver; 
decouverte. 

® ACHADEGO OW ACHADIGO. V. Achddo, s. 

Acuapico,A, ed. aise, facile A wouver. 

Acaivo, A . d’Achar. Näo se dar por—, 
faire Pignorant; alrc semblant d’ignorer. — no 
delicto , surpris, pris sur le fait, dans un crime. 
it. Propre, apte, convenable, trouve choisi. 
Ex. Homem ac para esse emprego , homme 
propre, eto., & cet emploi. 

AcuAano, s.m.” decouverle ; r&ecompense & 
celui qui rapporte la chose trour£e, gratifi- 
cation, pourboire, 

AcuapOr, A, 3. celui qui a trouve une chose; 
inventeur. 

ACRADÖURO, #. m. lieu oü on a trouv6 quel- 
que chose. 

+ AcHacvan,s.m. achagual : poisson extra- 
ordinaire des oötes de la Nouvelle-Hollande. 

ÄCHANDOADANENTE. V. Grosseiramente, 

ACuAMBOADO. V. Grosseiro, Achavascado. 

$ ACHAMBOAR-SE, v.r. (4. burl.) (Ag.) Devenir 
grossier, brut, rusire, impoli, rude. 

ACHANENTO,, s. m. *trouvaille, decouverie, 
invention : action de lrouver, d’inventer quel- 
que chose. V. Descodrimento. 

Acuanica, s.f. plante des Indes dont le fruit 
se nomme alfard „ bonne pour le mal venerien. 

"ACHANADO, Acuanan. V. Alkanado, eic., 
Aplamado, etc. 

ACHANAMASI, 8. m." priere du sodr des Tures. 

ACHANTADO, ACHANTaR. V. Chanlar. 

+ Acuaranrino, A, adj. abougri, rabougri. 
il se dit des arbres et des plantes que la mau- 
vaise nature des terres ou les mauvais venis 
emp£chent de profiter. (Ag.)—, trapu, rabougri. 
N se dit d’une pelite personne tr&s-grosse , de 
mauvaise conformatlon et de mauvaise mine. 

AcHÄQUE, 8. «2. * infirmite : maladie habi- 
tuelle. Desculpar-se com os seus —s, s'excuser 
sur sa mauvaisc santd, sur ses maladies. (Ag.) 
* Excuse, pretexte, veile dont on couvre les 
choses, it, Defaut, vice, passion dominante, 


ACH 


MEAGURZTNEO, ÄCHAQUILNWO, ACHAQPINUO, 
sm. dim. d’Achaque. 

Amar, u. @. trouver, rencontrer. Decouvrir, 
wsenter. Voir, trouver, observer, remarquer, 
jager, entendre, penser. V. Averiguar. — uma 
beils oacasicdio , trouver une occasion favorable. 
— bom ou bos una cousa ‚ approuver, trouver 
bon, donner son approbation sur quelquechose. 
— que dizer, que censurar, trouver A redire, A 
klämer. — com frabalko, trouver, obtenir quel- 
gue chose zyee peine. Quem busca acha, qui 
cherche iroure. Acho quo lem razdo, je pense 
qu'il a raison. 

ACHAR-SE, ©. 7. se Irouver, se rencontrer 

—, arriver inopin&ment. Se trou- 
rer bien ou mal, se plaire ou deplaire dans un 
endroit. Se trouver, se sentir, &tre (indispos6, 
malade,, affligö, etc.; en danger, en peine, en 
qeelque besoin ‚ etc.).—bem com alguma cousa, 
&tre content d’une chose, s’en tronver bien. — 
com cousG, se trouver avec une chose, 
la posseder. Ndo se achar, ne point se trouver. 
-com alguma terra ou ilha, ölre pres d’une 
terre ou Ile. 

Acyan,, 5. m. (4. d’Asie) espöce de racines, 
d’berbes ou [ruits qu’on met au vinaigre pour 
manger ; une vinaigrette. Melange de sel et de 
vissiere qui sert & confire et mariner des plan- 
tes, des fruits, du poisson et de la viande. if. 
Les memes plantes et fruils conflts au vinaigre 
eisel 

Acsanio. V. Xardo. 

ACHAROADO , ACHAROAR. V. Axaroar. 

+ acmania, s. f. (1. de bot.) acharie : planto 
herbacte da cap de Bonne-Esperance,. 

ACHATADISSIMO,, A, adj. super!. d’ 

Ackarioo, A, 0dj.p. pP. d’Achatar. 

Acuırınüra, 5. f." aplatissement : !’action et 
Teflei d’aplatir. 

AcaiTautxto, s.m. V. Achaladura. 

AcmıTAR, v. a. aplatir : rendre plat. 

Acuarzs. V. Agalha. 

Acaavascivo , A, adj. grossier, rude, rusli- 
que, impoli, sans education. 

A'caz, s. ın. (fam.) bobo: petite blessure , 16- 
gere, qui ne donne qu’un petit mal, une petite 
douleur. 

Acukca, s. f. augmentation, accroissement, 
addition. (fig.) Aide, sccours; celui qui aide. 
Achegas , plur.” materiaux , comme pierre , bri- 
que, bols, chaux, sable, etc., r&unis pour la 
wonstruction, d’un bäument. (fg.) Aides, so- 

esurs , assistances. 

*Acuzcäpa, 5. f. atlaquc de pres. 

ACBRCiÄDANMENTE, adv. de pres. 

Acuecino, A, p. p. d’Achegar, et adj. ap- 


prochet. 
AcuzcidO, s.m. proche, parent, alli6; voisin. 

° ACHECADOR. V. Chegador. 

ÄAcHEcAwenTo, 3.m." proximits. 

°* Acuzcaucas. V. Perienzas. 

Acuecan, etc. V. Chegar, etc. 

Acserönrz , s. m. (1. de myik.) Achäron : un 
des Beuves des eniers ; Penfer ; la mort. 


ACI 23 


Acnerönrico, a, ( 04.acherontique: del’A- 
ACHEaONTIO, A, chöron, qui appartient A 
l’enfer. 

Acuerösa, s. f. (l. de myth.) Acheruse. 

f Acntros, s. m. pl. (t. d’hist. nat.) achätea: 
genre d’insectes orthoptäres. 

Acnia, s. f. canne des Indes que }’on conlit, 

ÄCHICAR , v.a. etn.(f.de mar.) baqueter: öter 
Feau d’un bateau avec une Ecope, elc. 

+ AcmııL£ı, 5. f. (t. de bot.) achillee : plante 
corymbifere, espece de Jacob£&e ; millc-Teullie. 
—de S. Jodo , achill6e visqueuse, vulgo eupa- 
toire de Mesue. 

AcnıLıtma,s. f. Achiliöide :po&me Inacher& 
de Stace, dont le heros est Achille. 

Acını.es,s.m. Achille, prince grec, fils de 
Thetis et de Pdlee. (Ag.) Brave, vaillant, grand 
homme de guerre. Tenddo d’—, tendon form6 
par l’union des tendons des quatre mmuscles ex- 
tenseurs du pied. 

ACHILLES, 8. m, (f. d’ecol.) achille : argument 
sans replique, argument principal de chaque 
secte. 

AcuıM, 8. m. ($. asia.) piment de l’Inde. 

+ Acuiung, s. f. (t. de bot.) colamnee, plante 
scrofulaire. 

Acaınipo, A, adj. somblable aux Chinois. 

ACHINCALHAR, 0.0. (8. burl.) balouer. V. Cha» 
colear. 

ACHINELADO, ACHINELAR, V. Acalcanhar. 

Acusöta, 8. f. * fruit de Pachio. 

f AcsıöTE , s.m. achlo, achiot, roucou, rOu- 
couyer : arbre de la Nouvelle-Espagne, et la 
teinture rouge qu’on tire de son fruit. 

ACHÖRES,, 8. m. pl. (t. de mdd.) achores : pe- 
tits ulcdres a la t4te,aux joues ; gourme, espdce 
de teigne humide des enfants. 

AcunouÄtico,A, adj. (!.d’opl.) achroma- 
liquo : qui laisse voir les objets sans couleur 
&trangdre et sans iris. 

+ ACHRÖNICAMENTE, adv. (f. d’astr.) dans un 
lieu oppos# au soleil dans son lever ou son 
coucher. 

Acurönıco, A,adj. (l.d’astr.) achronique: 
oppost au soleil dans son lever ou son coucher. 

Acutu“pÄiDo, A, adj. de couleur de plomb; 
pesant comme du plomb ; plombe. 

+ Acıkno, s. m. bluet, aubifoin, barbeau: 
planto & fleurs bleues qui croit dans les bies. 

AcıcaLADO, AcıcaLAR. V. Aracalar. 

Acıcite, 8. m. eperon turc. Bater 08 —t, 
donner des coups d’eperon , appuyer l’&peron. 
(Ag.) Stimuler, inciter, exciter, alguillonner. 

Acıcöca ,s. f. herbe du Perou. 

+ AcıcuLar, adj. 2 gen. aciculaire:semblable 
& des aiguilles. 

Acıntz, s. f. acidits : qualit& de ce qai est 
acide. 

Acivıa, s. f. paresse. V. Preguiga. 

Acıpırıcackö, s.f. (l. de chim.) acidißcatlon: 
oxygenation d’un combustible au point de le 
rendre acide. 

Acıpırıcinte , adj. 2 gen. et Acınfrıco, A, adj. 
(t. de chim.) acidiflant: qui change en acide. 


24 ACI 


FAapırıcır, v.ca. (f. de chim.) acidifier : 
rondre acide. 


pos& ä l’acide. 

Aapıöso, A, adj. paresseux. 

A’cmo, ı, adj. acide, aigre , sür. 

A’cıo,s.m.(t.dechim.) acide : subsiance 
oxygendo au point de devenir aigre au goüt, 
äcre, caustique, et de pouvoir former des sels 
avoo les bases salifiabies. — carbonico, acide 
carbonique. — muriatico, acide murialique, etc. 

Acmaipo, A, adj. couleur de cedrat. 

AcıpuLino, R ‚adj. etp.p.d’ 

AcıpuLan, v. a. (t. de pherm.) aciduler: 
rendre acidule. 

Adburo, A, adj.( I. dem£d.) acidule, ai- 
erelet, qat dent de l’acide ; lögdrement acide. 

Acig,s.f. p. us. vue perganie, vivacite des 
yeux, perspicacite, penetration de l’esprit. 

Acua, adv. ei prep. au-dessus, ci-dessus, 
sur; en haut, au haut. 

* ÄcımADo, Acımar. V. Acabar. 

® ACIMENTO. V. (imo , Cume. 

+ Acıniczsow Acınice, 3... acinaces : sabre 
des anoiens Parthes et des Perscs. 

+ Acınacıroaue. V. Alfanjddo. 

+ kcınksıa, s. [. (i.de med.) acinesie : repos 
du pouls ;intervalle entre la contraction et la 
dilatation de l'artere. 

+ Acımırörug, adj. 2 gen. (1. de bot.) acini- 
forme : en grappe. 

+ Acıno, s.m. " baie, graine de grappe. 

Acınöso „adj. compose de bales , cn grappe. 

AcintE, s.m.* provocalion , taquinerie. Fazer 
—s, laquiner : contrarier, causer des contra- 
rieiles. 

AcınTE, ACINTEMENTE, adv. A dessein, ex- 
pres ; de propos delibere; taquinement, pour 
contrarier quelqu’un, pour l’impatienter. 

Acıntöso, A, adj. taquin, mulin, contra- 
rient , malicieux , espitgle. 

Acintao, s.m. V. Absinthio , Losna. 

Acırirg ,s. m. morceau, mels friands, frian- 
dises : des viandes exquises et delicates pour 
exeiter l’appetit. Amigo d’—s, qui aime & faire 
bonne chere , qui aime les bons morceaux. 

Acırırkıno, A, adj. qui aime les friandises, 
qui les pre&pare. 

Acırazstäpo ou ARCHIPRESTADO , 8..." di- 
gnite, juridiction d’archipretre. 

Acırasste, V., Cypreste. 

® Aciqua, s. f. bourse. 

ACıRAnDAR, etc. V. Cirandar, etc. 

® Acirana, s. f. couverture de sclie, housse 
de cheval. is. * Voile de couvrir (chose d ‘eglise). 

ACITRINADO , A. V. Acidrado. 

ACLARA OU A'scLaras. V. Claramenie. 

Acıaraciö, s. f.” eelaircissement; l’aclion 
d’eelairer. 

AcLariD0, A, adj.p.p.d’Aclarar. 

Acranautxto. V. Aclarapdo. 

Acıarar,o.a, 6clairer, illuminer : Jeter, r&- 
pandre de la clarte. Eclaircir : diminuer le 
nombre. Dömeler, eclaircir, debrouiller, d«chif- 


ACO 
(rer, d&nouer, manifester, expliquer. Clarißer, 


rendre clair ce qui est trouble ou obstur. —e . 
AcıpırıciveL, adj. 2 gen. acidificable : dis- | gerdada 


‚ verifier : faire voır la verils d’une 
chose;; en öler tous les doutes. — uma diflewi- 
dads , expliquer une chose, en Öter toutes les 
obscuriläs, la döyelopper. — & vor, a visla, 
&claircir la voiz, la vue. 

ACLARAR, v. #. s’öclaircir, devenir serein,, 56 
remelire, en parlant du temps. 


ACLABAR-SE , o. r. Il a les m&mes acoeptions _ 


que les deux pröctdenis. A verdade se aclara 
com o disputar, la verils s’eclaircit par la dis- 
pute. 

tAcLaväno , Aa,.adj. (4. de bot.) en forme de 
massue (style, peliole, ote. ). 

ACLERIZAR-SE,, ©. r. devenir prötre. 

ACLIMADO , ACLIMAR , etc. V. Acclimar, olc. 

Acuistico, a, adj. (1. de med.) acmastique. 
Il se dit d’une fiövre gei, ‚depuis le commenoe- 
ment Jusqu’& la fin, n augmente pas d’intensite. 

* Acö, adv. ici, par ici. 

AcoaLnan. V. Coalkar. 

Acoar. V. Coar. . 

ÄACOBARDÄDAMENTE , adv. avec crainte, aveo 
€pouvante, timidement; sans esprit, sans cou- 
rage ; lächement, 

Aconanpino, A, adj. p. p. d’Acobardaer. 

ACOBARDANENTO, 8. m." crainte, manque de 
courage , limidit& ; poltronnerie. 

ACOBARDAR, U. a. decourager, rebuter, intimi- 
der, d&coontenancer : abatire l6 courage, rendre 
timide,, degoüäter. 

ACOBARDAR-SE, ©. r. se decourager, s’inlimi- 
der, s’abattre, perdre courage, craindre, s’6- 
pouvanter ; s’amollir, s’enerver. V, Acankar-se. 

AcosErTÄDO,A,P.p.d’Acobertar.adj.nippe, 
habille, chaudement v&tu. Il est aussi substan- 


tif, et signifie l’armure complete d’un homme - 


d’armes et d’un cheval de bataille. 

ÄACOBERTAR, dv. a. Caparaconner, harnacher : 
mettre le caparacon, le barnais & un cheval. 

Acocano, ACOcaR. V. Acossar. 

ACOCHADO , ACocHAR. V, Agacher. 

ACOCORADO, A, adj. p. p. d’Acocorar-se. 

ÄCOCORAMENTO , 5. m. accroupissement : tat 
d’une persomne accroupie. 

ACOCORAR-SE, v. 7. B’accToupir : 56 baisser, 
le derritre prös des talons; s’asseoir sur ses 
talons; se tapir ; se blotüir ; se cacher en se te- 
nant courb6 (contre un mur, dans uncoin, eic.). 

Acovır ‚etc. V. Acudir. Quem me acode! & 
l'alde! au secours! 

ACOCOMBRADO, V. Apepinado. 

AcocvLan, etc. V. Acugular, eic. 

Acoımino,, A,0dj. p.p. d’Acoimar. 

ACOINADOR, 8. m.celui qui condamne & l’a- 
mende; qui punit. 

ACOIWAMENTO, 8. m. "amende, chäliment, pu- 
nition. 

Acoısan,v. a. oondamner & l’amende; sur- 

rendre, prendre sur le fait; saisir tes bes- 
tlsux. (Ag.) Chätier, censurer, reprocher; se 
venger par soi-meme de quelque dommage 
Tegu. 


..— --_ _ - 


ACO 

MONNAR-SR, U. 7. S'ACCUSOE ; 50 TO6ORNAlLTE 
wdätclerer coupabie. 

° KCOEELANENTO. V. Sesmaria. 

° ACDITAR-SE Os ACUITAR-SE , ©. r. sallliger ; 
sapüsyer. 

Acaeran, Acorran-se. V. Acoular. 

Acoe.i, ade. ih, en ost endrolt. 

“Aomceraa. V. . 

+ Acoucmoantına, s. f. femme qui ouate, qui 


AcoLcmoint, s. m. piqus (ötoffe). ül. adj. p. 

p. d’Acolchear. 

AcoLcmoaBER, A, 3. coluı, colle qui fait le 
pigut, es onuries-pointes. 

ÄCDECHOAR , ©. @. ouater, matelasser, piquer: 
metize de la ouate ontre deux dtofles, ot les 
Piguer. 

AcoL 2108, 3. m. pl.” herbe medicinale. 

A<cOLxTADO, A, adj. qui a la forme d’ungllet. 

AcoLaznön, A, 5. celui qui accueille quel- 
qu’un, qui regoit chez lui. 

Acoamtrıı , s. f. * refuge, retraite, asile: 
faction d’accueillir. V. Acolhimento. 

° ACOLBEITO. V. Acolkido. 

° kcormzuca. V. Acolheita, Acolkimenio. 

AOLEBR , v.6. accueillir, recueillir, recevoir, 
admetire quelqu’un chez soil, le loger, V’heber- 
ger. V. Colker. (fg.) Prot&ger, secourir, defen- 
dre ; mmetiresoussaproteclion. 

ACcouBEn-SE, 0. r. se relugier, se meltre & 
cauvert : se relirer en quelque lieu ou aupräs 
de quelgu’an pour £@ire en sürele. Fuir, se 
sauver.— falle, se taire, cesser de par- 
lee. — eo sagrado, se relugier & l’autel comme 
«m un liea sacre. — d Igreja, embrasser l’&tat 
religieaz ou ecclesiastique. 

Acoımida, 3. f.” accueil, r&ception, traite- 
ment. Betraite, asile. Protection, defense. it. 
Afftaence , abondance , augmentalion, crue des 
esux d’en ruisseau , d’un fleuve. 

ACOLEIOO , A, P- pP. d’Acolher. 

ACOLIMMENTO ,3.m. V. Acolhida. 

AcoLırino ow ACOLYTHADO, s. m. acolytat: 
le plus baut des quatre ordres mineurs dans 
Ffglise catholique. 

Acörrro ou ACOLYTHO ‚s. m. acolyto : clerc 
au plus haut des quatre ordres mineurs, 
qui sert la messe en surplis sans &tre 

tensure. (fam.) Compagnon : camarade qui 
abde A faire quelque chose. 

ACONMETTEDOR, A, 8. aggresseur, assaillant : 
esiai qui attaque, qui assaillit. 

ACONMETTER, 9. 6. atlaquer, insulter, assail- 
Er:csmanencer une attaque. Entreprendre,com- 
muncer, enlamer. — 0 inimigo, atlaqucr l’enne- 
mi, le charger.— ds pedradas, attaquer ä coups 

— com ro ,dadivas, etc., tächer 
ds corrompre quelqu’un avec de Y'argent, cic. 

Acowmertiıpa,s. f. V. Acommellimenlo. 

ACOSNETTIDO, A, adj. p. p. d’Acommelter. 

ACHONNETTINENTO, s. m." attlaque, charge : 
assaut, Invasion , choc de deux personnes ou 
de desz troupes qui en viennent aux mains. it. 
Essai. V. Tensaliva. — que far a oulro 0 que 


= ACO. 35 


‚ allaque: ooup pori& par l’une des 
deux personnes qui font assaut, s’escriment. 
— subilo, insulle,coup de main : atlaque im- 
prevue. — d’uma enfermidade, allayue d'une 
maleadie, acoös. 

. ACOMMETTIYEL, adj. 2 gen. allaquabio : qui 
peut dire atlagud. 

ACONMONAR-SE, V. Hancommunar-se. 

ACONPADRADO, A, ad. p.p.d’ 

f Acowrapaaıa,v. a. faire compöre un ami. ' 

ACOMPADRAR-SE , d. r. prenüre pour comp&rc 
un ami. (fig.) Se familiariser, contracter de la 
familiarits ; ötre compere. 

ACONPANBADKıRA, 8. f. femme qui accompa- 
gne une aulre. V. Acompanhador. 

ACOMPANHÄDO, A, adj. P. p. d’Acompanhar, 

ÄACONMPANHADOR , A, 8. OL adj. accompagnant, 
suivant : qui accompagne. (}. de mus.) Accom- 
pagnateur : celui qui accompagne la volx avec 
quelque instrument. 

ACOMPANHAMENTO,, 8. m. accompagnement: 
Paction d’accompagner. (4.de mus.) Accompa- 
gnement : accord dont on eccompagno la voix 
qui chante le sujot ou l’instrument qui le joue, 

mparse : suite de personnages muels qui ne 
font que figurer au th&ätre. * Suite, corl&ge: 
ceux qui accompagnent quelqu’un par hon- 
neur. Convoi : cori&ge fun&bre. 

ACOMPANHÄNTE, adj. 2 gen. p. a. d’Acompa- 
nkar. V. Acompankador. 

ÄCOMPANHAR,, v. a. accompagner : aller de 
compagnie avec quelqu’un, marcher A cöte de, 
tenir compagnie d. Conduire, accompagner 
quelqu’un par honneur, civilite, occasion ou 
par sürets. Suivre la m&ıne direclion de l’objet 
qui se meut ; avoir la meme situation ou gise- 
ment. (fig.) Unir, joindre, ajouter, marier, as- 
sortir : allier une chose avec une aulre, accom- 
pagner une chose d’une autre. (l. de peins.) —, 
ajouter des ornements & une peinture. (S.de 
mus.) jouer les parties de l’accompagnement. 
Ce verbe est employ& quelquefois neutrale- 
ment. Ex,— com alguem , tenir compagnie, fr&- 
quenter, aroir des relations avec quelqu’un. 4 
ndo acompankhou com as oulras, Io valisscau 
marcha aussi bien que lcs aulres. 

. ACOMPANHAR-SE, 0.T. S’accompagner, se faire 
accompagner de quelqu’un, prendre dans sa 
compagnie ; mener quelgu'un. (f. de mus.) Ac- 
compagner sa propre voix avec quelque Instru- 
ment, (fig.) S’accorder, se concilier ensemble, 
compatir. Serrir a Deus e ao mundo ndo sdo 
cousas que possdo acompanhar-se, ce sont des 
choses incompatibles que de vouloir plaire & 
Dieu et aux hommes. 


adj.(i.demed.)com- 

plezione : qui est 

ACOMPLECIONADO, A, d’un certaintempe. 
ACONPLEXIONADO, A, rament.!i setrouve 
° ACONPREICIONADO, A, \ toujoursjoint, dans 


les deux langues, 

aux adr. dien. ou 
\ mal. 
ACOUPRIDAR-SE , d. r. p. us. s’alionger. 


® ACOMPREIGOADO, A, 








26 ACO 


Acoupıcıonipo, A, adj. 9.P. d’Asondieienar. 
Pessoa bem —«, personne de bon caractäre, 
affable. Mai —, humoriste, qui a de l’hurmeur, 
intraitable , avec qui il est difieile de vivre. 

ACONDICIONAR , V. 4. Conditionner: mettre les 
marchandises en lieu de süreis ; les arrangen, 
les placer en bon ordre. 

ACONFEITADO, A, adj. pP. P2.d’ 

Aconreıtar. V. Con . 

ACONHECER ou ACONBESCER, V. RecomÄscer. 

Acönıro, s. m. (t. de bot.) aconit, tue-loup : 
plante veneneuse. 

ACONSELHÄDAMRNTE, adv. prudemment, sage- 
ment, avec conseil. 

ACONSELHÄDO, A, adj. P. p. d’Acomselkar. 
Mal —, inconsidere, mal avise, 6tourdi : qui 
agit imprudemment ot sans conseil. _ 

ÄACONSELHADOR, A, 8. conseiller : celul qui 
conseille. 

ACONSELHAR , 9. 6. conseiller : donner o0n- 


ACONSELHAR-SE , U. 7. 86 conselller : prendre 
eonseil ; consulter. — melhor, se raviser. 

* ACONTECEDEIRO, A, adj. qui peut arriver, 
survenir, 

ACONTECER, ©. #. arriver, avenir, survenir., 
Como aconlece ordinariamente, comme il arrive 
ordinairement. Fazer e —, (idiot. pop.) on s’en 
sert pour faire de grandes menaces. 

ACONTECIDO, A, adj. P. P. d’Aconlecer.: 

ACONTECIMENTO, 8. m. 6vönement, issue, 
succ&s bon ou mauvals d’une ohose, Fait, accl- 
dent, aventure, incident remargquable. 

* Acontıipo, A, adj. & quion a donnd un do- 
maine ou pension. Qui a achei# des fonds. Pro- 
prietaire. Anciennement les acontiados ötaient 
oblig&s d’avoir un cheval et des arınes pour 
aider le rol dans le cas de guerre. 

* ACONTIADOR, 8.m. reconseur qui imposait 
aux aconliados l’obligation d’avoir certaines 
armes et un cheval d’aprös lours domaines ou 
pensions. V. Aconliado. 

* f ACONTIAMENTO, 3. m. "estimation, svalua- 
tion des doınaines de chacun pour lui imposer 
Pobligation d’avoir un cheval et des armes, it. 
Enregistrement des pensions que le roi donnait 
& cerlains sujets (aconsiados) pour qu’ils eussent 
un cheval, etc, 

® + ACONTIAR, ©. a. recenser, övaluer les do- 
maines de chacun pour lui imposer l’obligation 
d’avoir un cheval 6: certaines armes, comme 
lance, arbalete, eto. i$. Faire une pension & 
quelqu’un & la condition d’avoir un cheral, etc. 
V. Acontiado , Aconliamento. 

"FAconTıoso, A, adj. V. Aconliado, Abas- 


Aconto.V. Conto. 

* Acöro, s. m. " fomentalion chaude, 

® ACORCOBAR,. V. Corcovar. 

ACORDÄDAMENTE, adv. d’accord, d’un com- 
mun accord. Avec reflexion, mürement, avec 
dessein pr&medite , de propos delibere. 

ACORDÄDO, A, 9.P. d’Acordar, adj. öveills, 
qui aacheve de dormir;; vigilant. i#. Fait müre- 


ACO 


met, aveo röllexion. (Ag.) Prwdent, aviss, 
sags. Decid6, statud par arröt de la Cour de 
Justice, etc. 

® ACORDANKNTO, 3. m. röveil ı l’aclion d’e- 
veiller. 

* ACORDANGA. V, Consonancia. 

* ACORDANTE, 9.0. d’Acordar,adj.V. Acorde. 

Acöapio, 8. m. arröt, jugement d’ane Cour 
de Justice, 

AcorpaR, v.a. öveiller, r&veiller une per- 
sonne qui dort, interrompre son sommell. —, 
v.”. s’eveiller, se r&veiller, revenir, 

Aconpar 0% plutdl Acconpar, v. &. (l.de 
prat.) arreter, decider,, d6cröter, determiner 
apres avoir recueilli les voix. (f. de mus.) Ac- 
corder, mettre d’accord des instruments, des 
voix. 

ACORDAR-SE (COM), ©. r. B'accorder : @tre, se 
mettre d’accord, d’intelligence, de concert. 
— (de), 58 Souvenir, s6 rappeler : avoir m&moire 
de quelque chose. 

Acönpe, adj. 2 gen. conforme, assorti, pro- 
portionne. (f. de mus.) Accordant, consonnant, 
d’acvord,, qui s’accorde bien, qui r&sonne d’ac- 
cord. (f. de peint.)Quiade l’accord, et oü regne 
’barmonie entre la lumiere et les couleurs. 
(fig.) Conforme, d’accord, d’une m@me opinion, 
d’un möme sentiment, 

Acörpe, s. m. (f. de mus.) accord : union de 
plusieurs sons entendus & la fois et formant 
barmonie, 

ACÖRDEMENTE, adv. d’un cCommun acoord, 
uniform&ment, unanimement. 

Acöapo, s.m. accord, conrention : union de 
senliments sur une chose. «4. * Attention, intelli- 
geno®, precaution, bon sens.’R&solution, d&- 
termination. Nös estamos d’— nislo , nous som- 
mes d’accord lä-dessus. Elles vivem com um 
grandissimo —, ils vivent d’un trds-bon accord, 
Perder o—, perdre connaissance. Ndo dar — 
de si, ötre sans connaissance. Ter prompfo —, 
avoir de la presence d’esprit. Estar em seu —, 
etre dans son bon sens. 

AcoRDOADO, A, adj. cordonnd, en forme de 
cordon. (f. de mar.) Garni de cordages. p.p.d’ 

ACORDOAR, d.G. (f. de mar.) garnir un navire 
de cordages. #6. Arpenter, mesurer un terraim 
& cordon. 

Acöro, s. m. (ti. de bof.) acore ou acorus : 
plante aquatique, medicinale. — edlamo ou 
cana cheirosa, acore odorant. 

ACOROGOADO, A, adj. p.p.d’ 

Acorocoar. V. Aleniar, Animar. 

+ ACORRENTÄDO, P. us. adj. p.p.d’ 

} ACORRENTAR, v.a. P. us. enchalner : lier, 
altacher avec dos chalnes (les captifs, les for- 
gats, 01c.). 

* ACORRER, ©. a. accourir, venir vite, &A la 
häte; aller promptament vers. 

ACORRILHADO, A, adj. 9. p.d’ 

AcorRıLHAR. V. Encurralar, Acanloar. 

* Aconnro. V. Soccorro, Recurso. 

AcoatcHäpo,A, adj. scmblable A un pinacle, 

® AcosıpÄng , etc. V. Aquosidade, etc, 


—— u nn A a non n 


ACO 


Apssino,, A, adj. p. p. d’Acossar. 

Achssap6R, A ,S. celui qui poursuil. 

AcOSsauRRTO, 3. m." poursuite : l’action de 
pearsaivre avec "acharnement. 

ACOsSAR, €. a. poursuivre avec acharnement 
(le gibier,, les betes feroces, etc. ; lennemi, les 
navires, eic.). (fg.) Persecuter, pousser, offen- 
ser, chogaer, importuner, faliguer, presser, 

r. 

* Acostino, A, adj. p. pP. d’Acostar. 

” Acostaminto,s.m.l’action d’accoster, d’ap- 
procher. (44) Salaire, solde, gages, appointe- 
ments, paye. 

* Acosran, v. a. acchler, approcher de la 
eöte. V. Arrimar. Appuyer une chose contre 
une autze, i$. Longer la cöte, s’en approcher de 
bien pres, la raser. 

ACOSTAR-SE, ©. r. s’appuyer sur quelguo 
chose „ s’y adosser ; semettre au lit. Acoslar-se a 
elguem , entrer au service de quelqu’un, soit 
comme domestigune, soit comme homme d’ar- 
mes, et ($g.) &ire de sop parti, suivro 368 opi- 
niens. (i. de mar.) S’approcher de la cöte, la 
Faser de pres, la longer. 

ACOSTUMAÄDAMENTE, adv. selon la coulume, 
Tusage,, d’apres Pbabitude, babituellement. 

Acostuuino, A, p. p. d’Acostumar, adj. 20- 
osstaune , habitae a. Bem —, morigene: qui a 
Id bonnes maurs, de bonnes babitudes. Mal 

—,quien ade manvaises ‚eic. 

AR, 9. 6. accoutumer : faire prendre 
uns coutume , une habitude. V. Costumar. 

ÄCOSTOMAR-SE (6), v. r. s’accoutumer, 5’ba- 

» prondre uns coulume, conlracter une 


“Acoran, ete. V. Cotar. 
“ ACOTE, adr. tous les jours. V. Cote (a). 

’+ Acorıan, v. a. fr&quenter journellement; 
porter was los jours, en parlant d’un babit, etc. 

Acoricipo, A, adj. (i1.de blas.) colice , charge 
de cotices. 

AcorToano, A. V. Acolonado. 

+ Aooroxipo, A, adj. qui a, qui fournit du 
duvet; qui en est couvert, 

AcorovsLino,A,0dj.p.p.d’ 

ACOTOVELAR, ©, a. coudoyer : beurter quel- 
quw’un da conde. 

ACOTOVELAR-SE, 9. T. 50 coudoyer : se heur- 
ter mutsellement du coude. 

+ Acorrıtoome,, adj. 2 gen. (4. de bot.) aco- 
tylsdone : plauste dont le germe, sans lobes, n’a 
que ia plumule ot la redicale. 

ACOUCEADO,, A, P. P. d’Acoucear. 

Acooczapon. V. Escoucsador. 

ACDOCEAR , 0. 0. V. Conseor‘, Euousar. 

AcouserLın,. V. deaudilkar 

AcosriB0, A,adj.p.p.d Acoutar. 

ÄACOUTADOR, A, s. celui qui donne Yasile A 
queilge’un. 

+ Acouramänıo, s. m. l’sclion, l’eflet de 
donner asile; liou d’sssurance. 

ACOUSAR, ©. &. donner asile & quelqu’un, le 
recevoir dans un liou d’assurance. if, Aocorder 
aan lieo la franchise ou droit d’asile, 





ACO 27 


ACOUTAR-BR, v.r. so rölugler, se retiror dans 
un asile, 

* AcoutEza, 8. f. V. Acoulamento. 

ACOVARDADO, ACOVARDAR, Elc. V. Acobardar. 

Acoxar, V. Acochar. 

A’co,s.m. acier:fer raffine, trös-pur et trös- 
cassani, endurci par le melange d’une certaine 
portion de charbon et par l’operation connue 
spus le nom de frempe. (fig.) Fer: loutes sortes 
d’armes blanches, particuliörement l’&pöe. it. 
Courage, valeur, vigueur, intröpidits, foroe. 
Este homem 6 um —, cet homme a un lemp6- 
rament de fer. Peilo d’—, un caur & toule 
€preuve, etc. Ilse prend aussi aa figur& pour 
de la p&netration, de la perspioacitt,de Posprit, 
Homem d’um engenko bolo e sem — , hommes 
d’un esprit rude et sans penttration. 

ACODÄDAMENTE, 'adv. pröcipitamment, avos 
precipitation. Correr —, courir ä perte d’ba- 
eine, 

Acopino, A, adj. pröcipits, rapide, acodıdrd, 
haletant, häle. p. p. d’Acodar. 

Acopa MENTO, s.m.’häle, precipilallon, grande 
diligence, acc&leration,, courte haleine. 

AGODAR, v.a. presser, accölörer, faire agir 
avec pröcipitation ou & la häte; diligenter, pre- 
cipiter, meitre hors d’haleine. 

AGODAR-SE, DO. Tr. 50 presser, se häler, elc,, 
somme leo. a. So melire hors d’baleine, ha- 
eter. . 

Acokıno, s. m. autoursier : celal qui dresse 
les autours. 

ACOFAR, s. m. laiton ; metal. 

Acortıra, 8. f. jujube : fruit du jujubler. 

- + Acoreırkıra, s.f.*jujubler:arbredeGröce, 
d’Arabie, naturalise, plante rhamnolde. 

AcöR, s. m. aulour, oiseau de proie plas 
grand que l’&pervier, et qui lul ressemble. Arte 
de criar e ensinar 08 agores, aulourseris, 

*Acornino,4,P.9.d’ 

® AcORAR, ©. a. Inspirer un desir inquiet; 
irriter, causer une inquietude ontinuelle. lest 
aussi röcip. ot dans le me&me se 

Acönpa ‚s.f. panade:soupe & Pal et äl’huile, 
i$. Soupe & la reine ou doröe. 

ACOREIRO, V. Apoeiro. 

Acoatnua, 8. f.° oiseau de proie plus petit 
que l’autour, mals de la möme espöce. 

Acotkı,s.f. Verrasse, plate-forme, belveder; 
espece de galerie couverie ou döcouverte, pra- 
tiquee au haut d’une maison. 

Acoucada, V, Arougaria. 

>} Acoucioem, s. f. ancien impöt sur les 
viandes, l&gumes, etc., qu’on vendail au mar- 


Acovcaria,s.f. crialllerie, tapage (dans la 
boucherie). 

Acöucug, 3.0. " boucherie, 6tal : lieu od l’on 
tue les animaux, oü l’on arrange et debite ia 
viande. (Ag.)* Tuerie, carnage, massacte ; COIM- 
bat, bataille sanglante, 

Acovooı „s. m. espöce d’etal (anciennement). 

Acouranico, A, adj. sujot au fouet, qui mub- 
rite le fouot; habitu6 & eire fouelts. 


28 ACR 


Acorrino, A, p.p. d’Aroular, adj. Touelld 
le criminel qui a &t6 fouelt# par ordre de la 
justice. (Ag.) Qui a appris A ses d&pens ; perse- 
cuts. (fig.) Secous, agile. Arcore dos venios 
ocoulada , arbre agits ou secoußd des venls. i#, 
Instruit, Ex. Acoulado da experiencia, instruit 
par l’experience. 

ACOUTADOR, A, 8. fouelleur: celui qui fouette. 

Acovranöra, 3.f. fustigation, volde de coups 
de fouet. 

ACOUTAUENTO , s.m. * flagellation : l’aclion de 
fouetter. 

ACOUTAR, Od. ©. fouelter, flageller , donner le 
fouet. Fesser, foueller, frapper sur les fesses. 
(Rg.) Chätier, persecuter. — o ar, (loc. prov.) 
battre l’eau, se fatiguer en vain, se donner de 
la peine pour rien. if. Gauler, abattro les frults 
&coups de gaule. 

AGOUTAR-SE, v.r. se fouelter, se flageller, se 
discipliner. 

AcöuTE, s. m. fouet : instrument pour fouet- 
ter. —, coups donn6s & un enfant sur les fesses, 
soit avec un fouet, soil avec la main. (flg.) 
Fleau, calamite, afflicetion, grand chätiment. 
‘. L’ebranlement, Yagitation occasionnee par 
des flots , les vents, la pluie, la grele, etc. On 
donne aussi ce nom & celui qui en est l’instru- 


ment. v.g. Atila— de Deus, Attila, fidau de | A 


Dieu. Afoutes, plur. peine du fouet infligee aux 
criminels. Levar agoules pelas ruas da cidade, 
@tre fouette publiquement. Dar uma lunda ou 
gibäo d’apoutes, donner une volde de coups de 
fouet,, de coups de bäton. 

Acquırir , etc. V. Adqwirir. 

Acquisıcäö, s. f. acquisition : 
querir ; la chose acquise. 

* Acauısto. V. Acquisipäo. 

+ Acricıa, 8.f. (t.de med.) acratie : falblesse, 
debilits, impossibilits de faire un pas. 

Acravino,A,adj.p.p.d’ 

ACRAVAR, ©. 6, enfoncer (dans un bourbier, 
dans le sable, etc.). 

ACRAVAR-SE,, 0. r. s’enfoncer. V. ev. a. 

A’cnE, adj.2 gen. &cre, sigre, mordicant: qui 
a quelque chose de piquant, de corrosif, etc. 
(fig.) Aigre, rude, acariätre, fächeux, rigou- 
reux, sövere, dur, en parlant du caractere, du 
nalurel, etc. Acüif, diligent, fougueuz, im- 
patient, 

ACRECENTAR, elc. V. Acresconlar. 

Acrecer, eic. V. Acrescer. 

ACREDITADISSINO, A , adj. superl. d’ 

Acreoıtino, pP. p. d’Acreditar, adj. acort- 
dite , jouissant du credit, de r&putation. 

ÄACREDITADOR,, A, 3. celui qui donne du er&- 
dit. V. Abonador. 

ÄACREDITAR, ©. @. croire quelgu’un ; accredi- 
ter, achalander, mettre en credit, en r&puta- 
ton, donner da credit, de Pautorils, de l’os- 
time, etc. — a alguem em conla, (1. de comm. ) 
erediter : porter au ertdit, passer & credit, 

ACREDITAR-SE (COM, para com), v.r. B'aC- 
ertditer. Acquerir du eredit, de la r&putation. 


Yaction d’ac- 


ACR 


(de) So falro passor pour. — para com alguem , 
s’accrediter anpr&s de quelqu’un. — de louco, 
se faire passer pour un fou. 

Acn£nörR, A, (de) s. cr&ancier, cröditeur, 
celui & qui il est da de ’argent ou autre chose. 
(a, de) (fig.) Digne de quelque bonne chose, y 
ayant des droits, la merilant, 

A’CHEMENTE, ade. aigrement, äprement. 

ACREMENTO. V, Augmento, Accreseimo. 

* Acr£o. V. Incredulo. 

ACREPANTAR. V. Quebrantar. 

AcrıanciDo, A, adj. enfantin : qui a les ma- 
nieres d’un enfant. 

f Acaipıo , s. m. acridie: insecte, sauterelle. 

Acrınınar, V. Criminar, Accusar. 

AcrıröLıo. V, Aquifolio. 

ACRIMÖNIA, s. f. acrimonle, äcrels : qualiis 
de ce qui est äcre, acrimonieux. (fig.) Force, 
energie, ou plutöt 'vehemence, chaleur, impe- 
tuositd.Efcacit&, propriete dans la maniere de 
parler. it. Dureie, rudesse, aigreur,, mordacitö 
dans les expressions, dans le caracidre. 

ACRIMÖNIO,, A, adj. acrimonieux : qui a de 
Pacrimonie. 

Acaisıa,s. f. (f. d’anc. med.) acrisie: crudit# 
des humeurs. 

AcrısoLi00, A . d’Acrisolar, et 
mizade — 6, imilid a ä Pepreuve. erad. 
ACRISOLAR, v.a. affiner, purifler par le feu ou 
par quelque autre moyen un metal quelconque, 
le coupeller, le nasser par la coupelle. (g.) 
Meitre dans lout son jour : &claircir, purger, 
purifler, &purer quelque chose,comme la vertu, 
la verite, etc. 

A’crO ow Acno ‚adj.m. (lerro—) fer de mau- 
vaise qualit6, cassant. On le dit aussi de l’or, 
du platine, etc. 

AcnoiuMa, s.m.p. us. chant, etc.,agreable & 
Poreille. 

AcroÄTIco, A, adj. acroatique : 
entendu qu’arec des explications. 

AcroBiTA, adj. 2 gen. acrobale : 
danseur de corde parmi les anciens, 

ACROCERÄUNIO, A, adj. Acrockraunien: habi- 
tant des montagnes de l’Epire. 

ACROCERÄUNIOS (monles), plur. aujourd’'hui 
mont de la Chimere, dans la Moree. Acroctrau- 
niens (monts), dleres et sujets A £ire [rappds 
de la foudre. 

ACROCHÖRDON, 3. m. (4. de med.) acrochor- 
don : verrue pendante par un flet. 

Acnocöma, adj. 2 gem. acrooome : chevelu 
par devant, & cheveux longs. 

T Acrocöeno, #. m. ($. d’hist. nal.) acro- 
chorde : serpent de Java. 

Acrömıon, s. m. (f. d’anaf.) acromion : le 
haut de ’’6paule; apophyse & laquelle s ’attache 
la elavicule. 

Acröstıco, A, adj. acrostiche. On le dit d’un 
ouvrage compos# d’autant de vers qu’il ya de 
lettres dans le nom qu’on a pris pour sujet, et 
dont chaque vers commence par une des lelires 


qui n’est 


voltigeur, 


‚de ca nom prises de zulte. 


2. 2022 2. 


EEE EEE GE EEE ee Gy VE 





ACT 


$icaderıco , 8. m. acrostigne (plante) : es- 
pie de fongäre. 

Amorkaııs 0% ACROTERIOS, 8. (4. d’arch.) 
woitres : piddestaux dans la balustrade, ct 

i seyarent les balustres;; petit piedestal sur 

ourunnement d’un Edilice pour porter une 
Hatae, etc. 

dcta, V. Auto. 

keıas, s. (. pl. "actes, calılers : decisions de 
Tantoris publigne ou de quelque commu- 
zauit redigtes sur les registres publics. —, 
dälibtrations des Conciles, des Chambres, etc. 
_. vies des Sainis. . 

TAcısa sarıcana , 8. f. (l. de bot.) actee & 
tpie; euige Iberbe de Saint-Christophe ou la 

ne, 

Acrsırıo. V. Authenlico. 

fAcnzo, s. m. "mesure qui est la dix-sept 
sent vingt-huilieme partie du pied geome- 


Fäcrimna, s.f. (1. d’hisl. nat.) aclinie : 200- 
Phyte connu sous le nom d’anemone, ortie de 


ir. 
„Aaeriso, s.m.(f.d’hist.nal.) acline:insecte, 


"imo. V. Aceio. 

"ikmow. V. Arioma. 

komme. V. Alittude. 

Acrivantsıg,ado. aclivemen!: d’unemaniere 
ive, avec aclivite. (4. de gram.) —, dans le 
mode aetif. 

icnraa, o.a. acliver : mettre en activite; 
denner plus d’activite. 

kcnvivipe, s. f. activite : facult& active : 
verta d’agir. (Ag.) Diligence, promptitude, vi- 
raeite,, ardeur, activite dans l’action,, dans lo 
mail, iniensit6. Pör em—, activer. 

kcıvissmo, A, adj. superil.d - 

kcrvo,1,adj.actif : qui agitou qui ala vertu 
@’agir. (#9.)Empresse, diligent, agissant, labo- 
Neus;qaiagitavec promptitude, avec force. EM- 
eace: qui produit son eflet avec promptitade. (8. 
degram.) Actif.1ise ditdes verbes qui expriment 
Fatlion. Ter vidaacliva, faire beaucoup d’exer- 
cite, SOceuper corporellement. Ter vox acliva 
tpawiss, avoir droit de donner sa voix pour 
deelion et de pouvoir &tre &lu. Pela achiva 
(ghr. gram.), activement : d’une manidre ac- 

fire , dans une signification active. 
‚Acro, s.m. acte : l’action d’un agent, opera- 
fen.—, uns des parties principales d’une piece 
de ibeäire. —,, en termes d’ecole, se dit d’une 
dspaie pablique od l’on soutient des theses, 
Ea-, en attitude, en posture; sur le point 
de. ctes, pl. V. Aclas, Autos. it. —, falls, 
wüens des ds hommes ; les belles ac- 
Ion, les faits memorables. Actos grandes, 
Yezamen prive, et les Ih&ses qu’on soutient en 
pablic pour acquerir quelque degrö dans les fa- 
altts, eic. — de commumidade,, tout ce que fait 
ws commaunauts r6unle, Comme prier, MAR- 
bet, ee. — dos apostolos, acles des apölres ; 
canonique qui contient quelques- uns 

es fsite des spötres. 












ACU 29 


* Acro. V. Apfo. 
ACTOR, s. m. acleur : celui qui represente un 


personnage dans une piece de Iheälre. — Ira» 
gico ,tragedien : acteur tragique. 


s. f. actrice: cells qui reprösente 
Kram ’ | un personnage dans une piöce de 


Acruagäd, s. f. V. Auluagdo. it. Activities, 


energie. 


AcTuipO, A, adj. exerce, accoulume. p. P. 


d’Acluar. 


AcruaL, adj.2 gen. actuel, effectif, r6el, 


present, existant. 


AcTtALipÄDE, 8. f. actualils : &tat prösent ot 
actuel de queique chose. 

ACTLALISSIMO, A, adj. superl. d’Actual. 

ACTUALHENTE , adv. actuellement : presente- 
ment, & present. 

ACTUÄNTE, adj. p. a. d’ 

Actuar, v. a. rendre aclif, activer. V. Au- 
loar. 

ACTUÖSAMENTE, adv. Energiquemen!, aYe6 


vigueur. 


+ Actuosıpine, 8. f. vigueur, Energie, acti- 


vite , vivacile d’action. 


ACTUOSIssIıMO , A, adj. superl.d’ 
Acru6ös0, A, adj. diligent, actif, soigneux. 
Actan0,A,adj.p.p. d’ 
ACUAR, d. a. acculer : pousser quelqu’un , le 
reduire en un coin ou en un endroit d’oü il ne 
puisse plus reculer ; poursuivre le gibier, l’ac- 
culer, eic.; metire aux abois, en parlant d’un 
cerl. j 
ACUAR, ©. n. el ÄCUAR-SE, U. Tr. 8’855601F BUF 
les fesses. (fg.) Rester interdit. O cavallo 
ocuou, lecheval recula et lonıba sur les han- 
ches, i 
Acupertan. V. Acoberlar. 
AcucuLar, etc. V. Acugular, etc. 
+ Acövıa, s. f. acudie : insecto Jumineux de 


‚PAmerique meridionale. 


Acupipo , adj. p.p. d’ 

Acupır, ©. ®. aller, venir, coufir, accourir 
au secours de quelqu’un. Assister frequermment 
& quelque chose ; fröquenter quelque lieu. Re- 
courir : avoir recours & quelqu’un. Aider, se- 
courir. Produire,, donner des fruits, en parlant 
de la terre. — por alguem, delendre, proteger 
quelqu’un. — por si, se menager, pourvoir, 
veiller Asa röputation ‚a son avantage. — a ai- 

logar, venir en foule, on abondanoe, a0- 
courir, aborder de toutes parts. — a quem man- 
da, obeir au commandement. — a quem chams, 
repondre. -— 0 navio ao leme, o cavallo d espö- 
ra, obsir (le navire)au gouvernail, (lecheval)& 
l’&peron.— 0 jogo, &tre heureux au jou. 

ÄCUDIR-SE, 9. r. p. wa. s’alder, So BeCcoufir, 
ee. 

ACcuctLADO ‚A, adj. p. p. d’dcugwlar. 

ACUGULADOR , A, 8. celui qui comble une me- 
sure. 

AcvcuLadura.V. Cugulo. 
ACUGULAR, U. a. combler : remplir un vase 
par-dessus les bords. 








30 ACU 


® ACOITADO, A,P.p.d’ 

® Acuıtar et Acuıtan-sK. V. Affligir, cic. 

Actızino, A,adj. aigu. if. Aiguillonne. (Ag.) 
Excite, intrigu6. (4. de bol.) Aiguillonne: muni 
d’aiguillons. 

Aciızo, s. m. alguillon, pointe. (fig.) "Insüi- 
gation. 

+} AchuE, s. m.” points : bout piquant et algu. 
(Ag.) *Subtilite. 

ACUMINADO, A, ady. acumine, pointu. 

ACUMINAR. Y. Agusar. 

ACUMULADO , ACUMULAR,, etc. V. Accumular. 

ACUNHADO, Aconnan. V. Cunkar. 

ACUPONcrURa, 8. f.(t. de mid.) acupuncture: 
pigqüre aveo des aiguillcs pour lirer du sang. 

* Acunan. V 


® ACURRIMENTO, V. Recurso, Soecorro. 

® ACURTAR, eto. V. Enourtar, etc. 

Acusvino,A,?. pP. d’Acurver. 

ACURYAMENTO, 5. m. l’action de se courber. 
(Ag-) * Humiliation. 

ACURYAR, v. a. courber : rendre courbe une 
chose dreite ; donner une figure, une forme 
courbe. Plier, abaisser, incliner avec queique 
poids. (fg.) V. Acurver-se. 

ACURVAR , v. %. Il ala meme signiflcation que 
le suivant. 

ACORYAR-SE, 9. F. se courber: se hbalsser, 
s’Incliner, se pencher en avant; devenircourbe, 
prendre la figure, la forme courbe,, etc., 
oomme le v. a.(Ag.) S’humilier devant quel- 
qu’un; cöder & la volonte d’un autre. Acurvar 
on Acurvar-ıs debaixo do peso, courber, se 
coourber sous le poids. 

ACURYILHADO, A, 9. P. d’ 

ACURVILBAR, ©. G. 86 courber, flöchir : on ne 
le dit qu’en parlantdes bestiaux. 

AcusuÄta, 0. m. acousmate : bruit imagi- 
naire de voix et d’instruments dans les airs. 

}ActusmÄrico, A, adj. acousmalique : qui 
entend sans voir; enlendu sans @ire vu (con- 
cort, chanleur, eic.). 

Acdsrıca , s. f. arousliquo : Ihdorie des sons. 

Acösrıco, A, adj. acoustigue : qui conserve 
Youie, qui augmente le son. Insirumenie —, 
trombeia — « ‚ instrument acoustique ; cornet 
acoustgque. 

Acorı. V. Salla-rogra. 

AOUTAnGuLLDO, a,adj. (t. de geom.) acutan- 
gule. 

ACUTANGTLAR, adj. 2 gen. (1. de giom.) acu- 
tangulaire : ä angles sigus. 

AcytingcuLo, a, adj. (1.de gdom. et de bot.) 
acutangle : & angles algus, 

Acureıan, V. Aeutilar 

+ AcuraLLivas, ad). f. pl. (folhas—, 8. de 
bot.) en oouteau ( feuilles). 

+ Acvricußro , s.m. ( .de bof.) Thalia gewi- 
culala, Lin., thalie, plante amomee. 

ACUTILADIKO. V. Acutilador. 

ACOTILADISINO,, A , superi.d’ 

AcuriLipo, A, adj. p.p. d’Aeutilar. 


ADA 


AcvriLapOR, s. m. qui donne dcs ounps de sa- 
bre; spadassin. 

AcvTiLän, ©. a. sabrer, öcharper, taillader, 
estaßlader, balafrer, d&chiqueter, donner des 
coups d’epee, eic. ; blesser de laille. Passer au 
Nil de l’epee. 

Acurissımo,, A, adj. superl. trös-aigu. 

Acucan oW ÄSSUCAR, 8. M. SUCHE : SU0 d'une 
esp&ce de cannes qui viennent dans les pays 
chauds. Päo d’—, sucre en pain. — 
sucre brut, cassonnade jaunätre, — cande, 
sucro candi. — rosado , sucte rose. 

Agucarino, A,adj. sucrd: qui a du sucre, 
qui en a legoüt. (fig.) Doux, affable, mielleux. 
Versos, palabras —as, vers, propos douc®- 
reux, ‚Baroles musqudes, d’une galanterie fade. 


Fercanan, v. a. sucrer : mettre du sucre, 
assaisonner avec du sucre. (fig.) Bucrer, adou- 
cir, confire au sucre. 

+ ACucaRAR-SE, v. r. devenir sucr&, se can- 
dir,en parlant des fruits. (fig.) Parler avec 
douceur. 

ACGTCARBIRO, 8. m. Sucrier : vase ou pidce de 
vaisselle od l’on sert du sucre. 

+ Acucantıro „A, adj. qui conlient du sucre. 

Acuckna,s. f."lis blanc : plante et fleur. 

AGUCENAL, #. m. camp, vallde, parterre avos 
des lis. 

Acupa. V. Apude. 

Acupipa, s. [. chaussee d’ötang. V. Sargenta. 

Acöpe, s. m. "levee de moulin ; chaussee, 
&cluse, &cluse de chasse; jeice, batie. 

Acursırkıra. V. Acofeifeira. 

ÄGUGENTADO , AGUGENTAR , ic. V. Swjo, Su- 


Jar, etc. 


AguLAaD0, A, pP. p. d’Acular. 

ACULADOR, 8, celui qui hale les chieng, 

AGULAMENTO, s.m.l’aclion d’exciter los chiens. 
(Ag.) "Instigalion. 

Agutar,v. a.irriter,inciter, baler, animer los 
chiens pour mordre. (Ag.) Inciter. 

AcumacaE. V. Sumagre. 

Acvpasste. V. Cypreste. 

ÄACYROLOGIA , 8. fı (tl. de gram, an.) phrase, 
terme impropre. 

ADAGAMA ou ABACEMA. V. Asafams. 

+ Anarina,s. f. "ragoüt autirefois en usage 
parmi les Juifs d’Espagne. 

Anica, s. f. dague, sorte d’6pee courie ei 
large, ospdce de poignard. 

Apacipa, 5. f."ooap, blessure de dague. 

ADACHAL, "adj. 2 gen. proverbial. 

Anicıo, s. m. adage ; proverbe,, maxime, 

Anicıo ,ado.( f. de mus.) adagio : lontement, 
meins oopendant que largo. 

Anacvinna , s. m.dim. d’Adaga, petitedague. 

® Anaıäno, s.m. V. Deado. 

Auarkd,c. m. V. Dedo. 

ApalL,s. m. eommandant, chef de gens de 
guerre snciennement.—mor, mestre-de-camp- 
general, offieier de l’ancienne milice porte- 
waise, 


nn 


MU RN -— un MO 


PO” Zp \ -. 





ADD 


Auamino, A, 9. p. d’Adamar-se, adj. efis- 
mins : qui Lient du caraciere, du physique et 
de la (aiblesse de la femme. st. Doux, delicat, 
mou. ’ 

Apıminzs, s. ze. plur. * timbales indiennes. 

.Ademdes. 

ADANANTINO, A, adj. V. Diamanlino. Les 
po&tes se servent plus generalement du pre- 
mier. 

ADANAR-SE,T.r. se parer comme les dames; 
faire fe dameret, s’adoniser. 

Apamuascibo, a, adj. damasse : fait en facon 
de damas. ii. Damasquine; le premier en par- 
lant de linge de table, et le second en parlant 
d’ane &pee, ete.p.p.d’ 


ÄADAMASCAR, ©. a. damasser ot damasquiner: | portö 


faire en fscon de damas,. 

ABamıino, A, adj. et ADANTTAS, 8. m. pi. 
adamites : seciaires qui, pour imiler Adam, 
alsient tout nus. 

Anarraciö, s. f. adaptation : action d’a- 
dapier. 

tAnarripaueure, ado. justement, propre- 
ment, convenablement. 

ABaPrTäno,A, adj. p.p. d’ 

Asırran,co.s. adapter : appliquer, ajuster, 
atosınmoder une chose & une autre. 

ÄADAPTAR-SE, v. r. s’adapier, S’acooımmoder, 


# ABAPTAVEL, adj. 2 gen. qui peut @tre 


Apansz, V. Adervs. 

Aninca, s. f. adarca : 6oume salde ou eolon 
des roseanx qui s’attache en forme de laine aux 
berbes durant la söcheresse. 

TApinco, 5. m. chemin cache. 

Aninca, 8. f. *&ca: petit bouclier de cuir, 
arme defensive, 

Avımciso, 1,adj.p.p. 

Abancar, 0.0. couvrir de P&cu ou du bou- 
eier. (Ag.) Defendre, proteger. 

ÄDARCAR-SE, ©. r. se couvrir de l’&cu, etc. 
(Ag.) Se mettre & Pabri, s’armer. Adargar-se 
de peeiencia , sarmer de patience. 

Anancufino, s.m. celui qui fait des boucliers. 

t Anazcvinma, s.f.dim. d’Adarya, tres-petit 
bouclier. 

Apiaue, 8. m. demi-gros ou la seizi&me 
pertie d’une once ; calibre de balles de mous- 
juet. (Ag.)Chose tr&s-pelite. Por adarmes, trös- 
Besquinement. 

Apırofına. V. Daroeira. 

* ADARYADO, A, adj. p.p.d’ 

"ABARVAR, 0. a. faire des murailles. 

® ADAR VE, 5. m. Vespace qui rdgne dans le 
baut des murailles, et sur lequel s’ölövent les 

ertneauz. 

Apistaa, 3. f.* tribouiet: outil d’orferre pour 
arrendir les bagues. 

+ ABatcro, 4, adj. augments, agrandi. p. us. 

Aposınsan, V. Adensar, Condensar. 

Anpen. V. Addir. 

Apvıcad, 9. f. addition, augmentation. ad- 





ADE 91 


jection, supplöment : ce qui est ajont& & quel- 
que chose. (1. d’arithm.) La premiere regle de 
V’arithmetique. Note, remarque que l’on met 
danslaredaction des comptes. "Surcrolt. Pobre 
com — de soberbo, pauvre et pour surcrolt or- 
gueilleux. is. Parcelle. 

ADDICIONADO, A, adj. p. p. d’Addicionar. 

ADDICIONADÖR, A, 8. celui qui additionne. 

AppicionaL, adj. 2 gen. additionel : qui est 
ajoute, qui doit &tre ajouts. 

ADDICIONAR, ©. a. (1. d’aritkm.) additionner: 
mettre plusieurs nombres ensemble pour en 
avoir lo total. Faire des additions, mettre des 
additions & un livre ou &crit quelcongue. 

Anniero ‚ &, adj. attache, deroue, inclind, 

ADDIDO, A, adj. p. p. d’Addir, attache, ad- 
joint &. 

ADDIıMENTO. V. Additamenio. 

AppiR, v. a. ajouter. V. Addicioner. 

ADDITAMENTO, 3.m. "addition, augmentation. 

Appıraa. V. Acerescentar. 

AppıTo. V. Accrescenlamenio. 

Appucgäd, s.f. (1. d’anat.)adduction: l’aelion 
des muscles adducteurs. 

ADDUCTIYO, A, adj.(t.de Iheol.) adductif : qui 
apporte. 

Appuctör,, s.m. (l. danat.) addueteur: nom 
de differents musecles. . 

ADDrZIR, ©. a. porter, apporter, conduire; 
ajouter. Alleguer, produire. 

Ape. V. Adem. 

ADEANTE. V. Adiente. 

Anzcan, elc. V. Adeqguar. 

Antca,s. f. cave : lioa creux el souterrain 


‘Tot Fon met le vin et les aulres provisions. 


Cellier 4 melire du vin. — do azeile, cellier & 
mettre l’huile. 

Apecutıro, 8. @. celui qui garde une cave 
qui a soin du cellier & metire du vin; som- 
melier. 

Antıs, plur. d’Adel.V. 

ADEIADO, A,adj.9.p.d’ 

ADEJAR, v.G. prendre le vol, battre les alles 
pour s’envoler, voltiger. 

+ Aptıo, s. m. batiemont d’ailes, voltige- 
ment : action, effet de ce quivollige. - 

Apzı. V. Adelo. 

Antıa, s. f. fripiere : fomme qui achete et 
vend de vieux habits. 

AnkLrA ou Aneıro. V. Loöadro. 

+ ApgLraL, 3.m. terrain peuplö de lauriers- 
roses. 

ADELCAGCÄDAMENTE, ado. d’une manidre mim 
09, amineie, delide. 

ApsLoacanissıno, A, adj. superl.d’ 

ADELcAGADO, A, adj. p. p. d’Adelgapar, (1. de 
bot.) efüile, aminci. 

ÄDELGAGADOR, A, 8. qui amincit, qui ame- 
nuise. 

ÄDELGACAMENTO, 8. m. amincissement : l’ac- 
on d’amincir, d’amenuiser. 

ADELGACAR, dt. @. amincir, amaigrir, amenul- 


82 ADE 


ser: rendrc plus mince, moins €pais. Attönucr, 
suhtiliser, purifier: rendre plus luide, plus sub- 
til, plus delie, plus penetrant, moins grossier. 
(Ag.) Penser, raisonner avec beaucoup de subti- 
lit6. Analyser, examiner & fond une question. 

ÄDELCACAR-SE, ©. r. s'amincir, maigrir, de- 
venir mince, maigre, efile. (4g.) Se raffiner, 
devenir plus poli, plus fin, se purifler, se ren- 
dose moins pesant, en parlant de l’air. 

Apdıo, s. m. [ripier, revondeur des meu- 
bles, etc.; marchand de vieux habits, qui achete 
et vend dans Ics places ot dans les rues d'une 
ville. (g.) Procureur. 

A'DEM, s. f. "ladorne : oiseau aqualique du 
genre du canard. 

+ Apeman, s.m. *aclion, gesie,air,semblant, 
mine, grimace, signe exteriear par lequel on 
marque quelque aflection intörieuro. Ademdes, 

. Adamanes. 

* AnEuta,s. f. terre entre une monlagne et 
une plaine, bonne ä culliver. 

ADENMZINHA, &.f. dim. d’Adem,, petit Ladorne. 

ADENXOLOGIA,, 8. f. (tl. d’anat.) adenologie: 
th6orie des glandes- 

ADENOSO,, A, adj. V. Glanduloso. 

ADENSAR , eic. V. Condenser. 

Apentino, a, adj. dents, dentels, qui a des 
poinies en forme de denis. 

ÄDENTAR, v. a. denteler : faire des entailles 
en forme de dents, de petits angles. —, 9. ®. 
pousser (les dents). 

ADEntao. V. Deniro (a). 

Ankos, s.m. et ade. (fam.) adieu : facon de 
parler elliptique, cn prenant cong6 les uns des 
autres. V. Deos. plur. Adeoses. Dar —, faire 
ses adieux. 

ADEOSADO, A, adj. p. p.d’ 

ADEOSAR 04 Adzusan. V. Endeosar. 

® A-DE-PARTE, adv. V. A’ partie. 

Av£rro, s. m. adcple : celui qui est inilie 
dans les mystöres d'une secie,, d’une science. 

Apeqracid, s. f. l’action d’adapter. j 

ADEQUÄDAMENTE, adv. avec jusiesse, Conve- 
nablement, 

Apzquino, A, adj. convenable, adapte. 

ADEQUAR, dv. a. adapter, proporlionner. -—36, 
v.r. s’adapter, se conlorımer. 

ADERECiDO, A, adj. p. p. d’Aderezar. 

ADERECAMENTO. V. Aderego. 

ÄDERECGAR, dv. G. arranger, OFNET, Parer, eIn- 
bellir. Adresser, diriger. V. Enderegar. 

® Anznfco,, 3. m. arrangement, ornement, 
parure,, embeillissoment. — de mulher, orne- 
ment de femme. — de cavallo , harnais de che- 
val.— de casa, mobilier. — de mesa, service 
de table. — de diamantes, de perolas, otc., 
assortiment, garniture de diamants, de per- 
les, etc. — de espada, etc., la poignee et la 
garde d’une &p6e, etc. — de navio, agr&s. 

Apzaenca. V. Adherencia. 

® ÄDERENCADO , ADERENGAR. V. Diligenciar. 

ÄDENENGaR-sE ‚vo. r. aller A, se diriger ; s’a- 

r 


ADH 


ÄADERENCIA,, ADERENTE. V. Adhorencia, eic. 

* Anvencan. V. Aceriar. 

Aderın. V. Adkerir. 

ADERNÄDO, A, adj. p.9.d’ 

ADERNAR, v. on. (4.de mar.) s’abaltse; pen- 
cher de cöts, en parlant d’un bätiment, d’un 
navire. j 

t An£ano, s. m. (t. de boi.) alaterne : espece 
de nerprun. — bastardo : flaria eu phylaria: 
plante jasminde. 

ADESTRÄDAMENTE , adv. adrollement : avec 
adresse, finesse, 

ÄDESTRÄDO, A, adj. pP. p. d’Adestrar. 

ÄADESTRADOR, A, 8. conduoteur, guide : celui 
qui dresse, qui instruit, instrucieur. 

ÄDESTRAMENTO, 3. m. l’aclion de Conduire, 
de guider, de dresser, eic. 

ADESTRAR, v. a. mener un cheval en main, 
le conduire, guider. Enseigner , instruire,, 
former, faconner, dresser. — um cavallo, 
dompter, dresser un cheval. — os falcöes, ap- 
privoiser, dresser, gouverner les [aucons. 

ÄADESTRAR-SE, ©. T. S’sxercer, s’instruire, 86 
former. 

* Apzsta0. V. Adexira. 

Angvinua ow Apıvınna, 8. f. devineresse: 
femme qui se donne pour predire les choses 
futures et ddcouvrir les choses cachdes. 

Apgviınuaciö, s. f. divination : l’aclion de 
deviner, l’art de deviner, de predire. Enigme. 

ADSVINBÄDO, A, adj. p. p. d’Adevinkar. 

ADEYINHADOR, A. V. Adevinko, a. 

ÄDEYINHAR 0% ADIYINHAR „ ©. a. deviner: 
predire les choses ä venir. —: dire, Juger, as- 
surer par voie de conjeclure.—: trouver le sens 
cachö d’une chose,comme le motd’uneenigme, 
d’an logogripbe, etc. (fig.) Pronostiquer ; pres- 
sentir, avoir du pressenliment. — 08 pensa- 
menlos aalguem , prevenir, deviner par avance 
la pensee de quelqu’un. —0o ido, deviner 
apres coup. Adevinkhasie, vous avez devine, 
vous avez mis le doigt dessus. C'est cela. O Ao- 
mem prudente adivinha o que deve » 
’homme prudent pronostiquo les erenements. 
Eu jd adivinharva esia desgrapa, j'avais un 
pressentimentdece malheur. Fallar «—, parior 
A lort et & travers. 

Apgvinno,A, s. devin : celai qui predit ou 
qui se donne pour predire tes choses fulurcs 
et decouvrir les choses cachees. —: celui qui 
assure, qui Juge par conjecture co qui doit ar- 
river. Devineur. 

ÄDEXTRADO , Anzxrrur. V. Adesirar, eic. 

Apcenzaachd, a. f. pP. us. deuxidme göns- 
ration. 

ADGENERADO, A, P. p. d’. 

ÄADCERERAR, dv. a. faire crolire. 

Anozascid. V. Adgeneragdo. 

ADHERENCIA, 5. f. adherence : lien , con- 
nexion, union d’une chose & une aulre; pa- 
renuis, * Credit, favcur, protection. 

ADuER&xTE, odj. eis. 2 gen. p. a. Ö’Adie 
rir. Adberent, parent, allie. ami, proche, 


De 


ADI 


stsche &. (Ag.) Accessoire. Il est Ir&s-sourent 
pis sabstantivement. Adherentes, plur. garni- 
tare, fourniture, et tout ce qui est n&cessaire 
poar le complement d’une chose. \V. Ingre- 


ABuerin, 9. m. adherer : ötre attache A quel- 
que chose, contre quelque chose ; @ire du sen- 
üment ou du parti de quelqu’an, s’attacher & 
en i 

Apuzsäö, s. f. adhesion, attachement, adhe- 
rence : Taction d’adherer, etc., union, jonc- 
den entre deux corps. 

Asmorran. V. Exhorlar. 

AuıiDo, a, adj. ajournd; fixe. p. p. d’Adiar. 

f Astra, s.f. (fam.) pourboire. il. * Repas 
que l’on donne aux ouvriers quand ils finissent 
quelque ouvrage. — da ceifa, la passte d’aoüt. 

tApıamantivo,a,adj. qui a la durets ou 
“ute autre qualite du diamant. 

fADramenTo, s.m.* fixation de jour; ajour- 
zenent. 

ÄDIANTÄDANENTE, ADIANTADO, adv. d’a- 
vance, par anticipation. 

+ ApıanTino, s. m. Cetait anciennement le 
geuverneur civil etmilitaire d’une proviuce. 

ABIANTÄDO , A, adj. p. p. d’Adiantar , avance; 

‚paye avant le temps ordinaire. Hardi;, 
imprudent, petulant, effronte, impudent, in- 
solent ‚sans reienue. Pagar—, payer d’avance, 
asliciper le paiement. Estiar miilo — n’uma 
ssieneis , etc. , aller bien loin dans une science, 
eic. 

tADIANTADOR, A, 5. celul qui avance, qui 
salicipe,, eic. 

ABIANTAMENTO, 3. m. avancement, progr&s, 
anticipation : l'aclion d’avancer, d’anticiper. 
{}g.) Aceroissement, amelioration, progres, 
perfeetion. 

Aptastan, 9. @. avancer, anticiper, acceld- 


rer, bäter : pousser en avant, porter en avant. 


— , payer par avance. Devancer : gagner le de- 
vant. (fg.) Ameliorer, augmenter. Perfection- 
ner, inventer, raffner, faire des decouvertes, 
faire des progres. Mettre en avant, devancer, 
surpasser. — alguem nas as, digmidades, 
eie., avancer, augmenter quelqu’un; le faire 
entrer dans les charges, les ini procurer, l’ele- 
ver & la dignite. — 0 passo, cami , häter, 
Goubler le pas, marcher vite, aller en avant, se 
käter. — terre ou lerreno, gagner pays. 
ÄADIANTAR-SE, ©. r. s’avancer en marchant, 
marcher en avant; passer outre, aller au delä. 
Surpasser, faire des progres. —, dire, ou faire 
eo chose au delä de ce que l’on doit, de 
Farbe erdres, plus qu’on n’a ordre de dire, de 


Apıixte, adv. avant, devant, en avant, plus 
lsin. Apees , par la suite, Al’avenir, desormais. 
Em dianie, para adianle, desormais, ä l’ave- 
hir. De hoje em diante, dorenavant. Hais —, 
avant, en avant. Levar — uma cousa, pousser 
une chose jusqu’au bout. Passar mais—, pas- 
ser outre, avancer. Mandar alguem —, se faire 
prdotder de quelqu’un. 

17 57 Su 


ADJ 33 

ADIANTES. V. Adiante. 

Avdıknto, s. m. (t. de bol.) adiante : plante 
eapillaire, pectorale, sur les feuilles de la- 
quelle !’humidil& ne se fixe jamais. V. Avenes. 

+ Apıiruono ,s. m. (1. de l’ancienne chim.) 
adiaphore : esprit de tartre. 

Apıiruono, A, adj. adiaphoriste; indifi6- 
zent. 

ADIAR, v. a. fixer le jour; ajourner. 

+ Anise ou AnıBO, s. m. Chacal : animal car- 
nivore qui tient le milieu entre le chien et le 
loup, en Afrique. 

+Avıciö, s. f. (1. de praf.) adilion : accop- 
tation d’un heritage. 

" AvıccÄo, s. f. V. Diepdo. 

*Avıckiro, 8... ou adj. qui explolte les 
mines. 

Adıfra. V. Diele. 

ADIETADO, p. 2. d’ 

ADIETAR,, 0. a. meltre & la didte, prcscrire um 
certain regime. 

ADIETAR-SE, ©. r. faire diete. 

ADINHRIRADO. V. Endinheirado. 

ADINRO, 8. m. dim. d’Adem. V. ce mot. 

A'nıre. V. Gordura. 

Apıpöso, A, adj. (£. d’anel.) adipeuz. Il se 
dit de cerlains vaisseaux et de certaines meın- 
branes qui se distribuent dans la graisse. 

+ Adıspia, s. f. (1. de med.) adipsee ou adip- 
sie : inappetence des liquides. 

Apıque. V. Dique. 

ApıR, v. a. (l. de prat.) Il n’est usile que dans 
ceite phrase : Adir a heranga, admettre l’heri- 
tage, le recevoir. 

ADITADO, 9. pP. d’ 

ADITAR, v. a. rendre heureux. 

A’pıro ,s. m. V. Enitradae. 

*+ AbıvaL,s. m. corde: mesure agraire de 
douze brasses. 

Apıyınua, ADIYINHAR, elc. V. Adevinkar. 

ADsackncıa, 3. f. contiguile, proximite , voi- 
sinage de plusieurs choses. 

ADJACcENTE, adj. 2 gen. adjacent, contigu, 
proche, situ& aupr&s, aux environs. 

Adssccäö,s, f. adjection : jonction d’un corps 
&a un auire ; addilion ‚accroissement, 

+ Andsecrivacäö, s. f. (I. de gram.) l’acliom 
de faire aocorder l’adjeclif avec le substantif. 

ÄDJECTIVADO, P. p. d’Adjeclivar. 

ÄADJIECTIVAMENTE, ade. adjectivement : en 
maniere d’adjectif. 

AÄNIECTIVAR, v. a. (f. de gram.) faire accor- 
der Padjectif avec lesubstantif. 

ADJECTIVAR-SE, €. r. s’accorder, se confor- 
mer, s’associer. 

Adsecrıvo,s. et adj. (t.de gram.) adjectif: 
nom que l’on joint aux substantifs poyr les 
modilier ou les caractcriser. 

ADJECTO ‚A, adj. joint, proche; uni; allie. 

ApsupA, Anıupan. V. Ajuda, otc. 

Ansuvicagäö,s. f. adjudication : acte de jus- 
tice par lequel on adjuge, de vive voix ou par 
ecrit, une chose mise en vente. 

ApstpicAno, A, P- pP. d’Adjudicar. 





8% ADM 
} Anstoicandör, 3. ws. adjudicateur : celui 
qui adjuge. 


ÄADJTDICAR , ©, 8. adjuger : attribuer, dölivrer 
Aquelqu’un par autoritö de Justice un bien- 
meuhle ou immewuble qui se vend A l'enchöre. 

adfudica algume 


Pessoa a quem se cousa, ad- 
judicetaire. 

ADIUDICAR-SE , ©. r. s’adjuger, s’altribuer, 
s’approprier quelque chose, 


Ansnicaränta, a, f.y Adudieataire : & qui 
ADJODIcATÄRIO, 6. m, ron aäjose, A qui Yon 
+ Ansupscarivo,a, adj. adjudicaif : qui ad- 


uge. 
tApsupıcarönıo, A, adj. (f. de praf.) qui 
enluge ı l'acte par lequel en adjuge quelgque 


* Adsupoıao, V. Adjutorio. 

f Ansuncciö, s. f. (t. de praf.) adjonction : 
jenction de juges, decommissaires, & un autre 
pour Faider en quelque affaire. 

ADIUNTADO, Apıunran. V. Ajunfar, etc. 

+} ADIönTo, e. m. adjoint : personne choisie 
pour assister aux Fepports, et pour aider les 
juges par ses observations. 

ADJUNTO Oo ADJUNCTO , A, adj. ci-joint s joint 
&uneautre chose, qui aocompagne"une autre 
chose. A carla adjunfa, la letire ci-jointe. 

Apsunacid, s. f. adjuration. V. Impreoakion. 

Anıuripo, 4, p. p. d’Adjurer. 

ÄDIURANTE, adj. 2 gen. (t. de Ikdel.) adju- 
ran 

ÄADIURAR, ©. a. conjurer : peler instamment. 

ADıuTtör, s. m. coadjuteur : oollaberateur. 

ADIUTÖRIO, 8.m. "aide, Becours. 

ADMINIıCOLÄDO, A, 9, p. d’Adminiculer. 

ÄADNINICOULÄNTE, adj. 2 gen. P. us. qui Bou- 
dient par des adminicules,. 

} AnsiınıcuLaa, o. a. aider, soutenir par des 
adminicules. ll est peu usils hors da barreeu. 
In TDMINICOLAR „ adj. 2 gem. V. Adminic- 

te. 


ApsımfcuLo, s. m. adminicule : secours, aide, 
appui, assistance,, soutien : tout ce qui sert ä 
feire r&ussir dans une affaire, ä faciliter une 
chose, et particulierement & faire preuve dans 
une affaire civile ou criminelle. 

Anınkıstaaciö, s. f. administration. Il a 
toutes les acceptions du mot francais. 

ADNTINISTRÄDO , A, P. P. d’Administrar. 

ÄADMINISTRADOR, A, s. administrateur. 11 a 
toutes les acceptions du mot francais. 

ADMINISTRÄNTE, adj. 2 gen. celui qui admi- 
nistre. p. a. d’ 

ÄDNINISTRAR, ©. a, sdministrer. Il a toutes 
les acceptions du mot frangais.— mal, mal- 
verser. 

ADNInISTaarlVo, A, adj. administratif: de 
celui qui administre : charge de l’administra- 
tion. 

TADNIRISTRaATORIO, A, adj. qui appartient ä 
Padministration ou & l’administrateur. V. Ad- 
minisiralivo. 


ADM 


AUMIRABILIDÄDE ‚ 5. f. qualit& admirabic. p. 
ws. 

ApmırasiLissıuo, A ‚adj. superl. Irös-adımi- 
rabie. 

Apsıracä0, s. f. admiration, eionnemen!, 
surprise : le senliment de celui qui admire. 
Ponto @— (1) point admiralif : signe de pono- 
taation qui margue ladmiration. Faser —, 
olkar com —, avoir de l’admiration pour. 2’ 
ums—, c’est une merveille, c’sst une chose 
dtonnante. 

Apwıminpo,A,Pp. p. d’Admirer. adj. dtenne, 
frappe d’&tonnement, d’sdmiration. Ester ad - 
mirado do que um homem diz ou fax, (fam.) 
&tre &tonne, surpris, scandaliss de cs qu’un 
homme dit ou fait. 

ADMIRADOR, A, 5. admirateur : oelui qui ad- 
mire ou qui a l’habitude de s’admirer. 

Apuıninno, A, adj. (4. podt.) digne d’etre 
sdmird : admirable. 

ADMıRÄNTE, p.a.d’Admirar, adj. et s. admi- 
rateur, celui qui admire. 

ADMIRAR, dv. a. admirer : considerer avec 
surprise , avec dtonnement, ce qui paralt mer- 
veilleuz. Etonner, &merveiller ı donner de 
l'admiration. . 

ÄDEIRAR-SE, ©. r. s’adınirer, s’6tonner. Bo 
faire admirer de quelqu’un. 

} ADBIRATIVAMENTE, adv. avec sdmirallon : 
admirablement. 

ADMIRATIVO, A, adj. admiratil ı qui exoite, 
qui cause de Yadmiration. Etonn&, emerveille. 

Anuıniver, adj.2gen. admirabie, diennent, 
merveilleux, surprenant : qui atlire l’admire- 
don, l’&tionnement, etc. 

ADMIRAYELISSIMO,, A. V. Admirabilissime. 

ADMIRAYSLMKENTE , adv. admirablement, mer- 
veilleusement, &tonuamment, d’une maniere 
surprenant®, &ionnanie, & merveille. 

Anuıssäö, s.f. admission, röoeption, enir6e: 
l’action par laquelle on est admis. 

ApuissiveL, adj. 2 gem. admissible, reoo- 
vabie , valabie : qui peut #ire admis. 

ADBNITTIDO, A, 9. p.d’ 

ADNITTIR,, u. «@. adımelire , accepler, TEOBYOIT, 
agreer, approuver, permeltre, soullrir. — @ 
kore prätioa, (1. de comm.) admetise & libre 
pratique. 

ADMIXTO, A ,ady. möle. 

ADMOESTACAÖ,, s. f. admonition : l’aotien 
d’admonster. * Avis, averlissement , Temen- 
trance, reprimande. 

ADMOESTADISSIMO, A, P. 8. adj. supert. 

ADNMOESTÄDO, A, P. p. d’Admosster. 

ADMORSTADOR, A, adj. qui admoneste. 4. Atl- 
moniteur :celui qui avertit, quiadmoneste, qui 
rsprimande,. 

* ADUOESTAMENTO ‚ s.m. V. Adımoesiapie. 

ADNORSTAR,, dv. a. admonester, averlir, faire 
une remontrance & Quelqu’un ; röprimander. 

Apuonıtor. V. Admoestador. 

ADMONITÖRIO , A, adj. qui avertil, s. “"Admo- 
nilion. 


ADO 


isaiTäa, 8. f[.(f. denat.) conjonclive : mem- 
krane qui forme le blanc de Fsil. 
ApnoracäoO, ApnorTano ei Anxoran. V, Am 


Anoscke. V. Doapio. 
*Apösı,s.f.* fers qu’on met aux pieds des 
criminels. 


Antsg , #. m.” brique croe. 
Asocscin0, A, adj. douceätre, p. 9. d’ 
ABoGCAR, 9. 6. sucrer lögörement. 
ABOCTRINABO Doutrinado 


ADocin0, A,P. p. d’Adopar. . 

ADOGAMEnTO,, s. m. adoucissement : l’action 
d’adoucir. (Ag.) Soulagement, diminution de 
peine, de douleur, des maux, des malheurs. 

‚, adj. 2 gen. adoucissant, qui 

adoscht. (Ag.) Qui mitige, qui soulage. 

ADOGAR, 9. 6. sucrer, adoucir, rendre doux, 
meins aigre, moins äcre ou Inoins amer. (fig.) 
Adoscir, moderer, calmer, apaiser, rendre 
moins lächeux et plassupportable. (1. de peint.) 
Adoucir, affaiblir les teintes d’un tableau. 

ADOGAR-SE, v. r. sadoucir, devenir .doux, 
meins &cre, moins rude, Moins amer, 6tc. 
($4.) Se moderer, se temptrer, s’apaiser. 

Auoscke, 0. ». tomber malade, etre malade, 
indispose „ incommode, (g.) Eire en butte ä 
queigue passion. — d’amor, languir d’amour. 

Aposcipo, 9. p. d’Adoecer. Tinka — muila 
gende, beaucoup de monde £tait tomb6 ma- 


ABOECIMENTO, s.m. l’action de tomber ma- 
iade. 


f ABoenTADno, A, adj. souffrant, mal portant, 
Ester —, &tre mal ü son aise. p.p.d’ 

f Anorstar, 0.0. p. us. rendre malade, in- 

er. 

Anossrapo, ADORSTAR. V. Doesiar, etc. 

ApoLzsckncıa, 8. f. adolescence : le premier 
äge apres lenlance. 

ADOLFEScHuTE, adj. 2 gen. adolescent: qui 
est dans l’sdolescence. . 

AnOLESChuTULA, 8. f. dim. trös-jeune. p. us. 

ADOLESCHR, v.n. V. Croscer. 

+ Avörıa, s. f. (£. de bot.) adolia : plante du 
Malabar. 


Abonxıı, s.m. C'est parmi les Höhreux un des 
noms de Dieu, qui siguiße proprement Sei- 


gaeur. 

Apospe. V. Onde. 

ABönıCco , adj. m. (. de poes.) adonien. On le 
dit d’une sorte de vers consacres aux [dies d’A- 
donis , autrement vers saphiques. 

Asösıo , 5. m. vers adonien ou adonique. 

Asönıs, s.m. (f. de mıylh.) Adonis : jeune 
bemme joli, beau, bien fait. Feito um — , ado- 
zise. On le dit ironiquement d’un homme qui 
se pare aveo affeciation. 

T Anösıs, s.m. (8. de bof.) adonis : plante ro- 
sacte. 8. (4. d’hist. nat.) —, papillon du genre 
derb 


. ADOORARO, a, adj. plein de douleurs , ma- 


N ADO 83. 


Anorcid,s. f. adoption : Yactiom d’adepter. 

ADOPERADO, 9.9. d’ 

ÄDOPERAR, v. a. melire on @uvre, Opörer 
employer, pr&parer. 

Avorraciö,s, f. V. Adopedo. 

Aborrino, A,Pp.p. d’Adoptar. 

ADOPTADOR > A, #. celai qui adopte. 

ADOPTÄNTE, adj. 2 gen. qui adopte. p. 6. d’ 

Aportar, v. a. adopter, afflier ı choisir 
quelqu’un pour son enlant. (Ag.) —: consid6- 
zer, regarder comme sien; suivre, ombrasser 
ene opinion , l’approuYer. 

t AnopriveL, adj. 2 gen. adoptable : qui 
peut s’adopter. 

Anoprivo, A, adj. adoptif : qui est adopie. 

Apozaciö,s. f. adoration : l’action par la- 
quelle on adore. 

ADORADISSIMO , adj. superl. d’ 

ADOrRÄDO,A,P.P. d’Adorar. 

* ADORADÖIRO, A, adj. qui merite d’&tre adors,. 

ApdonADÖR, A, 3. adorateur: celui qui adore. 

* ADORAMENTO,. V. Adorapdo. 

Aporixpo, A, adj. digne d’adoration. 

ÄADORÄNTE, adj. 2 gen. p.e. d’Adorer, ado- 
rant: qui adore. 

ADORAR, v.a. adorer : rendre & Dieu le culte 
qui lui est dd. ($g.)—: aimer avec une grande 
passion. 

t ADORATÖRIO, 3. m. nom quo les Espagnols 
de l’Amörique donnaient aux tempies des 
idoles. 

AporivEL, adj.2 gen. adorable: digne d’etre 
adore. 

ÄDORAVELMENTE , adv. avec adoration. 

ÄBORMECEDÖR, A, 8. assoupissant, qui Sait 
dormir. 

ÄADORNECER, ©. a. Ondormir, assoupir : faire 
dormir. (fg.)— : apaiser, adoucir, 6tourdir, 
distraire. v. a. Dormir. 

ÄDORMECER-SR , v. r. s’endormir, s’assoupir, 
commencer & dormir. S’engourdir, devemir 
comme perclus, on parlant d’une partie du 
Corps qui rests PFesque Sans mouvement ot 
sans senliment. (flg.)— : croupir dans la vo- 
luptö, les vices, etc. On l’emploie aussi quel- 
quefois neutralement. 0 mer ‚lamer 
s’endort. 

ADORMECIDO, A,P.p. d’Adormeeer. 

ADORMECIMENTO , 8. m. assoupissement , oR- 
gourdissement. (g.) * Inactivits, negligenee, 
insensibililö, assoupissement de Pesprit, i4- 
thargie de l’ame. 

ÄDORMENTADOR, A, 3. endormeur : qui fait 
dormir, soporifere. (fig.) —: enjoueur, flateur, 
enjoleur. 

ÄDORMENTAR. V. Adormecer. 

* ADORMIDO, ADORMIR, eie. V. Adormecer. 

ADORNÄDAMENTE, adv. eldgamment. 

ADURNADISSINO, A, adj. superi. d’ 

ÄADORNADO, 9. P. d’Adorner, adj. oru&, pare. 

F ADORNADÖR, A, s. celui qui orne, qui par&ı 
qui embellit, etc. 

ÄADORNAMENTO. V. Adorno. 





36 ADS 


+ AnORNnänTE, adj. 2 gen. ornant, parant, 
embellissant, etc. p. a. d’ 

ADORNAR, ©. 6. orner, parer, embellir, d&co- 
rer, enrichir, ajuster, faconner , enjoliver, ha- 
biller. (fig.) Orner. li se dit des avantages, des 
gräces que l’on recoit du ciel, de la nature. 

ADORNO, 3.m. * parure, embellissement, or- 
nement, ajusternent, decoration, enjolivement, 
agencement, agr&ment, broderie, alour. 

Apörtan. V. Adoplar. 

Avouväino, A, adj. ecervele, dtourdi ; incon- 
sidere, imprudent. 

* Anovvan. V. Endoudecer. 

* Anourar. V. Adoplar. 

" Anöva,s.f." salon d’uneprison, d’uncachot, 

ADQUIRENXTE, p. a. d’Adquirir. s. Acquereur: 
celui qui acquiert. 

Aparırıgäd. V. Acquisipdo. 

Apgtirıno, A, p. p. d’Adquirir. 

Apquiaınör, A, adj. et s. acquereur : celui 
qui acquiert. 

ADQLIRIR, v. a. acquerir, gagner, acqueter: 
faire Pacquisition de quelque chose. (fig.) Con- 
tracier, gagner une maladie, une habitude 
bonne ou mauvaise. 

ApgtikiveL, adj. 2 gen. qu’on peut acquerfir. 

Apgtısıgko. V. Acqguisipdo. 

ADRAGÄNTO O4 ADRACANTEO, 5. m. adragant: 
gomme de la barbe-de-renard de Crete, medi- 
cinsie. «f. La plante, l’arbre qui la produit. V. 
Drago. 

Anpraco. V. Drago. 

* AnREDE, adv. A dessein, expres; droite- 
ment, 

Ad reui,ade. (locuf. lal.) a propos, convena- 
blement; categoriquement. 

AprıäTtıco,, adj. et s. Adriatigue. On le dit de 
la mer et du golfe de Venise. 

Aprıca. V. Driga. 

A’DRO, s.m. parvis d’eglise. Espace autour du 
tabernacle des juifs. 

Aprocaciö, s. f. adrogalion : espäce d’adop- 
tion qui se praliquait dans l’ancienne Rome & 
l’6gard d’une personnc libre. 

+ Ansckıpricıo, A, adj. admis, regu. 

+ ADsckıPTo, A, adj. admis au nombre, in- 
scrit, regu. . 

ADSTIPULADO,A,P. p. d’ 

ApstıruLar. V. Estipular. 

Apstaiccäö, s. f. adstriction ; (4. de med.) 
resserrement d’estomac. 

+ ADstrıcrivo, A,.adj. (1.de med.) astrin- 
gent : qui resserre, qui a la propriete de res- 
sorrer. 

ADSTRICTO, A, 9. p. d’Adstringir, adj. force, 
oblige, astreint. 

ABstnıncEncıa, s. f. (tl. demed.) astriclion: 
propriet# astringente ; effel d’un astringent. 

ADSTRINGENTE, p. a. d’Adstringir, qui com- 
prime, qui resserre. (tl. de med.) Asiringent: 
qui resserre. Il est quelquefois substantif. 

ADSTRIXCIDO, A,P.p.d’ 

ADSTRINGIR,, ©. a, (8. de med.) resserrer, ser- 
rer, comprimer. 


° ADU 


ADSTRINGIR-SE, ©. T. SO FesserTer, 86 COM 
primer, 

Apstaıxctrivo, A. V. Adstringenfe. 

"Apri ou ATi. V. All. 

° And, adv. oü. 

+ Anta, s. f. ant.* troupeau de groß betail 
appartenant & difierents particuliers, qu'un 
homme pay& par la communauls möne paltre. 
* Paturagecommun pour lesbestiauxd’uneville, 
vaine pätare. "Service fait par les bestiaux des 
parliculiers dans lestravaux publics. La meute 
de chiens pour la chasse. Distribution, partage 
des eaux d’irrigation parmi les voisins. 

Anuina. V. Alfandege. 

ÄDUANADO, A,P. pP. 4’ 

ApDvanar,o. a, douaner. V. Alfandegar. 

ADUANEIRO ‚3. m. douanier : commis pr&pos® 
pour visiter lesmarchandises dans ladouane, et 
pourrecevoirlesdroitsqu’il faut qu'elles paient. 

Apvan, s. m. * horde : sociel# ou peuplade 
d’Arabes. 

+ Apuan, v. a. (4. anl. des provinces du nord 
du Portugal) faire la division, le partage des 
eaux d’irrigation,, pour arroser les terrains 
voisins. , 

ApuBino, A,p. p. d’Adubar. 

ADUBADOR, A, 8. assaisonnenr : qui &s8äl- 
sonne les viandes ‚etc. 

ADtsaR , v.a. assalsonner : accommoder, &0- 
compagner d’ingrödients les meis pour les 
rendre agreables au goüt. —as terras. V. Es- 
irumar. 

Apustäno,p.p.d’ 

+ Anustar, o. a. ant. raccommoder, faire des 
reparations dans les chemins, ponis, maisons, 
vaisseaux, eic. it. Cultiver les champs, les vi- 
gnes;; en recueillir les fruits. 

Aptsio, s. m. radoub : reparation faite au 
corps d’un vaisseau , & un pont, un chemin. st. 
*Culture des champs, des vignes. 

Antso, s. m. assaisonnement. Adubos, plur. 
ingredients, toutes sortes d’€pices qui servent 
ä assaisonner les viandes et les rendre plus 
agreables au goßt. (Ag.) —, ce quirend agrea- 
ble, qui rel&ve (le discours, les actions). As 
boas palavras como 0 — da conversapäo, 
les hons mots sont comme l’assaisonnement de 
la conversation. 

* Anugoıno. V. Adubio. 

ADUCHADO, A, p. p. d’ 

ADUCHAR, ?. @. (L. de mar.) lover un cäble. 

AnUcHAS, 8. f. plur. (t. de mar.) ‘ plis d’un 
cäble roue. 

ADUci00, 4,9.p.d’ 

Anccın,, v. a.( t. de metal.) amollir : rendre 
mou, maniable; affaiblir, adoucir. 

* Anino. V. Addido. 

Anukıro ,s.m. herger qui garde le gros be&- 
tail d’un village. it. Celui qui fait le partage 
des eaux publiques pour arroser les terrains. 

ApDvELLa, 3. f. douve, douelle:: planche de 
tonneau. — de baloque , douve de bondon. 
Faltalke uma —, ou lem uma— de menos, 
(fam.)ilmanquc un clou & son casque. Aduellas 





ADu 


principaes, maltresses piöces. — spara loneis, 
bois 3 quatre pieds. 

Anöra, s. f.digue, ecluse ; bAlardeau, bonde; 
aavent; abatiant. 

ABUFÄDA „adj. f. Janella —, croisee garnie 
d’un auvent. 

Andre, s. m. espece de sistre. V. Pandeiro. 

Aprrtıno, 3. m. celui qui fail des sistres; 
jeueer de sisire. 

* Anccen. V. Aduszir. 

AbuLaciö,s. f. adulation,, cajolerie, encens, 
Bagornerie, flatterie läche et hasse. 

AbvLio0, A, p. p. d’Adular. 

Apcrıapör, A, s. adulaleur, cajoleur, Dagor- 
neur, encenseur, flatteur; celui qui .prodigue 
des louanges & une personne qui ne les merile 


pas. 

ABCLANTE , adj. 2 gen. V. Adulador, p. a. d’ 

ADCLAR, €. a. aduler, encenser, flagorner, 
eajoler, flatter bassement. 

ÄADCLATÖORIAMENTE ,„ ade. avec adulation; 
Aatteusement. 

ÄAÄBULATÖRIO 0% ADOLATIVO, A, adj. adulatif : 
Balteur, qui adule, qui flatte. 

* ADCLÖSAMENTE , adv. avec ou par flatlerie. 

Asrıren. V. Adultero. 

Apcıreraciö, 3. f. adulieration, Talsiflca- 
tion, sophistiquerie , frelaterie : l’aclion de 
gäter, de depraver et de falsifier ce qui est pur. 

ÄBULTERÄDAMENTE, adv. V. Corruplamente. 

ABULTERADO, A, 9. p. d’Adulterar. 

ÄDULTERADÖR, A, 5. celui qui adultere, al- 
tere, falsifie; sophistiqueur, falsificateur. 

+ ADULTERAMENTE, adv. avec adultere. 

ÄDELTERÄNTE, p. a. d’Adullerar, adj. et s. 
sdultere : celui qui commet un adultere. Qui 
adultere, qui falsile. 

ÄDULTERAR,, ©. a. adulierer : commeltre un 
aduliere; (Ag.) falsifier, sophisliquer, corrom- 
pre, [relater.— ve. n. Commettre adultöre. 11 se 
ditde P’homme et de la femme. 

ÄDCLTERAR-SE, v. r. &ire corrompu par adul- 
tere. (fig.) Se corrompre, s’allcrer, se [alsifier. 

f ADULTERINANENTE, adv. avec aduliere. 

ADULTERINO, A, adj. adulterin : qui est n& 
de Fadultere. (Ag.) Adultere, falsilie, [relate, 
sophistique. 

ABCLTERIO, 3. m. adultere : violation de la 
foi conjugale. 

ADULTERO,A,s. et adj. aduliere : qui viole 
la foi eonjugale. (fig.) Faux, falsiie. Declarar 
judieialmente adullera uma 'mulher, authenti- 
quer une femme. 

+ ApcLrTEa0so, A, adj. qui tient & Yadul- 
wre qui en partlicipe. 

Apdıto, A, adj. adulle : qui est parvenu & 
Padolescence, ä l’äge de raison. 

+ Ancnszar, v. a. meitse & l’ombre; tracer; 
erayonner. 

+ Apcunaacäö, 8. f. (. de peint.) ombre: 
eouleur obscure dans ui? lableau. Premiers 
Lails. 

ÄAÄDUKELRAR, U. G. P. 48. imiler. 


ADV -97 


ApunAn0,A,Pp. p. d’Adunar. adj. (1. de bot.) 
Conne. 

ADUNAR,v.a. 9. us. unir, röunir, joindre, 
rassembler. 

AnUnco, A,adj. crochu, recourbe; croche ; 
toriu. 

* Aptnıa, adv. abondamment, en abondance; 
de loutes paris. C’est un mot arabe. 

* ADUR,, ade. avec peine, difficilement, 

ADURENTE, adj. 2 gen. adurent, brülant; 
eaustique. 

*Apuro. V. Adur. 

* Anüssıa , 5. f. grande nef. 

Anustäd, s. f. adustion : Y’aclion de brüler. 
— ,etatdece qui est brüle; brülure. 

+ ADUSTIVEL, adj. 2 gen. ce qui peut dire 
brüle, combastible. 

ADUSTIYO, A,adj. qui a la veriu de brüier ; 
adurent, combustible. 

Apisto, A, adj. brüle, aride, en parlant des 
pays tr&s-exposes aux ardeurs du soleil. (1. de 
m£d.) Aduste : qui est brüle. ll ne se dit guere 
que des humeurs du corps humain. 

* Anuzer. V. Aduzir. . 

Aptzıvo , Anuzıa. V. Adduzir. 

A’DVENA, 3. m. Elranger. 9. us. 

ie ADvERDıGO e ADVENEDICO. V. Adrenticio. 

ADVENIDA. V. Avenida. 

ÄADYENTICIAMENTER , adv. (f.de prat.) par do- 
nation de personnes etrangeres ; accessoire- 
ment. 

ADVENTICIO, A,adj. (1. de prat.) adventice, 
adventif. Il se dit des biens qui arrivent ä quel- 
qu’un, soit par succession collaterale, soit par 
la liberalit6 d’un etranger. 

ApDYENTO, s.m. Avent : les qualre semaınes 
avant No8öl. Ultimo ou o segundo —, le juge- 
ment dernier. 

f Apveapıino, A, (l.degram.) adverbialise: 
pris dans la signißication d’adverbe. 

ADYERBIAL, adj. 2 gen. (1. de gram. ) adver- 
bial : qui tient de l’adverbe, qui appartient & 
P’adverbe. 

f ADVERBIALIDÄDE, 8. f. (f. de gram.) adver- 
bialit6: qualitö d’un mot pris comme adverbe. 

+ ADVERBULMENTE, adv. & la maniere d'un 
adverbe. 

f ADVERBIAR, v. 0. (f. degram.) adverbia- 
liser : faire passer le mot (l’adjectif) &la valeur 
et & l’emploi de l’adverbe en lui donnant la 
desinence adverbiale (mente). 

Anv£rsıo, 3.m. (f.de gram.) adverbe: partie 
indeclinable du discours. 

* ADVENRSAIRO. V. Adversario. 

ADVERSAMENTE,ado. d’une maniere contraire 
adversc ; contradictoirement. 

+ Anversiö, s. f. Opposition, ıımpugnalion ; 
combat contre l’adversaire. V. Arersdo, Ad- 
verlencia. 

+ ADVERSAR, U. a. s’opposer, resisier, Con- 
Lrarier, contredire. 

ADYVERSÄRIO, 8. m. adversaire : celui qui est 
oppose Aun autre ; anlagonisite. Üsadrersarıos, 
zlur., tes cnncmis, les contraires. — ou adver- 


” 


38 AER 


seriss, m&morial, agenda, tablettes, registre, 
r&pertoire,, livret oü !’on prend des notes. 

ÄADVERSanıO, A, adj. V. Adverso. 

ADVERSATIVO, A, adj. adversatif: qui marquo 
Fopposition, la diff&rence. 

* ADvEasıa, 8. f. inspiration diabolique. 

ADYERSIDÄDE,, 8. f. adversit6 : accident fä- 
cheux, malheur, “at malheureux, condition 
ou sitaation malheureuse; mauvaise fortune, 
calamite. 

Anv£nso, A, adj. adverse, contraire, döfa- 
vorable, malheureux, sinistre. 

ADVERTENCIA , 8. f. * averlissement, conseil, 
instraclion,, avis qu’on donne & quelqu’un. Ad- 
monition,, remontrance. Remarque, attention, 
röflexion , observation , prudence. 

* ADYERTENDO. V. Advertencis. 

ÄDVERTIDANENTE ‚ado. aveo attention , A des- 
sein, de propos delibere,, sciemment. 

ADVERTIDISSIMO, A, sup. d’ 

Apvsarino, A, 9. p. d’Adoerfir, adj. avise, 
elairvoyant, circonspect, qui ne fait rien sans 
yavoir bien pense. Mei —, imprudent, incon- 
s . 

° ADVERTINENTO. V. Adverloncia. 

ÄDYERTIR, 9. &. avertir, preövenir, donner 
avis, instruire, 6clairer, informer quelgu’un 
de quelque chose. Conseiller, remontrer. —, 
®. #. feinargquer, 8’aporcevoir. 

ADYRATIR-SE, 9. r. s’aperosveir, se melire 
au fait, noter, remarquer, observer, 56 Fapp®e- 
ler, 56 ressouvenir. 

Apvocaciö,s. f. invocation: titre sous lequel 
un tempie catholique a 6t6 consacre. 

Apvocacia , s. f. prolession d’arocat. 

* ADYOCADO, Apvocar. V. Avoear, eto. 

Anvocarörıo, A, adj. V. Avocalorio, Convo- 
calorio. 

Anvocaröns. V. Pairoeinio, 

Apvocacıa, V. Advocavia. 

Anvocäpa, s. f. protectrioe,, mediatrice. 

ADYoGinO, 8. m. avocat : oelui qui defend en 
justice ; defenseur ; qui interc&de pour un 
autre. Proteoteur, mediateer. 

Anvocin0,4A,2.p.d’ 

Apvocan, v.0, et m. plaider, defendre en 
Justice, de vive voix ou par &crit. ( fig.) (por) 
Interc#der,, varler,, prier, sollieiter pour quel- 
qu’un. 

* Anvocarıı. V. Vigeris. 

* AnvuLTar. V. Avultar. 

f Aur, s. f. (t.de bot.) ady, palmier qui pro- 
duit V’abangu. 

Anrnium, s.f. (£. de med.) adynamie :: fai- 
blesse caus6e par quelque maladie; #tat d’a- 
tonie. 

Aprniusıco,, A, adj. (i.de med.) adynamique. 
Febre adynamica, fitvre adynamique :: pulride, 
qui cause l’adynamie. 

A’orro, s. m. lieu secret; sanctuaire, (g.) 
Secret, chose occulte, cache&e. 

Azıro,. V. Eito (a). 

AEREO, A, adj. adrien : de la nature de Pair, 
qui vit dans l’air, appartiont & l’air. (Ag.) Vain, 


AFA 


fantastique,, chimerique, futile, frivole, denue 
de fondement. it. Qui s’elöve dans Pair. 

} Atnireno, a, adj. atrifere : qui porte, qui 
conduit P’air. 

T Arsırıcacäö, s. f. atrification : l’action de 
convertiren air une substance. 

ALRIFORME, adj. 2 gen. atrilorme : quia les 
proprietes physiques de Yair. 

AEROCRAPHIiA, 8. f. atrographie : deserig- 
tion , theorie de Pair. 

AtaoLııraz ow AfROLITHO, 8. m. atrolilhe: 
pierre tombee du ciel. 

+ AtroLocia, 8. f. atrologie : traitö sur Fair 
ot sur ses difförentes proprietes. 

AEROMANCIiA, 3. f. a6romancie : divination 
par l’air et ses phönomöncs. 

+ AEROMÄNTICO, 3. m. aeromancien : qui Se 
dit initi6 dans l’aeromancie, qui apparilient & 
colie prelendue science. 

A£ROMETRIA, 8. f. atrometrie : art de mesu- 
rer Pair; science, connaissance, Ih6orie de 
Pair, de ses proprietes. 

ARRÖMETRO, 5. m. adromeälre : instrument 
pour mesurer la densite de l’air. 

f AtromÄäura, s. m. ou f. atronaule : navi- 
gateur aerien : qui narvigue dans les a&rostals. 

t A£aonäuTico, A, adj. qui apparlient & la 
navigation acrienne. Arle—a, art de la naviga- 
tion adrienne. 

+ A£RÖPHANO, A, adj. aeropbane : 
parent & Vair. 

+ Agrörn0n0, A, adj. (1. de mid.) aerophobe: 
qui craint Vair. 

Atnoruonia ,s. f. (#. de mdd.) aörophobie : 
crainte de l’air, espece de maladie frenelique. 

t AEROPHÖNIO, 8. m. aerophone : nourel in- 
strument de musique & vent et & clavier. 

+ AtaörHoRo, A, adj. a6rophore : (trachee) 
qui porte !’air dans l’interieur. 

+ Atnosrutra,s. f. (l. d’astr.) a&rosphere : 
atmosphere des planttes, d’eiher ou d’air pur. 

+ Aenostaciö, s. f. Paction de narviguer 
dans Pair, navigation dans un aerostat. 

Atnostitico, A, adj. atrosialique : des 
aerostats, qui a rapport aux a@rosiats (machine, 
ballon, etc.). 

+ Aktnostäto,s. m. adrostat : machine ou 
ballon plein de fluide plus leger que Y’air, et 
qui s’el&ve dans l’atmosphere. 

t Agaosteıno, s. m. aerostier : qui fait ma- 
nauvrer l’a6rostat. 

Azswo. V. Esmo (a) 

f Alsna,s. 1.(6. d’hist. nal.) aesne ou wene, 
nevroptere, libelluline. 

+ Arrıres. V. Etites, pedra d’agwia. 

* AFAACAMENTO. V. Afago. 

* ArıseEL, Arasır. V. Affacel. 

ArADIGADO, A, 9. pP. d’Afadigar. 

AFADICADOR , A, 5. qui faliguo, qui donne de 
la faligue. 

AFADICAR, ©. a. faliguer : donner de la fa- 
ligue, de la peine. (Ag.) Ennuyer, importuner ; 
tourmenler, vexer quelqu’un. 

AFADIGAR-SE, ©. r. se [aliguer, travailier ä 


trans- 





AFA 


ouirance, avec une grande dlligenes. Be konr- 
menter, s’affliger, ne 56 donner aucun repos. 
Arapıcosissıuo , super!. d’ 
Aransc680, A, adj. [atigant,, penible , labo- 
riesx. 


Asacapäıno, A, adj. caressant. V. Afagador. 

Avaci2O, A, 9.9. d’Afager. 

Avacap6ön, A, adj. qui fait des Caresses , ca- 
ressant. 

Ayıcauöuto, s. m. Y’aotion de caresser. 

AvıacaR, 0.6. Carösser : faire des carenses, 
ehtrir queiqu’un, l’attiror par des saresses, 
Fenjeler. V. Aesrieiar. Flatter , mignoter, dor- 
leter. popul. 

Arico, s. m. bon aceuell : caresse, t&moi- 
gnage eritrieur d’affection, de bienveillance, 
d’une amitie tendre qu’on a pour une personne., 
Com efagos,, d’une manidre caressante, pleine 
d’attraits etdecharmes. Fazer afagos a alguem. 
V. Afagar, Acariciar. 

Aracoso. V. Faqueiro, Afagador. 

Avıcuzıro. V. Fagueiro, Lisongeiro. 

Ararsano, Arııman. V. Esfaimar. 

AyaLLiB0,A,P.P.d’ 

ArALLAR, v.s. parler & l’animal pour lo faire 
travailler. 

AFAUÄDANENTE, adv. avec renomme6e, d’une 
manidre c&löbre,, fameuse. 

Arasanpissıno, A, superl. d’ 

Arıwino, A, adj. fameux, cöl&bre, renomms, 
iDustre, recommandable. Fameux : fort eonnu ; 
insigne dans son genre, en bien ou en mal. 9.p. 
d’Afamaer. 

ArauapOn, A, s. quirend fameux. 

ArıNAR, v. 6. renommer, donner de la ro- 
nommee : rendre fameux , cöltbre, en bien ow 
en msl. 

AVAHAR-SE, ©. r. 56 rendre illustre, c&iäbre, 
s’acquerir deals oslebrit#, de la reputation. 

Arin, Ario ow Arino, s. m." sollicitude, 
anzietie, faligue, souei, peine, mal. Ahan: 
travail corporel excossif. 

T ArFANÄDANENTE, adv.avoc inquistade, aves 
un soin penible, avec anxiött. 

AFABABO, A,P. p. d’Afanar. 

tArasanOn,A, s. celui qui se fatigue trop 
dans queique travail, qui se donne trop de 


ArAHAR, 9.0. se donner da mouvement, la- 
‚peiner, se tracasser, se donner beau- 

coup de peine. On le dit au propre et au figurö. 

AFANAR-SE, 9.7.20 faliguer : se donner beau- 
coup de peine, se donner du mal en falsant 
quelque chose ; se tourmenter,, so lasser pour 
Fobtenir. 

AFANCHONADO, A,P. pP. d’ 

T AFANCHONAR-SE, v.r. se donner & la p6- 
derastie. 

Aranöso,&a,adj.penible, faligant, laborieux. 

Avio ow Aram, plur. Afäcs. V. Afan. 

AFASTADO,A,P. pP. A’Afaslar. 

AsastaDor, A, s. celui qui dloigne. 

Arıstas£ıto, 5. m. l’action d’eloigner. it. 





AFE 39 


V. Aparlamento. Eloignement,, distance entre 
deux corps. 

AFASTAR, v. a. Scarter, €loigner; meitre une 
ehose lein d’une autre. — alguem, &loigner 
quelqu’un,, Penvoyer loin. — os kombros ao 
trabalko , ne vouloir pas se donner au travail, 
ne pas s’en charger, fuir le travail. 

ArFASTAR-SE, v. r. s’eloigner, se retirer loin 
d’un lieu , d’ane personne. — do costume ordi- 
nario, delaisser, quitter son aneienne habitade. 
— do parecer d’alguem, rejeter le sentiment de 
quelqu’un, s’en &carter. — mwilo pouco ou 
quasi neda, nem sequer uma unka, s’tloigner 
d’uns chose ie moins du monde, pas meme de 
la largeur d’un ongle. — d’um navio, (1. de 
mar.) delourder, s’&loigner d’an vaisseau. 

AFATIADO,, A, adj. Coup& en tranches. 

ArızEnpipo, A, P.P9.d’Afasender,adj. riche 
en proprietes rurales; bien fourni de mar- 
chandises. 

T ArFAZENDAR-SB, o.r. aequerir des champs, 
domaines, terres, eto., devenir riche. 

AFAZER Ou ÄFFAZER, ©. @. Secoutamer, ha- 
bituer, dresser,en parlant des animaax domes- 

es 


ArAZER-SE, dv. r. 8’accoutumer, s’habituer; 
se conformer. 

® Ayızıntnro, s.m. Paction de s’accoutu- 
mer, etc. ; coutume, babitude. 

Art, adv. certainement, ma fol. 

TArt, s.m.(t. dMst.nat.) als, polypode de 
PInde. 

AFEADO, Argıar. V. Afeiar, etc. 

Arzcio. V. Affecgäo, Affeiräo. 

ArPEIÄDAMENTE, ade. vilainement, desagrda- 
blement;; avec mauvalse mine. 

AFEIADO, A, 9. P. d’Afeiar. 

Arzıandör, A ,s. quienlaidit, qui defigure. 

AFBIANENTO, s. m. enlaidissement : action 
d’enlaidir. (4g.) Denigrement, blame. 

Arsıan, v.a. enlaidir, defigurer,, deformer, 
rendre difforme, deparer, contrefaire, rendre 
laid. (ig.) Biämer, denigrer, reprendre, cen- 
surer, ceitiquer, ternir, flötrir. 

AFEIAR-SE, v. r. enlaidir, devenir laid, se 
defigurer, perdre sa beaute, son lustre, se 
gäter. 

AFEICOADO, A, p. p. d’Afeicoar. 

T ArEICOADOR, A, 3. celui qui donne la fa- 
con, la forme. 

AFEIGOAR, 0.0. fagonner : donner une forme 
quelconque & un Corps. 

* Argıtacko,, AFEITANENTO, V. Enfeile, Or- 
nato. 

ArFEITADO, Argıtan, Arkıız, V. Enfeilar, 
‚Enfeite , etc. 

Argıro,s. m. V. Affecto. 

Aseıto ou AFFEITO, p. p. irr. d’Afarer, et 
adj. accoutume, babitaß. 

* ArßLHAS, adv. popul. par ma foi. 

Artıır ei Ar8ııo.V. Aphelia, etc. 

AFELLEADO,A,9. 9. d’ 

AreLLEAR, vd. a. meler du flel; le fairr hoire 
a quelqu’un ; tremper dans le fol. 











40 AFE 


AFEMEADO OW AFEMINADO. V. Effeminade, 

AFEMINACAÖ ,s. [. mollesse, faiblesse propre 
d’une femme ; l’aclion de rendre, de devenir 
ou d’etre eff&ming : l’etat d’un homine eflemine. 

ÄAFEMINÄDAMENTE , adv. mollement, volup- 
tueusement, d’une maniere efl&minee. 

AFEMINÄDO, A, p. p. d’Afominar, adj. ellö- 
mine, mou, voluptueux, amolli par les plai- 
sirs : qui tient de la faiblesse de la femme. On 
le dit au propre et au Ügure. 

AFENMINAMENTO. V. Afeminagdo. 

AFEMINAR, v. a. efl&miner : rendre faible 
comme l’est ordinairement une femme, On le 
dit au propre ei au figure. 

* AFERES, 3. m. plur. affaires. 

ÄFRRESE. V. Apherese. 

ArFERIADO. V. Feriado. 

AFERIGÄÖO , 5. f. " etalonnement des poids et 
mesures : l’aclion d’etalonner. 

AFERIDO, A, P. p. d’Aferir. 

AFERIDÖR, 5. m. &lalouneur : oflicier qui dta- 
lonne les poids et les mesures. 

*f AFERIDÖR,, s. m. 6talon : mod&le des poids 
ei mesures lix& par la loi. V. Padräo. 

AFERMENTADO, AFERMENTAR, V. Fermenlar. 

AFERMOSEAR,, EiC. Aformosear,, cic., 

AFERMOSENTAR, elc. ir rmosenlar, ciCc. 

AFERRÄDAMENTE , ade. obstinement, opinid- 
tir&ment; & tue-löte, 

AFERRADISSIMO , superl. d’ 

AFERRÄDO,, A, p. p. d’Aferrar, adj. (ig.) 
Entete. Estapr —ao seu parccer, abonder en son 
sens. 

AFERRAMENTO, a. m. l’aclion de saisir, de 
lier, d’attacher; d’aborder, de jeterle grappin, 
parlant de navires. (fg.) Aheurtement,, entete- 
ınent. 

AFERRAR, t. a. prendre, saisir, lier, altacher 
fortement ; accrocher. Il est aussi neutre. (l. de 
mar.)Ferler, graller, bitter, serrer; jeter le 
grappin, lancre. 

ÄAFERRAB-SE,, t. r. S’altraper, So saisir avec 
lamain,avcc un crochci de fer; se cramponncer, 
s’accrocher fortement. (l.de mar.) Aramber, 
aborder, s’altacher, en parlant de deux bäti- 
ments. (fig.) Se buter, s’opiniälrer, s’obstiner. 

— 6 sua opiniäo, so coiffer d’une opinion, s’y 
ent£ter, s’en enlicher, familierement parlant. 

AFERRETOANDO, A, P. P. d’Aferreloar. 

AFERRETOADOR, A, 5. Celui qui pique, qui 
aiguillonne, stimule, etc. 

ÄFERRETOAR, D.Q. "aiguillonner, piquer avec 
un fer aigu ou poinlu, et avec l'aiguillon ou 
petit dard, en parlant des mouches ä miel, des 
guepcs ci des [relons. (fg.) Inciter, exciter, ir- 
riter, aigrir, meltre en col@rc, fAcher quelqu’un. 

AFERRO, s. m. allachement, tEnacils, adhe- 
sion ; ent@tement, obstinaton ‚ opiniälrete, 

AYERROLUADO,A,P.P.d 

ÄAFERKROLHAR, v. a. verrouiller ; fermer au 
verrou; enchainer, meltre aux fers.— 0 dinhei- 
ro, fermer Vargent (au verrou), en coflre-fort. 
— em masmorro, mellre au fond des cachois. 
— arazao ’fig.), enchainer la raison. 


AFF 


T AFERROLRAR-SE, ©. r se verrouiller :s’en- 
fermer au verrou. 

ÄFERVENTADO, A, P. p. d’Aferventar. 

. AFERVENTAMENTO, V, Fervor. 

ÄFERVENTAR, ©. a. faire bouillir, echauder. 
(fig.) Häter ; &chaufler, animer, exciter & quel- 
que chose. 

ÄAFERVENTAR-SE , U. T. V. Afervorar-se. 

ÄFERVORÄDANMENTE, adv. avec ferveur. 

AFERVORADISSIMO „ swperi. d 

AFERYORÄDO, A,P.9.d’ 

AFERVORAR,, u.a. inspirer (erveur; mellre en 
action , en mouvement. Inciter, pousser, porter 
quelgu’un & quelque chose ; &mouvoir, euflam- 
mer, exciter, encourager, animer, donner le 
branle aux autres, les aiguillonner, les exciler. 

ÄAFERVORAR-SE, u. r. Se häter, se presser, 
s'exciter, s’everluer, s’ellorcer de, agir avec 
ferveur. 5 inciter, Se pousser &, elo. 

AFERVORIZAR. V. Afercorar. 

AFFABEL 0% AFFABIL. V. Affavel. 

ÄFFABILIDADE, 8. f. affabilite, civilitc, urba- 
nite, amabilits, cordialite, abord facile, popu- 
larite : maniere douce et honndte de parler aux 
gens , de les recevoir. 

AFFABILISSIMO, A, super!. d’Affavel. 

ÄFFACAMADO, A, 9.79. d’ 

AFFACAMAR, ©. a. Pop. V. Envergunker. 

* Arrım. V. Afan. 

ArFÄVEL, adj. 2 gen. affable, liant, douz, 
agreable. 

AFFÄVELMENTE, adv. affablement, civilement, 
d’une maniere aflable. 

AFFECCAÖ, 3. f. affeotion : modificalion du 
corps et. de esprit occasionnee par Pimpression 
des objels exterieurs. ( . de med.) —: impres- 
sion fächeuse, morbifique ; &tai de melanco- 
lie, etc. 

AFFECTACAÖ, 8. f. affeclalion : attachement ä 
dirc ow faire queique chose d’une maniere sin- 
guliere ; maniere affectec,, vicieuse, pcu natu- 
relie, trop &tudiee, dans le parler, les actions ; 
preiention, affeterie, recherche, purisme, en 
fait de langage. 

AFFECTÄDAMENTE , ade. avec affeclalion. 

AFFECTÄDO, A, 9. 9. d’Affeclar, adj. allecie, 
trop &ludie, trop recherche, maniere. 

AFFECTÄNTE, adj. 2 gen. qui allecte.p. a. d’ 

ÄAFFECTAR, v. a. aflecter, desirer, aimer, 
souhailer quelque chose avec einpresscinent, 
la rechercher avec Lrop de soin, presque inus 
—: meitre irop de recherche, d’ostentaiior 
dans ses discours, dans ses aclions.— :feindre. 
— galantaria, [faire l’agreabie. 

ÄAFFECTAR-SE, d. r. s’allecter, se feindre, se 
contrefaire. 

AFFECTATIVO, A, ?. us. V. Desejoso. 

+ AFFECTIVANENTE, adr. avec alleclion , alla- 
chemertt, amour, amitie, teudresse. 

Arsecrivo, A, adj. aflectif : qui alfecte, 
touche, smeut ‚ inspire de lallectiox. 

AFFECTO, 8. m. * affection ; passion. Senti- 
ment, attachement, amsur, amilie, te ndresse, 
bienveillance, (Wi, de peint.) * Expression, re- 





AFF 


prisentation vivo ei nalurelle des passions, la 
persionoınie, le geste, le silence meme des 
personnages. Cheiv de affeclos,, passionne. Ter 
—, affectionner. Dar, causar—, passionner. 
Div. m. meus— 5 a, presenlez mcs amities a. 

Arsicto, a „adj. aflectionne , passionne, af- 
lectif , tendre , altsche. Affect&, desline, appli- 
que & un certain usage. Uni, annexe. (t. de 
ned.) Affecik,, offense , sfilige. 

AFFECTUAR ou ÄFFEITUAR. V. Efeituar. 

AFFECTCÖSAURLNTE „ adv. afleclucusement , 
cordislement : d’une maniöre aflectueuse, cor- 
diale. 

AFFECTLOSISSIMO,, A , adj. super. d’ 

Arsscro0sO, A, adj. allectaeux, passionne, 
teuchant, cordial, senlimental; plein d’affec- 
Gen, qui margue beaucoup d’affection, aima- 
bie, tendre, caressant. 

Arszıciö, s. [. alfection , amour, amilie, in- 
elination ‚ attachement. V. Affecto, s. 

APFEICOADANENTE, adv. avec afleclion, alta- 
chement, amilie, inclination, ‚penchant. 

AFFEIGOADISSINO, A ‚adj. super!. d’ 

AFFEICOADO, A, adj. allectionne, altache, 
ineline. p.p.d’ 

AFEIGOAR , 9. a. aflectionner, ınspirer de 
Famser, de laffection & quelqu’un; avoir de 
Famsar, de V’affection pour; incliner quel- 
qe’un & notre opinion, avis, etc. it. Orner, 
embellir ie style, donner un lour agröable ä 
une röponse, A une informallon ou enqueie, 
pour [avoriser une partie aux depens J’une 
autre. Colorer, donner une beile apparence ä 
quelgee chose de mauvais. Affeicoar 0 engano, 
csierer la fraude. 

AFFRIGOAR-SE (a), vo. r. s’afleclionner, aimer, 
avoir de l’affection, de l’inclination,, du pen- 
chaat pour, prendre de l’altachement pour. 

Arsuıruchö,s. f. V. Enfeite. 

Arvsıraz, etc. V. Enfeilar, etc. 

* Anrisıo,, s. otedj. V. Affeclo,, 8. et adı. 

Arriıro, a, Pp.Pp. irreg. d’Affaser, adj. ha- 
bitas, accoutume. 

ArFEITEOSO. V. Affeciuoso. 

Arrzatsııe, adj. 2 gen. afferent : qui revient 
a chacen des interesses dans un objet in- 
diris, 

* AFFICADANENXTE. V. Affmeadamenie. 

° Ayrıcanse. V.A 66. 

ArrıcenADO, Arsıcuran. V. Aflgurar. 

Armin, etc. V. Aßlar. 

tArrıLsacko, s. f. affliation : espece d’adop- 
Lion d’une communaut4, d’une societ® par une 
autre,, d’an individa par une societ& secräte. 

+ArsıLıADO, 2,9. 9. d 

TArrıusıa, v. e. aflllier, adopter : associer 
une communauis & une auire, un individu & 
une societe. . 

T Arrınzaa-sE, vo. r. s’aflllier : s’associer ä une 
eommunaule. 

Arrın, @dj. 2 gen. parent par aflinite. 

" Arrısento. V. Termo, Limite. 

Arrınıao, Aysınan.V. Aßnar, Aferir, Aflar. 

AFFISCHDAMENTE, adv. opiniälrement: avec 


opinidtreis, fermels; ave. 
ment. Olkar — , regarder fixe... 

AFFINCADO, A, 9. p. d’Afincar. 

AFFINCAMENTO. V. Affinco. 

Arsıncar.V. Fincar. 

AFFINCO, 8. m. * tenacile, instance, ellicacits 
empressement, soin, diligence, ardeur, vif de 
sir; sollicitation efficace, ou mieux pressante, 

AFFINIDÄDE, s. f. aflinilö: parents par al- 
liance. (lg.) —, analogie, ressemblance , con- 
formitö, rappori. it. (1. de chim.) Sorte d’at- 
traction qui s’exerco entre des molecules höte- 
rogenes. 

Arrırsaciäö, s. f. affirmation, assertion : 
action d’affirmer ; expression qui affirme. 

* AFFIRMÄDAMENTE,, adv. fermement, solide- 
ment; avec certitade. 

AFFIRMÄDO, A, P. p. d’Afirmar. 

ÄFFIRMADÖR, A, 8. Celui qui affirme, quı as- 
sure. 

* AFFIRMAUMEXTO. V. Affırmapdo, 

AFFIRMÄNTE, p. a. d’Afirmar, qui aflirme, 
affirmatif. 

AFFIRMAR, ©. @. aflermir, raffermir, assurer, 
fortiier : rendre ferme, stable, solide. (Ag.) 
Affirmer, assurer, attester, certilier, soutenir 
qu’une chose est vraie. Por um que 0 ofirma, 
cem 0 negdo, gontre un qui V’aflirme, cent le 
nient, ' 

AFFIRMAR-SE , vd. r. s'affermir, se ralfermir. 
(fig.) S’aflirmer, s’assurer, se conflrmer, se cer- 
tifier, sinformer & fond d’une affaire ; regarder 
attenlivement, ötre persuade de quelqne chose, 
la tenir vraie ou pour vraie. — d’alguem, pren- 
dre quelqu’un & foi et & serment. 

Arriruariva, 8. f. (l.de log.) affirmalive: 
proposition par laquelle on affirme. 

AFFIRMATIYAMENTE, ade. alfirmativement : 
d’une maniere alfirmalive. 

AFFIRMATIVO, A, adj. aflirmatif: quiafirme, 
qui sonlient une chose comme vraie. 

Arrıxacäd, s. f. Vaction d’allicher. 

AFFIXÄDO,A, P. p. d’ 

ArsıxaR, v. a. allicher : attacher une ou plu- 
sieurs affiches, un placard. 

Arrixo,A,.adj.(t. de gram.) affixe : attache 
4 la fin d’un mot. 

ArFLÄNTE, adj. 2 gen. qui souflle. 

ÄFFLAR, ©. a. soufller ; inspirer. 

+ Arrıito, s. m. souflle; inspiration. 

Arrsuiccäö, s. f. affliction, desolation, peine 
deplaisir, abattement d’esprit. 

+ Arruicrissimo, A, superl. d’4fflicto. 

+ AFFLICTIVAMENTE, adv. d’une manidre al- 
fictive. 

Arruicrivo, A, adj. aflliotil : qui cause afflio- 
tion, desolation. Pena— a, peine corpurelle 
infligee par Justice. 

ArrLictO, A, p. p. irreg. d’Afligir. 

+ AFFLIGBNTE ou AFFLICINTE, p. a. d’Afligir, 
adj. 2 gen. qui afflige, qui fait de la peine. 

AFFLICIDAMENTE,, sdv. avec aflliction, avec 
neine. 





43 AFF 


ArrLiapissıNo, A, adj. superl. d’ 

AFFLICIDO, A, p. p. d’Afligir, adj. dolent, 
abattu, triste,, allig6,, plaintif. 

AFFLIGIDÖR, A, 3. celui qui afflige. 

AFPLICIUENTO. V. Afficgdo. 

AFFLIGIR, v. a. allliger, peiner, tourmenter, 
molester, chagriner, desoler; causer de la dou- 
leur, de la peine. 

+ AFFLIGIR-SE, v. r. s’aflliger, s’inquieier, so 
d&sesperer. 

* AFFLOXAR, V. Affrousxar. 

AFFLUENCIA , 5. f. affluence, abondance, mul- 
ülude,grand concours. (fig.) Facllit€ d’elocu- 
tion, gräce du debit; abondence, affluenoe 
d’expressions. 

AFFLUENTE, p. a. d’Aflluir, adj. 2 gen. abon- 
dant, qui a un courant rapide. (fig.) Riche en 
expressions , disert, eloquent. 

t AFFLUENTE, s. m. affluent : riviere qui se 
jette dans une autre ; confluent : lieu oü se joi- 
gnent deux rivieres. 

AFFLUENTEMENTE , ade. avec afflluence, abon- 
damment. 

AFFLUENTISSIMO. V. Abundanlissimo. 

AFFLUDO,A,P.p.d’ 

AFFLUR, 0.9. affluer : se rendre au m&@me 
canal.(fg.) Abonder ( les eaux, les richesses, 
6ic.); survenir en grand nombre (les biens, 
les vivres, les voyageurs, etc.). 

AFFLUXO, s. m, (4. da med.) afflux : ’abord 
du sang ou des humeurs dans une partie ir- 
ritee. 

* Arrom. V. Afan. 

AFFRETAMENTO. 

AFFRETAR , elc. | V. Afretar, eic. 

* ArrnıccKko. V. Afflierdo. 

* Arrnıcın-s£. V. Affligir-se. 

Avrnöntı, s. f.* affront, injure, outrage, in- 
sulte, mauvais traitement de fait ou de paroles, 
&. L’&touffement ou perte d’baleine qu’&prouve 
celui qui vient de courir ; lassitude, faligue. 
* Combat, bataille, danger, embarras. Desagra- 
var uma—, reparer un affront. Ndo poder ol- 
vidar uma— , ne pouvoir digsrer un affront, 
Beber, coar uma—,, subir un aflront. 

ÄFFRONTÄDAHENTE, adr. avec force, durc- 
ment. Chaudement. Avec affront, injure, ou- 
trage. 

AFFRONTADISSIMO, A, adj. superl. d’ 

AFFRONTÄDO, A, 9. p. d’Affroniar, adj. (fig.) 
Qui est en danger, en peine, en souffrance. 

AFFBONTADOR, A, 3. celui qui fait un affront. 

AFFRONTANENTO, 3. m. * faiblesse et change- 
ment rapide de couleur, eblouissement, feu 
qui monie au visage; anxieie. Eiouffement, 
mouvementd’indignation qu’inspire un alfront, 
une injustice. 

AFFRONTAR, ©. a. aflronter : allaquer de 
front; avec hardiesse, intrepidite; braver le 
peril;rappeler quelqu’un A son devoir, l’exhor- 
ter. Placer une chose vis-A-vis d’une autre, la 
meltre en face. Combattre, r&duiro l’ennemi & 


AFI 


Pextrömits. (Ag.) —: outrager quelga’un, lul 
dire des injures,. P’insulter de paroles. — o 
campo do campo inimigo , placer son camp em 
face de celui de l’ennemi. — uma ‚pres 
ser le siege d’une place , ’assieger. 

ÄAFFRONTAR,, ©. 9. et AFFRONTAR-SE, v.r,V. 
Anciar, Abafar. 

AFFRONTINHA 0% ÄFFRONTAZINHA, 8. [, dimwim. 
d’Affronta. 

ÄAFFRONTÖSAMENTE , adv. outrageusement, 
d’une maniere ontrageante. 

AFFRONTOSISSIMO, A, adj. superl. d* 

AFFRONTOSO, A, adj: ignominieux, outra- 
geant. 

Arıuciö, s. f." aigulsement : P’action d’ai- 
guiser. 

Arıinpo,A,9.p. d’Aflar, ady. tranchant ; re- 
passe, aiguise. 

ArIADÖR, A, s. dmouleur, repasseur, aigui- 
seur. 

Arıaıncino,A,p.p. d’Akanger. 

Arıancanon. V. Abonador. 

Arııncan. V. Abonar. 

ArıaR, v. a, alguiser, affier, affüter,, &mou- 
dre,, repasser : rendre aigu, plus pointu, plus 
tranchant.— a lingus, se disposer a parler mal 
de quelqu’un. — 0 entsndimento, aiguiser l’es- 
prit. — 03 denfes, manger avec une grande ari- 
dits d’un premier plat. — 08 deseyos, exciter les 
desirs, les röveiller. 

AruR-SE, vo. r. s’aflller , s’aiguiser, devenir, 
se rendre algu. 

* Arıcaz. V. Eflicas. 

AFIDALOÄDAURNTE. V. Fidalgamente , Nobre- 
mente. 

AFIDALCIDO, A, P.p. d’AAdalger, et adj. qui 
joue le gentilhomme, qui en a les manieres; 
noble, illustre. 

AFIDALCANENTO, 5. m. V’action de se donner 
des airs de gentilhomme, 

AFIDALGAR, ©. a. anoblir, donner la condi- 
tion de gentilbomme, 6lever au rang de la 
noblesse. 

AFIDALGAR-SE, v.r. V. Ennobrecer-se. (fam.) 
Se donner des airs de gentilhomme. 

Arıcunsciö, s. f. image, Imagination. 

ArıcuaäDO, A,p. pP. d’Aflgurar,adj. Bem -, 
bien fait; qui a bonne apparence. 

APIGURAR, ©. a. Ägurer : donner la forme & 
quelque chose. 

ÄFIGURAR-SE, 9. Tr. se Ägurer, s’imaginer, se 
ropresenter, se former Pidde ou PFimage d’une 

ost. 

AFIGURATIVO. V. Figurslivo. 

ArıLano. V. Aferido. 

AFILADO, A, ?. p. d’Aflar et ady. eis, en 
parlant du nez, du cou ei de la figure. 

ArıLanor. V. Aferidor. 

ÄFILAMENTO. V. Aferimenio, 

ArıLan. V. Aferir. 

AFILAR-SE, v. 7. (fg.) devenir eis ‚en par- 
lant du nez, de la figure du moribond. 

AFILHADO, A, s. filleul,, 0; favori, protege. 

*" AFILBABOR „&. m. colul qui halo les chiens. 





AFO 


"irımar. V. Aflor, Agular (css). 

inu, eonj. afln. 

Arısacaö, s. f.* raffinage, depuration (des 
meiaux), perleclion : la derniöre main donnde 
äan ourrage. (}. de mus.) " Accord des insiru- 
ments, justesse des voix, grande regularitö & 
chanter ou & jouer d’un instrument. 

AFINÄDANBERTE, adv. (£. de mus.) avoo jus- 
tesso, en parlant des voix et des instruments. 

— , aimer extirömement, & l’excös, deli- 
catewmen!. 

AYIBADISSINO,, A, adj. super 

Arınioo, A, 9.P. dähner. ei. qui chante 
avec jastesse. 

Arınapön, A, 8. (if. de mus.) accordeur: 
celai qui aocorde un instrument de musique. 
it. Accordoir : outil pour accorder les instru- 
ments de musique. 

Arınamtaro. V. Afınazäo. 

Arınar, v. a. afliner (les mötaux. (g.) 
les expressions, etc.). Perfectionner, moltre la 
derniere main & un ouvrags. Accorder les in- 
straments. (g.) Epurer, purifler. A desgrasa 
afıns a virtude , Pinfortune epure la vertu. 

AFISCÄDAMERTE, Arıncar „etc. V. Aflincar. 

ArıamADO, ArıkMAR, etc. V. A 

ArsTOLÄDO, A „ad. Aistuleux. P-P. d’Aßstu- 
ler. Consciencis—s, conscience ulceree. 

AFISTULAR , 0.0. (f. ‚de ındd.) rendre une plaie 
Sstuleuse. Il est communement reciproque, 

Amtinısente, ade. firement. 

Asırano, V. Filado, Filo. 

"Arıtado,A, adj. ’orne, par&e de rubans. 
Fix. Ter os olhos ehtados n’algum olbjocio, 
avoir les youx fixts sur quelque chose, ou 


personne. 

Arrrısento. V. Afllo. 

Amar. V. Filar. 

Arıtar, v. a. donner la colique. 

Arıro. V. Indigestäo. 

* Arıro. V. Fito. 

* Arıuza. V. Fiuze. 

Arıtzipo,A,9.p.d 

* Arıczar , v.a. [aire espörer, donner de l’es- 
peir, de la securite,, de la oonfiance. 

* AFIUZAR-SE, v. Tr. se confier, avoir de l’es- 


AFIYELLADO, A, 2.2. d 

ArıvgLıLar, 9.6. boucler : fermer, attacher 
avec une boucle. 

tArLANENGCÄBO, A, adj. qui imite les ıma- 
niöres, qui a un visage de Flamand. 

AFLAUTADO, ArLAUTAR , etc. V. Flauler. 

Arızımas. V. Fe 

AMETEADO,A,P.P.d 

+ Arızomar, o. a. donner, causer le fegme. 

+ ArLZumAR-SE, 0:r. devenir logmatique. 

* ArLoxan. V. Afrouzer. 

APOCINRADO, A, 7.9. d’ 

AFOCINHAR, 9. a. donner des coups de groin, 
de museau, de bec, en parlant des animaux. 
Beurier le navire de la proue, de la poulaine 
eontre quelque 6cueil.—,v.n.lomber sur le nez. 

Ar0or450,4,9.2, 4 


AFO 43 


APOFAR, 9. a. rendre mollet, on parlant du 
pain; rebattre, en parlant de matelas. (Ag.) 
Remplir de Yanite. 

AFOFAR-SR, v. Tr. devenir mollet. (Ag.) Se 
reımplir de vanits ; n’avoir pas de franchise. Se 
rendre vain. 

f Arocinaninte, adv. aveo empressoment, 
bäte, precipitation ; pr&cipitamment. En sooret, 
secrdiement, & Y’insu de tout le monde. 

Arocıpico,A,adj. quialaoourtehaleine ; qui 
(sit des choses & la hate, on parlani des per- 
sonnes. 

ArOocApiLHO , 8. m. 6ınpressement, häte, 

Ar0ocipo,A, 9.9.d’Afogar, adj. tous, sul- 
foque. On le dit des lieux oA Psir ne circule 
point librement. Carne efogade, ou simplement 
afogado, viande & l’etuvde. ( lg.) Estar —, ou 
vor-s0 — , eiro accabl6 d’aflaires , d’occupa- 
tions, de sollicitations et de toutes sortes de 
soins. (t. de mar.) mang6 par la ner, tan- 
guer. 

ArocÄnO, 3. m. noy6 : dtouffs par l’sau. 

Ar0GADöR, A, 8. colui qui dlouffe,, qui suf- 
foque, qui noie. «4. Collier de fornme. 

AFOGADÜRA, 8. f. ou 

AFOGAMENTO, 3. m.” suffocation, &touffement: 
Paction de suffoquer, d’stoufler. 

ArFOCAR, 9. a. noyer : faire mourir dans l’eau 
ou dans quelque autre liquear. Etouffer, sulfo- 
quer, #trangler : faire mourir en privant de la 
respiration ; metire presquo hors d’haleine par 
un mouvement violent. (4g.) On ’omploie dans _ 
ie memesens; ainsi on dit afoger os lalentos, 
suspiros, gemidos, «touffer les talenis, les sou- 
pirs,, les gemissements, eto. dt. Gäter. yr gran 
des chuvas affogdrdo as sementes,, les grandes 
pluies ont gät6 les semailles. st. Oier Vussge. A 
dor Ikeaffogou « vox,, la douleur lui 6ta Yusage 
de la parole. R&primer, opprimer, suffoquer, 
fourmenter, faliguer. Eleindre » dtoulfer le feu 
en le privant de /’air. 

Arocar, vo. n». V. Abafar. 

AFOGAR-SE (sm), €. r. se noyer, s’asphyzier. 
Se presser, faire les choses & la hate. Rester 
embarrass&, interdit, troubi6, deconcerte. 
— de calor, (fam.) &touffer de chaleur. — 
de genie, e&touffer de chaleur & cause du 
grand monde. — (0 gräo semeade), mourir ä 
cause des mauvaises herbes. — em poucs agua 
(fig. fam.), se neyer dans un verre d’eau, se 
noyer dans son crachat ou dans un crachat. 
— de rir, #toufler de rire. Afogdo-se-iIhe na 
boca as palavras , les paroles lui mearent dans 
la bouche. 

Ar0c0, 3. we. ötouffement, presse, sulloca- 
tion, contrainte, oppression, violence. ( fg.) 
° Affliction, angolsse, 

AFOCURÄDANENTE, adv aveo ardeur, Avce 
shaleur. 

Arocurin0,A,P.9.d’ 

AFOCUEAR, 9.a. enflammer; faire rougir au 
feu. Brüler de la poudre dans une arme & feu 
pour la nettoyer. Echaufler au moyen d’une 
fomentation, etc. Faire rougir quelgu’un , lui 





4 AFO 


faire monter Ic rouge, la couleur, la rougeur au 
visage. 

AFOGUEAR-SE,, v.r. s'embraser, s’enflammer, 
devenir rouge au feu. (fg.) — o rosio, rougir, 
se teindre en rouge : avoir honte, confusion. 

Aroıro. V. Afoulo. 

AroLan. V. Folar. 

AFOLHÄDO, A, p. p. d’Afolkar. 

AFOLHANENTO, s.m. (l.d’agr.) assolement ; 
action, maniere d’assoler. 

AFOLHAR ‚v.a. (fl. d’agr.) assoler : diviser les 
ehamps en soles ; #tablir un systeme d’assole- 
ment, de rotation. 

* Arom.V. Afon, Trabalko. 

Aromantan. V. Fomentar. 

° APONCINHADO. V. Afoucinhado. 

Aronia. V. Apkonia. 

Arörı, adv. exceptö, hormis, hors, oulre; 
dehors. 

* AFORACOM. V. Aforamento. 

AFORÄDAMENTE, adv. avec cens. 

AronipO, A, P. P. d’Aforar. 

AFORADOR,, A, 5. celui a qui on paie le cens, 
le bail, la rente d’un fonds ; censier, fermier, 
rentier. it. Celui qui prend & cens, & bail, & 
rente, la jouissance d’un fonds. 

AFORAMENTO, 5. m. cens, eımphyle&ose : Pac- 
tion de donner ou de prendre & cens un fonds; 
la rente ,„ ia somme d’argent qu’on doit payer 
pour la jouissance d’un fonds, d’une terre. 

AFORAR, v.a. acenser: donner ou prendre 
dcens un fonds, une lerre, etc. 

+ AVORAR-SE ( de fidalgo), v. r. s’arroger, 
s’attribuer la qualits,, le droit de gentilhomme. 
dt. Prendre P’habitude de. 

A rorca, ade. V. Forga (d). 

® ArORcıaR. V. Forgar. 

Arorcunipo, A, adj. allaire. p.p. d’ 

AroncunaR. V. Apressar, Afervorar. 

AFORGURAR-SE. V. Apressar-se , Aferco- 
rar-se. 

Arorıswo. V. Aphorismo. 

Avorısta. V. Aphorista. 

AFORUMENTAR. V. Fermenlar. 

AFORNOSEADO, A, 9. p. d’ 

AFORNOSEAR, ©. a. embellir, rendre bcau, 
orner, approprier, decorer. 

AFORMOSENTÄDO, A, 9.9. d’ 

AFORMOSENTAR. V. Aformosear. 

* Aröno. V. Foro, Desaforo. 

AvonquiLnino, A, adj. fourchu : soutenu 
par des fourches (arbre). it. En fourche,, bi- 
furqu&, en parlant d’un arbre. p. p. d’ 

AFORQUILBAR, dv. 0. Appuyer, soutenir par le 
moyen d’un appui, etayer avec des bätons 
fourchus. 

t AFORQUILHAR-SE, o. r. se fourcher, se bi- 
farquer, prendre une forme fourchue. 

t} AronkiDAauMenTE ‚adv. librement, sans dif- 
Dcults,, sans obstacles. Economiquement; ex- 
pöditivement, sans suite nı bagage. 

Aronkino, A, 9. p. d’Aforrar, adj. libre, 
exempt de tout obstacle, debarresse ei A la !e- 
gere, sans suite ni bagage. 


AFR 


T ArOnRADOR, A,s. oelui qui Epargne. Celui 
qui affranchit un esclave. V. Forrador. 

ÄAFORRAMENTO, 3. m." &pargne, &conomie. 
Affranchissement d’un esclave. 

AFORRAR, ©. Ga. epäargner, mönager, &cono- 
miser, Affranchir un esclave. Trousser, retrous- 
ser les manches d’un habit. 

AFORRAR-SE,, ©. r. s’tpargner. Se presser; 
s’habiller ä la l&göre, ala hate. — com alguem, 
prendre sa revanche de quelqu’un. Ndo — com 
ninguem, nemarchander, n’epargner personne, 
dire franchement sa facon de penser & tout le 
monde. Ne consulter que son intertt. 

AFORRO, s.m.” &pargne , &conomie: parcimo- 
nie , m6nagement dans la depense.“ Manumis- 
sion : affranchissement d’un esclave. 

AFORTALECER. V. Fortalecer. 

* AFORTALEZAR , etc. V. Forti 

ÄAFORTUNÄDAMENTE , adv. heureusement : 
d’une manidre heureuse ; avec bonheur. 

AFORTUNADISSIMO, A, adj. superl.d’ 

AFORTUNÄDO, A, adj. fortune, heureux. Mus 
—, bien heureux. Il signifie queiquefois le 
contraire. p. p. d’ 

AFORTUNAR, ©. a. faire prosperer : rendre 
heureux, enrichir. 

+ AroucınHäno, A, adj. qui a la forme de 
faucille. 

AFOUTÄDAMENTE. V. Afoulamenle. 

AFOOUTADISSIMO, A, irds-hardi, adj. sup. d’ 

ArOUTADO, A, 9. pP. d’Afowtar. V. Afoute. 

AFÖUTAMENTE , adv. hardiment : avcc har- 
diesse; sans hesiter. 

AFOUTAMENTO. V. Afowieza. 

AFOUTAR , d. 4. encourager,, animer, enhar- 
dir; inspirer du courage, dc Ia hardiesse, 
donner du caur, du courage. 

AFOUTAR-SE, v.r. oser, aller sans crainte, 
ne pas craindre de faire. 

Arouttza,s. f. hardiesse, audace,, courage, 
aasurance, intrepidite. 

AröutT0, A, adj. hardi, resolu, entreprenant, 
audacieux, (Emödraire, decide. 

ArkaciDO, A, 9. p. ü’Afracar. 

AFRACAUMENTO, s.m.* faiblesse, diminution de 
forces. p. us. 

AFRACAR, v. a. affaiblir, debiliter. 1] se dit 
des facultös du corps et de cellcs de l’esprit. 
v. ». faiblir, perdre de sa force, de son cou- 
rage, de son ardeur, ferveur, etc. Afracar-se, 
v. r. s’affaiblir, se rendro faible. 

AFRACASSAR. V. Fracassar. 

AFRAMENGADO,. V. Aflamengado. 

AFRANCEZÄDO, A, adj. francise : qui imite 
avec allectation les maurs, les manitres fran- 
caises. it. Partisan des Francais. p p.d’ 

AFRANCEZAR, ©. a. [ranciser : donner une 
terminaison , une inflexion francaise. — : dun- 
ner le ton et les manieres francaises. — e lin- 
gua, introduire des termes et des locutions 
francaises, ou gallicismes. 

+ AFRANCEZAR-SE, 9. r. sc franciser:prendre 
le ton, le mainlien , les manieres [rancaises. 

® AFRAQUENTAR, V, Enfraquecer. 


.- m —_ u As 


“..o 


AFR 


TAFRECHÄDAS, adj. f. pl. ( Folhas, eie. -, 
I. de bet.) en fer de Niöche (feuilles, etc.). 

AMRECTEZÄDO, A, adj. achalande. Loja bem 
efreguezade, boulique bien achalandde, qui a 
beaucoup de pratiques. P.9.d 

ÄFREGEEZAR, v. @. achalander : procurer,, 
donner des chalands „ meltre en vogue une 
bouligue , etc. 


ÄFRECUEZAR-SE,, ©. r, s’achalander, faire ve- 


bir les chalands ; acquerir beaucoup de prati- 


ques ; contracier !’'habitade d’acheter & lamerme 
personne. 

Ayseımar, V. Afleimar. 

” AFREIMAR-SE. V. Angusliar-se. 

"Araestan.V, Entlestar, Estremar. 

"Arasscın. V. Refrescar. 

tTArsisoo, ade. (1. de peint.) Pinlura a 
freseo, peinture ä fresque : sorte de peinture 
appliquee sur une murailie (raichement en- 
duite. 

ÄAFRETAMENTO. V. Freismenio. 

Araerın.V. Freier. 

Arascı,, s.f. Afrique : une des qualre parties 
de monde. 

Amnıcino,A,adj. et s. 
os chose d’Afrique. 

"Arzıcio. V. Afficdo, 

Arco , s.m. (l. podt.) aulan : vent du midi, 
vu sud. 

T ArRISOADO, A, adj. qui ressemble au che- 
val frison. 

Arao,A,adj. eis. Alricain. 

AFRODISEO,, AFRODISIACO. V, Aphrodiseo, eic. 

Araoızan. V. Afrouxar. 

t Arzossino, A, adj. (i.de bot.) pulvinatus, 
en forme de coussin, d’oreiller. 

AFRONTA, AFRONTAR. V. Affronla, eic. 

tArsorsı, s. f. (1. de bot.) afrousa, fraisier 
des Alpes. 

AFROTZÄDO, A, 9. p. d’Afrouzar. 

AFROTZANENTO, s.m. relächement, affaiblis- 
sement : T'action de relächer, d’alfaiblir. (g.) 
" Tiedeur, diminution de zeie, de [erveur. 

ÄFROTXAR , D. a. relächer, detendre, desser- 
rer, delacer : faire qu’une chose soit moins 
€tendue (une corde, un ressort, etc.). (g.) 
Alfaiblir, diminuer la force, la vigueur, le cou- 
raze.—,c. ». mollir, calmer, s’adoucir, dimi- 
nuer, se moderer, 8’apaiser. Se ralentir. ( ig.) 
Se relächer, se refroidir, perdre, diminuer de 
sa premiere ardeur, agir avec moins d’ardeur 
et dactivite qu’auparavant. — em suas preien- 
röes, se relächer de ses prötentions. ( fam.) 
leise de l’eau dans son vin, 

AFROCZAR-SE, ©. Tr. se relächer, s’aflaiblir. 
V. 4frouzer, v.n. 

tAFROCXELIDO, A, adj. oourert avec le du- 
rei, plein de darvet. 

Arsoxan, eic. V. Afrouxar, etc. 

Ara010, adv. V. Froxo, et Flur. 

"ArRCITADO, A, p.p.d’ 

"Aratıran,, vo. a. donner, avoir du fruit. V. 


Fructificar. 


Africain : personne 


—— m 8. 0. 








AGA #5 


* APRUITENECAR O4 ÄFRUITITICAR „ o. a. faire 
fruciifler. 

ArTA.V. Aphta. 

AFUGENTÄDBO, A, P. 9. d’Afugenlar. 

AFUGENTADÖR,, A, 8. qui met en fuile. 

AFUGENTANENTO, 3. m. l’aclion de faire fuir. 

ÄFUGENTAR , U. a. mellre en fuite, fairo fuir, 
chasser, faire prendre la fuito, faire tourner le 

08. 

Arumino, A, 2.9. d’Afumar, et adj. plein, 
couvert de fumee. (fig.) V. Toldado, Offuscadg, 
Desvanecido. 


tArusMaDo,A, p-p. V’Afumar, et adj. V. Es 
Irumado, 

Arumanüra. V. Defumadura. 

AFUMAR, v.a. [umer, enfurmer, fumiger; cx« 


poser & la fumee pour faire secher. — :jeteg 


de la fumee, exhaler des vapeurs. 

TAruUmAR,v.a.V. Estercar, Estrumar. 

AFUNDÄDO, A, P. p. d’ 

AFUNDAR,v.q. faire couler A fond, plonger, 
enfoncer dans l’eau; creuser profondement. 
Mettre un fond ä un tonneau. 

AFUNDAR-SE, o. r. couler bas, couler & fond. 
(fig.) Dechoir, evanouir. Ex. Afunddräo-se as 
minhas esperangas, mes esp6rauces se sont 
evanouies. 

AFUNDIDO, A, P.92.d’ 

Arunpir, Arunpın-se. V, Afundar et Fundir. 

* Arcnno. V. Fundo (a). 

AFUNILÄDO, A, adj. en entonnoir : qui a la 
forme d’entonnoir. Infundibule ou infundibeli- 
forme. (t. de bot.) p. p. d’ 

fArunıLin, vo. a. donner la forme d’en 
tonnoir. 

AruR0ino, A, adj. (fg.) Cherch6 avec beau- 
coup de diligence. p. p. d’Afuroar. 

T AFUROADOR, A, 3. fureteur : qui furdte, qui 
chasse aux lapins avec un furet, (fig.) Curieux 
qui chercbe partout, s’enquiert de tout. 

Aruroir, v. a. (l. de chas.) fureter:: chasser 
au furet. (ig. fam.) Fouiller, chercher partout 
avec soin. — : chercher & savoir toul ce qui se 
passe. 

ArusipO, A, 9.9. d’Afusar, ady. qui a la 
forme de fuseau. 

ArusiL,s.m. deux livres de lin briss pour 
Siler. 

Arusin, vo.a. tailler en fuseau, donner la 
forme de fuseau. 

TArUSÄn-sg, v. r. devenir aigu, poinlu, 
mince, en prenant la forme d’un fuseau. 

ArusiLino, Arusitar. V. Fusilar, etc. 

AFUSTÄR-BE. V. Ahuslar-se. 

tA’ca, 8. m. piment des indes, poivre de 
Cayenne. 

Aci,s.m. aga : oflicier, commandant turc, 
seigneur tarlare. 

tAci,s. m. nom de la letire 
Portugais. 

AcaBiDO, AcaBan. V. Gabar, etc. 

Acasio,s.m.V. Gabdo. 

ACACHADINNHO, A , adj. dim. d’ 

AcacuiD0,A,P.P. d’Agachar-se. 


H chez les 





% AGA 


AcıacHia-sE, v. r. so tapir, se blottir, s’ac- 
croupir : se cacher en se tenant dans uns PoS- 
ture raccoureie et resserree. (flg.) Se rendre, 
se soumetire. Se tenir ooi, attendre patiomment 
pour tirer un meilleur parti des ceirconstances. 

Acicno, s. m. accroupissement : Paction de 
Y. s’sccroupir. Pescar d—, tromper secreiement, 
sourdement. Ester d-, (fam.) @tre mis en 
prison. 

Acicıa. V. Pege. 

Acıpansioo,A,P.P. d’Agadeankar. 

AGADANBADOR, A, s. oolui qui agriffe ; eseroc, 
Aion: 

AGADANBÄR, v. a. agriffer ou s’agriffer : at- 
traper, dechirer avoo les griffes ; prendre, em- 
paumer, saisir avec la main. ( fg.) Rarvir, en- 
lever, escroquer, flouter. 

+ Acarrannir ou ACAFANBAR , 9.0. ({.burl.) 
tgraffigner, &gratigner ; attraper, empaumer. 

fäAcauicra, s. f. (t. de mdd.) agalactie: 
defaut de lait, 

AcaLanido,A,9.2.d 

AsaLaniR, vo. .. vehäre beau, joli, galanı. 

AGaLAnan-sE, v.r. s’habiller "galamment. 

° AcaLaapoir. V. Gelardoer. 

Aciına. V. Galke, 

+ AcaıLiro, s. m. (1. de chim.) gallate : sel 
forme par la oombinalson de l’acide gallique 
avop difförentes bases. 

ACALLEGADANENTE, ade. A la manidre des 
Galioiens. (Ag.) Grossiörement. 

AGALLEGÄDO, A, adf. qui a les manidres et 
l’aooent des Galiciens. (Ag.) Grossier, rustre. 

+ Ackıuıco, adj. (£. de chim.) gallique. H se 
dit d’an acide qu’on tire de la noix de galle. 

AcALOADO, A,9.9. dA A 

AcaL0apüra, 5. f. ohamarrure, passement, 
garniture de galons. 

AcaLoia, ©. e. galonner : orner,, border de 
gelon. 

AcaLöcaz, V. Calambuco. 

AcaLorir, V. Geloper. 

T AcasatmoLıtea, 8. f. (1. d’hist. nal.) aga- 
matholithe: pierre de lard de la Chine. 

+ Aciue, Aciua ow AciMO,s. m. agame: 
lezard d’Aınerique & ecailles 6pineuses. 

+ Acaui, s.m. (l. d’Msl. nat.) agami, echas- 
ster, hylebates, caracara, ami de l’homme; 
olseau trompette, poule peteuse d’Afrique et 
de l’Amerique. 

+Aciuıa, s. f. (t. de bot.) agamie, cryplogs- 
mie : classe de vegetaux dont les organes 
sexuels sont cache&s. 

+ Acanipe, s. f. (t. d’Msi. nal.) aganides: 
genre de coquilles, nautiles & cloisons feuille- 
tses ou lobtes en zigzag. 

+ Acanippe, s. f.(t.de myih.) Aganippe:nom 
@’une fontaine en Beotie, que le cheval Pfgase 
Ri sortir de terre d’un coup de pied. 

f Acınippenzs ow Acanıppenis, adj. plur. 
(l. de myth.) Aganipnpides : surnom donne aux 
Muses, parce que la fontaine Aganippe Icur 
&tait consacrte. 


AGA 


+ Acanirreo, a, adj. (1. de mylA.) qui appar- 
tient & Agsnippe. 

fAcarintna ow Acarintuo, s. (l. de bof.) 

agapanthe : plante liliacee ; crinole , maulhie. 

Acäirasow Acipzs, 8. f. "glur. ag gapes: repas 
gue les premiers ehrötiens faisaient dans les 

ises. 

AcirEtas, 5. f. plur. agapeies: vierges qui 
vivaient en communauie sans aucun vu. 

T AcanExıAnos, s.m. plur. agaröniens: secie 
de chretiens apostats qui se sont rendus mu- 
sulmans. 

Acartno, A, adj. et s. descendant d’Agar. 
V. Mahomeiano. 

Acizıco, s. m. (Lt. de bot.) agaric: champi- 
gnon polypode ; plante perasite du chene. — dos 
campes. V. Cogumello.— bastardo, champignon 
poreux et visqueux aultumna). + — mineral, 
s.m. (1. de chim.) agaric mineral : substance 
analogue ä la craie ; lait de une, de montagne ; 
moelle de pierre, guhr calcaire,, chaux carbo- 
natee. 

+ ACARNACBÄBO, A, adj. & la maniere de 
robe de magistrat. p. p.d’ 

+ ACARNACHAR-SE, v.r. s’babiller en robe de 
magistrat ; prendre, metire la robe de magistrat. 

Acanneı. V. Garmel (e). 

AGARRADO, A, 9. p. d’Agerrar, adj. saisi, 
agripe, pris. Mesquin, tenace, dur, chiche : 
qui donne ou qui fait une depense bien au- 
dessous de son bien et de sa condition. — comes 
o chdo , rampant,, en parlant des plantes. 

ÄACARRADOR, A, 3. colui quisaisit, qui prend. 
(fam.) Archer, sbire, sergent, recors. 

+ AcannÄnTe, adf. 2 gen. qui prend, gai 
saisit, etc. 9.0. d’ 

Acarnir, v.&. prfendre, empaumer, saisir 
avec la main; agripper,cramponner, accrocher, 
attacher. Arrtter, saisir au collet.—, v.n. (8. 
de mar.) mordre le fond, en parlant de !’ ancre. 

Acarrin-sE,v.r. se cramponner, s’atlacher, 
s’unir eiroitement, s’accrocher. — aum cabello, 
tirer parti de la plus petite circonstance, du 
pfetexte le plus leger. 

ACARROCHÄiDO, A, 9. p. d’Agerrochar. 

+ AGARROCHADOR, A, s. celui qui blesse avec 
un javelot. 

AcannocHirR, v.a. piquer, blesser avec un 
dard ou jarvelot appele V. ce mot. 

ACARROTÄDO, ACARROTAR. V. Garrotar. 

Acaarvcaino, 4,2... 

AGARRUCHÄR, v.a. (l.de mar.)serrer avec des 
poulies, des cordes de bouline. V. Garruche, 

ACASALHAD£EIRO. V. Agasalkador. 

ACASALHADISSINO,, A, superi. d’ 

ACASALHÄDO,, A ‚p. p. d’Agasalhar. 

AGASALHÄDO, 8, m. V. Gasalhado. 

ACASALHADÖR, A, 3. hospitalier, prevenant, 
officieux : celui quie exerce!' hospitalite, qui fait 
bon accueil. Il est aussi adjectif. Palarras aga- 
salhadoras , paroles bienveillantes. 

Acısaunin, c.a.rccevoir, lorer un amıi, vn 

 höte chez soi, lui faire bun accueil, accuciliır 


AGA 


ae amilie ,Isaiter avec bienveillanee. Metire 
a'zstrı, er.feriner, garder (marchandises, etc.). 
Placer quelqu' un,iai donner un &iat. Marier 
‚au üls, eic.), 9. us. 

ÄAcASALBÄR-<E, c.r. renirer au logis pour y 
passer la nuit, se coucher, se r&fugier, se loger; 
se savTir, se garanlir du froid.— com mulher, 
se marier, p. us. 

Acısi1so, s. m. beberzement, logement; 
bon aczueil, prövenance, caresse , honnttets. 
Con — „obligeamment, gracieusement. Agasa- 
ihos enganasse, (ausses amities : blandices. 

AcASTipaukste, ade. en colere, par colere, 
par depit. 

Acasrapico, A, adj. qui se fläche aisement, 
eslerique , emport£, irritable, susceptible. 

ACASTADINO, A, adj. dim. d’Agastado, un 
yeu läche. 

AcastaDissıno, A, adj. super. d’ 

Acısrin0, A,Pp.P.d’Agastar. 

Acıstascna. V, 

AcASYANENTO, 5. m. mauvaise humeur; 
eewille,, Lüchberie ; emportement, colere. — de 
corapde , mal au caur, anzieie. 

Acısrär, v. e. faire metire quelqu’un en 
coltre , je fächer, provoquer, indisposer. 

Acastin-sE, e.r. se fächer, s’estomaquer ; 
beaffer de colere, montrer de l’humear; s’in- 
diguer,, s'emporter, se metire en colere. Se 
Burmenter Pesprit, se chagriner, @ire devor6 


Acastüna. V. Agasiamenio. j 

A’cıra,s.f. agate : pierre precieuse, demi- 
transparente. 

ACATARBÄDO, A, p. p. d’Agalankar. 

AcaTasmapüna, s. f. €gratignure : blessure 
Yegtre (alte en egratignant. 

ACKTANHÄR , ©. @. €gratigner, &grafligner : 
dechirer un peu la peau, la superflcie. 

A'carzs. V. Agala. 

+äAcırzisıos, s. m.pl. (t.d’hist. nal.) agathi- 
dies : genre d’insecies col6opteres. 

+ Acari, s. m. (1. de Bot.) agali : genre 
de planies lögumineuses, qui comprend les 
berbes et quelques arbres exoliques. 

F Acarina, s. f. (8. d’hist. nal.) agatine, uni- 
valre , bulle de Madagascar et de l’Amerique; 
perdrix. 


+ Acarızipo, A, adj. agatißd, agalis6 : 00n- 
ver, change en agate (bois), qui en a les qu& 
Nike, qui en imite Ja oonleur. p.p. d’ 

t asarızinse, o.r.(1.d’hist. net.) s’agaliser: 
prendre la transparence et l’aspoci de l’agaie. 

TAcıtr,, s. on. (8. de bot.) agaty, arbre, FO- 
binia du Malabar. 

Acıvsıia,V. E 

tAcirzs, s.m. (6. de bei.) agäaves s gente 
de plantes monocotyledones de l’Amerique 
mtridionele. 

Acıztıa. V. Gazile. 

Acızda. V. Gazue. 

+Acazoino, A, ads, on [ofıne de papse-paf- 
"ut, de rossiguel. 


AGG 


* A’GE , corruption d’Agil.V. 

* Acgızino. V. Ajaezado. 

* Aceınin. V. Amonioar. 

Acerripautnte, adv. commodement, & I 
portee de quelgw'un; de manitreä ne pasgenes 

AGEIıTÄDO, A,P.p. d’ 

Ackırik, v. a. plscer commodement; ar 
ranger avec gräce ; meltre & la portte de que 
qu’un ; s’adapter. 

* AczıTÄr-SE, ©. r. se placer commodement, 

® ÄGEITIVAR. v. Adjectivar. 

* Acsırivo. V. Adjectivo. 

Ackıcıa,, 8. f. agenoe , gestion : lacharge, la 
fonetion de Pagent et son bureau. Diligence, 
industrie, sollicitude, affaire. 

Ac£ncıänO, A, P.P. d’Agencier. 

Acancina. V. Genciana. i 

AGENCIÄR, ©. 6. procurer, solliciter, faire ob- 
tenir. Se charger d’une affaire. 

+ Aczncıös0, a, adj. diligent, actif. Officieux, 
obligeant. 

Acknpa,s.f. "agenda : notes de choses A 
faire ; petit livret de ces notes. 

Acznssıa, s. f. (t. de meöd.) agenesie : im- 
puissance, sterilite. 

ACGENTE , 8. m. agent : tout ce qui aglt, qui 
opere. —, celui qui fait les affaires d’une per- 
sonne. Negociateur : solliciteur.—de negocios, 
agent d’affaires. 

ACENTE, adj. 2 gen. actil, energique; plein 
de force, d’energie. p. ws. 

AczOoLHÄrR. V. Ajoelkar. 

+ ACEOMETRIiA, s. f. ageomelrie ou agkome- 
iresie : ignorance des &löments de geometrie. 

+ Acerito , s.m.(i.debol.) ageratouagetrate, 
plante corymbifere d’Amerique et de !’Inde. 

ACERMANADO, A, P. 2.d’ 

Acenmanir. V. Irmanar. 

+ AGERMANÄR-RE, 9. r. 8’associer fralernel- 
lement; se lier intimement. 

+ Acer, s. m. (1.de bot.) ageru, heliotrope 
des Indes. 

+ Acestipo, A,.adj. (qui se joint loujours 
aux adverbes bien ou mal) de bonune ou de 
mauvsise mine. 

Acsustia, s. f.( t. de med.) ageustie om 
agueusiie : privalion, aflaiblissement du goüt, 
maladie. 

ACGLOMERACAO, 3. f. sgglomeration : röu- 
nion en masse de parties (de sable, de neige, 
et0.); action d’agglomerer. 

ACCLOwMERÄDO,A,P.P.d’ 

+ ACcLoumnÄr, o. a, agglomerer, rennir en 
masse, en peloton. — se, v. r. s’agglomerer, 
etc. plus usilt. 

AccLutinackö, s. f. agglutination : reunion 
des chairs, des peaux ; l’action d’agglutiner. 

AccıurniDo, A,Pp. p. d’Aggluliner. 

ACCLUTINÄNTE, P. a. d’ 

ACCLUTINÄR, 9. 6. aggluliner. V.Congiulinar. 

AGGLUTIRÄR-SE, v. r. s’aggluliner;; se coller. 

+ AcoLutinarivo,&a, adj. agglutinatif: qui 
rapproche, unit. 


47 


48 AGI 


Accnıpvir. V. Graduer. . 

Accravagiö,s. f. l’actıon d’aggraver. (flg.) 
Augmentation du mal, de la peine, etc. 

ACCRAVÄDANENTE, adv. V. Pesadamente. 

ACGRAVADISSIMO, A, superl. d’ 

Accravipo,A,Pp.p. d’Aggravar. adj. (t. de 
pra£.) Celui contre qui on a prononce un arr£t. 
On le dit subst. Offense. 

AGCRAYADÖR, A, 3. el adj. celui qui aggrave. 

® AGGRAVAMENTO. V. Aggravo, Gravame. 

AcGraAVÄNTE, s. (4. de pral.) appelant : celui 
qui appellc, qui interjetie un appel contre un 
juge inferieur devantı un juge suptrieur. Ndo 
€ aggravado o—,l’aggravant n’est pas aggrave6. 

ACGRAVÄNTE, adj. 2 gen. aggravant : qui 
rond plus odieux , plus coupable. p. a. d’ 

ACGRAYÄR, v.a. aggraver : rendre piusgrief, 
plus grave. Offenser; irriter. Surcharger, oppri- 
mer. Exagerer. Ajouter & la faute coınmise. —a 

ena,o crime, aggraver la peine, un crime: 
"augmenter , le rendre plus grief, le charger. 
— o mal , augmenter le mal, Yaigrir, l’irriter. 

Accravir,o.n.(4. de pras.) faire ou inter- 
jeter appel d’un arre&t rendu dans le cours du 
proces. 

AGGRAYÄR-SE, U. 7. S’aggLaver, S’exasperer, 
s’augmenter; empirer. 

. aggravani : qui 
t Accravarivo,A, 0% Trend plus grief, 

f AGGRAVATÖRIO, A, adj. ( plus grave. (4. de 

pr.y”,quiaggrave. 

AccrAVvista, s.m. juge de la cour supr&me 
de justice ( en Portugal) qui döcide sur un ap- 
pe) de proc&s. 

Accrivo,s.m.* offense, griel, injure, preju- 
dice, tort, dommage. (1. de prat.) Appel äun 
juge superieur contre un juge införieur. V. 
Appellagao. 

Accaavöso. V. Gratoso. 

Accrepia. V. Acommelter. 

Accazcacäö, 3. f. agregalion , adjeclion, 
eoaptation. 

ACCRkECiDO, 8. m. agregat, assernblage, reu- 
nion de dilförentes choses, amas. 

ACGRECÄDO, A, adj. adjoint, annexe. Destine. 
p.p.d’Aggregar. Flores—as, (t. de bot.) fleurs 
agregees. 

ACccrEcÄR,v. a. Rassembler un troupeau , al- 
trouper. Agreger, aflecter, unir, coapter, an- 
ncexer, assembler, joindre, associer. Destiner. 

ACCRECÄR-SE (q), v.r. s’agreger, so joindre, 
s’associer A quelque oorps. — a alguem, 8’88- 
socier & quelgu’un pour voyager, s’allier ä lui, 
devenir son commensal, suirre sea sentiments, 
son parti. 

ACCRECATIYO, A, adj. qui agrege, qui unit, 
etc. 

AGCRBCATO. V. Cumulo , Aggregado. 

Accnzssiö, s. f. agression. V. Acommeli- 
menio, 

Accazssivo, A, adj. qui allaque; offensif. 


Accrassön,, A, 5. agresseur : celui qui alla- 


que le premier. Assaillant. 
° Acıazipo, Acıazan, V Ajaszar, olc. 





AGI 


ACICANTÄDAMENTE, ade. comme un geant; 


d’une maniere giganlesgue. 


AGIGANTÄDO, % , adj. gigantesque : qui lient 


du geant. (Ag.) Extraordinaire , prodigieux, 
enorme. p.p.d’ 


ACICANTÄR, ©. a. agrandir, accrolire, exage- 


rer. —se,v. r. grandir considerablement; se 
distinguer, se signaler, surpasser tous les 
aulres. 


A’cıL „adj. 2 gen. agile, l&ger, prompt, leste, 


erpeditif, degage. 


AcıLıpine, s. f. agilile, legereis, prompül- 
tude, prestesse. 

AcıLissıno,A, adj. superl. d’Agil. 

AcıLıTÄDO ,A,p.p. d’ 

AcıLıria,t. a. degourdir, rendre agile, ex- 
peditif. Faciliter, disposer a. 

ACILITÄR-SE, v. r. se dögourdir, se rendre 


agile. 


A'CILMENTE, adv. agilement : avec agilile. 
* Acinua. V. Asinha. 
A’cıo, s.m.( t. de comm.) agio : l’excedant 


qu’on prend sur une somme pour se dedomma- 
ger des chances; inter&t d’argent pre&te ; specu- 


lation sur la hausse et la baisse des ellets pu- 
blics. V. Agiolagem. 

Acıöcraro. V. Hagiographo. 

° Acıoınär. V. Ajoelkar. 

AcıoLöcıo. V. Hagiologio. 

AcI0sımÄndao, s. m. agiosimandre. 


Acı0TADOR, 3. m. agioleur : celui qui fait 


l’agiotage. 

Acıoriceu, 3. f. (1. de comm.) " agiolage : 
commerce usuraire. Agio, escompte. il.—, "Ira- 
Sc sur l’argent, sur les effets publics ou de 
commerce. 

Acıorir, v. ®. agioter : faire l’agiolage. 
Acıorista. V. Agiolador. 
Acıaonino,A,Pp.p.d’ 

+ Acıronär, o. a. dechiqueter une &tofle :: 
e’etait anciennement garnir un habit de piöces 
dechiquetses. 

Acırackö, s, f. agitation : ebranlement: 
mourement en sens oppose. ° Batlement, se- 
cousse, frötillement. (Ag.) —, fermentation , 
division des esprits, des partis. if. Emotion, 
alteration , inquietude de Fesprit, trouble. 

Acırapissımo, A,adj. superl.d’ 

Acırioo, A, p. p. d’Agilar, adj. (fig.) Fluc- 
tueux,, agitö, trouble, battu,, combattu, excitc, 
pousse, discats, examine, debaltu. Questdo 
bem agilada,, question bien debattue. 

ACITADOR, A, 8. agilateur : celui quiagite, qui 


‚fait mmouvoir, courir, qui excite A travailler. 


Acırtante, adj. 2 gen. quiagite. p. a. d’ 

Acıria, v. a. agiter,, secouer, baitre, ebran- 
ler, remuer en divers sens. — uma questäo ‚um 
negocio, agilar une question, une aflaire : la 
discuter, etc. 

AGITÄR-SE, d. r. s’agiler, se remuer, se Iroü- 
bler. (fg.) Se tourmenter, s’inquiöter, se Irou- 
bler. 

+ AcıräveL, adj. 2 gen. qui peut @ire agile. 

AGITÄVELMENTE, adv. d’une maniere agilc 


AGO 
u, 8. f. (1. de mdd.) sgiatistion. 


4 Ari ‚ ef (1. de med.) aglutition : 
impossibalite d’avaler. 

Acnicid, s. f. agnation : qualits des agna®, 
fen de consanguinile entire eux. 

Acsino, A, adj. agnat:collatsral descendant 
par mäle d’une meme souche masculine. 

TAcsırmas, s.f. pl. (1. d’hisi. nal.) agnathes 
ou bacelles : nerropteres. 

AcyıTicıo, £, adj. agnalique:qui appartient 
aux agnals. 

Acsetixıs (moldas), s. f. pl.° agnels: an- 
eienne monnaie d’or de France; elle portait 
pour empreinte un agneau. 

Acnıcıö,s. f. (l. pol.) reconnaissance, l’ac- 
tige de reconnaltre une personne; peripelic. Il 
ne se dit que des changements qui se reucon- 
trent, solt dans les po&mes dramatiques , soil 
dans jes po&mes Epiqucs. 

Aı'c0. V. Cordeiro. 

Acno-CisTO, 8. m. agnus-Castus, vitex : ar- 
buste d’ornement, odorant; espece de gatilier. 

ACNÖHE, 8. @. surnom. 

+ AcsomınaCiö,s.f. allusion au nom, simi- 
ltade de noms ‚de mots. V. Alcunka, Appellido. 

Ac .0-PÜRO. V. Agno-easio. 

f Acxo-scrstico, s. m. (f. de Bol.) agnus- 
seysticus,, plante de la Tartarie. 

tAcnosterıo, s. m. lieu de purifkcation, 
sanciaaire. Inus. 

Acsts-Dei, s.m. agnus : eire benite par le 
pape, sar laquelle est imprimec la figure d’un 
agnesu. Ancienne monnaie d’Espagne. 

A’coa, elc.V. Sgua,eic. 

Acuce 8. m. agoge : rigole pour l’eau dans 
es mines. 

+ Acucaco , adj. Sentido —, clair (sens), pa- 
tent: qui se presente naturellement, 

Acbıao, eic. V. Agouro, etc. 

AcoLrEiso, AcoLrzia. V. Golpear, eic. 

ACOMABO, Acomin. V. Abrolkar, 

Acoula, s. f." couteau des Alricains. 

Acosiı. V. Gomil. 

7 AcowıL.inpo,sdj.quia la lorme d’aiguldre. 

Acousino, Acouuin. V. Engommer. 

TAcon,s. m. (l.d’ent.) combat, jeu public. 
(8. de bot.) * Bugrene, plante. 

Acosiszs, 3. et adj. f. Pi. agonales : fütes en 
[henneur d’Agonius ou Janus. 

AcöEE , 8.0. sacrißcateur. (1. d’hist. nel.) 
Agene : esp&ce de pelite alose, 

TAcosconi00, A, adj. Estilo —,, pindarise 
(style), aflecıs, enlie, qui imite le style de Gon- 
gesa (peöto espagno! ). V. Gongorista. 

Aconia ,s. f. agonie : le dernier oombat de la 
asture contre la mort ; lat d’un malade & l’er- 
wienits.(flg.) — ‚ affliclion extreme, angoisse, 
grande anxiele, peine d’esprit, 

Acomıkp0, A,adj.p.p.d 

AcOmıÄR, ©.@. chagriner, causer du chagrin, 
sürister, afläger queigu’un. 

ACONIÄR-SE, ©.r. &prouver des angoisses ‚se 


FORT.-FR, 






AGR “ 


senlir oppresat ; se chagriner, s’MMlliger. — com 


alguem , se fächer avec quelqu’un , lui montree 
de l’bumeur. 

ACONISIDAMENTE, ado, avec angoisse, 
AconısiDo, A, adj. p. p. d’Agoniser, 
AGONISÄNTE, adj. et 8. agonisent : qui est & 

l'agonie. p. a. d' 

Acoxısir, o.a. aider un moribond & bien 
mourir, & mourir en paix. 

AGONISÄR OU AGONIZAR, ©. 9. agoniser : ötre 
äl'agonie. (4g9.) V. Agoniar, Agoniar-se. 

T Acomistäncna,, s.m. (Lt. d’ant.) agonistar- 
que : president des combats, des gymnases, 

Avuxistica, 8. f. agonislique : partie de la 
gyınnastique relalive aux combats. 

Acosistico,, adj. m. agonistique : mission- 
naire des donatistes, 

AGONOTRETA, 8. m. (1. d’anf.) agonothöte: 
president des jeux sacres, 

AcÖRA ‚ade. maintenant, ä present, presen- 
teınent, dans ce moment. (conj. distrib. ant.) 
Soit que, ou bien que; tanıöt. Ex. — venhas, 
—ndo venhas, solt que tu vicnnes, soit que 
tu ne viennes pas. — quer uma cousa, — quer 
owira, tantöt il veut une chose, tantöt il veut 
une aulre. — mesmo, tout ä l'heure, & l’heure 
qu’il est. Por —, pour le prösen!, pour le 
moment. Desd’— em dianie, dorenavant. Ald u 
jasqu’& present. Maintenant, au lieu d’agora, 
on dit ora avec les memes acceptions. 

ACORENTÄDO, A, adj. p. p.d’ 

ÄACORENTÄR, ©. &. Couper tout aulour. (fg.) 
Economiser, röduire, retrancher. 

Acosrinno, a, adj. qui suit la regic de saiut 
Augustin (moine, religieux, etc.). 

Ac6ö$T0, s. m. aoüt : le huitidme mois de . 
Pannde solaire. L’aoüt : la moisson, le teınps 
de la moisson. 

Acorin. V. Esgolar. 

ACOCRÄDAMENTE, adr. par augure. 

ACOURADISSINO, A, adj. sup. d’ 

AcouaiD0, A,9.p.d' 

Acorrin, o. &. augurer : prädire l’avenir 
suivant les regles de la scienceaugurale ; de- 
viner, pronosliquer, pr&voir,, pressenlir, 00R- 
jecturer. Intimider avec des augures. —revdzes, 
damnos, redouter des accidentis. 

Acovkir-sE, v. r. prendre augure, s’inli- 
mider soi-meme avec des augures. 

ACOUREIRO, A, 3. augure, devin : celui qui 
devine, qui predit; qui croit aux augures. 

ACOURENTO, A, adj. presageant , qui annonce 
les choses omineuses ; superstitieux. 

ACÖTRO,, 8. m. augure, Presage : signe par le- 
quel on juge de l’avenir; divination; tout ce 
qui presage (sinistre, bon, maurais—). 

"Acna. V. Agro, 

Acrıcanimpı,s. f. agra : bois de senteur de 
la Chine. 

ACRACIÄDO, A, adj. gracieux. V. Engragadao, 
p.p.d 

ACRACIHÄR, ©. @. avanlager : donner de la 
Btäce,, cmbellir, rendre gracieux, agreable, 


5 AGR 


Gratifier , faroriser, seoorder une gräce, falto 


une liböralitö,, un don. 


Acrico, s. m. verjus : raisin cuciiH avant sa 
maturits et le jas dece raisin. Rm — (loc. ade.) 
hors de saison, prematureınent. Longar 0 — no 
olbo, (Ag. et prov.) trailer quelqu’un avec 
amertume, lui faire de la peine, lui eauser du 


deplaisir. 


+ Acrico, adj. augm. d’Agro, Ires-algre. 


P. us. 
ÄACRADABILISSIMO,, A, adj. sup. d’Agradavel. 
AcrADÄDO, 4,9. p. d’Agradar, adj.satislait, 
ravi, charme, enchante, centent (de quelque 
personne ou chose). Estouw mui — d'isto, cela 


m& platt beaucoup. 
Acrapin. V. Gradar (a terra). 


Ackıpir(a),v.n.plaire, agreer, complaire, 
@tre agreable;; #tre bien venu ou bien accueilli ; 


prendre plaisir, trouver bon. 


Acrapin-se (de), v.r. prendre du goüt pour, 


&tre content de, aimer A voir, se complaire. 


ACRADÄVEL, adj. 2 gen. agreable, beau, dour, 
reereatif, avenant, gracieux, qui platt. Il est 
aussi s. L’agreable, tout ce qui plalt. Misturar 


o wtil com o — , meler l’utile ä lV’agreable, 


AGRADÄVELMENTE, adv. agreablement, d’une 


maniere agreable. 


ÄGRADECER (a), ©. a. reconnaltre un bien- 
feit, un service, remercier (de), s’acquilter, 
rendre gräce , savoir bon gre, etre oblige,, 1&- 
moigner sa reconnaissance. — a Deos os sous 
dons, remercier Dieu de ses dons. Agradego- 
Ihe muito 0 seu favor, obseguio, je vous re- 
mercie beaucoup de votre complaisance. Eu 
ndo IN’o agradero, je ne lui en sais aucun gre. 

ÄCRADECIDANENTE, adv. arec gralitude, avec 


retonnaissance. 

Asrıpezcipissıno , A, adj. sup. d’ 

ACRADECIDO, A, P. p. d’Agradeoer, adj. sen- 
sible, oblig6, reconnaissant. 

AGRADECIMENTO, 8. m." gratitude,, reconnais- 
sance, remerciment. 

ACRADECIVEL, adj. 2 gen. digne de remerci- 
met, 

FACRADEClVELMeNTE,ade. de manidre & me- 
riter du remerctment. 

A0oriDO, s. m. ayrement, douceur, bonne 
gräce, obligeance, affabilit6; consentement, 
approbetion, volonte, plaisir, gott, bienveil- 
lance. Com —, graciensement, obligeamment, 
Serdo--d’alguem,plaire,conrenirä quelqu’un. 

Acgapuaci6, AGnadOAR, eic. V. Gradue- 
go, ete. 

A’GRANENTE, adv. aveo algreur, durement, 
söverement, tadement. 

* kanid.YV. Agrido. | 

Acrapim, #. m. espece d’agrafe. V. Alamar. 

Acrinıo, A, adj. agraire: qui appartıent aux 
chatmps, aux terres. Lei —a, lol qui regle la 
distribution, le partage des terres. Loi des 
Bontains relativs & la distribution des lerres 
conquises, 

Aunısso, V. Agrago. 


"hanis, V, Agro, dgrego, 


















AGH 


A'oae,. V. Ayro. 

" Acr£ıLa. V. Aspereza. 

Acktsre, adj. 2 gen. agrent£, rastique , Bau- 
vage, champ£tre. (fg.) — , grossier, dur, sau- 
vage, rastaud, paysan. 

TA’crıa, s. f.(l.de m£d.) agrie, herpäs : 
dartre corrosive ; pustule maligne. it. (t. d’hist. 
nat.) " Agrion : insecte n&vroptäre de la famille 
des libellules ow demoiselles. 

Acnıiö, s. m. Ackıögs, plur. cresson d® 
fontaine. Chapelet (maladie du chevat). 

* Acrıästıco, A. V. Agreste, Campesire. 

AcricoLA, 3. m. agricalteur:: celui qui 8’ 
donne & Yagricaltare; homme des champs 
tullivateur. dt. adj. 2 gen. Agricole : adonne 
Pagriculture. Poro, napdo — , peuple, natiom 
agricole. 

tFAcrlcorin, adj. 2 gen. qui appartient & 
’agriculture ou aux cultivaleurs. 

AceicuLTiD0,A,P.9.d’ 

AcricuLrir, v. a. cultiver la terre. (Äg.) 
Gapner, obtenir, profiter. 

AckicoLrör, s. m. et adj. agriculleur, culü- 
vateur : celui qui cultive la terre. 

AcricuLrüra, s. f. agriculture : l’art de cul- 
tiver la terre.* Labourage, culture de la terre. 

AGRI-DÖCE 0% ACRIDULCE, adj. L gen. aigre- 
doux , qui a un goüt meld d’aigre ei de doux. 

Acrırörıo. V. Aquifolio. 

AcrıLH0iD0,A,9.9.U 

ACRILHOÄR, v. a. enchalner, meltre les lers 
aux pleds A quelqu'un. 

AcrımEnsäö, s. f. agrimensalion : arpentage 
des terres. 

AGRIMENSÖR, 3. m, agfimenseur, arpenteur, 
oerquemaneur : celui qui arpente , qui mesure 
les terres. 

ACHIMENSÖRA, 3. f. * arpentage, cetqucma- 
nage : mesurage de la terre; art d’arpenter. 

Acrımönıs, 8. f. (t. de bot.) aigremoine ; 
plante rosacee , medicinale. 

+ Acnıon. V. Agria (1. d’Nsl. nat.). 

T Acrıönıas, s. f. pl. agrionies : feles de Bap- 

us. 


A0RtÖPBACO, 8. m. et ady. agriophage : qui 
ange les betes fEroces. 
Acaröra, s. f. agriote : espece de cerise sau- 


vage. j 

AcrıriLua, 8. f. (1. de dot.) agripaume :: cat- 
diaque , plante labide , me&dicinale. 

Aorirrı,s. m. (4. de chir.) agrippa : chfaufs 
venu par les pieds. 

AcRISALmÄDO,A,9.2.0 - 

AcakisaLHan. V. Grüalhar. 

A’oRO , 8. m. fonds de terre en rapport. (Ay.) 
Champ, terrain. 

A’GRO, A, ady. aıgre, acide, achteur: pi- 
quant au goüt. (Ag.) Apre, douloureux, fü» 
cheux ; choquant, offensant; raboteux ‚ m&ef; 
pierreux,, en parlant des ckhemins, 

Pe V. Agridoes, 

ÄCRÖGRAPHO, 5. m, agroppaphe alwur 
gui ecrit sur l’agrieultere, 

AGROMANCIA, 9, / Agtomancie, 


AGU 


tAmözzWO, 8. u. agramene : celui qui ha- 


bir acampagınc. 


4.20s0uUi4, 3. f. agronomie : th£orie de l’a- 


erirailure. 


ACRONUNICO, A, adj. agronomique : qui a 


1apport 3 lagronomie. 


ÄCKUNONO, 5. 8. agronome : bomine verse 


czus la theorie de l’agricullure. 


Aaupılt, s.f. ° agropile : bezoard des cha- 


mans , des cheires. 


Aceoziıno, 3. m. din. d’Agro, s. et adj. 


dım. d’Agre ‚adj. 


AcacHıl150,4,9.p.d’ 


ACaCTzELir, ©. a. grumeler : reduire en 


grumeaar. 


ACECHKLiR-SE, ©. 7. 86 grumeler : devenir 


en gramescx. 

ACRCHETIAB0, A,P.p-d’ 

Acztöugtir, ©. a. (1. de mar.) fournir un 
valsseau de mousses. 

Acalri00, A,Pp.p.d 


Aatrin,c.a. (l.de peinl. ei sculpt.) grou- 


Fir: mellre en groupe. 
dasas,s. f. aigreur: le suc aigre de quel- 
ques fraits ei de quelques plantes. (Ag.) * As- 
senblage darbres qui portent des fraitsaigres; 
apret& d’onterrain, d’une montagne. 
Acaypsia, 5. f. agrypnie : insomnie. 


J’ica ou AcoA,s.f. eau: un des qualre pre- 


teudus &lements , corps fiuide et Iransparent, 
sans odeur et sans couleur. On le dit dans los 
deus langues : de l’eau naturelle, de l’eau ar- 
ußceielle ou composte , du suc de certains fruits 
et de certaines plantes. —doce, eau de riviere; 
— salgsda, eau de mer; — naliva, cau de 
scaree ; — circa, eau courante;— depe, cau de 
source; — worfa, eau dormante, siagnante; 
— de chucs , ea pluviale; — regia, cau r&gale; 
— erdenie, esu-devie; — rosada, eau rose; 
— benis, ean bezite ; — do Spirilo Sancto, eau 
baptismale ; — d’alleluia, eau benite le Same- 
d;-Saint; — forte, eau forte; — de cheiro , eau 
de seniear; — ferrea, sulphurea, cau ferree, 
salfareuse ; — ras, esprit de ter&benthine ; — 
eberla,(£. de mar.) voie d’eau : ouverture par 
eu Irau entre dans un navire;— cdi! gare 
Fezu! a0 dume d’—, & Nleur d’cau; — abaixo, 
aralant, a vau l’eau: en suivant le courant; 
-trriös , amont, contre le courant. (fig.) Diff- 
cilemeut; tesa ou leso d’ —,(1.de mar.)courant 
dene riviäre ; d lingua d’—, au bord de l’eau; 
abrir, fazer — um navio, faire eau, avoir une 
voie d’esu, en parlant d’un navire; como —, 
\ fan. en grande abondance. Entre acruze a 
—benis, expose A un grand danger. Estar em 
all 0 pescogo, oucom—pela barba , setrouver 
ea granf peril. Estar todo em — ou larado em 
—,!fam.) eire tout en eau , en sucur. Sem di- 
ser agua-vei, (fam.) sans dire gare. Trazer, 
ker — no bico, (fam.)it se dit d’une pro- 
wsiton adroite, captieuse. Vir a — d bcca, 
feaa Ini viens A Ja boucbe : Eprourer Ice de- 
sr, avoir Venvie de. Suar sangue e —, suer 
Jung ei can, faire dem efloris exiraordinaires. 






AGU 


Ndo dar nen uma stde d=, ne pas dos- 
ner le moindre secours. Estar como 0 peine 
w’— ,ötre comme le poisson dans l’ean, ötze ä 
son also, ne Manguer de rien. Saber Jovar a— 
eo seu moinho, avoir l’adressea de faire son 
proßt, eio. V. Moinho. Afogar-se em poua—, 
se noycr dans un verre d’eau. —s, plur. eau: 
lustre, brillant des perles, des dianrants et de 
queiques auires pierres. —, urine. Verter —, 
uriner , pisser. — falsas, eaux qu’on trouve en 
creusant la surface de la terre, et qui ne pro- 
viennent d’aucune source, — menores, (i.de 
mar.) le flux et reflux quotidien. — morias ou 
quebradas,, morte eau:: les plus petites mardes, 
— OIDGS, CAUX vIves, vivos eaux, Brandes ma- 
r6es. — verientes, les. eaux de pluie qui des- 
cendent des miontagnes, et le lieu ou elles 
tombent.-—— aorinhas, aigues-marines : pierres 
precieuses qui ont la couleur de l’eau de mer. 
— furladas, galetas, mansarde. Estar enire 
duas —, (fig. fam.) nager entire deux eaux: 
eire irr6solu. Pescar em— envollas , p&cher en 
eau trouble ; faire son profi pendant les Irou- 
bles, la division et les malheurs publics, — do 
rosio, cosmetiques. 

fAcui,s. m." orapaud du Bresil. 

tAcuacirg, s. m. fruit des Indes qui rep- 
semble ä la poire. Laurieravocat, 

Acvacir.V. Pantano. 

Aovackina, 8. f. V. Agoaceiro. it. Boisson 
aqueuse. 

Acuac£iRO, 5. m.“ averss, ogılde : plule su- 
bite et abondante. 

Aovackxro, A, adj. marecageux; fort Ins- 
mide. 

tT AcauscHitra, 5. f. (f. Pop.) piquetie : Ia- 
vage, cbasse-cousin: mauvais vin, mauvaise 
liqueur, 

A’rcvina,s. f.(t. de mar.) aiguade : prori- 
sion d’eau douce pour un vaisseau." Liea d’ai- 
guade. (t.de peint.) Aquarelle, laris, camaloe. 
it. Peinture en detrempe. 

Acuad£ıno, 8. m. porteur d’eau. 

AGuaD£ıno, A, ady. qui garantit de la plate. 
Capo —a.V. Gabäo, Croga. 

AcuapiLHA, 3. f. scrosit®, hameur clatre et 
Quide dans Ics plaies ct les boutons, 

Actino,A, p.p.d’Aguar. adj. mels d’eau, 
od il ya de Peau melce. Fourba. Il se dit des 
chevaux ättaques d’une fourbure. G6sto—,(lg.) 
plaisir ınel& de qucique disgräce. Tedos os 
gostos desta vida sdo —s,iln’yapointde plat- 
siren ce monde qui ne solt mel& de quelque 
adversite, 

AGUADOR, 3. m. arrosoir. ff. Gehui qui arrose, 
V. Regador. 

Acvapüra. V. Aguamento. 

ACtÄGEM ou Acvacs, 8. f. (f. de mar.)* co» 
rant rapide dans la mer ; mouvement continusl 
des vagues. 

Acvami,s. /. nom d’as poisson que !’on p®- 
che sur la cöte do Cezimbra { entre Lisbonne et. 
Setubal), 


52. AGU 


AGU 


Acvamie ou Acua-Mmiı, 8. f.(t. de chim. | regarder attentivement. — os dentes, aiguiser 


esu-mere. 

f Acvassir ,s.m. animal maria. 

Acva-meL, s.f.* hydromel : breuvage fall 
d’eau et de mıel. 

ACUANENTO, s. m." fourbure, efllanquement 
(maladie des chevaux'). 

AcuaNTaR ‚etc. V. Aguentar. 

+ Acua-P£, 5. f. piquette. it. s. m. (1. d’hist. 
net.) Aguape : nenuphar du Bresil. 

AGUAR, v. a. arroser d’eau, moulller, meler 
d’oau. ( Ag.) Troubler un plaisir ; frusirer, 
wraverser. — um ca ‚ rendre un cheval 
fourbu. — 0 oinko, Iremper son vin. — 0 

azer, troubler le plaisir. — ascores, amortir 

es couleurs , les deiremper. 

Acvirn, v.». ou AGUAR-SE, do. F. se remplir 
d’esu , en parlant d’an lieu quelconque. Deve- 
nir fourbu, en parlant des bestiaux, surtout 
des chevaur. 

+ Acvani-ronpi, 8. f. (1. de bot.) aguara- 
ponda : herbe du Bresil , qui s’eleve considc- 
rablement : ses fleurs ont la couleur et ’odeur 
de la violette de mars. 

® Acuanpa. V. Esperanga. 

AcuanpänO, Acuandan, etc. V. Esperar, etc. 

® Acuanpeckn. V. Agradecer. 

ACUARDENTE, 8. f. eau-de-vie : liqueur forte 
tiree par distillation du vin, ducidre, du bie, 


da riz, des figues, etc. — de cabera, la pre- | P 


mietre et la plus forte eau-de-vic qu’on distille. 
-— de herve dssa, fenouillette, anisette : li- 
queurs. —d’arroz, arak. — d’assucar, tafla. 

ACUARDENTEIRO, 8. m. marchand d’eau-de- 
vie : brandevinier. 

+ Acvanpo,s. m. (l.de chasse, allüt : licu 
o& l’on attend le gibier. 

AGUAR£LHA ou AQquan£ıra, 5.f. (f.de peint.) 
aquarelle : peinture en couleurs & l’eau. 

f ACUARELLISTA 0m AQUARELLISTA, 5. mM. 
Pintor — , aquarellisie: qui peint & l’aquarelle. 

ÄACGUARENTAR, etc. V. Agorenlar, etc. 

Acuäsıco,. V. Agarico. 

" Acvasır. V. Guazil et Aguazil. 

f Actaxıma,s. m. (fl. de bol.) aguaxima: es- 
pöce de poivre du Bresil. 

° Acuca. V. Pressa. 

® ACUCÄDAMENTE. V. Apressadamenle. 

Acrcapkıra, s. f. picrre & aiguiser. dl. A 
V’huile. it. adj. f. Qui aiguise. (fg.) Qui excite 
(Vappeut). 

GUCADEIBINBA, 8. f. dim. d’Agugadeira. 

AcutiD0,4A,Pp.p. d’Agurar. 

AcucaDör , s.m. aiguiseur: celui qui aiguise. 

AGUGADURA, 3. f.” aiguisement : l’aclion d’ai- 
guiser. 

ACUGANMENTO. V. Agupadura. 

AGULGAR, ©. a. aiguiser : &moudre : rendre 
aigu, plus pointu, plus tranchant. (Ag.) Sti- 
muler, inciter, exciter, animer. — a lingue. 
V.Aflar a lingua. — v engenho, 0 jwizo, ai- 
guiser l’esprit, le rendre plus subtil. S’appli- 
quer attentivement & connaitre quelque chose 
ou & sortir d’une difliculie. — a risie, ( fig.) 


les dents : se preparer & bien manger. A netes- 
sıdade aguca 0 eniendimento, la necessitd al- 
guise l’csprit. 

Acucir, v. #. monter, pousser. As folkas 
das arvores para cima, les arbres 
poussent leurs feuilles vers le ciel. 

+ Acucia-De-Lö (i. demar.) aller au vent, 
naviguer sar le vent. V. Barlaventear. 

+ Actgin-sE, v. r. s’aiguiser,, s’affiler, s’&- 
mouvoir, se rendre plus diligent. it. Se forına- 
liser, resister &. 

® Actcösamente,. V. Diligenfemente. 

* Actcosissımo, A, adj. sup. d’ 

* Acicöso, A, adj. diligent, applique, at- 
tentif. 

AGUDAMENTE, ade. en pointe, de forme aigud. 
(fg.) Finement, ingenieusement, adroitement, 
spiritucllement. 

* Acvoar-Sse, V. Ajuder-se, Agupar-se. 

Actoe ow AcioraA, s. f. fourmi allee. 

Acvofzı,s.f. Ancsse du fllou de la pointe 
d’un instrument pergant ou tranchatıt. ( 19.) 
Vivacits , perspicacite , penetration , esprit. 
Pointe, saillie, bon mot, rencontre, esprit, 
dit; force , inesse d’esprit, du discours, d’un 
mot. Dizer —s, dire des bons mots. Vender—s, 
se donner pour homme d’esprit, qui dit de bons 
mots. Posta d’—-s, poäte qui ne fait que dcs 
ointes. 

ActnıLuo. V. Agudinho. 

Acipinuo, A, adj. dim. d’Agudo. 
Actpissımo, A, adj. sup. d’ 

Acipo, A, adj. pointu, aigu, lermine en 
pointe tres-Iine. (fig.) Fin, delie, subtil, spiri- 
tel, ingenicus. Joli, saillant, & propos, en 
parlant d'un mot, Penetrant, aigu, vif, pi- 
quant, percant, poignant, en parlant de la 
douleur. Aigu, en parlant d’une fidvre violenle 
et dangereuse qui se termine bientöt. Percant, 
fin, en parlant de la voix,, de l’ouie, de la vue. 
(fam.) Prompt, expeditif. Accenlo—, (’)accent 
algu (de droite a gauche en portugais). Som —, 
son aigu clair, pergant. Malesiia —a, maladie 
aigu& : violente ei dangereuse. Fenlos —s, 
vents froids et pergants. 

Acuposıxuo, V. Agudinho. 

+ Ace£ıro, 5. m. rigole pour condulre les 
eaux de pluie dans les routes ou dans les 
chanıps. 

ACUEXTÄDO, A, 9. pP. d’Aguenlar. 

ACUENTADÖR, A, 8. celui qui supporle. 

ACUENTAR, ©. @. supporler, essuyer, endu- 
rer, souflrir, porter. Soulenir, maintcnir; tenie 
bon ou tenir ferme. — as bigolas, (I. de mar.) 
amarrer les caps de moulon aux haubans. 
— um moildo (id.), estroper une poulie. 

AGCRNTE ou AGUANTE, s. m. (I. de mar.) 
force du navire pour resisier au vent; charge 
qu’il peut porter. 

ACGUERREAR, lc. 

ACUERREIRAR, Eic. } V. 4guerrir. 

ÄACUERRIDO, A, P. P. d’Aguerrir. 

ACTERRILHADO, A, P. p, d’Aguerrilhar, 


AGU 


}ÄSCERRILEAR, 9. a. former en gueerillas. 
V. Saerrühks, 

TACCEREILBAR-SE,, ©. r. 30 [ormer en guer- 
riss. V. Guerrilke, 

ACTERRIR, €. 8. aguerrir : accoulumer & la 
pierre ,ä ses [aligues, a ses dangers; (fig.) ä 
ka fatigue, ala peine, eic. 

A’ccıa,s. f. "aigle : oiscau de proie. —, mon- 
nare d’er qui avait cours sous Charles V.—, 
priacipale enseigne des arımees Fomaines. —, 
comsiellsion de I’hemisphere septientrional. 
($#9.,; — beume d’un genie, d’un lalent, d’un 
esprit superieus. — imperial, aigle imperiale, 
les; armes delempire, qui sontune aigle a deux 
iies. — brence, ordre ıwilitaire de Pologne. 
— asgre, ordre militaire en Allemagne. Olkos 
d-. yeaz d’aigle,, tr&s-pergants. —sTOmanas, 
sigles romaines. 

+ Acrıa 20 Baaırır. V. Caracara. 

+ Acrıa ounınarıa (f.d’kist. nal.) aigle com- 
wen. 

+ Ascıa resguzıaa (t. d’hisl. nal.) aigle pe- 
chear , "balbuesard : aigle demer,craupöcherot, 
cerbean p£chenr,, oiseau de proie. 

t Asuıı BRARALYA OU DE CAUDA BRANCA (1. 
F’hist. nat.‘ pygarzue om aigle A queue blanche 
et & jambes nues, oiseau de proie. 

$ Actıa-REAL Ol GRANDE AcUIA DA EUROPA 
(1. Ehist. nei.) grand aigle. 

} Acruas SE ps ENMPLUNADOS (Il. d’hist. nal.) 


+ Acrus-UESORES DE Pils nüs (f. d’hist. na.) 
agies aulours. 

® kcerLanixto. V. Guia, Dirscgdo. 

’ Accıid.V. Guido. 

* Acerıanım0, A, adj. qui a des trous, des 
euvertares ; übchire. 

Acııtıno,, s. m. pieces de charpente. 

Aıbra, 8. f. dim. d’Aguia, petit aigle, 


A'crıLa , 3. m. alo&s : arbre des Indes, ä bois 
ederilerant et lourd. if. Plante d’Arabie, medi- 
enake. 

" ACCHERBO, A. V. Agwilino. 

Acıınmisa, 5. f. aiguillade : gaule pointue 
pur piguer les bauls. 

Actınaö,s.m.aiguillon, dard: petit piquant 
des mouches & miel, des gu6pes, des fre- 
lsas, ete. ° Aiguillade, aiguillon : pointe de fer 
gsi est au bout d’un bAton, et dont on se sert 
poar piqzuer les baufs. (fg.) ‚Aiguillon, €peron: 
tout ce qui incite. V. Estimulo. 

AcınnÄozismo, 8. m. dim. d’Aguilhdo, 

* Ace mar. V. Aguilkoor. 

Accumo. V. Agulkele. 

AcııımoaDa ,s. f. " coup d’aiguillon. 

ACCtLmOADO „A, pP. P. d’Aguilkoer. 

ACKILBOADOR , A, 8. ei edj. celui qui aiguil- 

“Ane, igur. 

+ AziLBOANESTO,, 3. mw. l’aclion et l’offet 

daguillonner. 

ALEILNOAR, ©. . aiguillonner, piquer aveo 

nn signilion. Ag.) — , exciter, inciter, stimuler. 


AHl 


® Acvlutı. V. Asinke. 
® Acuisa. V. Gwise. 
* Acuisinpautnte. V. Ordenadaments , Dovi- 


53 


* Acvısino, A, p. p. d’Aguwisar, adj. Juste, 
rsisonnable, conforme & la raison. 

° ACTISAMENTO. V. Gwisamento. 

° AcuISAR, 0.4. pr&parer, arranger, disposer. 

+ A’cuira ow A’cuinua, s. f. dim. d’Agua. 

Acöına, 3. f. aiguille : outil d’acier lonk et 
pointu & tdie perc4e. Echoppe : pointe de gra- 
veur. —, Döche : clocher d’eglise extir&mement 
pointu. —, obelisque, pyramide. Alguille d’hor- 
loge. —, une des eötes de devant d’un animal. 
— de tloucar, aiguille de I£te : grande aiguills 
dont les femmes se servent pour arranger leurs 
chevenx. Peize — , aıguille : poissen de mer. 

colehoeiro ou albardeiro , carrelet : grosso 
aiguille & pointe angnlaire dont se serveont les 
selliers, bourreliers, etc. — de lerdear,, lar- 
doire : instrument pour larder. — de ponla de 
diamansts, degorgeoir : outil avec lequel on 
nettoio et "Yon degorge la lumiedre d’un canon. 
-— de pastor, aiguille de berger, bec-de-grus, 
plante. — de fazer meia, aiguille & tricoter. 
— de marear, aiguille aimanıte , aiguille ma- 
rine : lame mobile de la boussole, compas d’a- 
zimutb. — ferrugenta ( ig.) V. Mexeriqueire, 
enredador. — de verrume (1.d’erti.) degor- 
geoir A vrilles. — de goivs , (id.) dögorgeoir & 
talon. — da bilacula, (1. de mar.) compas de 
route, boussole. — da cdmara, (id.) compas 
renverss. —s d’entralkar, (id.) aiguilles & ra- 
lingue. —s de palomber, aiguilles ä @illot. —s 
de coser, aiguilles A coudre. Buscar —cem pr 
Ikeiro. V. ce mot. 

AcvıHipa,s. f. aiguillee : piqhre d'siguille. 

Acvıniö, s.m. augm. d’Agulhs, grande, 
grosse alguille. 

Acunnar. V. Agwilhoer. 

+ Accıntıra (berva), #. f. (fl. de bot.)* cerleuil 
& aiguillettes, peigne de Venus, aiguillo de 
berger. 

AcuLufıro, s. m. alguillier : diui A melire 
des aiguilles. —, ouvrier qui fait des aiguilles. 
‘6. Trou. 

AcvLnfra,s. f. aiguillette : cordon, ruban, 
tissu , iresso, etc., garni de mötal en pointo par 
le bout. 

AGULBETBIRO, 8. m. alguillier : celui qui faiß 
ou qui vend des aiguilles. 

Acoısinua, 3. f. dim. d’Agulhe. 

Aciua. V. Agomia. 

® Acuona. V. Agora. 

+ Acuri ow corıa Do Baazır.,, 8. m. (f. d’hist. 
nat.) agouti ou acouti, quadrupede rongeur 
de ’Amerique meridionale. 

° AcuzO. V. Jus0. 

AcvYnıÄnos, s. m. pl. agyniens, sectaires qui 
ne voulaient de fommes. 

Au! inter). qui sert & ımarquer la joie, la 
douleur, Y’admiration, l’amour, eiec. Al! oh! 
helas ! 

Ani, adr. 1ä, eh cet endroit. = mesmo, ei 








54 AIR 


mems lieu. D’— a alguns diss, quelques jours 
apres, dans quelques jours. 
- +äAmoi,s. m.(t. de bol.) ahoua : graine d’O- 
rient, pour les couleurs. 
‚ ydovis, em. (ti. de bot.) ahouai : arbro 
da Bresil, apooyne. — menör , abouai des An- 
tlles. 

Auusrino,4,p.p.d’ 

Auustir,v. a. (i.de mar.) avuster, &pisser, 
wnir deux oordes par leurs bouts en entrelagant 
les fils : apister. 

“+ Audere,, s.m.(l. de mar.) "6pissure, avusle, 
s4uste : entrelacement de deux bonts de corde 
an lieu d’un nasud ; cAble d’ajuste.— d’amarras, 
pissure de cäbles. 

AL. V. Aki. 

A, 5. m. gemissement, soupir. — Jess, io 
benjamin. Dar dis, gemir, pousser des gänis- 
sements. Dar grandes-—s, se lamonter, jeter de 
grands cris. 

Art interj. ba! ba!alo! beias! — de mim 
— de fi! pauvre de moi! pauvre de toi! je suis, 
tu os pordu !—dos impios? malheur aux impies! 

Ara ,s. f. gouvernante, femme de chambre. 
» Ataıa,s. f. joujou d’enfanis. 

"+ Amsecxa, inter. peste ! poste soil de! 

+ Amunanci ‚s.m.espece de raiequivit dans 
ja mer du Bresil. 

AlnpA, adv. encore. — nd, Pas ENCOTe. — 
mais, de plus, encore plus, davantage. — ago- 
ra, dans ce moment möme, tout & l’heure, & 
present meme. — assim, nonobsiebt. — mal, 
albeureusement, par malheur. — dem, & la 

Byamno heure , heureusement. 

sr. „.INDA-QUANDO , conj. quand meme. 

"* AINDA-QUE , Conj. quoique, encore que, bien 
que. Lorsquo celie conjonclion est jointe a 
Fimparfait du subjonclif d’an verbe, elite dis- 
parait dans la traduction, et le verbe se rend 
on francais par le conditionnel present, et quel- 
quefois par le plus-que-perfait du subjonctif. 
Bx. 46 me comprasse milhares d’ellas 
(laranjas, etc.)näo Ih’as daria mais baralas, 
vous w’achtteriez des milliers (d'oranges , elc.), 
je ne vous les donnerais pas ö meilleur marche, 
Ainda-que fizesseis milagres, ndo vos darido 
eredito,, eussiez-vous fait des miracles on ne 
vous en croirait pas. 

A’10, 6. m. gouverneur,, pröcepteur. — d’ele- 
ghanse , cornac : conducteur d’elephant. 

Aupım, Aıpıt, IMPIM, s. m. (i.du Bresil) ma- 
nioc doux qu’on mange röti. Il y en a de plu- 
sieurs especes. 

+ Aıpıni, s. m. (1. du Bresil) plante bresi- 
lienne qui donne un fruit comme les petits pois. 

ArPo, s. m. ache : sorie de grand persil, ce- 
leri non cultive; persil des marais. — de Mace- 
donia. V. Salsa de Macedonis, 

* Maano. V. Irado. 

Aırkö, s.m. "aigrette de diamants, perles, etc. 
di." Plumes, fleurs, parare,, ornement de la t£le. 
(1. d’kist. nat.) Heron , grand oiscau aquatique, 
et son plumage. 

* AtRAR-sEe. V, Ärar-ıs, 











AJO 
Autına , 8. f. (1. de def.) airelte oumyrlälles 


arbrisseau de la famille des bruyeres. 


+ Ai, s.m. (1. du Brisil) espece de co- 


cotier. 


+ Aual-ruche, s. m. (t. du Bresil) "Gcello& 


pecher faite de !’ecorce du cocotier-eiri. 


AIRÖSAMENTE, adv. avce gräce, adroitement, 


el&gamment, agreablement. (fg.) Noblement, 
avcc honneur. 


Aırosipäne, s. f. gentillesse. V. Garbo, Gs- 
@ 


Ihardi 


Aınöso, A, adj. bien tournt, bien [ait, de 


bello taille, quia de la gräce, de la noblesse 
dans ses manieres. (fig.) Vainqueur, triem- 
pbant, victorieux. 


+ AısLäpo, A, adj. isole, seul, separe. V. 


Isolado. 


® Aıyica. V. Aiteca. 
Awivo.V. Alcado. 
+ Aıviö, s. m. martinet noir, oiseau sylvain 


(espece d’hirondelle). 


Amvtca,s. f."versoir, creille de charrue. 
+ Aizöi, Aızoon nIspanıcom , 8. f. (1. de bot.) 


* aızoone : plante ficofde. 


+ Aızöa BasTarpa, 8. f. (f. de bot.) espice de 


joubarbe. 


* ArıeEz. V. Jaez. 

AlıEziÄDO,A,P.P.d’ 

+ Asıezir, v.a. harnacher, metire le harnals 
& un olıeval ; caparaconner. Orner, paror. 

+ AsıxTarino, A, adj. qui tient lieu de 
diner. Almoco— , dejeuner-diner, ou dejeuner 
dinatoire. 

+ Arınnınäpe, A, adj. qui imite le Jardin. 

"Ayr.V. Ani. 

AIFTIVÄR. V. Adjecliver. 

+ Asıcöoa, s. m.(!.de bol.) ajicuba : arbris- 
seau du Japon: on 'mange le fruit, 

Aroaca. V. Enzoada. 

+ AloanETÄno, A, adj. qui a de gros ertells, 
de grosses chevillcs ou ıualldoles. 

Ascsınar. V. Josirar. 

Ayosınackd, V. Genuflexäo. 

AJOELNÄDO, A,P.p. d’ 

ArorLuÄR, v.n. s’agenouiller : teucher la 
terre avcc le genou, plier le genou jusquw’ä 
terre. 

AIOELHÄR-SE , v.r. S’agenouiller, se meine & 
genoux. (fig.) S’humilier , siabaisser devanı 
quelqu’un. 

Aroı. V. Sargo. 

+ Asonca ou Axorca, #. f. "bracelot, bague, 
annoau que ics Maures porient aux bras, au 
cou et aux jambes. Hl se dit ordinairement au 
pluriel, ajorcas. 

+ Asorncino, A, 0% AXORCADO, adj. Orm6, 
pare d’ajorcas. V. ce mol. 

AsonnaLino,A,P.P.d’ 

AIORNALÄR, ©. a. louer & la fournee pour 
travailler A tant par jour. 

AJORNALÄR-SE, ©. r. convenir de travafller & 
la journde. 

Arovsk00, A, A. P. d’Alowjar, 


PD 


AJU 
Astrauänro, s. m. Halson, aoceupioment , 
Taction d’accoupler. 

Locsin , ©. 6. sceoupler, Jolndre par cou- 
Bes; mettre deux & deux (les bestiaux , los 
eiens de chasse , ete.). 

Arötıo ‚s. m. " accouple ow couple: lien pour 
stacher les chiens de chasse, ete. 

’kyovıido,A,Pp. pP. d’Ajoviar. 

. AsOvIANENTO. v4 

“ kyovuam. V. Aesombrer, Alroar.. 

Asöpa, s.f. aide, secours, assistance, fareur, 
sppsi, encouragement, protection. *Lavement, 
diystere : remtde donn6 par l’anus. it. s.m 
Aide, second : celui qui est auprös de quel- 
qu’um pour servir conjointoment avec lui ei 
sous Iui. (1.de mar.) Braguetie.— da camara, 
valet de chambre. — de eusto, gratiliestion, 
imdemmnite, Irais de route. Com ade, moyen- 
nant, & lade de. Com a—dos eisinhos, (fam.) 
avec le secours des autzes. Com a — de Doos, 
svee je secours, ä Yaide de Dieu. Ndo busquss 
— 10 que possas fazer #6, no vous faites point 
aider dans ce que vous pouvez faire tout senl. 

"+Ascpapkıaa. V. Ajuda de custo. it. Femme 


Aıwin0,2,Pp.p. d’4yuder. 

Ascpıpör, A, 5. Celui qui aide, qui seconde. 
Alle, appni, protecieur, celui qui aide, quise- 

do parocho, vicaire : preise adjoint 
su cure pour l’aider dans son minisiöre. — do 
delicte , complice. 

* Aıcpanöuro, V. Adjwlorio. 

Amrpixte,s.m.(t. mil.etdschir.) adjudant: 
oficier subordonne & un aulre pour l’aider. 
— de campo , aide de camp. — de sargenio mör 
ou major, side-mäor. 

+ Aıcpäntg, adj. 2 gen. aidant : quialde & 
un aulre.p9.0.d’ 

Arcvan,e.c. aider, seeonder : seceurir, fa- 
voriser, assister , preier Ja main, 6en60ourager, 
protöger. — d missa, servir la messe. — abem 
sorrer, sider un moribond & bfen mourir, ä 
mourif, en paix. Assim Deos me ayude, sinsi 
Dieu me solle en aide ({ormule de jurement). 

Ascpan-sE (de oucom), dv. r. s'sider, se se- 
eourir. Prendre, chercher les moyens convena- 
bies pour parvenir & quelque but. — um ao 
ontro, s’aider !’un Yautre, s’entr’sider. Ndo se 

d’algum de seus’ memdros, ne 
pouroir s’aider d’aucun de ses membres. 

Asıcan. V. Adjudicar. 

* AICDÖLRO Ow AITDOYRO, V. Adjetorio. 

Asıtca, 8. f. (8. de bei.) bugle, bugrande, 
plante Iabide vivace. 

AltizänamÄnteE, ade. avec prudence, aveo 
diseretion , sensement, judicieusement, sage- 
ment 

Asvizino, A, adj. avıse, sens6, prudent. 
P. p. d’Ajuızar. 

Astizapon, s. celui qui juge, appre&ciateur. 

Ascizie,v.a. cin. juger: faire, porler, ren- 
dre un Jugement sar une chose. 

AseLır, v.a. (1. de mar.). V. Sotfavenfksar. 

AIGLATENTO, V. Julavenio, 


AJU 


Aruurinsmönse. 7. Junelomsmie, 

Asıurinn,A,P.n. d’Ajunlar. 

Asuntanor, s. m. collecteur, assemhleur. 

ASUNTADOURO, s.m. lien ou l’oau de pluie sg 
rAMASSC. 

„AJUNTAMÄNRTO, sm. * eomjonetisn , union 
liaison de choses ; r&union, comite. , Grandd 
multitude degens dans un Ileu ‚rassemblement ; 
societe , assombiee de personnes. Mariage, o 
pule charnelle. 

* AJUNTANCA. V. Ajuniamento. 

AIUNTAR, v. a. joindre, unir, assembler. ke- 
cumuler, Tamasser, rassembler, Accou 
— as camas, coucher onsemble. — as lstiras , 
assembler les leitres : &peler. — um exerallo, 
lever des troupos ‚ faire des lev6es. 
amasser de Pargent, des richesses. — a as 
com 0 valor, ou a manka com a forga, jeindre 
la force & laruse, coudre la peau du renard & 
celle du lion. 

AIUNTAR-SE, ©. r.'se r&unir, se rassombier 
dans un endroit, s’unir. Se joindre, s/appre- 
cher; s’associer. Avoir commerce &v66 uns 
femme. 

AlUNTÄVEL, ady. 2 gen. 

ASUNTÄVELMENTE, adv. 

AIURAMENTÄDO, A, adj. asserments, qui a 
prets serment, conjure. p.p.d’ 

AJURAMENTAR, d.'a. assermenter, obliger par 
serment, faire pröter serment; aflirmer avea 
serment. 

AJURAMENTÄR-SE,0.r.s’ongager parsorment. 
— conira algusem, conjurer, sonspirer contz® 
quelqu’un. 

Arusante. V. Vasanfe (da mars). 

AIUSTÄDAMENTE, ade. juslement : Avo0 fülS- 
esse, proportion, edgalit#; exzactemeni, au 

uste 


Pin peut sfassembler. 
osiavelmemtie: 


Asustapfssimo, A, adj. sup. d’ 

Asustipo, A, ?. p. d’Ajuslar, edy. arılld, 
accorde, convena , ajusie. 

ASUSTAMERTO, 8. m. STTangement : CORYEN- 
tion, accord , accommodement. V. Ajusie. 

Asustir,v. a. regler, conformer & la rögle, 
en parlantde la conduite , de la vie , des mars, 
des actions. Ajuster, assortir, proportionner, 
egaliser, accorder, faire cadrer, adapter, coß- 
former. (fig.) Traiter, arrauger, accomınoger. 
Goncilier, terminer, convenir, oonoerter. B4- 
gler. liquider un compte. Marchander, faire le 
prix, convenir du prix de quelque chose. Ber- 
rer, resserrer. Louer un homme pour travail- 
ler ä&un prix oonvenu par jour. — eonfas, (1. 
de comm.) ciore, fermor un compte. — da 
empreilada ou por um lanto, traiter & forfalt. 

A)DSTAR-SE (00m.), v. r. COMposer, conve- 
nir, s’accorder, faire un accord , une conven- 
tion, so concerter, se concilier, terminer & l’a- 
miable. (a) S’accommoder, se oonforıner, adhe- 
rer Al’avis,, opinion, goüt, volonts de quel- 

w’un. — com sua consciencia , agir d’apres sa 
conseienoe. — ou avir-se no prero, (#. de 
comm.)conrenir du prix. 





6 ALA 


Asiste, u. m. eohtrat, pacte, j 
accommodement, aecord,, marchs, concilie- 
tion, transsction.—de conias , arröts de compte. 
Conforwe ao-—, selon qu’on est convonu. Que- 
brar o— , rompre l’accord. 

*.AIUSTGAR, ©. 6. jusüfler. «4. Exöcuter. 
TV. Jushrar. 

+ Autzair, 8. f. (f. d’hist. nal.) akeesie : bel 
arbre savennier d’Alrique. On mange les fruils. 

"AL, pron. ind. autre, autre chose, divers, 
eontraire. Al poursel,au , 

" hri. V. Li, Acold. 

Ara,s. f. aile : döcoration des chevaliers de 
Yerdre de Ssint-Michel. Aile d’une armee; file, 
rangee de personnes ou de choses. " Corps de 
cavalerie qui couvro le flanc d’ume armee. 
*Flanc d’un bastion. il. Flamme, 

* kı1. V. Enulacampans. 

* aAranin. V. Gabar. 

Auasancıöso. V. Jaclancioso. 

Auaniö, s. m. ou adj. (gado —) brebis qui 
donnent du lait ( pour faire le (romage). 

° ALABANCA. V. Alavanca. 

ALanın-se. V. Jaclar-se. 

* Auanaaca. V. Abarca. 

Araniapa,s. f. ballobarde : pique avec un 
croissant de fer ä la naissance de la lame.—, 
arme que porte le sergent dans l'infanterie. 

AuanarnÄpa ,s. [. ° coup de hallebarde. 

AuLasanptıno, 5. m. hallebardier : garde ä 
pied qui porte la hallebarde. 

+ArLasanninas, adj. [. pl. (follas—, t. de 
bot.) hasices (Teuilles), imitant un fer de 
lance. 

+ ALasastaisa. s. f. lame d’albätre dont on 
se. sert ä la place des vilres. 

Auasastaino, A, adj. (!. depoes.) d’aibäire, 
comme l’albätre. 

ÄLABASTRITO, 3. m. alabastrite ; faux albätre. 

Aussisrao.s. m. albätre : espece de mar- 
bre, transparent, veine. (fg.) Blanc pur ; grande 
BMancheur. Peito, eollo d’—, sein, oou d’albätre, 
wres-blanc. 

Auican, V. Loera et Lacre. 

Auacır. V. Alaeir. 

+ Arıcia,s.m.(t.arab.) jus des ralsins ou 
des olives. 

+ Auscoino, A, adj. rubicond otgras, qui a 
- Ja couleur du Jambon. 

Auscor. V. Carltamo. 

Aracrai. V. Alserdo. 

® ALacaano, ALacaan. V. Lecrar, cic. 

ALACRÄO, 5. m. Scorpion : insecle venimeux. 

ALıcripäpe, ©. f. alacrild, galte, jolo ou- 
verte ; pr&sence d’esprit, aclivite. 

ALipo,A,adj. aild: qui a des alles. O mogo 
_. Cupidon. 

ALapa0iDO, A, adj. inclin6 A voler; qui vole. 
Peso — ‚faux pold3. 

® A-La-r£ (6 fe), adr. a la bonne loi, 

*ALArEMm, adv.V. Alkım, A-la-fe. 

Arıcapkırı, adj. f. prodigue. p. us. 

+ ALacapıckiro, A, adj. (1.us.dans le Bres.). 


| sm 


ALA 


Boi =, qui pälure (befuf) dans ics tessains 
maredcageux. 

Auacapico „A, adj. marsengeux : facile & 
inonder. On le dit du terrain. 

ALıGÄDO, A, p. p. d’Alagar, adj. submerge, 
convert d’oau ; trempe ; tout mouille. (Ag.) Ploin 
de; ruine, renvorse, abattu.— no mar, coulc & 
fond,submerge. Navios—se comidos das ondas, 
des navires submerges etengloutis dans la mer. 

ALAGADOR, A, 8. dissipaleur, prodigue, qul 
mange lout; gaspilleur. adj. Qui inonde. 

* AULACANAR. V. Lagamar. 

ALACAMENTO, s. m." inondalion , döborde- 
ment; submersion. 

Aracar,s.m. V. Lagar ei Alger. 

AuAcAR,d. a. inonder, ceuvrir d’eau, sub- 
merger, enfoncer, noyer dans l’cau. (ig.) Inon- 
der: envahir un pays. Dissiper, dilapider ; du- 
per, ruiner. p. us. 

ALAMGAR-SE, vr. sinonder, so remplir, ss 
eouvrir d’eau ; se noyer, couler & fond. (fg-) 
Se plonger (dans les vices, etc.). 

Auaıcha.V. Lagda. 

Auscdasinna, s. f. dim. d’Alagda. 

+ ALıcöso, A, adj. qui inonde, qui deborde. 

A-LA-GRBANDE ‚gßv. en grand seigneur, Ma- 
gnißquement. 

ALıcina. V. Laguna. 

Araınea , ALaseı.a. V. Alkella ou Alfella. 

* A-LA-BUMA,, ade. a la lois,, en möme lenıps. 

A-LA-LANGA 0% A’LARCA, adv. au large, lar- 
gement. 

A-LA-LHANA. V. Chamente. 

Auirın,s.f. (1. de med.) alalie : impossibilite 
de parler. . 

+A-ıı-uar, ade. & la mer : loin de la cöle. 

Aramir, s. m. brandebourg, gansc ; espeos 
de boutonniere ; cordon entrelace. 

ALASMARAÄDO, A, adj. avec des brandobourgs. 

ALiusan. V. Alamdre 

ALANBAZÄDAMENTE ‚adv. (l.pop.) avec gour- 
mandise, rgoinfre. (Ag.) Tres-grossierement. 

ALANnAZADO, A, adj. ($. Pop.) gourmand, 
goulu, goinfre, malotru. (flg.) Grossier, rustre. 
p.p.de Alambazdr, v.a. (1.de mar.) fauberter: 
balayer avec ie faubert. 

ALAMSAZÄR-SE, ©. Tr. (l. Pop.) se rassasior; 
manger excessivement, avec gourinandiso. 

ALAMBEL, 3.1. tapis de coulours unia'ou ray6 
pour couvrir les tables, etc. 

ALausicioo, A, adj. (fig.) alambiqus, Irop 
subtil, trop raline. p. p. d’ 

ALANDICAR, v.c. alambiquer : disüiller par 
alambic. (Ag.) Subtiliser. — 0 juizu, o cerebra, 
mettre l’esprit ä la torture. 

Aususiguz, s. m. alambic : appareil de dis- 
tillation. Por —, ( ig.) mesquinement : en pe- 
title quantit&, peu & peu. 

* ALAmBaOR,s. m.V. Escarpa. 

ALAMBORÄDO, A, adj. (f.de for!.) en escarpe, 
voüle, en voüle. p. p. d’ 

ALannonarR, 0.4. (L.de fort.) faire une es- 
earpe & un mur; donner la forme Je voüte, de 
dos d’äne. 


ALA 





ALA 37 


kuiwana, 8. f.*peuplier noir. dt. La resine ; de mar.) haler le canon en dedans. — deniro, 


qu'sa cılrait du peuplier commun et d’autses 
arbres. 

4LisuRE, a.m. ambre: sabsiance rösineuse, 
edorante,, inflamınable; succin. (fg.) Homme 
in. E'’ um —, ou fino com o — , homme fin 
comme lVambre : Ir&s- peneirant, tres-delie. 
F um —, ifam.\ c'est un neclar: en parlant des 
vins et des Iiqueurs agreables. 

ÄALAXDBEEADO, A, adj. ambre : coulear de 
Yamhre , qui a de llambre. 

Arımina,s.f. lieu plante de pcupliers. Allee 
de peupliers. 

ALSNEBIDO, A, P.9.d’ 

ALawrpir, o.a. disposer des arbres en are- 
200, eu allee. 

” ALAWENTAR, ALAMENTO, V. Alimenlar, Ali- 

men!o. ‘ 

ALımir,s. f. piece de harnais. 

*A-ı1-Niri,esier —, adv. guclier. 

+ Arauınk,s.m. (l.de mus.) a-mi-la, ton 
de la , qui donne le ton ä tous les instruments ; 
ia : ia sixi&me note de musique. il. Diapason : 
oaul d’acier a deux branches, dont so servent 
es musiciens, les Sacteurs d’instraments, pour 
prendre le ton : Il donne le la de l'orchestre. 

Atsso om A'LENO, 5. m. peuplier : arbre. 
— brancu. peuplier blanc. — negro, peuplier 
per. — libyco ou elpino, peuplier do Libye ou 
wennble. 

* Aranopnas, 5. f. pl. modes nouvelles. 

ALäupıpa,s. f. lainpe : vase pour mellre de 
Vbuile et une meche pour eclairer. 

ALANFABARIO, 8. m. °chandelle, girandole. 

ArLasrap&ıno. V. Alampadario, 

ALASCEADO, P. P. Ö’Alancear. 

+ AUASCEADOR , 3. m. celui qui frappe, qui 
biesse avec la lance. 

ALANCEANE.NTO, 5. m. l’aclion de frapper, de 
biesser avee une lancc. 

ALANCEAR,, v. a. blesser, frapper avcc la 
lance. (Ag.) Mortißler. 

ALASTLAR-SE, v. Tr. se blesser avcc la lance. 

ALANDRO, ALAaxpaufıno, V. Eloöndro. 

ALASBADO, A, P.P.d' 

ALASHAR,,t.G. nelloyer du poisson, le laver, 
Feventrer, l’etriper, lui öter les entrailles, 

+Arinos,s.m.pl. Alains : nom des bar- 
bares qui envahirent l’Espagne au oommence- 
ment du cinquicme sieclc. 

Ausstenna. V.Lanterna. 

ALantenxtino. V. kanlerneiro. 

Aus, s. m. alain, alan, dogue : gros chien 

&a chasser lo sanglier. 

° k-La-ran, adv. Ggalement ; & cOld de, 

ALuspanpiDo, A,P.p2.d’ 

ALAPARDAR-SE, ©. FT. s’accToupir, se lapir, se 
kenie eoi. (lg.) Se cacher. 

Aungceca. 7. Laquequa. 

Arıan,rvr.s. haler, enlever, soulever, üirer 
avee unc corde; bisser, hausser les voiles; 
monuier,, mettre cn Sie, en rangee, les troupes, 
des arbres, cic. —, ou meller a ooca dentro, (1. 


(id.) haler un cordage & bord. 

Auin-se,v.r. se haler, se soulevor, etc. 
(Ag.) S’diever aux bonneurs. Grimper, monter 
par les cordages. 

° ALaRaABK. V. Arabe. 

ALARANIÄDO, A, adj. orange : conleur d’o- 
range, qui a la couleur d’arange. 

* ArLanpin. V. Lardsar e Alardear. 

Aruinpe. V. Alardo. 

+ ALınpeankıra, 5. f. oslenlatrice ; flagor- 
neuse. 

ALARDEÄDO, A, P. P. Q’Alardear. 

ALARDEADÖR , 5. m. osienlateur, glorieur, 
superbe ; flagorneur. 

:ÄLARDEANMENTO. V. Alerdo, Osteniapdo. 

ALARDEAR,, D.a. passer des troupes en revue 
(ant.). —, v. ». (fig.) Se glorißer,, faire parade, 
faire monire. V. Ostentar. 

ALinno, s.m."monire, revue, parade de sol- 
dats. (fig.)*Ostentalion, etalsge, vanite. Fazer 
—,se vanier, se glorißer, faire parade, faire 
montre , faire ostentation d’une chose. 

*+ A-La-nE, ado. exaciement, au jJuste. 

+ ALinzs, 3. m. pl.* piege de crin pour ar 
traper les perdrix. Leurre. 

Auanca. V. Largo. 

A’Lanca, adv. largement., 

ALancino,A,Pp.?p.d’Alargdr. 

ALARGADOR, A, 8. celui qui elargit, qui rend 
plus large. 

ALARCANENTO, s. m. dlargissement : aug- 
mentation de largeur; action de rendre plus 
large. 

ALancir, v.a, Elargir:rendre plus large (un 
babit, un sicge, etc.) ; allonger, prolonger, don- 
ner plus d’etenduc. —, v. a. s’clargir. — o 
venlo,(l. de mar.) adonucr, en parlant du 
vent. — as redeas ao cavallo , lächer la bride & 
un cheval.—uma ferida, agrandir, Jilater une 
plaie. — o passo, enjamber , allonger le pas, 
marcher plus vite. — a bolsa, ( ig. fam.) pre- 
parer de l’argent pour unc grande depense. 

ALanGÄa-SE, dv. r. seloigner, s’en aller; 
s’ccarter,, s’elendre, s’elargir, devenir plus 
grand , plus large ; &tre genereux. (I. de 
mar.) S’alarguer, pousser au large. — n’um 
discurso,, s’&tendre sur quelque sujet, discou- 
rir longuement. — com alguem , s'’ouvrir libro- 
ment & quelqu’un. Oser lui parler avec hars- 
diesse et sans ınenagement. V. Adianlar-se. 

ArLanipa, 8. f. ° vacarme : bruit confus de 
plusieurs voix. 

ALsniDo, 3.m."clameur, burlement, cri que 
l’on falt dans l’alliclion, dans la douleur, dans 
la colere. — de marinheiro. V. Faina , Celeu- 
ma. Faser —s, faire du tumulite, du trouble. 
Der —s, jeter les hauls cris. 

* ALarire, s. m. architecte : celui qui czerce 
Part do bälir, et qui a l’inspection des bati- 
ments, Maltre macon. 

Arirnwa,s.f. ($. mil.) alarme : cri, signal 
pour faire courir aux armes. (fig.) —, frageur, 








&8 AL® 


“ponrente sublte. Tocar —, alermer : demnar | 


l'’alarıme. 

Arınvanla, s. f. brutalitö, grossiereie. 

ALiave, e.m. Arabe bödouin. (fig.) Grossier, 
rustre, Savoyard, brutal, qui a le sens de Ira- 
vers. 

Auarnvia, s. f. multitude d’Alarves. 

ALASTRAÄDO, A, P.P. d’Alastrar. 

+ Ausstaaner, s. m. (l. de mar.) arrimeur: 
celui qui arrime la cargaison d’un vaisseau. 

Auastran,o.0a. (l.de mar.) lesier un vais- 
seau, meltre du lest. ( ig.) Joncher, parsemer, 
couvrir (de morts, de Beurs, do paille, etc.). 
4. Demolir, abatırc. 

ALATINÄDAMENTE, ade. imitant le lalin. 

ALarıni00,A,P.Pp.d’ 

ALırınir, o.e. laliniser : donner une termi- 
naison latine a un mot d’une autre langue. 

+Auatuı, 5. m. (1. d’hist. nat.) alatli ou 
schalslaclli : marlin-pecheur du nouveau CONn- 
ünent. 

ALito,p. us. V. Alado. 

+Aırüste, s. m. (I. d’hist. nal.) alouatte: 
singe d’Amcrique. 

+ALAVoipo, A, adj. quia la forme d’un luth. 

ALAUDE, 5. m. luth : instrument de musique 
a cordes. (tl. d’hist. nat.) Luth : tortue de Mer- 
cure. 

* A-ı1-ina, ade. A la fois, au m&me temps. 

ALavänca ,s.f.* levier : bäton,, barre propre 
& soulever, remuer les fardeaux. 

ALAväö, s. m. troupeau de brebis qui don- 
nent du lait (pour le fromage).— de gallinhas, 
multitude de poules. V. Alabdo. 

* ALAYERCÄDO, A, 9. p. ’ 

° ALAVERCÄR-SE. V. Agachar-se. 

ALavoßıro, s. m. Derger d’Alavödes. it. Pätre 
d’Alavöes. V. Alaräo. 

ALaziö, a, adj. alezan : de couleur faurve 
tirant sur le roux. Il ne se dit ordinairement 
qu’en parlant des chevaux. 

Aunacid, V. Dealbagäo. 

+ Ausacia, s. f. Porta d’— , porte (dans les 
placcs marilimes des Maures) du cöte de la 
terre, par laquello les böles A cornes entraicnt 
et sortaient. 

+° Aınacini, s. f. tour, dans les anciennes 
fortiflcations. 

" ALDACEA, 5. m. exdculeur testamentaire, 

ALnacörA, s.f. albicore :poisson de V’ockan, 
semblablc & la bonile. 

ALnarin ou ALRAFÖR, 8. m. sorte de jonc 
dont ta racine est odoriferante. V. Junge. 

+ ALsarüra ou ALBAFÄR, 5. m. nora d’un 
grand poisson de mer, dont le foie sert & faire 
de I’huile. 

Ausaneır.V. Alvanel. 

Aunantz, A,adj.ets. Albanaf?personne ou 
chose Je P’Albante, dans l’Epire. 

+Aınino, A, adj. ets. Alban : persone ou 
ohose d’Alba-Longa, ville d’ltalie. 

Ausira. V. Pacirira. 

Ausanuzes. V. Alvarases. 

Ausanca. V. Abarcn. 


_...  ALB 


Ausinpa,s.f." bit: selle poyr las hules de 
sommt. 

* ALnarpapeıno. V. Albardeiro. 

AızsanpinDo,A,Pp.p. d’Albaurdar. 

ALBARDADURA,S. [."appareild’un bät; l’actien 
de bäter. 

ALpauniö, 5. m. augm. grand bät; hät de 
mulet. Panneau : espöce de bät. 

ALBARDÄR, v. a. bäter : meltre le bt & une 
bete de somine. (fig.) Couvrir un mets de farine 
delayce avec de l’eau, des mufs, etc., poar le 
faire frire A la poe£le. if. (fig.) Tromper quel- 
qu’un grossiercinent. 

+ ALsanoEına, s. f. femme qui fait des bäts. 
(Ag.) Ouvriere qui travaille grossidremens. 
Rosa — , rose sauvägte. 

ALBARDEIRO ,s.m. bälier : artisan qui fait des 
bäts. (fig.) Ignorant (dans son meiier). 

ALBARDILHA 0% ALBARDINHA, 3. f. dim. bar- 
delle; petit bat. 

ALsarntina, V. Albardadura. 

+ Aısanrinıa, 3. f.* vase pour meltre des 
roscs et d’autres fieurs. if. Canette : pot ä l’eau 
(dans le refectoire des communautes reli- 
gieuses\. 

* ALDARRÄDA,, 3. m. mur de pierre sans mor- 
tier; enclos, clos. Retranchenent d’un camp. 

+’ ALsanrido, A,ad). pourvu d’aldberradas, 

Aurannä‘ ou ALnanran,s.f. Ceböla —, scile 
0% squille: plante qui tient du lis et de l’oignon. 

f° Aıparni ou ALBARRANA, 3. f. four oü 
l’on d&posait anciennement Fargent des gere- 
nus de la couronne qui restail des depenses de 
l'annec. 

+ Auparndz,s. m. (I. d’hist. nat.) albatros: 
oiscau de l’ordre des palmipedes. 

+ ALBENCALA, 8. f. lofle de lin irös-HUne dont 
les Maures ormaient leurs Lurbans. 

Ausenca. V. Oriela. 

ALgencogte. V. Albricoque. 

ALBERCADO, A, p. p. d’ Albergdr. 

ALBERGADÖR , A, 3. celui qui loge, qui ac- 
cueille quelqu’un chez soi. 

"+ ALBERLÄGEN , 8. f. * droit qu’avaient les 
anciens Seigneurs d’dire loges gratullement 
dans les couvents,, dont ils elaient les patrons, 
et chez leurs vassaux. 

ALBERGANENTO, s. m. hebergement, loge- 
ment. 

ALBERGÄR , ©. a. loger, recevoir, accueilr, 
beberger quelqu’un chez soi. 

ALBERCAR, ©. 9. ei — SE, v. r. se lager, 
prendre un Jogement, s’accucillir, chercher un 
asile. 

ALBencaria, s.f."auberge, bötel garni pour 
les voyageurs. Höpilal. 

+ ALvercäTEs. 8. m. pl. ° chaussure en ına- 
roquin des Maures d’Afrique. 

ÄALBENCUE 0% ALVERGLE, 5.m. auberge, hölel- 
lerie, hospice, ou queiquo autre licu oü les 
passaniı» et Ics voyageuss sont logcs. ( fig.) 
Maison, habitalien, logis, licu J’asile. Hospice 
(pour les malades, elc.), — dos animaes, das 
ferae, gite, sepairo, lanierc, 





AIG 

"ınuucufßsan, 3. m. aubergiste : calel qui 
ke, qui accueille , qui regoit obes sol. 

Aussanoz. V. Albormos. 

Ausäsco, 3. m. peisson semblable au ihon, 

sait les navires. 

° Aınsröca , e. f. petit vaisssan., 

* Ausıcöace. V. Albricoque. 

Auswicachö. V. Deelbardo, 

+ ALsscknse, adj. 2 gen. d’Albi (ville de 
France). 

Aınıcänszs, s. m. pl. Albigeois : nom de cer- 
taıns seciaires qui s’eleverent au douzieme 
sitele dans la ville d’Albi. 

+ A1L2is0, a, adj. et s. albinos , negre blane: 
bomme estremement blanc, ne de parents 
Deers. 


* kımsrae. V. Alcilre. 

ALsögte ou ALBOGLE, 5. m. espece de flüle 
de berger. 

Auste. V. Aloer. 

ALsoacino, A,p. p d’Alboredr. 

ALBORCADOR , s. m. brocaniour. 

ALsoscik, v.a. (fam.)iroquer, brocanler, 


, permuter. 

“ A'LBORE. V. Arcore. 

+ ALSORSOT, 5. m. albomoz : espece de drap 
de laine grossier et non teint. dt. Manteau ä ca- 
puchen (de drep albornoz ) pour se garanlir de 
ia pluie ei de la neige. 

ÄLBOROTÄDAMENTE. V. Alvoroladamenle. 

ALBOROTÄDO, ALBOROTAR. V. Alvorolar, ele. 

ALsou6to. V. Aloorote. 

ALsuaguE, #. m. {roo : tchange dc meubles, 
berdes , eic. 

ALskıcönce, s. m. abricot : ruil ä noyan. 

Assnscouskıno, s.m. abricolicr : asbre Fo- 
ssee qui produit les abricols, 

+" kusupıtca, s. /. pasteyue. 

+ Auscr£ira,s. f. "marc d’olives. 
Ausertiaa, s. f. Jagnne, lac formö por l’cau 
de la mer. it. Lagune, otang d’eau douce. 

Ausscen, s. f[. teie de l’ail. it. Blanc d’auf. 

Auscciser, 3. f. ( d. d’anal.) albuginee ou 
dibegine , ano dies luniques ou membranes de 
Yeil. 

Ausecinso, A, adj. albugine, albugineuzx : 
qui ost de coulear blauche. 

Aısucınöso, a. V. Albogineo. 

Asüco ,s. f. (1. d’anas.) slbugo : laie, tache 
Blanche sur Yınil, & la cornde. 

+ ALzauan, s.m. albumen : l’un dcs prin- 

eonstitgasis dw corps des animaux. 

Auscuına,s. f. (1. deehim.) albumino : sub- 
flaneo eonereseible par le feu, semblable au 
blane d’auf. 

Auseuwmnöse, A, adj. (1.duchim.) albumi- 
neax : qui ressemble au blanc d’muf. 

+Aısennäre, s.m. (L.dhist. mat.) able, 
ablette : petit poisson de riviere. 

Aınöano, s.m. (}. de bot.) aubier : couche 
eizcalaire de bois impasfait, lendre, enire l’e- 
korce ot lo vrai bois, dans tous les arbres dico- 
syledones. 

t Arca,o, m. (d Ehist, nat.) alquo ı elscau 


ALG. >} 
peimipäde, Pingoufn. = grande do norte, grand 


pingouin. 

. Aucasits. V. Alsarala. 

* ALCABELLA, . 

© ALCABILLA. | V. Cabilda. 

* Aucannauino, Arcapnauia. V, Acabre- 
mar, eic. 

Aucican ow Arcicen, s.m. chäteau fortifid; 
ciladelle, forteresse. (fig.) Palais, chätesu d’es 
souverain. Temple. 

t AıcacarEıno, 5.1. celui qui garde l’aloe- 
gar, qui en a soin. 

Arcacasia, 8. f. V. Alcagar. ti. Tannerie. 

ALcacärıco, A, adj. de l’alcdcar, qui sppar- 
lient a l’alcägar. V.ce ınot. 

AuLCsckL om ALCACER, 5. m. eCOurgeon, £S- 
courgeon , dragee : bl& au orge en herbe qu’on 
fait manger en vert aux chevaux. 

ALcicer ow ALckceng, V. Aledcar, 

Arcicava. V. Alcdgora. 

ALCACHENCHE. V. Alquequenge. 

ALcäAcHörFA 0% AscacHürka, s. f. ja pommmeo 
des arlickauts ei des gros chardons. — kortes- 
se,” arlichaut coymmun : planie polagere. 

ALCACHOFRÄDO, A, adj. en farme d’arlichgut. 

ALCACHOFRÄL, 8. m. lorrain planie d’arti- 
chauts, 

+ Aıcacnorntına,, 8.5. "articheut : plante 
potagere. 

AuMicova, s.f. forteresse, citadelle ; chAlsayı 
de vaisseau (autreleis), 

Arcaguz, s. m. "reglisse : plante mödicinsle, 
— bastardo. V. Astragalo doce. 

ALcADEEE, 8. m. vase en lerre sur lequel las 
cabarwtiers ınesurent le vin, V’huile, etc. 

+ Aıcakst, s.m. (i. d’alch.) alcahest : ınons- 
true ou dissolvant universel, imaginaire. 

ALCAFORABO, V. Alcanforado, 

Aucaicnas,s. f. pl. ($. de mar.) espace enisp 
les bandes ou preceintes d’un vaisseau. 

ALcisco , adj. m. (I. de pocs.) alcaique : e$- 
pece de vers latin et grec, invenle par Alcec. 

ALcaIDania ,s. f." eiuploi, dignite de l'alcaide 
et son ressort; chälellenie. 

ALCAIDE , 5. a. oxeinpt de police ; alcade, a)- 
caide; chätelain. — mör, grand alcaide : gou- 
veroeur d’une [orleressc ; seigneur’qui a lerro 
ci} maison seigneuriale avec droit de juslice. 
Ter 0 pai —, avoir de puissanles proleclions. 
(fam.) 

Aucäipessa ,s. [. femme de l'alcaide. 

ALCÄIDEZINBO, 5. m. dim. d’Alcdide, petit 
alcade. 

Auciıpla. V. Alcdidaria. 

ALCAWTE. V. Alcorsteiro. 

AucaLpän. V, Hercadejar. 

ALCALESCENCIA, Ss. f. (4. dechim.) alcalescence: 
putrefaction, effel des alcalis; elat des alcales- 
cenis; fermentation alcaline. 

ALCALESCENTE ‚adj. 2 gen. (t. de chim.) alca- 
loscent : qui contient de l’slcali, qui tend & la 
fermentation aloaline. 

A’rıcari,s.m. (il. de chim.) alkali : sulsiance 
&cre, d’une Saveuz urineuse, qui vordis les 


1) ALG 


. oauleurs bleues vögetales , et forme des sols en 
se combinant avec les acides. 

Aucaricrnine, 8. f. (I.de chim.) alcalieile: 
naissance de la propriete alcaline. 

Auciuıco. V. Alealino. 

tAucaLiceno, a, adj. (I. de chim.) alcali- 
göne : qui engendre l'alcali. 

+ ALcaLiMeETRo, 8.m. (4. de chim.) alcali- 
smdtre : instrument pour mesurer l’alcali. 

AucaLino,A,adj. (t.de chim.) alcalin : qui 
a des proprictes de l'alcali. 

Arcarissacä0,s. f. (t. de chim.) alcalisation: 
opcration qui communique, developpe, extrait 
"alcali. 

ALcALISÄDO, A, 9. p. d’Alcalisar. 

+ AuLcıauisinte, adj. 2 gen. (il. dechim.) alca- 
Sant : qui change en alcali, qui lo forme. 

.a.d’ 

ALcatıisar, v.6. (l.de chim.) alcaliser : tirer, 
par le moyen du feu, l’acide d’un sel neulre, 
ne laisser que l'alcali. 

fALCALISÄVEL, adj. 2 gem. ({. de chim.) alca- 
Hßable : (substance) convertissable en alcali. 

ALCANONiA. V. Alcomonia. 

+Aıcina,s.f. V. Alkanna. 

Aucanavv. V. Alcaneos. 

Aucincana,s. fx especo de tambour de bas- 
que. 

+ ALcancaniuo, A, adj. facile & obtenir, & 
atteindre. (fig.) Expose a tomber dans la mi- 
sere, ä devcenir pauvre; trouble, interdit. 

Aucancino, A, p. P. d’Alcangar, adj. reli- 
quataire. Estar ou andar —, Cire arriere, 
avoir des deties, &#tre cribl& de dettes, #tre 
obere. — do somno , accabl& de sommeil. 

ALcanGAaDOR, A, 5. celui qui atleint, qui ob- 
tient ; il est quelquefois adjecüf. 

Aucansapina, 8. f. (d.de veler.) alleinte, 
entre-taillure : blessure aux jambes du cheval 
qui s’est entre-taille. 

ALCANGAMENTO, 5. m. laclion d’atleindre, 
d’obtenir. p. us. 

ALCANCÄR,, v. a. atleindre, poursulvre, at- 

traper, joindre. Eire contemporain d’une per- 
sonne ou d’unc Chose. Ex. Alcancei a meu bis- 
avs, je connus mon bisaleul. —, avcindre, 
‘prendre une chose en dtendant le bras. Oble- 
nir, acquerir, r&eussir,, arriver &.— com 0 en- 
fendimenio,, coınpreudre , entendre une chose. 
— a alguem de ou em cunlas, @ire creancier 
d'un reliquat de compte. — alguem em razöcs, 
metire quelqu’un au pied du mur, le reduire & 
De savoir quo repondre. 

Aucangin,v.n. regarder, apparienir, s’eten- 
dre, concerner. Suffire. Porter, cn parlant des 
armes ä fcu:el( fig.) de la vue. Sua vista al- 
canzsa muJilo, sa vue porte Join. 

ALCANCÄR-SE, v.r. s’alteindre, s’enträtailler, 
en parlanı des chevaux. Se joindre, se re- 
joindre. 

Aucixce, s. m. l'action d’alteindre. Debet, 
reliquat, defieit d’un compie.* Portec, distanoe 
& laqueile le bras peut atteindee.” Port6e d’uno 
ame quelconquc.* Atteinte, eniretaillure (de 


AlG 


chevai). Courrier extraordinaire envoy& pour 
Tattraper un courrier ordineire. (&g.) Talent, 
capacite. Ir no — de quem [foge, poursuivre, 
courir apr&s quelqu’un pour l’attraper. Ho- 
mem de cur!os —s , homme de faibles facultes. 
Isto ndo estd a nosso —, cela n’est pas A notre 
portce. 

* + ALCANCE, adv. pres, auprös, environ. 

+Aucinco, s.m. debet, reliquat, deficit d’un 
compte. 

ALCÄNGOS, s.m. pi." serres ou grifles des fau- 
cons, des oiseaux de proie. 

Aıcinpana ou ArcinnoraA,s.f."blot,perche, 
chevalet oü se reposo Poiseau de fauconueric. 

ALCANDORÄDO, A, P. p. d’ 

ALCANDOnÄR-SE, ©. r. se Jucher, se percher 
sur un bälon, sur l’alcdadera,, en parlanı de 
faucons. (fig.) S’dlover, s’enorgueillir. 

ALCANBvE. V. Cdnamo. 

ALCANFÖR, 5. m. camphre, gommec aroınalique 
d’une espöce de laurier des Indes. 

} Aucanronäpa, s. /. camphree : planle che- 
nopodee , medicinale. 

ÄALCANFORÄDO,, A, adj. camphrö : qui a du 
camphre. p. p. d’ 

ALCANFORÄR, ©. a. camphrer : 
camphre. 

ALcanrontıra, 8. f.’camphrier : espece de 
laurier du Japon qui donne du camphre. 

ALCANFOREIRO, 3. mi. va66 avco du camphre. 
it. V. Alcanforeira. 

+ Awcinna, s. f. (1. de bot.) * hennd : plan’a 
polypetalee. — bastardas , buglosse teignanic, 
vulg. orcanclie. — de Virginia, apalanche : 
espece de sapotille. 

ALCANTIL, 3. m.” penle escarpte, precipice, 

ALcantıLipa ‚5. f. hauleur escarpee. 

ALCANTILÄDO, A, adj. escarp6, d’un acces 
difBcile, rude. p. p. d’ 

ALCANTILÄR , 0.4. escarper : Couper droit, de 
baut en bas (un roc, un fosse). 

ALCANTILÖöSO, A , adj. plein de penles escar- 
pees, de precipioes (lieu). - 

Aucaxzia ou ALcancia, 8. f. boule creuse de 
terre remplie de cendres ou de fleurs qu’on se 
lance mutuellement en courant ä cheval dens 
le jeu du carrousel. — de fogo, pot-d-feu : es- 
pece de grenade. 

Aucanzıäda, s. f. coup d’aleanzia. 

ALCAPÄRRA, 8. f. cApre : petit fruit vort.* CA- 
prier : arbrisseau qui porle des cApros. 

+ Aıcaranripo, A, adj. preparö avoc des 
cApres, en parlant d’un mels. 

AucaranniL, 5. m. terrain plante de cä- 
priers. 

Aucaranntıra, 8. f.* chprier : arbrisseau 
qui porie des eäpres. 

Aucarannkıno, A, 3. celui qui vend des 
cApres. 

Arcir, s. m. espece de ciste (plante). 

Aucanaväö, 3. m. butor : oiseau de marais ; 
canepetiöre. — pernallo do Egypto, (1. d’hist. 
nat.) echasse. 

TAıcansvandıno, adj, m. Fakdo —, on le 


melre du 


ALC 





ALG 6 


üt de faucon habitue a poursuivre les butats. | . Aucins, 8. f. " Areitde justise; diendue de la 


Aucamavia, 2 f. (l. de bot.) "cami: plante, et 
se graine ; cuımin des pres. 

Acanaviz 08 ALCARÄYE, 6. m. tuyau de 
ssufllet de [orge. 

ALCARCOYA , 8. f. mare : aınas d’eau dor- 
mente , bourbeuse. 

* Aucınia. V. Alqueris, 

* ALcanaidas, 5.f.pl.V. Arrecadas, Brincos. 

Aucarkı ow Aucaräıa, s. f. bande (de loups, 
de brigands, eic.). Zetar, ander d’— , eire, se 
lenir sur ses gardes. 

Aucarira, s. f. "tapis fin, couverture brodee. 

Al£ATITA0O, A, P. P. d’ 

ALCATIFÄR, ©. a. lapisser : garnir de tapis. 

- Aucarırkıro, 5.1. lapissier : qui fait des 
lapis. 

Aucıtiaa. V. Alguilira, 

‚Aucataa, 8. f. culolte de bauf, derriere du 
cimier. 

Aıcırsiö, 3.9. goudron : composition de 
geiınme, de poix, d’huile de poisson, de suil, 
ete., pour en imbiber les eloupes et callater. 

Aucıraite, s.m.(i.de mar.) plat-bord d’un 
vaıssesu. 

Täıcaraäz, 5. m. manve, gotland : oiseau 
de mer ; pelican da Chili, cormoran , calao des 
Melogues. — das Antilhas, onocrotale, grand 
gosier : oiseau de marais. 

Aucırnaz. V. Algebista. 

Aucarafıno, Aa, adj. quia de grosses hanches. 

+ALCATROABO, A,9.p.d’ . 

+ ALcarnoia, v. a. goudronner : enduire de 


TALCATROEIRO, 3.m. goudronneur : qui gou- 
dremme. is. Qui vend le geudron. 

Aucatadz, 3. m. godet : vaso atiachd A une 
ruue pour diever l’cau. 

« Aucararzipo, A, ady. garni de godets. ( ig.) 
Courbe,, voate: on le dit d’un vieillard qui ne 
peat se temir droit. p. p. d’ 

ALcarsuzia, %.6. gamir de godels. (flg.) 
Courber, voßter. — 30, v. r. se courber & cause 
de vieillesse. 

Arcavira „3. f. "droit sur tout ce quo I’on 
vend. Droit d’entzee. V. Sisa. 

Acavis ou Arcassıra. V. Alcabella ei 
Cabilde. 

Aucıvartino, 9. m. fermier ou administra- 
teur des alcaselas. Percepteur, receveur des 
alcavelss. 


Auchzas, s. f. pl. (1. de mar.)*espaoe entire 
es petceintes d’un vaisseau. 
" ALCAYTOTA, ALCATOTE, ALCAYOTAR. V. Al- 


essileirs, etc. 

Aca,s.f. (1. ds cordon.) allonge de !’om- 
peigne ; bausse : meorteau de enir qui sert ä 
rendre la forıne d’un soulier plus haule ou plus 
large. — d’um moildo ou cadernal, (1.de mar.) 
drope d’ane poulie. — do esidi, (id.) collier 


"ALcscoRLLo ,s. m. hausse-col.Collet monte > 
Sorte de collier que les femmes portaicnt autre- 
feis, et qui gervalt A relever Ia tete, 


‚"Pouvoir, ressort. Isto perlence d min 


jarisdiction ; pays od elle s’exerce. Commission 
de magistrats pour faire une enquete. ( fg.) 
ha—,cetle 
alfaire est do mon ressort, de ma connaissand. 

‚ugäno, A, p. p. d’Alkar. V. Levaniado, 
4A to. Pr 

Aucapör,s. m. celui qui hausse, — de for- 
gas, redresseur de toris. 

Aıcapera. V, Alcamenlo. 

Arcark, 5. m. vase pourdonner ä boire aux 
pauvres aux porles des couvenls. 

ALGAMENXTO, 5. m. l’action de hausser, de 
lever, etc. Haussement. — de degredo, ruplure 
du ban. 

Aıcariö, 5. m. "trappe : sorte de porie au 
niveau du plancher; son ouverlure. °Herse, 
sarrasine, conire-porie , sorle de porle cou- 
lisse dont on se sert dans les chäteaux,, les 
forteresses. Piege dans une [osse. ( Ag.) " Four- 
berie, artifice,, piege qu’on tend. — dos calgöes, 
pont-levis, petit pont (des culottes, des pan- 
talons). 

ALCAPE, 8. m. panneau pour prendre le gi- 
bier. Lacet pour prendre les oiseauz. 

ALGAPERNA, 5. f. "croc-en-jambe, 

Aıcapatua, s. f. "levier, pied-de-cherre, 
pince, barre de fer propre äsoulever eu & re- 
mueor quelque fardesu. ° Davier : instrument 
pour arracher les denis. it. "Piege pgur altraper 
les animaux. 

ALCAPREMÄDO, A, 9. 9. d’ 

ALCAPREMÄR , v.a. lever, soulever un fardeau 
avec un levier, une pince. 

ALcas,v.a. bausser, lever, dlever, rebausser, 
meitre plus haut, Assembler des feuilles d’im- 
pression. — o degrede,, rompre le ben. — wm 
moiläo , estroper une poulie. —, v.m. encherir, 
haussor, augmenter le prix d'une chose. p. us. 

ALCÄR-SE, ©. r. se soulover, se re&volter, se 
lever, s’ameuler. — a alguem, se lever devant 
quelqu’un. — com dividas, faire banqueroule 
frauduleuse. — em seu coragdo. V. Ensuberbe- 
cor-8. 

+ ALcavıäqug, s. m. (l. d’hist. nal.) alcaviak: 
oiseau du Senegal. 

A’ıca, s. m. alce, lan : quadrupede du nord, 
plus fort que le cerf. 

+ Aıcka, s. f.(t. debot.) alcee rose : culgo 
mauve rose, la passe-rose, rose Ireınidte. —bas- 
tarda, mauve alcce. 

+ ALczin, v.0.— um moildo, (}. de mar.) 
estroper une poulie. 

ALC&DoNE. V. Alcyon. 

+ AucHaz, s. m. " &toffe de soie grossiöre. 

Aucherivia. V. Cheritia, 

+ ALcnıuzrech, s. m. (1. de bot.) alchime- 
lech :.espece de trigonelle d’Egypte. 

Aıceimıa ow Arquimıa, s. f. alchimie : chi. 
mie des anciens qui s’orcupaient de la lrans- 
mutation des metaux, et de la decouverte della 
pierre philosophale. 

+ Aıcnıniapo, a, adj. faux, adulidre, falsl- 


| ie (l’or, largent, etc.). 


>) ALU 


Auonisıcauterte, ade. seldn l'alckimie. . 
mıco, A, adj. alchimigue : de Palchimie. 

ALCHIMILLA, 8. f. (t. de bot.) alchimille : pied- 

ion, plante. 
venmista, 5. m. alchimiste : celui qui 
exeroe Palchinrie. 

TAıcamivia,s. f. V. Alcaravia. — horiense, 
(l.de bot.) panais, panais ordinalire des jardins; 
pastenade ; grand chervi; racine blanche. 

Aıcuisena. V. Rabaca hortense. 

AtLctio, ALcıonz etc. V. Alcyön, etc. 

ALcipes, 8. m. (t. de myth.) Alcide: nom 
d’Hercule. it. (t. d’Aist. nat.) alcide : grand sca- 
rabee des Indes. 

+ Aucina ,s. f. (. de bot.) alcine : plante co- 
rymbifere. 

ALcMÄnıO, adj. et s. (1. de po&s.) alcmansien: 
vers. 

"Aıcösa. V. Alcöva. 

* Aucockıra. V. Alcouce. 

ALCcOFA, s. f. sorte de cabas de palmier ou de 
sparte. (fig. fam.) °Maquereau, maquerelle. 

ALCÖFAZINHA ow ALCOFINHA, 8. f. dim. d’Al- 


cofa. , 

Aıcorör. V. Stibio ,„ Anlimonio. 

Aucoronino, A, adj. enduit d’Alcofor. 

ALCOBOL, &. m. (4. de chim.) alcohol : esprit 
de vinpur ; fluide löger, transparent, penetirant, 
indammabie,. 

ALconöLico , A, adj. ($. de chim.) aloeholi- 
que : qui tient de l’alcohol, 

ALcomoLızacäö, s. f. (4. de chim.) alcoholi- 
sation : l’action d’alcoholiser. 

ALCOBOLIZIBO, A, P. p. d’Alcoholisar. 

 ALCOHOLIEADOR ‚5. m. colui qui aloabolise. 

ALCOHOLIZÄR 0% ALCOHOLAR, v. a. (. de 
ehim.) alcoholiser : reduire a P’etat d’alcohol; 
purntier les esprils. 

+ ALconömerno, s.m. (l.de chim.) alcoho- 
mötre : instrument pour mesurer la force de 
Palcohol. 

* ALcoma, V. Alcunha. 

ALcowonia, s. f. "gäteau de farıne et de miel. 

Auco6r. V. Alcohol, etc. 

Aıcoräna, s. f.tourd’oü les religieux turcs 
sppellent lo peuple & venir entendre PAlco- 
ran. 

Arconanista, s. m. alcoraniste : sectaire et 
aussi docteur de la loide Mahomet. 

ALcoriö, s. m. Alcoran, Coran vu Koran: 
le livre de la loi de Mahomet. 

Aıcörce ou Auchaca,s.m. ou f. päle tres- 
blanche de sucre et d’amidon, dont on fait 
toutes sortes de figures. Figure ou morcean de 
cette päte. 

Aıconcöva. V. Corcöva. 

Aıconcovino,A,P.p.d’ 

Aucoacovär-se,v.r. se faire, devenir bossu. 

} ALconnöque, s. m. liege : arbre, espece de 
chene vert. 

Aıconorla,s.f. (t. de bot.) V. Alcaravia. 

Auchnaur, 3. m. "sandale Aveo la semelle de 
liöge, 16, Sandale do chanyre, 


” 


AD 


Auobtos, e. m. bordel. 

A Anoöuckino, 4,5. eelei, celle qui lient ber- 
el. 

ArLcdva,s. f. alcöve : ehambre A coucher; 
piece pour meltre un lit. 

* ALCOV£S , ALCOVETA , ALCOYETAR,. V. Aleo- 
vileiro,, Alcovilar, etc. 

ALCOVINHA, 5. m. dim. pelite alcove. 

ALCOVITADO, A, 2. 9. d’ 

ALCOVITAR, v. a. faire maquerellage,, debau- 
cher une femme. (fig. fam.) Insulquer une 
chose agre&able ou utile, engager queiqu’un & 
la prendre, & s’en servir. 

ALcorıtaria, s. f. "maquerellage : metier de 
prostituer et de debaucher les femmes. 

Aucovirtiaa ,s. f. magterelle : femme qui 
tient un bordel ; entremetteuse, appareilleuse. 

ALCOVITEIRINBA, 8. f. dim. petil® maquerelle, 

ÄLCOTITEIRINBO, 8. m. dim. d’ 

ALcovıTßıno, #. m. maqucreau : celui qui 
debauche ct prostitue les femmes, les filles, 
Maquignon , mercure,, entremetleur. 

ALcovITicE,, 8. f. "maquignonnage, maque- 
rellage. (fg. m inirigue ; Commerce se- 
cret. 

TALCREBITE, 6.m. V. Enzofre. 

Aucünsa,s. f. * sobriquet : &pithäte burleg- 
que etordinairement injurieuse. Anciennemens 
c’etait le nom de famille. 

+Aucisciz,s. m. "päle de farine dont les 
Maures font un grand usage. 

ALciz, s. m. espeoe de camphre. 

ALCYON ow ALCYONE, 5. m. alcyon : olsong 
de mer. 

ALCYÖNEO,A, adj. alcyonien : qui appastiens 
& Y’alcyon. 

TAıcröno, sm. (1. d’hiss. nal.) alcyem, 
salaugane, polypier, ruche de polypes tres- 
variös. 

tALCYONiTE, 8. m, (#. d’hist. nal.) aloyem 
fossile. 

A’LDA , 8. f. anoıenne mesure (des draps). 

ALvisa e ALpava. V. Aldraba. 

Aıpka ou Aupkıa, #. f. "kameau, village : pe- 
tite population. 
ae u»sino ou ALneuino, A, ad. 2. p. d’Al- 

ar. 

ALDEÄMENTE OW ALDBÄNAMENTE , ade, d’une 
maniere villageeise: selon la coutume ville- 
geoisc. Rustiquement, grossierement. 

ALDEÄ 04 ALDEina,s. f. villageoise, ferne 
de village. 

Aınzid, I, adj. ot s. villageois, campagnard, 
paysan, et ce qui appartient au village. (Ag.) 
Grossier, rustigue,, impeoli, rastre. 

AuBElO2INGO, 5. m. dim. d’Aldeso. 

Aıpeir, ©. a. reuniren hameaux (les sau- 
vages, les Indiens, etc.); diviser par villagts. 

Arpkarınua, a. f. dimin. d’Aldta. 

ALDEBARAN , ÄLDEBÄRA, AILDEBRAN, 8. m. 
(#. dastr.) aldebaran : etoile fixe de la pm 
stellation du Taureau, l’une des Hyades, 

Aupzinna, V, Aldeiazinhe, 


ALB 


+iändi,e. f. ( t. de bot.) aldel : 
raginee da Perou. 
Auns-uLs0os,phr. ade. au moins. 
AveöLa, ALdeüra, ALDEÖRIO, 8. f. ou Mm. 
petit hameau, mais plus considerable que Al- 
dsiszinhs. On le dit aussipar mepris d’une ville 
ea d’un village qui a ete reduite & une pelite 
population et A un petit nombro de meisons. 
+Aıpisa, s. f- aldine : arbre de la Jamaique. 
Ausiso, a, adf. (k.d’impr.) aldin : italique 
(lettre, &dition). 
AıpaisaowALnrÄVA, s. f. "marleau de porte, 
keurtoir. Verrou : barre de fer pour fermer les 


plante bor- 


pories. 

Arpasınipa, 8. f. "coup de heurtoir. (fg.) 
*"Seisıssement, [rayeur; avertisscement. 

Aıpeacano,,A,P9.p. d’Aldrabar. 

Aıpasasaö,s.m. aug.d’Aldraba, gros heur- 
teir, gros verrou. Crochet, main : anse de for 
aux deuz exircmiles d’un coffre, (4. de mar.) 
Arganesu. 

ALpnasäR, 9. a. fermer au vorrou; [rapper 
sonrent avec le hourtoir. 

Aınzore. V. Gualdrope. 

Autı,s. f. allee d’arbres, avenue. 

Asınipo, A,p.p.d’Alealddr. 

ALFALDABEXTO, s.m. V’aclion d’Aleeldar. 

AlzıLDär, v. a. declarer sous serment & la 
denase que les objets sont A l’usage personuel. 

Arzin. V. Adejar. 

ArzaTörıo, A,adj.(l.deprat.) aleatire. On 
le düt d’ane eonvenüon qui reposc sur un eyd- 
nement incertlain. 

+ Aızcaiu, s. m.(t. de bei.) romarin, en- 
esusier : arbusie aromatique. — das parfdes, 

eitrine : immortelle jaune. — das 
ertiss „ gnaphaie des sables. 
+Aıtcro, s. f. Alecion, une des trois furies 
de la fable. 

Axsıcrössı,, s. f. pierre alectorienne : pierre 
qu’on trouve dans le foie du ooq. 

+ ALscronoumantdia, 6. f. alesteromaneie : 
dirination par le coq. 

+ ALscronorsosfei, s. m. alectoropho- 
newse - chant de cog. 

+ AL£crao, 3. m. (l. de bot.) alectre : plante 
monspetals bypogyne. 

ALurrises, s. m. pl.(l. de mar.) entaillure 
dans la quilie d'un vaisseau. 

Arzcaino, A,P. pP. ü'Alegrär. 

ALzonınön, A, s. celui qui dgale. adj. R& 


Arzcrautnto. V. Alegria. 

+ ALEGRANTE, adj. 2 gen. Ögayant: qui egak. 
p. 0. d’ Alegrer. 

Auzrcaiö,s. m. aug. d’Alegria, grande joie, 
allegresse soudaine. Dar um — ou um grande 
— ,annoncer une nouvelle Inopinee qai donne 
une grande joie,, une joie &clatanie. 

Arzckin, v. a. dgayer, r&jouir, divertir, des- 
esnuyer : donner de la joie. Dilater une bles- 
sare. Conper ie sabot aux chevaur. — os olhos, 


pemener la Tue dans quelgque Jieu delicleuz, I 


AlE 0 


—as.sedras, os prados , fortiliser lea ohamps, 
les prairies, en parlant du soleil, de la piuie, 
— 0 ourido da pega, oavrir la lamisre du oa 
non. 

ALEGRÄR-SE, v. r. se rejouie, s’6gayer, avelr 
de la joie. Ktrecharmö de quelque chose. (faw.) 
Se griser, noyer son chagrin dans le vin. 

ALBGRE, adj. 3 gen. gai, riant, onjous, r6- 
joui, content. Joyeux, jovial, plaisant, r6jowis« 
sarıt,, &veille. (fan.) Gris, gdi per le vin. (Ag.) 
Vif, gsi, eh parlant de oonuleurs. Novas —s, 
nouvelles beureuses, . favorables. Horas —e, 
moraents de plaisir, heureux , agröahles. 

ALFICHENMENTE, adv. gaiomeı, gal, Joyoupe-+ 
ment. Alegrement. 

ALEGRETE, 5. m. plate-bande ( powr 1e8 
fleurs ). 

*+ ALECRE£TE, s. m. halecret : aneien bett“ 
cHier. 

ALBOn£TE, adj. 2 gen. (fam.) un peu Kal, eto.g 
un peu gris. 

* ALECRß2ZA, 5. f. all6gresse. V. Alegria. 

Aueonia, s. f. gaiet#, joie, rejonissance, &l- 
legresse. Com — , Joycusement. VY4—, faussd 
joie. Fogo d’—, feu J'arlifice. Alegrias ‚pl 
Tejouissances publiques. 

+ ALecnixno, A, adf. dim. d’Alögre. Follet, 

ALEGRISSIMO, A, adj. sup. d’Alegre. 

+ AL£cro, 3. m. (ti. de mus.) allegro : MOB- 
vementvilet gai. 

* ALEGUANTE. V, Allegante. 

ALtlADO,A,P. p. d’Aleljar, adj. estropit, 
perclus. 

Ausuks „s. m. delaut oorporel; memhre pef- 
clus, 

ALEUÄR, c. a. esiropier: Öler l’usage d’am 
membre. —,v. ». devenir estropi6 (dans la 
guerre, elc.). 

fTALEDÄR-SE, ©. r. s’esiropier so-mämeg 
feindre d’ötre esiropie. 

ALtıvE ,s.m. fausse accusation , ealomnie, 
trahison,, perlidie. Levaniar —s, ealomnier, 
accuser faussement. 

ALEIVÖSAMENTE , ado, en iraltre, en trehisen, 
faussement,, perfidement. 

ALEWOSIA, &. f, wahıson, perfidie ; eaiomäıs 
alroce. 

ALEIVÖSO, A, adj. perfde, traitire; caloımnia= 
teur, calomniaux ; faus. 

" ALEIXAR. V. Afaslar, Deseier. 

+ AL£-Lanca, 8. f. (tl. de mar.) Cubos du 
cAbles pour falre la manautre de Adler Jurke, 

ALtıı ou ALn£uı, s.m.V. Goivkiro. 

ALBM, adv. etprep. au delä, outre. iso, 
en outre, au delä, hormis, excepts, par-des- 
sus, de plus, outre cela. —do que, 'W’ailleurs. 

+ "ALEMÄNICO, A,uadj/. Allemand : de l’Alle- 
magne. 

ALrwiö, X,adj. Allemand : de l’Allemagoe, 

ALENBRAR. V. Lembrar, etc. 

ALeuf£oa. V. Alameda. 

ALku-wan. V. Ultra-mar, 

ALEX, Y. A’lamo, 


6 ALE 


. ALENTÄBANENTE, adv. courageusement, vi- 
geureusement , hasardeasement, valllamment., 

ALENTADISSIMO, A , ady. sup. d’ 

ALENTÄDO,, A, adj. courageux, valeureax, 
vaillant; fort, robuste. p. p. d’ 

ALentän, o. e. euhardir, encourager, ani- 
mer ; ranimer, forlißer. _ 
- $ ALENTAR, ©. ®. rospirer, prondre haleine. 
aleter 


R . 

ALtnto,s. m. "haleine,, rospiration , soullle. 
"Vigucur, force, cuurage. Aldntos, pi. lesguim- 
pes des religieuses. #4. L’oriiee Interieur des 
nascaux du cheval. O-tilal, le souffie delavie. 
Der — , remeitre sur pied, retablir, redenner 
des forces ä une personne qui a dis malade. 
Tomer -— comendo , se Testaurer. 

TALEıTOso, a, adj. courageux, valeureuz, 
fort, brare. 

AL£o, s. m. mail: esp&ce de petite masse de 
bois dont on se sert pour pousser une boule de 
buis. it. Le jeu du mail. 

ALEONADO, A, adj. fauve, roussätre. 

. TAıtrıpa,,s. f.(t. de bot.) alepide : plante 
d’Afrique, 

TALErIDÖTE, 5. m. (1. d’kist. nal.) alepi- 
dote : poisson sans ecailles. 

TAusouzidas, adj. f. pl. (folhas— ‚1. de 
Bot.) en eventail (feuilles). 

"Arta (ti. demar.).V. Aquem, 

} AL£ace, s. m. meldze, larix : arbre. 

ALEntiÖ,s. m. (1. de bias.) alerion : petit 
algion sans bec ni pieds. it. Martinet noir. 

A’utarı , adv. alerte : debout, sur vos gar- 
des. Estar — , &tre sur ses gardes. Eslar com o 
olko—,avoir ’ail au guet. Aleria!’garde A vous! 

fAıtarı ,s. [.“slarme. Dar uma —, crier 
sur arımes. 

ALERTÄDO, A, 9. p. d’Alerldr. 

ALERTANENTE, ade. attenlivement , vigilam- 
ment, d’une maniere alerte. 

tAıraria, vo. a. esciter guelqu'un & etre at- 
tentil, vigilant : donner l’alerte. 

TALERTÄR-SE, ©. r. se precautionner, se lenir 
sur ses gardes : @tre alerte. 

ALkuTo, A, adj. alerte, vigilent, eveilie. 

ALlstan0, A,p. p.d’ 

ALzstin, vo. a. rendre quelqu'un leste; pre- 
Parer quelque chose pour l’avoir prete. ( d. de 
mar.) Alester, s’alestir. 

AL£To ou Arno, s. m. alals, aldthe : espdce 
de faucon du Perou, oissau de proie des Indes 
pour la perdrix. 

A Kuda „ade. Alalettre, liliäralement,, mot 

MO oe 

Augraia, s. f.vermicelle: espece de päte en 
Alamenis pour les potages. 

t ALktaıivo, A, adj. qui lient du vermi- 
celle, qui Imite les Hlaments du vermicelle. 

ÄLETRIEIRO, 8. m. vermicellier: qui fait et 
veond le vermicelle , les pätes de farine. 

ÄLKVADÖURO, 5. m. piece d’un moulin & bras 
( pour soulever la meule). 

"F ALEVANTAPRIRO, 5, m. celuiqui löre , qui 
souleve, 


ALF 


f ALRvANTADIco, A, adj. tumultueur, sedi- 
tieux : sujet ä se revolter. 

ÄLEBVANTÄBO, A, pP. pP. d’Alsvanter, adj. 
&eurdi , fier, orgucillenn. 

ÄALEVANTADOR, A , adj. qui löve, qui souleve. 
3. Moteur, auteurde seditions. Celui quibausse. 

ÄLEVANTANENTO, 8. me. *elevation, exbausse- 
ment, Soulevement, sedition, rebeilion. "Bubli- 
mite , eievation. 

ALEVANTAR, o. 6. lever, bausser, elever.—, 
dresser ce qui elait couchd.— , construire , bä- 
ir. (Ag.) Soulever le peuple, exciter des scdr- 
tions. st. Iımputer, attribuer faussement. V. Is- 
voniar. 

ÄLRYANTAR-SE , 9. T. s6 soulever, se rcheller. 
V, Levantar-se. 

ÄALEVANTE ou ALEVANTO. V. Alevaniamento. 

ALsvepin,V. Leveder. 

ALEXANDRINO, A, adj. d’Alexandrie en 
Egypte. it. D’Alexandre. ( t. de pors.) Alexan- 
drin : vers francais de douze syllabes au mas- 
eulin , treize au feminin. 

Arzxirniamaco, adj. m. (t. de med.) alexı- 
pharmaque ou alexilöre : remöde contre le ve- 
nin, qui pousse & la peau. 

TALEXIPYRETICO, A, adj. (1. de med.) alexi- 
pyretique : febrifuge. 

Arts, ce. m. (tl. d’hist. nal.) alezis : pa- 
pillon hesperie. 

ALzxıT£nıo, adj. wm. (I. de med.) alexitere : 
remede en general. Alexipharmaque (remede). 

Aura. V. Alpha. 

"t ALrasın, 3. m. * couverture de laine (de 
lit) rouge. 

Aırastro, elc. V. Alphabsio, eic. 

Auricg ou ALraca, s. f. laitue: herbe pota- 
gere. — romans ou urelka de muls, ehicon, 
laitue romaine. — de cordeiro , doucelle, mä- 
che. — repolküde, laitue pommee. — brara, 
laitue vireuse. 

+ Auracinua, s. f. dim. d’Alfece,, petite lai- 
tue. —dorio. V. 

+ Auracinua, 3. m. et f. epithöte injurieuse 
qu’on donne aux habitents de Lisbonne, & 
cause de ce qu’iis mangent besucoup de lailue, 

Aıricos, s. m. pl. espece de champignons, 

Auripo. V. Al . 

ALFAGENK,, 5. m. fourbisseur« celui qui four- 
bit les &pees. 

* ALrackue. V. Alfange. 

Aırila ou ALrava,s. f. (plus usitd au plu- 
riel) "meuble, meubles, ameublemeat. "Bijou, 
effet precieux. ( Ag.) "Ornement, Agures qui 
embellissent lc discours, 

AuLrauipo, A, adj. p.p.d’ 

ALrarin,v. a. garnir, meubler, ameubler; 
orner, parer, embellir. 

+ Aıraän-se, o.r. se meubler, se mellre 
dans ses meubles ; se parer, s’orner, s’ajusier. 

ALrasita, 8. f. couturiere; la femme du 
tailleur. — d’encruzilkada, femme qui oflre 
ses services pour rien ou a bon marche. 

Auraite, s.m, tsilleur d’habils,. ss, Tailleur 


j pour fernne, 


ALF 


Ausssarinno, 8. m. dim. d’Alfaiale. 
*Aırissa,s.f- “ quartier habits par des Maures 
ou des Juils. * Asile. Certain quartier de Lis- 
boaune. 
*ALriusan, 5. m. “couverture de laine rouge 


gressiäre. 

* Arramspanßıno, 5. m. celui qui laisait des 
elfambares. 

fAurauia, s. f. ’arabe oerrfompu quo par- 
laient les Maures d’Espagne ; nom qu’ils don- 
naient & la langue castillane. 

+ Ausauista, s. m. ot f. oelui qui habite le 
quartier d’Alfdme (& Lisbohne). 

Ausısozı. V. Alphamoxa. 

Auranino. V. Alfenado. 

Aırinesch, a f. douane : bureau pour la 
risite des ballois et l’acquit des droits d’entree 
ei de sortie. (fig. fam.) Maison ouverte & tous 
allants et venants. 

ALFARDEGAÄDO, A, adı- döpeche & la douane. 
9.7 d’ 

ALFANDECAR, ©. s. douaner : depöcher ä la 
deusne; deposer (les balloıs, ete.) dans la 
dousze. 

ALYANDECUÄLRO, 3. m. douanier : commis de 
la douane, qui visite les marchandises & la 
dousae et qui regoit les droits. p. ws. 

ALFARLQUE, 8. m." oreoorelle:oiseau de proie, 
espece de faucon. 

Aurantre. V. Alfındte. 

ALrincz, 3. m. Coutelas, cimelerre : sabre 
(ture) court, large et recourh£. 

+ ALrangere, s. m. dim. d’Alfange. 

Aıransa ou ALrance. V. Alfange. 

+ Aısassäna, 5. f." coup de ooutelas ou de 


+ Ausansipas, adj. f. pl. Folhas—, (1.de bot.) 
fewilles aecinsciformes, en forme de sabre. 

+ Aırınsiö, s. m. aug. d’Alfange, grand 
coutelss, etc. 

° ALragtaaur, 3. m. celui qui rachete des os- 
ddaves. 

ALFAQUES, 5. ws. pl. (l. de mor.) bano de sa- 
bie, bes-fond, barre, syrte. 

+ Auragti, s. m. lfakir : prötre turc. 

ALrsquim, s. me. Coq (poisson). 

+ ALraniz, adj 2 gen. On le disait de cer- 
tains cbevauı de la cavalerie maure. Alfara- 
zus, . 
* ALrantue, 3. m. ° coiffe, voile (des Turcs). 
Aıranio, A, adj. V. Brincdo. 

ALrannäsıo, 5. m. bouquin, vieux livre. 

ALFARRABISTA, 6. m. bougquiniste: marchand 
de Iivres vieux, de hasard. 

4 Ausanıcöquz, 6. m. (f. Pop.) petit komme. 

ALsaandsBa, 8. [. “ caroube ou carouge: fruit 
da caroubier. 

+ ArLrannosiL, 3. m. terrain plants de ca- 
roubiers. 

ALFARROBRIRA, 3. f. ° caroubier ou carouge : 
urbre. 


+Auravica, s. f. * (t. de bot.) basilic, basilic 
seamun. — de cobra, paristaire portugaise. 
de rio, liihymale (plante). 


FORT-«-FR, Be 








ALF 


ALrava, etc. V. Alfdia, eie. 

f ALrazar, 5. m. chemin large, spacieux. 

Auraztma, s. f. lavande, spic, aspie, nard 
commun : plante aromatique. 

Aurtca, s. f.” outil de forgeron. 

ALF£IRE, 8. m. troupesu de brebis qui n’dnt 
pas encore eu de portee. 

ALFERLIRO, 8. m. berger d’un alfeire. V. cs 
mot. 

ALrsırio. V. Alfario. 

Aurßiao, A, adj. Gado—, troupeau de bre- 
bis, vaches, juments, etc., qui n’onf pas eu eim 
core de portee. 

Aurtızia, s. m. piöce de la sole d’un char- 
penuer. 

AuLr£LoA, 8. f. melasse en caramel. 

ALFELOBIRO, 8. m. celui qui fait et vend l’al- 
feloa. 

ALFENA, 8. fı (t. de bot.) * tro&ne : arbrisseau 
et sa fleur; frösillon; puine blanche. Poudre 
de tro&ne. 

ALFENÄDO, A, 9. P.d’ 

+" ALFENAR, o. a, teindre avec de la poudre 
de troöne. 

+ Arrenutına. V. Alfena. Il signifle seule- 
ment l’arbrisseau. ' 

+ Arrenıcäno, A, adj. lust, delicat, de fair 
ble complexion, douillet. p. p. d’ 

F.ALFENICAR-SE, d.r. (fam.) fatre le douillet, 
le dölicat. 

Aursuiu, 5. m.” pAte faile avec du sucre et de 
P’buile d’amandes douces, (Ag.) Fiuet, douillet, 
delicat, de complexion faible. 

ALFENBTE. V. Alfinbie. 

Aurzuıninpo. V. Alfenıcado. 

Aırzace. V. Enxadäo. 

ALrtazs, s. m. (f. de mil.) enseigne, pofte- 


&tendard , porte-drapeau dans un reögiment. 


Sous-lieutenant. — d’EI-Rei, c’&lait ancienne- 
ment celui qui portait l’etendard royal dans les 
armödes. — mör,, oflicier de la maison du roi 
qui porte l’ötendard royal le jour de l’acclama- 
tion du roi. — menor, son suppleant. — d’uma 


cidade, porte-ttendard d’une ville. 


"+ Aureaßza, s. f. femme qui porte un eten- 
dard. 

“+ Aurerüna, s. f. discorde, guerre. 

*+ AurıL ow Aurın, 3. m. (ou : pi&ce du jeu 
d’öchecs qui repreösentait un diephant. 

Auris, adv. enfn. 

+ ALringtipa, 3. f. * coup d’epingle. 

AuLFINgTE, s. m. " epingle:: bout, pointe de fil 
de laiton ou de fer avec une petite töte. — de 
freirs, camion : petite &pingle. Alfindles, pi. 
(fg.)* envie, jalousie. Picerem os—a alguem, 
6tre jaloux, aroir de la jalousie. Os—, ou pera 
08 seus—, &pingles : ce que los maris donnent 
& lears femmes pour leur tolletie et lours me- 
nus plaisirs. Estar, ir, pOr-se, com lodosseus—8, 
ou de vinle e qualro—s, (fig. fam.) ötre tir6 & 
quatre öpingles. Ndo estar com os seus—s, ötre 
de mauvaise humeur. Alfindtes de dama, pl 
(1. de bot.) esptce de geranium ou de geraine 
(Geranium fulgidum), 5 





66 ALF 


ÄALFINET£IRO,, s. s. &pinglier : fahricant d’ö- 
pingles, velnl qui Ic vead. (t. de bot.) Göra- 
nium , geraine, e gzue ou de e. 

. Arrır. V. All. e on 

ALriıtetg,, 3. m, ° espece de semoule. ( Ag.) 
*Gourmandises. 

Arrirra. V. Asaqwi. 

ALFOBRE OU ALTÖRBE, 2.10." oouche, planche 
de Jardın. 

ALFÖNBRA, 5. f.° tapis, drap de pieds. 

t Auronsi, adj. 2 gem. alphonsin : apparte- 
nani aux rois qui ont ports le nom d’Alphonse. 

ALFONSIM,, 5. m. * MOonnaio anoienne. 

Aurönsa. V. Alforoas. u 
‚ ALFÖRBE. V. Alföbre. st. (1. de bot.) V. Zw 
phorbia das boticas. 

Aurönras. V. Alforvas. 

ALrorrıäd. V. Euphorbio. 

” ALFORFILBHAB , (6. popul.) V. Fugir. 

ALFÖRGE, s. m." besace : sorte desac, fendu 
par le milicu ot formant deux poches, servant 
aux mendiants et aux voyageurs. (fam.) * Pro- 
vision d’alimenis, de vivres pour un voyage. 
liest plus usitö au pluriel : Alforges. —s do 
navio, (4. de mer.) bouteilles d’un vaisseau. 
— iingidos , (id.) sacs , bouteilles. 

t ALronakıno, s.m. faiseur ou vendeur de 
besaces. Besacier : celui qui porte la besace. 

ALFORGEZINIO Ou% dim. d’4l 

ALFORGINHO ‚Ss. IM. | m forge. 

ALFORIA , 6. f. C’ost la meme chose qu’Alfor- 
es,’ senögre, trigonelle. 

Aurorsina, s. f. besaoo pleine, 

ALFORIÄDO, A, p. 2. d’ 

ÄALFORJÄR,, v. a, melire dans In besace. 

" ArLronnas. V. Alforvas. 

ALFÖRRA, 8. f. orente de lait: maladie des 
enlants nouveau-nds. «6. Nielie, rouille des 

8. 

ALFORRADO, A, P. p. d’ 

ALFORKÄR, ©. a. nieller, roulller. o. n. de- 
venir niell®, rouill6, en parlant des bies, 
mais, eic. 

ALFORRE. V. Alforre. 

ALFORRECAS , 8. [. pl. (1.d’Mst. nat.) ındduses: 
moliusque, polype,, zoophyte. 

ALronalia, s. f.* effranchissement d’un es- 
elave: l'action de lei donner la liberts. Carta 
d’—, instrument, t6dmolignage de Paffranchis- 
scmentqu’on donne Aunesolave. Dar cartad’—, 
affranchir un esolave, lul donner la liberte. 

Aurönvas, s.f.pl.* fenugrec, sönegr6 : es- 
pece de tzigonelle. 

A’ıros, s.m. (t. de mäd.) alfos ou alphos: 
lache blanche et Itpreuse de la peau. 

T Aurösreca ow Ausöstica, s. [. pistache : 
fruit du pistachier. 

ALröstıco eu Aurösrico, 8. m. pistachier: 


ALG 


+ ALraidänia , 3. f. (4. d’asirei.) prötendue 
influence des astres ä oerteines Epoques. 

Aıruckna, 

Ausisa ou } 38. f. ruelle, pelite rue sale. 

4, 

A’ıca, s. f. algue : plante marine. V. Alges. 

Arualun, s f. (1. de okir.) algalle : instru- 
ment de chirurgie, sonde, catlıöter. Civelte ı 
liqueur &paisse et odoriferante qu’on tire de la 
oivetie. Galo d#’— , eivetie : chat musque. 

+ ALCANÄuE, s. m. maitre-berger. 

ALcia, s.m."antre, cavome, grotte; eraläre 
des volcans. 

Aıcika, s. f. troupe & cherval qui falsait des 
incursions dans les pays ennemis pour y voler 
et piller. &6. Incursion de troupes ä cheval dans 
un pays ennemi pour piller. 

Aucanavia, s.f."arabe: langae, jargon ara- 
bique. (fg. fam.)*Baragouin, gallmalias. 

ALCARAYIABO, A, 9. p. d’ 

+ ALcARAVIÄR, o.a. — uma lingua, iniro- 
duire dans une langue de l’algaravia ; des mols 
inintelligibles. o. ». Parler le jargon arabe. 

ALcanavio ow ALCARAViO, A, adj. et 8. de 
l’Algerve. 

Aucanaviz. V. Alceravis. 

ALCaAnismO, 8. m. chiffre arabe : caractäre 
qui marque un nombre. ° Ecriture, langage 
sccret. 

ALCARÖTE,, s.m. (1.de chim.) algerot : poudre 
6meliquo. 

ALGÄRYE, s. m, Algarve » prorinoe la plus 
occidentale du Portugal. 

+ ALcanvE, adj. ei a. de l’Algeres. 

+ A’rcas, 8. f. pl. (t. de bot.) algaes : plantes 
cryptogames, dans lesquelles on ne voit point 
los organes soxuels. 

ALciz, s. m. fruitd’une espece de palmier , 
petite datte. 

ALcaziara,s.f. "hurlements ge les Maures 
poussent en sortant d’une embuscade pour 
tomber sur l’ennemi. * Vacarıne ; cris confus de 
joie. 

+ Arcazer, s. m. (8. W’hist. nat.) algazel: 
genre d’antilope. 

Aucazt. V. Gazüa, 

Auazrattee. V. Algibebe. 

ALoEBEIRA. V. Algı . 

Aucesista, s.m. (4.dechir.) bailleul, re- 
nousur : chirurgien qui remet les membres 
rompus ou disloques. 

A’ıczuna, 8. f. algebre : science du calcul 
des grandeurs en gentral, representees par des 
lettres de l’alpbabet; langue du calcul. (f. de 
chin.) “Artde remettre les membres distoques. 

ArLoßsnıco, A, adj. algebrique : de Yalgehre. 

Aıcesaista, 5. m. algebriste : celuf qui sait 
da qui professe l’algäbre. is. Bailleul. V. Alge- 

fa. 


arbro d’Asie, da genre des tiröbinthes, qui | dis 


porte les pistaches. 
ALrostisutıno. V. Alföstieo. 
ALFÖUFE , 3. m. petite porlion de terrain. 
pn ALFöz, 5. ©. camton, conireo, district. 
aine, 


ALczsatzir, 9. w. (fam.) algöbriser : &tndier 
l'algebre, en parler, l’employer. 
ALo8po, 8. m. ( t. de mid.) alg6&do : engorge- 
ment, indammation dans la gonosthöe viru- 
ente, 


m 1m Mn m 


AUG 


Austıa, 5. f." camp oü il ya peu de monde; | 


yet campeıment. 

dıctma, 3. f. Il est plus usit& au pluriel. 
= ı, menotlies, manicles : fers ow liens pour 
ts prisonniers. (fig.) Tout ce qui empäche 
dıgir. Pör—, mettre des menottes ; empecher 
dagir. 

ALGENÄDO, 4,9. 9.0’ 

Aucemis, 9. a. emmenötter : meiire des ıme- 
noltes, des fers aux mains. 

ALczsis, 8. f. nom que donnent les Maures 
aux langues europeennes. * Jargon arabe möle 
de castillan et de portugais. 

° + ALcEMIADO, A, adj. qui parlo l’algemia. 

+ ALceuto, a, adj. V. Algemiado. 

ALGEnTE, adj. 2 gen. regelö, träs-froid, 


f ALczaerıa 0% ALJARAVIA, 8. f. espäce de 
robe de chambre & demi-manchcs et & capu- 
chon. 

* ALGERIFE, 5. m. grand filet de p&cheur. 

* ALcEniräıno, 8. m. celui qui p6che avec 


Falgerife. 
auge” 8. a.” Lullooreuse pourlesgout- 
AıcıRöz , ‘ 


Achse, 3. m.” cllerne : r&öservoir d’eau de 
Reie eu de riviere. 
ALcıs£sz, 8. m. tailleur qui vend des habits 


faita. Fripier. 

Arcıpiına, 8..f. poche : sac qui tient au v&- 
tement. — dos calcdes, * gousset. 

ALcıntra. V. Aljuböta. 

Arcıngrania. V. Jubeleria. . 


ALcmi6, s. m. ouverture dans le fllet par oü 
enisent les thons. 

” A1c0, pron. quelque chose, s. m. Biens, ri- 
ehesses, avoir. 

Arcoeiß, 5. m. (f. de bot.) coton : espece de 
duvet enfermet dans la gousse du cotonnier. 
— do maio, iromager pentandre. 

f ArLc0D0450, 4, adj. cotonne, Colonneux : 
esuvert de coton, qui a du colon. 

ALcopoiL, 8. m.“ cotonnerie : lieu plants 
d’arbustes & coton. 

+ ALcoboania, s. f. planlation de cotonniers; 
grande quantite de coton. 

ALconokızo, s. m. cotonnier : l’arbre du 
colon. 

TAıcorasÄÖ om ALconouvid, 5. m. espece 
de grue, oiseau de passage. V. Alcaravdo. 

* ALconSu, adj. quelque chose. 

Aıconısun. VaAlgarismo. 

Aıcorista, 5. M. calculateur. 

ArLcdso, a, adj. plein d’algues. 

Auchz, s. m. bourreau : exdcuteur des hautes 
eavres. (fg.) —, cruel, inbamain. Chose qui 
Wsrmente, remords de concieuce, etc. 

Asozania, 5. f. eruaule ; boucherie, action 
disne d’un bourreau. 

ALcoziı ow ALGuazıL, s. m. alguazil, archer, 
sergent, sbire : bas officier de justice pour 

eizcuter les decreis d’arrestalion et autros; 
bafssier. 


- > - 





AUll 67 


ALcodm, pron. rel. indef. m. quelgu’un, 
quelque personne. (fig.) Personne de conside- 

ion. 

ARCDERGADO, V. Enzadrezado. 

GU£RGUE, 8. m. jeu du petit palet, bran 
dale de pressoir ä Phuile. RÜp ü. 

ALCUIDÄR , 3. m. grande ierrine evasee, — de 
Massa, peirin. V. Amassadeira. 

ALCLIDARINHO 0% ALGUIDARZINHO .. 8. m. dim, 
d’Alguidar. ’ 

ALGUM, A, pron. et adf. quelqu’un, quelgae, 
aucun. — fanio, quelque peu, un peu. Em — 
lugar, quelque part. Algums vez, adv. quel- 
quefois, parfois, par-ci par-lA; aucıme fois. 

Aıcuns, pl. quelques, quelques-uns, quel- 
ques personnes. 

* Arcuo. V. Algo. 

*" ALcöR, adv. quelque part, en quel- 

® ALGURES, | que endroit," rn 

AıHipa ,s. f. alllade. (Ag. fam.) Conlusion ; 
intrigue ; brouillerie. 

* ALnima. V. Alzdima, 

ALHANÄDO, A, p.p. d’ 

ALHANÄR, 0.0. aplanir. (fig.) —, vaincre, 
lever une difficulte,, un obstacle. Faciliter, pro- 
curer les moyens de parvenir ä quelque chose. 

ÄLDANAR-SE, ©. r. S’humaniser ; devenir 
plus familier. 

* ALHANSE. V. Tortuoso, 

*TAıHärca, s. f. reunion de Maures pour 
une expedition militaire. 

AuHas, adj. f.pl. palhas —, (fam.) chose da 
nulle valeur. 

ALHEAGCÄÖ, 8. f. ali6nalion, transport, cession 
de biens. V. Alienagdo, 

ALHEiDO,A, 9. p. d’Alhear. 

ALBEADOÖR, A, 8, aliönaleur. 

ALBBAMENTE 04 ALHBıAmEnTE,ado. V. Es- 
Iranhamente. 

ÄLHEAUMENTO. V. Alheagäo. 

ALHEANAR, ALHEAR, V. Alienar, 

ALBEÄVEL, adj. 2 gen. alienable : qui peut 
etre aliene. 

Aunkıra. V. Alliaria, 

ALHßiro,s. m. celui qui vend ou cultive des 
aulx. 

Aınto ow ALußıo, A, adj. d’autrul, qui est 
& un aulre. — de si, hors de Iui-m&me, aliene. 
Estar — em alguına cousa , &ire toutäfait &iran- 
ger ä une chose, ignorer compl&tement. 

Auutra, s. f. fort ourlet que !’on mettait aux 
manches des anciens pourpoints, & l’endroit de 
Fentournure. —s, pl. (1. de mar.) fesses du 
vaisseau. Ir ou vir na—, (phr. de mar.) sui- 
vre la m@&me route. 

* Aıutro. V. Alhite. 

ALHINHO , 8. m. dim. d’ " 

Aıno, s.m.(t. de bot.) ail: orte de petit 
oignon d’un got tr&s-fort. — porro, poireau. 
— de Hespanha, rocambole. —de raposa, ail 
ä tete spherique. — victorino , all serpentin 
des Alpes; faux nard ; ail de cerf.—das vinhas 
ou porros dravos, ail des vignes, aifteretie, 








68 ALI 
— d’urso, ail sauvage, ail d’oure, all de bois. 
Dente d’—, gousse d’ail. 

* ALHÜR ou ALHÜRES, ade. allleurs. 

Aui ow ALLi, ade. lä, dans cet endroit ; plus 
loin. D’— a dous dias, deux joursensuite, dans 
deux jours. 

Auıir. V. Alksar. 

Auıis, adv. autrement ou sinon, Sans quoi- 
Autrement dit. 

Ausazar, s.m. V. Mouchäo. 

Auıpanıas, s. f. pl. alibanies: toiles de coton 
des Indes-Orientales. 

Aussı, ade. (8. de prat.) alibi, ailleurs. 

ALisıLe, adj. 2 gen. (t. de mdd.) alibile, qui 
nourrit, s’incorpore (substance). 

A’ııca, 8. f. " alica : espöce de bouilfie faite 
avec de la farine d’&peautre. 

+ Auıcalno, A, adj. (6. de pods.) avec les ailes 
abattues. (Ag.) Faible, abattu, debile. Dechu 
d’un &tat florissant. 

+ ALıcanco-c&co. V. Amphisbena. 

+ Arıcintara, s. f. espece de petit l&zard 
dont la morsure est mortelle. 

+ ALICNTE, s. m. serpent trös-l&ger , trös- 
venimeux, trös-gros et trös-long. 

Auıcantina,s. f. (fam.) Ruse, tricherie, as- 
tuce, finesse, que !’on emploie pour tromper ou 
pour ne pas ötre trompe. 

ALICANTINADÖR, 0% 

ÄLICANTINEIRO, A, 8. tricheur, Anaud. 

ALICÄTE, s. m. sorte de pinceties qui a les 
pointes aigu&s ou plales, dont on fait usage 
dans plusieurs metiers; petites tenailles ; b6- 
quettes. 


ALickce, s. m. fondement, fondation : 
ALiceacE 04 } Tfosse, fouille qu’on fait pour 
ALICESSE, commencerä bätir, etla ma- 


connerie qui se fait en terre jusqu’au rez-de- 
chaussee pour &lever un bätiment. —., (fg.) 
principe, base. Abrir 0s—s, creuser les fonde- 
ments. Langar os —s d’um edifcio, jeter les 
fondements d’un edifice. (fg.) Commencer une 
chose. 

+ ALıcönpa, s. f- * aliconde : arbre de la Ni- 
gritie; on en file l’dcorce. 

* ALICORNE, ALICORNIO. V. Unicornio. 

Auıcöta. V. Aliquola. , 

ArLıpäpa 0% ALipine, 5. f. (6. de geom.) Ali- 
dade: rögle mobile plac&e sur le centre du gra- 
phometre ; aiguille du cadran & canneler. 

+ Auipaa, s. f. (1. d’hist. nat.) alidre : espdce 
de couleuvre. 

ALIENAGKO, 5. f. alienation : vente, transport 
de la propriöte d’un fond. (fg.)“ Etunnement, 
distraction. D&sunion, rupture entre amis, re- 
froidissement. — menial, alienation mentale, 
folie. 

ÄLIENADISSIMO, A, adj. sup. d’ 

ALisnino, A, p. p. d’Alienar, adj. (Ag.) 
Aliene:contraire, oppose, eloigne dequelqu’un, 
desuni. 

+ AuızNapOR, A, 6. alienaleur ; celui qui 


alidne. n 
u 









ALI 


ALIENAMENTO, 5. m. * aliönation : l’aclion d’a- 


liner. (fg.) Ravissement d’esprit, extase. 


ALIENÄR, vo. a. aliener : vendre, transferer la 


propriet6. (Ag.) Transporter, aliöner, metiro 
quelqu’un hors de lui-meme, lui faire perdre 
l’esprit. Donner de !’arersion, du mepris; des- 
unir despersonnes, mettremal ensemble; faire 
perdre l’estime, l’affeetion de quelqu’un. 


ALIENÄR-SE, ©. r. se brouiller, rompre aves 


uelqu’un. (Ag.) Perdre la t&te, I t, 
(de) Feloı u erdro la töte e jugement 


TALIENATÄRIO, A, 3. aliönataire : celui ou 


celle & qui l!’on fait des ventes, & qui on alidne. 


ALIENÄVEL, adj. 2 gem. aliönable : qui peut 


eire aliöne. 


ALIENIGENA, 8. m. ötranger. 

ALIFÄFR, 8. m. "courbes, eaux aux jambes, 
enflure qui survient aux jambes des chevaux. 
(fam.) * Maladie habitueile. (Ag.) Delaut. 

*" ALirante. V. Elephanis. 

ALIGRIRADO, A, 2. p. d’ 

ALıckırär, v. a. allöger,, soulager, allegir : 
rendre plus leger, diminuer dans tous les sens 
le volume d’une chose. (fig.) Soulager, aflai- 
blir, temperer, moderer, adoucir. Abreger, &0- 
celerer, se häter. (6. de mar.) Alestir, alleger. 
— um cavallo, rendre un cheval plus leger. 

ALIGRIRÄR-SE, v. r, s’allöger : se rendre plus 
leger. V. Apressar-se. — de roupa, de veslido, 
se degarnir. 

ALiGERO, A, adj. (f. de pods.) ail6: quia des 
ailes. (Ag.) Tres-ieger, prompt, qui a de la ve- 
locite. 

+ AuıcuLipa, adj. f. Corollula—, (t. de bot.) 
Ligulee, (fleurette) en languette. 

ALlsiDo, A, P. p. d’Aljjar; adj. (l.de mar.) 
Lege, sans surcharge. ' 

+ Aruapoe, 5. m. celui qui allöge, qui Kou- 
lage un navire de sa charge. 

ALUAMENTO, s. m. allegement : l’action et 
Yeffet d’alleger (un navire). 

ALuir,v. @. (6. de mar.) alleger, soulager 
un navire de sa charge; jeter une portion des 
marchandises dans la mer pour le rendre plus 
leger. . 

ALuir-sK, o. r. s’alleger, se decharger. 

+ ALiso, s. m. (t. de mar.) allegement d’un 
navire. 44. * Allege: petit bategu qui vaälasuile 
d’an plus grand, et qui sert & le döcharger de 
ce qu’il a de Irop, 

ALımärıa, s. f. " animal, bete (de loule es- 
ptce.) Ä 

} ALtmärtazinHa, s. [.dim. d’Alimaria. 

ALtMEnTAcäd, 3. f. alimentation : !’action et 
l’effet d’alimenter ; entretien. 

ALIMENTÄDO, 4, 9. p. d’Alimenidr. 

ALIMENTÄL, adj. 2 gen. alimenteux : qui 
nourrit. 

ALımEntän (de, com), vd. a. nourrir, alimen- 
ter. Entretenir : fournir tout ce qui est nöces- 
saire A la subsistance d’une personne. Cultiver, 
vivißer, donner, entretenir la vie, en parlant 
des choses qui ont besoin de nourriture pour 


‚eroltre, comme les planies, eic. (fg.) Alimen- 


m sn m 








AuI 


tes, aeurrir, entretenir, fomenier quclquo pas- 
sos,une vertu ou un vice. 
täuısentan-se (de),v.r.s’alimenter, se nour- 
nr. — d’esperangas, se repaltre d’esperances. 
AuwestTänıo,A, adj. alimentaire. Pensdo—a, 
ku:ion alimentaire : deslinee pour les ali- 


"+ ALısenteıRo,s. m. celui qui donne, qui 
fegrnit les alimenis. 

ALısswricıo, A, adj. alimentaire : qui con- 
terne la subsistance, les aliments. Alimenteux: 
qui nourrit. 

+ Auımesvista, s. m. pensionnaire : celui & 
qui on fait une pension pour vivre. On dit apa- 
nagiste, en parlant d’un prince qui jouit d’une 
peusion. 

Auutsto, 3. m. aliment, nourrilure, p&- 
tore , sustentation : ce qui se mange, se digere 
etentretient la vie. —, tout ce qui sert & entre- 
tenir certaines choses, comme le feu, les ve- 
geiaux, etc. (flg.) —, ce qui entretient, fo- 
mente une passion, un vice, une vertu. Ali- 
mente, pl. aliments, pension alimenlaire : ce 
qum donne & une personne pour son enire- 
tien 


Aumzsıtöso, A, adj. (8. de med.) alimen- 
%eex, nutritil : qui nourrit. 

tAuiwra, s. f. coupe d’arhres, do foräts; 
nelloiement,, eurage. 

+Aumrantına, s. f. femme ou chose qui 
Betloie. 

ALıgPADO, A, P. p. d’Alimpar. 

Aumsrapör, &A,3. Ccelui qui nettoie. — de P6- 
gos, eureur de puits. 

ALıspapcaa, 5. f. V. Alimpa. st. Saletö : 
erdares qu’on Öle de ce qu’on netloie. Alim- 
paduras , pl. du fourre, les criblures du ble. 

Auywrautıto,s. m. nelloiement : Vaction et 
leflet de nettoyer. Y. Limpeza. 

Aunmria,c. a. nelloyer, curer, öler la sa- 
let. (Ag-) Purifier, rendre pur. if. Purger un 
peys de brigands, la mer de pirates, etc. (fam.) 
Voler. Detacher, öter les taches. Gagner, attra- 
per. — as chaminds, ramoner les chemintes. 
— 3 arcores , tlaguer les arbres. —a conscien- 
eis, se confesser. — asperas com polvora, 
seuffier les canons. — as peras com a lanada, 
teouvillonner. 

AUMPAR-SE, v. r. se laver, s’essuyer; se 
parger d’une accusation. — da f£bre, se de- 
barrasser de la fiövre. 

+Auıurarivo, a, adj. propre & nettoyer: 
dätersif , gai purifle. 

+ AumrivsL, adj. 2 gen. qui peut ötre net- 
toys, purifie. 

AusBipo,A,Pp.p.d’ 

Aumpin, v. e. embellir, enjoliver, rendre 
joli. Arranger, orner, parer, perfectionner. 

Aumpir-se. V. Enfeilar-se, Adamar-se. 

+ Aumtcno, A, adj. (t. de poes.) d’ailes 
Beires. 

+ ALmzv6so, a, (f. de pods.) qui a, qui porte 
de ia neige dans les alles. 

f Auıucogränas, adj. f. pl. ( folhas —, 1. de 


ALI 69 


bof.). linguiformes (feuilles), on forme de 
langue. 

ALIXBÄDO, A, 9. p. d’Alinhdr. 

ALINHADÖR, A, 3. celui qui aligne. 

ALINHAMENTO,, s. m. alignement: ligne drolte. 
pour aligner, P’action d’aligner. 

ALINBÄR, v. a. aligner : ranger sur une meme 
ligne droite. (fig.) Parcr, orner, enjoliver, em- 
bellir. Gouverner, administrer. 

ALıinuÄr-SE, vo. r. s’aligner, etc. (Ag.) Faire 
sa toilette, s’habiller proprement; se parer, 
s’orner, etc. 

ALINHAYÄDO, A, 9. p. d’Alinkavdr. 

ALınaaviö, 8. m. aug. d’Alinkovo. V. oe 
mot. 

ALINHAVÄR, v. a. baguer, faufller, bätir un 
habit, etc. (fig. fam.) Disposer, preparer. it. 
Brocher : &crire, composer & la häte. 

ALINHÄYVO, s. m. bäti, faufilure : fausse cou- 
ture & longs points. 

ALinEO, s.m.“propret&, ornement, arrange- 
ment, parure, nettete. 

* AuLınt£ıro. V. Alanterneiro. 

* Auınreönna. V. Lanterna. 

Auıowino. V. Aleonado. 

TAurita,s.f. (1.de bot.) *alipata, arbre des 
Philippines : il crolt sur lebord de la mer ; son 
omabre est nuisible , la fumee de son bois aveu- 
gie. 
ALiPEDE, adj. 2 gen. (tl. de poes.) alipdde: 
qui a des alles aux pieds. ( Ag.) Leger ä& la 
course. 3.m. (1. d’hist. nat.) alipede : chauve- 
souris. 

Auıpivae. V. Nigella, horva,. . 

+ ALIPOTERTE, adj. 2 gen. (1. de pods.) aux 
siles puissantes, qui a beaucoup de foroe dans 
les ailes. (Ag.) Sublime: qui s’el&ve rapidement 
aux sommites du Parnasse (poöte). 

ALIPTES, s.m. pl. aliptes: ceux qui frottaient 
d’huile les athletes. 

ALıquinta (parte), adj. f. (f.de math.) partie 
aliquante. 

ALIQUEBRÄDO ‚A, adj. (4. de pods.) avec Valle 
cassee. 

Auıqtöta (parte), adj. f. (1. de math.) partie 
aliquote. 

r Auisıos, adj. m. pl. venlos —, (1. de mar.) 
alises : vonss reguliers entre les tropiques, V, 
Gerass. 

+Auiswa, s. f. V. Tanchagem aqudlica, 

ALıstÄpo,A, 9. p. d’Alistar. 

f ALISTADOR, 8. m. enröleur, recruteur, 

ALISTAMENTO, s.m. (1. de mil.) *leveeo : enr®- 
lement de tronpes,, de soldats. 

AuISTÄR, ©. a. enregistrer, melire quelqu’un 
sur une liste. Engager, enröler des soldais, des 
troupes. 

Auıstär-sg , vo. r. s’enröler: se faire soldat. 
— ‚se faire recevoir dans une socidte. 

ALıstaädo. V. Lisirddo. 

} ALIsTRIDenTE, adj. 2 gen. (i. de peds.) qui 
fsit du bruit avec los ailes. 

Autöncıco, adj. m. die —, allturgigue: 
(jour) od !’on ne fait aucun office. 


70 ALL 


* + Auıvandıra, 5. f. ancienne barque pour 
la charge des navires, 

ALIVELÄDO, ALIYELAR. V. Anivelar, etc. 

ALIvELOZ, adj. 2 gen. (8. de poes.) d’ailes 
veioces. 

ALıwvıÄno, AuLıvıka, etc. V. Alliviar. 

Auızina, 3. f.* habit moresque. 

ALIZADO, A, p. p. d’Alizar. 

+ Auızapös, A, 3. polisseur : celul qui polit. 
Polissoir. 

ALızapüra, 8 f. polissare, lissure : Paction 
de polir. 

Auızin, v, a. polir, lisser : rendre une chose 
unie dans sa superficie. Planer. 

ALIZÄRES, 5. m. pl.° garniture en bois ou en 
earreaux vernissds, tout autour d’une salle, 
d’une chambre, ete. Lambris de carreau de 
Hollande. 

Ausiea. V. Alyava. 

Ausas£aa,s.[.lalemme de l’algibebe.V. co mot. 

ALsanEne. V. Algibebe. 

"Auıiua. V. Alfama, 

. Ausauia, s.f. ’arabe corrompu que parlaient 
les Maures d’Espagne; nom qu’ils donnaient ä 
la langue castillene, 

7" Ausauıioo, a,0d). On le dissit de celui 
que parlait l’aljamia. 

Ausiva, s. f. ° carquois, trousse : diui & 


Auızaöz. V, Algerös, 

ALsoskra. V. Alfübe. 

AuLsOrAR ou ALIÖFRE, 8. m. pelile perle, se- 
mence de perles, (!. de pods.) Goultes do rose. 
(#g.) Larmes d’une dame delicate, 

+ Ausoras ou ALsorantına ,s. f. (1. de bot.) 
"gremil, herbe aux perles ; graine perlöe (herbe 
aux poules), 

Ausörsnino, A, adj. perie : garni de perles. 
On le dit ordinairement des pidces d’un scu. 
» 9. d’ N 

Ausöranin ou ALIOFRAR, ©. a. garnir de 
perles; faire queique chose qui ressemble & la 
perle appelse Aljöfar. 

Ausöras. V. Aljöfar. 

ALsösa, s.f.* vetement maure quo les Espa- 
gnols portalent aussl. 

A ‚s. m." prison ecclöslastique. 

Ausustino, s, m. geölier de l’Aljübe. 

fAuıostra, s. f. dim. d’Aljuba, V.ce mot. 

+} ALSUBETEIRO,, 5. m. celui qui fait des alju- 
las 


Austz, s. m.*rösine d’une espäce dechardon. 
BAKENGI OU ÄLKEKENGE, V. Alquequenge. 

Aukauı, eto. V. Alcali, etc. 

} ALkaste, s.m. (f. d’hist. nal.) alkast: 
oiseau des Toyaumes du Congo et d’Angola. 

Auztnuns, V. Alquermes. 

Ara. V. 4a. 

Aush. V, Ald. 

Arad, V. 4lacil. 

Arıacin. V. Alagdr. 

t ALLA, 5. m. Allah: cri de guerre des ma- 
bomstans. (Nom de Dieu en arabe.) 


ALL 


TALLAnöNDA, s. f. (1. de bof.) allahonda ; 
plante grimpante de Ceylan. 

fAırauinpa,s. f. (ti. de bot.) Hane A lalt. 

fAırania, s. f. piöce de harnais de cheval, 
espece de brandebourg. 

ALLANTöDE, s.f. (i. d’anat.) allantolde ow 
allantois: une des membranes qui enveloppent 
1 fotus ; sac d’urine du fatus ; vösicule ombel- 
icale, 

t Aırisıa,s. f. (1. de bot.) allasie: grand 
arbre de la cöte de Mozambique. 

ALLATOÄDO, A,p. p. d’Allatodr, 

ALLATOAMENTN,, 8. m. ornement de laiton 

ALLATOÄR, v. a. Orner de laiton. 

ALLECAGÄO, 8. f. allegation,, plaldoyer. 

ALLECÄDO, A, 2. p. d’Allegar. 

ALLEGÄNTE, 8. (t. de prat.) allegateur : velui 
qui all&gue. it. p. a. d’ 

ALLECÄR, v. a. allöguer, citer,, avancer , d&- 
duire, apporter des raisons. Onl’emplole aussi} 
en terme de barreau. — servigos, merilos, elc., 
exposer Bes Services, ses merites, cic., les 
faire valolr. 

Artecoria,s.f. (t.derhedt.) allögorie : dis- 
cours, image, figure , tableau qui exprime ow 
represente une chose et en fait cniendre une 
autre, 

ALLECÖRICAMENTE , adv, allegoriquement z 
d’une manidre allegorique. 

ALLECÖRICO, A, adj. allegorique : qui tleut 
de !’allegorie. (Sens, discours, tableau, etc.) 

ALLECORISTA ‚3. m. allegoriste : qui explique 
dans le sens allegorique ; qui explique les all6- 
gories, 

ALLEGORIZÄDO, A, P. p. d’Allegorizar. 

ALLEGORIZADOR, A, 8. allegoriseur : qui alle- 
gorise. 

ÄLLEGORIZAR, v. a. allögoriser : expliguer 
selon le sens all&gorique;; donner un sens all6- 
gorique. v. %. se servir d’allegories. 

t ALLEGRETO, 8. m. (4. de mus.) dim. d’ 

ALL£cro, V. Alegro 

ALLELI. V, Goico, > 

ALteLöta, s.f. * alleluia : terme dont l’Eglıse 
sö sort pour exprimer sa jole. * Mot hebraique 
qui signifle louez le Seigneur, Sabbado d’— , 
Samedi saint. As —s, le temps de Päques. if. 
(1. de bot.) —, surelle, petite plante pour les 
maladies inflammatoires. 

ALLELVITICO, A. V. Laudatörio. 

tAıLemänna, s. f. danse allemande de deux 

ersonnes. 

AuLzuio, Ä,adı. allemand : d’Allemagne. 

Ai. V. AH. 

ALLiiceo, A, adj. qui a l’odeur et Ic goüt de 
Pail. 

ALLıkDO,A,p.p. d’Alliar-se, adj. el s. allie, 
joint & un autre par affinite ; confedere. 

+Aıuica,s, f. *jonc, ajonc, brue-de-Pro- 
vence : plante. 

TALLIACÄR, 8. m. terrain plante d’ajoncs. 

Aruticeu, s./.’ alliage: melange, union (de 
metaux, de matidres, eto.). V. Li 

‚„s. f. alliance : union par mariage, 


ALL 
wailidration, union, ligue des Kiats. " Paote, 


coawention. 

Auramcäno, Auzsancia. V. Allidr, eis. 

Air, v. a. allier : faire des alliances; m&- 
ler, cambiner, incorporer ensamble; unir par 
marlage. 

AuLtin-sE, 9. r. s’allier : s’unir, se liguer 
peur l’inter&t commun , en parlant de prinoes 
et d’Eusts. S’allier, s’unir,sejoindreä un autre. 

Arıtkaus, s. f. alliaire : herbe aux aulx, de 
la famille des juliennes, & odeur d’ail: plante 
metdieinale. 

Auuscıaciö, s. f. sedustion : l’aclion ot l’ es 
de seduire (les soldals, etc.). 

ALLEZÄDO, A, pP. p. d’Allicidr. 

ALLKIABÖR, A, 5. s6ducteur : celui qui seduit. 

ALLICHAR, ©. @. allirer, gagner aveo des pro- 
messes (des soldats, des femmes, eic.); seduire, 
carrompre. 

ALuıcıtstg, adj. 2 gen. sedulsant : qui s6- 
dait, teuche, charme (personne, discoours, 
air, ete.). 38. Seducleur. 

ALLscäPo, A,P. 9. d’Alliger. 

ALıscaußnto. V. Ligacdo. 

Arucan. V. Ligar. 

ALuoaapo. V. Alsonado. 

Ausrzzacäd, 8. f. (1. de rkdt.) allitöration : 
conseanance de mols; zepslition afleciöe des 
mtmes syllabes. 

“ ALLıvaDo, ALLivan, V. Alliviar. 

AuLwırsch6. V. Allivio, 

f AuLıvıipamtuıg, ado, avec soulagement, 
sec sdoueissement. 

ALLIYIADISSIMO, A, superl.d’ 

ALLVIADO, A,P.P. d’Alliviar. 

ALumiande, 5. celui qui soulage, qui allöge, 
qui delasse. Conlesseur extraordinaire (dans les 
communautss religieuses). 

ALLINIASENTO, 3. m. l’action et l’eflet de sow 
lager, d’allöger, d’adoucir. 

Auırıia, vo. a. alleger: adoucir , soulager, 
dtlasser ; decharger. V. Aligeirar. — o Into, 
prendre je demi-deuil ow lo petit deuil, — sua 
pena, suachlera, adoucir un chagrin, 6vaporer 
sa bile. 

ALLIVIAR-SE, U. T. 50 Soulager, recevoir des 
soulagements. S’allöger , se delasser, se da- 


Da YO SE 


Aımvıo, 8. m. allögement : soulagement, 
s4oucissement; reläche ; allegeance; decharge; 
rafrsichissement ; repos. Tomar-, so delasser, 
se repeser. Berco d—, (1. de mar.) * allöge. 

* aııö, ade. lä, y. Alors. 

Auocociö, s. f. allocution : harangue des 
generaux, des empereurs romains aux soldats; 
da pepe aux cardinaux. 

ALLopiäL, adj. 2 gem. (ti. de praf.) allodial. Il 
se dit des terres qui &taient en (ranc-alleu. 

ALLOBIALIBÄDE, 8. f.(t. deprat.) allodialite: 
qualit6 de ce qui est allodial, franc, libre de 
dreits. 


ALM 


® ALLOCHMENTO. V. Alojamento. 

ALLon, inter}. fam. allons, 

ALLORCAR,, etc. V. Alongar, etc. 

TALLöNYmO, Aa, adj. allonyme : anteur qui 
prend le nom d’un autre,, pseudonyme. 

TALLöraTLo, s. m. (4. de bot.) allophyle : 
arbrisseau de Ceylon. 

fAuLzoraıornacia, 8. f. (8. de mdd.) allo- 
triophagie : faim, app6tit de suhstances non- 
alimentaires. 

} ALLOTRIOPRAGO , 5. m. ( 1. de dd.) allotrio- 
pbage : malade du pica, atteint de Palletrio- 
phagie. 

Aruvcıusciö, Arıuvcınar. V. Halluoinagde, 
elo. 


71 


ALLTDIDO ,A,p.P.d’ 

ALLopir, o.n. alluder : faire allasion. 

ALLulpo, AuLufe. V. Aluir, eto. 

} ALLUMIÄDANENTE , ade. d’une manßeo 
6olairee. 

ALLumıipo,A,Pp. p. d’Allumiear. 

ALLUMIADOR, A, adj. ots. qui Eclalre, Illu- 
mine; 6olatant. 

ALLÜMIANENTO, s. m. * illamination ; l’action 
d’eclairer ; solairage. 

ALLÖMIÄNTE , adj.eLs.2gew. &olatant, imisant, 
qui öelaire, illumine. 6. p. a. d’ 

ALLuMiiR, v. a. eclairer, luire, illuminer s 
donner de la lumiere. Eolairer gquelgu’un. As- 
sister avec un cierge allum6 a quelque oere- 
monie de l’Eglise. (}g.) Dettomper, instruire, 
tclairer quelqu’un, lui dessiller les yeux. 

AuLusäö, s. f. allusion : relation, rapport, 
eonnexion que deux choses ont entre elles. 

ALLUSIVAMENTE, adv. par allusion. 

Anıvsivo, A, adj. qui fait allusion; qui 
allude. 

AuLvvıiö, s. f. crue d’eau, debordement. 
Terra, terr nos d’— , alluvion : accroissement 
de terrain occasionn& par les eaux qui se retl- 
rent, ou forme6 par les debordemenis. 

A’LnA,s. f. Amne: principe simple, immatk- 
riel, imperissable de lavie, du mouvement, 
de le passibilit6 et de l’activits; de la sensibi- 
lit6, de Pintelligence et de la volontö chez les 
hommes; principe d’existenee ohez tous les 
ttres vivants. (ig.)—, personne, individa. 
tt. —, ce qui maintient principalement uno 
ehose, ce qui la fait subsister et sur quali elle 
est fondse. —, ce qu’il y a de plus interessant 
dans uno chose. —, le creux d’un canon, oü 
Fon met la poudre et le boulet. —, petit mom- 
teau de bols droit que l’on met dans le oorps 
d’un instrument & oordes sous le chevalet pour 
soutenir la table. -—, conseienee. --, vivacit&, 
expression, feu, energie, force, cmur. -— ds 
Deos, bda—, bon diable, bonasse. — de ca- 
vallo, ( fam.) bomme sans foi ni lol. —de 
edntaro ‚niais, sot, stupide, hutor, imheöeile. 
— minha, minha —, mon amour, m’smour. 
C'est une expression d’amiti6, de tendresse, 


+ Auıönto, s. m. franc-alleu : bien libre, ı Ser a— d’um negoecio ,etre le chef, le dire 


kkans de tous droits seigneuriaux, 
* kLrocgia. V. Allojar. 


| teur d’une affaire, d’une entreprise. N4o ha — 


viva, nen vie, iln’ya Ame vivants; pear- 


72 ALM 


sonne , absolument personne. Com — e vida, 
(fam.) du mieux de l’Ame, de tout caur, avec 
beaucoup de plaisir, tr&s-volontiers. Dar a — 
a Deos, rendre l’äme , mourir. Dar a— por al- 
guma cousa, ou chorar-iIke a — por, (fam.) 
soupirer apr&s uns chose. Ter a — na gargan- 
ia, avoir l’Ame sur les lövres. Offciaes d’— , les 
pretres, les cures. — do botdo, le moule de 
bouton. — do pe, le creux du pied. — d’um 
eabo, (ti. de mar.) Ame ou me&che d’une corde. 
As —s samlas , les Ames du purgatoire. —s do 
oulro mundo, * revenanis. 

Aımäceca ow ALMÄGEGA, 8. f. petit elang. 

ALuapia,s. f. almadie, cantimaron : petite 
barque (creuse) de la cöte de Guinde et de 
Finde. * Radeau. * Canot. . 

Auuipara. V. Almadrava. 

* ALMADRÄQUE , 3. m. malelas; coussin, 
oreiller. 

* ALMADRAQUETA 0% ALMADRAQURXA, 8. f. 
dim. d’Almadräques. 

ALMADRÄVA, 8. f. madrague : p&che du thon 
ot l’endroit oü elle se fait. Combriere : filet 
propre ä prendre des thons. — , enoeinte falle 
de cäbles et de filets pour prendre des thons. 

+ ALMannavRıRo, s. m. pecheur de Ihon; 
bomme qui travaille dans les almadrdvas. V. 
ce mol, 

°F ALMaADREnuA, s. f. ” sabot : chaussure de 
bois. 

* ALmaraniz. V. Almofariz. 

ALNMiFECA, s. f. stoffe grossiöre et claire. 

* ALmärne. V. Morriöo. 

ALMAFRSIXE. V. Almofreize. 

ALmiceca. V. Almdcega. 

ALMACESTO, 3. m. almageste recueil trös- 
ancien d’observations astronomiques, par Pto- 
lemee. 

ALMÄGRA 0% ÄLMAGRE, 8. m. ou f. rubrique: 
ocre ou ochre rouge. 

ALMACRÄDO, A, P. p. d’Almagrar. 

+ AumacräiL, s. m. endroitoü il y a de la 
terre appelde rubrique. 

ALMAGRÄR, v.a. teindre avec de la rubrique 
ou ocre rouge. V. ce mot. 

* ALMAHÄLLA, ALMAFALLA 0% ÄLMOBHALLA, 
s. m. (mot arabique) * armee, campement. 

* ALMAInHA, 8. f. V. Quinta, Quintal. 

*+ ALNALÄQUE, 8. m. manteau maure. 

ALMÄLHO, 3. m. jeune taureau ou bauf. 

ALMANACH 0% ALMANAQUK, 5. m. almanach, 
eslendrier. dt. Catalogue nominal des employ&s 
publics, civils, militaires, commergants,, etc. 
— de marinha, " sphsmerides. 

+ Aumanagutıro, 3. m. oelui qui fait ou qui 
vend des almanachs. 

+ ALNAncHÄR, 3.m.” aire pour ötendre et 5&- 
cher les igues (dans les Algarves). 

ALmanpina , s. f. almandine : sorte de rubis. 

* ALminnaa. V. Colcha. 

Aıuansinra,s. f. piöce de bois tortu d’un 
moulin & bras,, d’une machine & tirer de Peau, 
ot Pon aliache l’animal pour faire tourner la 
roue. (fig.) Chose d’une extraordinaire gran- 


deur et pesanteur. i$. (par derision ) * Homme 
grand, mal bäti. 

fAımaripa, s. f. espece de stylet. 

ALMARGEÄDO, A, 9. p. d’Almargear. 

ALMARGEÄL, 8. m. terrain martcageux de 
päturage. " Prairie. 

f Aumancein, v. a. abandonner (les bes- 
tiaux) au päturage des champs. (flg.) Jeter, 
abandonner quelque chose & cause de son ins- 
tilite. 

ALMÄRGEN, s. m. ° herbe d’almargedi. V. oo 
mot. 

ALMARGIO, A, adj. qu’on a mis dans l’almer- 
gedl ou au vert (cheval, bauf, etc.). 

ALMARINHO ‚5. m. dim.d’ 

ALMÄRIO, s.m.* armoire: enfoncement dans 
un mur avec des tablettes pour la vaisselle, 
etc. it. Sorte de meubie en buffet pour garder 
deshabits,, des papiers, eic.—d’igreja, chapier. 

fALMaRRÄxA, s. f. sorle d’arrosoir en forme 
de bouteille. 

} ALMÄRTACA ou ALUÄRTECA, 8. f. scorie de 
Pargent fondu; litharge,, glette : oxyde du 
plomb demi-vitreux. 

ALMASINBA , 8. f. dim. d’Alma. 

ALMÄSTICA ou ALMASTICA. V. Alme£cega. 

*Aumäreca, Armirtica. V. Dalmalica. 

fALMATRIixA, 3. f. couverture de cheval : on 
la meltait atlachede avec une ventriere au liew 
de selle. 

ALMAZEN, s. m. magasin : lieu oü l’on garde, 
ou l’on röserve toutes sortes de marchandises, 
d’effets. Amas de munitions de guerre. 

fALMAZENÄDO, A, P. p. d’Almazenar. 

f ALMAZENÄGENM, s. * f. magasinage : teınps de 
sejour dans le magasin. 

fALNAzEniR, u.a. magasiner, emmagasi- 
ner : entreposer : melire en magasin. 

f ALMAZENSıRO,, 5. m. garde-magasin. 

ALMAZONA. V. Amazona. 

fAınta,s.f.fluteau, damasonie:genre de 
plantes. V. Alisma. it. L’&corce du storax apre&s 
qu’on lui a enlev& toute la resine. 

+ Aıutce, s. m. Ju lait clair, petit-lait: co 
qu’il y a de sereaux dans le lait. 

ALMtceca,s. f." mastic: gomme du lentisque. 

ALMSCECÄDO, A, 9. p. d’ 

ALMECECÄR,, ©. 6. parfumer avec du mastic. 

+ ALwececutiro, a, adj. qui appartient au 
mastic. 

Auutıa. V. Almda. 

Aıutipda, s. f. (f.de mar.)*espace occupe par 
la barre du gouvernail ; voüte ow grande voüte 
de la poupe. — do jardim, (id.) petile voüte. 

ALMEIRANTE. V. Almirante. 

Aımeıniö, s,m.(t.de bot.)"chicoree sauvage, 
endive. — branco, barbe de capucin (plante). 

+Arutında, s.f. (l.de bot.) chicoree sauvage 
eultivee. 

+* Arutırica,,s. f. petit dejeuner qu’on don- 
nait & certains portiers, receveurs de four- 
rages, ec. 

+" ALMEIZÄR, 8. m. ancienne Couverture des 
Maurss. 


ALM 


AUNEJABO, A, P. p. d’Almejdr. 
Ascrsinte, adj.2 gen. p. a. d’ 
d4ısgsir,o.e. (fam.) dösirer avec ardeur. 
(4g.) Kire & Pagonie. 
Auutsı. V. Amdijon. 
d4ıuzxina, s.f.° falot: espece de grande lan- 
ierne & plusieurs möches.* Fen allums sur une 
sur pour servir de signal. —s, pl. feux pour 
annencer Papproche de l’ennemi. 
ALuenpoa. V. Amendoa. 
"Arunwiımas, s. f. pl. ancienne garniture 
ur gri en forme de creneaux. 
Auszsucotina, 5. f. (1. de bot.) *lentisque. 
V, Zretire. Zu ” 
ALuttz ou ELMETE, 5. m. armet : armure de 
te. it. Le soldat ow le chevalier qui faisait 
usage de Y’armet. 
f ALuexia, s. f. espäce de vetement ancien. 
ine derise que les Maures du Portugal 
&asient obliges de mettre sur leurs vötements 


pour &tre eonnus. 
ALuzya. V. Alma. 
+ ALuiz, s. m. adonier, micocoulier : arbre. 
Aussca, ALuice, V. Alme£ce. 
(1. d’astr.) almican- 
tAuncamraninas oy) rat, almucantarat: 
Ausıcantanırs, s.m, | Peüts cercles de la 


sphere paralieies & 
P’horizon. 

ALziıma, 8. f. chemisette, camisole, gilet. 
Ostie d’armas qu’on portait sous la cuirasse. 

Ausiuwa, s.f. diem. d’Alma, Ame d’un enfant. 

Amıninza,s.f.(i.de mar.) amiral:vaisseau 
que commande ou que monte l’amiral. i#. La 
ferame d’un amiral. 

ALEIRANTADO,, 5. m. amiraule : jurisdiction 
des alfaires marilimes; siege du tribunal des 
affaires maritimes ; territoire compris dans la 
jerisdietion de Yamiral. . 

ALMmÄNTE , 3. m. amiral : grand oflicier de 
arındes nayales ; commandant d’une flotte. ss. 
Ornement de 1£te que les femmes portaient an- 
ciennement. Ndo — , V. Almiranta, 

+ Aımrinte,s.m.(t.d’hisi. nal.) amiral: 
comet, coquille univalve; beau papillon de 


jeer. 


ÄLMIRANTEÄR, ©. w. exercer la charge d’a- 


t Auısızanria, s. [." amirautö : ötat et ofice 
Famiral. 

ALNIRES, 5. m. mortier : vase pour piler. 

Arniscan, 5.0. musc : parfum que fournit 
Fanimal (moscus) de ce nom. 

FAıwıscanino, A, 9. p. d’Almischrar, adj. 
Cheiro — (1. de bot.) ambrosiaque (odeur), 
qui tient de Yambroisie. 

ALNISCARÄR,, U. G, MUSQuET, parfumer avoc 
du muse. 

ALNISCARÄR-SE,, 0. r, Se parfumer avec du 
mause. 

Aruıscastıra,s. f. (l.de bof.) ambreite ou 
aiguille de berger, cenlauree musquäe (plante). 

f ALMISCARKIRO, 3. m. vasc ou flacon pour 





ALM 73 


garder le musc. dt. (ra5o), rat d’sau qui sent 
le musc. 

ALMISCRE,, te. V. Almiscar. 

T ALMISCHENHO oW ALMISCRENTO, A, adj. 
musque : qui a l’odeur du musc; il se dit de 
certains [ruits. 

A'ıLMo, A, adj. (1. de pods.) nourrissant, 
cre&ateur. it. Saint, vendrable. 

ALmo,s.m. V. A’llamo. 

ÄLMOCADENM, 8. m. capitaine d’infanterie dans 
Pancienne milice. Oficier (espagnol ) qui com- 
mande un detachement pour soutenir les four- 
rageurs & Ceuta. ‚ 

ALMOcäFRE,, 5. m. (4. dejard.) hoyau, plan- 
toir, sarcloir : instrument qui sert & saroler, & 
planter, ä donner de petits labours autour des 
plantes. 

* ALMOCARlA. V. Almocrevaria. 

ALNOCÄVAR, 5, m.ancien cimetiöre des Maures 
en Portugal. 

ALMOGÄDO, A, p. p. d’Almoger, adj. qui a 
dejeune. 

ALMOCADÖR, A, 5. celui qui a P’habitude de 
dejeuner ; qui ne jeüne pas. 

ALMoGin, vo. a. d6jeuner : manger quelques 
heures avant ie diner, le matin. 

fALmocEııa, 8. f. * bonnet en forme de ca- 
puchon. 

ALMOCÖOYVAR. V. Almocdvar. 

* ALMOCOUVAR ‚3. m. pätre : pasteur qui garde 
les troupeaux de baufs, de chevres. 

Aumöco, s. m. dejeuner : repas que l’on fait 
le matin avant le diner. (4g.)” Chose facile ä 
faire. 

f ALMOCRÄTE, s.m. sel ammoniac. 

ALMOCREVÄDO, A, 9.P.d’ 

ALMOCREVÄR, v.a. transporier quelque chose 
sur les betes d’an muletier. o. n. faire le 
muletier. . 

ALMOCREYARIA , 8. f. melier de muletier; 
grande quantit& de muletiers r&unis. 

ALMOCRE£VE, 8. m. muletier : qui soigne et 
conduit les mulets. 

ALmospa, 3. f.* encan : vente & l’enchere. 
(fig.) Fazer —, metire au grand jour, publier . 
les fautes ou faiblesses de quelqu’un. 

ALNOEDÄDO,A,P.p.d’ 

ALMOEDÄR, ©.a. vendre & l’encan ou ä l’en- 
chere. 

Armorica, s. f. etrille : instrument pour 
gratter la peau des chevaux. 

ALMOFACÄDO, A,P. pP. d’ 

ALMOFACÄR,v. a. 6triller: frotter avec l’etrille. 

ALuorice. V. Almofdgea. 

ALMOFACILBA, 8. f. dim. &loupe pour courrir 
la gourmette. 

Aruoripa, s.f.” oreiller :coussin de lit rem- 
pli de laine, de crin ou de duvet, Taie ou t& 
d’oreiller : le linge qui sert d’envelopve A un 
oreiller. * Carreau, agenouilloir : coussin sur 
lequel on 8’agenouille.—de porla,(l.de menuis,) 
un panneau, bossage de bois. —s das abiles, (1. 
de mar.) coussins de bittes. 

ALMOFADADO, A, 2. P. d’Almofadär. 





78 ALM 


+ Aımorsbin,o.a. garnir de ooussins. if. 
Tailler (la boiserie, les pierres) en oreiller, 
faire des panncaux, des bossages. 

ALNMOFADINHA, 3. f. dim. d’Almofade, petit 
coussin, coussinet A Coudre.* Matelas d’une vor 
ture. Bosse : pierre saillante (ou bois) d’un ddi- 
fice, taill&een oreiller. —de sangrie, compresse. 

tALMOorÄR, s. m." partie de l’armureancienne 
qui sauvait la tete, et sur laquelle on posait le 
cabasset. 

ALMOFARIZ,s.m. mortier de metal. Mäod—, 
piton. 

‚ ALNOFÄTE,, s.m. emporte-piece:: outil de sel- 
tier pour faire des trous dans les &triviöres. 

ALnoria, s. f. jatte de falence: cuvutie ronde. 

ALMOFBEIXÄDO, A, 9. P. d’ 

+ ALMOFREIXÄR, v.a. emmaller dans l’!almo- 
freize. 

ALMOFREIXE ‚a. m. sac de toile grossidre pour 
porter un lit de voyage, espece de porie-man- 
teau. 

+ ALMOFREZ, 8. m. emporte-piece : outil de 
sellier et de cordonnier pour [aire des trous 
dans le cuir. 

Aıuocima,s.f. (l.de mar.) piece de bois au 
bout de la poupe et de la proue d’un vaisseau; 
cale d’un narire. 

ALMOGARÄVE, 8. m. V. 

ALMOGAYÄR, 3. m. militaire ou paysan (Ppor- 
tugais) qui faisait des incursions conire les 
Maures. 

f ALuocavaria, s. f. troupes d’elmogoravss. 
V. ce mot. 

T ALUOGAVERiA 0% ALMOGAYRIA, 8. f. pro=1- 
fession et exereice d’almogavar. V. ce mot, 

ALMOCÄYRE. V. Almogavar. 

Auuoinsa. V. Almainka. 

ALMOJÄYRNAS, 8. f. pl. tourte de fromage et 
de farine. Espece de beignels. 

ALnöNnDEcA, s. f. boulette: masse de chalr 
petrie en rond. 

Aruonsiva,s.f.* hachis demonton ‚ eio. 

ALMmoqueıre. V. Almocreve. 

} ALMORAVIiDES, 8. m. pl. nom de cerlaine 
raoo de Maures. 

ALuörco, etc, V. Almöeo, etc. 

* ALMmorqukıro. V. Almocreve. 

* ALMORRÄS ou 

ALsorrtimas,s.f. pl. V. Hemorrköidas. 

ÄLMOTAGÄDAMENTE , ade. avec poids ei me- 
sures ;selon l’ordonnanoede l’almosacel. V. os 
mot. 

ALMOTACADO, A, 9.9. d’ 

ALMOTACAÄR, v. a. taxer, ixer le prix des 
denröes ; veiller sur leur qualit ; verifler, exa- 
miner les poids et mesures. (flg.) Apprecier, 
qualifler une chose ou une personne, 

Aımoragaria, s. f. charge de l’almotacdl ; 
taxe : röglement pour le prix des denrees, eto. 

Aınorackı o% ALMOTACH, 8.18, officier civil 
charg6 de fixer le prix des denrees et de veri- 
fier les poids et mesures, elo. — mör, 
seur, intendant de la maison du roi. 

ALuoToLla,s,f. * huilier : cruche & I’huile. 


ALO 


ALNOXAR{rÄDO, 3. m. omplol, Jurktiotion de 
P’Almoxarife. V. ce mot. 

ALMOXARIFE , 5. m. reoeveur des impöls sur 
grains, ete. is. Surintendant, administrateur 
de queiques domaines du roi ou des grands 
seigneurs, 

ALMOXÄTRE, 5. m. sel ammoniso, 

rt ALMOZARÄBE, s. m. chretion sujot aux 
Maures. 

* ALmucasäLa. (f. arabe) V, Algebra. 

* ALMUCELLA 04% ALMUCALLA, 8. f. 00UVer- 
ture de lit. 

fAımupina, 8. f. *espace de terrain od l’on 
peut semer un almude. V. ce mot. 

} ALuupino, A, P.2.d’ 

+ AınuDan, 9, a mesurer par almudes (le 
vin, V’huile). 

ALMÜDE, s. m. almoude : mesure de grains 
et de fruits (anciennement) en Portugal; me« 
sure de liquides (anjourd’hui), qui dquivaut & 
dix-sept litres. 

ALMURLLA. V. Almucella, 

Aunulnua. V. Almainha, 

* ALmuinHßıro. V. Horteldo. 

* AL mönıa 8 ALuuya. V. Almainkha. 

Mına,sf. aune. 

+ALntoo, s.m.* aunaie: lieu plant& d’aunes. 

ALno, s. m, aune, peuplier noir. 

*ALö, interj. allons ; adv. la, alors. 

ALok, s. m. espdce de eonfiture en Orient, 
Dans le Bresil, c'est une boisson falte de ris 
avec du sucre ferment dans l’eau. 

ALopıir. V. Allodiul. 

ALo& ou A’Lots, s. m. (8. de bot.) aloös : ar- 
bredes indes, ä bois odorifsrant etlourd ; plante 
d’Arabie, de beaucoup d’espöces, medicinale. 

ALotnpeo, V. Lodadro. 

ALofrico, a, adj. alostique : od il entre de 


ALOGEÄR, etc. V. Alojer. 

+ Auöczs ou ÄLOGEANOS ‚8. m. P). al ı 
secte d’heretiques qui niaient la divinite et P&- 
ternits du Verbe. 

ALocia,s.f. alogie; absurditd,, Impertinenoe, 

ALole. V. Aluir. 

ALosıcäkd. V. Alojamento. 

AL0J400,4,9.p.d’Alojar. 

ALOSAMENTO, 5. m.logement: lieu ob l’onloge. 

Auosin, v.a. loger:donner logement. — Iro- 
pas em quarleis, osserner des troupes. — pdo, 
ceredes , serrer le bi& dans le grenier, le meitre 
en reserve. 

ALoJaR, 9.». habiter dans une maison; cam 
per, ötre camp€, log6, etc. 

ALOJÄR-SE, ©. Tr. se loger, prendre logement. 

ALOMBiDO, A, P. p. d’Alombär. 

+ ALOMBAMENTO ‚sm. Paetion ei V’elfet d’&- 
reinter. 

ALousin,v.a. V. Derredr. 

ALousorRÄ0O, ALowsonän. V. Alamborer. 

ALONCÄDAMENTE, adv. longuement, de loie, 
longitudinalement. 

ALONGÄDO, A,P.P. 0’A 

ALONOANENTO, 8. Mm, allongement : Paolion, 


2 on. 


PIE” EEE ee EEE 


ALP 


ufıllet d’allonger. it. Distanes , separalion, 
dsignement. 

"ArLoncinca.V. Alongamenio. 

Aroscie, v. a. allonger : rendre oa faire 
paraltre plus long. Kloigner , söparer , &carter. 
— ‚difförer (un proc&s, ete.). 

ALoncin-SE, vr. sallonger, s’etendre,, de- 
venir plus jong. S’eloigner, so s&parer, s’scar- 


wer. 

ArLorzcia ‚3. f. (f. de möd.) alopecie , pelade: 
maladie qui fait tomber le poll. Döpilation : 
Taetion ei Feffat de döpiler. 

+ ALortcıo ow ALoP&£Tico, A, ady. döpilatif : 
gei Lait tomber le poil, les cheveux. 

Arorschaa, 8. f. (f. do bot.) olopeoure : 
gueue de renard, plante. 

ALosna.V. 

ALoccino, A. V. Adoudddo. 

AL0o0sipo,A,p.p.d 

ALovsir, e.a. daller: : paver avec des dalles. 

+ ALrico ow ALPAQUE, 8. m. alpac, alpaca, 
alpaga, alpague , alpaque : quadrupdde du P#- 
reu , lama ssuvage, portant laine 

*"ALPARAVÄZ, 5. m. ospöce d’ornement pour 
les chapeaux,, pour te lit. V. Sandfa. 

Aırimca ow ALrıancita, 3. f. sandale :ı s0u- 
lier de coräes faıt avec du ehanvre ou dusparte; 
alpagattie. 

ALPARCATE, 8,.m. V. Al 

+ ALPARCATERIA, s.f. boutique o& Pen vend 
des .V. 08 ınot. 

ÄLPARGATEIRO O8 

ALraaQu8ıno, s. m. oelai qui fait ou qui vend 
des , V. ce mot. 

. ALPARYOSO, a, adj. V. Parvo, Apearve- 
ikado. 


*Ar-vuLo. V. Pelio. 
* ALrtupen , ALPENDERE. V. Alpondre. 

AL PENDORÄDA ou ALPENDRÄDA, 8. f. ° porche 
diendo, qui a beaucoup de pliliers ; kangar, re- 
mise. 

ALPENDRE, 8. m. porche : lleu convert & l’en- 
irde d’une #glise, d’une maison de campagne, 
#'une hötellerie. Hangar, remise. 

ALrtuse. V. Alpino, 

ALPERCÄTE, 8. m. (1. de cord, ) "ouverture en- 
tre la pale er l’orellle d’un soulier au-dedans 
de la rosette. 

Aır£acue, s. m. alberge : petite p£che pr&- 
ooce , dont la chalr eat jaune et ferme. 

+ ALrache, 5. m. petit porche, appentis, 
Ranger, abat-vent. 

ALPERCHRIRO, 8. M. albergier ı arbre qui 
porte les alberges. 

ALrtstre, adj.2 gen. V. Fragoso. . 

ALp£staıco ou ALPESTRINO. V. Alpesire. 

ALraa,s. m. alpha : premidre letire de V’al- 
phabet grec. (Ag.) Premier, commenoement. 
— 6 Ome£ga , le oommencement et la fin. 

ALPBABETÄDO, A, 9.9. d’ 

ALPEABETÄR, v. a. disposer par ordre alpha- 


e. 
ALPEABSTICHHENTE, adv. atphabe ß 
dune maniteo elpbabötigee. Hauement 


ALQ 7 


ALrnapfrico, A, adj. alphabötigue : de !'n!- 
phabet, selon son 'ordre alphabätique ( Inble, 
liste , eto.). 

+ AuPuaBKrista, s. m. celui qui traile de Fal- 
pbabet ou qui l’ötudie. 

ALrnanfro, s. m, alphabet : ensemble des 
lettres d’une langue; livret, tableau, qui les 
eontient. V. Abecedario. 

+ ALPSANPgTE ou ALPRANETO, s.m. (I. d’hist,. 
nat.) alphanet : oiseau de proie de’ Barbarie. 

ALPBAVvÄCA. V. Alfavace. 

+ ALraßos, s. m. pl. (1. d’isl. nat.) alphees ı 
genre de orustaots des Indes-Orientales. 

tALrpninea, s. f. (8. de bot.) alphinge : plante 
aromatique d’Am6rique. 

+ ALPRITIDON, s. m. (6. de chir.) alpkitiden : 
fracture des os du crAne reduits en (arine. 

ALrino,A,adj. Alpin : des Alpes. 

ALrista, sh bl6, graine des Canaries, 

Aıpiste,s.m. ) pbalaris, alpiste ı graine 
dont on nourrit les serins et autres olseaux, 

Aupist£ıno. V. Apisteiro. 

AuLristo.V. Apisto. 

ALPÖNDRA „Ss. f. petit pont de pierres sur les 
rivieres. 

Aurönck. 8. f. plus usild au pl. &erouellcs: 
tumeurs, abc&s souvent indolents & la gorge, 
aux glandes; scrofules, humeurs froides. 

ALPpoaciv0,A,9.p.d’ 

ALrorncin, v.a. ($. d’agr. el de jard.) mar- 
eotter : coucher des branches ou des rejetons 
en terre pour leur faire prendee racine. On dit 
provigner, en parlant des vignes. 

ÄLPORQUENTO, A, adj. Ecrouelleux : qui ap- 
partient aux &crouelles, qui les a; sorofu- 

eux. 

* ALQUANTO,, adv. un peu. 

* ALquein, V. Alquilar, 

ALQUEBRÄDO, A, P. p. d’Alquebrar. 

} ALgoznramento (d’um navio), s. m. (8. de 
mar.) arc d’un vaisseau, V. Alquebre. 

ALqusanir, v.n. ($. de mar.) #’arquer : so 
coarber en arc, en parlant de la quille d’un 
vaisseau, et du vaisseau lui-me&me. 

+ ALqufang, s. m. (l. de mar.) courbement 
de la quille ou du vaisseau qui est devenu ar- 
que. V. Alquebrär. 

T ALQUEIRAMENTO, 8. m. mesurage par al- 

res. 

ALqutiae, s. m. alquier, mesure portugaise 
(pour les grains) : 13 litres. — dazeile, c’ast 
un demi-almonde, V, Almude. 

ALODEIRINHO, 8. m. dim. un peu plus qu’un 
demi-alquier. 

ALgqueivipo, A,p.p. d 

ALQUEIYÄR , v. 0. N ehbrer, labourer des ja- 
chöres : donner le premier labour aux terres 
qu’on a laisse reposer. 

AuQükıyE, s.m. premier labour qu’on dogme 
& une terre en Jachere. Gudret, recassis : terre 
labour6e pour dire ensemencke. 

f ALquequänor, 8. f. (t. de bot.) alkekenge, 
cooqueret offieinal, ooquerelle, berbe & cio- 
ame, 


=... 


16 ALT 


f ALOURQunncHata, s. f. (6. de bot.) alkeken- 
gäre : arbre du Perou & fruit vensneux. 

* Arou£r. V. Alquöire. 

Arqueaia,s. f. p. us. maison oü l’on garde 
les instruments aratoires.V. Abegoaria, Granja. 

ALqueaıvıa. V. Alchirivia. 

ALQUERNES, s.m.(l. d’anc.m£d.) aıquermes: 
eonfection de kermes, d’alo&s et d’autres in- 
gredients. 

Augquiin. V. Alguilär. 

” Arguic# , ALquic£L ow ALguickz, 8. m. ve- 
tement maure en forme de manteau. * Kioffe 
dont on faisait des tapis de table. 

"Arqui£r. V. Aluguel, Alqwie. 

ALguıfs, s.m. * mesure de tanneur. 

+ ArouıröL, s. m. (1. de min.) alyuifoux : 
plomb mineral ; mine de plomb. 

ALQuıLi0oo, A, P.p. d’Algwidr. 

ÄLQUILADOR,, A, s. loueur de montures. 

7° ALQUILAMENTO, s. m. louage : P’action de 
louer des montures. 

ALquiLir, v. a. louer des montures ; les 
donner et prendre & louage. 

T AuquiLir-s£, vo. r. selouer, s’engager, 
s’obliger & servir quelqu’un pour un ceriain 
temps, moyennant un prix convenu. 

ALgtiL£ ou ALquiLäa, s. m. louage : prix de 
louage d’une monture. 

tf ALotiuE, s. m. ° imitation de l’or. 

Argrimia, etc. V. Alchimia, etc. 

ArquimiLra. V. Alchimilla, 

ALquiaivia. V. Chirivia. 

T Augquirika, 8. f. (8. de bof.) * tragacanıhe, 
&pine de bouc, barbe de renard de Cräte. it. 
Gomme adragante. 

Arguırriva. V. Archilrave. 

* ALQLÖRQUES,, 3. m. pl. anciens patins. 


T ALRETE, s. m. oiseau de proie qui ressem- 


ble au corbeau. 

ALROTÄDO, ALROTÄR, V. Escarnecer, etc, 

Aırotaria. V. Escarneo. 

ALRÜTE. V. Abelheiro. 

A’LTA , s. f. danse ancienne d’Espagne. (t. de 
milst.) Reintegration dans le service mililaire. 
Dar —: il se dit d’un militaire qui a &t6 malade 
et sort de I’höpital pour rentrer dans son regi- 
ment. Fazer —, faire halte : s’arreter dans la 
marche. 

A’LTABÄIXO, 8. m. 
de haut en bas, 

‚, ALTArönsa, s. f. "oiseau de proie, esp&ce 
de crecerelle. 

“  ALTAMÄLA ou A’LTEMÄLA , loc. ade. sans 

; choix, bon et mauvais : l’un poriant l’autre. 

A’LTAMENTE, adv. hautement : par[aitement, 
excellemment. Haut, ä haute voix; dans une 
situation 6levee. Profondement, vivement. 

” ALTAMIA , s.f.* vase de terre vernisse. 

T ALtauısa , s.f. (6. de bot.) allamise : plante 
du Peron , espece de coreope. 

ALranipo, a, adj, alier, bautain. V. Alta- 
neiro. 


(alto a bäixo) coup d’epee 


ALT 


ALrantiao, A, adj. On le dit de l’oiseau de 
proie de haute volerie. (Ag.) Hautain, orgueil- 
leuz, fier, superbe, arrogant. 

ALTANERIA , 5. f. haute volerie, * Oiseaux de 
proie. (fg.) Hauteur, orgueil , arrogance. st. 
—s, pl. pensdes sublimes. 

ALTAR, 8. m. autel : table pour les sacrifices, 
(Ag.) La religion chrelienne. — mör, maltre- 
autel, grand autel. Pd d’—, casuel des curds, 
des prötres. 

"Aıraria, V. Alterdr. 

ÄLTAREIRO, 5. m. celui qui pare et embellit 
les autels; döcorateur d’öglise. Celui qui a une 
voix claire ethaute, 

* ALTAREZA. V. Alliveza. 

ÄLTARINHO, 8. m. dim. d’Aller. 

t ALTanista, s. m. chanoine (& Rome) qui a 
soin du grand autel du Vatican. 

ALTARZINHO. V. Allarinko. 

ALTEÄDO, A, 9. p. d’Altedr. 

f ALTEAMENTO, s.m. exhaussement: l’actiom 
et l’efiet d’exhausser; elevation. 

ALTEÄR ,v. a. exhausser : 6lever plus haut, 
rendre plus eleve. vo. ». Crottre ; agrandir. 

ALTEÄR-SE, o.r. V. Klevar-se, 

ALTENARIA. V. Allaneria. 

Auteaäsır. V. Alterdvel. 

TALTERABILIDÄDE,, s. f. alterabilits : qualite 
de ce qui peut @tre alter6, ce qui constilue une 
chose alterable. 

ALTERACÄO, 3. f. alteration : l’action et l’eflet 
d’altrer. — ,, agitation dans le pouls. —, mou- 
vement de colere ou d’une autre passion. (fg.) 
—, &meute, tumulte, inquietude,, romuement, 
desordre public. Emotion. — dos precos, (1. de 
comm.) fiuctuation de prix. 

ALTERÄDAMENTE,, adv. d’une voix mal assu- 
ree , confusement., 

ÄLTERADISSIMO, A, adj. sup. d’ 

ALTkaino,A, 9. p. d’Alterer. 

ÄLTERADOR, A, 8. celui qui altöre. 

ALTERÄNTE, adj. 2 gen. p. a. d’ 

ALTERÄR, v. a. altörer : changer l’ötat d’une 
chose,, particulierement de bien en mal. Trou- 
bler, &mouvoir, ameuter. —, inquieöter, fächer. 
Falsifer. 

ALTERÄR-SE, vo. r. s’altörer, se changer, se 
gäter; se troubler. ( Ag.) S’enorgneillir, se f&- 
cher, se mettre en colere. 

ALTERATIVO, A, adj. alteratif : qui alteöre, 
employe pour alterer. 

ALTERÄVEL, adj. 2 gen. altörabie : qui peut 
ötre altere. 

ALTERÄVELMENTE, ado. d’une manidre alte- 
rable. 

ALTERCACÄÖ, 8. f. altercation, dispule, 00n- 
tention, debat : conteslalion entire deux ou 
plusieurs personnes. 

ÄALTERCADISSIMO,, A, adj. sup. d’ 

ALTERCAÄNO, A, 9. p. d’Allertar. 

AÄLTERCADÖR,, A, 8. ergoleur, pointilleux; 
contentieux,, disputeur, querelleur. 

ALTERCÄNTE,, dj. 2 gen. qui dispule.p. a. d’ 

ALTErcÄn, v.a. debattre contester, dömeler 


Bu ri ri - m 


ALT 


(me question, ele.). v.». Alterquer, disputer; 
urgster, pointiller. — de palarras picanies com 
slzuem, se prendre de bec avec quelqu’un. 

ALTsasacäd, s. f. alternation : !’actioneil’ef- 
Mtd’alterner. 

ÄLTERNÄDAMENTE, adv. alternalivement: our 
ätour, l’un apreös l’auire. 

ALTERNÄDO, A, 9. p. d’Allerndr. 

ALTERNAMENTE. V. Alternadamenie. 

ÄLTERRÄNTE, adj. 2 gen. qui alterne. p. a. d’ 

ALreanaa, 9. a. alterner. Il a toutes les ac- 
oeptions du ınot frangais. 

ALTERNATIVA, 5. f. “alternat : action, liberte, 
droit d’alterner. Alternative : option entre deux 
proposilions, entre deux choses. 

ALTERSATiVvamenTe. V. Alternadamenie. 

ALTERRATIVO, A, adj. alternatil:: qui alterne. 

ALrtano, a,adj.(l.degeom.) alterne. Angulo 
—, angle alterne; c’est l’angle forme& par une 
Egne qui coupe deux parallöies. Fdhas —as, 

(£. debot.) feuilles alternes, sont celles qui nais- 
sent seule & seule, des deux cöt&s de la tige, 
sans se eorrespondre. 

ALTERÖSANENTE, adv. avec hauteur. 

Aırzaöso, A, adj. eleve, fort haut. (.demar.) 
Enhuche. Navio—, vaisseau enhuche: haut sur 
l'esu, de haut bord. 

“ AL rzvıpäne. V. Alliveza. 

Aırtza, s. [. haulesse, hauteur. Altesse: 
itre ge’on donue aux princes. Anciennement 
en le donnait aux rois de Portugal jJusqu’ä D. 
Sebastien. Hautesse : titre que l’on donne au 
grand-seigneur. (Ag.) Elövation , sublimite, 
ezzellence. 

Aırmta, s. f. (tl. de bot.) guimauve : plante 
medicinale. 

ALTIBAIXOS, 8. m. pl. terrain inegal. (fg.) 
° Vieissitude, fux et reflux des choses hu- 
maines. 

* AL rımtano- V. Alto bArdo. 

+ Aırica,, s. f. (t. d’hist. net.) altise : petit 
insecte phytophage. 

Auriroco. V. Alte le. 

ALrıLogußncıa, s. [.locution elevee, sublime ; 
elevation, sublimite de style. 

ALTILOQu&NTE, adj. 2 gem. (t. de pods.) subli- 
me, eleve; qui parle, qui &criı dans un style su- 
blime, love. 

ALriLoguo. V. Alkiloguente. 

Aırıuzreia, 8. [. (1. de gdom.) altimetrie : 
partie de la geometrie, mesure. des hauteurs. 

+ ArLrimerno, s. m. (d. de gdom.) allimeire : 
Iustrument pour meosurer la bauleur des objets 
sarf’borizen. 


TALriserao, A, adj. (I. de geom.) de l’alti- 
metri 


e. 
ALrıuuräBO, A, adj. (1. de pods.) avec de hau- 
tes murailles. 
ALrırorancıas, 3. f. pl. bautes puissances. 
ALtiana, s. f.“ velement asialique. 
ALTISORÄNTE, adj. 2 gen. (1. de pods.) On le 
dit d’un style, d’undiscours pompeux,suhlime. 
ALtisono, 4, adj. (l. de pods.) pompeux, su- 
blime. V. Altisonanie. 





ALT 77 


Autissıuo, 3. m. le Tres-Haut. adj. superl. 
ao. un 


ALTITONÄNTE, adj. 2 gen. (f.. de pods.) qui 
tonne en haut. 

ALritipe. V. Altura. 

R ALTIVACO, A, adj. (1.de pods.) qui s’agite dans 
air. 

ALTIVANENTE, adv. avec hauleur, artogam- 
ment. 

* ALrıvän-se. V. Ensoberbecer-ss. 

ALtivkz ou ALTıv£za, s. f.*orgueil, hauleur, 
arrogance, superbe, fierte. 

Aırivo, a, adj. hautain, haut, imperieux, 
altier, orgueilleux. 

+ ALtıvoLinte ou ALTiVOLO, A, adj. (i. de 
poes.) qui vole haut (aigle, etc.). 

ALTO, A, adj. haut, elevd.—, en parlant 
d’un pays, d’une province, d’une contree. 
Grand, haut, d’une taille avantageuse,, d’une 
grande 6levation. (Ag.) Difficile a obtenir ou & 
comprendre. it. Eminent,, elev6, en parlant 
de personnes, d’emplois et de digniles. «4. Su- 
perıeur, excellent. «4. Grand , &norme, alroce. 
Profund,, baut, en parlant de la mer. Cher, 
haut, excessif, par les nues, en parlant du 
prix de quelque chose. Haut, en parlanı des 
riviöres et des fleuves,, lorsqu’une cause ex- 
traordinaire les a fait monter. Haut, tardil, en 
parlant des fötes mobiles. — dördo, haut bord 
— dia, plein jour. —a noite, le milieu de la 
nuit. O mais, — le maximum. — mar, mer 
haute, pleine mer. Arvore-a, arbre de haute 
futaie. Lid do—, d’en haut. Esle anno vem ou 
cdi a quaresma—o, le cargme est haut, est 
tardif cette annde. — som ommell profond. 
Altos e baixos, V. Altibaixos. 

ALTO, s. m. "hauteur. V. Colina, (tl. de mil.) 
Halte ( faxer—): pause que font les gens de 
guerro dansleurs marches. i6. Halte, terme dont 
les commandanis so servent pour faire arröter 
les soldais. ($. de mus.) Dessus. V. Contralio. 
Passar por— , oublier, ometire. Tirar por—, 
V. Contrabendo (por). Levar ou alcangar por 
—, par une faveur particuliöre, par proiec- 
tion, en parlant des emplois , des gräces, eic., 
que l’on oblient sans suivre la marche ordi- 
naire des affsires. Os altos, pl. lieux eleves, 
cötes; chausses anciennes, haut-de-chausse. 
Os altos d’uma casa, le dernier 6tage d’une 
maison. 

A’ıro,adv. haut, & haute voix. Faller —, 
parler haut. D’—a baixo, de baut on bas. Em-— 
e bom som, (fam.) tout haut. — id, inter). 
halte-iä, c’est assez, arr&tez-vous la. —e mdlo, 
(popwl.) l’un portant l’autre. 

* ALTön. V. Alturs, 

* ALTO-sös, interj. V. Eia, Süs (ora). 
ALTOZINNO, 5. m. dim. d’Alto. Monticule. 
Aıraiz. V. Alimentoso. 

Autüna, s. f. hauteur, elevation; profondeur, 
—, une des trois dimensions geomötriques. La 
haute region de Pair. — colline, terire. (Ag) 


» 


78 ALY 


Proedritö, diövation, &minenos. — de pölo, 
hauteur, elövation du pöle. — meridionel, 
hauteur meridienne. Zstar om grande —, etre 
en grande &levation. Tomar—,(t. de mer.) 
prendre hauleur. —s, pl. le ciel, les cieux. 
Deos das —,, le Tr&s-Haut, le Tout-Puissant, 

Auvino, A, adj. Iunalique. (fg.) Etourdi. 
(pop.) Qui a lerut, qui est en chaleur, en par- 
lant des animaux. 

+ ALvite, s.m.( 6. hist. nal.) alouate : 
singe hurleur. 

+ Aucogı, s. m. ( (. de chim.) aludel : espöce 
d’allonge pour les sublimations. 


® Arucacom,. V. Locapfo. 

ALuciD0,A,p. p. d’Alugdr. 

ALucandn, A, 3. loueur : celul qui loue. 

ALUGAMENTO. V. Alugudi. 

Auvcir,v. a. louer : donner et prendre ä 
louage. 

ALOGÄR-SE. V. Algwier-se. 

* ALucukıro. V. Alugedor. 

ALvoutı ou ALucu£n, s. m. loyer : le prix 
- dulouage de quelque chose. Lonage : l’action de 


ALUDO,A,P.p.d’ 

Auvir, o. a. ebranler : secouer, donner des 
secousses et rendre moins ferme. V. Abalar, 
Escavar ' 


® ArLunia. V. Ululdr. 

Auusanor. V. Langerote, 

fALumsainos, s. m. pl. noms de ceriains 
hördtiques de Serille, condamnss en 1627. 

* ALumania. V. Alumior. 

ALuusino, ALußein. V. Allumiar. 

TALÖMEN, s. m. (6. de chim.) alun : sel 
Boutre,, compos6 d’acide sulfurique et de terre 
argileuse ou alumine, 

Auummipo, ALumıan, eto. V. Allumiar, 

t Audsım, s. f.( 6. dechim.) alumine : terre 
argileuse, l’une des lerres primitives; argile 
pure, base de l’alun ; oxyde de ’aluminium. 

ALummapo, V. Iluminado, Allumiado. 

TALuumano, A, (. de chim.) alumineux : 
qui est d’alun, de sa nature. 

Kama. V. Allumiar, üluminar. 

LUMINICO, A, adj. ($.de chim. i cOh- 
tient de l’oxyde eelarninlam. " 

ALvninireno, a,adj. (1. de chim.) alumini- 
före : qui contient de l’alumine. 

T ALuminıo, s. m. (. de chim.) aluminium : 
metal qui donne Poxyde dit alumine. 

Auumımöso, a, adj. (1. de chim.) alumineux : 
qui ade Yalun, de la nature de l’alun. 

* ALoxınöso. V. Zuminoso. 

ALtuno, s. m. &leve, disciple. (4g.) Nour- 
Fisson. 
Auutino, Awvria. V. Eniutar. 
LUZIADO, ALUZIÄR, . 

Auuzino, ALUZIR. | V. Luzir, etc. 

ALva,s. f. aube : la pointe du jour. —, long 
vAament on toile poür les pr@tres; i4. pour les 


ALV 


condamnes & mort (en Portugal). — do olko, 
le blanc de all. Ao romper d’—, au point du 
jour. Estrells d’--, la plandte Venus quand 
elle devanoe le soleil, l’aurore. Quarlo d’—, 
(4. de mar.) apr&s souper, jusqu’au premier 


quart. 
Aıvaciö, adj. V. Aloacento. 
ALVACENTO,A,0w% }) blanchätre, tirant sur 


ALvaDiO, A, adj. le blanc. 

ALvipo, 3. m." cavit£ : il, ouvertare qu’on 
trouve dans plusieurs instruments ; entree 
d’une ruche. —s dos dentes , tes alvsoless. 

* ALvarapiD0,A,9.p.d 

*Arvarapin, v. a. blanchir avec du blanc de 
plomb. 

Aıvarine, 8.m. * cöruse : blanc de plomb; 
massicot. 

*AıLvard. V. Alvard. 

* ALYAMRNTE. V. Palidamente. 

* ALVANECA, 8. f. coiffe de poup6e. 

ALVANn&L, ALVANZO 0% ALYANIL, 8. m. MA- 
gon: artisarı qui fait les bAtliments & chaux, 
pierres, plätre, ciment. 

Avid. V. Aiodo, Gaivdo. 

+ ALvaguirua, s. f. (t. de bot.) * alvaquilla : 
arbrisseau vulneraire. 

Avira, adj. 2 gen. blanc, blanchiätze. (Ag.) 
Niais,, stupide, bete. 

ALvani,s.m. edit, c#dule, letires-patentes 
du prince; privilege, brevet , decret d’un sou- 
verain. 

* Auvaripa. V. Alvorada. 

ALvaris, ALvariz ou ALvarico, & 
keuo6 : Iöpre blanche : maladie cutande. _ 

+Aıvanizes, 5. m. pl. espece de figues 
d’Europe. ' 

Auvinazs. V. Chiekarros. 

- ALvanıcöqus. V. Albricoque. 

ALYVARINHO, A , adj. dim. d’Alver. 

+ Aıvarızino, A, adj. attaque de la löpre 
blanche. 

ALvarnninpa. V. Albarrdda. 

+ Aırvırni, 5. f. (6. de bof.) — narilime, 
scille, oignon marin, scipoule, charpentaire. 
— reinol, scilie du Portugal. 

ALvanaiL, s. m. tamis grossier, raro; Eros 
sas de crin. 

Aıvannaz. V. Zalapkysagria. " 

AıvasiL ow ALvaziı, s. m. V. Vervader, 
Juwiz-ordinario. 

Aıvzinıo,s.m. V. Colmeis. 

+ Aıvsinno, 5. m. (4. d’anal.) atvöole. di. 
* Cavite de V’oreille. 

ALvzprio, s. m. libre arbitre : feculi6 de 
P’äme pour se determiner A une chose ptaldt 
qu’ä une autre. Arbıtre, caprioe, voloms, gr6, 
fantaisic. 

r ALvkıro, a, adj. de souleur blanche. 

ALv£ıno, s. m. borne de pierre blanche. 

ALveıtäa, s. m. martchal, medeein vettri- 
nairo. (fig.) Mauvais chirurgien. 

Auvgıraala, 5. f. art vöterinalre, 

ALYZJi00, 4,2. p. d’Aloger. 


ALY 


MAUEJänte, adj. 3 gen. qui blanchit, blan- 
chütre, pP... d’ 

Auvasin, o. @. blanchir : meiire du blanc, 
kire devenir blanc. Frapper au but. vo. m. 
Blanchir , devenir blanc ; se montrer blanc ä la 
vee. 

AuLvera, se. f.* milan : olseau de proie. 

ALvtıoa ow AnvsLoa, 5. [. boche-queue : 
eisen qui remue sans cesse la queue; lavan- 
diere, ımotacille. — amarella, bergeronneite 


©. 

ALvtzı, V. Alfena. 

Auvsmanla, 5. f. magonnerie ı ouvrage de 
wnacen ; moellon ; pierre A balir. 

Auvansa. V. Alvandi. 

A’Lızo, s. m. lit de riviere. 

+ ALırzoLäne, A, adj. A la maniöre d’alveole. 

ALYEOLAR , adj. 2 gen. alveolaire : des al- 
veoies. 

ALYEOLO, 8. mi. alveole: cavile oü est la 
dent; erenx intsrieur de l’oreille; cellule de 
l'abeille. 

Aıvkaca,.s. f. rigole par oü coulentles eaux. 

‚ reservoir. * Terrain marecageux. 

ALTBacäDo, ALvEacia. V. Albergdr, eic. 

Aıvud, 3. m." houe, hoyau, meigle. 

Auvicanas, 5. [. pl. etrennes que l’on donne 
d ceizi qui apporte une benne nouvelle. Aloi- 
garas! alcigarası! eri de jole qui annonce une 
beane neuvelle. Ganhar as —, annoncer le 
presise une bone nouvelle. 

ALvıcanıze, a, adj. qui donne une bonne 
nouvelle et en demande la gralilicalion. 3. m. 
(ea Portugal) c’est un homme qui annonce 
Fasrivee d’an valisseau,, et court demander & 
sen maltre des ötrennes (alvicaras). 

ALvıczaas. V. Alvicaras. 

ALTBEIECTÖRIO, A, adj. (l.de dd.) qui ex- 
cite les digestions alvines ; purgatif. 

ALvıpaaper. V. Louvado. 

ALVIDAAHEKTO. V. Avaluargdo, 

Auvımaie. V. Avalidr. 

* ALvıpaio. V. Alvedrio. 

* ALvipno. V. Arbitrio, Alvedrio. 

* ALvıpaöso. V. Arbifrdrio. 

tALrıDuco, A, adj. (1. de mödd.) cathartique: 

t. 


pergau 

ALvinzo. V.4Aloino. 

ALvızwo, A, adj. dim. d’Alco. 

TAıvino, a, adj. (l. de med.) alvin: qui a 
Tapportau bas-ventre. Dejecröss—as, dejecliong 
avines : lux de ventre. 

Ayvıa. V. Aleir. 

Auvissanıs. V. Aloicaras. 

Auvissro, A, adj. sup. d’Aloo. 

ALvrrina, 8. [. grand fllet. it. Brise-vent : 
diötere pour arr£ter Veffort du vent. 

tALvıranipo, a, adj. serrö, &troit. V. Aloi- 
Sans- 


ALvire, 8. m. bigoi maure. 

Arvıraia. V. Avaluar, Arbitrar. 

Auvirag, s. m. conseil qu’on donne pour la 
direction de queique affaire ; projet, dessein, 
rangement de moyens de succ#s; plan. 


” 


ALV 79 


ALvrTaıao, 0. m. projectenr : qui forme des 
projets, qui donhedes oonseils. Ordinairement . 
on le ditironiguement et en mal. 

Auvırnista. V. Alvisreiro. 

A’LYO,s. m. blanc: but oü l’on tire. ( Ag.) 
But d’une action , objet d’un desir. Pör os 
olkos em —, toumer les yeux de manidre & 
n’en laisser voir que le blano. Dar no—, (Ag.) 
frapper au hut, mettre la main dessus, trouver 
co qu’on cherche, &claircir un point douteax, 
obscur. Ser o— de, (flg.) re en hutte A. 

ALY0, A, adj. blanc : couleur de lait, de 
beige; contrasie du noir. (Ag.) A cheveux 
blancs (homme). 

ALvöa,s.@. V. Alva, Aloure. O primeiro— 
do dia, la premiöre pointe du jour. 

ALvoracäin,eic.V. Al „etc. 

ALvoripa,s. f. aube:la pointe du jour. (4. de 
mil.) Diane - battement de tambour, coup de 
canon ä& la pointe du jour pour &veiller les sol- 
dats. Aubade : concert vocal ou instrumental 
que l’on donne vers !’aube du jour, & la ports 
ou sous les fen&tres d’une personne. —de firos, 
oombat, bataille, man@uvre militsire & la 
pointe du jour. Tocar a—, sonner la diane. 4H- 
voradas , les matindes. Estrella da —, V. Alva. 

ALvoninpo, ALvoris. V. Arvorar e Alvore- 
cor, eit. 

ÄALVOREC£R, v. n. commencer & faire jour. 

ALvoricin ou ALVORIZAR, 9. #. fulr, se 
sauver, s’en aller. Il se dit des abeilles quand 
elles abandonnent une ruche. 

* ALvorizo, V. Alvorogo. 

ALVOROGÄDAMENTE, adv. avec ravisscment, 
avec ömction, hors de soi-meme; avcc preci- 
pitation. 

ÄALVOROGADISSIMO, A, adj. superl. d’ 

ALYOROCADO, A, 9. P. d’Altorogar. 

ALVOROGADOR, A, 5. V. Amolinadör. ii. 
Pr A qui dgaie, qui ravit, qui donne de la 

oie. 

ALYoROGÄR, v. a. dnouvoir, exciter, inciter 
quelqu’un dans l’espörance de jouir de quelgue 
avantage. Hejouir, donner Je la joie, Surpten- 
Fa troubler. Faire, causer du tumulie.V. 4- 

tar. 


ALVOROGÄR-SE , ©. T. S’EMOUVOIF, so trans- 
porter de joie; se häter, se precipiter, Se tron- 

ler. S’eıneuter. V. Alboroter-se. 

ALYORÖGO, 8. m. transport de joe, dmotion , 
ravissement, enjouement. * Emeute. V. 4lbo- 
rolo.—de since, carillon. —do povo, "emeute, 
sedition. — de guerra , alarme. 

T ALVOROTÄDAMENTE, adv. turbuiemment, 
avec turbulence ; tumultucnsement. 

ALvoroTiDo, A, P.p. d’Alvorotar. 

ALYOROTADOR, A, #. turbulent: crieur, criail- 
leur, degaineur, tapageur, seditieux. 

ALVOROTAMENTO. V. Alvoroto. 

ALvororir, 9. a. troubler, inguidter, soule- 
ver,ameuter. 

ALYOROTO, 8. m. tumulle, sedition, 6meute, 
beuit, crıaillerie, vacarme, rixe, fracas. * Alter- 
cation, Causar- s, jeter des alarmes, 


80 AMA 


Aıvösa,s. f. blancheur parfaite, de neige. 
"Aubier : ie bois tendre et blanchätre qui est 
entre Fecorce et le cmur de l’arbre. 

* ALxaıma. V. Aduar. 

Auxarıre. V. Xarife. 

f ALYSSO DOS JARnıns, s. m. (4. de bot.) 
alysse jaune;; corbeille d’or (des jardiniers). 

ALZABAK. V. Azougue. 

+ ALziruza, s. f. (1. de bot.) alzathee : arbre 
du Perou. 

Arzımir. V. Azınhaore. 

AMA, s. f. maltresse d’une maison, d’une 
propriete. Madame : la maitresse de la maison. 
Gouvernante, menagere, femme de charge; 
bonne. — de peilo ou de leile, nourrice, mere 
nourrice : celle qui nourrit un enfant. 

*Auasıt. V. Amavel. . 

AuasıLipäpe,, s. f. amabilitö : caraciero 
d’une personne aimable. 

AMABILISSINO, A, adj. superl. d’Amabil. 

® Amacacarin. V. Remexer, Revolver. 

* AuaciO. V. Mapd. 

AMACAROCIDO, A, ady. en forme d’epi de 
mals. 

AMACUÄDO, A, 9. p. d@’ 

AuACıÄR, ©. @. assouplir : rendre souple, 
mou, flexible, docile. — o genio,, (fig.) assou- 
plir le caractere. 

+ Ausacösague, s. m. (1. d’hist. nal.) amacoz- 
que : oiseau du Mexique. 

Auipa, s. f. bien-aimee, tendre amie ; bonne 
amie,, maltresse. 

AMADEIRÄDO, AMADEIRAR. V. Emmadeirdr, 
eic. 

Auapias. V. Amavias. 

* AMADIÖSAMENTE. V. Maviosamente. 

* Auapıöso. V. Marioso. 

ANADISSIMO, A , adj. superl. d’ 

Auino,A,p.p.d’Amaer. 

* AmADOIRO 0% AMADOURO, A, adj. digne 
d’etre aime. V. Amarel. 

ANADOR, A, 8. amant, amoureux, SOUpi- 
rant. — (de), amateur: qui-a beaucoup de 
goüt, d’attachement pour une chose, un art, 
une science, etc. 

AMADORA, 8. f. amateur, femme amateur. 

AMADORNADO, AMADORNAR. | V. Amodorrar, 

AMADORRADO, AMADORRAR. etc. 

AMADÖUROS. v.A 

Auapriapas, s. f. pl. Hamadryades : nym- 
phes fabuleuses des bois. 

Außpunivo,A,P.p. d’ 

ANMADORÄR, v0. n. mürir : devenir mür. 

AMADURECER, v. a. mürir un abcös : bäter la 
formationde la matiere purulente. (Ag.) Dis- 
poser les moyens necessaires au succ&s d’une 
entreprise. o. n. mürir, devenir mür. On le dit 
des fruits et d’un abces. (Ag.) Mürir. On le 
dit. de la reison, du jugement. 

‚AMAESTRAR. V. Amestrar. 

+ Amica, s.m.(f. de bot.) amaga : petile es- 
pece d’ebenier des Philippines, 


AMA 


ABACO, 5. u. caur d’en arbre. (Ag.) Fond, 
interieur d’une chose. 

+ AuacorTäpo, a,0dj.(t.de mar.)\. Lesmarins 
dennent ce nom & une montagne escarpee domt 
le sommet est plat. 

AMAINÄDO, 4, 9. 9.d’ 

Ausınia, dv. 0. (l. de mar.) ferler , larguer 
amener, carguer, plier les voiles enlidrement 
oa en partie. (Ag-) Se moderer, se departir, s® 
relächer,, se desister , c#der,, s’adoucir, Sapai- 
ser, plier. v. ». se calmer, en parlant du vent, 
de la coltre, etc. 

AMALDICOABO, A, 9. P. d’Ameldiroar. 

AMALDICOADOR, A, $. celui qui maudit, qui 
donne des maledictions, qui fait des imprece- 
tions. 

ANMALDICOÄR,, v. a. maudire quelqu’un, le 
charger de male&lictions. Faire des impreca- 
tions , avoir en ex6cration queique chose. 

ANALECITAS, 5. m. pl. Amalecites : nom de 
peuple qui s’etendait depuis le desert de Pha- 
ran jusque sur les bords de la mer Rouge. 

Auarciua, 5. f. (l. de chim.) " amalgame : 
union d’un metal avec le mercure. 

Amarcamacid, s. f. (f. de chim.)amalgama- 
tion : l’action d’amalgamer. (fg.) Union , me- 
lange (d’idees, d’opinions, etc.). 

AMALCAMADO,A, 2.79.’ 

ANALCANÄR, ©. @. ( . de chim.) amalgamer z 
unir des metaux au mercure. (fg.) Mölanger, 
unir intimement; faire un amalgame (d’opi- 
nions ‚d’idees, de lois, de meurs, eic.). 

Anaınipo, 4,P.p.d 

AMALHÄrR, ©. a. parquer les troupeaux. V. 
Apriscar. v. ». passer la nuit (un ronpean) 
dans le bercail, 

° AuaLnoin. V. Demarcar. 

*+ AMALHAICA, ade. pop. grossierement , 
rustiquement. 

AMäME, adj. 2 gen. tachetö de blanc et de 
noir ( cheval). 

f ANANMELLIA. V. Homamsllia. 

ANANENTÄDO, A,P.p 
u MAMENTÄR, e. e. ker : nourrir de son 

k. 

* auinca. V. Amör , Namorogdo. 

ANMANCEBÄDO, A, P. 9. d’Amancebar-se, adj. 
amouräch&; concubinaire. (fig ) Trop attach6 & 
quelque chose. Estar ou viver—, vivre em 
concubinage. Bster—com os livros, papeis, 
etc. (fam.) n’aimer que ses livres , ses papiers, 
y ötre livr& entirement,. 

ANANCEBAU£ERTO, 8. m. Concubinage : coom- 
merce illegitime de gens non maries des deux 
sexes, vivant comme s’ils !’&taient. 

ÄAÄMANCEBÄR-SE , v. r. vivre dans le concubi- 
nage. S’amouracher, devenir amoureux. 

ANANGADO, AMANOaR. V. Manger. 

AUANGERONA. V. Mangerona. 

AMANHÄDO, A, P.9.d’ 

AMANHÄR, v. a. (f. d’agr.) culliver, labourer. 
Refaise, rascamoder, retablir, röparer. Ar- 


msi, ingenieusement. 

[ANANHÄR-SE, ©. r. S’arTanger, 50 PR& 
nt; shabituer A.-—(a), se menager les moyens 
@ariver facilement & son but. 

ANANBECANTE, adj.2 gen. qui apparalt,qui 
arive, qui se manifeste au point du jour. 
sad 

ANANHECER , 9. ®. commenoer & faire jour. 
Arriver, se trouver ä un endroit & la pointe du 
jeur. Paraltre, apparaitre au point du jour. 
(Ag.) Commencer ä se developper, & se mani- 
fester, en parlant de la raison dansles enlants, 
de la prudence, etc. Commencer & exisier, en 
perlaut d’un royaume. Com bsm amankiga v. 
m. ou Deos amankhtca av. m. com bem, (fam.) 
ji vous soubaite une bonne nuit : que le jour 
mus treuve bien portant. Em amanhecendo, 
quand il fera jour. 4o amandecer, & jour ou- 
vrant, au peint du jour. Anies d’—, avant le 


ANANBECIDO , A , P. p. d’Amankecer. 

Auinno,s.m.’reparation. ({.d’agr.)"Culture, 
labour. — es , pl. les instruments nöcessaires et 
eenrenables pour quelque ouvrage ou travail 
zaunuel. 


+ ANANITEADO,A,P. P.d’. 
fAsunmmär, v. a. rendre sterile. p. us. 
FAusuınnan-se, vo. r. devenir sterile. V. 


Aususipo,, A, pP. p. d’Amansar. 

Auausanon,A,s. dompteur : celul qui ap- 

I „qui rend moins farouche. 

Auıssapöna, s.f. ou] ° Apprivoisement : 

*ANANSAuENTO,s. m. | Paction d’apprirvoiser. 

Auansan, 0. a. apprivoiser, adoucir, rendre 
deux. Bendre moins farouche, en parlant des 
aniınauı Adoucir, apaiser, calmer, mitiger. 

+AUAESAR, 0.9. else, v. r. sapprivoiser, 
devenir plusdoux etmoins farouche. Secaimer, 
g’spaiser, so mitiger, en parlant du vent, de la 
coltre, d’ane douleur, etc. 

+ Auinsıa, s. f. (tl. de bol.) amansio ou 
amansia : espece d’algue. 

Auıutipo, A,P.9.0 

“+ ANANTÄR, ©. @. couvrir d’un manteau ou 
de quelque autre veiement large et aise. j 

Auintz, ?. 0. d’Amer. (de), adj. 2 gen. al- 
mant : qui aime. 

Aulkurs ‚e. m. amant, ami, amoureux. —i- 
mide ou 


bersger.— dasoliddo, hommeretire. Os—s, pl. 
les personnes qui s’aiment, qui se font la cour. 
ABANTEICAÄBO, A, adj. qui a la consistanoe et 
le ge&t du beurre, (Ag.) Mou,, douz. 
20,4,P.2.d 
R, 9. @. entourer de murailles. 
Auintzs, s. m. pl. (1. de mar.) ötagues d’un 
pelam. 
+ AuANTIFÖRNE, adj. 2 gen. qui imite, qui 
sessernble & Famour. 


Ausasntmımin0, A,P.p.d 
+ Ausntınmin (a5 vörgas) v, 0, (4, de mar.) 
DURTpFR 


AMA HI 


belancer les vergues: los lenir en dguilibre 
avec les balancinos. 

ANANTIiLBOS, 3. m. pl. (1. do mer.) * balanci- 
nes : corde qui va du mat & la vergue (pour la 
tenir en &quilibre). 

AusAnTiSsıNO , A, adj. superl. d’Amanie. 

Auinto. V. Amianto. 

AMANURNSE,, 8. m. oopiste : &crivain & qui on 
diete,, ou qui copie pour un autre. 

AMAR, o. a. aimer, aflectionner : avoir de la 
tendresse, de l’amour, de la passion, de l’atta- 
cheınent. Estimer, apprecier, priser, consid6- 
zer; avoir de l’estime, faire cas, avoir honne 
opinion, honorer. Desirer, vouleir, choisir, 
suivre de preference.—exziremosamente ou por 
exiremo , adorer, cherir. 

AMARACINO, adj. m. (1. de pharm.) On le dit 
d’un onguent fait aveo l’essence de marjolaine. 

Auanico. V. Manjeröna. 

}Auınino, a, adj. (if. de mar.)p. p. d’4- 
marar-se. Navio—, navire pouss6 au large, 
qui s’tcarte de la cöte, qui vogue en pleine 
mer. 

ANÄRAMENTE. V. Amargamentie. 

T ANMARANTÄCEAS, 8. f. pl. (1. de bot.) ama- 
rantacses : famille des plantes dicotyledones, 

fAnARANTe£z,adj. et s. m. de laville d’Ama- 
rante (en Portugal). 

TAuanuntin, s. f. 
an&mone (amaranthine). 

AMARANTINO, A, adj. (t. de pods.) de l’ama- 
ranthe; eouleur d’amaranthe. 

AuarninTo, s. m. ($. de bof.) amaranthe s 
plante tres-beile d’automne, dicotylödone, 
rouge de pourpre. — papagdio , amaranthe tri- 
colore ow de trois couleurs ; fleur de jalousie. 

Auanir,v.a.(f.de mar.) gouverner le na- 
vire au large , !’&carter de la cöte. 

AMARÄR-SE, ©. r. (4.de war.) prendre le 
large, voguer en pleine mer; s’slever, s’alarguer. 

AMARAVILNA. V. Maravilka. 

+ Auantııa,s. f. (6. de bot.) amarella: es- 
pece de gentiane. 

AMA ‚„A,adj. jaunätre : qui fire sur 


espöch d’amaranihe; 


le jaune. 
ÄMARELLECER,, 9. 6. jaunir : rendre jaune; 
teindre en Jaune. v. ». jaunir : devenir jaune. 
ÄMARELLEJAR, 9. %. biemir, pälir, devenir 
bl&me. Parattre jaune, laisser apercevoir une 
couleur jaune. Avoir la couleur jaunätre. Blon- 
dir, jaunir, en parlant des moissons. 
ÄNARELLENTO, A, adj. un peu jaune; bleıne, 


päle. V. Amarellado. 
AMARBLLEZA, . 
Auaseıtiniö, 2% f. jaune: oonlear jaune. 


AMARELLIDEZ, 

AuARELLINHO, a, adj. dim. d’Amarello. 

AuanfıLo, A, cd. jaune. Biöme, päle. Tini 
gir, pinlar d’—, jaunir : rendre jaune. —de 
escambroeiro, stil de grain ow de grun. 

AMARCÄDAMENTE. V. Amargamenle. 

Auancivo,A,p. pP. d’Amaryar et adj. plein 
d’amertume. V. Amargurado. 

AUÄRCAMANTE , adv, amörement, (fig.) Doie 

6 





52 AMA 
leurwuserment , avoc amertume, d’une manlöre 
sensible. Malignement : avoo malignite. 
Amaroir, 9. a. (Ag.) oauser de Yamertume, 
affliger, faire de ia peine. p. us. v.». @iro amer, 
lavoir de ’amertume. 
AuARCÄn-SE, v. 7. (fig.) se donner de ’aner- 
tume, s'affliger soi-meme. 9. we. V. Amargu- 
vr. 
A’uinoEu, ve. adv. V. Margem (d). 
Auineo, a, adj. amer : qui a de Yamertume. 
(Ag.) Amer, fächeux, douloureux, chagrinant, 
deplaisant; penible, eruel. V. . 
AMÄRGO ou AHARGOR, 5.0. * amertume,amer: 
Free W# de 08 qui est amer, au propre et au 


Auincos, s.m. pl. (t. de nöd.) amers: medi- 
Baments amers. 

AMARGÖBANENTE , ado. amörement : avec 
amertume. 

+ Amancostıra, s. f. (d.de bot.) * az&darac 
bipiond.*Lilas des Indes ;margaisier ;sycomore 
faax; arbre saint;; Paternotre des Italiens. 

AMARCOSISSIMO,, A, adj. sup. d’ 

Auancöso, A, adj. amer:: qui a de l’amer- 
tame au goßit. (Ag.) — , fächeux, sensible, dou- 
loureux, deplalsant. Plein de fiel, d’aigreur, 
en parlant d’un &crit, d’an discours. Suavizdr 
.—_ gorriger yanertume. 

® Auıanodz. V. Amargör et Amargöso. 

® AMARCUEZA. V, er. et ae 

Auanchna,s.f. V. Amargör. Il estir&s-usitd 
au Ügurt. — do corapfo, affliction, peine d’es- 
prit; douleur, ressentiment. No As praser 
sem—, il y a dans tous les plaisirs quelque 
amertume. 

AMARCURÄDANENTE, adv. V. Amargamenie. 
(fig. ei plus usitd.) Avec afliolion, avec peine 
d’ssprit; douloureusement. 

ANMARGURÄDO, A, 9. 9. d’ 

, Auanctaiz, o.a. (Ag.) donner, oauser de 
Vamertume ‚du depleisir, dal’efliotion ; peiner, 
chagriner. 

ANARGURÄR-EE, U. r. Be ® r6 
ee #’affliger, Per ua prood 

ANMARICADO, adj. u. ( fan.) poupin , olld- 
mind : qui imite les manitres des femme. 

Auanıpad, s, f. grande amertume. 

Auanınnivo,A,P.p.d 

Auanmnin, v. a. (f. de mar.) amariner: 
garnir un navire de marins ; sccoutumer & la 
mer, aux man@urres. Manwuvrer. V. Marear 
(ando). 

AHARINRÄR-EE, 0.7. (£. de mar.) so mariner. 
V, lo pröcddemt. 

ANABINKEıRÄNO, Auanıntızına. V. Amari- 


AnMıniasıno, A, adj. sup. d’Amarge. 
Auanırdon ou AukatünNE. V. Amargurs. 
AuınLorino, Auanrorin. V. Amarrolar, 


ww. 
Amino, a, adj. (f. de poes.) wuer. (fg.) P6- 
nibie aan Avalon (A) 


AMA 

Aulnna, so. f. (f. de mer.) AMEPTO ı gros 
eäblo A attacher un vaisseau. if. —, alirape, 
attrapage : oordage qui sert & plusieurs usages 
dans les valsssaux. — de sobreesllenie, (d4.) 
le mattre cAble. — segunde , Te cAbte ordinaire. 
= terceira, lo oAble d’affourche.— de lancha 
on do escaler, *oablot. Pier a ——, osuper les 
amarres, le gros coäble de Pancre. Levar—t, 
hausser, iever les amarres,, jes ancres. Esier 
sobre a —, #tre mouille (le navire). Largar a—, 
filer le cAble. Arrier mals —, filer sur Yancre. 
Abitar a—, bitter ie cable. Aducher a— , over 
te cAble, rouer le cAble. A — fen ma coce , 
le cäble a une coque. Aboiar a —, allöger le 
cAble par des futalltes. A — dix pela proa,\e 
cable appelle de Pavant. A — estä rossumdo 
nos escovens, 16 cAble se ronge dans les &cu- 
biers. A— estd mdito täss, ie cAble appelle. 
Longurs da— ‚un cäble, une encablare. Faser 
costura na—, öpisser ie cAble. Estar a duas 
—t, (fig. fam.) eire sur: avoir de la proteo- 
tion, avolr plus d’un appui, plus d’une res- 
source. V. Ancore. 

Auınnaciö,s.f. (l.de mar.) ’amnarrage : an- 
crage d’un vaisseau ;mouillage. * Lien, attache. 
— de anilho,, (1. de mar.) ancrage & demeure, 
corps mort. u 

AMARRÄDO, A, 9. p. d’Amarrör, adj. ( lg.) 
opiniätre, obstind, invariable, indbranlable. 
— 508 lieros, fort applique, trös appligue ä la 
lecture. Estar — a dous ferros a vorle geio, 
(1. de mar.) affoarcher, moniller en barbe. 

ÄAMARRADOR, 8. 9. el adj. celui qui lie, qui 
attache, Recors. 

Amankapöna, s.f. *lien:ce quilie, attache, 
unit ; l’action de lier, d’attacher. 

Ausanin, 0.0. atlacher, enchalner : lier 
aveo des cordes ou des chalnes. (1. de wer.) 
Amarrer : atiacber AYoc uno amalTE. 

AMARRÄR-ER, u. r. s’auschor, s’enchalnez. 
(g.) S’attacher fortement, opinistr&ment, V. 


Aforrar-e. 

Auannfra, s. f. dim. d’Amerre, petit oäble; 
cAble de tousde. Amarre de barque. st. Grand 
marteau pour Gasser les pierres. V. Merr6ie. 

AMARROTÄDO,A,P. pP. €’ 

AMARKOTÄR, ©. 6. Ohiffunner :« bouchonner, 
froisser uno ötoffe. 

ANARROTÄR-SE, 9. r. so rider : devamlr ride; 
perdre !e lustre, la fraicheur. 

AMARTELLIDO, A, 9. p. C’Amarteller. Ester 
— dums mulker, &ire epris d’une femme, en 
ötre perdument amoureuX. 

Auırnrkuda, v.a. V. Martellär. (fig.) Teur- 
menter, importuner. Courtiser, falre Panıenr. 

+* ANMARTELLÄR-SE, 0. 7. Samourscher, ötro 
&prin d’ane fomıne, en devenir [ollement aunou- 


amertume legere ; suveur 
un peu amöre, 


AMARÜGEN 0% 

Auındız,e.f. 

AMARUJÄDO,A,P. p. @ 

ANMARUJÄR, ©. 9, avolf une savear qui ient 
de Tamertume, 


AMA AMB 83 

















ANMESO , 8. m. V. Amarugem, "Amis. V. Amasis, 
„A,alj. p.us.trös-amer; plea| *° AuazıLnino, a, adj. piein d’teorchures, 
danerune, d’uledves, (Ag.) Imapur, obscäne, 
fäsaryııs, 5. f. (6. de bot.) amaryllis: | Auizıo. V. Amasio. 

Paste parcisshe. AMAZONA, 8. f. amazone : femme d’un con- 
"Auis, a... amas. V. Moniäs. rage mäle et guerrier. is. adj. Qui n’a qu’une 
Auima,s. f. SEROuremse, maltzesse. mamelle. (f. #’hist. nai.), s. m. amazone ä 1dte 
TAwassan-ee. V. Asigar-se. blanche, esp&oe de perroquet des Antilies. 
Auisıo, &. 25. AMAN!, amloureux; ami, c008- Auazömco 0% AMAZÖNIO, A , ad/. d’amazone, 

Te. qui appartient aux amazones. 
tAmasbuu ‚af. (4.dsbei.)amasonie:plante | + Aypiors. s.m. pl. circniis ; d6tours F’un 
kerbacde de FAmirique meridionale, ehemin, (9.3 Ambages : circuit et embarras de 
Amassapfını, s. f- pötrisseuse : fernmıe qui paroles; circonloculiong. 
Ne an one,zmeie, pötzin, oofre oh Pon pöteit | 4 Ausacıöso, A, adj. piein d’ambigaltäs, 
Sın0. V, Amassader. d’obscurit&s, de dötours, d’ambages. 


t Au2alsi, s. f. (6. de dos.) "ambajba : arbre 
urtice, 


T Ampaltınoa , s. f. (4. da bo.) * ambaltinga : 
espece d’ambaiga du Bresil. 

tAusiro, sm. (1. d’hist. nat.) ambaje : 
chat de la Chte-d’Or. 

T AusaLid, s.m. (6.de of.) ambalam: arbre 
des Indes & sue nutritif: imbecile, 

tAusapiıa, s. f. (8. de bos.) * papayer ou 
papou : arbre eucurbitace des Indes. 

Ausan, s.m. ambre : substance rösineuse, 
odorante et inflammable. — amarello,, succin, 
carabe. — facticio ou falso , * ambröade. V. 
Alambr 


(2 
+ Ausanin, v.a. ambrer : perfumer avec de 
Pambre. V. Alambredr. 

f Ausire, s.ım. (t. debol.) ambere : grand 
arbre de Pinde. 

fAuBARiLEA ,s. f. ambrette : flour de grand- 


Ausssip0, 4, 9.9. d’Amasıdr. 

AMASSAPOIRO OW ANASSADÖTRO, 3. m. p6trin. 
V. Amassedeise. it. — de ce} . bassin oü l’on fait 
le mortier avec la chaux et le sable. 

Auassan6a, s.m. petrisseur:celui qui petrit. 

ANASSADÜRA, 5. f."pötrissage, l’aclion de p6- 
fir; portion de p&le pour faire du pain. * Mor- 
bez, diment, 

T Asıssurtuto (d’um navio) „s.m. (6. de 
mer.)"renisde du vaissssu. 

Aussein,o.a,. pötris ı faire la p4te pour le 
pain. Gicher du plätre, du mortier. Malaxer: 
pitzir des es. Masser;; bosseler ; öcraser, 
feuler. (Ag.) Möler ; manigancer. 

Amsssin-sE, 0. r. se p6triner. (fg.) Se oon- 
alier : @ire bien ensemble. S’amasser. 

Ausssania, &. f. Yendroi ou Fon pörk le 
pein 


Auassıine „Auassıin. V. Asasiar selgaeur, potite Bear qui sent Fambre. 
ANASEEmO, s.m, Tayslhheerrung ‚te. ANBARINO ‚A,adj. ambresin : de Fambes. 
sam Pp.d Aupanvizs, s. f. pl. (ti. d’emb.) Amıbarvales: 


föte de Cerds (powe ebtenir une rioelie faun- 
rable). 
} AMBARVÄTE, 5. m. (6. de bei.) ambarrats ı 


+ur. (& de mer.) so pow- 
zur . vivres, eo. S’associer ( Pour manger) 


. f . de Mad . 
 Ausrin,o.e, V.dsiär, (fg.) Eleser, faire arbro do nm li.de bet.) ambei ı espten do 
disparaßtre. nenuphar de l’Inde. 


ANATILMÄR, ©. 8. ameuter : meitreo les chiens 
eu maus, 

Auırisra. V. Amethiste, 

Auırivo, a, adj. (1.de ihöol. 2.%e.) qui alme. 


A, ed. qui a du rapport avec 
Famsur, qui’ Yinspire, qui traite 66 Yamoar: 


ar 0m Amaundenn, ®. f. (8. de med.) 
> 4 ® 

aub2uro00 > gont sereine; cöcit6 par une pa- 
Amiver, elf.2 on. almable ; digne d’%ire 


Auni,e.m. (f.de hir.) ambi : nsirumnskt 
pour reduire la luxation du bras, de Y’humnteus, 

+ Amsıs, s. m. ausbia : bitmne des indes, 
odoriferant. 

Ausıcäö, s.f. ambidon : destr Immoders 
d’bonneurs, de gloire, d’sl&vation, de powvpir, 
de fortune, eto. V. Cobips. Covar 4 —, aeearir 
Yavarice. 

kusıciozfuna , 3. f. dim. d’AmDigko. 

AuMBIicıAR. V. Ambicloner. 
Aumasnise, 1,9. d 

AENCHEAR , 0.0. amlilloaner » sochesther 
avcc ardeur, avec empressement ; silver auss 
ambilion. 

AUBICIÖSAMENTE, adv. auıbllionsernemt +:2080 
arsibitben, 


Ausıcıosissıuo, A, adj. sup. @’ 
ANBICIHSO, A, adj. ambitiewx : qui a.de Kaıi- 
pition - Galmi qui desise quelqun chese auao 
vun 


i 3 
Ausvlas,s.f. pl. philtre ameusenr : 
Auaroe em N brewrage , dsegue, 
Ouppe6 propreä  ) 
DT an Brugrei Gonner del'umser. 
Ausvı650. V. Mavidso. 
"Autumn, 3. Ämtiimer-ss, 


8 AMB 


* AMBIDEXTRO,A, adj. et s. ambidexize : qui 


se sert ögalement des deux mains. 

AMSIEnTE , adj. 2 gen. ambiant : qui enre- 
loppe, qui entoure. 

AwsıtnTz , s. m. ambiant : Pair ambiant. n 
se dit de Pair, des fluides elastiques. 6. de pAys. 

« AMBIESQUERDO. V. Cankoto. 

AMBIGUAMENnTE , ado. ambigument : d’une 
maniere ambigud. 

Ausicvinipe, s. f. ambiguits, &quivoque, 
doute, obscurits, incerlitude. Ander com —$, 
squivoquer, user d’quivoques. 

Ausicuo, A, adj. ambigu, douteux, eqyui- 
voque, obscur, incertain, louche. Razöes —a#, 
saisons cornues. 

Ausiaı. V. Embire. 


Äusıto , s. m. contour, circuit, circonfe- 


rence : P’enceinte d’un espace quelcongque. * In- 

trigue, cabale, recherche. 
ÄAMBLICÖNIO OW 
AMBLY’CONO, adj. m. | gone, obtus-angle. 
Ausıyoria, ». f. (f. de med.) ambiyopie: 


obscurcissement, affaiblissement de la vue des 


vieillards,, sans vice apparent. 


Äuso, s. m. ambe : combinaison de deux 
numeros ä la loterie. if. (1. de chir.) V. Ambi. 


+AusOm, s.m. * tribune, jube (pour chanter 


ä l’öglise). 


Ausön , s. m. (t. de bof.) ambon : arbre des 


Indes orientales. 


+Äusona, s.f.(t. de bot.)"ambora :arbre de 


Madagascar. 
AusonuaL. V. Embornal. 


Aunos, as, adj. tous les deux, les deux, 


Yun ot l’autre. 

Aunax. V. Ambar. 

Ausakipa. V. Ambar-falso. 

Ausazivo,A,p.p.d’ 

Ausazin. V. Ambardr. 

Ausatra. V. Ambarilha. 

+ Ausnatvanı, s. f. (6. de bol.) ambrevade: 
oytise des Indes. 

Ausnosia, 5. f. (4. de mytk.) ambroisie: 
nourriture ordinaire des dieux. (g.)" Meis ex- 

is. «4. (8. de bot.) Armoise, plante; th6 du 
zique. 

AuBROSlACO, A, adj. ambrosiaque : qui tient 
de l’ambroisie. 

Ausnosıäno, A, adj. ambrosien : de saint 
Ambroise. 

+ Ausnosinia, s. f. (4.de bot.) ambrosinie: 
plante de la famille des gouels. 

$ Ausnösıo, A, adj. parfums d’ambroisie. 

+ Aunnösuıa, 5. f. (4. de dot.) ambrosmie: 
plante arolde. 

Aund. V. Bambü. 

Aunuir. V: Bambudi. 

Aunviıa, s. f. joueuse de flüte (chez les an- 
eiens Romains). 

« auscoz, V. Ferrälko. 

Ausoıa, s. f. amponle; fiole, pelite bou- 
teille. — do sacrarie , ciboire, — samola (de 






($. de g&om.) ambiy- 








AME 


Reims), sainte ampoule, !’hulle d’onetion, le 
vase qui servait au sacre des rois de France. 
AusuLincıa , 8. f. (8. de mil.) ambulance: 
höpital ambulant. 
AusuLinte, adj. 2 gen. ambulant : non Axt. 
Amolador — , gagne-pelit, r&mouloun. 
ANBULASINBA , 8. f. di. d’Ambuls, 
AusuLativo, a, edj. ambulant. On le dit des 
por sonnen qui sont toujours par voies et par 
e 


ANBULATORIO, A, adj. ambulatoire : qui va 
etvient; ambulant. 

AusuLnina. V. Ambulasinha. 

+ AusöLıa, s. f. (6. de dot.) ambulle : plamte 
aquatigue du Malabar ; Iysimachie. 

+ Ausöra-Eupö, 3. m. (6. de bol.) ambuya- 
embo : aristoloche grimpante du Bresil. 

Autı. V. Ameis, 

AMEÄiCA, 8. f. menace : parole ou geste pour 
menacer. 


ANMBACÄDANÄNTE,, adv. aY06 Nenaces; d’une 


AMEACADÖR,, A, 5. menaceur : oelui qui me- 
nace. 


AMEAQAUENTO. V. Ameapo. 

AMEACÄNTE , adj. 2 gen. qui menace. 9. a. d’ 

AuzACÄR, u.6. menacer : faire des menaces. 
i.—, pronostiquer du mal, faire eraindre. 
— ruina, menacer ruine : #tre sur le point de 
crouler. Amsapa a tempesiade „ la foudre 
gronde. 

Auxicia-SE, ©. r. so faire des Menaces. 
- Auzico, 5...“ menace. Annonce de mal 
€minent. *Commination. — da doöngs , rossen- 
timent d’une maladie qu’on a eu ; atteinte d’une 
maladioe. Ameayos da barba, le davet, le pre- 
mier poil qui vient au menton et aux jJomes des 


ANEALHÄDO, A, 9. P. d’Amealhär. 
AMEALHADOR , A, 8. Celui qui lesine. V. For- 
röta. 
ANEALHÄR,, v. a. lösiner : user de I6sine; 
amasscr avec avarice. 

Auzis. V. Ameiar. 
Auento,A, adj. amebee, (po&me) & deux 
interlocuteurs. 
Autoo. V. Medo (a). 
ÄNMEDRENTÄDAMENTE , ade. craintivement s 
avec craintle. . 
AMEDRENTÄDO, A, P.P- d’ 
ANEnRENTÄR, v.0. intimider,eflrayer, &pou- 
vanter, donner de la crainte, faire peur. 
ANMEDRONTÄR, etc. V. Amedrentär. 
° AMECADO, Amzcan. V. Amolger, etc. 
° Auscza. V. Am6ijos. 
Auxoo. V. Amago. 
Autu, s. f. (1. de fort.) oontze-bretesse, 
merlon , cr&neau de ımur, barbacane. 
Autıino,A,P.p. d’ . 
Autıia, 0.0. oscmeler: gurals de cröneauL. 


AME 


AumcAR , ets, V. Afager. 
Ast ou mytule, selline : coquillage 
Antıoa, s.f. } bivalve. 
iszıoipa, 8. f. päture qu’on donne la nuit 
at troupeaux. Grosse perio au jeu dans une 
zance de nuit. 
ANZUOADO, A,P.P. d’ 
ÄANELIOAR, ©. 6. parquer, paltre. v. ». et 
-,v.r. V. Amalkar. (fig.) Passer la nuit au 


"Ausısorir. V. Ameijodr. 

tAxtına, s. m. (8. d’hist. nal.) ameiva: 
esptce de lezard. 

Astıza, s. f. prane: fruit du prunier. —tem- 
pord, prune bätive. — saragordna,, prune 
grosse , longue et tr&s-douce. — reinol, prune 
de Portugal. — passada, prune söche, pruneau. 


Arsmir „3. m." prunelaie : lieu plant& de 


pruniers. 
Augıxıfına ,s. f. "prunier : arbre qui porie 

des prunes. 
Autsa ou . 
nf. | V. Ameijoa, 


TAmtına, 5. f. (8. hist. nal.) amelie: 


agren. 

+ Auiırno, s.m. (8. de bot.) amelle:: arbuste, 
plante corymbifere. — de Virgilio , astere 
amelle 


AuzLoino ,a, adj. quia la forme du melon; 
qui en a je goüt. 

f Autıro, s.ın. (8. de bot.) amelpo : arbre 
da Malabar. 

Autıroino, A,ady.couleur demerle (cheval). 

Aufßu ou amen.Ainsi soit-il. 1] est aussi 

Außtu, ade. I interj.ets.m. Dizer—a tudo, 
consentir a tout. Dar os —s a alguem , latter 
queiqu’un ‚, approuver tout ce qu’il dit ou fait. 

. iczm, V. Homendgem. 

Außacı.V. Demsöneia.. 

Außu2poa, s.f. amande : fruit de l’amandier. 
-— ie dedans des noyaux des fruits,. —, dia- 
mans taillö en forıne d’amande. —s de cristal 
on pingeniss em forma d’—e, pendeloques. 
= cobertas, amandes lisses. 

Auzu»oina, 3. f. amandee : boisson faile 
aves du lait et des amandes hroydes. Boisson 
ealmamte , soporative : lok. " Lait d’amandes. 

+ Auzapoino, A, adj. amande : qui tient de 
Tamande, qui en a le parfem. 

Aussmmoit, s.m. terrain plante d’amandiers. 

Auzusoßına, s.f." amandier :arbre quidonne 
les anmandes. 

Auszsolu, 8. m. (t. de bot.) arachidne & 
qusire feuilles : pistache de terre,noix de terre, 
plante bulbeuse du Bresil et d’Afrique. 

AuzupUinas. V. Amondoim. 

ANZSIDADE, 8. f. amönit# : beaute, agröment 
d'un site delleleux, @’un beau paysag®. (fig.) 
- , agrement du varactäre,, du style, elc. 

Auzsmino, A, adj. enfantin, comme un en- 
Eant, & maniöre d’enfant; faible , delicat. 

AKBENIBÄBO , A, P. P. C Amenisar. 


AME 8 


ANENISÄR , o. 0. donner de l’amenite. On le 
dit au propre et au figure. — um discurso, 
€gayer un discours, 

ANENISSINO, adj. sup. d’Am4no. 

ÄMENisTA, 8. m. oelui qui dit amen 
autre. V. Amen (dixer RN ım 

AUßNO, A, ady. agreable & la voe, beau, 
charmant, frais, delicieux, qui a de Pamönite: 
plaisant, delectable, divertissant. On le dit au 
propre et au figure. 

AMENORRfA,s. f. (1.de med.) amenorrhee. 
interruption du flux menstrusl. 

AuE£NOS, adv. au moins, pour le moins, da 
moins. 

ANMEnOösissımo. V. Amenissimo. 

" ANENTa. V. Emmenia, 

AMEXTÄDO, A, 9. p. d’Amenfar . eD- 
chants ‚ charme. ‚MP all. en 

AMENTADOR,, A, 8. enchanteur, magicien. 

AMENTAR, v. q, (4. ruslique) ensorceler, 
charmer, eroquer, faire venir par enchante- 
ment (les animaux). ‘‘. Rappeler, faire res- 
souvenir les noms des decedes;; dire le Me- 
mento pour leurs Ames. 

AUENTE,p. us. V. Demenie,. 

TAMENTILBO, s. m. (1. de bot.) chalen : ee 
qui renferme la coquille du gland, de la noix 
et la graine de tulipe. 

T AMENTILnöSas, adj. f[. pl. ( Plantas, flo- 
res —, . da bot.) amentac&es (plantes). 

“ AMENTRE, ade. tandis que. 

Au2os, s. m. pl. (. de bot.) ammi: plante 
ombelliföre; sa graine, chaude, aromatique, 
entre dans la Iheriaque. V. Ammio, 

" Auznack. V. Mercd (d). 

* AMERCEADÄR-SE. V. Ameorcsar-se. 

* AMERCEADOR. V. Compassivo , Piedoso. 

* AMERCRAMENTO. V. Compaisdo , Piedade. 

" AMERCEAR-SE. V. Compadecer-se, Apie- 
dar-se. " 

" Autaczn. V. Abaixar. 

AMERGULNAR, etc. V. Merguihar. 

Au£rica, s. f. (6. de geog.) Amerique : une 
des cing parties da monde. 

AMERICINO, A, adj. ots. Am6ricain : d’Ame- . 
rique. 

fAuezricıua, s. m. (t. d’hist. nat.) americi- 
ma : ospece de I&zard d’Amerique. 

ÄAMESERAR-SE. V. Amiserar-se. 

AMESQUINHÄDO, A, adj. malheureux , desol6. 
p.p-.d 

AMESQUINHAR, U. 8. donner avec mesquine- 
rie , avec lesinerie. if. Reduire 4 un tat mise- 
rable,, rendre malheureux. V. Amofinar, Apo- 
quentar. 

ANESQUINHAR-SE, vd. r. tomber en misere; se 
reconnatltre ıniserable, malhegreux, digne de 
compassion. Se plaindre, se desoler, sc lamen- 
ter, so desesperer, se ronger le cur. 

ANMESTRÄDO,. A, adj. instruit, dresse, forme. 
p. p. WAmwsirer, 


88 AMI - AMM 


Auzernasön, A, s.colni qui Instruit, dreuse, gi Falme. adj. V. Amigevel; Amamendede. it. 
forme, ete. avorable, propice. — d’ulma, ami du cur, 

ÄNMESTRAR, ©. @. insiruire,, dresser, former. | ami intime. —de fara, de cöpo, ami par intt- 
V. Ensinar. ret.—de si mesmo, €golste, personnel. — de 
















saurar. V. Mesurar, Medir. dar conselhos, donneur d’avis. No aperto e 
Auzaanan > no perigo se conhece 0—, (pro®v.) on connalt 
* Aueraı. V, Metade. les amis au besoin. Amigos come d’anies, 


amis comme auparavant. * Amigos, —s, negoeio 
#4 parte, (fam.) ami jusqu’a la bourse. Faxer 
ou lorner amigos (os que esiaodo desavindos) , 
rapatrier. Como amigos, A l’amiable. Ter care 
de poucos —s, avoir le visage negatif. Ter mui- 
los —s, avoir nombre d’amis. 

AuIcOTE, s. m. (fam.) V. Amigwinko. 

ANIGUinHA , 8. f. dim. d’4msige. - 

AmuıcUinno, 5. m. dim. d’Amigo, Petit ami; 
ami tendre. 

Auıcvissımo. V. Ausicisssmo. 

Auımino, a, p.p. d’dinimdr. adj. Caresse , 
mignots; choy6, gäte. 


* AMSTALLÄnDO, A, adj. garni de mıstal; mel& 
avec du metal; de eoulsur de laiton, desuivre 
jaune. 

 AMETEYSTA,, ANETEYSTO, s.m. amöthyste : 
pierre precieuse, cristal de roche, pourpre- 
violet. is. (& d’hist. nat.) —, oiseau-mouche 
de Cayenne. 

ANMETISTA , ANETISTO. V. Amelhysia, 

Austpe , AuEöparR, etc, V. Amiudaer, eic. 

ANSZENDADO,9.9.d’ 

ANEZENDAR-SE, v. r. (f. fam.) s’asseoir en 
fauteuil bien & son aise; s’asseoir negligem- 
ment. 


Auszılnnanon,. V. Mözinheiro. ÖR,A, .et adj. caressant, qui fait 
Autzınnan, etc. V. Mäsinkar. des caresses. 
Auszio, V. Omixio Aufmän, v. 6. cajoler, amadouer, flatier, ca- 


+ Ana, s. m. (1. d’Mst. nat.) "amie : poisson 


resser, mignarder, amignoter, dorloter ;choyer, 
abdominal, osseux. . 


gäter 


AuIALoW ANIRIRAL, 8...’ aunale: lieu plants | Awımcoar. V. Mingoer. 
d’aunes. AuınfcoLo,s.m."preuveindirecie. V. Indieio. 
Auıinro, s. m. amlanie : mineral fbreux | Auımmsraan. V. Adminisirer. 
dont on peut fai:e de la tolle incombustible. ANISERAR,, eic. V. Amesquinkar, etc. 
2,0.0.(-aamerra, t.demar.)| °Awıssiö. V. Perda. 


ANICHRLIÄ 
saisir lo oAble aveo ies garoettes de la tourne- 
vire. 


AuıSsivEL, adj. 2 gen, amissible,, qu’on peut 
perdre. 


* Auııcıcıa. V. Amisade. * AMISTANCA. V. Amizsade, 
Auıdssiuo, A, adj. sup. d’Amigo, trös-ami. | *Auıstan. V. Reconciliar. 
Aufcızs, s.m. ancien habillementde femmes. | Auıro. V. Amicto. 
Auicro, s. m. amict: linge benit que le prö- | * Auırria, etc. V. Admitlir, eto. 
tre met sur latste ou sur les 6paules quand il | AmIöDÄDANANTE, ade. V. Amidde. 
s’habille pour dire la messe, Auröpino, A, adj. fröquent, redoubls, rei- 
Auıcrönıo, s. m. fichu des dames romaines. | törd. p. p. d’ 
Auıpiö, V. Amido. 


AuıöpaR, vo. @. redoubler ; r£pster, reiterer, 
faire souvent la meme chose. 

ANTÜDAR-BR , ©. r. se redoubler, se faire son- 
vent, repeter, devenir plus fröquent, croftre 
de plus en plus. 

Auıöne ou Aurdoo, loc. ade. sourent, Mr6- 
quemment, plusieurs fois. 

Auızipz, 3. & amitie, union, affeotion que 
Fon a pour quelqu’un, et qui d’ordinaire est 
mutaelle. Gräce,, lfaveur, honnstets , bienveil- 
lance. Assistance gu’on donpe Aun ami, bon 
ofüoe qu’on lui rend. — ülicita, ooncubinage. 
— falsa, 0 engamosa , amilis de cour. Es boa 
— ‚de bonne amitie. Quebrar « —, rompre I’a- 
mitie. Trevar —, oontracter amitie. 


Auino, 3. m. amidon : päte de fleur de bi6 
söche dont on fait la poudre; f&cule blanche ti- 
ree de la farine du froment., 

Auıkına,s.f. ow Auıkıno,s.m. aune(arbre). 
— pr£to, bourdaine. —bronoo. V. Alamo. 

uerias, s. f. pl. amiesties : toile de coton 
des Indes. 

Auicı, s. f. amie; bonne amie, maltresse. 
wiatcino, &, P: P. d’Amigar-se. V. Amancı- 


ANICAMENTE, adv. avec amitie, en amf. 
Auıcar, o. a. unir par Pamiti&, rendre ami, 
lier d’amitie. 
ÄMIGAR-SE, v. r. s’anir par P’amitid; se re- 
Amancebar-se 


eoncilier. it. V. . AMızaDiuma, 5. f. dim. d’Amisade. 
AuıcÄvEL, adj. 2 gen. amical, amiable : qui| Auızıano. V. Homsziado, 
part de l’amitis; doux, gracieux , bon. ANIZIDADE. V. Amwizads. 


Aumarıs, V. Zmmarer, 

T AMMIO, s. m. (f. de bot.) ammi: plante om - 
belliföre. — mener oa verdadeiro. V. Am£os. 
— moior, ammi commun 08 ordinaire. — dos 
antigos, "lagocie cuminolde. 

+Auuitzs, 0. f. (6. de mindr.) ammites 
ovaire, pierre ovaire, 


ANIGÄTELMENTR,, ado, amicalement : d’une 
maniöre amicale. 
AuicoaLas. V.A . 
Auico ‚a, &. ami : celui ou oelle avec qui on 
ast ii d'une affection röeiproque. (Ag.) Ama- 
qui a de Yattachement, du penchant pour 
30 chose, qui est port# & quelque chase, 





AMO 


+lımocnayse, s. m. (1. de miner.) Mica 
irilsnt jaune, or de chat, ammochryse. 

fAumonrız, s. m. (1. d’hist. nal.) ammo- 
te: apode, anguille. 

+Auuds, s.m. (1.d’Mst. nat.) ammon : belier 


Ausoniı, 3. f. (1. de chim.) * ammoniac ow 
s alcali, combinaison d’azote ei 

dhydrogine. 

Auuossackno, A, adj. (f. de chim.) ammo- 
niach : qui eontient de F’ammoniaque. 

AuwonucaL, adj. 2 gen. (f. de chim.) am- 
moniacal : gsi tient de ’ammoniaque. 

Aumwozisco,A, adj. (1. de chim.) ammonla- 
que. V. Selammoniaco, Gomma ammoniaca, 
Ammosis. 


+ Auurısinı, s. f. (f. de bot.) amımyrsine: 
planfe de FAmerique du nord. 

Aunzsia ‚8. f. (4. de med.) amnisie: perte de 
la mämolire. 

+ Ausıowanclı, s. f. amnlomancle : dirina- 
don par Famnios. 
Aumıos, s.A. (t. d’anal.) amnios : membrane 
qui enveloppe le fatus. 

Ausısris , s. f. amnistie: pardon göndral ac- 
oord& parie souverain aux rebelles ou deser- 
tsurs 


Ammmipo,A,p.p.d’ 

Aussstıir , v. a. amnistier :accorderun oubll 
partiel ou general aux rebelles ou döserteurs. 

Äwo, s. m. maltre : chef d’une maison, d’une 
famille. —, propristaire. —, patron : celul qui 
a des sujets , des domestiques. Päre nourricier; 
precepteur, gouverneur. V. Aio. 

AuosıLıpäne, s.f. amovibilit : qualitö de ce 
qui est amovible. 

+ Auosvpö, s. m. prätre africaln. 

Awoczcan 0% AuOSSECAR. V, Amolgar, Amos- 


ser. 
+ Auosfra. V. Ammodyte. 
AMOBORRÄDANENTE , adv. EYec assoupisse- 
ment ou l&thargie. 
AuO0PORRiD0, A,P.9.d’ 
Amoponkir, 9.8. causer un profond asson- 


pissement, produire une löthargie. 


ANODORRAR-SE, ©. T. B’aSs0upir, tomber en 


AuozsiD0,A,p.p.d’ 

AmNOxDÄR, U. 6. monnayer:batire de la mon- 
naie,, Yui donner empreinte. —dinheiro, gar- 
der de Fargent monnaye. 

Amoxstaci0,. V. Admoestardo. 

AUOESTAR , ote. V. Admoestar, etc. 

Awovrısıci6,s.f. “ennul,tracas, peine, tour- 
ment ; chagrin, aflietion, inquietude. 

Auormipo, 2,9.9.d’Amofnar. 

ABOrNADOR, A, adj. qui depite, qui lour- 
mente, qui tracasse. 

ABOFINAR, ©. 0. chagriner, fächer, Irriter, 
eßßenser, faire bouder ; depiter, ennuyer, tour- 
menter,taquiner, vexer,tracasser, [aire enrager. 

AuosInan-sE, o.r. se d£piter, so Tächer, s’in- 
agner, s’aflliger, so tourmenter, so Chagriner, 
Fiaquifler. 


“ AMO 87 
® Amomid.V. Amido. 

AMOJÄDO,A,P.P. 

Auosik,v.a. ein, se remplir de lalt, 

Au030, s. m. * abondance de lait (aux ma- 
melles). 

AuoLino, A, 9. p. d’Amolar. 

AMOLADOR, 8. m. &mouleur, remouleur : veluı 
qui falt le metier d’&moudre toutes sortes de 
ferrements. — ambulanfe, gagne-peilt, 

AMOLADURA,, s. f. “aiguisement: Y’action d’al- 
guiser, de rendre algu. Amoladuras, pl. petit 
sable qui se dätache de la meule ou d’une autre 
pierre & aiguiser lorsqu’on s’en sert, boue de 
remouleur. 

tAuöLıco, s.m. (1. de bo4.) amolago : espöce 
de poivre du Malabar. 

ANOLAR , v.a. ömoudre, römoudre, repasser, 
alguiser.(fg.)V. Agugar.(Ag. fam.) Tarabuster. 
‘6. Aiguiser, dans le m&me sens qu en francais. 

AMOLDIDO,A,P.p.d’ . 

AMoLDÄR, v. a. mouler:: jeter dans le moule, 
(Ag.) Faeonner l’esprit, les moaurs, paur l’in- 
struction , pour l’usage, etc. 

AMOLDAR-SE (0), d.r. 56 Conformer, s’ajuster 
aux usages, aux goüts de quelqu’un ; s’habi- 
tuer, s’accoutumer. 

AuoLsstäir. V. Molastar. 

AMoLciDO, A, p. p. d’Amolgar, adj. bes- 
sel&ö, &corche, froiss6, aplatl. 

ANOLGADURA, 5. f. * froissement , froissure, 
aplatissement. 

AMOLCAMENTO, 8. m. V. Amolgadura. 

AMOLCAR, ©. a. bossuer, froisser, &corcher, 
bosseler ; &craser, aplatir. (%g.) Vaincre, plier, 
courber, &mouvoir, faire Impression. 

AMOLCAR, v.». c&der, ‚plier, s’affaiblir, se 
rendre. 

* AMOLHAR. V. Amolgar. 

* AuoLnoaR. V. Amalkoar. 

AMOLLECEDÖR ‚A, adj. et 3. qulamollit, au 
propre et au figure. 

ÄANOLLECER , ©. a, amollir: rendre mou ce qul 
est dur, V. Abrandar. 

AMOLLECER,, 9.9. et AMOLLECER-SE, U. f. 
s’amollir, devenir mou, perdre sa durete. (Ag.) 
S’effeminer : perdre l’energie, la vigueur, le 
courage; attendrir, toucher, &mouvoir & com- 
passion. 

AuoLLzdoo, A, p. p. d’Amollecer et adj. 
attendri. (fg.) Attendri : sensible A la pitie. if. 
Corrompu par le luxe, l’oisiveis, les plaisirs. 

} ANOLLECIMENTO , 5. m. amollissement: 
action de mollir, d’amollir ; ses effeis. 

ANOLLENTÄDO, A, 2. 9. d’ 

AMOLLENTAR, ©. 0. V. Amollecer, Abrandar. 

+ Auoukas (plantas), s. f. pl. (f. de bot.) amo- 
mees : famille de plantes du genre de l’amome. 

Auönmo, s.m. (£. de bot.) amome : fruit d’une 
plante du genre des balisiers; drogue qui entre 
dans la theriague ; arbuste solan&, plante odo- 
riferante des Indes. —d’Allemanka,* berie aro- 
matique. —cardamomo, V.Cordamomo menot, 
—daJomaica, V. Pimenta da Jamaica, 

* Auonsa, V. Admossiar. 





8 AMO 


+Auonczisa, 8.f. (1. de bei.) * ammengeaba : 
espöce de plante graminde du Bresil 

Auontipo, A, 9.9. d’Amontar. adj. relu- 
gi6 dans les montagnes. Lugar —, terra —@, 


pays montueux, terre montueuse coup6e par | d 


des eollines. 
Auontar,o.n. V. Monter, v.". 


ANONTAR-SE, ©. r. s’en aller, s’enfair dans | PfC 


les montagnes; s’enfoncer dans un bois. 

Auontoickö, s. f. accumulation, agglom&- 
ration, entassement, amoncellament, monceau, 
amas ,tas. (fg.) Conlusion de mots ou d’idees. 

AMONTOÄDAMENTE , adv. par las, par MOn- 
G8aux. 

AuonToipo,A,P. pP. d’Amonloar. 

ANONTOADOR, A, 8. ramasseur : celui qui ao- 
cumule, qui entasse, qui amasse de l’argent ou 
toute autre chose. 

AMONTOAMENTO, 3.1. V. Amonloagdo. 

Auonroir, v. a. accumuler, amonceler, en- 
tasser, conglomerer, empiler, tasser. (fig.) En- 
tasser, confondre, en parlant d’id6es, de cite- 
tions, de mots, etc. 

ANONTOÄR-SE,, ©. r. crollte 60 MOonceaux. 
(Ag.) S’accumuler. V. Accumuler. 

20,4,9.p.d 

+ Auonrunin, v. a, tassor les ordures, le 
fumier. 

° Auooran. V. Amorer. 

Auör, s.m. amour, aflection : sentiment par 
Tequel le cur se porte vers ce qui paralt aima- 
ble, et en fait Pobjet de ses affeolions et de ses 
desirs. Il a toutes les acveptlions du mot fran- 
tais.* Passion d’un soxe pour Fautro; penchant, 
inclination.*Douceur. La personne, !’objetaime. 
*Dilection. i4. Cadeau, don. V. Mimo. Meu—, 
mon c=ur, mon amour. — proprio, amour 
propre, philautie. — plafonico, amour plato- 
nique (sans dösir ; pur). — com smor se Pags, 


AMO 


Auörı,s. f.“ müre : frult du märler. —e de 
silva, müron : fruil des ronces; müre sauvage 
qui erott sur les buissons. 

„Amorioo ‚A, adj. couleur de müre. ül.9.9. 


Amorar. 

* AMORANGA. V. Awor. 

ANORAR, v. a. cacher;; reienir, arröter, eın- 
er. 

ANORAR-SE, ©. r. so Cacher: stabsenter, 8’6- 

loigner. 

AuoRivEL, adj. 2 gen. almable, amourenx ; 
doux , caressant. 

ANORAVELNENTE , adv. amoureusement, tem- 
drement, avec amour. 

Auontına, s. f. (l.de bot.) "mürier: arbre qui 
pırte les müres : amentacte , nourritle ver A 
sole. —dranca, amomie: mürier blanc. — fram- 
boeza. V. Silva frambosztira. — lalaibs, bois 
jaune du Bresil. 

ANMOREIRÄL, 8. m. champ plants de müriers. 

f Auönzs, s. m. pl. (6. de bot.) " bardane, 
glouteron : herbe aux teigneux, plante medi- 


AuonfrE ‚s. m. dim. d’Amor, * amouretias 
amour passager, de pur amusement., 
Auonicos ou AMORINHOS, 8. m. (fam.) Vu 


Auoniyeao, A, adj. qui a de l’amour, qui 
inspire , qui excite ’amour. 

Auoais, adj. f. pfra—, espöce de poire Iräs- 
fondante. 

*Auonio,s.m. V. Amor, Amizade. 

Auoanuino, A, adj. morveux : qui ala morve, 
on parlant d’un cheval. 7 

AMORNÄDO, A, 9.9.d’ 

Auoanir, v. 6. atti6dir : chauffer un peu, 
rendre ti6de. u.a. et — se, v.r.tiedir, sattiödir. 

+ Auoanuscha ,v.», devenir tidde, s’sttiedir. 

Auorösa, s. f. chanson accompagnee de la 


PFamour ne se paio que d’amoar, ou amour par | gnitare 


amour; & bon chat, bon rat. c0mo por 
— de Deos, donner de mauvalse gräce. Em 
—s compankis, en bonne intelligence. Por — 
de Deos, au nom de Dieu. Por — de mim ou 
por — d’isto, ä cause de mol, & cause de ceci, 
de cela.Adoscer d’—, languir d’amour. Estar 
ebrasado d—, &tre en prole & P’amour. —s, 
pl. amours: amour, Inclination, attachement, 
galanterie. On le dit ordinsirement de ’amour 
ıllicite. Mon amour, mon omwur : expression de 
tendresse dont se servent les amants.” Amours: 
tout ce qu’on alme avec passion. —s Rovos, 
nouvelles amoaurs. I amores ! cris des 
anciens cavaliers quand ils rentraient dans la 
lice. Do mil —e, de bon omur, trös-volontiers, 
avoc le plus grand plaisir. Carte, escrilo ds, 
billet doux. 

Audn (8. de mytk.). V. Cupido. 

Auön-p’uorrzLiö, 8. m. (4. de bo.) grate- 
ren, callle-lait, gallium. 


+ Auör-rzartıro,, s.m. ° pensde (plante et | peint 


leur). * Violette de trois oouleurs ; herbe de la 
Trinits. — dos vsihos,* ancolie, dglantine; o0- 
Iombine; galantine; gants de Notse-Dame. 


ANORÖSAMENTE, adv. amoureusement, avos 
amour. 

AuonosissıMO,, A, adj. sup. d’ 

Auonds0, A, adj. affectueux, sensible, ai- 
mable, amoureuz, tendre. Qui concerne l’a- 
moaur, d’amour. Tempere, doux, possible, en 
parlant du temps. 

Auönrno, A, adj. (1. d’hist. nal.) amorphe : 
irregulier. s.m. (6. de dot.) amorphe : arbrisseau 
d’Amerique & fleurs trös-irrögulieres. 

ANMORTALHÄDO, A ,P. p. d’Amorlalker. 

ANORTALHADOR „A, 3. oelui qui onserelit les 
morts. 

ANORTALEÄR, ©. 6. ensevelir : envelopper 
un oorps mort dans un drap, dans un linceul, 
88, 9.7. (fig.) S’envelopper dans un velement 
grossier pour faire penitence. 

AnOarEckk , ov. a. faire amorlir, engourdir, 
endormir, causer de l’engourdissement. (Ag.) 
Temp6rer, modeörer, amortir, ralentir. (1. de 
.) Amortir, en parlanı des couleurs dont 
on saffaiblit la vivacits, l’öclat, par des cou- 
leurs sombres ou autsoment, Il est aussi Deu- 
tse et z6ciproque. 





Auterstino „A, pP. 9.@’Amerleoßr. 
* Aussrırıcan „eis, V. Mortifcar. 
"’ ABORTIGUAR „ etc. V. Amorieser. 
immerrzackö, s. f. * amortissement : rachat, 
ulinstion d’ane pension, d’ans renie. * AmOT- 
isseıment : Yaction de translörer, de denner 
des iumenbies qui alent appartenu & des lal- 
ques ‚ ä des oommunaulös religieuses, qui ne 


AHORTIZAR,, U. e. amortir : donner la Posses- 
siom d’une terre, d’un fief, & des gens de main- 
mamie. —, des rentes, des Ponsions, 
eie. ‚en peyant ou en d6dommaygeant cosXx On- 
vers qui Fon ost oblige. 

AMORTIEAVEL,, adj. 2 gen. amortissable : qui 
peut ötre amorti (rente, pension). 

AUOREINNO , s. =. dim. d’Amor, petit-amour. 

Auderna ,3.f.” 6chantillon, montre; essai, 
dpreure. (#2. ) "Signe, indice, preuve. %.(fg.) 

* Echentillon : partie, passage pour faire con- 
saltze le tout. #4. (4. de mil.) V. Hostra. Dar—, 
marguer, tdmmoigner, prouver. — do pamno, 
(Ag) $ehantillon : chose qui fait juger des au- 
ires de ia mıösme Sspece. 

Auosrasciö,s. [.Vactionet l’effetde montrer. 

* ANOSTRAMENTO, AMOSTRÄNCA. V. Amosira- 


* Auosrain, V. Mostrar. 


Auoersinna, s. f. diem. d’Amosira, pelit iron 


dchantlien. Tabac räpe trös-fin et fort. 

Anuöra,s. f. motie. H Mota. 

Au0TiD0O,A,2.p.d 

ABOTAR, .. e. (6. dagr.) bulter, garnir de 
terre une plante. 

Auorısacäö,s. f. mulinerie, revolte, s6di- 
ken , duseute , soulövement. 

- AmoTInäDa „s.f. V. Amolinagdo. 

AuormiBO, A,P.P. Q’Amoliner. 

„ &, #8. mutin, seditieux, fac- 
sex. 

ASOTISÄR, o. a. ameuter, soulever, exciter & 
ia rövolte. V. Alvorogar, Sublevar. 

f ANOTINAR-6E, ®. Tr. s’ameuter, se soule- 
ver. (Ag.) S’agiter, se remuer, se troubler, s’in- 
quidter, em perlant des faculiös de l’äme, des 
passious , eic. 

Amoscipo, A, adj. d6vous & la mort (dans 
bataille ). 

Amscco,s.m.($. d’Asie) amoque: naire qui 
se d6veue ü la wort. 

+ Asooasscäno, A, adj. qui ressemble aux 
Mauzes. 

Ausrrin. V. Amotar. 

Auovsa,, v.0.\V. Apartar, Remover. 

Asovissupäng, s. f. amovibilits : qualit6 de 
ee qui est amovible. 

Anovmo,&A,Pp. pP. d’Amover. 

ANOViTKL, adj. 2 gen. amovible : qui peut 
re 016 d’ane place ‚d’un poste. 

° ABOIAMADO, 1,ad. 560, maigre, dechar- 
me.9.p. d’ 

ABOLAHAR,, 0. a, secher la viande ou le 
poissen au soleil,pu A la fumte, 


AMP ss 


°f Aura, 2. f. (1. de bof.) "ampa: Bgmier de 
Madagascar. 

+ Aurac, s.m. (1. de dof.) ampao : arbre des 
indes Orientales; sa resine. 

AMPARÄiDO,A, 9.p. d’Amparar. 

AMPARADOR, A, s. et adj. dölenseur, protec- 
teur : colui qui defend, qui protege ; quiabrite, 
en parlant de la pointe d’une Ile, terre, et, 

* ANPARAMERTO. V. Amparo. 

AMPARÄR, U. 4. appayer, soutenir ; protöger, 
döfendre , seoourir, favroriser, garder; prendre 
soussa protection. 

T AMPARAR (com), %. n. raltraper quelqu’an 
qui allait on avant. Rtre gal, assorti, appa- 
reill6. Aller de pair avec. 

+ AUPARAR-SE (de), ©. r. se metire sous la 
protection de quelqu’un. Se defendre, se ga- 
rantir. 

Auriro, s. m.” faveur, protection, appui, 
defense „soutien, support, &tai, ombre, rem- 
part, &gide, aile. "Asüle, ref[uge. 

+ ÄMPELITE, ..f.(t. de miner. )*erayon noir, 
ou pierre noire des charpentiers. 

f Aurnacinto, s.m. (1. d’hist. nal.) am- 
phacante : poisson des cötes d’Arabie. 

AuMPHIÄO, 8. m. opium. V. Opio. C’est le nom 
qu’on lui donne aux indes Orientales. Amphion: 
musicien, virtuose. On le dit ordinairement par 

ie 


Aupnisıo , adj. amphibie : qui vitsur la terre 
et dans Feau. 

ANMPHIBIOLITRES, s. m. pl. amphibiolithes : 
amphibie, ou partie d’amphibie petrifie. 

+ AurHısöLta, s. f. amphibole : pierre oris- 
tallisee, autrement appelee schor] noir. 

AMPHIBOLIA, s. f. ambiguite. 

ANMPHIBOLO. Y. Ampkibolögico. 

AMPHIBOLOGIA, 3. /. amphibologie : ambi- 
gufts d’une phrase, discours obscur & double 
sens. 

AMPHIBOLÖGICAMENTE, adv. amphibologique- 
ment : d’une maniere amphibologique. 

AMPBISOLÖGICO, A, adj. amphibologique ; - 
obscur, ä double Sons, ‚ambigu. 

ANMPHIBRACO, 8. m. (4. de pocs.) amphibra- 
quo : pied de vers latin compos6 d’une longue 
entre deux breves. 

AMPHIDRÄNCHIAS, 8. f. pl. amphibranchies : 
espaces aulour des glandes, des gencives, pleins 
de salive. 

ANMPHICTYÖES, 3. m. pl. ampbictyons : depu- 
tes des villes grecques au conseil general. 

ANMPHICTYÖNICO, A, adj. amphictyonique : 
d’un amphictyon (suffrage). 

+ Aupnıpeiö, 3. m. amphideon : orifice de 
Puterus. 

+ Aupumrouia, s. f. amphidromie : 
pour la naissance. 

+ Aupuisacro, 8.m. (4. de pods.) amphima- 
cre : pied de vers latin oa greo d’une bröve en- 
tre deux longues. 

} Aurnıönıo, A, adj. qui appartient & An» 
phion, Lyra ampMiänia, Iyre d’Amphion, 


f&tes 


Ammisreni, 9. f. * amphiptäre : serpent ä |’ 


deux ailes. 

Aurmsstna, s.f."ampbisbene :ı double mar- 
cheur, serpent d’Amerique & qui l’on suppose 
deux tötes. 

Aurmiscıos, s. . pl. Amphisclens : habi- 
tants de la zone terride, dont Pombre tombe 
tantöt au sed, tantöt au nord. 

fAurnsusLo,s. m. (t. de ahir.) amphis- 
möle : scalpel & deux tranehants. 

} Aurnistomo, s. m, (4. d’hist. nal.) amphis- 
tome : ver intestinal. 

ANPHITHRATRAL, ad/. 2 gen. qui OOMEETRO 
Fampbithöätre, qui en a la forme. 

ANPEITHEÄTRO, 8. m, ıhektre : chez los 


Romains, ddifice bati en rond destine aux apec- | deri 


tacles publics ; portion d’un thöätre; vaste 
enceinte ronde avec des gradins pour les fätes 
publiques; lieu garni de gradins, oü se don- 
nent les cours publics. 

AuPpurraite, 5. f. (6. de myik.) deesse de 
Iamer. (fg.) La mer. (k. d’Mst. nal.) Ver ma- 


t AurnıTaizEs, s. m. pl. (1. d’hisl. nat.) 
amphitrites : vers ou mollusques de couleur 
vert pomme, 

tTAurHITaYÄd, 5. m. tsyon : gui donne 
& manger, qui pale poür les autres la döpense 
de plusieurs prise en coommun. 

HORA, s. f. amphore : vass antique de 
vingt-Quatre pintes, ä deux anses. 

ANPLANENTE, adv. amploment, largement, 

Auruisrico. V. Emplastico, 

ANPLEXICAULES. (f. de bot.) V. Abarcantes. 

AurLtxo. V. Abrap. 

Aurıcuciö, s. f. amplification , aocroisse- 
ment, agrandissement , augmentation. 

AMPLIÄDO, A, 2. 9. d’Ampliar. 

ANPLIADOR, A, s.celai qui amplifie, qui 
agrandit, qui augmente. 

AurLiin, v. a. agrandir, amplifier, augmen- 
ter, dtendre ; reculer les bornes; enrichir, en 
parlant d’une langue,. 

Auruurivo, a, adj. ampllatif : qui aug- 
mente, qui ajoute. 

Aurımiö,s.f. ampleur, dtendue. 

Auruiricaci6ö, s. f. augmentation, accrois- 
sement, (6. de rhet.) Amplilication : discours 
par lequel on &tend le sujet qu’on traite; exa- 
geration, hyperbole. 

AurLirıciDo, 4,9. p. d’Amplificer. 

AMPLIFICADOR,, A, s. amplificateur : celul qui 
ampilfe, qui etend ‚ qui augmente. Exagera- 

ur. 


ANPLIFICAHR, 0.6. V. Amplear (1. de rh6i.) 
smpiifler : paraphraser, ötendre, augmenter 
par le discours, 

AurLirico, A. 7. Amplo. 

AuPLIissino, A, adj. sup. d’Amplo. 

AurLıröpe, s./. ampleur : ötendue de ce qui 
est ample. — ocrcidua, ( 6. d’asir.) amplitude 
occase. — orfiva , amplitude ortive. V. Ortivo. 

AurLo, a,ad/.ampie,long, large, stendu.(Ay.) 
Ports hors de la mesure oommune; abondant. 


--a— .. 


AuroLnan. V. Enpolkar. 

AuroLutra, s. f. fole. (4. de mer.) Ampeu- 
lette, emponulette , sablier : horloge de sable 
que Fon tient dans la chambre oA est la bous- 
sole. — da dergqwinkhe , (id.) horiege de lock, 
sablier de minute et de demi-minute. 

AuroıLa. V. Empolla ; it. Ambuls, 

° kupnom. V. Adianis. 

* AupuLa. V. Ambula. 

Aururaciö, s. f. (6. de hir.) amputallen « 
retrenchement d’un membre. 

Aururi20,A,P.p.d \ 

Aururia,v. e. (1. de chir.) aunputer : Freiraum 
cher un membre. 

Auvipautute, adv. en beudant, par ben» 
®. 

Auuino,p. p. d’ 

Auvin , v.u. etw. beuder.— se, u. r. bouder: 
faire la moue par humeur, saprice, ransune ou 
mecontentement. Se fächer, en parlant des 
personnes ; arröter,, disoontinuer de maroher, 
en parlant des montres, eto., etc. id. Endur- 
eir, se terminer par Pinduration, en parlant des 
tumenrs. 

AuuLaripo, A, adj. qui a la oouleur de mu- 
& 


tre. 

AuvıL£rico, A, adj. d’ammulette. 

AuuL£to, s.m. " amuletie: caraciöres, figure 
qu’on ports sur soi, auxquels la erddulii6 ou 
la superstition attribuent beaucoup de vertus. 

+Auumipo, a, adj. ala maniöre de momie, 
dessöche comme une momle ; txös-mmaigre. 

ANUNICIAR , etc. V. Municiar. 

Auto, 8. m. * bouderie : action de bouder ; 
manvaise mine; dtat de celui qui boude; fäche- 
rie, mauvalse humenr apparente. 

Auürı, s.f. (t. de mar.)” oouet, 600868 : nom 
de quatre cordes amarr&öes au bas des 
voiles d’un vaisseau. ii. Mesure d’un vaisseau 
au quart de sa longueur du od1# de la preue. 
da bujarrons, amure du grand foc. — de- 
brdda , &couel & bressin. Durace de —, tzou , 
dogue d’amure. Amuras, pl. amures : sous 
dans le plat-bord pour amurer. i$. Joues d’un 
veisseau. Larger as—+, larguer les amures. 
Castanhat ou das —s , dogues d’amures, 

Auunipa, s.f. (t. de mar.)" vibord: planches 
qui entourent le pont d’en haut et servent de 
parapet. Forro das —s, (1. de mar.) veigres. 

Auuninpo,A,Pp.p.d’ 

Auurin,v. 0. (i. de mar.) amurer : bander 
et raidir quatre oordages appelss oewels; lan- 
dre un coin de la voile. — a beijar, amurer teu® 


+ Auuntra, s. f. (1. de bot.) amurelis: a0- 
brisseau “pineux d’Amerique. 

* Auuntsar. V. Marejar. 

* Auuya. V. Alnatahe. 

Aurno. V. Amido. 

ANYCDALAS, 8. f. pl. (t. d’anat.) amygdales x 
glandes pres de la racine de la langue, sous ia 
luette, en amandes. 

+ Auvovairus, 8. f. (d.demdd.) amygdalite, 
inlammation d’amygdales. 


ANA 


+ASsBALhTE, 8. f. (1. FMel. nal.) amys- 
deliihe : pierre en amande. 

TAUTGBALOTDE, adj. 2 gen. (1. E’Mit. nal.) 
qiressemmble & ’amande, qui en a la forme. 
s. f. amygdaloide : pierre qui ressemble & une 
smande,. 


-tAutLiczo, A, dj. amidigque: de l’amidon; 
ürö de Famidon. 

Aus, s. f. aune : mesure de plusieurs pays. 

. Vera. 

Ani,s.f. (1. depherm.) ana : quantit&dgale 
de drognes möltes : on V’öerit ainsi 46. dt. Mon- 
male des Indes, 15 sous. 

Asi ou Aniı, 5. f. naine. 

Auısarrisue, s. m. anabaplisıne ; keirösie 
des anabaptistes. 

ABABAPTISTAS, 8.8.9]. anabaptistes: sostaires 
qui ne baptisent qu’ä l’äge de raison. 

täAnasis, s. m. (8. d’hist. nat.) anabas: 
Peissen rapprochs des kurtes. 

ANABROCRISNO,, 8. m. (#4. de chir.) anahro- 
chisıne : operation de la ligature du poll des 

qui offense les ysuz. 


ANA | 


ANACHORWTIEMO, o.m.* vie solltefre, reiirde du 
monde. 

ANACHRONISWO , s. m. anaohrenisme : erreur 
de date ; faute contre la chronologie. 

Anıcuärico, adj.m. (canto—) anaclätique: 

chant des Grecs en pourselrant Fennemi. 

fAnacumöraLa, 0. f. anselinople : Iatie 
d’athlötes qui talent conch6s sur le sable. 

Anuico,, 3. m. chevreau de deux ans, 
Jh ANACOLETRA , s. f. anacoluthe : esp6ee d’el- 
ipse. 

AnachnDa, s.f. (1. E’hist. nal.) Anaconda 


Mh Python: serpent de Geylan, esp&ve de grand 


® ANACOADO, A, adj. de nallan : de nature. 

ANACRBÖNTICO, A, adj. ansordontique : dm 
genre des odes d’Anacr&on ; consacre ä V’arnout, 
au vin. 

+AnACaBOoNTisuo , s.m. anacrdontisme : M@- 
niere de vivre d’Anacr&on ; sa manidre d’sorire, 

* Auspprr. V. Aoorsscenfar. 

* Anınzan. V. Alizar. 

+ Anan£L, s. m. capitaine de l’ancienne mi- 


Anısaösz ‚5. f. (£. de med.) anahrose : oorro- | lice 


sion des solides par une humeur äcre. 

TAxıcıa, s.m. (i. dhist, nal.) anaca ı Peiru- 
che du Brösil. 

7 Auscamniıa , 8.[. (l. d’hist, nat.) * anacan- 
ment de Surinam d’environ 30 pieds 
Anacanino, u Baar nacr6& : blaue comme la 
nsere; qui imite la Na0Te. 

+ Auscazstin0o, 3. m. anacardier. V. Aue- 


AnACaRDINA,, 5. f. confection d’anacarde pour 
fertifier la memoire. it. (1. de bot.) V. Anacerdo 
de Orients. 


Auacaapixo, A,cdj. quia de l’anacarde. 

Ausciano, 5. m. anacarde : fruit, noix en 
cwear de Tanscardier, grand arbre des Indes, 
ressemblant a Yacajou et qui donne un poison; 
[eve des Molaques. — d’America , acajou, ana- 
cardier : arbre de l’Anärique. — do Orienie 
ou do Maelabär, avicenne cotonneux. 

+ AÄNACATARSE, s.f. (1. do mdd.) anacatarse: 
er pectoration de la Iympbe ; purgation par en 

ut. 

ASACATRÄRTICO, A, adj. (f. de möd.) anaca- 
thartique: qui iprodaltFexpeetoration (remede). 

AnaCiBO,A,p.p.d 

Amann. a. möler les liquides en les bat- 
tant ensemble ; los kreuflier les uns avec los 
autres. 

ANSCEPEALRÖSE , 8. f. anaeöphalöose : r6ea- 
pitulation des principaux chefs d’un discours, 

t Axscmarıs, s. m. (1. de bot.) anacharis: 
plante aquatique du Bresil. 

ANACHORBTA ow Anıcortra, s.m. anacho- 
rete „ bermite : moine qui vil seul dans un d&- 
sert; komme pieux qui vit retire da monde. 

ANACHORETICLHRNTE ‚ ade. eomms Panacho- 
röte : & la manidre des anachorstes ; solitaire- 
mes. 

ANACHORETICO, A, adj. d’anachoröte s solitaire, 


+ Anınema, s. f. * anaddme : omement de 
(6te semblable aux fanons d’ane mitre. 

AnADIPLÖSE, ©. f. (1. de rhet.) anadiplese: 
fikure formee par la röpetition d’un mot qui 
finit une proposition et en oommence URS 
auire. 

*+ Anıpövıa ow AnanUva, 5. f. obligatien 
des vassanx de contribuer ä la röparation des 
fossös ot des murs des anoiens chAteaux. 

+ Air, s.f. "melilot : plante qui ressemhle 
au tree, et erott beaucoup. 

Anırino, a, 9.p. d’Anafer, adj. gras, lui- 
sant de gralsse ; dodu. 

+ Anarita, s. f. sorte d’etoffe que l’on fabri- 
queä Valenoe, en Espagne. Bourre de sole. 

ANAVAR, ©. a. lisser le poildu obeval; en: 
graisser, rendre luisant de graisse 

Auirzca,,s. f. "jujubier : arbre de Syrie qui 
denne les jujubes. 

Anıriı, s. m. sorie de trompetts droite en 
usage chez les Maureos. 

Arıriı, adj. Irigo —, espeoe de bid A bares 
Bir, dont la semence est venue d’Anaf6, en 


+ Ananııtıno ‚s.m. celui qui jouait ou son- 
nait de Yanafl). V. ce mot: 

Auırım. V. Ans. 

Auacica. V. Negars. 

Anıcan , AunsckLLma 08 ANackLLipe, V. 
Murrido (1. de bot.) 

Aniooa,s, f. * cotillon : Jupe de dessous. 

Anıcocia, s. f. (1. de thdol.) * sens spiritwel 
et mystique de l’Ecriture sainte. 

Anscöcicauturs , ade. d’une manidre ana- 
go 

Da bcıco „A,ad. anagogigus : qui &ppar- 
tient & Panagogie. Sontido —, (8. de I ) 
sens spirituel et mystique de Feriture selnte, 

ANACBiNHA, 5.0. ADagramıme : sone ollert 
par la transposition des Istizus d’am uot, 


ANA 


ANAGRANMATISNO, 8. m. anagrammalisme : 
divination par les lettres du nom de celui dont 
on eherchait la destinee ; l’art de trouver un 
anagramme. 

ANACRANMATISTA , 5.0. anagrammatisto: qui 
fait des anagrammes. 

ANAGRANHMATIZAR , ©. 6. anagrammaliser: 
faire des anagrammes. 

+ ANAGYRO DOS ALPES O0 BASTARDO, 5. M. 
(1. de bot.) V. Codesso dos Alpes. — de Hospa- 
she, anagyre [ötide, vwig. buis puant. 

+AniLı20, s. m. " dtole des moines grecas. 

AusLtcro, s.m. analeotes: [ragments choisis 
d’un auteur ; collection de morceaux difförents. 

AnıLtua, s. f. ” analdöme : projection oriho- 
graphique de la sphöre sur le colure des sol- 
stioes. 


AnusuLzrsia, 8. f. (6. de med.) analepsie : em- 
ploi des restaurants, rocourrement des forces 
apres la maladie. 

ANAL&PTICO, A, adj. (1. de dd.) analeptique: 
restauratif, qui fortifle. 

- Auäuıse. V. Analyse. 

AnasLocia, s. f. analogie : conformits, rap- 
port ; proportion, ressemblanoe. (#. de gram.) 
—, fapport que divers mots d’uns langue ont 
ensemble pour leur formation. 

ANALÖGICAMEHTE , adv. analogiquement : 
d’une manidre analogique. 

AnaLöcıco,, A, adj. analogique : quiadel=- 
nalogie. 

AnaLocismo, #. m. analogisme : argument 
de la cause & l’effet, comparaison de l’analogie 
qu’il y a entze diverses choses. 

AnaLocistico , A. V. Analogico. 

AuäLocO, a, adj. analoguo : quia de l’ana- 
logie aveo, qui a quelque rapport ou conYve- 
nance. 

ANALTSÄDO, A, P. 9. d’Anelyser. 

ANALTSADÖR, A, 3. colui qui analyse. 

ANALTSÄR, v. a. analyser : faire analyse. 

AuäLYseow AniLYTsis, s. f. analyse : röduc- 
tion , resolution d’un corps, d’une chose dans 
ses principes, ses &löments ; (4. de log.) m#- 
thode de r&soudre par laquelle on remonie des 
oonsequences aux principes, des effets aux 
eauses, du particulier au gen6ral, du ooncret 
a l’abstrait, du compos6 au simple; l’oppusd de 
synthöse ; (£.de math.) " art de r&soudre les pro- 
bl&mes par l’alg&bre ; methode par laquelle on 
eberche une verit6 inconnue ; (8. de chim.) art 
de d&composer les corps; (4. de litidr.) extrait, 
resum6 d’un disoours, d’uno dissertalion. (fg.) 
“ ==, 6xamen d’un ouvrage, d’un discours. 

ANALTTICAMENTE, adv. analytiquement : par 
analyse, par voie analytique. 

AnaLYTIoO, A, adj. analytique : de l’ana- 
Iyso, de sa nature, qui lui appartient, qui se 
falt par elle. 

T Auaunärıco, 8. etadj. anamnötique : re- 
mede qui fortiße la msmoire. 

ARANORPRÖSE, 5. f. anamorphose : tableau 
changeant suivant les points do vuo ; art de les 
faire; ztumion bizarse de couleuss, de traits, 


ANA 


offrant un tableau rögulier dans un ımireir 60- 
nique;; projection d’un dessin; representalien 
vague et confuse vuo de prös , ot rögulidre vue 
deloin. 

Anın, V. And. 

r Ananaczı-cavii,s. m. (.de bot.) anana- 
chi-caviri : palmier &pineux du Bresil. . 

tAnanirLa, 5. f. (£. de bot.) "ananapla : e&- 
pöce d’acacia des Philippines. 

Ananiz, s. m.ananas: fruit delloieux qui a 
la forme d’une pomme de pin. 

ANANAZEIRO , 3. m. ananas : plante des Indes 
originaire du Perou, et qui porte Yananas, 
frait tr&s-estime. V. 08 nom. 

+ Ananıcipo, A, adj. A manidre de nein. 
pP. p.d’ 

TAnantcik, v. a. faire petit, nala; dimi- 
nuer, abattre. 

*Anino.V. Ando. 

Aniö, s. m. et adj. nain : qui est d’une taille 
au-dessous de la mediocre; petit. 

AnaPistıco, A, adj. (#. de poes.) anapesti- 
que : vers o& l’anapeste domine; (mot) de 
deux breves et une longue. 

Anap£ito, s.m. (8. de pods.) anapeste : pied 
d’un vers grec ou latin de deux bröves et d’une 
longue. 

Anäpuora,s.f. (8. derkdi.) anaphore : B- 
gure de rhe6torique, r&petition du meme mot 
au commencement des phrases ou des mom- 
bres d’une periode. 

+ AnAPHÖRICO,, A, adj. anaphorique : qui se 
ment par l’eau (horloge, orgue). Periodo —, 
periode dont les membres commencent par eo 
meme mot. 

Anarnnopisia, 8. f. (8. de mdd.) anaphrodi- 
sie : suppression de Y’appetit vendrien. 

AN&PHRODIiTO, 8. et adj. anaphrodite : qui 
n’est pas propre & la generation. 

+ Anartenörico, A, adj. anapleretiique : 
remöde externe qui cicatrise et fait revivre la 
ohair 


+ ANAPNEUSE, 5. f. anapnouse : respiration. 

+Anaruna, 8. m. (.d’hist. nal.) anapura : 
perroquet multicolore des Indes Orientales. 

“ AnaRANTE.V. I fe. 

Anancnia, 3. f. anarchie : dtat sans chef, 
sans gouvernoment ; grand desordre, confusiom 
de pouvoirs. 

Anäacnico, A, adj. anarchigne: sans chef, 
qui tient de l’anarchie. 

+ Anancuisuo, s. m. anarchisme : systeme „ 
opinions anarchiques. 

Ananchista, 3. m. anarchiste : partisaı de 
Panarchie, fauteur de troubles. 

+ AnÄRcTRO, 3. m. anargyre : Sans argent. 

+ Anannnoria, s. f- (4. de mdd.) anarrhopie 
tendance du sang vers la töte. 

Anasinca,s. f. (1. de med.) anasarque : en- 
flüre o@demateuse du corps; bydropisie du 
tissu cellulsire r&pandue sur Lout le oOrps. 

Anasinrtico, A, adj. (1, de med.) qui a une 
anasarque, 


ANG 


AxıschtE, 8. ı. anasoot ou Mambe : diofle 
Timiens. 

SNASTONÄTICO, A, adj. (t. de med.) anasto- 
setiıgue : medicament contre la rupture, l’en- 
gergement des veines. 

ARASTOMOSAR-SE, ©. r. (l. d’anst.) s’anasto- 
messer : seımnboucher, se joindre par les bouts. 
H se dit des veines, des nerfs. 

Axsstonmösz ou Ausstouösıs, 8. f. (1. da- 
nat.) anasternese : oonfiuent des veines, leur 
embouchure. 


Auksraorm, s. f. anastropho : vice de con- 
strwetion de phrase par inversion inusitse. 

Ansıriao, a, adj. couvert de cr&me; couvert 
de lkmen. 


? Auise, s. f. anate : sorte de teinture 
souge de l’anate ; arbrisseau des Indes. 
ANÄTEENA,s. m. anathöme , excommunica- 
Gen, retranchement de la communion del 
glise. (Ag.) ” Exelusion , malediction. 
AHATBENATISMO, 3. m. (1.de ih£ol.) anathe- 
mafiszne : canon porlant anathäme. 
AnATEsmarızaciö, 8. f. l’action et lVoflet 
@’smathimaliser ; escommunicalion. 
ARATEEMATIZÄDO, A, 9. P.d’ 
ANATEEHATIZAR, ©. a. anathömaliser, ex- 
cammmier : frapper d’anathöme. Faire des 
Imgrecations contre quelgu’un ; maudire. 
f Asırira, .L (8. d’hist. nal.) anatife: 


e. 

Ana 0,4 ,adj. anatifdre, anatif. 

f Auurocisuo, s. m. analocisme : usure par 
la retenue de YPinter6t de l’interet; sa conver- 
sien en principal. 

Anaıtouia, s. f. analomie : dissection du 
corps animal ou vegetal, ou de ses parties. —, 
art de dissequer. —, corps dissöqu6, squelelte 
naturel ou artificiel. (Ag.) Discussion exacte et 

partienlitze; analyse. (fg.) Faser na vida 
d’umns PEs008, eplacher la vie , les aclions de 
r. 


» 

Juusröscautnte,, adv. anatomiquement : 
d’une manitre analomique. 

Anırömıco , adj. anatomique, de l’anatomie. 
s. Analemiste : celui qui ost vors6 dans l’ana- 
Ismie. 

Auasronista, s. m. anatomiste : celui qui 
pestique l’anatomie. 

ARATONIZIDO, A, 9.9. d’ 

ARATONIZAR , 0. a. anatomiser : faire l’ana- 
tsenie,, Ölss6quer. (fg.)—, examiner en detail, 
veir av00 soin toutes les parties d’un ouvrage, 
«um diseours. 

TäAsavaımino, A, adj. quia la forme de 
cosktan, d'un rasoir; qui coupe comme un 
oowteau , comme un Tasoir. 

® AnAXAR, ANAXATRE, 5.m. (4. de pharm. 
ame.) sel ammoniac. 

fAnizz, s.m.(f. de bot.) anaze: arbre de 
l’Inde , ea Ik gohrde. 

Ascı „s.f. banche, croupe. —s, pl. la crou 
du cheral. Doancas ou nas —, en croupe, en 

troasse. Levar d’— ,porter en trousse. Ndo 
soßfrer ou näo der —.On le dit des chevaux qui 


ANG 


nesouflrent pas qu’on mente Sur eux en Croupe, 
It. (Ag. fam.) Avoir les reins faibles. Sofrer ou 
dar ancas,( fig. fam.) avoir les reins foris, Tre- 
zer ou levar ds —, (fig. am.) avoir toujours 
aux trFousses, avoir quelqu’un sur son dos. 

+ Anucino, A, adj. Cavallo u (8. de eier.) 
maledie des chevaux, qui oonsisie dans une 
forte contraction des nerfs. 

ANGARINA. V. Anserinhe. 

Anctıo. V. Enstjo. 

ANcHO, A, adj. large. (fig. fam.) Enid , su- 
perbe, fler. i$. s. m.“ Largeur. 

* ANCHORA. V. Ancora. 

AncHOvA ow EncHova, s. f. " anchois : petit 
poisson de mer sans 6cailles, osseux,, abdomi- 
nal, du genre du clupe; trös-bon. 

"Ancaura. V. Largura. (fig.) Vanite, or- 
gueil, fierte. 

ANCHUSA MEDICINAL. V. Buglossa. 

ANCHYLOSE ou ANKYLOSE, 5. f. (4. de med.) 
anchylose : union, soudure des articulations. 

NCIA, 8. f. angoisse, anxiet&, naus6e; peine, 
embarras, fatigue,douleur de corps ou d’esprit. 
Avidits, convoitise, desir vehöment, grande 
envie de posseder une chose. Com —, avide- 
ment. Tirar ou fomar com—, agripper (fam.). 
Estar com ancias, avoir Penvie de vomir. Ancias 
da morte, l’agonie. 

+} AnctÄDAMENTE, adv. avec angoisse , ave6 
nauste. 

Axcıivo,A,p.p. d’Anciar. 

Ancıanfa. V. Ancianidade. 

ANcCIANIDÄDE, 8. f. anciennet6 : qualit# de ce 
qui est ancien. Longevitö, grand Age. 

Ancıano. V. Ancido, 

Anci0,X, adj. ancien, vieux; ägö; usö, em, 
parlant des habits et autres offets. 

AucıAö, s.m. vieillard. Ancien : un des plus 
vieux individus d’une communauts dans un 
ordre militaire : doyen. 

Ancıän, v.a. causer de l’angoisse, de l’anxie- 
46, etc. Desirer avidement, soupirer apres une 
chose, convoiter. 

ANCUR, ©. R. 8 — se, v. r. 6prouver des 
naustes,, de l’anxiöt#, des serrements de caur. 
(fg.) S’aflliger, s’inquidter. 

AnciLias, s.m. pl. (t.d’ant.) anciles: boucliers 
sacres & Rome. 

AncıLLA, s. f. esclave; servante. 

+ AncuLirıo, s. m. (8. d’hist. nal.) ancil- 
laire : mollusque de la Chine, trös-rare, de la 
famille des olives. 

ANCINHO ow ENSINHO, #. m. räleau : instru- 
ment d’agriculture etde Jardinage & dents pour 
ratisser, ramasser le fourrage, etc. 

ANCIÖSAMENTE , adv. avidement, ardemmen 
passionnement; avecanzidts. Il ost plus usit6 

a premidre acception. 

AncıösO, A, dl. afflig6, chagrin, triste, sou- 
cieux, inquiet, agit6, qui est en peine. Desi- 
reux, aride, convoltear, qui desire aveo ar- 
deur. 

Anco. V. Canto, Angwlo, 


98 ' 





9% AND AND 


Äueona, s.f. ({.demer.Janore:instrumentde | Anvanira, s.m. (4. @eni.) andabate : gladia- 
for a branches aiguds, Jet6 au fond de F’oau 04 | feur qui combattait les yeux bande&s et & cheral. 
enfoncösurlesbords, pourarröterlesvaisseaux. |] Anvico, s.m.* epid „ maladie qui court 
(Ag.)’Refuge, asile ; roeours, ressouroe, seule | dans vertaines saisons. 
esperance qui reste. Langer —, anerer, jeter,| Annipa, s. f. *chemin, voyage; action de 
mouiller Yanere. Losvar ou lovaniar as —s, | marcher. Course de Phuissier. 
lever Yancre; (au fig.) abandonmer une entee- | Anupapkıras, s.f. pl. Hisiöres d’enfent: bras- 
prise, quitter un desseim. Bstar sobre a —, | siöres, bandes, oordons attachts A Y’epaulo 
eıre & P’ancre. Estar sogure a duss —<s , avoir | d’un enfant pour Faider & marcher. Paswar ou 
deux cordes ä son arc. — de meonlante, Vancre | ander sem — , ( ig.) n’avoir pas besoin de Hi- 
Auli est jetse du oöt4 od la marde monte. — de | siöres, marcher sans lisieres. 

Ihussante,, celle qui est du odt6 oü la marde des- | Anpankıno, a, ad: faciie & parcourir, aoces- 
tond. —derespeilo,, ancre de cale. —erceirs, | sible, en parlant d’an Heu quelconque® ou dan 
ıncre d’afflourche.—eobre a bogsdaumka, ancre | chemin. Bon marcheur, d’une marche aisse 
& la veille. — sagrede ou da salvapäo, la plus | (cheval, etc.). 
grosse anere d’un valisseau, ancre de salut,] Anpino,A,p. p. d’Ander, adj. battı, en 
maltresse ancre : ancre dont on ne se sert que | parlant d’an chemin ; parcouru. .E’ meto 
dans la derniere extrömite. ( Ag.) La derniere | caminko —, c’est molti6 chemin de. 11 se dit 
ressource, seule esperance qui roste. Estar com | d’ane chose tr&ös-avancee pour sa conclusion. 
— apiqus, etre pr&t A couper les cäbles. Astea] Anpanon,A, 8. et adj. bon marcheur, bon 
da — , vorge; vwigo vergue de l’ancre. Segurar | pitton, qui marche beaucoup et vite. Vaga- 
a —a bordo com a bora da unka, brider Fancre Bond ‚qui est continuellement par voies et par 
contre le bord aree le serrebosse. Arriar a —, | chemins. if. Semonneur de confrtrie. 
larguer le serrebosse, faire pennant. A— estd] Ampanonta, s, f. charge de !andador. 
quasi a pique, le cable est & peu pres A pic ow| Ampanüna,s. f. allure : facon de marcher, 
& long pic. Orelkas da —, tenants de Pancre. | surtout des chevaux. La distance que Fon par- 
Cruz da —, collet ou croisde de !’ancre. Unha | eourt en marchant. (fg.) Demarched’un homme 
ds—,bee de Yanere. Brass da—, bras de | diligent; proc6de, maniere de se comporter, 
Yancre. Sepo da —, jas de l’ancre. 4 — largos | d’agir. 

o fundo, Tanore a quitt6, Pancre est d&plantte.| +Ampammania, s. f. *&chafaudage : construc- 
Estar sobre as —ı de poppa e prös, moviller | tion d’&chafauds pour b&tir. 

en eroupiäre. Tirar a— d’outronavie, pecher | Anpaıme ou Anpaımo, s.m. echafaud : plöoes 
Pancre d’un autre vaisseau. A— esiä unhada, | de bois formant plancher, od les ouvriers mon- 
Fanore tient. Levar a — por via do eriague, | tent pour travailler. Chemin pratiqus sur le 
Jever l’ancre par Tarin haut d’un mur, d’uno fortification. V. Passs- 


Anconsciö,s. f. Yaction d’ancrer. ff. V. An- | digo. 

coredeure, Anpima,s.f. file, rang, rangeo; dtage,, ali- 
Ancoripo, A, adj. p. p. @’Ancorer. gnement. — d’artilkeria, rang de eanons ou un 
ÄNCORADGOURO, 3.0. moulllage, ancrage: lieu | cöt& de 1a batterie d’un vaisseau. 

ed Yon peut Jeter Fancre. * Anpäseu , s. f. maison d’un seml tage. 
FAnNcORÄcEN, s./.“ancrage, moulllage:Pac-]| + AnnaLlz, A, adj. et s. andalous : de FAn- 

tion d’ancrer, et le lieu propre et commode pour | dalousie. 

ancrer. * Droit d’ancrage. + AnpaLuzia, s. f. (f. de göogr.) Antalousie: 
Ancorir, v.n. (?, de mar.)ancrer, moailler, | province d’Espagne. 

jeter Yancre. (Ag.) Fonder, faire fond sur,| Annamänto, s.m. preckde, maniöre de se 

compter sur, conlier en. — pela poppa, crou- | oomporier, d’agir; marche, dömarche. — dos 

Piader. — se, o.r. (Ag.) s’ancrer : s’ttablir avec | negocios, marche, progres, direefion des affki- 

tenacit# dans une maison, aupres d’un prince; | res, demarche. — da musica, mesure plus ou 

s’affermir dans un emplol. (id.) Se fonder | moins vivo pour le mourement de la musique. 

Sur, eic. (Adagio, Andante, Alegro, etc. V. ces mots.) 
tAncorörg, s. m. dim. (1.demar.)"empen-| ° Anpimo. V. Passagem, P 

nelle : petite ancre. &. Espöce de baril.—des-]| Anninca, s. f. aventure; fortune. Bis om 

piar, (1. de mer.) ancre ä jet ow de tonte. und — , bonn ou mauvaise fortune. 
ANcYLOm8LO, 3. m. (f. dechir.) ancylomäle:| Anpänts, p.e. @’Ander, allant : qui va om 

sonde courbe. qui vient, adj. 2 gen. Allant, errant, qui aime 
fAncrLöromo, s.m. (f.d’anal.) ancylotome: | & aller, ä conrir, qui erre de cöt6 ei d’auire; 

Mstouri courke pour couper le flietde la langue. | aventurier. Bam ou mal andants (entig.), bou- . 
ÄNCYRODOTIE,, a). ats. f. (f. Kanal.) ancy- | reux ou malheureux. , 

rodolde : (apophyse ooraoulde) en Lorme d’an-| f AnDintz, s.m. (f. de mus.) andante : d'un 

de crochet, 


ere, mourvement modere; du lent au vif. 
Änpa,, interj. alles! va! tu meTe paieras! + Anpanrtsco, A, adj. chevaleresgue : qui 
+ Ani, s.m. (6. de bof.) anda : grand arbre 


appartient & la chevalerie,, qui tient de la che- 
gu Breeil; Finfusien de son 6oarce est sopori- | valerie, des cheraliers errants. 
que, 


AnpiR, v.«, parouurir, visiier, = as Selle 











pertiius de une‘, les quatre par- 
ties da monde. Cheminer: falre du cbemin. Er. 
— inte Iögune ende die, faire vingt liones par 


Yasin, ©. %. mercher : s’avancer d’en llou 
tum antze par le mouvement des pieds. Aller: 
en parlant des machines, comme une montre, 
ua moulin, etc. Ktre, exister, ooexister ( V. Es- 
ker). Ex. Ander deenie, —frisie, &tre malade, 
ze triste. Anddo junias em Dove 6 jusfipa e = 
missriceordis „ ia Justico et la mis#rioorde 
auxinant on Dieu. S’doouler, en parlant du 
teınps. Se montrer, se conduire,, agir. Er. 
Andar bes oa wel , ander ‚como &8- 
ellsire, se mentrer, agir bien ou mal, 56 
mentrer predent, noble, eto. Ander, joint an 
purtieipe present ot au gerondif, no sert qu’ä 
marguer m. Ex. — „os A 
chasser, &tadier. TI peut aussi se rendre 
#öre & : &tre & chasser, ä etudier. Jotat & la pre- 
pesition d ou de, il &quivaut & se battre. Ex. 
ds fucadas „se balire & coups 
Fe u ä coups de eoutean. — aos murros, 
se denner des coups. Joint & la preposition 
am oa som, il prend la signification du nom 
qpi vient apres. Ex. — com medo, craindre: 
— m mede,, no pas cralıdre. Joint & la 
prepositien pers, il signifie &tre sar je point 
de. Ex. — pars se embarcar, @tre sur le bien, 
de . Andar, (#nterj.) C'est 
ben, fert bien. Amdito —,au long aller, — 4 
use delgumas couss, pourchasser welgue 
chess. — com furdo mörio dcays, pe 
temps, solliciter inutilement. — 
s’occaper do bagatelies, de fatilites. TR Ber 
dans le demier tat de misdre. — d 
marcher de cöiö,, en parlant d’un cheval. ns 
piugeds Eelguem, (fom.) gueller quelquun, 
le suivte, Tebserver secrötement. — sobre al 
guma © eouss, avolr queique chose en vue, et 
fairo des demarches pour Pobtenir. —amonie, 
cesser d’aller dans une societs oü Fon allait 
ifröqusmmment; fuir, so relirer & la campagne 
peur se soustraire aux poursuiies de ia Justice, 
— com 0 lemgo,, 56 Conlormer au temps, aux 
eircenstances : &tre toujouss de Pavis du riche, 
de Fhomme puissant. — de forlo em tranen 
aller de mal en pis. —de odca om mudca , (fam.) 
errer ch et li. —em pleitos, em demandas, 5’00- 
cuper de precds. —de caps, porter le manteau. 
—de Herode para Pilatos, aller d’un cöts 6 
@autre „et Ioujours de mal en pls. —por Serra, 
marcher sur terre. — ds caparsvollas, qual de- 
Bein qual de cima ‚fam.) lutter, se quereller, 
sehatire. —o mundo ds aoessas, (Ag. fon.) on le 
dit Jorsqueo tout va de travers, 0 diabo solto, 
(Ag. fom.) &tre en combustion, sens dessus des- 
as. — nos alcancsı salguem, dire auxtrousses 
de quelqu’un, Pipier, le poursuivre de prön 
Amesis —, & la häte,ä toutes jambes. — gela 
rama , s’arreier ä des vötilles ‚„ace quilyade 
meins essentiel dans une affaire, dans un dis- 
@surs , eic. — de aller. Tan aller ä 
lahäte. — om mo Or, = COM G (= 


AND 9 


dogs aroda a algusm , (fg. fam.) tourner ia löte 
& quelqu’un. — de las , aller & itons. 
Com 0 —de tempo, par la sulie. Anda od, viens 
id.O — — de navie, (1. de mer.) airo on erto du 
vaisseau; train, allure. 

* ÄNDAR-SB, 9. r. S’000Rper de. 

Anpin, s.m. " allure, maniöre de maarcher, 
d’sgir de quelge‘ ung marche, € s direction, 
gisoment. Le milieu d’un ap ment, Tu6, 

No mesmo --do Tajo, suivant la direc- 
ton du Tage. Pfr alquem no da rus, metire 
qaelqu' un & la porte. 

* Aupantıo. V. Andeje. 

* ANDARENOO. V. Andader. 

Ausarlumo,, 5. m. ooarenr :ı honme ldger 
la course; qui vaet qui Ti; alt ge aut rt 
devant rn voitare, fait prompternent 
sages. 

Anpınre, e. wm. V. Anderilko. 

aus, 2.f.p. * brancard sar ioquel on porie 

es reliques, des statues de saints, ot. Civiere 
bar ng Anhang 

® ANDAYEL. V, Andejo. 

Anpzcaa. V. Endsche. 

Awpeıno. V. Andejo , Andadeiro. 

Anafkıo,&A, ud. et 5. marcheur, ben Mar- 
cheur, qui marche vite, bon pi6ton ; batieur de 
pav6, ooureur, qui aime & courir, & royager. 

T Aupzs, e. m. p6. Andes : grande chaine de 
montagnes de l’Amteisue me6tidionale. 

+ Aunicona, 5.2 gen. habitant des Andes. 

Ausımas, 5. f. pl. solle de cheval pour 
feınme,. 

+ Ammıni-Ach, s. un. (8. d’hist. nat.) andira- 
| aea, petite chauve-seuris du Brösil. 

Änprro, &. m, treiteir, banguetis : endroit 
relerb d'un chaanin, d'un post pour us guns & 

Annen,s. m. kranserd you? porter les Immages 
en processions. 

Auponistta ‚2. f. hireudelle ı eisen de pas- 
sage. —, chelidoine (plante). — selangıma ds 
Chinese, „ordinaria do mar, "pletto- 
garin. — fusca do mar do Pard, “noddi. 

f AmormmAG , s.m. mertinet neir. 

ANDORInKO, s. m. dim. petits hirondelte. 
(6. de mar.) Estrope. —s des estribos ver- 

gas (id.), estropes ou etriers de marche-pied. 

7 R Anoonlraon, « m. pl. (4. de mer.) petits 
cabillots. 

Ca ANDORZUINO, sm. dim. d’Ander, petit bran- 

Anpxi10, s. m, chififen, halllen, geenälle, 


penaillon. 

r » adv. on guenilles, en 
haillons. 

ANDRA)0SO, A, adj. deguenilld, depemallie : 


qui a les habits en lambeaux. 
„1 Anne „s. f.(t. d’hiet, nat.) andnime 
tere, ion. 


rl & f. (4.de bot.) andetell» 
the : byacnithe blanche, oruciforme. 


06 ANE 


+ Ampnuina, s. f. andrioane : robe de fomme 
abaltue, avec des parements. 

Anpaino, A, adj. couleur de oerise noire. 

* ANDRIO , 8. m. 08p&0e de serpent. 

ANDRÖCYNO, A, adj. androgyne : qui est de 
deux sexes. (ti. de bof.)—, plante qui a des 

‚eure mäles ot femelles. 

Anpaöına, s. m. andreide : automate & figure 
kumaline. 

AnNpROMaAnNiaA, 8. f. (1. de mdd. p. us.) andro- 
manie : amour insens6 pour les hommes; fa- 
reur uterine. 

ANDROMANiACA , 6. f. femme malade de l’an- 
dromanie, nymphoınane,. 

AnpRöMEnA, 8. f. (i. Wastr.) Andromede : 
constellation N. de trois &toiles de la seconde 
grandeur, en ligne droite. 

TANnDnÖöNıNA, 8. f. (Pop.)*mensonge, conte, 
histoire, fable. Com bellas —s nos vem V. M., 
vous nous faites de belles histoires. 

f ANDRONICIÄNOS , s. m. pl. androniciens : 
sectaires qui attribuaient & Dien la or&ation de 
la partie superieure de la femme, au diable 
Fer la partie inferieure. (Andronic, leur 
ehe 

f Ampaosice, s. m. (1. da bof.) androsace ou 
androselle : genre de liseron. 

AnDROsÄcEA, 8. f. (1. de bot.) androsacte. 

ANDROSEMO, 8. m. ( 6. de bof.) * toute-saine 
(Hypericum Androsamum). 

} ANDRO-SPRINGE , s.m. (8. d’higl. nal.) an- 
dro-sphinx : sphinx ögyption qui avalt la töis 
d’un homme. 


f Anpxorouia,, s. f. anatomie de l’homme. 

} Anni ou GuanDd, 8. m. ldgume du Bresii. 

"+ AnDUsOos, 8. m. pl. testicules. 

ÄNDURRIAES, 8. m. pl. lieux 6cartes et sans 
chemin). 

Anscnöra , s. f. aneedote : particularitö his- 
torique peu connue. 

f ANECDOTISTA, 3.!. oollesteur d’anoodotes; ; 
oelui qui oonte des anecdotes. 

AnsbıAno ‚„‚&ä, adj. gras, luisant, uni. p. 


"Ananıin, ®. 6, ongraisser, rendre luisent, 
uni. 


Anzcica. V. Negaca. 

ANECiDO,A,P. 2. d’ 

” Anzcin, v. a. noyer, inonder : plonger; 
submerger. 

Anzoocıino, A, adj. aflairö: qui a beau- 
coup d’affaires. 

Antı, Anzıia. V. Annel, etc. 

Annıin. V. Ankslar. 

AnELScTRKCO,, a, adj. (1. de phys.) aneleciri- 
que : qui ne peut etre dlectsis6 parlaitement, 
mais par contact, 

Antıno, A.V. Annefo. 

Antıo. V. Ankelo. 

Auzuia, s. f. (6. de med.) antmie : privation 
desang apris Phömorragie. 


ANG 


ANEMOCORDE, 8. ms. (4. de mus.) an&mosopde e 
clavecin & vent qui imite tous les sons. 

ANEMOGRAPHIA, #. f. ansmegraphie : 
eription, science des vents. 

} ANEMÖGRAPEO, s. m. andmegraphe : gui 
est charg6 d’observer les vents, qui &orit sur 
Panömographie. 

An£uoLaA. V. Andmona. 

ANEMONMETRIA, 8. f. anemomeötrie : 
mesurer le vent. 

ANENMÖNMETRO, 8. m. (1. de phys.) anememd- 
tre : machine qui indique la force, la direelion 
du vent, 

ANEZMONA, 0% ANEMONE, Ow ANEMOLA,S. f. 
anemone : plante et fleur printanidre Irds- 
belle , espdce de renoncule. — singells , passe- 
Neur.—jaspeoda , “limousin. — pulsatilla,, co- 
quelourde.—sveludada , clitie, existee, briolle. 
— dos jardins, anemone des Reuristes. — ho- 
pdäiica , höpatique des jardins. —dos bosques, 
anemone des bois, 

ANENMOSCÖPIO, 3. m. (L. de Phys.) anemos- 
cope : machine qui indique le poids de l’air. V. 
Barömetro. 

ANEPICRAPEO, adj. ot s. anepigraphe : sans 


titre, sans inscription. 
. (4. de mdd.) anepithy- 


art de 


ption 

T ANEPITHYMiA, 8. 
mie : perte de l’appe6tit sensilif. 

Anggruım. V. Enequim. 

ANESTHESIA, 8. f. (t. de med.) anesthösie ; 
privation du act. 

+ AngßTe, s.m. (fl. de mar.) * emboudinure : 
sorte de garniture en bouts de cordes tr&s-ser- 
res, que Fon fait A la cigale ou arganeau d’une 
ancre. 

Anttuo. V. Endro. 

Anzunisua, s. m. ou f. (f. de chir.) ane- 
vrisme : tumeur sanguine contre nature Causee 
par la dilatation ou la rupture d’une artere. 

ANKURISMÄL, adj. 2 gem. (1. de chir.) andvris- 
mal : de l’andvrisme ‚qui en tient. 

Anzxiu, s.w. * raillerie fine et delicate. 

* Anresto. V. Acima, 

Anrıiö. V. Ampkiäo. 

Aurisıo. V. Amphibio, etc. 

Anrräcto, s. m. ° anfractuosit& : courbure, 
sinuositö, detour d’un chemin mauvais, diff- 


ANFRACTOßSO, A, adj. anfractueux : plein 
d’inegalites , de detours. 

+Anci, s. f. * fruit du Bresil & maniere de 
füre. 

} Ancaui, s. f. (1. #’Mist. nal.) "angaha: ser- 
pent de Madagascar. 

AncanıiDO, A,P2.9. 4’ 

ANGARIAR, d. @. cajoler, amadouer; seduire. 

+ ÄNGARIARI, 8. f. (Pdo de —) nom dun 
webre d’Angole, en Afrique. 

Ancaaiıma ‚se. f. chemise en osier (des va- 
ses, etc. ). 

AnczLino. V. Angelieo. 

Anckuicä,s. f. angelique : plante odorante. 
—hortense, angelique des jardins ou de Bo- 
hdme , archangelique, racine du Saint-Esprit. 





ANG 
= (fier des jerdins) V. Tubeross. — iloesire, 


sauvage. 

Auszıscar. V. Angelico. 

AustLschuänte, ade. angeliquement, inno- 

eummsent , avec candeur. 

Amcııco, A, adj. angelique : de Yange, qui 
sesseınble & Yange. —, verlueux, innocent; 
excellent , parfait, suptrieur. Os espirilos — s, 
les anges. Pdo— , la sainte eucharistie. Dowfor 
—, seint Thomas d’Aquin. Saudasdo —a, !’Ave 
Maria. Agua —e, eau angelique : espece de 
wurgatil. 

Anczus,s.m. angelin & grappes ou andira : 
srand arbre de l’Inde et du Bresil, legumineux, 
& bois et 4 [reits noirs,, bois de charpente. —da 
Indie , angrec emousse. 

AsszLias, s.m.pl. angelites : sectaires ado- 
rateurs des anges. ef Angelolätres. 

ANGELOLATRIA , 8. f. angelolatrie : adoration 
des anges. 

*Amcko. V. Anjo. 

Anczzito. V. Achilita de S. Jodo. 

+Ascuntmo, s.m. (f.de bot.) angianthe: 
plante du cap de Bonne-Espetrance. 

Ascinı,s.f. (1. de med.) angine : maladie, 
inflammation de la gorge qui retr£cit lo larynx 
et le pharynz ; esquinancie. 

ANGENEO ou ANSINHO, s. m.dim.d’Anjo. Petit 
ange. ‘$. Un enfant mort; enfant habill6 & la 
mmaniere d’ange dans une procession. 

TAncınöso,a,.adj. (1. de med.) angineux: 
de Fangine. 

Ancıocaapeia, s. f. (1. d’anat.) angiograpbie: 
description des veines. 

AucsoLocia, 5. f. (t. d’anat.) angiologie : 
wraite des veines. 

Ancoscörio,, s. m. (I. d’anal.) angioscope : 
malerescope pour Observer les veines. 

Anaosstaus, adj. 2 gen. ( Planta —, t. de 
Bo8.) angiosperme : (plante) A graines rev6tues 
d’unm pericarpe distinet. 

+ Ancıosruauia, s. f. (8. de bof.) angiosper- 
mie : 2« ordre de la 14* classe des vegetaux, ä 
semencen cachbes. 

T Ascosriamo, A, adj. (4. de bot.) angio- 
sperme. Plenis —a, plante & graines rev&tues 
d’sa distinct. Fructo —, fruit re- 
@eta d’an pericarpe distinct. 

T Ancaorenıco, a, ad. (1. de med.) angiote- 
Zique : inßammatoire. 

AncıoTogis, 5. f. (6. d’amal.) angiotomie : 
Bssection des veines. 

* ANGIPORTO, 5. m. cul-de-sac, ruelle. 

o,s.m. anglicanisme : reli- 
gion pretestante de F6tat en Angleterre. 

Aucıcino,ı, adj. anglican : de la religion 
protestante d’Angleterre. 

AuGLKISUO , &. m. anglieisme : locution an- 


gieins. 
„ Ämcuıco, a, adj. qui appartient ä PAngie- 


Ancımo. V. Anglieo. 
ni Aucıo,s.m. Anglais, Il n’ost usitögqu’en 


PORT, -F R, 


ANG 97 


TAncLOANERIchnO , A, adj. ei s. Anglo- 
Americain : des Ktats-Unis d’Amörique. 

ANCLOMANiA, s. f. anglomanie : affectation 
Aimiter, ä admirer les Anglais; atiachement 
aux maurs et aux manieres des Anglais. 

ÄANGLOMANIACO O8 ANGLONÄNO, A, 3. anglo- 
mane : imitateur zele, admiratsur outre des 
Anglais, 

ANcOosTURA. V. Angusturs. 

Änora, s. f. (t. de mar.) anse : petit golfe; 
erique , petite baie. 

+Ancd, s.m. (t. da Brisi) päte de farine 
bouillie en sau. 

Ancvia. V. Engwis. 

TANGUIFORME, adj. 2 gen. (1. d’hist. nal.) qui 
a la forme d’un serpent. 

FAnGuinBA, s. f. (l.d’hist. nat.) "orvet : ser- 
pent oviparo, anvoie, aveugle. 

ANGUIiPEDE,, adj. 2 gem. (4. de poes.) qui a des 
pieds de serpent. 

+ AncuLipo, A, adj. qui a des angles. V. 
Esqwinado, 

ANGULÄR, adj. 2 gen. angulaire:: quia un ou 
plusieurs angles. Pedra —, pierre angulaire, 
fondamentale, & l’angle d’un bätiment. 

AncuLÄRI0, 8. m. angloir : instrument d’&be- 
niste pour mesurer les angles. 

ANGULÄRMENTE , ade. angulairement : en 
forme d’angle, en angle. 

coLo, s.m. (ti. de math.) angle : espace 
entre deux plans ou ligaes qui se coupent, 5® 
joignent;; leur rencontre. —, coin d’an bäll- 
ment, d’une chambre, d’une table, etc. — ayı= 
do, angle aigu. —recto,, angle droit. — oBiuso, 
angle obtus. — curoilineo, angle curviligne. 
— enirante, (1.de fort.) anglerentrant. — wixte 
ou miziilineo, angle mixtiligne. — odliquo, 
angle oblique. — morto. V. — entrants. — de 
altar, corne de Y’autel. — do olko, (1. d’anas.) 
le coin de Popil. 

ANGULOSO, A, adj. anguleux : qui a plusieurs 
angles. 

ANGULOZINBHO , 8. m. dim. petit angle. 

Ancönrıa , 3.f. (1. de med.) retention d’urine, 
difficults d’uriner. 

Anctstia, s. f. ° chagrin, tourment, peine 
d’esprit, ennui, inquistude, aflliotion, an» 
goisse. 

ANCUSTIÄDAMENTE, adv. avec chagrin, aveo 
inquietude, avec un soin penible. 

AnGustıäpo,, A, adj. chagrine, afflige, desole, 
triste. p. p. d’ 

ANGOSTIÄR , d.@. tourmenter l’esprit, inquie- 
ter, chagriner, attrister, serrer le caur, affliger. 

ANGUSTIÄR-SE, v.r. avoir de Pinquiötude, 
de la peine, s’affliger ; stennuyer. 

+ AncusticLivıa,, s. f.“angusticlave : tunique 
ow.bande de pourpre des chevaliers romains. 

ÄNCUSTIOSAMENTE. V. Angustiadamente. 
Gustı0s0 , A, adj. affligeant, fAcheux, cha- 
grinant, qui donne de linquietude, qui cause 
de la peine. Inquiet, agit6, en peine, sur les 
*pines, rong& de soucis. 
ANGUSTO, A, adj. etxoit, sorze. 


7 


”s ANI 


Ancustöra, 8. f. * &iröcissement : diat de oo 
qui est ötroit. * Pas, passage &troit entre deux 
montagnes. 

f Ancustüna, s. f. (f. de bof.) angusture : 
arbre de Y’Amörique, dont l’6corce remplaoe 
le quinquina. 

Anuzıicid, 3. f. (1. de med.) anbelatien : 
courte haleine. 

ANHELÄDO, A, 9. 9. d’Ankelar. 

ANBELÄNTE,, adj. 2 gen. qui desire ardem- 
ment, qui respire, qui soupire apres. p.e. d’ 

AnBRLÄR (por), vo. n. desirer avec ardeur. 
Respirer, soupirer apr&s. Essoufller, haleter, 
“re bors d’haleine, respirer avec peine. Il est 
quelquefois actif, et signifle : Ambitionner, 
s’efloroer de parvenir. 

ÄNBHELITO, 8. m. souflle , haleine; respıration 


aaakıo, s.m. desir ardent,, vehömente ari- 

TANnnmiMA, 8. f. (6. EMst. nat.) "anhima : ka- 
michi, grand olssaa d’Amerique, dont la 1äte 
zessomble & ceile d’un serpent. 

TAnuınsa,s.f. (8. d’hist. net.)*anhinga : oi- 
soau palmipäde. 

Anno, V. Cordeiro.—.casto, V. Agno-casto. 

Ann6r0, a, adj. (nevio —, 1. de mar.) qui 
N’avance pas (vaisseau, ete.). 

fAwuumi, s.m. (4. de bot.) anhuiba : Iaurier 
du Bresil. 


TARuTERO, A, adj. (1.de chim.) priv6 de 
Feau. 


TAni,s.m. (1. Ehist. nat.) ani: oiseau du 
mobveau oontinent, 

GEM, 8. f. " canevas : grosse tolle claire 

Post faire la tapisserie. Aniagens erdas, co- 


+ Aniae, s.m. (6. debot. : 
PA er ue ) anlbe : grand arbre 


Em i, wonn.an. V. Amiquilar, etc. 
8. m. anicille : poi 
yique , A poivre de PAme- 
Auman. V. Aninker. 
AnmwıLsciö, AnımıLar. V. Aniquilar. 
AuwiL, s. m. anil : plante de PAmörique et de 
Kinde : on en fait Pindigo; f&cule bleue qu’on 
re. 


*+ Am .2gen. de la vieill 
ea al gen la vieillesse ou des 
en A, adj. teint, mis dans l’indigo. 

AnıLin, ®.«. teindre dans Pindigo. 

AnıLtıra, .f. "indigotier : arbuste des deux 
indes et de l!’Afrique qui donne Findigo. 

"AnıLnacie ,v.a. attacher avec des anneaux. 

+ AniLno, s. m. dim. d’Annel. petit anneau, 
Chalnon ; anneau d’une chaine; auneau des 
ıinenoltes. 

Anmaciö, s. f. animation : union de l’änse 
au Corps. (fig.) Action, force, vivacii& ex- 
pression. 

Anınipo,a,p.p. d’Animer, adj. (fig.) ani- 
md, excl, encaurag6 


ANI 


ÄnıuanoR, A, s. ot ady. colui qui anime, qui 
exhorte, qui encourage, 

"ANINADYERSÄÖ, 8. f. animadversion : ven- 
sure verbale. 

* ANIMADYERTIR, eic. V. Consurer, Bepre- 
kander 


Anısiı, s.m. animal : dire organisd et son- 
sible, dou6 d’instinct pour sa conservation et sa 
reproduction ; corps anime qui a le senliment; 
@tre qui orolt, vitet sent. (fig.) * Böte : persenne 
stupide, grossiöre. Animdes (pl.) infusörios, 
(1. d’Mst. nat.) infusoires : animalcules qui se 
developpent dans les infusions vögetales et ani- 
males. 

AnımiL, adj. 2 gen. animal : qui appartient 
& l’animal. 

ANIMALÄCO 04 ANIMALAO, 8. 00. augm. d’ Assi- 
mal, grosse bete. (Ag.) Grand lourdaud. 

+ AnımäLcuLo, 5. m. dim. (t. d’hist. nal.) 
animalcule : animal microscopique, Ovipare, 
viripare,, ou Se propageant par division. 

ANıMALEIO, s. m. animalcule, bestiole : petite 
bete. ( fg. few.) Personne stupide, grossiöze ; 
bete. 


ANIMALIDÄDE, 8. f. animalite : dat de l’ani- 
mal ; ce qui constitue l’animal. 

ARIMALINHO, 8. m. dim. d’Animal, bestiole. 

ANIMALISMO, s. m. animalisme : qualit6, na- 
tare, 6tat de l’animal. 

GAö,s.f. (1. de med.) animalisa- 
tion : changement des aliments en la substanoe 
de P’animal. 

ANIMALIZÄDO, A, 9... d’ 

ANINALIZÄR,, ©. e, animaliser : rebaisser au 
rang des animaux; (t. de mid.) combiner la 
nourriture avoc des principes qui ne se frou- 
vent que dans les corps vivants, avoc l’azole. 

+ANINALÖCHO, s.m. animal hideux, difformne 
et peu connu. 

ANIMALZINHO , s. m. dim. d’Animel, animal- 
cule , petite bete. 

ANIMANTE,, 9. a. d’Animar, qui anime. Il est 
aussi s. V. Vivente. 

ANIMAR, v.. animer : donnenle prineipe de 
la vie d un corps organise. —, enbardir, en- 
courager, exciter. ]l est aussi r&ciproque. (fg.) 
Animer : donner de l’action, de la foroe, de la 
vivacii6 aux parsonnes, au stylo, aux ouvrages 
d’agrement. Il est quelquelfois reciproque. 

ANIMÄYRL, adj. 2 gen. qui peut &ire aniınd. 

ANIME, 8. m. anime : r68iR6 Jause odoranie 5 
arbre resineux ; sa racine. . 

i + Anımcipa , s. eladj. (1. de thdol.) qui tue 
’äme. 

+Anınisuo, s.w. animisme : systäme des 
animistes. 

Anınisra, s. m. animisie : philesophe qui 
rapporte & une facult& d’animation matsrielle 
tous les phenomdnes de P&conomie animale ; 
materialiste. 

Änıno ,s. m. esprit : äme de l’honame. Des- 
sein, volonts, intenuon, projet de faire une 
chose.’ Valeur,, courage, bravoure."Allenlion; 
penseo, Grandesa d’—, maguanimite, 6ldva- 


ANI 


Gen, grandeur d’äme. Porder o —, perdre 
courge. Näo estar d’—, n’ätre pas dispos6 &. 
Hite ma echo com — de... , je ne me sens pas le 
ssurage de... 
Ammo ! infor). courage! forme ! or ch ! 
ASINÖSsauEsTE, ade. Courageusement, valeu- 
nuusement, hardiment. 
Anmmosipäpe, s. /. hardiesse, courage , va- 
leur. Animosite. 
Aurmosissımo, adj. sup. d’ 
Anımöso,&a, adj. courageus, hardi, valeu- 
reux, brave, fatr&pide, plein de courage. 
Äsıma, s. f.* besant, 
Anwip0,4,9.p.d 
Anınia, e. 6. (faw.) endormir un enfant en 
chbantant. — uma cavile, (1. de mar.) sivex, 
clareter wme cherille sar virole. 
T ANINCA-IBA 04 ANINGA-PERI, 5. m, (1. de 
bof.\ aninga-iba : arbrisseau du Bresil. 


AnısBiD0,A,P.9.d’ 
Auwmir,o.a. (Ag.)accueillir, recevoir chez 
ss. V. Agasalhar. 


AsummiR, ®.=. nicner: faire son nid, en 
parlaut d’un oiseau. (Ag.) Loger, habiter. Il est 
aussi recipsoque ei signifle, se nicher ; #’abri- 
ter. (Ag.) Se coucher, se fourrer dans le lit. 

ÄNISEO , 6. m. agnelei : petit agneau d’un an 
: peu pris. Lä d’— ou aninka, agnelin : laine 


Amgwıacid, s, f. annihilation, andanlisse- 
ment: reduction au neant, —, Epuisement : 
dissipation de force, de finances, eic. 

AmugemLi2o, A, P. 9. d’Aniquiler. 

Anfgunapon, A, s. destructeur : celui gui 
ditreit, qui andanlit. 

Asßgenswewro. V. Aniguilanio. 

AnioviLie, v.s. annihiler, aneantir : rödulre 
au nö6ant. (Ag.)—, dissiper, consumer los biens, 
ls forteme, ote. 46. Antantir, &craser, extermi- 
ner, detraire entiörement. 

AsiquiLin-se, v.r. s’andantir, se dissiper, 
we detruize, se deliriorer, en parlant des biens, 
de la sants, eic. (9.) — , s’humilier profonde- 
ment; moarir pour le monde, 

Anis,a.m. anis : plante et graine aroma- 
üques. V. Herva döes. 

Assipo, A, adj. qui a de l’anis. Aguar- 
de „ femeuilleste , anisette ; liqueur, 
».2.€ 
T Amsin,9.a. aniser : umer avec de 
l’anis : reeouvrir d’une couche d’anis. 

tAmmtına, V. Heros d6ce. — da China, *ba- 
dian de la Chine ; anis dtoil6 de Ja Chine, se- 
mence de Zinghi, 

+ Amısarza, s. f. aniseite : liqueur faite avec 

de Fanis. 


Anveıino, A, p.p. d’Amineldr, (4. de bot.) 
dere en niveau. V. Copddo. 

ANIVELÄR, u. @. niveler : mesurer avec le 
nie. Meitze de niveau ou en &quilibre, V. 


ANN 99 
Anixo,s.m. (1.de mar.) erochei de fer on 
forme de $ attache & un cäble. 
ANIINBO. V. Anginko, 


Änıo, 8. m. ange : ersature spirituelle ot in- 
tellectuelle. —, tout esprit bienbeureux on 
bienfalsant. (Ag.) —, personne bonne, inno- 
cente, de maurs pures. — dom ou ds kuz, bon 
ange, ange delumisre. — custodio ouda 
ange gardien. —mdo ou de irdvas, mauvals 
ange, ange de tendbres. — „ ange au 
dehors et diadle au dedans. Z’um — ou como 
um anfo, (fam.) c’est un ange. 

Anıo vo man, s.m. (1. d’hist. nal.) ange, 
squale : poisson de mer qui ressemble & la 
raie. 


* Ansr. V. Enire, 

Annipa. V. Anndia. 

Annäzs, s. m. pl. annales : histoire qui rap- 
porte les6v&nements annee par aunde. 

ANNAL, adj, 2 gen. annal : qui ne dure qu’un 
an. Jl est aussi s. Annal de missas, messes 
qu’on dit tous les jours pour un mort durant 
une annee : annuel de messes, 

ANNALISTA, 8. m. annaliste ; historlen qui 
ecrit des annales, 

AnniTa,s. f. annate : droit du pape du re- 
venu d’une anne&e sur les bulleg des beneficiers 
des ev&ques. Meia —, moitie du revenu d’une 
annes qu’est obligd de payer au roi celui qui 
est nomm& & un beneflce ecclösiastique, 

ANNATISTA, s.m, employ6de la dateriechargs 
du registre das annatas, 

Anno, A, adj. sujet aux vicissitudes des 
seisons de Yaunde; dventuel, 

AnNn®IO,adj.d’unan,quia un an (animal). 

AundL,s.m. anneau ı gercle d’une matiöre 
dare,ot qui sert & altscher quelgue chosez 
mobile d’une chaine; bague. — sstronomico, 
anneau astronomique : instrument pour mean- 
rer ia hauteur des astres. — do oabello, boucle 
de oheveux. ——do pesoaddr, anneau du pecheur: 
s06au du pape. real, anneau royal: Scasu du’ 
Fol. — de Saturno,, annsan de Baturne ; bande 
ciroulaire, double, opaque , autour de Balurze. 
Bispo d—, dvöque ooadjuteur. Mäns d’enndis,. 
mains dölicates, d’une dame noble, distinguse. 
— dagua, mesure d’sau coulanie , oontient 
quatre plumes. V. Ponns (d’ague). de ondeia, 
chainon, — de oasamento,, "allianos. 

ANNELiDO,A,P.P. d’Annelar. af. boncle, 
en boucles. 

AunzLir, ©.a. annoler: boucler los obeveur. 

T Aun&LıDoOs, 5. m. pl. (1. dsl. nal.) annd= 
lides : animaux sans vertöbres. 

ANNELINHO 0% ANNELLInHO, 3. me. dim. A’ At 
nel, annelet petit anneau ; pelite bague; petii® 
boucle de cheveurx. 

Aundxı, s. f. annexe : öglise qui Atpend 
d’une autre ; succursale. 

Annexıci0, se. f. annexion : union; Fastion 
d’annezer. 

Aumxip0,A,9.9.d’ 

ANNEXAR, 9, 9-AnnOxer, uhir, afacher. Hi 66 


kW) 


3 


100. ANN 


dit plus particuliärement des bensfices ecole- 
siastiques. 

Ann&xıpinpes, s. f. pl. annexes : depan- 
dances. 

Anntxo, A, adj. annexe : attach# : uni A une 
autre chose et qui en depend. (Ag.) Sujet, sou- 
mis &, oxpos# A; qui suit, accompagne quelque 
ehose. 

ANN£xO, 8. m. annexe : bendfice eccldsias- 
üque uni & un autre plus considerable. V. An- 
nexa. Annezos, pl. compagnons instparables. 

Annireao,A, adj. (8. de pods.) qui produit 
teute l’annde. 

AnmiqviLaciö, etc. V. Aniqwilapdo. 

Annito. V. Manes. 

ANNIvERSÄnıa. V. Anniversario, 8. 

ANNIVERSÄRIO, A, adj. anniversaire, annuel. 

ANNIVERSÄRIO, 3. m. bout de l’an : obit: ser- 
vice pour le repos de !’Ame d’un mort le jour 
qui complete l’an depuis son deces. Jour de 
f6te, anniversaire, qui 56 fait tous les ans en 
me&moire de quolgue &dvenement. Jour de la 
naissance. 

ANNO, 3. m. an: psriode du Cours apparent 
du soleil dans le zodiaque; 12 mois; duree de 
la revolution de la terre autour du soleil. 
* Annete : Pespace d’an an’ — tropieo , annde 
tropique : cours du soleil & partir du point sol- 
sticial; il dure 365 jours 5 heures 48 minutes et 
48 secondes. — astronomico, astral ou sideral, 
annee astronomique, cours du soleil & partir 
d’un point du zodiaque. — lunar , annde lu- 
naire, 12 ow 13 r&övolutions de la June. — embo- 
Iismal, 13 r&volutions de la lune. — civil, an- 
neo civile adopiee par les peuples civilises, de 
35 jours. — bisser to , annde bissextile, aug- 
mentse d’un jour : elle rovient tous les quatre 
ans. —climaterico, annde climaterique. — sab- 
batieo, ann6e sabbatique : chaque septidme 
annede chez les Juifs. — do Nascimenito, deN.S. 
3. C. — da Rodempgöo, !’an du Seigneur, du sa- 
lat, de gräce, depuis la naissance de J. C. Dis 
de amao ou de anno movo, le jour de Van. 
Cada —, par annde. Bom —, mdo —, bonne an- 
nee, mauvaise annde. Hd um — a esia parte, 
ha dous —s,eto., depuis un an, depuis deux 
ans eneä, etc. — de lieo, annde de jubile, 
V. Jubileo. — fatal, (1. de prat.) terme d’un an 
aooord6 & celui qui a perdu un procds, pour 
faire appel dans certains cas. — #000, nouvel 
an, le jour de !’an. — politico, V. — civil. 


— sanio, V. Jubileo. — usual, — vulgar , an- | ferio 


nee oommune. —- e die, toujours. De 

por — eo die, ( 1. de prai.) exil& pour toute la 
vie. Annos, pl.le jourde la {te d’une personne. 
Die &—«, jour de la naissanoe. Dar os bons —s, 
sauhaiter la bonne annse, la bonne föte. Fazer 
+, compiöter certain nombre d’annees le jour 
anniversaire de sa naissance. Tonros —s, l’en- 
fance. Flor dos—, la jeunesse. Homem jad’—s, 
enftrado em —s, homme Age, d’un certain Age; 
vieillard. Ter 20 ou 24—s feilos, avoir 20 ou 24 
ansaccomplis. Viva V. M. ndilos—s, expres- 
sion dont On 50 BeKtpour romercier ;io voussuis 


) 


u * 


ANN 


bien oblig&, je vous romereie. Larges dies (dm 
com —s , expression familiere dont en se sort 
Bons indiquer qu’une affaire promet un grand 

ai. 

AunosiL, adj..2 gen. Loite—, lait öpals, d’un 
an, 

Ann650, A, ady. anteannalire : qui a un at. 
V. Annejo. 

ANuN6IO, A, 3. veau d’un an. 

} Annosıpipz, s. f. Age avanos, vieillesse. 
p 


. u. 
Annöso, a, adj. charge d’anndes, vieux ; an- 
cien 


Aunoracid, s.f. annotation, note, remarqus 
sur un livre. * Emargement: note en marge d'un 
compte. Annotagöes, pl. &rudition : recherches 
Savanties sur quelque ouvrage. 

Annorino,A,p.p. d’Annoldr. 

ÄNNOTADOR,, A, 3. annotateuz : colui qui fait 
des notes, des remarques. 

Annoriz,v.a. noter : faire des notes, des 
remarques. 

ANNOZINHO , 3. m. dim. K’AnNO.P. us. 

+ Annua, s. f. letire 6erite & la fin dechaque 
annde, rapporiant les &vönements et lestrans- 
actions de toule l’annde. —s, pl. lettres que les 
Jesuites de chaque ",covinoe dcrivaient tous los 
ans au general d’, leur ordre A Rome. 

AnnuÄL, 0/,. 2 gen. annuel : quizevient tous 
Ies ans. 

fAr.oaLıpÄne, s. f. annualits : qualit6 de 
e ai estannuel. Annuits : rente annuelle. 

‚, AnnuiLmenTE, adv. annuellement, tous les 
ans, par annde, chaque annde, d’annde on an- 
nee 


ANNUENTE , p. a. d’Anmwir. 

} Annupipe, s. f. annuite : rente, pension 
sunuelle. 

AnnulD0,9.p.d’ 

Annufa, o.a. faire signe d’approbation. —(@), 
u. ». consentir (&): acquiesoer 4 quelquachose; 
trouver bon, vouloir bien. Accorder : demeu- 
rer d’accord ; conceder, reconnaltre pour vrai. 

ANNnULÄRn,adj.2 gen. annulaire: de l’anneeu; 
em forme d’anneau. Dedo —, doigt annulaire: 
gei porte !’anneau. 

AnnuLLacäÄd, 3. f. annulation, abrogation. 

AnnuLLiDO, A, 9. P. d’Annullar. 

ANNDLLADÖR, A, s. celui qui annule, 
abolit, annulatif. Il est aussi adj. V. 


ANNULLÄNTE, adj. 2 gen. annulaiif, qui an- 
nele. p. a.d’ 

AnstLıia,o. a. annnler : rendre nul; cas- 
ser ; abolir (un oontrat, une lol). 

ÄNNULLATÖRIO, adj. annulatif: qui annule. 

+ AnnuLLävsL, adj. 2 gen. qui peut e@ire 
senules, aboli. 

ÄnnuLo. V. Annei. 

TAnnuL0s0, A, adj. (E. d’kist. nal.) aunu- 
igux : en anneaux, compos6 d’annoaux. (1. de 
bet.) Vertieilld : quiforme des anneaux rayon- 
rantsau@wurd’unaze. (Fleur—e, feuilles —es.) 


ee  ANO 


AKNCHERAR , 0t6. V. Numerar, Enumerer, 
Ansuncıaciö, s. f. V. Annuncio. Annoneia- 
Use : (te de PAnnoncialion. 
ANSUNCIÄBA, 5. f. annonciade; annonciation. 
ANEUNGÄDO, A, P. P. d’Annunciar. 
ARNNENCIADÖR, A, adj. eis. Celui qui annonce. 
AKNBUSCIANTE, 9. 48. Qui a000NCe. p. 6. d’ 
ASNURcıÄR , 9. #. anhoncer : donner la pre- 
miere nouvelle d’une chose. —, faire savoir, 
pablier, predise. —, presager, augurer, pre- 
dire „ pronosliquer, prevoir, pressenlir, con- 


Anuumcrive, A, adj. qui annonce. 

ANSCHCIO, 8. We. ANNONCE , augure, PröSSKE, 
ptessestiment, indice , prediction,, avant-cou- 
reur. Bons —ı, signes de reusair dans une en- 


"Foo | 
„A,edj.p. us. V. Annual. 


As0, s. m. anus, fondement : orifice du rec- 
tam par lequel on expulse les excrements. 

+Axönı0 , s.m. (f. Mist. nat.) * vrillette, co- 
lkeptäre,, ptiniore. 

tTAnopen, s. m. (fl. d’hist. nat.) anodon : 
serpent dents. 

t AnOp&uTEE , s. m. (1. d’Mst. nal.) anodon- 
he : mellusque acephale. 
TAsosontiras, 3. [. pl. (1.d’hist. mas.) * ano- 
destites : mollusques ac&phales. 

TAROBYEADO, A, pP. 9. d’Anodynar, adj. sol 
gn6 avec des remödes anodins. 

fAsopysun, v. a.(t. de med. ei de chir.) 
sppliquer des remedes anodins, 

fAnooysia, s. f. (6. de möd.) anodynie : in- 
Densibilite, absence du sentiment de la dou- 
Anbevno, A, adj. (8. de mid.) anodin : qui 
optre doucement, adoucissant; qui calme 1es 
deuleurs (remede , purgation, etc.). 

*Anocan.V. Anojar. 

ANOCTEIRADO , a „adj. couleur de noyer, 

Anoıtzchk , v.». faire nuit, faire brun, se 
faire nuit. Arriver ä l’entr&e de la nuit. Ao—, 
& la Aeune, sur le soir, A jour fermant, & la nuit 
lembante. — a alguem n’alguma parle (fam.), 
€tre surpris par la nuit. 

+ AnorrEckk, v. 6. pP. ws. couvrir de tend- 
bres , sobseurecir. (fg.) V. Enlutar. 

Anosanıco. V. Agastadigco. 

Axo0JäDo, A, adj. qui est en deuil; irrite, 
triste. (8. Ennuye, las; nause. 


ANO 101 


AnomaLı, 3, f. (f. de gram.) anomalie : ir- 
regularitö dans la conjugaison des verbes. (1. 
de med.) —,, irregularits dans les fiövres ou 
dans le pouls. (4. d’astr.)—, distance angulaire 
d’une plandte & son aphelie ou & son apog6e. 
(8.d’Mst. nal.) —, monstruosite. 


* ANOMALIDADE, 3. f. irrögularitö; illögalite. 

Anowaristico (anno), A, adj. (#. d’asir.) 
enomalistique (annde), terrestre, revolution 
de 1a terre, son depart et son retour au meme 
point. 

ANnöMALO, A, adj. anomal, irrögulier : il se 
dit des conjugaisons, des döclinaisons, du 
pouls et d’une classe de plantes. En termes de . 
palais : exception dilatoire et p&remptoire. 

Anoumear. V. Nomear. 

+ Anöma,s.f. (t.d’hist. nat.) anomie : co- 
quille bivalve & e&cailles indgales. Testacke : 
mollusque ac&phale. — sellim ou ajaezada, 
pelure d’oignons. — em forma de patella, ano- 
mie sillonn&e. 

tAnöutas, s. f. pl. (1.d’hist. nat.) anomies : 
coquilles fossiles, petriflcations sans analo- 
gues vivants. 

+ Anöumas, s. m. pl. (t. d’Mal. nal.) ” ano- 
mides : insectes orthoptöres & corps trös-al- 
longe. 

Anont. V. Restab6i. 

ANÖNIMO, A, adj. anonyme: qui est sans 
nom.Il se dit des auteurs dont on ne connalt 
pas le nom,et des &crits dont on ne sait pas 
Yauteur. Il est aussi employ6 comme substan- 
üf. 

+ Anönımo, s. m. (f. d’hist. nal.) anonyme : 
petit quadrupdde singulier de Libye, & longues 
et larges oreilles : vit sur les palmiers. 

Anxonıs. V. Ononis. 

Anoque. V. Cortume. 

ANORDESTFÄR, v. a. et n. (4. demar.) nor 
dester : tourner au nord-est. 

AnorExia, 8. f. (f. de med.) anorexie : de6- 
gott des aliments, defaut d’appetit. 

+ AnoRrMAL, adj. 2 gen. (4. de science) anor- 
mal; irregl&; contraire aux regles. 

ANORTEAR , ©. a. et n. (}. de mar.) tourner 
au nord. 

Anovar, V. Innovar. 

ANOvYEÄDO, A,adj. mulct6 en neuf fois la 
valeur d’une chose volee ; multiplie par neuf. 


Anosap6a, A, adj. et s. chagrinant; fächeux. | P. p. d 


Anosauiuto. V. Nojo, Enfado. 

Auosar, v. a. fächer, irriter, mettre en co- 
Möre ; ennnuyer, molester. 

AR-SE, ©. r. so fächer. V. Agaslar-se. 

Se mettre en deuil, prendre le deuil, se rem- 
pr de tristesse, d’ennui. Avoir du degoüt pour 
queique chose. 

Anu6}0, s. m. ennui, chagrin, fächerie; de- 
geät, repugnance, aversion. 

} Anos6so, a, adj. ennuyeux, fächeux, dö- 
plaisant , degoütant. 

+ Anoıus, s.m. (1. d’hist. nat.) anolis: petit 
lizard d’Amerigue trös-Tamilier. 


ANOVEAR, o. a. mulcter en neuf fois lavaleur 
d’une chose vol&e. 

AnovEAS, V. Noveas. 

ANOVELLÄDO,A,P. P.d’ 

ANOVELLAR 0% ANOVELAR, d, a. devider; 
meitre en peloton, faire un peloton. (fg.) 
Amasser diverses choses en confusion; en- 
tasser. . 

ANOYRLLAR-SE, ©. T. se tasser, 56 preSSer, 5@ 
serrer, se rendre & quelque lien p@le-mele. 

Anquııia, 8. f. (i.de P’Universild de Coimbre 
avans la rdforme) quatre conclusions choisies 
par le defendant. 


102 ANT 


+ Angvinkas,, e. f. pl. bouffantes : espöce de 
paniers que portaient les femmes surles hanches 
en dessous dela robe, poer y donner un oer- 
tain #talage. Au lieu de cela, on met aujour- 
d’hui la tournure, qui ost un bouffant, pour 
soulever la robe y la ehute des reins. 

+ Ansiquz, 5. m. (f. de mar.) orin : corde 
attachee par un de ses bouts A la eroisse de 
Yancre, et par l’autre & la boude. 

Anszitıco. V. Hansestice 

ANSARINHA 0% r.} (8. de dot. ) a pe 


Anszaina, uf. tentille, beo-d 
Ansuso. ı V, Ansier, etc, 
ANSIAR, 


ANSIADADE. V. Anzisdade, A 

Ansrecipa, 5. m. (8. de mil.) 1) anspessade : 
bas officier d’infanterie, sous le caporal. 

Änta,s. f. (4. d’hist. nat.) * anta ow tapir, 
quadrup@de du Paraguay qui a une trompe; 
&lan , buffie. V. Alce. Peau d’€lan, de buffle ou 
d’auires animaux, appretse de manidre & imi- 
ter colle de buflie. 

Anricmo, A, adj. (f. de möd.) antacide: 
anti-scide (remdde). 

+ Antipo, a, ( Bezerro—) adj. tannd  (vean) 
£gomme la peau d’anta. Jaune p4le de la cou- 
leur de peau d’elan , de daim preparde. 

ANTAFROPISIACO. V. Antaphrodisiaco. 

AnTaconista, 5. m. antagoniste; adversaire ; 
eppos6 ; &mule. (4. d’anat.) —, muscle attachö 
A la möme partie qu’un autre, ot qui la tire om 
sens contraire. Il est aussi adj. 

AnutiLcico. V. Anodyno 

+Antıupi, s.m. (l. h Chist, nal.) antamba : 
animal de Madagascar ä töte grosse : ressemble 
& un l&opard. 

Anranacriss, s.f. (t. de rhdt.) antanaclase: 
röp@tilion d’un m&me mot en sens difförenis. 

ft ANTANnO, s. m. (fam.) annde precedant 
oelle qui court. Autrefois on disait en France, 
anlan, oh le proverbe se soucier comme des 
neiges, d’anlan. 

Anti0.V. Enido. 

Autarunonıslaco, A, adj. (1. de mid.) an- 
taphrodisiaque (remöde): qui calme Kamour. 

ANTARÄRES, 5. m. pl. antarares : Indiens 
qui fondent des 'principes manicheens dans le 
mahometisme, 

Antiscrico, A, adj. (8. d’astr.) antarctique 
(ptle) : meridional : oppos& au pöle arctique. 

+Antinzs, s. m. (il. d’astr.) Antares : ötoile 
Axe dans lo cur du scorpion. 

Auvauce. V. Perihdlio. 

ANTE ‚ prep. devant, en pr&senoe. Ante fodas 
as coueas, avant tout, "prealablement, d’abord. 
— mim, devant moi. — fempo, avant Terme, 
Do—mäo, d’avance. 

+ Anrzaunörk,s.f. aube : la pointe du jour. 

Artzsnico, s.m. (1. d’anal.) avant-bras : 
partie du bras depuis le ooude jusqu’au poignet. 

Antecimana, s. f. antichambre: pidce avant 
la chambre, 

ANTEcEptncHa 5. f " antsotdent :; ce qui a 


ANT 
‚ou est fait avant. Com, (’avancoe, 
de longue main. 
ÄNTECEDENTE, 9. a. Ü’Antoseder, adj. proob- 
dent. Ant&ctdent : qui pr&cdde en temps. 
ANTEGEDENTE , 5. m. (8. de log.) antectdent: 
premiöre partie d’un enthymöme ou d’an argu- 
ment quia deux p . (1. de gdom. et 
d@’arith.) —, premier terme d’un rapport, d’une 


ÄNTECEDENTENENTE, ado. antiohdenment: 

ment, avant. 

ANTEcEDER , v.». prec#der, aller devant, de- 
vancer, prendre les devants. V. Proceder. (fg.) 
Burpasser. 

ÄNTECESSÖR , A, 8. predtcesseur,, devancier: 
qui pr&öc&de en temps. Antscessores, pl. anch- 
tres, devanciers , aleux. 

ANT£CIOS ow AnTcos ,s.m.pi. (1. de geogr.) 
antisciens : habitants dans le meme meridien 
et au meıne degrö de latitude ; mais les uns au 


nord et les autres au midi. 
ANTECIPACAO, 
ANTECIPADO,. V. Antieip... 
ÄNTECIPAR. 


+ Antecorıcid, s.m. (1.de odlEr.) avanı- 
cur : fumeur au poitrafl u cheval. 

ANTECORO ,s.m. avant-chaeur : piöce qui pr6- 
cöde le chmur. 

Awrtecöco , s. m. (burt.) cornard. 

Aurapirn, s. f. antidate : fausse da!e ante- 
rieure & la vöritable. 

ANTEDATADO,A,P.9.d 

ÄNTEDATAR, .. a. antidater : meltre une anti- 
date. 

+Anteoia, 5. m. avant-jour : temps avant lo 
tever du soleil. 

ANTE-DILUVIÄNO,, A, adj. antödiluvien: qui a 
prec&de6 le deluge. 

Anutererıa. V. Preferir. 

+Anterinwa,s. f. les termes de politesse qui 
doivent prectder la signature d’une lettre mis- 
sive. 

Anrerösso , s. m. ($. de fort.) avant-fosse ı 
fossd antonr de la contrescarpe, au pied du 
glacis, 

+ANTEciLHA, 8. f. (f. de mar.) corde qui sert 
4 diminuer les volles latines du cöt& de la pointe 
des vergues pendant la tempete ; pointure. 

ANTECONISTA. V. Antagoninia. 

ANTECUARDA. V. V 

ANTEBONTEN , adv. av nt-hier: le jour qu 
prec&dait bier. 

Antzuiciö, s. f. anl!riorit6 : prioritö dh 
temps. V. Preferencia. 

AxTELOCIO. V. Prodmür. 

AxtzLögvIo, 5. m. avat-propos, pr&lace. 

AursumannX, adv. avantle jour. 

ANTzuÄO (DE), adv. d avance, par avancı 
par anticipation. 

ÄANTENERIDIÄNO, A, ad). qui est ou qui Se la 
avant midi. 

+ ANTEMURÄDO, A, ad). entour6 de remparts. 
(Ag.) Protöge, däfend 

ANTEHURAL, 8. mM. rerapart: lev&e naturelle 


a nn — 


. ANT 


su sstäsielle qui anvironne et difend une place, 
($g.) Ce qui delend. 
Ayrssunanma. V. le pröcddent et lo subseq, 
Astım6ro, 8. m. (1. de forl.) avant-mur ı 
mur plac& devant un autre, fortification avan- 


ne. 

Ayrtuua, 8. f. (6. de mar.) antenne : longue 
vergue mebile et soutient A voiles, td. 
(ti. dkist. nal.) anlennes : lets trös-vari6s dans 
leuzs ferınss , gui accompagnent la tölo des 
imsootes ; orgeme auxiliaire du taot, suivant la 

upart des naluralisios; agent exterieur de 

organe audi 

+ Arrzaulno, A, adj. (1.d’hst. nat.) qui ost 
poutrva d’anisanes. 

Aurzunir, s.m. (4. dkist. nat.) antennale, 
albatros : oiseau de mer: 


+Amresmiıma, s. [. espöce de bois du Brösil 
ires-dur et irös-fort. 


ANTENSuR, 5. u. nom Qui pröodde le nom 
prepre ou de bapiöme d’une personne; titre 
d'une personne quo Fon met avant le nom. v.9. 
L ‚io gentral. - 

ANTEOCCHPANTE , adj.2 gen. P.48. qui 0000pe 
deranıe , qui pr&oocupe. 

ANTEPLACAR , v. @. payer d’avanoe. 

Aunsrınriö, es. f. passion qui procdde la 
reisen. 

f Aurzrina, s. f. (t. de mer.) clolson , fron- 
un. —6 das escadas , (id.) capot d’schelles. 

ARTEPARÄDO, A, 9. P.d’ 

Aurepranir, v.0. entraver, arr&ier lo mouve- 
ment, ernbarrasser la marche de quelquechose. 
Bemparer , fortifier, garnir detout co qui est 
nteesssire pour la conservation et pour la de- 
fense. (Ag.) Empö6cher, embarrasser; if. abri- 

ANTZFARÄR-SE , 0. T. Se remparer, se forti- 
Ser, se munir. (fg.) S’abriter, s’accueillir A, se 
mettre ä coavert. S’arröter spontandment, en 
parlant des animanx. 

Anrerino, 3.m. rempart, retranchement, 
ont ce qui sert dedelense et Ad emp£cher quel- 
que effort. id. Contre-porte pour se garantir du 
veaL 

AXTSPARTO,, 3.m. avanl-couche. 

AntEPAssiDo, A, p. p. d’Antepassar, adj. 
passe, ecoul&, en parlant du temps. 

‚Anrgrassipos, 5. m. pl. ancötres, devan- 
ders. 

Aytgpassar. V. Preceder. 

ÄNTErASTO, 3. m. hors-d’@uvre : petits plats 
qw'on seri avec le polage. 

Autzrt. V. P& (ante). 

ÄNTEPENÜLTIMO , A, adj. anl&pönaltidme: qui 
pr&cdde le penultidme. 

ANTEPILÄNOS, 5. m. pl. ant£pilanes : soldats 
vestrans d’une legion romaine ; reserve. 

ÄsterıL£PrIco, A, adj. (1. de med.) antöpi- 
kptique : contre l’&pilepsie. 

"ÄNTEPOIMENTO, 3.0. ce qui est mis devant, 

Aurzrörra ,s. f. (l. de mar.) avani-poupe, 

R, 9.0, meitzo devanı, donner la pre 


ANT 103 
färenos. ( Ag.) Pröförer, estimer davaniage, 
pre&poser. 

' ANTEPÖRTA,s. f. * paravent, Contro-porie, 
ANTRPORTARIA, 8. f. pidce contigus A l’entröe 
d’un couvent, 
Antzrosıgkd. V. Preferenoie. 
ANTEPOSTO, A, 9. 9. d’Antepör. 
ÄNTEPREDICAMENTÄRS, 3. m. pl. (1. de log.) 
antsprödicaments : questions preliminaires. 
ÄNTEPRINKIRO, A, adf. avant le premier, pe- 


* ANTEQUANTO, adv. le plus tt possible. V, 


ÄNTERIOR , adj. 2 gen. antörieur : qui est 
avant; quipr&cdde en ordre de temps, de lieu. 

ÄNTERIORIDÄDE , 3. f. anttriorite : priorits de 
temps, de position, de droit, d’existenoe. 

ÄANTERIORMENTE, adv. antdrieurement , pr&- 
ceddemment. 

ANTERLOCUTORL, V. Interlooutorie. 

ANTES, prep. avant. ade. Piutöt. Ex. : Anios 
morrer que ser traidor d sua palria, plutst 
mourir que de trahir sa patrie. Proosdenment, 
prealablement, auparavant. Ci-devant. Quanfo 
— , au plus töt, ie plus töt possible. Desde 
muito —, de loin, de longtemps. Poweo —, 
naguöre. Antes, — bem, au oontraire, plutöt. 
D’antes, d’auparavant. 

ANTESACRISTIA , 8. f. piöce avant la sacristie, 

ARTESiLA, 8. f. autichambre : pidce qui est 
avant la salle. 

Anrescıos. V. Anlecios. 

T AnTEsicma, s. m. *lettre que l’empereur 
Claude a voulu, mais en valn, introduire dans 
Palphabet avant le S ou sigma des Grecs. 

ANTESIGNÄNO, s. m. soldat romain qui dtait ä 
lagardedel’stendard ou du drapeau, qui mar- 
chait devant pour le defendre. (fig.) Celui qui 
marche devant , precurseur. 

+ Aurnstaröna,s. f. (8. de fort.) anteste- 
ture : retranchement fait & la häte avec des ga- 
bions. 

}f ANTETEMPLO, 8. m. parvis d’un temple. V. 


ANTET£MPO, adv. avant le temps, avant 
terme. 

ANTEYÄR, ©. a. prövoir, conjeoturer par 
avance 00 qui peut arriver. V. Prever. 

ANTEVSSPERA, 5. f. avant-veille : le jour an- 
ttrieur & la veille. 

ANXTEVIpEncIA, V. Provideneia, 

ANTEVIGILIA. V. Ante 

ANTEVISTO, p. p. d’Antever. 

Anrusılz, s.m, (8. d’anet.) antheliz ı eircrit 
interieur de l’oreille externe, 
ANTHELMinTICO (remedio), A, adj. (4. de 
med.) anthelmintique (remöde) + contre les 

vers. 

AntHenuıs, V. Macella. 

Antara, e. f. (t. de bot.) anthöra : Jjaune da 
milieu de la rose. Anthäre : sommet des dte- 
mines, capsules en forme d’outre qui conlien- 
nens le pollen ou poussidre ' 

Aurukaco, 8. m. (6. de bet.) anthirie ı plante 





108 ANT 


liliaode; asphoddle du cap de Bonne-Espt- 
rance, 

f Anruenino ow ÄNTHERRINO, 8. m. (I. de 
bo4.) muflier: genre de la famille des person- 
nöes. 

Antnise, s. f. (8. de bof.) anthöse : temps ol 
tous les organes d’une fleur ont pris leur par- 
fait accroissement. 

+ Anrmasistas, s. m. p8. anuthiasistes : seo- 
taires qui condamnaient le travail. 

ANTHOLOGIA, s. f. anthologie : reeueil de pe- 
Gtes pidcos choisies de po6sie. 

ANTBÖLOCO, s. ws. anthologe : recueil d’ofi- 
008 grecs ;son auteur, auteur d’une anthologie. 

ÄNTBONTEN. V. Ante honiem. 

+ Antnörnucos,adj.ets.m.pi.(t.d’cMst.nat.) 
anthophages : insectes qui mangent les fleurs. 

tAnTmörmLos, adj. et s.m.pl. (1.d’Msi. nat.) 
anthophiles : inseeles vivant sur los fleurs. 

TAnTmörzoRos, adj. eis.m. pl. (6. d’hiss.nat.) 
antkophores : genre d’apiaires. 

Autuöna,s. f. (t.de bot.) " aoonit salutifäre; 
anthore , maclou. 

+ Anraaacıinos, adj; ots. m. pl. (t. d’hist. 
na$.) anthraciens : famille d’insectes. 

Antuniz ou ANTERAX,, 5. m. (f. de med.) an- 
thrax : charbon, babon tnös-enflamme, irds- 
douloureux. (1. Est. na£.) Anthrax : insocte 


ANTERRNO, s. m. (1. d’hist. nat.) anthröne: 
insecte stsrooöre. 

+ Anruxino, s. m. (6. d’hst. nat.) anthribe : 
inseste ool&optöre. 

AntunörmıLo. V. Pklilanthrope. 

f AntunororönuE , adj. 2 gen. antkropo- 
forme : ä igere humalne, 

+ Autunorocania, s. f. anthropogenie : oon- 
naissance de la gönsration de !’hemme. 

} ANTEROPOCLYPEITE, 5. f. anthropogiy- 
pbite : pierre reprösentant quelque partie de 
Vhomme,. 

+ AntuaOoPOchArmia, 5. f. anthropograpbie : 
description de ’homme. 

+ ANTERORÖCRAPEO, 8. m. anthropographe : 
qui &erit sur /bomme. 

} AnrteaoroLocia, 8. f. anthropologie : dis- 
cours figure qui attribue & Dieu des membres, 
des organes, des afleotions , des actions ha- 
maines. (t. d’anat.) Diseussion sur l’homme. 

+ Aurznorouanda, 8. f. antkıropomandde : 
divination par Ulnspestion des entrailies des 
victmes humalines, et par l’apparition des 


+ N nTwnorOwernia, s. f. anthropometrie : 
no d’anatomie qui: s’o00upe des proportions 


“ ÄNTEROPOMÖRPHOS, sm. pl. (tl. Ehisk. 
nat.) anthropomorphes : animaux qui ressem- 
bient en quelque partie & Fhomme, 

$ ANTEROPOMORPEISMO, 5. m. anthropemmor- 
phisme : errour des anthropomorphistes. 


T ARTHROPONORFRISTA, 5. m. anthıro 


ANT 
antkropemorphite: reptile testao6 pötriit qui 
represente d’an cöte la face de !’homme. 
fTANnTBROPOrATBIiA,s. f. anthropepathie: dis- 
cours qui attribue ä Dieu ce qui ne eonvient 
qu’& Phomme. 

}ANTRROPOPHAGIA, 8. f. anthropophagie : 
action, habitude de manger les hommes. 

ARTRROPÖPHACO, a, adj. anthropephage : 
mangeur d’hommes, de chair humaine. 

+ ANTEROPOSOMATOLOGIA, 8. f. autkropose- 
matologie : description du oorps humaln , de sa 
structure. 

+ ANTEROPOSOPRIA, 8. f. anthrepesophie : 
oonnaissance de la natare de !’homme. 

+ Anruaororouia, s. f. anihrepetemie : dis- 
section anstomique de l’bomme, 

ANTRUStÄsM0. V. Enthusiasme. 

yAmrmvınıs, s. f. (6. de bot.) anthylide : 
plante legemineuse,. — meior, anthylide ar- 
gentede ou barbe de Jupiter. — mıener, anıhy- 
lide heterophylie. — basterde, germandree 
musque6e , ivette de Narbonne. 

Anrtı, pr&p. qui entre dans la composition de 
queiques mots. Anti : contre, contraire. 

ANTIARTERITICO, A, ady. (t. de dd.) antiar- 
thritigue : oontre ia gontie. 

Aurmäiccnıo, s. m. ( Pd, „de pad. jet) 
antibacchigue : pied de vors coompose de deux 
longues et d’une bröve, formosa. 

+ Anrısaucmiu, od. 2 gen. (t. dansl.) an- 
übrachial : de l’avant-bras (nerf). 

+ ANTICacRäcTıco, A, adj. (t. de mdd.) anti- 
cachectlique : (reme&de) contre la cachexie. 

T ANTICARDEAL, 5. m. cardinal schismalique. 

f Anticzırico, A, adj. (6. de med.) anlisy- 
philiique : contre le mal vönerien. 

+ AnrıcnoLkaıco, A, adj. (1. de mdd.) anti- 
cholerique : contre le cholera-morbus. 

+ Anrıcuatsis, s. f. (1. de prei.) antichräse : 
convention par laquelle on abandonne les 
fruits d’un bien pour les intereis d’un em- 
prunt. 

Antıcakıstiö,ä, ady. anlichrötien : oppos6 
au christianisme. 

ANTICHRISgIANISMO , 5. m. antichristianisme : 
religion opposte au christianisme. 

ANTICHAISTO, 3. m. antechrist : appose & J&- 
sus-Christ. — , s6ducteur qui, d’apres 1a 
croyance de l’Eglise, viendra & la fin du monde 
pour oorrompre los fideles. 

ÄARTICHTEÖRES, 8. m. pl. antichthones : an- 
tipodes, habitants d’un autre hemisphöre. 

Anrıcmwaciö, s. f. anticipation : Vaction 
d’anticiper, de prövenir, d’avoir ou de faire 
par avance; prevention de temps; prfessenti- 
ment, connaissance anticip£e. (4. de rhdt.) Re- 
futation anticipde. Com —, d’avante. 

ÄNTICIPÄDAMENTE, ade. avec anticipalion , 
par anticipation, preliminairement, d’avance, 

Anrtıcıwipo, A, adj. anticip6 : qui vient 
avant le temps ; prevenu , pr&coce. p. 9. d’Anti- 


te : hirdtigue partisan de Panthropologie. ANTICIPADOR, A, adj. & 5. celuı qui antich 
pl  ändane para de Fantasie. qui preoveit, qui annonte, dal prövient: r 


ANT 


ANTIKSPAR, %. @. anliciper, devancer, avan- 
eer, prevenir, prendre ow faire par avanoe; 
prendre,, gagner le devant. 

ANTICIPAR-SE, ©. r. S’anticiper, s’avanoer, al- 
ler le premier, aller devant, pröc#der 

ANTICOR 


+ STTTUCIONAL ‚adj. antioonstitation- 
nei : eomtraire & la constitution. 

Autmara. V. Aniedala, 

Auftıpzos, s. m. ennemi de Dieu. 


+ Axrıntauo, s. m. (1. de bot.) antiderme : 
cantre-venin, plante de ’la dimcie; alexiiäre 
da Malsbar. 

Anrmoruıı. V. Remuneratorio. 

ARIO , $. m. antidoteire : recuell des 
zemeddes de hons medecins ; livre od Fon daorit 
les antidetes ; beite & antidotes. 

Auriporo , s. m. (4. de pharım.) antidote : re- 
möde qui preserve du poison, de la peste, du 
venin ; speeique contre... (fig.) —, contre- 
peison : remdde pröservatif oonize une passion, 
un vioe, etc. 

Aurıpaörsco. V. Antikydropioo. 

* Antıyaar. V. Antphonario. 

ANTITACE , 8. m. volle pour couvrir la gure. 

Aurıranalı, , adj. 2 gen. (1. de mid.) antile- 
brile : contre la Rövre. 

Aurıan ow ANTIPHEN, 5. m. antipben : signe 
de cerrecteur d’imprimerie pour indiquer la s6- 
Perstion de deux mots qui sont unis. 

ASTIFISSCO. 


ASTIFLOGISTICO. 
V Antiph... eie. 


Auzivona, etc. 
6. de mar.) V. Antegalke, 
. ansiennemen 


ÄNTIFRASE. 
AutıciLm0, 8. M. 
ade t; autrelois; 


Aur 
dans les siöcles passte ; jadis. 

Autico, a, adj. ancien : qui exisie depuis 
kengtemgs. Antique, fort ancien. — ‚gothique: 


trös-vienz , qui n'est plus de mode. Meis— qui | timo 


& €i6 roga avant un autre. 5. Personne de Van- 
Gquitd. —e, pl. les anciens : ceux qui vivaient 
iongtemps avant nous; vieillards. 4’ antiga, & 
Tantique,, ala mode des anciens, & l’ancienne 
mode. O antigo dos dias, (expression hiblique) 


Aurıcöai0, 8.0. 41..3 Gmail des falenciers. 
Auricnaro ow AnTicRAPHO, 6. m. anligra- 
pe : correcteur des ‚oıhptes A Alhönes. 
Aurouino. V. Ansiquado, Velko. 
Aurıcuiiza, 3. f. antiquites : monuments, 
me6dailles , statues, de Yantiquite. Antiquaille : 
«hose antique, usde, de peu de valeur. v.g. 
Viegz meubles, vieux tableaux. Usages an- 
ciens maintenant abolis , vieillerie. Antiquaille:: 
ierne de m6pris dent on se sert en parlant de 
eertaines choses antiques et de peu devaleur. 
Asrıovıpäae, s. f. anliquiis, anciennete : 
qualitt de ce qui est antique, ancien. Ancien- 
news receulte ; les siöcles recules; les anciens 
; 0» qui reste d’eux ; los dvönements de 
Tamtiquiie. —e, pl. monuments , temples an- 
üques; choses, vasen, meubles, medaillons 


Aurıouissino, V, Antiqwissimg, 





ANT 108 
Anmevo. V. Antigo. 
NTIBECTICO, A, adj. (8, de . 
tique:: Conire Felikia "möd.) antiheo- 


t ARTIBEMORROIDAL, adj: 2 gen. (4. de med.) 
antihömorroidal : contre les hemorrofdes, 

TANTIBERPETICO, A, adj. (8. de mid.) anti- 
heepötique : contre les herpes. 

T ÄNTIBYDROFHÖBICO, A, adj. (4. de mid.) 
antihydronhobigue : contre la rage. 

T ANTIaTDaÖPICO, A, adf. (8. de mid.) anti» 
hydropigque : contre l’hydropisie. 

T ANTIRTPOCOnDRiaco, A, adj. (1. de mid.) 
antihypooondriaque : eontre les affections hy- 
pooondriaques. 

ANTIEYSTERICO, A, adj. (4. de med.) anti- 
hysterique : contre les vapeurs ou hysterie. 

tAnTiLBas, 8. f. pl.(1.de gdog.) Antillen, 
vingt-huit les du Mexique. 

ÄANTILOGARITENO , 5. m. (8. de malhdın.) anli- 
logariihme : complement du logarithme d’um 
sinus. 

AnrıLocia, s, f. antilogie : contradiction dans 
un discours. 

f AnrıLolsıco, A, adj. (ti. de mid.) antiloi- 
mique : antipestilentiel. . 

TAntiLore, s. f. (1. d’hist. nat.) antilope : 
quadrupdde mammifdre, ruminant, A cornes 
creuses ;la gazelle, le chamols ,le bubale, le 
gnou, elo, — albipede da India, * nyl-ghau. — 
@ } 


‚"gnou. 

} Antıuereirtico, A, adj. antimephitigue : 
contre la mauvalse odeur, le mepbitisme. 

+ ANTIMINISTERIÄL, adj. 2 gen. antiministd- 
riel : contre le ministöre. 

ÄNTIMONÄRCHICO,, A,adj. antimorarchique : 
contre la monarchie. 

+ ANTIMONLÄDO, A, adj. qui a de l’antimoine. 

ANTINONIÄL ‚adj. 2 gem. antimonial : de l’an- 
ine. 

ANTIMÖNIO, 8. m. ($.de chim.) antimoine : 
metal blanc, lamelleux, friable. Sulphureie 
d’—, sulfure d’antimoine : ce me&tal combine 
avec le soufre. — fartarisado,, tartre eınetique. 

ANTIMORAL, adj. 2 gen. contre la morale. V. 
Immoral. 

ANTINACIONÄL, adj. 2 gen. antinational : op- 
pos6 au goüt, au caractöre national ; äl’esprit, 
aux interets nationaux. 

Antınomia, s. f. (. de pral.) antinomie : 
contradiction r6elle ou apparente entre deux 
lois; contrariöte. 

+ Antınowıino, s. anlinomien ou anomien : 
ennemi de la loi; qui n’en reconnalt pas. 

Antınöuıco,, A,adj. quia de l’antinomie. 

AnTinoo , s. m. (6. d’astron.) Antinoüa : con- 
stellation N,pres de la voie lactde,, sur l’tqua- 
teur, sous l’Aigle. on 

ÄNTIOCHENO ow ANnTIOQURNO, A, adj. d’An- 
ü 


oche. 
+ Anrıocuia ‚3. f. (f. de geog.) Antioche, ville 
de Syrie. 

+ ANTIODONTÄLCICO, A, adj. (f. de med.) an- 
tiodontalgique : qui s’omplole contre le mal 
de dents. 


106 ANT 


+ Antiora, e. f.(6. dat. nat.) "Demi-denll: 
esp&ce de papilion. 

Antioncistico, A, adj. (6. de mdd.) antior- 
gastique : qui calme l’orgasme, l’ollervesoence 
des humeurs, 

Antırira, 6. m. antipspe, fauz Pape. 

AnTIıPAPÄDO, 5. m. gouvernement, dignits 
usurpee de l’antipape. 

"+ Antırias, 5. f. "$cran, paravent, ettout 
ce qui sert au meme usage. Ankiperes, pi. sorte 
de gu£tres qui ne oouvraient que le devant de 
la Jambe et du pied. 

TARTIıPARALLELO, A, adj. Linhas =as, (fd. de 
geom.) lignes antiparallöles qui font aveo deux 
autres lignes des sections oontraires. 

ÄNTIPARALY’TICO, A, adj. (1. de medd.) anti- 
paralytique : contre la paralysie. 

t Antıranistasıs, 8. f. (d. de rhdt.) antipe- 
rasiase :igure par laquelle un acouss veut prou- 
vor qu’il merite des &loges plutötque du blame. 

} Antıpästo, s. m. ( 6. de pods.) antipaste ow 
antispaste : pied de vers latin compose de deux 
syllabes longues entre deux breves. 


AnTıPATBia, s. f. antipathie : aversion, rö- | | 


Pugnance naturelle et non raisonn6de que l’on 
a pour quelqu’un , peur quelque chose. 

ANTIPÄTNICO, A, adj. antipathique : oon- 
traire, oppos®#, qui a de l’antipathie. 

+ Antirarno, s. m. antipathe : corall noir; 
z00phyte. 

Aurirzpe.V. Anti 

ANTIPERISTÄLTICO, A, ad. (1. d’anat.) anti- 
peristaltique : oppose au mouvement peristalti- 
que; (mouvemen!) irrögulier des intestins, de 
bas en haut. 

AntıPEenistase ow Anvıpanistäasis, 5. f. 
(8. de phil. anc.) antiperistase : angmentation 
de forces, de l’activitö d’une ohose & l’approche 
de son contraire. v.g. Le froid ranime le feu. 

ANTIPESTILENCIÄL, adj. 2 gen. anlipestilen- 
tel : bon contre la peste. 

TAÄNTIPBILANTRÖPICO, A, adj. eontraire, Op- 
pos6 & la philanthropie. ' 

AnTIPmILOsÖöPmICO, A, adj. antiphilosophi- 
que : contraire , oppos6 & la philosophie. 

+ AnrıentLösorno, s. m. antiphilosophe: en- 
nemi de la philosophie. 

ho aisrico, a, adj. (1. de möd.) an- 
tiphlogistique : qui calme l’ardeur de la fiövre; 
salratchissant, 

Antiemona, s. f. andenne : debut du chant; 
verset preliminalre d’un psaume. Levantar—, 
(famn.) röpandre une nourelle triste ‚fächeuse, 
mauvalse, contre la r&putation de guelqu’un. 

ANTIPBONÄRIO, s. m. antiphonier, antipho- 
naire: livred’öglise oü sont lesantiennes notdes. 

ÄNTIPHONRIRO, 3. m. celui qui entonne les 
antiennes. 

ANTIPHRASE, 8. f. (4. de rhdi.) antiphrase, 
Ironie, contre-verit6 : emplol d’un mot, d’une 
locution en sens inverse du naturel (v. g. bon 
eye 

ANTIPHRASBÄR, c. 6. antiphraser : faire des 
phrases contraires A la grammaire. 


ANT 


AnrwLauairioo, A, adj. (i de mid.) anli- 
pleuretique : contre la pleuresie. . 

ANTirODA, 5. m. antipode : celui qui habile 
dans un endroit de la terre que l’on considere 
par rapport d un autre endroit diameötralemenst 
opposö. (Ag. fam.)— , oppose,, oontzaire, 

ANTIPODÄCRICO, A , adj. (4. de dd.) anlipe- 
dagrique : contre la goutie. 

ANTIPODAL, adj. 2 gem. antipodal ı qui use 
des antipodes. 

Autirope. V. Antipode. 

ANTIPOLIORCETICO , A, adj. qui traite de la 
defense des places. 

Antıroulrico, A, adj. amtipolitique ; con- 
traire & la politique. 

+ Anrırrnöstatas,.s. f« Pl. (t. d’anas.) anli- 
prostates : deux potits oorps glanduloux devant 
les prostates. 

Antietose ou Antietosis, 8. f. (f. de.grem.) 
antiptose : position d’un cas pour un aulre. 

ANTIPÖTRIDO, A, adj. antiputride : oontreire, 
oppose & la putrefaction. - 

ANTIPYRETICO, A, adj. antipyrötiqus : contre 


a üövre. 
Antırraörscos, s. m. pl. otadj.(1.de med.) an- 
tipyrotiques : contre les caustiques, la brülure. 

Anrıquädo, 4, adj. ancien, surannes, hors 
d’usags, vieilli, inusite. p. p.d’ 

ANTIQUAR, 9. a. rendre ancien, antique; abe- 
lir, abroger un usage. —a linguagem, imiter 
le langage des anciens derivains. (4. de relisur) 
Antiquer : vieillir un marequin, une dorure, 
pour se rapprocher du bon goüt des relieurs 
anciens. " 

ANTIQUAR-SE, 9. r. devenir anclen, vötdran ; 
passer de mode. 

Antıquinio, 5. ws. antiquaire : qui oonnalt 
bien les antiquitss, los statues, los medailles , 
etc. ; puriste attache & l’ancienne langue. 

ANTIQUissIMO , A, adj. aup. d’Ankigo, irös- 
ancien. 

f ANTIREVOLUAONÄRIO, A, adj. antirdvelu- 
tionnaire : oppos6 & la revolution. 

ANTISÄTTRA, 3. f. antisatire : röponse A une 
satire. 

Antıscıos. V. Anteclos. 

ÄANTISCORBÜTICO, A, adj. (tl. de mid.) antis- 
corbutigue : contre le scorbut (remede). 

TArtıscnoruLdso , A, adj. (l. de mid.) an- 
tiserofuleux ; contre les &crouelles. 

Anrıserrico, A, adj. (f. de med.) anlisepti- 
quo : oonire la gangr&ne (remedde). 

ANTISIPHILITICO. V. Anticeltico. . 

f Anrısoctar , adj. 2 gen. antisoclal : coom- 
traire A la sociei&, A son urdre, quitend & la 
dötruire, A la dissoudre. 

T ANTISOPBIisTA, s. m. antisophiste : ennemi 
des sophismes. 

f Antispase ow Antispasıs, 8. f. (1. de med.: 
antispase : r&volution, oours des humeurs de- 
tourndes. 

Anriepasmönıco, A,adj. ei a. (f. de mid.) 
anlispasmodique ; remdde contre le spasıne, 
los conrulsions. 





ANT 


Awrmpisteo, a, adj. (1. de mdd.) antispas- 
‚ügee : qei op&re par r&volution. 

Auristıre, s. m. prelat, dreque ‚prötre. 

Aurisraorse , s. f. antistrophe : la seconde 
Stance de la poesie lyrique. (4. de gram.) Ren- 
verseunent de deux termes. ©. g. Le serrileur 
ds maltre ou le maltre du serviteur. 

Autwraruarıco. V. Antiscrofuloso. 

+ Auıırzrinico, A, (f. de mdd.) antitötarfi- 
qua : contre le 

z AurmauriL, adj. 2 gen. antithöätral : 
qui zul west pasihäätra), qui ne convient pas & la 


ertruzsz, s. f. (t. derket.) antilhöse : op- 
position de pensöes ou de mots. (f. d’alg.)—, 
transposition d’un terme, d’une &quation, d’un 
nambre dans un autre. (t. de gram.) — , figure 
par r Iaquelle on met une lettre & la place d’une 


ertronz. V. Antipoda. 

AsTIraistrÄrıo, 5. m. antitrinitaire : sectaire 
qui rejetie je mystöre de la Trinite. 

ÄNTITYPFO, 8. m. anlitype, Ägure, type. 

AuTırznärgo, A, adj. (1. de med.) antiränd- 
rien : contre le mal vönetrien (remede, ti- 
sane, ec. 

+ Asııyaawndso,, a, adj. (1. de med.) anti- 
verminenx : contre les vers. 

AnrtıveröLıco, A, 0dj. (#. de mid.) antivero- 
üque : contre la petite verole. 

ASTOJADIGO, A, adj. fantasque, capriclenx, 
Bizarre. 


Antosivo,&A, adj. qui a le desir, V’envie de 
queique chose. P- PP. 

Astosik, v. a. convoiter, desirer avec ar- 
dear et par caprice; avoir une fanlaisie, une 
envie. 

AXTOIÄn-SE, v. Tr. 56 persuader lögörement , 
se Sigurer, simaginer. — 6 alguem alguma 
cowse , jogerd’une chose sans fondement, sans 

se ooiffer, s’engouer d’une idee ‚etc. 

Ant0J0 , s. m. "envle: desir ardent: caprice, 
fantaisie. *Opinion , jagement mal fond6 : en- 
Ipnement, pröocenpallon. *Enrvie de fenmeen- 


Tor maBico. V. Aniojadipo. 

Axrs0oınivo,A,P.P 

ANTOLHAR, U. 0. Pa devant les yeux, vol- 
ler, eoavrir les yeuz. 

ÄNTOLMAR-SR, eo. r. so fägurer, s’imaginer, 


se ter. 

AntöLzos, 5. m. pi. * ailldres : petites pidces 
de cuir attachees ä la tätlöre d’un cheval pour 
lai ceayrir et garantir les youx. (fg.)" Fascina- 


tion. 
+ Asronıino, s. m. Antonin : moine de Saint- 
Antoine. 


fAwıonico ow AnTONinHo, 5. m. Antonin: 
meine de l’ordre reform# de Saint-Francols .n 
Portagal, qui a pris pour son patron saint 
Anseine de Lisbonne. 

+Asxtonouisıa, 8. f. (f. de rhdi.) antono- 
mase : substitution d’an nom appellatif & un 


Dem propre, 


ANZ 107 


ANTONONÄSTICAuARTE, ade. par anlonomase, 

ANTONnowmÄsTıco, A, adj. quiarapport & !’an- 
tonomase. 

AnrontEu.V. Anls-Aonlem. 

* ANTORA, ANT/HORA, adv. avant l’heure. 

T Antöna, s. f. (t. de bot,) *anthore, anıhera, 
aconit salutaire.° Maciou,, plante & leuren 0a9- 
que. 

* ANTORCHÄDO, 8. m. ancien ormement dans 
les robes. 

* Antae. V. Enire. 

* ANTRRCAMBAR. V. Mesclar, Misiurar, oie. 

* ANTRECORRER. V. Incorrer, Contrahir. 

* ANTREDANHA, V, Entranke, 

* ANTREDICTO. V. Interdicto. 

* ANTREDOZIR. V. Introdusir. 

* ANTREFEITO, A, adj. fait entre deux per- 
sonnes. 

ÄNTRELIAR. 

ANTRELINHAR. 

ÄNTRENMETTER. 

ÄNTREMEZ. 

ÄNTREPOR. 

ÄNTRESACHAR. 

ANTRESEIO. 

ÄNTRESOLHO. 

ÄANTRETALHO. 

ANTRETANTO, 

ANTREYALLO. 

AÄNTREVIR. V. Inter... etc. 

Äntno,s.m.(t. de pods.) * caverne, grofte, 
antre. 

Antaonucgi06. V. Introduerdo. 

® AntrörıLo. V. Pkilanthropo. 

Antropöraco,. V. Anthropophago. 

+ Antovıipo, A, adj. faltaveo pr£cipitatiom. 
r.r7.d0 

. fi Antuviia, v.a. V. Adianlar, Anticiper. 
Frapper subitement ‚ frapper le premier. Il ost 
aussi r&ciproque. 

AnuvıÄDO,A, 9. P. d’Anuriar et adj. nebu- 
leux, couvert de nuages. (flg.) Triste, accable 
de pensees lugubres. 

ANUVIADOR, A, adj. qui obscurelt, gul col- 
vre de nuages. 

ANUYIAR , v. a. couvrir de nnages, obscurcir, 
rendre sombre, brouiller. Il est aussi r&cipro- 
que. (fig. ) Ternir, obscurcir, fletrir. 

ANYERsO, 5. m. le cöt6 de la monnale qui 
orte le buste du sourerain qui la fait frapper: 
ace. 

Änxru.V. Ancia. 

ANXIEDÄDE, 8. f. anxiöte, angoisse, peine 

d’esprit, grande ingnietude, soin inquiet, 

Anxıöso. V. Ancloso 

+ AnzıRUTO,s. m. (1. "de PInde) *nöfte(fralt). 

*® Anzına. V. Ensinha. 

AnzınHEınA. V. Azinheira. 

AnzöL, 3. m. hamecon : petit crochet de fer 
er prendre du poisson. (fg.) —, attrait, 


V Enire... eic, . 


u; Arzouivo, 4, adj. garni d’hamegon ; pris 
& Phamecon; quien a la forme. 
ANZOL&IRO, 5.0. celai qui fait des hamecons. 


108 APA 


ANZOLINSO 04 ANZOLZINHO, 5. m. dim. d’An- 
sol. 

® Anz6öLo. V. Anzol. 

+ AnzöLos, s.m. pl. (1. de lacöte d’Afrique) 
bracelets que portent les noirs d’Afrique. 

40. C'est l’union de la pr&position d avec 
P’article masculin o: &, & la, au. 4o er, ä 
Pair. 4o relento, au serein, & la belle &toile, 
‚do mais, au plus, tout au plus, do meu ver, 
Amon avis, selon mon avis. Ao pd, auprös. 
4o presents, ä present. 4o redor, autour, ä 
l’entour. do, d&sinence portugaise qui corres- 
pond & la dösinenoo espagnole ado, alo, et ä 
la desinence latine adus , alus. 

Äo, diphthongue nasale portugaise. 

AöNDz, adv. oü, en quel lieu, en quel pays. 
TV Onde, quei pay 

TAösınzs, s. f. pl. (t. de myth.) Aonides, 
los Muses. 

TAönıo, A, adf. Aonien: de l’Aonie, pro- 
vince de Pancienne Beotie. 

Aonistıco, a, adj. de Ja nature de l’aoriste. 

Aoaisto ow Ausısto, 8. m. ($. de grammaire 

groeque) aoriste : preterit ind6fini. 

Aöıta,s.f. (tl. danat.) aorte: artere , canal 
qui s’ölöve du ventricule gauche du cur, et 
porte le sang dans tout le corps. 

tAöRTIco, a, adj. (1. d’anat.) aortique : qui 
appartient & Yaorte. 

tAos. C'est la preposition d jointe au pluriel 
de Y’article o, aux. Aos arredores da cidade, 
aux environs de la ville. 

* Aosinas , ado. hardiment, certainement. 

Ara,s. f. (i.d’Asie) espöce de gäteau fait de 
la farine du riz et de l’huile du cocotier. 

APACENTAR. V. A 

Aracaoanipo. V. Pachorrenio, 

APracipıLidane. V. Affabilidade. 

Aracırıcar ‚etc. V. Paeificar. 

APADESSAR , 6tc. V. Empavezar, etc. 

APADRINHÄDO, A,P. pP. d’Apadrinkhar ei adj. 
(Ag.) Protöge,, alde,, secouru. 

APADRINHADÖR , f\ ‚ s. protectieur, defen- 
seur. 

APADRINHÄR, v. @. servir deparrain dans cer- 
taines cer&monies, jeux publics, ou combats 
singuliers. (Ag.) Protöger, defendre. 

fArapuanäno, A, adj. ala manidre des ha- 
bitants de Padoue. 

Aracino, A, 9.p.d’Apagar et adj. &teint, 
en parlant du fou ; ray6, rature. (Ag.\ Inanim6, 
rer sans courage,, läche, mou; frustre, mi- 


ArACADöR, s. m. oelui qui &teint. Fteignoir : 
eöne creux pour #teindre les chandelles, les 
bougies. Il est aussi adj., qui dteint. (Ag.) Qui 
obseurecit, qui öteint. 

+ Aricaranöns ou APÄcAPENOES, 8. m. pl. 
(1. de mar.)"cargues, cargues-bonlines : cordes 
qui servent & accoureir et & trousser les voiles. 

APACANSıTO, s. m. l’action d’eteindre : ex- 
Winction. 


Aracas, v, @. Kieindre, Il a les mömes ac- 


APA 


cepiions quo ie mot francais. — a sede, 
(Ag.) &tancher la soil, V’apaiser ; desalltrer, se 
desalterer.—a cal, &teindre la chaux. —s v0z, 
meitre une sourdine & un instrument. —s odie, 
(6. de mar.) &gorger, ötrangler une voile. 

Aracia-6E,9. r. s’dteindre, s’ameorlir; ose- 
ser d’e xister. 

A’race! interj. hors de IA, no m’en parlez 
pas; pouah! 

* Arackin,v. @. faire los fonotions de page. 

Arıcoclı ,s.f. apagogie : preuve d’une pro- 
position par " Pabsurdits du contraire. 

ArıınzLipo, A, 2.p. d’Apainelar. 

ArAINBLAMENTO, s. m. ornement de pein- 
tures, decoration. * Soffite : lambris, plafond de 
menuiserie avec cadres et ornements, 

APAINELÄR, 0. a. lambrisser, orner de pein- 
tures ; döcorer. Construire en forme de soflte. 

Araıan. V. Pairar. , 

APAIXONÄDANERTE, adv. passionn&ment, aveo 
passion. Amar—, aimer &perdument, mourir 
d’amour. 

APAIXONADISSINO, A, adj. sup. de 

Arııxonipo, A, P. p. d’Apaizoner et adj. 
passionne ,„ amoureux, soupirant. Possed« 
d’une passion. Fäch#,, plein de chagrin , qui est 
en coleöre. 

APAIXONAR, ©. a. passionner : &mouvoir l’es- 
prit, toucher le cur de quelqu’un. Rendre 
passionne, exciter une passion. 

APAIXONAR-SE (a, de, por), v.r. se paß- 
sionner, s’attacher. (Ag.) S’affliger, se fächer. 

APAIZANAR-SE,, ©. r. devenir paysan. 

APALANCAR ‚etc. V. Trancer, eto. 

APALANQUETAR , ©. @. employer des beulets 
rames. 

APALAYRÄDO, A, adj. accorde, convenu, 
dont on a pris parole, dont on est convenu, 
ob !’on s’est engagd r&ciproquement. — para 
casar, Nancd, promis en mariage. p. p. d’ 

APALAYRAR, 9. 4. Convenir, promelire ou 
s’engager röciproquement, se donner ou pren- 
dre parole. (Ag.) Traiter une affaire verbale- 
ment, de vive voix. — para casar, flancer, ac- 
corder on ınariage son Als ou sa flle, donner 
parole de mariage. 

APALAYRAR-SE, ©. r. donner rendez-vous 
pour une affaire, s’engager de parole, donner 
sa parole pour une affaire. 

+ ArıLito, s.m. apalaton : arbre de P’Ame- 
rique. 

ArıLzino,A,Pp.p.d ear. 

APALEADOR, A,t. Sell qui donne des coups 
de bäton. 

APALEAUENTO, 3. m. " bastontiade. 

AraLEir, 0. a. bätonner : donner des Coups 
de baton , battre avec un bäton. 

+ APALESTRÄDO, 4, adj. instrult, exero6 & 
la palestre. 

"+ APALHAR, v. 0. V. Empalker. 

+ AraLminas,ad). f. pl. (folhas—, I. de bot.) 


palmees (feuilles), en &ventail, en palme. 


APALPADELLA,, 9. f. " attouchement, manic- 





APA 


ment; Fection de tätonner. 4’s —s, (loc. ade.) 
& tätons, en tätonnant. Andaer, ir ds —s, aller, 
marcher ä tätons ; (g.) aveugiöment, sans di- 
rertion certaine. 

AraLriDo, A,P. 9. d’Apalpar. 

AraLpapOn, A, 6. täteur : quitäte. 

APALFANEKETO, 5. m. tätement : action de 

ußer. 
Arınrin,v.c. täter: toucher, manier dou- 
eeıment une chose pour juger de sa consistance, 
de son &lat physique. Tätonner : täter avec les 
meins. (fig.) Agir avec timidit6; sonder quel- 
qu’un ; tächer de connafire par !’exptrienoe. il. 
Veir, oonnaltze elairement, toucher au doigt. 
-— ode , sonder le gu6. 

Arıu. V. Concha. 

Arınicıo, 8. m. 8 ge: terres ou rente 
viagere donnees par un souverain & ses puln&s. 
Douaire : ce que le mari donne & sa femme en 
se mıariant, pour en jouir en cas qu’elle hai 


e. 

AraıspıLnip0,A,P.p.@ 

+ APANDILHAR-SE, ©. T. 86 röunir en clique 

cabaler, tromper. 

Me rarmino. DD. d’Aponkar et adj. attra- 
p%, amasse, cueilli, recueilli. Pris, enlev6; 
interceptö, pris par surprise. Ceint, trousse, 
relert. Abröge, raccourci. (4g.) Convaincu de 
son erreur, do sa faute. Bsiilo —, style con- 
cis, serrö. Homem — de coragäo, homme 
sans omur, de peu de caur. 

APANHADOR, A, 3. celui qui prend avec la 
main, qui recueille, qui recolte. 

Arımmandna ‚s.f. Vactiondeprendre;recolte. 

* APANHANENTO. V. Colkimento , Apanko. 

Arınsan, vo. 6. Cueillir, recueillir, amasser. 
Saisir, prendre avec ia main. Prendre,, enlever 
quelque chose,, s’emparer. Intercepter, pren- 
dre par surprise, sarprendre. Lever, relever, 
trousser. V. Arregager. — uma doengs, COn- 
tracier, aliraper une maladie. — a quem vai 
dienie, aos que [ogem, attraper, atteindre 
quelgu’un qui a pris les devants, attraper les 
fuyards. — elguem d’improviso, surprendre, 

au d&psurru, saisir. — em fragante 

delicto, attraper, prendre sur le fait. — por 
forgs ou por desireza, attraper, prendre par 
force ou par adresse, escroquer. —, pegar 
com o bichsiro, (#. de mar.) gaffer. 

Araumin-sE, o.r. se trouver inesperöment ; 
Se resserrer, se raccourcir; deperir, se Consu- 
mer. 
Arinmo, s. m. Paction de cueillir, de re- 
cueillir, d’amasser; röcolte. 

Arımauino, A, adj. commensal; protöge. 
(Sg.) Camarade, compagnon, ami intime, par- 

dee 


° Arınraoria. V. Misunthropia. 

Arınruräpo,. a, adj. fait en pantoufle, en 
perlant d’un soulier. 

Arsın, ode. pris, auprös, proche; de pair, 
en somparaison de. 

4 Aran ou Arina,s.m.(t. d’hist. nal.) ta- 
eu & trois banden. 


APA 109 


Arinı,s. f. Fognure, retaille, morosau oou- 
pe ‚ recoup®, copean. 
Arırino,A,p.p. d’Aparar. 


AranapOr, s. m.dressoir : buffet pour lo 
service d’uns table. 5. Celui quicoupe du pain, 


i rogne. 

AraraLripo. V. Aperallado. 

APARALYTICÄDO, V. Paralysado. 

ATARAMENTAR, 6t0. V. Paramentar, etc. 

APARÄR, ©. a. Couper &galoment, rognerz 
tailler des plumes; peler du fruit. Pareruncoup, 
se defendre de quelgueconp qu’un autre porte. 
— em, tendre les mains, le chapeau, un mou- 
choir, le manteau, pour recevoir quelque chose, 

APARATADO, A. V. Aparaloso, 

Arıniro. V. Appardio. 

"AranciD0,A,P.p.d’ 

* APABCAR, ©. 9. S’associer aveo d’aulres 
pour un inter&öt commun. 

APARCELÄDO, A, adj. (mar —) plein de ro- 
chers, rempli d’ecueils, couvert de rochers,, 
de brisants. 

APARCELAMENTO, 8. m. fond plein de ro- 
chers,, etc. 

APARCELLÄDO, A,P. P.d’ 

APARCELLAR, ©. a. parceller : diviser par 
parcelles. 

t+Arantı ou Arenka,s. m. (1. d’hist. nal.) 
cobaye, cochon sauvage de l’Amerique. 


APARECER, 0lC. 
V. Appar... etc. 


APARELHAR,OlC. 

APARELHO, etc. 

ATARENTÄDO, A, adj. apparente, allie. Bem. 
ou mal—, bien ou mal appareni&e : quia des 
liaisons de parente plus ou moins honorables. 
(fg.) Joint, li6.p. p. de 

APARENTAR, ©. a. apparenter : donner des 
parents par alliances ; 'unir par alliance. €. 
Feindre, faire semblant, simuler. 

APARENTAR-SE (com), ©. r. sS’apparenter &. 
quelqu’un, sallier A... (lg.) Se ressembler. 

° APARENTELLÄDO, A. V. Aparentado. 

+ Arincı ,s. f. (f. de bot.) &perviere : plante 
chicoracee, pulmonaire de France. 

® APARICIO, 8. M. V. Apparisäo, Epipha« 

® APARICOM , 8. f. nie. j 

Ariro, s. m. "taille (de plume). 

Ararnnıpo, A, adj. On le dit de certains ar- 
bres qui sont pelits et tortueux. V. Rasteiro, 
Homem— , homme petit, gros, rabougri. Il se 
dit des hommes et des arbres. 

APARREIRÄDO, A, adj. environnd de treilles, 
& maniere de treilles. 

ÄAPARROCHIAR-SE, ©. r. devenir paroissien, 
#’6ablir sur une paroisse. 

" APARTA , 6. f. separation. 

* APARTADA, 8. f. V. Apartamento. 

APARTÄDAMENTE, adv. söpardment, en pAf- 
tioulier, & part, 

Arıntind, A, P. P. d’Aparlar et adj. dis 
tant,lointain, #loigne. Different, divers. Re- 
tire; solitaire. 

APARTADOR, A, 8. Colui qui dcarte, qui 86- 
pare, qui dloigne. Il gt. aussi adjoctif. 





113 APE 


+ Arznocir, v. e. donner la forme, la con- 
leur, le lustre des perles. 

APERREIDAMENTE, ado. cruellement, dure- 
ment, avec contrainte. 

ArERASÄDO, A, 9. p. d’Aperrear. 

ÄPERREADOR, A , 8. Celui qui teurmente, qui 
aigrit, qui opprime, qui vexe quelqu’un. adj. 
Fächeux, importun. 

+ APBRREAMENTO, 8. m. l’action de tourmen- 
ter, de vexer; &tat de colui qui ost tourmente, 
vex6, ol0. 

Arzangir, ©. a. tourmenter, walter dure- 
ment, vexer,affliger quelqu’un, lui öter toute 
la liberts, le tenir dans l’esclavage, sous une 
dare servitude. 

Aruaripı ..s f- (— de genie) foule. V. 


perto. 
APERTÄDAMENTE, ado. etroitement, & l’ötroit, 
d’une maniere serree. 

APERTADISSIMO,, A, adj. sup. d’ 

ArERTÄDO, A, P. pP. d’Apertar et adj. serre, 
li&, presse, etreint, contraint, bien attach6; 
etroit. (Ag. fam.) Chiche, avare, serre, mes- 
quin, irop menager. — da necessidade , acca- 
bie, plein de mfsere; contraint. —da fome, da 
söde, da necessidade,, contraint, presse par la 
faim, par la soif, par la necessite,, eto. Estor 
muilo — ‚Eire en grand danger, setrouver dans 
un cas difficile. Lance, caso, trance— , Ca8, tir- 
eonstance difcile. 

* APERTADOIRO. V. Cinio. 

APERTADOR, 5. m. celui quiserre, qui etreint, 
qui presse. Serre-tte, bandeau. V. Cinto. 

Arertiö,s. m. aug. d’Aperio. — de genie, 
*foule, presse, oppression : multitude de gens 
qui s’entrepoussent. 

Aventir, v. a. etreindre, presser, serrer 
avec force; attacher, lier ensemble. Retrecir, 
resserrer, mettre ow tenir & P’etroit. (fig.) Pres- 
ser : poursuivre sans reläche. Affliger, chagri- 
ner, tourmenter, faire de la peine; metire dans 
Pembarras. Agir areo plus d’activit6,, de oha- 
leur. Presser: solliciter avec instanoe.1l estaussi 
neutre, et signifle ordinairement augmenter de 
force, de vitesse, d’intensit6. Aperia, (fam.) 
eours , marche vite, häte-toi. Aperier 0 pass0, 
doubler, redoubler le pas. — os punhos, a 
frenie para, hander tous les ressorts pour. 
0 argumento ou a dificuldade ,avoir une s0- 
lation diffcile, en parlant d’un argument, 
d’une dificults.— a mdo, (Ag.) lösiner. — 08 

, metire du soin, de Yactivit6 dans 
Pexsculion d’une chose.— as redeas, tenir la 
bride haute, retirer la bride.— 0 iniasigo ou 
com 0 inimigo , pousser, presser vivement l’en- 
nemi, lo poursuivre de prös. — a oorrer, se 
mettre A courir, prendre la course. — com al- 
guem, assaillir, attaquer quelgu’un, le serrer 
de pres. E mwito — os cordeis, (fg. fam.) c’est 
trop eziger. 

ÄPERTAR-SE, d. F. Söserrer, s’ötreindre, se 
resserrer, se lier, se presser, s’sltacher. (fig.) 
S’ajuster, se parer pour plaire & quelqu’un. 
= 9 ooraplio ‚, s’aflliger, 50 trouver mal, 


ADH 


ArfarTo, s. m. &tat d’une personne pressee 
dans la foule. (Ag.) Peril, risque, danger, ex- 
tremites ‚grande aflliction, grand embarras, cas 
difficile. * Indigence, disette de biens, besoin, 
dure necessit#, &iat malbeureux, pauvreid, 
dernier point de necessite. Ver-se em grande 
— ‚se wouver aux abois. Anudir a alguen ne 
— , sooourir, assister quolqu’un dans une pres- 
sante necessite. — de corapdo , resserrement de 
omur, angoisse. Com —, loc. adv. instamment. 

APKRTO, A, adj. ouvert. V. Aberte. 

*Ariaro. V. Perto. 

Arzatünı, s. f. "lieu stroit, V. Aperte. 

Arzaröıxa. V. Periuxe. 

APESARADO, A. V. Pezar6so. 

AriserßıLo, adv. Vira —, marcher na» 
pieds ; (fem.) ciopin-Clopant. 

ArEsSsoino, A, adj. d’une hauts stalure, de 
bonne prestance. Bem —, d’une taille avanta- 
geuse. Mal —, de vilaine taille, de vileine 
figure. 

Arsstan, etc. V. Empestar, eic. 

ArttaLo,a.V. Despetaleado. 

APRTECER, eic.V. Appelecer. 

Arzx. V. Apice. 

+ Apmica, 5. f. (8. de bot.) gesse sans feuilles. 

+ Arnfuıa, s. f. ou ArH£LIO,s. m. (f.d’astr.) 
aphelie : point de l’orbite d’une plandte od elle 
se trouve le plus loin du soleil; cet etat. ll est 
aussi adj. Planelsa—, plandte aphelie : qui est 
dans son aphelie. 

Arutnsse , s. f. aphörese : suppression de la 
premiere syliabe d’un mot. Ex. Temnere pour 
conlemnere. 

+ ArmınıÄnos, a. m.pl. (6. d’hist. nal.) aphi- 
diens : famille d’insectes. 

+ Arnipivoro, a, adj. (8. d’hist. nat.) apbi- 
divore : qui mange les pucerons. 

+ ArgLocistıco , A, adj. (t. de med.) apblo- 
gistique : qui ne peut s’enflammer ; contre l’in- 
flammation. 

+ Aruönıos, s. m. pl. (1. d’hist. net.) apho- 
dies : insectes coldopteres, voisins des sca- 
rab6es, qui vivent dans la fiente des ani- 
maux. 

Aruonia ,s. f. (t. de med.) aphonie : extino- 
tion , privation de la voix par maladie. 

APHÖNICO , A , adj. (6. de med.) prive de voix. 
V. Aphonia. 

APHORISMO , 3. m. aphorisme : sentence, 
maxime generale, proposition önoncete en peu 
de mots. 

Aruonistä , s. m. auteur d’apborismes. 

APHORisTIcO, A, adj. aphoristique : de Va- 
phorisme , en aphorismes. 

APHRODISEO O% APHRODISIACO, A, adj. (fd. de 
med.) aphrodisiaque : de Venus, qui excite & 
Pamour. 

+ Armaopısıilsuo,, s. m. aphrodisiasme s 


ooft, 

+ Armropita, s. f. (1. d’hist. nos.) aphrodiie ı 
insecte, espece de chenille de mer. adj. 2 gem. 
Qui se reproduit sans acte exterieur de gänera- 
tion (animal, plante). 


Ey GE EN 


API 


+ Arzaonirro, s. m. (t. de chim.) aphroni- 


tze : deume subtile de nitre. 


Arutı ow Arurua,,s. f. (8. de mdd.) aphthe : 
pet uleere rond superßciel qui vient & la bou- 
che 


+ Aruröso, A, adj. (t. de me£d.) aphtheux : 
qui a des apbihes. Feure —a, itvie aphtheuse, 


ds l’enchanthöme. 


AruvYLLo, a, adj. (I. de bot.) aphylie ow in- 


fenille : qui w’a pas de feuilles. 


täArı, s. f. (8. de bot.) espöce de pommes 


reugeätres. 
Arıapan. V. Apiedar. 


TAruinios, s. m. pl. (tl. d’hist. nal.) apial- 
res: genre d’insectes ; famille des abeilles ; 


insecies porte-aiguillon. 
Arusssao. V. Herva-cidreira. 


A’PICE , 8. m. sommel, pointe, cime de quel- 
que chose que ce soit. (fig.) La partie la plus 


petite d’ane chose. Le point de la difficults. 


Apiess, pl. irema, dier&se : signe orthographi- 


que. 
"täArıcaoL.ino, A, odj. de differentes cou- 


tArscunüsa, s. f. union de deux pointes 
formant un lacet. , 

Aricceıa, s. f.ow AricuLo, s. m. dim. d’Apice. 

Arıgsino,a,p.p. d’Apiedar.. 

Arıspıpön, A, s. celui qui a piti6,quia 
ePnpassion : compatissant. p. us. 

tArızBaR, v. a. (p. us.)regarder, traiter avec 
pilie, avec compassion. Exciter la pitie, la 


tArmspan-se (de, a) v. r. avoir pilie, pren- 
dre pilie, compatir, s’attendrir sur les mal- 
heurs des autres. , . 

tArıroauz ‚adj. 2 gen. ( I. d’hist. nat.) qui a 
la forme d’une abeille. 

Arısarntivo, A, adj. poivre6, assalsonne 
avec da peirre.(fig.) Piquant, friend, qui ex- 
cite Fappetit. 

+ ArısceıLLipo, A, adj. (8. d’hist, nat.) quia 
la forme d’un pinceau, et p. p. d’ 

Arınczınia. V. Coiar. 

APISCESTÄDO, A, adj. (8. de bijows.) qui imite 
les pendants d’oreille. 

Arınnino ow APınHoiDo, A, adj. groaps, 
isuffu. Qui a la forme d’une pomme de pin. 

.P.dE 

Arınzın ou Arprsttoina, ©. @. grouper, Ten- 
dre wufle ; presser, serrer, entasser, accumuler, 
amasser. 

Arısuır-sE ou AÄPINHOAR-SE, 0. r. pommer, 
se grouper, devenir touffu ; se serrer, s’a0cu- 
muler, samasser. 

* Am. V. Opio et Alpe. 

Arıripo, a, adj. qui a la forme d’une pipe 
(grande fataille). 

Amgug, loc. ade. V. Pique (a). 

ArmsoinDo, A,p. pP. d’Apisoar. 

Arısoanor , 3. m. foulon. V. Pisoeiro. 

Apısoir, co. a. fouler : donner un appret aux 
@olles de laine;; fouler les draps pour Ics affer- 

wir, les degraisser, les blanchir. 


VORT-FR 





APO 113 


biberon : petit vase & bes 
boire (aux malades ). v. 
Apisto, 


APISTO, 8. m. consomme : le suc de la chair 
hachee ou beaucoup cuite, que Pon donne A un 
ınalade qui ne peut pas manger. (Ag.) ’Conlor- 
talton a u agement ‚confort, 

PITÄR, ©. a. sifller: faire, donn i 
avec le sifflet. ’ run signal 

Arito, s. m. siffiet : petit instrument avec Ie- 
quel on siffle dans les vaisseaux de guerre pour 
donner quelque signal aux marins. 

*ArpLacacäd, APLACAMENTO ‚ef. ou m 
l’aclion d’apaiser. — da ira, das dores, adoa- 
cissement de la colere, des douleurs, etc. 

APLAcÄDO, A, P. p. d’Aplacer, 

ÄPLACADÖR, A, 8. celui gui' apaise, qui fie- 
chit. Il est aussi adj. 

Apracia, 0. a. apaiser, 
adoucir, calmer, defächer. 

APLACÄR-SE, ©. r. s’apaiser, se calmer, deve- 
nir moins violent, s’adoucir, se tranquilliser, 
se moderer, se döfächer. 

APLACÄVEL, adj. 2 gen. qui peut @ire apaise 
facile aflechir. u a 

ÄPLAINADISSIMO,, A, adj. sup. d’ 

APLAINÄDO, A, p. p. d’Aplainar ot adj. V. 
ade rd, pP. pP. dAp als 

APLAINAMENTO, s. m. aplanissement ; Pao- 
tion d’aplanir. 

APLAINÄR, 0.a. (l. demen.) raboter : planir, 
polir avec le rabot. Aplanir, rendre 6gal et uni, 
Il se dit d’un lieu, d’un chemin ‚ d’un pave. 
(Ag.) Aplanir. V. Apl . 

APLANÄDO,A,P.p. d’ 

APLAniR, v. 0. aplanir, rendre ögal et uni. 
Ilest plus usitö au Ag. Aplanir, vaincre, lever 
une dificulte, un obstacle. Faciliter, procurer 
les moyens de parvenir & quelque chose, 

* ArLaso, adv. V. Aprasimenso (a). 

tfAPLEBEÄR-SE, v. r. p. us. prendre les ma- 


Arıstkıno, s. m. 
pour hoire ou faire 


desarmer, flechir, 


‚| niöres , les habitudes du bas peuple. (Ag.) S’a- 


vilir, devenir bas , abjecı. 

+ Arıestia,s. f. (l. de med.) aplesiie : insa- 
tiebilite, faim qui ne peut etre apaisee, 

APLUMAR. 

APLUNO. | V. Aprum... eto. 

T Arır'sıos,s.m. pl.(t.d’hist. nal.) aplysies ı 
mollusques gasteropodes. 

Arnka, s. f. (8. de med.) apnde : manque de 
respiration. 

TAroa,s.f.(t. Ehist. nal‘ apoa seruext: 
du Brösil, 


APOCALY’PSE, 8. m. apocalypse : res Aation, 
On appelte ainsi le livre canonique qui con- 
tient les revelations faites A saint Jcan Evan- 
geliste. 

APOCALY’PTICO, A, adj. apocalyplique : de 
Papocalypse. 

+ Arocenöse, 8. f. (l. de med.) apocenose s 
Gvacualion contre nature, sans irritation : h6&- 
morragie sans fievre. 

Arücorr, 5. fı (t. de gramm.) apocope : reiran- 

8 


118 APO 


chement d’une lelire ou d'une syllabe & la fin 
d’un mot. 

APÖCKYTFBANENTE,, adv. d’une manidre apo- 
eryphe. 

APÖCHYPEO , A, adj. apocryphe, inconnu, 
douteux, cach&, fabuleux, suppo@s. 

+ Aröcrno, s. m.( 4. de bot.) apocyn,soyeuse, 
ouate,, plante. —de Monpelher. V. Escammo- 


ea. 

? Aropa. V. Apodo. 

Ar0pin0,&A,P.p.d’ . 

ArOpanda,A, 3. celui qui dit des plaisante- 
ries ; railleur ; persiffieur. 

Aronanüna, s. f. V. Apddo. 

Aropin, v. a. plaisanter, railier agrdable- 
ment, se jouer, folätrer, Comparer;; donner des 
sobriquets , apostropher. V. Avaluar, Esmar. 

TArone,s. f. (t. d’hist. nat.) apode : hiron- 
delle de mer & pieds trös-couris. if. adj. Sans 
pates, sang pieds. —s, s. m. pl. (t. d’hist. nal.) 
apodes: poissons & squelette osseux, sans na- 
geoires ventrales. 

ArODErÄDO, A,cadj. qui est en possession, 
qui s’est empar6 de quelque chose; muni de 
procuration , de pouvoir par un autre. 9.9. d’ 

APODERAR, ©. G. mettre quelqu’un en Ppos- 
session de queique chose. i4. ani. Acquerir, 
prendre possession du legs. 

APODERAR-SE (de), v. r. s’emparer, se salsir. 
Envabir, occuper. il. anti. Devenir puissant, 
fort. — 0 cavallo do freio, prendre (le cheval) le 
mors aux dents. 

‚Arooicrico, a, adj. apodictiqgue, demonstra- 
tif, evident. 

T AropıoxE ou Aponıözıs, s. f. (1. de rhet.) 
apodioxis : figure par laquelie en rejetio avoo 
indignation un argument comme absurde. 

t Aropıent, s. m. apodipnd : chant grec 
apres lo souper. 

Ar0po, s. m. sobriquet : surnom donnd & 
quelyu’un par derision, *Raillerie ; bon mot. 

ArÖnosE, #. f. apodose ı seconde partie 
d’une periode. 

APODRECEB, v. 6. pourrir : allerer, gäter, cor- 
Tompre. 

ÄPODRECER, ©. 0. e8 — se, ©. r. pourzir, 86 
pourrir, s6 gäter, se corrompre. (fig.) Languir, 
perdro courage. 

Aropascioo, A,9.p. d’Apodrecer. 

u APODRECIMÄRTO, 8. m, *putrelaction, corrup- 
on. 

APODRENTAR. V. Apodescer, 

Arorise. V. Apophise. 

Arocko, s. m. (1. d’astr.) apog6e : point de 
l’orbite d’une plandte le Dlus eloignd de la 
terre ; cat 6tat. (Ag.) Le plus haut dogr& d’el6- 
vi) (de la fortune, de la gloire, du pou- 
voir ). 

f Aroc£rico, A, adj. apogetique : qui tient 
du doute, du pjrrhonismer -. 

ArÖcaAPEO , 8. m. apographe ; copie d'un li- 
vre, d’un original ; Popposd d’autographe. 

Aroıkno,A,9. 9. d’ 

APOIAR, ®, @. Appuyer, souleniz avec un ap- 


APO 


pui, elayer. (fg.) —, alder, favoriser, secon- 
der, prottger. 

APOLAR-SE, ©. r. s’appuyer, se souichir. 
(fg.)—,s’assurer, faire fond sur queigue chose, 
sur quelqu’un, 

° APOIMENTO. V. Apposigßo. 

Ar0i0, 8. m. appui, soutien, support, a000- 
tvir. (fg.) —, faveur, aide, elai, protection. 
Ser o— da velhice de algusm,, (fig.) ire le ba- 
ton de vieillesse de quelqu’un. 

AP01an0 ow APEJADO, A, adj. plein de alt. 

Arosapüna, 5. f. affluence, abord du lelt 
dans les organes mammaires des femmes e6 
des femelles des animaut. 

+ APOJECTURA, 5. f. (1. de mus.)"port de voix: 
agr&ment dans la musique. 

APOLAIMAR, ©. a. Chausser des guttres ; 
donner la facon de gu£tres A quelque chaus- 
sure. 

AroLazipo,A,9.P.d’ 

APOLAZAR, v. a. plisser ä l’aiguille. 

AroLoaino, A, adj. Egua —s, jument avec 
son poulain, et peut-@ire jument-pouliniere. 

APOLEÄDO, A, 9.9.d 

Aroteir, v. a. pilorier: mettre au pilori, & 
la poulie. Estrapader : donner Pestrapade. 

AroLzcino,,A,P. p. d’Apolegar. 

APOLBCADOR, A, 5. celui qui Wuche, täte 
aveo les doigts. 

APOLEGADORA , 8. f. "maniement : l’action de 
manier. 

APOLEGAR, ©. @. toucher souvent, manier, 
t4ionner, täler. 

APOLENTÄDO, A, 9. p. d’Apolenlar. 

APOLENTADOR, A, 5. celui quinourritavec de 
la polenia. 

ÄPOLENTAR, d. a. nourrir avec de la polenta; 
engraisser, assouvir. (fg. p. ws.) Elever, in- 
struire. 

ApöLıce , s. f. police (d’assurance) , assignat. 

+ APOLLINARISTA, 5. m. apollinariste : sec- 
taire d’Apollinaire. 

AroıLingo ,A, adj. (l. de poes.) d’Apolion, 
qui appartient & Apollon. 

AröLLo, s. m. (t. de mytAh.) Apollon : dieu du 
Parnasse ; le soleil. 

° APOLO, adv.V. 5. 

ArorLocaciö, s. f. V. Apölogo. 

APOLOGETICAMENTE, adv. d’une maniere apo- 
logetique. 

AroLocKrico, a, adj. apologetique : qui con- 
tientune apologie. s. m. ° Apologie. 

Aroxocia, s. f. apologie : discours ou Ecrit 

ustiflcatif. 

AroLöcıco, A. V. Apologelico. 

ArOLOGISTA, s. m. apologiste : celul qui fait 
l’apologie, qui prend la defense, qui Justifle. 

AröL0co, s. m. apologue : fahle, histoire 
feinte, morale et instructive. 

AroLtnonind,4,P.P.d’ 

+ APOLTRONAR-SE, v. r. SK’acagnarder, crou- 
pir dans P’oisivet£. 

Arongvröse,s. f. (I.J’anal.) spon6rrose : oX- 
pansion membraneused’un muscle,d’untendon. 


APO 


AP0OZETRÖTICO, A, adj. (1. d’anal.) apendvro- 
ügse : de ’apone&rrose. 

+ APOXEYROTONIA, 3. f.(}.d’anal.) aponeıro- 

komie : dissection des apon&vroses. 

APOXTÄDAMENTE, adv. oexaclemert : avec 
exzetitade,, nomme&ment. 

Arostino, A,p. p. d’Apontar ei adj. ob- 
serve, remarque, considere; & qui on fait at- 
“nuon, rellexion; poli, elegant, recherche 
dans sa mise, dans la manidre de s exprimer 

pre, dispos6 A, exact; signale avec 
hg mi Qui a un alguillon, des pointes, des 
piquants, des &pinos. Stimulant. 

ÄPONTADOR , 8. m. pointeur: celui qui pointe 
le canon. Chanoine qui pointe ceux qui ne sont 
pas presents & Pofüice. Celui qui prend des no- 
tes. Ceiui qui pointe les ouvriers dans les tra- 
vauz publics. Celui qui accouple l’&talon aveo 
la jument. — de comedia , souflleur de thöätre : 
cekzi qui souflie quelgu’un qui parle en public. 
— ds relogio , aiguille d’une montre, d’un ca- 
dran solaire. 

APOKTAMENTO, 3. m. *annolation, note, ob- 
servation ,„ marque, remarque. L’action de 
peinter, de designer. Rendez-vous. Aponla- 
mentss, pl. repertoire, regisires, tableltes ; no- 
tes, remarques ; instructions particuliöres pour 
guelgue affaire diplomatique ou commerciale. 

Arcstin, ©. a. pointer, mirer, viser, bra- 
quer : diriger vers un point; melire en prise; 
esuchker en joue. Marquer, noter: mettre 
des marques „ des notes par £crit. Poin- 
ter : dans les eglises, meitre en &crit les cha- 
neines non prösents A Yoflice. (Ag.) Designer, 
isdigeer. Montrer avec le doigt ou avec autre 
chose. Insinuer, toucher legerement. Meltre 
ne quastil6 quelconque d’argent sur uns 
carte au pharaon. Soufller : lire bas & quel- 
qu’en qui parle en public les endroits de son 
discours o& la memoire lui manque, Aiguiser : 
denner la pointe & un outil, & une epte, & un 
ooutesu , eic. Aponidr I ( 1. weil.) en joue! 

AFORTAR,, ©. ®. Poindre : commencer & pa- 
raltre, A pousser, en parlant du jour,del’herbe, 
des Seurs, du poil, du jugement chez les jeunes 
gens , oic. — 0 jogo, poindre, pointer aux 
jeux de basard. — de dirsito, (1. de prat.) ci- 
ter des lois,, des autorilös. — genie de guerra, 
enröler. As — do dia, au point du jour. 

APORTAR-SE, 0. r. (f. de mer.) mettre le cap 
ä ou au. i$.S’enorgueillir. 

ArcarEan. V. Aponioar. 

Aroetoipo,&A,P.P.d 

Aroutoik, 0. a. &tayer, soutenir. is. Accou- 
pier, assembler, ooudre ensemble les pieces 
da linge qu’on veut donner & blanchir. 

Arorurutcha ou APOTECHA, 3. m. apoph- 
thegme : dit notable d’une personne illustre de 

; senlenee, Maxime, 

t Aröenvss, s. f. (1.d’arch.)apophyse : place 
ob la colenne sort de la base, 

+ Aröruıse, 3. f.( 6. d’anal.) apophyse ı 
sallie, dıninence d’un os. (1. de bot.) —, 6x- 

‚enllement. 


APO 115 


Arorıäcrico, A, adj. (1. de mdd.) apoplecu- 
ques de l’apopiexie; qui en menace, en est 
menacö; qui en est attaqıgb , en guärit. 

Arorpızxia, s. f. (4. desned.) apoplexie : mr 
ladie du coerveau,avec privalion da moure- 
ment et du sentiment, 


Arornzaa. V. Apophihegne. 

ArOQuEnTipo,A,p.Pp. d’ 

APOQUENTÄR, v. a. V. Apouquentar. Mi n’ess 
usit6 qu’au Ag. Vexer, iourmenter. V. Ass- 
brunkar 


Aroripo,A.V. Apurado. 

Aroarıan, etc. V. Porflar. 

* ArORIsMAR, etc. V. Aposiemar, etc. 

ArOnaEiD0,A,P.P.d’ 

APORREÄR, ©. a. (fam.) rondiner, rosserz 
battre violemment ; donner des coups de zon- 
din. (Ag.) Vexer ; tourmenter. 

"+ Arorrina,s. f. l’arrivage d’un vaisseau 
an port. 

ApoatiD0, A,P.P. d’Aportar. 

f APORTALECER, 0. 9. commencer ä parallre 
Alavue du port. Il se dit des vaisseaux qui 
s’approchent d’un port. 

APORTAMENTO, 8. m. arrivage au port, l’a0- 
tion d’aborder, de prendre terre. 

AroaTia , v. a. conduire, apporter & un port 
ou & queiquo autre endroit. v. ». aborder, 
prendre terre, d&bargquer, arriver. st. Arriver 
dans un lieu quelconque oü !’on se dirigeait. 

+ AroaTELLiÄnO , s. m. juge ancien qui sie- 
geait aux pories des grandes villes pour adıni- 
nistrer la justice aux villages ot aux bourgs des 
environs. 

APORTILBADO, P. P. d’ 

APORTILHAR , v. a. falro une ouverliare & une 
muraille pour pouvoir y passer. Faire des em- ’ 
brasures pour le canon. 

Arcarınsaa. V. Aporlülker. 

APORTUGUEZIDO, A, adj. qui a pris les cou- 
tumes et les manidres des Portugais. Traduit, 
mia, faiten portugeis. p.p.d’ 

APORTUCURZÄR , ©. a. rendre portugais; don« 
ner une terminaison, une inflexion portugalse 
& un mot d’une autre langue ; donner le ton et 
les manieres portugaises. 

t APORTUCUEZAR-SE, v. r. prendre le ton, ie 
maintien , les maniöres portugaises. 

* APORTUNAR. V. Imporiuner. 

* Arorruxas. V. Perluchas. 

Arös, prep. aprös, depuis, derriöre. — iss0, 
puis, ensuite; apres cela. Correr — alguem, 
courir apreds quelqu’un. 

APOSENTÄDO, &, ?. 9. d’Aposenlär et adj. 
loge; admis Ala reisaite, Emerite; renvoy6, 
romerci6, d&place. 

APOSENTADOR, 5. mı. celui qui loge. Celui qui 
marquait le camp que devait occuper une ar- 
mee dans l’ancienns milice. Fourrier, marechal- 
des-logis : offleier ebarg6 de marquer les loge- 
ments , soit des gens de guerre „ soil. de la suite 
du souverain. — mör, grand marechal du pa- 

lais. —do arraial , mar6chal de camp, 








116 APO 


Arosentanorla , 3. f. "droit d’hospitalits : 1e 
privilege de prendre pour sol le logement d’an 
autre ; charge et juridiction du grand marechal 
du palais. 

APOSENTANRNTO, a. m. logement : P’action de 
loger. V. Aposento. 

ArossnTän, v. a, loger, donner ä loger. Ren- 
voyer d’un emploi avec la pension de retraite. 
($g.) Accusillir. 

ÄAPOSENTAR-SE, ©. F. 80 loger : prendre une 
habitation. Avoir son cong6, se relirer d’un 
emploi. 

APOSENTINHO, 3. m. dim. d’ to. Cham- 
breite, reduit, petite chambre. Logette : petite 

oge. 

APOSENXTO, 8. m. appartement : logement de 
plusieurs piöces.°Chambre d’une maison. * Loge 
des theätres. Auberge , logement. — da cörie, 
logement des personnes attachees & la cour. 

Arösıma, etc. V. Apözema , etc. 

Arosıor8ss os APosioP&sıs, 8. f. (f. de rh£t.) 
aposiopese : reticeno®. 

} Arösp&LLo, ade. contre la direction du 
poil : & contre-poil. (fg.) Violemment, aveo 
contrainte; & rebours , a l’envers, & revers. 

Arossino, A, 9.9. d’ 

APOSSAR, v.G. melire en possession. 

APOSSAR-SE (de), v. r. prendre possession, 56 
mettre en possession. S’emmparer, se saisir d’une 
chose comme y ayant droit. 

APOSSEAR, etc. V. Apossar, ele. 

Arösta,, 3. f. gageure, pari : l’action de pa- 
rier. De,ou por—, loc. adv. V. Apostadamente. 
A’ — ou d’—( fam.) en oonourrence, en preöten- 
tion d’egalite, Al’envi. 

ÄPOSTÄDAMENTE , ado. exprös, A dessein ‚de 
propos delibere ; avec prämeditation,, avec re- 
Nlexion. 

ArostiDO, A, p. p. d’Aposier, et adj. r&so- 
iu, delibere, determine, ferme dans sa r6so- 
lution , attach€ & son opinion. 

* APOSTANENTE. V. Concertadamente. 

* APOSTAMENTO , 5. m. air, maintien , port 
d’une personne. V. Adorno, Compostura. - 

ArOSTAR, dv. a. parier, gager, faire un pari. 
Defier, faire un defi. Poster du monde dans un 
lieu. Parer. V. Adornar, Compor. ll est vieux 
dans cette acception : Apdsto que ndo ds capas 
de... je vous defie de... Aposto que ndo ade- 
vinhas quem m’o disse, jo vous defie de deri- 
ner qui m’a dit telle chose. . 

APOSTAR-SE, d. r. 56 piquor d’&mulation, ri- 
valiser ; s’engager, deliberer, se determiner, 
prendre la ferme resolution de faire quelque 
chose. Se parer, etc. 

Arostasia , s. f. apostasie : abandon public 
d’une religion pour une autre. Il se prend en 
mauvaise part, et sedit plus particulierement du 
renoncement & la religion catholique romaine. 
—, renoncement d’un religieux A ses veux. 

AröstaTra, 3. m. apostat : celui qui aban- 
donne sa religion. —, religieux qui renonce & 
ses vaur. 

APOSTATÄDO, A, P. p. d’Apostater. 


APO 


Arostarin, o. w. apostasier : abandenner sa 
religion. —, Fenoncer ä ses voux, en parlant 
d’un religieux. 

Arostkua ,s. f. ((.dem£d.)" aposiöme , apos- 
thume, abces : enflure exterieure avec putre- 
faction. 

* Arostsuacil,. V. Apositme. 

ArOSTEMÄDO,A,P.p. d’ 

APOSTEMÄR, ©. a. Causer un apostöme, un 
abcös. 

APOSTEMAR-SE , ©. r. apostamer, abobder ı 
se r&soudre en abo6s. (fig.) Sefächer. 

APOSTENÄTICO , A, (6. de med. p. us.) contre 
P’aposteme. 

Arostzutıro, s. m. (1. de chir.) bistouri 
pour ouvrir les apostemes. 

+ Arosteu0so, A, adj. de Papostöme. 

* Arostia ow ArostiLua. V. Imposturs. Per 
— ‚calomnieusement, 

APOSTILLA, 3. f. apostille : petite note & la 
marge d’un dcrit. 

AroSTILLÄDO, A, 9.P.d’ 

ArostıLLir , v. a. apostiller : metire des 
apostilles & un &crit. 

Arosrtısso. V. Postigo. 

AP0sTo, A, adj. bien place; par, bien mis, 
bien equipe. 

AröstoLa, s. f. femme apötre. 

ArosTOLÄDO, &. m. apostolat : congregation 
des apötres; ministere d’ap6tre. Les images 
des douze apötres r&unis. 

APOSTOLÄR,, ©. n. exercer le ministöre d’a- 
pötre. “ . 

* ArostoLicaL , adj. V. Aposlölico. it. s. pr&- 
tre , ecclesiastique. 

APOSTÖLICAMENTE , ado. apostoliquement : & 
la facon des apötres. Conformement & la’ pau- 
vret& apostolique. 

ArostoLicıpäne, 8. f. apostolleite : oonfor- 
mite d’opinions avec l’Eglise, de maurs aveo 
les apötres. (1. de (heol.)"Caract£re, note de 
veracite de l’eglise catholique, d’etre fondee 
par les apötres et de conserver leur docirine. 

+ ArostoLicisuo, s. m. apostolicisme : doo- 
trine apostolique. 

ArostöLıco, A, adj. apostolique : qui vient 
des apötres ou du pape, qui leur appartient. 
Notario — , notaire apostolique: qui fait des 
expeditions pour Rome. s. m. —, qui fait de 
Papostolicisme. it. (an$.) Le pape. 

APöSTOLO ,s. m. apötre : chacun des douze 
disciples de J.-C.—, premier missionnaire d’un 
pays. On donne quelquefois co nom & un mis- 
sionnaire zeie. Aposiolos, pl. (ant.) lelires ac- 
cordees par les juges occlösiastiques & ceux 
qui appelaient de leurs sentences. *£. " Dimis- 
soire. 

APOSTOLORUM (unguenfo), (4. d’ancienne 
pharm.) nom d’un onguent pour guerir les 
plaies. 

APOSTROFAR, eo. V. Aposirophar, eic. 

APOSTROPRBÄDO, A, P.P.d’ 

ArOSTROPLÄR,, d. @. aposiropher : se delvar- 
ner do son discours pour adresser la parole 


APO 


avec rähtmence & quelquo personne ou & quel- 
que chose. 

Aröstrorme, 8. [- (1. de rel.) apostrophe : 
tere de rbetorique par laquelle on adresse 
mementan&ment la parole ä des choses ou & 
des personnes, auxquelles ne s’adresse pas di- 
reeteınent le discours. 

APÖSTROPHO,, 5. m. apostrophe : signe en 
ferme de virgule, qui indique l’&lision d’une 
voyelle. 

*Arosrönı, 5. f. gentillesse, air, maniere : 
maintien agreable d’une personne. *Ordre, 
benne dispesilion , arrangement. 

TAarosteras, s. f. pl. (l. demar.)"porques : 
pieces de bois postes sur la carlingue, et pa- 
rallöles anz verangues, sorvant A lier les pieces 
gei forment le fond du vaisseau; membres sur 
erai 


ValgTage. 

APOTECHA. 

APOTECHATA. | V, Apophihegm... etc. 

APOTENA. 

APOTENTiDO,A,P.Pp. d’ 

APOTENTÄR, 0. a. rendre puissant. 

APOTENTÄR-SE, v. r. devenir puissant, 

ArTEOSE, ete. V. Apotheose, etc. 

Arorstua, s. m. (1. de geom.) apothöme : 
perpendiculaire mende du centre d’un polygone 
regalier sur un de ses cötes. 

Arorneosar. V. Divinizar. 

Arorwtose ou Arormtosıs, 8. f. apötheose: 
@eiication d’un heros , d’un empereur mort, 
Geremonie pratiquee par les Romains. 

tAroroumo, s. m. ( f. d’algeb.) apotame ; 
diätrence de deux quantiles incommensura- 
Dies. 

APOTCAÄDANENTE , adv. pelitement, basse- 
ment, läcbement , avec pusillanimite; mesqui- 
Dement,, avec parcimonie. 

Aroccim0, A, pP. p. d’Apoucar et adj. pusil- 
lanime, faible; abject, meprisable, vil, bas. 
Homem —, komme sans cur, timide, meli- 
euleux ; qui n’a pas de talent. 

Arovcaner, A, 3. celui qui amoindrit, qui 
diminue , qui rabaisse,, oie. ]l est aussi adj. 

APOTCABENTO, 3. m. * diminulion ,amoindris- 
sement, retranchement, döcroissement. * Pusil- 
ianimitt, honte, bassesse, lächel#, decoura- 
gement. 

Aroccar, 9. e. diminuer : apelisser; rölre- 
«ir ; ameindrir; reduire; restreindre; resser- 
ser. (Ag.) Bavilir ; abatıre l’esprit, le courage. 

ArPOBCAB-SE, 0. r. s’amoindrir, deoroitre , di- 
inner, se rendro moindre, plus petit; s’abais- 
Ber, ve ravaler, s’humilier ; so decourager, s’a- 
bandsnner, se negliger, s’arrierer. 

Arourin , ete. V. Poupar. 

APOBOUENTÄDO, A,9.P.d’ 

APOOQUENTÄR, 9. & reduire A pen, diminuer 
de neenhre; exienuer, opprimer, vexer. 

* APOUSENTANENTO, eic. V. Aposenlo , eic. 

Arortip0,A,P2.9.d 

+ AroutaR, 90. a. ein. p. us. jeter une pierre 
(qu’en appelle pouia) attachee au bout d’un 
«ible pour anorer un bateau. 


APP 


Arovan, etc. V. Apoiar. 

APOzEMA ow Arozima, 4. m. (l. de pharm.) 
apoz&me: potion faite d’une coclion d’herbes 
medicinales. 

ArPARÄDO, A, P.p. d’Apparar et adj. par, 
concert&, orne. (fig.) Elegant. ‘ 

ÄPPARAMENTAR , etc. V. Paramentar. 

APPARAR. V. Apparelher. 

APPARATÄDO, A, 9. pP. d’ 

APPARATÄR, vd. a. garnir, orner: faire de Y’ap- 
parat, de l’eclat. 

ArrariTO, 3. m. preparalif, disposition, 
appr£&t.° Pompe, appareil, ostentation, apparat, 
eclat. 

APPARATÖSAMENTE,, 0do. avec apparat, avec 
de grands pre£paratils, aveo pompe, magnill- 
cence,, somptueusement, splendidement. 

APPARATOSO, A, adj. pompeux, splendide, 
magnifique, grand; superbe, bien ordonne, 
ajusie 

” APPARECENCA. V, Apparigdo. 

* APPARECENTE. V. Apparenie, Visivel. 

ÄAPPARECER, ©. %. apparaltre, se imonlrer, se 
presenter, @tre vu, se faire volr d’une maniere - 
imprevue. Paraltre : se montrer quelque part; 
se troureren quelque endroit. —emjuizo, com- 
paroir : comparaltre en justice, devant le tri- 
bunal. Quem ndo apparece esquece , los absents 
ont tort. 

APPARECIDO , A, pP. p. d’Apparecer et adj. qui 
vient de paraltre. Seja bem —! expression fa- 
miliere qu’on emploie & l’arrivee d’une per- 
sonne que P’on.ne voyait pas depuis longtemps: 
soyer le bien-venu. 

APPARECIMENTO, 3. m." apparition, l’action de 
paralire, de se faire voir. 

APPARELHÄDO, A, P. p. d’Appareihar et adj. 
ajuste, approprie, propre, assorti, propor- 
tionne, convenable; prepar6, dispose, pre&t ä. 

APPARELHADOR, A, 8. appreteur: celui qui 
appr£te, qui pr&pare, qui dispose. Appareil- 
leur : ouvrier qui trace le trait, et coupe la 
pierre pour celui qui la taille. Contre-malire: 
inspecteur des ouvriers. 

APPARELHANENTO, 3. m. l’action de preparer, 
de disposer, d’appreter. 

APPARELHAR (para), v. a. pr&parer, dispo- 
ser, appröter. Enharnacher un cheval, une bete 
de somme,, embäter. (f. de mar.) Agreer, greer 
un navire, le mettre en elat de pouvoir navi- 
guer. (f. de peins.) Appräter, imprimer une 
toile pour un tabieau. Appareiller : donner des 
mesures justes pour tailler les pierres ‚le bois, 
suivant les places oü il faut les poser, les tra- 
vailler, les pröparer. —a virar, (1. de mar.) pa- 
rer & virer. — um masiro, (id.) garnir, ow 
greer un mät. . 

APPARELHAR-SE, ©. r. appareiller; se prepa 
rer & faire quelque ohose , se disposer, se tenie 
pröt; s’babiller, se coiffer, se parer. 

" APPARkLHO, 8. m. preparalil, sppret, dispo- 
sition. Harnais do cheval ou de bete de somme. 
(4. de mar.) Apparaux,, agres, volles, cordages, 
poulies, et tout co qui est necessaire pour met- 


117 


118 APP 


tre un vaisseau en dat de naviguer; mouffle, 
palan, caliorne. (f. de peint.) ° Impression : 
premidre couche sur une tolle & peindre. Ap- 
pareihos, pl. appareils, instruments, outile 
necessaires & quelque art ou melier. (f. de 
peint.) Tout ce qu’il faut & un peintre pour im- 

rimer dcs tolles et pour dorer. Attirail: nom- 

re etdiversit6 dechoses necessaires ä quelque 
objet, — da alonia da barcaga, (1. de mar.) ca- 
Niorne : haut du mät d’un ponton servant & re- 
lever le vaisseau.— real, (id.) Palan & caliorne. 
— do ldis, caliorne de bout de vergue. — do 
estdi, caliorne d’etai; palan d’elai, ou de 
charge. -- com amanle e estralhfira, (id.) Pa- 
lan & &lague. ZBlla do —, (id.) Garant d’un 
palan & caliorne. Guia do — do convez, (id.) 
Draille du palan d’etai. — do turco, (id.) Ca- 
pon. 
APPARENCIA, 5. f. apparence, air, semblant, 
faux-somblant; ce qui paralt au-dehors ; vrai- 


semblance, probabiliie. Homem d’—, homme | pe 


d’importance , de consideration. 
ÄAPPARENCIAZINUA , 5, f. dim. d’ 
ATPARENTE, adj. 2 gen. apparent, specieux, 
faux, faclice. Apparent, visible ; vraisembla- 
ble ei paralt verilable, probable, feint, si- 
mule, 


APPARENTEMENTE, adv. apparcmment, 0M 
apparence ; sous couleur, sous pretiexte. 

Arpanıcäö, s. f. apparition: manifestatien 
d’un objet , d’un ph&nomene, etc. Vision. 

AppeLLackö, 6. f. "appel, appellalıon, re» 
cours, interjection d’appel.(Ag.) Ressource, re- 
möde. Näo ter — nem aggravo, (fam.) N’&- 
voir point de remöde, de ressource, d’espoir. 
— das gales , (1. de mar.) palamentes ı los Fa- 
mes d’un bAliment de mer, eto. 

APPELLÄDO , A, P. p. d’Appellar. 

. ZyPELLAMENTO, s.m. V. Appellapdo , (t. de 
mar. 

APPELLÄNTE, adj. 3 gen. et s. appelant, qui 
appelle d’un jugement, p. a. d’ 

ArrELLän (de), v. ». appeler d'un jugemen 
6mieltze appel, interjeler appel. — (a, para 
(fg.) Recourir & queiqu’un, & queigue expe- 
dient: se replier. Appellar o doenie : se tirer 
d’une maladie jugse mortelle, €chapper. 

APPELLATIVAMARTS, ado. dans l’acooplion 
appellative, 

ArrzıLarivo, A, adj. (l. de gram.) appella- 
uf. Il se dit d’an nom qui oonvient & toutes une 


esp&oe. 

ArPELLATÖRIO , A, adj. relatif A l’appellation ; 
qui oontient les raisons de Pappel. 

ArrgLLiveL, adj. 2 gen. (f. de pres.) dont 
on peut interjeter appel. 

ArPzLLıDino,, A, P. p. d’Appellider, et adj, 
dit, surnomme,. 

} APPELLIDADOR, A, 3. Oelui qui surnomme; 
qui appelle, convoque du monde pour une ex- 
pedition. 

APPELLIDÄR, ©. 6. surnommer. Prociamer. 

peler, convoquer da monde pour une expe- 
dition. — por : appeler quelqu’un, le 


APP 


faire venir, le mander. (fg.)Exciter, 6&mouvelr, 
raviver. 

APPELLIDAR-SE , ©. r. 56 surnommer, avoie 
un surnom. 

ArPpgLLino, s. m. nom, surnom, nom de fa- 
mille. Le nom particulier que l’on doune@ä cer- 
taines choses. Appel, convocalion; cri de 
guerre ,„ signal pour se preparer au combat. 
4’ voz d’—, par convocalion. 

AppkıLLo ,„s. m. V. Appellagäo, 

APPENDICE 08 APPENDIX , 6. m. appendice : 
sapplement & la fin d’un ouvrage; ce qu’on 
ajoute, 66 qui ent ä& une auire chose; (f. de 
bot.) prolongement dn petiole. 

APPENDICULÄDO, A, adj. (1. de bot.) appendi- 
cul&ı termind par des appendices (petiole). 

ArPenpicuLo, 3. m. dim. d’A ‚ap 
pendicale : petit appendice. 

PENDIX, V, Appendice. 
APPENSÄDO, A, P. P. d’Appensar. V. Ap- 


n0. 
Arpunsin, 0. &. (4, de praf.) appendre: pen- 
dre, atiacher ; joindre. 

Arptuso, A, adj. (4. de pras.) annexe, joint; 
pendu , suspendu, attach&. 

APPETECEDOR, A, 3. celui qui desire ar- 
demment quelque chose ; desireux. 

ArPETEcER , v. a. desirer fort, souhalter ar- 
demment, rechercher avec passion, aspirer &, 
pretendse, aimer, demander, aınbilionner, Ccon- 
voiter. 

Arrutecioo, A, P. pP. d’Appelscer, ei adj. 
(de, por) desir6, recherche, convoite. 

APPETECIYEL, adj. 2 gen. appelissant, dösira- 
ble, convoitable. 

Arperknca, s. f. "appälit: envie, desir, be- 
soin de manger. Appslence : aclion d’appeter. 

* APPETENTE. V. Appelecivel, 

° Arprın. V. Desejar. 

+ Arrerırin, 9. a. excilor l’appeüt. 

APPETITE, 8. m. appelit : inclinalion,, faculid 
par laquelle l’äme se porte & desirer queique 
chose. —, desir, envio, besoin de manger. Ce 
qui excite l’appetit, 

* ArratıtıygL. V. Appslscivel. 

APPETITIVO, A , adj. appetitif, concupiscible. 

APPETITÖSO, A, adj. appetissant, ragoülan!. 
Qui desire ardemment quelque chose ‚, qui en a 
l’envie. Capricieuz, qui 36 laisse gouverner par 
sos desirs. 

* ArpırıveL. V. Appstecivei. 

APPLAUDENTE, V. Applaudidor. 

ArPLAUDIDO,, A, P. p. d’Applaudir. 

APPLAUDIDÖR, A, 5. applaudisseur : qui ap- 
plaudit beaucoup. 

ArPLaupia, v. @. applaudir, approuver, louor 
08 que fait ou dit une personne. ‘ 

APPLAUSITSL, adj. 2 gen. digne d’ötre ap- 
plaudi. 

ArpLiuso, s. m. applaudissement: grande 
approbalion exprimee par des baltoments de 
mains, par des aoclamations, el0. 

AppLicacäö,s. f. application: Paotion d’ap- 
pliquer. Adsptation. Apposition. Destination. 


APP 


‚application au travall, ä Pätade, elc. 
‚Auachemnent, soin, Contention d’osprit,, alien 


tAreuschna, 0. f. (i. de gdom.) ordonnde : 
ligne dreite tir6e d’an point de la circon[örence 
duns oourbe perpendiculairement & son a1®. 

APPLICKDANENTE, adv. arco application d’es- 
peit, avec assiduits, avcc Soin. 

APPLICADISSINO, A, adj. sup. d’ 

Arruscine, A,P. pP. d’Applisar, et adj. allen- 
er attache,, occup6; studieux, qui aime r6- 
tade. 

° ArrLicantuzo. V. Applicegäo. 

*Arrucizeo, A, adj. qui doit ow peut ötre 
pplique. 

Arrusciurs, s. m. colui qui applique. 

ÄrFLICHR, ©. 6. appliguer : metire une Ohos® 
sur une auire de maniöre qu’elle y adhere. 
Adapter ; affecter;; destiner;; approprier ; auri- 
buer; adjuger. — algusm a uma proßssdo ou 
sgercicie , destiner gaslqu’un & une profession 
on ezereite. — 0 owoido, präter l’oreille, d00u- 
we stientivement. 

ÄPPLICAR-SE (a), v. 7. B’adonner, s’appli- 
quer, vattacher A, s’occuper de. 

+ ArsLıchra, adj. pl. (1. de möd,) applicala : 
ehoses appliqutes. Ex. Cosmötlques , cala- 


plasınes , etc. 
Arruscativo, A, adj. V. Applioavel. 
ArruicäveL, adj. 2 gen. applicable : qui peut 
&re applique. 
ApröR, 9. 6, apposer ı appliquer, mettso 


Areosıciö,, s. f. spposition ı l’action d’appo- 
ser. (1. de phys.) Jonction des corps. (1. de 
gram.) — , union de deux substanüifs. 

Arrösııo, A, adj. convenable. 

adj. p. ws. appose, ajoute; 
adapte. p. p. d’Apper. 

« Apraccarivo, A. V. Doprecalivo. 

APPREBENDENTE, P. 0. d' 

Arspazuznpta, v. a. apprehender: prendre, 
saleir, arröter, s’emparer, 80 rendre malire de 

u’an ; imaginer, croire sur un leger fon- 
dement. (Ag.) Entendre , percevolr, concevolr; 


eraindre. — es bens, (1. de prai.) sequesirer les to 


biens , los saisir. 

APPRanENDIioO, A,P. P. d’Apprehender. 

Arsausensiö,s. f. prise, prise de Corp®. 

j ‚ pröoeeupation. Baisie de biens. 

Osainte, peur. Simple idee qu’on prend de... 
ans porier de jugement. Fayer —, (.de pras.) 
Jaisir. 

+ ArPnEBENSIBILIDÄDE, 3. f. apprehensibilite: 
qualitt de co qui peut ötre saisi. ’ 

+ Arparuensiva, 8. fı (b. de phil. each.) Ia- 
euitö apprebensive de l’äme, imagination. 

APPREHENSIVAMENTE, ade. avco apprehen- 
sion , avec pr&occupalion. 

ArFREBENSIVEL, adj. 2 gen. susceplible d’ap- 
prebension. 

ArPannEnsivo, A, adj. appröhensif, timide, 


craintif, quicraint, quia peur sans fondement, 









































APR 119 


Qui congoit les »boses trös-vivament. Qui ap- 


partient & l’eppröhsnsion, lacults de ’bomme. 

APPREBERSO , A. V. Apprehendido. 

+ APPREHENSOR, s. m. Gelui qui salsit, qui 
prend,. 

+ APPREHENSÖRIO, A, adj. P. us. 
saisir, & prendre. 

APPREMAR ei APPAENER, V. Apremar, elC. 

Arranuıan, oto. V. Prossier, elo. 

ArTPREMIR. V. Apremar, 

Arpasnei6. V. Apprehonsdo. 

* Appnessiö,eh APPRESSO. V. Oppressäo, all, 

° Arpnıcan, V. Applicar. 

* Apprınır. V. Opprimir. 

ArpaoBATivo, A ‚adj. approballf, qui mar- 
que l’approbalion. 

ÄPPRORATÖRIO, A, adj. qui approave, qu 
renferme une spprobalion. 

Arrrorınquacaö, 8. f. proximile, rappie 
chement. 

ArpaorınquAno, A,Pp- pP. ld’ 

APPROPINGUAR-SB, 6. r. S’approcher, devenie 


qui seri & 


proche. 


APPROPRIAR, ot6. V, Apropiar, Cto. 

Arraorackö,s. f. approbalion: l’action d’ap- 
prouver;; suffrage. * Consentement, ratiicalon 
d’un contrat. 

APPROVÄDANEKTE , adv. avec approbalion. 

APPROYADISSINO, A , adj. sup. d’ 

Arprovino, A, P. p. d’4pprovar, ei ad). 
avou6 par le gouvernement, par un superieur ; 
appronre. Admis, recn, agree, 

ÄrPPROYADÖR, A, 5. approbateur : celui qui 
approuve. 

ÄPPROVÄR, d. &. approuver, agröer; CONSEN- 
tir &. Recevoir, admettre. —, Juger louable, 
irouver digne d’estime. Entöriner, homologuer 
un acte. Allouer une depense. 

APPROVATIVO, A. V. Approbalivo. 

APPROYÄYEL, odj. 2 gen. digne d’approba» 
tion. 

ArproxımaGkd,s. f.*rapprochement: Paction 
de rapprocher. (f. de malh.) Approximalion s 
calcul, valeur inexaote, mais approch6e , d’une 
quantits cherchee. 

APPROXINMÄDANENTE , ade. par approxima- 
n. 

Arraoxıuino,A,P.P. 0 

APPROXIMÄR, d. &. approcher, 
pres. Approximer: ressembler un peu; 
irös-voisin. 

ÄPPROXIMAR-SE, 9. r. s’approcher; 50 Füß- 
sembler un peu; #ire Irds-voisin. 

APPROXIMATIYO, A, adj. approximailf : qui 
s’approche. 

® ApracaR. V. Aplacar. 

u ArBAINAR. D. A 

® APRAMAR. 7. . 

° APRASMAR. V. Drermor, Incropat‘. 

® aprasumo. V. Prasme. 

Aynazino, A, Pp. p. d’Aprasar. 

Arnazapön,A,s V. Em . 

APRAZAMENTO, 8. M. sjournement, assigua- 
tion , action d’ajournef, Wassigner. V. Prase. 


melire al- 
dire 








120 APR 


APRAZANTEIRO, V. Praxenleire. 

APRAZÄR, ©. 6. Assigner, marquer, fixer, de- 
terminer le jour, le lieu pour faire une chose; 
ajourner. 11 est aussi r&ciproque. 

+ Araazenön, A, s. celui quicherche & plaire 
& quelquw’un. 

APRAZENTE,, adj. 2 gen. qui plalt. 

ÄPRAZENTEIRO, V. Prazenteiro. 

Aprızöa, vo. ». plaire. V. Agrader. Isto me 
eprdz, cela me platt fort. 

Apnazer-SE, v. Tr. avoir, &prouver du plaisir; 
se röjouir. 

* Aprazenino, A, adj. donne aux plaisirs, 
V. Prazenteiro. 

ArkızısıLıpäne, 8. f. afabilil6, doucsur. 

APRAZIBILISSIMO, A, adj. sup. d’Aprasivel. 

Arkızido,A,P.P. d’Aprazer. 

APRAZIMENTO, s. m. plaisir, contenlement; 
approbation , agr&ment, consentement, permis- 
sion, bon plaisir, 

APRAZIVEL, adj. 2 gen. agreable, besu, 
charmant, delicieux, divertissant, amusant. 

APRAZIVELMENTS, adv. agröablement, deli- 
eieusement, joliment, d’une maniedre char- 
mante, & plalsir, avec grace, galamment, plai- 
samment. 

° APRAZNENTO. V. Aprazimenio. 

A’raz! interj. fam. pour marquer le dögoät 
ou !’aversion. Ne m’en parlez pas, allez, reti- 
res-vous d’ici , ötez-moi cola, etc. Dianire! 

APRECÄDO, A, P. p. d’Apregar. 

t ArRECADOR, A, 8. estimaleur, appröcia- 
ter ; celul qui demande le prix d’une chose, 
qui la marchande. 

* APREGANERNTO,, 5.0." apprecialion,, estime, 
“valuation ‚ taux,, taxalion. 

+ APREGAR,o. 8. appröcier, estimer, &valuer : 
ınettre le prix & une chose. Marchander : de- 
mander le prix d’une chose. Il n'est plus usils 
qu’& cette dernidre acception. 

° Argeciver. V. Apreciavel. 

Arnzcıaciö, s. f. appreciation : estimation 
de la valeur d’une chose. 

ArascıiDo, A, p. p. d’Aprecier.- 

+ APRECIADOR, A, 5. appreciateur : qui ap- 

ie. Il n’est usit6 que dans le sens mo- 
rail. Deos d 0 justo — das accöes humanas, Dieu 
ost le jusie apprecisteur des actions humaines. 

APRECIÄR, 9. a. appreciär, estimer, &valuer. 
Juger du merite d’une chose. (Ag.) Apprecier, 

riser, estimer, faire cas. ll n’est usitd que dans 

e sens moral. 
APRECIATIVANENTE, ade. d’une maniöre ap- 


preciative. 

APRECIATINO, A, ady. apprecietil : qui mar- 
que Peppröclation. 

ArnecıkveL, adj. 2 gen. appreciable : qui 
peut #tre appröcid. Estimable : digne d’estime,. 

Aratco, s. m. "appreciation,, prisee, evalua- 
tion, valeur, prix, taux, taxalion: estimation 
de la valeur d’une chose. (fg.) * Estime, consi- 
deration , &gards qu’obtiennent les talenıs ‚lies 
sertus, eic. 


APR 
ArREcoino, A, 9. p. d’Apregar, et adj. 


publi6 & son de trompe, etc. 

ATREGOADÖR, A, 3. crieur : celui qui crie, qui 
prociame. (i}.) adj. qui publie, qui annonce, 

APRECOÄR, ©. @. crier, annoncer la vente 
d’une chose. Publier & son de trompe. (Ag.) Pu- 
blier, divalguer : rendre public. Dire da bien 
de quelqu’un en publie, pnbiier ses beuneg 
qualites, 

APREGOAR-SE, v. r. se vanter, parler de sol- 
möme, faire son propre &loge. 

ArrENiDO, A, 9. 9. d’Apremer. 

APREMADOR, 4,3. V. Oppressor. 

APRENAR, ©. «. V. Aportar, Opprüsir. 

Arazuıan , ete. V. Premier. 

APRENDER, 9. 4. apprendre : acquerir une 
connaissance : mettize dans sa memoire, ap- 
prendre par omur. «4. antig. Deoourvrir, con- 


en znDipo, A,Pp. p. d’Aprender. 

APREnDiz, A ‚s. apprenti : celei qui apprend 
un metier, adj. )-—, novice ; peu babile &, 
en quelque chose ; celui qui n’a pas scquis de 
Pexperienee d’un art, dans la guerre, oic. 

APRENDIZÄDO ou APRENDIZAGE,, s.m.ouf. 
apprenlissage : tat d’un apprenli ; temps qu'il 
met & apprendre son mölier. 

Araznsino. V./J 

Araensi0. V. Apprehensdo. 

Arnunsan. V./ . 

*Araıs, adv. V. 

+ APRESADOR, ..m.(b. de mer.) capleur, BES- 
neur d’un vaisseau, 

f APRESAUENTO, 3. m. — d’um navıe, (fd. de 
mar.) " vapture d’un vaisseau. 

f Arazsin, vo. a. (f. de mer.) caplurer, Pren- 
dre un vaisssau. 

APRESENTAChO, 8. f. presentation : l’aclion 
de presenter. — de la Vierge : f&te cölöbr6e par 
l’Eglise. — & un benelice. 

APRESENTÄDO, A, 9. P. d’Apreseniar. 

APRESENTADOR, A, 5. presentaleur : celui qui 
presente & un beneßce. L’introducteur des am- 
bassadeurs. 

APRESENTÄNTE, 9. a. d’Apreseniar , prösen- 
tant:: celul qui presente, ei s. (1. de com.) por- 
teur d’une letire de change. 

APRESENTAR, ©. @. piösenter : exposer & la 
vue ; montrer, faire voir ; introduire en la pre- 
senoe de. —, offrir, fsire present. — ‚, nommer 
& un böntfice. —, exhiber. — sespade, 
as armas, presenter la bataille, l’epse, les 
armes. 

APRESERTAR-SE, ©. 7. 56 prösenter, Ccompa- 
raltre : venir en presence” de, s’oflkir. 

ArazsıLnino,A,9.p.d 

t ArRESILHÄR , 0. 6. garnir de ganses; alta-. 
cher avec une ganse. 

° Arntso. V. Apresso. 

APRESSÄDAMENTE, adv. ä la häte, en häte, 
trop vıte. 


APRESSADISSIMO , A, adj. sup. d’Apressado, 


APR. 
Aranssiso, A, P. p. d’Apresser, et adj. 
Prease , prompt, niligent. 
APRESSADOR ‚A, s. celui qei presse, qui häte. 
id. llest aussi adj. pressant; urgent. 
APRESSÄR , ©. &. presser, bäter, acliver, &0- 
ellirer, faire & la bite. 
APnussin-sE, v. r. se häter, se presser de 
sire, s’empresser. 
Aradsso. V. Aprendido,, Sabide. 
APRESSURÄDANMENTE, ade. vite, 
promptement, en toute diligence. 
APRESSURÄDO, aA, P.Pp. d’Apressurar, et adj. 
se bite, qui se presse, qui fait diligence. 
Fresse » diligente, acctlere. 
APRESSCRAMENTO, 5. me." pre&cipitalion, promp- 
titude ‚diligence, häte. V. Presse. 
APRESSuRin ,v. a. häter, presser, acliver, di- 
ligenter, accelerer, faire ä la häte. 
ÄAPRESSORAK-SE. V. Apressar-se. 
ÄAPRESTADO, A, P. p. d’Apreslar. 
APRESTADOR, A, 5. celui qui apprete, qui 


prepare. 

APRLSTANENTO. V. Apresto. 

APRESTÄR, ©. @.appröter, metire en &tat, pr&- 
parer avec promptitude ; &quiper, faire des pr&- 
paratifs, des prorisions. 

APRISTÄR-SE,, v. r. s’appröter, se preparer, 
ve metire en &tat de ‚et se disposer ä; se pour- 
voir de. 

*ArRÄsıEunO, 

"Arnfstgs, 

* APgäsTımo, 

Ars£sto,s. m. appareil, appret, preparatif, 
piparation ‚ disposition. Aprestos d’umando, 
‘quipement d’un valsseau. 

APRIBORADANENTE. V. Primorosaments. 

Araımonino, A,p.p. d’Aprimorar, et adj. 
fait avee genullesse ‚„ #legance, perfeclion. 
(49) Insigne, accompli, parlait, acheve. 

APRINORAR, v. a. perlectionner, rendre par- 
fait, elegant, beau. 

APRIMORAR-SE, v.r. exceller dans un art, etc. 
V. Esmerar-se. 

Arassci80, A,P.P. 4’ 

Arnısciha, 9.6. &tabler : renfeımer le betail 
dans l’etable. 

Arnisco , s. m. *bergerie, &lable : lieu od !’on 
enlerme le betail. is. Gite, laniere, repaire. 
O sagrado —, (fig.) l’Eglise, l’assernblee des 
Sdeles. 


V. Prest... 


Arassıoxino, a, adj. emprisonne, fait pri- 
sonnser ; li, attache, assujetli, soumis, en- 
ehalne. 9. 9.d’ 

APRINONAR, v. G. emprisonner, mellre en 
prison, faire des prisonniers; enchalner. 

* Araısoin. V. Prender. 
APn0inO, A, p.p.d 
APROAR, e. a. (f. de mar.) metire le cap sur 
quelgqus endroit, y diriger sa route; eriter, 
leavoyer sur ses ancres. 

Arsöcuzs. V. Aprozes. 

*"Arnosıaa. V. Proßaor. 

*Arnorcupia. V. Profundar. 

* Arnör, ade. au profitde. 





APR 


Arnouprino, A,P.p. d’ 

AFPROMPTÄR, ©. 4. preparer, appreter, dis- 
poser. 

APROMPTAR-SE, v. F. s’appreter, se tenir 
pret. 

fAPRON, s. #t. apron: poisson d’cau doucc, 
aa genre du persögue , espece de petile per- 
che. 

APRONTAR, etc. V. Apromptar. 

Arnoposıtlnamente, adv. d’une maniere 
convenable. 

APROPOSITÄDO, A, adj. rassis, sens6; jusie, 
convenable. 9. p.d’ 

APROPOSITÄR, v. a. faire venir A propos. Ap- 
proprier,, proportionner., 

Arrorösıto, V. Proposito (a). 

Apnoprıacäö, 8. f. appropriation : 
d’approprier. 

APROPRIÄDAMÄNTE, ado. jusiemen!, aves 
propriöts, justesse ; d’une maniere exacie, con- 
venable. 

APROPRIADISSIMO,, A, adj. sup. d’ 

APROPRIÄDO, A, 9. p. d’4Aproprier, et adj. 
propre, convenable, utile, accommode, sor- 
table. 

APROPRIADÖR, A, 3. celui qui approprie ung 
chose,. 

ArroprıÄn, 9.6. donner en propriele. Ap- 
proprier, proporlionner: faire cadrer, rendre 
propre & sa destination. (Ag.) Accoınmoder, 
appliquer convenablement les circonstances ou 
la moralit6 d’un evenement au cas present, le 
discours ou les paroles au sujet gue l’on traite. 

APROPRIÄR-SE, ©. 7. S’approprier, prendre 
pour soil, s’attribuer quelquo chose, s’empa- 
rer de. 

+ APkÖöUVE, pr&t. ant. d’Aprover, ou Apra- 
zer, —aDeos, il a plu & Dieu. 

+ Arrovver, fub. anti. d’Aprover ou Apra- 
zer. Se— a Deos, si Dieu le veut. 

APROYRITÄDANENTE, adv. utilement,, avanla- 
geusement, convenablement, d’une manidr® 
utile, avantageuse, profitabie 4. 

APROVEITÄDO, A, 9. P. d’Aproveilar, et adj. 
&conome , mönager, qui proflte de tout. Avanc6 
dans V’ötude, dans la vertu, etc. Terreno bem 
— ‚ terrain bien cultive. 

APROVEITADÖR, A, 8. celui qui proßite, qui 
&conomise, qui menage ses depenses. 

APROVYEITAMENTO, 8. m. prolit, ulilile, avan- 
tage. Avancement, progres dans sa carriere, 
dans la vertu. 

APROVEITÄNTE, qui profite, p. a. d’ 

APROYEITAR, ©. a. profiter, metire & profi, 
tirer parti de; rendre utile, profitable; ame- 
liorer. Mönager ; employer utilement. — a oc- 
casido, me&nager l’occasion, en proliter, la 
saisir. 

APROYVRITAR, ©. ®%. proflter, servir, @tre utile, 
avantageux. (em) faire dcs progres. 

APROVEITAR-SE (de), v. Fr. profiter, lirer de 
l’avantage, de l’utilitö de quelque chose ; s’ac- 
commoder de; faire sa maln, se prevaloir. — 


121 


l’action 


daoccasiäo, prendre la balle au bond,. 


123 APU 


Amavırriver, elf. 32 gen. perltshle,, zei 
yet tie peslitt. 

* arnavırıdee.V. Prouslisse. 

* ara0via, 0.0. V. Apransr. 

Araaım03150,1,9-9-@ 

Arsovımenin, 0. 6. appuovisisnnez : faire 


A202130,8,9.9-@ 

rarsoxis, u.a. (I. de mil.) sppescher : 
Seire des spproches, 

Arsbıza,s. m. pl. (t. de mü.) spproches : 
WATEEE pour BTancer vers uns place 


ArRCHiDO,A, ». y.€ 
AmnzniR, ©. 6. mettrod’splomb , ou em ligne 
ieulalse 


gerpend . 

f Armee, s. m. pl. (1. dastr.) apeiden : les 
deu: points de Yorbite d’sn astze jo ples pres 
& le plus lein d’un auire asize. 

Ayrautste,ade.justement, convensblement, 
eonlormtment , suivamt los ConVenances, A PFO- 
900,00708 

Arrin, V. Adaptar. 

Arrtazs,s. m. Pi. (t. E’hist. nat.) aptires : 
Imsootes sone alles. 

Arrzaopr'ras,, 5. m. pl. (1. #’hist. nat.) aptb- 
rodyles : oisesuzx ä siles courles ei Sans pennes, 
qui plongent [scilement. 

+ Arsınonoros, s. m. pl. (f. d’hist. nat.) 
: esp&ces de gymnoles sans nageoire 


sdorsale. 
Arrıwiö,, s. f. aptitade, disposition ; capaciid 
nstarelle ou acquise pour quelque chose. 
„A, adj. P. us. rendu apte, V. Ha 
BMlllado. 
Arsissıno , A, adj. sup. d’Aplo. 
Arrırope. V. Aptidäo. 
‚adj.2 gen. qui consiste dans 
Yaplitude. 


dr10, a (pere), adj. apte : propre &, conve- 
+ Arvino, a, adj. quia des polnies, cribls 
de peintes. 


Arun-acra, m. laf. annex6b au procös-verbal. 

+ aroß, e.m. (1. d’Mst. nat.) apu6 : esptce de 
bodian du Beösil. 

Arusapuna. V. Apojadurs. 

AruLap6na. V. Palo. 

* Arcuuino, A, eie. V. Apinhado, eic. ou 
Empunkhado. 

ArunmaL.i0,A,P. Pd 
ArummaLia, v. 6, poignarder : frapper, bles- 
ser, tuer (queiqu’un) avoe un polgnard, 

° Arunmin, 9. a. empoigner ı prendre ou 
sorrerla polgnde de !’&p4e. is. Donner descoups 
de poing. 

Arurida, s. f. ’siliement, orlaillerin, hude 
usa fail oontre on apres quelgu’un;; chari- 
ve ® 

Arurino,A,9.p.d' 

Arurin,v. 0. eier, orialller, se railler de 


ARD 
quelqu'un ; kuss „faire des kmdes sgets nal» 
gun. 

Arte, s.m. V. Agupide. 
Aranıcid, & f. purißeatien, tparement ; 
, Ngaidatien de camptes. il. Dispais, 


‚recherche, 
choix, triage, examen, verificatisn ; depura- 
tion ; discussion ; larisseweni, 


Be ’ . 

net, au propre et au figure. Eclaireir, verifier, 
rechercher avec soim, faire de rigeurouses per- 
quisitiens, examiner ä fond , eplacher. Epuiser, 
tarir, consumer. Apurer, rendre net un comple, 
Debatire, discuter une queslion, eic.— s parien- 
eis, o seffrimenio, outrer, & bout, 
lasser la patience, choquer su dernier point, 
offenser grievement, vexer, impalienler. — @ 
mercadorie, vendre la marchandise au plus 
bast prix. — com alguem , presser vivement 
quelqu’un sur quelque chese. — « . 
peindre bien (en &crivant), perfectionner son 
tcrilare. — os cosiumes, adoucir les maurs, les 
polir. La meme chose se dit des hommes, des 
langues vivantes, eilt. 

APURÄR-SE, 9, r. 56 polir, se perfectionner, 
s’tpurer. — com alguem, se fächer avec quel- 
qu’un, se mettre en colere en le grondant. 

+AroRATIYO, a, adj. qui purifie. (4. de mdd.) 
Detersif, depuratüif. 

A’rurinane, loc. adv. V. Puridede (d). 

* Aruamir, vo. a. parler & l’oreille de quel- 


on. 

° Aronısmar. V. Supurar. 

+ Ar6no, s. m. &purement: &lat d’une chose 
€purte; quintessence; recherche, affectation. 
i$. * Detresse, extr&mite : situation fächeuse, an- 
goisse , grande affliction d’esprit; dificulte. Es- 
tar nos malores —ı, &tre aux abois. 

+ Arunrurino, A, adj. pourpre: ooulear de 
pourpre ; couvert de pourpre. 

+ Arırg-ıusi, s.m. (f. d’hist. nal.) apulö- 
juba : perruche d’Amerigue. 

+ Arva£crico, a, adj. (f. de med.) apyrecti- 
que : sans fiövre. 

Arınzzia, s. f. (6. de med.) apyrezie: Inter- 
mission , cessation de la fövre. 

ArYRo,A, ad/. apyre: qui resiste au few, 
qui ne s’y altöre pas; qui ne s’y fond pas. 

* 106. V. Agqwi. 

® AQUADRELANENTO, 3, m. "oonvocalion des 
habitanıs d’un bourg pour leur Imposer des 
charges ou des travaux publios. 








AQU 


® A0uapaELir, dv. a. convoquer les habitants 
Fun bourg, d’un village, etc., pour leur im- 
yeser des charges, eic. 

AQUADRILHÄDO, A, pP. P. d’Aquadrilker. 

AQtapriLHANENTO, 3. mw. Paclion de former 
des bandes ; attroupement. 

AgtapsıLnär, v. s. former des bandes; at- 
touper, asseımbler plusieurs personnes en 
troupe. 

Aquapaınik-sE, v. r. se r6unir en bandes; 
Kalireuper. 

“ Auvazcen. V. Acascer, Acomiecer, 

Aquaxmıiao, etc. V. Acomtiado, etc. 

Agriaıo, s. m. verseau , aquarius: un des 
doaze signes du zodiaque, Il est aussi adj. 

veuz. 

fAouanraLinpo, A, odj, Cavallo —, cheral 

ramass& 


Irapu, . 

AquantsLino, A, adj. p.p. d’Aquarlelar. 

AQUARTELANENTO , 5. m. l’action de loger un 
eurps de troupes dans les casernes, casorne- 
ment, campement. (Quartier de troupe, ca- 
serne. 

AQUCARTELÄR, ©. a. distribuer les troupes 
dans les quartiers, les camper, les caserner. 

AQUSRTELÄR-SE, D.T. prendfe des quartiers; 
se loger. 

AgtaatıLaino,p.p. d’Aquarfilhar, et adj, 
Vinko —, vin en detail. 

AguanrıLmanor, A,detaillear : celui qui vend 
ea detail (le vin, Y’huile, etc.). 

AQUARTILUÄR, 9.6. vendre parchopines ; ven- 
ärs en detail (le vin, le vinalgre, etc.). 

Aguirıco, A, adj. aquatique : plein d’eau, 
marteageux (terrain, eic.); qui habite, qui 
eroit dans }’eau (animal, plante ). Donzellas 
equaticas (1. de pods.) les nyınpbes de l’Octan, 
Nertides, 

Agvirıı,ow AqQuariue, adj. 2 gen. aquati- 
que : de Feau. Aquatile: quinalt et vit dans 
feau (plante); sabmerge ow flottant dans l’eau. 

+ AgQva-TınTa, s. f. (f. de peint.) aqua-linta 
os aqua-Unte: dessin au lavis; gravure qui 
fimite. 

°2ooe. V. Aqwi. 

AQuzanantin, eie. V. Qusbranlar. 

Aqutcee, v. a. chaufler, 6chauffer, r&chauf- 
fer. V. . 

Aqutcea, v.». devenir chaud, se chauffer, 
«’schaufler,. commencer & @tre chaud. 

Agcecen-se, v. r. s’echauffer. 

Agtfcivo, A, pP. p. d’Aquecer. 

Anttcıu#nto, s. m. schauffement : action 
et l'eflet de chauffer. 

*kovtcıuturo. V. Acascimento, Aconleci- 
weni, 

AQUEDÖCTO , s. m. aqueduc: canal souterrain 
os exterieur, souvent &iev& au-dessus du sol, 
pour conduire les eaux. 

"+ Aqusıxipamänte, adv. a la häle; aveo 
gene ; peniblement. 

* + AQqugıxautnto, s. m. "bäte; excitation, 
instigation; chagrin, peine, afllietion, tour- 
vor, 





AQU 128 


” T AQURIXAR, d. a. presser, obliger, forcer ; 
aflliger, chagriner, tourmenter, faire de la 
peine. 

* AQquzıxin-sg, V. Queixar-se. 

AQUELLE, A, pron. ddmonst. et adj. co, vet, 
eelul, celui-Iä, lui; cette, celle, celle-lä. Tode 
— que, quiconque, qui quece soit. Ndo deste, 
sendo —, ce n’est pas celui-ci, c'est celui-lä. 
— dia, ce jour-lä. — ‚ cet homme-lä. 
— que pensa bem, celui qui pense bien. Quel- 
quefois il signifie le möme. Jd ndo 4 Us 
que era d’antes, il n’est plus le m&me homme 
qu’il stait. 

* AQueııo, V. Aquello. 

AQueLL/OUTRO, A, pron. demonst., et adj. 
eet autre-&,, eelui-1ä. 

A’quem, adv. decä, au degä, en dech. D’4- 
quem, et d’diem, dech,et delä. Ficar —de, 
n’arriver pas & son but. Estar — de ‚ &tre inf» 
rieur &. Ficar — d’agua, d6choir de sos espt- 
Frances. 

* AQUÄME , 3, m, gOUYeFNeUr Maure,. 

f Agqutnsz , adj. 2 gen. de la ville d’Aiz, em 
France, 

AQquznrino, A,p. p. d’Aquentar. 

ÄQUENTANENTO, 5. m. 6ehauffement : Vaclion 
et l’effet de chauffer. 

AQnuentin,v.a. chauffer, &chauffer, r&chauf- 
fer. (fg.) Ranimer, mettre de la chaleur, de 
l’activite & faire une chose. 

ÄAQUENTÄR-SE, ©. r. se Chauffer, s’öchauf- 
fer, etc. 

fAQututesino, A, adf. qui habite en dega 
du Tage, au nord du Tage, p. ws. 

A’QquEO, A, adj. aqueus: de la nature de 
l’eau. V. Aquoso, 

° Aqußssg, A, pron. demonst. celul-jA, 
celle-lä, 

* AQufsta, V. Caso, Aconlecimento, 

* AQqutste, a. V. Este, esta. 

Aqui, adv. de liew, ol, jei, dans set endroit, 
dans ce lieu. -— deniro, edans, ici, dodans, — 
Jaz, ci-git. D—,d’ici, de lä, de oela, de oeci- 
D’= apouco, tanlöt, A laniöı, dans peu. D’— 
por diante ou emdianie, dor6navant, desor- 
mais. Bis =, v6s— ,— estd, volcl, voilä. Als 
— , jusqu’ici. D’— a alguns dias, dans quel- 
ques jours, D’— e d’ali, de tous cölss, de part 
et d’autre. D’— para ali, d’un cöt& & l’autre,. 
— d’El Rei !ı — da juslica! manidre de deman- 
der da secours , comme si l’on disait: Au se- 
eours! & la garde! — 4 que 4 ella ou foi ella 
(fam.) , c’est, co futlä le naud de Yaffaire. — 
fot Troya, il se dit d’une chose dont il ne reste 
plus de vestige. — te colho agui lo malo, aussi- 
töt pris aussitöt pendu ; on le dit pour marquer 
qu’il faut saisir la premiere ocoasion qui s6 
presente de faire quelque chose. Ndo passemos 
d’-— , demeurons-en IA, 

Aguıpucro. V. Aqusducto, 

® Aquısro. V. Isto,. 

" +Aomssckncıa,s.f. *assentiment, auquiesce- 
ment ‚, consenlement, 


124 AQU 


TAorızscha(a), v.n. acquiescer : defärer ; 06- 
der ; se soumelire „ consenlir ä. 

AQuisracid, 8. f. *calme, paix,tranquillits, 
repos. 

AQUIETÄDO, A, 9. p. d’Aquielar 

AQUIETADOR, 4,8. pacificateur, celul qui 

20. 

AQCIETÄR, 9. a. apaiser, tranquilliser, cal- 
mer, meltre en repos. Pacifler, concilier. 

AQUIETÄR, 0. %.0.—8E, ©. r. 8’apaiser, eic.; 
s’adoucir, devenir moins violent. 

+ AquiröLıo, a. m. (t. de bot.) chene vert, 
yeuse. 

A’gquıra. V. Aguila. 

f Anvına-aısa, 8. f. (t. de chim.) aquila- 
alba : sublims blanc, mercure sublim6 doux;; 
Bnuriate de mercure doux sublime. 

AquıLäö, s. m. aquilon: vent du nord. Agwi- 
iöes, pl. vents froids, orageux. . 

AQUILATäDO, 4,9. p. d’Aquilater. 

AGDILATADOR. V. Quilatador. 

AQUILATÄR, v. a. essayor de l’or ou de l’ar- 
gent, en determiner le titre.(Ag.) Estimer, eva- 
laer, priser, juger du merite de quelqu’ un ou 
de quelque chose. 

‚AQUILATÄR-SE , v. r. (fg.) Devenir plus par- 
fait. V. Acrisolar-se. 

AQUILECIA ‚8. f. (t. de bot.) ancolie ou ancole, 
plante vivaco flosculeuse d’ornement, Ires- 
belle. 

AqtıLHino, A, adj. (Embarcardo —a) qui a 
une quille (navire) Folhas — as, ( t.de bot.) 
feuillescarenees, qui ont unocarene.V. Quilka. 

AQUILIFERO , 3. m. enseigne : celui qui dans 
ehaque l&ögion romaino porlait l’aigle. 

AquıLino, A, adj. aquilin: courbe en bec 
d’aigle. Il se dit du nez et du visage maigre ei 
allonge, et aussi des yeux,, en parlant des per- 
sonnes qui ont un regard vit ‚Ppen6trantcomme 
celui des aigles. Qui appartient & l’aigle. 

AquiLLo, pron. neul., el 8. m. co, cela. 
— de que havemos fallado, ce dont nous avons 
parle. Quero d’—, je veux de cela. 

. A’quıLo ow AquıLon. V. Aquildo. 

AQUILONAL 0% AQUILONAR, adj. 2 gen. aqui- 
lonaire,, septentrional, bordal. 

AquıLönıo, A, adj. de l’aquilon. V. Agwi- 
lonal. 

AQuinHOänO, A, P. pP. d’Aquinkoaer. 

AQUINHOADOR, A, $. distributeur des lots, 
velui qui partage. 

AQUINHOAMENTO, 6. ws. parlage des lots. 

AQUINHOAR, ©. a. parlager quelque chose 
&galement, faire des parts ögales. 

+ Aguigui, s. m.(t. d’hist. nat.) aquiqui: 
alouette du Bresil. 

Aguızın, etc. V. Adquwirir, etc. 

* Anuısıro, A. V. Adquirido. 

. Aguısrän, v.0. obtenir, acquerir. 

* AQquısto „s. m. V. Ac 

} Aquırämma, s. f. (8. de geogr.) Aquitaine: 
anciennedivision des Gaules ; Guienne. 

Aquträmco, ou De l’Aquitaine ou de 

Aqtiräino, a,adj. a. | Guienne. 


ARA 


° Aotıram.V. 

* AQTOGOMBRÄDD, A. v. Acogombrado. 

Aqvosıpine, 8. Tr. (1. de med.) Y’humeer 
aqueuse , serositö; qualiue aqueuse. 

Aquöso,A,.adj. V. Aqueo. 

An,s.m. air: fluide &lastique et transparent 
qui enveloppe notre globe. Air, vent, et möme 
fluide en mourvement; !’un des principaux 
agents de la nalure; repats autrefois l’un des 
quatre elements. Se dit d’un gaz quelconque, 
v. g. — inflamavel, gaz hydrogene. — vital, 
oxygöne. — mepkilico, gaz azote. — fixo, gaz 
acide carbonique. (fg.) —;, manidre, facon de 
parler, d’agir, de marcher, de se conduire, de 
se vetir; ressemblance, attitude; taille, port, 
mine, physionomle, apparence. Furtar o—de 
corpo d’alguem , contrefaire les gestes, la de- 
marche de queiqu’un. — estrangeiro, pertgri- 
nits: air, manieres &trangeres. — coado, vent 
coulis, — encanado ‚ courant d’air, entre "deux 
airs. —de peste, air contagieux. Ramo d’—, 
paralysie. Pdo do —, cornes des animaux. 
Projeclos no —, desseins en l’air. Ester no —, 
&tre en SuSpens, en incerlitude; ne faire at- 
tention & aucune chose. Tomar o — , pren- 
dre l’air, respirer le grand air, se promener au 
grand air. Com bom ou mdo —, de bonne ou de 
mauvaise humeur, de bonne ou de mauvaise 
gräce. Estar com o pe no —, (fam.) &ire sur 
le peint de partir. Fazer castellos no —, laire 
des ch4teaux en Espagne: former de vains 
projets. Avistar no —, apercevoir au milien 
des airs. Ares; pl. les vents pr&dominants d’un 
pays ; climat. — pairios, air natal. Estrankor 
08 —, se trouver mal du changement d’air, 
de climat. Ir pelos —, (fam.) aller vite 
comme l’air, aller comme le vent. if. (Ag.) se 
mettre en colere , s’enrager. Beber os — ou 08 
venilos por... (Ag. fom.) soupirer apres uns 
chose, la desirer avec ardeur. Dar — a el- 
guem ou d’alguem, ressembler & quelqu’un. 
Vagar nos auf) circuler dans les airs. 

Arı,s. f. "autel: espece de table destinde 
aux sacrıfices. Pierre sacree sur laquelle on 
etend le corporal. 

Ara, [.(t. d’astr.) constellation australe 
pres du scorpion. 

" * ARABALLE. V. Arrabalde. 

+ ARraBATTaA, 8. f. (l. d’hist. nal.) arabalta: 
alouette de l’Or&noque. 

A’nasE, adj. 2 gen. Arabe : de l’Arabie, et s. 
—, habitant de l’Arabie; la langue arabe. 

AraBEsco, adj. arabesque: dans legenre des 
Arabes. —s, pl. (8. de peint. et d’arch.) ara- 
besques : ornements en rinceaux, feuillages, 
figures entrelackes. 

Arıpl, s, m. ancien magistrat qui gouvernait 
tes juifs en Portugal. 

Arisıa, 8. f. (ti. de gdog.) Arabie: grand 
pays d'Asie. 

Arabia, ou Anavia,s. f. "Arabe: langue ara- 
bique ; chose d’Arabie. 

7 AnasıiDO, 5. m. charge de l’arabl. V. ce 
mot. 


u > 








ARA 
AniBıco, 
AniBIGO, adj. arabique : d’Arabie. 
AuABIO, 


ARABISAR, ©. @. arabiser: donner un air, une 
krminsison arabique. 
AkABISWO, 8. we. arabisme : loculion arabi- 


"T Anasuran, sm. (ler. du Brds.) bresillet : 
beis du Br&sil. 

Anica,s. f."arack, arak ow tafia : liqueur 
ürte da sucre aux Indes Orientales. if. Eau- 
de-vie de cocolier, eau de riz. (f.de bot.) Gesse: 
plante lögumineuse. 

+ Anıcasch, s. f. (t. du Bres.) fruit du 
Breail. 


+ Ansca-wın ou ARACA-CUACU, s.m. (1. du 
Dres.) arbrisseau du Bresil, & fruit musque. 

+ Anıcäncz, s.m. (i. d’hisl. nal.) aracange: 

d’Amerique, variete d’ara rouge. 

FAnacami, 5. m. ($. d’hist. nal.) aracari: 
twecan du Bresil. 

+ Anıcaz, s. m. (l.du Breös.) [ruit du Bresil. 

+Anacaztıno, s.m.(t. du Bres.) arbre du 
Bresil qui porte l’aragaz. 

+ Ansc#s£ınos ou ARACHNIDES, 8. m. pl. (1. 
dkist. nal.) arachneides ow arachnides : ani- 
mau sans vert&bres aptdres. 

+ ArıcHNOIDE, 8. f. (. d’anat.) arachnotde : 
membrane du cerveau et de la retine. 

fArıcınäre, 5. f. aracinappis : esp&ce d’o- 
range de Finde. 

+Arıcoi,s. f. ’oiseau de l’Amerique sep- 
katrionale. 

"Anipa,s. f."terrain, champ labourd avec 
la charre. 


tAnipa,s. m. (l. d’hist. nal.) arada : four- 
milier de Cayenne, celebre par la douceur et la 
variet£ de son chant. 

Axnino,s. m. araire: instrument arstoire, 
machine (sans roues en Portugal) pour labou- 
rer la terre (quand il a des roues on l’appelle 
cherrue. V. ce nom). (fig.) Labonrage; cul- 
ture. Ndo d aki quepega 0 —, la difficulte n’est 
»as I. 

Aripo,A,P. pP. d’Ardr. 

Axınon, s. u. laboureur : celul qui laboure 
la terre avec la charrue. V. Lavrador. 

Anspörı, 5. f."labourage: V’action de labou- 
rer is terre. 

AnicE, ow ARAGEN, s. f. ° souflle l&ger du 
rent. 

Auscontz, A, adj. Aragonais : d’Aragon. 

} AnıcuacuA Os ESPADARTE DO BraziL, s.m. 
(1. #kist. nat.) araguasgua : poisson du Brösil, 
squale seie, diodon orbe. 

TAxsceiro,s.m. (tl. d’isi. nal.) araguato: 
singe reux de ’Or&noque, 

AriLpo,. V. Arauto. 

* Anıumk et Anauacas. V. Horamd. 

tAnsuiquz, s.m. (l.d’kist. nal.) arama- 
@ue : pleuronecie, argus du Bresil. 

Aslug,s. mw. sirain, cuivre jJaune; fl d’ar- 
chal ; laiten. — para cdrdas ‚(il A carde, passc- 
rerie 


‘ 


ARA 123 


FAnınita, s.m. (£.d’hist. nel.) aranala : 
quadrupe&de des Indes, mandril. 

ARANDELA, 8. f. garde-poignet qui s’attache 
au gros bout de la lance et qui est fait en 
forme d’entonnoir. Bobeche : partie du chande- 
lier oü !’on met la chandelle. Sorte de fraises 
et de manchettes qu’on portait autrefois, 

ARANEA. V. Arachnoide. 

f ARANEBIFORME, adj. 2 gen. A la manidre 
d’araignede, qui en a la forme. 

ArinHA,s. f. araignee : animal invertebre, & 
huit pieds, rang6 autrefois parmi les insectes, 
tr&s-commun, et d’especes tr&s-varices. — do 
mar, araignee de mer, trachine, vive: poisson 
de mer dont l’&pine est venimeuse, mais dofit 
la chair est estimee. — do penol da mezens 
(4.de mar.), branches du martinet de la voile 
d’artimon. 

ARANH£IRO, 8. m. trou Ooü se cache l’arai- 


ee. 

ARANHENTO, a, adj. ou l’on trouve des arai- 
gndes. 

Arınulco, s. m. petite araignde; faucheur, 
insecte aptere qu’on nomme improprement 
araignde A longues pales. — cornigero, lau- 
cheur cornu. 

ABRANHOL, 3. m." araignee: sorte de filet qu’on 
tend le long des boiset des haies pour prendre 
les oiseaux. 


f AnANBöSO, A, adj. aralgneux : semblable 
& l’araignde, ou & toile d’araignce. 

ARANZEL,s. m. tarif: röle qui marque leo 
prix de certaines denrees, et le droit sur cha- . 
quesortedemarchandises. (fig. fam.)" Kyrielle: 
Kongue suite de choses ennuyeuses; longue 

iste. 

tAriO ou Ano, s. m. V. Jarro (plante). 

T Anarasica, 8. f. (t. de bot.) spigelie: 
plante annueile, anthelmintique. 

t ArarOnca, 5. m. oiseau du Bresil. 

Arir,v.a. labourer : remuer la terre avec 
la charrue. (4. de poes.) Sillonner : faire des 
sillons. 

Anirı,s. f. “ara: grand ei beau perroquet 
du Nouveau-Continent,, ä queue longue et 
etagee. 

Arısi,s. f. (8. du Bres.) fruit du Bresil de 
la grandeur d’une cerise. 

tf Anasani, 5. m. espöce de toucan, oisean 
d’Ameörique,. 

FARAT, 5. m. (4. d’hist. nal.) arat: oiseau 
de la grandeur du heron et A plumage rouge, 
en grande vendration parmi les sauvages de 
PAmerique. 

f Anırıch, s.m. (1. du Bres.) fruit du Bresil. 
f Anarıcus£iao, s. m. (l. de Bros.) Varbre 
qui porte l’aralicu. V. ce mot. ‘ 

t AraTıcvach, s.m. (1. du Bres.) espece d’a- 
ratieu de saveur aigre-douce. 

ARATÖRIO, A, adj. aratoire: qui apparlient 
a l’agriculture, particulierement & la charrue. 
ni Aniv, 9.m, arau ;gros vaisscau desmers du 

ord, 


126 ARB 


+ Anstciıno, 5. m. (4. de bol.) araucalre : 
pin du Chili. 

tAnıvcino, A, adj. d’Arauco, dans lo P&- 
rom. — , nuöque ou mouton da Chill, 
espöce de lama. 

Aniuro, s. m. heraut: officier charge des 
eris publics,, des proclamations, etc. 


Anıvsca,s.f. "arsireä un senl versoir, in- 
strument aratoire. 
AnivEL, adj.2 gen. I peut ötre labour, 
Asıvis,ef. 7.4 ‚(Ag.) °jargo 


+ Ausenna, 8. f. (t.d’Mast. ala arbenne ; ’ 
perdrizx blanche des Alpes. 

+ Anstu, s. m. ancienne dtoffe de laine 
grossidre que fon portait dans le deull. 

Ansıtaackö, 8. f.(t. de prat.) arbitration : 
jugement d’arbitre. 

ArsıraiDo, A, pP. pP. d’Arbitrar. 

ARBITRADOR, 4, s. arbitre : celui qui arbitre. 

ÄARBITRAL, adj. 2 gen. (1. de prat.) arbitral : 
d’arbitre. Il se dit d’un jugement rendu par ar- 
bitres. 

ÄRBITRANENTO, s. m. arbitrage : jugement 

’un differend par arbitres. 

main ev. a. arbitrer : regler, decider en 
qualits d’arbitre ; juger ; conseiller. 

ARBITRÄRTAMENTE ‚„ adv. arbltrairement : 
d’une maniere arbitraire, despotique. 

ÄRBITRARIEDÄDE, 8. f. conduite, proc&de ar- 
biteaire ou capricieux. 

Axsırrirıo, A, adj. arbitraire.: qui depend 
de la volonts de chacun. Arbitral : appartenant 
aux arbitres. 

ARBIıTaKıRO. V. Alvitreiro, Arbitrista. 

Arsirkıo (livre-), s. m. arbitre : faculie de 
l’äme pour se döterminer & une chose plutöt 
qu’ä une autre ; puissance quo la voloni6 a de 
choisir. Expedient, moyen. Arbitrage : juge- 
ment d’un differend par arbitres. do — de, & la 
merci de. -—de cambio ou de banco (l.decomm.), 
arbitrage de change ow de banque. 

Aasıtaista, s. m. celui qui propose quelque 
chose, qui fait des projets en faveur de I’Etat. 
V; Prejeclista. 

MapıTa0, s. m. arbitre : juge cheisi par les 
parlics pour terminer leurs diff&rends. (Ag.) 

—  maltre absolu 

® AÄRBOLARIO. V. Herbolario. 

® Annon, ARvVOR. V. Arvore. 

ArsÖREO, A, adj. d’arbre: qui conoerne les 
arbres. 

+ Anponssacäö, s. f. (t. d’hist. nal.) arbor- 
sation » dessin naturel imitant unarbre sar une 
pieorre. 

Annoamwino, A, adf. (L. d’hist. nat:) arbo- 
rise. On le dit de certaines pierres sur lesquelles 
en voit des represenlations d’arbres. 

$ ARBORISTA, 8. Cullivateur d’arbres. 

+ AnsfscuLo, s. m. dim. d’Arvore,, pelil ar- 
bre. is. (t. de bot.) arbuste, sous-arbrisseau : 
petite plante ligneuse qui ne s’ei&ve pas plus 
que les herbes, 

ARBUSTIFORME , adj. 2 gen. (. de bot.) quia 
la forıne de l’arbrissean. 


ARC 


Ansustıvo, a, adj. de l’arbrisseau. 

Ansüsto, s. m. arbrisseau : petit arbee; vo» 
getal au-dessous de l’arbre. 

Aunöro, V. Medronkeiro, 


Auca,s. f. caisse: cofire & dessus plat; ar- 
che. — d’agua, chäteau d’eau : röservoir qui 
fournit de Deau pour les fontaines. — de pde, 
huche pour serrer le pain. — do dinkeiro,, ool- 
fre-fort. — do lestamento, arche @allienee. — 
de No6 ou do diluvio, arche de Not. — de Ned, 
(fig. fam.), arche de No& : maison od Il ya 
toutes sortes de gens ou d’animaux ramasads; 
coffre qui renferme difftrentes choses. — de 
eorpo, Coffre du corps : capacite formee par les 
cötes. — de Igreja (fig.) Sein de l’eglise. Lustar 
erca por arca com alguem, lutter, combatire 
corps & corps. Andar com arcas encoirades, 
garder le silence sur quelque chose. 

ARCABÖLCO,, 5. m. squeletie,, carcasse; cada- 
vre. 

Ancınöz, s. m. "arquebuse : arme & feu et & 
ronet au lieu de ressort. 

ARCABUZÄCO, 8. m. | arquebusade , coup 

Ancasuzida,s.f. danquebuse. 

Ancas0zipo,A,P.p.d 

ARCABUZÄR, 2.0. arquebuser : fusiller, tuer 
äcoups d’arquebuse ou de fusll. 

ARcABUz£ıRO, 3. m. arquebusier: soldat arınd 
d’ane arquebuse. Armurier : ouvrier qui fait 
des arquebuses et toutes sortes d’armes & fou 
portatives. 

Aucasuzenia, s. f. troupe d’arquebusiers. 
Escopetterie, fusillade : decharge de plusieurs 
fusils & la fois. 

Ancipa, s. f. arcade ı longue vohte en arcs; 
arceau. — de rabeca, de rabecäo,, coup d’archet: 
Paction de lirer ow pousser !archet sur les cor- 
des du violon, de la basse, eic. — da 


(l. demar.) archipompe. Arcddas , pl. bondisse- 


ments de caur, naustes : indices de vomisse- 
ment. 

Ancine ‚adj. 2 gen. arcadien : de l’Arcadie. 
it. Membre de l’academie Intitulde l’Arsadie 
poelique. 

Ancipıco owAncinıO, A , adj. arcadique: de 
PArcadie. 

AnciDo,&,P.9.d’Arcar, et adj. courbe en 
forme d’arc. 

.Ancapüns. V. Argusadura, 

+ Ancir, s. m. (. de bot.) espece de ciste 
(arbrisseau rosa06), qui vient dans les truf- 

res. 


ARcARIO. V. Archanjo. 

Ancino, 5. m. arcane, mysiöre profend : @- 
eret important, 

Ancino, A, adj. cachd, mysterieux, obscur, 
secret , arcane. 

Ancir, v. a. courber, argquer. V. Argquear. 
— as pipas, cercler, gamir les tonneaux de 
cercles. 

Ancin (com), v.n. assaillir, attaquer quel- 
qu’un en l’embrassant par le milieu du corps. 
—=comuma difficuldade , aborder une dificalte. 


ARC 


- com alguem, salsir ä hras le corps, (fg.) 
psser, solliciter. 


Ascınia. V. . 

fAncaz, 3. m. aug. d’Arcs, calsson: grande 
aisse. — de sacrisfia , chapier. 

Aucazıumma, 8. f. dim. d’Arcoo. 

Ancı ou Ansı, prös. ani. du conjunct. du 
verbe arder (brüler); on dit & present arda, 
quiil brüle. 

Aucid, s. m. argon : pidce de bois cintree, 
partie principale de la selle. 

Aucesuripo, s. m. archertche: dignits de 
Tarchevögque; l’ötendue du territoire oü l’ar- 
cher@que a la Jurtdiction ecelesiastique. 

AsczsispaL, adj. 2 gen. architpiscopal , mö- 
tropolitain : appartenant & l’archev@que. 

ÄRCEBISPO , 8. m. archev&que ; prelat melro- 
pelitain quia un certein nombre d’&vequespour 

is. 


suffragan 

Ascesıicono. V. Aresdiago. 

ARCEDLACADO, 5. m. archidiaconat : dignits 
de V’archidiaere. 

AncepıÄco ,s. m. archidiacre : le premier des 
diseres. C’est aujourd’hui une dignite dans les 


chapitres. 

Asczmino. V. Arcediage. 

AuczriLaco. V. Archipelago. 

Axcaa, s. f. arme en forme de coutelas dont 
se servaient les archers. 

+Ancmisco, A, dj. (1. de pods.) ancien, fait 
ala maniere des anciens. 

Azcualsuo, s. m. archalsıne : mot anlique, 
tour de phrase surannee. 

Auckiso, 3. m. archange: ange d’un ordre 
superieur, selon la Bible. 

Ancatıro, 8. m. archer: homme de guerre 
arme Cun arc. —, soldet de la garde du roi. 

. Alsbardeiro. 

AxcaRO, s. m. "archee : chaleur interne de la 
terre; principe supposs de la vie; prötendue 
cause eieciente de tout, Ame du monde; feu 
central. 

+ ARCHRÖGRAPEO, 8. M. he: au- 
teur qui decrit les monuments antigues. 

+ AncnzocaArHia, 8. f. archeographie : des- 
aiption des monuments anliques. 

ArcnzoLocia ‚s. f. archeologie : trait& sur les 


autiquit6s; science de l’antiquite, de ses mo- 


numents. 

+ AucweoL6cıco, A, adj. de Varcheologie. 

f Ancuz6L0C0, s. m. archeologue: personne 
verste dans Tarchöologie. 

Aucatra ow Ancnkıe. V. Arquela, eto. 

AucutryYpo, s. m. archetype : original , p&- 
tzon, modele d’an ouvrage. — do mundo, ar- 
ehttypo du monde : idbe sur laguelle Dieu l’a 
arte. 1) est aussi adj. conforme & Foriginal. 

Aucaı , pröp. insep. (1. gree) archi : Irös, ex- 
: ‚fort grand ‚ indies de superioritd, 


ABGHACÖLYTTO , 8. mM. archiacolyie : pre- 
mier acolyte. 


ARC 127 


ARCHIAPÖSTATA , 8. wm, archiapostat s pfe- 
mier apostat, 

}fAnchiarao, 3. m. archiätre ı medecin par 
excellence. 

Ancnıninco, 8. m. grand banc. 

ARCHICADBIRA , 8. f. la chaise principele. 

ÄRCHICAWARISTA , 8. m. archi-chambellan; 
grand chambellan. 

ARCHICANCELLÄRIO, 8. m. archi-chancelier s 
grand chancelier. 

ARCHICANTOR , 3. m. premier chantre. 

ARCHICHANCELLER, 6. m. archi-chaneselier ı 
grand chancelier. 

ArcanıcLÄvo, s, m. reeteur d’une dglise,, d’un 
monastöre. 

+ AncHıconFRanla, s. f. archiconfrerie, pre- 
miere confreörie. 

+Axcuivıa, 8. f. (fl. d’hist. nat.) archidie : 
petite coquille du golfe Persique. 

AncHipatipa, #. m. archidruide : chef des 
Druides. 

AscHınucino, 5. m. archiduchd : domaine, 
seigneurie d’archiduc. 

ARCHIDUCAL, adf. 2 gen. qui appartient & 
Parchiduo ou & l’archiduche. 

ARCHIDUQUE, 3. m. archiduc:: titre donnd & 
tous les enfants de Pompereur d’Autriche; pre- 
mier duc. 

Aucaıpuqußza , s. f. archiduchesse : femme, 
fille, ete., de l’archiduc. 

ARCHIEPISCOPADO , 3. 1m. archiepiscopat, 
V. Arcebispado. 

ARCHIEPISCOPAL, adj. 2 gen. architpiscopal.s 
de l’archevdque. 

ARCHIFLANINE, 2.0. premier famino : grand- 
pretre des anciens Romains. 

AucmıciLLo, s. we, archigalle : grand-prötre 
de Cybele, 


ARCHIRMANDADE , &. f. archiconfratermils : 
premidre oonlreternits. 

Ancrimaco , s. m. archimage : chef de la re» 
ligion des Perses, 

+ Aucntuacla, s. f. archimagie : partie de 
Yalchimie qui traite de Part de faire de For ; eat 
art. 

ARCHIMANDRITA, 8. m, archimandrite : sup6- 
rieur de quelques monsstöres de Orient. 

ARCHTMANDRITADO , 8. m. archimandritat : die 
gnite, juridiction de Parchimandrite. 

+ Ascniwıca , s. f. alchimie : chimie appli- 
qu6e aux mölaux ; art d’&purer les metaux Im- 
parfaits. 

ARCHINTNISTRO , 3. m. premier ministre. 

ARCHIMOSTEIRO, s. m. archimonastere : MO- 
nastöre , chef d’ordre. 

AscHiP£LACO, 5. m. atchipel : endroit de la 
mer ot fl y a beaucoup d’iles. On le dit par ex- 
cellence de la mer Egee des anciens. 

ARCHIPERACITA, 8. m. archiperacite: presi- 
dent de l’acaddmie juive: interprete des lois. 

ARCHTrEnBOLE, s. f. exageralion extraordi- 
naire. 

Ancmzpolta, s.m. archipodte: premier podle: 


128 ARC 


ABCHIPRESBT’TERO, 5. m. archipröfre: premier 


preire. 


ARCHIPROPHETA, &. m. archiprophöte : pre- 


mier, principal prophete. 


ARCHISÄTRAPA , 6. m. archisatrape : principal 


entre les satrapes. 


ARCHISYNAGOGO, 8. m. archisynagogue : as- 
sesseur du patriarche grec; chef de la syna- 


gogue. 
ARCHITECTÄDO, A, P. 9. d’ 


ARCHITEACTAR,, o. a. bätir, architecturer, 9. 


us. (Ag.) Elever, ezalter, augmenter. 


ARCHITECTO, 8. m. architecte : celui qui pos- 
sede et exerce l’arı de bätir. (fig.) Createur, or- 


donnsBeur. 


ARCHITECTÖNICA , 8. f. architectonique:: Part 


de construction. 


ÄARCHITECTOÖNICO,, A, ady. archilectonique : 


qui appartient & l’architecture. 


ARCBITECTONOGRAPBHIA, 8. f. architectonogra- 
phie : description d’un edifice; l’art de decrire 


les edifices. 
ARCHITECTÖR, A, 8. V. Architecto. 


ABCHITECTÜRA , 3. f. architecture : l’art de 
batir, de construire, disposer, armer les edifi- 
ces; ordonnance d’un bätiment. — mililar,, ar- 
chitecture militaire:: Part de fortifler les places. 
— recla, l’architerture qui n’a pour but que la 
construction des murs et des colonnes. — Ay- 
draulica, architecture hydraulique : l’art de 
construire dans l’eau. — naval, architecture 


navale : l’art de construire les vaisseaux. 


ARCHITRÄVE, $. [. architrave: principale par- 
tie de V’entableinent entre la frise et le chapi- 


teau ‚, imitant une poutre Lransversale. 


ARCHITRICLINO,, s. m. architriclin : charge de 


Fordonnance d’un festin. 

ARCHITRÖNO,, 8. m. architröne : le tröne des 
trönes. 

AscHıvip0,A,P.2.d’ 


ABCHIVAR, ©. a. garder, deposer dans les ar- 


ohives. 

AsrcaiviöLa, s. f. archiviole: sorte de cla- 
vecin avec un jeudeviole, uneroue tournante; 
basse de viole A manche. 

AncBıvista, s. m. archivisie - garde des ar- 
chives. 

AncHivo,s. m. archives: lieu oü l’on garde 
des titres, des charies et aulres papiers im- 

portants. Depöt d’actes , de lois. 
 ARCHONTÄDO, 5. m. archontat: dignils d’ar- 
chonte ; sa durte. 

ARCHONTE, 3. m. archonte: premier magistrat 
d’Alhenes , des republiques grecques. 

AACHÖTE, s. m. lambeau, torche. 

Arco. V. Bardana. 

AncıpkLaco. V. Archipelago. 

ARCIPRESTÄDO,, s.m.archipretre:dignits d’ar- 
shipretre et l’ötendue de sa juridiction. 

ARCIPRE£STE , 8. m. archiprätre : tilre de di- 
gnite ccclesiastique. 

ÄRCITENENTE, 8. m. (1. de po&s.) Apollon. Sa- 
gittaire (signe du zodiaque). 

Anco, 8. m. (1. de geom.) arc: poriion d’une 














ARD 


oourbe. —, bois ou fer courbe en demi-cescle, 
qui sert & tirer des flöches. Archet : petit arc de 
bois, de metal, tendu par du crin ou une corde 
pour jouer du violon, etc. Cerseau : cercie de 
beis ou de fer pour relier les tonneaus. — 
(t. d’arch.\, arcade, arche, cinire; ouverture 
en demi-cercle. — d' ‚arceau, cintre, 
arc de vote. — diagonal, "ogive, arceau en 
forme d’ar6ie qui passe en dedans dans une 
voüte d’un angle & l’autre. — iris ou da velhs 
(popwl.), arc-en-ciel. — friumpkal, arc de 
triompbe. —s de pdo, anneaux de boid; (1. de 
mor.) bagues des voiles. —sobreo pinpole (fd.), 
dos d’äne. 

Ancbsorintg, s. m. arc-boutant: pilier en 
demi-arc qui soutient une voüte. 

ARCOzinHO , 5. m. dim.d’Arco. 

AsCTÄDO,A,P.p. d’ 

Axcria, v.a. V. Apertar, Cingir, Estreiter. 

A’RCTICO, A , adj. arclique, septentrional. 

fAncrouvas, s. f. pl. (1. d’hist. nat.) mar- 
mottes. V. Marmolas. 

AucTos, 8. m. (1. d’asir.) arctos : consiella- 
tion de l’ourse. 

Anctino, s.m.(L. d’aslr.) arclurus os arc- 
ture : ötoile fixe du bouvier; constellation N de 
14 etoiles au bout d’uno trainee d’öteiles, en 
arc de cercle. 

Ascuiı. V. Ar . 

ÄARCUMFERENCIA. V. Ciroumferencia. 

T Anna, s. m. (f.d’hist. nal.) arda : rongeur 
de la taille du chat, & pelage laineux. 

Anp£co, A, adj. ardent, fougueux. II se dit 
ordinairement d’un cheval Lres-vil. Homem _— 
bomme diligent, actif; ardent; susceptible. 
Negocio — , affaire diicile, laborieuse. 

Anp£ncıa, 3. f. "&tat d’une chose ardente; 
qualit6 qui cause l’ardeur; ardeur. V. Ardor. 
(Ag.) Violence des passions, de la flövre; ca- 
ractöre ardent. 

ÄARDENTE, adj. 2 gen. ardent: en fen, de feu, 
allume&, embrase ; brülant, (Ag.) Violent, vohe- 
ment; actif. 

A ARDENTEMERTE, adv. ardemment : avec ar- 
eur. 

ARDENTIA,, 8. f. (6. demar.) furolles : lamidre 
phosphorique que repand l’eau dela mer quend 
elle zit agilde, surtout quand il rögne des vents 

roids. 

ÄRDENTISSIMO, A, adj. sup. d’Ardenie. 

T ARDENTOSO, A, adj. (1. ds bot.) qui pique 
comme Vortie. 

ARDER, ©. ». brüler ; flamber; s’enflammecr, 
s’embraser; &prouver une grande chalcur 
(em, Ag.) Brüler, en parlant de l’amour, du de- 
sir et de plusieurs autres passions. Raneir, se 
moisir, oontracter cerieine espöce d’äcrete, en 
parlant du fromage et d’autres substauces 
BTasses. — por alguma pessos, aimer quelque 
personne exter&mement, brüler pour elle. Ester 
ardendo conira alguem,, &ire irrit6, ötre en feu 
contrs quelqu’un. Ardendo em cölera,, honil- 


lanı de colere. Arde-mes a lingua, la langue 
sc brüle, 


ARE 


ARBES-SZ, ©. F. 9. us. so breler, s’enbra- 


ser, etc. 
daszsı. V. Ardosie, 
"Arpıp. V.Ardü. 


ÄRBIBANÄNTE, adv.coursgeusement, vaillam- 


sent, intrepidement. 


Aupipfza,,s. f. valeur, courage, audace, in- 


wipidite , bardiesse, 


AuDi00, A, p. p. d’Arder, et adj. brüle ‚ete. 
Qei a un goüt äcre, en parlant du bie, du ta- 
ksc, du Iromage ‚etc. (Äg.) Audacieux ‚bardi, 


veurageuz,, intrepide. 
ARbıposo. TV, Ardiloso. 


AsbiL, 2m. "asiuce, ruse, stralageme, S- 


nesse. Srdis, pl. pipeaux : lours de souplesse. 
User d—s,raser. 


TArmıLfzıa, s. f.* tour de souplesse;; pene- 


ration , sagaciie. V. Ardil. 


ARBILÖSANENTE , adv. inement „avec finesse, 


arte ruse, avec adresse , avec malice. 


A2pılöso,A,adj. ruse, fin, adroit; fourbe, 


trompeur. V. Astulo. 


ÄRMELNTO, 5. m." bravoure, courage, valeur, 
awtpidite. Embrasemen: : l’action de s’eınbra- 


ser, de brüler, de s’enllammer. 
* Ansınco. V. Gerdingo. 
Axsıro, V. Ardido, Airevido. 


Anpsa ‚s. m. " ardeur : chaleur grande, ex- 
weme, Scre, piquante. (Ag.)* Fougue, intensite, 
eßervescence, feu, ardeur, chaleur, vivacits; 
grande zetivite. V. Ansia, Anhelo. No — dadis- 


puia, da batalka , dans l’ardeur du combat. 
Axpösıa, s. f. ardoise; ardaisidre. 
ARBUANENTE, ade. peniblement, Irös-difüci- 
lement, avec beaucoup de peine. 
Auprining, 3. f. p. us. grande dificulte. 
Musco,a, adj. difliciie, escarpe, malaise, 
ardu , &pineux,, penible. 
" Anuira. V. Ardör 


TAxperisca, s. f.(t. de bot.) arduranga : 
plante de Madagascar. 

TAzE, s.m.are: unitö dans les nouvelles 
mesares de surface, 100 mötres carr&s. 

Muza,e. f.aire: place, capaciie; etendue, 


Serface, espace termine par des lignes, en par- 


last des Sgures de geometrie. 
Anfı ow Angıa, 5. f."sable, aröne, gravier. 


(Ag.) Aröne: amphilheätre od combattaient les 


dadisteurs et les hetes farouches, et que !’on 
anırait de sable. — movedica , sable mouvant. 
ärtes, pl. petit gravier qui se forme dans les 
reine. — gordas, (fg. ei pop.) Venler. Edifcar 
sobre —, bätir en Fair. 

Arziao, ı,P.p.d’Arser, etadj. sable, cou- 
vers de sable. Sablanne, neitoy6 avec du sablon. 

tapp€ de quelque mauvaise influence, d’un 
manyais vent. V. Paralylico. Eperdu , surpria. 
V. Pasnedo 


AsziL,s. m. gröve: lieu uni et plat, cou- 
vert de gravier, de sabie ; platin ; sablonniere. 

Aazin,v. a. sabler : melire du sable, rom- 
na, cosvrir de sable. Froiter avec du sable. 
&p.us. Ventiler. V. Arejar. . 

Ausin, o. m. Fire frappe de quelque mau- 


PORT.-FR, 


ARE 195 


valse influence, d’un manvais vent: @tre attz- 
que de paralysie. (Ag.) Se surprendre,, s’dtour- 
dir, perdre la raison, le sentiment par queique 
accident. V. Pasmar., 

Ardcı,s.f. (tl. de bot.) * arec ou ardque : fruit 
des Indes; noix d’ane espöce de palmier; l’ar- 
bre qui la donne. 

AnzciL, 8. m. lieu plants d’arecs, V. Ardea. 

Arep6ma. V. Redoma, 

ARELIRO, 5. m. poudrier: bolte, vase & pou- 
dre , espece de criblc. * Sablonniere : lieu d’ou 
l’on tire le sable. is. p. us. Porteur de sabie. 

ARE£NTO, A, adj. plein de sable, rempli de 
Bravier, sablonneuz , graveleux. 

"AREFECAnO, 4, adj. V. Abatide, 

" Angrece. V. Barüto. 

T Arkına,, 8. f. (1, de bot.) *molle: polvrier- 
lentisque du Perou, 

"Arzisco, a,adj. V. Areönto. 

Anssido, a, adj. Events: qui a dt6 exposs 
au vent, A l’air.9.p.d’ 

AREIÄR, ©. a. 
ventiler. 

ABBJÄR-SE, v. Fr, 
prendre l'air. 

Anßıo, s.m. l’aclion deprendre de eir,d'a&- 
rer; ventilation. 

ARELHÄNA, $. f. * cordon d’argent ou d’or 
pourentourer un chapeau ; ceinturori asiatique. 


ARENA, 8. f. arene: amphitheätre oA oämbat- 


so melire au grand aır, 


aerer: meolire en plein air; 


taient les gladiateurs et les betes farodches, et - 


quel’on couvrait desable. - 

ARENAGAO, 8. f. (1. de med.) arenation : Pac- 
tion de couvrir une personne de sable pour la 
guerir de certaines maladies , en Vexposant & 
Paclion des rayons solaires. 

ARENÄCEO, A. V. Arendso, 

Anznito,a, adj. Pedra —a, (1. de min.) 
pierre siliceuse, quaptz. 

Antxca, s. f. barangue : discours. (drem.) 
* Discours, bistoire, harangue etudiee pour se- 
duire, pour Iromper quelgu’un. Arengas, pi. 
“Babil, caquet. «4. Dispute , contention ‚debaı. 
V. Altercagäe. 

ARENCÄDO, 4,9. p. d’Arengar. 

ARENGADOR, A, 3. harangueur : celui qui ha- 
Fanguc, qui prononce des discours. V. Aren- 
gueiro, 

ARENCÄR, c. a. baranguer : Pfononcer une 
harangue, un discours en public. (Sam. et plus 
ws.) Babiller, caqueter, jaser. is. Ergoter, dispu- 
ter. V. Allercar. 

ARENGUKIRO, A, 8. (fam.) babillard, ca- 
queleur. st. Ergoteur, contentieux, disputeur, 
querelleur, rapporteur. 

t Aazsireno, A, adj. qui porte du sable. 

T Auknırönue, adj. 2 gen. arenilorın : en 
forne de sable. 

ARENOSO, A, adj. sableux, graveleux,, sa- 
blonneux, areneux. Qui participe de la nature 
du sable. Torres —as , terres croulieres , 9a- 
blonneuses. 

ARENUF, 8, m. hateng : poisson du genredu 
elupe. — freccal, hareng pec ou pek. — de 


























180 ARG 


fumo, craquelot : hareng saur ob nure. — Ar 
canasirado au embarrieado, hareng en vrac, 
en lonne, avec du sel. 

ArEoLA,s. f. areole : petite aire;; pelile sur- 
face ; cercle qui entoure les mamelons; cercle 
irise qui entoure la lune, les youx. ss. p. us. 
Planche de lleurs. 

AREOLAÄDO ‚A, adj. artole: quia une ar6ole. 

AREÖMETRO, 8. m. ($. de phya.) ardomeire, 
pese-liqueur pour connaitze Ics paids Tespe6- 
tifs des fluides. 

ARBOPAGITA, 8. m. ar&opagile: juge de Yardo- 


page. 

AREOPÄCO, 8. m. arcopage : tribunal d’Athd- 
nes, c&i&bre dans l’antiquile par sa reputation 
de sagesse. (ig.) Reunion desages, de magis- 
trass intögres. 

ARE0SO, A. V. Arenoso. 

Ar£qua. V. Ardos. 

AREEUÄIRO, 5. ©. ardque ou aregquicr ı esp&te 
de palmier. V. Areca. 

r AnzsöL, e. m. (4. de bot.)* centaurde: plante 
medicinale. 

Anista, s. f. barbe de !’epi de bie, arete; 
*pine. (fig. fam.) Petite portion. 

AuBSTeıRO, 5. m. avocat qui eite des arr@ts. 

ARESTIN, 8. m. (f. develer.)*teignes: maladie 
qui consiste dans la pourriture de la fourchette 
du pied du cheval. 

Arlsto, s. m. arröt, jugement, decision ; r&- 
solution prise, qui sert de rögle, et tient place 
de loi dans des cas pareils. 

ARESTOSO, A , adj. plein d'aretes. 


? AnzroLocia, s. f. arstologfe : partie de la 


philosophie morale qui traite de fa vertu. 

(#. de mar.) "Tangage: ba- 
lancement «du vaisscau de 
Vavant A l’arriöre, et reci- 
proquement. 

Anrin, 0.9. (1. de mar.) tanguer. I se dit 
d’un vaisseau qui öprouve le balancement du 
tangage. — sobre a amarra ‚ tanguer & Pancre. 
— 0 cavalio , se oahrer (le cheval). Se balan- 
cer, en parlant des sommites des arbres. 

+ Axrön,s. m. (1. d’hist. nat.) bec-Aigue d’A- 
rabie. 

+ AnsiL, 5. m. fon : pldce du jen des dchecs. 

*"Ancik,s. f. etoffe grossiere dont les Maures 
faisaient des couvertures et des sacs. 

Ancico. V. Sargago. 

TArcıLa, 0. m. (1. d’Misl. nat.) grand heron 
d’Afrique. 

TArcauı, &. m. (8. d’hist. nat.) moufllon : 
belier sauvage,. 

Ancıauica, eto. V. Argamdssa, etc. 

+ ARGAMANDEL, 5. m. (t. pop.) bavardı 
bomme sans parele , sans cre&dis. 

Ancasissa, s. f.' mortier;melangedeterre, 
de sabie ou de cimemi aveo de l’eau ou aveo 
de la chaux #teintedans l’enu.*Repous, mortier 
fait de petits plätras meles avec dutuileau etde 
Ja brique concassee. Impastatlion, composition 
{aite de substances broy6des et mises en päle. 

ANChNASSADO, A, P. P. G’Argamassador. 


Auripa, ou 
Ausicss, 2.f. 


ANG 


ARDAMASSASOR, 8. celai Ai pröpare et appfi- 
que l’argamassa. V. ce nom. 

ARGAMASSÄR, 0. 6. corroyer: battre et peirir 
de la terre glaise afin de faire due espece de 
massil qui retienne !%au. Faire da mortier, du 
repous, de l’impastation pour crepir les mu- 
railles et autres pavties d’un bitiment. 

ARCANÄZ, 5. m. loir- petit animalmammifdre, 
rongeur; liron, marmotie des Alpes. (Ag.) 
Homme de grande taille. — dos pomares, 
(4. d’Mst. nat.) lerot : espfce de petit loir gris & 
taches noires sur l’ail et derriöre l’oreille. — 
muscardino, (. d’hist. nat.) muscardin: esp&ce 
de petit loir roux. — algalioso, (1. d’kist. nat.) 
ondatlra : rat masque. 

ANGANEL, 8. ı. petit cercle de metal qui fait 
partie de Pastrolsbe. 

ARCANEO, 5. m. (l.de mar.) arganeau , orga- 
neau : gros anneau defer oA Ion atlache des 
cordages. —s da lancha, (t. de mar.) anneaux 
de la chalonpe. 

ARGANESES 0% ARCANISES, 8. Mm, pl. grosse 
tolle de coton (de }’Inde). 

*Ancio ou ARcaU, s. m. argaut: sarte de 
surtout ancien de drap grossier, Espdce de 
pompe faite d’un morceau de canne au roseauw, 
dont on a perce les nauds: on s’en sert pour 


tirer du vin des tonneaux par le bondon supe- . 


rieur. 

Anckı, adj. 2 gen. arzel, balzan. On le dit 
G’un cheval qui a une marque de paoils blancs 
au pied droit. — quadralco, cheval balzau des 
quatre pieds. — Iravado, cheval balzan das 


deux pieds. droits. — trastrarado „cheval bal- 


zan du pied droit de derriere et du pied ga 
ehe de devant. — frevalco, cheval balzan des 
deux pieds de devant et du pied droit de des- 
riere. — manalro , cheval baltan des deux 
pieds de devant. is. Homme inertes, indolent, 
inactif, paresseux. 

ARCEL, $. m. (fam.) bruit, tapace. V. Al- 
gazarra. (t. de geog.) Alger. 

ABCELINO, A, adj. et s. Algerien : d’Alger. 

* AnceaM,s. m. argent, de l’argent. 

ARCGENONE, 8. f. (l. de bot.) argemons, pavot. 
€pineux: plante de la [amille des papavcrareeı 

ARGENTÄDO, A,2.9- W’Argenlar oladj. V.Pra- 
feado. Ondas argenladas, (4. de poda.) des lote, 
des ondes blauchissantes; des ondes, des Hein 
argenics. Voz —a. V. Argentine. 

* ARGENTARÖR , 5. we. argenicur : ouvwrier qui 
argente. 

ARBGENTÄR, v. a. argenter. V. Praiear. —, 
(1. de po6s.) donner ä quelque chose la oouleur 
e& Y’oclat de Pargent. 

Anoentaniı, 8, f. argenterie : vaisselle, u9- 
tensiles, ornements, et meubles d’argent. &, 
Broderie d’argent dans les robes,, habits, ete. 
— dos prados, les eaux argentees des ruis- 


| SEauX. 


"Ancemränıo, 5. m. armoire, lien oü l’om 
garde l’argenterie. 
ÄNCKNTEAR, elc. V. Argentar, Pralear, 


_ Du a 


ARG 
Ancäıtee, A, adj. (1. d0 peds.) Wargent, ar- 


pentin. 

BRSERTIFERO, A, adj. argentifere : qui con- 
tea, reccle de Vargent. 

‚A, adj. (8. d’alekim.) argenti- 
Sque : qui change en argent, qui Ie fait. 

Ancasrinı ,s. f.( . de bot. )argentine. plante 
a fewilies dus blane d’argent er dessous; es- 
piece de girasol blanc. —, (1. d’hist. nat.) pois- 
su oweux abdominal. —, (.de chim.) pierre 
de chaux carbonatee. 

Anceurins, ı, adj. argentin: qui a un son 
elsir ct retenlissant. — , (1. de pods.) en parlant 
des ondes, des floıs. Vox an voiz argentine. 

Arctyto, s. m. (1. de pods.) V. Prata, O 
sale —, ka mer. 

Ancira, s. f. argile : glaise , terre grasse, 
melie, daetile et ne. 

AacaLico, a,0s | Argflieox: qui tient de 

Ascııödso, a, adj. Il’argile; quiestd’argile. 

Ascaro, a,adj. Argien, d’Argos, ou Grec. 

A’nco ow Ancos, s.m. (1. d’asir.) argo : Na- 
ne, eonstellation S. if. Nom du navire qui 
porta les Argonautes en Colchide. 

Aschtı, ss. f. "anneau de [er gros et grand. 
*Carean, eolller : eercie de feravec lequel on 
atische par le cou & un poteau celui qui acom- 
mis queique crime, queique delit. Peine du 
earcan, (}. de mar.) bagne. i$. "Cercle d’argent 
ea d’or qu’on met aux oreilles. — de poria, 

"keurteir, ımarleau , anneau d'une porie. —s 
yora chaves, ° claviers. 

+ AncOLÄBA, s. f."coup de heuttoir. V. Al- 
drebade. 


4scoLid, s. we. aug. d’Argola, 

+ AncoLir, ©. 6. meltre des anneaux. 

t Ancoı. kino, s. m. ouvrier qui falt des an- 
Beaur. 

AscöLo. V. Argioo. 

Ancoılıgı ‚s. f. dim. d’Argola, sorte dojen. 

ARCONÄCTA, 8. m. argonaule. (Ag.) Le pre- 
nier navigateur pour quelque region incon- 
nue. (6. d’hist. nal.) Argonaute: naulile pa- 


ARCONiTTAS, 8.m. Pl. (l.de myth.) Argonau- 
ss: nom sous lequel on designe les jeunes 
Grees qui s’embarquerent avec Jason sur le 
kavire Arge, et allErent en Celchide s’emparer 
de !a tolsen dor. 

+ Anconivrica, 5. f. lexpedition des Argo- 
Dagles, 

Axcos. V. Argo. (fig.) Argus, espion: homme 
tres-clairvoyant ou qui a des yeux penötrants. 

Axccau, 8. f. argalie : pelite subiilite d’es- 
pt, argument sophistiguc, pointilleux. 

Axccrcair, ©. a. trailer avec argulic. 

+ AncıcaösamExTs, ade. avec argulie, 80- 
Rstiguement. 

T AuGCG6SO , A,adj. argulieug : quilait usage 
Tarzuties; qui en conlient. 

Ascrviö, s. m. argoudan: coton de la Chine, 

AucCELRKIRO. V. Hinuweioso. 

Arcrfıno, 5. m. [elu: petit brin de paillo. 
Ag., Petit defaut, (auto Iegere, Ylmos Im — 


ww 


ART ss 


no olho alketo, e no cemor umE Mass oo 
#0850 , On ne voll pas une poufre dans som ef, 
et Ton voit an fetn dans celui desem 

Fazer d’um — um eavalleiro , phr. fu. quo 
emploie pour dire qu'on eragtre beaucoup ıme 
chose : faire d’une mouche un @l&pbant. 

AnGferTE, 8. m. argumentent : celul qui dt-. 
gumente dans une these. 

Anctıciö, 8. f. action d’argumenter; repri-, 
mande, reproche, bläme,. 

Anci10o, A,p.p. W’drgülr. 

Arcuen ‚A, s. celui qui reprimande, aut 
censure, qui bläme. II ost aussi adj., qui Indi- 
que, qui prouve , qui marque, fait volr. 

ARCHINTE. V. Ärguente. 


Anclin, c. a. arguer: reprendre, contredire;' 


accuscer. if. Indiquer, prouver, marquer, faire 
volr. ©. ». Argumenter, dispuler eo Taison- 
nant. 

+ Ancltriıvaufstre, ado. en forme d’argu- 
ment, en argumentant, 

Anctıro. V. Argübo, 

* Ancuıno. V. Orgulko. 


ARGTMENTACAO, 5. f. argumentallon : action, . 


maniere d’argumenter. 

ARCUMERTÄDO,A,P. pP. dA tar. 

AÄRCGUNENTADOR, A, s. argumentateur: Gel@i 
qui aime, qui se plalt, qui cherche & argumen- 
ter, qui argumente. 

ÄARGUMENTANTE, 5. m. argumentant. V. 4s- 

te. 

ÄARGUMENTAR, v. ». argumenter : [sire un on, 
plusieurs arguments, prouver par argument, 
tirer des cousöquences d’uns chose A une All» 
tre,disputer en raisonnant. 

T ARCUMENTATIVO, A, adj. guk contionk wu 

argument, qui a la forme d’argument; qui 
fait ’exposition de l’argument. 

AMSHRNTO, 5. m. (6. de log.) argument : val- 
sonnement par lequel on tise ume 
d’une ou de „Blusicun proposiiions. —, sujeh - 
abröge d’um lisse. is. Imdise, mapıque, prue, 
conjeeture. 


ARCUENENTOLINRO, #. m. dim, d’Argumenie, 
petit argument, argument qui a peu Je force. 

AnchrauenTE, ado. avec argülie, avec sußti- 
lite. 

Ancorisstwo, A, adf. sup. d’ 

AnsöTo ‚a, aif. fin, subtil; malfn. 


4 ARCYRÖCONO, A, adf. (2. de poeı. etdasfr.) . 


argyrocome : qti a les cheveux couleur d’ar- 
gont. N se dit de certaines comötes, 

A’nıa,s. f. (f.demus.) "air, arleite, 

ARTANISKO, 5, m. arianisıne : secie d’Arlus, 
les Arien«. 

Anıixo,s. m. Arien : sectaire d’Arlus. 

Anıpk:, ) 

ÄARIDETA, a f. aridit6, secheresse, 

ÄRIDIDADR, / 

A’Rıno, A, adj. aride, sec, sierile. (Ag) Aride, 
On le dis d’uu sujel qui ne fournit point au di 


ganars, el d’un cspril qui ne produit rien, 


Anıpncaa, Y. Aridex,, Secura, 





132 ARI 


Anızs, sm. (l. d’astr.) aries, belier: le pre- 
snier des douze signes du zodiaque. 

T Arızı,s. m. (L. d’hist. nat.) heron butor. 

‚ARIETA, 8. m. dim, d’Aria. 

AriKTE, 3. m. belier : ancienne machine de 

guerre. 

Anızrino, A, adj. de belier;; qui ressernble & 
la töte d’un belier. 

+ AxıL.ioo, a, adj. (tl. de bot.) qui al’arille, 
pourvu d’arille. 

+ AnıLLo, s. m. (8. de bot.) arille : enveloppe 
de certains fruits dislincte du pericarpe. 

* ARIMONO, 6. m. "chaise ä bras. 

f Aringug, s. m. (l. de mar.) orin: cAble qui 
Gent & Pancre et & la boude. O — se embarapa 
no leme , l’orin est embrass6 sous le limon. 

Arinta ou plulöl Arınto,s.f. ou m. espäce 
de ralsin blanc. On en (ait un vin qui est ires- 
estime& et medicinal. 

AntoLo,s. m. V. Adivinho, Agoureiro, 

Arıös. V. Arrioz. 

Anırir, 0. w. fouiller et tamiser la terre 

ur trouver les perles qui sont tombces sur 

rivage. 

+ Anm£ıino, s. m. celui qui crible la terre 
pour trouver les perles. V. Aripar. 

+ Axiro, s. m. le travail d’Aripar. V. ce 
verbe. 

+ Anisıno, 3. m. (4. de bof.) pied-de-veau : 
arum, plante. 

Anisco, A, ou Ankısco, adj. sablonneux. (fig.) 
Bebours, bargneux, farouche ; sauvage, intrai- 
table. Un te dit ordinairement des animaux 
demestigues qui ne veulent pas se laisser ma- 
nier, et quelquefois d’un homme intraitabie. 

*Anısu£rica. V. Arithmeitica. 

Anista. V. Ardsta, Kıpiga. 

} Anısräno, A, adj. (4. de bot.) qui a des 
arctes, des barbes comme les gramindes. 

ABRISTÄRCHO, 8. m. Afistargue : nOm Propre 
qui s’emploie ligurement pour designer un cri- 
Uque stvöre, mais juste. 

Anısrocascia,s.f. aristocratie :souverainetöde 
plusieurs nobles ou privilegies; gouvernement 
des grands, des nobies; noblesse, classe privi- 
Iögike. 

ARISTOCRÄTA, 8. m. arislocrate ; membre ou 
parlisan d’un gouvernemen! aristocralique. 

ARISTOCRÄTICAMANTE „ ade. arisiocraliyue- 
ment; d’une manidre aristocralique. 

ARISTOCRÄTICO, A, adj. aristocralique : qui 
tient de l’aristocralie , qui lui appartient. 

+ ARISTOCRATISMO, 3. m. arislocralie ; Con- 
duite, manieres, maxinies des arislocrales. 

ARISTODEMOCHKACIA, 3. f. aristodemocralie : 
gouvernement des grands et du peuple. 

ÄRISTODEMOCRÄTICO, A, adj. arıstodemocra- 
dique, de l’aristodemocralie. 

AxıstoLöchia, 3. f. (6. de bot.) aristoloche : 
plante tr&s-utile, ä feuillcs grasses, racines tu- 
bereuses. 

AstsrorKuico, A, adj. qui appartient A Aris- 
tete. Aristotelicien : partisen de la philosophie 

d’Arisiote, 


ABM 


ARISTOTELISMO , 8. m. aristolelisme: phllose- 
pbie d’Aristote; son adoption. 

f Asırnmancia, s. f. ariihmancie : divina- 
tion par les nombres. 

AEITENETICA, 3. f. ariihmelique : ari de cal- 
culer; science des noınbres. 

ARITBMETICAMENTE, adv. arithmeliquement : 
selon l’ariihmetjque , suivant ano proporlionm 
arilbmeüque. 

ANITBMETICO, A, adj. arilbmelique : qui est 
fond& sur les nombres, sur les principes de 
Yarithmetique. il. subs. Ariihmeticien : qui saiß 
Yaritbmötique, qui l’enseigne, 

ARLEQLIM , s. m. arlequin : bateleur, farceur, 
bouffon dont le vetement est charge de picces 
de diverses couleurs. (#. d’Aist.nat.) Arlequia, 
especu de rossignol. 

ARLEQUINADA, 8. f. arlequinade : houifonne- 
rie d'arlequin, soit dans le jeu, soit dans les 
paroles. 

ArMA,s. f. arme: instrument qui sert ä al- 
taquer ou ä& se defendre. — arrojadira ou d’ar- 
remeco ‚arme qu’on jette, qu’on lance, qu’on 
darde : arme de trait. — dronca, arıuc blan- 
che : tout ce qui composait l’armure des au- 
ciens chevaliers. — de fogo, arne & [cu. 
Arma! Arma! aux armes. Armas, pl. armes: 
profession de la guerre; diverses especes de 
troupes, cavalerie,infanterie, arlillerie; entre- 
prises , exploits militaires, la guerre. Armees, 
(fij9.) Armes : ce qui sert & conıbaltre morale- 
ment. — da Igreja , le pouvoir spirituel de U’E-- 
glise. —, (8. de blas.) armoiries, ecu;; les Ägu- 
tes dont ıl est charge, propres & une nalion, 
& une famille noble. — falsus, armes fausses, 
armes en equerte : armcs qui ne sont pas se- 
ion les regles du blason. — fallantes ou par- 
lantes , arnes parlantes: celles qui esprimuent 
en tout ou en partie je nom de la ınaison. 

Tomar as —s, prendre les armes, Courir aux 
armes. Afazer ds —s, aguerrir. Depör as —s, 
mettre bas les armes. Com as — na mäo, pr& 
& [aire la guerre. Passar pelas —s, fusiller. 
Homem d’—s, homme d’armes : chevalier arms 
de toutes pieces. 11 se dit au ügure d’une feınıne 
forte, robuste et laborieuse. Näo fer mais — 
que..., N’avoir pour loules armes que... 

ARMACAO,s. f. lapisserie, tapis, draperies : 
tout ce qui sert & orner une chanıbre, un ap- 
partement. — d’igreja, tenture. — de louro, 
veado ‚eic., cornes du laureau, du cerf.— de ca- 
sas,, edificios, elc. armalure: char) .— da 
cama , bois de lit. — de navios, avilaillenıent, 
€quipage de vaisseau. — de pescaria, Hlels, cor- 
dages , etc., pour prendre le poisson. 4. V. Ar- 
mamento ; Esquelelo. — d’uma sarra, monture 
ou affüt d’une scie. 

Aruiva,s. f. armbe narale, arındo de mer, 
Dotte de guerre. 

AnmaniLna, 8. f. "engin, Niet pour prendre 
des oiseaux.(Ag.)"Trebuchet, attrapoir,irappe , 
piege.V. Raloeira. 

ArnsapiLno,s.m. (1. d’hist. nal.) armaditle, 
tatou : quadrupede des Indes. — encoderto, 


a oh _ 


a _——_ Mu 


0 _ 2 2 2 2 2 u ee — 


MU mu I nn 0 39 mM 








ARM 


wien : quadrupede &dente , cuirasse,, du Bresil. 

4aNı1D0, A, P. p. d’Armar, ei adj. (t. de 
wer.)artille, equips, en parlant d’un vaisseau- 
-d ponio ou Ponla em ‚armö de tou- 
ws pi&ces,, de pied en cap. V. Munido. 

AREADÖR, 8. m. tapissier decorateur: celui qui 
me une eglise, une chapelle pour un jour de 
le. Armsteur : celui qui arme ä ses frais un 
‚2isteau psur aller en course, ou pour la peche 
de la balsine. — de freigdes, qui tend des pie- 
ges, qui est au guel. 

Arutapöas,s. f. arınuro : les armen defensi- 
res qui onmırent et joignent le corps, comme la 
euirasse,, le casque, etc. Armalure, charpente: 
ouvrage de grosses pitces de bois taillees et 
eqearries. 

Tixruıamaxı, s. f. *lourgon : voiture d’equi- 
pages militaires. 

ÄSMABENTO, 3. m. armement : appareil de 
geerte. — d’um navio, armement: dquipement 
Tun vaisseau. O — de soldado, ( t. de mil.) les 
arımes respeclives d’un soldat. 

tTAauimso, s. m. (!. de veler.) remetde pour 
rendre l’appetit aux chevauz, elc. 

Aumiö,s. us. train de devant d’une pidce. 

Asuie, ©. . armer: fournir d’armes, rer&- 
ur d’armes defensives. Equiper, artiller, en 
periaut d’un vaisseau. Decorer, tapisser, en 
parlant d’une eglise, d’un apparlement, etc. 


‘Ag. [am.) Pr&parer, disposer. Il esı aussi neu- | 


we. — eos passaros, tendre des pieges, des 
Sets pour prendre les olseaux. — laros, enga- 
mes ciladas, (fg.) dresser un piege, des em- 

‚ete. — um relogio, uma maquina, elc., 
remonter une horloge, une machine, eic. — de- 
nuandss, pleisos, ofc., chicaner, intenter des pro- 
eis. — de ponto em branco, armer de pied en 
«ap. — em guorva, armer en guerte, en Course 
des vaissesex marchands. — o.arco, a besla, 
Bander l'are, l’arbalöte. -— a baiondia, mettre 
la baionnelte au bout du [usil. — Iraicdo , our- 
dir, machiner une trabison. — ums brige, uma 
wmicnds, exciter, soulever, reveiller une que- 
selle , un differend. — a alguem, chercher 
& iromper quelgu’un. — ao dinheiro alheio, 
chercher ä svoir V’argent d’autrui. Ndo — se- 
udo 00 dinkeiro, ne viser yuel’argent. Sapatos 
de —  chaussure des anciens cavaliers. — 08 
remos, (I. de mar.) border les rames ow les 
zriroms. 

Arnuan-se (de), v. r. s’arıner, 56 preparer 
pour la guerre ; prendre les armes. Se former. 
Ex: Armou-se ums Irovada, il s’est forıne un 
orage. — de pariencia, de constancia, eto.(flg.) 
S’arıner de patience, de constanco, etc. 

Anusnia ou AnHERıA,S. [. arımoiries, armes, 
Basen. it. "Depot d’armes , arsenal militeire. 

ARNARIO, 3. m. armoire : buffei; serre-pa- 


Fnusstıro ‚s. m. sorte de filet pour prendre 
da poissen. 

+ Aaustöste, s. m. instrument avec lequel 
«a bandait l’arbalete. 

Aruurena. V. Armadürs. 


ARM 133 


ARMATEN, 8. m. magasin. V. Almascm. — de 
deposilu, enirepöt. 

ARMEINO, 5. m. armurier : ouvrier qui fabri- 
que ou qui vend des armes. Armeiro mir . 
grand armur:or, le gentilhomme qui tieni a sa 
charge les armes du roi en Portugal. 

AnmeLina. V. Arminkha, 

ARMELINO, A, adj. de V’hermine. 

AnNELLA, 8. f. "cranıponnet; autıcan. pıton, 
sorte de elou dont la töte est percee en anneau. 
Braoelet , anti. 


ARMENICO ou } Armenien : d’Armönie, s. 


ARNENIO, A,ady. ) —, ne dans l’Armienie. 

ARMENTÄL, adj. 2 gen. de l’armeniio, V. ce 
mot, 

ÄRMENTIM 0% s.m. dim. d’Armento, 

ARMENTINBO, Petit iroupeau. 


ANMENTIO, s. m. lroupeau de gros belail, 
comme baufs, vaches, elc. 

ARMENTiO, A, adj. V. Armenlal. 

ARNENTO, s. m. V. Armentio, Rebanho. 

tT AnMEnTOso, A, adj. qui possöde beaucoup, 
de betail. 

ARMEO, 8. m. "quenouillde de laine, de lin, 
necessaire pour entourer la quenouille. _ 

* Ansyenta. V. Armaria. ' 

ARMEZINM, 5. m. sorte de laffetas indien. 

ARMIFERO 0u I guerrier, belliqueux, anıl 

ARMIGENO, A, adj. | des armes. s. m. page. 

Ansılua. V. Armadilha. 

ARNILBEIRO , 5. m. petit fermoir de menul- 
sier. 

ArsıLLa, 38. f. (Ef. d’architect.) armilles : pe- 
tites moulures qui entourent, en facon d’an- 
neaux, le chapiteau dorique, immedialement 
au-dessous de l'ove. 

ARMILLAR, adj. 2 gen. armillaire. Esphera —, 
sphere armillaire: vide, compos6 de cercles, 
pour representer le mouvement des asires, les 
divisions du eiel par cercles. 

ARMILUSTRIO ‚3. m. (4. de mil.) "revue genc- 
rale. 

Anuim ou Ansino, 3. m. "lache (pr&s du sa- 
bot des chevaux). 

ARMINÄDO, A, adj. tachei6 de blanc et de 
noir (obeval). 

FAnninsa, s. f. (1. d’kist. nal.) armellina : 
marte hermine. 

ARMINHÄnO, A, adj. garni d’hermine; blanc 
comme l’hermine. (8. de Bias.) Hermine, mou- 
chet£. 

ARMISHO, 5. m. bermine : petit animal rare, 
blane , & Queue noire, da genre de la belette, 

ARuinO. V. Armim. 

ARMIPOTENTE, adj. 2 gen. (1. de pocs.) beili- 
queux , guerrier, puissant en armes. 

ARNISONO, A,adj. (Il. de pols.) qui reseune 
coınme les armes dans le couflil de guerre., 

ARMiSTA, 5. m. celui qui est verse Jdaus le 
blason. 

Assısticıo,, s.m. armistice : suspension d’ar- , 
mes pour un temps. 

"Anumo.V. Hombro, Brago. 

* AnnopärıLa. V. Hermodatylo, 


130 ARP 


Aauö:s, s. m. pl. roues de devani des affüts 
canon. 


t. de bot.) arroche : plante 
ARNÖLAS OU | ( ’ 
apettale, potagere, ralral- 
Annöizs,s.f. Pl.) hissanie, dmolliente. 


Anuonla, eic. V. Harmonia, ee. 

+ Arnoricı, s. f. (1. de bot.) cochlearia : 
berbe aux cuilläres, bisannuelle, anliscorbuti- 
que. 

+ kun, s. m. (I. d’hist. nal.) arnab : lidvse 
d’Afrique. 

*Annino, V. Arndiro. 

ARnAcLOSsSA. V. Tanchagem. 

* ARNECADO. V. Arnezddo. 

Anntınd, 3. m. terrain sablonneux, sterile, 

ArneLLa, s. [. "chicot, reste d'une dent. 

+ Annto, a. m. (1. d’hist. nal.) arnee : grand 
buffie des Indes. 

Auntz, s. m. harnals : larmure oompläte 
d@’un homme d’armes. 

Aanzzinc, A, adj. couvert de harnais, 

+ Annica, s. f. (1. de bot.) arnique os arnica, 
BMioine des monlagnes. 

A’R0,s. m. corceau, cercle. Gros anneau de 
fer qui sert au Jeu de l’argollinka. V.ce mot. 
— de peneira,, cercle d’un blutesu,, d’un tamis. 
— do cubo da roda, [reite, virole. 

Anotına, V. Lentisco, 

Auöuı, 5. m. arome: principe odorant de 
ohaque plante. Aromate : drogue odorilerante. 
Parfum, odeur, eshalalion odorifäranie,. 

" Arouancla. V. Aeromancia. 

® AnOMATA OW ARONATIUDADE, V. Aroma. 

Auomirico,A, adj. aromalique : de la nalure 
desaromates, qui en a l’odeur ; odoriferant. 

AnomarızacÄö,s. f. aromalisalion : l’sclion 
@’sromatliser ; melange des aromalos avec des 

es 


ARONATIZÄDO, A, 9. P. d’Aromaiizar. 

ARONATIZÄNTE, adj. 2 gen. qui arumatise, 
gui oommunique l'odeur des aromates, p. e. d’ 

Arowartızia, ©. a. aromaliser, parfumer ; 
möler des aromatss avec quelque chose. Il est 
quelquefois neutre et signille exbaler une odeur 


le. 

+ AnöurE, s.m. (1. d’mst. nal.) arompe ou 
mangeer d’hommes : ohacal de la chte d’Or. 

Aura, s. f. barpe:: instrument de musigue & 
cordes de longueur insgale. V. Harpe. 

Anrid, s. m. barpon, varre : enpdce de dard 
destine & la p£che des cetaces. 

Aurin, 0. a. harpenner ; sccrocher. 

Ansmiin, 0.0». (f. de mus.) arpeger : falre 
une suite d’arpeges. 

Axpt3o,e.m. (1. de mus.) arpege:: batteric 
successive des notes qui Composent un accord. 

Anrenız. V. Geira, Hastil. 

Anpto,s.m.(t. de mar.) harpeau:: sorte de 
grappin qui sert äaccrocher Ics vaisseaux pour 
aller a Tabordage ;grappin.—s, pl grappius de 
bout de vergueg; grappius a main 

Arpıa. V. Harpia, 

Anrısta. V, Harpisie. it, Algisie, 


ARR 


t Anroıcid, 5. f. Yacllon d’anomse 
harponner. 

ARPOADO, A, P. p. d’Arpodr. 

7 AxroApor, 5. m, harponneurs p6cheur qui 
harponne. 

t Aasroia, cv. a. harpommer : darder, acero- 
cher avec le harpon ; lancer Ic harpon. 

Anrokıra,s. f. la corde qui est altachte au 
harpon. it. * Harpon. 

Arqusagiö, s. [. "jaugcage: aslien, art de 
jauger. 

ANQUEABO, A,P. P. WArgquear, et ady. er- 
que, courb6 en are. Nerie — , vaisseau jauge : 
mesurd par le jaugeur. 

ABRQUEADOR, 5. m. opiui qui argne, qui courbe 
ou plie quelque chose en arc. (1. de mer.) Jam- 
geur : oelui qui jauge. 

ARQUEADÜRA ‚s. f. courbure, cambrure. 

AnQuEir,v. @. arquer , cambrer : oourber en 
arc. (4. de mar.) Jauger: mesurer avoo la jauge 
la capacii6 d’un vaisseau, — as sobrencelhas, 
hausser les sourcils, 

T Arqusıo, s. m. l’aclion et l’oflet d’argquer. 
(4. de mar.) Jaugeage, Jauge. 

Angvtıno, 8. m. celui qui fait des eaisses. 
Caissier, en parlant de celui qui tient la caisse 
d’une oommunauts religieuso ou d'une 
ration quelconque. Archer : home de guerre 
combattant avec l’are, N 

ARQUESANTE, adj. 2 gen. haleiant, p.e. d’ 

Angussär, ©. n. haleter : respirer [requem- 
ment, peniblement, en soufflens. 

ARQUXJO, 8. =. aclion de halcter ; respiralien 
laborieuse. 

Angreına. V. Mosqusleire, 

Asqukta, 8. f. dim. d’Aros, easeelle : petit 
collre. 

Asguıminco, s. m. eefre long & eomparli- 
ments dont les couvercles servent de siege. 

* Angrı.ua. V. Arguinkhe, 

Angqriınua,s. f. dim, d’Arce. il. " Siöge de co- 
cher, —, (1. d’kist. nal.) arche,, coquille bi- 
valve de mollusques ectphales. — navieular, 
(4. d’kist. nat.) arche de Noe. 

Augtixyo, s. m. dim. d’Ares. 

ARQquıTscTo, eto. V. Archilecte, et, 

Ana. V. 

Arsi,V. Rd, 

Aunaıar, V. Arrabalde. 

ARRABALDE, 5. m. faubourg : la parlie d’une 
ville qui est an deiä de son enoeinte; ses en- 
virens. 

Aunasüca,. V. Robeea, 

Annıst. V. Aradi. 

Annapdıcan, etc. V. Arrebicar. 

+ Aunisıno, adj. eis. m. moine de Fordre 
de Saint. Pierre d’Alcantera. On lui deune ce 
nom 3 cause d'un courent que cet ordre avsil 
dans une montagne pres de Setubal dite Serra 
d’Arrdbide. 


ARRARIL, 5. m. espe&co de vielle en usage chez 

ten Maures. Petit voolin dos borgors. 
Annapıı£ino, s.m.Joueurdeviellermoresgue, 
ANRABIGUR. V, Arrabimes. 


un. 


ARR 


* ARRASTIAR-SE , v. r. se remplir de gale, en 
yerlanı des chiens. (Ag.) Eire de mauvaise hu- 
mar. 
tARRACIHÄDO, A, adj. en grappe. p. p.d’ 

TARRACIHÄR-SE,®. 7. ve coavrir de grappes; 
pendre la forme des grappes. 

Asrac0oiD0,A,p.p.d 

ARRACOAR, 9. a. parlager en ralions; meltre 
ä laration. 

Anzıss. V. Arrais. 

*Aunnizzas, pi. V. Arrdıs. 

Anriıı,s. f. raie: poisson plat du genre des 
squales. Il yen a plusieurs especes. V. Raia, 

Anzirı, s. f- frontiere. V. Rdia. 
Anzutano, A. V. Raiado, Listrado. 
ARrıLaL, 5. m. camp, campement. V. Jcam- 


° ARRAIAMENTO , 5. m. meubles , tapisserie. 
Annsıino, A „adj.de la frontiere du royaume. 
Aznssio, 8. m. V. Hurtla. 

Azaasan. V. Baier. 

$ ARnAIGÄDANÄNTE , ade. d’une manidre sta- 
bie, Are, permanente. 

AnasscänO, A, adj. enracine. (fg.) Envieilli, 
esracine, inveldre (en parlant des habitudes). 
„€ 

Ansuscia, v. a. jeter, prendre racine, s’en- 
raciner. 

ÄABRAICAR-SE, ©. r. s’etablir, se domicilier. 
(Ag.) S’taablir, s’enraciner, s’inveterer. Il se dit 
duao coutume #ablie, d’uno habitude contrac- 
We de longue main. 

kann, A,Pp. p.d 

Arasin, 0. 6. (£. d’agr.) tailler la joune vigne. 

Anniıs, 5. m. (Li. demar.) palron de bar- 
que ;pilete , nocher. 

"Annas, pl. V. Arrdı (pannos d’). 

*Annsıua, 5. f. genisse de deux ans, 

*Ankıuipo, A. V.Enr 0, 

ArsıELLmÄDO,A,P.p.d’ 

AununaLmar, ©. 0. agiter les branches d’un 
arbre; faire du bruit en les remuant. 

Annıman,eic.,o.a. V. Enramarrı Derramar. 

ÄARnANın, 9. Rn. el —AE, ©. r. pousscr des 
trsuches, en parlant des arbres. (Ag.) So rö- 

pandre, 

Annıncipa ‚s. f. “arrachement: l’action J’ar- 
rarher. "Terrain o& on a arrache des racines 
d’a:bres ou d’arbrisseaus pour le eulliver "De- 
part sortie brusque, essor en parlant das Oi- 
seaur.” Elan. Do —, V. De vencida. 

+ ARRAMABANENTE, ade. iimnpälueusement, 
avec eßort; brusquersent, 

ARBANCADO, 4,9. P.d’Arrancar.adj.Voga—a, 
(l. de mar.) le plus grand ellort et le plus uni- 
forme que Jes rameurs font pour imener Une 
barıne. De coga —a, & force de rames. 

ÄRRANCADOR „S. MM, arracheır ; Celui qui ar- 
racbe. , 

Azzaxcapuna, 5. f. "arrachement : l’aclion 
d’arracher; portion (le choses arraclıdes. 

ÄBRRAICABENXTO, 6. m. V. Arrancadure. 

Arnancin,r. a. arracher: detacher, dich, 

Süparor par force d’un" place, —, expecioref ; 





ARR 135 


eracher avec force. (fig.) Avoir, obtenir aveo 
peine; extorquer , obtenir par force, par vio- 
lence, par importunite. — de raiz, deraciner, 
exlirper. — a espada, degainer l’6p&e pour se 
battre. — as heroas nocivas , sarcler : arracher 
les mauvaises herbes. — a voga, (1. de mar.) 
ramer avec le plus grand eflort et le plus uni- 
forme, faire force de rames. — odios , extirper 
la haine. — 0 ultimo suspiro, rendre lo der- 
nier soupır. 

ARnANcaR, ©. m. prendre sa course, s’dlan- 
cer. (fam.) Partir, sortir: quitter un lieu, ga- 
gner au pied. 

ÄABRANCAR-RE, u. 7, s’artacher: se tirer avec 
elfort, s’arracher quelque chose qui blesse; sa 
relirer avcc peine, chagrin ‚d’un lieu, d’auprös 
de.quelqu’un. — a elma, 0 corapdo, as en- 
tranhas,(fig.) rendre l’äme, dechirer le caur, 
arracher, döchirer les entrailles: expressions 
qui exagesent la douleur. — a algusm a almıa, 
mourir dans d’extr&mes angoisses. 

ABRANCHÄDO, A,P..d’ 

ARRANCHÄR, c. a. distribuer par chambrees 
(les soldats, les matelals); heberger. — 05 ua 
rinheiros, (l.de mar.) distribuer l'öquipage en 
gameliss. 

ÄARRAKXCHAR, 9. 9 ei-—$E, 0, r. chambrer : se 
reunir en chambree , on parlant de soldals, ma- 
telois , eic. 

ARRÄNCO , 8. m. arrachement, V. Arrancada. 
it. Mouvement impötueux, 6lan ; ellort pour 
vomir ; räle. O ultimo —, le desnier soupir. 

® ARRANGOAR. V. Resgalar. 

* ARRANCORAR-SE. V. Qusizar-se, 

ÄRRANHADRLLA. V, Arranhadura. 

ARRANHÄDO,,A,P. p. d’Arrandar. 

ÄARRANHADOR, A, 3. ögraligneur. — de viola, 
räoleur : mauvals Joueur de violon. 

‚ ARRANHADÜRA , 8. f. €gralignure:; blessure 
faite en &gratiguaat, 11 se dit de toule blessure 
Iögere ; sa wmarque. 

ARRANRAR , 0.6. egraligner : dächirer leped- 
rement la peau avec les ongles , avec une &pin- 
gie, eis. (Ag.)Jouer mal un instrument A cor- 
des ; savoir mal un meöller, — a lerra, peler la 
terre, labourer trds-Iegdrement, id. Gauner 
peu de chone. Ndo haahi que —, il n’y arien 
& gagner. 

ARBANHAR-SE, ©, Fr. S’6graligner : se dechiter 
lögdreinent avec les olzley, avec une epil- 
gle, eic. ‚ 

ARRANUÖSA, 8. f. plante epineuse. 

ABRAXIÄDO, A, pP. p. Ü’Arranjar. 

ARRANJANENTO, 5. m. arraugement: Ordre, 
«tat de ce qui est arrangt. 

AnnınsÄir ‚v. a. arranger. V. Ordenar. Ran- 
ger, etablir, acronımoder, terminer & l’amiübie. 
Arranycz, V. Arrancdda, Arrancamento. 

* Anaad. V. Ra. 

ARRAPAZÄDANENTE, adv. 3 maniere d’enfant, 
sans rellexion. 

AurarazÄu0, A, adj. quial’air, les manid- 
ren d’enfant; qui ne convient qu’d un enfant, 

* Annarıia. V, Arripiat. j 





136 AauR 


Annarınuän. V. Rapinar. 

AunAP0SAD0, A,P.p.d’ 

ARRAPOSAR-SE,, d. r. faire le mort comme le 
renard. 

“Annir. V. Errar. 

* Annanin. V. Harefazer. 

A’nras ou Annas, s. f. pl. arrhes, denier & 
Dien : argent qu’on donne pour zssurance de 
Yexecution d’un marche. (!. de prat.) Somine 
d’argent que !’homme promet & la feınme qu’il 
doitöpouser, douaire. "Gage, assurance. Dar — 
a alguem,, (fig.) @ire superieur A queiquw'un, le 
surpasser. 

AnrısinO,A,P.P. d’Arrasar. 

ARRASADOR, A, 8. destructeur, qui renverse, 
qui ruine, qui met sens dossus dessous. #4. Rä- 
cloir de mesureur. 

Aurasapüaa, 8. f. l’action de räcler. (Ag.) 
Destruction. 

ÄARRASAMENTO, 8. m. d&mantelement, rase- 
ment : demolition des marailles d’une ville, 
d’une forteresse. 

ARRASÄR, o. a. aplanir : rendre une surfece 
*gale. Demanteler, raset, dögrador : demmolir un 
edifice quelconque. Räcler — a vista, regarder 
tout droit devant soi. 

ADRASAR-SE ,ov. r. s’aplanir. (Ag.) S’abattre, 
«’humilier. Se couvrir la surface, se remplir 
de, v0. g. Arrasarem-se os olkos d’agua, avoir 
les larmes aux yeux, les yeux gros de larmes. 

ARRASOAR, 6lc. V. Arrazoar,, etc. 

+ ARRASTÄDAMENTE , adv. pitoyablement, en 
pariant du genre de vie qu’on mene. (fam.) A 
bas prix. 

AKRASTADEIRO, A, adj. qui traine. 

ARRASTADO, A, P. p. d’Arraster, et adj. 
mepris6, miserable,, avili. Vida —o, vie mal- 
heureuse, mistrable. Ander —, vivre errant, 
fugitif, missrable ; souffrir une dure, une In- 
supportable fortune. Sentido —, sens force, 
detourne de sa veritable signification. Vonder 
por prego —, gächer, vendre & vil prix. Traezer 
a alguem —, (fig. fam.) faliguer quelqu’un, 
le presser, le vexer. 

rampement, entral- 

ARRASTADÜRA, 8. f. ou \nement:: }’action de 

ÄRRASTANENTO, 5. m. \ramper, de trainer, 

d’entrainer. 

Annıstiö,s. m. effort que fait la personne 
ou la chose qui traine. «4. * Vigne qui traine. 

AnnASTÄR, ©. a. trainer, entrainer : lirer 
apres soi, avec soi. Entrainer par la persua- 
sion, par les charmes; attirer ; &ire la source, 
la cause de ; reduire quelqu’un & un 6tat mal- 
heureux, le vexer, le persecuter. —o povo a0 
seu parlido, attirer le peuple dansson parti, !’y 
engager. Fazer alguma cousa arraslando, 
(fam.) (sire quelquechose de mauvaise gräce.— 
coche,rouler voliture. Arrastando otrazeiro (ig. 
fam.) a &corche-ul.Andararrastando, ramper. 

ARRASTAR, 9. ». trainer, pendre jusqu’älerre. 

ARRASTAR-SE, U. ®%. Se trainer, ramper: mar- 
cher, se glisser en rampant ; avancer avec 
peine, au propre et au Agure. 


v.y 
AUGR 


ARRASTO, 8. m, Naclion de ktutuer, de .auı 

er. 

Anrısrriß 

ARRASTRAR. V. Arrasta... 

ÄRRATADERA. )y 

AnRATAR. } V. Realter, eiec. 

ARRATEL, 8. m. "livre , poids de 16 onces. 

ArnıteLino,A,p.Pp. 4’ 

ARRATELAR, tr. o. diviser en livres; vendre 
par livres. 

Annavaune. V. Arrabalde. 

ARRAYFSSAR © ARRAVEZAR. V, Arreresser. 

ARnAYA, 

ARRAYIDO. V. Arrai... Raia... 

ARRATYAR. 

ÄRRAZOÄDAMENTE, ade. raisonnablement : 
avcc ralison , conforınement & la reison, con- 
venablement. 

ARRAZOÄDO, A, 9. p. d’Arrazoar,, et adj. rai- 
sonneble : conforme & la raison, convenabie ; 
juste; equitable. Prouv& avec des raisons, ap- 
puy6 de raisons et de preuves. 

ARRAZOÄDO, 3. m. plaidoyer : discours pro- 
nonc6 & l’audience pour defendre une cause; 
defense, justification. * Dispute, contestalion , 
discours prouve par des raisons. 

ARRAZOADÖR,, 8. m. raisonneur : colui qei 
raisonne, qui importune par de longs, demau- 
vais discours. ll se prend plus ordinairement 
en mauvaise part. Plaldeur. 

ARRAZOAMENTO, s. m. raisonnement, dis- 
cours , Paction de raisonner sur quelque chose. 
V. Arrasoado, ». 

Araazoirn, v. a. plaider. — um feilo, alle- 
guer des raisons pour appuyer la defense, la 
justification d’un proces. 

" ARRAZOÄR, o. w. raisonner: faire usage de sa 
raison ; faire des raisonnements Jusies sur quel- 
que sujet. Discourir, discuter. 

ÄRRAZOAR-SE, ©.r. 56 rondre raison ; Se con- 
former & la raison. 

Anne! inierj. pop. Dia! hale: eri pour ani- 
mer les chevaux. 

ArREÄR, eic. V. Arriar, ete. 

Anneis. V. Arreaz. 

Anreita, s. f. corde,etc., qui attache plu- 
sieurs chevaux & la queue les uns des autres ; 
licol, chereire. 

ARREATÄDO, 4, 9. p. Ü’Arreatar. 

ARREATADURA, 8. f. corde avec laquelle on 
attacho ou ratiache queiquechose; l’aclion d’at- 
tacher, de rattacher. (1. de mar.) Rousture : 
liüre pour xer une piöce de boiscontre une au- 
ire. Fazer ums —, rouster, rousturer. 

ARREATÄR, v.a. atlscher des cheraux, etc., 
ä la queue les uns des autres. Ratlacher: atte- 
oher de nouveau. (#. de mar.) Rouster: faire 
des roustures. 

Anreiz, s. m. boucle des #iriers. 

ARREBANHÄDO, A , 9. 9. d’Arrebankhar. 

ÄARREBANHADÖR, A, 3. celui qui rassemble un 
rau pean ; pasteur. 

RREBANNÄR, T. a. rassemblier en Irou 
(Ag.) Attrouper. pean. 


ARR & 


ÄRREBANBAR-SE, ©. r. s’allrouper : S'ap5eım- 
Mer en troupe, tumultueusement, 
AnagnaTacid, V. Arrebalamento. 
ÄAREBATÄDANENTE, adv. precipitamment, in- 
ansider&ment ; brusquement, avec coldre, em- 
a 


jerlemen 

ABREBATÄDO, A, 9. p. d’Arrebalar,, et adj. 
(Ag.) Emporte , outre, vif, en parlant du carac- 
tere d’uuie personne, Precipite , veloce, impe- 
tseux, en parlant de la fuite de quelqu’un, 
d'une mort subite ‚du courant d’une riviere. 

ABREBATABOR, A , 8. ravisseur : celui qui ra- 
vit, 1l est aussi adj. Ravissant, qui charme. 

Annzssrınöna, 8. f. Yaction et l’ellet d’enie- 
ver. V. Arrebsiamento. 

ARRESAYTANENTO, 5. m. enlevement. V. Rapto. 
(ßg.) Transport, d6chatnement, ravissement; 
inoonsideration, precipilation ; exces de Jole 
ou de coltre. — dos sentidos,, oxiase , Tavisse- 
ment. 

ÄARREBÄTA-PUNBÄDAS, 5. m. (1. dur.) homme 
ülrıisonnable, emporte, violent, extravagant, 

ARREBATÄR, Od. a. enlever, ravir, emporter, 
eatrafner, arracher une chose des mains de 
queige'un, prendre avec precipitation. (fg.) 
Ravir, euikousiasmer, transporter. Il se dit du 
powveir de la beautd, de V’eloquence, de la 
potsie.— a vida, ter la vie, arracher la vie. 

ARREBATÄR-SE, ©. Tr. se precipiter, en par-. 
lant du courant d’une riviere. So dechatner, 
semporter, se meltre en oolere, en furie. S’en- 
“susiasıner, s’extasier. 

Aunzaste. V. Aebate. 

AskEBATıyHa. V. Rebetinha. 

"AnnznarO. V. Mebate, Repente. 

Annssecan, olc. V. Arrevessar. 

AnRER£N, 5. m. ($. de mer.) rabans:: pelites 
eordes pour ferler, amarrer. Petit cAble pour 
foueller les matelots et les forcats. 

ÄRRSSENTA-DIABO, 5. m. (1. P0p.) un verre 
de vin aprös le repas. 

ARREBESTABO, A, P. P. d’Arrebentar. 

ÄRREBENTANENTO, 5. m. Paction et l’effet de 
ererer, eic. 

ÄRREBENTAR ‚©. 6. briser, casser, meltre en 
pieces , rompre ; tuer ou faire mourir de fati- 
gse, crever. — um cavallo, crever un cheval. 

ÄRBEBENTÄR , ©. ®. tclater. V. Estourar. 
Germer, pousser, bourgeonner. V. Rebentar. 
- por alguma cousa,, (fam.) desirer une chose 
stdesmment; avoir un grand besoin de. — de 
ro, «ionlier, crever de rire. — de inveja, 
ser, soberbs, crever de jalousie, d’orgueil, de 
deeizur 


Anazazıto. V. Reben!o. 

” ÄRREBESSAR. V. Arreressar. 

AsRgRIchADO, A,P.P. d’ 

Asnzsıchn, ©. @&. [arder : metire du fard. 

ÄRREBIQCT., 8. m. fard : poudre, päle pour 
peindre la peau, l’adoucir, la blanchir; rouge. 

ÄRREBISTADO, A, adj. tourne dans la pointe. 
Seriz —, nez retrousse. Ter o nariz —. Il se 
kt d'une personne dedalgneuse, difficile, re- 
„che, 


. 


ARR 437 


ARREBITAR, ©. G. river, raballre: recoursber 
la pointe d'un clou sur Fautre cöle du corgs 
qu’il perce. Dresser, redresser. 

ARREBITAR-SE, ©. r. 8’onorgueillir; prendre 
un ton arrogant. 

ARREBÖL, 8. m. rouge: couleur que prennens 
les naes frapp6es des rayons solaires pendant 
les deux crepuscules. Rouge de fard : compasi- 
tion que les femmes mettent sur le visage. 

ÄRREBOLÄDO, A, P. P. d’ 

} ARREBOLAR-SE, ©. r. se farder : moltse du 
rouge sur le visage. 

” ARREBONLIAR. V. Arrankar. 

ÄRREBURRINNO, 3. m. bardel (jcu de gar- 
cons). 

ARRECABE, 8. m. corde pour tirer Ic traincau 
dans la peche. 

Annzcapiaciö,s. f. levee de deniers, exac-- 
tion des dettes. Pereeption, receite; certilicat, 
declaration du payement des droits. — militar, 
magasin oü l'on garde les effets d’un regimment, 
d’une eompagnie, etc. 

ARRECADÄDO, A, P. p. d’Arrecadar, et adj. 
depos6, gard& dans l’Arrecadapdo. V. ce mol, 
(Ag.) Exact ‚diligent, soigneux ; parcimonieux. 

ANRECADADOR , 8. m. Teoeveur, perceveur, 
eolleoteur. Y. Cobredor, Recebedor. (Ag.) Eco- 
nome, menager. 

ÄRRECADAMENTU, 8. m. V. Arrecadagdo. 

ÄRRECADAR,, U. @. Fecevoir, rocuuvrer, leire 
un Fecouvroment : percevoir les impöts,. V. Co- 
brar. Ramasser, garder. " 

ARRECADAS, 5. f. pl. "pendans, buucles d’o- 
reilles. 

* AnnEciGcA. V. Recaga. 

* Anreceıin, etc. V. Asceiar , ele. 

ARREcıFE. V. Recife.. 

* AnrEcovA. V. Recova, 

Aunrecrin. V. Recuar. 

T Ansfna,s. m. (8. de prai.," esclusıon de 
Pheritage. it. interj. A bes ! bors d’ici! 

ARREDÄDO, A, P. pP. d’Arreder. 

ÄARREDANENTO,, 8. m. eloignemcri, öcarle- 
ment : l’aclion d’eloigner, d’ecarter. 

ARREDÄR,, ©. a. Eloigner, ecarier, dälourner, 
separer. Il csl aussi reciproque. 

ARNEDIO, A, adj. eloiyne, ecarte, qui s'esk 
separe, au pfopre et au ligure. Ander —, ne 
plus frequenter les memes lieux, les m&mes 
sorieles que l’on [reyuenlait auparavanı, 

” Anr£oo,. V. Longe. 

Aurepöua. V. Redoma. 

” ARREDUNDA , ade. V. Redor (ao). 

ARREDONDÄBO, A, P- p. d’ 

ARREDONDÄR, ©. @. arrondir, rendse round. 

Annepön, adv. V. Redor. 

AUREDOURES, 8. m. pl. environs : lieux d’alen- 
tour, circonvoisins ; banlieue d’une ville. 

AuaeEbouga. V. Redouga. 

ARREDOUGAR-SE, Clc. V. Redougar-se , elc. 

Arrekıro. V. Arrieiro. 

ÄRREFANHÄR, v. a. (I. do prov.)arracher des 
meins avec force. V. Arrebalar. 

* Aunzracan. V. Abeler. 


188 ARR 


“Annzrirr, adj. 2 gen. et ade. & bon mar- 
eb6. V. Barato. 

Anner£cka,v. a. refroidir : rendre Troid ce 
qui 6tait chaud. (Ag.) Ralentir; calmer. 

ARREFECER, 0.8.04 —SE, ©. r. se refroidir: 
devenir froid. (fig.) Diminuer d’ardeur, d’actj- 
vie. V. Esfrior. 

ARBEFECIDO, A, P.p. Ü’Arrefecer. 

ÄRREFECIMENTO, 3. m. refroidıssement : di- 
minution de chaleur, (fig.) de passion , d’ami- 
ds, de zele, eic. Decouragement. 

ARREFRM ei AnnKrFENs, pl, V. Befens, 

* ARREFENTAN , elc. V. Arrefecer, Esfriar. 

ARRECACIDO, A,P.9.d’ 

ÄRRECACAR,, v. a. lrousser, reiröusser, Fe- 
plier, relever en baut. 

ÄARRECACARSE „©. f. 86 relrousser :relrousser 
une robe, les manches d’une chemise,, etc. 

Ansecico, V, Hegap. 

ARREGALÄDO , A, P.p. d' 

ArreEcaLin, ©. a. (08 olkos), fam. ocarguil- 
lor les yeux. 

ARRBCANHÄDO, A, 0dj. qui se rit de tout; 00- 
I#rique , menacant. 9. p. d’ 

ARRECANHÄR,, 9. &. — 08 deniss para al- 
guem,, montres les dents & quelgu’un, soit en 
rient,soit en le menagant; braver; menaose; 
grimanoer, Fioaner. 

ÄRREGANEÄR-SE, 6. r. montrer les dents, etc. 
— com frie, so glaser de froid, #tre perclus, 
engourdi & cause du [rold. 

+ AnnEcinnO, 6. m. sernblant fier. — mili- 
ter, l’air martial d’un soldat. 

* AnBEGEITAR, V. Rejeitar. 

ARRECOADO,A,P.P.d’ 

Annecoir, v. a. sillonner : feire des sflions 
dans la terre. 

ARREIÄDO, A, 9. 92. d’ 

Anatıan,v. a, harnscher, en parlant d’un 
cheval. Orner, parer, on pariant des femmes. 

ARREBIAR-SE, 9. f. S’Ornofs, 80 Parer. 

Annzıciva ,s.f. — da lingua, rıcine de la 
langue. — da unks , racine de l’ongle. —s, pl. 
(4. demer.)haubans de revers, gambes de hune, 
6chelle de corde qui conduit des mäls aux 
bords des hunes. 

Aurzroän, eio, V. Arraigdr, ete. 

Anntıo, s. m. ornement, pärure, ajustement, 
sccoutrement d’une fenme. Arreios, pl. bar- 
nais de cheval. Attilets d'une femme. 

* Annsıo , adv. V. Arreo. 

ARREITÄDO, A, P. 2. d’ 

ARREITÄR , 9. a. exciter lV’appetit venerien. 

Annerrtra. V. Almotolia. 

ARRELA! ARRELATAS! inlerj. pop. hors d’ici! 
V.ärre, Fere. 

ARRELEQUIM. V. Arlequim. 

ARRELNWÄDA, 8. f. cuvelte : instrument de fer 
pour Pextraction de la terre qui srengage dans 
le soc de la charrue. 

AnneLtguanıo. V. Reliquario. 

* Annnuigtia. V. Reliquia, 

ARAEMARGADO, A, P: pP: @’dArremanyer.' 


a AnRA 


ARRENANCGIR, v. a, trousser, retrousser, Deo 
plier, relever, lever. 

T ARREMANCAR-SE, ©. r. (fg. fam.) Se re- 
soudre,, sedeterminer, prendre & car. 

f ARREMÄNGO, 8. m. retroussement : l!’aclon 
de trousser, de retrousser. 

ARREXATACAO, 8. f. enchere, adjudicalion au 
dernier ench£risseur. 

ARREMATÄDO, 4, P. p. d’Ärremalar. 

ÄRREMATADOR, A, 5. encherisseur, adjudica- 
taire. 

ÄRREMATANTE. V. Arremaladör. 

ARREMATÄR, ©. G. vendre ou acheter & Pen- 
chere. Finir, achever. V. Remalar. — a quem 
mais der, adjuger au plus ollrant. 

ARRENMATÄR-SE, v. r. seterminer, s’achever, 
se linir; @tre adjuge au plus oflrant et dernier 
encherisseur. 

ARREMECAR,, elc. V. Arremessar, elc. 

ARRENEDÄDO, A, 9. 9. d’Arremedar. 

ARREMEDADÖR, A, 8. singe: qui imile, qui 
contrefait les paroles, les gestes. 

ARBEMEDÄR, ©. 6. jouer, imiter, copier, sin- 
ger, contrefaire quelqu’un ;suivre son exemnple, 
marcher sur ses traces. Arre ‚„u.n. res 
sembler A quelqu’un; avoir de la conlormile, 
du rapport avec quolqu’un, aveo quelgue 
chose. 

* ARREMEDILRO, V. Fargs, 

ARnREN£DO, 3. m. "imitalion, copie ; singerie, 
oontre-fagon. 

ARRENSSQUINEOS, s. m. pi. fard, TLouge. 
V, Arrebique. 

AanEuessinautute, ade. V. Precipiiede- 
menie. 

ÄARRENKSSÄDO, A, 9. 2. d’Arremessar, el adj. 
jete, lanc& avec la main. Cavallo —, chevallu- 
rieux , quia pris lo mors aux denis. Homem —, 
bomme p£tulant, emporis, mechant, quiaun 
air dur. — no fallar, inconsidere, qui parle 
sans refloxion. 

ARRENFESSADÖR, 4. m. lanceur de javelois, 
celui qui lance des dards; celui qui allaque,, 
qui insulte. 

ARREMESSAMENTO, 5. m. jel, l’aclion de jeter. 

AnrENEsSÄÖ,s. m. aug, d’Arremesso. Dard,, 
javelot, trait. 

ARRENESSÄR, o. a. Jeter, laucer avec effort,, 
pousser loin de soi, darder, menacer de frap- 
per. — 0 cavallo, pousser le cheval & toute 
bride. 

ARREMESSÄR-SE, ©. y. s’elancer, se jeter, 
fondre sur quelqu’un; s’exposer, braver. (Ag.) 
Agir inconsidereınent. 

ARREMESSO, 8. m. jet: l’aclion de jeier, de 
lancer; clan: P’action d’attaquer, de (rapper ; 
menace; attaque ; trait. Armas d’—, trails, Be- 
ches, dards , javelots, des arıncs qu’on peut 
lanrer ou darder. (fig.) * Audace, tenıcrite. En- 
trar de —, entrer avec impetuosile. Faser — 
de ‚ faire scııblant de vouloir se porier &. — de 
po<la, veine poelique. — do carallo, elan, 
mouvement subit avec cMort que le choval fait 
en prenent la course, 


ARR 


ARR 139, 


ÄRRENETTEDÖR, 8. M. agsosseur, asseillemt. ABGEPATMÄDO A, P-P- 4 


- ARzEBETTEDCRA. V. Arremellide. 

ARRSuErTewte, adj. 2 gen. qui assaillit, qui 
unse. Ledo— , (1. de bias.) lion qui ost dans 
Tauitude d’asseillir. 

ÄRRENETTER, u. &. aliaquer, assaillir. ©. #. 
smber brasquwemment sur quelque chose, alla- 
quer brusgsement; 50 jeles sur, fonılre avoe 
kmpeluosite sur l'’ennemi. 

ARESETTIBA, 5. f. allaque, irruplion, l'a0- 
Von dassallir, diatiaquer; combal, chos, 
charge , assaul. 

ARRERETTBORAE |. Arremetiida, 

ANSENETTIBENTO, 

AKRENIRIDO, A, Ed. (d. Pop.) colörique, 
kargnem. p. p.d’ 

ARNRENSNAR-SE , ©. Tr. (d. POP.) 66 melire om 


coldre. 

f Aununea (das viahas), s. f. (& d’egr.; " bi- 
zoment , binage : secoude fagon qu’on donne A 
is tere. 

AznzuBAaCcA6, V. Arvrendaminio. 

ARRENBÄDO, A, 7. pP. d’Arrendar ‚el adj. On 
k ditd’un cbeval qui est decile am drein. (Ag-) 
Modesie, parlent d’un Bsınme,p. we. il. 
Garni de denielies, de la fagon des demiwiles. 

AnnExmanön, 3. m. fermier. V. Rendeiro. 
Benlier, qui prend ea donne & fermc, a lousge. 
— des tributos , fermier gemesal. 

ABREIDAMENTO, s. m. (ormage, arrenloment, 
ımedistien,, beil, lauage. Prix de ferms. 

ARRANDÄR, 9. a. arsenter, allerımer, amıo- 
dier; donner ou prendre & ferne. — um massa, 
aflermer om tetslile. — em rameos , allermer par 
Iais, portions. Ndo Ihe arrendo 0 ganko, a mic- 
dre, ee. (fam. fig.) Je nasuis pas jaloux de un 
sort. 


+ Annzaaan, ©. 0. (l.d’agr.) biner : donner 
ums seconde [lagen aux vignos, au mals, 
ARRENKCAGÄÖ, 8. f. apostäsic, reniement, 
AnREYECIDA, 5 f- "hombre : jeu de carles & 
weis dans legnel on denne neul cartes A cha- 
gue jousur. 
AÄRRENSCÄIDO, A, 9. p. Ü’Arrenegar, ei adj. 
michent, fächt, mis en colörc. Renegat. V. Re- 


ÄRREBECADOR , 8. m. aposial, Ecnegat: cclui 
gei a reni6 sa religion. Benieur, blasphema- 
kegr, jureur. 

ÄBBENESIR, ©. a, aposlasier, renier; deles- 
ter, abborser. V. Ranegar. 

ÄRRSNECAR, ©. ». Fenier, tenoncer & Dicu, & 
sa religion „ prendse le lurban. Blaspheiner, ju- 
rer, mandire. (Ag.) Dölester. 

ARRENEGAR-SE , 0, Tr. se [ächer, sc ınclire en 


Anngutco, 6.0. *execralion, imprecalion, Ju- 


mment. 

* ABRESBANSNTO. V. Arrunhamento, Ruina. 

ARBESCHCHÄR. V. aciar. 

* kunto ou Aratıo, adv. (L. fam.) succcssi- 
‚ment, de suite, sans Interruption, Ds arı co, 
Terraskıo- pisd. 


ARREPANHÄR, 9.0. (f. P0P.) agrippar : Pien- 
dere ‚ saisir avidament. 

AnnzreLlagid, a. f. l’aclion d’arsacher los 
ebevoux, , 

* AxREPRLLÄDG. V, Arrepellde, 

* ARABPELLÄBO, A. P. P. d’Arrepellar. 

AnsspgLLiß, s. m. l’action de liren, d’arra- 
oher les cheveux, Tiraillement. V. Kopelids. 
Fazer alguma oousaa — davoniade, [site yucl- 
que chosa A couiro-caur, & regret, 

ÄRRETELLÄR, 9, a. decheveler ı ascacher la 
poil et surtout les chavauız lirer aycc violenee. 

ÄARREPELLAR-SE, U. 7. 90 deeheveler, s’arra- 
cher les eheveus. 

ÄBRAPENDER-+SE (de), u. r. SB repenlis, 56 re- 
connaltre coupabie , zegreller : Aveir.une Tori» 
table douleur, un verilable regsei d’aveir fais 
ou de n’avoir pas Sail une chose, (Ag.) Changer 
d’opinion, se rölracier. Tempo vird em quo 
elle so asrependa, ıl aura Lowt lo loisir de sen 
repentir, 

f ARREPENDIDA, 5. [. fenıme ropsatite : lemnme 
qui, voulant se corriger de sa maniere de vie, 
so relire dans un couveot founde pour Loules 


' celles qui voudrons prendre Ic möme pagti. 


ARRBPENDIDO, A, P. P. d’Arsepender-se, eb 
adj. repenti, conlrit, repentant. 

ÄRHEPENDIMENTO, 5. m. Fepenlir: ragret sin- 
cöre d’avoir fait ou de n’avoir pas fait quelque 
ebene; reponiance : dauleur qu’an a de ses p&- 
chös, 

* Anuspaso,s. m. V. Arrependimento, el adj. 
V. Arrependido. 

Ankerii,s. f. chanson libre. 

ABRErIA-CABELLO, adv. ü vebsousse-poil. 

ARREPIAR, elc. V. Arvripiar , elc. 

* Aunkpıcan, elo. V, Repicar, eie. 

ARKEFOLBÄDO, A, adj. (1, burl.) A maniire 
de clhou pomnıe, 

AUREPRRUENDER. V. Reprehonder. 

AunkPricıo ,A. V, Abrepticio, 

ARREQUENTAR.V. Requonlar, 

AnRESAR,ele, V. Arrazoar, 

ARRESTAR,elc, V. Embargar. 

* AnRESTO, 6. m.arräl, arreslalion. V. Zn» 


90. 

AUREVECAR. V. Arrcresser. 

Aunavssän, eis. V. Arrerezar,elc, 

ÄRREVESSADO, A, P. p.d’ 

ARREYESSÄR, v. a. vomir. V. Vomitar. (fg.) 
Repousser de l’amilie ; hair, detesterquelyu’un. 
— a alma, expirer, raudre l’äme, le dernier 
soupir. 

Annsvesso,A. V. Reresso, Diffcil. 

ASREVEZADAMEXTE, adv. de lravers, A TC- 
bours, & cuntre-sens. Tour & four, recipraoyue- 
ment. 

ARREVEZÄDO, A, P. P. d’Arrerezor, cL.adj. 
toriu : quin'est pas droit; dilficile, eunbrouile, 
obscur, inintelligible. 

Anıkvykzan. V, Revezar, 

AnrEro,2.m,eladr.YV, Arreio, drreo. 

ARRIADO, p. p. d’drrier 





140 ARR 


+ Arnnıino, 8. m. (8. d’iesl. nal.) arrien: 
vautour des Pyrendes. 

Anrıın,v. a. ($. de mer.) caler, baisser, ar- 
risser amener, on parlant des voiles. (dd.) Filer 
le cable, lächer la corde, le cAble peu d peu. — 
bandeirs,, baisser pavillen. — a esc#la, lächer 
le couet. — as gavsas, riser los huniors. — a 
amarvs por mäo, larguer ou fller le cable. — 
« amarre pouce & Pouco , larguer, Bier lo cAbie 
en douceuf. — as gaveas por mio, amenor les 
huniers en paquet.— as gevens sobre a pega, 
amener les buniors sur le ton. 

Anntara, etc. V. Arvreaia, 

Aruriz, .. m. V. Arroas. 

Anninı, ade. dessus, ci-dessus ; en haut. 
Au-dessus,, au delä. Arriba / Arribs/ en haut 
tout je monde! voiz pour 6veiller ooux qui dor- 
ment; eri des marins pour appeler los mousses, 
pour les faire monter; st. pour faire aborder, 
prendre terre. — ! arrive! — todo! arrive tout. 
Be baizo --, contre-bas; de haut eu bas; della 
wete aux pieds ; du commencement & la fin. 
dig —, d’amont. De pdlas ou pernas—, sons 
dessus dessous. Voltar de baixo pera-rıle, 
meüre tout sens dessus dessous. Negocio, 
couss de costs —, alaire dificile, epineuse, 
ptnible. Dar comsigo de pornas —, se pordre, 
se ruiner. 

Anuısaciö,s. f. "aurivage, arrivde. V. Arri- 
bada. Avcs d’— ‚ olseaux de passage. 

Aunısipa, 5. f. (f. de mar.) " abord, arrivee, 
arrivage, reläche : entrde d’en vaisseau dans 
un port. Reläche occasionnee par lo mauvais 
temps. O leme d’—, (t. de mar.) arrive! 

Aunısip0,A,P.p.d’ 

Annınir (a, Para), v.». (1. demer.) arriver, 
aborder,relächer, prendreterre. Relächeräcause 
du mauvais temps ou d’un danger quelconque. 
— soöre, avancer, tomber sur. Exoeder en 
nombre, en valeur. (Ag.) Rötrograder, changer 
d’opinion. ü. Se remeltre, se rötablir, en par- 
lant de colui qui a &i6 malade. — governando 
& bolins, (. de mar.) bouter le lof. — sobre 
alguma maleris, revenir sur une malidre, en 
reparier. — pouco a pouco, (1. de mar.) arri- 
ver en dependant, en rondissant. — Sodo, (id.) 
arriver lout plat. — para correr vonlo em 
popps , arriver vent arriere, 

AURIBMR , v. a. monter en haut; porter, con- 
duire. 

Annıcan,etc.V.Amarrer.il.Ourigar, Ericer. 

® ÄRRICAYEIRO, 5. m, milicien ä cherval. 

Annicora, s. m. (. burl.) V. Altmaria. 

Annıtıro, 3. we. muletier, conducteur de 
betes de somme. 

AnnıfL, s. m. anneau d’oreille ; anneau d’or. 
Levier. V. Alavanca. 

Arnımän,ele. V. Rifar. 

* Anzırz. V. Rocife. 

*Anauan,. V. Enriar. 

* Annıınipa. V. Arreihdda. 

Annımanıco,A, adj. Ilse dit Agurdment de 
celui qui s’attache & une personne pe "m in- 
tere particulier. 


ARR 


ARRINADO,A,P.P. d’ 

ARRIMAR, ©. a. approcher : metise, placer 
contre , melire pres. Metire de cötd, cesscr de 
so servir d’une chose. (Ag.) l.aisser, abandon— 
nor, quitter, renoncer. it. Deinettre, destituer 
d’un omploi, privor de la faveur, de l’autorite 
qu’on avait. — 43 eos muros, adosser 
les schelles aux murailles. — a cabers, s’acco- 
ler. — as coslas, s’adesser. — ss csporas ao 
onsallo, chateuiller, piquer lögerement le cbe- 
val. — 0 crevo, eneleuer un cheval en le fer- 
rant.—os hombres (ig.)‚travailler avce activile, 
avec zöle A une affaire, y donner leus ses soins 

AnnımÄir-se (6), 9. r. S'appuyer, se soulenir, 
so roposer en s’appayant. S’agröger, se joindre, 
se reunir & d’auires personnes peur ne faire 
qu'un möme corps. (Ag.) S’ötayer de la protec- 
tion de quelqu’un. — ao ponte de dificuldade, 
commencer ä saisir le point d’une dıfficalie. — 
ds parddes, s’appuyer contre .a muraille, en 
parianı d’un homme soül. — es parccer, d 
opinido d’ouirem , adherer A opinion, au parti 
d’un aulre. — conire ums par6de, s’acouler. 
— dlerra um nauie,, alterir. — a um 

s’accrocher & un bomme puissant, riche, etc. 

AreimOo, 5. m. appui, soutien, accotoir, os 
tout ce qui seri & appuyer. (Ag.) Appui, faveur, 
protection. Felteu-me o meu meihor —, celwi 
qui me portait le plus, manque. 

Annıncar , etc. V. Arrancar. 

* ARRINCOAR-SE,V. r. se rolirerde la seciete : 
fuir, eviter le commerce des hommes , so mei- 
tre dans un coin. 

Axninno, s. m. lieu ou l’on pöche des aloses. 

+ Ansıösca, s. f. (8. burl.) ruse, wur d’a- 
dresse, osc ; piöge 

AnnıÖzES, sm. pl. petites billes de pietre 
pour Jouer ä la marelle ; chıques,, merbres. 

Anaırıipo,A,P. pP. @’Arripier, et adj. he- 
riss# ; tremblant de froid ; malpeigne. 

Ankırıapüna, 8. f. l’aclion et l’elfet de heris- 
ser lescheveuz. 

ARRIPIAMENRTO,, 3.0. frisson, frissonnement : 
löger tremblement cause par le froid qui pre- 
cede la fitvre. 

Arnırıir, o. a. faire frissonner, faire trem- 
bler de froid, de peur; faire dresser lescheveuz, 
les rebrousser. — a carreira , rebrousser che- 
min, et au ligure, se repeter, tonıber dans des 
redites. 


ARRIPIAN-SE, ©. r. [rissonner, avoir des fris- 
sons, trembler de froid, de peur;; avoir horreur, 
s’eflrayer, craindre, &ire saisi d’horreur; etre 
€pouvante. Arripidräo-se-Ihe oscabellos na ce 
bera , les cheveux lui dressörent ä la tete. 

ARRISCIDAMENTE, ado. hardiment, leınerai- 
rement , audacieusement ; hasardeusenent, 
avec peril. 

ARRISCADISSIMO,, A, adj. sup. d’ 

ARRISCADO,, A, P. p. d’ärriscer, etadj. haut, 
elevs, basardeux,, aventureux, riscable, Dan- 
gereur, perilleux. Fortuit, imprevu, inopine,, 
qui arrive par hasard. Estar -, pericliter, Are 
en danger, se trouver en peril, courir ris'fue. 


ARR 


Ho deinade ser dd —, IL n’csi pas Abeaucsup 
es sans danger. 

AaRISCAR,, ©. a. Fisquer, hasarder, exposer, 
susturer, metire en danger. 

ARBISCAR-SE, ©. r. se hasarder, se melire en 
peil, s’exposer & la fortune, s'exposer au peril, 
aserir risque, risquer. 

Arrırano. V. Arribddo. 

AntızisO, A,P.79.4 

+ Aunızia, vo. a. (1. de mar.) rider. prendre 
des ria, sccoureif une volle avec des plis. 4. 
Mettse la chaloupe dans le vaisseau et !’y amar- 
ber avec des dormantis. 

* ın20. V. Lama, Lodo. 

Azusöaı, s. f. arrobe: poids portugais de 
32 livres, de 36 onces chacune, qui valent 14 ki- 
logrammes et demi. il. Mesure ancienne de li- 

quides dent la capacits varialt dans dilferentes 
prorinces. C’etaii ä peu pres 6 almudes. \V. ce 
met. 


ALRORADO, A, P. P. d’Arrober, ei adj. pese 
par arrobes, en gtos. il. Asssisonn6 aves du 
vun cuil. 

+Arnonaueato on Annonıcäö, 8. m. ou f. 
Tscion de peser, mesurer par arrobcs. 

ARLOBÄR, TO. 8. peser, mesurer par arrobes. 
it, Assaisomner avec du vin doux cuit, avec du 
rassine. 

ARcöBE, 5. ms. vin doux cait, raisine ; rob. 

+ Aunontu, 3. m. (I. de mar.) rubans ou 
temmandes : sorte de cable lail a la main. 

ARROBCSTAR-SE, T. r. devenir robuste. 

AssocHäpa, 5. f. coup de bille, de bälon, etc. 

AREOCBABO, A, P- P-4’ 

Arcocsir, ©. @. biller: serrer un ballos, 
kasdre des peaux avec Ja bille ; donner des coups 
de bille, de biton. (Ag.) Serrer oxcessivement. 

ARROCHAR-SE, D. T. (1. fam.) se serrer trop. 
BD se dit des femmes qui serrenLirop lours cor- 
seis. . 

ARA0CHEIRO. V. Arridiro. 

ARROCHBLLAR-SE. V. Acasiellar-se. 

Ana6cno, 3. m." bille : gros bäton pour serrer 
kesballets, tordreles peauz, ou lorsoir; Karrot, 
leurmiquet, cheville A tlourniquet. —, trongon de 
beis nom Aravaille. —s, (1. de mar.) cordes 
neutes au bout. Propender para aparle do —, 
(Für. fam.) ll se dit des personnes qui ont de 
Fanelination pour le mal. 

Anuoezir. V. Rodear. 

+ ARROBELLÄDO, A, 9. P. d’Arrodellar, et 

adj. armb de bouclier. ( !. de bot.) Scutiforme : 
ier. 
ARROBELLÄR , 9. @. armer, couvrir de bou- 
eier, meltre un bouelier au bras. Il est aussi 
steigregue. S’iarmer et meiize un bouclier & 
son beas. 

* ARBOBILEAR-SE, etc. V. Afoslhar-se, ele. 

Ann090, 5. m. irou au izamail. 

Ansocıcid, s. f. l’action de starroger. ( 1. de 
prei. enc.) Adoption. , 

AuR0CiS0O, A, P.P- d'Arroger. 

+ Anaocanoa , 5. m. celui qui s’arroge, gai 
Fassriäus quelque char. . 


ARR 141° 


Annocäncı, 8. f. arrogance, Bert, sull- 
sance, presomption ; hauteur, insolence. 

ARROCÄNTE, adj. 2 gen. arrogant, fier, or- 
gucilleux, rebutant, rogue ; haulain, insolent, 
Courageux, vaillant, intrepide, brave. (Ag.) 
Superbe,, beau. 

ARBROGANTENENTE,, adv. arfogamment, aveo 
hauteur. . 


ARROCANTISSINE , a, ady. sup. WA nie. 
ANROCÄR, v. a. arroger, attribuer & auiroi co 
qui ne lei appartient pas. 


ARROGAR-RE, ©. r. s’arroger, s’atlirer, usur- 
per, s’appliquer, s’sttribuer, se [sire un me- 
rite, prendre avaniage de. 

" Annosar. V. Brolar. 

Araoino. V. Arrwido. 

* ARROINMANENTO. V. Ruine 

* Annoianaa. V. Auinar. 

Anni, 5. m. Fuisseau : petit courant d’eau. 

Annoıos, wi. V. Marröios. 

ArnOJÄDANkuTE, ade. audaclensement, in- 
trepidement, hardiment. 

ARROJADIGO, A , adj. qui peut ötre facilement 
jeie, lanc&, qui est fait pour öire jete, lance. 
V. Arrojado. 

ÄARROJADISSINO,, A , adj. sup. d’ 

ARRO:ÄDO,A, 9. p. d’Arrojar, ot adj. (Ag.) 
Determine, intr&pide, oourageux, impelusuz. 

ARROJADOR, 8. m. celui qui Jette , qui lanee, 
qui darde. 

Annosapöra, 8. f. piece d’un moulin & bras. 

ARROJAMENTO. V. Arrajo. 

Annoräö,8.m.V. Empuchdo, Tirdo. 

Annosin, v. a. lancer, pousser, jeter, d&eo- 
cher; chasser, rejeier, expulser, debusquer. 
Trainer. V. Arrestar. — de si, (ig.) Repousser, 
rejeter, dearler, rebuier. 

ARROJÄR-SE, ©. r. so lancer, se jeter, se pr&- 
cipiter, 8’&lancer. (g.) Oser, se hasarder, s’a- 
venturer, avoir la hardiesse, prendre la liberie, 
ne pas craindre de, presumer, entreprendre, se 
lioencier. Se trainer par terre, en parlant d’ua 
epileplique,, etc. 

Annt1o,s. m. "audace, hardiesse, intrepidite, 


presomptiion ; debardement. —- impeluoso, 6lan. 


— desesperado, coup de desespoir. 

AanzoLin0,P.P.d’Arroier. 

ARROLADOR, 5. m. enröleue ı: gelui qui falk 
l’enrölement. 

ARROLANENTO, 8. m. enrölement; relere. 

ARROLÄR, ©. a. enröler : meltre, dgrire sur 
le röle des gens de guerre ou de mer, etc. Iu- 
ventorier.ii. Rouler, enrouler, plier en rouleau, 
V. Euroler et Roler. 

ARROLEBAÄDO ow Annoıuarn, V, Rolhar, efe. 

AnaoıLLo. V. Arruiho. 

ARKOMANCABO, A, P. P. d’ 


2. 


ARRONANCAR, ©. a. dcrire, traduire en lan- _ 


gage portugais. V. Romancear. 

Annöusa, 8. f. (1. Pop.) ‘air que l’on jeue 
sur une es de guitare et qui fall besucoup 
de bruil. Couse d’— , chose dionnanie. 

AsagupAps, Y, Armdo, Ratura, 


138 ARR 
Aunoupinss, Pl: (1. de mar.) V. Arrumba- 


ARROMBinO, A, P. P. d’Arrumbar, et adj. 
(fig.) Casst , brise; penelre; en deserdre. 

ARRONBABOR „5. m. emionceue : qui enlonce. 

ARROMBAMENTO, 6. m. enfoncement : eflrac- 
tion ; l'action d’enfenoer. " Fraciure, ruplare 
des portes, des [enetres, elc. 

ARBONSÄR, 0... rompre , briser, mern en 
pitces les portes, fenötres, enfonoer. 
(fig.) Vainere, abattre , humilier. — as prisdes, 
fosoer les prisons. 

° Annourin. V. Arroßer, Romper. 

+ AunaonyY,s. m. (1. de bei., arreny : sensi- 
tive du Madagascar. 

ARROSTÄDO,A,P.p.d’ 

ARROSTÄR, ©. a. 20 meitre vis-d-vis; se pre- 
senter, enireprendre aveo bardiesse. u. ». ( M, 
com) braver, affrenter, faire (&te, se raidir. 
com 0 inimigo, faire face Al’annemi, le com- 
baure , ’atlaquerde front. Il est quelqueleis re- 
eıproque. 

* Annösto. V. Defronte. 

* Aunostaan. V. Arrostar. 

AELROTADO, A, P. p. d’Arrotar. 

ÄRROTADÖR, 8. m, roleur: oelui qui role. 
(Ag.) Fanfaren,, rodomoni. 

ARROTADÜRS, (4. de mar.) V. Arreale- 
dura. (id.) 

ARROTÄR, v. ». roter: laire des rots. (Ag.) 
Blasenner, faire parade. 

Anaorktı,s. f. novale: terre nouvellement 
defrichee. 

Ana0TEiDO, A, pP. pP. d’Arvrolsdr. 

ARAOTEADOR, 5. m. defrichenr : qui defriche 
une terre. 

Aunotein, vo. a. defricher : meltre en valeur 
une lerre incalte. 

ARRÖTO, 8. ms. Fol, eruclation: voniesikt; va- 
peur qui s’eleve de l’estomae. 

ARBOUBAUENTO, 3. m. "oxlass, vavissernent 
d’eaprit, transport , suspensiou des sens cau- 
s6e par une forte contemplation de queique 
objet oxtraordineire ou surnatarel. 

ARROUBAR-SE, ©. r. s’exlesier, tonıber en eX- 
tase. —, tiro saisi d’admiratien. 

Arxourir, etc. V. Enrouper, ete. 

ARROYO. V. Arreio,. 

+ Annoxino ou AAROXEÄDO, ady. de eonleur 
violetie, qui lient du vieler, 

Aarös, s.m. ri. plante graminde, aquati 
que ou de monlagne, qui prodait la graine 
du meine nom. 

f Aua0z-DUS-TELBADOS OW BOS-RATOS, (6. de 
bei.) polite jeubarbe; trique-mademe,, trippe- 
madarme; l&tc de souris; orpin blane. 

ArnoziL, 8. m. *Tiziere: campagne samee de 


2, 
Annözes, pl. d’Arroz. 
AnsUi0D0,A,P.p.d’Arruar. 
° Aansavon. V. Vadio, Valenido. 
ARRUANENTO, 5. m. alignement en rues. 
Anntirn,o. a. diviser, separer en ruc#, en 
quarliers, faire ia division d’une ville 9, 


50 prarmener pause faire je oser ü me dee. if. 
ant. Groguer d’une maniere partiewliöre, em 
pariant du sanglier lorsqu’i) se voll peursuivi. 

Anrcoa, 5. f. rue: pisnte aııdre, vivace, r&s- 

yon on medeerine. — des mures, (1. de 
bot.) dorodille des murs, vulge,, la sauve-vie 
la rue des murs. ” 

ArateıLa.s. f. (i. debies.) "besant, lourteau. 
(t. dorf.) * Morceau d’argent brat de la fagen 
d’une omsseroie. (1. da star.) Virele. 

AnaURLLiÄBO, A, adj. ( t. de bias.) basamid r 

do besants. 

ARRUFADICO, A, adj. quise fäche fasilement; 
boudeur. 

ARROFABINEO, A, adj. dim. d’ 

Anuuri20, A,p.p. 6 

Arnzdrin-se,o.r. gronder, montrer les demis, 
en parlant d’un chien en eolöre ; herisser ie pla- 
mege, en parlant d'un dinden. (Ag.) Se rider, 
en parlant de la surface des eaux. So lächer, se 
d3piter, stestomaquer. 

Araumınkeo, A, adj. qui a lesmanitres, Yalr 
de rufien ; peu honntte. 

Anzüro, s. m. depit 16ger, mdignation, em- 
portement, mauvalse rumeur. — de namers- 
dos , depit amoureax. Os —e des amanles sie 
ums de amer , \es piques des amants 
sont renouvellement d’amour. . 

Anntcino, A, 9. Pp. d’Arregear, et ab. 
ertspe ; ride. Cära mais —a que ums wre Pas- 
sada,, visage plus ride qu’an raisin call. 

ARRUGADÖRA. V. Arrugamenio. 

Annccautıro, s. m. Paction de rider, de se 
rider; etat d’une chose rid6e, quf a des plis, ete. 

Anrtcir, v. a. rider, froncer, racormir, gre- 
silter. Faire des plis dans des hardes , dans de 
papier, etc. — a frenfe, (fig.) froncer le sour- 
eilt : avoir l’alr Petre fache , d’&ire en colere. 

Anntcha-SE, o.r. se rider. V. Enruger-es. 

Annuino, s. m. bruit, tapage; tumulte. 

ARRCINADO, A, P. p. d’Arruinar, et ad}. 
grele, flambe, confisqu&, ruine, perdo. 

Anktitanpön, A, 5. celul qui detruit, qui 
mine, qui delabre, ravage. Il est aussi ad). 

Annttvir, o. a. ruiner, detruire, ravager, 
desoler, delabrer, &craser, rompre, tenverser, 
abimer, d«molir, bouleverser. 

Anntixär-SE, v0. Fr. se ruiner, se demelir, 
tomber en ruine. —, perdre tout son bien, le 
dissipcer. 

* AuRUINHÄR , v.4. V. Arrunlar, Arruiner, 
Rachar. 

ARSUIVASCÄDO, A , adj. FOUX, FOUSSOBE. 

ARRULNADO 0W ARKELLABO,A, P. 2.d’ 

Aunuızin ou AnavLLin, 9. a, Derusr: vo- 


rmuer le berccau pour endormir un enfant, - 


V. 4sslanter. Rousouler, caracouler, bouler. 
Il se dit du son que les ns et les toure= 
relles produisent avec le gosicr. On ie di wasıt 
de deux amants qui se font iaeour. 

AnnüLno ou Anadıı.o, 8. m. roncoulernent ; 
son que les pigeons et les tourierelles produi+ 
sontaveclegosier, L’aciion debereer 


ART 


TAracua, 8. f. (li. d’hisl. nat.) "arrouma : 
bihal des Antilles. 

Jasiwagiö,s. f.(l. de mer.) "arrimage, Ar- 
rumsge : arrangemeni de la cargaison d’un 
rasscau. id. " Groupe demusgesdans l’horizon. 
it Position geographique dans la carte, — de 
miss „ (6. de comm.) tenue de livres: Ecriture 
de regisire ou livres de commerce par dois et 
reif. 

ARRCHhCOS, 2 m. Al. (td. burl.)" bouderies 
d’snanis. 

Arauuino, A, 9. P Ü’Arrumär. 

AURUEADOR, A „Ss. Colui qui dispese, qui met 
en ordze,, qui ssrange, (ui rFegie. if. (d.de mer.) 
V. Alasirader. 

+ Anarmica, 8. f- (ti. de mar.) V. Arruma- 


Ararmäs, oa. (t. da mar.) aurimer : placer 
et arranger d’une manitre convenable la aas- 
gaison d’um mavire. Arzanger, esr, Sisposcr, placer, 
metise en ordre quelque cheso. 

+ AaRUmÄR-a8, 9. Fr. sarranger, Sajusler, Se 
melire en omdse; se placer, s’etablir. (4. de 
mar.) Metize locap ä la route, on parlant d’un 


vaisscam. 
+ Aunnmnänas, 4 s.f- pl. (1. de mar.) romba- 
Eisen : pianches du bordage d’une galere. 
Arzuuo, 3.0. V. Arrumagio, A 
+ Aurnunnän,ele. V. Arrsiser, Alir. (1..de 
crd.) Rogner (lasemeile). 
Arıüvıpaö. V. Nerrugem. 
Ausa6, V. Asia. 


ARSENÄL ‚3. m. arsenal : magasin d’arımes et 
de Iauigs sortes d’insiruments de guerse, soit 
poor la teste, soil pour la mer. 

ARSBIEACO, adj. arsenique, arsonical. Asidao— 
(t. da chim.) arsenic satıc6 d’onygöne. 

Ansaaıın0, A, ad, (4 de chim.) arseniö: 
comhine avec l’arsenie. - 

Ansmpıare, 5. u (d. de chim.) arseniale : sel 
forme par la combinsison de l'acide arsenique 
aves differemtes banes. 

ARAEIICHL , adj. 2 en. (1. de chim.) arsd- 
nisal : gei wenäde Farsanic. 

AnsenıcO, 3. m. umkemio: mudtal aigso, CAS- 
sant „ volatil au [eu ; poison viejent laraqu’il est 
seblum£. 

ARSENIOSO,, A, adj. Acido —, (4. de chim.) 
arsenieux (scide) : araenic avec une faible por- 
bon d’orygene. 

+ ArsEnite, s. m. ctadj. 2 gem. (I. de chim.) 
arsenite : sels formes par l’acide arsenieux et 
les terres,, les metaux, les alcalis. 

+ Ass, s.m.(t. de dot.) arsis : arbrisseau 
de la Ooehinchine. 

+ Arraurra. V. Päo de pörco. 

Aare, 3. f. "art: methode pour bien faire un 
mge selon certaines rögles; collection de 

ees regles ; ensemble de moyens, d’experiences, 


„de procki&u pour feussir. —, tout 
ee qui est fait par industrie. Ruse, artifice, fl- 


ART 443 


de naturel. De —, de maniere que, de sorte 
que. D’esis— ainsi,de coste maniere. De dal, 
de telle manitre. Homem sem —, bomme zung. 
axt; inepie; ruslique, grossier. Obra primo- 
rosa da — ou prisur d—, chef-d’aurse de 
l’art, ouvrage bien faitouqui a coüle besucenp: 
de poine & faire. Ariea, pl. MEnGeS, TUSSS, IMBri 
nö6es sourdes. Gurso d’—, cour& eu l’on nmel” 
gne la philosephie, la physique, les leitres, ots. 
Boas —,les humanites. Bellas —, les beaum 
ans, los asts libtraux. Artee, pl. (1. de mar.) 
filets pour pecher les sardines. 

+ Arteoıa, 8. f. (8. de bot.) arıddie ; ombeb« 
Idöre de Liken. 

ABTEFÄCTO, 8. m. ouvrage : chose falle part 
autz un prodait quelsontuue da l’art. 1 oss aussi 
adj. fait avec art. i 

* Aurarıcıkı, s.m. V. Arlißce, Arsiufe, 

ARnTRIRICE, s. f. astuce, sagapitd, Mucsse, 
ruse, ar&ßoe , mende 

ARTEIRO, A, adj. zuss, astesieur, fripams. 
Dos escarmoniados se farem os arteivos, les 
dupes deviennuentdes fripons, ou on conmenee 
par etre dupe, on fnit par €tre fripon. 

ARTEINOSO,, A, adj. V. Arteiro, Memkhose. 

AnTRLETES, #. m, pl. sorte do ragont fait aves 
des cuisses de volaille. 

ARTELBARIA, etc. V. Arttiherla, etc. 

ARTELHO, S. m. "oherilte du pied, malitelb. 

ARTEMÄORTO, V. Mayico. 

Artzuiö, 5. m. (.de mar.) ° foule: volle 
qu’on mettait anchönnement aux galtres. Arti> 
mon, ıuät de l’arriere. 

ARTEIISH. Ol ÄNTENIIA ‚ef. armele, herbe 
de la Salntı-Jean : plane rampanlie. 

Arränna,s. f. (1. d’kist. nal.) artenne: + 
sezu agnatique pahnipede. 

ARTEQCIM,, 3. m. fruit de !’Inde. 

Anrtatı, s. f. (8. d’anal.) artörn: valssean 
du corps de l’anima) qui portelesang du ewur: 
vers les extremilts. Anpera — ou Iraca: trfa- 
ch&e-artere : le eanal qui porte l'atr aux pou-«- 
mons. V. Trackh4a. 

AnrentäL, adj. 2 gen. (f. d’anat.) artöriel r 
qui appartient & Partere. 

ARTERIAZINHA,s. [. dim. d’Arleria, arteriöter- 
petite artere. 

+} ARTERIOGRAPBIA, 8. f. arteriographiie: deu«“ 
cripklon des arteres. 

AnterlioLa. V. Arteriasinhe. s 

AnrerıoLöcia, s. f. ameriolögie : trait& des, 
arleres. 

Anterıöso,A,.adj. (I. d’anat.) arterieur: de‘ 
la nature de l’arlöre. 

Antenıorouia, s. f. arteriotomie: ouvertufe 
d’une artlere. 

+ ANTESANO ou AnTEEÄO, 5. m.’ artisarı : :00- 
ui qui exerce un art mecanique. 

+ Antesıäno, A, adj. d’Artois, vie en 
France. 

Arrerıco, A, adj. (t.de med.) arthritiqe, 


ause, intrigere. Le itvre qut renferme Tcs prö- | Use dis en "merecine des meladies qui alt= 


tepies d’un art, ei par ercellenoe lo Iirre dies | 
Tutkzasmis on gramummise latino, — ‚ l’oppos6 


quent les Jointures, et des medicaments qui y* 


sont propres. 











148 ART 


Anttza, s. f."petrin, huche : coffre dans le- 
quel on petrit et on serre le pain. 

Anteziö, s. m. *söbile : valsseau de bols qui 
sert aux boulangers pour melire leur p&äts apr&ös 
Pavoir petrie.(8. darch,) "Soflüte : plafond, lam- 
bris forme de pouires croisdes de corniches vo- 
lantes avec des oompartimenis et des renfonce- 
ments eurichis de peintares et de seulptures. 
‘6. V. Artesano, 

ARTEEOADO, A, adj. fait en forme de sofäte. 
s.m. (£.d’arch.) Yassomblage des ormemments de 
la seflite. 9. p. d’ 

Axtzzoin, v. a. (l. d’arch.) consiruire en 
ferne de sollte. 

Aurmäinıca,, s. f. (8. de bot.) arthanite : pain 
de pouroeau, plante medicinale. 

+ Aarmairıco, a, adj. (1. de mdd.) arthriti- 
que : qui attaque les jointures. V. Artetieo. 

f Aarmsirtıs, s. [. (t. de med.) arthrite : deu- 
leur externe ; goutie aux jointures, 

ArtuaöpıA , 8. [. ( t. d’anat.) arthrodie : arti- 
euistion läche des os A Lete plate dans une ca- 
vit6 peu profonde. 

f Antunopr'nu , 8. f. (t. de med.) arthrody- 
nis : espöce de rhumalisıne ; douleur chroni- 
quo des articulations, 

Axrice, V. Arteirice, Astuca. 

AatıcuLacäö, s. f. articulation : jointure des 
68. —, prononciation distincte des mols; (4. de 
prat.) deduetion des [alis, des allögatiens par 
arlicles. (t. de bot.) —, jonction des parties 
bout & bout, 

ARTICOLADANENTE, adv. distinotement, clai- 
rement, d’une maniöre artieulee ; par articles. 

ARTICULÄDBO, A, P. P. d’Ariiuler, et adj. 
articule : garni d’articalations ; Prononos Dei- 
tement. 

} AuTIcuLAnTE, adj. 2 gen. qui articule, qui 
Sait articuler, p. a. d’ 

AxricuLia, 0. @. articuler, prolerer, parler, 
prononcer distinetement les mots; (4. d’anat.) 
jeindre un os & un autre, (1. de pres.) Deduire 

articles, articuler des fails, les proposer 
par ordre interrogatoire pour oxaminer des 16- 


Arricu.ir-sE, vo. r. (8. d’anai.) s’articuler, 
80 joindre, 

ArticvLin, adj. 2 gen. articulaire : quia Fap- 
port aux articles, aux Jointures. 

AaticuLo, 8. m. ( 6. d’enat.) article : jointure 
des os, (4. de bot.) —, jointure, entre-naud. 
ü6, V. Artigo. 

" ArtıcuLdso. V. Artihcıöso. 

ANTIFICE, s. m. artiste, artisan, ouvrier, fai- 
seur. (fg.) Auteur. 

TARTIFICIHADO, A, 9. P.d’Arlifcier, ol ady. 
fait avec de l’art. 

AurırıcıkL, adj. 2 gen. artifielel, faclice : 
qui se fait par art. il est oppose & nusural, na- 
surel. 

ÄARTIFICIALUENTE, ade. artificiellement ; avec 
art, artistement. 

Anrtıricıir vo, e. faire une choseastigiemen!; 
ars ar. 


ART 


Anrıricıo, s. m. artifice, art, industrie, m&- 
thode, science, habileis,, Anesse, delicatesse 
d’art. (Ag.)— ‚subüilite, ruse, fourberie, ma- 
nege, feinte, fard. Machine ingenieuse , meca- 
nique propre & faciliter l’exerciee d’un art. 
Fogo d’—, feu d’artiice. Artifcios, pl. tours de 
souplesse. 

ARTIFICIOSAMENTE , ade. artificiellement, par 
art, avec art, artisiemen!, ingenieusement. 
(Ag.) Artißcieusement, adroilement!: d’une me- 
niere artilicieuse , avoc ruse, avec fourberie. 

Arrıricıosissino, A, adj. sup. d’ 

Auriricıös0, A, adj. artißciel, lait Bar te 
moyen de l’art, d’apres les rögles de l’art. In- 
genieux : fait avec goht, de main de malire. 
(fg.) Artißcieux, adroit, accort, avis6, asiu- 
cieux, cauteleux, malicieux, feurbe, trom- 


ur. 
 Aarioo, s. m. article : partie d’un torit; oha- 
pitse,, soetion , division, ımembre d’un discears. 
—, chacune des demandes faltes daus un in- 

toire. —, chacun des points d’un traite 
de paix , d’une capitwlation. ($. de gramm.) —, 
particule qui precäde les noms designes, em 
determine le genre , lo nombre. — de fd, article 
de foi. Il se dit de chaque point de la creyance 
en matiöre de religion. — da morte, arlicle de 
la mort: dernier moment de la vie. 

ARTILKAÄDO, A, P. P. d’Artilkar , adj. (1. de 
wer.) artill6 : garni de canons (vaisseau). 

ArrtıLuia, v. a. garnir d’artillerie (une place, 
un valisssau , ei0.). 

Arnrı.narla ow AnrtiLuenia,s. f. artillerie > 
canons, mortiers, obus, elc., et teut ce qui y 
a rapport; ceux qui les dirigent. —, Yart gai 
donne des regles pour Fusage du canon et dos 
machines de guerre. — moniade, arüllerie a 
cheval. Parque d’—, parc d’artillerie: lieu des- 
tin6 a rassemblier l’&quipage d’artillerie. 48. Ar- 
tillerie d’une arınde. Trem d’—, train d’artille- 
rie : tout Y’attirail qui compose l’artillerie. As- 
sesiar toda a —, (fig.) faire tous ses efforts, 
tout son possible, employer tous sos moyen» 
pour obtenir quelque chose. 

ARTILBLLRO, s. mw. artilleur , canonnier: celmä 
qui sert dans l’artillerie. Artillier : ouvrier qui 
travailie & Partillerie. — epontador , ofliei 
pointeur: offieier qui pointe le canon. 

Arrıminua, s. f. industrie; fourberie, as- 
tuce, rase , malengin. 

Astımid. V. Artemdo. 

Antista, 5. m. arlisie, arlisan : celui qui 
exerce un art; qui cultivo les arts liberauz; 
potte, musicien, peinire, sculpteus, archi- 
tecte , etc. 

" Anrısta, adj. 2 gen. V. Arteiro, Asluciose. 

Arrive. V. Päo. 

" Autızie, v. 6. faire avec art. (fg.) Agir ar- 
üßcieusement, 

T ARTOLITBO, 5. m. (8. d’ hist. nal.) artelitbe 
ou pain peiriße, concerelion en pain. 


tAaraE, 5.0. (4. d’hist. nal. 
dem „ul ) artse ı espece 


ARY 


+ Aaröno, 5. m. ı & de bot.) arturo : celsic de 
Candie, 


AnTce, 3. m. pl. (1. ant. d’anal.) les bras, Ics 
junbes , les membres. 

tAarır,s. m. (1. de bot.) arty : quamaoclit du 
Nalabar 


+ Anulius, 8. f. (8. hist. nal.) aryana: che- 
iwdon de ia mer des Indes. 

Arisa,s. f. (t. de bot.) arube : arbrisseau de 
Guiane , quassie. 

Anüca,s. f. canal souterrain des mines, 

Auula,s f. dim.d’Ara. Petit autel. 

+ Astuaria (do Brazil), s. f. (t. d’hist. nat.) 
" soldat: insecte de l’ordre des orihoptiäres. 
V. Manse gigamiesca. 

tAndsco, s. m. (1. d’hist. nal.) arunco : es- 
Pece de erapaud. (1. de bot.) Barbe-de-chevre. 

ARCNDIFERO, A, adj. gui produit des ro- 
seaux. 

> ARUSBINACEAS, adj. f. pl. (1. de bof.) arun- 
dinaodes. Il se dit des plantes qui ont la forme 
da roscau. 

TARUNDINACcEO, adj. qui ala forme de roseau, 

t Asumpımäana, 8. f. (i. de bot.) arundinaire: 
graminee , Iadolphie, miegie. 

ARUNDINEO, A,adj. de Foseau; [ait de roseau; 
semblable au roseau. 

Axcapınöso, A, 0dj. fertile en roseaux, plein 
de roseaux. 

tAnüsı,s. f. (1. d’hist. nat.) arusa : labre 
girelle. 


ARÜSPICE , 8. ms. aruspice : devin qui consul- 
tait Jes entrailles des victimes pour pronosti- 
quer l’avenir. 

Antspıcina ‚5. f. femme qui se möle d’arus- 
pices. Aruspicine : science des aruspices. 

;„ A, adj. qui concerne les arus- 


Autspiao ,, s. m. * divination des aruspices. 

7 Auvar, adj. 2 gen. qui conoerne les terres 
enitivdes. Arodes , pl. Irmdos —, douze prötres 
de Corts et de: Bacchus qui oflraient le sacri- 
Gce appele Arvalia. 

AxviLoa. V. Alveioa. 

Anvkzse , adj. 2 gen. (t. de bot.) arvien : qui 
areit dans les champs lahoures. 

AavicoLa ,„ adj. ?2gen. laboureur; qui habile 
la campagne. 

"Arvıno. V. Arbitro. 

ARVOADO, A, P. p. d’Arooar, et adj. etourdi, 

ARVOAMENTO, 3. m. elourdissement: affai- 
biissement du cerveau, &vanouissement de 
tes. 

Akvoia, v.o. tourner latele d quelgu’un; 
troab;er la raison. 

Autoan-3E, v.r. s’övanouir: s’affaiblir de la 
i&te, tomber en faiblesse, en delaillance. 

ArvoL 08 Arvor 

Avon. | v. e. 

Anvoripa. V. Alvordda. 

Aav0oRiDdo,A,7.9.4 

AnvVORAR,o. a. arborer:: planter un eten- 

dard, une eroiz, ws draveau haut eı droit, 


woaTeFR 





ASA 145 


comme un athre. v. m. (1. de mar.) mäter: 
garnir de mäts un vaisseau. Fuiren forcant de 
voiles. 

"Anvoninıo. V, Herboldrio. 

A’RVORE, &. f.' arbre: plante ligneuse dlerde, 
nue & sa base et oouronnde de branches ei de 
feuilles & son sommet. (I. de .) mät. V 
Masiro.— de carogo, arbre de [tuit ä noyau.— 
d’espinho , on donne ce nom aux orangers, ei- 
tronniers, eic., & cause des pointes que porient 
ces arbres. — de regadıo, arbre arrose. — de 
sequeiro, arbrequi n’est pas arrose. — de cons- 
Irucgdo, arbre de haute futale. — do paraiso, 
el&agnus : olivier de Bobh6öme. — ooral, ery- 
ihrine corallodendron. —da coros d’espinkhos, 
bourg-öpine. — dragdo. V. Dragosira. — di 
incenso. V. Zimbro de Lycia.— dos sombreiros, 
coryphe de Malabar. — iriste. V. Furabordäo. 
—de Diana ou philosophal, (1. de chim.) arbre 
de Diane. — de gerardo, arbre gendalogique. 
— dacrus, arbre de la croix. — da Judea, 
V. Olaia. — de pädo, arbre ä pain ou rima des 
Pbilippines. — s6cea, (i. de mar.‘ mät sans 
voiles, avec les voiles ferlees. Correr « — 
söcca, naviguer & sec, sans volles. —dacas- 
tidade, agnus-castus ou vitex. — (1. de me- 
nuf. ei des arts.) arbro:: ie fuseau ou l’axe sur 
lequel une maschine Wurne; pidce principale 
d’une machine. 

T ARVORECER O4 ARVORESCER, ©. ®. (d. de 
bot.) croltre jusqu’au point de devenir arbre. 

ARVOR£DO, 5. m. lieu plante d’arbres; bo- 
cage, bosquet, verger. 

ARVORETA, 8. f. dim. d’Arvore. Petit arbre, 
plus grand que l’arbrisseau, 

ARYVORzZiNHA, 8. f. dim. d’Arvore. Jeune 
arbre. 

* ARVOREZINHO. V. Arvorezinhe, 

f Aarrzuöings, 8. f. pl. (8. d’anat.) aryi& 
noldes : petits cartilages pairs et symetriques 
du larynz. 

f AnrYrenolpxo, a, adj. (f. d’anas.) aryıs- 
noldien : des aryiönoides. 
ARYTENO, 3. m. (il. de mdd.) aryihme : irr6- 

gulariiö du pouls. 

Arzt (Cavallo.—).V. Argel. 

ARZEREFRE,. V. Arsenico. 

T Arzimno, s. m. dim. d’Ar. Petit air. (fg! 
Apparence legöre. 

AnzöLLa, s. [.l’amende avant d’avoir allein 
sa maturile. 

A’, s. m. as : monnaie des Bomains ; me- 
sure hollendaise ; poids, 4/5« dugrain. V. 4’z. 

As, ort. f. pl. les.V. A, article. 

A’s, contraction de «, pröp., et as, art. fem. 
pl. V. A, article. 

Asa. V. Aus. 

ASABENDAS. V. Sabendas (8). 

AsaL01äno, A, adj. V. Asseloiado. 

ASALVAJAR-SE, etc. V. Aselvajar-se, etc. 

f AsaLvzino, a (corola —), adj. (1. de dot.) 
hypocrateriforme : en soucoupe. 

ASANMBENITADO, A, adj. avec le san-benito, 

Asır, V. Azar, Azo. 


[} 


186 


ASC 


+ Asanamacch 08 Asanankccänı. V. A’saro. 

+Asanina ,& f. ( 4. de bot. ) asarine : plante 
medicinale. 

Asino, 3. m. (8. de bot.) cabaret ou oreille- 
d’hemme : espdes de nard sauvage, 

A’s avitusıs. V. Audssas (ds), Avesse (00). 

ASBESTINO, A, adj. qui appartient & Pasbeste. 

Asstero , s. m. asbeste : sorte d’amiante en 
Blets, modification du mica. 

Arsca, e. f. aversion: degoüt. 

+ Asci.aPu0, 3.m.(f. d’hist. mat.) ascala- 
phe: : fourmi-lion , Jabellolde 

° AscaLvano, V. Rscaloddo. 
+ Ascauönta. V. Brcammonia. 
ASCARENTO. V. Asquerdso. 

Ascinıpas, s. f. pi. ascarides : pelits vers 
ronds aux intestins, & la matrice. 

FAscanina, s. f. (8. de bot.) ascarine: arbris- 
soau des Indes et de la mer du Sud. 

ASCENDENCIA , 8. f. ligne ascendante : extrac- 
tion : origine d’une famille. Ascendance, su- 
periorits ; ’action de s’dlever. 

ASCENDENTE, adj. 2 gen. qui s’eiere, qui 
monte. (f. d’astr.) Ascendant. 11 se dit des &toi- 
les ou des degres des cieux, etc. , qui s’elövent 
ser !’horizon , dans quelque parallele & Fequa- 
war. 

ASCENDENTE ‚3. m. asoondant, sup£riorit& sur 
un autre. V. Predominie. (8. d’astrol.) Ascen- 


dant, horosoope. —e, pi. ancttres (en ligne ige 


Arolie ) 
® ASCENDER , 9. ». monter, #’tlever. V. Subir. 
ASCENDIMENTO. V. Subida, Eleuagdo. 

. * Aschno. V. Acno. 

Ascensiö,s. f. escension : l’action de mon- 
ver, de s’tlever, son effet ; 6l&vation. ( 8. d’asir.) 
— ‚art compris entre le point equinozial et oe- 
lui de P&quateur, au lever d’une dtoile. —, jour 
de l’ascension : fölo des catholiquesen m4meoire 
de l’ascension de Jesus-Christ. 

AscensıoniL, adj. 2 gen. (f. d’asir.) ascon- 
sionnel : qui s’ölöve. Diferenga — , (id.) diffe- 
rence entre l’ascension dreits ot Yascension 
oblique d’un astre. 

Ascknso,s. m. (l.d’astr.) * asoonsion : ölöva- 
tion des astres. — obliguo, astensien oblique. 
— roelo, ascension droite. 

‚auckt A,0.M. as00t6 :ı vous aux exercices de 
piels. 

AscaTıco, A, adj. asobtique : qui a rapport 
aus exorcices de la vie spirituelle. Il est aussi 

+ Ascisus ,s. f. (t.d’hist. nat.) aschdie: outre 
de mer, mollasque ac&phale. 

A’scı0s, e. m. otadj. pl. asciens, sans om- 
bre : habitants de la zone torride qui ont un 
jour le soleil perpendiculaire sur leurs i#tes. 

* Ascırkaıo. V. Mesieire. 

Ascites, 8. f- (I.de med.) asolte ı hydiropisie 
du bas-ventre. 

Ascttıco ‚A, adj. (4. de med.) asciligue: ma- 
lade d’une ascite; qui concerne l’ascite. 

AsCLEPIADKO, adj. m. (cerso —) asciepiade: 
vers grec ou lalin compose d’un spondee, 


ASI 


d’un dactyle , @’ane syliabe Iongue ei de deux 
dactyles. 

+ Ascızrias, 6. f. pl. aselöpien : fötes ’Kocm- 
lape. 

+ Ascıämas, 8. ım. (8. de bot.) V. Hürundina- 
ria. 

A’sc0, 8.0." nausde ‚ ddgont,, souldrementde 
cur. (fg.)* Röpugnance, aversion, döge@t, 
horreur. 

Ascona, 8. f. (l. d’ager.) petite oomdte & 
queu® o bieue. 

* Asconoer, efe. V. Esconder, efe. 

® Asconso, V. Esconso. 

ASCOROSIDADE, 8. f. CH qui provoque des nau - 
s6es, saletö degoütante. 

Ascor680, A, adj. dögoütamt ı quifalt soule- 
ver le caur. 

Asc0so, V. Ascoroso , Asquer008. 

* ASCREVER. V. Escrever. 

Ascaipriao, A, adj. foro6 & laboure? une 
terre, eto. — , ötranger naturaline. 

+ Äscaıprivo, A, adj. remplacant, surnu- 
maeraire. 

Ascaipro. V. Inseripio, Registrado. 

A’scu, s. f. braise, cherbon ardemt. V. 


* Ascuma. V. Ascunke. 

Ascöuna, s. f. petite lance de jet, trait. 

+ Ascrao, s. m. (8. de bot.) millopertnis & 
carröe 


A secunno. V. Segundo (a). 

+ Asmısans, 6. f. (1. scholas.) existence in- 
döpendante de Dieu, 

* Aszı0 ou 

AsRıo. | V. Ensayo. 

Astına. V. Auslke. 

+ AstLEOs, 8. m. pl. (E. d’Mel. nal.) aselles : 
Insectes isopodes. 

Asırran. V. Sellar. 

AstıLos, 8. m. pl. (t. d’asir.) deux dtolles du 
signe du Cancer. 

ASERRILEÄDO, A, adj. semblable & une goer- 
melte, 

* Astro. V. Acerio. 

Aserıın. V. Asselear. 

Asevia, s. [. imande : petit polssen plat du 
genre du pleuronecte. 

Asrıxta, etc. V. Asphyzia , ele, 

ÄSFODELO. V. Asphodelo 

Asır, s. f. Asie: une des trois parties de Yan- 
cin continent. — menör, Asie mineure : Na- 
tolte. 

Asıino. V. Asidiico. 

T AsıancHA , s. m. ssiarque : revätu de Pa- 
siarchat; president annuel des joux sacrer. 
magistrat romain en Asie. 

+ ASIARCHÄDO, 8. m. asiarchat : magistrature 
sacerdotale grecque en Asie, avec la presidence 
des jeux. 

Asıärıca, 8. f. (8. de bol.)espece d’andmone- 

ASIATICO, A, adj. et s. Asiatique: d’Asie. 
Luso —, {ßg,) luxe excessif. Kslile —, sıyla 
diffus , charge d’ornemenis inuliles. Cosiumes 


m 0 - 


PER EEE EG N 


ASN 

„u, mmers eBöniinden. O3 4, pl. les peupies 
€ 

*Asivo. V. Agerrado, Pr&so. 

tA'sıLo, s. m. (8. d’kist. nat.) asile: diptöre. 
= m forma de crabo , asiio fr6lon. 

AsiLo. V. 
‚Amir, A, al. d’äne : qui eoneerne los 
nes 


Asinma.V. Aztahe. 

Astıraa ou Euzrums. V. Arinha et Astaheira. 

Ferie. aA, adj. d’äne : qui concerne les 
imes. (fig.) Bete, stupide. 

Askure,. V. Assinte. 


* Asin, 0.. saisir, prendre , empeigher. 
* Astro , adj. ou. ( Castöllo —) bien sitad; qui 
peut se däfendre,. 
Asus, ei6. V. Asthma. 
* Asmin , te. V. Esmar, Avsliar. 
Asukato Asthndsioo 


Asuo,, A, adj. azyme : sans levain; qui n’a 
point 668 fermente. 

Asuonto , s. m. (6. de le bible) Asmodee : de- 
nen d’impuret£. 

+Aswooto, s.m. (tl. d’st. nat.) asmodee: 
serpent du Japon. 

Asnı, 8. f. Anesse: la femelle de Fäne. 
V. Burra_ 


Asza, s. f. (f. de eharp.) ° chevron : beis 
eqaarri f\ moins de six pouces d’€paisseur, qui 
perte los laties du teit; (f. de bias.) deux piöces 
Pates assemblees en angle. 

Assana, 5. f. tronpeau d’änes. Änerie. 

ASRÄL, adj. 2 gen. ssine : d’Ane, qui con- 
cerne les änes. (Ag. pop.) Brutal, böte, ani- 
mal. 

AssaLutute, adv. betoment, stupidement, 
selternent. (fams.) Montö sur un äne. 

Assın. V. Asnel. 

Asmanlı,s. f. (tecto a) P’onsemble des che- 
vrons qui soutiennent le toit. 

Asntına, s. f. änerle : grande ignoranee de 
ce quW’on devrait savoir; bötise, platitade. 

Assuusiö,s.m. aug. d’deno, grand Ane.(flg.) 
Exeessivement betie, stapide. 

Asuzınona, s. f. da proesdent. V. Tolei- 
Tons. 

asino, s. m. Anier : celul qui conduit des 


enteo, A, adj. d’tme.: qui concerne les 
inee. Mala — a, macho —, mulet qui provient 
den ine et d'une juament, 

AsEiCE 08 D 

os | 8. f.quallis d’äne. V. Ameiro, 

Amsiuns, s. f. dim. d’Asme. 

Asuiumo , s. m. dim. d’Ame. Änon : petit 
One. 

Asue, 5. ı. An, baudet : bete de somme,qui 
a de fort grandes oreilles. (Ag.) Äne: son le dit 
den esprit lourd et grossier, d’an ignorant qui 
te ssit pas les choses qu’il devraii savoir. — 
Bontez , Ano sSuYage,, Onagre. A — morlo ce- 
tale as rabo „(pro®.) donzer du secours ou du 
yutde quand il mo poui plus @ire utile, Anrds 


Asp 187 


fa mort le medeein. Deiameutarde aprds diner. 
Assim era eu — , pas siböte. 

* Asnoca. V. Esnoga et Synagoga. 

Aso. V. Azo. 

Asos. V. Sob, Abaiao. 


* ASOLTO, 
V. Absol... efe. 


AsoLas. V. Solas (6). 

AsosLa10. V. Sosiaio (8). 

Asrı,s. f. piöoes de bois jointes en sautoir. 
— de moinho, volant, obacune des alles d’um 
moulin. — de Santo-Andre, croix de Baint-An- 
dre , en forme de X. — de brasäo ‚* sauteir, 

Asrino,&A, 9.9. d’Aspar. (fig.) Tourmentb, 
martyrise. 

ASPALÄTEO, 5. m. aspalathe : bois sdorife- 
rant, approche de l’alods. —d’ America. V. Era 
no bastardo. — espinhoso , gen&t pimeux. 

+ AsrıLito, 8. m. (1. de bot.) aspale!: 
plante lö&gumlueuse. 

AspÄR, tv. a. crucifier : attacher quelqu’un . 
une croix de Saint-Andre. Devider : mettre en 
€cheveau le Al qui est sur le fustau. Biffer, 
rayer. (fig. fam.) Mortifier : faire de la peine, 
faire souffrir ; vexer. 

ASPÄRACO. Y. Espargo. 

* + ASPARGEL, adj. 2 gem. Ineulte : qui n'est 


spide. 
a ASPE, m. (6. d’Mst. nal.) asps: cyprin du 
or. 

. AsrscrÄvsı, V. Visioel. 

Asp£crO, 5. m. aspect: vue d’un objet —, 
perspective que presente un Neu, une situation, 
un edifiee. —, face, semblant, mine, conle- 
nause, alr. (#4. "Fastr. — ‚ situation des pland- 
tes les unes & P’egard des autres. (Ag.) " Appa- 
rence. Ao — ‚au premier aspoct, ä la 


premitre vue. Debaizo d’este — , sous ce point 


de vous. Ter bom ou mdo — alguma cousa, (fig.) 
avoir un bon ou mauvais sspect, en parlant 
d’une affaire, d’une enireprise „ eic. Por todes 
08 —s, dans tous les sens. 

Asp£ıto , 6. m, aspect, face , semblant, mine, 
contenance, air (d’une personne). U. V. Res- 
peito, Altenpdo, (anfiq.). 

ASPERANMENTE , adv. Aprement, ausiöremem 


rudement, durement, ser „ seche- 
ment. Apresss uni 

ASPERRZA , Sf} qualitö de ce qui est 
üpre. Asperi h 16 ‚ AÄndesse, Imegalite : gualits de 


ce qui est raboienn. (4g.) Austeritö, rudesse, 
algreur, stvörit£, dureis, döso 

gueur. — dum caminko, anfractuosits d'un 
chemin. Com —, rudement. 1 das sciencins, 
ste., tpines des sciences , eie. 

ASPERGER, ©. 8. asperger : faire aspersian. 
Arroser, kumecter, Jeter ou faise rejsillir ums 
ligueur. 

Asr£iacas, 8. m. (exp. lat.) aspersion de 
/’eau benite. Copa d—, serie de chasuble de 
prelat, pluvial, chape : large et long veteınent 
d’iglise, en manleau , avec agrales. 


148° ASP 


ASPERCIDO, A, P. p. d’Asperger. 

* ASPERGIMENTO. V. Aspersäo. 

AspErciR. V. Asperger. 

ASPERIDÄDE. V. Aspereza. 

+ ASPERIFÖLIO, A, adj. ( 6. de bot.) qui a les 
fuilles Apres au toucher, rudes, 

ASPERISSIMO, A. V. Asperrimo, adj. sup. d’ 

A’SPERO ‚A, adj. Apre, dur, rabotenx; qui est 
rude autoucher, quifait quelque impression in- 
commode ou fächeuse sur lesorganes du tou- 
cher. Rude, anfractueux, Apre, raboteux, en 
parlant d’un chemin. (Ag.) Äpre, äcre, acerbe, 
aigre, rev&che ; rude au goat, & l’oreille. 8. 
Brusque, oru, dur, agreste, bourru, d6sobligeant, 
röbarbatif, maussade, acariätre, loup-garou , 
ausiere. 

t A’spsno, 5. m. aspre : monnaie du Levant, 
qui vaut 9 deniers tournois. 

ÄASPERRIMAMENTB, ado. sup. d’Asperamentie. 

ASPERRINMO, A, adj. sup. d’ o. V. ce mot. 

Asrersiö, s. f. aspersion : Paclion d’asper- 
ger. 

Aspinso, A,p. pP. irreg. d’Asperger. 

ASPERSÖRIO, 5. m. asperges, aspersoir : gou- 
pillon & jeter de l’eau benite. 

+ Asr£ruLi, 8. f.(t. de bof.) asperule odo- 
rante : le muguet des bois. 

A’spEs, s. f. pl. "rais dela roued’une machine 
ä sucre. 

FASPHALTITE, adj. 2 gen. Lago-—, lac asphal- 
te, debitume.. - 

ASPHALTO, 3. m. asphalle: bitume solide, 
dur, noir, luisant, tr&s-fusible, inflammable, 
denne un ciment insoluble ; bitume des Indes, 
liquide,, grossier ; karab6 de Sodome. 

Aspnontıo, s. m. (#. de bot.) asphodedie: 
plante & fleur en lis, racine farineuse, nutri- 
tive, en navet. V. Abrotea. 

+ AspnopeLolpzs, 8. f. pl. (plantas —, t.de 
bot.) asphodeloides : famille des asphodeles. 

Aspurxia, s. f. (l. de medı) asphyxie : priva- 
tion subite de tous les signes exterieurs de la 
vie, de pouls, de respiration,, de mouvement. 

ASPHYXIÄDO, A, P. P. WAsphywiar, et adj. 
asphyxie : attaque, frappe d’asphyxie. 

ASPHYXIÄNTE, adj. 2 gen. qui asphyzie, 
r.a.d 

ASPHYZIAR , v. a. asphyxier ; faire perir par 
ı faut d’airrespirable. 

ASPHYXIAR-SE, ©. r. s’asphyxier : se donner 
a mort par defaut d’air respirable. 

Aspnyxıöso, A, adj. asphyxique ou asphyc- 


ve. 
ASPICIENTE , adj. 2 gen. (I. d’anat. anc.) du 
‚ront. Veias —. V. Temporaes (veias). 

A’spin ou A’SPIDE, 8. m. aSpic : petit serpent, 
espöce de vipdre Ir&s-venimeuse. Sorte de cou- 
leuvrine ancienne d’un calibre plus fort que 
celles d’aujourd’hui. (Ag.) Aspic, medisant, 
mauvaise langue, mordant, caustique, vipere, 
langue de vipere. (#. de bot.) — : espöce de la- 
vande d’une odeur tres-forte. 

AsrıRacäd, s. f. aspiration : l’action d’aspırer; 
Vaclion des pompas aspirantes. (1, asodt.) Aspira- 


ASS 


tion de l’äme & Dieu. (t. de gram.) — , maniere 
de prononcer en aspirant; (6. de mus.) prolon- 
gation du chant de la note inlerieure & la sup6- 
rieure ; agr&ment sur le claveein. 


} AsPıRÄDAMENTB, ado. en aspirant, avO®. 


sspiration. 

Asrinin0O,&A,p.p. d’Aspirer. 

Asrırir. V. Espirdl. 

AsPıRÄNTE, 5. m. aspirant : oelai qui aspire & 
entrer dans une sociei# quelconque. —s de 
merinha real, corps des aspiranıs de la ma- 
rine. adj. Qui aspire. Bombs —, pompe aspi- 
rante : qui souleve leau en l’altirant par ie 
vide. p. a. d’ 

Aspıräa, ©. 6. aspirer: atlirer l’air avec la 
bouche. (#. de gram.) —, prononcer de la 
gorge, en sorte que la prononciation soit for- 
tement marquee. (fig.) Exhaler, embaumer. 

' AspırÄr (a) , dv. ®. aspirer : buter, preötendre 
&, avoir des vues sur ; desirer ardomment, 

Asrınarivo,A, adj. aspiratif : que l’on pro- 
nonce en aspirant (letire, etc.). 

Aspıs. V. Aspide. 

AsprE. V. t Aspero. 

Aspa£no, 8. m. asprede: poOisson du genre 
du sitare. 

Asotzin0, A,9.p.d’ 

ASQUEAR ,v. a. avoir mal au caur. liest aussi 
neutre. V. Nausear-se. 

ASQUEROSAMENTE, adv. avec degoüt. V. No- 
jentamente. 

Asquerosinpine, 8. f. V. Ascorosidade. Salo- 
perie, salet#, grande malpropreis. (fg.) Tur- 
pitude, tache. 

ASQUEROSISSIMO , A, ady. sup. d’ 

Asquznöso,, A, adj. V. Ascoroso. Sale, mal- 
propre, degoütant, repuussant, saligaud,, sa— 
lope , pouacre. 

Assa, 6. f. (— duleis, t. de bot.) V. Beiyoim, 

Assı, adj. 2 gen. (ti. de l’Inde) negro—, 
V. Albino. Os assas, s. pl. les albinos. 

* ASSaBENDAS. V. Sabendas (a). 

ASSABORÄDO, A, 9. P. d’Assaborar, el adj. 
qui savoure, qui s’amuse, quis’endort, en p9r= 
lant de celui qui se laisse arr£&ter par le plaisır. 

ASSABORÄR, ©. G. assaisonner : accommoder 
les aliments. (Ag.) Savourer. V. Engodaer. 

AssasonEan. V. Assaborar. 

AssaciDO, A, pP. p. d’Assatar. 

ASSACADOR,, A, s.(— d’aleives). V. Calum- 
wiador. 

AssacıLADO , etc. V. Aracalddo, eie. 

ASSACÄR , ©. 6. impulter calonmieusement, 

Assicı0o,s, m. (.depharm. anc.)" coclion des 
medicaments et des alimentis dans leurs pro- 
pres sucs sans addition d’aucune liqueur. 

Assınkına (de casianhas), s. [. rölisseuse : 
femme qui rötit des marrons. 

ASSADEIRO, A, adj. qui est propre a @ire rö6li, 
et s. V. Assador. 

Assino, e.w. föt, röti, viande rölie a la 
broche ou autrement, ot adj. p. p. d’Asser. 

AssaDOR, 3. m, FOlisseur: Oelui qui Fölıt. 


oo 2020. 


ASS 
Breche. V. Esp#lo. Rötissoir : pot A rötir des 


merrons , elc. 

Assa-DuLcıs. V. Benjoim. 

Assaptra, 3. f. " morceau de viande rötie, on 
qwon peut rötir d’une fois. "Rötissage : Paction 
“röur. Ter parte na —,(flg.) avoir part au 

au. 
Vsartrroa. V. Canafrecha da assafttida. 

ASSALARIADO, A, P.P.d’ 

AssaLanııR,, Oo. a. salarier, gager : prendre & 
gages , donner un salaire. it. V. Peitar. 

+ AssaLzoibo, A, adj. saumon6 : qui ala 
chair rouge comme oelle du saumon. Trufa 
— 4 , treile ssumonee. 


AssaL01iDO, A, adj. qui a les manidres de | nato 


yaysan ; grossier, rustique. 
AssıLräpa, 8. f. irruption, course imp6- 
tueuse et violente de voleurs,, de brigands;; sur- 


rise. 

AssaLräpo, A,Pp.p. d’Assallar. 

ASSALTADOR, s. m. assaillant: celui qui as- 
saille, qui attaque inopinement, subitoment, 
mement. 

AssıLzär, ©. a. assaillir : attaquer inopind- 
ment , subilement, vivement; donner assaut, 
monter ä Passaut; surprendre. On le dit des 
choses qui exigentousupposent une resistance, 
comme: Assaltou-o a enfermidade, a fempes- 
Isde , a morte ‚il a &i6 assailli par la maladie, 
par la teınp£te , par la mort. 

Assıırzan. V. Assaltdr. 

AmsiLTO, 9. m. assaut : allaquue pour empor- 
ter de vive force , soil physiquement, soit mo- 
zalement. Tomer d’— ou por — ‚ prendre d’as- 
seut, emporter d’assaut ; brusquer une place, 
Pemporter d’emblee. 

ASSaALYAJADO. V. Asselo... 

Assautsto, s. m. rötissage : action do rö- 
Ur er detre röti. V. Assadura. 

ASSANHADO „A, P. pP. W’Assanhar-se, et adj. 
(4g.) Aigri, irrite. 

ÄSSANHANENTO ou ASSANHO, 8. m. l’action ei 
Teßßet de Faigrir, de s’irriter ; rage, coufroux. 

Assınmir, ©. @. irriter, meitre en colere, 
es {ureur; zsigrir, augmenter la douleur, le 
mel, eic., au propre et au figure. Il est aussi 

ue. 

Assiswo. V. Assankamenlo. 

Assin, o. 6. rötir: faire cuire de la viande & 
la broche,, en la tournant devant le feu, sur le 
gril oudans une casserole.Caut£riser. Engenho 
€, warne-broche : machine servant & faire 
twarner la broche.— na ponis do dedo, rötir au 
bont da doigt. Joc. famı. pour indiquer qu’une 
chese est impossible. 

Assın-sz (de), v. r.(fig.) Griller : &prouver 
une chaleur excessive. Brüler, se consumer par 
ie feu des passions. — vivo, griller, ötre cuit, 
röui par le soleil. 


CCA, 


(1. de bot.) V. Assaro. 


Assinus, 5. f. pl. (wvas —) espöce de raisin 
3 gros grains. 


ASS 


Assınima. V. Asarina. 

Assis.V, Assaz. 

ASSASOAR 0% ASSABONAR. V. Sazonar. 

ASSASSINÄDO,A,?.P. d’ 

ASSASSINÄR,, ©. G. assasginer, massacror , ho» 
micider, &gorger : tuer de guet-apens, de des- 
sein forınd, en trahison. (fig.) Tromper : trahir 
quelqu’un dont on avait la conllance;; impor- 
funer excessivement. 

ASSASSINÄTO, 3. m. assassinat: meurlre en 
trahison et de guet-apens. (fg.)* Trahison, per- 
üidie envers une personne dont on avait la con- 
Nance. 

ASSASSINIO O5 ASSASSINAMENTO. V. Assassi- 


189 


Assıssino, 3. m. assassin : meurtrier de des- 
sein premedite, de guet-apens et en trahison. 
(%g.) Traltre, perfide : celui qui trompe unse 
personne dont il avait la conflance. it. Signe 
que les femmes mettent au coin des yeux. Il est 
aussi adj. Qui assassine, etc. 

Assıtivo, A,adj. (1. de pharım. anc.) qui est 


'r6ti dans son suc. V. Assacio. 


Assiz, adv. assez, suflisamment. 

ASSAZOAR el Assazonan. V. Sazonar. 

+ Assazo&, s. m. (1. de bot.) assazo& : plante 
d’Abyssinie, dont ’ombrage engourdit les ser- 
pents. 

ASSEÄDANENTE, adv. proprement, blanche- 
ment, elegamment. 

AssEiDO,A,9.p. d’Assear, adj. prepre ‚dle- 
gant. Estamds —s! (fam.) nous voilä dans de 
beaux draps! 

AsseiR, o. 6. Orner, approprier, parer, agen- 
cer, ajuster : mettre dans un &tat de proprei6; 
netioyer. 

ASSEAR-SE,, ©. r. meilre des v&lements pro- 
pres, s’habiller proprement, &l&ganıment. 

A’SBECLA, 5. m. 9. us. V. Sequdz. 

* Assgcunacäö,s. f. V. Asseguragdo, Seguro. 

ASSEDADEIRA, 8. f. seranceuse : femme qui 
passe le lin par le seran. 

AssepiDO,,A, pP. P. d’Assedar. 

ASSEDADÖR , 5. m. seranceur : celui qui passe 
le lin par le seran. 

ASSEDAR,, U. 0.— 0 linho, serancer : passer le 
lin, le chanyre, etc., par le seran. Rendre 
soyeux, doux comme la soie. 

+ ASSEDENBADO, A, adj. (S. dechir.p. us.) A 
maniere de seton, qui seri de s6öton, 

ASSEDIÄDO, A , 9. p. ü’Assecsar. 

ASSEDIADOR, A, 8. et adj. assiögeant: qui as- 
siege. 

ASSEDIAR, dv. a. assieger. V. Sikier. 

Asstpıo, s. m. siöge: 6tablissement d’une 
armee pour allaquer une place. 

* ASSECUNDAR, elc. V. Segundar. 

* Assecunacäö. V. Seguro. 

ASSEGURÄDAMENTE, adv. aveO Assurance, 

ÄASSEGURADO, A, P. 9. ü’Assegurar. 

ÄASSEGURADÖR, A, 3. celui qui alirme, qui 
assure. (1. de comm.) V. Segurador. 

ASSECURAMENTO. V. Seguro. 

ASSECURÄR, ©. 4. assurer, afferımır, rassurer, 


150 ASS 


raffermir, ötayer, consolider. Mettre en süret£, 
s’assurer de quelqu'un, Farr&ter, l’emprisonner. 
(Ag.) —, aflirmer, appuyer, tmoigner, soule- 
nir, certiller, donner pour certain, rendre t4- 
molgnage d’une chose. (id.) —, preservor, de- 
fendre, mettre & couvert. (fd.) —, garanlir, 
nantir, ötre caution, donner des Aassurances. 
—,‚garantir moyennant une cerlaine somme de 
marchandises dont un vaisseau est charge, ou 
autres objets. Promettre. — uma embarcapdo, 
(1. de mar.) amarrer un navire avec des cAbles, 
des cordes. 

ASSEGURAR-SE (de), ©. Tr. S’assurer, elo. iÜl. 
V. Segurar-se. 

Asstıan, otc. V. Asssar, eic. 

Asstıo, s. m." proprot£, nettes, toilette sim- 
ple et öl&gante. Com —, proprement, blanche- 
ment. (ig.) D’ane maniere parfaite. 

Asszıstaväno, V. Seistauddo. 

® ABSEITAMENTO, V. Insidia, Tenlagdo. 

” Assgıranca. V. Clade, Engano. 

* Asseıtar. V. Insidiar. 


” ASSELLAR, otc, V. Sellar, Ralificar. 

ÄSSELYAJÄDAMENTE, adv. & la maniere des 
sauvages, grossierement, brutalement. 

ASSELVAJÄDO , A, adj. grossier. V. Abruiado, 
etp.p.d’ 

ÄASSELVÄJAR-SE, ©. r. devenir sauvage; pren- 
dre des maniöres grossidres, brutales. 

Assku, s. mw. Carne do —, morceau de la 
surlonge d’un bauf. 

ASSEMBLEA, s. f. assembiede : nombre de per- 
sonnes r6unies dans un meme lieu. (4. de mil.) 
— ‚signal donns avec le tambour ou la trom- 
peite pour assembler los soldats, 

ASSEMELHÄDO, A,P. P. d’ 

ASSEMELHÄR, vd. 6. assimiler ; rendre, faire 
ressemblant, conforme ; comparer, imiter, o0n- 
förer. 

ÄSSEMELHAR-SE,, ©, r. ressembler, avoir du 
rapport, de la conformite avec quelqw’un, avec 
queique chase, 

ÄASSENDENCIA. V. Ascondencis. 

AssentHa. V. Axonka. 

ASSERHORAR, eic. 

ÄSSENRORBAR, 6lc. | V. Senhorear, ote. 

Asetuo. V Acdno. 

* Ausunöna. V. Urne. 

ASSENSO, 3. m. assentiment, consentement. 

Assentipa, s. f. (t. de prat.) chaque fois 
que le notaire s’assied pour Interroger les t&- 
moins. D’uma —, (espr. proo.) d’un seul ooup, 
d’une seule fols , tout d’un trait, 

ÄSSENTÄDANMENTE, adv. pos6ment, aveo tran- 
quillii£, aveo repos ; formement. 

ASSENTÄDO, 4, 9. p.d’Assentar, et adj. situe, 
plac#. Rassis, tranquılle, paisible. Convenu , 
conclu, resolu, ordonne, arretie , deoide, sta- 
tue, regle. (Ag.) Ferme, söolidement #tabli. Pa- 
laoras bem — as, das mots pleins de circonspec- 


ASS . 


tion, sages, judicleux, dits avec prudence, 52 
gesse. 

ASSENTAMENTO, s. m. l’aclion de s’ssscoir, 
V. Assento, Situardo, Sitio. Enrezisirement. 
(Ag.) Accord ; base, 

ASSENTÄR,, v0. a. asseolr: mettre sur un sidge. 
Il est ordinairement reciproque. Bupposer, 
presupposer. Assurer, affirmer, donner pour 
certain. Convenir de quelque chose, faire um 
arrangement, un pacte. Noter, enregistrer, im- 
scrire, coucher par e&crit. Assurer, affermir. 
rondre sollde; poser, mettre dans le lieu, dans 
Pendrolt convenable; asseoir, distribuer les 
couches de couleur. — 05a, se mcitre en me6- 
nage, lever maison. — o p£, (Äg.) marcher 
ferme , marcher droit. — s vaza, prendre les 
levdes qu’on a faites au jeu, les meitze de son 
cöte. — praga, s’engager, s’enröler comme sol- 
dat. — norol, istrer, inscrire. — so pa- 
pel, prendre note, marquer. — uma bofelada na 
eara,appliquer, plaquer un soufllet sur lajoue. 
— 6 a, porter en depense; &crire sa de- 
pense. — se om alguem, donner des 
coups d’&p6e & quelqu’un. (Ag.) Reprimander 
söverement, ($. d’esor.) Poser son &pte ou son 
euret apr&s avoir tird.— a mdo, faire une 
bonne &criture. (Ag.) Se perfectionner. is. Ch&- 
vier, corriger quelqu’un. — as costures Pam 
vesfido, presser avec un fer chaud les ooutures 
d’un habit. — o flo d navalka, d facs, ekc., 
donner le fill au rasoir, au couteau, ec. — ums 
partida nos lioros, (6. de comm.) ooucher une 
partie sur les livres, passer öcriture de confor- 
nie. — commercio, &tablir un commerce , 8’6- 

P. 

ASSENTÄR, ©. ®. conrenir, cadrer, seoir, dire 
convenabie & la personne, au lieu, ä la oon- 
dition , au temps, etc. Devenir raisonnable, se 
rasseoir, en parlant des personnes ; s’6claircir, 
deposer, en parlant des ligqueurs; se calmer, en 
parlant des passions. Aller bien, en parlant 
d’un habit, etc, On le dit au figur6 des emplois 
etdes dignites quand Ils sont donnes A des per- 
sonnes qui les meritent. Fixer sa residence, s’& 
tablir quelque part.— que,se persuader, croire, 
juger, penser. — n’uma cousa, convenir d’une 
chose,, s’en tenir & une chose, prendre une 
r6solution , se decider ä une chose. — no did- 
rio, (f. de eomm,) passer un article au journal, 

ASSENTÄR-SE, v. r. s’asseoir. S’enregistrer, 
s6 faire inscrire. Ndo — no es ma 
cousa, peser sur l’estomac, en parlant d’un« 
chose que l’on ne peut pas bien digärer. As- 
snlou-se ‚(pret. impers.) il fut convenu ou ar- 

ASSENTE,, adj. 2 gen. assis, ferme, solide, 
repond; rassis, pose. (fig.) T. Cordato, Si- 


ASSENTIDO, A, 9. 9. d’Assenlir. 

ASSENTIN&NTO, 6. m. V. Assenso. 

ASSENTIR,, v. ». @tre d’avis, deldrer au senti- 
ment, se rendre & P’opinion de quelqu’un, cen- 
venir avec qwaigu’un; approuver, acquiescer ä. 

ASSENTISTA , s. m. assentisie : financier, four» 


— [nn . 





ASS 


de virres ; oelui qui s om’ 
gage ımers Ja gouvernement A approvisionner 
uns ville, ane place, une armde, eio. Inten- 
dest dala beulangerie mililaire ; diapier. 
Assturo, 5. m. si6ge : meuble fall pour s’as- 
meiz.° Entroe, sbance : placequ’on a dans une 
usenbiöte. * Demeure, residence, assiette, 6ia- 
Nissement. Lion, enoeinte qu’oocupe un peu- 
sie, une ville, um ddifice. " Considence, repes ı 
d’ane ok3me sur une autse. " Base: 
is partie sur lagselle ropese un vase. ° Lie, d“ 


miltaige ; enızep6t de denrdes pour l’approri- 
sisnnement d'une place, d’une armeöe, Bl6. 
Vr2 „Pradenos, eiroonspeotien , tonus. (pop.) 


de meelin, montiee et preöte dä mendre. Tomar 
- nes sausus, rögier les choses, les r&tablir 
dans Ferdre qu'elles deivent avolr. Bıtar d’—, 
fazer — ‚resider, &ire fix dans un endreit. — 
Tem nerio , assietie d’un valsscau. — dos &s- 
Selle, berdement des dmaux. — de ponte Is- 
je semmier du pontlevis : pidoe de bois 
qui parte is plancher du pont. — de praps, en- 
grgement, enrölesnent, eu parlant des soldats. 
— su liste des presos, dcrou : registre des em- 
prissznements. — d’um ionel, boissiere : le 
reste du vin quand il approche de la lie. — do 
freie, embeuchere du mors. Assontos do ca- 
valöo, barres : partie de la mächoire du coheval 
var laquelle s’appuie le more. — d’um ode 
tsssement. Fazer —, eto. 11 se dit de la solidite 
qu’sequiert un edifioe par P’allaissement des 
mautrisux qui le oomposent. Fazer — comal- 
guem , touvenir aveo quelqu’en , B’accorder. 
Ter — em vorlas, avoir s6ance aux elals, — 
de tribumal, de cortes, ele. arret d’un tribunal, 
arroid den Busse du royaume, eto. De — ou 
aveo attention et röflexion. 

"hnsuseo, 4. V. Apto, Idöneo,. 

* ÄSSEPTENAR, 9. 8. OU 9. payer sopt fols. 
Asszncio, 8. f. u , afürmation. 
ASSERENi2O, A,P. P. d’ 

‚9.0. exposer au serein. Il. V. Se- 
roner. 
Assenılse, A, P. pP. d’ 
AsszaliR, 0. 6, melire en serie, p. us. 
ASSERTIVANERTE, ade. V. Aflrmalivamenie. 
t Asszaııvo, a, ad/. qui aflirme,, qui con- 


AsskarO, A, adj. 07. P. d’Assegurar. 
t Asstaro, s. m. (6. de phil.) " assertion, pro- 
position. 


Auszayöa,, s. u. Calui qui aflırme, qui sou- 
Siezt ans propesition; qui Lraite une question 
ä lond ; delenseur, protecteur. 

Assextönto, A. V. Affrmalivo. 

* Asszsoın. V. Sazonar. 

"Ansısezsan, V. Socegar, elc, 

Auszssön , 8. m. 85S00seur, oflicier qui esi 
adjeint ä un juge principal pour Juger oonjoin- 


ASS 151 


tement avec lui. Gelui qui oonseille, qui donne 
des conseils. 

f Asszssonia, s. /.’ emploi, place de Passo 
SBur. 

ASSESSORIAL OW ASSESSORIO, dj, qui H6M- 
cerno l’assesseur, 

AssastiBO, A, P. P. d’Assestar. 

f Asszstanöna, 6. /. Paotion de placer Jos 
canons, les viser; braquement. 

ABSESTAR,, d. @. Metro, plaoer, poser , sie 
tuer, poster, &tablir ; viser, peinter , melire en 
mise, diriger une chose vers un point, vers un 
but. On le dit ordinairement des armes & fon 
ou de trait. (Ag.) Dirigerses coups contre quel+ 
qu’un, cbercher & lui nuire. — a pers, a arli= 
Ikeria, affüter le canon, l’artillerie. 

Assästo, s. m. (— d’ertüheria, I. de mil.) 
Affütege, Pastion d’aflüter Vartillerie. 

Assetrino, 

Asserin,eio. } V. Assetea... ele. 

ASSETEÄDO, A, p. p. d’Asselear. 

ASSETRADOR , s. tireur de caups de Aöches. 

Assurein, v. a. blesser,, uer A coups da 
üöches. (Ag.) percer. 

ÄSSETINADO , A, adj. satind , doux _sormme le 
satin, qui ale reflet du satin. p. p. d 

+ AssETnaR, o. 0. satiner, donner l’eil du 
satin. 

Assevan : pedra d’ —. V. Cevar. 

Assevanaciö,s. f. afirmation, assurance » 
Y'action d’assurer, d’affirmer. 

ASSENERADAMENTE,, adv. alfirmativement , 


fieio, | avec affrmation. 


ASSEVERÄDO, A, P. P. Ü’Asseverar. 

ASSEVERADÖR, A, 8. celul qui aflirme, qui 
assure. 

ASSEVERANTE. V. Asseverador. 

ASSEVERANTEMENTE. V. Afiirmalivamente. 

ASSEVERAR, ©. @, armer, assurer , 1Emoi- 
gner, certifler. 

ASSEVERATIVO, A. V. Afflrmalivo. 

ASSEYAR, eic. V. Assear. 

"Assı. V. Assim. 

ASSIDENTE , adj. 2gen. (1. anc. de med.) 
v. Concomitante 

° AssıDıaR. V. Assedier, Silier. 

4 ASSIDUAMENTE , adv. assidüment, avec assi- 
uile. 

AssıpViBape, 8. f. assidults : exaclitude de 
colui qui est assidu; application continuelle; 
frequence. 

Assınuo, A, adj. assidu, altach6 : qui ost 
exact A 50 trouver od son devoir l’appelle Con- 
tinuel, frequent, 

Assıcnaciö, s. f. assignation : l’action d’as- 
signer;; atıributllon,, sppoinlement, assignal: 
destination de fonds pour le payement ; cou- 
stilulion de rente sur cerlain fonds; exploit, 
eitation devant le juge. 

ASSICHÄDAMENTE, ado. V. Deierminada- 
menie. 

AssıcnÄno, A,9. 9. d’Assioner 

ÄAssıcnÄäDo, 8. m. Assignat, billet, oblıgaılon 
par ecrit. Seing, signature. 


152 ASS 


AssicnAbön, A, 8. signataire , sousoripleur : 
celui qui signe, qui souscrit. 

+ Assıcninos, s. m. pl. assignals: papier- 
monnaie, billet d’etat primitivement hypothe- 
que sur un bien. 

Assıcnapöna. V. Assignalüre. 

ASSIGNALÄDAMENTE,, ade. remarquablement, 
svoo 6clat, d’une manidre remarquable , illus- 
tre, distinguee,, 6olatante. Expressement, nom- 
möment, spöcialement. 

ÄSSICHALADISSIMO , A ,adj. sup.d’ 

AssicnaLiDpo, A, P.p d’Assi ‚er ad. 
marqu6, signale. Assigne, arr&i6,, marque, de- 
signe, determine. Insigne, remarquable, illus- 
tre, signale , distingue, celebre, fameux, &cla- 
tant. No dia -—, au jour nomme, au jour mar- 
qu6, convenu. — da mdäo de Deos ou pela na- 
tureza , (fam.) qui a un delaut corporel , qu’on 
eroit signe de delauts moraux. 

ASSICNALADOR , A, 8. celui qui signale, qui 
wardque. 

ASSICHALANENTO , 8. m. l’action de marquer 
Pheure, le jour ; rendez-vous; assignation. 

. Assi . 

ASSIGHALÄR, ©. 6. marquer : meilre une Mar- 
que. Parafer un acte. —, indiquer, montrer, de- 
signer, donner a connaltre. Dire en termes ex- 
pres , formels. —, assigner !’heure, le jour d’un 
rendez-vous, etc. Balafrer, devisager : faire 
une blessure au visage. —, laisser une marque. 
Elire, marquer, preudre par prel&rence. Ren- 
dre illustre, distingus, celebre. — com 0 d4do, 
montrer au doigt, au propre et au figure. 

ASSICNALÄR-SE, v. r. so signaler, se distin- 
guer, se rendre cölebre. 

Assıcnam&nto, s. m. Paction d’assigner, si- 
gnature. V. Assignapdo et Comsi . 

ASSIGXÄNTE , 8. souscripteur : celui qui si- 
gne, qui souscrit. Abonne : qui a fait un abon- 
nement pour un Journal, pour une suite de re- 
presentations thestrales. (Ag.) Qui Ir&quente 
beaucoup une maison, et0. 

ASSICNAR „ ©. 6. signer : melire son seing au 
bas d’un acte,, d’une lettre, eic.; soussigner, 
souscrire. Designer, assigner, fixer, delerminer 
le jour, le lieu pour faire quelque chose. Assi- 
gner par huissier. V. Assignalar. Prendre un 
abonnement, s’abonner. — de cruz, faire une 
eroiz + au lieu de son nom, pour les personnes 
qui ne savent pas &crire.(fg.) Ne connaltre 
rien d’ane affaire, se oonlormer ä ce que disent 
les autres. — em blanco, approuver sans exa- 
men. 

ASSIGNAR-SE, ©. r. faire son seing, dcrire son 
Bom, apposer sa signature ; signer, soussigner, 

Assıcnatüna, 8. f. signature, Souscription : 
Yaction de souscrire, de signer dessous. * Abon- 
nerzent, 

AssıcniveL ‚adj. 2 gen. assignable : qui peut 
ötre assigne. 

+ AssıLencıan, ©. a. Imposer silence, faire 


ire. 
Assıu,, adv. ainsi, comme tela, donc, parlä, 
e’est pourquoi, de oette manidre. Aussi, dgale- 


ASS 


ment, pareillement. Assim— 1A 1ä, oouol-oouel, 

tel quel , tellement quellement, tant bien que 
mal. — como, de meme que, autant que, aussi- 
töt que. — que —,— como — , quei qu’il en 
soit, de quelque manidre, de toutes lesmanie- 
res. — uma como ouira cousa , tant Nun que 
Pautre. — que, comme; sitöt que, desorte que, 
o’est pourquol. Tanto faxs—como assado,. fam.) 
o’est &gal, d’une manidre ou de l’autre. Como 
—? pourquoi dono cela? comment? — mesmo, 
semblablement, de meme, tout de meme; nom 

obstant, oependant, — pois, dene, ainsi donc. 
— sıja, ainsi solril. A cousa ou 0 onso ndo ca 
— ‚oetie affaire n’en demeurerä pas !ä. Göslo 
d’elle—, je ’aime commecela. Por — dizer, par 
maniere de dire. — como o ar vivifica os seres, 


— 0. amor 08 ‚tel que Vair vivifie les 
ötres , tel P’amour les reproduit. 
Assıua. V. Acıma 


AssımıLacäö, s. f. assimilation: action par 
laquelle les choses sont reondues semblables, 
V. Similkanga. 

ASSIMILADO, A,p. p. d’Assimiler. 

f AsSınıLADOR, A, 8. et adj. assimilateur 
qui assimile. 

ASSIMILAR, ©. 6. assimiler : rendre semblabie 
ou prösenter comme semblable, Il est aussi u, 
ei r‘. 

Assıumı.naciö. V. Assemelhardo. 

ASSIıMILHAR, etc. V. Assemelher. 

Assınatan. V. Assignetar, eic. 

Assınan, otc. V. Assigner. 

Assıntz. V. Acinte. 

AssıainO, A, adj. sonst. V. Sisudo , Cordalo, 


.p.d 

Assısin , v. a. rendre sense. 

Assisıo, s. mw. chanoine A demie. V. Teresme- 
rio. 

ASSISTENCIA , &. f. assistanoe : presence. Alde, 

secours, faveur, proteclion, service. ° Concours, 
presence personnelle ,„ interveniion. Resi- 
dence, demeure. 4. Les rögles des femmes. — 
conlinua, assiduite. — do medico, soins du 
medecin. — divina, la gräce de Dieu. 

f Assıstanta, s. f. femme de l’assisiente, 
premier magistrat de Söville. Dame d’honneur 
qui demeure dans le palais de la reine (en Es- 
pagne). Servante, femme de chambre dans un 
couvent de religieuses. 

ASSISTENTE, adj. 2 gen.p a. d’Assisfir. As- 
sistant : qui assiste, qui alde, qui protöge. De- 
meurant, qui demeure. Garde: l4 personne qui 
est aupre&s de queliqu’un pour le garder, le soi- 
ener. Ereque qui assiste au sacre d’un auire 
$röque, qui alde A 1a o6r&monie. Presbylero —, 
pretre qui assiste le c&lebrant dans les grandes 
solennites, habill6 en chape. Medico —, mede- 
cin assistant : oelul qui soigne effectivement un 
mealade, 

ASSISTENTE, &. m. assistant: religieux, moine 
adjoint au general de son ordre pour l’aider 
dans ses fonctions, Procureur d’un proces. Do- 
mesligue qui accompagne un personnage sur 
la scöne. — de Sevilke, le premier magistrai de 


u A A Ar he... 


m Mn En 


— a — 


ASS 


Strille, dont la charge repond ä celle de corre- 
dor. 
AsSISTIDO, 4, P. p. U’Assistir, et adj. Estar 
sssistida , avoir ses reglea, en parlant d’une 


ASSISTIR, ©. @. Ei "%. 35Sister, ACCOMpagner 
quelqu’un, lui servir de temoin dans un acle, 
dans ane etrömonie publique. Seoourir, aider, 
isvoriser, proßöger, assisier. — 4, #0, assißler, 
conceurir, @ire present. —a umenfermo,garder 
seigner, gouverner un malade. — como medico, 
trailer un ©.— COm 0 necessario , enirele- 
nir : pourvoir & l’eniretien de quelqu’ un. — 6 
um moribundo, soigner quelqu’un dans ses 
derniers moments, lui fermer lesyeux, les pau- 
pieres. — com fre ‚ fr&quenter. — a ra- 
zöo salquem,, avoir la raison de son cöle. — 
em Iuger douirem, remplacer quelqu’un dans 
ses fonctions. — a alguem, faire la courä quel- 
qu’un, courtiser. 

Assıstır (@), ©. ®. assisier, @ire preseni.(om) 
demeurer, habiter, loger. 

Assızrıpo. V. Assisado. 

Assoipa. V. Assudda. 

ASSOALEBAÄDO, A, 9. P. d’4ssoalhar, et s. Plan- 


cher ; parquotage. 

ASSOALHADO DA COBERTA,, (f. de mar.) bor- 
dages des ponts. 

ASSOALHADOR, Ay adj. et s. qui publie, qui 
drulgue, qui manifeste. 

ASSOALHADURA 64 Ar V. Divulgagto.it. Assoa- 

ASSOALHAMENTO. ) Ihado,s. 


ASSOALHÄR,, 0. @. exposer au soleil pour s#- 
eher. (fig. ) Divalguer, manifester, publier, faire 
yablic. -— uns casa ; plancheier, parqueter. 

ASSOALBÄR-SE, ©. r. s’aANNOoncer, se donner 
peer(savant, litt6rateur, etc.). 

Assoaute, adj. 2 gen. (t. de po6s.) assonant, 
Ose dit des mots Fr ont un son final sppro- 
chant. 

ABSOAR, ©. a. moucher. —#8, . r. se mou- 
cher: s'essuyer le ner. — d mange,, se moucher 
sur sa manche. 

AssosancAn0, A, 9.p.d 

 Assosancan, td. a. lever quelque chose de 
terre, et la mettre sous le bras. (fig.) Vouloir 
tout embrasser, tout entreprendre, accaparer. 

AssoszasinO,A,P.P. d’Assoberbar. 

ÄSSOBERBADOR , s. m. celui qui domine. 

ASSOBERBÄR,, ©. a. trailer avec meEpris, avec 
orgueil ; insulter, vexer. Dominer, intimider, 
menacer. 

Assosıapkına ‚8. [. (1. d’hist. nal.) “siflleur : 
oiseau du genre des tourpiades. 

AssosıiDoO,A,?. p. d’Assobiar. 

Assonıapör, A, s. siflleur : qui siflle. (6. 
Ehist. nat.) —, monax, beizebut ow singe vol- 
ügeur d’Amerique. 

AssomaR, 0. a. et. sifller : produire un sif- 
fement. Desapprouver avec derision. — ds 
beias, ( fam.) jouer un tour ä quelqu’un, le 

womper avec finesse. - 

As50si0, s. m. sifflement : bruit aigu fait en 
sifflant, Siffiement des serpenis,, des oics, elc.; 





ASS - 153 


— ‚bruit aigu que [fait le vent. Sifflet : instru- 
ment pour sifller ; coup de siflet. 

ASSOBRADÄDO, A, P.p. 4’ 

ÄSSOBRADAR, ©. a. parqueter : 
parquet; plancheier. 

ABSOcEcAR. V. Socegar. 

AssociaGäö, 8. f. association : union de por- 
sonnes pour ua interöt, un but commun. Ad- 
jonetion. 

AssocıanO, A, adj. associe. V. Membro, So. 
ei0.9.p.d 

Assocıia, v. a. associer, agröger, coopter, 
adjoindre. — (com) v. n. avoir liaison, com- 
merce avec quelgu’un. 

ASSOCIAR-SE (G, c0M ), v. Tr. 8’associer : se 
joindre & quelqu’un, avec quelqu’un;; prendre 
pour compagnon, faire une soci£t£ ; se lier. en- 
trer en soci6ts d’interet it. avec, V. Mancom- 
nunar-se. 

Assortıra. V, Apofeifa. 

ASSOGUILHAR,, 6lc. V. Acairelar. 

AssoLacäö, s. f. desolation, ruine, ravage. 

. Desso 

AssoLino, A, p.p. d’Assolar. 

AssoLADOR, A, 8. et adj. desolateur, devas- 
lateur, destructeur ; qui ruine, qui ravage. 

AssoLau£nto. V. Dessolagäo. 

ASSOLAR, v. a. ravager, desoler, devaster, 
ruiner ;rendre desert; piller, saccager, dötruire 
de fond en comble. 

ASSOLDADÄDO, A, 9, P.d’ 

ASSOLDADAR, ©. 6. gäger, prendre & gages. 
V. Assalariar. 

ASSOLDAPÄR-SE, u. r. sd mellre A gages. 

AssoLDAR , etc. V. Assoldaddr. 

ASSOLHAR , eic. V. Assoalhar, Assobradar. 

* AssoLro, V. Absolto, Absolvido 

AssoLven. V. Absolter. 

Assosipa,s. f. apparitıon subile et courle; 
hauteur, &minence. Lieu d’oü l’on commence 
& deeouvrir un lieu quelconque. Faite. V. Fas- 
Hgio. 

ASSOMÄDAMENTE, adv. ( fig.) Hörement, brus- 
quement. 

AssoMÄDO, A, p. P. d’Assomar et adj. em- 
porte, impatient, vif, qui so fäche aisement, 

ASSOMAMENTO. Y. Assömo. 

ASSOMAR, dv. #. poindre : commmencer & pe- 
ralire ; se faire voir peu & peu. Monter au son 
met. Il est aussi r&ciproque. 

AsSsoMÄR, v. a. montrer, faire voir, faire pa- 
rattre. —a cahbeca d janella, ınettre la tete A la 
fenetre. it. Irriter. V. Apwlar. Evaluer en gros. 
faire un apergu , eslimer au premier coup d’@i 
äcombien se montera la depense, etc. Abre- 
ger, r&sumer, r&capituler. 

ASSOMÄR-SE, v. r. se melire en colere, se 
fächer un peu. V. Assanhar-se. 

* Assosar. V. Sommar, Resumir 

ASSOMBRAÄDO, A, P. p. d’Assombrar, adj. 
sombre, ombrage&; stupelait, &pouvante, sur- 
pris, effray&; frapp& de la foudre ou de toute 
autre chose. Bem ou mal — , d’une mine ou 


meltre Ju 








158 ASS 


d’un aspeet ben ow maurais, Falcdo — , (1. de 
fauconn.) faucon hagard. 

ÄSSONBRAMENTO, s. m. stonnement; dpou- 
vante, terreur. La lournure que prend uns al- 
faire. V. Assombdro. 

Assonsaän, v. a. ombrager : faire, donner 
de Pombre. Epouvanter, effrayer, glacer d’el- 
froi , causer de la terreur. (fg.) Eionner, 6tour- 
dir, rendre immobile de surprise, stap6ßer, 
faire merveille. ll ost aussi reciproque. (#. de 
peint.) Ombrer. 

ASSONERO, 5, m. &pouvanie, terreur, frayour, 
veur, effrol. Etonnement, prodige, miracle, 
surprise, merveille. 

+ AssowenösauentE, adv. ttonnamment, 
merreilleusement, d’une maniere #tonnante, 
merveillouse. 

Assouenöso, A, ady. dtonnant, merveilleux, 
sdmirable, surprenant, 

Ass0mo, s.m. l’action de commencer ä& se 
montrer, & se falrevoir. *Marque, indice, signe, 
ombre , apparence. 

Assonäncıa ,s. f. (t. de pods.) assonance : 
approximation, ressemblanoe imparfalte de 
sons dans la terminalson des mots. 

ASSONANTE. V. Assoanie. 

Assonxia , s. f. harmonie mötrique. 

Assonso. V. Caladüpae. 

ASSOXORENTADO. V. Somnolen!o. 

Assorzan, etc. V. Sopear. 

Assoraipo,, A, pP. p. d’Assoprar. 

AssorrADöR, A, 3. souffieur. (fg.) Boute- 
feu : qui souflie le fau de la disoorde, attiseur. 

Assoraanöns, 8. f. "soufllage. V. Assopro. 

Assorair, v. a. souffler : faire du vent avec 
3a bouche, arec un soufllet. —, dloigner avec 
le souflle. Faire enfler en soufllant (une outre, 
etc.) (Ag.) soufller aux oreilles de quelqu’un. 
ü. Sou quelqu’un : lul dire tout bas 
quelque chose. Favoriser, exctier, . 
suggerer. id. —, prendre une dame du jJeu des 
dames , la souffier. ” 

Assopaan,, 9. ». soufller. On le dit du vent. 
— sfortuns, eire favorable &, en parlant de 
fortune. 

Assorainko, s. m. dim. d’ 

Assörro,s.m.l’action de soufller. Souffie : vent 

on fait, air qu’on chasse en soufllant, (fig.) 
vis donn6 secretement. id. *Delation , denon- 
eiation , rapport. id. Moment, Instant. V. So- 
pro. Podem derribäl-o com um — , on peut le 
senverser d’un souflie. On le dit d’un homme 
trös-faible. 

AssoR. 

ASSORDA. V, door. 

ASSORENHA. 

® Assonvan,, ol6. V. Absorver, oie. 

Assosszcan , eis. V. Socegar, eic. 

°® AssorıLan, eis. V. Sudtilizar. 

AssovsLino, A, adj. piqu6, perc6 avec une 
alöne. p. p. d’Assovslar. Assoveladas, pi. 

folhas, raizes, etc. t. de bot.) subuldes : se 
(erminant en polnies träs-Anes faltes en alöne 
(feuilles, racines, et8.). 












ASE 


ASSOVELÄR,, u. @. percer avec une aldne. (fg. 
pop.) Asticoter, taquiner. 

Assovıan , etc. V. Assobiar. 

Assovınipo, A,P. pP. d’ 

ASSOVINÄR, v. a. piquer, enloncer un instsu- 
ment algu. -— a paoleneis, (Ag. pop.) asticoter, 

Assovumarn. V. Assovinde. 

Assuisa, s. f. cohue, rassemblement tamul- 
taoux; crialllerie. *Tocsin. 

* AssuAR , ®. s. rassomblier tamulineusemen! 
de monde pour oommetire des hestllitts , Po? 
troabier l’ordre puhlic; faire eohue. 

Assusensan. V. Assoberbar. 

Assucan , etc. V. Arucar, ele, 

Assuckna. V. Acuoöne. 

Assope. V. Apude. 

® Assutro. V. Sudlo. 

Assusentar. V. Sufer. 

AssuLan. V. Ayular. 

Assumapa. V. Assuade,. 

ASSUMACRÄDO, 9.9. d’ 

ÄASSUMACRÄR,, U. 6. pröparer avec du sumac. 

Assumino, A,p. p. d’ 

‚Assuufr, v0. 6. prendre sur sol ou pour ®oi. 
Elever, porter quelqu’un & certalnes dignites, 
comme & Tempire, au pontificat, par election 
ou par acclamation. Evoquer & soi , s’arroger. 

* AssumMapa. V. Assudde. 

* Ausuumäpausurs, adv. V. Juniamente. 

Assunrciö, s. f. Assomption : apeih6ose de 
la Vierge ; fette de lV’Assamption parmi les 
eatholiques. Elsvation A une dignile. (4. de 
log.) —, ow mineure, ‚deuxidme propositien 
d’un syllogisme. 

ASsSuMPTivEL, adj. 3 gen. admissible : qui 
peut ötre dvoqu6. 

Asscurrivo, a, dj. ca qu’ea prend du de- 
hors; arroge. 

ASSUNPTO,, s. m. sujet, ihdıne : malidee zur 
laquelle on derit, sur laquelle om parie; arge- 
ment, sommaire. 

AssuuPto,A, 9. 9. w., d’Assumir. V. Bie- 


* kusunins. V. Assudde. 

Assuncis, 

ASSUnTO, etc. } V, Assump... eic. 

ASSUPERIORAR-SR, 9. F. devenir superieur, 
se faire superieur. 

ASSURGENTE, V. Remonianie. 

+ Assund, s. m. (4. de bof.) assourou: myrte 
des Antilles. 

} Assusräpaunte, ade. oraintivement, aven 
erainte, 

f Assusrinico, A, adj. crainlif : sujet & la 
eralinte. 

ÄSSUSTADISSIMO , A, adj. sup. d’ 

Assustino,, A, adj. timide, peureux. 9. p. 


d’Assustar. 


Assostanon, A, ad). alarmant : qui cawıe de 


P’inquietude. —, s. alarmiste. 


Assustär, ©. @. alarınor, &pouranier, faire 


trembier, effrayen. 


——— DM _ ur "Er re 


—— u 1 a, 


AST 


ÄSSUSTAR-SE, v. r. s’effrayer, s’alarmer, s’&- 
posvanter, prendre l’&pouvante. 

AssurıLar. V. Subtilizar. 

Assuxan. V. Alargar. 

Assv'nıa, 8. f. (4. de geogr.) Assyrie,, Syrie : 
porince d’Asie. 

1 mie] } Syrien „Assyrien ı de Syrie, 

Asrı,s. f. V. Hasta, Haste, 

+ Astacırzs ow ASTOCALITEES, 8. m. pl. (tl. 
Ehist. nat.) astacites : 6crevisses, orustachs 


pütriäiss. 


V. Bast... etc. 

ASTEAR. 

+ Asrelsmo, s. m. (1. de rhel.) astsisme : 
ironie delicate. 

Asreııa, s. f. (1. de chir.) atielle : appui 
avec des bandages pour les fractures des 08. 

ÄSTEREÖMETRO, 8. m. astörkometre : instru- 
ment pour calculer le lever et le coucher des 


asires. 

Asrtatı , 2. f. (t. E’hist. nal.) asterie:: nom 
doune par quelques auteurs ä une ospece d’o- 
pale qui, plac#e au solell, offre l’image d’une 
tioile. Asterias, pl. astöries : zoopbytes &chi- 
nodermes ; insectes , vers, petrification en 
teile. V. Estrellas do mar. 

ASTERISCO, 5. m. astörisque : petile marque en 
ferme d’&toile(”) qui se met dans l’impression 
des livres , pour indiquer un renvol ou quelgue 
sutre chose 


+ Asrznısco, s. m. (8. de bei.) asterisque : 
plante radiee. 

Asrzrismo , 3. m. (f. d’asfr.) astörisme, 60n- 
sutllstion : assemblage de plusieurs 6tolles. 

Asreanir, adj. 2 gen. ($. d’anat,) asiernal ı 
«wi ne s’articale point avec le sternum. Cötes. 

+&Amao, s. m. (f. da bot.) aster ı il de 
Christ, plante & fleur radiee, vivace. 

+ Asrzaoıpe ‚adj. 2 gen. (1. de bot.) &toil6 ı 
en forme d’stoile. a. f. Asterolde: plante radiee, 

+ Asrazula , s. f. (1. de med.) asıhenie : d&- 
fsillance „ faiblesse,, döbilitd extreme. 

+ Asretnıco, a, adj. (1. de med.) asthönique : 
«ans force , infirme, impuissant. 

Asruwa,s. f.(t. de meöd.) asthme: respira- 
ksa Irsquente et irös-penible cansse par l’ob- 
siraction du poumon. 

Asruuirıco, A, adj. asihmatique : qui a un 
asthme ; sujet & l’asthme. 


ASTIL,. 
ASTILEA. V, Hast... 


Astım. 

Astıncar. V. Eslingar. 

* AsrırcLar, V. Estipular. 

+ Astoncano, A, sub, et adj. d’Astorga, en 


e. 

AsrnicıaLo,s. m. (L. d’arch.) astragale: or- 
nement, moulure ronde des chapiteaux,, des 
eerniches ; baguette , petites boules on chape- 
lei; (6. d’anat., osselet des üssipedes; gros os du 
tarse. (6. de bei.) — , fausse röglisse,, plante 16- 
guminense & racine vulnsraire. 





AST 135 


AstRiÄL, ady).m. asıral: qui appartient aux 
asires. 

Asträncıa, 8. f.(1. de bof.) astrance : genre 
de la famille des ombellifercs. 

f AATRANTE, s.m. (1. de bof.) astrante : ar- 
ige de la Cochinchine. 

* Asıre. V. Successo, Lance, 

Astaka,s,f. (6. demyik.) Aströe ı nom Bis . 
tique de la jJustioe. (4. d’kist. nal.) —, polype 
ä rayons ot &toilos s&pardes. 

A’/STREO, A, adj. (4. de pods.) qui appartient 
aux astres, quia des asıros. —a abobada , la 
voüte c&leste. 

„Asarro. V. Adsirieto, 

Astaı . 

ASTRICTO. | V. ddstr... . 

AsTairgro, A, adj. (. de pods.) qui porte des 
astres, dtoile. 

ÄASTRINGENTE, 

ÄASTRINGENCIA, } V. Adstring... 

* ASTRINGIR, ©. G. F6SSerrer, Sserrer, e0mpH- 
mer, foroer. V. Adstringir. 

ASTRO, 8. m. astre: luminsire,, steile ; corps 
cöleste lumineux. (Ag.) °Beautd, personnage 
Selatanı, - do dia, le soleil. — da wolle, la 
une, 

* Asraocıan, V. Batrugır. 

+ Astnolu, s. m. (1. de bo$.) astroin : arbre 
glutineux du Mexique. 

+ Asmmöırz, 5. f. (4. d’hisl. wel.) astrolte: 
fossile «tolle. 

AstnoLiBio, 3. m. asirolabe ; instzumens 
dont on se sert pour obseorver la hauteur des 
astres. . 

AstaoLociA, 8. f. astrologie : art chimerigus 
selon lequel on oroit connsitre V’avenir par 
Finspeotlion des asiros, 

ABSTROLÖGICAMENTE, adv, selon les rögles 
d’astrologie. 

AstanoLöcıco, A, adj. astrologique, quı ap- 
parlient & l’astrologie. 

Asta0Loco, 5. m. astrologue, qui pralique 
Pestrologie. 

* ASTROLONIA. V. Astromnomia, 

FASTROMANCIA, 8. m. astromanclie ou astro- 
manlie : prödiction d’apres les asiros, 

* Asraouo. V. Aströnomo,. 

: Asrronomia, s. f. asironomie: science du 
eours, de la grandeur et de la position des 
astres. 

ASTRONÖMICAMENTE , adv. astronomique- 
ment: d’une manidre astronomique; selon les 
principes de l’astronomie. 

Asraonöico, A, adj. astronomique, de 
Pastronomie. 

ASTRÖNONO, 8. m. astronsme ; qui sail, qui 
pratique l’astronomie. 

+ ASTROPRYTE, 8. f. (4, d’hist. nat.) asiro- 
pbyte : steile de mer arborescente. 

® Asrnosia. V. Travessura. 

Astaöso, A, adj. (}. fam.) malencontreux, 
malbeureux, infortune. /l, V Desatirado, 
Vü.(p. ws.} 


156 


ATA 


Astöcıı , s. f. asluce, artifice, subtilit, ruse, 
eautdle, finesse. Usar d’aslucias, ruser. 

ASTLCIÄDO,,A,P. P.d’ 

} ASTOCIAR,, v. a. invenler une asluce, une 
finesse, etc. 

ASTUCIOSAMENTE , adv. astucieusement, d’une 
maniere astucieuse. 

ASTUCIOSISSIMO, A, 0dJ. sup. d’ 

ASTUC1650, A, ady. astucieux : qui a de las 
tuce. V. Astwio, 

Asıta, s. m. oiseau de proie, espöce d’au- 
tour. 

Asrörıino, A, adj. et s. Asturien, des As- 
turies. 

+ Astürıas, s. f. pl. (1. de geog.) Asturies : 
province d’Espagne. 

ASTÜTAKENTE, adv. astucieusement, 
astuce. 

ASTUTISSIMO, A , adj. sup. de 
AstüTo,A, adj. astucieax, ruse,, intrigant, 
sagace, fin, finaud, pate-pelu ’ preneur de 

taupes. 

AssuaR. V. Assumar-se. 

Asupioa. V. Acrudada. 

Asunapa. V. Assudda. . 

Asv’Lo, 5. m. asile: lieu de refage pour les 
debiteurs et les criminels. Refuge: lieu de s0- 
rei od !’on ne peut @tre saisi. Port: lieu ou les 
valssesux sont & l’abri des vents. *Protection, 
faveur, franchise, immunite. 

ASYMETRIA, s. fi (1. de mathedm.) asymetrie: 
qualit& d’un nombre dont il est impossible de 
trouver la racine carree ; defaut de proportion; 
incommensurabilite. 

ASYMETRICO, A, adj. asymeötrique : sans sy- 
metrie. 

Asvurtöta, 3. f. (tl. de gdom.) asymptote: 
ligne droite dont une oourbe 8’approche conti- 
nuellement et A !’infini, sans jamais la toucher. 

ASYMPTÖTICO, A, adj. asymptolique : de l’a- 
symptote. Espace —, espace entre une oourbe 
et son asymptote. 

AST’NDETON, 3. m. asyndeton : figure d’6locu- 
tion qui retranche les conjonctions copulatives 
pour rendre le discours plus rapide. 

"Aari.V. All 

ATABACÄDO, A 
du tabac. 

ATABAFÄDO, A, 9. p. d’Alabafar er adj. bien 
couvert pour conserver la chaleur. Negocio—, 
allaire mise en oubli. /sto estd—, celle affaire 
est assoupie. 

ATABAFADOR, A, 8. Celui qui couvre bien ; qui 
cache. 

Arızaräa, v. a. bien couvrir pour Conserver 
la chaleur. (Ag.) Cacher, dissimuler, celer. 
Btouffer, em eınp6oher quelqu’ un de parler. —uma 
salummia, assoupir, T&eprimer, relenir la ca- 
lomnie, ie bruit repandu. 

ATABAL OW ÄATABALE, 5. m. alabale : cspece 
de tambour dont se servent les Maures. V. Tim- 
dale. 


avoc 


‚adj. oouleur de tabac, qui a 


ATABALAQUE. V. Alabale. 
* ArasıLan. V. Engodar, Illudir, 


ATA 


AtısaLtıRo, s. m. limbalier . celui qui joue 
de l’atabale. 

ÄTABALHOÄDAMENTE , adv. inconsider&ment ; 
&tort et A travers, sans ordre, confusäment; 
ab hoc et ab hac. 

ATABALHOÄDO, A, adj. inconsider&, brouil- 
ion, etourdi. Bredouille. 

+ ATABALHOAMENTO, 8. m. Inconsıderatiom s 
Paction de parler ä tort eb & travers;; bredouil- 
lement. V. Alabalkoar. 

ATABALHOAR , 0.8. — 86, 9. r. agir en dlour- 
di. Bredouiller : parler d’une maniere peu dis- 
tincte et mal articulee. 

ATABALINBO , s. m. dies. d’Atabale, 

Arasiö. V. Tabdo ou Tacdo, 

ATABAQUE, 8. m. espece de tambour dies 
Indes. 

Aramaokıno, ‚s. m. celui qui joue de !’sse- 

ce 

Arasinnpa,s. f. V. Tabardo. 

Arısüa. V, Tabüa, 

* Arasöcin. V. Engodar, Illudir. 

Arica, s. f. courroie, laniere, siguilletie 
pour attacher le haut de chausses, les calegons 
ou la culotte. Isto ndo vale uma—, il n’importe, 
cela ne vaut rien. 

Artıcipo, A,Pp.p. d’Alacar et adj. lack, at- 
tache. Attaqud, assailli par l’ennemi. Vender 

—, vendre en gros. Kspingarda —a, [usil 

e. 


ATACADOR , 3. m. cordon, lissu ferr6 par les 
deux bouts, qui sert ä atlacher;; aiguillette, la- 
cet ; baguette de (usil. Agresseur, provocaleur,, 
assaillant : celui qui attaque. 

+ Arscanöna, s. f. l’action et l’eflet d’alta- 
cher, d’agraler, ete. 

ATACINTE, adj. 2 gem. et s. assaillant, alta- 
quant. 

ArTıcär, vd. a. altaquer : assaillir, @ire agres- 
seur. Attacher, agrafer, lacer, ajuster un vete- 
ment. Bourrer, refouler la charge dans une 
arme ä [eu. (flg.) Atiaquer, serrer de pres, 
combattre quelqu’un par le raisonnement. 

ATACAR-SE, dv. r. s’altaquer. V. Inrestir. st. 
Alestar-se. 

ATAGALHÄR, ec. V, Alassalkar. 

ATAc0iD0, A,P.P9.d’ 

ATACOÄR, v. a. mettre des lalons; ralaoo- 
ner. 

ATADINHO, A, adj. dim. d’ 

ATtino,A, p. p. d’Atar ei adj. borne, em- 
barrasse : qui est propre & peu de chose, qui 
s’embarrasse de per; timide ; ind6cis. Attache, 
lie. — d cams, retenu dans le lit. — nas mdos, 
gauche, maladroit, qui manque d’adresse et 
d’energie. Ficar com as mäos aladas,, se tirou- 
ver dans l’impossibilıtö d’agir, de prendre un 
parti, une resolution ; #tre astreint, assujetti 
aux ordres d’un autre. 

+ ATino, 3. m. faiscoau, botte, fagot, pa- 
quet; lien, hart, 

ATaDOR,A, 5. celuiquilie, qui attache. TI 
n’est usil6 quo parmi los faucheurs, pour des)- 





ATA 
gues sur d’enise eur qei ne [ont que „or des 


Ayındıı ,s. f.attache, nmud, lien, bandage, 
Den. (Ag.) Union ; tout ce qui lie, at 


Arariı, s. m. * eroupiere,bateuil : longe de 
«ir que Fon passe sur la croupe, sous la 
jueue, ei qui ent au bät, ä la selle, etc. 

"Araszcan, etc. V. Afadigar, etc. 

Atarsaa, 3. f. bande de sparte 
Arırösa,s.f. "moulin dä bie mupar des be6tes; 
meulin & bras. Mogo da —, gargon meunier. 

Arırontma, s. /. meuniere: la femme du 
meunier. 

Arasostıno,s. me. meunier : celui qui gou- 
verne an moulin & bras ou & be£tes. 

ATAFTLEADO, A, P. pP. d’ 

Ararcımia, ©. @, (f. Pop.) bourrer d’ali- 
wents; empiffrer, 

"Aracantın. V. Tegantar, Flagellar. 

"Araımäno, A. V. Astülo, Velhäco. 

"Ari, ade. pourvu que, & condition que. 

Ararisa, s. f. echauguette: guetrite, petite 
lage en un liew &minen‘“ , dans une place forte, 
peur deoouvrir ce qui se passe aux environs. 
Une petite rodoute sar quelqueöminence; tour 
sur les cötes de la mer, et sur la frontiere d’un 
pays, pour y faire le guet; befiroi. =. m. 
L’bemme qu’on place ä l’echauguette ou au 


ATALAIÄBAHENTE , ade. vigilamment , avoo 

AYALALADO, A, P. P. d’Alalmer. 

” ATaLAIABOR, 3. m. P’homme qui guelte sur 
ie beflrei, ou sur l’echauguelie. (Ag. fam.) 
Celsi qui guetie , qui &coute, qui veut tout sa- 
veir. p.u8. j 

AtaLatamftnto, 3. m. l’scliön de guetter. 

AraLaııö,s. m. aug. d’Alaloia. 

AraLasın, ©. s. Guelier, €ire en vedette 
pour la garde d’une place, d’un campement, 
Etre poste sur le beffroi, sur l’echauguette. 
ıg.) Observer, öpier les actions des autres. 

ATALAIAR-SE, ©. r. avoir l’@il au guet. V. A- 
(suielar-m8. 

ATALAINHA „5. f. dim. d’Alalaia. 

+ AraLanın, 8. f. (1. d’hist. nat.) atalante: 
papilion, aussi appelö vulcain. 

AtaLmipa, s. f. V. Aceiro. 

Araısano, A, P.Pp. d’Alalkar, et adj. em- 

asse, interdit. 

ATALmADOR , 5. m. Celui qui arrete, qui ferme 
ie passage. Exrplorateur : celui qui va & la de- 
courerie d’un pays, d’un poste. li est aussi 


f. 
Arıımautnto, s. m. out co galarrete, qui 


erz, odj. 2 gen. qui arıöte, qui ferme 
e pessage. 

Ataınan, ©. a. arreier, barrer,, couper che- 
min; separer par une cloison, renfermer, rö- 
äuire & une moindre etendue. (fig.) Arreter le 
wars , les progres, les effets de quelque chose. 
Embarrasser:rendre conl[us, muet, inierdit, 


ATA: 137 


ernbarrasse. Jt. Inlinider. — aquem falle; — a 
palarra a alguem, interrompre, oouper, rom- 
pro le fil du discours & celui qui parle.— 0 mal, 
prevenir le mal. . 

ArıLaän, 0. ®. prendreun chemin de tra- 
verse , un cbemin plus court, 

ATALBAR-SE, 0. r. rougir : devenir rouge par 
honte; devenir, paraltre embarrasse, resier 
court. 

" ATALBE. V. Compendio. 

ATÄLHO, 8. m. sentier qui raccourelt le che- 
min qu’on ad faire, la distance qu'on a & par- 
courir, Accourcissement. (ig.) * Abreviation. 
accoureissement d’une affaire, mesures oue 
Pon prend pour la terminer plus 1öt, pour cou- 
per court. Emp£chement, obstacle, opposi- 
tion. Dar ou por — a alguma cousa, Couper 
court, abreger la fin d’une affaire. Tomar peio 
— ‚prendreun parti, choisir un moyen d’abre- 
ger une affaire ,-prendre le plus court chemin. 
Sair ao — a alguem, interrompre un discours, 
devancer celui qui parle par une exposition 
abregee de ce qu’il aurait dit. Ndo ka — sem 
trabalko,(prov.) il n’ya pas de plalsir sans 
peine. 

ATAMADO. V. Alacado. 

ATAMANCÄDO, A, 9.9. d’ 

TATAMANCAR, ©. a. (8. P0P.) Fataconet : rac- 
commoder grossierement. . 

ATAMARADO, A, adj. couleur de datle. 

Arauaon. V. Tambeor. 

ATAMENTO, s. m. V. Ligamento, Ligadurs, 
(Ag. fam.) * Timidite, pusillanimite. * Obliga- 
tion , engagement. 

ATANADO, 8. m. cuir lannnd. V. Corti. 

ATANÄDO,A,2.p.d’ 

ATANÄR, 9. @. lanner : pröparer le cuir aveo 
ie tan. 

ATANASIA, V. Alkanasia. 

Aranazan.V. Alenazar, eic. 

* ATANGIMENTO, s. we. l’aclion de toucher, le 
toucher. 

* ATANOR, 5. m. vase; platcreux, profond. 

ATÄQUE, s. m." attaque : charge; offensive; 
assaut, invasion. (#g.) —, acces, en parlant de 
certaines maladies. —, qyuerelle, dispule de 
paroles. — falso ou fingido, fausse allaque. 
— repenlino ,coup de main. 

ATAQUBIRO, 5. m. faiseur ou vendeur do la- 
ceis. ° 

Aria, v. a. attacher, lier, lacer, serrer. (Ag.} 
Lier, assujettir, gener, euchalner, empecher, 
convaincre.— 03 bois a0 jugo, atleler los baufs, 
— 0 discurso, lier le discours. — com forca, 
etreindre. — as mdos ou a lingua, (fg.) emp&- 
cher d’agir ow de parler. — uma ferida, ban- 
der une plaie. Ao — das feridas,(fam.\ & la 
fin,& la fin du compte. Ndo dia nem desdla. 
( fam.) Il se dit d’une personne irresolue, in- 
decise. 

Arır-se, eo. r. (fg.) sembrouiller, siembar- 
rasser, ne savoir comment sortir d’affaire. 
— (a),(fig.) s’attacher, s’astreindre. —d4 leitra, 
s’attacher & la letise ; s'assuietlir au sons lilte- ' 





158 ATA 


rail d’un texio. — as mdos, se lier ion main, 
s’öter la libert& d’agir. 

Atarantibo, A, adj. ınordu, piqus de la 
tarentulc. (ig.\ Trouble, hors de sol; qui a 
perdu lacarte, qui ne sait ce qu’il fait. p. p. d’ 

ATARANTÄR, v. a. &tourdir, troubler, em- 
brouiller. 

ÄATARANTAR-SE, ©. r. se troubler, perdre la 
earte, la tramontane, lo fil du discours, les 
voies d’une affaire. 

Ararıxiı, s. f. alarazle: calme, tranguil- 


lit& de l’äme. 
a, adj. affaird, embesogne. 


ATAREFÄDO, 
p.p. d’ 

ATAREFÄR, ©. 0. donner une läche & des ou- 
vriers, & des enfants. Outrer, surcharger de 
travail. 

f ATAREFAR-SE, o. r. se livrer entidrement ä 
une affaire, & l’dtude, au travail, etc., s’en 
oceuper fortement. 

t ATanoucioo, A, (esiylo —) adj. alecik ; 
de mauvais gott (style). 

ÄTARRACADO ,A, 9.9. d’ 

AtTırracin, v. a. Visser, lier, serrer, atta- 
cher, presser fort quelgque chose. — as ferra- 
duras, donner au fer & cheval la forıne conve- 
nable. (Me. ) Afliger, vexer, embarrasser quel- 

’un. 

ATARRACHÄDO, A ‚p.p.@ 

„ATARBACHAR, v..a. visser : attacher avoe des 
vis, 

Arınrırı. V. Terrafe. 

}ATARRAFÄDO, A, adj. couvert d’un tramall; 
& manidre de wamail. Caps —« ‚ manteaa pieln 
de trous. 

Arasucan, ste. V. Taruger, ote. 

* ATis. V. Ale. 

ATASCADEIRO. V. Aboleiro, Lodapal. 

ATASCÄDO, A, 9.9. d’ 

ATASCaR-ss, v. 7. sembourber.V. Aloler-se. 

ÄTASSALRADO, A, P. p. d’Atassalhar. 

ATASSALBADOR, 4, 3.celul quieoupe un mor- 
ceau . qui dechire. 

ATASSaLHABURA, 8. f. Paction de couper un 
meorceau, de dechirer. 

ATASSALHAR ‚vo. 6. comper la chair en mor- 
eeaux pour la [aire saler; deehirer, meitre en 
piöoes. Au propre et au Bgure. 

ATAÖDE ou ATaöp, 5. m. "biere, cercuell. 
Sorte de mesure ancienne pour les grains. 
(fg .) La mort. 

+ Arıtpino, a, adf. falt en forme de cer- 
oueil, de bitre. 

Arıuzıa, eie. V. Taunia, ete. 

Arıvanino, A,adj.en forme de taoı. C#- 
vallo—, cheral chätain fonc&, mouchels# de 
blanc. 

Atıvid, V. Tavdo. 

ATAYERNÄDANRNTE , adv. A maniöre de caba- 
rel; en taverne. 

Atavranido, A, adj. qui sejourne dans une 
taverne, qui s’y vend en detail. On le dit du 
vin. 9. p. d’Alaverner, 


ATE 


ATAYERKÄR , U. &. vondre em lavaine,a0 62- 
baret (le vin). 

ATAVIÄDAMENTE , @do. avec pature. 

Arıvıloo,A,P9.p. d’Alaviar. 

ATAVIADOR, A, 8. celul qui pare, qui arrange, 
qui embellit. 

Aravinuento. V. Alavio. 

Arıviia, 0. 6. parer, accoutrer, alouruor, 
arranger, embellir. 

ATAVIAR-SE , ©. ?, S'orner, s'’embellir, se pa- 
rer, s’ajuster, s’habiller soigteusement, faire 
sa toilette. 

Arıvio, s. m. accoutrement, alonr, parure, 
ajustement. (Ag.) Ornement, parure, grande 
toilette. 

ATAVONADO, A. V. Alavanado. 

Arıxia, s. f. (t. de med.) ataxie: irregularit& 
dans les crises et les paroxysmes de la fiövre. 

ATixıco, a, adj. (t. de med.) Febre—a, iävre 
ataxiqud, maligne, Irreguliöre. 

Ars, prep. jusqu’ä, jusque, jusques; ade. 
möme, aussi. — rebenlar , — aos olhos, — nd 
poder mais, jusqu’au naud de la gorge. — ndd 
mais, jusqu’a n’en pouvoir plus. — 03 sabios o 
ignoravdo , meme Io savauts }’ignoraient. 

Arzivo,A,p.p-.d’Aledr. 

Arzinon, A, s. celui qui allume, eic. 

ATEiR, 9. a. "Allumer, enflammer, embraser ; 
mettre en feu. (flg.) Soufller le feu de la das- 
oorde, exciter, 6chauffer. 

ATEIR, ©. 9.9. us. V. Alear-se. 

ATEiR-SE, ©. F. s’allumer,, otc. (Ag.) Se r&- 
pendre, seo glisser, s’&couler, savancer, s’&- 
fendre peu & peu, gagner (lo mal, le peste). 
Faire des progr&s. Se melise en colire, s’ım- 
flammer, s’irriter , etc. 

ATEDIADO, A, P. p. d’ 

Artspıia ,v. @. Ennuyer, degetter. 

ATEDIÄR-SE, er. s'ennuyer, ‚se degetter. 
V Enfartiar-se. 

Arzıckvo ,p.P9.d 

* Arceıcha, v. a. priser A vue d’eil le rapport 
d’une moisson sar pied. 

ATEIMADO, ap. p. d’ Aleimar. V. Teimöso. 

Ateımin. V. Teimar. 

+ Arzıılnas, s. f. pl. atellanes: espöces de 
farces en usage sur le theätre des anciens Re- 
mains. 

f ArtıLo, s. m. (l. d’hirt. nal.) atdle : singe 
de ’Amerique meridionsle. 

"Arku.V. Ale. 

ATENORIZÄDAMENTE, adv. crainlivement, li» 
midement, 

ATENORIZADISSINO,, adj. sup. d’ 

ÄAÄTEMORIZÄDO, A, P. p. d’Alemorizar. 

ATENORIZABOR, A, s. alarmiste; adj. alar- 
mant. 

ATENORIZANENTO , 5. m. l’aclion d’eflrayer; 
alarme. 

Arsuorizia, v. @. Inlimider, alarmer, ef- 
frayer. 

ATEBORIZÄn-IE (de, por, com), vo. r. sinti- 
mider, s’alarıner, s’effraycer. 


ee A DE a DL In 


- N - A "N _. „N 


DE Tg BT BT GE 


ATE 


Araurscä6, 5. f. (ti. de prai.) ° ajourmement: 
Faetion et Peflet d’ajourner. 

ATZMPiADBO,A,P.P.d’ 

ATKMPAR , ©. 6, (l. de pral.) ajourner. V. 4- 
peer. - 

Atsurin 68, ©. F. convenir du lemps avos 
quelqu’un. 

ATENAZÄDO, A, P. p. d’ 

ATEsaAzaR, ©. 0. lenailler : arracher & un 
crimimel des morceaux de chair avec des te- 
nailles ardenies. (f#g.) Pers&culer, importuner, 
wurımentes. 

ATENGA ,s. f." sujet de conflance ou despoir, 
aucnte. Beiar ds alencas de, se confier A, se 
prendre & quelqu'un, &ä quelque chose, »’y 
appuyer. . 

ArsızssiB0,A,P.p.d 

T ÄTENEBRAR-SE, v. r. s'obscurcir, manquer 
de lamidre. 

Arsuntan. V. Tentar. 

* ATENTE,, edy. 2 gen. qui son tientä,Pp. @. 
dAler ee. 

"ATENTEGO,. V. Allenlo. 

*ATEnto. V. Tente (a). 

Astarı, ade. contraclion d’ald aqwi, jus- 
qwici, jusqu’ä present. 

Arta-ız (a), v. r. s’stlacher, s’appuyer, 
sveir conßance en; s’en lenir & ; se rapporter 
ö. — 0 parecer d’elguem , suivre l’avis, l’opi- 
nien de quelqu’un. 

"Arsnzche, V. Inleirigar. 

Arzacıi0o, A,9.p. d’ 

Arzrıcıir , v. a. Donner , causer la jaunisse. 

ÄTERICIAR-SE, ©. Y. avoir, gägner, prendre 
le jannisse,, les päles couleurs ; devenir icte- 


Arsaipo, A. V. Inteirigdde. 
Arzauis0,&A,7.p.d’ 
Arsamia, ©. a. borner, limiter; d&. V. 4- 


Prasar. 
ATEsaiDO, A, P. P. d’Alerrur, adj. (tl. de 
mer.) atierri, atterrö, qui a pris terre , qui est 
senire terre „ prösde larre, en parlant des vais- 
sesux. Frappe d’epouvante, de terreur, Coh- 


ÄATERRAR, v. a. alterrer,, terrasser, abalire, 
Fenverser par lerre, faire mordre la poussiöre. 
Epouvanter , consierner, eflrayer, remplir de 
sereur , d’elfroi. 

AYERAAS-&E, 0.0. (l. de mar.) atierrer, al- 
terrir, promdre terre , aflaler. Se lerrer : se ca- 
cher sous terre, comme font plusieurs ani- 
mauzr. S'engioutir: s’onlerrer, en parlant des 
rien , des malsons. ii. V. Alsmorizar-se. 

"Arts. V. All. 

Arzsipo,u, 2.9.4 

Arzsin, o. a. V. Entesar. (1. de mar.) Rai- 
dir, tendre um cordage, une voile, etc. — 6 
enzereis (4. ds mer.), rider les haubans aveo 
le mignennet. 

Arzsounsn, te. V. Kntkesourar , eic. 

Arserine, A, P- 

Arsstän, 9. so. emplir, remplir jusque par- 


ATI 139 


dessus les boards, oombler. V. Eniestar. Faire 
le remplissage des cuves ou des tonneaux ä 
vin. 

T ATESTAR-SE, ©. r. (il. fam.) se gorger, se 
farcir, se bourrer, s®’empiffrer: manger ow 
boire avec excds. 

Aruanisıa, s.f. (1. de bot.) athanasie: plante 
corymbifere.—bastarda.V. Tanasia. (1.d’imp.) 
Saint-Augustin : caractöre qui tient le milieu 
entre le cic&ro et le gros-texte. 

ATBEIS4O, s. m. atheisme : opinfon qui con- 
siste Ane point reconnaltre de Dieu. 

ATBHEISTA, s. m,athee : celui qui ne reconnalt 
point de Dieu. 

Artrelstıco, A, adj. atheistique : des athdes, 

Arutnas,s. f. Athänes: villedelaGr&ce ;(fg.\ 
demeure des sciences , des lettres. 

FATBENBAS, 8. f. pl. (f. d’ant.) Athdndes:ı 
fetes de Minerve. 

Arsento, s. m. Alhön6e : socidte Ilttäraire. 

ATHENIENSE ‚adj. et 5. 2 gen. Alhönien : d’A- 
thönes. 

Artuto. V. Alheista. 

Arurafina, s. f. (8. d’hist. nal.) atherine; 
espece de bareng. 

+ Arsenuasia,s. f.(i. de med.) athermasie ; 
exces de chaleur , chaleur morbifique. 

Atusxöma, s. m. (1. de med.) atlıerome : 
abc&s enkist& ou aposthöme ; loupe pleine d’une 
sorte de bouillie. 

f Armzaouat0so, A, adj. (1. de med.) athö- 
romateux : de la nature de }’atherome. 

ATHLETA, 3. m. athldte : celui qui combalfait 
dans les jeux solennels de l’ancienne Grece, 
(fg.) —, homme robuste et adroit dans les 
exercices du corps ; martyr de la foi catholıque; 
celui qui combat pour un parti. 

AraLfricä, 8. f. athletique:: art des alhlätes, 
brancbe de la gymnastique des anciens. 

ATEL£TICO, A, adj. alhletique : qui appar- 
tient, qui a rapport aux athldtes. (Ag.) Fort, 
robuste , vigoureux, membru. 

Arunaıckna, V. Alragena, 

AriBıip0,A,2.2.d’ 

Arısıin. V. Entibiar, Amornar. 

ArliciDo,A,P.Pp- d’Allgar. 

ATIGABOR, 5. m. alliseur: celui qui allise, 
Tiseur: oavrier qui a soin d’entretenir le fen 
dans les fours de manufactures de glaces. Atti- 
sonnoir : outil crochu dont on se sert pour alli- 
ser le feu. V. Espivitadeor. ( ig.) Perturbateur, 
instigaleur. 

ATIGANRNTO, s. m. l’aclion d’atliser, au pro- 
pre et au figure. 

ATIGAR , 9. 6. atliser, ratliser : rapprocher les 
kisons pour les faire mieux brüler. (flg.) —, 
fomenter, allumer les passions; aigrir les cs- 
prits doja irrites les uns contre les autres; 
exciter, allumer; metire le feu aux &Etoupes. 
— a lampada, a is, arranger la lampe, 
disposer la m&che d’une manidre convenable 
pour quelle brüle mieux. — a oela ; noucher 
la chandelie. 

Arıcvino,A,p. p. d’Alipoer, 


163 ATR 


ment, ei-devani, en parlant du temps, aprös. 
Fazer-ss —  rötrograder , reculer. Ficar-ss =, 
rester en arriöre‘, savoir moins qu’un autre, ne 
pas comprendre une chose. Deizar alguem—, 
s’arantsger A queiqu’un. Voller com a pala- 
ora —, se dedire, se retracter, manquer k 88 
parole. Desde mul —, de longue main. 

ATRASADISSIMO, A, adj. sup. d’ 

ATRASiDO, A, 9. P. d’Alrasar et adj. arriäre. 
— nos ssiudos, qui n’a pes proßts, qui n’est 
pas avano6 dans ses ötudes. — om conlas, qui 
doit plus qu’il ne peut payer; demeurs en 
reste ow en arriöre. — em meios, arriere, eourt 
d’argent. Il se dit principalement de celui dont 
la fortune a diminue. Afrasddos, s. pl. arrera- 
ges: co qui est dA, echu, d’une rente, d’un 
revenu quelconque. Les rudiments, les pre- 
wiers prinoipes de la grammaire. Recordar os 
—, recorder, repasser dans la memoire les 
rudiments ; if. le passe. 

ÄTRAZADOR, A, #. celui qui cause, qui ap- 
porte du retard. Le retard d’une montre, d’une 
pendule. 

ATRAZAMBNTO, s. m. retard. V. Alrdso. 

Arnısin ou ATRAZÄR, v. a. laisser, mellre 
en arriere. Retarder, reculer. Suspendre, ren- 
voyer, remettre, diff&rer, &loigner une chose, 
comme la vendange, le voysge, eic. — o relo- 
gio, relarder une montre. — um negocio , Lral- 
ner une affaire. — uma dala, antidater : mar- 
quer un jour anlerieur & celui auquel un ac 
a 616 passed, ou uno letire a &l6 &crile. 

ATRASÄR-SE, ©. r. rester, demeurer on af- 
riere ; tarder,, s’arriörer. 

‚Araiso, &. m. relard, reiardement, &ölai, 
arrierd:« laction et l’effet de reiarder. (Ag.) 
*Decadence ( des lelires, des sciences, des 
arts, etc.) it. Perie, demmages; diminution 
‚des biens. 


ATRASSALHAR, etc. V. Alassalhar, ete. 

* ATRATO, A, adj. on deuil. 

Araavanci90,A,P9.p.d’ 

ATRAVANCIR, 0. . encombrer : embarsasser 
de döoembres , de gravois. 

Arzavss. V. Trauds (s). 

ATRAVYESSADICO, A, adj. qui traverse, pone 
en travors; de travers. Gentrariani. 

ÄTRAVESSÄDO, A, 9. 9. d’4diravessar, en- 
orout, oblique, croist. ll se dit de la persenne 
qui regarde um peu de iravers, mais qui n’as 
pas tout & fait louche : & demi louche. On le 
dis da ehien metis, de deux races. Mulätre, 
metis. ( y.) Traltre : de mauvaise foi, de mau- 
vaises intentions, Cde —, chien bätard. Andar 
— son alguem, dire en mesintelligenco avec 
quelqu’un. Ter alguma gpessoa —a na gar- 

„ Avoiz UN ramcume contre quelqu’un. 
er a alma —a na garganla, ne pouveir ren- 
dee läme. 

ATRAYESSADÖR, 5. m, celui qui se mei ä la 
traverse. Aecapareur :: celui qui acheie en gros 
pour 66 rendre malire du prix des marchan- 
dises. Mouopolsur. 


ATR 


} ATRAYESSADOURO,, 3. m. ehermin de ira - 
verse. 

ATRAVESSÄR,, ©. @. metire des traverses , t7a- 
verser, peroer,, transpercer, Couper. Traverseor, 
pessor A travers, d’un 06046 A l’autre; ereiser;en- 
jamber. Enferrer,, percer ave6 une pique, une 
ep6e,, ots. ( ig.) Paralyser, apporler dus obsis- 
cies & une chose ; eontrarier. (4 de mer.) Metire 
on panne. — 0 corapdo, ( ig.) perser le cwar : 
etre &ma A Faspect du malheur. — os generos, 
aecaparer des marchandises. Näo — os um- 
brdes, ne pas melire les pieds dans une mai- 
son. — ums coria, oouvrir une carte en jouant 
un stowt plus fort. 

ÄATRAVYESSÄR-SE, 9. r. sin ser, se melire 
en travers devant quelique chose, et servir 
obstacle. ( Ag.) Interrompre la oonversation. 
S’immiscer, intervenir dans une affaire. Arriver, 
survenir pour emp£cher queique chose. (1. de 
mar.) S’entraverser : presenter le travers, se 
mettre en travers, en panne. — no lanfo d’ou- 
fro, courir sur le marche d'un aufre. 

Arrıviz. V. Traods (4). 

* ATRAZER. V. Altrahir. 

* Arnenir. V. Acostumar, Afaser. 

Aragrino. V. Atarefddo. 

ATRECOADO, A, 9. pp. d’ 

Arrecoin, v. n. accorder, faire tr@ve. 

ATREIGOAR,, etc. V. Atraigodr, etc. 

+ Aratıro, A, odj. habitae,, acceutunn? ; en- 
clin, portö 4, sujet &. 

ATRELLIBO, A, P.P.d 

ArazıLir, vo. a. mener, tenir en lalıse ( les 
chiens, les bötes, etc.). 

Arazmin. V. Alindr. 

* Araenın, ete. V. Triplicer, ete. 

Arazrir,etc. V. Trepar, etc. 

ÄTREVER-SE (4,com), v.r. oser, s'enhardir, 
avoir la hardiesse, l’audace de; se hasarder, 
ü. V. Confar-s. — a alguem, s’sttaquer & 
quelqu’un, l’attaquer, l’offenser ouvertement, 
se mesurer avec ini. — em alguem, faire fond 
sur la protection de quelqu’un pour dire ou 
Iaire queique chose. 

ATrevipäco, A, adj. aug. d’Alrevido (1. 
burl.) twes-hardi. 

ATRAEVIDAMENTE, adv. hardiment, audacieu- 
sement, courageusement, intrepidement, e[- 
[roniement, 

ATREVIDISSIMO, A, adj. sup. d’ 

ATREVIDO, A,p. p. d’Alrever-se, el adj. hardi, 
andacieux,, enireprenant, Lemdraire; effronte, 
impertinent. 

ATREVIMENTO, 0. m." hardiesse, audaca; ef- 
fronterie, imperlinence Alrevimentos, pl. li- 
beries : manieres trop libres,, Irop familieres. 

AraısuLackö,s. f. V. Tri . 

ATRIBULÄDAMENTE, ade. avec Lribulation: 
sflliotivement. 

ATRIBULÄDO, A, 9. p. d’Alribular, et adj. 
afllige , peins. 

ATRISULADOR, A, adj. et 8. qui cause des Iri- 
bulations; aßligeant, 


u a 0 ma —.. - 


ATR 


aysisuı.in, u. so. oauser des tribulations; 
ger ’ tourmehlter, chagriner, inquiedter, cau- 
ser peine d’esprit. 

Arsızu.ia-sS (em, com), o.r. s’aflliger, se 


Arziscrir, etc. V. Aliributer, eio. 

färzıcane, A, adj. couleur de bie; p4le & 
anse de maladie. 

"Arnican-sE, eic. V. Apressar-se et Tri- 


ger. 
Aracukınd, a. m. faiseur de iheriaque. 
fAirziL, s. m. pupitre ı lutrin ; porie-missel. 
ArTaıncHEmas, eic. V. Entrincheir... , ei. 
A’TRIO , 5.58. portigque : vestibule d’an palais, 
d’une maison. Parvis : place devant la grande 
porte d’une €glise, espace autour d’une eglise. 
AraısoLia.V.T: . 
Arastria , ote, V. Entrestechr, eic. 
Ata0o, a, adj. (t. de pods.) noir, lugubre. 
{Ag.) Teatbreuz ; 


Araoisa,, s. f. grand bruit; tapage. 

AmR0in0,A,P.Pp. d’Alrodr. 

Araoan6e, A, adj. bruyant, s. celui gal 
«dsardit, qui &pouvante par un grand bruit; 
triailleur, brailleur. 

.ATROABKETO , 5. m. ° explosion du fonnerre. 

Eisurdissement caus& par quelgque coup, par 
un grand bruit. (i. de vdidr.) * Atteinte, en- 
te-taillure. 

Arscka, vo. @. fairs un bruit semblable & ce- 
lei da tonnerre. Rompre la i6te, &lourdir par 
ws grand bruit; rendre stupelait, dpouvanier. 

Arnöce. V. Alröz. 

Arzocmiäpe, s. f. atrocits: dnormils d’un 
erime ‚cruautt; acte d’une möchancets relld- 
chie. — des tewpos, malheur des temps. das 
ondas , impetuosit6 des Nots. 

* Arascınan. V. slorpaldr. 

Arzocissızo,, A, adj. sup. d’Alndz. 

Arzorlı , oe. V. Atropkhia, etc. 

f Arrousetripo, A, adj. qui a la forme de 


ArROPip0,A,P.p.d 

ATROPÄR, 9. 6. arouper, ameuler : rassom- 
bier des hommes sans ordre ; lever des Irou- 
yes, eartgimenter. 
ATROPELLADANENTE,, ade. brusquerment, tu» 
mullgueusement, sans ordre, hurluberlu. 

ArsoreıLido, A,Pp. p. d’Alropellar et adj. 
qui parle , qui agit arec irop de precipitation. 

ATROFELLANERTO, 5. m. action de fouler, 
de brusquer. ° Offense , passe-droit. 

AtzorsıLin, vo. a. fouler, faire ehoir, passer 
beusquement par-dessus quelqu’un. Brusquer: 
n’avoir aucun mensgement pour rien, ne faire 
sitention & riem. (fig.) Offenser, negliger, ıne- 


ATROPELLin-TE (em), ©. r. 30 pröcipiter : se 
heurter, se häter op, 
Ferteution d’une ohose. —, se brouilier em 
partzut. 

ArsortıLo.V. Atropellamento. 

Arzorula, 5. f. (tl. de mdd.) atrophie : oon- 
sanption ; extreme znalgreur, dessöchement 


se prosser irop dans | y 


ATT 168 


d’yn membre, du Corps, consomption par exces 

een 
TROPHIÄDO, A, adj. (t. de medd.) atrophie: 
tombe& en atrophie "Bına A ? 

ATROPBIÄR, ©. 6. Causer de l’atrophie. 

ÄATROPRLAR-SE, ©. 7. V. Definhar-se. 

ArRöpsıco,A,adj. ($. demdd.) atrophique : 
de l’atrophie, de la nature de P’atrophie. 

A’rnoros, s. f. (t. de myih.) Atropos : nom 
d’une des trois Parques. 

Arnöz, adj. 2 gen. &norme, grave ; atroce, 
cruel , sanglant, inhumain, barbare ; horribie, 
terribie. 

Araözutete, ado. d’une manidre atroce, 
eruelle , outrageante , avec atrooite. 

*Arriı. V. td. 

f ArT£La20, 3. m. (1. d’hiss. nat.) Autslahe: 
col&optere. 

ATTENPERAR, eto. V. Temperar, Moderer, 
etc. 

Arrencid,s, f. attention, application , &iude; 
€gard, respeet,, honnetete, eonsideration, gra- 
cieusele. Em — a, eu tgardä, ayant egard dA, 
en consideration. Sem —, par megarde. Alten- 
gdes , pi. bontes. 

ATTENCIOSO,, A, ady. plein de bontes, preve- 
nant, obligeant ; afeble, poli. 

*ATTENDA , 8. f. attente. 

Arrenntn , v. a. aoeuelllir avec attention ; 
&couter attentivement. 

ATTENDER (8), v. #. &couter: pre@ter Y’oreilie, 
preter attention, ötre attentif, Considerer, avoir 
&gard, prendre garde, menager. Remarquer, 
faire attention. Prendre soin de quelque chose. 
Attendre. Altendendo d kumana fragilidade, 
vu l’humaine faiblesse. 

ATTENDIDO, A, 9. p. d’Altender. Seu reque 
rimento foi —, sa demande [ut octroyde. 

ATTENTÄDANRETE, adv, prudemment, 501- 
gneusement, märement. 

ATTENTADISSIHO , A , up. d’ \ 
ATTERTÄDO,,A,P. pP. d’Allenlar ‚et adj.sage 
avis6, prudent, judicieux, diseret, rellöchi, 
cairme, ient. Mei-—, imconsidere, Wimaereite,, 

mal avise. 

AtrantinO, 8. m. ationiat , subrersion, Tah- 
versement, en parlant des lois, de l’ordee pu- 
blio , de ia oonstitution de l’Etat, d’an juge qui 
v’arroge la juridiction qu’il n’a pas. —, enire- 
prise hardio, t&metraise, grand crime, grand 
delit. 

ATTERTAMENTE, ade, altenlivement, avec al- 
tenlion. 

* ASTENTANENTO ‚0.0. * considerailon, ögard, 
respect. 

Arrawtäa, 9. @. prendre en consid£rallon 
une chose ; ’examiner mürement, rellechir et 
faire bien attention. Altenter : former un® 
entreprise, un projei conire les lois, commelire 
un crime capital. it. V. Tentar. 

ATTENTAR, ©.%. faire altention A; allenter 
dä; avoir dessein de, faise une lentalive. Täter, 
t4tonner, aller & tälons.— por Si, por sus 








164 ATT 


cabeca, öire sur ses gardes, se lenir en garde. 
— em uma mulkor,, convoiter une femme, ia 
courtiser dans le but de la seduire. — com ss 
mdäos, täter „ tätonner. 

ATTENTATÖRIO, A, adj. (f. de praf.) attenta- 
toire : qui aliente, qui va contre Yautoritö 
d’une juridiction , contre les lois,, etc. 

ATTENTISSIMO, A, adj. sup. d’Altento. 

ÄTTENTIVANENTE, adv. V. Altenlamenie. 

Arrkıro, A,p. p. ir. d’Allender, et adj. at- 
tentif, &veill6, qui fixe son attention, quia de 
Pattention, de l’application. Honnete, cour- 
tois, puli , obligeant, complaisant. Attenlo que, 
attendu que, vu que, eu &gard ä. 

ATTENCTACAÖ, 8. f. atienuation, affaiblisse 
ment, diminution. 

ATTEXUADO, A, P. pP. d’Alienuar,, er adj. at- 
tönu6 : rendu moins grave ; aminci. 

ATTENUANTE, adj. 2 gen. atlenuant: qui al- 
tenıue. (l. de med.) Attenuant, incisif. Il se dit 
des remedes propres & diviser, & atienuer les 
bumeurs grossiöres. Qui mitige, qui diminue. 
p.a.d 

ATTENUVÄR, ©. a. atienuer, affalblir, dimi- 
mer. (f. de mdd.)—, donner de la Buidils aux 
humeurs. (1. de prat.)—, rendre moins grave; 
adoucir. 

„Arranoinee, v. vr. s’affaiblir, maligrir , d6- 
perir. 

ATTER-SE. V, Ater-ss. 

ÄTTERRACAR , eio. V. Alarracar,, eio. 

ATTERBAR, eic. V. Alerrar, etc. 

ATTESTAGÄO, 5. f. altestation, tEmolgnage, 
deporition des tömoins. *Certificat : tömoignage 
donnö par 6erit. 

Artzstido, A, 9. pP. d’Alleslar. 

ATTESTÄDO, s. m. certiflcat: t&moignage par 
ecrit. 

ATTESTANTE,, s. m. (8. de prat.) celul qui at- 
teste , qui certifie par ecrit, et adj. p. a. d’ 

ÄTTESTAR (que), v. a. altester: certißler de 
vive voix ow par ecrit; temoigner, assurer, 
prendre & t&moin. 

ATTICAMENTE , adv. attiquement: A l’attique. 

Arrıcisuo, s. m. alticisme: delicalesse, - 
nesse de goüt particuliere aux Athöniens; la- 
conisme. 

A’TTICO, A, adj. attique : qui vient des Ath&- 
giens ; ä la facon du pays d’Athenes. (fig.) De- 
dcat, fin, pur, e#lögant en parlant du style. 
Sal —,sel attique: raillerie fine. 

A’rrıco, s. m. (l. d’arch.) attique : petit &tage 
qui est au-dessus de tous les autres, ei quia 
ses ornemens particuliers. — falso, piedestal 
sous la base de la culonne. 

Arrıcöncas, s. f. pl. (l. d’arch.) atticurgues: 
colonnes carr&es employees dans les edifices 
d’Athenes. 

ATTINENTE, adj. 2 gen. V. Tocante, Per- 
lencente. 

Artıncioo,A,p.p. € 

fArrıncik, v.a. taucher Iögerement, ma- 


nier. Appartenir , concerner. Toucber les points 


ATT 


prineipaux ; saisir lo point capital.(fg.) Venir 
& boat de quelque chose, atieindre. 

} ATTINCivEL, adj. 2 gen. qui peul &ire al- 
teint ; qui peut @tre compris ; & la portöe de. 

Arrıröpe, s. f. attitade, posture, situation, 
position, disposition. 

ATTÖNITANENTE,, ade. avec dionnement. 

ATTÖNTTO, A, adj. stupefait, &tonne ; sur- 
pris , interdit. 

Arrricgid, s. f. attraction: sction d’atlirer; 
#tat de ce qui est attire. Puissance, force in- 
oonnue qui atlire les corps terresires ei c&- 
lestes les uns vors les aulres, cause de la pe- 
santeur. ( 4. de chim. ) Affinite. ( Ag.) Sympa- 
thie, 

Arraacriva, s. f. V. Altracgäo. 

Arrracrivo, A , adj. attraclif: quiala fore 
d’attirer. ($g.) Attirant, attachant, atirayanl, 
piquant, engageant, seduisant, ravissanl. 

ÄTTRACTIVO, 5. m.altrail, appas. (Ag.) Amorot, 
le goüt de la noix. Alirachivos , pi. es. 

" Artaacro, A, adj. V. Encolhido, Con! 


ATTRACTICE, 0% attractrioe. On le dit de 
Arrnacraiz,adj. f.\ la force qui allire. 
ATTRAHENTE,, adj. 2 gen. Attirant: qui atlire. 
.a.d’ 

p Arraaute. V. Altrahir. 

ATTRABIDO , A, P. p. d’Alirakir. 

ATTRANIDOR, A, adj. atlirant, engageanl, 
s4duisant , ravissant. 

ATTRANINENTO , 3. me. l’action et l’effel dal- 
tirer. V. Enlevagäo. 

Artaauia, v. a. allirer, tirer A sei. (Ag-) 
Gagner par adresse ; avoir par adresse, allra- 
per Änement; gagner par dos manitres Enge” 
geantes ‚‚flatteuses , agröables. 

ATTRABIR-SE, ©. r. s’allirer r&ciproqueimenl. 

Artaautivo. V. Altraclivo. 

Artaıeuigäö, s. f. attribution, privilege : ©OR- 
cession d’une prerogative. Altribwiges, 
droit, pouvoir, Juridiction d’une autoritd quel- 
conque. 

ATTerBUlDO, A, 9. p. d’Altrebwir. 

ATTRISUIDOR , A, 5. celui quiatisibue. 

ATTRIBUIR (0), v. o. attribuer, impuler, 
calper, donner, röferer, rapporier , impoSt! , 
appliquer. 

ATTRIBUIR-SE , v. r. s’attribuer,, s’appliguet, 
s’approprier , somparer. 

+ ArtaısuivgL, adj. 2 gen. qui peut ölre a 
tribue. 

ATTRIBLTÄDO, A, P. p. d’Aliribulor. 

ATTRIBUTADOR, A, #. celui qui rend tribu- 
tairc. oo. 
ATTRIBUTÄR, ©. a. rendre tribulaire, IM 
poser un tribut. V. Avassallar , Domina. 

ATTRIBUTIVO, A, adj. attribuuf- qui auriboe. 

ATTRIEÜTO, 8. m. attribut : propriete parüich” 
liere d’une chose; ce qui est propre, Park 
lier A un sujet, A un @ire; ceque l’onaflıme 
ou nie d’un sujet. (1. de peint. el sculp!-)—» 
symbole qui caracterise les personnages OU 
gures, comme Ja palme, lo laurier, ei. 


AUD 
Arrasgi6, 8. [. attrition : regret du p6che par 


kscraınte des peines. (4. de m/d.) Crispation de 
Isstomac. 

Artaito, 5. m. "altritıon : frotiement de deux 
corps qei s’usent, occasionnant alt£ralion, di- 
minution & la auriace. 

Arrairo, A, ady. quia de Yattrition. 

ittino „A, pP. pP. d’Aludr. 

Artapön, A, 3. tuloyeur : qui Lutoie habi- 
tsellement. 

AttärR, 0. a. tutoyer : user des mots iu et 
si en parlant & quelgqu'un. ll est aussi röci- 

oe. 

ArcLai00,9.p. d’ 

Artımäia, v.a. Presser, fouler en remplis- 
sant ; remplir, emplir, combler. st. V. Eniu- 
ihar. 


Aröu, s. m. thon : poisson de mer, du genre 
du scombre. Armapdo do —, madrague:: en- 
ceınte faite de cordes ot de fllets pour prendre 
des (bons. 

ATCHULTOAR , elc. V. Amolinar , eic. 

+ Arcnzinno, s. m. dim. d’Alüm, cordille: 
jeune tbon sortant de !’oauf. 

Arcpin. V. Entupir. 

ATURÄDANENTE, adv. sans reläche ‚avec per- 
sererance. 

ArvaiDo,A, pP. p.d’Alurdr, et adj. assidu, 
perseverant „ qui eonlinue. 

Arcaapör, A, adj. qui estdur au travail, 
qui endure le travail. 

Artair,v. a. souffrir, supporter, endurer 

emment, ne dire mot, ne se pas plaindre. 

assidu au travail, inlatigable, s’endurcir. 

ATCRAR, 9. ®. durer, continuer d’etre. Per- 
sixerer dans quelique chose ; se prolonger, 
setendre. Ndo Ihe atura criado, les domesti- 
ques ne font pas long s&jour chez lui. 

ATURAR-S8, D. Tr. se souflrir, se supporter 
so-meme. 

ATuRDiBO, A, P. p. d’Alurdir et adj. etourdi, 
chaabi , desorient£ , frapp6 d’&tonnement, d’ad- 
nirstion , stupefi®. 

AttapıunTo, s. m. 6tourdissement, &babis- 
sement: impression, &branlement caus& par 
queique chose qui &tourdit. (Ag.) Eionnement, 
surprise. 

ATTRDIR, v. @. dtourdir. V. Atordoar. (flg.) 
Abasourdir, consierner, stupefier, etonner. 

"Atcaaa. V. Esirugir. 

° kocası et Aucid,. V. Acpdo. 

° sucgid. V. Almodda. 

* Aucto. 

ALCTOR. V. Aus..., otc. 

Accrosia. 

* AucruaL. V. Acksal. 

+ Aucisa „s. f. (1. de bof.) aucuba : petit ar- 
bre du Japon, rhamnoflde. 

*+ Auchrio, s. m. chasse aux oiscaux, olsel- 
kerie. Ge qu’on prend ä cetie chasse. 

Arpace,. V. Audds. 

Arpäcıa , 8. f. audace : hardiesse oxcessive. 
Impertinenoe. Com —, audatieusement, 

ÄUDACIHSSINO,, A , adj. sup. d’Audaz, 


AUG 165 


Aupiz,adj.2 gen. audacieux , hardi : qui a 
une audacc tömeöraire. (g.) Impertinent, inso- 
lent. 

Aunizmente , ado. audacieusement, avec 
audace, leınöritö, avec trop de conflance. 

Aupscäd, 5. f. audition : Paclion d’ouir; fa- 
cults auditive; frequentation d’un cours; le- 
cons d’un malire. — , l’action d’entendre des 
t&moins. 

Aupiäncıa , s. f. audience : temps donnd par 
un homme puissant, un superieur, ä entendre, 
& recovoir les inferieurs; seance des juges; 
lieu de la seance. —, nom de divers tribunauz 
&tablis en Espagne pour l’administration de la 
Justice. * Auditoire : le lieu oü l’on plaide dans 
les pelites jJustices. Dar —, donner, accorder 
audience. —d porta fechada, audience & huis 
clos. Dia de—, jour d’audience, jour plai- 
dable. 

Aupitivo, A, adj. audilif : qui appartient ou 
sert & l’oule. 

* Aupito,s. m. le sons de l’oufe. 

Audıtög , 5. m. auditeur : celui qui &coute, 
disciple. — do exereilo, juge qui connalt en 
premiere instance des causes relalives aux mi- 
litaires. — de marinha, juge qui connalt en 
premiere instance des causes relalives & la 
marine. — da nuncialura, assesseur du nonce 
du pape, qui connalt des causes ecciösiasti- 
ques en seconde instance. — da rola, anditeur 
de Rote : chacun des douze docteurs qui com- 
posent letribunal supreme do la Rote, a Rome. 

Aupıroria ,s.f." emploi de l’auditeur ; tribu- 
nal de l’auditeur. 

AUDITÖRIO, A , adj. audilif. V. Auditivo. 

Avpırtöaı0 , 8. m. audiloire : l’assembl6e de 
tous ceux qui &coutent quelqu’un qui parle en 
public. —, lieu oü P’on plaide dans les petites 
justices ; tribunal. 

AupiveL, adj. 2 gen. qui frappe P’oreille, qui 
peut ötre oul. 

" AuGaDkıR0, 3. m. fagot de lin trempe dans 
Peau. 

* AUCAMANIL. V. Gomil. 

Avuce, s. m. apog6e, falte de la gloire, des 
honneurs, eto. (1. d’astr.) Apogee : le point od 
une plandte se trouve dla plus grande distance 
de la terre. 

+ Aucia, s. f. (t. de bot.) augie: arbre qui 
donne le vernis de la Chine. 

AUCMENTACÄO, 8. f. augmentation : V’action 
d’augmenter ; sccroissement par addition d’une 
chose & une autre de meme nature. Pontode—, 
(1. de mus.) point: marque ronde (.) plac&e 
aprds une note, qui augmente ceite note de la 
moiti6 de sa valeur. 

AUGMENTÄDO, A, P. p. d’Augmentar et adj. 
accru : paragogique; ajouts, augmentd. 

AUCHENTADOR, A, 3. augmentaleur : colal 
Qui augmente. 

* AUCHENTAL. V. A avel. 

AUCHENTÄNTE, adj. 2 gen. qui augmente. 
p.a.d 

AUCHENTÄR, v. a. augmenter, äccroltro, 


166 AUG 


arrandir, aJouler, grossir, rehausser, Ampli- 
Hur, paraphraser. 

AUCHENTAN, 9. #. Croltre en quantils ou en 
qunlite , axrandir, grossir. = 0 progo, renche- 
sir. 

AUHMENTAR-IE, ©. 7. Surctolise, GrOssir, 
grandlir, orolieo. 

AUUMENTANVO, A, adf. (l. de gramm.) aug- 
wontatif : yul augmeonie le sons. 

AUUNENTAYEL, ad/.2 gen. qui peut ölre aug- 
mente, 

Arusknto, 8. m. "augmentallon, acorolsse- 
ment, agrandissement, rebaussement, Crolt: 
multiplination, on parlant des troupeaux. Ron- 
vherisanmont, (S Prourös. Augmenlos, pl. 
Yalın, prollis , avancoımont on grade, on hon- 
naurs, on furtune. Ir om —, aller un auginen- 
lau, loujours on vroinuant, 

A’vuun, 4. m. augure ı parınl los anciens Ro- 
mains, oolui qui linalı Pavenir daus lo vol, le 
ohant, lappeuli des olasaux. 

Auutnabo, A, P. p. d’Auguraer. 

Avuundt ‚adj. U gen. augural ı qui appartient 
& l’auyure, 

Avbuunan, 9. @. augurer ı liter une 00nj00- 
lu, un prosage, un augure do... HA Augurer. 
\, Awwurer. 

Avudap, 4, Wi. AUGU, PIESAEV : aigne Bat 
loyuel un Juge de larenie; dırınatioa par le 
ehant, iv vol ou la manidre die nauger des ei- 
MaUN.\. Ayasew. 

t Avurırar , ad. U gen, d’Augusie, qui ap- 

Hieni a Uemperaur Auguste, 3. oe. Augustal : 

Inne aaa tea Rusuanın. Auyusldes, pi. (8. 
Hund.‘ augustauı, & Rune, ullisters des pie 
miete tauga de larınae, prateta dig) pe; al- 
viera du palaın mpertal vitarensıle la Jeunıdmne 
vlaune ılaua Iva vulnuıca, Aires WAuguste di- 
Vinia, 

? Atvrrrauure, ade. augusiumen: Kane 
|. ELF TITN ir 

KUUNUENO A, a. qui appartient & ha ville 
WAngıdunıy. “ 
t Arassıınn. a f. fOye cine Is Damme em 
TE TEN 

TArwauiee, sm | Sumgpr.\ sainl-as- 
Bus . Saiten Watte Ai 
ER 


Tiweswura, & f Pace de ceat qui e- ' 


OO and ie grade du ducanar en 
Kae de \uialee . 

? Anarıuım, a, a augunlmen die 
OO Augsnisie. Asus UL dr nam Am 
| Yosamaen sup. Kenne > 
Denen. via Z Aagusüo. Ju Wu 


ruuagne Lak 


AUR 


+ Acctstöna, s. f.(t. de bei.) augustura ı 
arbre d’Abyssinie ; Ptcorce suppi6e le quin- 
uina. 
' Avıa,s. f. salle, classe : lien ol s’assem- 
blent les &coliers qüi prennent la möme lecon 
sousunmeme maitre, *Palais, courd’un souve- 
raın, d’un prince. 
+ Auugres, s. m. (f. d’hist, ane.) aulöte : 
joueur de flüte. 
+ Auustica ,s. f. (l. d’hist. ane.) suldtigue: 
art de jouer la Nüte;; joeu de fiüte sans chamı, 
A’tLıco, s. m. Ccourlisan. adj. Aulique : ui 
apparlient & la cour, au palais. 
AuLipo, s. m. hurlement: Paction de hurler. 
Aruista, s. m. eludiant qui suit une classe. 
colier, eleve. 
AUMENTAR, 64. V. Augmenier, eic. 
Auna,s. f. aune. V. Ana, 
Aini0o,A,Pp.p.d’ 
AUNAR, v. 6. unir, reunir, associer, 25sem- 
bler. Meier plusieurs choses pour m’en former 


qu’un tout. 
AUNAR-SE (com), ©. Tr. se r&unir, s’aSS0cCier. 
Comploter. 


Avaa,s. f. (1. de pods.) " vent, seufie doux 
et ieger, air subtil, souffie da zephyr. Ag.) 
popular, voiz publigue, apprebation gen.- 
rale. 

Taraa,s.f. (I. dsl. nal.) "hecce : eiserne 
da Mexique. 

tArnanuz, s. m. (L. d’Rist. nel.) belecantıbe 
du Bresil. 

+ Acazııamtııg,, ey. ? gen. ZOrliaas , en 


A'caso, A, od. (. de peds.‘ qui est der. oa 
dere; conleur d’or. — zumere, nemäre \i or; 
eycie Iunaire ; periode de dir-weef ans. 

ArasoLa,& f. aureole ‚nienbe : cercie de !u- 
miere Que les peinires et les seulpäzurs met’ cat 
auwer de la Wie dessamts. —, degree de „!uıre. 

AURKALLD 08 ACKTIILIO, & ME eripeas: 
cuiıre munce et poli qui 2 Fexlat de Fer. 

Aranımın „Ss. f.cupafıte de ar. 

AranvVuı20, A,al. L. de gesz. 4 la che» 
weiare Jeree. 

TAcauımo, a, a. L dr peik” quı 2 ka 
chevelure deree. 

A:cınure, a T. es Jesu precediente 

Tiuarııa.a f. L Zamnk umlietie. an- 
meau 4 srwenie. —e de ureght , unmlikties . ca- 
van) Ju vuree. 

riruwusmas ef We —L dee" 
suruuees> Ale „ Ei uk 2 SuE Ber 103 
kt» ers fu Dnyue. 

Alteitir,. ag : ze zurmeilite. ZI re- 
gem "weıln Tetemunis, nf —. 
Zaun. Sue uriumne Mb —, kusucı 
Um WELT w un ul I 2 mus. 

Atıpasa.nza 7 larrem 

Auruny.a 27 . Amer. nf. 5 38 wer.’ 
AUrIUDE dm write Ju muste. zu "marrısi ge 
ır. Qu si amnnaTe 

- ammmn,& . ur ar Impaier mu ır I 
Freie 


AUS 


Aukinich, A, ady. aurifique : qui a la puis- 
sance de faire de Por, de changer en or. 

ArkırLäuMa,s. f. orillamme : etendard des 
ancıens rots de France. 

Araıpaısıo. V. Brile-ossos. 

AURIFULGENTE , adj. 2 gen. (. de pods.) qui a 
Pielat de For. 

Arvaica , s. me. (8. de pods.) aurige : conduc- 
teur de char, cocher, paiefrenier. ( . d’esir.) 
La charlot,, eonstellation. (6. de chir.) Auriga : 
Sandage pour les eölös. 

+ Acniczeo, A , adj. couvert, vöota d’or. 

+ Avascınöso,, A, adj. couleur d’or. Febre 
«6 , (1. de mid.) Bövre aurigineuse,, aocompa- 
gnce d’zlöre. 

AramosiDO, A, adj. ( 4. de pods.) oonleur de 
rose et d’or. . 

AuRISPICE „ etc. V. Aruspice , otc. 

Arab. V. Abroteno. 

Acrörı, 8. f. aurore : Iumidre qui pareit 
avant que le soleil soit sur Phorizon ; le levant, 

; (Ag.) — , les premiers temps , le com- 
mencernent, les premitres annees de la vie, 
4 la durde d’une chose. — ou edr d— ‚aurore: 
esuleur d’aurore, jJaune dore, — boredi, au- 
tore boreale : phenomene iumineux dans lo 
cat au polo N. — ausiral, aurore australe : 
pecnemdue luminsux au pöle S. — divine, la 
sıinte Vierge. 

Araöspıce. V. Aruspice. 

Arstecıı , 8. f. absence, non-residenoe, &loi- 
gnement. —, le lemps qu’on est absent. Fazer 
boss ou de —s d’alguom , faire den bons recits 
de quelqu’un, ou decrier quelqu’un en son 
absence 


ACSENTÄDO, 4,9.p2.d 
Arscwria-se (de), v. r. s’absenter, s’6loi- 
gaer, ätserter, s’eziler, quitter un lieu quel- 


congue. 

Arsturz, adj. 2 gem. absent : qui est elolgnd 
de sa demeure, de sa place, d’une personne; 
nen present. (fig.) Inatteniif, distrait. Os au- 
senies , m. pl. les personnes absentes. 

"2umo. V. Ousadia. 

AcsoLcro, ete. V. Absoluto , etc. 

Ars6ena , s. f. (fig.) Italie. 

Avspıcia. V. Agourer. 

A’cspice. V. Augur, Aruspiee. 

Arspscını. V. Divinaloria, 

Acsricao, 3. m. auspice : augure par le vol 
des oiseauı , leur chant, leur app6tit, ote. (fg.) 

, prediclion,, prophötie; protection, 

farenz, Debaise dos —ı das musas ‚ sous 
la condeite, bes auspices, la prolection des 
muses. 

Afsyz, etc. V. Abüste, ete. 

AUSTERANENTE, adv. austöremeni: Aveo aus- 
riss ; darement. 

Acsrentzaow | s. f. austärit6 : qualits de oo 

AUSTERIDADE, } qui est ausidre. —, rigueur 
qu’on exorce sur son eorps; mortiflestion des 
sens ei de l'esprit. —,, rigidit&, sererite, inte- 
grite. 

Ausreaissıno,, A, adj. sup. d’Austero. 


AUT 167 


Aust@no, A, adj. austöre, Apre, algre, as- 
tringent. Penitent, austere, solitaire qui morti- 
N ses sans ei son esprit. Austöre, seräre, ri- 
gide. 

AustriL,adj. 2 gen. ausiral, meridional : 
du Midi (terre, pöle). . 

+ Austniuıa ow Austnaräsıa, 8. f. (8. de 
geogr.) Australasie : Ocdanie,, la cinquiäme 
partie du monde. 

A’ostnıa, 8. f. Autriohe : empire d’Autriche. 

Ausraiaco, A, adj. ets. Autrichien : de PAu- 
triche , naturel de ’Autriche. 

AUSTRINO, A, adj. (. de pods.) austral,, du 
midi ; pluvieux. 

Austro, 3. m. auster : vent trös-chaud du 
midi. V. Sul. Autan : vent da midi. 

"Aura. V. Acta, Auto. 

Aurutntica, s. f. authentique : oertifiest, 
t&moignage de la verits, de Pidentit# d’une 
relique on miracle.—, original, copie certiflee, 
Iegalisee. —s, pl. authentiques : nom de cer- 
tains recueils de constitutions, de lois romai- 
nes, fait par ordre de Justinien. 

+ Aurntuticaciö, ». f. P’action d’authen- 
tiquer. 

AUTBENTICÄDO,A,P.P. d’Authenticar, adf. au- 
(hentique. Mulker — a, ( . de prat.) authenti- 
quee , femme oonvaineue d’sdultere. 

AurBtnticamtnte, edv. autbentiquement, 
@’aune maniere authentique. 

AUTHENTICHR , 9. @., authentiquer, rendre 
authentique, legaliser, mettre l’attestation des 
magistrats et le sceau publio & un acte. — 
uma mulker, authentiquer une femme, la 
declarer convaincue d’adultere. 

Avrıtnricıipe, 3. f. authenticite, qnalils 
dece qui est authentique, l&galisation. 

AUTBENTICO, A,adj. authentique,, qui a Pau- 
torit& et les formes exigees par la lol; c&lebre, 
notable, solennel, qui fait preuve; certiße 
legalise. 

AUTHOR, etc. V. Aufor, eic. 

Aurivo. V. Actioo. 

Auro, s. m. acio; procös-verbal ; ancienne 
piece dramatique. ’Posture, V. Aclo, Aclitude. 
—da-fd, auto-de-f&, jugement de l’inquisilion 
ex6cuts en public. —sacramental, piece drama- 
tique dans laquelleonintroduit des personnages 
allegoriques. Aulos, pl. proces, acies, in- 
stance devant un juge sur un differend enire 
deux ou plusieurs parties , pi&ces d’un procds, 


‘procödure ; dossier. 


* Auto,A. V. Apto. 

AUToCkPEALO, s. m. aucsphale: dr&que grec 
qui n’stait pas sujet & la juridiction du pa- 
triarche. Il est aussi adjectif. 

+ Aorocaacia, s. f. autocralie : gouverne- 
ment absolu d’un despote, sans le frein d’au- 
eune Hoi. 

+ AUTÖCRATA , s. m. aulocrate . titre de l’om- 
pereur de Russie. 

+ AcrocräÄrrız,s. f. aulocratrioe, sonversine 
absolue de Russie. 


168 AUT 
AtUTöCTHONE „adj. 2 gen. autocihone : abo- 


+ Aurocaıpsir, v. e. autographier : imiter 
et multiplier les exemplaires d’un £crit par 
Pautograpbie. V. Autogrepkhia. 

+ Aprocaarnia, s. [. autograpbie: connais- 
sance des lirres autegrapbes;; qualits de ce qui 
est autographe ; art d’imiter et de mulliplier an 
corps d’&criture par une sorio de lilhograpbie. 

+AvrTocaäirsıco, A, adj. autographique , de 
Yautograpbie. 

AUTÖGRAPEO, A , adj. el s. autographe, derit 
de la main de l’autesur. 

Avromirico, A, adj. (f. de mid.) automa- 
tique: machinal (mouvement), auquel la vo- 
lonte n’a point de part. 

AUTONATISMO, 8. m. (4. de physig.) auloma- 
tisme : mouvemen! machinal auquel l’äme par- 
tiecipe sans y faire aliention. 

AUTÖNATO, s. m. aulomale: machine qui a 
en soi le principe du mouvement, et qui imile 
celui des corps animes. (Ag.) Personne stupide. 

Avröno. V. Outono. 

Auronouia, s. f. autonomie : droit d’ötre au- 
tonome , sa jouissance ; Connaissance par soi- 


Aut6s0uo, a, adj. Autonome (ville grecque) 
qui se gouvernait par ses propres lois. 

Avropsia,, s. f. sulopsie : vision intuitive des 
mysteres ; conlemplation de la divinite; inilia- 
ton & cotie oontemplation ; aclion de voir une 
ehose de ses propres yeux. (1. de mdd.) — cade- 
verica ou do cadaver,, autopsie cadaverique: 
ouverture d’an cadavre dans le but de con- 
naltre Jes causes de la mort. 

Aur6n ew Aucron, s. m. auleur, inventeur, 
moteur : celui qui est la premiere cause, le 
prineipe d’une chose, qui la Irouve ou qui la 
produit. —, celul qui compose un livre; dcri- 
vaın. Demandeur en justice, plaignant. 

Aurönı, s. f. V. Autor. Femme auleur. 
Demanderesse. 

Auronia, s. f. actioh de celui qui demande 
en justice. 

Auroarsipe,, 3. f. autorilö, consideration, 
pouvoir, superiorits , credit, droit. “Comman- 
dement. Majeste, grandeur. ° Temeignage. —, 
texte, passage d’un auteur qu’on cite pour ap- 
puyer ce qu’on dit. Ostentation, frein. ” Credit, 
r6putation , renommee. 

Avrorısaciö, s. f. autorisation : Paction 
d’autoriser, l’acte par lequel on autorise. Ho- 
mologation, approbation, teonfirmation par 
autorite de Justice. 

AUuTOnIsÄnauRnTE, adv. avec autorils, d’un 
ton d’autorits. 

Aurorisadissıuo, A, adj. up. d’ 

Auronısin0o, A, 9.9 d’Autoriser, adj. qui 
a de lautorit, de la representation , respec- 
table, recommandable. Lögalise, en bonne 
forme. Autoris# : muni de pouvoirs, de faculies 
pour reprösenter quelqu’un. Notarie : passe 
devant notaire. 

AUTORISADOR, 9. ı. volul qui autorise. 


AVA 


Avronısamäntro, s. m. V. Auforisecke. 

ASTORISÄNTE, 5. ot adj. autorisen!: qui au- 
torise. p. a. d’ 

AuTorısin, v. a. autoriser: donner autorit&, 
revetir de pouvoir. Authentiguer, legaliser 
bomologuer. Confirmer par autorits. Approu- 
ver, avouer une chose. Rebausser, rondre su- 
perieur, illustrer, acorediter.Conlirmer par des 
autorites. . 

AUTORISAR-SE, 9. r. s’auloriser: acquerir de 
Fautorite, de la consideration, 

f A0TORrATIVAmSuTE, ade. avec auteritd, 
d’autorits. 

+ AurosısävsL, ady. 2 gen. qui pout £ire au- 
torise. 

Autonızar, etc. V. Auterwar, eic. 

®° Autas. V. Odre. 

Avrviciö, s. f. l’aclion, ow la maniedre de 
reduire & forme d’un proces, proc&dure. 

Autvipo,a,p.P. d’Auluer. 

Autvar, V. Actual. 

Autuin, o. ae. dresser proce&s-verbal , verba— 


AUTUMNAL, adj. 2 gen. aulomnal : d’au- 
lomne. 

*Aufuuxo. V. Outöno, 

+ Avvsanılno, A, adj. ei 3. Auvergnat: 
d’Auvergne, qui apparliient ä l’Auvergne (en 
France). 

AuxıLıipo,A,Pp. p. d’duzülier. 

Auxilıapon, A, 6. et adj. celui qui aide, qui 
donne du socours. 

ÄUMLIANTE, qui alde, qui donne du seceurs. 
».0.d 

ArzıLıka, ©. @. alder, seoourir, favorıser, se- 
eonder, assister, proteger. — alguem com ar- 
mas, pröter main-forte ä quelqu’en. 

AuzıLiaa, adj. 2 gen. auxiliaire: qui aide, 
qui serourt (troupe, armee; verbe; remede ,. 

AvxXıLtanıo, A. V. Auzilier. 

AuxiLiO, 6. m. secours, assistance, aule, 
protection. Der —, pröter secours, donner 
main forte. 

+ AuxÖNETRO, 5. m. auxomölre : insirument 
pour connaitre la force des luneties. 

Avı,s.f. ava: liqueur enivrante d’Otalti. 

TAvacipo, A, adj. qui lient de la vache, 
qui lui ressemble. 

?” Avacna, AYACHS, ou AYECHE, inlerj. 
“quivaut ä oma Id : prenez. j 

* Avıcuan. V. Evacuar. 

*Avıula, V. Avaris. 

TAVALANCHA, s. f. avalanche, ow avalange: 
masse de neige qui roule des monlagnes. 

Avauıciö, s. f. estimation, appreciatien, 
&valuation ; prix, valeur, taux. 

AvaLlip0O, A, 9. P. d’Avalier. ady. (Ag. 
estimö, r&puls. Esier bem ou mal—, etre loue, 
0“ blamd: avoir une bonne ou maurvaise re- 

n. 

AVALIADOR,, 5.m. osumalcur, apprecialeur, 
priseur. 

ÄAVALIAMENTO. 

AYALIANGA, 


| V, 4valiard. 


AVA 


AVALIÄR (om), v.a. @valuer, priser, ostimer, 

uire & un prix determine. 

ATALIÄR-SE ‚v. r. s’evaluer, s’apprecier. 

AvaLvir , etc. V.Avsliar, eto. 

Avasir, "etc. V. Abanar, eic. 

"Avanenkcos, 5. m. pl. avant-bras : piöce 
da kransard de F’armure ancionne qui couvrait 
lavant-bras. 

Avamcıba, 8. f.(1. de med.) atlaque , irtup- 
ten. * Assault, charge ; grande garde. Dar ums 
— salguem, (Ag. ) aborder queiqu’un pour lui 
parler d’ane affaire. 

AvascaB0, A, pP. p. d’Avangar. adj. avanck. 
Ds idede — a, ou — om idade, d’un Age avancd 
ou avance en äge. Sentinellas, portidas, iro- 
pas —as, sentinelles, piqueis, troupes avan- 
codes. 

ATARGANENTO „5. m. (1. d’arch.) saillie tout 
ce qui avance hors le corps du bäliment. Avan- 
cement. V. Avango. 

ATANGAR,, U. G. avancer, investir, assaillir, 
peusser en avant, gagner chemin, pays. ll se 
dit au propre et au figure. 

Avancan, 9. m. ($. de mil.) atlaquer, enga- 
ger Faflaire, marcher & Pennemi. Avancer: 
aller en avant, @ire on avant; sorür de Y’ali- 
guement. 

AYANGAB-SE , 9. T. s’avancer : se molire, aller 
en avant; faire des progres. — a alguem, at- 
iaquer, se jeter dessus, courir sur, insulter 


un. 

"Avasce. V.4A 

Avasco, s. m. gain, profit avantage ,utilitö; 
avance ; avancement, progres. D’avanıo, adv. 
davance; par anlicipalion, avant lo temps; 
par avance,, & l’avance. 

Avasctıno. V. Evangslho. 

Avascuäapa. V.YV 

Avıma, s. f. avanie: vexalion exerode par 
les Tures sur les chreuiens, eic., pour les ran- 
genmer; mauvals traitement; insulte faite & 
dessei 


D. 

Avino. V. Abano. 

Avautaces. V. V. 

AVANTAJÄDAHENTE , ade. avanlageusement: 
svec avanlage. 

ANVANTAJADISSIMO, A , ady. sup. d’ 

AvANTAIADO, A, P.p. d’Avanlajar, ady. a- 
vantageuz ; grand. Excellent, superbe, bean 

Avıurasin, 9. a. avaniager : avancer, ame- 
liorer, meitre en meilleur &tat, accorder quel- 
Que avantage, quelque prörogalive. Preferer, 
deuner la preference. v. ». Avancer, faire 
des progres , s’ameliorer. 

ÄAVARTAJIAR-SE (a), v. Tr. devancer, Surpasser, 

le dessus ; exceller. 

Avasta0so , eic. V. Vaniajoso, etc 

Arastıı. V. Avental. 

* ANANTAMENTO. V. Adianiamenio. 

° AVANTARTE, adj. 2 gen. qui est, qui va en 
avani. 

AYANTE, ade. avant, en avant. V. Adiante 
& Arribe. "Passar — ‚avancer, aller en avant. 


A odre xai — „l’ouvrage s’aronce fort, il va.l oiseau noctusne, oiseau de null. — 





AVE 169 


re ini. Lover a sua— , aceomplir, exdcuter 
ses desseins, röussir dans ses projets. Carlello 
d’— ‚(t. de mer.) gaillard de proue. Tirar—, 
voguer. 

AvANTs! (nferj. en avant 

ANANTEJABO, eto. V. Avanlajado, elc. 

+ Avasıızs, s.m. pl. (t. de mar.) le chanlier 
& commettre. 

AvAquEınino, A, adj. a manidre de vacher, 
( ig.) Rustigue, malhonntte. 

+ Avanıma, s. m. (6. de bol.) avarama : poll, 
arbre du Bresil. 

AVÄRAMENTE , dv. avarement : avoo avarice 

* Avınca. V. Alparee. 

ÄVARENTANENTE. V. Avaramenie. 

AYARENTO, a, adj. avaricieux: qui a de l’a- 
varice. Avare. ( ig.) Ambilieux, avide. 

Avıntıa, s. f. avarice: amour excessif des 
richessos. Viver com — sördida, vivre dans la 
crasse. 

* Avanca. V. Vargae. 

® Avancan. V. Vergar, Eneurvar. 

Avaria,s. f.( t.de mar. ei decom.)avarie: 
dommage arrive & un vaissesu, & des mar- 
chandises. ( ig.) Detörioration d’une machine, 
de denrees dans un magasin. — grossa, avarie 
grosse ou commune. — ordinaria, avarie mC- 
nue. — particular, avario simple ow partieu- 
liöre. 

AvanıkDo, A, p.P. d’Avariar et adj. avarik, 
gäte, endommage en voyage, sur l’eau os en 
magasin. Fazendas -—-as, marchandises mari- 
nees. 

AvARıÄR , 9. @. avarier : causer de l’avarie. 

AVARIÄR-SE, v. r. s’avarier; so gäler, s’al- 
terer,, s’appiötrir, se detsriorer. 

Avanicıa ‚pP. us. V. Avareza. 

Avınissıno, A, adj. sup. d’ 

* Avino, A, adj. avare: qui aime trop l’or et 
ne lo döpense pas. Qui est excessivement atta- 
ch& aux richesses. ( 4g.) Qui dunne peu, qui 
ne donne pas assez. Ambitieux, avide @’hon- 
neurs, de gloire. ( Ag.) Sterile, ingrat. Ser — 
de,n ’aimer pas & donner, etre bon meönager, 
en parlant des dons, louanges, du temps, etc. 

AvıssıLLipo,A, pP. p. d’Avassallar, et adj. 
soumis, assujetli. Ter alguem —, avoir quel- 
qu’un sous sa doınination. 

AYASSALLADOR, A, 8. celui qui soumet, assu- 
jettit, etc. ; dominateur. Roma —a do mundo, 
Rome maltresse du monde. 

AVASSALLÄR, v9. a. assujetlir, soumelire, 
dompter, reduire, mallriser, ranger sous sa 
dominalion , sous 5a puissance. ( Ag.)Captiver, 
rendre, conquerir un caur. 

AVASSALLAR-SE,, 9. r. se rendre vassal, sujet 
d’un roi, d’un prince. V. Vassal 

Avg,s. f."oiseau: animal & deux pieds, ovi- 
pare, ayanı un beo, des plumes et des alles. 
— brava ou siloestre, oiseau sauvage. — do 
paraiso ou ma , oiseau de paradis, 
— de rapina, oiseau de proie. — noclurna, 
de arrıi- 


AVE AVE 


| 
Bugs _ asmmn de pemumge. — de Sams. ' 2. de met vent, qui dans l’origine n’dtail qu’un 
ya. zum. — de Hinssres, = pens-dee. | ro5eau peroe de plusieurs trous; üle de ber- 
ie Ausser "ze. Aus dememteens ou de ı zer. fig.‘ Style, iiees ei po6sie pastorales. 
uEnTE. Wuälı.e —i GREFTTEE, CE Gi | AYESABO. V. Auoidde. 
prosmm 'zumr. — muindksusen £ diast| + Avtscı, s. f. — ordinaris (1. de bei.) 
mu. . &5 mammmpmirn. — edisurunbas. «i., ei- | " adkanihe & feuilles de coriandre , owigo le ca- 
BEEBE dr USER. GB SERENEER. — gullundasee, | pillaise de Mentpellier, ebeveux de Venus. 
qulinsmes. gumemars — trepmluren , bes | — de Canedd, capillaire du Canada. — negrs, 
deradiie neire. — branca. V. Arrude dos 
Ama m Arm. a f um: 


zmures. 
mE <E GER JENE. qm: zuuE amlimzmemsent & ia | Avsmcandaa, V. Ovencadurs. 
BEmar-- ur RS Tint= Eu. fArescäö, s. m. (. de bot.) "doradilie po- 
"Au _ 2 a pam June. lütrie. 
A’inmı T. Summe , Atmen. 
A’ie, & I "Zusmnse : Bse SERRiE d’a- 


k 















| 


Avtuca, s. f. convention, pacie, accord, 
eentrat, traits,, prix (ait, abonnement. Ser de 
bes —, re accommodant, docile; avoir des 
zsanieres deuces. 

AYgucAB0, A, p. p. d’Acengar. V. Ajusiddo. 

AVEXCAL, 8. m. ouvrier ä gages. 

AVENCAR-6E (com),e. r. convenir, &ire d’a0- 
osed. V. Ayustar-se. 


A-ı1/.ı. UV msn 
"oe amp me au AUCHSER?, A, a. digse 
dem panseer. 


sıı.1.& /.T. tun As. pop.‘ Bemme 
unümeenens amd 
Alısa eur T, Asui, 8 


"Arc zuaa TV Znesuber, - * Avzusnin, etc. V. Krnosmenar, eic. 
"Amannlnndg, © F. Se Funde cogmin, | ° Avszuin. V. Acir, Ajuslar. 
unbe. Avasisa, s. f. avenue: endreit par oö l'oa 


arive; passage, enirte. — dervores, allöe. 

* Avazılkucıa. V. Acsmpa. 

AvanTi2O, 4, p. pP. d’Avenidr, et adj. trenik, 
wrapert, au propre et au Hgure. 

* Avanraıno. V. iInventlario. 

Avswrasän, eio. V. Acanlajar. . 

Avasriı, s. m, tablier : morcesu d’stolle 
qu’en met devant soi. . 

Avaıria, v. @. öventer : donnör de Fair. 
viele | Vaaner. ( Ag.) Exciter, provoquer. il. Flairer: 
sentir par Y’odorat. ( Ag. fam.) Pressenüir, pre- 
veir; drenter la mine ou la mäche; deeoernif 
une affaire seerete. Il est aussi Feciprogue. 

Avamrıco. V. Advensicio. 

Avtsro. V. Adrento. 

Avanıöna, 5. f. aventure, accident, dröne- 
meat inepind. ° Hasard, cas fortuit, V. Risco, 


ArEaETTp. 2.P. 9 d Seelen. 
ASAHEIELDÖER , 2, Of gi Fund TiSEL 
JNZLESITAR, & a FunÖRt WERE Zrami MEIRS. 
AULEEERAR SE, €. ?. wende: drtemit VisuL, 


Aussıkına, s. f. "swelinier, neisetior, cou- | Perige. Entreprise hasardeuse ow galanle. 
ar, arbre qui ports les neiseltes. | Groesse —, grosse areniure. Andar a Deos & d 
VRaızınäı, s. m. "ooudraie : kon plants de | —, errer & Paventure, A tout hasard. Cavelleire 


d@—, chevalier errant, aventurier. 

AvERTORiDO, A, 9. p. d’4veniurar ei ad). 
hasardeux, risquabie, perilleux. Hardi, t&me6- 
raire. Bem —, bien heureux. Mal — , malbeu- 
reux. V. Vonturdso, Desdilöso. 

* AVENTURANGA. V. Bem-avenfurangs. 

AvEnTuRniR, 0. 6. avenlurcor,, risquer , basar- 
der , mettre en danger ow courir les risques. 

AVENTURÄR-SE , ©. r. s’aventurer, so hasar- 
der , risquer. — a muilo, jouer gros jeu. 

+ AVENTURkIRANENTE, adv. paravenlure, En 
aventurier; par hasard , par acciden!. 

AvENTuR&Ino, 3. m. aventurier, chevalier 
errani ; celui qui court, qui cherche des aren- 
tures. —, komme sans fortune qui vit d’ialfi- 
gues. Pirate, Qibustier, beucanier, 


ssuörters. 

Avsıllzinua,, s. f. dim. d’4eellä. 

Avsındaros, 8. m. pl. *verroterie : menus 
marchandise de verre. (Ag.) Chose de peu de 

Avaı.veiso, A, adj. velouts : labriqus 
comme lo velours; qui en a l’apparence. 9.9. d’ 

+ Avgı.ooia ow AVYELLIDÄR, ©. 6. velnuter: 
deaner un air de velours. 

AvsLurino. V. Arelludddo. 

Avg-uaria, 3. f. avo, avo-marla : salutation 
derl’Ange & la Vierge; invocation & la Vierge. 
Avo-marias, angelus: priöre des catholiques 
oommengant par ce mot; son de la cloche qui 
lennonoe. 4’ —s, & la brune, & jour fermant. 

AYana, 8. f. (£.de poda.) "chalumeau : instru- 


’ 


AVE 


AvearenkıRO, A, ady. aventurier, t&mdraire, 
inconsider& : qui s’aventure, qui hasarde, qui 
seıpose temerairement au danger. Soldddo —, 
aventurier, volontaire, soldat de fortune. Nau 
—#, vaisseau aventurier: qui trallque sans 
permission. . 

Avegurueina ,s. f. aventurine : quartz,, pierre 
ronge, jJaune-brun, brillante, demi-transpa- 
rente et comme semede de paillettes d’or. 

AVZSTUROSO, A, adj. aventureux. V. Arri- 


. Avea, V. Haver. 
TAYzaino, o m. (1. d’hist. nal.) colinga du 
Bresil. 


Arsasido0, A,9.p.@ 

Arzuasin, vo. a. verbaliser: dire des raisons 
#8 des faits pour les faire meitre au proods- 
verbel ; dresser un proces-verbal. 

AVER-D0-PE80. V. Haver . 

Avsapocisa, s. f. "vertugadin : bourrelet & 
ls ceinture de l’habillement des femmes, qui 
seutenait les japes. 

ÄrTERDUCIDO, A, adj. garni de vertugadin. 

"Avznupöcas, s. f. pl. V.4 

’ Avamcan, etc. V. Vergar, etc. 

AVERSOADO,A,P.p. d’ 

TAYERcOiR, ©. a. sangler: faire des san- 
Bades. V. Flagellar. 

AVERGSOWNHAR, elo. V. Znvergonker, 6io. 

’Avsunia. V. Avaris 


Avsnscuaciö,s.f. “eLamen, 6elsirchsserment, | 


recherche exacte, perquisition, enqu6te, in- 
v tion. 

AVRRISULADAMÄNTE, ade. cortainement, AS5u- 
rement ; avec connaissance de cause. 

AVERICUÄBO, A, adj. avorh, Tevonnu.p. P. 
d’4wwriguer. 

AYERIGUADOR, 5. m, investigatsur, verifiea- 
war, examinateur, enquätsur, inquisiteur 
gei fait des recherches, qui oherche & d6oou- 
vrir. Fareteur. 

AYBRIGUAR,, 9. 6. avörer : S’assurer d’un fall, 

‚ rechercher, examiner, enqudter, 
sire recherche, perquisition. 

AVERBELNÄBO, A, ady. rougeälre: qui tire 
sur ie rouge. 92.9.4’ 

+ AVERMELHÄR, %. 6. Tougir: rendre rouge. 

ATERMELRÄR-SE,, v. r. rougir : devenir rouge. 
v AY&Rno, s. m. ( 6. de pods.) Aveme, Tönare: 

enler 


Avtano, a, adj. (2. de pods.) de Penfer, in- 


iernal. ( Ag.) Tenebreux. 
Avzganccia, etc. V. Enserrugar, etc. 
’Avgasauanto. V. Contrerisdade 


Arzasiö,s. f. aversion, degoät, anlipathie, 
repugnance ; opposition. Haine, inimitlie. 

tArveasıas, adj. f. pl. (Tolbas —,t. de bof.) 
feuilles retournses, lorsqu’olles sont tourndes 
vors le sud. 

* Avansia. V. Aversdo. 

Avanso, A. 

ATERTENCIA. |v. ddveri.... 

Avssınza ow Avszinwa, 3. f. dim. d’4os. 
Petit eisesu. 


AVI An 


AveBsino,A,p. p. d’Avessar, et adf. qui fait 
les choses & rebours. 

AVY£SSAu£nTtE, adv. V. A’s avdssas. Mal; mal- 
adroitement, 

"Avessän,v.e. V. Transiorner, Corromper. 

Avessas (ds), adv. & rebours ‚tout autrement, 
tout au contraire. Tomar ums cousa ds —, 
prendre une ohose & contresens, lui donner 
une explication contraire. Virar alguma couse 
ds —, relourner d’un cöls, a rebours. Succedse 
Iudo ds — do que se tinha dilo, tonı arriva aw- 
trement qu’on ne l’avait dit. 

" Avsssia. V. Perversidade, 

* AVESSIMÄO, 5. m. mauvais augure. 

" Avgssio, A. V. Avdsso. 
Av&sso, s. m. envers : le 0o6t6 le moins bea 
d’une &toffe; sens contraire. 40 — ou do— ,ä 
Penvers, du cöts de l’envers; en sens oontraire, 
le dessus dessous. — da medalka, revers Ber 
d’— com alguem, reiner quelqu’un de fon en 
comble. Naö ter —, nem direilo, 6tre d’un oa- 

ract£re bizarre, inegal, quinieux. 

Avtsso, A, adj. relourne, mis & Penvers; 
d’un sens eontraire ou © ; eontrariant, 
contraire. ( lg.) Inforiune, adverse; mechant. 
em um genio mwi —, il a un möchant sarac- 


Avzstatz. V. Abesirüz. 

* Avgtin. V. Eoiter. 

AvzxAChO, 

AVEXAR, 016. |v. Vox... eic. 
AveziD0,4,P.p.d’ 

Avszin, ©. a. habituer, accoutumer. Il est 
aussi r&ciproque. V. Acostumer, ei6. 

Avgzinua, s. f. dim. d’4os. Petit eiseau. 

AYZZINBÄDO, A, adj. voisin, proche. 9. p. d’ 

ÄAVEZINHAR ou Arisinkar, v. a. avoisiner, 
approcher , meitre une chose pr&s d’une autre. 
— bem com alquem, faire bon voisinage avec 
quelqu’un. 

AVBZINEAR, V.8, el SE, 0. 7. S’avoisinor, 
se rapprocher; s’approcher. Avssinka-es «a 
noite, la nult s’approche. 

Avıkno, A, ?. p. d’Avidr et adj. Estdmos 
bem —s, ah! nous voll dans de beaux draps, 
Bem ou mal —, (fig. fam.) bien ou mal ajusts, 
bien ow mal outille. 

AYIADOR, A,s. celui qui prepere, qui dispose 
queique chose pour un voyage. 

AYIıAMENTO, a. m. "expedition, arrangement, 
disposition ; fourniture. —s, pl. attirail : nom- 
bre et diversits de choses nöcessaires &. 

Avıkr, ©. a. pr&parer, disposer quelque 
chose pour le chemin, r, prosser l’exe- 
eution d’une chose. Yamıos aviando, ou aviar / 
finissons , dep6chons-nous. 

AVIÄR-BE, ©. r. 86 disposer, 86 preparer, 
s’appröter, se lenir pre&t. ( fg.) Se presser, se 
depe£cher. 

Avıiaıo,s. m. *vollere: lieu ou l’on dire des 
oiseauz ou de la volaille. 

+ AvıcErroLocia, s. f. aviceptologie : traits 
sur l’art et la maniöre de prendre des oiseaux. 

AvıcruaLaiD0, A,P. 9. Ü’Avichualher. 


172 -. AVI 


ANICTUALHAR , v. &, avilailler : fournir de vi- 
“ vres un camp, une place. 
“  Avicuza. V. Auszinha. 

+ AvicuLinua, s. f. (8. d’hist. nat.) aronde: 
mollusque ac#phale donnant les perles, la 
nacre. 

A'VIDANENTE, adv. avidement : avec avidits, 

f Avınkz ow Avıntza, s. f. avidiis : desir ar- 
dent, insatiabie, immodere. 

Avmissıno, A, adj. sup. d’ 

A’vıno,A,ad/. avide: qui a un desir immo- 
dere de quelque chose; tr&s-interesse. 

Avınon. V. Avindor. 

Avızızipo, A, adj. (t. de bias.) quia des 
Alons. . 

*ıvıL.V.: ivel. 

° AvıLivo. V. Aviliado, Ewoilecido. 

Avı.anäpo, A,adj. ignoble, vil, bas: quia 
les maurs des roturiers; roturier. p. p. d’ 

f Avızanin-se,o.r. siencanailier, s’avilir, 
. devenir canaille, rustre. 

* Avııtza. V. Vilöza. 
* AvıLıraao, V. Aviltado. 


AVILTÄDBANÄNTE, adv. vilemen! : d’ane ma- 


niere vile. . 
AYıLTÄDO, A, 9. pP. d’Aviller. 


AVILTADOR, A, 5. ot adj. avilisseur, avilis- 


sant. 
AVILTAMENTO, 3. m. avilissement : &tat d’un 
&tre avili. 


AvıLräa, vo. a. avilir: rendre vil, abject, 


meprisable; döprecier. 

AYILTÄR-SE, o. r. savilir : faire quelque 
chose de vil; devenir vil, & bas prix. 

* AVIMENTO. V. Advento, Vinda. 


AvınacräDo, A, adj. acdteux: qui a le goht 
du vinaigre. ( Ag.) Acarlätre, dur, rude; d’une 


humeur lächeuse, intraitabie. p. p. d’ 

Avınacaln, 9. a. rendre algre, aigrir, vi- 
naigrer. 

AYINAGRAR-6E, vo. r. s’algrir. V. Azeder-se, au 
propre et au figure. 

AvıncuLia, etc. V. Vincular, eic. 

* Avınca. V. Avonpa. 

* Avımotıro. V. Avindor. 

* AvınBıco. V. Findigo. 

Avinpo, A, p. p. d’Avir, et adj. converie, 
d’scoord. Bem ou mal awindos. On le dit des 
personnes qui vivent en bonne ou en Mmauvaise 
intelligence. 

+ AvınDor, 5. m. meödiateur ; arbitre. 

Avınnipo, A, adj. envine: qui sent le win; 
vineux: qui a le goüt da vin, oü il entre du 
vin. Agua —a, vin trempe, eau rougie. Homem 
—, homme avins: qui boit beauooup. p. p. d’ 

Avınala, v. a. aviner : imbiber de vin. 

AVvIıNBÄR-SE, dv. r. prendre le goüt du vin; s® 
sotler. 

Avio,s. m. V. Avlam£nto. 

AvıoLano, A, adj. (4. de pharm.) fait avec 
des fleurs de violeties. it. Qui tire au violet. ss. 
Qui a la forme d’ane guitare. 

AviR, v. a. accommoder, arTanger, accorder, 
remettre en bonne intelligence. 


AVO 


AviR-SE, u. r. s’accommoder,, s’enlendre, 
tomber d’accord ‚ compalir ; s’ajuster, convenir. 

” AVIR, ©. 9. SUrvenir, avenir, arriver. 

AVISÄDANENTE, adv. prudemment,, diseröte- 
ment. 

AVISADISSINO,, A, ady. sup. d’ 

AvısiDo, A, p. p. d’Avisdr ei adj. avise, 
prudent, clairvoyunt, qui a l’esprit An, pene- 
trant. Adroit, fin. Mal—, malaviss: oelui qui 
agil sans röllexion, sans examen. 

AvısapOR, A, 8. celui qui averüit, qui Jait 
part de. 

" Avısamenrto, V. Aviso, Advoriencis. 

* Avısanca. V. Aviso,. 

Avısia, v.a. avertir, donner avis, annon- 
cer; laire savoir. Semoncer, fairo une repri- 
mande. Conseiller. 

AVISAR-SE, 9. r. penser, faire reflexion sur 
quelque chose. V. Instrwir-se. S’entravertir. 
Se rappeler de quelque chose, s’en ressou- 
venir. 

Aviso, s. m. avis, avertissement, * Vigilance , 
soin. *Semonce , röprimande. * Prudence, cir- 
conspection. Ordre signe par un ministre d’etat 


au nom du roi. "Embarcation legere, paquebot, 


aviso. Estar ou andar de sobre — , ötre sur ses 
gardes. Corta d— (1. de comm.), leitre d’avis. 

Avısrino, A,P.9.d’ 

Avıstia, vo. . d6oouvrir, spercevoir de loin. 

AVISTÄR-SE, vo. r. s’enirevoir ‚ s’aboucher. 

Avirq, A, adj. (. de poes.) qui vient des 
aleux. 

AYITUALBAR, 60. V. Avichualkar, etc. 

‚AıVÄDANANTE, adv. vivement: aveo viva- 
eite. 

AvıviD0,A,P.2.d’ " 

ArvıYia, v.6. exciter , animer, ranimer, bä- 
ter, diligenter. Al’umer,, altiser, on parlanı da 
feu. Aviver, rafraichir, en parlant des couleurs. 
Aviver 0 passo, redoubler de Jambes; aller 
plus vite.— 0 cavallo, exciter un cheval & mar- 
cher en le piquant avec les &perons. 

AVIVÄR-SE, ©. r. se ranimer, se virifler. 

” AVIVERTADLIRO, 5. m. celui qui ranime. 

AVIVENTÄDO, A, pP. P. d’Aviventär. 

* AVIVENTAMENTO, s. m. l’action de rahimer., 

AYIYENTÄR, ©. a. prolonger la vie; l'’encou- 
rager.( Ag.) Ranimer, fortifier, vivilier. 

Arvızaa, et0. V. Avisar, eic. 

Avızinnin, eto. V. Avezinkdr, etc. 

Av, s. m. aleul: grand-pere; pere de la 
möre ou du pero. Auds, pi. aleux, devanciers » 
anc£ires, ascondants., 

Avö,s. f. aleule: grand'märe ; möre du pre 
ou de la möre. 

A’v0, s. m. terminaison des noma [rac- 
tionnaires. Ex.: 3/8 == irts oitavos, trois hui- 
tiämes; 1/12 = um ddzavo , un dousieme. Avss, 
pl. denominateur des [raclions, 

* Av6a. V. Avd. 

Avoacan. V. Esvoagar. 

* AVOAMEnTO. V. #60. 

Avocacäd, s. f. (i. de prai.) &vocation ı Fao- 
Uon d’eroquer. #4. V. Invocardo. 





AXI 


ArOC4B0, A,P.p.d’ 

Avocar (a, para), v. a. (I. de pral.) evo- 
guer : lirer une cause d’un tribunal, et ia por- 
ier a un tribunal superieur. 

AYOCATÖRIO, A, adj. (t. de pral.) svoca- 
ksire, avocaloire : qui sert & &voquer (mande- 
ment, lettre, ete.). 

Avocırüna,s. f. l’aclıon d’evoquer. 

+Avoctra ow Bico-aEVoLTO, 8. f. (l. d’hist. 
nal.) avocetie : olseau aquatique, palmipedo, 
teretrirostre, blanc, gros comme le pigeon, & 
long bee, pointu et recourb6 en haut. 

ATOKIAR. V. Adejar. 

"Avokaca. V. Avb. 

Avoe@nco, A, adj. qui vient des aleux. 

Avo8scos, s. m. pl. ancktres. V. Avös. 

Avotscutıno, A, adj. des aleux: qui a dt6 
posstde par les encetres. 

Avocacia. V. Advoeacia. 

Avocän, ete. V. Advogar, etc. 

+Avoıma pe Guine, 5. f. (1. de bot.) avoira 
de Guines : palmier &pineux. Son fruit donne 
de Phuile. 

“ıvor,edj. m. V. Vi, Mdo, Ruim. 

AvoLeuca. V. Avofnga. 

" AvoLzza. V. Vildza, Maldade. 

° AvoLro. V. Enoolto. 

AVOLUMiBO, A, p. p. @’ 

AVOLUHÄR, 9. 6, obstruer (un vaisseau) de 
ballots ; faire croltre en volume. 

AVOLUMAR-SE, e. r. devenir 
FSagrandir. 

’ AvoL.ven-se. V. Revolver-se. 

° Avonpa l inferj. assez ! 


volumineuz ; 


* Avoano, #. m. V. Abaslanga , Abundancia, du 


° AVONDOSAMENTE. V. Abundanlomente. 


Avtım, A, adj. arrache, Öle, söpare, de- 
tache ; depareilie. Noticias _u, nouvelles 
douteuses, faux bruit. 

AYULTADO, A, adj. grand „gros, volumineux. 


12.2.0 


ÄVTLTÄR, ©. 6. sugmenler, accroitre, agran- | 46- 


dir, grossir. Rencherir, amplifier, exagerer. 

Avuıria, €. ». grossir, devenir gros; crol- 
we, augmenter, ayrandir. Relever en bosse, 
en parlant des ouvrages de sculplure, donner 
&u reliel. 

AvuLrdso, A, adj. volamineux ; oorpulent. 

Ax(4Actziz) V. Xiz, letire. 

*Axı,ou Ama,s.f.(t. arab.) une telle. 

Azan0iB0,&A,P.P.d 

Axınoia, v. a. vernir du carton, du for- 
blanc, etc., ’ jmitant le vernis de la Chine. 

Axz. V. Ache. It. Axis. 

"Axg.V. Eizo. 

® AXEDRECHE. V. Xadrez. 

* AXENTE. V. Argenlo, Prala. 

+Axzıu, s. f.(t. de bot.) axie: arbrisseau 
rampant de la Cochinchine ; medicinal. 

Axıroco, A, adj. axiluge : qui s’öloigne d’un 
as, 


AZA 478 


T AxıLE, adj. 2 gen. ( t. de dot.) axile : atta- 
che Ala columelle. 

AxiLzr,e.f. V.Sovaco. I. (I. de bot.) ais- 
selle : angle forme par la queue, la base d’une‘ 
feuille, etc., avec la lige. 

Axıı.in, ady.2 gen. (8. @anat.) azillairex 
qui appartient ä Vaisselle (6. de bot.\— , qu! 
nalt dans l’angie entre la branche et la Lige. 

Axınioo. V. Achinado. 

Axıöma,s. m. axiome: proposition gendrale, 
cleire, &vidente, regue et incontestiable dans 
une science, 

f AXIÖNETRO, 8. m. (1. de mar.) axiomötre 
o% axomötre: machine qui indique la position 
de la barre du gouvernail. 

Axıpariö, s. m. (4. de P’Inde) jubild des 
Gentils. 

fAxiPETO, A, adj. axipdte:: quitend ä 8’ap- 
procher de l’axe de sarevolulion, de son mou- 
vemment. 

TAxıs, ou AxE, s. m. (1. d’hist. nal.) axis: 
quadrupe&de du genre des cerfs. 

" Axöıne, 8. f. (td. d’anal.) axoide : seconde 
veriöbre cervicale. 

TAxoguem, s.m. (t. d’hist. nal.) axoquen: 
grand oiseau aquatique ( du Mexique. 

*"AxoriD0,A,p.p.d 

* AXORÄR, v. a. emmener de force : mener, 
chasser devant soi, faire deloger. (fig.)Defaire, 
detruire. 11. V. Afferrar. 

Axüncı. V. Ajörca. 

t Axuncia, s. [. (t. de med.) axonge : graisse 
eondensee dans les follicules adipeux. 

+Arırina, s.f. (8. d’hist. nal.) eupatoire, 
Bros ® 

Ar. 

Ayo. 

Araiö, etc. 

fArai, s. m. (1. de bof.) ayri: palmier da 
Bresil. 

Az, 8. m. as: point seul marqu6 sur une 
carte, sur la surface d’un de; cette carte, ce 


V, 4... eto. 


az, s.m.V.Ala, Fileira. It. troupe. Emdsz, 
devant, & lavue, en presence; en troupes. 

Azı,s. f. aile: membre des oiseaux, des in- 
secies , garni de plumes ow de mernbranes pour 
voler. —s, pl. (lg.) encouragement, libertd que 
donne la protection, P’amiti6, ie pouvoir, etc. 
(1. de po6s.) velocite, legöretsd. — dando,, 
voiles d’un vaisseau. Dar —, eneourager. Dir 
de — , (fam.) batıre de l’aile : dechoir. 

Ası ,s. f. anse : saillie en arc du vase, elc.,‘ 
qui sert & le porter, le saisir, etc. 

Azısönno. V, Zaburro (milho). 

Azivo, A,ddj. alle: qui a des alles. V. Ald- 
do. it. Anse: garni d’une anse. 

Arivo, A, P. pP. d’Azdr, adj. commode, 
qui est propre d; agile, adroit. 

Azipo,, s. m. pot & deux anses. il. anl. * Op- 
portunitd. 

*AzınOr, A, 8. V. Facililador. 





178 AZE 


Asiraua, 0. f. oohue, presse, empresse- 
ment, 

AsarasÄBo, A, adj. presse, afeire, tout en 
meuvomen!. 

Azaraäö, etc. V. Apafrıde. 

Araskıa, 0. f. zagale , Javelot: sorte de dard 
arımd d’un fer dentel6 qui rend los blessures 
uxtrömement da uses. 

Azıcarkda,s. f. coup de zagaie. 


Araualio0, A,9.9.d 
Azacalla, ©. .. biesser, tuer & o0ups de 


sagale. FÜR 

ALACUNCH 

Asacuncme, [v. Zogunch... ei. 

Anımnoloo, a. V, Escebr6ss, 

ArANBÜJA. 

ASANRUIAL. } V. Zanbujel. 

Arımaı. V, Arsmel, “ 

Azıori, s. mw. ancien tribat (ta dime de 
fralts‘ que los Maures payaient au rei de Por- 
lugal, 

Azin, s.m. coup de malheur, accident fä- 
cheux. Guignon : malhear au jeu. Toat ce qui 
cantrarie au Jeu. L’as au jea de des. Hasard. 
Ter — a alguem ou com elguem,, avoir de lan- 
Upathie pour quelqu'an. Ter—a ou com alguma 
vousa : phrase qui repond em framgais A: telle 
chose porte malhenr, aveir da malhenr en 
quelque odese. 

Ausn,s. m. (8. dire) menneie asialigue, 
qui vaut & peu prös 3 (r. T5 c. 

tAsanı,e.f. (de bei.) azara : arbrissenm 
0a Pros, 


ALAR-BRANCO , 8. m. sipdce d’andıneme. 
» Arıacad, V, Lerede. 
TAzantını, m ) L. de bei.) Azarere: lsn- 
Asındıao, 5. m. ) rier-corise de 
° Azanıa. V. Zsseremups, Corveris. 


Azıserr,s f. om) ‚2. de bei, sauzele : pe- 

Auuaero,s m. tie cerise de Tazereier, 
romge ei achde, & prüts movaer. 

„es. m... 6. de bet.‘ auzreber : au- 

Iee , eupire de neuer qui porte [azıreie.- 

Asıuicma, 6. f. V. Berdads. 

° Asaave. 7, Aderes. 

Asncıaa, \. Ausume. 

Astzas. V. Aurere. 


t Auinee, a un. autbre : eheeai dÜuspie. 
i 


Amcae. V. Ausnieche. 


AZE 


Aztdar-sE, v. r. s’sigrir, (Ag.) s’algrie, vier- 
riter. 

Arteas, s. f. pl. Osetlle : plante peiagäre, 
etc. 
Arsotına. V. Azödas. 

AZEDERÄQUE, se. m. (6. de bot.) axbäsrach: 
acacia d’Egypte ; lilas des Indes. 

Arkpärz, adj. 2 gen. un peu aigre. 

Azeola, 8, f. acidite : qualii de ce qui est 
acide,, aigre. ($g.) Rudesse, aıgreur. 

Azkpinua, s.f. (t. de bot.) alleiaia ; sarelle 
petsllde, surelle blanche, pain de ceucon, 
oxalide ‚ petite oseılle, horbo de baeuf, iröfle 


aigre. 

Arsninmo, A, adj. dim. d’Azddo. 

Arzvissımo, A, adj. sup. d’ 

Artpo, a ‚adj. acide, aigre, ackieux : qui a 
queique aigreur. Str: quia an go@t acide ei 
aigret, en parlant des [raits. Bude, äpre su 
geüt. (Ag.) Revöche, rede, pen traitable, re- 
berbatif, om parlant des personnes. 

Azt2o, s.m. V. Aysdie ; Azsdame. 

ArEDÜNE, 8. ©. * aigreur, acidile: qualile de 
ce qui est aigre, aride. | Ag.) " Rudesse. V. 
Arimönia. 

Arzpuna. V. Azedie. - 

Auzızar, etc. V. Acsirdr, ee. 

Arkıno. V. Aceire, Ace. 


Autıne, 5. =. pitge pour premdre da peis- 


son. 

Ausıräsa, 8. f.(k pep.) heile repemdens ; 
grande quantite Chuile dams je manger, ein.). 

Arxzrri20,4,9.P-@ 

Artırız, v.a. kaiter, freier, emper zwer 
de Theile; jeter, verser, rtgandre de Tiumile 
Gesses. 

Artırz, s. m. * beaile : ligqueur grasse et onc- 
tuense. — dice „ baue d’eirres. V. O’ies. / Ape- 
gar o foge com —, pres... jeter de Tumile sur 
le feu: exrıier ia caiere, les pamsiems. Mister 


cm —E5, PP. Fire rıre, 


Anrrirı,s f. "beier benkiöre, eruche, 


vase a ihusse. V. Almmaians. 


Arırrtro, s m. vendesz dIade. Halter : 


|vase a Tin:ie. Par. es passen, curmet & 


Mele. To zemi ab. Nora — , vaisseam 
poar .ı pfchhe de !a balt.me. Pienis — se, plants 
ci Jene de Thanien 


: frei de Teivier — 


paupstruws, olve gtte qm 3 ! edtzur de mir. 


Arssresıne, &, af. aim: james en ba- 


? Aut»a. V, Ausdes. — Vermeike. 7. Lebugs ı szune. de venirur Tr» ve 


von, — ups, jeuzm smase frwee, 


< ArET 205 me Hasasın, a f ‚2. de bs.) 


«erde russ. — punisuein. U. Zunberts des gazeirr pamie Buanee. 
mungee. 


um, 8.,9.9. d Aunder. 
ArmwWia, 2... Se. un 
Auinnu6rtT, an. 3. eri, Irre. 
Anumeiw. 2m 2m a :I- _. 7 
Aral 8 Bit. zu ier mn. 


u. 


| ALTE. 2.0 em Ta sale, qui 


Yırzer2. u cn ven dann 
x eu, . 2 gem. V. zrurasde , 


zE.rnr m. 


ae 1. Mieazr Te nigra og 
Dr 2 202m a Ne 

a. 2 RM wu ter wen de nn 

Arı ma.6 ’” "ar Tr Terme Se. 
Aria. .s um De nr 


A2I 


Arewir., s. m. muletier, conducleur d’As6- 
males. V. ce nom. 

Arkueıs. V. Aztmala. 

AZEWELEIRO, #. m. surintendant des bötes 
de somme. 

ArzuıLıa, 8. f. dim. d’Azömala, 

ArtuoLa. V. Azemala. 

tAzensores, s. m. pl. peuples ma | 
kahitent les Dee an Peop Bra 

Aztxuı, s. f. “ moulin & eau. 

ATENBAYRE. V. Azinhaore. 

* ArEO, s. m. grain de raisin. 

Azıgrıu. V. A4cequia. 

Azzzır, 0. @. (1. de relieur) donner la cou- 
leur d’scier ä Ia tranche d’un lirre. 

‚Ärtuse, 5. m. paravent, pour garantir les 
ares contre je vent., 

TAzER2DO ow Azanfno, s. m. hols d’Azdre- 
ro. 
Ammeıno. V. Azareiro. 

OLA. 

Armnoızıno. | V.Asarol..., eie. 

Azeıvipa ,s. f. V. Trenqueirae, Sobe, 

ÄAzERvE. v. yrah 

Arzs, 5. m. pl. escadrons; ambesas (des 
des). V. Az. 

*" ÄZEUMA. 

-erid } V. Chupo, Lange, 

*Arkvar. V. Azeore. 

* AZEYEZINNO. V,. Bichino,. 
„Arevia ia , 8. f. limande : esp£ce de sole (pols- 


Arsvıcnäno, A, adj. conleur de jals. p. p. @® 
tAxzvıcmäR, ©. s. donner la couleur de jais. 
äıxvcae ow AzEvıxE, s. m. jais: bitume 
fossile ires-noir et solide. (fg.) Chose tres- 
keire. Negro como — , noir comme de Penore. 
u Arevıtıno, A, adj. fin, mechant, rus6,. 
malicieax „ fourbe. it. Impudique, lascif. 
t Azzriwmo, s. m. (£. de bot.) houx, je grand 
‚ Fagron, le grand pardon, le bois 
Caroline, hoax ü fouilles de lau- 
nier. Le koux d’Abon. 
Ausvumos. V. Asovezinkhos. 
Aztvae. V. A’loe. 
Azia,s. f. aigreur d’estomae. 
Azussi. V. Aziahaga, 


Azıico, 4, adj. malheureux, funeste, de 
Deuvais augure. 

Azıın, s. m. merallles, torche-nez : pinoes 
joar sersur le nes des chevanı difeiles. 

* Azisan. V. Azeure. 

"Ancire.V. Acicdie, 

Azioue, s. m. ’eraio des cordonniers. V.Ca- 


Aztuzıa. V. Astmale. 

TAzmfno, s. m. (1. de bot.) azimöne: ar- 
Irissseu du Madagascar, voisin du volkameres. 

f Aumo,s. m. (1. de bot.) azime : arbuste de 


Ausru, 8. m. (1. d’sslr.) azimat ı eercle 
qui ceupe Fhorizon & angle droit ei passe par 


AZO 175 


le point vertical;arcde !’horizon compris entre 
le meridien et le cercle vertical; ce cercle; 
compl&ment de l’amplitude orientale ow ocei- 
dentale, au lever ou coucher du solell. — ma- 
gnetico , azimut magnetique : mesure de la d&- 
clination de l’aiguille. 
„ Azınuralı, adj.2 gen. (1. #asfr.) azimutal : 
qui represente les azimuts. Compasso — de 
aley, compas de variation de Yaiguille ai- 
mantee. Agulha ou mostrador —, cadran azi- 
mutal, & style perpendiculaire ou plan de l’he 
rizon 


° AzınHa, ade. vite;; bientöt, sous pen. 

Arinnı, s. f. dim. d’Aza. 

Azinaa, s. f. fruit de P’Azinklira.V. ce nom, 

Azınnäca, 8. f. "sentier, chemin etroit, cavde. 

Arımmico. V. Azidgo. 

Azınnin,s. m. bois plante d’yeuses. 

AzınaÄvag, s. m.verdet, vert-de-gris ; rouilie 
de cuivre, d’airain. 

AzInBEmA, s.f. 

AZINH£IRO ou 

AzInnO, 8. m. 

+ Azinno-praino, s. m.(1. de bot.) chene & 
feuilles de chätaignier. 

° Arıntir. V. Occidental. 

Azia. V. 4sir. 

* Arıöman. V. Azeddr. 

Azıöuz. V, Azedüme, 

Azıvıßıno. V. Azevieiro. 

Azıvinuo.V. Azevinho. 

Aro,s. m. *oceasion, motif, pretexte; ma- 
nköre, moyen de faire quelque chose; alde, 
intervention. Dar — d liberlinagem , etc. , don- 
ner pied au libertinage, otc. 

Az0ıniD0,A,P.9.d’ 

Azoınär, v. a. 6tourdir, abasourdir, faire 
finter les oreilles. 

f AzoLorr, s.m. (1. d’hist. nat.) azolotti s 
salamandre du Mexique. 

® Azorfıra, 8. f. foret, bois, 

f AzonfıLLa, & f.($. de bot.) azorelle : plante 
ombeiliföre. " 

Azonnacisa, 8. f. coup de fouet, angull- 


chene vert; yeuse. 


‚lade; coup d’escourgee. 


AzoarAa0iB0,A,P.p. d 

AzunkacäR,o.a. fonelter : donner des coups 
de fouet , des coups d’escourge&e. 

Azonnkcus, 5. m. *esoourgee : sorte de fouet 
de courroies de cuir. 

ALORRAGUINHO, 3. m. dim. d’Azorrögue. 

Azorino, A, adj. (1. de ehtm.) azol6 s 
contient de l’azote, 

Azöts ou Azör,s. m. (1. de chim.) azote: 
(gaz —), Auide dlastique qui entre pour 4/6" 
dans la composition de l’air de l’atmosphere, 
inutile & la respiration et & la combustion: au- 
trefois air phlogistique, mofette atmospherique. 

Azötug, s. m. (1. d’alehim.) azoth : pretendu 
principe des metaux. 

Az0ouci80, A,Pp. pP. d’Azougär, adj. inquiet, 
tarbulent, qui n’a point de repos. 

f AZOUGAMERTO, 8. m. agitation extröme, 
conrulsion oooasionnee par le mercure, Kia- 


176 BAB 


mage : Yaclion et Pelle d’&tamer une glace, un 
miroir avec du mercure. 

AzovcaR, vo. a. Etamer : meitre au tain les 
glaces & l’aide du mercure; appliquer, meler 
du mercure. (Ag.)Rendre inquiet ,etc.—s cal, 
&teindre la chaux avec de l’eau. 

AZOUGÄR-SE , d. r. (fig.) @lre inquiet, trouble, 
sans savoir co qu’on fait ni ce qu’on doit faire. 

Azöucuk , 8. m. mercure, vil-argent: metal 
blanc, Auide & la temperature atimospbörique. 
Ser um —, ( ig. [am.) eire vil comme le sal- 
peire, comme la poudre, etc. 

+} Azoccutıao, s. m. celui qui dirige l’amal- 
gamation des mines d’or et d’argent avec le 
mercure pour en extraire ces melaux. 

Azüpe. V. Arüde. 

+ Arüra,s. f. (1. dhist. nal.) azoula : hyene 
d’Afrique. 

Azöı, adj. 2 gen. bleu: qui a la couleur 
bleue. 

AzüL, 3. m. bleu : couleur. Pierre bleue sem- 
blable au lapis-lazuli. — celeste , bleu celesie, 
azur. — ferredie, bleu fonce, obscur. — claro, 
bleu clair. — turqui, bleu turquin. — Iöio, 
bleu de safre. — de Provenga, pastel : [euille 
pour teindre en bleu, reliree de la gudde. — 
d’ssmalle , bleu d’azur, bleu d’empois. 

AzvıiÄdo,A, 9.P. d’Arular, adj. bleudtre : 
tirant sur le bleu. 

AZULADOR , 5. w. celul qui bleuit. 

AzöLia, o. a. bleuir : rendre bien. 

t AzöLzia, o. n. tirer sur le bleu, @tre 
bleuätre. 


BAB 


Aruızsino, a, adj. fait ou orne de caR- 
reaux de Hollande. p. p. d’Azulgyar. 

AzuLKJapor, 5. m. celui qui fait. qui place 
les carreauz de Hollande. 

AzuLgsän, 0. @. Orner, oeuvrir une muraille 
de carreaux de Hollande. 

AzuLkıo, s. m. carreau de falence color6 & 
vernisse,, carreau de Hollande. 

+ Azuınina, s. f. (i. d’hist. nal.) azulhina ı 
bengali d’Angole. 

+ Azumsripo, A, adj. un peu courb£. 

+ Azur, s. m. (I. d’hist. nat.) azur : gobe- 
mouche des Philippines. 

+Azuaim, s. m. (tl. d’hist. nel.) azurin : &8- 
pöce de merle de Cayenne. 

AZURRÄCHA, 5. f. nom d’une sorte de bargue 
au Doiro (riviere de Portugal). 

Azuanacvinno. V. Asorregwinko. 

Azunrin. V. Zurrär. 

+ Azuai, s. m. (1. d’hist. nal.) aruroax - 
bruant bleu du Canada. 

Arvcos, s. m. ou f. (I. d’anal.) Veia-— , azy- 
gos : trolsidıme rameau du tronc de la veine 
cave,, sans parallele. 

Azvıo. V. Asylo. 

Azvymista ow AzYMita, 5. m. azymite : qui 
se sert du pain azyıne; qui communie avec 06 
pain; nom que les Grecs schismatiques don- 
nent aus catholiques. 

A’IYuoO,A,adj. azyme : sans levain. Il n'est 
employ6 que dans la phrase : Pdes azymas, 
peins asymes , comme les hoslies. 


B. 


B, b, s. m. la seconde lettre de l’alphabet 
portugais, et la premidre des consonnes. B si- 
gnifle 2 au bas d’une feuille d’impression ; se- 
conde lettre dominicale. 

Baaitas, s. m. pi. baaliies: adorateurs de 


Baar. V. Bar. 

Baza, 8. f. bave: salivo qui decoule de la 
bouche. — ‚ &cume : humeur visqueuse do quel- 
ques animaux , comme les mollusques. 

Bısioo, A, p.p. de Babar, et adj. plein de 
bave:; sale. 

BasaD0uRO ‚a. m.“ bavelle: pidce de toile sur 
l’estomac, surtout des enlanis, pour Fecevoir 
la bare. 

basanca. V. Böbo. 

Bisi0, interj. pop. bernigue,, rien! C’en est 
fait, l'aflaire est perdue. 

Basid. V. Baböso. 

Basir,v. a. baver, &cumer : jeter de la bare, 
de l’&cume. 

Bapin-se, u. r. baver, jeter de la bare. Bal- 
butier, hredouiller. — por, (fig.) s’engouer 


de, se passionner pour. — por ums mulker, 
se radoucir pour une femme. 

Basanf, s. m. (4. de l’Inde). V. Rebais. 

Bananf0 ,,s. m. ( 1. burl.)caquet, bavardage 
malicieux. Charivari. . 

Bastıaı, s. f. mentonniöre : partie d’un cas- 
que sous le menion. 

Bastıao,. V. Babadouro. 

Bas£ı (lorrede), s. f. tour de Babel : grande 
confusion de langues ( Ag.) et d’opinions. 

+ Basntıa , s. f. ( . de bot.) babela : acacia de 
Pinde. 

BasıLonta , 8. f. (1. de geogr.) Babylone : ville 
de Chaldee. V. Babel. 

BasıLönsco, A, adj. Babylonien : de Baby- 
lone. 

BanıLönıo, A, s. Babylonten, Bahylonienne : 
homme ou femme de Babylone. 

+ Basınnosa, 8. m. (1. d’hist. nal.) babir- 
roussa : sanglier des Indes orientales; oochon- 
cerf. 

*Basöcı, s. m. (6. duri.) dandin, nigeud, 
idiot, stupide, badaud. 


2 u a u TU 9 [LE nn a nn 


BAC 


+ Banozcanns, s. m. (1. d’hisl. aai.) babon- 
card : martin-p6cheur d’Afrique. 
* Banöno. V. 

Banösa, s. f. Horva —. V. Lloe. 

Banteo, a, edj. baveux:: qui bave. Bredonil- 
ker : qui "parie d’une manitre mal articulde, 
peu distinete. ( Ag.) Niais, stupide. 

Bandcz ou „s T. V. Babe. Bavo I6- 
gire. Vir, aeudir d —, se donner beaucoup de 
peine pour des riens. 

Baztiu. V. Bugio-Mendril. 

Bacaızio,s. m. ° morue: polsson de mer; 
werluche. — frescel, ımorue Iraiche, ow verte. 
— sscco, bacaliau ou moruo söche. B 
pi. rabel : ermement de toile que les magistrats 
portent sous le menion, eic. 

BacaLwoßrno, 5. m. navire de la pöche de la 
morue; marchand de morue. 

BacamiaTe,s. m. "espingole : fusil & canon 
caust et Grast; ton. 

+ Bacantsa ow Bacanua, 8. f. plante medi- 
cinale qui ressembie au bonillon (berbe). 

+ Bäcano, s. m. bscebaris ou bacchar : sorte 
de plante & laquelle les anciens attribuaient des 


que sur lo berd da Douro. 
+ BaccaLiwmeo, a, adj. (4. de pods.) qui 
& Bacchus. 


Baccmanın, 6. f. (1. de point.) bacchanale: 
tablean d’une danse de bacchantes et de sa- 
tyres; cette danse. (fig.) Debauche bruyante. 
Becchandes, pl. bacchanales : fötes de Bacchus. 

BaccmanaLıas, 8. f. pl. V. le precödent. 

Baccmanıe, s. f. bacchante : pretresse de 
Bacchus qui oblöbrait les bacchanales. ( fg.) 
Fermme empertöe , farieuse. (1. de bot. et d’hist. 
nat.) Piante eseymbilire,; papillon de Jour. 

+ Bicamo, s. m. ($. de po6s.) bacche, 
ehieue: pied de vers greo om lalin compose 
d’une hrövre ei de deux longues. 

+ Bioamco, a, adj. bachique : qui appar- 


BAC 117 
Bac£ııo, s. m. jeune vigne; plant de vigne, 
Bäicua , Bicno. V. Baiz... 


Bıcui, s. m. bacha, pacha ow bassa : of- 
Ncier da grand sultan; commandant, gouverr 
neur, etc. 

nacnauia. V. Bacharii. 

ACHANAL, @lc. 

Bäcnıco, etc. [Y- Bacch... etc. 

Bacnantı, s. m. bachelier : celui qui es 
promu au baccalsurest en quelquo faculis, 
(fam.) Discoureur,, bavard , grand parleur. 

BacnaRzLiDo, 3. m. baccalaureat : degrd de 
bachelier. 

BacnARELiDBO, A, 9. 9. de 

BacnanELin, 0. n. (t. burl.) bavarder : par- 
lor beaucoup ei indiscrötement ; discourir sams 
rien dire de solide. 

BacuaRELiTo. V. Bacharelado. 

BacHaAnBLIicE, 5. f. " babil,caquet, habillage, 
bavardage. 

+Bacaz, s. m. (1. de bei.) bache : palmies 
de la Guiane. 

Baca, . f. "bassin : plat rond et profend; 
bassin & barbe, plat a barbe; cuvetie. Pierre 
creuse servant de bassin. —, vasie pleine en- 
tourde de montagnes et ol coulent des fleuves, 
(t.d’anat.) —, partie inferieure da tronc, de 
Yabdomen , formee par les hanches ‚le sacrum, 
6. Bolte de queteur ; petit plat pour demander 
Paumöne,. 

Bacıipa, s. f. une pleine cuvetie; lo liguide 
qu’elle contient. 

Bacıazinma,, 8. f. dim. de Bacia, 

* Bıcıcaa. V. Vaoilar. 
+ Bacıl.Aaua, s. f. (6. d’hist. nat.) "baceilaire: 


yte. 
Bacmtra. V. Beciaxinka, 
Bacınkte,, s. m. bassinot : chapeau de fer des 
anciehs hommes d’armes, 
Bıacmica. V. Baciazinkha. 
Bacınico, s. m. dim. de Bacio. 
Bacio , s. m. pot.de chambre ; bassin de garde- 


Gent & Becchus ; oa Yon boit beaucoup ( föte) ; | robe. 


ei esläbre lo vin (chausen). 

Baccaisza , 6. m. grand buveur ; amaleur de 
vin. 

Bacıno , s. m. B s. m. Bacchus : dieu da vin. (g.) 
Le vin. As ormidas de —, ( fam.) les cabareis, 
les tammpies de Bacchus. 

Baccireno, A, adj. (1. de bot.) haccifäre : qui 
porte des baies (p lsnie). 

Baccısösue, ad. 2 gen. (1. de bot.) bacei- 
forme : en baie (fruit). 

Backzma, 3. f. (t. pop.) opllation, obstruc- 
tion de la rate: maladie causde par excds de 
beissen , particuliärement dans le betail. 

+ Bactıno, a, adj. de la rate : qui appartient 
Ala rate. 

Bacanıana, 8. f. ow ; Terrain plants de jeu- 

° BacRıLan,s.m. | nes vigbes. 

Baczıran, v0. V. Abscellar. 

Baczııtıno, 5. m. celal qui plante des vi- 
ges ; qui les garde. 

*Baczıın. V. Bacellade, 

FORTPR. 


* Bacınaino. V. Caudaldrio. 

Bico. V. Baccho. 

+ Baconxismo, s. m. baconisme : philosophie 
de Bacon Oppos6e A celle d’Aristote. 

+ Baconısta,, s. m. baconiste : celul qui par- 
tage les opinions de Bacon. 

Bicona, s. f. jeune trule. 

BACOREJÄDO, A, p.p. de 

+ BACOREIÄR, e. n. (6. burl.) pressentir, pr6- 
voir queique ohose. 

Bacorımuin, V. Bacorejar, Palpilär. 
BaconixRo, & m. dim, de Bäcoro. Cochon de 
ait. 

BicoRo, 8. m. jeune porc d’un an. 

Bacoaote, s. m. petit oochon, entze le @- 
chon de lait et le jeune porc d’un an. 

Bico, a, ad/. brun, chätain ; qui tire un peu 
sur le jaune. Basans. Terne, sans transpe- 
rence, sans &clat. 

“eo em, "rales visckre mou situs dans 


178 BAE 


I'hypucondre gauche, entre l’estomac et les 
(ausses eötes. 

+ Bacreıs,'s. m. ( £. de bot.) bactris: palmier 
d’Amerique. 

Bacvrin. V. Bajuler. 

BicuLo, s. m. bäton : canne qui sert & s’ap- 
puyer en marchant. ( fg.) Appel, soutien, 
ouusolation. — pastoral, ° crosse: baton eourbe 
d’an dvöque ou d’un abb&. — da velhkice, ( fig.) 
käton de vielllesse. 

+ BacvLouzraia , s. m. (1. de gdom.) beenlo- 
metrie : mmesure avec des bälons. 

‚Bana. V. Abada. 

” Bıapiso, s. m. V. Baddlo. (ig. pop.) Par- 
leur ennuyeux, assommant, moulin & paroles. 

Basir, eo. m. ((1. de chir.) speculum oris: 
Instrament pour ouvrir la bouche et voir le 
gosier. 

BavaLipa, s. f.coup de cloche. ( ig, fam.) 

‚eoq-A-l’Ane : discours sans fiaison , 
betise, niaiserie. Dar badaladas, copter: fsire 
beitre lo batianı d’ene cloche seulement d’un 
chW. 

BapuLipo, A, P. pP. de 

BasıLia, ©. m. oopter. (I. pop.) Disesurir 
kasucenp ei betement : jaser, dire un moulin & 
nazolen. 


Banaußina, 8. f. grOS anneau pour sontenir 
# beitant d’une cloche. 

BaBALBJÄDO, A, P. 2. de 

BapaLesin, e. n. V. Badalar, fig. — com 
#rie, greioter, trembier de froid, claquer des 
lents pour la m&me cause. 

BapiLo, s. m. batlanıt d’une cloche : espdce 
% marteau qui pend dans le milieu d’une clo- 
Ihe et qui la fait sonner. 

BinaMEco, s. m. (corruplion de esde- 
Becum ) porteleuille d’ecolier. (fig. es buri.) 
Ereluquet, damoiscau.: homme leger, friwole 
et sans merilc. 

Bavina,s. f. brebis vieille et raaigre. ( Ag.) 
Viande maigre. Basane. 

BAnkıo, 5. m. "morue: poisson de mer au- 
ehenoptere, du genre du gade. 

t Banerna, s. f. (1. de mar.) haderne : petit 
cordage Iress6 ; Grosse Iresse pour garantir les 
eäbles, 

t Bavıina, s. f. *badian ou badiane: arbuste 
aromalique, dont le Lruit est connu sous le 
nom d’anis de la Chinese ou eloile. On en fait 
l’anisctte de Hlollande, le ratalia do Boulogne. 

+ Bapıncniz, s. m. salran de Perse. 

+ Banuzza ,s. m, (t.de boi.) espece de o&- 
prier des Indes. 

+ BanpuLiö, s, m. (1. de bot.) badulam : ar- 
buste de Ceylan. 

BaporLÄgve, s. m. mon: fricassce de mou de 
veau , d’sgneau, etc. Hachis de foie, etc. (fg.) 
® Bagatelle, chose de peu de valeur. 

Bau om Bank, s. f. (4. de U’Inde) femme 
ehr&lienne d’un Indien. 
aautra ou Baıtra, s. f. haistte ı sorte d’stelle 


ne. 
Bantir. V. Faleota.' 


BAG 


Bacrti6, 5. m. aug. de Batie. * Castorine : 
etoffe de lafne, sorte de dvap 

+ BıeTiLna, s. f. dis. de Batts. Fiauslle. 

BaricEn, s. f. itges souflle de vont. V. Ars- 


gem. 

*Bıran. V. Bofar, Bufer. 

Barvıni. V. Bakari. 

Bırzsi0o, a,p. p. eo Bafdfar. 

BarRıanen, A, 5. coli qui haldte, qui seuf- 
fie, qui inepire. 

Barzıir, o. a. soufller : peusser son baleime. 
(fig.) Encourager, faveriser, seconder. ©. ®. 
exhaler de l!’odeur, sentir, fumer. 

Bartso. V. Bäfo. 

Barerä. V. Bofeld. . 

Bario, s. m. moisi :odeur, geht de meisi, 
de chanci. Ter— , sentir le meisi, le chanel, 
Fenferme. 

Biro, s. m. *haleime, halende : Yair que Fon 
soufflle par ia bouehe, lorsqwil est actempagne 
d’odeur ; vapeur, exhelaisen. Brise Iögere. (Ag.) 
Abri, proteetion, [aveur. - rim, mauvaise 
haleine. — de vento, souflic de vent, brin d’aiz. 
00 — da mäi, dans le sein , dans les bras de sa 
möre. 

Barorina ‚s. f. bouffse , exhaleisen, balunde. 
Langar--s de vinho, jeter au nez de quelqu’an 
des halences de vin,, aveir Yhaleime vineuse, 
sentir je vin. . 

Barorpir, v. a. jeter le defürdo. V. es met, 

" Bar6nne, s. m. espeee de lanoe eourie. 

Burortina, adj. f. Fiqueird—, Sgwier suw- 
vage, dort les fruits ne mürissent jameis. 

Baroninua. V. Bofarinhe. 

Barücem. V. Bafdgem. 

Bica,s. f. baie, graine : poit frait iseld eu 
pou serre, mou, palpeux, seceulent, & neyas 
on pepins; pericarpe renfermant wee paips et 
des semenoes. ( ig.) Gontte de sueur. 

Bacackına, 3. f. lieu oü Yon jeite le du- 
gago. V. co mot. 

Bacackıro,s.m. V. ‚adj. qui 6te 
ia marc du pressoir apr&s le pressurage ; Fasi- 
mal qui se nourrit des dilftrents maros, et quö 
les aime. 

Bacaco, 8. m. marc: ce qui reste de pfus 
grossieret de plus terrestre de quelque [ruit, ou 
d’autre chose qu’on a presse pour en reirer'le 
sut. 

BacaAckıno , 6. m. conducteur de bagag® ; 
muletier. 

BıcÄicesm, 8. f. *bagage : &quipage de guerre 
ou de voyage. * Sommier, bete de somme,, che- 
val de bät. 

+ Bacancar,s.m. (f. de Pinds) *boutique, 
magasin de marchandises. 

Bacinna, s. f.capsulequi renferme la graine 
de lin. 

f Bacassamo, s,. m, (1. de bot.) bagassier : 
ir&s-grand arbre ä pisogues de l’Amsrique 
meridionale, & suc laitsox et Irös-agueuz. 

‚Baesrtsza, & f. bagstelle, minute, Sati- 
lits ı chose frivole, de pou de valsmr. 


x 


BagıTzLLfıao,s. m. qui Koco., e de baga- 
telles. 

Bacixa, a. m. bardache : celui qui se livre 
au pederaste. 

Bacz, ow Baczm. V. Vagem. 

Bıco, s. m. grain de raisin. V. Baga, petit 
grain. — de Bispo. V. Baculo. 

+4 Bacoipo, A, odj. a maniere de baies. 

BicRE, s. m. bagre : poisson du genre du 
siture. —da Europa , mal vu melli. — cinzento 
do Brazil, scherlan. — elecirico,, trembleur. 

BActıHiD0, ou ) adj. qui a beaucoup de 

BACTLBENTO, A, ) pepins. 

Bıcöıeo, s. m. grain, pepin de raisin. 

Bauin,s.m. poids asiatique de 300 livres & 
pea pres. 

Bansni,a.m. ou adj. ( Falcdo —) ballarin, 
fourcheret , oubier: faucon de moyenne taille. 
. Bamua,s. f. baie:: petit golfe oü les vaisseaux 
sont & I'abri de certains venis; rade. 

Banınnna. V. Bainilha. 

+ Bano, s.m. (4. de bot.) manguier des Phi- 

Bawö,s. m. babut: coffre A couvercle rond, 
vsüte , recouvert de cuir ei do clous; malle. 

Biwüı. V. Bahu. 

BawöL£ıno, 5. m. bahulier : faiseur de bahuts, 
de malles ; coffretier. 

Bil, s. f. barres ,„ longues pitces de bois 
rondes pour separer les chevaux dans les 
deuries. 

BisLı, ow BaıLma, 5. f. V. Baile, Dansa. 
(g.) Vir d —, Irazer d — , melire quelque 
e&aose on quelqu’un aur le tapis, tenir quel- 
qu’un sur le tapis. 

kına, s. f. femme qui gagno sa vie & 
danser dans l’Inde , bayadere;; danseuse. 

YalLınöz, a. s. danseur:: qui danse , qui est 
sccoutume & danser, qui en fait profession. 

BaıLid.V. Bailador. 

Barin,o.». danser. Il est quelquelfois sc- 
if, camme dans: — uma coniradanga, danser 
une conıredanse. 

BusLazis. V. Bailarino, Dangarino. 

BasLarino, A,s. danseur: celui qui danse; 

i (sit le melier de danser, qui professe l'’art 

la danse. 

Bäuız, s. m. ° danse, bal, assembl&e pour 
danser ; ballet. . 

BıaıLko, 8. m. echafaud,, galerie decouverte ; 
plate-forme d’une grue ä elever des fardeaux, 
($.de mer.) Passe-avauis.—do poräo, [aux pont. 


Bııına, . 
Buılsan. | V. Bailla, etc. 
* Bauıntıao. V. Boiante, Leve. 


Bas ‚es. f. "bailliage: ressort, territoire od 
sttend la juridiction d’un bailli. * Territoire 
Ö’une commanderie. 

Bau1apo, s. m. bailliage: dignits de bailli 
dans l’ordre de Malte. 

BınLio,s. m. bailli: dignite de Malte au-des- 
sus du commandeur. 

"Bao. V. Barle. . 


Balnza,ı..f. * Inurtenu, gelnad’une epte,eic. 


BAI 179 


“Qurlet. —dos iegumes ‚eic., cosse, gousse, 
silique, pericarpe qui enveloppe oertaines 
graines. — d’uma vela , d’uma bandeira, (t. de 
mar.) gaine d’une veile, d’un pavillon. Näo 
caber nas —s, crever d’orgueil, presumer 
trop de scs talenıs. Ndo coriar as —s, &lse 
d’un esprit borne , &tre de ceus dont on dit que 
la lame n’use pas le fourreau. 

Baixuir. V. Embainhar. 

Balzu£ıro, s. m. celui qui fait des fonr- 
FCaux; gainier. 

BaınıLna , ou BaunıLHa. V. Baonilhe. 

* Baıno. V. Banho, Pregäo. 

Bito, a, adj. ( Cavallo—),bai ( cheval): 
Fouge-brun. Baio-escüro , miroite, bai-brun. 

Bio, s. m. (8. de bot.) baio: arbre du Ma- 
labar. 

T Baıöco, s. m. baloque : pelite monnaio 
d’ltalie. 

Baıon&ta, 3. f. baionnette : esp&co de poli- 
gnard ou d’epee qui se met au bout d’un fusil. 
Calar —, croiser Ja baionnelle. — calade, 
baionnette croisee, baionnelte en avant. 

+ Barongräna, s. f. coup de balonnetle. 

Baınkö, ou Baınam, s. m. bairam ou bei- 
ram : föte turque A la fin du raınazan. 

BAIRRISTA, 8. 2 gen. habitant du meme quar- 
tier. 

BAıRnOo, 8. m. quartier : partie d’une ville 
qui comprend un certain nombre de rues ot de 
malsuns. 

Baiöca, s. f. * cabaret, taverne; gargote. 

Baıcqukıno , s. m. caharetier; gargotier. 

Bi:xa,s.m. baisse, abaisseınent,, diminu- 
tion de prix , rabais; dechet. ° Conge, renvoi, 
licenciement d’un soldat. Ancienne danse que 
les Flamands introduisirent en Espagne. Der 
— alguma cousa. On s’en sert pour dire qu’uns 
chose a perdu de son mörile, de sa valeur, 
qu’elle cst tombte dans le diseredit. Dar— aos 
soldados, congedier, donner cong&, Jicencier 
lcs troupes. — das mulheres , (ant.) r&gles des 
femınes. 

Burxa-mÄr, s. f. fonde, basse-mer : reflax 
de la mer, l’e&tat oppost Ala pleine mer. 

BaIXAMENTa, adv. bassement, aveo basseosse; 
humblement. 

Baıxiö, s. m. aug. de Baixo, besson : in- 
strument & vent et A anche, basse du haut- 
bois;; celui qui en joue. 

Baıxin, 0. a. descendre : porter en base, 
Baisser, incliner, pencher Diminuer, d&eoomp- 
ter, rabaltre du prix. Reduire & moindre ve- 
leur. Humilier, rabaisser, ravaler, abaltre. V. 
Abaixar. 

Baıxir,v.n. baisser, descendre ; döcreitre, 
diiminuer, dechoir. Etre expedie, envoy6, ar- 
river, en parlant d’un ordre superieur, d’un 
deeret, etc. Refluer en parlant de la mer. 

Baıxän-SE, 0. r. se baisser, s’incliner. V. 
Abaizar-se. 

Buıx£ı,s. m. vaisseau, navire: grand Irlti- 
ment de mer. 

Baıxsıra ,s. f. valsselle ; argenterie, 


180 BAL 


Baıztre, s. m. dim. de Baixo, basse-taille. 

Baıxtza, s. f. bassesse , turpitude : action 
vile ot meprisable. (flg.) Petitesse de la crea- 
ture eomparee au cr&alear. Endroit bas , pro- 
Sond , bas-fond.— d’animo,, servilite , bassesse 
d’äme, lächett. — de nascimento, obscurite, 
hassesse de nuissance , basse exiraction. . 

Barzia. V. Bairamar, Vasante. 

Barxinuo,A, adj. dim. de Baixo, de basse- 
tsille. 

Baıxio, 8. m. (8. de mar.)basse, bassier, 
syrte, banc de sable, de rochers, bas-Iond, 
rocher cache sous l’eau. 

Baıxissımo, A, adj. sup. de Baixo. 

Baızo, a, adj. bas, rampant, peu elere&, qui 
a peu de hauteur, baiss6, petit. Profond, en 
parlant de puils, de caves, etc. De petite taille, 
en parlant des personnes. De basse condition ; 
sans naissance (homme). Bas, plat, en parlant 
du style. ( Ag.) Bas, vil, abject, servile, ram- 
pant, blafard ; läche, qui a des sentimenis 
bas. — prepo, vil prix. Ouro — ow de lei, 
or do bas aloi.— reldvo, bas-reliel. —a esla- 
Sura, petite taille. 

Biıxo, 8. m. (t. de mus.) "basse, basse-taille. 
Bas-lond , terrain bas. V. Bairio. Baizos,, pl. 
pieds du cheval. Bas de robe. Les parties infe- 
rieures. Allose —, incgalite dans le discours, 
dans la conduite. Os — d’uma casa, rez-de- 
chaussee. 

Raıxo, ado. bas, tout bas, sans bruit; A 
voix basse;; bas, pres de terre ; sous , dessnus. 
V. Abaizo , Debaixo. Por —, par-dessous. Por 
— de mäo , sous-main, avec dissimulalion , se- 
ereötement ‚encachette. Agua que corre para—, 
l’cau qui coule par-dessous. 

+ BaıxöTe, adj. m. Un peu bas; hasset: 
petit homme & cuisses et & jambes courles. 
(1. d’hist. nat.) Basset ow terrier: chien & jam- 
bes couries et m@me lortues. 

Baıxüsa, 3. f. lieu, endroit bas, bas-fond. 

Base. V. Bajem et Vagem. 

Bas0. V. Baju. 

Barorcice, s. f. hetise. 

Basöuso. V. Toleirdo, Baböso , Estupido. 

Bart, s. m. sorte de peignoir court de femme. 

BasuLacid, s. f. basse adulalion, flagornerie. 

BasuLAn0, A,9.p. de Bajular. 

BayuLanon, A, 8. Magorneur, adulateur , 
rampant. 

BasuLän, ©. @. Nlagorner : flatter souvent et 
bassement pour obtenir des gräces, des fareurs. 

BisuLo. V. Maridla. 

Baxxa, s. m. (. de bot.) bakka : chanvre dans 
Pinae. 

Birr, s. f. balle : petite boule de plomb dont 
on charge les fusils, les arqucbuses et les pisto- 
lei. * Boulet de canon. * Ballot, balle : paquet 
de maschandises enveloppe de grosse toile et 
lie de cordes pour &tre transporte. Ce nom est 
donne particuli&rement aux balles qu’un em- 
barque , parce qu’on les serre beaucoup. Balle 
creuse de cire remplie d’eau de senteur ou 
d’cau Commune qu’on se Jette r&ciproquement 


BAL 


dans le carnaval. Balle : outil d’imprimeur, en 
entonnoir, emmanche, plein de lsine, enve- 
lopp® de cuir, sur lequel il dtend dgalement 
une tr&s-legdre couche d’encre qu’il transporte 
ensuite sur la forme. — ‚(t.dartel.) 
balle ramee: boulet coupe ou ramd. — roxe ou 
vermelha, (id.) boulet rouge. — incendieris 
(id.), bouletd’arlifice, boulet incendiaire, — dos 
{dd.) , bouletcreuzx. Como uma —, (fam.) comme 
un £clair, tres-vite. (Ag.) Ev&nement imprevu, 
eionnant, accablant, coup de foudre, de mas- 
sue. Esta nova [oi bala que me deo nos peiles, 
ceite nouvelle a &i€ pour moi un coup de fou- 
dre, etc. 

BaLÄicHe. V, Balax. 

Baraco. V. Baldzio, 

Bıariva. V. Baldta. 

BaLipo,A,p.p.de Baldr. 

BaLADOR, A, s. animal qui bele souvent. 

f BaLacitr, s. m. toile grossiere de l’Inde 
bleue et blanche. 

Bıriıo,, s. m. panier d’osier noir, haut et 
rond, oü I!’on met des fruits pour les vendre 
au marche. 

BaLaıs. V. Balax. 

BaLinca , s. f. balance : instrument form 
d’un arbre,, d’un ficau et de deux bassins pour 
peser. (fg.)Comparaison , jugement : fonclion 
de l’entendement; incertitude, irresolulion. 
—romana, * peson, romaine. Estar em —, &ire 
en balance, en su3pens, irresolu. Juiz da — , 
ajusteur : qui ajuste le flanc des monnaies. 
— d’ensaio, * ajustoir. Cuia, praio da—, bassin 
de balance. — para pesar ouro ou diamanles, 
” trebuchet. 

BaLANCADO, A, 9. p. de 

BaLancan, 0. a. balancer : meltre, lenir en 
*quilibre dans la balance; faire mouvoir en 
balangant. (A4g.) Tenir en suspens; examiner, 
peser le pour et le contre. 

BaLancan-SE, ©. r. se balancer : se pencher 
d’un et d’autre cöte ; se faire hausser et baisser 
alternativement; planer, se lenir suspendu en 
Vair sans remuer les ailes. (4g.) Eire en sus- 
pens , irresolu , indetermine; hesiter. 

Baranch, s. m. balance: pas de danse oü le 
corps sc balance en mesure d’un pied sur 
Yautre. 

BALANCEÄDO, A, 9. p. de Balancear. 

BALANCEANENTO, 3. m. balancement : mou- 
vement alternatif d’un corps qui balance; ac- 
tion de balancer ; roulis, tangage. (g.) * Hesi- 
tation. 

BaLancgar, v. a. V. Balangar, v. ». (8. de 
mar.) rouler, tanguer, en parlant da roulis 
d’un vaisseau agit& par .es vagues. (Ag.) Dou- 
ter, @tre irresolu, perplexe , indetermine. 

TBaLancim, s. m. balancier : piece d’une 
pendule qui balance et regle le mourement du 
pendule; bäton de danseur de sorde pour gar- 
der !’öquilibre, 

BaLANcixBA, 8. f. dim. de Balanpa. 

t BaLiwco, s. m. avoine follette , follo- 
avoine, aröron, avron, areneron,, barorfon. 


BAL 


Baranco,s. m. batanceınent :: l’aclion de ba- 
Isucer. Roulis : balancament d’un vaisscau. 
Balancier. Balangoire. * Balance : resultat «la 
commerce actif et passil d’une maison. (g.) 
Douts , perplexite. — de contas , (8. de comm.) 
bilan : etat de Faolil et du passif d’un nego- 
eisut; etat du doit et avoir. Dar —, (id.) faire 
le bilan. 

Baräupaaı, 3. f. balandre : cutter, sorte de 
vaisseau & un mäl. 

BaLanpaio, s. m.balandran ow balandras : 
soutane plus ample que la soutane ordinaire; 
vetement des conireres de la Misericorde en 
Portugal. 

FBaunita, s. f.(. d’hist. nat.) balanite : 
gland de mer fossile. 

Barintz, p. a. de Balar, belant ;: qui bele, 
en parlant de l’agneau. 

*Bıariö, 3. m. espece de drap bleu. 

Bariö, 5. ms. ballon : vaisseau & rames sur 
les Beuves du pays de Siam.V. Balldo. 

BaLir,v. m. beler. Il se dit du cri naturel 
da mouton, de la brebis et de l’agneau. Andar 
belendo por alguma cousa, (fig.) soupirer 
apres quelque chose. 

"Bıarira, s. f. ballade : ancienne po&sie 
francaise A refrains semblables ; ancienne chan- 
raa de danse. 

# BaLaTas, 5.m. (k. de bot.) balatas : arbre 
dämerique; eouratari, sapotilier. 

+BaLiro, s. m. belement : cris des brebis. 


BaLnösta. V. Belaustia. 
BıaLsisre. V. Balaustre. 
balauste::fruitos fleurs 
Baunea Ta, 8. [- | du grenadier sauvage 
auk ‚Mm. PI-U ou balausiier. 
Basststeioa, s. f. balustrade : assemblage 
ou iravece de balusires pour clöture ou orne- 
ment; decoration d’architecture sur le haut 
d’un edifice. 
BıLststaipo,A, adj. balustire: [ait en forme 
balustres; forme6, om6& avec des hbalustres. 
».p. de 

+ BaLaüsıräk, v. a. balustrer : former, or- 
ner avec des balustres. 

BaLaösraE, 5. m. balustre : petit pilior fa- 
gonne qui sest d’appui ; pelite oolonne. 

BaLax, 5. m. balais, rubis balais : rubis 
couleer de vin fort paillet. 

Henri: s. m. ooup de balle, de boulet 

pousst par une arme & [eu; sa blessure. (fg.) 
Conp de loudre ; dommage subit. 

BiL2o,A, adj. V. Balbueiante. 

Baısoanı. V. Balbürdia. 

Bıısvaacid, s. f. "balbutiement : l’action de 
beibutier ; dificults qu’eprouve la langue & 
azteuler les mois. 

BaLzocıido, A, p. p. de Balbuciar. 

Barsocıants, adj. bögue : qui balbutie, qui 
bigaie,, qui artcule les mols aveo peine. 

LBUCHÄR , v. G. balbutier ;: prononcer mal, 
en hisitant, sans articuler. (Ag.) Parler ton- 


BAL 481 


fusömeut, sans connaissance sulfisante. v. ®. 
pronoucer avec Reine, begayer. 

.f. balbutie: mauvaise pro- 
nonciation; hesitation en 
pazlant. (fig.) Parlage irre- 
flechi , sans ordre. 

BaLBucı£nte. V. Balbuciante. 

BALBURDIA, 8. f. (fam.) conlasion, desordre« 
tummulte, bruit, tintamarre. 

* BALBUTIAR. 'V. Balbueiar. 

Baıca. V. Balsa, 

BaLciö, s. m. balcon : petite saillie attachde 
& un bätiment, et entourde d’une grille ou tra» 
vee d’appui. —de loja, comptoir, montse de 
boutique. 

* Baıcanzıkva ow Baconnuipa, V. Falas: 

Baıca. 

BaLcid, V. Bals... 

BALCEIRA. 

BiıLpa, s. f. defaut babituel de quelqu’un, 
son faible. Renonce,, couleur dont on manque 
au jeu. Dar na — a alquem, decouvrir le fai- 
ble de quelgu’un. 

BaLDÄpaMenTE, ade. inutilement, en vain. 

BaLnäno,A, 9. p. de Baldar. adj. inutile, 
frustre, qui ne sert ä rien. Estropi6, entrepris, 
perclus: qui a perdu usage d’un membre, 
d’une faculte. 11 est peu usit6 dans Co sens. 
em sus esperanga , frustr6 de son esp6rance. 

BaLniö, s. m. reproche, imputation injustO; 
opprobre, affrons, outrage , m&pris, injure. 

+ BaLoaquiu, s. m. baldaquin: sorte de dals 
au-dessus d’un lie, d’un tröne, d’un autel. 

BaLpin,o. a. frusirer, rendre inutile; per- 
dre, employer en pure perte. Empecher, pro- 
hiber, rendre insuflisant. Estropier, entrepren- 
dre, rendre perclus, priver de l’usage d’un en 
plusieurs membres. p. us.—0 irabalko, perdäis 
son temps. — 0 seu dinheiro , depenser son a#- 
gent inutilement. — a dal 
frustrer l’attente de quelqu’un, ow frustrer 
quelqu’un de son atiente. 

BaLDan-sg, v. r. (6.de jew) se d6lausser : 
jeter, &carter ı une carte inutile. 

BALDE, 8. m. seau : vaisseau de cuir ow de 
bois propre & puiser et ä porter de l’eau. On 
s’en sert particulirement & bord des bAliments. 
it. * Pelle de fer, de bois pour battre la terre, 
faire des rigoles , etc. 

BALDE (DE om EM), ade. en vain, nutilo- 
ment. Trabalkar —, perdre son temps , 
donner de la peine cn vein. 

BaLnEacäö, 8. f. action de transvaser; db- 
charge des marchandises d’un navire dans un 
autre. L’action et la peine de laver un vaisseau. 

BıLvdzino,A,p.p. de 

BaLpgir, v. a. survider, transvaser : yerner 
des iiqueurs d’un vase dans un autre. (8. de 
mar.) Laver un vaisseau. — as velas, (1. de 
mar.) empeser les volles, les moailier lors- 
qu’eiles sont trop olaires , et que le vent passe 
au travers. 

BALDEÄR-SE, u. r. se jeier, se pröoipiter. 


BaLbücız ou 
BALBCCIENCIA , 


483 BAL 

"TALDIAMENTE, 
ment, oisivement. 

BaLdıo, A, adj. qui est een friche, inculte 
(champ). (Ag.) Vain, sans motif, sans fonde- 
ment, sans but, Terras baldias, terres en fri- 
che et vagues; terres inutiles, incultes, qui ne 
rapportent rien. 

Bawpio, s.m. V. Baldias (lerras). 

BiLoo, a, adj. V. Fallo.— a üm naipe, 
(8. de jew) qui n’a pas une couleur au jeu de 
carics. Estar —ao naipe, (fig. fam.) n’avoir 
pas lc sou. 

BıLnoäno, A,P.p. de Baldodr. 

* BaLpoiıno, 3. m. ancien livre de prieres. 

* BALDOAMENTO, 8. m. mepris, oulrage, in- 
jure. 

BaLpoirn,v. a. injurier, mepriser en lace: 
outrager. 

* BaLpre)ino, A, adj. V. Palpddo, Ma- 
nuseado. p. p. de 

* BALDREJAR-SE, 9. Tr. se prostituer. 

BıLpaku, s. m.sonat : peau Ge mouton pas- 
866 en mögie, qui sert & faire des gants. De ses 
effilures on fail de la colle. 

Baıoaöca , 8. f. (l. pop.) troc de chose vile. 

BaLprocivo,A,P.p. de 

BaLDROCAR, v. a. changer, troruer des choses 
viles, comme vieux habils, vieux meubles, etc. 

Bıronogcas. V. Beldrorgas. 

BaLka ou Baukıa, s. f. baleine : le plus gros 
des animaux qui habitent la ımer, enorme c&- 
tac& mammmifere : ses fanons (barbes de ba- 
leine ) servent & garnir des corsets,, etc. 

+ BaLkinıco, A,ow} apparienant aux 1Iles 

BaLrzınıo, A, adj. Baleares. 

BaLzito, s. m. dim.de Balda, baleineau, 
baleinon : petit d’une baleine. 

T BaLetıno, s. m, et adj. ( Navio —), balei- 
nier ( navire ): pour la p£che de la baleime; 
pecheur de la baleine. 

* BaALECÖES, 3. m. pl. sorte de chaussure an- 
eienne. 

+ BıueLa, s. f. (1. fam.) "bruit sans fonde- 
ment et que \quefols par plaisanterie. 

BaLzöte. V. Baledio. 

BEALESTEIRO, V. Bestliro. (1. de mar.) V. 
0. 

BaLestiiua, s. f. arbalestrille, radiometre : 
instrument pour ınesurer la haulieur des astres. 
Flamme, instrument d’acier dont on se sert 
pour saigner les chevaux. 

“Bıızstra. V. Ballista. 

Barcontra, s.m.(1.d’hist. nat.) balgonera: 

mpereau d’Amerique. 
irua. V. Bdila, 

BıLrin. V. Baildr. 

* Bıınira. V. Baldta. 

*Barutsta. V. Bosta. 

* Bıınesteir. V. Baltestar. 

* Baınesteino. V. Besteiro, 

"Biıno. V. Baile. 

? But, s.m. bali ow balis: langue savante 
des Chinois. it. ( 4. d’hist. nat.) Bali : coulcuvre 
plicatile. 


adv. vainement, inutile- | 





BAL 
BaLia, 


BaLıino, } V. Boll. 


Rıılno, s. m. belement : lo cri des moutons 
et des brebis. 

BıLio, V, Bailie. 

Barista, s. f. (1. de mil.) baliste : machine 
de guerre pour lancer des pierres , des torches 
allumees, etc. 

T BaLista, 8. m. (#. d’hist. nat.) balista: 
squale marteau ; baliste,, poisson cartilagineux 
thoracin. 

BaLıstinıo, s. m. balistaire : qui avait son 
des armes de jet, des balistes ; lien d’exercice 
de ces armes. 

Baistica, 8. f. (4. de mil.) balistigue : art de 
calculer le jet d’une bombe, d’un projectile; 
machine pour exercer les eleves artilleurs. 

Barıza , ou BaLisa, 8. f. (f. de mar.) balise, 
marque, boude : pieu, fascine ow tonnesu, 
pour indiquer les &cueils ow l’cntree des ports. 
il. Borne, limite , terme. —s, pl. (fig.) Region, 
maximes, dictamons. 

BaLızapon, s. m. baliseur : oelui qui Powe 
des balises , des bornes. 

BaLızan, v. a. baliser : mettre des halises, 
des bornes. 

BarLiö, s. m. ballon : vessie pleine d’atr et 
courertc de cuir pour jouer ; corps spherigue 
gros ei creux. 

BALLESTAR, 0% BALLESTEAR, 9. ®. tirer de 
l’arbaldte. 

BaLristica. ] 

Baunıstarıo. \ V, Balist... 

BALLıstica. 


Biıo.V. Balido. 

BaLLöTa,s.f.ow 

BALLÖTB, se m. V. Harroio negre. 

Baröro, A, adj. bouM, boufle, souflld, 
boursouflld; apparent. 

BıaLöniA,s. f. "rabat, collet d’homme. 

*+BaLörno, s. m. balourd: personne gros- 
sitre,, stupide; butor. 

BıLöre, s. m. ballot: gros paquet de mar- 
chandises, de livres, etc., emballes. 

BaLouciDO, A, 9. p. de Baloupar. 

BaLougADOR, A, 8. el adj. qui balance. 

Barougar, etc. V. Balangar, eic. 

BarLorgo, 8. m. balangoire : piece de bols en 
‘quilibre, ow corde attachde läche par !es 
bouts, pour se balancer. 

BaLRAvenTo, etc. V. Barlavento, ete. 

BauröaA. V. Abalröa. 

Bıısa, s. [. baie: elöture de ronces d’dpines 
ballier,bois fourre. Envetoppe de paille; cuve, 
marc deraisin. *Radeau : assemblage de pieces 
de bois qul forment une espece de plancher 
mobile sur Peau. Almadie : bateau d’&corte 
chez les negres et les sauvages. Ancien @ten- 
dard des Templiers. V. Balsdo. 

Buısäsıco, A, adj. balsamique : qui tient de 
baume, embaumse,. " 

Baısamina,s,. f. 


BaLsatinno, 8. m. V, Melindre. 


BAM 


+ Baısımira, s. f. Ct. da bot.) balsamite: 
vog-des-jardins ; coq, herbe au coq, menthe- 
eoq, grand baume, tanaise baumiere ; päll, 
past. — bastardo, balsamite du l.evant. 

Birsıuo, s. m. baume : liqueur, suc 0do- 
rant gai decoule de certains arbres; onguent, 
päte, liqneurs balsamiques. — do sangue ‚(!. 
de nöd.) la partie la plus pure du sang. — de 
Cepsibs, copahu : baume que !’on lire par in- 
eision d’un arbre du Brösil, appele& copaiba. 
Eum—,c’cst du nectar. On le dit du vin ou 
des liqueurs qui sont Ir&s-gen&reux ou qui ont 
une odeur exquisc. 

Barsina, s. f. bolzane :marque blanche aux 
pieds des chevaux. *Ourlet dans les habits dcs 
meines. 

+ Baısiö,s. m. aug. de Balra,ancien grand 
&tendard des Templiers , appel& en vicux fran- 
gais bau ceant, balcani[er. 

Bııstına,s. f. hallier: buisson fort Epais. 
st. V. Belseiro. 

Baıs£ino,s. m. *hallier, bois fourre, etc.: 
lien ombreux. "Curve de pressoir. il. (t. du 
Bres.) Celui qui conduit les radcaux. 

Buaıstıno, A, adj. plein de haies, de buis- 
sons, de broussailles. Cdo —, chien qui va 
dans les broussailles. 

Bııs£kıuo. V. Bolselho. 

+BiLso, 3. m. (1. de mar.) — de eslafate, 
tapecul de callal. 

BaLtanöocı, s. m. Baltadgi : chef des Bos- 
tangis chez les Turcs. , 

+ Bııran, adj. 2 gen.( Cipa —, t. d’agri.) 
ceps de vigne infructiföre, ei qui ruine les 
anires. 

BiLreo, 3. m. * &charpe d’officier ; baudrier, 
baadouliere, cein!uron. 

BiLrıco (mar), s. m. (1. de geog.) mer Bal- 
Ugue. 

+Bııraucäö, s. m. baltracan : plante ali- 
menteuse de Tarlarie, & fruit d’une odeur d’o- 
range. 

Baruiate, s. m. (f. de fort.) boulevard, 
tout le terrain d’un baslion ou d’une courline. 
(Ag.) Bempart, ce qui defend, ce qui protege. 
it. Boulevard : place forte qui couvre un pay8. 

Bıröcas, s.m. pl. V. Borzeguins. . 

Barösa,ou BaLuMBA, 8. f.(}. de mar.) ba- 
lingue de chute. 

+ Burcna,s. m. (l.d’hist. nal.) Baluna :muge- 

le des Indes Oricntales. 

Baröapo. V. Balördo. 

BawsuLzino, 7. p. de Bambalear. 

BamsaLcante, adj. 2 gen. chancelant, qui 
brimbsle. V. Bamibo. » 

BausıLziR, 0.8., et — 86, 0. r. se brandjl- 
ler, se balancer ; se brimbaler, s’agiter, se s6- 
eouer ; se meitre en branie, se dandiner, se 
meuvoir on balangant , pencher d’un cöt# et 
@un autre. (Ag.) Vaciller, chanceler. Fazer—, 
ebranler, donner des secousses. 

Bausırniö, —ıLaönA, adj. trös-flasque. 

+ Bausıiva, s. m. (l. d’hist. nal.) bambiaya: 
eiseau de Cuba ; bambiale, 


BAN 183 

+ Bauoınäılas, s. f. pl. garnitures de ri- 
deaux de croisees, etc. 

BasB0, 4, adj. läche, deband6, detendu‘, 
flasque. 

+ Bampocnära, s. f. bambochade : tables 
dans le genre grotesque ou bas; comjosition 
de sujets populaires et d’une nature basse, 

BaunouEän, elc. V. Bambalear, etc. 

BıssoL£ıo, s. m. dandinement, branle, 
brandillement,, balancement. 

+ BausoLina, s. f. piece de toile peinte qui 
ferme la partie superieure d’une decoration de 
theätre, 

BausoLıns,s.m.pl. *garniture de robes, etc. 
V. Bambinellas. 

Baund, s. m. bambou : plante graminde, 
esp&ce de roseau des Indes; canne de ce bois. 

Bıupüir,s. m. * for&t de bamhous. 

Bıust£ına,s. f. (f. de bot.)* roseau d’Iinde, 
bois de bambou, bamnbou, mambou. V. Bambü. 

7 BawsüLa, s. m. bamboula , tambour d’Hal- 
ii, fait d’un gros bambou. 

BAMBURRÄL, 8. m. pre, pätis, päturage. 

Baundz. V. Bambu, 

+ Bımüres, s. m. pl. (1. dhist. nal.) ba- 
mours- abeilles de Coylan. 

Banina, s. f. banane: frult du bananier, 
E’ um — ‚(fig.) il se dit d’un homme dnerv&, 
negligent, nonchalant, qui n’a pas de vigueur. 

Banantıra, s. f."bananier, Oguler d’Adam 
ow des Indes, plante musac&e. 

BANANISTA, s. m. (f. de bot.) bananlste : su- 
crier de Saint-Domingue. 

+ Baxanivoro,s.m. (Ef. d’hist. nat.) banna- 
nivore : oiseau vivant de bananes. , 

Bananzöra,s. m. (f. burl.) homme mepri- 
sable, un dröle, 

Banäza,s.m. quadruptde du Pfgu de la 
grandeur du cheval. 

Binca ‚s. /. banque, table, burcau. Jogo da 
— ‚bassette, pharaon. 

Bancäipa, 5. f. rangee de bancs ; banc-d’@u- 
vre; les personnes qui y sont assis®s. 

BANCiL, 5. m. lapis pour couvrir une table; 
mis sur un hanc. 

Bancania,s. f. agence des banquiers de la 
cour papalec. 

Baxcirıo, A, adj. concern,nt la banıque. 

BANCARRÖTA, s. ). banqut route: faillite par 
insolvabilits feinte ou verita Jlc. 

Binco, s. m. banc: long siege sans dossier 
ot peuvent s’asseoir plusieurs personnes, 
*Banque : caisse publique & Jaquelle chacun 
peut s’intöresser. Banc de galere. Etabli de 
menuisier, de marechal ferrant. Siege de ma- 
gistrat; graduation, grade des magistratS. 
Fazer — roto, faire banqueroute. FLeranlar ® 
— ‚s’enfuir avec l’argent des aufres. —dertıa, 
ensablement, banc de sable sec : amas de 
sable form6 par un courant d’eau. — da pa- 
eiöncia, (1. de mar.) banc de patience, dans um 
vaisseau. Esfar no — da paciencia, (fig.) soul- 
frir palicmment. Razdo de pe de —, bervue, sot 
raisonnement. —de pincher, machine milltatte 


a 





18% BAN 


dent on eouvrait le belier.— mdsire ou domeio, 
. 1. de mar.) traversier, ou banc du milleu. 
— ds poppa, il. twaversier de poupe. —s dos 
vemos da lancha, töstes do chaleupe. 

* BancöA - CARRAPICHÄNA „ 8. f. ancionne 
«tolle de laine rayee. 

+ Bancöpü, s. m. (1. de bot.) bancudu : arbre 
des Moluques : employ& contre la colique. 

Bınva,s. f. * oöte. Ex. Da outra— do rio, 
de Y’autre oöte de la riviöre. Bande : morceau 
d’stofle pour bander , bandeau. ($. de weil.) 

rpe, csinture, avec pendants ou naud 
saillant. (f. de mer.) Bande : cöte de vaisseau. 
(1.de bias.) —, une des pidces de l’&cu qui va de 
baut en bas et de droite ä gauche. Bande, 
tFoupe,, compagnie ; parti, ligue; troupe d’ol- 
seaus. — d’artilkerie,, bordee de canon. — do 
westido „ passe-poil. Da— de cd, de co oöte-ci. 
De — de ld, de co oöt4-lä. Dar d—, (1. de mar.) 
metro lo vaissesu & la bande, sur le cötd 
pour #tre radonbe. De banda a—, de part en 
part. Ter-se d—, s’attacher opiniätrement & 
ses opinions. P6r d—, mettre ä part, de cöts. 

Banpina, 8. f. bande, nude, troupe.— de 
vos, troupe d’oiseaux. A ou em bandadas, en 
foule, par bandes. 

Banvipo, A, p.p. de Bandär, adj. quia des 
Landes, des rales; qui a l’echarpe, la bande 
militaire. 

BauniLno, A, adj. ( f. famil.) petit-mattre 
ridicule, freluquet; vaurien,, dröle. 

Bınpin, vo. a. (t.de blas.) orner de bandes 
un 6cu ;mettre des passe-poils & deshabits, etc. 

Banpira, s. m. (I. d’Asie) gouverneur A Ma- 
laca 


Banparie, s. m. (1. d’Asie) celui qui extrait 
dans }’Inde le sac du palmier. 

Banpiara, 8. m. (t. buri.) faindant. 

Banpınazar. V. Vadeer. 

Banpannicg, 8. f. faindantise. 

BANDARRINEA, s. m. dim. de Banddrra. V. 
Vadio. 


Banpeipo, A,p.p. de 

BANDEÄR, ©. a. ranger sous 869 drapeaux, at- 
tirer au parti ; faire rövolter, so faire des par- 

D8. 

Banpzin,v.a. etn.cabaler, animer les partis, 
les factions. Embrasser, tautöt un parli , tantdt 
un autre. Etre dans l’incertitude, changer ä 
tout moment d’opinion. 

Banpzia-sE, v. r. s’associer, 56 liguer ; em- 
brasser, suivre un parii. 

Banpkına, s. f. “drapeau, bannidre, enseigne 
@#infanterie ; pavillon : sorte d’&tendard qu’on 
met a un des mäis d’un vaisseau. Troupe qui 
combat sous un drapeau.— de candierio, abat- 
jour de lampe. Firmer a —, assurer son pa- 
villon :tirer un coup de canon en arborant le 
Beinen de sa nation & bord d’un vaisseau. 

iliter debaixo da — d’alguem, (Ag.) marcher 
sous les ensceignes de quelqu’un, embrasser 
son opinion, sulvre son parti. Levaniar —, se 
faire chef d’un parli. Arrier a—(I!. de mer.) 
baisser pavillon, (Ag.) se reconnatire inferieur. 


—- BAN 


don ds bandeiras despregädas,, (fg.) ouver- 
tement, librement. — colkida,, (f. de mar.) pa- 
villon en berne. — a meio pdo, parillon & mi- 
mät. JIcar—, hisser le pavillon, deployer 
os faire le pevillon. Comprimento e largura 
dums — le batiant et Ice guindant d’un paril- 
lon. Salvar d —,, saluer le pavillon. —de com- 
beste, pavillon de guerre. 

+Banotinas, s. f. pl. (t. du Bresil.) On 
donnait ca nom aux associations d’hommes 
entraient autrefois dans les bois du Bresil pour 
shercher les Indiens et les capturer; aujour- 
d’hul on le donne A ceux qui vont chercher les 
mines d’or. 

Banpkıninua, s. f. dim, de Bandeirs. Ban- 
derole. ( ig.) Girouelte. ° 

Banntıno, A, adj. factieux, cabsleur: qui 
est attach€ & une faclion, & un parü, qui le 
suit. Inconstant, volage, variable; capricieux. 

BanpesnoLa, s. f. banderolie: morceau de 
talfetas avec [range. 

Banntsa, s. f. *cabaret : plateau & rebord oA 
l’on met des verres, des tasses, etc. it. Es 
de van plat pour vanner le bie. «#4. (6. de mar.) 
Gamelle. 

BanpzJän , v. @. vanner : nettoyer le bild avec 
un van. 

Banptr, s. m. (f. d’Asie) quartier fermö pour 
les #trangers ( dans les villes asiatiques). 

Banvino, A. V. Banido. 

Banpino, s. mw. bandit, brigand:: voleur de 
grand chemin. V. Bandolsiro. 

Banpınna ou Banpıra, 6. f. dim. de Benda, 

Banpin. V. Banir. 

Binpo, s. m. ban : cri public qui annonce un 
mandement, un 6dit. Edit, loi, ordonnance, 
mandement publi6 par ban.° Bande, faction, 
parti, ligue. V. Banddda. — de perdizes, etc., 
compagnie de perdrix, etc. 

Banpoßao. V. Bandeiro. 

Banp6La, 8. f. ceinture ow bande de cuir qui 
porte le pulverin, la giberne, etc. Banddlas, 
pl. ( 6. de war.) mäts de fortune. 

BanvoLkına, s. f. bandoulidre : bande de 
cuir, eic., pour porier le mousqueton. 

BanpoL£ıRo, 8. m. bandoulier: brigand des 
montagnes ; qui vole par bandes; fripon, 
gueux. it. Volage en amour. 

BanpoLiy, s.w." mandoline : petite mandeore, 

* Banvonia, 8. f. sedilion , emeute, 

BanponniLna. V. Bandurrühe. 

* Banpousa. V. Rodenko. 

BanDöLuo nn (6, burl.) "panse, bedaine, 
gros ventre. ° lle. Bnoker o—, (am. 
Forcir ia bedaine. (m) 

Banpinna, s. f. mandore: esp&ce de luth. 

BınpunniLua OW BANDURRINEA, 5. f. dim. de 

. 64. (4. burl.) joueur de mandore; 
homme ridicule. 

+ Bincz, s. m. bang: arbre d’Afrique dent 
on lire une espöce de vin. 

t Bancuz, s. m. bangue : chanvre des Indes, 
dont la graine procure une irrosse gaie ‚et domt 
les fouilles exoltent l’appetit. 


BAN 


*Bascrtıo. V. Thelamo nupcial. 

Bizea, s. f. graisse des animaux; saindoux. 
= para oe cabello, pommade. — de flor, pom- 
made de senieur. 

Banmäno, &A,p.p. de Banker. adj. Monille. 
— ım ldgrimes, (fig.) noy6 de larmes. — em 
zur, Weut en nage. — d’slegris, tombis de 
jeis , nageent dans la joie. 

Banmin, ©. e. baigner, arroser, mouilier, 
bumestez, tremper. (i. de point.) Glacer : ap- 
päquer une coulour brillante et Iransparente 
zur une properation faite expres pour la-roce- 
veir. O rio benha as muralkas,, la riviäre bat 
ou lave les murs. 

Basımin-z, e. r. se balgner, prendre un bain, 
se mettre dans l’ean , nager. (fg.) Se delecter 
&.— om debicias, em prazer, nager dans la 
jeie.— em pranto, fondre en larmes. — em 
sauber, Oz tout 00 nage. 

+Baumtına, s. f. baignoire : vaisseau dans 
loquel en se baigne. 

t Baustıno,, s. m. baigneur : celui gui tient 
des bains , qui sceompagne les personnes dans 
iss keins de mer. 

fBanzisra, s. m. ou f. qui prend les bains 
de mer ou les caux minerales sur les lieux. 

Bisme, s. m. bein: Paclion de se haigner ; 
fosa ou teute chose dans laqueile on doit se 
beigner ; endroit ed l’on se baigne. (1. de peint.) 
L’sctiom de glacer une couleur. Bagne : lieu od 
les Maures ot les Turcs renferment leurs es- 
daves; prisen des forgats. ( 1. de chim.) Bain : 
Äqueur ou substance dans laquelle on place 
wu valsseau re faire quelque digestion ou 
üstillation. meris ou — de maria, 
hein-marle : eau bouillante dans laquelle on 
met quelgue vase pour laire cuire les viandes 
et toutes sortes de choses, ou peur distiller et 
tvaparer wme substance qui ne demande pas 
beauceap de chaleur. — de pds, pediluve. 
Bankss, pl. bains : caux nalurellement chau- 
ou Fon va se baigner; #tablissements pu- 
oa Yon se baigne, soit en riviere, soit 
des malisons dont les appariements sont 
en petites chambres & baignoire. — de 
‚„ beins & la vapeur. — de casamenso, 
: groelamation d’un mariage. 

Baminos, s. m. pl. banians : idolätres des 
Ines qui creient & la metempsyooae. , 

Bunino, A, p- p. de Benir. 

Rıuin,, o. «. bannir : condamner par autorits 
de Justice & sortir d’un peys, d’uno ville, d’an 
“at, «te. ; chasser d’an pays, €loigner de sol. 
(Ag.) Exelure , chasser, interdire, defendre. Il 
est aymi röeiprogue. Ex. : — #0 do mumdo,, 56 
bannir, se retirer du monde. 

+ Beuiver, adj. 2 gen. qui peut &tr6 banni, 
alnasn. V. Banque 

Baugus. V. . 

Bangetzao, s. m. banquier : qui fait la ban- 
que, qui la tient; qui [sit oommeroe d’argent 
de piaca en place. —, ea oous de Rome: qui 
un fait venir les bulles,, ete. (4. de jeu) —, oe- 
lei qui Lait la mise et joue oonire tous. 


HER 


1 


«0, 


BAQ 185 


Baxocera, s. f. banguette : petit banc ; les 
six chandeliers d’un autel. (t.de fort.) mar- 
che en pierre oa gazon derriöre le parapet, ou 
dans les revers d’une tranchee; appui de pierre 
dans los fen#tres. 

NQUETAGO , s.m.aug. de Bangutte, * Lom- 
bance, grand festin. un ü 

Bangußtg, s. m. banquet, festin, s ma- 
gnifique. O sagrado— , la sainte eommunlon. 

BAnQUETEÄDO, A, p. P. de Banquetear. 

BANQUETEADOR ‚A, 8. donneur de banquets. 

BAnQuetEir,v. a. donner un banquet, un 
festin. 

BANQUETEÄR-SE, ©. r. banqueter, faire bonne 
chere;; faire un banquet. 

BANQUINEO, s. m. dim. de Banco, bancelle, 
sellette , escabeau. 

Bantim, s. m. (4. d’Asie) petite barque asia- 
tique. 

Bantıntıno, 3. m. maltre, pilote d’un ban- 
kim. V. ce nom. 

Binza. (6. dburl.) V. Vila. 

Banzapo, A, 9. p. de 

Banzir, o. n. ( fam.) ehrager, so desespe- 
rer ; ne pas revenir de son &tonnement. 

Banztıno, a,adj. (ti. de mar.) peu agitde 
(la mer); faibie et variable (le vent). Jogo—, 
jeu balance. 

Binzos, s. m. pl. — d’escada (de mdo), mon- 
tants, branches d’une 6chelle. — de serra, 
bras de scie.—de bastidor ou bordador, ensou- 
ple du metier & broder. 

tBaosis, s. m. (1. de bot.) baobab : arbre 
immense d’Afrigue,, qui vit plusiours sidcles. 
Vulgo, pain de singe. Calebassier du Sönegal. 

Baontza, adj. f. Hapd— ‚varieis de pom- 
mes de Bayonne. 

+ BaoniLma , s. f. ( t. de bot.) vanille : anıgreo 
aromatique. 

Bargpnlu adj. ?2 gen. baptismal : qui ap- 
partieft au baptöme. 

Barrisuo, s. m. baptöme : sacrement qui 
rend chreien et elface le peeh6 originel; sa 
ctr6monie. (fig.) — de ‚le martyre. — 
de »fogo , desir ardent d’etre baptise. Certiddo 
do — ‚extrait baptistaire ow de bapt£me. 

Barrist£aıo, s. m. baplistere : partie de l'e- 
glise, local od Pen baptise, oü sont les fonts 
baptismaux. 

Barrızino, A, p. p. de Baptisdr. 

Barrızipo,, s.m.* cer&monie du baptöme; le 
festin que donnent les parents de l’enfant a 
cette occasion. 

Barrizautnto. V. Baptismo, Baptizddo , s. 

Bartizante, qui baptise. p. e. de 

Barrızis, v. a. baptiser : donner lo bapteme, 
un nom. (fg.) —, donner un sobriquet ä quel- 
qu’on. — um ,„ umnavio, eto., benir une 
cioche, un valsscau, etc. —0o vinko (fam.) 
baptiser le vin, y mottre de l’eau. (4. demar.) 
Arroser d’cau. Il est aussi röciproque. 

Bigte, s. m. bruit quefait le coup que donne 
un corps en tombant : fyacas, chuie. 

BaQtKAno, A, p. p.de Baquear. 








186 BAR 


Baquzin, v. a. abattre, renverser. V. Derri- 
bar. — 0 peilo por lerra, se prosterner la face 
contre lerre. 

Bagtein, v.n.et—se, v. r. wmber, choir, 
se renverser, sabaltre par lerre, s’sorouler 
avcc [racas ; se prosterner devant quelqu’un. 

Baaqu£ra, s. f. baguciia de !ambour. 

Bia. V. Bakdr. 

Barica,s.f. "ruban, eic., pour altacher le 
lin & la quenzuille. 

Baricua,s. f. fosse dans les salines. 

BAaRACinnO, 8. m. dim. de Barago. 

Bıraco, s.m."corde, lacet, lei. Por o— na 
garganla a alguem, prendre quelqu'un & la 
gorge, lui tenir Io poignard sur la gorge : le 
contraindre par violence ä faire quelque chose. 
Estar com o — na gargania, (fig.) &ire reduit ä 
la dernidre extremile. 

Barıarönpa, s. f. cohuc, tracas, oonfusion : 


assemblde ou tout le monde parle confuse- | ga 


ment ; mouvement acoompagu6 de trouble, 
d 'embarras. 

Bararustino,A,9.p. de 

BarArUsSTaR,, v. ». se debattre. 

*Barirı. V. Baralha. 

* Basarin. V- Baralkar, Allercar. 

Raniıua,s. f. (l. de jew) *talon. (fig.) Que- 
relle, troubie , rupture do la paix. Pör, ou 
meter ns — , forcer queiqu’un ä se de- 
sister d’une poursuile ou pretenlion. Meiter-se, 
ou recolher-se na— , se departir J’un projet, 
d'une entreprise commenucee, y renoucer. Jo- 
gar com a — , [aire jouer toute sorte de 
ressoris. 

BıraLnaiDo,A,p.p. de Baralkar. 

BanaLuADOR, 3. m. celui qui mele les cartes 
au jeu. (fg.) Perturbateur ; embrouilleur. 

BanaLHär, ev. a. baltre, meler les cartes au 
jeu. Rompre le de au Lrictras ou & d’autres 
jeux. (Ag.) Brouiller, confondre, meler‘: met- 
tre en conlusion , troubler la paix, le bon or- 
dre. — cöres, barioler : peindre de diverses 
couleurs mal aysorlies. — um nE900i0, eM- 
brouiller une affaire. — a alguem ums pre- 
lengdo , \raverser les desseins de quelqu’un, le 
croiser dans ses prölentions. — una proposi- 
plo, rejeter une proposilion, n’en pas faire cas. 

RıriLno, s. m. jeu de cartes. 

Bariua, ow Banampäz, s. m. ((. burn.) oboso 
qui pend. 

f Baaancäv, 5. m. valsseau, barque A rames 
en usage chez les Indiens. 

ARANCO, 3. m. barange : ches les Grees 
du Bas-Eınpire, officier qui avait soin des clefs 
de la villo od se trouvait l’emperenr. 

Baniö, s. ıı. baron : titre de noblesse, in- 
färieur & celui de vicomie. V. Yardeo. 

Basita,s.f.(i.d’kisl. nat.) blatie: Inseete 
ortkoptöre. 

*Bıarita,s. f. ° dchange, troc : vente. 

Bansrino, A,P.p. de Barater. 

Bunstaußare, adv. A bon marche, & bon 
oomple. 

+ Banarin, o. a. 6ohanger, troquer. Prendre 


BAR 


ou donner une chose pour un prix inferleus & 
la valeur reelle, lo depröcier. — share per 
(dinheiro, vendre son honneur. 

BARATAR-SE, . r. se vulgariser, devemir 
commun. 

Banatariı,s. f. (raude ; tromperie dans ie 
commerce. (£. de mar.) Baratierie : 
d’un patron de navire par deguisemeni de man 
cbandises ou fausse route. ° Echange, Iren. 

BaRATzÄnO, A, P. p. de Beraiser. 

BARATEANENTO, 5. m. ° dimination de prix, 
rabais. Faser —, baisser le priz. 

BarıTEıAn, vo. a. ei n. marchander. Donner 
une chose & bas prix; diminuer de prix, ven- 
dre au rabais. 

Baaartıno, A, adj. qui vend ou achdte & bom 
marche, & bas prix. 

BAnAT£ıRO, s. m. celui qui dans les tripete 
recoit la prime ou rötribulion da jouesr ei 


gne. 
BARATEzA, 8. f. bon marcht, bas peim, vil 


x 

BARATINBO, A, adj. dim. de Barate, pas 
cher. 

Ranarissımo, A, adj. sup. de 

Barito, A, adj. ben marcb6 : qui se vond 
au-dessous du prix ordinaire. (fig.) Fachie, ni 
coüte peu. O— sei caro, on u’a Jamais bom 
march& de mauvaise marchandise. Nöe As 
cnusa mais —@ gie a que se compra, les dons 
et les services coülent ordinairemens plus cher 
que les choses acheises. 

BaRiTO,s. m. prime que paient les jeweuss 
dans une maison de Jeu, pour les cartes, eis. 
Pör, meiler a—, vendre a ben marche. Bur 
de —, accorder de bon gr&, adınetire sans die- 
cussion. Fazer Jom — de vide, da honre, tt. 
exposer la vie, l’'honneur,eto.,ä vil prix. Temar 
por —, prendre son parti. 

BıriTto, adv. a bon marche, & bas prix, pasS 
cher. 

BiRrATERO, 3. m. gouflre, ebme, liege pre» 
fond et escarp£. (1. de pods.) Enfer 

* Baraza. V. Braga. dt. Corda, 

Birsa,s. f. "nmıenton : parlio du visage suuB 
la bouche. Barbe : poil des joues et du menten. 
Barbo de chörre , de boue. (Ag.) Figure, faee. 
Barba a,;—, adv. face & face. Andar, estar 
(com), trazer a — sobre o kombro, re sur ses 
gardes. Aponlar as —, poindre, en parlant de 
la barbe. A ponta da —, le has du menien. ka» 
zer 0-- ‚Taser, barbifler. ir com 0 — sobre al- 
guem, suivre quelqu’an de pres. Ter 8 — (us 
a eiguem, rösister courageasement & quel- 
qu’un. Fazer — medross, moniser de la pear. 
— de com#ia, chevelure, rayons des comdtes. 
Yirer d custa da — longa, vivre, manger aux 
depens d’autrui ; ecorniler.— de baleie, fanen 
de baleine.—de bode (4. da.bot.) salsifls sauvage 
ou des pres; barbe de vieillard ou se bouc ee- 
dinaire. —— de bods heriense, V. Sersifm. —de 
dose (id.) ebene de Creie, barbe de Jupiter. 

Barbas , pl. barbes, chevelu : amas de rasines 
ires-minces des planies. Filets de l'öpi, de la 


ge 


=. _ _ 


BAR 


piume. —de gallo, barbes de coq: morcoauz do 
chair pendants dans le beudu o0q.— honradas, 
(#g.) personne respeclable. A’s — ou nas — 
Celgusm, sur la moustache de quelgu’un, en 
sa presence et malgr6 lui, & sa barbe. On dit 
ussi en francais : & hout poriant, a brüle- 
pourpoint. Ter bdas— , (fam.) avoir une bonne 
mine, une figure agreabie, £ire jolie, en par- 
lant d’une femme. Ter poucss — ,(id.) eire un 
enlant, un merveas, un blanc-bec. Tor — para 
fazer ou emprehender alguma cousa, aveir du 
courage , da talent pous [aire eu enireprendre 
queique chose. Fazer-s0 as — um 00 ouiro, 
(Ag) s’aider mutuellement. 
Bazzıci ou Barmacan, s. [.(i.de fort.) bar- 
bacane , fausse braie : seconde enceinte dont le 
ia touche A l’escarpe de la premiere. 
* Parapei : muz & hauleur d’appui autour d’une 


place , elc. 

+ Bazsacksu, s. f. (t.de bof.) barbacenie ; 
Pante da Bresil, voisine do la jussi@nie. 

+Buansach” s. m. (1. d’hist. nat.) barbacom : 
coucou noir de Cayenne. 

Bırsicas, s. m. barbon : homme & longue 
barbe; vieillard severe. 

Buzsagöte, s. m. (f. de fort.) espäce de bar- 
kacane 


BAnsacüno, adj. m. barbu : quia une barhe 


paisse. 

Bıanipa, 3. f. ganache : extremits de la 
mächoire inferieure du cheval, ou l’on place la 
geurmelle. 

Bınzapiö , s. m. aug. de Barbädo. 

Barssnixno , adj. m. dim. de Barbddo, qui 
s peu de barbe, qui commence & avoir de la 
barbe. it. s. et adj. Capucin : religieux relorme6 
de saint Prangois qui porte la barbe longue. 

Baanino, A, ad). barbu : quia de la barbe. 
V. Barbdio,p. p. de Barbar. E um homen—, 
c'est un bomme portant barbe. 

Bızniıuo,s. m. chevelu : fillament des ra- 
eines des plantes. —s, pl. les premieres racines 
que jettent les arbres et les plantes. 

*+ BARBALHÖSTE,, adj. 2 gen. qui ne sertä 
rien. 

Eıasaxtz, 5. m. "ücelle : petite corde de fil. 

Bınsan, 9. Rn. commencer & avoif de la 
barbe; & pousser des racines, en parlani des 
plantes et des arbres. . 

+Binsans, 5. f. (n. p.) Barbe. Sanla —, 
t$. demar.) sainte-barbe : endroit d’un vais- 
seau od l’on met la poudre. 

Banzınamente, adv. barbarement, rude- 
ment, grossiörement, cruellement, furieuse- 
ment. 

Bınzanftsco, A, adj. barbare : qui appar- 
tient aux barbares. Barbaresque : des peuples 
de 1a Barbarie. 

Baasanescos, s. m. pl. barbaresques : habi- 
tants, peuples de la Barbarie. 

Banazaniı, s. f. barbarie, cruaute. Troupe, 
multitade de barbares. —, mant&ue de civili- 
sation „de polilcsse, de civilite: rusticite, Fu- 


BAR m 


° Banzaniez, V. Barbarla, Berbaridade. 

Banpänıco, A, adj. (6. de pods.) barbare. 

Bannanıpipe, s. f. bearbarie, cruauts, inhu- 
manite. Temedrite, audace. Grossierets6, delaut 
de politesse et de eulture dans l’esprit. 

Bansanisco. V. Barbareseo. 

Bansinıe. V. Barbaria, 

BARBARISMO, 5. m. (l. de gram.) barkerisme: 
faute contre la pureis de la langue. V. Barbe- 
ria, 

BARDARISSIMO, A, adj. sup. de Bärbaro. 

BARBARIZADO, A, 9. 9. de 

Bansacızir, v. a. rendre barbare, grossier. 
— a linguagem , os coslumes ,gäter, cofrOMmpr® 
le langage, les maurs. llest aussi »., et sigui- 
fie parler barbarement, 

* Rassaanızo. V. Barbarinho, Sussurro. 

BirnınO, A ,adj. barbare ,cruel , inkumain. 
Lestrigon. Hardi , temerairc,, audacieux. Groß- 
sier, barbare, sauvage, Visigoth, saus poll- 
tesse. 

Banpıannäd,. V. Barbapas. i 

Birpas, s. f. pl. pailles (dans une piöse 
fondue ). 

Bansisco. V. Verdäsco. 

Barsita. V. Bravala. 

Barnaränı ,s. f. Dageoira: membraeue ( des 
poissons)) qui sert A nager. 

Baasıtean. V. Bravaledr. 

BarsiT0, 8. barbu (frere lai). 

+ Bınsito, adj. m. Comela —, chevelu. Om 
le dit d’une comete qui a une espece de chore- 
lure formee par la lumiöre. 

BArBEiDO, A,p. p. de Bardsar. 

BınpEAnüna, 5. f. action de faire la barhe. 

BARDRÄR, dv. @. raser quelqu’un, lui faire ia 
barbe, barbifer. it., o. n. (l. de mar.) abriver 
aller prös du rivage, en parlant d’un bateau, 
Raser, passer pres. Barbeando, hord & bord. 

BıaneiR-SsE, ©. r. se raser, 56 barbifler. 

Banpzaria,s. f. barberie: metier de barbier;z 
piece, dans les couvents, oü P’on fait la barde 
aux moines. - 

BARBECHADO, A, P. P. do 

BanBECcHÄR, v. a. jacherer , labourer des ja- 
ehöres : donner le premier labour & des terres 
qu’on a laiss6 reposer. 

BAnBfCHO ‚3. m. premier labour qu’on donne 
ä une terre en jachere. Gueret, recassis : terre 
labouree pour Etre enscmencke. 

Barpkıra, 5. f. feame da barbier; femme 
qui fait la barbe. 

Banssıninno,s. m. dim. de Barbfiro. Per- 
roquier, pelit-maitre. 

Bann£ıro, s. m. barbier : qui fait la barbe. 

Banpeıro. V. Barbecho , Alqueice. 

Bans£ıLa, s. f. "fanon d’un beuf ı ce qui int 
pend sous la gorge. Gourmelie : chalnetle de 
fer ettachee A la bride, qui passe sous la g&- 
nache. 

+ Rınnera, s. f. barbette : plate-forme sans 
&paulement, oü l’artillerie est & d6couvert. 

‚t BansiBLanco, A,adj. quia la basbe blan- 
che. 


188 BAR 


Bansıcicmo, 5. m. licou : corde gue !’on met 
par-dessous a mächoire des beies pour les 
kouverner. Pör o— a alguem, tenir quelqu’un 


en bride. 


+ Bansıcixo, A, ad). (1. ds pods.) grison: 


qui a des poils blancs dans la barbe. 
T BansıwEıto, A, adj. qui vient d’4ire rase. 


f Bansıronuz, adj. 2 gen. (1. de bot.) en 


forme de barbe, de moustache. 


t BarsıLımpo, A,adj. qui apeude barbe: 
imberbe. 


BARBILRO, 6. m. *museliere : petit sac qu’on 
met & quelques animaux pour les empöcher de 
palıre. * Bourre de soie. (fig.) 


mordre ou de 
Empöchement , obstacie, entrave. 


Bannixur, s. [.dim. de Barba, petite barbe, 


poil follet. Le bout, l’extr&mite du menton. 
t Bansın£cno, a, adj. qui a la barbe noire. 


BARBIPOENTE, adj. 2 gen. qui est en Age de 


puberte, a qui le poil follet vient. 


Banpıauivo,A,adj. qui a la barbe blonde 
ou Fousse. }l se dit aussi des oiscaux qui ont 


le plumage roux. 


Banpınisso, A, adj. grison : qui a la barbe 


grise par le melange de poils noirs et blancs. 
Bansita. V: Barbinha. 


BanBırtso, a ‚adj. qui a la barbe dure.\4g.) 


Dur, fort. 


Binso, s. m. barbeau : poisson d’sau douce. 
— do mar, barbonne : poisson de mer. — ma- 
rinko ‚ sarmulet : poisson de mer. It. adj. et s. 


cheval de Barbarie. 
BansoLtra. V. Borboldia. 
Bannöneo. V. Barbadinko. 
° Bansorinua, 8. f. V. Borborinko. 


BARBUTE, 3. m. " mentonniere : partie d’un 
:n@ud, 
morceau de laine que les tondeurs lövent de 


casque qui courre le menton. Nope 


dessus les draps. 


Barsorina, s. f. barbotine : semence menue, 
chaude et amere; remede, poudre contre les 


vers. 


+ Bar2nozinno, s. m. dim. de Barbo. Bar- 
billon : petit barbeau (poisson). Barbes : ma- 
ladie de la langue des oiseaux, des chevauz, 


des beufs. 


Barsüpa, FR f. ancienne monnale d’argent 


portugaise, qualre sous & peu pres. 


Baasipo, A,adj. barbu : quia besucoup de 


barbe. (1. de bot.) Barbu , ariste. 
Bansuzino. V. Pdo-ferro. 
Binca, s. f. barquo: petit bateau. *Bac, ga- 


barre:: bateau plat qui sert & traverser les ri- 


viöres. — do norie,, la grande ourse , constella- 
von N. — de Charonie, (t. de poes.) nacelle 
dans laquelle les Ames passaient le Styx pour 
entzer en enler. — de Pedro, ( fig.) L'eglise. 
Sabor bem governar a sua —, ( fig. fam.) sa- 
voir bien oonduire sa barque; conduire, gou- 
verner une aflaire. — ira, (8. de 
mar.) galiote ä bombes, bombarde. 
tBancica,s. f. aug. de Barca. Grande bar- 
qu9; ponton. . 
Bancipa, 8. f. batelee, naveo: la charge 









BAR 


d’un bateau, d’ane gebarre.* Voyage, iraversse 
que fait un bateau sur une riviere d’unbord ä 
l’autre. 

BarcÄcEm,s. f. "naulage: ce qu’on paioä un 
batelier pour passer une riviere. 

BancanoLLA, 5. f. barearole: chanson ita- 
lienne des gondoliers ä Venise. 

Bäinca , s. f. chemise d’osier pour couvrir les 
vases de terre. V. Balsa. 

Barc£ıno, s. m. colui qui fait des barpas. 
V.ce nom. 

BancELonfz, a, adj. barcelonais : de Baroe- 
lone, qui appartient ä Barcelone. 

Biscua. V. Barca, 

RancHörz, s. m. dim. de Barco. 

* Bancıa. V. Barca. 

Bänco, s. m. * barque, bateau ä& quille: peti 
bateau qui sert sur mer et sur les rivieres. — 
costeiro,, cabotier, bätiment caboteur. — erw 
söiro,, batiment croiseur. — coberto ou de co. 
Berta, batiment ponts. — lado, bäti- 
ment dösempare. — da carreira, batiment de 
traverse, do voyage public; bateau de Passage. 
— velfiro, fin vollier. Governar o —, mener, 
conduire la barque (prop. et ig.). 

BancöLas, 2. f. pl. (1. de mar.) — das esco- 
ilhas, vassoles de l’&ooutille d’un vaissean. 

BARCOLONcO. V. Galiota. 

ärDA,s. f. barde: armure en lames sur le 

poitrail , les flancs et la croupe du cheval. 
Tranche de lard mince, sur une volaille. *Cha- 
peron demur fait deronces ow de paillecimentse 
avec de la terre et des pierres; haie d’epines. 
* Houssage : fermeture d’un moulin ä vent. (g.) 
* Monceau, pile, tss. Em— , ade. pop. on as, 
en grande quantite. 

t Banpicna, s. m. bardache : sodomite, qui 
se livre au giton. 

Barpino,A,p.p. de Bardar. 

Banpina, 8. f. (1.de bot.) bardane ‚ Blou- 
teron, herbe aux teigneux, herbeaux Punaises, 
tignon ; napolier, lapourdier. — menor, lam- 
pourde, pelit glouteron , glaiteron ; petite ban- 
dane, grapelles. 

Banpan, v. a. barder: armer, couvrfir (um 
cheval)de bardes. Couvrir les murs des jardi 
des vergers , etc. , avec des ronces ‚de la paille 
cimentöe avec de la terre ‚pour les conserver. 
Clore de haies vives un jardin, un champ, ete. 

+ Barpito, s. m. bardit: chant de guerre des 
Germains. 

Barno, 3. m. V. Barda. it. Barde, poßte eg 
pretre gaulois ou celte, qui chantait les heros, 
etc. Parc, clöture faite de claies, od !’on en- 
ferme les moutons en ete, quand ils couchens 
dans les champs. 

T Banbococdııo, 8. m. sorio de manieau 
d’eioffe grossiere , avec un capuchon. 

Barkıa. V. Vareja. 

* Barera. V, Barreie. 

* Barca. V. Palhoga. 

Bancapa. V. Bragada. 

BARGANHA , 8. f. ((t. fam.) *&change, tror. 

Barcaxuar. V. Trocar, Negocier. 





BAR 


BaRGANTACO, 3. m. aug. de 

BancasTE, adj. 2 gen. et m. vagabond , li- 
bertin,, vaurien ; coquin ; effronte, impudent, 

‚polisson ; brigand. 

BaasasTEAD0O, A,P. pP. de 

BARGANTEÄR, 0. #. vivre en libertin, mener 
une vie dissolue. 

Bazcastreria, s. f. infamie, coquinerie; li- 
bertinage,, d&bauche. it. V. Velhacaria. 

+Bunczıac, s. m. (1. d’hist. nat.) bergelach : 
eisesu de la Tartarie. 

Barcusıno. V. Fargueiro. 

Bancviıma. V. Braguilka. 

+ Bauıchrz, s. m. baricot : fruit et boisson 
de 


Bazııma. V. Gramdia. 

"Barnim. V. Burll. 

Baaınäı, s. m. ancien petit vaisseau de la 
Siöditerrande 


+Bizıo,s. m. (1. de chim.) base metallique 
de la baryte. 
Barırow. V. Berylono. 

Bougelie, havresac : sac 
de euir od l’on porte des 
effets sur le dos en 
voyageant & pied. 

BARLAVENTEÄADO , A, 9. p. do Barlaventedr. 

BaRLAVENTEADOR,, A, adj. Navio—, (. de 
mer.) qui prend le dessus du vent, qui gagne 
bien le vent ( vaisseau). 

BanLAVESTEÄAR,, o. n. (. de mar.) gagner le 
weat; slier au vent. Il est aussi r&ciproque. 

BıaLav£uto, s. m. (tl. de mar.) le cöte, le 
dessus du vent ; lieu , point d’od souffle le vent. 

li se dit relaiivement & la position des vais- 

BEIUX SUF Mer. 0—, prendre le dessus 

du vent, gagner le vent. A —, au vent. De—, 

du vent. 

+ Baxızais,s. f. (8. de'bot., barleria: plante 
de l’Azıerique. 

Barıtre. V. Variete. 

BasLovenrzin „etc. V. Barlaventsar, eio. 

Bannuasira, s. m. barnabite :'clerc regulier 
de Seint-Paul. 

+ Bannacız, 5. m. (l. d’hist. nal.) barnache: 
sie de mer, oie de passage. 

"BaaseciL, s. m. ancien vase pour les li- 


BausoL£Ta, ou 
BansuLtra,s.f. 


guides. 
Baroäno, s. m. dignits, litre de baron; ba- 
.V. Baronia. 

“Banolı. V. Veromil. 

* Baseı. V. Bolor. 

Banoutraıco, A, adj. barometrique : du ba- 
romttre. 

Bauömerno, s. m. (1. de pAys.) baromtßtre : 
instrument qui marque la pesanteur de l’air et 
indique par Iä les variations atmospheriqucs. 

T Banosurrnöcaarno, 3.m. (l. de phys.) ba- 
remötrographe : baromötre adaptö & une pen- 
dule avec crayon, qui marque les hauteurs du 
mercere. 

t Banouzraocnarmia, 5. f. baromeirogra- 
pie : art d’observrer l’atınosphere A l’aide du 
beromtire ; description du baromötre, 


BAR 189 


t Barontrz, s. m. baronnet : diguitd, en An- 
gleterre, entre te baron et le chevalier. 

Basontza, 5. m. baronne : la femme dus 
baron. 

Baronia, s. f. baronie : seigneurie et terre 
d’un baron. 

t Barosantwo, s. m. (1. de phys.) barosa- 
neme : machine pour connaitre la force de 
vent, sa pesanteur. 

t Barnoscörıo, s. m. baroscope , barometze. 

Barqu£ıro, s. m. batelier, passeur : cold 
qui conduit un bac, un batelet. Maitre, patrom 
d’une barque,, d’an bateau. 

Bargqussäno, A,p. p. de 

BARQUEJAR,, ©. a. conduire, transporter dans 
une barque. v.». aller et venir sur une bar- 
que, la conduire gä et la. 

Barquera, s. f. dim. de Barca. Petite 
barque. 

+ Barqufte, s.m. dim. de Barco.* Chaloupe, 
esquif, petit bätiment l&ger. 

BunquiLua, s. f. (t.de mar.)"bateau de loch: 
triangle de bois jets A la mer avec une ficelle 
pour mesurer la vitesse d’un vaisseau. Deitar 
& — , jeter le lok. Carritel da —, four de lok. 

Barguinua, s. f. dim. de Barca. Petite bar- 
que; bachot; petit bac. Zt. V. Barquilha. 

Barqrinuo,s. m. dim. de Barco. Petit ba- 
teau. 

Binra,s. f. barre: pidce de fer, de bois, eie., 


longue et ötroite. * Lingot:: masse de metal qul 


n’est pas mis en @uvre. Barre: banc de sable 
qui barre une riviöre ou un port; enirde d’um 
port, embouchure. "Bord d’une robe, d’une 
jupe, bordure, bande. *Bois de lit; grabat. (1.de 
blas.) —, piece de l’&cu, trait perpendiculaire 
ou transversal. Sorte de jeu, qui consiste & 
jeter une barre de fer au loin. De — a barra, 
de part en part, d’un bout & l’autre. Jogar ou 
atirar d —, jeter la barre, lancer la barre. 
(fig.) Faire des efforts d’esprit. Deilar « — 
mais adiante que oulro, (fig.) s’avantager & 
queiqu’un, le surpasser. Estirar a— , ( fig.) 
faire de grands efforts pour obtenir queique 
chose. Bärras, pl. les planches d’un lit. Barres: 
on appelle ainsi les limites du jeu de l’anneau. 
—s do cabrestante, (4. de mar.) barres du 
cabestan. — de moldura, file. — do rosto, 
echauboulures qui viennent & la figure de celus 
qui commence ä se raser. 

Barnica,s. f. tente, pavillon, baraque; ca- 
bane , chbaumiere, hulte; maison de peu de va- 
leur. 

BArRACHEL, 8. m. chef de sbires. 

Bannino,A,p.p. de Barrar, et adj. barr® 
qui a des barres, des bandes, en parlant d’une 
robe, jupe, £tc., ou de !’ecu. 

BARRAGANA. 

Banracäo. | V. Barreg... 

+ Banriı, s. m. terrain argileux, gras, 

+ BaAnRAMAQUE, 8. m. ancienne &tolfe riche, 
dont les ev&ques faisalent lours vetements 
pontiflcaux. 

Bansamtına. V. Ribsmeire. 


19p BAR 


Barninco,s.m. ravin, fondriäpe : lieu cav6 | 


par tes eaux de pluie; precipice, chemin creux 
et profond. ( fig.) Obstacle , emp£chement, dif- 
NAcalıe, embarras; precipice. Consequir uma 
cousa por (rancos e —s, obtenir une chose par 
des moyens difficiles et extraordinaires. 

BanrıancösOo, A, adj. creux,, creuse, plein de 
erevasses, d6 [ondriercs, en parlant d’un ter- 
rain. ( fg.) Plein de difficultes, d’abstacles. 

Bannınniö. V. Alguidarinho, 

Barniö,s.m. V. Yarräo. 

Barraquin,s.m.,et | dim. de Barrace. 

Burnagrinua, s. f. Petite baraque. 

BaRRäR,o.a. enduiro de terre grasse, luter. 
dt. Fondre le metal en lingots. Meltre des roues 
Gans des japes; des barres dans l’&eu. Etendre 
du beurre sur des tranches de pain. 

” Barnirıo. V. Bairrista. 

* Banrıza. V. Baraca, Corda. 

RAnREDOR. 

Banneöuna. | V, Varred..., etc. 

BAnREDUÜRA, 

BanneEck ou BanREcAN, 8, f. femme entre- 
Wenue : concubine qui deıneureit dans la mai- 
son de l’entreteneur. Anciennement, en Espa- 
gne, cC’elait : [cmıne marige qui ne jouissait pas 
des droils civils. 

" BARREGANENTO. V, Barreguice. 

Bunrecäna, s. f. "bouracan : &ioffe, sorte de 
gros camelot. 

Barreciö, 5. m. V. Amancebado. It. ami. 
compagnon. Celibataire,, garcon. 

Barrecär. V, Berregär. 

Barrecugına. V. Barregd. 

Barrect£ıro, V, Amancebado. 

BarrEcvice, V. Mancebia, Coneubindio. 

Baunfına, s. f. barriere: pieco de bois pour 
fermer un passage ; pieux enfonees en terre et 
garnis de traverses pour fermer le passage; 
porte do ville od se paient les entrees; en- 
ceintes pour les tournois, joutes, elc.; tout ce 
qui sert de borne ou de delcnse Iransversale- 
ment. Barricade. V. Estacada. (fig.) *Obstacle; 
borne; delense ; empächement.* Blanc, but oü 
Yon tire, qu’on plagait auirefois dans les pa- 
lissades des lorteressos. Meller cira em —, 
Irapper, atteindre au but. Ficar mais em —, 
&tre plus A decouvert. plus expose. Sallar as 
—s, franchir les barridres, au propro et au f- 
gure. Tirar alguem d --, delier quelqu’un, 
le forcer & montrer son savoir-[aire. Bar- 
Teiras , SUTMESUrc. 

BARREIRADO, A, adj. qui a des harridres. 
p. p. da 

BARREIBAR, v. a. faire, melire des barriäres. 

Banakıro,s. m. *glaisiere : lieu d’oü l’on tire 
de la glaise pour la poterie ei pour d’autres 
usages. 

° Banresän. V. Incadir, Espiar. 

Banntıa, s. f. lessive : eau chaude que l'on 
verse sur du linge couvert d'un lit de cendre. 
Eau rendue delersive par quelque ingredient, 
(Rg.) * Savon, savonnade, reprimande. 

BARnELLIRO, s. zu. lacendre dont on fait ja 


BAR 


lessive. Chaftier : grosse talle pour les eumdres 
dans le cuvier ; ce cuvier, 

*BARBENBÄÖ, s. m. bassin,, terrine: vaisseau 
de terre destine aux ugages domesüiques. 

BARRENTO, A, adj. argileux, gras, glaiseux. 

BanrEr, eic. V. Varrer, eic. 

Barr£ra. V. Barrete, Casquete. 

BarasTana, 8. f. bonnelade: salut, reve- 
rence, coup de bonnel; courtoisie avec }e 
bonnet. 

* Banrerir. V. Barrejar. 

BAnrBte, s. m. bonnet : vötement de tBte 
rond ou carrö sans rebords ; lout oe qui couvre 
ia partie superieure de la tie. (EL. de fort.) 
*Bonnelte: ouvrage compose de deux faces qui 
forment un angle saillant avec un parapet et 
une palissade au devant. — de cardeal,, la bar- 
reite. — de malka, espece de casque ancien. 
— de dormir, bonnet de nuil, serre-ile. 
Homem de muilos —s , bonneteur. 

BARRETEIRO, s. m. bonnetier : merehand, 
faiseur de bonnets. 

Banaerina,s. f. "schako: coiffure militaire 
de la cavalerie lcgäre et dos fantassins. 

BARRETINBO, s. m. dim. de Barrete. 

Barrica, s. f. barrique, tonne, boucaut: 
sorte de gros tonneau; fulallie. —s ou jarvas 
d’agua, (t. de mar.) * cherniers. 

Banrıcipa, 8. f. barricade. It. V. Estacada. 

Bannıckr. V. Embarriedr. 

* Barrıtra, s. f. peigne garni de pierreries. 

BARRica ‚s. f. * ventre, bas-ventre, abdomen. 
Grossesse ; porise. (fig.) Panse, bosse,, renfle- 
ment; grosseur ou capacit6 d’un ionneau, d’un 
vase.—da perna,'mollet: legras de la jambe. 
Fazer uma par&de— , faire le ventre. On le dis 
d’une muraille qui bombe, se dejete en de- 
hors et menace ruine. Eslar, achar-se com & 
—d bocca, ou ler a — d boeca, avoit le venire 
aux dents : @tre pres d’accoucher, #tre grosse 
a pleine ceinture. 

Banrıcina, 8. f. panse pleine, creveliile, 
franche-lippee. 

Barnıckö, s.m.aug. de Barriga, bedaine, 
panse. It. adj, V. Barrigudo. 

Banrıcino, A,adj. pansu , gros bedon, ven- 
tru : quia un gros ventre. 

BAnRıcrinHa, 8. f. dim. de Barriga, it. &- 
pece de poisson des rivieres du Cuama, Te” 
semblant au hareng. 

BarkiL, s. m. baril, füt, petit tonnean: vals- 
seau de hois destine A garder et & Iransporter 
des liquides. Barris de fogo, pl. (tl. de mar.) 
barriques & feu, pots ä feu, baril ardent, baril 
foudroyant. — com booca de coiro ,(it.) banil & 
bourse. 

BarsıLEre, s. m. dim. de Berril, berillet. 
(. de menwis.) valet: instrument de fer en 
forme de 7, quisert aux mer ıisiers & tenir lo 
bois sur Y’etabli. (4. d’horl.) Barillet : ambour 
du gcand ressort, sur Inquel se roule la ehalne. 
(1. d’anat,) —,cavikh derrierse je tambeur de 


‚Yoreille. 


FEDER | 


BAS 


Banniıma, s. /. *kali: plante dont !es cendres 
dsıimsur 60 1a sonde. 

Baansixzo , s. m. dim. de Barril ‚ plus petit 
que berröäßte. Bariquean ; barilion. 

Baauiuma ‚s. f. dim. de Barra. 

"Bannisco ou Bonatson ‚adv, A—, abondam- 
ment, en grande sbendauce, k foison. 

Banairo, s. m. dim.deo 

Baano, s. m. "argile, lorre glaise, terre A 
petige ; fIimen , bone, crotie. Il. ant. habitation 
rustique. Lancar — d parede, (loc. prov.) faire 
ses rn ‚ smettre tout cn @uvre pour 
reuseir. 


Bannos, #.. pl. “schauboulures , bontons : 
petites #levares rouges qui viennent sur la 
pean, pusticuliörement au visage.* Tumeurs gui 
visunent aux vaches. 

Baandcs, 5. f. ravine que font les eaux im- 

‚fosse, creuz ; glaisiere. 

anocäı ,s®. m, serie de ravines. 

BOCO „I... use: perle informe ; petit 
beruque: pe p 


Bannöso, a,adj. V. Barrento. It. qui a la 
Sgare couverte d’6ohaubeulures, de bouions, 

Basaowäno, a,9.9.de 

Banzorän,v. a. poser des solires. it. V. Abar- 


BarköTE, 8. m. petite poutre, solive; soli- 
vese. 

geaaovisno, & m. dim. de Barröfe. 

AREFÄR. 

amirdı | V. Borrif... etc. 

Basauntin. V. Suspeildr. 

Bunaösro. V. Conjectüra, Suspeila. 

Binsa. V. Barca, Balsa. 

Bartınöcao, 8. m. (l. de mar.) ecope ou es- 
cope, gueridon: pelile pelle creuse pour vider 
sa mouiller je navire. 

* Bareir. V. Varonil. 

Baatı5i00, 4,2. 7. de 

tBancıeiz, v. a. embrouiller:confondre, 
weite en desordre. V. Enreddr. II est aussi 
Tec. e. 

Bırcımo, 5. m. *bagarre: tumulte, bruit, 
querelle brayante de plusieurs personnes; 
eohze tumultueusc. 

TBaxörd, s. m. (1. d’hist. nal.) barouton : 
isurterelle de Cayenne. 

Baarrzs, s. f. (1. de chim.) baryte : oxyde de 

am „ eonsider6 autrefois comme l’une des 
sept lesres primillves; terre pesante, alcaline; 
terre de spaih pesant; la plus pesanie des bases 
sslifiables,, lerreuses et alcalines. 

tT Baay'tono, s. m. (f. de mus.) baryton: 
Woix entre ia taille er la basse-taille ; espece de 
hasse de riole que l’on Louche avec un archet 
& les deigis en meıne temps. 

Bassı,s. on. (6. de bot.) basal ow basaal : 
ste loujours vert du Malabar. 

BasäLrz ou BasäLro, s. m. (f. de min.) ha- 
ale  soste de marbre noir, fusible; lave Irds- 


[Rasluruco, a, adj. de basalte, 
Y, Baar, 


BAS 191 


‚Baspägus, s.m. (1. fam.) badand,, nigaud, 
niais, 

Bassagvice,, s. f. badauderie; badaudage, 

Basco. V. Bascon gado. 

BascoLksan ‚etc. V. Vascolejar. 

Bısconcano, s.m. Basque: le natif de la Bis- 
caye. 

+ Basconco ou } Basconade, Basque : lan- 

BASCUENCE,s.m. $_ gue basque. 

Bise, s. f. base. Il a lcs m&mes acceptions 
dans les deux langues. 

BasıLir, adj. 2 gen. (f. d’anat.) basilaire. On 
le dit de l!’os de la 1&te qui occupe la partie su- 
perieure de la bouche. Arteria, vela—, basi- 
laire:artäre, apophyse de la tele. (f. de bot.)—: 
de la base, tout ce qui est fixe. 

tBasıLka, s. f. (8. de geogr.) Bäle : ville et 
canton de Suisse. 

BasiLıca, s. f. basilique : ternple en carr& long 
termine en demi-cercle par une de ses extr&- 
mites ; eglise royale;; eglise principale; ancien- 
nement palais, maison royale. (ant.) Veine de 
la partie intericure du bras. . 

Rasırıciö, s. m. (1. de pharm.) basilicon : 
onguent suppuraiif. (4. de bol.) V. Alfavaca. 

BasıLıcirıo, A, adj. basilicaire: pretre qeai 
assiste le pape ou l’ev&que A la messe. 

BasiLicos, AS, adj. pl. basiliques, (livres, 
lois romaines) de l’empereur Basile. 

f BasınıpıÄnos, s. m. pl. sectaires de Basi- 
lides, her&tiques du 2* siecle. 

+ BastLiense, adj. 2 gen. ets. quiappartiient 
ä la ville oucanton de Bäle. 

Basırisco, s. m. basilie : serpent fabuleux 
qui, selon !’opinion populaire, tue par son re- 
gard.Lezardä cr&tcen eventail.—,ancien canon 
de gros calibre et tr&s-long. (f. de dot.) V. Al- 
faraca. 

Basiw, s. m. toile de coton des Indes. 

+ BasıocLosso, adj.m.(t. d’anat.) Musculo 
— ‚basioglosse : muscle abaisseurde la langue. 

Basıs. V. Base. , 

Bısörıa, etc. V. Bazofla, elc. 

f Bassanko, adj. ım.(t. de myth.) &pithöte 
de Bacchus.. 

Bassanınes.V. Bacchanfes. 

Basso. ( f. demus.)V. Baizo. 

Bassouna. V. Yassoura. 

BAsTA,s. f. "points, pigüres que Pon fait de 
distance en distance & un matelas pour y rei®- 
nir la laine. . 

7 Bista! inter). et adr. assez! d’est assez, 

Bastanca. V. Abastanga. 

Bıstante,p.a. de Bastdr, adj. 2 gen. suf- 
sant, bastanı. — bem, passablement, assez 
bien. il. adv. Assez,, suffisamment. Mais que—, 
plus qu'il n’en fallait. 

BASTANTEMENTE , adv. suffisamment, assez. 

BasTanTissımo, A, adj. sup. de Bastanle. 

Bastiö, s. m. bäton, canne: morceau de 
bois long et rond, termine d’un bout par me 
pomme, et de l’autre par une garniture de m&% 
tal. Il sert principalement pour s’appuyer. Bi- 
ton de oommandement, canne que portent Jos 





192 BAS 


militaires comme une marque de distinction 
de leur grade. (Ag.) Commandement, aulorite, 
specialement dans la hiörarchie militaire. —de 
maorschal (de Frangs) , bAton : bois cylindri- 
que , court, sculpis et peint, marque distinc- 
tive d’un marechal de France. Meiter o—, (fig-) 
terminer, finir un döbat, se meler dans une 
dispute. Langer 0 — no meio, s6parer les com- 
batiants , les contendantis. 

Bastian, v. ». sufüre, &tre assez. (g.) Avoir 
de la capacit#, des moyens pour faire queique 
chose. Basta! assez! c’est assez.—de palavras, 
c’est assez dit. Baslaos para isto..., il ne fal- 
lsit pour cela que... Isto baslavs pare..., c’en 
&tait assez pour... 

Bastanpeip0,A,P.p. de 

BastanDEin, vo. w. abätardir, s’abätardir, 
degenerer, en parlant de la conduite, de Y’orı- 
sine de quelqu’un. 

Bastanpia, s. f. bätardise : &lat, qualild de 
batard ; descendance par bätardise. 

Bastanpissımo,, A,adj. sup. de 

Bastäapo,, a, adj. abätardi : qui degendte 
de sa nature, de son origine, de sen espece. 
En terme d’kist. nat., il est souvent rendu 
par fauz. Ex. : Acacia —a, laux acacia. Le- 
ira —a, bitarde : deriture entre la ronde et 
Pitalienne. Porta —a, porte bätarde : qui n’est 
ni pelite, ni cbarretidre. Artilkeria —a, piece 
d’artillerie de la troisitme classe. Lima —a, 
sorte de lime, lime douce. Sella —a, sorto de 
selle, qui n’est ni trop plate ni trop enfoncte. 

Bastäinpo, s. m. bätard : enfant ne hors du 
mariage lögitime. «s. Variete de raisin noir 
pröooce et tr&s-doux, morillon. 

BastEipo, A, p. p. de 

+ Bastzin, v. 0. piquer un matelas de dis- 
tance en distance pour y retenir la laine, la 
bourre ou le crin. 

Bastzczo6a, s.m. fournisseur, munitionnaire. 

Basteckr,, v. 6. avitailler, munir, pourvoir 
abondamment. Il est aussi reciproque. V. Abas- 
iscer, eit. 

Bastecioo,, A, p. p-. de Bastechr. 

BasTEcıutuTo, s. m. ° provision : amas de 
choses n&cessaires pour la subsistance d’une 
ville, d’une place, d’une arınee; avitaillement, 
peovision de vivres et de munitions. 

Basrıiö,s. m. bastion. V. Baluarte. 

Bastina, s. f. * palis, palissade, reiranche- 
ment. ° Mantelet : ancienne machine de siege 
od le soldat &tait A convert. 

Busrıwid, s. f. $paisseur d’une fordt, etc. 

Bastino, A, adj. brode dans le melier ä 
broder. Ouate. V. Acolchoado. it. V. Basto, 


Bastıpon, s.m. metier A broder. * Coulisse de 
theätre : volet qui va et vient dans ses rainures 
pour faire jouer les decorations. 

Bastiuua, s. f. bastille : chAteau fort , Dan- 
que& de tours; prison. 

* Bastıınid. V. Basiido. 

Bastıu&nto. V. Baslocimdnto,. 

Bastissiuo, A, adj. sug, da 


BAT 


Bistro, a, edj. öpais, condenst, dra , teufle, 
sertd. (Ag.) Copleuz; nembreux ; abendemi. 
Folhas —as,, (t. de bot.) feuilles entasades. 

Bisto,s. m. l’as de tröfle da jeu do cartes. 

Bastonipa, s. f. coup.de häten. Falsea: 
bastonnade que les Algeriens donnaient aux 
captifs sur la plante des pieds. 

Bastonipo, 4,9. p. de 

Bastonir, 0. s. basionner : donner la has- 
tonnade; bätonner. 

* Bastoninıo, s. m. bätennier. V. Bedil. 


Bastüna. V. Bastidäo, Erpesshre, 
+Bira, s. f. robe dochambre. --assichsnde, 
douillette : robe ouatse. 


Bariıma, s. f. bataille, oomıbat. (amf.) Le 
centre d’une arınde , le corps de bataille; divi- 
sion, corps d’armee. (fg.) Agitation, inguid- 
tude. —, jeu de cartes entre deux. — campsl, 
bataille rangse. Exereito formado em — ,at- 
möe rangee en bataille, en forme de bataille. 
Apresentar —, livrer bataille. Toocar dbetalhe, 
sonner la charge. 

* BaraLnipo, 4,9.9.do Befalkar.. 

BATALHADOR,, 5. m. guerrier, combeitamt, 
homme de guerre, batallleur : surnem qu’an 
donnait &ceux qui avalent livrö plusieurs be- 
tailles. 

BATALEANTE, adj. p. a. de Balalher. 

BaraLniö, s. m. bataillon : oorpe de tzoupe 
d’infanterie de 5 A 700 hommes environ. 

BataLnia (com), v. ». batsiller : donner ba- 
tsille; combattre, se batıre, en veniraux meins. 
(Ag.) Contester fort, disputer contre quolqu’un ; 
lutter contre le sort, ete. 

Bariö, s. m. pas de danse (jet6 battu). 

Batiapa. V. Abeldrde, 

Batania. V. Baterie. 

Batannisa. V. Beierräbe. 

Bırira (ordindris), s. f. batate: sorte de 
racine feculente. — ingleze,, pomme de terre; 
morelle tabereuse. -— de purgs, le jalap. — de 
Brasil, topinambour. —doce ou das ülkas , pa- 
tate,, racine d’une espece de liseren. 

Barırina, s. f. conßture de patates. 

+ Barartıra, s. f. batate ou patate : Ba 
plante qui donne les pommes de terre. 

+ Burartıriı, s. m. lieu plante de batateg, 

Barırinna,s. f. dim. de Balata. 

+ Barivıa, 8. f. (1. de geog.) Batavie : nom 
ancien qu’avaient les Provinces-Unies de Hol- 
lande. Batavia : ville d’Asie dans l’ile de Java. 

+Biruvo, a, adj. et s. Batave, Hollandais : 
de la Batavie, de la Hollande. _ 

Barta,s.f.V. . Au Bresil,, c’est un 
vaisseau en forme d’entonnoir, qui sert & lever 
la terre qui contient des particules d’or. 

BıTEino, 8. f. co que peut contenir une bs- 
4a. V. ce nom. 

BATEiDO,A,9.p. de . 

Bırzia,v. a. laver dans une Batda. V. cs 
nom. 

° Barkca, s. f. esptce de courge. ii. Pastöquwe. 

Barach, s.m. (1. pop.) chuts au dezriäre. 


BAT 


Barenon , s. m. batlsur:: colui qui [rappe, 
gi aime & battro. Traqueur : l’homme employ6 

traquer, ä balire, ä cerner les beies fauves 
pour les faire passer sous le coup des chas- 
seurs. Batteur d’estrade , 6claireur : homme de- 
ische pour aller explorer les routes et les 
campagnes, pour s’assurer de la position de 
fennemi; guide. Garde du corps qui preocdde 
le carrosse du roi. — de modda, monnayeur ı 
qui frappe, qui bat la monnaie. — d’ouro , bat- 


teur d’Or : ouvrier qui passe les flleis d’or sur | ( 


le moulin pour les aplatir. 

Batssörao, s. m. “aire, lieu od Yon bat 
quelgue chose. 

Barzudnı, s. f. "battement: l’action de 
battre;, palpitation ; choc. *Batlage. 

Barersıma,, s. m. balleur d’or ou d’argent. 
Ourrier qui travaille au laminoir, qui &cache 
au moulin,, qui lamine un mötal quelconque ; 
tracheur. 

Birzrca, 3. f. cuveite, bassin, grand plat 
ereuz ; grand verre ou tasse pour boire. — d’a- 
gus, pluie battante. 

Bargına , s. f. grande barque : bateau de ri- 
viere. 

Battı, s. m. bateau, chaloupe, esquil, ca- 
not, petit bAtiment pour naviguer sur les ri- 
vieres. 

Barzıipa, s. f. batel6e : charge d’un bateau. 

Barzıiö, s. m. aug. de Batei, grand ba- 
leau,, grosse barque. . 

BıreLkıRo, s. m. bateller : qui eonduit un 
beteau.dim. de Batlel, petit bateau, batelet. 

Bartuıe, adj. 2 gen. et p. a. de Bater, bat- 
aut: qui bat. 

Bartıte, s. m. *feuillure, entaillure dans 
laquelle les portes et les fenetres s’enloncent, 
et contre laquelle les battanis frappent quand 
on les ferme. Baltant : chacun des deux cOl#s 
d’une porie qui s’ouvre en deux. Bande de hois 
garnie de drap qu’on met sur les TaTRauS gun 
fort#-piano r les arr&ter et modifier la v 
bration des Cordes. Batentes das portinkholas, 
(.de mar.) seuillets de Jabords. —s inferio- 
res, senillets d’en bas. —s superioros, seuilleis 
d’em haut. 

Barta ‚v. a. batire, frapper, taper, donner 
des coups; canonner. —, remuer une chose 
pour la condenser, pour la rendre homogäne 
ou pour ia dissoudre. Corroyer le fer, la terre 
glaise, 16 sable, dans le sens de battre, petrir, 
broyer. Il est aussi neutre. — o campo, baltre 
Vestrade , battre la campagne : courir de gä ot 
de lä pour avoir des nourelles de ’ennemi. —o 
maeio, traquer : enlourer un bois ot faire une 
battue. — folka , battre un metal, le laminer, 
le röduire en lames. — a muralha ou a praga, 
battre ane forteresse , une place forte : tirer sur 
elies avec de Partillerie. — mofda, moßnayer : 
Ira ‚battre monnaie. — as azas, haltre de 
Yaile , en parlant des oiseaux. — 0 leite, barat- 
ter :batire le lait dansune baratte pour faire du 
beurre. — ovos ou nala ‚fouetter les aufs ou Je 
ka creme pour les faire mousser, — 08 ilhaes, 

. PORT.-FR, 


BAT 193 


Jonner des coups d’speron dans les flancs 
dun cheval pour „animer & la course. —d 
poris, Irapper & la ports. — 0 queizo ou os 
denles, irenbler de froid, faire oraquer ses 
denis. — o panno, (1.de mar.) barbeyer, fa- 
sior. —com as mdos, battre des maius, applau- 
dir. = nos peilos, so [rapper la poltrine. 

Barta-sz, 0. r. so battre ; combattre. 

Barzaia, s. f. batterie : plusieurs canons 
reunis et places pour tirer; le liou od ils sont. 
t. de mar.) —, assemblage de canons placds 
de l’avant ä P’arriere des deux cöt4s du vais- 
seau ; l’assemblage des instruments et des ou- 
iils de quelque melier; ustensiles de cuisine en 
cuivre,, batterie de cuisine. — ‚l’actlion et l’elfet 
de battre; deöcharge; coups de canon 'ä la fois; 
combat avec des armes de jet. (4g.) V. Acom- 
meilimento, tt. Batterie :moyens employ6s aveo 
importunit6 pour r&ussir dans une affaire, 
pour- obtenir quelgue chose. (id.) Chose qui 
fait une grande Impression , qui trouble, qui 
consterne. Primeira — ou — dacoberia, (1. de 
mar.) la premiere batterie. — do conoes, la 
deuxidöme batterie d’un vaisseau & deux ponis, 
ou la troisiäme d’un vaissoau ä trois ponts. — 
da tolda e castello de pröa, batterie de gall- 
lards. — afogdda, hatterie noyde. Ficar mais 
em —, iro plus expos® aux coups de canon. 

Barrsinna, 8. f. (£. burl.) coup au menton. 
(fg.) Reprimande, debats,, altercation, dis- 
pute. 

Birica, V. Balega. 

Bartiva, s. f. battue, traque, chasse cia- 
meuse : chasseurs qui battent les bois pour en 
faire sortir le gibier, qui l’entourent; leur ac- 
tion. (f.de mil.) L’action de baltre Jacampagneo. 

Barivo,A,p.p. de Baler, adj. battu, Iray6, 
en parlant des chemins ; defait, en parlant 
d’une arm&s, de l’ennemi. Rota —e, en droi= 
ture, sans relächer, en parlant d’un valsseau. 

Baripuna. V. Batedura. 

Barınento. V. Embäte. 

Barina, s. f. soutane : Irabit long des pr6- 
tres, etc. Andar de —, porter la soutane. 

+ Barıs , s. m. (1. de bot.) batis : arbustod’A- 
merique, dont les fleurs n’ont ni calico ni co- 
rolle. 

Barisuo, etc. V. Baptismo, etc. 

Barista. V. Cambräia. 

BiTo,s.m. sorte de jeu d’enfanis. 

BaT0ocin0,A,Pp.p. de Balocar. 

Batocia, v. a. bondonner : boucher avec un 
bondon. 

Baröque, s.m. "bonde d’une futaille, bon- 
don : bouchon de hois ou de liege qui ferme la 
bonde. 

+ BAtoouzs, pl. (1. de mar.) cherilles dcs 
haubans. 

BarTongıLna, 8. m. (. burl.) V. Basbaque, 
Ameirdo. 

+ Barnachitzs, 8. f. batrachite : pierre verte, 
creuse, repr&sentapt dans le milien un eil; 
pretendu specilique contre les venins. 

+ BATnACHOMYONACHIA, 5. f. batzachomyo- 





194 BEA 


machie : combat des grenouilles et des rals, 
po&me burlesque d’Homere. 

+Barnäcıos, s. m. (t. d’kist. nat.) batre- 
eiens, quatrieme ordre des reptiles (la gre- 
nouille, le crapaud, etc.). 

+Birtnaco, s. m. (4. de mdd.) batracus : fu- 
meur inflammatoire qui vient sur la langue. 

BıtroLocia ,s. f- ($. de gram.\ bauologle : 
röp6tition inutile; redondance. 

Batucivo, A, 2. 9. de 

+Buıtccha, ©. m. (4. fam.) [rapper, laper 
ssuven!. 

*Baröpo. V. Batido. 

+ Baröta,s. f. (1. de mus.) bäton de mesure, 
sorte de bagustie courte dont un chef d’or- 
chestre se sert pour indiquer la mesure & ceux 
qui executent sous sa direction. 

BAUNILEA. V, Baonilka. 

AUTISMO. . 

Bavrızan, eic. } v, Bopti...  ) etc. 

.* Bauzzan. V. Balanpar. 

Rivano, A,adj. eis. bavarois : de Baridre. 

Bavkına. V. Babeira. 

Rıxi.V. BHacha. 

+Baxina, s. m. (i.de bot.) bexans : arbre 
de !’Inde; fournit un antidote contre le poison; 
son ombre est mortelle. 


Bazar ,eio. 
V. Baiz..., eio. 


Bax£ı. 

BıxgLua. 

Barancı. V. Quebräda. 

Barnald. | V. Bai..., etc. 

+Barac, s. m. bazac: coton fild trös-An, 
qui vient de Syrie ; tolle du m&me colon. 

Bızin,s. m. bazar : cloitre A coupoles seor- 
vant de marche public; lieu oü l’on enferme 
les esclaves en Orient. En France et en Angle- 
terre: lieu d’exposition ot de vente d’objeis 
d’art ei d’industrie. 

Bazir,s. m. ou adj. f. Pddra —, bezoard : 
(pierre de —) ow caloul animal, concreuon 
pierreuse dens le corps de ceriains animauz. 

I y en a plusieurs especes. 

Bazanüco ,s. m. basse monnaie de l’lade, 

Bızoin. V. Bazar (pedra). 

Bızörıa, s. f. jactance, forfanterie. if. *Grail- 
lon, regrat : les resies ramasses d'un repas. 

Bızorıivo,A,p.p. de 

Bazorlir, 9.9. se vanter, faire le glorieux. 

Bazörı0o , s.m. fanfaron, glorieux. 

BazuLiguz. V. Baduldque. 

RoELLıo, s. m. bdellium: arbre des Indes, 
d’Arabie. —, sa gomme pour la toux, je pou- 
mon. 

B£, cri d’une brebis qui bele. 

B£ , s. m. nom du b en portugais. 

Bzita, s. f. femme pieuse ; femme b&sufide 

le saint pontife. Bigote, cagole, beguine, 
ausse devote. Nonne, nonnetie. Ce mot se 
prend le plus souvent en mauvaise part. 

Beitiö, 5. m. aug. de Bedio,cugot, faux 
@övot, hypocrite. 

Beatania. V. Beatice. 


Bzartıno , A, e. bigot,, qui fröquente les de- 
votes, cagot. 

Beatinıo. V. Beatice. il. Recolkimenio. 

BEATICK , 8. f. bigolerie, pruderis, cagolerie; 
Jevotion outree,. 

Bearıricackö, 8. f. bealißcation ; acle par 
lequel le pape , apres la mort d'une personne, 
dsclaro qu'elie est au nombre des bienbou- 
rous. 

Beatırıcioo, A,p. p. de Beatificar. 

Bzarırıcanor,, &. m. celui qui beatifle. 

+ BEATIFICAMENTE, adv. (1. de Ihol.) & la 
manidre des bienheureux. 

Beartıricir,, v. a. beatifier : melire sur le ca- 
talogus des bienheurenz; rendre heureux. Il 
est aussi r&ciproque. 

BeaTirico, a ‚ adj. beatifique : qui rend bien- 
heureux. 

BeatiLua, s. f. tolle de lin tr&s-fine et Irds- 
claire.” Bonnet, coiffe de religieuse,de paysanne. 

Beitissıno, A, adj. sup. de Bedio. —padre, 
trös-saint pere : litre qu’on donne au pape. 

+ Bearırung, s. f. beatitude; fälicits eter- 
nelle. V. Bemaventurange, Felicidads. 

Beito, A,s. bienheureux : qui Jouit de la 
beatitude eternelle. Beatiid. V. Beatifchdo. 
L’eglise catboligue donne ce lilre aux moris 
qui ne sont que beatifies. Devot. Bigot, caget, 
beat, fauz dörvot. Homme pieux, relire. 

Brarona, s. f. böguine: bigote, fausse de- 
vote. 

Bzarönno,s. m. V. Bealdo. 

Bzaraia. V. Behetria. 

B£sano, A, adj. soül, ivre, imbriaque ; qui 
a le cerveau trouble par les vapeurs du vin ou 
de quelque passion. Ivrogne : sujet & s’enivrer. 
On le dit de ceux qui ont l'esprit trouble par les 
passions, particulitrement par la colere ou l’a- 
mour. 

+Beszpeına, s. f. ivresse : &lat d’ane per- 
sonne ivre. 

BEBEDICR, &. f. "enivrement, ivresse: &iat 
d’une personne ivre. Ivrognerie : habitude ou 
aclion de s’enivrer. ( ig.) * Enthousiasme poeli- 
que ou des passions ; eyaltalion, delire. 

BEBEDINBO, #. m. dim. de Bebado. 

BEBEDOR ,A, 8, m. ou f. buveur : celui qui 
boit. On le dit ordinairement de celui qui boit 
beaucoup de vin. 

Besenöuno, #. m. abreuvoir : lieu oü V’on 
mene boire les animaux. Augel: vaso dans le- 
quel on donne & boire aux oiseaux et Ala vo- 
laille. Endroit ou les oiseaux vont boire. 

Bes£a, v. a. boire : avaler un liquide. (fg.) 
Absorber. — folgadamente, boire & son aise, 
tranquillement et avec plaisir. — @ vaso cheio, 
boire A rouge bord, & plein verre, boire rasade. 
— emroda, boire & la ronde.— 0 espirilo ou 
a douirina d’alguem, (fig.) se peneirer de l’es- _ 
prit de quelqu’un, sucer la doctrine , les prin- 
eipes de queiqu’un. — 0 ve @ ouirem; 
querer beber-Ihe o sangue , (fig.) dötester quel- 
qu’un au dernier point, vouloir se venger de 


lui. — as palavras, as acpdes de alguem, ne 





point perdre un mot de oe qu’uns personne 
dit, Pdcouter alienlivement, — 08 venlos por 
eigu6m, simer &perdument quelgqu’un; desi- 
ser ardemment possöder Vobjet aime. — om 
dremceo. On le dild’un cheval qui a le tour de la 
bouche blanc. — lagrimas, retenir, devorer les 
lerımes. — trabalkos,, &ire en butio aux coups 
de lafortune. Absorber. As terras seqwiosasbe- 
vom num slomo as aguas das chuvas, lesterres 
seches absorbent les eaux de la pluie. S’eten- 
dre, tenir un certain espace. Terras que vdo 
‚beber ao mar, region qui s’&iend jusqu’&a la 
mer 


"Bestazs, 5. m. pl. festins ou l’on holt beau- 
eoup. 
Bässaı, s. f. espece de figue hätive. 
Benenicem, 8. f. boisson, breuvage. 
Bassetına,s. f.* fguier qui porte les bederas. 
V, ce nom. 
Beuzafrz, 5. m. "r&union pour boire, ralrat- 
ß 


Bazuzaniö, Oma, s. m. ou f. buveur, biberon : 
gel alme & boire, qui bolt beaucoup ct long- 
temps , qui boit sec. 

Bassanäiz. V. Bebderrds. 

Beuzarica. V. Beberricadör. 

BeszanıciDo,A,p.p. de Beberricdr. 

BzuganIcADOR , 3. m. celui qui buvote. 

Benenatcin, v. a. buvoter, gobeloter, si- 
roter: boire souvent et & pelits coups. 

Bezznnonia, 3. f. ivrognerie; reunion d’i- 
vrognes. Ribote :exc&s dans lebolre, debauche 
proiongete. 

Busipa, s. f. boisson, breuvage : liqueur & 
koire, ce qu’on boit. Loge de bebldas, cafe: 
lieu public od l’on prend toutes sories de li- 
queurs fortss ou ralraichissantes. 

Buaino , a, p. p. de Beber. 

Becı, s. f. robe de magistrat, toge; robe 
longse que portentles &eoliers descollöges, ete. 
Anciennement o’&taient des bandeletles que por- 
talent les ecciesisstiques comme une margue 
de distinetion, et qui descendalent du cou 
jusqu’aux piods. (#g.) Place, emploi d’un ma- 
gistrat. Os becas,, m. pl. les gens de robe. 

+ Becı , 3. f. petit verre de vin que les j&- 
saites Gonnaltent & leurs novices convalescents. 

TBecasönca , 5. f. (f. de bot.) becabunga ow 

ı veronigue squalique; cresson & la 


veche. 
Bazmico , a, adj. (l. de med.) böchique om 
pesteral va : bon pour la poitrine,, latouz,, et pour 


Be&co, s. m. * ruelle: petite rue. — sem salda, 
sul-de-sae. 

Bauozinuo , s. m. dim. de B£co. 

Bzpiue, s. m. fermoir : oulil d’arlisan pour 


t Brvucin, 8. m. (t. de bot.) bedegar: &ponge 
de l’öglanuier ; galle chevelue du rosier, causee 
per un cynips. 

Bent, s. m. bedeau :officier muni d’une 
baguetie et charge de la police des &glises, des 
universiläs. 


BEI 195 


Beotıno, 5. m. (4. dejeu) petit aloul; ar- 
goulet. 
+ Beveria, s. f. charge, emploi de bedcanu 
dans une universit#, dans une &glise. 
Beneuso, V. Badllio. 
BEDENM, 8. m. manleau maure. 
+ Beorinos, s. m. pl. Bedoulns : arabes du 
dösert, sectaires d’All. 
Beesta, Bersteino. V. Bisla, etc. 
Beerafa.V. Beheiria. 
T Be-ra-mı,, s.m. (1. de mus.) befa-sl : Lerme 
de musique qui distingue le ton de si. 
F Iaeräco, s. m. quadrupöde de somme 
"Asie. 


+ Becinpas, s. m. pl. begards : sectaires de 
Begard, au 3° sidcle, parlisans d’une perfec- 
von extröme qui permettait ensulte lous les 
excäs, 

Decvina , s.f. beguine: religieuse en Flandre, 
V. Recolkida ; Bedia. 

BECUINARIA , 8. [: *beguinage : couvent de 
beguines. V, Recolkimento. 

Becvino, A, s. beguin: nom de cerlains mol- 
nes qui sulvaient, au 3« sidcle, la doctrine de 

ard. V. Bedio. 
Ri Becön, s. f. begun ou bögum :titre des 
princesses de l’Indoustan. 

t Beneuots, s. m. b&hemoth : animal dont 
parle le livre de Job : l’hippopotame ou le rhi- 
noceros; mammouth. 

Bentu, s. m. (f.de bot.) behen,, beehen : nom 
de plusieurs especes de plantes du Liban;; leur 
racine. — branco, behen blanc du mont Liban. 
_ ‚beben rouge : cucubale parrvi- 
dore. 

+ Beuerafı, s. f. population dent les habl- 
tants staient libres, et pouvaient choisir qui ils 
voulaient pour seigneur. (fig.) "D&sordre, cou- 
fusion. (id.) Petaudiöre : maison sans ordre: 
lieu o& cbacun veut @tre le maltre. — d’enire 
parentes, ville qui avait ie drolt de choisir son 
seigneur parmi certaines familles de l’endrolt. 
— de mar a mar, ville qui avalt le droit de 
choisir son seigneur, sans #tre assujettio & le 
prendre dans une famille determine. Lugar 
de —, ville, village oü l’on ne reconnalt polnt 
de nobles. 

Btı, s. m. bey : gouverneur d’une province, 
d’une ville turque. 

Beıca , s. f. (1. burl.) lippe, moue. Faser —, 
ou cair a—, (fig. fam.) faire la lippe. 

Beiciva, 8. f. (1. burl.) lövres grosses ei 
trop avancees. 

Bzicina,s.m. V. . 

Beicınua, #. f. dim. de Beica. 

Beicinno, s. m. dim. de 

Brıco, s. m. *lövre: partie qui forme Fouver- 
ture et le contour de la bouche. —, bord d’une 
plaie. Levar ou trazer alguem pelo —, mener 
quelqu’un par le bout du nez. Pör mel pelos 
sa algyem, passer la plumepar mbecde quel- 
quun. Morder os —s, se mordre les doigts, les 
lövres : @tre fäch6 de ne pouvoir faire une 
chose,, ou marguer du Fasseutiment, Fazer —, 


196 BEL 


faire la lippe. (4. de charp.) Faire saillie, d&- 
border, en parlant de deux planches dont la 
surface n’est pas de niveau. 

° Beıcoirıo. V. Inventdrio. 

+ Baıcöte, s. m. anneau que les Indiens 
portaient & la lövre inferieure. 

Beigöno, A, adj. qui a de grosses lövres. 

Bzuiodo, A, p. p. de Beifdr, et adj. baise. 
De mäo —a ou de beijado, gratuitement, sans 
retribution. 

BEIADOR, A, 8. balseur : celui qui se plalt & 
haiser. 

Bzuauiö, 8. m. nalse-main : cer&monie en 
usage dans certaines cours. 

Beuir, v. a. baiser : appliquer ses lövres ou 
sa boucbe sur le visage, sur la main de quel- 
qua’un, par amitid, par amour, par civilite, etc. 
(Ag. fam.) Il se dit aussi de deux choses qui se 
Wuchent. — com carinho, baiser on godinelte. 
= scoorreis, venir A jube. — o aroute, (fig.) 
Fecevoir une peine, un chäliment, avec resi- 
gnation. — a mdo ou as mäos, baiser la main: 
expression d’honndteis dont on se sert en par- 
lant ou en &crivant & quelqu’un. 

BEISÄR-SE, v. r. se baiser,, se donner des bai- 
sers röciproquement. (fg. fam.) Se toucher, 36 
joindre, 

BEııinHo, 8. m. dım. de Beijo. (Ag.) La fleur, 
le plus fin, la cr&öme. Beijinhos de freira, sorte 
de plante grimpante. 

B£uo, s. m. baiser : l’aclion de celui qui 
baise. V. Osculo. — de Judas, baiser de Judas. 
On appelle ainsi le baiser d’un traltre. Dar um 
= ‚no jarro, (fam.) boire un coup. 

Beisöca,, 8. f. (1. burl.) aug. de Beijo. 

Bzuocivo,&A, 9. 2. de 

Beuocir, vo. a. freg. (1. fam.) baisolter: 
baiser souvent, sans cesso. 

Beisoim, s. m. (4. de bot.) benjoin : gemma 
aromalique, d’une espece d’alifoufler inflam- 
mable. 

Bensoqußıro, A, adj. (1. burl.) qui aime & 
baisotier, tr&s-caressant. 

Beisb, s.m. (4. du Bräsil) päte de tapioca 
euite au four. 

BeıLnd. V. Belkd. 

B£ıra,s. /."bord : extr&mits d’une surface, 
ce qui la termine; bordure. Rive, rivage. — de 
telhddo, Yextremits des tuiles dans le toit, 
avant-toit. Ndo ter leira nem — , ne posseder 
rien. 4’ — de,äcötö de, pres. 4’— do rio, sur 
la rive du fleuve, aupres de la riviere. 

Beınamin, s. f. les cötes de la mer, bord de 
la mer. 4’—, adv. sur le bord de la mer. 

Bzırauin, adj. 2 gen. voisin de la mer, ma- 
zitime. 

BzınÄme,, s. m. *toile de coton des Indes. 

Beınauinno, s. m. dim. de Beirdme. 

Beınäö, s.m. V. Bairäo. It. Habitanı de la 
province de Beira, en Portugal. 

u BEıisan. V. Bear. ' 

"Beır,s.f. (t. de mar.) pont d’un vaisscau. 

B£L, A, adj. V. Bello. A — prazer, avco 
gtand plaisir, & souhait. 


BEL 


+ BELADANBOC, s.m. (8. de bot.) beladam- 
boc:: liseron vivace de Malabar, & suc lsiteux 
äcre. 

BELDÄDE, 8. f. beaul£. V. Belldza. 

BELDRO&CA, 8. f. (t.de bot.) "pourpier: plante 
potagere, annuelle, rosacee,, rafraichissante,, 
antiscorbutique. 

+ Beızunita,s. f. (t. hist. nat.) belemnite ; 
fossile calcaire. 

Beioaos. V. Bredos. 

BeLro, a, adj. lippu:: qui a la lövre d’en bas 
trop grosse et irop avancee. Dente —, dent qui 
n'est pas egale aux autres. 

+ BeLca, adj. ers. 2 gen. Beige: homme om 
femme de la Belgique. 

+ Beicıco, A, s. et adj. Belgique : de la Bel- 


gique. , 

Beınid. V. Bilhdo, 

B£LHO, 8. m. pene : morceau de fer qui sort 
d’une serrure et ferme une porte. 

BELRö. V. Füho. 

BELicH®, s. m. (l. de mar.) * cabane : pelit le- 
gement sur un bateau ; cajute. 

BeLina, s. f. taie de Ponil. 

BzuinctLa. V. Beringela. 

BeLis ou Beuız. V. Agüdo, Esperfo. 

BeLLacissino, A, adj. sup. (1. de poes.) r&s- 
guerrier, tres-brave. 

BeıLanöna, s. f. (t. de bot.) belladone rul- 
gaire. Yulgo, la belledame, le bouton noir, 
plante. — das Antilhas, amaryllis &carlate; lis 
du Mexique. 

BeıLacänca, 8. f. Dom d’un oiseau d’Asie. 

BELLAMENTE, adv. fort bien, superieure- 
ment, excellemment, parfaitement, ä mer- 
veille, joliment. 

+ BeLLa-monacäö, s. m. (1. de bot.) beila- 
modagam : arbre du Malabar, & feuilles diure- 
tiques et emme&nagogues. 

* BeLLiRtg, s. m. sorte d’ancien drap irös- 


n. 
BsıLataice, adj. f. (. de poes.) guerridre. 
BELLECUIN , 3. m. exempt de police : recors, 

sbire, archer, sergent. 

BELLEGUINÄCO, 8. m. aug. de Belleguim. 

* BELLEGUINS, s. ım. pl. pantoufles maures- 
ques. 

Beıutza, s. f. beaute. * Agröment. Amenite. 
On le dit des personnes et des choses. ( Ag.) 
Beaut, jeune merveille, en parlant d’une 
femme. Dizer —ı ou fallar com —, dire de jo- 
lies choses, parler avec gräce, aveo amönite. 
— sem sondo,, beaute accomplie. Dar —, jeter 
de P’agrement, 

+ BeıL£zas, s. f. pl. des favoris : barbe pres 
de l'oreille. 

BELLICAMENTE, adv. d’une maniere belli- 
queuse. 

B£uLico, A, adj. belliqueux,, guerfrier, mar- 
tial: qui appartient & la guerre. 

BELLICOSAMENTE , adv. en brave, eh guuf- 
rier. V. Bellicamente. 


BeLLicosıssı80, A , adj, sup. de Bellicoso. 


BEM 


BeLLschs0, A, adj. beiliqueux, guerrier, 
mariial. 

BeLLIGERÄNTE, adj. 2 gen. belligerant : qui 
est en guerre,qui la fait (peuple, puissance). 

BzLuiceno, A, adj. (.de pods.) belliqueux, 
guerrier, brave. 

BELLIPOTENTE , adj. 2 gen. (l. de po&s.) puis- 
sant & la guerre. 

BaLuscino ‚A, 9. p. de Balliscdr. 

BeLsıscapüna , s. f. V’action de pincer. * Pin- 
gon : marque laissee sur la peau de celui qu’on 
a pinee. Pelite egratignure. 

BaıLsciö , s. m. aug. de Belliscadüra. 

Bauzsıscir, ©. a. pincer: serrer et tordre la 
superficie de la peau. (Ag.)— , saisir delicate- 
ment. (id.) Manger peu : ne faire que toucher 
aus mels. 

BsıLisco, s. m. V. Belliscadüra. 

BsıLisoxO,Aa,adj. (f. de poes.) relenlissant 
du son des armes. 

BeLLissımamMente, ade. sup. do Bellamente. 

Beırissıno, A, adj. sup. de Bello. Bellis- 
sime : tr&s-beau. 

+ Bio, s.m. (1. de pods.) V. Guerra, Com- 
dste. It. beau : tout ce qui est agreable, excel. 
Jent dans son genre. — ideal (1. d’aris) , beau 
idesl : les plus belies formes;; les formes di- 
vines; (&g.) le plus haut degre& de perfection 
morale ou Fimagination puisse atteindre. 

B&£ıLo, A, adj. beau, bel, gentil, parfait, ac- 
compli, qui a tout ce qu’il faut pour plaire.—, 
agreable, quiade l’amenite.Commode ‚propre, 
ben, conrenable, avantageux. — lempo , beau 
iemps, un temps superbe.—dia, belle journee. 
Querer, preiender alguma cousa por sus 
elhos—e, pretendre A une chose sans y avoir le 
meoindre droit. 

BzıLöua, 3. f. (l. de myih.) Bellone : döesse 
de la guerre. (fig. et podi.) La guerre. 

BeiLos-nicos, s. m. pl. espece de gäteaux. 

BaıLvulno, A, adj. bestial ; föroce. V. Ferino. 

BzıL06so, A, adj. (4. de poes.) qui abonde 
en bötes feroces. 

Barıuiz, s. m. nombril. 

Beımäz, adj. n’est employ6 que dans ceile 
phrase: pregos beimazes, clous de cuivre.. 

+BzLomancia, s. f. belomancie: divination 


per les fle&ches. 
BaLora. V. Bolota. 


BELYEDER ou 
Aurvgape. Iv. Valverde. 


Bearzunte, s. m. beiztbuth : le diable. ss. 
(t. hist. nat.) —, singe de la famille des sa- 
Pajous. 

Btu, 3. m. bien:ce qui estbon, ulile, avan- 
tsgenx , convenable.—, utilitö, avantage, profil. 
Bienfait, gräce, service, bon oflice. Amour, 
atachement. Tera—, daigner. Levar a—, ap- 
prouver, donner son consentement. Homem de 
— , honntte homme. Faxer—a alguem, rendre 
service & quelqu’un. rer —a alguem ‚aimer 
quelqu’an,, avoir de la bienveillance pour quel- 
qu’un. Mou —, (express. de lendresse), mon 
amour, ma chöre amie. Bens, pl. biens, ri- 


BEM 197 


chesses. — da fortüna, biens temporels, for- 
tune, avoir. — de raiz ‚biens-fonds. — moveis, 
biens-meubles. Contar ou dizer mil —, dire 
beaucoup de bien. Nadar em —, nager dans 
V’opulence. Bens de sacristdo canlando vom 
canlando vdo. V. Saeristäo. 

B£u, adv. bien : comme il faut. Bien. Il sert 
ä marquer un certain degr6 de perfection, un 
certain &tat heureux et avantageux dans la 
chose dont il s’agit. Honnetement.—,aveo plai- 
sir, de bon caur, volontiers. Tres, beaucoup, 
fort, extremement. —, fort bien, oui.—, cer- 
tainement, assurement. Bem,—,c’est bon, c’est 
bon. —que, bien que, encore que, quoique. 
Näo —, & peine. — mais, beaucoup plus, bien 
davantage. E—PEh bien? E— he bien! Ora 
—, h6 bien. Bem.assim. V. Assim lambem. Aco- 
Iher, recober —, agreer. Estd —, c'est bien, 
c’est bon. — pouco, assez peu. Ainda —, äla 
bonne heure. 

BEMACONDIGOADO, A, adj. de bonne cor 
tion; fertile, en parlant d’un terrain. 

BEMAFORTUNADAUMRNTE. V. Felizmeönte. 

BEMAFORTUNADO, A, 9. 2.de 

BEMAFORTUNÄR, dv. a. rendre heureux. 

Bemauino ,A,adj. bien-aim6 : qui est cherl, 
aime de preförence & tout autrc. 

* BEMANDANGA. V. Venfüra. 

BEMAVENTURÄDAMENTE, adv. houreusement, 
avec bonheur, & souhait. 

BEMAVERTURÄDO, A, P. P. do Bemavenlurdr. 
adj. bien heureux, fort heureux, extrömemene 
heureux ; prospere. Benin. 

BEMAYENTURÄDO, s.m. bienheureux : celuı qui 
jouit de la beatitude &ternelle. 

"BEMAVENTURÄNGA, &. f. beatitude, felicite, 
gloire eternelle. * Bonheur, prosperite. As—$, 
»l. les huit beatitudes Evangeliques. 

BEMAVENTURÄR, v.G. rendre leureux, biew- 
heureux. 

-+ Bemsäze, s. m. (f. d’hist. nat.) bembdou-t 
insecte hymenoptere. 

* BEMCHEQUERO (mof compose), Je le YOy, 
du bien. 

° Beupäno. V. Affavel, LhAno. 

BENDITISSIMO, A, sup. de 

BENDITO, A, adj. beni, benit. p. p. de Bem- 
dizer.— seja Deos, Dieu merci; que Dieu soit 
beni. A—a alma, l’äme bienheureuse. 

+ Beupito, s. m. motet que chantent les 
catholiques quand ils accompagnent le saint 
sacrement en viatique, es lorsqu’on le ren- 
ferme. , 

BEuDıT6S0. V. Felız. 

BENDIZENTE, adj. 2 gen. qui dit du bien, qui 
fait de bons recits de quelqu’un. p.a. de 

Beupiz£r, v.a. benir; louer, exalter. 

+ Beuestäir, s. m. bien-@ire. 

'BeuraztI0, A, ads. bienfaisant, qui 

BEMFAZENTE, adj. 2 gen. fait du bien, 
portö A rendre service, obligeant. 

Beumraz£rn, ©. ". faire du bien, obliger, ser- 
vir, rendre service, ou faire plaisir. Por bem 
fazer mal haver, (loc. prev.) faites du bien, 


198 


« vONS SEuEE Wujsus mel nissmpunnd: =! 


faisaat da bien om fait des Ingsa0E. 
Bempazin, sm. 
“Bewer ‚om. | T. Bunsfeis. 
Bumrerröe , s. m. biesfziteee. 
Beusurstas , 8. f. 
Gamserrosis, 


Baurersenszise,, 21,9... de 
Beurerronzin, e. =. amiherer, benuilber. 
*"Buwceinsa. 7. Vi 

Beuusgeizss, 8. m. /t. de bet.) ” margueriäe 


Brande ; grande piqnerene, ei-de-bunf, ari- 2 


Feesscise ‚A,0dj. |) bien nd, diliestre 

Bausino,, a, adj. naiısante. 

Bewör, s.m. (1. de mus.‘ bemei (petit dB}: 
earaciire de musigue qui abaimse ia nein Fun 
demi-ien 


BeuoL ano, 

BauoL ar, ete. | V. 4bem._., eic. 
Baupanzcieo. V. Forms. 

Bzur6östo, a, adj. bien Leit, qui a une benne 


eurnure. 
Bamgez, conj. bien que, oncore que, qusique. 
Bawcreatsca, 5. f. bienveillanee. V. Amer, 
Cerinko. 
Beuorsnturs, af. 2 gen. 7. Benteeis, 
Affeissade. 
orsate, v.a. aveir de Famitid, de Yaf- 
fection poer queiqu'un, ini venleir da 
Beuguzain, s. m. *kienveillanee 


“ BENOUERIAS, 5. m. pl. V. Ameres. 

Beuoristipo, a, 9.p. de 

Bengcistan, ©. 6. metire dans les bemnes 
gräces , (aire regarder avechienveillance. Coa- 
eilier, faire la psiz. 

BENGCISTAR-SE ‚u. r.gagner la bienveillance. 
Beugristo, a, adf. bien-voulu, bien-aime, 
estime de tout le monde. — com elguem, qui 
est dans les bonnes gräces de queiqu’un. Ser 
ou estar — com o rei, &tre fort bien aupres du 

roi. 

Bausunipo, a, adj. komme intelligent et 
sage, qui fait bon ussge de son saveir. 

Beusolute ‚adj. 2 gen. qui sonne bien, m6- 
lodieux, harmonieux. ( Ag.) Qui se conforme & 
la raison (proposition, ete.). 

BEuteRE, s.m. (1. des Br&s.) nomd’an olseau 
de la grandeur de Petournean. 

Beuvinpa, p. us. V. 

Beuvindo, A, adj. bienvremu : ; qui est arrive 
heureusement; "bien rega. 

Beuvista, 8. f. * Jugement prudent, jadi- 
cieux ; avis bon et 

Keuvisto, a,0d. bien vu; bien-voula. 

+Bün,s. m. V. Behe 

Bancio, ef. bönsdkaion : Vaction de benir; 
paroles pour benir; gräce, faveur du ciel.—da 
nesa, bensdiclts. Filhe ou fructo de—, enfanı 
Wgltiime. Benpäoe , pl. bensdiction noptiale. 

Banoa, Benpir, etc. V. Vend..., ete. 


Freie nu. (1.@’ Asie) gauverneur d’une 
v er Ase 

Bye... 12 Beugbs. 

tIrswemsine, s. m. bemedietionnzire ı 
sure der’ise qui eantirnt les benedielion.s. 

Basac,2ın „ete. 7. 


kKenfzuriee. | 
5. f. "keemlait serviee, ben ef- Bevezen,. ete. V. Bradiur et 
re. Amikisrztien d une proprieie rurale, be ! 
miieziien. 


Basanıcrrg , expr. kat. par laquelle ler veii- 
siexz drmemdess une permission & lcars supe- 
neurs_ 

Basnnitra. 5. f. t. de pharım. me.) bind- 
dcte : electz.zire pargatif deux. 

Baysapeerive, a, ech. bentdistin : reli- 


Basırain, ve. a bien faire, faire du bien. 
‚faire valeir une lerre, une 
mine. Conferer un bindäce us. 

tBzssırıaino, s.m. (1. de prai.) lenda- 
taire, osmcessiomnaire : celui qui possöde un 
bien en fiel, vu par osncession du seigneur. 
Berdeiro —, hMritier par bentfiee d’inven- 
taire. 

Bzuzricıo, s. m. bienlait, bien, obligation. 
Bentfice : pririlöge, droit, avantage accorde 
par la loi ou par le souverain. "Culture, ezplol- 
tstion : Paction d’erploiter des mines, de culti- 
ver des terres. Bendßiee, utilite, prodi, provenu, 
gain. A—, au moyen de. A-— des pobres, au 
proßt des pauvres. — erslesiastice, benkiice : 
titre ei revenu ecclesiasliique. — ourado au com 
cura d’almas, benefice a charge d’ämes. -— da 
natureza, benefice de nature : &dvacuatien ex- 
traordinaire,, favorable. — do venire, dracus- 
tion sivine. — do inoentdrio,, benefies d’inven- 
taire. Nöo ter ofleio nem — ,, n’avoir ni olfice 
ni benefice. 

Bsnerx:080, A, adj. utile, bon, avantageux. 

Banerico, a, adj. bienfaisant : qui fait du bien, 
qui aime & faire du bien ; obligeant ; liberal. 

"Benzuerkncıa, s. f. ° merile; service, 

BENEn£aıTO, A, adj. digne, meritant. Ser — 
da pairia, do prineipe, eio., möriter bien de 
la patrie, du prince, etc. 

BEenEPrLÄcıTO, 8.0. agrement, consenlement, 
permission , bon plaisir, approbation. 

Bansguz 3. m. sorie d’aneienne diolfe. 


PER Fe SER re Er Te 3 


PRFEEE?” VE? Tre GE DE Gr" ee" VE 





Baufzss , s. m. &snolaments des cur6s ei des 
viesires ; casuel ; don gratuit, offrande. 
BenzvoLauturg, adv. aveo- bienveillance ; 
de bonne volonis, de bon caur. 
BanzvoLtncu,s.f. bienveillance : disposition 
laverable envers quelqu’un ; bonne volonte. 
Baztvoro, a, adj. blenveillant: Fi veut du 
bien & quelqwun. (Ag.) Benin, affable, bien 


ärs, 8. m. (t. de geogr.) * Bengale 
royaume dans les Indes. is. Mousseline de co- 
ion de Bengale. it. Badine, canne mince et 
legtre.—d’estoquie, canne & dpse. 

tr Bawcaıkına, 8. f. ( . de bot.) * balisier de 
Yinde; eulgo canne de l’Inde, ou baroulou. 

BescaLtıno, s.m.celui quivond des cannes, 
des teile de Bengale. 

BauscaLiuna , s.f. dim.de Bengdla. it. ° Ben- 
gali : petit pinson d’Asie et d’Amerique. 

Baucz ow Besencı. V. Bange. 

+Bencını ,s. m. (6. de bot.) bengiri : arbre 
du Malabar, de la famille des euphorblactes. 

Bunccarapa. V. Vanguarda. 

Beucotııa, 8. f. (1. de geogr.) Benguela: 
royaume, et ville d’Afrique. 

Benıcnamtnte, adv. benignement, debon- 
nairement, avec benignile, avec bonte. 

Beuıcnmäpe, s. f. benignite, bonte, indul- 
gence, bumanit£. ( fig.) Douceur de l'air, du 
temps, de la saison. 

Besickissino,, A, adj. sup. de 

Beniguo, A, adj. benin, alfable, Ikumain, 
douz. (Ag.) Doux, temper6, en parlant de Pair, 
du iemps, de la saison. 

+ Bexıssa, s. f. (8. de bof.)*euphorbe de 
YInde. 

BENIVOLENCHA „6. f. 

BesivoLo,A, Pe IV. Benev... ‚etc. 

TBemasin, s. m. (fig.) Benjamin : enlant 
pesiere, le cadet. 

ozlro, et 2. 

Bawıoin, &. m. | V. Bejoim. 

+Beuuotnsa, s.m. (4. de bof.) benmoenja: 
arbte du Malabar. 

Bens, s. m. pl. de Bem. V.ce nom. 

Bassiıno. V. Venceiho. 

f Bext£auz, s. m. (1. de bot.) bentäque: ar- 
hre toujours vert du Malabar. 

Bastinno ‚s. m. scapulaire : morceau d’etoffe 
benlie, 

Btxzo, A, adj. benit: qui a eie beni; consa- 
ert aa eulte religieux. Benedictin: moine de 
Salat-Benott. 

Bexruntına, 3. f. femme qui prötend guärir 
des maladies avec des pridres el autres prali- 
. superstitieuses. 

ERZEDEIRO, eb 
Benzzoon, s. m. IV. le pröckdent. 
Benzendaa, s. f. formule superstitieuse des 

Benzedtiras. V. ce nom. 

Banztn,, v. a. benir: eonsacrer au culte avec 
des etremonies; donner la bentdiction. V. 
Abendipser 


Banısa-sB, v. r. faire lo sigue de la croix. 


BER 199 
_ dealguem ‚(loe. fam.) avoir en horreur quel- 
qu’un. 


Benzioo, a,p. p. de Benzer. V. Bönto. 

Benzıu&nTo, s. m. Paction de benir. 

+ Benzoitg, s. m. (1. de chim.) benzoate ; 
sel form& par !’union d’acide benzoigue aveo 
differentes substances. 

+ Benzöico, adj. m. ( Acido —, 1. de chim.) 
benzoique (acide), tir6 du benjoin, du siorax, 
du baume du Pe&rou. 

B£ouväono,s. m. (f.de mus.) becarre : carac- 
töre carr6, qui retablit dans son ton naturel 
une note hauss6de ou baissee d’un demi-ton. 

B£qus, s. m. (8. de mar.) colti, collic : re- 
tranchement au bout du chäteau d’avant; bec, 
poulaine, &peron. 

* Beneid. V. Rifäo. 

BERBEOCIM, &. m. vilebrequin : outll pour 
percer,, lrouer. 

Bzaseria,s.f.(f.degdog.)Barbarie:: vastecon- 
tr&e de !’Afrique septentrionale. It. V. Barbarie,. 

Benpeniz, s. m. (4. de bot.) &pine-vinelie, 
vinetier (erepinidre). 

Bensenisco. V. Barbarisco. 

BErBiM, s. m. nom qu’on donnalt ancienne- 
ment & une sorte de drap ; sa marque , qui &tait 


nB. 

Bercäpa,s. f. coup de bergo,, ancienne pidce 
d’artillerie. 

Beaco, s. m. berceau : lit mobile d’enfant ä 
la mamelle. (lg.) °Enfance, bas-Age; patrie, 
pays natal. Berceau : conımencement d’une 
chose , lieu od elle a commence. — da aurora, 
Porient. —do rio,, source d’une riviere. Conhe- 
cer alquem desds o —, connaltre quelqu’un 
des sa plus tendre enfance. (If. d’artil.) anclen 
canon court. (t. de jard.)— ,voüte en treillage, 
voüte en plein cintre. 

Benzutne,s.m. (l.d’Asie) paralysie bätarde, 
rhumatisme chronique. 
BEREBERES ou BERBERES , 5. m. pl. habltants 

de Barbarie. 

Bercauöra, V. Vergamdla. 

Bercante. V. Bargante. 

Bercantim, s. m. brigantin, brick, sorte de 
vaisseau & deux mäls, 

BercentiL. V. Bretangil. 

BeriLLo. V. Beryilo. 

Benmckua, s. f. ( 6. de bot.) melongäne : me- 
rangene, malenue, aubergine, berengene, vie- 
dase. 

Bensacörz, s. m, V. Boroajöte. 
NSERLENGÖCHE, s. m. (#. burl.) homme du 

ord. 

Bernina ow Berriuna , 8. f. berline : sorte de 
voiture. *Berlingot. 

+ BeaLiquzs, 8. m. escamoleur; Imposleur, 
Artes de — oe berloques, (phr. burl.) tour de 

ass0-passo, escamolage. Por artes de — 
loques, ( fam.) par la vortu de la poudre & 
perlimpimpin. 

BenLöQuss. V. Berliguss. 

Beaua, e. f. (1. de fort.) berme, relais : che- 
min entre lo pied du rempart et le fosse. 


900 BES 


Branica ou Bernicha, s. f. bernache : oie 


des mers du Nord. 


+ Bennicıa, s. f. (l. d’hist. nat.) bernacle:: 


eoquillage de cing piöces. 


Bernß ow Beanto, s.m. drap fin &carlate. 
v4. Manteau long et grossier ; couverture de lit. 


Bennicna. V.B 


. Bernaca. 
+ Banoz,s. f. (t. d’hist. nal.) "berod: ver 


marin, radiaire. 


Be£RRA, 8. f. "rut: le temps oü les be£tes 
fauves sont en chaleur. Andar na —, @irc en 


rut. (Ag.) Eire en voguc. 
BearäDo,A,P.7: de Berrar. 


BernninpörR, A,s. qui beugle. ( fg.) Qui jette 


les hauts cris, 


BerrÄn,v.n. mugir, beugler, en parlanı de 
veaux el d’autres animaux ; raire, r&er ou raler, 
en parlant des cerfs. (Ag.) Jetor de hauts cris. 

Benngcär, v.8. freg. beugler, reer souvent. 

Bean£ıno,s. m. les cris redoublis d’un en- 


fant qui pleure; hurlement, cri lamentable. 


BERRO, 5. m. mugissement, beuglemenf, en 
parlant des veaux et de quelques autres ani- 


maux. (fg.) Cri &pouvantable. 
Bünsa. V. Versa. 


Bentancıı. V, Breiangil. . 

TBERTNOLLETIA, 8. f. (4. de dot.) bertholletie: 
grand ärbre du Bresil. 

Benrotsa. V. Brototja. 


Beavza. V. Valvirde. 


BeavL.o, s. m. beril : algue-marine : pierre 


precieuse, 


+ Besantino, a, adj. (Escudo —, t. de blas.) 


besante (6cu), charge debesants. 


Besanız, s.m. besant : monnaio d’or an- 
cienne de l’empire grec;; monnaie d’or ou d’ar- 


gent. (t. de bias.) V. Arroela. 
Bess&Lno, s. m. (1. bas) cul, l’anus. 
Besazı.gortina. V. Bisbilholeira. 
Besoiarrtıco. V. Bezodriico. - 
Besöuro,s.m. V. Escaraveiho. 
Besra, 8. f. gu@pe 

jaune, hymenoptere, pierodiple. 
Besriö, s.m. augm. de Bespa, [relon. 


f Basr£ıno, s. m. guepier : nid, gäteau de 


gu6pes. 

Bssrinna, s. f. dim. do Bespa. 

B£srona. V. Vespora. 

Bista, s.f. bete, animal brute,, quadrupede. 
Gr&o-besta. V. Alce. ( ig.) Animal, bete, Ane, 
lourdaud, stupide. — mudr, mule, mulet. — de 
sella, mule, cheval, jument. —de corga, beie 
de somıne,, sommier. —de roda, bete ämuulin. 

Besta,s. f. (1. de mil. anc.) arbaldte : arme 
de trait; arc d’acier monte sur un füt. 

BestaLniö, V, Bestarräo. 

* Bestarn ou BestEArR. V. Asnear. 

Bestania, V. Besteria. 

Bestanniö, s. m. augm. de Bisla, grande 
b#ite ; bestiasse. 

Besteıira, adj. f. Herca—. V. Helleboro. 

Besteiro, s.m. arbaletrier : soldat qui tirait 
de V'arbalete. Celui dont le melier est de faire 
des arbalties, 













: mouche carnassiere , 


BET 


Bestenia, s. f. compagnie d’arbalätriers; 
exercice d’arbalete. 

BestıÄL, adj. 2 gen. brutal, bestial. V. Irra- 
eional.. 

BesTiaLivände, s. f. bestialite. V. Brulslidade, 
Irracionabilidade. (fig-) Stupidite; brutalite. 

BESTIALMENTE, adv. betement, bestialement, 

} BEsTIÄmE, s. m. assemblage de sommiers, 

Bestıä0,. V. Bastido. 

f Bestiägs, s. m. pl. bas-reliel representant 
des animaux. 

BestiÄrıo, s. m. bestiaire : gladiateur qui 
eombattlait contre les betes dans le eiryue, & 
Rome. 

BESTIDÄDE, 8. f. b#tise, stupidile. 

BestiLua, s. f. dim. de Bösta. 

Bestinga, s.f.dim. de B4sla, bestiole, pelite 
monture., 

BesrıöLa. V. Besiinha. 

BEsTÜNTO, 8. m. (8. pop. ei burl.) esprit 
borne. 

Bzsüco. V. Vesögo. . 

BesuntiDo, A, 9.p. de 

Besuntar, v.G. oindre, [rotter, enduire de 
graisse, graisser. 

Berti, s. f. veine, fiion (dans les mines); 
raie. V. Lisira. 

Bera,s. f. nom du B dans l’alphabet grec. 

BErinpo,A, p.p. de 

Berin. V. Listrar, Malizar. 

Berannisa,s. f. (1. de bot.) beiierave : beite 
ägrosses racines de rave,bisannuelle, Apetale; 
on en tire du sucre. 

BerTeL,s. m. (1.de bot.) arec de l’Inde. 

BE£Ten ow Bataz, V. le suivant. 

7 BertLe, s. m. betel : espdce de poivre des 
ndes. 

Bertsca,, s. f. ruelle, cul-de-sac ; bouchom,, 
cabaret ; corridor noir. 

Berner. V. Bild. 

}Beraremita, s. 2 gem. de Beihldem, en 
Judee. Bethlöemite : religieux qui sert les ma- 
lades aux Canaries. 

f BernLeuirico, A, adj. qui appartient & la 
ville de Bethidem. 

B£Tico, a, adj. Betique : de la Betique ( An- 
dalousie). 

BETILRO, s. m. morceau de corde ou de fi: 
museliere. V. Barbilko. 

Berönıca, s. f. (1. de bot.) betoine : planıe 
medicinale. , 

BerriL, s. m. lieu plants de betel. 

f BeruLa ow B£toLLa, 8. f. (1. de bot.) *bou- 
leau, bouleau commun. "Bouillard, bois blanc, 
arbre de la sagesse, sceptre des maitres d’ecole. 

t BeruLa nasTanna. V. Carpe. 

+ BeruLo, s. m. betyle : pierre employse & 
faire des idoles, auxquelies on attribuait des 
vertus merveilleuses. 

BEruuino,A,p. 9. de 

Berumin, v.a. bituminer : enduire de bi- 
tume. 

BETÜNE,, s. m. bitume : matiere liquide, 


$paisse, noire, huileuse, inflammable, qui se 


u .. _ a _- an 


BIB 


trouve dans le sein de la terre ; limon gras, 
sısqeeux,, adherent. Mastic de fonlainier. — de 
Judea , aspbalte : sorte de bitume solide. 
Bzrowısöso, A, adj. bitumineux : du bitume, 
qui en eonlient, qui a ses qualiles, 
+ Beun& , s. m. sorte de vin d’Aragon en Es- 


PegnEe. 

Bevsniceu. V. Beberagem. 

Bexino. V. Bichdno. 

Baxica, 5. f. vessie : sa6 membraneux qui, 
regoit VYurine. Vesicule da fiel. Vessie : petite 
ampoule sur la peau, &levure. Bexigas, pi. 
pelite verole : maladie qui couvre la peau de 
pustules. — doudas, varicelle. Nadar sem —s, 
( Ag.) nager sans nageoires. 

Bexıcöso, a, adj. grare, gröld, margus de 
ka petite verole. 
Bzxıcctnro, A, adj. qui a la petite verole. 
WV. 9680. 

+ Baxüco,,s. m. (t. de bot.) bexugo : racine 
da Perou ; elle purge. 

Ber. V. Bei. 

Beraute. V. Besonte. 

Baxkanı, e. f. genisse : jeune vache qui n’a 


pas . 

Bezzaninna , s. f. dim. de Bezerra, genisse 
de lait. 

Bzzzaninno ‚3. m. dim. de 

Beıtano,s. m. veau : le pelit de la vache 
qui a & peine un an. On l’appelle aussi anndjo. 
V. ce mot. Veau : peau lannde d’un jeune veau. 
P6de — , mufflier, muffie de veau : plante. 

t Bzızstas, s, m. bezestan : march6 public 


en Tarquie. 
Beıoar ,s. m. bezoar. V. Bazar (pedra). 
Bezoianıco ou bezosrdiqueowbezoar- 
Bezoiatıco, A, adj. ) lique : du bezoard. 


Bemedio —, remeöde bezoardique; cordiale, 
alexitere. 

+} Bıssr, s. m. (8. de bot.) bibby : palmier 
d’Amerigue ä bois noir, fruit huileux. 

Bing, V. Abibe. 

Bınzzigoe. V. Berbequim. 

T Bınıöa , s. f. (t. d’kist. nat.) "bibion : genre 
d’insectes dipteres de la famille des sarco- 


Bisuıa, 5. f. bible:: livre qui comprend l’an- 
cien et le nouveau Testament, — sacra,, l’Ecri- 
kure sainle. 

f Basusitaıca, s. f. biblietrique : art de res- 
taurer les livres. 

Biausco, a , adj. biblique : qui appartient & 

bible. Soeiedade —a, sociöt& biblique : qui 
publie ics bibles dans toutes les langues con- 
Bues. 

+ BiıaLıoczostia, s. f. bibliognostie : science 
des livres. 

Bısusocaarmıa , 8. f. bibliographie : science 
du bibliographe. 

Bauen aico „A, adj. bibliographique ; 
de la bibliographie. 

Binuıöcaarno , s. . bibliographe : qui con- 
nalt les livres, leur prix et leurs &dilions, ei 
forma des catalogues, 


BIG 201 


+ BıpLioL.ätua, 8. m. et adj. bibliolathe : qui 
posscde beaucoup de livres sans les connaltre. 

t BisLioLitass, 5. f. pl. bibliolithes : pierres 
lamelleuses qui porient l’empreinte de feuilles; 
incrustations sur dos feuilles. 

t BısLiowancia , s. f. bibliomancie : dirina- 
tion par labible, par un livre. 

BipLiowania, s. /. bibliomanie : manie, pas- 
sion excessive des livres , de les entasser. 

BipLioMariaco,, #. m. bibliomane : qui a la 
passion des livres, qui les entasse, 

f BinLiomäntico, a, 8. bibliomancien : qui 
predit par les livres. 

t Bipuıomäpra, s. m. bibliomappe : livre 
compos6 de cartes geographiques, accompagne 
d’un texte explicatif. 

1 t BıpLior£a,, s. f. bibliopee : art de faire un 
irre. 

BipuörgıLo, s. m. bibliophile : celui qui 
aime les livres. 

BıpLiöroLa, s. m. bibliopole : marchand de 
livres. 

t BiısLiörarno, s. m. bibliotaphe : quı ne 
communique pas ses livres rares. 

BisLiotu£ca , s. f. bibliothögue : lieu ou il y 
a beaucoup de livres en ordre. —, compilation 
d’ouvrages de m@&me nature, recueil des au- 
teurs d’une nation. — viva, (fig.) bibliotheque 
vivante : homme tr&s-savant. 

BisLiorazcäinıo , s. m. bibliothecaire : garde 
d’une bibliothdque,, qui en a soin. 

}BinListas, s. m. pi. biblistes : höreliques 
qui n’admeitent que le texte pur de la bible. 

} Biariocuiamncia, s. f. bibliuguiancie : art 
de restaurer lcs livres gätös, endommages. 

+Biso, s. m. (f. d’Asie) anacarde : före de 
Malaque. 

Bisona. V. Vibore. 

BisuLo, A ,adj. qui boit (papier, etc.). 

Bica, s. /. *tuyau de fontaine. Estar d —, at- 
tendre son tour & la fontaine, en parlant d’un 
porteur d’eau.(Ag.) Eireä la veille, sur le point 
d’obtenir quelque chose. Sangue, suor m —, 
sang, sueur ruisselante. 

Bica ,s. f. (6. d’Mst. nat.) bica : poissen de 
la cöte de Biscaye et de Portugal, du genre du 


Pickcano. V. Recdeko. 

Bıcipa , s. f. le pied d’une montagne, eic. it, 
Coup de bec des oiseaux;; la portion de duves 
ou d’autre matiere qu’ils portent dans leurs 
becs pour faire leurs nids. 

BıciL, adj. 2 gen. qui a uno protubärance 
pointue; aigre-doux (fruit). 

BıcaLADO, 3. m. espece d’oiseau aqualique. 

+ Bıcangipo, s. m. (1. d’hist. nal.) centris- 
que : poisson branchiostege. — ordinario, he- 
cassc ordinaire. — coberlddo, becasse bouclee. 

+ BıcarsuLir, adj. (4. de bof.) bicapsulaire : 
& deux capsules (pöricarpe—). 

Biga ,s. f. (£. d’Asis) polds asiatique de deux 
livres et demie. 

+ BiceıLurie , adj. 2 gen. (l. de bot.) qui a 
deus cellules. 








203 BIC 


+ Bıcars ou Bıc#rso, s. m. (4. d’anat.) bi- 
ceps : muscle ä deux branches,, ä deux tötes. 

Bicna, s. f. sangsue; couleuvre. (fg.) Cou- 
leuvre artilicielle. Bicha d’agua, bydre : serpent 
d’cau douce. —de sells cabepas , hydre, serpent 
fabuleuz & sopt Iölos renalssantos. Hervada-, 
V. Aristolöchta. 

+ Bıcuacap£ııa, 8, f. (1. d’hist. nal.) perce- 
oreille, forbicine, oreiliöre, furlicule, hemi- 

re daugereux dans FPoreille. L’'huile d’olive 
’y fait perir. 

+ Bicnägo ‚a. m. aug. de Bicho. (fig.) Homme 
tr&s-riche, tr&s-savant ou Irds-Äin. V. Astato. 

Bıcnäncaos, s. m. pl. (£.burl.) * minauderies: 
mines, facons , manidres exterieures ot afleo- 
tees pour plaire. 

Bıcuäno, s. m, jeune chat. 

Bıcnaria, s. f. vermine; multitude de vers. 
(Ag-) Multitude. 

BicuaR0öcO, 3. m. gros ver : animal degoü- 
kant. 

+ Bıcatıno,, s.m. (t. de mar.) *gaffe : perche 
arınde d’un oroc , halle-croe. i4. Grande multi- 
tude de vers. V. Bicharia. 

Bıcukıao, A, adj. minutieux : qui s’occupe 
de bagatelies, de niaisories. 

Bıcainno, s. m. dim. de Bicho. 

Bicno , s. m. insecte, ver ; vermine ; bestiole; 
bete feroce. — da coxinks, marmiton : bas va- 
lot de cuisine. — do maio, (fg.) farouche , in- 
sociable; misentrope. O0 — homem, (fam.) 
l’homme consider6 comme animal mechant. 
Todo coberio, cheio de —s, fervendo em —s, 
tout grouillant de vers, do vermine. Casa dos 
—s, menagerie. 

+ Bicno-DE-CONTA, 5. m. (8. d’hist. nal.) clo- 
porte : insecte aptere , polygnathe, annele, se 
roulant en boule. (fig.) Homme rus6. 

+ Bicuo-vznconn6s0, 5. m. (1. d’hist. nal.) 
pangolin : quadrupdde vivipare, fourmilier 
tcailleur. 

Bıcnöca , s. f. (8. pop.) petit luroncle. 

Bıcw0s0, A, adj. plein de vers; vermoulu. 

Bicıa. V. Biza. 

Bıclerra , adj. 2 gem. (. de pods.) qui a deux 
wsles 


&a lolseau, compos# de deux mandibules de 
c0rn#; points; bout. Beo d’une siguiäre, d’un 
alambic. (Ag.) bec de plume, pointe de cha- 
poau ‚oto. (id.) bouchede l’homme.—do peito, 
mamelon.— dacandsis ou candisiro, lamperon. 
—dasmo, bes d’Ane: outil de menuisier,dechar- 
peutier, etc.,pour faire des mortaises ; burin & 
deux biseaux.—dando,beo d’un vaisseaa.- do 
ps, do dede, bout du pied, du doigt. Calar o 
—, fermer la bouche, garder le silence, Meier 

cousa #0 — a alguem, (fg. fam.) com- 
muniquer un secret & quelqu’un. Pessoa de — 
revollo „ personne orgueilleuse „ insolente. 
Ander noo—ı dos p6s, marcher sur la pointe 
du pied. Pör-se nos—e dus pes, (fg.) regim- 
ber, &tre röcalcitrant, se levor Sur Bes ergots, 
monter sur ses ergots. Chapdo de Irds—s cha- 


peau Atsois oornas. Bicos , pl. latıgueties tail- 
i6es en forme de petite langue, au bord d’une 
tolle, ou #tofle. ( Ag.) V. Pontinkos. Bico- 
de-Cegonka, (1. de bot.) g6ranion, gersine, bee 
de cigogne. — de grow, beo de grue. — de 
pombe,, boc de pigeon. 

+ Bıcocrossöoo, s. m. (f. d’hist. nal.) gros- 
bec : genre d’oiscaux de la famille des grani- 
vores. 

BıcoLör, adj. 2 gen. de deux couleurs. 

+ Bıconsucivas, adj. f. pl.(i. de bot.) bicon- 
juguees, (feuilles) dont le p£tiole oommun se 
Tino en deux rameauz obarges de deux [o- 

oles. 

Bıcönna. V. Bigornas. 

Bıcöaus, adj. 2 gen. (l. de pods.) bicorne : 
ui a deux cornes, deux bras, deux pointes om 
enis, (4.de bot.) V. Bigorme. 

Bıcörnzo, a, adj. V. Bicörne. Argumenic—, 
dilemme. 

BıconnicEro, A , adj. (1. de pods.) qui a deuz 
cornes. 

Bıcöpa, s. f. sorte de poissen du Brasil. 

+ Bıcöno, s.m. nom d’un olsesu (gros-bec) 
du Bresil. 

Bicipo, A, adj. qui a un bes pointu ; pointu. 

Bıcufva, s. f. noix huileuse du Bresil. 
Bicufvtıra, s. f. arbre qui donne la dicwiva. 

V. oe mot. 

+ Bıchseme,, adj. 2 gen. qui a deux pointes. 
(t. de bot.) Bicuspidee, (feuille) fendue au 
sommet et terminde par deux pointes, 

f Bın&nte, s. m. (1. de pods.) hoyau, houe : 
instrument & deux fourches propre & fouir la 
terre. 

TBıntıteo, a ,odj.(t.de bot.) bidente (calice) 
dont le bord a deux denis. 

+ Bipt-sinı, s. m. (l. d’kist. nat.) bidi-bidi » 
petit rat d’Amerique. 

Binuo, A, s. m. deux jours, l'espace de deux 


jours. 


BıennäL, adj. 2 gen.biennal : qui dure deux 
ans. ($. de bot.) Bienne, bisennuel. 

Bı@nnıo, 8. m. espace de deux ans. 

+ Bırärıo , A, adj. double. 

+Bırz, s. m. bifsteck : tranche de baul 


Bico, s. m. bec : membre qui sert de bouche | grill6e 


Bırenofvo, a ‚adj. fendu en deux. 

+ Birzno, a, adj. qui porie deux fois l’an. 

*Birsa,, s. f. ancienne dluffe de laine. 

Birıvo, A, adj. (t. de bot.) bilde : decoupe 
profondement en deux (feuille—). 

t BırLöa0, A, 0dj. (1. de bot.) biflore:: (lige—) 
gel ports deux fleurs, ou des fleurs deuı & 

eux. 

BıroLco, e.m. V. Lavrador. 

+ BıroLiino ow BıröLıo, A, adj. (8. de bot.) 
qui a deux feuilles. 

Bıröanne,adj. 2 gen. biforme: de deux formes, 

Biraonte ‚adj. 2 gen. quia deux faces, deux 
visages. 

+ Bıronino, A, edj. quia deux trous, 

Bıruncacäd, s. f. (f. d’anet. et bot.) bifurca- 
tion : division en deux branohes, 


BIL 


Buruncino, A, adj. (i. de ber.) bilurqus : qui 
se dirise en fourche. p. p. de 

fBırcacia-se, e. r. se bilurquer : se diviser 
ea deux, en fourche. 

Bica, s. u. (f. de pods,) bige : char altelö do 
deux chevauz de front, 

Bıcauia, 6. f. bigamie ı mariege avec deux 
personnes en tm&me lemps ; Clat du bigame,. 

Bicamo, s. m, bigame : marlö & deux per- 
sonnes en m&me temps ow deux fois; qui a 
eP0US6 UNE Teuve,. 

Bıcarim. V. Mariöla. 

T Bıctuzus ow Bıckumas, ad/. f. pl. (lolbas 
—, 1. de bot.) bigdmindes, (feuilles) dont le p&- 
tiole soutient deux [olioles. 

+ Bıckurro, A, adj. engendr& deux fois. 

f Bıcıe, s. m. bigle : chien de chasse anglais 
pour le lidvre et lo lapin. 

Bıcönz, 3. m. " moustache : barbe qu’on laisse 
su-dessus de In l&vre supcrieure. (4. Nom d’un 
jeu de cartes. Homem de—s, celui quia de la 
fermett, da caraciere. Ter bons—s,ilse dit 
une femme qui estbien, qui est jolie. 

Brcopeino, A,p.p. de 

Bropzir, v. a. (1. fam.) semoquer de quel- 
qu’sn. Tromper, jouer. 

Becoptına,, 3. f. sorte de pelite bourse & en- 
fermer les moustaches. *Strapontin de voiture. 

Becöana, 5. f. enolume, bigorne : masse de 
fer sar laquelle on bat les metaux. 

T Bucbanz, adj. 2 gen. (#. de bot.) bicornu : 
varoi de deuz comes. 

+ Bıoönnzs, adj. pl. ( Aniheras —, 1. de bot.) 
biesrnes, (antheres) A deux pointes. 

Bıcoaaiıma, s. m. (f. buri.) homme de rien; 
peutse , gredin. 

Bıchras, s. f. pl. (1. de mar.) "bigots : bois 
trou£ pour passer les cordages ;cap de mouton. 
— ferradas , cap de mouton ferre. 

Bioörz, s. m. bigot. V. Bedio. 

Bıcnrzais, s. f. higoterie ; fausse plötd; hypo- 
erisie 


Becorisuo,, s. m. bigotlisme : caraci&re du 
bigot ; dgolsme divinise. 

Bıcuaraım. V. Maridla ; Covarde. 

+ Bıchuxo, Aa, adj. (Troneo—, folhas—as, t. 
de bot.) ancipit& : comprim6, & deux bords op- 
posts et tranehants. 

+Buucivas, adf. f. pl. Folhas —, (t. de bot.) 
Bijuguses, ( feuilles) composees de qQuatre 
folioles deux & deux sur un petiole commun. 

Bua.V. Bilis. 

? Buazıäno, a,adj. (1. d’anas.) qui a deux 


I . 

+ Brıuaumöso, A, adj. (4. de bot.) bilamelld: 
sompos& de deux lames. 

BııLöne. V. Fogo d’alsgria. 

Biwws, s. f. cruche: vase de terre A anse et 
& ventre large. Der— de leits por — dazelle, 
denner un auf pour avoir un bauf. 

“ Bıunarriö, s. m. aug. de 

* Bruwarasg. V. Milafre. 

Bızkö, s. m. billon : monnale de cuivre pur 
on mele d’argent 


BIM 


Biıui6, (4. dariih.) V. Bilde. 

Bırsir, s. m. billard : jeu de billes sur une 
table drapee ; cette table; lieu od elle est. 

BıLuÄana, s. f. jeu du batennet ; le bAtonnet 
de ce jeu, 

BırHanpÄd, 8. m. joneur de bilkarda (bA- 
tonnet),, vagabond. 

Bıruaspir, vo. a. billarder : toucher deux 
[ois sa bille, pousser deux hilles A la fois, 

Bırnaadkıro. V. Bilkarddd. 

Bunte, s. m. hillet : petite leltre, missive. 
’Gedule, scrit, billet sous seing-prive, par lo- 
quel on reconnalt devoir quelque somme. Pass#- 
port : marque pour entrer dans une reu- 
nion, etc.; rouleau de papier pour lirer la lo- 
terie, ou au sort; eflet public, de banque, de 
commerce. — de visita, de boas feslas, carte 
de visite. — amatorio, billet doux, billet de 
galanterie , poulet. 

BiLneTInHo,, s. m. dim. de Bühste, 

Bıınöstae. V. Biltre. 

BıLtirıo, A, adj: (1. d’anat.) bilisire. On le 
dit des conduits de la bile, et de certaines 
pierres qui se forment dans le foie. 

+ Bırısainos, s. m.(t. de bot.) carambolier 
oylindrique : arbre terebinthacd des Indes. 
Bilimbi, arbre du Malabar qui a toujours des 
fleurs et des fruits, 

BıLincog,, adj. qui a deux langues, en deux 
langues. (Ag.) Double, qui a deux paroles, 
fourbe. 

BıLı680, A, adj. bilieux : plein de bile, chez 
qui la bile domine. (Ag.) Colerique, irascible. 

Biuıs, s. f. bile: humeur du corps animal 
separde dans le foie. (Ag.) Maurvaise humsur, 
colere. 

Bıris ow BıLiz. V. Bells. 

BııL, s. m. bill ; projet de lot du Parlement 
en Angleterre. 

BıLLörto,, s. m. billot : trongon, morceau de 
bois gros et. court. V. C4po. 

BıLosipo, A, adj. (t. de bot.) bilob# : & deux 
lobes. 

BıLripo, A,p.p.de 

Bıırin, 0. 9. trevailler avec le bilro. V. os 
mot. 

BiLxo, s.m. füseau pour la dentelle. *Quille: 
morceau de bois long et arrondi qui sert & 
jouer aux quilles. 

Birne, 8. m. (£. injur.) belltre ı coquin, 
gueux , misörable, homme de ne6ant., 

+ Bımänz, adj. 2 gen. Animal — , (l. d’hist. 
nal.) bimane : ’homme et ses vari6les, 

Bısia, adj. 2 gen. (. de pods.) entre deux 
mers. 

Buuniına, V. Bimbirra. 

BınsaLnina „s. f. Faction et l’effei de brim- 
baler (les cloches). Grosse sonnerie. 

Bıuninna, s. f. longue barre de hois en 
forme de levier pour remuer les canons, eio, 
(t. de mar.) Boute-hors ; anspeot. 

+Biusas, s. f. pl. (1. burl.) la partie ints- 
rieure des cuisses pres des ainos. 

Bıugunan, adj. 2 gen. quia deux membres. 


203 


204 BIR 


BımXstag, 5. m. ot adj. 2 gen. bimestre : 
deux mois, de deux mois. 

+ Biuo, a, adj. de deux ans, qui a deux ans. 

fBınipas, adj. f. pl. Folkas —,(t. de bot.) 
Binees, gemindes , doubles (feuilles). 

Bınärıo,A, adj. (#. d’arith.) binaire : coom- 
pose de deux unilds. Ce de mus.) —, mesure ä& 
deux temps. 

BınocuL.är, adj. 2 gen. binoeulaire : qui sert 
aux deux yeux. 

+ Bınöcuro, s. m. binocle : Iunetie ä main et 
& deux branches pour voir des deux yeux & la 
fois, 

Binöuıno ou qui a deux noms. s. (1. 

Bınömio, a, adj. | d’alg.) Binöme : quantite 
algsbrique compos6e de deux termes unis par 
un signe. EL.:A+B,C—D. 

+ Bıntasand, s. mw. (t. de bot.) hintabaru : 
plante du Malabar et de Ceylan. 

+ Bıntancen, s. m. (8. de bot.) calaba & fruits 
ronds, grand arbre & fruits en noix : donne la 
gomme tescamaque. 

Bıoic. V. Bivae. 

Bı6co , s. m. affublement : air de pruderie, 
pruderio. 

Bıocaırmia, s. f. biograpbie : histoire de ta 
vie des aliers. 

Bıocairnıco, A, adj. biographique : gui 
ent de ou & la biographie. 

Bı6öcaarH0, 3. m. biographe : auteur d’une 
ou de plusieurs vies particulieres. 

Bıöm2o , s. m. paravent, 

Biranfoo. V. Bigenito. 

Bırantino, A, adj. (t. de pods.) partage, 
divis6 en deux parties. ($. de bot.) Biparti 
fendu au delä du milieu (calice, feuille, etc.). 

+ BıpantivaL, adj. 2 gen. bipartible (ovaire, 
valve): qui peut ötre divis& en deux parties. 

BipaTknte, adj. 2 gen. (f. de pods.) ouvert 
de deux cölds. 

BirzoaL, adj. 2 gen. bipedal : long de deux 
pieds. 

Bireoe, adj. 2 gen. bipdde : qui a deux pieds, 
qui marche sur deux pieds. —e, s. m. (1. d’hist. 
:aat.) bipedes : fonre de roptiles A deux pattes, 
de la famille des lezards. 

Birkuns, s. f. (4. d’ans.) bipenne : double 
hache. 

+ Birmono, s. m. (1. d’hist. nal.) V. Salpa. 

+ Bırimwunino, adj. (8. de bot.) bipinne 
(feuille —): » dont le petiole soutient d’autres 

tioles, 

BıquapriTıco, A, adj. (t. d’alg.\ biquadra- 
tigue ı ( puissance) du quatridöme degre ; carre- 
carre. 

Bıqufıra ,s. f. gouttiöre : canon, tuyau pour 
les eaux de pluie des toits;; bec. 

Bıquinno, s. m. dim. de Bico. 

+ Bıaumrır, adj. m. (1. d’asir.) biquintlle : 
(aspect — ) de deux plandtes &loignees de 144 
degres os des deux cinquiemes de 360. 

Bıaninte , adj. 2 gen. (6. pop.) vaurien , va- 
gabond, homme Sans NMUTS. 

Bıakur, adj. 2 gen. biröıne : valsseau ancıen 


‚BIS 


& deux rangs.de rames de chague cöl# ; barque 
& deux rames. 

t Bisıni, s. m. biribi: nom d’an jea (fran- 
gais ) ae hasard que !’on joue avec des boules 
et un tableau numerotes qui se correspondent. 

BirımBio, s. m. "guimbarde os trompe : es- 
pece d’instrument d’acier en demi-cercle, ä& 
bouts prolong6s et rapproches le long d’une 
languette mobile, que !’on tent et frappe entre 
les dents. Bertiques 

BırLiougs. V. . 

Bınö6. V. Bocddo. 

Binna, s. f. * entötement, pertinacits, opinia- 
trete; haine. s$. * Tio : maladie des cheraux. 

Bıarin. V. Embirrär. 

+ BıantnQuEas , adj. f. pl. Folkas—, ( t. de 
bot.) doubles, binees (feuilles). 

BıiaR£NTAMENTE , adv. avec enittement. 

Bıankntro, A, adj. ent#t6, perlinace , Opi- 
niätre; enrag®, furieux. De mauvaise humeur. 

Bıaruo, V. Byrrho. 

Binre, s. m. ancien chapeau ; bonnet carıe 
rouge que portent les cardinaux. 

BırvLLo. V. Berylio. 

Bıs, adv. (8. de mus.) bis: indique la repe- 
tition on morceau, d’une partie, etc. 

+ Bisäco,, s. m. (e d’kist. nat.) bisaco : qua- 
drupede du Päron. 

Bısicaa, s. f. charniere,, gond, penture. 

BısaLno. V. Saquinho. 

BısiLuos, s. m. pl. V. YVidrilkos. 

+ Bisinnuo, A,adj. (#.de bot.) bisannuel : 
(plante) qui dure denx ans. 

Bisinte. V. Besante. 

Bisinua,s. f. guisarme: hache & denz tran- 
chants. Bisarme : : esp&ce d’arme offensive. (fig. 
et pop.) Choso gigantesque. 

Bısavo , s. m. bisaleul. 

Bısavo, s. f. bisaleule. 

BisBILmoTBIRA ‚se. f. bararde intrigante; 
femme de rien, meprisable. 

BiSBILHOTRIRO, sm. brouillon , intrigant, 
bavard. «6. V. Pasife. 

Bıssonnia, 3. m. (6. das) 
ble, miserable. 

Bisca , s. f. brisque : sorte de jeu de cartes & 
deux personnes, 

Bıscära , 8. f. (6. de gdog.) Biscaye : province 
d’Espagne. 

Bıscainno, 8. mw. et adj. Biscayen, de Bis- 
caye. 

Bıscäto, s. m. *bequöe. V. Fragmenio , Pe- 

Bıscorro. V. Biscoulo. 

Bısconne. V, Visconde. 

Biscouräno, A,p.2.de 

Bıscourir,v. a. faire cuire comme le bis- 
euit. 

BıscovT£ıno, 8. m. celui qui fall, qui vend 
du biscuit. 


Biscourinno, 8. m. dim. de 
BıscöuTo, 3. m. biscuit : pain cuit deux fois; 


malotzu, möprisa- 


sortv de pälisserie de farine ou fügıle, et de 


sucre. 


BIT 


* Bısnösıa. V. Bisand. 

* Bısp6no. V. Bisavd, 

Istcaz , s. m. biseigie : outil de cordonnler. 

Bıtı,s. m. (1. d’impr.) biseau : long bois 
en tales. 

Bısuimncua. V. Hypoglosse, 

+ Bıswurm ow Bismürno, s. m. bismuth : m&- 
ul fragile d’un blanc Jaunätre, fort pesant et 
dspos6 en grandes lames; marcassite d’etain, 
&ain de " 

. TBaszica,s. f. (1. de bot.) * ammi visnague : 
berbe aux curo-dents; herbe aux gencives, 


rısnague. 

Bısutro, A, 8. m. ou f. arriere-pelit-ls, ar- 
riere-petite-Alle. 

Bısoxzuania ow | pas de clerc, pas d’öoole; 

Bisoumica, s. f. manque d’experience. 

Bıs6zn0, a, adj. neul, recrae : on le dit du 
seldal qui est au service depuis peu de temps. 
(#g.) Apprenti ; on le dit d’une personne peu 
habile dans les choses dont elle so mele. (id.) 
Ineongru, bejaune, sot, niais. — na arte da 
guorre, neuf au metier de la guerre. 

+Bısonte, ( 1. d’hist. nat.) V. Gebo. 

Bıssrno. V. Besturo 


Busrino,, s.m. episcopat:: dignite del’eväque. 
Ersche , diocdse. 

Bseir. V. Episcopal. 

Bassin, ©. @. entrevoir au loin. 

Bıspin , o. ». obtenir un &vöche : devenir 
er&gue; faire los fonclions, exercer le ministere 
deregee. 

Bispo,. s.m. dvöque: pr&lat du premier or- 
dre „chef d’un dioedse. — auxiliar nu d’annel, 
ertque im pertibus, charge d’en aider un 
suire dans le soin de son diocese. Bispo da 
gellinka, le eroupion d’une poule. 

Bıspörz, s. m. pot de chambre. 

Busstcrib,, s. f. (t. de gdom.) bissection : 
bipartities (d'un angle, d’une ligne). 

Bıssexriı, adj. m. bissextil. V. Bissexto. 

Bıssgzro, adj. m. Anno —, bissextile (annde) 
ohserencontre le bissexte. On ledit des anndes 
de 365 jours , qui viennent de quatre en quatro 


"sszutizs, adj. f. pl. (t.de bot.) V. Her- 


Bısso. V. Bysso. 

Bisroai. V. Bisteri. 

Bısröara , 5. f. (t. de bot.) bistorte : plante & 
ratines tortues , repliees : medicinale. 

Bisrax , s. m. bistre : sule cuito et dötrempee 
pour peindre au lavis. 

i, s. m. bistouri.: instrument de chi- 

rurgie pour faire des incisions. 

BisoLcino ou BisuLco, A, adj. fourchu, 
fendu en deux peinles. 

Brericora, s. f. " habitacle: armoire de la 
boussole ; gingeole : plan de la boussole d’une 


*"Birärs. V. Pdcha, Titulo. 

tBrrirszs, s.m.pl. (1. d’hist, nat.) bitafres: 
oiseaux de proie d’Afrique, 

* Beriunı. 7. Yıilualkn, 





BLA 205 


TBırzanipas, ady. f. pl. Folhas, flores— (1. 
de bot.) biternees (feuilles,, fleurs) dont 1c pe- 
ttole a trols rameaux termines par trois fo- 
lioles. 

+Bırı, s. m. (i.de bot.) biti: grand arbre 
toulours vert du Malabar. 

Bıröra, s. f. * modele; 6talon. 

BıroiLna. V. Vilualhe. 

Bıröus. V. Betüme. 

Bırunınöso ‚A. V. Beluminoso. 

Bırac, s. m. (1. de mil.) bivac ow bivouac: 
garde extraordinaire de nuit dans un camp et 
en plein air. 

TBıracin, v.n.(t. demil.) bivaquer, bıvoua- 
quer: passer la nuit A Pair. 

BıviLve, adj. 2 gen. (t.d’hist.natl. el de bot.) 
bivalve : coquillage &A deux parties jointes par 
une charniöre. —, ä deux battants, & deug 
valves (fruit). 

tBiviinıo,A, adj. biviaire : (place, ville) 
sitade oü deux chemins aboulissent. 

Bivıo, s. m. bivoie : chemin fourchu. 

Bivora. V. Vivora. 

Bixa. V. Uruei. 

+ Bızanrino, a. V. Bysantino. 

Bızinua. V. Bisdrma. 

BizannamE£nTE, ado. Cavaliörement, gend- 
reusement, noblement, Valeureusement, cou- 
rageusement. 

Bızararip0, A,2.p. de 

Bızanneir, o.n. faire ostentation de valeur, 
de courage, de generosile, 

Bızannia, s. f. "courage, valeur, bravoure; 
generosite, noblesse, magnanimite ; galanterie. 
Belle sante& ; taille avantageuse ; maintien no- 
ble; el&gance de manieöres, bonnes gräces; 
elegance d’ajustement. Il se prend aussi en 
mauvaise part,et dans ce casil signiflemorgue, 
arrogance. 


‚ Bızanice. V. Bizarria. 


BIZARRISSINO, A , adj. sup. de 

Bızinro, A, adj. courageux, valeureut, 
brave, gaillard. Gendreux,, magnifique, noblc, 
grand, honorable. D’une heile sante ;, d’une 
taille avantageuse ; &l&gant, galant. 

Bıztone. V. Bisegre. 

BLanpicıas, s.f. pl. caresses, flatterics, pro- 
pos tendres , paroles doucereuses. 

+ Buampiciöso, A, adj. caressant, tendre, 
doux. 

+ BLampirLuo, A, adj. (f. de pods.) qui eoul 
avec douceur. 

* Buanpıa. V. Brandir. 

Bıio, adj. m. (1. de bias.) bleu, azur. 

+Brarz-ui-rina, s. f. (1.d’hist.nat.) *blapt 
porte-malheur : insecte coleoptere. 

Brasszuan, etc. V. Blasphemar, cic. 

*° BLisuo, s.m. bläme, 

Brasäd, V. Brasäo. 

BLASONADO, A, P. p. de Biasondr. 

BLASONADOR, A, 8. gloricux, vantard, plein 
de vanite, celui qui fait parade. 

BLASONÄNTE, adj. qui se vante, qui fait pa+ 
radc. p.a. de Blasonar. 


206 BOA 


RBıasonan (de), ©. ». se -vanter, so flatter, 


s’afficher pour faire parade. — do arnfz, con- | do 


ter ses prouesses,, faire le fanfaron, dire des 
fanfaronnades,, faire blanc de son &pee. 

BLaspnzuA00, A, 9. p. de Blasphemar. 

BLasPueMADOR, A, 5. blasphömateur. 

BLAsrB£MaNEnTE, adv. avec blasphöme. In- 
jurieusement ; outrageusement. . 

Bıaspnezuin (de), vo. ». "blasphemer : profe- 
rer un blasphdme, Maudire ; faire des impre- 
cations contre quelgu’un, contre quelgquechose. 
Medire : dire du mal de quelqu’un, le döpre- 
cier. 

BLASPRENATÖRIO, A,adj. bıasphematoire: qui 
contient des blasphömes. 

BLasrußnıa, s. f. blasphöme : parole impie, 
discours tenu contre la divinits,la religion, etc. 
Injure gravedite & quelqu’un, ou de quelgu’un. 
*"Discours injuste, indecent, deplace. 

BLasrußuo, A, 8. et adj. blasphömatlenr : 
qui biesphöme. Blasphematoire : qui contient 
des blasph&mes. 

tBristeuo, s. m. (8. de bot.) blastäme : la 
radicule et la plumule de l’embryon des 
graines. 

Bu£upa, s. f. (t. de mındr.) blende: fausse 
galdne, substance minerale; vraie mine de 
zinc, sulfure de zinc,, zino sulfure. 

+ Bıennio, s.m. (1.d’hist. nal.) poreo-pierre ; 
fenouil marin, passe-pierre; blenne. — en- 
eristado da Europs, coquillade : poisson du 
genre du blenne. 

t Bıennonnnacla, s. f. (1. de med.) bien- 
norrbagie : calarrhe de l’urätre. 

t Buennonauta, 8. f. (1.demdd.) blienner- 
rbee : dcoulement inflammatoire du mucus. 

Bızrnanöorıs, s.f. ((.demdd.) blöpharotis: 
inßammation des paupiäros. 

Bıtso. V. Gdgo. 

Bıocia. V. Bloquedr. 

BLoobzino, A,Pp. h de 

BLoqueäin, v. a. bloquer : faire un ow le 
blocus. 

BLogu£o ow BLoqußıo, #&. mw. blocus : &tat 
d’une ville cernöe, action de la corner; defense 
d’entrer dans un port, d’aborder une cöte. 

*Bör,s. f. V. Bens , Heranpas. 

Boa, adj. f. V. Bom, bonne, belle. 
mos de —, nous l’avons &chapp6 belle. Boas 
diz este homem , cethomme nous en conte de 
belles, il nous en dit de bonnes. Vir ds—s, en 
venir & un accord, s’arranger & l’amiable. 
Böas noiles, bonne nuıt, bonseir. 

BöA (serpente). V. Giböie. 

BoiL, s. m. variete de raisin biano Ires- 


oux. 
BöAmente , ado. sans detours, franchement; 
tout bonnement. De —, volontiers, aveo plai- 
sir, de bon caur, de bonne volonte. A’—, sin- 
cerement, ingenuement, de bonne foi , naive- 
ment. 
BoinaA ,s. f. V. Cardums. 
BöA -nova, s. f. espöce de papillon blanc. 
JoA0. V. Ballze, 


BOC 
TBöus-noırzs, 5. f. (1. de bei.) V. Hereviläe 
Perü 


Boiro, s. m. brait (qui court), rumeur, noe- 
vele. £ un —, semer un bruit. 

BöA-vında, 3. [. bienvenue : heureuse arrivee. 
*Compliment sur Pheureuse arrivee de quel- 
qu’un. 

Boäz. V. Bose. 

Bosics, 3. f. bouffonnerie. 

BösautnTE, adv. &ä maniere de bouflon. 

Bönsin, o. m. bouffonner : agir ou parler 
pour faire riro; faire le bouffen. 

Böszpa. V. Abobada, 

tr BontLuss (de —), eupr. ado. burl. A ma- 
niere de bouffon; inconsideröment, dteurdi- 
ment, 

+ Bosics, s. f. * caractöre, röle de boaffon ; la 
qualiis d’etrc bouflon. Niaiserie,, bölise. 

Bön0, s. m. farceur, bouffon ; miais, nigaud, 
dandin,, grue. 

Böcca, s. f. bouche : la partie Inföneure de 
la töie par oü l’on parie, par od l’on mange; 
organe du goüt, composs de iövres, de dents, 
degencives, des deux mächoires, da dedans 
des joueset du palais. Il se dit du cheval, du 
singe, sic. —, ouvertare da canon ; enirde 
d’un abime, de l’enfer, etc. ; embouchure (d’um 
fleuve, d’une rue, d’un port de mer, ete.); 
trou, ouverture (d’un four, d’un vase, e16.). 
(Ag) "Commenoement d’une chose. Ex. 2° — de 
noite , ä la brune. 4’ — de inverno, & l’ontröe 
au commencement de l’hirer. (id.) Personne i 
nourrir. Bröche au tranchant d’un couteau, etc. 
— de lobo, tr&s-obscur, ires-noir, en parlanı de 
la nuit. — de fogo , bouche A feu,, canon, piöce 
d’artillerie. —da meiriz, l’orißoe de la matrioe. 
— do estomago,, le oreux de l’estomae. — de 
verdades , Saint-Jean-Bouche-d’Or. — de rise, 
celui qui a l'air rient, agreable. 4’ — da neite, 
entre chien et loup; & l’entr6e do la neit. 4’ — 
cheia , (ig.) ouverioment, sans deiours. Dizer 
de —, verbalement, en lace. A pedir por —, 
(%g.)& bouche que veux-ta ; completsement, 
au gr6ö de ses desirs. Andar de — em —, ou 
andar nas boecas de todos, aller de bouche en 
bouche , devenir public, connu de tout le 
monde. Andar nas —s do ‚avoir une 
mauvaise r&putalion. Mandar eslar a — ,, im- 
poser silence : faire taire. Por a md na—, 
ou lapar a — aalguem, fermer la bouche & 
quelqu’un, le forcer & se taire, ne lui laisser 
rien 4 r&pondre. Der um ponto na — , se Laire 
par force. Dizer alguma cousa pels-— poqwena, 
dire une chose tout bas & l’oreillede quelqu’un. 
Estar com a— aberia, rester labouche beante, 
extasi6 devant quelque chose. Guerder a —, 
ötre sobre; (g.) taire ce qui peut nuire. Fa- 
Z0T-38 G — EM -agus, OU OFEICEr G Gqus NE —, 
venir ’eau & la bouche. Fugir a — pers s 
verdade, de l’abondance du caur la bouche 
parle. Ndo abrir —, avoir la bouche olose, la 
bouche cousus. Ndo ler — para dizer que ndo, 
ne pas avoir lo courage de reluser oe qu’on de- 
mande, Ndo tens — para fallar? oü as-tn la 


Pe En | Ep Zur — Zur 7 Se 


a 


[nn 


bouche ? n’as-iu pas une bouche? Tirdi-o da— 
para o dar a outrem,, s’öter les morceaux dela 
beuche : se priver da n&cessalre pour secourir 
un autre. Tirer a palaura da —, couper la pa- 
role & quelgu’un, anticiper sur ce qu’il allait 
dire „le devancer. Ter bda —, se contenter de 
wutes sortes d’allments. Todos por uma —, 
enanimement, & une seule voix. Pdr a — om 
dgquen , medire , mal parler de quelqu’un par 
malignitt. — d’um navio, (t. de mar.) largeur 
Fun vaisseau. — de lobo, (1d.) gueule de mie. 
—de lobo de carangutya, (id.) corne de vergue. 
Vir &—, rerenir, en parlant d’an aliment ven- 
teux. Ouem (em — vat a Roma, qui langue ad 
Rome va. 

Bocica , s. f. eug. de Böcca. Grande bouche; 
gueule. 

Bocıchs, s. m. boueassin : &toffe de coton 
dent on fait des douhlures. Toile gommee, 
lisste et luisante. 

Bocapinmo , s. m. dim. de Bocddo. Petit mor- 
ceau. — de gente, (fam.) bout d’homme. 

Bocipo , s. m. *bouchee : portion d’aliments 
gue Fanimal prend dans sa bouche pour ava- 
ler. Morceau : partie separee d’une chose solide 
etbonne A manger. "Lippee, goulde ; bouchee, 
presse bouchde. Morceau emport& avec les 
denis ou avec l’instrument appel& emporte- 

ice. Frein, mors, embouchure; partie de la 
qui entre dans la boucbe du cbeval. (fg.) 
*Piöce, morceau, fragment de quelque chose 
que ce soit. Petit espace do temps. (fam.) Go- 
bet: morceau que l’on gobe. Estar com 0 — na 
bscca ou na gotla, avoir le morceau au bec: 
veair de manger, sortir detable. — sem 0850, 
(em. fig.) sinecure. On le dit d’une place lu- 
erative qu’on remplit sans se donner trop de 
peine. Ser amigo de bons —s, almer les bons 
morcesus, les friandises. Conlar 08 —ı a al- 
guem, compter les morceaux & quelqu’un, re- 
greiter ce que l’on mange. 

Bocantaı, s. f. bouche du canon. 

Bocir,,s. m. ° ouverture d’un vase. Bocal: 
embouchure, partie d’un instrument & vent 
qu’sn met dans la bouche pour en jouer. Mors. 
V, Bocado.° Bouche de canon. — de pogo,” mar- 
geile. — de seringa,, canon & seringue. 

+ Bociı ow BuccaL, adj. 2 gen. (1. d’anat.) 
besccal : qui a rapport & la bouche. 

Bochuuente. V. Vocalmente. 

+ Bocausıa, s. f. (1. d’hist. nal.) bocamdle: 
belette de Sardaigne. 

f. pl. bokas: toiles de coton de 


Surate. . 

Bocıxim. V. Bocacim. 

Bocar , adf. 2 gen. et m. nedgre nouvellement 
arrirö de son pays. Provincial : personne qui 
arsive d’une province dans la capitale du 
royaume. Saurage, Indompt&,en parlant des 
ehevauz, etc. ( ig.) Apprenli: novice dans une 
facaltt, dans un exereice quelconque; Idiot, 
sunple , beie. 

+ Bocan, v. 6. (— 8 mierrs, I. de mar.) 
bosser lo cAbie, 


BOD 

Bocinpas. V, Bugardas. 

BögAs, 8. f. pl. (t. de mar.) bosses, cravates. 
— para amarrar o escdler, cap de remorgue 
d’une chaloupe. — de galo para pear a lancha 
dentro do navio, risses de la chaloupe. — da 
ancora, bosses de l’ancre. — de rabicho,, bosses 
& fouet. — da amarra, bosses & rubans ou ai- 
guillettes. — da unha da ancora,, serre-bosses. 
— do turco,, bosses de bout. — de ferro ( para 
as vergas ou ancoras) chalnes des vergues, 
chatnes de l’anore. — da carangueja, faux 
martinet, 

Böcca (meil. orth.) V. Böea. 

BocgıAD0,A,p.p. de 

Bocesir, v. m. bäiller : ouvrir involonlaire- 
ment la bouche en respirant et expirant avec 
force. 

Boctro,s.m. baillement:: action de bälller. 
O ultimo —, le dernier soupir. O — do mundo, 
la fin du monde. 

Boc£ı, s.m. (f. d’arch.) bosel,, tore: mem- 
bre rond; moulure qui embrasse l’extremite 
inferieure de la colonne. C&po —, rabot pour 
faire des moulures sur le bois. Meio —, mou - 
lure en demi-cercle. — d’uma pera, bourrelet 
d’un canon. — da bolada, (1. de mar.) astragale 
de ceinture. — da culalra, astragale de la lu- 
midre. — da garganta, astragale de volee. 

BockLino, a, p.p.de 

BoczLin, v. a. (t.d’arch.) faire le bose! d’une 
colonne. Faire le bord d’un vase, d’or, d’ar- 
gent, etc. Faire des moulures & un ouvrage. 

BoczL&te ow | dim. de Bocel. On l’amploie 

BOCELINO, s. m. ! quelquefois au lleu de Boodi. 

Boctra, s. f. bolte. — de joles, * &erin. 

® BoceTe, 8. m. piece d’armure, 

Bocerinna, s. f. dim. de Bocdta. 

Bocht£cHa , s. f. grosse joue; joue enfide ow 
gonfl&e d’air, de vent. Com uma — d’ j 
(fam. et fam.) facilement, sans peine, als6- 
ment. Dizer-INo na — ‚( loc. fam.) dire quel- 
que chose contre quelqu’un devant lul, & lui- 
meme. —s do navio, (tl. de mar.) Joues du 
vaissean. 

Bocuecuipa, 8 f. ce que la hbouche peut 
eontenir en remplissant les joues; Coup sur les 
joues gonfl&es de vent. 

BocuecHäd. V. Bofeldo, Sopdpo. 
BOcHECcHÜDO, A, adj. joufflu : qui a de grosses 

oues. 

BocHoanÄtL, adj. 2 gen. tr&s-chaud et seco 
(vent). 

BocHörno, 3. m. häle : air chaud et sec. 
Forte chaleur developpee par un [eu artificiel, 
et celle qu’on €proure dans un temps orageur. 

Böcıo, s.m. V. Popfira. 

BönA ,s. f. *mariage, noce; festin de noce. 
Conviddr&o-me para a — on m’a prie do la 


noce. 

Bovirua,s. f. V. Leilda. 

Böpe , s. m. bouc : le mäle de la cherre. Dar 
com 03 —ı na areia , (fig. fam.) donner du nez, 
se casser le nez en terre. 

Bontca, s. f. gargote, cabatet, bouchon » 


207 


eu en Pen Jsume ı baiza ei 2 munger 2 kmies 


Sazına de PaREIEEREN gene de VaEEmS- 
Bonscı£ın®. 2. 2. CEREERIGE „ GEERELSET - OR- 
ba qm tem m calbanet.. iR. 


T onmgun, 2m. L Zins. ant., benmein : ı 


Leuz zuuvage JE Aıpen. 
BuniıJ. a m. Isis - SERBENEB 


Bomsu „=. mm. pas mumnlet zurın de gend pen | 


ne. 

Bine, x m. Dunn: rapes Juume zu2 pamseres 
ä :zuse dz Jueiez sNemmÖR, 08 FRISENEEREE 
gunumee. 

Brouges.& u jnist upier de cmillun zeo- 
pe ı -tre iamee reg (uumieie Beste da —. 
ade 2; 

Suna.z V. BuidirW. 


Zuc. U. Oöwe. 
Buxinı sstvedin —'. TV. dus Bodies, pi. 
ie er. ” . waren. 


de weres. 

Besrı. TV. Bueiin. 

Borums,a,ap & 

Bogaz, e. a. erkuler du peumaem. I st basm 
sauvent weuize, et abses saynılle : s eamter em 
pr, Bulw. «n pertami da sang. fg. et m. 

u 

ARLSRAS. 

Boraumine, | T- Beferik_ 

*Besıs.V. Befi. 

Dre, m 
giesL, principal ergane 
decsmupese 


: visedre men, SpEm- 


u 


Böfes, pl. nee, peumen de baui, ven, 
On le dit aussi de Fhesamne. Ag. Omen. Evan 
de mdes —e, bemmme michent, vexdicatil 


et gommee. 

Boszripa, 8. f. "soufllet: da plat de la 
main sur la jowe. ( Ag.) "Insulte, injure. Der 
ums —, souflleter : donner un soufflet. (Ag.) | de 
Mortißer quelqu’un, le tromper dans son atiente, 

+ Borztriö,.s. m. grand soufllet ; soufliet 
donne avec grande force. 

Borstiözinno, s. m. dim. de Bofeldo. 

Bortte, s. m. buffet : table de salle & manger 
ot l'’on pose ce qui doit servir pour le repas. 
"Table, comptolr. — do orgäo, buflei d’orgue: 
menuiserie de l’orgue. 

Burtre. V. Bofetdo. 

Borzrzin. V, Bsbofelear. 

Boronpan, V, Baforda. 


ergame de In rerpiralen, qui 
Yaız et seuspere de Texszeme. | 


B01 
Bıca .s f. begme: peissen de mer, du genre 
spare. 
Bisazı 7. Hogerim, 
* Biczzıı. TV. Sedemis. 
Basz.ı. 7. Bages. 
Baczirm ı, 5. f. treu ed se cachent les bogues. 
Beaczume ,s. m. fiet & prendre des bogucs. 
t Bunt , s. m. surte de Ihe veort. 
+ Bantmuı, s. f- (£. de göegr.) Bohtme: 


1 
il 
| 
| 
Ah 


eupr. ie ii d'un komme pos6, re- 
Bechı . «t qui umat besstsup auL Inmurs an- 
eizumes. Onde rd oe — qus ndo larre? ( prov.) 
ca est [ine qui ne perte pas son bät? BE meilkor 
ser quelle gar —, ü vant mieux Eire mariscau 


enchume. 
+ Btı,s. m. \t. d Asis) damestigue ou esclave 
i ie 


w parasel. 

Bra, f. de mar.) "benneau, boude : 
bege, cu wate autre chese Boltants, qui in- 
duee ou sont mmewillces les ancres. Chacun des 

zuumesamx de bege qu’ent les Biets de pecheur, 
‚beuee : margue fioltanie qui 
per .n icweil. — de sulvagio, bouse de 
suuvetage. A — wigis il. de mer.) la boute 
vesile. 4— ade eigie, la boude est noye. 

Botama, 5. [. " treapeae de bauls. 

Boupo,ı,p.p. de Beier. 

Bouiste „adj.2 gen. Betten! : gui flotte. (fig.) 
fertumd , qui est dans la prosperite. 


Beier. 
ö, s. m. becal de grös, pot pour des 
Botin , o.. m. se soulever, surnager, flotter. 
. On ie dit d’un vaissean gei, apres avoir die & 
sec, est sonleve par l’eau et remis & lot. 
Bone, e. a. parler aux bauls, les exciter. 
+Bouz»o, 3. m. beiard:: seigneur ou sena- 
eur rasse. 
+Buısi,s m. (.du Bresil) espece de ser- 
pent du Bresil. 
+ Bawmnsısca, 5. f. (li. du Bresil) espece de 
serpent & sonnelles, venimeux , de cing pieds 


Di 


ir 


+ Borcrasi, 8. [. (tl. d’hist. nat.) "boicuaba « 
serpent non venimeux du Perou, do 10 & 20 
pieds de long. On mange sa cbair. 

+ Boscrrecinca, 8. f. (1. d’hist. nal.) * boicu- 
pecanga : serpent du Bresil. 

Bowäna ow BoIBaxHa, 8. f. planle grimpante 
des vignes. 

Boitına ‚adj. f. (estrella — ) boolds : cons- 
tellation. 

Boıtıno, s. m. bouvier : conducteur ct gar- 
deur des vachcs,, des baufs, 


1 2 a ba 2 


ka. 2 = _ _ 


BOL 


+ Borca, 8. f. (. Phist. nen.) bolgaı oonlen- 
ve d’Ametrique. 

+ Borcvach, 8. f. (4. d’hist. mas.) * boiguace ı 
serpeat prodigieux du Bresil et d’Alrique. 

+ Borquina , 3. f. (4. d’kist. nat.) * boiquira s 

de sorpent & sonnelios, 

* Bosöno, a. V. Vacclm. 

Boiz. V. Aboiz, Armedilhe. 

Bo,ino, A, p. p. de Bajar. 

Bosan6a, & , adj. qui saillit, qui s’avance en 
«ehors , qui fait ventre, ll so dit d’un cap, 
d’une monlagne, elc. . 

Bosiurs, adj. 2 gen. V. Bojadör. p. a. de 

Bosir,v.6. (}. de mar.) gonfler, enfler les 
voiles, en parlant du vent.«£. Faire lo tour d’une 
Ile, mesurer la circonferenoe d’une 1le,d’uncap. 

Bosän, v. 9. (f. de mar.) avoir tent de tour, 
i cs , en parlant d’un cap, eic. 

Böso, s. m. veutre, capacild d'un vase, d’un 
savire; panse; saillie, avance. (Ag.) Cour, 
&me; disposilios & endurer ou & dissimuler. 
Faser—, saillir, avancer. Homem de grande—, 
komme magnanime,quiaun grand caur ;dis- 
simule. Ter pequeno—, avoir un eur pelit, 
re impatient, ne pouvois souflrir. 

Bosinpa , 8. f. espece de poire de Portugal, 

lente et savoureuse. 

+ Bosyanadaa, 8 f. (l. de mar.) grand foc. 

+Bososi , s. m. (8. du Bresil ) serpent vert, 

de bea 


Bos6no, A, adj. ventru, qui fait ventre. 

Böra, a. f. beule, pelote:corps sphörigue.—, 
globe de bois pour jouer aux quilles, au jeu 
ner beules. Bille : boule d’ivoire pour jJouer au 


BoLicaa, s. f. *biscuit de mer. 

Borscninua, 3. f. dim. de Boldcha. — doce, 
sorte de pälisserie faile avec de la farine, du 
sauce etdu beurre. "Biscuit, petit biscuit. 

BoLina,s. f. coup de boule: Jeu qu’on fait, 
point qu’on gagne en jouant aux boules, aux 
quilles, aa billard. (fig.) * Trait, fois, occasion. 
D’esta — consegwio o inlento,, de celte fois-cı 
ila reussi. . 

BoLipo,A,Pp. p.de Bolar. 

BoLunvas (em), adv.(expr. pop.) en volant, 
en laute häle, 

Boranptına, 8. f. roue priacipale d’un mou- 
lin a sucre. 

Bousstım. V. Volantim. 

BoLiö ,s. m. aug. de Bola. 

BoLin, vo. a. renverser les quilles avec la 
boule, (Ag.) Viser juste; avoir du succös en 
gueique affaire douteuse. 

T BoLin ,adj.2gen. Terra—,lerroargileuse, 
qui contient des oxydes de fer. 

Barsris. V. Volantim et Bolelim. 

+Boısirzno,A, adj. Tronco—, (f. de bot.) 
bulbilere : qui a des bulbes. 

+ Boısısönme,, adj. 2 gen. (4. de bot.) bulbi- 
forme : en forme de bulbes. 

+ BoLsiıno, s. m. (1. de bot.) pelitc bulbe. 

BoLso, s. m. (1. de bot.) bulbe : piguon de 

note. 


POBT «FR, 





BOL 209 


Borndso,,A, adj. (i. de bo.) halbenz : de'ia 
naturo des bulbes, qui en vient; qui a Ja raeine 
en bulbe, 

Boıca. V. Bolsa, 

BoLgip0, A,9.9. de 

Boıgäa, 0. ®. rejeter lo lait, em parlant des 
enfants & la mamelle. 

Boıpasz, s. m. baudrier : large bande en 
$charpe pour porter l’öpee. 

BoLtı ow Boukia, s. f. volde, palonniers 
pidce d’un carrosse qui est jointe au train de 
devant, etälaquelle sont atteles les chevaus du 
second rang, ou les tirants du ohoval de solle, 

BoLzino, A,P. 2. de 

BoLzia, v. a. arrondir, donner une fgurg 
ronde; mener en postillon. 

t BoLetıno, s.m. celul qui mene une voi« 
turo en postillon. 

BoL£ıma, s. f. gäteau grossier. (fig. burd) 
Homme mou. 

BoL£o, s. m. "volee de la balle au jeu de 
paume; coup qui renverse. 

BoLßrta. V. Bolöta. 

BoL£ris, s. m. bulletin : nouvelle, eiat de la 
sittlalion journaliere d’une armee, J’un nıa- 
ade. 

BoL£ro, s. m. (t. de mil.) billet de logement, 

+ BoLtTo-Da-ısca, 8. m. (4. de bot.) bolet 
amadou, amadouier ; morille de bouleau ; bole$ 
ongle de cheval,, espöte de champignon. \. 

Böiuna, s. f. bulle, globule qui s’el&ve sur 
Peau agitde ou bouillante; ampou!e sur la 
peau. V. Empöla. (1. d’hist.) bulle. V. Bullite. 

f BoLaintg, adj. 2 gen. bouillonnant, eou- 
meux , quulorme des bulles. 

+ BoLnäö, s. m. aug. de Bolkha. 

BoLair, ©. 6. ou m. bouillonner, former des 
bulles. 

BoLußLuo, 8. m. pain de mais rond et long; 
salete des mains. 


- Bouigo. V. Bulicio, Reboligo. 


BoLigöso,A, adj. [retillant, semillant, re- 
muant, inquiet, turbulent, seditieux, factieux, 
brouillon, propre ä exciter des troubles. Agilee, 
en parlanı de l’eaude la mer. 

+ BoLines, s. m. pl. bolides : piesres, corps 
tombes du ciel. 

BoLipo, 4,9. p. de Bolir. 

Bouı£ıro. V. Boletiro. 

Bou.ina, s. f. (tl. de mar.) bouline : corde 
amarree au milieu de la voile pour lui faire 
prendre le vent de cöte. — de barlavento, hou- 
line du vent. — de solavento, bouline de re- 
vers. —s de velacho, boulines du petit hu- 
nier. Ir d—, ou com vento d—, aller ä& la 
bouline, de cöt#. 

BoLINADO,A, 9. 2.de 

BoLınär „v.a. et n.(l. de mar.) bouliners 
aller & la bouline; prendre le vont de cöle. 

BoLintıno, A, adj. (Navio—, I. de mar.) qul 
va bien & la bouline (Yaisseau); boulinier : qui 
va ä boulines häldes. 

Bouixete, s. m. (l. de mar.) cabestan \cK- 
tical ; vındas, viverant. | 

14 


+ 





20 BOL 

Boumtre. V. Balde. 

Beorinua, s. f. dim. de Böie. 

Bouinno , s. m. dim. de Bölo. 

BoLısuörLo. V. Bolinko. 

Bouır, v. a.remuer, agiter. 

Bon, 9. ®. toucher, remuer, mouvelr. — 
eom as cabecs, remuer la Wie. — com alguem, 

, chercher noise & quelqu’un. — se, 
©. r. se mouroir, se remuer; frötiller, s’agiter, 
Ötre sans cesse en mouvement. Ndö te bilas 
#’eki, no bougez pas de 14. 

+ BöLızsöLLe, e. m. (f. de bot.) brize & gros 
öpilieis, plante graminde. 

BöLo, 8. m. gäteau , galeite. Bo! : petite boule 
tomposte de drogues medieinales. —armemio, 
bol d’Armenie. Bolo (1. de jew), l'argent qui est 
sur la table du jeu; enjeu. 

t BoLonma, s. f. (1. de geog.) Bologne : ville 
@Ttalie. Boulogne : ville de France. 

+ BoLonstz, a, adj. bolonais, de Bologne. 

Bor6nto ,a,ad/. (f. fam.)niais,, benet, E’ um 
Bolomio , c’est une cruche, c’est un Ignorant. 

Borör, s.m. * moisissure, chancissare, moisi. 

Bororzckk, 9. ». chancir, moisir; se chan- 
or, semolsir. 

BoLon&nto, a, adj. chanci, moisi. (Ag.) 
Viellli, suranne. 

Boröra, s. f.*gland : fruit du chene; sorte 
@ornement suspendu qui Pimite, qui a sa 
forme. 

+ BoLoTinpo, a ‚adj. engraisst avec du gland. 

BoLoriı. V. Auinhdl. 
ıra. V. Börla. 

Boısa, e. f. bourse : petit sac poar mettre de 
Yargent. — do cabsilo, bourse : sac de talletas 
noir pour enfermer lescheveux.Poche, godage, 
vu godete : faux pli d’un babit mal taille. (6. de 
ekir.) °Sac: sinus qui se fait dans une plaie. 
(Ag.) —, quantit d’argent contenue dans une 
bourse ; fortune, bien - &tre d’un individu. 
Bourse,, en parlant des palements qui se font 
en Turquie, se d pour une somme de 500 
piastres (1781 fr.); maison de change, liea de 
ssunion de banquiers, negociants, eic. Saca 
de cuir pr&s de la selle. Peau des testicules. 

na —, mettre & Famende. Ter ou 
levar a — bem provida, avoir la bourse bien 

ie, bien ferree. Tor 6 — varia, avoir la 
urso plate. Bolsa-de-pastor, se. f. (t. de bot.) 
beurse & pasteur, tabouret : espece de thlaspi. 

Borsa , e. m. boursier : celul qui garde Yar- 
gent pour faire la d&penze d’une societs. 

BoLsino, a, p. p. de Bolsdr. 

Borsi0, s.m. aug. de Bolsa. 

BoLsan, v.w. goder, faire des poches, en 
parlant d’un babit mal fait, qui ne va pas juste 
au corps. On le dit aussi de toute autre chose 
faite avee de !’&toffe, quand celie-ci fait des 
plis. v. a. V. Bolser. 

BoLsania,s.f.bourse d’anecommanauts, etc. 

Boısazinna, s. [. dim.de Bolsa. 

BoLstiıno, s. m. boursier : faiseur de bour- 
05: qui Salt Ja depense. Caissicr. 

BoLsinno,, s. m. dim. do Bolso. *Cassetie du 


rol : fonde, sommes d’argent quo ie rel a A va 
disposition pour les depenses partiouliäres. 
Faser—, garnir sa poche, s’ongraisser dans 
une affaire, falre sa main. — das sspiges. V. 
Capodie, 


B6ıso, s. m. boursen, pocheiie: petite pe» 
che; gousset : petite de culotte. Bein de 
la volle d’un navire,, fond , ereuz de voile. 

BoLYEnoouao. V. Envolssdouro. 

Bow , 04, adf. bon:qui a de la bonted; par- 
fait, qui a toutes les qualitäs vonvenables & se 
nature, & sa destination ; qui prodeit son efet; 
qui a les qualit&s propres, n6oessaires; exoel- 
ient, fort, vigoureax; utile, propre & certalns 
usages; agreable, armusant.—, qui peut encore 
servir. Estd—, vollä qui va bien, c'est bon. — 
successo,—exito, reussiie. Asler—, 50 r 
bien. Nd& se sentir —, ötre mal A son alse. — 
komem, bomme plein de bonte. Homem —, 
homme de bien, d’honneur, bonnete komme. A 
dom lempo, a b6as horas, (loc. ade.) dans un mo- 
mentopportun , convenable ; per Ironie, signi- 
Rlant le plus souvent : c'est trop tard. — anno, 
une annde abondante. Anno—, la nouvelle 
annde. — fsmpo, beau temps. Nd6 fazer nada 
que — seja, ne faire rien de bon. BE bbar dbsa! 
Ce n’est pas mauvais! pas mauvais! Bons (pi.) 
dias, bonjour : salut familier que Y'on fait le 
matin. Bdas tardes, bonsoir : salat familier 
apres midi. Biss noites, bonsoir, bonne nuit : 
salut & la nuit. V. Bde. ass bons sords 
um d’elles, (prov.) hante lies bons etim soras 
bon. 

Böu,s.m. bon, borme qualit#, ve quilly a 
de bon dans une personne, dans une ohose. 
O — d que, le bon est que, etc. 

+ Bou ou Böwma, s. m. (6. d’his. nal.) serpent 
d’Angola et du Bresil. 

Böusa, s. f. bombe : grosse beule de fer 
crease rermplie de poudre pour metire dans un 
mortier, et qui öclate en tombant. Pompe : ma» 
chine pour €lever l’eau. Dar d—, pomper: 
&puiser avec une pompe. —de mid, (l.de mar.) 
pompe & bäton, pompe & main. — para apager 
fogo, pompe & fen. Buraco da—, (id.) lumiere 
de la pompe. 

Bousichas, s. f. pl. large pantalon. 

+ Bouzafe, e. m. (4. de gdog.) Bombay : ville 
de !’Hindoustan. 

Bouzinpa, s. f. bombarde : canon gros, 
oourt ettr&s-bruyant. 

Bousaapeipo, A, p. p. de Bombardsar. 

BOMBARDBAMENTO, 3. m. bombardement : 
Paction de bombarder. 

Bousanpeir, 0. o. bombarder : Jeter des 
bombes. 

Bousarptına, 3. f. canonniere, petite em- 
brasure oü Fon met une bombarde. it. (1. de 
mar.)Galiote & bombes , bombarde : batiment 
de guerre destino & Jeter des bombes. 

Rossanneıro, s. m. Bombardier : qui tire 
des bombes. (1. d’kist. wat.) Brachine, bom- 
bardier : insecte carnassier. 

BousaanXTa, s,. f. pette bombarde. 


BON 
Bowsaris, s. f. grande quantitd de bombes, 
de bombardes, 


Bowasazina „ 8. f. sorte d’&tofle de colon, es- 
pics de velours de colon. 

Bosazino, A, 9. 9. de 

Bouszin, o.a. V. Bombardeor. 

Bonszıno. V. Bombardeiro. it. pompier. 

+BomstÄrz, s. f. (t. de chim.) bombiate : sel 
formt par Funion d: l’acide bombique avec 
äfftrentes substanoes. 

Böuuco , adj. wu. Acido—, (1. de chim.) bom- 
bigue (acide) extrait de la chrysalide du ver & 


+  Bönso,s. m. V. Zabümba. 

Bousönn0, s. m. (I. de mar.) bAbord , bas- 
bord : oßte gauched’an vaisseau ä parlir "de la 
Poupe 

+ Bousos, sm. (f. E’hist. nat.) bombos : 
eroeodile d’Alrique. 

Böusvez, s. f. (4. d’hist. nat.) bombyce : 
Insecte lepidoptäre. — ds cauda forcada, bom- 
broe ,petite queue fourchue. — pavda ,bombyce 


grand paon 

+ Bomay’Lio, s. m. (1. d’hist. nat.) bombylie: 
inseete solerostome. 

*Bona, s. f. biens, revenus, richesses. — 
eirs, bonne . 

Bonacmi0, Ona , adj. eis. bonasse : sans ma- 
Eco E um — , c’est un bon enfant. 

Boxscuzinäd, 2. 

Bouaczo, A, u) V. Bonachäo. 

Bonänca, 8. n calme, bonace, tranquillite. 
Il ne se dit guöre que de l'ötat oü est la mer 
quand elle est calme. Vento —, (1. de mar.) 
armngan : temps propfe pour la navigation. 
(44-) Bonbeur, prosperite. Passar a vida em—, 
vnte en 16. se 

Boxıugap0,A,P.P- 

Bonascin,o.%. eire en calme. V. Abonangar. 

Bosascöso, A, adj. calme, tranquille, qui 
n'est point dmu. (fg.) Prospöre ‚ favorabie, 


+ er !- (i1.de bot.) "bonda: arbre d’A- 
(rique, le ples gros, le plus haut des arbres. 

Bonpipe , s. f. bonte : qualit& de ce qui est 
ben dans son genure.—, qualil6 morale qui 
porte & faire du bien. Bonte de cur, douosur, 
amakbilite. — natural, bonhomie. 

} Bomaneno, A A, ‚ad gracieux, doux, hon- 
nette ‚ plein de 

"Fhemsom, « 8. n ( 1. de bot.) honduo : ar- 

brissesu tpineux des deux Indes. 

Bontca , s. f. poup6e : pelite figure de femme 
pour servir de jouet. (Ag.) Marionnette,, petite 
femme. °Mouet : linge non dans lequel on a 
mis chose pour tremper, bouillir, etc. 
— spare o sino, (1. de mer.) polence au Inon- 
tanı de la cloche. —ı para as anienas, (id.) 
potenes, 

Boutco,s. m. petite Ägure d’homme en bois, 
en carton, etc. : marionnette. (fig.) Homme ef- 
fümine oa petit. Marmouset, petit gargon. 


Fe | V. Boneca, eic. 


’ Bontsa. V. Amiga, Meretriz. 

Bontrs. V. Barröte. 

Bonicos, s. m. pl. (6. Pop. et bas) exenömene 
d’äne, de chamean, 

Bonirıcia ‚etc. V. Bemfsllorizar, eic 

BoniwaäTe, 8. m. poupard, marlonnette, 
(#g.) Freiuguet, damoiseau. 

Bonina, ef. (a de bot.) ‚päqueretie virace; 
marguerite, pelite jmarau uerite; petite consire. 

BorniL.e a a. lieu od se trouvent beaucoup 
de bonımnas 

BORISSIMO, A, adj. sup. de Bom. 

BonitamentE, ado. gentiment, bellement, 
joliment. Tout beau. 

Bonıttrs. V. Bonitofe. 

Bonırtza , s. f. beauts , gentillesse. 

Bonırinuo , A, adj. dim. de Bonito. Joliel, 
bellot. 

Boxito,&A, adj. joli, gentil, mignon, agrea- 
ble, frisque. 

Bontro, s. m. * bonite : poisson de ner, es- 
pece de scombre. 

+ BourLannıa, s. f. (6. de bot.) bonplandie : 
grand arbre de ’Amesrique meridionale, cupu- 
aire. 

Bonzo ‚s. m. bonae ;ı pr&tre chinois ou Je- 
ponais. 


Po, &ı , (ane.ortih.) V. Bom, Böse. 

+ Boöpz, 5. m. (1. d’hist. nat.) boope ; sorie 
de thon du Brösil, & trös-grands yeux. 

* Boösa. V. Embörs, 

Boötss, 5. m. hootös , bourvier, chövre : 00R- 
stellation boreale. 

Boqusina. V. Boc4jo. 

Boqusin, etc. V. Bocajdr, etc. 

Boqusiräd, s. m. aug. de Bocca, grande 
breche, grande ouverture. Goufire, irou pro- 
fond. 

Boguzsino, & „pP. p. de 

Booussan, v. 0. V. Abocankar, au propre ot 
au figure. o. m. V. Boosjar. it. Parler bas, 
murmarer entre ses dents. 

Bogqutızo, s. m. petit trou pres de Fourer- 
ture d’un four. 

BooviastaTo, A, adj. (fam.) bayeur : qui 
baye ou regarde la bouche ouverte. 

Boquianpturz, adj. 2 gen. qui a la bouche 
trös-sensible, en parlant d’un oheval. 

Bogvscatı0, A, adj. avec la bouche ourverte. 

Boquvipöno, A, adj. fort en bouche (cheval). 

Bogqvirananuzino, A, adj. (fam.) qui retroeit 
la bouche, qui fait des grimaces avec la bouche. 

+ Boquirenpino, a, adj. On le dit du oheval 
qui a une grande bouche. 

+ Boguiratsco, a, adj. qui a la bouche Ifral- 
che (cheval). 

+ BoqauıLinoo, A, adj. gei & la bouche large, 

Bagvim,s. m. "embouchure : partie des in- 
struments & vent od l’on applique les l&vres. 
° Enguichure : entrde de la trempe de chasse. 
Bouquin : le bout de la canne qu’on met sur 
les lövres pour soufller io verre, 


au 





212 BOR 


BoquimöLLe, adj. 2 gen. On le dit du cheral 
qui a la bouche tendre et Lrop delicate. 

Boquintcao , A, adj. qui a la bouche noire. 

+ Boovinna, s. f. dim. de Bocca, nom d’un 
poisson de la riviere de Couama. Boquinkas, 
pl. petits baisers. 

Boqvırascanpo, A, adj. quia fa bouche trop 
fendue (cheval). 

Boqtıinöto, A, adj. bavard, häbleur, babil- 
lard ‚qui ne sait pas se taire. 

Bontisscco, A, adj. Il n’est employ6 que 
dans la phrase suivante : Ficar boquisecco, 
restor la bouche close. 

Bogisumipo, A , adj. qui a la bouche enfon- 


Booquıtönto, A, adj. quiaa la bouche de tra- 
vers. 

Bonäcıco , adj. m. Acido —, ( 1. de chim.) bo- 
racique : du borax (acide —). 

Borite, s. m. (t. de chim.) borate : sel, 
combinaison de F’acide borique avec diffören- 
tes bases. ‘ 

Borax, s.m.(f. de chim.) borax : borate de 
soude, sel mineral, forme de l’acide borique 
avec de la soude. 

BorsaviLuo. V. Bordadilko. 

BorBoL£ta,s. f. V. Rainunculo. 

+ BorsoLtra, s. f. (1. d’hist. nat.) "papilion : 
insecte & quatre ailes poudreuses, colorees, 
venant de chenille ou ver. — diurna, papilion 
du jour. — antiopa, deuil. — ida ou de olki- 
nhos de pavdo, paon du jour. — dos cardos, 
belle dame. — alalanla, vulcain. — da couve, 
papillon du chou. — de nabo redondo, papil- 
lon de la rave. — d’Apollo, l!’Apollon. — me- 
chaor „ porte-queue du fenouil. — argos, l’ar- 
gus. — marchelada, damier. — malizade, pa- 
pillon panach#. — nacardda , petit nacre. 

BoasoLnäd,. 

BoRBOLHAR. } V, Borbuilk... 

Borsoninua ou BORBORINRO, 8. m. ou f. 
murmure, bruit confus de plusieurs personnes 
qui parlent ou qui grondent. 

+ Bonsorrcno, 8. m. (1. de mdd.) borbo- 
rygme : vent brayant dans les Intestins. 

‘Bonsotiö, s. m. bouillonnement,, bouillon : 
cat, mouvrement de l’eau qui bouillonmne; 
abondance, Aux, jaillissement de leau, du 
' sang, etc. A borboides, & gros bouillons. 

Borsors, s. m. V. Barbote. 

BORBÜLHA, s.f. "bourgeon, ail; bouton, pus- 
tule. 

Boas0LBÄDO, A, pP. p. de Borbulkar. 

BonBULnANTE, adj. 2 gen. bouillonnant, qui 
beuillonne. 
„nonsuLni6 ‚es. m. aug.de Borbulka.V. Bor- 

BonBULBAR, ©. w. bouillonner : s’dlever en 
bouilions , en parlant des ligquides, comme de 
l’eau des fontaines, du sang qui sort, etc. if. 
V. Abrolkar. 

BonsöLno, 8. m. V. Borbulhlo. 

Borcivo, etc. V. Brooddo. 

Boncan. V, Emborcar. 


BOR 


Borcarir. V. Brocatidi. 
t Boaczı6rz, s. m. variöid de figuos de I’Eu- 


rope. 

Bosckıo. V. Fragmento , Pedaro. 

Bönco, s. m. de —, la face contre terre. 

Bönna, s. f. "bord : extrömits d’une surface, 
ce qui la termine. Rive, rivage. (. de bot.) 
Lisiöre, pourtour ou marge. A’— , ade. (fig.) 
sur le point de, pres de. — falsa, (1. de mar.) 
faux cöl£. 

Boapina ,s. f. (.de mar.) bordde : route 
d’un vaisseau qui louvoie. — d’artilkeria, —, 
decharge de tous les canons d’un bord du vais- 
seau. Böa — , un bon bord ow un bord qui al- 
longe. 

Borvanerna. V. Bordadöra. 

Bonpino, A, adj. p. p. de Bordar. s. m. 
*Broderie: ouvtage de brodeur. V. Bordadüra. 
Borpapon, A, s. brodeur : celui qui brode. 

Bonpapöra,s. f. broderie : ouvrage de celui 
qui brode. (4. de blas.) Bordure:: sorte de cein- 
ture pos&e de plat au bord et en dedansde P’&cu. 

+ Bonpice, s. f. "bordage: reveiement exied- 
rieur en planches d’un vaisseau. 

BornaLßnco, A, adj. grossier, ignorant, 
stupide. 

BorpäLo, s. m. espece de goujon de ririere 
(poisson). 

BoRpamenTo. V. Bordädo,, Bordadura. 

Borpiö, s. mw. bourdon : bAton de pelerin. 
—, ia corde la plus grosse qui sert de basse 
dans les instruments de musique. 

BorpiAozInH0 ,s. m. dim. de Borddo. 

Borpvän (de, com), o. a. broder : tracer des 
Aigures en relief & l’aiguille, etc., sur des etof- 
fes. Border : garnır le bord. 

Borne. V. Moldüra. 

* Boapzir. V. Baforddr et Bordejär. 

Bonpeciö,s.m. V. Rustico, Vil, Zöte. 

BonpzJin0, A,p.p. de 

Bonpzsin, vo. a. ein. (8. de mar.) bordayer :r 
courir des bordöes, aller d’un cötE, d’un au- 
tre, quand le vent est contraire ; louvoyer. 

Borp£r, s. m. bordel : liou de debauche, de 
prostitution. 

+ Borpgos, e. m. (t. de gEog.) Bordeaux: ville 
de France. 

Börpo,s. mw. (f. de mar.) bord : un navire 
ou ses cötes. (fd.) * Bordee : route que fait un 
vaisseau qui est oblig& de louvoyer. Bord, ex- 
tremite. V. Borda. Ira —, estara—, aller & 
bord, etre & hord, sur le vaisseau. Pra—, 
mettre &ä bord. Navio dalto —, vaisseau de 
baut bord. — curio, mauvais bord. Faser —e 
curios, courir &ä petites bordees. Cousa d’ei- 
to — (fig.), chose excellente , extraordinaire , 
digne d’envie. (4g.) Humeur, resolution, avis, 

Aisposition d’esprit. 

BöRno, s. m. &rable : grand arbre; robre. 

+ Bonvoipa, s. f. coup de bourden ou de 
bäton. 

+ Borvoipo, A, adj. (t. de blas.) Il so dit.des 
croix garnies sux exir&miles de porımmes ou 
bötons semblables & ceux des pelerins, 


BOR 


BorEziL, adj. 2 gen. boreal : qui est du cöl6 
du nord, qui appartient au vent du nord. 
Böngas , s. m. ° Boree: vent septentrional, 
bise. 
+Boadı, s.m. ({.de mar.) * &pissoire de bois. 


Bonsıuo. V. Borreiko. 
Boasonnäö,öBA, |) „et adj. Bourguignon 
Bonconulz, A, de la Bourgogne. j 


Boacriamiö, ONA, 

BoacemmoTa , s. f. bourguignotte : espece de 
easıque de Ser sans visiere, 

Borir. V. Buril. 

Borsica, s. f. sac de chaudronnier ambu- 
lant. 

Borsschrs. V. Borcejöte. 

Bossortra. V. Barjolkta. 

BörLs , s. f. houppe : touffe de fils en bou- 
quet , boule sur un bonnet. Campane : bouppe 
de soie, d’or ou d’argent, fil& aveo de petits 
ormnements en forme de cloche. Bonnet de doc- 
teur.— do pdo da bandeira ou de flamula, (1. 
de mer.) pomme de pavillon ow de Dammes, 

Borsar. V. Burnal. 

Boruzan0,A,p. p. de 

BoawsiR, 0.0. — as pecas, (1. d’artil.) bra- 
quer les canons en les soulevant avec la pinco 
e les anspecis. 

Boau£ıo, 3. m. mouvement circulaire , tour ; 
peinie de la leance dont on se servait dans les 
joutes et tournois. 

+Bonu£ßıra, 3. f. pierre noire dont on fait 
des meules pour les moulins; meulidre. 

+ Boautıno, adj. (trigo —). On le dit du bl 
meulu avec la Borneira. V. ce mot. 

Borzto. V. Borneio. | 

Boni, s. zı. sorte de faucon de Guinde dont 
la plume ost bleuätre. 

Boazır , etc. V. Brunir. 

Boata.V. Bröa. 

Boxor.V. Bolör. 

* Bosortoo. V. Borco. 

+ Boaguinnas, s. f. pl. (4. de mar.) fourches 


car&ner. 

Bönas,s. f. lie : depöt que [ait une liqueur. 
— ds id, bourre lanice. — de söda, bourre 
de soie,. — d’aleaträo, (4. de mar.) rache de 
geudron. ( Ad. fam..) Chose de rien. 

BonnaczıRo, 3. ms. petite pluie fine. 

Bonnacäl, 5. u. marecage. V. Ponlano. 

Boasäcua, 8. f. pelite outre pour y melire 
da vin. Gemme elastique, caoutchouc. 

Bonnacniö, s. m. augm. de Borracha ‚ petite 
yeau de bouc & metire des ligueurs. ( fig.) 
Ivregae, biberon : sujet A s’enivrer, qui aime & 
beire, sec ä vin. — de cam V.Forrisl. 

Bonxacntıaa,s.f. "enivrement, ivsesse: dtat 
d’une personne ivre. (Ag. am.) Betise, bövue, 
hisiserie. 


BOR 243 


qui ale cerveau troubl& parles vapeurs du vin. 

BoRRÄCHO, 8. m. petit pigeon, pigeonneau. 

Borrino, A, p.p. de Borrar, adj. bilfö, ef- 
fac6, en parlant d’un &crit, d’une inscription. 

BoRrAnOR, s. m. brouillard : sorte de regis- 
tre des marchands; brouilion. V. Borräo. it. 
Barbouilleur, griffonnier; mauvais peintre. 

BonnAnOR, adj. Il n’est d’usage que dans 
cette phrase. Papel —, papier brouillard ‚ sorte 
de papier qui boit. 

Borrapöna,s. f. raldre, effacure. 

Bonricenm, s. f. (t. de bot.) bourrache ; 
plante potagöre, annaelle. 

Bonaiıma,s. f. V. Borröna. 

BORRALBEIRO, A, adj. qui ne quitte point le 
coin du feu; frileux. 

BORRÄLHO, s. m. cendre chaude ou il reste 
quelques ötincelles de fen. 

Bonräö, 3. m. pätö : goutte d’encre tombee 
sur le papier. Brouillon : ce qu’on jette d’abord 
sur le papier pour le mettre ensuite au net, 
Brouillon : nom qu’un petit nombre d’auteurs 
modestes donnent & leurs &crils. (1. de peint.) 
*Ebauche, crayon, croquis, esquisse : premiere 
idee d’un peintre. Canevas : premier projct de 
quelque ouvrage d’esprit. (fig.)* Tache, fletris- 
sure, obscurcissemen! ; defaut, imperfectlion. 

BorrÄr, v.a. effacer, rayer, croiser, barrer, 
biffer : tirer des traits de plume sur quelque 
ecrit. Salir, tacher; barbouiller. (1. burl.) 
Foirer. 

BorRrAScA, 8. f. ” orage, tourmente, bourras- 
que, tempette, vent impelueux, grosse pluie 
mel6e de grele, de tonnerre, etc. (Ag.) Contra- 
rieie, difficulte; peril, danger; grand srouble, 
sedition. 

BORRASCOSO,, A, adj. orageux, tourmenteux: 
qui cause des orages,, qui est sujet aux orages. 
(Ag.) Violent, [urieux. 

Bonrass£ıno. V. Borrackiro. 

Bonatco, s.m. belier qui guide les autres. 

Borr£ro, s.m. poussin : petit poulet nog- 
vellement &clos. j 

Borntca ,s. f. agneau femelle. 

BoRrEcäDa, s. f. troupeau d’agneaux. 

BoRr£cO, 5. m. agneau antenois. 

Bonaecufıro, 8. m. celui qui prend soin des 
agneaux antenois. 

Bonrectinno, s. m. dim. de Borr&go. 

BoartLuo,s. m. *loulque, poule d’eau d’un 
plumage noir. 

Bonr£na,s.f. "troussequin : piece de bois 
cintröe qui s’eleve sur le derriera d’une selle, 

Boantnto, A, adj. plein de lie. 

BoRagTEinO, A, p.p. de Borvetedr. 

BORRETEADURAS , 6. f. pi. V. Borradura, 


Bonascatır0, 5. m. colui qui fait des outres, | Emenda 


Bonnacasıa ou BORRACHINHA, s. f. dim, de 


Bonascaich , s. m. (1. burl.) ivre; ivrogne. 
Bonnscuicz. V. Borrachtira, 
Bonsicao, a, adj. soül, ivre, imbriaque : 


BORRETEÄR. V, Borrär. 
Bonaırino,A,P. p. de 
Bonsırin, v. 6. arroser lögörement, asper- 


ger. . 
Bonxiro, s. m. * aspersion, arrosement ldger. 


213 BOS 


Bonriscipa, s. f.”orage avec de la pluie et 
du vent. 

Bonnisco , s, m. " averse. V. Aguackiro. 

BörRo, s.. agueau qui a plus d’un an, 
mais qui n’on a pas encore deux, 

+ Bonau, s. m. (1. de dot.) borrou ı arbre des 
Indes, &corce purgative. 

Borroßsa. V. Brotolje. 

Boadso, V. Buruso. 

Borzecuikıro, s.m. eelui qui fait des bro- 
dequins, des bottines, 

Boazecuim, s. m, brodequin : obaussure an- 
cienne. Bottine : petite botte. 

BorzoL£ra, s, f. bourse de ouir & fermeture. 
V, Barjoleia. 

Boscicz ow Boscicem, 8. f. *bocage : bos- 
. quet, petit bois, (4. de peint.)* Paysage. 

h BoscanBıo, a, adj. booager : qui habite les 
ois, 

Bösco, V. Bosque. 

Boszipo,A,Pp.p. de , 

Bosein, v. a. parler, crier aux animaux. 

Bosiı, s.m. (1.d’arch.) bosel,, Lore. V. Boodl, 

Bössono, V. Bösphoro. 

Bosina. V. Buzina, 

+ Bosxiaco,a, adj. et s, bosniaque : de la 
Bosnie. | 

Bösruono, s. m. (ti. de geogr.) bosphore ı 
detroit qui separe deux continents et falt cam- 
maniquer deux mers. 

Bösaquz ‚s. m. bois : lieu plant& d’arbres sau- 
vages. * For6t: grande dtendue de terrain cou- 
verte de bois, *Futaie: bois compos6 de grands 
arbres, 

Bosgunsano, A,P. p. de 

Bosqugisin, o. a. ($. de peint.) &baucher, 
eroquer, effumer, esquisser : commencer gros- 
siörement un ouvrage de peinture, lui donner 
les premiers traits. Ebaucher un ouvrage quel- 
eonque. (fig.) Douner uns idee confuse de 
quelyus chose. 

Bosquß1o, s. m. (8. de point.) " esquisse, äbau- 
che, crayon , croquis : ouvrage de peinture qui 
n’est que grossiörement commence. *Ebauche: 
ouvrage qui n’est que commencd. (fg.)" Ebau- 
che, canevas, On ledit figur&mentdesouvrages 
d’esprit, 

Bosqutte, s. m. dim. de Bosque. Bosquet, 
bouqueteau, petit bois, touffe de bois. 

Bosquszinno, s. m. dim. de Bosque, et plus 
petit que Bosqudie. 

SSAR. 

aan } V, Bog..., ele- 

Bosstrz. V. Boodie. 

+ Bossr', s. m, (£. de bot.) bassy : arbre d’A- 
frique, Alfruit on prune allonge6e. 

Bösra, s. f. fiente, bouse de bauf ou de 
vache. 

Bostipo, A, p.p. de Bostdr. 

BostiL, s.m. &table pour les baufs et les 
v . 
+ Bostancı, s. m. bostangi : Jardinier turo ; 
Intendant des jardins du sultan en Turgnie. 

} Bostän, v, @. jeter la bouse, la fiente,, en 


BOT 
parlanı des baufs et des vaches. (Ag.) Dise des 
mots degoütants. 

+ Bosttıro, s.m. (1. d’hist. nat.) bousier: 
genre d’inseotes col&optäres. 

Bosr£Lıa. s.f. pustale : &chauboulare. 

BOSTELLENTO , A, adj. pustaleux : convert de 
pustules. 

* Bost£ıLo. V. Bosque£ie. 

BostTzLL080, A. V. Bustellente. 

+ Bösron, s.m. boston ı sorte de jeu de 
cartes. 

+ Bostaicno, s. m. (1. d’Mst. nal.) bostrich: 
insecte xylophage. 

Böra, s. f. botte : chaussure de cuir qui en- 
ferme le pied, la Jambe, et quelquelois le ge- 
nou. Petite outre. V. Borracha. Cuve, tonnesu 
pour metire da vinet d’autrea liquides, Bötss 
de cankäo, boties A revers. —s de monler, 
bottes fortes. —s d’agua, grosses bolles qui 
montent jusqu’& !’aine pour entrer dans l’eau. 
—s joelktiras. V.ce mot. Tirer, descalper as 
—s, debotter : öter les bottes. Estar com as —s 
calcadas, dire tout boti6 : &izs pretä partir pouı 
un voyage. Au fgure, il signifie &ire pr&t, dis- 
pos6 & faire une chose. Assobiar as —s, (ewpr. 
burl.) frustrer l’attente de quelgu’un, le trom- 


per. 

+ Boräina, s. f. coup de botie. 

Borinpo, A, p.p. de Botär. 

+ Boraner,, s. m. (1.de mar.) ’ rebousse: ou- 
til de fer pour repousser les chevilles. 

Boraröco , s. m. (4. d’artül.) boute-feu : bi- 
ton , foarchette aveo une möche pour allumer 
le canon ; incendiaire; (Ag.) celui qui exeile 
des discordes, des querelles. EB’ um boie-foge, 
c'est un brülot, un boute-fen. 

BOTAFöcO , adj. 2 gen. qui Jeite du feu. 

+ Böraröna, s. m. * sortle d’un vaisseau da 
port; festin, repas que donne le coapitaine 4 
cette occasion. 

+Borir,s.m. (i.dechir.) botal:: trou, canal 
pour le passage du sang dans le ftus. 

BoraLös, s. m. pl. (1. do mer.) boute-hers: 
pelites vergues pour porter les bonnelies en 
6tai ; longues perohes arm6es de orocs. 

Borinıca , s. f. botanique : solonoe qui Wwalle 
des plantes oonsidördes comme #ires natureis, 
ei de leurs propriötös. 

Borinıco, A, adj. botanigue : de la bols- 
nique. e. m. Botaniste : qui s’appliquo & la bo- 
tanique. 

+ Boramoerarnlia, 3. f. botsnogrephie : des- 
cription des plantes. 

‘+ Boranorocla , s. f. botanologie ı trails 
raisonne de la botanique. 

+ Boranouanda, s. f. botanomancie : art de 
predire par les vögölaux. 

+ BoranöptıLo, s. m. botanophile : qui aime 
la botanique. 

Boriö, s. m. bouton : bourgeon des arbres; 
la fieur avant son developpement; petit rond 
ou plateau pour attacher les vötements; eo qui 
en a la forme, —, babe, ioflanımallon, dlevure 
sur la peau. — de fogo (4. de chir.) bouton de 








lea : bouten de fer rougi au feu, dont las ohi- 
rurgiens se servent en plusieurs opäralions, 
— despada preis, bout de fleuret. — de cabo 
(1.de mar.) amarrage ä plat. — om orüsz, amar- 
rage en &iriere ow bride. — dos ovens,, amar- 
rage & plat des haubans. — pora alracar dows 
esbos, amarrage ä [faire approcher deux grosses 
cordes. — de cabo delgado, aiguilleites. 

BoTÄ0ziun0, 3. m. dim. de Botso. 

Boriß, oe. e. lancer, jeter, avancer, s’dten- 
dre. Butter. V. Deiser, ri, usser, 
rebrousser, Öter la pointe ou le tranchent, 
— 03 denies, agacer les denis, V. Embotar. 
— os mssiardos d cunka, (i.de mer.) guinder 
les mäts dehune. — a lancha, 0 bote föra, (id.) 
mettre la chaloupe, le canot & la mer. 

Borla-ez, o,r. se jeter, se lancer. V. Dei- 
Jar-08. . 66. S’dmousser. V. Emboter- 


s. 

Borarto „ s.m. (4. d’archit.) aro-boutant ı 
pilier de vote termine en demi-aro. 

BoTa-SELLA, 5. m. (6. mil.) boute-selle : si- 
gnal pour seller les chevaux. 

Börz, s. me. petit bateau,, canot, st. ° Bolte; 
evup de lance, de pique; etc. 

Bortıza , s. f. bouteille, vaso & large vontre 
et & goulot, pour les liquides ; son oontenu ; 
ampeule. 

Borsıutıno, s.m. bouteillier, boutillier : qui 
a soin des bouteilles, 

Borzıuiama , 8. f. dim, de Botelha. 

Borzguiu, s. m. calö : eu public oh l’on 
prend toutes sortes de liqueurs. 

Borzoumssıno, s. m. colui qui a un cafe; 
lmonsdier , colui qui fait et vend des rafral- 
chissermenis 


Borica, s. f. pharmacie, apothicairerie ı lien 
oü Yon garde et vond les remeddes. 

Borncib ,s. os. davier : instrument, tenaille 
de dentiste, r 

Borıciaıa, 3. f. apothiealresse ı femme qui 
vend , qui pr&pare des remödes. 

Borscinıo, 5. m, apothicaire, pbarmacien ; 
celsi qui prepare, qui vend des remödes, 

Borlsa, s. f. "flacon : jarre, dame-jeanne ; 
sorte de vase de terre a anse at A goulot. u do 
esiai, (k. de mar.) pommes d’etai. —s de cabe 
Cy , (dd.) pommes de la tournevire. 

BorrLuio. V. Alge. 

Boriw, s. m. brodequin, V. Borzeguim, 

Borisa, s. f. dim. de Bola. botline : petite 


Boriquzıno. V. Logista, 

Borges. V. Botequim. 

Bormis, s. m. "nasse en forme d’entonneir 
pour p&cher les lamproies. 

BörTo ‚9. m, poisson de mer qui ressemble au 

Boro, a, adj. dsnousse. (Ag.) Obtus: quia 
esprit peq pen6trant; paresseux, negligent. 
V. Ewbotdde. N 


Boroapo, 
Borotına, 
„, 


V, Aboton... ,ete. 


BRA 315 
Boroıao, 5: m, boutennier ; celul qui fait 
des boutons. 
Boröogue. V. 


Ri Börays, 5. mfLt. do Bot.) "anserine botridet 
x, 
RorroR, s. m. pl. prötses de Buddha dems 
"Asie. 

Bousas, s. f. pl. uledres veneriens, ohan- 
ores 


Boustxro, A, adj. obanereuz ı qui a un 
ohanere. 
Bovca ‚a. f. terre ineulte, störile. 
4 Bonckina, e. f. la premiöre dtoupo quı’en dte 
a lin. 
BoucHa, #. f. broussailles brüldes. 
Bouszear. V. Bosear. 
:*Bovrıgaa. V. Baptizar. 
* Bouzzar, ote. V. Bosear, ete. 
* Bövzpa. V. Abödada,. 
Laorino, A, adj. (4. de pods.) borvine, de 
uf. 
umoxl, s. f. petite malle usilse entre les 


Bo 

Boran. f V. Boi..., ei. 

Boyz. 

Bozmaia. V..Voxeria, 

Bozını , ete, V. Burine. 

Brası. V. Brava, Bravia. 

BRABANTE, 5. m. V. Borbante. It. brabame ı 
tolle d’dtoupe de lin fabriquee A Gand. 

+ Baasantks, A, adj. et s. Brabangen : du 
Brabant. 

Brasosınine. V. Bravosidade , Braudia, 

Brasöna. V. Bravöra, 

+ Brasyıa ow BaazıLon, 8. f. ou m. (#. de 
bot.) "brabei & feuilles en ötoile, plante protse. 

BRACAMÄRTE, s. m. braquemart : öpte court® 
ot large qu’on portait le long de la culsse. 

Baica, s. f. brasse: mesure de deux bras 
@tendus, 8 pieds : 2 mötres 3 cent. (en Por- 
tugal). ' 

Bnruckpa, s. f. brassse: contenu entre les 
deux bras. A’s bracadas, (loc. adv.) k grands 
pas, ä pas de geant. 

Bracapkınas, s. f. pl. les courroies mises om 
aro par ol se metient les bras, V. Embraga- 
deira. — de ferro, ( t. de mer.) ötrieux de fer. 
— da espingarda, capacines : pidoes du fusil, 
anneaux qui embrassent le bois ot Je canon. 

Bracino, s. m, V. Brardda. It. Fascicule : 
certaine quantit& de plantes lides ensomble. 

Bragige ou Bracaces, 6. f. "service, travail 
des bras;; ce qu’on peut gagner dans son &tat, 
dans son mötler. * Brassage : droit du malire 
pour la fabrivation de la monnaie. . 

Bracir, s. m. brassard : partie d’arınure qui 
couvrait le bras. 

Braciı, adj. 2 gen. brachial : qui a rapport 
aux bras; tir6 A bras. 

+ BaacaLörzs, 8. m. pl. (f. de mar.) pen 
deurs de bras. 

Bnaczino , A, PP: do Drawer. 


Baacricau, s. f. "monnayage 
brication de la monnaie. V. Br 

Braczir, 0.» mouvoir les bras. V. Brace- 
jer. v.a. (1. de mar.) brasser : faire la ma- 
nauvre des cordages. — por barlavento, bras- 
ser au vent, faire bon bras. — por solarento, 
brasser & porter, decharger les volles. — as 
oergss ao comprimenio do napie, meitre les 
vergues en pantennes. — por bombordo , bras- 
ser bäbord. — por estibordeo,, brasser tribord. 
— avanle por bombordo , e ard por estibordo, 
brasser bäbord devant, et tribord derriöre. 
= vor barlavento , hrasser au vent. — em re- 
dondo,, brasser en croix. — para alravsssar 'o 
navio, brasser sur le mät, brasser & ooiffer, 
conire-brasser. 

Baac£ıao, s. m. celul qui donne & un aufre 
son bras pour s’appuyer. On lo dit plus commu- 
nement de celui qui donne le bras aux dames. 
Journalier : homme qui travaille & la terre. Celui 
qui tire bien la barre , qui a bon bras & ce jew. 

Baackıno, A, adj. de bras : qui appartient au 
bras. On le disait autrefois des armes qu’on li- 
rait avec le bras, telles que la lance, le 
dard, etc. 

BaacgıiR,v. ®. mouvolr, remuer les hras. 
(g.) Lutter avec peine. 

BracEL£TE, 8. m. brocelet : bijou que Y’on 
porte au bras; ce qui couvre, garantit le bras. 

* BRACELÖES ou BRACELONES, 8. m. pi. bras- 
sards : sorie d’armuro pour couvrir les bras. 

+ Bracuantnse Yu BAACARENSE, 8. et adj. 
de Brague, qui appartient & Brague, grande 
ville du Portugal. 

Baäcaı , s. f. accent bref (v). 

BaachıäL, adj. 2 gen. brachial : qui arapport 
au bras. 

+ Baucnıöno, s. m. (4. d’ist. nat.) brachion : 
scorp@ne, polype. 

+ Baacav'ceno, 5. m. (l.d’hist. nal.) brachy- 
eöre : insecte coltoptöre. — achalado , aplail. 

f Baacurorapuia, 3. f. brachygrapbie: art 
d’ecrire par abreviation. 

+ Bnacur’cnarno, 3. m, brachygraphe : qui 
derit par notes abregetes. 

BracuvoLocia, s. f. brachyologie ; manidre 
de s’exprimer par sentences. 

+ Baacnıeuka,s. f. (1. de med.) brachypnee ; 
respiration courie et lente, ou presste. 

. PBracıcänpıno, A, adj. (1. de pods.) quia 
les bras tres-blancs. 

Bracinuo, s. m. dim. de Brago. 

Bracueng. V. Brahmene. 

Brico, s. m. braque, braquet : chien de 
chasso & poil ras, oreilles pendantes. 

Baico,s. m. bras : membre du corps humain 
qui tient a l’epaule; ce qui en a la forme. ]l se 
dit du cheval, du singe, elc. (1. d’anat.) Partie 
du bras de l'’epaule au coude:: le reste prend lo 
nom d’avant-bras. Flöau : verge de [er oü sont 
attach6s les deux bassins d’une balance. ( Ag.) 
"Branche, rameau. (id.) " Valeur, courage; 
puissance, aclion, pouvoir, autorite, juridiclion, 
„ creisilion, traverse, hras d’ane 


‚ brassage, fa- 


BRA 


eroiz. — de Deos, bras, main, puissance de 
Dieu. — de mdr, bras de mer: partie de la mer 
entre deux lerres voisines et paralldles, — da 
nobreza , deputes de la noblesse aux Glats du 
royaume. — erelesiastico ou do clero, deputss 
du cierg6 aux €tats du royaume. — do poro, 
tiers-etat:: les depules du peuple aux diats du 
royaume. — do reino, chacım des ordres du 
royaume depul& aux etals. — secular, hras se- 
culier, puissanoe terrestre. — real, puissance, 
magnificence royale. — da rabeca, eic., man- 
ehe d’un violon, etc. Brapo a—, ou — por —, 
bras & bras, corps & corps, avec des armes 
egales. Com o — ao peito, le bras en echarpe. 
Homem de — e de saber, homme vaillant et 
savantı. Ser 0 — direilo d’alquem, (fig.) etre 
le bras droit de queiqu’'an; e@tre son homme 
de conflance. gar ao — secular, livrer au 
bras seculier, au propre et au figure. — de can- 
dieiro,, branche de fiambeau. Ndo dar 0 seu — 
alorcer, (loc. fam.) ne se laisser pas violenter. 
— dencher, (1. de const.) allonge de remplis- 
sage. — postigo , ( id.) allonge postiche. —, om 
forro do farol, aiguilles de lanal. Bragos, pi. 
(Ag.) pouvoir, danger ; jouissance. Ex.: Salver 
alguem dos — da morie, sauver la vie & quel- 
qu’un, Farracher & la mort. Nos— dos 
zeres, dans la Jouissance des plaisirs. Ander 
a — com, lutter : oombaltre contre ou avec, au 
propre et au figure. 4’ forga de —, & force de 
bras. (fig.) A force de merite, de travail, de 
peine. Com os — abertos, & bras ouverts, cor- 
dialement, avoo joie. Dar-se 08 —, s’embrasser. 
No ter sendo os seus —, ne vivre que de son 
travail. Ester com os — runados, @tre oisif, 
paresbeux ; se tenir sans rien faire. Faser cair 
08 — a alguem , dbeourager enlidrement , cau- 
ser l’&tonnement, la stupeur, Fimmobtlite. 
Langar-se nos — de..., se jeier dans les bras 
de... se livrer, s’sbandonner ä&... — do esver- 
name, (1. de const.) allonges. — dos prodi 

do pordö, (id.) allonges de porques. — da via 
grande, (1. de mar.) bras grands, bras de la 
grande vergue. — de gavea, bras du grand hu- 
nier. -— do joanefe grande, bras da grand per- 
roquet. — de barlavento, bras du vent. — de 
sotlsvenio , bras de dessous le vent. — seccos oa 
da verga secca, bras de la verge söche. — dos 
mancos , allonges de corniere. 

Bracrzino, a, adj. (4. de bot.) bracteiläre : 
qui porte des braciees. 

tBracreines, adj. pl. (glandulas —, I. de 
bot.) glandes dans les bractdes. 

BaictEas, a. f. pl. (6. de bot.) bractses : ex- 
pansion qui accoınpagne les fleurs & ia base 
des pedoncules ou feuilles florales. 

Bracino, A, adj. quia des bras vigourenr., 

Beapino,Aa,p. p. de Bradär. 

Baanino, 5. m. V. Bredo. It. celoi qui, 
quand on chante la Passion, chante le plus 
baut, im#ant les cris de Ja synagogue. 

BrADADOR, A, 8. crieur, celui qui crie. 

Bravin, 9.0, otm. crier fort; declamer avec 
feu; vociferer. — for alguem, appeler quel.. 





BRA 


qu’oa & grands oris. — d’alguem, crier oonire 
queiqu’en. 

Baa0o, 5. m. cri, clameaur, grand bruit. V. 
Grite. Dar —, faire du bruit. Il se dit de l’eclat 
que font certaines choses dans le monde. —s da 
der, da afliegde, pleurs, lamentations. Dar 
—, pousser de grands cris. 

+Baapırarsia, s. f. (1. de med.) brady- 
pepsio : digestion lente, faible et imparfaite. 

+Bauprro, s. m. (1. d’hist. nat.) bradype: 
aimal du genre des paresseux. 

+ Baapr’r0no, A, adj. (f. d’hist. nal.) bra- 
dypode : qui marche lentement. 

Bassontına , s. f. (. d’anc. mil.) armure qui 
couvrait la partie superieure du bras. Dans les 
yabils, e’etait une bande ou bourrelet qui em- 
brassait la partie superieure Ju bras. 

Baaca, 5. f. "alganon : petite chalne pour les 
Iorcats qui sont en ville. * Lange, eloffe dont on 
enreloppe les enfants en maillot. * Pans d’une 
chemise. ( 4. d’imgr.) Braie: le parchemin que 
Fon eolle au grand tympan quand il est use. 
(t.de mer.) Brague. Bragas, pi. bragues : cu- 
löttes ıres-amples. 

+Baacäpa, 5. f. la partie ınlerieure des 
esisses d’an choral. 

"Bascapıca,s.f.valeurd’un bragal. V.cemot. 

TBaacäpo, A, adj. On le dit des animauzx, 
eparticalierement des bauls qui ont destaches 
de differentes couleurs enire les Cuiss6S. 

Bascapdaa, 3. f. enfourchure : partie du 
eorps entre les cuisses. Le dedans des cuisses 
dans ious les animaux. 

DasciL, s. m. sorte d’ancienne toile gros- 
sitre; drap pour couvrir la farine pötrie. Um—, 
e’ütait anciennemen! qualire aunes A peu pres 
de la toile gu’on appelait dragal. 

Baacanıe. V. Bargante. 

+ Bascizca, s. f. (1. de göogr.) Bragance: 
ville du Portugal. Casa de —, maison de Bra- 
ganoe, la famille regnante en Portugal. 

$ BaacanTınO, A, adj. ei s. de Bragance: 
Estirpe —e , la race do Bragance : la famille 
roysle du Portugal. 

*Baıckı. V. Bragal. 

* Bascutıno, s. m. brayer: bandage pour les 
bernies. * Drague : gros cordago qui sert sur 
les vaisseaux & arreier le recul des canons. 
— grende,, (1. de mar.) brague & lirer un vais- 
seau A terre. u 

*"Barcıeı. V. Tıra. 

Baacutz. V. Bracharense. 

Bescriıma, s. f. brayelie: fente de devanı 
d’un baut-de-chausses. 

+ Baanna, s. m. Brabma, Bhiham ou Brihm : 
divinite des Indes orientales. 

Basnuangs, s. m. pl. bracmanes, bramins, 
bramines : pretres ou philosophes indiens. 

Baiua, s.f. V.Börra. (l.d’hist. nat.) breme: 
peisson d’eau douce, large et plat, du genre 
eyprin. 

Baımapkıno, 5. m. lieu oü les bites fauves 
se rassemblent quand elles sont en rut. 

Baauino,A,p. p. de Bramdr. 





BRA 217 


DBRAMADOR, A, 5. et adj. mugissant : gui mu- 
git. Il se dit au figur6 des flots et des vents. 

BRAMÄNTE, qui mugil..9. a. de 

BRANÄR, v. ». bramer : mugir, crier. Il se dit 
de3 bauls, ot, au figure, des vents et des flois, 
V. Bramir. — (de), ( ig.) se fächer a l’exoos, 
devenir furieux. 

BrauiDo, 8. m. mugissement, beugloment : 
eri du bauf. On lo dit, au figure, des vents et 
des vagues. Rugissement : cri du lion. Cri : volx 
forte et confuse d'une personne en colere, 

Brauınor. V. Bramador., 

Baauın. V. Brahmane. 

Baauin, v. 9». crier, jeter des crig &pouvan- 
tables; hurler ; tonner, gronder;; rugir ; mugir. 
ll esı plus usit6 au figure qu’au propre. 

Bramüra. V. Bramido. 

Bränca,s.f. (6. de mus.) blanche : note de 
musique qui vaut deux noires, ou la moiti6 
d’une ronde. ( 4. de jew) Carte blanche. 

*Branca. V. Braga, Grilhäo. 

BruncacenTo. V. Alvacento. 

" Baanciceu, s. f. aucien droit sur le pain 
quel’on vendait dans les marches publics. 

* BaancäL. V. Esbranquigado. 

Brancas, 3. f. pl. cheveux blancs ou gns 
d’une personne. 

BRanca- URBiNA , 8. f. (t. de bot.) branch 
ursine , acanthe. — bastdrda. V. Canabrdz. 

+ BaancmäL, adj. 2 gen. (tl. d’hist. nat.) 
branchial : des branchies. 

Bräincuus, s. f. pl. (t. d’hist. nal.) bran- 
chies : oufes, organe respiratoire des poissons. 

Bainco, a,adj. blanc: couleur de lait, de 
neige. Albugineux. farineux. Ropa —a, linge, 
tolle coupee pour differents usages,, soit de la 
personne, soil du mönage. Armas —os ‚ arımes 
blanches; &pee, pique, eic. Mdgica —a, art 
d’escamoteur. Carla —a, carte blanche : plein 
pouvoir. 

Baänco, s. m. blanc : coniraste du noir; 
couleur blanche ou qui en approche. —, e8- 
pace qu’on laisse dans un &crit sans le rem- 
plir. — de ovo, fard : blanc de fard fait aveo 
des coquilles d’auf. Madeira em —, bois tra- 
vaille qui n’est ni peint ni verni. Assignar ens 
— , donner son blanc-seing. Cedula ou palente 
em — , blanc-signe, blanc-seing. Pör os olhos 
em — , tourner lesyeux de maniere a n’en lais- 
ser apercevoir que le blanc. Beber em —. Il se 
dit des chevaux qui ont des Laches blanches sur 
les lövres. Deixar alguem em —,(fig. fam.) 
refuser & quelqu’un ce qu’il damande, oublier 
sa demande, tromper, trahir ses esperances. 
Deizar om — alguma cousa, (fig.) oublier, 
omettre une chose. Ficar-se em —, (fig.) dire 
oublie , &ire fruströ dans son attente. Ndo dis- 
finguiro — do prelo, (fig.) no pas distinguer 
le blanc du noir : @tre ignorant, stupide au 
point dene pas savoir, de ne pas comprendre 
les choses les plus simples, 

Baancöna,s. f. blancheur ; la couleur blan- 


che. 
*Brinpa. V, Yardında, 


218 BRA ne 

+ Baınnizs, s. m. pl. (t. de mer.) galau- 
bans ow galhaubans : cordes pour affermir 
les mäts. — volantes, galaubans volants. 

BRANDAHRNTE , adv. mollement, douoement, 
deölicatement. (fg.) Aveo douceur, aveo doci- 
ll, avoo affabilite. 

Baaupaö, s.m. "torche , lambeau , brandon. 

Baampüza. V. Brandüra. 

f Baanmtngog, &. m. nom qu’on donne aus 
soldats qui defendent les fronlieres de la pro- 
vines de Buenos-Ayres. 

Baanpioo, A, p.p. de Brandir. 

BRANDIMENTO, s. m. action de brandir. 

JR AANDINNO, A,adj. dim.de Brando , mol- 


Baanpfr, vo. a. brandir, vibrer, en parlant 
d’une lance , d’une &p6e, etc. 

BaANDISSIMO , A, adj. sup. de 

Bainpo, A, adj. mou , mollet, doux, douil- 
let. (Ag.) Mou, douillet , commode, trop indul- 
gent, trop faclle; doux, suave, agreable, alla- 
ble; temp6re6 , moder&, leger. — da bocca. ]l se 
dit des chevaux qui ont la bouche sensible, 
dölicate , qui o&dent, qui obeissent & la bride. 
Tempo —, temps mou, tempere. Homem —, 
(fg.) homme effemine, qui n’est pas propre au 
unvall; persoune qui a un caraciöre doux, fa- 

e. 

" Branpöuro. V. Varadouro. 

Branpüna, s. f. mollesse, douceur : qualit& 
de ce quiest mou ou de ce qui est doux au 
toucher. (g.) Amenits, affabilits, bont6, ama- 
bilitö, douceur ; benignite, moderation. V. De 
teile, Regalo , Delicadeza. 

* Bainua.V. Brönha. 

Baangueino,, A, pP. p. de Branquedr. 

BRANQUEADOR, A, 3. et adj. qui blanchit, 
qui erepit. 

BranQugapdna , s. f. * blanchiment : Yaction 
et l’effet de blanchir ; blanchissage. 

BRrANQUEANE£NTO. V. Branqueadüre. 

Baanguräir, v.a. blanchir : mettre da blanc, 
faire devenir blanc. (4. de charp.) Dögrossir, 
raboter une planche. 

Baungueir, v. m. blanchir : devenir blanc. 
(fig.) Vieillir. 

Baangueanla, s. f. blancherie, blanchisse- 
rie : lieu od l’on blanchit les toiles. 

BRANQUEJÄR,, v. n. blanchir : devenir blanc; 
eommencer & devenir blanc. V. Alvejdr. 

BaAngQußTa, 8, f. (l.d’impr.) "blanchet: mor- 
ceau de drap, de molleton sur le tympan, Drap 
blano pour filtrer. Tissu grossier de laine, 
dont ceriaines rellgieuses faisalent des che- 
mises. 

BRANGUIDOR ‚s. m. celul qui, dans les nötels 
de monnaie, est charg6 de blanchir et mettre 
en couleur les pieces d’or et d’argent. 

BRANQUIMENTO, 8. m. blanchiment : Y’action 
de blanchir les monnaies avant de les frapper. 
Baquet oü les orfövres font blanchir la vais- 
selle. Melange d’eau forte ei d’eau commune 
dans lequel les orf&vres font bouillir Pargente- 


Flo. 


BRA 


Baanguinuo, A, adj. dim. de Drameso. 

BaAnquissımo, A, adj. sup. de Brameo. 

Bräcaı ou Baiza, s. f. braise : charbon ar- 
dent. Ferro ew—, fer rouge. Bstar m —, 
(Ag.) ötre en oolöre, trös-irrits. Kstar feile 
uma — de ouro ,(id.) &ize dore oomme un ca- 
lice , brillant comme l’or. Como galo por —, 
(fam.) comme chat sur braise. Ficer —, rou- 
gir de honte, de oolöre. Maar @ —, sur- 
passer. 

Brustirinno, s.m. dim, de Braseiro. * Chauf- 
fereite : pot rempli de feu, que les fommes 
mettent sous elles. 

Braskırno, s. m. brasier : bassin de metal 
plein de braise pour chauffer une chambre. 
Bücher : tieu od !’on brüle les eriminels. 

Bausivo , s. m. brasier : feu de charbons ar- 
dents. 

BausiL, s. m. (f. de geog.) Bresil: empire 
d’Amerique. Pdo —, bois de Bresil. Couleur 
rouge qgu’on tire du bois de Bresil. Brasis, pl. 
Bresiliens : les habitants indigenes du Bresil, 
que !’on appelle Indiens. 

BaasıL£ıro, A, adj. et s. Breösilien: du Bresil. 

BrasıLtro, s. m. brösillet: bois du Bresil, 
d’une qualits inferieure au br&sil An. 

Baısiö, 3. m. blason : armoiries, assem- 
blage de tout ce qui compose l’&ca armorial. 
* Heraldique : Part d’expliquer, de deerire les 
tous d’armes. (fig.) "Honneur, polnt d’hon- 
neur. 

Brasonin. V. Blasondr. 

Brässıca-marinna. V. Soldanelle. 

+ Brartnitzs, s. f. (1. de min.) brathite : 
pierre qui repr&sente les feuilles de ia sabine. 

BRÄVAMENTE ‚adv. bravement, vaillamment; 
cruellement, terriblement ; üerement. 

Bravania. V. Bravdia. 

Bravita, s. f. bravade : action ou parole 
par laquelle on brave , oa P’on prötend intimi- 
der quelyu’un. Rodomontade, fanfaronnade. 

BrAavATsiDpo,A,p.p.de 

Bravarein,v. n. faire des bravades; faire 
le fanfaron. 

Bravartıno, s. m. fanfaron, rodomont , cex 
lui qui fait des bravades. 

Bravssir. V, Esbravejar. 

Bravtzı,s.f. V. Bravüra, valeur, courage. 
Furie, courroux : colere du clel, de la mer, 
des elements et aussi des bötes. 

BravinBo, A, adj. dim. de Bravo. 

Bravio, A, adj. farouche, feroce , sauvage, 
indompts, qui n’est point apprivoise, en per- 
lant des animaux. (fig.) Sauvage, agreste , en 
parlant des arbres, des plantes, des fruits. 
(id.) Sauvage, rustre, en parlant des personnes, 
(id.) Rudanier, brusque, prompt : rude & ccux 
a qui il parle. O gado — ‚les laureaux et les 
beies feroces. 

+ Brivıo, s. m. prix des jeux publics, r& 
compense du vainqueur. 

Bravissımo, A, adj. up. de 

Briävo,A, adj. brave, vaillant, courageur. 
Feroce ‚ cruel, farouche, sauvage. V. Bruvie. 


1 


BRE 


Ben, exosllent, parfalt. Agit&, houleux, Ina- 
bordable , en parlant de la mer. Äpre, inculte, 
raboisux, escarpe. Somplueux, magniflque, 
superbe. Cräne, fanlaron , rodomont. Poreo—, 
sanglier. Brdco! inlerj. bravo! mot dont on se 
sert paur fdmoigner son approbalion, pour 
applaudir un acleur, un chanteur, etc. 
Baavosınips, s. f. V. Bravdıs, Bravüra, 
Bravöso. V. Brävo. 


Basvönı, s. f. ferocit6 d’un animal. Bra- | Caf 


voare , oourage, valeur Eclatante. 
Bräiza, oic, 
i Y. Bras... b} etc. 


Baaziö. 

Bauzıı, ete. 

Bazipo,4,p. p. de Bredr. 

Bazındaa, s. f. couche de goudron. 

Bazir, e. a. goudronner ; enduire de gou- 
dron. V. Aleafroar. — as cosluras, (1. de mar.) 
brayer les coutures. 

„s. f. pelade de chövres et d’autres 
animaux. (Ag.) Humeur, colere. Estar levado 
da — avoir de l'bumeur, &tre en colöre. 

Batcona, s. f. bröche : ouverture faite de 
force & un rempart. —, ouverlure, trou fait & 
une haje, A un mur. (fig. fam.) — , dommage, 
tort qui est fait & l’honneur, A la fortune de 
quelqu’un. (dd.) Impression que fait dans l’es- 
yit la persuasion d’autrui. Bater em — , battre 
en bröche. (Ag.) Poursuivre quelqu’un. 

Bazcuiı, s. m. lance courte de cavalier asia- 


que. 

* Batco. V. Bergo. 

+Batvos, s. m. pl. (1. de bot.) amaranthe 
verte. — vermöihos, amaranthe mölancolique 
“strieolore suisse. 

Bazpofca. V. Beldrodge. 

*Batoa. V. Briga. 

Buscino, A, P. p. de Bregar. 

Bazcanrım. V. Bergantim. 

"tBancis, vo. a. p6trir les päles, le pain. 
Brigtiro. V. Broeiro. 

Bazcua ow BRECHATE, 8. m. (fl. d’anat.) 
bregma : sineipat, partie de la 186 qui, dit-on, 
est toujours humideo chez les onlants. 

Bascraciö , s. m. V. Bribigso. 

Batıtına ,s. f. polissonne ; coquine. 

Batıtınäö, s. m. aug. de Bräjfiro. 

Batıkınlcz , 8. f. polissonnerie,. 

Batıtıno , 5. m. polisson , mauvais dröle,. 

Batıo, s. m. marstege. V. Paniano. 

Baz)öso , A, adj. marecagoux. V. Panianoso. 

Balz , s. m. caillou. 

* Bazıogun „s. m. V. Bagatells , Friolera. 

Batusı. V. Broma ( poisson). 

+Batuı, s. f. (ti. de gdog.) Bröme ı grande 
ville d’Allemagne. 

+ Baxutz, A, 0dj. et s. de Bröme. 

Batuua, s. f. * buisson : touffe d’arbrisseaux 
tpineas, Terrain raboteux, crevasse , 6ca- 
breux , rempli de ronces. 

Bazunöso, a, adj. bulssonneux : plein, cou- 
vert de buissons. 


*Baznstoa, s. f. V. Nebrina. 


BRI 219 


t Brönto,s. m. (4. d’Aist. nal.) brente ı co- 
l&optere rhinocdre. 

Br£o ow Breu, 5. m. coudran, coudron : 
sorte de goudron pour les cordes. Brai : me- 
lange de gomme et autres matidres rösineuses 
pour calfater. 

t Bazauinna „s. f. barres de fer rondes, fer 
ron e 
Bretanciı, s. m. tolle de ooton [alle par les 
res. 

Baxtinnua,s. f. (f. de geog.) Bretagne: pro- 
vince de France. it. Toile de Bretagne. 

Breriö, s.m. Breton:: le natif de la Bre- 
tagne. 

Ba£TE , s. m. piege. 

Baxroßıa. V. Brotofja, 

Brerönıca. V. Belönica. 

BaßvE, s. m. bref : lettre pastorale du pape. 
Breve : syliabe dont la prononciation n'est ni 
longue ni douteuse. Bröve : note de musique 
qui vaut deux rondes. Breves, pl. abröviations 
dans l’öcriture, 

Bre£ve, adj. 2 gen. brief, court: qui a peu de 
durde, d’etendue. Em —, sous peu. Em —s 
dias., dans peu, bientöt. 

Ba£VvEM£NnTE , adv. brievement, promple- 
ment, lestement, vite, vitement; dans peu de 
temps, bientöt. 

Baetvıa,s. f. t6crkation dans une commu- 
nauls, vacance. 

Bazvıino. V. Adreviddo. 

Brevıinıo, 3. m. br&viaire : livre d’olfice de 
chaque jour pour un prötre, un beneficier. 
Caraciöre d’imprimerie tres-petit, qui sert & 
imprimer les bröviaires. Abr&ge d’un ouvrage. 

Bazvınioe,, 8. f. briövete, l&egerete, vilesse,, 
peu de durde d’une chose. 

BazvıLoqußncıa,, 8. f. brievets, conclsion 
dans un discours, 

BABVILOQUENTE „ adj. ? gen. concis : qui 
parle aveo cancision. 

Bneviörıo. V. Brevidrio. 

+ Bagvirzpes, s. m. pl. (4. d’hist.nal.) breri- 
pedes : famille des oiseaux qui ont les pieds 
courts et peu propres & la marche. 

+ BaEvipennes, s. m. pl. (b. d’hisl. nal.) 
brevipennes : brachypteres, ä courtes alles - 
ordre des gallinac&es (l’aulruche, etc.). 

+ Baevınostaos, s. m, pl. (1. d’hist. nal.) 
brovirostres : oiseaux & bee court ol gros. 

BREVISSIMO, A, adj. sup. de Breve. 

Bazvista, s. m. ou adj. celui qui est intelli- 
gent sur les breis apostoliques. 

Brıir, 5. m. * Jjupe de soie ou d’une autre 
etoffe riche. Partio de la cotie d’armes, depuis 
la ceinture jusqu’au dessus des genoux. 

Brianto,s. m. (4. de myih.) Briareo : geant 
qui avait cent bras. 

Brıpanze. V. Birbante. 

+ Brinıchö, 5. m. (t. d’kist. nal.) bucarde ; 
mollusque ac&phale ; testace bivalve. — grande 
eoraguda, caur de Vönus. — ordinario comes- 
tible ‚la coque. — acosielddo ou acostilhado , le 
caur A cötes. \ 


2% BRI 


Brica, 2, f. (1. de blas.) espace dans !’- 
eusson. 

Bnicue, s. m. sorte de drap en laine sans 
etre teinte. 

Brichöte, s. m. lerme de mepris donne par 
le peuple aux dtrangers. 

Bripa , s. f. renes : courroies de la bride. 
Bride : partie duharnaiscomposee de la töliere, 
des renes et du mors. A’—, phr. adv. maniere 
de monter A cheval. A foda— , au grand galop. 

Baıäino, A,p.p. de Briddr. 

Brıpiö, 8. m. augm. de Brida. it. Bridon: 

ont mors brise au milicu. Serie do pelite 
ride. 

Baınir, v.a. meitre la bride ä un cheval, etc. 
( Ag.) Reprimer. V. Refrear. 

Baica, s. f. melee : vive dispute entre plu- 
sieurs personnes; combat, querelle, batterie, 
brouillerie. 

Baıcäpa, 8. f. (£. mil.) brigade : plusieurs 
betaillons ou escadrons commandes par un 
officier superieur. 

Baıcapkıno, 8. m. ($. mu.) brigadier: general 
de hrigade. 

Baıcanor ou Bricäiö, 5. m. celut quı aımo les 
rizes , les querelles ; querelleur, tapageur. 

+ Bnricanpina, s. f. brigandine : cotte de 
mailles , haubergeon. 

Baıcaö. V. Brigador. 

Baıcan (com), v. n. lutter, se debaltre, so 
demener, s’agiter, combattre,, se quereller. 

Baicöso, A, adf. qui aime & se batire, & 
quereller. V. Brigadör. 

+ Beicug , s. m. brig ow brick : petit navire & 
deux mäts, arme ou de commerce. 

Bricußnto, s. m. querelleur, fier-ä-bras, 


räne. 
Baıcuıcäd. V. Bribigdo. 
BrıLninpo, A, pP. p. de Brilkär. 
BaıLBADOR, A, 3. qui brille. 
BRILHANTAGO , A, adj. aug. de Brilhante. 
BasLminte, adj. 2 gen. brillant, s&clatant, 
luisant. p. a. de Brilhar. 

BaıLuÄnte, s. m. brillant : diamant taill6 & 
[faceltes par-dessus et par-dessous. 

BRILBANTENENTE,, adv. brillamment : d’une 
maniere brillante. . 

BaıLnant£z. V. Brilko. 

BRILHANTISSIMO, A, adj. sup. de Brilhante. 

BrıLsän, 0. #9. briller, eclater, luire,, reluire. 
(Ag.) Briller, marquer, se distinguer, se mon- 
iger. 

BriLuo,s. m. 6clat, etincellement, brillant. 

Baiu, s.ım. "noyale : toile ä voile, toile &crue. 

Baıncankıra,s. f."badinage, plaisanterie, 
amusement, divertissement. 

BaıxciDo, A, p. p. de Brincdr, adj. en- 
jolive. 

BrıncaDoR , A, ou Brinciö, s. et adj. fola- 
we, badin, enjous, plaisant; qui saute, qui 
bondit. 

Baıncir, v. a. enjoliver une chose. V. Or- 
nar.v. ». folätrer, badiner, plaisanter ; jouer, 
s’amuser ; sauter, giguer, bondir. 


BRI 


Bainco, s. m. jeu, plaisanterie, badinage, 
divertissement, amusement, jouet, joujon. 
Boucle,, pendant d’oreilles; bijou. ( Ag.) Chose 
tres-jolie,, tr&s-mignonne; 4. jouet. Estar au 
ir feito um —, @ire endimanche, @ire beau, 
bien bahille. /sto ndo d — de criangas, co n'est 
pas un jeu d’enfants. 

Baınco , 3. m. ( t. de bot.) armarinthe :: plante 
vivace, ombellif&re , aromatique. 

Baınvino,A,p.p.de 

Brınpär, 0. a. olfrir, presenter, inviter & 
prendre quelque ohose; faire un cadeau, un 
present. — (d), v. ». tosier : porter une sanle, 
boire & la sant& de quelqu’un. Il est aussi reci- 
proque. 

Baınpe, 8. m. brinde : toast ou sanlt, ce 
qu’on boit ä la sani#; cadeau, present. Fazer 
—s, porter un toast, une sant&; [sire des ca- 
desux, des presents. 

* Brınce, V. Brinde. 

Baınc£ıa. V. Beringdla. 

Baıxıe, s. f. viande cuite aveo du riz. 

BaınseLLa. V. Beringela. 

+ Brınqu£oo, 3. m. jeu d’enfants; bimbelot : 
jouet d’enfants. 

+ Bnıxquinuania, s. f. bimbeloterie : fabri- 
que ‚commerce de jouetls. 

Brixguinmtıro, s. m. bimbelotier: qui fait 
des jouets d’enfants. 

Braıngrinno, s. m. dim. de Brinco. Joujon, 
jouet, petit bijou. 

+ Brinza,, s. f. ($. de bot.) peucedane oflei- 
nale: queue-de-pourceau. 

Brio, s. m. * force, nerf, vigueur. * Valeur, 
oourage, bravoure, vaillance, Energie, fer- 
mete. *Honneur, point d’honneur; caur ; deli- 
cateste ; probite ; generosite. 

Baıözs, s. m. pl. (l. de mar.) Breuils : petits 
cordages pour carguer les volles, vwlgo car- 
gues fonds. 

BaiösamenTe, ade. courageusement, vail- 
lamment, önergiquement; en homme d’hon- 
neur ; genereusement. 

Baıosissımo, A, adj. sup. de 

Baıöso, A, adj. courageux, vaillant, fort. 
Qui a de la delicatesse; ir&s-suscepüble sur le 
point d’honneur ; genereux. 

*Brisca. V. Bisca. 

+ Brisso , 3. m. ($. d’hist. nal.) brisse : 200- 
pbyte dchinoderme. 

BaısroL, s. m. drap de Bristol. 

Baträno, A,P9. p. de Britar. 

* Brırapor. V. Quebrador, Quebranlador. 

* Baıtamento. V. Quebra, et Ag. Hompi- 
menio. 

Baıtinnico, A, adj. Britannique : qui ap- 
partient & la Grande-Bretagne. 

Brıtino ,A, adj. eis. V. Brildnnico, 

Baıra-ossos. V. Xofrango. 

* Brıtir. V. Quebrar, Quedranlar. 

* Brivıa. V. Biblia, 

Baizı, s. f. brise : vent frais et periodique. 

*Rrızar, v. a. bercer: remuer le berceau 
d’un enfant. 


BRO 


+ Baızomamncıa , s. f. brizomancie ou oniro- 
erkigue : divination par les songes. 

Baöa, 3. f. nom qu’on donne au pain de 
mals eu de millet en Portugal. 

Baöca , s. f. tariöre, archet (pour percer), 
tsrasd , foret. it. Paille (de metal fondu). Bro- 
che de la serrure qui ost regue dans la fozure 
de la elef. 

BROCADILEO,, 8. m. ospece d’etoffe de soie. 

Baocano, 3. m. brocard ou brocart: etoffe 
brechde deseie, d’or ou d’argent. — d’ouro, 
"belaslie. 

’Baocir,a m. (f. de bias.) filet d’arier qui 
gamit le tour d’un &cu d’armes. 

+ Baocar ,v. e. faire des tzous avec une ta- 
nere ; forer. 

t Baocazno, 8. m. "sentence, axioıme lögal 
rega parmi les professeurs de droit. 

Baocır£ı, s.m. "brocatelle: sorte de brocart 
do meindre valcar;; &tloffe qui imite le brocart. 

+ BaocarELLO, 3. m. " brocatelle : variete de 
uarbre jaune, violet ou rougeätre; marbre 
nuance de diverses couleurs. 

Basczı, 5. f.. petit clou de cordonnier; 
agrale, fermoir de livre; crochet. Brosse : gros 
Pinceau. 

Brocain0, A, p. p. de 

Baocaan, ©. a. brocher : coudre un livre 
sans nervures; le couvrir de papier. Agrafer, 

’Baocmisa ,s. f. couvre-pied de brocari. 

Baocuazinma, 5. f. dim. de Brocha. 

Baocaz , s. m. petile broche :erochet, agrafe. 

Baocsüna , s. [. brochure: livre broche ; petit 
sevrage ae peude leuillesou de valeur, broche. 

BaöcoLos, 3. m. pl. brocoli : chou d’Italie. 

BaocosczLLa. V. Bronchocelle. 

Baöoces. V. Bröcolos. 

Borvauturo. V. Bordadüra, 

Baöpıo „s. m. * [ripe : restes de lable reunis 
et sauces dans du bouillon , qu’on donne ordi- 
nairemens aux mendiants. (fig.) Festin , grand 
Tep3S. 

Baopista, s. m. mendıant qui demande les 
debrisde ia Lable aux portes des couvents. (flg.) 
Cetai qui donne des [estins, qui les aime. 

Bapıman. V. Abrolhar. 

Baöua, s. f. partie d'un fer & cheval. Ta- 
nıere: ver rongear qui perce le bois, les vais- 
seaur. 

Baözı , adj. 2 gen. lourdaud : on le dit des 
personnes ennayeuses dans la-conversation. 

Baomiso,A, ?. p. de Bromar. adj. On le 
dit da vaissesu qui a &t6 endommage par le 
ver nenms tariere. (fig.) Gäte. 

Baouis, o. a. fonger, percer, vermouler. Tl 
se dit du ver rongeur nomme tariere. (flg.) 
Gäter;; bräler le sucre. 

+ BaosatoLocia , s. f. bromatologie : traite 
sur les substances alimentaires. 

tBaöduz, s. m. bröme : corps simple non 
metalligue , nouvellement decouveri. 

+ Baöwıco, a,0dj. deido —, broruique (acide), 
de kröme, 


BRO 21” 


T Baömıo, s. m. (£. de myikh.) sumom de 
Bacchus. . 

t Baomocrarsia, s. f. bromographie : traite, 
description des aliments solides. 

T Bröncha, s. f. sorte de poignard ancien. 

*" Broncuäd, s. m. aug. de Broncha. 

BroncHiäL, adj. (t. d’anat.) bronchial : qui 
appartient aax bronches. 

Baöncnico, A, adj. (f. d’anat.) bronchique, 
bronchial. 

Bnönchıos, 8. m. pl. (f. d’anat.) bronches : 
vaisseaux de la trachee-artöre, du poumeon, 
qui regoivent l’air. 

f Bronceitzs, s. f.(t. de med.) bronchite : 
maladie, irritation des bronches. 

f BnoscnoctLLe , s. m. (1. de med.) broncho- 
cele : tumeur au cou; goltre entre lg Feau et 
la trachee-artere. 

+ Baoxcuorouıa , 8. f. (f. de med.) broncho- 
tomie 0% laryngotomie : ouverture faite & la 
trachee-artöre. 

Baönco, a, adj. Apre, brut, rude, brusque, 
maussade. (Ag.) Grossier, rustre, stupide, 
bouche. 

*Bronco. V. Bronze. 

“ + Baonguipipe, s. f. rudesse, duret&. (fig.) 
Rudesse , Apretö de caraciere; stupidits, pla- 
titade. 

+ BröNTEO , adj. m. (1. de myth.) sumom de 
Jupiter. 

+ BrönTEo, s. m. (8. d’anlig.) " hrontte, bron- 
ton : grand vase de cuivre dans lequel on agi- ' 
tait des cailloux pour imiter le tonnerre. 

+ Baöntıa, s. f. "brontias:: sulfure de fer 
radie6 et globuleux, pyrite que l’on a cru® 
longtemps produiie par la foudre. 

Brönze, s. m. bronze : melange de cuivre, 
d’etain et de zinc. Ser de— , ou ter um corrapdo 
de— , avoir un caur de roche : @tre insensible, 
dur, inflexible. Ser um—, ötre de fer: etre 
infatigable,, r&sister au travail. Cdo de—, ciel 
d’airain. 

BronzEino, A, pP. p. de 

Bronzeir,v. a. bronzer: peindre en bronze, 
orner, garnir de bronze. 

BrönzEO,, A ,adj. de bronze,, d’airain bronz6, 

Brönzo. V. Brönze. 

Bröque, s. m. soufflet de forge. 

Baoqvsino, 4,9. p. de 

BroQuEÄR, v. a. forer, percer. V. Brocdr. 

Broqu£L, s. m. bouclier : arme defensive 
que les gens de guerre portaient au hras zau- 
che, et dont ils couvraient le corps. (Ag.) Bou- 
clier, &gide, appui, defense. Dar no seu—,. 
se decrier soi-m&äme. Dar nos broqueis, 56 - 
prendre, s’attacher aux branches, s’arreler 
aux circonstanccs inutiles d’une chose dont on 
neglige le fond. 

BroqteLano, etc. V. Abroquelddo. 

+ Brogtsutina, s. f. (l. d’hist. nat.) * bou-= 
clier : insecte col6optere. 

BnoqQueLßıro, s. m. celui qui fait des bou- 
cliers,, ou qui s’en sort. 





BRU 
4, adj. pailleux : qui a des 


Baoguänto, 
puilles (metal). 

BROSLADURA, 

BaonLausur0, V. Borda..., vie. 

‚BrosLaR, 

Baorine, ann. de Bro Broidr. 

+ Baorautro , s. m. (1. de bei.) " germins- 
tion : ’aclion de germer ou de pousser des 
bostons. 

Brorin, 0. a. et ». bourgeonner, pousser, 
germer, em parlant des plantes. Pousser de 
/’berbe, etc., on parlant de la terre. Jaillir, 
seillir : sortir impetueusement, Il ne se dit 
proprement que de P’ean. (Ag.) Pousser, sortie, 
en parlant des beutens de la pelile verele et 
autres. (id.) Se d6velopper, paraltre, se mani- 
Toatar, surtoat en parlant des choses immald- 

os. 

Baorotsa, 8. f. (l. de möd.) abullition de 
sang avec d 

+ Bauica, 5. m. ° malle de cuir non anne 
pour eonduire des habits, de la marchan- 
dise,,ote., usit6e au Bresil. 

+ Batnad, s. m. (8. d’kist. nat.) brubru s 
pie-griöche d’Alrique. 

+ Baucno, 3. m. (£. Ekist. nat.) bruche : in- 
seote col6optere. V. Puigdo, 

Bnöcos (de), adv. courbö en devant, courbe 
sur ie vente, la face oontre terre, a plet- 
ventre. 

Baoßca, &. f. ondde, piuie qui dure peu de 
temps. (fig. es fm.) Ivresse. 

Baöco. V. 

Bauıma,s.f.V. Escudäte. 

BauLörg, s. m. (t.de mer.) brülat : batiment 

lein de malitres combustibles , destind & brt- 
d’autres bälimenis. 

Badma, #, f. brume:brouillard 4pais. (pedt.) 
L’aiver. 

BeruiL, adj. 2 gen. brumal : qui vient de 
(biver, qui appartient & l’hiver. 

Bann io, 8 ner brumalre : : second mols du 
ealendrier ica ui oommengsit ie 
2 repa ‚4 Yal 

+ Racımöso, a, adj. brumenuz : couvert de 
beame. 


Rarnaerıo, a, adj. (f. burl.) meslancolique, 
unse, de mauvaise kumeur. 

Barnutıne. V, Abrunkero,. 

Bacautre, 6. et adj. 2 gen. brunet. if. Sorte 
öde visya de laine de couleur brune. 

Rırnein, etc. V. Brusir, 

Karyao, T. Abrunke. 

austeo, s, m, " polissure, branissage, four- 
bissere : isstre , de ce qui.a &t6 poll, 

Raumee, „PP. de Brusir.edj. Lisse, poli. 

armsr, 8, m. brunissent, polissenr : ou- 
ver gei poiR. Pelisseir, runisseir, lissoir : 
nstreunemt puut polir. Freien : halle avec Ia- 
Quelie Ios Ares frettent ies cartes & jouer. 
Are : Wuuiruiment gei wert & brenir l’or. 


BRY 


Baunin, 9. e. brunir, polir, lisser, fourbir - 
rendre uni et luisant & force de frotler. (Ag.} 
Se farder. 

Badno, A, adj. p. ws. brun : de couleur 
brune. 


+ Bausca, 8. f. (4. demar.) Yaction de chauf- 
fer un bAtiment pour le car&ner. 

BauscamenTE, ade. brusquement; gressi&- 
rement. 

+ Badsco, s. m. (4. de bot.) brusc ow bruse : 
espöce de bruydre; brasque: arhrisseau qui 
tient du myrte et du houx. 

Badsco, a, adj. hrusqus, rade, sauvage, 
qui a l’air fäche. 

+ Baöra, s. f.(f. de bet.) bruta : arbre co- 
niföre 

‚Baurir, adj. 2 gen. brutal : tenamt de la 
brute. (fg.) Emport#, brutal, föroce. 

BavraLıniae, s. f. brutalit# : qualitd osmsti- 
tutive de la brute. (Ag.) Brutalite : vice du 
brutal, parole, action, passion brutale ; abru- 
tissement, stupidits grossidre. 

BRUTALISSINO, A, adj. sup. de Bruiel. 

Baurauızia. V.E Eimbrulecer. 


talite. 

Baurssco. V. Grutsseo. 

Baurtza , s. f. V. Brufalidade. Qualits de 
ce qui est brat, non travailie. 

Bavrınine. 

BauripaDeE. | V. Drultza, 

Baurinmo, s. m. dim. de Brute.(Ag.) Bes- 
tiole: jeune homme sans esprit, sans dducatien. 

Bavrissıno, a, adj. sup. de Druso. 

Baörto, s. m. "brute, be6te : animal Kraisen- 
nable. (Ag.) Beta, böte, abet, 

Brut: qui n’est ni travaili6, ni poli. Zu —, 
brut, en brut, en gros. 

BaucHA ,„s r. soreiöre : femme qui, suirant 
le peuple, a fait un pacie avec }e diable pour 
faire des malefices. Couvet ‚, chasfferette : pet 
rempli de feu, que les femmes metient sous 
elles. Veilleuse. Orfraie, fresaie : eisese de 
nuit, Z uma —, ou parecs ums, (fam.) c’esi 
une sorciere. On le dit d’une vieille «6 me- 
chante femme, et d’une lemme tres-laide. 
Meiter a crianga nas mäos das —ı, ( ig.) mei- 
tro queiqu’un & la gueule du ieup. 

Bauxania, s. f. sorcellerie ‚ art de sorciise, 
operation de la sorciere. 

Bauxkipo,A,P.p. de 

Bauxzan, ©. m. faire des sortilöges, des 
maltlices. 

Batzo, s. m. sorcier : celui guia an pacie 
suppost avec le diable, pour faire de pretendes 
malefices, pour produire un efet surnaturel 
on empöcher un effet naturel. (fem.) Viesx 
sorcier, vieillard mechann 

Barxoızino, 2,9.P 

BauxoLkaR, a Fa ses cartes : fes de- 
couvrir iemtement ot peu & peu. (fg.) Deiner, 


Antır : as 05 ui aest au cordennier A lisser | conjecte 
wer 


Bermeröna., o.[. pellssere. V. Brumide, s.m. 


rer. 
Bavnctıa. V. “ 
+ Baromıa LU de bek) kerenne enee- 





BUE 

lsarree, beyonne blanche ; vigne blanche ; navet 
du diable, plante grimpante : purgatif violent. 

Bü, a. f. (6. d’enfant) de l’eau. 

Brima, s. f. nom d’un pelit poisson de mer. 

Bin. V. Cardüme. 

Braiö, s. m. bubon : tameur maligne qui 
vient en certaines parties du corps. 

+Braagur, 5. m. (1. d’kist. nal). bouback : 
qusdrupdde de la Moscovie; espece de mar- 
mote du Nord. 

Btrarı, s.m.(f. Ehist. nat.) boubil : olscau 
aqsatique C’Amerique, de la Chine , merle. 

+ Bine, s.m. (8: d’hist. nat.) bubo : oiseau 
de preise noeturne. 

+ Busömo, s. m. (f. de bot.) * inule & feuilies 
de saule. 

f Braonoctıız, s. m. (l. dechir.) bubono- 


edle : hernie inguinale causse par la chute de | 


Ftpiploon ; tumeur ä Yaine. 
+BösuLa. s.m. (f. d’hist. nat.) boulboul : 
; de linde. 

7 Bocano, s. m. boucaro : espöce de terre 
Dee, rougeätre,, qui vient des Indes et du 

Becianas, 8. f. pl. (1. de mar.) guirlandes. 
= des sscoudns, guirlande des &cubiers. — do 
gurupds, geirlande de beaupre. 

tBocczLLizıo, 5. m. serviteur, vassal qui 
«tnowrri dans la maison du malire. —e ‚pl. 
becesllaires : gasde des empereurs grecs; four- 
Buseurs de pain aux soldats. 

t Beccmires, e. m. (1. d’Mst. nat.) bucei- 
nites : buceins fossiles. . 

Becaxräuno ,s. m. Bucentaure : vaisseau que 
mentait je dogo de Venise pour faire la edrs- 
mente d’tpouser la mer. ’ 

Boctruaro, s. m. Bucöphale: nom du cheval 
@Alerandre ; cheval de parade. 

Beau, s. f. bourre d’une arme ä feu; tam- 
pon. Alurar & —, (fam.) avaler la pilule. 
= doe esconens, (1. de mar.) taınpons d’scu- 
biers. —e des emborndes, (id.) tamponsowtapes 
des seubiers. —s de pdo para meller nos rom- 
bes, (id.) Tampons. 

}Bocmina , s. f. (fam.) ce qu’on peut con- 
tenir dans la bouche et avaler & la fois. 

Bucutra , 5. f. (8. de lapid.) tenaille de bi- 
jeutier pour sortir les pierres. 

Böcao, a. m. Jabot: poche que les oiseaux 
ent sous la gorge. Ventricule de quadrupede, 
de peisson. *Panse: vontrede l’homme; la par- 
te grosse de la jambe, du bras. ( Ag. fam.) Le 
sein, ie cwur, considäres oomme les deposi- 
tsires des socreis. Tirer do — , faire jaser, ti- 
ter ie sseret de quelqu’un. 

* Böco. V. Casco ( de navio). 

BOObLäC . & f bucoliqus, pastorale 8 potsie 


„Bocbucn, a, adj. hucoligue (po6sie ), pasto- 


Bico, s. m. poil follet. 

Bccas ou Bucax, s. m. boucle do cheveuzx. 
Brouuö, V. Bodido. 

Bicıno, V. Cantiro, 


.B06 2 


+ Bußna-pıcna ‚s. f. (fam.) bonne-aventure: 
Ler «—, dire la bonne-arventure. 

Böra,s. f. vesse : ventosit6 puante qui sort 
sans brult par le derriere de Yaniınal. — do 
lobo (t. de bot.) vesse-de-lIoup, faux champi- 


gnon. 

Burino, A, p. pP. de Bufär. 

BuraLıno, A, adj. qui appartient au buffie. 

BöraLo,s. m. (8. Whist. nal.) buflle : espece 
de baauf sauvage. 

Buriö, s. m. bouffon : personnage de theätre 
qui fait rire; celui qui fait co röle en societk. 
Facetieux, plalsant, farceur. 

Burin, vo. n. bouffer : souffier par l’effet de 
la colöre, en parlant de certains animaux. —. 
fumer de colere, en parlant de ’homme; @tre 
de fort mauvaise humeur. 

Börara, s. f. la feımelle du buflle. 

Buraninua , s. f. boutique ambulante. 

Burarınatıno, s. m. colporteur, marchand 
ambulant. 

Bürano,. V. Büfalo. 

Burriö. V. Bufao, Bobo. 

Burrongipo, A, p. p. de 
‚ Bursonkir, o. n. babouiner : faire le bouf- 
on. 

Burronzuia, s, f. bouffonnerie : arlequi- 
nade, pantalonnade, turlupinade. Plaisante- 
rie, badinage. 

Bur&rg, etc. V. Bofdte. 

Burivo, s. m. souffle d’un animal qui bouffe. 

Buro, s. m. (1. d’hist. nat.) hibou, chat- 
huant, grand-duc, oiseau de Minerve : oiseau 
noclurne. (Ag) Hibou : melancolique, qui fuit 
la societe. (id.) Cagou : homme qui vit mesqui- 
nement, qui ne veut voir personne. Eum—, 
c’est un hibvu : c’est un homme qui fuit la s0- 
eiöt£ ; c’est un avare, un chiche. 

B6FO-MEDIOCHRE , 8. m. ( 1. d’hist. nat.) hibou 


» Büro. V. Bufido. 


Burongar, eto., V. Buffonear, eto. 

Buronınntıro. V. Bufarinktiro. 

BuciLno, s. m. noix de galle : fruit d’une 
sorte de chene. — do olko, prunello de l’azil. 

Bucia , s. f. (4. dsl. nat.) guenon : singe [o- 
melle. 

Bucia ‚ s. f. bougie : chandelle de oirc. * Bou- 
geoir : petit chandelier & manche. 

BucıäDoO, A, 9. p. de 

Bucıir, v. n. faire des singeries. Handar — 
alguem „ envoyer paltre ou promener quel- 
qu’un. 

Boucıanias, s. f. pl. singeries, grimaces, ges- 
tes, tours de singe. (Ag.) Jolivetes, babioles, 
gentllesses, bagatelles, [rivoliles. 

Bucıcänca , s. f. mascarade que font la nuit 
les corps de metiers, et oü l’on se däguise sur- 
tout en animaux. Chose ridicule, faiße pour’se 
moquer de quelqu’un. Momerie. 

Bucınico, a. m. (1. burl.) petit garcon re- 
muant, inquiet, vif. 

Bucio,s.m. (1. d’hist, nat.) singy ı animal 
anthropomorphe et quadrumane, d’ospeots 





228 BUL 


tr&s-varices , multipli6es par leur mölange. 
(#g.)—, personne qui contrefait, imite. — man- 
dril, babouin, mandrille. — marinko ou chi- 
mera, le roi des harengs du nord (poisson). 

BucLösa, #. f. (t. de bot.) buglosse : plante 
burraginee , medicinale. 

+ BücuLa , 6. f. (4. de bot.) bugle rampante; 
consoude moyenne. 

Bvipo, A, p. p. de Buir. 
, Buinno. V. Juneo. 

Buta. V. Puir, Polir, Apacalar. 

Buis ow Buis. V. Aboiz. 

Buitra, s. f. pi&ce d’une presse. 

Beitrag. V. Abuire. 

Busauz,s. m. fils d’une mulätresse et d’un 


negre. 

+ Busiö, s. m. (1. de mar.) foret, cheville de 
boıs pour fermer un trou (dans le cöts du vais- 
seau, dans un lonneau, eic.). 

Buenias,. V. Bugiarias. 

BuLeirero, 

BuLsıronmE, V. Bolb..., etc. 

BULBOSsO, etc. 

BuLciö, s. m. nuage sombre qui menace 
tempete. (g.) Pensees lugubres. V. Volcdo. 

BüLe, 5. m. "theiere : vase ä bec pour faire 
infeser le Ihe. 

BöLestıe. V. Bollebolle. (Ag. fam.) V. Buli- 
goso , Inquielo. Hurluberlu. Ser um —, aller et 
venir comme pois en pol. 

+ BüLcano, a, adj. Bulgare: de la Bulga- 
tie. 

BöLua,s. f. "train, tapage, cancan, branle, 
boucan, bruit confus, bourdonnement, Foule, 
toncours de monde. (Ag.) Contestation,, debat, 
querelle, differend, rixe. Melter a —, rompre 
les chiens. 

BuLnipo, A,p. p. de Bulhär. 

BuLnärae. V. Milhäfre. 

BuLsi6. V. Borbuilhäo. 

BuLuir, 0. n. se chamailler: se battre pele- 
mei & grand bruit; disputer , contester avec 

ruit. 

BoLu£nto. V. Brigdo. 

Burnom. V. Bilhao. 

Buuicıo, s. m. bruit de gens assembles. Trou- 
ble, desordre , bruit, emeute , s&dition. Tracas, 
remue-menage, [retillement. 

Burico. V. Bulicio, Reboligo. 

+ BuLigösamente , adv. turbulemment, avec 
‚jarbulence. 

BuLıc6so. V. Bolig6so. 

BuLivo, A,p.p. de Bulir. 

Beuimon. V. Buligoso. 

+ BuLimo, s. m. (1. d’hist. nat.) bulime: 
genre de mollusques gasteropodes. — espi- 
#%h6s0, bulime &pineux. — orelhiforme, bulime 
sreille. — listrado como zeöbra, bulime zebre. 

Bun, etc. V. Bolir. 

BöıLa, 8. f. bulle: lettre du paope, expedide 
en parcheniin et scellee en plomb. — da cru- 
zdda, bulle par layuelle le pape accordait des 
indulgences A coux qui se devouaient & faire la 
guerto aux inüdeles , et aujourd’hui A ceux qui 


BUR 


donnent de l’argent pour le m&me objet. Con- 
tar —s, faire des contes. Fi is, se don- 
ner pour homme de vertu, faire I’bypocrite. 
Ter — para iudo, avoir carte blanche; faire 
tout ce qu’on veut sans scrapule de con- 
science. 

+BuıLLino, a, adj. (1. de liturg.) bulle:: en 
forme authentique; muni de hulles. 

+ BoLLirıo,s. m. bullaire : recueil de bulles. 

BuLıerim. V. Boletim. 

+ Buluire, s. m. (1. d’hist. nat.) bulle : li- 
mace, mollusque gasitropode. — oval, bulle 
auf.— listrdda, bulle muscade. — como apdra 
dos lenhos, bulle oublie. — corcovdde do Bra- 
sil, bulle & ceinture. 

* BöLna. V. Burla, Fraude. 

*Buızid,. V. Burlador, Dolöso. 

* BoLLarR,elic. 

en | V. Burl... ‚etc. 

Böusa, s. f. V. Baque, Pancada, Tunde. 
Bumba! interj. poul: 

+ Bunoa, s. f. (1. d’Angole) fesses Ir&s-gros- 
ses. Lingua —, la langue des negres d’Angole, 
en Afrique. 

+Bunco, s. m. (1. de bot.) bungo: carmen- 
tine de l’Inde. 

+ Bopntste, s. m. (fl. dhist. nat.) richard, 
bupreste : insecte alle. 

Bunacäa. V. Esburacar, Furdr. 

Bunäco,s. m. trou, cavile; creus, fosse, 
caverne. —s do cabesianle onde se mellem @8 
barras, (1.de mar.) morlaines du cabesian. 

BURAQUINBO, 8. m. dim. de Burdco. 

BuniTto, s. m. burat : grosse eiofle de laine. 

BursuLHa, etc. V. Borbulha, eie. 

Bor£L,s’m. bure ow bureau : grosse &toffe 
de laine. 

Buncatz. V. Burguex. it. Burgalais : de 
Burgos. 

BuscaLuiö,s. m. 
mer). 

+ Buncanpina, s. f. burgandine: belle naca 
ecaille du burgau. 

Buncgı. V. Burgu&z. 

Bünco,s. m. bourg : faubourg; bourgadı 
petit bourg. 

+ Buncö ow Buncäö, s. m. (. d’hist. nat. 
burgau : la plus belle nacre ; limagon & houch 
ronde. V. Turbilho. 

Bunconßstns,s. m. bourgmesire: premie. 
magistrat d’une ville, en Flandre, en Alleına- 
gne, en Hollande. 

BurcoNxBEZ, A, adj. eis. V. Borgonkhez. 

Buncaavz ou BuRcRAYO, 3. m. burgrave: seı- 
gneur d’une ville, d’un chäleau (en Allemagne). 
Vicomte. 

Burcußz, s. m. bourgeois: habitant d’une 
ville. 

Bunir , s. m. burin : Instrument d’acıer pour 
graver. (Ag.) L’art de graver ; plume d’ecrivain. 

BurıLipa, s. f.coup, trait de burin. Essai : 
portion d’or ou d’argent qu’on coupe d’uns 
masse de ces metaux pour on faire l’essai. 

N 


fond de coquillages / em 


BUR 


BerrLipo, A, pP. pP. de Burildr, adj. burine : 
ve avec le burin. 
+ BurıLapdaa, 8. f. Paclion et Peffet de bu- 
riner. 
BrasLir, © e. buriner : graver, neltoyer au 
barin. (Ag- ) Grarer fortement dans la pensce. 
+ Benrri „ga. m. (. de bot.) esp&ce de palmier 
du Bresil. 


Roura ‚s. f. moquerie, tour, piece, badinage, 
derision , plaisanterie, raillerie, mystification, 
jouet, malice, camoulßiet, goguenarderie, gaus- 
serie , fable, parole ou action par laquelle on 
se moque. "Jouet, fable, dupe : personne dont 
on se moque. Tromperie, duperie. Faser — 
d’alguem, jouer quelqu'un, se jouer de quel- 
qu’un. Fazendo — de, au mepris de. Homem 
de —s, railleur. Ndo ser homem de --s ou ami- 
go de —,ne pas entendre la plaisanterie, ne 
pas aimer & plaisanter. 

BraLino, A, p. p. de Burldr, adj. dupe. Fi- 
eer —, prenäre le change. 

BerLapoR „A,8. eur, railleur, plaisant, 

mystißlcaleur, contempleur : qui se moque ou 
qui mystiße. 

Borriö. V. Trapaceiro. 

BraLin, v. a. tromper, decevoir, [rustrer, 
paisanter, touruer en ridicule, mystißer. 

BeaLan-se (de),o. r. se railler,se moquer, 56 
nire ‚se jouer, se gausser. — do credör, payer 
ea moansie de singe, en gambades. — do que 
dirdo, se moquer du qu’en dira-i-on. 

Bratania, s. f. womperie, moquerie, plai- 
senterie, dedain, illusion. 

BunLksCAMENTE ‚ade. burlesquement. 

Braı£sco, a, adj. buricsque, comique, plai- 
sant, propre & faire rire. 

BERLESQURADO, A,?.p.de 

+ BcaLssorEir, v. a. raconter, reprösenter, 
peinäre d’une maniere burlesque. 

BraLtra, s. f. pelito piece comique ita- 
lienne. 

Bennäzs. V. Emborndes. 

+Böno, s. m. ( t. d’hist. nat:) buro : poisson 
des Indes, voisin des polyndmes. 

Birna, s. [. Anesse : la femelle de l’Ane. Cof- 
fre-forl, rssor. 

Bernina , 5. f. troupeau d’änes, &table od ils 
sereürent. (A. ) Änerie, betise. 

Beraiö, s. m. aug. de Burro. ( ig.) Grande 
beuderie. 


Bearica , s. f. dim. de Burra. 

Beasıcipa, s. f. troupeau de petits Anes, 
esvalcade & Anes. (fig.) Änerie, betise. 

BrazscaL, adj. 2 gen. d’ane. TV. Amndl. 

Beaaico, s. m. dim. de Burro. 

Boraıyar, etc. V. Borrifar. 

Beraisma. V. Burrica. 

Branixuo. V. Burrico. 

Beasıoctıno, 5. m. Anier : conducteur d’&- 
nes. 

Beaao, s. m. Ane. V. Asno. Baudet : treleau 
que [ont les seieurs de bois pour assujellir la 
piece qu'ils veulent debiter. Jeu de cartes, qui 


eonsisie 4 donner trois cartes Achaquc joueur, 


PORT.-FR. 


BUT 225 


& retourner la derniere du jeu, restant pour 
servir d’atout, et ä faire le plus de ler&es qu’on 
peut. On appelle aussi burro celui qui perd. 
(fig.) Stupide, ignorant; travailleur infatigable, 
constant dans le travail. (dd.) “Bouderie. Ester 
com 0 —, bouder. V. Amüo. Bürros, pl. (1. de 
mar.) ourses. 

+ Bunno, s. m. (1. de bot.) burro : 
d’Afrique & suc jaune : violent purgatif, 

f BonsiL, adj. 2 gem. bursal (&dit): pour 
ürer de l’argent, 

+ Bunsinıo , s. m. (8. d’hist. nat.) bursaire 
ver amorphe. 

Buassouıkoa (d’agus), s. f. averse. 

Buntso, a. m, marc de ralsins, d’olives. 

Bös. V, Büz. 

Busino. V. Gusano. 

Bösca, s. f. quete, recherche : action de 
ehercher; fouille, visite. Chien propre & la 
quete. 

BuscA-AMANTE, 8. f. femıne qui cherche des 
hommes. 

Busca-CÄrxas, s. m. verificateur des mar 
ques. 

Buscivo, A, p. p. de Buscär. 

BuscapOr, A, s. celui qui cherche, qui fal, 
des recherches. 

* BuscanTe,, s. m. ancien serviteur du rol. 

Buscart, s. m. serpenteau , vetille : fusee 
qui va par lerre en serpentant. 

Buscin, v. a. chercher, rechercher, quer: 
se donner du soin pour trouver. — rodeios 
chercher des detours. — a vida, chercher d g= 
gner pour vivre. — forluna, chercher, teniei 
la fortune. Quem busca acha , celui qui chercm 
trouve. Ndo busco eu oulra cowsa, je ne de 
mande pas mieux. 

Buscavipa , s. m. (1. d’artil.) instrament d’ar- 
tilleur pour ouvrir la lumidre du canon. —s, 
(1. de mar.) croc a quatre branches, chat & 
quaire branches. 

Busiuis, s. m. (1. durl.) *diflcultd: ce qui 
rend une chose difficile. Aki sido —, ( fam.) 
voila le bio. 

Bussir. V. Bogdl. 

BössoLa, s. /. boussole. V. Agulka de ma- 
rear. 

BuSSOLANTE , 3. m. serviteur du pape. 

Bösto ‚s. m. buste : representation d’une tet e 
avec Pestomac, les &paules, saus bras. it. anf . 
Eiable,, &curie, bergerie. 

+ BusraörnEnA, s. m. bustrophe ou botstro» 
phedon : ecriture qui marche alternativomend 
de droite & gauche et de gauche & drolte, sans 
discontinuer le sens. 

+ Busruinıo, s. m. sculpteur qui fait des 
bustes. it. ( 1. d’ant.) Bustuaire : gladiateur qul 
combattait pendant les funerailles. 

Bur£nco, s. m. (f. d’Asie) commandant do 
cing canonniers, en Asie. 

*Buripo,A,p. p. de Buür. 

+ Bürtro,s. m. busurd , buse: olseau de proie, 
UV Canido, 


arbre 





‚226 CAA 
+ Burıqußıro, s. m. (4. de d’Inde) bouliquier. 
endeiro 


Burs , v. 6. buter : frapper & hut. 
* Burınäna, s. f. pain couvert de heurre. 

Botaz. V. Abuire. 

Börus, &. f. "oep de vigne sauvage. 

Burraöso, 4, adj. butyreux: qui est de la 
nature du beurre, 

Böxa. V. Büche. 
 Boxis, &. m. lien plante de buis. 

Böxo, s. m. (1. de bot.) buis » arbrissenu tow- 
)eoszs vert. — ds sapaleire, billei A Joimdre : 
@util de oordonnier. 

+ Böz, e. m. baiser donns sur ia main d’une 
personne par pelitesse. if. Bruit que font les 
eiseaux de proie. 

+ Böz, inter. silence! palx? chut! 

tBözı,s. f. bouzas: breuvage enivrant de 
Serine d’orge, d’eau, etc., en Egypte. 

Buzino. V. Gusano. 

Buzarite, s. m. V. Fdmo,. 

Buztno. V. Buzio. 

Bözzo.V. Büzio. 

Buzina, s. f. trompetie,cor de chasse. * Porte- 
veix: trompe. *Cornet: petit cor, pelite treanpe. 
(4. dastr.) Petite ourse : constellation. 

r BuzzuaR, 0. &. COFRer : senzer d’un oernel 


C,s. m. troısidme leiire de Palphabet, et Is 


seoonde oomsonne. (’ost aussi une letire nums- | herbe 


zalo qui vous 100. 

*Ci, conf. eur. V. Porgqus. 

Ci ‚ade. ici, ence lieu, ch. V. Agwi. Vem—, 
heit, vones ich. De -—-, ede Id, decä et de la, 
de tous cöt6s, de toules paris, des deux cöt6s, 
de cöt£ et d’autre. Ha cinco annos pera—, de- 
puis cing ans en ch, il y a oing ans. Zu dizia 
4 mise, (eapr. fam.) je diseis en moi- 
meme. 

T Car-ama , 6 f. (f. de bot.) eaa-apla: plante 
du Brosil. 


TWua-arisı, a f. (tk. de bo.) oam-alaya ı 
plante du Bresil , esp&ce de gretiole. 

+ Cas-tica, 5. f. (6. de bot.) caa-eica : plante 
nis-coommune du Brosil. 

fECsacarruro, s. m. (f. de bot.) caachyuyo, 
plante du Bresil ressemblant & Yairelle, me+- 
lastome. 

7 Caa-zrrisat, s. m. (8. de Bot.) caactimai: 
senecon du Bresil. 

* Gair. V. Candi. 

TCaap£pa, 3. f. (t. de bot.) liane & caur, 
liane & glacer l’eau, liene & t&te de serpenı. 

FCasma ou Cazomea , 5. f. (4. de dot.) mille- 
pertuis bacciföre. 


CAB 


ou d’une corne. ( Ag.) Crier fort oreilles aux de 
quelqu’un. 

Büzıo,, s. u. (6. d’hist. nat.) buccin , cauris, 
coris : genre de coquilles; testactes en volutes, 
en trompe. L’animal donne la pourpre. — bas- 
tardo, casque. Plongeur, urinateur. il. as. 
Ancienne mesure en Portugal. V. Fange. 

Bözı0, A, adj. noirätre, sombre, qui tire sur 


Buzıoainno , s. m. dim. de Bäxio. 

* Brarau. V. Beheirie, 

Broac. V. Bioss. 

Brad. V. Bire. 

+ Branno, s. m. (4. d’hist. nat.) Byrrbe: 


genre de eoldopieres ; inseole olavicorne. 
Braansino, a, edj. de Bysance, de Consten- 
tinopie : qui oomcerne l’une on Yautre. 
Braso, s. m. (1. d’ens.) Bysse: lissu pröxienx, 
lin tres-An; fAlaments d’une de soie 
brune par iesqueis la pinne marine sattache 
aux rochers. (1. d’hist. nat.) byasus: planie de 
ia famille des algues, ospece de mouse; de la 


+ Brssouımass, s. f. (1. d’kist. nal.) hysae- 
lithe : vegetation minerele en forme de swies 
selatantes. 

+ Brröno, s. m. (6. d’kiet. nei.) byture : im- 
seote olarinorne. 


C. 


+ Caaromönca , 3. f. ($. de bei.) dentelnine : 
sux cancers. 

+ Cauronca, 8. f. (8. de bei.) amerantkine 
vermiculaire, pourpier voln. 

Cazica. V. Abobora Carneire. 

Casackıra, s. f. "calebassier: plante qui 
porte les calebasses. 

Capacinua,s. f. dim. de Cobars. 

CaBacinzo, 8. m. dim. de 

CaBico , s. m. *gourde, citrouilte, ealobasse, 
oourge söche. it. Fruit du Bresil. 

Cusuptıa. V. Cobiddle. 

Capira, 3. f. " pekin : dieffe de sole de la 
Chine; tanique de soie qui descend jusqu’& }a 
moiti6 de la jambe, chez les Orientauz. 

CasiL, adj. 2 gen. Jaste, complet, qui a la 
justesse convenable. (fg.) Paffait, accempfi, 
juste, loyal, plein d’honneur, de probits. Por 
seus cabdes (pl.), pour son juste prix , suivamı 
sa valeur. Por seus justes cabdes , solon V’ordre 
etabli , selon les r&gles. . 

CasiLa, s. f. cabale  parmi les Juifs, tra- 
dition sur l’interprötaiton allegorique de la 
Bible. —, art pretendu de commercer avec les 
esprits, oa de devines.-—, brigue, iniriguc, 
complot. . 

Caraıin 9,0, cabaler. V, Iniriger, Me- 
chinar. 


GAB 


Cansrista, 8. m. oabaliste : qui prefesse la 
esbale des Juils. 
Gasaulsrıco, a, adj. cahalislique : qui ap- 

pertient & Part de la cabale. 
A, 6. f. la Sontaine caballine, ou 


CaBALLINO, A, adj. (t. de pods.) appartenent 
ä ia Sontaine d’Hippocrene. 

CasaLutxtE, ade. ‚röcisement, justement, 
estitrement, parfaiteinent. 

Casina, s. f. cabane, chaumiedre, joge da 


. Casawtına ‚& f. geurgandine : coureuse ru» 


üque. 
Casaztmo, s. m. berger qui babite une ca- 
bane ; calei qui fait des cabanes. Journalier. 
Casino, ı, adj. qui a les cornes horizontales 
(beuf); qui a les oreilles pendantes ıcheval). 
Cagarzınna. V. Camarabando. 
Caziz, 5. m. cabas, petit panier de jonc, 


Cazuzfauo,, 3. m. dim. de Cabdz. 

*Cassaır. V. Cabedal. 

* Casuer. V. Cowdel, CaudiTho. 

Ciuz, s.m. (1. de jew), Yespace qu'il ya 
entre les deux boules, qui est de la longueur 
de la palette; coup d’une hboule contre une 
asıre. Der —, (Ag.) frustrer. 

Guntca , 5. f. töle: partie de l’animal qui 
dent au Corps par le cou, qui renferme la cer- 
velle ,ies yeur, eto.; sa representation. ° Chef: 
he premier d’un corps, d’une communaut£. —, 
extremiss superieure de quelque chose;; cime, 
fstte. (äg.) —, esprit, jugement; lieu, siege 
de la pensse, de la memoire, des facultss in- 
teBecinelles.—, personne,individu.—, sommet, 
ie de clon, d’epingle, eic. Source, origine, 
eoimmencement. — de javali, hure. Homem 
de — hommes de töie. Tanio ou a lanlo por—, 
tant par i#te, A pique-nique. Subir d— , mon- 
ter & la tete. Encachar -se na — ‚se melire dans 
la ste. Cobssa de casal ou de li ‚ chef 
dene maisen, d’une famille. — d’alhos, läte 
Fail.— da igreja, ohef de Föglise, en parlant 
du pape. — de monis ou surre, sommet d’ane 
menlagne. — de comarca, ehef-lieu. —de per- 
ide, chef de parti. — maior ou de gado meior, 
we de gros betail. — mıenor, i#te de petit be- 
isil. — susreus, cheval gris, töte-de-more. — 
de imperio, de reine, ets., capitale de l’em- 
pre, ds royaamıe, etc. — de vonlo, (Kg. fam.) 
esurdi , exiravagamt ; qui oublie tout, &vapors. 
— ronds, (id.) böbett , stapide , grossier. 
Aprender de — , apprendre par eaur. Com ae 
dos aa —, humiti6, mortiß6, Ta Wie baissde; 
16. &powwants. Dos pers d—, du baut en bas, 
de pied en cap. Langer de — vides # ouires 
plantas „ provigner des vignes, enterrer des 
branches pour faire des boutures. Por ma —, 
de sa propre ite. Ter mä— ,(fig.) avoir une 
Mauvsise 1£te, &tre un ecervele. Aprender em 
—slbeis, devenir sage aux depeng d’autrui. 

com a — pelas paredes, s’emibarguner dans 
une affaire , prendre un parti nuisible; derenir 


CAB 277 
lou. Levaniar couss de sun =, larger 
Quelque chose de sa t£le: ara—a 6- 


guem, rompre la t6ts, les oreilles & quelqu’un, 
Metter na — a alguem. V. Permadir. » 
lar —, (Ag.) se lover, s’ölever, parvenir & une 
grande fortane. Aguardenis de -—, eau-de-vie 
de la premisre qualitd. Ndo ter pls mem—, 
ötre un &cerveld, un brise-raison, en parlant 
des personnes; @ire sbsurde, en parlant des 
thoses. Enitrar por --, faire bourse commune. 
lade de primeira —, \öse-majeste 
au premier che[. Fazer — por si, traiter ses 
affaires par sol-meme. Direito de — , capita- 
tion :taxe par tete. Fazer alguma cousa de 
sus —;, faire quelque ehose de son chef. Alt- 
rar-00 de —, so jeter la t£te la premidre. Pör 
@ — sobre alguma cousa , parier sa Iöle , melire 
sa te A couper. Caberas das plantas, (1. de 
bot.) V. Bolbos. Tantas—ı Ianias sonlongat , 
aulanıt d’homınes, autent d’avis differents. 

Caszcipa ,s. f. eoup de 1#te, coup A la iöte. 
Tötiöre, cäevätre : vartie de 1a bride qu’on 
met ä la Ste d’an cheral; trancheßile. (fig.) 
Extravagance, soltise. 

CABEGAL, 8. m. oreiller, chovet. * Compresse: 
Iimge repli6 plusieurs fois sur Iul-meme , qu’on 
met sur une plaie. 

CABEciLEO, 8. m. timon, fläche d’un chartot, 
d’un char; avant-train d’une voiture. “ Hune 
d’une cloche. 

Caszci0, s. m. collet d’un habit; col de che- 
mise, Cavesson : sorte de bride poar domptet 


les chevaax. "Capitation : taxe par töte: r6le 


des impositions. ° Vignette. 

Caseczino, A, p.p. de Cabecedr. 

+ CABECRANMENTO, s. m. Paction de hocher la 
tete, branlement de l£te. 

Caszceir, v. n. branler, agiter, hocher !a 
tete. Pencher de sommeil la tete sur la poitrine. 
Pencher plus d’un cö16 que d’un autre,en part“ 
lant de ce qui devrait &tre en equilibre. 

Caseckıra, 8. f. "chevet du lit; le baut d’une 
table. *Commencement, frontispice, titre. ‘Chef 
d’une famille, d’une maison. Andar, esiar na 
— dorol, avoir le premier lieu, eire Io pre- 
mıer. Estar, assistir d—d’um en[ermo, assister 
un malade. Zstar com padres d— „eire ago- 
nisant, 

Capeckı. V. Pessofiro. 

CasecisHa, 8. f. dim. deCabega. — leve,(g.) 
täte legere. 

Cantco, 8. m. sommet d’une mMonlagne, 
pointe de rocher. Petite bauteur, pelite monta- 
gne. —s, (ti. de mar.) \eles d’alonges de revers. 

t Caszcöano, 5. m, aug. de Cabera.(pop.) 
Grosse caboche, grosse t&le. 

CAsecbpo, A, adj. qui a une grosse läle, 
(Ag) Tetu, entet#, obstine. 

CasediL, 3. m. argent, biens, richesses. 
Fonds, capital. * Abondance, au propre ei an 
figure. Cas, estime. Faser — d’alguma couse, 


faire cas de quelque chose. Cabedass, pl. res- 


SOUrTCE,C6 & quoi On a Fecours pour se lirer de 
quelque affaire. Jiem, deux Jongues regles 


230 CACc 


Cacanbs0, s. m. elossement: eri naturel de 
la poule. On le dit aussi du coq. 

Cacankos, s. m. pl. vieux meubies. 

+ CacastoL, s. m. (l. d’hist. nat.) cacastol : 
sorte d’&lourneau du Mezique. 

CAcatü, s. m. ( 4. d’hist. nal.) cacalou ou Ca- 
catoös : sorte de perroquet blanc du Br&sil. 

Cica , s. f. chasse , partie de chasse; le gibier 
qu’on prend ou qu’on va prendre & la chasse. 
—, poursuite. — grossa, gros gibier. — 


meüda,. 
menu gibier. — d’altenaria, chasse & l’olseau, 


au vol. — de montaria, chasso au cerf, au san- 
glier, ete. Dar —, ( f. de mar.) chasser, courre 
sus. Dor -— ao inimigo, donner la chasse & 
l’ennemi, le poursuivre, Levantar « —, faire 
tever le gibier ; il. (lg. fam.) lever le lievre, 
&tre le premier & proposer une chose. Espantar 
«—, (id.) &chouer par trop de precipitation. 
Andar d— de gangas, (id.) vagabonder sans 
rien faire de bon. 

Cica, etoffe. V. Cässe. 

+ CaGäBE ou CASSABE, 8. Wi. CASSAvE : sorte 
de farine et de pain [alt avec de la racine de 
manioe. 

Cacina, 8. /. partie de chasse; le gibler pris 
dans une partie de chasse. 

CaciB0, A,P.p. de Cegar. 

CACADOR, 5. m. chasseur: celai qui chasse 
vu qui aime A chasser ; (f. de mil.) soldat arme 
A la l&gere ; grand laquais qui se tient derriäre 
le carrosse et fait les commissions. — mer, 
grand veneur. — furtivo, braconnier. 

CacapOnA, 5. f. chasseresse, chasseuse,. 

Cucamtoscas. V. Papamoscas. 

Rh Cacanir, s. m. (1. d’Asie) prätre du Ma- 
r. 


+ Cacara. V. Naicorena. 

CAcanTE , adj. 2 gen. (animal —, I. de bias. 
qui est dans l'attitude de chasser (animal). 

Cacid, s. m. squale: poisson chondroptery- 
gien. — malhado, "roussette. — azulado, squale 
Bleu ou glauque. 

Cacapin. V, Acapapdr, Agachär. 

CAcaPriNHO, 8. m. dim. de 

Caciro, s. m. lapereau. ( fig. fam.) Pataud. 

Cacir, v. a. chasser : poursulvre toute sorte 
de gibier. Giboyer: chasser avec l’arquebuse. 
( Ag. fam.) Altraper, obtenir par adresse. — as 
escolas, (t. de mar.) häler, border les 6ooutes, 
— 18 gavess e os Jjoameles, (id.) accoster ou a6- 
coter les huniors et les perroquets, -—-as eseolas 
das gaveas a beijar, (id.) border les «ooules 
des huniers ä plat ou tout plat. — kedres, ie- 
vretter. — com redes, tirasser, tonneler. — com 
reclamo, piper. — ralos, rater. — em defeza 
ou vedado, braconner. — moscas, (Ag. fam.) 
s’occuper de bagatelles, de betises. 

Guczir. V. Casssar. 

CAckra, s. f. petit po@ion de cuirre jaune ä 
Yusage des pharmaciens. 

tCacerina, s. f. conp de Cac#te. V. ce mot, 

fTCactre, s. m. bäton gros et court; casse- 
tete. V. Porrete. 


CAC 


@icnı, s. f. dissimulation, (einte. d4. Toile 
de coton de Tinde. 

CacHica, s. f. eau-de-vie de melasse. 

CacHacAö, 8. m. coup de poing au chiguon, 

+ Cacnackına ‚s. f. gros chignon. 

Cacnico, 3. m. chignon : le derriere du cou. 

* Cacnipa ‚8. f. V. Alqueive. 

Cacsino. V. Oceulto. 

° GCacaıcens. V. Ventas. 

CACHANORRA. haporra 

CAcHAMORRÄDA. | V. Cac n 

Cacuiö, s. m. gros bouilion. Ferver m —, 
bouillir. «6. V. Cdixdo. 

CacuaPpöana, s. f. ınassue : bäton houeuzx 
fort gros par le bas. 

CAcHAPORRÄDA, 8. f. Coup de massue. 

CacHik, ©. a. trownper, dresser des pieges; 
feindre. 

CACcHAR-SE, 9. r. V. Entonar-se. 

Cacsari. V. Carll. 

CAcBEADO, A, P. p. de 

+ Cacazir, v. n. [rucliler en grappe, en 
parlant de certains arbres et plantes,, comme 
le bananier, la vigne, etc. 

CAcakına, s.f. "gourdin: bäton gros et court 
avec un renflement & son extremite inferieure. 
it. anf. Habillement d’une &tofle grossftre de 
laine A longs poils. 

Caeneınina, s. f. coup degourdin,de b4ton. 

Cäcreıro. V. Caizöiro. 

CAcH&TE, 8. m. coup de poing donne sur la 


joue. is. V. Cac#ie. Dar de —, redoubler les 


coups. 


> 
Cacn£rıco, A, adj. (t. de mdd.)cachectique : 


d’une mauvaise constitution; malade de ca- 
chexie. 
CacHexia, s. f.(f. de mid.) cachexie : mau- 


) | vais effet de la depravation des humeurs. 


+Cacni, s. m. (8. de bot.) cachi:: arbre du 
Malabar : on mange les amandes; jaquier. 

CacHia, 8. f. (4. de bot.) Deur de l’acacie de 
Farnese. 

+Cacaımd, s. m. (4. de bot.) cachibou : ga3- 
langa jaune. 

+ Cacmıciuo, s. m. (t. d’hist. nat.) cachı- 
came : tatou A neuf bandes. 

CacHımÄänBA, 8. f. (f. pop.) cabale: trom- 
perie, ruse. 

CACHIUBÄCHES, s. m. pl. (l. pop.) petils objeis 
(couleaux, Ciseaux, &luis, etc). 

CACHıIUBÄDO, A, 9. p. de Cachimber. 

CACBIMRADÖR,, 5. m. furmeur. 

Cacuiusar, v0. a. fumer : prendre du tabae 
en fumede par uno pipe. (fg. et burl.) Raßler, 
se moquer, duper. 

Cacriu2o, s. m. ° pipe & fumer, calumet. 

Cacnımönıa, 8. f. (. burl.,* jugement, ca- 
boche, sagacits, penetration. 

Cacnımonra.V. Cachlira ‚Cachaporra. 

TCacumäpa, s. f. ris oxcessil, &clat derire. 

CacHinuo , s. m. dim. de Cdcho, *grappeleite. 

Ciczo,s m. "grappe: assemblage de grains 
en bouqueis pendants. (fg.) Assemblage de 
choses en forme de grappe. Cachos d’aljofar, 





CAC 


pelites perles en grappes. i#. Gros cou de tau- 
rese. it. V. Cochü. —s de telhado, Joubarbe 


des tolts. —e de iriyo, los €pis de bi6 non 
Cacsotına, s. f. eataracte, chute d’eau. V. 


Cstsduspe. 
CacnöLa „8. f. (4. buri.) caboche, nuque,(fig.) 
jsgement. s. m. (4. burl.) Cagol,—s, pl. ($. de 


ner.) violons. 
CacsoLkra, 9. f. taloche : coup de main sur 


la tie. 

Cacsoricz, s. f. (. dur.) bigoterie. 

Cıacmosckıra. V. Cachonrlire. 

+ CamsoLorR ou CACHALOTE, s. m. (1. d’hist. 
nal.) cachalot : genre de c&lacds. 

Cacaomme, s. m. cachond6 : päte de cachou, 
de graine de baugue, calamus et terre argi- 
keuse : donne une bonne haleine. 

Cacmowptıra, 8. f. P. us. chevelure, perru- 


Cıcmora. V. Raperiga. 

Cucmorannid. V. Moceldo, Rapazäo. 
CGacnoricz. V. Rapazidda. 

Cacaorinna , 8. f. dim. de Cachöpa. 
Ciczorinno, 3. m. dim. de 

Cıcaöro, 3. m. garcon, petit garcon. V. 


Rapaz. 

Cucaöros , 5. m. pl. (1. de mar.) &cueils, bri- 
sans. 

+Cucmordcao, s. m. (fl. dAsie) nom d’une 
dsogne de Guzarale. 

Cıcatana, 5. f. petite chienne. Espäce de 
tben, poisson de mer. (fig.) Negresse. 

Cacmoaninpa, 8. f. troupe dechiens; (fig. 8. 
de mar.) grande quantit6 de pelits vaisseaux 
de guerre. dt. (Ag.) Canaille; action vile. Les 
pierres dont se compose l’architrave, qui sont 
postes immediateınent sur le chapiteau des co- 
ionnes ou pflastres. . 

Cocmonatına. V. Cachonreira. 

CAcBORRimuO, 8. m. dim. do Cachörro, petit 
chien de dame. 

Cıcmöano, 5. m. jJeune chien. On appelle de 
meme les petits de quelques aufres animaux, 
comme le lionceau , le louveteau,, ’ourson, etc. 
On denne ce nom par ınöpris aux nögres. Ca- 
chorres de prös, (tl. de mer.) deux pidces de 
canon dans le gaillard d’avant d’un vaisseau: 
«anons de proue, canons de chasse. 

Cacaovıa. V. Cachöla. 

Cıaas, s. m. oachou : substance vegdtale ex- 
traite de difförentes parties du mimosa ca- 
echn,. 

+ Cuasteno , 5. m. espöce de cocotier. 

+Cucserin, 5. m. Espagnol europten qui 
Size sa residence dans les colonies espagnoles. 

Cacia. V. Cachia. 

Ciaa,V. Qudssia. 

Cacarkıno, s. m. chanoine tresorier du cha- 
pitre, eu certaines metropoles de Portugal. 

Cacdiro , s. m. coffret. it. V. Celamim. 

Caciuss,s.f. (1. ds Brösil) fosse que l’on 
fait ä cöi4 des rivieres, er dans les lieux ma- 
tecageas pour recevoir Poau. 4. Plus usilden 


CAC st 
Por ‚ rosöe, petite plule Ane et froide, 
surtout au point du jour. 

+ Cacıustıro, s.. celui qui fall des fosses 
qu’on appelle Cacimba. V. cs mot, 

Cacique, 3. m. cacique : prince des Indiens. 
en ‚ pl. personnes, familles prinoipales d’une 
ville. 

Cacis. V. Cassis. 

Caciz, s. m. caciz : docteur de la lol maho- 
metane. 

Cico, 5. m. it ou tesson, vieux vase de 
terre; morceau de vaso Cassd. Cdcos, vaisselle 
de cuisine, vieux meubles casses, de peu de 
valeur. Faser em —s, briser, casser, molire 
en piöces. 

Cico, s.m. (4. burl.) *udte. Tor mutlo —, avoir 
beaucoup de jugement. 

+ Cacocuouia, s.f. (t. de med.) cacocholie ı 
deöpravation de la bile. 

CacocHrmıa, 5. f. (f. de med.) cacochymie ı 
abondance de mauvaises humedrs; d£prava- 
tion des humeurs. 

CACöcHYNO , A, adj. (f. dendd.) cacochyme s 
malsain, d’une mauvaise complexion; plein 
de mauvaises humeurs. 

Cacotıro. V. Cacaofiro 

Caco&rz, 3. m. tio, habitade plus ou muolns 
ridicule que l’on a oontract6e sans s’en aper- 
cevoir. 

Caco£rıco. V. Cacheiico, 

+ Cacoonarsia, s. f. cacograpbie : maniere 
d’6crire contraire A l’orthographe; morceasz 
mal oribographiss & dessein, que l’on denne 
& corriger. 

+ CACÖGRAPHO, 8. m. Cacographe : qui Orth» 
graphie mal. 

+ CacoLim, 8. m. (8. 
caille du Mexique. 

+CacoLocia, s. f. cacologie ı manidre de 
parier contraire & la grammaire. 

+ Cacorarsia, s. f. cacopalhio ı mauvalse 
passion , mauvaise aflection. 

CACÖPHATON O8 cacopbonie ı renconire 

Cacopnonıa, 8. f. | de sons, de roix de» 
sgröables ; assemblage de syliabes ou de ınots 
mal sonnants. 

+ Cacornönıco, A, adj. quilient de la oaco- 
phonie. 

+ Cacoraacia, 8. f. caoopragie : d&pravation 
des visceres. 

+ Cacosıria, &. f. oneositie ı dögont des 
aliments. 

+ Cacosravzia, s. f. catosphyzie : irrögula- 
ritö du pouls. 

+ Cacoruvuia, s. f. cacolbymie ; disposition 
vicieuse de l’esprit. 

+ Cacorao ‚s. f. eacotrophie : nutrition 
depravde. 

Cico, s. m. po@lon, casserole. “ Puiselle ou 
puisette : sorie de cuillere de metal & iong 
manche pour puiser de l’eau dans les cuves, 
dans les seaux, eic., ow da bouillon dans les 

des marmites. 

+ Cagoipa, s. f. (1. burl.) plaisanterie gros- 


d’hist. nat.) caoolin ı 





232 CAD 


siöre; raillerie indöcenie; charivari. Por —, en 
badinant. 

Cagokpı 4, 28 de Cepar. 

ACOADOR, A .0% . 

+ co Ana. adj. 2 gen. } piaisant, railleur. 

+ Cacoir, v.0. —alguem, (1. fam. el burl.) 
dire des plaisanteries & quelqu’un; donner un 
charivari ä... u. ». Plaisanter ; bardiner. 

Cacoasia,s. f. grande quantil€ de squales; 
les difförentes especes de poisson. 

CıcoLtra, s. f. batterie : pidce d’acier qui 
couvre le bassinet des arınes & feu oü est l’a- 
ınore, et contre Iaquelie donne la pierre qui 
est au chien. 11. Coupelle. 

Cacöre, 5. m. (8. d’ant.) ancien habit de 
guorre des Romains (sdgulum). Sorte de jus- 
laucorps- 

Caodura, 5. f. cassolelte : vase A parfum, & 
eaux de senteur, que l’on fait Eraporer, son 
odceur. 

CAcdURO, 5. m. rond de quenouille. 

Gina, adj. 2 gen. vhaque. — ve que , toutes 
les foıs que. A— passo , & chaque pıs. 3 ehaque 
instant. & tout bout de champ. —vez mals, 
—dia mais, de plusen plus. -vez melhor, de 
mieux en mieux. — vez peior,de mal en pis, 
de pis en pis. — um, — qual, chacun. — anno, 
tous les ans. 1l est invariable. Cada quatro, 
einoo, sols horas, mezes, @0n0s, etc. , toutes 
les quatre, cinq, six heures, tous les mois, 
toutes les anndes, etc. 

Capico, 5. m. ruban de fil, sole ou laine, or- 
dinairement #trolt. dt. V. Cadargo. 

CadariLso, 8. m. Schafaud : theätre et char- 
pente dress6 pour l’execution des eriminels 
nobles. . 

Cınantras. V. Cadenelas. 

* Capinno. V. Cada anno. 

* Capıgque. V. Cada-vez-qus. 

CaDaRcO, 8. m. contailles, capiton, Ötrasse, 
cardasse ; bourre de sole, filoselle. 

"Cıavannid. V. Celerrhfire. 

CADASTE-DA-POPPA, 8. m. (. de mar.) dtam- 
bort ou etambot : piece de bois qui soutient le 
gouvernall. 

Capistao, 8. m. cadastre : dtat, regisire des 
biens-fonds d’un pays, de leur valeur, de leur 
«tendue,, de leurs proprietaires. 

CavdA-Um, A,pro®. chacun. 

CABi VER, 5. m. cadavre : deponille mortelle, 
corps humain mort. 

CapavEaro, A, adj. de cadavre, qui ressem- 
ble au cadavre. 

Capavkaıco, A, adj. cadavöreuz , radareri- 
que; irös-päle et trös-maigro, en parlanı d’un 
hommie. 

CaDAVER6S0, A. V. Cadavdrico. 

Capavzz, adv. chaque [ois, toutes les fois. 
— mais, de plus en plus. 

Capta ou Cadkıa, 3. f. chatne , cadne. (fig.) 
Sörie d’evenemenis. Prison. Esiar na—, eire 
en prison, & la chatne. — de montanhas , suite 
de montsgnos. Cadsias, pl. ceps, fers. (fiy.) 
Eschavage. Ponchant irrösislible ; lions «Pamanr, 


CAD 


bras de la personnes aimbe.— de rolagie, chalne 
de montre 

CADEADO, s. m. cadenas : sorle de serrure 
mobile , avec un anneau. 

Capzıaziuua, s. f. dim. do Cad£a, 

Capkıaa,s. f. chaise, siege; chaire de pro- 
fesseur.— de dragos, * fauteuil. — fureda ou de 
reir&te, chaise perc6e. — d’arruar, sorie de 
palanquin (au Bresil). — de rebuge, chais 
fermee, poride par deux hommes. — de pro 
fessor, (fig.) chaire : place, charge de profes- 
seur. Ler de—, (fig.) @ire profond dans une [a- 
culte, parler en malire. — evangelica ou da 
verdade, chaire: tribune de predicateur.—redl, 
V. Tirono.— de S. Pedro, chaire de saint 
Pierre; saint-siege. Cadeiras, pl. hanches, 
fesses. Dores de —s, mal aux reins. 

Capeıainua,, 5. f. dim. de Cadeirs, petlite 
chaise ; chaise & porteur. Mogo de —, por- 
teur de chalse. —s pl. siege que forment deux 
personnes en se tenant par les mains. 

CApkıxo. 5. zn. bouquin. V. Bacamarte. 

Captra, s. f. chienne : la femelle da chıen. 
V. Cachorre. 

Caverıinua, 5. f. dim. de Cadells, petite 
chienne; jeune chienne. Cadellinhas, pl. tel- 
lines : coquillage bivalve, ac&phale. 

+ Capeuäco, s. m. (tl. de bot.) aleiris de 
Pinde. 

Capencıa, 8. f. (8. de mus.) cadence : termi- 
naison harmonique d’une phrase par un repos. 
—, mesure du son qui regle le mourement de 
la danse. (f. de litler.) —, terminaison,, chute, 
fin d’une periode; mesure harmonieuse d’un 
vers. (8. de mandge) Mouvements dgaus ei gra- 
cieux du cheval. Fallar com — , cadencer ses 
periodes avec afloctalion. 

CADENCIÄDO, A, P. p. de 

+ Capsncair, vo. e. cadencer : faire des ca- 
dences. 

CADENCIÖSO, A, adj. en cadence,, nombreux, 
agısable, en parlant d’une periode. 

CADENETAS, 8. f. pl. points de chalnelte : eı: 
broderie, c’est un ornement courant qui forme 
une espece de lacs conlinu. 

CADENETILBA, 8. f. dim. de Cadendta. V. 
Trancelim, Canotilko. 

CaveniLHa. V. Espiguilke,. 

+ CADENTE, adj. 2 gen. tombant : qui menace 
de tomber. Cadence : qui est cadence, nom- 
breux, harmonieus. 

Cav£ana. V. . 

CAaverniL, s. m. moufle : assemblage de 
poulies. — de dous gornes, ( I. de mar.) poulie 
double, poulio & deux rouels. — de paloma, 
(id.) poulie de drisse. 

CADERNINHO, s. m. dim. de 

CADERNO, s. m. cahier : feuilles de papier ou 
de parchemin reunies par un bord. — dos 
quartos, (t. de mar \livre de loch. 

CaDere, s. m. cadel: jeune gentilhomme qui 
sert comme simple soldat;; fils cadet, puine. 


Canexo, 3. m. echeveau de fl, de soie; bou- 
cie de chevrux, 


CAF 


Capi,s. m. cadi: Juge chez les Tures. 

*Canı£ızo ow CudkilEino, s. m. geölier. V. 
Carcertiro. 

Capinnos, s. m. pl.bord, bas-bout, ou frange 
d’une dtofle ; les premiers ls de lachaine d’uno 
töile sur le melier. 

Capino ,s. m. adroit, fin, consomme, flefit. 

CADINHO, 8. m. Creusel : v856 pour fondre 
les melaux. 

+Cuapuis, s. f. cadmle : calamine purc, ou 
pierre calaminaire; suie melalliquo quı s’at- 
tasche aux fourneaux dans lesquels on fond les 
melaux. 

tCapeio, s. m. cadmium :corps simple, 
mötallique, solide, blanc d’elain, sans odeur 
ni saveur, brillant, susceptible d’un beau poli. 

tCäoo, s.m. grand vasc de terre dans lequel 
les anciens metlaient leur vin; mesure altique 
pour les liquides contenant pres de 42 pintes. 

CGusödz, 3. m. trou, dans le jeu de la paume. 
"Retraite, asile cache. 

+Capöz,s. m. (f. d’hist. nat.) chabot, tötard, 
peisson Ihoracique.— dos rios, goujon, gobie, 
gardon.— negro, boulereau. 


tCavozere, s. m. (1. d’hist. nat.) loche, |Ca 


quaire-gil ow anabicps, poisson du genre du 
eyprin. 

Gdccipo,A,p. pP. de Caduedr. 

CADUCAMENTE, adv. faiblement, debilement, 

CaDCcANTE , adj. 2 gen. (l.de pods.) decrepit. 
Radotant. 

CapuciR , v9. ®. &tre decrepit, devenircaduc. 
Radoter : tenir des discours incoherents par 
suite de Valfaihlissemen: de l’esprit dans un 
ige avance. S’user, deperir, toucher & sa lin, 
en parlant dcs choses. — 0 legado, (1. de pras.) 
N sedit d’un Hdeicommis, d’un legs qui s’e- 
teint dans le dernier fidöicommissaire, faute 
d’beritier. 

Cusccirto, A, adj. leis—as, (f. de pral.) 
lois qui marquent la caducits des deicommis, 
V. Caducar. 

Capccganor, 5. m. Caduckaleur : heraut qui 
annonceit la paix chez les Romains. 

Capccko, 3. m. Caducke : verge accolde de 
deux serpents, que la fable donno & Mercure; 
biton fleurdelise des herauts d’armes. 

+Capucipäne, s. f. caducite : vieillesse de- 
bile; deerepitude ; Etat de ce qui est caduc. 
(£. de prat.) * Deperissement : decheance d’une 
chose ; perte,, exlinclion d’un droit antiquc. 

Capöco, A, adj. caduc, cass6, vieux, sans 
foree. Fragile, peu durable. Folkas, coröllas 
—as, (1. de bot.) feuilles, corolles caduques : 
gui tombent avant les aulres. Calis—, (id.) ca- 
liescaduc:quitombe avant la corolle. Mal—, 
(. de mdd.) haut mal, mal caduc, Cpilepsie. 

Gazeico.V. Caidigo. 

* Catupas. V. Calendas. 

Cizs ou Caıs, s.m. quai:leree cn pierre, Ic 
long de leau, pour la contenir, &ic. 

*Caranz. V. Cafre. 

Caranatıno, s. m. ZOOgreur du Cafärro. 

®. ce me, 


CAG 233 


Carirnro, 8. m. tribut exige par los Turos des 
chretiens qui habitentla Terre-Sainte. 

CAFATÄRES, 3. m. pl. Maures de Mascate, 

Care, s. m. calö: [dve du cafler.—, boisson 
qu’on fait par la digestion ou decoetion des 
[&ves du cafier rölies ; momumt oü elle se prend. 

CArE£ıno, s. m. (l. de bot.) caller ow caleyer: 
arbuste de la famille des rubiactes, originaire 
de l’Arabie Heureuse; le fruit renferme deux 
demi-[örves. 

CareLir, V, Acafeldr. 

CArEtiö ou Carsran, s. m. Cafelan:: robe de 
distinction en Turquie. 

CAaretkıra, 3. f. caleliöre :vase pour faire 
le cafe. 

+ CArEziL,s. m. lieu plante de cafiers. 

CirıLa,s. f. caravane :: troupe de marchands 
en voyage dans le Levant. (fig.) Foule, Iroupe, 
rassemblement, assemblage de personnes, 
d’aniınaux ou de cboses. Train : gens de mau- 
vaise vie. — de disparaltes, lirade de sotlises. 

Cariz.V. Cahiz, 

Cirri, s. f. femme de la Cafıcrie. 

TCAFRALNENTE, adv. p. us. ä maniöre des 


Carrania,s. f. (t. de geog.) Calrerie, grand 
pays de i’Alrique meridionale. it. Troupe de 
Cafres. 

. Cirre, s. m. Calre: habitant de la Cafrcrie. 
(fg.) Homme barbare, cruel, rustre, grossier ; 
mesquin ‚ avare, chiche. 

Carrice, s. f. action de Cafre. (Ag.) Brutalite, 
grossieret6; mesquinerie, avarice. 

Carainuo, s. m. dim. de Cafre, jeune Cafre. 

++ Cartan, s. m. cafıan : pclisse d’bonneur 
donnee par les sultäns. 

Carta. V. Fürna. 

Caront, 5. ın. claquement des doigis sur la 
iste (au Bresil). 

Caciva, 8. f. (1. bas) cacade : decharge dk 
venire. 

Cacap8ıLa, 8. f. dim. de Cagdda. Chiureı 
excrement des mouches el d’auires insectes. 

Cıcäino, A, p.p.de Cagdr. 

CicApo, s. m. "bourbeuse : tortue d’eau. 

CacıLniö, s. m. (l. bas, Etron : malicre fö- 
cale solide. 

CicaLtae. (1. pop.)V. Lumieira, Pyrilampo. 

Cacankına, 8. f. ({.pop.) diarrhee, cours de 
ventre, foire. 

CAGaNiTas, 8. f. pl. (l. pop.) crolies de chö- 
vres, cic. 

CAcaö, öna, s.m. et f. chieur, foireux. (fg.) 
Pusillanime,, limide, poltron. 

CacAr, dv. 6. chier, embrener, decharger le 
ventre. 

CACiR-SE, v. r. 80 salir de ses excrämenik 
(fig. fan.) — de medo, foirer de peur, se con+ 
chier. 

CAGARÖLA, 8. m. (l. burl.) peureux, poltron. 

+ Cacanniö,s.m.aug.do Cagädo. it. (1.burl.) 
Prison, cachot. Melter no —, claquemurer : 
renfermer dans une &troile prison. 

Cacanräz. V. Herquihdo 'siseau). 


2% CAl 


+ Cacanninna, e. f. "fral: petit polsson. 

+ CacaTönıo, 5. m. latrines, lieux prives, 
commoditss. 

+ Cacut, s. m. (l. d’hist. nat.) cagul : singe 
du Bresil, sakis. 

Cazin , etc. V. Cair. 

Caniz, s. m. mesuro imaginaire de la conte- 
Bance d’un peu bunded de douze boisseauzx. 

Cinos, 8. m. 

Casapkıaa, 8. [. femme qui blanchit une mu- 
raille & la chauz. 

Caripo, A,Pp. p. de Caidr. 

CaıapdOR, 3. m. colui qui blanchit aveo de la 
ehaux. 

Carapöra, s. f. Yaction et V’effet de blanchir 
&la chauz. 

Carina, v. a. blanchir une murailie & la 
chaux. — o rosto, se farder. 

Cirpa. V. 

Ciınra, s. f. crampe: sorte de contraclion 
convulsive et douloureuse de la jambe, etc. 

Cilanos, s.m. pl. "charpente d’un toit; petits 
soliveaux. 

Ciıcaıua. V. Canigdiha. 

Calpa, 8. f. chute: action de tomber. Des- 
cente:: penie par laquelle on descend. (fg.) 
Decadence, ruine; chute, disgräoe. V. ie 
mento. 

Cafoico, A, ady. caduc, fragile: qui tombe 
facilement. 

CAalno, A, p. p. de Cair, et adj. tombe, 
€boule. (Ag.). Tombe, disgracie. ARosto, sem- 
blanie —, visage, figure triste, abattue. Ant- 
mo —, esprit abattu, decourage. — de cör, 
blöme , päle. — em sorte, loti, echu en partage. 

Calnos, 5. m. pl. arrerages : co qui est dchu 
d’un revenu quelconque. 

Castıra, 8. f. p. us. "four & chaux. 

Carkıano, s. m. chaufournier : faiseur de 
chauz. 

+ Caısacin, s. m. calmacan : lieutenant du 
grand vizir. 

+ Cammät, s. m. titre des princes du Malabar. 

TCamiö, s. m. (1. d’hist. nal.) calman: 
espece de crocodiie d’Amerique. 

Carunı. V. Camba ou Cäibe. 

CÄıusar , etc. V. Cambiar, etc. 

Caıu2o. V. Cambio ou Cambo. 

Caımana. V. Cälba ou Camba. 

CAImSnTO, 8. m. affaissement, affaiblisse- 
ment. (fig.) Abattement, abaissement. -— do ca- 
dasie de poppa, (1. de mar.) gite de l’6tambord. 

* Calnutza. V. Miseria, Mesquinh£z. 

* Calnno. V. Misero, Tacdnho. 

+ Gaıröra,s. f. (t. du Bresil ) lumitrephos- 
phorique qu’on voit dans les bois. 

CAlosE , 8. m. (l. de mar.) qualiche : petit bA- 
tment dır Tage, de la cöte du Portugal et de la 
Manche, 

Cala (a, para, de, em, por, sobre), v. n. 
tomber, choir. (flg.) —, decholr. tomber dans 
l’erreur, dans Pignorance. Tomber, &choir, en 
parlant du terme d’un palement, etc. oir: 
arriver par sort, par hasard, ou autrement. 


CAI 


Survenir, arriver. Concevoir, p6nötrer. Donner 
dans quelque erreur ou piege. — om lerra , — 
no chdo,tomber par terre. — nas mdor do vm- 
esdor, tomber entre les mains da vainqueur. 
— na razäo, entendre raison, tomber d’ao- 
cord. — em das mds linguas,, {aire jaser 
sur son compte, donner prise. — dentro, 
deverser. — em grara , donner dans la visiäre, 
trouver gräce devant quelquun. — ben ou mei 
um vestido, aller bien ou mal (un habit). 
—_ ums feste em dia, tomber un tel 
jour, en parlant d’une föte. > redondamenis 
ou redondo , tomber raide. — a prümo,, tom- 
ber & de’ aplomb. — debaizo do anno do nasci- 
mento, ( am.) toımber sous l’autorits de quel- 
quun, &tre soumis & sa juridiotion. — de 
golpe, tomber subitement, tout & coup. — de 
graca d’alguem, (ig-) &tre dechu de la farenr 
de quelqu’un, peräre ses bonnes gräces. — 0 
‚o sol, a tarde, ( fig.) tomber, en parlans 
du jour, du soleil, A la nuit. — em al, 
cousa, ( lg.) comprendre quelque chose, se 
mettre au fait de queique chose. — ns cama ou 
— enfermo,, tomber malade. — no chiste, (Ag. 
fam.) saisir le fin mot, s’apercevoir du bout ca- 
ch& d’une chose. — no laso, na esparrälla, eto., 
(Ag.) donner dans le piege, dans le panneau. 
— na conla, revenir d’une erreur, — na len- 
tardo, succomber A la tentation. — s meldigie 
em casa d’alguem, (fam.) ®tre malheureux, 
$chouer dans toutes ses entreprises. 40 — de 
folha, & la chute des fenilles, & la fin de Pau- 
tomne. Estar a— instonies, etre sur le 
point d’arriver, de survenir.'\- 0 eoraplo aos 
Din, (fg. )perdre tr. — da memoria, s’ou- 
lier. — de maduro, (fig. fam.) tomber de 
vielllesse, de decrepitnde. — com ou de somno, 
tomber de sommeil. — a sopa no mel, (Ag. 
fam.) r&ussir mieux qu’on ne s’y attendait. — a 
alguem as faces de vergonha, (id.) rougir jus- 
qu’au blanc des yeux. Ndo ter onde — morto, 
Öire sur la paille, @tre dans une extr&me pau- 
vrets. — sobre um navio, (l. de mar.)s’aborder, 
deriver sur un valsseau. —'a r6, (id.) culer. 
— para solavento,(id.) tomber sous le rent, 
deriver, 

Caıakı, s. m. galen de chapeau; garniture 
de robe en forme de frange. — unhas 
orasse des ongles. 

CammzeLi00,A,P.p 

CAammsLÄn, v. a, Eder de galon ; garnir de 
franges le bas d’une robe, etc. 

CAıno, s. m. fllaments du coco dont on fait 
des cordages; cordage de ces fllaments. (. de 
geog.) Caire : ville capitale de !’Egypte. 

Ciixa, s. f. boite, cassette, layette, e&tui. 
Caisse de trösorier. "Tambour, caisse : instru- 
ment militaire. Casse d'imprimerie. * Serron : 
botie od l’on apporie des drogues @irangeres. 
— d’oculos, &tui & Iunettes. ( Ag.) Fameux vau- 
rien. — de fabaco, tabaliere. — de rebeca, 6tul 
& violon, —dorgäo, buffet d’orgue. — de coche, 
coffre de carrosse, hateau. Despedir alguem 
com —s desiemperadas, (fig. fam.) chasser 


.’ 


CAL 


tambour battant, Livro de — , !ivre de compte. 
Ter —,(lg.) avoir beaucoup de Jugement, de 
prudence. Ser 0 —,(1d.) ötre le caissier. — de 
sıerinheiros, (1. de mar.) coffre de bord. — do 
moitäe,, (id.) corps ow calsse de poulie. 

Gmxid,s. m. aug.de Caixa.Caisson : grande 
caisse, "Caisse : coffre de bois oü l’on met des 
marchandises. — d’estante, espace Compris 
entre les rayons ou lableites d’une biblioth6- 
que. — de defunto, *biöre, cercueil. 

Carzariı, s. f. grande quantitö de caisses, 
de bottes. Fonctions d’un commis, d’un gargon 
de boutigue. Confas de —, arithmetique com- 

nerriale. . 

+Curze, s. m. (f.d’Asie) monnaıe d’etain de 
Malaca. 

Curztmro,s. f. layetier: ouvrıer quı fait des 
caisses de hois. Caissier : celul qui tient la 
eaisse d’ane maison de commerce, d’un ban- 
quer. Commis; gargon de boutique. 

Cuixtra,s. [. dim. de Caiza. 

CuxErim, s. m. (1. d’impr.) cassetin : com- 
yartiment de la casse; pelite casse A leltres. 

+CuıxiLno, s. m. chässis : ouvrage de me- 
nuiserie formant cadre pour des vilres, etc.; 
embrevement, entaillure, tout ce qui enchässe 
queique chose. — de livros, bibliotheque 
— deslampa, etc., encadrement. 

Cazisua,s. f. dim. de Caizöia. 

+ CaıxörE, s. m. * caisse de moyenne gran- 
deur. Coffre ouvert par le haut oü !’on met des 
arbres, des fleurs, elc. 

+Caıxorinuo, s. m. dem. de Caixole. 

Gyi,s. m. [ruit d’Amerique qui ressemble 
aux prunes. 

+Casacıa, s. f. (4. de bot.) cajatia » plante 
nutriüve de l’Inde. 

Cusapinı, s. f. coup de houlotte. Malar com 
ums — dous coelhos, (fig. fam.) faire d’une 
pierre deux coups. 

CusanixRO, s. m. dim. de 

Casino, 3. m. "houlette: bäton de berger. il. 
V, Basido. 

*Cai6, s. f. V. Occasido , Desasire. 

CaJaztıno, 5. m. arbre du Bresil, qui donne 
le Cayd. V. oe mol, 

Clö,s. m. . 

TV. Ackfän, BIO. 

Casuni, 3. m. espöce de palmier d’Asie dont 
os fait uno espöce de vin. 

Casustıno. V. Cajufiro. 

Cir, s. f. chaux : metaux, pierres calcaires 
inses ; terre calcaire alcaline.— viva, chauz 
vive. — amassada , mortier. Ser de pedrae —, 
(4g.) “re fort, dur, solide, durable. Estar de 
pedra oe —, (id.) etre ferme dans un propos, 
bien convaincu d’une chose. 

*Cir,s.m. V. Algeröz. 

Ciza, s. f. coupe: entallle qu’on fait A un 
freit pour le goüter avant de Yacheter. * Trou 
fait ıı2c une sorte de tariere pour sonder un 
meion, un fromage, etc. Entamure que les 
macons font & un mur pour en reconnaliro 1’6- 
tat et Fepaisseur. V. Cdlha, Colkla 


CGAI, 235 

CaLapıcıa. 7. Cabdea. 

CALABOUGO, 8. m. cachbot : basse-fosse. 

CALÄBRE, 8, m. gros cAble goudronne. 

Carasreloo, A,p.p.deC . 

CALABREADÜRAOUCALABRIÄDA, 2. f. " mölange 
de differents vins. (Ag.) Tromperie, fraude. 

CALABREÄR, o. a . meler differents vins , me- 
ler difförentes choses. it. V. Adubar, Tempe- 
rar. 

TCarszetz, A,s, et adj. Calabrais : de la 
Calabre. 

+ Carisaıa, s. f. (t. de geogr.) Calabre: 
province du royaume de Naples. 

CaLaBaüTE, 3. m. dim. de Calabre. (1. de 
mar.) Cäbleau, chäbleau, petit cAble, 

TCarasöro, s. m. (1. de bof.) calabure : ar- 
bre tiliace. 

TCaric, s. m. (t. de bo$.\ calao : arbrisseau 
des Indes. 

"Carica, s. f. cöteleite de porc. 

CaLacania, 5. f. paresse, faindanlise, ca- 
gnardise. 

CALACEÄR, 9. 8. mener une vie oısive.. dere- 
glee ; cagnarder. 

CALACEIRO, 8. m. paresseux, faindant; gour- 
mand ; debauch6. 

*Cäiricönpa, 8. f. (t. mil. ane.) coup de 
tambour pour faire une decharge. 

Carina, s. f "silence: cessation de bruit, de 
vent, etc. Pela—, en secret, sous ınain, se- 
cretement, & l’insu; sans bruit. Pela — da 
notte, dans le silence de la nuit. — do remo, 
vogwe faible, lente.—de vento, bonace, calme. 
CALÄDAMENTE, adv. en silence. V. Caldda 

pela). . 

+ Caravärıs, s. m. (tl. d’Asie) toile de coton 
de Bengale. 

TCarıvıckö,s. m.(1.de laChine.) tribunal od 
P’on juge les criminels. 

TCaranıiö, s. m. (t. de bot.) caladion : 
plante du Bresil, culcasie. 

CaLipo,A,p. p. de Caldr, adj. silencieux; 
discret ; r&serv6, cach&, dissimule. 

Carapöra. V. Cdla. 

CaLarÄTE, s. m. calfat, calfateur : celui qui 
calfate un vaisseau. 

CuLAarEtaciO. V. Calafslamento. 

CALAFETÄDO, A, 9. p. de Calafetar. 

TCALAFETADOR, 8. m. instrument de tonne- 
lier pour calfater les tonneaux. 

CALAFETAMENTO, &.m. callat : ouvrage de 
calfat. Calfatage. 

CALAFKTÄR, v. a. calfater : garnir de poix et 
d’&toupes les fentes, les coutures d’un vais- 
seau. Calfeutrer : boucher les fentes d’une [e- 
netre, elc., avec du papier, etc. 

CALAFETEAR , olc. V. Calafelar. 

CaLarkro, s. m. calfat; calfatage : action de 
calfater. 

Casin, s. m. ötain tr&s-än de l’Inde. 

CaraLüz, s. m. ($. d’Asie) peiit bäliment & 
rames dans l’Inde. j 

Caramkco, s. m. *calmande ; Stoffe de Jains 
lustree d’an cöt#, 


286 CAL 


TCarauir, s. m. calmar ou cornet, ou &cri- 
toire : polssun c&phalopode, animal marin du 
genre des söchga : lourmit une espece d’encre 
noire. 

Caramsi,s.m. (6. d’Asie). V. Aloe. 

CALAMBÜCO, 5. m. calambac, calambouc : es- 
pece d’alods. 

+ Caraunöno, s. m. calambour : bois des 
Indes, verdätre, odoriferant : sert aux lable- 
tiors. 

TCarauentaa,s.f. (1. de boil.) melisse ow 
citronelle, calamneont, herbe de citron, ponci- 
rade : planto labieo qui sent lo citron, medici- 
nale, vivace. 

CALAMENTO, 8. m. V. Caldda. — da verdade, 
nc dire pas la verits. 

Carasıpäng,s f. calanıite. II a les m&ämes 
acceptions que lo mot francais. 

CaLauina, 8. f. calamine, cadmie : pierre 
ealaminaire ,oxyde de zino natif. 

Carauınär, adj. 2 gen. calaminaire : qui ap- 
partient & la calaınine. 

CALANINTHA. V, Calamtntha. 

*CALAMISTRAR , v. a. calamistrer : 
poudrer. 

Carasita, s. f. calamıte : nom ancien de la 
pierre d’aimant, Je la boussole. (4. d’Aist. nat.) 
calamite : espece de crapaud ‚ crapaud vert & 
lignes- Jauncs sur le dos et verrues rousses. 

CaLauita, ady. 2 gen. Estoraque —, storax 
calamite, on larınces. 

CALAMITÜSAMENTE , adv. avec calamild, mal- 
heureusement. 

CALANMITOSISSIMO , A, adj. sup. de 

CALAumösO, A, adj. calamiteux, malheureux. 

CALANO, 8. m. tuyau de bie, tige de paille 
quı soutient l’epi. * Flüte, chalumeau. "Pluine & 
ecrire. Calamo currenle, (ezpr. lat. et fam.) 
sans preparation. — aromdlico, (1. de bof.) V. 
deöro. 

Carawocipa , 8. f. (8. P0p.) coup sur la t&te, 
(Ag) * Doınmage, tort, detriment. 

Caramocipo, 4,p.p. de 

CaLauocik, v. 8. (1. Pop.) frapper ä la läte; 
meurtrir de coups. (fg.) Endommager, faire 
tort & quelqu’un. 

+ Carauörg, s. m. ($. d’Asie) sorte de vais- 
seau de la cöte du Malabar. 

Caranpin,s.m. (f. d’Asie) calender : reli- 
gieux persan ou turo,, mahometan vagabond. 

Carinpaa, s. f. calandre : machine pour 
presser et lustrer les &toffes. 

CaLanpaino, A,p.p. de 

CaLanpair, v. a. calandrer : lustrer areo la 
ealandre. 

Caranpakıno, 3. m. calandreur : celui qui 
ealandre. 

CaLantin. V. Acalanlar. 

CaLid, 8. m. (f. de mar.) grando felouque de 
la cöte des Algarves, en Portugal. is. (1. d’Asie) 
Vase de terro pour porter de l’eau. 

140,3. m. (l.d’hist. nat.) calao : gros 
oiscau dentirosire, A beo en faux, &uorme, 
surmonie d’un easıue Osseux, 


friser, 


CAL 


CaLir, v. a. taire, cacher, omeltre, dissimu- 
ler. v. n. Cosser de parler, de cbanter. (1. de 
pods.) Se calmer, s’apaisor, eu parlant des flois 
et dcs vents. — o bico, (fig. faan.) garder le si- 
lence. Quem cdla consente, qui se lail consent, 
ow qui no dit mot vonsent. Ndo ha cousa como 
o—,iln’y arien de tel comme de se taire. 
Se queres a vida bem passar, has de owvir, ter, 
0 —, si lu veux parlout vivro en paix, &coule, 
regarde et le tais, Caldr-se, v. r. 56 laire, gar- 
der le silence. 

CaLir, v. a. (l. de mar.) caler, arriser, des- 
cendre, amener, baisser, en parlant des voiles 
d’un vaisseau. Penetrer, imbiber, percer, mi- 
tonner, tremper. (fig.) Penetrer, saisir. — 6 
ponte, baısser un pont-levis. — 0 meldo, son- 
der, entamer un melon pour Jo goüler. — & 
baionela, V. ce mot. — a viseira, baisser 
la visiere. Galdr. v. n. fondre, s’aballse, 
tomber subitement. Il se dit de l’oıseau de 
proie qui fond sur l’anımal qu’il veul preü- 
dre. S’imbiber, se penetrer, en parlant de lat- 
tion des liquides sur les solides. S’ıntrodulre 
dans quelques endrolts. Il est quelquefois rE- 
eiproque. aan: 

CALATRÄVA, 5. f. Calatrava : ordre milllalte 
en Espagne. 

Ciica , s: f. action de fouler. 

Caucioa, V. Pelsija. 

CaLcän0,A,Pp.p. de Calcdr. 

CaLcapör, s. m. celui qui foule; fouloit, 
foulerie : outil pour bourrer le canon. —de t#- 
reis, gros bout d’une baguette de f[usil. 

CaLcADöuRO, 3. m. "aire oü l'on depique i 
bie; quantitt de blöd que l’on depique chaque 
fois, airde. 

Carcapöra, s. f. Paction et l’effet de foulet, 
foulure. . 

Carcamin, s.m. (1. Phist. nal.) calcamaf: 
manchot du Brösil. % 

CaLcine0, s. m. (1. d’anat.) calcandum: 
deuxi&me ot le plus grand os du tar$®. 

CALcANBÄR, im alon ; la partie posterieare 
du pied ; (Ag.)du soulier, Dor aos ealcankartı 
(ezpr. fam.) s’enluir, se sauver en courun 
Tirer ses guätres. Este homem ndo ch h 
es d’vulro, cet homme ne va pas Jusll 
jarreiiere d’un autre. Al 

CaLcaxmin, 0. a. V. Acakanhar. (anltd.) 
teindre. , „itre 

Carcir,v. a. fouler aux pieds, piler, ba 
& force de passer souvent dessus, LasBeT: 
medidas, remplir, combler les mesüres- on- 

CaLcin,adj.2gen. | calcaire: ce qui © 

CaLcäREO, A, adj. tient de la chau8- 

Carcataira, 8. f. (1. de bot.) V. Bspot 

Carga,s. f. "chausson. it. V. Care" 1 

Cagiva, s. f. chaussee; chemin PAY“; 
pave. 

Caıcino, A,p. p. de Caledr. adj. P ee 
parlant des olseaux qui ont des plumes Jus1 
sur les pieds. van met auf 

CaıcÄno, s.m. "chaussure : ce qu OR nen 
pieds et aux jambes pour les couYfif- 


CAL 237 


halzan : celoi qui & les pieds blancs et le reste! CaAkCULADÖR, s. m. esiculateur : celai qui 


du corps d’une autrecouleur. Ser — dealguem, 
se Iaisaer mener par au !qu’un. 

Carganön, 5. m. chausse-pied : morceau de 
eur ou de corne, qui sert pour chausser les 
sonliers. — de botas, tire-bottes. 

Caigıpürı, 5. f. V’acllon de chausser, de 
botier. 11. V. Calgado. 

Carciö, Ss. m. * culotie: haut-de-chausses. 
Emp'or& le plus sousent au pluriel. Caicdes. 

Catgir, v. a. chausser, bolter, meitre des 
bas. des souliers , des boltes, des pantalons, 
des ganis ; donner des chaussures & queiqu’nn. 
—, aler : mettre une cale. Garnir, renforcer 
%es erirömites des chbosrs qui Lravallient le 
plus, comme outils, ferrements, eic. — as 
ruas, as pontes, paver les rues, les ponis. — 
a roda, enrayer une roue. — d’aco, garnir 
d’acier.— fantos pontos,(t.decord.' chausser 
d tant de points : perter des sonliers d’une telle 
ou telle Iongueur. — um eixo de ferro, rechar- 
ger un cssieu. 

Chigan-sE, Y. r. se Chausser, se botter, etc, 

Gaigas , 5. f. pl. chausses, pantalon. Fer-se 
en—perdas, (fig. fam.\tire dans un grand 
embarras, &ire en danger. Dar —, (id.) pour- 
seivre,serrer de pres. 

Circe, 5. m. "cale : morceau de bois pour 
meitre de niveau, d’aplomb une table, etc. 

CaLcevönta. V. Chalcedonia. 

Carckra, s. f. "alganon; fer aux pieds; les 
galires. —s, pl. chaussettes. 

+ CaLcKTaRiä, 8. f. quarlier des paveurs. 

Carcztriıro, 5. m. paveur. ant. Culotiier, 
faiseur de bas , marchand de bas. 

Cauckz,, s. m. (tl. de mar.) ton, tenon : bout 
. d’une piece de bois, qui entre dans une mor- 
laise ; calcet du mät. 

+ Carcdirraca, 8. f. (f. de bot.) V. Saxifraga. 
— de Lob£lio, bacille maritime ou criste marine, 
euig. la passe-pierre, !’herbe de St.-Pierre, le 
fenouil marin. 

Curcmaciö, s. f. calcination : l’aclion de 
esleiner, ses effets. 

CauasäAD0,&A,P. p. de 

Carcswän, ©. a. calciner:r&duire en chaug, 
en cendres, en poudre, par le feu. 

GaLcmaTörıo, A,adj. (l. dechim.) qui cal- 
Gine, qui sert pour la calcination (vase, elc.). 

CuLcmävsL, adj. 2 gen. qui peul Etre calcind. 

+Circıo, s. m. (f dechim.) calcium : metal 
souvellement decouvert dans la chaux. 

+ Cuıcires, s. m. (l. dechim.) calcite : sul- 
fate de cuivre calcine. 

+Cıarcırnäpa, 8. f. ((.de bot.) centauree &toi- 
ee. eulg. Le chardon etoil6, la chaussetrape. 

Carerrmin. V. Recalcitrar. 


CaLco. 

na. } V. Chalco ‚etc... 

Gaıco,. V Calce. 

"ayora, 5 f. dim. de Calga. 
CuLcoTe, sm. 


Carcrracäd, s.f. "calcul: Paction de calculer. 
CaLcuLa0o, A, P. pP. do Calculär. 


CarcuLir, adj. 2 gen. V. Caleuldso. 

CALcULÄR ‚©. 8. calculer, suppuler, compter. 
Speculer, möditer, combiner. (fig.) Reftchir ; 
peser, Juger ; conjecturer, prevoir. 

CALCULkVEL, adj. 2 gen. calculabie : qui peut 
se calculer. 

TCaLcuLista,, s. m. qui caleule, qui specule. 

CiLcuLo, s. m. calcul : supputation, compte. 
(fig.) * Balance, estime, spprecialion. (4. de 
med.) —, pierre dans les rcins; concreiion 
pierreuse,, inorganique ‚dans le corps humain, 
gravelle. 

+ CaLcuLirkaco, A,adj. (l. de med.) calculi- 
frage :: lithontriplique, qui resout le calcul (ro- 
mede). 

CaLcuLöso, A, adj. (4. de med.) calculeux, 
graveleux, pierreux ; qui a la piorre. 

+ Carcunniäna, 8. f. (f. fam.) course acck- 
leree, longue trotte. 

CALCURRIÄDO, A ,P. p. de 

CALCURRIÄR , v. @. ou 9. courirvite, trolter. 

CiLoa, s. f. sucre fondu et &pais pour les 
conlitures. Doces de —, conftures liquides. —, 
pl. bains thermaux, bains qu’on prend dans 
des eaux thermales. 

CaLpAıco,, A. V. Chaldaico. 

CaLoärıo. V. Thermal. 

CALDEÄDO, A, 9. p. de 

CALDEÄR , v.a.— 0 ferro ‚rendre le ferrouge 
au feu pour le travailler, l’affiner, le tremper. 
— a cal, gächer la chaux, faire du mortier. 
Möler;; souder. (ig.) Rendre homogene, amal- 
gamer. 

CaLpkıra, 8. f. chaudiere : grand vase pour 
faire chauffer,, bouillir ou cuire. Marmite. — de 
eisierna, "sas de citerne. — de arvores, [0S50, 
bassin , retranchement autour des arbres pour 
recevoir de l’eau. — de de comporia, 
(t. d’hydr.) " sas d’Ecluse. — para recolher em- 
barcagöes , gare, möle, bassin : lieu de sürete 
pour les bateaux. Senhor de penddo e —, gen- 
tilhomme ancien qui avait le privil&ge de suivre 
le roi & la guerre, et de porter devant lui un 
drapeau et una marmite. — de Pedro boidlho, 
(fam.) l’enfer. 

CaLpeirkpi, $. f. chaudronnee : le contenu 
d’une chau:iere. V. Batega. Sorte de ragoüt 
que font les p@cheurs avec du polisson frais, 
Matelo'e. 

CaLoEıRBÄd, Ss. m. aug. de Caldeira. it.(t. de 
mus.) Po:ul d’urgue, suspension ä volonte. if. 
Espece de dauphin, poisson de mer. Nom J’un 
jeu d’enfant. A corda mais o —, Saint Roch et 
son chien. On le dit de deux p:rsonnes qu’on 
voit toujours ensemble. 

CALDEIRARlA , s. f. cbaudronnerie : boutique 
de chaudronnier, quartier des chaudronniers. ” 

CALDEIRFIRO,, 8, n. Chaudronnier : qui fall, 
vend et raccomınode des chaudrous, des usien- 
siles de cu sine. 

Carpeininsa,s.f.dim.de Culddira.—d’agus 
benla, * benitier : vase a l’cau benlle, 





« 


238 CAL 


+ CuLn&sn0o, 3. m. obaudron ; petite chau- 

diöre;; seau d’airain A puiser de l’oau dans un 
uils. 

? CarL2inRo ‚s. m. die. de Calde. Petit bouillon 

Savoureux et elair. 

CiLno, s. m. bowillen, potage, Jus. — de 
susiancie, consomme. ou enlorner 
0o—,(fig.) brouiller les affsires. Melter elguem 
em —$, (id.) susciter de grands em- 
berras & queiqu’un. 

* CiLpo, a, adj..chaud. 

FCaı20so, a, adj. qui a trop de bonilion, 
qui est dtendu de bouilion. 

t CaLpöcHa ,s.f. (t. pop.) bouillon clair, eau 
de vaisselle. 

CaLsca ‚es. [. ealäche :sorte de voiture coupse 
& deux roues et ä deux chevaux pour voyager 
(en Portugal). 

Carectino, 8. m. condueteur d’une caldche. 
V.Calera. 

CALEDONIO, A , adj.de la Calsdonieow Ecosse. 
Animal —, l’ours. 

TCarzraccäö, s. f. cal&faction : chaleur cau- 
s6e par Paction du fen. 

TCALEFACHENTE, adj. 2 gen. (1. de mdd.) 
tbermantique, qui rechauffe, qui ranime la 
chaleur naturelle. 

t CaLeractönıo,s. m, chauffoir: lieu od Fon 
»’ethauffe. 

CaLzrerir. V. Calafstar. 

CaLErnios ou CALArRıos, 8. m. pl. frissons. 

Cartıno, 8. m. V. Cailiro. it. * Gouttidre, 
cernidre : nolet, canal qui est Ala r&union des 
deux pentes d’un toit pour recevoir les eaux. 

CaL£ia, 8. f. petite rue. 

CAaLRsino, A, p. p. de Calejar. adj. calleux. 
(Ag.) Endurei au travail; accoutume, insen- 

* sıble aux maux ; invelere. 

Caresin, o. a. faire venir des cors, des du- 
rillons ; (Ag.) endureir. 

CaLEsir, o.n.et— se, vo. r. (fig.) s’endurcir, 
@tre endureci an travail, aux malheurs, vieillir 
dans les vices. 

TCaLtnpa, s. f. legon, chapitre da marty- 
rologe romain. 

CaLenpinıo, 5. m. calendrier, almanach, 
annuaire; bref. — reformado , n0v0 ou grego- 
riano , nouveau calendrier : oelui qui est con- 
forme & la r6formation falle par Gregoire XIII 
en 1582. V. Folhinha. 

CALENDARisTA,,s. m. celui qui fait les calen- 
driers, les brefs ecelöslastiques. 

CaLenvdas, s. f. pl. calendes : premier jour 
du mois cl. :zles Romains. 

CaLenptn.V. CC. . 

TCarkmura 8. f. (8. de bot.) V. Marevilka 
baslarda 


tCaLzrino, s. m. calepin : recueil de notes, 
de mots, d’extraits, fait par quelqu’un pour 

n usage. Vocabulaire. 

"Ciizs. V. Cdlis. 

"CaLtre. V. Temperamenio, Compleicäo. 

CALEO, s. m. nom d’un animal sauvage 
'. . 


CAL 


CaLkzz ou CaLücus, s.m. °oalöche : carrense 
löger, coup6 et Arideaux. 


- 


CiLua,s. f. rigole; anche, reilläre. — de pdo, . 


enehenat. 
CaLnasöuco. V. 


T CiLuaLtıre, s. m. (1. de bo8.) galllei jsune ; 


eaille-lait, petit muguet. 

CaLHAauico. V. Cankamöge. 

CaLnaum6La, 8. m. (1. dus Bresil) esclave 
fugitif dans les bols , nögre marren. 

Caruinpea,s. f. (t. Est. nat.) calandre ı 
grosse aloustie imitant differents sons. 

Caugnampetiea, 5. f. videuse de pots de 
chambre. 

CALBÄNDRO, 5. m. pot de garde-robe. 

Caıni0 , 8. m. gros calllon. 

*+Caınin,o.%. ouvrirchemin. (Ag. pop.) 
Se mettre au fait, au courant, devenir adroit 
dens quelque metier. 

Cine. V. CAlha. 

Caıntra,s. f. cale: abrientre des roches, 
des pointes de terre. Crique : petit port natu- 
rel, petite baie. 

Carıima „ss. f. (1. d’Asie) sorle de pipe chez 
les Persans. 

Carısaipo,A,Pp. p. de Calibrär. 

CALIBRADÖR,, 8. m. calibre : oulil, instrament 
pour calibrer. 

Caursrär, ©. a. calibrer : mesurer le calibre 
d’aune arme & feu, d’un cylindre queleongque. 

CaLipee, s. m. calibre : diamätre d’une arme 
a feu, d’un cylindre; grosseur de la balle pro- 
portionnee & cette ouverture. (fg.) —,, valeur, 
qualit&, &tat des personnes , des choses com- 
pardes. 

Cariga, s.f. "plätras: debris de vieux plätres; 
gravas, gravois. 

Cärıce. V. Cdlis. 

TCauıcıipo, a, adf. (t. de bot.) calicd : en- 
vironne d’un calice (fruit). 

fCauıcmiL, adj. 2 gen. (t. de bot.) calici- 
nal : qui appartient au calice. 

+CauıcuLinpo, a, adj. (6. de bot.) calicule : 
qui a un petit calice. ‚ 

7 GuricuLo, s. m. (8. de bot.) calicule : dos- 
ble calice; rang de petites &cailles autour da 
grand calice. 

CaLiwäipe.V, . 

CALIDISSIMO, A , adj. sup. de 

CiLipo, A, adj. chaud : qui communique de 
la chaleur. 

CaLira, s.m. calife:: souverain mahomötan 
arabe, successeur de Mahomet, qui reunit les 
pouvoirs spirituel et temporel. 

CaLırivo, 8. m. califat : dignits du calife ; sa 
duree, ses fonctions. 

Cauıricar. V. Qualificar. 

fCaumsörma, s. f.(t. de geog.) Californie; 
province du Mexique. 

+ CALIFÖRNIO, A,adj. et s. celui qui habite la 
Galifornie. j 

+Cäuıca, 3. f. ealige: bottine, chaussure 
dessoldalsromains, garnie declous wut autour, 

CALicEM , &. f. (1. de med.) caligine : obscur- 


’ 


CAL 


eissement de la vue. (4. de peds.) Obseurilö, 
ünebres, brewillard. 

Gauscınöso, A, adj. caligineux ı obscur, 
sembre, tänebreux. 

+Guuls, e. wm. calin : metal chinols compos® 
de plouzb et d’stain, eiqui ressembie & oeux-ci. 

Guirmıco, adj. m. Periodo —, (1. d’asir.) 
«llppigque : (periede ) de 76 ans pour corriger 
ferreur du cyele lunaire. 

Ciuss ow Cauıx, 5. m. calice : vase ; Coupe 
pour Peucharistie.(i. de bot.) — , ou perienthe : 
eareloppe extärienre de la leur. (Ag.) Coupe 
demertams. —, tristesse, afliotion, douleur 
accablante. Beber o—d’ aldds f 
beire la coupe d’amertume jusqu’ä la lie. 


ah } V. Calka, Calktta. 


Gurscein. V. Calacedr. 

"Gurıumioine. V.S 

+Guıimo, s. m. (ti. d’hist. "ni,) eallidie : 
Insecte lignivore.- — ariele, callidie belier. — 
neequeade , callidie lidie bariole. 

t CaLLıcrapmia ‚s. f. calligraphie : eonnais- 
sısce, description des anciens manuscriis ; 
art de calligraphe. 

tCaruıcairmco, A, adj. ealligraphigue : 
de la calligrapbie. 

TCazıicaarE0, 5. m. calligraphe : copisie 
sueien ; qui a une belle deriture. 

+ Carriorz, s. f.(t. do myik.) Calliope ; 
muse de la po4sie herolque. 

+Grımepıa, 3. f. callipedie : art supposs 
‘es Lzire de beaux enfants. 

tCaLısraicee, s. m. (£. Ehist. nat.) calli- 
fiche : guenon verte d’Alrique. 

+ CALLITRiCHE DO OUTONO ‚s. m. ($. de bot.) 
esllitrie d’automne, plante aquatique. — da 
primssdra, callitric printanier. 

CiLLo, 3. m. cal: oor, durillon qui se forme 
par le frettement do la peau. (4. de mid.) —, 
subsisnce osseuse qui reunit les fractures. 
(Ag.) Iasensibilit6 habitaelle. Criar, ter ealos 
ns porieneia, (dd.) s’endureir aux malhours, 
les endurer sans s’impatienter. 

Garossipäpe, s. f. eallosit# : petit ealus; 
chair durcie aux bords d’un uloöre; renfleinent 
aux plantes. 

CaLıös0 , A , adj. calleux : oh Il ya descals, 
des cors. Corpo —, (I. dans.) corps calleux : 
qui eouvre los ventrioules du cerveau. 

TCaLıwönrwo, 9. m. (1. d’hist. nat.) callio- 
kyme : genre de poissens jugulaires. 

Cisma,s. f. chaleur, chaud, ardeur. Ter—, 
avelr chand. Abafarcom—, stouffer dechaleur 
Cosmcom—asaoes, ilfsitunochaleurexoessive 

Ciwma ,s. f. * calme, benace, tranquillite. 
(A9.) Cessation, Suspension, Stagnation. Mer 
m—,(i.demer. ) mer calme. 

Caıuino, A. p. p. de Calmdr. 

Caumimz, edj. 20m (1. de mdd.) calmant, 
adoneisssnt. ı p. a.de 

Carsin,v. a. calmer. V. Acalmaer. it. fam. 
bettze ‚ donner des eoups. 

Catania, s. f. "calmme: mangque de vent sur 


CAL 239 


mer. = pödre ou eslanhada. (4.demar.)il se dit 
quand il n’y a pas le plus l&ger souffie devent, 
et que la mer est couleur d’etain: calme plat. 

CiLm0, A, adj. p. us. calme: trangquille, 
sans agitation. 

CALMORREÄDO, A, 9. 9. do 

CALMORREÄR, .. @. battre, donner des coups. 
(fg.) Tromper. 

CaLuöso, A, adj. chaud; ardent, brülant. 

Ciro. V. Callo. 

Carorane.V. Colophonia, 

CAaLdıno, 8. m. Hovice : nom qu’on donne A 
Puniversit# de Colimbre aux &tudianis de pre- 
midre annde. if. Caloyer : religleux grec de 
saint Basile ; derviche,. 

CALOMELÄNOS, s.m. pl. (1. de pharm.) calo- 
melas ow calomel : muriale de mercure doux 
0% proto-muriale de mercure. 

* CaLonea. V. Calümnia. 

Carön, 3. m. °chaleur, chaud ; ardeur, effer- 
vescenoe. (fig.)" Ardeur, vivaciie, aclivite; cha- 
leur, ardeur, feu d’une discussion, d’une dis- 
pute, d’une melde. Dar —, (fig.) auimer, 
encourager. Tomar —, (id.) s’eehauffcr. Com 
—,(id.) chaudement, d’une manidro animee, 
aveo vehemence, passion. 

f Caroxicıpäne, s. f. (4. de chim.) caloriciie: 
facults de ohaleur vitale plus forte que cellc de 
Patmosphöre. 

CaLörıco, 8. m. (t. de chim.) calorigue : feu; 
Auide imponderable, trds-subtil, trds-rare, 
trös-$lastique , trös-syınpatbique, non pesant, 
vepandu dans tout l’espace, principe de la cha 
eur 

Carorireo, a, adj. (d.de chim.) calorifque 
qui donne de la chaleur. 

CALORINETRO, 8. m. (8. de chim.) calorime- 
tre: instrument pour mesurer le calorigue sp€- 
eifigue des oorps. 

+ Carorımeraia, s. f. calorimetrie : methode 
pour se servir du calorimetre; art d’estimer Io 

calorique des corps. 

CaLonOsamenTE, ade. chaudement, areo 
chaleur, ardemment, 

Carondso, a, adj. chaleureuz, chaud, ar- 
dent. (fig. ) nersiqu; ardent. 

CALOSIpÄDE. 

Cab...  } V. Callos...,eie. 

Carösrao. V. Colosiro. 

CALÖTg, s. m. "escroquerie : action d’eseroc, 
Pregär, ferrar um —, (fam.) faire une escro- 
querio. 

CaLorzin0,A,Pp. p. de 

CALOTEAR,, ©. 8. escroquer. — alguem, faire 
une escroquerie & quelqu’un. Calofdouo n’u- 
ma moetda,, il lui a escroqu& 30 fr. 

CALorgıRo, A, 8. el adj. escroc,, escroqueir. 
En portugais, il ne signifie que celui qui eın- 
prunte de l’argent dans l’intention de ne pas 
payer. 

CALoTISMO, 3. m. " astuce , ruse d’un eseroo, 

CaLo0Ro. V. Caloiro. 

+Cainöno, s. m. (1. d’hist. nal! canrude : 
espece de räle de Ja Guiane, 


240 CAL 
+CaLrni, 5. f. (f. de bot.) V. Malmequer 
dos bre&jos 


+ Caröva! interj. silonee! point de bruit! 

+ CaLußte 0% CALOETE, 8. m. pal : pieu per- 
pendiculaire aiguis6 par un bout, instrument 
de supplice en Turquie. 

+ CaLtusa, s. f. (l. de bot.) *calumbe: racine 
des Indes, jaune, contre la colique, les indi- 
gestions ; racine de Colombo. 

CALUMmIA , 3. f. calomnie : fausse imputation 
qui blesse l’honneur. (1. de .) Malice, 
mauvaiso foi, fausse allegation pour allonger 
un proces. Aflangar, jurar de—, (id.) s’enga- 
ger & prouver ce qu’on avance contre quel- 
qu’un, sous la peine imposee par laloi, sila 
preuve n’est pas suffisante. Ser alvo da —, eire 
en butte ä la calomnie. 

CALUNNLıÄDO, A, 9. P. de Calunnidr. 

CALUMNIADOR, A, 3. et ady. calomnlateur : 
quı calomnie. 

CALUNRIÄR, v. a. calomnier : biesser l’hon- 
neur par de fausses imputations. 

CALUMNIOSAMÄNTE, adv. calomnieusement : 
avec calomnie. 

CALUMNIöSO, A, adj. calomnieux : qui con- 
tient des calomnies. 

CALuRö80 , a. V. Caloroso. 

CaLva, s. f. partie de la töte qui est sans 
cheveux ; t£te chauve; calvitie. 

CaLvivo,A,Pp.Pp.de 

CaLvän, ©. a. donner, causer la calvilie. 
v. n. devenir chauve. V. Caloejar. 

CaLvärıo, s. m. Calvaire : montagne de Pa- 
lestine. —, petite elevation oü l’on place une 
croix. Subir ao —, (Ag.) chercher des peines, 
des mortilicstions. Levar acrus ao —, (fig.) 
achever un ouvrage penibie. 

CaLvzsino, A,p. 9. de 

+ CaLvssan, v. n. perdre les oheveux de la 
160 , devenir chauve. 

CaLväte, s. m. dim. de Caloo, un peu 


chauve. it. V. Caludte. 
" CaLvkz, | s. f. chauvets, calvitie : eiat 
CALvicie, d’une tete ohauve. 


+CaLvınıkno, A, adj. de Calvin, qui appar- 
tient & Calvin, au calvinisme. 

CALYINiSMO, s. m. calvinisme : secte de Cal- 
vin qui nie l’eucharistie ; ses opinions. 

CALYINISTA, 8. m. calviniste: sectateur de 
Calvin. 

CaLvissiso, A, adj. sup. de 

CALvo, A, adj. es s. chauve: qui a peu ou 
point de cheveux. Aride, en parlant des ro- 
chers , des montagnes, elc., depouilles de loute 
vegetation , et meme de terre. Roch@dos —s, ro- 
chers arides. Mentira —a, (fig. fam.) men- 
songe ellronie , sans deguisement. P£cego —, 
sorte de p£che sans duvet, 

CaLypeino, A. V. Chalybeado. 

CaLrccLADoO,. 

CALrcuLo. } V. Galie..., etc. 

CaLys. F 

= CaLYcos ‚a. m. pl. (6. d’hist. nat.) calyges 


‘ 
. 
« 

‘ 


CAM 


ınseeies adherents au bouclier et &ä plusiours 
autres poissons ; crustaces parasites. 

Cam. V. Cdo. 

Ciua,s. f. "lit, couche, grabat, gite. Couche : 
partie d’un fruit qui repose sur terre, comme 
le melon, et qui est päle et quelquefois gätee. 
Reposte : gite, terrier, lieu oü une böte faure 
repose. — de lebre, muetie. — de campanla, 
lit de campagne, ou brise. — de iöaa, lit de 
sangles. — d’esiado, lit do parade. Fazera —, 
faire le lit pour se coucher. Ficar, esiar de —, 
s’aliter, garder le lit. Ao sair da — au saut da 
lit. Vollar, tornar, para a —, se recoucher. 
Voltar d—, retomber malade. Tirer a ouiro 
a — , decoucher : faire coucher quelgu’un hors 
de son lit. Fazer a — aalguem, (fig. fam.) 
faire de mauvais rapports de quelqu’un, P’ac- 
cuser devant son superieur, cabaler contre lui. 
Frula da prımera —, [ruit hauif. 

T Cauacanı, s.m. (l.de bot.)camacari: arbre 
du Bresil. Sa gomme tue les vers. 

Camipa, 3. f. couche. ]l se dit des choses 
mises par lit, par superposilion. Jonchee: 
herbes, leurs dont on jonche les rues. Repo- 
see: gile, terrier, lieu oü une beie fauve re- 
pose. — de sarna, de bezigas, de lepra, de 
gallico, eic., eruplion sur lout le corps de la 
gale, de la petile verole, de la l&pre, de la 
syphilis, eic. (ig. fam.) Grande quantite, 
grand nombre. Pör ds —s, liter. 

CAMarFEO, 5. m. Caınee : pierre composte de 
couches de diverses couleurs, que l’on sculpte 
en reliel; pierre fine gravde ou sculplee; c- 
ınaleu. Sceau : cachet des rois de Portugal, an- 
ciennement. is. ant. L’efligie du roi dans les 
monnaies. 

* CAMAFETO, 

* Camaırgu. | \. Camafeo. 

Cauir,s. m. V. Capacdie. 

CAmäLpuLas, s. f. pi. espece de chapelei & 
gros grains. 

CANALDULENSE, adj. 2 gem. qui appartient ä 
l’ordre des camaidules. s. Camaldule (reli- 
gieux ). 

CauaLzid. V. Cameledö. 

CauaLnÄö, 8. m. ( . d’agr.) terre entire deux 
sillons. . 

Cauiıuo. V. Camdl. 

CaminpuLas. V. Camdldulas. 

"Eauinno. V. Quamanko, Tamanko. 

Cauiö, s. m. (tl. d’hist. nat.) poule sultane. 

Ciuara, s. f. chambre, salle: piöce d’une 
maison, d’un appartement. Chambre d’un na- 
vire. Chambre d’un canon, d’un morlier;; bas- 
sinet d’un fusil, d’un pistolet. Cour du roi ow 
de quelque auire souverain. Chambre & cou- 
cher. Corps municipal d’une ville. — opustolice, 
chambre apostolique,, conseil du pape. — real, 
palais, maison Ju roi. Mogo da —, gentil- 
bomme de la maison du roi. — ecelesastica „ 
secretariat de l’evechd; tribunal ecclesiastigue. 
Casa da — , hölel-de-ville. — eseura, chamnbıg 
noire. — Öplica, chambre obscure. — de cima 
(l.dc mar.) chambre de conseil, de baize, 


CAM 


(id.) grande chambre. Cdmaras, pi. diarrhöe, 
Sur de ventre, dysenterie. — legislativas,, les 
ebambres iegislatives : assemmblee de pairs, de 
deputes. 

+ Cuuani, s. m. (6. de bol.) camara: ar- 
beissean da Bresil & feurs jaunes ; lantane. 

CAMARABÄNDO, 8. m. (4. d’Asie) V. Cinto, 
Faza. 

CamarADA, 3. m. camarade, COMpagnon, 
mi. i. aut. "Compagnie, asseınblöe de cama- 
zades. 

CAsRADAGEN , 8. f. societ& de camarades. 

Causaaucaiö. V. Caramanchdö. 

Casuriö,s.m.(t.d’hist. nal.) "creveite, ou 
salicoque, om chorrette : dcrevisse de mer, 
erusisct , arthrocephale, ä yeux sessiles. 

Camsainıo, V. Camarliro. 

+ Cauaxita, s. f. compagnie, assembiee de 
ismarades. ° Dortoir d& college, de pension, etc. 

Casarızinua, 8. f. dim. de Cdmara. 

CGauanciö,s. u. bocage, bosquel. 

Cawixco, 8. m. (1. de jew) capot. (lg.) Mal- 
beur; infortune. Ficar —, rester, demeurer 
eouri; n’avoir pas occasion de se justilier. 

Camaakıra ‚s. f. lle de chambre d’un grand 
persoanage ; dame d’honneur. — mör,, la pre- 
miere des dames allachees au service de la 
reine. 

Guaaıno, s. m. chambrier : officier claus- 
tal de queiques monasleres ou chapitres. Ca- 
merier: officier de la chambre du pape. Chu- 
marier : dignit6 de l’öglise de Lyon. ss. amt. 
V. Camarista. — mör, (id.) archi-chambellan, 
grand chambellan. 

Guaatıao, s. m. (8. pop.) V. Bacio, Bis- 
Pöle 


CauanturO, A, adj. quia la diarrhee. 

tCauanznia, 3. /. chamnbrerie : oflice du 

ter. Chambellanie. 

Cauariu,s.m. dim. de Cdmara. Boudoir; 
jeli petit cabinet. " Chambreue. Cabinet de toi- 
letie, 

* + Camanina, s. Sf. Il n’est usild que dans 
eeie phrase : Mover a —, faire une chose dif- 
ale. 

CuuarısuÄDo , A, ady. en baies perlees. 

+ Camaninmas ou CAMARINUEIRA DO BRAZIL, 
s.f. (1. de bot.) geofirwa : plante legumineuse. 
— de reino,, camarignc ow camarine & [ruils 
Manes; genievre doux. 

Camanisra, s. m. chambellan : oflicier de la 
chambre du roi. Merubre du corps municipal. 

T CANLRELENCADO, 3, m, camerlingat : dignile 
de ca . 

T CasıaıEnco ,s. m..camerlingue : cardinal 
qui preside la chambre apostolique. Cham- 
beilan: dans ia maisou des rois d’Aragon, c’6- 
it an oficier de la chambre du roi. 

TCauanokıRo, 5. m. sorle d’&puiselte pour 
Ftendre des creveities ; pecheur ou vendeur de 
creveiies ; lieu , trou oü on les atirapo. 

CGausnörz, 5. m. “loge de comedie; cabanc 
de vaissesu;; esjule. —e sobre o tombadilho, 
(1. de mer.) logements sur Ja dunetie, 

FORT. - FR. 


CAM u 


CANARTELLÄDA, 8. f. coup de Camartälle, 

CamantiıLo, s. m. marteau de tailleur de 
pierres, marteau l&tu, 

TCawicao, s. m. bonnet da pape; calotte & 
oreilles. 


T Camand,s. m. (1. de bot.) camara : plante 
du Bresil. 

Causa ou Ciına, 8. f. jante: piece de bois em 
arc de cercle place A l’extremits des raies 
d’une roue. Cambas, pl. ° chanleaux de man- 
teau. * L&s d’une jupe. 

Caupipa,s. f. enfilade de pelits poissons, 
d’oiseaux, etc. Petils poissons. (4. de iS. 
Tas de canaille. —s du freio, les branches da 
mors. 


"Causipe, imper. de Cambar, changez. V. 
Cambar. 


, CampapfLLa ‚2. f. V. Cambalkola, Cam- 
apd. 

Cauzind,A,p.p.de Cambär, ct adj. cui a 
les jambes de travers. 

CaunapdoR. V. Cambiador. 

TCaueisco, A, adj. qui appartient dä Cam- 
baye, dans l’Inde. Costa —a, cöte de Cam- 

aye. 

Cam2pil0, A, adj. cagneux : qui a les genoux 
ct les jambes tournes en dedans. 

CAMBÄL, s. m. "piece de bois autour d’une 
meule & moulin pour empecher que la farine 
toınbe dehors. 

CaugaLicHa, 8. f. (. fam.) *iroc ‚ &change. 
it. V. Engano, Tramdia. 

T CANBALACH£IRO, 5. m. brocanteur. 

CANBALEÄDO, A, 9. p. de 

CANBALEÄR, ©. ». Chanceler: n’etre pas ferme 
sur ses pieds; aller de cötle ei d’autre comme 
si P’on allait tomber. 

CAMBAL£IO, 8. m. chancellement: action de 
chanceler; l’etat d’une personne chancelante. 

CAMBALUÖTA, 3. /. culbute:: saut fait cul par- 
dessus t&te; chule. Dar uma tremenda —, faire 
une grande culbute. 

TCausiö, s. m. "pidce de bois qu’on ajoute 
au timon d’un chariot quand on veut atteler 
quatre baufs. 

CAMBAPE, 6. m. croc-en-jambe. (fig.)* Trome» 
perie, fourberie. Armar —, donner un cr00- 
eu-jambe ; supplanter. 

Causir. V. Cambiar, Cambelear. 

CAMBARCÄDO, A, P. 2. de 

" CANBARCAR, ©. a. meltre des barres dans 
une porte ; meltre les sceaux de la justice. 

CAuBaS, 

CAuBASES. } V. Cambe. 

Caus?ra, 8. f. * cbancellement, branlement 
de corps. V. Cambaleio. Fazer —s, chanceler. 

CAMBETEADO,A,P.p. de 

CAMBETEÄR, dv. n. chanceler d’avoir bu, V. 


* CAMBHEAR. V. Cambiar. 

* CAMBBEA, 8. f. V. Cambio. 

CAMBıAnO, p. p. de Cambidr. 

CAMBIADOR , 6, m. changeus, Iroqueus, if. V. 
Cambis ik 








240 


+ Cars 
dos brrej«. 
Ca: 
+cCa: 
pendicı' 
de sup; 
tCaı 
des Iı 
Bestin: 
Ga 
qui ı 
Man. 
un Pr 
Ber 
qu' 
pr: 
en 


C 


BO. 
mt 
2470 
vd 


De. (id.) 


“we Change: 

„un, DanQUue, 

.- ent change; 

s „eiargent, de 
says, de letat, 
yo ou des billels; 
went. Zellrade —, 
- por lstiras, change 
xx asnge. — 0cto, change 


3 bot.) cambium : sub- 
„saique du bois. 
_ w. cambiste : Changeur, ban- 


a. "gaulo pour battre les arbres; 
” Ausser les branches des arbres ei 
it. V. Cambdda. 


na. 5. f. bordigue: enceinte sur le ri- 


we prendre d 


nwıra, sm. (fl. du Bresil) espece de 


mon d’rau douce du Bresil. 


rcamsdı, s. m. (f. du Bresil) fruit du Bresil 


‚ mwesemble au raisin noir. 


PCausöck, 5. M. (1. de bot.) camboge : arbre 
‚Je finde ; fournit la gomme gutte; magoustan. 
Cawsorin, 3. m. 6toffo grossiere de laine de 


cbamean. V. Burel, 


Camsöra, s. [. courbe de bois. —s de poppa, 
(1. dewer.) courbes de vohte. Vollar —, (fam.) 


faire la oulbule. 
Casa. V. Cdidre. 


CAawaRA, CAusnüns, Camerokino, (1. de 


hot.) V. Kıpinheiro camdra 
Cauandı,s. f. (l.de 
France. 


gdog.) Cambrai, ville de 


Camanäta, s. f. tolle de Cambral. — transpa- 


rende , *" linon. 


Gaunnamra,s. fı dim. du pröckdent, toile 


de Camhrai moins fine; linon. 


+Cıunnotına nastanna, 8. f. (t. de Bot.) 


Itetetı planto solande, 


TAMunURR, 2.0. pl, V, Zapinkelro camdra, 
Gamntark-nn-Rnariı, V. Holoceniro, 
Canntnn, A, adj. ( Narig—) camard (ner). 
Cammındna,s. fi ( fam,) multitude de cho- 


ara ul ur iennent. 
Cıammıria, V, Onmbollm, 
Cmennın, V, Chamedrys. 


Cana, fı Isınello du ohamean, 


CAM 


.urıt, 9m. camelot : dtoffe de poll de 

. Je chamean, melee dd laine, de sole. 

. „sad, 3. m. canıdleon : reptile; lezard 
‚ce de couleur et prend, dit-on, celle 

= „sjets environnants. (fig.) Homme ohsn- 

„staugre de la fortune. — brance, (1. de 

ai.) V. Chameledo branco. 

CINELEIRO, s. m. chamelier : conducteur de 
chameaur. 

CAuELite, 8. m. dim. do Camflo, petit canon. 

CauELisa, s. [. (t. de bot.) cameline : plante 
crucifere. 

CauELino,A, adj. de chamean , qui ressem- 
bie au chameau. 

Camera, 3. fı (1. de bot.) * camelia :ı flieer 
(rose du Japon). 

Cau£ıo,s.m.($.d’hist. nal.) chamean : qua- 
drupede. Ancienne piece d’artillerie. ( Ag- ) 
Honme stupide, tr&s-bdte. — pardal. V. Gi- 
rdfa. 

Cau£Lo-ranpar. V. Girdfe. 

Cauenas, s. f. pl. les muses. 

Cixera.V. Cdmara. 

CANERÄNIAMENTE, adv. en consell prive. 

Cauerinıo. V. Camardrio. 

TCANERiNAS, 8. f. pl. camerines : numısna- 
les, pierres lenticulaires ; fossiles lentioalalres. 

CAMERLENGO. V. Camarlengo. 

Cauiıua ,s. f. dim. de Cama, ’lit de repos. 

Cauinua, s. f. dim. de Cama, petit lit ; pau- 
vre lit. 

Caxınnida, s. f. longue course ou marche; 
trotte. 

CAuMıxnÄDo, A, Pp.p. de Caminkar- 

CAMINHADÖR , 8. m. pieton : homme gui va & 
picd. Bon pieton, grand marcheur, velocip&de. 

CANINHANTE, 8. m. voyageur ä pied; passant. 
Detöm-te, —! passant, arrete! 

CAasiıxnär (a, para, por), v. ». cheminer, 
marcher, voyager. (fig.) Avancer, aller en 
avant, en parlant des plandies,'des rivieres, 
etc. Il est quelquefois actif. Ex. : — muita 
terra, muilas löguas, faire beaucoup de che- 
min, besucoup de lieues. Parcourir. O vento 
caminha com o sol, le soleil chassıe avec le vent. 

CAauınatino, 8. m. courrier & pied, commis- 
sionnaire ; bon marcheur. V. Caminkador. 

Cauinuo,, #. m. chemin, voie, reule. —, 
voyage. Voyage de porteur d’eau, de eroche- 
teur, etc. (fig.)—, conduil, voie, moyen qui 
mens & un but. — pädlko, grand chemin. — 
calcado, ehemin pav6. — fundo, "caves. — de 
carro ou de carreias, grand chemia A voitures. 
— lorluoso, chemin anfractueux. —toberte, (4. 
de fort.) chemin couvert : ouvrage de fortilica- 
tion. Tureer — , so detourner. Perder-se no—, 
s’ögarer. De —, en passant, chemin feisant. 
Ir — direito, aller chemin droit. Faser d’um 
— dous mandados, ( am.) faire d’une pierre 
deux o0ups,, profiter d’une ooeasion peur faire 
deux choses & la fois. ir fürs de —, (fig.) 
se fourvoyer, #’*garcr. Ir cada qual por sen — , 
(flg.) n’etre ‚Point d’aecord, diffeser d’epinien. 
ir su —, aller son chemin, aa propre ei au 


CAM 


igurt. Nie levar —, ir fürama .:-,ıhg.) n'a- 
voir pas de fondement, ni de zaluon, Em loda 
a porle ha um pedago de mdo —, (fig. fam.) en 
isst pays, il y a une lieue de mauyais chemin. 
Näo sei qua — leodrdo asses papkis, jo ne sais 
pas ce que sont devenus ces pepiers. Ter o 
— 6 algusm, couper lo chemin A qüelqu’un. 
Ander muilo — , faire beaucoup de chemin. 
Sigs 03 vd andanda seu —, passez votre Glıe- 
Zain. 

Cauis, s.m. pl. raco des rois du Japon qui 
ont meriis une apolheose. 

Caxisa, 8. f. chemise : v@tement de toile 
qu’on porte sur la peau. ({. de fort.) Chemise: 
la murailie de naconnerie dont un ouvrage est 
zeveia.(Äg.) "Crepi d’une muraille.—de cobru, 
depouille : peau de la couleuvre et du serpent. 
— do mılko, membraue : peau, enveloppe du 
fruit de mais. — alcatroada, breada ou de fogo, 
teile goudronnee,dont on fait usage & la guerre 
pour incendier difitrentes choses. Dar ou 4o- 
mar ung mulher em — ‚(lg. fam.) donner ou 
preodre une [eınme sans dot. Deixar a alguem 
sen —, on näo Ihe deixar nem a —,(fig.) laisser 
quelgu’un sans chemise , le d&pouiller de tout. 
Jogar, empenbar, vender aldE a —,(fig.) jouer, 
enzager, vendre jusqu’& lachemise. Em fralda 
&—, (fam.) eu chemise. Meller-se em — de 
unse vargs, (fam.) se deballre, disputer de la 
chape a Pev&que ; sembarquer sans biscuit. 

Cauisipa. V. Encamisdda, 

Caussiö, s. m. aug. de Camisa, chemise 
longue. 

Guuisöra, s. f. camisole : esp&ce de tunique 
Iu’on mettait sur les v@lements ; blouse. 

Gsisötz, 3. m. "chemiselte: chemise fine, 
garnie d’un jabol, qu’on met sur une aulre 
plus grosse. it, anl. Chemise de mailles. 

TTuumwccs,s. m. pl. grandes jarres oü les 
Indiens d’Anıerique ensevelissaient leurs caci- 
goes. 

Cunofz , Cımo£za, s. et adj. calville: esp&ce 
de pomıne. 


s. f. (t. de bot.) matricaire 
CABonSLE, N eamonılte; camomille vul- 
CawosiLLa, gaire. 


Causrcos ‚s.m. pl. JI n’est usit& que dans 
eetie phrase : Pör em —, enlasser. 

Ciwri,s. f. pierre du sepulcre ou tombeau. 
Tombe. it. Petite cloche de communaut£. A to- 
que de —, ou a — langida, au son Je la cloche. 
Der de — , sonner l’alarme. 

Caurino,ı,p.p. de Campdr. 

Cısraiuta, 8. f. clochette, sonnette. — da 
kingua, luette : morceau de chair & V’entree du 
gosier. if. Campanule ou gantelde (fleur). —, pl. 
shapeaa chinois : instrument de musique au- 
@sel pendent des grelots, des sonneites, 

+ Cawraimmas amarkıras, s. f. pl. (tl. de 
bot.) trompette de Meduse. 

Erurıtuhäö ou sermonneur de con- 

Cauraisutro,s. m. [rerie. 

Gmrir ‚adj. 2 gen, champtire, Bafalha —, 
batsille rangee. 


OAM 


Campaukaro, V. Aosmpamenie. 

Campina. V. Inula campana. 

Caypaxänın, 0.0, clocher : balimanı oü sont 
las cloches. 

Camränus, 8. f. campagne: plaine, pays plat 
es decouvert. (1. mil.) —, le temps que les 
ITOUPES sani en Campagne. 

CANPANHISTA, adj. el a. soldat veteran habil» 
tu6 & faire a guarre, 

CAMPANIFORME. V. Campanulado, 

„CAMFANIL, s. m. melal bon & faire des clo- 
ches. 

FCauraninua, 8. fı (4. de bot.) digitale, 
plante. Campanelle ; liseron, liset, cognelourde, 
hulbocode. / 

F CAnuRANSDP, A, adj. gonfid, en parlant des 
babits d’une femme. ( Ag.) Ende, beursoufle, 
en parlanı du style, 

TCaurinouLs, s. f. (t.de bos.) campanules 
genre de plantes dicgtyladanes. 

T CAMPanULäckas, 8. f. Pl. (f. de bot.) call 
punulacees : famille de plantes dicatylödones. 

TCAuPANıLÄnO, A, adj. if, de bof.) campa- 
nuld: en cloche (corollo, calice). 

CANPANULATA (flor). V, Campanulddo. 

Caurän,0,0,V. Acampdr, —, vo, n. briller, 
se targuer. (ig.) Eire haureux, avoir une bonne 

toile, 

CAMPARESCO, A. V. Compesire, Compesiug, 

GANPEÄDO, A, 9. p. de Campedr. 

CAMPEADOR, 5. m. celui qui se signale par 
des exploits. V. Canıpeäo, Surnom donnd par 
excellence & l’Espagnol Cid Ruy Diaz de Vivar, 
Cavallo —, cheval piaffeur. 

Caupeiö, 3. m. chaımpion ; celui qui com- 
battait en champ clos pour lui ou pour autrui, 
Heros fameux. 

CawpEin,v. ». battre, courir la campagne 
avec des troupes, (!. mil.) Camper, etre en 
campagne. Sortlir de la garennec et se promener 
dans les champs, en parlant des betes sau- 
vages. Surpasser, exceller. Pioffer, en parlans 
d’un cheyal. Dominer sur, en parlant des lieux 
eleves d’oü l’on d&couvre une grande elendue 
de pays. 

CAMPECHE (pdo), ou | (#. de bot.) camp£che:; 

CAMPECHEIRO, 5. 1m. \ arbre epineux d’Ame- 
rique, & fleurs legumineuses; bois dur pour la 
teinture noire et rouge, la menuiserie, 

* Caur£ıno. V. Campainheiro. 

CAMPESINBO, V. Campestre, et 

CAMPBSINO, A, adj. champetre: qui appar- 
tient aux champs; campagnard. 

* CAaNrESTnÄn. V. Campedr. 

CANMTESTRE,adf.2 gen. champ£tre, rustique. 
Bato —, campagno!. 

Camrpezino. V. Campesino. 

Cäupnora,s. f. (1. de bot.) campbre: prin- 
cipe immediat des vegetaux que I’on trouve 
dans le laurus camphora. 

+ Cimenoräipa, 8. f. (l. de bol.) camphree: 
plante atriplicto. 

Canruorino, A. V, Alcamphorado. 

+ CaurHoniTto, s. m. (t, de chim.) campho- 


243 


2. CAM 


rate : sel formö par Tunion de !’acide campho- 
rigue avee diflerentes bases. 

+ Guurmontıno, s. m. V. Altanforeire. 

+ Canrmönıco, A, adj. (deido —, 6. de chim.) 
campherique (acide), de camphre: acide ni- 
trique distils sur le camphre. 

+ Caurmü ,s. m. camphou : sorte de ih& de la 


Cau Pina, 5. f. campagne; plaine. 

Caurinno, s. m. dim. de Campo. 

CAuPino,, 5. m. pätre:: gardien d’un ireapeau 
qui resie toujours dans les caamps. V. Campo- 
ner. it. adj. V. Compesino. 

Caurin, v.0. ı I. de peint.) degrader , dimi- 
nuer insensiblement la Jumiere ou la couleur 
d’un tableau ; faire les enloncements ou les 
leintains dans les tableaux. 

Ciuro, s. m. champ: eiendus de terre Ia- 
bourable; plaine. (Ag.) —, occasion, sujet, 
matiere, carriere pour Pimsgination. (id. —, 
“endue qu’embrasse un corps quelcongue. 
*Moisson:: fruit de la terre. "Campagne, plaine, 
grande etendue de pays platetdecourvert. * Cam- 
pagne : les champs, par opposilion & la ville. 
Champ : fond d’une etofle brodee ou brochee. 
(1. de Das.) Champ: fond de !'cea. (1. weil.) 
Camp : l’armeo campte; —, lice od entraient 
les champions pour vider leur differend par les 
armes. ((. de peint.) Champ: fond sur lequel 
en peint, on grave, on represente quelque 
chese. — ineulio, champ en friche. — de 
tele, champ de bataille. Döno, senkor do —, 
zualtre du champ. O — Acow por elle, le champ 
ini est demeure. — cerredo, champ clos. 
— plano, " plaine. Em — res, a decouvert, en 
raso campagne. (Casa de —, maison de camps- 
guv. Aouem — aberio, en plein champ. En- 
frar eu — ( cum‘, rivaliser,, entrer en compe- 
tonce. Der — francv eos soldades , ahandonner 
lo butin aux soldats, Deiser o — aberto ou 
Ikore , \ Ay.\ Naisser fo champ libre, se desister 
de ses pretenlions. Mumem do —, laboureur, 
campapnard. Katrer eu —, se baltre en duel. 
Eur 00 — , rester sur le carreau , @ire lud sur 
la place. Sure —, se rendre au lieu maryue 
par un cartel; entrer en lice, siengager dans 
une coniestation, Brscudrir — ‚täler, recon- 
Raltre lo terram. Faser —, faire place; se 
battre ou duel. Murcer o—, (1. ml.) marqu 
We vanıp. Ira de — jour de conge pour les eco- 
Ina, ot jour de racrwalion & la campagne pour 
fun autıva vlannes de yens. —s salgados, 1. de 

..'plaine nalen. —s cerüleos,, \ id ) la plaine 
ru. . a uctuanles, id.) la mer agitee. 

AuMronss, A, 3. 0 adj). paysan, campa- 
unarıd , komme qui habite toujours la campa- 
Yu, champelre. 

inrontd, so. u. (4 fa.) fustique, Campa- 
una, , 

Ursrasino. V, Cumpmsinde. 

!tunraon. V. Bunyudıro, 

Gruraomlanrana, 3 /. "chamois: espdce 
in alorıo sausaue. Poau Je oBaındis preparde. 

"Kanes. V, Gapda, 


CAN 


Causzino ou Cauuncino, A, adj. de Cou- 
ivur de chameis. 

Can. V. Cass. 

Cina, s. f. eanne : reseau & nauds; bäton 
de roseau pour s’appuyer en marchant. — da 
Indie. T. ira. — dassicar, canne ä& 
sucre , espece de roseau dont la moelle fournit 
le sucre. — do mdio, canne de riviere. — de 

.V. Tebüe. — de frigo , tuyau de bie. — 
da perna. V. Tibia. — do leme, barre du gou=- 
vernsil. — de pastor, iitte rustique. Ter ums 
eoz de — rachada, parier comme un potcass®. 

+ Canasünce, s. m. (I. de bot.) canneberge . 
coussinet des marais. ’ 

+ Canasir, s. m. canabile : terre medicinale. 

Canasräz, s. f. (t. de bot.) berce; branche- 
ursine bätarde,, ou fausse. 

CANAaCAPFOLE,, 5. m, espöce d’administrateur 
spiritael et temporel dans Peglise du Mala- 
bar 


Canipa, s. f. mesure portugaise de liquides, 
eontient un peu plus d’un litre : 12 font un 
aimude. V. ce mot. it. Rue etroite. V. Car- 
reiro. 
+Canap£La, 3. f. ancienne mesure portu- 
gaise de grains, eontenail & peu pres trois 
quarts d’Alqueire. V. ce mot. 

CanaristuLa, 8. f. (f. de bot.) casse de bow- 
tiques ou casse solutive, vmigo le caneficier, 
casse fistule. 

Casarascua, 8. f. (t. de bot.) ferule com- 
mune, plante ombellifere. 

Canal, 5. m. canal: conduite d’eau pour fa- 
eiliter la navigation dans l’interieur des lerres. 
—, lieu o& la mer se resserre entre deux ri- 
vages. Chenal : courant d’eau borde de lerres 
par oü un vaisseau peut passer. Cheneau : con- 
duit qui porte les eaux du toit dans la gout- 
tiere. \l.d’anat.) Vaisseau du corps de l’animal. 
(Ag.\ Moyen, voie; mediation. — de columma, 
*cannelure: creux, petit canal le long du füät 
des colonnes, des pilastres. Canaes, pl. V. 
Estries. Canses de chumbo nor envernaes, (1. 
de mar.) dalots & tuyaux de plomb. 

*CanaLtca. V. Camb6s , Cantiro. 

CaxaLna, 5. f. canaille,, populace. 

+ Canauicria, 3. f. (8. de bo$.) canalicule: 
petite rognure sur les feuilles. 

+ CaxaLıcvLino, A, adj. (l. de bot.) canali- 
cul6 : creuse en goutliere. 

+ Canauıssackö, s. f. canalisation : aclion de 
faire des canaux; &lablissement d’un canal; 
systeme de communicalion dans un pays par 
le moyen des canaux. 

CanaLısiD0, A,p.p. de 

FCanalısär, v0. a. canaliser : ouvrir des ca- 
naux dans un pays, le couper par un grand 
nombre de canaux deslines aux transports;s 
transformer en canal (une riviere). 

} CasaLISAYEL, adj. 2 gem. canalisable : qui 
peut ötre canalise (pays, riridre). 

Canautıao, 5. m. lieu plante de chanvre, 

Cinaso, s. m. chanvre : plante urticse. 

tT Cananko,Ra, adj. chananden ; do Chanaan, 


CAN 


TCaninco, 8. m. Cauang : arbre aromalique 


Cisie ei d’Ame£rigue. 


Cunsp£ , s. m. canape : long siege A dossier, 
tCanari, adj. 2 gen. du royaume de Bis- 


nagar (dans P’Inde). 
Gnirsa, 6. f. canari femelle : serine des 


Cananim , s. ms. paysan des environs de Goa. 

Canizıo, 5. m. canari, serin des Canaries. 
Natif des lies Canaries, *Canarie : sorte de 
danse ancienne. 


Cinıs, s. f. pl. ancien jeu, que l’on jouait 


avec des cannes. 

Canästes, s. f. bannette : sorte de panier. 
Manne : panier d’osier pour mettre le linge, 
la vaisselle, etc. — encoirada, panier couvert 
d’ane peau. 

t Canustriö,s. m. aug. de Canasira,* banse : 
grande maane carree pour le transport des 
marchandises, 

Canasrabıro, 5. m. qui fait des bannettes, 
des mannes ; vannier. 

Cusastafı. V. Canisirei. 

Guxsstainna, s. f. dim. de Camdsira, * ban- 
Beau , pelite banne. 

Unuve,s.m. etadj. linho—.V. Cdnamo. 

CasavzäL,s. m. "cannaie: lieu plants de 
eannes et de roseaux. 

Cavavkz,s.m.V. Cdnamo et Canameiro. 

TCanaxi, 3. f. grand arbre de l’Inde & 
freits en amande ; son fruit. 

"Cannı. V. Tröca. 

Gunsis, s. m. sorte de piquet de grosse toile 
peur mettre sur la poitrine, ei Tesister aux 
teups des armes blanches. 

"Caysnan. V. Trocar. 

Cascas0nnina ‚8. f. &quipee, sottise. V. Ca- 
esborrada 


Cascani,s. m. (1. d’Asie). V. Braceldte, 

Cascaco. 

Cuncano. V. Cansa..., etc. 

Caxciö, s. f. chanson: piece de vers qu’on 
ebante; piece de po&sie composee de stan- 
es egales qui se nomment couplets. 

Caxcır, etc. V. Cansar, ec. 

Canckiza, s. f. V. Cansago. (fig.) Occupation 
faligante; (fam.) faliguo quo cause un im- 
portan. 

Caxckııa, s. f. berse, porte grillee. 

GxzıLino,&,p.p. de Cancelldr. 

CaxcgıLapönas, 8. f. pl. "traits, barres pour 
canceller. 

CaxczLLaEnTo, s. m. "cancellation: radia- 
ion , Yation de rayer, canceller ;son effet. 

Casczılir, v. a. (l. de prat.) canceller, 
Tayer, annuler un acte cn le biffant. 

xıo, 8. m. chancelier d’universite, 

Cascsıuinna ,s. f. dim. de Cancdlla. 

CaxctıLo,s.m. V. Cancella. 

Cixcer,s.m. (I. d’asir.) eancer; dcrevisse , 
en des signes du zodiague. di. V. Canero et 
Coreinoma. 

(aycErin0o,A,p.p. de 

Caxcenin,o.n. ei— se, v.r. (t. de med.) 


CAN 2345 


Eiro altaqus d’un cancer dens quelque partie 
du corps. Devenir chancreux, en parlant d’un 
ulcere, d’une blessure, etc. . 

CANCERÖSO, A, adj. canc6renx, chancreux : 
qui tient de la maliguits du chancre. 

tCancai, s. m. arbre du Japon dont l’&coroe 
seri de papier pour ecrire. 

Canaon£ıro, s. m. chansonnier ; recueil de 
chansons, et d’autres compositions poetiques. 

Cancıonista, s. m. chansonnier : faiseur de 
chansons. 

Cangonfra, s. f. dim. de Cancäo. Chanson- 
nette. 


T CANCRESCENTE, adj. 2 gen. (1. de med.) quk 
tend & devenir chancreux. 

Cincro, 8. m. (f. de med.) cancer : ulcdre 
malin qui ronge les chairs. (1. de bot.) —,ma- 
ladie des arbres qui les ronge. (fig.) Mal cach6 
qui ronge, quidetruit Petat,la republique, eic. 

T CANCROMA, 5. m. (1. d’hist. mat.) savacou ; 
oiseau &chassier, latirostre. j 

CANCRÖSO, A, adj. cancereux :de la nature 
du cancer, qui y a rapport. 

Canpär , adj. 2 gen. Pedra— sorie de pioere 
ferrugineuse. 

Cine, adj. m. candi.Onle dit du sucre. 

Canp£a ou Canp£ıa, 8. f. lampe de fer blanc 
avec un crochet pour suspendre au mur, etc.; 
sa lumiere. — de garavdio. V. ce mot. — de 
castanh£iro, fleur de chätaignier. Apagar-se 
a—, (fig. fam.) ire pres de la mort, sur le 
point de. s’6teindre. Estar com a — na mdo, 
(d.) on le dit d’un malade quitire Asa fin. 
Obra feila d—, oavrage qui a coüts beaucoup 
de veilles. Estar de —ı ds auessas com alguem, 
(fam.) etre brouill6 aveo gaelqu’un. Herva das 
—s. V. Candelläria. Cand£as (as), pl. chande- 
leur: fete de la presentation de J. C. au temple, 
et de la purification dela sainte Vierge. 

Canpeipa, s. f. ’huile que peut contenir 
une cand£a. 

Canprania, s. f. les bougies, etc., qui eolai- 
rent une piece. 

CANDEBIRO OS CANDIEIRO, #.m. "lampe ; quin- 
guet. Chandelier: qui fait, ou qui vend des 
chandelles. —s, pl. (t. de fort.) chandelier : 
machine pour se mettre ä l’abri de la mous- 
queterie. 

Canpeinua, s. f. dim. de Candea. Petite 
lampe. —s, pl. lumieres phosphoriques. Fa- 
zerem 08 olhos—, ou irazer — nos olhos, voir 
des Iumieres multiplieesä cause de maladie ou 
d’avoir bu. Fazem-Ihe os olhos—, (fam.) il voit 
mille chandelles, ou des etoiles en plein midi. 
On le dit d’un homme qui est entre deux vins 3 
ou qui est pris d’un eblouissement. Müitas — 
fazem um cirio paschal, (fig. fam.) les petils 
ruisseaux font les grandes rivieres. 

CanD£ı0, s. m. pharillon : petit phare; feu 


pour atlirer le poisson , les perdrix, 


t Ganoeıa. V. Guapariba. 


CANDELABRO , 5. m, candelabre : grand chen- 
delier A branches. 


246 CAN 


CanpneLint. V. Candeas (as). it. (1. de bot.) 
V. Verbasoo branco. 

+ Canpeuiza, s. f. (1.de mar.) "palan simple. 

+Canpencıa, a. f. (f. de pAys.) incandes- 
cence : &tat d’un corps Echauffö et pendtr& du 
feu jusqu’& devenir blanc. 

CANDENTE ‚,adj.2 gem. incandescent:allumd : 
qui est en incandescence. Ferro—, fer ardent. 

Canp8o. V. Candkio. 

*Canokv. V. Condeta. 

Canoı. V. Cande. 

CawpıiL ou Canofr, adf.2 gen. Trigo—, on 
Mn dit du froment, du pain de premiere qua- 

ite. 

CÄNDIDANENTE , adv. candidement: avct can- 
deur. 

Campdıniro, 8. m. eandidat : celui qui, chez 
les Romains, aspirait A une charge. —, celul 
qui aspire ä un grade, A une dignite, au doc- 
torat. 

Canpıpez ow Canpintza , s. f. blancheur. 
(fig. et plus wsild) Candeur, ınnocence, in- 
genuite;; inexperience , simplicite. 

CARDIDISSINO, A ,adj. sup. de 

Cinpıpo, A, adj. blanc. V. Branco. (flg.) 
Candide , naff, ingenu ; simple, innocent. 

Canoıeınäna, 8. f. V’huile que peut contenir 
une lampe, un quinquet ; quantit€ d’huile que 
par hasard on r&pand ou on laisse fuir d’une 
lampe. 

CAnpıtıno. V. Candediro. 

CanpiL, s. m. (1. d’Aste) candil : mesure au 
Bengale, 14 boisseaux. #1. Monneie d’Ürmur, 
10 centiincs ä peu prös. dt. Petit baril de soldat. 

CanpiL, adj. 2 gen. V. Candidi, It. Cande. . 

Canpis,s.m. V. Candil. 

Cinro, s. m. porlion du sabot d’un cheval, 
la couronne. 

CanpoönoA, 8. f. (t. durl.) feinte, finesse, 
Magornerie. Plaisanterio, badinage. 

CANDONGUEIRO, A, adj. (t. burl.) doux, dou- 
cereux, enjöleur, seduisart, flatteur, aslu- 
cicux. Plaisant, taquin, farceur. 

Canpör,s.m. | extröme blancheur. (fg.) 

Canpöra, 8. f. I Candeur, naiveis, since- 
Tits. Com —, naivement. 

Can£ca, s. f. canelte : pot pour les liquides. 

+ Cantco, s. m. broc : vase de bois & anse, 
garni de cercles de meötal pour le vin. 

Can£ca. V. Caneja. 

Cartıro, s. m. chemin, canal par oü le 
poisson entre dans le treillis qui est dans une 
riviöre. €1.* Palissade pour emp£cher le passage 
d’une riviere; diguce. (f. de fort.) Corridor 
entre deux parapets ; chemin couvert, * Trainde 
de poudre & canon pour faire sauter une mıine. 
Chemin tres-etroit. — d’ ‚none: tuile en 
canal! pour @goutter l’eau; pierree : conduit en 
terre, ä pierre seche, pour l’&coulement des 
eaurx. 

Cantya , s. f. esp&ce de squale tachete. 

CantJo, A, adj. qui ressemble au chien. it. 
Qui a les jambes mal faites, Jdefeetueuses. 

GaußLıA, a. f. cannelle ; soconde dcoroe du 


CAN 


cannelier. — silvestre, " escarisson. Agua de—, 
eau de cannelle : boisson faite par l’infusion 
de la cannelle. — de Ceildo ou vuigar, can- 
nelle. — do Malabar, laurier casse. — dranca 
ou de winter, wintera aromatique. Canella da 
perna, "tibia : os principal de la jambe. 
— do brago , * cubitus : os principal de l’avant- 
bras. — de flado, petite bobine qui porte la 
trame dans la navette du tisserand. 

CANELLÄDA, 8. f. coup str letibia. 

CAneLLino. V. Acanellado et Canalado. 

CanerLidö, 8. m. celeri sauvage. Bonbon de 
sucre et de cannelle. if. V. Canelldda. 

CansuLfıra, s. f. "cannelier, arbre aroma- 
tique des Indes, qui donne la cannelle. 

CAntLo, 3. m. morceau, ou partie d’ım fer 
ächeval. E feito de can£los, il se dit d’an 
homme tr&s-robuste. 

CaxeLörs, s.m. pl. cantelas : dragee falte 
avec de la cannelle. 

CAnENuO.V. Cdnamo. 

+ Canernonas, s. f. pl. canephores : jeuney 
fillesqui portaientdans des corbeillesles choses 
destinees aux sacrifices des anciens. 

+ CAXEPHÖöREAS,, 3. f. pl. can&phorles : fätes 
de Diane oü de Jeunes vierges demandaient & 
la deesse qu’elle les relevät du vu de virgi- 
nite. 

CANEQTiM, 8. m. canequin : tolle de colon 
blanche de PInde. 

+ Caxera, s. f.dim. de Cana. *Porlte-crayon. 

CÄNENE, V. Cdnamo. 

Caxrön. V. Alcanfor. 

Cixrora. V. Alcanför et Cdmphora. 

Cixca,s. f. * joug des baufs. 

Cancäco. V. Engago vu Bagdro. 

+ Cancacdgs,s.m.pl.(f. du Bresil) vilains 
vieux meubles d’un pauvre, d’un esclave. 

Carcino, A,P. p. de Cangar.adj. Autache 
au joug. (fg.) Dupe. 

CANGÄLHAS, 8. /. pl. fauchire, panıers de 
b&te de somnie. (fig. fam.) Besicles. 

CancALUEIRO, A, adj. qul apparlient aux 
Cangalhas. V. ce mot. Besta—a, bete qui 
portc des paniers. 

CaxcäiLno, 8. m. petite branche d’arlbire 
charg6e de fruits. (fig. fam.) * Patraque:: j :r- 
sonne, corps use , faible. —s, pl. V. Canzis. 

Cancän, v. @. accoupler des beufs, Ies 
mettre ensemble sous le meme joug. (Ag. es 
burt.) Tromper , duper. 

CancarıLuÄDa,s. f.(t.bas) V. Trapdra. 

Caxcica , 8. f. bounllie de farine de mais. 

Caxcıräö, 8. m. *cruche ou pot pour porter 
des liquides ou de l'cau. 

Cancokıra, 5. f. (f. du Dresil) Nte des sau- 
vages americains, faites du tibla des morts. 

Cancösta, s. f. chemin 6troit, petite rue. 

" CANGREIJO. V. Caranqueijo. 

*Cancno.V.Cancro. 

} Caxctod, s. m. (lt. du Bresil) espcce de 
panthere du Bresil. ° 

+ Cancurd, 8. m. CaNcoRtzES, pl. (1. Whigt, 
nat.) kanguroo : mammilere ınarsupial. 


CAN 


Casa, V. Canko. 

CAsHAuicO, 3. 90. "&toupe do chanyre. Cari- 
sel: toile d’emballage. 

CannausöLa. V. Calhamböla. 

CASHANEIRÄL, 8. m. lieu planie de chanvre. 

Cıxuaueraa, s. /. (1. de bol.) V. Allhea. 

- brera, mauve alcec. 

+ Canuawica, s. f. paille du chanrre. 

Cixuıuo. V. Cdnamo. 

Caxuiö, s. m. canon: piöce d’arlillerie. 
Plume naissante ıJes oiseaux. — da bola, revers 
je bottie. — do veslido, parement d’un habit. 
Canhöes do freic, canons d’une embouchure 

de mors. 

Cinsas (ds), dde. & gauche. (Ag.) d’une 
manitre contraire & l’usage. 

CAxu8suo, 5. m. agenda, tablelles ; livret de 
memoire. 

*Cınn£smo, A, | gauche : mal fait, mal 

CaXuo, A, adj. ) tournd; gaucher : qui se 
sert ordinairement de la main gauche. Mdo 
— a, la main gauche. 

Cuxaonigo, s.m. coup de canon. 

Cusmosäna, s. f. canonnade: döcharge de 
eanons ; suite de Coup$ de canon. . 

CAXHONEADO, A, Pp. pP. de 

CuruoxKir, v.a. canonner: batire & Coups 
de canon. 

Cannon£ma, s. f. canonnıdre : embrasure 
pour le canon, le fusil, Je mousquel. —, 
(Barca —) canonniere : embarcation garnie de 
canons. 

CuxnöTo,s. m. morceau de bois irr&gulier el 
plein de nauds. adj. Gaucher. V. Canho. 4 
tanköia , la main gauche. . 

+ Cusısär, 5. m. cannibale: nom generique 
ancien des peuples d’Amerique au moment de 
la döeouverte ; saurage qui mange do la chair 
bumaine; (Ag.) adj. homme feroce. 

Caxıcapa, e. f. claie de roseaux, trelllis, 
treillage „ terille. 

Canıcar, s. m. lieu plant6 de pelites canrıes. 

Camcäıua, #. f. grand nombre de chiens. 
(fig.) Populace; canaille. 

Casıcıa ow Canıug, s. [. chevcux blancs;Ca- 
Bitie. . 

+Casico, s. m. *canne, roscau trös-delle. 
— dos brejos, roscau plumeux ; lEche. 

Caxiccza,s. f. (1. d’astr.\ canicule : le grand- 
ehien , 1a constellation la plus brillante. Elle se 
re avec le soleil du 24 juillet au 23 aoüt; 
temps de son influence süpposee. 

Casıco.in, adj. 2 gen. caniculalre : de la 
eanicule. 

CamcsL.Anss, 3. pl. caniculaires. Il so dit des 
%aurs od le soleil est en conjonstiou avcc la ca- 
wieule. 

Canımniz, adj. 2 gen. (1. burl.) qui a les 
jembes sewmblables ä celles d’un chien. V. Ks- 
eanifrado. 

Cazir. V. Canzil. 

Caniıma, s. [. petite bobine qui porte la trame 
dans la navelte du tisserand,. 

Casisua, s. f. dim. de Cana. 


CAN 7 


Canino,Aa, adj. canin, de chien. Dente —, 
dent canine, dent @illdre. Fame —s, faim cA- 
nine. 

Canıp£. V. Canape. \ 

+Casırrtro, a, adj. (Cavallo —), cheval 
qui a les tibias noirs jusqu’aux cuisses. 

Canıstr£u, s.m. "corbeille, corbillon: esp&ce 
de panier ordinairement d’osier. 

CAXISTRELZINHO, 3. m. dim. de Canistrel. 

CAXIVETR, 3. m. canif : petite lame pour tall- 
ler les plumes. (1. dechir.) V. Bisturi. Espirre 
—s. (loc. fam.) 11 se dit d’un homme trös-fäch6 
et qui menace. 

Cansa, s. f. cr&me de riz; biberon pour la 
verser dans la bouche des malades. 

Cansino, A, p. p. de Canjar. 

CARJANTE ‚adj. 2 gen. moire. V. Cambiante. 

Cansir, v. a. (l. de mar.) avancer. 

Canna , etc. V. Cana, elo. 

CanNARO. V. Cdnamo. 

Cinuavean. V. Acanavear. 

CansıpaL. V. Canibdl. 

Cixo, s. m. tube: tuyau. Ruıssean: canal 
par ou l’eau coule. Mine: chemin souterrain. 
(ig.) Canal: la voie, le moyen, l’entremise 
dont on se sert pour quelque chose. — de lim» 
ptsa, "cloaque, &gout.— do telhado,*gouttidre. 
— da columna , füt d’une colonne. — de espin- 
garda, etc., canon de fusil. — d’orgdo. V. Ca- 


f- |nudo. —s das bolas, * liges des boties. — da 


penna, tuyau de la plume. 

Cino, a, adj. (1. de poes.) blanc: qui ost 
blanc. Chenu, couvert de neige, en parlaut des 
montagnes et du sommet des arbres. 

CanöA,s. f.”canot: bateau des Indiens : 05- 
quif, pirogue. 

Canöcvro , a. m. * lunette d’approche. 

CAxox, s. m. canon: decret, decision d’un 
concile touchant la fol et la #isciplinede ?’E- 
glise. Canon des &critures: catalogue des livres 
inspires. Liste, cataloguo des saints. Canon de 
la messe. Canones, pl. droit canon. 

Cixone. V. Canon. 

Caxoxıchh, adj. 2 gen. qui appariient aux 
chanoines. 

CAnonıckLM£NTE, ade. & la manleredes cha- 
noines;; en corps de chapitre. 

CANÖNICAMENTE, adv. canoniquement : selon 
les canons. 

CANONICÄTO, s. m. canonicat. V. Conezia, 

Canosıcıväug, 8. f. canonicite: qualit& de o@ 
qui est canonique. 

CAXÖNICO, A, adf. canonique » conformo aux 
canons. Direito —, droit canon. Liore —, livre 
canonique : compris dans le canon de ’dcriture 
sainte. /greja, casa —a, eglise, maison cauu- 
nicale , affect&e aux chanoines. 

CANONISTA , 3. m. canoniste : savant en droit 
canon. 

Canonxiza, 8. f. chanoinesse: religleuse de 
Saint-Augustin. 

Canoxızackö,s.f. canonisalion : acte qui de6- 
clare saint; c6remonie qui l’accompagtıc. 


28 CAN 


Canoxsin0,A,p. p. de Canonizdr. 

CANONIZADÖR , 8. m. el adj. qui canonise. 

CANONIZÄR, ©. a. canoniser : mettre,, inscrire 
au rang des sainis. (Ag-) Approuver une chose, 
yapplaudir; louer avec excds. Il est quelque- 
fois r&ciproque. 

CAnoNIZzÄVEL, adj. 2 gen. qui est digne de la 
®anonisation. 

Canorka,s. f.ow I (f. d’astr.) canopus: 

CANÖPO, 8. mM. etoile. 

Canö20,A,adj. melodieuzx. Ilse ditdu chant 
de certains oiseaux, et de ces oiseaux eux- 
mömes. 

CANOTILHO, 8. m. "cannetille: petite lame, il 
d’or, d’argent tortille sur un laiton. 

Canöura, 5. f. tr&mie d’un moulin. 

Cans ou CAs, s. f. pl. cheveux blancs. 

TCansicEnTo, A, adj. qui est malade de 
lassitude,, de faligue. 

Cansico, s. m. "lassitude, fatigue, abalte- 
ment, soit qu’il ait ou non pour cause l’action 
et le travail. 

T CAnsäpauenTe ‚adv. importungment, en- 
nuyeusement. 

CANSADINIO, A, adj. dim. de Cansddo. Un 
peu fatigue. 

CANSADISSIMO, A, adj. sup. de 

CANsÄnDO, A,p.p. deCansdr.adj.Froid,ralenti, 
en parlant d’une balle ou de toute autre chose 
lancee qui perd de sa vitesse. Use, emousse, 
en parlant des gravures et des caractdres d’im- 
primerie. Las, fatigue , &puise, rendu , harasse, 
(fig.) Lasse, ennuye&, importune, assomine ; 
fatigant, lassant, assommant, ennuyeux. Olkos 
—s, des yeux, des regards languissants. 

GANSAMENTO. V. Cansapo,, Canchira. 

CansiR, dv. a. lasser, fatiguer, barasser. En- 
nuyer, imporluner. Vener, chasser, courre une 
hete pour en attendrir la chair. /sso & o que me 
cansa, (ironiquement) c'est le moindre de mes 
soueis, le cadet de mes soucis. 

GansaR (de), v.n. cesser de faire (quelque 
chose, s’en lasser. Ndo cansa de obsequiar, il 
ne cesse d’obliger. 

CANnSAR-SE (de, com,em),v.r. se faliguer, 
se lasser, s’efforcer, &tre las. ( lg.) Se rebuter, 
se faliguer, se lasser, s’efforcer, s’ennuyer. 
— em vdo , perdre son latin. 

CANSATIYO, A, adj. fatigant, lassant, assom- 
manl, ennuyoux. 

Canseıra. V. Cancdira. 

TCANTAAR,, s. m. poids fare de 110 livres. 

+Cantäsnıa, 8. f. (t. de geog.) Cantabrie: 
nom que les Romains donnaient & une contree 
de !’Espagne. Biscaye. 

tTCaAnTänrıco, A, adj. Basque: de Biscaye. 
Cantabrique : de la Cantabrie. 

CANTÄBRIO, A. . 

CANTÄDRO, A. | adj. et s. Basque, 

Cantaoeıra. V. Cantöra. 

CAnTÄpO,A,p. P. de Canlar. adj. Mıssa—a, 
grand'messe. Quer que Ih’o diga — ou rezadop 
(fam.) m’avez-vous entendu? de quelle ma- 
niere faut-il que je vous le dise? 


CAN 


Cantanda. V. Caniör. 

CANTÄNTE ‚adj. 2 gen. qui ehante. p. a. de 
Cantar. 

tCantiö, 5. m. canton: etendue de pays; 
certaine partie d’un pays, d’une province. En 
France, reunion de communes qui aun juge 
de paix ; partie de Parrondissement, 

CanTär, v. a. chanter. (t. de pods.) —, louer, 
celebrer. Ramager, chanter, en parlant des 
‚oiseaux. (fg. fam.) Crier : faire un bruit aigre 
et percant, en parlant d’un essieu, d’une 
roue, eic.— a sallos, chevroter.— o grüllo, 
gresillonner. — a palinodia, chanter la pali- 
nodie. — de repenle ou sem ensaio, chanter & 
livre ouver. — a vicloria, chauter victoire. 
— missa, dıre la premiere messe, en parlant 
d’un nouveau pretre. Isio & outro —, (fam.) 
c’est une autre paire de manches. 

CANTÄR, 5. m. V. Canldres. 

CÄnTaRa. V. CAnlaro. 

Cantartına, s. f. endroit oü l!’on met les 
eruches remplies d’eau. 

CAnTARRI30, s. m. l’aclion de chanter. Fazer 
abalos por — de gallos, (fam. et fig.) faire 
beaucoup de bruit pour rien. 

CANTÄRES, 8. m. pl. cantiques, hymnes ; 
chansons. Livro dos —, cantique des cantiques 
de Salomon. 

CANTARiA, s. f. art de tailler les pierres. Ou- 
vrage en pierres de taille. Pedra de —, pierre 
de taille. 

Cantärıpa. V. Cantihdrida. 

+ Cantarııno,s.m. (i.d’hist. nat.) V. Es- 
corpena parda. 

CANTARINA, 8. f. cantatrice : chanteuse, 
femme qui chante par &tat. 

CANTARinnA, s. f. * cruchon : petite eruche. 

CANTARINDO, s. m. dim. de Cantaro. 

CÄNTARO, 8. m. "cruche, seau. (fig.) *Cru- 
chee: ce qu’une cruche peut contenir. Mesure 
du vin,de l’huile. V. Almude. Um — d’agua, 
une cruchee. Chover a—s, pleuroir ä seaux, 
äverse. Alma de —. V. Alma. 

+ Cantanöıa, 8. f. “chant, chanson quı n'est 
pas juste, 

+ CantaroL.in, 0.9. (2. burl.) chanter faux 
ei sarıs reläche ; fredonner. j 

CANTÄTA, 8. f. cantate: sorte de petit podme 
lyrique en recitatlifs, et chants en musique. 

Cantarriz. V. Canlarina. 

CANTAYEL,adyJ. 2 gen. chantant: qui se chanie 
aisement. 

CAxTäina,s. f. carriere: lien d’ou l’on tire 
la pierre. V. Pedreira. 

CAnT£ıRO, s. m. marbrier, tailleur de pierre , 
carrier. — de jardim, couche, planche de jar- 
din. — de adega, chantier, poutre, gros bois 
de charpente sur lequel on range les tonneaux. 
—s dos toneis da aguada, (1. de mar.) aquets 
des futailles , pailles d’arrimage. 

* CanrT’eu, phrase elliptique. Quant ä moi. 


Cantnärıpa,s. f. caniharide: insecte col&o- 
ptere Eepispaslique, 


cAO 


*Cismica, 6. f. * chant de poöme; chanson 
satirique. 

Cixtıco, 3. m. cantique: chant d’aclion de 

ä la gloire de Dieu. 

Gurtıpäne. V. Quantidade. 

Castıca , 8. f. chanson. 

Canrıccinua, s. f. dim. de Canlıiga. Chan- 
seanetie. 

CuntiL, s. m. (1. de menuis.) bouvol : sorte 
de rabot pour pousser les rainures ct los lan- 
gueltes. 

Casrıı&ni, s. f. chansonneltte. Pastorale. 
Repttlilion ennuyeuse. — das aves, " Tamage, 
gazouıllemeut des oiseaux. 

CustımrLoaa, 8. f. "vase de cuiyro pour Te- 
froidir Veau, eic. * Siphon: tuyau recourb6 & 
deux branches inegales, pour transvaser les 
ligauides sans les agiter. "Conduit pour les jeis 
d’ese. 

CustıxHo,s. m. dim. de Canto. Pelit coin, 
Fecoin. 

Cisto,s. m. angle, coin, encoignure; bloc, 
(ragment de pierre non taillee; bord, exire- 
mie. Estar ao — ou poslo ao —, @ire mis de 
obie, meprise, en parlant des choses et des 
personnes. Jogo dus — , jeu des quatre coins. 

Cisto, s. m. chant: elcvation et inflexion de 
veix sar differents tons, avec modulation. Ra- 
mage des oiseaux. —, division des po&mes 
tgiques. — de pädo, croülon. — chdö, plain- 
chanı, chanı gregorien. — das aves, Tamage, 
chant des oiscaux. 

Castodina, 8. f. " crampon ; equerre. 

Castoxäına, 3. f. sorte de bullet ou d’ar- 
meire dans l’encoignure d’une salle ä manger. 
ü.. pop.) Rarcrocheuse, coureuse, prosliluee. 

Cantöx ‚s. m. chanleur: celui qui fait metier 
de chanter. Chantre. ( ig.) V. Vale, Puela. 

Castöna ,s. [. canlatrice : chanlcuse. 

Carroria,, 3. f. musique, chant; Yaclion de 
chanler. 

CirTos-REDÖNDOS, $. m. pl. sorte do limes 
pour arrondir les fusils. 

+CanscnLia, s. f. (1. d’Asie) sorte d’inpst 
guen payait & Goa. 

Castpinuo,,s. m. dim. de 

Caneoo,s. m. tube, luyau. — d’ärgdo ,tuyau 
Wergue. — de soldar, chalumeau ä souder. 

Cixcra,s. f. canule : instrument de cbirur- 
gie , mıyau inser& dans une plaie qui suppurc, 
getit tuyau au bout d'une Seringue. 

*Canrso. V. Cdnamo. 

+Canzınriö,s.m. aug. de Cdo. Gros chien. 

Camzis, 3. m. pi. °chevilles du joug des heufs. 

+ Caszoipa, s. f. (fam.) grande quan'ite de 
chiens. ( ig.) Canallle. 

Ciö,s. m. chien : quadrupede dom "stique 
qui aboie; de beaucoup d’especus. — r!agua, 
eaniche , barbet.— de Kila , boule-dogue. — per- 
digueiro, chien d’arret. — de busca, chien de 
Baut nez ou de guette. — de gado, mälin. — de 
qwinia, chien de basse-cour, Je smelairie. 
.— fraldeiro ou de manga, chien de manchon. 
et de (raser d mdo ou quilsdor, chien qui rap- 


CAP 29 


porte. ( Ag.) Chien : nom qu’on donne par me- 
pris; tetu, opiniätre. — ou cdes de pedra, 
morceau de pierre saillent pour soutenir des 
balcons, etc. Corbeau pour supporter les pou- 
tres d’un bätiment. — da espingarda,, chien du 
fusil. Cdes de chamind, chenets : ustensile de 
cheminse, en fer, etc., qui porte le bois. 
— maior, — menor , grand-chien,, petit-chien : 
constellations de Il’bemisphere meridional. 
— marino, chien de mer. — ladrador nunce 
bom mordedor, ou — que ladra ndo morde, 
chien qui aboie ne mord pas. Desperlar 0 — 
que dorme, (prov.) &veiller ie obat qui dort. 
Ser conhecido como 0 — ruivo, Eir6 0ONDU 
comme le loup gris. 

Caok. V. Cafe. 

Cios. V. Chdos. 

CiozinHo, s. m. dim. de Cäo. Pelit chien. 

CAra, 8. f. cape, manlieau : völsment sans 
manches, fort ample et long, qui se porte par- 
dessus los autres. Manteau de religieux. ° En- 
duit, couche de chaux, de plätre, eto. ( lg.) 
Ombre, manteau, faux semblant. (id.) "Pre- 
texte, apparence, tromperie, deguiserment, etc. 
* Couvert,, enveloppe , courerture. (l. de mar.) 
Cape : voile du grand mät. — d’asperges ou 
plwial, chape. — aguadeira, manteau pour la 
pluie. — magns, chape d’eveque. — do leme, 
(l. de mar.) braye du gouvernail. —s das velas, 
ötuis des voiles. Por baizo ou de baizode —, 


'sourdement, secretement. Bstar, por-sed—, 


(t.de mar.) se tenir Alacape; \ Ag.) attendre 
une occasion favorable. Homem de — ‚ 
campagnard, paysan, laboureur. Homem de 
bos — ‚ personue qui a une bonne mine. Hon- 
nete homme. Com — de ‚sous le 
voile de la devotion. Miwistro de — e espada, 
conseiller non gradue qui sitge l’&pee au cöl£. 
Minisiro, juiz de— e volla, jugederobe courte. 
Ser — de ladröes, ( ig. fam.) protöger , favori- 
ser des coquins; cacher leurs friponneries. 
Homem de — em collo, vagabond. Puxar, tirar 
a alguem pela —, (fig.) inviter quelqu’un en 
secret, ordineirement ä de mauvaises choses: 
söduire. Debaizo d’uma ruim — se acha mwi- 
las vezes um bom jogador, (prov.) un man- 
teau dechir6 couvre souvent un bon vivant. 

CAPACKTE, 8. m. morion, cabasset, sorte de 
casyue. 

CAPÄCHA, 8. f. V. Capacho. Ordre de la Cha- 
rite ou de Si..Jean-de-Dieu. 

CAaricno, 3. m. paillasson pour meltre les 
pieds. Sorte de cabas pour transporter du fruit. 
Religieux de la charite. 

CaPAcıDäDE, 8. f. capacitö, contenance, lar- 
geur et prolondeur, ötendue d’une chose qui 
conlient, qui peut contenir. (Ag.) —, intelli- 
gence; babilele ; &tendue, portee de Pesprit, 
des talenis, des faculies; suflisance. — pars 
ser eleilo , eligibilite. 

CAPACISSIMO , 4 , adj. sup. de Capds. 

CAaPACITADO, A, P- p. de 

Caracıtaa,v.a. persuader, convaincre ; den- 
ner dela oapacils; rendre capable. . 


30 CAP 


CAPACITAR-SE, V. r. 88 convaldere, se p&t“- 
suader. 

Carıptına, 3. f. sorte de couteau pour ch4- 
trer. 

Caravkıao, V. Capader. 

CAPADINBO,, 5. m. dim. de Capddo. Castrat. 

Gapino, A, ?. p. de Capar. adj. Chätre; 
animal chätre, s. m.—da capella real ‚castrat: 
chanteur chätr6 des Yenfauce, pour qu’il alt 
une vois ä peu pres semblable & celle d’un en- 
fant, d’une femme. 

+Caranöcıa, s. f. (1. de gdog.) Cappadooe : 
province d’Asie. 

+ Garıpöcıo, A, adj. de Cappadoce. 

CAraDöR, 5. m. chätreur : quichätre les anı- 
maux. 

Carapüna, 8. f. castration : ampulalion des 
testioules. 

Cariö, s. mw. chapon : coq ohätr6; cherval 
coupe. 

*CarardiLe, s. f. sorte d’ancien manicau 
double de fourrures. 

Carir,v. a. chätrer, bistourner, emasculer. 
(l. d’agr.) Pincer certaines plantes, comme les 
melons. (fig. fam.) Ecorner : diminuer les pri- 
vileges , l’autorile ,cto.— um gallo, chaponner. 

CAPARAGAÖ, 3. m. Cäparacon : sorie de tou- 
terture qu’on met sur les chevaux. 

CAraRAö, 8. m. chaperon : camail de reli- 
gieux; coifle de cuir dont on enveloppe la löle 
des oiseaux de proie. 

Caparaziö. V. Caparardo. 

CaparofıRro, A, adj. Falcdo —, faucon qui 
a un chaperon, qu’on commence ä apprivoiser. 

CÄrınnösa, 8. f. @aupe-rose : fer dissous 
par l’scide sulfuricgue. — verde, sulfate de fer. 
— azul , sullate de cuivfe. 

CAPATACO, 3. m. coup au sabot d’an cheral. 

Caratiö,s. m. muge ou chabot : espece de 
poisson de mer. 

Caratiz, se. m. chef d’un corps de medtier. 
Chef do meute. Condacteur ou garde de gale- 
riens. 

CAPATAZAR, (f. burl.) V. Governar. 

+Caratazia, s. f. charge, emploi, place de 
Capatdg.V.ceınol. 

Caräz (de, para), ad).2 gen. capabie : quia 
les qualiids requises. —, hahlio, suffisant, 
instruit, intelligent. Spacieux, ample, suffisant, 
ötendu en parlant des lieut. 

CAPÄzMERNTE, adv. capablement : avec Capa- 
eile. 

CAPCIÖSANENTE,, adv. captieusement : d’une 
maniere caplieusc. 

Carcröso, A, adj. captieux:qui tend A trom- 
per ; propre & surprendre, & induire en erreur 
par une belle apparence. 

* GarpaL. V. Cabedal. 

+Carzipauiete, adv. sourdemen!, sechd- 
tement, en cachette. 

CarEiDo,A,Pp. pP. de Capear. 

CAPpEavdon, s.m.filon qui vole des manteaux. 

GAPEiR, 9. 8. (li. de mar.) capter - mellrc 
nn vaisscau & lacapo, Voler des manioaux, 


CAP 


Dans les courseB, c’est esquiver lc laureau en 
le distrayant avec un petit manteau. (flg.) 
Tromper, decevoir. (id.) Cacher, pretexter, dis- 
simuler ses vues.— em arcore secea, (t. de 
mar.) capeer ä sec ou & mäts et ä cordes. 

+Carepa, s. m. (l. du Bresil) plante du 
Bresit employ&e contre !’hydropisic. 

CAPEıRÄÖ, 8. m. grand manlcau. 

° CAPEIRETE,, 5. m. pelit manleau. 

CArELHÄR, 8. Mm. velement ample que les 
Maures mettaient sur les autres dans les jeux 
publics. 

Cartıra, 8. f. chapello : petit edifice con- 
sacre & Dieu ou A un saint; partie d’€glise, lieu 
oü l’on dit la messe; corps des chantres, des 
musiciens d’une eglise, d’une chapelle. Bene- 
fice simple dans Icquel le titulaire est oblig& 
de faire dire un nombre determine de messes. 
— mör, sancluaire : endroit de V'&glise oü est 
le mattre-autel. — real, chapelle du roi. — de 
fiores, guirlande, couronne de fleurs. — do 
olho , paupiere. — de cheiros, (t. de cuis.) gat- 
niture de fines herbes. 

CAreLLinas, s. f. pl. courroies des claques 
de femmes; morceaux de cuir ou de velours 
pour couvrir les fontes des pistolets. 

CAPELLANIA, 8. f. chapellcnie : benefice d’an 
chapelain. 

CareıLiö, 8. m. chapelain : beneflcier titu- 
laire d’une chapelle: aumönier : pretre paye 
pour dire la messe dans une chapelle parlicu- 
liere. — mör , grand aumönier. 

* CAPELLEIO , 5. 1m. ancienne coiffure. 

CAPELLIGO, 8. m. *relingote, robe dechambre 
& capuchon. 

+ CareLLina, s. f. capelline: sorte de casque 
de fer. 

CArELLINBA, 3. f. dim. de Capella. Petite 
chapelle. 

CaregıLinto, s. m. dim. de Capello. 

+CareıLista,s. m. elf. marchand de nou- 
veaules et de modes ; mercier. 

CArßı.LO, 5. m. capuce, Capuchon; ancien 
casıue. Ancienne coiffure de veuve, ressem- 
blant & celle d’une religieuse. — de cardeal, 
chapeau de cardinal;; ( fig.) dignite de cardinal. 
— de doutor, bonnet de docteur,chaperon. 

CAPELLEDO, A , adj. encapuchonne, qui a un 
capuchon; huppe, en parlant de cerlains 
oiseaux. Gallinha —a, poule huppee. 

CAP’EMCÖLLO, 3. 12. celui qui n’a qu’un seul 
habit; vagabund. 

Curexoüa, s. f.(l.de bol.) " capendu: pomme 
Touge [ort douce. 

CAPEROTADA, 8. m. sorts de capilolade de 
volaille. 

+ Carısäna po Baazır, 8. m. (1. d’hist. nat.) 
eabiai : porc de riviere, demi-amphibie, res- 
semblo au cochon W'Inde, dans l’Armerique da 
Sud : maınmilere rongeur. 

CAPICROLA 0% CAPICHUELA, 8. f. sorte d’% 
teffe de soie, dont an falsait les“capuchons. 


FCarıcorräd,s. ın. (fam.) olsif, vagalond, 


CAP 


CGiere goal 8 recu les quatre ördres mineurs, et 
De veul pas receroir les majeurs. 

Curıı£, s. m. "boisson de sirop de capillaire, 

+Curiıuas, s. f. pl. (f. d’impr.) chapelle: 
les deux premitres feuilles d’un ouvrage qui 
sort dela presse, et qu’on donne aux composi- 
teurs, etc. 

Carıran, adj. (f. d’anat. et de bot.) capil- 
kaire:delie comme descheveux (racinc,feuille, 
veine, tayau). 

Carrrıinua ou CapıLLöa. V. Avenca ordi- 
waria. 

7} CarıLiarınine, s. f. (l. de phys.) capilla- 
site : nature des tubes capillaires; propriets 
dont ils jouissent de pomper les liquides. 

Carıtito. V. Cabellüdo. 

Cariu, s. m. (4. dw Bresil) sorte de foin d’A- 
zaerique. 

CarıxäÄno,A,9.P. de 

TCarızin, v.a.(t. du Brösil) couper, fau- 
eber le capim. V. ce mot. 

tCarınkıro, s. m. celul qui coupe et vend 
du capfm. V. ce mot. 

CarinnA, 3. f. dim. de Capa. it. (fig.) celui 
qui dans les courses esquive le laufeau en le 
distrayant avec un pelit manteau. 

CaPınötE, 8. m. chaperon dont on couvre les 
yeuz de l’oiseau de proie. V. Capello. 

*Carısiio, 8. m. cape : ancien manleau & 
eaputhon. 

"CariscöL, 3. m. Cchantre:dignilaire d’une 
eath£tdrale ; celui qui dirige le chant. 

* Carısteino. V. Crivo, Jocira. 

Carpıtacäö, s. f. capitalion : laxe par löle. 
V.Cobegdo, Derrama. 

Carıtir, s. m. capital: fonds, sommo d’ar- 
gent qu’on possede. —, principal d’une dette, 
d’une rente. —, fonds, valeur disponible. s. f. 
Capitale : ville principale d’un Etat, d’une pro- 
vince. 

CapıräL, adj. 2 gen. capital: qui appartient 
& latete. Principal,grave,remarquable,graud. 
Letira—, letire capitale, majuscule. Inimigo 
—, ennemi capital. Erro —, faute capitale. 
Pena —, peine capilale. Peccados, vicios ca- 
pildes,, päches, vices capitaux. 

CAPITALISSIMO,, A, adj. sup. de Captlal. 

CarıraLista, s. m. capitaliste:: qui possede 
de fortes sommes d’argent. 

+Cartauızaciö, 5. f. capitalisalion : l’ac- 
tion de capitaliser. 

GaPITALIEADO, A, P. P. de 

+Carnranızin, 0.0. cspitaliser : conrerlir 
en capital (les rentes, eic.). 

CAPITALMENTE , adv. capilalement : d’uns 
manitre capitale. 

CıPıtisa 0% vaısseau de guerre montd 

Carırinsi,s.f. ) par V’amiral : vaisseau 
amirk 

CaPITANEADO, A, P. p. de 

CAPITANEAR, ©. a. commander des troupes. 
Guider, conduire plusieurs personnes, Cire & 
leur tele par un moti? quelconque, 14 est quei- 


CAP 251: 


quefols neutre et signifle : se donner des alrs 
de mattte, prendre un ton absolu, etc. 

Carpıtania, s. f. capitainerie: charge, grade 
de capitaine. *Gouvernement militaire et civil 
de quelque contre&e. Capitanie : ancienne divi- 
sion territoriale du Brüsil; son gouvernement. 

Capıranıa. V. Copilanla. 

Gapırkö, 8. m. (t. mil.) capitaine : chef, 
commandant d’une compagnie. —, göntral, 
chef :; commandant en chef. — bard, pacha. 
—de fragata, capitaine de fregate : lieutenarrt- 
colonel dans les troupes de terre. — das guar- 
das, capitaine des gardes-Jdu-corps.—doporto, 
capitaine de port: celui qui commande dans 
un port. — de mar e guerra, capitaine de 
vaisseau de guerre : colonel dans les troupes 
de terre. — de navio, capitaine de vaisseau. 
— general, general en chef; gouverneur chil 
et militaire d’une province. — mör, general en 
chef. — mör do mar, amiral. — dos gintles, 
g“neral de cavalerie. — fenente, officier de !a 
marine porlugaise au-dessous du capitaine de 
Ircgate. — de ladröes, capilaine, chef de vo- 
eurs. 

Carırkr, s. m. (1. d’arch.) chapiteau : partie 
du haut de la colonne qui pose sur le füt. 

CarıtE£o. V. Chapiteo. 

Carıröa,s. f. capitainesse, capitane , femme 
du capilaine. 

CarıroLino, A ,adj. capitolin : qui appartient 
au Capitole. 

CArıtöLio, 8. m. Capitole : anclen temple de 
Rome consacre ä Jupiter. (fg.) Edifice grand, 
majestueux. 

Carırtöso. V. Cabcfudo. it. (t. de bot.) capite: 
en forme de t£te. 

Carituvra, 8. f. (lt. de lilhur.) capitule: pe 
tite lecon A la fin de chaque partie de l’office. 

CarıtvLagäö, 8. f. capitulallon : traite pour 
la reddition d’une place; clause, article d’on 
contrat quelconque. 

CarırcnÄna, s. f. articles d’accusation, plain- 
tes contre un fonctionnaire public. Intrigues, 
cabales dans les elections capitulaires des 
moines. 

CAarıtuLÄDo,A,Pp. p. de Capitular. 

CarıruLADön, 3. m. celui qui signe les arti- 
cles d’accusation. 

CAPITULÄNTE, ?. a. de Capituldr, qui capi- 
tule. i$.s. V. Capitulador et Capilular, s. 

CAPıTULÄR, adj. 2 gen. capitulaire : qui ap- 
partient & un chapitre de chanoines ou de reli- 
gieux. Casa —, la maison centrale d'un ordre 
religieux ou on c&lehre le chapilre. Aclas — es, 
acles , r&solutions capitulaires. 

CapıtuLäa, 5. 2. celui qui a voix dans un 
chapitre, soit de chanoines, soit de religieux. 

CAPITULÄR , ©. @. circonslancier, faire le de- 
tail historique ; reduire en articles les accusa- 
tions contre quelqu’un. — (de), accuser, char- 
ger un fonctionnaire public, deposer contre 
lui. 

CArıruLan (com), vo. n. capituler, parle- 
menter : traiter do la reddition d’une place. 


252 GAP 


Traiter, convenir, converter, venir A un accoom- 
modement. i$. Chanter les capitules de l’office 
ocelesiastique ; oficier. 

+ CarıtuLÄaes, 8. m. pl. capilulaires : or- 
donnauces des anciens rois de France en ma- 
tiöres civiles et ecclösiastiques, redigees par 
chapitres. 

CAMTULÄRUENTE, adv. capitulairement : en 
chapitre, en assemblede generale. 

T CarıruL£ıno, s. m. livre qui contient les 
capitules que les pretres chantent au chaur. 

CAPiTULO, s. m. chapitre, chef: division d’un 
livre, d’un compte. —, sujet, matiere. * Accu- 
salion, grief, deposition, charge. —, assem- 
blec de religieux;; it. de chanoines, V. Cabido ; 
la salle oü ils tiennent leurs reunio. 

Carıvana. V. Capibdra. 

+Carxowmancia, 5. f. capnomancie : divina- 
tion par la fumee de l’autel, etc. 

t CAPXOMANTE, 5. m. celui qui devine par la 
fumee. 

+CAPNOmÄNTICO, A, adj. qui appartient ä la 
capnomancie. 

Carokıra, s. f. mue: cage & poules; poulail- 
ler. (6. de fort.) Caponnitre : logement de sol- 
dats au fond d’un foss6 sec , d’oü ils lirent & 
couvert ; double chemin couvert. #4. Petit bois. 

Carotıriö, s. m. vieillard tres-tranquille. 

CAPOoßıro , 8. m. voleur de poules. 

Caro£ıno,A, adj. qui appartient & un petit 
bois; quiyvit. 

+ Carogt£ıro, 8. m. ((£. de bot.) capoquier : 
arbre des Indes; fournit le capoc. 

Caroräu. V. Cabo d’esquadra. 

CAPOTE, 3. m. capot, manteau. V. Capa. (1. 
de jew) Capot : toutes les levedes A un Jeu de 
cartes. Lerar —, @ire capot : perdre toutes les 
levees en jouant aux carltes. Dar —, faire ca- 
pot : faire toutes les lev&es, elc. 

CAPOTINHO, a. m. dim. de Capole , petit man- 
teau ; manteau Court. 

+Carra,s.m.(t.d’hist. nal.) cappa : Qua- 
drupede plus grand qu’un &ne, föroos. 

*Carnaziö. V. Coparagdo. 

Cipaeo. V. Capro. 

Cara£oLo, V. Cabrilo. 

CAPRIBARBÜDO , A, adj. (6. de pods.) quia des 
Barbes comme le bouc. 

CAPRICHÄDO, A, ?. P. de 

CAPRIicHÄr (de), v. n. 56 piquer d’honneur, 
avoir la [antaisie. 

CaPricno, 3. m. caprice, fantaisie : idee, 
goüt, volonte deraisonnabie. * Boutade: saillie 
d’csprit ou d’honneur. (f. de mus.) "Composi- 
tion gracieuse, mais bizarre. — da nalureza, 
jeu de la nature. Homem de — , homme fantas- 
que, qui est sujet & des fantaisies, ädes ca- 
prices; qui se pique d’honneur. 

CAPRICHÖSAMENTE ‚adv. capricieusement, bi- 
zarrement. dl. et plus usild, avec honneur, avec 
generosite. 

CAPaıcHOsissiMO , A, Qdj. sup. de 

GaPRIıcHösO , A, adj. capricicux, bizarre, 


Gap 


fantasque. di. et plus usist ‚quise pique d’hon- 
neur ; qui cherche & £tre parlait. 

CaPaıcöanıo, s.m. (1. d’asir.) capricorne : 
signe du zodiaque sous la figure d’un bouc. 
(8. #’hist. nat.) —, coleoptere xylophage. 

CaPnıcöanıo, A, 0dj. (f. de poes.) quia des 
cornes de bouc. 

TCaraırıcaciö, s. f. (8. de bot.) caprifica- 
tion : maniere de rendre les fgues sauvages 
bonnes A manger avec le pollen des figues cul- 
tivees, & l’aide de petils insectes qui passent 
de PFune & Pautre; art d’avancer leur malu- 
rite. 

TCarniceno, a, adj. (l. de pods.) engendr& 
d’une chevre. 

“ Carrino,A,adj. (f. de poes.) de cherre ow 
de bouc. 

CAPRIiPEDE, adj. 2 gen. (l. de poes.) capri- 
pede : & pieds de chevre;; cherrepied, satire. 

T CAPRISALTÄNTE, adj. 2 gem. (l. de pods.) 
qui saute comme les chevres ow les boucs. 

+ CAPRIZANTE, adj. 2 gen. Pulso—, (tl. de 
med.) pouls toujours emu, rebondissant,. 

Cirno. V. Böde. 

TGrsı,s.m.(t. d’hist. nal.) capsa : oiseau 
d’Afrique, gris. 

*Cars£La, s. f. petite bolte ronde. 

CursöLa, 8. f. (1. de bof.) capsule: enveloppe 
composee de panneaux €lastiques, qui ren- 
ferme la graine, pericarpe sec et creux qui 
s’ouyre en une ou plusieurs valves. \#. d’anat.) 
—, membrane, qui tapisse les cavites articu- 
laires. (4. de chim.) —, vase de chimie en ca- 
lotte. 

CırscLir, adj. 2 gen. (l. de bot. et de chim.) 
capsulaire : zoophyte en capsule. 

+ CarsuLinıa, 8. f. (f. d’hist. nal.) capsu- 
aire. 

+Carraciö, s. f. captation : Yaction de 
capter; emploi de ruses, d’arlifices pour ob- 
tenir un legs, etc. 

CAPTADO, A, P.P. de Captar. 

CAPTADOR, A, 8. (f. de prat.) captaleur : qui 
surprend par ruse, par adresse une donalion, 
un legs, elc. 

CaPtän, v. a. capler : allirer, gagner, ob- 
tenir, chercher ä oblenir par insinuations. 

+ CAPTATÖRIO, A, adj. (f. de pral.) capta- 
toire : obtenu par captation (legs, etc.). 

* CaPTELa. V. Caultla. 

CaPtivÄr, etc. V. Cativar, etc. 

* Caprıvörno. V. Calivdiro. 

Captünı,s. f. capture:: prise au corps; bu- 
tin. V. Apresamento et Pr£sa. 

CAPTtkir, v. a. ($. de praf.) capturer. V, 
Tomar, Aprehender. 

+Carccira, s. f. nom d’un frait du Bresil et 
de l’arbre qui le porle. 

CA PücHA , 3. f. Capucinidre : couvent de l’or- 
dre des capucins. 

CAPUCHINHO, A, 8. m. el f. Capucın, Capucıne : 
religieux, religieuse de l’ordre reforme de 
Ssint-Francois. 

CarücHo, A,ady. ( Frade — ) capucın : reli- 





CAR 


gieur reform& de Tordre de Baint-Francois. En 
Portugal, ils ne portaient pas de barbe. (g.) 
Homme tr&ös-severe, tr&s-austere. A’ capüche, 
sd. A la maniere des capucins,, sans ostenla- 


ion. 

Cardıno. V. Capsüla et Casülo. 

+ Carur-wortuou, s. m. (1. de chim.) capul- 
mertuum ‚ t#te-morte : parties terrestres et in- 
sipides d’un corps distille. 

+ Carv-uräsa, 8. [. (8. de bot.) capu-upeba: 
plante du Bresil, barbon. 

Caröz, 5. m. capuchon,, capuce ; sorte d’an- 
eien mantese & capuce. 

+ Carrsins-po-Baazıı. V. Copibdra. 

Cagveırina, 3. f. Coup de tesson. 
Cagrtıno, s. m. vaisseau de terre bris6, tes- 
son. V. Caro. 

Cina, s. [. "visage, figure : face de l’'homme. 
V, Semblante. —, mine: l’air du visage. (lg.) 
Apparence, aspect; presence d'une personne. 
Cered — ‚face a face. — de pascoa ou de riso, 
gure agreabie, riante; visage de prosperite. 
— de poucos amigos, homme de mauvaise mine, 
uiaune figure negative. — de condemnado, 
mine patibulaire. — miseravel, chiche face. 
— atanhada , effronte, &honte,, impudent. Ter 
— ısianhada, avoir un front d’airain. Bia —, 
bonne mine. Md — ou — feia, vilaine figure. 
X — descoberia, ouvertement, en presence de 
set le monde. Andar com a — descoberia, 
aller i6te levee. Dar a alguem com as posias 
n0 —, (fig.) fermer ä quelqu’un la porte au nez 
os sur le nez. — d’assucer, gros pain de sucre. 
Assscer de —, qualite de sucre tres-blanc. 
Heller a — a alguem, (fam.) regarder au nez 
de quelqu’un. De cöra, de front. A — 0 diz ou 
ne — se conhece , ( fig.) sa figure parie. Fazer 
—, wnir tete; il. desapprouver. Mostrar bda 
ounmd— a alguem, faire bon ou mauvais ac- 
eueil ä quelqu’un. Virer a—, refuser. Näo ter 
riste — eo inimigo, m’avoir jamais vu le feu. 
Näo sabe onde iem a—, il neconnalt pas sa 
main gauche d’aveo sa main droite. Näo ter — 
pers dizer uma cousa, n’avoir pas le courage 
de dire une chose. Ndo voltar — alrds, ne point 
demordre, ne point se desister. Vollar a — ao 
inienigo , faire volte-face. A — ndo 0 ajuda, il 
a une figure negative. A— defende a pousada, 
(proe.) Pair du visage fait connaltre les maurs. 
Ficar com um palmo de —,(fam.) avoir un pied 
de nez. Homem de duas —s, (fig.)homme & deux 
fsces , double et faux. Faser —s, faire des gri- 
maces , des mines. 

Caxi,s.m. (8. de Brösil) espäce d’igname 
da Bresil. 

Carane,, s. m. carabe: ambre jaunc , sucein. 

Cananina,s. f. carabine,, pistole : petite ar- 
guebuse qu’on porte & cheval; if. carabine 
tayoe. E o mesmo que —s d’Ambrosio, ( fam.) 
e’est une chose qui ne sert & rien. 

Caranınida, 8. f. coup de carabiae; bruit 
qulil Salt. 

Carasıntiro, s. m. Garabinier : cavalier arme 
Tune carabine, 


CAR 258 


+Carick,s. f. (f.de mar.) bourbe petrifiee 
dans le cöt6 d’un vaisseau. 

FCaraciı, 5. m. (8. d’hist. nal.) caracal : 
guide du lion ; ressemble au loup-cervier. 

+ Caracari,s. f. (. d’hist. nal.) ° caracara : 
trös-beau faisan des Antiles; esp£ce de [au- 
con du Bresil. 

Carica, s. f. aug. de Cära. it. Figure laide; 
masque de theätre. Estar —, ( loc. fam.) &ire 
pris de vin. 

+ Caracntra, 5. m. (t. d’hist. nat.) cara- 
chupa : singe dw Perou, sarigue. 

+ Carico, 5. m. (ti. d’Mst. mal.) caraco ı 
mammifere rongeur, rat. 

+ Caracöa, 8. f. caracove: sorte de bäti- 
ment des Philippines. 

CarıcöL, s.m. 4. Ehist. nal.) *helice , lima- 
con, colimagon : limace & coquille, mollusque 
rampant, gastöropode, visqueux, & deux cor- 
nes oculaires, rötractiles. — ordinario dos po- 
mares ‚ limacon des vignes. — dos bosques, ia 
livree.— rangente, la lampe antique. Caracdes 
planos, planorbes. Caracdes oblongos. V. Bu- 
limos. Escada de — , escalier en limagon. (f. de 
man.) Caracole : mouvement circulaire d’un 
cheval. Ndo vale dous caracdes, cela ne vaut 
pas tripette, ou deux saus. Caracdes, pl. (1. de 
bot.) caracoles : les fleurs du Caracoleiro. V. ce 
mot. 

CARACOLÄDO, A, p. p. de 

CARACOLÄR, d. a. ou ®. caracoler: faire des 
caracoles. 

+ CaracotL£iRo, s. m. (f. de bot.) caracole ı 
haricot A grandes fleurs; haricot-föve ow d’Es- 
pagne. 

CARÄCTER, 5. m. caractöre,, esprit, ensemble 
de penchants, de qualils, qui dislingue une 
personne d’une autre. —, marque, empreinte, 
particulirement les figures dont on se sert 
dans l’&oriture ou dans l’impression. —, tilre, 
dignits, rang. Air, maniere, fagon, caractere. 
Caractöre sacramentel. Caracieres, pl. types 
d’imprimerie. — magicos, caracl£res,, leltres, 
figures auxquelles le peupleattribue une vertu, 
d’apr&s un pacte avec le diable. 

+ CaracTERiSsTIca, 8. f. (8. de math.) carao- 
teristique:: premier chiffre d’un logarithıne, 
qui exprime Pordre des unites. 

CARACTERISTICAMENTR , adv. caracteristique- 
ment. 

Caracrealstico, A , adj. caracieristique: qui 
caraci£rise. 

+ CaRAcTERisTıcos, 8. m..pi. caractöres: 
marques distinclives, signes distinctifs, indi- 
viduels, des @tres naturels, des plantes, des 
animaux, 6lc. 

CARACTERIZÄDO, A, adj. distingue& par son 
caract£re, par sa dignite, par son posle. P. P. 
de 

CARACTERIZÄR,, v. a. cAracleriser ' marquer 
le caraciere d’un e@tre; designer une chos6 
quelconque par ses caracl£res. - 

CARACTERIZÄR-SE, 9, FT, 59 caractöriser ; 





254 CAR 


montrer sa qualits, ec que l’on est; il so dit; 
aussi d’uno maladic. 

Cararlz ‚adj. 2 gen. (4. burl.) qui a la figure 
brune , noirätre. 

CARAGOATA ow CaRaHuATi, 8. f. (fl. de bof.) 
caragate ı plantenareissoide ;ananas des hois. 

+ Canalsa, s. m. caraibe : insulaire de I’A- 
merique, jadis antıropophage. 

+Canalpa ,s. f.(i. de bot.) *caraipe : arbre 
de la Chine. 

TCARAlSNO, 3. m. carsisme : secie, doclrine 
des Caraites. : 

+Carsita, s.m. Caralte : Juif qui s’attache 
a l’Ecriture, et rejelte les traditions, le Tal- 
miud, eto. 

CARAMANCHÄÖ, 3.m. "tonnelle:; bercaau cou- 
vert de verdure; terrasse, 

CAnaManNcHEL. V. Caramanchäo. 

+ Cariuna! inter). pop. malepeste! 

CARANDÄNO, 8. m. glagon : morceau de 

CARAMBINA , 8. f. glace ; pelotede zeige. 

CarıuBüLı, &. f. carambole : maniere de 
jouer au billard. *Carambolage : sorte de coup 
au billard. (Ag. fam.) Piece : tour qu’on joue & 
quelqu’un; tromperie, fourberie. 

+ Caraupöta, 8. f. (l. de bot.) * carambolıer 
sıillaire, carambole ou chamarottie, pommier 
& fruit anguleux : arbre des indes et son Sruit. 

CARAMDOLÄDO, A,P. 2. de 

CARAMBOLÄR, v. #. caramboler s toucher les 
deux billes avec la sietine. 

CARAMBOLEIRO, 3. m. celui qui carambole 
favilement au jeu de billes; (fam.) faisenr de 
eontes, d’intrigues. 

GARAME£LCA. V. Tremelga. 

CARANELLO, 3. m. caramel: sucre fondu, 
durci, brüle.-"Glace, glacon. 

° CARANILHO, 8. m. V. Enredo, Eımbuste. 

CARANINHÖLA, 3. f. petit toupet; houppe de 
cheveux attachee avec un ruban Fouge. (fg. 
fam.) V. Patranha, Calumnia. 

Caräupa, s. f. lanterne de presse d’impri- 
merie, 

Canampiö, s. m. "piöce d'une presse 

TCARA=MUCAL, 3. m. caramoussal : vaisseau 
marchand turo ä poupe Ir&s-haule. 

Caruso , s. m. limacon de mer. 

VARAMUNDA, 8. f. (fl. burl.) grimace, moue; 
plaintes feintas. Fazer —s, se plaindre, faire 
des plaintcs, 

j Caxzsaulau, 5. m. (f. du Bresil) homme de 
eu. 

TCarinca, s. f. carangue : poisson blanc et 
plat des Antilles. 

+ Carancıtua,.f. (l.de mar.) vergue ä 
corne. 

CarangumlÄin, v.9. (f. burl. et fam.) mar- 
eher comme le crabe; ne savoir pas se r&sou- 

re. 

T CARANGUEJSEIRO, s. m. celui qui prend, et 
vend des crabes. 

CARANGUENO, 3.m.(1.d’Aist. mal.) crabe, &cre- 
visse de mer. — das conchas, ermite bernard 
ow soldat, Ander para Irds come 0 —,( fam.) 


CAR 


faire P’öererissa, aller A ronmlans camme les 
&crevisses. — signo do zodiaco. V. CAncer. 

CARANGLEJÖLA, 8. f. aug. de Carangueije- 
Grand crabe. Sorte de halustrade autsur 
d’une chaire de professeur. 

TCARANTOREA, 3. f. mine hideuse, vilaine 
Sgure. (Ag. ant., Masque hideux de carton. 
5, pl. grimaces. 

* + Carintuuas. V. Carncleres mdgieos. 

Caniö,s. m. teint du visage. A — , adv. en 
face, vis-d-vis, tout sanise. Cilieio a — da 
oarme, eilice sur Ja peau. 

+Caräpa, s. f. (1. de bos.) oarapa : "arbre de 
la Guiane, des Moluques; huile et son £rono 
pour des mAts. 

+ Canarani, 0. m. (d. du Brig.) gros cousin 
a longues jambes. 

+ Carıra0, 8. m. (4. d’hist. nat.) epinoche 
0% &pinocle : tr&s-petil poisson ä epines latera- 
les, mobiles, du genre du gasire. O — de Ir&s 
espinhos, le trois-öpines. O-— ds des espinhos, 
P&epinoohe proprement dit. 

+ Canapisa,s. m. poisson du Bresil, large 
et plat, Ires-bon & manger. 

CARAPETA, 8. f. polit sabot, petile toupie. 

+ CarnıaPETaAL, 8. m. sorle de sac oü les 
Maures d’Alrique portent leurs provisions en 
veyagc. 

f Canareriö, s. m. grand conte, grand 
mensonge. 

CAnaPEriißo, 3. m. aspece de poirier sau- 
vage. 

CaRAPETO, 5. m. poinies du poirier sauvage. 

+ Cararina, 6. m. (I. du Bres.) V. Carpis- 
leiro. 

Cararinua, 3. f. cheveux d’un nögre, che- 
veux Crepus ou laineux. 

+Cararınuäna, s. f. sorte de sorhei ou de 
glace. 

CAnarınima ,s. f. nom d’un arbre du Bresil. 

+ CaRAPO ELXcTRIcO DO PanA, 5. m. 1. Cd hist. 
nat.) anguille electrique. 


Canapöcı, s. f. bonnei de poil, de drap ou ' 


de peau. 

Carapuciö, s. m. aug. de Cerapügs, granı 
bonnet meoresque. 

„CAnAPuckiro, s. m. bonnelier : [aiseur, ven- 
deur de bonnets, 

CanAP0Lo,s. m. calice du gland ei d’autres 
fruits sernblables. 

+Cırard, s. m. (l. de bei.) cararı ı amarante 
verte. 

CARÄTER, 5. m. marque infamante. 

*Carittıes, adj. f. (leftras —) caractdres 
typographiques. 

CArAvÄNA, 8. f. caravane : troupe de mar- 
chands, de pelerins, en voyage dans le Le- 
vant.—s, pl. course en mer des chevaliers de 
Malte. Fazer —s, faire des choses difliciles ; 
faire des exces de jeuncsse. 

t CARAVANEIRO, 3. m. caravanier : qui coB- 
duil les beles de sommms dans les caravanes. 

TCARAVANISTA , 8. mi. CATAVANOUE : VAISKSUN 


m u 





GAR 


de Marseille, qui fait d’schelle en *ehalle le 
commerce du Lcvant. 

ChRAVANSERA OU CARAVANSÄRA , 8. M. Cala- 
venstrail : hötsllogie des caravanes. 

CanaveLı, 8. f. caravelle ; moyen navire 
rond . 

Canavsciö, s. m. aug. de Caravela, grande 
caravelie. (Ag. 08 burl.) Homme demerure, 
inis-grand, 

T Caaavei£ıno, 8. m. marin d’une caravelle. 

Garsviıma, s. f. cheville d’instrument & 
vordes. Aperier a — a alguom, (fig.) serrer le 
beuton & queiqu’un. 

Carıvisı, etc. V. Cerabins, olo. 

Canivo ou CARLO, 5. m, peiile earavello de 
la Mediterranee. 

Carısonipa , s. f. carbonnade : viande gril- 
ide sur le charbon. , 

Carzanganı. V. Caravanserd. 

Cianaso,s. m. lin ires-An dont on Saısait 
des voiles pour les vaisseaux. (podt.) Voile de 
karire. 

tCarB0nADO,A, adj. carbon : qui tient du 
charbon ou du carbone,. 

TuRrBOonARıIos,s. m. pl. carbonari : membres 
me socitö secreie d’ltalie, devenue curo- 
peenne , conjuree contre le pouvoir absolu , Je 
posvoir legitime et tous les pouvoirs aociaux. 

tCARBONARISuQ, 3. m. carbonarisme : le 
sysiemes de la societ6 des carbunari ; oelle 80- 
ee, 


TCaRsoniro, 3. m. (4. de chim.) carbonate :: 
nom generique des sels formes par l’union de 
Yacide earbonique avec les bases. 

tCansöne, s. m. (td. de chim.) carbone: 
charbon pur que l’on ne peut d&composer. 

+ Gaasoönıco, adj. m. Acido —,, ( I. de chim.) 
«arkenigus (acide): gaz, resullat de l’union 
du earbone avec l’oxygene. 

Can5081z41640 , 8. f. ( t. de chim.) carbonisa- 
tion : Vaction de reduire en charboı ; ses effets. 

CARBONIZÄDO ,A, P. p. de 

CarB0BızÄr, v.a. (4. dechim.) carboniser : 
räluire en charbon. 

CARBUNCLO OU } escarboucle, carboucle: 

CARBCHCULO, 3. m. J rubis rouge fonc6 Ires- 
“elstant. (. de med.) V. Anthrar. 

+ CaastncrLöso, A, adj. (t. de med.) de la 
natare du carbonate; charbonneux. 

Cassus£ro ou ($. de chim.) carbure : 

+Cunsino,s.m.| combinaison du carbone 
mon oxrygene avec des bases meialliques. 

Ganca. V. Silva. 

GarcacoLa. V. Sarcocola, 
TCaacasaö, s.m. (4. d’hist. nad.) carcajou : 
gloulon du Canada. 

+Cuxcio, s. m. matrice de l’or dans les 
mines de ce metal. 

CancuazJan. V. Cacargjar. 

Cancis os Carncäz, 8. ın. carquois : trousse, 
etui & Slöches,. V. Aljdva. 

Cancissa, 5. f. carcanse : sorte de bombe en 
eercies.—, Ossemenis decharnes encore r&unis 
«un animal; carcasse de vaisseau. (4. burl.) 


GAR 255 


Sebriquet qu’on danne aux vıeilles femmes, 
"FCärcava,s. f. * fosse pour servir de de- 
fense. Fosse pour enlerrer. 


CancamiB0, A,P.P.de 
Caacavin, 9. a. fossoyer, olore avec des 
fosses. 


CARCERÄGENM, 5. f. "geßlage: droit que payo 
au geölier cbaque prisonnier avant do sortir de 
la prison ; l’aclion de mettre en prison, 

CanceriR. V. Encarcerdr. 

CÄRcERE, 8. m. *geöle, prison , maigen d’ar - 
rät. Chassis : pidee de la presse d’imprimerie. 
(fg.) Emprisonnement : etat de celui qui est 
emprisonne. — privado, ohartrc privee. 

CAncEREIRO ‚8. m. grölier, morgueur : celul 
qui ala garde d’une prispn. Fiador —, (1. de 
praf.) caution : caluj qui repond d’un prisan- 
nier mis en liberte sur parole. 

CARCINOMA, 8. m. ( i. de med.) carcinome: 
tancer, tumeur charnue, heterogene, 

CARCINOMATÖSO, A, adj. (4. de med.) carci- 
nomateux : de la nature du cancer. 

TCaucöA,s. f."hateau A ramces, en usage 
chez quelques peuplades d’Indiens. 

CARCcONA, 8. m. arlisap, artoison ou arluson : 
ver qui rouge les &toffes et le bois, " Vermau- 
lure : poudre qui sort du bois que les vers ont 
ronge. 

CAncoME£r, v.a. carier, vermouler, en par- 
lant du ver qui ronge le bois. Ronger, consu- 
mer lentement une chose. (fg.) Ronger, dela- 
brer, consumer. 

CARCOMER-SE ‚©. T. Se vermouler, en parlant 
du bois. Se gäter, se piquer, se carier. (fig.) S& 
cher, se consumer d’ennui, de Ilristesse; s® 
morfondre, faire du mauvais sang. 

CARCOMIDO, A, 9.,p. de Carcomer, adj. ver- 
moulu, artisonne, piqu&; gäte, carie. 

* Cancöva,s. f. chemin couvert. di. V. Cor- 
c0va. 

CArCünDA , 8. f. boßse : grosseur osscuse au 
dos, &?’ estomao , par leforınation des 08. adj. 
2 gen. ou s.m. Homme hossu. 

Cirpa, 8. f. carde : sorte de peigne pour 
carder; seran, chardon dont on se sert pour 
carder les dräps. 

fCanpina, 5. f. cardee : morceau de laine 
cardee; coup de carde. 

Carpapäına, 8. f. cardeuse, 

CARDADO, A ,P. p. de Lardär. 

CARDADÖR , 5. m. cardeur : ouvrief qui carde. 

CARDADURA. 8. I. l’action de carder ; oardee. 

CarDäL, 5. m. " obardonniere: : champ plein 
de chardons, 

Carpauina, 8. f. (b. de bot.) cardamine: 
cresson des prös. 

CARDANO OW CARDAMÖNO MENOR ,s. m. (i. de 
bot.) amome & grappes. Cardamomıe de la odie 
da Malabar. — maior, cajeput; le bois hlanc, 


"3 


+ Canniö (do Brazü), s. m. (4. de bei.) "ra- 


quette & longues öpines. Paleturier. 


Caapir, v. a. carder, cbardonner la laine 


ou les draps. — alguem, (Ag. fam.) gagner A 
quelqu’un beaucoup d’argent au jeu, ft. Faire 


2356 CAR 


a quelqu’un une forte r&öprimande, le kous- 
piller. 

CanpeiL,s. m. cardinal : un des 70 prelats 
du sacr6 collöge. —, oiseau d’Amerique meins 
gros qu’aun merle, & t#te d’an roux 6clatant, 
espece de gros-beo. 

CarpeiL ,adj. V. Cardidl. 

+ Canpzauina, s. f. (&. de bot.) lobelie car- 
dinale; la cardinale. 

CarpEALiDO, 8. m. cardinalat : dignits de 
cardinal. 

CaapkıRo , s. w. cardier : celui qui fait des 
cardes. 

Cunvenitno. V. Vordete. 

Chnaso- A . A violet, livide, plombe. 

+Cinpia, 5. m. (fl. d’anat.) cardia : orilice 
suptrieur de l’estomac. 

Canpiaca , (f. de bot.) V. Agripalmae. 

Canpiaco , A, adj. (tl. de med.) cardiaque. Il 
se dit des maladies du cour, et des remedes 
propres ä les guerir. 

+ CanpıacaarHia, 8. f. cardiagraphie : des- 
eription du caur. 

CanpısaL, ady. 2? gem. cardinal : principal. 
On le dit des vents, des nombres, des points, 
des vertus. 

CanpıiaLcia, 8. f. (t. de med.) cardialgie: 
picotement dans l’estomac, & l’orifice supe- 
rieur, avec douleurs violenies, ou douleurs 
avec nausees et defaillances. 

+ CanpıiLcico, A, adj. (tk. de med.) quia 
rapport & la cardialgie. 

+ CanpıaLocia, s. f. cardialogie : traits des 
parties du caur. 

+ CanpıatoMia, s. f. cardiatomie : dissection 
du caur, de ses parties. ° 

CanDice , 8. f. ” camee reprösentant un caur 
noir. 

Canpınir. V. Cardidi, 


CARDINALADO, 
CARDINALÄTO. | V. Cardoslädo. 


+ CaapımaLicıo, A, adj. cardinalice ; qui 
mene au cardinalat. 

tCanpınaLista, 8. m. cardinaliste : parli- 
san, domestique des cardinaux. 

Carpinno, s. m. dim. de Cardo,, cirse. 
Cinno,s. m. (4. de bot.) chardon, cardoir: 
plante. — asnil, cbardon aux Anes. — corre- 
dör, chardon-roland,, cent-töles. — da isca ou 
isqueiro, cbardon lanugineux. — korlense ou 
Manso,, arlichaut commun. — mariano , char- 
don Marie, chardon de Notre-Dame. — pinto 
ou malacdö, carline sans tige, chardon nain, 
chardousse. — morlo, senegon commun, le 
pelit senegon.— Denleador, chardon & foulon, 
cardon A carder, cuve de Venus, bain de No- 
tre-Damec. — sanguinko, carthame laineux, 

— sanlo, centaurde sudorilique om chardon 
denit. — süoestre, chardonnelte, vardiere. 
— leiteiro, eaille-lait. 

Cannüca „s. f. cardasse: grosse carde. 
Canpıcino, A, 2. 2. de Carducar. 


CAR 


Canpocapen, A, 5: cardeer : euvrier qui 
carde avec une cardasse. 

CARDUGAR , ©. 8. cander avec une cardasse. 

CARDÜNME, 8.9. "troupe de qui voy» 
gent ensemble. ( Ag.) Essaim ; multitude. 

Carzacäö, 8. f. caresse, alirait, allöche- 
ment. 

CanEiDO, A, P. P. de Carsdr, 

CAREADOR, A, s. el ady. caressant: qui attire, 
qui engage par des caresses. 

CAREiR, v. a. atlirer, engager par des ca- 
resses; allöcher, seduire; gagner l’amitie de 
quelqu’ un, conduire un troupeau vors un cu» 
droit determine. «4. V. 4carsar. 

Cantca , 8.. (6. g0p.)iäte chauve; leigneux, 

CARECENTE , adj. 2 gen. qui manque de. 
p. a. de 

CARECER (de), v.#. manquer, avoir faute de, 
N en quelquefois reciproque. Carecs-se de 

sts prudenciae, il laut aveir beauceup de 
rudene. 
’ CAaREci0o, A, P. p. de Carecer, qui manque 
®. 

CARECIMENTO. V. Cartacia. 

CAREIO ou CaRko. V. Careapdd. 
unkıno, a, adj. (fam.) cher : qui vend 

er. 

Cantuı. V. Querena. 

Car£ncıa, 3. f. manque, absence, dönue- 
ment, defaut, privation. (t. de praot.) Carence. 

CanEra,s. f. ordure de la tele; parlie rabe- 
teuse du bois. — da frula, ” duvet des fruits. 

TCAREPENTO, A, adj. couvert de crodtes, de 
duvet, lanugineux (frait). 

Cantsa os disetie, rarete, mangque 

Canzstia, s. f. ) des choses necessaires, 
surtout de vırres. Cherie „ oncherissement : 
haut prix dece qui est a vendre. Anno de —, 
chere annee. 

CanEstiöso, A, adj. cher, de chert£. 

Cartra, s. f. * masque; grimace. Fazer —®, 
faire des grimaces. 

+ Cantro, a, adj. On le dit d’uncheval qui 
a le chanfrein blanc. 

Cantvo. V. Caravo. 

Cartza. V. Carestio. 

+ Cänrıa, s. f. instrument de supplice chez 
les Turcs. 

Cinca, 8. f. charge, fardeau, faix. —, ©8 
que peut porter un homme, un animal, etc. 
Somme : charge d’un cheval. Cargaison : mar- 
chandises qui font ja charge d’un vaisseau. 
(fig.) °Fardeau, cmıbarras; charge, obligatiom,, 
condition onereuse. —,ce qu’on met de pou- 
dre et de plomb dans ı une arnıe & feu. (8. de 
veler.) —, sorte d'emplätre pour les chevauz, 
Decharge simultande de plusieurs armes ä feu. 
—, le choc de deux troupes yui en viennent 
aux mains. — de ‚anee. — de caralla- 
ria , charge de cavalerie. y — cerrdda, ( ig.) 
sans reflexion, sans consideration. Besta de—, 
sommier, bete de somme. Por que — dagua? 
(fam. ) pour quel motil? Nario quo estd 4 — 
vaisscau & la morte-charge. Dar com a — em 


CAR 


res, seuccomber sous le faix, au propre et su 
ügur6. Langer a — a euro, jeter la faule sur 
un autre. Lencer a-—de si, s’aflranchir d’un 
dereir. Nario de —, bätiment de transport. 
—s garnel, (1. ds mar.) charge en grenier. 
-ı da vide, (fg.) eroix, afflietion, peine, sou- 
eis, sesus: tribulations. 

Cınco „3. m. "charge. office, emploi. Chef, 
charge „ article, point d’une aocasation. (fg.) 
Qurge, obligation, devoir. —, oommission , 
esnduite. — de conscieneis, cas de conseienoe. 
V. Encergo. Faxer-se — d’elguma couse, 56 
charger de geique ohose , prandre sur soi. 

Canchso. V. Carregöso. 

+ Canccino, A A .0dj. qui porte une charge. 
Besta — a, böte de somme. 

+ Casctzum, v. 8, (1. us. au Bresil) trans- 
porter en beies de somme ; conduire des betes 
de somme, 

7Caaucd, 3. m. (t. d’hist. nat.) carlacou : 
cerf de Cayenne. 

Caxsä20,&,p. 9. de Cariar. 

tCanıisa, s. m. (i. d’hist. nat.) cariama: 
ksmiebi d’Amerique, oisean. 

Carıia, ©. 6. carior, gäter,. pourrir. 

Carıia-sE, ©. Tr. 56 carier, en parlant des 08. 

Cursirıpes. V. Cary..., etc. 

tCaaısör, 5. m. ($. d’hist. nat.) caribou : 
renne da Canada, tres-Iöger, cerf de PAme- 
nque septentrionale. 

Canscarüna, s. f. carieature: charge en pein- 
tus, en gravaro, etc. 

Canscıam. V. 

Caniaas, 5. f. pi. caresses: temoignages ex- 
lirieurs. — enganosas , blandices. 

* Ganıcı680. V. Carinkhoso. 

Canmwinz, 5. f. eharitö: une des vertus theo- 
ogales. —, aumöne. Fazer a — a alqguem, 

‚Ag. reniquemeni) arranger quelqu’un. —bem 
urdenada com6ra por nös mesmos, charite bien 
ordennde ammence par sol-möme. 

Canıa6s0, ı. V. Caritafivo. 

Cänıs ou Canızs, s. f. carie : pourriture des 
os, des dents, des bles. 

Cazir. ou Canni, 5. m. carri : assaisonnerment 
ındien, compos6 de piment en poudre, d’e- 
piees, ete. 

Canmmä, s. f. (t. da Bresil) sorte de gäteau 
fait avec de la farine de manioc. 

T Canmid, s. m. (1. de bot.) "noix vomique. 

+ Caxmtca0, A, ad. brun, basane. 

Caniumı, s. f. dim de Cara. — d’anjo, petit 
ringe angelique. — bonila, (fam.) minois. 

Caxfuno, s. m. ° afleclion, tendresse, caresse, 
amitie. 

+ Caumuubsautnte,, adv. alfeclueusement, 
wndrement, cherement. 

Caasıam6s0, A, adj. affectueux, tendre,, ex- 
pressil; amoureux. 

fCanıöso, Aa, adj. carieux : qui se carie. 

+ CARImEDBONDO ‚„A,adj. qui ale visage rond. 

CaRısua,s. m.(. de tk£ol.) gräce, don deDieu. 

CarısıöcHo, a, adj, qui a une vilaine Ägure. 

CAxISSINo, a, adj. sup. de CAro, 


PORT,-FR. 


CAR 37 
CARITATIVANENTE, adv. charitablement : ause 
harite. 


Carırarivo, A . edj. charitable , secourable. 

CARITEL, 8. m. * voig, cris de dötresse. 

"Canıränuo, adj. mw. ( Brevierio— ) petit 
brevisire. 

Cariz ow Caris, 8. m. (— do cdo) apparence 
de l’atmosphöre. 

Canık, s. m. (f. d’Asie) sorte d’etofle asia- 
tique. 

CABLEQUIM, 8. m. crio : instrument compos& 
d’une roue de fer dentito et d’une tige pour le- 
ver des fardeaux. 

TCanLiu ow Caxuino, s. m. carlin : monnaie 
d’argent frappte sous le r&gne de Charles- 
Quint, toujours courante en Italie. 

Carina, s. f. (4. de bot.) V. Cardo-pinto. 

Caruinga, s. f. (t. de mar.) carlingue : pidce 
de bois le long d’un vaisseau , au-dessus de la 
quille, oü porte le pied du mät. — do cabres- 
tante, &cuello du cabestan. 

TCaxrovincıos, s. m. pl. Carlovingiens, 
mieus Garolingiens : deuxiöme race des rois de 
France. 

Canue. V. Posma. 

Canuezantira, 8. f. peigneuse de laine. 

CARMEÄDO, A, p. p. de Carmear. 

CARMEADÖR, 8. m. peigneur de laine, 

CAruEiR, v. a. peigner la laine. 

+Carueıina, s. f. carmeline : seconde laine 
que Pon tire de la vigogne. 

CanMELIiTA,s. et adj. 2 gen. carmelite, carıme: 
de Fordre du Mont-Carmel. —s descalgos, car- 
mes dechausses. 

CARMELITÄNO,, A, adj. carme. V. Carmelila. 

Caru£Lo, 5. m. Carmel ow Mont-Carmel : 
baute montagne dans la Palestine. 


Canuzsi, 8. m. ou cramoisi : touge fon- 
CARnueEsim, adj. 2 gem. Ic; couleur pourpre 
du kermes. 


CarMiM, 6. m. carmin : couleur d’un rouge 
vif, tiree de la cochenille, du bois du Bresil, 
aveo de Falun. Liguido — ; (express. podti.) le 
sang. 

CARMINATIVO ‚A, adj. carminatif : contre los 
maladies venteuses. 

Cannicaı , s. f. aug. de Carnne, (fem.) abon- 
dance de viande; excroissance de chair, 

Carnapüra , s. f. charnure : la chajr, qualiis 
de Ja chair de P’homme; teint. Ter bos ou 
md—, avoir bonne ou mauvaise chalr. 

Carnäcsu, s. f.salaison : provision de viande 
salece qu’on met ä bord d’un vaisseau. (Ag-) V. 
Carniceria, Malangs. 

CanniL, adj. 2 gen. charnel : qui appartient 
ala chair. Sensuel : qui aime les plaisirs des 
sens. Venörien : qui a rapport au oommeros® 
charnel. (Ag.) —, tertesire, par opposilion & 
spirituel : qui est attach6 aux biens do la terre, 
suivant le langage des moralistes religieuz. 

CannÄL, 8. m. charnage : temps od il ont 
permis aux chretiens de faire gras. 

CuaxaLipäpe, 6. f. plaisir de la chair, ven- 
sualite. 7 








usg can 


Cihniimente, adv. charneliement : selon la 
cheir.. . 

" Finunxaiega, s fa (1. de bol.) * carmauba : 
pawier du Bresil; cire de son Irone dont on 
ait des chandelles. 

CABNAYÄL, 3. m, earnaval ı Ics Lrois Jours 
qul preeädent le mercredi des cenires. —, 
temps Jegtine aux divertissernenls depuis l’d- 
pIphanie Jusqu’au mercredi des cendres. 
„.CAnnavaLksco, A, adj. du oarnaval, qui a 
rappor au carnaval (bal, danse, festin, ete.). 

nnäz, s. m. le cöt& d’un cuir opposs & 
Pepiderme, le revers. 
anne, 8. f. chair : substance fbreuse , 
molle, humide, sanguine, organique,, du Corps 
animal ow vegelal ; muscles; viende; la peau, 
le teint. ( fg.) —, concupiscence ; l’humanite, 
les sens, la nature humaine, ’homme terrestre. 
(fam.) Gras, par opposilion A maigre, suivant 
P’usage des chrätiens; charnage. — salgade, 
Viande salee. — da perns, tranche de bauf. 
Em—vica,loschairs ävif. Ter —decäo, (fam.) 
P£iro de fer: &tre fort, resister aux maux, auX 
intemperies. — e sangue, (fig.) [röres, parents. 
Sdodpeizenem —, (1d.)il n’estnichair ni pois- 
son. — sem 0520, viande desossee, sans 08. (Ag.) 
Sin&cure : emploi lucratif et peu penible. Ser 
de — e sangue, (fig. [am.) &ire de chair et d’os 
comme les autres : &ire scnsible, susceptible. 
Ser unka com — d’alguem, (fig.) &ire ami in- 
timede quelgqu’un. Tomar —s, engraisser, pren- 
dre de !embonpoint. Perder as —s, ramaigrif : 
redevenir maigre. Tremerem as—s, avoir peur. 
Ser alguem em —, etred’uneressemblance frap- 
pante. —,carne cria, la chalr nourrit la chair. 

Cannzcörta , s. f. esp&co de prune de Portu- 
gal. de couleur tr&s-foncee. 

Gannecid. V. Carnicdd. 

Canntına,,s.f. basane : peau de mouton tan- 
nee pour la reliure. 

Carntırina, a. f. tfoupeau de moulons. Sorte 
de dyssenterie &pidemique sur la cöte d’A- 
tılque. (£.de mar.) Flots moutonnds. 

CARNKIRBIRO, 5. m. pälre: celui qui garde un 
troupeau de moutons. 

+ CuRnzIRiL, adj. 2 gen. Il seditduchampoä 
paissent les troupcaux de moutons. 

CARNEIRO, 8. m. mouton , belier. Charnier : 
jieu oouvert oü l’on met les ossements des 
worts;tombeau de famille. i#. V. Ariete. — de 
guia, mouton qui sert de guide au troupeau. 
— montez ,argali ou moullon. — de cinco quar- 
tos , moalon & grosse quene, et qui n’a pas les 
cornes aussi relournees que les aufres. — cas- 
tie ou de semente, belier : mäle de la brehis. 
— dos legumes , bruche des puis.—s, pl. ondes 
moutonntes. j 
1 Chameo ‚Aredj. qui ade lacheir, qui es 

TCaanerino,, a, adj. oouteer de chalr. Pe 
dre=a, pierre cernaline. 

CARNESTOLENDAS , 8. f. pl. V. Cornaval. 


zoncle, et0, 


Caaxıckö, 3, m, c}0ou : Obalr dure dans un fa- | 


CAR 


Caanica , 2. f. (fam.) chalr morte: abondanc 
de viande. *Rebut de boucherie. ’Massarre, 
carnage, grande tuerie. 

CanxıcAL,, adj. carnassier. 

Canwicanis, s. f. “abettolr, boucherie. tuerie: 
endruit od l’on lue les animaur dont on appro- 
visienne une ville. (Ag.) Boucherie , massacre, 
carnage , destruction qu’on fait & la guerre ou 
aitleurs, 

Carnichinamtnte, ndo. & manidre, comme 
les animauz sarnassiers. 

CAannıcßinO,, A, adj. cartassier: qui ne se re- 
palt que de chair crae. V. Carnivoro. (/ig.) 
Ceuel, sanguinsire, iIuhumain. Animaes —s, 
(1. d’hist. nat.) les carnassiers : ordre de mam- 
miföres A dents canines, incisives et molaires , 
esiontao simple, ongier sigus: famille des co- 
l&optöres pentamercs , les carabes,, ec. 

Oarmckıno, 8. ms. boucher : celui qui tue des 
animaux eien vend lachair. 

Cannıceaia. V. Carkicdrie, 

TCanmwıcagid, 0 f. (8. dechir.) varnilloa- 
tion : changement des os en chair, ınaladie. 

Carnırickn0, A,P. p. de - 

t Cannırican-SE, ©. r. (4. de chir.) se caral- 
fier : se changer en ehair. 

TCaARNirIce adj. 2 gen. quitourmente comirke 
le bourreau. On l’omploie quelquefois substan- 
tivement. V. Algoz, Verduge. 

CARNIFICINA, 6. f. * CRZIAGE, TNASEROTE, 

+ Cannıröane, adj. 2 gen. camiforme : qui a 
la forme, l’apparence , la nature de la chair. 

Cannita,s. f. la partie concave ou faselte 
earticulairo des os dm tarse des beuls, ayce 
laquelle les enfants font un jeu. 

CARNiYORO, A, adj. carnirore : quise neur- 
rit principalemenut de chair (animal); qui menge 
beaucoup de viande. —s, pl. (1. d’hiss.) carni- 
vores : digiligrades, sous-ordre des oamas- 
siers, sans pouce spare, ei dont les pieds 
n’appuient que sur les doigts. 

Carnosinäne,, a. f. (4. de chir.) camesite: 
excroissance charnue dans une plaiu; serie de 
vegetation calleuse qui selorme dans Pardire 
ä la suite des gonorrhees virulentes. 

Caanöso, A, adj. charneux : compos& prın- 
cipalement de chair ; charnu. 

CAan6no, A, adj. charnu ; bien fourni de 

ohair. Il se dit aussi des fruils. 
Cino, Aa, adj. cher : qui coütp beaucoup. — 
tendrement aimd. UOnereux ,difüicile. adv.Cher, 
chdrement : & haut prix; avec beaucoup de 
peine. Caro boecddo, (fig. [am.) plaisir, caprice 
qui coüte cher. O baralo sai —. V. Barato. 

Canoati ow CaBautä, 5. f. (b. du Brasil) 
pite du Brösit. 

*CaroiveL,adj. 2 

+ Caröca,s.f.— 
loppe de Fepi du mals. u 

+Canscua, 2. f.(f. d’Atist. nat.) *earabe: in- 
secte eoleoptere, carnassier. — sycopkanla ou 
framdulenta, carabe sycophante,— crepilanie, 
carabe pilard. — lunulada, carfabe ä 3jx ta- 
ches — or de cöbre, rarabe suiveh, H. Sor- 


n. aimant, ami. 
milko, (fam.) lenve- 


En 


>_._aM 2. er ". . m 


Ve 


CAR 


ötre. «it. Sorte de mitre de carton qu on mel- 
tsil & certsins condanınes de l’inquisition. Pa- 
rece que o hdo chypado @s—s,(/am.) on le dit 
d’un bomme exir&memeni maigre ei päla- 

Caröco, 5. u (f. de bpl.) noyau.: gapanle 
neuse ei dure qui renferme l’amande, P, 
mar de-—, verger d’arbres ä noyaa. Ter muilo 

-,ıfam.) avoix ‚baaucoup d’argent. —, (f. de 
med.) slande ende, 

Cızöus, 5 m. (L, burl,). biget, Gag0t; auper- 
sitieux. it, Tötelegöre. Em »— , (fam.) nu-isie. 

CaRoLicg, s, f. bigoterie, calarderie; super- 
sütion. , 

+ CanoLiu ou ande, s. m. (ld. de bot.) 
räpo : aze höriseh de dentcules qui soutieht 
Papi da [tomenı, de mais, etc. it. Coup de ba- 
ton ä la läte. 

T Canosäpa, 2. f. (il. de mar.) earonade : 

serie de canon osurt. 

+ CaröTıDas, 8. fl. pi (1. danat. ) oarotides : 
les deux artdrgs qui conduisent le sang au cer- 
veau. 

CasoccHa, V. Caroche, 

GAaretczinnA, 8. f. dim. de Caroucha. Con- 
les da — ,(fam.) contes de Peau-d’äne; pu6- 
rilitds. 

Caara, 8. f. carpe: poisson d’esu douce de 
la farnille des gymnopomes. 

tCiape , s. m. (1. de bot.) charme commun : 
arme ameniace. 

Carrzar , eic. V. Carmedr, eic. 

t Canrzsär, 5. m. "charmaie : lieu plantö de 

es. 

GenrauTaniı,s. f.cherpenterie, menuiserie: 
Vart de tcavailler le bois. * Atelior de charpen- 
Ders de menuisier. Charpente : ouvrage lait en 

18. 

Carresterno. V. Carpinteiro. 

Caarzatsjin0, A,Pp. p. de 

CARPENTEIÄR „: 9. ». charpenter, menuiser : 
sayailler en charpenterie, en menuiserie; 
lasse le menuisier. 

tCanrsorocha, 5. f. (f. de med.) carbholo- 
gie , erocidisme : espece de conralsion symp- 
lemalique , voisine de la mert, dans laqnelle 
ca semble vouloir prehdre, arracher de la 
kaine, de la paille, etc. 

Carrınkına , 5. f. plenreuse : feniins qu’on 
PaTait pour pleurer aux (undräilies. 

Cause, A, P. p. de 

‚&,8. plenseur ı gei pleure; qui 
phase pour peu de chose. 
Ganttues, a. me. pl. pleurs, Jamentations. 

Gaanıfknro; V, Prante, Chöro. 

Caurrınos. V. Excarpins. 

Daasine, V. Cärpe. 

Carpisrania. V. Gorpensiarie. 

Geneurstıno, 5. m. ebarpenlier, Mieriuisier : 
zsiean quätravallig jo built. — de sasar, obtar- 
pretiee,de taablagem , menaisior. — de sar- 
TOs ou carrötas , ehatrou. — de adges; carrof- 

siert. zu. de nackado ou da ribeira „shatpentier 
de vaisseau.—demasiros, mäteur, Bieho— ad. 


CAR 959 


d'une Personne qui est toujonts en MouYe- 
ment, qui n’est Jamais teangaille, 

Canpin, %« 1%, #gratigner; dechirer aveo les 
ongles, s’arracher les cheveux do donleur. 
(fg.).Däplorer : pleurer, regreiter ia mort de 
0- | quelqu’un. 

CARPIR-SE, 0. r, 86 lsmenter;. .. plaindre. : 

CARr0, 3. m. (l. Wonsi.) carpe, poignet : 
partie qui Age eniro les bras et lä paume de la 
main. 

CanroBiLsayo, 5. m. varpobalsame ou car- 
pohalsamum : fruit da baumior os du paimier 
de ia Mecque. 

+C RPOCRACIÄNOS, 8. m. pi. Carpocreliens : 
höreiiques du 2« siöche, qui nialens la cr6atiom 
par Dieu lui-meme, l’attribuant aux anges , F&- 
jeseient la divinits de J. C. et admettaient la 
communauts des fernmes. 

CarroLituns, 8. m. Pl. (1. d’Mst. nat.) car- 
politbes, fruits pe6trifies. 

TCÄRPO-METACARMIO, ad). 6 8. m. (f. E’- 
net.) carpo-mätscarpien : qui a rapport au 
carpe et au ınetacarpe. 

t Canromonpuirgs, =. m. ‚pi. (4 de windr.) 
carpemorphites : pierres ä figure de frait. 

tCaarüruaos, a,udjı carpophage: frigirorer. 

* CARQUg , 3. 0, 0% espece de gendt du 

Cangussa. uf Portugal (Genista ri 
deniaia) ; ser) A aliumer du few. 

Oannica, s. f. carayue : espede de vaisseak 
grand et d’une marche lente. 

Canaiga, 8. f. mile : insecte trös-petit ; sp- 
re, acaride. — dos edel, tique. — das aves, 
tnite des oiseanx. 

Cannıganla, 8. r- grande quantit& de mites, 
de tiques. 

Cannivda, 2. f. charretse: charge d’une char- 
reits. — de lenhu, voie do bois. A’s—s, adv. 
& foison , abondamment. 

CARKinca; ‚®. f. erimace, viloine mine, aik 
triste, sobre. “ Visage relrogne, froncemeit 
de sourcil. (fig.) "Aspect sombre, menacant. 
* Collier de chien arme de pointes de fer. —s, 
pl. tetes d’unimaux sculptees. #4. V. Biocos. 

CARRANCODO, A, adj. qui a Fair sombre, qui 
est de mauvaise humeur, qui a un visage re- 
fregne, mauvaise mine. 

CARRANQUiNHA, 8. f. dm. de Carrante. 

+ CaRRAO, 8. m. grand Ccarrosse, grande vol- 
ture beurgeoise. 

+Cannaräta, 3. f.( pop.) maladie grave & 
longue. 

GankAaPATLıro, 8. m. ( f. de bot.) ricin ordi- 
nalre, palme @6 Christ, figuier infernal; faux 
cafö; pignon d’Inde. 

Gannapiro, sg. m. (4. Ahist. nal. ) tioin , m- 
seote mandibufs ; tique if. Fere du ticin om 
palme-christi, dont an fall une hulle Irds- 
pargative. 

CARRAPiTO, 5. m. petit toupet. 

GAannasciL, 3. m. lieu plaritö Ü’yeuscs, 
chöneie. 

TCannaschd, adj.m. (Tinko —, fam.) fort ; 


V, Garsöma. Ter biche —, (oe fam-) I se dit |Apre au goüt (vin), , 


un Dan en -.. 


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“tete VEETREEE am. - Sn DR, 
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, . . se . 


CAR 


CaaRtäcEN, 8. f. V. Carrelägem, Carr£io. 

Caanıkö, s. m. essieu A deux roues dont 56 
serrent les foulons. 

Carxasca , 3. f. V. Carricinka. 

CaaxıcäL, 3. m. lieu plants de roseaux de 
marais ; de glaieuls. 

+ Carxıcinua ,s. f. (i. d’hist. nal.) — crüs- 
kids, * roitelel. — escondrigtira, troglodyte. 

+ Caraico, s. m. (1. de bot.) laiche coupante, 
earet aigu. — Öastardo, roseau de mrarais; 
gisieul, sorte de jonc. — grande do Norte, 
6. d’hist. aal.)* fauvette : oiseau sylvain chan- 
kcar. 

CARRIChcHE, 8. m. chariot, brouelte. Carrosse 
dc corderie. 

CarsiL,3.. ° orniere : trace profonde que 
laisse la soue d’une voiture. Chemin par oü ne 
peut passer qu’une charrette de front. Seguir 
e— ,suivre le pave&, la voie. 

Cararıniö,, s. m. carillon : horloge qui sonne 
des sirs; machine & clavier pour faire sonner 
iss eloches en musique. . 

CarsiLmo, s. m. " mächoire. Comer a dous—s, 
(Ag.) manger & deux räteliers; tirer d’un sao 
deeble mouture. 

Caraiyno, s. m. dim.deCarro. Petit chariot 
d’enlant ; cabriolet.— descoberto, char-A-bancs. 
— de mdo, * brouette : petit tombereau & uno 
neue, pousse ou traind par une personne. 

Cazsırar. V. Rolddna, Carreiei. 

Canxo, s. m. char, charretie, guimbarde. 
V. Carrfis. — triumphal, char de triompbe. 
Unter o—, ( ig. fam.) graisser la patte A quel- 
qu’un , Iui donner de l’argent pour le corrom- 
pre. Andar o — adianie dos bois, mettre la 
charrue derant les baufs. — da poppa sobre a 
almeidea,, (1. de mar.) V’arriere d’un vaisseau. 

Canaöcı, s. f. "carrosse; chariot, charretie. 

Canaocisı, 8. f. charretee. 

Canxockıro, 5. m. charretier, voiturier. 

Caznociıe , s. m. dim. de Carroga. Charretin; 
eabriolet. 

GARRONATO,S. mM. 
ments, 

GAracicEN, 8. f. voilure, Carrosse, chariot. 

Ciara, s. f. lettre, epitre, missive. Charte. 
Leütres de chancellerie, etc. Carte & jouer. Acie 
devamı notaire. — do ABC, alphabet, abece- 
daire pour montrer ä& lire. — de pesame ,leitre 
de condoleance. — de parabem, leitre de feli- 
citaion. — d’oßleio , d’ordem, lettre oflicielle, 
mandement; lettre adressante. — de marear, 
errte de marine, carlaux. — Dranca, carte 
Blanche, au jeu. — credencial, leltre de 
ereance, — de seguro , sauf-conduit. — de com- 

misado, (4. de prat.) delegation d’autorite faile 
Par un tribunal superieur en faveur d’un tri- 
banal inferieur pour agir dans un cas particu- 
lier. — de creditlo , lettre de credit. — de guia, 

passe-port. it. Feuille de route que l’on donne 

aux malbeureux, eic. — de ezame, lelires 
d’eramen,, d’approbation,, d’admission. — d’al- 
forris, tettre d’affranchissement. — de naltu- 
relisardo ‚lettres de naturalisation , de natura- 


"voiture de demenage- 


u CAR 261 


lit. — de favor, de recommendagdo , leltre ‘de 
recommandation. — revogasoria, leitre de 
revocation d’un privilege, d’une exemption. 
— de venda, contrat de vente. — falsa, fausse 
carte, au jeu. — palente , leitres patentes ; de- 
eret, edit general. — cerrada, leitre close. 
— cilaloria, assignation en juslice. — regia, 
decret,, edit du roi.— partlida, charte-pariie. 
— de parlilhas, acte ow extrait de partage qu’on 
donne & chacun des heritiers. —d’alfineies, pa- 
yuet d’epingles. — de marca,, lettre de marque. 
Perder com boas —s, ( ig.) perdre & beau jeu. 
Perder por — de mais ou de menos, manquer 
pour plus ou pour moins. K melhör perder por 
— de monos que por —de mais, (fig. am.) il vaut 
mieux perdre par modestie quo par hardiesse. 

CARTABÜCHA,, 8. f. sale Ow Saye : brosse d’or- 
fEvre. 

CARTABUCHÄDO, A, P. p. de 

CARTABUCHÄR, U. a. saleter,, brosser avec la 
saie. ' 

CÄRTAMO ou CÄRTHANO,, 0. m. (4. de 508.) V. 
Arafröa. 

Cartiö,s.m. aug. de Carla. Grande, grosse 
lettre. ($. d’arckit.) Carton: modele de cor- 
niche, panneau, etc. 

CARTAPÄCIO, 8. m. cahier : registre. Cahler, 
pancarte d’ecolier. 

CanTasina, 3. f. cartisane : carlons, Fou- 
leaux entoures de hils de soie, eic., falsant re- 
lief dans les broderies ‚etc. 

+Cartrixo, s. m. (tl. d’hisi. nal.) traquet: 
petit oiseau brun du genre du bec-figue. 

*CARTALRO. V. Archivo, Cartorio. 

Cartiz, s. m. "affiche, placard : &crit ou im- 
prime6 qu’on affiche dans les places, etc., pour 
informer le public de quelque ohose. 

CaArtEiDO,A,P.p. de Cartedr. Jogo —, adj. 
jeu de cartes oü chacun a soin de rassembler 
ses levees. 

CaArTEirR, v. a. calculer la longitude et la 
latitude sur une carte marine. 

CARTEÄR-SE , ©. r. suivre, entretenir une 
eorrespondance &pistolaire. — com alguem, 
avoir commerce de lettres avec quelqu’un. 

Canrtına, 3. f. porte-feuille, porte-letire, 
cartero.* Pupitre portatifowävoyager.” Bureau 
ä ecrire et & garder des leitres. 

Carr£ırno, s. m. factenr : distributeur des 
lettres qui arrivent par la poste. Fabricant de 
cartes & jouer. it. Partisan de la charte (en 
Portugal), chariiste. 

CAnTEıRnÖLA. V. Carluxeira. 

CARTeL, 3. m. cartel, appel : d& par &crit 
pour un combat singulier. "Affiche, placard. 
Cartel : röglement entre deux partis ennemis 
pour la rangon ou l’6change des prisonniers. 

+ CARTESIANISMO, 3. m. oamibsianisme : phi- 
losophie de Descartes. 

+CARTESIÄNO, A, adj. cart£sien: partisan de 
la philosophie de Descartes, qui admet des 
tourbillons d’atomes comme principe des mou 
verments celestes. 

Cant&ra ,s. f. sorle de jeu de cartes. 


208 uAaR 


+Cartuickua, s. f. (l. de geog. ) Carthagene: 
Ville maritime d’Espagne. 

+ CARTBAUINENSE, adj. 2 gem. carthaginois : 
de Caribage. 

TCanruacıntz, a, adj. ei s. de Carthagene, 
on Espagne. 

Quuruico, 8. f. (f. de gdog.) Caribage : an- 
eiewue ville d’Afrtqud. 

CARTEANMO. V. Acafröda. 

CaurıLieeu,s.R(i.d’anes.)*cartilage: partie 
biauelse da oorps,, ®ure, insensible, elaslique, 
uniforme, polle, molns sompaote que Pos etä 
son extrömit6. 

CARTILACHROSO,, A, adf. (.d’anat.) cartila- 
Kineut : de la nature da cartilage ; compose de 
cartilages. Kior —a, (1. de bot.) leur esrtilagi- 
neuse , a bourreliet. Peizes —s, (8. #’hiat. nal.) 
cartilagineäz ı classe de poissons quin’ont que 
des cartilages au lieu d’aretes. 

Cantiıua, 8. f. ° syHiebaire, ab&oddaire. V. 
Abseedario, * Catschisme: Ler a elguha—, 
(fam.) avertir quelgu’un de son devoir. Näo 

“—, we savoir nl a nid : dire trös-igno- 
rant. Cousa que ndo esidäna —, (fam.) cbose 
qui u’est pas dans 

‘ GARTILICO, A. V. Gariilagindso. 
°CaxrıupöLo. V. Canheaho, Begisiro. 

Charinwa , s. f. dis. de Garta. 

+ Caantouancia, s. f. carlomancie : art pre6- 
terrdu de Iiee dans Yavenir sur la disposhlon 
des cartes ou en los tiramt. 

+ CarTomäÄnteE, 8.2 gm. oartomancien : : gai 
exe6roe la ehrtormancie. 

CARTORÄRIO, V. Cartulario ot Ar- 

CARTOREIRO, 8. mM. ehivista. 

Cartörıo, s. m. archives, chartrier ; &tade 
de notaire; cartulaire. 

CARTUCHÄNE, s.m. "provision de cartouches. 

CarTucukıra, 3. m. * cartouchier : coffret aux 
cartouches; giberne. — das espoletas, (1. de 
war.) sa0 poris-$loupilles, sac & etoupilles. 

CARTÜCHO, 3.m. "carlouche:: charge d’un ca- 
von ‚d’un [usil. *Gargousse : charge de poudre 
pour un canon, enveloppee dans un Carion. 
— de dinheiro, rouleau d’argent. —s de meirg- 
Ika, pyraınides, charge 3 mitraille. 

* Cartlio, V. Cartüxo. 

CantuLirıo, 8. m. cartulaire, chartulaire : 
rooueil des charies d’une dglise, d’un mona- 
stereo. ib. V. Archivista. 

Canzöxa,s. f. Chartreuso : couvent de char- 
treux. Ordre des chartreux. 

CARTöxO, s. m. chartreux : religienx de l’or- 
dreo des chartoux. 

Canöcem. V. Garöncho et Cardma. 

* GancLa. V. Carsche. 

Ganöncuo,, 8. m. V. Garcoma., 

CARUNCHÖSO, A, adj. vermoulu ; artisonne ; 
mouline. 

CAanöncuLa, 8 f. (b. denat,) caroncnle:chair 
glanduleuse, 

TCanind, m, (4. du Brde,) plat d’herbes 
frinasagos au Broösil, 


pas 


+ Carus, s.m. (1. de mäd.) carus : maladin 
öthargique. . 
- CARvaLHiL,s. m. ° chönaie : lien plante de 
chanes. 

CARVALHEIKO. V. Carvdlko. 

CarvaLninna, 3. m. (1. de bot., germandrte 
ofcinale, petit chene , ch@nsau , chenette; 
calamendrier; herbe de fiöyres. 

CARVÄLBO, 8. m. (4. de bot.) chene. — cerqui- 
nko ou roble, chöne commun, chene robre ow 
roubre, & feuliles garnies de duret. — om:inho, 
v. Asinhöira, 

Carvanseri. V. Caravanserd. 

Carviö, s. m. charbon : bois p6ön&trö de feu 
et dteint, ou brülant sans flamme ; bois eteint 
avant sa parfaite combustion. — mineral ou 
ds podra, eharbon fossile, charbon de terre. 

Canviözinno , s. m. dim. de Chrudo. 

Carvirı. V. Gravdia,. j 

Canviz, s. m. (t.d’Asie) pecheur. 

Cauvoaniı, 3. f. obarbonniere : Heu od V’on 
fait le charbon. Houilldse : mine de eharben de 
terre. 

Canvotına, 8. f. “ oharbonnier : lieu od V’on 
met lo oharbon. if V. Carosarie. 

Carvotıro, s. m. charbonnier : qui fait, 
vend ou porte du charbon. —s, adj. qui porte 
du charbon (bateau, charrelie, Ol6.). 

CARVORJÄBO, A, 9. P. de 

CARYORJÄR, dv. a. 09u ®. faire da eharbon; 
exercer le metier de charbonnier. 

CARYATIDES, 8. f. pl. (t.d’archit.) cariatides: 
figures de femme, d’homme, etc. , soutenans 
unecorniche,, un balcon, eto., sur la tete. 

CARTBDRS OW CARYRDIS, 8 f. Carybde : gouf- 
fre sur les cötes de Sicile. Ir, dar em Scylia 
eh evilar —, ( lg.) tomber de Carybde en 

lla : d’un peril en un autre, de mal en pis. 

H Canvocan. s.m. (tl. de bot. ) cariocar: grand 
arbre de !’Amerique meridionale. 

+ Carvocöstıno, A, adj. (Electuario—, t. de 
pharm.) caryocoslinum : : dlecfuaire purgatif. 

CanvoprıLipa , 8. f. V. Cravoilha. 

CAarvorsılLidas, adj. [. pl. ( Plantas —, 

bot.) caryophyliees: en eillet; famille des 
illets: plantes dicotyledones, polypstales, a 
tamines hypogynes. 

CARTOPRILO 04 CARYOPHYLOS. V. Cravo. 

Santa. V. Sarca. 

Cis. V. Cäsa. 

Cis ow Cins,s. f. pl. tes cheveux blancs, 
(Ag.) La vieillesse. 

Cisı,s. f. maison, logis, habitation : bäti- 
ment pour loger; piece, chambre, antichambre. 

— , ceux qui composent une meme familie. —, 
en parlant des princes ei des grands seigncurs: 5 
tes domestiques, les revenus, les etats, Ilcs 
terres, elo. —, race : en parlant des familles 
illusteos. —, Vespace du zodiaque qu’occupe 
chaque signe. Case: un des carres de l’echi- 
quier aan du damier. Tribunal. — do botde, 
boutonniöre. — de correcrdo, maison de force, 


—— forte , ohäteau ; maison de detenlion. — ou 


quinla de recreıo, ou de campo, msison de 


FANINAENR, de plaisanep, = real, maison dy 
’ 7 . 


CA35 


rel; weisen royale, pelais da roi. — @& dou- 
des, petiteb malsons. — d’orafes , höpital des 
ives. (fig.) Maison de fous. — dos seguros, 
chambre d’assurdimee. — de Deos, do Senhor, 
munpde , dgiise. — da modda, hötel de la mon- 
nsie ou des monneies. — publica, tnaison, !ieu 
pablie, mawrais Hen.—de'jogo, tripot,, maison 
de jeu.— röubeda, ( fam.) meison nial meu- 
Nee. — santa : on donne ce ubm par etcel- 
lenee au tempie de Jerusdiem , bü est le tom- 
besu de J.-C.,qu’on appelle aussi sainte maison 
de Jerusalem. Aparier — , se s&parer , faire 
menage A part. Pör — , lever maison. Ter — 
posts, zvoir maison montee. Filho de — tllus- 
ire, enfanı de bonne maison. Fazer — ‚caser, 
au trietrac. Ndo ter — nem vida, n’avoir ni leu 
ni lien. Ser de — , (fam.) #tre P’ami de la mai- 
son, virre en grande familfarit& avec quel- 
quim. fr, vollar para sua — „regagner son 
domicile. Ter as — s pagas, (fam.) Eire en licu 
de strete, en prfison. 

Cusica, 8. f. casaque, Justaucorps, habit, 
frae : serte de vetement. — anfiga, mandilfe. 
Folter a — „ (fig.) tourner casaque, changer 
de parti. Abas da— , pans, basques d’un habit. 

Gssaci6, 3. m. grande casaque, surtout. 

?Casico, s. m. surtout, redingote. 

Casıpaıaa, adj. f. mariable, nnbile: qui est 
en ige de se mariet; qui cberche & se marier. 

CusipO,, A, pP. p. de Casar , adj. et s. marie. 
(Ag.) Atache , li6.— de pouco , nouveau marie. 

Casıp0uRO , A, adj. mariable, nubile. 

Casir, s. m. * metairie; hameau, maison de 
eampagne. Les deux epoux ; couple d’animaux. 
Um— de pombos, une paire de pigeons. 

+ CasaLtıao; 5. m. celui qui habite un ba- 
EMeau, une malson de campagne. 

CasıLinno, s. m. dim. de Casdl, petite m6- 
tairie, petite ferme. 

Casamita, 8. f. (4. de fort.) casemate : lieu 
vote sous des ouvrages de fortification , pour 
defendre la courtine, les foss6s ; batterie cou- 
verie, äl’epreuve de la bombe. 

+CasamaTino, A, adj. (t. de fort.) casemate 
(bastion) : avec casemates. 

CASANENTRIRO, A, 3.2 gen. marieur : feiseur 
de mariages ; courlier de mariages. " 

CAsauEinto, s. m. mariage, noce. Dot pour 
se marier. Ndo perderds por isso — ‚(fam.) 
cela ne nuira point & volre r&pulalion. 

* Casinte, 8. 2 gen. flance ; qui est ä la veille 
de se marier. 

Casiö, s. m. augm. de Casa, grande, grosse, 
ferie maison. 

Casio, 8. m. Aucion Canon. 

tCssaguinua,,s. [. dim. de Casaca, * casa- 
gein. — de senhora ipara monlar acavallo), 
kabit de cheval, habil d’amazone 

” Casin, s. m. bameau. 

Cusär , v.. marier : joindre par mariage. 
(Ag.) Assortir, äjuster, marier, joindee, unir 
des choses ou des personnes qui 50 convien- 
Bent. (}d.) Joindre, uni. 

Lasin (com), v, m. se marier ä ou avec. (a- 


. 
’ 
U 


GAS 263 


sardse amansaräs,, (fam.) phrase dont on sq 
sert pour marquer que par le mariage en s’im- 
pose des obligations graves. 

CASÄR-SE, 9. r. se marier ; s’accorder. — e973 
seu parecer, opinido,eic.,tenir & son opinion 04 
yeıre fortementattache. Jdade de— ‚Age nubile. 
" Casania, 8. f. suite de maisons. 

Casca, 8. f. &corce , pelure; cosse , erote. 
(ig:) Apparence, dehers des choses. * Tan: 
€cörce pour tanner les cuirs.—dooro, da möz, 
coquille, coque. — das sementes, epiderme, 
peau mince. — dos frulos, balie des grains. 
— de carvalha, tan brut. Sair da — , eclore. 
Morrer na—, au propre et au flg., avorler. 

CascanULno, s. m. * balle : enveloppe de 
grains de bie, d’avoine, etc.” Avelandde : cosse 
du gland. 

CascäiDe, A, P. 9. de Cascär. 

CAScALBEına, 3. f. endroit ou il ya beaucoup 
de pierraille. 

CASCÄLHO, s. m. pierraille, gravier : amas de 
pelites pierres. Recoupe : ce qui s’emporte des 
pierres en les taillant. (4, burl.) De l’argent. 
* Scorie. 

CascaLH0s0, A, ) adj. plein de pierraille, 

CAscaLHino, A, | de gravier. 

TCasciLvo,a, adj. ( Cavallo — ), quia um 
ou plusieurs sabois blancs (cheval). 

Cascid, s. m. augm. de Casca. 

Cascär , v0. a. (8. burl.) battre, cogner, don- 


| ner des coups, houspiller , Srapper quelqu’un. 


+ Cascariuua, 6. fı (8. de bot.) cascarille : 
ecorce febrifuge; croton & feuilles de ehaleb. 

Cascänaı , 5. f. espece de squale , poissom 
dc mer. It. V. Cascarrilha. 

Cascaarid, adj. m. Vinho — „vin Fouge 
tres-fort et fonc& en couleur, gros vin. 

CASCARRILHA, 8. [. dim. de Cascarra, (t. du 
jeu de l!’hombre) * talon. 

CAsCAsinBA, 8. f. dim. de Casca. 

CASCATA, 8. [. cascade ,„ saul, nappe d’cau : 
chute d’eau bruyante. (burl.) Vieille gargouille. 

CASCAYEL , 3. m. grelot : sorte de pelile son- 
nette spherique. Cobra de — „V. Cobra. (8. de 
mar.) Bouten. Langar ou sollaro — , (Ag. fam.) 
jeier quelque propos en avant pour sonder les 
esprits. A—sürdido,, (id.) & la sourdiue, sans 
bruit. Ter—, (Ag.) avoir de l’inquiöiude , avoif 
quelque souci. Ser um — , (fig. fam.) @tre un 
eWwurdi, un dcerveld. Quem perd 0 — ao galo, 
(loc. fam.) Qui doitaltacher le grelot? 

"CAscAYßL, 5. m. employ6 de la douane qui 
met des cerceaux aux Caissos de Sucze. . 

Cisco, s. m. cräne : Loile osseuse du 08 
veau. Casque: armure delensive de la Löte. (4. de 
blas.) Timbre : casque qui ost au-dessus de 
l’ecu. Eclat : partie d’une bombe ou d’uas 
pierre rompue. ° Corne, sabot : partie dure qui 
est au pied du cheval, de l’äne, ete. " Peau 
d’oignon. Tonneau, (utaille. (4. de mer.) Coque, 
carcasse d’un vaisseau. — & pl. (4. P0P.) ca- 
boche ‚tele. — ds casa, maison non meublee ; 
fonds, partie principale d’une maison. —d’eser- 
eito, cadre d’armeg. — d’um navio, OOFPS, CAr- 


264 CAS 


Casse d’un vaisseau. Qusbrar 08-0, rompre la 
töte. Ligeiro dos —e, stourdi. Ter a 
ou —e de cabara, (fam.) n’avoir point de cer- 
velle, &tre un ecerveldö, &ire une mauvaise 
tie. Metter-se alguma cuusa nos —ı, V. En- 
casquelar-#e. 

Cascös0, A, adj. on le dit des animaux qui 
ont la come des sabots tr&s-forte. is. Couvert 
d’6cailles, qui a la coquille, l’&corce fort 
€paisse. (fg.) Homme d’une apparence gros- 
siöre , non polie. 

CascöLuO, s. m. * cosse semblable ä celle du 
gland, chälaigne , etc. 

f Caszantına, s. f. boutonnidre : femme qui 
fait des boutons et des boutonnieres dans les 
kabits. 

Caszino, 4,9. p. de 

Caseir, v. a. faire des boutonnidres. 

CastsaE, s. m. (fam.) taudis : petit loge- 
maent en desordre, malpropre; vilaine petite 
maison. 

t CABEIFöRNE , adj. 2 gen. qui a l’apparence 
de fromage. 

CASEIRAURNTE , ado. domestiquement,, bour- 
gcoisement, familidrement, sans ceremonie. 

Castıno, A, 3. m. ou f. fermier, mötayer; 

celui qui est charge de l’administration d’une 
maison. Regisseur : oelui quia lesoin et P’ad- 
ministration des biens que quelqu’un possede 
4 laville ou & la campagne. if. ant. V. Ingui- 
kino. 
Castıno, A, adj. casanier, attsch& A son me&- 
nage. Domestique : qui est de la maison ow 
qui appartient A la maison; familier, sans c6- 
remonie. Exemplo —, exemple familier, tir6 
des choses les plus ordinaires. Remedio — 
remedde fait & la maison. (fg.) Simple, sans 
pretention , ni ornements. 

+ Case6so , a,adj. caseeux:de fromage, qui 
concerne le fromage, dc la nature du fromage. 

Caszaia. V. Casaria et Hospedaria. 

Caseana, 8. f. caserne, logement de soldats. 

+ CASERNLIRO, 3. m. celui qui a soin des 0a- 
sernes. 

°Cası. V. Quasi. 

Cisıa ow Cassıa , 8. f. cannelle odoriferante. 

Casımsiaa, s. f. "casimir : drap tr&s-mince. 

Casinua, 8. f. dim. de Casa. Maisonnette. 
Bureau d’octrol. — s. pl. cachots de l’inquisi- 
tion. 

Ciso , 8. m. cas, ciroonsiance, occasion, 


aventure „ conjoncture,, oocurrence, &vene-|g 


ment, scene, accident. — , fait, action en ma- 
tiere criminelle. — , esiime d’une personne. 
Hasard, cas fortuit. — ‚, matiöre & consulter , & 
proposer. ( f. de gram.) — , differentes desi- 
nonces des noms dans les langues oü ils se 
de6clinent. — grave, cas enorme. — reservade, 
eas röserv6. — de Aonra, point d’honneur. — 
de menos valer, action deshonorante. — favo- 
ravel ‚ cause qui a ia loien na faveur. — for- 
twilo , hasard , cas fortuit. — que , en cas que. 
Em todo — „ dans tous len cas. Dado ou de- 
MOSE — ‚supposs que, Supposons que. De — 


CAS 


ponsado, aves prömkditstion, de propos “> 
liböre. Estar no—, etre au fait. Ester ne — 
de, ire ä meme de. Fazer — delguom, d’al- 
guma couss, faire cas de quelgqu’un, de quel- 
que chose. Fazer «0 —, vir so —, venir & pro- 
pos, convenir, importer. Pelo mesmo —, pour 
la möme raison. VYamos ao —, (/am.) venons 
au fait. O—d que, le fait est que. Eis aqui 
COMO pass0u 0 —, voilä oomme les choses se 
sont passees. Isso ndo fasao—, cola ne fait 
rien & la chose. 

° Casöra. V. Lagada. 

Casosar. V. Casodr. 

t Casörı0, s. m. (fam.) mariage inoonsidere. 

Cispa, s. f. crasse farineuse qui tombe de 
la töte, etqui se forme gur ‚les plaies quand 
elles sont gueries : furfure. 

+ Cispıo, adj. m. Mar —, (1. de geogr.) Cas- 
pienne, en parlant de la mer qui se irouve 
dans V’int6rieur de V’Asie. 

Casp6s0, a, adj. plein de crasse A la töie, ä& 
une plaie. 

Casqugjr0, 3. m. Jieu oü l’on doorce du beois, 

CasQquEsÄDO, A, 9. p. de 

Casqussirn, v.n. (1. de veler.) se cicatriser, 
se couvrir d’un nouveau sabot. 

CASQuUENTO, A, adj. qui a une grosse dcorce. 

CAsSQUATE, 5. m. "calotte, bonnet en cuir ou 
en drap, casquette. Vieux chapeau. Emıplätze 
pour les teigneux. 

+ Casquisninpo, A, adj. On le dit d’un che- 
val qui a le sabot tendre. - 

CasquicorinO, A, adj. qui a le sabot coup6 
(cheval). 

Casquicußi0, A, adj. qui a le sabot plein 


‚I (cheval). 


CASQUIDERRAMÄDO, A, adj. qui a le sabot 
trds-large (cheval). 

CasquiLmirn, vo. %. faire le pelit-maltre. 

CASQUILHARIA, 8. f. parure recherchee. 

CAsQUiLHO, A, 8.2 gen. petil-maltre ; elegant, 
coquet; recherche dans sa parure. 

7 CAsquiLno, 3. m. dim. de Casco. Bout de 
can.ıe, de lauce, de timon de voiture. 

CAsquiLöcıo, A, adj. guilleret: qui a la t&te 
l&ögere, qui est toujours gai. 

CasqtinHa , s. [.dim. de Casca. Ecorce minoe. 
*Plaque. Ecorce du cedrat confite. 

Casquistcco,, A, adj. (. de veier.) qui a les 
sahots defectueux (cheval). 

Cissa, s. f. mousseline : tolle de coton tres- 


ne. 
Cassacäö, s. f. cassation. 

Cassir. V. Annullar, Quebrer. 

CassarÖLa. V. Casseröle. 

Cassein. V. Cassar ou Cacear. 

CAssErÖLA, 8. f. casserole ı ustensile de cui- 
sine, sorte de po6lon. 

Cissıa. V. Canafistula, 

Cissıpa, 8. f. (1. d’hist. nat.) casside: colde- 
ptöre dont le corselet et los &iytres s’avanconk 
au delä du corps. 

+ Cassinza, 5. f. (8. d’hist. nat.) "oasque: 
genre de mollusques gasteropodes. 


a a 3 Mu 


PIE SR VE GE" GE Be GE 


AM ao _ - —_ _. 


_- PS: FG 








CAS 


+ Gasenmoun , 8. f. (6. de mindr.) cassidoine: 
pierre pröcieuse irisde. 

Cassiu , s. m. °po8le de teinturier. 

+ Cassina, 3. f. (6.de bot.) *houx & feuilles de 
laurier ; houx d’Abon. 

Cassino, 8. m. sorle de jeu de carles. 

Gassemörpe, 8. f. (t. de maih.) cassinolde : 
eswrbe te per Cassini pour reprösenter 
ie mouvement du seoleil. 

Cassıorta, s. f. ($. dastr.) oassiopee: Con- 
stellation N.,composee de cing &toiles en M. 

+ Gasaörıo, adj. m. Nö —, noud facile & 
delsire 


Cassis ‚s.m. V. Groselhtira pr£la. ül.Cassis : 
rakaßa fait da [ruit etides feuilles de cassis. 

Cisso, s.m.V. Cdco. adj. V. Irrito, Nullo. 

7 CassoıLos, s. m. pl. (1. de mar.) " pommes. 
— da Iroga, poınmes de racage. — da enzarcia, 
pommes gougtes. 

CA250L£T4. 

CassorLa. v. Caro... 

Gassuä, s. mw. (1. du Bresil) * corbeille de 
ligne ou ipecacuanba. 

Cista,s. [. race, lign6e, espöce. (fig.) Espäce, 
qualit£. Caste : les tribus dans lesquelles sont 
divises les idolätres des Indes. Race, esp&ce, 
en perlant des animauz. Engeance, en parlant 
de certaines especes de volatiles. De böa —, de 
bonne espece. Fem-Ihe de—, il chasse de race. 
Seir d—, avoir les lraits, le caractöre de ses 
parenis. 

+Castiımo, A, yck de poes.) qui appar- 

Castalıo, A, adj. J tient & la fontaine Casta- 
iienne, au pied du Parnasse, consacrede aux 
Nuses. 

CASTAu£NTE, adv. chasiement. 

Casrinma, 3. f. chätaigne : fruit du chätai- 
gnier; marron. — pildda, chätaigne seche, 
— rebordä, chätaigne sauvage. — de cabello, 

chignen , ügnon : cheveux que les fernmes re- 
troussent sur le derriere de la l£ie. —s, (1. de 
ser.) galoches. —s de ferro, (id.) galoches ow 
mains de er. 

GustausiL, 5. m. "chAlaigneraie : lieu plants 
de chätaigniers. 


Cassanutına, 3. f. \ (ti. de bol.) chätai- 
GCastamıstıno , 3. | gnier; chätaignier cul. 
Casrasıo,, s.m. tiv6 0% marronnier. 
Castankfire ou bravo, chälaignier 


Sauvage. 

Gastauutras, s. f. pl. castagnelles : deux 
morcesux de bois en forme de coquille qu’on 
lient enire les doigis, et que l’on frapje l’un 
cantıe Fauire en cadence; bruit que P’o:ı fait en 
frottant fortement le pouce contre Ile (!oigt du 
millen , en imitent les castagnettes. 

CastanueTriDo, A, P. 2. de 

CASTANBETEÄR,, ©. m. jouer des Castagnettes. 

SAstänno, A, adj. chätain,, bai-brun. s. V. 
Castankeiro 


"GsrannöL, 5 m. sort de paille ou 
shaume,. 


Gusruswörss, s. f. pl. V. Casianktlas: (1. 


CAS 265 
Met. nat.) Spondyles : testacds hivalven, 
— espinhosas , pieds d’äne. 


TCASTANnOS0, A, adj. oü il ya beaucoup de 
chätaigniers ( bois, etc.). 

Castiö, 3. m. * pomme d’une canne. 

CasteLHino, a, adj. ets. Castillan : de Cas- 
tille. Espagnol. if. Langue castillane. 

CastreıLa, s. f. (1.de geog.) Castille: pro- 
vince ow royaume d’Espagne. 

CasteLLino, V. Acastellddo. 

CASTELLAnia, 8. f. chätellenie : seigneurie et 
jJuridiction du seigneur chätelain. 

* CasreLLiö,s. m. chätelain : celui qui com- 
mande dans un chäteau. if. Variöts de raisin 
blanc et noir. 

CASTELLas, 3. f. pl. ancienne monnale por- 
tugaise du temps de Jean ]. 

f Castzruärico, 3. m. ancien tribut que 
payaient les vassaux pour la r6paration des 
cbäteaux. 

Casteri£ıno. V. Castelldo. 

CASTELBIO, 0% Dans l’ancienne fortifi- 

CASTELETE, 5. m. ) cation, c’etait la partie 
la plus dlevee d’un chäteau. Chätelet. 

Castzııinno, s.m. dim. de Castello, petit 
fort, petit chäteau. 

CAstT£LLO, s. m. ohäteau : forteresse. * Tour : 
piöce du jeu d’öchecs. Tour qu’on mettait sur 
le dos d’un 6lephant arme en guerre. Chäteau, 
palais : demeure du roi, des seigneurs. — ro- 
queiro, chäteau bäti sur un rocher. — de pröda 
— de poppa, (t. de mar.) gaillard d’avanı 
gelllard d’arriere. —e de vento, (fg. fam.) 
choses en V’air. Fazer — no ar, (id.) faire des 
chäteaux en Espagne. 

Casteviı. V. Castelläo. 

Gastıcino,, A, P. p. de Casticar. 

Castıcir, 5. m. chandelier, Aambeau. 

Gasricän, o.0. ou ". engendrer, propager 
la race. Couvrir, en parlani des animaux. 

Casrıco, A‘, adj. de bonne race; de bonne 
qualite. Chäti6, pur, correct, naturel, en par- 
lant du langage, du style. Cavallo —, &talon : 
cheval entier pour sa:llir les Juments. 

Castıpäpe , 3. f. chastete. — conjugal, fld6- 
litö conjugale. 

CastiricäpoO, A, 9. p. de 

+ Castıricär, v. a. rendre chasle, pur. . 

*Casticacäd, 8. f. oorreciion dans les li- 
vres. V. Casligo. 

*CASTIGÄDAMENTE, adv. correctement. 

CasTıcäno, A, p. p. de Castigar. adj. Puni. 
Näo —, impuni. 

CASTICADOR, A, 3. et adj. qui punit, qui 
chätie; qui reprimande, qui corrige quel- 
qu’un. 

Castıcär, v. a. ohälier, punir, corriger. —, 
polir, en parlant du style. Punir, aflliger, mor- 
tißer. (ant.) Blämer, reprendre, donner de 
sages conseils, instruire, averlir. (Ag) Cor- 
riger, chätier un ouvrage. — um marı 
com merguihos no mar, (t. de mer.) donner 
la cale, 


3 
® 











CASTIGAR-SE, 9. F. 56 00rriger. ıs. V. Kssar- 
wonlar-se 


CASTIGAYgL, adj. 2 gen. chätiable : qui doit 
Otre chätie. 

Castıco, 3. m. chäliment, correclion, peine. 
u.V. Boprakonsdo, Admoestagäo ; it. Ensino, 
(o. Sem —, impundment. 

TCasrınciı, s. m. bois de chätaigniers sau- 
vages. 

fCastmckına, s. f. " chätaignier sauvage. 

a at adv. sup. de Caslamenie. 

CASTISSIMO, A, adj. sup. de j 

Cisto,a, dj. chaste" pudique. Pur, parfeit 
dans son espece. En parlant du style, V. Cas- 


Gaston, 4. m. (6. d’hist. nal.) castor : qua- 
drupede mammilere de la famille des ron- 
eurs: en fait des chapeaux de son poil. Sorte 

’ttolfe de laine. 

Castor E'PoLLcx, 8. m. (8. de myih. ot 
d’ast.) Castor et Pollux, Qls de Jupiter ei de 
Leda; feu Saint-Elme : meitore igne, double 
gerbe de feu qui s’attache aux mäts ; consiella- 
tion : les gemaux. 

CASTÖREO, 8. m. caslordum : liqueur onc- 
tueus6 qui se Lrouve sous le ventre du casier. 
Castaacid, s. f. 6mmasculation, castration. 

CasTaipO, A, 9. p. de Castrer. Estames—s, 
(8. de bot.) &lamines störiles. 

CASTRÄDO, 8. m. castret : chanleur qu’on & 
chätr6 des l’enfance. 

TCASTRADOR, 5. m. chätreur:: celui qui ch&- 
tre. 

tCastnanörı, s. f. V. Castragäo. Plaie, ei- 
eatrico que laisse la castration. 

CASTRAMETACAÖ, 8. f. castrametation : l’art 
de camper des anciens. L’art de disposer les 
camps militäires. 

Custrir, vo. a. chätrer, mutiler, emaseuler : 
ser los testicules. Emonder un arbse. — col- 
meins. V. Cresiar. 

CASTneusk, adj. 2 ges, milılaire: qui con- 
cerne la guerre. Corde—, couronne caswense, 
donnde ä& oelui qui penetrait lo premier dans 
un canıp ennemi. Psewlio—, pecule castreuse: 
biens acquis dans l’armee. Peculio quasi —, 
(4. de prat.) pecule quasi castrense : biens ac- 
quis dans les charges civiles. 

CasvÄL, adj. 2 gen. casuel , fortuit, acciden- 
tel, contingent. 

CASUALIDÄDE, $. f. casualile, contingence, 
aventure , cas fortuit, &v&nement inopine. Por 
—, par hasard, occasionnellement, &rentuel- 
loment. 

CASUALHENTE, ade. casuellement, Occasion- 
netlement, eventuellement, par hasard. , 

CAsUista, s. m. casuiste : th6ologien qui r&- 
sout les cas de eonscience. 

Casuferico, A, ady. qui concerne les cas de 
concience. 

Gasina, s. f. chasuble : ornement que le 
pretre met par-dessus l'aube et l’etole pour 
fire la messe. ' 

Bawiıo, s, m. "balle ; gloumo ou glunie: pel- 


. .GAT 


licule qui envaloppe le graiu. — de biecho de 
seda, Cocon. 


Cira,sf. V. Busca. Ander em — d’elguma 


cousa (fam.) fureier pariout, rechereher soi- 
gneusement. 


TCATABAPTISTAS, 8. m. pl. oste 


herötiques qui nient la ndcessits du baptsme. 


Catacaness, s. f. (tl. de rhöt.) ostachröse = 


metaphore par abus des termes. 


CATACLY’3NO, 6. m. calaciysme : deluge, 


inondation, 


Caracöunas, 8. f. pl. catacombes : grottes 
carridres od l’on entcrrait les morts, gurtout 
les martyrs, ä Rome. 

t Wrachstica, s. f. catacoustique ou cata- 
phonique : science des &chos ou sons reflechis. 

TCaraDıörrRica, s. f. catadioptrique: science 
des elfets de la catoptrique et de la dioptrique. 

CATi0o, A, P.p. de Catdr. 

tTCaTÄpromo, 3.m. (4. d’ank.) caladrome : 
corde sur laquelle on dansait. 

CATApöra, 5. f. caladoupe ou Caladupe: 
chute bruyante d’un fleuve, etc. Cataracte. 

CArapöra, 8. f. “air, mine, aspect, semblant; 
hameur, caractöre d’une personne; regard. 
Md—, regard affreux, ınenacant, farouche. 
Estar de md—, eire de mauvaise humeur; 
mettre son bonnet de travers. Olharcom md—, 
regarder affreuseınent. 

CATArFÄLCco, s. m. calafalque : decoratinn 
funebre au-dessus d’un cercueil, au milieu 
d’une eglise. 

CATarracto. V. Calaphracto, 

TCartacuäirıco,A, adj. (t. de mdd.) catag- 


| matique (medicament) : quisoude les os brises. 


+ CaTAcöcıas, 8. f. pl. calagogies : [les $i- 
ciliennes en !’honneur de Verus, de retour de 
voyage de Libye. 

?CatiıLiö,a, 8. etadj. Catalan : de Cata- 
logue. 

CATALECTICO,, adj. m. Verso —, catalectique, 
On le dit d’un vers qui a une sylfabe demoins. 

tCATAaLEcTos, 8. m. pi. catalectes : recueil 
de morceaux detaches ; fragınents, petites pie- 
ces d’auteurs anciens. 

CAararersia, 8. f. (1. de mid.) catalepsie : es- 
pdce d’apoplexie avec immobilitö du corps ou 
d’un membre, la respiration restant loujours 
libre. —, etat d’une plante, de l’ure de ses 
parties qui reste toujours inclinee ou placce 
comme l’on veut, 

CATAaL£PrIco,A, adj. (1. de mid.) catalcp- 
que : attaqu& de catalepsie. 

CaraL£to,s.m.V. Eca de defunlos. 

CATaLd,(l. d’Asie) V. Canape. 

CATÄLOCO, 8. m. catalogue, liste, denom- 
brement. 

+ CATALdTIco, A, adj. Bemedio -,, (1. de 
med.) catalotique : reındde qui elface les cica- 
trices. 

tCartärra, s.m. (tl. de bof.) eatalpa : espdce 
do bignone, grand arbre & fleurs en grappe, 
longues goussen. 


CAT 

+Carantanı, 8. f (1. de göog.) Catalogac : 
prormee d’Espagne. 

Carauärıa, s. f. * taffetas double fagonne. 

Carina, a. f. "coutelas. V. Alfange, Torgado. 
Ser —, (Ag. fam.) &iro uno mauvaise langue. 

Cıvanını, 3. f. coup de Caldna. V. ce mot, 

Caranzıa, ste. V. Aoutilar, etc. 

+Carima,s. f. (6. de g6og.) Catane : ville 
de Sicite. 

+Griö,® 
de chien. 

Cırkö, e. m. Caton:homme sage ou qui 
aflecte de letze. 

+Cararisuo, 5.1. (l. de med. anc.) cala- 
pasıse : remede exterieur en poudre. 

CaTAPsREıRO, 3. m. espöce de poirier sau- 
vage. \ 

Cararsönıca. V. Calacüslica. 

Carapssicrı, 3. fı (6. d’an!.) cataphracte: 
armure, veicment des cataphraclaircs; ban- 
dage en ewirasse pour le Lronc du corps. 

CATAPHRACTÄRIO O8 CATAPHRÄCTO,, 3. mM. 
(1. dent.) cataphractaire : cavalior arme de 
wuwespiödes. 

Cırapaisına , s. f. " cataplasıne : remede ex- 
ierehr. 

CırapLasmÄnDo „ A, adj. couvert de cata- 
plasmes. (fig.) V. Achacöso. 

+Cararıexia, s.f. (t. de med.) cataplexis: 
estourdissement, insensibilit& soudaine dans 
les membres. 

+Cararıcıa-MENOR, 8. f. (tl. de bot.) cata- 
pute : euphorbe &sule;; Epurge. — maior, ricin 
ordinsire. 

Cararöıra, s. f. catapulte : machine de 
guerre des anciens pour lancer des pierres. 

+Curirn, 5. m. sept beles de somme atta- 
chtes Tune apr&s l’anıtre (chez les Arabes). 

Latin, vo. a. chercher, solliciter, rechercher. 
— a cabörs, cpouiller. — pulgas, piolhos, etc., 
chereber jes poux, les puces, elic., pour les 
wer. it. Voir, examiner, regarder, observer. 
Penser, croire, juger. it. V. Asatar. 

Catar-seE, v. r. chercher ses puces, elc., 
pour les tuer. i6. V. Acautelar-se, Precalar-se. 
— respfilo , se respecter, se Irailer muluelle- 
ment avec consideration, en parlant de deux 

qui se trouvent ensemble. 

Cararicra, s. f. V. Cufadüpa. —s do cdo, ca- 
taractes : nuages charges d’une grande abon- 
dance d’eau. 

Caranıra, s. f. cataracle : opacit& da cris- 
taltia ‚qui obseurcit ou fait perdre la vue. Ex- 
trair, deprimir ou abaizar a—,cnlever, abeis- 
ser la ostaracte. Tore nos olkos, (fam.) ne 
pas voir clair, ne voirgoutle. Tiror a —s a 
siguen (fig. fan.) lairevoir clair äquelgu’un. 

Ciriratkıro, s. m. oculista qui fait l’opera- 
kon de la eataracie. 

Caranisa,s. f. Roda—, (4. d’horl.) roue de 
rencontre (d’une ımontre). 

Carırmmar ,adj.2 gen. (1.de med.) catarrhal: 
aui tient du catarrhe. g. f. Pöripneumonie, 
Atvm egtarıhale. 1 


m.(t. de mar.) naud de jambe 


CAT 267 


Caranasiına, 8 f. . s rhume, ca- 
tarrhe sans hövre. rtpep.) 50 ’ 

CATARRHENTO, A, adj. tatarrhal : sujet aux 
calarrhes. 

CATÄRANO, 5. m. catarrhe: Auxion d’humeurs 
deres sur une partie du corps, gros rhuıne. 

CATARRROÖSO, A,adj. ratarrbeux : qui tient 
du catarrhe,, avec catarrhe; sujet au catarrbe. 

Caränrıco. V. Cathärtıco. 

+ CaTascörıo, s. m. ancien brigertin Irds- 


r. 

CarasöL ,s.m. *etoffe trds-brillante ; couleur 
changeante. 

CaTista, 3. f. *chevalet : instrument de sup- 
plice; lit de fer oü l’on attachait pour brüler, 
ou pour donner la question du feu. 

+ Cartistase, s. fi catastaso : ponction de 
l’ail. —, acte: parlie du po&me dramatique 
qui renferıne le n&ud de l’intrigue; nature, 
etat habituel d’une chose. 

+ Cıtastätıco, A, adj. (t. de med.) catasti- 
que: qui depend de la constitution, du teni- 
perament. 

CATÄSTROPIIE , 3. f. ou m. Catastrophe : der- 
nier et principai evenement d’une tragedie; 
övenement [uneste. ( fig.) Fin malheureuse. 

CATario,s. m. (t. burl.) * flamberge. Fazer 
o — aalguem, (pop.) rosser : battre quelgu’un 
violemment. 

Catatui. V. Cacald, 

CATAVENTO, 5. m. *girouelle; ventilatcur. 
— de pennas, (t. de mar.) plumet de pilote, 
penon. 

Cite,s.m. polds d’Asie, ? livres environ. 
— de ouro, 250 eruzados : 825 francs. 

Cırecatse, 8. f. * catechisme : insteuclion 
verbale. 

CATECHIZÄDO, A, 9. p. de Calechizar. 

CarscHızagäö,s, f."catechisme : l’action de 
catechiser. 

CATECHIZANTE, P. a. de 

CarscntzÄr, v. @. cattchiser : Instruire des 
mystöres de la foi, de la religion. ( lg.) —;, t8- 
cber de persuader quelque chose & quelqu’un; 
exhorter; endoctriner, instruire. 

CATECHISTA, 8. m. catschiste: celui qui en- 
seigne, qui fait le cal&chisme. 

CATECHISUO, 3. m. "cat&chism# : instraclion 
sur les principes, tes mystöres de la foi; livre 
qui les contient. —, livre 6crit par demandes 
et r&öponses. 

CATEcHistıco, A, adj. catechistique : 
forme de catechisme. 

+ Errecuueina. V. Artca, Mimdsa Cate- 
chueira. 

+ CATECHUMENÄDO ou —ÄTO, 5. m. cateehu- 
menat : temps d’instruction du cat&chumene. 

+ Catecuumsnia, 3. f. calechumenie : galerie 
d’eglise destinee & Pinstruction des catechu- 
menes. 

CATECHÜMENO,, 5. m. calöchumene: que lan 
dispose au bapt&me en l’instruisant, 


CATECISNO, | 
CATEEUMENO. V, Calechn 


en 


288 CAT 


CATECORiA , 8. f. calögorie : rang ‚distinction, 
ordre, classe de choses ou personnes. —s @4- 
ristoleles, (1. de log.) catsgories d’Aristote: 
classes dans lesquelles ce philosophe range 


toutes les idees. 


ÜCATEGÖRICAMENTR, ade. cat#goriquement: 


d’une manidre precise. 


CATEGÖRICO, A, adj. calögorique : dans l’or- 


dre precis, ä propos, selon la raison. 
Cireı. V. Catle et Catre. 


CArznirıs, s. f. (1. de math.) courbe formse 


par une chatne metallique tres-Iexible. 
CATEQUESE. 
CATEQUIZAR,, etc. | V. Calech... 
CATERVA, 8. [. foule, multitude, troupe. 
CAat&ter. V. Catketer. 


tCitna,s. m. (8. de bot.) catha: arbre de 


P’Arabie. 
"TCATBÄRMA, s. f. victime expialoire. 
* CATHARISTA. V. Purificador, Expiador 


zpt . 
CATBÄRTICO,, A,adj. (1.de med.) callsartique: 


purgatif. 
CATHECHESE, etc. V. Colechdse, etc. 


CÄTHEDRA, 8. f. chaire: tribune &levee d’un 
professeur. —, siege apostolique ou de saint 


Pierre. 


* CATHEDRÄDECO, 8. m. cens que les edglises 


payaient & leurs &v@ques. 


CutuepriL, s. f. cathedrale: principale eglise 


d’un evöche. Il est aussi adj. 


t CATHEDRALIDADE, 5. f. la prerogative qu’a 


une e&glise d’eire cathedrale, 


CATHEDRÄTICO, 8. m. ( anf.) cathedratique : 
droit dü aux &veques. Professeur : celui qui 


enseigne une science, un art. 


CATREDRILHA, 8. f. dim. de Cdthedra. Chaire 
peu lucralive et de peu d’importance dans 


quelques universites. 
CATBECORIA , etc. 


CATBEQUIZAR, etc. | V. Cate..., etc. 


CArnenfrıco, a, adj. (1. de phar.) cathere- 
Uque: medicament qui ronge les chairs fon- 


gueuses. 
$CaruH£trer, s. m. (4. de chir.) cathöter: 


sonde creuse et recourbee, instrument de chi- 
rurgie que I’on introduit dans la vessie pour 


en.retirer les urines, dans la dysurie. 

CATHETERISMO, s. m. (ti. de chir.) cathöts- 
risme : operation de chirurgie pour injecter oa 
vider la vessie. 

CATHETO, s. m. ($. de geom.) cathete: en ge- 
neral, toute perpendiculaire abaissee d’un 
point sur une ligne; cöt£ d’un Lriangle rectan- 
gle perpendiculaire & l’autre. (4. de catopt.) 
—,rayon ou ligne perpendiculaire de Pail & 
la surface qui röflechit. (4.d’arch.) Axe perpen- 
diculaire imaginaire, ©. g. d’une colonne, etc, 

CATHÖLICAMENTE,, adv. catholiquement. 

TATHOLICKO ‚ 3.m. aug. de Catholico. it. (1. de 
pharm.) Catholicon : reme&de compose de plu- 
sieurs ingredienis; eleciuaire purgatif, uni- 
versel. 

CATHOLICHADE,, 8. f. catholicit& : universalits 
do ’Eglise, 












CAT 


CATROLIKISSIMO , A, adj. 9up. de Csiholice, 
Calholicissime. 

CATHOLICISEO, 8. m. calholicisme , estholi- 
cit6 : la religion catholique; les personnes, Ies 
pays catholiques, “ 

CATHÖLICO, A, adj. catholique, uniwrsel, 
r6pandu partout (religion, &glise).—, st taonı, 
titre qu’on donne aux rois d’Espagne. 

CarRöLıco, 8. m. catholique : colui qui pre- 
fesse la religion catholique. 

CATHOLICON. V. Catholicäo. 

CATiLmärıa, 8. /. calilinaire : discours de 
Cicöron contre Catiline; (fg.) accusation öner- 
gique. 

Carımzio, 8. m. (ti. burl.) bomme ridicale, 
meprisable; pipe en usage au Bresil. 

ATIMPLÖRA. V. Cantimplora. 

CATincA, 8. f. mauvaise odeur quexhalent 
les negres; gousset. s. m. (4. burl.) Avare, 
mesquin, chiche. 

T CaTinca, s. m. (4. de bot.) catingue : arbre 
de la Guiane. 

CAaTıvipo, A, 9.9. de 

CATIVÄR 0w CAPTIVÄR, ©. a. captiver: rendre 
captil; assujetlir; se rendre maitre de, gagner 
(l'esprit, le c@ur, eto.). s£. p. ws. gener. v.®. 
(ans.) devenir captif. j 

CATIVAR-SE, ©. r. 86 captiver, s’assujelür, 
s’attacher ; se g@ner beaucoup. 

CATIVEIRO, s. m. "captivits, esclavage. (A4.) 
Grande sujetion. 

CAtıvipäde, s. f. V. Cativeiro. 

CATivo 0% Cartivo, A,0dj. captif, OBCLBVE. 
(fg.) Assujetti. Sujet ä Quelque redevance, qu! 
doit un droit, qui depend d’autrui. Fazonds 
—s, marchandise qui doit acquitter les droits, 
les droits de douane compris. Cores —ss, 00U- 
leurs gui passent facilement, qui ne sont pss 
solides. 

CATLe. V. Casre. 

TCiTo, 8. m. (1. d’Asie) cachou : terre da 
Japon. V. Ardca, | 

CATOBLErA, 8. f. qusdrupdde sauvage d’I- 
frique. 

TCAToLe, s. m. (1. das Bresil) petit coto 
d’un arbre qui porte le meme nom et donlon 
fait de l’huile. 

t CaTonönte, 8. m. catodon : sorte de ba 
leine qui n’a de dents qu’& la mächoire inle 
rieure, 

CaTöpa, s. f. arbre d’Asie. 

CATÖPTRICA, s. f. calopirigue : science, tralte 
de la reflexion de la lumiöre, de la propridle 
des miroirs. 

Carörraıco, A, adj. catoptrique : quia rap- 
port & la catoptrique. 

CATOPTRONANCIA , 5. f. Catoptromancie : divi- 
nation par le miroir. 


CATORZE. 
CATORZENO. | V. Quat... 


T CATRARıRo, 8. m. oelui qui gouverne ud 


petit bateau. 


CATaAı0 , 8. m. petit bateau, 


CAU 


Grasrös, (P0p.) ir eu vir & —, aller ou 
renir su galop. 

Cirag, 3. me. petit lit, lit de camp. 

TCatra, 3. f. oiseau de passage d’Arabie. 

GrviLl, s. m. gouvorneur, au Malabar. 

CirvLo. V. Cachörro. 

tCarurınäca Das sennas, 5. f. (1. de bot.) 
Iponas campanulata , ipomee campanulee. 
ara, 3.m. petit vaisseau de guerre, dans 


CATuRakıno, s.. capitaine d’un Cafür. V. 
re mel. 

Carcazı, s. m. bouffon, farceur ; petit 
homme. 

Carranipo, A, 9. p. de 

CATERRÄR , 9. a. ei n. tourner en ridicule, 56 
jouer de; faire le bouffon , bouffonner. 

Cattanicg , 8. f. bouffonnerie, farce. 

tGösna, s. f. kahouanne: sorie de tortue 
de mer. 

Circäd, 5. f. eaution : assurance qu’on donne 
» qu’on prend pour queique chose; r&öpon- 
pen qui s'oblige pour quelqu’un. i4. V. Pre- 
e 


tCasciszeo, a, adj. du Caucase. 

Tüscaso, s. m. (4. de gdog.) Caucase : mon- 
tagne d’Asie. 

Goaomi20, A, p.p. de 

UGmonin, o. 0. (1. de pra£.) cautionner en 
jestiee. Eviter, se precautionner contre. Il ost 
Jassi reciproque. 

CGrpa, 5. f. queue : extrömits du corps des 

s, des olsosux, des poissons; polls, 

plumes qui la garnissent. Queue trainante 
dune robe, d’ane soutane, etc. (Ag.) Fin, 
ste, boat; derniöre partie de quelque chose. 
(f. de bot.) —, tige, support des fleurs, des 
fenilles , des fruits , oto. — do dragdo (1. d’asir.) 
Tueue de dragon : naaud austral d’une plandte. 
— de comsis,, queue d’une comöte. 

Girpir,, adj.2 gen. V. Caudaloso. Abondant. 
dgeia — , grand aigle. 

? CaovaLösamentk, adv. abondamment, 
Spieusement. 

uU DsLosıssEM0, A, P. p. de 

GarBaL6so, A, adj. On le dit d’une riviäre 
“a d’un fleuve od il y a beaucoup d’eau. 

Cursaränıo, 5. m. caudalaire : celal qui 
porie la gueue d’un #veque. 

Gvsiro, A, adj. qui a une queue, & queue 

‚semence). 

Gostı. V. Coudöl, 
-Gwmsıin, etc. V. Caudilhdr. 

Camzz. V. Troneo. 

Gmnsipo, A,p.p.de 

Caronuia. V. Copilanedr. 

Cursiımo, s. m. chef, general, capilaine, 
Ommandant de gens de guerre. 

tGminas, adj. f. pl. (Forens —, I. E’hist. 
enc.) Feurches-Caudines : gorge de montagnes 
Vis de Bönsvent, em Italie, ainsi nommee de 
aville de Caadium, ot fameuse par la delaite 
des Romains,, que les Samnilos y firent passer 
us ie joug. 


CAU 269 


+Caupino, A, adj. fait d’un tronc d’arbre. 

+CivLe, s. m. (1. de bot.) ige. V. Talo, 
Hastea. . 

+ CAuLicoLo, s.m. (i. d’archit.) caulicole, 
tigette:: tige qui sort d’entre les (euilles d’acan- 
the, et qui est roulde en volute sous le tailloir 
du chapiteau corinthien. 

+ CauLino, a, adj. (. de bot.) caulifäre : qui 
porte une tige. Caulinaire : qui appartient & la 


tige. 
Caömmo. V. Canko. . 
CAuriL ou cauris, coris:coquille uni- 


CAURIM, 8. m. ) valve, qui sert de monnaie 
dans quelques parlies d’Alrique, d’Asie. dt. (f. 
burl.) V. Calote, Lograpdo. 

+CADRIMEIRO, 8. m. Escroc ; Coquin, vaurien. 

Ciusa, 8. f. cause : principe ; ce qui fait 
qu’une chose est. —, fin, motif, raison, but ; 
pretexte, occasion. —, intöret. (1. de prai.) 
—, affaire, procds. — prima ou primarise, 
cause premiöre : qui agit par sa propre vertu. 
— segunda ou secundaria , cause seconde: qui 
agit par l’impulsion de la premiere. — final, 
cause finale : fin par laquelle une chose est 
falle. — impulsioa ou molioa, cause determi- 
nante, qui dötermine & agir. — pwblice , cause 
publique, bien , intsr&t commun. Fazer — com 
alguem, suivre le parti de quelqu’un, passer de 
son cöte. Fazer em alguma —, plaider une 
cause. Por minka — ou por amor de mim, ä 
mon Occasion. 

Cavsino, A, pP. p. de Causdr. 

CAUSADOR, A, 8. 2 gen. cause, auteur, oelai 
qui est la cause d’une chose. 

CausiL, adj.2 gen. causal, causatif. 

CausiL, s. f. raison, motif. 

CAusaLmäne, s. f. causalit# : qualild, ma- 
niere d’agir d’une cause; rapport de la cause & 
Veffet. 

Causinte, 9. a. de Causar, causant : qui 
cause. 3. V. Causador. 

Causir, u.a. causer, produire. (a), —, occa- 
sionner, ötre cause. — medo, vergonha, lastime, 
(faire peur, hontie, pitie. 

CausaTivo, A, adj. causatil : qui rend raisen 
de ce qui a 6t6 dit (particule, conjonction). 

CaustLa. V. Caizinha. 

Causinıco, A, adj. (4. de praf.) qui concerne 
les causes, les procös. 3. m. Avocat. 

CaustıckÄno, A, p.p. de Caustichr. 

CAUSTICANTE, p. a. de 

Causticäir, ©. a. mettre des cautöres. (fig. 
fan.) Importaner. 

Cuusticınine, s. f. causticitä : qualit6 de ce 
qui brüle, qui corrode, gai est caustique. (flg.) 
— , malignits, penchant A mordre , & critiquer. 

Ciustico, A, adj. caustique : corrosif, brü- 
lant; (fig.) mordant, satirique. s.m. —, pr& 
paration qui brüle les chairs inutiles ; sel 
alcali. (4g.) Importun, ennuyeux. 

CAUTANENTE, adv. avco precaution , pru- 
demment, 

CAurtıa, s. f. pröcaution,, prevoyance, pru- 
denoe, Astuoe, zuse, f ig , inosse, arti- 


270 CAYV 


fice, p. us. dans ce sens. Andar, eslar com —, 
se lenir sur 568 gardes. 

CAUTELAR, et0. V. Acaulelar, etc. 

CAUTELÖSAMENTE „adv. prudemmeni, avec 
precaution. Artificieusement. 

CAurELöSO, A, adj. avist, prudent, cifton- 
spect. Fin, rus®, cauteleux. 

CAUTERBTICO, A, adj. (t. de mid.) cautere- 
tique : qui brüle les chalrs. 

Caut£rıo, s.m. (6. de med.) caut£re : bouton 
de feu. —, ouveriure faite aveo un causlique 
ou avee un bouton de feu. Remede Caustique. 
(fg.) Remede, preservatif contre un vioe, une 
passion, eic. 

CAuTErızacä0, 8. f. caut#risation. 

Caurerızino, A, pP. p. de Cauterizar. 

CAUTERIZADOR, 8. m. celui qui cauterise. 

CAUTERIZÄNTE,, 9. a. de 

CAUTERIZÄR , ©.. cautöriser : faire ou appli- 
quer un cautere; brüler les chairs avec un cau- 
were. (fig.) Corriger avec aigreur, aveo durete. 

CAUTISSIMO, A, adj. sup. de 

CiAutTo, A,adj. prudent, avise, circonspect, 

Civa, s. f. faeon qu’on donne aux vigno® 
avsco lahoue ou avec un autre outil. Sommel- 
lerio du palais. it. V. Fosso. adj. Veia —, 
cave : on le dit d’une veine. 

Cavica, s. f. croquignole : pälisserie cro- 
quante. 

Cavacin, ele. V. Escavacdr et Desbastär. 

Cavico, 5. m. copeau, 6clat de bois. 

Cavacö (t. du Bresil). V. Covoeco. 

+ CavaneLa, s. f. 00up de houc, de böche. 

Cavapico, s. m. On le dit de ce qu’on tire en 
ereusant (terre, sable, etc.). 

Cavino, A, 9.9. de Cavdr, adj. V. Exes- 

‚ Concavo. Mar —, mer creusde. Olkos 
—s, yeax enforods, it. Arrach6s. On Femploie 
aussi substantivement. 

CAVADOR, 8. m. celui qui oreuse, qui fönit, 
qui remue la terre. 

CAvADüra, 3. f. action de creuser, de fouir, 
de remuer la terre. 

CavaLcipa, 8. f. cavalcade : marche pom- 
peuse et röguliere de plusieurs personnes & 
cheval ; course, promenade A cheral. Incursion. 

CAvALCÄDO, A,P. pP. de Cavalgdr. 

CAvaLcapoR,, 8. m. V. Cavalleiro. 

CavaLcanöra,s.f. monture, bete de somme, 

CAYALCÄNTE, p. a. de Cavalgdr, qui monteä 
cheval, qui va ä cheval. 

GavaLcirn,o.@. ot n. monier A cheral, che- 
vaucher, enfourcher un cheval. Aller, se pro- 
mengr & cbeval. Saillir : couvrir la femelle, en 
parianı da cheval, da laureau, eic. — ums 
popa d’artülkeria, ınonter un canon. 

Cavaınäna, s. f. "carrousel, joute & cheväl. 
4. Troupe de chevaux. . 

CAayamanica, 8. f. &curie : lieu destind A lo- 


CAT 


preux. Un ie dit aussi du gentilbomme pauyts 
qui erre gäetlä. Meiter-sea— ,fasır «e-; 
trancher du grand seigneat. Viver comes — ou 
d --a, vivte noblement. 

Cavınukıno, A, adj. noble, distingut; gb 
nereug. 
 GAVALHEIRORNO. V. Cavalleiroso. 

CAYALHEIRÖTE, 8. m. gentillätse s pelit gen 
tilhomme. 

Cavirra,s. f. ’ maquereau : poisson du gene 
du scombte, phosphorigque dans j'absverite. 

Cavarıico, 5. m. augm. de Cavallo, grand 
cheval. . . 

CavaLLipa, 8. f. (6. pop.) grande bötise, 

. CavaLLipo, A, adj. E’goa — a, jument eou- 
vertie. 

CavaL.ioem, 5. f. l’action da cheral qui 
saillit une jument, une änesse, ete., ei ce gu’sa 
paie pour los faire couwrir. 

CavaLLÄö, s. m. augm. de Cavallo, On ne 
s’en sort que pour marquer du möpris. 

CAYALLÄÖ-NECRAL, 8. mm. jJeure thon qui no 
passe pas un an, poisson de mer. 

CAVALLÄR,, adj. 2 gen. qui appartient au che- 
val. Besta —, bete chevaline, 

Cavarıania, s. f. cavalerie : los gens de 
guerre ächeval. —, grade, dignil#, erdre de 
chevalier ; prörogatives dont jeuit um ebera- 
lier. L’art, Padresse de bien gouverner un ch*- 
val, de manier toute sorte d’armes, etc. Selde 
que les grands seigneurs donnaient auı ehr 
vallers qui les suivaiont & la guerre. 
ditd, courage. — andanie, chevalerie ertant. 
Faser —s, faire des actions de valeur. ° 

CavaLLarıca. V. Covelkaripe. 

CavarLanico, 8. m. ecuyer; Intendant de 
P’ecurie. — mör d’El Rei, grand öcujet. 

CavaLıtınÄno,A,P.2.de . 

CAYALLEIRÄR , ©. #9. accompagner & cherak 

+ CAvaLLEınATo, s. m. * dignite , statde che 
valier. Droit qu’a un s6culier mari6 de poss#- 
der, moyennant dispense , des pensions ech» 
siastiques. . 

CAYALL£IRO, A, 8. et adj. cavalier : qei18d 
cheval. V. Cavalktiro. (1. de fort.) Cavalier: 
terre 6levee pour placer l’artillerie. — de #® 
tia. V. Acontiado. — de mesnada. V. Mesnade. 
— despora dourdda, c’&tait anciennement I 
gentilhomme arme solenwellement eberaliet 

— fidalgo, grade de noblesse au-demsons 
o cavalleiro , noble de seeond 
— donzel, chevalier qui n’avait pas läge de 
porter les armes. -— novel, chevalier neYK®. 
—de bemfeitoria,de mercs ou willdo ; — 
roturier qui, par conoession du roi, jowit 08 
privileges de la noblesse. A —, au-dessus. Fi! 
a —, dominer sur, en parlant des lieux dleTös. 
CAVALLEIRÖSAMERTE „ ade. noblemen!, gea% 
reusement, cavalierement, en chevalier, 


ger des chovauz. —, train, &quipage, dcuyers, | prea 


ets., d’un prince, d’un riche particulier. 
CavaLınkıno, 8. m. chevalier, gentilkemme 

d’extreeuuon noble. —, membre d’un ordre de 

shovalorie, > andanie , choralles orrani;s 


2. 
CavaLLzındso , A, adj. chavaleresges, mebie, 
göndreux, qui a les mears, les manidres dur 
chevalier, d’un geutilkomme. Qui 

eux obevaliors, 


Car 

Cıvarızafı. V. Covallaria. 

CavaLıtre, s.m. chevalet : anclen supplice; 
support de bois sar lequei les peintres posent 
teurs tableaux. Banc en dos d’Ane sur lequel 
on pose les selles. Treteau.—, support des 
eordes & violon, etc. (. d’impr.) chevalet da 

_ ‚ &pine du nez.—do te- 
üsdo , garniture de tailes qu’on met au haut 
de toit, des chemindes; faltage des maisons. 
CavaLılmma , s.f. (t.de bot.) prele, quene de 
cheval , aspreile, chaguene : plante vivace. 
Cavauılmo,s.m.dim.doe 
Caviııo, .P cheval : mammifdre solipdde, 
domestique, ä longue ceriniere, qui hennlt. 
(Ag.) Soldat A cheval. Cayalier, chevalier: piöce 
da jeu des ächecs. Treleau. Chancre, ulcere 
venerien. — corredör, guilledin.—pai, &talon. 
— da posta, mallier. — de ironco, timonnier. 
— empinado ‚ cheval cffard. — marinho , hip- 
me: cheval marin,—da pessoa, palelroi. 
— da regalo , cheval de maitre. — de Barberia, 
cheral barbe. — obediente, docile: cheval qui 
repond aux aides. — rijo da bocca ou rebelläo, 
cheral qui est fort en bouche ou qui n’a pas de 
bouche. — espantadigo, cheval craintif, timide. 
_ , resfriado ,cheval morfondu. — de 
friss (1. de fort.) cheval de [rise. — de pdo, 
(pop.}cheval debols.Ondonne aussi ce nom, fa- 
militrement parlant, Aloutes sortes de navires. 
Passsar um — , degorger un cheval. Soldado, 
komm a —, cavalier. A—, A cheval. Fugir a 
anhas de —, se sauver a toule bride. Ir, vir, 
ander no — de S. Francisco, (fig. fam.) aller 
ea venir sur Ja haquenee, sur la mule des 
cordeliers : battre la sernelle. Correr a mala—, 
csurir ä toute bride. A— dado ndo se Ihe olha 
# dente, (prov.) ä cheval donne on ne regarde 
point Is bride. 
Caramtıo. V. Cösto. 
Cavaocinno,, s. m. dim. de Cavdco. 
Gavin, o.a. louir, creuser la terre ; böcher, 

heuer, labourer; faire une [osse, une rigole. 
— os olkos, crever ow arracher les yeux. Tra- 
vailler, se donner de la peine pour obtenir 
quelque chose. 

+Cavin, o.n. creuser, approfondir, pene- 
ter. (em) fig. Penser prolondement A une 
chose. Becher, etc. Näo se pide — na vinha e 
ne bscello, (prov.) on ne peut pas sonner ei 
aller ä la procession. 

Cararina ,„ 3. f. (4. de mus.) cavaline : air 


GMrıriaı „a. f. V. Gova, Kzcavapädo. 

Cave, , s. m. outil d’arıyurier. 

Cirtına, s. f. Löte de mort decharnee. 

Carzındso , A , adj. cadaverique. 

Cavkası, s. f. "antre, oaverne. (}. de mar.) 
Varangue. — ehala, varangue plate. — mesira, 
mettresse varangue de fond. —sdvenlee ard 
da — mösira, varangues demi-acculees. —e 
prozimas d roda de pröa 6 ao cadasie, varan- 
gwss soouleen. — dos prödigos do pordo,Ya- 
Faugons de poigues- 


CAZ 71 


CAvzandso, A, adj. caverneuz : plein de 
cavernes. 

+Cavi, s. f. cavi, oca : racine d’une plante 
du Pörsu, bonne pöur les ragoüts. - 

+ Civia,s.m. (t.d’Mbl nal.) cablai : marı- 
miftre rongeur. 

+ CavıaL Om CAvıar , o. m. caviar . mets falt 
aves des aufs M’esturgeon sales. 

Cavıpioe, 5. f. " creux, cavitE. 

* Cavınia. V. Acauteldr. 

Cavine..V. Cabide. 

* Cavı00so. V. Acaulelado. 

Carina , s. f. cherville. —e da ferro dds 
abifas, (1. de mar.) pailles des bitte. —s da 
amurada,(id.) chevilles & boucle es A croe. 
— dargando, cheville & boucle. —de olhal, 
cheville & aillet. — de cabepa ou de boldo, 
cheville & töte ronde ow de bouton. — de 
escatel, cheville A goupille. — de gafo, che- 
ville & eroc. — farpada, cheville & grille ou & 
barbe. — de aninar, cheville clavette sur vi- 
role. — quadrada,, "boulon, etheville carree. 
— de cabera de diamanie, cheville & tete de 
diemant. — de repucher, *boulon. —s de esta- 
telar, chevilles a goupille, _ 

CavıLaino,A,p.p. de Cavilkdr. 

CAVILHADÖR, 3. m. celui qui fait des che- 
villes. 

Cavınuia, vo. @. cheriller : mettre des che- 
villes; attacher, assembler avec des chevilles. 

CavıL.agkö, 8. f. cavillation : sophisme ; 
fausse subtilite,, raisonnement caplieux ; ınau-« 
vaise chicane ; derision, tromperie. 

CAVILLÄDO, A, p. p. de Cavilidr. 

CAVILLADOR,, 5. m. sophiste ; trgmpeur. 

CAVILLÄR , v. n. user de sophismes, sopbis- 
tiquer. Chicaner. Railler, moquer, plaisauter. 

CAVILLÖSAMENTE , adv. caplieuscınent, sul” 
tilement. Aveo preoccupalion; 

CAVILLöSO , A , adj. caplieux, sophistiqueur. 
Chicaneur, qui use de supercherie, joue de 
mauvais tours. . 

Civo,A, adj. creux, concave, Cavd, PFo- 
fond. Veia —a, (tl. anal.) veine cave. 

Cavoccin0, 4,P.p. de 

CAvoucäirR, v.a.travailler dans les carritres. 

Cavöuco, 5. m. " carriere : lieu d’od I’on tire 
la pierre. Fosse , fondement. 

CAvoTQu£ıro, 8.m. carrier : ouvrier qui Ira, 
vaille dansles carrieres. (Ag.) Mauvais ouvrier. 

Cixa.V. Caixa. 

Caxtıaa, V. Cachfira. 

Cixßıro. V. Caiztiro. 

Caxstim , 8. m. (4. d’impr.) cassetin. 

CaxiLuo. V. Caixilko. 

Carina, eic. V. Caier. 

CAYRA ou (QDAYRA, 8. f. ancienne mesure de 
grains en Portugal, Ooutenait trois quarts Je 
Palquier. 

Ciza, 

Cazir, eic. 

Caztana. 

+Cazoir, 5 m. (1. d’hist, nal.) CASOar, 
oisem megistane. 


V. Casa..., et6. 








473 CED 'CEG 


CazöL u.m. espsce d’antimeoine d’Asie. Cexiteı, s. f.om }) cedille : petite virgule 
ET m. (8. #hist. net.) cazou : mam- | CspiLuo, s. m. qu’on met au-dessous 
mifödre voisin du blaireen. du’ pourlui donnerlesonde l’ Sdevant “,0,%. 

Cara, Cararo, et d’autres mols qui com- Cepimanto. V. Cessho. 
mencent par + il faut les chercher par 8. Cepinuo,ade. dim. de Cddo. Un peu de bonne 

CR, interj. h6! hola ! ho! Nom de la lettre e. heure. 

C£a ow Ckıa, 5. f. c&ne : dernier souper de CAUEDITRL, adj. 2 gem. cessible : qui peut @tro 

&. aV00 SeS apütres. Souper ou Soup& : Tepas 
nn ars du soir. por . Ck20, adv. de bonne heure; bientöt, sous 

Czipo,Aı,9. p. de pou. T4o — ? de si bonne heure? Mdito —, de 

CEiR, 0.8. souper : prendre lo repas ordi- | tropbonne heure, debien bonne heure. Cm—, 
naire du soir. (1. de mar.) V. Cier. dans le meme sens. 

C$24. V. Cebols ordinaria. CäprE0,A,adj. V. Cedrino. 

T CusıPina, s. f. (. de dot.) cöbipira : arbre | + Cora, s. f. "oedrio: gomme qui deconle 
du Bresil, &corce amäre et astringente dans les | du grand cödre. 
bains. + Cepxıno, a, adj. de cödre, qui appartiemt 

C£20. V. Sdbo et S4vo. au cödre. 

CEBOLA ORDINanıa, 8. [. (4. de dot.) *oignon, | Cipro,s. m. (1.de Bot.) c&dre : arbre coni- 
oignon de cuisine, plante potagere. — cec6m. | [äre, toujours vert, pyramidal, & bois odori- 
V. Apucöna. — alvarrd. V. Alverrd.—s, racines | ferant. — do Libano, pin du Liban. — de Hes- 
panka, genevrier oxicddre; petit oddre d’Es- 
Pagne. ouig. lo cade. 

CepuLa, s. f. cedule:petit billet ; &crit, billes 
sOuSs Seing-priv6 par lequel on se reconnalt de&- 
biteur d’une somme. — de banco,, billet de bam- 
que. — de lestamento. V. Codicillo. 

* Getıno. V. Porgusiro. 

CBraLalcia, etc. V. Cepkalalgia, etc. 

Ceca (do arado). V. Sega. 

° CEcA, 5. f. serpent aveugle du Bresil. 

CEcÄDo, 4,P.p. de Cegär. adj. Assable, rem- 
pli de sable. On le dit d’un port, d’un fosse,ote, 

CECANENTE, ade. aveuglöment; (fg.) sans 
reflexion,, sans examen. 

CECANMENTO, 5. m. areuglement.V. Cogubire, 

CEcÄR, v. a. aveugler, Öter la vue. Combler, 
remplir un puits, un foss6, un port. (Ag.) 
Enivrer, aveugler; il se dit des passions, 
Eblouir. — os canos, as Passagens, 08 cami- 
nos, eic., engorger un canal, un tuyau ; bou- 
cher le passage, le chemin, ete. — as istiras,, 
effacer les caractäres. 

CEGAR, ©. #. devenir aveugle, perdre lavue. 

CEcÄR-SE, 0. r. s’aveugler, s’eblouir ; sabe- 
ScT,se tromper; ne pas voir ses propres defauts. 

CECARREcA, 8. f. cigale; oliquette. 

Cdcas (As), adv. A l’aveugic, aveuglement, 
sans rellexion, inconsiderement. (Ag.) En 




















bulbeuses. 

t CzsoLipa, 8. f. "ragoft fait avec des oi- 
gnons. 

CEBöLAL, 8.0. *olgnonidre: terre somse d’oi- 
gnons. 

CesoLinna, s. f. dim. de Cebola, ciboule; 
Oignonnetie. 

CEBOLINHO, 8. f. dim. de Cebola, graine d’oi- 
8non; pelils oignons avec leurs tiges encore 
tres-jeunes. 

t CesoLino, A, adj. bulbeux : qui a pour 
racine des petites bulbes, des oignons. 

+ C£ca. On dit Andar de — em meca, (fam.) 
aller par monts et par vaux. 

CgcEino,A,9.p. de 

CECERÄR,, v.a. susseyer:prononcer les chuin- 
tantesen sifflantes; articuler les sifllantes d’une 
maniere vicieuse. 

CEC£M. V. Apuelna. 


Cec£o ou CEckıo, s.m. susseyement : l’aclion 
de prononcer le z et lo g comme les Castillans 
en parlant portugais., 

GEcEösO, A, adj. qui prononce le x et le £ 
comme les Castillans en parlant portugais. 

‚Gectar, etc. V. Cecedr, etc. 

+ Ceciuia, 8. f. (1. d’hist. nat.) eccilie : pois- 

80n apode, murana caca. 


Cecıo. V. Seeio. aveugle, & tAtons. 
GEELLA. | V. Sede..., etc. C£a0, A, adj. ets. aveugle : privö de la vne; 


(fg.) —, quia lentendement aveugli6 par une 
passion. Inoonsiders. Obstrus , bouche , em 
parlant d’un canal, d’un condait, ete. Efiäet , 
en parlant de caractdres, d’soriture, Obscur, 
noir. — de nascänes, aveugle nd.— d’um olke, 
borgne. Intestinko—, (1. d’anat.) cacum, ie 
premier des gros intestins. Em terra de —s 0 
torlo ou quem lem um olko 6 rei, (prov.) 
dans le pays des aveugles les borgnes sontrois, 

CEOONHA, s. f. cigogne : oiseau tchassier, 
herodion. — marabüta, * marabou. (Ag.) Me- 
chine & tirer de l’eau d’un puits. 

CEGÖNRO , 8. m. cigogne male. 

ÜEGÖDE ORDINARIA om TERRESTRE, 9. [. (4.do 


CEDENTE, adj. et s. 2 gen. cödant : qui ce&de. 
p- a.de 

Cen$k (6), v. a. cöder, laisser, abandonner, 
transporter, trans[erer, renoncer a. Cedo-Ihe 0 
proveito, je lui en laisse Phonneur, le profi, 

Gebt (s, de), v.». ceder, se rendre, se sou- 
meitre. (6. mil.) Reculer, plier. is. Obeir, plier. 
Tourner au proft, ä Pavantage ou au desavan- 
tıge de. Se relächer, se ralentir, diminuer. 
Ecouter, consenür &, acquiescer. — de seu.di- 
reilo, renoncer au droit qu’on peut avoir. — 


com dificuldade , se faire tirer l’oreilie, 
Cepivo,a,p.p, 


en O8 a Re 


2 a u. 


-CEL 


bot.) eiguE ordinaire, la grande cigud, plante 
ombelliftre. — aqudlica, ciculaire ow cigu& 
ayualııue. 

Cesrkiaa, 8. f. cecite, aveuglement. (Ag.)—, 
trooble, obscurcissement de la raison ; erreur, 
enrement, illusion ; aveuglement. 

*CECCIDADE. . 

*Czeciäd. V. Cegutiro. 

Otcuinno, a, adj. et s. dim. de Cego. Pauyre 
areugle. 

Ctia,ete. V. Cka,elc. 

Criavoca. V. Ciavoga. 

+Ceısa,s. m. (1. de bol.) ceiba ou selba : 
arbre d’Alrigque d’ane grosseur dnorme. (id.) 
Fromager, bombax : arbuste. 

Ceickiro. V. Cinceiro ou Salgutiro. 

Ckıra,s.f. moisson, recolte. (fig.) ° Massacre: 
proseriptien. 

CEıriD0O, A,p.p. de Ceifär. 

Cewiö. V. Ceifeiro. 

Caırär, ©. a. moissonner, seyer, faire la 
moisson. 

CaIrärno, 3. m. MOissonneur, Seyeur : Qui 
coupe les bles, etc. 

Cärmı, s. f. " cabas de sparterie. 

Ceımid, s. m. aug.de Ceira, grand cabas de 
jene ou de sparte qu’on met sur les betes de 
sotnme pour porter des provisions, etc. 

Cemmiuna , 3. f.dim. de Ceira. 

Carra,s.m.(f. de geog.) Ceuta, ville d’A- 
frique. $6. Ancien droit que payaient les habi- 
iants des provinces du nord de Portugal pour 
ne pas aller servir & Ceula. 

CaırıL, s. m. obole. V. Seitil. 

Gıva. V. Seiva ou Sove. 

"Cain, o. a. lächer, detacher. — os bois, 
deteler les beaufs , les taureauz. 

Cksz. V. Sege. 

Grui.V. Sald. 

Carina, 5. f. salade, heaume : ancien ha- 
billement de tEte pour la guerre. 

"FCzıicem, 5. f. nuances qu’on apergoit 
aux extremites des nues. Celagens, pl. groupes 
de nuages colores on rouge qu’on apercoit au 
lever et au coucher du soleil. 

Garauiu. V. Selamim. 

Cruat6ra. V. Gravürs. 

Gau. V. Seid. 

+ CELzs@aRIM0, A, adj. sup. de Cdlebre. 

Carzsnacäö, s. f. celöbration. Acclamation, 
spplaudissement. 

CHLEBRADISSIMO , A, adj. sup. de 

Caız2nipo, A, p. p. de Celedrar. 

Caızsnunda, 8. m. celui qui applaudit, qui 
ctiebre, qui loue. ” 

ÜSLEBRANTE, 8. m. celebrant : prötre qui of- 
ficie,, qui dit la messe. —, qui celebre, p. a. de 

Caızanir, v. a. cdlebrer, ezalter, louer avec 
tciat; solenniser une fäte. —, coniracter ma- 

fage. —, tenir une assemblee, un concile ,eto. 
—, dire la messe. Applaudir : marquer son ap- 
ion d'une manitre quelsongue. — em 
eompankia , oonc#iebeer. 


PORR „us 


- CEL 973 


CELEanÄvEL, adj. 2 gem. digne. d’ätre cels- 
bre, louable. 

CELEBRE, adj. 2 gen. celdbre, renomme , au- 
thentique,, fameux. (Ag. fam.) Plaisant, agrea- 
ble, enjoue, divertissant, badin; original. 

CELEBREIRA. V. Extr ancia. 

CELEBREMENTE , ado. avec celshrite. Plal- 
samment; drölement, d’une maniere dröle. 

CELEBRIDÄDE, 8. f. celebrite : grande repu- 
tation. V. Celebragäo. 

CELEBRIZÄDO, A, . p. de 

t CeLeBnIzar-sE , o. r. se faire celöbre, a0- 
querir de la renommee. 

CELERÄDAUENTE. V. Acceleradamente. 

CELERIDÄDE ‚8. f. celeritö,vitesse, diligence, 
promptitude. 

CELERIPEDE, adj. 2 gen. (4. de pods.) qui a le 
pied leger, l&ger & la course, coureur. 

CELESTE 0% celeste : qui appar- 

CELESTIAL, adj. 2 gen. 1 tient au ciel, qui 
appartient au sejour des bienheureux. (flg.) 
—, divin, excellent, parfait, merveilleux. Azul 
celeste, bleu celeste. 

CELESTIALMENTE ‚adv. parinspiration divine, 
par la volont& du ciel, par une gräce celeste. 
(fig.) Divinement, merveilleusement, parlaite- 
ment. 

CeLestina,s. f. femme rusee ; maquerelle 

CELESTINO , 8. m. celestin : religieux qui 
porte ce nom. adj. Celeste. 

+ Ceıfte, s. m. (f. d’Asie) bätiment de p@- 
cheurs. 

CeL£uma, s. f. sorte de ori ou de chant des 
matelots pendant la manauvre. 

CELEUMÄR, ©. n. faire Coleuma. V. ce mot. 

C£ıca. V. Acelga. 

C£ına. V. Sobranckika.—e,(t. de bot.) * cils: 
poils au bord des feuilles, bract6es, et autres 
parties des plantes. 

h CkıHaA,s. f. * baquet : cuvier de bois petit et 
as. 

+ CeLneino, A, adj. (t. de bot.) clli6: garni 
au bord de poils comme les cils. 

+ CeLfaco, a, adj. (t. de med.) cölisque, qui 
a le flux celiaque, qui appartient & celte ma- 
ladie, dans laquelle les aliments sortent mal 
digeres. Arteria —a , artöre c&liaque. 

CeLisino. V. Celibdto. 

CELIBATÄRIO, A, adj. et s. oblibataire ; nubile 
et qui vit dans le celibat. 

CeLisiro, s. m. celibat : &tat d’une personne 
non mariee. 

Ckuisg. V. Solleiro, Celibatdrio. 

C£uıco. V. Celeste. 

CeLicoLA, adj. 2 gen. (f. de pods.) habitanı 
du ciel. 

CzLınönıa ,s.f. (6. de bot.) chelidoine : plante 
papaveracde. — maior, &claire, grande cht- 
lidoine. — menor, scrofulaire, pelite cheli- 
doine. df.—, pierre ronde, plate, qui se trouve, 
dit-on,, dans l’estomao des hirondellos. 

+CeLirLuo,a, adj. (8. de pods.) qui coule 
du ciel, 

18 


278 CEM 


+ CaLfceno, a, adj. (1. de pods.) enfante par 
le ciel, d’origine celeste. 

+ CELIPOTANTE,, adj. 2 gen. (I. de pods.) qui 
regne dans le ciel. 

Carıi, s. f. cellule : chambre d’un religieux ; 
dt. V. Aposento. — , alv&ole : petite cavile oü 

es abellles font leur cire. 

CerLanı. V. Cellularia. 

Cerrinio. V. Cellertiro. 

CeLLkıao, 3. m. ceilier, grenier. 

CELLERBIRO ou CELLkınkıro, A, 8. m. oelle- 
rier :religieux ow religieuse qui a soln des 
provisions „des &penses debouche ;titre claus- 
tral. 

CaLiinna, s. f. dim. de Cella. 

* Czıroncıid. V. Cirurgido. 

CerLura.V. Cellinha. (t. de bot.) cellule : ca- 
vite, loge, alv&ole, separation. 

GeıLuLir, adj. 2 gen. (1. d’anat. et de bot.) 
eellulaire: qui a des cellules ; enveloppe cellu- 
laire ow tissu reliculaire. Premidre peau sous 
rtpiderme d’une plante. Cellulares, pl. (1. 
d’hist. nat.) cellulaires : genre de zoophytes & 
eellules. 

+ Cerrurirıa ou CaıLara, 8. f. (tb. hist. 
nat.) *cellaire : polypier cellulalre. 

CRLLULAZINHA , 8. [. (4. de bot. ei d’enal.) pe- 
title collule. 

CeLLuL6so, A, adj. celluleux. On le dit des 
fcuits divises intsrieurement en plusieurs cel- 
lules. V. Cellular. 

CeLsıtüps, 3. f. excellence, sublimits, gran- 
deur,, &lövation. 

Ceıso. V. Excelso. 

CELTA, 8. m. Celte : habitant d’une partie de 
l’ancienne Gaule. 

TCeırisgnıa, 6. f. (6. de geog.) Celtibörie: 
“ aujourd’hui l’Aragon et une partie de la Cas- 
Vlle; pays habils par une colonie celte. 

CELTIBERICO, A. adj. et s. Ceitibere, Cel- 

CELTIBERIO, A. tiberien : de la Celti- 

CELTIBERO, A. berie. 

CELTico, A, adj. celtique : de la Gäule cel- 
Ligue. #. m. Celtique : langue dos Celtes. 

+ Cu, s.m. mesure de vingi brasses carröes, 
daus le royaume de Siam. 

Cu ,adj.2 gen. numeral. cent; une cenlaine. 
CeuponaaR. V. Contuplicar. 

Ceuentacäiö,s. f. (6. de chim.) cömentalion: 
action d’exposer au feu les mötaux dans un 
melange de seis, soufre, charbon, cendres, 
briques pilees , etc. Caleinalion ; espece de stra- 
tilication. 

CEN&NTÄBO, A, P. pP. de 

Cementän, vo. a. (8. de chim.) c#menter: 
faire la o4mentation , purifier l’or, ete., par la 
cörauntalion. V. Cimentar. 

t Cumentatrönıo, a, adj. (8. de chim.) c#- 
mentstoire : qui sert & la cömentatien. 

CEutnto, 8. m. (1, de chim.) odment, poudre 
oementatoire. 

CExıtzaılL, odj. 2 gen. cimetärial ; qui col- 
cerne le cisnotiäre, qui y est situe, 


CEN 


Cexırärto, s. m. eimetiöre : lieu & d&couvert 
destine A enterrer les morts. 

CenäcuLo, s. m. cenacle: salle A manger, 
selon I’Ecriture , particuliörement celle o& 
Jesus-Christ c&l&bra la päque. 

+ CENATORIO, A, ady. qui concerne le souper. 

+ Cenco ow Cancro, 8. m. (tl. d’hist. nal.) 
cenco : serpent mince, brun, tachels; vou- 
leuvre d’Amerique; cenchris. ü 

CenpiL, s. m. stoffe de sole ou de lin trös- 
mince et transparente. "Ceinture, bande, ban- 

sau. 

CenoripO, A, P. p. de Condrar. T. Acand... 
adj. Pur. 

CEnBO, 8. m. "morgue : Contenance sörleuse 
et fiöre; aspoot fächeux, desagreable, trisie, 
effrayant. (6. de veler.) Sorte de bouriet qui se 
forme autour du sabot d’un cheral. 

+ Cenisuo, s. m. cönisme : vice d’dlocutien 
greoque, en employanı conlustınent tous les 
dialectes. 

Ckno, s. m. bourbier, bourbe. 

„ÜRNOBLÄLNERTE, adv. A la manidre des c&ne- 
bites. 

t Canösıanco, s. m. c&nobiargue : sup6rieur 
d’un monasi£re, 

* Cenösı0. V. Convento,, Mosteiro 

Cznosita, 5. m. cnobile : moine vivanı ea 
comununaute. 

Cgnositico, A, adj. cenobitique : du c&ne- 
bite, des moines. 

Canoına,s. f. (1. de bot.) carolie:! genre de 
la famille des ombellifäres. — de Crdla, atbs- 
mante de Cröte. 

Csrosıpäns, 8. f. * margouillis : gächis plein 
d’ordures. 

Canöso, A, adj. vaseux, fangeux, boueux, 
bourbeux , gächeux, plein de bourbe. 

CenoräPeio, s. m. cönotaphe : Lombeau vide 
dresse & la m&moire d’un mort, de quelgu’ua 
dont on n’a pas lo corps. 

Cenouna. V. Conoire. 

Cennipa. V. Barrel, Decodda. 

Cenagıaa. V. Senreira. 

CENSATÄRIO, 8. m. censilaire : celui qui pay® 
des cens et des rentos. 

CENSIONÄRIO, A, adj. qui paye cens. 

CENSO, 5. m. cens : redovance annuelle et en 
argent de certains biens au seigneur. —, de- 
nombrement : dtat que les censeurs romains 
faisaient tous les cing ans des personnes et des 
biens. Ancien impöt. Recensement. — reser- 
valivo, albergeage. — \ ‚cens par 
lequel on rogoit une somme d’argent, pour la- 
quelle on est tenu de payer une pension au- 
nuelle. — remivei ou redimivel, cens racheta- 
ble. — oilalicio, cens & vie, renie viagere. 
— sorpihu , rente perpttuelle. Dar ou famar 
0 — , acenser. Sem — , quittement. Pager 0 — 
d morie ou 0 —commum, (fg.) IDeuris. — Ber» 
petuo , rente perptinelle. 


Censön, 3. m. censeur, dans {eules les au- 


ceptions des deux languwes. 
CansönI0, 4, adj. de conseur, Me a. 





CEN 


‚ncien teibunal du Portugal pour censurer les 
mes. 

Cansuär, @dj. 2 gen. censuel: qui a rapport 
au cens. 

t CaxsuaLista, s. m. censier : celui A qui le 
cas est dü. 

CENSUALHENTE , do. censivement, avec droit 


cons. 

t ansuiaıo, 3. m. censier: qui tient une 
ferıme & oens, un cens & ferme. 

Cansuas, s. f. censure, dans toutes les ac- 
ceptions des deux langues. 

CEnstaiB0, A, p. pP. de Censurar. 

CERSURADER, 5. m. Crilique, CENSeur, Con- 
tröleer : oelai qui Criligque, qui censure. 

CEsscaÄR , 9.4. o0nSurer: reprendre ‚faire 
la censare, la eritigse de... ; blämer. — „porler 
queigue jugemen! sur un ouvrage qu’on a 
analyst, le condamner. 

CansunävEL, adj. 2 gen. censurable, crilica- 
De: qui peut @ire censur6, qui mörile censure. 

Castar6ıno „ 3. m. (raise,, Ineseniere de 
beaul, eio. 

Camriö, 3. m. "eouverture falle d’une &loffe 
farte pour los machines de guerre. 

Canräunga, 5. f. (f. de bot.) — meior, CoR- 
keurds ooınmune ou grande cenlaurde. — Me- 
ser, gentiane centaurelle , la petile conlaurde; 
Biel de terre. 

CAnTäugo, 5. m. centaure : monsire fabg- 
louz, meitie homme etmoili6 chaval. —, con- 
stellstion meridionale. 

CenrtıaL, s. m. seigle: champ some de seigle. 

CGawrtıo ,„ s. m. seigte : sorie de bi6 A &pis 
berbus. 


Caurtıma „ s. f. etincelle, blustie : petite 
parcelle de feu. Foudre, Yivo como uma—, 
(fem.) vif, prompt comme l’&oleir. 

„s. f. eentaine : nombre cellectif de 
eent units. 

Canrenin , s. m. containe : särle de oent uni- 
us. Acsnlonares, par cantaines. 

CESTENÄRIO , 8. m. eont ans. V. Contondr. 
adj. contenaire : qai a cont ans, qui content 
cent ans. 


Gerrto. V. Conttio 
Czrrtns 08 } "et. omtiöme : nombre 
Gyrtsımo, A, 9 ordinal de omt. s.m. V. 


Cantılaza, s. f. cenliare ı mosure de super- 
Seie #gale A fa centiäme partie de Yare. 
GurmöLıo, s.m. (1. de bot.) V. Rosa de 


com- . 

CewrcaiDo, A, adj. oontigrade : divis6 en 
cent degr&s (ligne, taermomitre). 

Casrı.an, ee einftliar. 

amd, ..m. ouvrage qui conlient 
cent parties ou cent pr&septes. 

Czstıuino, a,0dj. (t. de pods.) centimane : 
qui a cent meins. 

Carrinerno,, 8. m. centimätre : sontieme 
partie du möte : slignes ıf2. 
arrino, 9.0, ventimte ı schtliäuie yartie du 

6, 





CEN 

CentıntıLa. V, Sentindlla. 

Centınönıa. V. Semprenoica. 

CEnTiPenA. V. Centopla. 

CEXTIPEDE, adj. 2 gen. qui a cent pieds. 

CENTO, 8. m. *centaine, cent. Aus—s, par 
centaines. Jogo dos —s, piquet : jeu. 

CENTöC0LO, adj. m. (t. de pods.) aux cent 
yeux. 

CERTÖES, 8. m. pl. centon : po&me rempose 
de vers pris de cöt& et d’autre ; rapsodie. 

CENTÖLA, 8. f. grosse ecrevisse de mer. V. 
Sanlola. 

Cextor£a,s. [.*millepieds, cloporte , scolo- 
pendre; centlipede : insecie aplere. 

CENTOS , s. m. pl. piquet : jeu de cartes. 

CENTRÄL, adj. 2 gen. central : qui est daus le 
centre, qui lui appartient, 

CanTrauızacäö, s. f. centralisalion: reunion 
des pouvoirs au cenire. 

CENTRALIZÄDO, A, 92. 9. d 

CENTRALIZÄR, ©. G. cantralise : rdunir am 
cenire. 

CENTRÄLNENTE, adv. au centre. 

CEntrico. V. Cenirdi. 

CENTRIFUCO, A, adj. (1. de phys.) centriluge: 
qui tend & s’6loigner du centre. 

TCEnTRina, s.f. centrine:: espöce de squale, 
poisson de mer. 

CENTRiPETO, A , adj. (f. de phys.) centripäte: 


275 


.qui tende & gagner le centre. 


} CENTRISCO, 5. m. centrique. V, Bi 

CENTRO, 8. m. ceuire : point du milieu d’un 
cercie, d’un globe, d’une figuse en general; 
ooncours des diamötres d’une courbe; milieu ; 
point de tendance ; point aulour duquel les 

demeurent. Cour : nıilieu d’une ville, 
d’une cite, etc. — de ezercilo, (t. mil.) corps 
de batailie. Biter em seu —, Oire dans son 
eentre, dans son &löment. Eire oü }’on se plalt. 

3 CENTROSCöPIA, s. f. centroscopie ı trail& 
des centres, des grandeurs. 

CentöuviR, & m. contumvir : magistrat, 
Yage eivil romain. 

CENTÜMVIRÄL, adj. 2 gen. contumviral : qui 
viont des comamvirs ‚de leur ressert. 

CENTUMVIRÄTO, 8. m. oontumvirat : dignits 
de eentumvir; sa durde ; les cenlamvirs. 

CENTUPLICKDAMENTE, ade. au centuple. 

CENTUPLICÄBO, A, 9. P. do 

Centürnscik ,„ 9.6. temtupler : röpöice Cumt 
fois ; rendre cent fois plus grand. 

CENTOPLO, #.m. ot adj. eentuple : ceu; fols 
aultant. 

CEnTörIa, s. f. comurie, centaine : chea les 
Romains, ie de cent soldais. \ lg.) 
Division d’un GuYrage 6m ccnt parliee. 

TCEnTORIaDOR, s.m. centuristeur: historien 
qui divise son ouvrage par siecies. 

Cewröniö,s. m. centarion : commandant 
de cent hommes, & Rome aneienne. Centsuier: 
centurton dans V’evangile. 

+ Cantönıo, s. m. On denne ce nom & relui 
qui dans la procession de lenterreinent do 
d.-C, ropresente lo venlurion romalı. 


2776 CEP 


CENTURIONÄDO,, 8. m. dignits : grade de cen- 
turion. 

CEenzitLa. V. Senzdla. 

Cko,s. m. ciel:: l’espace qui contient les as- 
tres, orbe, region du ciel there; les astres; 
Patraosphere ; air, les nues; climat, pays. 
(fg.) Le haut d’un lit. — ‚sejour de Dien, des 
bienheureuz ; le paradis. fi ig.) Dieu, la provi- 
dence, la volonts divine ; Pinfluence suppos6e 
des astres, les dieux, la fortune. — da bocce. 
V. Paladar. Do — ‚e en haut. Conguistar, 
ganhar o—,( ig.) acheter, gagner le ciel par 
debonnesauvres. Estar feito, serum-—-aberio, 
(fg. fam.) On le dit d’un lieu quelconque ma- 
gnifiquement illumine et orne avec goüt. O — 
aberio na terra, (fig.) tr&s-grand bonbeur, 
tr&s-grand plaisir. Sobir-se alguem ao —, (flg.) 
s’enorgueillir. /sto d t&o facıl como dar ums 
palmada no —, (id.) ce serait vouloir l’impos- 
sible, prendre la lune avec les dents. Tomar 0 
— com as mäos, (id.) jeter feu et flammes. 
Pör a böca no —, (id.) parler des choses qui 
sont au-dessus de nous. — enajado ou irado, 
ciel en courroux. 

C£ra, s.f. "cep: pied de vigne. Souehe:: par- 
tie du tronc qui reste apres que l’arbro a &t6 
coupe®. (fig.) Souche : celui d’ed& sort une sulte 
de descendants. 

Certira, s. f. "cep de vigne. V. Videire. 

. CerkınÄr. V. Sinceiral. 

+ CzruaLacrkapHia, 8. f. (1. de med.) chpba- 
legrapbie : description de la t6te, du cerveau. 

GeresaLalcia,s.f. (1. demed. } cophalalgie : 
vive douleur de tete. 

T CerBALaLocia, 8.f. (f. de dd.) o6phalalo- 
gie : trait& du cerveau, de la t#te. 

+ CEPHALÄRTICO, A, adj. (t. de mdd.) ctphba- 
lartıque : qai purge la t&te. 

+ CarnaLaTouia, 8. f. cöphalatomie : anato- 
mie du cerveau, de la i#te. 

Ceruarta,s. f. (t. de med.) osphalte : dou- 
leur de t#te inveteree. 

CarmiLico, A, adj. ( £. de mid.) cAphaligue: 
qui appartient & la t£te; pour le mal de t#te 
(tomedde, etc.). 

+Cersauitıs, 8. f. (t. de med.) cöphalitis: 
inflammation du oerveau. 

+ CeruaLdıne, adj. 2 gen. cöphalolde: qui a 
la forme d’une t£te. 

+ CEPHALÖNMETRO, 8. m. (6. de chir.) ospha- 
lomeötre : instrament chirurgical pour mesurer 
la t#te du fwtus. 

+ CermaLonouancia, 8. f. o&phalonomancie ; 
divination avec la töte cuite d’un Ane. 

TCzrnaLöronss,, s.m. pl. (8. d’hist. nei.) 

lopodes : mollusques ä manteau ‚en sac, 
bouche entour6e d’appendices servant de pieds. 

+ Cepmaroronia, 8. f. (t. de mdd.) cotphalo- 
ponie : doaleur vire, mal de töte. 

+ CRFRALOSCÖPICO, a, adj. otphaloscopique: 
(eolleetion) de cränes humains A observer. 

Ceruto, s.m. (tl. d’asir.) cöphe6e : constella- 
con septentrionale de trois #toiles en ligne 

ro1te, 


CER 


CEPILEADURAS , 8. f. pl. " copeaux : 6clats que 
detache un rabot de menuisier. 

CrrıLnän, etc. V. 

CEPIiLBO, 8.m. petit rabot: outil de menuisier 
pour aplanir le bois. it. * Lime d’armurier. 

CEPiNRO, 8. m. dim. de Cepo, petit tronc. 

C£ro, s. m. tronc d’un arbre coupe, souche. 
Billot : troncon d’arbre sur lequel est pos€ une 
enclume. Ceps : deux piöces de bois entailldes 
entre lesquelles on met les jambes d’un pri- 
sonnier ; assommoir. Tronc : botte fendue pour 
les aumönes, les lettres. enard : 
pour les loups. Essieu d’une pidce d’artillerie 
mont£te. ( Ag.) Loudeau. — revesso , rabot 
courbe. — de jarre. V. Japre.— da ancora, (1. 
de mar.) jas de l’ancre. — de tanoeiro, . 

+ CeroLa, s. f. (t. d’hist. nat.) chpole : pois- 
son petalosome. — ‚"ruban de mer. 

+ Car0nR0, 3. m. (P0p.) vieux cep qu’on ar- 
rache pour brüler. 

Chaı,s. f. cire: matiöre jaune, presque in- 
sipide, compacte, s’amollissant par la chaleur, 
produite par les abeilles; bougie, cierge, chan- 
delle de cire. — dos ouvidos, cire, o&rumen : 
humeur des oreilles. — bella, eire-vierge. P4o 
de — bella, marquelte. — de dowrar, oolle ä 
dorer. Ser ums — , sor de — ou como ume —, 
(ig. fam.) ötre souple comme un gant, docile. 

Ceraiun, 3. m. sorte de plancher fait sur 
quatre troncs d’arbres coouvert de feuilles de 
palmier, chez les Arabes 

+ Curniuzs, s. m. pl. ( I. d’ani.) ctrames :: 
vases en terre cuite dont les Grecs se sorvalent 
dans les repas. 

+ Czniuıco ,, s. m. obramique: lieu des fune- 
railles publiques militaires & Athönes, od ily 
eut une tuilerie. 

+ Cenauita, s. f. ctramite : pierre pröcieuse 
d’une couleur de brique. 

Ceaar£r. V. Carol, Ceroto. 

Cerista, s. f. ceraste : serpent A oorne; vi- 

d 


CERATOCLOSSO, 8. m. (L. Fanat.)otraloglosse ? 
muscle qui retire la langue 

+ CERATOPLÄTO, 5. m. (e. d’hist. nat.) cöra- 
topogon : insects tipulaire. 

+ CenatöruYTos, s. m. pl. (1. @’hist. nei.) 
c#ratophytes : zoophytes ou polypes dont Paxe 
est solide , transparent comme la corne. 

CenÄuma, s. f. "o6raunias: pierre de foudre, 
pierre de tonnerre. 

? Cekiumio, s.m. cöraunion : note gramma- 
tcale sinsi Agurte +, qui, placde & cöt6 d’un 
vers , marquait quil dal defectusux ; signe 
marginal d’improbation. 

C£eszno, s. m. (L. de myih.) cerbere : chien 
des enfers & trois tötes. (fig.) Homme groseicr, 
intyaltable: mauvaise langae. 

Ckacı, s. f. enceinte, mur, enclos, elöture. 
Jardin. 

Czaca, ade. prös, auprös. Environ, au:our. 
— de, ä odt6 de, proche, tout contre, appro- 
ehant. Deo— , de pres. 2 — de, ä Pigard do, 
quaut &, relativement,A ‚„oonoernant, Sur. 


CER 


CERCADO, A, p. p.de Cercar. s. m. Encios, 
eios, clöture : enceint de ınurs, de haies. 


CERCADOR, 3. m. celuiqui fait une clölure. | 


Assiegsant. 
CERCADÖRA , 3. f. enceintc, siöge; bord, bor- 
dare,, garnilure ; bord,, exircmile. 
CERCAMENTO. V. Colgadura. 
Cancaxisas, 8. f. pl.V. Arredores, Vizinhan- 


pas. 

DEBCANTE. V. Cercador. 

Czsciö, adj. voisin, proche. 

CeRCcAR,v. 8. ceindre, entourer, clore, en- 
elore, enceindre , parquer, murer. Assieger : 
cerner, faire le siöge d’une place. Environner, 
enlourer quelgu’un. 

"Cencan-sE. V. Acercar-se, Aprozimar-se. 

Cärce, edv. court, ras. 

CERCEADO, A, p. p. de Cercear. 

CERCEADÖR , 5. m. rOgneur : celui qui Togne, 
gei retranche. 

Cznceapiaa,s. f.l’aclionde rogner;rognure, 
retranchement. 

f ÜSRCEAMENTO, s. m. retranchement : di- 
minution d’une chose. V. Cerceadura. 

CERCEÄAR,, ©. a. rogner : retrancher quelque 
chose des exiremites. Retrancher, Jdiminuer. 
Abreger. Chätrer : retrancher le superflu. 

Cercto ou CERCEIO , s. m. V. Cerceamenlo. 

Ciecgo,A,adj.ras, tout couft. 

Cerctra, s. f. sarcelle, cercelle, judelle : oi- 
seau aqualique. u 

CRACILBÄDO, A, p. pP. de 

+ CarcıLuär, v. a.. faire la tonsure d’un 
meine. 

CzaciLn0, 3. m. " Wwnsure de moine. 

Cäxco,s. m. cercle, circuit, enteinte , tour, 
enWwarage , oeinture. Siöge d’une place. Em—, 
aulour. 

tT CzacosiTHEco , s. m. cercopitheque : singe 
& longue queue non prenante. 

Ckapa, s. f. * crin. Soie de sanglier. 

Cirpo, s. m. cochon , pOFC , pourceau; San- 


Czan080, A, adj. couvert de crins ou de 
sales, 

+Czazizs, s. m. pl. coreales; les bles. s. f. 
Files de Ceres. 

Canzir , adj. 2 gen. cereale. 

Carza£ıLo , s. m. (I. d’anat.) cervelet : par- 
ie posiärieure du cerveau. 

Czazsaär, adj. 2 gen. cerebral : qui appar- 
tient au cerveau (Nievre, inflammation, etc.). 

+Cassnnırönme, adj. (8. de path. cerebri- 
forıme (cancer) qui ressemble & la substance 
etrebra 


le. 

tCexzaaino, A, adj. ($.d’anat.) cerebral, 
etr&breux. 

(Sarsa0, s. m. cerveau.(fg.) Esprit, juge- 
ment; imaginalion. 

CaRLFöLIO oW CEROFOLHO, 3. m. Corleuil: 
scandix, plante polagdre. — de cheiro, cerfeuil 
sderani ou musque&; cerfeuil d’Espagne; fou- 
£fte musgu6e. 

Cratja,s. f. guigne: fruit du guignier ; cerise. 








CER 


277 


CereJiL,s. m. lieu plante de guigniers, de 
merisiers. ' 

CEREJEIRA ORDINARIA OU GALLECA,, 8. fı (8. 
de bot.) *merisier. — pedral ou de sacco, gui- 
gnier. — preia, merisier & fruits noirs. — bra- 
va, "cornouiller mäle; cornier, acurnier. 

CERENÖNIA, 5. f. cör&monie. (fig.) —, civi- 
lit6 outreo. —da lei antiga, observance. De —, 
en c#remonie, solennellement. Por —, par 
cer&monie. Sem —, sans compliment, sarıs 
facon , saus c&r&monie. 

CEREMONIÄL, 8. m. cerömonial : livre qui 
contient l’ordre et les regles des c#r6monies. 
—, Usage d’un pays pour les cöremonies reli- 
gieuses et politiques. 

CEBENONIÄL, adj. 2 gem. qui appartient aux 
cer6monies, 

CEREMONIÄR, ©. a. faire des cör&monies ; 06- * 
lebrer avec c&römonie, solennellement. 

CERENONIÄTICAMENTE, adv. Buivant les o&re- 
monies. " 

CEREMONIÄTICO, A, adj. cerömonieux : qui 
fait trop de c&r&monies. Qui observe cxacte- 
ment les c&r&monies, 

f CEREMONIÖSAMENTE, adv. avec cärdınonie. 

T CEREMONIOSO. V. Ceremonialico. 

fC£reo,a,adj. de cire, couleur de cire, 
Nexible comme la cire. 

+ Cercıpeiras, 8. f. pl. (8. de mar.) cargues- 
boulines. 

f Ceriaco, s. m. ($. de bot.) coriaca : arbre & 
fleurs blanches. 

C£axs, s. f. Cörds: d6esse de 1a fable qui 
preside aux moissons. 

T Cerıkıra, s. f. (ti. de bot.).ceriere : arbris- 
seau d’Amerique N.; espece de gal& dont les 
fruits bouillis donnent une cire. 

CERILIRO, 8. m. cirier : ouvrier en cire. 

TCerirero, A, adj. qui donne la cire. Ar- 
vore —a. V. Cerilira. 

+ Ceririco, A, adj. qui appartient aux por- 
traits en cire. 

CExiNHA, 8. f. dim. de Cera. 

+ Cerıxtaa. V. Chupamel. 

+ Cerıo,s. m. cörium: nouvelle substance 
metallique. 

+ CERIROSTROS, s. m. pl. (tl. d’hist. nat.) c&- 
rirostres : oiseaux & bec garni d’une mern- 
brane. 

T CERMENBEBIRO. 

 Ceausuno. | V. Soramenho, etc. 

CERNÄDO, A, p. p. de 

CERNAR, ©. a. couper un arbre jusqu’au 
caur. 

CERNE, 5. m. cur d’un arbre. 

CernıLaa,s. f. (1. de veler.) croix sur le 
cheval, etc. 

* CERNILHEIRA. V. Cachfira. 

* Cernin. V. Peneirdr. 

+ Crröcowma, 8. f. (1. d’hist. nal.) ce&rocome: 
col&optere epispastique. 

CEROFERÄRIO, 5. m. CEroleraire : celui qui 
porte un cierge. 

CEROFOLHO. V. Corefoske. 





278 CER 


CerÖL, 5. m. composition dont se servent les 
cordonniers, (vulg.) polx de cordonnier, blan- 
che ou noire. 

+CERoManciA, s. f. c&romance, cöroman- 
eie : divinalion par des figures de cire. 

CanönE, 5. m. manleau nauresque. 

+ Canon, s. f. ($. d’hist. nal.) espece de 
trichocerque. 

+ CeaorLäistica , s. f. seroplastigue : art de 
mouler les corps , les membres en cire. 

CERr6T0, 5. m. cerat: pommade ou Onguent 
oü il entre de la cire. 

CenövLas, a. [. pl. "calecons: sorte de culotte 
de dessous , en Loile, elc. 

Cerguäıaa, 3. f- religieuse qui a soin du 
clog. 
CERQUEIRO , 8. m. moine jardinier. 

CERQLINHO,, A , 64). (cavallo —), fort comme 
un ch@ne (cheva!). 

Cenraciö,s. [. grande obscurits# provenant 
d’un orage, d’un nuage, etc. : brume. — do 
geilo, enrouement; suffocation , etouffement, 
aphonie. 

CERRADAMENTE. V. Simuladamente. it. Obs- 
linadamenle. 

CERRADISSIMO, A , adj. sup. de 

Ceraäno, A, 2. p. de Cerrär. adj. Serr6; 
touffu, &pais, bien garni. Obstine. Qui a un 
fort accent &iranger.—da barba, qui a la barbe 
forte et epaisse. — da moleira, ineple, igno- 
rans ‚stupide, Carallo —, cheval qui rase, qui 
ne marque plus. Dia—, ar—, temps couvert, 
Poria —a, porte fermee, maispas ä la clef. 4’ 
carga —a, en aveugle, sans relloxion,, obsti- 
nement. 

Cerrido,s. m. V.Cercddo, s. 

CERRADOUROS. V. Cerrdes. 

Cernaneri,s. f. V. Cerca, Tapada. 

tCerRies, s.m. pl. ( — da bolsa), cardons, 
fermoirs (d’une bourse). 

CERRALHAS- V. Serralhas. 

ERRALHEIRO. 

uanaınEino. | Y, Serralh..., oi6. 

Cexrän,v. a. fermer: clore ce qui est ou- 
vert. Serrer, eireindre, presser. Enfermer. 
Clore, enclore, parquer, enceindre. Barrer : 
fermer un passage; barricader. Clöturer, ter- 
miner, arreter, en parlant d’un inventaire, 
d’un compte, etc. V. Fechar.— os livros, (1. 
de comm.) balancer, solder les livres. 

Cenräx (com), v. n. föndre sur quelgu’un, 
laltaquer, lo serrer de pres.— 0 carallo,, raser. 

CennÄn-sE, v.r. sc fermer, so serrer, eic. 
(fig.) Tenir ferme, persister. Se reprendre, se 
rejoindre, cn parlant des chairs coupees. Se 
buter, se fixer. Ne plus marquer, en parlant 
des chevaux, eic. — amoleira,, se fortifier, se 
consolider, en parlant des 95 parietaux. (19.) 
Avoir lo jugement forme. — o c#o, se couvrir 
de nuages, cn parlant du ciel. — o die. V. Ob- 
scurecer-se. — a noile, so faire nuit. — a cha- 
gs, a ferida. V. Cicalrizar-se. —  banda, 
(Ag.) seenister, s’obstiner, ne pas demordre 
d'une opinion. Cerrarem-se lodas as portas, 


CER 


(Ag.) trouver toutes les portes fermtes, man- 
quer de toute ressource. Cerrarem-se 03 espi- 
ritos, perdre haleine , 6touffer. 

CERNL. 1 Y. Serr...,eic. 

Cenri. V. Sarlä. 

CERTÄHE, s. m. duel, cartel, defi, combst. 
(fg.) Combat, dispute litt£raire. 

CRRTAMENTE, adv. Oertainement, äassure- 
ment; avec certitude, Ndo —, non certes. 

CentTi6, V. Sertäo. 

Certar. V. Contender, Pelljar. 

Czat£ıro, A, adj. qui ajuste, qui pointe 
bien, qui vise juste. 

Ceattza, s. f. certitude : assurance pleine et 
entidre. 

+ Cartata ‚s. f. *grimpereau. V. Trepadeira. 

Carrıpiö, 3. f. "certificet , attestation. — de 
baptismo , extrait de baptöme. — d’obile, ex- 
trait mortuaire. 

Certiricacäö, 8. f. certification : attestation, 
assurance par &crit en affaire. 

CEATIFICÄDO, A, pP. pP. de Corlifiear. s. m. 
Certiflcat. — d’uma fianga, oontre-pieige. 

CERTIFICADÖR 0% } certilicatsur: qui oer- 

CERTIPICANTE, 8. M. tie. 

CERTIFICAR , v. a. certifler : tEmoigner, assu- 
rer la veritö d’une chose. —, attester de vive 
voix ou par ecrit. 

CERTIFICÄR-SE , U. T. S’ASSUTEr, 58 CONvaincre. 

+ CERTIFICATÖRIO, A, adj. qui certifle, qui 
est bon , qui sert & certifier. 

CERTISSIMAMENTE , adv. sup. de Cortamenle. 

CERTISSINO, A , adj. sup. de 

CeaTo, a,adj.certain, sür,indubitable ;assure. 
—, prelx, determine. Justo, exaot. V. Cer- 
teiro. — de, instruit, averti de. Um — homen, 
un certain homme. Awigo — ‚ ami fiddie. Fa- 
ser —, certifier. Estar —, etre sür. O relegie 
estd —, la montre est bien regl&e. Ter mdo 
—&, ttre un habile tireur. —s 380 os fouros, 
(fam.) ilne faut pas douter de cela, la choss 
est trds-certaine. Por certo, de certo. V. Cerio, 
adv. 

CerTo,s. m. certain : chose certaine. O— i, 
le fait est que. B— que, il est certain que. O— 
da renda, ie tixe de son revenu. Ndo deixer o 
— pelo duvidoso,, no pas quilier le certain pour 
Pincertain. Ndo saber 00—, ne saveir pas pre- 
cis6ment. 

CERTO, ade. certes, certainement. — que sim, 
— que nädo, oh! quesi, oh! que non. Ir so- 
bre — , öire sür de son fait. Fallar sobre —, 
parler avec certitude. 

GentvA, 8. f. V. Celidonia maior. 

CeRÜLEO, A, adj. azure,, bleuätre. Bieu. 

+ CauLi-caınite, A, adj. (l. de pods.) qui a 
les cheveux bleuätres, 

CeruLo, 8. m. sable indtallique qu’on 
(rouve dans les mines d’or et d’argent , 08 dont 
se sorvent les peintres. —, a, adj. V. Ce- 
rüleo. 

CERÜME 0% CERUMEN, 5. @. cörumen : hy- 
mcur jaune des oreilleg, 


GES CET 279 


lat. interdit, censure ecclesiastique. — dar- 
mas, suspension d’armes. 

CEssÄDO, A, 9. p. de Csssar. 

CESSÄnTE, adj. 2 gen. eessant, qui CES8®. 
9. a. de Cessdr. 

Czssiö, s. f. cession, abandonnement, To- 
nonciation, transport, demission, abandon. 

CEusÄr, u. ». cesser, s’arr&ter, disconlinuer. 
N&o — de chorar, de [allar, eio., n6 pas CEsser 
de pleurer, de parler, eto. Sem — , SaDS COßS6, 
continuellement, assidüment. 

Czssionärıo,, 5. m. cessionnaire : oelui qu- 
fait une cossion et celul qui l’accepte. 

Cessivgr, adj. 2 gen. oessible : qui peut dire 

Cesso. V. S4sso. 

Cesta, &. f. corbeille : espöce de panier, or- 
dinairement d’osier. 

+Cestäna, s. f. ce que peut eontenir une 
eorbeille. 

Cestiö, s. m. aug. de C£sto. (8. wül.) Gabion : 
panier rempli de lerre, pour couyrir les hom- 
mes de service et former un parapet. $#. Soris 
de radeau ou almadie pour Lraverser une Fi- 
viöre. 

+ Cestanfa , s. f. impöt sur les corbeilles de 
poisson (A Lisbonne). 

Cesr£ıro, s. m. vannier : ouvrier qui fait 
des corbeilles. — que faz um cesio [az um 
cenio, (adage) qui a bu boira, qai avole volera. 

C£stımna, s. [. dim. de Cösta. 

CESTINHO, 3. m. dim. de 























fOsavınnöso, A, adj. chrumineux : quitient 
delaeire, du oörumen. 

tCandsa, s. f. ceruse. V. Alvaiade. 

Gtava,s. f. biche: femelle du cerf. 

Csarär, adj. 2 gen. qui appartient au cerf, 
guiient da cerl. Lobo —, loup cervier, Iynx. 
S. . 
CERVATINBO ‚s. m. dim. de Cervo. 

Caaväro, s. m. daguet:: jeune cerf qui estä 
sa premitre tete. Broquart: böte fauve d’un an. 

Cenvtıno , A, adj. Cd —. V.Cerbero. 

Caavtsı, s. f. bidre, cervoise: boisson faite 
avec de Forge et du houblon. — forte, ale ou 
site. Fehrica de —, brasserie. 

+ Cunvsstina ou CERVEJARIA ,s. f. brasserie: 
lien od Fon fait la biere. 

+Czavastıno, s. m. brasseuf: colui qui fait 
ou qui vend de la bidre. 

Caavsıno. V. Cerebro. 

tlaevıchana, 8. f. cheyrette : fernelle da 
eberreuil. 

Garıcir, adj. 2 gen. (1. d’anat.) cervical:: 
quiapparlient au COU. 

Orricz. V. Cerviz. 

Czanıımas. V. Servilkas. 

tCaavıımtıra, s. f. (tl. d’anal.) ancienne 
armure pour garantir la t£te et le cou. 

Czavino, A, adj. qui appartient au cerf. 

Czaviz, s. f. cou, Chignon, nUqU®. 
dera—, (Aig.) tre incorrigible. Abaixcara—, 
(dd.) sbumilier. Levantor 0 —, (id.) s’enor- 
geeillir, se remettre. 


Ckavo. V. Veddo. CEsTo, 8. zn. panier, manne, — vendimo, 
Gaza. V. Corckia. noguet. — da gavea, (f. de mar.) " hune. — da 
Czazın ‚etc. V. Serzir, ete gavsa da gata, hune d’artimon. — da gaves 


grande, hune du grand mät. Ser — r6to, eiro 
incapable de garder un secret. 

Cesto,s. m. coste : gantelet de coir garni 
de plomb, dont on se servait dans les combais 
du pugilat. «4.* Ceinture de Venus. 

Castöns, pl. (4. de fort.) V. Costdo. 

Cestov. V.Cesto, Pelrina. 

Cesrao, etc. V. Sesiro. 

Cesüna, s. f. ossure : dans la poesie por- 
tugaise, repos dans un veis, a la 4° ou 
6° syllabe; dans la poesie grecque et latine, 
syliabe qui finit un mot et coommence un pied. 

CETÄcKO, a, adj. cötach : ilse dit des granas 
poissons. 

+ Crriceos, s. m. pl. (1. d’hist. nal.) chtaces: 
famille d’animaux mammiföres qui vivent dans 
la mer (la baleine, le narval, le dauphin, (ete.). 

+ Cerznigus, 3. m. (1. de bot.) ceterach : de 
radille ou herbe doree des Espagnols. 

Crrim. V. Setim. 

C£ro. V. Baltia. 

+ Carönıa , s. f. (6. E’hisl. nat.) cdtome : n- 
secte lamellicorne. 

+ Cerna, s. f." &cu 0% bouclier de euır des 
Lusitaniens. is. * Chiffre. 
+ Curmania ,'s. /. dessins falls & la plume 

dans Yancienne &criture avant lart typogra- 
Cessaciä, a. f. cessation ‚intermission, dIs- | pLique. il. Fauconnerie : art de gouverner 66 
eontinuation. — ow crssalio d dirinis, eXpr.! de dresser joute sorte d’oiseaux de proie, 


+ Csaid ou Crzid, s. f. ° accas de örre in- 
lermittenie. 

+Cssan, s. m. Cösar:nom qu’on donnalt 
aux empereurs TOMAins; (fg.) homme tres- 
brave. Ou —, ou nada, ou Cesar, OU rien : 
mazxime des ambitieux. 

Casiazo, A, adj. qui appartient a Yempe- 
reur, ä Pempire ou & la majest6 imperiale. 
Operaräo cesdrea, (1. Kanal.) cesarienne : a0- 
oouchement arlificiel par une incision prati- 
qade au-dessous du nombril. 

+Casan-aucostäno, A, od. ei subs. P’habi- 
tant de Pancienne Cosar-Augusta, aujourd’hul 


+ Casanıkno, a, adj. qulappartient & Pannde 
jelienne ow au calondrier de Jules-CEsar. s. m. 
Partisan de Chsar. 

tizsanıtnse, adj. 2 gen. Cösareen : ce qui 
est de Cisaree ou ce qui lui appartient. 

+Ceszutz, A, adj. 2 gen. de Cesene (Etat 


Casuanla, eto. V. Sesmaris, eic. 

Cäsrzazs, s. m. pl." moltes do gazon. 

* Cssrırka. V. Embicar. 

+Czsmröso, a, adj. gazonne. Planlas —as, 
(4. de bot.) plantes qui ont plusieurs rejetons 
a leurs racines (Cespilos®). 





280 CEV 


Ceratıro, 5. m. celui qui connalt la Saucon- 
nerie; qui chasse avec des faucons. 

CETRINO, V. Cilrino. 

Cärno. V. Sceptro. 

Ckura. V. Coita. 

Ckva,s. f. "engraissement des animaux ; en- 
grais pour lavolaille. * Appät, amorce : päture 
pour attirer les animaux au piege. Amorce d’un 
fusil, d’un canon. *° Butin. (Ag.) "Aliment d’une 
passion. 

Cavipa, e. f. orge : sorte de grain ; la plante 
qui le porte.—möchs ,* &courgeon : orge Carr6. 
— distieada ou sanla, orge & deux rangs; pau- 
mette; haillerage. Asno morlo — ao rabo, 
(fam.) apr&s nous la fin du monde. V. Asno. 

CavapiL, 5. m. "orge: champ qui en est 
seme. 

*Cevapkına, s. f. besace de voyageur. Ser 
ea — dalguem, 6ire entreienu par quelqu’un, 
etre son oommensal. 

CEvapkına ,s. f. (1. de mar.) civadiere : voile 
de beaupre. 

Cevapkıno, 3. m. celui qui est charge de 
fournir de l’orge pour les &curies du roi. Fau- 
connier. 

CEvapico, A, adj. qu’cn peut engraisser, qui 
est bon & Ongraisser ; qui proflte biemde l’en- 
grais. 

7 CevapiLma, s. f. poudre d’ellebore. 

+ Cezvapinua, s. f. dim. de Cevada. Orge 
perle. 

Ckvino, A, 9. p. de Cevdr. adj. Mis & l’en- 
grais; (fg.) amorce, attird par l’amorce. 3. m. 
Cochon engraisse. 

CEVADOR, 5. m. celui qui fait engraisser des 
animaux. 

CEVADOTRO, 3. m. " mue: lieu, cage oü l’on 
engraisse la volaille. Engrais : herbage ou l’on 
engraisse le betail. Corne d’amorce. 

CEYADÜRA, 8. f. nourriture, päture des ani- 
maux; curee, debris de la proie; butin, sac; 
amorce. (ant.) Decharge d’armes & feu. (fg.) 
L’aotion de blesser ou tuer par vengeanoe; 
f&rocits, acharnement. 


CEVANDIJA, etc. . 
CKVANDILHA. | V. Sevandija, etc. 


Ceviö, s. m. porc, cochon engraisse, ou 
qu’on engraisse pour tuer. 

CEvVÄR,v. @. engraisser : faire devenir gras 
des animaux. Amorcer : affroler, appälcr, at- 
tirer par l’amorce, par l’appät ; (fig.) allöcher, 
aıuorcor, altirer parleplaisir, la seduction, etc. 
Appäter : donner certaines pätes & la vulaille 
pour Pengraisser. (4g.) Entretenir, maintenir, 
nourrir, conserver, en parlant du feu. (id.) Fo- 
menter, en parlant des passions. Il est aussi 
reciproque dans cette acceplion. Amorcer : 
garnir d’amorce une arme & feu, une fusee. 
Mctire le feu & une fusce, eic. Acharner : don- 
ner aux b6tes le goüt de la chair. — com gräo, 
engrener. — de gente, (flg.) envoyer des ren- 
forts, des troupes fraiches. — a guerra, pour- 
suivre la guerre. — com benefcios, dadivas, 


CHA 


allirer, gagner par des bienfalts, par des dons. 
Pedrade —, aimant. 

Caväa-SE, v. r. s’cngraisser, se rassasior; 
s’assouvir; s’acharner. Se deleeter, avoir du 
plaisir. S’entretenir, se nourrir, en parlant du 
feu.— nos vicios, se plonger dans les vices; 
s’y adonner enlierement, s’y livrer. 

C£vo,s. m. appät, amorce : pätare pour at- 
tirer les animaux au piege. (fig.) Aliment d’ane 
passion. (id.) Allechement, attrait, appät, 
amorce. V. Ceba, (bo. 

N. B. Leck sonne k dans tous les mots pre&- 
cedes du «,etch(comme dans chose) dans tous 
lies aulres. 

Cui, s. m. (li. de bot.) th& : arbrisseau de la 
Chine et du Japon, de plusieurs especes; ses 
feuilles, et la decoction ow infusion de celles- 
ci.— bohy, th6 bou, bohda, roux, seche au 
soleil. — preio,, Ihe noir. — verde, Ihe vert: 
sech6 au four sur le cuivre. — perola, the 
perle. — chim, poudre & canon (the). — eljo- 
far ou imperial,, th& imperial. 

Cai , Cuia ou CHan, s- f. V. Planicie. 

*Cukipa. V. Chantza, Planicie. 

TCuaBanDirn, 5. m. (ti. de Perse) mallre, 
seigneur d’un port de mer. 

CHABUCO, 3. m. louct asialique. 

+ CuuciL,s.m. (1. d’hist. nat.) chacal : ani- 
mal carnivore qui tient le milieu entre le chien 
et le loup, en Alrique. — da cosla da mina, 
arompe, mangeur d’hommes : chacal de la 
Cöte-d’Or. 

Cakcara ow Cuicaa, 8. f. (1. du Brisil) mai- 
son de campagne, maison de plaisance; bien 
de campagne. is. *Cabanage : lieu oü campent 
les sauvages des Indes. is. Chanson enjouee, 
de fete. 

Cnaca, 8. f- chasse : au jeu de paume, c’est 
le lieu ou la halle flnit son premier rebond. 
—s, pl., injures reciproques, outrages muluels. 
Estar ds— com alguem, se disputer avec que 
qu’un, s’echanger des injures. Fazer —s, faire 
des pelils sauts en avant, en Se soutenant lou- 
jours sur les pieds de derriere, en parlant d’un 
cheval. 

Cnacäd. V. Chassona. 

CHacirn, v. n. chasser : renvoyer la balle 
avant qu'elle ait gagne la chasse. Marquer les 
chasses. v. ». Eviter le chasseur, en parlant 
des perdrix, etc. 

* Cuacim. V. Porco. 

Cuacina,s. f. chair de saucısses ; viande sa- 
lee. (Ag.) * Massacre. 

Cuacınino,A,p.p. de 

Cuacınäa, v. a. charcuter : decouper de la 
cheir ; saler et fumer de la viande. (fig.) De- 
chirer ; mettre en pieces. 

Caacörta, s. f. *badinage, jole bruyante, cris, 
&clats de rire de gens qui se diverlissent. Fa- 
zer — de..., (fam.) tourner une chose en plai- 
santerie , sten moquer. 

CBACOTEADO, A, 9. p. de Chacolear. 

CHACOTRADOR, #. m. badin, railleur, mo- 
queur. 


CHA 


GuacoTsan, 9. ». badinar, se rejouir, s’a- 
muser d’une maniere bruyante; railler ; lächer 
des mois piquanis. 

Cuacorkra, s. f. dim. de Chacoia. 

Guuco, s. m. V. Chaga. (1. de tonnelier) 
(basseir : outil pohr repousser, refouler les 
tercles des tonneaux. 

fGutıra, s. [. (t. de bot.) the, Varbre. V. 
ONd. 


+ Caatu,s. m. magistrat du premier rang 
dans la Chine. 

Cuararzi. V, Galkofeiro. 

Caiaraınia.V. Galhofar. 

Guaraaiz, s. m. fonlaine publique; chAleau 
deau. 

Cuaranktz, s. m. sorte de jeu de lrictrac. 

Cuarbapı, 8. f. V. Chiqueiro, Posilga. 

CHArRBÄDO, A A,P.p.de 

än,v.», barboter, plonger dans la 

boue, se vaulrer. 

CHAFURDEIRO, 3. m. gächis. V. Chiquäiro. 


Caica,s. f. plaie, blessure. (Ag.) —, dou- | 


leur, sliclion. A — sinda esid fresca ou gole- 
jendo sangus, la plaie est encore loule Bai- 
gmaste. —s de 5. Francisco, "stigmates de 


sakat at Prangois. 
Guucivo, A,P-.p. de Chayar. adj. Couvert 


ai pisies, d’ulcäres. (fe. ) Navre,, dechire; ai- 


"ÜxaGaBoR, a, s.et adj.celui ou ce qui blesse. 

Cuucin, v. a. blesser : faire une plaie;; ul- 
cerer.— 0 ) coragdo, navrer le caur. 

Cuaci2-SE, D. Tr. 56 couvrir de plaies; deve- 
nir ule&reux. 

Cuigus, s. f. pe eb CHAGUEIRA, ($. de bot.) 
Y. Mastrupo do P 

CHAGAZINEA ‚8. Fr dim. de Chdga. 

Cascuento, A, adj. couvert de plaies, d’ul- 
ceres ; sujet & des plaies,, & des ulceres. 

CHACUßaES, 5. m. Sorte de vase de cuir pour 
meüre de Peau & boire , ayant la qualite de la 
refroidir. 

Guacvinma , 3. f. dim. de Chaga. 

rt Caainua, s. f. varietö de pommes d’hiver. 

+ Guaioug, s. mw. cheik : chef arabe. 

CuaLavaci6, s. m. (i.d’Asie) grand bäliment 
ä deux rangs de rames. 

T« GuaLcrnontuse, adj. 2 gen. de Chalce- 
doine. 

f« Gusrcepoma „5. f. (f. de geog.) Chalce- 
doine, ville de Bithynie. it. — , ow Calc&doine : 
agaw "oouloar blanc de lait. — encarnada, 
cornaline. 


+ e Gasıcaoömo, A ,ad/.V. Chalcodonense. 
ü. Calobdeineux : : qui” a des taches blanches 
(pierre). 

te Caaschee,, s. f. (8. E’hist. nat.) chalcide: 

espöce mon. 

« CaLcocaapaia , 8. f. Chalcographie : art de 

Praver sur’airain , sur les mölaux. 

« ÖNALCOGRÄPBICO, A, adj. chalcographique: 
de nl naloographie, ‚ Qui concerne la chalco- 


CHA 281 


« ÜNALCÖGRAPHO, s. m. Ghaloographe : gra- 
veur en airain , sur mälaux. 

«CuaLvitco, A,.adj. Chaldalque : des Chal- 
deen» de Babylone. 

T « CuaıLdka,s. f. (6. de geog.) Chaldde : an- 
eienno contree d’Asie. 

«CHALDEO, A, adj. Chaldsen : de Chaldse. 
sm. Chaldeen : :langue chaldaique. 

CHäLg, s. m. chäle ow Schall; vetement de 
femme. 

CuaLz ‚s. m.(#. d’Asie) village ou demeu- 


rent les ouvriers en Asie. 


CaaLkıra, s. f."vase A bec pour houillir de 
Peau A faire du th6;; sorte de bouillolie. —s das 
balas, (ti. de mar.) "parquets ä boulets. — da 
amurada, (id.) * equipet. 

CaaLran. V. Pairar. 

CBALUPA ‚3. f. chaloupe : petit bäatiment des- 


| tind au service des vaisseaux. 


CHALYBEÄDO,, a, adj. (. de phar.) chalyb#: 
fait avec l’acier, charge d’acier. 

CuauaA, 8. f. chanterelle: oiseau qui sert 
d’appelant. V. Chamma. 

* CHamaciö. V. Chamada,. 

CHauackiras. V. Chumaceiras. 

Cuamipa, s. f. Vaction d’appeler, appel. 
Marque, renvoi, reclame : trait de plume mis 
A la marge d’un livre. (4. mil.) * Appel : signal 
donne6 avec le taınbour ou la trompette: cha- 
made. 

CHaMmipO, A, p. p. de Chamar. adj. Dit, sur- 
nomme. s. m. V. Chamame£nio. 

CaauapOn, 5. m. colui qui appelle. 

Caamanörı. V. Chamamenio, 

+ « Cuauinr,s.f. (1. d’MMst. nat. ) came : genre 
de coquilles bivalves, mollusques. —de folke- 
tos lacerados, gäteau feuillete. — gigantesce 
ou pia d’agua benta, tuilde. — cordiforme, 
caur de bauf. 

CHAMALÖTE, 8. m. maire : 
onde6e et serrede; camelot. 

CHAMAMRNTO, s.m. "convocalion : l’action de 
convoquer, d’appeler. (Ag.) * Inspiration, mou- 
vement interieur de la gräce. 

CHAMAR,, 0.0. appeler. Citer, convoquer. —, 
mander, faire venir. —, nommer, designer. 
(fig.) Altlirer ; invoquer. —nomes a alguem , 
dire des noms injurieux & quelqu’un. — Deos 
a alguem, (flg.)ötre inspire de Dieu pour chan- 
ger de vie. — Deos alguem para si ou a Jwizo, 


etoffe de sole 


‘(fig.) mourir. — um navio d falla, (1. de mar.) 


heler un vaisseau. — para 0 quarlo, (id.) ap- 
pelcr au quart. 

CHAMÄR (por), v. n. appeler ; invoquer. — 
por alguem , appeler quelqu’un. — por Deos, 
por Nossa Senhora, invoquer Dieu, la sainte 
Vierge. 

CHAwÄn-SE, d. r. s’appeler, se nommer. — d 
jusiiga, avoir reoours & la justice. — d posss, 
allöguer la possession. — a0 engano, allöguer 
la fraude. Como te chamas ? Comment vous ap- 
pelez-vous? votre nom? 

CnANARiz, 5. m. petit loriot, oiseau. Appe- 


2382 CHA 


lant: olsesu qui sert d’appeau, chanterelle. 
tt. Pipeau , leurre. 

+ Cuauiz, s. m. nom qu’on donne dans l’A- 
sie portugaise aux ordinands. 

CHAuMBACAL. V. Girasol, 

+ Cuausiö, s. m. (1. pop.) morceau de 
viande qui a plus d’os que de chair. adj. (fg.) 
Maladroit; lourdaud. V. Aehamboado. 

CHuauaanıL. V. Gerrocho: 

CHAMBOADANENTE. V. Achamboadamenis. 

CHAMBOIcE ‚3. f. grossidret6. 

CHAMBRE, 8. m. ° robe de chambre. 

Caauzan. V Chammejar. 

« CnaueEoavs. V. Carvalhinha. 

m TANEIRA, s. f. femme qui porte le pain au 
er. 

Caauzsin, etc. V. Chammejar, etc. 

+ CHAMELEÄÖ-BRANCO, 5. m. (4.de bot.) "car- 
line sans tige; ohardon nain. 

CHAMELOTE. V. Chamalote. 

CuinenTE ou CHÄANENTE, adv. sincörement; 
franchement, rondement. 

+ Cuauin, es. m. (4. d’Asie) cbaman : preire 
indien ; gymnosophiste; pretre des Kamischa- 
dales, medecin et sorcier. 

« Cnau£onıos. V. Chamedrys. 

+Cuuueritg, s.m. ($. de bot.) “ ivetie; Ivo 
moschate. ' 

Caasica,s. [. espöce de roseau des ötangs. 
‘4. Ficelle de sparterie ou de gen#t. 

CHAMICEIRO, 3. m. celui qui recueille ou vend 
chamiga ou chamigos. V. ces deux mots. 

CnANIıCos, s. m. pl. menu bois see, brindel- 
les, broutilles , ramilles pour faire da feu cleir 
et prompt; bois arsin. 

Cuauın2, s. f. chominde : le foyer et le fuyau 
pour la fumde. 

Chiuwa,s. f. lamme : partie subtile et lu- 
mincuse du feu. (fig.) Violence, ardeur d’une 
passion , surtout de l’amour. 

CHAMNEJADO, A, p. p. de Chammejar. 

CHANMEJINTE, adj. 2 gen. ardent, brülant, 
qui jette de la flamme. Olkos —s, (fig.) yeux 
6tincelants, qui @tincellent. 

Ouauuksir, v.». jeter des flammes, &tince- 
ler, flamboyer, flamber. v. a. V. Dardejar. 

*CHau0nnO, A, adj. tondu. Sobrigaet inja- 
rleux que les Castillans donnaient aux Portu- 
geis, et que les Portugais donnalent A coux 
qui sutvaleat le parti de Castille au temps de 

ie, 

Cuauoriu. V. Cafun£. 

CuauraA, s. f. "plat de !’epte. 

+ Cuauracid, 3. m. (6. de bot.) champacam: 
grand arbre touffu de Malaca ; donne une sorte 
de chötsigne. 

TCnmamräcch, a. f. (4. de bot.) "champao: 
arbre dos indes. 

Caauräna, s.f. "champan eu champane: na- 
wire du Jagen. 

Caauriö,s. m. V. Champäna. 

+ Cauurin, 9.0. (1. de chasse) piece d’un 
trebucher sur laquclie on met l’appät pour at- 
jraper les oiscayz, 


CHA 


Cuaurontin. V. Misturar. 

Caauösca , 8. f. Pactien de flamber. 

CHAMUSCADO, A, 9. p. de Chamuschr. 

CHANUSCADOR , 8. m. oelui qui amıbe. 

Cnauescapöra ,s. f. l’effeti de Bamber; br&- 
lement löger. 

CHawvscin, o.@. Siamber : panser lgtre- 
ment sur le feu; roussir. 

Cuau6sco, s. m. V. Ohamusca. it, Odent de 
bräle ; roussi. Cheirar a —, (fig. fom.) senfir 
le brüle, friser la corde. On le dit aussi d’une 
dispute qui a l’air de devenir seriense. 

Crinca,, s. f. (Pop.) grand vilnin pled, patle. 
—do sapato. V. Chanqudia. 

CHANCAnONA ‚ e. f. * pagre sale. 

CHANGA, 6. f."sarcasme ‚ raillerie insultenie, 
broeard. 

* Caancaatı. V. Chancellör. 

Caınczipo, A,P.p. de 

Cnanczin (de, sobre, com), ©. m. piaisanter, 
badiner, bouffonner; railler, brocarder. 

Cranctıno , s.m. bouffon, badin, plaiszut; 
railleur, brocardeur. 

CHAncEıLa, s. f. * parafe, seeau, cschel. 

CHANCELLÄDO, A, 9. p. de 

CHancgtLän, ©. a. parafer, appaser fe 
sceau , sceller; coucher sur le registre de la 
chancellerie. 

CaanceLtanfa, 5. f. chancelerie : tribanel, 
maison du chancelier ; lieu ou Fon scelle les 
lettres. P6r embargos na —, s’Opposer au Scedl. 

EnancerL£n, s. m. chancelier : celui quiak 
sceau. — mör do reino, garde des sca0f; 
grand chancelier de la couronne. 

CIHANGON&TA, 8. f. chansonnelle. 

Crane. V. Chdle. 

CHantza, e. f. plaine, rase campagne; Suf- 
face plane. (Ag.) Ingenuits, nalvetd, franchise. 

Cuanrina , s. f. *mou : fricass6e de mou de 
veau, d’agneau, etc. Ratatoutlle. V. 2 

+ CHANFAnBIRA, 8. f. gargotiere ; femme IV 
fait et vend de la chanfane. V. co mol. 

CHANFRADO, A, 9. p. de Chanfrär. 

CHANFRADOR,, 8. m. outil pour sohanor!. 

CHaWFraADORA, 5. f. Schancrare. 

Cuanrrän, 0. a. Schanerer : tailler, vider, 
oouper intsrieurement, en arc, en demicert; 
chanfreiner. 

Cuausrttäs, s. [. pl. nieiseries; bedinsf?: 
folies , folätrerie. 

CHANFRO, 5.m. * Schancrure; entaille, anlal 
ur®. 

Cuanissıno, a, adj. sup. de Chip. 

CHANQUETA, 8. f. savate, vieux SO 
en panteulles. Andar em — , mells® 
liers en pantoulles. 

CHanTta. V. Tanchädo. 

CaAKTÄcEN. V. Teuchagem. 

ANTid, 

CHANTAR, etc. } V. Tonch..., ©. 

CHANTEL, s.m. (1. da Ionnelier) chanlaal! 
derniöre piece du fond (d’un tonneau). 

* Cuanto. V. Pranto. 

Cuantoan. V. Toncher, 


Jiors mis 
des #00 





CHA 


+ Cuıntetira, 5. f. lieu plante d’&chalas. 

Caantnipo, s. m." chantrerie: benefice, di- 
gnit& de chantre. 

CHANTRE, 5. m. chantre : dignitö dans une 
esthedrale ; chanoine qui preside au chant. 

Guanraia. V. Chantrddo. - 

Gui6,s. m. sol, terrain. Deilar no —, jete 
par terre ; renverser, meltro ä bas. 

Caiö,i, adj. uni, 6gal, plat. (flg.) Bas, 
kumbie ; simple ; nalf, franc, rond. Plebeien : 
retyrier. Terra chd, pays plat. Estado chäo, 
tiers etat. 

« Caios, s. m. chaos : confusion de toutes 
choses avant la ertation; 6diet de tenebres ; 
melange confus de la matiere, sans ordre ni 
regularite, (Ag.) —, confusion : choses con- 
fases , embrouilltes. 

Caira, s. f. feuille on lame de metal; pls- 
que. "Rouge quw’on met aux joues.Planchegra- 
v6e. Jeu de pile ou face. —ı das Aivellas, chapes 
des boueles. — do cdchilho,, gache. —s das bi- 
gelas das ensareias das ganeas, (l. de mar.) 
landes eu iaties des hunes. —s dos baloques, 
(dd.) "Mtriers de chaines des haubans. 

Caariva. V. Planura. 

OmrapO, A, P.Pp- de Chapar, adj. consom- 
me, parfait, maltre en son eiat ; Neffe. (ig. ) 
Sense. Homem — , komme de sens, homme 
sense. Ladrdo — , voleur Ani. 

Casrino, 3. m. ancienne garniture de völe- 
ment en plaques. 

Guarir,o.ca. plaquer. V.Chapedr. - 

CGuarania,s. f. "plasage (en lames de metal); 
wsement, garniture de vötement en plaques. 

+CaaranniL, 5. m. lieu plants d’yeuses ; 
baisson, hallier : touffle d’arbres sauvages, 

ur. 

ÜHAPARREIRO, } * yeuse: osp&ce de chene; 

GusPaaRO, 8. M. jeune chene. 

Camino, A,p.p. de 

Cuarzin , o.a. plaquer : appliquer une chose 
plate sur uno autre ; garnir, orner de lames de 
mötal 


+ Caareıniö,s. m. chaperon ; grand vilain 
chapeau. 

tCuareikıra , s. f. boito, 4tui A ohapeau. 
ü. Femme d’an chapelier. 

Guaraıkıao, s. m. chapeller : qui fait et 
vend des chapeaux. 

Cuareıkra, 8. f. petit chapeau. Soupape. 
*"Rieoehet; bourrelet. — do Rado e junco da 
Iombs, (1.de mar.) clapcts do pompe, soupapes 
de pempe. 

CaarzL£re, s. m. dim. de Chapeo. 

Casrzıinno, 8. m. dim. de Chapdo, chapeau 
da dame. 

Gurto, s. m. chapeau: coiffure d’bomme et 
de femme , de feutre, de paille, eic., qui a une 
Isrme ronde et des bords. — de chuvs, para- 
Buis, — de sol, parasol, ombreile. — dos 
fungos, (1. de bot.) cbapeau, partie sup£rieure 
das ehampignons. — dos lelkädos, ( id.) V. 
Conchilo. Com 0 — na do, chapesu bas. 

(aurtozinno , s. m. dim, do Chapdo, 


CHA 283 


Cnarim, s. m. chapin, chausson, mule, cla- 
que : chaussure sans quartier & Yusage des 
femınes ; patin. — da rianha, sorto de droits 
que !’on levait & ’uccasion du mariage du roi. 

t Crarim, s. m. (t. d’hist. nal.) "mesange : 
petit olseau Je passage. — azulado, mösange } 
tete bleue. — cinzenfo ,„ nonneite cendree. 
— rabtlongo , mösange & longue quoue.— pen- 
dulino , remis. 

f Cmarınänva,s.f. coup de chapin, de cia- 
quo, de patin. 

CHAPINBIRO, 8. m. qui fait ou vend des cha- 
pins. 

CaApinuA, 8. f. dim. de Chapa. 

CuarınHÄn, o.n. barboter : agiter l’eau avea 
les mains ou les pieds. 

Caarpırer, s.m. V. Chapitdo. 

Crapıtko, s.m. (t.d’arch.) chapitean : partie 
superieure d’une colonne posee sur le füt. (8. 
de mar. anc.) * Corniche, ornement superieur 
du chäteau de poupe et de proue d’un vals- 
seau. 

GHAPODANO ou CHAPOTÄDO,A,P.P. de 

+ Cnarovir ou Cnapotin, ©. a. chälrer, 
&barber, ebrancher,, ebourgeonner : Öler lcs 
rejetons superflus aux arbres. 

CaaPptz,s. m. piece de bois fixe dans le 
mur pour y enfoncer des clous. *Jumelle: piece 
de bois pour renforcer les mäls. —es da curva 
do beque, (t.de mar.) tambour d’&peron, mou- 
choir ou remplissage sous les jottereaux. 

f Caaore, s.m. Nom qu’on donne au girofle 
dans les Moluques. 

+ Cnaqvina, s.f. Nom que les P£ruviens 
donnent & la semence des peries, aux graitis 
de verre ou de jais que les Europ6ens vendent’ 
aux Indiens. 

CHARACINA OU CHARACHINA , 8.f.(d—, 1.d’A- 
sie), A lachinoise, A la maniere des Chinols. 

+ Cnanıcino, s.m. (t.d’hist. nat.) characin: 
dermopte£re, voisin du saumon. 

Crarina, s. f. charade : sorte d’enigme dans 
laquelle chaque partie du mot & deriner forme 
un mot. 

+ Cnarapfsta, s.m. charadiste : qui 8’occupe 
a faire ow ä deviner des charades. 

Craram£La, s. f. sorte de trompelte droite ; 
chalumeau. 

CHARANMELEIRO, 5. m. Joueur de charam£la. 
V. ce mot. . 

Cnanid, V. Xurdö. 

Crasavıscir. V. Chavasedi. 

CGairco, s. m. "mare, lagune: amas d’eau 
dormante. "Mare: margouillis, gächis pleın 
d’ordures. 

Cuartı. V.Xairel. 

CHARELETE, 8. m. dim. de 

CHAr£o, s. m. sorte de poisson du Bresil 

* CHARETE,, 5. m. promesso bienveillante ; 
belles paroles. 

« CHARIDADE, etc. V, Caridade. 

«Charisma. V. Carisma. 

+ Cmanıa, s. f. (fam.) "babil, bavardagp, 
causerie, verbiage, 


285 CHA 


Caunuınön, 5. m. babillard, bavard, dis- 
ooursur. 

CaarLAR,, 0.». bavarder, babiller, verbiager, 
vaqueter. V. Palrar. 

ARLATAnBaR, v. 9%. V. Cherlar. Charlata- 

ner ı fains le charlatan. 

CuanLataneria, 3. f. charlatanerie ; action 
de oharlatan ; tout 08 qui a pour but de trom- 


per. 

+ Cuanzaranßsco, A, adj. charlatanesque: 
de charlatan. 

CuaaLatanismo, e.w. charlalanisme : carac- 
tere de charlatan , moyen de charlatan; affec- 
tstion de mörite, eto.; hypocrisie de l’igno- 
rance, de l’incapaciis, etc. 

CuanLariö, s. m. charlatan : vendeur de 
drogues , d’orviöten dans les places publiques; 
medecin häbleur,, imposteur;; celui qui trompe 
par de beiles paroles, de beilles apparences ou 
par lo faste de ses actions, de ses dorils, de 
ses recits publics, 

Cuannica, 8. f. ande, terrain sablonneux. 

Cuanntıra,s. f. charnidre : pidces de metal 
enolavdes par uno broche et mobiles, servant 
& maintenir un couvercle, etc. 

«Cuano, V. Caro, Querido. 

CuanoaR, olo. V. Xaroar, etc. 

Craanöpos, 8. m. Pl. (d.d’Asie) Indiens d’une 
race Inlörieure, 

Caanöra,s.f."brancard de procession ; niche 
pour placer lesi des saints. 

Cairra, s. f. Soharpe ; ceinturon, baudrier. 

CuaaQusıakd,s. m, augm. do Charco. 

CaaRRO, A, adj. pilaud, paysan, rusire, 
grossier, lourd. 

tCuaanois, 3. m. pi. tribu d’Indiens qui 
babitaient les rivages du Rio-Grends-du-Sud 
au Breeil. 

CuanalA, 8. f. charrue : instrument ara- 
teire , machine pour labourer la terre. (8. de 
mer.) Fiute : navire & fond plat; vaissoau de 
charge; corveiie de charge. 

« Ünanıapzs. V. Caryödes. 

Caasco, a. m. deniasement, ter, bricole, 
attrape , malice, mystificalion,, niche, paquet, 
wat düsbileie, de ruse,eic. Sarcasıne, lardon. 
Der —, jouer un eur. 

Gun, a. m. verden : variät# du verdier, 
eisean. 


OuaseEin0 ‚a, ad). dupt, mysüßd. p.p.de 

ÜBasQrEis, *.0. ei m. railler, brecarder. 
Msvstiüber, deper, deniaiser : abuser de la ert- 
dause de queige un, be iremper. — fürs de 
gropunbı , rauker barı de Saigen. 

Osassa. TV. Chegs. 

"Ouassöna,s.f. Henem de md, bemıne 
&firie a eamkenker. 

+ Onasses , s. mn. pl. (. ds esnst.) elela, m- 
urmmses. 


"Gira, af... dAsie) * ner, vepas ie 
jeuz da Tenterrememi ches ias habiksnts de 
Die Saims-Thesnes‘. 

*’Osaran. V. Acheter, 


CHA 


Cuariu, s. m. (t. d’Asie) marchand, com 
mergant dans YInde. Finesu. 

Cuarınia. V. Mercadejar, Traficar. 

Cuarınania. V. Mercancia, Trdfioo. 

CziT0, 4a, adj. plat, aplali, epaie. Naris—, 
nez camard. Homem ds nariz — , camus, Cä- 
mard. 

CHAvp£L, s. m. sorte de toile de coton Tori 
belle, de Bengale. 

CuÄvanı ow CuAVENA, 8. f. tasse & thö, & 
cafe. 

Cuavid, 3. m. augm. de Chave. it. Moule, 
forme pour empreindre sur la päte. (fg.) 
Forme usitee. 

7 Caavanaiı, 8.0. (l. d’hist. nal.) chavaria: 
olseau &chassier de l’Amerigus, qui defend la 
volaille oontre les oiseaux de proie. 

CHAYASCÄL, 5. m. mauvais terrain. 

*Cuavascan. V. Alamancar. 

* CHAVASCO, V. Achavascade , Be- 

* CHAVASQUEIRO, A. N monde. 

* Cuavasotıca. V. Rudeza, Grosserie. 

CGaivz, s. f. clef de serrure. Clef de lit. Gel 
de robinet. Clef de harpe, de claveein, eic., 
aooordeoir. Detente d’une arbalöte. * Bobinel. 
Clef : instrument pour monter une pendale, 
une montre, eic. Cief de route. (Ag.) Ge: 
moyen pour decouvrir ce qui est cache. (1.) 
—, principes qui conduisent & une scienoe. 
— mislra „ passe-partout. — de perafwe, 
tourne-vis. — d’sfinar iastrumenlos, a0c0l- 
doir. — falsa, lausse clof. — de ımdo, largeır 
de la paume de la main. — do pe, distance 
depuis le coude-pied jusyu’au bas du taloa. 
— de reino, clef du royaume, place frontitre. 
4’—, debeiro de — ‚sous la cief. Dor dus 
vollas 6 —, former & doubie tour. Poder das 
—s, clofs de l’eglise, puissance des cieis, ju- 
ridiction eoclesiastique. Preseniar as —s, Pi 
senter les olefs : acle d’obeissance rendu Pal 
une ville & un souverain,, etc. . 

+ Cmavico, s.m. chabec ow chevec: bill 
ment de guerre & voijes et Arames sur laMe- 
diterrande. 

Caartıaa,s. f. femme qui est chargee des 
elefs d’un couvent, d’ane maison ; porteciek, 
portiöre. it. (1. de med.) "Claveau ou clavelee: 
maladie contagieuse des brebis , en bostons. 

Caarkıno, s.f. celui qui est charge des cleb: 
perüer, cencierge, po „ caissiöt, ew. 
V, Despenssire. 


Caavsın6so , a , adj. attagud du claroal. 
Caariıma, e. f. cherille. 
Cuavzımaö, s.m.eu sm. de Chauslks, gr 
cherille de fer, piece ..e charrue. 
Gaartımo, 3..." c ne de bauul. 
Caavtra, os. f. lang 'etie; clavetie. —e sar® 
os carkas, 1. de mar.) pointes de 


Opavarase,&A,p.p. de 

CaAvETAR, €. &. ausurer avec une langutllt- 
e.n. Passer la 6 

Caavızma om CRavszisa, 5. f. di. 


CHE 


Guiz, mot qui imite le bruit d'un coup. 

CaazEınos,, s. m. pi. V. Chedas. 

Casa. V. Chtia. 

Ortauexte. V. Plenamente. 

Cutpas, s. f. pl. piöces des deux cöt6s d’une 
charreiie 


Cutre, s. m. chef: celui qui est & la t#te 
de...; designe la superiorite, le commande- 
ment, la primaute ; general d’armee. 

*’+Gnriı, s. f. residence d’un chef quel- 
conque , sa dignite, sa charge. 

Curciva, 8. f. arrivee, venue, approche. 
(Ag.) V. Alcance. 

Cuecavico, A, adj. qui arrive par hasard. V. 
Adrenticio. 


Guscioo, A, p.p. de Chegar. adj. Voisin, 
contigu, proche. Bem —, bienvenu. Estar —, 
“re proche. Estava —a a ceifa, la moisson 
etzit proche. 

* CHECADOR „ s. m. (4. de prat.) V. Cobradör. 

OISGaKNnTO ‚8. m. rapprochement. 

* Cascanca, 8. f. V. Chegamento. 

°+Curzcancas, s. f. pl. anciennes chansons 
barlesques 


Guscia, v. a.approcher une chose d’aneanutre. 
Ag.) Mener. — alguem a fazer algumacousa, 
obliger quelqu’un & faire quelque chose. — a 
reupaeocoirosalguem,(fam.)battre quelqu’un. 

Cuzcia,, v. ». arriver:: venir dans un endroit, 
. Durer pendant un temps determine. Atteindre: 
toucher au but. Se suivre, arriver & son tour. 
8'elever, parvenir, arriver, r&ussir. Suffire ‚ ötre 
sufäsant. Toucher, atteindre , aboutir. Se mon- 
ter, aller. Monter &.— a ourvir, a eniender, 
cemmencer ä entendre, A comprendre,;ete. —ds 
mäos, en venir aux mains, se batire. — ds do 
esbo, venir aux gros mots. — a hora, a sua 
kors a elguem , mourir. — @ fempo, arriver au 
moment. Este quadro näo chega d quelle, ce 
tableau ne vaut pas celui-lä. Vem chegando a 
noite, la nuit s’approche. — a0 cabo com al 
coues, venir ä ses fins. Os clamores dos affliclos 
ches ao cdo, les cris des afflig6s montent au 

Guzcär-SE, ©. r. s’approcher, s’avancer, 
s'ceoster. S’unir. ( ig.) Implorer le secours, 
la protection de quelgqu’un. — a alguem,, abor- 
der qeeigu’un. 

Gutco. V , 


Gutıa, s. f. crue, inondation,, debordement, 

Catıo, a, adj. empli, rempli, plein. (lg.) 
Bempli ; couvert;; charg6; accable. Ex.: TAea- 
ro — de ‚theätre rempli de monde. — de 
feridas, couvert de blessures. — d’annos, 
charge d’anndes. — dafficsöes, accabld de 
peines. Em — pleinement,, tolalement; entie- 
tement. Estar —, ( fam.) tre riche. — de vi- 
eos, donne aux vices. Homem —, homme gros, 
gras. Pulso — (1. de med.) pouls plein. Lua 
—$, pleine une. Voz —a, voix de hasse, voix 
Senore ei forte. 4’ boeca —a, & bouchc ouverte; 
ourertement. Com mdo —a ou ds mdos —as, 
largement, avec magnificence. 

Casımıno, 4, p. p. de Cheirar. 





CHE 


CHEIRADOR, s. ıh. Naireur : qui flaire. 

CuEIRANTE. V. Cheiroso. . 

CHeınin, v.a. flairer : sentir par l’odorat; 
approcher son nez de... et respirer en asplrant 
par lui. (fg.) Decouvrir ce qu’on croyait ca- 
chö; pressentir, prevoir. 

Cuzırir (a), v.». sentir: avoir de l’odeur, 
r&pandre une odeur. (fig.) Ressembler, parai- 
tre, avoir apparence. — achamusceo. V. Cha- 
musco.— a hereje, etc., sentir ’heretique, eic., 
en avoir les apparences. Näo — bem alguma 
cousa, (g.) &ire suspect. — bem, sentir bon. 
— mal, sentir mauvais. — a vinho, sentir ie 
vin. 

CHEIRÄR-SE, vo. r. se flairer les uns les autres 
(les animaux). 

Caßiro, 3.m. "odeur, sentcur; odorat. V.Ol- 
fato. ( Kg.) —, reputation (de saintete); indice, 
reclame ; soupcon. —s, pl. bonnes odeurs. i!. 
herbes aromatiques pour la cuisine, comme 
persil, cerfeuil, etc. Ndo poder soffrer os —s, 
craindre les odeurs. 

+ Cazınöptenos, s. m. pl. (1. d’hist. nal.) 
cheiroptöres : mammiferes carnassiers volants ; 
les obauves-souris, etc. 

CREIROSISSIMO,, A , adj. sup. de 

Cazınös0 ,„ A, adj. odoriförant, parfume, 
odorant. 

Catıı. V. Regdias. 

CuzLınoöma. V. Celidonis maior. 

CHzLidkO 0oW CHELTDRO, 8. m. (1. d’hist. nat.) 
chölyde : serpent aquatique. 

+ Cuzılu, s. m. chelin, schilling : monnaie 
d’argent, en Angleterre, qui vaut ı fr. 20 cent. 

Cuzuınt. V. Chamind. 

+Cazuösıs, s. f. (1. de med.) chemolsie : 
maladie inflammatoire de l’@il, le blanc se 
gonflant autour de la prunelle. 

+ Grsnorönı0 ,s. m. (4. de bof.) "anserine : 
plante atriplicde. — verden£gro , anserine rou- 


285 


gums | geätre; patie d’ole rougeätre. — vermifugo, 


anstrine vermifuge. 

Cuantar, otc. V. Chanlar, otc. 

Cato. V. Cheio. 

Catquz. V. Xequs. 

+ Cunrautia,s. f. (8. de bet.) "carambolier 
& fruits ronds; pomme acide. 

Crerirg. V. Xerife. 

CuzaınöLa. V. Chirinola. 

Cazaivia, s. f. (1. de bot.) V. Alchiriwia. 
CH£nna,s.f.ow | espece de turbot , polsson 
CuRang, 8. m. de mer. 

+ Curanita ou Cuxanitz, s. f. chernite: 
marbre qui ressemble & l’ivoire. 

+ Cuznsonsso, s. m. (f. de gdog.) Chersondse : 
presqu’ile, dans l!’Asie. Aures —, nom que les 
anciens donnalent & Ceylan. 

+ « Cuzaünco, A, adj. de cherubin. 

« CHERUBIM , 3. m. cherubin : ange du se00nd 
chaur de la premiere hierarchie. 

Cuesumts,s. m. (6. burl.) " piste, trace. 

Cazrım. V. Chatim. 

+Cuzronönte, (l. Dhist. nat.) chatodon 
ow bandoulier : polsson leptosome. — bicldo, 


286 CHI 


bandoulier & bec. — bico de folle,, le soufflet.— 
dourade, * dorade de plumier.— do imperador 
do Japdo, VYempereur du Japon. 

Cuıäpa, s.f."cris de plusieurs olseaux. — de 
carro ou chiado, s. m. bruit aigu des roues ou 
de Yessieu d’un chariot. 

CnıäDo, A, P. p. de Chiar. 

CatapöR,A,s. eh adj. qui fait un bruit algu. 

Casapüna, s. f. V. Chidda. Bruit aigu et des- 
agretable de plusiours charreites. 

Cmıär, 0. ». crier, en parlant d’une roue. 
Piauler, piper, p£pier ; bruire. 

+ Cuisı,s. f. chevre. 

Cuısi0o ‚A, p. p. de Chibar. 

+ Cuısinca, s. f. fanfaronnade; fausse bra- 
voure. 

CHıBÄntg,s.m. rodomont, fanfaron.V. Guapo. 

+ CHIBANTEÄR, v. n. faire le fanfaron. 

+ CBısantick, s.f. “air, manieres, habitudes 
de fanfaron. st. V. Guapice. 

+Cnızantısuo, s.m. V. Chibanpa, Cibantice. 

Gaisir,v.n. (8. burl.) faire le rodomont. 

CHtBARRÄDA, 5. f. " troupoau de chevreaux, 
de boucs. 

Caısanntıao. V. Cabreiro. 

Caiaiano, s. m. jeane bouc chätrö. 

Cnisäta, s. f. baguctle. 

CuisaTipa, s. f. coup de baguelie. 

CH1BATÄDO,A,p. pP. de 

+ Giısatir, vo. a. bagueiter : frapper d’une 
baguette; donner des coups de baguetto (ch4- 
timent des soldats). 

Cuisatinua, s. f. dim. de Chibala. 

Cuıpäto, s. m. bouc de trois ans et au dela. 

Cuiso, s. m. jeune bouc, chevreau qui & 
moins d’un an. 

+ CHIcALHAR, ©. a. V. Achincalhar. v. ®. 
S’occuper de bagatelles,, de niaiseries. 

Cuicina, s. f. chicane. 

+ Cuicara , s. f. tasse ds ih6, etc. ; ce qu’elle 
contient. 

CuicHa, 8. f. (t. pop.) nom qu’on donne & la 
viande en parlant aux enfants. 

Cuicuano 0% CriicHeno, 3. m.(t.de bof.) gesse 
eullivee ; gesse A large silique ; sar, cerre, 
pois cerro, lentille d’Espagne, pois carre. — 
de cheiro , gesse odorante, pois de senteur. 

CHIcHÄRRO , 8. m. sorle de gastr6, poisson de 
mer, de la grandeur du maquereau. 

CuicnELäDA, 8. f. Coup de savate. 

CHIcnELO, 8. m. savalo, vieux soulier. 

Caicuenos, pl. V. Chicharo. 

CuicHiMeco , adj. m. chiche face. V. Mofno. 

} CuıcHisBRÄr, o.#. mugueter, faire le mu- 
guet, le galant. 

Coicaisako, s. m. sigisb6 : galant assidu; te- 
nant d’une femme ; muguel. 

CHICHÖRRO,, 8. m. ancien Canon. 

CHICHORROBIO. V. Bicudo. 

Cuico, s. m. (£. burl.) nom qu’on donnait ä 
une petite monnaie d’or de deux francs et demi 
environ. 

GacoLate. V. Chocolate. 

Rrugönka ou Cnicöria, 8. f. (1. de bot.) chi- 


CHI 


corde : plante polagere rafraichissante. — 
brava. V. Almeiräo. 

+ Cnıconziczas, 3. f. pl. (. de bot.) chioo- 
reactes : famille de plantes dicotyledones. 

+ Cuicorzaceo ‚A ‚adj. (1. de bot.) chicoracs: 
de la chicoree, qui en a legoüt. 

+ Cuıcoräpa, 8. f. coup de fouet. 

CBICOTADO, A, pP. p. de Chicolar. 

Cuıcotir, v. a. fouelier : donner des coups 
de fouet. 

CHIcöTE , 5. m. fouel. "Queue de cheveux. (#. 
de mar.) Bout de cAble, de corde.—eom que ss 
castigdo os marinkeiros, (id.) dague de prevät. 

+ CeıcorinBo, s. m. dim. de Chicote. ” Cra- 
vache : fouet court, d’une seule pidce, pour 
les chevaux de selle. 

CHiranöte, s.m. braquemart : &pede courte 
et large qu’on portait le long de la cuisse; sa- 
bre, cimeterre. 

Cuirra,s. f. "racloir de relieur. 

CBırnäpo,A,P.p.de 

CnıraAaR, vo. a. gratter, racler. 

Cniraz, s. m. ° corne des animaux. 

CHILACA1IOTA , 8. f. V. Gilacsiöla. 

+ CuiLg, s. m. ($. de geog.) Chili : r&publique 
de ’Amerique meridionale. 

+ CuıLtno, A,adj. et s. du Chill. 

+ CuıtiancHa, 5. ww. chiliarque: chef de mflle 


bommes chez les Grecs anciens, et chez les 


modernes, colonel. 

+ Cuısastas. V. Millenarios. 

Cuıuımpaiö ‚s. m. hoc: sorte de jeu de oartes. 

« CuiLo, eto. V. Chylo, etc. 

Cuu.ripa, s. f. *gazouillement : ramage des 
oiseaux. 

CuıLaiö, s. m. filetpour pöcher des crevettes. 

CuıLrin, v. m. gazouiller, en parlant du ra- 
mage des oiseaux. 

CuıLRaana. V. Chilrada, Gorgeio. 

CHILREADOR ‚A, 8. cladj. gazouillard ; criard, 
brailleur. 

CuıLagar. V. Chürdr. 

CHiLRO ‚3. m. gazouillis: ramage des olseaux. 

CRIıL80, A,adj.insipide. Agua —e, sau FOusse. 

Caıu, adj. ers. pl. chints. Chinois:de laChine, 

Cuımaco. V. Chumago. 

CHıMB£O, s. m. roussin. V. Rossim. 

« Cnım£na, 3. f. chimere: monstre fabuleux, 
& buste de lion, corps de chevre et croupe de 
dragon. (flg.) Imagination vaine et sans fon- 
dement. is. Dispute , querelle capricieuse. 
(#. d’kist. net.) Chimere, poisson. V. Bugio 
marinho. 

« CHIMERICAURNTE, adv. chimeriquemente: 
d’une maniäre chimörique. 

« Caıs£nıco, A, adj. chimdrique : imagi- 
naire, insense , sans fondement; vain. 

+ u Cumgnista, s.m. qui aime les choseg 
imaginaires, fantasliques, valines. 

« Caimıca , s. f. chimie : art de d6ecomposeg, 
d’analyser, purifler ei recomposer les corps, 
analomie des corps naturels inorganiques. 

« Cuimicauente , ade. selon la d’une 
maniero obimique. 


2 oo 2 1 _L .n 


BO, # 


a GE rd 


CHI 


« Ouimıcd, A, adj. chimique : de la chimie; 
qui est l’objet de la chimie. s. m. Chimiste: qui 
seit, exzerce la chimie. 

« Caiuo. V. Chymo. 

Casupin, u.a. V. Mergulhar, Pespegar. 

Cuina, s. f. (1. de geogr.) Chine : grand 
empire d’Asie. (Pop.) Argeni. s. m. Chinois. 

Guıncipa. V. Cinca, 

Guxch00, A,p. p. de 

Omscäan,v.a. (fi. burl.) goüter. it. V. Cincar. 

Camcua. V. Chinchörro. 

CaıscHavaRELLa, adj. 2 gen. puant. (g.) 
Qui ne resie pas en place, qui se fourre par- 
out. 

CHISCHAYARELLO, 8. m, petit olseau blanc 
tachete de noir. 

Cuiscas. V. Porsevejo. 

Cuıscatıro. V. Chimbeo. . 

Cawcniısa, s. f. chinche, chinchille : ani- 
mal du Perou, ä fourrure estimee, gros comme 
un deureuil ; sa fourrure. (8. burl.) Importun, 
faligant, accablan!. 

Gumcnöaro, s. m. boulier : filet de p£che. 
Sorte de bateau de p£cheur. (fig.) Lent, tardil. 

Cancnaöso , A, adj. plein de punaises. 

Guxzıno, a, adj. richard. 

Onntıa, s. f. mule, pantoufle. 

QusgLipa, 5. f. coup de mule, de pantoufle. 

GuıseL£ıno, 3. m. faiseur de pantoußles; qui 
aldhabitude de les porter. 

Cussuinua, 8. f. dim. de Chinela, petite 
pantouße de dame. 

CumtLo , s. m. "savale, vieux soulier mis en 
pantoufle. Metter alguem n’um —, ( fig. fam.) 
melze quelqu’un au Sac. 

CGaıntz, A, adj. chinois:de la Chine; qui est 
dans le goüt des Chinois. 

Gusraäö, 3. m. ancienne monnale portu- 
gaise , 10 centimes environ. 

+CuncauLis, s.m. pl. Nom d’une nation 
d’Asie. 

Cmxou£. V. Chinchorro. 

Guio, a. m. guilleri : chant des moineaux; 
eri aigu de cerlains animaux et Olscauz. 

° Guorg. V. Saio. 

Gurinte, 3. m. sorte d’ancien baleau long. 

Cairo, s. m. huitre qui produit les perles. 

Caıraıino. V. Chypriano. 

CaiQukıro, 8. zu. toit ä porcs , 6table aux co- 
ehons. Maison sale. V. Posilge. 

Gnortı. V. Odre, Borrache. 

Cuiaa. V. Xire. 

eCunicaa , 3. f. (t. de med.) chiragre: 
goalie qui aliague les nains. 

Caraınöra „ s. f. badinerie, faribole, babiole; 
tnigıne „ chose inintelligible. 

Cmaspos. V. Tamancos. 

+ Camaıvıa, s.f. (f.debot.) *carvi, cumen des 
pres. — aqualica , berles des potagers ‚ chervis. 
— horionss, panais ordinaire des jardins, pas- 
tsnade, grand chervis, racine blanche. — de 
Candia. V. Cenoira ds Creia, 

Gumrin, etc. V. Chirär, ele. 

f » Caınocaarmänıo,s.ın. (f. de prat.) chi- 


cHo 987 


rographaire : er&ancier en vertu d’un billet 
sous seing privö, sans hypolhdque. , 

‚t« Cuınöcaarao, s. m. chirographe : &crit 
signö de la main de celui qui s'engage. 

+ « CuıaoLocia, s. f. chirologie : art de s’ex- 
primer par des signes avec les doigts. 

« Caaomancia, s. f. chiromancie : divina- 
tion , prediclion par l’inspection de la main, 
des lignes de la main. 

« CHIROMÄNTE , 5. m. chiromaneien : 
exerce la chiromancie. 

+ « CuinomÄnTico, A, adj. de la chiromancie, 
qui concerne la chiromancie. 

+ Cuınönıo, s. m. (4. de bof.) chirone: plante 
gentiande. 

Cun6nomo. V. Chironio. 
IRRIAR , etc. V. Chilrar, etc. 

Caıröng. V. Churume. 

Cuiauncia ,eic. V. Cirurgis, etc. 

CaısMo. V. Persevejo. 

Coispa, s. f. etincelle, bluette; pailletle d® 
fer rouge que Y’on forge. r —s, (fig. 
fam.) pester, jeter fou ei lamme , bisquer. 

CHISPAR, ©.0. ölinceler : jeter des ölincelles. 
(fig.) Bisquer. 

Cuispo. V. Pezunho. 

Cuiste, s. m. badimage, plaisanterie, joyou- 
sets. Bon mot, saillie; sel, piquant. —s, pl. 
joux d’esprit. Dar no —, (fam.) toucher au but, 
etre au fait, trauver la difliculis; saisir le An 
mot. Com —, plaisamment,. Ter —, avoir du 
sel, du piquant. | 

Cuıstöso, A, adj. pleisant, agreable, facd- 
deux, qui divertit, qui fait rire. 

CHita, s, f. indienne : toil6 do coton peinte; 
chite. 

Cuıtiö ow Caıron, iulerj. st! chut! paiz! 
mot qu’on emploie pour imposer silence. 

+ Cuırömo, 3. m. (1. d’hist. nat.) ascabrion: 
coquillage ‚ löpas : lient des limaccs. 

Cairo (.d’Asie). V. Escripto. 

-«CaLinvog , s. f. chlamyde : manteau des 
anciens ‚retrousse sur l’epaule ; habit milıtaire 
des patriciens. 

CHLENA. V. Lena. 

+ « CuLöno, s. m. (l. de chim.) chlore : corps 
simple non mötallique; gaz deleiere, desin- 
fectant, d’un jaune verdätre. 

+ Cuosunfto, s.m. (l. de chim.) chlorure : 
combinaison du chlore pur avec une base. 

Caö,s. m. V. Ichö. it. ant. V. Aquillo. 

Cuö, interj. ho ! cri dontse servent les char- 
retiers et autres conducleurs de chevaux pour 
les arröter. 

Cuöca ,s. f. boule ; sonnaille. il. V. Chocas. 

Cuocino,A,Pp.p. de Chocar. 

‚Caocarzsir. V. Chocalhir. 

CuocaLHiDa, s. f. * bruit de sonnailles. 

CROcALUADO,A,P. pP. de 

CuocaLHik, ©. a. faire sonner des Soll- 
nailles ; agiter uno liqucur dans un vase." 

CuocaLnir, v. ®. faire du bruil avec des 
sonnailles. (Ag. fam.) Nirc & granda 6elals; 
rapporter, bavarder, 


qui 


288 CHO 


-CHOCALUBIRO, A, 8. rapporieur; bavard. 

CHocaLnice, 8. f. * babil, caquet, loquacite, 
eomme6rage; recit indiscret. 

CnociLuo, 8. m. ” sonnaille: sonnette quo 
porte le Delier, le bauf, etc., qui est & la tete 
d’un troupeau ; clochette attachee au cou des 
betes. (fg.) Bavard, rapporteur. 

Cuocik, vo. a. heurter, choquer. Couver, en 
parlant des poules. (fg.) Mürir un projet. 

Caocir, v. ». choquer, heurter, briser con- 
tre. (com) Se choquer, combattre, en venir aux 
mains. — com alguem,, rompre en visiere. 

CHOCARREÄDO, A, P. ?. de 

CHOCARREÄR , ©. ®#. bouffonner : faire ow dire 
des bouffonneries. Baguenauder, s’amuser ä 
des riens. 

CHOCARREIRAMENTE, adv, en bouffon ; par 
bouffonnerie. 

GBOCARREBIRO, A,adj. ets. bouffon, saltimban- 
que, plaisant, fac6tieux, turlupin, goguenard. 

CHOCARRERIA 0% beuffonnerie , turlupi- 

CHocarsicE, 5. f. ) nade, scurrilit6, go- 
guenarderie. 

Cuöcas, &. f. pl. boue qui s’attache aux ve- 
tements ; taches de boue, &claboussures. Cheio 
de — , crolie. 

Caöca, s./. hutte, cabane, chaumidre, loge. 

Caöcum, COCBiNA, 8. m. (POPp.) avorion; 
pauvre here. 

CHöcHo, A, adj. gät&, corrompu ; faible. 
000 —, auf cours. Homem — , radoteur. 

CaocaoRRoBio. V. Chichorrobio. 

Cnöco, s. m. (1. d’kist. nat.) calmar, ow cor- 
net, os &critoire : poisson c#phalopode, animal 
marin du genre des söches : fournit une espece 
d’encre noire. 

CHöco, 3. m. action, au temps de couver; 
courvee. Gallinha de —, poule qui couve. Estar 
de —, couver. 

Caöco, a, adj. qui n’est pas frais; gäte. 
Poo —, auf coure. Gallinha chöca , couveuse. 
Agua —a, eau croupie. 

CuocoLäte, s. m. chocolat : cacao et sucre 
auxquels on ajoute quelquefois de la cahnelle, 
de lavanille, eic.,misen päte : leur dissolution. 

CrocoLatkıaa, 8. f. chocolatiere: vase A faire 
du chocolat. 

CBocoLAT&ıno, s.m. chocolatier : qui fait et 
vend du chocolat. 

CHOCORRETA, 8. f. (t. burl.) coup de vin. 

Cnorkipa,s. f. coup soudain. 

CHOFRÄDO,A,P.p. de 

CaorrÄr, v.a.tirer au vol,ou soudainement. 
( ig.) Blesser, offenser. 

CHöFRE, s.m. coup de queue (au billard); 
coup soudain. De —, adv. A l’improviste. 

Cuorrtıro, adj. quitire & l’improviste (chas- 
seur). Qui fait tout A la häte. 

CHorripo, a, adj. boudeur, qui boude pour 
pou de chose. 

Caoısa. V. Chouse. 

«+ CmoLacöco, A, adj. (t. de med.) cholago- 
gue: qui fait coulor la bile par le bas (renıdde). 

* CaoLoasöLna. V. Balborda. 


CHO 


« + CHOLEDOCO, adj. ou s. m. (1. dienal.) 
choledoque : canal de la bile, du fole dans le 
duodenum. 

«+ CHoLeoocrarmia, 3. f. cholddographie: 
description, traite de la bile. BE 

«} CHoLeDoLocia , 8. f. choledologie: taitt 
de la bile. 

«CHöLERA,s. f.(i.d’anat.)bile, fiel. V. Cölere. 

« CHOLERA-MÖRBO ‚3. m. ($. de med.) cholerz- 
morbus : &panchement subit de la bile par los 
selleset les vomissements. 

« CHoLärIco, A, adj. et 8. (4. de möd.) che 
lerique : atteint du cholera. 

+ « CHoLErina, 8. f. (1. de mdd.) cholerine- 
affection analogue au cholera, moins Intense, 
moins dangereuse. 

CHouskaca. V. 

CuonpaiLLa, 8. f. 
plante chicoracee. . 

+ Cuonpnoprerr’cios, 8. m. pl. (1. Eh. 
nat.) chondropterygiens : ampbibies nageanis. 

Cmöque, s. m. choc, heurt de deux Corps. 
(6. mil.) Rencontre „combat entre deux iroupes 
de gens de guerre. (Ag.) V. Contenda, Dispule. 

Cuogutıro, s. f. nid de poule. 

CHuogo&nto, A, adj. couvert de boue, croll, 
gät , pourri. (%g.) Indispos#, pas bien poriaßl. 

CHorapkına, 5. f. pleurs suivis, plaintes. U. 
V. Carpideira. (1. dhist. nat.) V. Salgutı 
de Babylonia. 

CHORADISSIMO, A, adj. sup. de 

Cuorino,&A,p.p. de Chorar. 

+ CHORADOILOS, 3.0. p. ws. (fam.) pleureit: 
qui pleure continuellement sur ses disgrä- 
cos, etc. 

CHORADOR, 5. m. pleureur : celai qui pleure. 

CRORANICADOR, A, 8. pleurnicheur : qui fein! 
de pleurer, qui pleure sans cesse ot sans rais@0- 

CHORAMIGAR, v. ®. pleurnicher : feindre de 
pleurer;; larmoyer. lan 

CHorauicas, s. m. (fam.) pleurnichent; 
pleureux ; pleurard. un 

Cuoräö, s. m. pleurant, plenreur; geinest 
jamais content. Pleure-misere, pleurard. \N9- 
Amoureux tr&s-passionne. (1, d’hist. nal.) 
Saule pleureur. V. Salgweiro de Babylors. 

CHorÄr, v. a. pleurer quelqu’an ow quelgü® 
chose (son p£re, ses pöches, etc.).— lagrimei; 
rcpandre des larmes. — lagrimas de sangW, 
(fig.) Etre vivement affects de quelque chagt!"- 
— miserias, lastimas, pobr&za, ezagerer 59 
malheurs, sa pauvret£. 

CHorÄR,o.R. pleurer : r&pandre des larme*. 
(Ag.) Deplorer, se lamenter, se plaindre. AN 
ter d’ötre pauvre, mis6srable. (Ag.) —; degoal- 
ter. On le dit de la vigne fraichement teile. 
—;, jeter de I’'humidite. — por, ou — ® 
por...,(fam.) soupirer apres... Regreiier. Chors 
0 tempo perdido, il regrette le temps perdu. 

Cuorir-SB, v. r. se plaindre, se lamenlkfi 
oXagerer sa pauvrets, sa misöre. 

« Cuonda. V. Corda. 

«Cnor£a, 8. f. (t. de pods.) chorde : dan# 
accompagnee de chant. 


(6. de bot.) cbondrille: 


I 


CHO 


}<CmonksisrO,, $. m. choreröqee : prölat, 
dyen rural. 

"Corzcka. V. Vier. 

+«Cmontco, s. m. chorege : directeur des 
spectaeles; celui qui conduisait les chaurs. 

t-Cmonzonarmia, s. f. chor6ögraphie : art 
de noter les pas, les Bgures de la danse, 

t«Czonlcaarn0, 3. m. choregrapbe : celui 
gai note et trace les pas, les figures de la 
danse, 

Cmonicas, s. m. V. Choramıgas , Chordo. 

Caoainı, s. f. vieille perruquo, tignasse; 
s.m. celui qui la porie. . 

« Cuörıox, s. m. (}. d’anat.) chorion : l’une 
des membranes extörieures du fostus. 

« Cnorsra, etc. V. Corisia, eto, 

Ca6ro,s. m. pleurs, larmes. 

« (2020, etc. V. Cöro, etc. 

Cuonözs, s. m. pl. amaranto & fleurs en 
queue. (Ag.) Sorte de plumes qui penchent, 
pour la coiffe des dames. 

«CmoRoGRArHiA, 8. [- chorographie : des- 
eription , representation d’un pays. 

«MOROGRÄPRICO, a, adj. chorographique : 
de lachorographie. 

f«Cuonöckarno, 5. m. chorographe : qui 
terit sur la chorographie. 

«Cuonöıpe, 8. f. (tl. d’anat.) chorotide : tu- 
nique de Fazil od est la prunelle. 

Caoaomıcan. V. Choramingar 

(Guonona, s. f. demoiselle, femme quipleure 
tssjeurs;; pleureuse. 

+CmoRösamanıe, adv. avec pleurs, avec 
larmes. 

Goadso, A, 2dj. pleurant, larmoyant, qui 
repand des larmeı; qui cause des pleurs, qui 
fait verser des pleurs. Com os olkos—s, 
larınes aux yeux. Todo —,, tout en pleurs, les 
ae beiguds de larmes. 

RRAR 68 

CHoRnKAR. | V. Jorrar. 

Caoraıad. V. Cherrido. 

CaosaıLnin. V. Tagarellar. 

CuonaiLmo,, s. m. dim. de Chorro. Decoule- 
ment, Sux; multitude. Um — d’ameiras, de 
menliras, un tas de belises , de mensonges. 

Caskao, s. m. jetde quelque liquide. — da 
co , tclat de veix. 

Cuoaupo ‚A, adj. gras, succulent. 

Cuoxöug, 5. m. jus, suc; (Ag.) richesse, 


CeoruutnTO, A, ady. qui a du jus, succu- 
lent. 


Caooco. V. Chouse. 
Catcra, s. f. petit poisson de mer. Fer de 
javelot, de dard ou de lance. 
Caovrina, s. f. cabane, hutie , chaumidre. 
TOaoupantıa0, 3. m. celal qui habite une 
‚une chaumiere. 

Caouraninna, 8. f. dim. de Choupana. 
Casuro, 3. m. ($. de bot.) peuplier noir: 
arbre amentaed, dianch, a hois blanc. —balsd- 

micro. V. Tacamaqusiro, — iremedor, iremble. 


PORT.-FR, 


CHR 289 


Cuovaica, s. f. sadfaası ‚, andouilie ; boudin, 
ce qui’a sa lorme,. 

Cnovaıgapa, 8. f. enfilade de saucisses ; coup 
de boudin. 

Cuouaictiao, s. m. charcutier : qui fall oe 
qui vend des andouilles,, des boudins. 

CHOURICINNO „3. m. dim. de 

CmoTRIgo, &. m. sorie de saucisson ou de 
cervelas qu’on fait en Portugal. — de sangue, 
boudin. Ag.) Boudin, ce quien a la forme, 

i ons ‚6. f. petit Jardin. V. Pomarinko. 

OUSÄL, 8. m. 

Cnouso,s. m | V. Chouse, 

Cuousena. V. Cerca. 

CaouraDoR,A, 0% CHOuTÄd, adj. choval uf 
a le trot rade. 

Caourär, v. ®». secouer beaucoup, avoir le 
trot rude, en parlant d’un cheral. 

Cuourkıao, A, ady. V. Choutador. 

C#00r0 , s. m. Irot rude (des chevaux). 

*Cnouvıa. V. Fechar, Tapar. 

Cuovspico , A, adj. de pluie. 

CHover, o.®. "pleuvoir : tomber, en parlant 
de leau. (Ag. )—, tomber, survenir en grande 
abondance. Il est quelquefois actil. — sobre o 
molhado ‚(fig.) arriver coup sur coup, en par 
lsnı des malbeurs. — a cdnleros , pleuvoır & 
verse, tomber ä seaux. Ndo ter sobre 
Ihe ch6va. On le dit pour ezprimer l’extr&mne 
psuvret# de quelqu’un. — sareiva ou pedre, 
groöler. Chovs, il pleut. 

Caovinoo,A,Pp. p. de Chover. 

Cnoviscär,,v. ». pluviner, pleuvoir ä pelites 
gouttes , bruiner. 

Cuovısco ‚ Cuovisna. V. Chuoisco. 

Caovısmin. V, Choviscdr. 

Caoz. V. Ich6. 

+ « Cuazstouarmıa, 3. f. chrestiomathie ı 
&crils instruciifs, moroeaux ohoisis de diff- 


ronts auteurs. 


«Cariseo. V. Chryse 

a CHRISMA, 3. @. ehröme : : huilo sacree. s. fı 
Le sacrement de la confirmalion. 

« CHRISMÄDO, A, 9. 9. de 

« CHRISMÄR, 9. @. confirmer : donner lo sa- 
erement de la conlirmation. (fig.) Casser, rom- 

re lat&le a quelqu’un ; donner des souflieis, 
esser. 

« CHRISTÄMENTE ‚„ adv. chreiiennement : 
d’une maniöre chretienne. 

« CHRISTANDÄDE, 5. f. chretienie: les chre- 
tiens, leur pays. Observance de la religion da 
Christ. Chrötiens soumis & un cure chrötien, 
dans la Chine, dans l’Amörique. 

« CHRISTANMENTE. V. Chrisiämenle. 

«Caristäö, Ä, adj. et s. chretien: qui pro- 
fesse la religion du Christ, qui appartient & la 
religion chretienne. — n000, nouveau chre- 
tien , nouveau converti (du judalsıne). — velko, 
vieux chretien , dont les aleux ons constamınent 
profess6 le christianisme. 2 ki,dfed—, 
foi de chrötien. 

* a CHRISTENGO, A, adj. qui apparlieni au 
chreiien. 


290 CHR 


Te Canıstiantsco, A, adj. On le dit de quel- 
ques ouvrages faits par les Maures, & la ma- 
»itre de ooux des chretiens. 

« CHRISTIANISMO , 5. m. christianisme : loi et 
Religion du Christ; religion chrötionne ; son es- 
prit, ses mazimes. 

« CHRISTIANISSIMO, A, adj. sup. de Chrisiäo. 
Trös-chretien. On le dit par excellence du roi 
de France, 

« CHRISTIANIZÄDO,, A, p. p. de 

. «GRRISTIANIZÄR, v. a. rendre, faire obrötien; 
rendre conforme & la religion, au rite chre- 
tien. Il est aussi r&ciproque. 

T « Curisticioa, s. m. qui a assassind le 

st. 


}«Caaısticinto, 8. m assassinat, meurtre 
du Christ. 

t«CarısticoLo, a, adj. christicole : adora- 
teur du Christ. 

«Cunistirgao, A, adj. qui porte un Christ, 
un crucifx. 

te Cunıstirana, s. f. la Vierge, mere du 

rist, 

«Cunisto, 3. m. Christ, Messie : nom qui est 
devenu propre & Jesus. Erucitix. Oint. Nem por 
um — ,(fam.) pour toutau monde. Ordem de 
— ‚ordre du Christ en Portugal. 


T «CmRomiricamentE, ado. (1. de mus.) | pri 


ohromatiquement: par demi-tons. 

- «CaRomÄTico, A, adj. (I. de mus.) chroma- 
tique : qui proc&de par semi-tons. (t. d’opt.) 
— , colore. 

Te Cuxomarısuo, 8. m. (1. de mdd. et d’opt.) 
ehromatisme : coloration (du sang)- 

T«Canöuıoo, A, adj. ohromique: duchrome, 
dont le chrome est la base. 

T«Canomo,s. m. chrome: metal trös-fragile, 
blanc grisätre, infusible, fixe : donne au ru- 
bis, & P&meraudo, eto., leur oouleur. 

«Curönica , 8. f. chronique : histoire selon 
l’ordre des temps. 

: «Carönco, a, adj. (1. de med.) chronique : 

de longue durse, que le teınps a rendu difficile 

& guerir (maladie). 

.. _ _«Curonista, s. m. chroniqueur : auteur de 
ohronigque. 

« CHRONOORÄNMA, 8. m. ohronogramme : In- 
soription en chiffres, ow dans laquelle se trou- 
went les lettres numerales qui, prises ensem- 
ble, font la date de ’evenement rapporie. 

«CHRONOGRAPBiA, 8. [. chronographie: des- 
eription qui caracterise P&poque d’un erene- 
ment par ses circonsiances. 

« CBRONÖGRAPRO, 3. m. chronographe: &ori- 
vain sur la chronologie. 

«CEroNoLocla, s. f. chronologie : science, 
dootrine , ordre des temps; art de rapporter 
les &v&nements & leur veritable dpoque, de 
falre concorder les falts sous le rapporı des 
temps; traite de cette science ou de cet art. 

* @CHROROLÖGICANENTE, adv. chronologique- 
ment: selon l’ordre des temps. 

* «CmnonoLöcıco, A, adj. chronalogique : de 
la chronolegie. 


CHU 


« CARONOLOGISTA ou ) ehronologisie: quisait, 

« CHRONÖLOCO, 8. m. ) enseigne ja chronolo- 
gie, &crit sur ja chronologie. 

« CHRONÖBETRO ‚8. 8. ohronomätre : Insire- 
ment pour mesurer les temps dans la musique, 
les plus petites fraclions de temps en asirobe- 
mie. Montre marine : garde-lemps. 

+} « CBRYPTOCHPHALOS , 3. m. Pl. ( hist. 
wat.) gribouris : col6opteres ohrysomelines. 

« CuavsiLıpa, 3. f. (t. d’hiss. nat.) chryss- 
lide : aurelie, nympbe, före, &iat de la che- 
nille, de l’iinseote qui passe du ver au papil- 
lon, & la mouche, etc. : se dit particalieremen! 
des chenilles. 

+ «CHRYsänTtHENo, 8. m. (f. de dot.) "margue 
rito Jaune, double; la leur doree des jardins. 

+«Cuav’sına, 8. f. (1. d’hist. nal.) chryside: 
insecte bymenoptöre pupivore. — afogusade, 
chryside bleue et rouge. — anuleda, chryside 
verie et bleup. 

«Canysma,elc. V. Chrisme, et. 

« CHRYTSÖCONO, 8. m. (£. de bot.) chrysocome: 
plante de la famille des corymbilöres. 

+«Cuntsocharala, s. f. chrysugrapbie: ar 
(perdu) d’&crire avec l’or. 

« CHRYSOL,, 8. m. Crauset : vAs6 pour fondre 
les metaux. (g.) ° Epreuve de la veria, dele- 

L 


«Curvsöltwua,s. fe „chrysolithe : piefte 
« CHRYSÖLITHO, 8. m. } precieuse,jauned of 
mel& d’une teinte de vert; cristal Lopase. 

+ « CHRYSöLocO, A, adj. chrysologue: Les 
&loquent. 

+«Cunvrsomgıa, 8. f. (. d’hist. nal.) cry 
somele : col&optöre phytophage. 

+«Cunysortia, 8. f. chrysopse : science de 
faire de Vor. 

t« Cunysörta , 5. f. (6. de bot.) chrysepie: 
grand arbre de Madagascar, millepertais ä 50 
jaune. 

+ « CurYsöpraso ou }chrysoprase : pierf® 

«CHaYsopisıo, 8. m. } precieuse ‚ven de 
poireau. 

CuvBinsa, 5. f. espöch d’arbrissene du 
mont Calpe, en Espagne. 

Cruca , 8. f. V. Chnigo. 

Caucipa, s. f. coup d’une arme d’hast. 

Cuucino, A, p. p. de 

Caugan, v. a. blesser avec une arme d’basl: 
donner des coups de pique. 

+ Cavc£ıro,s. m. soldat arme d’une halle- 
barde ou d’une perluissne. 

+Cubcua-aLipa (d), adv. (fam.) & la de 
robee, 

CRUCHÄDO, 4, 9. p. de Chuchär. 

CaucHaueı. V. Chupemii. 

CHUcCHÄR, ©. a. sucer ı attirer avec lesleıres, 
en aspirant forlement une liqueur, ele.: (ai 
fondre en remuant dans la bouche, en frotian 
avec la langue. V. Chupär. Ficar 
no d#de, (fg. fam.) &tre Lruströ dans queig«® 


attente, ou n’avoir qu’s s’an löcher les barb@® 


CHUCHURREÄDO , A, P. p de Chuchurreat: 


CHU 


Grecauanzir, v. #. buvotier, Loire ä petits 
toups. 

Grego,s. m. $pieu, pertuisane, pique, espon- 
ion ; arme d’bast. 

Caot, adj. 2 gen. (pop.) mesquin, mal tor- 
che. 


Gröra,s. f. gausserie, raillerie, moquerie, 
e. por —, je Vai dit en badi- 


mai, 

Caurig. V. Mofar, '.ogar. 

* Cuuıva. V. Chuoa. 

tGstua, s. f. chanson, danse burlesque, 

laseive. 

Fehkpreighey] } mot, ton grivois. 

CacLista, s. m. grivois, gaillard, bon dröle. 

* Cabısı.V. Chusma, 

CacLo, 4, adj. grivois, burlesque; lascil. 

Cucuackımas,s. f. pl. pieces d’un moulin & 
sucre; moroeau de bois sur lequel s’appuie 
Pessiea d’un chariot. (f. de mar.) Porte-bou- 
lets ou bol&tidres. 

Catuickte, 5. m. plumasseau de charpie; 
pelite compresse. 

ÜSTEACIHBO, 5. m. dim. de 

Cstuico, 5. m. "compresse : linge en double 
sat une plaie. if. ant. Traversin de plumes. 

Geuusiva, s. f. plomb dont on garnit les 
Slets qui servent & la p£che; charge de ploınb 
dans un fusil. 

Caczsioo,A,p.p. de 

Carmsir, ©. a. plomber : souder avec du 
Memb; couvrir, reveür de plomb; remplir de 
plomb une cavit& quelconque. —,garnir de 
Memb ou d’un plomb un ballot, etc., & la 

e. 

Cauuszas. V. Chumdas. 

Guvustına , s. /. filet plombe pour la peche. 
(Ag. burl.)* Jugement, sagesse; aplomb. 

tıno, 3. m. plombier : qui trayaille en 
Pemb; qui exploite les ınines de plomb. 
tOscmeim, s.m. magistrat du premier rang 
‘es les Chinois. 

Grüwso, s. m. plomb : metal mou, tr&s-fusi- 
bie, blanc-bleuätre; ce qui est en plomb. —, 
mercesus de plomb pour les lets & p£cher. 
(#4.) * Gravits, poids, reflexion. — caleinddo, 
andres de plomb. Andar ou ir com pesde —, 
ptocdder avec lonteur, rellexion, 

TGrvusir, v.0.— um masiro , (l. de mar.) 
jumeller : soutenir (un mät) avec des jumelles. 

Crutas, 5. f. pl. (i.de mar.) jumelles : 
pitces de bois pour fortifer la carlingue du 
Iond du vaisseau. 

Gruze.V. Chamind. 

}Urorantııa, s. f.“ sucement, succion: l’ac- 
ion de sucer. 

(aurino, A, pP. P. de Chupar. (fig.) adj. 

‚maigre,, oxtenud. 
ADOR, A, 3. suceur. Sucoir. 
‚Gurrasöna, 5. f- V. Chupadella, io jus ou 
Iquide qu’on suce d’une fois, 
GurasLonzs. V. Picaflores. 
f Cnurautr, s. m. (4. de dos.) melinet, co- 


CHY 291 


rinthe, plante borraginde; chevre-feuille, (L. 
d’kist. nat.) Colibri: espece d’oiseau-mouche. 
— maior, topaze. —menor, oiseau-mouche, 

CHUPANENTO, 3. m. V. Chupadella. 

Caupid, s. m. sucon : marque rouge, eie- 
vure faite & la peau en la sucant. 

CaurÄin,, ©. a. sucer. Pomper, en parlant des 
arbres ot des plantes. (fg. fam.) Sucer : tirer 
peu & peu /’argent ou le bien de quelqu’un. 
(id.) Absorber, eonsumer. —o sangus ou 08 
08808 a alguem, (fig. fam.) sucer quelqu’un 
jusqu’& la moelle des os. — os dedos, (id.) 16- 
cher les doigts. Il est quelquefois r&ciproque. 
Chupar-se a perdiz, se motier (la perdrix). 

}Caortra, s. /. On ne l’emploie que dans 
veite phrase familiere: Ser de—, pour mar- 
quer qu’uno chose est delicate ei d’un bon 
goät. 

Cuvpfsta, s. m. (burl.) llüteur, ivrogne. 

Cuvpistärn, v.9. V. Beberricar. 

tCaupona, s. f. courtisane qui depouille 
ses amanis, 

CuörnO, A. V. Churro. 

Cadaua. V. Chusma. 

CHunrıÄö, 3. m. char-A-bancs , grande voi- 
ture A quatre roues. 

Cuörao, A, adj. On le dit des troupeaux 
qu’on ne fait pas voyager, et de leur laine, 
laquelle est d’une qualite inferieure. 

CHURUMR, s. m. V. Chorume. 

Cuös, ado. Il n’est usit# que dans celle 
phrase : Näo dizer — nem ‚ (pop.) ne 
point desserrer les dents , ne dire mot. 

Cnüsma, s. f. chiourme : tous les rameurs 
d’une galere. Populace : r&union de gens de la 
lie du peuple. V. Multidäo. — de criados, vale- 
taille. 

* Cuusuir. V. Tripolar. 

* Causöra. V. Clausüra. 

Cavva, s. f. pluie: eau qui tombe du ciel. 
(Ag.) Ce quitombe comme elle; grele de coups, 
etc. — de pedra, gröle. 

Cavvazinaa, s. f. dim. de Chura. 

Cauvkıno, s.m. " averse. (fig.) *Grele de bal- 
les, etc. 

Cuuviscar. V. Choviscar. 

Cavvisco, 8. m. petito pluie. 

Cauvöso, s, . pluvieux : abondant en pluie. 

Caiz. V. Chus. 

« CHYLIFERO, A, adj. (tl. d’anat.) chylifere : 
(valssoau) du chyle. 

« Cuyuiricacäö, s. f. (t. d’anst.) ahylilica- 
tion : formation du chyle. 

« CaYLırıckDo, A, adj. p. p. de 

« CHYLIFICAR, ®. a. convertir en chyle. 

« CuY’Lo,s. m. (8. danat.) chyle : sue blanc, 
extrait des aliments diger&s, qui se change eu 
sang. 

+ «Curıöso, A, adj. (f. d’anat.) chyleuz : 
du chyle, qui en a la qualit£. 

« Cuv’no, s. m. chyme : bol alimentaire r6- 
duit en masse pulpeuse dans l’estomac. 

f « Carmöss, s. fı (1, de med.) cbymose :in- 





293 CID 


Sammation des paupidres qui se relournent; 
eoction dans le corps humain. 
Cuvyprıino,A, adj. ei s, de l’ile de Chypre. 
ip0,A,9.p.de 

CGir,v.n. (8. de mar.) scier : voguer & re- 
eulons, ramer & rebours. — a rd, scier A cou- 
ler. v. a. Bire jaloux de quelqu’an. Il est aussi 
röciproque dans cetite acoeption. 

Güirıca. V. Seialica. 

Ciavöca,s. f. ({.de mar.) l’action de ramer en 
arriere , de faire virer de bord une galdre,, etc. 

Cısa. V. Siba. 

Craiıno. V. Cibato, Alimento. 

„Tuninoo, s.m. grand oiseau qui se bat avec 
l'aigle. 

T Cıaino, a, adj. On le dit des lois et des 
reglements des Romains, qui concernaient les 
repas et les festins du peuple. 

CısÄto, s. m. "päture des olseaux ou betes 
sauvages. 

CistLes, etc. V. Cybelen 

Giso. V. Comida, 

}CisoLo, s. m. tsuresu du Mexiquo. qua- 
drup£de de la Nouvelle-Espagne. 

Ciaönıo, s. m. ciboire : vase pour les hosties 
consacrees. 

tCicära, s. m. (burl.) chiche, mesquin, 
avare, vilain, trop menager. 

+Cicateir, v.n. (fam.) lesiner : &pargner 
sordidement , user de lesine. 

+ Cıcateria, s. f. lesine : &pargne sordide, 
mesquinerie , chichet®,, avarice. 

Cicatriz, s. f. cicatrice : marque des plaies 
et des ulcöres gueris. (fg.) Reste d’une injure, 
d’une calomnie. 

Cıcatrızackö, 8. f. cicatrisation : fermeture 
naturelle d’une blessure. 

CICATRIZAÄDO, A, P. pP. de Cicalrizar. 

CICATRIZANTE, adj. 2 gen. cicatrisant : qui 
eicatrise ; cicatrisalif. p. a. de 

Cicaraızir, v. a. cicatriser: faire des cica- 

trices. 
CICATRIZAR-SE , v. r. se cicatriser : so former 
en cicatrice , commencer & so joindre, se fer- 
mer, en parlant des levres d’une plaie. Il se dit 
aussi au moral. 

Ciczno, s. m. cicdro : caracidre d’imprimerie 
au-dessous du saint-augustin. 

Gceznonino, A, adj. ciceronien. On le dit 
du style de Ciceron et de celui qui l’imite. 

Gran, eto. V. Cocsar, etc. 

TOcinneLa,s.f. (1. d’hist. nat.) cicindele : 
eeldoptäre carnassler. 

Gxcı0s0,, a, etc. V. Coceoso , etc. 

Gcıo , eto. V. Cyelo, etc. 

Cicöra, 8. f. (t. de bot.) V. Cogude. Cicuta, 
ombelliföre. 

FCıcoränıa, s. f. (1. de bot.) cerfeuil sau- 
vage. Cörofle, persil d’Ane. 

Cıop,s. m. mot pris de l’arabe : cid, chef, 
eoınmandant. E’ um —,(fig.) c'est un Cesar. 

Copapi ow Cmapia, s. f. bourgeoise, ci- 
löyenne, citadine. 

Gpapiö, u. m. citoyen : habitant d’un &tat 


[2 


CIG 


libre. Citadin : bourgeois, babitant d’une cile, 
d’une ville. adj. Civil : de cits, de citadin, de 
citoyen. 

Cipäpe, 3. f. cite, ville; les habitants d'une 
en Corps des officiers municipaux dans une 
ville. 

Cıvap£ıra, s. f. (t. de fort.) citadelle : for- 
teresse qui commande une ville. 

CipanöaA, 8. f. p. us. V. Cidadä. 

Cıpiö, s. m. (1. d’Asie) espece de zente fon- 
ciere. 

Cora, s. f. * cedrat : frult odorant qui res- 
semble au citron. V. Cidreira. * Cidre : boissen 
faile de jus de pommes. 

Cioriva, s. f. conflture de c&drat. 

CıpriL, s. m. terrain plantö de cddrats. 

Cıoräö, &. m. c&drat, poncire: seorce de c& 
drat ou de citron conät. 

Cipr£ına,s.f. it. de dos.) "chdratierou cddrat: 
arbre qui porte les cödrats, esp&ce de citron- 
nier. Herva —, melisse, citronnelie : plante 
labiee. 

G£ıRo, 8.m. "gercure des lövres, eie. Ter — 
nos beipos, avoir les Idvres . 

Cira ,s.f. * sable d’orförre. (t.de mar.) ’ En 
duit fait avec de l’huile de baleine. 

Cirar, ©. a. enduire un vaisseau de cife 
V.ce mot. . 

Cirra, s. f. "chilfre : caractöre qui marqa 
un nombre. * Zero. V. Zero. —, ecriture, lat 
gage secret. —, leitres initiales des noms en 
trelacees. * Parafe ou paraphe. " Abrege. 

CırriDo,A,p. p. de Cifrar. un 

Cırräö, s. m. chiffre qui marque les millil- 
mes. 

Cırrir, vo. a. chiffrer : marquer avec des 
chiffres ; &crire en chiffre. Abreger. Conletir, 
enfermer. 

CırRÄän#E (em), o. r. se röduire a, Se Te" 
mer, consister uniquement en ou dans. 

CıciıHo. V. Bocadinho, Migalhe. 

Cıcina, s. f. Bohemienne. (Ag.) Femme 
ressante. 

Cıcanania, s. f. troupe de Bobsmiens. (44.) 
Fourberie. 

Cicanice , s. f. flatterie, cajolerie, caress® 
pour tromper quelqu’un. 

Cıcing,A,s. Boh@mien, 
vagabonds qui vont disant la bonne art 
ture, etc. (Ag.) Homme fin, russ, difieile 4 
tromper, eic. (id.) Endormeur, Natteuf, enjd- 
leur : celui qui attire, qui seduit par de belle! 
paroles. Casa de —s, maison de Bohöme , mar 
son dereglee. 

Cicärra, 8. f. cigale : insecte hemiplert, 

«ollirostre, qui produit un bruit alga en nr 
tant deux membranes oontre les asperitds @* 
son veulire. 

+ Cıcanrär, 9.0, fumer des cigarres. 

} CıcanniLna, 3. f. feuille do tabao roakt 
pour fumer. , 

+ Cıcanninnas, s. f. pl. (1. d’hist. nal.) A 
delles : hemipiöres sernblables en petit 3" 
cigalcs. —a escumoss , eicadelle ecumcus- 


Egyptien : sorte de 


GIM 


= de nallkas sanguinses, cicadelle ensanglan- 
ke. — corwieulade, le petit diable. 

+ GsanRista , s.m. qui [ume trop. 

Gcizro, s.m. " cigarre : [ouille de tabao rou- 
lie, propre & famer. Tabac hache, roul6 dans 
de papier, propre & [umer. 

Gens. V. Cyms. 

Gens. V. Cogüde. 
Gcuakıza. V. Segurelka. 
Gıina, 8. f. surprise, piege, emhbuscade, 


Guxacoha. V. Tortülko, 

Ciima,s.f. sangle, ventriöre. "Collier, marque 
natarelle en forme de cercle, qui se voit quel- 
quefois autour du cou et du corps des ani- 
maur. 

Cuumi20, A, p. p. de Cilhar. adj. Bdcoro —, 
eoehon ä eollier. 

Guıniö, s. m. aug. de CGilha.Grosse sangle. 

(ıLräa,o. a. sangler : ceindre, sorrer avec 
des sangles ; attacher la sangle. 

Cruiin, adj. 2 gen. (t. d’anat.) ciliaire: qui 
fe rapporte aux cils, qui soutient le cristallin. 

Guicıo,, s. m. cilice,, sac. —, tissu de crin ou 
defide fer qu’on porte sur la chair par mor- 
tüßcation. — de cabello, " haire. 

Canmpao, etc. V. Cylindro, etc. 

Cua,s. f. cime, haut, croupe,, sommet: la 
partie la plus elevee d’une montagne, d’un ro- 
cher, d’un arbre. ( Ag. ant.) Fin, terme, ache- 
vement, derniere main. Em —, sur, dessus; 
par-dessus ; en baut, au haut; de plus, en ou- 
wre, ensus. A—, en haut, au haut; par-dessus, 
au delä. Ds —, de dessus,, du haut, d’en haut. 
Ficer de —, rester en dessus ; avoir le dessus. 
De — baixo, sens dessus dessous, de 
ind en comble. Dar —, (ant.) metire & fin 
une chose. Por —, en outre. Ir sempre de —, 
aveir eujours l’avantage. 

Guigo,s.m.($.d’arch.) abaque, cimaise : 
Parlie sup£rieure d’un chapiteau de colonne. 

GsiLsa, s. f. cimaise, corniche. 

+Cmannid, s. m. marron. On le dit dans 
TAmerique des nögres ei des animaux qui so 
sont enluis dans les bois, oü ils sont devenus 
säuvages. 

Gusa. V. Barca. 

GusaLo. V. Cymbalo. 

Gusag, s. m. (1. d’arch.) cinire : arcade de 
beis pour soutenir et bAlir une voüle. 

Ciusaico, A,adj. ets. des Cimbres, aujour- 
Fbui du Jutland. 

Gusaos, s.m. pl. les Cimbres: peuples de 
I bersonese cimbrique,, aujourd’hui du Jut- 


Curtına, s. f. "eimier : ornement sup6rieur 
da easque. (#4. de bias.) —, figure sur le 


tGwtıno, A, adj. d’en haut, qui est au 
beat, & l’eztrömits d’une chose Cleve&e. 

Gnestino,A,Pp.p. de 

Gusxtar, v9. a. cimenter, fonder : jeter les 
fondements d’un edifice. (ig.) Poser les princi- 
pers, asseoir les fondements d’une science, eic. 


CIN 293 


Cıu£uro, s. m. eiment: sorie de mortler; 
fondement d’un ddifice. (Ag.) Base, fonde- 
ment. R 

Gustänka, s. f. cimeterre: grand coulelas 
ou sabre recourbe. 

Ciuo, s.. sommet, cime, falte 

CanÄaRı0, 8. m. cinabre : mineral rouge colb- 
pos4 de soufre et de mercure; vermillon, sul- 
fure de mercure. 

Cınam6mo, s. m. V. Canella de Ceiläo. 

Cinana. V. Cardo hortense. 

Cinca, s. f. chou-blanc. Der —, (1. de jew) 
faire chou-blanc. ( Ag.) Faute,, berue. 

Cıscia, vo. ». s’6garer, so iromper, fsire une 
bevue; perdre cing points au jeu de boule, 

Ciuckino, etc. V. Sinceiro, etc. 

+ CincsLtre, s. m. sorte de furban des 
Maures de Mombaca. 

CINCHADO, A, p. p. de 

CıncHär, ©. a. clayonner, &gautter les fre- 
mages, les jeter en ınoule. 

CincHo, s. m. clayon: &clisse & egoutter den 
fromages,, moule du fromage. 

Cınco, adj. 2 gen. cinqg : nombre ordinal 
form6 de 2 et 3 ou de ı et 4; s. m. cinq, 
chiffre (5); carte, des, marque&s de 3. 

CINCO-EM-RAMA Os RANO. V. Potentilla. 

Cıncoßnta, adj. num. et ord. cinquanie ı 
eing dizaines. 

Cıncosutävo, s. m. le cinquantiäme : cim- 
quantidme partie. 


+ CıncoentenÄrio, A, adj. 
F CINCOENTENO, A, adj. 


Cinenacid. V. Incineragdo. 

Cınerialo, A, adj. cineraire: qui contiens 
les cendres. 

CınBnzo, A, 6d}. 

Cinenıcio, A, ad). 

CınceL. V. Singel, . 

Cıncıptıras, 5. f. pl. griffes du milleu des 
oiseaux de proie. 

CınciDo, A, 9.2. de Cingir. adj. restreint, 
reduit, Jimite. 

Cıncınduro,s. m. * ceinture : ruban, COf- 
don, elc., avec quoi on se ceint les reins. 

Cıncir , v. a. ceindre,, entourer, environner, 
borner, embrasser, renfermer, ressörter, s0r- 
rer. (fg.) Beduire, abreger, raccourcir. — @ 
espada, porter l’&pee au cöt& ‚la ceindre. — 0 
vento, (4.de mar.) pincer le vent, brasser au 
plus pr&s, ralinguer en tenant le vent. 

CıncıR-SE, ©. fr. se ceindre, se serrer le 
corps. (a) Se borner A, s’astreindre &, se ren- 
fermer, so restreindre, se r&duire dans de 
certaines bornes. S’approcher de Irös-pr&s, 5® 
serrer contre; raser la terre, lacöte, en par- 
lant d’un bAtiment. 

Cincero, s. m. V. Cingidouro, Cinlo. Cordon 
d’aube. 

+ Cinmwur, s. m. ciniphe, cousin: sorte de 
moucheron piquant et fort importun. 


Cınısmo. 
CINOSURA. V. Cyn..., eis 


compos6 


de cinquante, 
cinquanie. 


cendr& : couleur de 
cendre. 


2 GR 


Gmosaı. V. Conoira. 

Cınguinno, 5. m. ancienne monnaie poria- 
gaise, trois cenlimmes environ. 

Cirta, s. f. ceimture, bande, öcharpe. V. 
Cintura. Pör a espdda d — , oeindre l’tpee, la 
mettre au cöls. — de azulejos, "soubassement, 
rang de carreaux de Hollande. —e, pi. (1. de 
mar.) ’ceinirage : tous les qui enri- 
ronnent le vaisseau ; ceintes, carreaux, pr&- 
ceintes. 

f Cıntir, v. a. bander, lier avec des bandes, 
entourer do bandes. 

Cıxtankco, 3. m. ooup d’ . 

+Cıxtsipo, A, adj. (1. de bot.) entoar6 de 
bandes. 

CixT£iro, 8. m. ceinturier: oelui qui fait et 
vond des ceintures, des ceinturons, etc. 

CinrEMEnTE, adv. & dessein. 

CINTILAR. x 

CINTILBAR. ! V. Seintilkor. 

CınriLuo, s. m. petit cordon , petite ceinture. 
Jone garni de diamants. 

Cixro, 3. m. oeinturon , oeinture de cuir. 

GsTo,A,Pp. p. irreg. de Cingir. 

Cmr6aa, s. [. ceinture : la place du corps oü 
Fon attache la ceinture. 

Cıxrunäö, s. m. ceinturen : sorte de ceinture 
& pendanis pour soutenir l’&p6e. 

Cınöna. V. Communa de Judeos. 

Cinza ‚s.f. oendre : poudre qui reste des ma- 
tieres brüldes. —s, pl. cendres : restes d’un ca- 
davre humain. Quarla feira de —, mercredi des 
cendres. Reduzir a —s, ıneltre ,r&duire en cen- 
dres : ravager, brüler une ville, un pays, otc. 

Cınz£ıno, s. m. cendrier:: endroit oü l’on met 
des cendres, od elles tombent. 

Cınz£L, etc. V. Sinzdi, 

Cınzänto, 4‘ adj. cendr6 : couleur de 
oendre. 

Cio, s. m. rut : chaleur des betes fauves. 
Bıtar com o — , ötre en rut. 

" Cıoino, 5. m. troupeau de cochons. 

CıösanEnte, adv. avec jalousie. 

Cı6so, a, adj. jaloux : qui a de la jalousie. 

Cırö , s. m. ( f. de bot.) liane : esp&ce d’ipeca- 
cuanha. — de cobras, cunvolvulus colubrinus. 
— de cobras do Brazil. V. Caapeba. 

CiroiL, s. m. lieu couvert de lianes. 

+ CıroLino, a, adj. (Marmore —) cipolin: 
marbre verdätre. 

Cipro, s. m.cippe: demi-colonne sans cha- 
piteau. 

CiPnEstE, etc. V. Cypreste, etc. 

Cırinva, s. f. "van & vanner; claie, sas, 
eridle. 

Cınanpino,A,p.p. de Cirandar. 

CıraNDÄGEM,, 8. f. ordure qu’on Öte en van- 
nant; Paction de vanner, la portion de chose 
vannee. 

CiRANDÄR, dv. a. vanner : neltoyer le grain 
avec un van. Passer du plätre au sas. 

Cirita, s. f. * bord d’une selle. 

+ Cuacassıaxo, A, adj. et s. de la Circassie. 

Gixcka, s. f. (ti. de bot.) circde: berbe de 


CIR 


saint Etienne, herbe aux magielens, herbe en- 
chanteresse. 

Circ&sse, adj. 2 gen. On le dit des Jeux du 
eirgue. 

+ Gncko, a ,adj. trompeur, feint,, seductenr. 

T CırcınäL, adj. 2 gen. ($. de bot.) roule, en- 
tortille. 

f Cincao, s. m. (1. d’hist. nal.) circio: oiseau 
des Indes, qui apprend facilement & parler. 

Gxco, 8. m. eirque : lieu destine aux jeux 
publics, aux courses. Gercle imaginalre. V. 
Cireulo. 

Gracuıcäd, 8. f. tour circulaire, eircuit. 

° Ciacofa,, ©. a. enceindre, entourer, euvi- 
ronner. 

Cıecöıto, s. m. circuit, contour, enoeinte, 
eiroonference. —s, pl. ambages , deöloars, eir- 
cuit de paroles. 

Ciacviaciö,s. f. cireulation : mourement de 
oe qui circule. 

CiacvLipo, A, 2. p. de Cirewlar. 

CiacuLinteg, adj. 2 gen. circulant: qui eir- 
eule. p. a. de Cireular. 

Cırcurir, adj.2 gen. circulaire, rond: qui 
va en rond, du cercle, qui y a rapport, gui 
en fait partie. Carla, aviso — „lelire, avis cir- 
culaire, par lequel on informe plusieurs per- 
sonnes d’une meıne chose. 

CıacorAn, v9. @. gamnir autour; enlourer, 
environner. ©. ». circuler : se mMouvoir en 
rond, en ligne courbe; passer de main en 
main: so dit de l’argent, des billets, d’une 
nourelle qu’on repand. — 0 sangue, circuler, 
en parlant Jdu sang. 

CiacoLanutntg, adv. circulairement: en 
rond ; en circulaire. 

CiacuLarTörıo ‚a, adj. cireulatoire. Morimen- 
to —, mouvement circulatoire d’un corps qui 
tourne autour d’un point. Vaso —, (l. de chim.) 
vaisseau eirculatoire , pour la circulation. 

CircuLo,s.m. (4. de geom.) cercle : suite de 
points & dgale distance d’un seul centre; sa 
figure, le plan qu’il renferme; eirconfereneo 
de cercle. Cercle magique. * Assemblee, com- 
pagnie. —, nom qu’on donne & plusieurs prin- 
cipautes, villes et &tats qui font ensemble un 
corps polltique en Allemagne. — vieioso, ceruiw 
vicieux : vice dans le raisonnement. 

CıacumcıpiDO, A,p. p. de Circumcidar. 

CiRCUNCIDÄNTE , qui cifconcit. 9. a. de 

CIRCUMCIDAR, v. a. cifconcire: couper la 
peau du prepuce. (fig.) Retrancher tout au- 
tour; reprimer. 

Gırcumcısiö, s. f. circoncision : l’action de 
eirconcire. Fete de la circoncision de Jesus- 
Christ. 

CIRcUNcısO, 8. m. circoncis: celul A qui l’on 
a coupe le pre&puce. 

CHRCUNDAMENTO. V. Cireuilo, Cerco. 

Cırcuupar. V. Cercar, Cingir, Rudear., 

CiRcumptcTAR. V. Annullar. 

Circompucro. V. Annullado. 

CIRCUMFERENCIA, 3. f. circonference : tour 
d’un cercle; enceinte. 


gr 1 BL a 90 hl 


a KL. a2 2 a 7 A m 4 


aa u u Lan 





CIR 
tOncamrınaid, s.f. "tour, eircuit, conlour, 


Gamma „adj. circonflexe. On le dit d’un 
accent qui est fait comme un v renverse (A). 

+ GiacuwrLuncıa, s. f. "mouvement d’eau, 
d’aır autour de... 

+ CIacomrLußnTE, adj. 2 gen. qui court, se 
repand auloar, qui affiue. p. a. de 

GacvusurLoie, v. ». couler autour, se repan- 
dre de toutes parts. 

Gscusronineo, A, adj. qui va de place en 
place, de march# en marche, pour debiter sa 
marchandise ; eharlatan. 

Gacunröso ‚A, adj. repandu, vers6 aulour. 

Guacruiciö, v. Circwigäo. 

T GscumlacenTg, adj. 2 gen. circonjacent, 
environnant (pays ). 

CiacomLoctcäö, 8. f. ciroonlosulion : detour, 
eircnit de paroles, peripbrase. 

G 0o,.m.V. Ci in. Par- 
is de la conjugaison des verbes lalins qui re- 
poud au futar passe de l’infinitif. 
LUACHNLUCENTE, adj. 2 gen. qui brille au- 


f incszıunano. V. Cireumvallddo. 

tGncummavzoackö,s. f." voyage auteur du 
monde. 

TGaCEENAVECADOR, 4. m, navigsteur qui 
fait ie (var da monde. 

ÜBCENSCHETER , ©. a; oirconscrire, borner, 
Iimiler, terminer, restreindre dans des bornes, 

CBCOWSCRRYER-S2 (a), v. r. se bomer, so 
lumiter, se restreindre dans des bornes. 

acouscarciö, s. f. eirconscription : l’ac- 
lisa de eirconscrire; ce qui limite la eirconfe- 
Tence. 

Gacesscaıprivo, A, adj. qui ciroonserit, qui 
boras, qui limmite, gai restreint,. 

CacHuscaı Pro, A,P Pp. de Circumscrever. 

Oscvuszssiö, #. f. (1. de iAdol.) existenoe 
intime des trois personnes divines. 

+GaccssonÄutz, 6dj. 32 ge%. qui sonne au- 


Cactusrkccäö,s. f. circonspeetion , disere- 

ken, röserve, judicieuse retenue, eondaite 
„ prudence, gravit& dans le maintien, 

dans les paroles ‚dans les actions. 
Gm NOINSPÄCTAMENTE, adv. aveo ciroonspec- 
Oncousp£cro ,A,adj. circonspect, prudent, 
sensd: qui prend garde &cequfil dit, & cequ’il 
kit. Grave, seriaux , respectable. 
Oxceustäincıa, 8. f. eirconstance , parlicu- 
isrit€ d’un fait, d’une nourelle, eic.; occasion, 
“currence , conjoncture ; condition requise. 

$ Uacuusrancıknamene, adv. en detail, 
d'une manidre circonstanciee. 

ÜURCumsTancıa00, A, 9. p. de Circumsian- 

TÜBCCuSTancıADoR, 8. m. qui rapporte, 
qu raconte en detail. 

ascrusranait, adj. 2 gen. ciroonsian- 


E13 29) 
gramm.) qui indique les modißcations du 


"rnenusranciin, va. circonstancier : dire, 
marquer les circonsiances. 

CIRCUMSTANCIONAR , elc. V. Ciroamsian- 
ciar, ete. 

CIRCOMSTANTE, adj. 2 gen. qui ost aulour, 
qui environne. —s. pl. prösenis, assisiants. 

Cırcumstar. V. Corcar. 

TCIRCUNVAGÄNTE, adj. 2 gen. qui erre au- 
tour. 

TCiacöuyaco, A, adj. qui roule, tourne 
autour. 

CıacumvaLLacid, 8. f. V’action d’entoarer, 
d’environner. ($. de fort.)Circonvallation, foss6 
que les assiegeants font aulour de leur camp, 
avec des redoutos, &to. 

CIRCUMVALLÄDO, A, P. P. de 

CIRCUMVALLAR, ©. G. Onceindre, enlourer, 
environner, inrestir. Faire la eirconvallation 
d’un camp. 

f CiacomvizinBÄnga, 8. f. * contour, banlieue 
d’une ville. 

CIRCUMYIZINHO, A, adj. circonvoisin, proche, 
contigu , environnant; qui est auprös, autour. 

GhacumuvorLuciö, s. f. ciroonvolution : chacun 
des tours que decrit une courbe autour d’ua 
centre commun; tour de spirale; rövolutien 
d’une ligne. 

Ciacom..., etc. V. Ciroum,.., el6. 

Cinca , eto. V. Sürgs,, ote. 

GROILIN. V. Gergelim. 

IRGIR, 010. 

CIROUEIRO. } V. Sirg..., eto. 

CıasaL, s. wi. candelabre : grand chandelier 
d’öglise, 

Cıaımonta , eto. V. Coremonis. 

Cmmınko. V. Cyrindo. 

Gino, s. m. cierge : ohandelle de cire & Yu 
sage des sglises. (Ag.) Pelerinage. - 

Cıang. V. Cysne. 

Ciaao, V, Sehirro. 

+Cinsıo, 3. m. (f. de bot.) * quenouille ow 

enique, plante de la syngendsie. — de Mom- 
pelher , chardon de Montpellier. 

Crasockıa. V. Varicocels. 

Cıauncia,, s. f. chirurgie : art d’operer dela 
main surle corps de l’homme, pour gus6rir les 
blessures , les fraotures , les contusions, etc. 

CırunciiL ou CiruncicäiL, adj. 2 gen. V. Ci 
rurgico. 

CıauncıAd, s. mw. chirurgien : qui fait pro- 
fession de la chirurgie, qui l’oxerce. — per- 
feiro,, accoucheur. 

Cıröacıco, A, adj. chirurgical : de la obi- 
rurgie. 

CinviLatßıra. V. Corvilhöira. 

Ciazır , ete. V. Serzir, etc. 

Cısa. V. Ciss et Size. 

CısaLpino, A ,adj. ers. cisalpin : qui est em 
degä des Alpes. 

CısB6rno. V. Bisbördo. 

CISCALHAGENM , 8. f. balayures , ordures. 


: qui indique les oirconstances; (4. del Cıscäa-sg,v. r. ($. burl.) filer, se sauver. 


296 CIT 


Cisco, s. m. poussier : poussidre de charbon. 
Casua. 
au | V. Seism.., etc. 

T Cisuontano, A, adj. qui est en-decä des 
montagnes. 

Cisuz. V. Cysme. 

Cıso , Gs6no. V. Siso, eic. 

CIssauTuEuo. V. Pdo-de-porco. 

Cista, s. f. urne pour recevoir les votes. 

+ Cıster, s. m. ordre de Citeaux ou de Saint- 
Bernard. 

CSTERSIENSE, adj. 2 gen. qui appartient & 
V’ordre de Clieaux. 3. m. Cistercien : moine de 
Clteaux. 

Cisteanı, 8. f. citerne : röservoir souterrain 
d’eau de pluie. 

CISTERNAZINHA ou ) dim. de Cisierne. 'Ci- 

Cıstzaninua,s.f. ) terneau. 

yCisto, s. m. (t. de bot.) ciste :genre de 
plantes dont les esp&ces porient leurs graines 
dans des eapsules. 

Cistao. V. Sistro. 

Cira, 5. f. citation : allögation d’un passage, 
d’un fait. 

Crraciö, 8. f. citation : V’action de citer, 
d’assigner; Ajournement, assignation devant 
un juge. V. Cie. 

Grapdtıa. V. Cidadells, 

Cırapo, A, pP. p. de Cildr. 

+Cıranöa, 5. m. citateur: qui cite des pas- 
sages pris dans les auteurs ; qui assigne. 

°* CITAMENTE, adv. prompiement, en peu de 
temps ; volontairement, spontanement. 

GITanTK, adj. 2 gen. celul quicite, qui as- 
sigue. p. a. de 

Cıraa, vo. @. (l. de prai.) citer, assigner, 
ajourner ä comparaltre par-devant la justice. 
—ı, rapporter, alleguer un passage, un au- 
teur, etc. Convoquer, faire assembier par au- 
torits juridique. 

Cirara. V. Cithara. il. Acitere. 

Cıratöaıo,&a, adj. (tl. de pre.) eitatoire : 
qui concerne la citafion en Justice. 

GTERIoR, ed. 2 gen. cilerieur : en-decä, de 
notre cöl&, pres de nous. 

Ciruara, s. f. citbare : iyre & 7 ou 8 cordes, 
des Hebreux, des Grecs; sistre des Italiens ; 
luth , harpe. 

CıTBAReDicO, A,adj. citharadigue: qui con- 
cerne la cithare, la harpe. 

CITHRAREDO, 8. m. celui qui chante en 8’ac- 
compagnant de la cithare , de la harpe. 

tCıtnanista, 5. m. joueur de cithare, de 
harpe. 

Gıriso. V. Cytiso. 

 Grockcıo, s. m. (f. de bot.) * camelde, oli- 
vier nain, bois gentil. 

CıröLa, s. f. *claquet, cliquet, traquet: dans 
un monulin, petite lalto quiest sur la trömie, 
ot qui bat avec bruit. 

u Gıtörs, s. m. (fam.) * inlimation , assigna- 

n. 

Graauonrino. V. Cismoniano. 

Orainu. V. Volsteria. 


CLA 


tCraito, s.m. (}. de chim.) eitrate : sel 
d’acide de citron. —s, pl. sels formes de la 
sombinaison de Yacide citrique avec difförentes 

ases. 

Cıratıno, s. m. fauconnier. 

Citaeo,A, adj. (6. de pods.) de citron; de 
ctdrat, 

Citaıco, a ,adj. (1. de chim.) eitrique (acide) 
extrait du citron. 

+ Cırammıra ,s. f. (1. d’hist. nat.) * braant: 
genre d'oiseaux de l’ordre des passereaur. 

CGraino, a, adj. citrin, oouleur de citron. 

f GrnonfıLa-uenon, 8. f. (tl. de bot.) V. 
Cidrtira (kervs). — meior, armoise clärenelle, 
zuge aurone des jardins, citronelle, garde- 


Göuz,s. m. *jalousie; envie. Ter —s da 
guem , &ire jJaloux de quelgu’un. 

CiveL, adj. 2 gen. civil, non criminel. anti. 
De basse extraction, vil dans les actions. 

CGiveL, s. m. tribunal civil, juridiction civile, 

* CivgLoane. V. Vileza, Indignidade. 

CGivico, A, adj. civique : qui concerne le ci- 
toyen, du citoyen. Cords —a, couronne ci- 
vique, dövern+e pour avoir sauve la vie & un 
citoyen. 

Cıvin, adj. 2 gew. civil : qui regarde er con- 
cerne les eitoyens, la cit#; honnete, poli, 
courtois, bien &lere. Norte—, (f. de gras.) 
mort civile : effet d’an jugement qui prive de 
tous les droits civils. 

" +Grvir, s. m. civil: Popposs de Petat mili- 
taire , dtat de ciloyen, profession eivile. 

GvıLıoäog, 3. f. eivilit6, honnetel6, cour- 
toisie, politesse. 

Gviıuzaciö, s. f. civilisalion : action de ci- 
viliser, ses elfets ; &tat de ce qui est civilise. 

Cıvı.ızido,A,p.p.de Civilisar. adj. Poli, 
honnette, courtois. 

CiVILIZADOR, A „adj. et 3. oe qui civilise. 

GivıLızir, v. e. eiviliser : rendre eivil , hon- 
ne6te , sociable;; 6clairer; polir les maurs. 

}GwvırızäveL, adj. 2 gen. civilisable : qui 
peut ötre civilise, 

CiviLme@nte, adv. eirilement, honnetement, 
avec politesse ; (f. de praf.) en matiere civile, 
en proces civil. 

Cıvismo, s. m. civisme : zele, patriotisme 
dont le citoyen est anime&. 

*Gıvoino,. V. Moniado,. _ 

Gıza, etc. V. Siza, etc. 

Cızinta, s. f. ivraie : mauvaise graine qui 
croit parmi le bl6. (fig.) Zisanie, discorde, di- 
vision; vice qui se möle aux vertus, aux bon- 
nes actions. (id.) Chose nuisible. Metter ou se- 
mear a —,, brouiller, meltre ou semer la ziza- 
nie, la discorde. 

Gızıräö,, s. m. (t. de bof.) *gesso saurage. 

Cuicıa. V. Classia. 

* Cape. V. Malanga. 

Camino, A,p. p.deCiamer. 

CLANADOR, A, adj. ei s. crieur; brailleur, 
criallleur. 

CramÄr, 0. a. invoquer, Implorer, demander 


eV Va "ee 8 


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CLA 


a grands eris, d’une manidre plaintive. (fig. 


Eıiger, demander; crier. Este delito esid ola- 
mando vinganca, ce crime crie vengeance. 

CLANAR, ©. n. corier, 8’terier. — d’alguem, 
erier contre quelgu’un. — por alguem, appe- 
ler quelgqu’un & bauiscris. 

„aauarönıo, 4, adj. quise plaint aveo vio- 
ce. 

Cuauıns. V. Chlamide. 

Guu6r, s. m. ° clameur, ori. Cri plaintif, 
gemissement, dol&ance. Rumeur, bruit public. 
Os elamores dos aflicios chegdo ao cdo, les cris 
des aflliges montent au ciel. 

Guamordso, A, adj. plaintif. 

Cuamos. V. Reclamos. 

CLANDESTINAMENTE, adv. clandeslinement, 
& la derobee, secr&tement. 

Cuassestinmänpe, @. f. clandestinite : vice 
du mariage,, de ce qui est clandestin. 

CLanpgstino, A, adj. clandestin : secret; 
fait en cachetie et contre les lois; (fig.) cache, 
secret. 

Cuanchn, 5. m. (f. de pods.) bruit, son aigu 
de la trompelie. 

+CrincuLa, s. f. (1. d’hist. nal.) "garrot: oi- 
sean de passage,, enpece de canard. 

Cıiaa-p’ovo, s. f.* aubin, blanc d’auf. 

Crinandıa, s. f. claire-voie, ail-de-bauf : 
pelite Incarne ronde et ovale. 

Crananoıan , (4. burl.) V. Luzir. 

CLÄRABENTE , ado. clairement, evidemment, 
manifesternent. — , d’une maniere intelligible. 
— ‚neilement , dislinctement. 

Gusiö, s. m. aug. de Claro, *lucur, clarte, 
telat, grande splendeur. Ä 

+CLARAVALENSE , adj. 2 gen. de l’ordre de 
saint Bernard. 

Gaza, s. f. boisson compos#e de vin blanc, 
de miel , de cannelle, elc. 

CLaneiR , 9. n. commencer ä& faire clair, & 
fsire jour. 8’6elaircir, en parlant du temps. 

+Caantıaa, 8. f. (1. dagr.) clairiöre : espace 
dögarni d’arbres dans un bois, oü on a dejä 
esupt la moisson. 

Crantıno. V. Clareira. 

CLantre, adj. 2 gen. clairet. V. Palhele. 

CLantza , s. f. clari6: qualitö de ce qui est 
deir (du style,de lavue, de la voix, etc. ); 
neteie. (fig.) Reputation, renommee, nom, 
eiltbrite. —s, pl. documents, titres. Com —, 
disinetement. Fallar com —, parler avec {ran- 
chise , sans detours. 

CLanınans,s. f. clarle ‚lumiöre , splendeur; 
perspicuite,, netiete d’esprit. — , chez les chre- 
tens, une des qualitss des corps glorieux. 
Dar —, &clairer. 

CLarırıcacäö, s. f. clarificalion : aclion de 
elariier ( une liqueur) ; depuralion. 

GuarıwıckDo, A, P.p. Je , 

Cunıricäa, vo. a. clarifier : rendre clair et 
setun liquide. Eclaircir la vue. Afliner, puri- 
ker. (fg.) Eclairer, illustrer. 

CLARIFICAR-SE, ©. r. so clarifier, se purißer. 
(Ag. ant.) Se Justißer do quelquc imputation, 





CLA 297 


‚rCuanıricarlvo, a, adj. bon, propre ä cla- 
rifier, & eclaireir, A purifler. 

TCuanirico, A, adj. brillant , 6clalant, ros- 
plendissant. 

Crarim , s. m. clairon : trompetie & son aigu 
et porgant. Trompelie : celui qui sonne da 
elairon. Ander nos clarins da fama, (fig.) avoir 
beaucoup de renommee;; jouir d’une grande 
reöputation , &ire prön& comme savant, comme 
po£ie, etc. 

CLarındra, s. f. clarinelte : instrument de 
musique ä anche et & clefs ; sorte de gros haut- 
bois ; eelui qui en joue. 

CLarıssıno, adj. sup. de Claro, tres-illus- 
tre, trös-noble. 

Cuanissas, 5. f. pl. claristes : religieuses de 
Sainte-Glaire. 

GLiro, A, adj. clair, eelatent, lumineux, 
qui jette de la lumiöre; qui recoit beaucoup 
de jour. —, luisant , transparent. ( £. de peint.) 
— ‚il se dit des couleurs lorsqu’elles sont peu 
foncees ou qu’elles approchent du blanc. —, 
qui n’est point trouble. —, serein,, sans nuage, 
en parlant du temps. —, qui a peu de consis-- 
tance, en parlant des liquides. —, qui n'est 
pas bien serre. V. Raro. —, net, aigu, haut, 
sonore, en parlant de la voix et des sons. —, 
distinct, intelligible, aise & comprendre.—, 
&vident , manifeste. —, libre, franc, saıus de- 
tour. (flg.) Penötrant, perspicace. it. V. IHus- 
ire, Insigne, Famoso. Agua —a, esau pure, 
Semeado — ‚clairsemt. — esid, c’est clair, cela 
est clair. Ser mais —, ou ldo — como a . 
ou como 0 sol, &tre clair comme le jour ; sauter 
aux yeux. Qudrem-no mais —? est-ce clair? 
4’s claras, a decouvert; clairement, sans 6 
gener, vertement, sans deiour ; manileste- 
ment, evidemment. 

Cräno, s. m. intervalle, clair, espace vide. 
* Lacune : ce qui manque dans un &crit, dans 
un discours. *Clart6, lumiere, jour. Entre-co- 
lonnement : espace entre deux colonnes. In- 
terstice, intervalle, espace, clairiere. —s, pl. 
(t. de peint.) les jours, les parties eclairdes, 
ce qui rebausse les teintes. — e escuro, (t. de 
peint.) clair-obscur. (fig.) Melange de bon et 


‚de mauvais. Passar em —, ne faire pas men- 


tion, oublier une chose ‚la passer sous silence, 
Passar a noile em —, passer la nuit blanche, 
sans dormir, sans fermer l’wil. Por em —, li- 
rer au clair. Pelo —, clairement, manifeste- 
ment, sans detour. 

CLiro, adv. clairement, franchement, sans 
detours, sans reticence. Fallemos —, enten- 
dons-nous, parlons franchement. 

*Cıarom. V. Clardö. 

° CLaror. V. Resplandor, Claridade. 

Cıassir. V, Classificar. 

Cuisse, s. f. classe : ordre, rang de porson- 
nes ou da choses, rang donne au mörile com- 
par6; salle de college. V. Aula. —, premiere, 
principale division, dans un sysieme, um. 
methode, une science, des etres dont ils s’oC- 
cupent ; los &tres qu’elle comprend. 


298 CGLA 


Crassia. V. Fondipäo. 

Crissıco, A, adj. prineipal, grand, netable, 
&norme. Classique, approuv6, qui falt autorit6 
dans une certaine matidre, en parlant d’un 
auteur; qui 2 rapport aux Classes. Autor —, 
auleur classique : du premier ordre , servant 
de moddle. Lioro —, livre classique : omploy& 
dans les classes des colleges. 

+Cuassırıcackö, s. f. classification : ordre, 
distribution par classes ; l’action de olasser. 

CLassirIcäDO , A,P. 9. de Classificar. 

T CLassırıcapOn, s. m. celui qui classe. 

Guassıricir,, v. a. classer : ranger, distri- 
buer par classes. 

Cäista. V. Crdsta. 

Craupicacäö, s. f. claudication : Paction de 
boiter. 

CLatpıcipO, A, p. p. de Claudicar. 

CLAUDKANTE, adj. 2 gen. qui cloche, qui 
bolte. p. a. de 

Craupicär, v. ®. bolter. V. Cochear. (fig.) 
Clocher, 6tre döfeotueux, n’aller pas droit dans 
une affaire, 

Guaustaa. V. Clausiro. 

CLAUSTRAL, adj. 2 gen. claustral : apparte- 
nant au cloltre, au monastere. On donne ce 
nom & certains ordres religieux et & leurs 
moines, 

CLAUSTRALIDÄDE, 8. f. "relächement des clol- 
triers. 

CLäusteo, s. m. cloltre : galerie d’un mo- 
nastere, d'une öglise. — ‚monastöre, vie rell- 
gieuse. La reunion des membres dignitaires 
d’une universite. (Ag.) "Cavite, enceinte. On le 
dit surtout du ventre d’une femme enceinte. 

CLäusuLa,, 8. f. clause : disposilion particu- 
liöre d’un traite, d’un contrat, etc.; artiole 
d’une convention, etc. 

- GriusuLido,A,p.9. de 

CLiusuLir, v. a. röduire en olauses, en ar- 
ticles; finir, terminer une phrase, une periode; 
restreindre, r&duire A moins, 

CLausöaa, s. f. clöture: circuit d’une maison 
roligteuse. —, obligation que les religieux 
s’imposent de ne point sortir de leur mo- 
nastöre. 

CLavustrino, A, 9. p. de 

CravsurÄn, ©. a. cloitrer: enfermer dans un 
eloltre; y faire enirer de force. 

CLAUSORÄR-SE, ©. r. se cloltrer: s’enfermer 
volontiers dans un cloftre. 

CLiva, s. f. massue, bäton noueux. 

Cravania, s.f. "office, garde-manger des 
religieux. i£. Bureau du Clavario. V. ce mot. 

CLavärıo, s. m. celui quiaa la clef d’un lieu 
de confiance; dignit# dans certains ordres re- 
ligieux, espece de ir&sorier. V. Claveiro. 

CLÄve, 3. f.(t. de mus.) clel:: signe, marque 
qui sert & faire connattre Pintonation des 
notes par rapport & leur position. V. Chave. 

Crav£ıao, s.m. olavaire: gardien de titres. 
V. Clavario, 

CLaverıma, (4. de do1.)V. Cravina. 

CLAYERia. V, Clavarla. 


CLE 


FCLAvSguE, s. m. stras : composition in- 
ventee par Stras (allemand), qui imite le dia- 
mant, 

Cuavßta, 8. f. (. de mus.) clavelts: pelile 
clef. 

CLAVicÖRDIO , 8. m. clavioorde : sorte de cla- 
veein. 

Cravicu.a, 5. f. (. d’anal.) clavicule: 06 
antörieur, latöral et superieur du sternum. 

tCwavicuLivo, a ‚adj. (1. d’amat.) clavieuld: 
ce qui tient & Ja olavicule. 

CravıcuLir , adj. 2 gen. (1. d’anat.) olavica- 
laire : de la clavicule. 

CLAVICULÄRIO, 8. m. tr&sorier : colui qui tient 
les clefs d’un coffre. . 

+} CLavi-CYLinpno, 8. m. (4. de mus.) olavi- 
cylindre : clavecin aveo un cylindro de verre 
qui frotte les cordes et prolonge le son. 

+ Cavıröaue, adj.2 gen. claviforme: clard, 
en Inassue. 

+ CLavicero, adj. m. qui porle une dlel ou 
une massue. Surnom de Janus et d’Hercule. 

CLavisa, s. f. cherille, chevilleste : morceau 
de bois ou de fer qu’on fait entrer dans un 
trou. V. Cravija. , 

+Cıaviına,s. f. (.Pontode—, t.de ch.) 
Suture , couture double d’une plale. 

Cuavina,s. f. carabine. 

CLAYINBIRO, 8. #a. carabinier. 

CLavıöncio, s. m. clavecin organisd : Insirt- 
ment de musique. 

CLEMATITE-BRANCA, 5. f. (1. de bot.) clömallie, 
herbe aux gueux, viorne des paurros, plane 
rosaote.-— bastarda. V. Aristolochia ordinerte. 

CLEMENCIA, 8. f. clörnenoe : verta qui porle 
un sup6rieur ä pardonner les offenses ei d 0- 
derer le chätiment. (Ag.) Amenils, douceuf de 
climat. ndels 

CLEHENTE, adj. 2 gem. olöment : quiade 
clömence. . 

CLEMENTENENTE, ado. doucement, palsible- 
ment, aveo clöınence, douceur, calme, bume- 
nite. 

CLEmEnTinas, s. f. pl. clementines : denne” 
tales de Clöment V;; lettres apocryphes de sa 
Clement. 

CLEmenTissıno, A, adj. sup. de Clemenit. 

+ CL£önzo, a, adj. (it. de myih.) de Cldons, 
fils de Pelops. n 

+ CızömıA, 8. f. (8. de bot.) cl6onie: plan 
labiee. Vogl 

CLEPSY’DRA , 5. f. "ciepsydre: horloge d’8U» 
machine hydraulique des anciens. 2 

+Cıtrid, 5. m. (1. d’hist. mal.) claife . 
eoleoptere. —das colmöias, clairon des ruche®: 
— mulilador, clairon de bois. 

CLenzzia, s. f. *clerge: Pordre eociösiastigue: 
le corps des ecclesiastiques. 

Cuenicit, adj. m. clerical : qui appartien? &N 
clerc, & Pecciesiastique. d’une 

CLERICALMENTE, adv. clöricalement : 
maniere clöricale. ndi- 

CLenicäTo, s.m. "clöricatare: !’ötal ou c9 
tion du clerc,de l’occlesiastique. — da 





GLU 


elärieat: Paiice de elere dans la ohambre apos- 
tolique de la cour de Rome. 

*Cıenıca. V. Religiosa. 

CLöaıco, s. m. clerc, ecelösiastique, petit 
collet, abb6, pretre. — da camars, colul qui a 
un clericat dans la cbambre apostolique. — de 
tonsura,, elere tonsure. — de menores, olerc 
qui a rega les ordres mineurs. — de missa, 
preire. 

CL£aıcvinHo , 3. m. dim. de Cldrigo. (fam.) 
Prestolet. 

CLino, s. m. clerge. V. Clerexia. 

Cuikxte, adj. et 8. 2 gen. client: personno 
sous la protection d’une autr&; celui que de- 
fend un avocat, un procureur. 

Cussriııa,, 5. f. clientelle : protection que 
le patron accorde & ses clients; les clients. 

Crina, s. m. (6. de geog.) climat: partie du 
globe comprise entre deux cercies paralleles & 
Fequateur; ligne qui marque ceti espace.—, 
region; pays, eu #gard A la temperature de 
Yairet ä ses effets ; &tat habituel de l’atmosphere 
dans un pays. Acostumar-se ao —, saccli- 
mater. 

Cusattaıco, A ,adj. climaterique (an), tous 
les sept ans de la vie ; la 63" ann&e climaterique, 
fatale. (Ag.) Malsain, dangereux, en parlant 
du temps. 

+Cımirıco, A, adj. inconstant, variable. 

TCumax, s. m. climax, figure de rhetori- 
que, gradation dans le discours. 

Cum. V. Crina. 

Cuimıca, s. f. (t. de med.) clinique : mäde- 
eine gui se fait au lit des malades. 

Crixıco, a, adj. (f. de med.) clinique : on le 
dit des medecins qui visitent les malades, et 
de la medecine exercee par ces medecins. 

+CLinorönio, s, m. (tl. de bot.) clinopodium 
ou elinopode : faux-basilic, plante labiee. 

CLio, s. f.(t. de myth.) Clio : la muse qui 
preside & V’histoire. 

CListeL os CrısteL. V. Clyster. 

Cuırönss, 3. m. (f. d’anat.) clitoris : partie 
prominente ei superieure de la vulve, en 
forme de gland ; @stre venerien. 

+CLıvöso, A, adj. penchant, en pente. 

Coica, s. f. "cloaque : egout. (fg.) Sentine 
de vices, d’impuret&s; maison sale, infecte; 
Neu puant. 

CrosciL, adj. 2 gen. de cloaque. 

+CLoacinıo 08 cureur d’dgouts, qui 

+CLoaQusıno, s. m. } mettoie les coloaques, 
les 6gouts. 

+Cıörno, s. f. (1. de myth.) Clotho : la 
plus jeane des Parques, oelle qui tenalt les 
is des destindes. 

+CLos ow CLuse, s.m. clab : assemblee po- 
liäque, philanthropique, etc. 

1 Cuusista, 5. m. olubiste : membre d’un 
e 

+ CLUmIACENSE ou CLUNIANENSE, adj. 2 gen. 
de Clany, qui concerne Pordre de Cluny, de 
Seint-Brano, 


004 29 


ULYPEO, s.m. (f. de pods.) &cusson , cu. 

CLyster,s. m. olystere,, lavement. 

+Cıyrna,s.m. (f. dhist. nal.) clytre: co- 
l&optere tetramdre. . 

+Cö,s.f.(t. debot.)co, cor&the de la Chine 
plante qui fournit une espece del. 

C’o , contraction de com 0, avec le. 

Chi, s. f. action de couler. 

+ Coi, s. f. (£. de bot.) coa : plante toujours 
verie d’Amörique. 

Coscgiö, s. f.eoaction : contrainte violenoe 
qui öte la libertö du choix. 

Coaccusino. V. Correo. 

Coscervir,etc. V. Amonioar. 

Coacrivo, A, adj. coactif : qui a le droit de 
contraindre. 

Coicro, A, adj. forc#, contraint. 

Coiva, s. f. puree; lessive. 

Coaptıra. V. Coador. 

COADJUTÖR, A, 3. coadjuteur, adjoint: per- 
sonne quien aide une autre dans ses fonc- 
tions. —, prelat adjoint A un ev@que, et de- 
sign6 son successeur. Vicaire d’un cur&. 

CoApıuroRia, 8. f. coadjulorerie : charge, 
dignit& du coadjuteur. 

COADIUYADO, A, pP. p. de Coadjuvar. 

+ COADIUVYANTE , adj. 2 gen. qui aldo. pP. 


e 

+ Coıpıuvir, v. a. alder ensemble, secon- 
der ; coop£&rer, contribuer. 

Coapminıstracikd, s. f. administration co!- 
lective, partagee entre plusieurs. 

COADMINISTRÄDO, A, P.p. de Coadminisirar. 

COADNINISTRADÖR, 3. m. celui qui adminisire 
en commun avec une ou plusieurs personnes. 

COADMINISTRAR, ©. a. administrer collecli- 
vement. 

Coino,A, p. p. de Coar. adj. Ar—, vent 
coulis. Ferro —, fer fondu, fonte. (Ag.)Päle, 
bleme; saisi. 

CoADÖR 0% COADOURO, 8. m. couloir, cou- 
loire : vase pour passer. 

CoaprıLna. V. Quadrilha. 

Coanunagäö, s. f. "melange, union. 

+ Coanpunino, A,p.p. de Coadunar. Folhas 
—as , adj. pl. (t. de bot.) feuilles connees, en 
paquet sans se toucher ä la tige. 

COADUNAR, d. a. meöler, melanger, unir, join- 
dre, accorder, Incorporer. ll est aussi reci- 
proque. 

CoApGrA, s. f. colature : Rltration grosmiere, 
liqueur filıree. 

+ CoAcHENTÄR , d. a. p. ws. assembier, unir, 
joindre ensemble. 

CoscuLagäö, s. f. coagulation : action de SC 
coaguler, ses effets. 

COACCLÄDO,A,P. pP. del 

COAGULANTE, adj. 2 gen. 
coagule les Duides. p. a. de 

CoactLär, v. 0. coaguler: ger, cailler; öter 
la fuidite. 

CoACULAR-SE, ©. r. se coaguler ı perdro la 
Auidite ‚ s’cpaissir. 

+ Coxiri, s.m. (1. d’hist. nal.) coalta, Coualaı 


coagulant : qui 


300 COB 


sorie de grand sapajou ,ü face et oreilles nues. 

Cosrnäva,s. f.* caille, caillebotie. 

CoaLHiDO, A,p. p. de Coalkar. adj. (fg.) 
couvert, plein. , 

COALHADURA,&. f. coagulation, fige- 

COALHANENTO,, 8. M. ment. 

CosLus-Leite. V. Calhaleite. 

CoaLBir, v. a. cailler, coaguler : ger. (fig.) 
Charger, couvrir un habit de broderie, etc. (ig. 
fam.) Amasser, en parlant do l’argent. Näo 
puss0 — dinheiro, je ne puis pas amasser d’ar- 
gent, rien mettre de cüte. 

COALHAR, ©. n.el— 86, d.r. 56 cailler, se 
figer, s’&paissir, se congeler, se prendıe. 

CoiLuo, s. m. caill6: lait en grumeaux qu’on 
trouve dans l’estomac des animaux qui tettent. 
Caillement : &tat de ce qui se caille. Pressure, 
caillette. (Ag.) Accord, convenance d’humeurs 
et d'inclinations. 

fCoauıciö, s. f. coalition : re&union d’oppo- 
sants, de puissances, elc., conlre une aulre. 
— ‚reunion de parties separdes auparavant. 

r Coauızir, o. a. coaliser. V. Ligar, Confe- 
derar. 

T COAMANTE, adj. 2 gen. qui aime quelqu’un 
et qui en est aime. 

tCoannd-Do-BraziL, s. m. (8. d’hist. nat.) 
porc-pic & queue prenante. 

f Coäpua, s. f. (t. de bot.) *hypericum de 
Cayenne. 

CoAPÖSTOLO,, 8. m. apötre avec un aulre. 

Cosrraciö, s. f. (l. de chir.)coaptalion : 
r&union exacte des bouts d’un 08 fraclur6; re- 
placement d'un os luxe. 

Coia, v. a. couler, passer, filtrer. Percer, 
pen£trer, en parlant de l’air, du vent. —, fon- 
dre et Jeter en moule (les mötaux). ant. Cha- 
trer. (fg.) Endurer, supporter. —a roupa, 
lessiver, faire la lessive. — ferro, etc., fondre 
du fer, otc. 

Coir, vo. n. et—se, o.r. se couler, se fil- 
trer; s’&chapper. (ig.) Pälir. 

Coaactacäö, a. f. " retr&cissement;; resserre- 
ment, 

Coancrina, 6. f.(t. de prai.) excuse, justi- 
Ncation. 

CoarctÄ00, A,9. 9. de 

Coarcrik,t. a. restreindre, limiter, borner. 

f COARRENDADOR, A, 8. fermier avec un 
autre. 

CoaaTapı, eic. V. Cosrclada, etc. 

TCoati-bo-BaaziL,, s. f. (tl. E’hist. nat. ) 
ooali : petit quadrupdde roux, voisin des ours, 
de la taille des fouines. — de fecinho curto, 

‚raton. — laorador, raton ordinaire. 
fCoatiL,s. m. (1. de bot.) coati ou coatli: 
grand arbrisseau dela Nouvelle-Espagne ; donne 
le bois nephretique. 

tCoaxacid, s.f. *coassement: cri desagrea- 

ble des grenouilles, 


tTCoaxir,o. ®. coasser. ll se dit du cri des 
grenouilles. 


T CoBiLos ou CoBaLss, 5. m. pl. (1.de pols.) ! 


COB 


cobales : gönies malins, trompeurs, bouffons 
et voleurs, de la suite de Bacchus. 

CoBÄLrTo,s. m. cobalt ow cobol : metal dur, 
pesant, friable, peu fusible, d’un blanc rose, 
sentant l’arsenic. 

Cosinde ow COYAnDE, adj. 2 gen. läche . 
poltron, coion; timide, couard. 

COBARDEMENTE, adv. lächement; timide- 
ment. 

Cosanpia , s. f. lächets, poltronnerie, pusil- 
lanimite, couardise, coionnerie. Timidite. 

Cosaano, A. V. Cobarde. 

TCopara-no-BraziL, 5. m. (I. d’hist. nat.) 
cobaye, cavisi os cavia : cochon d’Inde. 

t Contuas ou Conenkina, #. f. (1. de bot.) 
cubebe ou quabebe : esp&ce de poivre de l’Inde. 

TCostı, s. m.(#. d’hist. nal.) cobel ow co- 
belle : couleurre d’Amerique. 

CossıLo. V. Cubello. 

COBERTA, 8. f. Couverlure : tout ce qui sert 
&couvrir; toit.( 6. de mar.) Couverte, pont, 
tillac. (Ag.) Couverture, pretexte. — da cama, 
courte-pointe, couverture. —de carla, enve- 
loppe de letire. — de mesa, tapis de table. it. 
Service : nombre de plats qu’on sert & la lois 
sur table. — corrida, (1. de mar.) pont entier. 
— levadiga,, ponrlevis. 

*CosertäL. V. Cobertor. 

CoBERTÄDO. V, Acoberiado. 

COBERTAMENTE,, adv. couvertement , secrete- 
ment, en cachette, 

Corertas ,s. f. pl. couvertures ; housses, 

Coserrkıra. V. Tampa, Coberta. 

CosERTo,A, p. p. irr. de Cobrir, adj. cou- 
vert. Cache. Obscur. Vetu. Delendu. Fonc#, en 
parlant des couleurs. (%g.) Embourse des d« 
penses avancsdes. Barco — , bäliment ponie. 

COBERTOR ‚8. m. *couverture de lit. 

Copentüna , s. f. couverlure, enveloppe. 

Cosıca, etc. V. Cubiga, etc. 

? Cöuıo. V. Titkymalo. 

+ Cosıte. V. Cadozeie. 

+ Cöona, s. f. (4. d’hist. nal.) couleuvre, 
serpent. —de capello, serpent & luneltes. — 
eolleirada, couleurre A collier. — cerasta ou 
eorniculada, ceraste. — liza de pinlas aller- 
nas, lisse. —verde de malhas amarellas, la 
verle-el-jaune. — de cascarel, serpent A son- 
nettes ; boiquira. (f. d’agr.) Corde avec laquelle 
on atlache les bötes employses A fonler le bie, 
pour separer ie grain de la paille. (s£.) Juments, 
au nombre de trois ou eing, employees & fou- 
ler le ble.(Ag.) Tout ce qui a la forme d’une 
couleuvre, d’un serpent. Dizer d’elguem —s e 
lagarlos, ( fam.) dechirer quelqu’un , dire 
beaucoup de mal de lui. 

* Copräpa, 5. f. paire, couple. 

CosrÄno, A, 9. p. de Cobdrär. 

COBRADÖR, 5. m. receveur, collecieur. 

COBRAMEXTO, 5. m. recourrement, percep- 
tion. 

Conninca,s. f. *recouvrement, receite de 
deniers. 

Cosriö. Y. Cobrdio. 


COG 


Cosair (de), v. a. percevoir : toucher, rece- 
voir des deniers dus. Recouvrer, acquerir de 
neureau uno chose qu’on avait perdue; la re- 
prendre. Aoguerir. — m#do, s’eflrayer. — an 
me, valor, etc., s’enhardir. — alento, repren- 
dre baleine, courage. — forgas, se rötablir, 
reptendre des forces. — amizade, inclinardo, 
efeigdo, se prendre d’amilie, s’affectionner a 

Connan-sE. V. ar-se. 

COBRAYEL, adj. 2 gen. recouvrable. 

CORE, 5. m. Cuivre : melal rougeätre, tr&s- 
sonore,, ir&s-dur, ductile, fusible et malleable. 
— smarelle, cuivre jaune ow laiton. * Baiterie 
de cuisine en cuivre. (fg.) * Monnaie de cuivre. 

+ Cosazıiıra, 5. f. (l. de bot.) " bois de cou- 


Cosatıo, s. m. espece de herpes. il. — que 
dradigo, (1. d’hist. nat.) orvei common. 

Cosasciua, s. f. V. Cobertor. 

+ Cosaıciö, s. f. "accouplement: l’action de 
s'accoupier, en parlant des animanx. Epoque 
propre & l’accouplement des animaux. 

Cosssuinvo. V. Coberlüra. 

Comainna, s. f. dim. de Cobra. 

Comın (com, de), v. a. couvrir : meltre une 
chose sur une autre, pour cacher celle-<i, la 
eonserver, l’orner, eic.; metire une chose en 
grande quantite sur une autre (d’or, de pierre- 
ries,eic.);revetir.(Ag.)—,cacher, voiler;cacher, 
dissimuler, deguiser. —, defendre, proleger un 
powe.—, se ditdu mäle qui s’unit Ala femelle. 
—oroslo, (fig.) cacher, dissimuler une action. 


— 6 conis, ajouter Aun article de compte* 


d’autres parties, jusqu’A concurrence d’une 
somme due. — 0 campo de mortos, joncher le 
ehamp de bataille de morts. — 0 lango de ow- 
fro, couvrir une enchere, encherir. 

CosniR-SE (com), dv. r. se couvrir: meltre des 
esareriures Sur 601. —, melire son chapeau.—, 
S'obscureir, en parlant du temps. —, se meitre 
äoouvert de l’ennemi. —, se payer : relenir 
use somme due. — de suör, se couvrir de 
sSueur, eire toul en eau,, ölre trempe. —o cora- 
güe , aveir le cmur navre& de lristesse. 

CösR0,s. m. " sürele : lieu ou l’on garde une 
&hose, oü on la met en sürete. Asile:: lieu de 
sürete. ans. V. Cobranga. Pör em —, melire en 
srete. Pör-se em —, chercher un asile, un 
lieu de süret6. Ter — em si, so menager; 
prendre garde A soi. Pör —, reprimer, arreler. 

Cöca, s. f. (. de bot.)"coca, cuca : arbrisseau 
du Perou et sa feuille. Coque du Levant. 

Cociö, s. m. bois jaune du Bresil. 

Cocin, s.m. "aigrelie : panache d’un casque, 
#un cheval,, eic.; plumet. 

CöcaRaS, r. f. pl. * accroupissement. Estar 
em ou de“ ‚ S’accroupir. 

Giga, 5. f. (4. burl.) vol6e de coups. 

290, &,P. p- de Cogar. 
una ow Cocankııa, 3. f. l’aclion de 
gratter. 

Cocin, 9. a. gratter; stimuler. if. (4. P0p.) 
Denner une volde & quelqu’un. 

-5£, 9. r. se gratier. (fam.) Hesiter. 


COC 301 


Cöcgid, 3. f. coction : l’action de cuire et ses 
effets. (6. de m#d.) — , digestion des aliments. 

FCoccımeura, s. f.(t. d’hist. nat.) coccinelles 
beie ou vache A Dieu , coleopi£re, trimere. 

Coccin&o , A, adj. V. Purpurso. 

Cocce. V. Gre. it. Cdeo. 

Cöccıs, 8. m. (f. d’anal.) coccyx : os & Pexire- 
mite du sacrum,, en beo de coucou. 

* CÖCEDRA, 3. f. eouverture ouatee. 

CöcsGAs, 8. f. pl. "chatoulllement. (Ag.) En- 
vie, desir de quelque chose. Faser —, cha- 
touiller. Ter —, etre chatouilleux, @tre sensi- 
ble au moindre chatonillement. 

CocEcUENTO, A , adj. chatouilleux : fort sen- 
sible au chatouillement. 

T CöcaHa, s. f. (tl. de mar.) *lors d’un com 
dage. Dar—n’um cabo, commeltre un cordage. 

Cockıra,s.f. demangeaison ‚prurit. 

TCocnar ou Cucsar, v. 0. (8. demar.) com- 
mettre (un cordage) : r&unir plusieurs fils en 
les tortillant. 

Coc#irza, s.f. (t. d’art.) °chargeoir : cuiller 
& poudre pour charger sans gargousse. (I. de 
mar.) Lanterne de cuivre. 

CoCHARRÄDA, 8. f. ce que peut contenir une 
eocharra. V. ce mot. 

CöcHE, s. m. coche, Carrosse,, esp&cc de Yoi- 
ture & quatre roues. 

CoCHECBA, 8. f. la joue d’un poisson. 

CocHEirRa,s. f. remise de carrosse. 

Coca£ıro ,s. m. cocher : qui mene un car- 
rosse , un coche. 

+ CocaznıLHkıra , 8. f. (4. de bot.) "cactier & 
cochenilles. 

CocRicHADO ,A,P. 9. de 

CocHıcuHÄR , v. #. Chuchoter. 

CocHicH0, s.m. (1. d’hist. nat.) * alouelle des 
champs ; cochevis. 

Cochienöro" vr f- } maisonnelle, bicoque. 

+ CocsıcäTo, 8. m. (. d’Mst. nal.) cochical : 
toucan & collier du Mexique. 

+ Cockim,s. m.(1. de mar.) paillet. — fel- 
pudo , paillet larde. 

CocHiXO,, 3. m. cochon , pourceau. 

CöcuLea, s. f. (t. danal.)cavite dans l’oreille. 

+ CocrLeipo, A, adj. fait en forme de lima- 
con. Columna — a, colonne torse. 

CocuLeäirta, 8. f. (t. de bot.) cochlearia : 
herbe aux cuiliers, premier antiscorbutique. 

+ COCHLEIFÖRME, @dj. 2 gen. (1. de bot.) co- 
chleiforme. Folhas —s, feuilles cochleiformes, 
qui s’enveloppent en spirale comme celles de 
la fougere. 

Cöcno, s. m. planche carrde pour porler ie 
mortier aux magons. 

CocHONiLHa, s. f. cochenille : progallinsecte, 
hymenoptere, plantisuge, Wun blanc sale ı 
donne une teinture d’un rouge vif, l’&carlate, 
le carmin. 

Cöcıro. V. Cocylo. 

Cocıvarino, s. m. (t. de PInde) impöt sur 
les laboureurs Goa. 

Cöco , s. m. coco , noix d’Inde; fruil du cooe- 





902 COE 


tier. V. Cogueiro. Croqus- mitaine , moine 
bourru. Expression dont on se sert pour faire 
taire lcs enfants qui pleurent, en leur faisant 
peur. 

CocopaiLLo. V. Crocodilo. 

Cocözs, s. m. pl. les quatre piöces qui sou- 
tiennent l'essieu d’un chariot. 

Cocöuano. V. Pepipo. 

Cöcoras. V. Cöcaras. 

Cocoußrs. V. Cossoldte. 

Cocouro. V. Cossouro. 

Cocuutıo. V. Cogumelo. 

Cocunöra, 8. f. 0% CocuaUTo, 3. m. (4. pldb.) 
eime , sommet, 

T Cocdıo , s. m. espöce de ver luisant des 
Indes. 

Cöcrro, s. m. Cocyte : fleuve de l’enfer, s0- 
ion la fable. 

Cöpda, 2. [. p. us. V. Cduda 

tConid, s. m. glagon. 

Coniste, s. m. (. de mar.) &tambot ow 
&tambord ‚ capion. 

CöpzaA, s. f. croüte : partie exierieure, so- 
lide, du psin; surface durcie, “corce. (fig.) 
®Debors, exterieur, 

Copzin0, A,p.p. de. 

Copein, v. a. ($. burl.) manger du pain, des 
Bonbons, etc. Croustiller. 

Copeazinua, s. f. dim. de Cödea, petite 
oroüte,, croüte mince. 

‚Copsckıra, s. f. "terrain oü il y a beaucoup 
de cytises. 

Copsciino. V. Codicillo. 

Coptco, 3. m. ( 4. de bot.) cylise: plante 1&- 
gumineuse. — dos Alpes, aubours , öbönier des 
Alpes, faux &b£nier. 

‚Cöusoo. V. Codigo. 

Coveuim. V. Codilim. 

Codex ou registre, recueil, manus- 

-CODICE, 8. m. crit de choses m&morables, 
manuscrit ancien. 

CopicıL.ir, adj. 2 gen. codicillaire : contenu 
dans un codieille. 

CopıciLLo, s. m. codicille : addilion, dispo- 
sitlon &crite ou cbangement & un lestament. 

Copıgo , Copıckıno. V. Codeoo. 

Cöoıco, s.m. code: recueil, compilation de 
lols , constitutions, rescrits, eic. 

GopıLHÄDO, A, P. p. de 

: CoptLBÄR, %. e. gagner le codille. 

CopiLuo, s. m. codille : terme de jeu de 
Phombre, da tri, du quadrille. 

CopiLnos, 5. m. pi. partie de la jambe de 
devant d’un animal, depuis l’öpaule jusqu’ä la 
jeinture. . 

CovıLis, s. m. (4. d’Asie). V. Picdd. 

’ 0000, s. m. V. Gedda. 

CoponaTinıo, 8. m. codonataire : associe 
dans une donation. 

Coponniz, s. f. caille : oiseau de passage. 

+ Coponnıziö, 8. m. (t. d’hist. nal.) räle de 
terre ow de genet : oiseau. 

CoODORNO, 3. m. varicie de poire du Partugal. 

"CORFFICIEATE , 6. m. (1. d’algäb.) coeflicient : 


C0G 


nombre eoanu, plac6 devant une quantiie ex- 
primee en lettres et qui la multiplie. 

Cotıaa, s. f. lapine, hase : femelle du lapin. 
(Ag. fam.) Femme qui fait souvent des onlanis. 

Coxıakıaa, 8. f. "clapier; garenne. 

Coxıetıro, A, adj. te dit du chien ou 
de la personne qui fait la chasse aux lapins. s. 
m. Celui qui &i&ve des lapins ou qui en vend. 

COELBINBO ow COBLBITO, s. m. dim. de Coelho, 
lapereau. 

Cotıno, s. m. lspin : petit quadrupdde ber- 
bivore. — manso ou domestico , clapier, lapin 
de garenne. — bravo ou do malo, lapin buis- 
sonnier. 

+ Corurciö, s. f. (6. de prai.) coeınplion : 
achat r&ciproque. 

Coentrina, 3. f. (i.decwis.) sauce de c0- 
riandre. 

Coentreııa. V. Pimpinella. 

CotutRo, s. m. voriandre cullivee. 

CoEPiSCoPO , 8. m. cosre&que : dydque Aare6 
un autre. 

+ Cuzecäö, s. f. (f. de praf.) coereition: 
pouvoir, droit, action de contraindre au de- 
voir, ä la croyance, d’empöcher de s’en &car- 
ter. 

CoRacrrivo, a. V. Coorcivo. 

+ ConaciveL, adj. 2 gen. coereible : qul 
peut @tre contraint; qui peut @ire rassembi6 
dans un cerlain espace. . 

CoERciVO, A, adj. coereltif : qui a le pouvoif 
de contraindre, qui en renferme le droil. 

+ ConssencıA, 8. f. essence associee, simul- 
tanee. 

+ CorssencıäL, adj. 2 gen. qui a la meme 
essence qu’un autre. 

Co£sso , 5. m. sorte de poisson de mer. 

+ CozstÄno, 8. m. co-ttat : pays dont la sou- 
verainet6 est partagde entre plusieurs. 

CORTÄNEO, A, adj. contemporain : qui est du 
meme temps, 

CoRTERNO, A, adj. costernel : qui existe de 
toute &ternitö avec un autre. 

Co&vo,A.V. Coelaneo. 

Corxıstencıa, s. f. coexistence : simults- 
neits, existence dans le m&me temps$. 

CORXISTENTE,, adj. 2 gem. coezisiant. p. a. d® 

CoEXISTIR , ©. n. coexister , exister enseil- 
ble, dans le möme temps qu’un aulre. _ 

FCOEXTENDER-sE, 0. r. s’ttendre en meme 
temps qu’un autre. 

CörrRB, 8. m coflre : meuble en caisse, d 
couvercie, pour serrer les hardes, l’argent, el» 
capacit& d’un corps animal. . 

COFFAEZINHO ou Corrainho, s. m. dim. de 
Coffre, coffret. 

Cöro, s. m. (t. d’Asie) bouclier persan. 

COGITABÜRDO, A, adj. pensil, reveut. 

Cocıraciö, 8. f. cogitation : meditatioR, 
pensee, idee, reflexion. 

CoGıTAno, A,9.p. de , 

Cocıtir, v. ». penser, reflöchir, mediler- ; 

CoCITATIYO, A, adj. pensant : quia la facull 
de penser. 


COH 


Cocaaciö, 8. f. cognation : parents des co- 
grals, dcs descendants d’une m£ıne souche. 

Cocnino, A, 5. cognat : parent, descendant 
d'une meme souche. 


Cocxirıco, a, adj. cognatique : de la cogna- 
ie 


D. 
Odsxicid, 8. f. V. Conhecimento. 
Cöckıro. V. Conkecido. 

Cocrömz, 8. m. surnom , sobriquet. 
CocnouRnTo, s. m. sobriguet. 
Cocnowınacid. V. Denominazdo. 
Cosnommino,A,?.p. de 


Coczowısir, v. a. surnommer. Il est aussi |. 


sbriproque. 

CocsosasıLipine, 8. f. facultö de connaltre. 

Coczoscırivo, A, adj. qui peut connalire, 
eapable de connaltre. 

Cocaosciveı. V. Conhecivel. 

*Cocnosguno ‚ Cocnoscer. V. Conhecer, etc. 

Cocomsnäı. V. Pepinal. 

"Cocowsao. V. Pepino. 

Cocörz, 3. m. (8. pop.) occiput : le derriöre 
de la tkte. 

Cocda, 8. f. euculle ; vätement de dessus 
de benedictins ei d’autres religieux. 

CoctLioO, A,P.7.de 

Cocr.ir, v. &, combler : remplir un vase 
per-dessus les hords. 

„8. m. comble : ce qui depasse une 
Besure, un vase plein de solides. 

Coctmtro, s. m. (1. de bot.) agaric comesti- 
Ble, champignon des couches. — dos sabugos. 
V. Orelka de Judas. 

Conasiracäö, s. f. cobabitation. ‘ 

Conasıräa, v. ». cohabiter : vivre ensemble 
semme mari et femme. 

CoBzapKın0, A, 8. cohöritier : celui qui be- 
file avec un aulre. 

Conzagncıa, s. f. coherence, connexion, 

D. 

ConzatntE, adj. 2 gen. coherent:: qui a de-la 
sebtrence. 

COUERENTENENTE, ade, d’une manidre cohe- 
Inte; consequemment, 

Couzsiö, 3. f. (1. de phys.) cohtsion , adbe- 
fence: force qui unit, rend compactes lescorps, 
leurs parties. 

Couzsivo, a, adj. quia lacohesion, 

Goumsicäö, 8. f. cohibition : empächement, 
Cessation d’une action contre la voloniö; re- 
Ression. 

Cosısido, A,?. p. de 

Conmir, ©. @. reprimer, contanir, r&lräner. 
D est aussi reciproque. 

Conizmid. V. Co-irındo. 

Conosacäö,s. f.(t. de chim.) cohobation : 
üstillation reitöree de la möme malidre, ou 
@une matitre semblable reiteree, 

Conozino,A,p.p. de 

Conosir , oa. (8. de ohtm.) cohober : distil- 
ler plusieurs fois une liqueur sur son residu. 

Coronzstacid, s. f. l’aclion de colorer, de 

& une action l’apparen«e d’honnetele,. 

Cououzstino, 4,2. 7. de Cohopssiar, 


COL 303 


ConONESTÄR, ®. 6. colorer : donner A unc ac 
tion ’apparence de l’honnetet£. 

COBÖRTE, s. f. cohorte : corps d’infanterie 
romaine de cinqg & six cents hommes; troupe. 

Coıce. V. Couce. 

Cörra, s. f. coiffe Areseau, rösille, 

CoırinHa, 8. f. dim. de Coifa. 

t ColcuaL, adj. 2 gen. (1. de th£ol.) codgals 
entiörement ögal avec un aulre. 

Coma, s. f. amende pour des dommages 
faits dans un champ par des bestiaux. 

Coımipo,A,9.p. de 

Coısir, ©. a, melire ou condamner & }’a- 
mende pour des dommages faits dans un 
champ. 

Cofneri6,A, adj. et s. de Coimbre, ville de 
Portugal. Estrada — &, ( Ag. [am.) le pont aux 
änes : "usage commun et ordinaire. 

CoıMBıro, 8. m. receveur des amendes. V. 
Coima. adj. Defensable. 

Coixcımencıa,, s. f. coineidence : diat de ° 
choses coincidentes. 

CoincıDENTE, adj. 2 gen. coincident : qul 
coincide, tombe avec un autre au meme point. 
p.a.de 

Cofncivir, ©. n. (8. de malh.) coincidere 
s’ajuster l’un sur l’autre et se confondre. (fg.) 
Arriver en m&me temps : se dit des &venc- 
ments. , 

7 Cofnnicagkö,s.f. (1. demed.\coindication. 

COInDICANTES,, 8. m. pl. et adj. (tl. de med.) 
colnudicants (signes‘, qui concourent avcc les 
signes ordinaires de la malsdie. 

Coinguınia, V. Macular, Manchar. 

° Goıöo. V. Desasire. 

Corräca. V. Couraga. 

Coraima. V. Courama. 

Coıräd, 8. m. aug. de Coiro. (£. bar.) vieille 
coureuse. 

CoIRELLA, etc. V. Courella, etc. 

Coinuiö, a, s. Primo —, cousin-germain, 
Prima —4 , cousine-germaine, 

Cöıno , etc. V. Couro. . 

* Coıta, s. f. aflliotion, peine, chagrin; pau- 
vreie. . 

*° COITADAMENTE, adv. avec peine, aflliclion. 

* Coıtadice. V. Coila, 

CoITADINBO , A, adj. dim. de 

Comipo,A, adj. aflige, malleurcux, cha- 
grin , pauvre; insortune, digne decompassion. 
— de mim! pauvre de moi! malheureux que 
je suis! 

* Coıteıuo. V. Cerradinho ei Coulelho. 

Cöıro. V. Couto. 

CöıTo, 3. m. coit: accouplement dcs scxc9 
pour la gene£ralion, 

Coıxa. V. Coxa. 

* CoıxöTE, s. m. cuissard, piece d’armure 
des cuisses. 

Coıza. V. Cousa. 

Cöra, s. f. queue. V. Cauda, {fig.) rasto, 

iugada. it. V. Colla. 

Corarızar. V. Colaphizar. u 

CoLio, 3. m. (l. de la Chine.) col:o : ministre 


30% COL. 


d’eiat chinois & qui les Portugais ont donne 
le nom de Mandarim. V. ce mot. 

CoLaPHızÄipo, 9. p. de 

+ CoLarnızia, v. a. colaphiser : souflleter. 

CöLcka , s. f. courte-pointe, lodier, couver- 
ture piquee. 

CoLcHiö, s. m. matelas. — de pennas, lit de 
plumes. 

Coıcaka, 8. f. (f. de mus.) croche : note de 
musique qui a un crochet : elle vaut la moiti6 
d’une noire. 

CoLcakıao, 8. m. faiseur de lodiers, de 
couries-pointes. 

CoLcHETE, s. m. agrafe. Filmes do —, porie 
de Vagrafe. 

 CöLcnıco, s. m. (t. de bot.) colchique , tue- 
ebien : plante liliacee, ven&neuse. 

CoLcuVADo. V. Acolchoado. 

CoLcHo8ßıa0, 8. m. matelassier : qui l[ait ou 
vend des matelas. 

CoLcotHaR, 5. m. (l. de chim.) colcotar : sul- 
fate de ler calcine. 

CöLoaEs, s. m. pl. * fontes de pistolets. 

Cougar. V. Collear. ” 

* CoLica. V. Colheila, 

COLEGATÄRIO, 5. m. co-l&gataire : qui a part 
aux legs d’un testament. 

Corkına,, etc. V. Colleira. 

CoLennıssımo. V. Hespeilabilissimo. 

+ CoLeörreaus, s. m. pl. (i. d’hist. nal.) co- 
l&optöres : insectes A ailes recouvertes d’dtuis. 

CöLera,s. f. bile : humeur du corps animal 
stparde dansle fuie; (Ag.)—, colere, ompor- 
tement. V. Cholera. Transporte de —, bouflee 
de colere. Impando de —, bouffi de colere. 
Deizar-se levar da—, se laisseraller Alacolöre. 

CULE£RICAMENTE, adv. avec colere. 

CorL£aıco, A, adj. colerique, eınports, bi- 
lieuz ,colere, enclin & la coldre. Bsiar —, #ire 
en colere. Ser —, avoir le sang chaud, &tre 
colerique. V. Cholerico. 

CoLzsızan-se. V. Enoolerisar-se. 

CoLC4D0, A, p. p. de Colger. 

CoLcaDüra, #. f. tenlure : cerlain nombre 
de pieces de lapisseries pour döcorer un ap- 
partement. (Ag.) "Present fait, envoy& & quel- 
qu’un, le jour de sa fete. 

CoLcän, v. a. suspendre, pendre, accro- 
cher, attacher, appendre. Tapisser un apparte- 
ment. — a alguem, (g.) envoyer un present & 
quelqu’un le jour de sa föte. 

CoLcAR, ©. R. 085 —se, dv. r. pendre, ötre 
suspendu, pendant; (fg.) dependre de la vo- 
lonıe d’un autre. 

"CoLHano. V. Oulsiro. 

* CoLHir,s.m.V. Colher. 

Cornantıno. V. Colhertiro. 

CoLuzpäina, 5. f. (f. de peint.) feuille de 
corne pour ramasser les teintes sur la pierre & 
broyer. 

CoOLBEDOR ‚A, 8. Celui qul cueille. Collecteur, 
receveur. 

1 CoLmenönes, s. m. pl. (l. de mar.) rides: 
Petitos cordes pour ferler les volles. 


» 


COL 


TCoıuscüaa, s. f. Paction de caeillir, la 
portion cueillie. 

° Corseickıro. V. Collector. 

Coıntita, 3. f. recolte, levee, depouille, 
moisson , cueillette : l’action de recueillir les 
fruits , son produit, son &poque et sa duree. 
(Ag.) Moisson, abondance de vertus, etc. if. 
V. Abrigo, Refugio. Ter alguma cousade sus 
proprie —, avoir quelque chose de son propre 
crü. 
* Coıntıro,A. V. Colkido,p. p. de 

CoLmta, v.a. saisir, prendre avec la main, 
empoigner. Cueillir, ramasser, recolter, mois- 
sonner, depouiller. Trouver, rencontrer, al- 
traper. Surprendre, en parlant de la nuit, de 
la pluie, de l’orage, etc. Surprendre, attraper 
dans une fourberie, etc. Accrocher, atiraper 
par adresse , gagner par finesse.— (de) inferer, 
conclure. ii. V. Acolker.—agua em cesio, (ig. ) 
travailler en vain. — correndo, altraper. — 
de baixo, accabler. — pelos cabegöes, melire 
la main sur le collet & quelqu’un. — lowros, 
(Ag.) cueillir, moissonner des lauriers. — = 

com as mäos na massa , (fam.) prendre 
quelgu’un sur le fait. — palarra d’alguem, 
tirer parole de quelgu’un. — forgas, reprendre 
des forces. — as velus, (l. de mar.) ferler les 
voiles. — os cabos, (id.) rouer les man@uvres. 

CoLnßR-SE, v. r. V. Acolher-se. 

Coru£a, s. f. euiller ou cuillere : ustensile de 
table, etc. — de chd, petite cuiller. 

CoLHERÄDA ‚s. f. cuilleree : plein une cuiller 
Dar, metier a sua—, (loc. fam.) s’immiscer, 86 
meler. . 

CoıLueriö,, 3. m. aug. de Colhir. 

CoLNEREIRO, 5. m. celui qui fall ou vend des 
ouillers. 

+ CoLaextıno, s. m. (l. d’hist. nal.) spatule : 
oiseau & bec en spatule. 

COLHERRTE, 8. m. coup de balle de paume. 

COLHERINBA, 8. f. dim. de Colher. 

CoLxninö, A, ?. p. de Colher. 

COLBIMERTO, 3. m. * cueillette, recolte. 

CöLıca ,s. f. colique. Dores de —, tranchtes. 

CoLırLoa. V. Couveflor. 

+ CöLıo, 8. m. (8. d’kist. nal.) Coliou : passe- 
resu d’Alrique. 

CoLirıca ‚s. f.(l.de mdd. anc.) *vomissement 
de la bile. 

CoLısto ou CoLissko, s. m. colisee : ampbi- 
theatre A Rome. 

CöLLa, s. f. oolle: malidre tenace pour coller. 
Queue. —de peize, colle de poisson : sert d 
&elaireir les liqueurs. 

CoLLaBonacä0, s. f. collaboration, coopera- 
(ion; action du collaborateur. 

COLLABORADO, A, P. p. de Collaborar. 

CoLLABORADOR, A, 5. collaborateur : qui 
travaille de concert avec un autre & un ou- 
vrage, & un livre, otc.; qui l’aide dans ses fono- 
tions. 

+CoLL.asoria, v. n. travailler de concert 
avec quelqu’un; l’aider dans ses fonctions. 

CorLaciö, 8. f. collation : droit, action de 


COL 


tonferer un bendfice ecciesiastique. -—, repas 
kger qu’on fait au lieu de souper les jours de 
jetne. Comparaison, parallöle. —, l’action de 
tenferer la copie d’un ecrit aveo l’original. 

CoLuacia, s. f. liaison entre les Iröres ou 
seurs de lait. 

CoLLAcıONÄBO, A, 9. p. de 

COLLACIONÄR, ©. @. collalionner : oonlerer 
des ecrits; veriler un original et sa copie; 
comparer. ’ 

(pLLico, A, 8. [röre, saur de lait. 

Coins, 3. f. gorge : defild entre deux 
montagnes, 

CorLipo,a,p.p. de Collar. 

CoLLanea, 5. me. collateur: celui qui a le 
droit de conferer un beneflce. 

7 Gızirso, s. m. (— das folhas, t. de bot.) 
sommeil: &iat d’une fleur, d’une feuille qui 
sest fermee. (.de med.) Collapsus, prostration 
des forces. 

Corrin, s. m. collier: ornement autour du 
au. i.V. Golilke. 

Cotzia, v. a. coller: conferer un benefice 
ertiesiastique. 

CoıLir, v.w. se couler; passer par un lieu 
&irvil (fam.) Passer pour bon ou pour vrai 
sans Petre, en parlant des choses. Venir ä bien, 
teussir, en parlant d’une chose difficile. 

fCoıLuatıe, s. m. diem. de Collar. Collet. 

COLLARINRO, 8. m. dim. de Collar. Col de 
chemise; colleg. 

CsureriL, edj.2 gen. collateral, On le dit 
des parties d’un edißice placdes & cöts de la 
Pecpale. —, parent hors de la ligne di- 


Corarivo, a, adj. collatif: qui confere (un 
benefice), 

Corıatön. V. Collador, Padroeiro. 

WLız,s.m.p. us. V. Ouleiro. 

CoLizino. V. Conluiado. it. p. p. de 

"CoLızir, v. n. branler la t£te. 
ourtcciö, s. f- collection, recueil, assem- 

age. 

Coı£era, s. f. collecte : levee de deniers. 
-,oraison avant l’*pitre ä Ja messc. Dans l’e- 
glise primitive, r6union des Adeles pour cele- 
hrer les offices divins. *Impöt sur les revenus 
des benefices ecclesiastiques. 

CoLLectano, A, P. p. de Collectar. 

TCoLLzcrängas,s. f. pl. "recueil, collection 
de choses analogues. 

CoLLecrineo, A, adj. recueilli de divers ou- 
Trages, 

tCoLLecrir, o. a. melire des impöts sur 

 revenus des benefices ecclesiastiques, les 


Cıeericıo, A, adj. ramassö de cold et 
@autre, sans choix. Genie —a, armee com- 
Poste de troupes levees A la häte. 

COLLECTIVAMENTE, ade. collectivement, en 
Kommun, dans un sens collectif. 

CoLLecrivo, a, adj. collectif: qui presente 


Adee d’un tout (mot —). Ex.: peuple, armee. | p 


Wıuscro. V. Colligido, 
VORTrTR 


COL 3 


CoLLzcrör, s. m. colleoteur : celui qui lait la 
loves des impositions; qui fait une oolleclion. 
— de sua santidade,, personne commise par Io 
roi et le pape & la recetie du droit d’annata et 
autres revenus de la chambre apostolique. 

Corızcronia. V. Recebedoria. 

CoLLEca , s. m. collögue : compagnon en di» 
goite, en fortune, en occupalion. Confrdre. 

Corzecıipa, 8. f. eglise collegiale, od il y 
a des beneficiers qui disent l’ofice tous les 
jours. 

CorzeoriL, adj. collögial : du collöge, qui 
concerne le college. 

COLLEGIAL , s. m. collegiat : boursier dans un 
college ; compagnon de college ; collegien. 

COLLEGIÄLMENTE, adv. en Corps, cn coM- 
munaute. 

COLLEGIATURA, 8. f. bourse : place dans un 
college. 

CoLL&cıo, s. m. collöge: communaute de 
personnes qui s’appliquent & l’etude des scien- 
ces, etc., 50us des superieurs; liou desiine & 
cet enseignement. Maison d’educalion. —, cer- 
tain corps ou compagnie de personnes qui ont 
la meme dignite. — apostolico , college aposto- 
lique. — dos cardeaes, sacr& college, college 
des cardinaux. — maior, grand college, dont 
les membres sont specialement appliques & 
l’etude des hautes sciences. — menor, petit 
college, par opposition & collegio maior. — 
militar ou dos mililares, college pour les 
membres des ordres militaires. — dos nobres, 
college destine exclusivement pour les nobles. 

CorLkiaa ,s. f. "collier de chien; carcan. 

CoLLeißipo,A, adj. (t. de bias.) avec un 
collier. (#4. d’hist. nat.) A collier, qui a un col- 
lier (oiseau,, etc.). 

CoLLEirinHo. V. Collarinho. 

CoLLeitor. V. Collector. 

CoLL&tE, s. m. gilet. — de mulher, corset, 

CoLLETInuO , &. m. dim. de Collete. 

*CoLıtro, s. m. collet de buflle, buflle: 
espece de justaucorps de peau de buflle. 

CoLLicacäö, s. f. ligue, conlederation. Com- 
plot. Union , enlacement. 

CoLuıcino, ‘a, p. p. de Colligar-se. adj. 
Alli6, uni, confedere, coalise. 

* CoLLicApüra, 8. f. union, enlacement. 

* CoLuicäncıa, 8. f. Cconnexion, Fapport, 
liaison. 

CoLLicäir, v. a. liguer, former une ligue. 

COLLIGAR-SE (com), v. r. 36 Co-liguer, 80 li- 
guer, s’unir, s’allier, se confederer. 

CotLicivo, A,p. p. de 

COLLIGIR , v. a, recueillir, ramasser, rassem- 
bler. — (de, por), deduire, conclure,inferer. 11 
ost aussi r&ciproque. 

+CorLımaciö, s. f. (1.de phys.) collimalion: 
ligne par laquelle on vise ä un objet & Iravers 
les pinnules d’un graphomeire; axe optique 
de la lunette. 

CoLLimttäno, A, adj. conlinant, limitrophe, 


.p. de 
CorLimıtan. V. Demarcar. 
» 


306 COL 


Corıfma , s. f. ooltine, monlicule, eoteau. 

Corımöso, a, adj. od il y a des collines, 
des oolsaux. 

CorLıquacid, s. f.(l. de mdd.) resolution, 
ddcomposition du sang. 

CoLLiquarivo, A, adj. (l. de med.) oelliqua- 
tif : qui rösemt ou est zesous en liqueur; qui 
indique la deeompesition du sang; qui le de- 
sompose ; qui fond les hamears. 

Coutinıo, eto. V. Collyrio,, eto. 

. + Coruaöstaos, s. m. pl. (1. d’Mst. nat.) 
vollirostres om auchenoringues, insoctes be- 
-miptöres. 

Coruisid,s.f. collision : choc de deux corps. 
(fg.) —, &boo des partis politiques; lutte, 
combat;; oontrarietd, opposition d’interets. 

CoLLirisäDo, A, p. p. de Collitiger. 

COLLITIGANTE, s. 2 gem. oontendant : celui 
qui plaide aveo un autre contre un tiers. —®, 
Bi. colligants : coux qui plaident Pun contre 

autre. 

+Couurmicar, vo. m. plaider Fan contre 
Yautre. 

CöLLO,s. m. cou, col: partie da corps qui 
fein! la töte aux &paules. (g.) —, eol, goulot:: 

a partie supetrieure d’une bouteille, d’un ma- 
tras, eto. it. V. Cerviz. —da beziga, col dela 
vessio.— da mäo, Jointure de la main. Levan- 
tar o—, (fg.) etre dans un dtat de prosperite. 
Bein : partie du corps depuis le cou jusqu’au 
ereux de l’estomac. Ao —, dans les bras, sur 
les genourx. 

“ CoıLocagiö, s. f. position, disposition, as- 
siette ‚ situation, place. *Emplacement: Paction 
de placer. * Arrangement des mots. 

CorLociD0,A,P.p. de 

CoLLocär, 9. a. placor, poser, planter, pos- 
ter, arranger, ranger, disposer. (fig.) Etahlir, 
placer : donner une place. 1l est aussi reci- 
proque. 

CoLocvror. V. Interlocutor. 

*CoLLönHO,&A, adj. Carga —a, charge que 
Pon porte sur !a tete. 

CoLLöquro, 3. m. colloque, entretien, con- 
versation, devis. 

CoLLudenTe, adj. 2 gem. colludant : qui 
prend part & une collusien. 

CoLLupir, ©. w. colluder : s’entendre avec 
son adrersaire pour tromper un liers; tromper 
un üers par collusion. 

CorLusiö, #. f. collusion : intelligence se- 
ereie entre deux on plusieurs pour iromper un 

ers. 

CoLLusivo, a, adj. V. Collusörio. 

COLLUSÖRIANENTE , adu. collusoirement : par 
vollusion. 

CoLLusönı0,A, adj. collusoire: fait par col- 
" Rasion. 

CorLruvrid. V. Alluvido, I . 

f CoLLuronıo, s. m. (l. de med.) collutoire : 
liqueur pour laver la bouche, 

Corudro. V. Conluio, Collusio. 

CoLLYRo, 8. m. (1. de med.) coliyto : reinede 
ezterieur pour les ycux. 


COL 


CoLuip0,&A,9.9.do 

CoLmir, v. a. eouvrır de chaume, de patlie, 
eornbler. 

CoLmta ou Conutıa.. s. f. ruche. Tor a casa 
0omo uma —, avoir la maison bDIEn appforı- 
sionnee de tout. ER 

COLMEÄL, 3. m. ruoher: Heu od Il y a beau- 
osup de ruches. 

COLMEIRO, 3. m. celui quis soln des ruches, 
gouverneur des mouches & miel. 

Cormtıro, A, adj. de la nature da chaume. 
s. m. Couvreor en chaume: botte de chaume, 

CoLuiLno, 3. m. "dent canine: dent de Joup, 
defenses du sanglier. 

CoLnıLn0so, A, adj. qui a les dents canines 
trös-grandes ei ir&s-Krosses. 

CoruıLuöpo, A. V. Colmilkosu. 

COLNO, s. m. chaume. (fig.)" Chaumidre. 

Cöro. V. Colle, - 

CoLöB1o, s. m. sorte de lunique sans man- 

ches. ' 

CoLosrfra, 3. f.el ) anctenne machine de 
CoLOSRfTE, 8. m. guerre. 
CoLoprino, eto. V. Colubrino. etc. 
Corocäsıa,, s. f. V. Inkame do Egypto. 
CorLocynTeR. V. Cologuyntida. 

”+Coröpra, s. f. grand vase pour le vin, 
V. Cabaga. 

CoLoronta. V. Colophonia. 

COLOMBÄcEO, A, adj. de la nature des pi- 
geons. 

+ Corousina, s. f. *colombin : pierre nıine- 
rale d’oü Fon tire le plomb. 

CoLowsino, A, adf. colombin : de pigeon , de 
colombe ; qui en a la forme. la couleur; qui lul 
ressemble. 

T CoLONBO, COLUMBO ou COLUMBA, 8. m. 
ou f. colombo : racine amöre, astringente, des 
Indes. 

Coroufm ow Corumım, s. m. (f. du Bresil) 
garcon qui est au service de quelqu’un. 

CoLön,s.m. (8. d’anat.) colon : le deuxieme 
des gros intestins. (6. de gram.) Memhre prın- 
eipal d’une p&riode. Comma : espece de ponc- 
tuation. 

CoLönta , 8. f. colonie : nombre de personnes 
des deux sexes envoy6&es d’un pays dans un 
autre pour l'habiter; peuplade d’emigres; le 
pays oü ils se sont etablis; pays habit€ par une 
portion s&parde de peuple; ces habitants. 

+ CoLönıa, s. f. (f. de geug.) Cologne : ville 
d’Allemagne. Agus de —, eau de Cologne. 

gorostin, adj. 2 gem. colonial: des colo- 
nies. 

+ Coxonrtnse , adf. 2 gen. de Cologne. 

+ CoLonızacäd, s. f. velonisalion : action de 
coloniser. 

CoLonızino, A, 2. p. le Colonizar. 

+ COLONIZADOR, A, ag. et m. celui qui celo- 
nise ; qui envoie, qui anne des Colonies. 

+ CorLonızär, ©. a. seloniser : #tablir une 
colonie. 

CoLöno, 8. m. cofon : qui oultire une terre; 
eultivateur, habitanı des colonies. 


COLL, 


COM 307 


Qromönta, s. f. volophane :: sorte de r&sine | composite. -- eorintkis , colonne Eorinthienne. 


pas frotier l’archet du violod. 

CeLoour'ntida, 8. f. (4. de bol.) coloquinte : 
ekronille, concombre du Levant. 

'Ous. V. Cor, Pretssto. 

CoLorsnimente, adv. sous Ccouleur, S0us 


pötezte. 
(urip0, 4,9. P. de Colorar. 
adj. 2 gen. colorant: qui 60» 
kre. p. @. de 


CoLorär, 9. &-Colorer: donner de la o0u- 
kur, teindre en couleur. ( lg.) V. Colorsar. 

Cororzin0, a, p. p. de 

Cororzir, 9.6. (ig.) Colorer : donner une 

' belle apparence A ce qui est mauvals; couvrir 

de queigue preioxte. 

CoLoaiao, 1, p. p. de Colorir. s. m. Coloris, 
tolorisstien, ( Ag.) * Gouleur, prötexte. 
1 aLaino, 4, 0dj. colorifique : qui produit 

eur. 


Cororie, v. . oolorier : donner les cou- 
. kun; metire les coulears & une enlaminure, 
kte esizmpe, un dessin; employer les cou- 
kurs dans un tableau. 
Coraista, s. m. coloriste : peintre qui en- 
ind bien le coloris; celul qui colorie les 
y. Hampes, 
tWuorizicid, a. f. (1. dechim.) colorise- 
Ken che nt de eouleur des substances. 
en ıL, adj. 2 gen. colossal : de grandeur 
gen 


„. Wussto,s. m. oolossde, colysde. 
CoLösso, 5. m. colosse : statue om (Ag.) 
‚> gigantesque. Il se dit d’un homme, 
‚. Con tat puissant. 
" t@rosmucid, s. f. coolostration: maladie 
„. Nusee 4 lenfant par le colostre. 
Ion Gusto, s.m. colostre: premier lait aqueux 
bs femmes apr&s Paccouchement. 
„ntlemaina, s. f. couleuvrine : canon Irds- 
. @ (1. de bot.) Racine de serpent. ” Muncos, 
„Mo, mangouste : valeriane de Guzarale. 


n* 

Gun, a. f. (t. de bot. ei d’hist. mat.) 
„„..Muella: axe Interieur d’une coquille, d’un 
a BR. Colamelle : eylindre qui contient la pous- 

„.W® Seminsle des mousses. Pellicale du pa- 
:. „ Benflamme, 

{ok FCoum ; . 

2 ELLÄDO,, A, adj. columelld : pourvu 
Becolumelle. 

Luna om Corina, s. f. colonne : pilier 
ja Per soutenir, pour orner un bAtiment; 
„0: Pat, sa representation ; portion de page, 
# feuilleldiviss perpendiculairement. (4. mul.) 
is. pr de troupes qui presente peu de front, 
al qui est ires-profond. (fg.) —, appui, 
Dre — mcenada, colonne cannelee. — 
A eu sella, colonne isolee. — abalails- 
fr: 4, colonne qui ost plus large du-'haut que 

‚= allica ou .guadrada ‚colonne atique 
are, pilastre. — ooimposila, colonne 


D 


% 


pie # 
ch 


— dörica, eolonne dorique. — jönies, coloune 
ionique.— lorsa ou salomömiea , colonne torse. : 
— loscana, colonne toscane. —s das abilas, 
(t. de mar.) * montants,, piliers des bittes. 

+CoLvunir,adf. de colonne, qui ena la 
forme. 

T CorLvuninıo, A,adj. on le dit de lamonnaie 
espagnoled'argent frappede auxIndes aveo deux 
colonnes et les mots latins : Nam plus ulird. 

CoLuunita, s. f. colonnade : rangee de co- 
lonnes. 

+ Cortano, s. m. (4. de bof.) noisetier nein, 
de Constantinople. 

CoL6ao, 8. m. (1. d’astr:) oolure : chacun des 
deux grands cercles qui coupent l’&quateur ä 
angles droits et en 4 parties ögales. 

Corörea , s. f. (1.de bo8.) * baguenaudier oom- 
mun, baguenaudier & vessies, faux send. — 
bastarda , coronille G0uronne6e. 

+Corr'vıo, s. m. (t. d’hist. nat.) colydie 
colöoptäre tötramöre. 

+ Corza ou Corsa, 8. f." colsa ow colza, es- 
p&ce de chou sauvage irds-utlle, cultiv6 en 
Fliandre : on tire de Y’huile combustible de sa 
graine; le r&sidu nourrit les bestlaux. 

Cou, pr6p. avec. En. Sur. De. Parmi, entre. 
Voici quelques exemples de la traduction de 
cette pr6position en francais. Jantar — elle, 
diner avec lui. Cortar — ums faca, couper 
aveo un couteau. Estar — capule, Eire on 
mantesu.— a nolicia de sua vinde, sur lo 
broit de sa venue. O dinheiro, papeis, ec. 

tiaha — sigo, Vargent, les papiers qu’il 
avait sur sol. Olkar—mdos olhos ,regarder de 
mauvais il. — este tempo, de ce lemps-Iä. 
Gankou nome— os estrangeiros ‚il s'est acquis 
de la r&putation parmi les etrangers. Lorsque 
com est joint & un infinilif, celui-ci se rend 
en frangais par le participe present; ex. : Com 
vencer conclulo s guerra, en vainquant il ter- 
mina la guerre. Quelquefois il disparatt dans 
la traduction; ex.: — as la nos olhos, 
les larmes aux yeux. —a espada dcinia , l’6pte 
au cölö. — sor meu amigo ‚tout mon ami qu’il 
est. — que, tal que,— ano que, pourvu que, 
& condition de; dono, ainsi, de sorte, de ma- 
niere que. — Iudo, — fudo isso, cependaot, 
n6anmoins, avec tout cela. Commigo, comligo, . 
COMMOSCO , C0OMOOSCO, avec moi, avec toi, avec 
nous, aveo vous. — grande trabalko,, cuslo, ou 
difficuldade, A grand’ peine. 

Con, s. f."crin, oriniere, longs poils des 
animaux ; chevelure; feuillage touffu. (fi. de 
me£d.) Coma : maladie soporeuse. 

CoMino, A, adj. qui a uns longuo cherc- 
lure ; couvert d’an feuillage touffu. 

CowÄDRE, 8. f. commere; sage-femme, ac- 
coucheuse ; bassinoire. (fam.) —, noın que Ics 
femmes du peuple donnent aux voisines, lcurs 
amies. Quinia feira de —s, le jeudi avant lcs 
trois jours gras, le jeudi gras. 

ComÄntE, adj. 2 gen. ($. de pods.) avec ung 
chevelure. 


308 COM 


Comärca, s. f. contree; district, canlon; 
departement. * Confin. Cabega de —, chef-lieu ; 
(fig. fam.) t&te demesurec. , 

+ COMARCANTE, adj. 2 gen. Conlinant : qui 
confinc. 

Cowarciö, A, adj. circonvoisin, conligu, 
limitrophe. 

COMARCÄR, 9. B.confiner , ötre circonvoisin, 
limitrophe. 

fComari, adj. f. Piments —, petit piment 
du Rresil. 

+Cöwmaro, s.m. V.Comoro. (tl. de bot.) Co- 
maret, quintefeuille rouge, argentine & fleurs 
rouges, plante fosacce. 

f Couarö, s. m. certain bois du Bresil, tres- 
dur, bon pour les chariois. 

Comito,A.V. Comddo. 

CosmAT6s0, A, adj. ($. de med.) comateux: 
qui produit ou annonce le coma. V. ce mot. 

COMBALENGAS, 8. f. pl. (6. d’Asie) calebasse, 
courge de l’Inde. 

CossALiDo,A,P.p. de Combalır, adj. ma- 
lingre, infirme; indispose, mal portant; qui 
commence & se gäler. 

CosmsALir, v. a. ebranler; changer de son 
elat [erme , sain , tranguille. 

COMBALIR-SE, v. r. 8’aflaiblir; se gäter. 

Comsanıa. V. Combalir. 

+ Cousasü,s.m. (f. d’hist. nal.) combason : 
espece de moineau du Senegal. 

CONBATE, 8. m. combat. (Ag.) —, trouble, 
agitalion interieure ; contrarieles ; Opposition; 
dispute , contestalion,, lutte. —s, pl. combats : 
jeux publics. — singular, duel. Ter —, €ire 
attaqusble. A praca sö6 tinha — pela parle do 
poenie , la place n’etait attaquable que Ju c6te 
du couchant. Rede de—, (1. de mar.) ület de 
bastingage. 

COMBATEDÖR, A, adj. ei) combattanı, celui 

CONBATENTE, adj. et s. qui combat; sol- 
dat & l’armee;; tenant d’un tournois. 

CONBATER, v. a. combaltre, balire, atta- 
quer. li a les me&mes acceptions dans les deux 
langues. On dit battre, en parlant Jes vents, 
de la mer, de la tempete, des vagues. 

CONBATER (com, confra), vo. ». coınbattre. Il 
a tWoules les acceptions du mot frangais. 

COMBATIDO, A,P. p. de Combater. 

- TCOMBATIVEL, adj. 2 gen. qui peut £tre 
combattu. , 

Comsinaciö,s. f.combinaison. (f. de chim.) 
—, union intime des parties formant un nou- 
veau corps; combine. (t..d’algeb.) —, maniere 
de prendre les donnedes mathematiques, des 
quantit6s representees par des lettres deux & 
deux, trois A trois, etc. Concordance de diff6- 
rents textes. Comparaison. 

CoOMBINäÄDO, A, p. p. de Combinar. adj. com- 
bine: composee de differentes nalions, en 
parlant d’une armee, d’une cscadre. 

Comsıinanon, 8. ın. combinaleur : celui qui 
combine, 


ComsımÄa (com), v. a. combiner. Coipparer. 
N 


COM 


COMBINÄR-SE (com), v. r. 56 combiner : se dis 
des choses et des personnes. 

CONBINATÖRIO, A, adj. On le dit de l’art de 
combiner. 

CoMBınÄvEL,adj.2gen.combinable: qui peut 
eire combine. 

CowBör 0% COMRÖIO , 8. mM. CONYoi : transport 
de provisions pour un camp, uno place; ce£ 
provisions, leur escorte; vaisseaur, soldals 
qui escortent; flotte marchande escori£e. 

COMBOIADO, A, P. pP. de Comboiar. 

COMBOIÄNTE, convoyant: qui convoie. 9. a. 
de 

COMBOIÄR, ©. a. CONYOyer, 6SCorler, a0coIM- 
pagner pour delendre. 

COMBOLLIRO, 3. m. directeur d’un convoi au 
Bresil. 

*Comsöncaı ,s. f. rivale d’une femme mariee, 
d’une malilresse. 

* COMBÖRGO, s. m. Fival du mari de la mal- 
tresse; homme qui a une [emme maride pour 
concubine. 

+Cousna£ro, s. m. (1. de bot.) chigomier: 
espece de myrte. 

Cöuseo. V. Comoro. 

+ CosnuR£xTe, adj. 2 gen. comburant : qui 
a la propriete de brüler les corps combusü- 
bles. 

Cousustäö, s. f. combustion. " Embrasement. 
(Aig.) Grand desordre, grand tumulte dans le 
peuple, dans une assemblee. (I. dasir.) —, 
conjonction d’une planetie aveo le soleil. 

CONMLUSTIVEL, adj. 2 gen. combustible : qui a 
la proprieie de brüler. s. m. —, tout ce qui sert 
& entretenir le feu. 

+ComststisiLwäng, 5. f. combustibilite : 
propriet& qu’ont la plupart des corps de s’unir 
a l’oxygene. 

Coxssisto, A,adj. V. Abrazddo. Pienela —, 
(1. d’astr.) planete qui est en conjoncion avec 
le soleil. 

CoscAusA,s. f. Cause concomitante, 

Cose. V. Sersifim. 

CONEGADO, A,D. p. de Comesar. 

CoNL.;ADÖR,A, s. Celui qui commence. 

COMESÄR, t. a. commencer: [airc ce qui doit 
etre fait d’abord ; enlamer. — a campanka , ou- 
vrir la campagne. 

COMEGAR, vd. N. commencer: prendre com- 
mencement; debuter. E necessario — por este 
assumplo, il faut que ce sujet marche le pre- 
mier. 

Com£co, s. m. commencement; debut. 

CowkEoıa, 8. f. comedie: piece dramatique 
de theätre. ( fig.) Action plaisante, ridicule. 

CouMEdla , 5. f. V.Comedoria, Bendimenio. 

COMEDIANTA, 8. f. comedienne, actrice. 

COMEDIANTE, 8. 2 gen. comedion, acleur. 

COMEDIDAMENTE, ado. sagement, modere- 
ment , honnetement, civilement. 

CoNEDIDO, 4,9. p. de Comedir. adj. Sage, 
modere, honntte, civil, retenu. 

COMEDIMENTO, 3. m. * retenue, moderalion, 
discretinn. modestie, honnetele. 


COM 


Cowenir , ®. a. contenir, retenir, möderer. 

Coxspin-SE, v. r. se relenir, se moderer, se 
regler, se contenir, se conformer. 

COWEDOR, A, s. grand mangeur, gourmand, 
glouton. 

Cowevoria, 8. f. ration, frais de table. V. 
Alimento. 

COMENÖTKO, 5. m. auget, Mangeoire : petit 
rase oü l’on met la mangeaille des petits 
eiseanx que Yon nourrit en cage. adj. Man- 
geable : bon & manger. 

* Conenüra. V. Comedoria. 

Coweworäin, etc. V. Commemorar, etc. 

Cowenpi,ete. V. Commenda, etc. 

Contnos, s. m. Nesie —, sur ces entre- 
faites. 

Couswtär, etc. V. Commenlar, elc. 

*CöwEos. V. Com£nos. 

Coser, s. m. le manger, la nourriture, les 
aliments. Ser de bom —, avoir ordinairement 
bon appetit; @tre bon, agreable & manger. 
(fig.‘ Se contenter de tout. 

Contra, ev. a. manger. (fam.) —, depenser. 
(Ag.)—, dissiper, consumer son bien. (id.) Pi- 
quer, demanger. (id.) —, rouiller, ronger. (id.) 
Prendre une piece au jeu de dames, aux 
echecs. Engloutir, en parlant de lamer. —a 
dous cerrilhos , manger A deux räteliers ; mel- 
tre les morceaux doubles; tirer parti de deux 
complots differents; menager la cherre et le 
chou. — bem, faire chere-lie, ou bonne 
chere.— mal, ne manger que des carottes. 
— como um boi ou como um lobo, manger 
comme un ogre. — ds migalhas, pignocher. 
— a c6r, decolorer. — com ansia, devorer. 
—de ınöfo, {fam.\ piquer llassiette : manger 
aux depens d’un autre. — 0 pdo d’alguem, 
(fam.: manger le pain de quelqu’un, @tre ä 
son service. — päo com cödea, ! fig. [am.) sa- 
voir manger son pain, n’avoir besoin de per- 
sopne.— e ralar. On le dit pour marquer la 
deference, la soumission qu’on doit avvir pour 
les personnes qui nous nourrissent. — as unhas 
de alguem „ devorer, dissiper tout le bien de 
quelgu’un. Ter que —, avoir de quoi vivre. 
Fazer — terra a alguem, opprimer, vexer 
quelgu’un , le reduire au dernier tat. — as pa- 
letras, manger les mots, ne les prononcer pas 
bien. Näo ter que —, n’avoir pas ä manger. 
O—- eo cogar ludo estd no comegar, l’appetit 
vient en mangeant. 

Cou£r-SE, ©. r. se manger. — d’alguma 
eossa,ne pas endurer unechose.—d’inteja, st- 
cher d’envie. — de piolhos, de miseria, elc., 
(fg. fam.) eire dans la derniere misere. 
— uns aos oulros, ( fig.) etro en discorde per- 
pttuelle. 

COMERZINGO, 8. m. dim. de Comer. 

TCöoues, s. m. pl. (fam.) Il n’est usite que 
dans cette phrase: Gastar ludo em — e bebes, 
mettre tout par ecuelles. 

‚ Gosasinuo, A, dj. bon Amanger; ( ig.) ais6 
acomprendre. 


COM 309 


UDMESTIVEIS, s. m. pl. comestibles, vivres. 

COMESTIVEL, adj. 2 gen. comestible : qui 
peut se manger. 

* Comksto, A. V. Comido. 

Contra, s. m. (l. d’asir.) "comete : corps c&- 
leste que l’on croit de la nature des plandtes, 
extraordinaire, lumineux par reflexion, suivi 
d’une queue , barbe ou chevelure lumineuse, et 
s’ecartant de l’Ecliplique selon une ellipse Ir&s- 
allongee, Ires-excentrique; preiendu presage 
de malheur. (t. durl.) Gros maugeur, gour- 
mand. . 

+} CoMETÄRIO, A, adj. comeölaire: des Co» 
metes. 

+ CoMETOGRAPHiA, 8. f. (. d’asir.) oomeöle- 
grapbie:: traild sur les comeötes. 

* Combvos. V. Comenos. 

Comszinı ou Comzziına, 8. f. (fam.) ei» 
paille, bombance. 

CouEzinHo. V. Comesinho. 

COMGALARDOAR, V, Galardoar. 

"Cousa. V.Loma. 

CÖMICAMENTE, adv. comigaement : d’une 
maniere comique. 

CosicHäö, s. f. demangeaison, picotement, 
(fig.) —, envie immoderee. 

ComicH6s0 , A, adj. chatouilleux ; difficiie & 
contenter. 

+ ComicıaL, adj. 2 gen. comicial: fait en 
commun & la diete de Ratisbonne. 

Conuicıos, s. m. pl. comices : assembl&e du 
peuple romain. 

Couıco, A, adj. comique : de la comediez 
plaisant, risible. — keroico , herof-comique. 8. 
V. Comediante. 

CouipA , 3. f. nourriture, manger; viande, 
mangeaille, subsistance; repas. — de bodega , 
gargolage. Boa ou md — , bonne ou mauvaise 
chere. — delicada , exquisila, chair angelique, 
mets exquis, 

Coxipo,A, P. p. de Comör. adj. Rassasie, 
repu. 

ComıLAö, ONA, 5. 2 gen. bäfreur, glouton, 
grand mangeur. 

+ Cominza ou Cominia, 8. f. ( l. de bot.) *su- 
mac: plante lerebinthacke. 

COMIixGE, 8. m. (f. d’artill.) comminge': sorle 
de gros moriier. 

CosınBos, etc. V. Cuminkos, elc. 

Cox-ırmÄd. V. Coirmdö. 

Cowrtiva, s. f. suite, monde, train, cori&ge. 

CösMıTRE,s. m. (t. de mar.) comite : officier 
de la chiourme des galeres. 

Couma,s. f. (t.d’ortk.) virgule : peiite mar- 
que de ponctuation. (1. de mus.) "Comma: in- 
tervalle entre une note diezde et la note imme&- 
diatement superieure bemolisee; quart de ton. 
Sem descrepar uma — ‚tr&s-exactement, tr&s- 
Justement. 

COMMANDAnDO, A, P.p. de Commandar. 

LOMMARDAMENTO. V. Commando. 

COMMANDÄNTE, s. m. commandant: celui qui 
commande. —em chefe ou geral, comman- 


310 COM 


dant gönöral. — om sogunde, oommandanı en 
second. General — d’uma divisdo, ete., gend- 
ral commandant une division, ots. 

CoNMANDÄR, ©. 6. eommander : #tre ehel; 
conduire ; avoir Pautorits, le droit de oomman- 
der; mener & la guerro une troupe comme chef. 
— , dominer sur ow & Ventour. 

Couminpo, #. m. oommandement : erdre du 
ecommandant; autorit#, pouvoir, maniere de 
oommander. 

CONNARCA,, ol0. V. Comarca, etio. 

CONMENORACAO, 5. f. commemoration, m#- 
moire d’un saint le jour de la föte d’un autre; 
mention, souvenir de. — dos defunlos, com- 
m6smoration des morts. 

CONNMEMORÄiDO, A, p. p. de 

COMMEHORÄR, d. &. o0mme&moret ı faire me- 
moire d’une chose, s’en souvenir; faire men- 
tion de. 

CoMMENORATIvYO, A, adj. oommemorelif : 
qui rappelle le souvenir de. 

CONNMENORAYEL,ad/.2 gen. diene dememoire. 

Couutupa, s. f. coommanderie : benefice al- 
fect& & un ordre militaire. 

Couweupackö. V. Enoommenda ou Reoom- 


“ Comusnnapkına, s. f. damıe pourrus d’une 
commanderie. 

CONNMENDADOR, 5. m. Commandeur : cheva- 
lier pourvu d’une oommanderie. 

Couuenpanoria, 8. f. charge, omploi du 
commandataire. 

Comuenpin. V, Enoommendar ou Resom- 
mendar. 

COUMENDATÄRIO, A, adj. Abbade —, abbe 
commendataire,qul possdöde en commande. 

f Coumesnparicıo, A , 0dj. On le dit des let- 
tres de reoommandation donnses par quelques 
prelats. 

+ Couuenpatörıs, adj. f. (fam.) Corte —, 
lettre de recoommandalion. 

f CouuenneLa, s. f. dim. de Commenda. 

CoNMENSiL, 0dj. 2 gen. oommensal. On le 
dit de ceux qui mangent & la meme table. 

CoNMENRSALıIDinE, 8. f. Commensalits : so- 
ci6tö de ceux qui mangent & la meme table; 
droit de oommensaux. 

CONMENSURABILIOADE,, 8. f. (f. de gdom.) 
commensurabilit# : rapport entre Jeax gran- 
deurs qui ont une mesure oommune. 

TComuansunacäd, 8. f. (4. de gdom.) com- 
mensuration ; acion de mesurer deux choses 
ensemble. 

Comuensurino, A,p.p. de 

CONMENSURÄR, ©. 6. COmparer, mosurer. 

CONNENSURÄR-SE (com), v. r. 86 Comparer, 
s’&galer, se mettre on parallele avec... 

CONMERSURÄYEL, adj. 2 gen. commensurable. 
Se dit de deux grandeurs en rapport de nom- 
bre ou d’une mesure commune. 

Couwentino, A, p. p.de Commenlar. 

CONMENTADOR, 5. m. oommentaleur : qui 
seit un commentaire, qui oommente. 

GouusuTär,, v. @. oommenter : fsire un 


COM 


commentaire, ajouter & un röeit, & une nou- 
velle. 

COuNENTÄRIO, 6. m. commentaire : interpr&- 
tation, selsircissement, remarques, observa- 
tions sur un livre pour le rendre intelligible, 
pour en faire sentir les beautts ou les d6fauıs, 
le comparer, eie.—e, pl. commentaires : bis- 
wire, mömoires nu (— deCssar, d’Ar 
fonse d’Albuquergque). 

Couuenticıo, A, adj. imagind, invents & 
plaisir, feint, faux, oontzouv6, 09 qu’on avanoe 
de son chef. . 

+ Comneuto, s. m. petit commentaire. Inter- 
preötation ordinairement maligne d’une action, 
d’un discours. 

* Couukos. V. Comönos. . 

Couugacıino, A, p. p. de Commercier. 

Commäncıau, adj. 2 gen. oommercial : da 
commeroe. . 

CONNSRCIÄNTE, 3. m. commergant : qui Com- 
meros, qui traßque gm gros. ll est aussi ad). 
Cidade —, ville commergante, oA l’on fait du 
commerce. 

CONMERCIÄR, ©. n. commercer : trafiquer, 
negocier; faire le commerce. 

ComuErcıiveL, adj. 2 gen. commergable: 
qui peut &tre facilement commero6 (effet). 

CONNMacıo, 8. m. commerce, trafic, n&gooe 
de marchandises, d’argent, soit en gros, soil 
en detail. —, le corps des commergants, des 
negociants. —, fröquentation; societe; com- 
munication ei correspondance; pratique peu 
bonndte, secrete ot lucrative. — d’alborgue, 
commerce en troc ou par &change. Praga do—, 
bourse ; l’endroit le plus fr&quents d’une ville. 
— de n£gros, " traite de negres. Faser —de si 
mesma, 86 prostituer. Sem —ndo ha riquesza, 
point de commerce, point de richesse. 

* Coumtssaa. V. Commenda. 

CoONMETTEDOR, 5. m. Celui qui oommet un 
crime, 

+ CoNMETTENTE, 3. m. (8. de com.) 00m- 
mettant : qui a confi6 ses inter&ts commerciaux 
& quelqu’un ; qui charge un autred’une affaire. 

Couuerren (4), ©. a. commeltre, confer, 
proposeor, donner connaissance &. Entrepren- 
dre, commencer, proposer. V. Inientar, 4c- 
commelter. —, faire une faute , un crime. 

CONMETTER-SE, v. r. se livrer, so oonfiler & 
quelqu’un. 

Couuwrtiva, s. f. V. Commeitimenio. 

Couuertino,a,p. p. de Commelter. 

CONMETTINENTO, 8. m. "entreprise ; altenta!; 
charge. V. Accommetlimenio. 

Couußvos. V. Comenos. 

Comuıc0 ou CoMico, doc. ade. avec mol; en 
moi; & mon dgard. Para —, envers moi. — 
MEesmOo, en Moi-menıe, 

Counumaciö, s. f. menace, intimidation. 

Couuınino, a, 9. p.de Commindr. 

CONMMINADOR,, 8. m. qui menace. —, A, adlj- 
V. Comminatoriv. 

Couumän,o. a. faire de grandes menaoes; 
comminer. 


COM 


TCONMINATIVO, 4, adj. menagent. 
CoMMINATORIO, A, adj. oomminatoire : qui 
eonljent une menaoe dans le cas do oontraven- 
Von. 
Conumvis. V, Bemiuger, Rımigalkar. 
Coumusssaclö, s. f. commiseration, pitid, 
COMPaSsion. 
CONHISERADO, A, 9.9. de Commiserar. 
‚Counisunanen, 4, 8. oompatissent, qui a 
p 
ONMIEERANTE, adj. 3 gen. V. Compassivo. 
».0.de 
CouuIszaıR, ©. a. oxciier la commisesralion, 
la piüe , Vinspirer & quelqu’un. 
Coswseris-se (de),v.r. avoir piti6, oom- 
passion de; compatir aux maux de, s’apitoyer. 
Cousmsamania, 8. f. charge de ooımmis- 
sionnaire de marchandises, d’sffeis, etc. it. de 
eommisseire religieux ou ecolesiastique. V. 


Couuissiö, s. f. commissien , action, fait; 
chess, fauis oommise. —, charge denne A 
queiqu’un de faire, de porter, de dire quelque 
chese; droit pour la commission. —, r&unlon 
dindividus charges d’examiner quelquoaffaire, 
de faire quelquo chose, oto. 

COWEISSARIADO, 8. m. commissarlat : ernplol, 
fonctions du Commissaire; oorps des commis- 
saires de l’armee; bursau central de cette ad- 
mieistration. 

COuNISSARIO, 8. m. oummisssire : offloier, 
juge sommıs par un superieur, pour exeroer 
wae fonction, maintenir la police, surveiller, 
distribuer, etc. — oolante, (I. de comm.) com- 
mis voyageur. — de guerva, oommissalre de 
guerre. — gerdl do exereito, eommissalre g6- 
neral de guerre.—gerdi da Terra Santa, moine 
serdelier qui, & la cour de Madrid et de Lis- 
bounne, «tail procureur gen6öral des maisons de 
son erdre dans los Saints lieux. — gerdi da eru- 
zade , commıssaire göneral de la cruciade : ec- 
elösiastigue qui rögle tout 08 qui oonoerme la 
belle de la crucıade. 

T CoNEISSIONADO, A, adj. et 5. dsputs et 
GeEnmmisssire 


+ Coxmmssionısta, 8. m. commissionnalre : 
agent charg6 d’une oommission. 

Comurs0 , 2. m. ( 6. de pras.) dedit; peine. 

T Ooumssorıo, A ‚adj. (#. de prat.) oommis- 
seire : domt Pextcutlon annulle un contrat 
(dause). 

Cowmıssönä, 8. f. oommissure ı fente, ou- 
verture. ( £. d’anaS.) —, jonetion, point d’union 
des parties. 


CONNITEITE, 8. m. Commitant : qui envoie 
des ministres. V. Commeitenie, 

Couwockö, 8. m. commollon, SOCOUSS®, 
tbranlement violent; dmeute. (fg.) —, agita- 
som des eospriis ; ingulötude, agitation d’es- 
pr 

COEMODA, 3. . commode : meuble carr6,, & 
Pasieurs tiroirs, pour le linge, les habits, etc, 

CbUNODANERTE. adv. commodement ı dune 
maniese sommode, aves oamınodits. 


COM 311 


rt Coumopanre, s. 2 gen. celui qui pröte 
“quelque chose. 

COMMODATÄRIO, A, 8.2 gen. commodataire : 
qui a regu le commodat. 

Couwopiro,s. m. (. de pral.) commodat: 
pret gratuit d’une chose qu’il faut rendre en 
nalure ; pret A usage. 

Coumopmine , s. f. commodits, alsance, 
aise, interet, utilild, avantage. Occasion faro- 
rable; opportunits, loisir. Com —, a l’aise. 
Com toda a minha —, tout ä mon alse. —s da 
vida, commoditss de la vie : toutes les choses 
ne6cessaires pour @tre A son alse. 

Cowwonissıno, a, adj. sup. de Cömmodo, 
tres-commode,. 

CöuMono, a, adj. commode, alse, propre, 
convenable, dont Pusage est utile et faclle, 
Prego —, prix modere, ralsonnable. 

CÖMMODO, s. m. "utilitö, profil, Gonvenance, 
ocommodite; loisir.*Place,, emplol. A seu—, & 
son aise. V. Commodidade. 

Couumove&r, v. a. &inouvolir, aglter, &branler; 
attendrir, affecter. 

CONMOVER-SE, 9. r. s’ömouvoir, s’attendrir, 

Couwovino, A,p.p. de Commover. 

Cowmüa, s. f. commodites, lieux d’alsance. 

CoOMNMUAMENTE. V. Commummente, 

Couwöu, adj. 2 gen. ou Comuda, f. 00M- 
mun : & quol tous partieipent ou peuvent par- 
tieiper ; propre & differents sujets; d’un usage 
general ow appartenant A plusieurs. — , uni- 
versel, gönerai, vulgaire, ordinaire. —, qui est 
de peu de valeur; qui se trouve alsöäment eten 
abondance. — de dous, (1. de gramm.) mascu- 
lin et feminin sous une seule terminalson. Em 
—,en commun, en communauld. Senso —, 
sens commun : facultd, jug&e commune, de 
juger sainement. ' 

Conuöm,s. m. commun : ce qui appartient 
en commun ; la plupart, la plus grande partie 
des hommes; corps des habitants d’une ville, 
etc. —, office general des saints (apötres , 
martyrs, vierges,, etc.), pour lesquels Y’Eglise 
n’en a point dtabli de particulier. Cdmara dos 
Communs,chambre des Communes en Angle- 
werre. 

CONNUMMENTE, adv. communement, ordi- 
nairement, generalement; en commun ; selon 
Popinion commune. 

Coumöna,s. f.— de Judeos, de Mauros,, ics 
Juils, les Maures, autrefois tol&res en Portu- 
gal, ot qui faisaient une espece de commune. 

* Comuuuniı. V. Commum, Universal. 

* CoumumaLista, 8. m. membre d’une com- 
munaute. 

Comuuntıno, A, adj. populaire, qui n'est 
pas noble; qui se ooncilie l’affection du peuple 
et de la multitude. Qui concerne les faclions - 
qui eurent lieu dans la Castille, sous Charlcs- 
Quint, ‘ 

Conuuntınos, 3. m. pl. faclieux castillans 
sous Charles-Quint. 

CONNUNGÄDO, A, p. p. de Commungar. 

CONNURCANTE, ad). 2 gen. commemiant ; qui 


312 COM 


communie,, qui regoit la communion. p. @. de 

CoMMuNnGÄR , v. a. et Rn. communier: TOCEroit 
Peucharistie; administrer co sacrement. —pela 

oa da resurreicdo, faire ses pAques. 

+ CoNMmuncaTörıo, 3. m. lieu oü l’on donne 
la communion aux religieuses. 

Cosuunniö,s. f. communion : participation 
mutuelle & une chose commune. —, union de 
plusieurs dans une m&me foi; action de com- 
munier, röceplion de l’eucharistie; partie de la 
messe ; verset ow antienne chantes pendant la 
communion. — da Igreja ou dos fleis, commu- 
nion de I’Eglise catholique. 

Cossunıcacad, 5, f. communication : action 
de communiquer, ses effets; commerce, fami- 
liarit&, correspondance ; moyen par lequel 
deux etres se communiquent; moyen de com- 
fnuniquer. Participation , avis. 

ComMunicino, A, p. p. de Communicar. 

CONMUNICADOR , A, 8. 2 gen. celui qui com- 
munique. 

* CONNUNICANTE. V. Commungante. 

+ COMMUNICANTES, 8. m. pl. communicants : 
anabaptistes du seizieme siecle, qui possedaient 
en commun leurs femmes et leurs enfants. 

COMMUNICAR, 9. a. communiquer : faire part 
de, transmeitre, donner communication de 
quelque chose;; apprendre, declarer. (0), —, 
rendre commun & (la chaleur, le mourement, 
eic.). 

Comuunıcin (com), ©. ®. communiquer : 
avoircommerce , relation os passage commun. 
Dans ce sens, il est aussi reciproque. Conförer 
avec quelqu’un sur une affaire, le consulter. 

COMMUNICAR-SE,, U. Tr. se communiquer, &iro 
contigu. Se donner, en parlant des maladies. 
V. Pegar-se. Eire familier, communicatif. 

CONMuNnIcATiVO, A, adj. communicatif : qui 
se communique facilement. 

+ Coumunıcaröaıa, adj. f. (carts —) qui 
fait part (lettre). 

COMNUNICAYEL, adj. 2 gen. communicable : 
Gui peut se communiquer ; dont on peut faire 
Yart. Sociable, affable, traitsble, communica- 
6, abordable. 

COMMUuNIDADE, 8. f. communauts : qualits 
qui rend commune la participation d’unechose; 
socielö de personnes religieuses ou lalques vi- 
vant sous une me&me regle commune ; Corps 
d’habitants d’une ville, bourg, eic. Commune. 
—s „pl. (actions, dans la Castille, sous Charles- 
Quint. V. Communeiros. Em —, en commun ; 
en corps. 

CONMMUNISSINO ‚A, adj. sup. de Commmum. 

CONNMUTAGÄO, 8. f."troc, 6change. Commata- 
tion (de peine), changement. 

Co4sUTiD0,A,Pp.p. de Commular. 

+Couuotapor,A,s.2 gem. celui qui fait un 
troe, un changement; une commutation de 
peine, 

Couuorin (com, em), v. a. &changer, tro- 
quer. Commuer : changer la peine. 


CONMUTATITO, A, adj. commmutatif : qui peut 


.COM 


Etre change. Justiea —a, Justice commutative : 
commerciale, ot il s’agit d’echange. 
+CouuurivgL, ady). 2 gen. schangeabie : 
qui peut @ire change ( objet). Commuable : qui 
peut @tre change en l’adoucissant (peine). 

T Counösco, pour Com nos, avec nous, en 
nous-möiınes. 

Cöuo, conj. lorsque, quand, dans le temps 
que, pendant que. Puisque, vu que, atteadu 
que. Parce que, de ce que. 

Cöuo, adv. comme, de ın&me que, dela ma- 
niere que, ainsi que. —, en qualit6 de. —, 
parce que, vu que. — ‚tant que, aulant que; 
selon que, suivant que. —, au möment oü. 
Comment, pourquoi. Comment, dans qual &lat, 
en quelle forme, en quelle manidre. —, en 
sorte, de facon, de maniere que. Como, pre- 
otd& d’un adverbe de comparaison, se rend 
par que. Ex. : Tonio um — owiro, aussi bien 
l’un que l’autre. A viriude & do _o 
vicio 6 feio , la vertu est aussi belle que le vice 
est hideux. Assim —, comme. Como !—assim ! 
oomment! eh quoi! est-il possible! A — ? com- 
bien? A — valem as laranjas? combien, quel 
prix valent les oranges ? — quer que seja, quoi 
qu’il en soit, de quelque fagon que ce puisse 
ötre, Sem saber -— nem quando, Balıs Savoir Ni 
pourquoi, ni comment. —c6go, en aveugle. 
Morrer— militer, mourir en militaire : passer 
par les armes. Como! ndo ka mais que isso? 
quoi! ce u’est que oela? Ferido — estavs, fal- 
low, tout hlesse qu’il &tait, il parla. — se, de 
meme que si. — se föra enirada a cidade, de 
meme que si la ville eht &t& prise. 

COMORO , 3. m. terire ; 6minence de terre. 

+ Couöso, A, adj. (#. de bot.) chevelu : garni 
de feuilles ou de branches. 

f Comracipäne, 5. f. compacite : qualitd de 
ce qui est campacie. 

Cosräicro,s. m. V. Paclo, Ajuste.Compact ; 
convention. 

CoMPÄCTO, A, sdj. compacle: serte, con- 
dens#; qui a beaucoup de substance sous un 
petit volume; pesant et peu poreux. 

COMPADECKDÖR, A, adj. qui compatit, com- 
palissant. 

COMPADECER , ©. a. souflrir, supporter. p. ws. 

COMPADECER-SE (de), ©. r. compatif : avoir 
pitie, compassion de, @ire sensible &; s’alten- 
drir, s’apitoyer. (em, com) Convenir, comp#- 
ir, sıaccorder, @ire compatible. 

COMPADECIDAMENTE, adv. aveo sonsibilitt, 
avec bant6, avec lendresse. . 

CoMPADECIDO, A, pP. pP. de Compadscer-es. 
adj. Compatissant , bon, sensible. 

COMPADECIMENTO. V. Compaixdo. 

COMPADRÄDO, 3. m. Compörage : qualite, re- 
lation de compere. adj. p. p. de 

f COMPADRAR, 9.9. ei—36, v. r. conltracter 
comperage. (fig.) S’accointer : contracier aıın- 
tie, se Samiliariser ; devenir compere, ami. 

CONPÄDRE, 8. m. compere : celui quia wenu 
un enfant sur les fonts avec une personne; 
compaguon, ami gaillard. Ndo sstar — com 


COM 


,„tAg-) m’öire pas d’ancord ares quel- 
qu’un. Quinis feira de —s, le jeudi qui pre- 
cede la sexagesime. 

+ CONPADkice, 8. f. “ comperage : intimite de 
eompere; ce qui se pass6 el co qui Se lraite en- 
ire comperes et amis. 

Compacinackö, 3. f. "arrangement, Asse 
blage,, liaison, enchatnement, structure. 

COMPAGINÄDO, A,P. p. de 

+Cowracınir, vo. ao. assembler, disposer 
avec ordre, arranger, lier, enchalner. 

Cowriıxiö, 5. f. compassion, misericorde, 
pitie. Ter — dalguem, plaindre queiqu’un, 
avoir pitid de quelqu’un. Fazer —, (airo piti6. 
Morer « —, exciter la compassion. 

Cowriyna, s. f. les mariniors d’une barque. 
is. ant. Compagnie, troupe. 
*Cowranuiö, s. m. V. Compankeiro. it. Tes- 


CowrantHär, etc. V. Acompanhar, elc. 

COMPANHRIRA, 3. f. compagne; epouse. 
Minkha — , ma femme. 

COMPANHRIRO, 3. m. COoMpagnon, camarade. 
Confröre , coll&gue; qui est joint avec quel- 
quun; assur6; qui accompagne. Gompagnon 
de fortune. Collaborateur. Meus —s säo os li- 
eros, mes livres sont ma fiddle compagnie. 

Comranmıno, A, adj. a8sociö; pareil, as 

sorti. 
Cowrasnia, 5. f. compagnie, socielö; asso- 
eiatien commmereiale ou financiere; personnes 
qui conversent, se promenent, vivont, travail- 
lent, eic., ensemble. °Compagnon , camarade : 
celui qui accompagne, qui va, qui est avec. 
Compagnie de soldals sous un mäme capitaine. 
Troupe de comediens. Union. "Cortege. — de 
Jesus, compagnie de Jesus : ordre religieux. 
Os padres da —, les jesuites. 

*Compasnnöa. V. Companheira. 

°’COMPANHOM. Y. Companheiro. 

Comparacäö, s. f. comparaison, parallele, 
similitude. Em — de, & l’egard de, en compa- 
raison de. Sem — ou ndo ha—, iln’y apas de 
comparaison, sans comparaison , hors de com- 
parsison, incomparablement. Iso ndo ad- 
mille —,cela n’entre en comparaison Avec 
rien. 

CourariDO, A, 9.9. de Comparär. 

+ CoOmPARADOÖR, 8. m. instrument pour Com- 
parer avec exactitude les dimensions de deux 


CourAaaäR, v. a. comparer, conlronter, com- 
biner, conferer, collalionner. 

CONPARATIVAMENTE, adv. comparalivement, 

Courararivo, A, adj. comparatil : qui peut 
üse compars. (t. de gram.) —, intermediaire 
entre le positif et ie superlatif. 11 est aussi sub- 
stantif dans celle acception. Analomia —a, 
anatomie compar6e. 

ComrasiveL, adj. 2 ger. comparable : sus- 
eeptible de comparaison;; qui peut la soulenir. 
Comranzckncia, s. f. V. Comparecimento. 

T CourarzchuTe, s. m. (1. de pras.) compa- 
rant : qui comparali devant un juge. j 


COM 313 


Couranscka, vo. n. (1. de prai.) comparoir : 
comparalire en justice; paraltre, se presenier 
devant les juges. 

COMPARSBCIMENTO, 5. m. * comparution : l’ac- 
tion de comparaltre en Justice. 

Comparıcaö. V. Comparecimento. 

COMPARSA, 8. 2 gen. comparse : au Iheätre, 
les personnages muets qui ne font que figurer. 
Figurant. 

COMPÄRTE, 3.2 gen. (f. de pral.) partie plai- 
gnante ou demandante avec une aulre dans un 
meme proces. adj. Qui a part & quelque chose, 

COMPARTIDO, A,P.P. de Compartir. 

COMPARTIMENTO, 8, m.’ division, distribulion, 
r6partition. Compartiment. 

TCoMPARTiR, v. a. repartir, diviser, distri- 
buer. Compartir, parlager. 

TCOMPASSÄDAMENTE, adv. avec mesure, avec 
ordre, suivant les regles. 

CoMPAsSSäDO, A, p. p. de Compassar. ad). 
(fig.) proportivnne; fort exact, fort regle dans 
ses actions, 6lc. 

COMPASSAGEIRO , 3. m. Compagnon de voyage 
sur mer. 

COMPASSÄR, d. a. COmpasser : mesurer au 
compas. (fig.) Bien proportionner, regler. 

COMPASSÄR-SE, v. r. Se MOUVYoir avec nIesure. 

+ COMPASSIVAMENTE, adv. avec Compassion, 
avec sensibilite. 

+ "CompassiveL, adj. 2 gen. piloyable : 
digne de pitie. st. V. Compassivo. 

CoNPASSiVO, A, adj. compatissant, sensible, 
secourable. Tendre, caressant. 

CoMPÄSssO , 8. m. compas : instrument de ma- 
thömatiques, d’aris et metiers, & deux bran- 
ches r&unies et mobiles, pour mesurer, pren- 
dre des distances, tracer des cercles, etc. (fig.) 
— ,, ordre, circonspection,, mesure. (l. de mus.) 
*Cadence, mesure : mouvement qui sert & mar- 
quer le temps ot les intervalles qu’il faut gar- 
der dans le chant, dans la danse, eic., et la 
figure qui le marque sur le papier. Mouvement 
mesure (de celui qui marche, qui escrime, 
d’un vaisseau & la voile). — de proporgäo. V. 
Pantömeira. — curvo, compas d’epaisseur, & 
branches courbes. — qualernario, binario, 
terndrio, (i. de mus.) mesure & qualre, ä deux, 
& trois temps. Balier, fazer o—, batıre la me- 
sure. A —, en mesure, en cadence ; de distance 
en distance. Ao —, & mesure; en proportion 
de. /rcom o— na mäo,(fig.) aller par com- 
pas et par mesure. Sollar palarras por —, 
parler lentement, laisser lomber les mots. 
Metler alguma cousa a —, reduire quelque 
chose & ses justes proporlions. Do —, en pro- 
portion de. 

+ COMPATERNIDÄDE, 5. f. compalernil6 s 
alliance spirituelle entro les parrains, mar- 
raines et les parents d’un enfant. 

COMPATIBILIDADE, 8. f. compalibilile : qua- 
lite, etat de ce qui est compatible, peut 56 
concilier, s’accorder. 

COMPATIVEL (com), adj. 2 gen. compatible s 
qui peut cumpalir; qui peut convenir, 8’a0- 


318 COM 


corder ave6 un autre; qui peut @tre posssde 
avec un autre (ben#ßoe, charge). iS. p. us. 
Pitoyable, 

CoOMPATRIÖTA, 8. 2 gen. compatriote ı de la 
meöme patrie, du m&me pays. 

tCowuratraöno, 8. m. patron oonjointement 
aveo un aulre. 

+ Coupe, s. m. (8. d’hist. nat.) conops ı dip- 
tere conopsaire. — pungenie, conops piquant. 

* CoupEcAR, eio. V. Comeyar, et0. 

* ComPscÄr, u. 6. manger da pain avec auire 
ehose. 

COMPELLIDO, A, 9. P. de 

CONPELLIR, ©. @. contrsindre, astreindre, 
forcer, obliger, pousser. 

CONMPENDIÄDO, A, P. p. de Compendiear. adj. 
Abrege. 

COMPENDIADOR, 8. m. abreviateur. 

Cowraspiin, v. a. abröger, resumer, r&- 
duire. 

CourEnpıirto. V. Com 

Comp&enpıo, 8. m. abrege, 
sommaire, preeis. 

COMPENDIÖSAMENTE, adv. en abrege, SOM- 
mairement. 

CoNMPENDIöSO , A, adj. abrege,, succinot, res- 
serre. 

Cowrensaciö, s. f. oompensation, r&oom- 
pense, dedommagement, reparation. (f. de 
comm.) Balance. 

CourEnsino, A.p.p. de Compeonsar. 

COMTENSADOR , A, adj. qui compense. 5. Com- 
pensateur : qui donne une compensation. 

Courensir (com), v.a.compenser, balancer, 
oontrebalancer, r&compenser, dddommager. 

Cowrznsär, v. ». faire oompensation. 11 est 
aussi röciproque. — se uma cowsa com owira. 
On le dit d’une ohose qui est comıpensde par 
une autre. 

+Cowrensarivo, A, adj. compensatoire : 
qui fait compensation. 

+ CourEnsävEL, adj. 2 gen. oompensable 
qui peut &ire compense. 

Cosrertncıa, s. f. compeötenee : droit de 
oonnaitre, de juger de. «#. * Conflit, contesta- 
tion , concurrenoe. 4’ —, A l’envi. 

COMPETENTE, adj. 2 gen. competent : & qui 
appariient, & qui est dä; qui a droit de juger, 
de connaltre. Sufisant, oonvenable, propor- 
tlonne, da. 


oompendium, 


COUPRTENTENENTE,, adv. compelemment : 


d’une manidre competente. Buffisamment ‚con- 
venablement , coongrument. 
Caurgrigäö, 3. f. concurrence, rivalit. 
CourErindo, 4, P. p. de Compelir. 
COMPETIDOR, A, 8.2. gen. compelileur, con- 
current, rival, &mule, contendant. 
CoNPETIMENTO, s. m. V. Compelencia. 
Courgtin (com),v n.demander, poursuivre, 
briguer en eoncurrence, et avec pretention 
d’egalitd. Rivaliser : disputer de merite, de 
talent avec quelqu’un. (a) Competer &, ötre de 
la oompetence de, appartenir &. Il est quel- 
quelois re&ciproque etsignifie rivaliser- 


COM 


Commuaciö, s. f. oompilation : recuell de 
morcesux empruntes & differents livres, ot 
r&unis en un corps d’ouvrage. 

CoupiLipo, A, p. p. de Compiler. 

ComriLAp6R, s. m. oompilateur : qui Oom- 
pile, qui fait une compilasion. 

CosriLin, o.a. oompliler : [air une oompi- 
lation,, un recueil de morosaux &pars. 

+Courırizs, s. f. pl. compitales : fötes & 
Home on !’honneur des Penatos, des Lares. 

+ CourrtaLico, A, adf. compitslice : on le 
dit des jeux, des f&tes oompitales. 

CoMPLacencıa, 8. f. complaisance : douoesr 
et facilits d’esprit ; deförence aux Sohtiments, 
aux volontds, aux goüts, aux opinions d’au- 
trai ; facilit# de caractöre , con 
pour. "Goüt, satisfaotion, plaisir, conlenle- 
ment. 

+ CoOMPLACENTE, adj. 2 gem. complaisant : 
qui a de la complaisanoe pour les autres. 

*CowrLanin. V. Aplaner ; Inteirer. 

* COSPLAZER. V. Compraser. 

CONPLECTAMENTE. V. Juntsmenis. 

Cowrıeıciö, s. f. oomplexzion, nalurel, 
termperament, oonstitution ; bumeur; inclina- 
tion. — fraea,, dölicatesse de temptrament. 

ComPLEIaOonino, A, adj. eomplezionne : 
qui a telle oomplexion,, tel temp6rament. 
Bem ou mal —, bien ou mal oompiexionne, 
constitue. . 

+ Comrzicıoniı, adj. 2 gen. qui appartient 
& la complexion. 

+ COMPLEUENTÄRIO, A ‚adj. complömentaire: 
qui sert A compleöter. 

CoONrLEMENTO, 5. m. complement : ce qui, 
etantajouts ‚termine, porfactlonne , rend vom- 
plet, rend plus grave, plus grand; co qui sert 
& completer, & determiner la signifeation d’un 
mot. (t. de gdom.) —, portion qui manque & 
un angle ou & un are pour arriver & 90°. 
Achtvement. 

CourLEnte , adj.2 gen. Mard-- ‚marde men- 
tante. 

CourıEripo, A, pP. p. de Completär. 

COMPLETANENTE , 0dv. oompletement : d’une 
maniere complete; entiöremen?., tout & faitz 
pleinement, parfaitement. 

CoxPL£rÄir, v. a. completer, terminer : ren- 
dre complet. 

CowrL£ras, s. f. pl. oomplies : derniöre 
partie de l’office' divin apr&s v&pres. 

CoueLETIYO,A, adj. (4. de grem.) compleuif: 
qui fait os annonce, oaractsrise le oompi6- 
ment. 

ComrLfTo, a, adj. complet; entier; acheve ; 
parfait; ä quoi il ne manque rien de n6osssaire 
ow aucune de ses parties; Mai. 

Courrexiö, etc. V. Com: ‚eto. 

+ Comrıexipipe, s. f. oomplexits : qualitö 
de ce qui est coomplexe. 

CourL#xo,A, adj. (t.de gram. et de log.) 
complexe (terme, id6e, proposition, sujet) : 
qui embrasse plusieurs choses, l’eppess de 
simple; ou plui6t qui renlorme en Soi-ıname 


COM 


pinsiours modifications essentielles, quolque 
simple grammaticalement parlanı , l’opposd 
d’ncompleze. 

CourLixo, 3. m. assomblage, union, liaison 
de plusieurs choses. 

Comrricacäö, s. f. complication : assem- 
blage, ooncours de choses da dıfförenie na- 
ture. 

CoNPLichDissiMo, A, adj. sup. de 

Cowrıscipo, A, adj. compliqu6 : mel& avec 
d’autres (maladie); embrouill6 (affaire), mel6 
ä d’auires; qui n’est pas simple (machine). Il 
se dit au (Ag.) d’une piece de theätre, d’un 
potme, etc., Irop chargö d’6venements, d’in- 
trigues, d’incidents. p. p. de 

Coyruscin, v. a. compliquer : meler, r&unir 
ensemble plusieurs choses; embrouiller (des 
afaires). 

CONPLICAR-SE,, %. r. 3e compliguer, en par- 
laut des maladies, des affaires, etc. 

CöKPLICE, 8. et adj. ? gen. complice : quia 
part au crime d’un autre. 

CourLicık00,A,P. p. de 

COMPLICIAR , 0. @. rendre oomplice; accuser 
de complicite. 

CONPLICIÄR-SE,, d. r. serendre complice. 

CoseLicıpÄnE, 5. f. complicitö : participation 
au crime d’un aulre. 

Conroenös. V. Composilor. 

°Coupotr. V. Compor. 

CONPONREDOR , 5. m. ($. d’impr.) compos- 
tsar : oulil d’imprimeur. 

+Comrontnpa, s. f. componende : 00mpo- 
sition sur les droits de la cour de Rome pour 
les dispenses. 

+Comroxfnte, adj. 2 gen. qui fait partie 
@un eompos6; composant. 

*COMPONDOR ,A, 8. 2 gen. amiable compo- 
siteur. 

Coup6ß ‚v. a. composer:former, faire un tout 
de plusieurs parties; faire un ouvrage d’esprit, 
un air. Inventer, forger, feindre. Arranger, 
raceommoder, restaurer, rötablir, reparer, 
mettre en ordre. Arranger, decorer, enjoliver, 
approprier, ajuster, orner, embellir. Arran- 
ger, r6coneilier, rapprocher, accorder, meitre 
d’aecord. Accommoder une affaire aveo des 
dons , l’&touffer de quelgque maniere. Moderer, 
lemp6rer, corriger, contenir.— , rögler les ges- 
lies, l’sir conformement aux situalions, aux 
intentions. (4. dimpr.) —, arranger les leltres 
pour former des mots, des lignes. Pris abso- 

uament il signifle, faire un ouvrage, faire des 
vers. — o semblanie, 0 roslo, Composer son 
air, sa mine, son geste, son maintien, sa fi- 
gure , ss Contenance. — uma polencia , (l. de 
math.) elever une quantit6 algebrique, etc., & 
une de ses puissances. — uma hislorio, um 
poems , etc., faire une histoire, un po&me, etc. 

CouPöR-sE, v. r. s’accorder; S’accommoder 
sur un differend. S’orner, se parer. Prendro 
un air grave, serieux, convenable aux situa- 
ons. cotnposs de: ex.: O anno compöe- 

se de dias, Yauınde est composte de jours. 


COM 315 


Cowpönra, s. f. Soluse : porte pour retenir 
ot lächer & volont# Peau d’un canal. (8. burl.) 
" Air qu’on chantait aecompagnd de la guitare. 

CONPORTADO, A, p. 9. de Comporlar. 
Bem ou mal—, de bonne ou de manvaise 
conduite. 

CoOMPORTAHENTO, 5. m. " condnite : maniere 
d’sgır, de se gourerner, de se conduire dans 
la eours de la vie, eto. ; maurs. 

ComrorTÄn, ©. a, Comporter, permettre; 
souffrir, supporter, tol6rer. 

CoMPORTAR-SE, ©. r. se Comporter, so 
duire. V. Portar-se. 

COMPORTÄVEL, adj. 2 gen. supportable, to- 
lerable, qu’on peut supporter, souffrir. 

Comporte. V. Comportamento, Porte. 

Comrosıckö, s. f. composition : action de 
composer quelque chose, ses effets, son r&- 
sultat; arrangement, accommodement, &C- 
cord , capitulation, ajustement. Modestie , 
maintien. V. Compostura. —, mölange, incor- 
poration de certaines drogues. (t. diimpr.) —, 
arrangement des lettres en typographie; art, 
action de composer un ouvrage d’esprit, son 
produit; accommodement par des sacrifices 
mutuels ou d’un seul. Bulla de —, bulle de 
composition. 

Compösıta, adj. f. Ordem—, (t. d’arch.) 
composite, compos& de l’ionique et du co- 
rinthien ou de plasieurs ordres. 

COMPOSITÖR, 8. m. compositeur : celai qui 
compose en musique; qui arrango les leitres 
pour former des mots ; auleur. 

Cowmpösta. V. Composila. 

+ Compostautxte. adv. avec modestie, re- 
tenue, maintien. 

CouPpösTO,A, pP. p. de Compör. adj. Com- 
pos6, fait de diverses choses; —, &cril, Ira- 
vaille. (Ag.) Grave, modeste, retenu. — de, 
consistapt en. 

CoMPÖöSTO, 5. m. compose : ce qui räsulte de 
Passemblage, de l’union de plusieurs parties. 
Il se dit au physique et au moral. 

Comrostüra, 3. f. composition, construc- 
tion , structure. Proporlion ‚regularite. Modes- 
tie, circonspection, retenue, maintien. \. 
Composigdo. 

Coupöta, s. f. compote: frults cuits Icnte- 
ment aveo du sucre. 

+Courortıra, s. f. "compolier : vase pou 
mettre les compotes. 

Goupaa ,s. f. "achat, march6, emplelie; ac 
quisition.— mwilo bareta,degrasa, un march 
donn®. 

Compnadigo, A, adj. qui peut dtre achel£. 
V. Vonal. 

CoMPRADO, A, 9. pP. de Comprär. 

COMPRADOR, A, 8. 2 gen. achelsur: qui 
achete. Domestique charges de faire achat des 
provisions ; mattre d’hötel. 

COMPRANTE, qui achöte, achcteur. p. a, de 

Comprär, v. a. acheter : acquerir ä prix 
d’argent, etc. Gagner, subomer. ( Ag.) Se pro- 
curer au prix, au moyen de; obtenir avec 


con- 





316 COM 


peine. (#. de jew) Prendre des cartes au talon. 
— nabos em sacco, acheter chat en poche. 

f CoMeRÄVEL, adj. 2 gen. qui peut öfre 
achete. 

COMPRAZEDÖR, A, 8.2 gen. accord, complai- 
sant. 

COMPRAZER (2,com), ©. n. complaire:: s’ac- 
commoder au goüt, au senliment, & l’'humeur 
de quelqu’un pour lui plaire; acquiescer ä sa 
volonte. Quem quer — com lodos a ni 
contenla, (prov.) qui cherche & plaire & tous 
ne doit plaire ä personne. 

CoMPRAZER-SE, ec. r. se complaire, se plaire. 
— (de,em), etre charme de. 

COMPRAZIDO, A, p. p. de Comprazer. 

COMPRAZIMENTO, s.m. V. Complacencia. 

FCOMPREBENDEDÖR, A, adj. et 3. qui com- 
prend, qui embrasse, qui contient, etc. 

COMPREBENDER, ©. a. comprendre, enfer- 
mer, renfermer, conlenir. S’ectendre. —, con- 
ceyoir, entendre, saisir. 

COMPREHENDER-SE, U. r. elre compris. V.En- 
eerrar-se. 

COMPREHENDIDO, A, 9. pP. de Comprehender. 
adj. Complice. 

Compreuensäö,s. f. comprehension : facultö 
de comprendre, de concevoir; connaissance 
parfaite (des ınysteres). —, intelligence, en- 
tendement; totalit6 des idees renfermees sous 
un nom appellatif ou generique. 

+ ComMPreuensiniLiväne, 8. f. comprehensi- 
bilitö : aptitude & @irc compris. 

+ ComPrEueNsiva, 8. f. comprehension : la 
faculte de comprendre; comprehensivite: apti- 
tude A comprendre; organe de la coımprehen- 
sion. 

COMPREHENSIVAMENTE, adv. d’une maniere 
comprehensive, . 

COMPREBENSIVEL, adj. 2 gen. comprehensi- 
ble : qui peut &tre compris, entendu. 

7 COMPREHENSIVELMENTE, ade. d’une ma- 
niere comprehensible , concevable. 

COMPREHENSIYO, A, ad/. comprehensif : qui 
est propre, destine, appeld ä comprendre; qui 
a l'aptitude de comprendre, de concevoir. 

COMPREBENSÖR, A, 8. 2 gen. (l. de theol.) 
bienheureux, saint, 

* Compreıckö. V. Compleigdö. 

COMPRENDER, etc. V. Comprehender, eic. 

Cowpn£ssa,. 8. f. (f. de chr.) compresse : 
linge en double sur une plaie, etc. 

COMPRESSÄÖ, 8. f. compression : l’action de 
comprimer, de reduire A un moindre volume 
en pressant ; ses effets dans le corps comprime. 
(1. de med.) —, &tatde gene d’umviscere com- 
prime ; forte pression pour arrätec l’heınor- 
rhagie. 

COMPRBSSIBILIDÄDE, 8. f. compressibilits : 
qualite de ce qui est compressible. 

COMPRESSIVEL, adj.2 gen. compressible : qui 
peut etre comprime. 

COMPRESSiVO, A, adj. compressil: qui scrt ä 
comprımer ; qui compriue, 


COM 


Courrisso, A, pP. p. irreg. de Comprimir. 
V. Comprimido. 

 CouPpreEssör, s. m. (t. d’anal.) compres- 
seur: muscle prostalique superieur. 

"Courkına, 5. f. Fazer — de, completer le 
nombre de. 

Comrrıpico, A,adj. aug. de Comprido. (. 
burl.) 

COMPRIDAMENTE. V. Complelamente. 

*Cowerıwäö. V. Longura, Comprimento. 

Courpaip£iro. V. Compridouro. 

COMPRIDETR, adj. 2 gen. dim. de Comprıdo. 

COMPRIDINHO, A, adj. dim. de Compride, 
mais plus petit que Comprid£te. 

COMPRIDISSIMO, A, adj. sup. de 

CoMPnipo, A, adj. long, etendu ; large, am- 
ple. (fg. 1 Diffus. do —, tout du long. Longite- 
dinalement, en longueur. 

CoMPRIDO, A, P. P.de Comprir. adj. Accom- 
pli, effectue, complet. Pourvu de. V. Cum- 
prido. 

Coupaıoon. V. Cumpridor. 

* COMPRIDÖURO, A, adj. qui accomplit. 

COMPRIMENTÄDO, 4, ?. p. de 

COMPRIMENTÄR , v. a. complimenter, f6öll- 
citer : faire compliment. 

CONPRIMENTE, adj. 2 gen. qui eomprime. 

COMPRIMENTEIKRO, A, 8. 2 gen. ci adj. com- 
plimenteur, ceremonieux, qui fait des com- 
pliments. 

COMPRIMENTO, 3. m. "longueur, etendue en 
longueur. Compliment, eivilits, politesse , a#- 
tention. Compliment, fagon, ceremonie. Ac- 
coinplissernent , execulion. Perfection. Comple- 
ment. *Abondance, provision, anf. Sem —, sans 
facon. Yisilas de —, visites de pure cere- 
monie. Offerecer por —, ollrir pour la forme, 
dans l'intention d’eire reluse. Ndo faga —, ne 
vous genez pas. 

CoMPRINIDO, A, 9. P. de 

COMPRIMIR, ©. @. COmprimer: presser avec 
violence, resserrer ; ( Ag.) empecher (une fac- 
tion, un parti, etc.) d’eclater, d’agir ; contenir, 
reprimer, relenir. 

Coumprik. V. Cumprir. 

CONPAONETTER, dv. @. compromalire: 00nR- 

venir d’arbitres; faire passer un compromis, 
Obliger, engager, rendre responsable. —, com- 
meitre, exposer. 
» COMPROMETTER-SE (em), dv. fr. Se Compro- 
mettre : s’exposer inconsiderement. Compro- 
mettre : convenir d’arbitre. (a) S’obliger, s’en- 
göger, se rendre responsable. 

COMPROMETTIDO, A, P.p. de Comprometter. 

COMPROMETTIMENTO,3.m. ce Quicompronict; 
l’action de se compromettre; responsabilite de 
la personne compromise. 

CONPROMISSÄRIO, A, ad). et 8. Compromis- 


‚saire, arbilre; compromissionnaire (arbitre), 


par compromis. 
COMPROMISSO, 5. M. COmpromis : soumission 


& l’arbitrage; acte qui la contient. Statuls de 
confrerie. 


CON 


COsPRONISSÖRIO, A, adj. qui renlerme un 
e0ınpromis. 

COMPROMITTEXTE, adj. 2 gen. qui S’cst rap- 
porte & des arbitres. 

+ COMFPROTECTÖR, A, 8. 2 gen. prolccteur 
avec un aulre. 

ComprovAaciö, s. f. confirmalion, verifica- 
ion, preuve. L£egalisation. 

CospRoväno, A, 2. a. de Comprovar. 

COMPEOVADÖR , A, adj. Qui confirme. 

COMPROYANTE, adj. 2 gen. qui prouvc, qui 
confirme. p. p. de 

CowPRoVir, ev. a. confirmer, veriler, prou- 
ver. 

+ CowPTastLiDäDE, 8. f. comptabilite: obli- 
gation de rendre compte; etat du comptäble; 
ordre dans les comptes. 

CosruLsino,A,p. p. de Compulsar. 

tCowrcisavör, 5. m. (1. de prat.) compul- 
seor: celui qui compulse. 

+Cowroısiö,s. f. (t. de prat.) contrainte. 
Action, eflet de compulser. ü 

CO8PtLSir, v. a. ($. de pral.) compulser: 
parcourir un registre, un livre, en prendre 
eommunication en justice. V. Compellir, ant. 

COMPULSÖRIO, A, adj. ets. (1. de prat.) com- 
palsoire : ordre & un oflicier public de commu- 
Diquer des pieces. 

CosmrunccAö, s. f. componction : douleur, 
regrei d’avoir offense Dieu; remords, douleur 
des pech&s. 

Cowrexcino, A, P. P. de Compungir. adj. 
Repeniant, contrit. 

COUPENGIMENTO, 85. m. V. Compuncgäo. 

COuPrUNCiR , dv. a. einouvoir, toucher; causer 
des remords. 

COHPUNGIR-SE, ce. r. avoir de la componc- 
tion. 

Courirucıvo 0% COMPUNCITIVO, A, adj. qui 
exeite Ja componction. 

Cowrcracäö, 5. f. supputalion du temps. 
"Comput. *Calcul. 

COMPCTADO, A,p.p. de Compular. 

COMPETADÖR, A, 5. 2 gen. calculateur. V. 
Compuiista. 

COMPCTAR, v. a. supputer les temps. Calcu- 
ler, denombrer. 

Cowrurista, 3. m. celui qui suppute les 
temps. Compuliste: qui travaille au coınput, 
au calendrier. 

CöuPUTo, 5.m. *supputation, compte, calcul. 
CGomput : supputation des temps pour le calen- 
ärier de l’Eglise. j 

Comsico ( pour com elle), avec soi. — mesmo, 
arec ou en Sol-Meme. — Mesmos, avec EeUuX- 
memes. Trazer —, ramener. 

CouTico (pour com tu), avec toi. 

Comuu, etc. V. Commum, etc. 

f Comvrösco ( Ppourcom vos), avec vous. 

"Cox. V.Com. 

Coxa (pourcom a), avec la. 

Conito, 8. f. effort. * Tentative. 

Coxca,s. f. *palet: pierre plate ct ronde avec 
laquelle on jJoue eu la jetant en l’air pour la! 








CON 317 


placer le plus pres qu’on peut d’un but;ce jeu. 
Ecuelle de bois, soupiere. 

CONCATEXÄDO, A, p. p. de Concalendr. 

TCOScATEnAGAÖO,s. f. "enchainement,liaison, 
enchainure. Concal£nation. 

T COXcATENAR, o. a. (inus.) lier, enchatner, 
unir des idees, etc. V. Encadear. 

CoxcAYIDÄDE, 8. f. concavit6 » Jo concave 
d’un corps; creux rond; cavitd d’un corps 
rond ; &tat de ce qui est concave. 

COncAYO A,adj. concave: creux et rond en 
dedans. s. m. "Concaril£, , 

T CÖNcAVo-CÖNCAYO, A, adj. CONCAYo-CuN- 
cave : concave des deux cÖt&s. 

F CONCAYO-CONYEXO, A, adj. CONCaYO-Con- 
vexe: concave d’un cöte, convexe de l’aulre. 

F COXCAVO-PLANO, A, adj. concave d’un 
cöte, uni de l’autre. 

CONcEBEn, v.a.( fg.) Concevoir; compren- 
dre, bien entendre; imaginer , inventer. 

CONCEBER, ©. n. concevoir: devenir feconde, 
grosse d’enfant. 

CONCEBIDO,A, P.P. de Conceber. adj. Congu, 

COXCEBIMENTO, 3. m. V. Conceigdo. 

COXCEDENTE, ?. a. de Conceder. Qui ac- 
corde,ete. _ 

CoNtEDER (a), 0. a. accorder, octrfoyer, coN- 
ceder, donner. —, reconnaltre pour vrai quel- 
que chose‘, en convenir. 

CONCEDIDAMBNTE, adv. par concession. 

CoxcrDipo, A, p. p. de Conceder. Dado 6 
näo —. On le dit, dans les &ecoles, d’une pro- 
position qu’on laisse passer san« s’y arr£ter, 
comme indifferente au sujet que l’on Lraite. 

CONCEDIMENTO, 3. m. V. Concegäö. 

CoxcepivEeL, adj. 2 gen. accordable : qui 
peut @tre accorde. 

Coxceickö, s. f. conception:: action par la- 
quelle un f@tus est congu dans la matrice. —, 
f&te des catholiques, de la conception de Ma- 
rie. V. Concepeäo. 

+ CoxceiteAr, 9.9. trouver, dire des bons 
mots, des saillies. , 

Coxc£ıro ,s. m. concept: idee, simple vue 
de l’esprit. *Sentence, saillie, bon mot, pointe 
d’esprit. *Idee, opinion. Jugement. Esprit: lo 
sens d’un auteur, d’une loi, etc. "Idee, inven- 
tion d’un tableau. *Estime, reputatıon, credit. 
Perder o—, se decrediler. 

CoxcEıTtVÄDo, A, considere,regarde. Bem—, 
qui jouit d’uno bonne re&putation. p. p. de 

CoNcEittir, v. a. juger, penser, estimer; 
former une opinion sur quelqu’un, r&eputer. 

+ CoNcEITUÖSAMENTE, adv. ingenieusement, 
finement, sentencieusement. 

ConNcEıtt6so, A, adj. sentencicux, Saillant, 
ingenieux,, spirituel. 

+ CoxceLesragäö,s. f. action de concele- 
brer. 

COXCELEBRÄDO, A, P. 9. de 

CoxckLerrÄn, v. a. concelchrer : eelebrer 
conjointeınent, en commun. 

CONcCELNEIRAMENTE, | V. Conselk... 

CONCELUEIRO,S. M« 


318 CON. CON 


Conckıutird, A, adj. munlelpel : qui appar- | mar.) radouber un valsseau. == 0. #. Cadter, 
tient & la municipalite. convenir, s’accorder. 

Conctıuo, s. m. conseil de ville, municipa- CONCERTAR-SE, 9. 7. s’arranger, Se parer, 
lit6 , corps municipal, commune. Distriet com- | s’ajuster. (com) Se concerter : conferer ensem- 
pose d’un certain nombre de bourgs ou villa- | bie pour lo succ#s ; faire un concert avoc.— no 
ges, gouvernd par des juges &lectifs. ° Maison | prego , convenir du prix. — com alguem , s’ar- 
ow salle de conseil ; consell, assemblde. — su- | TAnger, g’accorder avoc queiqu’un. — 0 tempo, 
premo , haute cour. — pleno, cour plöniöre. | se rassurer, en parlant du temps. 

ConcknroO, 8. m. accord, Concert, CONSON- CoNcRRTO, s. m. arrangement,, disposition, 
nance musicale. ordre. Ornement; r&parations , raccommodage. 

Comcantaacäß, 8. f. concentration : action | Concert : aocord, convention,, union; bonne 
de concentrer, ses effets. intelligence de plusieurs pour un but; pacie. 

ConcEnTrÄno,A,P.Pp. de Concert : harmonie de voix, d’instruments; 

CONCENTRÄR, ©. a. Concentrer : r&unir au | CONcerto. (t. de prat.) Vidimus : tilre oolla- 
centre, ä un centre. (4. de chim.) Rendre plus | tionne. De —, de concert, d’accord, unani- 
actif un sel, etc. mement, d’intelligence. 

CONCENTRAR-SE , ©. r. V. Roconcenfrar-se. Concessid, s. f. concession : action de c&- 

Conckuraico, A, adj. (f. de geom.) concen- | der, chose cedte; don , octroi fait par un sou- 
trique. 11 se dit de divers cercles ou figures qui | verain, un seigneur;; figure de rhetorique par 
ont meme centre. laquelle on accorde un point contestable pour 

Conckrciö, s. f. conception. V. Conceipäo. | ep retirer de l’avantage. 

—_, (scult& de eoncevoir, de comprendre, 508 * CoOncEssindo. V. Farto. 
elfels; pensee ,id6e que l’esprit formo sur un CONcEssıonÄnıo, A, 3. Concessionnaire : qui 
sujet. a obtenu une concession. 

+ Concrrcioxinio, s. m. conceplionnaire:| ? ConcsssivEL, adj. 2 gen. qui peut Etre con- 
partisan de l’immacul6e conception. cede, octroye. 

+ ConczpriveL, adj. 2 gen. conceptible : qui| oncksso, A, adj. V. Concedido. s. m. V. 
est propre & @ire conca. Concessdö. 

+Coxcerrivo, A, adj. congeptif ı qui est + Concessön, A, s. celnä qui a concede, qui 
propre & concevoir. fait une concession. V.Oulorgante. 

CONCERNENTE, adj. 2 gem. concernant : quij COöncHA, 8. f. coquille, ecaille : enveloppe 
eoncerne ; touchant. No — a, au sujei de, sur. | dure,, calcaire des limacons, des testackes. 
p. e.de * Bassin : lieu od les vaisseaux jettent l’ancre. 

ConcERN£R, 9.9. (pP. 43.) concerner, regat- (Ag.) Toutce qui a la forme d’une coquilk. 
der, appartenir, avoir rapport ä. — da balance, bassin. — do saleiro, " saleroß. 

CONCERTADAMENTE , adv. avec prudence, & — da alafona, "giie.—sdo gurupes, (1.de mar.) 
point nomme&; d’une maniere convenable. Avec | "taquets ou violons du beaupre. Ter — ou mur 
ordre , en ordre. tas conchas , (fig. fam.) eire fin, ruse, difficile ' 

Conczaripo, A, P. p. de Concerlar. adj. | & penetrer, reservo. Meller-se nas —s , renlre! 
Raccommode, r&pare ; arrange, concerte. (fig.) dans sa coquille; se retirer des affaires. — das 
Modesie, retenu , prudent. Convenu; rögle. | romeiros, (4. d’hist. nal.). V. Pentoöla. 
Assaisonne, en parlanı de mets. + ConcHaciL, s. m. (4. d’Asie) juge daus les 

CONCERTADOR , A, 8. raccommodeur. Qui | causes criminelles ( dans la Chine). 
concerte , qui convient, qui regie, etc. Mödia- ConcHiDo, a, adj. ecaille : couvert d’ecailles; 
teur, conciliateur. &cailleux, compose d’ecailles. 

* CoOncRatamento. V. Concerlo, Apercebi-| T CONCHALIM, s. m. magisirat dans la Chine. 
menio. + ConcHania, s. f. "coquillage : amas de oo 

CONCERTANTE, 3.m. V. Liligante. quilles. 

+ COnCERTANTE,, adj. 2 gen. (1. de mus.) COn- ConcHavinD0,A,Pp.Pp. de 
eertant : qui fait sa partie dans un concert ConcHAvär, ®. a. unir, joindre. (4, burl.) 
@’instruments (partie); qui a un chant & ex6- | Concerter, convenir de. . 
euter. Symphonia —, sympbonie concertante, CONCHAVÄR-SE, 0. r. (fam.) se liguer, s’unif. 
dont les parlies r6eitent, chantent. suriout pour commeltre une mauvaise acUoN. 

CoNcEaTin, ©. a. arranger, ordonner, regler, | Conniver, eire de connivence. 
metire en ordre. Raccommoder, reparer. Ar-| +Coxcnivo, s. m. (fam.) *connivence.(4- 
ranger, parer, ajusier. (com) Traiter, convenir | bale , ligue, complot; grande intimite. 
du prix d’une chose. Concerter, se concerier : CONCHBiDO, A,P2.p2.de 
eonferer ensemble pour executer un dessein, + ConcHRir, %. G- couvrir, garnir, OrnCt de 
pour convenir des moyens de faire r&ussir une | rocailles ( une grotie, etc.). 
affaire, une intrigue, etc. Concilier, sjuster, CORCHEGADINSO , A, 0dj. dim- de 
arranger, accommoder, accorder, metiroe en CoNcR&CÄD0, A, adj. proche, rapproche; co 
ponne intelligence. Gomparer, conferer. (4. de | mode, qui adescommodites pour lavie. p-p-“" 
prat.) Vidimer : collationner & P’originsl, met-| ConcHzcia, v. @. rapprocher une chost de 
tr le vidimus & un acte. — um nario, (1. de | Yautre; fournir lescommodites de la vie. 





























CoON 


OUBEGin-EN , 9. r. B’approcher, se Tappro- 
commode. 


cher; re 


‚s. m. röconfort, refuge, soutien; 


° Oowcmusca. V. Conckinka. 

+ ConcmtıLas, s. f. pl. ou 
„0. m. ou 

COscatLLoS , 8. m. Pl. 


munes. 
Oorcutuma , 8. f. din. de Conche. 


Cöuceo, a, adj. qui se repose sur son Opl- 


ulen , su sur colle d’autrui. 
+ Ovwenomar , adj. 2 gen. concholdal : de la 
eeuchekde. 


Cowcnsıpe , s. f. conchofde : Iigne eourbe qui 
s’approche toujours d’une ligne droite sans la 
oonper. 

Cowca6so ou Conchuno ,A.V. Conchado. 


+Coscarınivo, a, adj. (f. dkist. nal.) con- 


ehrliföre : (mollusque) qui a une coquille. 
+Cosanrıniceu, s. f. (1. d’hist. nat.) * co- 
geillage : mollusques testaces. 

Oxzr'uo,s.m.(t.d’hist. nat.) conchyle: 
poissen, coqufllage qui fournit Pecarlate, la 
pourpre. 
7 CosarııoLocia , s. f. conchyliologie : 
selsnce qui traite des coqlıllages en general. 

+CoscavLıoLöcıco, a, adf. conchyliologi- 
que : de la conchyliologie. 

+ iwscarLioLocista,, s. w. conchyliologiste : 
gui sait la eonchyliologie. 

+ COxaTLiorTPoLıTe ‚adj. 2 gen. (8. Phist. 
ast.) eonchyliotypolite : ( pierre) qui porie 
Pempreinte exterieure d’une coquille. 

+Cosarre, s. f. (1. d’hist. nal.) conchyte 
os venckite: coquille bivalve, fossile, p£trifiee. 

Comcmapid, Ä, 3. concitoyen : citoyen d’une 
meme ville qu’ane autre. V. Compalriota. 

Cowcrsncı, etc. V. Conseiencia. 

CosauıiseLo, s. m. conciliabule : assembide 
de prelats heretiques, schismatiques ou de 
prelats NMiegitimement convoqües; assemblee 
iNtgale, irr&guliäre, ou de gens qui complotent. 

Corauackd, s. f. eonciliation : action de 
ooneilier ; reunion de personnes divisdes ; con- 
eerdance de lois, de textes, de passages qui 
paraissent contraires. —, accommodement, 
rtcsaeltistion. 


DoxıLLn0, 4, P.P. de Conciliar. 
Command ‚A, adj. ets. qui concilie ; con- 


TescaLıaure, adj. 2 gen. conciliant : pro- 
pre i la oonciliation, 
.2 gen. ooncilisire : de con- 
k au concile. s. mw. Membreo 


Concuun, 0.8. concilier : accorder ensem- 
bie des personnes ou des choses qui talent ou 
semblalent @ire contraires; acquerir, gagner, 
attiser (Pestime,, la faveur, eic.). —, 0 somno, 
(Ag.) provoquer le sommeil. 


ine, v. r. se concilier, s’accorder; 
Ga@carder sur un dilferend. 


(1. de bot.) coty- 
let ow cotylier 
ombelique. Le 
sembrii de Venus. Eseudes, escuelles com- 








CON 319 


f Corcttärıo, A, adj. conciliaire : de com- 
cile. 

+ ConcıLiaamente, ade. concilisirement s 
en concile; en conseil. 

ı ’ Conatisrtivo, A, adj. conciliant : qui con= 
cllie. 

ConcıLiarönio, A, ad. conciliant : propre & 
la conciliation. 

+ ConcıLıkvsı ‚adj. 2 gen. conciliable‘ qui 
peut se concilier avoc. 

CoxciLio , s. m. concile : assemblee lögale de 
prelats catholiques pour deliberer, decider sur 
des questions de doctrine, de discipline ; son 
local ; ses decrets. * Assemblöe,, reunion pour 
traiter de quelque affaire. 

+ Concıonanor, s. ım. prödicateur, baram- 
gueur. 

+ Concionar,v. m. baranguer, pröcher. 9. u. 

+ ConcıonaTörıo, A, adj. de harangue, de la 
chaire, 

CoNcisam&nTteE, adv. d’une maniere concise, 
en termes concis , briövement. 

Concisiö, s. f. concision : qualit6 de ce qui 
est concis. 

Conciso, A, adj. concis : court et sorr6 
(style). 

+ Concırackö, s. f. emotion, agitslion, in- 
quietude, trouble; instigation,, incitation. 

Concıtäp0,, A, P. p. de Comeildr. 

CONCITADOR, 8. m. agitateur, boute-feu , in- 
stigateur, faclieux. adj. Qui instigue, qui im- 
cite. 

Concıtir, 9. @. exeiter : instiguer, pOuSser, 
inciter, animer. Solliciter, provoquer. Susciter 
des troubles,, des s&ditions , etc. 

Concıtän-sE,, 0. r. s’agiter ; s’irriler. 

+ Concırarivo, A, adj. qui est propre ä ex- 
eiter, & inciter, & animer. 

+ Comcuamaciö, s. f. conclamation : appel 
d’un mort A grands cris et au son de la trenı- 
pette ches les Romains. . 

ConcLAYE, 8. m. conclave : assembite de 
cardinaux pour £lire le pape ; local od se tient 
cette assembi6e, le temps de sa duree. 

ConcLAvista,, &. m. conclaviste : qui suil un 
cardinal au conclave, s’enferme avec lui. 

* ConcLUDER. V. Conciwir. 

CONCLUDENTEB, adj. 2 gen. concluant : qui 
conclue, qui prouve bien (raison, argument, 
etc.). 

CONCLUDENTEMENTE , ade. d’une maniere 
cuncluante. 

CONCLUENTE 0% CONcLUmTE. V. Concludenie. 

Concıuloo, A, 9. p. de 

CoNXcLuiR, ®. @. conclure, achever, änir, ter- 
miner, depecher, vider, mettre & fin; juger, 
determiner, döcider, arreter, resoudre, conve- 
nir de. (de) —, inferer, deduire, resulter, tirer 
une consequence. Convaincre, forcer d’avouer, 
de reconnaltre, de maniere a ne rien laisser ä 
repliquer (p. us.). Ir-se concluinde ou eslar 6 
concluir, s’en aller, &tre prös de mourir; tou- 
cher ä sa In. 

ConcLvla-sE, v. r. se terminer; ötre r&solu, 





330 CON 


decide, en parlant d’une deliberation prise en 
conseil. 

Coxcıusiö, s. f. fin, terme, achtvement, 
clöture. Conclusion, deltiberation,, resolution 
finale. Conclusion,, fin d’une affaire, resume, 
fin d’un discours; consequence d’un raisonne- 
ment, d'un argument en forme; action de 
eonclure ; derniere proposition d’un syllo- 
gisme. ( . de prat.) Conclusion : demande faite 
aux juges apres l’expose; ce & quoi conclut un 
rapporteur, un avocat, Em -—, enfin, äla fin, 
finaloment, pour conclure, donc. Homem 
de —, un homme resolu, decide. Cousa föra 
de —, chose contre le bon sens,, hors de raison. 
Conclusöes, pi. ihöses , propositions, questions 
& discuter publiquement. — magnas, grandes 
theses, les derniöres que soutient celui qui 
veut eire regu au doctorat (& l’universits de 
Coimbre ). 

CoxcLusiozinaa, s. f. dim. de Conclusdö. 

7 ConcLusıvamentE,ade. d’une maniere con- 
clusive, definitivement. 

+ ConcLusivo, A, adj. conelusif : quitermine, 
conclut, finit. 

ConcLiso, A, adj. conclus, fini, termine; 
r6solu, decide, arrete. 

Concocgaö, s. f. concoclion: premiere di- 
gestion des aliments. 

Concocrivo, a. V. Digestivo. 

Concocrtriz, adj. 2 gen. V. Concoctivo. 

ConcoMıTÄncıa, 8. f. concomitance: union, 
simultaneit& d’une chose accessoire aveo la 
principale. 

CONCONITÄNTE , adj. 2 gen. concomitant: qui 
accampagne (gräce). ° 

CoXcoRpADo, A, P. p. de Concorddr. 

CONCORDÄNGA Ow concordance : rap- 

Concornpäncıa, 6. f. | port ; convenance. 
—, (ti. de gram.) accord regulier, parliculier 
des mots, selon les regles. —, index des mots 
de la Bible. 

CoXcORDÄNTE, adj. 2 gen. Concordant: qui 
concorde, qui est conforme. V. Concorde. 

CONcoRDAR, 9. a. accorder, concilier, acoom- 
moder, conformer; faire convenir selon les 
regles de la grammaire. Accorder des voix, des 
instruments, etc. 

COXcoRDAR (com), ©. #. concorder : conve- 
nir, &ire d’accord; @tre conforme, semblable; 
s’accorder. 

CoONCORDÄR-SE, d. r. 8’accorder, S’accommo- 
der. — com alguem, eire d’accord avec quel- 
qu’un, &ire de meme humeur, du meme ca- 
raclere. 

Conconpita,s. f. "concordat : transaction, 
eonvention , accord en matidres ecclesiasti- 
goes ; trailc entre le pape et une puissance. 

CoNCcorpÄYEL, adj. 2 gen. conciliable, ac- 
gommodabie : qui peut s’accorder, se conci- 

ier. 

Coxcörne, adj. 2 gen. d’accord, du m&me 
evis, unanime. Conforme, uniforme. 

COXNCÖRDENMENTE, adv. d’un comman accord. 

Coxcönpia, 8. f. concorde; union, confor- 


mite de volontös, de caurs ; peix, benne in- 
telligence. De —, unanimement, d’un commun 
accord. 

+ Concoarönso, A, adj. (.de Iheel.) On le 
dit de celui qui perlicipe au corps de Jesus- 
Christ par la communion. 

Concoraßntre, s.m. V. Concurrenis. 

CONCORRER (a), v. ®. se rendre, se joindre, 
se reunir dans un me&me temps. Assister, aider, 
secourir. (@ ou para, com) Contribuer & une 
bonne @uvre par le don ou le pret d'une somme 
d’argent, etc. Concourir ä,avec. (em)S’accorder, 
eıred’accord sur quelque chose; (i.) coexisier: 
se r&unir dans un m&me individu (differentes 
qualit&s).—com alguemparaobter..., concourif 
avec quelgu’un, &ire en cöncurrence pour ob- 
tenir... — no mesmo volo ou diclame, @tro du 
meme avis, de la m&me opinion. Concorrd- 
rem varios sujeilos d prelengäo d’ums mesma 
cousa, @ire en concurrence, @tre concurrenis, 
compeiiteurs, en parlant de deux ou de plu- 
sicurs personnes. — uma feslicidede com 
oulra, se rencontrer, tomber dans le meme 
jour, en parlant de deux.fetes. Por n’elle con- 
correrem.as parles, os requisilos da lei, paros 
qu’il a ou poss&de toutes les qualit6s requises 
par la loi. 

+ Concreicäö, s. f. Vaction de concreer, de 
cr6er deux choses en meme lemps. 

+ Concrkeivdo,A,p.p. de 

+ Concreia, v0. a. concreer : faire, cröer, 
composer deux choses en meme temps. 

Concrscäd, s. f. concrelion : amas de parties 
r&unies en masse solide; adherence vicieuse 
de parties; aclion par laquelle des corps mous 
ou fluides deviennent solides. , 

+ CONcRESCivVEL, adj. 2? gen. concrescible: 
qui peut devenir concret. 

CoNCRE£TO, A, adj. concrel : joint; composs; 
fire, coagule; unie au sujet (qualite ) ; l’oppose 
d’abstrait (science, idee). 

* ConcRupıa ow Concrtie. V, Concluir. 

Coxcusina, s. f. concubine : femme qui co 
habite avec un homme sans €ire son Epouse 
femme d’un &tat inferieur, sans droits civils ni 
avantages dolaux. 

CONCUBINÄRIO, 3, 9. concubinaire : celui qui 
a une concubine, 

CoNcuBInÄTO, 8. m. concubinage : commerce 
illegitiime de gens non mari6s, des deux sexes, 
vivant ensemble comme s’ils P’etaieut, 

CoNcuBino, 8. m. giton, sodomise. 

Coxcisıto, s. m. union charnelle, colt, 

CorcuLcADO, A, 9. p. de 

CoNXCuLCAR, dv. a. fouler aux pieds,, au Propr® 
et au figure. 

+ Coxcunnino, A, s. On le dit des freres qai 
ont &pouse les deux sa@urs, et des s@urs qui 
ont &pouse les deux fr&res. 

CONCLPISCENCIA, 8, f. concupiscence : penie 
au mal, aux plaisirs illicites et sensuels ; desif 
deregle ; convoilise, desir de posseder. Concu- 
piscence de la chair, 


CON 

TConcvrischurz,, adj. 2 gen. coneupiscent: 
qui a de la concupiscence, V. Libidinoso. 

Coxcvrisciver, adj.2 gen. concupiscible: qui 
porie & desirer un bien, un objet qui plalt. 

Coxcunatacıa, s. f. "concours, abord, af- 
fluence de personnes ; rencontre. Concur- 
rence: prelenlion de plusieurs ä la meme 
chose; Iutts commerciale ou industrielle; ac- 
tion de concoarir & un but; reunion de deux 
lttes. 

ConcuaantE, adj. 2 gen. concurrent: qui 
conceurt. Linhas —s,, lignes concurrentes, qui 
tendent ä se reneontrer. Polencias —s, puis- 
sances Comcurrenies, qui tendent & produire 
un effet. 

CONCORRENTE „ 8. 2 gen. concaurrent : qui 
conoouri pour la meme chose, dans lo möme 
temps; competiteur. 

Conciaso, 5. m. concours, abord, rassem- 
blement, monde, affluenco de personnes; ac- 
lion de concoarir. —, lutie, dispute de concur- 
Fenis pour une chaire, un ben£fice, un prix. 
P6r —, metire en concurrence. 

Concussiö, s. f. secousse, &branlement, 
commotion. Concussion : vexation, exaclion 
commise par un superieur. 

Coscussıonänto, 8. m. concussionnaire : qui 
exerce des concussions. 

tCoscusson, a, adj. qui exerce des concus- 
sions. 

CoxBiDo, 5. m. comte6 : titre d’une terre pos- 
sedee par un comte ; dignite de comte. 

Cos2iö, s.m. *excellence, prerogative, pr&d- 
minence, privilege. Varinha de —, baguelte 
divinatoire. 

’Coxpkrnaciö 

"ComBAran. eic. | V. Condemna..., etc. 

"Conpania. V. Condado. 

Conpe „ s. m. comte: qui possdde un comie; 
titre de noblesse au-dessous de marquis et au- 
dessus de vicomte. 

Comptza,s. f. sorie de panier d’osier, rond 
ou ovale „ d couvercle. V. Condessa. 

"Conpegan om Conpessan. V. Deposilar, 


ConDscenDer, etc. V. Condescender, etc. 
* CONDECILEO. V., lo. 
tConpecosucäd, s. f. decoralion : marque 
@bonneur, de dignite. Illustration. 
Conpeconin0,A,9.p. de Condecorar. adj. 
Decore. Homem —, & qui on a confer6 des 
konneurs, une dignite, un titre, une decora- 
ion. — com 0 häbito de Christo, ete., decore 
de Fordre du Christ, etc. 
CoxpeconÄn, ©. a. decorer : conferer des 
konneurs, une dignils, un titre, une decora- 
tion & quelqu’un. Illustrer. — com a sus pre- 
senura , bonorer do sa presence. 
Conveunacäd, s. f. condamnation : jugement 
qui condamne, qui blame; ce ä quoi on est 
eondamnd. Damnation : peine eternelle. 
Conpzunino, A, p.p. de Condemnar. adj. 
Condamne ; desapprouve; rejet& comme inca- 
pabie, bors d’dtat. — a mulcla, amende. Ser 
PORT.-FR, 


CON 321 


— na8 cuslas, re condamnd aux depens, aux 
frais d’un procds. Os —s, s. m. pl. les damnes, 

CoXDENNADOR, 3. m. celul qui condamne. 

COXDENNAMENTO, s. m. V. Condemnacdo. 

Conpennir (a), v. a. condamner: donner, 
rendre un jugement contre. —, rejeter, r&- 
prouver; blämer, d&sapprouver, improuver, re- 
prendre. Damner. —a pagar mulcla, amender. 
— nas cuslas, condamner aux frais et de- 
pens. 

CONDsMNÄR-SE, ©. r. se condamner : avouer 
sa faule, s’avouer coupable. Se damner, aller 
en enfer. 

CONDENNATÖRIO, A, ady. condamnaloıre ı zul 
condamne, qui entraine condamnation. 

COXDENNAvEL,adj.2 gen. condamnable:: qui 
merite d’etre condamne & une peine ; blämable. 
Damnable. 

tCondensasıLmäne, s. f. condensabilit# ; 
propri6td du corps qui peut @ire condense. 

ConpEnsacäö, 3. f. condensation : action de 
condenser, de rendre plus compacte, de se 
condenser; son effet. 

CONDENSÄDO, A, pP. p. de Condensar. 

CONDENSADOR, 5. m. ( 6. de pAys.) condensa- 
teur : machine pour condenser Pair, Pelectri- 
cite, la vapeur. 

T CONDENSÄNTE, adj. 2 gen. condensant : qui 
condense. 9. a. de 

CoNDENSÄR, ©. a. condenser : rendre plus 
serre, plus dense. Il est aussi r&ciproque. 

ConDEnsativo,A, adj. quia la vertu de con- 
denser. 

ConpensäveL, adj. 2 gen. condensable:: qui 
peut &tre condens&. 

CONDESCENDENCIA, 8. f. condescendance : de- 
ference aux sentiments, & la volonts d’un 
autre. 

CONDESCENDENTE, adj. 2 gen. condescen- 
dant;; qui a de la condescendance. 

CoONDESCEnDER (a, com), v. n. condescendre : 
so rendre & la volonts, aux sentimenis d’au- 
trui ; avoir de la condescendance pour... 

CONDESCENDIDO, A, p. p. de Condesconder. 

* ConpesıLı0. V. Deposito. 

+ Conpesinno, s. m. dim. de Conde. Le flis 
atnd d’un comte, qui a dejä le titre de son 
pere. 

Conp8ssa, s. f. comtesse: femme d’un comte; | 
femme qui possede un comt£. 

* ConpessiLno. V. Condesilio. 

Conpessinua, 8. f. dim. de Condessa. La fille 
ainde d’un comte, qui a dejä le titre de son 
pöre. 

CONDESTÄBLE , 8. m. connetable : ancienne 
dignite militaire ; chel des armeöes. 

CONDESTABL£SSA ‚8. f. femme du counelable. 

+ ConpestasLia, #. f. dignils, charge du 
connetable. Connetablie : tribunal des mare- 
chaux de France. 

° CONDESTABRB 6l CONDESTÄYEL, Plus usild, 
V. Condestdble. 

Convigäö, s. f. condition : nature, qualilö, 
etat des personnes, des choses; qualite re- 

3 


223 CON 


quise, nöcessaire. "Genie, caraclöre ‚nalurel, 
complexion. —, lat d’un, homme consider 
quant & la naissauce; noblesse; &lat de vie; 
profession, &tat dont on est. Condigöss, Pl. 
clauses, charges, obligation d’un trails, etc.; 
Tormule, chose ä observer pour la validile. — 
tdcita, condition taciie, sous-enlendue. — sine 
qua non, condition sine qua non, de rigueur. 
— necessarie, condition necessaire pour la 
validit d’un acte. Pessoa de —, personne de 
oondition, de qualit#. Com — que, ä& condi- 
tion que. Por nenkums —, en aucuns MA- 
niere, pour rien au monde. 

* ConvicıLLo. V. Codicillo. 

Conpicıonino, a. V. Acondieionddo. 

CompicıonäiL, adj. 2 gen. conditionnel : qui 
renferme une condition ‚une olause pour l’ox&- 
eution, qui y est subordonne. 

CORDICIONALNRNTE, ado. oonditionnellement: 
ae condition, avec clause:: sous oertainecom- 

on. 

* Compıgoia. V. Conoeneionar , Esfipular. 

ConDIcNAmenTE, ade. condignemeat : d’une 
maniere condigne. 

Coxpicniping, #, f. condignits ; qualit& de 
08 Gui est oondigne. 

Convicno,, a, adj. condigne: egal au mörile, 
& la faute. 

Condınento, 3. m. condiment : assaisonne- 
ment, appret. 

Conpinuo. V. Condesinhe. 

Conpia, v.@. p. us. assaisonner, &0C0mmo- 
der, appröäter. . 

ConpiscıruLÄDO , 8. m. *"sociöts d’&tudes, 
temps que l’on ötudie ensemble. 

ComiscıeuLo, 6. m. condisciple : compagnon 
d’&tudes, de collöge. — do curso, compagnon 
de olasse. 

CoNDIZENTE, adj. 2 gen. qui s’accorde bien; 
bien assorti, p. e. de 

Conpizka (com), ©. ®. convenir, cadrer; 
s’accorder, avoir de la oonformils ; se marier 
Bien ensemble. 
monnohr, ®. 6,9. ws. compatir. V. Compe- 


CoNDoza-as (de), v. r. coompatir, s’aliendrir, 
avolr piti6, prendre part & la doulsur d’un 
autre. 

Conpoloo, a, p. p. de Condosr. adj. Emu 
eompatissant. ‚PP m ’ 

COnpolnenTo, 5. m. * piti6, compassion. 

* Coxptıto. V. Conduto. 

CompoL&nucıa , s. f.condolsance : Lınoignage 
de douleur, d’affliction , de regret. 

fConsonackö, s. /.*pardon, remission. 

Conponino, A, 9.p. de 

Conponäa, v. 6. p. us. pardonner, remelire, 
tenir quitte, faire gräce , relächer. 

TComper, s.m. (l. d’hist. nat.) condor ou 
contour : esp&ce de vautour, le plus grand des 
Oiseaux, de 25 pieds d’envorgure : il est assez 
vigonreux pour enlever un mouton : habite 
les montagnes du Perou. 


CON 
Conpai, ComBaLLo, (. de bot.) V. Chon- 
drille : 


Conpucgiö, s. f. condulte : Yaction de oon- 
duire, de mener, d’aocompagner ; transport. 

CoOnDucknTE, adj. 2 gem. qui oonduit; ten- 
dant d; avantiageuz,, utlle ; oonvenable. 

Conpöcra , s. f. "transport sous escorte. —, 
gouvernement, direction, gestion. —, C0M- 
portement : mauidre d’agir, de se gouverner, 
de vivre. «4. aut. V. Soldo. ‘Reservoir d’sau. 
Troupe de recrues que les ofliciers mönen! & 
leurs regime ıts. On donneit oe nom ancienne- 
ment & une baire secondaire & l’universite de 
Colmbre. 

Conpucrä 10, adj. m. Lents —, prolesseur 
qui tenait la chaire appelde Conduele. V.oo mot. 

+Conpec ısıLioipe, #. f. eonductibilils : 
propriets q ront certains corps de lransmetiee 
’6lectricit& ou d’autres Nuides. 

+ Conour rivo, A, adj. qui sort, qui est bom, 
qui est pro wo ä conduire. 

Connecr ı, 8. m. conduit, canal, tuyau, 
pierree. V. Condüto. adj. V. Conduzido. 

ConDuctOR, s. m. conducteur : celui qui con- 
duit ; guide , directeur.— eldcirieo , (4. de phys.) 
eonducteur e&lectrique : corps qui iransmeot 
Pelectricäte. 

Conpero,s. m. "pitance: ce qu’on mange 
avec le pain. 

* CONDUZIMENTO, 3. m. V. Conducla. 

Conpvaino, A, P. p. de 

Conpuria, 9. @. conduire, mener, guider, 
accompaygner; mener, diriger. Louer, pren- 
dre & feıme, convenir d’un prix. Amener. (a) 
— , portes, transporler. 

Conpusin (as, para), convenir, $ire utile, 
avanlageax; oontribuer d. —s6, 9. T. 50 C0B- 
duire , s0 comporter. 

Conprıo, a. m. (i. d’anst.) condyle : dmi- 
nence d’une arliculation ow au heut des 085 
jointure des: loigts. 

tConpyıö oe, adj. 2 gen. (f. d’enel.) oen- 
dylolde, en « andyle. 

Conpyıöui , s. m. (1. de cher.) condylome : 
excroissance de chair ä Pinterieur de l’anus, 
causee surtor t par la syphilis. 

Cönz, 8. aı (l. de geom.) cöne : pyramide 
ronde; corps solide forme& par la superpo- 
sition de cero es conoentriques, toujours dimi- 
nuant jusqgu‘ ıla cime ow pointe; sa ligure, sa 
forme. 

Cöneca, s. f. chanoinesse : religieuse qui 
suit ia rögle des chanoines räguliers; (emme 
aul possede ane prebende dans un chapitre de 

es. 


CönEcO, #. m. obsneine : qui a un can“ 
nicat, uns prebende. — regular, chanoine r& 
lie 


guter. 

Cönszia, 6 f. chanoinle, canonicat : bendäice 
de chanoin®. 

Consxiö, ste. V, Connexdo, cie. 

ConrauvLagä6, s. f.confabulation: entrelien 
familier. 


CoXFABULÄBO,, 4, 9. p. de Confabular. 


CON 


CONFABULADOR, A, s. Confabulateur : qu 
s’eutrelient familidrement. 

ConrapuLia (com), ©. mw. confabuler : s’en- 
tretsuir [amilidrement. 

Conrarid. V. Gonfaldo. 

+Cossannzıciö, s. f. canfarröation : me- 
riage qui se contractait ä Rome en parlageant 
entre les Tuturs un meme gäleau qu’ils man- 


gesient. 

Cosrecıosnino. V. C:nfeicoado. 

+° Cosrtcro, A, adj. abattu, languissant, 
as#, tpuise. —de annos, accabld de vieillesse, 
casse. 

Coarspericiö, 3. f. confederation : ligue, 
alliance d’elats,, etc. Liaison, union. 

Coxsrzverino, A,Pp. pP. de Confederar. s.m. 
Confederet : celui qui est alli6 par conledera- 
tion. 

T CoxrvenerapoR, 5. m. celul qui fait une con- 
federation. 

COXFEDERANENTO, 8. m. V. Confederaräo ; 
alliance par mariage. 

Coxrepenin, vo. a. liguer, eoaliser, confede6- 
ser. — se (com), v. r. so confederer : se Ii- 
guer ensemble; faire une confederation. 

+ Comreveritivo,a, adj. confederatif : de 
la eonfederation. 

Cowrzeiciö, 8. f. (l. de pharm.) eonfection : 
composition de drogues pour medicaments ; 

ration pour bonifier le vin. VFinho sem —, 
du vin naturel, qui n’est pas frelate. 

Cosraı0AD0, A,p. 9.de 

Conrzigoin, v. a. preparer des drogues m&- 
dieinales, faire des confeetions;; boniflerle vin. 

COWFEITaAnO, A,P.p.de 

Conreırär, 9. a. confire, couvrir de sucre, 
faire des conälures, des sucreries. (fig.) Adou- 

cr, temperer. 

Conseıtaria, 8. f. boutique, magasin de 

eonßseur ; confiturerie. Rue des confiseurs. 

Cosrgırtına, s. f. confiseuse : femme du 
confiseur; femme qui fait, qui vend des con- 
fitores. 

Conrerrtino, s. m. confseur : qui falt ou 
vend des confitures,, des dragees. 

Courtrros, s.m. pl." graines d’anisoouvertes 
de sucre; dragdes. 

Conrzaßncıa, 3. f. conferenoe, eolloque : 
entretien entre plusleurs personnes; discus- 
sion. V. Cottjo. — academica, * debat, coniro- 
verse littöraire. — de meddicos, consultation de 
medecins. 

CONFERENcıÄDO, A,P.p. de 

CosreasncıäAn (com), 0. ». conferer, parler, 
raisonner, dedliberer ensemble. Il est quelque- 
fois actif, mais tr&s-peu usite. 

CoxrEn&xnte, adj. 2 gen. qui prend part ä la 
eonfsrence ; qui confere, qui donne, qui con- 
tribue ; qui compere, qui onllationne. 

Conssafste, s. m. conferencier : qui pre- 
side a une conförence, qui propose, explique 
les matieres. 

Conrgkino,A, pP. p. de 

Coxrznin (com), v. a. conlörer, Comparer, 


CON 323 


sollationner. (com, enöre) —, deliberor, parler, 
raisonner ensemble. Il est aussi ncoulre dans 
ceile dernidre aoceplion. #$. Conferer, donner, 
accorder. — Aonras, delerer Cos bonneurs. 

TConrtava, s. f. conferve : files verts et 
delies sur l’eau. Algue. 

Conrgssino, A, 9. p. de Confessar. et adj. 
Ser — de... etre penitent de... E’ minka—a, 
c’est ma peuilente. 

*Conrzssapon. V. Confesser. adj. conles- 
sant : qui confesse, qui avoue. 

Convsssin,, v.a.confesser, avouer, convenir, 
declarer. —, reconnaltre. —, oulr un penitent 
en confassion. — de plano, conlesser, avouer 
ouvertement. — sem Slormenio, avouer Sans 
dificults, volontairement. 

CONFESSAR-SE ‚U. 7. 80 reconnalire, se decla- 
rer, s’avouer (coupable , debiteur, vaincu, etc.). 
(a,com,de) se conlesser : dire ses pöchts ä 
un prelre. /r —, aller A confesse. — ao menus 
uma cex cada anno, se Confesser au moins une 
fois l’an. 

CoNFESSIONÄRIO, 5. m. confessionnal : siege, 
cabinet du confesseur; le ministere de confes- 
seur. anf. Livre de confession. 

CONFESSIONIiSTA, 5. m. confessionniste : Iu- 
thörien de la confession d’Augsbourg. 

Conr&sso, A, adj. (}.de prat.) On le dit de 
colui qui a avous en Justice tout ce qu’on lui a 
demande, Moine, fröre convers, lai. 

Conrtsso, s. m. (fam.) confesse : confession 
faite & un prötre. Ir ao—, aller & confesse. 

Conrsssör,s.m.confesseur:pretre qui a pou- 
voird’entendre en confession et d’absoudre; qui 
confesse; directeur spirituel; celui qui con- 
fesse la foi de J.-C.: dans ce sens on le dit aussi 
au femiıfn (Confessora); qui a souffert pour 
elle; saint qui n’est ni apölre, ni martyr. 

CONFIÄDAMENTE , adv. avesconfiance; hardi- 
ment, audaciousement; imperlinemment, avco 
impertinence. 

CoXFlADISSIMO , A , adj. sup. de 

Coxnä0o,A,p. p. de Conflar. adj. presomp- 
tueux , hardi, conflant; imperlinent; a rogant, 
insolent;, prövenu en sa faveur. 

Conriänga, s. f. conflance, assurance, 56= 
curit6; espoir, esp&rance. Hardiesse, pre&- 
somption, conllance. * Traitö, accord , conven- 
tion secröte, familiarite. Imperlinence , au- 
dace, insolence. Em —, en confidence, sous 
le secret. Dar em —, donner une chose & quel- 

u’un sur sa bonne fol. Com —, sans reserve, 

er — em Deos, prendre confiance en Dieu. 
Em vös pfe loda a sua—, il ne compic yue 
sur vous pour toutes Choses. 

CONFIANTE , adj. 2 gen. conßant, qui conflo, 
qui se confie. p. a. de 

Coyrıän (a, de), v. a. confier : commeltre ä 
la Adelite, A la garde, & la disoretion, au soin 
de queiqu’un. 

CoxriÄr, 0. n. et-se (em, de) v. r. seconfier, 
s’assurer, prendre oonflance en, faire fond sur. 
Nada se pöde — na amisade de..., On ne pous 


324 CON 


compier sur l’amitie de... — d’elguem,, comp- 
ter sur quelgu’un. 

Conricıonin, etc. V. Confeiper. 

Coxripäncıa, s. f. confidence : coommunica- 
tion donnee ou regue d’un secret; confance, 
assurance ; bonne opinion qu’on a de quel- 
qu’un. Fazer — d’alguem, avoir conflance en 
quelqu’un, se conlier en lui. Faser —s a el- 
guem, communiquer des socrets ä quelqu’un. 

CONFIDENGIAL , @dj. 2 gen. confideniiel : dit, 
fait en conßdence. 

ConFipEscıaLmentE , ade. confidentielle- 
ment : en confidence. 

Conripäntg, adj. 2 gen. qui confie, & qui 
l’on confie ses secrets ; fidele, sür. 

CONFIDENTE, 8. 2 gen. confident, a qui l’on 
confie ses secreis. Maure espion. 

t Conrinentemänte, adv. confldemment, 
en confdence. Fidelement. 

Conriournacäö, 8. f. configuration : forme 
extsrieure ; ordre, disposition de surfaces. 

CoxrıcuniD0, A,p.p. de 

Conricunir, v0. a. configurer : Agurer l’en- 
somble; donner une cerlaine forme. 

Conrim, s. m. limite, lisiere, borne, fron- 
tiere. Confins , pl. conüns. adj. 2 gen. V.Con- 
finante. 

Conrinäno, A, p.p. de Confndr. 

T ConrıniL, adj. 2 gen. des confinants, des 
äimitrophes. . 

Courininte, p. p. de Confindr, confinant:: 
qui confine. adj. Limitrophe, voisin, confl- 
aant, aboutissant. 

Conrınaa (com), v. wm. confiner, avoisiner, 
toucher par ses limites , @tre limitrophe. 

Conrinipäne , s. f. confinit6 : voisinage, 
proximite, rapport de deux pays qui se tou- 
ehent. 

Conmir. V. Conferir. 

Conrinuacäö, s. f. conflrmation : co qui 
rend plus ferme, plus sür, plus certain, plus 
stable; assurance expresse (d’une nouvelle, 
etc.). (l. de rhet.) Partie du discours qui ren- 
forme les preuves. —, sacrement de l’Eglise 
qui conlirme dans la gräce da bapteme. Esta 
nobieia carece ou preciza —, cette nouvelle 
merite confirmation. 

ConfiawÄiDaMenTE, adv. sürement, sans le 
moindre doute, avec assurance. 

CONFIRNADISSIMO, A , adj. sup. de 

Connanino, A, P. p. de Confirmär. adj. 
Qui a regu la confirmation. — em graca, pre- 
serve de p6ch& par une gräce speciale de Dieu. 

CoNFIRMADOR , s. m. celui qui conlirme. 

Conriamänts, adj. cenfrmant : qui con- 
firme. p. a. de 

Conriamia, ©. @. confirmer : rendre plus 
cerlain, plus ferme, plus stable, plus sür.—, 
valider, affermir, prouver davantage; donner 
des preuves, des assurances, des raisons 
nouvelles. —, donner le sacrement de la con- 
Armation. 

Conrinuin-sE (em), ©. r. se conürmer : se 

rendre plus ussure , plus ferme, plus ceriain. 


CON 


Conrinuariro, A, ou eonfirmatil : qui 
ConsIaMATöRı0, A, adj. { confirme. 
Cosriscaciö, s. f. confiscation : action de 

confisquer, adjudication au fisc. 

Conrisci0o0, A, p. p. de 

Corriscir , 0.@. confisquer : adjuger au lise 
par condamnation. 

ConriscäveL.,adj. 2 gen. confiscable : qui 
peut &tre confiscable. 

Conrissiö, s. f. confession, aveu (de ses 
fautes); sacrement de penitence, aclien de 
faire ou d’entendre l’aveu des peches ; conlesse, 
declaration de quelque chose, de la foi que 
l’on professe. *Conflteor : priöre avant la con- 
fession, ä la messe, eic. — geral, confession 
generale. — d’Ausburgo, confession d’Augs- 
bourg. V. Confessionista. — publics do delilo, 
amende honorable. 

Conrita, s. f. Il n’est usit6 que dans celle 
phrase : A cerla —, le moment venu. . 

Cosritaute. V. Confesso. 

ConrLacracid,s. f. conflagralion : embra- 
soment general, incendie. (fg.) Guerre gene- 
rale ; conflagration politique. 

CONFLIiCTO,, 8. m. conflit, choc , combat, fort 
de la melde, contestations entre les juridic- 
tions sur le droit de juger une cause. (fg.) 
Affliction,, peine, combat Interieur, embarras, 
perpiexite. 

ConrLußncıa , s. f. * oonfluens : jonclion de 
deux rivieres; lieu oü elle se fait. 

CONFLUBNTE, adj. 2 gem. confluent : qui 008 
flue. Bexiger —s, (1. de med.) petite verole 
confuente, fort abondante. Folhas —, (1. de 
bot.) feuilles confluentes qui paraissent s6 (00° 
cher sur la tige. 

+ CoxrLuln , vo. ». couler ensemble, joindre 
ses oaux, faire un confluent, en parlant des 
riviöres. 

ConronmaGäö, 8. f. conformation : maniört 
dont un corps organise est conforme. 

ConFoRNADO, A, adj. conforme : qui a tele 
conformation. 9. p. de 

COXFORMÄR, ©. a. conformer : rendre CON- 
forme ; donner la forme. 

CORFORMÄR (com), v. n. convenir, dire COl- 
forme, cadrer. —, etre du meme sentimenl, 
du meme arvis. 

CoNFORMÄR-SE (com), u. r. se conformer, 5 
resigner, se soumeltre. S’accorder. — cum @ 
voniade de Deos, se resigner & la volonle Je 
Dieu. 

CoxrörnE (a, com), adj. 2 gen. conlorrme: 
semblable, qui a la meme forıne, qui a de ia 
conformits, du rapport; analogue , en barımo- 
nie; uniforme ; pareil. Resigue , patient, 500“ 
mis. 
Conrörme, ado. conformısment, selon, SU! 
vant, suivant que. pr&p. Selon, d’aprös. 

CONFORNENENTE, adv. unanimement; J'UA 
commun accord ; conforme6ment. ı 

Conrorsinäps, s. f. eönformile : FapPOTı 
ressemLiance entre des choses conforan 
Union, cenoorde, burınonie, Lonne ini“ 


CON 


gence. Symötrie, accord , proportion. —, resi- 
gnation , soumission,, pationce. De — , de con- 
eert, d’un commun accord. Em —, conforme- 
ment, suivant, selon; en consequence, cela 


+ ConFORmISTA, s.m. conformiste : celui qui 
professe la religion dominante en Angleterre. 
Ndo — „ non-conformiste : qui ne professe pas 
la religion anglicane, en Angleterre. 

Cosrortackö, s. f. confortalion: corrobora- 
ion du corps; aclion de fortißer, ses eflets. 

CosrorTtino,A,p. P. deConforlar. 

CONFORTADÖR, A, 8. el adj. celui qui console, 
sonlage, etc.; qui conforte, qui corrobore. 

CONXFORTANTE, adj.2gen.quiconfortw. p.a.de 

CONFORTÄR , v. a. conlorter, Fanimer, COFTO- 
borer, fortiier. Rassurer, consoler; animer, 
encourager. 

COXFORTATIYO, A, adj. confortatif : qui cor- 
robore, fortifie, aide, soulage. 

COxFöRTO, s.m. ° confortation ; soulagement, 
oonlort. 

Conrox«Toso. V. Confortalivo. 

+CoxsaacTönıo, s.m. "priöre qui se ditapr&s 
ls fraction de l’hostie dans les messes , selon le 
rit de saint Ambroise. 

COXFRÄDE, 8. 2 gen. confrere : membre d’une 
association religieuse. 

Courrachso. V. Fragoso, Aspero. 

CONFRANGER , d. G. vexer, Opprimer quel- 
qu’un; rabattre Porgueil. 

CONFRANGER-SE, v. r. se plier par la dou- 
leur. 

COXFRANCIDO, A, P. 2, de Confranger. 

COXFRANGINENTO, 5.m. "contraction par l’el- 
fet de la douleur. (Ag.) * Contrainte. 

CossRaria, 3. f. confrerie: association reli- 
gieuse pour des exercices pieux. 

CONFRATERNADO, A, P. p. de 

+Comeaatennäß, v. e. fraterniser, unir en 
confraternite. 

COSFRATERNIDÄDE, 8. f. Confralernit6 : rela- 
tion ow qualit& de confr&res, de collögues. 

CONFRATERNIZÄDO, A, 9. P. de 

+ Cosraateaxızir, v.a, ein. [ralerniser. 

Conrakıne, s. m. confrere d’un ordre mili- 
keire, 

CONFRONTAGAÖ, s. f. confronlalion : action 
de eonfronter, de metire en presence des t&- 
moins , des accuses; examen de deux &critu- 
res, de deux passages que l’on confere. Con- 
froniagöes, pl. demarcations, limiles. " Signa- 
lement. 

ConrRontäDno, A,Pp. p. de Confronlar. 

COSFRONTADÖR, A, 3. celui qui confronte. 

CoOuFRonTtäR(com), v. @. confronter : mellre 
en presence, vis-A-vis. (fg.) Comparer les 
ehoses entre elles. —, opposer les Lemoins & 
Yaccuse ; meltre en pr&sence pour interroger. 

Conrnontin, ©. n. (flg.) cadrer, convenir, 
sympathiser. Confiner : &ire conligu, voisin, 

limitrophe. Etre semblable , s’accorder, se con- 
venir. Eire en face ou vis-ä-vis, en parlant 
d’un edifice 


CON 


CoxFuGipo,A,p.p. de 

CONFUcir, v.n.p. us. fuir en compagnie. it, 
ant. V. Recorrer. 

CoxrunDiDo,A,?2.p. de Confundir. 

CONXFONDIDOR, A,adj. quiconfond, qui cause 
confusion. 

Conrunpir, v. a. confondre: meler, brouiller 
des choses ensemble ; ne pas distinguer ou dif- 
ferencier un &tre d’un autre ; prendre une chose 
pour une autre; troubler, abatire; meltre em 
desordre;; convaincre en couvrant de honte; 
causer confusion,, donner de la confusion ; re- 
duire ä ne pouvoir repondre. Fondre ensemble 
des me&laux. . 

CONFUNDIR-SE, ©. Tr. se confondre : se c0u- 
vrir de honte, se troubler, se brouiller. — ne 
seu nada ‚ s’aneanlir, s’humilier. 

CONFUSAMENTE,, adv. confusement : d’une 
maniedre confuse. 

Conrusiö, s. f. confusion : melange conlus; 
embrouillement ; desordre; trouble (au mo- 
ral); honte,, pudeur; obscurit6, desordre dans 
la maniere de s’expliquer; grand nombre, 
grande mullitade. 

ConFuso, A, adj. confus, eonfondu; mele 
ensemble; indistinct; brouill6, sans ordre; 
obscur, embrouille ; bonteux , embarrasse, de- 
concerte, troubl6; incertain. 

Conrutacäö, s. f. confutation, relatation. 

Conrurino,A,p.p. de Confular. 

CONFUTADOR, 5. m. qui confule, qui refute. 

Coxrurir, v. a. confuter, refuter, impw- 
gner. 

+ ConrurÄveL, adj. 2 gen. qui peut &tre 
confute. 

* CoNnGEcTo, s. m. V. Conjeclura. 

Concgıackö, s. f. congelation : action da 
froid quigele les liquides , ses effets ; ctat d’un 
fiuide gele. 

ConGeLiDO, A, p. p. de Congelar. 

CONGELADOR,, A, ad. qui congele. 

CONGELAMENTO, 5. m. V. Congelardo. 

ConGeLÄnTg , adj. congelant : qui congele, 
p. a. de 

CoxcerÄrR, v. & congeler, geler ; conrerlir 
on glace; coaguler, figer. Il est aussi reei- 
proque. 

+ CoxceLarivo, A, adj. propre A congeler, & 

eler. 

+ CoxceLivst, adj. 2 gen. congclable : qui 
peut @tre congelc. 

+Coxceuunaciö,s.f. (L. de scien.) conge- 
mination : formation double et simultande. 

CONGEnerE, adj. 2 gen. congendre : du meme 
genre (plante, animaux , etc.); (fg.) du m&me 
caractere. Musculos —s, (If. d’anat.) muscles 
congenöres : qui concourent au meme mouve- 
ment. 

+ ConceniÄL, adj. 2 gen. qui a le meme na- 
turel, le meme caract£re. 

+ CONGENIALIDADE, 8. f. conformild de ca- 
racteres, d’inclination3, eic. 

+ Concksıto,a,adj. ne, produit, engender 
avec, ensemble, 


325 


326 CON 


Goxcestiö, 8. f. (t. de mdd.) cengestion : 
anıas progressif d’bumeurs dans une partie 
solide du corps. 

Coxciärio, #. m. congiaire : distribution 
d’argent, de denrees au peuplo, ä Rome, par 
orılre des cmpereurs. 

ConcLosaGAö, 8. f. "peloton , monceau , tas 
en rond. (fg.) Conglobation : r&union, accu- 
imulalion de preuves, d’arguments multi- 
pli6s, ete. 

CoxcLoOBANnO, A, 9. P. de Gonglobar. adj. 
eonglobs. Glandulas —as, (1. d’anat.) glandes 
conglobees : röunies en une, sous une peau 
unie. Folhas —as, (1. de bot.) feuilles conglo- 
bees : ramassees en boule. 

CONGLOBÄR, v9. a. oonglomörer, reunir en 
rond, en peloton. 

CONGLOBAR-SE, 9. r. se r6&unir en boule, en 
peloton. " 

CoOnGLoueracäö, 8. f. conglomeration : ob- 
jeis conglomeres ; leur etat. 

CoxGLomenino, A, p. p. de Conglomerar. 
edj. (1. de bot.) Conglomerd : amasse en rond, 
rassembl&, group. 

ConcLomeznÄr, ©. a. conglomerer : r&unir, 
mettre ensemble ; amasser en peiotons. 

ConcLörınaciö,s. f. oonglutination , aggin- 
tination. 

CORGLLTINÄDO, A , P. P. de Conglulinar. 

+ ConGLurımÄnTE, adj. 2 gen. (1. de med.) 
conglutinant ; qui aggluline, consolide lcs 
plaies (remede). 

ConcLurinän, ©. a. conglutiner : rendre 
glaant et visqueux ; Cimenter avec une maliero 
gluante ; agglutiner. 

ConcLutinin, v. 9. Il. —se, v. r. se oonglu- 
tiner, s’agglutiner. 

CoRcLUuTINaTivo, A, adj. conglutinatii: qui 
rend visqueux, glulineux. 

ConcLurmOöso, A, adj. gluant, conglutinatif, 
glutineux, visqueux. 

ConconHA, 8. f. (t. da Bresil) plante aroma- 
tique de l’Amörique du Sud, dont on fait une 
boisson ou une eau de senteur. it. V. Congosss. 

Concönsa ow Comcössa, 8. f. (1. de bot.) 
— maior, la grande pervenche, le grand pu- 
celage. — menor, la pelite pervenche, ie petit 
pucelage, violetie des sorciers , vence. 

Concosta. V. Cungosta, 

*Concoxa.V. Angustia, Afficrdo. 

* CONGOXÄDAMENTE. V. Angustiadamente. 

*Concoxin. V. Vexar, Angustiar. 

* Concocuöso,, A, adj. inquiet ; angoisse, 
sfflige, peine, chagrin, triste, 

ConorAaciD0, A,p. p. de Congrardr. 

CONGRAGADOR, A, adj. propre, tendant ä re- 
eoncilier. 

Coxaralir, v. a. faire rentrer en gräce; rö- 
eoncilier. 

ConcragÄn-SE (com), v. r. regagner la bien- 
veillance, la fareur de quelqu’un; se recon- 
eilier. 

Concaacir, elc. V. Congrarar, etc. 


-qu’elle gene le libre arbitre. 


CON 


ConanaruLagkö ‚s. f. oongratulation, feliel. 
tation. 

CONGRATCLADO, A, p. pP. de Congretuler. 

+ ConcRATULÄNTE, s. 2 gen. calui yui con- 
gratule, qui felicite. 

ConckatuLia, o. a. eongrataler : fäliciier 
quelqu’un , se r&jouir aven lui de son bonheur. 
ll est aussi r&ciproque. 

CONGRATTLATÜRIO, A, adj. oongratulatoire : 
de congratulation, de felicitalion, qui lacon- 
cerne. 

Conckzcacäö, s. f. Congregatlon : röunion 
de personnes pour une affaire; reunion de 
plusieurs monasteres sous un superiour gene- 
ral; compagnie de personnes religieuses vivant 
Sous une ıneme regle ; assembide de prolats et 
de cardinaux dans la cour papale. ° Chapitre: 
assembiee de religieux pour traiter de leurs 
affaires. —- dos dis, congregation des Nddles, 
?’Eglise universelle. 

CoxGaecäno, A, 9. pP. de Congregär. s. m. 
Pere de l’Oratoire ; membre d’une congregalion 
religieuse. 

CoNGREcÄNTE ‚8.2 gem. congreganiste: men- 
bre d’une congregation laique dirigee par des 
proires. 

Coxcnzcin, vo. a. ausembler, rassembler, 
r&unir. Convoquer, reunir. Il est aussi reol- 
proque. 

+ ConontssionäL, adj. 2 gen. da congres, 
qui appartient au congres. 

Coxcnesso, s. m. congres : assemblde de 
souverains, d’ambassadeurs pour traiter de la 
paix, des affaires de leurs etats; assembl6e de 
representants d’une nation. "Copulation char- 
nelle. 

CONcRO, 8. m. congre, anguille de mor (pois 
son). 

CöncavaA, 8. f. portiom oongrue : revenu d’un 
cur6 d’apres les lois ecclesiastiques. 

CONGRUANENTE, adv. congrüment, Oppofu- 
nöment , convenablement, d’une maniere con- 
forme, convenable. . 

Coxcrvirıo, adj. m. congrualre : & porlioa 
congrue (cure6, vicaire). 

Coxcru£ncıa, 8. f. convenance,accord, Pre . 
portion, conformite. V. Congruwidade. 

COXCRUENTE, adj. 2 gen. congru, congruanl, 
convenable, proportionne , comme il faul, 
comme il convient, 

CONCRUENTENRNTE, adv. congrüment: COR- 
venablement,, opportunement. 

CONGATEXTISSIMO, A, adj. sup. do (0W 
gruente. 

Conoruinäne,s. f. congruits : convenancc; 
(8. de theol.) eficacit£ de la gräce de Dieu sans 


+ Concroisuo, s. m. (f. de IAdol.) con- 
gruisme : opinion sur la gräde efficace, expli- 
quee par sa congruite. am 

+ Concrufsta, s.m. (f.de theol,) congruisie: 

rtisan du congruisme. 

P Cöxcnno, A, adj, congru : suffisant, conre- 
noble. Merecimento ou merilo —. V. Merile. 


CON 


ConcvtLca, s. f. V. Concheio. 

+ Coscvtz, a, adj. du Congo, royaume de 
Pafrigue meridionale. 

ÜORBECEDÖR , A, 3. COnNalsseur : Qui 86 Con- 
nalt A ou en quelgue chose. 

*Counsckuca, 8. [. V. Prowio, Reconkheci- 


uonto, 
*Coxuschute, ady. 2 gem. qui connalt, qui 
est connu de. V. Conkocido. 

CoxnEcka, 9. 8. connaltre : avolr dans l’esprit 
une notien, une id6e d’un ötre; avoir des habi- 
tudes, une liaison avee quelqu’un;; discerner, 
distinguer les objets; reconnaltre; cohabiter 
avec une fomme, en jouir. Remercier. — al- 
guom sou pe ‚reconnaltre, avouer sa faule, 
son ptche. — a ferra que piza, 0 lerreno, 
avoir ia earte du pays. Ndo — a cara ao medo 
on d ‚ be connaltre la peur ni le 
besoin. Dar-se a — , se (airo connalire. Ndo — 
es leiiras, ne connaltre dans un livre que le 
blanc et le noir. Quem le ndo — que le compre, 
portez ailleurs vos ooquilles , & d’autres. — al- 
guem pelo andar, reconnaltre quelqu’un Asa 
marche. 


Conusck (de), v. ». connaltre de. — d’uma 
esuse ou pleite, (1. de praf.) connalise d’une 
affaire, avoir droit de la juger. 

R-SE, dv. r. se oonnalire : se bien ju- 
ger sei-meme,. 

* Conusckza, 5. f. V. Conhecimento. 

CoxuzcipautnTe, ade. clairement, mani- 
festement,, &videmment. 

Consscınlssıu0, A, adj. sup. de 

Coswscipo, A, P. pP. de Conhscer. Connu, 
rseonnu ; distingu® par sa naißsance, par sa 
science, par son emploi. Ser mais — que o edo 
suseo ou do — como a arruda, (fam.) @ire 
conna comme le loup gris. 

CoRwEcıo, A, 8. Connaissance : personne 
que Pon eonnalt. E pessoa minha —a, v’est 
un6 personne que je connais ow de ma connais- 
sance. 

CONBECIMERTO , 8. m. ° connaissance : Idee, 
sotion d’un &tre. —, (i. de praf.) juridiction 
pour decider cortaines causes; liaison peu 
intime, habitade, relation que l’on a avec 
gaelqu’un. (£.de com.) ° Connaissement: recon- 
nsissance sous seing priv6, contenant la de- 
daration de la charge d’un vaisseau, du pro- 
pristaire, de la destination, etc. Comprehension. 
it. aut. V. Roconhscimenlo, Agradecimento. 
Conhecimöntos ,„ pl. connaissances : savoir. 
Cheger ao — d’alguem, venir & la connaissance 
de quelqu’un. Tomar — com alguem, faire con- 
aaissance avec quelqw'un ow la Connaissance 
de quelqu’un. Ter, adquirir —ı na corte, na 
eidade, etc., avoir, s6 faire des habitudes A la 
cour, & la ville, etc. 

ConnzciveL, adj. 2 gen. connaissable : qui 
est ais6 & connaltre. 

Cosmıauäd. V. Comirmäo. 

Cörno, s.m. roo iold au milieu d’une Fi- 
vitre. 


CON 397. 


Cosico, A,adj. conique: en formıe de cöne; 
du cöne. 

fConirsno, a, adj. (8. de bot.) conilere ou 
strobilifere (arbre, fleur, plante): qui a son 
fruit, sa fleur en cöne. 

+ Comımnsnıcknse, adj. 2 gen. de Colmbre; 
qui appartient & l’univorsit# de Colmbre. 

+ Conıaösraos, s. m. pl. (4. d’hist. nal.) co- 
nirostres : passersaux & bec oourt et conique. 

* Conızccid. V. Condiodo,, Clawsula. . 

ConstcrorR. V. Conjecturadör. 

Coxstcröna, #. f. conjecture : jugement pro- 
bable sur une chose obscure, incertaine, *Soup- 


D. 
Coxs&crunÄDAMENTE,, adv. par conjeoture. 
Cons£crunino, A, p.P. de Conjechurdr. 
CONJECTURADOR,, A, 8. OOnjeoturateur s celui 

qui conjecture. 

ConszcruräL, adj. 2 gen. conjectural: qui 
n’est fond6 que sur des conjectures, 

CONIECTURALMRNTE, adv. conjecturalement s 
par conjecture. 

Consscrunia (de, por), v. a. Conjeoturer s 
former des conjectures ; inferer sur des proba- 
bilits; Juger par conjecture. Soupgonner. 

f CONJECTURÄVEL, adj. 2 gen. qui peut @ire 
oonjecture. 

*Conserro,s.m. V. Permissäo. 

Consvoacäö, 8. f. (f. de gram.) oonjugalison : 
ordre, classement des verbes suivant leur na» 
ture ot la terminaison de leurs principaux 
temps ; serie complete des infiexions et terıml= 
naisons d’un verbe,. 

}Consucino, A, P. P. de Conjugdr. adj. 
Conjugus. Nervos-—«, (8. d’anat.) nerfs conju- 
gu6s : doubles, qui conoourent & la möme fono- 
tion. Folha —s, (1. de bot.) feuille oonjugude : 
ailee, en deux folioles. Hyperboles —as, (8. 
de geom.) byperboles oonjugutes : ä axe com- 
mun. 

CONSUCAL, adj. 2 gen. conjugal : qui con- 
cerne l’union par mariage , le mari et la fomme 
reunis. 

ConJucÄLM£NnTE, adv. conjugalement : selon 
P’union conjugale. 

Coxsucia, v. a. (f. de gram.) conjuguer: 
marquer les inflexions et les terminaisons des 
verbes selon les rögles. Il esı aussi reci- 
proque. 

+ ConstcäveL, adj. 2 gen. conjugable: qui 
peut &tire conjugue. 

+ Consufz, s. m. juge adjoint A un autre pour 
juger une affaire. 
Coxsuncciö 08 CONJUNgAD, s. f. conjonclion, 
union; proximite. —, (6. de gram.) mot qui 
joint les membres du discours; (l. d’astr.) ren- 
contre apparente des astres, de deux asires vus 
de la terre. —de nervos, conjonction des paires 
de nerls. Conjuncpöes mazimas, (4. daasir.) 
conjonctions de Jupiter et de Saturne tous les 
huit A neuf cents ans. — magnas, (id.) CON- 
Jonctions de Jupiter et de Saturne tous les dix- 

neuf ans. 





328 CON 


+ Consunctauente, ade. conjointement, 
ensemble, l’un avec l’autre. 

CONIENXCTAR, ©. @. conjoindre : unir, joindre 
ensemble. 

CONJIUNCTISSIMO , A, adj. sup. de Conjunclo, 

Consuncriva, s. f. (f. d’anal.) conjonclive : 
membrane, le blanc de l’eil. Albuginee. 

Consoxctivo, A, adj. conjonctif : qui con- 
joint; (4. de gram.) qui sert Alier, ä joindre. 
Modo — , ou — s. m. (id.) subjonctif, mode ac- 
compagn& d’une conjonction. 

Consöncto,, a, adj. joint, conjoint, uni, at- 
tache. (fig ) Proche, allie, uni par les liens du 
sang ou de l’amitie. Mele , incorpore avec une 
autse chose. 

CONJIUNCTO ‚3. m. assernblage : amas ‚, r&union 
de plusieurs Choses ; melange. 

Coxsunctüra, 3. f. conjonclure : conjono- 
tion, union ; occasion , rencontre d’affaires, de 
eirconstances; disposition, &tat de plusieurs 
ehoses au möme temps. 

Cossöna. V. Cunjuragdo et Conjuro. 

Consuaacid, s. f. conjuration :conspiration, 
complot contre l’etat, le souverain. si. V. Con- 
juro, Exoreismo. 

Consunino,A,P.p. de Conjurar.s. Ligueur, 
eonjure, conspirateur, conjuraleur. 8. adj. 
Ventos —s, vonts mutinds. 

+ CoONJuRADOR , 3. m. oxOrcisie : qui fait des 
exoreismes, qui conjure. Conjurateur. 

+ CONsURANTE, adj. 2 gen. qui conspire, qui 
eonjure, p. a. de 

ConsuRÄR, 9. a. Conjurer, exorciser, &carter, 
deötourner par des conjurations. 

CONJURÄR,, 9. 8. Conjurer, conspirer ; former 
un complot, une conjuration ; agir de concert 
avec d’autres contre les inisreis de quelqu’un. 
Il est aussi reciproque. 

+CONJURATÖRIO, A , adj. quia rapport A con- 
Juration. 

Conxsöa0, s. m. " conjuration : paroles magi- 
ques. —, exorcisme. 

CONLUIÄDAMENTE. V. Conluiosamenis. 

ConLvıADO, A, pP. p. de 

COXLUIAR , d. @. colluder, tromper par collu- 
sion. 

CosLtiÄR-SE (com), v. r. colluder : s’enten- 
dre avec un auire pour Iromper un tilers. V. 
Mancommunar-se. 

CoxLdio, s.m. °collusion, connivence; In- 
telligence secrete entre deux ou plusieurs, 
entre deux plaideurs pour tromper un tiers 
ou A son prejudice. 

CONLÜldSAMENTE, ade. collusoirement : par 
eollusion ; de connivence. 

Coxtvıöso. V. Collusörio. 

+ Cöusano, 8. m. (t. de bot.) connare : bal- 
sarnier. 

Coxnito, a. V. Inndio. 

COXNATtRAL, adj. 2 gen. nalurel: propre, 
conforme & la nature. 

+ COXNNATURALIPÄDE,, 8. f. conjonction, con- 
nexion naturelle. 

COSXNATURALIZÄDO, A,P.P. de Connaluralizar. 


CON 


}CONXNATuRaliziR, v. a. nalaraliser : don- 
ner & un &lranger les droits des nalurels. 

+} CONNATURALMENTE, adv. d’une manicre 
conforme & la nature. 

Connexiö,s. f. connexion » liaison, rapport 
de choses ; d&pendance. 

ConNExıDÄnDE, 8. f. connexite. V. Connezde. 

COnsExivo, A, adj. quilie, joint, unit. 

Connexo, A, adj. conneze : qui a Je la liai- 
son , de la connexion avec un autre; li6, Joint, 

Conxıvencıa, 8. f. connivence : complicits 
par tolerance et dissimulation du mal qu’on 
doit et peut empeöcher. 

ConxıvEnte,, adj. 2 gen. complice de conni- 
vence. (l. d’anat. et de bot.) Gonnivent: rap- 
proch& au sommel. 

° +Connoragiö, s. f. * rapport , dependance 
connue entre deux ou plusieurs choses. 

* + COnnoTATivo, A, adj. qui indique la 36- 
pendance relalive. 

° Cono , pour com 0 (avec l’). 

Cöno, s. m. (1. sale) les parties honleuses de 
la femme. 

* Conocenga, 8. f.V. Confissdo , Reconkheci- 


0. 
+ Coxomär, adj. (l. de geom.) conoldal : qui 
apparlient au conolde. 
Condıne , s. m. (fl. de geom.) conoide : Corp 
ä base elliptique, en forme de cöne & som 
en pointe ou arrondi. , | 
+ Conoiozo, A, adj. (4. de geom.) qui a Mh 
forme d’un cöne. 
+Conop£o, s. m. 6onopee : pavillon couire 
les cousins. 

Coxqu£ıao, s. m. celui qui fait des &cuelles 
de bois. u 
+ CongviiL, s. m. (4. d’Asie) moine clol 
dans la Chine. £ 
Comquista,s.f. conquäte: action de congU 
rir, ses effets; contrde, chose, personne gr 

quise; (Ag.) guerre pour oonquerif. V 


quisicdo. 
Conauistagäd. V. Conquista. 
Coxaquistäno, A, p. p. de Conquisier. Igel 
COXQUISTADOR, 3. m. conquerant: celu 
a fait ou qui fait des conque£les. , 
Conarısrän, v.0. Conquerir : acquörif + 
les armes; (fig.) gagner (les caurs , les EP ce 
Il est queiquefois neutre avec F’acception 
dominer. 
+ Coxquistäven, adf. 2 gen. qui 
eonquis. 
° Coxarania, s. f. charge da Co® 
* CON&kisıo, 5. m. chanoine FEgU 
de l’administraiion de ce qui appaf 
chanoinesses. 
* Conaztıno. V. Conredrio. 
+ COxREımÄnTg, adj. 2 gen. regnant 
ble, qui rögne avec un autre. 
+ Conncınan, 0. . regner ensembiP, 


un aulre. , 
+ Consanenör, A, s. qui seit arc© d’autreh, 


peut dire 
rearıo. V: 

lier charge 
tenail auf 
ensem- 


aveo 


! qui partage la connalssance. 


CON 


T CONSacERDOTE ‚8. m. COmpagnon , collögue 
dans le sacerdoce. 

Consacascäö, 8. f. conseeration : aclion de 
consacrer, par laquelle une chose est Cconsa- 
cre2; action par laquellc le pretre consacre le 
pain et lo vin A la messe. 

TConsacrÄDANMENTE, adv. d’une maniere 
‚wusacree. 

VOXSAGRÄDO, A, 9. P. de Consagrär. 

" CONSAGRANENTO, 8. m. ancien serment sur 
Thastie consaoree. 

CoONSACRÄNTE, 3.2 gen. cons6crateur, Con- 
Sacrant. adj. Consacrani:qui consacre.p. a.de 

CoxsaGrÄr (8), v. a. consacrer :: oflrir a Dieu 
avec des eremonies. —, prononcer les paroles 
de la conseeration ä la messe. Sacrer : confe- 
rer, avec des cör&monies, un caracldre de 
saintelt & un roi, & un ev&que, etc. —, sacri- 
fer, devouer. — a vida, 0 lempo a alguma 
profissdo, sciencia, elc. (fig.) consacrer sa vie, 
son temps & une profession , & une science, etc. 

"COnsaCcRkÄR, ©. 9. jurer, pr6ter serment sur 
Vhostie consacree. 

Cossacaän-SE (@), ©. Tr. se consacrer: so 
gersuer, se donner tout entier &... stemployer 


COXNSANCLINEO, A, adj. consanguin : de meme 
sang, race, parenie. 

CONsanctinno. V. Ci InsO. 

CoxsaxcuinınÄne, 8. f. consanguinils : pa- 
rent£, proximite de sang. 

CoxsancıniDo, A, adj. p. us. empaquet#; 
couse. (Ag.) Recueilli, compile. 

Gonscrtncia, s. f. conscience : lumidre, sen - 
timents interieurs naturels du bien et du mal; 
strupule. —, connaissance d’une verit& par le 
sentiment interieur. A’— , en Conscience, avec 
vonsciemce. Em —, consciencieusement,, en 
eonseience ,„ avec Cconscience, sur Ma COn- 
seienee. De — larga, qui a la conscience large, 
peu serupuloux. — calejdda, conseience cau- 
lirisee. Encarregar s—, mellre, laisser sur 
la conseienee. Ndo ter —, n’avoir point de 
conseience, n’avoir point de probit. Ter a— 
eıtreila, avoirla conseience delicate. 

t Conscıencıösautnte, adv. consciencieu- 
sement : en, avec conscience, d’une manidre 
eensciencieuse. 

TConscıencıöso, A, adj. consciencieux : qui 
a la conscienoe delicate. 

Cöxscıo, a (de), adj. qui a la conscience ou 
cennaissance de...‘ 

Cosscrpcäö , s. f. conseripllon : enrölement 
fixe par la loi. . 

Coxscripto, A, adj. conscrit. Padres —s, 
pres conscrits : s6naleurs rFomains. 8. m. Con- 
scrit: clioyen ports au rölo militaire a l’äge 
sie ringt ans ; celui que le sort designe pour le 
s’rsice (en France). 

CHxsecrante, adj.2 gen. V. Consagrante. 

T Cossecratiro, a, adj. qui a lo pouvoir, 
leificacit& de consaerer. 

(ONsEcRATÖRIO , A, adj. qui concerne le 
sscre d'un erdque, d’un roi,eic. 


CON 


Consucrärıo. V. Corolarto, 

Conszcuckö,s.f. V. Conseguimenio. 

CONSscUTIVvAmenTE, adv. consecutivement, 
de suite; immediatement; & peu d’intervalle ; 
selon l’ordre du temps. 

CONSECUTIVO,, A, adj. oonsecuiif.: qui est de 
suite, qui se suit immediatement dans l’ordre 
du temps. 

* Conseeria. V. Conrearia, 

ConssctiDo, A,P. p. de Conseguir. 

CONSEGUIMENTO , s. m. l’action et l’effet d'ob- 
tenir, d’impötrer ; r&ussite. 

ConsEcuinte, adj. 2 gen. V. Consequente. 
Por —, par consequent. 

CONSEGUINTEMENTE, adv. Consöquemimnent, 
en consequence. 

Consecuir ,v. a. oblenir : parvenir &, venir 
& bout de. Emporter, rapporter. Perseverando 
Iudo se consegue,, la perseverance vient ä bout 
de toutes choses. 

+ Consecviver, adj. 2 gen. qui peut etro ob» 
tenu. 

* Consera. V. Ambula, Pixide. 

* Cons&LHa, s. f. "conte; fable. 

ConssıLuarR,, eic. V. Aconselhar, ele. 

* COXSELHEIRAMENTE, adv. adroitement, fi- 
nement; ä dessein , expres. 

ConseLntıao, s. m. conseiller : qui donne 
conseil; membre du conseil; membre de la 
cour supröme ow d’une cour royale. adj. Tout 
ce qui nous sert d’avorlissement ei d’exemple. 

ConstLu0, 3. m. Conseil, avis, sentiment; 
rösolutlion, parti pris. (Ag.) Jugament, con- 
naissance. Ndo saber dar-se a —, ne savoif 
quel parti prendre. V. Concelko. 

Conseuos. V. Conchelo. 

+ConsemeLBänga, 5. f. ressemblance de 
deux choses entre elies. 

CONSENSIENTE, adj. 2 gen. consentant: qui 
consent ; du meme avis. 

CONSs&nso ‚3. m. assentiment, consenlement; 
accord d’avis , d’opinions. 

CONSENTANEANENTE , adv. convenablement ; 
conformement. 

CONSENTÄNKO ‚A ‚adj. convenable, conforme 
ä la raison. 

+ Consentes, adj. ou s.m. pl. consentes : les- 
grands dieux chez les Romains. 

CoONXSENTIDO, A, p. p. de Consenlir. 

CONSENTIDOR, A, 3. qui consent. Tdo bom 
ou do criminoso d o ladrädo como 0 — , (prov.) 
autant pöche celui qui tient le sac, que celui 
qui met dedans. 

CONSENTIMENTO, 8. m. Consenlement : äc- 
quiescement 4..., action de consentir, d’ao 
quiescer ä...; agröment, avou. 

COxSENTIiR, v. a. permeltre, souffrir, suppor- 
ter. (em) v.n. Consentir, acquiescer & ; trouver 
bon, vouloir bien ; adhörer ; tomber d’accord. 

COnsEQußxcıa, 8. f. consequence : conclu- 
sion tiree de propositions; suite des choses, 
des actions ; ce qui r&sulte, ce qui suit de... 
(fig.) Importance. Em —, en consequence, 
consequemment, Por — par consequent, Ser 


329 


980 CON 


ou ndo ser alguma cousa de — , dire de oonze- 
quence,, d’importanoe ‚de poids. Traxer com- 
sigo mılilas —s, avoır des sultes, en parlant 
d’une affaire, d’ane aclion, sic. 

CONSEQUENTE ‚adj. 2 gen. sulvant, qui vient 
apres, placd & la suite. Ser —, &ire conse- 
quent. Ndo ser — na sus oonducle, n’avoir pas 
de suite dans sa conduite. 

COXSEQUENTE , s. m. ( 6. de log.) consequent: 
deuxiöme proposilion d’un enthymöme; (#. de 
mnath.) deuridme terme d’un rapport. 

CONSEQUENTENENTE, adv. consöquemment, 
par constquent. 

Constao. V. Conreario. 

Consänva,s. f. conserve : conliture de fruits, 
d’herbes, etc. *Cornichons,, piments, carolles, 
etc. , confits dans du vinaigre. (d. de mar.) —, 
route d'un navire avec un aulre pour s’enire- 
secourir. 

Consernvaciö,s. f. conservalion : action par 
laquelle onconserve ses effeis ; &lat de ce qui 
est conserre. ’Maintien. . 

ConsErväDO ,A,p. pP. de Conservar. 

CONSERYADÖR, A , adj. qui conserve, qui garde 
avec soin, qui maintient. s. m. Conservateur ; 
defenseur, protecteur (juge). 

CONSERVÄNTE, adj. 2 gen. Conservant, qui 
conserve. p. a. de 

CONSERYÄR, ©. a. conserver : garder avec 
soin , empecher l’slieralion , le deperisse- 
ment; garantir du dommage ; garder, ne pas 
perdre, mensger; maintenir dans un &ist; ne 
pas se defaire de... — a memoria d’algume 
cousa, conserver le souvenir d’une chose, 56 
la rappeler. 

Coxsenvativo, A, adj. qui conserve, qui a 
la propriet& de conserver. 

CoONSEnvaToria, s. f. autorils, juridiction 
d’un juge conservateur. —s , pl. lelires aposto- 
liques qui donnaient pouvoir & ceriains oorps 
de se nommer des juges conservaleurs ; letires 
que les juges conservaleurs exp6dient en fa- 
veur de ceux qui sont sujets & leur juridiction. 

CONSERTATÖRIO, A, adj. p. us. Oonservatolre, 
qui conserve. 3. m. —, dcole gratuite de musi- 
que, de peinture, etc., en France. Reservoir 
de’eau. 

+ ConsgaväveL, adj. 2 gen. qui peut ötre 
conserve&. 

COnsenv&tao, A, 8. qui fait des oonserrves;; 
conflseur. 

Consenvo, A, 8. esclave aveo un aulre, Com- 
pagnon d’esclavage. 

Consinderacäö, 8. f. consideration : aclion 
de considerer, d’examiner; atlention , re- 
flexion, meditation ; raison, molif, &gard, 
vue; discretion, attention dans la conduile, 
circonspection. —, @gard, estime, r&pulation; 
importance. Em — a, en consideralion, eu 
egard dA, allendu. 

ConsipERÄDANENTE , adv. considersment : 
avec prudence, circonspection „ discrötement. 

ConsipznÄpo, A, P. 9. de Considerar. adj. 


CON 


Pradent, diseret, eirconspect, r&Röchl, conal- 
derant, attentif, senst. 

CONBIDERADOR „A, 3. qui eonsidäre, conside- 
rant. 

CousipernÄn, ©. @. oonsidörer : regarder, 
examiner atienlivement; peser, appröcier. — 
(em), v. ». röfiöchir, mediter sur... 

CONSIDERÄR-SE, ©. 7. se röputer, S’estimer 
soi-meme. 

CONSIDERÄYEL, adj. 2 gen. considerable, re- 
marquable , important, de consöquenoe, digne 
de consideration. —, grand ‚excessif. 

CONSIDERÄYELMENTE, adv. considerablement, 
beaucoup, notablement. 

Consıcnacäö, 8. f. consignation : depdt Juri- 
dique d’argent ou d’autres choses. Somme des 
tinespendant un cerialn temps ä faire un paye 
ment quelcongue. 

Consıcnino, a, pP. p. de Consigner. 

t Consıcnanon , s. m. (1. de comm.)negoclant 
qui envoie des marchandises & d’autres, sün 
qu’ils les vendent pour son compte. 

CONSICNANTE, 8. et adj. 2 gem. qui consigne. 
Consionän, e. @. oonsigner ; döposer Juridi- 
quement. Assigner une somme quelcongque, un 
fonds pour le payement d’une dette. (1. ds 
comm.) Remettre, adresser, envoyer & quel- 
qu’un des marchandises, etc. , pour les nego- 
cier, ete. 

CONSIGNÄR-SE, ©. r. p. us. se signer, faire le 
signe de la croix. . 

CONSICNATÄRIO, 8. m. consignataire : d&post- 
taire de consignation ; creancier & qui on assl- 
gne une somme queloonque pour !e payemen! 
de sa dette. (4. de comm.) — , nögociant qUi 
repoit des marchandises en consignatlon. 

+ Consıonävaı, adj. 3 gen. qui peat Air 
consigne. 

CONSIONIFICiÄDO, A, 9.9. de , 

+Consıoniricka, o. «a. signifer conjoln!® 
ment, 

N ConsicviporR0, A, adj. que l’on peut obi® 
nir. 

Consmän. V. . 

* Consıiracäö, 

° CONSınaR ‚etc. | V. Connider..., el. 

Consistencıa , s. f. consistance, stabilil?, ker 
met#, solidite. On le dit au propreet au Arar. 

CONSISTENTE , adj. 2 gen. consistant, solide, 
fixe , stahle,, ferme, alfermi. 208 

Consıstin (em), v.n. consister : arolf ae 
essence, ses proprisiss dans... ; etre de ! 
ou telle matidre, nature, forme, proporlion. 
eis. Tudo consiste em saber se... , le tout € 
siste A savoir si... . da 

ConsistoriiL, ady. 2 gem. oonsistoriel : 
consistoire. Casa —, maison de ville, ma 
commune. 

COnsisToRsÄLBenTE , ade. coonsistorislemenl: 
en consistoire; selon les formes- 

Consisrörio, s. m. consistoire: 
du pope et des cardinaux. Consei 
conseil munieipal; maison de ville, 


I de ville. 
mein 





CON 


temmene. — divino ou de Deos, {fig.) iröne, 
tribunal de Dieu. 

‚Cossoipa, s. f. collation, petit souper. 
Eirenne : prösent le jour de No&l (en Por- 
tagal). 

O0ns0iB0, A, P.p. de Consodr. 

Consoiute, adj. 2 gen. qui sonne avec un 
autre. Leiira— , consonne : leitre qui n’a point 
de son sans le secours d’une voyelle. 

CöxsoinTE, 5. m. °rime : mot qui ost en COn- 
Sonnance avec un autre. 8. f. Consonne. As—-s, 
consonnantes. 

COHsoanTENEnTE,, adv. aveo conformits, 
daceord. . 

Corsoir, v. a. etn. faire collation. 

Corsair , eie. V. Associar, etc. 

Consöcı, 8. m. compagnon , collögue, 4330- 
eie, eollaborateur. 

Consocripo ,A,P. pP. de 

Consocrin, ev. ®. devenir mutuellement 
keau-pere ou beile-mere. 

ConsöcakOo, ÖGRA, s. la mere ou le pere du 
mari ou de la femme, par rapport au pere ou & 
is möre du mari ou de la femme. 

ConsoL.scäö, s. f. comsolation : soulagement 
donns A Yaflliction,, & la douleur, au deplaisir; 
ee qui eonsole. 

Consorschözimma, s. f. dim. de Consolagdo. 

CoOnsoLiÄDAuENTE, adv. avec salisfaction, 

COnsoLADissıMO , A, sup. de 

ConsoLino, A , p. p. de Consoldr. 

ConsoLanoR , A, adf. et s. qui console, quı 
soulage ; eonsolaleur. 

tTCoxsoL.inte, adj. 2 gen. consolant: qui 
console. p. a. de | 

ConsoLin (com), ©. @. consoler : soulager, 
sdoneir, diminuer l’sffliction , la douleur par 
des diseours, des soins, des reflexions, des 
penstes, des exemples, etc. Fortifier, confor- 
ker, animer. 

ConsoLartvo, a, adj. consolatif : propre & 
tonsoler, 

ConsoLar6nto, A , adj. consolaloire , conso- 
lanı; destind A consoler. 

ConsoLiveL, adj. 2 gen. consolable : qui 
peut Etre console. Consolant, consolateur : qui 
eonsole, qui peut oonsoler. 

t ConsoLAvELMmeRTE, adv. avec consolation ; 
dane manidre consolante. 

TConsöLna , s. f. (#. de bol.) consonde : 
plante borraginee. — mator, grande consoude, 
oreille d’Ane, langue de vache, herbe & la cou- 
pure. — menor, brunelle, prunelle,, bonnette, 
Petite consoude, herbe aux charpentiers. —me- 
diena, bugle rampante, consoude moyenne. 
—redl, dauphinelle des bies, consoude royale, 
herbe Sainte-Othille. —dos sarracenos ou sar- 
racsning , verge d’or, verge dor&e. 

CoxsoLspacäd, 8. f. consolidation : dtat d’une 
those consolidse ; action qui cause cat &tat, au 
Propre et au figure. (1. de chir.) —, &tat d’une 
paie qui se cicatrise. —, action par laquelle 
une geue est consolidde. 

LIBÄBO , A, . 9. de Consolldär. 


CON 331 


CoxsoLipänte, adj. et 3.2 gen. consolidant ı 
qui affermit et cicalrise les plaies (remdde). 

CoxsoLipÄr, v.@. consolider: rendre solide ; 
rendro ferme. (fg.) Affermir. —, assigner an 
fonds en payement d’une dette publique. 

CONSOLIDÄR-SE, dv. r. se consolider : devenir 
solide , etc. (Ag.) —, s’affermir, en parlant de 
l’amiti6, d’un traits, eto. (4. de prat.) —, en 
parlant de Pusufrait et de la proprieis. 

+ ConsoLipartivo, A, adj. oonsolldant : pro- 
pre & consolider. 

ConsöLo, s.m. "consolation; douce jouis- 
sance. 

Coxsonäno, A, p. p. de Consondr. 

CONsonAncıa , 8. f. consonnance : acoord 
agreable de deux ou plusieurs sons; reSSsemM- 
blance de deux mots dans leur terminaison. 
(Ag.) Correspondance, accord, conformite, as- 
sortiment, concordance; conformite. 

CONSONÄNTE, adj. 2 gem. consonnant; har- 
monieux. (fg.) Conforme. 

+ CONSONANTENENTE , adv. avec CONSON- 
nance. 

Consonir, ©. #. sonner avec, sonner en 
consonnance, former des accords, en parlant 
d’un instrument. 

CONSsono, a, adj. V. Consonanis. 

ConsorcıÄnO, A, p. p. de 

+ ConsorcıÄär, v. a. associer par le marlage; 
unir en sociöl£. Il est aussi r&ciproque. 

Cossörcıo, s. m. ötat, union conjugale; s0- 
ciet#, union de gens qui vivent ensemble. *Par- 
ticipation , assoclallon au m&me sort. 

CONSÖRTE, 8. m. consort : participant, qui 

artage, associd, compagnon. Le mari ou la 
ermme, l’&poux ou l’&pouse. 

CoONsPectTo, 8. m. * predenee,, vue. 

° Conspeiro. V. CC 10. 

+ Consriıcumipe, s. f. la qualit6 de ce qui 
est visible, (Ag.) de ce qui est noble, distin- 

uß. 


Conusricvo, A, adj. visible, apparent, remar- 
guable. (Ag.) Illustre , distingue. 

Coxspiragiö, s. f. Conspiration, aveo leg 
me&mes acceptions dans les deux langues. 

Coxsrırino, A, pP. p. de Conspirar. 

CONSPIRADÖR,, 8. m. Conspiraleur, 

+ ConsPırÄnTE, adj. 2 gen. (1. de phys.) 
conspirant. Il se dit des forces, des puissances 
physiques qui concourent au meme effet; agis- 
sent sous la m#me direction, dans le möme 
sens. 

Conspırär (confra), v. n. conspirer : faire 
une conspiration contre l’Etat , le prince; oom- 
ploter contre une personne. (em, a) —, coü- 
tribaer, concourir au menie but, au meme c/- 
fet. 

Conspuncan. V. Infcionar, Sufar. 

* Cussta, Consti. V. Cösta, Encösla. 

Constino, A, 9. p. de Conslar. 

Consräncıa, 8. f. constance, fermele, cou- 
rage d’äme; vertu qui afferımit contre la dou- 
leur, l’adversits, etc. , os dans ses r&solutions, 
ses projeis, olc.; persövärance. 


832 CON 


CON 


+ Constanaßnse , adj. 2 gem. de Constance, | rangernent, nature d’une chose, ce quila con- 


qui apparlient ä Constance. 

CoNsTÄnTE, adj. 2 gen. constant : qui a dc la 
constance, de la fermet6; persöverant, qui ne 
change pas; invariable, qui reste loujours o% 
longtemps dans le meme &tat. E’ voz—,il est 
manifeste , il est constant. 

CONSTANTENENTE, adv. constamment : avec 
eonstance ; assurdment, indubitablement; cer- 
tainement, invariablement. 

+ CONSTANTINOPOLITÄNO, A, adj. Constanti- 
nopolitain : de Constantinople. 

CONXSTAnNTissıMO,, A, adj. sup. de Constanle. 

Constan (de, por), v.». imp. consier, appa- 
roir, &ire cerlain , constant, &vident. (de) Eire 
. coınpose de; consister en. — dos autos, (1. de 
prat.) conster des actes. Consiae, il est con- 
stanl. 

CossteıLLacäö, s. f. constellation : assem- 
blage d’6toiles, &toile representee par une ül- 
gure ,„ et designee par un nom ow astie- 


risme. 
+ ConsteLLipo, A, adj. orn6 d’etoiles; plein 


de constellations (ciel). 

Constennacäiö, 3. f. consternation : &lonne- 
ment avec abatltement de courage; frayeur 
muette. 

CONSTERNÄDO, A, P. p. de Consternar. 

Coxstennap6s, A, adj. quiconsterne, qui 
eausc consternalion. s. Alarmiste. 

CONSTERNAR, €. a. conslerner : &lonner ei 
abalire le courage. 

CONSTERNÄR-SKE, ©. r. perdre Courage, 36 
laisser abatıre. 

Constiracäö, s. f. "resserrement des pores ; 
refroidissement, rhume; courbature. — de 
venire, constipation : dificulis d’€&vacuer les 
excröments. 

Cosstirino, A, p. p. de 

ConsTIPAR, ©. a. resserrer les pores; Causer 
une courbalure ; enrhumer. Constiper. 

CONSTIPAR-SE, dv. r. se refroidir, gagner une 
ceourbature ; s’enshumer.— 0 venfre, 6tre con- 
slipe. 

+ Constırativo, A, adj. enrhumant : qui 
enrhume, qui resserre les pores; qui con- 
stipe. 

Coxstircecionäpo, A, 9. p. de Constlilueio- 
nar. 

CosstitucıoniL , adj. 2 gen. constitulionnel : 
de la constitution d’un Eist; conforme A la 
constitution, & ses lois (acte, etc.).s. m. —, 
partisan de la constitulion. 

CONSTITUCIONALIDÄDE,, 3. f. constitutionna- 
lit6 : qualits de ce qui est constitutlionnel. 

+ COnSTITUCIONALMENTE, ade. conslitulion- 
nellement : selon la constitution. 

+ CONSTITOCIONAR, ©. a, constiluer un pays 
sur des bases constitutionnelles. 

CoNnstitußnte, adj. 2 gen. constituant : qui 
eonstitue. Assemblda —, Constituanis : pre- 
midre chambro legislative de la revolution (en 
France). V. Constituinte. 

Constitvigiö, s. f. constitation : ordre, ar- 


stitae ; lemperament, complexion de ’homme. 
— ‚le corps des lois fondamentales qui eon- 
stituent le gouvernement d’un peuplc; regle- 
ments, ordonnances; pacie social qui regle ei 
garantit les droits de ceax qui l’ont consenti. 
— do mundo, la creation du monde. Consli- 
Iuicoes apostolicas,, constitutions apostoliques, 
röglemenis pour l’Eglise, aitribuss aux aps- 
) 


Cosstıruldo, A, p. p. de Constituir. 

ConstirvipoR, 5. m. celui qui oonstitue. 

CONSTITUINTE, 8. 2 gen. commelttant : qui 
charge un autre d’une affaire. adj. V. Consti- 
Iuente. 


CoNsTtıTUia, ©. a. constituer, metire, etablir 
en charge, en dignile; instituer, creer, [aire, 
former. —, faire consister en. (ant.) 

CORSTITOIR-SE (em), ?. r. prendre , s'arroger 
la qualit& de... se constituer, se donner une 
constilution. 

t ConsTiırutıvamEnıe , ade. d'une manidre 
constituanie. 

Constiturivo, A, adj. constilulif : qui c0ß- 
stitue essentiellement une chose; qui etabli 
un droit. 

CONSTRANGEDOR,, A, 8. qui contraint. 

CONSTRAnGerR, v. a. contraindre, foroef, 
obliger. 

CONSTRANGIDAMENTE, adv. avec conlrainie 
et violence, &troitement. 

CONXSTRARCIDO, A, p. p. de Consiranger, & 
adj. Estar — diante d’alguem, n’oser branler 
devant quelqu’un. 

CONSTRANGIMENTO, 8. m." contrainte, violenc® 
exercde contre quelgu’un ; gene. 

Constaccäö, 8. f. constriclion : resselte- 
ment des parties du corps. 

+ Constaicrivo, A, adj. constringent:: qu 
lie, serre, presse , resserre. - 

+ Constricron, 5. m. (f. d’enas.) consirk- 
teur : muscke qui resserre. 

t ConstaınGEnTe ‚adj. 2 gen. constringenl: 
qui lie, serre,, presse. j 

CONSTaINcir, ©. a. resserrer, retreeir. ll est 
aussi reciproque. 

Construcciö, s. f. construclion : aclion de 
construire ; bälisse. (l. de gram.) —, attanke- 
ment des mots d’une phrase; (1. de mar.) la- 
tion, l’art de construire des navires. 

tConstaucrivo, a, adj. qui sert & coß- 
struire, & bälir. 

Constauctön, 3. m. (fl. de mar.) consirüc- 
teur : qui sait et pratique l’art de construif® 
des navires; qui construit, qui bätit. 

CoNSTRUIDO, A, p. p. de , 

Cosstacia, 0.0. construire, edißer, bit, 
6lever. (4. de gram.) —, arranger les mois, 
les phrases selon les rögles et l’usage ; traduire, 
selon les rögles de la grammaire, du latin en 
portugais. Interpreter. 

CONSTUPRADÖR . - 

CONSTUPRÄR ‚ eic. ' (inus.) V. Esluprar, ei 

Coxsussrancıacid, 4. f. consubstantialion. 





-CON 


COmsuBsTancıäl, adj. 2gen. (1. de Ih£ol.)con- 
substantiel : d’une seule et m@me substance. 

CONSEBSTANCIALIDÄDE, 8. f. (I. de theol.)con- 
substantialits : unile et identlitö de substance 
de la Trinite. 

CONSUBSTANCIALUENTE, ade. consubstanliel- 
lement : d’une maniere consubslaniielle. 

COXSUBTUDINÄRIO,, A, adj. consudtudinaire : 
qui a coutume. Ordinaire , habituel, usite. 

COnsuL, s. m. (fl. d’ant.) consul : l’un des 
deux premiers magisirats romains, annuels; 
envoye d’un Etat dans un autre pour le com- 
merce, pour juger, prolöger les negociants. 
—€3 ‚pl. consuls : les trois premiers magistrals 
en France vers l’an 1800, &tablis par la consti- 
tution de Fan VIII. 

CosstLin0,, s. m. consulat : dignite , emploi, 
office, charge de consul; sa duree. —, tribunal 
de commerce dans quelques villes maritimes ; 
commissariat, place, emploi, residence d’un 
eensul ou commissaire des relations commer- 
eiales. 

ConstLir, adj.2 gen. consulaire:duconsul, 
des consuls. 

TConsouLaaum£nte, adv. consulairement : & 
la maniere des juges-consuls. 

ConsuL&nte , adj. 2 gen. qui consulte. 

CoxsöLta, s. f. consultation, deliberation, 
esnlerence sur une affaire; avis donne, rap- 
port fait au roi par quelques Iribunaux su- 
premes pour la decision d’une affaire ou pour 
la nomination d’un individu A une place. 

ConsuLracäi6, s. f. oonsultation : conference 
pour consulter sur une affaire, une maladie. 

. Consulla. 

CoxsuLTino, A, P. p. de Consuliär. 

+ ConsuLTanpoR ,s. m. celui qui consulte. 

+ ConsuLtinte, adj.2 gen. qui consulle ; 
gei prend conseil. s. V. Consullador. 

CoxstLria, v. a. consulter : prendre con- 
seil , avis ou instruction. (com) — , deliberer, 
examiner, conlerer, tenir conseil; prendre 
conseil. Il est aussi neutre dans celle accep- 
ion. (para, em) Proposer au roi une personne 
pour une place, lui faire un rapport sur quel- 
que chose qu’il doit decider. — com a bolsa, 
(fam.) consulter sa bourse. —com o seu Ira- 
vesseiro, (fig. fam.) consulter son chervet. 

CosscLrivo,A, adj. on le dit des aflaires 
sur lesquelies il faul (aire des rapporis au roi 
pour qu’il les decide. VYölw —, voix consulld- 
üve : droit de dire son avis. 

CousuLTöR, A, s. consulteur : qui conseille, 
gai donne son avis. —do Santo Ofleio, consul- 
teur (de Saini Office), docteur commis par le 
pape pour donner son avis sur des matieres de 
lei, de diseipline. 

Consemschö, s. f. peine, chagrin, ennui, 
koarment. 

ConsumindO, A,P. p. de Consumir. adj. Con- 
sıme , exitnud, maigre, sec. Qui s’afllige, qui 
srauriste , qui se fäche de tout : morfondu. 

UonstmınOR,A,adj. consumant, destrucieur, 


CON 333 


qui eonsume, mine ou ruine; allligeant, fä- 
cheux. 

CoNsumıDöR, A, 3. Consommalcur : qui Con- 
somme les denrees, etc. 

Consusia, ©. a. Consumer, detruire,, user, 
dissiper, reduire , absorber, devorer, engloutir, 
Consommer «les denrees, etc. ; detruire par l’u- 
sage. Consommer : communier ä la messe, en 
parlant d’un pretre. (fg.) Aflliger & l’oxcds, 
tourmenier sans cesse. 

ConsuMir-SE, ©. r. Se Consumer, secher, 
languir, brüler, se morfondre,, se consommerz 
s’aflliger, se tourmenter, s’inquieter. — d’an- 
gusiias, de cwidados, de irisieza, se consume 
d’ennuis, de chagrins, de tristesse. — em des- 
pezas , se consumer en [rais. 

+ ConsumivEL, adj. 2 gen. qui se consume, 
s’use, se detruit. 

Consummacäö, s. f. consommation : aclion 
de consommer; achevement, perlection, &0- 
complissement.— dos seculos, fin des siecles, 
du monde. — do malrimonio, consommalion 
du mariage : premiere cohabitation des &poux 
apres le mariage. 

ConsUMMÄDANENTE, adv. parfailement, © 
perfection; entiörement. 

CONSUMMADISSIMO, A, adj. sup. de 

CONSuMMÄDO, A, p. p. de Consummar. adj. 
(em) Consomm6, parlait, accompli. 

CONSUMMADÖR, 8. m. consommaleur : celui 
qui consomme, qui perfectionne, qui achöre 
une chose. 

ConsumMmÄr, ©. G. consommer, perlection- 
ner, acherer, nir, terminer, accomplir, rendre 
parfait. 

+ Consumsmarivo, A, adj. qui consomme, 
qui perfectionne, en parlant du sacrement de 
l’eucharistie. 

Coxsüno, s. m. *consommalion , consomp- 
tion , debit, distribution ; debouche&,. 

ConsuurcÄö, 8. f. consomption : ediat des 
choses qui se consument; sorte de phthisie qui 
dessöche tout le corps. * Deperissement. 

Consuuptivo, A, adj. (l. de med.) consomp- 
tif: qui consume les humeurs, les cbairs, etc. 

° CoOnsuuM, adv. conjointement, d’accord, 
de concert. 

Conta , s. f. ° compte, calcul, supputation, 
nombre. Evaluation, estime; somme , nombres 
comptes. —, recit de ce que l’on a vu, fail ow 
entendu. (fig.) *Soin ; cas. —s, pl." grains d’un 
chapelet, chapelet. — corrente,compte courant. 
4’—,ä compte. A’—de...,ävaloir sur... Dar—s, 
rendre ses comptes. Pedir—, demander coınpte 
ou raison. Levar em —,, tenir compte de. Por 
minha—, pour mon compte, sur ma responsabi- 
lite. Cair ou dar na—,comprendre une chore, 
s’en apercevoir, se metire au fait d’une chose. 
Lancar —s, calculer. Fazerde —, faire Etat, 
supposer. Fazer — com a bolsa, compter aveo 
sa bourse. Dar — d’alguma cousa, (fam.) de- 
truire, consumer, voir la fin de quelgue chose. 
Genie, homem, pessoa de — , personne de dis- 
tinclion, de margue. Zor-os em — de grande 


334 CON 


komm, se donner de grands alrs. Ter — 
aberta com alguem, ötre en compie ouvert 
avec quelqu’an. N&o ler em — algume couss, 
ne compter pour rien une chose. Segundo esia 
—, &. 08 compte-lä. Tem-me —, }’y troure mon 
compie. Tudo islo entre em —, tout ceci fait 
nombre. Ter — oom..., faire attention & quel- 
que chose, ou en avoir soin. Fexer — 

couss, 4ire utlle, avantagenz, convenable. 
Tomar, levar #91 — , prendre A compte , passer 
en compte. Ester em — , dire A bon compte, & 
bon marche. Yamos sa —s, entendons-nous. 
Näse er —s 00m alguem, ne vouloir rien 
avoir & d&meler avec un autre. Enirar em —s 


comsigo, deliberer, röflöchir sur ce qu’on doit | Di 


faire. —s de gran-capiläo, (fam.) memoire 
d’apothicaire. Por im de —e, au bout du 
compte, enfin, aprös tout. Mwi erradas Ihs 
sdem as —s, Il est bien loin de son compte. 
Dar —s a Deos, (fig.) mourir. 

CONTABILIDADE,, 8. f. V. Compflabilidade. 

Conticro, s. m. contact : attouchement de 
deux corps. 

tConTäpamente, adv. par numeros; d’une 
maniere calculde; au juste. 

Cortipo, A, p. p. de Conter. adj. Compts; 
nombre. De —, adv. tout de suite, & l’instant, 
sur-lo-champ, immediatement. Dinkeiro de 
—, comptant, argent comptant. Ser dem ou 
mal —, &ire bien ow mal röpute. Ndo ser bem 
— um faclo , uma acıdo a wma pesson. On le dit 
d’une action blämable. $do favas —as ( fam.). 
On le dit d’un nombre connu et invariable, 
d’une chose certaine. Do — come o lobo, a bre- 
bis comptöes le loup en mange bien une. 

CONTADOR, A, 3. compteur, calculatear, chif- 
freur. Caissier. Contröleur des Anances. Per- 
sonne nommee juridiquement pour liquider 
un compte. Comptoir : table pour compter de 
Pargent chez les negociants et les banquiers. 
Casier : sorte de bureau A rayons ou Lableties 
pour y mettre des papiers. Conteur ; faiseur de 
nouvelles, de contes. 

Conraponia ,s. f. chambre des comptes; bu- 
rean destind & tenir un compte exact de tout ce 
qui concerne quelques branches de finances; 
bureau d’un contröleur des finances. — do 
ezercilo, bureau du tr6sorier de l!’armee. — de 
provineia, bureau de contröleur de contribu- 
tions. 

ConTacıÄpo,A,p. p. de Contagiar. 

Contacıäö, s. f. contagion: communication 
d’une maladie par le contact ou les miasınes, 
par des sorpuscaies pestilöres; peste. ( Ag.) 
Communication d’un mal, d’un vice, d’une 
heresie, 

f Conracıin, 9. a, empester, infecier de 
contagion, de peste. (fig.) Corrompre, infec- 
ter, pervertir. 

Contäaıo, s. m. "infeotion, peste, conlagion. 
V.Con . 

ConTacıöso, A, adj. contagieux: qui se rd- 
pand,, se oommunique par contagion, par Ic 
contact. —,(Ag.) qui gäte l’esprit, les maurs. 


CON 


Se dit du vice, de l’erreur, du mal qui se com- 
munique. 

Coxntanmaciö, s. f. contamination, tache, 
sonillure. Profanation. Contagion, Infeetion. 

CONTANINÄDO, A, p. p. de Conlaminar. 

CONTANINADOR, 8. m. qui corrompt, infecte, 
pervertit; qui gäte. 

ConrasınÄr,, o.6. contaminer : tacher, souil- 
ler, salir; gäter, vicier. Infecter, empester. 
(%g.) Corrompre, infecter, pervertir, souiller. 
Enfreindre, profaner, violer. 

t CostawıniveL, adj. 2 gen. qui peut se 
contaminer, se corrompr®, eie. 

Contänte,s. m. comptant,, argent comptan!. 
‚moedda —, argent comptant, argen! 
sec. 

Conrir, 0.6. oomptiss: nombrer, calcaler, 
supputer; avoir, trouver dans le nombre; esti- 
mer, r&öputer. —, dire, rapporter, raconier. 
—, croire, se proposer, avoir l’intention de. 
ll est plutöt neutre dans cette acception : Conlo 
parlir d mankd, je comptie partir demain. 
— com alguma pessoa ou cousa, ( fam.) Comp- 
ter, faire fond sur quelqu’un, sur quelque 
chose. — com alguem para janter, etc. , allen- 
dre queiqu’un pour diner, etc. — por couss 
nenkhuma, compter pour rien. — por miüdo, 
detailler, circonstancier. N&o ss pöde — com 
isso ou sobre isso, on ne peut pas compter lä- 
dessus. 

Contecee. V. Aconlecer. 

* CONTEENGAS, 3. f. pl. meubles menus d’une 
maison. 

Conttiına,, 8. f. bouterolle : bout d’un four- 
reau d’ep6e. "Bouton de la oulasse d’une piece 
d’artillerie. 

Coxttiao, 3. m. patenötrier : qui fait et vend 
des chapelets. 

ContzurLaciö, s. f. contemplation : action 
de contempler Jdes yeux ow de l’esprit. (Ag. ) 
Complaisance, condescendance. 

" ConreurLi0o, A, P. p. de Contemplar. 

CONTENPLADOR, A, 3. contemplateur : qui 
contemple,, surtout par la pensee. 

ConTeurLÄr, 9. @. contempler : considtrer 
attentivement avec les yeux ou l’esprit; admi- 
rer. Complaire, flatter, condescendre, mena- 
ger. — (em), v. n. mediter, penser (& Dieu, & 
ses perfections, etc.). 

CONTENPLATITAMENTE,, ado. avec contermpis 
tion. 

CoNTenrLaTivo, A,adj. qui appartient & la 
contemplalion. Contemplaiüil : adonne & la con- 
templation par la penste. 

CONTBMPORÄNRAMENTE,, adv. A la meme &po- 
que. 
CONTENPORANEIDÄDE, 5. f. contemporeaeil£: 
exisienee de personnes, d’&venemenis dans 6 
meme lemps. 

CONTEMPORÄREO , A, adj. contemporaiu : du 
meme temps. 

CONTENPORIZÄDO, A, P. 9. de Coniempo- 
risar. 

ConTEuronızapon, A, 4. Complaisant, coN- 


desoundant; qui se rögle sur la volontd des 
gens influents. 

ConrzurosızÄär (com), v. ». oomplaire : @ire 
eomplaisant, avoir de la complaisance, de la 
eondescendance; s’accommoder & l’hameur, & 
la volont#,, au caprice; &ire accommodant. Se 
eenformer aux temps, se plier aux circon- 
Slances. 

* Conrzurnin, etc. V. Contemplar, etc. 

CourzurriveL, adj. 2 gen. möprisable, vil. 

Cowrangiö, s. f. contention : dispute,, debat. 

COsTENCIÖSANÄNTE,, adv. contentieusement ; 
avec contention , opiniätret#, dispute,, debat. 

Conxtexcıöso, A, adj. contentieux: qui est ou 
peut #ire dispute; qui est en discussion ; litl- 
gieux; qui aime & disputer, ä contester. 

Cosrtssa, 3. f. dispute, debat, querelle; 
effort pour obtenir une chose. 

CostEndenör. V. Contendör. 

+ ConTEnDente, s. m. contendant, concur- 
rent, competiteur. adj. 2 gen. Combattant, qui 
combat, qui se bat, qui se dispute. p. a. de 

ContzNnDer (com), v.n. combaltre, se batire, 
se quereller. (com, sobre) ( ig.) Disputer, de- 
baitre, eontester. 

CosTEnpino, A, pP. p. de Conlender. 

Coxtenpdör, s. mw. combattant; contendant, 
concurrent, compötiteur. 

* Contenenca. V. Semblante , Rosto. 

Costanznte (em —) V. Conlinente. 

+Costensiö, s. f. grand effort pour obtenir 
une chose. — d’ o, contention : forle ap- 
pication d’esprit. 

Coutentino,, A, pP. p. de Conlenlar. 

CORTENTANENTO, 5. m. contentement, jole, 
sstisfaclion,, plaisir. 

ÜDRTENTAR, ©. 8. conienter, satisfaire, ren- 
dre content, plaire. 

CosTtentin-se (com, 0. r. se contenter de, 
re content, satisfait; n’exiger rien de plus; 
se satisfaire, s’en tenir ä. 

Contturs, adj. 2 gen. content, satislait. 
Ser — que, agröer, acquiescer, consentir. Sal- 
far de —, tisessaillir de joie. Ninguem d — com 
u sus sorle , personne n’est content de son sort. 
Eston —, je suis also. 

t Contautzußuss, ado, avec Contentement, 
avec satislaction. 

CORTENTISSIMO , A, adj. sup. de Contonie. 

Oourtuto, s. m. *satisfaction, gre, souhait. 
4—,ede. a plaisir, & satisfaclion. A meu —, 
ämon grö. Ser ds bom ou mdo —, ( fam.) &ire 
Iacile ow dificile A contenter. 

Conrznrön. V. Contendeor. 

Coxrta ‚vo. @. oontenir, enfermer, embrasser, 
Comprendre, tenir, porter, renfermer dans un 
“psce, dans une &tendue, etc. —, Fetenir, 
artter, borner, reprimer, enchalner, assu- 
jtir, au pbysigue et au moral, au propre ct 
wu figure. Como w’ells se conldm, exaciement, 
temme il y est dit, sans plus ni moins. 

‚ Cosres-sE, ©. r. se contenir, se moderer, 
% retenir; se oontraindre, so cormmander. 


CON 335 


Conrfnumo, A, adj. limitrophe, conlizu. 
s. m. * Limites, confins. 

CONTERRÄNEO, 3. m. du meme pays. V. Com- 
palriola. 

Contestaciö, s. f. contestation : debat, dis- 
pute sur quelque chose. (f. de prat.) "Temoi- 
gnage, disposition conforme & celle d’un autre. 
Sem —, incontestablement. 

ConTEstino, A,p. p. de Contestär. 

Contestauente. V. Contestemente. 

CoNTEstäntg, adj. 2 gen. contestant: qui 
eonteste en Justice. 

Contestir, v. a. deposer, attester la m&me 
chose qu’un autre. Confirmer, prouver, etablir. 
Contester : disputer, debattre quelque chose en 
Justice ow autrement. 

ContsstiveL, adj. 2 gen. contestable : qui 
peut Etre conteste. 

Conr£ste,, adj. 2 gen. t&moin : qui rend le 
meme t&moignage qu’un autre. , 

Contetno, a, adj. V. Contido. s. m. con- 
tenu: ce qui est renferm#, compris dans, ce 
que contient un &crit. 

Contexro,s.m. *conlexture, ordre, serie 
d’un discours, etc. Contexte : ce qui pr&ce&de 
ou suit un passage du texte. 

COXTExTüra, 8. f. contexture, tissu (d’une 
€toffe), enchainement de parties formant un 
eorps. V. Contexto. ( ig.) Structure des vege- 
taux, des animaux, 

* Contia. V. Quantiia. 

Coxtino, A, 9. 9. de Conter. adj. ( ig.) Mo» 
dere, retenu, sobre, prudent. 

ConTicuauente, adv. de pres, tout prös. 

Conticvimipe, s. f. conligulte : 6dtat des 
ehoses contiguds, qui se touchent. 

ConTicuo, A, adj. contigu : touchant imme- 
diatemment. 

Contina. V. Conlinua. 

Continencıa , 5. f. continence ; vertu qui 
consiste &ä s’abstenir du plaisir de la chair; 
cette abstinence. Moderation, retenue, lempe- 
rance. (anl.) Contenance, capacite, elendue, 
°Maintien, contenance, *° Salut militaire. 

+ CONTINENTÄL, adj. 2 gen. conlinental: qui 
est du continent, qui a rapport au conlinent, & 
la terre ferme. 

CoONTIn&nteE, 8. m. Ccontinent : terre ferme 
qui contient plusieurs pays non separes par la 
mer; grande etendue de pays. Se dit par oppo- 
sition aux les. st. (anf.) ° Contenance, air, 
maintien. 

CONTIN&xtE,adj.2 gen. conlinent: qui a la 
vertu de la continence, Conlinuel : qui ne cesse 
point. Em —, adv. aussitöt, immediateınent, 
tout de suite, & l’instant. 

COXNTINENTEMENTE, adv. avcc conlincnce, 
Mod£rement, avec retenue. 

Coxtisesti (em). V. Conlinenle (em). 

CONTINENTISSIMO, A, adj. sup. de Conli- 
wentle. 

ConTıncencıa, 8. f. conlingence : casualil6, 
l'oppose de necessile ; hasard , cas forluit. 

Contincknte, adj. 2 gen. conlingent ; ca- 


336 CON 


suel, eventuel. s. m. —, part de partage eu de 
fourniture ä faire. 

COXTINGENTEMENTE , adv. casuelloment, for- 
tuitement, par basard. 

COXTISGIBILIDADE. V. Conlingencia. 

CoxtinciveL. V. Factivel. 

Coxrinua, s. f. dim. de Conte. Petit compte. 
—as , pl. *rosaire,, chapelet & petits grains. 

Coxrixo. V. Continuo. 

Coxtinua, s. f. idee fixe d’un fou; mono- 
manie. 

Coxtisuaciö, 3. f. conlınualion : aclion de 
continuer; ses effets; sa duree; chose conli- 
nude. Com a —, & la continue, ä la longue. 

COXT:EUÄDAMENTE, adv. continuellement, 
toujour3; continäment, sans Cesse, sans inter- 
ruption , de suite. 

CONTIXUABo, A, pP. p. de Conlinuer. 

COXTINUADOR, 3. m. conlinuateur : qui COn- 
tinue un ouvrage commence. 

ConTisuamente, adv. conlinuellement : sans 
cesse, loujours, sans interruplion. 

CONTinuau&nTo ,s. m. V. Conlinuagdo. 

Coxtinuir, v. a. Conlinuer, poursuivre c® 
qui est o% ce qu’on a commence; prolonger. 
0.%. —, durer, ne pas cesser, se prolonger. — 
nn mes, ( fam.) perseverer dans une habi- 
tude. 

ContinuÄn-sg , v. r. se conlinuer, s’stendre, 
se prolonger. 

? Contınuativo , A,adj. 9. us. quicontinue, 
qui poursuit. 

?F Continuäne, s. f. continuit6 : liaison 
non interrompue de parties ; duree continue. 

CoxTisuo, A, adj. continuel : qui dure sans 
Ihterruplion; qui ne cesse point; assidu. Con- 

u. 

Coxtinuo, 3. m. garcon de bureau, bedeau, 
buissier d’audience. Celui qui frequento (la 
cour, etc.). De—, contlinuellement. 

Conto, s. m. conte, fable, bistoriette ; 
compte, nombre. V. Conta. Million : dix fois 
cent mille. Talon d’une pique, d’une balle- 
barde. —de reis, dix cent mille reis (6,250 fr.). 
— de ouro, un million de cruzades (2 millions 
et demi de fr.). — de conlos, million de mil- 
lions. Casa dos —e, Iresorerie. Sem — , innom- 
brable. A—, adv. a propos. Kstar ou vir a—, 
venir ä propos, Cconvenir, @ire avanlageuxr. — 
de velhas ,conte de Peau d’Ane,conte devieille, 
conte de ma mere l’oie. Sdo —s largos , c'est 
une trop grande affaire. Deixzar-se de —s, aller 
au fait, laisser lä tout dötour, couper court, 
venir droit au fait. Tudo isto vem a um — ‚tout 
ccla revient au meme. Saber 0 seu —, savoir 
Bnicux que son pain manger. 

CoxtoÄda, 8. f. coupavec le talon d’unelance. 

CoxNTOnXeAD0,A,p.p.de 

CoxTonnzÄn, ©. a. tourner au tour. Con- 
toner. 

CONTORNO, 86. m. contour, circuit, enceinte, 
envırons, proximite, contree. (F. d’arls) —: 
trait, ligne qui termine, renferme une figure. 
Em — adv. aulour, 32V - ax environs. 


CON 

Coxtonsid, s. f. coutersion : mouvemert 
violent qui tord les membres et les muscles; 

rimace, geste, attitude forche. (tl. d’arls) 

tat du cou, du corps, du visage de travers. 

CONTRA, s. m. repligue, contre, ce qui est 
contraire. Prö e — , le pour et le contre. 

ConTRa, prep. contre : malgre, sans avdir 
tgard ; vis-ä-vis, en face, & l’opposile; vers. 
Arrojar — a muralka, jeier quelquo chose 
contre le mur. Em — , adv. contre, en opposi- 
tion. — a larde, pres du soir. 

TContRa-AsERTönA, s. f. (l. de chir.) con- 
tre-iissure, fraoture des os du cränc par un 
contre-coup. 

CONTRA-ABITAS, 8. f. pl. (1.de mar.) conire- 
bittes : courbes qui affermissent les bittes. 

CONTRA-ALMIRÄNTE , 5. m. contre-amiral : 
troisieme offlcier supericur d'une arnıca nd- 
vale; son vaisseau. 

+ Contra-ıutüra, 8. f. (1. de mar.) °conlte- 
couet : cordage servant & faciliter ei & assuref 
les man@uvres des couets. 

CONTRA-APRÖCHES,, 5. m. pl. (l. de fort.) con- 
tre-approches : Iravaux des assieges opposes & 
ceux des assiegeanis. 

+ ConTRa-AnMın10s, 3. m. ol. (4. de bias.) 
contre-hermine : champ de sable mouchels 
d’argent. 

CoONTRA-ASTÜCIA , 8. f. contre-finesse : fincse® 
opposee & une aulre. 

CONTRA-ATAQUES ‚5. m. pl. (1. de fort.) COR- 
tre-atlaques : retranchements , tranchees. 

Contnasiıxo, s.m.(t. de mus.) la voix I 
pius basse;; " contrebasse. 

CONTRABALANCÄDO, A, P. P. de 

+ContnasaLancie, v. a. conirebalancet, 
compenser. 

CONTRABALDÄDO, A , 9. p. de 

CONTRABALDÄR,, v. a. et m. (6. de jew) conli® 
(ausser. 

CONTRABALUÄRTE ‚8. m. contre-baslion : bar 
tion oppose & un autre. 

Coxtaasinpa, 5. fı (l. de bias.) conire- 
bande , barre. 

CONTRABANDEÄR, v. n. faire la contrebande. 

CONTRABANDISTA,, s. w. contrebandier : celui 
qui fait la contrebande. 

CONTRABÄNDO, 5. m. *° contrebande : chose, 
commerce ,„ introduction de choses dont la 
vente est döfendue, ou qui devraient payer des 
droits que l’on fraude. (g.) Action suspecie 
ou contre l’usage regu. it. ant. Parti coniraite. 

CONTRABARATEÄR, ©. #. expression du je4 
de trictrac. . 

CoNTRAsaTea,v. a. lirer conire une ballcrit. 

CONTRABATERIA,, 5. [. contre-batterie : ball® 
rie opposee & une aulre. 

CONTRABATIDO,. A, P. pP. de Contrabaler. 

+ ConTaasATüqurs, 8. m. pl. (i.de mar.) 
chevilles des etriers des haubans. 

+ CONXTRABUGA-DA-LANCHA , &. [. (4. de mer.) 
* cablot ä amarrer la chaluupe. 

+ Eontnasosanrosa, 8. fı (ti. de mar.) le 
second [oc d’un vaisseau. 


CON 


+Cosraasaico, 6. m. (1. de mar.) conire- 
fanon : corde amarree & la vergue; faux-bras. 
+Contnacasatido, A, adj. (t. de blas.) 
contre-chevronne : & contre-chevrons. 
CONTRACADÄSTE , 5. m. (4. de mar.) conire- 
&ambot : piece qui lie ’ötambot & la quille. 
COXTRACANBIÄDO, A, 9. p. de 
COHTRACAMBIAR, 9. a. contre-$changer. 
COXTRACAMBIO, s. m. Contre-tchange; ro- 
change. 
. Coxraackva,s. f. * conire-foss#, avant-fosst. 
Costaacgiö, s. f. contraclion : mouvement 
par lequel un corps se raccourcil; raccourcis- 
sement des nerfs. (t. de gram.) —, reduction 
de deux syliabes en une. 
+Conraaceoura, s. f. contreleltre : acie 
qui deroge & un autre acte anlerieur. 
+ Cosrascıraa, s. f. clef d’un chiffre. 
COXTRACOSTA , 8. f. cöte opposee A une autre. 
CostaacoriciDo, A,adj. (4. de blas.) qui a 
une cotice de gauche ä droite. 
Costaacräin, etc. V. Coriralar, etc. 
TCostaicrıL, adj. 2 gen. (1. d’anaf.) con- 
trsetile. On le dit d’un corps qui a la proprietö 
de se retrecir apr&savoir &i6 lire. 
+CoxraacrıLipiog, 8. f. (. d’anal.) con- 
trzcliliis : propriete qu’a un corps de se con- 


Contra acriver. V. Contractil. 

Contaacrivo, A, adj. contractil : astringent. 

ContRäcto , A, adj. contracte. On le dit ordi- 
neirement des verbes grecs dans lesquels deux 
syllabes sont röduites en une. 

CONTRACUONBAÄDO, A, P. p. de 

tComraacunnia, v. a. [rapper la monnaie 
arec un Houveau Coin. 

Cosraapinsa,s. f. contredanse : danse vivo 
altgere entre plusieurs personnes; son air. 

SONTRADANSAÄR, v. n. danser des conire- 
danses. 

TConTrabansista,, 5.2 gen. qui aiıme & dan- 
ser des contredanses. 

TCoOsTRADIÄNETRO, 8. m. (1. de geom.) con- 
Ire-dismetre : arc des abscisses opposees €ga- 
les, ayant des ordonnees pareilles. 

Contaapiccäö, s. f. contradiction : action 
de contredire , de contrarier, de contester ; op- 
position aux Opinions, aux discours; paroles 
qui l’expriment. V. Opposigdo. Espirilo de—, 
esprit eontredisant, esprit de contradiction. 
Envoleer —, impliquer contradiction. Sem— , 
establemend. Conitradicöes, pl. contra- 


tCoswraaniqug, s. m. contre-digue : double 
contre les inondalions. 
tCostaanıstınccäö, s. f. distinclion con- 
aut, ou collationnde avec une auire dejä 
ie, 


Costaanistıncuipo,, A,p. p. de 
tTCostaanıstıncoia, v. a. montrer la diffe- 
tence entre deux eboses dislinctes. 
 Conraapita,s. f. "contredit, replique; ob- 
gcüuon; deposilion contradictoire. Sem —, 
ede. sans contredit, sans diculte. 
FORTAFR. 


CON 


CoNTRADITÄDO, A, 9. p. de 

CONTRADITÄR , ©. a. contredire, reluler. 

CONTRADITO , A, 9. p. de Contradizer. 

CONTRADITOR, A, 3. contradicteur : qui o0n- 
tredit. adj. Contredisant. 

Contravırörsa, 5. f. (4. de log.) contradic- 
toire : proposition contradictoire par opposi- 
tion A une autre. 

CONTRADITÖRIAMENTE,, ado. contradictoire- 
ment : d’une maniedre contradictoire. 

CONTRADITÖRIO, A, adj. contradictoire : 6p- 
pose, qui contredit entiörement, tout & fait 
oppose. 

ConrratızepoR. V. Contradilor. 

CONTRADIZER , v. a. contredire, Contesier : 
dire le contraire ; chicaner, dementir, contra - 
rier, contre-pointer, contrecarrer. Il osı aussi 
reciproque. 

* CONTRADIZIMENTO, 8. m. V. Contradicegäo. 

T CORTRAEMBUSCADA , 5. f. ombuscade oppo- 
see A une autre. 

TCoNTRnAENMERCcENTE , adj. (4. de blas.) con- 
tre-issant : se dit des animaux adosses, dont 
la t£te et les pieds de devant sorlent d’une 
piece de l’&cu. 

+ Contrasava, s. f. (1. de bot.) dorstene & 
feuilles de berce; contrayerva. 

Contaazsciarpa,s. f. (. de fort.) conires- 
carpe : pente du mur exterieur du loss du 
cöt& de la place ; revers du glacis. 

+ConTaazschTa, 8. f. (b. de mar.) conire- 
6coute : cordage qui sert ä faciliter et & assurer 
la man@uvre des dcoutes. 

+ ConTRasscorim, s. m. (. de mar.) cordage 
qui assure les dcoutes des huniers. 

} Contnazscaıröna, 8. f. contre-elire : 
acte qui deroge & un autre. . 

+ Contaasstiı, s. m. (1. de mar.) faux etai : 
cordage qui sert & renforcer les &tais; draille. 

+ CONTRAFACTOR, s. m. contrefacteur : qui 
contrefait des livres , des &tofles, eic. 

+ Contnariıxa ow Contnaraxa, 5. f. (1. de 
blas.) contre-fasce : fasce divisde en deux. 

ConTaaraıxÄDO, A, adj. (4. de bias.) conire- 
fasce : A pidces oppos6es. 

CONTRAFAZEDOR, 3. m. Contsefaiseuf, con- 
trefacteur. 

CONTRAFAZER,, 9. a. contrefaire, copier, imi- 
ter. (Ag.) Imiter quelgu’un pour le tourner en 
ridieule. —, faire une contrefacon. 

CONTRAFAZER-SE , ©. r. 50 contrelaire. V. Fie- 
gir-se.: 

+ Conraassırco,, 5. m. enchantoment com 
traire & un autre. 

Contrartito, A, 9. p. ir. de Contrafaser. 
adj. Contrefait, difforme , mal fait, en parlant 
d’un homme; imite; falsifi6. Sorriso —, sou- 
rire force. Ter um ar —, avoir !’air emprunte. 

+ ConTRarLoRETÄDO, A, adj. (t. de blas.) 
contrefleure , contrefleuronne : & fleurs, & fleu- 
rons alternes , opposes dans les couleurs. 

CONTRAFÖRTE „s. m. ( I. de fort.) contrefort: 
mur contre-boutant,. Renlort de souliers, etc. 


337 


338 CON 


+ Contaarösso, 6. m. ( f. de fort.) conire- 
fosse : avant-fosse. 

+Corrrırbca,, s. f. (1. de mus.) contre-fu- 
kue : fague dont 1a marche est oontraire aux 
rögles &tablies; fugue renversee. 

or, e. f."rais de !aroue d’an monulin 
Asuore. 

ContnaGuinpa, 8. f. (t. de fort.) contwe- 
Garde : fortiication devant um bastion. 
or, 2.2 gen. ( 1. de danss) contre- 

® 

+ Cowraanınwöntca , adj. f. (8. de mus. ei 
d’arith.) oontre-harmonique ( proporfen) : 
comme 3, 5,8. 

OONTRanenTe , adj. 2 gen. contractsmt : qui 
eontracte. —s, Pf. 5. m. conjoints. 

°Corrasutn. V. Contrakir. 

CONTRABERVA. V. Confroervs. 

Contzanfne, A, 9. p.de 

Conrrisufa, v. a. contracter : faire oontrat, 


une convention, des dettes. — domieilie, enfer- 


midade , ‚ porentesco „ acquetrir 
domiciie, eontraeter, gagner une maladie, 
eontracter mariege, alllanoe, parent£. i$. Res- 
serrer, raccoureir, &irecir. 

CONTRABIR-BE, ©. r. 58 CBRiTBCteT, 56 Tesser- 
rer, s6 raccoureir, s’#trdeir, se retirer. (Ag.) Se 
bormer, se retrancher. 

4 +oOonraiı, =. m. drap de Courtrei (pour 
euil). 

+Cowrrsfnprcaciö, s. f. (1. de med.) oon- 
tre-Indication : indioe contraire aax prochdents, 
dans une maladie. 

Conraalnnicipo, A, ». p. de Contreindicar. 

T ConTaainpichnte, nf 2 gen. (t. de med.) 
vontraire (indice) aux precödemts dans une 
maladie. 

T Conraalnprcir,, vo. @.[t. de med.) mani- 
fester contre-Indication. 

* Conrramo. V. Conträrte. 

Contaaräes. V. Lass. 

ContuaLioa, s. f.ligue formee en opposition 
& une aufre. 

Conrairtd, T.m. (1. de mus.) haute-contre: 
voix entre la taille et je dessus ; celui qui !'a. 
Contraito : voix de basse chez une femme. 

t ContaaLiz,s. f. *contre-jour: endrolt op- 
post au grand Your; jour oppose & celui du ta- 


fContaaukıma, a. f. vontre-mallle : maifle 


da tranzeil eppeste a unesutse ımaille. 
CONTRAMALEÄDO , A, 9.p. Jo 


Ooeana 
bler les mailles, 

CONTRANANDÄDO, 5. m. conire-mandement : 
ordre contreise a celui qui a da)a 46 donme. 
=, A,P.P. de 

Conzasamanpia, v. a. eoniremander : r6vo- 
quer un ordre-donne. 

T CownrnamänGas, s. f. pl. sorte de manches 
trds-larges ei longues que portaient autrefois 
les hommes et les [emmes. 

ConTramärca, 8. f. comtre-margue : seconde 
marque & un ballot, etc.; sevond billet de spoo- 








‚©. a. comtre-malller : dou- 


tacle ponr sortir ot rentrer; muargue afoutde ä 
une medaille. 

Cowrrauancie0, A, pP. p. de 

Contrauancie, 0. 8. ventre-Mharguer: meine 
une conire-marque. 

Conraauineni, e. f. ( l. wii.) eontre-mer- 
che : marche d’une armee oontraire & celle 
qu’elle paraissalt vowleir faire ; dvetution mili- 
tsire par iaquelle une oulonne passe de l’ordre 
direct & l’ordre inverse,, ei vice versd. 

+ Conrnauancuir, 0. ». röirograder, faire 
une contre-marche. 

+Cowraauan, s. f. contre-marde : merte 
opposee & la mar&e erdinaire. 

CONTRAMESTRE, 3. m. (#. de mer.) contre 
mattre : officier marinier qui commande sous 
le maltre ; celui qui dirige et surveille les ou 
vriers dans les grandes manufsectures. 

Contrauezrtna, 8. f. (1. de mar.) ie mät qui 
est aupreös de la poupe. 

CoONnTRamina, s. f. (6. de fort.) oontre-mme: 
mine pour en €venter uno autre ; mine sous l#s 
bestions pour faire sauter los assiögeents. (1.) 
* Artiice pour detreire un autre, ou pour de- 
jouer ses projets. ’ 

CONTRANINADO, A, P. P. de Confreminar. 

CONTRANIRABOR,, 8. m. contre-arineor : celei 
qui fait des contre-mines. 

Contramnin, ©. @. ( $. de fort.) contre- 
miner : faire des contre-mmes. (fig.) S'opposer 
aux mentes, aux intrigues de queiqu’un,, eu 
empecher le suceds. 

Contaamupaci6. V. Trdea. 

Contnauuaipo, A,P.p. de Conframurer. 

Oonrnamuaiıma, 8. f. "contre-mur : muf 
d’sppui, bäti contre un autre pour le forlißier, 
le conserver. 

+ Conrrauuria, 0. @. oontre-+murer : forti- 
fier par un conire-mur. 

CORTRANURO, 8. m. V. Contramuralke. 

+ ConrranaroriL, adj- 2 gen. contraire ä la 
nature, contre nature. 

T CONTRaNATURALIDADE, 8. f. qualitö oppo- 
ste & la nature. 

} Contranıttnaa, s. [.(e. de phys.) rtar- 
tion , force r&pulsive, 

CONTRANITenTE, adj. 2 gen. qui viellorce 
oontre, qui resiste. 

CONTRAÖöRDEN, 3. f. “ oontre-ordre: rerocation 
d’un ordre ; contremandement. 

CONTRAORDENAR , etc. V. Confremandar, elC- 

+ Contnarins, 8. f. (1. de bias.) "contre pal: 
pal divis6 en deux. 

ContaaraLinpo, A, adj. (6. de Bias.; contte- 
pale : avec los pals oppos#s. 

CONTRAPARENTE ‚5. 2 gen. parent par affimiik. 

ConTRarassiDO, A, pP. p. de Contrapassar. 

+ CoNTRAPASsamEnTo, 3. m. (4. de bie.) 


1 etat de deux animaux contre-passants. 


Contaarassinte, adj. 2 gen. (1. de bias.) 
contre-passant : Tun au-dessus de Pautre, A 
ietes © ‚en parianı de deux animaur. 

+Contaa-rassin, v.w. (£. de bias.) conut- 
passer. On le dit de deax amimaux qui #* 


CON 
treaven! Fan eontre l’autre avec les Lätes op- 
posees 


Coyraspisso, s. m. sorte de danse ou de pas 
de danse. 

COXTRAPECONHA, 8. f. V. Contraveneno. 

CosTzAPfLLO, 8. m. conire-poil : le rebours, 
ksens contraire du poil. A—, adv. & contre- 
peil : en sens contraire du poil. 

Costkapssino, A, 9. p. de 

COxTnarEsir, 9. @. contrepeser, conire-ba- 
lancer, servir de cos. repoids. (fg.) Balancer, 
tontrebalaneer, &galır une chose avec une 
autre. 

Corrzartso, s. m. contrepoids : polde qui en 
eontrebalance d’autres. ° Rejoufissance: hasse 
viande, os que l’acheteur est obligede prendre 
arec la bonne et au meme prix. (lg.) —, qua- 
Bis qui sertä en contrebalancer une autee. 

tCoxraurfste, s. m. remöde, antidote con- 
tze la pesie. 

fOosraurıListea, 8. f. (f. d’arch.) eontre- 
Kastre: pilastre devant un pilastre engag6. 

(saraırontino, A, adj. (f. de blas.) contre- 
point: : qui a pointe contre pointe. 

Costasronteipo, A,P. p. de 

Cosrsaronıein, 0.» (4. de mus.) faire le 
penlre-point. 

Contasrontista,, 8. m. contre-pointiste : 
ompositeur de contre-point. 

Costaapöxto, 3. m. (1. de mus.) eonire- 
Pisi:accord de chanıs differents ; art de com- 
biner des chants Jivers qui neanmoins mar- 
cheni d’sccord entre eux. 

(oataırön (0), v. a. meltre deux choses en 
position pour les comparer. (fig.) Confronter, 
@mparer, refuter. 

ÜORTRAPöR-SE, ©. r. 8’opposer, resister. 

Gsrasrosıckö, s. f. l’aelion de mettre deux 
ehoses en opposilion pour les comparer. (fig.) 

idon, resistance, röpugnance. "Contrasto: 
üßtrence de caractöres, de senliments, etc. 

Grtaarösta. V. Contraposigds. 

Coxrasrösto, A, p.p. de Contraper. adj. 
Opposs. (1.de bias.) Contre-pose : pose dans 
an sens different, 

f Contaarnopucenten (1. de prat.) Mot Jatin 

ton se sert pour dire que ce qu’une 
wmne allägue ou cite est pröcisement je con- 
kaire de co qu’elle vent prouver. 

Conrasraöva, 3. f. (1. de prat.) preuve don- 
nee & Pimpugnalion de P’auleur; preuve de la 
Immei& de Yalltgation de V’adversaire. (1. 
deris) Contrespreuve : estampe, dessin tire 
Kr une estampe fraichement imprimee, sur 
un dessin, Seconde epreuve. 

ÜOXTRAPROYADO, A, P. p. de 

TTRAPROYÄR, ©. 0. contre-$preuver : lirer 
Paria pression une &preure d’un dessin, d’une 
Pirare [raichement imprimee. 

(orrzuPöuno, s. m. (1. de mer.) cäble atta- 
"tt dla pointe de la grande volle, Pour assurer 
\amure; palan d’amure. 


ER ORTRAgTAR TEL ‚3. m. (4. de blas.) contre- 


CON 39 


+ ContnaquaarsLino, a, adj. (I. de bias.) 
contre-tcarteld. 

+ Contragriıma, 6. f. (l.de mar.) conire- 
quille : longue pides de hois «gals ei oppasde 
& la quilie ; fausse quille, 

Coxraanincno, 5. m. * hands, pertl opposs. 

+ Conrnanaueinre, ad). 2 gen. (1. de bias.) - 
contre-rempent : rampani (acs ä [a0e, 

+ Conraazerino, s, m. (f. de fort.) seconde 
defense afeutte & la premidre. 

fComraanterica, s. [. dupligue : röpense, 
röplique & des röpliques, 

t CowrzanevoLocio,s.f. eontge-revolulion: 
retour au gouverasment ditruit, suspends par 
une rörolution. 

+ CONTAAREVBLUCIONAR , 9.6, Eonira-TEvolir 
tionner : operer une contre-revplution. 

} COWrRAREVOLDCIONARIO, A, dj. ennire- 
rövelutionnalre, s.m.—, parlisan d’une eonire- 
revolution. 

ContnanıiD0, 4,P. p. de Conirariar. 

CORTRARIADOR, A, 3. contsariant, qui 808- 
trarie, 

Conrrinıamente, adv. & l’oppens, en san8 
contraire. 

Conrrausin, vo. s. oonWarier:; refater, V. 
Contradizer, Impugnar. 

CONTRARIÄR-SE, v.P. 60 somtredire ; se dedire, 

CONTRARIEBÄDE,, 8. f. eontrariöts : DPPosi- 
tion entre des choses contraires ; obstacle ; ein» 
p6chement , dificulte dens la poursuile d’uns 
ohese, dans une en 

CONTRÄRIO, 3. m. ennemi, anlagoniste ; ad- 
verseire, competilenr, eoncurrent, partie ad- 
vorse. adj. Contwaire, oppest. (g.) —, aui- 
sible. Ao —, pels — , adv. au esulrsire. Do —, 
autrement. Em —, contre, en oppositiom. 

CONTRAROLDA ou ContassonaA. V. Sobre- 
rolda,, ete. 

CONTRAROTÜRA, 8. f. (4. de ehir.) ruplere, 
bernie opposede & une autre. 

T CoONTRARROBA-Bu-rRöA, 8. f. (I. demar.) 
contre-tirave interieure,fausse Airare. — do 
poppe, (aux dtambord. 

CONTRASCARPA. V. Conlrasscarpa. 

CONTRASCHEDULA OG-LONT BRA0SDULA. V. Con- 
Wraceduls 


CONTRASELLÄDO, A, P. 9. de 

CONTRAGELLÄR , 9.4. :0ppeser 
le contre-scel. 

Co#TRAastLLO , 6. m, sonire-scel< Bell SOORU 
sur le tiret, ä cöl& du groud. 

Contaastnua, e. f.” not de reiliemnemt , ruot 
du guet. Contremargus de iheäire. 

ContassiniL, se. m. V. Cosirastahe, det, 
pl. (Ag.) dtssimmwiation, feinies, dögmisemcnis, 

CoutRAsTine, 1, pP. p. de Contensidr. 

+ CONTRASTÄNTE,, adj. 2 gen. coniteniami, 
rösistant. p. a. de . 

Conrrasrin, ©, G. S'OPPOSEr, TERislor, RORr 
tredire, tenir iele, reprimer ; conlester, FClu- 
ter, disputer. Contr6ler : faire meiize une MAr- 
que sur les ouvrages d’er et d’argent, en reriller 
lo poids et ie dtge, 


340 CON 


CONTRASTÄR , U. #. r&pugüner, SUpposer, So 
contrecarrer. (1. de peint. et de pods.) Con- 
traster , faire un conlrasie. — com os perigos, 
affronter, braver les dangers. 

CoNTRÄSTE, 8. m. contröleur de matidres 
d’or et d’argent. Contröle : dreit, office du 
contröleur, son bureau. (Ag.) Bon juge, cen- 
seur litteraire. Ser —, (fig.) @ire connaisseur. 
Contraste : difference, opposition entre le ca- 
ractere des figures, ou entre leurs atlitudes, 
entre les parties d’une meme figure, ou entre 
les couleurs. C’est un terme de peinture et de 
sculplure. (fig.) Debat, contestalion , opposi- 
ion, cuntraste. (inus.) Obstecle, embarras. — 
de vento, (t. de mar.) changement subit de 
vent, tequel devient tout & coup contraire. — 
de mar, (id.) clapolage. 

Contaastean. V. Conirastar, Aquilalar. 

+ Conträra, s.f. °contrat, engagement, obli- 
gation par Ecrit, surtout de musiciens, d’ac- 
teurs, etc. Musico de — , musicien gagiste. 

Contaataciö,s. f. V. Conirato, Negocio. 

CONTRATÄDO, A, 9. p. de Coniralar. 

CONTRATADOR, s. m. contractant; traitant, 
fermier general ; commergant, marchand. 

COXTRATÄNTE, adj. 2 gen. contraclant : qui 
contracte. Ii n’est usite qu’en diplomaue. V. 
Contrakente ou Contralador. 

CONTRATÄR, v. a. conlracler : faire des con- 
trats. V. Contrahir. vo. ». Commercer, traß- 
quer, faire la commerce. — em vinhos, em 

„apucar, etc., [sire le commerce des vins, du 
sucre, eic. 

CONTRATENPO, 5. m. contre-lemps, obstacle, 
traverse, accident imprevu, malheur, revers. 
adv. llors de saıson, A contre-tiemps, mal & 
propos. 

CONTRÄTO, 5. m. conlrat, pacie, traile; con- 
vention notariee. — real, ferme generale. —, 
os carlade afreiamenio, charte parlie, con- 
trat d’affretiement. 

* Coxtaautan, etc. V. Confralar. 

ContaavaLLacäö, s. f. (l. de fort.) conire- 
vallation : lignes contre les sorties des assie- 
ges. 

CONTRAVALLADO, A, 9. p. de 

CONTRAYALLÄR, U. 0. (l. de fort.) (aire une 
eontsevallation. 

CoNTRAvRınÄDo , A, adj. (4. de blas.) conire- 
vair6 : & vairs opposes. 

+Contaavkıno, a. m. (4. de bias.) contre- 
vair : piöce & vairs opposes. 

+ Conraavenciö, s. f. contravention : in- 
fraction & une loi, un contrat, un arret, elc. 
CONTRAVENERO, 5. mM. Cconire-poison : anli- 
dote,, remede qui detruit l’effet du poison. 
CONTRAYERIENTE, 4. m. Conirevenant, qui 
oontrevient. 
CONTRAVENTO, 8. m. (i. de mar.) le dessus 
du vent; vent contraire; (fg.) contre-temps. 
—t , pl. (t. de charp.) contrevents : piece de 
bois qui soutient le grand comble. 
CoOXTRAvEnton. V. Infractor. 
CONTRAYERGENTE. V. Conrergente. 


CON 


CONTRAVERSÄO, 5. f. version conirelaile, 
infldele. 

TContaavEatea, v.@. tourner dans un sens 
Contraire, une direction opposee. (fig.) Ren- 
verser, bouleverser. 

TContravinräga, s.f. "contre-chässis:chäs- 
sis devant un autre. 

CONTRAYinDO, A,p.p. de 

CONTRAViR (a), ©. #8. contrevenir : agir eon- 
tre une loi, un contrat, une obligation con- 
traclee. 

° FT Contaecraciö, 8. f. (l.de pral.) "vol. 

* GoNTRECTAR, V. Furtar. 

* ConTReıto. V. Maltratado, Tolkide. 

Costrisuicäö, s. f. contribution : paiement 
que chacun fait de sa part d’une imposition, 
ou d’une depense commune; quote-part; im- 
pois annuels. 

CoxtaısVino, A,p.p. de Contribuir. 

Contaisuinor, 8. m. celui qui contribuc & 
quelque chose. 

+ CoNnTRısuinTE , adj. et 8.2 gen. contribua- 
ble : qui doit contribuer, qui contribue aut 
imposilions, aux depenses communes. 

Coxtaistia (a, para, com), contribuer : ai- 
der & l’execution, au succds d’un dessein, 
d’une entreprise, y avoir part; payer les con- 
tributions, les laxes, etc.; concourir a une de- 
pense commune. Cooperer. 

+ EOnTRınUTärto, A, adj. contributaire:: qui 
paie sa part d’un tribut, d’un imp6öt, etc. 

fContaızurivo, A, adj. contributif : de la 
contribution, qui contribue. 

Coxraiciö, s. f. contrition : regret d’avoir 
offense Dieu, douleur du repentr, du remords 
des peches par amour de Dieu. 

* CONTRısTagäd. V. Affliepdo. 

CONTRISTADO, A, A. 9. de Contristar. 

CoNTRIstanör, A, adj. et 5. qui contrisie; 
aflligeant, desolant. 

CONTRISTÄR, ©. a. contrister, attrister, deso- 
ler, affliger, fäcber. . 

ConTaito, Aa, adj. contrit : qui a de la con- 
trition. 

CONTROVERSIA , 8. f. controverse : debat; dis 
pule, contestation sur des questions relalires 
& la foi; polemique. 

CONTROVERSISTA, 8. 9. controversiste : qui 
traite des malieres de controverse; qui s’0c- 
cupe de controverse; qui ecrit des coniro- 
verses. 

CONTROV£RSO, A, adj. controverse : discul£, 
contest£,, dispute. 

CONTROVERTER, v. a. debattre une maliere; 
disputer sur quelque matliere douteuse. 

CONTROVERTIDO,, A, p. pP. de Controter- 
ter. 

TCOoNnTRovERTivEL, adj. 2 gen. contestable: 
qui peut ötre contest, Controverse. 

7 CoONTUs&anıo, s. m. "habitation en compa- 
gnie d’une auıre personne. * Cohabitation illi- 
cite. 

Contumicıa, 3. f. Opiniätrets ; eniölement, 


obslination. (#. de pra#.) Contumace: relus, 


2 2. 








GON 


CON 341 


deiast de röpomdre en Justice sur unc impula- | Agre. s. m. —, membhre de la Convention ‚en 


ion de crime. 
ÜORTUMACISSIMO, A, adj. sup. de 


France). 
+ CONVENRCIONALMENTE , ade. convenlionnel- 


Coxrumiz , adj. 2 gen. opiniätre, entelö. s. | lement: sous ou par convention. 


m. \i.de pra$.) Contumace ou conlumax : Ac- 
euse qui ne comparalt point sur la citalion. 

COsTcHÄzMÄNTE , adv. opiniätrement, obsti- 
nment. (1. de pral.) Par contumace. 

Costuntiia, 8. f. contumelie: outrage; in- 
salte , affront. 

CORTUM&LIOSAMENTE,, adv. conlumclieuse- 
ment: avec outrage; injurieusement, avec 
afront. 

ContuntLı6so, A, adj. contumdlieux : qui 
eonlient un oulrage; injurieux, insultant. 

+ Cosremdänte ‚adj. 2 gen. contondant: qui 
blesse par contusion. 

N CoxtexBiDO,, A, pP. p. de 

Costexoik, v. a. broyer, piler, froisser, 
meurtrir. 

tCoysunsackö, s. f. inquiötudo, trouble, 
ägilation. 

Conttasipo, A,P. p. de 

Costuasir, dv. a. troubler, inquidter, agiter, 
effrayer. 

CONTCRBAR-SE ,„ v. r. perdre la töle, &prouver 
an grand trouble. 

TCORTORBATIVO, A, adj. quı trouble, qui 
aite , alarmant. 

Coxrösiö, s. f. contusion, meurtrissure, 

Coxttso, a, p- pP. irreg. de Contundir. adj. 
ei s. Contas : meuriri, froisse, sans entamure, 
par un eoup. 

Coxsorörn, 3. m. Co-tuleur : tuleur avec u 
autre, 

ÜORTALECENGA. 

Cosy Auecen ec. } V. Convalesc..., etc. 

ConvaLzscknga, 3. f. convalescence : pas- 
sıge de la maladie & la sante; &tat du conva- 
lescent. Höpital pour les convalescents. 

CONVALBSCHNTE, adj. el 5. 2 gen. Conva- 
lescent: qui releve de maladie et retourne ä la 
sante, j 

COXTALESCER , ©. 9. enirer, &lre en Couva- 
lescence. 

CONTALESCIDO, A , P. P. de Convalsscer. 

Cosvaıan. V. Lirio-Conwalle. 

ConvYaLLEsS, 8. m. pl. vallons entourds de 
tellines. 

"Couvreuca. V. Convengdo. 

tCosvzıLız,v.a. V. Arrancar, Desarrei- 
per. 


tConvinciö, s. f. convention, accord; 
Pacts de deux ou plusieurs personnes ; co dont 
va oonvient. —, assembiee de representanis de 
la nation (en France), de 1702 & 1795. 

Convaxcta (de), v. a. convainere : röduire 
Mt le raisonnement, par des preuves &vi- 
dentes. —, confondre. Il est aussi reciproque. 

CONYEncino, A, P. p. de Convencer. 

* ConvEnciuknto, s. m. V. Convicgdo. 

Coxrsucıonär, adj.2 gen. conventionnel : de 
emreation, qui suppose la convention de gre 


CONYENCIONADO, A, P. p. de 

CONYENCIONÄR, vd. 6. stipuler, convenir de. 

T ConvenciveL, adj. 2 gen. qui peut @irc 
convaincu. 

* CONYBNENGA, V. Convengdö. 

* CONVENENTE. V. Estipulantie. 

CONVENIENCIA ‚8. f. convenance , commodit& > 
utilite, interät, proßt; rapport, relation, coh- 
formits , accord. 

CoONnvEnIENcı080. V. Interesseiro. 

CONVENIENTE, adj. 2 gen. convenable, son- 
gruent, ulile, avantageux, propre, sortable. 

CONYENIENTEMENTE, adv. convenablement. 
d’une mapiedre convenable ; utilemenk 

CONYENIENTISSIMO, A, adj. sup. de Comve- 
niente. 

+ Convenıo, s. m. *oonvention, conizat, 
pacte, arrangement, accommodement. 

CONYENTICULÄR ‚ adj. 2 gen. de conventicule:: 
illegal, illicite. 

CONVENTICULO, 3. m. conventicule : petite 
assembite ; assemblee secröte et illicite. 

CONVENTIinHO, 8. m. dim. de 

CONVENTO, 8. m. couvent, monastere : mai- 
son, communauts de religieux ou de reli- 
gieuses. * Assembide de personnes qui gouver- 
nent ensemble. — juridico, tribunal chez les 
aneiens Romains pour l’administration de la 
Justice. — de capuchinhos, * capuciniere. 

CONVENTUÄL, adj. 2 gen. conventuel : du 
couvent; qui appartient au couvent; compos& 
de toute la communaule. Missa —, grand’ 
messe , messe paroissiale. 

CONVENTUÄL, 3. m. conventuel : moine qui a 
fixe sa residence, qui demeure habituellement 
dans un couvent. —, religieux de l’ordre de 
saint Frangois qui peut possöder des biens. 

CONYENTUALIDADE, 5. f. conventualits : 6tat 
d’un couvent oü l’on vit sous une rögle; desti- 
nation d’un moine & un couvenl, 

CONVENTUALMENTE, adv. conventuellement : 
en communauts, et selon les rögles du cou- 
vent. 

Convensäncıa, 8. f. (tl. de malh.) conver- 
gence : ötat, position dos lignes, des rayons, 
qui vont concourir en un point. 

CONVERGENTES, adj. 2 gen. pl. (1. de malk.) 
convergentes (lignes, eic.), qui convergent, 
tendent au meme point. 

CONVERGER, v.n. (1. de math.) converger : se 
rapprocher, tendre & se reunir en un point. 

CONVERGIDO, A, p. p. de Converger. 

Coxvensa, 8. f. V. Conversagdö. it. Saut 
converse. 

Conversacäö, 8. f. conversation, discours, 
devis, entrelien familier. * Commerce, com- 
munication, frequentalion. 

CONVERSÄDO ‚A, p. p. de Conversar. 

CONVERSADOR, 3. M. CAUSCUF : Qui aime ä 
causer, 


342 CON 


Convensänzt, adj. 2 gen. conversant, qui 
converse, qui cause. 

Convsnsiö, s. f. conversion, trensmutation, 
cbangement de forme; ohangement de mamurs, 
d’etat avec amdlloration. (8. mil.) —-, moure- 
ment qu’ex6oule une Lroupe, N’une des alles 
servant de pirvot. 

CoNvERSÄR (COM, em), v. #0. converser : B’EN- 
tretenir familidrement ; eauser. Vivre, habiter, 
demeurer ave6 quelqu’un (anf.). 11 est quel- 
quefols aotif, et signifie fr&quenter, lier amitie 
(ordinairemens illieite),, aujourd’hui inusite. 

CONVERSATIVO, A , adj. V. Conversavel. 

ConvensäveL, adj. 2 gen. conversable : 
agreab!s dans ja oonversationz; traltable, so- 
ciable, doux, d’an bon oommerce. Communi- 
cable. 

+ ConVERsivEL, adj. 2 gew. vonversible : qui 
peut #tre converti. 

+ Convensivo, a, adj. quia la vertu de oon- 
vertir, de transmuer. ° 

Convänso, A, adj, oonvarti. On le dii des 
Maures et des juifs qui out embrasse la religion 
eatholique. 

Conv£nso , s. m. fröre convers, lal. 

CONVERTEDOR , 8. m. converlisseur, qui con- 
vertit. 

Convaarün (0m), 9. @. Oonveriir, transınuer, 


transformer : changer une chone etı une autte. | 


—- , faire changer sa croyance, de sentiments 
et de maurs, de mal en bien. —, donner une 
difförente destination, resoudre. V. Volver, 
Dirigir. 

CONvEnTen-sE, d. r. so Oonvertir : changer 
de croyance, elc.; devenir, so rösoudra; se 
tourner, s’adresser (ani.), —a Dsos , falre un 
retour & Dieu. 

+ Convaarivas, 3. f. pl. fommes enfermees 
dans un couvent par pönitence. 

Conveartido, A,p. pP. de Oonverter. adj. Con- 
verti & la foi. (Ag.) Unanime en sentimenis. 

CONVERTIMRNTO , 8. m. V. Conversäo. 

Convsativer, adj. 2 gen. oonvertible : qui 
peut &tre converli , change. 

Convexıck0,s. f. V. Vexame, Oppressäo. 

Convexınände , 8. f. convexite ı rondeur, 
courbure exterieure d’un Corps convexe. 

Convtxo, A, adj. convexe ı courb6 et ar- 
zondi & l’exterieur ; l’opposd de concave. 

Convkz ow Convis, s. m. (. de mar.) pont 
d’un navire; coursive. 

Convicckö,s. f. conviction : preuve dvidente 
d’un fait, d’une verite, son eflet sur Posprit; 
&tat de repos de l’esprit convaincu par la 
preuve. 

Coxvicto, 8. m. “Injure, outrage, affront; 
vacarme. 

+ Convıcıdso, 4, adj. injurieux,, qul contient 
outrage,, affront. 

°Conviıcro,s.m. V. Trato, Vivenda. 

Convicto, a, p. p. irr. de Conventer.V.Con- 
vencido, 

+ Convicröro , s. m. pensionnat : lleu babite 
par les &löves pensionnaires des jesuiles. 


CON 


't Convicronista, 0. m. pentionnsite, the 
les jesuites. 

CoxvıpinO, A, 9. pP. de Convider. ad), I- 
vite. s. m. Convie, oonvive. 

Convınanor, A, 3. eeiul qui Invite, qei aime 
& inviter. 

+ Coxvipinre , p. p. de Conotder. s. m.Cen- 
viant, qui convie. 

Cosvivan (4, para), vo. a. inriter, cönrier, 
prier, engager. (Ag.) Exciter, porter &.-algurs 
com algums tousa , olfrir, donner queique 
ohose & quelgu’un. 

Convipän-se (a, para), e. r.s’olleir, flar- 
sr soi-meme. 

+ Canvincknte, adf. ? gen. oonvalacant: gei 
a la force de convaincre. 

Coxvinodo, A, p.'p. de Coweir. V. Afusiade, 
Cone . 

* ConvınnavaL. V. Convenienle. 

* CONYINHAVELMENTE. V. Razosdemonie. 

Convin (com, em), eo. n. convenir : demen- 
rer d’accord, s’accorder. S’assembler, se tet- 
dre avec d’autres. (ant.)—, arouer, donner 
son adhesion. (a) Convenir A : dire oonforme, 
avoir du rapport; @ire sorlable, convenable, 
@tre propre &. Appartenir ( p. us.). —, &ireeı- 
pediont, & propos; importer. Convem 8... 
Il est bon que... 

Convin-S£, ©. r. convenir, warranger, $% 
juster, s’accorder, s’accommoder: 

Contirz,s.m. *invitation. Feeiin, repes, 
banquet, fete. 

ConvıväL, adj. 2 gen. de festin, de bangurl. 

+ Convıramcıa, s. f. soelöte de personnes 
qui vivent ensemble. \%g.) Familiart. 

CoNvıvEnTK „adj. 2 gen. aveo qui Fon ril; 
sociable. . 

Conviıven (0m), v. %. faire societs are,Yı 
vre enseinble; avoir familiarile avec quelqu'ut. 

Coxvivıo. V. Convite, Banquele. 

+ Convızinuo, A, adj. contigu, proobe, 00% 
Anant. 

Convocacäd,s. f. convocalion : aclion de 
convoyuer. . 

Convocino, A, p. p. de Convocer. 
„Convocanör, a ,s. velui qui convoque. 

Coxvocän, ®. 6. convoquer, appeler, fire 
assembler. , 

+ Convocatörıa, s. f. lelire de convocatiol. 

CONVOocATöRIO, A, adj. qui eonvogue, Qi! 
intime oonvooation. . 

ConvoLito, a. V. Enrolado, Envolvide. 

Convuısäö, s. f. convulsion ı mouvemen! 
violent et foro6, irregulier, contraclion art 
socousse involontaire des muscle. 

CONYuLsÄR , 0. 6. Gauser une oonvulsioß. 

CONVULSÄR-aR, 9. r. se convulser : sagliet 
copvulsivement. , 

ConvuLsıonänıo , A, adj. oonvulsionnaift! 
quia des convulsions. —, pl. ou C; 
nistas, convulsionnaires : fanaliques du dis- 
septiöme sidcle qui se montraient en 4tst de 
convulsion. j 

CoxvoLsivo, a, adj. comvuisif : qui se fall 


arce convalsien ( Reuvennent) ; qui ddnete des 
conralsiens oala)s qui en doune (liqueur, 
eie.). 
Gomiıse, A, adj. osmvuls6 ı altaqus de 
penvuisions. 
"Coosona. V. Coima. 
"Coous ‚s. f. moroeas gras. V. Ndeo. 
Cooranıcid, s. f. onoptratien : action de 
eperer. 


ec queiqu'un. Collaberateur. 


ou ), u. = 


Oöoperer : opörer conjointernent avao quel- 
7 


Coorzalnıe. V. Cooperader. 
tiwersasrivo, A, adj. qui cooopdre, qui 


peak cooptrer. 
'Coorsardaa. V. Cobertäre. 

*"Cooresıren. V. Concurrense, Rival. 

+leoeraci6, 8 f. cooptatien : aclion d’» 
iger, d’associer ; admissien extraordinaire 
dans ın corps avoo dispense. 

"Oa_V.Cör. 

Cooaumaci6, 8. f. "ardre, arrangement. 

TOonsızinas, . f. pl. (1. de math.) coor- 
denndes : es abscisses el les ordonndes d’une 
coerbe. 

Coonmino ,A,p.p. de 

Coonsmmir, ®. @. ordonner, arranger, FaR- 
ter. Gordenner : oombiner Parrangement, los 
rapports , la disposition. 

Corı, s. f. coupe : sorte de lasse ou de vase 
pear beire. ° Buffet, armoire pour la vaisselle et 
le inge de table. — do broguel, milieu salllant 
d’un beuclier. — do chapfo, forme d’an cha- 
peau. — dung ervors,, toufle, Wöte, oime d’un 
arbre. 

Coripa, s. [. plein vorre. 

‚Coraptssıuo, a, adj. sup. de 

Coripo, a, adj. touflu , pais, bien garni, 
er serlant des arbres. 

°Corın6a. V. Cabelleireiro. 

Corıtsa, 3. f. (1.de bot.) " copahu : baume du 

‚beame de copalba. 

Coraıveıa ow Coraisa, 8. f. (8. de bo8.) co- 
mibı ou copaler : arbre da Peron et da Bre- 
si: denne le bauıme de copahu. 

tCoräsa, s. m. (t. de bot.) copaja : bignone 
«lG Guiane. 

Grir,s. f.* copal ow copalle : gomme d’un 
grand arbre de PAmedrique meridionale. 

tCorariaa, s. f. (1. de bot.) oopaline : r&sine 
de Iiquidambar d’Amerique. 

tGorıLmo, s. m. (t. de bof.) copalme : liqui- 
dımber d’Ametrique. 

ttoriLxo, s. m. (#.de bot.) copalxocelli : 
are de la Nouvelle-Espagne. 

rat, v. e. arrondir les arbres, les tailler 

es tete. — os enbellos , peigner les cheveux, les 
talraichip. 

WriRsE, 9. f, (a arvore) devenirtouffu, 


GOP 113 


en parlant d’un ashre. Copou-se ben osla laram- 
geire, cet oranger fait bien sa Löte. 

Chris, s. f. pl. "omur :ı uno des qualre cou- 
leurs d’un jeu de oertes, 

Coraüsa. V. Copaibe. 

+Corizıo, s. m. (1. buri.) grand verre, wand 
verre plein. 

Copazs ow Cortis, pl. V. Copel. 

Corkına ,s. f." buffet, armoire pour Fargen- 
terie,, je linge , ete. 

Corgıno ‚3. m. echanson : celui qui est charge 
de servir & boire, qui est obargs da buffer. — 
mör do rei, grand 6chanson, grand beutillier, 
archi-Schanson. 

Corkıin0, A, pP. p. de par. 

+ COPEJADOR, s. m. p£cheur qui harpenne, 
harponneur. 

Corzsin, v. a. (6. de psehe) harponner le 
thon , la baleine. 

*Cor£L, s. m. osp&oe de sac dans un Alet 
pour recevoir le . 

CortLua os | coupelle: vase faltde cendres 

Cortıra, s. f.) pour purifler les meötauı. 

+ Corerricäd, 8. f. coupellation : action de 
purißler les metaux & la coupelle. 

+ CorzıLino,a,p9.p9.de 

+ CoreıLia, 9. a. ooupeler, essayer (For), 
passer & la coupelle. 

f CorErnıckno, A , adj. oopernieien : de Os- 
pernic (sysi&me, ete.). s. m. —, partisan du 
systeme de Copernie. 

+ Corännıco , s. m. Copernio : oelöbre astre- 
nome prussien. (#. d’asir.) —, tache dans la 
lane; instrument pour ealeuler le mouvoment 
des astres selon lo sysiöme de Copernio. 

Cortre, s.m. toupet. V. Topeie. — da sspöra, 
branche de l’&peron. 

t Corsgr, s. m. copey : arbre des Indes. 

Corura , etc. V. Copto ‚ete. 

Cörıa , s. f. abondance , grande quantite. 
Copie : &orit fait d’apres un aulre; transcrit 
d’un autre; imitation d’un tableau original, 
d’une statue. Haver ou ter — de confessor, 
svoir un confesseur quand on on a besein. 
Dar — de si, (Ag.) se faire voir, se monlrerz 
recevoir en audience. 

Coruino, A, p. p. de Coplär. 

CoPIADOR , m. "copiant, qui oople. V. Co- 
pista. it. Livre des eopies des letires. 

"+Coriir, s. m. (6. dw Bresil) enir6e dures 
de-chaussede. 

Corıir, v. a. copier, transcrire, falre une 
copie, en general. (Ag.) Imiter les actions, le 
style, etc. — müsica, copier: noter de la mu- 
sique d’aprös un original. — do natural, do 
anligo, cupier d’apres nature, Hapres Panti- 

ue. 
T, Cormörranos, ». et adj. m. pl. Ü E'hist. 
nal.) copidoptäres : genre d’olseaux qui ont les 
ailes en forme de sabre. 

CorıLaciö. V. Compilagdo,, Recopilapdd. 

CorrLapon, V. Compilador, Recopiledor. 

Corı.ia. V. Compilar. 

Corinnuo, a. m. Jim. de Cöpe, 

° 


A COR 


Cömto, s. m. ( I. de pöche\ sorte de Rilet träs- 

is. 

Corıösameute, adv. copieusemen!, abon- 
damment. Chover —, pleuvoir ä verse,' 

Copıosipäne, s. f. grande abondance. 

COPIOSISSIMO , A, adj. sup. de 

Corıös0, A, adj. copieux , abondant. 

CoPista, s. m. copisie: qui copıe, qui en fait 
son melier; qui imile. — de musica, noteur: 
celui qui note de ia musique. (#. burl.) Bu- 
vour. 

Cörza, s. f. "couplet de chanson, strophe 
d’ode,, elc. 

Cop.azinHa, s. f. dim. de Copla. 

+ CopLista, s. m. faiseur de couplets, chan- 
sonnier. 

Cöro,s. m. verre A boire, gobelet; co qu’il 
eontient. it. de p&che) La partie la plus grosse 
ou la plus spaisse d’un filet pour p&cher. Cor- 
net: pelit vase de corne ou d'Ivoire oü l’on re- 
mue les des. (Ag., Flocon de neige. —s de 
espada , garde de l'epee. (anf.) Quenouille : lin, 
laine dont une quenouille est charg6e. Pouco = 
pouco ha a velha 0 —, (prov.) V. Pouco. 

+ CoroLinas, adj. f. pl. (Folhas —, ı. de bot.) 
en forme de coupe, de tasse (feuilles). 

Coroziuno. V. Copinko. 

° Cöpra. V. Cöpla. it. (1. d’Eikiopie) moolle 
de la noiz du 00c0. 

Copriö,s. m. V. Gualdräpa. 

* COPRAR 0% COPREJIAR, ©. m. [aire, chanler, 
röciter des couplels. 

° Corainna. V. GCoplasinhe. 

+ Coraörnacos, 5. m. pl. (1. d’hist. nal.) c0- 
prophages : coldoptäres, pentamöres. 

COPROPRIETÄRIO, 3. m. Co-proprietaire : qui 
possöde par indivis (une maison, elo.) Aveo 
un autre ou avec plusieurs aulres. 

CöPTIco ow CÖPBTICO, A, adj. coplique om 
cophtique : des Coples. 

Cöptp, s. m. Cophte ou Copte: chretien jaco- 
bite ou eutycheen; ancienno langue d’Egypte. 

Cörura, s. f. liaison, lien. *Coit, accouple- 
ment, auvre de la chair, copulation charnelle. 
(4. de log.) Copule : mot qui joint l’attribut au 
sujet (est). 

+ Coru.ino, A, 9. p. de 

+ CoruLaa, v. 6. (inus.) joindre, unir, lier, 
allacher. v. #9. ou —-se, v. r. S’unir charnelle- 
ment, s’accoupler pour la generation. 

CopuLariva, adj. eis. f. (4. de gram.) copu- 
lative (conjonction). 

CoruLarivo, a, adj. copulatil. qui lie les 
mols; qui unit. 

Cöqug , s. m. " taloche, tape. 

Cogusipa. V. Cuquidda. 

+ Coqutıriu, 3. m. lieu plant& de cocoliers. 

+ Coausıno, s. m. (4. de bot.) cocotier : arbre 
qui produit le coco ; esp&ce de palmier & leuilies 
silees. — da Indie, cocotier des Indes. — pin- 
dova,, cocolier du Bresil. 

Coquizuo, s. m. dim. de Coco, fruit d’une 
espece de palmier des Indes. 

Cor, s. f. couleur : modification des rayons 


COR 


de Iumitre : Impression que falt sur l’ail 1a 
lumiere reflöchie par la surface des corps. 
"Rouge: espöce de fard. —, (fig.) masque, pre 
texte, apparence, ombre. — do roslo, rou- 
geur du visage; teint. Vestido de —, habit de 
couleur, habit qui n’est pas noir. — de rosa, 
couleur rose. — cerüles, azur. — de cobre, 
rougissure. Cöres, pl. couleurs: matieres qu'on , 
emploie pour peindre. —s primwilioas, eouleurs 
primitives. —s da eloguencia, les ornements du 
style. Ndo saber de que — d uma couss, n'avoir 
aucune notion d’une chose, y #tre tout & fait 
dtranger. 

*Cöa,s. f. "desir, enrvie; larme. De cör, edr. 
par caur, de memoire. Kster de —, (fam.) kire 
distrait. 

Corıciö, 5. m. caur : musele creuz et 
charnu qui imprime le mouvemeni au sang; 
(Ag.) tout oe qui en a la forme; partie sensible " 
de l’äme ; siöge, foyer des passions , des afleo- 
tions; facult6 d’aimer; pensees socrötes; l'in- 
terieur, le fond, les dispositions de l’äme; 
inolinatlion de l’Ame ; sentiment interieur, Cou- 
rage, honneur, sensibilit6, delicatesse ; bien- 
veillance, affection ; force, vigueur. (9): 
milieu, intsrieur d’un &tat, d’une ville, d’un 
arbre, d’une saison, d’un fruit. Dizer, annun- 
ciar 0 — alguma couse, avoir un pressenlimenl 
De —, de bon caur, cordialement. Home 
de — ou de grande —, homme de cmur, vail- 
lant, courageuz. Ter 0 — nas mdos, avoir le 
caur sur la main. Todos n'um —, tous dun 
meme senliment, unanimes. — de ferro, (43.) 
caur de bronze, de diamant, de roche, de 
marbre, d’airain. (Juebrar-se a alguem 0 —, 
avoir lo omur brise, dechirs; navre. Ter ee 
bellos no —, (g.) avoir beaucoup de courage, 
de fermetet, de oaraci&re; it. (plus us.) &ire Me- 
ohant, vindicatif. — de n#gro,, sorte de bois du 
Bresil tr&s-dur. — de Jesu, (4. de bol.) coras0- 
de-Jösus : aristoloche du Bresil. 

Coraciözinno, s. m. dim. do . 

+ Coraccıpe, s. f. (4. d’anel.) coracoide: 
apophyse de Pomoplate, en bec de corbeau. 

Cönacöna, 8. f. (1. d’Asie) sorte de fuste 
vaisseau asiatique. 

ConıcöDo, A, adj. courageux, qui a du car. 

+ CöRÄDAMÄNTE, adv. sous un faux sei 
blant;; ( Ag.) sous couleur, sous pröteale. 

CöriDO, A,P. p. de Cörar. adj. rouge, Yel- 
meil; ( ig.) colore, specieux. 

Cönapön ,s. m. qui colore, qui donne de 12 
couleur. 


CORACE 0% °courage, valear, bfe- 
Conäcsu, s. f. ) voure.Coläre, animosild, 
emportement. 


* Coracıöso. V. Soberbo, Allivo. 1 

“ Conastxto, A, adj. furleux, colöre. V. X 
T0J080. 

+ Corasösauente, ado. courageusemenl, 
avec courage, hardiesse. 

Conasös0 ‚A, adj. courageux : qui a du coU- 
rage, de la hardiesse ; ferme dans sa rösolulion; 
hrave ; irrite, 


GOR 


: Conkr., s. m. oorail : sorte de planle, d’ar- 
krisseau pierreux ow ruche marine produite 
par le suintement des gorgones ou polypes qui 
Phabitent, le plus souvent d’un rouge vermeil. 
(1. de comst.) Massif. — bruto, toraille. Cordes, 
A. eollier de corail. — de jardim, corail de 
jardin, piment. Beigos de —, lövres de corail, 
fraiches et bien oolordes. Fino como um —, ou 
mais imo que um—, ruse ‚exiremement adroit, 
ires-An. Cobra —, " corallin: serpent venimeux 
& seize bandes rouges. 

CorirL, adj. 2 gen. qui appartient au chaur. 
Gols —.V. Gota. 

+ Conaıkıra, 3. f. coraillere : petit bäti- 
ment pour p6cher le corail. 

tlossıtıno,s. m. corailleur: qui pöche, 
qui travaille le corail. 

Cosauina, s. f. coraline: productions ma- 
rines & forme Je plantes ou de mousses, for- 
mees par les polypes qui les habitent; peigne 
sanguinolent. 

CoaaLino, A, adj. corallin : rouge comme le 
eorail. ‘ 

tConarituas, s. f. pl. coralithes : coraux 
derenus [ossiles. 

Corir, v. a. colorer : donner de la couleur, 
teindre en coulear. (fig.) —, donner une belle 
apparence & quelque chose de mauvais; cou- 
wir de quelque prötexte. V. Curar. 

Cörir, ©. m. rougir, devenir rouge ; paraltre 
tonge. Tirer sur le rouge. Cöröu, la couleur lui 
monta au visage. , 

CORÄR-SE, ©. r. Fougir, p. us. 

* Coaazir, s. m. flet de cochon, elc. 

TCoxira, s.m. (tl. dhist. nat.) coraya: oi- 
seau fourmilier de la Guiane. 

ConstınA, s. f. corbeille. 

+ConsiaiL,s.m. (8. d’hist. nat.) corbivau : 
eorbeau d’Alrique. 

Cöaca, 5. f. biche : femelle du cerf. 

CozcäL, s. m. coursier : grand cheval de ba- 
Wille, de tournoi. 

Chacaa, 8. f. ecorce d’arbre; liege. 

Coacaire. V. Colchete. 

+ ConcnaörR0, s.m. (I.de bot.) "corette. plante 
üliacde. — baslardo , eperviöre des murs , pul- 
monaire de France. 

Coxcosa. V. Carcoma. 

Coscös. V. Coreovado. 

Concöva, s. f. bosse , gibbosite ; grosseur au 
dos , a Vestomac. 

Concoväpo, A,adj. eis. bossu : qui a une 
bosse. p. p. de 

Concovir, v.a. courber, plier en arc, arquer. 

CORCOYAR -SE,t. Tr. s6 Courber, se voüter, 
devenir bossu. 

fConcovean, o.n. faire des cabrioles, des 
bonds,, des haut-le-corps, en parlant de cer- 
tlas animaux 

Concövo, s. m. *cabriole, bond, hautle- 
oorps. * Courbure. 

(öRcO, s. m, jeune cerf. 

CoRcoLEere. V. Corsolete. 


Corcviuße, 8. f.V. Calhandra ou Cochicho, | 





COR 385 


} CöncuLo, s. we. (6. de bol.) caur : point de 
röunion. 

Coacönna. V. Carcunda. 

Cörpa , s. f. corde : longs fils entortilles. —, 
fil de boyau ou de metal pour quelgques instru- 
ments de musique. (8. de geom.)—, ligne droite 
dont les deux bouts touchent les deux points 
d’une cöurbe. Chalne de montre, corde d’hor- 
loge. —d’arcabuz , anciennemeni v’ötait la md- 
che pour mettre le feu aux armes & feu. Aper- 
tar «— , (fig.) redoubler de vigueur, de seve- 
rit6, eto. Afrouzar a—, (id.) lächer la main. 
Dar — ‚monter une montre, une pendale,etc.; 
(ig.) tirer une affaire en longueur; donner 
occasion de parler. Estär d—, (1. de mar.) eire 
ala cape, en panne. Dar — para se inforcar, 
(prov.) donner des verges pour se faire fouet- 
ter. Dar 0 venlo na— a alguem, (fig.) ötre 
pris d’un acces de folie. Sobir muwio a —, 
faire sonner bien haut. — do sino , (t. de mar. 
raban de cloche.— de rabeca, etc., ou de Iripe, 
corde & boyau. 

+ Conpacismo, s. m. cordace : danse laseive 
des ivrognes en Gre&ce. 

Conpäcen,s. f. }) cordage : assomblage des 

Corpäuk,s.m. j cordes pourla manmuvre 
d’un narire, 

+° Cönpamtnte, adv. sagement, prudem- 
ment, sensement. 

ConvÄö, s. m. cordon : petite corde; lacet, 
cordelette. * Cordeliere : cordon que les corde- 
liors se mellent autour du corps. (f. d’arch.) 
— ‚rang de pierres en saillie autour d’un bä&- 
timent. V. Bocel.—, suite de postes ımilitaires. 
Cordöes da bolsa,, tirants : cordons de bourse, 
— de S. Francisco , (l. de mar.) quelques jours 
avant et apres St. Francois , le 4 octobre, pen- 
dant lesquels les orages sont plus Irdquents 
en mer. — de ouro , chalneties d’or.— de cabo, 
(t. de mar.) touron. Torcer cordöss al6 que 


vpercdo um lerco da longura, (1. de mar.) com- 


mettre les cordages au liers lerme. 

CorpäTO, A, adj. sage, prudent, sense. Ho- 
mem — , homme de bon sens. 

+ Conpeagäd, a. f. ’ cordage : mesurage A la 
corde. 

Conpzin0,A,P. p. de 

CunpEia, ©. a. mesurfer au cordeau. — as 
vergas , (1. de mar.) brasser en ralingue. 

Corptıra, 8. f. Jeune brebis. Peau d’agneau 
preparee, avec la laine. 

Corpeırinua, 8. f. dim. de Cordeira. (flg.) 
Femme tr&s-douce, tr&ös-docile. 

CORDEIRINHO, 8. m. dim. de Cord#iro. Agne- 
let. (Ag.) Homme exir£mement doux. 

CORDEIRO, 5. m. agneau :le petit de la brebis; 
(fig.) — , docile, doux, humble. 

CoRpEL,s. m. cordeau: sorte de pelite corde; 
cordelette. Aperiar os cordeis, (fig.) serrer 
quelqu’un de pres, le forcer, le contraindre & 
dire ou faire ce qu’il ne voulait point faire ou 
dire. 

CorpeLf30, 3. m. dim. de Cordel. (fig. et 
burl.) * Reprimande. 











36 COR 


CORDELIKEO 0W CORBELZINNO, 5. u. dim. de 
Cordel. 

Coxpiica, s. f. maladie qui attaque is smur 
des aux. 

CornıiL , adj. 2 gen. oerdial : afeciuenz „qui 
procöde de bon ewar; qui conferte le omer. 
8.9. —, potion qui fertißie le caur. 

Conpialipipz, 8. f. oordialite ; alfoction sin- 
cöre et tendre. 

CoapiaLissımo, A ‚adj. sup. de Cordiel. 

ConpiäLuänts, adv. oordisiement : d’une 
manidre cordisle, tendrement, de isut som 
caur, affectueusement. 

Coasicıa. V. Cordiaca. 

Coxbiröauz, adj.2 gem. (t. de bot.) oerdi- 
forme : quı a la forme d’an cur. 

ConpiLua, s. f. oordilie : jeune thon sortani 
de Paul. 

Conpisutına, 8. f. chaine de Mmontagnes. 
Eievation de terrain, eminence prolengse en 
igne deoiie, 

Eoapinna, s. f. dim. de Corda. Cordelette, 
noelle. — umbilical, (1. de bot.) cordon ombi- 
ical. 

*C6a20. V. Corddso. 

Conpoipa, 3. f. coup de oorde, de oordon.— 
le S. Francisco. V. Cordäo. 

" CORBOAJANENTO, 8. m. lissu de oorde. 

CorpoiLna, s.f. (1. de mar.) V. Cordame. 

Conpoania, #. f. corderie: fabrique, ma- 
gasin de cordes; art de les faire. 

Conpotıno, 8. m. cordier : qui fait 
des cordes, 

Coaponigo,s. m. V. Cordodda. 

1 Cönpuva, 8. f. (4. de g6og.) Cordone : ville 

gne. 

Coaporid, &. m. oordouan : euir de chöyre 
ou de bouc tannd de Cordoue. 

t Conpovtıas, #. f. pl. veines juegulaires 
pro&minentes. 

tr Connovtz, A, adj. et s. de Cordoue, habi- 
tant de Cordoue. 

Conoöna, 5. f. sagesse, prudence, juge- 
ment, cervelie. 

t CoxoyLo, 5. m. (f. d’hist. 
stellion : grand arbre d’Afrique. 
Conta. V. Chorea. 

+ Cönza, #. f. (1. de bot.) *coris de Mont- 
pellier. 

" Coaeı ou Cor. V. Cauril, 

Conkıxa , s. f. espöce de grue, olseau. 

* Coxenta. V. la, . 

+ Conss, s. f. varieie de ohon. 

’ Corzsua. V. Quartsma. 

TCoatro, s.m. dim. de Cöro. Orchestre, 
tsibune de musiciens (dans Peglise). 

TCorı, s. m. (f. hist. nat.) cori : quadru- 
pede de "’Amerigue septentrionale, aperea. 

FConıiczo, a, adj. coriace, ooriacd : qui 
& la consistance da culr. 

TConimsıco,,a,adj. 60mpos6 decoriambes, 

TCozıiuao,s.m. coriambe: pied devers grec 
ou latin,, de deux 

Coaanpa0. V. Cosniro,. 


ei vond 


nat.) cordyle, 























COR , 
TConsäuo, a, adj. etw. de Coris, habitan 
de Coria, 


Conisanrzs. V. Corybantes. 
Conırzu. V. Coryphöo. 


Cosir. V. Cewurül. 

+ Cöains, s. f. corine : ganelle du Sendgel, 
espece d’antilope. 

Coainrmo, a, ed/. Ceristhien : de Corinihe, 
habitanı de Corinthe. Ordem —e, (1. darch.) 
—, quatridme ordre d’srchitestere, le plus 
‚Fiche des cinq. 

tf Coxiwrno, s. m. (1. de giog.) Coriathe: 
ville de la Morde. 

Cöxion. V. Chorion. ’ 

Corıscipa,, s. f. grand nombre @’6olaies. 

Corıscia, v. m. faire des #clalrs. v. e.V. 


Dardejar. 
" Corisco, s. me. 6clair : &clat subit et passager 
de Iumidre ; coruscation. , 

Conista, s. m. jeune moline qui apres avoir 
professe est encore sous la dependsnce du 
maltre des novioes ; qui n’est pasencere prötre; 
choriste, 

Conıstino, 3. m. tout le temps qui s’scoule 
depuis la profession d’un religieux destint au 
cheur jusqu’ä ce qu’il dise sa premidre messe; 
residence des religienx destines au chaar apr&s 
la profession jusqu’ä Pentree da college. 

Cönsa ,s. f. (1. de PInde) une vingtaine. (fg.) 
Maltitade de gueusaille, canaille, tas. 

CoRuE, CORNEIMO, 5.m. V.S 

Corna,s.f. V.Coraadurs. * Cornet de berger. 

Connica,s.m. (1. d’Asie) comac: conduc- 
teur d’elephant. 

Connipa, s. f. coup de eorne. 

TCornnino, s. m. ancienne monnale d’Es- 
pagne dont 204 valaient primitivement un real. 
Näo vale um — , (fam.) Il ne vaut pas unliard, 
une obole. 

Cornapdaa, 8. f. cornes d’un animal. — do 
veado , ramure. , 

CoRnaLina, s. f. comaline : plerre pröcieuse 
transparente, rouge ou blanche; agate, chal- 
eedoine d’un rouge pur ou couleur da chalr. 

T Connamenta. V. Cornadura. 

Cornnauousı. V. Gaila de foles. 

Cörnas, s. f. pl. V. Hornavequss. 

CöRnEA, 5. f. (t. d’anal.) cornse: premiere 
tunique, la plus ©paisse, la plus forte de l’ail, 
et qui le renferme lout entier. 

CoRnzin0, A,p.p. de 

fCoanein, o.a. donner de la corne. (fg. 
fam.) Cocußier : faire quelqu’un coca. 

Conntına, s. f. courroie qui sert ä altacher 
un bauf au joug par les cornes. 

CORNELINA. V. ins. 

CÖRNEO, A,adj. come&: qui a le luisanı et 
la durets de la oomne. 

* Connzaina. V. Cornaline, 

Corntra,s.f. *cornel: esp&ce de cor, Instru- 


ment & vent ; pelite trompe. * Cornet de vacher. 
Trompette de cavalerie; celui qui en joue. — 
breves entre deux longues. | de 


,„ cor de chasse. — de pusia, cor- 


net de postillon. = de chaves, irompelie ä 


COR 


elels. di. Carnette ı eoifle de femme en desha- 
bille ; pavillon carr6 de chef d’escadre. 
+Coastrusa,s.f. moroeau du übis debauf 
avec Joquel jouent les enfanis. 
+Connicäsaas, s. [.(l. de bot.) "törebinihe, 
pisiachior sauvage. C'est aussi une variöi6 de 
poıres du Portugal. 

CORNICHO , 3. 0. vase on [orme de oorne. ff. 
V. Corsinko. 

CoanicuLa, 8. m. come de mouton aveo la- 
quelle jouent les enfants en lui donnant des 
coups de pied. V. Corneiula. 

+ Coaxırönne, adj. 2 gen. sornilorme : qui 
ala lerme d’une oorne. 

Cosuice. V. Coraije, 

CossıcERO, A, adj. oornu ı qui porie des 
cornes. 

Coasisa, s. f. (ti. d’arch.) corniche : ome- 
men! en saillio au-dessus de la [rise os au- 
dessous du bord d’un plafond. 

CoxxinBo, 3. m. dim. de Corno. —s, pl. de 

„ eic., cornes, pointes, membranes & 
la 810 des limasons, eio. Por 09-- ao söl, 
(fam.) senhardir. 

+Conzino, s. m. dim. de Corno. Petit amu- 
kette de corne. 

CorsıoLia. V. Cornalina. 

Coaniropg, adj. 2 gen. (l. de poes.) qui ades 
engles cornes aux pieds, comme le bauf, etc. 

rCoaniso, s. m. (i. de bot.) cornouiller: 
arbre dur, caprifoliace, qui porte la cornouille. 

TCoamısörLa, s. f.ow | comouille : fruit 

CoanıöLo, 8. m. rouge du cornouil- 
ler, en olive. 

* Coau180L0,, adj, V. Cornudo. 

CORBITROMBA, 3. f. instrument & vent, sorte 
de trompe. 

Cbano ‚8. m. "sorne: parlie dure etsalllante, 
eıeroissance en poinie conique, qui sort de la 
Wie de quelgues animaux; ce qui en a la 
forme, la matidre animale dont celte partie 
est eomposte. Cornet, trompe. * Alle,cöte d’une 
arınde. (fg.) Croissant de la lune; chacune 
des extreiniles de difl£renies choses. (Ag. fam.) 
Cocu ,cornard ı velui dont la femme est adul- 
tere. — de abundancia ou d’Amalihda. V. Cor- 
nucopia. — de Amon, corne d’Ammon : co- 
quille fossile en spirale. Andar, ver-se ou 
deizer nos —s do louro, (Ag. fam.) se trouver 
0u meilre quelqu’an & la gueule du loup. Le- 
venlar, por alguem nos —+ da Iua, (id.) elever 
yuelqu’un jusqu’au ciel, ie porter aux nues. 
Pör 06 —s (Ag. pop.) faire porter des cornes, 
faire cocu. Depois de — aperreado , (fam.) les 
kaitas paient Varmende. . 

Coanuchria , 6. f. corne d’abondanoe, come 
@Amalihee : grande Agure de corne remplie 
de fleurs ‚de fralts, d’argent. 

Coanusicen, s. f. eormardise : dtat humi- 
lianı des cocus; cocuage. 

Cokzino, A, adj. Da qui a des oornes. 
(fg.) Cocu , cornard : ä qui sa femme est 
intidele. . 

Coratra. V. Cordsta, 


37 

Connöre, a, adj. oornu. Aryumenio —, di- 
lemme. Obras —as. V. Hornaveques. 

Cöno, s. m. chaur : tzoupe de musieiens, 
W’acteurs, de prötzes chantant ensemble; mer- 
ceau de ınusique & parties chanides par eur; 
ordre d’anges ; partie de l’öglise od se fait l’of- 
Bee. Coux qui y sent, qui y ehantent. — alto, 
Jube : sorte de tribune, en galerie, oh es’ 
Vorgue, et eh chantent les musichens. Faxer 
—,(fig.) faire cherus : approuver, applaudir, 
dire aveo d’autses. Falar, rezsar, caniär a —s, 
(fam.) parier, prier, chanier allernativoment, 

Conö4, s. f. coufonne : ornement de Wte, 
signe d’honneur et de joie. Le sommet de la 
tete ; oime d’une moniagne. —, tonsure cleri- 
cale.— ‚,monnaied’argent, dont la valeur varie 
beaucoup. (Ag.) —, Etat gouvernö par un roi; 
les droits, l’autorits, les domaines, ete., d’un 
tol; souverainetlö; pr6&minence. Aureole : cer- 
cle de lumiere autour de la tete des saints.—, 
sorie de chapelet, molti6 du rosaire. (lg.)—, 
prix, recompense. (id.) Cerele de gens rassem- 
bi6s autour de quelqu’un. (8. dastr.) —, me- 
t&ore ou anneau lamineux autour des asıras. 
(1. de fort.) Ouvrage a couronne. Cornes des 
animaux. Fin d’un ouvrage. — ausitrel, — bo- 
real, couronne australe, couronne septentrio- 
nale : constellations N. et 8. — casirense,, Cou- 
ronne vallaire. — chviea ou eivil, couronne ci- 
vique. —de forro,, couronne de for : couronne 
dont on couronnait anoiennement les rols de 
Lombardie. — do casco, (ti. de veldr.) vou- 
ronne : la partie la plus basse du paturen d’un 
cheval.—do denie, partie des molaires hors 
des gencives. — d’ovepdo ou oval, couronno 
ovale : couronne deternee aux gendraux To- 
mains qui avsiont soumis les pays, des peu- 
pies, eio., sans en venir aux meins, —de areis, 
banc de sable. — de rei inodora, (f. de bot.) 
ornithope. — de rei odorosa. V. Trevo de 
cheiro. — imperial, (id.) fritillaıre imperiale, 
couronne imperiale. —s dos masiros, (1. ds 
mar.) pendeurs des mäls. 

Conoacäö, 8. f. * oouronnement : eörömonie 
pour oouronner les souverains. 

ConoiDO, A, p. P. de Corvar. adj. de glo- 
ria, rayonnantde gloire. 

“+ ConOADOR, 8. mw. celui qui oouronne. 

Coaoautnto, s. m. (l. d’areh.) eouronne- 
ment : partie qui couronne un ediflee. 

WROiR, vd. 8, couronner: mellte uns 00u- 
ronne sur la 1#ie; (fg.) perfectionner; metire 
le dernier ornement; recompenser; honorer ; 
acherer. (dd.) —, surmonter; environnef, en- 
tourer. 

COROAR-SE, 9. f. &tre environne. 

CoroAzinna, s. f. dim. de Corda. 

Coröca , 3. f. "manteau en paille. Beneflcios 
em — , beneflces crosses. 

Corocua. V. Carocha. 

Conoanaria, eic. V. Chorographia, ec. 

" CönoLa. V. Chölera ou Cölera. 

CooöLıa ,s. f. (4. de bot.) corolie: la partie 


COR 





318 COR 
la plus apparente des fieurs ; ensemble des pt-' 
sales. 


Cono:Lirıo, s. m. corollaire : proposition 
qui est la suite d’une pröctdente; ee qu’on 
ajoute de surabondant apres une demonstra- 
tion ; cons6quencs lirde d’une proposilion ma- 
thdmatique demontree. it. ant. V. Compendio. 

fCoroLLino, a, adj. (1. de bot.) corolle: 
pourvu d’une oorolle. V. Pelalino. 

Corv.Lirica ‚adj. f. (Columne —, i.d’arch.) 
corollitique (oolonne) : ornede de leuillages en 
spirale autour de son füt. 

CorörruLa, 8. f. (t. de bot.) oorollule : petite 
corolle. 

Corona, s. f. (t. de mus.) V. Caldeirds. 

CoronäL, adj. 2 gen. de couronne. Os —, 
(8. d’anat.) coronal: os anlerieur de la t£le; 
frontal. 

TCoxonänıo, a, ady. quı appartient & la 
couronne; qui a la forme d’une couronne. Ar- 
lörias —as, (I. d’anal.) artöres coronaires, du 
caur, de l’estomac. 

CorondL, s. m. colonel : chef superieur d’un 
regiment. (f.de blas.) * Couronne (de baron,, de 
oomte, de duc, etc.) qui garnit l’ecu. 

CoronELia, s. f. grade, charge du oolonel. 

ConönnHA, etc. V. Cronha, ete. 

Corönno. V. Collonko. 

* Corünica. V. Chrönice,. 

Cononine, 3. f. V. Remale, Cornya. 

T Coronıröaus, adj. 2 gen. quı a la forme 
d’une couronne. 

CoroniLua, s. f. sorte de perruque ronde 
pour les ecclesiastiques. 

ConosiL, s. m. esp&ce de chaume. 

CorPaziL, s. m. aug. de Curpo. 

Coarinno, 3. m. dim. de Corpo. Petit corps; 
eorps de jupe; sorte de corset sans man- 
ches. 

CöRPO, 3. m. corps : substance #tendue, im- 
penetrable, divisible, figur6e; portion de ma- 
tiere organisdce, ou & laquelle une Ame est 
attachee ; tronc qui renferme les parties nobles 
entre le cou et les hanches; capacile du corps, 
son volume, ses parties; le corps humain; 
pariie de l’animal cumpos6e d’os, de muscles, 
de.canaux, de liqueurs, de nerls, enycom- 
prenant ou non les mombres; cadavre. ( fig.) 
—, les sens. Se dit par opposilion & l’Ame, & 
Pesprit. (dd.)—, principale partie d’un &tre ma- 
twriel ou, par exiension, d’un &tre ahstrait. 
—, sociel# , anıon de personnes sous une meme 
regle, une m#eme condition, dans un meme 
esprit, un meme interet, un meme but. —, 
eode, recueil de lois, etc. ; assemblage de par- 
ties; union de plusieurs individus; epaisseur, 
solidise (d’une dtoffe, etc.); force du vin, etc. 
( Ag.) —, figure representse d’une devise. Por- 
tion d’arm6e; l’armede; regiment, Iroupe en 
corporation distinete. —acorpo, Corps & corps. 
— de delicto , (. de prat.) corps du delit. — de 
guwarda, corps de garde. — da batalka ou do 
exereilo, corps de batallle , centre d’une armee. 
A descoberto,, ( Ag.) ouvertement, & decou- 


COR 


vert, sans defense. Dar com 0 — em ierrs. 
(fam.) se laisser tomber. Em —, en pourpoht, 
sans manteau ; habill&, en habit; «. en corps 
en communaute. Em — e alma, (fig. fam.) va 
corps et en äme, sans rien laisser absolument, 
Fugir com o —,, esquiver un coup; (fig.) ses- 
quiver, eviler de s’engager dans une enireprise. 
Ter o diabo no —, (fig.) avoir le diable au 
corps. Tomar —, (fig.) augmenter, so forüfßer 
peu & peu, prendre consistance. Der do—, 
(fam.)aller & la selle. Fazer — conire alguem, 
s’unir, s’associer contre quelqu’un. Faser — 
por si, ötre, se promener, elc., seul; se gu 
verner de son chef. — santo, V. Santelme, 
Um — santo, le cadavre d’un saint, — der- 
mas, armure entire. — morlo, V. Ladarre. 
O — de Deos, la Fete-Dieu. 

CORPOFERÄRIO, #. m. porteur des morts; 
(Pop.) croque-mort. 

CorProracäö, s. f. corporation : association 
autoriseo de gens de m#&me profession. 

GorPoRÄL, adj. 2 gen. corporel: quia un 
Corps ; Qui appartient au corps, qui le con- 
cerne. 

ConporiL, s. m. (4. de lilurg.) corporal: 
linge carre sur l’autel pour poser le calice, 
P’bostie. — da Igreja, corps de l’Eglise; st. &- 
metidre. 

+ CORPORALIDÄDE, #. f. corporeile : qualiit 
de ce qui est corporel; ce qui constilue uR 
COrps ; corporalite. 

CORPORALUENTE, adv. corporellement: d’ade 
maniere corporelle ; relalivement au £Cotps, 
Foppose de spirituellement. 

CORPORATÜRA, s. f. la forıme, le volame d'un 
" onrorzminz. V. Corporaliddde 

RPORKIDÄDE. V. . 

CornröRzo, a ‚adj. corpore. V. Corporäl. 

+ Conrorırıcaciö, s. f. (4. de chim.) corp® 
rißcation, corporisalien : aclion de rendre aut 
esprits le möme corps qu’ils avaient avant leur 
spiritwalisation. 

f Conronricar, v. a. corporißer : donnet, 
supposer un corps ä ce qui n’en a pas; (1. 
chim.) rendre le corps aux esprits. , 

+ CoRPoRIFIcäR-SE,, 9. Fr. se corperißer. Ül. 
V. Encorporar-se. 

CoRPOzZInHo, #. m. dim. de Corpo. 

ConruL&ncıa, 8. f. corpulence : taille de 
l’homme considere6 par rapport ä son volume: 
grosseur d’une personne. i£. (4. de bot.) Poly- 
sarcie : gonflement des plantes. 

CoaPULENTO, A, adj. corpulent : gros el gTaS, 
qui a de la corpulence. 

CoRrUsScuLÄR, adj. 2 gen. corpusculaire : 1% 
lauif aux corpuscules, aux atomes. Philom- 
phis —, philosophie corpusculaire: qui p&- 
tond expliquer l’univers par le mouvement des 
atomes. 5. m. —, partisan du systeme des 
atomes. . 

ConpuscuLista, s. m. corpusculaire : parlisal 
du systäme corpusculaire. 

CORPÜSCULO, 8. m. corpuscule : petit corp$: 
atome. 


4 


COR 


+Cöana, 8. f. oAble de sparie pour enlourer 
iemarc de raisin quand on fait la pressure. 

+CoaziL,s. m. cour pour enfermer le b£- 
tsil.(Ag.) Ville, village depeupl6, ruine.— d’» 
selhas on vaccas, &table de brebis ou de vaches. 
«ie porcos, teil A porcs. 

lonnkıa ou COoRREıA, 8. f. courroie : laniere 
de euir. Beijer a—, (fig. fam.) se soumettre, 
s’humilier par force. 

4 Coanzina, s. f. sanglade : coup de sangle, 
de courroie. 

+LonREicen, s. f- "assemblage de courroies. 

Coaaziö, 3. m. aug. de Corröa. * Soupente 
@une veoitare. 

Connzania, 8. f. rue des corroyeurs. 

Coaarcciö, s. f. correction , reprimande, 
admenition; peine, chätiment. —, faute indi- 
quee: changemment fait vuä faire A une &preuve 
d’imprimerie ; Paction de corriger. —(t. de 
reih.) figure de r&thorique par laquelle on se 
feprend pour dire une chose differente ou plus 
forte. Ex. : Hi est bon, que dis-je ? il est excel- 
lent. — fralerna,, correclion [raternelle. 

CORRECCIONAL, 8dj. 2 gen. correctionnel: qui 
apparlient & la correction. 

ConREäCcTANMENTE, adv. correctement : selon 
les regles ; sans faule. 

CORAECTISSINO, A, adj. sup. de Correclo. 

CoRREcTIiVO , A, adj. correctif: qui a la vertu 
de corriger, de lenıperer. s. m. —, adoucisse- 
ment au discours, pour faire passer une pro- 
position, une expression, une pensee Irop 
forte, trop hardie. 

CoRRECTO, 4, 9. p. irreg. de Corregir. adj. 
Correet : ou il n’y a pas de fautes. 

CORRECTÖR, A ‚5. correcleur : celui qui CoT- 
rige des &preuves ; qui reprend, qui bläme, 
qui chälie. 

Conascronia. V. Corregedoria. 

+CanazcröRı0,, 3. m. correctoire : livre de 
penitence. 

ConrenKıka, 5. [. grand plateau Arouels pour 
secher le sucre. 

CoraenäLa. V. Corrida. 

CORARDENPTOR, 3. m. colui qui rachöte cOn- 
jointement avec un autre. 

CORREDENMPTÖRA, 5. f. co-redemptrice : la 
Yıerge Marie, qui coopera A la redemption da 
monde. 

Conazvıca , 8. f. coulisse; store. — s. pl. ri- 
deanz coulants. — do Ihealro. V. Bastidores. 

+ Corazpıco, A, adj. coulant: qui coule ais& 
ment. 

Coaazpio, A, adj. coulant, en parlant d’an 
Beud. Lisse, non crepu ‚on parlant de cho- 
veuz. Glissanl, 

CoRkEDOR,, A , adj. qui court beaucoup,, qui 
aime ä conrir. s. m. Coureur : homme löger A la 
course; qui court beaucoup, avec rapidil6 ; 
soldat envoy6 A la döcouverte de l’ennemi. 

ConnznoR, 3. m. corridor : espöce de galerie 
ütreits qui sert de passage. Chomin couvert. 


Conazp0Rzinno, s. m. dim, du pröcödent. 


COR 349. 


CoRREDöURA, 5. f. pidce sous une meule d’un. 
moulin. #4. V. Corredouro. 

CORREDÖURO, 8. m. lieu od !’on court; car- 
rousel , place pour des courses. 

CorREDURA. V. Corrida et Correria. 

CorRERIRO, 5. m. celui qui fait des oourroies, 
des harnais, etc. 

CORREENTO, A ,ady. coriace: dur comme 1®. 
euir. 

ÜoRREFERIR. V. Correlatar. 

* CORREGEDÖIRO, A, adj. digne de relorme. 

CORREGEDOR, 3. m. corregidor : magistrat en 
Espagne et en Portugal. 

CORREGEDORIA, 8. f. charge de corregidor. 

F CORREGENTE, 8. m. co-regent : r&gent avas 
un autre ou d’autres. 

Correc£r. V. Corrigir. it. Satisfaire, in» 
demniser. tt. (ant.) Pourvoir, fournir. 

CoarEcido, A, p. p. de Correger et Cor- 
rigir. 

* CORREGIMENTO, $. m. " r&paration; provi- 
sion; equipement; satisfaclion, reparalion; 
indeinnisalion. Trousseau. 

Correeir. V. Correger et Corrigir. 

CORRECO, 8. m. ravin. V. Regueiro. 

* CORRECÜDO, A. V. Corrigido. 

CoRREIGÄÖ, 8. f. visite du corregidor; terri- 
toire soumis & sa Juridiction. V. Correcgdo. 

CorrE£ıo, 3. m. courrier: celui qui court la 
poste pour porter des lettres, des d&peches, 
Poste aux lettres, bureau de la poste. Lettres 
dont un courrier est charge. — de mds novas, 
porteur de mauvaises nouvelles. — mör, sur- 
intendant des postes, ancien emploi en Por- 
tugal. 

+ Corrtıro,s.m. celui qui a soin de la plaoe 
os lieu od l’on fait des courses. 

CoRrEıToR. V. Corrector. 

+ CorresöLa, s. f. (4. de bot.) corrigiole des 
rives: plante portulacee. — bastarda. V. Sem- 


prenoiva. 


CorreLacäiö, s. f. correlalion : relation r&ci- 
proque. . 

CORRELATÄDO, A, P. p. de 

CORRELATÄR, d. a. 6lablir une relation mu- 
tuelle. v. n. Se rapporter, avoir corr6lalion. 

CORRELATIYO, A, adj. correlatil: qui marquo 
la correlalion. 

Correnga. V. Diarrhea, Cursos. 

Conrentiö, Ona, adj. (fam.) enjou, plai- 
san!,gai. 

CORRENTE, adj. 2 gen. courant; qui Court; 
recu, autoris6, adıpis. En regle, en ordre, 
sans difficulie, sans embarrag. Coulant, en 
parlant du style; qui coule. Frequent. Prompt, 
expeditif; degage, debarrasse; vers6, babile. 
Anno ou mez —, annee couranle, mois Courant. 
Eıtar — em, &tre au courant de... — o mo@nle,. 
(fiy. fam.) couramment : sans hesiter, sans 
peine, facilement. Animal —, (1. de blas.). 
animal courant. —, adv. V. Correniemente. 

CoraßnTE, s.f. “courant: le fil de l’eau; en- 
droit de la mer oü l’cau court rapidement d’un 
certain cöt#. (Ag.) * Flux, fluxion , övacuation 


succeseive. (44.) Mouverment Imptlueur de 
gens de guerre, de monde rassembie; se6rie 
non interrompue d’&v6nements. (1d.) Courant; 
le cours des choses. Chalne tratnante (des for- 
gats , des animanz , ete.).—s, pl. ancien tribut 
d’entr6e et sortie dans les terres des seigneurs. 
Deizar-se levar da —, se laisser entrainer au 
courent. Ir com a — ou afrds da —, (fig.) 10 
laisser entrainer par le grand nombre, sans 
examen ni rellexion, sulvre letorrent, , 

CORRänTEußnTE, ade. couramment, CHU- 
lamment. 

Connenttza, s. f. "courant d’eau ; fie, sulte 
(de maisons, d’arbres , eto.) ; alsance, facilite. 
CORRENTISSIMO, A, adj. sup. de Correnie, 

Connentona, V. Correntdo, 

Oorato, 8. m. (t. de pras.) complice. 

Connir, o. a. couris, faire couler, encourir; 
courre sus : se jeter sur queiqu’un pour l’arr&- 
ter; poursuivre & la course pour alirsper; 
parcourir. Laisser courir ou laisser courre (un 
chten , ım cheval,, 8tc.). — a campanha, hatire 
la campagne, l'’estrade. — a corlina, fermer, 
tirer le ridesu. — a linha, (1. mil.) parcourir 
la ligne. — a mesma sorte ou forluna com ow- 
iros, couris la m@me fortune, avoir le meme 
sort. — a posla, courir la poste. — os procle- 
mas, proclamer, publier les bans de mariage. 
— alerra, 0 ‚ocampo, faire des incur- 
sions dans un peys, en parlant ae Fennemi. 
— „orihas , aller de pair. (Ag.) On le dit de 
deux choses qui se ressemblent, qui ont le 
meme merite , qui sont egales. — risco ou pe- 
rigo , &ire en danger, courir risque. — lowros. 
V. Touro.—o o6o, (Ag.) lever le voile, Je 
masıne. — cdca e meca ( fam.) aller par monts 
et par vaux. —o pdreo, disputer le prix de la 
course. — 0 pano, lovor la tolle. — uma esto- 
onde , powsser un coup d’ep€e. 

Corner, v. ». courir: aller, marcher avec 
vitesse , plus vite quo le pas, sans s’arröler. 
— , eöuler, s’&tendre, en parlant des liquides. 
— ‚ narviguer. Couler, passer, s’ecouler. Recou- 
rir : avoir recours. —, se häter, se presser. 
(fig.) Avoir, sulvre son cours, en parlant d’une 
affaire; s’elendre d’un lieu & un autre,, se dit 

obdtes, des terres , dos rochers , des monta- 
gnes , eto. (fg.) Eire en vogue, se dit de la 
mode, d’un bruit, etc.; circuler, se dit des 
nouvelles. (es, para), — &, sur, s’avancer r3- 
pidement vers. V. er ei Decorrer. —a 
Su em arvore söcca, ( t. de mar.) aller & mäls 
et ä cordes, avec toutes les volles serrdes. — 
vente om poppa, (id.) faire vent arriere. — ao 
large ,(id.) porter le cap ä la mer, poster au 
large. — d rödea solla , courir, aller ventre & 
terre, & toute bride, & bride abattue. (Ag.) La- 
cher la beide aux passions. — com alguma vcou- 
..,ou— ums cousa a0 cwidedo ou pela mdo 
d’elguem , etro chargb @’une chose, en repon- 
dre. — bem ou mai a sorte a alguem , @ire hen- 
reux ou malheureuz. — 0 anno, s'tcouler, sc 
passor, on pariant de Yannde. — o oficio,, avoir 
de Toooupetion, du profit dans sa profession, 


COR 


— fans, courig, se repandre, om parlant d’an 
bruii. —s mıodds , avoir eeurs, on parlant de 
la monnaie, Corrörem as oowsas a lal pröge, 
öire A lol prix ou A tel faux. Corrörem as lagri- 
mas , couler, on parlant des larmes, plaurer ä 
chaudes larmes. — a hinis, souler, on parlanı 
de l’oncre Jorsqu’on serit. — a 005 ‚sirculer, so 
repandre, devenir public, en parlant d’une 
nouvaelle, eie.— por conla d’alguem elgums 
Br @tre ä la charge de ee appario- 
nis u’un. = sangus ,(fig.) dire saignant, 
TEcee m den frundumenien (dd.) lächer la 
bride & ses passions. — tal ou tal vente , soul- 
fer, regner, en parlant de lel gu tel ven. — 
airds d’alguem, courir apr&s quelgu'un. (Ag.) 
S’elforcer d’imiter quelqu'un , suivre ses Iraccs, 
son esemple. Cörrdo as cousas como correrem, 
(fam.) que les choses aillent comme elles pour 
ront, A fodo —,avec toutes la velociis, avec 
toute la vilesse possible. Deizar — elyuma 
couss, permettre,, Lolerer, laisser aller, dissi- 
muler une chose. Deizer — a penna, (NJ.) 
s’etendre Irop sur une matidre, sur un sujel en 
&crivant. Deizdi-o — que elle parard, ([am.) 
laissez-ie aller, il faudra bien qu’il s’arröte. 
Näo correrd sangue, (fig.) il n’y aura pas grand 
mal, iln’y aura pas de sang repandn. Corrs- 
rem as guerras, etc., durer, en parlant des 
guerres, eic. 

Conrtn-se (de), v. r. rougir, avolr honle. 
— de vergonha ,rougir, avoir honte, confusion 
de. — com alguem, avoir des relations, s’en- 
tendre bien avec quelqu’un. 

Conneria, 8. f. course, incursion dans uu 
pays ennemi. it. V. Corredöra. 

CORRESPONDENCIA, 3. f. Correspondance : &0- 
tion de correspondre ; rapport,, relation, liai- 
son entre les choses, les personnes, entre les 
marchands pour le oemmerce ; oommeree , TE“ 
lation,, entretien par lettres et leurs reponsos: 
ces letires elles-memes. — , proporlion, syme- 
wte , aocord des parties d’um ddißoe ; oomizerce 
mutuel de bons oflices. 

CORRESPONDENTE, adj. 2 gem. devl: 
se dit des ehoses qui se eorrespondent (angies. 
lignes, etc.); convenable, sortable, propOt- 
ttonne, eonforme , digne. 

CORRESPONDENTE, 8. 2 gen. 00 
celui qui correspond aveo un aulre pour 
affairos. 

Connzeronpentzuäute , ade. eomvenable 
ment. 

CORRESPONDER (G), d. r. correspondre ı Fe 
pendre de son odi4, par sonli „per 00 
liens, par lettres. Röpendre par aymmeisis : 5 
rapporier symetriquement. 

ConassronsER-eE (com), @. r. cornaspondt® 
per letises ; ötre en oerrespendande. Baimet 
röeiprequement. " 

CORRESFONDIRO, A,Pp. P. de Corrssponder: 

Conneräoeu, e. [. "oourtage: eniremles, DE- 
gociatien , salaire de courtier. 

Coareroa, s. m. osurier ı agemt a en 


nt: 


merse brovatd, par l’entremise duquel se font 
les ventes. — de camsbies , agent de change. 

Conxeröka , s. f. ceurtiöre,, entremetieuse, 
= de amores. V. Alcowiteire. 

Conasrönme. V. Correctörio. 

TConuxci6, 0. m. TI n’est usit# que dans 
seite phrase : Capar perdizes a — , poursulvre 
tes perdrix avec lo chien d’arret. 

Coramscae, 5. m. chalse de poste, berline 
de voyage. 

Conifsa, 8. f. course. V. Carreirs, Cor- 
rerie. — de fenıpe, (fam.) coars du ternps. 
— de eures, oourse , coombat de taureaux. De 
— ‚ede.A la häle, en courant, vite, d’embiee. 

Coramio, a. V. Corredio. 

Coasip0, A, Pp. p. de Correr. edf. V. Perse- 
guide. Conles, bonteax, penaud. Roue, Mulher 
—s, courtisane impudente et rusee, TACcro- 
cheuse. 

Coraido, A, P.p.de 

CoRzıcıR , ©. &. ger: anander, re- 
prendre, chätier, blämer; indiquer, öter les 
isutes; adoucir, teınperer, diminuer; refor- 
mer (les maars). 

ÜBRRIcık-SE, ©. T. se corrıger : stamender, 
derenir meilleur, se defaire d’un defaut. 

CorsıcivgL, adj. 2 gen. corrigible : qui peut 
se corriger, &tre corrige. 

CozauöLa. V. Correjöle. 

* +ConsıLutıno, s. m. vagabond, sans 00- 
enpetiens, qui fait le vaillant. 

Cornakzo, s. m. pelit comite. V. Convenft- 
eulo. —s, pl. eaqueis. 

Conauica, s. f. hute, charivari. 

CGoarımio, 3. m. main-couranie, Tampe, 
partie d’un escalier pour appuyeria main. —das 
trincheiras , (1. de mer.) lisses de bastingage, 
lisses d’appul. 

Coraminto , s. m. eeonlement, fiuxion sur 
les yeux , ete. (fg.)" Honte,, confusion.” Hute. 

Gaıbra , s. f. sorte de jeu d’enfants. (fg.) 
Tremperie , attrape. Cair na —, #ire atirape, 
ire tromp6. (1. de bot.) V. Correjola. 

Coraigutino, A. V. Yulger, Trivial. 

CHano, s. m. "ar&ne,, cirque pour la course 
de taureaux,, etc. Cercle : rö&union de gens qui 
se lorme ordimalrement en cercie. Fazer — d 
porle, (Ag. fam.) faire bande & part. Sairdo—, 
(Ag.) battre la campagne. - 

Coraosonagäid, 3. f. corroboration : action 
de corroberer ; ses effeis. (Ag.) Confirmation, 
borrelle preuve. 

(oa2080RADO, A,P. p. de Corroborar. 

CoanosonänTE, p. a. de Corroborar, corto- 
borant: qui eorrobore, qui confirme. #. m. 
Ürreboratif, oonfortalif : ce qui a la vertu de 
correborer 

WaxosoräR,tv. a. corroborer : fortifier, don- 
ner des forces au corps, k Vestnmac. (Ag.) Con- 
ürmer, affermir, donner une noavelle force ä 
“u raisonnement, dä uns opinion, etc. 

ConROBoRATIiVO, A, adj. corroboratif: qui 
fortiße , qui oorrobore ( remöde). 

(onao8a, v. 8, corroder, ronger, manger. 


VOR 


Corxofo0, A, p. pP. de Corroßr. 

CORRONPEDOR,, A, 3. eorrupteur, debau- 
cheur. 

Connourfr , v. 6. corrompre, gäler, all6rer, 
pourrir. —, seduire, debaucher: (fig.) Porter 
au mal, pervertir les maurs. —, subomer : 
gagner & prix d’argent. 

CORRONPER-SE, ©. r. SE corrompre, se gäler, 
se pourrir, s’alterer. (fg.) Se pervertir, so de- 
baucher. 

CorrouPipautnte, ade. d’une manitre cor- 
rompue, vicieuse. 

CORRONPIDO, A, P. p. de Corromper. 

CoORRONMPIMENTO, s. m. l’action de corrompre. 
V. Corrupgpäo. 

Corxosi6, 3. f. corrosion : action et effet du 
corrosif; &iat des choses corrodees. 

CorRROSIBILIDÄDE,, 3. f. corrosivei# : qualils 
des corrosifs. 


+ ConnosiveL,, adj. 2 gen. qui peut £tre cor- 
rode. 


CoRROSiVO, A, adj. corrosif: qui ronge, qui 
correde les corps par la superfcie. Il est aussi 
substantif. 

Conaüpa, s. f. V. Espargo dos anligos. 

CoxnÜmz ‚3. m. "ouverture canalce dans nno 
piece par laquelle doit passer une autre. (flg.) 
Cours regulier d’une chose. 

Coraurciö ,s. f. corruption : alteration des 
qualites principales , au physique et au moral, 
de ia substance ; putr£faction , pourriture; ac- 
tion de corrompre ; ses effets ; 6tat de ce qui est 
corrompu. (fig.) Depravation (dans les ınaurs, 
ia justice, eic.); changement vicieux dans lo 
texte d’un livre; moyens pour corrosnpre. 

CoREBUPIO, 5. M. num — , (loc. fam.) 
etre en mouvement continuel, s’agiter en tous 
sens. 

CORRUPTANANTE, ade. d’une maniere cor- 
rompue. . 

Cornrrrtia, s. f. V. Corrupgdo. (1. de 
prat.)* Abus. 

CORRUPTIBILIDÄDE,, 3. f. corruplibiliie : qua- 
ine de ce qui est corruptible. . 

+CoravpricoLas, s. m. pl. corrupticoles : 
heretiques qui croyaient gae le corps du Christ 
etait corruptible. 

COARUPTISSIMO , A , adj. eup. de Corrupfo. 

CORRUPTIVEL, adf. 2 gen. corruptible : qui 
peut @ire corrompu, allöre, gätt; sujet & la 
corruption. 

+ Coneurrivo, 4, adj. corrupüf: qui cor- 
rompt. . 

CoRRöPTO , A, 9. p. irr. de Corromper. adj. 
Corrompu : gäte, altere, au propre et au 
figure. 

CoRAUPTÖR,, A, 3. corrupteur : qui corrompt 
(les maurs, l’esprit, le goüt, les t&moins). 1 
est aussi adj. 

Coratto. V. Corrwpto 

Corsa. V. Cörga. 

ConsiRIO, s. m. corsaire : valsseau armd en 
course, ecumeur de mer; oommandant d’un 
vaisscau arnıd en COUTse. 


351 





352 COR 


+Conszin,o.n. (6 de mar.) faire lacourse, 
courirsur les vaisscaux ennemis, &cumer la 
mer. 

Conseca , 5. f. ( I. de geogr.) Corse : Ile de la 
Mediterranee. 

°+Constıno, A, adj. vagabond , errant. 

Cönso, s.m. (1. demar.) "course: acte d’bos- 
tilite qu’on fait en courant la mer. Ander a—, 
aller en course, faire la course. V. Corssar. it. 
Vie errante, vagabonde. 

Cönso, A, 5. et adj. Corse : de la Corse ; habi- 
tant de la Corse. 

+ Cönsıco, A, adj. Corse:: de la Corse. 

+ ConsoLkte, 8. m. corselel: corps de cui- 
rasse de piquier;; petite cuirasse. (i.d’hist. nal.) 
— , partie du corps des insectes, entre la t£te 
etio ventre. V. Thoraclte. 

CoRTABOLSAS, 5. m. (fam.) coupeur de bour- 
ses ; lou. 

Coataptıaa, s. f. instrument pour ouvrir les 
boutonnieres ; large lame d’epee. 

CORTADISSIMO, A, adj. sup. de 

Cortäno, A, p. p. de Cortar. adj. ( ig.) 
Affige; opprime, äccable ; confus, trouble. In- 
terrompu. 

CORTADOR, A, adj. qui Coupe. s. m. Boucher 


&talier : celui qui coupe et qui vend de la viande | 8 


dans les boucheries. 
Duoatänos, s.m. pl. "taillades dans les ha- 
is. 

Contapüna, 8. f. coupure, incision. (#. de 
fort.) Tranchee, retirade , coupure avec Fetran- 
chement. 

+ ConTa-FERRO, 8. m. (li. de mar.) ciseau & 
froid. 

+CoatAröco, s.m.* muraille forte et &paisse 
qui separe un edilice en deux, pour empöcher 
que le feu ne se communique d’une parlie ä& 
Vautre, en cas d’evenement. 

+Coatamid, s.m."equerre de bois A &paule- 
ment: instrument pour tracer desangles droits. 

+ CORTANENTO, s. m. " seclion, division, am- 
putation, incision. 

+ Coatantz,p. a. de Cortar. Coüpant : qui 
coupe. 

+ Coatario, s.m. nom d’un oiseau du Bresil 
qui chante pendant la nuit. V. Picapdo. 

-T Contaeiza, s. f. bordure, bande, garni- 
ture mise au bas d’une robe, d’un jupon, etc. 

Coaräa, v. @. couper, trancher, tailler, divi- 
ser un corps conlinu avec quelque chose de 
tranchant. —, traveryer, diviser, en parlant 
d’une chaine de montagnes, de canaux, de ri- 
vieres. (6. mil.) —, se metire entre deux parties 
de l’armee de l’ennemi, ou entre son armee et 
une place qu’il couvrait. Arröter, couper, in- 
tercepter. ( Ag.) Couper la parole, interrompre 
une conversation. —, abreger, raccourcir, cou- 
per court. (fig.) Abattre, affliger, attrister. 
(ant.) Estimer, &valuer, fixer le prix d’une 
chose. ( Ag.) Suspendre , interrompre. (id.) De- 
cider, etre l’arbitre. — a cabega, decapiler, 
egorger, deculier, guillotiner. — cerceo nu 
ren!e, ccourler. — de reslir ou — um teslido 


COR 


e alguem, (fg.) murmurer, medire de quei- 
qu’un, le meure en beaux draps blancs; faire 
un habit. — « agus, as ondes, couper, fendre 
l’eau en naviguant. — 0 da cowversagdo, 
(Aig.) couper le fl de la conrversation. — 0 fo 
da vida, öter la vie ä quelqu’un, trancher lo Sl 
de ses jours. — 0 neipe , (4. de jew) couper les 
cartes en jouant. — 0 verse, faire sentir la me- 
sure, la cadenoe d’un vers. — a colers, 'I.de 
med.) attenuer, diminuer la bile par des rem#- 
des. — a cölere a ‚(Ag.) calmer axo- 
lere de queigu’un. — bem a lingua porluguese, 
lalina, eic., parler bien la langue poriugaise, 
latine,, eic. — a raiz do mal, (fg.) arreier au 
commencement les progr&s d’un mal physique 
ou moral. — as azas a alguem, ( ig.) decoura- 
ger; entraver, traverser les desseins de quei- 
qu’un, lui öter les moyens de re&ussir. — 08 
passos @ alguem, Iraverser les dessems de 
quelqu’un, lui barrer le chemin — as unkes 
aos ladröes, Öter aux brigsmds tous les moyens 
de voler. — pelo pe, couper par le pied. — 0 
corapdo, causer grande douleur, navrer ie 
caur. — largo, couper large, au propre et au 
figure. — lenha, mato, faire du bois. Ar que 
cörta, (fam.) vent froid qui coupe la &- 
re 


ure. 

Conrar (por), v. ®. faire le sacrifice de, re- 
noncer &. — pelos appelites, ne pas salislaire 
ses appelits. — por si, se r&primer, se conle- 
nir ; c&der. — pela cars e pelo sangue, ( 9.) 
ne pas respecter les liaisons de pareni£. 
— por alguem , medire de queiqu’un. — pela 
honra. V. Menoscabar. 

CornTÄr-SE, v. r. se o0uper, rester court, se 
troubler, s’embarrasser. (amt.) Eire fixe, en 
parlaut du prix de quelque chose. 

CöRTK, 3. m. Fil, tranchant. *Coupure, inci- 
sion; l’aclion de couper. ” Coupe : abatis J'ar- 
bres; taille, coupe de bois. (Ag.) Moyen adople 
pour terminer un differend. — da penna, taille 
d’une plume. — de vsstido , etc., quanlilt d’t- 
toffe necessaire pour faire un habit, etc. Dar — 
a alguma cousa, arröler. empecher une chose. 
V. Decepar. Dar — d vida, öter la vie ä quel- 
qu’un. Dar um — a um negocio,, arfanger, 3C- 
commoder une affaire. — (f.) de pfrcos, d’ant- 
maes, etic., toit de porcs, e&table, &curie, 
basse-cour. 

Cöate,s. f. cour: lieu od est le chef soure- 
rain avec sa suite; les oiciers, les principaut 
seigneurs qui accompagnent ordinairement un 
roi ou autre che[ souverain; suite, cortege. 
—, hommage, respecis, assiduil6 qu’on rend & 
quelqu’un. (anf.) —, tribunal supr&me de jus- 
lice. Fazer a — a alguem, faire la cour ä quel- 
qu’un. Dia de —, gala & lacour. Cörtes, s. [. pl. 
cortes : assombleöe des etats en Espagne el En 
Portugal; les chambres legislativeg. Chamar 
@ —, convoquer les &tats du royaume. Ter 
assenio em — , avoir seance aux elats. ]l se dit 
des villes qui avalent le droit d’envoyer dcs 
deputss aux cortes (en Portugal‘). 
ConTg1äp0, A, p. p. de Coriejar. 


bu 2 


COR 


CoarEsıder ‚8. m. courlisan : eelui qui Cour- 
tise ; sernteur, homme galant. 
CortsJir, ©. a. courliser, faire la cour; Ba- 

Iuer guelgu’un. 

CORTEJÄR-SE , 9. 7. se saluer mutuellement. 

Coxrl}o, 5. m. cortege, suite. Bon accueil, 
Ionnttetk. 

Cort£ıno, s. m. dim. de Cörte (de pörcos). 
V. Possilge. 

Coxrtz, adj. 2 gen. courtois, poli, civil, 
bonntte, galant, obligeant, gracieux. 

"Cortrtza. V. Corliga. 

Conrkzä ou CORTEZAN, 9. f. courlisane: 
ferame prostituee un peu considerablc. 

CoRTEzZÄNENTE, ade. poliment, civilement, 
honnttement, galamment. 

Cortezinia,, 5. f. politesse, civilite, honne- 
tele, obligeance;, manieres d’un courlisan. 

CoRTEZANice, 5. f. courlisanerie : art, science 
da courtisan ; honnetet6 afleciee. 

CorTExAö, 5. m. courlisan : personnage alla- 
ehe älaconr, qui la frequente ; qui courlise, 
cherche ä plaire. 

Corzeriö, Ä, adj. qui concerne la cour. 
Arise, prudent, polilique; elegant, poli, en 
paflant du style, etc. V. Corlez. 

CoRTEZia, 8. f. röverence, mouvement du 
corps que l’on fait pour saluer. Courloisie, po- 
iitesse,egard, civilite. V. Cortezania. * Cadeau, 
present. Gräce , faveur. Termos de —, formules 
dhonnetete par lesquelles on termine une 
leure. Dias de —, (1. de comm.)\ jours de gräce, 
de fareur pour le paiement d’une Iraite. 

Coxtixueöxte, adv. poliment, civilement, 
bonnetement ; courloisement. 

CosricaL, adj. 2 gen. cortical: qui appar- 
bent ä l’ecorce. Substancia —, (1. d’anal.) 
substance corticale : du cerveau, tissu de vais- 
seaur. 

Corriga, s. f- "liege : &corce de liege; &corce 
dsrbre. Plauche de liege pour meltre sous les 
Keds et pour d’autres usages. — cheirosa, V. 
(snelia. Andar como a— sobre a agua, ( fig.) 
(ire wujours dispos6 & se laisser gouverner 
par la volonte des autres. Nadar sem — , (fig. 
fen.; voler de ses propres ailes ; n’avoir besoin 
du conseil, du secours de personne. 

a Corrıgapa, 3. f. grande quanlits de ru- 


Corricioo, A, adj. couvert, garni de liege. 

Grricinna, s. [. dim. de Corliga. 

GaTıcinuo , 8. m. dim. de 

Coarico, s. m. * ruche Amiel ; sortode barillet 
de liege, 

+ Wortıcö, 8. f. espäce do grande perdrix ä 
esllier noir. 

tGoıtı6öso, A, adj. de la nature du liege; 
qui en est couvert (arbre). 

Garıo, A, pP. P.deCorlir. adj. ( lg.) En- 
derei (au travail). Ester —, (Ag. fam.) eire 
steutume, rompu & un exercice. Estar — do 
si, &ire hale par le soleil. — de desgostos, 
(4.) qui a dorouve beaucoup de desapre- 
ass; salur6 @s weint, 

PORT,-ER, _ 


COR 358 


CortıpöR,s.m.lanneur, corroyeur, hahilleur. 

Cortmörro, s. m. *lannerie: alelier, bou- 
tique de tanneur. 

Corrivüna , s. f. Paction de tanner ; compo- 
sition pour lanner;; mac£ration , rouissage. 

CORTILHÄR, v. a. dim. de Cortlar. 

+ Corrtis, s. m. lannin : substance üibreuse, 
insoluble, residu du tan lessive. 

CORTIMENTO, s. m. Yaclion de lanner. — do 
vinho, cuvage : action de cuver levin. POr o 
vinho de — ou dar — ao vinho, cuver le vin. 
V. Corlir o vinho. 

CoRTIiNA, s. f. "rideau : &toffe suspendue pour 
couyfir, entourer. (I. de fort.) Courtine : mur 
entre deux bastions. (ig.) "Voile: tout ce qui 
sert a cacher, & voiler.* Dais au-dessus du fau- 
teuil du roi dans sa chapelle. 

CORTINÄDO, 5. m.* tenlure de rideaux ; tapis- 
serie; tour de lit. 

* Corrixua. V. Corlina. 

* CORTINHÄL, 8. m. champ clos qu’on ense- 
mence tous les ans. 

Cortirg , v. a. tanner, aflfeuter, corroyer. 
Dureir, bäler. Endureir a un travail, aA un exer- 
eice.— olinho, 0 canamo, rouir du chanvre, 
le faire macerer dans l’eau. — 0 vinho, cuver: 
laisser fermenter le vin dans la cuve. — dores, 
desgostos, etc., (flg.) souffrir, «prouver des 
douleurs, des desagrements, etc., conlinuols. 
— apelle a alguem, ( fam.) meltre quelgu’un 
en Je beaux draps blancs. 

+CorTümz, s. m. *lannerie : lien od l’on 
tanne; action de tanner;; procede pour lanner. 
Tan : &corce de chöne moulue pour tanner. 

+ Contusa-pe-ViRcinia, 5. f. petit anis. 

CORUCHEO, s.m. sorle de mitre de carton que 
portsient les flagellants. *Fleche, aiguille d’un 
edifice. — da columna, architrave, &pistyle. 
— do ielhado, sommet Ju toit. — d’um templo, 
coupe de döme d’un temple. 

+Corüsa, s. f. (t.d’hist. nat.) chouelle: oiseau 
de nuit, de l’ordre des rapaces. — grande gris- 
negra , hulotte. — parda-huirante , chat-huant, 
— alvadia chilrante das torres, effraie. — fus- 
calva das rochas, chouette grande ou cheveche. 
— pequena, cheveche ou pelite chouetic. 

CorVJO, 3. m. choucite ındle. V. Corüja. 

+ Conönua, s. f. (1. de geog.\ Corogne: ville 
maritime d’Espagne,, dans la Gälicc. 

Cortscacäö,s. f.(l.de phys.) corusceation > 
eclat de lumiere. 

CortscäDO, 9. p. de Curuscar. 

ConuscänTE, adj. 2 gen. (1. de pofs.) flam- 
boyant; brillant, reluisant, 6clatant, dhlouis- 
sant. 

+ Cortscar, v. n. (1. de pods.) Namboyer : 
jeter un grand eclat; briller, reluire, dclater, 
eblouir. 

+ CoacriLHo, s. m. dim. de Corülo. — das 
semenles, (#. de bot.) petit sommet, derniere 
pointe des graines. 

CoriTto,s. m. * cime, bouquet au haut de la 
tige; sommet, cime, pointe de quelque chose 
que ce soit. 

) 


854 008 


Chorva,s.f. lemelle du corbeau. (fig. fam.) 
. Griailleuse : femme qui criaille. 

* CoRvEIRO, 8. m." bergerie de obevres. 

COoRYEJADO, A, P. p. de Currejar. 

+Convssiö, s. m. (f. de veier.) jarret d’un 
animal. 

CORVEJAR, 9. 9. tra tenace sur quelque 
affaire : croasser. crier comme le corbeau. 

+ Coavkra , s. f. corvette : batiment leger de 
guerre, & trois mäls, entre la frögate ei le 
brick. 

Convina,s. f. gros poisson de mer A dcailles, 
qui ressemble au congre. 

+Coavixo,A, adj. (I. de pods.) qui appar- 
tient, qui ressemble au corbeau. 

Cöuvo,s. m. ($.d’hist. nal.) corbeau : gros 
oıseau A plumaye noir, passereau plenirosire, 
sylvain, anisodaciyle, omnivore, qui recher- 
che les pays froids. — marine, cormoran. 
— noclurno ou noilibö da Europa, engoule- 
vent, crapaud volanı, Crie o — tirar-te-ha 0 
olko, ( prov.) nourris un corbesu, il 4e crövera 
Pal. 

CoRYBÄNTES, 6. m. Di. (1. d’anf.) corybantes: 
prötres de Cybele qui Jdansaicnt au son des 
instruments, 

f CorYameireno, A, ady. (1. da bot.) cosym- 
bifere : qui porte des corymbes. Planlas —as, 
corymbiferes : famille de planıca dycotyledo- 
nes, manopelales, A wwralles epigynes et an- 
theres reunies. 

TCoaYusı6Lo,s. m. (1. de bal.) corymbiole: 
plante du cap de Bonne-Esperance. 

Corv’usus, s. m. pl. t.de bol.) corymbes: 
Nieurs en bouquet horizontal au haut de la Lige. 

TCosnrunöso, a, adj. (4. de bot.) corym- 
beux : en corymbc, cn forme de coryınbe 
( Beur, etc.). 

CORYPBEO, 5. m. coryphee : chef des chaurs 
au theätre grec. (fig.) Chef d'une secte, d’un 
parti, io. ; sujet principal des chaurs & 1’O- 
pera. 

tr Convrusna, a. f. (1. d’hist. nal.‘ cory- 
phene : poisson Ihoracique. — dourads ou 
lampuga dos Hespanhdes, dauphin ou dorade 
des Antilles. — ozul, rasoir bleu. — poritale- 
que , eventail. 

Conrza,s. f. (. de med. coryse: &coule- 
ment d’une hummeur Acre de la tdie dans les na- 
fines; rhume de cerveau. 

Conzinur, s. f. dim. de Cör, couleur pcu 
vive. 

C’os ow Co’os, pour com os, avcc les. 

Cos , s.m." ceinture de la culotte, d’une jupe. 

Cösco,s.m. te. burl.) argent ımisen reserve, 
pecule. 

CoscdJas, s. f. pl." anncaux de chacune des 
branuches du mors d’un cheval; piece d’une 
sellc. 

CoscnrÄö, 3. m. espöce de beignet. 

FCoscöorna, 5. f. (8. de dul.) "coscorna ! ar- 
bro d’Alrique, & pomme d’amour. 

’ Coscona, 4. m. ak d’una chose erepte ei 
ure. 


005 


+ Coscoröna, s. u. (4. d’hisl. nal.) cosoors- 
ba : oie du Chili. 

Goscorräö,s. m. ($. buri.) V. Cardio, Ca 
chacdo , chinfreneau : contusion & Ia iäle. 

Coscorainno, s. m. (4. fam.)argent mis en 
reserve, peeule. 

„ Cöscos, s. m. pl. V. Coschjas. 

Coscuzkino, A, adj. canique, algu ; em forms 
d’entonnorr. Milko —, V. Milko coseusbiro. 

+ Co-sEcanTs, 8. f. (1. de gdom.) co-secani : 
secante du oomplitmeat d’un angle. 

+CoseEpön, A, s. celui qui eoud. 

Cosspöna, #. f. action de eaudre & Fal- 
guille. V. Costära. 

* Coserro. V. Coside. 

Co-stxo , s. m. ( 1. de malh.) o0-sinus ı SIRnS 
du complöment d’un angle. 

Coser, vo. a. eoudre : jeindre des &loffes, 
eto., aveo du fil passe dans Paiguille, eit., 
ıßg.) rassembler, ajouter l’un & l'autre (de® 
passages de livres ); attaches, tier ; unir, JoiR- 
dre, coller. V. Cozer. — a fachdas, ( fan.) 
larder, percer de coups. — se com & lerra, 8 
parede, etc., (fig.) se coller conıre Ja tft, 
contre la muraille. 

Cosino, A, P. p. de Coser. adj. (Ag.) Attach6, 
li6, colld. — com a lerra, coll& conıre la Ief7t. 

CosIMENTO. V. Cozimenio. 

Cosıxna , etc. V. Cosinha, etc. , A 

Coswärico, A, adj. cosmelique : qui ser 
embellir la peau (remede, preparation ). 

Cöswico, A, adj. (1. d’asir.) COSMIqUE- 
peclo —, aspect cosmique : des piandies m 
rappori & la lerre. Nascimenio, a ei 
ver, coucher cosmique : d’yg astra av&6 
dn soleil. 5. m. p. us. Le gldB0 cöleste. 

Cosmoconia, 8. fı cosımogonie : Selenl®, 
iöme de la formation du monde. e 
. +Coswoconıco, A, adj. de la cosmogeni; 

ul apparlient ä la cosmogonie. 

' + CosmoconisTa,s. m. auleard’un ayatame 
cosmogonie; qui salt ou professe cee Ir rip- 

COSMOCRAPRIA, 8. f. cosmograpbie : e ion 
tion da monde entier ; science Je 18 situali0", 
de la grandeur, de la figure do Funivori.. ge: 

COSMOGRÄPNICO , A, adj. cosmogTap q 
de la cosmographie. 

COSWOCRAPRO, 5. m. sosmograpke: qui Mil 
la cosmographie. t 

+ CosmoLisıo, s. m. cosmolabe ! ee 
de matheınatiques pour ınesurer Nabe 
espece d’astrolabe pour maesuref ie g!O co des 

CosmoLocia, 8. f. cosmolegie : SCH 
lois du monde physique. „de 8 

COSMOLÖCICO , all. oosmologig®®: de 
cosmologie. , la 

+ C05m61000 , s. m. qui sall, qui profess 
cosmologic. non: 

Cosmop£ia ‚a. f. p. us. fabriqnie du ! gihoyoß 

+ Cosmorouira, e. m. cosmopalil® e 
du monde ; qui w’adopte pas de PRU? 
errant. al » 

+ CosmoreLigien, 4, al. onsmopeliWi 
qui apparlient au COsm 


008 


+ CosueroL.rmsuwo, 5. m. eosmopolifisme ı 
systeme, maurs du cosmopolite. ' 

+Cosuorima ,s. m. sans pl, cosmorama : 
twblesu du monde ; salte oa il se voit, 

Com. V.Cuspir. 

Cosgczapöra, s. f. Paction de fusliger. 

Cosquzin, ©. a. fustiger.V. Acouter. 

Cossägıa, 8. f. (1. burl.) courtisane qui de 
poailie les amants. 

Cossinıo, s. m. V. Corsario, Pirdis. De— « 
— ndo se perde sendo os barris, corsaires con- 
ie eorsaires ne font pas, dit-on , bien leurs af- 
aires. 

Cosse, s. m. mesure aslatlgque de 2,400 ä 
2,500 pas geometriques. 

CossEgL&TE om COSSOLETE. V. Corselete. 

+ Cössıo,s. m. ( 1. d’hist. nat.) cossus : t6- 
pidopläre nocturne Slicorne. 

Cösso. V. Corso. 

‚(ossöua0, s. zu.” molelic : Toue & pointes de 
eperan. 


Cossbunos , s. m. pl. (il. de wer.) corchen de 
fer pour entoures les vergues, 

Ger, s. f. V. Costells. Cöte, penchant 
dane celline. —, rive qui s’clend au Join le 
long du bord de la mer. Etire : outil de oor- 
danpier. Bar d — ou na — , sohouer, danner A 
la cdte ‚ faire eöte. Ir, andor, navegar casia d. 
—, zanger la cöte. Correr uo longo da — ,co- 
tsyer. Ir— abeszo, (Ag.) dechoir, aller en de- 
esdence. — erriba ol acima, en montant. (ig.) 
Aveodißßenkte, avec repugnance,, conire-mont. 
Nagooio de — acime , (ig.) affaire tres-diflicile, 
its-importause. — da asralhs,, da faca , dos 
d'un couteau.—s,pl.reins, Gpaules; eütes; dos, 
ever. (Ag.) Appui, fareur, pmteolion. — da 
mie, tevers de ia main. Deitado de -——, zenverse 
ea amitre ‚ cauckhe sur ie dos. Cair de —, tom- 
bersar ie das. A’s— ‚ade. sur le dos, sur les 
tgenies. (ig.) Sur les bras, sur son campie, ä 
se change. Loner ds — a alguem, porter queli- 
an surses +paules. Firar as —, taurner le 
bes. Iraas — d’alguem, suivre de pres, aller 
spe qualgu’un. Razer —a aiguem ,(fig.) pro- 
ieger queigu'um. Tor — am alguem, em algu 
ma ou, (Ag.) avois conllance un quelqu’un, 
en quelque chose. Ter as — quanios em alguam, 
(d.) compser sur la Seveur de quelgu’un; awair 
Geeluum dans la manche. Fer ds — 0 inimi- 
2 as! f'ennessi sur ins bras. Cöstas com, 


"Comf. 7. Cosidi ei Ladeira. 

(srioo, 8. m. c0t6 - la partie droite ou gau- 
ce @\an arimel depuis l'aisselle jusgu’ä Ja 
kınche, (yı) Fianc, nile d’une armee. CHtE,' 
fanc , bord d’un vaisscuu. Dos. Dar o— ‚(1. de 
er.) pr&senler le cöld pour lächer sa bordee. 
=, pl. cötes,, lignes de parente ; quartiers d’as- 

ants. Os qualro —s ‚le pere ei la mere, le 
trnd-pere et In rrand’mire de quelqu’un. 
dreore de —s , arbre gendalogique. 

CostäL,s. m. grand sac, suchte: ce qu’on 
Mt peut vontenir, 






























003 838 


CosriL, a4. 2 gen. qu’on peut porter nur les 
@panles. (p. us.) j 

CostaLeıras, s. f. planches de. oßtk. 

Costantına, s.f. (I. mil. une.) "Onac, alle 
@’unc armee. — de madeira, dosse : premhire 
et derniere flanche @une pitee Soboisseies, 
— de papel, chacune des deux muins de papier 
de rebut yu’on met ordineirement danschaqus 
rame.—s,, { f. de mar.) faux haubans, haubans 
de fortune. u 

Costaxtiıno, 1, adj. Qu eiie extörtenr. Pas 
pel—, papier de rebut. j 

Costi6. V. Lomöo. 

TCostiö,ä,adj. qui appartienr'ä 9a cöte, 
qui garde la cöte (soldat, ete.); qui est.In 
pente, penchant (chemin, zoute); qu’on ponf 
porter sur les &paules (fardeau, ete.). 

CosTEiDO, A,p. p. de Cosfear. 

COSTEAMENTO.V. Custeamiento. 

Costeir,v. a. (f. de mar.\ ranger, cabotter. 
cötoyer, naviguer terre & terre. Longer : mar!’ 
cher ie long. Y. Custeär. 

Costeir,0.n.,et—se,®. r. cöloyer. {Ag.) 
S’approcher d’un avis, d’une opinion.  ' 

” Costtıra,, s. f. cöte de la mer; rivape. ' 

Costfıras, 3. f. pl.(t. de mar.) pieces de 
bois pour renforcer les mäts. 

Costeıro, a, adj. de la cöte; oötier , monta- 
gneux. Barco — ‚embarcagäo —a, (I. demer,) 


‚cabotier ou caboteur : bätiment pour caboter. 


s.m.V. Encosta. 

CoSTELLA, 8. f. cöte : os courbe etplat, placd 
obliquement sur les cötes du thorax ; ce qui ei 
a la forme. Raquette; repuce, piege d’oiselenr. 
Podem-se-Ihe conlar as —s, on iui cempierait ' 
des cötes. 

Costeııiwna, s. f. dim. de Cosiella, odte-: 
eite. : 
Cöstırricıo ow }(t.de bot.) costus: arıris- 
Costo, 3. m. seau des Indes et d’Alr- 

que; sa racine aromalique. 

Cöstra,s. f. croüte (d’une blessure, ele.)4 
surface durcie; escarre. V. Crosta. 

Costrinpa, 3. f. croßte de päte, ete. 

Costrivo, A, adj. convert d’une crotte. 

+ Costa0s0, A, adj. qui a une croüte ou des 
croötes; qui a la surface dureie. 

Costuino, A, p. p. de Costumar. adj. Ao- 
Foutume, habitue. ‘ 
Costuuicen , 8. f. coufumene, Arokt coutu- 
mier. . 

Costtwir,v. a. V, Aportumaer. v. ». Avoir 
Phabitude de...; arriver d’ordinalre; ötre Yu- 
sage. —s0,0.T. V. Acoshımar-e. ft. inp. Buy 
en usage. 

fCostumimo, 1, adj. coutumfer : selon ia 
eoutumne. 

COSTÜME, 8. m. "coutume, habitude, usafv. 
(4.de prat.) "Relation de parentt, d’ariitft, ie, 
O — faz lei, la coutume a force de Ioi. 


do o—, comme de coutame. Passar @-— ‚vos : - 


nir en coutume. —s, pl.” mours. Deprader os 
—s, allerer, corrompre les M@urs. =—# Uuanes, 
maturs douces. y 


856 COT 


Costuumina , s. f. V. Costumsgem. 

Cosrüna, s. [. couture: assermblage de choses 
oousues; rang de points & aiguille; art, ma- 
nidre „action de coudre , d’altacher en cousant, 
Ouvrags de couturiere. —, large cicatrice. — 
da ndo, (1. de mar.) [ente d’un vaisseau calla- 
160. — de cabe „ (id.) union de deux cäbles par 
leurs bouts, spissure. — redonda, Epissure 
sarr6e. — de ‚ epissure longue. Fazer 
ums —, tpisser. Rebaler as —e, (id.) pataras- 
ser. Meiter-se como piolko em —. On le dit 
d’un homme qui veut se melor de tout, Assen- 
ter as —ı, (1. de Laill.) presser les coulures. 
(Ag) Battre quelgu’un. 

Costoatına , s. f. couluriere : femme qui tra- 
vaille en coutuse; qui fait des vötements de 
femme ; lingere. 

Cora, s. f. armure. (ant.) Colte : ancıenne 
jupo de femme. — de malka, brigandine; che- 
mise, oolie de mailles, jaque de mailles. — 
d’ermas, colle d’armes; casaque militaire sur 
la cuirasse;; cotte de heraut d’armes. — partie, 
v. de faca, d’espada, dos d’un cou- 
teau, d’une &pee. il. Cote : marque nume£rale 
par l’ordre des pieces ; aunolalion marginale. 

CoTipo, A, p. p. de Coldr. 

CoranoR, 3. m. annotlaleur; celui qui cote. 

Cotautnto , s. m." annolalion ; aclion de 
eoter. 

CoOTanGentK, 8. f. (l.de geum.) co-langente: 
tangente du complement d’un angle. 

+ CoraniLno, s.m. (1. de bot.) * bourre, duvet 
irös-An. V. Coldo ( lomenium). 

COTanıLnöso,, A, adj. ( 4. de bot.) omenteux: 
de bourre „gotonneux. 

Coriö, s.m. coton : bourre de la vigne, des 
fraits, etc. ; duvet, poil follet. it. aug. de Cola, 
chemise de grosses mailles. 

Corin, v. @. coter : marquer suivant l’ordre 
des lettres ou des nombres. (fig.) Emarger, 
faire des notes, des remarques dans un livre 
ou derit. 

Coraıziuua , s. f. dim. de Cota. 

+ Corte, s. m. queux : pierre & alguiser. it. 
ant. Chose qu’on poris lous les jours (ba- 
bit, etc.). 

Corzsino, A, p. p. de Colgyar. 

Cotzsapon,, s. m. collationneur : qui colla- 
Uonne, confere. 

Corzıäa (com), ©. @. Cconlörer, comparer, 
eollationner. 

+Coretıo, s.m. "comparaison, confrontation. 

+Cortız, s. m.(t. d’hist. nal.) manchot: 
eisean negeur, ptiloptöre,, gorfou , aplenodyte. 

Cortto, A, adj. trös-petit, nain. 

$ Corzunnipo, A, adj. chausse du cothurne. 

fig.) Tragique;; elev&, soutenu,, en parlant du 
tyle. 

Cornöano, s. m. oolhurne : chaussure anli- 
a0, qui venait au milieu de la jambe, dont 
#es acleurs se servaient pour jouer les trage- 
dies. (Ag.) * Tragedie; ton ou style Iragique, 
ou +pique, heroique , eleve. Culgar o— ,(fig.) 
ehausser le cothurne, faire Jouer des tragedics. 


GOT 


prendre un style, un ton &lev6 dans un ou- 
vrage. Pessoa, cousa d’allo —, (fig.) haut per- 
sannage, chose elovee. 

Coria, s. f. (1. d’hist. nat.) *agouli : quadru- 
pede du Bresil de l’ordre des rongeurs, genre 
cebiai. 

Coria ow Coria, 8. f. (f. d’Asie) sorte de bi- 
timent dans l’Asie. 

Cöricäa, 8. f. (t. de bias.) colice:: bande elroile 
qui n’a que les deux tiers des bandes ordi- 
naires. 

Corıcino, a, adj. (tl. de blas.) cotick:charg6 
de cotices. 

+CoricuLa, s. f. pierre & toucher, ou de 
touche. 

Corıpıano, V. Quolidiano. 

CorıLaiö, s. m. cotillon : sorte de danse, 
son air. 

+Corinca, s. f. (.d’kist. nat.) * colinga : es- 
pece de merle, 1res-brillant, d’Amerique. — 

zul, ow sair& grande do Brasil, le corden 
bleu. — vermelha do Pard, l’ouette. — pur- 
pures, ou Pompadoura, le Pompadoat. — 
chilreira,, le jaseur. 

Corio, A, adj. qui cuit ais&ment, on le dit 
des iegumes secs. it. De tous les jours, coin- 
mun. 

Cöro, s. m. bout, extremite d’une chose; 
moignon, reste d’un membre coupe, d’une 
branche coupete. — de vela, bout de chandelik, 
de bougie. — de aza, yros de l'sile. 

CoTO ,s. m. 6pee courie. 

COTOöNzA ow Cotoxina, s. f. V. Marmelsiro. 

Coronia, s. f. * basin: sorte de toile de coleR. 

Corovsrioa , s. f. coup de coude. 

CoroveLan, etc. V. Acolovelar. 

CorovtıLo, 8. m. coude : pli du bras, 54 
partie exterieure od il se plie; angle exterieuf, 
obtas ou droit; (Ag.) tout ce qui en a la forme. 
Levantar o— ‚(fam.) hausser le coude, boif® 
beaucoup. Fallar pelos —s, (Ag.) parler beat- 
coup et facilement. Metter-se atd a—ı war 

cowsa, eire engage Ir&s-avant dans un® 
affaire. 

+ Corovia, s. f. (1. d’hist. nat.) ° cocheris o@ 
grosse alouette huppee. — dos pawianos, TOUS- 
seline ow alouette des marais. — menor, lulu: 
petite alouette huppee. , 

Corkim, s.m. ancienne monnale poriugeist. 

+Cörtreo ,s.m. chabot : poisson d’esu döute, 
du genre du cotie, & grosse töte plate. — ER 
cowrapado „ chabot cuirasse. 

+ Cörcıa, 8. f. (1. de bot.) cotula : plante TI- 
diee, corymbifere, voisine des camomilles. 
— gallega. V. Macella gallege. — baslards, 
ctamomille puanie, vulg. la maroulle. 

Coruaxo ‚eote. V. Colhurno, etc. 

+ Corerör ,A,s. colulaur : charge de la W- 
telle avec un autre. 

+ CorıL£oo, s. m. (. de bot.) cotyl&don 0% 
nombril de Venus : plante des rochers, des 
vieux murs, & feuilles en ecuelle. 

+ Cotrıänone, 8. f. (1. de dos.) cotyledon: 
lobe d’une seimence. —s , pl. cotyledones ı 


GOU vun 


fenilles seminales; genre de la famille des 
Joubarbes. 

+Corrı£nöneo, a,adj. ($. de bot.) cotyld- 
done : pourvu de cotylödon. Cotylödonneire : 
des eotyledons. 

+CorrLöne, adj. 2 gen. (t. d’anat.) coty- 
leide : de Pos des 1les (cavile), dans laquelle 
los du femur s’articule. 

Cörvcz , s.m. bout;; queue, exir&mite. V.Cow- 
efirs. Coup de pied; ruade. Repoussement. 
*Crosse de fusil. Dar —, repousser, en parlant 
dune arme ä feu. Dar ou alirar —s, ruer, 
lancer des coups de pled, regimber ; (ig.) faire 
des betises. 

CotcEADOR , A, adj. rueur, qui rue. 
Covczis, v. 9. ruer, lancer des coups de 


D regimber. 
Cocckıra ‚3. f. "gond, pıvot (de porte). 

Covckıros. V. Conchdiio. 

Corcokına, 8. f. pelit verre. il. Grosses plan- 
ches pour des portes. 

CorptL, 3. m. chef, capitaine de gens de 
guerre. In ur des haras. — , inspec- 
teur general des haras, officier de la maison 
du roi. 

CovupeLaria, 5. f. charge de l’inspecteur des 
haras; haras. 

CovsiLno. V. Coudilho. 

*“+Cövpaa,s. f. ‘lit, matelas, oreiller. 

CovLirzon. V. Cowve-flor. 

Cöuna ow Coika, 8. f. "gilet en cuir, sorte de 
petite cuirasse. , 

Couzica ow Corracı, s. f. cuirasse, plas- 
iron : sorte d’armure ancienne; armure Qui 


couvre le corps. Soldado —. V. Couraceiro. it. 


(1. de fort. enc.) Sorte de chemin oouvert avec 
parapet. 

Courackıao, 5. m. cuirassier : soldat de ca- 
valerie arm6 d’une cuirasse. 

Couaima,s.f. "cuirs, peaux d’animaux. 

Cowiö, s. m. aug. de Coura. il. aug. de 
Couro „ vieille prostitude , garce degoütante. 

Countıno, s. m. marchand de cuirs. 

CovatıLa, 8. f. piece de terre longue et 
&ircite, peu considerable. 

*CornzıLkıro. V. Sesmeiro. 

Couaisua, s. f. dim. de Coura. 

Covaiano, s. m. dim. de Couuro. 

Cörgo ow CoIRO, 8. m. cuir, peau. Oulre: 
pesu de chevre preparde pour y meltre du 
via, de P’huile, etc. (fg. fam.) Ivrogne, sac & 
via, grand buveur. Em— ‚adv. tout nu, äcru. 
Enirs — e carne, entre cuirel chair. —s com 
esbello, cuirs d’abatis. —s [rescos, cuirs verts. 

Cöcsa ow Coısa, s. f. chose : ce qui est, eire 
physique ou metaphysique, Dieu et meme les 
&res animes sont exceptes; possession, bien. 
—s, Pi. aflaires. — de, environ, presque, & peu 
pres, pres de. — de ver, chose digne d’etre 
rue. —de riso, chose risible, ridicule, qui 
prevoque & rire. — düra, (fig.) chose dure, 
dıfüiciie & supporter. — rara! c’est extraordi- 
naire! e’est singulier! c’est dröle! Forte—, 
ebose dare, penible. Ndo d— ou grande —, vela 


CoY 957. 


ne vaut pas grand’chose , cela ııe convient pas- 
ce n’est pas grand’chose. Näo ha tal —, cs 
n’est pas vrai, cela n’est pas ainsi. Ndo dizer 
— com —, dire des extravagances, extrava- 
guer. Isso d outra —, cela, c’est uno aulre 
paire de manches; c’est bien une aulre af- 
faire. As nossas—s, les affaires qui nous re- 
gardent, qui Interessent. Este systdma lem 
suas —ı b6as , ce syst&me a son bon. 

+ Coustıno, s. m. livre de remarguss, d’an- 
notations dans le tribunal de l’Inquislition. , 

Covs£LLos. V. Conchello, 

* Cousımtnto, s.m. V. Escolha , Yontsde” 

CousixHa,s. f. dim. pelite chose ; chose ig- 
signiflante. 

Couripa, 3. f. parc de be#tes fauves; for@t, 
bois reserv&; plaisirs du roi. 

Covrino, A, P. p. de Cowldr. adj. Cios, 
Km, entoure. (fig.) Protege. it. V. Encou- 


* CouraukxTo,, s. m. "döfense de chasser. 

Covräa, v. a. defendre (la chasse, etc.); 
saisir; (Ag.) emptcher. 

Courar-sE. V. Acowlar-se. 

CouTania, 3. f. garde des chasses. 

Cott&ıro, s. m. garde-chasse. — mör , offi- 
cier de la maison du roi au-dessous du grand 
veneur pour inspecter les gardes-chausse, etc. 

CöuTo, s. m. " clöture : terrain avec une en- 
ceinte de murailles; parc. Reunion de plu- 
sieurs bourgs, villages ou paroisses qui for- 
ment un fief. Asile, refuge; trou, taniedre; 
gite d’un lievre. — para caga,* garenne. 

+CöuvE,s.f.* chou,chou polager.—crespa, 
chou frise. —tronchüda, chou & gronses cötes. 
— silvesire. V. Colsa. — verde, chou vert 
commun. — gallega, chou vert en arbre , chou 
cavalier. — Murciana ‚chou de Murcie. — fran- 
jada d’Italia, chou frange; chou frise d’Alle- 
magne. — de Saboia, chou pancalier, chon de 
Milan ou de Savoie. — repolhäda, chou cabus, 
chou pomme blanc. — verm£lha, chou rouge. 
— fior, chou-Neur. — dos brocos, broeoli, 
chou brocoli. — cacheira, chou-rave, chea 
de Siam. -— nabeirs „ chou-navet. — baslarda, 
crambe maritime, chou marin. 

Cöva,s. f. fosse; antre, caverna, gralle. 
*Repaire: retraile de betes fauves. ig.) Petile 
cavite. Eslar com os pes para a —, avoir un 
pied dans la fosse, eire sur le bord de sa 
tombe. 

Cövapo, s. m.“ coud6e . mesure d’un pied et 
demi. 

Coviö,s. m. aug. de Cora. Grande [osse. 
— das gallinhas, basse-cour, poulailler. — de 
pescar, nasse d’osier pour la pöche. Covöes, 
pl. galerie de mine. 

Covanng, etc. V. Cobarde, etc. 

Coviro,s.m. dim. de Cova. Lieu dans lo 
cimetiöre od on fait les fosses; mätier de los; 
soyeur. 

Cövazinna , s, f. dim. de Cora, 

Covsıao, s. m. [0s50your. 

Cov&ıLo. V. Cubello. 


CRA 


’Glsmı. V. Claustra. 
*Crıstan, etc. V, Castrar. 
"Caisseıno. V. Claustral. 

Cristixo, a, adj. (l.de poes.) de demain, du 
lendemain. 

frıtkco, s.m. (1. de bot.) alisier. ( vulg.) 
Alouche de Bourzognec. 

fraraı,s. f. coupe, vase A boire; citerne ; 
tratere d’un volcan. 

Cnavaciö,s. f. sertissure : Y’aclion de $erlir 
des pierres ; manidre dont une pierre est scrlie; 
serie, enchässement des pierreries; mise en 
@urre. Garniture de clous dores, eto. 

CRarino,A, P.p. de Cravdr. adj. garni de 
clous. Ter os ulhos —s na lerra ou no <hdo, 
avoir les yeux baisscs. 

Cravapör, s. ms. melleur en @uvre; bijou- 
Ger. it. Poincon de cordonnier. 

Crarapiaa, s. f. "cloutage pour les navires. 

TCnuvicen, s. f. (4. de dos.) maladie des 
panies (clarus), 

Cravir, e. a. clouer, cogner : chasser, pian- 
ierun clou Acoups de marleau ; allacher avec 
des eloas. Enfoncer, plonger. Enchässer. — pe- 

‚serlir. — 0 coragäo, (fig.) percer le caur. 
- 0 olkos em, avoir les ycux lixös, oolles 
sur. 

Cuvira, e. f. eravate: lingo qu’on met et 
Done aulour du cou, (l.d’hist. nat.) —, alouetie 
du cap de Benne-Esperance. 

Cravkını, s. fı “ dlalon (mesure);toise pour 
es recrues, — de sapaleiro, compas de cor- 
donnier. 

Garrkınas, s.f. pl. *trous,dans un fer äche- 
val, peur recevoir les clous. 

(Rartımo, s. me. giroflier; miller, plantes. 
(Ag.) Pot a aillets. it. V. Claveiro. Renoco 

(zurzıRo, a, aalj. conforme & l’stalon portu- 
Bis (mesure). Palmo — , palme de 1? pouces. 

' —4, brasse de 10 palmes (de 12 pou- 
es). 
Gursino, Aa, p. P. de Crapejar. 

Gurgsapor, s. m. oelai qui fait des clous 
Beer les (ers & oheval. 

CRıvzsin, ©, 6. atlacher avec des elous an 
ker ächeval ; eloner. 

CasrsLina. V. Clavellina. 

Casvära, s. m. ardillon : peinte de mdtal 
fane bouele pous fixer la courrole. 

Carua,s. f. cherille de fer ; alteleire, che- 
vüle pour atieler les trails. Croiselte.—- mesira, 
cerille ouvridre. 

TCravina , s. fı (t. de dos.) petit illet, mi- 
Fäonnette, — da China ou da Arrabida, millet 
6 la Chine. — das arefas, willet des sables. 
=barbeila, ailler barbu, aillat de poöte. — so- 
berba, eillel superbe, mignardise. #4. V. Cla- 
tina. 

Casvıno, s. m. dım. de Cravo. 

Tiaavmösı, adj. f. (Corolla —, It. de bet.) 
tarsophyliee: en @illet (corolie),. —as,s. f. pl. 
säryophıylices : famille des willets. 

Guvoacäd, V. Claviorgäo. 





CRE 359 

+ Cnavista, s. m. elavcciniste : qul touche du 
tlavecin. V. Peanisia. 

Crävo,s. m. clou : morceau de metal qui 
une l&le et une pointe. Cor: durilion qui vient 
aux picds. Sorte de tumceur qui vient aux che- 
vaux. Lumignon : ie bout de fa mäche d’uns 
bougie alluınee. Clerage: maladie des oiseaux 
de proie. (fig.) Tout ee qui ala forme d’un clou. 
Pregdr um — na roda da fortuna, (fg. fom.] 
firer la fortune. Dar no —, frapper 4 but, 
prendre le bon parli. Dar uma no — e vulrg 
na [erradura, (lg. fam.) frapper tantöt sur le 
cercle, tantöt sur le Lambour. 

Cnävo, s. m. clavecin : espöce de longus 
epinette en carre, echancree dans sa lar- 
geur. 

t Cnivo, s. m. (1. de bol.) — ordinario, ete., 
— saloiv, aillet, @illet A ratatla : leur caryo- 
pbyliee. — da India, clou de girofle. V. Cra- 
rodrfa. — do Maranhäo, canelle-giroflde. 
— felido da Indie, eillet d’inde, rose d’Inde, 
fleur de’ Roıne. — de defuncto, Yafricaine. 
— romano, slalice, gazon d’Olympe, willet de 
Paris. 

TCravoinsa, s. f. (8. de bot.)-* girofligr uw 
geroflier aromatique : arbre myrtotde. j 

TCravoiLua,s. f. (t. de bot.) benolte com- 
munv, galinte ow recize, herbe de sat Benolt, 
plante rosacee. 

CrR£, s.m. * craie : carbonate de chaut, pierre 
blanche, calcaire et tendre. V. Gräda. #8. Cr&s 
toile dde Morlaix. 

CnEACÄÖ, 8. [ creation : action de Dieu tirant 
les etres du neant; action de creer, ses effetg; 
nouvel etablissement d’offices, de rentes, de 
charges, de papiers d’etat, etc. —, nominatlon 
que fait le pape de nouveaux cardinaux. 7. 
Criagäo. 

Creino,A,p.p. de Credr. 

CreAnOR, 3. m. crealeur : quicröe, qui tire 
du neant; Dieu. 

Creir,v. a. creer: tirer da n&ant (un @tre); 
donner l’eire; faire; imaginor; Inventer; öt«- 
bit (un tribanal, une charge, un papier-mon- 
naie ow d’etat, ete.); constituer (une rente). 
V. Criar. 

CreATöRA, 8. f. erdature: ers ored; per- 
sonne; protege, homme qui doit sa fortune & 
un autre; hömme d&vous & quelgu’un: 

CREATORINHA , 8. f. dim. de Createra. Petite 
cröature, petit enfant. 

CrEBr0,A,adj. (1.depods.)räpets. V. Amik- 
dddo 


CrEceR, etc. V. Croschr, to. 

*Caentıno, A, adj. confident. V. Urddafo. 

CRrdencıa, 5. f. eredence : petite table A 
0416 de l’autel ek l’on placo les burelies, % 
calice, etc. * Buffet sur lequel on metidit le vin 
et l’eau destinds & la table du rei, pour verifier | 
s’Hs oontenaient quolque chose oomtraire & ia 
sante. 

Cnedencıät, ad. H re ce ersen Earie- - 
ou Credencttes (s. f. pl) 1€ ) 

Nastrencıänto, 3. 0 seeristahn «charge de fa 





360 CRE 


erödence du maltre-autel ; ofßcier du roi charge 
de faire goüter le vin et l’eau qui lui devaient 
@irc servis. 

„Curpene,s. m. V. Tilulo, Abonapäo. 

CrEpigiLipäne, 3. f. credibilite : qualite de 
ce qui est croyable; raison , motifs pour croire. 

Ca£oıto,s.m.* foi, croyance qu’on ajoute ä 
une chose. Dar —, ajouter foi. A darmos — a, 
ou se havemos de dar — a, s’il fauten croire. 
Credit, autoril&, pouvoir, puissance, conside- 
ralion; r&putation , renommee. "Creance; con- 
fiance. Credit: usage de la puissance ou des 
fonds d’autrui. Carla de —, billet, leitre de 
credit. 

* CrzpıveL. V. Crivel. 

‘  Cr&oo,s. m. credo :: symbole de la foi, des 
|apötres; croyance religieuse. Com 0 — na 
| bocca, (fig. fam.) dans le plus grand danger. 
| Em um —, (fam.) dans un clin d’eil. 

Cn£oör, A (de‘, creancier, credileur, celui 
& qui est dü de l’argent ou autre chose. (a, de) 
( ig.) Digne de quelque bonne chose, y ayant 
des droits, la meritant. 

+ CREDTLANENTE, adr. avec credulite. 

CnspuLiping, 5. f. credulite : facilite & croire 
sans examen, sur un leger fondement. V. 
Crenga. 

Cr£ouLo, A,adj. credule : qui croit Irop fa- 
ellement. 

*CREER. V. Crer. 

* Caeıveı. V. Crivel. 

* OneLeciastico. V. Ecclesiastico. 

* Catuıco. V. Clerigo. 

CREME, s. m. ’creıne : partie epaisse du lait. 

* CREMENCIA, elc. V. Clemencia, elc. 

CREMESiM. V. Carmesim. 

+ CREMONENSE, adj. 2 gen. ei s. Cremonais: 
de Cremone; Milanais. 

Ca£uorR, s. m. "creme: le suc le plus delicat 
des choses. — de lartaro ‚creme de lartre. 

CrEnA,etc. V. Querena, elc. 

f Caenivo,A,adj. (I. de bot.) crene: & denis 
arrondies (feuille, corolle). 

Crenca,s. f. croyance: ce qu’on croit dans 
une religion; sentiment, opinion. * Credit ; 
oreance. 

CasncHas, s. f. pl. naltes de cheveux. Jube: 
plante. 

CRENTE, adj. ct 8.2 gen. croyant: qui croil 
ä sa religion, ce qu’elle enseigne. 

+ CRENCtLADO, A, adj. (t. de bot.) crenule: 
qui a de petites crenelures, 

CRErE, 8. m. crepe : elolfe claire, frisee; 
morceau de crepe en signe de deuil. 

+ Ca£pı ow Unkeis, s. m. (1. de bot.) crepide 
ou crepole : plante chicoracee. 

+ Crxrıracäö, s. f. crepitation : bruit redou- 
ble du feu, de la lasıme qui pötille. 

CREPITACULO, 8. m. bisire, cymbale, casla- 
gneltcs, cliquelies, et lout insirument pour 
fairc du bruit. 

ÜREPITÄNTE , adj. 2 gen. (4. de pods.) crepi- 
Lant ; qui orepite , qui pelille. p. a. de 

ORzPITaRn, v. 9. crepiler, peliller; eclater 


CRE 


avec un bruit reiter€ , en sautillant, comme le 
sel dans le feu. 

CAEPURINA OU CRAPLDINA „ $. f. Ccrapaudine: 
pierre precieuse , supposee Irouvee dans la 
ieie du crapaud, bufonite. 

CRErUSCULÄR ‚adj. 2 gen. cr&pusculaire : du 
er&puscule. 

CREPÜSCULO , 8. m. cr&puscule : lumiere, 
clart& qui pre&ce&de le soleil leyant, ou suit le 
soleil courhant jusqu’ä la nuit close ; sa durve. 
(fig. V. Vislumbre. 

CRER, v. a. croire : estimer une chose vcri- 
table; la tenir pour vraie, juger vrai ; ajouler 
foi & ; estimer, penser, presumer, avoir opinion 
que. — a olhos fechados,, (fig.) croire aveurlu- 
ment. — de ldre, croire lögerement. Vere—, 
croire & de bonnes enseignes. — piam£nte, 
croire pieusement. Fazer — enganando, en 
donner & garder, en faire accroire. — cnusas 
falsas, accroire. Näocreia V. M.isso, gardez- 
vous bien de croire cela. Sö quando o vir € que 
o heide —, je ne le croirai qu’autant que je le 
verrai. 

Cr£r (a,em),v.n.avoirfoi een, & (Dieu, an 
Saint-Esprit , etc.); donner sa conliance & 
quelqu’un , sa croyance & quelque chose. Eu 
IN o creio, ( fam.) je crois ce que vous dites, je 
vous crois. Creio de boa mente ou eu bem ereiv 
que, je crois bien,je crois assez. E’ de—ouka 
molito para— que..., ily a lieu decroire que... 

Catk-sE, v. r. se croire : s’imaginer eire, se 
regarder comme; ötre cru. — geralmente, on 
croit generalement. 

* CrERiA , Creaezia. V. Clerczia. 

CRESCENGA, 8. f. croissanco, aceroissemen! ; 
erue ; allonge; exc&dant, surcrolt. V. Auf 
mento 


. [| 

CRESCRNTE, adj. 2 gen. croissant:: qui eroll. 
p. a. de Crescer. Quarto — da lus, premiet 
quartier do la lune. 

CaESCEnTE, 3. m. (4. de bias.) croissant: f- 
gure de la nouvelle lune, sa forme. Levain. 
Faux loupet. s. f. Flux de la mer; accroisse- 
ment, crue d’une riviere. . 

CRESCER, ©. n. Croltre, augmenter; grandit; 
enfler, hausser, grossir ; redoubler. Rester, €lre 
de reste, surabonder, excöder. (Ag.) S’agran- 
dir, s’ciendre; s’augmenter. — a ou 
olko , ( am.) crottre & vue d’al!.—em corcot#, 
( fig. fam.) aller de mal en pis. — pers baiz?, 
(fam. iron.) diminuer au lieu d’augmenter. 
— como a espuma, ( fam.) faire rapidemen! s2 
fortune. 

CRESCER,, v.@. P. us. augmenter, faire erol- 
tre. — coragdo, (ant.) reprendre couragr. 

* F Crescks, s. m. pl. accroissement, auf 
mentation de volume qu'scquiert le bie, 1e 
sel, etc., lorsqu’on les remue avec une pelle. 
(fig.) * Augmentation, accroissement, aval- 
tage, exces. 

+ Caescina, 5. f. "accroissement, crue d’esü. 

+ Carscivam£nte, adv. copieuscment, abol- 
damment ‚avec augmentalion, avoc accIOls5e- 
mei. u. 


ERI 


CRESCIOIXNO , & ,„ adj. dim. de 

CRESCIDU , A,P. P. de Crescer. adj. Grandi ; 
accru ; grand ‚ considerable; nombreux. Rio—, 
riviere baute. 

+ Caescivos, s. m. pi. augmentes : mailles 
dont on renforce unbas dans certains endroits. 

CRESCIWENTO, 8. m. accfoissement, Cfois- 
sance ,„ augmentation. (fig.) Acces de flövre, 
redoublement de fi&vre. 

Cresriö,s. m. er&pon : &toffe de laine ou de 
soie, non croisce ot frisee. 

Carspatrüna. V. Crispalura. 

Cresriväö, 3. f. frisure ;: elat de ce qui est 
fris€ ‚de ee qui est crepu; äpreie au toucher, 
rudesse, inegalite d’un chemin. 

CresPixa, 5. f. sorte de coifle en reseau. 

CRESsPisEO, A, adj. dim. de Crespo, un peu 
frise, un peu crepu. 

Cr£sro, a, adj. crepu, trös-frise,, cröpe. 
frise, en parlant des feuilles de certaines plan- 
tes. (Ag.) Herisse , couvert de choses pointues, 
raboteux. (id.) Obscur, entortili6 , boursouffie, 
en parlant du style. (id.) Irrite, alter6 ; mena- 
can Mar —, mer agitde. Nariz —, nez re- 
brousse. 

Catsta, s. f. röcolte du miel; hrouissure ; 
Kapine. 

Cagstı-coLutıas, s. m. celul qui recolte du 
miel , qui chätre les ruches. 

CaRESTADO, A, ?. pP. de Creslär. 

Cazrstapüra, 5. f. lögere brülure; broais- 
sure , häle. 

tCarstamento, s. m. — du sol, ( t. de bot.) 
Paction et l!’effet du bäle sur les plantes. 

Cazsriö.V. Casträo ou Castrado ( bode). 

Cazstiß, v. a. brüler un peu; flamber;; hA- 
ler, roussir, brouir. Chätrer les ruches. Il est 
quelquefois reoiproque. Ex.: As vinhas crestd- 
räo-se com a geada , les vignes ont gele. 

Caericeo, A, adj. cretace : de la natare de 
ia oraie,, qui en contient. 

+CarTEense, adj. et s. 2 gen. de Crete, au- 
joard’hui Candie. 

Catrumo. V. Crithmo. 

+Cz$rıco, s. m. crölique, smphimacre : 
pied de vers employ& par les Cretois dans leurs 
ehansons , el compos& d’une bröve entre deux 
longues. 

Carroso , Aa. V. Creidceo. 

Cazino, A, p. p. anl. de Crer. V. Crido. 

Catvg, 3. m. marin qui [ait transporter du 
sel 4 bord des vaisseaux, et en eompte les 
mauids,. 

Caıa, 5. f. petit d’un animal qui lelte. *Nour- 
rissage. 

Caıacäö,s. f. "noufrissage, aclion de nour- 
rir, d’e&lever. Toute sorto d’animaux qu’on 
elive ;couv6e; haras, etc. *Crolt: augmentation 
de beiail. Education; politesse , honnetete, ci- 
vilits. (&g.) Patrie. V. Creagdö. Bda ou md—, 
boune ou mauvaise &ducalion. Dar —, eierer, 
prendre soin de l’education. — do bixo de seda, 
de animdes , eic., 6ducation du ver Asoie, des 

aninauı, olt. 


CHI 364 


Caıända, 8. f. domestique, servanie. — grave, 
femme de chambre. 

CGrıapkira, 3. f. nourrice. adj. f. Feconde 
(vache , chienne, elc.). 

CRıaDiLHA, 3. f. testicule d’animal ; rognon. 
—ı da terra, ou simplement —s, truffes. ' 

CaiaDinHA ou CRraDITA, 3. f. dim. de Criada, 
petite fille qui est en service, pelite servante. 
Soubrette. 

Crıäpo, s. m. domestlique, serviteur, valet. 
— grave , valet de chambre. — de prisdo,, gui- 
chetier. Todos os meus —s esido doenies , tous 
mes gens sont malades. 

CrrÄnO, A, pP. p. de Criar. adj. Eleve, 
nourri. Bem ou mal —, bien ou mal e&leve. 
Fallar como bem —, parler en homme bien 
sleve. Estar —, n'avoir besoin de personne,, 80 
suffre. 

+ Catap6ıno, s.m. * pepiniere. Lieu od l’on 
elöve des animaux. 

CrrADdOR, A, adj. et s. qui nourrit,, qui &leve; 
nourricier. Mattre d’un haras. V. Creador. 
Provineia—a, (fig.) province fertile en grains. 

* CrıamEnTo. V. Criagdo , Sustento. —s, pl. 
V. Afagos, Meiguwices. 

CrıiÄncA, 8. f. Jeune enfant. — de peilo,, en= 
fant & la mamelle. anf. V. Criagdo. Fazer-se 
— ou brincar como uma —, faire V’enfant. 

CrIANcCINHA, 8. f. dim. de Crianca. 

CrIANTE. V. Criador, ad). 

Crıin, v. @. nourrir, alimenter; allaiter. 
Blever (des animaux ‚Ges plantes) ; donner de 
l’e&ducation ; instruire , &duquer. Acquerir, ga- 
gner; pousser, en parlant des cheveux, des 
racines. Procreer, produire. (fg.) Eire cause. 
V. Crear. —carnes, engraisser, prendre de 
’embonpoint. — d mädo, 6lever & la brochette. 
— ao peito, allaiter. — um filko a seus peilos, 
etre la nourrice de son enfant. Dar um menino 
a —, donner un enfant en nourrice. Bstara—, 
etre en nourrice. — boldr, gagner du moisi. 
— affeicdo a alguem, s’alfeetionner ä quel- 
qu’un. /sso eria suspeila, cola donne ou Cause 
des soupcons. 

Cntär-sR , v. r. se produire. (Ag.) Se former 
par l’education. 

Crıatüna. V. Crealura, enfant qui n’est pas 
encore ned ou qui ne fait que de naftre. (fg.) 
Creature : personne favoriste, protögee. 

Crica. V. Cliloris. 

+ Caıcero, s. m. (t. d’hist. naf.) hamster: 
rat da Nord , tr&s-nuisible. 

+ Crıcöine, adj. 2 gen. Cartilagem —, (1. 
d’anat.) crioolde : ( cartilage) du larynx. 

Crido, A,P. p. de Crer. adj. Cru : & quoi on 
ajoute foi. 

* Crisa. V. Clima. 

Crime, s. m. erime : action mechante et pu- 
nissable par les lois; faule enorme; grare in- 
fraction des lois de la nature, etc. ; tout ce que 
la loi punit d’ane peine afflictive ou infamante, 
— de ldsa-magestade, crime de löse-majesie. 
Escriväo do — ‚ greflier criminel. Sala do —, 
tournelle, chambre criminelle. 


308 CRI 


Crime, adj. 2 ges. criminel (procds ; juridic- | 


tion, etc.). Olhos —s, des yeux courrouceR, 
Faezer-se —, se courraucer ou en faire seIm- 
blant. 

GRINSMENTE, V. Criminalmente. 

Crım&za,s. f. severile; mine severe. 

GRIMINAGAÖ, 8. f. accusalion , inculpalion. 

CRIMIXADO,A,p. p. de Criminar. 

CRIMINADÖR , A, 8. accusateur; qui inculpe. 

CamıniL, adj. 2 gen. criminel : qui a rap- 
port au crime. 

CRIMINALIDÄDE , 3. /. criminalitö: clat, na- 
ture de ce qui est criminel. 

CRIMINALISTA , 3. m. criminaliste ; auteur qui 
ecrit, ou homme instruit sur les matidres cri- 
minelles. 

CRIMINÄLMENTE , adv, criminellement : d’une 
maniere criminelle ; au criminel. 

Caıminäa,v. @. inculper, incriminer, accuser 
quelqu’un d’un crime, le lui imputer. 

CRIMINÄR-SE, %. r. s’incriminer, se declarer 
criminel volontairement ow involontsiremeut. 

+ CRININÄVEL , adj. 2 gen. qui peut dire com- 
sider6 comme criminel ; oondamnabie. 

CRIMINÖSAMENTE, ade. criminellement : d’une 
manidre criminelle. 

CRImınöso, A, adj. eriminel, coupable; mal- 
faileur, en parlant des personnes. —, condam- 
nable ; contraire aux lois naturellas ou sociales, 
en parlant des actions, 

Crina,s. f. "crin: polllong du opu et de la 
queue de toutes les belos de somme. Crinidro ı 
crins qui garnissent lc cou du cheval et celui 
du lion, Agarrar-se ds —ı, (fam.) se prendre 
aux crins, 

CrınäL, adj. 2 gen. des cheveux, du crin. 

CaınÄurEo, a. V. Aurieriniio. 

’ Caıne, 8. f. V. Crina. 

+ CrınıspÄrso, A, adj. (d. de pods.) aveo les 
cheveux &pars. 

„Crınito ,a,adj. (6. de pods.) qula une cri- 
niere epaisse; chevelu. Comela —, comete 
chevelue. 

Crino, s. m. (1.de pods. p. us.) V. Cabello. 

+ Caino, s. m. (t.de bot.) "crinole ı plante 
narcissoide, 6xotique. 

‚ Caıöuno , 3. m. ortole : nd en Amerique (Eu- 
zopsen ). Esclave nö ches son malire. 

CRIQUE, &, m. esp&ce de perroquet. 

Cris, adj. 2 gen. eclipse. Si—, ua—, 
&clipse de soleil, de lune, 

Cnis ow Criz, s. m. "dague , ou poignard des 
Malais, 

Calsipa ou Cnızipa , 8. f. coup de oris. V. ce 


mal; 

Crısiuina. V. Crysalida. 

Caisz ,s. f. (t. de med.) crise ı okangement 
eubit dans une ınaladie; effortde la nature con- 
tre elle; (fg.) peril; moment perilleux ow deci- 
sif d’une affaire. *Jugement poris sur uns chose 
aprös un ınür examen, 

fCuist, a.m. sorte d’&tamine,etoffe do laine 
klanche ot irös-lino, “ 

Caisno. V, Chrysso. 


CRO 


Caıswa , etc. V. Chrisma, eie. 

ÜrRISÖL. a. m. creusel : vase pour fondre !=-- 
melaux. Äg.) —, fpreuve. 

Grisonıta „etc. V. Chrysolitha, eic. 

Crıspatina, 8. f. crispalion : conlraction in- 
volentaire des muscles, etc. 

Caista, s. f. cröte : excroissance ebarnue 
sur la tete ducog el d’autres oiseaux. *Panache 
au haut des cosyues, cröte de casque. — ds 
esplandda , (t. de fort.\er&ie da chemin cou- 
vert de l’esplanale. Zerastar a—, Ag.) lever 
la crüte , s’enorgueillir, s’en faire aoeroire. Jo- 
gar &s —e, \td.) se quereller. 

CRISTADO, A, adj. crete : qui a une er@le. 

Cristal, etc. V. Crystal, ete. 

* Crıistäö, V. Grestäo. 

T CrısSTATELLA , 8. f. (& d’hist. wat.) orista- 
telle : polypier spongiforme. — belorose, cris- 
tatelle moisissure. 

GRısTEL. V. Clyster. 

CrıTERıO , 8. m. erilerium : marque de la v6 
rits ; habitude pratigae de connaltre la verite. 

Ceıreuo, s. m. (t. de bot.) bacllie mari- 
time, ou criste marine, — besiardo, &thise- 
phore , porte-epine. 

Cairica, 4. f. eritique : at de jJuger d’an 
ouvrage d’art ou d’esprit; etude de la liltera- 
ture; censure inaligne des ecrits, de ia con- 
duite; art, goüt, capaoli6 pour juger d'un ou- 
vrage d’esprit, 

Criticino , A, P. 9. de Crilicar. 

Crıticadön, 3. m, celui qui eritique, qui 
alme & oritiquer. V, Critico, 8 

Criticin, vo. a. critiqder ; exartıiner un em 
vrage; reprendre, Lrouver a redire , cemsurer, 
blämer (une personne, une action, eto.). 

CriricäkveL, adj. 2 gen. critiquable : qei 
peut dire justerhent eritiqu6 (ourrege, per- 
sonne, elc.). 

Crirco, a, adj. orique : de la critigee. 
(t. de med.) —, dangereux, difiele A passer, 
penible, qui amene une crise; (Ag. danze- 
reux, etc. 

Critico, s. m. critique « oalui qui exeamise, 
juge, explique, eclaircit los ouvrages d’esprit, 
d’arts; censeur qui juge les ouvrages; welni 
quiiroure d redire & tout. 

* Crıriatizan. V. Crilicar. 

+ CriTöpnAGO, 8. m. quise nourrit de palnı 
d’orge. 

CRIYÄDOQ,A,P. p. de 

Crivia, v. a, cribler ı noßtoyer avec le eri- 
ble; passer par le criblo; percer comme wa 
crible (de blossures, de bailts , etc.). 

Criver, adj. 2 gen. croyable : qui doit, gei 
peut eire cru. 

Crivo, # m. cribla: instrument peres de 
irous pour nettoyer le grain, pour le triert 
(Ag.) surface percce de trous. 

Crizr. V. Crise. 

Crö,s. ın. sorto de Jeu do carlag. 

TCnoicıa,s.f. \6. de gdog.) Croalio : pre- 
vince de la Hongrie. 

+ CroActÄnO, CRoAcıo 0% CROATO, A,adfı @& 





CHU 


s.Crosie, de ls Greatie: kal-tant ıle la Crostie. 

Conn,s. fi vece . 

Camst, 8. m. guelien. non use salren. 

Cana. V. Coruru. 

Cauıro, A, adj. safranı , cou eur desalsan. 

Cascsiı. V. Cozie. 

Caocırıcan , ete. V. Crucificar, el. 

+ Caocımo, a. o. enguenilait avec du salran. 

(zocı100, A, P. pP. de 

Caocstaa, v. 8. croasser. On le dit da 00M- 
besu Qui erie. 

*Caoco. V. Acafrdo. 

t Cuocomuimos, 8. 0.3. (4. d’hist. nal.) 
crosediliens ; reptiles saurions. 

Caocopi1o, s. m. crocodile :le plus grand 
des kzards; reptile saurien,, amphibie, & cou 
couvert de inbescules, et eorps formd de sog- 
ments, d pieds palınds,, oarnassier. — de Gen- 
ges, garial. (Ag.) Mechant, traltre, peorfide. 
Legrimas de — , larımes perfdes. 
| CaochTa, s. f. quadsupede 26 de lion et 

yene. 

Caouısrı0o. V., Chromsliise. 

(zo , a. f, ezosse de fusil, 

t lsoru6ı80 „a. 90, Buvrier qui [sit des cros- 
ses de funil. 

Caozıca „ @iß. 

(a03010614 , el6, V. Chron..., W0. 

CRonöusTao, 

Caögce, 3. m. croc : longu6 perche armte 
dam poinie ei d’un crochel. 

+Caogsinmas, s. f. pl. Senlar-so de —, War 

ir 


Cadsra, s, f. escarse s oroüle noise sur la 
peau, les plaies, etc. 

Cadsre, V. Colostro. 

CaöTaLo,s. m. crotale: lambour, castagnetie 
des pretres de Cybele. Serpent ä sonnetles. 

} Caotımmıre , s. m. (4. d’anal.) erolaphite ; 
musche des tempes , qui relöve ld ımächoire in- 
ferieure. 

f Caoromire , odj. 2 gen. crotoniate : origi- 
naire de Croione. 

Cac, a, adj. eru:qul n’est pas cuil; vert, 
pre indigeste „ diflicile & digerer.— , qui n'est 
point appret , preöpard : on le dit de la soie, 
de la toile de lin, etc. (Ag.) Cruel, dur, sans 
päi&; rigoureux, dur. (1. de chir.) Qui n’est 
Pas eücofs mür,en parlant d’un apostöme, etc. 

Cacautıte, adv. crüment, durement, sans 

t; cruellemen!, 

+ Carczsıcnäto, A, adj. qula la croix pour 
devise; marque d’une croit. 

+ Caocairo, #. m. croisat ı monnale d’ar- 
gent äGenes, 4 Ir. 50 0. 

Caruir, adj. 2 gen. (f. de oAir.) erucial : 
falte en croix (incision). 

Carcıantırı, s. f. (tl. de bof.) oroisetie 
ae, erucianelle , plante rublacde, 

Cataus. V. Alormentar, Marlyrizar. 

Caraito. V, Tormento, Anguslia. 

TCacarsnänıo, 8, m. portc-croix. 

+Caccirenas,s. f.pl. (t. de bot.) crucifäres ı 
plantse A quaite pötales en crolt. 







CRU 388 


CrrcisERNn, A, adj. crucifäre ; qui parto une 


eroit. 


allen en. N. danetamo, 
erreircad9 A, EP. de Lrucifeur. OO —, 8, 


On le dit par excellence de JesumChrist. 


CutciricAapöR, 5.1. colui yui crucilie. 
CRUCIFICANMÄNTO, 8. m. V. Crucifudo. 
CAUGIFICAR , ©. a. cruciüer ; attacher & une 


eroix; melire en croix; (Ag.) mortifiersa chair, 
ses passions. 


Caccırıxäö, s. f. "erucißement : action de 


crucifler ; supplice de la aroix; (Ag.) mortifl- 
calion de la chair, des passions. 


Cauerizo, 3. m. cruciäx : croiz, tablean, 


slalue, estampe qui represente lo Christ mis 
en croix, 


CRtciFÜRME „ adj. 2 gen. oruciiorme : eu‘ 


forme de croix. 


CRUDELISSINO, A, adj, sup. de Crudi, 
FT Cavtına, 0. f. (t. du Bresü) partie gros- 


siere du manioo qui na passe pas dans lo san, 

Crvfr, adj. 2 gen. cruel,; denature, inku- : 
main, rude, tigre, barbare, sanguinaire; (flg.) 
sanglant, fächeux; mauvalia, insupperiabie, 
douloureux. 


CnusLpäpe, 5. f. cruauts, Inhumaniis, f6- 
rocite; action cruelle. 

CaUELISsıINO, A,60dj. sup. de Crudi. 

CausLm2ntE, adv. oruellement : aresctusmid; 
excessivement. 

+ Cuvestagiö,s. f. Y’action d’ensanglantee, 

T CRUENTANENTE, ede, d’une manlöre sah- 
glante ‚avec eflusion de sang, 

CRuEntin, V. Ensanguenidr. 

CRUEXTISSIMO,, A , adj. sup. de 

Cau£nxto,&, adj. sanglant, ensangleni, 

Crußza ,s. f. crudits; indigestion ; humenurs 
crues dans l'estomac. Cruaut# , dureis, Inhurt 
manite. 

CavissıMo, A, adj. sup. de Cr&, et de Orudi. 

Caisa. V. Coruje. . 

. Causan. V. Chirär. . 

° CRUNHAR, olc. 

* CHUNHO. ’ | V, Cunh..., et. 

Ca0o,4A. V.Crü. 

fCauön,s.m. sang qui coule, sang versd, 
(1. de med.) CGruor : partie eolorante du sang. 

+ CavpeLinıo, s.m. crupellaire : glädisteur, 
soldat gaulois arıne de toules pidces. 

+ CrvriL, adj.2 gen. (l. d’amal.)crural : de 
lajambe, de la caisse. 

+ Caunıraäcıo,s.m. l’action et l’effet de cas- 
ser les jambes. 

Crusan, etc. V. Cruzar, eto. 

Causta. V. Crosia, Coödea. 

Cavusticgo, A, adj. crustace : (animal) cou- 
vert d’ecaillesowd’une enveloppe dare, Bexible 
et divisee comme T’ecrevisse, eic. —, 3. m. Pl. 
(1. d’hist, nat.) crustaces : famille des crus- 
taces. 

+ Caustacites, s, m. pl. (1. d’Mat. Aal.) cru 
taciles : chustacds fossiles, 

Caustnöso. 7, Cosirdsoo, 

Catta ‚a.f. orte de polsson de user tls-plak, 





388 CRU 

Caüz, s. f. croix : lignes formant quatre an- 
gles: gibei en croix; sa figure; representalion 
de Jesus-Christ en croix; choses croisees;(fig.) 
peine , tourment; affliction envoyde parle ciel. 
* Garrot de cheyal. (1. d’escr.) " Croisement. — 
geomelrica, croix geometrique, bäton de Jacob: 
instrument pour mesurer les hauteurs. O s- 
gnal da —, le signe de la croix. Grdo —, 
grand’eroix. Em—, en ceroix. Estar, ver-ss 
enirea — e a aqua benta, (fam.) fuir, @ire & 
deux doigts de sa perte. Trazer, ter a — aos 
peitos, porter la croix de quelgune ordre. De — 
ulcada, la croix levee. Levar a—ao calvdrio, 
inir, achever une chose difcile. — de Malta, 
(1. de bot.) croix de Jerusalem ou de Malte, 
Deur de Constantinople, espece de Iychnis. 
Oruzes, pi. eroix : cöl# de monnaie marquee 
d’une croix. — ou cunkos ? croix ou pile? sorte 
de jeu aveo une monnale qu’on jette en Pair. 
Näo ter — nem eunkhos, (fig. fam.) n’avoir ni 
croix ni pile. Fazer — a alguem, (fam.) fuir, 
eriter quelqu’un. Fazer — na bocca, (id.) etre 
a jeüän. 

T Carzisıco ‚s.m. (f. #’hist. nat.) bec-croise: 
espece de gros-boc , oiseau. 

Cavzina, 8. f. croisade : ligue (des catholi- 
ques) contre les beretiques, les infiddles; ex- 
pedition des chretiens pour conquerir la Terre- 
Sainte. Treupe armee de croises. Bulla da —, 
cruciade : bulle du pape au roi d’Espagne et 
de Portugal. 

Cavzipo,A,p.p. de Cruzsar. adj. Croise. 
Estar com os bragos —s, (fig.) resier, demeu- 
rer les bras croises, sans rien faire. Com as 
mäos—as, (fig.) dans une attitude humble, 
suppliante. 

Cruziso, 3. m. ’cruzade: ancienne monnaie 
de Portugal et d’Espagne. — novo, cruzade- 
neuve, monnaie d’argent portugaise, 2 fr.94c. 
Groise : celui qui prenait la croix pour aller 
combattre les infideles ow les heretiques. 

} Cruzapön, A, 8. qui croise, qui traverse, 

CRUZANENTO, 8. m. cFoisement : action de 
eroiser, de se croiser. 

Cruzir, v. a. croiser, traverser, meltre, dis- 
poser en croix; traverser un chemin; rayer 
avec !s plume. (f. de mar.) Genoper, brider. 
— acdra a alguem, croiser, couper, balafrer 
le visage & quelqu’un. — as ragas, croiser les 
races, apparier les animaux de deux races. — 
as vergas, (l. de mar.) brasser carre. 

Cruzin,v.n. (l. demar.) croiser : aller et 
venir dans les memes eaux. 

Cavzär-SE, ©. r. se Croiser : 86 Couper; 86 
rencontrer, se lraverser, se dit de deux lignes, 
de deux chemins, etc. Faire le signe de la 
eroix. V. Benzer-se. S’'humilier, se prosterner. 

Cruztino, s.m. "croisce: partie d’une &glise, 
en croix; grande nel; grande croix de pierre. 
(i.de mar.) "Croisiere: action decroiser ;espace 
de mer dans lequel on croise; les bätiments 
qui font ce service. (. d’astr.) * Groiselte : con- 
stellation australe de quatre &toiles en croix. 


Ordre militaire au Bresil. (4. de dot.) Cruzeiro : ! 


CU 


plente du Bresil, plus amdre que le quingaina, 

Crvz&ıno, A, adj. qui a une croix. 

Cauztra,s. f. dim. de Cruz. Croiselie : pe- 
tite croix. 

Cavzınna, s. f. dim. de Cruz. 

+ Cauzıra, s. f. (i. de bot.) eruzite: plante 
d’Amerique. 

CavPta, s. f. orypte : souterrain , pelite fosse 
d’eglise oü l’on enterre. V. Carneiro. 

+ CavYrrocasia, s. f. (8. de bot.) orypioga- 
mie : classe des vegelaux cryptogames, & Iruo- 
tflcation inconnue. 

+ Careröcaso, A, adj. (4. de bot.) erypto- 
game : (plante) dont les organes sexuels sont 
caches, douteux. 

} CRYPTOGRAPEIA , 8. f. eryptographıe : erı- 
ture de convention. V. Steganograpkhia. 

tCrYprockärmco, A, adj. eryptographige” 
de la erypiographie. 

+ CRYPTöNYMOo, A, ady. eryptonyme (atuteur, 
qui cache ou deguise son nom. 

Cavsıs. V. Crise. 

CkYstäL, &. ww. cristal: pierre transparenie 
et dure; verre Ön; ( Ag.) se dit des eaux clai- 
res, limpides. — de rocha ou de roca, crisul 
de roche. Crysides, pl. cristaux: sabslances 
minerales ow salines, eic., qui prennent d’elles- 
memes, en se solidißent, une figure constanie 
et döterminde. (Ag. podi.) Larmes. Verter —, 
verser des larmes. 

CaYsTaLLino, A ‚adj. cristallin : transparente 
comme le cristal (eau); de la nature du cristal 
(corps). —, nom d’un ciel de l’ancien systeme 
astronomique. (flg.) Fragile comme Ile crisial; 
inconstant (ami). 

CarstaLLino, s. m. (4. d’anal.) cristallin: 
humeur de !’ail; ciel de cristal ; verroterie de 
caistal. 

CaYstaLLızacäö, 8. f. cristallisation : action 
de cristalliser ow de se cristalliser;; ses effeis; 
chose , malidres cristalliseces. 

CayYstaLLızipo,A,p.p. de 

CKYSTALLIZÄR, ©. a, crıstalliser : congeler, 
reduire en cristal. 

CRTSTALLIZÄR-SE, ©. r. se cristalliser. Se dit. 
des sels, etc., dissous dans un liquide, qui se 
r&unissent en solides. 

+ CavstaLLocaapnia, 5. f. eristallographie: 
connaissance, description des cristaux, des 
formes des mineraux. 

+ CRYSTALLÖGRAPRO, 3. m. cristallographe: 
qui sait la cristallographie. 

+ CrvsTaLLoLocia, s. f. cristallologie : traile, 
science des cristaux. 

CRYSTALLOMANGIA , 8. f. cristallomancie : di- 
vination par les surl[aces polies. 

T CRYSTALLONÄNTICO,, 3. m. cristalloman- 
cien : qui s’sdonne & la cristallomancie. 

f CRYSTALLOTECHNIA, 3. f. cristallotechnie: 
art de cristalliser les sels , les sucres ei d’autres 
substances. 

Co, s. m. cul: le derriere, l’anus, le fonde- 
ment et les deux fesses; ( Ag.) fond ou derriere 
d’un vaso, etc.; extrdmits d’une chose. O3ko 


CUC 


do —, (burl. et bas) l’anus. — francey, iowt- 
nure , polisson (pop.). — da bigola, (1.de mar.) 
tete d’un cap de meuton. 

Coapa,s. f. casse-cul: coup qu’on se donne 
en tombant sur le cul. (4. de mar.) Coup de 
sion. 

Cosa, s. f. cuve, muid, tonneau, tonne, 


pipe. 

Cuaenas. V. Cobibas. 

+ Custıno, A, adj. qui a &iö dans la cuve, 
qui a le gott de la eure (vin). 

Ccs£LLo, 8. m. sorte de tour des aneiennes 
fortißcalions. 

Custara, etc. V. Coberia, etc. 

CrBzaTi0o. V. Acabertado. 

Crnica, 3. f. cupidite, convoitise, desir im- 
modere (des richesses , des honneurs, etc.). 

Crs;ivo, A, p. pP. de Cudirer. 

Ccosgänte, adj. 2 gen. V. Cubigsso. 

Craigä®, dv. a. convoiter : desirer avec ari- 
diie, avec une passion deregiee (les richesses, 
ta femıne , te bien d’autrui ). 

tCusiciveL, adj. 2 gen. convoitable : qui 
peat &ire convoite; desirable. 

Cisıco,A, adj. (t. de gdom.) cubique : du 
cube (Bgure, nombre). 

COBICÖSANENTE, edv. avec avidit# , avee con- 
voitise. 

Craıcös0, A, adj. convoileux : desireux; qui 
convoite, qui desire ardemment. 

CusIc#Länıo, 5. m. valet de chambre. 

CosictLo, s. m. “chambre & coucher; cellule. 

Crssııatına. V. Cuvihbira. 

CusıriL, adj. 2 gen. (1. d’anat.) cubital : du 
coude, qui tient au cubitas (muscle). Qui a 
une eondee. 

Cösıro, s. m. (It. d’anat.) cubitus : os trian- 
galsire, le premier de l’avant-bras. * Coudee 
(mesure). V. Cövado 

550, s. m. (l. de gdom.) cube : solide & six 
faces carrees e&gales; (1. d’alg.) produit du 
earrs d’an nombre multiplie par co nombre; 

hexatdre. Sceau : vaisseau & puiser de l’eau. 
Moyeu de roue. * Tour dans les anciennes mu- 
railies. ° Auge, huche, canal; auget d’une roue 
hydrauligque. 

+ Cöso-c5s0, s. m. (4. de malk.) cubo-cube : 
sixkeıne puissanee d’un nombre, carr6 du cube. 

r Cosoine, s. m. (I. d’anat.) cuboide : os du 
pied en forme de cube. 

+Cuso-saua, s. m. chef de toutes les foroes 
mılitsires du dapon. 

Cornscäö. V. Cobrigdo. 

+Cıisnicöunua, s. f. nom d’un poısson du 
Bresil. 

Coprıa, etc. V. Cobrir. 

*Cunrırorn. V. Coberior. 

+ CicaxnA, 3. f. mät de cocagne : mät roll 
de graisse , au haut duquel il [aut monter pour 
avoir un prix. (Ag.) Chose facile & oblenir, pro- 
ft, avantage oblenu sans peine ei aux depens 
Tun autre. Paizs de —, (fam.) pays de Cocagne, 
bondant en toules choses, oü I’on fait grande 

e. 





Cul 368 


+ Codanuttıno, s. m. homme habile ä se pro- 
curer & peu de frais ou aux depens d’aulrui ce 
qui lui est avantageux. 

Cucärng, 8. m. osselet; jeu des osselets. 

Cucena. V. Apucene. 

vermcHir. V. Cochiehdr. 

CocaıMıöco , s. m. (£. d’Asie) lettre de change 
delivree par les bonzes aux cr&dules, pour une 
somme d’argent, qui sera payde dans l’autre 
mon«le avec la prime de cent pour cent. 

Cöcao, s. m. (1. d’Asie). V. Liste. 

t Cocı, s. m. euoi ow doume : fruit d’un pai- 
mier, en orange, & noyau. 

Göcıo , s. m. sgnelet : petit agneau. 

 Cucörera, s. f. doume : sorts de palmier 
qui donne le ouci. V. co mot. 

Cöco, s.m. (8. d’hist. nal.) couceu : olseau 
sylvain. — poupudo ou fourdeo de Guind, 
touraco. (fig.) V. Cormudo. 

Göco,s.m. (i.d’Asie) quadrupede des Mo- 
luques qui ressomble au lapin. 

Cucüra, s. f.“ cucupha , cucufe: calotfe , bon- 
net piqu& plein de poudres cöphaligues pou® : 
l’hömiecranie. 

Cucuräte , s. m. ($. burl.) petit homme,. 

+Cucusü,s.m. (1. d’hist. nal.) cucujo,cucuju, 
<ucujo, cucujos, richard : ool&optere luisant, 
qui sert de parure aux dames espagnoles du 
Perou. 

CucviA ,s. f. V. Cezulla ei Cogulla. Cueule, 
iroo, chape. 

+ CucuLLino, s, m. (d.d’bist. nal.) cucudlan 
ver intestinal. 

- CuciLo. V. Cogelo. 

CocuukLo. V. ’ 

Cucönsıta, ef. cucurbite . vaisssau pour la 
distillation. #4. V. Cabage. 

f Cucunsıtäczas, s.f. pi. (4. de bot.) eucur- 
bitscees : famille des plantes diootylsdones , 
diolines. 

+CucunecH£o, s.m. (l.d’arch.) clel de voütez 
Wrurelle ouverie pour laisser entrer le jour. 

+ Cocurtccü, 8. f. (t. de bot.) oucuruou : se” 


pent du Bresil. 
Coucunöta,s.f. (t. pop.) cime, sommet 
CocundTo, 5. m. (d’un arbre, etc.). 
Cecuvipa. V. Cuquidda. 


Copar, eto. V. Cuider. 

Cug£cas. V. Ceroulas. 

CougırinHo , s. m. dim. de 

Cotıro, s.m. lauge : dtofle donton enve.oppe 
les enfants en maillot. Desd'os —s, dds la plus 
kendre enfance. 

Cußza, 3. f. sorte d’ancienne mesure pour les 
grains. 

+ Cucuinno, s. m. (1.d’hist.nal.) cougouard 
ou puma : grand chat de l’Amerique meridie- 
nale. 

CuGüLLa , s. f. cuculle : veiement de dessus 
de bencdictinset d’autres religieux. "Capuschen. 

CiGuninuo. V. Cuminko. 

+ Cunick, s. m. (1. de bot.) coubage : fere - 
puanie des indes. . 

Cara „s./."plat de balance; vasg en ooqguille, 


366 CUJ 


(4. de bol.) Caidte : calehassicı d’Amdrique; 
eeui : san [suil sec ei vide. 

Criwacäd. V. Cogilapdo. 

Cirıvapausexıs. V. Deiiberadamente. 

CuiDApo, 8. m. soin : altenlien, sollicitude. 
"Etude, attention. "Affaire. —, seuci,inquiet:ude, 
crainie, ombrage. V. Angustia. Esiar dısmie 
de =, (fen.) €ire dangereusement malade. 
Tor =, se seusier. Pör, ter — em, preisdre 
garde de. — csm...! prond garde d, gare! 
Com —, V. Cuisladosamenise. -—— somm:igo, 
prenga gande A vous. — cam is50, prenez garde 
a cela. Estar com — em algusm, tire inquiet 
de quelqu’an. Faller de —, parler sagementi, 
aves rillerion. Ado serds amado, se de fi Kö 
tens —, ( prov.) qui m’aime que Bol, n'est alıme 
de pessonne. 

CumäB0,A,p. p. de Cuider. ade. N’y man- 
yuez pas, sans faule. 

FCuwaota, s. m. cplut qui se domne trop de 
soucis. Röveur, someieux, pensif (emt.). 

Cinpsuösamänre, ado. solgneusement, avoc 
sein, avec attemtion. Alerte, 

CuiDADosıssıno, A, adj. sup. de 

Curvan6so,, A, adj. solgneux, diligent, exact. 
Alontf, vigilent. 

CupiR, o. &. imaginer, penser, eroire. (uem 
tal cusddarie ? qui Yaurait eru? Nunca Lil ewi- 
dei, je ne l’ai jamais cru. 

Csınis (em), ©. n. ponser &, röflschir sur, 
mediter ; songer. (de , Soigner, avoir, preudre 
soim de; {aire attention; veiller &. Croire, ima- 
giner, penser. Dar que —, donner des ingais- 
tudes; donner & penser. — de nde..., se donner 
garde de... Näo — de sow alinko, se negliger. 

Copia-$2, u. r. imp. avoir, prendre som. 


COL 


Eala znoge jam - „, celie fille a san zmburent. 
CuLirra, 3. f. enssse, culassec eewurbe da 
für d’un fusil. (. burl.) Genssen fesses. 
CoLcaanı, 8. m. (l.d’Asie) gueflier de vülage. 
*Ciussra,s. f.Y. Colehd. 
CoLesaına. V. Colubrina. 
+Diızo, 5... sulre ; ac de suis des anclens 
Romains. 
+ CuLisauäö, s. m. (£. de bet.) oulllaban ou 
cullawan < arbre de !inde, aspöce de Isurier. 
fCuLınarı0o, A ‚, 0dj. qui anmeemme la ceisine. 
* Cussse. V.Cums. 


CrLuinaciö, s. f. (8. d’astr.) culamimation ı 
moment du paszage d’an asire par te ubridien. 

CCLSINADO, A, p. P. de Ouiminer. 

Curnnlarz ‚adj. 2 gen. Ponte —, (Ldesm) 
culminant : (peint) d’an astre, ie plus haut 
surl’horizon ; qui est Ala plas grande tlöratien. 

Crimnia, 0.0. ((. desir.) oalmimer : passer 
per ie meridien. 

Cärra, 5. f. famte; peche, eflense; orime; 
tort; blame. — juridios, fawte qa'n commei 
en negligssnt une afisire dont on est chargf. 
— theologies, peche, fauße, transgression de 
la loi divims. Lenger a — a oairo, rejeter la 
faute sur un autre; sen ä un auffe. 
Elie d qusm iem a — ‚c'est Imi qui a tort. B por 
sua —, c’est sa faule. 

* Corrasıı. V. Cuöpevsi. 

CCLPABILISSINO, A , adf. sup. de Ouipabil. 

+ CuLräsausure, ade. d’une manitre ea8- 

le. 

Ccıradissıno, A, adj. emp. de 

CrLrido, a, adj. ei s. eoupahle, eriminel: 
accuse d’ane faute ‚ isenipe. p. p. de 

Ccırin (de,em), v. a. inculper : eocuse® 


Penser, imaginer. Cuida-se ndilo da agricui- !| d’ane faule. Blämer. 


iure, on a beauconp de sein de l’sgriculture. 
Nd6 se cuide a’isse , om ne pense pas ä cela. A 
cousa ndö d como se cuida, ce n’est pas comme 
on is pense. 

Curno. V. Cuidade. 

Gn2630, a, adj. attentil ; soucieux ; inquiet. 
ü. Qui donne des soucis, des inquiötudes. V. 
COidadono 


+ Crit, &. m. (4. d4fr.) cuil : 602000 de Me- 
dagascar. 


+ Cuim,s.m. (4. du Bree.) petit quadrupede CeLTivipe, A, 9.p. de Gulliwer. 
' Iopereat 6. Terra —, iorre en valoer. 


* du Bresil, de la grandeur da Iaperean. 
*"Cuma,s. f. aflliction, peine, chagrim. 
Cerriso, a. V. Coitado. 


Ente, a. m. (#. du Bres.) sorte de calebasse |' 
' Jes soins ne6cessaires peur fertliser 


du Bresil. 
CrirauLo. V. Outello. 


Custgzeına,s. f. (l. dw Bres.) calebassier du |: cultiver quelgu’un, se menager 98 b 


Bresil, oulg. couis ou cohyne. Porte le Cuitd. 
V. ce mot et Cuia. 

usar, etc. V. Swjar, elc. 

Coustrz, a» m. (1. de bot.) cujeta : cale- 
hassier. 


CCLPÄR-SE, ©. 7. se declarer ooupable; Fin 
cuiper par ses aveux. 

CoLrävaL, adj. 2 900. campable, reprihensi- 
bie, erimimel. 

CuLrävzLußare, ade. d’une manitre C® 
pabie. 

+ CoLramenıe ‚ade. öiögamment, purement, 
avec soin,, €iögance va ornement. 

Cerrivacäö, s. f. culture : l!’aclion decwii- 
wer, au pröpre ot au Rgurd. V. Ey + 


CULTIVADOR , 5. m. cullivatenr : qui oulivele 


Jarre. 
Corrivia, o. a. cultiver : deweltr Ia fap0R 
ke es. 


_ (M- 
„amtliorer les produelions. age, (I) 
lanoe. — o conhecimenio, 0 Iralo ‚a amisa#t: 
fig.) cultiver une oonnalssance, Tramtıie de 


; geeiqu’un,, Pentretenir. — oe lalenio, ® 


ie 
rise ,o ongenko, eic. , (id.) cultirer, exeroet 
talent ‚la maenoire, Pesprit, eic. — da Mil) 


Ciso, A, pron. rel. et adj. dont, de qui, du- |: as seioncias, as linguas, etc. , cufiref les erid, 
qael, de laquelle, do quoi. Em — testemundo, || des solenoes ‚ les langnes, etc. , #7 eXetT 


em —a fe, en foi de quoi. 


Ceurmia-SE,T. r. se former per f 


Olso, 0, (fan ei-P,u6:)} ainent,amoureus. |! par l’&tude ; s’ameliorer. 


CUM 


+ Corrıvä VEL, adj. 2 gen. cultivable : (ter- 
rain | propge a la culture. 

CuLrivo, 5.2. * culture. Labourage. V. Cul- 
tura. — d’arvores, planlas, education d’ar- 
bres, des plantes, 

CeLro, s. m. culte : honneur rendu visible- 
ment ou interieurement & Dieu, A une divi- 
nilk; veneration excessive; altachement A ce 
dont on se fait un dieu. * Proprete. V. Asseio. 

CiLTO,A,adj. pur, correct, en parlant du 
siyle; se at aussi de la personne qui parle pu- 
rement et correciement. Cultiv6, eclaire, ci- 
vilise, en parlant d’une personne , '@’un peuple, 

CoLTOR, s. m. cullivateur. Adorateur (des 
tdoles, etc.); amateur (des arts, ete.); qui (les) 
fomente, { (les) encourage. 

tCeLtRınöstros, 8. m. pl. (4. PRist. nal.) 
cuitrirostres : oiseaux Ak bee en couleau. 

Curröna, s. f. culture : facuns, Iravaux, 
soins necessaires pour cultiver (en general). 
(Ag.) Purete , el&gance de style. art. V. Cullo. 

+Comarü, s.m.(1. 
bre Iögumineux de la Guiane. 

+ComancnaR 5. f. (ti. de bot.) " cumaruna: 
arbre de la Gulane, coumarouan,, bariosme ot 
heinzia. 

Cowsino, a. V. Cambüdo, Curvo. 

tCums#, s. m. cumbe : danse des negres; 
son air. 

Cruso. V. Curvo. 

Cousöca.V. Fuyambüca. 

Cöuz, 8. m, " cime, croupe, sommet d’une 


montagne. Ag.) Comhie, apogee : dernier sur- | 


eroit, dernier point de quelque chose, parti- 


eulierement de I'honneur, de la joie , des de- | 


sirs, de l’affliction , des maux. 
+Cömıa,s.f. (1. de bot.) *coumia : racine de 


Cayenne ; le balsamier ambrosiace : tient lieu | 


dencens. 

Cımäipa,s. f. Fextension de la cine d’une 
monlagne. 

Comi£ına,s. f. pointe, sommet, cime d’an 
batiment. it. V. Cumidda. 

+ Crminmo,s.m. (8. de bof.) cumin : plante 
ombellifere. — rustico, laser de Prusse. — bas 
tardo ‚ lagocie cuminofde. 

+Cczos, s. m. (1. de bof.) couımon : esp&dco 
de palmier. 

CONPLICAR, etc. V. Complicar, elc. 

CompLice, etc. V. Complice, etc. 

+ Com PpRA-sE, 8. m. formule employ6de par 
les capitaines genueraux dans les brevets et les 
conges, et qui signifle A peu pres : Exccutez. 
"Leures d’attacho d’un magistrat. 

CCuPRIiDdamente. V. Completamente. 

Ciurnino,A,2.p. de Cumprir. adj. Execu- 
% ,accompli, comme il faut. Accompli, par- 
fait. V. Comprido. 

Crupzinöp, A, 3. quliaccomplit, qui execute. 
(Ag.) Executeur testamentlaire. 

" CumPripöura, A,adj. V. Util, Proveitöso. 

CUEHPRIMENTO, 5. m. accomplisseinent, erk- 
eution. V. Comprimenio. 


Couraig, 0. q. accoımplig, zamplir, GE6AUlsE, 


bot.) coumarou : ar | 





CUN. 30% 


s'acqaikter, elfeotuar. Kira ulila; poasvoir aux 
besoins de quelqu’un. — a palavra, tenir par 
role. — sew desejo,, remplir ses desira, oblenir 
ce qu’on desire. —as vozes d’alguem,suppleer, 
remplacer quelqu’un, 

Cumprir (com), 0. ®. #acquitier de, FO, 
plir (ses devoirs, eic.); exöculer. — 9m el- 
guem, s’acquilier onvers quelgu’un, — £028 a 
preceito da Igreja, faire ses päques. — com 
lodies, ne mangqueor A PETSOHRE. — Cora a g4% 
desajo. V.—=.a seu desejo. — com a ordem, 
executer l’ordre. Eu irei — aım 2 mau dever 
au obrigarde, jirai veus rondre mies de- 
veirs. 

ÜCUMPRIR, 9. (RP. canveniz, importer : Pir®, 
imporlant, convesahle, Haje eumpra asteular- 
Moss Q 0850 valar, C'est aujourd'hui qu’il fauk 
signaler notre valeur. 

CUMPRIR-$2, v. r. gaccamplir, g’ellectuer. 

CuuuLagäö, V. Accumulagäo. 

CustLÄno,A,P.P. do 

CusvLir, vo. a. cumuler, assemhler ; com- 
bler. V. Accumular. 

CUMLLATIVAHENTE, adv. cumulativoment & 
par accumulalion. 


| " CEMULATIVO, A, adj. cuimulatif : qui se fait 


par accumulation. it. V. Accumwlaliyo. 

CüMuLo, 3. m. comble, amas, moncgau, taß. 
(g.) "Accumulation, foule, multitude, quan-, 
Ute; comble. V. Gume, au Igure. Gheger a0 
— da imprudencia, pousser l’imprudence jüß« 
qu’au bout. 

Cumuna ‚etc. V. Commüna, elc. 

Cüna,s. f. V. Berco. 

Cunca. V. Conca, Tigela, 

CusEIFORME. V. Cunkiforme. 

CuNEiRöSTROS. V. Cunlirosiros. 

CixE0, 3. m. (ancien t. mil,) coupe de ifau- 
pes rang6 en forme decoin. 

T Cuxpra ,s. f.(t. de fort.) cumelle, ouvells: 
fosse dans le milieu d’un auıre. (t. de bot.) 
Cunetie ; jambosier de ka Guiane. 

Cinta,s.f.‘coin : outil pour lendre; co quk 
en a la lorme, la figure, — de canhdö, ehevet. 
— de mira.\. Palmeta. — do verso. V. Bipiet 


— de tropas, (1. mil. aut.) coin : ecorps d’ım 


fanterie en pointe. Batalhdo [ormado em », 
bataillon [orme en pointe. Meiser-se de —, ain- 
troduire, se glisser pelitä pelil. 4 — , farch- 
ment. (hg. ) Aforce de. —s de falcdo. V. Cober= 
leiras. —s das cavilhas de pdo, (1. de mar.) 
€pites. — do masterco, (id.) clef de mL. Bolar. 
osmaslardosd—, (id.) guinder les mis dehuns, 
CunuäpA, 5. f. belle-saur, 
Cuxuapia, s. f. parenis qui existe entre 
CUnHADIO, 5. m. les beaux-[ceres. 
Cuxuino , s. m. beau-f[rere. 
Cunuspo, A, p. p. de Cunhar. 
CuUNHADOR, 5. m. monnayeur 
coin & la monnaie. 
CunsäL,s. m. angle, coin d’un ddiflce, 
Cuxnir,v. a. balise , [rapper : imprimer le 
coin sur de la monnaie 98 zur Hulte chase, 
Monnayer : ouvrer, faire de la mapmaie. 


368 CUR 


CunneTte, s. m. pelit baril; petite caisse (de 
fruils secs). 

+ Cönnırönue, adj. 2 gen. (1. d’hisi. nal. et 
de bot.) cuneiforme : en forme de coin (08, 
bec d’oiseau); plus longue que large, ei se re- 
trecissant vers la base (feuille). 

+ Conuıröstros, s. m. pl. (1. d’kist. nat.) 
cuneirostres : (olseaux) grimpeurs a bec en 
coin. 

-»  Cimmo,;s.m. coln : fer gravd pour frapper la 
! wonnale ; empreinte que laisse le coin: type; 
cachet , timbre. (g.; ° Acception bien fondee 
_ d'un mot nouvellement regu dans une langue. 
Cunhos , pl. (1. de mar.) — do cabrestante, ta- 
quets du cabestan. — de mareapäo, (id.) ta- 
nets ä cornes, bittons. — do portalö, taquet 
'schelle. — das alpas dos eslais ‚ taqueis des 
.näls ou porte-collier. — das bogas da ancora, 
taquet de bout. — das carlingas dos masiros, 
taqueis des Dasques. — com enlalhes , taqueis 
ä manche, —dos mastros,, coins des mäts. Cru- 
zes ou —ı ? croix ou pile? Homem sem — nem 
 eruzes, (fig.) homme exiravagant, singulier, 
‘ inexplicable dans sa maniere d’agir. — da 
" lealdade, cachet de la loyaule. 
Cuntas. V. Conlas (de resar‘). 
Crpalsa. V. Copaiba. 
Corani,s. m. (6. de bot.) cupani : chätaignier 
de Saint-Domingue. 
+ Coriva, s. f. (4. de bot.) " coupaya : grand 
arbre de Cayenne. 
Cupipa, 8. f. (f. de plais.) amoureuse ; amour 
femelle. 
Curinkz , s. f. cupidite. 
+ CupiDineo ‚A, adj. de Cupidon ; amoureux. 
+ Corıninno, #. m. dim. de Cupido. (fig.) 
Petit dameret; damoiseau , effemine. 
CuPIDissimo, A, adj. sup. de Cüpido, tres- 
amoureux. 
Corino ,s. m. (4. de mythol.) Cupidon : ls 
t du Chaos, l’Amoor, la Concupiscence. 

CöPıDo, A, adj. cupide : plein de cupidite; 
avide (des richesses, ete.). 

x +Corim, s. m. (6. du Bres.) espöce de fourmi 
da Bresil qui detruit le bois. 

«CöroLa ou CöruLa,s. f. döme, coupole. 

Goqviina , &. f.(t. de mar.) cri ou signal 
pour annoncer la terre; cris d’alarıme. 

CörA, 8. m. Cur6 : pretre pourvu d’une cure. 
V. Parocho. 

Cörı, 5. f. guerison, cure. anf. V. Cuidddo. 
— dalmas, charge d’ämes. Melter-se, pör-se, 
enfrar em — ‚se meitre dans les rem@des, se 
droguer. Ter — , ölre susceptible de guerison. 

CGoricäö, s. f. guerison,, cure, traitlement. 

Crrapia, 3. f. curatelle : charge et pouvoir 
de curateur. 

Curipo, A, P. p. de Curdr. adj. Endurci, 
forufd. Blanchi au soleil. V. Curtido. Benefl- 
cio —, benefice avec charge d’Ames. — ao 
fumo, saure. 


ConADOR, s. m. carateur : administrateur ju- 
dielaire des biens d’an mineur &inancipe, etc. 


st. V. Curandeiro. 
= 


al 






















CUR 


Coranöna, 5. f. curatrice. 

Cunanoria, s. f. curatelle; tatelle. 

+Crenicua,s. m. (t. de bot.) curagua: petit 
mais du Chili. 

Curanp£ıRro, s. m. charlatan , empirique. 

CerÄr (de), v. a. guerir, traiter une maladie; 
panser (une plaie). Fournir tout ce qui estn& 
cessaire pour la guerison d’un malade. Saler, 
boucaner, saurer. Blanchir des toiles, du Bl, 
etc. (ant.) Soigner, avoir soin de. (fg.) Guerir 
d’une passion , eic.; remedier & un mal. 

Conan (de),v. n. avoir soin de, penser d; 
faire attention &. Exercer la medecine. 

CORÄR-SE,v.r. guerir: recouvrer la sanlt, 
ötre gueri. 

CurareLLa. V. Curadoria. 

CurATivO, A, adj. curalil : appliyue pour 
guerir. 

CURATIVO, 8. m. traitement medical. 

CuriTo,5.m." cure : emploi ecclesiastique 
ayant charge d’Ames. * Paroisse. 

CuriveL, adj. 2 gen. guerissable : qui peu 
eire gueri. 4 

CurBAD0. V. Curvo, Curtddo. 

+ Curparil, s. m. (4. de bot.) courbaril : at- 
bre legumineux de l’Amerique meridionale. 

Concuma, s. m. (f. de bot.) curcuma, SO0D- 
chet, safran d’Inde:: plante amomee; sa Tä- 
cine. 

+ Coecurito, s. m. (l. de bot.) curcurilo : 
palmier de l’Orenoque, or&odoxe. 

Cörıa,s. f. officialite : cour, tribunal eccle- 
siastique. Curie : subdivision d’une tribu 70- 
maine, grecque. Cour royale & Rome. 

CeriäL, adj. 2 gen. qui appartient & l’officia- 
lit6,ä la cour vw chancellerie de Rome. V. 
Corlezäo. 

CerikL,s. m. banquier en cour de Rome. 
Officier : juge de la cour ow chancellerie re- 
maine. 

CURIALMENTE, adv. d’une maniere legale et 
legitime ; selon les usages de la cour. 

+ Curıäö,s. m. (1. d’ant.) curion: chef et 
pretre d’une curie,, qui avait P’inspection sUT 
tous les habitants de son quarlier. . 

+ Corrcica, s.m. (t. d’hist. nal.) couricaca : 
echassier, falcirustre. u 

+ Curıman, s.m. nom d’un poisson de ririere 
au Bresil. j lie 

+ Corımani, s.m. (1. de bol.) couriman: 
grand arbre de la Guiance. , 

+ Corımarä,s.m. (1. dhist. nal.) curimale: 
poisson du genre du saumon. u 
+ Curıö, s. m. oiseau sylvain du Bresil. 

CuRIÖSAMENTE, adv. curieusement, par C0“ 
riosile. . 

Cuniosinäne, s. f. curiosite : desir de volf, 
d’apprendre,, de connattre, de posseder ; pä°- 
sion du curieux. Proprete, soin. Rarel&, 0" 
riosite. Ter — de, Eire eurieus de. 

Curiosissımo,, A, adj. sup. de . 

CuR1öS0, A, adj. curieux : qui a de la une 
site, lP’envie de voir, d’apprendre , de pos°® ne 
des choses nonvelles , rares, socrölc. Propt®, 


CUR 


tlägsni.—, rare; nouveau, exiraurdinaire, ex- 
cellent. Soigneux , diligent, 
„ Coatso, A, s. curieux; amateur. On le dit 
aussi de celui qui connalt un peu un art, un 
metier, mais qui ne l’a pas appris möthodique- 


ment, 
+ Omownf, s. m. (f. de bot.) courondi : arbre 
du Malabar. 


Coazix, s. u. *bergerie, stable. — da Igreja, 
(Ag.) sein de P’Eglise. — do gado, (1. de mar.) 
Burc a bostiaux ow A moutons. 

TCmansLicen, 5. f. ce qu’on paie pour met- 
tre le betail dans une bergerie. 

CrasuLtno, A, adj. Gado —, qui couche 
dans Y'6tabie ( betail). 

CORAB-CTRRE , 5. m. sorte de Jon. 

n + Cranıcica ,s. f. esp&oe de cigogne d’Ame- 
que. 

Ciaascin, 9.0. freg. oourirgä et lä. 

vRIRO , A, adj. commun, trivial. 
tCoaaöca, s. f.(}. d’hist. nat.) * curruca : fau- 
votie d’hiver, gobe-mouche,. 

TCuaauch, 3. m. oiseau d’Asie et d’Ame- 
rique , voisin de la pie. 

Casino, A, 9. p. de Cursdr, accoatume, 
kabitu6, rompu & un exercice. 

Crasänre , adj. 2 gen. qui fröquente un lien, 
qui rögne, en parlant du vent.p. a. de 

Corsin, 9. a. hanter, frequenter un lieu, 
faire frequemment une chose; suivre un Cours 
dans une universite; faire son cours d’ötudes. 
Frequentes une personne. Lancer, jeier, por- 
ter, en parlsnt des armes & fon. 

Coasir, 9.9. Courir, parcourir; naviguer. 
Seufller, en parlant du vent. Suivre le cours de 
quelgque chose. Avoir le cours de ventre, aller 
i la solle. — com alguem, avoir des relations 
familiöres, intimes avec quelqu’un. 

Crasivzr, adj. 2 gen. qui a cours (mon- 
Raje). 

Crasista, s. m. etudiant qui suit un Cours. 

Urksivo, a, adj. qui court. Leilra —a, ita- 
lique : earact&re couche ow cursive. 

CinsO , 8. m. COUTS, Course, Carriöre, voyage, 
ehemin. ( Ag.) —, marche naturelle, mouve- 
ment du temps, des affaires; duree, 65pace. 
—, tinde, lopons publiques et suivies d’une 
science ‚etc. ; temps mis & l’apprendre; traite, 
ourrage qui contient les legons qu’on donne 
pendant un cours. —s, pl. cours de venire, 
devoiement. 

Crasön, 5. m. messager (du pape); dcuyer 
qui fait les courses, courear. 

Cöntı , s. f. chose courte. Pör alguemd—, 
(loc. faus.) denigrer quelqu’un. 

CuRTANRSTE, adv. mesquinement; aveo ti- 
midite. . 

"Currtııo, s. m. V. Pöda. 

Cunrtza, s. f. pelitesse,, briövete. (flg.) Ti- 
midite , modestie , defaut d’instruction, de 
talent. — de meios, defaut, manque de moyens. 

Corrinmo, a, adj. dim. de Curto. 

Crarıa, eto. V. Cortir, etc. 

Corrızsıno, A, adj. sup. de Curto, 

PORT.-FR, 


CUR 369 


Cöaro, A,adj. court : qui a peu de lon- 
gueur; bref, de peu de duree. Peu instruit, 
sans talent. Qui demeure court en parlant. 
Borne, limite. (Ag.) Avare, ohiche, mesquin. 
— da vista, qui a la vue basse, myope. — de 
palavras, taciturne, qui parle peu. — de mäos, 
ent, peu expeditif. — de meios, court d’argent. _ 
— de juizo, borne. Vestirse —, pOr-se de —, 
en habit court. — lalenio, — entondimento, 
petit talent, petit esprit. 

f Curuärpz, s. f. (8. de bot. ) liane carr&e de 
Cayenne. 

Curucuko. V. Corucheo. 

+ Cunuch, 8. m. (4. d’Mst. nal.) curucu : cra- 
paud pipa. 

+Cundcucd, s.m. (4. du Brds.) curucucu s 
maladie par la pigüre d’un serpent. (1. d’Aist. 
nal.) Couroucoucon : oiseau du Bresil. 

+ Cunucvi,s.m. (tl. d’Misi. nal.) couroacou 
os curucui : oiseau sylvain de Y’Am6rique 
meridionale. — verde do Brasii, couröucou 
ä ventre jaune. 

Conuckıra ‚es. f. V. Pardieiro. 

Curdya. V. Coruje. 

CuröL, adj. curule. On le dit des chaises 
garnies d’ivoire des magistrats romains appeles 
&diles, et de leur dignite. 

CurumsiM ow Cunumim, 3. m. (f. d’Asie) do- 
mestique indien. 

* CuRUNHAR. V. Cunhar. 

+ Cunuricalsa, s. f. (6. de bot.) "carupıcalba: . 
arbre d’Amerique & baume vulneraire. 

+Cunurito, s. m. (6. de bot.) oouroupite : 
arbre de la Guiane; fruit nomme6 boulet-de- 
canon. 

+ Curoni, s. m. (6. de bot.) * amarante verle. 
Paulinie cururu,, plante saponacde. 

+ Curunv’va, s.f. (6. d’hist. nat.) "caruryva: 
grand serpent du Bresil. 

CurtTa. V. Crula. 

Cörva, s. f. (1. de gdom.) courbe, ligne cour- 
be. —s, pl. (. de mar.) membrures. —s das 
abitas,, (id.) courbes ou courbatons des bities. 
—s do beque d’um navio,, " joutereaux. —s a0 
alto, courbes verticales. —e superiores das 
mesas das enzarcias, oourbes des porte-hau- 
bans. Garganta da — , encoignure d’une cour- 
be. — da perna, * Jarret. 

Curvica, s. f. * Jardon: tumeur calleuse aux 
jambes d’un cheval en dehors du jarret. 

Curväno0,A,P.P. de Curvar. 

Curvapdaa , s.f. courbure. V. Curvalura. ' 

CurviL, adj. 2 gen. du jarret, qui appartient 
au Jarret. 

+ CuRvamenTe, adv. courbement, d’une ma- 
niere courbe. 

CurvÄNE, 5. m. nom d’un oiseau de Sofala. 

Curvir, v.a. courber: rendre courbe une 
chose droits ; donner une figure, une forme 
courbe ; plier, abaisser, incliner. o. n. Plier. 
A läbua curoava com 0 sow peso, la planche 
pliait sous lui. 

CurvAn-sE, v,r, socourber; devenir courbe; 
se plier, j 2 


370 GUS 


Cunvarid, s.m. (1. de mar.) sourbaton : 
piöces sorvant de contreloris. 

Cuavarüna, s. f. oourbure ; inliezion; pli ; 
“tat d’une chose courbee; eaarı d’une osurbe 
de la ligne droite, 

Coav&ra, s. f. oaurbeiie : mouvement d’um 
cheval qui se cabre un peu. (4. de mer.) V. 
Corotia. 

CuRVvETRÄR, U. a. ein. (. de mandge) cpur- 
better : faire des courbetlss. 

Cuavipins. V. Curvalura, 

+ Cunvırkareo, a, adj. (8. de gods.) om fer 
courbe. 

CuRVIFRÖNTE, adj. 2 gen. (1. de pods.) guia 
le front arque. 

Cuavınin&o, A, adj. (1. de geom.) ourvlligne: 
forıne par des lignes courbes (figure, angle). 

f Cunvinöstno, A, adj. curvirosise ı & 
courbe, 

CURVISSIMO, A, adj. sup. de 

Cirvo,A, adj. courbe ;: en arc (ligne); qui 
n'est pas "droit. Madeira —e, piece de tour. 

} Cusaunı, s. m. (4. d’Asie) cousambi, ma- 
liere vegetale ; on en fail des chandelles & 
Timor, 

Cuscösi0 , 8. u. agnelet n6 en aulomne. 

+Cuscöra , s.f. (t.de dot.) — maier, cuseuie, 
barbe-de-meine : plante convelvulaode. -— me- 
nor. V. Epithymo. 

Cuschz, s.m. pl. cosoessens : sorte de ragoüt 
compos# de farine granulde en petils peois 
qu’on fait cuire & la vapeur de l’eau cbaude. 

Cuscozkıao, #. m. sorte de marmite & euire 
les coseossons. adj. En lormeoonique tronguds. 

* Cusina. V. Prima. 

CusPu-CuspE, s. m. (4. Pop.) On le dit des 
petits poissons qui ont beaucoup d’areies. 

CospioirTo , A, (f. de bot.) V. Assovelddo. 

t Göorın, s. f. (1. de bes.) ouspide : poihte 
aiguß, 

Cusmatırı,0.f. ‚eraobeir: : vage pourcracher. 

Cusrino, A, ‚Pf p. de Cuspir. 

Cuspinon. V. Cuspidiire, —, A, adj. cra- 
cheur : qui crache souvent. 

Cuspipöna,s. f."crachat, salive , flogme. 

f Cospinnapor, A, adj. gei crache souvent. 

Cusriunin, 9.9. /reg. crachoter « eracher 
souvent. 

Gusriumo, a. m. dim. de Ouspo. 

Cuspin, u.a. et u. oracher ; jeter hors de la 
gorge, du poumon, la salive, etc. (ke .) Rejeter 
avec m6pris, dödaigner, rebuter. (id.) 
lancer, eu parlant d’une chose qui se dötache 
d’une autre. (id.) Lancer la foudre, les sclairs, 
en parlant d’une nu466 orageuse. use. — as cdra « 

» B.) eracher zu nez & quelqu’un, 
B’on medguer, le cou 'outrages. — Sungue, 
(id.) laire parade de sa nmoblesse, la vanter. 
— sangus om bacis d’ouro, (id.) aroiz inde-pon 
de sententement au sein des richasses. — 
Pr das costuras, (1. de mar.) oxacher los 

u 

Chapo.s.m. ’salivo: bumenz use qui 
voule dans Ja bouche;; crachat, ” 


GUT 


tr Cowsani, s. m. (1. de 04.) oomessei : asbelt- 
soau de la Guiane: 

T Cisso, 0. m. (1. de bat.) cusso : arbre d’A- 
byssinie,, vormiluge, 

Cösta, & f. depense, Sreisı coll. A’ — de 
trabalko, de suor, de fadige, eic., ü la sueut 
de son froni, en se dennens besucoup de 
peine. Viver d — d’outrem, vivre auz ereahels 
de quelgu’un. ae Puakiee , aux depens du 
publio. —s, pl. (reis, döpens. Condemmar 
na — , coudamner a frais. 

Custin0, 4, ? ». de Cusiär. 

* Costiczu. V, Deopesa, Gusto. 

Guszin, 9. n. eodier ; dire acheid & mm oor- 
tain prix ; (g.) eire dificiie & leire,& dire, eis; 
ötre obtenu A pris de fatigue, de seins, de n- 
vauz, vis.; dire eause de depense, de perte, de 
peine, de douleur, do soin. — bem ou eare, 
coüter cher, os6ter hen. — serer, areiz de la 
peine & eroire. Cusla meis a michs que 0 
s4bo, (fam.) la sauce est plus chöre gas le 
poisson. Cusie o que susie ou —, quoi qu’il em 
coüte. 

Custzipo, a, p. pP. de Cusiedr. 
(aSTBAHÄNTO, 0. dühourses, mise dehers, 

ais 

Cusrzia , v.e. faire los freis de quelgue d4- 
pense. 

Cisto, e. m. cool : co qu’une chose seßte; 
prix. (Ag.) * Peine, dificulie. —e, pl. V. Gastes, 
Desptuns. A—, edv. difficiiement. A— de, & 
prix de..; en sacriflant... Ad —, A ih 
prix que ce soll, Com grande —, ä grand’ 
peine. 

Cusrope. V. Custsdie. 

Custöpis, 8. f. prisen; liou ed l’om garde 
queique chose. Garde, osuservaticn,, surveil- 
lance. (fg.) Soleil, ostensoir (du Bainı-Sacre 
ment). Custodie : sertain nombre de malsons 
de franciscains (12 au moin). 

CusronıAno, A, p. p. de 

+} Custooräna, v. @. melire en prison, en sü- 
ret# ; garder, oonserver, prottger. 

CGysröpıo , 5. m. gardien, garde. 
supsrieur d’une oustodio chez les cordeliers; ; 
dignits claustrale ; religieus qui remplace le 


provincial absent. adj. m. Aujo —, ange gar- 
en. 
Custösanänte, ado. obäremeni, & grands 
{reis ; aves besucoup de peine- 


Custosissimo, A, adj. sup 

Cusrös0 ‚A, al. ehar dimpendienz. (9.) 
Penible, diffcile. N. Co 

„eic. lumagem, elE. 

CuTiMBULO, s. os (1. d’hist. are catambules 
animal parasite qui Fampe sous 

urinzo, a, A, % culane : de la peau mala- 
dis, eto.). 

+ Curi6 ow Curom, s. m. (£. de bei.) enuton: 
arbre du Canada & suc vineux. 

Curtis, 0.f.* souperet de beucher. Plane; 
couteau de tannsur. V. . 

Corzıina. V. Cusildde. 

Corauanla, 5. f» coutellerie ; möber, com- 


[2 


cr6 


mree.atelier, boutigue, art, OuYrage, ma- 
gasin de couteller. 

Crraıtino. V. Cutileiro. 

Crrtro ow CurdıLo, s. m. ooutelss; couteau 
do chasse ; oouleau de cuisine; comperet de 
boacher. (po#t.) Glaive. Senhor de burapp e —, 
seigneur qui a lo dreit de vie & de ment; hast 
justieier. Cotdlos, pl. (1. de mar.) coulejas, 
bonnettes en dai : palite weile je long de da 
grande. (f. ds odner.) Kasteaux : les six pre- 
mitres peanes du Saucen apıös lo corsa. 


CYN 37 


fErerinro, #, m. (1. hist. nat.) oyolide: 
vor infasoire. 

Crew, s. m. (8. de chrom.) eyele, cayele; pi- 
riode; rövolulien oontinue d’un cermtein ham- 
bre d’anndes. — inner, cycle iumpire, de dit- 
neuf ans junalres. — solar, cycle soteire, de 
vingt-huit anndes selaires. — dpico, ayele £pi- 
que : ensemble de poßmes hiyeizues qui so 
fappertent & une mime spotyue historigue ou 
mythique, " 

Crcromis, adj. 8 gen. cyeleidal : de la cy- 


Metter —, e varradeures, (fg.) faine tous les | eluide 


eierts „ metire iout en (BUYEB PONTE vapir & bay 
de quelque chose. 

Uriams, 5. d. (tl. denat.) caligule : &pi- 
derme, peau irös-fino; prewiäse neau des 
plantes. 

Coriwsda, 8. f. coup de couteay, co (.n 
pee, etc.; taillade. estalllade. bellfre. f 

CorıLÄ6, s. m. aug. de Cutdlo. 

CorıLtmo, s. m. CouteNet : faiseur, vendeur 
de eouteaux, etc. 

rCerıs, s. f. (f. danat.) derme : peau du 
eorps hurhaln ; teint. 

tCörren, s. m. (t. de mar.) Cutter : bäti- 
ment & une volle. 

*CuvıLazıraı , s. f. V. Camareira. 

Coxia. V. Coria. 

TOsxı0o, s.m. (8. d’hist. net.) couste : saki 
d’Amerique. 

Coyva. . 

Coramacca. } V. Cuda.. 

° Cornma. V. Coima. 

*Corra, ete. V. Cotta, Owila, ele. 

Crautaı. Pedra—. V. Lapis-Iazuli. 

Crisıco. V. Hydrocyanico. 

TCräno, s. m. (f. de bei.) — menör, cen- 
tzuree des bies. — meior, oewtuurde de mon- 
tagne, barbeau de montagne. 

+ CTAaNocEngo, s. m. (1.de him.) oyaeogäne: 
corps compost de carbone et d’azote, base de 
l’acıde cyanique, gen6rateur du bleu de 


+Cranunftto, s.m. (l.dechim.) oyanuress 
composes formes par la combinaison du cya- 
nogene avoc diverses substances. 

T Cratzausonun, ad. 2 gen. (l.de hat.) en 
forme de cyathe, en coupe (corolle). . 

TCYasno, 3. m. (l.d’ami.) cyathe : mesuıre 
romaine: coupe grecgque, romaine, que Y’on 
peuvsit vider en un Lait, (6. de.bot.) Cyalhe : 

+ Cıatızo, Aa,adj. (£. de pods.) de Cybele au 
Vesta. 

+ Cıasızs,, 2. f. (4.de myth.) Cybäle : la mere 
des dieux. 

Crosrpas, 2 f- pl..(t. de geag.) Uyclades : 
les situees en eorcle. 

CrcLamE, Uscamen 08 Cycuayıns. V. Päo- 
de-porco. 

+ Criczsco, a, adj. gycligue : des cycles. 
Podia —, poßte cycliqus, qui compose une 
histoire (abuleuse, une porion d’un cycle 
epiguo, 






CrcLöipe, 8. f. (1. de geom.) cyclolde:ceurke 
4 nawds däsrite par uA peint d’apb eisconls- 
rence qui reufe sur un plan. 

FCroLorz, 0. ws. (1. d’hiss. aut.) eyolope.. 
bucein, erustac#, lophyrope. . 

Cr’aorss, e. m. pl. (1. de myth.et ds pods.) 
cyelopes : geants de Siciie qui m’ausient qu’an 
wiü au milleu de front ;compagnens de Vulcain. 

+CrcLöston0, s.. (1. d’hist. nal.) cybis- 
slome : animal entre le poisson et le ver, Jam- 
proie et gastrobranehe, sabot. 

TCraörouo, 3. m. eyclotome : instrument 
d’oculiste pour fxzer le giobe de Yapil et imciser 
la oorude. 

CrLmoma. V. Colidenia. . 

„A, adj. oylindeique: zmi a da 
forme du cylindre. (4. de bot.) Cylindraos < an 
cylindre. 

Cruinano, &. u. cylindre : solide fomm6 par 
la revolution d’un parallelogramme reciangte 
auleur d’un de ses oßtäs; gros mouleau. Ba- 
iflet : eorpe de pompe dans lequal agit de pis- 
tem. — da rods do ieme, (. de mar.) matbre 


GTLINDRLOrDE , adj. 2 gen. cylindseide : selide 
qui approche de la ferne du 

+ Crissto, s. es. (1. de bol.) cyliste : arkeis- 
seau grimpant de Coromandel. 

Crua. V.Cymöira, 

Crusa,s. f. bateau, nacelle, esıuif, barque. 

CrusaLisıa, 8. f. (t.de bot.) "cymbalaire ı 
»aspece de mullier. 

Cr’msaLo, 3. w. cymbale : instrument d’si- 
rain, creux, & manche. 

} CLMBLFÖRME, adj. 2 gen..($. de bot.) cym- 
biloıme : imitant une nacelle. 

+.Crutıra, s.f. (l. de bot.) cime. sommet : 
disposition des fleurs comme celles du surean, 
a pedoncules subdivises irregulitrement. 

1 Cxrmınosuo,s. m. (f. de bol.) cyminosme: 
aan de Ceylan. vo 

+ Cru0so, a,adj. (i.de.bot.) cimeux: en . 

+ Cımöruoas, s. m. pl. (1. Eh nalen - 
mothoßs : cloportes de mer. 

+ OrnumöLco ,s.m. cynauıolge : olseau fabu- 
leuxd’Arabie qdi tette les chiennes, espöte d’en- 
goulevent. .. 

Cruancae. V. Esquinencla. 

4 Crnasätica, s. f. eyneg&tique: 
cernant la chasse,, les chiens ;.tra 
nerie. 

Cr’nico, 8, et adj. m, cynique ; secte de phi- 


ne 6UM- 
de la ve- 


373 DAG 


losophes satiriques et sans pudeur qui 56 de- 
gradaient au rang des animaux. (fg.) Bale, 
malpropre ; impudent, obscöne, degoütant. 
(1. de mdd.) —, imitant le chien qui meonire 
les dents (spasıne, oonvulsion). 

Cruz. V. Mosqwitos das gdlkas. . 

Crnisuo, s. m. oynisme: doeirine, oarac- 
wöro des oyniques ; (Ag.) impudence oynique; 
effronterie de I’homme profondsment vor- 
rompu. 

Crnoc#rHaLo , s. m. (. d’hist. nat.) 0yn006- 
phale : singe & la t#te de chien, et le museau 
prolonge. 

CrnocLössa , s. f. (1. de bot.) oynoglosse ow 
languo de chien : plante borraginee. 

+ Crromönıo, 5. m. (4. de bot.) cynomötre : 
plante legumineuse. 

CTronamOno, 8. m. (8. de bot.) cynerrho- 
don : fruit de la rose de chien. 

+ Crnossitos, s. m. (t. de bot.) cynosbatos: 
arbrisseau &pineux, aube#pine, rose sauvage. 

Crnosöna ,s. f. (l. d’asir.) cynosure : la pe- 
tite ourse ; oonstellaion N. 

Cratmma,s.f. (1. de myth.) Cynthie, Diane. 

Cratuı0, s.m. (t. de myth.) Apollon. 

Crrasisso ou 1 (#. de bol.) cyprös: arbre 

Crpaksıe,s.m.) coniföre, toujours vert, 
amentace, & bois incorruptible. Symbole de la 
mort. 

+Crrata. V. Porcelana (1. d’hist. nal.). 

+Crrmua ‚adj. f. (1. de mytk.) cyprine (V&- 
nus). 

+ Crannäıco, A, adj. Cyrönalque : de Gyröne. 
Seila—s, secte—, dont Aristippe &tait le chef. 

+Craauko , s. m. cyrenden : l’bomme qui a 
aid6 Notre-Seigneur & porter la croix. (fam.) 
Alde, second dans une oocupation ou emploi. 

Craor&pıa, 3. f. Cyropedie : histoire de la 
jeunesse, de l’&ducation de Cyrus, par Xdno- 
phon. . 


DAC 


CYsuE, 3. m. cygne: olsesu da genre de 
’’oie, d’un blanc 6elatant, palmipdde, sern- 
rostre. (fig.)—, grand poöte; musicien o@löbre. 

P Crarancia, s. f- (4. de mdd.) cystaigie: dou- 
leur de la vessie. 

‚, Crsrico, A, adj. (4. d’enat.) cystique : (ar- 
töre) de l’höpatique ; biliaire (conduit). 

+ Crerirmocia, 8. f. (1. de mdd.) cystiphlo 
gie: infammation de la vessie. 

+ Crsriuz, s. f- (1. de mdd.) cystilie : inflam- 
mation de la meınbrane qui tapisse la vessio. 

+ Crsrinnmacia, 8. f. (1. de md.) oysüirrha- 
gie: maladie dans Iagaelle le sang sort de la 
vessie. 

+ Crsrorızzia, 8. f. (1. de mdd.)cysteplexie: 
paralysio de la veossie. 

+Cvsrorrosz, s. f. (6. de m#d.) oystopiose : 
relächement de la membrane interne de la 
vessie. 

+Crsroronia, s. f. (1. d’anat.) oystotomie : 
section de la vessie; incision de la vessie. 

+Crsröromo, s. m. (1. d’anaf.) cystolome : 
instrument pour op£rer la taille laterale. 

Crraans, etc. V. Cithera, etc. 

Crrumataı, adj. f. (1. de myih.) cyihäree 
(Venus). 

Crrina , s. f. leur du grenadier. 

Crriso. V. Codöpo. 

N. B. Les mots qu’on ne trouve pas par C, 
il faut les chercher par 8. 

Czin, 3. m. czar: souverain de Hussie. V. 


Czarina, s. f. czarine: femme de l’empe- 
reur de Russie; souveraine, imp6ratrice de 
Russie. 

CzaROvıTz, s. m. czarowiz : fils da czar. 

Czisstär, s. we. (f. d’hist. nat.) caigital : mam- 
miföre du genre du cheval; onagre de Tarta- 
rie , brun ot blanc. 


D. 


D,s. m. troisiöme consonne ; quatridme lettre 
de l’alphabet portugais. Elie signife don ou 
donne ‚ sulvie d’an point, devant un prenom. 
C'est aussi une lettre numerale qui vaut 500. 
Elle vallait 5,000 loraqu’il y avait un petit tiret 
dessus. Elle signifle 4 au bas d’une feuille d’im- 
pression. 

DD., abrevialion du mot dowtores, docteurs. 

Da, Das, contracl. de DE, prdp., et A, AS, 
ert. f. dela, des. 

+Di ck, imp. du v. dar, et ca, ado. donne 
ici, donne-moi ici. 

+Dä-ciro, (f. de mus.) dacapo : pour ren- 
veyer au commencement d’un air.— !— ! bis! 
bist encore uno fois. 

+ Dicaa, s. f. (1. de g4og.) Dacie : oontree de 
la Scythie europsenne, 


DV ns ie 


+Dicıco, adj. m. Dacique: vengeur des 
Dacesı 


+ Dicıos, s. m. pl. Daces : peuple de Dacie. 

Dicrrıe, e.. V. Tdmare. 

Dacrr’Lico, A, adj. dactylique : du daotyle. 

Dicrrıo, s. m. dactyle : pied de vers greseonu 
latin d’ane longue et deux broves. 

+ Dacrvrocia ou DacrrLoula, s. f. daetyio- 
gie ow dactylolie : disoours par les signes avec 
les doigts. 

+Dacrrromancia, 8. f. dactylomandde : di- 
vination par l’inspection des doigts. 

+Dacrrronoula, s. f. daotylonemiez art de 
compter par les doigts. 

t DacrrLönowo, 3. m, dactylonome : qui 
compte par les doigts. 

+ DactrLöpranos , 8 u pl. (1. Phist. nal! 


DAL 


asetyloptöres : Poissons ossoux dactyles, subdi- 
vision des trigles. 

Dapa, 8. f. Vaction de donner; jonissance, 
possession d’une chose donnee. ont. V. Dale. 

"Dınzco, s.m. V. Daddica. 

Dibiva,s. f. “don, present, largesse. 

DupıväaL, adj. 2 gen. bon & donner. 

tDanıvar, v. a. faire des dons, des pre- 
sents, des cadeaux. 

DabıvösamEnıe, adv. liböralement, gene- 
reuseınent. 

tDasıvosımäne, s. f. munificence, libera- 
ite, generosite. 

Dapıv6s0, a, ady. donnant, quı aime A don- 
ner, liberal , genöreux. 

Dino, a, 9. p. de Dar. adj. Alfable, com- 
municabie. (a) Adonne, incline, livre. Dado 
c810, Q4O 65578 SCjG , SUPPOSE qUE, SUPPOSons 
que. — que, quoique, bien que. 

Dipo, s. m. de: petit solide cube & faces 
merguses de points de 1 & 6 pour jouer. Mor- 
ceau de fer carr& qu’on met dans les canons 
charges & cartouche. — falso, d6 pipe, de 
charge. Conforme dir 0 —, ( fam.) selon que 
le de tournuera. Deitar, langer os —s, ( ig.) 
S’sventurer, se hasarder, se risquer. Lance 
de —s, coup, tour de des. Jogar os —s, jouer 
aux des. Estd lengado o — , le sort en est jete. 
O melkor lancs de —ı d ndo jogdl-os, (prov.) 
le meilleur coup de de est de ne point jouer. 

+ Dino, s. m. donne, largesse, distribution, 
=, pl. (1. de math.) ° donndes : quantites 
connues qui servent A trouver les inconnues ; 
kg) base d’une recherche, etc. 

Danen, A, s. donnear : qui donne. — de todos 
os bens, Dieu. 

Dancco, s. m. daduque ow dadouque: prötre 
de Ceres ; porte-Dambeau. 

Dica. V. Adaga. 

Dani ou D’ani, adv. de lä, de cet endrolt. 
— em ou por dianie , depuis ce temps, ensuite. 

Darmäca ow Daınkca, s. f. sorte de barque 
sur le leuve Tigre. 

+Damagutıno, s. m. pilote qui condult la 

inaca. V. 08 mot. 

+ Diss ow Dino, s. m. dalri ow dalro, 
lama , souverain pontife des Japonais. 

Dia, s. f. (t.de mar.) dalle: petit canal sur 
le pont d’un vaisseau pour Pe&coulement de 
Peau de la pompe. 

Dazica,s. f. (1. de mar.) grande harque, 
large et plate , dans l’Asie. 

Dartu. V. Alm. 

tDiıus, interj. fam. aller! encore! — que 
dälks on dälhe que dards, (fam.) on le dit pour 
exprimer Yennui que cause un imporlun. 

Dazı ou Daızı. V. Ali. 

tDaumica, s. f. (4. de geog.) Dalmatie: 
prorince maritime (de l’empire d’Autriche) 
dans F’Adristigue. 

tDauuiras, 5. m. et adj. pl. Dalmaliens ou 

Dalmaies : peuples de la Dalmatie. . 

Dawmirca, s. f. dalmatique : tunıque du 

diasre et du sous-disere. 


DAM 


fDaumirico, a, adj. de la Dalmatie. 

Diua,s. f. dame: titre d’bonneur; femme 
maride, au-dessus de ia classe du peuple; 
femme de qualits. Maltresse, pretendue : filie 
ou femme recherchee en mariage, ou simple- 
ment aimeo de quelqu’un. Dame d’honneur, 
d’atours. Femme qui joue aux theätres les 
premiers röles. Concubine. Dame ow reine: 
deuxidme piöce des &checs; carte & figuro de 
dame; piece ronde et plate qui sert & jouer 
aux dames; dame dameeo, piece ä dame, pion. 
Soprar a —, soufller une dame, en Jouwant aux 
dames. (fig.) Se marier avec une fille courtisee 
par un autre, enlever ä un autre sa maltresse. 
4s —s, pl. jou de dames. Fazer —, damer. 

Dauman. V. Hyrace. 

Damania. V. Damice. 

. Damascino. V. Adamascddo. 

f Damasceno, A, adj. de Damas; habitant 
de Damas. 

Dawäisco, s. m. (8. de gdog.) Damas: ville de 
Syrie. 

Dauisco, s. m. damas : &toffe de soie & 
fleurs. Abricot, prune de Damas. — de Phila- 
deiphia, damas cafard. 

t Dauasönıo, s. m. (4. de bot.) damasone ow 
damasoneum : fläteau &toile. 

Dauasqu£ıro, s.m. (#. de dot.) abricotier, 
prunier de Damas. 

DamasQuiLHo, s. m. dim. de Damasco. Etoffe 
de soie ou de laine damassee. , 

Danasquim, s. m. dim. de Damasco. Etofle 
de soie qui ressemble au damas, mais qui est 
moins forte. 

Damasquino, A, adj. de Damas : qui appar- 
tient & la ville de Damas; damasquine. s. m. 
Damasquin : poids de 600 drachmes ow 380 li- 
vres, dans les ports du Levant. 

Daussir. V. Galantear. 

Dauice, s. f. mignarderie, minauderie; 
affectation,, caprices de femme. 

+ Dauıttra ow Damıita, 8. f. (8. de g£og.) 
Damiette : ville d’Egypte. 

+Dauwina, s. f. (1. de bot.) * dammanı« 
arbre de l’Inde & resine blanche. 

Daunäca, s. f. petite embarcation de l’Inde. 

Daunacäö, s. f. V. Condemnagdö. (Aig.) 
Perte ; ruine. 

Dauninpo, A, p. p. de Damnar. adj. Mar: 
veillant, mechant; damne, gäte. Enrag6, qui » 
la rage, hydrophobe. 

DAMNADOR, A, 8. qui fait du tort. 

DAMNamRnTO, s. m. V. Damno, Damwifl- 
cagäo. * Inimitie , malveillance. 

DaunÄr ou DanAR, v. a. corrompre physi- 
quement ou moralement. V. Conlaminar. 
Nuire, porter pr&judice, causer du dommage, 
faire du mal. Gäter, endommager, metire en 
mauvais diat, deisriorer. Blesser, offenser. 
Faire enrager, causer, donner l’'hydrophobie. 

Damnir-SE, ©. 7. se.cortompre, so gäter; 
devenir enrag6, avoir I’hydrophobie. (Ag.) 
S’enrager, se mettre en colere. , 

Daunıricagäö, 5. f. V. Damno, Deierioragdo. 


373 


378 DAP 


DanunwickBo, A, 9. 9. de Damnifeur. 

Dauntricanen, s. m. colui qui cause Uu 
dommage, qui nwuit. 

Dausıncautnto. V. Deirimente. 

Dauniricir ,v. &. Leser, nuire, pröjudieler, 
offenser, faire tort; gäter. 

Dauninno. V, Daninko. 

Dinno, s. m. dommage, perie, detriment, 
desavantage , pröjudice,, tort. Pens de—, (1. de 
&hdol,) peine de dam. Em — d’alguem, en pr6- 
judioe de quelqw'un , pour lui faire tert. 

+ Dausnösamente, adv. erniciousement : 
d’ane manidre dangereuse, neisible, 

DARNOSISSEMO,, A , a4}. sup. de 

+ Dıunöso, A, ad}. naleible, derhimageabie, 
prejudiciable, pernicieur. 

Diuo. V. Amasio, Namorad». 

+Danäne, s. f. (1. Mat. net.) danalde : 
t6pidoplöre, papillen. 

Danaıs. V. Tägueda. 

Danca, 6. f. danse: mouvement cadencd du 
corps au son de la voix ou des instruments; 
mahlere de danser ; art de danser. ° Bal: r&union 
fe danseurs. — d’espadas , sorte de danso aven 
des epees nues; (fam.) dispute, querelle ot il 
yYades epees tir&es. — fallade, hallet panto- 
mime. Entrar na —, ( fam.) entrer en danse. 
Bid vala —, (fd.) on le dit ironiquement d'une 
ehose mal concertee. Metler alguem na —, (d.) 
meltre quekmi’un en jeu; attribuer A gael- 
qu’un ce qu’il n’a point fait. Como, onde vos 
4& —? quelle tonrhure pientent les choses? od 
en sont les choses? Carra a — ! (Jam.) vive ia 
joie ! 

Dancıpfına. V. Balladeire, 

Dancabön, A, s. dansenr: dui danse. 

Dancinte, 5. m. danseur dans les fütes pu- 
bliques. (fig.) Dessale, dröle. 

DangarR, v0. w. danser : mouvoir le corps en 
eadence, & pas mesur&s. Sauter, danscr, sau- 
tiller, sagiter en sautant. 

DaNcAniIa0, a, 8. dansenr de ihtätre. ( fig.) 
Mannequin, dröle. 

+ Dıma,s. f. (1. du Brent) sorle de noix 
purgalive et emädtique du Bresil. 

Daxpi6, (TE. burl.) V. Pesaddio. 

Damıricar, eic. V. Damnificar, etc. 

Daninso, A, adj. nuisible, destructeur. On 
le dit surtout de cerlains animaux. Noir, me- 
chant, atroce. 

Danöso, etc. V. Damnoso, etw. 

Se ete. V. Danga, etc. 

Duxta,b. f. G d’hist. nat.) * dante : tapir 
d’Afrique. —, elan, btori: animal du Chili qui 
porte une trompe. 

D’AnTE. V. Ante un. 

Dixte, p. a. de Dar. Donnant : qui donne. 

D’AnTEmAÖ, ado. W’avance,, par Avance. 

D’ANTES, adv. auparavant, naguere. 

+ Danzica ow Dunzioug, s. m. (1. de gdoq.) 
Dantick : capitale de fa Prüsse occidentale. 

PDanzıcäno, A, adj. Danızickuis ou Dantzi- 
cais : de Dantzick. 

"Divxan, etc. V. Damnar, ewo, 


DAR 


D’raqukn, adv. deca, om dega. V. Agmd. 

D’sqtı, ade. de cet endroit, d’ici. V. Agmi. 

Dir (6), v. . donner : faire don, faire prö- 
sont & quelqu’un, le gratißer de...; livrer, 
mettre entre les mains; accorder, oetroyer. 
Frapper, donner des coups de bäton, de 
fouet, etc. Donner, proposer ; conferer ; appli- 
quer. Supposer. Accorder une preposition. 
— , rapporter, porter, produire, en parlant des 
terres, etc.; rapporter, en parlant des arbres 
& fruits, etc. Tenir une affaire pour conciee. 
Donner pour. Douner occasion de. Sonner les 
heures, en parlant d’une horioge. Faire parta- 
ger les oartes entre les joneurs. Faire, occa- 
sionner. Joint & certains norns suhstantifs, il 
en prend la signification. Exr.: — um abrapo, 
embrasser ; — sellos, sauter; — gritos, crier, 
etc. — & credito, danner A or&dit. — agus ds 
mdos, donner & laver, verser de l’eau pour se 
laver les meins. — 4 estdmpe, imprimer. 
— alma, donner de l’äme, animer. — s eins @ 
Deos, rendre l’4me, mourir. — d kus, acosu- 
cher, enfanter ; meitre au jour, publier, impri- 
mer un ouvfage. — armas oonlre si, (fig.) 
donner des verges pour 56 fouolter. — assalle, 
donner Vassaut, au propre et au figure. — a 
sumpio a..., donner le sujet de... — audiencie, 
donner audience. — a um mais as oulro, 
avantager. — bordos, (t. de war.) bordayer, 
louroyer; (fig. few.) courir d’an o6t6 et de 
!autre. — ou md vida a alguem, procurer 
une vie ogreable ou fächense, falre bon ou 
mauvalis Mensge, Bonner de la satisfsetion ou 
du chagrin & queigu’en aroe qui Yon vit. — ce- 
berndas, (fam.) pencher la t#te et ia relever, 
lorsqu’on a enrie de dormir. — c@r, metire en 
Coufeur, peindre; ( ig.) colorer, oouvrir de 
quelque pretextie. — conla, rendre Gompte. 
— corda, (fig.) donner ooeasion de parler. 
corpo, donnet du corps, &paisser : faire 
ressortir les figures d’an tableau par le moven 
des ombres ; (fig.) exagerer. — cwidado , metire 
en peine. — de comer, de veshir, otc.,donner de 
quoi manger, de qaoi s’babiller. —o po e o 
pdo, (fig. fam.) meltre ä propos la douceur et 
la severite. — dia e Aora, assigner le jour et 
’heure d’une entrevue. — # mdo s alguem, 
( Ag.) Vendre la main, secourir. — o Juger, ce- 
der sa place. — o noms, dire son nom. — @ 
parabem , [eliciter, complimenter. — 0 Pesame, 
faire un compfiment de condoldante. — 0 pe 6 
tomar a mdo, ( am.) donner Ile doigt, et pren- 
dre le bras. — 0 santo, (4. m.) donner l’ordre, 
le mot du guet. — o sim, corsenlir, dermer son 
consentement. — 0 cofo ou seu volo, donner sa 
voix. — enfreda , permettre d’entrer. — seida, 
permetire l’exportation ; faciliter la vente. 
— baiza a0s marinkeiros, & tripulapdo, (1. de 
mar.) congedior l’equipage. — un Imgmo d 
amarre, (id.) congreer un cAable. — um salto o 
exbo de aleilarga, ($i.) choquer la tournevire. 
— o rumo, (dd.) donner }e route, demmer la 
prone. — uma bands #’artilheria, (id.) denner 
une bordec nu sa bordee K.l'ennomt, — rodogus 


‘er’ 
. 


DAR DAR 375 


“umnams, (dd.) donner una remorqua d un |certißier le contonu d’an arie, consialer un 
vaisseau. —63pego, donner le temps. —espera, | fait. — tempo ao lempo, attenäre l’occasion 
alermeywe,  osperangas, donner esperance. | pour faire quelque ohose. — tormenio, lour- 
— eeledo , donner un lat ä quelgu’un. — es- | menter, aliger. — irotamenio, trailer un 
tampido, telaler. — exemplo, donner, Moniror homme selon son rang:-+- fragäs, tracer, dres- 
lexemple. — espedienie, expödier. — fama, | ser un plan. — ireguas, ( Ag.) donner du relä- 
deaner de le röpulalion,, metirs en röputation. | che. — uma möo, donner une couche de cou- 
— faror, praitger, favoriser. — [d 6, ajouter | leur, — uma olkada, douner un conp d’ell. 
fol, faipe foi- — fd de, remarquer, faire atten- | — uma funds, donner une yolde de coups de 
tion a. — Aador ou Aanga, donner caution. | bäton; rauer de coups. — um ferro, donner 
— im a uma couss, meilre une chose & fin. | une facon A un champ. — uma söva, frapper 
— funde, (1.da mar.) maulller, jeier Pancre. | quolqu’un. — uma vista d’olhos, donner un 
— fundo a vela (id.), mouiller sous voiles, | coup d’eil. — uma yolia, faire un tour. — um 
meuilleg äla ıpile. — forragem ou verde, al- | cörie, couper, trancher; (Ag.) trouver un exp6- 
fourrager. — razdo a alguem, donner gain de | dient pour termirder une affaire, couper court. - 
cause ä quelqu’un.’— fogo, faire feu, tirer. |— umnd, faire un ngeud, nouer. — Um Passo, 
— gana cu ganas, (fam.) danner envie, — gar- | faire une demarcha dans uno affalre). — vaia, 
role, eirangler. — glarie, glorißer, — golpe, | huer, railler, se moqyer, Jancer des brocards. 
($9-) (repper Kesprit, dtonner, surprendre. | visos, ressembler: —: vozee, pousser des 
— gragan, vondra gräces, Temercier. —grils, |hauts cris, crier. «m volla , tourner, — vollas, 
buar, — ras , delorer des honneuts. — 04 


ra. se tourner dang gen Ht. — 6 iqınar, disputer 
emberas , Leliciter, complimenier. — a Kora, | aven qualqu’un ee oplnhurer dene son senti- 
songer I’henre. — 4 lei, ( Ag.) servir de regle, 


ment. Ndo — seu, braro.a torcef, (fig.) ne pas 
de modele. — as dos palmatoria, ( Ag. | faire oonnalıre ses besoigs; ne Kr A per- 
fam.) baisser pavillon, se recounalire vaincu. | soune. Ndo — uma sede d’agus, (fam.) €ıro 
— obediencia, rendre hommage, ob£issance. | extremement mesquin, chiche, Deos le d4 doa 
— razdo a alguem, randre raison & quelqu’un. | fortung ou ventura, Dieu vous donne un hen 
— eielas, teurner le das. V. Costas. — as Ddas | guecds. Näo poder — um pass0 ‚ne Pou‘ is’pas 
foetss, oe bens ammos, souhaiter les bonnes | mettre un pied devant Janire. Mais vafo um 
idies, \a benns annke. 4 ultima mäo , meltre | (oma-Id que dous te. darei, un bog Hens vaut 
la derniere main, finir. — vide, vivifler, ani- | mieux que denx tu augas. Dia onge der, (fars.) 
mer, Sortilst. — a vida por alguem, donner, arrive es qui 'pgurra. Em — atomar 6 facil 
sacrißer sa vie pour quelqu’un. — Holo, reciter |errar, & donner et A prendeg, on peut aise- 
sa logos, — ii ou Leis, dounsr, imposer des | ment se meprendre. I 
init. — iasnen etire. — 0a bons dias a| Dän, oe. n, frapper, dogser des ‚coups; trou- 
eiquem, souhaiter le bon jour & quelqu’un. | ver; aveir vue Sur. — tender, donner äen- 
— Iugsr, se serser pour faire place; donner le | tendre; faire cpnnaltre. — d banda, (1. de mar.) 
temps, permetise. — Zus, eclairer repandre | mettre le vaisseajt A la bande. Y. Banda. — 4 
des \usmideos. — malrdcn, railler. V. Zombar. bomba, (ua. 1zahre agir la pompe, pomper. — & 
— mestras de, avair Fair de, manifester 808 | costa. V. Cosla.. Ir — 4 prdca, d Igreja, e\C- 
‚ses sentimenis, se faire connaltre par |abeutir la place, alKglise, etc., en parlant 
ses actions. — nolicias ou noves, donner des | d’une rue. — bem oumal 0 naipe, ölre heureux 
zeusellen. — oyeidas, preter loreille. — or- | on malhowreus au jeu, avoir de bennes ou d6 
dem , ordonner, donner ordre. — ardem d wide, | mauvaises carles. — Com algums pessoa cm 
ehessher beuntismsnt des moyens de vivre. | terre, faire tomber, abautre, terrasser une per- 
 erdeng, dennss, conferer les ordres ecclö- | sonne. — com alguem ou com alguma cousa, 
ianlirgues. —— Banscon, ÄONDEL, dire aon avis. | ransautrer, wseuyer quelqu’un ou uelque 
— parte ‚ [sie part. — pondos nas meigs, (fam.) | ehase. — com a cabera pelas paredes, (fig.) n0 
ravaudar les bas. — ponio, enirar en vacances, | agvoir qua {aire,oü danner de la tete; brusquer 
Mo — quertel, (fj.) ne peini faire de quar- | une affaire. — com 0 poria nos olkos ou na 
tier, trailer avec rigueur. — Que fallar, que rir, | cara, former la porie an nea. —- 00% sigo no 
quo eniender, faire parler, appreter ä Fire, 
desmer I panNet. -— querdlis, rendre, porter 
„inkete eu Inslloe sone qualgu’un. — razdo, 
yemise reisen , pondze gampie. — rebale , don- 
ner Yalarıma. — reodde, aumoncer quelqu’un, 
= sorsdes, false des eomplimenis, dire bien 
des cboses. — remidio, apporie semeöde. 






















































chdo , tomber, se laisser Lomber. — c0M sigo em 
algum lugar, se rendre dans quel endroit, 
y aller. — de sspöras, piquer un © eval. — de 
mäe, rejeter, laisser, abandonner, meöpriser. 
= da si, chder, Ballaisser ; g’etendre, F’allon- 
ger, s’ölargir, so dit des tolles, (ies cbaussu- 
res, etc. (Ag.) Ayoir des sultes. — d’olko,, faire 
signe de ’ail.—em al , battre quelgqu’un, 
Ini donner des eoups. — em böhado, s’adonner 
an vin, em doudo, devenir fon. — em düro 
ou em söcco, (g.) trouver des difßaulies qui 
s’opposent & la rensaite d.ung chose. — na mö- 
*6, (Ag. fam.) pöuetrer intenban de queir 


- 
PR) 


zanıer de jeie. — signal, danner des arrhes. 
= farıno on pres, Öuar un lerme pour UNE 
ni, = Msiemunho, Fendre tWmoignags. 


376 DAR 


qu’an, deviner son secret. — nas mazelas, no 
vivo ‚, (fam.) toucher au vif, piquer dans Pen- 
droit sensible. — nos olhos, @tre clair, mani- 


feste , &vident, frapper la voe. —em mdos d’al- 


guem, tomber dans les mains de quelqu’un. 


— de rosto, (fig.) Otre contraire. —em rosio a 


cousa , reprocher quelque 


com 
chose & quelqu’un, lui en faire un crime. — 
w’um Banco, w’um baizo , (1. de mar.) toucher, 


&chouer, parlant d’un vaisseau. — para a rus, 


para o jardım, eic., donner sur la rue, lejar- 
din , eio., en "parlant de croisdes, etc. Näo 


freio, avolr le mors dur, parlant d’un 
cheral. Näo — pelo 


attention i... — por conchw 


falle. — por quite, tenir quitie. — sobre alguem, 
se jeter sur quelgu’un, l’attaquer avec furie. 
— alrds d 
der, um ie em 


cerio, poser en fait. 


Dir-sz (a),v. r. s’sdonner, s’appliquer; se 
livrer. Croitre, venir en abondance, parlant des 
;s’attri- 
buor ; donner & soi. — a conhecer, se faire con- 


plantes, etc. (por) Se donner comme... 


nalire ; 6elater. — ao diabo,se donner au diable, 
s’irriter, 56 melire en colere. — a partido, (Ag.) 
se rendre & conditions, c&der & l’avis d’un au- 
tre.— a perros,, [r6mir de rage. — as mdos, 


se toucher la main en signe d’amitie, de recon- 


ciliation ; se donner, se pröter la main, s’en- 
tr’aider. — bem ou melem alguma ports, se 
porter bien ow mal en queique endroit, en 
quelque pays. — bem com alguem, s’accorder 
bien avec quelqu’un. Näo — por eniendido, 
faire le sourd ou la sourde oreille. — por ven- 
cido , se rendre , s’avouer vaincu. — pressa, se 
bäter. — todo .... ., se devouer &... Ndo so me 
dd nada, peu m’importe. Ndo le 7) cwidado , 
ne Vembarrasse pas ;tu me le payeras. Quem 
me dera ! combien je desire‘ 

Dan-sE, imp. arriver, avoir eu; se pr&ösen- 
ter. —ha-aso? est-ce que par hasard ? sera-H-il 
possible? De&-se como cerio,, on l’assure comme 
certain. 

t Danpasisı, 8. m. espece d’&pervier, oiseau 
de proie. 

+} Darpina, s. f. coup de dard. 

* Daxvaninıo. V. Alravessador. 

+} DarpantıLos, s. m. pl. (8. de gdog.) Dar- 
danelles : deux chätsaux forts sur les deux 
rives du dötroit de Gallipoli ( en Turquie). 

Danpinıa, (1. de bot.) V. Cegude. 

+ Darpinıo. V. Troiano. 

DanpgsäB0, A,P. p. de Dardeyar. 

DARDRIANTE, adj. 2 gen. dardeur.: : qui darde 
un trait. 9.0. de 

Darnpzsir, v. a. darder : lancer un dard 
(rapper comme un dar. (Ag.) Dardiller : der- 


leme , n’ob6eir pas au gou- 
vernail, parlant d’un vaisseau. Näo — por isso 
ou por tel, ne s’enapercevoir pas, ne faire pas 
um negocio , re- 
garder une affaire comme terminde. — por 
feila uma cousa, regarder une chose comme 


„ poursuirre avec acharne- 
ment. — dodla, (. de mar.) faire voile. — ums 
,„ etre attaque, 
€iro pris d’une douleur, d’an accident. — por 


sion. Ex.: 


DE 


der vite et souvent , se ditdes rayons du solell, 
de la foudre, etc. I} est aussi neutre. 

Diapo, s. m. dard : long bois ferr& en pointe: 
demi-pique ‚ arıme qu’on lance avec la main. 

DinES-E-TONARES, 3. m. pl. (loc. fam.) "al- 
tercation,, dispute avec quelqu’un. Ander com 
—, se meler de disputes, d’altercations, les 
aimer. Ter —com alguem, se dispuler avec 
quelqu’un. i#. Avoir des relations intimes et 
peu honnetes avec quelqu’un. 

Dinca. V. Adarga. 

+ Daxi, s. m. (1. d’Afrique) espece de singe 
du cap de Bonne-Esperanoe. 

+ Därıco , s. m. darique : ancienne Monnaie 
d’or, d’argent, des Perses., 

Daxoßına. V. Dragofira. 

Danvis. V. Dervis. 

+ Dasvöna, s. f. (8. d’hist. nat. ) dasyure : 
maramiföre marsupial de la Nouvelte-Hollande, 

Dita, s. f. date : epoque, chiffre gei Pindi- 
que; jour auquel un acie, etc., a €i6 fait, une 
leitre a eis ecrite. "Droit, action de donner. 
Por a—, dater. Acher olquem.de bos ou md—, 
(fg.) trouver quelqu’un de bonne ow de mau- 
vaise humeur. 

Dırivo,a,p.p.de 

DaTär, v. a. dater : metire la date. 

+Darar, v. m. dater : avoir pris date & 
compter d’une epoque. /sso ddla de longe, cela 
date de loin : se dit d’une chose passee il y a 
longtemps. 

Dartania , s. f. daterie : offios du dataire, son 
bursau, son tribunal. 

Dartänıo ,s. m. dataire : chancelier deRome, 
president de la daterie, qui expedie los acies 
de böneflice, de dispense. 

Dıtı.ipo,A,adj. qui ressembie ä la dattie, 
par sa forme ou par sa couleur 

Dirıe,s. m. V. Tdmara. — merinko, (1. 
Khist. nal. ) datte de mer: fruit de l’algue ; co- 
quille bivalve. 

Darııeına. V. Palmbira. 

Dırivo, a, adj. (4. de prat.) datif : denne 
par le Juge ( tuteur, ete.). 

Dırivo,s. m. datif: troisiöme cas groo ou 
latin, celul qui marque la personne ou la chose 
& laquelie on donne, on attribue quelque objer- 

DAvanTE, adv. devant. Dar por—,(#. de 
mar.) prendre le vont; obeir au gouverneail. 

+ Dıvura, 8. f. (8. de bot.) "darvilla : arbre 
du Bresil, rosac6e. 

Daraı. V. Deiri. 

De , prep. de, particule exirachioe , distino- 
tive, desi ignatios, indique la matiöre d’une 
chose, la propri6ts, les qualitös personneiles; 
pröcdde les adverbes et les ses 
adverbiale avec un substantif ; lie les vorbes, los 
adjectifs et leurs relatils;; dösigne l’actlon ; ex- 
prime la cause , l’origine, le lieu d’oü, comme 
Gans la langue frangaise. Entre leverbe Comepar 
et un autre verbe, signifie d. Ex. : Comeger de 


servir, commencer dservir; entre un adjectif e& 


un substantif‘, donne plus @önergie ä l’oxpres - 
A velhece da (dea) criada, lafti- 


DEB 


ponne de servante. Quand elle indique la ma- 
tiere d’une chose, se rend souvent par en. Ex.: 
Collar de diamanles, eollier en diamants. 

Dis, s. f. (t. de pods.) d6esse. 

Dsipo, s. m. doyenne6, decanat:: dignite, 
jeridiction du doyen. 

+ Deuıznaciö, s. f. (t. de chim.) dealbation : 
ehangement de couleur noire en blanche par 
Fection du feu. 

DeaiLnar, etc. V. Branquear, Purificar. 

DEAUBULATÖRIO, A, adj. V. Ambulatorio. 
s.m. V. Passeio. 

Dario, s.m.doyen: dignite de quelques cha- 


Deunazzoia. V. Arrazoar, Allercar. 

Deurricr.iciö, s. f. articalation distincte, 
prononcistion bien nette. 

Deartict.ivo,A,p.p.de 

DeaarticvL.in, v. a. parler distinctement. 

Desiıxo, ade. sous, dessous , par-dessous; 
en bas. V. Bairo. Ficar —, succomber. Estar 
— da artilkeria , &ire ä couvert du canon. 

DksiLpe, adv. en vain, gratuitement. 

+Dxsanpioa, s. f. debandade : aclion de 
debander. Em — , adv. & la döbandade, confu- 
seınent, sans ordre. 

Desuspino, A,p.p. de 

Desaupin, v. a. debander : r&öpandre en 
desordre (les troupes). 

Dasumir,o.n.ct—se, o.r. se debander: 
fuir, se disperser sans ordre. 

Dazsar. V. Dobar. 

Desire, s.m. debat, differend, contestation. 

DEBATEDURA , s. f. action de se debattre,par- 
lant d’un oiseau. 

Desatka, v. a. debaltre, contester, discuter. 
Dispater les armes & la main. Jl est bien sou- 
vent neutre avec la pr&p. em ou sobre, et signi- 
fe disputer sur. 

Dusatka-sE, v.T. se döhatllre, se dömener. 

Dssarmıgo ‚A, ady. qui a V’habitude de se 
ätbattre , qui se debat sourent. 

Desutıpo , A, P. p. de Debater. 

Desirıpcaa, 8. f. } agitation , battement 

DEBATINENTO, 8. m. d’ailes. V. Debate- 
ders. 

"Draixo. V. Debaixo. 

DessıLackd, s. f. delaite d’une armee, con- 
quete d’un royaume, etc. 

Deszııino ‚A, p. p. de Debelldr. 

D£22LLA0ÖR , 5. m. vainqueur : qui a vaincu. 

Deszrıir, v. a. delaire, vaincre une armce, 
esnquerir un toyaume, etc., prendre une ville, 
suhjuguer un peuple. —as paixöes, (lg.) vain- 
ce, mbjuguer les passions. 

Dasıcino0, A, p.p. de 

Desscin, 0. ». toucher & peine, pignocher; 


DisiL, adj. 2 gen. döbile, faibte; affaibli. 
DesiLıping, 3. f. döbilits, faiblesse , affai- 
blissemen 


ı 
DassLiıtacid, s. f. debilitation, affaiblisse- 
zzusent. 
Desu.rrapissıuo, A, ad/. sup. de Debilitddo. 








DEC 


DesiLrripo, A, 9.9. de Debilitär. 

DEBILITÄNTE , adj. 2 gen. debilitant, qui debi- 
lite. 9. a. de 

DesiLıtÄn, v. a. debiliter, affaiblir. Il est 
aussi reciproque. 

DEBILMENTE, adv. debilement : d’une ma- 
niere debile, 

Desıto, s. m. * dette, le dA : ce qu’on doit. 
— conjugal, devoir conjugal. 

Desöcnan. V. Corromper, Seduzir. 

DEBöcHE. V. Devassidäo. 

DesoLirn,o.a.($.de mdd.) ter les croütes 
des plaies. 

DEBREÄADO, A,p. p. de 

Desreir, v. a, dechirer quelgu’un & coups 
de verges. 

DEBRUÄDO, A, P. p. de 

Desnuir, v. a. ourler, faire un ourlet; met- 
tre un bord, border. 

DEBRUCÄDO,, A, 9. p. de 

Desrucän, ©. a. coucher sur le ventre. (fig.) 
Courber, abattre, deprimer. 

DERRUCÄR-SE, v. r. s’incliner, se baisser, se 
pencher sur. — s alguem, s’humilier devant 
quelqu’un. 

DesrÜcos, adv. couch& sur le ventre, ä plat 
ventre. 

DEBRÜM, s.m." bordure, ourlet. Galon que 
Fon met au bord des habits, chapeaux, etc. 

DEnÜLHA, 8. f. * battage du bie; depicage. 

DEBULHÄDO, A, p. p. de Debulkär. 

DsBULHADOR , 5. m. batteur en grange. 

DesuLuin,v.a. battr6 le bl6; depiquer. ss. 
V. Desfolhar. 

DesoLHin-se, v.r. — em lagrimas, (fig.) 
pleurer A chaudes larmes. 

DzrsöLHo, 5. m. paille du bilö battu. — de 
porco , intestins de cochon. 

Desuxipo, A,Pp. p. de Debuxdr. 

DesuxAnDOR, A, s. dessinaleur : qui dessine, 

DEBUxXÄNTE, adj. 2 gen. qui dessine : dessi- 
nateur. 

Desuxir, v.a. dessiner : representer par 
dessin. ( Ag.) Crayonner, de&peindre. v.n. Pra- 
tiquer le dessin. Il est aussi reciproque. 

DEBÜXO, s. m. dessin : art de dessiner. *Es- 
quisse, croquis. -—-, representation d’un obje 
au crayon ou & la plume; plan d’un bätiment. 
Dessin d’une &toffe, d’ane broderie. (fig.) "Pein- 
ture,, description faite de vive voix. Kum—, 
c’est une miniature : se dit d’un visage dont 
les traits sont delicats et bien röguliers. Ndo se 
meller em —s, ne point se meier dos choses 
qui ne nous regardent pas, ou qui sont au- 
dessus de nos forces. 

Deca , particule, deca: se Joint aux noms de 
mesures nouvelles, et signilie dix (ois la chose. 

Decana, s. f. decade, dizaine: ne se dit 
guere que d’une histoire dont les livrer sont 
partages en dizaines. —, espace de dix jours. 

+Decanärıo, A, adj. decadaire : de dix 
jours; en dix livres (bistoire) ; de la d&cade. 

Decapencıa, s. f. decadence : declin,, dep6- 
rissement, tendance & la ruine; #tat de Felre 


377 


378 DEG 


qui ylend. Sua foriuna vai em —, sa [orlune 
est sur son penchant. 

+ DescaDenTg , adj. 2 gen. decadent : qui 
tombe en decadence. p. a. de Decair. 

+ Decapi,, s. m. döcadi : dixieme jour de la 
ade, dans lo calendrier röpublicain fran- 


 Drckconp, A,adj. et s.(t. de geom.) deca- 
gone : & dix angles et dix cöl6s. 

Dscacriuu0, 8. m. decagramme : dix gram- 
mes. 

t Dacasv'sıa , s. f. (I de bot.) deoagynie: 
ordre des plantes de&cagynes. 

+ Decacr'no, Aa, adj. (t. de bot.) döcagyne: 
(plante) a dix pistils ou dix stigmateg sessiles. 

Decai00, A, p. 9. de Decair. 

DECATMENTO, s.m.V, Decadencia (1. d’estr.). 


V, Deciinagds. 

Decain (de), v. ». döchoir ; tomber en deca- 
dence. V. Descair. — da causa, (1. de prat.) 
perdre un procds. 

Decanin., „etc. V. Deceir. 

DecaLitao,, s,m. decalitre : mesure de capa- 
cite egale & dix litres. 

DeciL0coO, s. m. de6calogue : les diz com- 
mandements de la loi de Moise, 

DecaLvinpo,A,P.p. de 

DecAaLYär, ©. a. couper le pericräne autour 
du cräne. 

Decausrid, s.m. döcameron : OuYfage Con- 
tenant les evenements de dix jours. 

DECÄMETRO, 3. m. decamöire : mesure de 
lonugueur &gale Adix meires. 

DEcAMPÄDO, A, p. p. d 

DEcANPÄR, v. e äscamper : lever lo camp; 
deloger. 

DECAMPANERTO, 9. m. decampement : Jede 
d’un camp; action de d&camper. 

Decanino, 5. m, decanat : dignits de doyen. 
V. Deddo. 

Decinoria, 5. f. (1. de Bot.) decandrie: 
dixieme classe des vegetaux hermaphrodilies, 
& dix elamines. 

+Decinoxo,, A, adj. (Planta, flor —a, I. de 
bot.) decandre : (plante, sa fleur) A dix eia- 
anines. 

Dacania, s. f. döcanie : corporatiou de dix 
personnes presid6es par un de6can. 

Dscino, s. m. deyen. senieur : le plus an- 
cien d’un corps, suivant Fordre de röseption 
os d’äge. Decan : chel de dix seldats & Rome, 
de dix esclaves & Constautinople, de dix pa- 
reisses ; divisien du aodiague en dixiemes, 

BDecantacä6, 8. f.(t. de okim.) deoantation ı 
aclion de verser doucement une tiqueur en in- 
clinant le vase. 

Decantino, a,p.p. de 

Decantär, v.a. pröner, publier, c&l&brer, 
exalter. ($. de chim.) Decanter : verser, en in- 
clinant doucement le vase, une liqueur qui a 
fait un depöt. 

% Deusritaciö,s. f. decapitalion, 

-DEKANITaR , 9, 8, decapiter, decoller. 


DEG 


+ Dscirouis, 3. f. (t. de geog.) Decaple: 
coniree de la Palestine. 

t Decasteaa, s. [. "döcastöre: dix störes om 
cinq voies de bois, 

DscastiLıo, s. m. decastyle: edifice A dix 
colonnes de face. 

+ Decasv’LLano ‚adj. m. decasyliabe : (vers) 
& dix syllabes. 

Desa voca. 7. Voga. 

* Deczoüns, 5. f. V. Pario. 

Decgınir. V. Deseindr. 

+ Deceunovenär, adj. 2 gen. (1. de chron.) 
de dix-neuf ans (oycle). 

DecEurırÄL, adj. 2 gen. decemriral : 
decemvirs, 

DEcauvıRÄTo ,s. m. d6cemvirat : digufts des 
deöcemvirs ; sa duree. 

DECENVIROS, 8. m- pl. decemvirs : les dix 
magisirats suprömes de Rome, qui forent 
charges de redig er et de decreter les lois des 
douze tables. 

Dectucıa , 3. f. decence, bienstance, hon- 
nötel6 , convenance, modeslie, pudeur. 

DECENDER, etc. V. Descender, etc. 

DecenuiL, dj. 2 gen. decennal ; qui dure 
dix ans, au qui revient lous tes dix ans. 

DECENNÄRIO, A, adj. decennalre : gai pro- 
c&de par dix, 

DECENNIO , a. m. espace de dix ans. 

Deckuna, A, adj. dixiöme. 

DEcENTE, adj. Ya decent, seant, conre- 
nable, convenant ienseant ‚ conforme & la 
decenoe, Juste, honnste. Näo “— a uma dos- 
zella, ce n’ost pas beau & une fille. 


DECENTEMENTE , ade. döcernmen! : avec de- 
conce. 
DEcENTISSINO, A, adj. sup. de Decente. 


Decerino, a» 2-P. de Dexepd r. adj. Demem- 
bre, mutile. ( Ag.) Inhabile, Treliben art 

DECKPAURKTO, s.m. * mutilafion. 

Decerän, 0.6. tronquer, mutiler, d&mem- 
brer. (g.) "Priver de l’exercice d’un membre, 
inhabiliter; öter la foroe, Penergie; couper, 
renverser, abattre. 

Decaa , etc. V. Descor, etc. 

Deceanın , etc. V. Discernir, etc. 

Decertin. V. Contender. 

Decı, particule , deci : se joint aux termes de 
mesures, et signiße la dixieme partie. 

+ Drcıiaea, 4, f. * decigre : dixieme partie 
d’un are. 

DECIDIiDAMENTE, ein Gscidement. 

Decwipo,A,P.P- 

Decipir, v.0. ide, determiner, resoudre, 
Il est aussi reciproque. 

Decirraciö, s. f. * döchiffrement : explica- 
tion , action de dechiffrer. 

Decırripo, A, p.p?. de Decifrer. 

DEGFRADOR ‚2. m. dechiffreur: qui dächiifire, 
qui explique un chiffre, une lettre, un tcrit 
obscur, difficile & lire, etc. 

Decıraan, u”. dechiffrer : expliquer un 
ecrit en chiffres; ( Ag.) ce qui est obscur; lire 
yne 6cpilure diMeile; pendiser une chase 


obseure ; pöndirer, d6oouvrir les inclinations, 
la conduite secrät® de quelqu’un; trouver 16 
mot d’ane dnigm>, le deviner. 

Deacaiumuo,s. m. döcigramme : mesure do 
pesanleur, dixieme partie du gramme. 

Dscuirao , s.m. decilitre : mesure de capa- 
eit#, dixidıme partie du litre. 

Dicıma,s. f. le dixieme. Decime : imp6t, 
eontribution de la dixieme partie des revenus. 
"Dizain: euvrage da po&sie compose& de dix vers. 

Drcsmacäö, 5. f. decimation : action de de- 
cimer (les soldats). 

Decmino, &,P. p. de Decimär. 

Dscuiı, adj. 2 gen. decimal : compose de 
dixiemes, cenliömes, etc.; (fraction, calcal) 
de ces fractions. Qui concerne les dimes. 

Dscamir, v. a. decimer : punir de la mort 
un seidat, un individu sur chaque dizaine 
d’une masse r&putse coupable. V. Dizimar. 

DecimiveL, adj. 2 gen. decimable : sujet 
aus decimes. 

Deciugtao,, s. m. decimölre : mesure de lon- 
gueur, dixieme partie du mötre. 

Decıno,A,adj. ord. dixieme; dix.— primeiro, 
onzieme. — segündo, douziäme. — lerceiro, 
treizidöme. — quarlo, qualorzieme. — quinio, 
quinsidwme. — sezio, seiziöme. — seplimo, dix- 
septieme. — oilavo, dix-huitidme. — nöno, 
dix-neurieme. Em — lugar, dixi&mement. 
Leäo, Carlos, etc.,—, Leon , Charles, etc., dix. 

Dicıuo , s. m. dixieme, dixieme partie. 

+ Deciuo ow Decim, s. m. decime : dixiöme 
pertio du france, deux sous. 

* Decınaka. V. Descingir. 

Decsaö, s. f. decision, resolution; juge- 
ment, arret, Senlauce. 

Decısivamexte,, adv. döcisivement : d’üne 
manisre deoisive. 

Decısivo, A, adj. decisil: qui determine, 
rösout, döcide. Volo —, voix decisive. 

+Deciso, s. m, "decision ; chose decidee, ar- 
rest. 

+ Dscısön1o, A, adj. ( 1. de prat.) decisoire, 
deeisil, qui vide le procs ( serment ). 

+ Decist£aıo, s. m. decistöre : mesure 6gale 
ä la dixieme partie du slere. 

DscLauacäö, s. f. declamation : prononcia- 
tion et action de celui qui döclame; piece d’d- 

ence qui doit etre declamee; action, art 
de declamer ; discours declame; invective 
( contre quelga’un). 

Dacıauino, A, pP. p. de Deelamer. 

DecLautapon, A, s. declamateur : qui de- 
clame ; qui re6eite en public. 

DscLawär, vo. ». declamer : röciter & haute 
voiz,d’an ton oratoire; invectiver, parler avoo 
ehsieuz oonire quelqu’un ou contre queiquo 
ehose. Il est quelquefois aclif dans la premiere 


DeEcLamaTörIamentg, ade. a la maniore des 
Geelamiateurs. 

DecLauatönıo, A, 0dj. döelamatoire : de la 
dbelamation (art); qui ne vonloeme qus des 
Göslamnatiens (Style ) 


DEG 89 


Dscuarackö, a. f. declaralion : antion de 
declarer; acte, discours pour declarer; ma- 
nifestation, &noncs, explication, exposition, 
interpretation. —, (f. de pral.) deposition, 
temoignage; denonciation, publication. 

DECLARÄDAMENTE, adv. clairement, mani- 
festement; ouvertement, sans deguisement. 

DecLarino, A, pP. p. de Declardr. adj. Trop 
franc, tfop sincere, sans deguisement, Amigo 

DECLARADOR, A, 8. et adj. döclgrateur: qui 
declare, proclame. 

DECLARANTE, 5. 2 gen. döclarant: qui de- 
clare. p. a. de 

DecLarir, v. a. declarer, manilester, &non- 
cer, expliquer, #elaircir, exposer, interpreter; 
decouvrir, deceler. —, (1. de prat.) denoncer, 
deferer en. justice. Prononcer distinctement. 
— , nommer publiquement ; denoncer, publier. 
— a guerra, declarer la guerre. — seucoragdo, 
seu peilo, ouvrir son c@ur. — juridicamenie 
uma muiher por aduliera, authentiquer un6 
femme. — por bva pr£sa, declarer (un vais- 
seau) de bonne prise. Chegou 0 — Me (ul... , 
il vint jusqu’& me declarer que... 

DECLARÄR-SE , v. r. se declarer, s’expliquer ; 
se monirer, se manifester; se faire connalire. 
(por, contra) Se declarer pour, contre quel- 
qu’un, un parli, une opinion. (@, com alguem) 
S’ouvrir & queiqu’un. 

DEcLARATIVO, A, adj. deolaratif ; qui de- 
clare; qui sert A öolaireir. 

DECLARATORIO, A, adj. döclaratoire : (aote, 
sentence) par laquelle on declare juridique- 
ment. 

DecLina, s. f. piöee de l’astrolabe quı sert & 
indiquer les degres , slidade. 

Decuinacäö,s. f. declination, deelin, loi- 
gnoment; destour ; pente. (fg.) Döcadence 
tendance & la ruine, & la chute. (4. de gramm.) 
De6clinaison : action, maniöre de decliner les 
noms; (i.d’astr.)distanee d’unastre & !’6quateur. 
(4. de mer.) Derivation : öcart de la route, du 
rivage. — da agülba, declinaison de l’aiguille. 
— das cöres, nuance, degradation des cou- 
leurs. 

DecLinäno,A,p. p- de Declinar. 

DacLınapör, 3. m. declinateur : instrument 
pour determiner la position, la declinatiom 
d'un plan. Celal qei deöcline, qui röcuse. 

DECLINÄnTE, adj. 2 gen. deelinant:: qui de- 
clino; qui n’ost peint dirig6 vers le sud eu un 
autre point cardinal (cadran). 

DecumwÄr, ©. @. (t. de gramm.) decliner: 
faire passer un noma par les cas. —, (f. de prat.) 
ne pas mooewmaltre (une jaridictien, ete.), dri- 
ter ; recuser (un emploi, un conseil). 

Deciınaa (pors), v. w. penehet. ( Ag.) D&- 
eliner, dechoir, pencher vers sa fin. (em) De- 
sentrer, s’abätardir, döcheir. —, (t. d’aslr.) 
s’eloigner du nord, de l’&qualeur. — & föere, 
&tre sur som deschin, en parlant de la flövre. 
Deslinarem as cores, s’Alsiblir, on pariani dos 
couleurs, 


380 DEC 


+DecLmarön, 8. f. (1. de pral.) declina- 
toire : acte par lequel on decline. 

DEcLInATöR1O, A, adj. (1. de pral.) dbelina- 
toire: pour döcliner (exceplion, fin). 

DscLinarörıo, 3. m. (4. de geom.) declina - 
toire : espöce de boussole qui sert A orienter la 
planchette pour lever des plans. 

+DecLumÄveL, adj. 2 gen. (f. de gramm.) 
d6elinable : qui peut @tre de6clind (mot). 

DzcLinıo, s. m. declin : &tat de ce qui de 
cline , penche vers sa fin ; d&cadence. 

+ Dzcuivir, v. n. decliver: pencher, s’abais- 
ser graduellement. 

DecLivg, adj. 2 gen. declive:: qui penche; en 
pente (terrain). 

DecLive, s. m. "Döclivits. "Calade : terrain 
en pente. 

DecLiviäpe, s. f. declivits : situation de ce 
qui est en pente. 

Dzcrivio, s.m. V. Deelividade. 

Decoina, s. f. lessive. V. Conrada. 

Decocciö, s. f. (t. de pharm.) decoclion. 
V. Cocgdö, Cozimento. 

Dscouron, v. a. ($. de chim.) d6composer : 
arer les parties qui composent un Corps. 
BCOMPOR-SE, d. 7. 36 decomposer, 56 dis- 

soudre. 

DecomrosıGAö, 8. f. (8. de chim.) d6oomposi- 
tion : resolution d’un corps dans ses principes; 
action de d6&composer. 

DscouP6stTo, A, P. p. de Deeompor. 

* Dzconsuum. V. Juntaments. 

Dzconaciö, s. f. d6coration,, ornement, em- 
bellissement. 

Decoripo, A, 9. p. de Decorar. 

DeconanoR,, s. m. decorateur. 

DECÖRAMENTE, adv. avec döcorum. V. Deco- 


rosamenis. 

Decoriz, v. a. döcorer, ormer, embellir, pa- 
rer. V. Condecorär. it. Apprendre par o@ur. 

Decöno, s. m. honneur, respect, veneration, 
4gard. Decorum, decence, hbienstance, cir- 
conspection, gravits. *Decence, pudeur, mo- 
destie. Bonneur, estime. Sem — , malhonntte- 
ment. 

Dzcöno, a, adj. V. Decor6so. 

Dzconösautnte, adv. honnttement, decem- 
ment, respectueusement; selon les Cconve- 
nances. 

Decon6s0, A, adj. decent, bienseant, hon- 
nete,, rospectueux ; convenable. 

DECORRER,, ©. %. Courfir, parcourir; doouler; 
echoir. V. Andar, Correr. 

Decoraino, A, pP. p. de Decorrer. 

* Decoaatno, A. V. Decorrido. 

T Dzcosträr, v. a. Öter les croßtes (d’une 
plaie, etc.). 
ı Dncorind, A, p. p. de Decotar. adj. Döcol- 

eilt. 

DecorapoR, s. m. 6lagueur : qui dlague; qui 
‘monde. 

Dzcorän, o.a. &laguer, deimer, &täter, dmon- 
der , tbrancher (un arbre). Döcolleier (une 
robe, etc.). 


‘ DEC 


Decoräa-se, v. r. se decolieler, porter Ye 
sein döcouvert. 

DECcöTE, s. m. dlagage: action d’dlaguer les 
arbres. 

Deckzcıpo. V. Mi 

DECREM£NTO, s. m. decroissement, diminu- 
tion, deöchet, declin. 

Deckzripez. V. Decrepitäde. 

Decazrrracid, s. f. decröpitation : petilie- 
ment, bruit du sel dans le feu, sa calcination ; 
separation subite ei bruyante, avec petille- 
ment, des particules d’un corps , causde par le 
feu. 

DecaerıTipo, A, p. p. de 

Decrerıtän, v. n. (}. de chim.) decrepiter, 
petiller. o. a. Caleiner;; faire secher le sel au 
feu de sorte qu’il ne petille plus. 

Decaerıtär, v. a. rendre decrepit; vieillir. 

Decktrıro, A, adj. decrepit: tres-vieux et 
casse. V. Caduco. 

+ Decazritüne,, s. f. döcrepitude : vieillesse 
extreme et infirme , son effet; etat d’an vieillard 
decrepit. 

DECRESCENTE , ı.m. V. Minguanie. 

Decazscza. V. Minguar. 

DECRESCIMENTO. V. Docremento. 

* Decazracid, s. f. action de deeröter. V. De- 
erdto, Determinapdo. 

Decartinpo, A, p. p. de Deorstar. 

Dacrzrir, s. f. decretale : &pitre, lettre des 
anciens papes pour faire un röglement. Deere- 
tdes , pi. recueil des döcr&tales. 

DecazraLista , s. m. decretaliste : jarilscon- 
sulte expert dans la connaissance des d6ere- 
tales. 

+ DECRETALMENTE , adv. on forme de döcret, 
par deöcret. 

DECRETAR, v. a. decreter, decerner, decider, 
rösoudre, determiner, deliberer. 

Decaerista, 8. m. döcretiste : 
expliquait les decrets de Gratien. 

Dzcat#to, s. m. decret, arröt, arr@t6, ordre, 
ordonnance, decision , determination, rösolu- 
tion. —, constitution d’un pape; recueil de ca- 
nons; volonts de Dieu. — do papa Figilio, 
judicatum solvi. 

DECRETÖRIAMENTE, adv. d’ane maniere de- 
eretoire ; deeisivement, nöcessairement. 

DecazT6RI0, a, adj. (1. de med.) decrötoire : 
eritique, decisif. 

DecöpsıT0, s. m. (1. de mdd.) decubitus : l’ac- 
tion de se coucher, dtat de celui qui est oou- 
che. 

Decuuino, a, adj. (#.’d’ans.) dixitme. Porta 
—& , porie d&cumane : l’une des quatre portes 
du camp romain , ceile pr&s de laquelle &tait Ja 
dixiöme legion, appelte la lögion deeumanıe. 

DecupL.ino,A, 9. p.de 

t DecurLin, o. a. decupler : rendre dix fois 
plus grand. 

Dicurıo, A, adj. d6cuple : dix fois plus 
grand. s. m. —, dix [ois autant. 

Decörıa, 8. f. döcurie : troupe de dix heun- 
mes, de dix soldats romains. Röunion de dix 


canoniste qui 


DED - 


sooliers su environ,, qui röcitent leur legon de 
grammaire & !’un de leurs condisciples. 

t} DascvusıkDo, s. m. Dans les classes de gram- 
maire latine,, chacun des dix 6coliers qui r&ci- 
tent learlecon & un de leurs condisciples. Decu- 
rionst: charge du decurion, sa durde. 

Dscurıäö, s. m. decurion : chef de dix sol- 
dats; &eolier qui en surveille dix autres, qul 
sar fait reciter la lecon. 

+ Dscuaaßntg, adj. 2 gen. (1. de bot.) decur- 
rent : ayant un prolongement en saillie (feuille, 
pötsle). 

+ Decunsiro, a, adj. (1. de bot.) decursif: 

i descend en rampant sur un des cölds de 
l’ovaire (style). 

Dscinso,s.m. cours, &coulement, laps de 
temps; durde. adj. m. (1.de pras.) Echu, arriere. 
Todo o — do anno, tout le long de l’annde. 
No ou pelo — do tempo, dans la suite des 
temps. 

-Devina, 5. f. ce qu’on peut prendre avec un 
doigt d’une chose qui est presque liquide; im- 
pression d’un doigt sur un corps mou. 

DepäL, s. m. d6: instrument, petit oylindre 
creux pour couvrir le doigt et pour coudre. 
-d ; ‚(t. de mar.) ” paumelle de 
voilier. 

+ Deoiızas, adj. f. pl. Folhas— , (t. de bet.) 
dedaltes : (feuilles) Jabyrinthiformes (celles de 
la chicorte, etc.). 

Depautıra, ($. de bot.) V. Digital. 

fDaviızo, A, adj. de Dedale, architeste 
qui construisit le labyrinthe de Cröte (art, fa- 
eulte). 

+Depauıkd, s. m. (1. #hist. nat.) dedalion: 
epervier-vautour d’Egypte et de Syrie. 

Dipzconin. V. Deslustrar, Deshonrar. 

Dankına, s. f. * dolgtier : cylindre creux, de 
peau , etc., qui couvre le doigt. 

Depicaciö, s. f. dedicace : inauguration, 
eonstcralion d’une #glise, d’un temple; füte 
de la dedicace. i4. V. Dedicatoria, p. us. 

DsbıcäAno, A, pP. p. de Dedicar. 

+ Depıcanen, s. m. dedicateur : qui dedie 
un ouvrage. 

$ DaDIcinTe, adj. et s. 2 gen. dedicateur, 
&sdiant: qui dedie, p. a. de 

Denicäx (a), v. a. dedier: consacrer au culte 
divin; meltre sous Finvocation d’un saint (un 
teınple , une eglise) ; adresser un livre par une 
dedicace. Desüiner, sppliquer. 

DspıcÄin-sE (a), 9%. r. se dedier, se vouer, 86 
consacrer. S’appliquer, s’attacher, vaquer, 8’ 
donner, #’oceuper. 

Desicatönıı, s. f. dedicace : &pftre pour d&- 
dier un livre a quelqu’un. 

Dervicnan-se (de), v. r. dedaigner de: ne 
pas vouloir par mepris ; ne pas daigner. 

DeniLnino, A,p.p. de 

Deovıumir, ©. a. pinoer d’un instrument, 


doigter. 

Depiuuo , s.m. dim. de 

DEnO, s. m. doigt : partie longue et mobile 
de ia main ow du pied ; petite mesure d’&pais- 


DEF. 381 


seur d'un pouce, d’un doigt; douzieme parlie 
du diamdtre d’un astre. (ig.) * Adresse , dexte- 
rits. — annular ou medio, doigt annulaire. — 
auricular ou mimimo, doigt auriculaife, petit 
doigt. — pollegar, le pouce. — indice ou mos- 
trador, doigt index. — de mesire, main de 
maltre; ooup de maltre. Levaniar o — para 0 
ar, (fam.) prometire en levant le doigt. Con- 
tar pelos —s , compter sur ses doigts. Conhego- 
0 C0mo 08 meus —s, je le connals comme ma 
poche. Derribar com um — alguem, renver- 
ser quelqu’un da bout du doigt, ötre beaucoup 
plus fort que lul. Mostrar ao —, ou com o—, 
montrer au doigt. O — de Deos, le doigt de 
Dieu ‚son action. Estar dous —s de faser ow 
dizer al cousa, @tre tentö, etre sur le 
point, &tre & deux doligts de dire oa de faire 
une chose. Lamber 08 —s, se l&cher les doigts. 
Os —s das mäos ndo sho iquaes, (fig. Tam.) 
on le dit pour marquer la difförence qu’ıl ya 
entre toutes les classes dans tous les dtals. 
Metter os —ı pelos olhos, (id.) jJeter dela pou- 
dre aux yeux. Pör o—na buces, faire sigue 
quer se taise en placant P’index sur la bouche. 

er sous oinco—ına mdo, valoir autant qu’un 
autre, ne lui c6der en rien. Teer mdos —s para 
organista, (fg. fam.) n’ötre propre & aucune 
chose. —s queimados, (fig.) Il se dit des per- 
sonnes qui ont de la Jalousie mutuellement. 
Fazer locar cousa com 0 — , [aire Wwu- 
cher quelque chose du doigt. 

Denuccäö, s. f. Paction d’inferer, de con- 
clure. Döduction, diminution, soustraction, 
rabais. (£. de mus.)— , suite de notes qui mon- 
tent ou descondent par degres conjoints. 

DepuccionäL,, adj.2gen. Movimento— ‚(I.de 
mus., qui sefait par deduction (mouvemen!). 

Depuzioo, a, p. p. de 

Depvzir (de), v. a. deduire, införer, tirer 
comme consequence. —, rabattre d’unesomme; 
faire soustraction (de); &numerer, narrer en 
detail. — por artigos , (l.de prai.) articuler. 

DenuzIn-SsE, v. r. 56 deduire; naltre. 

*“Detıno. V. Dinkheiro. 

* Dserante. V. Exiraordi . 

*Dexustao. V. Destro ou Dewxtro. 

Deraıcan, etc. V. Desfalcer. 

Devamin,eic. V. Difamar, Infamar. 

+ Derscaciö, 8. f. deföcation : d6puration 
d’un liquide par la chute des föces. 

Darscino, A, 9. p. de 

Darzcir, v. a. defequer : öter les fäces, la 
lie ‚les impuretes d’une liqueur. (Ag.) Purißer, 
&purer. . 

DerscrisiLipiog, s. f. faiblesse, dscourage- 
ment. 

DekrEcTivEL, adj. 2 gen. qui peut manquer, 
qui peut faillir. 

Derescrivo, a, adj. defectueux, imparfait. 
(t. de gram.) Defectif : qui manque de quelque 
chose; qui n’a pas tous ses modes et lemps 
(verbe). 

-Derzcrvöso. V. Defeituoso. 

Dertrro, s. m. döfaut, faute, Imperfeotion ; 


989 DEF 


vice. On le dit au physique et au moral. — p@- 
tente ou de vullo, defaut A vuo d’eil. 

DEFRITUÖSAMENTE , edv. deleclueusement. 

DerEiıtuöso, A, adj. defectueux : quı a des 
defauts; qui n’a pas les qualii&s requlses. 

* f Derenpsoigo, A, adj. quipeut so delen- 
dre. Tenabl!e. V. Defensavel. 

* Derenpzoon. V. Defensor. 

DEFENDENTE, 8. m. souteneur de Ihöse; d&- 
fendeur. 

Dersnp£r, ©. a. defendre, prottger, soule- 
nir, garanür; soulenir une Opimion, un SyS- 
ieme. —, prohiber, interdire. — en justice, 
plaider. — aclo ou conclusdes, soulenir Une 
Hhöse. —0J0g0 ou a mdo, Lenir au jeu, Jonir 

on. 

DerEnder-sE (de, conira), vo. r. se delendre; 
repousser la foroe par la force; soutenir, re- 
pousser une altague; lenir bon ou tenir ferme, 

DEFENDIDO, A, 9. p. de Defender. 

DErENDIMENZO, s.m. V. Defssa, Prohibigäo. 

Deransa, s. f. delense : action de delendre, 
de se delendre.—s , pl. (4. de fort.) delenses : 
ce qui met & caurert les assidgös dans une 
place. —sredondes do cabo, (4. de mer.) cordes 
de delense. 

Deransäd. V, Defensa. 

* Derensir. V. Defender. 

DerensivgL, adj. 2 gen. delendable : qu’og 
peut defendre (place, poste, etc.) ; tenable. 

DEFSSSÄTELMERTE, ade. d’une manidre de- 
fendable. 

Derensiva, 8. f. döfensive : lat de defense. 
Estar, pör-se na—, eire, sa tenir sur la de- 
Sensive, ne faire que se defendre. 

Desensiveu, adj. 2 gen. delensible : qui 
sen a defendre. 

EFENSIYO, A, adj. defenaif; fait de- 
fendre; qui sert ä defendre. BORE 

Derensivo, 5. m. * däfense, garantie , shreis, 
prcservatif. —s. pl. remeödes, topigues eonire 
P’infammation. 

‚Derexsön, a, s. delenseur :qui defend, pro- 
tcge, soultient. 


t Dergnänca, e. f. deläzenoe. V. Contem-' 
placdo. 
Derpadnre, adj. 2 gen. defsrent. Cireulosl 


=s, (8. dasir.) corcles delärenis, se dit dens 
le systäme de Prol&mse des oercles 
tent la planete, et son epicyele. Fasos-—s, 
(t. d’amai) vaissoaux deferenis, de la liqueur 
söminale. 


Dereaıpp, A, pP. p. de 


Bazvsaık, v0... A6förer , donner , ddcerner ;. 
accorder.v.n.—,cöder, condescendre, aoo6der.' 


44. Aborder, ptondre terre. 


* DEFERIR-SE, v.r. se rapporter, Condescen- 
äre. — a alguem, avoir des ögards enrers quel- 
qu’un. 

DarzrivxL, adj. 2 gen. accordable. 


Dertsa, s. f. V. Defensa. Prohibition. * P&- 
tnrage, 


qui por-. 





DEF 


segrairie. —s de cabo, (1. de mar.) defenses de 
cordes, colliers de defense. 

Derzsia, etc. V. Coular, Vedar. 

Dertso, a. V. Vedado , Prohibido. 

Dericıtncıa.V. Falta, Quebra. 

Dericıentg,, adf. 2 gen. defectueux. (f. de 
rilhm.) Deficient, qui surpasse la somme de 
ses parties aliquotes (nombre). 

+Derıcır, s. m. (4. lat.) deßcit : co qui 
mangue.' 

Derinar. V. Definhar. 

Derınnä0o, A, P. p. de Definhar. adj. che- 
U, malingre ; maigre, 

+ DerInHAMENTO, s. m. döperissement (d’en 
animal, d’un srbre). — da ua, la fin du der- 
nier quartier de la lune. 

DEFINHAR, d. a. amaigrir. v. n. et — s0,v.r. 
deperir ; maigrir considerablement. 

Derinigid, s. f. definition :explication claire 
et pr&cise de la nature d’une chose ou plutdt 
de la classification d’une idee , par son genreet 
sa difference ; decision ;röglementd’un coneile. 

Derinino ,p. p. de Definir. 

Derımıpor, s. m. defniteur : litre claustral; 
assistant, conseiller du general, du provincial 
des moines. Membre d’une commission daus 
les anciennes cortös du Portugal. 

Derisin, v. a. definir: marquer, determi- 
ner; decider, statuer; expliquer elairement, 
exactement la natuse, l’essence d’une chose 
ou plutöt sa classification, par son genre et sa 
difference; connaltre , devoiler le caractdre de 
quelqu’un. 

Derınıtivam£nıE, ado. defnitivement. 

Derinıtivo, A, ady. defnitif : qui decide, 
qui juge le fond (arret); sans recours, sans 
appel (jugement). Explicatif, qui conlient ex- 
plicalion. 

Derinito, A, adj. circonscrit, limit. 
EFINITÖRIO, #. m. definitoire : assembiee 
de deäniteurs, lieu oü elle se lient. 

Derirır. V. Desferir ou Dilatar. 

Derıacaackö, 3. [. deflagration : operation 
par laquelle un corps est brül&; combustipn 
avec Dammes. 

DEFLACRÄDO, A, 9. p. de 

DerLacair, v.6. brüler avec des flammes. 

Derıgcuaciö, 8. f. (. de chim.) dellegma- 
tion : action de döllegmer. 

DEFLEGNÄR, v. 6. (id. de chim.) dellegmar : 
Öter la partie aquouse, flegmatique d’un corps. 

Derı£xiö, s. f. dellexion : etat d’un mobile 
detourn6 de sa route naturelle par une cause 
etrangäre, se dit des rayons. 

DerLocıstican. V. Oxygenar. 

DerLoaaciö,s.f. delloration, döpucellement. 

DerLoRÄnO, A, 9. pP. de Deflorar. 

DesLORADOR, 5. wm. celui qui deflore une 


Alle; d&puoeleur, 


DerLonir, vo. a. deflorer : öter la virginits ; 


depuceler. (Ag.) Deleurer: cueillir, extraire iq 
fieur d’une chose. 
pälis, pacage, varenne. V. Cowlada.| DarLivio, s. m. scoulement des caux. — des 


Defense, apologie ; Justilcation, — do concelho, | cabellos, chute des cheveux, 


DEG 
Benrziö, 8. f. gres rbume, Auzion, de- 
Auzion. 


DerL.6ro , 3.0. ’ Buxion , rhume. 

Deyoain0,aA,P.9. de 

Daronir, v. 8. atienter aux droits ou privi- 
V. Detaealer 


Deronmacid, s. f. attöration dans la forme. 
Difoemiıs, enlaiäissement. 

Desonuloo, 8,72.p. de 

Deroxmir,, v. a. d6lormer, Adfigurer, rendre 
difforme; alterer ia forme d’une chose. (Ag.) 
Vieier, alttrer. 

Deroruin-s2, v.r.se deformer, peräre sa 

e. 

+ Deroauirönıo, A, ad. qui d6forme, qui 
rend difforme. 

Davösue , adj. 2 gen. dilforme, ütligurs, 
aid; qui a perdu sa furme. (fig.) Grossier, 
fmeulte. 

Deröasentute, adv. d’une maniere diffor- 
me, desagreabie. 

Deronuipipe, 3. f. difformite, Jaideur, au 
prop. et au fig. 

Drsnaıpär. V. Desfraldär. 

+Derrawdıack6, 3. f. fraude, usurpation ; 

werie. 

Dernaupipo, A,P.p. de Defrauddr. 

Deyaaupanön, 8. m. fraudeur; trormpeur; 
sseroe. 

Derasupautnto, s.m. V. Defraudapäo. 

Drraıvoin, ©. a. frauder ; escrequer;; en- 
lever par fraade. (de) Usurper, frauder, priver, 
[frustrer 


Devaauno,s. m. *fraude, escrogaerie; pr&- 


DeFRORTÄR, 0.9. p. us. Eire vis-A-vis, de- 
meurer en face. 

Deyaönte, ado. devant, vis-&-ris, en face. 

Dernvran. V. Desfrutar. 

Darcuwino, a, p.p. de Defamär. 

DEFUNADOTLRO, 3. m. V. Fumeiro. 

Derunapdaı,s. f. action de parfumer; par- 


Derusin, v.a. enfumer, fumer; parfumer. 
fl est aussi reciprogwe. 

Deruncto, s.m. defant, cadavre; tr&passe. 
Ter cara de —, avoir le visage d’un tr&passe. 

Deruncro , A, adj. defont, mort. ( ig.) On le 
al d’une chose qui a tesse d’ötre co qu'elle 
zit, qui a perdu ses proprietes, etc. (id.) Ou- 
blie, &teint. —de laverna, ivre-mort. Rosto—, 
Visage Adlalt, pie comme la mort. 

* Desunno. V. Debatxo. 

DuczrLia, v. ». @ögnler : Tondre 1a glace, 1a 
weige. (Ag.) V. Desprender, Abrandar. v.n. —, 
sesser d’Etre gele. 

+ Ductıo, 3. m. dägel : refächement, adou- 
eissement de Pair qui fond la glace; fonte des 
neiges, de la glace, par Tadoucissement de 
Fair ou de la chaleur de la terre. 

Deoxnenucid,s. f. ütgendration : action de 
Gsg6nerer; ses ellets ; ötal de ce qui est dege- 
nere 


Percamaivo,A, 9.p. üe Degensrär, 


DEI 883 
Deognerinte, adj. 2 gen. d6genbtant. qui 


j degendre. p. a. de 


zuznan (06), 9. n. O6göndter, Webätar- 
dir; perdre de ses propres qualitös. ( Ag.) =, 
ne pas imiter la vertu,, les bons exeınples de _ 
ses anc£tres; (id.) changer de bien en mal, de 
mal en pis , quelquefois de mal vn moins; se 
dit d’une guerre civile qui s’apalse, d’une ma- 
ladio qui devient moins vielente. —, ne pas se 
soutenir dans le bien. Tl est qguelgnefots actil, 
et signifie causer la degeneration (des plantes, 
des maus, etc.). Degenerow bem do que era, 
1 nen bien dementi de ce qu/il etait autre- 

ois. 

Decıuriciö, s. f. (t.de med.) degiutition : 
action d’avaler. 

Decıutir. V. Engulir. 

DecoLıagid, s. f. decollation,, derapitatien: 
action de couper lecou; martyre de S. Jean; 
fäte en m&moire de ce martyre; tableau qui le 
represente. 

DECOLLADO, A, p. p. de Degollär. 

DECOLLADOR , 8. m. bourreau qui decapite ; 
decolleur ; egorgeur. 

DecoLLidörro, s.m. Echaudeir, taerie. Lieu 
oü l’on egorge ; &echafaud oü l’on doit decapiter 
un noble. 

DEcoLLADÜRA,, 5. f. action de decapiter, d’6- 
gorger ; decollement. 

DecoLLir, v.a. decoller, d&capiter ; &gorger. 
(Ag.) Extirper, deraciner ; detruire. — com 
sangrias ou em sanguwe, affaiblir, &puiser & 
force de saignees. 

De6ruvaci6, 3. f. Aegradation : action de 
dtgrader ; destitution honteuse d’un grade, 
@’'une fonction ; censure, acte qui la prononce. 

Decrapino, A,p.p. de Degradär. 

Drcnadantnto, s.m. V. Degredo. 

Drorapdir, v. a. degrader : demelire d’un 
grade, @’une fonction,, d’un titre de noblesse; 
avec ignominie. (fig.) —, deshonorer, avilir. 
Extler, bannir, Geporter. 

Deonavär-se, v.r. se degrader, se d&sho- 
norer, s’avilir. S’exiler volontairenicnt, renon- 
cerä la patrie. 

Decrino. V. Grädo. 

DEGRADULÄDO,, A, ?.P. de 

Decnapuir , o.a. dögrader. 

Decrio, s. m. degre, marche d’escalier. (fig.) 
Moyen de parvenir & quelque emploi; marche- 
pied. — d’escada de mäo, echelon. 

DECcR8DÄDO. V. Desterrado. 

* DecazpiEs. V. Decreides. 

Deor£po, 3. m. exil, bannissargent, &por- 
talion. 

*Decrtoe. V. Deer£to. 

*Depı, adv. V. D’ahi et AM. 

Desısckncıa, 8. f (1. de dot.) Ashisconce ; 
maniere dont on s’ourre une parlie close. 

* Deuonrir, V. Dissuadir, 

Deicsa , etc. V. Deizc. 

Deicioa ,s. et adf. 2 gen. deicide: celuiqui 
(ve un dieu ; se dit des juifs, de leur visle. 

Danchvıo,, s. m. Aeicide : crime des Julfs en 


384 DEI 


faisant meurir le Christ; action de wer un 


DEIcoL.a , 8. et adj. 2 gen. d6lcole ; qui adore 


un seul dieu. 


Demwäipe, s. f. deite : divinits, dieu , döesse 


de la fable. (Ag.) Beauts, belle femme. 


Deirıcaciö , s. f. deificalion,, apotheose ; 


scäion de deifler. 
Dalrcino , A, P- p. de Deifkcdr. 
DeirncapeR , 3. m, celui qui deifle : deiique, 


qui fait un dieu. 


Deirıcin,, v. a. deifer :ı meltre au rang des 


dieux. 
Dalvıco,, a, adj. divin : qui appartient ä Dieu ; 
deiique. 


Deirösue, adj. 2 gen. qui lient de Dieu : 
divin. 


7 Delrana, s. f. titre de la Vierge, ımöre de 


Dieu. 


Deisuo, s. m. deisme : croyance ä l’existence 


d’un seul dieu sans röv6lation ni culie. 
Delista , 8. 2 gem. deiste : qui reconnalt un 


dieu, rejetie lo culte et la rövelation ; qui re- 


connalt un dieu abstrait, impuissant, inaclif. 


Deıräpa , s. f. "ooucher,, Paction de se cou- 


cher. 

Derrapinuo, A, adj. dim. de Deilado. On le 
dit des petits enfanis, 

Deiıtan0, A, p. p. de 

Derrar, v.a. jeier, lancer ; coucher; verser, 
repandre. Pousser des boutons, des fleurs, en 
parlant d’un arbre, etc. V. Lengor. —, joint ä 
quelques noms, a la signification des verbes 
correspondanis & Cos Doms, ou 
formes. Ex. — maldioöes. V. igoar. 
— sortes. V. Sorteer. —, suivi de la parlicule 
a et d’an verbe signifle quelquelols commen- 
oor. Ex. — a correr, a fugir, elc., Commen- 


cer, ou se mettre A courir, & fuir, etc. ; it. ei 


quelquefois &tre cause. Ex. — e perder,, #tre 
cause de la perie, gäter, etc. — abaizo, por 
lerra ou no chdo, renverser , abattre. — agua 
no mar, (fig.) porter de l’oau ä la rividre, faire 
du bien & un ingrat, & qui n’en a pas besoin. 
— em cÄra ou em rosto, reprocher. — coche, 
librd, prendre un carrosse,, une livrde. — 
bando , publier un ban. — os bofes. ıg.) de- 
sirer, sollieiter uno chose avec ardeur. — espu- 
ma pela bucca,, &cumer de rage.— uma bengäo, 
fsire la oroix, renoncer pour tonjours A une 
chose. — perolas a pörcos,, jeter des perles A 
des pourceaux, parler science devant les igno- 
rants.— raios, comlelhas, foge , (fig.) jeter feu 
et lamme, ötre on colere. — cobras e lagerlus 
pela bocca Alfig. fam.) dire des sottises , parler 
&tort otä travers. — juizios, SOUPgONner. — @ 
conta, caleuler. — a rede, (fig.) lendre ses 
filets. — remendos, ravauder. — sölas, resse- 
meler. — Inmha no fo00, (}g.) jeter de Y’huile 
sur le feu. —o ‚guigner.— pouco a poueo, 
instiller. — mdo d espada, metire l’&pee & la 
main. — d’infusds, inluser.— amäo, se saisir. 
—ü möo a alguma cousa, salsir quelgue chose, 
reitet, prendre Facine, joter,, pousser des 





qui en sont 
Amaldi 


DEI : 


raeines, au Propre et au figurnd. — ums gell 
nka, meltre une poule courer. — ums mäe, 
porter la main & une chose pour l’emp6cher de 
tomber, aider. — um borrdö, (fig-) faire une 
tache A sa röputation. — vöz. reöpandıe un 
bruit. —as culpas a alguem, inceriminer quel- 
qu’un, lui imputer une faute, lui denner le 
tort. — sories , lirer au sort-— före, chasser, 
faire sortir, expulser; jeter ä la rue. — um 
vestido novo, metire un habit neuf.—no leiläo, 
falre une enchäre. — d md parts , prendre en 
mauvaise part, interpröter en mal.— um narıo 
eo mer, mettre A l’oau un vaisseau.—as gaveas 
föra dos cestos, (1. de mer.) jeter debors le fond 
des huniers. — e lencha föra , (id.) mettre la 
chaloupe & la mer. — aqua na bomba, (id.) en- 
grener la pompe.—fOre dos rizes, (id.)larguer 
les ris. — a eana do leme a barlavento ou s 
sofavento, (id.) pousser la barre du gouvernail 
au vent ou sous lo vent. — um navio föra do 
porio, (id.) piloter un vaisseau hors d’un port. 

Deitäin, v. m. monler, s’slever. A 
deitard a despoza ? aA combien s’dlövera la de- 
pense? 

Deirär-sE ,v. r. se coucher, se meiire sur un 
lit ou ailleurs. S’adonner, s’appliquer ä quelque 
chose, se mettre ä l’ouvrage.— a dormir, (Alg.) 
neögliger ses affaires, ne penser & rien. — eos 
mares , (id.) so hasarder & des choses difficiles. 
— 64 bos vide, s’adonner & la faindanlise „ se 
metire & gueuser. — a perder, se gäler, se 
ruiner. — e alguem,, se jeler sur quelgu’un; 
avoir recours & quelqu’un. — aos pes, se jeler 
aux pieds, demander pardon ow une gräce. 
— por ierra , se melire par terre, se proster- 


ner. 

Derxa, s. f. "legs. V. Legado. 

Deıxaciö, 8. f. V. Renuncia, Abdicapdo,, 
Cessäd. Negligence , mollesse , nonchalance, 
indolence. Faiblesse, abattement d’esprit. 

Deiızivo,A, p. p. de Deizdr, adj. mou , 14- 
che , nögligent, paresseux. Nonchalant: qui 
agit lentement et mollement. Abattu, languis- 
sant. 

Dsixir, vo. a. laisser , quitter, abandonner, 
omeltre , passer sous silence. Laisser faire, ne 
pas emp&cher, permeitre. —, delsisser, aban- 
donner. Valoir, proJuire, rendre, rapporter. 
— , confler, recommander. Quitter , lächer, 
laisser aller. Quilter, se desister,; c&der. Nom- 
mer, instituer. —, donner —, quitier, Ceeser, 
en parlant de la fövre, etc. Laisser un ordre, 
une instruclion, recommander de faire une 
ohose. Laisser en paix, ne point inquidter. —, 
l&guer par testament. Renoncer & l’amiti6 de 
quelgu’un. Differer, ajourner. — ds boas noites 
ou ds escuras,, laisser sans lumidre, dans l’abe- 
eurits. (fig.) Jouer quelqu’un , iromper son 
attente. — afrdz, laisser en arridre. - com @ 
bocca aberia (Ag. fam.) laisser dans l’dtonne- 
ment, dans l’admiration. — com um palmo de 
naris, (fig.) laisser avec un pied de nez, laisser 
bonteux, oonfus, trompe dans ses esperancen, 
— dity, vscrito , etc., laisser de vivo volx eu par 


DER 


errit. — 0 sdeulo, enirer en religion. — no lin- 
teiro, laisser au bout de la plume : omeltre., 
— em hrranga, laisser en hörilage. — memoria 
ou fams, transmeltre son nom & la postörite, 
‚- para amanhä ou para ouiro die , remetire 
au iendemain, A un autre jour. — a0 dempo, 
Jaisser agir je temps. Ndo — ‚suivre 
qeelqu’ua partout, ne pas ’abandonner d’un 
pas. Ndo— prego nom esltaca em parede, faire 
maison nelte, emporter tout. Ndo — de mdo um 
Regetio, poursuivre une affaire avec chaleur, 
ne pas la perdre de vue. — de lade, ometire, 
mettre de eötd. — algusm ne rus, (fig. fam.) 
lsisser sur le pav&. — seguro, rassurer. — 0 
caminho direito, detourner, quitter le droit 
themin. — morte no ehdo, faire mordre la 
poussiöre. — cair algume cousa na conver- 
sapde , (Ag. foms.) (aire entendre quelque chose 
dens la conversation sans avoir Pair de le vou- 
leir. Ndo nos deizeis cair sm loniacdo, ne nous 
induisez point en tentation. O’ra deize-me, 
(fam.) laisses-mei tranquille. 

Derzir (de), v.». s’emp6cher de, nögliger 
de, omeitre de, cassor de. 

Demxia-ez, v.r. se negliger, n’avoir aucun 
sein de soi-meme, de ses Intäreis. (de) Cesser 
la poarsuite d’une affaire, so dösister d’un pro- 
jet; sabstenir de ; renoncer &. Se laisser ; con- 
seatir d.—- ao arbitrio da forthma, s’abandon- 
ner, perdre courage, ne rien lentor pour Be 
iirer @embarras. — dizer, laisser öchapper un 
mei par migardeo. — em mdos d’ouiro, se miel- 
tre entre les mains de quelqu’un,s’abandenner 
4 sa eondzite. — ir, s’abandonner, so laisser 
aller. — ssier, rester tranquille. — levar, se 
laisser entrainer, sulvre le torrent. — rogar, se 
faire prior. — vencer, so laisser vaincre , odder 
& la velonts d’autrui. — ver, se montrer, se 
isisser volr. — de conios, d’istorias, de ro- 
deiss, (Ag. fam.) aller droit au fait. — levar da 
«kgria, da colera, se livrer ä la joie, A la co- 
lie. — govsrnar, ebeir, cöder, plier. Deize-se 
diese, rononcez-y, n’y ponses pas. 

Dusananrıa. V. Desjarrotdr. 


Dastegiö, 5. f. (1. de mid.) däjection ; selle. 


Dasmıuän. V. Desjejudr. 

Dawaciö, s. f. delaton : denoncsation , 80- 
eusallon socröle. 

*Dauarpän, 9.6. döfigurer, mutiler la figure 
de queigu’un. V. Aleijar. 

Deusuzän-ag, 9. r. V. Lamber-se. (fig.) Se 
jour d’aveir &chapps A quelque danger; se 
couienter de sel-mäme, monirer de ’amour- 
Propte; se pavaner. 

„A, 9.9. de Delamber-se. adj. 
Homem —, homme 6tudiö, maniere. Mulker 
—&, bignenle. Pinturo —&, peinture löch6e. 
0.V. 0. 

Darapımackd, ete. V. Dilapidapdo. 

+ Dauasouas, s. m. (1. de mus.) rö : note de 
Musiqus, la deuxiöme de la gamıme d’ut. 

Deuarino,A,9.p. de 

Dasaris, 9, 6. dönoncer, accuser Booräto- 


PORT-FR, 


.. DE 985 


DelLaväver, adj. 2 gen. qui peat, qal deit 
@tre denonee. 

DeLaron, A, s. delateur, dönonolateur, ac- 
eusaleur secret. . 

DELCREDERE. V. Credeore. 

* DaLXcro, 3. m. ohoix, elite ‚irlage. 

DeLecaciö, s. f. delegation : action de de 
ieguer; commission pour comnaltre, juger, 
agir au nom de; transport d’une somme pour 
acquitter une delte. 

DeLzcino, a, 9. p. de Deiegär. s. m. dsle- 
gue& : depute ; porteur d’une delögation. . 

Deızaintz, 9. a. de Deieger. Doltguant, 
qui dölögue. s. m. Commettant. 

DaLzcir, v. a. deieguer : döpuler, com- 
meitre, envoyer quelgu’un avec uno delöga- 
tion , avee pauvolr d’agir, de juger, etc. 

.T Daızearäaıo, a, adj. dölögataire : & qui 
on deöldögue une chose, porteur d’uns döldga- 
on. 

Deızcarörıo, a, adj. dslögateire : conte- 
nant delögation. 

Dausırackö, s. f. delectalion : plaisir qu’on 
savoure, qu’on goüte avec reßlexion; sonsation 

io prolongee. 

DeLeitipo, A, p. p. de Deleitar. 

DELEITANENTO, s. we. V. Delsitagdo. 

DELsızinte, adj. delecient, qui delecte, 
p. 0.de 

Deugıräa, v. @. delecter : röjoulr, causer un 
sentiment döleetable, du plaisir. 

DELEITÄR-SE (com, em), v.r. se deloeter s 
prendre beaucoup de plaisir ä... —de si sesmo, 
&tse content de soi-meme. 

DELEITÄVEL,, adj. 2 gen. delectable : irds- 
sgreable, qui plalt; qui donne du plaisir. 

+ DELEITÄVELMENTE, adv. avec delectalion. 

DeL£iTE, s. m. delice, douceur, plaisir, vo- 
lupıe. Plaisir des sens. 

DELEITÖSAMENTE , ade. d’une maniöre dölec- 
table; delicieusement,, avec delices. 

DELEITOSISSIMO, A , adj. sup. de 

DaLxıröso, A, adj. dölicieux, agreable. 

Dsıgıxacäö, s. f. nonchalance; abandon; 
indifförence , insouslance. 

DELEIXÄDANENTE, adv. nonchalamment, sans 
souci; avec indifförence. 

DeLeıxino, A, p. p. de Deleixar. 

Dergıxamtnto, s. m. V. Delsizapfo. 

Deızıxia,v.a. n’avoir pas sein d’une ohose, 
Pabandonner, no pas s’en 00euper. 

DaLEIZXAR-SB, v0. T. so wigliger, n’avols aucun 
soin de soi-meme, de ses affaires; areir de 
lindifference pour; #ire [ainsant, insouciant. 

DsL81z0, s. m. " nomchslance, mollesse, In- 
soucianoe. 

DELET£RE, adj.2 gen. ou DELETRMIO „A ‚adj. 
deiötöre : qui cause la mort. 

Dauerazin. V. Soleirdr. 

+ Daıkver, adj. 2 gen. effacable : qui peut 
ötre effack. , , 

Deırıco ow Deırmico, A, adj. delphique; 
delphien. 

Dsırin ow DELFBIN, 3. m. dauphin : mam- 

25 





886 DEL DE, 


miföre, oMask, Möche de mas; Als atnd de rol | tihle ; dificlie & eantenter; serapulgux. Beau, 
de France; constellation bore£ale, bien fait, mignon. 

+ Dausınino, 5. u. (1. da gdog.) Dauphind: | Dasion, s fı ° dölice, plaisir, volupi. 
ancienne province de France. E’ ums ,c’osh um dalice. —, pl. delices, f. 
Dawcagan. V. Adeigaper. objei de P’amour ai cause du benheur publie. 

DELCABSMaNTE, adv. delicatement. V. T? Duuscian=sk, eis. V. Delsitar-@ , elc- 
nuemense. Deuictösamänte, adv, delieieusement : a6 
Dascantza , s. f. Wnuite. Subtilits, inesse, 


delices, d’una manidre deliciouse, 
(Ag.) V. Agudesa, sublilese. — de vor, graüi- DELICIOSISSIMO , A, adj. sup. de 
lite, 


Deuicıdsa, A, adj. deligienz ; exirtmmemment 

. Dezncanissımo, a, adj. sup. de Deigado. agröable ; volupimonz , qui aime les lioes. 
DaLcantO ow Deinabinno, A, adj. dim. de HDauce, a, adj..(i. de mees.) de Dölos, d4- 
Daxeino ,A,gdj. mince, suhtil , tenu; debie, | polton. 5 ZZ 

transparent; maigte. Peu, petit, modique, Desuicro, 9. m. dejik: faule, action oospable 

esurt „ löger. (49.) Pin, subüil, ingenieax. | que punissent les lois, difere du erime qui est 

Maigro, Iöger, en parlani d’pn terrain. Dellcat, | beauooup plus graue. — nolaria, dalit comzu 

en parlamt.d’en meis. Fiar — , donner avoe . 


de tout le monde, - 
menis; examiner scrupuleasement. Dariso, A,p. 2.deBelir. 
DaLoinos,s.w. pl. (1. de mar.) fagons d’un | Dermzagid,s.f delinsslien ı reprösantalien 
bätiment. 


au frait; dossin area des traits, des Mgnesi 
Burcız ,s. f. (8. de ınyth. or de pods.) la lune. | öbauche, esquisse. 
+ Deus, s. f. pl, deliennes : fötes en !’hom | DELINEiDO, A, p. p. de Delinser. 
neurd’Apollon. DuunEAUOn, 8.0. dessinaleur ; prejeleer. 
Daunmioo, A,p.p. de Deliber. DELINEAMENTO, 8. m. V. Delinsapdo. 
DELIBAMENTO, 3. ım. * delibation : aolien de| Dexınzan, v.a.dessiner, osquissen, dbes- 
goüter. re (fig.) Tracet, deerire m 
+ DELIBAR , 9. a. goüter. pro, . “ 
Daumenacid, s. f. deliberation, eonsufte- | DeLmzarivo, A, adj: qui tbaushe. 
tion ; discussion entre plusieurs personnes | PzLmquänts, adj. ot 6. 2 gen. dölingmande 
'pour prendre une re&solation, pour deoider si | qui a eommis un del. 
’on prendra tel ou tel parti; resolalion; acte | DsLinauino,p.P. de 
‘qui la contient. . 
- DELBERÄDIMENTE, ade. avec Asliberation, 
de propos deliber6, de dessein premedite ; d&- 
tiber&ment, hardiment, resolument. 
Deurserino, aA, p. pP. de Deliberar. adj. de- 
Niber6; ferme, r&solu, decide; entreprenant, 
hardi. Bem ou mal —, bien ou mal arise. 
DELIBERÄNTE, adj. et s. 2 gen. dölibörant : 
Qui defibere. 
DeLiserän, v. a. deliberer, examimer, mettre 
en deliberation ; r&soudre, determiner.— sobre, 
.v.8:—, comsulter en sol-meme ou arec les 
autres (sur une affaire). 
„ DEIIBERAR-SE (0), v.r. resoudre, se detet- 
miner; se decider. £tre delibere,, r&solu. nor 
DELIBERATIVO, A, adj. deliberatif, avec les . er 
memes aeceptions dans les deux langues. fondre en attirant ’humidite.- n 
. Daufa, v. 4. diisyer, Adtremperj'Nquäßer. 
Dasımaaciö,s. f. V. Lioramenio. en; . . 
V. Dilwir. Effacer, faie& dißpataltse, almlam 
DeLicivantera, ade. delicalement : avec Drumackd, 9. f. el Durtuanfante f6. 8% v. 
deiisatsese ; mignonnesaent, mignardement ; | Delteks‘. BE vaııynea 
ie pazı, so. f. dölieatemse ; finewses; sub- ee Sara, f te. 
| A ‚ef. 186 ; ; DELIRÄNTE, adj..2 gen. gui' 
ulis, dbusenr, suaviäb; adresse; » | (R9.) Int @itneer, de Join, etc. Ertrardgint, 
nönehalance, indolence;; sensibilits emeesulvs; | singufiet. Ba Se Z > 
weibeopitind., Detimär, v. m delirer: ötre ou’ sunnfer em 
delire. (Ag.) Extravaguer, Hörer, udani, Biltre 
17 campagne. . . PX. ı 5 E06) 
Ditind, 4. . delire : Sgareuindar'Kesprit 
oausd‘pat ber (Aa: ran an gunene: 
exiravagance, , reüelage.. 0” 
SEND, Rt Bir, Geh nahe Ic 
delige 






























Deumguin, an. dölinquer, felllär; aumite 
veniraäfabii. ° 

DerLıo, adj. m. de Yile de Dilon, dpihtt 
d’Apollon: [| . 

Deumtti00,4,9.9.de - ' 

Deuigein, v.0. (1: de chim.) fi u6ßles : fon» 
dre, renäre IkquNde. 3} es yemwl 

Derigunsckncha , s. f. (8: de chin 
cenee : qualitt de ce qui it deligüemiand: 

DELIQURBCENTE ‚ al}. 7 gem. (dı\de ahdur.) db 
Hquescent ı se dit d’uale 
de pomper I’beräldite.de air, sr de"se > 


‘v 


Deuiomd, s. in. * defalidnce ‚Taiblemwe, ür- 


D£Licapissımo, A, adj. sup. de 

Deuicäno ‚A, adj. deicat, dölicieux, exquis, 
agresble au goüt. —, qui juge finement de ce 
qui regarde les sens ou l’esprit. —, delie, fin, 
tdnu; löger, aöroht. —, le, dangereus; 
faible; doux, tendre; &pineux, subtil, Ings- 
nieux; sonsible; doulftet, efömind; suscop-' 


DEM 


Dem, V. Jnärepido. 

Dsurzschncia, 3 f. (4. de med.) delites 
eeoce:reflux d’humeurs morbiliques qui fait 
disparelire une Lameur. 

Dauno, V. Delicto, 

"Deuvnagon „s. f. delivrance, affranchisse- 
net, 

* DeLıvnamänto , 3. m. dälivrance. 

° DELITRAR „ ©. 9. dölivzer, affrancbir. 

"DELITRAR-SE, 9.7. accoucher; jeter Far- 
niere-faix. 

DrLewar. V. Derrsar. 

Deutsch, a. f. ° delai, remise, lenleur, Te- 
tar dement. 

Deossis0 , A, 2. p. de Delongar. 

Dswoucapon, 5. m. colui qui allonge, qui 
setarde. 

Drioscautmto, s. m. V. Delongs. 

DaLoncha, 9. a. allonger, prolonger,retarden, 

*Disonco „s.m. V. Delonge. 

Diırsce, a, adj. Delpbique : de Delphes. 

+ Deırmissun.ss, 8. f. pl. (1. d’hist. nat.) dau- 
phinules,, genre de mollusques gasteropodes. 

Deirösme ou DELZOINER, 5. m. (Il. d’anaf.) 
deitside : usısche qui fait lover le bras. adj. 2 
gen. —, quia la forme d’un delta. (1. de bot.) 
—, en losange, & pointe prolonge£e (feuille). 

+DeıLrömss, s.m. pl. (1. d’hist. nat.) del- 
twides : l&pidopteres , phalönes pyrales (& ailes 
en ferıme de delta). 

Deuöpao, s. m. autel, temple d’idole o% 
Fidole elle-meme,. 

*Dawusig. V. Quebranlar, Illudir. 

* Deiuskd. V. Zllusäo, 

Deıcson. V. Illusor, Enganador. 

Deusro ,s. m. V. Infusäo.. 

Dautnio. V. Diluvso. 

TDemicocia ,s. f. demagogie: faction popu- 
lsire; ambitien d’y dominer. 

tDenscönco, A, adj. dämagogique : qui 
Gent de la demagogie ; Aominalipn du peupie 
et de ses Batteurs. 

+ Dumacheo , s. m. demagogue ı chef, mem- 
bred’une lackon populaire. —s , pl. denago- 
gues, partisans de la dömagogie, courlisans du 
panpie. 

Daukss, adv. de Irop; d’ailleurs, en oulre. 
Per — ‚vainement, inulilement ; par pure for- 
malt. V. Mdis. Fazer es cousas por —, faire 
les choses par maniere d’acquit. 

Doulapa, s, f. "procds, action, damande en 
justce; sollicitation, pelition, supplication ; 
regatte, muppligue; recherche, Perquisition. 
* Dimäl6; altercalion. Por —, (1. de prat.) ao- 

‚intenler une aclion en justice contre 
queisu'un. Kal mais uma und composigdö que 
ws bie —,, un mauvais accommodement vaut 
mies qu'un bom procäs. 

Dayan»i20, A,p. p. de Demandar. 

Druanpanon, z, m. demandeur : qui de- 
mande on justipe ;qgpıi demande souyenl, (anl.) 


Demasn Aurz 9.0. de Demandar, adj.2 gen. 
Demandanı ı gi demande ; demiaudenr. 


387 


a 


DEM 


Deuanpid,. V. Demandisia. 

DEwAnDAR, u. a. demander en Justice ; pidi- 
der, etre en procds; —, exiger; ayoir besoln 
de; se diriger &. —, ihlerroger, dueslionner. 
(ant.) Queter. u. 

DEMANDISTA, 3. m. chicäheur, plaldeyr: qui 


‚j aime les proc&s. 


Dewancagäö, 8. (- Aemarcation : Ifgrie sbr- 
vant de limite; rögfement de Iimiteg. 

+ DEmARCADAMENTE, adv. saldtı Id demat- 
calion, en 

Desancino, A, p. p. de Demarkar. 

DEMARCADOR ‚5. m. celyi qui etablit ane lighe 
de d&marcation. 

DesarcirR,v. a. faire la d&marcation, regler 
les limites. — 0 berreno, marquer un camp. 

DsuaAsia, 4. [. *Exces, superfluite; reste, 
exc&dant de compte. —, desordre, enormile. 
— ‚debauche, dereglement. Audace,, temerite. 
Em —, adv. trop, avec excäs. Adianlar-se em 
—, aller trop avant. “ 

DEMASIÄDAMENTE, ade. trop, avec exchk, 
excessivemenk Bu 

Deuasıinas, s. f. pl. (1. de jedjntises, fes 
joueurs qui ne sont pas assis’A la table. . 

DemasıÄDO, A, adj. excessif, trop, superflä ; 
inutile; immodere, outre. Fazer — aprego das 
disputas, donner irop d’impaxtance auf. dik- 
putes. nn un 

DemasıÄno, adv. trop, excessiwement. Adiah- 
tar — as cousas, pqussof le4 aflaires irop 
avant. . 

DemasıÄR-sE (em), v. r. oufre-passer, &lte 
immodere; ne garder aucune mesure ; s’eXe£- 
der; 2tre insolent, impertinent, hardl, auda- 
cieux. — em vinho, boire lzop. 

DeusEino, A, p. p. de 

" DEMEAR 0% DEMEIAR , 0. a. diviser par mol- 
ti&; occuper fa moitie; &tre au ınilieu de sa 
carriere, & moilie de sa vie. 

DEussca, s, f. demence, folie, allönation 
d’esprit; passion violente. 

DEMENTÄDO, A, P. p. de 

DeEuEnTÄR, v. 8. faire perdrö le jugemtent, 
faire devenir,-rendre fqu. 

Dxueate, adj. 2 gen. fou: qui est en de» 
mence ; insense. 

* DEMENTAR, adv. tandis que. 

Den£rıto, s. m. demerite, indignite. 

Deuicöra, 5. f. (l. de fort.) demi gorgd: 
prolongement de > coyrtine. 

Desunufe , elc. V. Diminuir, etc. 

Daussäö,s. f. demigsion : Pacte par leqdel 
on se dömet d’une thärge, etc. Action de cqn- 
gedier (des traupes, eic.), d’exonerer d’üthe 
charge, etc. — do animo. v. Abatimento. 

+ Dzussionärıo, A, adj. demissionnäfre, 
qui se demet d’un emploi. , 

Deuisso, a, adj. balss@, inclind, abatil. 

Demissörıa. V. Dimissoria. 

DEWITTENTE, p. a. de Demilttir. Dörmettant: 
qui se demet; demissionnaire. 

DEMITTIDO,A,P.p. de 

DesiTtTir, v. a, renoncer, abdiyuer, se de- 


’ 





886 DEL 


milörg, oMasd, Asche de map; file eine de vol 
de France; constellalion boreale, 
DaussnÄno , 8. m. (fr da g6og.) Dauphine : 
ancienne province de France. 
Daraus. V. 4 
DELGARSNRNTE, ade. dölioatement. v. T 


Dascantzı, 5. f. tönuile. Suhbtilite, inesse. 
&A4.) V. Agudese, sublileze. — da vos, graßni- 


N eroseisswo, a,0dj/. sup. de Deigado. 

DaLcanero eu Driaaninno, A, adj. dam. de 

Daxaino , A, dj. mince, suhtil , tEnu; delie, 
transparent; maigre. Peu, petit, modique, 
esurt, iöger. (fg.) Pin, subtil, ingenieex. 
Maigse, Iöger, en parlant «'pn terraim. Dellcat, 
en parlamt.d’un meis. Fiar — , donner avos 
pereimenie; examiner scrupuleusement. 

DaLoises,s. m. pl. (1. de mar.) fagons d’un 
batiment. 

Burı2ı, 0. f. (t. de myik. et do pods.) la lune. 

+ DeLias, a. f. pl, deliennes : fötes on !’hom- 
weur d’Apollon. 

Dsunivo, A, p.p. de Deliber. 

DELIBAMENTO, s. m. " delibation ı astion de 
gotter. 

+ Daursan,, o. @. goüler. 

Daumznaciö, s. f. deliberation, oonsete- 
tion ; discussion entre plusieurs personnes 
per prendre une r&solution, pour desider si 
on prendra tel ou tel parti; r&solution; acte 
qui la oontient. 

DeELImeriDanenTE, ado. avec detiberation, 
de propos delibere, de dessein premedite ; de- 
ti ent, bardiment, resolument. 

Deurserino ‚A,p.Pp. de Deiiberer. adj. ds- 
liber6 ; forme, resolu, decide; entreprenent, 
ven. . Bem on mal) bien ou mal avise. 

RLIBERÄNTE "et s.2 döliberant:: 
qui delibere. N. an 

DaLıszrin, v. s.dellberer, examiner, mettre 
en deliberation; ;r&soudre, determiner. — sobre, 
r.2.-, eomsulter en sol-meme ou atec les 
'sutres (sur une affaire). 


„ RrLımEnansE (a), vo. r. resoudre, se deter- 
niner; se döcider. fıre delibere, rösolu. 


Deisunarivo, A, adj. deliberauif, avec les | F@ 


memes asceplions dans les deux langues. 
Dasspaackö,s. f. V. Livremenio. 
Deuichpausen, ade. dtlicatement : avec 
delicntsese ; mignomnement, mignerdoment ; 
inginieusement. 
Derıcabüza, 8. 7 del de6iientesse ; inewus; sub- 
ulirs, deusenr, saarist; adresse; melleme, 
nonchalance, indolence; sensibilit6 eusessire; 


Däuicabissımo, ı, ad). sup. de 

Deuscino ,A, adj. "Adlkeat, dölicieux, exquis, 
agreabie au gem. — ‚qui juge Anement de ce 
qui regarde les sens ou l’esprit. —, detie, fin, 
lenu; leger, adrolt. —, difficile, "dangereux; 
faible; daux, tendre; &pineux, subtil, inge- 
nieux; sensibte; douiftet, oftıin etmine; Puscop- 


lüble ; dificile A oonienier; sctapuleuz. Beau, 
bien fait, mignon. 

Dasica, s f. ° dölice, plaisir, voluptis. 
E’ ums ,te’esi un dalice. —, pl. delices, f: 
objet de ’amour at cause du benheur public. 

Dauscian«seE , eie. V. Deleilar-e , ele- 

DaLiciösamtknte,, adv, dölicieusement : avo6 
delices, d’une manicre delioieuse. 

DELICIOSISSINO , A , adj. sup. de 

Daucıöao, a, adj. üdlicienz ; axirömement 
agröable ; volupiacuz, qui aime los dölies. 

F Dane, a ‚adj. (1. de meds.) de Dalos, d’A- 


po 

Dsuicro,, s. m. delis : faute, action ooupabie 
que punissest les loie, diföre du erime qui est 
beauooup plus grare. — nolorio, aslis pAnE 
de tout lo monde: 

Darin, A, p. 2. de Delir. . 

Drımzacid, s.f delinsallen ı roprösamtalion 
su trait; dossin aveo des traits, des Ngnes; 
6bauche , esquisse. 

DELINEÄDO, A, 9. p. da Delinser. 

DaLInEAnOR , 8. m. dessinaleur ; prejeieuf. 

DELINEAu£RTO, 8. 0. V. Delinsagds. 

DaLinzan, ©. a. demimer, esgqırisser, dhau- 
cher; tracer. (Ag.) Tracet, dierive on astail; 


projetet. 

Deuımearivo, A, adj. qui sbausbe. 

Deumgvenra, adj. et s. 2 gen. döllnquami« 
qui a epommis un ge 

Deuımgtiso,, p.p. de 

Deımauin, an. oelinquer, Islllir; eunäre 
vonie a toi. " 

DeLıo, aß. m. ‘“ ?ile de Diles, spiiiadte 
d’Apollen. 

Deumwvino, A, p. p. de 

Deugvia, v. .. a ein.) Hauer : fen» 


dre, rendre Iiquide. #} ost uasıi r “ 
Derıgunschncia, uf. (de öliyasn> 
cenee : qualith de ce qui Say deiigäeaanin 
Deuiguzsckrt,, af. 7 gen. (6. ds ohdun.) > 
Hqueseent : se dit d'une vuhsmate SBpoopLihle 
de pomper !'bursidite.da Tait, oo ” ‚gib 
fier. 


DeLiourd , s. m. * döfelildnoe ‚ Taibleune, Ors- 
nonissement, pämolsen. (4. de eRdım.) Dali- 
um. Coir m —, wmber @n- Uellgohum.i se 
fondre en attirant I’homidite..  ... 

Daıle , v. a. döläyer, deireimper) Kammäller. 
V. Dikuir. Effacer, faire diöpstalse , Andi. 

Drunacid, 8. f. « DutnaMemte ; 0. mi V. 


Deumise, &, p. 9.40 Deiirer. “ 

DaLımänte, .2 gen. Glireut, ai Allee. 
(Ag.) Ivre „de Jo, elc, at, 
singufier. ._ 


Deimir, u. ®& , deiner: :&tte ou’ Wünber en 
delire. (Ag.) Extravaguer, wrer, reist, Bsltre 
la campagnei se... 

Dirinsd, 7. I. delire : Sgareniiih 'Mesprit 
eauss’dar ustedie; (Ag.) our Seh -publune; 
extravagance, növerid, reäetagb.- 
le, a, a0: Alien, Qu} nase ie 


DEM 


Ders. V. Intrepido. 

Deumseschucia, 8. f. (}. de med.) delites 
ceuce : reliux d’humeurs morbiliques qui fait 
disperaltze une tumeur. 

Dauiro. V. Deiicto, 

° DeLıvnagon ‚s. f. delivrance, affranchisse- 
meat, 

* DELIVRAMENTO, 8. m. dölivrance, 

* DELITRAR „9, 8, dölivrer, affranchir. 

* DELIVRAR-SE, 9. r. accoucher; jeter Yar- 
riere-faix. 

Daxeunaz, V. Derrser. 

Darsuch,s. f. ” delai, remise, lenleur, tTe- 
tar dement. 

Desonsin0, A, 2. p.de Delongar. 
Dazoucsnön, 8. m. celui qui allonge, qui 
setarde. 

DzLoncautuTO, s. m. V. Delonge. 

DeLoncäa,v. a. allonger, prolonger,retarder. 

° Dgı0060 „s.. V. De 

Deıruıco, a, adj. Delphique : de Delphes. 

+ Deirminunse, e. f. pl. (8. d’hist. nat.) dau- 
pbinules,, genre de mollusques gasteropodes. 

DeLröıpde ou DELTOIDES, 5. m. (If. d’anat.) 
deltside : mnsche qui fait lover le bras. adj. 2 
gen. —, qui ala forme d’un delta. (1. de bei.) 
— ‚ en losange, & pointe prolongee (feuille). 

+ Deırössss, s.m. pl. (4. d’hist. nal.) del- 
toides : l&pidoptäres, phalönes pyrales (A ailes 
en ferme de delta). 

DaLts20, s. m. autel, temple d’idole ow 
Fidole elle-meme, 

* Daıv»in. V. Quebranter, Illudir. 

" Derushd. V. Illusdo, 

Deıcson. V. Illusor, Enganador. 

Dsuöro „es. m. V. Infusdo. 

Daxrsvno. V. Dilunso. 

+DewacociA ,s. f. demagogie : faclion popu- 
laire; amhilion d’y domiiner. 

+ Deruasöcıco, A, adj. d&magogique : qui 
tens de la demagogie ; domination du peupie 
ei de ses Üatieurs. 

+ DERAC060 , ». m. demagogue » chef, mem- 
bre d’une laclon populaire. —s, pl. denago- 
gues, partisans de la dEmagogie, courlisans du 


ponpie. 

Damiıs, ade. de trop; d’ailleurs, en outre. 
Por —, vainemen!t, inulilemen!;; par pure for- 
malite. V. Mdis. Fazer es cousas por — , laire 
les choses par maniere d’acquit. 

Daminpa, s, f. "procds , aolion,, demande en 
justice; sollicitation, petition, supplication ; 
reguöte, suppligue; recherche, perquisiliou. 
° Demel6 ; altercation. Por —, (4. de prat.) ac- 
tianmer, intenter une Aclion en juslice contre 
queigu’un. Val mais uma und compasirdö que 
uma bis —, un mauvais accommodemen! vdut 
mies qgu’un bom procds. 

DayausApQ, A,7. p. de Demandar. 

Dewannanon, s, m. demandeur : qui de- 
Pure om Junlipo qui demande souven!, (antl.) 


ur. 
Dananpäurz,p. a. de Demandar. adj.2 gen. 
Demandant » qui damande; demiandeur. 


DEM 


Dewanpid. V. Demandista. 

DEWANDAR, vo. a. demander en justiee ; plai- 
der, etre en procds; —, exiger; ayoir besoln 
de; se diriger &. —, inlerroger, ducstionner. 
(ant.) Queter. j „ 

DEMANDISTA, s. m, chicäneur, plaldeur: qui 


387 


.| aime les procds. 


Dewancacdd, 5. (. demarcation :Ifgne ser- 
vant de limite; röglement de limites. 

+ DemancänamenTE, ade. seloh 1X demat- 
calion. 

Desurcino, A,p. p. de Demartar. 

DemanrcanöR ‚s. m. celui qui etablit une lighe 
de demarcation. 

Dewarcir,v. a. faire la demarcation,, rögler 
les limites. — 0 derreno, marquer un camp. 

Deuasia, &. f. "Exces, superfluit£; reste, 
eıc&dant de compte. —, desordre, enormile. 
— ,debauche, dereglement. Audace, temerite. 
Em —, adv. trop, avec excäs. Adianlar-se em 
—, aller trop avant, " 

DENASIÄDAMENTE, adv. trop, avec 'exckk, 
excessivement. en 

Demasıinas, s. f. pl. (1. de jedjmises, des 
joueurs qui ne sont pas assis’& la table. 

DsumasıÄpo, A, adj. excessif, irop, superfiä; 
inutile ; immodere, outre. Fazer — aprero das 
dispules, donner Irop, d’impaxiange aut dik- 

ules. a . 
P DenasıÄno, adv. trop, excessinement. Adiak- 
tar — as cousas, pqussor les affaires trop 
avant. Bu 

DawAsıÄa-Se (em), v. r. oulre-passer, Ötre 
immodere; ne garder aucune mesure; s’eXa&- 
der; &tre insolent, Impertinent, hardl ‚auda- 
cieux. — em vinho, boire irop. 

DsusAnDo, A, p. p. de 

* DEMRAR 0% DEMEIAR,, v. a. diviser par mol- 
ti£; occuper la moilic; &ire au milieu de sa 
carriere, ä moilie de sa vie. 

Deusnca, 8. f. demence, folie, allönation 
d’esprit; passion violente. 

DeMENTÄDO, A,Pp. p. de 

DEMEnTÄR, v. a. faire perdro le Jugemtent, 
faire devenir,-rendre fau. 

DEmantz, adj. 2 den. fou: qui est en d& 
mence ; insense. 

*° DENENTAR, adv. tandis que. 

DEMERITO, 5. m. demerite, indignite. 

DemicöLa, 5. f. (i. de fort.) demi gorgb: 
prolongement de la courtine. 

Desminufn ‚etc. V. Diminuir, etc. 

Dauıssiö, s. [. demission: Pacte par leqlef 
on se damet d’une thärge, eic. Action de can- 
gedier (des traupes, etc.), d’exonerer d’uhe 
charge, ec. — do animo. Y. Abatimento, 

+ Deujssionänio, A, adj. demissionnäirt, 
qui se demet d’un emploi. u 

Denisso, a, adj. balsse, inclind , abattü. 

Desussörta. V.. Dimissoria. j 

DENITTEeNTE, 9. a. de Demittir. Dömettant: 
qui se demet; demissionnaire. 


DeuMıTrIDO,A,P.p. de 
Desıttin, v. a, renoncer, abdiyuer, se d&- 


s 


ERP} 
_ 


390 DEN 


nhar 00-2 , griheer los dents. Aqui me Nas 
eeräo oe —e , J’ai &t6 Hlora ici, j’y suis depuis 
mon enfance. Arvrancar as Com 085 —#, 
(fg.) faire tous ses efleris „ Lentar Vimpossible 
pour reussir. Zmbalor 00 — „ agacer les dents. 
Fallar ou. diser enira —e, parler entre ses 
dents , murmurer. Afoswar es —+, monirer les 
dents , temir site „rieistor. Ado, que le cdem 
04, cöla le fera kombar les denis:: maniere 
de refuser les bonbons & un enfant qui en de- 
mande. Rangör 03 —,, grincar les denis. (Ag.) 
Enrager, se desesperer. Tomar o [reio nos—s, 
prendre lo mors aux denis, au propre ei au 
figure. Tomer ou tor enire dentes alguem, (ig.) 
avolr une dent oonıra quelqu’un, lui vouloir 
du mal ou en dire de Iui, 

Danreioo, a, ad. denwelö: en forma de 
dents, de petits angles;; bless& A coups de dents. 
pP P: da 

Dantzin , o. a. dentelee : feire des ontailles 
en forme de dents, de petits angles. 

DEnxTEanUn, 8. m. plaubage: espece de den- 
telalre, 

Danzeränta, s. f. (8. de bei.) dentelaire, 
berbe auxcanoers, maleherbe: planie odorante, 
amere. 

Dawricäö, a f. dentition: serie naturelle 
des dents. 

DanrıcrLino, a, adj. (1. de bias. er de bof.) 
engrei6 : dentelö font aulsmr ; dentionld , borde 
de denticules. 

+ DenticsLän,, adf. 2 gen. dentel6 « taille an 
(orme de dents. 

+ DewriouLo, 5. m. (6. d’erch.) denticule : 
ornement d’architecture en dents dquarries. 

+ Denripta , a. f. ( 6. de det.) dentidio : plante 
herbacde & ia Chine. 

f Dewrısöaus, adj. 2 gen. dentiforme : en 
forme de dent. 

Danriraicıo,, 6. m. ( 6. de pherm.) dentifriee: 
remede pour neltoyer les demts en les [roltanı. 

—, A, ady. dentifrique ( peudre). 

Dentiunöss, s. m. pl. (4. d’arch.) " demie- 
lure, obose dentelte. 7. Donsiculo. 

Danriuno , 8. m. dim. de Denis. 

DENTISTA, 8. m. dentiste ; gui arrache ou 
soigne los dents. 

Dantae (de), prep. dedans, dans, au-de- 
dans. (em) Dans l’inwriew de... De —, s—, 
por-—, au-dedans,, on dedans, par dedans. Mer 
ler as porias — ‚ unfoncer lea pories. Recoiher- 
se— em Si, se recueillir en sei-meme. Met- 
ser —, introduire. Meiier. sor —, remelire 
quelqu’un & sa place, le fercer de se laire, de 
se moderer. 

Denrao, ade de femps, dans. — em Irds 
dias , dans trois joars. i#. adv. de Kiew, ints- 
rieurement, dans Finterleur. 

Dentöca, 8. f. grosses dents ei grosse mı&- 
choire saillante. V. Bentadüra. 

Dantöoo, A, adj. qui a de grosses denis 
disproportionnees. 

Denunacid, 5. f. (1. d’amak) Gbnudatlon ı 
eat d’unosä docguvert; etat de nuditg, 


DEO 


Dentpin0, A,P.p 

+Denwia,v. & (1. renct) denuder : d& 
pouiller de chair (un animal). 

Danöncıa,,s. f. delation, dönomeiation, accu- 
sation; publication de bans. 

Deruncıachd, s. f. (1. de prat.) dimoncia- 
tion, delation, accusation. ” Avis, nouvelle, an - 
nonce. V. Denuncia. 

DENUNCIADO, A, P. p. de Denunciar. 

DENUNCIADOR, A, adj. et s. denonciateur; 
qui denonce, qui indique. 

DRNUNGIÄNTE , s. de 2 gen. denonciateur, de- 
lateur, accusateur. 

Deuuncıia, v.a. (6. de pral.) d&noncer, ac- 
cuser, döferer en Justice ow secrätement un 
coupable; döclarer, publier, faire connaltre. 
Annoncer, averüir, donner avis. 

DERUNCIAR-SE , d. 7. so denonucer, sS’accuser 
soi-meme; s’annoncer, 86 faire connaltre, se 
manifester. 

+DeEnunGarTivo, A, adj. qui contient denon- 
cialion. 

+ DENUNCIATÖRIO, A, adj. quiappartient & la 
denonciation. 

+ DEnuncıÄvVEL, adj. 2 gen. qui peut ou qui 
doit &ise denonck. 

Deorpınacäd. V. Determinapdo. 

Deos, s. u. Dieu : le premier, le souverain 
ötre par qui les autres existent, öternel, qui a 
er66, qui gouverne tout; (ausse divinite des 
paiens. (fg.) Chose ä& laquelle on est fortement 
attache. — dard , Dieu y pourvoira, & la gräco 
de Dieu. — d grande, Dieu est grand. Expres- 
sion de conflence et de consolation. — me d 
lesiemunhe, Dieu m’est Iömoin. — guarde 0 
que — guarde , que Dieu garde. Expression de 
politesse par laquelle les Portugais Anissent 
leurs lettres, et qu’ils emploient en nommant 
le rol. — estä no ceo, il ya au ciel un Diea quı 
me vongera.— haja ou que — haje, Dieu venille 
avoir son Ame, parlant d’un defunt. — nöo 
meonie, Dieu n’a pas deux paroles. — 0 ougs, 
( fam.) Dieu vous entende: souhait pourqu’une 
entreprise r&ussisse.— 0 queira,Dieu le veuille. 

— medionte , Dieu aidant. — meo/ mon Dien. 
inlerjeetion de douleur, d’&tonnement, otc. 
— nos liere,, Diou nous en preserve. — sabe ou 
— osabe, Dieu le sait. — sabe que ‚ Dieu m’est 
t6moin. — sajacommigo , Dieu me soit en aide. 
— seja w'esla casa , Dieu soit dans celie mai- 
son , Dieu soit osans: sorte de salut pieux. — fe 
ajude ! Dieu vous benisse! On le dit & quel- 
qu’un qui 6ternue, — 005 guarde ou _ 
je vous salus: sorte de salut populaire. Se — 
för servido,, s’il plalt & Dieu. 4— ,adieu, salut 
on se quittant, en psenant conge. A—! adieu: 
c’en ost fait de! tout est perdu. A— o dvenfura, 
A tout hasard. Assims nos de — ‚ainsi Dieu 
nous seit en aide. Como — d servido, comme 
ii plalt A Dien. O homem pöe, 6 — dispös, 
l’homme propose et Dieu dispose. Em nome ds 

—, au nom de Dieu. Gragas a—, gräce ä Dieu; 
Dieu merci. Mais pöde — que 0 . On le dis 
pour nous animer & la rule d'un enlip- 


DEP 


prise iesabie, queigue diiitult& qu’'8'y for 
contre. Ndo serve a — mem ao diabo , vula n'est 
kon ni pour Dieu ni pour le diable. Para ag 
epure diaple de —, pour toujoufs, & jamais. 
Por —ı par Dieu! pour Dieu! poar l’amıouır de 
Dies! Prdss a — Dieu veuille que! Qusira 
—, Dieu veuille que. Sö— sabe o que eurd, 
seat zalı co qui on arrivora. Tomar-se 
(em — ‚ lulter contre Dieu. Valha-meo —ı Dieu 
me solt en aide! men Dieu! Yd com — ! Dieu 
voms sscempsgne! Veio-As — a ver, Dieu est 
venu & sen seeoears. Vive — / vire Dieu ! Sorte 
de jurement. Doiando de mäo de —, delaisse, 
abandoams de Dieu: se dit d’un homme dere- 
gie. Zussogar-se nass mdes de -—- , s’abandonner 
& ia Providence. Ir-se para —, mourir. Cha- 
mou-0 — para si, Dieu lo sappela & Ini. A — ou 
para — nada d impossivel, A \'&gard de Dieu, 
Bien fest Impossible. NAo 1er ouiro — que & 
sus berriga, se [airs. un dieu de son Yenire. 
Deosaı, s. f. d6esse : divinit# fdmihine. (flg.) 
Tres-beile femme ; femme IA plus beile. 
Deoszs,, s. m. pl. dieux: divimitss fabulenser. 
. Daossan. { V. Doest... „ elc. 
Daranioo, A, p. pP. de 
Deranin, v. a. offrir, presenter, dontier, et- 
voyer. Deos sdapeave bin, A la kräce de Dieu. 
Deranan (com), ©. m troaver par haserd, 
sms quen le cherche. — se, vo. r. s’ofirir, se 


Derantanawtar, adj. 2 gen. dhpattemental, 

DErPARTANENTO , 5. m. d6pertement. 

® Daranrıgiö, 0. f. eonversslien, enireiien 
detaille. 

“Bar4suriBanänte, ade. söparement, 
tinetement ‚en detail. 

Deransiso, A, p.P. de Departin. 

°Deranrınör, s. m. oelel qui pariage, qui 
dirise, qui röpariit. 

+ Daranrınänro „u. m. * division , s6pard- 
tion; demarcation; entretien, "eonversstior 
detailide; detail. V. Inilagardo , Pesgwisa, Im- 


dividuapdo. 
Derautia, v. &. diviser, otparer, Partager, 
reparlir. Enseigner, expliqwer. V v. Demercar. 
Deransmn, 0. ", parler, jaser, Gaaser. — se; 
©. r. 0 separer, se relirer (da oombat, ete.). 
+ Devasctwrs, adj. 2 ge®. qui mange, qui 
cansume ; ( fg.) qui mine, qui devore (inus.). 
Daraupkmcıa, 5. f. d6pendance,, yujetion, 
saberdination: affaire, commission. Apparie- 
nanse. Lieison intime, conmwetion. 
Dusaunautn, 8. et adj. 2 yon. dependant: 
qui Deapond d’un sutre (persons, affaire). 


dis- 


swrmuihre, dde; open nnont . 
avec dtpendanos, d’wno mapiere dependante. 
Deranpta (de), 0,@. d6pendio, relöver, pro- 


venir de; vu dene ia , sous !au- 
woelte, ia donimation; duse suberdokms ä quel- 
gen. 


„Dermbtas, uf deep suspendus, attachte, 
asutchie. Bifär 4 =, Oro A l’eutwönrikd; Hude 
sur le point de perdre la vioow d’ötre ponde. 


DEP 301 


Derentuonino, 1, dB). 9. p. de Dependurtr, 
suspendu ; pendu ; (fig.) attenfif aax discoum 
de quelqu’un. Olkose—e , (fiy.) youx Utds sur. 
Ouvidos —s da bocca d’alguem, oreilles atten. 
lives aux paroles de qureigu'un. Zstar — de 

dalguom , dependre de la tolonı& d’un 
autre. 


DaPENDURÄR, ©. a. suspendre, pehdre, 8c- 
crocher. V. Pendurar. 

DePenIcÄnO, A, 9.7. de 

Dersnıchk, d. a. epiler; pignocher; becque- 
ter es fraits). 

DEPENNäDO, A, P. p. de Depennar. adj). 
deplumö: qui n’a plus de plumes. 

DEPENNADOR, A, 5. Qui deplume ;{fig.) qal 
escroque, escrot. 

DErPENNÄR, o. a. deplumer : 6ter les plumes, 
(fig.) depeulller; plumer au jen, tirer de l’ar- 
gent par des moyens ind&cents. — as barbas ‚« 
onbera ‚ arracher les cheveux de la 1&te et Ich 


poils da menton. 


Drrennik-se, v.r. se deplumet, petäre seh 
plumes. 

Dernreckin, etc. V. Deflegmar. 

Dermoctsricino, a, adj. (k. Ban. chin.) 
depblogistigae : (air) prive de prittcipe Inflam- 
mable ; gaz oxygend; dit vital. 

+ Deritachö, s.f. depilatlon : aclion de dö- 
piler, ses effets. - 

+ DeriL.ativo, A, adj. depilatit ; : ai fait 
twpmber fe poit. 

+ DeriLatörro, s. m. (t. de phartm.\ depila- 
tbire : drogue, päte pour depllet.dd}. V. Depi- 
Iativo. 

+ Derronacäö, s. f. deploratiori. (p. 14.) 

Derionä0o,A,Pp. p. de Beplorat. 

Derrorinön, k, s. qui deplore: qui plaint 
Keaucoup. 

Drrtonin, ve. a. deploret: Plaindre beau- 
conp: avolr grande pitie. 

DEPLORAR-SE, v. r. se plaihdre beautoup; 
re dsplore. 

‚+ DerLonatonto, A,adj. qui extile le com- 
passion, la pilie. 

DerLonAveL, adj. gen. deplördble : a de- 
peter, 3 plaindre; plleax. 

DerLonivrsruünre, adv. deplorabldment: 
dune manidre Wagigue, deplorable; trea-mal. 

DePo#@ntE , 9.2 gen. deposanı, qui depose 
ei affirme en Justice. adf. V. Deponenis. 

* DeroEr. V. Depör. 

Deroinente, 6. n.(1. de ri.) " @bpesilion ı 
ce qu’un t&moin depose. 

Deröts, ado. et pröp. uprös, depwis, en- 
suite. Dows mwezes —, ä deux mnls da la. 

DErONENTE , adj- m. (8. de gram.) deponent ı 
verbe latin qui & la sighalßcalion sellve et la 
terminsison passiro. 

DrpopvLaa ‚etc. V. Despovoar, 008. 

+ Dewseussnmmän, 9. a, döpopulaniser ı öter 
la faveur du peuple. 

Beton, as. Obpeow, \alsser, ee ee) 

‚ destituer, dömetire. -—, oswlldt & 
quen, maisttre u oh A depöt. (1. de ren , 


393 DEP 


porter tömeignage oa justloe. — as arınas, 
metire bas les armes 

Deroatackö, s. f. deportatien, bannisse- 
ment, exil. 

Derontin, etc. V. Desterrär. 

Dsr6nrs, s. m. V. Hocreagdo, Passalempo. 

° Derös. V. Apös. 

Darosigkö, s. f. deposition : destitstion 
d’une charge, eto. (6.de prat.) Action de melire 
en depöt. 

Derrusıripo,, A, p. p. de Deposildr 

DEPOSITADOR, A, 8. celui qui döpose, qui 


donne ou met en diper 

Derosırinte, adj. 2 gen. deposant, qui met 
en depöt. p. s. do 

Darosıräa (em), v. a. d6poser : confier, re- 
meltre on ow A d&pOt. 

Derosıtäaıo, A, s. döposilaire : & qui on a 
«onfi6 un depöt; (A. ) un sooret. — geral, d6- 


positaire göndral : celui qui est charge du de- 
p6tdes sommes appartonant Adesmineurs, etc. 

DerosırÄato, A, adj. qui concerne le depöt. 
us .) Qui oonlient, qui enferme quelque chose, 

„s. m. dep6et: action de deposer 
son cheis, 00 qui est mis & la garde de; lieu od 
Pon döpese; ioa oü restent des soldais, des 
recrues d’un oorps ; ces hommes; coflre i ar- 
gent; amas d’humeurs. — d’aguas, r&servoir. 

Der6sto, A, p.p. de Depor. di. Destitue, 
priv6 d’en emploi. 

Deraaca, ade. publiquement. V. Praps. 

° Dzraiö. V. Präs, Piano (de). 

Darnavackö ‚uf. d6pravation ‚eorruption, 
dersglement. 

DeraaväpauAnTe, adv. avoc döpravation. 

DEPRAVADISSIMO , A , adj. sup. de 

Dernavin0,9.P. de Depraver. adj. Döprave, 
corrompu ; mechant, pervers. 

DEPRAVASOR, sm. oorrupieur, desirucleur. 

DEPRAVAR , U. @. döpraver, 00rrompre ; per- 
vertir. ll est aussi röciproque. 

Derazcacäiö, 8. f. priere, instance,, suppli- 
ration. (f. de rAdt.) Doprösation. Commission 
rogatoire. 

Dzrazcino, A, p. p. de Dopreedr. 

Dgrazcinte, adj. 2 gen. priant, demandant, 


suppliant. Lo juge qui adresse & un autse Juge. 


une oommission Fogalteire. 9. &.de 

DirazciR, v. @. prier, demander avec in- 
siance, supplier. Adresser une oommission 
rogateire. 

+ DEPRECHTIVANÄNTE, adv. d’une maniere 
suppillante, 

Darascarivo, A, adj. döprecatif : en forme 
de priere; qui supplie. —s, pl. ot m. prieres, 
supplications. 

DEPRECATÖRIO, A, adj. qui contient priere, 
instance, supplicalion ; deprecatil. Carla —a. 
V. Precatörie. 


„t,Deranauciö, s. f. depreciation. (Ag.)V. 

Menoscabo. 

T Dzrascıkn , u. eo. döpröcier. (Ag.) V. Me- 
omoscaber. 


nospresar,, M 
DErREBAGAO, 6. [. deprödatien ; vol, Fuine, 


| pillage aves dögät, Salt par des gardiens, des 
döpositaires. 


Darasvino, A,P.p. de Depredar. 

DErazpADeR , s. m. depredateur : qui fait ow 
tolöre des deprdalions. ll esi aussi adj. 

Darazoia, v. 6. depreder : pilleraveo degät: 
ravager. 

DEPASRATÖRIO, A, adj. depredalil ; depreda- 
tour. 

+} Dernzusnsäd, s. f. l’aclion de surpremdre 
ow le fait d’etre aurpris en quolque action se- 
cröte ou criminelle. Renopntre sur le fait. 

DEPRERENSO, A. V. ehondido. 

DEPrRESSA, ade. a la hate, on diligenoe. 

Dupanssiö, s. f. depression : abaissoment 
de ce qui est presse ;absissement. (Ag.) ’Abat- 
tement. * Enfoncement. 

Dearageso, a. V. Deprimide. 

DEPRKSSOR, s. m. colui qui abaisse, qui de- 
prime, qui bumilie. (t. d’anat.) Abaissear : 
muscle qui abaisse. 

Derammino, A, pP. pP. de 

Deraınia, 9. e. deprimer, rabaisser, avilir. 
(Ag.) Humilier, abaisser, abatire. 

Derrzaa,c.m. (8. #Eikiopie) iövite. 

Derunacäö, e. f. depuration : action de d« 


DarunaneR, 6. m. velui qui depure. 
a DeruRAR, ©. @. döpurer : rendro pur; clari- 
er. 
Darunativo, A, adj. depurstif : propre ä 
depurer le sang (remede). 
DgruRATöRıo, A, adj. depuratoise : qui sert 
& depurer. 
Deruragiö, s. f. döputallen : envei de de- 
putes,, leur r6union. 
DeruTino, 8. m. depuis. adj. et p. p. de 
Dsrutär,, 9. 6. deputer : envoyer quelgu'un 
avec commission ; onvoyer une doputalion vers 
quelqu’un pour... Desliner, desiguer, marquer 
pour une fin, un usage. 
Drquitän-se ‚,v. r. V. Parir. 
Deazıto. V. Direito. 
Danzıicro, A, adj. (mol lat.) delaisse, 
abandonne. Pro —, ade. & l'’abandon. 
Dexısiö,s. f. derision ı moquerie amöre, 
Derıscan. V. 
Denıson, s.m. V. Mofador, Escarneceder. 
+ Dsusöno, A, adj. derisoire : qui est fait 
avec derision , par derisien. 
Denıvackö, 3. f. derivation : origine d’un 
mot. (}. d’kydr.) "Detour des aus. (4. de dd.) 
" Detour des humeurs. (fg.) ion, nais- 
sance, Origine, SOUFOE. 
Desıväno, &,p.p. de Derivdr. s. m. Derive: 
mot qui tire sen origine d’ua aulze. 
Derıvante. V. Dorivstörio. | 
Deuıväa, v. a. deriver, faire deriver. 
Daaıvin (de), vo. m. deriver, vonir de, tirer 
son origine. Il est aussi röciproque. 
DanıvaTıyo, a, adj. qui derive de, dörive. 
(6 de med.) Derivatil : qui ser A detoummer bes 
humeurs (reındde). 


. 


x DER 
Deamirörio, A , adj. (6. de dd.) derivauit. 
Diaus, Dinur ou Diamıs, s. f. (1. d’anal.) 
derme : cair de la peau de P’homme. 

+ Daauaröronss, 5. m. pl. (1. d’hist. nal.) 
dermatopodes : oiseaux & pieds garnis de mem- 
branes aux deigis. 

+ Drawtsıe, 5. m. (1. d’hist. nat.) dormeste : 
scarabse dissöqueur, helocare. 

ee bonn. s. f. dermographie : des- 


de la 
"7 De ’ ns. f. dermologie : traise de la 


u. 
ee Daamoromia, ef. dermotomie : dissoction 
de la peau ; sa pröparalion. 

Drxocagäd, s. f. dörogalion : action de de- 
roger & un ddit, A une loi, & un aclo, A un tes- 
tament; scte qui Pannonce, qui Fopere. Dimi- 
nutien, döiärieration. 

Dmoci20,A,P-P- de Deroger. 

DEROGADOR , A, 5. qui deroge. 

+ DrRosauEuTo ‚s. m. " derogeanoe : l’action 
de dersger. 

Danociure, adj. 2 gen. dörogeant : qui de- 
roge. 9. a. de 

Denocan, v. e. döroger (&): [airo, staluer 
queigue chose de contraire (& un act, ä un 
edit, ete.). Dötruire, reformer, Öler, relsan- 


Denosarivo, a, adj. qui deroge. 

Denocarönm, A, adj. (1. de prai.) döroga- 
toire: qui deroge (& un &dit, Ad un acle). 

Dannanino, a, p. 9. de Derrabar. adj. Sans 
queue; & qui on a coup6 la queaue. 

Dannanaptaı, s. f. blessure qui reste ä& 
Yanimal auquel on a coupe la queue. 

Dennısin, ©. 8. couper, arracher la queueä 
un animal, coouriander (un ebeval, etc.). 

DennapksnamENTE, sde. dernierement ; en 
deraier liou,, enfin, au bout du compte. 

Dennapeıno, a,adj. dernier:: qui est apreds 
"tous les autres. ( ig.) Dösespere; inlerieur, de 
meindro valour. Por —, loc. adv. enfin, ä 
la fin. 

Drariua,s. f. "impöt, tribut, röpartition; 
oote d’ene conträbution, taille. 

Dunnauaciö, s. f. V. Derramamenio 

DERRAMAÄBAMENTE, adv. avec profusion ou 
effusion, 

Daanauinpo, A, p. p. de Derramar. adj. 
Verse, „ 6gare, repandu; diffus, en 
Perlanı da style; &tendu; divulgue, publie. 

ü. Eorags, saisi de la rage (chien). 

Dannamanon, s. m. celoi qui röpand, qui 
verse,, qui divulgue. ( fg.) Dissipateur. 

DEARANANEATO, s. m. &panchement, eflu- 
sion, seoulement : Paction de r&pandre, de 
verser. Dispersion « d’un peuple, d’une famille, 
d’une arıneo, etc. “ Rage, hydropbobie. — de 
lagrimas, de sangue, effusion de larmes, do 
sang. 


Dranamin, v. 6. röpandre, verser, &epan- 
eher. Disperser. (Ag) — , divulguer, publier. 
tür un impöt. V. Desramar. — doufrins, 

( Ag.) repandre, semer une docisine. — 0 pen- 


DER 393 


samenfo, (id.) promener son esprit; räver, 
laisser ‚alter son imagination sur des choses 
vagues. — grilos, peusser des oris. — cheiro, 
exbaler une odear. — luz, söpandre de la Iu- 
miere. — dinheiro, jeter de l’argent au peu- 
ple, le distribuer aux habitants d’une ville. 
lagrimas, repandre, verser des larmes. 
—-46 fasenda, (g.) dissiper son bien. — san- 
gue, r&pandre du sang, perdre du sang. 

DERRANÄR-8E, ©. r. se disperser, se röpandre 
9& et lä sans ordre. So stparer en plusieurs 
ruisseaux , ea parlant d’une riviere, d’un 
fleuve. Enrager, en parlant d’un chien saisi de 
la rage. — narrando, &tre trös-diffus dans la 
narration. 

Denrzancino, A, 9. p. de Derrancar. 

DERRANCAMENTO, #. m. event : l’action et 
l’effet de corrompre, de gäter. ” Alteration dans 
les aliments ou dans les liqueurs qui en de- 
truit, en affaiblit ou en corrompt le goüt. 

DERRANCAR,, ©. @. Corrompre, gäler, depra- 
ver, infecter. Il est aussi röciproque. S’eventer, 
so gäter Al’air 

DERREÄDO, A,P. p. de Derrsar. adj. Epointe. 
qui a la hanche demise (cheval), qui s’est 
casse les os des cuisses (chien). 

DERREANMENTO, 5. m. tour, rupture des reins. 
*Epointure des chevauz, des chiens. 

DERREÄR, U. 6. &reinter : fouler ou rompre 
les reins, donner un tour de reins. 

DERREAR-SE, dv. r. s’6reinter; se courber & 
force de l’äge. 

Dannenör, 3. m. alentour, circonference, 
eircuit, Jo —, em — , ado. A l’enlour, aux en- 
virons, autour. On le prend quelquefois adver- 
bislement dans le sens d’environ, & peu pres. 

DERRECADO, A, P. p. de 

DERREGAR, ©. &. (1. d’agr.) faire des sillons 
pour Pscoulement des eaux dans un champ 
nouvellement semd. 

Deanzncan. V. Derrear, Deslombar. 

DERRETER, %. Ga. liqueßer, fondre, rendre 
liquide. ( Ag.) Autendrir (l’Ame, le cour, etc.). 

DERRET£R-sKE (em), v. r. se fondre, se liqu6- 
fier. ($g.) S’attendrir. (id. ) S’enflammet, brüler 
d’amour, se passionner. (fig. fam.) Simpalien- 
ter, se tourmenter. 

DERRSTIDO, A, P. p. de Derreter. adj. ( ig.) 
Amoureux, languissant, passionne. — no fal- 
lar, doucereux, qui dit des douceurs. 

DERRETIMENTO, 4. m. *fonte, fusion, liqud- 
faction. (Ag.) "Langueur, passion, amour vio- 
lent. 

DernmmÄnO, A, p. ?. de Derribar. adj. V. 
Abatido, Humilkado. —a a viseira, visiöre 
baissee. — da esperanga, dechu de Pesps- 
rance. 

Dernınanon, A, adf. ots. d&molisseur : qui 
abat. 

DERRIBABOURO. V. Despenhadeiro. 

DERRIBAMENTO, 3. m. * demolition : action de 
dembolir; destruciion, ruine. —, d&combres. 

DERRInÄR, va demolir, abatire. Terrasser, 
Jeter de foroe par terre. Renvorser, demonter, 








398 DES 


jeter sun cavalior par terre. Ronrorser, eultw- | 
ter. V. Prosirar, Bonder. (fg.) Metire mel 
une POrSOnne Aveo us autee, lui faire perdre 
son cridit, sa favenr. — e lange, meitze la 
lanoe om are, 

DERARTBAR-SE, U. #. so jeler par lerre; so 
precipiter ; se prosterner. 

DeRRIKGADO, A, P. P. de Derrizär. 

DeanıganoR, A, adj. qui döehire aves los 
dents. (Ag.) Porsilieer. - 

Dunntar, 9. #. allonger, rer on dong aveo 
Is deni, dechirer arcs os denw. — om ai- 

„( 4.) poreißer, railter, so meqeer de 
relta’an 

DERRISCHR , 9. Ga. eflacer, rayer; sliminer, 
aholir. V. Atteer. Il est auski recipfeqae. 

Dennocäno, A, 9, P. & Derrooar: 

Dennöcinon. V. Dereibädor. 

* Dennocaunto, ed. m. *destrwetion, zulae, 
eboulement. 

Dennocin, v. a. precipiter da hast d’un ro- 
cher. Demolir, renverser, abattre. (Ag.) Faire 
dechoir de sa grandeur, de sa fortune. (id.) 
Abattre; ruiner, detrafre; - 

DenrocäR, ©. 9. el -se, 9. r. lomber, s’& 
crouler, s’&bouler, s’abattre. (em) Tomber sur, 
falre rarage (dans l’ennemi, ete.) p. ws. 

Derroin, etc. V, Derrwir, ete. 

Denrörk, 8. f. (I. de mar.) toute par met, 
fumb d’un vaisseau, Rotite, chemin, sentier. 
(2. mil.) Deroute, deeoniliure, fuite de treupes 
defaites, &pouvantöes. Marcar a—,(t.de mar.) 
pointer la Carte. - compösta, touße oompii- 
qıree. Seguir a mesma —, marcher dans les 
eaaı d’un auftre vaissean. 

Dennorido,Aı,p.p. de Derrotar. 

De RROTADON, s. m. cehi gei met en de- 
route. 

Drerorir, d.o. m de mar.) Dettrer de sa 
route, en parlant d’un vaissean. Nuiner, de- 
truirc, appaurvrir. (1. nel.‘ Mettre en deroute, 
deconfire, battre & plate couture ‚ d@faire en- 
tiäreınent, tailler en piecen. 

Dennoran, v.n. (l.de mar.) sulyre sa route, 
en parlant d’un taisseau. #. Ärriver en de- 
roule, en mauvais eat. 

DERROTAR-SE, v. r. (t. de mar.) Perdre sa 
rote; se separer tes urs des autres & cause 
d’üne tempete (les vaisseaux). 

Denen V. Roteiro. 

ERROBADO, A, 9. p. de Derruber. Orelhas 
—as , oreilles bendantes : : ceffes da obien et du 
cheval qui ne les ont pas droites. 

ERRUBADOURO. V. Des 

Desaunar, v. a. faire ebonfer, detrunte peu 
A peu. V. Derribar. 

Derptino,Aa,p.p.de 

Deärvir, o. a. detruire, rulter, abattre,, d6- 
molir. 

Deavis ow Denviche, 8. m. 'dervis os derri- 
che : pauvfe religieux ture; mahomdtan. 

Dis, prdp. ade. des ‚ depuls. — que ‚ aussitöt 
up. 

Des, particule qui entre dans la Composition 


DES. 


de pusieurs nastsot indigue, ie plus senuvent, 
negatien 

Des, etc. V Des, vis. 

Diis: Par das, (serment burl.) par Dien; par» 


bleu; ma foi. 


Desasino, A, P.p. de Desabar. adj. DB 
Chapde —, chapena & largss bords, 

Desasnaridaneute, ddo. auvorioment, Sans 
degalsomenit, & oesar auvert. (Ag«) Sans graimte, 

DesaBara0Oo, A, p. p. de. IMesbefar. adj. 
Spdelbun, degepe, oavord, d6enmvert; adık. 
(fg.) Delivre, degage, debarrasse. 

DEsKBArANANTO, e... " actien de .dienn- 
vrir, dedonner de l’air; spamahement de eur, 

Disabrrhn , v. a. dbeouvris, exposer &, Veit 
poar diminuer la ehaleuin (Ag.). Debeuruser 
nettoyer, purifier, deblayer. ++ a, sus .onlere, 
decharger sa colöre contre au sm quolgu'um. 
— os cascos da berts , Barer ies pieda dan,aber 
val, le dessoler. wuir 

Desaparin, ..% se soulagen, ätebarger son 
caur, s’&pancher. — com alguem, dbsemmEt, 
deosier ses. sontitnenm, ses (ssseins, ale. n\ 
quelgu’un ; adoucir, soulager son.taal om Sei- 
satıt ses pliintes & queigu'a. ". 1. 

DESABAFAR-BE, U. 7. nu: dicsumlir:. - da 
roupa , se fafraichir, #6 tnetize.am. Ictiss AAg-) 
Se divertir, se distraire. 

DESABALÄDANENTE , he. dimmesurdenant , 
outre mesute. 

DesasaLin0, A, adj. enorme, dimssert, 
d’une grandeur prodigteuse. . 

DFESABALROÄDO, A ,P. pp. de 

+ DESanae.nOdR, v.a./3. de mer.) tleigner 
un vaisseau d'un sure auguet H.Hisk aucıe- 
che. 

Desäpin, v9. a. faire tomber, :ebafre. 0. 
et plus us. Tomber, s’abatıre, 2’derauter. 

I DESABASTECER,, ©. @. @epewrroin, degatair 
de provisions. 

DESABASTECIDO, A, P. P. de Desabneisent. 

Desing, s.m. la parlie eeranlöediam ınımt,eie. 

+ DESABIıTAR, ve.“ —aamarrs,(1l. de mer.) 
debitter le cAble. 

Desasıtuar, V. Desacostiiner. 

Desasocan. V. Desembarer, 

DesaBoniDO, A, p. 'p..de Dosudenar.. ad. 
Decrie, decredile, qui a sa repulation perdwe. 

DESABONADOR, 4, ad. & 0er qm Adsnbite, 
qui fait perdre te oredis, ta eonsituraitien. 

DESABONÄR,, v. a. dsersditer, deertet, Ser 
le credit, la oonsideralien. 

DESABONAA-SE,, v.r.80 asorier, perdru son 
eredit. 

Desanöno, 8. m. döereditensen : seien de 
deerediter; perte da erädk. Prejudice, tert 
fait & quelqu' un dans son honneur, dans sa 
reputalion. Fallar em — Kalguem, perter au 
desavantage de quelgu' un: 

DESABORDÄDO, A, P. 

Desanonpir, v.&. {f. “ "ner. deticher um 
vaisseaw abord#, 

Desasorino, a, ad). Insipide , sarın goM. if 
V, Desudrido, 


Dusssyroän0, A,P. p. de Desabotser. 

+ Dssawrossdra, 8. f. Paclion de debou- 
tonuer, ses efflets. 

+ Dssasoroautnto, s..V. Dessboloadere. 
— das flores, (t. de bot.) &panouissement des 
Beurs. 

Dasanoroin, 9. u. deboutonner : #ter les 
boutons des boutonniöres, 

Dasasoroar, v9. n.{f. de bo$.) #’6panoulr, 
telore, parlant des boutons des fleurs. 

Desasoroar-sE, v. r. se döboutonner. (Ag.) 
— , faire part de 563 sentiments , de Bes secrots 
(& ses amis). Boutonner, se couvfir de boutons. 

Desasascado, A, p. p. de 

+ Desasascha , v. a. detacher de sos bras la 
personne qu’on avant embrassee. 1] est aussi 
r6eiproque. 

DEsAaBaindautnTn, adv. serdrement, dure- 
ment; insipidement. 

Dusasaipo, A, p. pP. de Desadrir. adj. insi- 
pide, sans goüt. Dur, Acre, severe, de mau- 
vaise humneur; intraitable. Rode, parlant du 
temps. 

+ Desasnıcinaunte, adv. sans ahri, & de- 
oouvert. 

Desanurci2o, A, 9. p. de Desabriger. adj. 
(Ag.) Abandonne, delaisse. V. Desemparado. 
Expos6 A tout vent, deconvert. Rade, parlant 
du vent. 

Desasnmcir, 0. a. öter tout ce qui peut sorvir 
d’abri, decourrir; d6pouiller, mettre & nu. 
(ig.) Abandonner. 

Desasnfcär-SE , 0. r. perdrel’abri, s’expöser 
ätout vent. (Ag.) Perdre par sa faute la proteo- 
tion de queliqu’an. 

Desasnico, s. m. &tat de tout ou qui se trouve 
a decouvert , sans abri. (fig.) Abandon , dtlais- 
sement. 

DesaBaıwento, 5. m. "insipidite. (Ag.)“ Du- 
reie, söverit&, aigreur, rudesse de caract£ere, 
d’humeur. Deplaisir, peine, chagrin, affliction 
interieure. * Duret£, rudesse du temps. 

Desansın, v. a. sffadir : rendre fade. — mdo 

cousa, abandonner entidrement 
une chose, y renoncer, cesser d’y travailter. 

DeEsABRIR-SE (com), 0. r. se lächer, s’Iincom- 
moder, se mettre mal. 

DrSABROCHÄDO, A, 9. p. de 

Desauaochir, 9. a. d6boutonner. Degrafer. 
Deboucler. (fig.) V. Abrir, Descoser. — a bin- 
gua , parier fibrement. 

DESABROCHAR-$E, ©. T. rompre avec quel- 
qu’un, se r&pandre en injures. 

+ Desasusinamente, odo. d’une maniere 
desabuste; sans pr&octupations. 

Dresustsipo, A,P.p. de 

Desasosin, 9. a. desabuser, detromper, ti- 
rer de l’erreur. 

Desasusin-Se, v. r. se desabuser, so de- 
womper ; perdre certaines habitudes religieu- 
ses; sulvre une morale reläch£e. 

Desanöso, 5. m. desabusement : action de 
desahuser, ses effets; etat de lg persunne dös- 


DES . 396 


TDssacanuiso, a, af. dul a pesda ia timi- 
dit&; saıs gene ‚ hardi. p. p. de 

tf Desacannar, v. a. Ötor la timiditös; enoou- 
rager, denner de l’alsance. 

+ Desacannan-eg, 0. 7. perdre la tinsidite, 
so montrer libre, actif, dögage; agie, parler 
avdo alsance. 

Desacanvar. V. Dosacravar. 

Desscatinauterz, adv. insolermment, irrd- 
veremment, avecirröv&renoe, sans respect. 

Desacaripo,A,p.p. de Desacalar. 

DESACATANENTO. V. Desacalto. 

DesacATÄR, v. a. manquer de respeet, d’6- 
gard; profaner. 

Desacirto, s. m.” insolenoe, irreverenee, 
mandque de respect; prolanation. 

DESACAUDELÄDO , A, adj. sans chef, en däs- 
ordre (troupe). 

} DESaAcAUTSLÄnDAHENTE , ade. sans pr&- 
voyance. 

DESACAUTELÄDO, A, adj. impr&voyant; im- 
prudent; qui n’a pas de prevoyance. 9. p. de 

f DESACAUTELÄR-sE, v. r.oublier de prendre 
ses pr6cautions ; manquer de prövoyance, de 
prusence; negliger de se mettre sur Bes 

es 


DESACCOMMODÄDO, A, P. p. de Desaccommo- 
dar. adj. qui n'est pas & son aise; qui manque 
du necessaire. Incommode. Sans emploi, sans 
occupation. 

* + DESACCOMMODAMENTO, 8. m. ° Incommo- 
dite : manque de commodit®. 

DesaccoMmopÄn, v. a. Incommoder : metire 
mal & l’alse. Priver des commodites. Gener, 
contraindre. Troubler le sommeil de quel- 
qu’un. | 

DESACCOMMODÄRB-SE, v. r. perdre son em- 
ploi, cesser d’avoir de l’occupation. 

Desaccörno. V. Desacordo. 

+ Dssaceıino, A, adj. qui manque de pro- 
pretö, malpropre. 

DESACERBÄDO, A, P. P. de 

+ DEsacErRBiR, v. a. adoucir, temperer, mi- 
tiger Pacide , l’aigreur d’une chose. 

+ DESACERTÄDAMENTE, adv. inconsider6ment, 
mal d propos, d’une maniere peu r£flechie. 

DESACBRTÄDO, A, adj. inconsidere, peu r&- 
ffechi, etourdi, imprudent, qui erre, qui se 
tfompe, qui fait une faute ;chose mal calculee, 
faite sans röflexion. p. p. de 

DESACBRTÄR „ v..a. errer, echouer, faillir, se 
tromper, faire une faule. v. n. Faire une chose 
mal & propos; se meprendre, se fourvoyer. Se 
fromper; ne point r&ussir, Manquer 80n COup. 

Desacgatäin-se, 0. r.V. Baldar-se, Frus 
frar-se. 

DERACERTO, 3. m. "erreur, faute , bevue. 

DrsacunARDADO, A, P. pP. de Desacobardar. 

+ DESACOBARDAMENTO, 8. m. Courage, har- 
diesse. \ 

DESACOBARTÄR , U. a. encourager, donner du 
courage, enhardir. Il est aussi reciproque. 

DesicoımAno, A,p. p. de 

DxsacuıaR, dv. q, acqyitier une amende, 


DesacorLcneran. V. Desabrocher. 

+ DESACONPANHÄDANENTE, ade. SANS CoBt- 
pagnie, sans societs. 

DESACOMPANHÄDO, A, adj. soul, Isold, s6- 
par& de, priv6 de la oompagnie, de la sociöt# 
de. 9. p. do 

DESACOMPANHÄR, v. a. quilier la sooiöte, la 
compagnie de quelqu’un; le delaisser, aban- 
denner. Stparer des choses qui &lalent ensem- 
bie. ». ». Cadrer mal avec. 

DesaconssıuÄDO, A, adj. inconsidere, im- 
prudent, qui agit sans &couter les conseils ; 
mal avise.P.p. do 

DESACONSELHÄR , ©. a. döconseiller, dissua- 


der. 

Desaconacgoin, eic. V. Desacorgoar ei Des- 
corgoar. 

Dssaconı0 ,A,Pp.p. de 

+ Drsaconia , v. a. apprivoiser les faucons, 
les olseaux sauvages. (fg.) Dompter, apprivoi- 
ser. 

DESACORCOÄDO, A, P. p. de Desacorgoar. 

DESACORCOAMENTO , 3. m. d6couragement. 

Desaconcoir, v. a. döcourager, faire perdre 
courage. v. w. Se d&courager. 

DESACORDÄDAMENTE, adj. inconsidörement, 
imprudemment. 

Desaconpino,A,p.p. de Desacordar. adj. 
D’opinion difförente ; discord, dissonnant ; alie- 
ne, trouble , imprudent, irreflechi,, oublieux. 

DESACORDANTE,, adj. 2 gen. discordant; qui 
n’accorde pas. p. a. do 

DESACORDAR,, ©. 6. desunir, brouiller; trou- 
bler ; faire perdre l’esprit. vo. a. Discorder, @tre 
ıliscordant ; n’&tre point d’accord ; ne pas ca- 
Jrer;; parler d’une maniere incoherents ; perdre 
connaissance. 

DESACORDAR-BE, v. r. oublier. Discorder. 
Perdre la t£te, la raison; perdre connaissance. 

DzsaconpativO, A, adj. dissonnant. 

Desacöano, 3. m. " perie des sens, delire; 
distraction ;trouble; oubli, negligence ; man- 
que d’accord ; brouille ; dissension. 

DEsACOROGOAR , elc. V. Descorgoar. 

° Desatonaino, A, adj. sans Secours. 

DesacostumiDpaM£nte, adv. contre la cou- 
tume, usage. 

DessacostumäDo, A, adj. desaccoutume 
deshabitue, qui a perdu V’habitude; inusite, 
qui n’est point en usage, 

DESACOSTUMAR , dv. a. d&saccoutumer, desha- 
bituer : faire perdre la coutume, P’habitude. 11 
est aussi reciproque. 

f Desacoroir , v. @. dosserrer la cotte d’ar- 
mes. 

+ DESACOTOAR-SE, ©. 7. (flg.) perdre toute 
pudeur, toute retenue. 

Desacovannan. V. Desacoberder. 

DESACRAYADO, A, 9. p. de 

DESACRAYAR, U. &. desembourber : lirer de 
la bourbe. 

DESACRKEDITÄDO, A, 9. p. de Desacrediter. 

DESACTEDITADÖR,, A, adj. et s. qui decrie, 
qui contribuc & faire perdre le credit. 


Desacazpıraän, ©. a. discrediler, döcsier; 
diffamer, vilipender. Desachalander. 

Desackenıtia-8E, ©. r. so decrier : pesdee 
son eredit, sa r&putalion par sa faule. 

Dasacuran-sE. V. Desoccupar-se. 

Desapuozstan. V. Disswadir. 

Deaaponıcäö, s. f. haine, aversion. 

Desanonipo, A, 9. p. de 

Dzsaponir, v. a. refuser l’adoration ; cesser 
d’adorer ; detester. v. ». S’indigner; s’impa- 
tienter. 

f Dasaponuzcea, v. a. 6veiller, s’ereiller. 
(Ag. Degourdir, en parlant de l’esprit ou d’un 
menmpbre. 

DESADORNECIDO, A, P- p. de Desadormecer. 

DESADORNENTÄDO, A, pP. p. de 

+ DESADORMENTÄR, ©. a. degourdir, faire 
disparaltre l’assoupissement. 

DEsADORNADO, A, P. p. de 

+ Desapoanär ,„ v. a. döparer, depouiller 
une chose de ses ornements. 

+ DssapOano ‚5. m. mauvaise gräce , manquo 
d’ornement, de parure. 

+ Dzsanunano, A, adj. (t. de bot.) distinct, 
separe. 

f DEsaDvEaTipaminte , adv. inconsidere- 
ment, imprudemment. 

+ DESADvERTIDO, A, adj. inconsidere, im- 
prudent, &lourdi. p. p. de 

TDesapveatia, 0. a. et ®. (inus.) ne [aire 
pas attention, agir inconsiderement. 

Desaraımino, A ,Pp. p. de 

+ Desaramman, 0. a. rassasier un affamet. 
(Ag.) V. jar. 

Desarazer,v. a. V. Desacosiumer. 

DESAFEITO, A, P. p. do Desafazer. 

DasarkaaiD0, A,P. p. de 

Desarznrin, v. a. (fl. de mar.) desancrer, 
desalffourcher, lever l’ancre. Decrocher, deta- 
cher. (g.) Faire changer d’avis , dissuader. 

DEsarenrÄin-sK, ©. r. demordre, quiller 
prise ; se decrocher, se detacher. (fig.) Aban- 
donner une opinion, un avis. 

DESAFERROLHÄDO, A, p. p. de 

DESAFERROLHÄR,, dv. a. deverrouiller : Öler 
les verrous ; döchainer. ll est aussi reciproque. 

+ DesarsasıLmide, 5. {. manque d’affabilite. 

f Desarrzcracäd, 5. f. la cessation ou l’op- 
pose d’aflectalion ; sinceritö, franchise, nai- 
veie. 

+ Desarrecripamente, adv. sans aflecta- 
tion ; ingenument, sincdrement. 

+ Desarrecrivo, a, adj. quin’a pas d’afieo- 
tation ; sincöre , ingenu, nalf. 

Desarr£cro, s. m. V. Desaffeicdo. 

+ Desarr£cro, a, adj. coniraire, oppos&, 
adversaire , adverse. 

Desarreıcäö, s. f. desaffection : la cessation 
ow l’oppose de l’affeclion , aversion, mauvaise 
volonts, disposiion peu favorable. 

Desarrgı;0ADO,, A, adj. desaffeclionne : qui 
n’a point d’affeclion; impartial (juge). Ser — 
« alguem, en vouloir & quclqu un. 7. p. de 
Desaffeiwer. 


DES 


Desarvrıcoin, vo. a. Atsaflectionner : de- 
eurer d’une affection, d’un attachement. Il 
est aussi r&ciproque. 

Desarrmönta,s. f. röparation d’un afftont. 

DeSAFFRONTADO, A,p. p.d tar, 
ah. venge d’un affront; Adtivrs, degage, de- 
barrass#. 


DasarraonrapOR, 5. m. celni qui tire ven- 
geance d’un affront; qui en oblent reparalion; 
gi dögage, qui debarrasse. 

Desarraontär, 9. s. tirer, prendre ven- 
grance d’un affront, d’une injure; en obtenir 
teparation. Delivrer, degager, döbarrasser. 

DESAFFROSTÄR-SE, v. r. se döbarrasser d’une 
ckose gei incommode, qui cause de !’etoufle- 
ment; se rafraichir ; se vonger d’une injure, 
prendre vengeance d’un affront, 

Dasavzıran. V. Desenfeilar. 

"Dasartackö,s.f. V. Desaflo. 

Dasayıapo, A, p. p. do Dosaflar. 

DESArLADOR, 1. m, celul qui döfle, qui pro- 
wgue un dael. Duelliste, bretteur : celui qui 
sbat soavent. 

Dasarıluıs, ad. ot 8.2 gen. quı fait un def, 
qui prevoque au-combat. p. a. de 

Dzsunia, v9. as. appeier en duel, deßer, 
provoguer au combat. Deßer & la lutte, ala 
warse, ete. Difler, braver quelge’un. Provo- 
quer, piquer, deßier de faire une cbose. Emous- 
ser les ferrements, eto. (fg.) Provoquer, ex- 
eiter, rtreiller (Pappetit, eic.). 

ÄR-SE. 9. 7. SB provogquer, 
moatuellement ä un duel,, au combat. 

Dssarıin, vo. ». perdre le tranchant, en par- 
aut d’en rapeir, etc. 

Desarıcunin, etc. V. Desfgurar, etc. 

Desarıninaukute, adv. (bi. de mus.) Sans 
escord , avec dissonance. 

DESArTRABISSINO, A,adj. sup 

Dasarınino, A, adj. needs, en parlant 
d’un instrument. Qui n’a pas la voix juste, qui 
ehante fauı. p.p. de 

Desarmin, 9. a. (f. de mus.) desaccorder : 
ütraire l’accord d’an instrument. v. ». Chan- 
“a isux, n’ötre pas d’accord,, ®tre dissonnent. 

Des yınaR-SZ,, v. r. se dösaccorder : ne pas 
eunserver laccord, en parlant d’un instrument. 

Dsurio, s.. den ‚provocation au combat, 
appel.— — provocation ı en general. (fg.)V. Por- 
As, emulardo. — de gallos, combat de oogs. 
Seir « —, enirer en competenee. Conlar a—, 
chanter allernativement en compeience avec 
“ suite. para 0 —,se meliro en 
dereir de combaiire. 

Dasavıssan , o. a. faire perdre la contlance 
quwme personne avait en une antre. v. m. Per- 
die Yespeir. 

DeumYELAn. V. Desfivslar. 

tDesarocinauanıe, ade. librement, am- 
Prment, sans gene; de sang-[roid. 

Desarocino, A, p. p. de Desafogar. adj. 
Weliere, degage, debarrasse; soulage. Casas 

--“, maisens spacieuses, ei ayant une vuo 
clendug. Horas ss, heures de loisir. Kstar 


s’inciter 


DES 397 


com 0 anımo-—, avolr Fesprit döbarrasse de 
soins. 

Desırocka, v. @. ot m. dögager ce qui genait, 
ou &touffait; (Ag.) allöger los peines, soulager; 
delasser; döcharger. le omur, Fäme, Pesprit 
d’une peine , &vaporer le chagrin. — a sus ira, 
decharger sa colöre. — s painlio, a sensuali- 
dade, s’adonner & la passion, & la sensualite. 

— com , ouvrir son omur, confler ses 
peines & quelqu’un. Deizar — a sus der, 
laisser un libre cours & sa douleur. 

DeEsArOCÄAR-SR, ©. r. se soulager ; ne delas- 
ser. Se mettre & son aise, en abandonnant, en 
quittant ses habits. — em lagrimas, allöger 
ses peines en versant des Jarmes. 

Dasar6G0, s. m. soulagement; distraelion, 
delassement; ressource. Eiargissement, ex- 
tension , dilatation d’espace. *° Effusion, &pan- 
chement de c@ur. Viver, estar com —, virre 
Al’aise, ötre A son aise. 

DESAFORÄDANMENTE, adv. elfroniement, in- 
solemment, 

DeEsAroRADiSsıNO, A, adj. sup. de 

Dzsar0oaino, A, p9. p. de Desaforer. adj. 
Effronts, impudent, insolent. Eflrene, sans 
retenue qui ne oonnalt ni frein ni loi. it. (ant.) 
Contre le droit, le privilege de quelgqu’un. 

DESAFORANENTO, #3. w. "annulation d’un 
bail; action contre le dreit, le privilege de 
quelqu’un. dt. V. Desaforo. 

Desarorir, v. a. exempter du palement 
d’une redevance ; agir contre les droits ou les 
privilöges de quelgqu’un, le priver de ses 
droits, etc. 

Drsuronäk-SE , v. r. renoncer ä ses privile- 
ges. (Ag.) Se comporter avec effronterie; faire 
Finsolent, s’enbardir; s’eflrener, ne recon- 
naitre ni frein ni loi. 

Dasar0no, s. m. * insolence, imperlinence, 
immpudence,, effronterie ; outrage; injustice. 

Desaroarunino, A, adj. malheureus, in- 
fertune. 

DESAFREGCUEZÄDO, A, 9.9. de 

Dusaratcurzin, ©. a. desachalander : faire 
perdre les pratiques, los chslands d’uno bou- 
tique, etc. Il est aussi r6eiproque. 

Desaruuäpo, A, P.p. de 

Desarumin, v.0. ter, chasser, dcarter la 
fumec. 

Desaruscia. V. Dur 

DESAGASALHÄDO, A, 9. P. 2. de Desegasalkar. 
adj. Sans logement; exposs a V’intemperie du 
temps ; lögdrement vetu. 

DESAGASALHADOR , A, adj. V. Inkospsto. 

DesAcasaLBiR,, 9. G. meitre quelqu’un & la 
porte , le chasser de chez lai. 

DEsAGASaLHÄn ER, 9%. r. s’babiller lögere- 
ment. 

DESAGASÄLBO, 3.m. mauvais accueil; &lat 
de celui qui est mal oouvert, qui n'a pas assez 
de couvertures. 

DESACASALBOSO, A, adj. inhospitalier 

. Desacastido,A,Pp. p. de Dosagasier. adj. 
Apaiss ‚calme ; joyeuz, gai. 





Desaass?AnÄnto, 3. m. retour de bonne hu- 
meur. 

Desanasträr, v. a. apaiser, ealmer, remettre 
en bonne kumeur ; desemnuyer, egayer. 

Desacasrän-se, 9. T. Teprendre sa bonne 
humsur ; se d6senntuyer. 

DesaocaAYdpo, A,9. pP. de 

DESAGORAVAR, 0. a. röparer une offense, un 
tort, domner ‘setiafaelion; venger ume injure. 
Soulager, öter une parlie d’un fardeau , dimi- 
nuer les imp6ßs. Rendre plus lögere, plus ex- 
cusable, une faute on toute autre chose sem- 
blabie. Casser le jugerment dont on a interjet6 
appel. 

DESAGGRAVAR-SE (de), v. r. se venger, tirer 
raitson de. — 0 jogador, prendre sa revanche, 
se racquitier, regagner ce qu’on avait perdu au 
jou. 

Desaccrivo, 8. m. * röparation d’un torti, 
d’une offense ; satisfaction. Arr&t qui oasse le 
jugement dont on a interjete appel. 

. DESAGGREGÄDO, A, 9. 9. de 

f DesaccrEcir , v. a. söparer, desunir, des- 
incorpeorer. 

DESAGOAR,, ete. V. Desaguer, elo. 

DesacaaDinO, A, p. p. de 

DesacaapiR, ©. a. eta. döplaire, desagreer, 
mecontenter. 

Desaorapin-se (de), v. r. n’ötre pas 000- 
tent de; cesser d’aimer, se dögoüter. 

DESAGRADÄYEL , adj. 2 gen. dösagreable, de- 
plaisant; disgracieux. 

DESAORADÄVRBLMENTE, adv. desagreabie- 
ment ; d’une maniere desagreable. 

DESAGRADECER , ©. a. £tre un ingrat, ne pas 
reconnaltre un bienfait, mesonnattre. 

TDESACRADECIDAHENTE, adv. aves ingraü- 
tude, d’une maniere peu reconnaissante. 

Desackınecino, A, P. p. de Desagradecer. 
(a) adj. Ingrat, meconnaissant, peu repon- 
naissant. 

DESAGRADECINENTO, s.m. "ingralitude, man - 
que de reconndissance.' 

Desacnkpo, 9. m. manque d’aabilit#, de 
bonne gräce. Dösagröment, mecententememt, 
deplaisance, deplaiste. Com —, disgracieuse- 
ment, Cair, incorrer ao — d’alguem , &ire dis- 
graei& aupres de quelgu’un, perdre ses bonnes 
gräces. 

DESAGRAYVAR ‚ et. N: 

Desacazcan , ete. { V. Desagg..., etc. 

Desiovanfıro, 8. m. * tranchte, fosse que 
P’on fait pour faire &conler les eaux d’an 
champ , pour dessöcher les marais. 

Dasicuino, A, P. p. de Desaguar. 

Desicuaoor, s. m.celni qui vide, qui &pufse, 
ga demöche Yenu d’am endroit'; vase pour vi- 

‚der, etc. 

Dasiovautnto,, s. m.“ action de vider, etc.; 
oaaal pour Yecoulement des eaux. L’sconke- 
ment des eaux & cause de la pente du terrain. 

Desiovir, o. @. vider, öpuiser, tarir, desse- 
cher Yoau d’un endroit. 

Dusicuin (em), u. a. Sremboucher, so d4- 


DES 


charger, se jeter, parlant d’un fieure, Lune 
riviäre , qui entre dans la mer, dans un lac. 

Desäcuän-SE, v. r. se vider, se ddcharger, 

° DESAGHISÄDANENTE,, ade. injustement, sans 
raison. . 

.* Dssacuısino, A, adj. injuste, coalre la ral- 
son , deraisonnable. 

* Duaacuısipo, 6. m. tort, injure, oßense, 
injustice. 

Desaınivo, A, 9.p. de Desainer. 

Desamanöra, 8. f. (1. de oder.) infültratien : 
maladie des chevaux trop gras, dont la graisse 
fond dans leur cosps. 

t Dasawmän,o. a. degraisser : öler la graisse. 
(1. de ndner.) Essimer : amalgrir un oistal. 
v.0. (fig.) Crier fort, disputer, se fächer, mes 
trer de l’humeur. 

f DesamÄnbanente, ado. aveo mauraise 
gräce, sans gräoe, sans agröment. Gasche- 
ment, d’une maniere gauche ol maladroiie. 

DesamiDO, 4, adj. sans symdrio, sans 
gräce , sans agröment;; mal bäti, mal fait, gau- 
che. p. p. de 

Dasamär, v. 6. rendre gauche, donner mau 
vaise gräce, deparer, enlaidir. (Ag.) Terait. 

Desumme, 5. m. mauvalise gräce, mauvais al. 
V. Desar. 

Desumösamtntz, ado. gauchemen!, de ur 
vaise gräce. 

DEsAtR0SıSsUMO, A, adj. sup. de 

Desaıröso, A, adj. qui a mauraise mmäit; 
gauche,, maussade. (Ag.) Qui a mal röussi ; qui 
a recu un affront. 

Dssas0u3in0, A, 9.9. de 

Desasousär, v. a. desacooupler les cieme. 

DEsas0nin0, A, pP. p. de 

DESASUBAR, u, a. desservir : rendre de wal- 
vais services, nuire: refuser sen seeours; @B- 
pecher de. 

+ Desasumäno, A, adj. qui n’a pas de jagt“ 
ment, qui n’a pas d’ssprit. " 

Desasuntino,A,p. p. de 

Desasuntäir ; ©. @. dtjuindre, desuai, * 
parer. 

DESAIEBSTÄDO, A, P. I. de 

Desasusrär, ©. a. d6sajuster : deranget Ct 
qui eteit ajuste ; defaire. 

DESAJUSTÄR-SE, ©. r. se desajuster: se di“ 
dire, rompre un marche , une eonrenlöh. 

+Dussusösre, s. m. l’aotion de desajust!: 
ropture d’an rmarche, d’une eonrenüien (Mu. 

DesaLaciB0,A,Pp.p. de 

DusaLacin,, 9.0, söober, , fr 
&couler les eaux. (f. de mar.) Relerer un ei 
vire. (fg.) Dölivrer, sffranchir de queigque M&'; 
de quelique insommodite. 

DESALASTRÄDO,, A, p. p. do 

+ DesaLastain, ©. 8. (1. de mar.) dölesier: 
öter % lest & un vaissean. 

+ DESALASTRAMENTO, 5. me. dolesiage. 

DesaLsannDino, A, p. p. de 

DesaLsanpir , o. a. debäter, öter le bil. 

+ DESALERTÄDANENTE , ado. sans coufäßt 

DasaLawrkdo , A, pP. 9, do Doslanlat, 


DS 


DRSLLENTIR, 
@haleine. ( Ag.) Decourager faire pardre ie 
osurage, Tabailre. 

Tage, se decouragen. 
DssaL£ntO, 8. m. dicduragement, abalıe- 
mest, Selasllance., eo. 

DesuLronsind, A,R.p. de 

DrsuLrogsag, d. .: ‚ster ‚bier de la besace, 

"DEsaLHRÄn, W.4 

Dessuuiänn, A,P. r nie 

tDesırrıän, ©. a. rompre ung alliance, 11 
esl aussi reciproque. 

"Desauuan, elo. V. Despejar. 

DEsaummÄoANENTE, ade. negligemment : 
aTrec ne ERCe, 

Dessuwgäno, A, adj. sans allgnement; sans 
gräce, sans ordre „mal arrangk. p. p. de 

Des ıxmÄn, o. "a. desajuster : detruire Kar- 
rangemenl d’une choge ; deranger l’ordre, eta.; 

er. 

ESALINRO, 5. m. Manqye de propret& et 
dordre dans Ja maniere de s’habiller ; döfaut 
darrangement. (Ma: Negligence, manque de 
win ,- 

DesäLivran, etc, v Alkiviar, eic. 
MÄDANENTE, ado..en scelerat; par, 
avec gratesse, mechamment. 

Drsaumivo, A, pP. p. de Desalmär. «dj. 
Sceltgal, eFYers, neohant, inhumajn , däna- 
wure. 

Drssinaukıto, s.m. "scölöratesse, perrer- 
site , möchancets,, Inbumanil£. 

Desäumän, v. a. (inus.) faire mourir, öler 
lime,. 

DesiLmiß-se, v. f. devenit vera, me- 
chant, etc.; se perwerir; p räre lout ig respect 
qu’on ni Diea, aux Ri etc. 

Dessuosino, A, pP. p. de Desalojar. . 

DesuLseyento,s. m. Paglion de deloger, de 
repousser, delogement. 

Drssuosir,v. a. deloger, rechasser : repaus- 
ser Fun lien dans un auire. v. n. Changer 
de demeure ; decamper. , 

DesaLIERÄDO, A 79, p. de 

DesitterÄin, ©. Q. calıner, apaiser. Il est 
aussi reeiproque. 

Drsauino, A,9. pP. de Desamar. 

Desamandn, 5. m. celui qui n’aime plus, qui 
cesse d’aimer. 

TDasanasgaoanenteE, ado.: sans ordre, ne- 
gigemment. 

Dasasızuino,A,P- 2. de 

Desauasuir, o. 6. deranger ce qui «tail en 
erdre, defaire, 

*Basanit, ao. U. Longe. 

Dasuuin , 0.0. cosser d’akner:; haty, delester, 
abhesrer. Il eztaussi rösfiproqus. 

Desauanınuäno, A, p. pP. de 

tDssauanınmän, v.a. (f.de mar.) desequip- | p 
per: desarıner un valsseau, en retirer l’öqui- 
pre 


Drsanan ano, k,p. 9. de Desamarrär. 


DES 999 


u. q..essouflier : molsre nora| Desamannin,v.a. dötscher, dömarrer. (fg.) 


Dessalair, &carter, &loigner, 
Desamannin,Q. 8. (— do porsp, I. de mar.) 
lever l’ancre. 


DRSANARRÄB-BE, 9. r. (I. de mar.) demssrer : 
gulıter l’ancrage. — d’uma orinide , db dötacber 

son esprit d’une apinion. 

* + DESANASSÄR,, ©. @. repötrir la Ale pour 
qu’ella:ne Idve pas trop vite, 

DasanitEL, adj. 2 gen. qui n'est pas aima- 
ble, qui ne merite point d’etre aime6,. 

DesausıcÄkö, s. f, faute d’ambilign. 

DESANIGADO, A, 9. p. de 

$ DESAMIGAR-SE, ©. r, Cesser d’avoir uns 
amitie ; laisser le ooncubinage.. 

u DESANISTAR-SE, etc. V. Inimisar-ee, eic. 

DESAMOoDORRAR. V. Despertar. 

DESAMORSTAR, etc. V. Dissuadir, eio. 

DESAMOR , s. m. desamour : 08ssalion de l’s- 
maur; sefraidissement , manqus d’amour, da- 
mitie. *Haine, inimitie. 

"+ DESAMORÄDANRUTE, adv. sans amoor, 
sans affection. 

DESAMORÄDO, A, sdj. qui n’aime pas. 9: P. 


de . 

T Desamonir, u. a. perdre, faire perdrp 
Yamour. 

DESAMORÄVEL, adj. 2 gen. rude, desagreabig, 
dedaigneux, qui n’aime personne. 

DESAMOBÄTRLMANTE, adv. aigrement; dere- 

ment.. 

+ DESAMORÖSAMENTE ‚ado. sans ameur, sang 
affection. 

DESANOROSO , A, ad. froid, yann mau, gen 
affectueux. 

DESAMORTALNÄNO ‚Ay P. ».de 

+ DESAMORTALHÄR , ©, & Aesemaevelir: dir 
06 quienseveligsait. 

DESAMOTINADO, A, p. 2. de 

+ Desanorında, & 4 apaiset uno emeute, 
uaa rövolie. 

+ Desamorınin-er, v. r. s’apaiser, cessar 
d’ötre en rebeijlien, renwer dans son devair. 

DESAMPARASO, A, 2:9: de Dvamı a. 
Delaiss@ , abandonn&,, destitue de. esert, ig 
oulte, inhabita. 

f DESAMPARADOR, A, 8. oelui gei dölaisse, 
qui abandanne. . 

DESAMPARÄR, ©. a. delaisser, abandonner. 
Degemparer : quiiter, abandenzery up Jieg oü 
Yon est. 1. Oler les tuleurs aux jewaen grbren, los 
&chalas aux vignes. Priver d’ahri, d’appui, au 
propre et we figurd. 

DEsauPARO, #. m. delaissement, abandon. 
Desemparement, Paction de dösemparer. Man- 
que de protection ‚ de .faveur, d’appui. Deizar 
tudo ao —, laisser tout a Vabandoen. Ester no 
maior —, eire dams le dermige, abandenne- 
men 

Desnutioo, A, adj. qui a Gen de bouder. 


€ kumenr, 
„ se dö- 


Pihmcin ‚u.& remeikko. N) 
Desamvän-sB, do. 1.ne plus, 


... 


fach er, ‘. J 


men 


100 DES 


Drsancinn,A,Pp.p. de 

DESANCAR, ©. @, €reinter, rosser, assommer. 

Desanconan. V. Desaferrär. 

Dssanvino,A,P2.p.de . 

Desanpir,v. a. fsire roculer. —uma bofe- 
tada, appliquer un soufllet. — o andado, (flg.) 
recommenoer, refaire un ouvrage. 

Desanpir, ©. n®. rötrograder, rebrousser 
chemin, retourner sur ses pas. ( lg.) Tourner 
mal. — com ums bofelade, allonger ow appli- 
quer un soufllet. 

DezsancranEırO, 5. m. * tranchöe, rigole. 

Dssancrino, a, adj. a qui on a lir6 trop de 
sang; ( lg.) epuise d’argent. p. p. de 

Desancrär, v. a. saigner jusqu’ä defaillance. 
(Ag.) Affaiblir. (id.) Saigner: lirer peu & peu 
l’argent de quelqu’un,, le plumer. 

DESANGRÄR-SE, 9. r. perdre le sang jusqu’ä 
defsillance. ( fly.) S’affaiblir, se debiliter. 

PDasanmmacäd, s. f. "döcouragement, abat- 
tement de cour, de l’äme. 

DESANIMÄDAMENTE, adv. comme demi-mort, 
sans courage. 

DESANIMADO, A, 9. p. de 

Desanımär, v. a. döcourager, deconforter, 
rebuter, abatire,, faire perdre le courage. 

Desanımir, ©. ®. el -SE, v. r. perdre cou- 
rage. 

Dessanınnino, A,P. pP. de 

Desanınuär, v. a. Jenicher: öter du nid; 
(Ag.) —, faire sortir par force de quelque 
poste, de quelque endroit. 

DESAnnsxAßo, A, pP. p. de 

Desannsxin, v. a. demembrer, detacher. 

DeEsanoJAno, A, 9. 9. de 

Desanosin, v.a. faire cesser ow suspendre 
le grand deuil; desenauyer, ögayer. 

DssanosÄn-SE, o. r. se desennuyer ; repfen- 
dre la bonne humeur. 

DESAPADRINNADO, A, 9. 2. de 

t DesarapaınnÄn, v. a. desapprouver, 00n- 
trodire. 

+ DesaparxonäpamntE, adv. avec desinte- 
ressement, sans passion, sans interdt ; de sang- 
froid. 

Desaraızonäpo, A, adj. qui agit sans pas- 
sion ; de#sintsresse. 9. p. de 

Desaraıxonia, v. a. deraciner, 6teindre, 
faire cesser une passion. 

Dasaraıxonin-SE,v. r. noderer, ealmer ses 
passions,, rentrer en soi. 

DESAPARECER , eil. 

DESAPARELHAR, otc. | v- Desappar..., etc. 

DESAPARENTÄDO, A, adj. qui est sans pa- 
rent6, sans parents. 

Desarantan. V. Apartar. 

* Desarassıonar, etc. V. Desapaizonar, etc. 

Desareconmentän. V. Desenvenenar. 

} DESAPECÄDAMENTE, adv. avec indifference, 
sanıs atiachement. 

DESAPEGADO, A, 9. pP. de Desapegar. adj. 
(fig.) Qui n’a point d’attachement. 

Desarzcamixto. V. Desapego. 

Desarscin,v. 4. V, Despegar. 


DES 


Desapeain-se,v. r.(fg.) se dötacher, cetser 
de tenir A une persenne ou A une chose. 

Desartco, s. m. dötachement, renoncement; 
tloignement ,indifference ‚ dösinteressement. 

Desargaces£a, ©, 6, meltto, laisser au ddr 

rvu. 

DESAPERCHBÄR-BE, o. r. V. Desprover-te. 

DESAPERCHBIDANRNTE, adv. au depourve, 
sans ötre prevenu , pr&6par& ow en garde. 

DESAPERCEBIDO , A, 9. P. Desapercsber. adj. 
Depourru, qui n’est pas pr6venu , prepar& ou 
en garde, qui manque de... Bstar — de ludo, 
manquer de tout, #tre au depourvu. Tomar 

—, surprendre quelgu’un. 
ESAPERCEBIMENTO, 8. m. &lat de celui qui 
est depourru, qui est au depourva; impre- 
voyance. 

Desarzarin0, A,9.9.de 

Desırentir,v.a. relächer, desserrer, d&ban- 
der, detendre; delacer. Il est aussi r6&ciproque. 

t Desarkato, 3. m. dtat de co qui est des- 
sorre, etc. (flg.) V. . 

DESAPIEDÄDAMENTE,, ade. impitoyablement, 
eruellement, inhumainement., . 

Desarızpino, A, adj. impitoyable, oruel, 
inhumalin, sans piti6. p. p. de 

DESAPIEDAR , v. a. rendre inhumaln; refroi- 
dir la pitie, la compassion,, endurcir le caur. 

DESAPIEDAR-SE, v. r. &tre sourd & la pilie. 

+ DESAPLUMAR 0W DESAPRUMAR, v. @. Öier 
Faplomb, faire perdre l’aplomb. v. ». Perdre 
P’aplomb, pencher, n’etre pas perpendieulaire. 

T DesarL.umo ou DESAPRUMO, 8. m. Manquo 
d’aplomb. 

DESAPODERÄDANRUTE, ade. furiousement, 
impötueusement, 

Desarovenino, a, dj. d&poss6ds, destitue. 
— do entendimento , priv6 de la raison , comme 
celui qui estivre, fou on niais. p. p. de 

DESAPODERÄR, ©. a. d&posseder : dler ä quel- 
qu’un ce qu’il possdde, ou la possession de... 

DESAPODERÄR-SE, ©. r. se priver de la po 
sossion de..., y Fenoncer. 

Desar01ip0,,A,p. pP. de 

TDesarolir, ©. a. renverser la base, de- 
truire les fondements ; öter ’appui, le soutien. 

f DesaPoIan-sE, ©. r. perdre l’appui, le 
soutien, s’en priver par sa faute. 

+ Desaröto, 5. m. mangque d’appui , de sow- 
tien. (Ag.) Abandon , delaissement. 

DesaroJan, eto. V. Desapoiar, etc. 

DESAPOLVILBÄDO, A, 9. P. de 

+} DesaroLvınia,, o. a, depoudrer : Öter la 
poudre des cheveux. 

DESAPONTÄDO, A, 9.9. de 

DESAPONTÄR, o. a. perdre ou [alre perdre le 
point de mire , se dit d’une arme & (eu. Eflacer 
les points marques peur. cause J’absence aux 
ofices ou & l’appel, 

DESAPOSSÄDO, A,9.p. de 

DESAPOSSaR , ©. a. depossöder : dier & quel- 
qu’un ce qu’il possdde. Il est aussi r&ciproque- 

+ Dasarostüna , s. f. p. #8. gaucherie ; mas- 
vaise attitude. 


DES. 


DESAPPARECER,, vo. n. disparaitre, s’&vanouir, 
se derober, s’öclipser. Il est quelquefois re&ci- 
proque. 

DesapPanEciDO, A, P. pP. de Desapparecer. 

DESAPPARECIMENTO, 5. m. * disparition : l’ao- 
tion de disparailre. 

DEsAPPARELHADO, A, 9.p. de 

Desarvaneıuäir, v. a. deteler les chevaux; 
debäter ; desaccoupler; deharnacher; desser- 
ri une table; deparer, degarnir; depareiller. 
— um nevio, (I. de mar.) degreer ou degarnir 
un vaisseau. 

+ DEsarPARSLHO, 5. m. (l.de mar.) degree- 
ment : action d’dter le gr&ement d’un navire. 

Desaprarıcäö, 5. f. disparition , se dit sur- 
tout des choses ou des personnes qui dispa- 
raissent subilement. 

t Dessarruicacäö, s. f. inapplication : defaut 
d’application , negligence. 

TDESAPPLICADANENTE, adv. avec inapplica- 
ion , negligemment. 

f DesarrpLicioo, A, adj. inapplique, dis- 
sipe, qui manque d’application, negligent. 
P. p. de 

+DisarpLicir, v. a. dösappliquer, dötacher 
de application. 

tDesarPpLicän-se, v.r. ne pas s’appliquer, 
se donner & la negligence. 

Desarpnovaciö, 3. f. desapprobation, im- 
probalion , desaveu. 

Desarrnovino, A, p. p. de Desapprovar. 

Desarrnovanon,, A, 8. desapprobateur : qui 
desapprouye, qui improuve. 

Desappnovär , v. a, desapprouver, des- 
avouer, improuver, ne pas approuver. 

t DEsAPPROVvATiVO ou DESAPFPROBATIVO, A, 
adj. qui conlient, qui annonce desapproba- 
lion. 

Desarasızn. V. er. 

Dasarnscan. V. Desprerar et Desapreciar. 

DesarsscıAno, A, 9. p. de 

tDesareecıär,v. a. depriser: estimer au- 
dessous de sa valeur ; deprecier. 

Desapaespe:,v. a. desapprendre : oublier 
ce qu’on avait appris. Il est aussi neutre et r&- 
eiproque. 

DesaPRENDIiDo, A, P. p. de Desaprender. 

Dusapresän0,A,P2.p.de- 

DESAPrERSan, 0. a. lächer prise, dömordre. 

Desapressivo,A,P. pP. de 

Desapzsssan, ©. a. delivrer, tirer de dan- 
ger, d'inquisiude. 

DESAPRESSÄR-SE,, v. r. se döbarrasser, se d6- 
livrer, se trouver libre. | 

t Desurnisto, s. m. * faule d’appret, de 
preparatif. 

DasaPRımonÄnO ‚A, adj. qui mangue de per- 
feetion ; grossier, inciril. 

Desaraorosıräno, a. V. Desproposilado. 

t Desaraoeösıro,, adv. mal & propos. 

rt Desarnornacäd, a. f. desappropriation : 
renoncement & la propriöts , d&pouillement vo- 
Iontaire, 

Desarsopsıino, A, p. P. de Desapropriar. 

PORT.-FR, 


DES 401 


f DesarnoPrıauento, s. m. V. Desappro- 
priagäo. (fig.) Renoncement & soi-meme,. 

DESAPROPRIÄR , v. a. V. Desapossar. — se 
(de), v. r. se desapproprier : renoncer & la 
propriets, s’en döpouiller. 

DESAPROVAR , etc. V. Desapprovar, etc. 

DESAPROVEITÄDAMENTE , adv. vainement, 
inutilement, infructueusement. 

DESAPROVEITÄDO, A,p. p. de Desaprorer- 
far. adj. Vain, inutile, infructueux. Qui perd 
son lemps , qui ne profite point ou qui ne sait 
pas profller de; peu &conome, dissipe. 

T DESAPROVEITAMENTO, 8. m. "inapplication, 
defaut d’application,, de progres. V. Desper- 
dicio. 

DESAPROVEITÄR,, v. a. mal employer, perdre; 
ne pas profiter de ce qui pouvait @tre utile, 
avanlageux. v.n. Perdre son temps, ne faire 
aucun progres,, ne point avancer. 

DESAPROVEITOSO. V. Damnöso. 

DESAQUCINHOADO ,A,Pp. pP. de 

DESAQUINBOÄR,, %. a. priver quelqu’un d’une 
portion, d’une partie qui lui appartenait. 11 
681 aussi reciproque. 

Desir, s. m. döfaut, faute, tache sur la r&- 
putation ; malheur. 

DesaräD0,A,9.p.de Desarar. 

DESARANHÄDO, A, 9. p. de 

DesarınHär, v. a. Oler les toiles d’araignee, 

Desarän, ©. m. (f. de oeler.) se detacher, 
parlant du sabot d’un cheval. 

Desancino, A, adj. enorme, demesur6; mal 
bäti.p. p. de 

DesarciR, v. a. Öter les cercles des ton- 
neaux. Lächer celui avec qui on luttait. 

DesarcÄr-SE, ©. a. se disjoindre; perdre 
sa facon reguliere. 

DesAarEıÄDO, A, 9.p.de 
: DesanE:Är,, v. a. Öter, enlever le sahble d’un 
endroit. 

t Desarıstäno ,A,adj. (6. de bot.) mutique: 
sans aröles , sans pointe. 

DasarnuApo,&A, pP. p. de Desarmar. 

DESARMADOR, s. m. celui qui desarme; noix 
d’arbalete. i6.V. Gatilho. 

+ Desanmanüaa, s. f. * desarmement : ac- 
tion de desarmer ow de se desarmer.p. us. 

f Desarmamento, s. m. desarmement : ao- 
tion de desarmer une personne, des gens ar- 
mes, de desagreer (un vaisseau) ; liooncieıment 
de troupes. 

DESARMÄR, ©. a. desarmer : Öter les armes, 
Parmure; degarnir (un vaisseau) de ses agres, 
de son 6&quipage, de son artillerie, etc. —, 
demonter, demanteler, parlant d’une fortifica- 
tion; debander un fusil, une arbalete, etc 
Licencier, congedier, parlant de troupes. (fg.) 
Frustrer, —, apaiser, pacilier, calmer (la co- 
lere, la vengeance, etc.). Demonter, defendre, 
degarnir.— os remos, (l. de mar.) deborder 
les avfrons ou les rames. 

DESARMÄR,v.n. se debander, se dit d’un res- 
sort qui part seul, d’un arc, eic. — com furia, 
(fg.) rompre, attaquer, se jeter sur... — em 

26 


402 DES 


edo, (id. se frustrer, n’svoir pas d’effet, 
€cbouer. (t. mil. ou diplom.) Licencier des 
troupes, ordonner le d&sarmement d’une ar- 
mee. (fig.) Se fondre, parlant d’une grande 
pluie, d’une tempete. (id.) Ne pas cadrer, des- 
ajuster. 

Dasarnuin-se, v.r. se desarmer, poser les 
armes, Öler son armure; se decouvrir (& l’es- 
erime). (fig.) Se frustrer. 

Desaruonızar, eic. V. Desharmonızar, etc. 

DesarnraıciDo, A, P. p. de Desarraigar. 

DESARRAICAMENTO , 8. m. deracinement : ac- 
ion de döraciner, ses eflets; &lat de ce qui est 
deracine. 

Desanraıchr, v.c. deraciner : arracher de 
terre avec les racines; (fg.) extirper; Öter, 
guörir entiörement (un mal); cerner, couper 
autour (un cor, une dent, un arbre). Arra- 
cher quelqu’un de sa patrie; l’expulser d’un 
endroit qu’il possedait. 

DeEsARRACäAR-SE, v.r. se deraciner, parlant 
des plantes, des arbres; au fig. des vices, des 
prejuges, etc. 

DESARRANCHÄDO, A, 9. 9. de 

+ DesannancHir, dv. a. defaire la chambrde 
des soldats, separer quelqu’an de la chambree. 

Desannansino,A,p. p. de Desarranjar. 

DESARRANJADOR, A, adj. ots. qui derange, 
qui met en desordre. 

DesanranJamanto. V. Desarranjo. 

Desanramsär, ©. a. deranger, deplacer; 
troubler, brouiller, meltre en desordre ce qui 
elait en ordre; incommoder. 

Desanrninso, s. m. derangement : &tat de 
choses derangedes ; desordre ; incommodite. 
(Ag-) Fauie d’6conomie, d’ordre dans l’adıni- 
nistration ; mesintelligence, discorde civile. 

DESAK&RAZOAR, eic. V. Desarrezoar, etc. 

DESARRECAGADO, A, 9. p. de 

Desannecacin, v. a. detrousser : döfaire ce 
qui etait trousse et le [aire pendre. 

Desanakıino, A,p. p. de 

Desaantıin, o. a. deharner : öter le har- 
nais. 

*Dusanagıcino, A, ady. qui ne possdde pas 
de biens-fonds. V. Desarraigado. 

Dasanezıcin. V. Desarraigdr. 

Desanagzoinpamänte,, adv. deraisonnable- 
ment : d’une maniöre deraisonnable. 

DesanaEzoAnO, A, adj. deraisonnable : qui 
ne s’accorde pas aveo la raison, l’&quits; qui 
ınanque de raison ; injuste. 

DESARARZOAMENTO, 8. m. dörsisonnement : 
discours deraisonnabie ; chose contraire & la 
rsison. 

DESARREZOÄR, 0 %. deraisonner :: tenir des 
discours deraisonnadles ; ne pas suivre de rai- 
sonnements; ne pas conclure logiquement. Il 
est aussi r&ciproque. 

Desannımino. V. Desamparado. 

Dasanaiuo. V. Desamparo. 

Desanaurido, A,p.p. de 

t Desanavurir, vo. a. faire cesser le depit, la 
bouderie.1l est aussi reciproque. 


DES 


fDesanndro, 5. m. Faction de cesser de 
bouder, de reprendre la bonne humeur. 

DesaantciDO,A,P.p.de 

DESARRUCAMENTO, 3. m. 
d’öter les rides, les plis. 

DesanruGÄR, v. a. dörıder : öter les rides. 
Deplisser, detirer, öter les plis. 

Desannumacäd, 5. f. *etat de co qui est de- 
range, en desordre, en confusion. 

Desannumivo,A,P.p. de 

DesanrumÄrR, ©. a. deranger, mettre hors 
d’ordre. (#. de mar.) Desarrimer : defaire, 
changer l’arrimage d’un vaisseau. 

Desarvonino, A, adj. demätE.p.p. de 

Desırnvorir, v.a.(l. de mar.) desarborer: 
6ter le pavillon , abattre le mät. Abatire ce qui 
est leve. 

Desanvorin, ©.w. (f. de mar.) se ätmäter; 
perdre le mät ou les mäts, rompre ses mäts 
par les roulis. 

Desasin, etc. V. Desazar, etc. 

Desasazonino, A, adj. hors de saison; (fig.) 
mal ä propos. _ 

Desisino, A, 9. 9. de Desasir. 

“+ DEsAsımEnto, s. m. dessaisissement : ı'3c- 
tion de dessaisir. ( fg.) Denüment, privation; 
detachement des biens terrestres. 

Desusie, v. a, detacher, dessaisir, lächer. 

DESASIR-SE, ©. r. ( ig.) se detacher. 

DESASISÄDAMENTE, adv. en fou , en extrava- 
gant; sottement. 

DesasısÄno , A , adj. extravagant , fou; 
&tourdi, sot, &cervel&; imbeeile. 

DESASnäDO, A, p p. de Desasndr. 

DESASNADOR, 8. m. celui qui debourre, qui 
deniaise. 

t Desasnameinto, 3. m. döniaisement : l’ac- 
tion et l’effet de d6niaiser, de d&bourrer. 

DesasnÄr, ©. @. debourrer, deniaiser, fa- 
gonner. 

+ Desasnia-SE, ©. r. se döbourrer, se fa- 
gonner, se former, prendre les maniöres du 
monde. 

Desiso, 5. m. *nonchalance ; manque d’a- 
dresse; mauvaise dögaine; gaucherio, mal- 
adresse. V. Desaso. 

DssAassannipo, A, 9.9. de 

DESASSANRÄR, 0. @. calmer, apaiser la colöre 
de quelqu’un. 

DESASSANHÄR-SE, ©. 7. apaiser sa colöre. 

+ Desassazoino, A, adj. hors de saison 
( Ag.) intermpestif, mal & propos. 

DESASSELLÄDO, A, 9. p. de 

DesısseLLir,, o. a. Öter le sceau. 

DESASSEMELHÄDO, A, P. p. de 


ar. 
Paction et P’effet 


+ 
bie ; öter ce qui faisait une chose somblabie & 
une autre. 

DESASSEMELHAR-SE, ©. 7. pordre la resseim- 
blance; devenir dissemblable. 

Dasassevo. V. Desaceio. 

DesassınaDdo, A,p.p. de 

t Desassınan, v. 6. tor l’assigmatiem, 

Desassisipv, a, p. p. do Desassisde, 


DES 


+ Desassisäir , 9. a. elourdir, rendre fou. 
Desassısrino, A, pP. p. de 
Dssassıstın. V. Desamparar. 


DESASSOCECÄDAMENTE,, adv. turbulemment, 


d’une maniere inquidie, avec krouble, agita- 
tion de Yesprit. 

DesassocscänDO, A, pP. p. de Desassocegdr. 
«dj. Inquiete, inquiet, agit6, chagrin, sou- 
deux. 

DESASSOCECADOR , A, 3. et adj. celui qui in- 
quiete,, etc.; inquietant. V. Periurbador. 

DEAASSOCKGÄR, v. a. inquieter, chagriner, 
rendre inguiet;. troubler. il est aussi re6ci- 
proque. 

Desassockco, s. m. "inquiötude, trouble, 
sgitation. 

DesassoL6to. V. Dissoluso. 

DesassoLviDO, A, 9. p. de 

DssassoLVvÄrR, ©. a. (1. dartil.) debourrer, 
dicharger un eanon, en Öter la charge. 

DESASSOMBRÄDAMENTE ‚adv. sans pour, sans 
ersinte, bardiment, avec Assurance. 

DasıssomsriDO, A, p. p. de Desassombrar. 
adj. Sans ombre,, expos6 au soleil.( ig.) Ras- 
sure ; hardi,, qui ne oraint rien, qui ne s’emeut 


+ DESASSOuBRANENTO, 8. m. "action d’öter 
Fombre; ‘ig.) de se rassurer, de se tranquilli- 
ser; ses effeis. * Assurance, calme, sörenite de 
l’esprit. 

Desassounair, v. a. öterce qui fait ombre 
os ce qui donno de Pombhrage. ( fig.) Rassurer, 
tranguilliser. 

DESASSOMBRAR-SE, u. r. ( lg.) 50 Fassurer, 56 
tranquilliser. 

t DusassouBR0, &. m. dtat de celui qui est 
rassur&, trenquillise. *intr&öpidits, bardiesse. 

TDEsAssUstÄpamENTE, ado, sans 6pouvante, 
sans frayeur. 

+ Desassostäno, A, 9.9. de 

} Desassustäa, v. a. Oter l’&pouvan!e, Vof- 
froi , la frayeur. li est aussi r&ciproque. 

DESASTRADAMENTE, adv. malheureusement; 
par an accident funeste. 

Dusastaivo, A, adj. Infortuns, funeste, 
malbenreuz , malencontreuz. p. p. 06 

f Desastair, v. a. inforlaner; rendre mal- 


Dasisras, s. w. dösastre, malheur public; 
aceident [uneste, it. *Corne attacheu au bout 
d’une perche pour arroser les voiles d’unc 
Barque. 

Desssraösautnte, adv. deösasireusemen! : 
@’une manitre dösastreuse. 

Desastnöso, A, adj. desastreux : funeste, 
malbeureux. 

Dssatacino, A,p.p. de 

Desstacia, o. a. detacher, delacer, delier, 
desserrer; decharger (un fusil, eic.) aveo le 
tre-bourre. — 08 ealcöes, metire culotie bas. 

T Desatipauente, adv. librement, sans or- 
dre,, sans liaison. 

Desarino ‚a, p. p. de Desaltar. ady. Delie, 
detache, / 4.) Sans liaison. Defait dissous, 


DES 403 


delay6, detrempe. — homem, gauche, mal 
bäti, mal fait, disgracieux. Estar — com al- 
guem, etre brouille avec quelqu’un. 

DESATaDURA, s. f. action de detacher ,. de 
delier. 

t DESATAMENTO,s. m. V. Desaladüra. ( fig.) 
Denoüment. 

DeEsaTÄR, v. a. denouer, delier, delacer, de- 
tacher, dechalner. Dissoudre, delayer dans une 
liqueur. V. Desfazer. (fig.) Desunir, separer. 
(id.) Resoudre, donner la solulion. — lagri=- 
mas, fondre en larmes. — a kingus, parler 
librement. — uma düvida, uma difhiculdade, 
resoudre une difficulte. — a vida do corpo, 
6ter is vie, tuer. — as bandeiras, döployer les 
enseignes. 

DesaTir (em), v. n. commencer A; se fon- 
dre; 6clater ; devenir. — em riso, em risadas, 
eclater de rire. — em chöro, em pranto, fondre 
en larmes, verser de chaudes larmes. — 0 
venio, a mwvormn em chuveiros,:se fondre en 
pluie, en averse, en parlant du vent, d'un 
nuage. — em furias, em furores,, devenir fu- 
rieux, se meltre en colere; jeter [eu et lamme. 
— em kicenciosas, dissolutas, devenir 
licencieux, dissolu. 

DESATAR-SE, v.r. se dstacher, se delier, eic. 
— a lingua, ( fig.) parler librement, ä tort et & 
travers. 

DESATASCANO, 4, 9. p. de 

+ Desatascin, v. a. desembourber, depd- 
trer, tirer de la bourbe. Deboucher, netloyer, 
degorger un canal, ete. 

DasaTa0pin0,A,P.9- de 

DssaTacoir, v. a. Öter du cercuell. 

DeEsATAVIÄDAMENTE,, adv. sans ornement, 
sans parure ; sans ordre. 

DesatavıÄno,A,p.p. de 

DESATAVIÄR , 0. @. deparer, Ötor ce qui pare; 
deranger Pordre. 

DssaTAvio, s. m. defaut d’ornement, de pa- 
rure; d’arrangement, d’ordre. 

DESATEMORIZÄDO, A,P.p.de 

+ DEsATENOoRIZÄR, v. a. Öter la crainte, la 
peur( encourager). 

DESATENCÄÖ, elc. 

DESATENTAR, etc. V. Desalien..., to. 

DESATINÄDAMENTE, adv. inconsiderement, 
etourdiment. Outre mesure; excessivement. 
Obstin&ment, opiniätrement. 

DesATIınino, A, adj. etourdi, inconsidere, 
“vapore, fou, insense. Extraordinaire, deıne- 
sure „ excessif. p. p. de 

DesaTınar, v. a. faire perdre la raison, le 
sens. (g.) Etourdir, troubler, mettre quelqu’un 
hors de lui, exasperer, inquieter. 

Desarınan, v. n. deraisonner, s’egarer, rö-- 
ver, exiravaguer. Vaciller, cbanceler. — 30, 
v.r. so dösesperer, perdro patience, enrager, 
etre hors de soi. 

DesATino, s. m. " Extravagance, folie, F&- 
verie, bevue, bötise. Chancellement. 

DESATOLADO A,P.p. de Desatolar. 


404 DES 


DESATOLIR, v. a. desembourber, depätrer: 
tirer de la bourbe. 
Desatoxtino, A, p. p. de 


t DesıTonTiR-sK, v. r. sorfir, Tevenir d’un| 


&ourdisscinent. 

DESATRAEÄDO, A, p. p. de 

+ Desatnackn, v. a. (l. de mar.) eloigner un 
vaisseau d’un autre ou d’un rivage; düborder, 
ll est aussi neutre. 

Desarrancin. V. Destrancar. 

DESATRAYESSADO,, A, 2.9. de 

DESATRAYESSÄR, ©. cı. Öter ce qui &lait mis 
en fravers, 

DesaraeLipo,A,9.7. de 

+ Dasarazıir, v. a. :i6tacher la laisse (d un 
chien). 

‚ Desattrenciö, s. f. inattention,, inapplica- 
tion , distraction. Incivilite, impolitesse. 

DESATTENCIOSO, A, adj. incivil, malbonnete. 

DESATTENDER, v. a. ne point faire attention, 
etre distrait. Negliger. Mepriser, dedaigner. 

DESATTENDIDO,, A, p. p. de Desallender. 

+ DESaATTEnDIvEL, adj. 2 gen. qui n'est pas 
digne d’attention. 

De: \TTENTÄDAMENTE , adv. inconsiderement, 
elourc.iment, 

Desattentino, A, p. p. de Desaltentar. adj. 
Imprudert, &tourdi , inconsidere. 

f Dasarr&stauente, adv. impoliment,, mal- 
honnttement, Incivilement. 

DESATTENTÄR, ©. a. troubler esprit, faire 
perdre la raison ; negliger, perdre de vue. v. m. 
Agir inconsid6rement; commelire une impru- 
Jence. 

DESATTENTO, 3. m. inconsideration ; megarde; 
t£merite, imprudence, malhonnetete, impoli- 
tesse. 

DESATTENTO, A, p. p. irr. de Desatiender et 
adj., incivil, malhonnete, impoli. Inattentif, 
distrait, inapplique. 

Dasaturir. V. Desentupir. 

DEsaTURDido ,A,P.p. de 

+ Desatunpin , o. 0. faire revenir d’un etour- 
Jisserent. 

DesaucıÄpo, A, 2. p. de 

* Desaucıir, v. a. desesperer : faire perdre 
l’esp&£rance. Condamner : desesperer de la vie 
d’un malade, l’abandonner. 

+ Desauronicäö,s. f. l’action et l’effet de 
dögrader. V. Desaulorar. 

DesAauUToRÄp0O, A, pP. p. de 

DesauTtoRÄR, v.@. degrader, priver du grade, 
des bonneurs. 

Dssautorıpipe, 8. f. manque, diminution 
d’autoril®, d’estime, de consideration. 

+ Desauronızacäö, s. f. action de desautori- 
ser, ses effets. 

DESAUTORIZABO, A, f. p. de 

Desauronizän, 9. a. desautoriser : Öter l’au- 
torits, Yauterisstion; faire perdre l’autorite, 
l’estime, la oonsideration & quelqu’un. 

DesautOnızin-e8, v. r. perdre l’estime, la 
eonsideration par sa faule. 

Desavacıa. V. Desferrar. 


DES 


Desavantickm. V. Desvantägem. 

Desävenca, s. f. broulierie, demelt, que- 
reile, dissension, discorde. 

DESAVENTÜRA, elc. V. Desventüra, ele. 

DESAVERGONHADAMENTE, adv. eftrontement, 
impudernment. 

DESAVERCONNADISSIMO, adj. sup. de 

DESAVERCONHÄDO, A, p. p. de Desaver- 
gonhar. adj. Effrontc, impudent, dehonte ; 
malhonnete , polisson;; bardi , insolent. 

DESAYERGONHAMENTO, s. m. "impudence, 
insolence , violence, efironterie. * Parole, ac- 
tion impudente, sottise. 

DEsSAVERGONBÄR, v.a, faire perdre la pu- 
deur; rendre dehonte, elfronte. 

DESAVERCONBÄR-SE,’ ©. r. n’avoir pas de 
honte, perdre toute pudeur, toute retenue, 
devenir polisson, hardi , insolent. 

Drsaveziäno, A, p.p. de 

DesavezaR, v.@. faire perdre de mauvaises 
habitudes. 

DESAYEZÄR-SE (de), 0. r. perdre une mau- 
vaise habitude ; se deshabituer. 

DESAVYIÄDO, A, 9.9. de Desaviar. 

DESAYIAMENTO, 5. m. manque du necessaire 
pour faire une chose. 4. V. Estorvo. 

Desavıar, €. a. devoyer, egarer, delourner 
de la voie, du chemin. Refuser ce qui est nc- 
cessaire pour faire une chose; frustrer, ». ws. 
Desaviin-se, %.r. V. Baldar-se, Molluyıar- 
. pp. u. 

Desavindo. V. Desavindo. 

* DesavıLrano. V. Deshonrado. 

Desavinpo, A, adj. brouille; discord, qui 
n’est pas en bonne intelligence avec un aulre. 
p. p. de 

Desavın, v. a. brouiller, indisposer. 

Desavıa-8E (com), v. r. 3e brouiller, se bu- 
ter, s'indisposer, n’eire pas d’accord. 

DESAVISÄDANENTE , adv. imprudemment - 
inopinement, 

Desavısino, A, 9. p. de Desavisdr. adj. 
Ignorant, peu avise, mal avıse. 

* DESAYISAMENTO, 8. m. V. Desalleuto, s. 

Desaviısan, ©. a. deconseiller :d.uner un 
avis contraire au precedent. Contrcmander, 
donner un conire-ordre, deprier. 

DasAvisär-SE, v.r. ne faire pas altenlion, 
ne pas s’apercevoir. 

Desaviso, s. m. avis contraire au precädent, 
contre-ordre. 

Desazipdamente, adv. gauchement, mel- 
adroitement; negligemment. 

Desazino, A,adj. gauche, maladroit, mal- 
habile; negligent. p. p. de 

Desazir, v. a. couper les alles. (Ag.) Oter 
les moyens de parvenir ; assommer. 

Desazia, etc. V. Desasir, ec. 

Desizo, s. m. * nonchalance; manque d’s- 
dresse; gaucherie, maladresse. * Inopportu- 
nit6 ; depourvu,, manque de proyisıons. 

Dasazonan, V. Dissaborear. 

Desazoucino, A,?. pP. de Desazougdr. 


- 


DES 


DES 405 


+Desızouc£a, v. a. Öter le vif-argent d’une| + DESRARRIGAR, v. a. {fam.) Eventrer, percer 


glacr . efc. 

DesgaBino. A, pP. p. de 

+ DesgasiR, v. a. Öter la vie (aux limacoıns), 
humeur vısqueuse (A cerlaines plantes), en les 
faisanı boul!lir, etc. 

t Despıcoino, A, 7. p. de 

Dessacoin, v. a. egrapper. 

DESBAGULHAR. V. Desbagodr. 

DESBALISADO, A, P. 9. de 

+ Dessauısän, o. a. Öter les balises, les 
bornes. 

DessaLsipo, A,p.p. de 

DespaLsäs, v. a. Couper les ronces, essarler. 

Dessancino, A, p.p.de 

DEsBascÄR , v. a. Öter les bancs. Debanquer:: 
faire sauter la banque. (fig.) Surpasser, l’em- 
porter sur. 

DessaPrızido,A,D. p. de 

Dessartızin, v. a. debaptiser : renoncer au 
bapteme. _ 

+ Dsssaprizin-sr, v. r. se debaptiser ; chan- 
ger de nom. (Ag.) Se mettre en fureur, en co- 
lere, s’irriter, se fächer, s’impatienter. 

DESBARATÄDAMENTE, adv. confusement, sang 
ordre, mal ä propos. 

DassaraTÄDo,A, p. p. de Desbaratar. adı. 
delait,, mis en deroule, parlant d’une armee; 
depourru, demantele, parlant d’une place. £. 
Dissip6, perdu, abtme, ruin€ (fortune,, sante, 
beaute); debanche, libertin, dissolu (vie). «t. 
V. Disparatado. ant. 

DESBARATADÖR, 8. m. celui qui derango, qui 
deeoncerte, qui deregle, qui detruit; dıssipa- 
teur. 

DESBARATAMENTO, s. m. desordre, derange- 
ment, confusion. V. Desbardto. 

DesBARATÄR, v. a. detruire, rompre, de- 
ranger, ruiner, deregler, deconcerter. ($. mil.) 
Defaire,, tailler en pieces, parlant d’une armee. 
Dissiper, prodiguer tout son bien (an#.). Il ost 
aussi reciproque. 

DesparäteE,s. m. V. Disparate et Desbarato. 
Vender a— , vendre au plus bas prix. — de 
venire , devoiement, cours de ventre. 

Desparito, s. m. derangement, desordre, 
billebaude, renversement. (4. mil.) * Deroute, 
delaite." Dissipation, prodigalite , deconfiture. 

DessarBiDo, A, adj. imberbe, qui n’a pas 
de barbe ; blanc-bec. p. p. de 

Dasaaxsir, v.a. (fam.) raser, faire la barbe; 

r. . 


Dissanzino, A, p. p. de 

Dessunzir, v. a. debarrer : Öter la barre ou 
na barres (& une porte, etc.); deluter, Öter le 

c. 

Dessanagtino, A, adj. quiest sans bonnet, 
nu-itle, decouvert. p. p. de 

Disaunnerin, v. a. öter, enlever le bonnet. 

DispanRETÄR-SE, v0. r. Ööter son bonnct; sa- 
Iuer quelqu’un. 

Dessanrıcino, A, adj. qui n’a pas doventre, 
ou Quien apeu. p. p. de Desbarrigar. 


ouvrir le ventre. 

D+sBıstino, A, P. p-V. Desbastar. 

DESBASTADÖR, 5. m. celui qui degrossit, etc. 
V. Desbastar. , 

DESBASTADURA, 5. f. 

DESBASTASENTO, S. FR V. Desbaste. 

DessasTÄR, v. a. degrossir, debillarder, dimi- 
nuer la grosseur; elaguer, emonder, Eclaırcir. 
(fig.) Debourrer, polır, civiliser, faconner, for- 
mer, decrasser. 

Dessistarpir. V. Zegilimar. 

DEsBÄSTE, $. n. debillardement : action. «ıı: 
degrossir. Emondage des arbres. 

Desbautizar. V. Desbaptizar. 

DrSBEICADO, 1,9. pP. de 

DESBEICAR, ©. u. 6guenler : casser le boru 
d’un vase. 

DespocÄnamentTe, ade. sans frein, sans re- 
tenue, sans rTeserve. 

DesB0cADo, A, p. p. de Desbocar. adj. (fig.\ 
Sans frein,, sans retenue dans les propos ; ımal 
embouche, meödisant, satirique. Cavallo —, 
cheval qui a pris le mors aux dents. 

f Despocamanto, s. m. "impudence, mal- 
honnetete, defaut de retenue. 

Dessocir, v. a. — 0 cavallo, rendre un che- 
val fort en bouche. 

Despocia-seE ,v.r. prendrele mors aux denis, 
se dit d’un cheval. (Ag.) Parler sans retenue, 
sans frein, vomir des injures. 

DESBOLÄDO,, A, adj. ecorvele, fou 

* Des50oxcoLino. V. Desbeigado. 

Desporoir, etc. V. Esboroar, etc. 

Dess0oRRÄ00, A, 9.9. de 

DeEsBorRRÄR, v. a. öter la lie. 

Dessotino, A, p. pP. de Desbotdr. 

DesBoTanüra, 8. f. ternissure : aclion de ce 
qui se ternit, son effet. 

DESBoTAR, v. a. decolorer, ternir : öter la 
couleur; (ig.) ternir, öter le lustre, l’&clat. — 
os denies. V. Embotar. 

DESBOTAR, 9. n. ei— 80, v.r. deleindre, 
perdre sa couleur; se ternir, perdre son 6clat, 
son lustre. (ig.) Se delustrer, degenerer. 

DESBRACADO ,adj.m.aqui ona Öle l’alganon 
(forgat); (Ag.) dissolu, sans frein, efltonte. 
p. p. de 

+ " Dessaacäa, v. a. öter l’alganon aux [or- 
cas. 

Despravän. V. Domar, Amansar. 

Desprınchr. V, Desenfeilar. 

Desgaochan. V. Desabrochar. 

Dessucuär. V. Desembuchar. 

*Dessuncınäno. V. Quebdrado. 

DESCABEGADO, A, 9. Pp. de Descabegar. adj. 
Decapits; &tötö. (g.) Chose commenc£e, en- 
tamee; qui commence & descendre, parlant de 
la maree. . 

+ DESCABEGAMENTO ‚as. m. * decapilalion : ac- 
tion de decapiter. 

DescasgcÄrR, v. a. decapiter : Couper, tran- 
cher la t&te. Eteter, couper la t&te d’un arbre, 
dW’un clou. V. Espescogar. (fig.) Commencer, 


406 DES 


enlamer. —o somno, (fg.) dormir un moment. 

DascasecaR, 0. ». (l. de mar.) commencer & 
descendre,, parlant de la ınarde. 

Descasecir-sE, ©. r. (f. d’agr.) w’tgrener, 
parlant des &pis. 

DescAs£LLÄDO, A, P. p. de 

DescassLLän, v. a. decheveler, deranger, 
meler les chereux. 

DescaserLär-se. V. Desgrenhar-se. 

Dsscacnino, A, p. p. de 

+ Descacuan, v. a. (4. du Brösil) purifier le 
jus de la canne & sucre pre:surde,, en lui ötant 
l’6cume grosse et sale appelce cachaga. 

DescanzıaiDo, A, p. P.de 

Descapeirän, v. a. ereinter: fouler, rompre, 
disloquer les reins, les hanches. V. Derrengar. 

Descanin, etc. V. Descair, etc. 

Descalda, s. f. chute, ruine. (fig.) Repartie 
piquante; bon mot. ” Abatis de volaille. Comer 
—,(fam.)ilse dit d’un favori qui a perdu les 
bonnes gräces de son prince : @tre disgracie. 

Descalno, a, p. p. de Descair. 

Descaiuento,s. m. " debilit6, langueur, las- 
situde, fatigue, faiblesse, manque de force. 
Decouragement , abattement. Declin, deca- 
dence, disposition & la ruino,, A la chute. ° De- 
generation. 

Descain ‚vo. w. ($. de mar.) deriver ; s’apaiser, 
parlant du vent. (fg.) Dechoir: diminuer peu 
a peu, aller de mal en pis. S’&carter de son 
sujet. V. Decair. 

DescaLca00, A, 9. p. de Descalgar. 

DescaLCADOR ‚s. m. tire-botle, valeı A debot- 
ter : instrument do bois dans lequel on engage 
le pied pour Öter la botle. 

DescaLcapöra, #.f. excalcialion : l’aclion de 
dechausser. 

DESCALGAR,, ©. a. dechausser : öter la chaus- 
sure. Decaler ; öter la rale d’une table, d’une 
voilure, etc. —as bolas, debolter, lirer les 
bottes. — as luvas, deganter ; se deganter, #’6- 
ter les gants. Il est aussi reciproque. 

T Descauckz, s. f. nudite des pieds. (Ag.) 
*Ordre de religieux dechausses. 

DescäLco, A, adj. dechausse : pied nu, nu- 
pieds. Decbaux. (fg.) Depourvu, au depourvu. 
— de pe o perna , sans bas ei sans soulıers, les 
pieds ot les jambes nus. Ndo esier —, (fig.) 
ne manquer de rien ; @tre prevenu. 

DescaLväpo, A,Pp. p. de 

+DescaLvän, vo. a. decouvrir, faire paraltre 
les sommets des monlagnes. 

+ DescaLrcina, adj. f. Flor —, (1. de hot.) 
qui n’a point de calicc (Neur), acalix, ape- 
rianthacee. 

Descausaciö OU DESCAMBADELLA, 8. f. (t. 
durl.) drölerie, repartie piquante, mot plai- 
sant, qui porte ä rire. 

Descausino , A, adj. tombe, glisse d’en 
haut; facetioux, plaisarıt, enjoud, goguenard. 
p. p. de 

Descamein, v.a. V. Escambar.o. n. Tom- 
ber, glisser d’en haut; plaisanter, s’amuser aux 
depens des aufres. lest aussi reciprorue. 


DES 


Desciwsıo. V. Kıcdibo, Tröca , Permuiscdo. 

Descaminaino, A,adj. oü iln’ya point de 
route, de chemin , inaccessible , impenetrable. 
p.p. de Descaminhar. V Desencaminhado. 

Descauınnanön,s. m. celui qui egare, etc. 
V. Desencaminhador. 

Descauınsan. V. Desencaminkar. 

DESCANINBO, 8. m. egarement : &cart de son 
chemin ; meuvais emploi des revenus publics ; 
fraude - soustraction. (fg.)* Inconduilte, dere- 
glement ; &garement, erreur. 

+ Descamısiva , 8. f. — do milho, (8. d’agr.) 
l’action d’öter la membrane du mals. 

f Descauısano, A, adj. sans chemise. (Ag.) 
Malbeureux , indigent, qui manque de tout; 
sans culotte, 

t Descamısir, v. a. Öter la chemise ; Öter la 
meınbrane interieure du mais. 

DESCAMPADO, 3. m. desert, lieu solitaire; 
pays plat, uni, decouvert. Em —, en plein 
air, en rase cCampagne. 

Descangiad. V. Escansdo. 

Descancan, etc. V. Descansar, etc. 

DEScAnGÄDO, A, pP. p. de 

Descancir ,v. a. — os bois, (f. d’agr.) Öter 
le joug aux baufs, les deteler. 

DESCANSÄDAMENTE, ado. tranquillement, & 
l’aise, sans faligue, sans peine. 

} Descansao&ıro ‚s. m. lieu qui invite, pro- 
pre A s’y reposer. 

Descansäpo, A, adj. tranquille, paisible, 
calme, repos6&, lent, tardif, Jourd, pose. Fida 
—|6, vie oisive. Terra —a, terre en Jachere. 
Estar mais —, etre moins faligue. Esieja, 
Aque—,soyez tranquille; ne vous inquiciez 
pas. Ficar o brago —, fig.) faire avec plaisir 
et sans difficulte. 

Descansir (de), v. ®. reposer, se reposer, 
se delasser, prendre du repos, respirer. Cesser, 
faire une pause. Dormir, reposer. Forcer, ap- 
puyer, porter, reposer, poser sur, dire soulenu; 
sereposer sur. Reposer, @tre place, @tre enterre. 
(Ag.) Se tranquilliser, se rassurer. — em ou so- 
bre alguem, (fig.) compter, faire fond sur quel- 
qu’un. Pör-se a—, se reposer. Sem —, d’arta- 
che-pied , sans discontinuer. — em paz, repo- 
ser en paix, jouir du repos &ternel. Descansa- 
rem as lerras, se reposer, parlant d’une terre 
en jachere. — sobre as armas, (1. mil.) se re- 
pOser sur ses armes. 

Descansin, o. a. donner du reläche, du re- 
pos; aider, soulager. — armas/ (8. mil.) repo- 
Sez vos armes! 

DESCANSAn-SE (de), ©. r. se reposer, prendr® 
du repos. 

DescansO , s. m. repos , delassement, ralraf- 
chissement, reläche. * Aise, oommoditt,, &tat 
commode. —, paix,, parlant des morts. ' Chose 
sur laquolio s’assied une autre : imposie. Se- 
jour, halte : repos qu’on accorde aux soldats 
en route. Arr&ı d’armes & feu. (fg.) Tranquil- 
lits d’esprit. (id.) Personne sur qui on compte, 
on fait fond. Dar — , delasser. Tomar algum 
— ‚56 delasser, prendre du repos. Em oucom 


DES 


=, ise. ade, tranquillement; posement. —do 
sure „(6 de mar.) caurbe ou oonsole du bos- 
BDlF. 

Dsscantipo,A,p.p. de 

Dascantir, ©. w. denner une serenade; 
ehanter au 3on d’instrumenis de musique. 

Descinte, s. m." sörönade, aubade. Sorte 
de petite guitare. —s, pl. (Ag.) mauvaises rai- 
sons. 

DESCARÄDANMENTE, adv. eflrontöment, impu- 
demment , bardiment, 

Dsscanioo, A, p. 9. de Descarar. adj. Ef- 
fronte , impudent ; hardi , dehonte. 

DESCARANENTO , 5. m. * elfronterie, impu- 
dence , insolence , hardiesse hlämabie. 

Descarapici0Q, A, adj. qui a latöte nue, 
nu-tiete , sans bonnet. p.p. de 

DEscAnAPUGÄR-SE, dv. Tr. Öter son bonnet, se 
deeourrir la löle. . 

+ Dsscanär, v. a. rendre ellronie, impu- 
dent, fsire perdre la pudeur, la retenue. 

f Descanär-se, v. r. parler eilronlement, 
impudemment & quelqu’un; se debonter, deve- 
nir polisson. 

DescanneEar. V. Rsquerdear. 

Descinca, s. f. decharge, dechargement :: 
action de decharger. —, action de decharger 
une arme & feu. Eraoualion alvine. (fig.) ° Ac- 
quit; delense,, apologie. Dar uma — inleira, 
(t. de mar.) donner la borde£e. 

Descancan , etc. V. Descarregar, etc. 

Descanceo, 3. m. * decharge , dechargement:: 
asien de decharger. —, ecrit de decharge. 
Acquit. Soulagement Je la conscience. ( #. de 
pri.) —, justilication. Em — de minha cons- 
eiencia „ pour l’acquit de ma conscience. 

+ Descarımäos, 8. f. faute de charite. 

Descanıp6s0 , A, adj. qui n’est pas charita- 
bie. 

Descannino, A, 9. p. de Descarnar. adj. 
Sec , decharne. (f7.) Detache, qui n’a pas d’at- 
tachement, 

+ Descannadör, s. m. (t. de chir.) döchaus- 
soir: instrument de dentiste pour dechausser 
ies dents. 

+Descannanüna, a. f. " dechaussemen! : ac- 
tion de dechausser (un arbre, une dent, etc.). 

Descannin, v. a. decharner : Öter la chair 
des os; öter l’embonpoint ; amaigrir. Dechaus- 
ser : dögarnir le pied , la base, les fondations,, 
Yenveloppe du pied, d’une dent, eto. (fig.) 
Rioigner, detscher des chases terrestres. 

DuscanmÄr-Sg, ©. r. maigrir, perdre l’em- 
bonpoint. 

Desckno. V. Descaramento. 

Descarocino, A , p. p. de Descarogar. 

+ Descanocapör, 3. m. celui qui öte les 
graines du coton pour en separer le duvet; qui 
öte les noyaux des fruits. 

+ DescAaroGAR , v. a. Öter les graines (du co- 
ton) ‚les noyaux (des fruits). 

* Descänneca. V. Descarga. 

DESCARRECADO, A, 9. p. de Descarregar. adj. 


DES 407 


Vide, döcharge. (8. de prat.) Acquitts. (fg.) 
Gai, enjous, joyeux. 

DESCARREGADOR , 3. m. dechargeur, oflicier 
de port, celui qui d6charge les marchandises. 
Debardeur : celui qui döcharge les bateaux. 

T DescARRECADÖURO, 3. m. * tape : lieu od 
Yon decharge des marchandises. 

DESCARREGAMENTO, s. m. V. Descarga, Des- 
cargo. — do rösto, (anti.) air gracieux, affable. 

DESCARREGÄR, v. a. döcharger : öter, dimi- 
nuer la charge, le fardeau. —,,tenir quitie. —, 
delivrer d’une accusation. —, tirer, donner un 
ceup. Assöner, porter un coup violent. (fig.) 
Decocher, lancer des traits de satire, de haine, 
etc. — 0 venire,, soulager lo ventre. — a cons- 
cioncia,, döcharger sa conseience : se confes- 
ser ; faire son devoir. — amdo sobre alguem, 
appesantir se main sur quelqu’un , chätier, pu- 
nir quelqu’un. — 08 sous negocios oU- 
(rem, charger un autre de ses aflaires. — @ 
euipa sobre alguem, inculper quelqu’un, lul 
donner les toris. — uma arvore de ramos mui 
bastos, &laguer, ömonder un arbre. —« carne 
d’ossos, Öter les os de la viande. 

Descannecäir,, v. m. se döcharger, sc jelerı 
tomber sur. — em alguem, ( ig. fam.) se repo- 
ser sur un autre de ce qu’on a älaire. 

DescanrEGär-SE (de), se decharger ; mettre 
bas un fardeau. (fi. de prat.)—, se purger 
d’une accusation, se justifler. S’acquilter d’uug 
dette. Se debarrasser de. Se demettre d’un 
emploi. Se decharger sur un autre d’une occu- 
pation, d’une fonction, elc. — 0 cdo, a nuvem, 
pleuvoir & verse. 

* Descanrkco. V. Descargo. 

DESCARREIRÄR , eic, V. Extraviar, Desenca- 
ninhar. 

Descannıia, etc. V. Desgarrar, Descami- 


DescartÄDo,A,p.p. de 

DEScArTÄR ,o. a. ecarter & certains jeux de 
cartes. (flg.) Eloigner, 6carter, rejeier. 

Descantän-sE (de), v. r. &carter : rejeter 
une ou plusieurs cartes pour en prendre de 
nourelles. (Ag.) Se defaire de quelque chose ou 
personne ‚s’en döbarrasser. 

DESCÄRTE, 3. m. &cart: action d’ecarter au 
jeu ; cartes 6oartses. (flg.) * Action de rejeter, 
d’scarter, de s&parer de soi. Rebut: chose qui 
n’est plus bonne & rien. 

Descäisa-casipos, adj. ets. 2 gen. brouille- 
menage, qui brouille le mari et la feınme. 

Descasäno, A, P. p. de Descasar. 

DESCASANENTO, s. m. l’aclion de demarier. 
V, Divorcio, Repudio. 

Descasär ,v.a. Jeinarier : declarer un ma- 
riage nul. Rloigner quelqu’un de sa femine. 
(fig.) Desassembler, desapparier, depareiller; 
troubler l’ordre de certaines choses. Desunir, 
diviser deux personnes, les indisposer l’une 
contre laulre. 

DEScASCÄDO,, A, P. p. de Descascär. 

+ Descascandor , s. m. celui qui &corce; 
moulin & ccorcer (le cafe, cic.). . 


408 DES 
Descascapdüna,, s. f. Pendreit d’un arbre 
sans &corce. 


DESCASCAMENTO , 5. m. dcorcement : decorti- 
eation, aniövement de !’6corce; action d’&cor- 
cer. 

Descascir , u. a. &coroer : Öter l’6corce; pe- 
ler, ecosser, &caler. 

Descaschn,, v. n. s’deorcer. (4. de vsier.) 
Tomber le sabot & un cheval. 

DescaspäAD0,A,P. p. de 

+ Descaspin, v. a. dter la crasse de la tete. 

+ Descisous,, s. m." action d’ecaler les ar- 
bres , particuliörement le liöge. 

DESCATIVÄDO, A, 9. p. de 

Descatıyan ,v. a. delivrer, metire en liber- 
w, tirer d’esclavage. Il est aussi r&ciproque. 

+ DescaupäTo, A, adj. ( f. de bot.) saps 
queue; dcourte , dcoue. 

+ DescavLino, a, adj. (8. de bot.) acaule: 
intiige, sans tige, & feuilles contre la terre 
(plante). 

DsscavaLcino, A,p.p. de 

DescavaLcia, ©. a. (—a artilkeria), de- 
monter (Vartillerie). vo. #. Descendre de che- 
val. V. Apear-se. 

Descavär. V. Excavar, Cavar. 

Descäveinino. V. Excaveirddo. 

DESCEnDEnCIaA, 5. f. descendance, exirac- 
tion , estoc , ligne d’extraction. 

DescenDenTeE, adj. 2 gen. descendant : qui 
tire son origine, est issu d’une personne, d’uno 
race. (l d’anal.) Qui descend ( aorte, muscle, 
eic.). Nö —, (t. d’astr.) n@ud descendant: 
point oü une planeie coupe P’ecliptique. Si- 
gnaes —s,(1d.) signes descendants : par les- 
queis le soleil paralt descendre. Links —, li- 
gne descendante : posterite de quelqu’un. 

DESCENDENTES, 8. m. pl. descendanis : posie- 
rite de quelqu’un. 

Descenpen (de), v. ». descendre: &tre issu 
de. Proceder, deriver. 

* DESCENDER, v. a. et ®. descendre. V. 
Descer. 

DESCENDIDO, A, 9.p. de Descender. adj. Issu, 
qui tire son origine, qui descend de. 

DESCENDIMENTO,, 8. m. * descente : action de 
descendre, de mettre plus bas. Se dit ordinai- 
rement de la descente de la croix. 

Descansiö, s. f. (tb. d’astr.) descension 
(Jroite, oblique) d’une &toile. 

DESCENSIONÄL, adj. 2 gen. (Differensa —, 
I.d’asir.) descensionnelle: (difference) entre la 
descension droite et obligue d’une &toile. 

Desckuso, s. m. "descente : action de descen- 
dre. *Chute d’un rang e&ieve. ( . de chim.) 
Descensum : distillation faite en plagant le feu 
au-dessus des aromates & distiller. 

Descentg, adj. f. — damard. V. Vasante. 

DescerLina. V. Disciplina. 

Descör (de), v. ®. descendre : ge mouvoir, 
aller, s’etendre de haut en bas. (Ag.) S’abattre, 
s’abaisser; dechoir de son credit, etc. Dimi- 
nuer, baisser, en parlant du prix, de la valeur 
d’une chose. —, avaler, en parlant des bateaux 


DES \ 


sur une riviere. (4. de mus.) Abaisser le ton, 
(Ag.) Proceder, deriver. V. Descender. Venir 
peu & peu au sujet dont on veut parler. —a 
miudezas, entrer dans des details, venirä& par- 
ler de ehoses minutieuses. 

Descer, v. a. descendre : mettre plus bas; 
transporier on bas. V. Apear. (fig.) Priver 
d’une charge, d’un emploi, d’une dignite. 
Abatıre, renverser, faire tomber. Obliger quel- 
qu’un N cöder, ä s’bumilier. — rio abaizo as 
som d’agua, (t.de mar.) descendre la riviere 
en derivant. 

Descka-s£, v. r. desoendre; venir d’en 
haut. — d’uma preiengdö ‚etc. sedösister d’une 
prötention, eic., y renoncer. — da soberbs, 
s’humilier. 

DasczeciD0, A,Pp. ,. de Descereär. 

f DesceacADOR, 5. m. celui qui force l’en- 
nemi & lever un siege. 

Dascencir,v. a. faire lever un siöge. 

Desc£aco , s. m. "levse d’un sidge. 

DESCERRÄDO, A, P. p. de 

+} Descerrir, v. a. decacheter ; ouvrir; ma- 
nifester. 

* Descuaun0. V. Descambio. 

DESCHANCELLADO, A, 9. p. de 

DESCHANCELLÄR, ©. a. decacheter, desoeller. 

Descipa, s. f. descente: l’aclion de descen- 
dre, pente. ( ig.) * Declin, d6cadence. 

Descido, A, 9. p. de Descer. 

DesciMBRä00, A, 9. 9. de Descimdrär. 

+ DESCIUBRANENTO, s.m. (6. darch.) decin- 
trement:: Yaction de deeintrer. 

+ Dsscıusrär, v. a. (1. d’arch.) decintrer: 
öter le cintre d’une arche , d’une voäte. 

* DESCIHENTÄDO, A, P. p. de 

“+ DESCINENTAR, ©. G. ruiner, abalire de 
fond en comble. 

Descıutnto, s.m. V. Doscendimenio, Des- 
cida. " Incursion. 

Descıncivo, A, p. p. de 

Desscıncıa, v. e. deceindre : Öter la ceinture. 
— a espada, quitier l’epee. 

DescırLina, etc. V. Discipline,, etc. 

DescoAcULiÄDO, A, P. p. de 

t DescoacuLirn, v. a. faire fondre ce qui 
&tait cailld , coagule. 

DesSCOoALHÄDO,A,P. p. de 

DescosLHirR, v. a, faire fondre ce qui etait 
caille ; liquefier, degeler. ]l est aussi neutre ot 
reciproque. 

Descos&ara, 3. f. decouverte; invention, 
Manifestation, revelation d’une chose qu’on 
ignorait. 

DESCOBERTAMENTE, adv. A decouvert, A nu, 
decouvertement, sans voile , ouvertement. 

Descos£aT0, A, 9. ?. irr. de Descobrir. ad). 
Decouvert. Andar, estar —, avoir la läle nue. 
A — , ouvertement, A decouvert. Em lodoo—, 
dans tout le monıle connu. Eslar, rare —, 
ötre expose aux injures du temps. y peito —, & 
decouvert, sans armıes defensives; & cur ou- 
vert. Homem — , homme france, rond; inatten- 





DES 


if. 4’ cdre —s, ouvertement, sans dölours, 
sans dissimulation. 

TDsscosertöra, s. f. action de decouvrir, 
de devoiler. 

Descosnıpör, s. m. celui qui decouvre, qui 
faü une decouverte, decouvreur, inventeur. 
Celui qui decouvre une chose cach&e. On le dit 
par excellence de celui qui a decouvert quel- 
que pays inconnu. — de campo, (t. mil.) de- 
courreur, qui va & la decouverts; coureur, 
balteur d’estrade. 

DESCOBRIMENTO, 8. m. *decouverte: action 
de decouvrir, d’inventer. Dec&lement, devoile- 
ment, —, action de decouvrir un pays; le pays 
decouvert. — du peilo, (fig.) ellusion, &pan- 
chement de cur. 

Descosair , v. a. decouyrir : Öter ce qui cou- 
wait; Öter le toit, le couvercle, le dessus; 
laisser voir, laisser trop voir; manifester, faire 
connaitre, röveler, devoiler. —, trouver une 
those cachee ou inconnue. —, comınencer a 0% 
dapercevoir. —, degarnir. — campo, ( ig.) 
decoayrir le terrain;; ( 6. mil.) aller ä la decou- 
verie. — 0 corpo, decouvrir le corps, se de- 
oouvrir, donner trop de prise ä son adversaire. 
(Ag., S’exposer aux suites fächeuses d’une 
affaire en la [avorisant.— o Sanlissimo, eXpo- 
ser le Saint-Sacrement. — o fio, wmontrer la 
corde,, en parlanı d’un drap. (fig. fam.) Mon- 
trer le boat de l’oreille; montrer des inclina- 
ons vicieuses. — sew peilo, OUVFIr Bon CoBur, 
monlrer son caur ä nu. 

Descosaia, v. n. se monlrer, se faire voir, 
paraltre. 

DESCOBRIR-SE, v. Tr. se decouvrir : Öler sa 
couveriure , son chapeau; ( fig.) se manifester, 
se faire voir, &ire decouvert. — (com', se faire 
connaitre ; se declarer a quelqu’un tel que l’on 
est, lui faire part de ses projeis caches,, de ses 
senliments; devoiler son caraclere; se mon- 
Irer, &tre trop frauc, trop ouvert. 

DEsCOcÄDAMENTE, adv. (. burl.) effronte- 
ment, insolemment, en devergonde. 

Descocino, A, adj. et s. devergondo, sans 
konte, sans pudeur, effronte , insolent, impu- 
dent. p. p. de 

Drscocia-SE, v. r. faire l’insolent, parler 
avec insolence, perdre le respect. (a) Avoir 
Faadace de. 

Drscöco, s. m. * effronterie, ımpudence, in- 
solence ; audace. 

Descopzipo, A, 9. p. de 

Descopeir , v. a. &croüter, chapcier. 

Dascoweninamente,, adv. immoderement, 
au-deiä des bornes ; sans reienue. 

VEXOMEDIDO, A, P. p. de Descomedir-se. Im- 
modere; emports; qui n’a point de retenue; 
effrene , deregle. 

Descomenımanto, 3. m. "incivilitö, impoli- 
tesse ; d6laut de retenue. 

Descouzpır-Se , v. r. s’oublier, manquer de 
respect, d’egards, de politesse; n’avoir point 
de reienue; faire des excös;; s’cmporler, 


‘ 


DES 409 


Descowta, v.». (fam.) &vacuer, döcharger 
le ventre. 

DEscouuMercıo, 6. m. faute de commerce. 

DEscoMMODIDÄDE, 3. f. incommodite, preju- 
dice, desavantage,. 

DEscöuMoDo, s. m. V. Descommodidade. ad. 
Incommode. " 

DescommunäL,adj.2 gen. demesure,&norme, 
excessil, hors de mesure, effroyable, prodi- 
gieux. 

* DescommumaLtza. V. Desordenangca. 

t DescommunaLMENTE, adv. demesurement, 
excessivement, oulre mesure, avec exces. 

DESCOMPADRÄDO, A, P. pP. de 

DESCOMPADRÄR, v. a. brouiller, indisposer. 

DESCOMPADRÄR-SE, v. r. 56 brouiller, ronı- 
pre : cesser d’ötre amis. 

DESCOMPASSÄDAMENTE, adv. oulre nıesure 
excessivement. 

DESCOMPASSÄDO, A, adj. disproporlionne; 
outre, dehesur6; excessif. p. p. de 

Desco=mrassär, v. a. faire une chose sans 
mesure, sans les proporlions voulues ; donner 
une forme, une grandeur demesuree , exces- 
SIve. 

DESCOMPASSÄR, v. Rn. el -SE, v. r. exceder, 
outrepasser les bornes de la raison. 

* DESCOMPENSAGAÖ. V. Compensagädo. 

* DESCOMPENSAR. V. Compensar et Dispen- 
sar. 

DescoMPöR, v. a. deranger, deregler, trou- 
bler, demantibuler, desajuster, deplacer, met- 
ıre en desordra. Brouiller : causer du trouble, 
des brouilleries. ( Ag.) Insulter, injurier, dire 
des sottises & quelqu’un. 

DESCoOMPöR-SE, v. r. s’allerer, se deranger; 
se troubler; se decouvrir trop, faire voir des 
nudites; (g.) s’emporter. V. Descomedir-se. 
Se dire des sotlises mutvellement. 

DescosPosıGÄd, 3. f. *derangement, deregle- 
ment, desordre, trouble, confusion. V. Des- 
composlura et Decomposigäo. 

DESCOMPÖSTAMENTE , adv. en desordre; inso- 
lemment; indecemmen!. 

DEscoMPösTO, A, p. p. de Descompor. adj. 
Confus, en desordre ; indecent. 

Descompostüra, s. f. negligence, dösordre ; 
indecence , immodeslie; insulte, injures, pro- 
pos insultanis. 

+ DescouPprAzENTE, adj. 2 gen. qui ne com- 
plalt pas, qui n’est pas complaisant. p. a. de 

DESCOMPRAZER, v. N. ne pas complaire. 

DESCOMPRAZIDO, A, 9. P. de Descomprazer. 

DesconceRTÄDAMENTE , adv. desordonnd- 
ment, confusement, en desordre, irreguliöre- 
ment. 

DESCOXCERTADISSIMO,, A, adj. sup. de 

Desconcentäno, A, p. p. de Desconcerlar. 
adj. Derange ; der6gle; mal arrange; negligent, 
qui ımanqyue d’ordre dans ses aflaires. 

+ DESCONcERTADOR, s. m. celui qui derange, 
qui trouble, qui met en desordre. 

DEsconcERTÄR, ©. a. deranger, troubler, 





410 DES 


metire en dösordre, brouiller. — um pe, etc., 
se demetire un pied , elc. 

DESCONCZRTÄR, ©. #. ne point convenir, ne 
pas caılrer, n’&tre pas conforme. 

DrESCONcERTÄR-SE, o. r. se disloquer, se d6- 
melire,en parlant d’un membre. Sortir de la 
reple. Se deranger, se desordonner. — com 
alyuem, rompre un accord. — na vida, mener 
anc vie deregl&e. — no prego, ne pas S’accor- 
der sur le prix d’une chose. 

Desconctato, a. m. desordre, deröglement, 
derangement, confusion. * Negligence : malı- 
que de soin, de conduite dans ses affaires. 
* Mösintelligence; der&glement de maurs. 

DESConcorRpÄDO, A, 9. p. de Desconcordar. 

Desconcorpäncıa, 8. f. disconvenance, COD- 
trariele, diversit6, discordance, Opposition 
d’avis; me&sintelligenoe; dissemblance. — das 
cozes, dissonnance. 

DesconconpÄnTE, adj. 2 gen. discordant, 
contraire, oppos#; dissemblable; contrariant. 

Desconcorpär, v. a. faire une faule de con- 
cordanco grammaticale. Brouiller les per- 
sonnes qui s’accordaient bien. 

DesconconpÄR, v. ». disconvenir ; dötonner, 
ne pas s’accorder, parlant des voix ow d’in- 
struments de musique ; differer, discorder, Etre 
discordant; ne pas cadrer. 

Desconcörne. V. Desconcordante , Discorde. 

DESCONFIÄDAMENTE , adv. avec defiance, avec 
meflance: timidement. 

DESscoNFIADISSIMO, A , adj. sup. de 

DESCOXFIÄDO,, A, pP. P. de Desconflar. adj. 
Meflant, oınbrageux, soupgonneux, defiant, 
enclin & soupgonner. — dos medicos, aban- 
donn& des medecins. 

Desconriänca,, &. f. deflance, meflance, 
crainte, soupgon. Jalousie. 

Desconxrian, v. a. Öler la conflance, d&cou- 
rager, inspirer des crainles. 

Desconriän (de), v. n. so mefler, se defier, 
craindre, soupconner. — com alguem, se [A- 
cher avec quelqu’un; bouder & cause de quel- 
que plaisanterie. 

DESCONFORMÄDO, A, P. p. de 

Descossoruir, v. a. faire perdre la confor- 
mite, la r&signation. 

DESCoNFoRMäR, vd. ». discorder, dtre discor- 
dant, n’&tre point d’accord ; disconrvenir, n’ötre 
pas conforme. 

DESCoNFÖRME, adj. 2 gen. discordant : qui 
n'est point d’accord, qu’on ne peut accorder, 
oppos6, contraire; different, inegal. 

+ DescoxnrörMEMEnTE , adj. avec discor- 
dance, avec disproportion,, inegalement. 

DescoxronminpÄne, 8. f. discordanee : Oppo- 
sition, contrariet& ; disconvenanee. Diff&renoe, 
disproportion, inegalite. R 

Desconronran, otc. V. Desanimar, Deseon- 
solar 


D£scoRFörTo,, s. m. d6couragement, abatie- 
ment, desolation. 

+ DasconczLackö, 8. f.— d’um rio, (1. de 
mar.) debäcle d’une riviere. 


DES 


DESCONGELIDO,, A,p. p. de 

t DesconczLin,v.a. degeler,fondre laglace, 
ou ce qui est glack. Il est aussi r&ciprogne. 

} DESCONBECEDOR,, A, 3. m&connaissant; qui 
n’est pas reconnalssant. 

Dssconugcee, v.a. meconnaltre , desavouer, 
nier, ignorer. Faire semblant d’ignorer une 
chose. — o beneficio, ne point reconnaltre un 
bienfait. 

DESCONHECER-SE , ©. ?. ne pas Se reconnaltre 
sol-memo; s’oublier. — com alguem, faire 
semblant de ne pas connaltre les personnes de 
connaissance; les recevoir comme des incon- 
nus. — com Lodos, faire semblant de ne con- 
naltre personne. 

+ Desconnecinamente, ado. & Pinsu de, 
sans connalssance. Ingratement : avec ingra- 
ttude. 

DesconuxcinO, A, p. p. de Desconkecer. adj. 
et s. Inconnu : qui n’est pas connu. fa) Ingrat, 
meconnaissant, peu connaissant. Dissimule : 
qui se deguise. Obscur, peu connu.—de lodos, 
inconnu & tous. 

DESCONBECIMENTO, 5. m. "ingratitude;; me- 
connaissance , ignorance. 

Dssconsunciö ou 

Desconsuntacäd. | V. Desiocapäe. 

Desconsuntindo, A, 9. p. de Desconjuniar. 

DESCONJUNTAMENTO, 3. m. " dislocation ; des 
union , separation. 

Desconsuntän, o. a. disloquer, debotter un 
08; desunir, dejoindre. 

DESCONSUNTÄR-SE, v. r. se disloquer; se des- 
unir, se d6joindre. —com riso, (fam.) rire & 
gorge deploy&e, &touffer de rire. 

Desconsuntüra, 8. f. V. Desconjuntamentio. 

Desconsacrän, etc. V. Profanar. 

DESCONsENTidO, A, p. p. de Desconsenlir. 

+ DESCONSENTIMENTO, 3. m. relas, deni; dis 
sentiment. 

DESCONSENTIR , ©. @. ne point consentir; dis- 
convenir. 

+ Desconsinerino,, A, adj. Inconsidere, 
etourdi. p. p. de 

+ Desconsinenin, v.6. ne pas considerer 
(un &tre) ; detourner l’attention d’un sujet. 

DesconsoLagäö, 3. f. aliclion, desolation, 
tristesse ; malaise. (fg.) Personne, chose insi- 
pide. 

DesconsoLÄDANMENTE, ade. trisiement, aves 
peine, sans consolation. 

DESCONSOLADISSIMO , A, adj. sup. de 

DesconsoLano, A,p. p. de Desconsolar. adj. 
Affiige, desole, triste. Fächeunx, aflligeamt. In- 
sipide. 

DasconsoLaper, A, adj. ets. afliigeant, de- 
solant. 

DssconsoLin, v.@. allliger, desoler, faire 
perdre courage, attrister. 

DesconsoLin-sE ‚v. r. s’sflliger, se desoler. 

DESCONsoLATivo, a, adj. fächeux, allligeant. 

DesconsöLo, s. m. "afllicion, desolation, 
tristesse. " Faiblesse , d6rangement d’estomac. 
(1. myst.)* Aridite, 


DES 


DescontTino, A,p.p. de Deseontar. 

Dsscontacıino,p.p. de 

f Descontacıin, vo. a. desinfecter : öter 1a 
eonisgion , V’infection. 

* Descontauento. V. Desconto, Desfalque. 

Descontir (de), v. a. decompter, rabattre 
sur une somme, deduire; retenir, escompter. 
(fg.! Rabattre du merite, diminuer le plaisir. 

DESCONTENTADICO, A, adj. difficultueux, 
difficile, malaise & contenter, facile & mecon- 
tenter, & qui rien ne platt. 

DEMONTENTÄDO, A, p. p. de Desconlenlar. 

DESCONTENTAMENTO , 3. m. mecontenlement, 
deplaisir; murmure ,chagrin, ennui. 

Descontentir, v. a. mecontenter, deplaire; 
fächer, rendre mecontent. 

Descontentin-se, © r. $tre mecontent; 
s’ennuyer, se degoüter. 

f DESCONTENTATIVO, A, adj. propre &4 me- 
contenter. 

Dzscont@ntre, adj. 2 gen. ın&content, mal 
content. Os —s, s. pi. les mecontents : ceux 
qui frondent le gouvernement, qui sen plai- 
gnent; factieux , seditieux. 

DESCONTENTISSIMO,, A, adj. sup. de Descon- 
lente. 

* Desconteanto. V. Descontentamento. 

Desscontinäncıa. V. Inconlinencia. 

Dascontinuagiö, s. f. discontinuation,, in- 
terruption ; cessation pour un lemps (d’une ac- 
tion , d’un ouvrage, etc.). Sem —, sans dis- 
continuer. 

Duscoxrınuipaußntg, adv. avec interrup- 
tion. 

Descontinuino, A, p. p. de Descontinuar. 

+ Descontmuanor, A, adj. et s. qui discon- 
tinue, qui interrompt. 


Descontinuir, v. a. discontinuer, interrom- } 


pre, ne pas continuer une ohose commencete. 

DESCONTINUAR-SE, v. T. pass. se disconli- 
nuer, Etre discontinu,. 

+ Descontinto, A ‚adj. qui n’est pas continu. 
Descöoxto, s. m. decompte, rabais; es- 
compte, mecompte, deduction; compensatlion. 
Rerers de fortune, conire-iemps. 
Desconventencıa ‚s. f. diseonvenance : Man- 
que de conrenance; disproportion ; inögalite. 
* Prejudice, desavantage. 

Dsscoxveniente,, adj. 2 gen. dispropor- 
Gonne ,„ inconvenable; discordant , qui ne 
s’accorde pas; quineva pas bien avec yuelque 
autre chose. ' 

+ DasconvEntentemenTe, ade. sans conve- 
nance,, hors de propos, de saison. 

+*Drsconversino, A, adj. V. Desconver- 
savel. il. p.p. de 

+" Descoxversän, 9. a. 0esser, interrompre 
la eonrersation. art. Fuir, eviter les hommes, 
leur commerce et leur societe. 

* Descouversävet, adj. 2 gen. insociable, 
qui n’aime pas la sociele, le commerce des 
hommes; rude, fAcheux. Non frequenie, s0- 
litaire, parlant d’un lieu. (fg.) Apre, rede; 
incommode. 


DES 411 


DESCONVERSÄYELUENTE ,„ ade. insociable- 
ment. 

+ Drsconvernrer, vo. a. döconrertir : faire 
revenir ä l’erreur, A l’incredulite. 

DESCONVERTIDO, A, p. p. de Desconverter. 

DeEsconviväno,A,p. p. de 

Desconvinär, v. a. deprier : r&voquer une 
invitation , une priere. 

'Desconvinno, A,p.p. de 

Desconvir, v. n. disconvenir; jurer avec, 
ne pas convenir; ötre inconvenable ; n’&tre pas 
d’accord. 

DescoracoÄn, etc. V. Descorgoar. 

Desc6ri00, A, p. p. de Descorar. adj. Päle, 
bleme. 

DeEscörANutNTO, s. ww. * päleur, perte, affai- 
blissement de couleur. 

Descönan, 9. a. decolorer, ter, affaiblir, 
effacer la couleur. 

Descöran, 0.9. 06—se, vu. r. perdre sa cou- 
our; pälir, blemir. 

DeEscorcHÄr, etc. V. Bscorchar. 

DesconcoAno, A, 9. p. do Deseorgoar. 

+ * DesconcoamenTo, 5. m. döcouragement, 
abattement d’esprit. 

Descorncoir, ©. a. decourager, inlimider : 
öter, abattre le oourage. 9. n. Se decourager, 
perdre courage. | 

Desconpan, etc. V. Discordar, etc. 

DESCORNADO, A, P. P. de 

DESCorRNÄR, dv. a. ecorner: arracher, couper. 
öter, rompre les comes d’un animal. st. V. 
Eseornar. 

DESCoR0ÄADO, A, p.p. de 

DescoroÄn, v. a. dedcouronner : Öter une 
couronne; detröner; deerdter. 

DEsCcoROGOAR, ei. V. Descorgoar, etc. 

+ DrsconorLLipa ,adj. f. Fior—, (8. de bot.) 
apetale, (fieur) sans petale. 

* Drsconreser. V. Desordenar. 

Desconren. V. Rscorrer ei Discorrer. 

DFSCORTEJAÄDO,, A, 9. p. de 

Drscorrssän, v. a. faire une impolitesse,, 
ne pas saluer quelqu’un. 

DescoRte2, adj. 2 gen. inoivil, grossier, im- 
poli, malhonnete. 

Drsenntezia, s. f. incivilitsö, impolitesse, . 
grossierei6,, malhonneteld, defaut d’attention. 

DESCORTEZMENTE, adv. incivilement, gros- 
siereinent, malhonnstement. 

DESCORTIGÄDO , A , P. p. de Descorligar. 

° + DescorTiGadeR, s. m. colui qui 6oorce les 
arbres. 

+ Descorricapüra,s.f. | action d’ecorcer: 

+ DesconriGamenTo, s. m. | decorticalion. 

Descorrigar , v. a. &corser : Öler l’6corce ; 
peler. 

DeEscoRTINÄDO, A, 9.p. de 

DESCORTINAR , v. a. lirer, ouvrir les rideaux. 
(fg9.) Manifester, decouvrir une chose cschee. 
it. Voir, decouvrir au Join. (6. de fort.) Abalire 
une courtine. 

DescorTtixo ,s. m. l’action de voir, de decou- 
vrir au loın. (Ag.) * Portee de l’esprit. 


412 DES 


Descosspöna, 5. f. decousure : endroit de- 
cousu. 

” Descostıro. V. Descosido. 

Descosern, ©. a. d6coudre:: defuire la cou- 
ture. (fg.) Rompre l’amiti6, desunir. Couper, 
tailler; (Ag.) dechirer, censurer. —o fiado, 
(loc. fam. fig.) manilester, melire au grand 
jour une cabale, une intrigue, une trame. — 
as orelhas a alguem, (dd.) dire des cheses du- 
res a quelqu’un,, le reprendre,, lo blämer seve- 
rement. 

Descoser-sE, v. r. s6 decoudre. (fig.) S’ou- 
vrir, dire indiserötement ce quil fallait taire. 

Dsscosı00, A, 9. p. de Descoser. 

Descosinüra. V. Descosedura. 

Desscostuman, etc. V. Desacustumar, eic. 

Descostüus, s. m. " perte, defaut d’habi- 
tude, de coutume; dösaccoutumance. 

Descoroir,v. a. ter le coton. 

Desscoutipo,A,Pp.p. do 

Descourir, ve. a. öter le privil&ge de la 
chasse. 

Desscraväno,9.p. de Descravar. 

+ Descaavanporn, s. m. lire-clou : oalil de 
couvreur pour arracher les clous. 

Descaavan, v. a. döclouer, detacher, en 
ötant les clous; d&monter un diamant, elc. üf. 
V. Desacravdr et Desencravar. 

Dsscrsnıtär, etc. V. Desacreditar, etc. 

Descagpıto, s. m. discredit, depreciation, 
bläme, decri, diminution,, perte de oredit, de 
repulation ; deshonneur. 

Dsscnzrin, etc. V. Discrepar. 

Desca&a, v. a. cesser de croire, deveuir in- 
erddule, n’avoir point de foi. N’ajouter point 
foi & ce qu’une personne respectable dit. Il est 
quelquefois neutre. — & Deos ou de Deos, re- 
nier Dieu , renoncer & Dieu. — a viriude ou da 
virtude, ne point oroire A la vortu. — da fe, 
renier la foi. 

* DESCREÜDO, A, P. p. ant. de Descrer. V. 
Descrido. 

Descazv£r, v. a. decrire, tracer, dessiner, 
reprösenter. —, depeindre, peindre, reprösen- 
ter par le -discours. —, (#. de geom.) tracer 
(une courbe). ll se dit au figure, en lermes 
d’astronomie, d’unc plandte, d’une comöte. 

Dssceino, A, p. p. de Descrer. adj. Incre- 
duie, mecreant, infiddle, qui manque de foi. 

DescrıMısÄDo, A, 9. pP. de 

+ Dascaıminarn, ©. a. justifler, disculper, 
excuser, absoudre d’un crime impute. 

Descaıpcäö, s. f. descripuon. ll a toutes los 
acceptions du mot [rangais. 

+ Descamrivo, a, ady. descriptif : qui de&- 
erit. 

DescairT0,A,Pp.p. irr. de Descrever. 

Descrirtör, s. m. descripleur : auteur de 
descriptions; celui qui decrit, qui a decrit. 

* + Descrucıricha, ©. a. Öter, descendre de 
la eroix. 

Descruzino,A, 9. p9. de Descruzdr. 

+ Descnuzia, v. a. Öter la forme de croix & 
une choso. — as ondas,( fig.) apuiser les flow. 


DES 


Descuseir, etc. V. Descobrir, etc. 

* Descüpo (pop.). V. Descuido. 

DesctinaDamEnte, ado. negligemment; sans 
recherche; sans curiosite; par inadverlance. 

DesctinaDissımO , A, adj. sup. de 

Descumapo, A, p. p. de Descwider. adj. 
Negligeut, inaltentif, nonchalant, paresseux. 
Qui se neglige, qui a peu de soin de sa per- 
sonne. V. Desprevenido. Apanhar, colhtr —, 
prendre au depourvu, inopinement, sans &tpe 
sur ses gardes. 

* DescuipamenTo. V. Descuido. 

Descuipär, 9. 0. p. us. empecher quelgqu’un 
de se tenir sur ses gardes, l’endormir. 

Dsscuipar, 9. ®. negliger, se negliger, s’en- 
dormir, n’avoir pas soin de, @ire negligent, 
manquer de soin ; se ralentir ; tre.distrait, 

Dssctivär-sE (de), v. r. s’oublier, oublier, 
negliger ; n’avoir pas soin de. V.lev.n. 

Descümo, 8. m. "negligence : manque de 
soin, d’application. *Inadvertance, oubli; me- 
garde. —s, pl. choses dites ou lailes par me- 
garde, distractions de l’esprit.— reprehensirel, 
oubli, action blämable, bonteuse. Com —, ne- 
gligemment, avec negligence. A —, adv. sans 
faire semblu.ıt de rien, comme par megarde: 
en neglige, sans soins , sans parure. 

Descuıp6s0, A, adj. negligent, insouciant. 

DEscULPA , 8. f. excuse, disculpation. 

*+ DescuLpacäö, 5. f. disculpation, excuse. 

DescuLPino, A, pP. p. de Desculpar. 

DESCULPADOR, A, 8. Celui qui excuse. 

DsscoLrir, v. a. disculper, excuser ; justi- 
er. ll est aussi reciproque. — se cum alguem, 
s’excusor sur quolqu’un, s’on prendre & quel- 
qu’un. 

+ DescuLrävEL, adj. 2 gen. excusable. 

f DESCULPÄVELMENTE, adv. d’une maniere 
excusabie. 

DascumunaL, eis. V. Descommunal, etc. 

DESCURIÖSAMENTE, adt. sans Curiosite; ne- 
gligemment. 

DescuriosipäDeE, 8. f. negligence; miaugue 
de soin ; inattention , nonchalance. 

DsscUuR1680, A , adj. negligent, peu solgncus, 
nonchalant, inattentif; qui n’est pas Curıeuz. 

Descunso. V. Discurso. 

+ Descrru0s0, A, adj. (i.de bol., Ascyphosus) 
sans Coupe. 

Despipo, A, 9. p. de Desdar. 

DsspanBär. V. Desdenhar. 

Despir, ©. a. reprendre ce qui aval eie 
donn&.p. us. —onö, dölaire un n@ud; delier, 
detacher, denouer. 

Despe , prep. depuis , des. — entäo, des lors, 
depuis ce lemps. — que , depuis que. — agors, 
des ä present. — logo, des, aussilöt. — log: 
conveio n'isso, il a bien voulu y acquiescer 
aussilöt. 

* Despecnan-sE. V. Desdenhar-se ot Dedi- 
gnar-s. 

Despeu, s. m. dedain, mepris, rebut, in- _ 
complaisance, rebuffade. Neglige: etat, con- 
tume d’une personne qui n’est point parer. 


DES 


Ester a0 —, ötre en neglige. Ao —, adv. nögli- 
gemmeni, en neglige elegant. 

Daspennino, A, 9. p. de Desdenhar. 

DaspsuuapOn, A,®. qui dedaigne, qui me- 
prise. 

DespzusÄr, v. 
buter. 

Despznnir, v. ». dedaigner : ne pas vouloir 
pır rmepris. — d’alguem, deöprecier, deprimer 
guelqu’un. 

Despennän-sE (de), v.r. dedaigner, ne pas 
daigner. 

t Despzxuarivo, A, adj. qui dedaigne; qui 
marque du dedain. 

+ Despenniven, adj. dedaignable: quimerite 
le dedain, qui doit @tre dedaigne. 

DESDENDÖSAMENTE, adv. dedaigneusement: 
avec dedain. 

DESbENUöSO, A, adj. dedaigneur:: quı mar- 
que du dedain, du mepris; qui dedaigne. 

+ Despaxtäno, A,P».p. de Desdentar. adj. 
"dente: qui n’a plus de dents. Os —s,s.m. pl. 

1. d’hist. nat.) edentes : quadrupedes sans in- 
sısives ni laniaires. 

Despanrän, vo. a. ddenter : rompre, user, 
arracher les dents. 

DespenTär-sE, v. r. perdre ses denis. 

Dzspira, s. f. " desastre, malheur, mauvaise 
fortune, mauvaise destinse, inforlune, dis- 
gräce. Indigence, pauvrets. 

Despıtano. V. Desditoso. 

Despiro, A,p. p. irr. de Desdizer. 

DEspıTosamente , adv. malbeureusement, | mo 
par malheur. 

Despır6so, a, adj. ets. infortune, miserable, 
malbeureux. 

Dsspizer, v. a. dedire, contredire, de- 
wenür. 

Dessıztn,, v. ®. (flg.) s’ecarter, ne point 
convenir, ne pas cadrer, n’etre pas conforme, 
n'avoir pas de rapport. S’abätardir, dege- 
Derer. 

Desnızen-sE (de), v. r. se dedire, so re- 

cter. 

Despızımento, 8. m. 
reiractation. 

Dasposrive, A, p. p. de 

DEsvosRÄR,, ©. a. deplier, derouler, dedou- 
bier : etendre ce qui &tait plie. (fg. ans.) Expli- 
quer, developper. 

Desposkin-sE, v. r. so deployer, se deve- 


a. dedaigner, mepriser, re- 


"action de se dedire, 


per. 

Despouninpo, A,p.p. de 

Desspouaar ou DESDOIRAR, v. G. dedorer, 
öter, enlever la dorure. (flg.) Ternir, noircir, 
obscureir la gloire, ’honneur, la reputation, 
etc. 


Daspouain-sE, v. r. perdre sa dorure. (fig.) 
Se ternir, etc. 

Desp6cao, s. m. "ternissure, denigrement, 
tache ‚üttrissure, deshonneur. 

+ Daszocackö, s. f. "dessechement, dessic- 
eation: action de dess6öcher, ses effeis; dtat 
d’une chose desscch#e. 


DES 413 


Dessccin0,A,P.p. de Deseccar. adj. (1. de 
mar.) Ebasoui, desssch6, fendu par le soleil. 

DESSCCANENTO ‚sm. V. Deseccagdo. 

DessccäntE, adj. 2 gen. dessöchant: qui 
desseche. Dessiccatif : qui est propre & desse- 
cher. p. a. Je 

Deszccir, v. a. dessöcher, rendre sec. 

Dsseccäa-SE, v. r. se secher, devenir sec. 

DESECCATIVO, A ,adj. dessiccatif: qui dessed- 
che, qui est propre & dessecher. 

DesecLıpsA00, A, p.p. de 

DesscLipsÄrR, dv. 0. faire cesser l’&clipse. (Ag.) 
Faire cesser la cause qui attriste, qui afflige. 

DESECLIPSÄR-SE, ©. r. reparaltre, redevenir 
visible, en parlant d’un astre. 

*+ Deseviricacäö, s. f. d&molition (imus.). 
(Ag.) "Scandale, mauvais exemple. 

DESEDIFICADO, p. p. de Desedificar. 

DEsEDdIFICADOR, A, adj. scandaleux : gal 
scandalise; qui donne un mauvais exemple. 

Deseviricär, vd. a. demolir, abaitre, renver- 
ser un edifice (inus.). ( Ag.) Scandaliser, don- 
ner un niauvais exemple. 

-FDESEDIFICATIVO, A, adj.propre Ascandaliser. 

Deszecunär, etc. V. Dessegurar, etc. 

DeEsgsÄn0,A,p.p. de Desejar. 

DESEIADOR ‚„ A, s. celui qui desire, qui 
souhaite. 

Desgıin, v. a. desirer, souhaiter, appeter ; 
simer, ambitionner, vouloir, demander. — com 
ancia alguma cousa, ne respirer qu’apres une 
ehose, aboyer apre&s... Nada desejo tanlo co- 

‚je ne demande pas mieux que... 

DESEJÄVEL, adj. 2 gen. desirable, soubalta- 
ble:: qui merite d’etre desire. 

DeseJ0, s. m. desir, envie, souhait. A’ me- 
dida do — ou de seus desejos, au gr& de ses de- 
sirs, ä soubait. — violento, male rage, passion 
violente. 

DesEsösantnte, adv. avec desir, avec envie; 
ardemment. 

DESEJOSISSIMO,, A, adj. sup. d 

DeEsEı0s0 , A, adj. "desireux: qui desire aves 
ardeur ; avide. Estar muwi —, desirer ardem- 
ment, avec passion. 

* DRSEMALHERAR, ©. G. reoouvrer 06 qui &tait 
aliene. 

DEsEMSAinuino,, A, 9. p. de Desembainhar. 

DeEseusainuanDüna, 8. f. l’aclion de dögainer 
(une &pee, etc.). 

DEsEMBAiNHAR, 9.0. tirer l’Epee du fourreau, 
degatner. Decouvrir : mettre ä decouvert. 8. 
Defaire un ourlet. — a lingua, (fig.) invectiver 
contre quelqu’un. — a espada de maior rigor, 
(id.) chAtier s6verement. — a lingua cortadora, 
(id.) satiriser. — as garras, sortir, &tendre ses 
griffes. 

DeseunaLino, A, P. p. de Desembaldr. 

+ DeszusaLicen, s. f. "deballage: action de 
deballer. 


' DeszusaLin , v. a. deballer : defaire une 


balle. 
DESEMBANDEIRÄDO, A, 9. p. de Desemban- 
deirar. 





44 DES 


+ DESEMBANGFIRaAR.. ®. a ter. \nusser le 
drapesu.. :e bar..iun. .| 385 aU35i "rLIDFO.:Ue. 

Desssaru.ı sn Mr {To ARc se net, :DIG- 
ment. sarıs vbstacie: uafttut. 1°. 

Dessunanı 230.1. 2. 0. je Dewnnoaricer. 
adj. Jesembarrasse. Ichutasee “tn. LI- 
barras. Aue. facıle, ubre. Dr a e. icoaf- 
rasse. en parlanı d'une nassuon YJımcın —. m 
komme acuf, ale, dexzaze, un» „te, durül. 
Ester —, eire iıbre,. »wre uurs 1 ıTuıre. 

DESEMSARALAmrNTU. s. w. Luz swliemens, 
dexaszeınent. V. Desemderu. 

De. sämaaaacı.ı, ec. 2 debarrı-er, rer Jem- 
barras; Oler vuDriarte, H AnDatan —, de 
zauer, evacuer, v'uer. Debrowiler. — ds , d®- 
luvrer Je. 

DU»EWRAARAGAA-IE ue‘, po. r. 3e Irkurrasser, 
erarter ce yuı peut ertıf 1 dumme. se Ir im 
vrer. 3@ desäszer de. u. "tur illiuii, 
acyuerirf de ı 1550 FÜ1ICe. de 4 dal Mesa. 

DESESBARA:.U, 5.8. "ılDef'e. ialtsle, usaflt®, 
Debartas, barliese, dssurante. an! E, Viva 
eıte. Debit facıiiie de chant, 1 sruuuiL Lums 
—, aisement, facılementi, har iı ment. . 

DESENBARALHADOU, A, P. p. ie 

DEsEmBARALHAR, ©. a. Ieıneier,. debrouiler. 

Dassssaacııö,3.f. V. Desemburgue. 

DEsEusaacı00,. ı,Pp. pP. de Desemuur-ur. 

DasswsascaDdcıo. 5. 9. jenar'aiere: eu 


ea l’on debaryue. Debarcaduur.. lieu maryue 


pour debaryuer les mur:bandises Jun van 
ses. 

Deseusancıe. e. a. debarquer : fuıre yortir 
Kun varsseau. Jde),c. 8.—. Jesemüdruuer, 
sortir J’un vassseau. —, descendre, fa.re une 
repuon par mer. 40 —, au Jeberyuer, a la 
sortie da vamnau; 4u Diomenl de debar- 
NueR. 

Duseusincın-se, cr. erelekar ie. 

DEsSamSARCcıDıUELNTE, Acc. ufkaurlil, [aei- 
lement, sans eıluperDeiucti. 

DESEMSaRLIDU , A, p. p- de Dreem'ar ;ar. 

Desk W3ıR. 1008, 5. M. senaleurf, jJuse. CUN- 


seiller des couss supremes de Jusiscr en Portu- | 


gal. — de returio eccienasiice, ofhcıal : Juge 
de cour d’egiise. 

Disemaanc.ın, o.a.depecher, exprdier: de- 
barrasser, öter les obstaı ses, les embarras. 
(1. de prat., Lever le seıuestre , donner inaın- 
levee d’ane saisıe ; lover l'eımbar.o. 

Dese.usanco, 2.m. arrel, decision d'une cour 
de justice. * Main-levee : perinission de dıspo- 
ser de ce qui etait saısi. Brevet , ceduie du roi. 

.” Beponse du roi aux capilulaires Ges cortes. 


tice en Portugal. 

Dasrnwningie, 8. m. deharquement,, desem- 
barquement ; action de debarquer. * Descenie, 
irruption par mer. Faser um —, faire une 
descente. " 

Daszunubıinn,A,P.p. de 

f DrarmsalLan, ©. a. öter d’une malle, 
d’un coffre. 


DaSBuBESEDAD0,, A, 9. p. de Desembebsddr. 


DES 


DEScCHRERKDAR , vu. @_ desenivrer, pegriser; 
dier, \aıre ves=ver |IVreSSe. 
Dr st Intsı DAR-SE, ©. r. desenivrer, se db- 
tier, vesser d’elre ivre, 
Des wesrıne, a, adj. (Ag.) efirene. V. De- 
sen’rudu.p. pP. de 
Dis weestia,e. a. desscher : tirer, laucer 
ne leeüe. e. ». Prendre le mors aux denis, 
parrant ı'un cheval. Ag )V. Desenfrear-se, 
vun. se precipiler comme un lrail. 
Js WDIRRADO, A, 9.2. de 
DESCMDIRRAR, 9. a, peseniäter. Guerir du 
uc.0.n.21 — 88,9. r. se desenläter. 
D+-EwBin. 100, A, pP. p. de Desembocar. 
DiveuseLanuna, 3. f. embeuchure : eniree 
3’ im Jeuve. d’une rıvıere dans la mer, elc. 
se Woucil, 8 8 — 0 astreile, 0 canal, 
ie wur. worte ıl'un detros, d’an canal. 
ULSEWROCLAIR u... 1. de mar.‘ debouguer: 
sorir dan tetronl, d’un canal. Deboucher, son 
ir Yın deuie, d'une Jorze, etc. cm) Se de- 
egurzer, enizer, ;e 'eter Jans, parlant d’ane 
er ere.ew. qui enire dans la mer, dans Un 
“ung. Se renure, aboutır, parlanı d’une Tut, 
eiw. 
DESEWBULSADO, A, 9. p. de 
DessxauLsan. 9. a. deboarser : tirer de la 
bourse pour paver. jouer de la poche, donner 
de l’arzent. ant. Expliquer, manilester. 
Prsen30130.5 m. denoursement , debour, 
I debuurse . 2vuane®e. 
DesEWSORRALHADO, A, pP. pP. de 
Dessup0RR CHAR, 9. G. desenirrerf, dessot- 
‚ ler: dter livresse. | i. de diyuws.) Blanchir Far- 
genterie. 
D-seuBoscı0o,i1,p.p. de 
Dasewsos.an, e. a. [u.re sortir d’ane ember 
cade, Jun vu»; Jebusyuer. 
L sswuomAa-58, ®. r. sortir d’ane embur 
cas. dus 008. 
Desewsaarı00,2,P9. p- de 
Tluiseunni,aRr, ©. @. (— 0 osceudo), dit 
'e beuctier du Bra, . 
bes warıvaLER, 0.4. apprivoiser, PIE 
‚ ren.ire doux, moıns farouche; apsiser la 0% 
lere. H est aussı reciprogue. 
Deseusarvacımo, A, 9. p. de Desembrew 
rer. 
+ Desausauvscımänto, s. m. Vaction d’ap- 
privoser, Je prıver. 
DeseuBREeınıDO, A, Pp. pP. de , 
Disswakeızan, ©. @. lirer, arracher, fait 
sortir des broussailles, des ronces. 
DescussEnnin-se, u. r. so degager des 


se delivrer des vices. 
Desessrıacin. V. Desembebedar. 
DeszuanuLnino, A, p. 9. de Desembrulker. 
DessMentLnanoR,A, 5. colui qui debrouille. 
qui demele, qui deploie, qui deroule. 
Dsseusatıuir, o. o. debrouiller, demeler; 
mettre en ordre ; deployer ow derouler, dep&- 
queter. (fig.) —, &claircir, demeler ( une inln- 
gue, des quesiions obscuses , ©lc. ) 


— do pago , cour souveraine ou de gräce et broussailles , des ronces. — dos vicios, (f9-) 


DES 


+ DssemaRÜLno, 8. m. p. us. d&brouillement: 
action de debrouiller, de deme£ler; (fig.) d’6- 
elaircir. 

DsszmsuGgidauente, adj. (fig.) ouvertement, 
sans deguisement, 

DEsSEMBULGADO,A,P.p.de 

DESEMBUGAR, ©. a, ouvrir le manteau & quel- 
qu’un, lui Öter Paffublement. (fig.) Decouvrir, 

ifester des choses qui &taient cachees. 
ESEMBUCAR-SE, v. T. se debarrasser de 
cetie partie du manleau qui couyre le visage. 

+ Deseusico, s. m. l’aclion de decourvrir le 
visage, parlant de celui qui est envelopp6 
dans un manteau. 

Dsseusccaino, A,p. p. de 

Des£eusucHin , v.a. degorger, se dit d’un oi- 
seau qui jeite ce qu’il a dans le jabot. (ig.) 
Degoiser : dire tout ce que l’on sait, tout ce 
qu’on a sur le caur. (fig. fam.) Debagouler:: 
dire ridiculement tout ce qui vient ä la bouche. 

DESEWBURRAR. V. Desamar, Desen[adar. 

DeseumaLLÄDo,A,p. pP. de 

DESEMMALLÄR, ©. a. Öter du porte-manteau. 

DESEUMARANHÄDO, A, 9. p. de 

DesemmarınBÄR, v. a. debrouiller : deme- 
ler, remettre en ordre, au propre ot au figure. 

DesemmassinO, A, 9.9. de 

+ Dsssmmassir, v. a. defaire une liasse de 
papiers. 

Desemmastein 0% DESEMMASTREÄR, etc. 
V. Desmalrear, elc. 

DESEMMOINHADO, A, P.p. de 

Desemuoingar, vd. a. Oter la oriblure (& 
Vorge). 

DESEMPACHÄDO, A, 9. P. de 

DESEWPACHAR, ©. a. debarrasser, degager ; 
tracuer, vider ; alleger un vaisseau. 

DESEMPACHÄR-SE (de), v. r. se delaire, se 
debarrasser de ce qui donnait de l’embarras. 

DESEMPACHO , s. m. debarras :, cessation 
d’embarras , delivrance de ce qui le causait. 

+ Desemrino, a, adj. non Echalasse, qui 
n'est pas accolö, parlant d’une vigne. ?. p. de 


DEsEMPAPADO, A, ?. 9. de 

Deseurarir, v. a. öter les [aux plis que font 
les habits mal tailles. it. V. Alizar, Evacuar. 

DESEMPAPELÄDO,, A, P. 9. de 

DesempapgLir, o. a, döpaqueter, derouler, 
defaire une enveloppe de papier. 

Dasempig , v. a. döchalasser : Öter les &cha- 
las A la vigne. 

DisempARÄR, etc. V. Desamparar, etc. 

DisgMPARELBÄDO, A,P. p. de 

DESEMPARELHAR, v. a. depareiller, desas- 
sembler; desapparier; desaccoupler; desas- 
sortir. 


DESEMPARKLUAR-SE, v. r.(fig.) se mesallier: 
se marier A une personne dont l’extraction ow 
la fortune n'est pas pareille. 

Desemrara0o,A,Pp.p-de 

Deseupatin, v0. a. departager : faire cesser 
Be partage d’opinions entre les juges, ete.; r&- 
Boudre.—umnsgocio, (fg.) döbrouiller, 6clair- 





DES 415 


eir une affaire ; la terminer. — os volos, d&par- 
tager los voix. 

+ Deseupite, s. m. Paction dedepartager les 
voix; (fg.) d’&claircir, de r&soudre une aflaire. 

DESEMPAYEZÄDO, A, P. 9. de 

DESEMPAVEZÄR, 9. a. depavoiser : Öter les 
pavois, les pavillons d’un vaisseau. 

DESEMPECÄDAMENTE , adv. V. Desembaraca- 
damente, Correnlemenle. 

Deseupecan, etc. V. Desembaracar et De- 
sempachar. 

+ DEsEMrEcCER, v. a. desembarrasser, debar- 
rasser; desentraver. 

DesemPEcino, A, 9. p. de Desempecer. 

+ DESEMPECO , s. m. debarras. 

DESEMPEDERNECER. V. Desempedernir. 

DESEMPEDERNIDO, A, P. p. de 

f DESEMPEDERNIR, v. a. V. Desempedrar. 
(Ag.) Amollir, adoucir. 

DESENPEDIR, etc. V. Desimpedir, etc. 

DESEMPEDRÄOO,A,9.p.de . 

DESEMPEDRÄR, Y. a. depaver : Öter le pav6 
place ; &pierrer. (fig.) V. Desempedernir. 

DESEMPEGADO,A,P.p. de 

DESEMPEGAR, ©. a. Öler du gouflre. 

DESEMPENÄDO, A,9.p.de 

DESEMPENÄR, v. a. &quarrir; Tedresser une 
planche dejelse. 

DesemMPENAR-SE, dv. r. se redresser, devenir 
droit; se mettre droit. 

DESEMPENHÄDO, A, 9. p. de Desempenkar. 

+ DesgmPpenHADöR, 5. m. celui qui deyage, 
qui relire ce qui elait engage; qui S’acquitle 
de..., qui remplit son devoir, ses fonctions, etc. 

* DESEMPENHAMENTO. V. Desempenho. 

DESEMPENTÄR, v. a. degager : relirer un el- 
fe mis en gage. S’acquitter : faire son devoir, 
bien faire ; reiuplir lV’attente, —alguem, libörer 
quelqu’un de ses deltes, les acquilter. — 0 as- 
sumplo, bien soulenir ga Ihese, se lirer d’al- 
faire avec lıonneur. — bem o seu papel, jouer 
bien son röle. —o promellido , degager sa p&- 
role, y salisfaire. 

DESEMPENHÄR-SE, dv. r. s’acquilter, payer 
ses dettes; faire son devoir, remplir ses obliga- 
tions. 

DEsEMPENBO, s. m. degagement : action de 
retirer un effet engage. Acconıplissement d’une 
obligation, d’une promesse. Achevernent, per- 
fection , derniere main. Payeınent des dettes. 

DESENMPENO, s. m. redressemeni d’une plan- 
che dejet&e. —s, pl. regles de charpentier. 

DESEMPERRÄDO, A, p. p. de 

DESEMPERRÄR, ©. a. desarmer, apaiser la 
colere de... ; apprivoiser. 

DESEMPERRÄR-SE, ©. r. se desentäter, db 
mordre. 

DESEMP&STÄDO „A, 9. P. de 

DESEMPESTAR , v. a. desinfecter : Öter la con- 
tagion , !’infection. 

TBSEMPOADO, A,P. P. do 

DEssMPOÄR, d. a. Öler ow secouer la poudre, 
la poussiere; d6poudrer, 6pousseter, Ilest aussi 
röciproqgue. 


416 DES 


+ Deseurosnechn, v. a. tirer quelqu’un de 
l’etat de pauvrei£. v. w. Cesser d’etre pauvre. 

DsssmrociD0, A, pP. p. de 

DESEMPOGAR, v. a. tirer d’an puits. (fig.) 
Tirer d’un lieu profond, cache. 

Deseur0oLkiD0, A, 9.p. de 

+ DsszmroLeäir, 0. a. (t. de !’Inde) puri- 
fer. 

DessmroLci0o, A, pP. p. de Desempolgar. 

+ DeszuroLcanöra, s. f. l’action de deban- 
der, de detendre une arbaldte. 

DssemroLcär, o. a. detendre,, debander une 
arbalete ; lächer ce qu’on avait saisi. 

+ Dassurör, v. a. retirer, Oter, enlever ce 
qui etait interpose; (lg.) ce qui fait un ob- 
stacle. 

Deszeurossin,eic. V. Desapossar, etc. 

Deszmpösto, A, p.p. de Desempor. 

DEsSEMPRENHADO, A, P. p. de 

Deseurnenuan, v. a. v. Parir. (flg.) Dire 
avec difficulte ce que l’on gardait en secret. 

DesemrPtLaido, A, 9. p. de 

DesSEMPULHÄR-SE, dv. r. prendre sa revanche 
des pouilles qu’on avait dites en en disant 
d’ausres. 

DssemPonuADO, A, p.p. de 

DeEsgNPUNHAR, ©. a. dömancher; lächer; faire 
sauler l’eper. 

Desenamoran, etc. V. Desnamorar, etc. 

DEsencABaR, etc. V. Desencavar, etc. 

DeEsENcABEGÄDO,, A, P. p. de 

DFSENCABECAR, v9. a. dissuader; desinfa- 
tuer. 

DESENCABRESTÄDAMENTE , adr. A toute bride, 
a bride abattue; inconsiderement. (lg.) Sans 
[rein , sans retenue. 

DESENCABRESTADO, A, adj. ( ig.) Sans frein; 
!&mieraire; emport&; dissolu. p. p. de 

DESENCABRESTÄR, ©. a. delicoter : öter le 
licou & un cheval, etc. ( fig.) Lächer la bride ä& 
yuelqu’un. 

DESENCABRESTÄR-SE ,v. r. sc delicoter. (Ag.) 
Se livrer & la debauche. 

DESENCACHADO, A, P. p. de 

+ DesencacHaR, ©. a. decouvrir ce qui etait 
cache. V. Desencaizar. 

DESENCADEADO, A, P. p. de 

DESENCADEAR, ©. a. dechalner : dler, deta- 
cner la chaine ow de la chatne. ( Ag.) Rompre 
l’amitie, l’union, ses liens. 

DESENCADEAR-SE, ©. r. se dechalner : rom- 
pre sa chalne, se Jit au figure des vents vio- 
Ients. , 

DESENCADERNÄDO, A, P. 9. de 

DESENCADERNÄR, ©. a. defairc la reliure. 

DESENCAIXÄDAMENTE, adv. immodereuent. 
Rir — , (fam.) rire & gorge d&ployee. 

DSsSEncaıxÄiDO, A, 9. p. de Desencaizar. 

° DESENCAIXADÜRA , 8. f. deboltement, 

DESENCAIXAMENTO, 8. m. luzation , dis- 
location. L’action de desassembler, de des- 
unir, de d&sengrener. 

DESENCAIXÄR, vo. a. disloquer, debolter, d6- 


DES 


mettre les os. D&sassembler, desunir, stparer; 
desengrener. Il est aussi recıprogue. 

DESENCAIXOTÄDO, A, p. p. de 

Desencarzotik, v. a. decaisser, lirer d’une 
caisse, d’un caisson. 

DasencaLnino, A, P9.p. de 

DesgncaLnin, v. a. (f. de mar.)relever, re- 
meltre & flot un navire &chous, le dechoner. 
Defaire une obstruction d’humeurs; tcarier 
un obslacle. 

DESENCALHAR, ©. ®. ($. de mar.) se romelite 
4 flot. (Ag.) Se retirer d’un mauvais pas. 

+ Diese. scäLue, 5. m. rel&rement d’un vais- 
seau. *Re>olution d’une obstruclion,, d’un ab- 
ces. Ecartement d’an obstacle. . 

DEsEXCALMÄDAMENTE, ade. & sang-lroid, 
sans passion ; sans honte. 

DESENCALMADO,, A, p. p. de 

Desencar.:sin, o. a. donner da frais, de la 
fraicheur. (fig ) Calmer, moderer un desir, une 
passion ; apaiser, remetire en bonne homear. 

DEsencALMär-SE, ©. r. prendre le frais, 9 
ralraichir. , 

Desencauınnäno, A, p. p. de Desencami- 
nhar. adj. Ir, andar —, s’egarer, perdre le 
chemin; (fg.) s’ecarter de la raison, de la 
verite. 

DESENCANINHADOR, A, adj. et s. qui egare, 
qui detourne de son devoir; qui debauche, 
pervertisseur. . 

DESENCANINHANENTO, 5. m. &garement; iN- 
conduite. V. Descaminho. 

DESENCANWINHAR, dv. a. &garer, derouter, four- 
voyer, &conduire, öter de la route. (Ag.)—; 
detourner quelqu’un de son devoir; pervefüf, 
debaucher. Soustraire une chose & quelqu’un, 
la detourner de son application. — dinkeiros, 
divertir les deniers. 

DRSENCAMINHÄR-SE, ©. r. s’egarer, se de- 
tourner du veritable chemin, au propre ei &U 
figure; se pervertir, se dehaucher. 

DESENCANISÄDO, A, 9. p. de 

Desencawısin, 0. a. — o miülko,, öter Ven!e- 
loppe aux &pis de mais. V. Descamisar. 

Drsencampipo, A,9.p. de 

Dersencaurän, 9.0. redonner, faire repfeü- 
dre une chose & quelqu’un malgr6 lui. 

DESENCANALRÄDO, A, 9. 9.de 

+ DESENCANALHÄR, v. a. tirer quelqu’an de 
la lie du peuple; lui faire perdre l’air canaille, 
les mauvaises habitudes du bas peuple. 

DESENCANDEÄDO, A, P.p. de 

t Desencanneär, v. a. faire voir clair. 

+ Desencantacäd, 8. [. diligence, soin pouf 
desenchanter, pour decouvrir (un tresor, elc.). 
DeESENCANTADO, A, p. p. de Desencanlar. 

+ DEsencantanorn, 3. m. celui qui desen- 
chante; qui decouvre des choses merveilleu- 
ses, rares. 

DESENCANTAMENTO. V. Desencanto. 

DESENCANTÄK, v. a. desenchanter;; rompf®, 
detruire l’enchantement. (Ag.) De6couvrir une 
chose occulte, rare, precieuse. 

Desencinto, s. m. desenchantement, des 


DES 


ensorcellement : action de desenchanter, de 
desensorceler. 

DESENCANTOADO, A, Pp. p. de 

Desexcantoir, v. a. denicher, deterrer, de- 
coavrir. 

DESERCAPELLÄDO, A, 9. p. de 

DESENCAPELLAR , v. a. Öter le capuchon. 
(l. de mar.) Decapeler : öter le capelage d’un 
tüisseau. 

DesExXcAPOTÄDO, A, P. p. de 

tDesencaroTaR, v. a. (inus.) enlever, Öter 
ie manteau de quelqu’un. (fig.) Manifester, 
Jecouvrir. 

+ DESENCAPOTÄR-SE, v.r. Öter son manteau. 
ig.) Se manifester. — o cdo, s’&ciaircir, de- 
venir serein, parlant du ciel. 

DESENCAPRICBÄDO,, A, P. p. de 

+DesencarrıcHÄr, v. a. desent£ter, desinfa- 
ter. Il est aussi reciproque. 

DeSENCARCERADO, p. p. de 

DESENCARCERÄR , 0.G. desemprisonner, clar- 
tir, mettre en liberte, tirer de prison. (fig.) 
Tırer de peine, d’embarras. —a alma, (flg.) 
separer l’äme du corps. 

TDesencareEcer, v. a.eln. baisser, dimi- 
nuer le prix. 

DSsEnCcARECIDO, A, 9. p. de Desencarecer. 

DESENCARNADO, A, P. p. de 

+ DasuncannaR, ©. a. Öterla couleur des 
chairs. 

DEsENCAnRECADO, A, P. 9. de Desencarre- 
gar. 

* DESENCARRECAMENTO. V. Descargo. 

DesencannecäR , v. a. decharger, liberer 
d’une charge ; exempter; desoberer. 

DesancaragTÄDO, A,9.p. de 

DESENCARRBTÄR , d. a. demonter les canons. 

Desencasano, A, p. p. de 

T Dssencasän , v. a. döcaser : faire sorlir 
de sa case, deloger. 

Desexcasqgt£täpo, A, P. p. de 

Desescasqugtar, v. a. (fam.) depersuader, 
desenteter, desinfaluer. Il est aussi r&ciproque. 

DesExcaSTELLÄDO, A, P. p. de 

DrsencastELLän, v. a. chasser la garnison 
d’un chsteaa , d’une forteresse. (fig.) Chasser 
le demon du corps d’un possede. 

Desencastoän,, etc. V. Desengastar. 

DESENCATARROADO, A, P. ?. de 

+ DesuncatanRoin Ou DESENCATARRHOÄR, 
v. a. guerir d’un catarrhe. 

Daszncavino, A, pP. p. de Desencavar. 

DrsencAYaALCÄDO, A, adj. demonte. V. Des- 
montado. p. p. de 

DesencavaLcäR , ©. a. demonter lartillerie. 
Desencavir, v. a. Ötor le manche, deman- 
ther, debotter. Il est aussi reciproque. 
Desescaxan , etc. 
DasancaxOTAR,,cic. 
Desuxcerin, eic. V. Desencarrelar, elc. 
Dssexcennäno,A, P. p. de Desencerrar. 
DISENCERRAUMENTO, 5. m." mise en libert#; 
Manifestation. 
PORn-FR, 


\ V. Desencaix..., etc. 


DES 417 


DEsSencERrÄR, o.a. donncr la liberts ä ce 
qui etait enferme. (fig.) Developper, &claircir, 
manilester, decouvrir. 

Desencencän-se, v. r. sorlir de clölure; 
paraitre, se ınanifestier. 

DESENCOIFADO, A, pP. p. de 

Desencorrän, v. a. (f. dartill.) decoiffer : 
Öter le couvercle d’une aınorce de canon. 

DESENCcoOLÄnDO , A, p. p. de 

DesexcoLAu, x. a. (1. de charp.) raboter le 
bord d’une planche, 

DESENCOLERIZÄnO, A, p. p. de 

DesencoLerizäu, ©. a. calmer, apaiser la 
colerc a quelqu’un. 

DESENCOLERIZÄR-SE, ©. r. se calmer, s’apai- 
ser, parlant de celui qui est en colere. 

DesencoLner, v. a. derouler, deplier, eten- 
dre, developper. Degourdir, Öter l’engourdis- 
sement. 

DEsEncoLnerR, v.n. el —se, vo. r. se derou- 
ler, eic. (ig.) Se degourdir : perdre sa timi- 
dite ; sortir de sa coquille. — com alguem 
(Ag.) se deboutonner & quelqu’un. 

Dssexcoı.Hino , A, p. p. de Desencolhtr. 

t DESENncoLUINENTO, s. m. (fig.) * bardiesse, 
liberte , airais6, sans göne. 

DESENCOMMENDÄDO , &, 9. P. de 

DESEXCOMNMENDÄR, ©. a. contremander une 
coınınande. 

DEsENCONCHÄDO, A, pP. p. de 

+ DESENCONCHAR, dv. a. tirer, faire sortir de 
la coquille. (fg.) Tirer de prison. 

DESENCONCUÄNR-SE, ©. r. sortir de la co- 
quille;(fig.) d’un lieu cache. 

DESENCONTRÄDO, A, P. P. du 

DESENCONTRÄR,, v. a. [aire croiser, faire 
qu’on se croise , qu’on ne se rencontre pas. 

DESENCONTRÄR-SE, ©. T. Se Croiser, se man- 
quer, ne pas se rencontrer. (fig.) Disconvenir, 
n’etre point d’accord , diverger. 

D£.seNcöNTnRo, 8. m. croisement; disposilion 
alterne ; le fait de se manıuer. (ig.) * Diver- 
gence d’opinions. 

DESERCORDOADO , A,p. p. de 

DESENCORDOÄR,, v. a. Öler les cordes d’un 
instrument de musique. 

DESENCOSTADO , A, 9. p. de Desencoslar. 

DESENCOSTALÄDO, A, p. p. de 

DESENCOSTALÄR, v. a. detacher la charge 
d’une b£te de soınme. 

Desencostär,v. a. mettre debout, faire te- 
nir sans appui. 

DESENCOSTÄR-SE, v.r. se redresser ; cesscer 
de s’appuyer. (fig.) S’ecarter, s’egarer (de la 
vertu, de son devoir, etc.). 

DEsencouTär , etc. V. Descoular, etc. 

DESENCOVYADO, A, P. p. de 

Drsencovär, v. a. deterrer. — as feras, 
lancer, debusquer les betes fauves. (fig.) De- 
nicher. 

Dssencrassär, eilt. V. Adelgagar, etc. 

DESENCRAVÄDO, A, 9. P. de 

DesencrAvän, vd. a. desenclouer : firer un 
clou, parlantdespieces de canon.V.Descravar, 


27 





418 DES 


DESENCRESPÄDO, A, 9. . de 

DESENCHESPÄR ‚, d. a. defriser : Öter, defaire 
la frisure. 

DESENCRESPÄR-SE , v.r. se defriser : s’apai- 
ser, parlant de la mer irritee. (Ag.) — a frenle 
do homem , se derider le front, defroncer le 
sourcil. 

DEsSEncORRALÄDO „A, P.P. de 

DEsSENCURARALÄR, v. a. faire sortir letroupeau 
de la bergerie. Faire sorlir un laureau do sa 
loge pour le combattre. (fg.) Degager ; metire 
en liberie. 

DFESENDEMONINHÄNO, A, 9. p. de 

+ DESENDEMONINRÄR, ©. a. chasser le de- 
mon du corps d’un posscde. 

DESENDEOSÄDO, A, P. p. de 

+ Desenpeosir, v. a. (fig.) humilier, ra- 
baisser P’orgueil. 

DESENDIVIDÄNO,, A, P. p. de 

DESEnDivIiDÄR, e. a. liberer de quelque obli- 
gation ; payer les dettes de quelqu’un. 

DESENDIVIDÄR-SE, ve. r. se liberer, s'acquit- 
ter, se decharger d’une detie; payer ses deltes. 

DFESENFADÄDAMENTE, adv. A loisir, & son 
aise ; d’un air enjoue; sans soucis, de sang- 
froid , sans cinolion. 

DESFEXFADADICO, A, adj. divertissant , agrea- 
ble, recreatif, amusant. 

DESEXFADADO, A, P. p. de Desenfadar. ad). 
Gai, joyeux, exempt de soucis, que rien n’em- 
barrasse. 

DESEXFADAMENTO. V. Desenfddo. 

DESENFADÄR, ©. a. desennuyer : chasser, 
öter l'ennui ; distraire, recreer, delasser ; apai- 
ser, Calıner, adoucir la colere. 

DESENFADÄR-SE, ©. Fr. se Teposer de ses fali- 
gues; se calmer. (ig.) Se desennuyer, se diver- 
ur. 

Desenrino, s. m. *liberte, franchise, air 
aise, delibere6; distraction , r&creation ; passc- 
temps agreable; consolation, soulagement; 
repos, tranquillite; calme, serenite de l’esprit. 
Delassement, menus plaisirs. Por — , loc. adv. 
pour s’amuser. Jo mes —, Amon loisir, & ınon 
aise. 

DESENFAIXÄDO, A, 9.9. de 

DESENFAIXÄR, ©. a. demaillotier : ler du 
maillot. 

DESENFAIXÄR-SE, ©. r. se döployer, se de- 
plier, se derouler. 

DESENFARDÄDO, A, 9. 9. de 

DESENFARDÄR,, ©. a. deballer, defaire des 
balles , des ballots. 

DESENFARDELÄDO, A, 9. 9. de 

DESENFARDELÄR, ©. &. d&paqueter, deballer': 
dcefaire un paquet, une balle. 

+ Desenränno, 8. m. deballage : action de 
Jefaire une balle , un paquet. 

DESENFASTIÄDAMENTE , adv. avec appetit; 
gaiıment, Joyeusement; avec gräce. 

DESENFASTTADIGO, A, adj. app6tlssant; qui 
Faniıne, qui excile l’appetit. 

DESuNFASTIADO, A, adj. qui a bon appelik, 


DES 


(lg.) Agrdable, de bon goüt; facelieux,enjoue, 
joyeux. 9.9. de 

DESENFASTIAR, ©. a. Öter, faire cesser le de- 
goüt; faire venir l’appetit. (Ag.) Desennuyer, 
reereer, divertir. 

DESENFAXAR, etc. V. Desenfaixar, elc. 

DESENFRITÄDO, A, 9. p. de, 

DesenF£ırTäR, dv. a. deparer, Öter la parure; 
depouiller de ses agr&ments. Il est aussi reci- 
proque. 

DESEnFEITICÄDO , A, pP. p. de 

DESEnFEITIGÄR , ©. a. desensorceler : deli- 
vrer, guerir de l’ensorcellement. 

DESENFEIXADO, A, 2.9. de 

DesEn+EIXÄR, v. a. delier, delaire un fais- 
ceau, une bolte, etc. 

* DESENFERENGAR. V. Differengar. 

DESENFERRUJÄDO, A, 9. p. de 

DESENFERRUJAR, ©. a. derouiller : Oter la 
rouille. —a lingua, (fg.) exercer sa langue en 
parlant. 

Dssenr£ziDo, A, 9.9. de 

DESENFEZÄR, v. a, V. Defecar. (fig.) Faire 
croltre. 

DESENFEZÄR-SE, v. r. V. Defecar-se. (fig.) 
Croitre, s’agrandir, proßter, faire des progres, 
se dit des plantes, des enfants, eic. 

DESENFIÄDO, A, p. p. de 

DESENFIÄR, o. a. defller : öter le fil qui etait 
passe (dans l’aiguille, etc. ). Oter, retirer de la 
file, de Ja rangee. Couper le fil d’une serie de 
choses. (fig.) Faire reprendre sa couleur ä quel- 
qu’un qui avait päli. 

DESENnFOrcän. V. Despendurar. 

DESENFREÄDAMENTE, adv. sans frein, sans 
retenue , d’une maniere effrende. 

DESENFREA9O, A, 9. p. de Desenfrear. adj. 
Effrene, sans frein, sans relenuc; licencıeus, 
deregle. 

DESENFREAMENTO, 3. m. deregiement, d& 
bordement, licence effrenee ; dechainement; 
emportement. ’ 

Desenrreir, v.a. debrider : öter la bride. 

DESENFREÄR-SE, v. r. (fg.) se deborder, se 
dechainer; lAcher la bride & ses passions, se 
deregler ; prendre le mors aux dents ; s’empor- 
ter, entreren fureur, 

DESENFREIO. V. Desenfreamento. 

DesENFRONHÄDO, A, 9. p. de 

DesenrronnÄn, vo. a. öter fa taie d’un oreil- 
ler, d’un cheret. 

DESENFURIRADO, A, P.P. de 

f Desenrutiran , vo. a. (— 0 carro) dter les 
pieux ou les barres (d’une charrette). 

+} DESENFORECER, v. a. Öter la furie, la fu- 
rcur, calmer, apaiser. v. ». Se calıner, s'apar- 
ser. 

DESENFURECIDO, A, 9. p. de Desenfurecer. 

DESENGAGÄDAMENTE, adv. Lomer —, ([am.) 
manger goulument. 

t DEsENGAGADEınA, 8. f. * egrappoir : outil 
pour egrapper le raisin. 

DESENGACADO, A, P. p. de 

DESENGAGAR, 9. a. Ögrapper : detscher eo 


EN 


DES 


raisin de la grappe. (ig. fam.) Devorer, man- 
ger avcc aviditc , goinfrer. 

DESENGAIOLADO, A „P. p. de 

DESENGA1IOLÄR, v. a. faire sorlir de la cage; 
(Ag.}) de la prison. 

DESENCANADAMENTE, ado. franchement, in- 
genument, sans delour; bardiment. 

DESENGANÄDO, A, P. p. de Desenganar. adj. 
Desabuse, deirompe , revenu de ses 6gare- 
menis; sincere, de bonne fol, franc. — dos 
medicos, condamn6 par les medecins. — do 
mundo, degoüts du monde. 

+ Desexcananor,, s. m. oolul qui dötrompe, 
qui desabuse. 

Daszncanir, v. a. dötromper, desabuser, 
desaveugler, dessiller les yeux, &olairer, tirer 
d’erreur. 

DESBENGANÄR-SE , 9. r. so dösabuser, so d&- 
tomper. — d’alguem ou d’alguma cousa , ölre 
detrompe de l’estime que l’on avait pour quel- 
qu’un ow pour quelque chose. —com alguem, 
serpliquer avec quelqu’un. —do mundo, se 
deiromper des grandeurs de la vie. 

Desencino, s. m. desabusement : action de 
dtsabuser, de detiromper; ses effeis, &tat de la 
personne desabusee. Ce qui desabuse. * Inge- 
auile, franchise, bonne foi. Reproche, verits 
dite en face sans menagement. 

DESENGARRAFÄDO, A, P. P. de 

+ Disencanaarin, e.a. öter (le vin, etc.) 
des bouteilles. 

DssencastänOo, A, 2. 9. do 

DESENGASTAR,, ©. a. demonter un diamanı 
ou toute autre pierre precieuse. 

+ Desencannösamente,, adv. sottement, 
ineptement. 

Deszscaxno , s. m. V. Ksiupidez. 

DESEXGENBOÖSO , A, adj. sol, born6, sans 88- 
prit, sans jugement. 

DESENCOLFÄDO, A, pP. p. de 

+ DasexcoLrir , v. a. relirer da goulfre,, de- 
livırer da danger. 

DesuncoumADO,A,p.p. de 

DesEncoNMäAR , 9. a. desemposer : Oter l’om- 
pois du linge. 

Dessncongäpamenre, adv, d’une manlere 
degingandee. 

DasıxconciDo, A, adj. degingande : dislo- 
que, sans conlenanoe ou d’une oontenance mal 
assuree.p.p. d 

Daszscongan , 0. @. degonder : öter de des- 
sus ses gonds; disiouer, dejoindre, desunir, 
Atsassembler, d&sengrener. 

Dzsgnconcan-SE, v. r. 86 degonder, Otre tout 
degingande. (g.) Faire des contorsions, des 
Eiouvemenis violenis, exiraordinaires. 

Desencönco, s. m. aclion de degonder, d#- 
Boltement, dislocation. (fig.) Ddgingandement: 
eist de ce qui est ddgingande. 

DesExcoRnADO, A, 9. p. de 

t DESENCORDAN, o. a, Öter, diminuer la 
FTaisse, o.n. Perdre Pembonpoint, maigrir. 
zansEsCORSURÄDO, a, pP. p.de Dosengordu- 


DES 419 


Desencornunia, ©. a. degraisser : Öter la 
graisse. 

DESENGRACÄDAMENTE, ade. gauchement, sarıs 
gräce. 

DeEsencrACAnO, A, adj. sans gräce, disgra- 
cieux, insipide, sans agrement. p. p. de 

+ Desuncrache , v. a, Öter ja gräce ; rendre 
insipide. 

DeEsenGRAziDO, A,P. p. de 

DeEsEencrarän, .. a. döfiler joe grains du cha- 
pelet, 

Desencnennin. V. Desgrenhar. 

Desencrossäd0,, 4, P. p. de 

DeEssncrossÄR, v. a. d6grossir, atlenuer. 

DeEsenGuIGÄDO, A, p. p. de 

Desencuigan, v. a. deguignonner : öter ie 
guignon 

DEsEnnÄno, A,2.p. de Desenhar. 

DesenuanOR,, s. m. dessinalteur : 
dessiner, qui dessine. 

Dssenuar , v. a. dessiner. V. Debuzar. (g.) 
Proieter. 

DESENHO, s. m. dessin. V. Debuzxo. (fig.) De» 
sein, projet. V. Designio. 

Desensuntan. V. Desaffrontar. 

DersenLacivo, A, p. p. de Desenlarar. adj. 
Denou®, defait, demele. 

t DESENLACANENTO, 5. m. dösenlacement : 
aclion de desenlacer. 

DEsENLACAR,, ©. a. desenlacer, dölacer, de- 
faire le lacet , denouer, delier. 

+ DesenLice, 8. m.V. Desenlagamento. (lg.) 
Denouement, solution : fin d’un poöme, d’une 
piöce. . 

DESENLANEÄDO ,A, 9. 9.de 

+ DESENLAHFÄR, ©. . Öter, enlevor le limon, 
la boue d’un lieu; decrotter. 

DESENLASTRAR. V. Dosennaslrar. 

DESENLEÄDO, A, 9. p. de 

Desentein, vo. a. delier, denouer, demöler, 
debrouiller. 

+ Desenıtıo ou Dasenıfo, s. m. döliement, 
denouement : action de delier, de denouer; 
ötat de ce qui est deli6, denoueb. 

DESENLODÄDO, A,P. p. do 

DesenLovän, v. a. öter, enlever le limon, la 
boue d’un lieu. 

DESENLOTADO, A, 9.9. d 

+ DESENLOTÄR ,O. @. quitter le deull. 

+ DEsENLUTÄR-SE, 0. r. quitter le deuil. (fg.) 
$eclaircir, parlant du ciel. 

f Desenmunzckr, 9. a. denouer la langue, 
rendre l’usage de la parole. v. ». Rompre le si- 
lonce, parler. 

DeEsensupgcino, A, p. p. de Desenmudecer. 

DESEnNNnAsTRiDO, A, p. p. de 

DESENNASTRÄR , v. a. detacher (les chevcux), 
delier, denouer. 

DESENNEVOADO, A, p.p. de 

+ Desennzvoin, v.a. dissiper le brouillard, 
les nuages. (fiy.) Eclaircir, enluminer, eclairer. 

DESENNOVELÄDO, A, p. ?. de 

DESENNOYELÄR,, v. a, döfaire on peloton. 


qui sal 





120 DES 


(?g., Trouver, suivre le fil (d’une histoire, 
d’une intrigue). 

Destso. V. Dezeno. 

Desenguapeı. var. V. Desencadernar. 

Di:swuguirtar, etc. V. Desinquielar. 

DrsEsnAlA00,A,P.p.de 

Desenkaran, ©. @. desenrayer : Öler ce qui 
einpechant la roue d’une voiture de tourner. 

DESENBEDÄDO, A, 9. P. de Desenrodar. 

DESENREDADOR, 5. m. celui qui debrouille, 
qui demele. 

Desenazoir, o. a. detortiller, debrouiller, 
d6meler, mettre en ordre, separer. Denouer, 
demeler, developper, au propre et au figure. 

DESENREDÄR-#E, ©. r. se demeler, se tirer 
d’un embarras; se debrouiller, devenir plus 
clair. 

DesENA£DO,, s. m. debrouillement; denoue- 
ment, solution, Ün d’une piece, d’un po&öme; 
demelement d’une intrigue. 

DssenaoLäDo,A,P.p. de 

DESENROLAR, v. a. derouler: elendre, meltre 
en long ce qui &tait roule. (fig.) Expliquer, 
developper ; raconter diffusement. 

DESENROSCADO, A, P. p. de 

DESENROSCÄR, v. a. detorliller : defaire ce 
qui etait tortilie; desentoriiller. Devisser : d&- 
faire, öter des vis. 

Dzsenaucin0,A,p.p. Je 

DesenaucäR, dv. a. defroncer, derider, de- 
plisser. —o rostv, (fig.) se derider lo front, 
defroncer le soureil.1| est aussi reciproque. 

DEsEnsaccäDO, A, 9. p. de 

DEsEnSaccär, v.a. Öter du sac, vider un sac. 

Desensiö. V. Dissensdö. 

DESENSERADO, A, P. p. de 

+ DEsEnsEBAR, ®. a. degraisser : öter la 
graisse. 

Dssenseläno, A, p. p. de 

DESENSEIÄR, vd. a. Öter, lirer du sein; faire 
sortir d’une anse ow de la rade, parlant d’un 
vaisseau. if. Elaguer, &monder, parlant des ar- 
bres. 

DESENSEIÄR-SE , dv. r. sorlir d’une anse, de 
la rade, parlant d’un vaisscau. 

DESENSINÄDAMENTE, ade. sans insiruction, 
par ignorance. , 

DESENSINADO, A, P. pP. de Desensinar. 

DESENSInADOR, adj. cl s. qui fait desappren- 
dre. 

DESENSINAn, dv. a. faire desapprendre , mon- 
trer lecontraire de ce qu’on a appris. 

+Dssensino, s. m. l’aclion et l’effet de des- 
apprendre ; defaut d’instruclion , ignorance. 
Manque d’enseignenent. 

+ DESENSOBERBECER, dv. a. faire perdre l’or- 
gueil, la fierte ; abatıre l’orgueil, bumilier. 

f DESENSOBERBECET.-SB , v. r. perdre son or- 
gueil , sa fierte. 

+ Di.sENSOBERBECIDO, A, 9.9. de Desenso- 
berbecer. adj. Qui a perdu son orgueil. 

DeEsENSOLYADO, A, P. p. de 

DEsexsoLvar, v. a. (6. d’art.) degorger la 
lumicre du canon. 


ee —— en GMEEEEEEEENSRSEESSEEREE> 


Le  —— EEE, 


DES 


DesentanoLÄn. V. Desembararar, Desemps- 
dir. 

" DesentÄö, ade. des Jors. 

DESENTENDER, vo. n. et — se, v. r. faire 
Päne, feindre d’ignorer, de ne pas entendre. 

+ DESENTENDIDANENTE ‚adv. en feignant de 
ne pas entendre. 

DESENTENDIDO, A, pP. p. de Desenlender. ad). 
Borne; ignorant. Dar-se por —, fazer-#—, 
feindre d’ignorer, de ne pas entendre ow com- 
prendre ; faire semblant de rien. 4o —, los. 
adv. p.us. faisant semblanı de ne pas eniendre 

DESENTENDIMENTO , s. m. faule d’intelligence, 
d’ignorance. 

DESENTERESSE, etc. V. Desinteresse, ei. 

Drsentenia , etc. V. Dysenteria, etc. 

DESENTERRÄDO,, 9. p. de Desenierrar. adj. 
(fig.) Päle comme un mort. 

DESENTERRAD®S , A, 2. qui deterre. — de 
morlos. V. Dessnterramörlos. 

DESENTKUSAMENTO , 5. m. * exhumalion : &C- 
tion d’exkumer. 

+ D2SENTERRAMÖRF DS, 5. 2 gem. ( am.) 06- 
Iui gui dit du mal ”,eceux qui sont moris. 

DEsEnTERRÄR,, 0. a. deterrer, exbumer : Te- 
tirer de terre. (%g.) — , d6couvrir ce qui &ait 
cache. (fig. fam.) Fouiller dans les tom- 
beaux, chercher ä connaitre. Tirer de l’oubli. 
— 05 08508, (fig. fam.) fouiller dans la geneö- 
ICzie de quelqu’un. — os mortos, (fig.) trau- 
bler les cendres des morts. 

DESENTEsäno, A,p. p. de 

DESENTESÄR, v. a. deraidir : Öter la raideur; 
debander, detendre. 

DESENTESÄR, ©. n. et — se, v. r. perdre la 
raideur, se detendre; se relächer. 

DESENTESOURAR , etc. V. Dosenikesourer, 
etc. 

DESENTRESOURADO, A , 9. p. de Desentkesow 
rar. 

DESENTHESOURADÖR, A, 3. qui tire da tre&sor: 
(fig.) Qui decouvre des choses cachees. 

DESENTHESOURÄR, d. a. tirer du tresor. if9.) 
Communiquer, faire connaltre ( des veriles, 
des faits importants,, etc.). . 

Desentoacad, s. f. ’action de detonner, dis 
sonnance , faux ton. 

DESENTOÄDAMENTE, adv. avec detonnalion 
bors du ton naturel, faux. , 

DEsenTOADO, A, P. p. de Desenloar. adj. 
Dissonnant. Homem —, qui chante [aus. 

DESENTOAU£NTO,, s. m. V. Desenloagäo. 

DESENTOÄR, v. a. deionner,, sortir du ID. 
chanter faux. Klever la voix, parler plus hau! 
qu’il ne faut. V. Desproposilar. 

DESENTOAR-SR, v. r. parler fort, audacieu- 
sement. 

DESENTOLBER, ©. @. lirer les membres d'un 
etat d’engourdissement ow de faiblesse, leuf 
rendre la souplesse habituelle. 

DESENTOLBIDO , A, p. p. de Desentolker 

DESENTONADO, A, p.p. de 

+ Desentonär,v. a. abattre, abaisser lof 
gueil, humilier. 





DES 


Deststonp£cka, v. a. dögourdir, Öler l’en- 
gourdissement. (ig.) Acliver, donner de la vi- 
gueur, dag mouvement. 

DesestonpECcER , ©. n.eL — se, v.r. se d6- 
gourdir, perdre Vengourdissement, cesser d’ätre 
engourdi. (g.) —, se [aconuer, se foriuer; 
prendre de l’activite , de l’energie. 

BesentoRPzcipNn, A, P. p. de Desentlorpecer. 

DESERTORPECIMENTO, #. m. degourdisse- 
ment : cessation d’engourdisscinent. 

DrsentaancanO,, A,p.p. de 

Desentaancan, ©. a. defaire une nalle ou 
ane tresse de cheveux, denalter. - j 

DesesTaasBADO, A, P- pP. de 

DEsEXTRANHAn, ©. w. arracher les entrailles. 
(Ag.} Tirer des entrailles de ıa terre; du fond 
du ezur. (id.) Approfondir une maticre. 

TSSENTRANHÄR-SE , v. r. se dechirer les en- 
'railles. ‚kg.) Se depouiller en faveur de quel- 
yu'un. 

DesesteesoLnäs. V. Esfolar. 

fDessxtrıstecke, v. a. desattrister, decha- 
srner, egayer, dissiper la Lristesse. Ji est aussi 
reeiprogue. 

Dssextaistecino,, A ,P. p. de Desentrislecer. 

Disextnonızan0, A, p. p. de 

Desestronızän, c. a. delröner ; chasser, de- 
posseder du tröne; depouiller de la souverai- 
nete. 

Disertaouxäno, A, 9. p. de 

Desestaouxän, v. a. depaqueter, deballer. 

Dessattıaäpo,A,Pp. pP. de 

Disesrursäir, v. a. deblayer, decombrer : 
der les decombres. — um pogo, nelloyer, cu- 
rer un puils. 

DrsestöLno, 3. m. enlövement des decom- 
bres ou plätras, elc. ; deblai, decombres. 
Dssınturipo, A, P. p. de Desentupir. 
Deszurumsento, s. m. debouchement, de- 
görgement, . 

Deszuropn , v. a. degorger, deboucher; cu- 
ter un paits. 

Deszxvasipo, A,9.p. de 

Desenvasir, v. a. (4. de mar.) remeltre & 
fot (un navire), Öter de la vase, du limon. 

DESENYENCILBADO, A, P. p. de 
DESERVENCILHÄR , d. a. dclacher, lächer, de- 
ber, denouer. 

DesexvuncıLRän-se (de), v. r. se deharras- 
ser, se delivrer, briser ses liens. 

Disanvene£näno, A, p. p. de 

+ Disanvenenäir, ©. a. desenvenimer : Öler 
le venin ; guerir Pempoisonnement. 

Desenvencäino, A,P.p. de 

tDesenvencän, vo. a.(t. de mar.) dever- 
guer:: delacher, Öter les voiles des vergucs. 

LSSENVERCONNÄDO, etc. V. Desavergunhado, 
eic. 

Drsanvensin. V. Desinvernar. 

"Desenvestin, v. a. Öler l’ınvestiture, 1a 
transferer 4 un aulre. 

DeszxvioLApo, A,P. p. de 

DesesvioL.än,, v. a. purißer une eglise pro- 
Otte, larendre au culle. 


DES 


DESENYISCADO, A, 2. p. de 

DESENVISCÄR , v. a. degluer: Öter la glu, de 
barrasser de la glu. Il est aussi reeiproque, 

DESENVOLTANENTE, Adv. avec aisance, avec 
adresse, avec gräce; !rop librement, indecem- 
ment; effrontement , impudemment. 

DESENvÖLTO, a, ad. adroit,, agile, inconsi- 
dere; irop libre, licencieux, liberlin , effronte, 
insolent. Aluller —a, femme mise indecen- 
ment, immodeste; excessiiement libre, sans 
pudeur, coquine. 

"DEsENvöLToso,. V. Desenvollo. 

DeEsENvoLTÜüRA, 8. f. agilile, dexterite, har- 
diesse, liberte, franchise, air aise, delibere. 
Licence ; mise indecente. Effronterie, inso- 
lence. Gaillardises : paroles, actions un peu 
libres. 

DesenvoLtcäö,s. f. V .Desenvolvimento, 

DESENVoLVENTE. V. Erolvente. 

DEsEXNvVoLvER, v. a. derouler, developper, 
deployer, deplier. (fg.) Debrouiller, develop- 
per, &clairecir. 

DESENVOLVER-SE, v. r. se debarrasser, 86 
delivrer; se developper, s’accroltre, prendre 
toute sa force. (fig.) Perdre sa timidite, s’en- 
hardir. — mdilo, prendre trop de libert&, de- 
venir insolent. — com alguem, se familiariser 
avec quelqu’un, se deboutonner & lui; lui 
manquer de respect. 

DESENYOLYIDO , A, 9. p. de Desemvolver. 

DESENVOLVIMENTO , &. m. dereloppement + 
action de d&evelopper ou de se d&velopper eb 
general ; progres. 

+ DESENvoLVvivEL, adj. 2 gen. (1. de ER 
developpable ; explicable, susceptible d’& 
dereloppe. 

DESENXABIDAMENTE, adv. sans gräce, Sans 
goüt, insipidement. 

DesenxaBino, A, adj. fade, insipide, sans 
gräce, sans sel, sans art; maussade. 

DESENXARCIÄDO, A, P. p. de 

DESENXARCIAR, v. a. (i.de mar.) degreer un 
navire. 

Desenzerchr. V. Differengar. 

Desserciö,s. f. desertion : action de deser- 
ter; abandonnement du service sans conge. 

+ Desentacäö, s. f. Ct. de prat.) desertion : 
abandonnement d’un appel. 

DESERTADO, A,Pp. p. de 

Desertär (de), v. ®. deserter : quitter le 
service militaire sans conge. (Ag.) —, quitter 
un lieu,, se separer d’un corps. (8. de praf.) —, 
abandonner l’appel. II est quelquefois actif 
avec les mermes acceptions, 1uals p. us. 

DESERTO ‚A, adj. desert, inhabits; solitaire; 
abandonne;; depeupie. 

Des£rto, s. m. desert : lieu desert: terre in- 
culte;; pays inhabite ; solitude, retraile. 

Desentön,s. m. deserteur : soldat qui de- 
serie, qui a deserte. —, qui abandonne une 
sociele, elc. 

Desenvigö, etc. V. Dessertigu , elc. 

DESESCOMMUNGÄR. V. Desezcomm... 

Desescunecer. V. Aclarar, Illustrar. 


421 





422 DES 


Dese£seıs. V. Dezascis. 

Des£.seistiviAno. V, Dezaseistavado. 

Distspaxtäno,A,p.p.de 

DESESPANTÄR,, t. @. faire cesser l’ktonne- 
ment. 

DesEspaxTär-sr., v. a. revenir de sa sur- 
prise. 

+ Desespänto, s. m. !’action de faire cesser 
lretonnement, ou de revenir de sa surprise; 
intrepidile. 

DEsEspEnAGÄö, 5. f. " desespoir: perte de 
loule esperance. —,colere, rage, fureur. Mei- 
ler, por em —, faire desesp6rer, faire perdre 
toute esperance. E uma—,(fam.) c’est une 
chose insupportable. 

DFESESPERÄDAMENTE , adv. desesper&ment, 
en desespere ; &perdument. 

DESESPERÄDO, A, p. p. de Desesperar. adj. 
Desesper6 : qui ne donne aucune esp6rance; 
qui se desespere, furieux. Como —, & la des- 
esperade, en desespere. 

Dessspenänca, s. f. " desespoir, desolation. 

DESESPERANCÄDO,, A, P. p. de 

DESESPERANCÄR, o. a. desesperer : faire per- 
dre l’esperance, öter l’espoir. 

DESESPERÄR, v. a. desesp£rer, depiter, tour- 
menter; affliger vivement ; öter, faire perdre 
l’esperance, p. us. (de), v.n. ei plus us. des- 
esp6rer : perdre l’espoir; regarder coınme 
perdu, detruit, sans espoir. Se livrer au des- 
espoir. 

DESESPERÄR-SE, ©. r. se desesperer, se Jd- 
piter, s’ondiabler, s’impatienter, enrager, se 
fächer. 

+ Dzsgsptno, s. m. V. Desesperagäo. 

Deszsquipipo,,A,p. p. de 

DESESQUIPAR, v. @, desagreer un navire. 

DESESTEIRÄDO, A, P. p. de 

+ Desestgirär,, v.a. dönatter : degarnir de 
nattes le plancber d’une chambre, etc, 

7 Dsszstima ow | *"mepris,depreciation. 

FDsszstıuacäd,s.f. 1 "Avilissement, decri, 
perte du credit, mauyaise r&epulation. 

DssEsTtınä0o, A,9. pP. de Deseslimar. 

Desestımanon, A, 8. celui qui ındseslime , 
qui meprise, qui depreecic. 

DESESTIMAR,, ©. a. mesestimer, möpriser, de- 
precier. Il est aussi r&ciproque. 

DESEXCONMUNCADO, A, P. p. de 

DESEXCOMMUNGAR , 9. a. lever l’excommuni- 
cation. 

Desransiche. V. Arruinar, Derribar. 

DESFAGAR-SE, elc. V. Descarar-se, Desarer- 
gonkhar-se. 

“DessraLciacäö, u. f. 

DESFALCANENTO,s. m. | V. Desfalque. 

DesvyaLci00, A, p.p. de 

DassaLcin, o.a. defalquer, diminuer, re- 
trancher; rabattre , deduire , decouptor. 

" DesraLdar. V. Desfraldar. 


DESFALLECHNTE,, adj. 2 ger. 'qui afaiblit, ' 


qui deperit. p. a. de 
DESFALLECER , 9. @. aflaiblir, diminuer les 


forces. p. us. | 


DES 


DrsraLtechr, vo. ». delaillir, s’affaiblir, de- 
perir ; s’evanouir. Ndo — em valor, em pru- 
dencia,eic.,ne pas manquer de couräge, de 
sagesse, elc.— na paga, ne pas s’acquitier. 
— no cumprimentio da promessa, ne pas &c- 
complir ses promesses, manquer de parole. 

DeEsraLLEcıDO,, A, p. p. de Desfallecer. 

DesraLLecımenTo, 5. m. * defaillance, fai- 
blesse, langueur, affaiblisseınent, inanition. 
Evanouissement. — do pulso , (1. de mdd.) lai- 
blesse : defaillance du pouls. 

* DesraLLecipo. V. Desfallecido. 

DesraLqug, 5. m. * defalcalion , rowranche- 
ment , dechet; d&duetion ; decompte. 

Desramar, etc. V. Diffamar. 

Desranatızino,A,p. p. de 

+ Desranarızin, vo. a. delivrer dd fanatisme, 
le contraire de fanatiser. 

Desristio, s. m. bon appätit. (%g.) Enjous- 
ment, galis, passe-temps, menus plaisirs. 

Desravör, s.m. dedain , meprıs. *Defavoar, 
cessation de faveur. 

DesravoriveL, adj. 2 gem. defavorable: 
prejudiciable, desavantageux ; qui n’est point 
favorable. 

+ DEsFAVORECKDÖR , A, 8. celui qui nuıt, gei 
cherche & faire de la peine,, qui est contraire. 

Desravorecka, dv. @. disgracier : cesser de 
favoriser, de proteger. Rebuter, ne point agreer 
les services. Nuire, s’Opposer, traverser. 

Desravorscin0, A, p.p. de Desfavorscer, ei 
adj. — da naluresa ou da fortuna, disgratie 
de la nature ow de la fortune; maltraite par 
l’une ou par l’autre. 

DESFAZEDOR, 5. m. celui qui defait, qui d& 
truit. — d’aggravos, vengeur, redresseur de 
toris. 

Desrazer, v. a. defaire : detruire ce qui est 
fait; faire qu’une chose ne soit plus ce qu'ello 
etait. (Ag.) Annuler, revoquer, casser ( un c00- 
trat, etc.). —, deiruire, abattre, renverser, 
ruiner. Eteindre, abolir, aneantir. —, tailler 
en pieces , deronfire une arımede, la melire en 
deroute. Fondre, liyuefier. Diviser, depecer, 
couper, meltre en morceaux. D6layer : deirem- 
per un corps dans une ligqueur. Rompre, alt- 
rer un traite, eic. Diminuer, amoindrir, allt- 
nuer.Licencier,congedier des troupes. Amincir. 
(de) Rriver, depouiller de... , delivrer de... — 
aggravos, elc., venger, r&parer une injure, I 
tort,etc. — a volla ou a meia volla, (1. mil. 
faire A l’exercico un mouvernent oppose 4 ceiu! 
qu’on a fait. — um engano, desabuser, tire 
d’erreur, detromper. — um ewredo ou embusl*, 
ıl&couvrir une fraude, une supercherie. — u” 
erro ‚ corriger une erreur. Fazere —,\. Fe 
ser. —a venda, resilier. 

Desrazir, v. n. —em alguem, medire de 


yuelqu’un, le dechirer. — em alguma couss, 
deprecier une chose, lui trouver des delauts- 
— em si, agir contre son honneur, son devoff, 
sa dignite; se depräcier soi-meme par humi- 
lile ou par ruse. 


Desrazön-se (de),o.r. se defaire, se di- 





DES 


barrasser ; quilier, @loigner, &0arler de sol ce 
gai nuit, deplait, eis. Disparaltre, s’&vanouir, 
se dissiper. Se consommer & force de cuire. Se 
fuondre: perdre la soliditö, la consistance. S’af- 
faiblir; se deconcerter. Se d&composer, se de- 
coudre, se desasseinbler. — em, avant un sub- 
stantif, il en prend la signifleation. Ex. : — em 
pranto, em lagrimas,, se fondre en larmes, 
p!urer abondamment. — em comprimentos, 
(2:re beaucoup de compliments. — em deseul- 
pas , faire beaucoup d’excuses. — em injurias, 
vomir des inreclives. —como o [fumo, (fam.) 


s’en aller en fumee, se Jdissiper, s’evanouir. 


— como o sal n’aqua, se fondre comme le sel 
dans I'cat, en pcu de lenıps, sans profit, et 
sans savoir comment. — de carnes, maigrir. 
— d’uma cousa, se d&faird d’une chose. Palie- 
ner. — uma cousa enire as mdus , ( fam.ı on le 
dit d’une chose qui se dissipe facilement, qui 
est bientöt usee,, consumee. u 

DESFAZIMENTO ,s. m. Vaction de defaire ; an- 
nalation , abolissernent,, aneantissersent. 

Desrear. V. Desfeiar. 

Desrecnino, A, adj. decoche. Mentira —a, 
mensange impudent. p. p. de 

Desrecaär, ct. a. ouvrir ce qui 6talt ferme & 
la clef. — a espingarda, lirer, decharger un 
fusil.— o s@dilo, rompre le sceau. —a sella, 
decocher une fläche. 

Desrecnan, ©. 8. eclater; se denouer, fnir 
par. —em riso ou — a fir, rire & gorge de- 
ploy6e. —em pranto, em injurias, etc.V. Des- 
fazer-se em..., eiCc. 

Desrtcno, s. m. ddnouement. V. Desenlace. 

DESFEIADO ou DESFFÄDO,, A, p. p. de | 

Desresin, v. a. otllaidir : rendre laid. V. 
4feiar. 

Dssrtıra, s. f. delaite, excuse ; insulte. 

Desseıteido ,A,9.p.de 

DESFEITEÄR,, ©. a. faire un affront & quel- 
qu’un,, Pinsalter. 

DesrEıto, A, p. p. de Desfazer. adj. Defait, 
defigur@ ; dissous; violent, fort, impelueux, 
furieur, affreux, horrible, continuel, parlant 
d’une tempete, du vent, etc. Tormenls —a, 
teınptte horrible, tr&s-gros temps. Fugida —a, 
fuite precipitee. 

Dssrtıro, s. m. hachis de mouton , etc. 

Dssrsuido,A,9.p. de 

Desserin, o. a.(#. de mar.) deferler: de- 
ployer les voiles. Brandir (l’Cpde,un dar, etc.). 
e.n.(f.demar.) faire voile, ınettre sous voile. 

Desrennäno, A,Pp.p. de 

Desrenrän,v. a. ter les fers d’an prison- 
nier,!’en delivrer. Deferrer : öter le ferd’un che- 
val.‘t. demar.) De£ferler : depaqueter les voiles. 

Desferrär-se,, o. r. sc deferrer : perdre son 
fer, se dit d’un cheval, etc. 

DzsrenroLgär. V. Desaferrolhar. 
‚ Drsrt100, 9. p. de Desflar. adj. Qui marche 
al hile, Qui defile, qui est eMie. 

ı Prsrıioo, s. m. l’aclion d’eMler une &toffe 
pria broder 4 jour; cette eloffe efilee. 

Dissiia ,o. a, efiler : defaire un tissu fl ä 


DES 423 


fl. D6dler. (Ag.) Diviser : couper en fileis. (id.) 
Analyser minulieusement. 

Dssrian-se , v. r. s’elfiler : s’en aller par flls. 

+ Dessicuracäö, 8. f. * deligurement : action 
de defigurer ; &tat de ce qui esı defgure. 

DssriGuRÄDO, A, P-. p. de Desfigurar. 

Dezsrıcuramento, s.m. V. Desfigurardo. 

Dssricuräir, v. a. defigurer, deformer, con- 
trefaire, Öter la forme, gäter la figure , rendre 
difforme. (flg.) Deguiser, feindre, dissimuler. 
(1d.) Empecher qu’on ne voie les formes , los 
objets. (id.) Deligurer, contrefaire, imiter, re- 
presenter; en parlant d’un reeit, omettro las 
ciroonstances essentielles. 

DESFIGURÄR-SE, dv. r. s’6mOoUuvoir, se troubler, 
s’affecter, et le faire connattre par l’alteration 
des traits; &prouver un changement dans sa 
ligure ä cause de maladie, etc. 

DusriLipa, 8. f. ınarche de soldais ä la file. 
4’ —,ventre & terre, & bride abattue; & la 
ßile. 

DesrıLaD£ıno, s. m. döfll6 : passage Etroit, 

DessiLiÄ0o0o, A, p.p. de 

DrsriLin, v. ». defler, aller & la file, Yun 
apres l’autre. 

DesriLBÄDO, A, p.p. de 

+ DssriLuin, v. a. &bourgeonner : öÖter les 
bourgeons superfius d’un arbre & [ruits, &mon- 
der, elaguer un arbre. Separer un essaim de 
vieilles abeilles en lui presentant une nouvelle 
ruche. Depeupler. 

DESFILHÄR-SE, v. r. se depeupler. 

DesrivELiDo, A, p. p. de 

DesriveLin, 0. a. debouelor : degager Yar- 
dillon d’une bouele. 

DesrLeıwaDo, A, P. p. de 

DESFLEIMAR , ©. a. guerir de la pituite. #4. V. 
Deflegmar. 

DesrLoracid,. V. Defloragdo. 

DrsrLoripo, A, pP. p. de Desflorar. 

DESFLORADÖR, s. m. celui qui defeurit. (fig.) 
V. Deflorador. - 

De.sfLORAMENTO, 3. m. Yaction et Yeffet de 
defleurir. ( Ag.) V. Defloragdo. 

DesrLonär, ©. a. defleurir : öter la fleur:, 
(ernir, Oter le lustre. Eflleurer. (fig.) V. De- 
florar. 

Dr.SFLORECER, v. n. defleurir, perdre sa fleur 
ou ses fleurs. (fig.) Se ternir, perdre son lasıre, 
1l est aussi reciproque. 

DEsSFLORECIDO, A, 9. p. de Desflorecer. 

Disrrongciv£xto , s: m. * defleuraison : 
chute , temps de la chute des flears. 

DesrLorido, A, adj. depouille de fleurs. 

Drsroconino, A, p. p. de 

DESFOGONAR, v. a. briser la lamiere d’une 
arme & feu. 

+ DesrocoxÄr-sE, v. r. (f. d’artil.) s’user 
par l’usage, en parlant de la tumicre d’une 
piece de canon. 

+ Desröını, 8. f. effcuillaison : temps oü 
les feuilles tombent; action de depouiller de 
fenilles un arbre, une plente. * Epamprement,, 
en parlant de la vigne. 


424 DES 


° DesroLnacäö. V. Desfolha er Desfolha- 
mento. 

DESFOLHÄDO,, A, 9. 9. du Desfolhar. 

De sroLHADOR, A, 3. celui qui effeuille. 

DrsruLnaDüRA, 8. f. elleuillaison : action de 
depouiller de feuilles un arbre , une plante. 

+ DesroL.HANMENTO, 5. m. p. us. elleuillement: 
action d’öter les feuilles; elaı de ce qui a perdu 
les feuilles. 

DezsroLHir, dv. a. efleuiller les arbres, cpam- 
prer les vignes, öter les feuilles, les jets inu- 
tiles. 

DeksroLHÄR-SE, v. Tr. s’elleuiller. Il se dit des 
roses, etc., dont les feuilles, les petales tom- 
bent. 

} DesröLuo, s. m. la peine d’effeuiller les 
arhres, d’epaınprer les vignes, etc. 

DESFORGADO, A, pP. p. de Desforgear. 

DESFORCADÖR, 8. m. redresseur : celui qui 
redresse les toris. 

DESFORGAR, v. a. redresser les toris, les re- 
parer; venger une injure; ımellre en posses- 
sion. 

DESFORGAR-SE, ©.T. Teprendre possession ; 
venger une injure recue. 

Desroumar. V. Disfigurar. 

DessunMme, elc.V. Difurme. 

Desrörra, 8. f. "acyuit: action de se racquit- 
ter ; recouvrement de ce qu’on a perdu. Ven- 
geance, salisfaction tiree d’une injuro, revan- 
che. Em —, en recompense, en revanche. 
Tirar a —, V. Desforrar-se. 

Di:5SFORRÄDO, A,Pp. p. de 

Disrunrär,v.a. öter la doublure. Indem- 
niser d’une perle; recompenser quelqu’un de 
ses peries. — 03 cabos, (1. de mar.) defourer les 
cordages. 

DEsFORRAR-SE, 9%. r. se racquilter : regagner 
ce (u’on avail perdu au jeu. Se venger, rendre 
la pareille, prendre sa revanche, s’indemniser ; 
se Fatiraper sur. 

DesFnAaDAnO, A, pP. p. de 

DeseraDÄR-SE, v. r. se defroquer : jeter le 
fruc aux orlies, en parlant d’un moine qui 
abandonne son couvent. V. Secularizdr-se. 

DEsraaLDADO, A, pP. p. de 

DesrraLpän, c. a. diminuer l’ampleur d’une 
robe, etc. — as velas, (1. de mar.) delerler les 
voiles. 

DeEsrRanziDo, A,p.p. de 

f Desseanzın, v. a. deplisser, defroncer une 
etofle, etc. ; delaire ce qui etait plisse,, fronce ; 
derider. — a ldsta, as sobramcelhas, (fig.) se 
derider le front, defroncer le sourcil. 

Desvnein-sE, olc. V. Desenfrear-se , etc. 

Dssrauncuipo, A, pP. p. de 

DesrauncHän, v.a. (f. de chir. ane.) öter le 
pus d’un abcös. 

Dassaurino,a,Pp. p. de Desfruiar. 

DESFRUTADÖR, A, 3. usufruilier : celui qui 
pergoit les fruits d’un heritage; qui jouit, qui a 
Vusage, la jouissance et la possession d’une 
chose;; qui vit aux depens de quelqu’un;; para- 
site, 


DES 


DESFRUTAR,, v. a. recueillir, perceveir les 
(ruits d’un heritage. Effriter, user, &puiser un 
terrain, en recueillir les fruits sans le cultiver 
convenablement. Jouir, avoir usage, la jouis- 
sance ei la possession d’une chose. — ‚ 
sc prevaloir de l’amitie, de l’autorite d’aulrui 
pour faire ses aflaires; vivre aux depens de 
queiqu’un. 

DEsFuxnADO, A, 9. P. de 

Desrunpär, v.a. defoncer : Öter le fond (d’un 
tonneau , eic.). 

DsscABiDO, A, P. p. de Desgabar. 

DESGABADOR, A, 5. depreciateur. 

Descanir, v. a. blämer, trouver & rodire ä ce 
que d’autres louent; deprecier, depriser. 

DssCADELHÄDO, A, 9. p. de 

DESCADELBÄR, ©. a. 6cheveler, dechereler. 

DeEsCaLGiD0, A, 9. p. de 

+ DescaLcär, v. a. precipiter, jeter de haut 
en bas. (4. d’arch.) Demaigrir » retrancher du 
bois, de la pierre. 

t DesGaLcaR-sR, u. r. se precipiter, au pro- 
pre et au figure. 

DESCALHADO, A, 9. p. de 

DescaLHir, v. a. ebrancher un arhre; en 
couper les rejetons. 

Descarräipa,s. f. danse ei chant populaire 
(en Portugal). 

DESGARRADO, A, P. p. de Desgarrar. ad). 
(fig.) Deregle dans ses maurs ‚ libertin , desor- 
donne, qui mene une vie licencieuse. 

Descannäö, adj. m. qui egare, qui fail ega- 
rer ou eloigner. 

DescanräR, v, a. detourner du bon chemin, 
egarer. 

DESCARRÄR, 0. n. (l. de mar.) lever Vanere; 
chasser sur ses ancres. 

DESGARRÄR-SE, ©. r. s’6garer. (fig.) Seloi- 
gner, se separer de quelqu’un, fuir sa compa- 
gnie. S’ıadonner & la debauche. 

DESCARRO, 8. m. &garement. (Ag.) "Bravoure, 
hardiesse; impudence, eflronterie; fanfaron- 
nade, bravade, rodomontade. OEillade, re- 
gard, coup d’eil gracieux. 

DESCASTÄDO, A, pP. p. de 

+ DescasTAR, v. a. consumer, miner petit 8 
petit, blaser, user. Ronger, detruire. — & cu- 
mida , os humorcs, laciliter la digestion, alle- 
nuer les humeurs. 

DescsLär, etc. V. Degelär, etc. 

+} Duscorsano, A, ade. decollete : qui a Ic 
cou d£couvert. 

+ Descornin, v. a. (l. de mar.) depasser une 
man@uvre. 

Descostinpo,A,p.p. de 

Descostär, v.a. degoülter : donner du de- 
goüt. (Ag.) Rebuter, desagrter, fächer, aigrır 
causer de l’eloignenient, de l’aversion. (de, t-®- 
Naimer pas, n’eire pas content de. Nde — 
d’uma cousa, d’uma pessoa, avoir assez de goüt 
pour une chose, pour uno personne. 

Descostän-sE (de), v. r. se d&gouler: pren- 
dre du degoüt pour une personne, uno chose- 

Duschsto, s. m. (Ag.) degoüt, desagreiuent. 


. DES 
deplaisir, chagrin; —, aversion. A — , loc. adv. 
äregret, & conire-caur, malgre. Morrer de —, 
mourir de chagrin. 

DEscostösamantE , adv. A regret, avec r&pu- 
gnance. 

DescostosissiMO, A, adj. sup. de 

Descostöso, a, adj. desagreable au got, 
insipide, fade; triste, ennuy6, degohts, me- 
content, decourage. 

DescoveannäDo, A, pP. p. de Desgovernar. 
«dj. Qui gouverne mal ses allaires; qui n’a 
point de conduite, deregle; dissipateur. De- 
mantibule. ‚ 

+ Descovexnandaa, s. f. (t. de veler.) * bar- 
rement des veines d’un cheval. 

DESCOYERNAR, ©. a. ronverser, detruire, 
troubler le bon ordre, la bonne administra- 
tion ; mal administrer. (1. de mar.) Gouverner 
wal un vaisseau , ne pas veiller sur le gouver- 
nail. #.de veler.) Barrer les veines d’un cheval:: 
kes couper ou y metire le feu pour arreter le 
eoars de quelque humeur maligne. 

Descovkanan-SE, vd. r. 86 conduire mal, 
faire des exc&s, se deregler. Se disloquer, se 
demelize, se debolter, en parlant d’un meın- 

te. 

Descovkano, s. m. desordre dans les allaires, 
mauraise administration, malversation; in- 
eonduite, defaut de conduite; exces, deregle- 
ment. . 6. de oeler.) Barrement des veines d’un 
cheral. Veia do —, (td.) veine en dedans de 
cliaque cuisse du cheval. 

Deserica, 8. f. disgräce, malbeur, &chec, 
desasire ,accident [uneste, fächeux,, infortune, 
conire-iemps. —, perte, privation de bonnes 
gräces. Rudesse, mmauvaise gräce dans ce qu’on 
dit ou ce qu’on fait. Ser perseguido pela—, 
avoir da malbeur, jouer de malheur, echouer 
dans ses entreprises. Fazer, concluir alguma 
CusG sem —, mener une affaire A bon port. 
Por —, par malbeur. Para maior — sua, pour 
son plus grand malheur. Nunca uma — vem 50, 
{pror.) un malheur ne vient jamais seul. Assim 
equiza— , le malheur l’a voulu. 

DescRaAciDAMENTE, adv. malheureuserment, 
par malheur. Disgracieusement: d’une manıere 
dessgreable. 

DescnacaDıssımO, A, adj. sup. de 

Descaacino, A, p. p. de Desgragdr. adj. 
Diszracie; malbeureux, fächeux. — de mim! 
msıheur & moi! malheureux que je suis! Fos 
tiv — que ndo o achou, il [ul assez malbeureux 
Pour ne pas le trouver. 

tDescaacar, o. a. rendre malbeureux, in- 
fortuner. 

tDescaacar-se, c.r. devenir malbeureux; 
&rouver du mallecur. 

VESGRACIADO, A. V. Desgragado. 

Nescaancän,, eic. V. Degradar. 

Drscaamino, A, p. p. de 

TDescaaman, vo. a. arracher le chiendent 
“un champ. 

Drasarsın,ete. V. Disgregar, etc. 

Discasxnano, A, adj. Echevele, ebourilfe : 


DES 425 


qui a les cheveux en desordre. (fig.) Triste, 
melancolique, defigure. p. p. de 

DESGRENBÄR,, v. a. decherveler, decoiffer, 
€parpiller les cheveux. Il est aussi röciproque. 

DescktpiD0, A,p.p. de 

DescaunÄr, ©. a. decoller : detacher ce qui 
€tait colle. 11 est aussi r&ciproque. 

DESGUARNECER,, v. a. degarnir, deparer : Öter 
ce qui pare, rendre moins agreable. (f. mil.) 
Demunir, degarnir : öter les munitions d’une 
place, affaiblir, diminuer sa force, öter une 
partie de sa garnison. Degarnir un oulil de 
queiqu’une de ses parties. ( fg.) Priver, de- 
pouiller. — as mulas, os cavallos, deharnacher 
les mules, les chevaux. — a espdda, Öter la 
garde d’une epee. 

DESGUARNECER-SE, ©. r. se degarnir; se pri- 
ver. * 

DESGUARNECIDO, A, 9. p. de Desguarsecer. 

Descuennäpda, adj. f. V. Imbelle. 

DespanıLıtan, V. Inhabililar. 

DESHABITÄDO, A, adj. inhabite : qui n’est pas 
habite. p. p. de 

DESHARITÄR,, v. a. quitter, abandonner un 
pays, une maison, cesser de P’habiter. (fig. 
p. us.) Depeupler un pays, le rendre desert. 

+ Desnasıtuagäö, s. f. perte d’une habitude, 
aclion de se deshabituer. 

DESHABITUADO, A, p. p. de 

Desuasıtuir, v. a. deshabituer, desaccoutu- 
mer : faire perdre une habitude. 

DESHABITUÄR-SE , v. r. se deshabiluer : per- 
dre ’habitude. 

Desuenvacäö,s. f. eıheredation : action de 
desheriter ;son acte ; etat de celui qui est d&s- 
herite. 

DESBERDÄDO, A, P. p. de Desherdar. 

DESHERDANMENTO, 3. m. V. Desherdapdo. 

Desuernir, v. a. exhereder, desheriter : 
priver de l’heritage. — os filkos, (flg.) desheri- 
ter ses enfants en dissipant les biens qu’on de- 
vait leur transmettre. —os parenles , exclure 
d’une succession les parenis qui ne sont pas 
heritiers legitimes. 

DESBERDÄR-SE, v. r. — em vida, faire lo 
partage ow la donation de ses biens pendant sa 
vie. (fig.) Degencrer de la vertu de ses anc£tres. 

° Desnı, adv. des lors, depuis ce teuıps-lä ; 
aprös cela. 

DESHONESTADO, A, P. P. de Deshonestar. 

DESHONESTAMENTE, adv. deshonnetement, 
impudiquement. 

Desnungestärn, v. a. deshonorer, diffamer, 
decrier, decrediter ; debaucher. j 

DESHONESTÄR-SE, dv. r. inanquer aux bien- 
seances de son etat, ä ce qu’exige son rang, 
sa dignile ; perdre la pudeur. 

Desnonsstipäne , s. f. deshonnetel6, saletc,, 
tubricite, impudicit6 : aclion ou parole qui 
choque la pudeur. 

DESBONESTISSIMO,, A , adj. sup. de . 

Desnongsto, A, adj. deshonnete, Immo- 
deste, impudique, sale , contraire & la pudeur, 
ä la biensdance. 


426 DES 


Desnonon ‚s. m. deshonneur, V. Desdouro, 
Deshonra. 

Desuönra, s. f.* deshonneur, discredit, ta- 
che , infanlie , Netrissure. Violonce faile & une 
fille, commerce illicite avec une fonmme. 

t Desuoxaäpauente, ade. avec deshonneur, 
d’une manidre d6sbonorante , infamante , avi 
lissante. 

Desnouri00, A, 9. 9. de Deskonrar. 

DesnonganorR ‚A, 5. et adj. qui deshonore, 
qui outrage, qui diffame. 

Desnonrär , v. a. desbonorer, perdre d’bon- 
neur, de re&putation, diffamer. Outrager, faire 
un affront, mepriser, trailer aveo dedain. —, 
abuser d’une femme honn£te, lui ravir l’hon- 
neur. — uma donzella, violer, s6duire une 
Nlle. 

DesuonrÄR-sE, v. r. se d&shonorer : perdre 
son honneur par sa conduite, ses paroles; s’a- 
vilir. 

Destonröso, A, adj. honleux, deshonorant, 
arilissant. 

* tDessorino, A, adj. malheureux ; qui 
vient ä contretiemps. V. Deshoras. 

Desnöras (a), ade. Venir a—, venir A une 
heure indue, ou mal & propos. V. Föra d’ko- 
ras. 

* f Desmospenino, A, adj. qui manque de 
gite, de logement. 

DEsBUMANÄDO, A,p. pP. de Deshumandr. 

Desuumanamenıe , ado. inhumainement : 
crucliement. 

Desuumanäa, v0. a. d&shumaniser : depouil- 
ler de ses sentiments humains. 

Drsnumanıpäne, s. /. inhumanits , cruaute; 
barbarie ; defautd’humanitd ; action inhumaine. 

DESHUMARISSIMO,, A, adj. sup. de 

Desntmino, A,adj. inhumain : sans piti6, 
sans humanit&; dur; cruel. 

t Drsnuugorckn, vo. a. secher, dessecher, 
öter ’humidits. 

*Drsnuneoecioo, A, p. p. de Doshumede- 
cer. 

* Desi. V. Deshi. 

*“Desiciö, s. f.V. Exlincglo, Fim. 

Desinıa ‚8. f. paresse, faindanlise, inaclirite, 
incurie,, inertie, mollesse, inaction, apathie, 
oisivets , nonchalance , negligence. p. us. 

T Destniösamexte, ade. nonchalamment , 
negligemment, mollement, lentement , froide- 
ment. p. us. 

t Desinıöso, A, adj. paresseux, nonchalant, 
inerte , negligent, sans activite. p. us. 

Desıcnacäö,s. f. designation d’une personne, 
d’une chose, par des expressiong, par des 
marques qui la font connaltre ; nomination et 
destination expresse. 

+ Desicxäpam£nte, adv. specialement, nom- 
möment. 

Drsicxino,A,p.p. de Designar. 

‚Desıcxanor,A,s. eladj. indicateur, qui de- 
Bigne. 

DesicnÄr, v. a. projeter, r&soudre ‚ detormi- 

ner inlerieurement, Designer, destiner & un 


DES 


emplol,; dönoter par des signes precis, par des 
marques qui font connatire, distinguer ; Mär- 
quer precisement. BR 

DESICHATiVO, A, adj. designaul : qui desi- 
gne, speciße. 

Desicnıo, 3. m. dessein, r&solution,, visee, 
vue, intention, projet. 

Desicoäı, adj. 2 gen. inögal : qui n'est point 
egal. Dissemblable. —, raboteux. Erxcessif, 
oxir&me. pP. us. ( ig.) —, Changeant, incon- 
stant, variable. 

DesicuaLino, A, 9. p. de Desiguslar. 

* DesıcuaLanca. V. Desigualdade. 

DssicuaLär, ©. a. desajuster, rendre ine- 
gal, detruire l’egalite, Ja conformite de deut 
choses entre elles, desassortir. o. ». Rire int- 
gal, etre dissemblable. Ndo —, #ire Egal, 
ötre conforme. , 

DesıcuaLÄB-RE, ©. F. exceller, Stre ou s’le- 
ver au-dessus. — om casamenio , se mesalliet : 
s6 marier & une personne d’une oondition IN- 
ferieure. Inögalitö, disconvenanee 

DssıcuaLpÄne, s. f.in it6, diSsconvenani®, 
disparits, desavantage, defanı d’egalit; It- 
constanoe ‚ lögöreis. Difförence, dissemblanoe. 
—do sölo, inegalit& du terrain. — do iempe, 
varialion , inconstance du temps. 

* Desıcuantza. V. Desiguaidade. 

DESIGUALISSIMO, A , adj. sup. de Desigual. 

DesıcuaLwente, ade. inegalement, d'une m& 
niöre inegale. 

DESImAcınÄDO,A, 9. p. de . la 

Desınacınar , o. a. effacer de l’esprit, d* 
memoire. Dissuader. li est aussi r&ciproqU®. 

DESIMPEDIDO , A , 9. p. de Desimpedir. 

+ Desımpgoımento, s. m. Paction de debar- 
rasser, debarras. 

DEStMPEDIR,d. a. debarrasser, desemp£chtr: 
öter l’obstacle, ce qui empeche. 

DesımpLicar. V. Desembarapar. 

DESIMPRENSÄDO, A, P. p. de 

Desınpnensär, ©. @. Öter Pappret, delus 
trer; relirer de la presse. 

DFSIMPRESSIONÄDO, A, 9. 9. de 

+ Desınpr£ssionar, ©. @. Öter, effacer un 
impression,, ’oppos6 d’impressionner. 

DESINGADO, A, 9.9. de 

Desınyar (de), v. a. detruire entieremen!, 
ansantir. V. Limpar, Destruir. , 

DrEsIncHaGäd, 3. f. desenflure : cessaliot, 
dissipation d’une enflure. 

DeEsıncBÄDO, A, 9. p. de 

DesıncHäin, v. a. desenfler : Öter 'enflurt. 
(fig.) Abaisser l’orgueil. 

DESINCHAR , v. 9. desenfler : cesser d’#lre ch 
Ne. 

DESIKCLINADO, A, adj. peu enclin ow porie, 
non dispose &. p. 9. de , 

+ DesıncLinär, ©. a. defourner, tourner dun 
autre cöte le penchant, l’aflection, les faire 
perdre. 

DesincLinär-se(de), o.r. V. Desaffeicoar-!. 

+ Drsıxconponagäö,s. f. Yaclion de desür- 
corporer. 





DES 


Diuscorrorino,A, p. p. de 

+ DssiscurPunAR, v. a. desincorporer : S&- 
parer une chose d’un ou de son corps. 

3 DISINCORPORÄR-SE (de), v. Tr. se separer, 
se desunir, ne plus former un m&me corps. 

+ Desisnictan,, v. a. effacer, detruire les In- 
ılices, es sSoupgons. 

Desıxescıa ,s. f. (l. de gramm.) desinence:: 
terıninaison des mols. 

DESINFATUADO, A, 9. p. de 

Desisvaruan, ©. a. dösinfatuer, desabuser, 
deiromper, desenteter. 

Desixsaccäö , s. f. desinfection : action d’ö- 
ter V'ınlection. 

Desıstscräno,, A, 9. p. de Desinfeclar. 

DesisrectauTtE, adj. 2 gen. eis. desinfecleur: 
qui desinfecie. p. a. de 

Dssisrecrär , v. a. desinfecter : öter Pinfec- 
bon. 

Draisrecrip-SB „ ©. r. @tro dösinfecte, se 
purißer. . 

Desinrestädo, A, 2.p. de 

+ Desixrsstän, v. a. delivrer des ennemis, 

detruire le brigandage. 

Disiyricaonano „ A, P. p. de 

Desruricıonan, v. a. desinfecter : öter Fin- 
fecion , la peste d’un lieu. (Ag.; Purifier, laver. 

+DisissLauwagiö, 5. f. cessation de lin- 
lammation. 

Desisruaumino , A, p. p:de 

DesiurLaumän, ©. a. Öter, apaiser, faire ces- 
ser linlammation , r&soudre une lumeur. II 
est aussi neutre et r&ciproque. 

Disisscrian, etc. V. Desaffrontar, dans le 
sens figure. 

Destmountracäö, 5. f. inquietude, agitation 
desprit; turbulence. 

Drsixorietäno , A, P. P. de Desingquiclar. 

Desixarittanon , A, adj. et x. qui inquiete, 
qui trouble; qui seduit, qui debauche un ou- 
rrier, etc. . 

Desiyorietär, ©. a. inquidier : rendre in- 
quiet; troubler. Seduire (une femme, etc.'; 
debaucher (un ouvrier, ete.). Importuner, en- 
gazer guelga’un avec instance pour le detour- 
ner de ses devoirs , pour se donner A des amu- 
sements.— as cinzas dos mortos, troubler les 
tendres des morts. 

Dismotiero, A, adj. inquiet, qui n’est pas 
tranquille; remuant, ennemi du repos; turbu- 
len; vif, petulant. 

+DesinteLLicencıa , s. f. mesintelligence : 
defant Funion, de concert, brouillerie, dis- 
sension entre des personnes qui ont etd ou de- 
vraient &tre en bonne intelligence. Faute d’in- 
telligence , de comprehension. p. us. 

DESTTERESSADAMENTE , adv. genereusement, 
grataitement , sans Inter@t; avec desinteresse- 
ment, 

Destwrenessino,, A, p. p. de Desinleressar. 
edj. Desinteresse : qui ne fait rien, qui n'est 
pas ma par interet, par passion. . 

„„DEIINTERESSÄL ‚adj. 2 gen. V. Desinferes- 
240, 


DES 427 


FDESINTERESSAR, 0. a. desinleresser: meltre 
(quelqu’un) hors d’interet en !’indemnisant. 

+ DESINTERESSAR-sSE, vo. r. se desinleresser : 
cesser de prendre de l'interät. 

DEsıNTER£SSE,,s. m. desinteressement: dela- 
cheinent, oubli, sacrilice de son propre inleret, 

f Desintuuecer, o. a. dissiper l’intumes- 
cence. v.R». eL—se, v.r. sc desenfler. 

DESINTUMECIDO, A, p. 9. de Desinlumecer. 

DESINVERNADO, A, p. p. de 

DESINVERNAR, ©. a. et n. quitter ses quar- 
tiers d’hiver ; cesser l’hiver. 

+ Desıniido, A ,adj. lenle, oculo —,(t.de 
phys.) achromatique (verre, lunelte), sans iris. 

DesıRmAanäDo, A, adj. desassorti , depareille. 
p.p. de ' 

Drsınmanär, o. a. diviser, brouiller les [rd- 
res, p. us. ( fig.‘ Desassortir, desapparier, de- 
pareiller : deplacer des choses assorties, les 
rendre inegales ou dissemblables. 

DeSIRMANAR-SE, v0. r. ne pas se conduire en 
frere, cesser d’en avoir les senlimenis, inan- 
quer & l’amour fraternel. 

DESISCÄDO, A, p. p. de 

Desıscär, ©. a. mancher ou enlever Va- 
morce. 

Desisteucıa, s. f. * desisiement : aclion de se 
desister ; acte qui la constate. — da heranga, 
delaissement d’un heritage. 

+ DesIısTenTE, 3. 2 gen. celui qui fait un de- 
sistement; qui se desıste. 

* Desıstıcaö. V. Desistencia. 

Desistino, p. p. de 

Desistır (de), v. ». däsister, se d&partir, de- 
mordre ; se desister, renoneer &; delaisser 
(un heritage, etc.). -: do corpo, soulager le 
ventre. 

Drsistivo, s. m. V. Purganlte. 

DESIARRETÄDO, A, 9. p. de 

Dessarnerin, v. a. couper le jarret; (g.) 
un ınembre quelconque. 

+ Dessanrete, s. m. *aclion de couper le 
jarret. 

DFsIEJUADO, A, pP. p. de 

DESIEIUAR, O0. R. et -SB, dv. r. dejeuner, rom- 
pro le jeünc. 

DeEs)vizindo, A,p.p. de 

Desjvizir, v. a. faire perdre Vesprit; bö- 
beter. 

Dessuncido, A, 9. pP. de 

Dessencir, v. a. detacher les baufs du joug; 
deteler, desaccoupler. 

DesLacipo,A,p. p. de 

DrsLacär, v. a. delacer : delier le lacet; de- 
nouer. (fig. anf.) Disloquer, debolter (un 
bras, etc.). 

DesLacenÄr. V. Dilacerar. 

DESLACRÄDO, A, 9. p. de 

DesLacrÄr, dv. a. decacheter ce qui elait ca- 
chete ä la cire. 

DesLAnRILHÄDO, p. p. de 

DesLanrıLnÄr, v. a. decarreler : öter les car» 
reaux d’un plancher; depaver. 

Drsı.a0@ADo, A, P.p.de Deslugear. 


428 DES DES 


DesLaceÄr, ©. a. dedaller : öter les dalles 
d’une piece. 

DESLAMBER-SE. V. Delamber-se. 

Destarınipo, etc. V. Dilapidädo. 

DesLasträno,A, 9.79.deo 

t DEsLAstRADOR, 8. m. (1. de mar.) deles- 
leur: qui Öle, enleve le lest. 

DeEsLASTRÄR, dv. a. (l. de mar.) delester : öter 
le lest d’un vaisseau. 

DESLÄSTRE, s. m. (f. de mar.) delestage : de- 
charge du lest; son effet. 

DesLavido, A, p.p. de Deslavar. adj. Deco- 
lore; delave. (Ag.) V. Descarado. Cara 4, 
mine dehonte£e. 

DESLAVAMENTO, 3. m. affaiblissement, faute 
de couleur, &lat de ce qui esı decolore, delave. 
(fg.) V. Descaramento. 

DesLavär, v. a. deteindre ow aflaiblir les 
couleurs , les rendre delavees;; decolorer. Dela- 
ver, trop delayer une couleur. 

DESLAVRÄDO, A, p.p. de 

DEsLAvRÄR, v. a. donner une seconde facon 
& un champ. 

DesLEiL, adj. 2 gen. deloyal; perfide; sans 
foi ; infidele, qui n’est pas loyal; tralire. 

DesLeALDäne, 6. f. deloyaute : inddelits, 
hertidie. Felonie, trabison : manque de fide- 


qui n’a point de langue. (Ag.) Medisant, mal 
embouche. V. Pragento, Desbocado. 

t DesLincuamento, s. m. (fig.) Babil, ca- 
quel, medisance, p. us. 

f DesLincuir, v. a. Öler, arracher, couper la 
langue. 

t DesLincvär-se, vo. r. (flg.) Parler insolem- 
ment, dire des injures, des imperlinences. 

“ Desuivaan. V. Parir, , 

DesLızaneıro, 8. m. * glissade , lieu, cbemin, 
pas glissant, endroit oü l’on glisse. 

DesLızäno, A, p. p. de Deslizar. 

t DesLizauenTo, s. m. *glissade : l’action et 
l’effet de glisser. 

DesLızär, v.n. glisser. (fig.) Dire ou faire 
quelque chose par inadvertance, faire un faux 

a8. 

P DesLizir-sg, v. r. se glisser. (Ag.) Glisser: 
passer legerement sur un sujet, etc.; coaler, 
glisser doucement, avec facilite. 

DeEsLizeE, 8. m. p. us. “glissade. (Ag.) "Chulk, 
faiblesse , fragilit& hamaine. 

DesLocacäö,s. f. dislocation, deboftement, 
luxation : döplacemeut d’un os. ( fg.) "Depla- 
cement. 

DesLocino, A, p. p. de Deslocar. 

DesLocanöna. V. Deslocagdö. 

DesLocäs, v. a. disloquer, debotter, dt- 
meitre, luxer. (fig.) Faire changer de place; 
deplacer ; mal placer. 

DESLOCÄR-SE, v. r, se disloquer, se luxet; 
changer de place. 

DESLOMBÄDO, A, p. p. de ' 

DesLomsÄr, o. a. ereinter, &chiner, fouler 
ou rompre les reins, l’echine. 

DEsLourär. V. Desgabar. 

DesLumpräino, A, p. p. de Deslumbrar. 

TDEsLumBRADOR, a, adj. qui eblouit, eblouir 
sant. (fig.) Qui aveugle l’esprit, qui egare la 
raison. 

DESLUMBRAMENTO,, s. m. eblouissement, ber- 
Iue, difficulie de voir, cause par trop de lo- 
miere ou par une cause intsrieure. (fig.)" Pre- 
venlion, pr&occupation, aveuglement d'esprit, 
verlige, folie, egarement de raison. 

DESLUMBRÄNTE , adj. 2 gem. eblouissant: qui 
eblouit. p. a. de 

Desıumsrär, v.a. eblouir: priver de la rue 
par trop d’eclat; olfusquer la vue. (fg. —: 
suspendre l’esprit par une apparence brillaulc, 
specieuse; tenier, seduire; derouter, decon- 
Certer. \ 

tTDesLumröso, a, ady. &blouissanl, au pro- 
pre ei au Ägure. 

Desutsträino, A, p. p. de Deslusirar. 

DESLUSTRADOR, A, adj. ets. qui öte le last, 
qui ternit la r&putation ; ltrisseur. 

Desıusträß, c.a. ternir : öter le lustre. (f9.) 
Fletrir, obscureir, noircir, ternir la r&patation. 

DESLUSTRE, 8. m. * lache, ternissure, obscur- 
cissement, perie de lustre ou d’eclat. (A4.) 
Deshonneur, tache & la reputation. 

DeEsLustaöso, A, adj. qui n’a pas de lusire. 
(Ag.) Ternissant, honteux , deshonorant, 



















DESLEALMENTE, ade. deloyalement : avec 
peloyaute,, perfidie. 

DESLEITÄDO, 4, P. p. de 

Desueıtäa, v. a. öter le lait. V. Ordenhar. 

DesLeıxär, etc. V. Deleizar. 

DEsLgmBRAR, elc. V. Esquecer, eic. 

DESLENDEÄDO, A, pP. p.de 

T DesLennein, o. a. öter les lentes de la 
tete. (fig. pop. p.us.) V. Desingar. 

DesLıar, etc. V. Desligar, eıc. 

Desuicino, A, p. p. de Desligar. adj. döta- 
ch6, separe. Official —,officier en conge, s6- 
pare d’un corps militaire. 

T DesLicADUra, 5. f. action de delier, de de- 
houer, de detacher. 

t DesLicauento,s.m.V. Desligadura, (fig.) 
Faute de lien, d’union. 

DesLicin, ©. a. delier, denouer, detacher. 
(fig.) Degager, delivrer. (1. de chir.) Enlever le 
bandage. — das censuras, delier: absoudre des 
censures ecclesiastiques. — um official do seu 
regimenio, separer*un militaire de son regi- 
ment, le renvoyer dans ses foyers, 

ESLINDADO, A, 9.p. de Deslindar. adj. (Na. 
Demele, debrouille, eclairci. “N. 

DrsLıxDanorR, A, 8. celui qui debrouille, qui 
eclaireit. 

DEsLınpan, o.a. borner, aborner un champ, 
elc., y planter des borses, p. us. (ig. et plus 
us.) Fixer l’etat de la question, lareduire A ses 
vrais lermes; la debrouiller, Pexpliquer, Pe- 
claircir. 

t DssLinoe,,s.m. bornage, abornement. (Ag.) 
L’action de fixer l’etat de la question; debrouil- 
lement, &claircissement. 


DesuincUino, 4, P. p. de Deslinguar. adj. 


DES 


+DesLuzipamente,, adv. obscurdment, sans 
eelat. 

DisLgzino, A, p. ?. de Desluzir. adj. Sans 
kat; obseur. (Ag.) Sans goüt, sans gräce, 
sans agr&ment. (td.) Qui ne rapporte ni hon- 
near ni profil. 

Desıuzım£ntO, s. m. * obscuritd, manque 
Feelat et de lustre. ( Ag.) Deshonneur, honte, 
opprobre , ternissure, €clipse. 

DssLuzir,, v. a. obscureir, ternir, effacer l’e- 
dat, öter le lustre. ( fig.) Ternir, noireir, per- 
dre de reputation. 

Deswacınir, etc. V. Desimaginar, etc. 

tDeswalinamEnTE, ade. faiblement , molle- 
ment. Languissamment, d’une maniere lan- 
guissanie. 

Desmuno, A, adj. päle, &vanoui; terne. 
p. p. de 

Deswarin, v.G. causer une defaillance, un 
tanouissement. Abattre,, decourager. 

Deswasar, v. 9. pälir; changer de couleur, 
perire l’&clat,, se ternir ; tomber en defaillanre, 
stranouir. Se decourager, se deconcerter. Il 
at quelquefois reciproque, mais peu usile. 

Desmiro, s. m.” defaillance,, pAmoison, eva- 
nouissement, faiblesse. Abattement, decoura- 
gement. * Päleur, changement de couleur. 

DeswaLHäno, A, p. p. de 
DeswuLuär, u. a. couper, rompre, defaire 
les mailles d’une colie de mailles. 

Desvanino, A, p.p. de 
Desuanir, v. a. sevrer: relirer de la mıa- 
melle. (Ag.) Priver, frustrer de. ll est aussi 
eiproque. 

Dzsuanipo,A,p.p. de 
} Drsuanir ‚,v. a. separer le betail, y metire 
le desordre. it. V. Apartar. 
fDrsuanin-sE, v. r. se separer du frou- 
peau , s’egarer, en parlant du betail. 
DesuancHÄDANMENTE, adv. en desordre; sans 
gräce. D’une maniere dereglee. 

f DesmancHAapAö, s. ou adj. m. aug. de Des- 
menchado. ( fam.) Mal gouverne,, deregle; de- 
Kingande. 

DesmAncHÄDO, A, P. p. de Desmanchar. adj. 
Desordonne; trop libre dans ses propos; de- 
fange. 

DESMANCHA-PRAZERES, adj. ets. 2 gen. trou- 
bie-fete, 

DesmancHnir, v. a. defaire, demantibuler ; 
deranger, d«mönter, demeilre ou disloquer. 
it. p. us. Oter les taches. — um navio, demolir 
un vaisseau. 

DeEsuancHän-SE,t.r. sedejoindre, se defaire, 
se deranger. (fig.) Se deregler, se desordonner. 

Deswäncno, s. m. renversement, derange- 
ment; &cart de regime; faux pas; desordre, 
eonfusion; inconduite, deregleinent. Avorie- 
went, fausse couche. 

Desuanpäpam£nte, adv. en desordre; avec 
desob «issance ; licencieusement. 

DessanoADo, A, adj. contremande, revoque£. 
Rzare , licencieux. Sorti des rögles. Desobeis- 
sanı, Soldado —, traineur. p. p. de Desmanddr. 


DES 429 


DESMANDÄR , v. a. rövoquer un ordre, contre- 
mander. Priver du commandement. p. ws. 

DESMANDÄR-SE,, v. r. se deborder:: sortir des 
r&gles,, s’&carter de la justice. V. Descomedir- 
se. Se debander, en parlant des soldats qui 
quittent feur drapeau. 

+ DesuÄnno ,s. m. desordre, dereglement, 
desobe&issance. 

DESMANHOSO, A, adj. p. us. V. Desprendado, 

DESMANTELÄNDO, A, ?2. p. de Desmantelar. 
adj. Abandonne, delaisse, demeuble, mal or- 
donne, en parlant d’une maison. Demäte,, des- 
agre6, en parlant d’un vaisseau. Demantele, 
demoli, ctant question d’une place, d’une 
ville, etc. 

f DESMANTELAUENTO, s. m. demantdlement: 
action de demanteler, son eflet; etat d’une ville 
demantelee. 

DESuanTELÄn, v. a. demanteler : abatire les 
fortications. (Ag.) Abandonner, delaisser. (4.de 
mar.) Demäter, desagreer. 

DESMARCÄDAMENTE,, adv. excessivement, OUu- 
tre mesure. 

DESNMARCADISSIMO, A, adj. sup. de 

Drsmancino, A, adj. demesure, gigäntes- 
que, enorme , hors de mesure. 

DESMAREÄDO, A, 9.9». de 

DESMAREÄR-SE,D. r.. (l. demar.) ne pas gou- 
verner le vaisseau. 

DESMASCARÄDO, A, P. p. de 

DESMASCARÄR, v. a. demasquer : Öter le 
masque & quelqu’un ;(Ag.) le faire connattre lel 
qu’ilest ; öter les fausses apparences de vertu. 

DESMASCARÄR-SE, ©. r. se demasquer : d&- 
couvrir ses defauts, ses projets; se decouvrir, 
se faire connaltre tel qu’on est. 

DFESMASTRAR,, etc. V. Desmasirear. 

DESMASTREÄDO , A, P. p. de Desmastrear. 

+ DxsuasTtREaNEnTo, s. m. (l. de mar.) de- 
mälage : action de perdre ses mäts; eflet de 
cette action. 

DesmastazÄR, ©. a. (f. de mar.) demäter: 
abattre ou rompre le mät ow les mäts. vo. ®%., 
V. Desarvorar. 

Deswavir,etc. V. Desmaiar, etc. 

DESMAZELÄDAMENTE, adv. negligemment, 
nonchalamment. 

DESMAZELÄDO, A, p. p. de Desmazelar-se. 
adj. Nonchalant, negligent, insouciani, indo- 
lent. Faible, läche, qui se laisse aller. Decon- 
tenance : sans contenance. Maladroit. 

DESMAZELAMRNTO. V. Desmazelo. 

DESMAZELÄR-SE, o.r. negliger ses alfaires; 
se laisser aller. Se decontenancer. 

Deswmaztıo, s. m. °negligence, nonchalance, 
insouciance, indolence. * Decontenance. 

DESMEDIDAMENTE „ adv. d6mesuremeut, Sans 
mesure, avec EXC&8. _ 

DesmEpino, A , adj. demesure, excessil, ex- 
tröme. p. p. de 

DESMENIR-SE, ©. r. sorlir des regles, s’öcar- 
ter de la raison. V. Descomerdir-se, Exceder-se. 

DrsweprÄnO,A, P. P-. de Desmedrar. adj. 
raffaut, parlant des arbres. Decru,, diminue. 


430 DES 


+ Deswenränga, s. f. perte, dechet, dimi- 
nution. * Amaiyrissement, depörissemont, 

DiswenrAn, v. a. deleriorer. 

Desusorän, v. w. decrolire, diminuer, de- 
choir; empirer; maigrir ; deperir. 

DESMELANCOLIZADO, A ,P. P. de 

DESMELANCOLIZÄR, 9. a. egayer, rejouir; dis- 
siper la melancolic. 

OESMELANCOLIZÄR-SE, 9. r. chasser la melan- 
colie , s’egayer, se distraire. 

DESMELUNORÄDO, A ‚pP. p. de Desmelkorar. 

DESMELHORADÖR, 8. m. celui qui deleriore, 
qui eınpire. 

DESMELBORÄR, ©. a. deleriorer, degrader, 
enpirer, rendre pire. 

DESMEMBRAGAÖ, 8. f. * demembrement, di- 
vision. 

DESMEMnRÄDO, A, P. P. de Desmembrar. 

DESMEMBRADÖR , 3. @. celui qui demeinbre. 

DESMEMERAMENTO, 8. m. V. Desmembragdo. 

DesmeEuBnÄR, ©. a. deinembrer : separer, 
arracher les membres d’un corps; Ag.) diviser 
(un lat, etc.); detacher une partie, separer 
par parties. 

DssuEupaÄR-SE, o.r. eire demembre, di- 
vise ; se detacher de. 

DESMEMORIADO, A, P. p. Je 

fDesursmonıaR, v. d. faire perdre la me- 
moire; faire oublier. 

+ DESMEMORIAR-SB, dv. r. oublier : perdre le 
souvenir, la meınoire. 

DusuentTiDo,A, pP. p. do Desmenlir. 

DESMENTIDÖR, 8. m. Celui qui deiment, qui 
ılonne un dömenli. 

DESMENTIR,, dv. a. dementir: dire & quelgu’un 
qu’il a menti, faire voir qu’une chose n'est pas 
wraie, que quelqu’un n’a pas dil vrai, le con- 
iredire ; donner un dementi; dire d’un avis oon- 
ırnire; prouver le contraire; parler, agir con- 
ie, ant. V. Deslocar. it. —, faire des choses 
ı1.!ignes de sa naissance, de son caracicre, de 
:.ı profession. — 0 caminho, chauger du che- 
inım pour derouler Oeux qui nous suivent. 

DESMENTIR (de), ©. ®. 8’ecarler, ne point 
convenir, ne pas cadrer, n’ttre pas oonforme,. 
S'abatardir, degenerer. Manquer son but. 

DESMENTIR-SE, v. €. se demenlir : se dedire; 
s'ecarter de son caraclere. 

DESMERECEDOR, A, 8. et adj. indigne d’une 
chose, qui ne la merite pas. 

DesMERECER,, 9. a. d6meriter : se rendre in- 
diene, agir de maniere ä perdre la bienveil- 
tance, l’estime , ete. 

DESMERECER,, ©. #. demeriter de. (fig.) Per- 
re de sa valeur. — para com alguem, deime- 
riter aupr&s de quelqu’un. Ndo — d’alguem ou 
d’alguma cousa, n’eire pas infericur A quel- 
qu’un, @ire digne d’une chose, la meriter. — 
a cor. V. Desbotar. 

DESMERECER-SE, 0. r. perdre son mdrilo. 

DESMERECIDO, A, 9. P. de Desmerecer. adj. 
Non merite, qui n’a plus de merite. Qui & 
perdu l’estime. Qui a chang6 de couleur, 

Dssuznzcıußnto, V. Domdrito, 


DES 


* Desuzswino. V. Desmesurado. 

° Desuesüra. V. Descorlezia. 

+ Dasuesuninamente, adv. dömesurement, 
vutre mesure, Sans Mesure, avo0 exc#s. 

DEsursunino, A, adj. demesur&, gigantes- 
que, colossal, enorme, hors de mesure, anl. 
V. Descortez, Atrevido.p.p. de 

f Desumesunin-se, vo. r. parler, agir sans re- 
tenue, aveo insolence , s’oublier. 

DzswioLioo, A, adj. et s. &cervele, tie sans 
cervelle. 9. p. de 

DrsvwioLir, v. a. tirer la mie du pain; dter 
la cervelle. 

Desuivcir,, ote. V. Bemiupar, elc. 

DFsuMopzaino, A, p. p. de 

tDeswoorrän, o. a. faire une chose sans 
moderation , avec exces. llest plus sonen! r&- 
ciproque, et signifle agir sans moderalion, 
avec exoös. —se em comida, em bebida, em Ira- 
balho, etc., manger, boire, travaliler immno- 
ılerement. 

+ Drsmocnarnia, s. f. (t. d’anat.) desmo- 
graphie : description des ligaments. 

+ DeswöcaArno,, s. m. desmographe : auteut 
d’une desmographie. 

+ Deswouocia, s. f. (t. Kanal.) desmole?*. 
trait6 des ligaments ; partie de la somatolox". 

DeswoxTäpo,a,g. p. de 

DESMoNTÄr, ©. a. demonier : öter & quel- 
qu’un sa monture. —, desansembler. — , T- 
verser la partie superieure d’un &dilice. En- 
Icver, transporter des terres. — o male. \. 
Desmoular. — a ertilkeria, demonter lar 
tillerie : öter la piece de dessus son afül. 

Deswontän, o. n. desrendro de cheval, de 
voiture, mettro pied & terre. . 

DESMÖNTE, 5. m. ce qu'on a Öt6 d’un ter: 
en l’essartant. Depouilles d’une foret. L’action 
de demonter, d’essarter, etc. 

Deswontoin. V. Desmontar. 

+ Drsmornocia, #. f. (f. de mdd.) desmo- 
phlogie : gonflement inflammatoire des liga- 
ments. , 

+Desworanzackd, s. f. demoralisation: 
action de demoraliser;; tat d’un peuple, EC 
demoralise. , 

DeswmoraLızino, A, p. p. de Desmoralizar. 

+ DesmonaLızanOn, A, s. celui qui demora- 
lise. 

+ DeswonaLızärn, ©. a. demoraliser : ©“ 
rompre les maurs; rendre immoral; 6ter 4 
moralite. 

+ Desmoronanıgo, A,adj. chancelant, prei 
Atomber, ä se renverser, & s’aballre. 

‚Desyoronino, A, p. p. de Desmoronar. 

DFSMORONAMENTO, 5. m. cboulement : chal* 
de ce qui s’eboule. , 

Drsworoxir, eo. a. faire tomber en roines 
un edilice, etc. Miner : detruire peu & pCU. 

Desuononar-se, e. r. ebouler, s’cbouler: 
tomber en ruines en s’affaissant, se dit des bI- 
timents qui se detruisent,, des terre. 

+ Desmorowia,, s. f. (1. d’anat.) desmolomie; 
dissection des ligamenis, 


DES 


Desworcsando, A,p.p. de 

Dssworcnin, v.a. muliler, tronquer, rogner 
par le bout; ötöter, dironconner, 6cimer, re- 
ceper, ecaloter, &corner, emonder. 

Dssuourävo, A, p. p- de Desmoutar. 

+Desuoctanon,, s. m. defricheur. (Ag.) celui 
qui a commenc6 & civiliser un peuple. 

DssuouTar, v. a. ossarter : defricher en ar- 
rachant les bois, les &pines, les Fonoes, 6lc. 
V, Rogar, Arrotear. 

Dssuouto. V. Desmonte. 

Desutrinpo, 9. p. de 

+'Deswurir, vo. a. dötruire les murs d’une 
ville , d’uns forteresse. 

Desuuacnin0, A,P.p9.de 

+ Drswencnin, o.a. remetire dans sa fral- 
cheur (une plante, ufe fleur). (Ag.) Restituer ä 
son eist naturel. 

*Dasuösıco, A. V. Desenloado. 

Dessacer, etc. V. Desnascer, etc. 

*Desnacöra pour DESD’ACORA, ado. des ä 
present. 

DessauoriD0, A,p.p. de 

DesuamoniAn, v. a. faire perdre l’amour 
qu’on a pour une femme. 

DESNAMORAR-SE, ©. Fr. perdre l’amour qu’on 
avait pour quelqu’un, cesser d’etre amoureux. 

Dessarıckdo, A,P. p. de 

DEsmartcaR,, v. a. couper le nez. 

Dassuscek, ©. ». renirer dans la malrice 
(Venfant, ete.). 

Dessuschho, A, p. p. de Desnascer. 

Desnaräno,a,p.p.de 

Desmatir, v. a. @cremer : enlever la creme 
du lait.(&g.) —, prendre ce qu’une chose a de 
meilleur. 

+Drssarerino, A, p. p. de Desnalurar. 
edj.‘KAg.) Qui manque A ses devoirs envers sa 
patrie. 

+ DessaturaL, adj. 2 gen. qui n’est pas na- 
turel; denature. (fig.) Ingrat & sa patrie. V. 
Dematuralizado. 

Dessuaturanızackö, 3. f. *depouillement, 
privation des droits de citoyen. * Bannisse- 
ment, expatriation. 

DesnarurAaLızÄDO, A, pP. pP. de Demalura- 
kisar. 

DiSNATURALTZAMENTO, 3.m. V. Desialura- 

0. 

Desnatonalızin, v.a. denaturaliser : priver 
Ju droit de r&gnicole. Bannir de sa palrie. 
{Ag.) Denaturer : changer la nature d’une 
ehose. 

DESXATURALIZÄR-SE ,o.r.renoncer aux droits 
de remicole ; changer de patrie. 

Dessatcnauento, 6. m. V. Desnalurali- 
zacdo. 

Dessatunan, etc. V. Desnaluralizar, etc. 

Desnavecäver, adj. 2 gen. innavigable : qui 
n'est pas navigable. 

" Disug, DEsnEQUE, pour D£s que, Desde 
que. 

DrsnegcEssinsam£xte., adv. sans necessitd. 





DES 431 


DESNBcRSsÄrRIO, A, adj. superflu, inutile, 
non nöcessaire. BR —, c’est inutile, pas neces- 
saire. 

Desuscessipine, s. f. superfluite, inutilite, 
chose non n&cessaire. 

7 Dasuzoin-se, vo. r. se dedire , se rötracter. 

° Dusuzunran. V. Desiembrar. . 

T Desnenvin0, A, p. p. de Desmerver, et 
udj. Estilo —, style läche. Folhas —as, ( !. de 
bot.) feuilles &nerves : sans nervures. 

Dssnenvir, u. a. enerver : couper les nerfs. 
V. Enervar. 

Desnevipo, A, adj. froid comme la glace, 
parlant de l’eau. On le dit aussi d’un lieu 
oü, contre l’ordinaire, il n’y a point de neige. 
p. 2. de 

DEsxevär, v. a. enlever la neige; la faire 
fondre. 

DEsnevÄrR, vo. n.et—se,v. r. fondre, par- 
lant de la neige. 

DESNEvOADO, A, P. p.de 

DEsnEvoÄir, v. a. defaire les nuages, dissi- 
per le brouillard. Il est aussi reciproque. 

Dessınnär. V. Desaninhar. 

+ DesxıvEeLÄivo, A, adj. non nivel6, qui n’est 
pas de niveau ; penchant, raboteux. 

"Drsno, pour Desde o, depuis le. 

+ Desxopaecer,v. a. degrader : faire perdre 
la noblesse , avilir. Il est aussi reciproque. 

Desnopakcino, A, p. p. de Desmobrecer. 

Deswocar, etc. (t. popwl.) V. Deslocar ou 
Desnucar.- 

DEsnonino, ete. V. Denodddo, ete. 

+Desnonsdso, a, adj. Tronco —, (f. de bot.) 
egal, uni, sans nauds (tronc, tige). 

DESXO1YADO, A,p. p. de 

+ Deswovin, 0. a. separer des nouveaux 
maries; rompre un mariage pret & se faire. 
(ig.) Priver quolqu’un d’un emploi recemment 
recu ; d£pouiller de ce qu’on aimait. 

DEsnorTBÄDO, A,P. pP. de 

+ DEsxorTEÄR, vo. a. 6carter du nord ow faire 
perdre le rumb marqu® par la boussole. (Ag.) 
V. Desorienlar. 

* DesxuAr. V. Despir. 

Desstci0po,A,?.p. de 

Desnucäir , v. a. deboller, rompre la nuque 
du cou. 

Desnupir, etc. V. Despir. 

Desnunez 0% nudit# : manque d’ha- 

Dessuntza ,s. f. bits ; &tat d'un @ire nu. 

* DesoB, adv. dessou3, SOu8. 

DESOBEDECER,, v. a. et n. desobeir:ne pas 
obe£ir. 

DEsoBFDECIDO, A, p. p. de Desobedecer. 

Desopeni£ncıa , s. f. desobeissance : delaut 
d’obeissance. 

DESOBEDIENTE , adj. 2 gen. desobeissant, qui 
desobäit. . 

DESOBKDIENTEMENTE, adv. avec desob£is- 
sance. . 

Desoprica , s. fı "acquit. V. Quitapäo. — da 
quaresma , devoir pascal, l’acquitiement de ce 
devgir. 


432 DES 


DesosrıcAchd, 8. f. * affranchissement d’une 
obligation, decharge ; exemption. 

DESOBRICAÄDO, A, pP. p. de 

Desosaıcän, v. a. degager, affranchir d’une 
obligation , excmpter. 

Desosrıcar-se (de), v. r. remplir ses obli- 
gations, ses engagements. il. S’exempter. V 
Desencarregar-se. — da quaresma, faire ses 
päques. — dos Alhos, ne pas remplir les de- 
voirs paternels. 

+ DESOBRIGATÖRIO, A, adj. qui degage, qui 
affranchit d’une obligation. 

Desosstaucgiö, s.f. desopilation : debouche- 
ment d’une obstruction. 

Desosstructivo, A, adj. desobstructif : qui 
guerit les obstructions. 

Desonstavencıa. V. Desobstruccdo. 

DesoBstrußnTE, adj. 2 gen. V. Desobsirue- 
fivo. 

DESOBSTRVIiDO, A,p.p. de 

DESOBSTRUIR, v. a. desobstruer : detruire les 
obstructions. (fig.) — , degager de ce qui em- 
barrasse. 

Desoccasıonäno, A, adj. Cloigne de Pocca- 
sion. p. us. 

*+ Desoccupagäö,s. f. desoccupalion, des- 
@uvrement. 

DesoccupÄDAMENnTE, adv. librement, sans 
embarras, ni oecupation. 

DEsoccupÄnO ‚A , adj. desauvre, inoccup® : 
qui n’a point d’ vecupation. Vide : qui n’est pas 
ocoupe. p. p2. de 

Desocctpär, v. a. debarrasser, &evacuer, vi- 
der, desemplir ; rendre, laisser un endroit ou 
quelque chose libre. 

DESOCCUPAR-ER. , v. r. se desoccuper : se de- 
barrasser d’une affaire, d’une occupalion. 

Desorscscädo , A, pP. p. de 

Desorruscir, v. a. Öter ce qui oflusque. V. 
Desassombrar. 

*Desöıe, pour D&s hoje, adv. dis aujour- 
d’hui. 

DesoLacäd, s. f. desolation, devastalion, 
ruine, entiere destruction. — , affliciion , peine 
extreme. 

DrsoLADO,A,Pp.p. de Desolar. adj. Desole, 
ruine, ravage, depeuple. —, afflig6, inconso- 
lable. 

DESOLADOR, A, adj. qui cause desolation. 
Desolateur. 

DesoLÄr, v. a. d&soler, ravager, ruiner, de- 
vaster, detruire. 

* DESÖLTANMENTE. V. Dissolutamenie. 

DesoLuro. V. Dissoluto ei Dissolvido. 

Desoı.ugäö. V. Dissolugäo. 

DESOnERÄDO, A, p. p. de 

DESoNERÄR, v. a. priver d’un poste, d’un 
emploi honorable. V. Exonerar. 

DesorıLAagAö, s. f. desopilation : debouche- 
nıent d’une obstruction. 

DrsorıLADo, A,p.p. de 


DrsorıLÄn, dv. a. desopiler : Öter les obstruc- 
tions, les opilations. 


DES 


DesoriLarivo, a, adj. desopilatif: propre ä 
desopiler. 

Desoprazssiß, s. f. aise, cessalion de l’op- 
pression. 

+ Desoppr&ssoRn, A, 8. et adj. qui tire de 
l’oppression ; qui soulage. 

DESOPPRIMIDO, A, 9. p. de 

Desorrkimik ,.v. a. tirer de l’oppression. 

Desorävo , etc. V. Dessorado, eic. 

DESÖRDENM, s. f. * desordre,, desarroi, deran- 
gement , defaut d’ordre ; renversement, confu- 
sion. Trouble, tumulte. 

DESORDENÄDAMENTE, ade. desordonnement, 
sans ordre, avec desordre. Tumultueusement. 

DESORDENADISSIMO ‚A,adj. sup. de 

DESORDENÄDO, A, P. p. de Desordenar. adj. 
Desordonn&, deregl6; demesure, sans ordr 
bors de Pordre. 

DESORDENADOR, 5. m. celui qui met en des- 
ordre. 

* DESORDENÄNGA , 5. [. mangque d’ordre dans 
la discipline militaire. 

Dessonpenär, v. a. desordonner, deranger, 
mettre en desordre. 

+ DESORDENÄR-SE, v. r. se deranger, se de 
regler. Se mettre en desordre. Faire quelque 
exc6s. 

DESORELRÄDO , A, 9. p. de 

DESORELHÄR, ©. a. essoriller : couper les 
oreilles. 

DesonGanızacäd, 8. f. desorganisalion: &C- 
tion de d&sorganiser, ses effets; &tat de ce qui 
est desorganise ; destruction de l’organisalion. 
(fig.) * Desordre , derangement. 

DESORGANIZÄDO, A, 9. p. de Desorganizar. 

T DESORcANIzADOR, 8. m. desorganisaleuf: 
qui desorganise, qui renverse l’ordre. 

Desonganızär, v. a. desorganiser : detruire 
les organes; detruire l’organisation; traubler 
Vordre ,jeter la confusion dans... JI est aussi 
r6ciproque. 

+ DESORIENTÄDAMENTE,, adv. d’une maniere 
troublee. 

DESORIENTÄDO, A, P. p. de 

DESORIENTÄR,, v. a. desorienter : faire perdre 
la connaissance du lerant, du lieu oü !’on est 
ou dont on parle, du chemin & suirre. (fg.) 
— , deconcerter, troubler ( queiqu’un). 

DESORIENTÄR-SE., v. r. perdre la carle; # 
perdre dans des conjectures. 

Desornnädo,A,7.p.de 

DEsORNÄR, r. a. desorner : Öter l'ornement‘ 
degarnir. 

Desossäno , A , 9. p. de Desossar. 

+ Desossame£nto, s. m. desossement : aclion 
de desosser. 

Dssossir, v. a. desosser : Öter les os de la 
chair. 

Desoss&co, elc. V. Dessoc&go. 

* DEsoOTEnnAR,elc. V. Desenterrar, ei. 

+ Desöva, 8. f. * frai :temps oü les poissons 
jettent leurs aufs; ces aufs fecondes. 

Desövä0o,A,p. p. de Desovar. 








Dasövantnto, s. m. frai, temps du frai; 


multipliestion des poissons. 


Desövin, v. w. &tre dans le frai, parlant des 
poissons. v. a. (fg.) Decharger une grande 
porlion de sa cargaison, parlant d’un vaisseau. 

f Dzsoxypaciö, 5. f.6t. de chim.) desoxy- 
daion : action de priver une substance de son 


oıygene. 

DEsoxYBa00, A,9.9p.de 

tDesoxvoäs, v. a. (1. de chim.) dösoxyder : 
pfirer un corps de son oxygöne. 

’Desor. V. Desdje. 

} Despäcna! interj. or cä! allons! 


DEsracmÄpau&nTE, adv. d’une manidre ex- 


p’ditive, avec promptitude, celerite. 
Desraczipo, A, 9. p. de Despacher. adj. 
erperlitf, diligent. 
DESPACHADOR, 5. m. homme exp6dilif, qui 
fait promplement. 
Dasracnänte, s. m. (— da alfandegs) com- 
nis charge des expeditions & la douane, 
Desracnia, ©. a. depöcher, expedier, faire 


prompiement. Kxrpedier, vider, finir, terminer 


une affaire. Exp6dier, resoudre une affaire. 
Dep&cher, enroyer un courrier. — alguem, d& 
ferer A la requete de quelqu’un. — a alguem, 
donner & quelqu’un sa depeche. — alguem 
desia vida, (fig. fam.) depecher quelqu’un, 
le taer. — o nario, (1. de comm.) detacher, ex- 
pedier un vaisseau. 

Deseacnin-sE, ©. r. se dep£cher, se häter. 
Se debarrasser, so degager. . 

Dsspicao, s. m. “depeche : expedition des 
affgires. * Expedition : action de dep£cher. 
"Resolution , determination; arröt, decision. 
Dar oa dar-se —,, se döp£tcher, se häter. Dar 
orei— , travailier avoo les ministres, parlant 
da roi. Dies de —, jours d’audience. HJomem 
de ndo—, qui n’est pas conient de ce qu'on 
ini donne. — do porto,, (1. de mar.) droit d’an- 
crage. Bello — ! On le dit ironiquement d’une 
reponse dure, d’une r6solution frivole. 

DaspaLuino, A,P. p. de 

tDzspaLwin, v. a. ter la paille, Oter }’&pi 
C> la paille. 

DespaLminO, A,P. 9. de 

DespaLmän, o. @. (8. de veldr.) dessoler, pa- 
ter le pied d’un cheval. 

DespaurauäDo, A,P.p. de 

Dasrauranän, v. a. &pamprer: Öter le pam- 
rre, les fenilles inutiles. 

Dzsrarino, A, 9.9. de 

TDzspapir, 0. a. porter au vent, se dit d’un 
t;eval qui porte la t&te trop haute. 

Despanin, etc. V. Dispardr. 

Nesparire, etc. V. Dispardie. 

Drspanzcen. V. Desapparecer. 

Despannino, A, P.p. de 

Despaanin, v. a. &pamprer la vigne. 

Dasparrino, A, p. p. de Despartir. 

Despanrınon, 5. m. pacificateur, concilia- 
leur. Celni qui partage, qui divise. 

DESPARTIR, ©. @. Separer des gens qui se 
battent, les pacifler. Il est aussi röciproque. 

PORT.-FR, 





DES 


Despanzia , eto. V. Esparzir. 

Despassino, A,9.p. de 

T DespassaR, ©. 0. depasser : relirer ce qui 
6tail passe dans un anneau, etc. 

Duspastino, A, 9.2. de 

T Duspastär, v. a. detruire, devorer les p4- 
turages. 

Desravoria,, etc. V. Espavorir, etc. 

Desreino, A, adj. dösentrave : qui a les 
pieds foules (cheval). p.p. de 

DESPEÄR,, ©. a, desentraver : 6ter les en- 
iraves (& un cheval, etc.). 

Despgin-sE, v.r. so dösentraver. it. Se faire 
mal aux pieds A force de marcher. 

*t Desp&cao, s. m. döpit, colere exiräme, 
fureur. 

Desp£Dacino, A,p. p. de Despedagar. 

+ DESPEDAGADOR, 5. m. celui qui depece, di- 
lactre, dechire. 

DESPEDAGAMENTO, 8. m. d6pdcement, dilace- 
ration ; d&chirement. 

DESPEDAGAR, v. a. depecer : mettre en pidces, 
Dilacörer, dechirer. ( Ag.) Dechirer. 

Dzsreoina, 8. f. action de prendre congs. 
* Adieu : salut en se quittant, en prenant conge. 
Separation. Audience de conge; licenciement, 
conge, renvoi. ( lg.) Fin, conclusion; refrain 
d’une chanson ‚ otc. A derradeira —, le dernier 
adieu. Por —, loc. adv. enfin, en conclusion ; 
en prenant conge. 

DESPEDIDO, A,P. P. de Despedir. adj. Con- 
gedi6, renvoys. Econduit : refuss avec me6na- 
gement. 

* Despenientre. V. Expediente. 

- Desreoımento, s. m. V. Despedida. Deco- 
chement : action de decocher une flöche. Des- 
enrölement. 

Desreoin, v. a. congedier, licencier, ren- 
voyer. Jeter, lancer, darder, decocher.(Ag.) Re&- 
pandre, dögager de l’odeur, de la lumiere, etc. 
VE ir. — airösamenle, &conduire, au 
figure. — a familia, [alre maison nette. — a 
vida, a alma, o espirilo, rendre le dernier 
soupir, expirer. — de si os mdos habilos, as 
mdägoas, etc., chasser les mauvaises habitudes, 
le chagrin, etc. 

Desrepir, 9. ®. finir, terminer, en parlant 
d’un accös ou paroxysme de fiövre. Partir, s’en 
aller rapidement, en parlant d’un cheval, etc. 
Mettre sous voiles, en parlant d’un vaisseau, 
Eıtdr a —, #ire A l’agonie, pr&s d’expirer. 

DESsPEDIR-SE (de), %. r. prendre conge, dire 
adieu, faire ses adieux. Se quitter, se separer 
en se faisant des politesses. S’en aller, cesser, 
disparaitre, en parlant d’une douleur, etc. 
— em latim, (fam.) brüler la politesse. — da 
sociedade, (#. decomm.) se relirer de la soeidts. 

DespeonaR. V. Desenpedrar. 

+ DespecinaMente, adv. durement, aveo 
dedain, avec rudesse. (Ag.) Sans affection, 
sans attachement. 

DesrecAno, A, adj. (lg.) Rude, dur, d’un 
commerce difcile. Libre, independant; qui ne 
s’attache A personne. p. p. de Despegär. 

28 


#38 


4A BES BES 


Desproin, v. a. decofier, dötacher, Atiater. | la poitrite. ©. #. Cesser de souffrir. — d’esta 
(ig.) Faire perdre Yaffection; rendre indiff&- | vida, mourir. 
rent. Drserndenör , 3. m. dissipateur, depensenr : 
DespeoÄir, v. n. abandonner, laitser }& une | qui depense avec exe#s. 
entreprise. Sem —, sans interruption. — do|l Desrempin, v. a. depenser, dissiper, prodi- 
irabalko , quitter, suspendre te travail, en par- | Buer son bien. (4g.) Employer, consamer le 
lant des ouvriers. temps , ta vie, eie. 
Desprcän-ss, u. r. se decoller, se detacher. | Desrenner, v. 9. et-sE (com), eo. r. falre de 
( g.) Se detacher. V. Desapegar-se. grandes depenses,, des depenses excessires, | 
Desr£co, s. m. detachement. "Rudesse, da- | cause de quetqu’un vu de qeeique chose. 
ret& de earactäre. V. Desapfgo. DESPENDIDO, A, P. P. de Despender. 
Despeıtäno, A, p. p. de Despellar. Desrp£npıo. V. Dispendio. 
Drspeitanon, s. m. celui qui depite. Exac- Dsspennuni00, A, 9. p. de 
teur dur, impitoyable. Desrennunir, r. a. descendre une chose 
"DERPEITAMENTO, 5. m.*exaction trop grande, qui etait accrochee en haut ou pendne ; deero- 
surcharge d’impöts. V. Derpeito. cher. 
Desreitär, v.a. fächer, d6piter, irnpatienter, DESPENHADEIRO, 3. m. preeipice: lien for 
desesperer. Accabler, surcharger d’impöts. bas, au-dessons d’an liew fort dere et forl 
+ DESPEITAR-SE, d. T- desesperer, se Jdepiter, escarpe, oü P’on ne peut tomber sans peril de ia 
s’impatienter. vie. (Ag.) Peril, danger extraordinaire, perte 
Desp£ito, 5. m. depit, coldre extreme, fü- certaine. 
reur. *Repugnance , mauvais gr&. Degoüt,, tris- Despennindo, A, p. pP. de 
tesse, chagrin. "Rigueur, rudesse, cruaute. | Desrennir (de), v. a. preeipiter, derocher, 
“Langueur, defaillance, abattement. * Inso- | döroquer : jeter de haut en bas. 
jence , emportement. Malheur, infortune. "Mo- DESPENHÄR-SE (de), ©. r. se precipiler, se je- 
querie, raillerie. A -,em —, adv. en depit de, | ter de hauten bas, en parlant d’une rividre, etc. 
malgre. (fig.) —, s’exposer au danger; 36 perdro, $ 
DesperrorAnDO, A, P. P. de plonger dans les vices, courir ä sa perte. 
* Desreitarär, v. a. V. Expeclorar, (fig.)| Drsrenno, s. m. l’actien de preripiter ou de 
Desabofar. se precipiter. *Chute precipitöe. *Ruime, perfe, 
Desreıtoran-se, v. r. (g.) Se debrailler, se perdition. 
derouvrir le sein, montrer la gorge, la poi- | DESPENNAR, etc. V. Depennar, etc. 
trine. Drspansa , s. f. depense, olReo, garde-Mal- 
Desreıtöso, A, adj. depiteux. V. Indignado , | Ber, lieu od Pon serre le feuit, tes vivres, elt. 
Furioso. Provision de vivres. 
Despesipamente, ade. sans honte; libre- Drspensia, etc. V. Dispenser, eic. 
ment, sans embarras. DEsPENSArRA, s. f. döpensidre : eele ii en! 
DesrgsÄno, A, adj. debarrasse, etc. Clair, | chargee de la depense ; celleriere. 
net, vif, sans emharras ni defaut. Franc, ou- DEspens£ıro, 8. m. mailre d’hölel, POHT- 
vert, qui a des manieres aisees. Clairvoyant, | voyeur, depensier. Celui qui distribue,, qgei fe 
vif, penetrant, eveille. Effronte, hardi, inso- | partit des biens qu’on lui a eonfies pour 
lent. Licencieux , impudique. p. p. de effet. (1. de mar.) Distributwer, commis de la 
DesresÄr ,o. a. debarrasser, deboucher, Öter chambre, maltre valet. — mer, premier maftr“ 
les embarras. Vider, desemplir; evacuer un 


d’hötel de roi (on Bepame). 
lieu, en sortir, le laisser libre; demenager. DESPENTEÄDO, A, P. P. de 
Rendre effronte, hardi. DESPENTEÄR,, 0. a. defaire la coiflare. j1 est 

DESPEIÄR-SE , d. r. se dösemplir, se vider. Se | aussi reeiproque. 
debarrasser de ce qui genait, qui embarrassait. + DespentgÄn, v.n.18.de wster.) distoquer 
(g.) Acquerir des manieres aisees dans la so- | un ou les deux paleroms, €R pariami dun 
ciete. (id.) Devenir effront£. cheval qui bolte. 

Desp£o, s. m. debarras, debarrassement: * DESPERGADOIRO, A. V. Desprosivel. 
aclion de debarrasser, d’evacuer un lieu; de- ° DEspERGAR. V. Despresar. 
menagemert; vidange. ( Ag.) * Vivacit6, bonne | Desrerckeer. V. Desarisor et Desaperrebet. 
gräce, manieres aistes; hardiesse, audace, 


irn a: 3 . Desrencenimtnto. V. Desapercebimenlo. 
ee a ies de oe + DespennıcÄDAMENTE, ade. avec profusioß, 
ment. avec prodigalite. 

DEsPrENÄDO, A, P. P. de Despenar. DESPERDIGÄDO, A, P. P- de Desperdigar. Gr 

+ * DespExanORa,, 5. f. femme qui, par une pille, prodigue , dissip6. Prodigue , Aisaipaleu” 
humanits mal entendue, &touffait les mori- Amoureux wansi; favori „ benjamin. 
bonds en leur appuyant le coude sur la poi- | DXspEnpiGaBoR, A, 8 dissipateur, prodigü- 
trine. Gaspilleur. 

DespenÄn, r. a. tirer de peine. (ant.) Ftouf- 


DESPERDIGAR, 9. a. prodiguct, diseiper, € 
fer un moribond en Iul appoyant le coude sur | ployer mal & propus. Gaspilter : faire des 























DES 


penses inatiles. — palavras, perdre son temps 
en paroles, en discours inutiles. 

DespzaDicıO , s. m. "profusion, prodigalit£, 
naurais ernploi, degät. Gaspillage; dilapida- 
tion ; deperdition. 

Disperecir, v. ». deperir. V. Perecer. 

DEsPERECIDO,, A, P. P. de Desperecer. 

DESPBRECIHENTO , 3. m. deperissement : dtat 
de decadenee, de degradation, de ruine. 

Despzarntino,, A, 9. p. de 

+DrsreariLar, ©. a. deranger ce qui 6tait 
en profil. (f. de peint.) Arrondir les conloars 
@une figure. 

+DespgartLän-SE, ©. r. perdre le profil, 
eesser d’ätre en profil. 

"Dispgacähn. V. Desprezar. 

Dispernıcıutnto. V. Despereceimento. 

Dasrexstanivo, A, 9. p. de 

+Despersuapin, v. a. Aissuader, deconseil- 
ler, faire changer d’avis. 

+ DEspensuanıR-SE, ©. r. so desabuser, se 
dttromper; connaltre son erreur sur l’atiente 
de quelque chose. 

+Despenscasid, s. f. dissuasion . action de 
dissuader. 

Dispertino, A, 9. p. de Despertar. 

+ Dispertanon, 3. m. reveil : horloge dont 
la sonnerie reveille & une heure marquee. Re- 
veille-matin. Celui qui est charge d’eveiller 
guelgwun. (Ag.) Chose qui occupe, qui donne 
du sonci. 

Desperräirn, ©. a. eveiller, röveiller. (fg.) 
Exeiter, &mouvoir, &veiller; faire ressourenir 
d'une chose oubliee.—a quem dorme, (fig.) 
&reiller le chat qui dort. — 0 desejo, ragoßiter:: 
teveiller le desir. 

Desptato, a, adj. quiest &veillde. V. Acor- 
dado do sono. 


Desptsa ou Desptza, s. f. depense, frais, 
eoät. V. Gesto. Deduzidas as—s, (1. de comm.) 
deduction faite, tous frais faits. —s miüdas, 
menus [rais, [aux frais. 

"Despesin. V. Gastar, Despender. 

"Desptso, A,p.p. ir. de Despender. adj.V. 
Fallo, Desprovido. 

} Desperan.zino, a, adj. (4. de bot.) apetale: 
sans petale. 

Despiapösaußyte, adv. impitoyablement, 
sans pilie. 

DesrtaDOsO, A, adj. Impltoyable, inhumalin, 
erael. 

Despicino, A, p. p. de Despicar. 

Despicanon, 3. m. celui qui venge une iIn- 
jJare.p. us. 

‚ Desmicir, 0. a. venger quelgu’un d’une in- 
jure. 

Despicin-sE, 9. Tr. se venger d’une injure, 
prendre sa revanche. ( fig.) Mettre tous ses 
ins, donner toute son application ;s’acquitter 
üıznement de quelque chose. 

Despino, A, p.p. de Despir. adj. Deshabilld, 
Bu. (Ag.) Depouilie. 

DispreDanamenTe. V. Desapiedadamente. 

Dispiepäng, s, m. inbumanite, cruaute. 


. DES 435 


DEsSPIEDÄDO, A , etc. V. Desapiedado, etc. 

DESPIMENTO, 3. m. action de döshabiller , d& 
pouillement. 

Despintän0, A,9.p. de 

Despintin, ©. a. effacer ce qui est peint, 
(fig.) Changer, brouiller les choses de manisre 
que l’övenement solt le contraire de ce qu’on 
attendait. D&primer, avilir, abaisser, ravaler le 
merite d’une action. 

DESPINTAR-SE, ©. r. (fig.) changer d’appa- 
rence, se montrer Sous un nouvel aspeot; #tre 
defigure. 

Desrigue , s. m. "satisfaction, vengeanee 
qu’on tire d’une injure. Tomar — , prendre sa 
revanche. Em -—, en revanche. 

+ Despigueiso,, A , adj. (1. de bot.) acaule : 
sans tige (exlipelalus). 

Despir , v. a. deshabiller, metire & nu, Öter 
les vetements, l’armure, etc. (fig.) Depouiller 
une chose de ce qui l’orne ou la courre. — al- 
guem, (fg.) depouiller quelqu’un de tout ce 
qu’il possedait. —o homem velho, (id.) de- 
pouiller le vieil homme ou se depouiiler da 
vieilhomme : quitter ses vieilles habitudes cri- 
minelles. 

Desrimese , v. r. se deshabiller : Oter ses 
habits , sesvetements, sesornements. (de)(Ag.) 
Se depouiller de son bien; se detacher d’une 
passion, de cerlains sentiments, opinions, etc. 

DESPLANTÄDO, A, p. p. de 

DespLamtär, v.a. deplanter : arracher pour 
planter ailleurs. 

DESPLANTE, 3. m. (#. d’eser.) * posture obli- 


que. 

*DespLecan.V. Despregär as bandeiras. 

DespLUMÄDO, A,P.p.de 

Despromär, ©. @. deplamer, plumer : öler 
les plumes, 

* Desposnar. V. Despovoer. 

Despas. V. Depois. 

Desrosino, A,Pp.p. de Despojar. 

DesrosanDoR, s. m. spollateur: qui depenille. 

Desrosamento,, s. m. (anl.) depouillement, 

DespoJän (de), v. a. depouiller, d&posseder, 
denuer, devaliser, spolier ; d&poss&der par vio- 
lence, par fraude. 

Desposir-sE (de), v. r. se deponiller de; 
renoncer ä...; se priver volontairement d’une 
chose. V. Despir-se. 

Dssp6)0 , s. m. d&epouillement : action de de 
pouiller. * Depouille : butin fait sur les enne- 
mis; hardes d’un mort. (poet.) * Depoullle : 
peau detachee d’une b#te feroce. * Depouille : 
le ventre, la fressure,, la tete, et les extremites 
des animaux de boucherie. Os —s da vida ou 
morlaes , depouille mortelle:corps de ’homme 
mort. 

DESPONDERÄDO, pP. us. V. Inconsiderado. 

Desronsazs. V. Esponsaes. 

Desroxtäno,A,p. p. de 

Desrontär, ©.a. &pointer, &mousser. (fig.) 
V, Embotar. ll est aussi r&ciprogne. 

DEspontTÄR, 0. n. descendre, baisser. (f. de 
mar.) Doubler un cap. (fg.) Montrer de !’es- 


836 DES 


prit, de la vivaciis. Eclore : commencer ä pa- 
raltre, parlant des boutons des arbres, des 
plantes. Poindre : commencer & briller, & per- 
eer, ä paraltre.— o dia, a aurora, 0 sol, 
poindre : commencer & briller, & paraltre, par- 
lant du jour, du soleil, de l’aurore. 

Dasrön. V. Dispor ou Depor. 

DEsPORTILEHÄDO, A, 9. p. do 

DESPORTILHAR, ©. a. enfoncer les portes. 

*Dzspoarto,. V. Divertimento. 

Dzsp0sip0 ,A, pP. p. de Desposer. 

. DESPOSAJAS. v. De 

Desrosin , v. 6. Bancer : faire les Rangailles. 

Desrosin-sE (com), v.r. se flancer;; se ma- 
rier, &pouser. (fg.) Se joindre, s’unir. 

Desrosicid. V. Disposigdo et Deposigäe. 

* Dzsp0sıcoom. V. Es 

DESPOSÖRIO, 8. m. * promesse de mariage, 
Bancailles ; desponsation , mariage. Fazer —s, 
faire des fangailles ; contracier mariage. 

* Dasrosounos, s.m. pl. V. 

Desrossipo, A, adj. qui ne possede rien , 
pauvre; qui est dans Limpossibilite de. p.p. de 

Dasvossir. V. De 

Desrossulnpo, A,Pp.P. de 

DeEsPossufn,, v. es. cesser de posseder une 
ehose, en perdro la possession;; abandonner. 
Deposseder: öter la possession. V. Desapossar. 

* Desrösto. V. Disposto, Deposto, Ezposto. 

Desrora, 6. m. despote : qui gouverne ar- 
kitrairement, au gre de son caprice , sans 
regie ni lois; maltre absolu , celui dont la vo- 
ionts seule fait la loi. Dominateur. 

Desrorz. V. Despota. 

DESPÖTICAMENTE ‚adv. despotiquoment: avoc 
despolisme ; baut la main. 

Desrörico, A, adj. despotique : absolu, ar- 
bitraire ; du despotisme. 

Desrorisuo , s. m. despolisme ;: pouvoir ab- 
solu, arbitrsire, illimite, qui n’a de regle que 
la volont& du despote ; domination d’une seule 
personne qui n’a de regles que son intertt; 
abus de la monarchie ; abus de pouvoir; ty- 
rannie ; vexation. 

Dssporızipo, A,9.p. de 

+ Desrorizin, v. #. despoliser : agir, gou- 
verner despotiquement. 

Daspovoacäd, 8. f. " depeuplement, d&popu- 

.aüion. 

DasrovoÄipo, A, p. p. de Despovvar. adj. 
Depeuple, desert, inbabite. s. m. Desert, lieu 
iuhabile, 

DespovoADöR, A, adj. et s. qui depeuple, 
acvastateur. 

Desrovoär, v. a. depeupler : degarnir un 
pays d’habitants. Se dit au figure des haras, des 
u0is, elc. if. p. us. Quitter, abandonner le lieu 
de sa residence pour aller ailleurs. 

* DESPOYOSAGON , eic. V. Despovoagdo,, etc. 

Despaarzsipo, A,p.p. de 

DespRATzÄR , v.a. desargenter : Öter l’argent 
d’une chose argent&e. 

Despaazen, s. m. deplaisir, chagrin,, möcon- 
Icntement, peine. 


DES 


Despnaztn, v.w. döplaire : &ire desagröable, 
faire de la peine. 

* DESPRAZIMENTO,. V. azer. 

*Desrraziver. V. Desagradavel. 

* DESPRECAR , etc 

" DESPRECIAR, eie. v. Desprezar, eic. 

t Desranco, s. m. "depreciation. (Ag.) V. 

Menoscabo, Desprezo. 


DEsParcino, &A,P.p. de Despreger. 

DESPREGADRA, s. f. action de declouer; d& 
plissement,. 

Desprzcia, ©. se. declouer : defaire, deta- 
cher ce qui tait clou&. Deplisser: Oter, defaire 
les plis. Deployer (lesvoiles, les drapeaux, etc.). 

Despascän-SE, 9. r. se delacher; se de- 
elouer. 

+ Daspaznpino, A, adj. gauche, maladreit; 
denue de talents,, de bonnes qualites, etc. ; qui 
n’ert pas favoris6 de la nature, l’opposs de 
Prendado. V. oe mot. 

Dsspnenpea , v. a. deprendre, detacher, li- 
cher. (Ag.) Delier ; deiourner (la vue, Palien- 
tion). 

Despnenpün-sg (de), v. r. se detscher, se 
degager, au propre et au figure. 

DESPRENDIDO, A, 9. p. de Desprender. adj. 
V. Solto, Desaltado. 

+ Dsspreoccorachö, 8. f. action de depre- 
occuper, &tat de la personne depröoccupcc. 

DasPprEoccuUPÄDO, A, adj. sans prejuges. p. 


p. de 

DesrnEOccupÄR, 9. @. d&pröoccuper : Öler la 
preoccupation, la prevention. 

+ Despasvenciäö, s. f. manque de pre 
voyance, de preparatils. 


+ DespnEvEnivamenTE, adv. au depourru, 
sans prevoyance, sans preparatifs. 

DESPREVENIDO , A, adj. deöpourvu : qui man- 
que de choses n&oessaires, de prevoyance; qui 
n’est pas sur ses gardes. Deöpröoccupe : sans 
pre6occupation. Apanker —, prendre au de 
pourru. 

Despnezipauente. V. Desprezivelmente. 

Despn£ezäino, A, 9.9. de Desprezar. 

DESPABZADOR, A, 8. qui meöprise, contemp- 
leur. 

Desprezauento. V. Desprözo. 

TDespazzinse, adj. 2 gen. qui indique, 
qui marque du mepris. p. e. de 

Desrazzin, v. 6. möpriser : avoir du m6- 
pris pour; faire peu de cas, d&priser. — a vide, 
faire bon marehe& de sa vie. —a calummis, eise 
au-dessus de la calomnie. 

Despaszin-se, v. r. dödaigner : ne pas dai- 
gner faire une chose. — de elguem, avoir du 
mepris pour quelqu’un. 

Despreziver. V. Desprezioel. 

* DespreEz£a-se. V. Desprazer, verbe. 

DESPREZIYEL, adj. 2 gen. meprisable, digne 
de mepris ‚vil, abject ; pauvre. 

DESPREZIVELMENTE , adv. avec mepris, d’une 
maniere möprisable, meprisablement ; paurfe- 
ment. 

Dzspaßzo, s. m. möpris, dödain ; opprobee » 


DES 


deriiion; moquerie. * Negligenos, noncha- 
lance. 
Despacvıcär , ei. V. Bspriguicdr, etc. 
Dessamor , 5. m. manque de soins, d’&- 
gards, de cur, de delicatesse,, Yoppos6 de 
Prisor: 


DespaımoriDO, A, 7. pP. de 

+ Desspaımorir, o. a. dölustrer, ternir : Öter 
ie lustre, 1’6olat, du Agure. Il est aussi reci- 
ptoque. 

DespaımorÖsamEnts , adv. d’une maniöre 
peu honorable , impoliment. 

Dsspamonöso, A, adj. impoli, qui n'est pas 
obligeant; chose , aclion peu honorable, l’op- 
pos6 de Primoröso. 

Desmamvido, A, p. p. de Desprivar. 

Drspawvinga,, s. f. perte de la faveur, des 
bonnes gräces , de Yamitie de quelqu’un. 

Daspasvär, v. a. faire perdre la faveur, elc., 
de quelgu’an (imus.).v. ». Dechoir de la fa- 
voar, de Pamiti6 de quelqu’un, perdre la pri- 
vantd, " 

tDespaomöncıa , s. f. (£. de prat.) annula- 
tion de la mise en accusation. 

DasPaonUNcIaADO,A,p. p.de 

+ Despnosuxcıär,, v. @. (1. de prat.) annuler 
la mise en accusation, ıneltre hors d’accusalion. 

Dsspaoronciö, s. f. disproportion, discon- 
waanee: manque de proportion, de conve- 
Bance 


DisROPORCIONÄDAMENTE, adv. avec dispro- 


DesproPoORcıoniDO, A, adj. disproportionne: 
qui manque de proporlion, de convenance. 
9.2. de 

Desproroncionär , dv. a. disproporlionner : 
rendre disproportionne ‚ Öter les proportions , 
Be pas proporlionner. 

DESPROPORCIONÄR-SE, ©. r. perdre les pro- 
portions, cesser d’&tre proportionn®. 

Dasprorosıtinauente ‚ade. sans molil,sans 
raison;; hors de propos, sans rime ni raison. 

Daspaorosıranissimo, A, adj. sup. de 

Dısraorosıtäno, A, adj. absurde, hors de 
propos, parlant des choses ; imperlinent, &cer- 
vel6, extravagant, brise-raison , parlant des 
personnes. p. p. de 

Desproposırär , vo. w. deraisonncr, extrava- 
güer ; s’emporter, ne garder aucune llesure. 

Despaorösıto, s. m. "absurdite, imperti- 
Bence, extravaganoe, coup de töle,coq-A-l’äne. 

*Incartade. A —, loc. adv. mal & propos. 

Daspnovär , ©. a. depourvoir, degarnir de 

porisions, de ce qui est necessaire. (4. mil.) 
Demunir : öter les munitions d’une place. 
y Despaovivamnte , adv. au depourvu. anf. 


Daspaovioo, 1, P- p. de Desprovtr. ad). 
urru. 
Despaövmo, A, adj. V. Desacaulelado, In- 
tauio. 
Despaovıu£nto, s. m. ötat de ce qui est de- 


pourvu. *Disette, manque des choses neces- 
saires, 


DES 


DesguiLırıcino,A,p.p. de 

t Dssquaisican, ©. @. priver ow declarer 
quelqu’un priv6 de sa qualification ; inhahilı- 
ter ow declarer inhabile, l’opposs de qualilicr. 
Il est aussi r&ciproyue. 

* Dgsqguantınar. V. Descortiner. 

Desqus pour Desde que, adv. sitöt que; des 

ue. 
1 Desouzıxino, p. p. de Desqueizar. 

tf DesqugıxaDor, s. m. celui qui rompt les 
mächoires. 

Desqueixik, v. a. demantibuler, rompre Ics 
mächoires. 

DESQDEnER, v. a. cesser d’aimer. 

DEsaueRiDO, A,P. p. de Desquertr. 

ESQUIETACAÖ, 8. f. . 

Desanuro/ A, ei | V. Inguiet... 

Desaquıtacäd,, s.f. p. us. V. Desquile. 

Desquıtäpo,A, 9.9. de 

DEsQuıTÄR, v. a. divorcer, faire divorcer. it. 
Faire racquitter, regagner ce qu’un a perdu au 


437 


jeu. 


DESQUITAR-SE, v. r. faire söparation de corps 


‚etde biens. — no jogo, so racquitier. V. Des- 


forrar-se. 

DESQUIiTE, 8. m. * söparalion de corps et de 
biens. 4. V. Desförra. 

Dasaauin0,A,p2.p.de 

Desnamia,v.a. ebrancher, &laguer, &iöter 
un arbre. 

Desaazoino, a. V. Desarrazoado. 

DESREBUGADO,, A, V. Dosmascarddo. 

DESREGRÄDANMENTE, adv. dereglement, des- 
ordonn6ment,, sans ordre. 

DESREGRÄDO, A, P. P. de Desregrar. adj. 


‚Döregl6 : qui a une mauvaise conduite. Qui 


mange, qui boit avoo exc&s. 

T DESREGRAMENTO, 8. m. deregloment, des- 
ordre ; opposition aux r&gles de la morale. 

DesaecairR ‚v. a. dereglier, desordonner. 

DESREGRÄR-SE, ©. r. so döregler, so meltre 
hors de la rögle; se d6ranger. 

DesneEvEstino,A,P.p. de 

DESREYESTIR-6E,, o. r. so deshabiller : Öter 
les habits sacerdotaux. 

DESSABER , 0. ». montrer de l’ignorance, agir 
comme un ignorant, 

DessasorR , etc. V. Dissabor, eto. 

Dessasonino, a. V. Insulso. 

DessanoRöso, a, adj. insipide, lade, qui n’a 
pas de goüt. 

Dessasaivdo,. V. Desabrido ou Dessaborido. 

Dessancnäin. V. Desangrar. 

Dessir, v. a. ($. des prov. du Nord) trem- 
per dans l’eau (la viande, etc.) pour Öter le sel, 
dessaler. 

Dessarin. V. Desarar 

DessazonÄno, A, adj. quin’est pas bien as- 
saisonne. Vert, qui most pas bien mür, en par- 
lant des fruits. p. p. de 

Dessazonär, vo. a. d6sassaisonner : öter Pas 
saisonnement. 

Dessscan , otc. V. Desecar, eis, 

* Dasseruan. V. Desaflar. 


438 DES 


Dessecunino,, A, adj. sans särelb. 

Desszinar,, eic. V. Inar, Amansar. 

DssseLLino,A,9.p. de 

DesseLLän, v. a. desseller : ter la selle du 
dos d’un cheval, etc. (6. Oter le seeau. 

DzsseMELHiDo, A, p.p. de Dessemslhar. 

Desseszıninca, s. f. dissemblanoe : man- 
que de ressemblance. 

DESSEMELBÄNTE , adj. 2 gen. dissemblable : 
qui n’est pas somblable. 

DESSEMELHANTENMENTE, ade. dissemblable- 
ment : avec dissemblance. 

DESssENEBLHÄR , v. a. rendre dissemblabie. 11 
est aussi reciproque. 

* DESSEMELBAVEL, adj. 2 gen. V. Enorme, 
Monstruoso. 

Daessenuän, etc. V. Desenhar, etc. 

D&ssEnTipo, A,P9. p.de 

Dessentia, 0.6. p. ws. ne pas sontir. 

Dessäa ,s. m. | V. Sobremesa, Pospdsto, 

Dasstara,e.f. Pöstres. 

Dessenvico, s. m. desservice : mauvaisoffice. 
°Offense, ftlonie, perfidie envers son souverain. 

Dassaavino, a, p. p. de Dessereir. 

DessErvıpön, 3. m. colui qui mangue & Po- 
bligation od il est de servir queiqu’un ; qui 
dessert , qui rend un mauvais service. 

DesszrviR, 0. @. manquer ä son devoir en- 
vers son souvorain. Desservir, rendre un mau- 
vais office. v. a. Ne pas servir. 

* Desszssönıo. V. Decisorio. 

Dessımin,o. a. jeter de haut on bes. 
Dassocconaza, ®. 6. Be pas soeourir. V. 


Dsssocconnf20, A, p. p.de Dessocsorrer. 

Dessoczcun , etc. V. 

DessoLacäö. V. Desolagdo,. 

DessoLniB0, A,p.p. de 

}DessoLsin, vo. a. dessouder : öter, defaire, 
fondre la soudure. Il est aussi r6ciproque. 

Dassörin0, A, p.p. de 

Dassönan-4E, 0. v. so defaire en serosits, 
devenir sereux. 

Daessorzanar, eic. V. Desinterrer, etc. 

* Dessoväno, A, adj. qui n’a pas die batiu. 

Dussövir , ote. V. ‚ee. 

Dessustrro, A , adj. qui n’est pas assujetli. 

DessuLrmurızino, A, 9.9. de 

DessuLruunızan, v. 6. (4. de chim.) dessou- 
frer : enlever le soulre surabondant du char- 
bon mineral. 

* Dassuo ow Dzssuum. V. Juniamentie,, Si- 
mulianesmenle. 

Dastacipo, A,Pp. p. de Desiacar. 

Dasracauxto, s. m. detachement : troupe 
de soldats detach&s d’un corps pour une expe- 
dition,, etc. 

Desracik, o. 6. dötacher : faire un detache- 
ment de troupes. 

* DzsräLno , s. m. sorte de meuble ancien. 

T DestaLıncar, ©. 6. —a smarrs, (.demar.) 
deislinguer lo cäble. 

SSTANPÄSO, A, P. pP. de Desiempar. ad). 

V, Desproposilado, .r per. ad) 


DES 


Destaurie, 9. @. Oxtravagusr, s’emporter. 

DESTANPATÖRIO, 8. m. ( £. fam.)* incartade, 
boutade,, ooup de Wie, OXlsaragance, Oay-ä- 
Päne. 

Dastarino,A,P9.p. de 

Destarin, v. e. deboucher, decouvrir, de- 
boutonner : öler oe qui bouche ou c# qui cou- 
vre. — une garrefa, decoiffer une bouteille. 

Destannıcair, etc. V. Desatarracher, eic. 

+ Dastz, a, Dısto,, contraclions des mols de 
esie, de esta, de isio, de celui-ci, de cellexi, 
de oeci. 

Destzcapüns, s. f. desourdissure : l’aclion 
et l’effet de desourdir. 

DESTECER , v. a. desourdir, delaire un lisse, 
(Ag.) Rompre une irame , un complot ; dejeuer 
une cabale. 

Destscino, A, 9. 2. de Desiecer. 

DestzLEiDo, A, p. p. de Destelhar. 

DESTELHAMENTO, 5. mw. l’aclion et l’efet d’d- 
ter les tuiles d’un toit. 

Destzınin, ©. a. Öter les tuiles d’an toit. 

DESTENAR, v. 6. no pas craindre, n’avoir pas 

ur. 

t DESTEMIDANENTE , adv. sans peur, inlzepi- 
dement. 

+ Destzumäz, s. f. intröpidite , hardiesse. 

DESTENIDO,A, 9.p. de Destemer. adj.Intröpide, 
t&mersire, sans pour. is. Que Fon ne craintpas. 

Dastrzuön, s. m. * intrepidile. 

Dastkurzar. V. ‚Drige. 

DESTEMPRRÄDAMENTE , ado. Sans ordre, Bath 
rögle, sans mesure ; immoderement, sans fe- 
tenue,. 

DESTBUPERÄDO, A, P. p. de Desiemperar. 
adj. Discordant; detrempe. (Ag.) Döregle: qui 
fait des exods, sans relenue; violent. Barrıg 
—s, diarrhee, cours de ventre. Clins —, cl- 
mat dur. 

DESTENPERANENTO, 8. me. derangemen! du 
corps , intemptrie de l’air. — da berrige,, coufs 
de ventre. 

DesrEuranÄnca, 8. f. intemperance , dessr- 
dre, exc#s; emportement. * Dertgiement de 
meurs. Intemperie de l’air. Inconstance, leg 
rets dans les sentiments, eic. 

Dasteurerin, ©. a. temperer, diminuer la 
force ou la chaleur J’un liquide en y melent ua 
autre moins fort ou moins chaud. Deiremper: 
öter la trempe & l’acier, etc. Desaccorder: de 
teuire l’accord d’un ınstrument de musique, 
etc. ( ig.) Deranger, troubler l’ordre, !'harmo- 
nie. — o ventre, donner des cours de venlf!. 
— o vinho com agua, meltre de l’cau dans s00 
vin, le iremper. 

DESTENPERÄR, ©. w. oxtravaguer; lenir des 
propos insultanis. — com alguem , rompro aYc© 
quelqu’un. | 

DESTEMPERÄR-SE, ©. r. se desaccorder, 0 
parlant d’un instrumen: de musique. Se decon- 
certer, en parlant de l’estomac, du ventre. 50 
detremper, perdre sa trempe, en parlant ds 
l’acier, ete. (Ag.) Sortir des bornes de la modt- 
ration, semporter, lairc guelque exc#s. 


DES 


DestEzur#&no,s. m. "exiravagance, sotlise, bou- 
tade. Emportement. (fig.) Desordre, derange- 
ment; conduite d&sordonnee. "Iutemperie,p. us. 

DistzaniD0, 9. p. de 

Dasternir, v. e. bannir, exiler, expatrier. 
(4g.) Bannir, chasser, rejeter; &carter de soi. 
— do mundo, chasser de parlout. 

Desteraia-68, 9. r. s’expotrier, &migrer. 

Destreeno, s. m. exil, bamissement; lieu 
d’ezil. (4g.)" Solitude , desert. 

Destetän. V. Desmamar. 

Desrmnonar. V. Desenihronisar. 

DesriLLar, eic. V. Distillar, etw. 

Desrmmpeza , s. f. V. Desiemor. 

Desrinacaö, 8. f. V. Destino. 

Dsstısapo, A, p. pP. de Destiner. 

Dsstıuapen , s. m. celui qui destine. 

Destixir, v.a. (para, a) desliner, designer, 
marquer, assigner, appliquer. Il estaussi reci- 

proque. 

Desrincino, A, p- p. de 

Desstincia, o. a. deleindre : Oter la teinlure, 
la couleur. u. n. et — se, v. F. deteindre : per- 
dre sa couleur;; la deposer sur les vetements; 
se deteindre , perdre sa couleur, sa teinture. 

*"Destincum, v. a. V. Extingwir. 

Destino, s. mw. destin, destinee, sort, fala- 
its, asire, etoile. * Disposition, enchainement 
des causes secondes ordonne par la provi- 
dence. * Destination : disposition faite pour 
l'emploi ou l'usage d’une personne ou d’une 
chose. Desscin , intention, but; destination. 

* Destinto. V. Instinto. 

Destiırticiö, s. f. destitution : d&position, 
privetion d’un emploi, d’une charge. * Besoin, 
privation,, denüment. 

Desyıruino, A,adj. dostitu6, depourvu, de- 
aue, prive. p- p. de 

Dsstıruir, 9. a, destituer : deposer, Öter 
Venploi; priver de la function; en general pri- 
ver de quelque chosc. 

Dsstiıruin-se (de), v. r. se priver, se trouver 
destitue. 

Destöcän0, A,p. p. de 

f Dzrstöcikk , v. a. arracher (d’un champ) les 
souches , les chicots d’arbre. 

DesroL.dino, A,p.p. de 

DestoLvär, v. a. detendre : Öter les hannces 
tendues au-dessus des rues par oü passe une 
procession, etc., enlever la banne d’un vais- 
seau, ete. (fg.) Clarilicr le vin, etc. 

Desrorct«, v.a. detordre, detortiller, de- 
plier ce qui est tors. (fig.) Redresser ce qui 
etsit tortu ; deteurner d’une inclination, d’un 

penchant, elc. 

TDesroncta-88, 0. r. (1. demar.) deriver, se 
deiourner, s’&carter de sa roule, parlant d’un 
Vaissenu. 

Destoncino, A, p. p. de Destorcer. 

Destonroino,,A,p. p. de Destorroar. 

Destonnoapen, #. m. herseuf : cultivateur 
qui herse, 

 Dasronnoän , v. a. bersor, briser les moties, 

tmelter, ameublir, 


DES 


Dastoncan. V. Destorcer. 

DesToucino, A,P.Pp. de 

Destoucär,, v. a. decoiller, deranger la ooil- 
fure. 

Destaa,s. f. la main droite. V. Dexira. 

Destracär. V. Estragar. 

Destrasın, etc. V. Distrahir, ele. 

DESTRAMÄDO, A, P. p. de 

Deastnamuir, v. a. delsire la trame d’uno 
toile. (Ag.) Döcouvrir, rompre une lraıne, faire 
6ohouer un complot. 

DästRamenTE, adv. adroilement, avec dex- 
terite. 

DESTRANCÄDO, A, 9. p. de 

Destaancie, v. a. debarrer : Öter la barre. 

DESTRANGAR. V. Desentrangar. 

* DESTRANGER. V. Distribwir. 

DastnatarR, etc. V. Distralar, etc. 

Destaavino, A, 9.p. de 

DESTRAVÄR, dv. a. desentraver : 6ter les en- 
traves. 

® DESTRAYEBSÄnO. V. Enorme, Inaudito, 

* Dasraencarn, V. Dispor, Ordenar. 

DestrepÄR-sE, vo. r. V. Deslizar-se. Descen- 
dre d’oü on &tail grimpe. 

Dustekza , s. f. dexierite, adresse, habilote, 
savoir-laire. Agilitö du corps, ruse de Pesprit. 

Destaısvicäö, etc. V. Distribuigdo , etc. 

Destaıcto. V. Districto ou Destrito. 

Destaıngan, eic. (ant.) V. Indiwiduar. 

DestaıPuLÄDO, A,p. p. de 

+ DestripuLan, v.a. (l. de mar.) desequk- 
per, desarmer un vaisscau. 

DESTRIssım0O ,A, adj. sup. de 

Destao,A, adj. adroit, leste, habile. Fin, 
ruse, fourbe,, dissimule. 

Destro, s. m. V. Dextra. Ter mancedbaa —, 
entrelenir une maltresse. 

+ Destaoca , s. f. l’action et l’effet de defaire 
un troc. 

Destrocino, A, p. p. de 

Destrocik, v. a. defaire un troc, reprendre 
chacun ce qu’on avait troque. 

Destrocino,A,p.p. de Destrogar. 

DESTROGÄDÖR , A, adj. ei s. qui brise, qui 
detruit, destructeur ; vainqueur, qui delait ou 
mel en deroute une arınee. 

Destaocär, vo. a. briser, meltre cn pieces, 
detruire, depecer. Defaire, tailler en pieces, 
meitre en deroute une armee. (8. mil.) Partager 
les soldats en escouades. — alguem, (g.) 
ruiner quelgu’un. — a udo de masiros, (1. de 
mar.)raser les mäts d’un vaisseau, parlant 
d’une tempete. — a narrapdo, rompre lo fil 
du discours, s’ecarter de son sujet. 

Destaöco, s. m. action de briser, de dötruire: 
destruclion, depöcement; ruine, degäl, ra- 
vage. Carnage, defaite d’une armeo, deconfi- 
ture , deroute. —s, pl. debris. 

Destnonir, elo- V. Desenthronizer, eic. 

Destroncipo, A,p.p. de 

DESTRONCAR, 9. a. Couper, abaltre un arbre 
par le tronc. Tronquer uno statue, un livre,cto., 


439 


440 DES 


en retranchant quelque parlie. V. Desmem- 
brar. (g-) Couper, interronipre. 

+ Destrongueeina , adj. f. Planta—, (tl. de 
bot.) V. Descaulina. 

+ DestauctisiLinäns, 3. f. destructibilite : 
qualite de ce qui peut @tre detruit. 

+ DestaucTivam&nte, adv. d’une maniere 
destructive, avec destruction. 

+ DESTRUCTIVEL, adj. 2 gen. qui peut @ire 
detruit. 

Destrucrivo,A, adj- destructif: qui detruit. 

Destauigiö, s. f. destruction, ruine totale, 
ravage, desolation. 

Destavipo, A, p. p. de Destruir. 

Destauvidörn, A, adj. et 3. destructeur : qui 
dötruit, fait du ravage. 

DESTRUIMENTO, s.m. V. Destruicdo. 

Destavir,, v. a. d6truire, ruiner, andantir, 
ravager, desoler. Dissiper son bien. (fg.) —, 
zenverser un sysiöme,, etc. (fd.) —, ruiner quel- 
qu’un, lui öter les moyens de subsistance. 

Desstauia-se, v. r. se ruiner, dissiper son 
bien. — a si mesmo, so dötruire, se tuer. 

Dssraunri00, A,p.p. de 

+ Destaunria, v. a. (l. de jew) [airce tomber 
les atouts : jouer atout pour les Epuiser. 

Desuapın , etc. V. Dissuadir, etc. 

Desusstancıdno, A, 2.92. de 

DESUBSTANCIAR , v. a. aflaiblir: Öter la sub- 
stance, la force, la vertu d’une chose. 

+ Dssunaciö, s. f. (b. de med.) desudation : 
sueur excessive, symplomatique. 

* Dzsum , adv. en sociele,, ensemble. 

Desumino, A,p.p. de 

+ Dzsuxin, v. a. inlerer, conclure. 

Dssunuinpo, A, p.p. de 

+ DesunHÄrR,, v. a. arracher les ongles. 

+ Desunuän-se, v. r. (1. fam.) se livrer tout 
entier ä quelque travail, & quelque chose; y 
persister obstinement. 

DzsunıAd, s. f. d&sunion, disjonction , sepa- 
ration des parties. (fig.) —, division, mesintel- 
ligence , desordre. 

f DssunidamEntE, adv. separ&ment, sans 
union. 

Dzsunino, A, p.p. de 

Desonin , v. a. d&sunir, disjoindre, separer. 
(Ag.) —, diviser, brouiller, mettre en discorde. 
Desengrener. 

Desuapino, A, p.p. de 

t Dzsunpin, o. @. desourdir : delaire ce qui 
a 686 ourdi. 

DESUSÄDANENTE,, adv. contre V’usage. 

Dssusino, A, adj. inaccoutume, inusite. 
p.p.de 

Dssusir, u. a. dösaccoutumer, deshabituer. 

Dasusän-sE, v. r. devenir bors d’usage. (a) 
Perdre l’habitude de. 

Dasöso ‚s. m. * desustude ‚ NON-USage; Cossa- 
tion, defaut d’habitudo, d’usage, d’exercice. 
Coir em —, n’6ire plus en usage, tomber en 
desuetude. 

> Dasusopiro, V, Sobredito, 


DES 


* De suca ‚adv. ensemble; & la fois, eonjein- 
tement. 

Desvain-se, etc. V. Esvair-se, etc. 

Desvaırino, A, p. p9. de Desvusirer. sdj. 
Discordant, discord , contreire, oppose; varis- 
ble, inconstant; confus, dissonnant. ( fg.) Qui 
s’ecarte de la regle, de l’ordre. 

° Desvaınanga. V. Discrepancia. 

DESVAIRAR, ©. n. V. Discrepar, Discordar. 
#!. Demandor, proposer, accepier des choies 
deraisonnables. 

+ Desvaınan-se, ©. r. (fg.) S’ecarter de 
l'ordre, de la regle. 

Dzsvälre, s. m. chemin oppos6 & un auire. 

*Desväıno, s.m. V. Desavengs, Discordia; 
Discrepancia et Desvario. 

DesvaL£äa, v. ®#. n’eire point en lavear. V. 

ivar. 

DasvaLia, 8. f. V. Desprivange. 

DesvaLino, A, 9. »2. de Desvaler. adj. wi 
n’est point en faveur; delaisse, abandonne, 
destitu6 de tout secours. 

DEsSVALIHÄDO, A, P. 2. de 

DesvaLısän, u. a. devaliser : voler, dier & 
quelqu’un sa valise, ce qu’on porte en voyage. 

DESYALIMENTO, 3. m. *disgräce, delareur; 
abandon, delaissement,, privalion de toul 5% 
cours. 

+ DesvaLöR, s. m. * depreciation; dimine- 
tion de valeur, baisse, dechet, defaveur. 

f Desvasscenön, A, adj. qui frustro, qui 
dissipe; qui enorgueillit. 

DESVANECER, ©. a. resoudre, dissiper, faire 
disparaltre. Dissiper, detruire. Frusirer; laire 
avorter ou echouer. Enorgueillir : rendre vaın, 
presomptucux. 

DESVANECER-SE, v. r. 8’&vaporer : 60 TES0R- 
dre en vapeurs. S’evanouir, 56 dissiper, venal 
a rien. S’enorgueillir. 

DusvAnECiDAUENTE, ado, orgueilleusement, 
avec vanite, bautement. 

DESVANECINO, A, P. P. de Desvanccer. adj. 
Vain, orgueilleux,, haulain , presompiueui, 
vaniteux, lier. 

DESVANECINENTO, 5. m. °vanile, presomp- 
tion, hauteur, superbe. Evanouissement. 

DESVANTAGEM, s. f. * desavantage; inferie- 
rite , dessous. 

f DESVANTAJÖSAMENTE, ado. desavaniagel- 
sement : avec desavanlage. , 

DESVANTAJöSO, A, adj. desavantageuf : qul 
cause, peut causer du dommage, de la perl, 
du prejudice, du desavanlage. 

*Desviö os Esväö, s. m. grenier, galeis, 
mansarde. 

+ DEsvanıkdamente, adv. follement, meld 
propos, d’une maniere oxtravaganle. 

DesvasıÄ0o, A, p. p. de Desvaridr. ed. 
Ervapore, fou, elourdi, dissips. (Ag.) Qui se 
carte de la regle, de l’ordre. Inoonstant, chan- 
geant; delirant. Different, divers, dissem- 
blable. 

DESvAnıamEnTo, 5. m. p. us. V. Diversidads, 
Differenga. 





DES 


Desvanıan, v. a. V. Variar, Mudar, Desunir. 
o.». Extravaguer, @tre dans le delire. V. Tres- 
verier.Radoter ; devier, varier, @ire inconstant. 

TDzsvanıckvo, A, adj. (6. de bot.) ecardb, 
parlant des branches ou des rejeions d’un 
arbre. 

Dzsvanio,s. m. delire, transport au cerveau. 
Disparate, röverie, extravagance, vertige, fo- 
lie, &garement de raison, absurdite. * Inegalite 
dhumeur, inconsiance, caprice. * Variation. 
V. Discordia , Dissensäo. ant. 

DESVELÄDAMENTE ‚ adv. soigneusement, avac 
vigilance. 

DesvaLino, A, p. p. de Desvelar. adj. Vigi- 
lant; z&l6, soigneux. Estar —, veiller : ne pas 
dormir. 

DesvzLautnto. V. Desvelo. 

Desvg.in, ©. @. tenir eveill6, emp&cher de 
dormir; soigner.v. n. Veiller. (Ag.) Donner 
Wule son attention , tous Ses soins A. 

DesveLin-sE (em, por, sobre), v. r. (fig.) &ire 
vigilant, soigneux, altentif, s’appliquer avec 
ztle, se donner sans reläche. 

DesvEeLgJäDO,, A, 9. p. do 

tTDesveLesän, 0. a. (l. da mar.) ferler los 
voiles ; diminuer les voiles. 

DisveLo, s. m. “insomnie, privation de 
sommeil. (fg.) " Vigilance, soins, zele, em- 
pressement, exactitude. 

Desvancıuän-se. V. Desenvencilhar-se. 

Desvenpino, a, p.p. de 

tDesvennin, v. a. debander : Öter une 
ande, un bandeau. D&masquer. II est aussi 
reiproque. 

Desvenenacäö. V. Irreverencia. 

Desvsnerie. V. Desacalar. 

+Desvanösas, adj. f. pl. Folhas —, (1. de 
bet.) depourvues de veines (feuilles), non vei- 
des (avenis). 

DESTENTÜRA, s. f. " malheur, infortune, dis- 

ce. 


TDESVENTURÄDAMENTE, adv. malheureusc- 
ment, malencontreusement, par malheur. 

Desvsasunäno, A, adj. malbeureux, malen- 
watrenz , infortune. p. p. de 

tDesventunär, ®.a. rendre malheureux, 
infortune. 

Desvencönua, s. f. impudence, insolence, 
vienie, effronterie. Parole, action iımpudente, 
sollise, 

DESYERCONIAMENTO, etc. V. Desav..., elc. 

Desvssrin, eic. V. Despir, eic. 

Dzsvıino,A , p.p. de Desviar. adj. Deverse, 
penche , incline. Ecarte, eloignd ; delourne. — 
do oriente , desoriente£. 

y Desvıau&nto ‚,s.m. dloignement, egaremont. 

Drsvıin (de), ©. a. ecarter, detourner, dö- 
Touter, eloigner. (fg.) Detourner, dissüader; 
esgeiver, eviter adroitementle coup. (f. d’eser.) 
Parer une botte. — 0 corpo, se detourner pour 
triler. — a ancora do costado,, (f, de mar.) de- 
fer ancre de bord. 





DET 4 


Dasvıan, vo. n. V.Aparlar-se. —se, dv. Tr. 5°0- 
garer, s’öcarler ; se dötourner, devier. 

Dssvio, s. m. Paction de detourner, de se 
detourner de son chemin, etc. Eloignement, 
&cart. Lieu &loigne. V. Retiro. *Deviation, de- 
tour; sentier ; sublerfuge ; ögarement, 

DesviırcÄno, A, ?. p. de 

+ Dusvircär, v. a. depuceler : Öter le puce- 
lage, la virginite. 

DESvIiRTUDE, 3. f. manque de vertu. 

+ DEsvituar-sE, v. r. (li. de veler.) se rul- 
ner, parlant du sabot d’un cheval. 

Desviver,v. n. cesser de vivre. (fig.) Faire 
reculer la vie. 

+ DesvoLvino, A, adj. Espique —, (tl. de 
bot.) d6pourvu de bourse ou volva (avolvasus). 

+"DesyrowDes r, adv. apres cela; d’ici, 
depuis ici. 

DeriLuır, o.a. detailler. V. Circumsitan- 
ciar, Deparlir. 

DETALBE, s. m. V. Particularidades. 

*Derarpanga. V. Demora, Tardanga. 

* Detsenor. V. Detentor. 

DETENcA , s. f. “retard, delai, remise. 

DeTEnciö, V. Reiengdo ot Detonga. Deten- 
tion. 

DeTEncöso,, A, adj. tardif, lent. 

DETENSOR, a, adj. et s. qui arröte, qui re- 
tarde, qui suspend. V. Detentor. 

DETENTOR, A , s. detenteur : qui relient, Pos- 
söde sans droit. 

DeT£R, v.a. arräter, retarder, suspendre, 
tenir, retarder, empecher d’aller. Retenir, con- 
server, garder. V. Reter. 

DETRR-SE, v. r. s’arreter, tarder, s’amuser, 
demeurer. (fig.)S’arreter pour considerer quel- 
que chose; s’allonger dans un discours, el. 
S’etendre sur un sujet, en parler au long. 

DETERGENTE , adj. 2 gen. (1. de med.) döter- 
gent : qui deterge; dötersif. 

DETERGIDO, A, 7. p. do 

Deteacir, v. a. (1. de med.) delerger; net- 
toyer (une plaie) ; mondifer. 

DeTerıön. V. Peiör. 

DetErıoracäö, s. f. delerioration, endom- 
magement, deperissement, 

DETERIORÄDO, A, p. p. de 

DETERIORÄR,, v. a. deleriorer, gäler, rendre 
pire, plus mauvais. 

DETERIORAR-SE, d. r. se deleriorer, deperir, 
dechoir. 

DETERIORIDÄDE, 3. f. 6tat pire; deperisse- 
ment. 

DETERMINAGAO, s. f. determination , r&solu- 
tion, decision. Resolution, audace,, assurance. 
Fixation , determination. 

DETERMINÄDAMENTE, adv. determindment, 
courageusement, hardiment.—,expressement, 
precisement. 

DETERMINADISSIMO,, A, adj. sup. de 

DETERMINÄDO, A, p. p. de Deierminar. adj. 
Determine, r6solu, hardi, courageux, auda- 
cieux;; fx&, assigne. 

DETERNINADOR,, s. m. celui qui determine, 





442 DET 


qui decile, qui rögle, qui etablit; regulateur. 
DETERMINÄNTE , adj. 2 gen. determinant: qui 
determine ; delerminatif. 9.a. de 
DETERMINÄR, ©. G. determiner, r&soudre, 
slatuer. —, fixer, marquer. —, former, pren- 
dre ow faire prendre une resolulion ; donner & 
un corps des qualits, une maniere d’eire, & 
un mot, une significalion precise. —, arröter. 
Commander, ordonner, prescrire. 


DETERNMINAR-SE (a), v.r. se determiner, se | 


decider, prendre un parii. (f. de med.) Se r6- 
soudre, parlant d’un abc&s, etc. 

DRTERNINATIVO, A, adj. (1.de gram.) determi- 
natif : qui determine la signification d’un mot. 

Deransiö,s. f.!’action et l’effet de netioyer, 
de deterger. 

Deraasivo, a, adj. (1. de mdd.) detersif: qui 
netioie, purifle. 

f Derzasöno, a, adj. (1. de med.) detersil; 
mondißcatif : qui neltoie une plaie. 

Derestaciö, s. f. detestation, abominalion, 
ex6cralion. 

Detsstipo, A, p. p. de Detestar. 
ve ETäsTänne, A, adj. qui merile d’dire de- 

ste. 

Derzstir, v. a. deiester, abhorrer : avoir en 
horreur. 

DETEsTÄvgL, adj. 2 gem. detestable : qui doit 
@tre detestö; ex6crable; tr&s-ınauvais dans son 
genre. 

DETESTÄVELUENTE , adv. detestablement : 
d’une maniere detestable. 

*Dereöno. V. Detido. 

DETBRONAR, etc. V. Desenthronizar,, etc. 
aruzino ‚A, P. p. de Deiör. adj. Relarde, 


Deronaciö, s. f. detonnation : bruil avec 
6&clat, infammalion subite avec eclal. 

Deronivo,A,p.p.de 

Deronär, e.n. (1. de chim.) detoner : s’en- 
Dammer subitement avec eclat. 

Derorano, a,p.p. de 

DETORAR, €. a. couper, abalire un arbre par 
le tronc. 

Deraacciö, s. f. detraction, medisance. 

t Deraactivo, a, adj. qui delracie, qui ra- 
baisse le merite. 

DsrRacton, A, s. deiracleur, medisant, qui 
dötracte, qui rabaisse le ımerite. 

* DETRAHER. V. Detrahir. 

DETRARIDO, A, p. p. de 

DeTaanuia , v. a. detracier : mödire avec vio- 
lence. 

Derais (de), adv. et prop. derriere, apres; 
par derriere, en arridre. Por —, en abseuce. 

DETRIMENTO, s.m. detriment, altenie, al- 
taque, dommage, prejudice. 

* DETRIMINAnGA. V. Detferminacdo. 

Derronan, etc. V. Desenihronizar. 

DetRoncioo. V. Desironcado. 

T DETUMECENCIA 0W DETtumeschncia, 5, f. 
(f. de med.) detumescence ; dösenflure. 


* DETORBAR. 
* DRTURPAR, } V. Afear, Desfigurar. 


DEV 


° FDeupo, 3. m. parent, alli6; parents. To- 
mar om seu— alguem, s’allier avec quelqu’un, 
entrer dans sa [amille, devenir son parent. 

Ders. V. Deos. 

DEUTERO-CANÖNICO, A, adj. deutero-cane- 
nique: se dit d’un livre de l’Ecriture sainte 
mis plus tard que les anires dans le canon. 

f Deutzrocamia, 8. f. deulerogamie : ms- 
riage en secondes noces. 

DELTERONONIO, 8. m. deuleronome : cin- 
quieme livre du Pentateuquo, dernier ouvrage 
de Moise. 

+ DevTERoPATBiA, 8. f. (t. de med.) deutero- 
pathie : maladie causee par une aulre. 

+ Deurenöse, s. f. deuterose : seconde lei 
des Juifs. V. Tradigäo. 

+ Deutzia, 8. f. (6. de bot.) deutzie : arbris- 
seau du Japon. 

Devaciö. V. Devoräo. 

Devacan, adv. peu & peu, Jentement, dou- 
cement, sans se presser. inlterj. Doucement, 
ne vous pressez pas, n’allez pas si vile. Ve- 
mos— !Doucement! halte-]ä!—se va ao Zunge, 
(prov.) pelit ä petit l’oiseau fait son nid. 

DevaLtro. V. Devoluto. 

DavangziA00,A,Pp.p.de 

DEVANEÄR, v.n.rever, radoler, ezisavaguer, 
s’cgarer, se iromper. 

DEvANE£O ou DEVANSIO, 5.0. "reverie, exira- 
vagance, radotage, &garement, erreur." Vanite; 
operation vaine, idee creuse. 

Devissa ,s. f. enquete : recherche judiciaire 
ou civile; information. Mandar lirar —, or- 
donner une enqueäte. Tirar —.V. Derassar de. 
A juslica estd tirando — , la justice informe. 

Devassacäö, 8, f. V. Devassa, Devassiddo. 

Devassäno, A, 9. p. de Devassar. adj. Sujet 
d’une enquele. Lugar —, lieu que l’on voil de 
toules paris. 

DEVASSADOR, A, 3. qui ourre, elargit; qui 
divulgue, rend public; qui corrompt, qui s6- 
duit, qui debauche. 

DEvÄASSAMENTE, ade. licencieusement, avec 
trop de liberte. (1. de prat.) En secrei. 

DEvVASSAMENTO, s. m. V. Devassapdo. 

DEVASSÄNTE, 5. m. enqueteur : juge, oflicier 
commis pour une enqu&te. 

DevassAR, v. a. decouvrir, avoir vue sur les 
voisins. Divulguer, rendre public, faire com- 
mun: ouvrir, elargir. (fg.) Corrompre, debau- 
cher. it. Penetrer dans un lieu defendu, en- 
freindre un privilege. 

Devassar (de), 0. ». proceder & une enqueie 
sur; rechercher, faire une perquisiion, unc 
enque&te ; informer, faire une infermalion, une 
enquete. 

DEVASSAR-SE , ©. r. devenir commun , pablic 
ce qui ne l’dtait pas; se divulguer; souvrir, 
selargir. (fg.) Se debaucher, se prostituer. 

DEVASSIDADE 64 * libertiinage, dissolu- 

Devassınaö,s. f. | ion, proslitulion, de- 
bauche, licence. 

Devisso, A, adj. ouvert, public, non defen- 
sable; expose & la viss; large. (Ag.) Beläche, 


DEV 


licencieax, perdu. Homem de costumss —s, 
debauche. Hulker — a, prostitnte. 

Devisso, z. m. lieu qui n’est pas clöture. 
Deiter em —. V. Deseoutar. 

Derastacä0, 3. f. devastation, desolation, 
ruıde. 

Devasripo,, A, 9. p. de Devastar. 

Devastapon, A, adj. et a, devastalenr : qui 
devaste. 

Davastin, ©. a. devaster, ruiner, desoler, 
ssocager, piller, rendre inhabitable (un pays). 

Devepör, A, 8. debiteur : qui doit. 

Ds venno. V. Vedro (de). 

Devsurae. V. Debulho. 

Derta, o. a. devoir: @tre oblig6 & payer, & 
fstre,ädire, par la loi, la nature, le devoir, 
la justice, la reconnaissance, la raison, elc.; 
avoir obligation d’un avantage, elc. Avoir des 
deties. — de ser, falloir. — os cabellos da ca- 
era, (ig. fam.) eıre crible de dettes. Isso 
devo-me mwito cuidado , eela me donne du sou- 
dä, je seis inquiet de cela. Isso ndo deve admi- 
rar, cela n'est pas &lonnant. — mwuilas obriga- 
fie s elguem , avoir beaucoup d’obligations A 
quelqu’un. Näo ficdo devondo nada um ao ou- 
Iro, iis ne s’en doivent guere. 

Dırta-se,, vo. r. se devoir. On l’emploie im- 
personnellement. Deve-se fazer isto, cela so 
doit. Devs-se respeilo aos pais, amor 6 esposa, 
en doeit du respect & ses parenis, de Pamour & 
son tpouse. N&o se deve julger dos homens 
como dum painel, il ne faut pas juger des 
hommes eoınme d’un tableau. 

Devta,s. m. devoir : co A quoi on est oblig6 
par la loi naturelle ou sociale, l’honnetete, la 
bienstance, la condition, l’&lat, la place, les 
fenetions, ete. (amt.) Respect, &gards, atien- 
Von. Cumprir com 08 seus —es, faire son de- 
voir. Falter ao seu — , ne pas faire son devoir. 

Davtzıs, adv. serieusement, tout de bon, 
on verilt, sincdrement. Deveras? vraiment? 

Davsarıututo ‚etc. V. Divertimento, ote. 

Deviza, s. f. * Päturage, for&t. V. Defeza. 

Devsziı, s. m. lieu oü il y a des pätura- 
ges, eic. 

Devivamtwre, adv. düämenst, convenable- 
ment, justement, parfaitement, entitrement. 

Dsvivo, a, p. p. de Dever. adj. Dü, jusie, 
@geirabie. " 

*"Davımman. V. Adivinhar. 

Devisa,s. f. (ant.) demarcation,, separation, 
üirision. Portion de dimes qui appartenait & 
Pheritier d’une beheiria. V. ce mot. Fazer — 
em elgum lugar,, ($.de mar. ant.) prendre un 
Print comme oertsin pour poursuivre sa route. 
V. Dieiss, 


Devısanpo, A, p. p. de Devisar. 

Devisiö6. V. Divisdd. 

Davısig, v0. a. apercevoir; remarquer, disoer- 
ner. Designer, determiner, fixer. V. Demarcar. 

"+ Devistino, s. m. höritier d’une behetria. 
V.ce mot. 

Devociö, s. f. devotion, piet# , attachenıent 
au service de Dieu, culte qu’on lui rend, ainsi 


DEZ 443 


qu’& la sainie Vierge et aux saints. (Ag.)—, 
alfertion sp&ciale, d6vouement , entidre dispo- 
sition & [aire la volont& de quelqu’un. Ester d 
— fdalguem,&ire A la devotion de quelqu’un. 
Devogöes, pl. devotions : exercices de piete, 
priöres. 

DEvOcIONÄRIO, 8. m. livre de devotion. 

DevoLuciö, 8. f. (f. de prat.) devolution, 
acquisition d’un droit d6volu. 

DevoLvrärıo, s. m. devolutsire : qui a ob- 
tenu un benefice vacant. 

DevoLvrivo, a, adj. (4. de prat.) devolutif. 
On le dit d’un appel qui salsit un tribunal su- 
perieur d’une affaire. 

DevoLirto, A, adj. devolu , acquis, &chu par 
droit. Vacant, vide, desoccupe. Rendu & son 
ancien e&lat. Vacca, egua—a, vache, jument 
qui n’a pas porte. Terra —a, terre en friche, 
non cultivee. 

DEvoLYER (64), v. a. rendre, restitaer, ren- 
voyer. Ramener. Rapporter. Commettre, con- 
er. (fig.) V. Desenvolver, Soltar, Proferir. 

DEVOLYER-SE, 9. r. (}. de prat.) faire retour, 
retourner ä& son premier possesseur, parlanıl 
d’un flef, d’un droit de patronage. Echoir. 

DeEvoLYipo, A, p. p. de Devolter. 

Devorino,A,Pp. p. de Devorar. 

Drvoranön, A, adj. et s. devorateur, de- 
vorant : celui ou ce qui devore. (flg.) Qui con- 
sume, detruit rapidement. Fogo —, feu de- 
vorant. 

DEvOorRÄNTE, adj. 2 gen. devorant, devora- 
teur. 9. 0.deo 

Devoran, vo. a. devorer, avaler, engloutir, 
manger avidement. (fig.) —, consumer, dt- 
truire ; lire avidement. 

Devöramente, adv. devolement, pieuse- 
‘inent, avec devotion. 

DEvoTIssımo , A, adj. sup. de 

Devuro, A, adj. devot, pieux: qui a de la 
devotion. —, qui excite ä la devotion. Voue, 
consacre, dedie. Devoue , allectionne. 

° Devöoo. V. Derido. 

DexTerınÄDE, 8. f. dexterite. V. Desirexa. 

* Dexrios,s.m. pl.V. Deziros, Passaes. 

Dextra,s. f. main droite, dextre. 

DEXTRARIO. V. Adestrddo. 

Dextao, A, adj. droit, du cöt& droit, dextre. 

+ Dextrock£rıo, s. m.(t. de blas.) dextio- 
chere : bras droit peint dans l’&cu. 

+ Dextros, 5. m.pl.(ant.) espace de terrain 
de soixante-douze & quatre-vingts pas, alle- 
nant & une eglise, et dont le produit etait af- 
fect£ aux d&penses du culte divin. V. Passaes. 

Der, 5. m.chefdu goavernementde Tunis, etc. 

Dez, adj. 2 gen. nomb. card. dix : nombre 
pair de deux fois cing; unite du second ordre 
dans la numeration de&cimale; base de la nu- 
meration. 

DEzANÖTE , 3. m. el adj. 2 gen. nombd. card. 
dix-neuf. 

* Dezid ou Dezio. V. Desavo. 

Dezaseıs, s. m. et adj. nomb. card. seize. 

DEZASEISTAYALO, A, adj. qui a seize cOl&s. 


uk DIA 


Dizustire , s. m. et adj. momb. card. dix-sept. 
Dezemnancanpor ‚etc. V. Desembargador, cic. 
Deremeno, 5. m. decembre : dernier mois de 
Vannde, le premier de l’hiver, le dixiöme de 
l’annde romaine. 
Deztua , s. f. dizaine : total compos6 de dix. 
ds milhar, dix mille. — de milkdo, dix mil- 
lions. 
Darkno, a, adj. dixiöme; impöt, droit de 
dixidöme, 
DEEZBROYR, 
DEZESEIS. V. Deza... 
DEZESETE, 
Darörro, 8. m. et adj. 2 gen. (momb. card.) 
dix-huit, 
°D’au. V. D’onde, Onde. 
*D’1, adv. de lä, de ce lieu, de ce temps. 
Dia, s. m, jour: espace de lemps compris 
entre le lover et le coucher du soleil; espace de 
24 heures; Iumiere du soleil. *Journee. Temps. 
— azıdgo, jour malheureux, nefaste. — artif- 
eial, jour artificiel : temps compris entre le 
lever et le coucher du soleil. — claro, jour 
clair, serein; grand jour. (Ag.) Jour heureux. 
‚Bello ou formoso — , beau jour. — sanio, jour 
de fete. = de trabalko, jour ouvrable, ouvrier. 
Ao romper, ao aponlar do —, ä V’aube, au 
point du jour, au petit jour. Musto de —, grand 
jour. De — em —, de jour en jour. Do — 0 —, 
d’un jour & l’autre. Ser de —, faire jour. De 
cada—, de tous les Jours, quolidien. — de peixe, 
jour maigre, — de sudlo, jour de conge pour 
les scoliers ot les etudiants. — defeso ou fe- 
riado, jour de ferie, de vacance. — de jwizo, 
jour du jugement dernier. — de carne, jour 
gras. — do corpo de Deos, la [&te-Dicu. — d’an- 
nos, anniversaire de la naissance d’uno per- 
sonne. — de jejum, jeüne. — de fölga, jour 
qu’un ouvrier passe & se diverlir, & ne rien 
(airo; Jour de repos dans les fiövres intermit- 
tentos, — de Iribunges, d’audiencia, jour plai- 
doyable, jour de palais, jour oü les juges d’un 
tribunal se röunissent pour juger une affaire. 
-— leclivo, jour de vlasso dans les universiles. 
— pardo, temps gris ‚jour obscur oü le ciel est 
couvert de nuages. — pesado, temps couvert, pe- 
sant. — por —, chaque jour, journellement. No 
— per fixo, aprasado, au jour nomme, marque, 
convenu, Node hoje, hoje em —, aujourd’hui. 
Ouiro —, l’autre jour. Ses —, jour beureux 
pour quelqu’un, celui de sa föte, de sa nais- 
sance. De — ou entire —, pendant le jour. Meio 
— , midi. 4o declinar do —, au jour tomıbant. 
Andar em — , avoir ses depenses bien reglees. 
Um — sim oulro ndo, de deux jours l'un, tous 
les deux jJours. —s, plusieurs jours, &ge, 
temps. Ha —s, il y a quelque tenıps, il ya 
plusieurs jours. Dar os bons —s, souhailer lo 
bon jour. Homem de —s, hommo Ag. Todos 
08 —s, Journellement, tous les jours. Ndo em 
eus —s, de ma vie ni de mes jours. Em qualro 
3, on peu de jours. Ndo se do os —s debalde. 
On le dit pour exprimer Y’ellet que font les 
jours sur ’homme. Tor —s, (fam.) &ire jour- 


DIA 


nalier, d’un caracidre indgal. EBtre tres-äge. 
Viver a0s —, vivre au jour le jour. Depois dos 
—s d’alguem, apres la mort de quelqu’un. Em 
nossos —s, de nos jours. —s de corlezia, de 
favor, (1. de comm.) jours de faveur, de gräcc. 

+ Dia, prep. greceque employde souvent dans 
la pbarmacie : elle signiße que liingredient ä 
qui elle est jointe forme la base du medica- 
ment. Ex.: Diambar ou Diaambra, composi- 
tion medicale qui a l’ambre pour base. 

+Dıisa, 5. f. (fam.) diablesse : diable fe- 
melle. 4° —, adv. & la diable, mal, sans soin 
ou sans gräce, eic. 

DiaBaLAusTIos, s. m. pl. V. Balaustios. 

+Dıusiö,s. m. aug. de Diabo. Grand diable. 
( Ag.) Tres-mechant homme. 

+ Diaskına, s. f. (t. de bot.) come de cerl, 
plantain decoup®, capriole, coronope, sangui- 
naire. — do reino,, pied-de-lievre de Portugal 
( Plantago lusilanica). 

+ Diastre , s. m. (1. de phys.) diaböte : ma- 
chine bydraulique, vase muni d’un siphon par 
lequel il se vide enti&rement au moment eü on 
achöve de le remplir. 

Dıiangres, s. m. (4. de med.) diabötss: 
frequence, flux involontaire d’urine avec oon- 
somplion. 

Dıaserıco, A, adj. (4. de mdd.) diabetique: 
qui a le diabetes, du diabelds. 

Dıasinuo, s.m. dim. de Diabo. V. Diabrite. 

Dıäno, s. m. diable, demon, esprit malin, 
mauvais ange. ( ig.) —, mechant homme ; per- 
sonne extremement laide, fine, rusede, maligne. 
— c6x0 , diable bolteux : le plus malin des dia- 
bles. — marino, diable de mer: esp&ce de 
poisson. O — pregador. On le dit d’un bomme 
qui conseille bien et agit mal. Aki d que do—, 
(Ag. fam.) c'est Iä le diable. Dar goso ae —, 
medire , susciter des querelles. Pobre —, pau- 
vre diable : homme sans merile; miserable, 
gueux. Levou-o 0 —, le diable s’en mela. Se 
dit d’une affaire qui a mal reussi. Näo seja eo 
— negro que... On le dit pour exprimer le dan- 
ger d’une entreprise, la crainte qu’elle tourne 
mal. Por arte do —, Jdiaboliquement: sans sa- 
voir oomment. Ter 0 — no corpo, avoir le 
diable au corps. Valka-ie 0 —ı (imprec. pop.) 
que le diable temporte! O — ndo & Läo feiw 
como 0 pinido , (fig.) il n’est pas si diable qu'il 
est noir. Foi uma de lodos os —, il y eut un la- 
page, une querelle dc tous les diables. Ha 
muilos —s que 86 Parccem uns Com 08 oulros, 
(fam.) il y a & la foire beaucoup d’änes quı 
s’appellent Martin. Ser da pelle do —, (fe. 
fam.) eire mechant, pervers, indocile, elc. 
Que —! como — I que diable! comment diable: 

Dıanöa, s. f. diablesse : fomme m6ohanlc , 
acariälre. 

DiasoLicaL, adj. 2 gen. V. Diabulico. 

DiABÖLICAMENTE,, adv. diaboliquement : par 
une mechancets , d’une maniere diabolique. 

DıandL.io, A, ad). diabolique : du diable, 


qui en vient. (fig. fam.) — ; ; 
nal, wrös-mechant. fam.) —, saanique , iufer- 


DIA 


+Dussrano, 8. m. (8. de pharm.) dlahota- 
num : Jus d’herbes , emplätre pour les loupes. 

Dianntrz, s. m. dim. de Diabo, diablotin : 
peüit diable. ( fam.) —, mechant petit enfant, 

Diuusaiuma, 5. f. dim. (t. burl.) petite die- 
blesse. 

+Dısasaösz ow Diapaosıs, 8. f. (8. de med.) 
diabrose : corrosion des 08, etc., par une hu- 
meur dere, 

+ Dıusaörıco, A, adj. ( t. de med.) diabroti- 
gue : qui produit la diabrose , l’erosion. 

Diuasaöra, 3. f. diablerie ; möchancets, au- 
dace diabolique , espieglerie. 

+ Ducatro os DıiacHYro, s. m. (id. de bot.) 
V. Esporas. 

Diäcuo, s. m. (8. burl.) V. Diabo. 

Ducavrıiö,s. m. (6. de pharm.) diachylon : 
emplätre compos6 de mucilage. 

Ducmaid,s. m. V. Cidrdda. 

Duacönıo, 8. m. ( 4. de pharm.) diacode : si- 
top de tätes de pavot blanc. 

+ DiacoLoquintaEnos, 8. m. (f. de pharm.) 
diacolocynthidos : electuaire purgatif dont la 
coloquinte est la base. 

tDucommärıca, s. f. (6. de mus.) diacom- 
malique : transition harmonique pendant la- 
quelle une note monte ow descend d’un com- 
ina;genre de musique dans laquelle on em- 
ploie des transitions de cette espece. 

DiaconäL, adj. 2 gen. diaconal : qui appar- 
tientäl’ordre, A l’office du diacre. 

DıacoxÄrTo, 3. m. diaconat : le second des 
ordres sacres. 

Dısconia , s. f. diaconie : chapelle, benefice 
de diacre. * Departement ou l’Eglise 6tablissait 
antrefois un diacre pour recevoir et parlager 
les aumönos entre les fiddles. 

Disconisa, s. f. diaconesse : fille ow veuve 
destinee, dans la primitive Eglise, ä certains 
ministöres eecl&siastiques. Diaconisse : femme 
du diacre dans I’£glise primitive et dans P’E- 
glise grecque. " 

Diicoxo, s. m. diacre : eccl&siastique promu 
au diaconat. 

tDiscösrica, #. f. diacoustique : connais- 
sauce des sons et de leur refraction. 

Dupgıroıa, s. f. (4. de bot.) diadelphie : 
deuricme classe des vegetaux, A deux etami- 
Res reunies. 

tDupeLrmco, a, adj. (t. de bot.) diadel- 
phique : dont les &tamines sont diadelphes 
(deur). 

tDuotıraos, adj. m. pl. Eslames — (1. de 
bot.) diadelphes : (&tamines) r&unies en deux 
eorps par les Hlets. 

Dıapiua, s. m. diademe : bandeau royal. 
(#g.) La royauts, la souverainets; couronne 
toyale. * Aurdole. 

Dupeuino, a, adj. (1. de bias.) diademe: se 
dit d’un aigle qui a un petit cercle sur la tete. 

tDıiADoco, s. m.“ pierre jaune semblable 
au beril, Alaquelle les magiciens et les caba- 
listes auribuaient des vertus extraordinaires. 

Diirs. V, Adiefa, 








445 


DIA 

Dıärano, etc, . 

Dıarnicha. | V Diapk... ,ei8. 

DiaciLves, 5. m. vari6ets de ralsin blane 
du Portugal. 

* + Diacancinte, 3. m. anciennes pasilles 
pour la toux ou mal de gorge. 

Dıachösg ow Diacnosıs, s. f. (td. de med.) 
diagnose : connaissance des choses dans leur 
6tat actuel. 

+ Diacnöstıca , 8. f. (f. de mdd.) diagnosü- 
que : connaissance des symptömes des mala- 
dies. 

Diacnöstıco, A , adj. (4. de mdd ) diagnosti- 
que : qui concerne les signes , les symptömes 
des maladies. On le prend le plus souvent sub- 
stantivemment. 

DıiacoxäL, adj. 2 gen. (1. de gdom.) diago- 
nal : qui appartient & la diagonale. se, f. Diego- 
nale : ligne qui va d’un angle ä& l’autre. 

DIAGCONALMENTE, adv. diagonalement ı d’une 
maniere diagonale. 

DıacrimMA, 5. m. ($. de gdom.) diagramme : 
construction de lignes servant & une demons- 
tralion. (8. de mus.) —, table de l’e&tendue des 
tons,, echelle, gamme, clavier. (4. d’Aist. nat.) 
—, poisson de la mer des Indes, esp&ce de 
persegue. 

+ DiackauuısMo, 8. m. diagrammisme ı @- 
pece de jeu de dames grec. 

Diacridıo, 8. m. (1. de med.) diagrede 
scammonee pr6parde avec du coing et du 
soufre. 

DıiL, adj. 2 gen. Journalier. 

Draugcrica , s. f. dialectique : art de raison- 
ner avec ordre et justesse ; scienco sur laquelle 
cet art est fonde ; logique. 

DiaL&cricamente, adv. dialectiquement : en 
dialecticien ; logiquement. 

DiaLgcrico, A, adj. dialectique : qui appar- 
tient ä la dialectique. s. m. Dialeoticien : qui 
sait, enseigne la dialectique; qui raisonne. 

Diartcro,s. m. dialecte, idiome, langage 
d’un pays, #une ville, döriv& de la langue na- 
tionale. 

+DıaLocino, A, adj. dialogu6 ı expos6 em 
dialogue. 

+ DıaLocaL, adj. 2 gen. dislogique: en forme 
de dialogue, ou qui lui appariient. 

+ DiaLOGALMENTE, adv. en forme de dialo- 

ue. 
i DiaLocia, s. f. dialogie : r&petition d’un mot 
ä double sens dans la m&me proposition et 
avoc des signiflcations differentes. 

DiaLöcıco, A, adj. dialogique : en forme de 
dialogue. 

DiaLociswo , s. m. dialogisme ; art, genre du 
dialogue,, emploi de ses formes. (1. de rhelor.) 
— , sorte de prosopop£e oü !’on introduit quel- 
qu’un so faisant A soi-möme des demandes et 
des r&öponses. 

DiraLocista, s. m. dialogiste : qui fait un 
dialogue. 

DiaLocistico , a, adj. dialogigqge. 

DiaLocızipo, A, p. p. de Dialogizar 


446 DIA 


+Draröcıeir, ©. w. dialoguer, dlalogiser : 
meltre en dialogue, parler en dialogue. 

DıäL0cO, 3. m. dialogue, eolloque : entre- 
tien de deux ou plusiears personnes. Pör em 
— ‚ dialoguer. 

DiaLtusa, s.f. (1. de pharm.) dialıhee : on- 
guent de mucilage, de racine de guimaure, etc. 

DiamANTÄiDO, A, adj. qui appartient ou res- 
semble au diamant. p. p. de 

Dıawantia. V. Adiemantar. 

Diawinte, 8. m. diamant: pierre la plus 
brillante, la plus fine, la plus dure, la plus 
pesante et la plus precieuse de toutes les ma- 
tieres connues. (fg.)* Durets, solidit&, resis- 
tance;; insensibilite. ($. de mar.) Degorgeoir. 
— de rodella, milieu saillant d’un bouclier. 
— brülo, diamant brut, qui n’est point taille. 
(Ag.) Esprit, etc., sans culture. Ponfa de —, 
diamant : poimte de diamant pour couper Ile 
verre; pointe d’acier tr&s-dur dans les poi- 
gnards, etc. Travalkar em —, Iravailler sur 
des pierres, parlant d’une montre. (fig.) Dige- 
rer bien, avoir un estomac d’acier. 

Dıamantino, A, adj. de diamant, qui appar- 
tient au diamant. (fig.) Dur, impitoyable. Dis- 
frieto — ,, lieu od !’on Lrouve des diamants. 

f Dıawantista, s. m. diamantaire : qui tra- 
vaille et qui vend le diamant;; lapidaire. 

* Dıawiö. V. Diamante. 

DiameraiL, adj. 2 gen. diametral : du dia- 
möätre. 

DiAMETRALURENTE , ade. diametralement : 
d’un bout du diametre & l’aulre. (fig.\ Directe- 
ment, 

Dıäuerno, 8. m. (1. de geom.) diamätre : 
ligne qui coupe le cercle en deux parties egales, 
en passant par son cenire. 

tDıamoron, s. m. (t. de pkarm.) diamo- 
rum : sirop de müres. 

+ Dsawösco, s. m. medicament dont le musc 
est la base. 

Dıiina, s. f. (. de myih. ei de pods.) Diane: 
de&esse fabuleuse. La lune. 

Dıänpasa, s. f.(l. de 04.) diandrie: deuxiäme 
classe des vegetaux & deux dtamines, selon le 
sysiöme sexuel. 

 Dıänprıco ou Dianpao, A , adj. (1. de bot.) 
diandre eu diandrique : & deux dtamines (Nleur, 
plante). 

DıanTE, prep. et ade. devant, en presence 
de. V. Adiante, Aute. Diaqui em —, dorcna- 
vant. de —, par la suite. Ir por —, continuer, 
poursuivre. Para —, en avant. — de Deus e de 
todo mundo, (fam.) en face de Dieu et des 
hommes. Deos —, ( fam.) avec l’aide de Dieu, 
Dieu aidant. Ir —, devancer, gagner les de- 
vants. 

Dıantkına, s. f. ” devant; fegade, frontis- 
pice ; les devants. (fig.) Premiere tentalive dans 
uno entreprise dificile. — do exzercilo, V.Fan- 
guarda. Tomar a — a alguem, prendre, ga- 
gner les devants; avoir le dessus. Dar a — a 
alguem, ceder la premiere place & quelqu’un, 
se melire apres lui, 


DIA 


Dranrtıno, A, adj. qui est ou qui va derant; 
qui precdde. Qui avance, parlant d'une mon- 
ıre. Porta —a, (fig.) les moyens licites pour 
obtenir quelgue chose. Traxer ludo na casa 
—6, (flg.) faire parade de ses moyens, etc. 

Dıariıma, s. f.(t. de pharm.) * diapalme: 
emplätre, onguent et decoction de feuilles de 
palmier. 

Dıarasid,s. m. (6. de mus.) diapason : clen- 
due de voix, de sons, da bas en haut; &chelle 
campanaire de fondeur de cloches; table A 
l’usage des facteurs, od sont marqudes les me- 
sures des instruments et de toutes leurs par- 
ties; consonnance de l’octave. 

fDiurisuma, s. f. " diapasme: parfum en 
poudre. 

Dıapeoesıs, 8. f. (t. de med.) diapedese, 
€ruption de sang par les pores des vaisseaut; 
sueur do sang. 

DiaPenTe, s. m. (f. de mus.) diapente : quinte 
de musique (anf.). 

+ Dıiäpgar, s. m. (1. d’hist. nat.) diapere: 
coleoptere. — dos bol#tos, dispere du bolei. 

DıAPHANEIDÄDE, 8. f. diaphaneite : transpa- 
rence ; qualit& de ce qui est diaphane. 

Dıärnano, A, adj. diaphane : transparent 
(corps), qui donne passage & la lumiere. 

} DiapHAnNöMETRo, s. m. diaphanometre : 
Inetrament pour mesurer la diaphaneite de 

’air. 

Dıiapnönzsıs, 8. f. (4. de med.) disphordse : 
€vacualion par les pores de la peau; moyenns 
entre la transpiration naturelle et la sueur. 

Diapnos£rıco, A, adj. (t. de med.) diaphe- 
retique : qui purge par les sueurs. 

Dıaruricma , s. m. (1. d’anat.) disphragme: 
muscle large et mince , nerveurx, trds-irritable, 
entre la poitrine etle ventre quil separe; cloi- 
son des narines. (6. de bot.) Cloison qui spare 
les graines dans les fruits capsuleux. 

DiaPpnnacmäÄTico, A, adj. (4. d’anat.) die- 
phragmatique : du diaphragme. 

f Diapanacuıris, s. f. (t.de med.) diephrag- 
mite : inflammalion du diaphragme. 

+ Diaratnöna, 8. f. (i.de med.) diephthore : 
corruption des aliments dans l’estomac; cof- 
ruption du fotus dans le sein de la mer. 

+Diirıa, s. f. diapie : vue trop longue ou 
presbytie. 

+ Dıarörzsıs,, s. f. diapordse, doute: Bgure 
de rhetorique. 

+ Dıaprösıs, s. m. (4. de mus.) diaplose : 
intereidence, petite chute. 

DıaquıLi6. V. Diachyldo. 

Dıiärıautnte, ade. journellernent , tous les 
jours , chaque jour. 

Dıirıo, a, adj. Journalier : de chaque jour. 

Dıärıo, s. m. journal; relation, note de ce 
qui se passe chaque jour. * Depense journa- 
liere. —, &crit periodique ou l’on Jdonne des 
nourvelles politiques et auires,, jour par jour. 

Dianista, s, m. journaliste : oolui qui fait 
un journal. 


BIC 


Dianaufı, 5. f. diarrhee: flux de ventre, 
dövorement. 

Diintmnose, 8. f. (t. d’anat.) diarthrose: 
arliculation relächee d’un os; articulation mo- 
bile formee par des t£tes d’os dans des caviles. 

Diascöapio, s. m. (#. de pharm.) diascor- 
diem : opiat fait avec la plante nommee scor- 
diam , etc. 

DıäspEno ow DiÄßPRO, 5. m. diaspre ou dia- 
pre: marbre diapre , jaspe, de Sicile. 

DustoLz, s. f. (t. d’anat.) diastole : moure- 
ment de dilatalion du coaur, if. de dilatation 
du cerveau. V. Systole.(t. de gram.) —, figure 
per laquelle on fait longue une syllabe breve. 

+Disstaornia,s. f. (l. d’anal.) diastrophie: 
deplacement des muscles, des nerfs, etc. 

Diistıro,s. m.(t. d’arch.) diastyle: edifice 
ä colonnes eloiguees de Lrois de lears diamd- 
ires. 

+ Dıusv’amo, s. m. diasyrme : ironie dedai- 
gbeuse qui devoue au mepris. 

+ Distessenäö, s. m. (tl. de mus. anc.) dia- 
tessacon : intervalle de quarte. (4. de pharm.) 
—,sorte de iheriaque, remede de quatre in- 
gredienis. 

Disrnsse, s. f. (t. de med.) diathöse : affec- 
tion de /’homme, naturelle ou non; disposition 
d’une partie, constitution du corpa. 

Disrngunca. V. Dieletica. 

DIATÖNICANENTE , adv. diatoniquement: dans 
le genre, suivant l’ordre diatonique. 

Diaröxıco, a, adj. (8. de mus.) diatonique : 
qui procede par les tons naturels de la gamme. 

+ Dıitono, s. m. (1. de mus.) deux tons con- 
sseulils. 

+ Diutracänto, 8. m. (li. de pharm.) diatra- 
gacanıhe : electuaire de gomme adragant, etc. 

DiATriße , s. f. diatribe : critique amere. 

+ Diatrıtärıos, s. m. pl. diatritaires : m&- 
decins qui croient guerir toutes les maladies 
per une diete de trois jours. 

+ Diäuro , s. m. (1. d’ant.) diaule : flüte dou- 
Ne des anciens. «#4. Espace de deux stades, 

evarse Jusqu’& l’eztr&mite de la carriere du cir- 
que, et retour au point du depart. 

tDıärLoprömo, s. m. (t. dant.) diaulo- 
Atome ; coureur qui, dans le cirque, parcou- 
rail deux stades de suite. 

tDıazauxıs,s. f.(t. de mus. anc.) diazeuxis: 
ion entre deux letracordes disjoints. 

t DisaLaustıcos. V. Balausticos. 

tDieartıstas, s. m. pl. dibaptistes : hereti- 
ques grecs qui baptisaient deux [ois. 

+Disna,s. f. peuplade, horde de sauvages. 

Disöxo, etc. V. Debuxo, etc. 

Dicaciınine, 8. f. p. us. causticitö, penchant 
Ala raillerie, facilit€ & dire des mots piquanis. 

Dicacıssıno, A , adj. sup. de Dicdz. 

+Dıcastensas, es. f. pl. (1. d’ams.) dicaste- 
fies : tribunaux de Justice A Athänes. 

+Dicasterıos, s. m. pl. dicasteres : division 
territoriale en Pologne et dans d’autres pays. 
tDicäz, adj. 2 gen. p. us. caustique, rail- 


DIB 4R7 


Diciö,s. f. 9. us. V. Dominto. 
warcgk6, s. f. * mot, terme. Diction, &locu- 

on. 

Diccıonänıo, s. m. dictionnaire : recueil al- 
phab6tique des mots (d’une langue, d’ane 
science, eic.); vocabulaire alphabetique avee 
des definitions (historiquo, de marine, etc.). 

DiccionaRista , s. m. dictionnariste : lexico» 
graphe. 

+ Dıc£uras, 8. f. pl. (1. d’ant.) dicelies : far- 
ces, scenes libres. 

+ DiceListas, s. m. pl. (1. d’ant.) dieslistes : 
farceurs qui jouaient les dicelies. 

Dıcna, s. f.V. Dita. A buena —, la bonne 
aventure. 

*Dicno. V. Dito, Palavra. 

Dicnöte, s. m. dim. de Dicho,, mot piguant, 
plaisanterie , parole grossiere , indecente. 

+ Dıcocca , adj. f. Capsula —,(t. de bot.) A 
deux cellules (capsule). 

fDıcörnıo, s. m. dichorde: ancien instru- 
ment & deux cordes. 

TDicoromia, s. f.(f. dastr.) dichotomie : 
etat de la lune vue & la moitie. 

TDicötomo,a, adj. (t. d’astr.) dichotome : 
dont on ne voit que la moitie ( lune). 

t DicotrL£vones, adj. 2 gen. pl. ( t. de bot.) 
dicotyl&dones : A deux lobes (graines, etc.). 

tf Dıcr6To, A ,.adj. (6. de med.) dicrote, r&- 
current ( pouls). 

Dicränpo,A,p.p. de Dictar. 

Dicräpo ou Dıtino , s. m. titre d’honneur ou 
de dignite. * Dictee : co qu’on dicte pour £tre 
ecril. Adage , sentence, proverbe, dicton. 

DictanöR, s. m. dictateur : magistrat unique 
et souverain de Rome ancienfie. 

DicTaDöra, 8. f. dictature : dignitö, fonctions 
du dictateur; &poque, durde de ces fonctions. 

Dictime, 8. m. avis, opinion, sentiment., 
Diciamen : mouvement, sentiment Interieur 
de la conscience. " 

DicTäMO-BRANCO , 5. m. (4. de bot.) dietame 
blanc ow fraxinelle, herbe vulneraire. — de 
Creta, dictame de Cröte,, espece d’origan. 

DicTär , ©. a. dicter : prononcer mot & mot 
pour faire ecrire. — , inspirer, Suggerer; pres - 
crire. — a lei, donner, faire la loi. 

+ Dictatörı0,A, adj. dictatorial : du dicta- 
teur, souverain , absolu. 

DicT£rı0, 3. m. mot piquant, brocard,, rail- 
lerie, lardon , sarcasme , trait malin. 

Divicrica, 3. f. didactique : art d’enseigner ; 
genre didactique. 

Divicrico, a, adj. didactique : propre & l’en- 
seignement. 

DivascäLıco , A, adj. didascalique : qui con- 
cerne la doctrine. V. Didaclico. 

f Dipeırna, s. f. (1. d’hist. nat.) didelphe : 
sarigue. 

+ Dıntıra, s. m. (. de bot.) didelta : plante 
corymbifere du cap de Bonne-Esperance. 

+ Diviıa, adj. f. Les —, (t. d’ant.) didie : loi 
romaine qui bornait les depenses des fetes pu 
bliques, micux lol Didia, 


448 DIF 


+ Dipxicuwa, 8. f. didragme ou didrachme: 
demi-sicle de cuivre chez les Hebreux ; mon- 
naie grecque de deux drachmes. 

Dıipräcuo, 8. m. V. Didrachma. 

+ Divymaucia, 8. f. (1. de med.) didymalgie: 
douleur des testicules. 


+ Dipymo, A, adj. (. de bot.) didyme : g&mi- 


ne, qui a la me&me origine, se dit des anthöres. 


Diıpyniuıa,s. f. (t. de bot.) didynamie: qua- 
torziöme classe des veögetaux, composee des 


plantes & fleurs hermaphrodites qui ont quatre 
etamines, deux grandes et deux petites. 


+ Diprnäniıco, A, adj. (. de bot.) didyna- 
mique : qui a les &tamines didynames ow dou- 


bles. 


+ Dirrnäuos, adj. m. pl. Estames — , (1. de 
dot.) didynames, (6dtamines) disposees en deux 


paires inegales. 
Dıirchsz,, etc. V. Dioedse, etc. 


+ Dıeono, s. m. (. de gdom.) diedre ou dihe- 
dre : angle form6 par deux plans qui se ren- 


contrent. 
* Ditıxo. V. Dinkeiro. 


Dıerzsis, 5. f.(t. de gram.) dierese : signe 
(") plac& sur une voyelle pour empecher qu'elle 
ne soit &lidde; figure par laquelle on divise 
une diphthongue en deux syllabes. (1. de chir.) 
—, division de parties unies conire nature ; s0- 


ution de continuite. 


+ Dıea£rıco, adj. et s. m. (4. de med.) diere- 


tique : (remdde) corrosif. 


f DısaviLLa, s. f. (8. de bot.) dierville : ar- 


brisseau ; chövre-feuille d’Acadie. 
Dıesis, 8. f. (4. de mus.) diese. V. Sustenido. 


Dıeta, s. f. diete:: regime de vie pour la 
nourriture, abstinence totale ou moderee de 
nourriture; ce qu’on donne par jour de nour- 


riture aux convalescents d’un höpital. Journee 


ıle chemin. —, assembi6e, reunion des &tats 


en Allemagne. 

Distmemica, s. f. (8. de med.) dieltique : 
trait& du regime de vie des malades;; Lraite des 
aliments. 

+ Dier£rico, a, adj. (8. de med.) dietetique: 
qui est relatil & la diete. . 

f Dızrgristas, s. m. pl. dietetistes : mede- 
cins qui n’employaient que la diete. 

+ Dırina, s. f. dieline : diete particuliere en 
Allemagne, & Cologne, etc. 

Dırramacäö, s. f. diffamation : aclion de dif- 
‘:mer, ses elleis, 

Dırvamipo, A, 9.9. de Diffamar. 

DIFraNADOR, a, adj. et s. diffamateur : qui 
'.Jame, qui decrie ; calomniateur. 

DirramÄnte, adj. 2 gen. diffsmant: qui dif- 
“sıne, qui deshonore; qui est fait ow dit pour 
„ifamer. p. @. de " 

Dırrauin, v. 0. diffamer : deshonorer quel- 
n’un; deerier ; calomnier; perdre de reputa- 
un ; deobirer. Il est quelquefois neutre. 

DIFFAMATÖRIO, A, adj. diffamatoire: qui dif- 
ame; dit ow fait pour diffamer. 

- r Dırgäua, s. f. diffame, infamie, 0p- 
probre, 


DIF 


+ Divvannzıckö, s. f. (1. d’ant.) diffarte- 
tion : sacrifice, offrande d’un gäteau qui op%- 
rait le divorce;; divorce. 

Dirrerenga, s. f. difference, diversite, dis- 
tinclion ; dissemblance; qualits essentielle qui 
distingue les esp@ces d’un m&me genre; attri- 
but distinctif; excds d’une grandeur, d’ıne 
quantite sur une autre. —s, pl. *differend , de- 
mele, contestation, altercation , debat. Fazer 
—, differencier. Com curla ou powca —, appre- 
chant, environ, & peu pres, & peu de chose 
pres, ä peu de difference pres. Com « —, lor. 
adv. a la difförence. Ha mwila —, il s’en faut 
beaucoup. 

DarrenenciDo,A,p.p. de 

Dirrenengär, v.a. differencier, distinguer, 
mettre de la difference. Varier, diversißer. 

DiIFFERENGAR- SE, v. Tr. differer: e@tre diffs- 
rent, divers, dissemblable. Se distinguer da 
ctommun, se singulariser. 

Dirrerenceir. V. Differencar. 

Dırrenencıacäö, s. f. (1. de matk.) differen- 
tiation : action de differencier. 

DirrERENcCIÄDO, A, pP. p. de Difforenciar. 

DırrgrencıäL, adj. 2 gen. (l. de math.) difis- 
rentiel : infiniment pelite (quantite). Caleule 
— , calcul differentiel : des quantites diff&ren- 
tielles, du rapport entre les differences Anies 
de quantites analogucs. 

DirrERENcCIAR, v. a. (f. de malh.) differen- 
cier : exprimer la difference d’une quantits; 
prendre la premiere Jderivee d’une fonctien 
algebrique. 

DiFFERENCINHAS, 8. f. pl. dim. de Differe- 
gas. Petites contestations, etc. 

Dirrerentg, adj. 2 gen. different, qui dif- 
fere; distinct; divers; dissemblable ; qui n’est 
pas de meme. (fig.) V. Disconcorde. Bem — do 
que V. M. mediz, bien autreıment que vous me 
dites. 

DiFFERENTEMENTE , adj. diff&remment: d’une 
maniere difförente,, diversement. 

DirFEnEnTissımo, A, adj. sup. de Dife- 
rente. 

Dırreripo, A, D. p. de 

Dırrerıa, v. a. differer, retarder ; tempori- 
ser, remettro. it. V. Desferir. 

Dırrkrın (em, de), v. ». diffärer : &tre diffe- 
rent en un ou plusieurs points; &tre divers, 
dissemblable, n’&tre pas de meme; @tre d’un 
autrc avis, opinion, senliment, etc. 

DırricıL, adj. 2 gen. diflicile, penible ; mal- 
aise; plein de dificultes. — de contentar, difi- 
cile & contenter. ’ 

DırriciLımo, a, adj. sup. de Diffeül. 

+ DırriciLıssımo, a. V. Diffeilimo, 

DirFicıLwEnte, ade. difficilement : avec difl- 
culis , avec peine. 

DirrıcuLpine, 3. f. difficulte: ce qui rend 
une chödse dificile; obscurit# ; endroit dificile 


Aentendre; ce qu’il y a de dificile; obstacle, 
embarras , emp@chement. Repugnance & se de- 
eider. —s, pl. difficulies, doutes, objections. 


Isso ndo admilte — cela va tout seul. Superar, 


DIG 


vonter & —, passer au-dessus de a difieuits. 
Com grande —, ä grand’ peine. O que com — 
se eredilard, #..., co qu’on aura de la peine & 
croire , e’est... Fica em pda —, (fig. fam.) la 
difßeults subeiste,, elle n’est pas resolue. Por 
+, mettre des obstacles; faire des objeotione, 
des diicultöes. Buscar —s onde as ndo ha, 
chercher midi & quatorze heures. 

DirmcuLTäBO, A,p. p. de 

DercuLräs, v. e. rendre difficile; metire, 
eiever des difficultes. Faire oa proposer des 
difieultes. I} est aussi neutre. 

DırncuLTin-se,v.r. devenir difieile, par- 
lsnt des choses. (=) Faire difficult# de, parlant 
des persennes. 

DirricoLrösaueute,, ado. dificilement, avec 
peine. 

DirficoLTOSISStMO, A, adj. sup. de 

Diesico.r6so, A, adj. dificile; diffcultaeux. 

Dirsrmancıa , s. f. deflance, appröhension. 
Manque de fei, infidelile. 

Dırsintnte, adj. 2 gen. döllant, soupgon- 
seux. Perfide, infiddle. 

Dirfininvon. 

Dırrınık ‚etc. | V. Defin..., etc. 

Dumaia , ete. V. Differir ou Desferir. 

tDırrLo&nte, adj. 2 gen. diffiuent : qui 
coale, qui se r&öpand de tous cOlds. 

Divröaug, adj. 2 gen. qui a deux formes. it. 
V. Deforms ei Disforme. 

Dirrnacgi6, s. f. (1. d’opt.) diffraction : in-, 
fexion , detour des rayons qui rasent une sur- 
face. 

Dirsundino, A, p. p. de 

Dırvenpin, v.«. epaneher,, r&pandre, verser, 
&iendre. (Ag.) Repandre, divulguer, publier. 
Il est aussi reciproque. 

Dirvosauäinte, adv. diffusement : d’une ma- 
niere diffuse. 

Dırsusiö, s. f. diffusion : action de ce qui 
Sepsnd, sietend ; ses efleis ; trop grande abon- 
dance, (fig.) du style, d’un sorivain. 

Divrusıvo, a, adj. diffusif : qui est capable 
de setendre, de se röpandre. 

Dırrüso, A, P. p. irr. de Diffundir. adj. 
Diffas, prolixe, long, trop 6tendu. Ample, 
large. (i. de bot.) —, & pedoncules &caries, 
parlant d’une tige, d’une panicule. 

Dıciuma, s. f. ” digamma : double gamma ; 
la lettre P ou H aspire chez les Latins. 

Dicistaıco, A, adj. (1. d’anat.) digastrique : 
nom de certains muscies qui ont comme deux 
venires. 

Diczaipo, A, P. p. de 

Diczain, v. 0. digerer : faire la digestion des 
aliraents; (Ag.) souflrir patiemment. (id.)—, 
mediler, examiner ; arranger, meitre en ordre. 
(!. de cd.) —, euire & petit fen. 

DcraiveL, adj. 2 gen. qui peut se digerer. 

Diczeri6, s. f. digestion : coction, decom- 
position des aliments dans l’estomac; (fg.) 
ordre dans co qu’on dit, qu’on &crit.(t.de chir.) 
— ‚disposition & suppurer, se dit des abcds. 
-de chin.) — , cuisson, fermentation iente, 

PORT.-IR, 


( 


pY IE Dur 8 . 


DIG 49 


A un feu moderd. Homem de md — ‚ komme 
dur & digdrer, d’un caraciöre dur, iniraitable. 
Negocio de md —, affsire difficile, $pineuse. 

Diczstir. V. Digerir. 

f Diczsriver, adj. 2 gen. fecile & digörer. 

Dicsstivo, 4, adj. digestil : qui a la vertu de 
faire digerer. s. m. (1. de cher.) — , remöde qui 
fait Jigerer, qui fait suppurer les plaies. 

Dicksto, A,Pp. p. irr. de Digerir. adj. Di- 
gere: mis on ordre et rödigs clairement, 

Dicksto, s. m. digeste : reoueil de deöeisions 
de jurisconsulles romains, oompilö sous Jus- 
tinien. 

+ Diczstör,, s. m. (6. de chim.) digesieur (de 
Papin): vase & oouvercle ferme & vis, pour 
faire cuire, d6composer los os, en exiraire la 
gelatine. 

+ Dıcicra , s. f. sorte de baguetie d’or ou 
d’argent, dont une exirömits avalt la forme 
d’une main, et dont on se servait pour indi- 
quer les livres sacr&s dans les mimisiöres ecol6- 
siastiques. it. (4. de mdd.) Digitie : dessdche- 
ment d’un doigt. 

Dierraciö, s. f. (8. d’amat.) digitation : ma- 
niere dont deux muscles s’ondentent !’un dans 
!’autre ; leur prolongafion en maniere de doigis. 

Dıicrräpo, a, adj. Folka —e, (1. de bot.) di- 
gitse (feuille),, disposee comme les deoigts de la 
main. 

+ Dicträinos,, s.m. pl. (1. d’hist. nat.) digitös: 
premier ordre de la premiere lasse des mam- 
miföres. 

DicıriL, adj. 2 gen. digital: qui a rappeort 
aux doigts. s. f. (4. de bot.) Digitale pourpr6e, 
doiglier, gantelde ‚gants de Notre-Dame ‚plante 
personnde. 

+ Dıcıriıröauz, adj. 2 gen. qui a la forme 
d’un doigt, 

+ Dicrıro, s. m. (f. d’asitr.) doigt : dousiöme 
partie du diameötre d’an astre, 

DıcLapıanon. V. Gladiader. 

+ DıcLapıar,, 9. ». combatire aveo l’öp6e et 
corps & corps. 

+ Dienaciö, 8. f. p. us. condescondanoe, 
complaisance , bont& envers un inferieur. 

Dıcnino,A,p.p. de Dignar. 

DicNAMENTE ‚, adv. dignement: selon ce qu’oR 
merite ; d’une manidre digne ; convenablement, 

Dıicnir, v.6. estimer, juger digne de; bo- 
norer de. 


DICNAR-SE (de), v. r. daigner, avoir la bonte, 
vouloir bien, avoir pour sgreable. Il se dit 
d’un superieur & l’ögard d’un inferieur. 

Dicninäde ‚s. f. dignit®, merite, importance; 
el6vation , distinclion eminente ; charge, office 
considerable ; benefice d’eglise cathedrale au- 
quel est attach& une juridiction, une prödmi- 
nence, une fonction. *Dignitaire : oelui qui 
possede une dignite. 

Dieniricipo, A, 9. p. de Digniflcar. 

+ Dicnmicinte, adj. 2 gen. qui rend digne. 
Un te diten th&ologie, en parlant de la gräce, 
p. a. de Dignificar. 

= 


850 DIL 


+ Dianirican, v.a. p. ub. rendre ou juger 
digne; &lever & une dignite. 

Di6ntssıno, A, adj. sup. de 

Dicxo, A, adj. digne:: qui merite quelque 
chose; qui a de 1a dignile. —. correspondani, 
proportionne, conforme au merile. ' 

+ Dicono, adj. m. Tronco-, (i. de bot.) 
A deux angles (digonus). 

Dionessi6, s. f. digression, &cart, hors 
d’auvre : eo qui est hors du sujet prineipal. 
ct. @astr.)* Rloignement d’un astra d’un point 
quelsonque du eiel. V. Distracgde. » 

+ Dicnzssionar, v.%. faire une digression. 

+ Dicusssivo , A, adj. qui s’tcarte; diver- 
gent. . 
. + Diontsso, s. m. depart, sorüie. V. Digres- 
säo 


+ Dicv'nia, 8. f. (t. de bot.) digynie: douxiöme 
ordre des treize premieres classes des vöge- 
taux. 

Dıragid, s. f. * deiai, retardement, allonge- 
rzent, temporisation, remise, retard, de- 
meure, retardalion. 

Drracenacäö, 3. f. dilaceration : action de 
dilacerer, ses eflets ; döchirement. 

DILACERRÄDO, A, P. p. de 

Dıraczrkin, v. @. dilaoerer ; deohirer, meltre 
en pidces avec violence. (fg.) Dechirer, ruiner: 

Dırarınagkö, s.f. dilapidation :depense folle 
et d6sordonnee; vol de deniers publics, eic. 

BıLarıBinpo, A,P. p. de Dilapider. 

Dirarınanor,, s. m. dilapidateur:: qui dila- 
pide. 

DILARIDAR, ©. e. dilapider : depenser folte- 
ment, avec dösordze; voler les deniers publios. 

DiLATABILIDÄDE,, 8. f. dilatabilite : propriete, 
da. 00 qui egt dilatable. 

Dıiraragiö, s. f. dilatation : extension, &icn- 
dus; (Ag-) Kpanchement, effusion de cour, de 
’ime, eto. (l. de chir.) Disteusion : etat des 
nerfs trop tendus. 

DiLATÄDANENTE, adv. amplement, large- 
ment, avec dilatation. 

DiLATADISANO, A, 0dj. sup. de 

DıLatävo, A, p. p. de Dilatar. adj. Nom- 
breux. (fig.) Vaste : d’une fort grande &tendue. 
(id.) Diffus, prolixe, trop tendu. 

DiLaTADOR, s. m. dilatateur :celui qui dilate, 
qui etend ; temporiseur. 

Dı.arir, v. a. dilater, dtendre, -Blargir : 
fsire occuper un plus grand espace. Diffärer, 
retarder, suspendre, remettre, allonger. (ig.) 
Bıendre, propager, porter au loin la reputa- 
tion. (dd.) Dilater le caur, soulager, consoler, 
epancher. 

DILATAR-@E,, v. r. s’6tendre, se r&pandre; se 
dilater, ö&prouver une dilatation. 

Druaräver, adj. 2 gen. dilatable : qui peut 
©tze dilat6,, stendu. 

DiLatörıo, A, adj. (t. de prat.) dilatoire. 
Qu: $largit, qui dilate. Excepräo —6, exooption 
dilatsire, qui tend & differer le jugement. 

Diugcgiö, s. f. dileclion. tendresse, amour, 
charite, bonne volonte, allachement. "Terine 


DIL 


employ6 pat le nepe et l’onpereur d’Alle- 
magnsen 6erivant ä certains prinees, suz 4lox 
leurs, , 
DiLEcTIssıno , A, adj. sup. de 
Dirtcro, a , adj. aime, eheri ; bien-eime. 
Diriuua, s. m. (8. de log.) dilenmme ı argı- 
ment qui laisse le choix entre deux propss- 
tions contradictoires, de charune desqualles 
on tire &galement une conolusion irröfragabie. 
Diusmwirico, a, adj. du dilemme, gi ı 
rapport au dilemme. 
DıLivo, A, p. p. de Dilir. \ 
Dıuicancıa, 3. f. diligenoe, activils, soin,szae 
titade,, empressomeni ,„ promptitude; prepie 
execution; celeritt, vitesse, demenche. —, 
grande voitare publique. Com -—, düligermment, 
promptement, vite. Pö6r— no trabelkoe, mr 
vailler aveo aseiduil6, avec sein. Fesr a 
suas —s, faire ses diligenoes, meilre toui M 
auvre pour r&ussir. Ndo he — super flus ns 
negocios d’imporlancia, il n'y a pas de pelils 
pas sous les grandes allaires. 
DiLiGENcIADO, A, p. p. de Diligensier. 
DiLiGencıaDOn, s. m. agent actil, 
DiLicencıÄR, 9. a. travailler ä& une affeire, Y 
donner ses soins, la negecier, Inire des di 
marches; diligenter, procurer avec diligenee. 
DiLicente „ adj. 2 gem. diligent, atenül, 
exact, soigneux, serriable. — , prompt, c1p% 
ditif, agissant, empresse. 
DiLicentemenTe, odo. diligemment, ar& 
diligence. 
DILIGENTISSIMO, A , adj. sup. de Diligenle. 
+ DiLın£nto, s. m. j'action de delsyer, de 
dötruire , @offacer. 
Dırız , v. 6. V. Delir ot Diluir. (fig.) Abatlire, 
affaiblir. 
+ DıLontıa, s. m. (f. de dot.) dilobeia : arbfe 
du Madagascar. 
DıLosia, s. f. V. Diakogie. . 
Dirvanackö, 8. f. * eclaircissement, ep 
cation, eXposition, interpretation. 
DıLvcımiD0,A,9. 9. de 
DiLucıvär,, v.a. 6elaircir, expliguer, dere- 
lopper, rendre plus intelligible, 
Dıirccıno. V. Lacide. 
. TDucuLo,a.. 9. us. point ou poinie da 
jour. 

DUNRNTE, adj. 2 gen. n.a.de Düwi. De 
layant : qui delaie. 
fDiwuciö, s. f ° delaiement : Paction de 
dölayer. | 

DıLvioo,A,p.p. de | 

DıLuin, v. a. delayer, deiremper, disseudre 
dans un liquide. 

DıL.dro, a,P.p.irr. de Diluir. | 

1 DıLuviiL, adj. 2 gem. du temps da delarr: 
qui ressemble au deluge, parlant d’uge plu:® 
ırös-abondantie. | 

Dwuviino, Aa, adj. diluvien : qui a rappeıl 
au deluge. 

Dırövo, s. m. deluge, inondation, deborde- 
ment universel des caux; grand debardemen! 
W’eau. (fig. [am.) —, abendange egcesitt- 








DIM 


+Mmunıcid, 8. f.cation de firer sa souree, 
son origine, etc. 
Dizunivo, A, Pp. p. de Dimanar. 
Duusintz , adj. 2 gen. rösultant: quirssulte. 
p.0.de 
Dass, v. 9. venir, prendre sa source, 
parlant d’une eau couranie, etc. (de) (g.) D&- 
river, emaner, tirer son origine, venir, de&oou- 
ler, r&salter, provenir. Todas as gracas dima- 
näo.de Deos, c'est de Dieu que decoulent toutes 
les gräces, 
Dıuemsiö, s. f. dimension, &tendne. (i. de 
g’om.) — mesure descorps, des figures. 
7 DınısonaL, adj. 2 gen. qui appartient & 
une dimension „ & une mesure. 
+ DırzxsivEL, adj.2 gen. p. us. qui peut dfre 
mesore, 
tDımasörıo,, A, adj. qui a rappori du me- 
Serage; qui sert A mesurer (imöthode, instru- 
ment, eic.). 
tDıueria,, s. f. eomposition po&dtique en 
vers dimätres. 
+Diurrro, s. m. et adj. dimätre : vers de 
deus mesures ou de quatre pieds. 
+Dunmıacäö, s. f. " parlage, söparation par 
meile, 
Dramıano, A, 9.9. de Dimidiar. adj. (1. de 
Ist. et Fiss. nat.) dimidie : reduit A moitie. 
Diemiär, v. a. diviser par moitie ; pariager 
en deux. 
Disıwıäto, a, adj. (anf.) partag& par moitie. 
6, s. f. diminution , amoindrisse- 
ment, rabais, reteanchement, döcreissement, 
ralenüssement. ( #. d’aritk.) Soustraction. — de 
grendeza, döcadence. Ir em —, alier en dimi- 
Auant. 
Drauvo, A, 9.9. de 
Diumeia, v. a. diminuer, atlönuer, retran- 
ser, amoindrir. ( fig.) —, porter atteinte. Alls- 
ger: adouchr ie mal. (f. d’arith.) Soustraire : 
öter un nombre d’un aulse. — 0 numere, 
&claireir. 
Dimsufn, u. ». diminuer: devenir moindte. 
hr ‚aller en diminuant, 
Dunnufa-sg, 0. r. so priver, se degamir; 28 


diminser. — em forgas, perdre ,user.ses forcos. 


Dıumurau&nts, ade. en dimmusion ; impar- | 


Isttement, mesquinement, 

Dinuurıvasänıe, ade. (8. de gram.) sous 
lerne de dimiawlif. 

Diumerivo, a „adj. qui diminue, qui amoin- 
drü. s. m. (6. de gram.) dimimuül ; terme qui 
Peg ou adouoit la foreo du mot dont il esı 


Dıumöro, a ‚adj. döfectueux, imparfait. 

Dınısaäö , s. f. dömission : acıe par loquel on 
se demet d’une charge, elc.; l’action et l’efes 
de tenroyer quelqu’un de sen emploi. Permis- 
sion donuse Aum inferieur pour zeoourir A un 
Suptrieus. 

Dinissörus, 2. f. pl. ou Leftras —, adj, Di- 
Missoire : Jeitre d’un 6vöyue pour conlerer ses 
Puroirs & un autre qui ordonne A sa plane. 

Diuurzigäö, V, Disssde, - 


DIO 


DıuırrtB0, A,P.p. de Dimmer. 

Disrria, v. a. congedier, renvayer. V. De- 
mittir. Renoncer, abdiquer, se demeltre. 

Dıuıttir-Sse /{de), ®. r. so dömettre, se de- 
faire de sa charge, donner sa d6mission. 

f Dinamanca, 8. f. (1. de geogr.) * Dane- 
mark : royaume du nord de }’Europe. 

+Dinawangußr, A, adj. et s. Danelis: babi- 
tant, natif da Danemark. 

Dinauiıca, 

Dinasrıa, olc. } V. Dynam..., ew. 

’ Dınnzımäpa, 8. f. chose qui avalt la valeur 
d’un denier. V. Dinheirdma. 

Dınanmitma, 8 f. (lb. 49p.) grande quantils 
d’argent. 

Dwmumi6, s. m. aug. de Dinhsiro. V. Di- 
nkheirdme. 

+Dmetininso, s. m. dim. de Binhsiro. 
(fam.) Petite quantite d’argent. 

Dınntıro, 5. m. argent ı teule espdce de 
monnaie. Denler : monnaie de ouivre qui avait 
cours anciennement en Pertugel, valant le 
douzi&me d’un son; monnale-de ogmpte. De- 
nior de fin ou de loi:: titre de l’argemt. — effer- 
fioo ou de coniado , argent comptant. — papel 
ou de papel,, papier-monnale. Ter -—, avoir do 
Pargent, ötre riche. Comprar com — dvisia, 
acheter argent compiant. Dar ou pfr — azuro, 
a logro, a interesse, oonsiituer de Vargent & 
rente, preter, donner ou meiire A Interet. Por 
— a ganhar, placer son argent. 

Dıinipane, etc. V. Dignddade. 

Dinıcran. V. Deniprir. 

Dıocesäno, A, adj. diocesain:: du diocese. 
— , övdrmue d’un dioedse. 

Diocksz, s. f. dioeöse : dtendue de pays SOuS 
la jwridiction d’un &veque. (imus.) Däpaste- 
ment, gouvernemsent, ele. 

+ Dıononte, s. m. (t. d’Mist. nal.) dioden: 
peisson gyınnodonte ; herisson de ner. 

+ Dıöscas, adj. f. pl.( Plagtas —, 4. de bot.) 
dioiques. Be dit des plantes de la diweie, dans 
lesquelles des individus sons mäles ei d’autres 
femelles, comme le chanvre. V. ioicia. 

+ Dıolaa, a. f. (4. de bot.) diegcie ı 2% classe 
des vögstaux A organes sexuels sur deux sujeis. 

+ Dıonr'sıa, s. [. dionysia : pierre pröcieuse, 
ineonnne. 

+ Dıonvsiaca, s. f. dionysiegue: danse qui 
exprime les actions de Baochus. —s, pl. diony- 
sieques : fötes grecques de Bacchus. 

+ Dıonısiavas, s. f. pl. dionysiades : pr6- 
ıresses de Bacchus. 

Dıöpraa, s. f. (4. d’opt.) * quart de cercle: 
instrument pour prendre les hauteurs. Dioptre: 
insirameni astronomigque. 

Diöpraıca, 3. f. dioptrique : traitö de la r&- 
fraction de la lumitre; seionce de la propriei6 
des verres ooncaves el CONTEeXes. 

Diöprrice, A, adj. diopirique » de la diop- 
trique. 

+ Dioriua, e. m. diorama : sorie de tabloau 
&elaır& comme aux diverses parties du Jour par 
une lumiöre mobile. 


431 








352 DIR 


Dıontsis, s. f. | t. de dd. anf.) diordsis. 

tr Dıosma, s. f. (t. de bot.) diosma : plante 
rutacee. 

* Dı6so, a. V. Idoso, Velko. 

DirmaLancancnia, 8. f. (6. de mil, anc.) com- 
ınandement de deux phalanges. 

Dıratnongo, etc. V. Ditongo, eio. 

+ Dırsyıro, a, adj. (ti. de bot.) diphylie: 
(calice, tige, plante) compos# de deux parties; 
qui n’a que deux feullles. 

DirLoa,s. f. 1(8. danas.) diplo6 : substance 

DirLos , s. m. ) epongieuse entre les deux ta- 
bles du cräne. 

TDmıöme, s. f. diplolde:: robe fourree des 
anciens Orientaux. 

Dırıöua, 0. m. dipiöme : charte, chartre; 
acte public, lettres patentes; titre d’agrega- 
tion & une sooiei#; acte de l’autorite qui per- 
met l’exercice d’une profession. 

Dırromacia, s. f. diplomacie: science des 
rapports, des inter&ts de puissance & puis- 
sance, entre los royaumes; prootdure paliti- 
que; le corps des diplomates. 

DirLouäirıca, s. f. diplomatique : art de con- 
naitee les diplömes autbentiques ; trait6 du 
droit des gens. V. Diplomacia. 

Drieromitıco, A, adj. diplomatique: de la 
diplomatie. Corpe —, corps diplomatique : les 
ambassadeurs. Ar —, air diplomatique, mysie- 
rieux. s. m. Diplomate : qui sait ow pratique la 
diplomstie. 

+ DırLoria,, s. f. (4. de mdd.) diplopie: ma- 
ladie des yeux dans laquelle on voit les objets 
doubles. 

+ Dirsico, s. m. (f. de bot.) cardere A fou- 
ion ; cuve de Venus. V. Cardo penteador. 

Dirtsno, s. m. (f.d’arch.) diptere : temple 
entour6 de deux rangs de colonnes, et qui en 
a huit ä chaque lace. 

 Diprenos, s. m. pl. (.d’hist. net.) diptöres: 
inseotes ä deux ailes nues. 

Diericos, s. m. pl.(t. d’ans.) diptyques: re- 
sistze des noms des magistrats, des moris. 

Dıque, s. m. °digue : chaussee, amas de 
'orre, de bois, elc., pour contenir les flots, 
(’eau; ( Ag.) obstacle contre les passions, les 
'navasions hostiles, etc. (f. de mar.) Bassin de 
vonstruction. —s de cavallinkos, (4. d’hydr.) 
figues en chevalets ou chevretites. —s de 
v@ize, (id.) digues par encaissemenis. —s de 
raslos, (id.) digues en gabions. —s pedrados, 
‘d.) digues & pers. Romper ou sollar 08 —s, 
i‘ Ag.) rompre les digues; laisser l& toutes con- 
„ıderalions,, perdre toute retenue. 

Diranp£ıra, s. f. boböche : cylindre creux, 
»artio du chandelier od se niet la chandelle. 

Dinıs, s. f. pl. sorte de po6sie qui contient 
Jes imprecations ; ex&crations, impre6cations. 

?} Dincko ow Diaceo, A, adj. (1. de poes., de 
Tnebes, ot etait la fontaine Diroe. O Cyane —, 
l’indare, po&te Iyrique de Thebes. 

Dintcciö, s. f. direction, condaite; emploi 
ı!e directeur ; administration , reglement. (1. de 
phys.) —, ligne droite du mouvement d’un 


DIR 


. == em C50 preciso ou de neckssidade, 
(8. de comm.) adresse au besoin ‚au besoin s’a- 
dresser A... 

Diascrasänte, adv. directement: en ligne 
directe , tout droit; elairement, sans detour. 

Diazcrivo, a, adj. direciif : qui dirige ou gai 
peut diriger. 

Diascro,A, adj. direct: droit, qui va lout 
droit. Clair, övident, sans detour, immediat. 

Director, 3. m. direcleur. On le dit dans 
toutes les acceptions du mot francais. 

+ Dinzcronia, s. f. l’aclion de diriger; les 
personnes qui dirigent. — geral dos estudas, 
junte ou * comit& de membres de l’Universild 
(en Portugal) charg6 de la direction des #ta- 
des, 

Diazcrör1o, s. m. direcloire :livre, &crit, eie., 
qui contient les rögles de conduite; espece de 
tribunal ; corps charge d’une direction publi- 
que; pouvoir executif de la France en 1195, 
compos# de cing direcieurs. 

Dinzcrriz , adj. f. directrice : qui dirige. Il 
est aussi substantif. ($. de gdom.) Ligne diret- 
trice le long de laquelle coule une autre. 

Dıatıra, s. f. main droite. La droilte: ia 
place d’honneur. Faveur, protection, appu. 
4’ — ,adroite. 4’ — eo desquerds, ä tortel i 
travers. 4’s—s, droitement, bien, comme ü 
faut. Ser homem de bem da —s, Oire un parlail 
honnete homme. , 

Diagırauenıe, ado. directement, en dro- 
ture. (Ag.) Droitement, judicieusement, prt- 
demment. Clairement, sans detour. 

Diazırtza, 3. f. droiture. (fig.) V. Reclidde 

DirEırissimo, A, adj. sup. de 

Direito, A ‚adj. droit: qui n’est pas courbe; 
juste, &quitable, sincere; qui est oppose Agat- 
che, qui est du cöt# de la main droite ; debout, 
sur ses pieds; direct, legitime. Caminko —, 
chemin droit; (Ag.) moyens directs poar röus 
sir dans une sffaire. /r —, aller droit. Ser — 
como um fuso , ötre droil comme un I. 

Diatıro, s. m. droit: juste raison; ce qul 
est Juste; jurisprudence; justice ; loi ow 60U- 
tume; autorits, pouvoir I&gitime; pretenlion 
fondee, libertö, facult6s; r&suktat des devoiss 
r6ciproques; ce qui appartient legitimement; 
prörogative ‚privildge;imp6t, imposition, taxe. 
Salaire, appointements. L’endroit d’une etole. 
— canönico, droit canon. — civil, drolt civil: 
rögles entre les citoyons. — das gentes, dreil 
des gens ow public : lois des nations eivilisdes 
entre elles. — de padroado ou patromato, droit 
de patronage. — hereditario, heredits. — 0 
sscrilo ou fradicionel,, ooutume qui a force de 
lol. — parochial,, droit, Jurldietion spirituelle 
d’an cur6 dans sa paroisse. — de cais, (1. d 
com.) quaiage. — d’eslacas,, (id.) droit d’atla- 
che. —s de sakida, (dd.) droits de sortir. — ds 
tonelladas,, (id.) droit de frei. 4 tor ee —, 
ade. A torı et ä travers. De —, ade. de droit, 
a bon droit. Como melkor caiba em —, (prei.) 
conformement au droit, selon le droit. Obrar 
conforme a —, segundo o —, (id.) agir suivanı 


DIS 


les rigies du droit, de P’&quits, de la justiee. 
Ester ou p6r-1e a — com alguem, (id.) compa- 
raltreen Justice, plaider personnellement. Dizer 
de, (id.) allöguer les raisons de la Justice. 
Dizer de facto e —, (1d.) produire les derniöres 
alligetions,, parlant d’un condamn6 & mort, 

Datıto, adv. droit, directement, par le 
plus ooart chemin ; tout droit. 

Diagıröaa, s. f. droiture; chemin droit, 
alignement. Em —, adv. en droiture, tout 
droit, droitement, directement, sans saarr£ter. 

*"Diıanıruatıro, A, adj. droiturier : qui aime 
Ytquits. V. Justo, Recto. 

DıasGipo,, A, p-. p. de 

Disscin, o. @. diriger ; conduire; montrer le 
ehenin, emp6cher de s’egarer; r6öferer, attri- 
buer, rapporter ä une fin; regler, gouverner; 
ioumer vers. Adresser, euvoyer; dedier. — 4 
onrersapdo ou prälica a alguem, adresser la 
parole A quelqu’un. —a pröa a..., dresser la 
proue vers. 

Diaıcıa-SE (6, para), v. r. aller, s’adresser, 
avoir recours, aller trouver. 

Diaıs£nte, 9. a. de Dirimir. adj. 2 gen. 
Dirmant : qui rend nul, qui empeche un ma- 


Dixımino, A,p. p. de 

Dirımin, ©. a. diviser, desunir, separer, d6- 
tacher, empöcher. Terminer, vider, decider 
(un diffteend, etc.). Delivrer, affranchir. — 0 
Balrimonio,rompre un mariage,ie declarer nul. 

Diaıvar, etc. V. Derivar, etc. . 

Dixo, a,adj. (6. de poes.) V. Cruel, Ferino. 

* Dıavın. V. Arruinar, Desiruir. 

Dıssarite. V. Disparate. 

tDisc&rraciö, s. f. controverse : dispute 
sur quelque point de doctrine, etc. 

DiscEnnänTe, adj. 2 gen. discernant: qui 
discerne. p. a. de Discernir. 

Disckanipo,A, 9. p. de Discernir. 

Discganim£&nto , s. m. discornement ; discre- 
(ion, sens, jugement. 

Discernir (de), v.a. discerner : distinguer 
une chose d’une autre,, en juger par comparai- 
sen; envoir,en faire la difförence; saisir les 
ressemblances et les diflörences entre les 6tres; 
diviser, separer. 

Disanxcır , etc. V. Descingir. 

Duarrina, s. f. discipline : instruction ; 6du- 
estion; institution; r&glement, ordre, lois; 
rtgle de vie.” Art, science. —, coups de disci- 
pline; fouet de oordeleties, de chaines. —, 
ohservation des lois. 

DiscarLıninpo, A, p. p. de Disciplinar. 

+DiscımLmaDoR, 5, m. instituteur; qui donne 
la diseipline. 

Disarı.mintes , s. m. pl. flagellants. On le 
dit de ceux qui se fouettent publiquement en 
faisant leurs stations & la suile des protes- 


sions. 

7 Ducarımin, adj. 2 gen. diseiplinaire : de 
ka diseipline. 

+ DiscırLmin, 0.0. discipliner: regler, in- 
struire, former ; tenir dans l'ordre, soumelire 


DIS 453 


.& la diselpline; dönner la discipline. (Ag.) Re- 


prendre severement. 

DiscipLinaR-SE, v. r. prendre une disci- 
pline,, se fouelter soi-m&me par mortiflcation. 

DiscıLiniveL, adj. 2 gen. disciplinable : 
ais6 A discipliner; capable d’&tre discipline ; 
docile. 

DıisciruLa , s. f. 6colitre, elöve; femme, 
fille qui apprend une science, un art, eic. 

DiscıruLAno , s. m. nombre, asaembi6e des 
&coliers qui etudient ensemble ; temps, condi- 
tion d’un &colier. 

fDiscirvr.ir, adj. 2 gen. qui appartient aux 
disciples , aux &l&ves. 

DıisciruLo, s. m. disciple : qui apprend d’un 
autre une science, un art liberal; qui suit la 
doetrine de...; colier, eleve. —s, pl. disciples: 
les personnes choisies par J.-C. pour precher 
Pe&vangile. Les quatre tions pairs des huit qui 
composent la gamme, l’octave comprise. 

Disco , s. m. (1. d’ant.) disgue : palet que les 
athidtes langaient au loin. ($. d’asir.) —, corps 
d’un astre, tel qu’il se prösente & nos yeux; 
(4. @op$.) grandeur d’un verre, d’un champ. 
Plat, assiette. 

Dısc62010 , s. m. discobole : athidte qui lan- 
gait le disque. 

+ Discörpz , adj. 2 gem. ( 6. de bot.) discold& z 
en disque. 

DiscoLo. V. Dysoolo. 

DiscommOnIpaDe , etc. V. Descom..., 680. 

DisconröruR, adj. 2 gen. qui n’est pas d’ao- 
eord. V. Desconforme. 

Disconventencıa , s. f. disoonvenance, diver- 
gence d’opinions. 

Disconxvın,, etc. V. Desconvir, eto. 

-Discorpino, A, P. p. de Discordar. 

Discornväncıa , s. f. discordance, contrariete, 
diversit6 , opposition. 

Disconpänts ‚adj. 2 gen. discordant : qui ne 
s’accorde pas; qui n’est pas d’accord. 

+ Discornantemente ‚ade. discordamment : 
d’une manidre discordante ; sans barmonieo. 

Discorvpär,, v. n. discorder : @tre discordant 
varier, diff6rer, ne pas s’accorder;; @ire con- 
traire ‚ diff&rent , oppose. 

Discörpze , adj. 2 gen. qui n’est point d’ac- 
cord : contraire, oppose , different. (f. de mus.) 
Discord, dissonant, qui n’est pas d’accord. 

DiscörDENENTE, ade. sans accord, en dis- 
corde, en mesintelligence. . 

Dıscönpta , s. f. discorde, zizanie, desunion, 
d&sordre, dissension, division. Ser ou 
o pfmo de —, &ire ou jeier la pomme de dis- 
corde : mettre la dissension. 

Disconntr, v. @. courir, parcourir. Exa- 
miner, reflechir, peser les raisons de part et 
d’autre, tirer les cons&quences d’un principe. 

Disconnta, dv. ». courir cA ot lä; courir de 
eöt# et d’autre; couler. (Ag.) Discourir, raison- 
ner, parler sur une maliöre avec quelque elen- 
due. Se mouvoir. 

Dıscnasıa. V. Dyscrasia. 

Discrgräno, A, P- p. de Discrepar. 





454 DIS 


Disaagrincıı, s. f. diffätenee, disconYe- 
nance, diversile, disproporlion. 

Discaspänte, adj. 2 gen. p. a. de Diserepar, 
qui difföre, qui n’est pas eonforme; de senti- 
ınent Contralre. Nemine —, ( dat.) unanlııe- 
ment. 

DiscrEpÄR, ©. ®. differer, n’ötre pas con- 
forme, ne pas s’aocorder, varier. 

DiscR£tan&nıe, ade. diserdiement, sage 
ment, prudemment, raisonnabloment, avec 
reienue. 

DiscahETEÄDO, A, P. P. 

DiscaBTEÄR, u. 9. Aaourir, faire lo beau 
discoureur, affecier de bien parler, faire de 
Pesprit. 

Discrerissıfo, A. adj. sup. de 
Discntto,A, ad). discret, avis6, prudent, 
sage , Judieieux ; Adele au secret. 8 pirlinel, dio- 
quent, subtil; bei esprit. (Ag) Fir, ing6nieux, 
parlant d’une saillle, etc. Quaniidade —e, (1. 
de math.) quanulıs discröte, a parties separdes. 
Padre — , madre — a, discrei, te : moine, 
religleuse, gal entre dans le conseil d’un su- 

srieur. 

+ Disca«törıo, s. mw. discretoire : Heu d’as- 
sormbide des discrels d’udle oomımunauld ; celie 
assembl6e. 

:Disoaıci0,s. f. discrötllon, prudence, cir- 
conspeclion, jugement, raison. Vivacits, fi- 
nesse, [&condits d’esprit ; trait d’esprit. Rallle- 
rie üne, saillie ingöniense. A’, & diserötion, 
a volenie. Eniregar-se, “ed, 56 
rendre ä& disceretion, & la merci du vaingaser. 
ddade de — , äge de raison. 

+ Discaıcıonänıo, A, adj. disor6lionnalre ı 
(pouvoir, peissunos ) d’agir & discretion. 

Discaimz ou Discaımen, s.ım. " difförente , 
diversits. 

Discrımınäpo, A, pP. p. de 

Discamumin, vo. a, diviser, s6parer, dislin- 
guer ; disoorner. 

DiscuLran, eto. V. Desouiper. 

Discunsino, A,p. p. de 

DISCURBÄR, v.a. ot 8. disoourir sur une ina- 

e. 

7 Discunsista , s. m. disooureur : grand par- 
leur, sophiste. 

Discunsivo, A, ady. discoursif : qui tire une 
proposition d’une autre par le raisounement. 
Pensif : qui röve profondöment. s. m. V. Dis- 
cursisia. 

Discönso, s. m. diseoers, ralsonnement. 
Usage de la raison. * Reflexion, conjeoture, 
ralsoninement. —, PTOPos, raisonnement sur 
quelques matieres. —, harangue,‘ oraison, 

ö6e ‚ composition sur qguelgue sujet; entre- 
tien. Espace, durde Je temps. * Marche, route, 
chemin , course d’an endroit A un aulre. 

Diacussä6, 8. f. discussion , examen, reeher- 
ehe exacte; eontesiatlon, disputs. —de iamor, 
(t. de ohir. )rösolation d’une iumeur. 

Discussivo , (6. de chir.) V. Resobutivo. 

Dıiscutinpo, a, p. p. de 

Discurin, v. a. disculef : examiner avec soin, 


DIS 


exdminer I6 pour ot ik sonire Td’urie Affaire, 
ew.\. (8. de med.) —, Alssiper, tesoudre. 

Discurin-se, v. r. impers. se disouler : &lre 
discute. Tal dis deve — ial prejecio , c'est lel 
jour que tel projet dolt se discuter. 

r Piscorivaı, adj. 2 gen. qui peut se discu- 
ter; qui meörite discussion. 

DISENTERIA. V. Dysenteria. 

+ DıszruLörıco, A, adf. (t. de chir.) difeile 
ä olcatriser ( plaie). 

Diseatacgikö. V. Dissertarde. 

+Dıstaro, a, adj. disert : qui parle dis‘ 
ment, ölögamment. 

DisraRGÄDAMEnTE, adv. avoc döguisement, 
au propre et au figure. 

Dissancino, A, as. deguise , travesti. (flg.) 
Dissimul6. p. p. de 

Disrancan, v. a. deguiser, travestir; mas 
quer. (fg.) Dissimuler, cacher, voiler, eonvrir; 
donner une autre conleur aux choses. —e Jun 
deira,(t.de mar.) masquer son pavillon. 

Disrangan-sE, v.r. se degulser ; se lraves- 
ir, s6 masquer; cacher son caracidre, ses 
vues ; feindre ; se cacher;; se montrer aulre que 
Pon est. 

Disyince, s. m. döguiserment : &tat d’ene 
personne deguisse. (Ag.) * Dässimulation ; ari- 
flee pour cacher la verite. — s, pl. masques 2 
Poccasion de rejouissances. 

Disravon. V. Desfaoör. 

Dısroauin. V. Deformar. 

Disröruz, ad. 2 gen. difforme : qui n’a pas 
ia figure ou les proportions eonrenables ; laıd, 
hideux. Fort grand , demesure, enorme, gigan- 

ue. 

+ Disroaueuente, ado. d’une maniere dil- 
forme;; avec deformite. 

DieronmpÄne, s. [. V. Deformidäde. Enor- 
mit, grandeur excessive, demesurte. 

Disronuissıuo , A edf. sup. de Disformt. 

® Dissnacar, eic. v. Disfargar, etc. 

Disrautar, etc. V. Desfru8er, eio. 

Dısoostan, eio. V. Desgoster. 

Disonzcackö , s. f. disgrögation : action qui 
separe ot $loigne les choses l’une de Paulre. 
(8. d’opt.) —, dispersion des rayons. 

Dıiscaxcin0,A,Pp.p. de 

Disorecir, v. a. disgreget, söparer, d&sunir, 
ölotgner. (#. d’opt.) —, disperser les rayons. 
Il est aussi r&eiproque. 

DisarscATivo, A, 9dj. qui a la vertu de sc 
parer, de desagreger. 

Dıisıstä6, V. Digesido. 

Dissuncckö, s. f. disjonolion « saparation. 
Particule disjonctive. Figure de rb&werique qui 
donne & obaquo membre du disegurs um SEn3 
complet par Iui-möme. 

Dissuncta ,s. f. (8. de us. anc.) * change- 
ment de ton : passage d’un mode & un aulfe. 

+ Dissunorıvantntg, adv. wöperömen!, d 
part, en particulier. 

Disıcncrivo, a, adj. disjonctif:: qui divise 
ou separe (f. de gram.) —, qui exprime lal- 








DIS 


ternative em la tiigative ( vonjonclion, parti- 
eulo— ve). Hovimento--, V. Disjuncta. 
Dissuacto, A, edj. disjoint , separe. 
Dussungto, 8.9 (t. de log.) vöritö necessaire 
de Y’une de deux propositigns contradictoires. 
Diaswneino, A,p. p. de 
Dissuneia, o. a. deteler (tes baaufeN. 
Dosuäre, 8. m. * sottise , exiravagance. V. 


Disparate. 

Dsswocagiö, eto. V. Deslocapdo. . 

’ Dısazuunnänga. V. Desiembranga. 

Duspan , auf. 2 gew. dissemblable : inegal. 

Dısraninpe,A,p. P. de Disparar. 

Deswumanor, s. m. oelui qui decharge une 
armo & fon, qui decoehe une fläche, ete. Arröt : 
petit moreeau de for qui, dans les armes & 
feu, emptche qu’elles ne parient d’elles-menes. 
Dans l’arhalete,, c’est la noix, la dötente. 

Diısranir, 6, @. Vrer : decharger une arme ä 
fous tirer de l’ärc. Döcocher une Nldehe, lancer 
un jayelot.— safürias, (R$.) vothir des Ihjures, 
u.n.9. us. Semettss en mouvement, parler & 
tert ei & travors. 

Dısranid-es, 0. vr. parlir d’elle-ındnie, par- 
lanı d’une arme & [eu, d’une arbaldla; se de- 
bender, se lächer, parlant d’un ressoft, eto. 

Dıspanaräpamknte, ade. absurdement, im- 

t, hors de raison. 

Dıspanaripo, A, adf. stourdi, Scerveld : qui 
parle et agit sans tellexion, hors de propos, 
sans rime ni raison. p. p. de 

Dissanıatär,, 9. W. extravaguer : dire ou 
faire des sotlises ; radoler. 

DespanäTr, 5. m." sotlise,, oxtravagance, dis- 
parate ; etourderio , imprudence, incartade , 
billevosse. Dizer —ı, radoler, exitavaguer. 

+ Dispanatönıo, 5. m. *"conversation, dis- 
cours plein de sotlises ol d’oxiravagances, 

DisparıDpanDg, 8. f. disparits, inegalite, dif- 
Itrence. 

Despunpen. V. Dospender. 

Disrtnnıo, 6. m. depense excessive, profu- 
sion ; debourses. ( Ag.) Desavantage ,prejudice, 
dätriment. 

Dıspennıösamänre, adv. & grands frais. 

DisPenpiös0, A, adj. dispendieux ; qui ne se 
fait qu’aveo beadcoup de depense, Iräs-coü- 
“ax, twes-cher. 

Drsrüinsa , s. f. dispense : esemption de la 
regle. ° Brei, eic., qui accorde la dispense. 

Drsrensaciö, s. f. Alspense : etemplion de 
la rögle ordinaire. Dispensation , distribution. 

Dreramsino, A, pP. p. de Dispensar. 

DispansaBör, A, s. velul qui dispense. Dis- 
pensateur : celui qui distribue. 

Dievansin (de), ©. a. dispenser, exempler 
de. —, departir, distribuer, donner; meltre en 
oräre. V. Despender. — honras , Geferer des 
honneurs. —com alguem na lei, na regra, elc., 
©. n.dispenser, exempter quelgu’un de la loi, 
de la rögle, etc. 

Disrensarivo, A, adj. qui dispense vu peut 
dispenser : qui distribue. 

+DurznsAtörıo,, 3. m. dispensaire : traite 


DIS 455 


de la preparation des romddes. — pharmaceu- 
tico, pbarmacopte : lieu oü Pon prepare les 
remedes. 

Dispensäver, adj. 2 gen. sujet ä dispense, 
qui peut &tre dispense. 

Dispenseıro, 5. m. V. Des eiro.(fig.) V. 
Dispensador. PR u. 

Dispersia. V. Dyspepria. 

+Dispunuärıco, A, adj. (t. de bof.) disper- 
matique : qui n’a que deux semences (plante). 

+ Dısp&amo, a, adj. (1. de bot.) disperme a 
(frult) qui renferme deux semences. 

Dıspersiö, s. f. dispersion : action de dis- 
perser, par laquelle on est disperse; ses efleis. 

Dispzasino, A, 9. p. de Dispersär. 

Drereasir, v. a. disperser : repandre,, jeter 
eä et lä;; mettre en desordre; dissiper (un trou- 
peau, eto.). Il est aussi r&ciproque. 

Disp£nso, a, adj. dispers6 : separe, r&pandu 
de cöt& et d’autre. 

Dispuickncia , s. f. * deplalsir, degoüt; cha- 
Krin, ennui, souci. 

DispLicknte,, adf. 2 gen. deplaisanı, dössa- 
greable, ennuyeux ; maussade. 

Disenta. V. Dyspneu. 

tf Diısronnto,, s. m. dispondee, double spon- 
dee, sorte de vers grec et latin. 

Dispon&nte,. adj. 2 gen. disposant, qui dis- 
pose. p. a. de Disper. 

+ Disronssinipane, s. f. disponibilit&: qua- 
lite, 6tat, effet de ce qui est disponiblc. 

DisponiveL, adj. 2 gen. disponible : dont on 
peut disposer. 

Dispör, vo. a. disposer, ordonner, appreter, 
preparer, arranger, meitre en ordre. Resoudre, 
deliberer, regler. — arrures, elc V, Plantar, 
Transplantar. — as suas cousas, muclire ordre 
A ses affaires; faire son leslameut ,elc.(anl.) 


Dıseör (de), v. n. disposer de: cn faire ce 
que !’on veut; vendre, aliener, donner. 
Dıispörn-sE (a, para), v. Tr. se disposer, se 
pr&parer A, se meitre en clat de. 
Disposic1ö, s. f. disposition : aclion par la- 
quelle on disposo,, ses effels; arrangement; si- 
tuation. (£. de rhel.) Arrangement des parties 
d’un discours; action par laquelle on dispose 
de queique chose; des £@ires, son ellet; etit 
actuel; dtat de la sanl&; volont6; dessein; re- 
solution ; preparation &... Pouvoir, aulorile; 
facults , droit de disposer de... Aptitude; incli- 
nation, penchant &, pour... Etat, qualite re- 
quise dans une chose pour produire un eflet, 
recevoir une forme; preparation, achemine- 
ment d...; distribution convenable d’un edi- 
fice. —s, pl. dispositions , arrangemenls; pre- 
paratifs. 4’—, & la disposilion, dans la depen- 
dance, avec pouvoir de disposer. 4° — do 
venceder, etc., ä la merci du vainqueur, eic, 
— tertamenidria, disposition par teslament. 
Eıtar ou achar-se em — ,etre en 6lat, ölre 
pr&t. Por — divina, selon la volont& de Dieu- 
Dispositivautnte, adv. avec ordre el arran- 
gement ; d’une maniere disposilive. 


456 DIS 


Disposirivo, A, adj. dispositi, preparaloire: 

ui dispose, qui pr&pare & queique chose. 

I Disrösro , N ‚ n p’de Dispör. adj. Dispos6; 
arrang6; ordonne, prepare, pröt. Bem ou ma} 
--, bien ou mal dispose,, en bonne ou Mmau- 
vaise sanle. 

Disrüra, s. f. disceplation. Dispule, que- 
relle, rixe; altercation, contention, debat, 
contestalion. Pör em —, dispuler, conlesier 
sur; meltre en litige. —s vans, disputaillerie. 

Dısrurioo,, A, p. p. de Dispular. 

DisputaDör, 5. m. disputeur : celui qui dis 
putc , qui aime & dispuler, & contredire. 

DisPUTANTE,, adj. 2 gen. disputant : qui dis- 
pute. p. a. de 

Dispctan,v.a. disputer, argumenter, debat- 
tre, agiter une question ; conlesier pour em- 
porter ou conserver quelque chose; combalire 
pour ; tächer de ravir, d'enlever. 

Dısputän (sobre, dcerca de), v. w. disputer, 
oontssier sur. Quereller. — sobre um cabello, 
sobre um nada, vetiller, pointiller : faire des 
diffcultes sur des vetilles. — sobre valor, dis- 
puter de courage. 

DisrurävsL, adj. 2 gen. disputable : sur quoi 
Fon peut disputer ; qui peut &ire dispule. 

TDisquniciö, s. f. disquisition : examen; 
recherche exacie d’une verile. 

Dissasön, s.m. "insipidile. (4g.)Degoüt, des- 
agrement; ennui. 

Dissasoreipo, A, p9.p. de 

Dissasorein, v. a. rendre insipide. (Ag. et 
Plus us.) Chagriner, meconienter. 

Dissasonzän-sE, vo. r. devenir mecontent, 
se döplaire. — com alguem, avoir du chagrin & 
cause de quelqu’un. 

Dissasonipo, A, adj. fade, insipide. (Ag.) 
Sans gräce. 

Dissasonöso, A, ady. insipide, f[ade; qui 
n’a pas de goüt. 

Disszcino, A, pP. p. de Dissecar. 

Dissecanon. V. Dissector. 

Disszcix,o.a.(. d’anat.) dissequer : [aire 
l"snatomie d’an corps organise, d’une fleur, 
elc. 

Diss£cciö, s. f. dissection : aclion de disse- 
quer ; söparation meihodique des parties d’un 
eorps , ses effets ; etat d’un corps disseque. 

DissecTörR,, s. m. dissequeur, dissecteur : ce- 
ui qui disseque. 

* Dıssecno. V. Desenko. 

Disseuinacäö, s. f. dissöminalion : semis 
maturel par la chute des grains. fg.) L’aclion 
et V’effet de semer, de repandre cä et la. 

Dissemınäno,A, pP. p.de 

DissEMiNÄR, ©. a. disseminer : semer, r&- 
pandro cä et la. (Ag.) Repandre. 

" Dıssenno, V. Desenho. 

Dissznsiö, s. f. dissension : discorde, yue- 
relle par opposilion, diversils de sentiments, 
d’intereis ; contrarieis, opposition, diversits 
“(d’opinions, eic.). 

Dissant£nıa. V. Dysentieria. 

Dissantino,A,p.p. do Dissenter, 


DIS 


DISSERTIMENTO, 3. m. dissentiment, Oppesi- 
tion ; seniment, opinion contralire; 
bation. 

Dıssentis (de), ®. w. 6tre d’avis contaire; 
disconvenir. 

Dıssentagiö, s. f. disserlalion : examen al- 
tentif, de vive voix ow par £Ecrit, d'une quer 
tion , ete.; döveloppement d'une question. 

Dissertäpo, A, p. p. de Disserlar. 

Dissentanor, 5. m. dissertateur : qui dir 
serie longuement, souvent. Disserteur. 

Dissentär (sobre, dcerca), vo. n. disserler 
sur, faire une dissertalion ; discourir. 

Dıissıoancıa, s. f. dissidence : s6paralion; 
scission , diffsrence grave d’opinion. 

Dıssin£nte , adj. 2 gen. dissident: sectaire 
qui rejette la religion dominante ; non confer- 
miste ; qui fait scission. 

* Dıssivio , s. m. V. Di . 

Dıissiıminin , adj. 3 gen. (8. de seience \ dissi- 
milsire : qui n’est pas de me&me nature, gest 
ou espece. 

* DıssinıLe. V. Disssmelhanis. 
DissimiLuanga,, etc. V. Dessemelhangs, ei. 
DissimiLımo, a, adj. sup. de Dissimile. 
DissimiLitüpe, s. f. dissemblance , dissimili- 

tude, difference , diversite. 

DıissımuLackö, s. f. dissimulation, döguise- 
ment, feinte. —, art de cacher sa peonste, st3 
projets, ete. Tolörance affecise ou qui cacıt 
quelque dessein. 

DissınuLäADAMEnTE , adv. avec dissimulstien. 

DissıuuLäno, A,p.p. de Di . ah. 
Dissimul&, fin , couvert, arliicieux,, sourpes, 
farde, cauteleux. Gonio — ‚esprit, ca 
dissimule. Com er —, ou d dissi 
faisant semblant de rien. 

DissıuuLinör, s. m. dissimulateur : celuige 
dissimule. 

DissısuLäa, v. @. dissimuler, feindre, degu- 
ser; cacher (sa pensee, ses projeis); feindre 
de ne pas voir ou ressenlir ; deguiser, denne 
aux choses une auire apparence. Cacher, 00% 
vrir. Tolerer, permettre,, excuser. (Ag.) Dort. 

DissisuLär, v. ». ne pas faire semblant d’et- 
tendre; feindre de ne pas oonnaltre. V. le verbe 
actil. — com os mdos, tolerer les möchants, Ne 
pas punir leurs fautes. Il est aussi r&ciproque. 

DissimuL.ivEL, adj. 2 gen. qui peut se dissi- 
muler. 

DıssısöLo „s. m. V. Dissimulagdo. 

* DıssıncoLär. V. Dissimular. 

Dıssıracaö, s. f. dissipalion : action de # 
dissiper, parlant des espriis, de dissiper 
bien ; ses effets; &tat d’une personne dissipe®. 
(ig.) Action de dissiper l’esprit , de se diver, 
de se delasser de l’&tude; dvaporation ; der 
traction ; Consommation ; oonsomption , d&pe!- 
dition. 

+ Dissıridauenteg, adv. avec dissipauon, 
d’une maniere dissipee. BE 

Dissräno, A, 2. p. de Dissipar. adj. Dissipe' 
trös-repandu dans le monde, livre auz plaisi# 
(hosime) ; $ranoui, zesolu, delait, detrull. 


,@ 





DIS 


DisueaB6R ‚5. m. dissipateur : qui dissipe 
son bien; prodigue, döpensier. 

Dissipin, ©. @. dissiper : consamer (son 
bien ); detruire (les forces) ; ecarter (les nua- 
ges); delaire, disperser ; faire cesser, apaiser; 
deisarner }’esprit de... 

Disirin-sg, v. r. se dissiper, s’&vanonir, dis- 
paraltre. 

t Dısswävezr, adj.2 gen. qui peut se dissiper, 
sise h se dissiper. 

TDissociugkö, s. f. peu us. dissoriation : 
fapture d’une association. 

Dissoaino, A, 2. p. de Dissociar. 

+ DusssaiL, adj. 2 gen. dissociable : l’opposs 
de soeiable. 

t DissoauLmente, adv. d’une maniere dis- 
sociabie, 


t Dissocıär , v. a. s6parbr ce qui &tait asso- 
at; desunir. Il est aussi reciproque. 

ver. V. Insociavel. 

DissoLeciö, 8. f. dissolution : separation des 
parties d'un corps en göndral, qui se dissout; 
faplare (d’une soci6t6, d’une r&union, etc.); 
acion d’an dissolvant; (Ag.) debauche, dere- 
glement des maurs, incontinence. 

DissoL.6ramente, adv. dissolument : d’une 
maniere dissolae,, licencieuse. 

Dissourmivo, a, adj. dissolutif, dissolvant; 
qui ala vertu de dissoudre. 

DissoLöro, A, adj. dissolu, dissous : debau-. 
ehe, libertin, impudique; lascif; qui porte au 
deregiement; qui y est livre. p. p. irr. de Dis- 


DissoLöveL, adj. 2 gen. dissoluble : qui peut 
se dissondre,, ötre dissous. 

DissoLräurg, edj. 2 gen. dissolvant : qui 
dissout, Dissolatif : qui a la vertu de dissoudre 
(remöde). 

DissoLväa, e. @. dissoudre : penätrer et di- 
viser un corps solide; liquefier, fondre; dis- 
perser une röunion; devomposer en disper- 
sani les parlies (propr. et fig.); declarer nul, 
Tompre (un mariage, eic.). (fg.) Defaire (une 
diicults). — s alma do corpo, (poet.) mourir. 

DissoLvT&a-6g , v. r. se dissoudre : se disper- 
ser, se dit d’une sociele; dtre dissous. Se dis- 
Siper. Se debaucher, devenir dissolu.p. us. 

DissoLvipo, A, pP. p. de Dissolver. adj. Dis- 
sus, resous, r&solu, delaye , Sondu; liguefie; 
disperse , parlant d’une societe. (Ag.) Annule, 
Tompa \mariage, eic.). 

Dissonipo, A, p. p. de Dissonar. 

Dıssonincıa, s. f. dissonance: [aux accord; 
scoord desagreable quand il n’est point amend; 
ion dissenant. " Son desagreable ä l’oreille. (Ag.) 
Drsconvenance, disproportion, contrarieis. Fa- 
är —, repugner, n’ötre pas dans l’ordre. 

Dussoninte, adj. 2 ger. dissonant, discor- 
dant. (Ag.) Contraire, oppos# : qui ne 8’ac- 
“orde pas, qui repugne, qui n'est pas dans 
[ordre,, qui ne sied pas bien. 

Dissomin, o.». discorder : @tre discordant, 
dissensut. (Ag.)Ne point convenir; r&pugner, 
tire opposs ‚n’ötre pas dans l’ordre. 





DIS 


Dissono, a, adj. V. Dissonante. 

T Dıssonöno, a, adj. qui n’est pas sonore; 
desagreabie & l’oreille. 

DissuADino, a, p. p. de Dissuadir. 

DissuaninöR,A, 3. qui dissuade. 

Dissuanin (de), v. a. dissuader de, detour- 
ner queiqu’un (d’un dessein , d’aneresolution); 
conseiller le contraire. 

Dıssuasiö, s. f. dissuasion : aclion de dis- 
suader; avis, discours qui dissuade , son eliet- 

Dissuasivo, A, adj. propre & dissuader. 

Dissuasor, s.m.p. us. V. Dissuadidor. 

t Dissuasönıo, a,adj. quia la force de dis- 
suader. 

DissY’LLABO, A, adj. ei s. m. dissyllabe : de 
deux syllabes (mot). 

Distincıa, s. f. distance : intervalle d’un 
point & un autre; &loignement, espace entre 
les objets; se dit des lieux et du temps; (fg.) 
difference (de faculies, de merite, etc.). De — 
em —, de loin en loin. Ha grande — de Paris a 
Pegquim,il y a loin de Paris a Pekin. 

Distancıäno, A, p. 9. de 

DISTANCIAR-SB, dv. r. 8’tloigner, se s&parer. 

Distinte, p. a. de Distdr. adj. 2 gen. Di» 
tant, &loigne, &cart&, lointain. 

t Distantentnte, adv. loin, de loin, au 
loin. 

DISTARTISSIMO,, A, adj. sup. de Distante. 

Dıistan (de), v. m. 6trd distant ou 6loigne. 
(fg.) Difförer, &tre different. 

Distensiö, s. f. distension : &iat des nerfs 
irop tendus. 

f Disricino, A, adj. (4. de bot.) distique: 
plac6 alternativement sur deux tiges et latera- 
lement. . 

Distıco ow DisticHo, s. m. dislique : phrase 
en. deux vers latins ou grecs. 

DistiLLacäö, 3. f. distillation : action de dis- 
tiülter; chose distill&e; ecoulement, decoule- 
ment. i4. V. Estilliceidio, maladie. Semination. 

DisrıLLino, A, p. p. de Distillar. 

DistiLLapoR, 3. m. distillateur : celui qui 
distille (des liqueurs, etc.), qui en fait profes- 
sion. 

DistiLuar, v. a. distiller:: tirer le suc, V’es- 
prit par P’alambic. (fig.) Verser goulte & goutte. 

DisriLLar, 0. ». distiller, degoutter, decou- 
ler. Suer, pleurer, parlant des plantes ; (omber 
goutte & goutte. Il est aussi reciproque. 

DisTILLATÖRIO, A, adj. disullatoire: qui sert 
a distiller, qui a rapport aux distillations. 

Disrincgäö, s.f. dislinction : division; s&= 
garation; difference; prefärenee, prerogalive, 
singularits avantageuse; explicalion, interpre- 
tation. Faxer —, distinguer, discerner, appre- 
cier les cboses ce qu’elles valent. Homem ou 
pessoa de —, homme ou personne de distino- 
tion, distingu6 par sa naissance, par ses di- 
gnites. 

Disrincrautnre, adv. distinctement, elaire- 
ment; neitement; d’une maniere distinotez 


d’une maniöre distinguöe. 


457 


458 DIS 


Distiucrissima, A, adj. sup. de Distincto, 

Disrincrivo, A, adj. distinclif : qui dis- 
tingue. 

+ Disrınerivo, s. m. orneinens, decoralion, 
marque distinclire. Altribut : proprieis dis- 
tinclive, consüitulive d’une chose. 

Distincro, A, adj. dislinot : different, se- 
par6 d’un autre; clair, nel; exempt de confu- 
sion. (lg.) Distingue. (amt.) V. Kxiincto. 

* Distincto. V. Inslincto. 

Distıncia,, etc. V. Destingir, etc. 

Distincvioo, A, p. p. de Distinguir. adj. 
Distingue, considere, notable. 

Distıncuidon , 8. m. celui qui distingue. 

Dıstıncvia (de), v. a. distinguer : diseerner 
par les sens, par l’op£ration de P’esprit (les ob- 
jeis, eie.); meiire de la difference, de la dis- 
tinclhon,, de la prefärence entre (le Lemps, les 
qualitds, eto.); diviser; saisir les dißörences, 
faire une distinction entre une chose et une 
autre qui ressemble & la premidre ; s£parer; 
caractöriser avec distinction, marquer la diffs- 
rence. — ‚ distinguer quelqu’un, le 
traiter avoo distinction; lui oonfsrer une di- 
gnitö. Ndo — 0 brance da pr4lo, ne pas disün- 
guer sa main droite de sa main gauche, #tro 
trös-Ignerant. Distingo,, (1. de log.) Distinguo, 
je distingue. 

Distiusum-sR, 0. r. so distinguer, so signa- 
ler, briller ; 6tre distingue. 

DistinculveL, adj. 2 gen. qui peut &re dis- 
tingu6. Peroeptible ; susceptible de distinotion. 

Disriırufn. V. Destituir, etc. 

Distonsiö, s. f. diatorsien : contorsion d’ane 
partie du cerps; döplecement d’un membre. 

Distuacgiö, s. f. distraction, inattention, 
inapplication aux ohoses qui doivent ooouper; 
moyen de se distzaire de la douleur, des re- 
greis, de l'’ennus ; acle du distrait. 

Distaactive, a, adj. qui denne de la distrao- 
tion; r6ordatif. 

t Distnamivamture, adv. avco distraction, 
d’ane maniere distraise. 

Distaauino, A, p. p. de Distrahir. adj. Dis- 
trait: qui a peu d’attention & co quil dit ow 
fait; Inapplique,. 

Distaanimento, 8. m. V. Distraccds. *Li- 
bert6 : liconce excessive dans les maurs, dans 
la condulte. 

Dısrnunin (de), o. a. distraire, divertir, dissi- 
per, diriger Pesprit vers d’autres objels; de- 
fourner de quelque application. Detourner de 
la vera ; pervertir. —, endertmir, äuıuser pour 
tromper, 

Dustnari90,4,9.9. de 

TÄR, ©. a. casser, abolit, annuler; 
rompre un a000rd, un traite. 

Dıstaire ou Disrairo, #. m. *rescision r 
oassatlen un &cte; action rescisolre. 

Disranmumgiö, s. f. distribution: action de 
distribuer, ses elleis; (6. d’arts) ordonnance, 
dispositien, artangement des ebjeis, des oou- 
leurs, et0.; (1. de rhst.) Hgure qui consiste & 
enunmerer par ordro les qualitds d’an aular. 


DIT 


Disrniaufpo, A, p. p. de Distribeir. 

Distrıgufoon, o. m. distributeur : qui distsi- 
bue. Dispensateur. 

Distainufe, oe. e. distribuer : döperur; parlı- 
ger eulre plusieurs; diviser, ranger, dienoser; 
mettre en ordre, & la place; dispenser; ri- 
pandre. 

Disteısufe-se, v. r. se distribuer : &ire dus- 


&. 

Distaisotivamenre, adv. dietributivemsnl: 
dans le sens distributlf; s4paröment, seul & 
seul. 

Distaısorivo, a, adj. distributif : qui distri- 
bue; qui inflige des peines, accorde des rc- 
compenses (Justice). . 

Disraıcro, s. m. district : tamduede jeridic- 
tion ; territoire, contree, etendue de p8Jt. 

Distaınzan. V. Desirinper. 

Dısturzia. V. Perturber. 

+ Dıstöasıo, s. m. troabie , dissensien, diri- 
sion, mesintelligemoe,, discorde. 

Disöaia. V. . 

Disv&ıo, eio. V. Desyela, etc. 

Dita, s. f. *bonheur, (slieild, drönsmen! 
heureux, dat beursuz, fortune. Bod —, (MM) 
debiteur bien cautionne. 

Dırano. . 

Dıraa. } V Dicta..., efc. 

+ Dırissa, s. f. (8. de bei.) ditasse ı planle 
de la pentandrio digynie, volsins du mau- 
plexis, de Rio-Janeäre. 

+ Dırazisuo, s. m. dithöisme : aysiime & 
deux principes, Pum bon, . autre maurait, 0% 
deux dieux; manichsisme, 

Dirayräusıco, a, adj. dithyrambigee: Mi 
dithyrambe. 

Diruraäuno, 3. me. (6. de pods.) dıthyrembe: 
sorte de po&sie Iyrigque en l’honneur de Bat- 
chus sur le ınode phrygien ; ode ou siances | 


Dıtinno, s. m. dim. de Dito. V. Dieleri. 

Diro, a, p. p. de Diser. adj. dit, surnomml. 
— u feito, (loc. fam.) sur-Ie-champ, saıs dell, 
aussitöt dit aussitöt fait, aussitdt pris aussi 
pendu. O dito —, ce qui ost dit est Alt. Odile.- 
(8. de ndgoce ) dito ow ditto : susdit, Idem. 

Diro, s. m. dit: bon mot; apophthegmei 
maxime; sentence ; ohose prononoee, eonclet, 
decidee. (1. de prai.) Dire : deposition un !t- 
mein. Rapport, relation, r6eit. Röle darkat 
dans un drame. — salyrico, dieton , enustkitt, 
raillerie,, trait d’ssprit. — agudo, sub! ou arr 
sedo, bon mot, facetie, repartie fine. — Pt 
sante, ınot piquant, saillie. — graetoso, mol 
pour rire. — chulo ‚obscono, polisson- 
nerie, bouffonnerie, farce, obsoenite. Por — 
de iodes, d’ane voix uhaniche, au dire de tocl 
io monde. Provar o seu — , prouver son dift. 

Drrönco, s. m. !diphihongue : reunion de 
deux voyolles en un son. 

DıT6no, s. m. (4. de us.) diton : Intervalle 
de deux tons. 
; Drtösahänts, ado, heufeusemieht, par boü- 

eur. 


DIV 


Drromsaımo, A, al), sup. de 

Drröse, A, adj. heureux » qui jouit du bon- 
heur; qui contribue ä la felicitö; fortune. Mwi 
—, bien heureux , fort heureux. 

+ Drraacmy’canos, 8. m. pi. (1. d’hisi. nal.) 
Pilrschyc&ros : genre de vers des intestins. 

+ DrramsäctrLos, s. m. pl. (t.d’hist. nat.) 
dieisidastyles ı fasaille d’oissaux schassiers A 
Irgis doigts en avant, point de doigt derriäre. 

t DırascLv’rBo, s.m. (1. d’areh.) ditriglyphe: 
espaca entre deux Lrigiyphos. 

tDrraocate, s. m. (4. de pods.) ditroch6e : 
pied de vers greo ou latin de deux Lrocheeg. 

+ Dıöca „se. u. (d. d’hist. nat.) diuca : fringille 
du Chili, 

Dıönzsg, 8. f. (. de mdd.) diaröse : evacua- 
lion extraordinaire de }’urine. 

Divaftıco, A, adj. (4. de med.) diurötique ! 
sperilil, qui fait uriner. 

DivaniL , adj. 2 gen. quotidien, de tous les 
jeurs. s. u. Diurnal : livre d’eglise pour chaque 
jour. 

+Dıuaxänıo, s. mw. diurvaire: officier qui 
ecrirait jour par jour les actions du prince. 

Diiano, A, adj. diurne : d’un jour, de vingt- 
guatze heures ; qui a rappert au jour. 

Diurussıpibs, s. f. longueur de temps ; lon- 
gue durde, 

Diurtönsne, A, adj. long ; qui dure longtemps. 

Diva,s. f. (l. de poes.) döesse. 

+ Drrauagid, s. f. divagaliop : aclien de 8’6- 
carier de son but, de son sujät, eic. 

Divacino, A, p. P. de Divager. 

+ Divacänız, adj. 2 gen. divagant: qui di- 
vegue.p. a. de oo. 

Divacin, o.n.errarcä et iA. (Ag.) Divaguer ı 
s’tearter de son objet, de son but, de la ques- 
tion agit6e. v. a. Parcourir. 

Dıvin, s. m. divan :» Conseil du grand sei- 
gneer; tribunal de Justice turc. 

’Drvk2o. V. Parente. 

Dırsacäuca, s. f. divergence: &tat de lignes 
qui s’seartont, de rayons, de liges qui diver- 
gent. (Ag.) — d’opinions, olo. 

Dıvssatııtz , adj.2 gen. (6. de gdom. el. d’opt.) 
divergent : (ligne, rayons) qui s’6carlontl’un de 
Yautre. (6. de bot.) —e, pi. (liges , pedoncules, 
ee.) qui s’ecartent d’un peint d’inseruon com- 
men. Se dit au fg. des aris, des opinions, des 
syslömes. 

Divancız, v.®. (4. de geom. ea d’opi.) diver- 
ger ı S’6earter, s’tparpiller. So dit au fig. des 
aris, des opinions coniraires, des esprils di- 
vers. 

Diynasameute, adv. diversement, dilferem- 
ment ‚en diverses mmanieres. 

Divansiö, s. f. diversion ; diverlisserhent. 

*Diversin. V. Divisar. 

Diversınang, s. f. discordance, dissimili- 
inde. Diversite, variete, difference. Quantile, 
abondance de choses de differentes esp&oel. 

Divaasırıcano,, A, P. P. de Divertifear. . 

t Divassırıcknte, adj. 2 gen. ditersillant s 
qui diversille. p. 6. de 


DIV 459 


Divsasırıkar , v. a. diversifer : varier, chan- 
ger de plusieurs manieres. 

} DivsssırıciveL, adj. 2 gen. diversifiable: 
qui pcul se varier, se diversifier. 

DiıvensissiMo, a, adj. sup. de Diverso. 

+ Dıvzasıvo, A, adj. diversil: qui marque 
la diversion , ’opere.(#. de med.) V. Revulsivo. 

Dıvaaso, A, adj. divers, different, dissem- 
blable ; de nature, de qualites differentes. —s, 
as, pl. divers, plusiours. B’couse mw —a, 
c’est tout autre chose. 

Dıivarsörıo, s. a. *hötellerio, auberge. Re- 
fuge, r&ceptacle. 

DIVERTiDAMENTE, ado. galment; d’un air 
joyeux, joyeusement. Avec disiraction. 

DivEatioo, A, 9.p. de Diverlir. adj. Gai, 
divertissant, de bonne humeur, aimable, en- 
joue. Divertissant, r&ereatif, ravissant, plai- 
sant. Distrait, inattentif. 

DIVERTINENTO, 3. m. diverlissoment, amu- 
sement, distraotion ; inattenlion. 

Divertir, v. a. detourner, distraire,, &carter, 
#loigner. —, desennuyer, rejouir, &gayor, re- 
creer. (4. de mdd.) Dötourner, parlanı du ceurs 
des humsurs. — 0 inimigo ou suas forgas, 
(#. mil.) faire diversion, attaquer l’ennemi do 
differents endroits pour diviser ses forces. Na- 
de o diveris , il ne se plalt & rien. 

DivERnTin-68, 9.r. se diverlir, S’amuser, sc 
rsjöuir, jouer, se röcr6er, folätrer ; se donuer 
des divertissements. — d custa alheia ou d.cusin 
dalguem, sc rejauir aux depens de quelyw’un. 
Diverts-sa em me enganar, il se [all un plaisir 
de me tromper. 

Divicıas. V. Riquezaa. 

Divıoa, 5. f. delte : somme due, ce qu'on 
deit. * Poch6, fauie, ollense. — commum, delle 
commune, la mort. Conirahir —s, sioberer, 


‚s’endetter. —s vargomkhesas, (l. de cumm.) delies 


criardes. —s duvidosas, incertas, (1d.) delivs 
mauvaises , douleuses , vöreuses. Perduni- 
nos as NOssas —s, pardonnea-uous Ros ol» 
fonses. 

‚ Divivasenre. V. Devidamenle. 

Divip&ndo , s. m. dividende : nombre, quan- 
sis & diviser; produit d’une reparlilion; inle- 
reits d’une action (4. de comm.). 

Divimino, A, 9. p. de Dividir. 

Dıvınıpon. V. Divisor. 

Dıyıoian (em, por), ©. a. diviser, parläger, 
stparer par parties. (fg.) —, desunir, mettro 
en discorde, V. Reparlir. . 

Divipır-sg (om), v. r. se diviser, @ire divise. 
(£g.) Se partager, ne pas s’accorder, parlanl 
de voix , eio. 

* Dıvıno. V. Parentesco. 

Divinagäö, s. f. divination: art prötendu de 
predire l’avenir. 

Dıvınapoa. V. Adivinhador. 

Divinan. V. Divino. 

DıvinaL.usnte. V. Divinamenie. 

Divinam&nte, ade. divinement: par la verlu, 
la puissance divine; (fg.) excellemment, pas- 
faitement; au-dessus du nalurel. 


860 DIV 


Dıvinarörto, A, adj. divinatofre : de la di- 
vination; qui sert ä deviner. 

* Divinpive, s. f. divinit6 : essence, nature 
divine ; Dieu; faux dieu. ( ig.) Tres-belle 
femme; objet d’une idolätrie. 

Divinıssıuo,A, adj. sup. de Divino. 

Divınızido, A, p. p. de Divinizar. 

+ Divinızinte, adj. 2 gen. divinisant: qui 
divinise. p. a. de 

Dıvınızäa, v.a. diviniser : reconnaltre pour 
dieu, pour divin; vendre divin; (Ag.) exalter 
outre mesure. Il est aussi r&ciproque. 

Dıvino, A, adj. divin:: de Dieu, qui Iui ap- 
partient; qui parait etre au-dessus des forces, 
des effets ordinaires de la nature; (fig.) excel- 
lent, parfait dans son genre. O — e o humano, 
les choses divines et les choses humaines. 4o 
— , ayant les yeux en Dieu ; religieusement. 

Dıvisa, s. f. (ani.)"divis : heritage ou portion 
d’heritage qu’on tient de ses pöre et mere. (1. de 
blas.) Devise : marque sur T’&cu ; lögende , em- 
blöme, sentence. 

* Dıviısagom. V. Devisa, Estrema. 

Divisando, A, p. p. de Divisar. 

f Divisautnte, adv. divisoment, separd- 
ment. 

Dıvısiö, s. f. division, separation, partage 
d’un tout en parties; (flg.) dösunion, discorde, 
mesintelligence. —, rögle d’arithmetique. * Ti- 
ret, division, trait d’union. —, partie d’une 
armee. —, action de diviser. 

Divisir , v. a. V. Devisar. 

* Dıvsstino, s. m. heritier d’ane bekeirie. 
V, ce mot. 

Divisısı.ınkoxz, s. f. divisibilit6 : qualits do 
ce qui peut 6tre divise. 

DivisionäL, adj. 2 gen. qui concerne la divi- 
sion. 

Divisivet, adj. 2 gen. divisible : qui peut 
eire divise. 

Dıiviso, A, . p. irr. de. Dividir. adj. Divise, 
söpare, desuni, qui n’est pas d’aocord. 

Divisör , s. m. (f. d’arsth.) diviseur : nombre 
par lequel on en divise un autre. 

Dıivisönıo, A, adj. (8. de prat.) On le dit des 
jugerments sur les partages. Qui divise, qui s6- 
pare. 

+ Divisönıo, s. m. (1. d’impr.) visorium : 
planchette sur laquelle, au moyen d’un ou de 
deux mordants, le compositeur flze sa copie. 

Divo, A,.adj. (1. de poes.) divin : surnom des 
empereurs romains qui avaient eu los honneurs 
de P’apotheose. —s, s. pi. les dieux. 

Dıivoacıä00, A, p.p. de 

Divorcıan, v. a. divorcer: prononcer une 
sentence de divorce. ( fg.) Separer, desunir. 

Divonceär-sK, v. r. divorcer : faire divorce, 

Divöncıo, s. m. divorce : rupture de mariage. 
*Separation de corps et de bieng entre gens 
maries. (fig.) —, separation , renoncement vo- 
lontaire ; d6&sunion. * Rupture entre amis. 

Divurcaciö ,s. f. divulgation : action de di- 
vulguer ; ses effets. 

DiYuLcADISSMO , A ‚adj. sup. do Divulgddo, 


DIZ 


DıivoLcipo, A,9. 9. de Divulgar. 

DivuLcapon, A, s. divulgateur : qui divulgue, 
publie, proclame. j 

DivuLcär, v. a. divalguer : decouvrir A d’ar- 
tres , rendre public un secret ; r&pandre. 

DivuLcia-sE , v0. 7. s6 divulguer, gevenir ps 
blic. 

* DixENMEDIXENMB , (loc. beerl.) V. Enrediakos, 
Chocalhices 


Dıxes, s. m. pl. reliquaires, amuleltes, 
jouets,, otc. , qu’on pend au cou des enfants. 

Dizepön, A, s. diseur : qui dit de bens mols. 

Diztn, v. &. dire : exprimer; enoncer, expli- 
quer, faire entendre par la parole; parler; re- 
citer; raconter. (ant.) Blämer, critiquer. De- 
celarer, d6poser en Juslice. — dem ou mal d’el- 
guem, faire de bons ow de mauvais reeits de 
quelqu’un. — que ndo , dire non, nier, refuser. 
— que sim , dire oui, afirmer, accorder.—com 
os seus botöes, (fam.) se dire A soi-meme. 
Quer — , ’est-ä-Qire. Isto ndod —, ce n'est 
pas pour cela. Que querem — estas palavres? 
& quoi bon, & quel propos, viennent oes mots? 
Mdito ha que — ‚ilya bien & dire. Näo — sim 
nem ndo, ne dire ni oui ni non, repondre en 
Normand. Näo ha mais que —, c’est tout dire. 
Näo ter — ,n’avoir plus rien & dire, är® 
pondre, & repliquer. Ndo saber — que udo , ne 
savoir pas reluser. Para meikor —, pour 
mieux dire. Diz-que, (pop.) on dit que. 0’ 
bocca que lal disseste. (fam.) On ie dit pour 
exprimer la cormotion soudaine qu’a produite 
une chose dite par quelgu’un. Digdo o que dis- 
serem, quoi qu’on en dise. Comerow dizendo 
que... , il commenga par dire que... Nde de 
menos d’isso ‚je ne dis pas le contraire. 

Dızea (com), o. w. cadrer, convenir, avoir 
du rapport, s’accorder; ötre s&ant, proper- 
tionne. V. Condizer. — d’alguem , parler con- 
tre quelqu’un, le blämer. —bem a alguem ums 
cousa, €tire utile, avantagease telle chose ä 
quelqu’un. —a dita bem ou mala ‚eure 
favorable ou adverse &ä quelqu’un, parlanı de 
la fortune. — a alguma mulher com alguem, 
inculper une femme de concubinage. — mel 4 
sus vida, ( fam.) se plaindre amdrement.de son 
sort. Dizem, on dit; l’histeire dit. 

Dizea-SE,, ©. r. se dire, se nommer; se doa- 
ner comme..., 36 pretendre. Diz-se , on dit. 

+Dizer, s. m. dire : ce que quelqu’un dit. 
O meu—, mon opinion, mon avis. Dixdres, 
pl. murmures, medisance,, mauvais propos. 

Dizıwon. V. Dizedor. 

Dizsma, s. f. dime : dixiöme parlie, sorte 
d’imp6t portugais sur le poisson , etc. Numeros 
de —, (4. d’arith.) V. Decimaes. 

+ Dizımnaciö, s. f. decimation : action de de- 
cimer. 

Dızısipo,A,p.p. de Dizimar. 

Dızımanor , e. m. decimateur : qui peut lever 
la dime. V. Dizimeiro. 

Dizısiı. V. Decimael. 

Dizımin, v. a. payer la dime. Dimer‘ lever 








DOB 
Is dime. —, ddeimer, prendre le dixiöme. V. 


Deeimar. 

+ Dızızania , 8. f. * lieu of Fon depose la 
diae; dimerie, etendue de territoire sur la- 
elle on dime. . 

Dınutıno, a. m. dimeur : fermier qui re- 
eneille , qui Jeve la dime. 

Dizmo,a,adj. V. Deeimo. 

Diamo,s. m. " dime : la dixidme partie des 
tuts dela terre prölevse par !’Eglise, etc. 

DiziveL, adj. 2 gen. qu’on peut dire, ais6 & 
dire, 


Do ,arl. m. contraction de de, prep., et o, 
art.m. da, de la, de, et quelquefois en. Ex.: 
Yiane do Deiskinado,, Vienne en Dauphine. 

Do, s. m. *piti6, compassion. Deuil, habit 
de deail. (8. de mus.) Ut: premiere note de 
föchelle musicale. 

Döa, vieue, 08 

Doiciö, 8 f. | 

Doss0, A, p. p. de Dodr. r 
‚Doapör, a, s. donateur:: qui fait une dona- 
uon. 

Doimo.V. Rosto, Semblante. 

Doar, 9. a. donner : faire donalion. 

Dosuntıaı , s. f. devideuse : fomme qui de- 
vide, 

Dosipo,a,92.9.de Dobar. 

Dosinöuna , s. f. " deridoisr : Instrument 
pour derider les echeveaux de fil. 

Dosir, v. a. devider, bobiner : mettre du fil 
en echeveau ou en peloton. 

t Dosusre, s. m. (4. de bijout.) doublet: 
enstaux doubles, aveo une feuille de metal 
enwe deux, imitant les pierreries. 

Dosaa ‚s. f. " plid’un habit, etc. * Doublon : 
mönnaie d’or du Portugal valant autrefeis 
12,800 reis, aujourd’bui 15,000 reis (94 fr. envi- 
ton‘. Meis— , demi-doublon, monnaie portu- 
kaise d’or la plus connue (6,400 autrefois, 7,500 
reis aajourd’hui ). ° Double : ancienne monnaie 
dEspagne. — castelhana, double castillan : 
monnaie d’or de Castille qui valait 12 reaux. 
= de banda. V. — castelhana. 

Dossina, s. f. gras double: panse des ani- 
maux ruminants. 

Dosripamente , adv. doublement, au dou- 
bie; de deux maniöres. (Ag.) Avec duplicite. 

Doprapkıra, 5. f. ° plioir : instrument de re- 
beur pour plier, couper le papier. 

Dosaapica , s. f. * pliant, gond. 

Doprınico, A, adj. pliable, pliant; souple; 
\fg. Nesible. 

Dosnädo, A, p. p. de Dobrar. adj. Plie, 
tourbe, double; double. Gros, fort, trepu, 
Yigogreux. (Ag.) Double, dissimule, traltre. 
Double : qui vaut, p&se ou contient deux fois. 
Tem —s negocios que eu, il a le double d’affai- 
FFS que moi. 

"tDosrino, s. m.—de cera, bougie en rou- 
leau, rat de cave. 

Dosauno, adv. V. Dodradamanie. 

Dosaanina, s. f. ° pliage; plissure ; double- 
ment, actiou de doubler. 


donation : don fait par 
un acte public. 


“ 





DOG 461 


* DonkaL, 5.0. "bourse, portefeuille de cuir, 
Dosaautnto, s. m. V. Dobradura. 
Dosniö, s.m. doublon : monnaie d’or du 


Portugal, valait autrefois 24,000 reis, aujour- 
d’hui 30,000 r&is. —, pistole d’Espagne, il yen 
a de plusisars valeurs. 


Dosräir, vo. a. doubler, redoubler ı mettre le 
double, rendre une [ols plus grand ; plier, met- 
tre en plusieurs doubles. Courber, plier, re- 


courber. (fig.) Induire, determiner. Fischir, 
sttendrir. Dompter, vaincre. Fortifier, renfor- 
cer. Sonner pour les morts A toute volde. — a 
overviz, (fig.) se soumettre, s’humilier. — a 
folha, (id.) briser lä-dessus : remettre une af- 


faire & un autre temps; cesser de parler sur 


'quelque chose. — o cabo, (tl. de mar.) tourner, 


doubler le cap. — a esquina, s’esquiver au 
coin d’une rue.-— spardda, doubler le jeu, 
doubler l’enjeu , martingaler ; encherir, couvrie 
P’enchäre. — o joelho, plier, Decbir le genou, 
sagenouiller; (Ag.) s’humilier. — as senii- 


nellas , doubler les sentinelles. — as marchas, 


doubier la marche, aller & pas redoubles, & 
marches forc6es. — o passo, häter, presser le 
pas, marcher plus vite. — a oöz, fredonner, 
faire des fredons en chantant. — a ganancia, 
gagner le double. 

Dosrir,v. ». ployer, se courber, plier. fg.) 
Ceder, consentir ; cbanger d’avis. Lrolise,, s’aug- 
menter. Tourner sur..., se redoubler. (Ag.)S’6- 
carter de la justioe, de la raison. 

Dosnsäir-SE, v. r.sacourber, se ployeag ;(Ag.) 
se plier, se soumeltre aux sentiments d’arui. 
Changer d’avis, se laisser suborner, parlant 
d’un juge. 

Döpre, s. m. le double. Glas : son fundbre 
de cloches apres la mort de quelqu’un. Fredon 
des oiseaux. 

Dösaz, adj. 2 gen. double: qui vaut, qui 
pese, qui contient deux fois autant; plus fort, 
de plus grande vertu. (Ag.) —, dissimule,trai- 
tre ; ambigu , &quivoque. Zspia —, espion qui 
sert les deux partis. Traio —, amitiö double 
et fausse. Luiz —, louis double, monnsie d’or 
de 40 fr. 

*Dosatı. V. Saceo , Alforge. 

* Donatz, adf. Treio —. V. Döbre. 

Donatz, s. f.° pli, repli. p. us. (Ag.etpl.us.) 
Duplicit#, mauvaise fol, fausseld. Com —, ar- 
tiicieusement, frauduleusement. Sem —, na- 
turellement. 

Doprtza. V. Dobrex. 

D6sx0, 5. m. le double : une fois autant. 

Dociıma , 8. f. espece de flüte douce. 

Docaımma ou DogaınHo. V. Doraina. 

+ Dogamirca, s.f. (i. de bot.) douce-amdre: 
vigne sauvage, vigne de Jud&e, morelle grim- 
pante, vigne vierge. 

*Docan, adj. 2 gem. V. Affeclddo. 

Döce , adj. 2 gen. doux: d’une saveur agrea- 
ble au goüt, qui n’est ni aigre, niacide; agre&a- 
bie, qui n’a rien de rude, de piquant; sucre. 
(Ag.) —, humain, traitable, affable, lians, 


463 DOOR 


eompialsast. —, Serible, wralldable, partant 
des metaux. Aise,, fecile ä feine eto. ‘ 

Döce, s. m. ’confiture, sucrerie, benbons. 
*Douceur : quali de ce qui est dom. — de 
celda, conßitures liquides. 

Döce , adv. V. Docemense. 

Doctı, s. ms. dals : esp&oe de poble en forme 
de ciel de lit. 

DOcCENANTE , ade. douoement : avas doucsur; 
amiablement, 

Docszinno, A, adj. dim, de Docs. Un peu 
deux, un pem sucr6 ; douceätre. 

*+DocasLo pour Dovcss-ı0, au lien de 
Dow-te-lo , je vous le denne. loc. amt. 

Docacivo. V. Gelsso. 

Döcıı , odj. 3 gen. doolle : propre A se laisser 
instruire ou gouvermer; pliant, souplie,, obeie- 


sant, doux, soumis. Manlabie, pariant d'un | 


rnetal 

DocıLiväsz, s. f. docikte: qualits de l’&tre 
doeile, soumis, propre & @ire insteuil, gou- 
vorne ; douseur, souplesse. 

DociLısseuo, A, adj. sup. de Docil. 

DocıLi12zi0oo, A, 9.9. de 

Docırızir , v. a. rendre docile. 

DöcnLusnte , adv. dooilement: aveo docilil# ; 
facilement. 

Docımasiı ou Docımästicä, 8. f. docimasie ow 
docimastique: art d’essayer en petit les mines. 

Docıssino, a, adj. sup. de Docs. 

Docro, Docraıma , etc. V. Dout..., elc. 

Documeto,, s. m. document, instruetion, 
enseignement, pr&cepte. — , titre, preuve par 
serit. *Pides d’un proeds. —s justificativos, 
($. de prat.) soutönement, pieces justillcatives, 
pieces & Fappui. 

DocgörA , s. f. douceur : qualitö de co qui est 
doux, sucre. Se dit au fig. du style. Suarvit6, 
parlant de musique.(fg.) —, ütlices , suavite, 
plaisir. 

Bopzasteno, s.m. (fl. de gbom.) dodecaddre: 
eorps regulier dont la surface est fornıde de 
douze penlagoneos Ögauz. 

Dosschuono ,s. m. (t.de gdom.) dedseagene: 
figure A douze cöles et douze angles; place ü 
douze bastions. 

Dopscasv'nıa, 8. f. (f. de bot.) doddeagynie: 
ordre des dodecagynes. 

+ Dovecact'nıo, A, adj. (1. de bot.) dodens- 
gyne : yui 4 douze pisiis, styles ou stigmales 
sessiles. 

Dopscinoria, s. f. (8. de bot.) dodeeandrie : 
douziöme ulasse des vögbtemux qui oRL de deuzc 
& dix-neuf dtamines. . 

+ DopmcarstaLo, A, adj. (4. da dat.) dode- 
capttale : & douze petales (corolle). 

DODECATENÖRIO, 8. m. (tb. d’aasir.) * dodecate- 
morie : douziöme partie d’un cercle du zodia- 

we. 
1 + Don6 pas Mavricuas, 6.0. (f. d’hist. nal.) 
dronte : cygne capuchonnd; oiseau qui lient 
de l’autruche. 

+ Donönivas, 3. f. pl. (1. de myth.) dodeni- 
Ges : les nymphes Attantides qui nourrirens 


DOG 


Baccohus. —, vieilles qui rendaient les oracle 
& Dodone. . 

+ Dopönıo,A, adj. de Dodone : rilled’Epire. 

T Dopnantän,adj. 2 gen. Castello, Cidade—, 
(1. de font.) chäteau, ville dodramtal : dent la 
defense est & Ireis quaris de la porise de fusil. 

f Dopränte, s. m. les trois qgearis d’une 
maccession. Poids de neufonces, cıı supposanı 
la Hvre de douse. 

Dotaga,a. f. maladie, infrmüse : indisposi- 
Yon ; langueur, abattement. -— Angide, ma- 
ladie de commande. 

’Dosnau,s. f. —da terra.V. Iasalubridade. 

*Dosncio,a, adj. V. Dosntio, Anaisonailo. 

Doknte, adj. 2 gen. malade, inärme, soul- 
frant. (Ag.) Qui seuflre , qui öpronve, qui a(un 
defaut physique ou moral). 

DOENTINBO, A, adj. dim. de Dosnse. Un pea 
malade. 

Dcentio, a, adf. maladif: sujet A @ire ma- 
lade (personne —ive). Malsain: contreire ä la 
sante (aliment, temps, salson,, etc.). 

DoENTISSIMO, A , adj. sup. de Doente. 

Do£n, v. #. senür, «prouver de la doulerr, 
avoir mal &. Röpugner, avoir dela peime & faire 
quelque chose. Avoir de fa peine, @lre Sächt, 
etre sensible 4. —a alguem a cabera, avoir mal 
ä la Leite. Die-me um dente, Yai une dentgui 
me fait mal. Ndo— a alquem 0 gasto, 0 dimkeiro, 
ne pas plaindrela depense, Pargent.—0o cabello, 
(fam.) avoie des so@peons contre quelge’un. 

DOER-sg (de), v.r. 6tre [äch6, W8 ressentir, 
tire au desespoir de. Rire sensible, compatir 
aux maux d’autrui, aveir pitid, sompassion, 
deplorer, plaindre. 9e plaimdre, parlant de 
celui qui souffre. — da konra d’alguem, avoir 
du regret de voir }’honneer de quekqu’un 
bless6. — da sua dor, se plaindre, 

"Dossta,s. f. V. Dodsto. 

DosstÄpo, A, P. p. de Doestar. 

*DOESTADOIRO,A ‚ei. injurieux. M&prisable. 

Dorstanon, A, ady. et s. qui mjurie; infa- 
mant. 

Dosstär, v. a. injurier, dire des soflises, in- 
sulter ; reproocher, blämer. 

Do&sto, s. m. *"injure, &ffrent, Insulte, 
bläme. 

*Döss. V. Dons, pl. de Dom. 

BocAov0, 8. m. dogat: dignit® de doge, Sa 
duree. 

*D’ocano, de cette annde«i. V. Ogano. 

Door, s. m. doge: chef de a r&publigque de 
Venise, de Genes. 

Döcwa, s. m. dogme : point de doetrine; en- 
seignement regu et servant de r&gle en matitre 
de religion, de philosophie ; constitution d'une 
religion. 

Doowiricamtnıe,, adv. dogmatiquement : 
d’une maniedre dogmatique. 

Docwirto, a ‚adj. dogmatique : quiregarde 
le dogme de la religion ‚etc. ; sentencieux .bon, 
style, etc.) ; qui etablit des dogmes (theologie , 
philosophie, medecine). 

Dosmiticos s. m. pl. dogmaligues : phil” 


DOM 


sopbes) gai €tahlissont des degmes dans la 
philosophie, l’oppose& de scepliques ou d’am- 
pirigaes. 

Docwarisuo, s. m. dogmatisme : philoso- 
phie dogmatique, l’oppos6 de scepticisme, etc. 

Docuarısta , 8. m. dogmaliste : qui degma- 
tise, stablit des dogmes. On le dis ordinaire- 
ment des hatsrodones. 

DocuatızÄnpo, A,p.p. de Dogmetisar. - 

Dosuarızanda, 3. m. dogmatiseur: qui prend 
un ion dogmatique, qui dogmalise. 

Dosyarıziuts. V. Dogmalisis. p. a. de 

Docmirızin, ©. a. dogmaliser : enseigiier 
une doeirine (ausse ou dangereuse,, en matidre 
de religion. 9. ». — , parler par sentences ; r6- 
genter, dasider d’un ten tranehant. 

"Döco. V. Cäo de fila. 

Döcaz, 5. m. dogre: vaisseau bollandais pour 
la pöche du bareng. 

Döcug, #. m. espöce de petit Chien. V. C4o 
freldeiro. 

Doctzzinmo, s. m. dim. de Dogue. 

Dowsutnte. V. Dowdamente. 

Doivo,A,p. ?. de Dotr. 

Dimo , a. V. Doudo. 

DöiL0o. V. Dor, Trabalho, Desgosto. 

Dormapfeua. V. Douradinha. 

*De:ro. V. Costume, Uso. 

+ Dotastıra, s. f. (l. d’hist. nat.) dolabelle: 
mollusque esphale de I’Inde. 

+ Detasrırörues, adj. pl. Folhas —, (1. de 
bot.) dolabriformes : (fenilles) en doloire. 

+ DöLico, s. m. dolie: pois amer. 

+DöLLar, s. m. dollar: monnale d’or, 5H- 
rres 8 sous. On donne ce nom, dans les Ktats- 
Unis, aux piastres espagnoles, etc. 

Dö10, s. m. * fraude, tromperie. (#. de praf.) 
Dol, deception, tromperie, fraude. —s da 
guerra , ruse de guerre. 

Doroamo, V. Dorido, Doloroso. 

DoLorirıco,, A, adj. (inus.) douloureux : qui 
auuse de la douleur. 

DoLorösamenTe, adr. douloureusement, do- 
kemment,, avec douleur. 

DoLorosıssımo ‚A, adj. sup. de 

Dororöso, A, adj. douloureux, sensible, 
desolant, cruel, affligeant, deplorable. —, qui 
eause de ladouleur. 

DoLösamänte, adv. frauduleusement, avec 
fraude, (1. de praf.) Avec dol. 

Douosissıno „A, adj. sup. de 

DoLöso, a, adj. fourbe, trompeur, arüfl- 
deux, frauduleux , oblique. (inws.) V. Roligo. 

Don, s.m. den, present, gratißication ; fa- 
veur; liberalit6,, largesse: facultö, talent; ap- 
tude & quelgue chose; facilit6 de parler, de 
pleurer. —, titre d’honneur en Espagne, de 
noblesse en Portugal. V. M. tem — de fallar 
bem, il vous est donne de parler bien. — de 
Profecia. esprit de prophätie. — de conselho ou 

scerlo „esprit de conduite. 

"Domaunıo, V. Semanario. 

"Dowia. V,. Semana. 

Dowino,A,p. p. de Domar. 


PR) 


Douanör, A, 0. dompteuz : qui dempie: 

fr Domanöna, s. f. Yaction de dompter. 

Douir, 9. a. dompter, assujettir, apprivel- 
ses, priver un animal. —, subjuguer, valncre. 
(ig.) — ‚ reprimer (les passions, etc.). 

Domävsı, adj. 2 gen. domptabie : qui peut 
ötre domptö, adouci , assujeWi. 

Dosszsticino, A, P. p. de Domssikcar. adj. 
Apprivoise, domestique. 

Domssticanor. V. . 

DONMBSTIcAMENTE , adv. domestiquement, fa 
miliörement. ' 

DoOMESTICÄR , v. a. apprivoiser, rendre doux, 
traitable , familier, domestigue. (#g.) Giriliser. 
ll est aussi reciproqgue. 

DoussticäveL , adj. 2 gen. qu’an peat appri- 
voiser ; domptable. 

Dowssricipäpe , s. f. domesticitö : dat op- 
pose A l’ötat de nature, parlant des anfmaut; 
famtliarite ; &tat de domestiqu®. 

Don&stico , a, adj. domestique : Intestin , de 
la maison, qui appartient & la maison ; de l’in- 
törieur, de ta famille, de chez sei; appri- 
vois6 (animal). Guerra —a, guerre civile. 
—s,s. pl. domestiques : serviteurs,, servanles. 

* Douestiquez , adj. 2 gen. V. Domestico. 

Doussriqußza, s. f. douceur : apprivoise- 
ment d’un animal; intimite,, famiftarite. 

+ Douicıa, adj. f. Lei — ‚(1.d’ant.) domilie : 
loi romaine conförent au peuple l’&lection des 
prötres, mieax loi Domitia. 

DomscıLıino, A, adj. domicilig : qui est 6ta- 
bif,, ixd dans un domicile. p. p. de 

Domicızıär, ©. a. faire prendre domicile & 
queiqu’un. 

DosmcıLiäs-se, do. r. se domfecilier : s’habl- 
tuer, se fixer dans un domicile. 

Domicıuıinto, s. m. domiclli& : habitant 
d’une ville , etc. adf. Domiciliaire: da domicile. 

DomiciLıo, s. m. domicile, habiüilion,, mal- 
son ; demeure ordinaire; logis; habltation ; 
residence. 

° Döuına. V. Dona, Senhora. 

Dominacäiö, s. f. domination ; puissance, 
empire, autorit& supreme ; ascendant. Domi- 
nacdes , pl. dominations : un des ordres de la 
biörarchie des angen. . 

Dowınino, A, 9. p. de Dominer. 

Dowimanön, A,cej. et 5. dominaleur : al 
domine, qui a ja souverainets; mallse, 26- 
gueur. * 

Bouininsz, adj. 2 gen. dominant: qui do- 
mine, qui est au-dessus; de qui un awire re- 
löve; qui est en vogue. On ie dis en asizelogie 
de l’astre qui demihe, qui est ie plus fort dans 
un horoscope. s. 2 gen. Dominateur, mwaltre, 
seigneur. s. f. (L de mus.) Dominanie: mole 
quifait la quinte au-dessus de la fondementale 
ou tonique. 

Dosinär, v. a. dominer, commander ; avoir 
autoril&, pouvoir absolu sur; @tre plus haut, 
au-dessus de; tenir en sujetion ;, maltriser, 
subjuguer. Acidedella dominaacidade, la cila- 
delle commande la ville, 





‚ 


164 DON 


Domnar (em, sobre), v. n. dammer sur; 
paralire , se faire sentir par-dessus tout, se dit 
des couleurs, des saveurs, des odeurs ; (fg.) 
des senliments , des idees ; agir plus pulssam- 
ment. 

Dousmän-sE (de), v. r. (inus.) V. Apossar- 
se, Assenhorear-80. 

+Dowmarivo, 4, ad). qui domine, qui exerce 
domination. 

Douinca, s. f. "dimanche de !’Avent, du 
Careıme, etc. 

Dowinco, s. m. dimanche : premier jour de 
la semaine, consacr6ö a Dieu. — da Santissima 
Trindade , dimanche de la Trinitse. — de Ld- 
zaro „ dimanche de la Passion. — do Kspirilo 
Santo, dimanche de la Pentecöte. —de Pas- 
choa,, jour de Päques. — de Ramos, dimanche 
des Rameaux. 

+ Domincos ( $do), s. m. (1. de geog.) Saint- 
Domingue : Ile de l’Amerique; ville de ceite 
lle. 

Doxıncufıro, A, adj. ( fam.) qui appartient 
au diımanche, ou qu’on ne porte que le diman- 
che. Vestido, fdlo —, habit des dimanches. 

DouinıcäiL, adj. 2 gen. dominical : du Sei- 
gneur, du dimanche, jour du Seigneur; qui 
ımargue lo dimanche (lettre). Oragdo —, orai- 
son dominicale, le Pater. 

Dosmunıcäino, A, adj. et s. dominicain, de 
l’ordre de Saint-Dominique. 

Dominıco, A, adj. qui apparlient au Sei- 
gneur. 

Douınico , adj. et s. m. dominicain , de l’or- 
dre de Saint-Dominique (religieux , chant, 
ete.). 

Douinıo, s. m. ° dominalion, empire, puis- 
sance, autoritd ; joug, commandement. Do- 
ıwaine : biens-fonds, terre, heritage; patri- 
ınoine royal. — absoluto, dowmination, autorite 
absolue. —directo , domaine direct : celui dont 
jouit le seigneur d’une terre sur les fonds qui 
en rel&vent. — witl, domaine utile : possession 
reelle, propriöte effective d’un heritage. 

Douınıöso. V. Imperioso, Allivo. 

+Douınd, s. m. domino : habit de bal pour 
se masquer ; sorte de jeu avec des des plals. 

D6mo, s. m. "&glise cathedrale. 

* Domoca. V. Semans, 

Dona, 3. f. maltresse, dame. V. Senkora. 
Leligieuse , chanoinesse. * Titre honorifique 
ıles femmes en Portugal. Duegne : dans les 
«randes maisons, veuve d’un certain äge char- 
„8 de la conduite des jeunos servanies; et 
«uelquefois aussi de celle d’une Jeune per- 
‚anne. — de honor, dame d’honneur chez la 
reine, etc. 

TDonicu,s. f. (t. d’hist. nat.) donacie: c0- 
!3optöre des roseaux. 

Donapio. V. Donalivo. 

Donätae, 8. m. " genlillesse, gräce, agre- 
ment dans ce qu’on dit ou dans ce qu’on fait. 
“um mot, reparlie fine, mot plaisant, saillie 
agreable. ds. Anrien panier (de fernme). 


DOR 


Donamein, 9. m. plaisanter, badiner avee 
esprit. 9. us. 

+ Donamösautnte , ado. agreablement, 
plaisamment, avoc gräce. 

Dowamöso, A, adj. facklieux, plaisant, 
agrgable,, aimable, qui a de la gräce. 

Donänıo. V. Donamre. 

DonaTäRıo, A, s. donalaire : A quion a fait 
une donation. Donateur. 

Donastismo, s. m. donstisme : hördsie de 
Donat. 

Donaristas, s. m. pl. donatistes : sectaleurs 
de Donat, heretiques du quatrieme sıöcle. 

Donarivo, s. m. donatif : offre, den gratait 
fait au roi pour les besoins de l’ötat, ete. (1. 
d’ant.) —, don que !’on faisait aux troupes ro- 
maines, 

Donito, s. m. servant d’un couvent, dont il 
porte le costume, mais qui n’est pas prols. 

D’onde, V. Onde (de). 

Donpo, A. V. Gasto, Safado. 

Döninna,s. f.(t. d’kist. nat.) beieite : petit 
quadrupede sauvage et carnassier, long, TouX, 
& museau pointu, tr&s-agile, tres-vif: il vit d’oi- 
seauxetdevolaille. — fedorenia, * pulois: qu* 
drupe&de puant. 

Döno,s. m. malire, seigneur, proprietaite; 
possesseur. Il se dit aussi des femmes. 

DonösamEntek, adv. poliment, agr&ablement, 
plaisamment,, avec gräce. . 

Donöso, a, adj. agreable, poli, galant, &- 
joud, charmant, gracieux, gentil, Joli. 

Donsinno , s. m. dim. de Dom. 

DonzE£L, s. m. nom qu’on donnait aux page 
du roi. Damoiseau : gentilhomme qui n’a p3 
encore öt4 regu chevalier. Jeune noble. Puceau, 
vierge : gargon qui n’a jamais cannu de femme. 
adj. Doux, docile; pur, naturel, parlant du 
vin. 

Donz£ıra, s. f. vierge, pucelle : fille gui 4 
vecu dans une conlinence parfaite ; jeune Alle. 
Suivante : femme de chambre. — d’koner. \. 
Acafala. Fille nubile. Demoiselle : Alle honnel®- 
(ig.) Petit meuble pour ınettre une lampe, U 
quinquet. Table de nuit. 

+ Donzeııtra, s. f. (fam.) donzelle : file, 
femme d’etat mediocre et de maurs suspecih 

DoNzELLIcE, 8. f. * etat de virginits ; tout le 
temps qu’une Sille la conserre. 

DONZELLIiNHA, 8. f. dim. de Donzella. 

+ Donzeiöna, s. [. aug. de Donzella. (far) 
Fille d’un certain Age. 

*Doo. V. De. 

*Doon, etc. V. Dör. 

°Doos. V. Deos. 

+ Doro, s. m. (1. d’Asie) sejour, demeurt. 

Dör, s. f. douleur, souffrance : mal, peiß® 
de corps ou d’esprit. Regret, repentif: — for u 
de barriga, tranchees : dechirement d’en- 
trailles. — agüda , (fig.) dechirement de c@uf. 
Estar alormentado de —, eire en proie & sa dot 
leur. Com pena e —, amörement, douloureu” 
sement. Dores de parto , doulrurs d’enfanie- 
ment, mal d’enfantement. Bstar com —, 4° 








DOR 


en trarail , sur le point d’accoucher. Tomar as 

— poralguem, ( fig. fam.) avoir de la peine & 

eause da mal d’autrui. 

"Dorino, A, adj. quia de la douleur; ma- 
lade. 

+Dörıa , 8. f. (4. de bot.) dorie ; cineraire du 
cap de Bonne-Esperance. 

Dörico, A, adj. Dorien : de la Doride, des 
Doriens. ( 4. d’arch.) Dorique : le deuxieme des 
eing ordres d’architecture. 

Donivam&nTe „ adv. douloureusement, avec 
douleur. 

+Dörınes, s. f. pl. (1. d’hist. nat.) * doris: 
mollusques nus. 

Dorino, A, adj. douloureux, endolori. Ge- 
missant, plaintif. Emu, compatissant. (A9.) 
Triste , afilig6. 

Döro,a, adj. Dorien : de la Doride. —, 
dialecte grec. 

Doris, #. f. V. Dorides. — de muiitos olhos, 
Pargus. 

Doautnte, adj. 2 gen. dormant, quı dort. 
p.a. de Dormir. Endormi; engourdi. (lg.)—, 
qui ne enule pas, parlant de l’eau, etc. (id.) 
Fire,non ınobile, qui nu se l&ve pas (pont, 
eie.\. Ter um pe —, avoir un pied endormi. 
Folkas —, (1. de bot.) feuilles dormantes, 
fermees a cause du sommeil. 

Dorsu£nte, s. m. dormant. (f. d’arch.) —, par- 
tie de ınenuiserie non mobile. Os selle —s, les 
sept dermants, ınartyrs de la foi musulınane. 

DoruExtes, s. m. pl. (. de mar.) * bauquie- 
tes : bordage de tribord A babord,, ow levres de 
baux sur lesquelles portent les baux. 

"rboruiö, s. [. dormition : action de dor- 
mr, 

Doauina, s. f. * somme : espace de temps 
pendant lequel on dort. * Engourdissement des 
versäsoie. ” Repaire, gite : lieu oü les betes 
saurages passent habituellement la nuit. 

Dorumeınas, s. f. pl. (t. de bot.)" pavot des 
jardins : plante dont la löte ou Capsule est as- 
soupissante. 

Doamido, A, P. p. de Dormir. 

Doauımoıne, 3. m. V. Dormitörio. Lieu oü le 
b:.ail passe la nuit. . 

IMEMIDOR, A, 5. dormeur: qui aime & dormir. 

"+ Dorwmöna, s. f. l’action de dormir. 

tDonufLiö, s. m. et adj. grand dormeur. 
"t.d’kist. nat.) Dormilon : singe du Mexique. 

Doauınuöco, A, adj. ( fam.) dormeur : ınar- 
ınolle, qui aime & dormir. 

Dormıure, adj. 2 gen. p. us. dormant, qui 
inrt, 

Dormin, v. ». dormir : reposer; &tre dans le 
"nmeil. (Ag.) S’endormir, dormir : agir negli- 
remment. (id.) Se calmer, s’apaiser. —, Cou- 
rt, passer la nuit, giter. — mal ou ndo — 
bsea,mal dormir : dormir a bälons rompus. 
—-@ relento, dormir sur le yazon, a la belle 
e:oıle. — de perna eslendida, (fam.‘ dormir 
“uns souei, sur l'une et l’autro oreälle. — como 
fedre em pogo, dormir comıne ıume pierre, 
Fommr un sabot, d'un sommeil profond. —com 


PURT.-FR. 


DOT 165 


:os olkos aberlos,, dormir en lievre , dormir les 
yeux ouverts, d’un sommeil löger. — a somno 
solto , dormir d’un profond sommeil. — em o 
senhor ou com sous pais, mourir.— sobre Ocase, 
prendre du temps pour penser ä une affaire, 
dormir dessus. —em pd, dormir tout debout, 
etre accable par le sommeil. — socegädamente, 
dormir d’un bon somme, d’en sonımeil tran- 
quille. —com alguem , coucher avec quelqu’un. 
Näo—, (ig.) ötrealerte, vigilant; veiller sur ses 
interöts, ötre actif, soigneux. — sodre seguro, 
se croire en parfaite sürele. — föra de casa ou 
ndo — na sua eama,, d&coucher. — no chäo ou 
sobre a lerra dura, Coucher sur la dure. Quem 
muwilo dorme pouco aprende, (prov.) qui dort 
longtemps ne sera jamais savant. 

Doruirn, v. a. dormir, jouir du sommeil. — 
um bom somno, dormir un bon somme, long- 
temps de suite. — a sesıfa, faire la sieste, la 
meridienne : dormir apres le diner. — a ma- 
nhö na cama, dormir la grasse malinde. — 0 
somno do peccado,, da culpa, (fig.) &tre plonge 
dans le peche. 

DoruMıTÄn0o, A, 2.9.de 

Dormitir, v. n. sommeiller : dormir d’un 
sommeil leger et imparfait, dormir a demi. 

Dorxitivo, s. et adj. dormitif : qui fait dor- 
mir (remede). 

DORNMITÜURIO, 8. m. dortoir: galerie od sont 
les cellules des religieux ou religieuses ; grande 
salle oü l’on couche. 

DöRNA , s. f. cuve de vendange. 

Donntıra. V. Moenda. 

Dorönıco,, s. m. (4. de bo$.) doronic, —nice, 
planio corymbifere. 

* DorösSAMENTE. 

. Donöso, A, adj. V, Doloros... 

DorsiL, adj. 2 gen. (1. d’anat.) dorsal: qui 
apparlient au dos. 

Dors£L, s. m. dossier de chaise. 

+ Donsirgro, A, adj. (8. de bot.) dorsiföre : 
qui porte sa fructificalion sur le dos de sa 
fenille. 

Dörso, 8. m. dos: toute la partie posterieure 
et superieure du corps, du cou, des &paules 
aux reins. 

Dos pour De os. V. De et Do. 

Dösr ow Dosis, s. f. dose: mesure de dro- 
gues; prise d’une drogue; quantile en general. 

Doracäö, s. f. dotation : action de doter; 
fonds pour doter un e&tablissement. 

DoTAno, A, p.p. de Dotar. —- (de), adj. dote, 
doue. Ayantage. — de razäo, raisormable , doue 
de raison. 

Dotaoor, A, s. celui qui dote; qui fournit 
‚ une dot, etc. 

Dortäı., adj. 2 gen. dotal:: de la dot. 

DOTAMENTO. V. Dolacdo et Dote. 

DoTäin, o. a. doter : donner, ctablir une dot; 
assigner un revenu, un douaire ä sa femme. 
(fg.) Douer, avantager, pourvoir, orner, par- 
lant des dons, des gräces qu’on regoit du ciel, 
de la nature. 

Dörte, s. m. "dot: bien apporis par la ferame 


w 


166 BOR 


en mariage, ou par une religieuga au rauyent; 
douaire. Chacune des quatre qualit6g des corps 
glorieux. Don de la nature, ayantage naturel. 

* Douc#eLo. V. Dochelo. 

DotpAwente, adv. en fou, en insense. 

Douoarräö, 5. m. aug. de Doudo. (fam.) 
Ecervel&, exiravagant. 

Dotpesäno,A,P9.p. de 

Dovupesir, 9. w. extravaguyer, faire le fou; 
badiner, faire des folies. 

Doup&so, s. m. V. Doudice. 

Douptrg, s. m. dim. de Doudo. Un pau fou. 

Doupice, 8. f. folie, demence; enlantillage, 
sollise, coup de tEte. 

Dovnixuo, A,adj. dim. de Doudo. Täle 1&- 
göre, petit fou, petite folle. 

Doupissımo, 4, adj. sup. de Dowdo. 

Doupivängs. V. Doudarrdö. 

Dövpo,A,adj. fou ; aliene; folätre, tr&s-gai, 
qui fait rire par ses folies. — varrido, fou 
pomme. — furioso , epimane, fpu furieux. 

Douripa ‚a. f. (1. d’hist. nal.) dorade : pois- 
son du genre du spare. 

DouraninHa, 8. f. (8. de bot.) doradilie ou 
doradilla: plante de la famille des fougeres, 
ceterac. 

Dovsipo, A, 9. p. de Dowrar. adj. Dort. 
As —as messes,, les &pis jaunissants. 

—s , läge d’or. 

Dovuaäpo, 4. m. V. Dourade. * Dorure : l’or 
applique. V. Douradura. 

* Dourapdına, A. Y. Duradaura. 

DourADöR, s. m. doreur: ouvpier qui dage 
tes melauz, Olc. 

"Douranöka, s. f. dorure: or mince appliqgue 
“ur tn ouvrage; couleur qui l’imite ; Jaune sur 
ia pätisserie. 

Dounaueatp, a. w. Paction de dorer; da- 
rure (anf.). 

Dovrir,v. @. dorer : enduire, couvrir d’or 
ow de jaune; (Ag.) pallier, cauvrir, deguiser, 
colorer les defauts. —, eclairer de ges rayons, 
la cime des montagnes, etc., en parlant du so- 
leil; (Ag-) illustrer, brillanter, donner de P’e- 
clat. — a pilula, dorer la pilule; ( Sg.) adoucir 
par des apparences specieuses, l’amerlu:ne 
d’une disgräce; rendre, par de belles parules, 
de beiles esperances, un refus moing desagrea- 
ble. 

Doöus, Dias, adj. pl. num. deux: un plus 
un; nombre cardinal, double de l’unite. s. m. 
Le chiffre (2) deux ; carte & jouer. — a —, deux 
&a deux: contre deux. Com duas mdos, aA deux 
mains. A’s duas por ir6s, sans Crainte, sans 
rellexion, inconsiderement. 

Doutamente , adv. doctement, savamment. 

Dourissıno, a ‚adj. sup. de Doutlo. 

D’ovtiva, (loc. fam.) par information; im- 
parfaitement. V. Ouliva. 

DouUTIivaMENTE. V. D’ouliva. 

Dovro, Aa, adj. docte, savant. 

Doutor ,s. m. docteur : promu au doctarat; 
bomme docte, savant, habile en quelque chose 
que ce soil; ( fam.) qui fait le savanı, ’babile; 


204 


me patyenu au plas haut degree d’pno 
Be d'une facylte; litre de quelques BAR 
qui ont ecrit sur la religion ; litre qu’on donne 


ardipairoment aux medecins, m&me non gra- 
ues. 


Dovrörs ‚3. [. femme de medecip. (Ag. fen.) 
Pimbeche : femme precieuse et impertinenie. 

DouToräne, A, 9. p. de Doutprar.s. m. Dac- 
torat:: degre, qualile de doctgur. 

DoctoräL, adj. 2 gen. dactpral : du dacleur, 
qui lui apparlient. @onego — ou — (s), chı- 
noine docteur en droit canon. u 

Docrorir, s. m. siäge &leye, & Unpirersilö 
de Coimbre, pour les docteurs. g. f * Fanonica, 
des eglises cathedrales de Portugal ei d’Esps- 
gne, qui ne paul &ire ppssede que par un dac- 
teur en droit canon. 

DourogapKyra, a. m. täreptinp da docieur. 

DouToRÄNDO, 5. m. celui «ui est & a vaille 
d’ALre ragu dactayr. 

Dovrorir, v. a. donner le grade, le honnet 
de docteur. 

DotroRrÄn-s5, 0. r. reggroir le grade, le ban- 
net de dopteur, #tre regu docieur. " 

Dusrrixa, a. f. doctrine, savoit, eruditiop; 
insiruction, enseignement;; maxime ; principt$; 
senliments. ° Discours familier, instruction sur 
les principaux articles de la religion. — chris, 
docirine chretienne : ce qu’un chretien doit 5t- 
voir,croire et pratiquer. Fazer — 005 menın0h 
faire le calechisme aux enlants. — comMND, 
correntie, doctrine, senliment commun des av- 
teurs qui ont ecril sur une ınatiere. 

Douraınäno, A,?. p. de Dowirinar. 

Douraınapär, 4, 5. colui qui enseigne. 

DourrinäL, adj. 2 gen. qui appartient d 
doctrine ou & l’instrugtian. Docirinal : se Sl 
des aris des docteurg en matiere de docistnt, 
de dogma ou de maurs. 

DoutaisäL, s. m. livre qui oontient la das“ 
trine chretienne. 

+ Dovrawannkurs, edv. selon la dom; 
par le moyen de la doctrine. 

DooraınÄäntz , adj. 2 gen. qui enseigne, Mil“ 
tout la dactrine ohrölienne. p. e. de j 

Dourrınär, v. 6. enseigner, endoosriner, IN 
struire. — oaonlios, Aresser des chevauı. 

+ Dopramänıo, s. m. doctrinaire : partisal 
de’ ih6ories politiques, abstraites ei modere- 
trices. 

Doutaınävau, adj. 2 gen. qui peut dire ©“ 
doctrine; docile. 

Doutaintıao, s. m. oatö&chiste : colui 48! 
explique la doctrine chretienne (ar!.). 

* Douszıo. V. Dochsio. 

* Dövına. V. Duvida. 

+ Dövazs, s. f. (6. de gdog.) Douvres, Dorf: 
ville maritime d’Angleterre. oo 

+ DoxoLocia, s. f. (t. de lit.) dexologie : 
dernier verset d’une hyrane; hymne en l’hou- 
neur de la Trinits. 

* Dozaao. V. Dozave. 

Dozivo, s. m. la douziöme partie d’an tül. 
Duodeeime, 














DRA 


Dire, adj. 2 gen.wum. card. douze : nomhre 
de deus fois six. 

Doztso, a, adj. V. Duodecimo. Pano —, 
»ırie de drap dont la chalne est de douze cents 
Dls. " 

tDaina,s. f- (6. de bot.) drave : plante cru- 
cifere. 

Dricama , 3. f. drachme : ancienne monnale 
grecque et Fomaine. — ou gros, huilidme partie 
u» !once. 

tDraconicena, ady. f. (A cidade —, . de 
p»/s.) qui est n&e d’un dragon, en parlant de 
Tbebes, ville de la Gräce. 

+Daacöntico, A, adj. du dragon. Mes —, 
"1. dastr.) mois dracontique : temps que la 
June emploie & aller de son naud ascendant au 
meine point du ciel. 

+ Daacdmcu1.o, 8. m. (6. de bof.) gauel ser- 
peutaire, la grande serpentsire. — horlense. 
V. Estragdo. — dos prädos. V. Espirradeira. 
(l. d’hist. nat.) Dracuncule, draganneau ou 
erinon : petit ver sous la peau. 

Daaca6, 8. m. dragon : monstre fabuleux, & 
ailes, 3 griffes et queue de serpent; ( ig.) per- 
sonne d’humeur fächeuse et-acariätre ; tache 
dans la prunelle, dans le diamant; constella- 
ton N.de ı3, de 31, de 32 ou de 49 etoiles; 
constellation du Serpent; soldat qui combat 
tantöt & pied tantöt d cheval; serpent. — in- 
fernal , dragon infernal, le demon. — alado ou 
lagarto volanie,, dragon, lezard volant, qui a 
des especes d’ailes, aux Indes. — marino, dra- 
gon de mer, ou vive, poisson du genre du tra- 
chine. Sengue de —, V. Drago. 

Drico, s. m. V. Dragdö. Sangue de —, sang 
de dragon : liqueur ou substance resineuse du 
dragonier. 

Dascöa, s. f. dragon femelle (p. us.). 

Daacokına , s. f. (6. de bot.) * dragonier : ar- 
bre des Canaries, des Indes,, qui donue le sang 
de dragon. —- bastarda, dragonier plerocarpe. 

-morinha da India. V. Dragdo marino. 

DracosıRo 0% DracoxEıro, (t. de bei.) V. 
Dragoeira. 

Daacouixo , 3. m. drogınan : interprele dans 
les Echelles du Levant. 

Dracona, s. f. epauletie : parlic du costuime 
d’un militaire, qui sort a designer le grade, etc. 

TDraconirıo,s. m. (4. dhisl. une.) drayo- 
naire : soldat romain qui porlait une figure de 
dragon pour enseigne. 

Drucongts, s.m. (4. de dlas.) "t&le de dra- 
gon ou de serpent. 

Daucosisrico. V. Draconkico. 

+ Daacosite, 8. f. (1. d’hist. nal.) draconite : 
suhstance que l’on pretendait exister dans la 
Wie du serpent; ımadrepore petrilie. 

DascösteaA,s. f. V. Dryöphono. 

DracoxTixo, A, ad. do dragon, qui appar- 
lient au dragon. 

Drisı,s. m. drame: po&me destiug au Ih6d- 
tre, representant une action oomique ou IFa- 
Bun, 


Dusaspeina, s, f. * ecbantillon de balles. 


DUA 467 


DramÄTrIcamente, adv. dramatiquemamt : 
d’une maniere dramatiquo ; en drame. 

DRANATICO, A, adj. dramatique:: fait pour le 
theätre (ouvrage); dans lequel l’auteur fait 
parler les personnages du drame (style), 

DRANMATURGO, 8. m. dramalurge: auleyr de 
drames. 

Daristico, A, adj. (f. de med.) drastique : 
purgatil (remdde), actil et violent. j 

D’rgro, abr. de Direito. 

Drıanss. V. Dryadas. 

Driga , 8. f. (1. de mar.) drisse : cordage paur 
bisser. — da rabeca, drisse de la voile dötgi 
d’artimon. 

+ Drıvo,s. m. (ti. dal. nal) Arile: calka- 
plere, melyride. 

+ Daisıa, s. f. (t. de dot.) deimie : plante 
liliac6e du cap de Bonne-Esperance. 

Dröca ‚3. f. drogue : toule espece d’epirerie, 
surtout des ingredients qu’on emploie en ınede- 
cine ou en teinturerie. (ig.) Chose mauvaise; 
de rebut. Dar em —, (fam.) perdre sa r£pula- 
tion & cause de mauvaise conduite. —4, V. Dru- 
queles. 

Drocania, s.f. droguerie, taute ggrie Je dra- 
gues. 

Drocman. V. Dragomano. 

DrocuEre, 8. m. droguet: espäce d'clalfe de 
laine. 

Daocuista, s. m. droguiste: qui vopd des 
drogues , marchand de cauleurs. 

DROouEDÄBIO, 2. m. dromadaire : espfce de 
chameau Irds-leger. 

+Daönco, s.m.(1.d’kıst. al.) drouga : gobe- 
mouche de Madagascar. 

Dr’ro, Dr’eto, Drrrto, adr. de Direito. 

* Daoxte. V. Dod3. 

* Drvoärıa, s. f. V. Adulldrio. 

*Nrüno. V.Amazio, Adultero. 

Datioa, s. m. Jruide : prötre gaylois. 

+ Druidıco,, A , adj. druidique : des druides. 

+ Davinısmo, s. m. dryylisie : dogtrige des 
druides. 

+ Dauioiza, 3 f. druidesse ; femmg de 
druide, prophetesse. 

DaveaA, s. f. (. de &o8.) deupe og draupe: 
p6ricarpe charnu ou corigce d’uy nayay; fruit 
simple renfermant ın seul noyau. 

Drupiceo, A, adj. (t. de bot.) drupace: & 
Boyau ei couvert d’une pulge gharzaue ei suc- 
culente (fruit). 

Darv’avas, 3. f. pl. (t.de myih,) dryades s 
uyıyphes errantes des bois. 

Drvas. V. Dryadas. 

$ Daröruono ou DRYORRANG, & m. (f. de 
bot.) gale odorant, piment royal, myrie b4- 
tard des pays froids. 

° Do. V. Duque,, General. 

°D’6. V. D’ionde. 

DöA. V. Adua. 

Dusctuan, ed). A gen. de Douxi, ville de 
Flandre. " , 

DuiL, adj. 2 gen. (£ de gram.) duel: qui 
sert A dösigner deux @tres. 


168 DUl 


+ Duarivipe, 8. f. dualite: qualit6 de ce qui 
est double, de ce qui reunit deux £Etres dis- 
lincts,. 

DoaLismo, s. m. dualisme, manicheisme: 
systöme des philosophes qui admettent deux 
esprits. 

DuaLista, s. m. dualiste : parlisan du dua- 
lisme. 

Dun, s. m. duan : po&me des bardes, 
d’Ossian, etc. 

Döas, adj. f. de Dous. 

* DusanoR. V. Concertador. 

Dosiamente, adv. d’une maniere douteuse, 
incertaine. 

f Dusiedape, s. f.* doute, incertitude. 

Disı0, A , adj. douteux , incerlain. 

+ Dusıtacäd, 8. f. (1. de rkhdt.) dubitation: 
doute feint de l’orateur pour prevenir les ob- 
jrctions ; Ägure de rhetorique. 

+ Dupttativam£xtE, adv. dubitativement: 
avec doute. 

Dusıtarivo, A, adj. dubitatif : qui sert & 
exprimer le doute; qui marque la suspension,, 
le doute. 

+ DusıtäveL, adj.2 gen. de qui on peut dou- 
ter; douteux, incertain. 

° DisLo. V. Dobro. 

-*Dusrar, etc. V. Dobrar, etc. 

Ducapo, 3. m. duche : terre, Litre d’un duc, 
ducat; monnaie d’or ou d’argent dont la valeur 
varie suivant les pays. _ 

DuciL, adj. 2 gen. ducal : qui appartient au 
duc, & la duchesse. 

Ducarid, s.m. aug. de Ducado. Monnaie; 
ancienne monnaie portugaise de 30 et 40,000 
reis. 

Ducarßııa, s. f. ducatelle : monnaie d’A- 
lexandrie, 10 medines. 

Ducid, s. m. (6. d’Asie) maison de campagne. 

DöcrıL, adj. 2 gen. ductile : (metal) mallea- 
ble, qui peuts’ötendre sous le marleau.’ 

DocriLipäne, 3. f. ductilits : qualite, 6tat de 
ce qui est ductile. 

Döcro, s. m. conduit, canal. Coup d’encen- 
soir. - 

+ Ducron, s. m. (f. de chir.) conducteur:: 
outil de ehirurgien pour la taille. Guide, con- 
Jucteur. 9.8. 

Duepdznirıo. V. Duodenario. 

DusıLista, s. m. duelliste : coupabie de 
duel; qui aime & se battre en duel; ferrailleur. 

DukıLo, s. m. duel : combat singulier. (aw#.) 
V. Pundonor. Fazer — d’alguma cousa, se 
ressentir, se plaindre d’une injure. 

Duinoe, s. m. esprit follet, d&mon familier, 
Iutin, farfadet. 

* Duo. V. Duello. 

Dueano, s.m.(t. d’impr.) deux feuilles de 
papier imprimees, mises l’une dans l’autre. 

Du£ro, s. m. (l. de mus.) duo, duelto : mor- 
ceau de musique pour deux voix, deux instru- 
ments, 


tDumäoe,s. f.p. us. sociöte de deux per- 
sonnes. 


DUP 


DöLca. V. Düvida. 

DuLcaına. V. Dopaina. 

*Dercıäid. V. Dopura. 

Durcıricacaö, s. m. duleitication : aclon 
d’adoucir, de dulcifier Yacide. 

DoLcırıcino, A, p. p. de Dulcificar. 

Doxcıricinte, adj. 2 gen. dulcilcatil: qui 
adoucit. p. a. de 

Durcıricir, d. a. dulcißer, edulcorer. Adou- 
cir, rendre doux. 

+ DuLciLogco, A, adj. (t. de pods.) quiparle 
avec doucear. 

+ DuLcisono, A, adj. (t. de pods.) quiaun 
son doux , agre&able. 

Dri.cissıwo, A, adj. sup. de Döce. 

Durcör. V. Dogura, Mimo. 

Duia, s. f. Culto de —, (t. de thdol.) dulie: 
culte qu’on rend aux saints, aux ange$. 

+ Duocaacia, #. f. ” gouvernement d’e- 
claves. 

* Durt£rto. V. Adulterio. 

* Dim. V. Dom. it. pour D’um. 

Dünas, s. f. pl. dunes:collines sablonneuses 
le long de la mer. 

°*Duno, a.V. Dom, Dona. it. pour Dun, 
D’uma. 

+ Dunxqu£fraue, s. m. (4. de geog.) Dunker- 
que : ville de France. 

Dvo.V. Dueto. A— , & deux vois. 

Duopscicono. V. Dodecdgono. 

Duop&cımo, A, adj. num. ord. douzieme: 
nombre ordinal; douze. Leio, Carlos —, on, 
Charles Xli. Zm — lugar, douzi&mement. 

Dvop£cupLo, A, adj. «ui ent le double de 
douze. . 

DuopeniL, adj. 2gen. (1. d’anat.) duodenal: 
du duodenum. 

Duopenärıo, A, adj. V. Dozinso. 

Duopeno, adj. V. Duodecimo et Duodensl. 
s.m. (1. d’anat.) Duodenum : le premier des 
intestins gr&les, long de douze travers de doigl. 

Durex, adj. 2 gen. double. Dia —, jour de 
föte, de gala. 

DurLicagäö, 8. f. duplication : aclion de 
doubler une quantits owde la multiplier par? 
($. danat.) Duplicature : parties repliees, do®- 
bles. 

DurLicipam£nte , adv. doublement, au det 
ble; de deux maniedros. 

DupLicioo, A,p.p. de 

Dupuicir, ®v. a. doubler, redodbler, &u$- 
menter au double, meitre le double. Dire eu 
faire deux fois, repeter. 

Düruice, adj. 2 gen. double. Feste —, lie 
double, dont l’office est plus solennel que dans 
les autres. Convenfo —, en donnait autrelois' 
ce nom aux monasieres conmıposes de deal 
corps de bätimenis, l’un pour les religieut, 
P’autre pour les religieuses. 

Dupuicınäpe, s. f. duplicits. V. Dobres et 

scagdo 


Dörto,a, adj. double : qui pöse, vaul, cot 
tient deux [ois. s. m. Lo double : une fois au- 
tant. 








DUV 


Degus, 5. m. duc : premiere dignite de la no- 
biesse. (ant.) Che[, general d’armee. 

Drgitza, s. f. duchesse : feınme d’un due; 
fenme qui possede un duche. Sorte d’etolle de 
laine. 

DiucszixnHo , s. m. dim.de Duque. 

Dusı,s. f. duree,, longueur de leınps. 

Draagiö, s. [. duree : espace de teinps que 
dare une chose. Tenue : duree d’une assen- 
blee. De powca — , court, de peu de duree. 

Draico. V. Durazio. 

Draanövao, A, adj. Jurable : 
duree. 

Dias-miren, s. f. (b. d’anat.\ dure-möre: 
membrane exlerieure , epaisse et dure, qui en- 
veloppe le cerveau. 

Drasnänıg, adv. durement;; d’une maniere 
dure; avec dureie , rudesse. 

Draiyıe, s. m. ° calmande : ötoffe de laine 
lastree. 

Diräsıe,, pren. durant, pendantı. 

Drair, 0. a. durer, subsister. Deimeurer, 
rester. (ant,) S’etendre , se prolonger. Como te 

tures, duras, comme on fait son lit, on se 
touche, 

Draivat, adj. 2 gen. darable : qui doit ow 
peut durer longtemps. 

Drasz ,odj. 2 gen. dur et ferme, parlant 

Drrizio, A, adj. } du bie ‚des fruits; qui 
west plus jeune. Pcego —, duracine : cspece 
de peche ä chair ferme. 

Denkıro, A, adj. constipe, dur. 

Diriza, s. f. durete, fermete, solidite. (fig.) 
Fermete, perseverance, obstinalion. —, ru- 
desse; insensibilite , endurcisserment. Resis- 
lance. —do venire, conslipalion, dureie Ju 
ventre. —s, pl. duretes; lumeurs, callosites. 

Diniäö, 5. m. sorte de fruit d’Asie, qui res- 
sembie auı arlichauls. 

fDramina ‚s. f. (6. burl.) V. Espada. 

Dixissuo, A, adj. sup. de 

Diro, a,adj. dur, ferıne, solide; qui ade 
la consistance ; fäacheux, difficile & supporler; 
rude ,severe, cruel. Obstine, enlete. —, rude, 
difficiie, penible. P&so —, ou Duro, (s.) pias- 
ke: monnaie d’Espagne qui vaut eiıviron 5 fr. 
"Dissia. V. Ussia. 
tDitko ow Dütuno, s. m. dutroa : plante 
gui melee dans le vin, cause une joie insensce 
ei loubli. 

Dremvirät, adj. 2 gen. duumviral : des 
duumrirs. 

Dirmviräro, 3. m. duumvirat : qualite, 

charge de duumvir, sa duree. 

Driuvixo, 5. m. duumvir : magistrat, juge 

eriminelä Rome. 

Deviva, s. f. *doute, incertitude; dificulte 


. 


pfoposce sur une matiere. Irrersolution. Zstar 
en —, &ire en doute, douter. Estar uma cousa 
em —, eire douteux, incertain. Pör —, oppo- 
ser un doute, une dificulte. Pör em — , mettre 


DYS A468 


sssur&ment. Ponko-Ihe — , j'en doute. Ter —: 
com alguem , avoir des querelles avoo quel- 


qwWun. 
Duvioipo, A, p. p. de Duvidar. adj. Dont or 
doute. ‘ 


f Duvimanor, s. m. douteur, qui doute. 

Duvıpan (de), o. ®». douter : etre incertain, 
ötre en doute, irresolu. (ant.) Craindre. Ape- 
nas se pöde —, on ne peut guere douter. Näc 
ha que —,iln’y a point de doute, la chose est 
corlaine. Ninguem duvidava, personne ne dou- 
tait. Duoido d’isso, j’en doute. Ndo duvidemos. 
il n’en faut pas douter. 

Douvipösamentsg, adv. deuteusement : avı'ı 
doute. 

Duvıposo, a, adj. incertain , irresolu, ind« - 
cis : qui doute. Douteux, incertain, probl:- 
matıque , ambigu , dont on peut douter. Aind. 
0 caso esid mwilo —, on n6 peut encore Comp- 
ter sur rien. 

Duzäd. V. Dozdvo. 

Duz&ntos, as, adj. pl. num, deux cenis. 

Dizıa, s. f. douzaine : nombre de douze. 
Meia —, demi-douzaine. Cousa das —s, chose 
commune, de peu de merite. A’s —s, par dou- 
zaines; & la douzaine. 

+ DvYnäuetRo, s. m. dynameätre : instrument 
pour mesurer l’amplilication du telescope. 

Dysäsıca, s. f. dynamigue : science des for- 
ces «ui meuvent les corps; science du mouve- 
ment des corps qui agissent les uns sur les au- 
ires. 

DYNAMÖMETRO, 8. m. dynamomiätre : ma- 
chine pour comparer la force des hommes et 
des betes de trait; pour mesurer la force des 
moteurs, lels que la vapeur. 

Dvnästa, s. m. dynasle : petit souverain de- 
pendant d’un autre, dont le pouveir ötail pre- 
caire, les elals peu elendus. 

Dvnastia, s. [. dynastie : suite de rois, de 
princes d’un pays; suite de souverains d’une 
meme famille. 

Dy’scoLo, A, adj. dyscole:: insociable; diffi- 
cile ei dedaigneux; d’un commerce dange- 
reux; (fg.) qui s’ccarte de l’opinion regue. 

+ Drscnäsıa, s. f. (l. de med.) dyscrasie : 
sante, conslilution nıauvaise. 

+ Dysgcea, s. [.($. de med.) dysecee : de 
rele de V’ouie. 

Dysentenia, 8. f. (l. de med.) dyssenterie : 
devoiement avec donleurs d’entrailles. 

+ Disenterıco, A, adj. (l.de med.) dyssen- 
terique : de la dyssentecrie. 

+ DyseruLörico , a, adj. (4. de med.) dyse- 
pulotique : qui ne se cicatrise pas (ulcere). 

+ Drswenonenka, 8. f. (d. de med.) dysme- 


| norrhee : &coulement diflicile des regles. 


+ Drsöpıa, s. [. dysodie : puanteur, exbala- 


| tion des matieres fetides du corps. 


+ Dysörra, s. f. (l. de med.) dysopie : diffi- 


ou revoquer en doute, Ficar em —, demcurer | culie de la vision. 


’ 


dans le doute, rester douteux. Tirar, saır da 


+ Dyrsorsxia, s. f. (l. de med.) dysorezie: 


—, ürer, sortir de doute. Sem —, sans doute, | mauvais ou faible appctit , degoüt. 








470 EBH 


+ Drsosufa, 2. f. (1. de m2d.) Aysosihle : af: 
faiblisserment, difficult& de P’odorat. 

Dyspersia, s. f. (l. de med.) dyspepsie : di- 
gestion taborieuse. 

+ Dysrertico, A, adj. (1. de mdd.) quiala 
dyspepsie (malade). 

+ Drspenmartismo, ».m. (f. de med.) dysper- 
matisme : impuissance par l’emission de la se- 
mencd goalse & Koutte, os par sa privation. 


ECH 


Drernonia, V. Aphonia. - 

+ Dysruricta , 8. f. (1. de med.) dysphragie: 
difficulie d’avaler. 

Drsenza, 8. f. (f. de med.) dyspnee : diffi- 
cult& de respirer, respiration penible. 

Dysörıa, s. f. (1. de med.) dysurie : difcults 
d’uriner, douleur en urinant. 

+ Drrisco, s. m. (#. d’hist. nat.) dytigue: 
col&optere pentamtre, nectopode. 


E. 


E,s. m. cinquitme lettre de l’alphabet por- 
tugais, et la seconde des voyelles; designe 
VEst; cinquieme lettre dominicale; signifie 5 
en typographie ; chez les Romains signiliail 250, 
et chez les Grecs 5. 

E, conj. ei. Mis au commencement de la 
phrase, il sert de particule interrogalive pour 
r6futer, repliquer. Ex.: E lu ndo fazes 0 
mesmoP cl loi, ne fais-lu pas de mäme? Il sert 
& ınarquer le peu Je cas qu’on fait, elc. Er.: 
E que lemos nös com isso P eh bien! que nous 
importe? ll sert aussi & donner plus de pojds, 
plus de force & une reponse, etc. Ex.: Com- 
meili algum erroP — E mui grande ; ai-jecom- 
mis queique faute? — Oui, une tr&s-grande. 

BE, prep. lat. qui entre dans la composition 
de plusieurs meis, et exprime la separalion, 
V’absencoe, la privation, Ex.: Enervar, enerver: 
zondre faible, privor de la force. 

Eı. V. Eie. 

Esanista, 8. m. ebeniste: qui Iravaille en 
öböne, en marqueterie, eic. 

Esanızivo,A,p.Pp. de 

+ Esanızäa, vo. a. öbener : donner au bois la 
ecouleur d’öbene. 

Enno, 5. m. (t. de bot.) ebene: bois noir, 
trös-dur, tres-pesant; db@nier, arbre des Indes 
qui donne l’öbene. — basiardo, aspalat & bois 
noir, faux &benier d’Amerique. 

Eszetan. V. Hebetar. . 

tf Esionita , s. m. ebionite: sectaire d’Ebion, 
beretique qui niait la divinit# de Jesus-Christ, 

Enısco. V. Aybiseo. 

At Erontnss, adj. 2 gen. naturel , häbitant 
d’Evora, ville metropolitaine du Portural. 

+ Esnıatıvo, A, adj. qui donne l’itresse, qui 
rend ivre, 

EsriEnine, 8. f. irresse. V. Embriaque:. 

EBRir£stänte, adj. 2 gen. (8. de poes.) qui 
folatre en s’enirrant. 

fEprırestivo, a, adj. (f. de pods.) gai. [o- 
lätre & cause d’avoir bu. 

Ksnıo, A, afj. irre: qui a le corvoau troublö 
par les fumdes du vin, etc. ; dont les nerfs sont 
agites par le vin; (Ag.) qui a l’esprit troubl6 
par la gleire, l'amour, etc. 

Eanıöso, A, adj. ivrogne : sujet A l’ivro- 
gnerie. 


EurisaLrinte, ad. 2 gen. (1. de poes.) qui 
s’enivre en saulant. 

EavuLnigäd, s. f. ebullition : action de bouillir, 
de fermenter. — de sangue, ebullition : maladie 
qui cause sur la peau des &levures ou taches 
rouges. 

EnvLo, s. m. (}. de bot.) yeble, hitble, petit 
sureau. 

Esünneo, a, dj. d’ivoire; (flg.) blanc comme 
de V’ivoire. 

Eca, s. f. " c&notaphe : tombeau vide dress 
(dans l’eglise) ä la m&moire d’un mort, de 
quelqu’un dont on n’a pas l6 Corps ; sarcophage, 
catälalque. 

* Eccsıcid. V. Excepräo. 

ECCENTRICIDÄDE , Bic. V. Excent..., etc. 

+ Eccaruöse, s. f. (1. de mid.) ecchymose: 
contusion legere, superlicielle, qui n’ollense 
que la peau; Epanchement de sang que celle 
lesion causc entre la chair et la peau. 

Eccuesıastez, s. m. Ecclesiasie: un des livres 
de l’ancien Testament. 

ECCLESIASTICAMENTE , adv. ecclesiaslique- 
ment: en ecclesiastique. 

EccLEsIASTICO, A, adj. eccel&siaslique : qui 
appartient & l’eglise, qui ysert; du clerge, de 
leglise. s. m. Ecclesiastique : livre de l’ancien 
Testament. it. V. Clerigo. 

Ecco. V. Echo ou Eco. 

+ Eccopnörtico, a, adj. (b. de med.) eccopro- 
que: remede purgatif, doux ct laxatif. 

Ec£terA, du latin ei c@lera, etc., etc., et 
autres, et le reste. 

° Ecnacörvos, s.m. V. Embusteiro , Impos- 
tor. En Espagne on donne ce nom aux predica- 
teur. de la bulle de la Cruciade. 

* Ecnanıco, A, adj. apost& : envoye pour de- 
couvrir quelque chose; espion, emissaire. Ü 
est aussi substantif. Repandue avec art et en 
secret ; conirefaite, supposee , apoeryphe, 
feinte , en parlant d’une nouvelle, etc. 

+ Ecuiona, s. f. (t.d’hist. nat.) *fourmilier 
6pineux de la Nouvelle-Hollande. 

+ Ecnino, s. m. (#. d’arch.) *&chine, ove: 
moulure d’architecture dont le profil est taille 
en quart de cercle. 

+ Ecuınonkanss, s. m. pl. (8. d’hist, nat.) 
€chinodermes ; oursins, asteries. 


ECO 


+ Emıxı'rmonra, s. f. (1. de bot.) * &chino- 
phore, panais epineux; plante ombellifere & 
fruits epineux. 

+Ecmixöro, 5. m.(l. de bei.) echinope ou 
bouletie, tete herissonnee. 

+ ECBINOREYNCHO, 5. m. (1. d’hist. nat.) &chi- 
norbynque: ver inlestinal. 

+ Ecaınöso, a, adj. (i.de bot.) echine, heris- 
sonne. 

+ Ecaııe, s. m. (. de Bot.) ° chite: plante 
. dAfrique, du genre des apocynees. 

Ecuo, 3. m. Echo : redoublement et r&öpeöli- 
tion du son; lieu ou il se fait; (fig.) celui qui 
repete ce qu’un autre dil; ı l. de poes.) repeli- 
tion des derniers mois ou des dernieres sylia- 
bes. ( #. de mus.) —, röpetition du möme son; 
jeu d’orgue. . 

Ecao, s. f. (1. de myih.) Eoho:: fille de Yair ; 
personnage fabuleux. 

Ecgörco, A, ad. (4. de poce.) ll se dit des 
vers & echos. 

Ecuosetria, 3. f. echomelrie : arı de faire 
des &chos Yans les edilices. 

EcCHÖMETRO, s. m. echomätre : rögle ou 
&chello pour mesurer la duree des sons, Con- 
Bsitre leurs intervalles et leurs rapporis. 

EcLx£ctico, A, adj, eolectique : ( philosophe ) 
celui qui, sans adopter la banniere d’aucune 
secte , choisit ce qu’il peut y avoir de vrai dans 
les principes de chacune, 

+ Ecıecrisuo, s. m. eclectisme : philosophie 
eclectique. 

+ Ecızona, s. m. eclegme . medicament pec- 
torel, &pais, mou, lok. 

Ecuirsäpo, A, p.p.de 

EcLirsär, v. a. öclipser, obscurcir, inter- 
cepter la lumiere, empecher un asire de parai- 
ire. ı 6g.) Obscureir, ternir (la gloire, la re- 
Bommeöe, etc.); &clipser, eflacer. Se dit du 
merite, du talent qui en effacent d’autres; de 
ceux qui les ont. 

Ecuipsäa-sE, v. r. ’öclipser: souffrir \’6- 
clipse, parlant du soleil, de la lune, etc.; (fg.) 
perdre son lustre, son eclat; s’eclipser, dispa- 
raltre (du monde, de la societ6ö). 

EcLirsz, s. ın. (}. d’asir.) * 6clipse: obscur- 
cissement d’un asire par linterposition d’un 
autre; (fig.) obscurcissement passager ou en- 
tier et total. (ant.) V. Ellipse. 

Ecuirtica, s. [. (4, d’asir.) &cliplique : ligne 
que le soleil ne quitte pas; cercle que la terre 

rcourt, et dans lequel ont lieu les Eclipses de 
soleil et de lune. \. 

EcLirtico, A, adj. &cliptique : des &clipses. 

Ecroca , s. f. V. Egluga. 

Ecıösa. V. Compörta. 

Eco ,ete. V, Echo, eic.. . 

Econowia, s. f. &conomie: ordre, regle dans 
la depense, dans le menage; epargne, lopp0s6 
de prodigalite. *Economat : charge. Office d’e- 
conome dans une eglise. — polilica, economie 
politique : ordre par lequel un elat subsiste; 
science qui traite de la production ‚de la distri- 
bution et de la consommation des ziohesscs. 


EDI 471 


— animal, vegelal, economie animale, vege - 
tale : organisation des animaut, des verelaux. 
(Aig.) —, barmonie des parties, des qualiles 


(d’un corps); distribution (d’un discours);- 


disposition (d’un dessin), relativement ä l'effet; 
sage emploi. 

Econönıca , s. f. &conomique : parlie de la 
philosophie morale relative au gouvernement 
d’une famille, d’un dtat. V. Zconomia. 

ECOnNÖMICANENTE , adv. &conomiquement : 

avec &conomie. 
_ Econömico, a, adj. economique: qui con- 
cerne P&conomie, le gouvernement d’une fa- 
mille, la richesse publique; de P&conomie; 
qui tend & l’&oonomie. Econome , mönager. 

Econouista , 3. m. 6conomiste : &erivain qui 
8’9ccupe de l’&opnomie politique. 

Economzino,; a; 9.p. de Eronomisar. 

ECONOMIZADOR, A, 5. 66onome, mehager, 
&pargnant. 

Economizär, vd. a. &conomiser : administrer, 
kotrerner avec dconomie ; spargner; mienager. 

ECÖN@MO, 3. m. &conome : sorte de r&gisseut, 
eelui’ qui a soin de la Uepense d’une maison; 
ecclösiastique charge d’administrer les rerenus 
d’une abbaye, d’un bentfice,, ktc. 

Ecrnristico, A, adj. (1. de mdd.) V. Apd- 
ritivo. 

Ecstase. V. Extase. 

+ Ecrrörıo, s. m. (8. de mdd.) ectropion : 
&raillement, renversement de la paupiere in- 
f6rieure. 

EtüLzo. V. Equüleo. 

+ ECuMENIcAMENTE, ade. @edämenigtiement: 
d’une maniere atumenique. 

+ Ecowentcmäipe, 8. f. @chmenieite: qualii6 
de ce qui est @cumenique. 

Ecuüe£nıco ‚A; adj. acumenique: aniversel, 
de toute la terre (concile). 

Eoacmäpe ,s. f. &dacite. Se dit du temps qui 
ronge et consume tout. V. Voracidade. 

Epiz, adj. 2 gen. (Poei.) grand mangeur, 
vorace, glouton. Qui ronge, coOnsume, devore 
(le temps). 

Eoema, s. f. (1. de mdd.) *@döme: tumenr 
molie, blanche, sans douleur. 

Eoriardso, A ‚adj. (l. de mdd.) ademateux : 
attaqud d’un edeme, ou d& fa nature de l’a- 
deme. 

+ Eogwera, s. f- (1. d’hlst. nal.) sdömere : 
col&optere. 

Enssstno, A, adj. de la ville d’Edesse. 

+ Eoerrino, A, adj. dd Valence, habitant de 
Valence. 

Eoıcl6, s. Y. edition : publication d’an livre; 
impression ; tous les exemplaires d’un livre qei 
ont 616 imprim6s en une fois. 

Enıcrar. V. B . . 

Epicro, s. m. edit, loi „ordonnzmee, consti- 
tatich da souveräfn. Placard , affıche. 

Enıricagäd, 8 f. edification : Action de balir, 
artätfier; (49.) d’edifier, de donuer te bon 
exemple; sentiments vertueux, pieux, fnspirc: 
par le bon exompie,, feb dischurs. 


412 EFF EFF 


EviricaDissiMo, A, adj. sup. de 

Eoiricino, A, p. p. de Kdificer. adj. (g.) 
Exdilie , touche. 

Enırıcanon, a, s. edificateur : qui fait, qui 
construit un edifice. 

EbIFIcaAu&nto,, s. m. * edificalion : aclion de 
bätir. 

Eoistaants. V. Edificativo. 

Ebvıricar, ©. @, editier, bätir (un tompie, 
olc.). —, porter ä la vertu, ä la piete, par les 
eıemples ou les discours. Fonder, etablir. 
— na areia, (fg. fam.) bätir sur le sable. 

Eowricarivo,a,adj. ediliant : qui porte la 
veriu, & la piele. 

Koviricıo, s. m. edilice: baliment considera- 
bie, public; palais, temple. 

EbiL, s. m. (4. d’ant.\ edile: magısiral ro- 
main; inspecteur des jeux, des 6difices , des 
vivres. 

t EoıLicıo, a, adj. d’edile, qui concerne Pe- 
dile. 

+ EoıLinäne, s. f. 6dilite : magistrature de 
Fedile; sa duree. 

EpıtäL, s.m. "affiche, edit. adj.2 gen. Qui se 
fait par affiches. 

Evıro, s. m. V. Edieto. 

Eoırör, s. m. editeur : qui revoit et fail im- 
primer l’ouvrage d’autrui. 

Eoırro. V. Edieto. 

t Eoönıo, a, adj. (1. de poes.) de Thırace. 

Enucagiö, 8. f. education : soin pour in- 
struire, former le corps, l’esprit et les maurs; 
art de former le caur, l’osprit et le Corps; 
exercice de cet art. 

Eoucipo, a, p. p. d’Educar. 

EoucapöR, A, 8. dducateur : qui donne I’e- 
ducation ; qui eleve. 

Epucinpa, 8. f. jeune pensionpaire d’un cou- 
vent. 

Enucia, u. a. dlevor, instruire les enlanıs, 
faire leur dducation. 

t Eoucciö, s. f. laction de tirer, d’extraire 
une chose d’une autre. 

EouLconacäö, s. f. (4. de chim.) dduloora- 
tion : action d’edulcorer. 

EouLcoräDO, A, P. p.de 

EouLconär, v. a. (4. de chim.) edulcorer: 
enlever les sels des poudres en les lavant; 
sdoucir avec du sucre, du sirop, du miel. 

t EouLo, A, adj. edule, bon a manger 
(fruit). 

Eovzivo,a,p.p. de 

Eouzia, v. 6. (4. de phil.) tirer, exiraire une 
ehose d'une autre. 

t Erautr, s. m. f-ut-fa: terme de musique qui 
indique le ton ou la note de fa. 

Ersso. 

ErEMERIDE, etc. | V. Eph..., eic, 

ErzsEsino , eic. 

ErrscTivanentE, adv. effeolivement, en ef- 
fet, röellement. 

ErrectivsL, adj. 2 gen. qui peut s’efeciuer. 

Ersscrivo,a, adj. effecuif : qui est feelle- 
ment ei de fais certain. Efficace, . 















Errsitracäiö, 5. f. realisalion : action de 
realiser, d’efleciuer. " Effet, execution d’une 

se. 

Errectuino, A, pP. p. d’Effecluar. 

ErFEcTCäLmenTe. V. Effectivamente. 

Erractuir, vo. a. effeciuer: metire ä elfet; 
meitre en ex:culiou; realiser. 

EsFsctuan-SsE,v. r. se realiser; etre effec- 
tue; avoir lien. 

Errecttöso, a. V. Effectivo , Effcas. 

ErrEıTo, 8. m. effei : resultal, produil d’ure 
cause ; ex&culion ; chose ellective. ( 1. de com.) 
—,billel. —s , pl. effeis : portion des propris- 
tes, meubies, hardes, etc. — devolutivo, (1. 
de prai.\ effet, fin, but : connatssance que 
prend le juge superieur des mesures de l'infe- 
rieur sans en suspendre Veffet. — suspensirn, 
(id.) oonnaissance que prend le juge supericur 
des mesures de l’inferieur en suspendant leur 
execution. Receber a appellapdo nos dows —ı, 
(id.) recevoir l’appel dans les deux eflets. V. 
—devolulivo et — suspensivo. De —, com—, cu 
effet, effectivement, reellement. Pers — de, 
dans le but de; en ex&cution de. 

Errgirtoin, etc. V. Effeciuar, ete. 

Erreumacäö,s. f. eff&mination : manieres 
de femme; mollesse , vie efeminee. 

ErFEminÄDanenTE, adv. efföminement: d’une 
maniere effeminde. 

Err£uınivo, A, adj. eff&mine : volaptueex, 
amolli par les plaisirs; frivole,, faible come 
une femme. p. p. de 

Erreuınär, o. a. effeminer : amollir, rendre 
faible comme une femme. Il est aussi recipro- 

ue. 

ı Erfgrino ,p. us. V. Ferino. 

EFFERVESCENCIA, 8. f. effervescence : mour® 
ment, bouillonnement intestin d’une liqueur 
par l’action d’un acide, de la chaleur ; legere 
ebullition ; (4g.) emotion vive dans les ämes, 
dans les t£tes, dans une multitude. 'L. de mrd. 
"Orgasme, agitation, nıouvement des humeur:. 

Errickcıa, s. f. eflicacite, eflicace; forıe, 
vertu pour produire un effet. 

ErricacissiMO ‚A, adj. sup. de 

Erricaz, adj. 2 gen. eflicace : qui produit son 
effet. Homem — , homme d’execution, qui vient 
& bout de ce qu’il entreprend. Com ezempl's 
eficazes, par des exemplies puissants. 

Erricäizuente, ado. efficacement : d’une m»- 
niere efficace; avec eflicacite , avec force , avct 
succes. 

Erricrtncia, s. f. (t. de phil.) action, acti- 
vite, force, vertu de produire un effet; eflica- 
cite. 

Erriciente, adj. 2 gen. eflcient : qui produil 
directement certain effet (cause —e). . 

ErFiciEnTEMENTE, adv. d’une maniere efiı- 
cace,, avec effet. 

Erricıäno, A, adj. fait en ronde-bosse. p. p. 
de 
ErFiciÄR, 0.8. p, ws. efligier : execuler cu 


efligie, 





EGO 


Erriag, s. f. efligie : figure, ropresenlalion 
d’une personne; image, portrait. Il ne se dit 
guere que des images de J.-C., de la Vierge et 
des saints. 

Ersuonzschncia, 8. f. (f. de chim.) efflores- 
tence : enduit salin semblable & la moisissure, 
ou matiöre en flocons qui se forme sur lescorps 
gui se decomposent & air; cette formalion; 
elat d’un corps qui s’on couvre. (#. de m£d.) 
-, tlerures, &bullilions, pustules A la peau. 

+ ErrLonescente, adj. 2 gen. (1. de chim.) 
efllorescent : qui tombe en efflorescence, qui 
se couvre d’eflorescence (Corps). 

+ Errioencıa , s. f. (8. de phys.) effluence: 
emanation de corpuscules. — eldcirica, el- 
fiuence eleetrique : rayonnement d’electricite. 

tErLoEnTE, adj. 2 gen. (1. de phys.) el- 
fluent: qui emane des corps ( maliere —e). 

Errtovio ,s. m. effluvium : &manation des 
corpuscules d’un corps. —s, Pf. (8. de chim.) 
eflluves. 

tErrLuviöso, A, adj. d’oü il sort des el- 
flaves. 

Ersücıo , s. m. subterfuge, delaite, echappa- 
leire , faux-fuyant:: ruse pour s’cchapper, pour 
se lirer d’un mauvais pas. 

ErsuLcencia (inus.). V. Respiendor. 

Errunpica. V. Infundiga. 

Erstnpir,, 9. 0. verser, repandre. 

Ersusid, s. f. eflusion, epanchement. (flg.) 
— de caur, vive ei sincere demonstralion de 
conlance ei d’ami äf. 

Errüso,a,p. pP. irr. d’Effundir. 

Erassı. V. Euphrasia. 

Escsar. V. Afusal. 

+EcacaörıLa, 5. f. (8. d’anas.) 6gagropile : 
peloie de poils dans les intestins des rumi- 
nanls. 

Ecio, adj. m. Mar —,(t. de geogr.) mer 
Egee, V’Archipel. 

Eciog, 5. f. (4. de myih.) egide : bouclier ou 
rsırasse de Pallas,, couverte de la peau d’A- 
waltbee. fg.) — , defense; ce qui mei & cou- 
vert (du peril, eic.). 

+ Ecınknseg ‚adj. 2 gen. Eginete : habilant de 
Iıle d’Egine. 

Ecıaa. V. Hegira. 

Euoca,, s. f. eglogue : poßme champeire; 
üalogue de bergers. 

Ecıoccista , 8. m. auleur d’eglogucs. 

Ecoa, 5. f. jument, cavale: femelle du che- 
v3l.—de cubrigdo , jument poulinitre. 

Ecoanico, 3. m. gardien d’un baras. —,A, 
ef. qui provient d’un cheval et d'une änesse 

inalet, ule ). 

ELoasinna , s. f. dim. d’Egoa. 

Ecoisyan , v. n. egoiser : parler Lrop de soi; 
1" s’orcuper que de soi. 

ELoisuo, 5. m. egoisme : amour-propre qui 
Tıpporte lout & 80i; opinion qui permet que 
| usınme rapporte tout & lui, n’exisie que pour 
Ivı seul, aux depens des autres. 

‚kuoista, 8.2 gen. Egoiste : qui a le vice ou 

"opinion de l’egeisme; «ui ne s’uocupe, ne 


u EIV 473 


parle que de soi, fait un dieu de lui-möme eı 
lui sacrifle tout. 

+ Ecuerim, s. m. (1. @kist. nat.) Anon, egre- 
fin, morue de Saint-Pierre : poisson du genre 
du gade. 

EorEcıamente, adv. parfaitement,, oxcellem- 
ment; noblement, avec gloire. 

Ecr£cı0, A, adj. &minent, excellent, parfait, 
insigne; brave, hardi , noble, illustre. 

Ecazssiö, s.f. V. Egresso, Saida. 

Ecrxsso, A, adj. qui a (uilte, qui est sorli 
(d’une coımmunaute religieuse, etc.). 

Ecr£sso, s.m. "sortie, depart, issue ; debar- 
quement,, descentie. 

* Ecr0, a. V. Doente, Infermo. 

EcuA , eic. V. Egoa, etc. 

+ Ecypcıaco, a, adj. Egyptien : d’Egypte, 
habitant d’Egypte. Unguenio —, (l. de pharm.) 
egyptiac : onguent detersif. 

EcyYPciäno 08 Egyptien : d’Egypie, ha- 

Ecr’rcıo,A,adj. bitant d’Egypte. 

Ecvptano.V. Egypeio. 

+ Ecrtantnse , adj. 2 gen. d’Egytanie, an- 
ciennevilledelaLusitanie, aujourd’hui /danka, 
la vieille. 

+ Ecr’pro, s. m. (1. de geog.) * Egypie : con- 
tree d’Afrique. 

"Ei, pour Es, moi. 

ıa , inierj. courage, bon, sus, or sus, al- 
lons! Ca, or cä! Depechons! — pois he bien, 
voyons, allons! — , animo/! allons, Courage! 
— sus. V.— pois. 

* Eısa. V. Eiva. 

® EıcnıTaR. 

* EıcEsso. V. Exee... 

* Eıcmiö. V. Uchdo , Dispenseiro. 

° Eıno. V. Eito. it. Ergo, Excepto. 

Eıcana. V. Enzdda. 

Eır-ı ow Eı-ıa , pour Eis ella, la voici, la 
voila. 

EıL-0 ow Er-Lo, pour Eis elle, le voici, le 
voilä. — que chega, le voilä qui arrive. —s com- 
nosco, les voilä qui viennent @ nous. 

aA, s. f. airo od l’on bat les grains. dl. ant. 
V. Hera. 

* Eınantca. V. Eiradiga. 

* EIRADECO, 5. m. mmcsure portugaise de 12 0% 
24 alquiers. 

*EınaDica ‚3. f. ancien impöt sur le pain, le 
vin,elc. 

Eırino, 8. m. "terrasse, loil d'une maison 
en plate-forme. V. Terrado. 

* Einer. V. Herdeiro. 

Eırnö ow Irö,s. f. poisson qui ressemble & 
Panguille. 

Eıs ou Eis-auuı , ade. demonst. voici, voild; 
tenez. — ali,, voilä. — me aqui, me voici, ne 
voila..— 0,—a,(ant.) V. Eil-o, Eil-a, 

Eıto, s. m.’ suite, lirade, ordre. A—, de 
suite, l’un apres l’aulrc, sans interruption. 

Eıva,s. f. felure : paille dans les metaux; 
pelite tache dans un fruit qui comınence ä se 
gäter. (fig.) ’ Delaut, faible. 

Eıvano, A, ad. [ele; vereux, parlant des 


474 ELA 


ELE 


{ruits; d’une mıaurvaise sanıe: qui a un defautı + Erissorueato, g. m. (f. d’hist. nal.) Oas- 


physique ou moral. p. p. de . 

Bivan-se, ©. r. derenir vercux, parlant des 
fruits ; se feler, dechoir, s’allaiblir, diminuer. 

° Eıvecer. V. Desmoular, Desmaninhar. 

* Eıxeco, V. Enzxeco. 

* EıxectTan, etc.V. Bıoecular, etc. 

* Eıxenvan, etc. V. Desherdar, etc. 

° Eıxengqutına. V. Enzrerqueira. 

° EIXERRESTAMENTS, Adv. V. Violenlamente. 

* Eıxgre. V. Excepto. 

* Eıxioa. V. Saida. 

*Eıxivo. V. Cerrado, Horta, Quintal. . 

Eıxo, 3. m. essieu : axe, pidce qui \ravorte 
les roues. Aze : ligne droite qui passe par le 
centre d’un corps rond, d’une courbe, et sur 
laquelle ce corps ou cette courbe pourtalent 
tourner. — da esphera, axe de la sphere : dia- 
mötre autour duquel elle est suppos6e se Mou- 
voir.— do mundo, axe du monde : ligne droite 
yt’on suppose passer par le centre de la terre 
ci se terminer aux deux p6les. — da balanra, 
axe d’une balance : ligne droite sur laquelle 
eile tourne et se meut. — dplico ou visual, 
axe oplique ou visuel: rayon qui passe per- 
pendioulairement par le centre de l’eil. Tirar 
uma cousa de seus —s, ( fam.) dösordonner, 
renverser, bouleverser une chose. 

EsacuLaciö, s. f. ejaculation : 
(d’un fluide, du pollen) avec force. 

EsıcuLino,&A,P.p. de Ejarular. 

EsacuLapön , adj. eis. m. ejaculateür : mus- 
cle pour l’ejaculation. 

+ EJACULAR, do. a. jeter (un fluide,, le pollen) 
avec force. 

+ EsacuLatörio, A, adj. Canaes —, (1. da- 
nal.) conduits &jaculatoires des vesicules s6- 
nıinales. 

Estcriö, s. f. &jettion, expulsion, dvacua- 
tion. 

EL, pour ELı®. it. uri. ant. Le. Il n’est usite 
qu’avant le nom roi. El-Rei, le roi. 

ELaporacäö, s. f. elaboration : aclion de 
preparer, d’achever, de perlectionner; son ef- 
fei. 

ELApOrRÄDO, A, P. 9. do 

ErLasoran,v.a. (#. de med.) &lahorer : pre&- 
parer graduellement, perfectionner les suc#, 
se dit des operations de la nature. Perfection- 
ner : achever, lravailler avec soin. 

ErAcäd, s. f. hauteur, arrogänce ; elevation 
d’Ame.p. us. 

ELino. V. Gelado. it. p. p. de Blar. 

ELamı, s.m. (f. de mus.) la sixieme noto de 
la gammmed’Aretin. 

FELANITA, 3.2 gen. Elamite, de l’Arabie heu- 
reuse. 

+ ELäpuro, 5. m. (f. d’hist. nat.) elaphre : 
coleoptere carabique. 

+ Erin, v. a. vun. pousser des vrilles, s’at- 
tacher avec des vrilles, parlant de la vigne et 
de certaines plantes grimpantes. Jl est aussi 
reciproque. 


“mission 


motherium : animal fossile en Siberie. 

ELasterio. V. Elasticidade. 

ELasticiäne, 8. f. (l. de phys.) clastiriie: 
qualite de ce qui » du ressort, de oe quicn, 
elastique; propriete qui rend elaslique. 

EListico,A, adj. elaslique : qui a du res- 
sort; qui se redresse , reagit apres la pression. 

Eıiatkaıo, s. m. V. Elasticidade. Elateriam : 
concombre sauvage; suc Ju concombre sau- 
vage. 

tELATERÖMETRO, s. m. (f. de phys.\ elalero- 
metre : instruinent pour mesurer la condensa- 
tion de Pair sous le reriptent. 

+ Eratina, s. f. (6. de bot.) elatine : velvote, 
plante aquatiquo caryophryilee. 

ELatön , adj. m. V. Levantador, Ererlor. 

fELiTRo, 5. m. (1. d’hist. nas.) taupin, er 
cärbot Sauterelle. 

£ıcur, #. m. apostat, renegat.: celui quia 
renonce & la reiigion eatholique. 

Pur. V. Elle. 

+ EL£ocäinpo, s. m. (t. de bot.) eleocarpus: 
arbre de l'Inde, & fruit d’olivier. 

+ Eizicxo, s. m. (ti. de bot.) chalef, plante 
eleagnoide; olirier de Boh@me. 

+ELririco, a, &dj. d’Elde ou Elide, ville de 
Grece. 

ELECTIVARENTE , ado. par election. 

Eiecrivo, A, adj. electif:: qui se fait par 
&lection (roi, pape); ou le rei est cleil 
(royaume). Remidio —, (1. de med.) purzatil 
doux, minoratif. 

EL£cto. V. Bleito. 

Eu£crricıväne, s. f. electrieite : proprieis 
d’attraction ou de repulsion, sympathie, anlı- 
pathie des corps froites; Aluide ineoereible, 
expansif etir&s-actif, quoique presque loujotrs 
invisible, qui se manifeste surtout par le Iröl- 
tement, le contact : il forme la foudre. 

ELecrricism0, #4. mM. dleetrieisme : systeme 
de Yelectricite. 

ELecrrico, A, ady. €lectrique : de l'electri- 
cite (corps, vertu). 

Eıecrkiz, s. f. &lectrice : femme d’un eiec- 
teur de l’empire. 

ELectrizacäö, 8. f. electrisätion : action, 
maniere d'electriser. 

ELECTRIZÄDO, A, p. p. de 

ELeEctriızär, 0. a. &lectriser : developper, 
communiquer la facult& &lectrique ; (Ag. , ani- 
mer, enflammer. ]l est aussi reciprogue. 

ELectrizäveL, adj. 2 gen. slectrisable : qui 
peut ötre electrise. 

EL£ctro, s. m. V. Ambar. Eloetrum : mt- 
lange naturel ou arüliciel d’or et d’argenl. 
Electre : or blanc des Gaulois. 

ELecrröusteo, s.m. electrometre : machine 
pour mesurer l’electricite. 

t Erscrnörnono , s. m. (8. de phya.) Electro 
phore : instrument charge de matiöres eieciri 
ques , etqui les conserve. 


+ ELecrnoscörio, a. m. (6. de phys.) &lo® 


ELE 


troseope : Instrament pour comnaltze L’tloetri- 
cite de V’air. 

ELecttirıo, 8. m. 6lecluaire : espece d’opiat 
fait d’ingredients choisis. 

ELErANTE, etc. V. Elephante, eto. 

Eızcincıa, 3. f. Elegance : choix, politesse 
du langage ; recherche , gräce ei noblesse dans 
kparure, dans les manieres. * Goüt fin et de- 
licat dans les ouvrages de peinture, eto. (fg.) 
Beaute , aspect brillant. 

FLecinTE, adj. 2 gen. dlögant: qui a de 
!elögance; qui a de la gräce et de la noblesse ; 
ahsisi, Poli: 

ELEGANTENENTE, adv. elögamment : avec 
ri. gänce. 

LLEGANTISSIMO , A , 0dj. sup. de Elegante. 

t ELEGENDO, adj. et s. m. celui qui est Ala 
elle d’etre &lu. 

ELectr,, v. a. elire, choisir, marguer ; pren- 
dre par pröference (quelqu’un), le nommer & 
ine dighite , elc., par suffrage. On le rencontre 
dans les classiques employ6 neutralement 
avec la prepositiön em. 

Freciä, s. f. elögie: po&me tendre, Iriste, 
qui exprime la douleur, los regrets. 

Eretiach, A, adj. 6legiäque : qui appartient 
äl’elegie. 

ELsciapA, 8. f. po&me dlegiaque. 

+Euzciertinänk, 3. f. eligibilit6 : capacits 
d’&ire elu. 

ELecido, A, p. p. He Kleger. 

ELzcım&yro, s. m. V. Kleicdo. 

ELEcıocaaPp#0, 8.m. El&giographe : qui fait 
vu a fait des elegies. 

ELECIVEL, adj. 2 gen. &ligible : qui peut @tre 
&ld ou choist; qui peut ätre döpute. 

ELziciö, s. f. election : action d'elire; con- 
eours d® suffrages; choix d’une personne fait 
par plusieurs pour une fOnction publiquo. Li- 
berie d’agir, deliberation. , 

EitıtO,A,Pp. p. irr. d’Eleger. adj. ets. elu: 
teini qui a et nomme A quelgue dignite, A 
quelque place. Os — do Senhor, les clus, les 
predestines & la gloire eternelle. 

Eueitdn, 3. m. electeur : celui qui elil, qui 
ena le dreit; mempbre d’un college clectoral; 
prince d’Allemagne qui tontribuait & l’election 
de l’einpereut. 

Eısıroräpo, s. m. e&lectorat : dignite, qua- 
lite #’6leetear; territoite d’un electeur, en Al- 
iemagne. 

ELerrorir, adj. 2 gen. &lectoral : des &lec- 
lears ; qui appartient & P’electear. 

ELerrvirıo. V. Elecluario. 

ELENentar 0% = elementaire : qui 

BLEMENTAR, adj. 2gen. | appartient A Pe- 

ELguEnTÄrto, A, ad). löement, qui le 
eonstitae; qui contient les Elements (ouvrage). 
(g.) —, premier, principal. 

ELgsento, 3. m. elöment : corps simple qui 


compose les mixtes; (fig.) chose, lieu, com- 
Pagnie , oecupation, elc., qui platt le plus. Es- 


lar no seu —, &ire dans Son &ldınent, dire 
son aise comme le poisson dans l’oau, —g ‚pi. 


ELI 476 


elements : prihtipes d’un art, d’une Scien- 
ce, eic.; (flg.) bases, fondements,, principes. 

f ELeui, s. m. elömi : resine d’Amerique, 

t Eremitına, s. f. (4. de bot.) balsamier ei&- 
mifödre : donne la gomme &lemi. 

ELENA-CAMPANA. V. Enula. 

Eı2nco ou EL£.ncHO, 5. m. calalogue : liste, 
denombrement avec ordre. ($. de log.) Sylio- 
gisme &lenchlique , qui tombe en controterse. 

+ Eigouer:, s. m. el&dmeli : baume huileux, 
6pais, doux,, prodult par un arbre d’Asie. 

ELEOSÄccHARO, 5. M. elbosaccharum : une 
buile essentielle inoorporee avec du suere. 

Eıernancia , 5. f. (8. de med.) 6lephantiasis: 
löpre qui ride la peau comme celle d’un öle- 
pbant. 

ELerHänta, s. f. femelle de V’öl&phant. 

ELernänte, 3. m. 6löphant: le plus grand, 
le plus gros et le plus intelligent des quadra- 
pedes, qui a une trompe, des defenses d’ivoire. 
— imarino, grand mörse. 

Er£ruantia ou ELernantiasıs.V. Elephancin. 

ELeruinrico, a, adj. V. Elephantino. Elc- 
phantique: qui a rapport & l’elephant; Infecie 
de !’el&phantiasis. 

f ELEPHANTENA, s. f. el6phanline : Tläte d’i- 
voire inventee par les Phenictens. 

ELEPRANTINO, A, adj. elephantin:: de l’elc- 
phant; d’iroire. Lioros —s , iivres elephantins, 
des lois romaines sur des tables d’Yweire. 

EırrndaA. V. Elephanta. . 

r Ei£enoro,s. m. (8. d’hist. wat.) 6lcphore. 
V. Nitidula. 

+ ELetrußntas, s. f. pl. eleutheries: föles de 
Jupiter-Libtrateur, proletteur de la liberts des 
esciaves affranchis. . 

ELevacid, 8. f. elcvation, exhaussement; ac- 
tion d’elever, ses ellets; situotion &levee; posle 
eiminent; ( lg.) constilulion en dignite; eat, 
situation, place lie ce qui est eleve;, action d’c- 
lever (l’bostie, la voix); hauteur du pöle sur 
'lıorizon. —, grandeur, elan, mouvement al- 
fertucux de l’Ame vers Dieu ; prieres qui Vexci- 
tent: srandeur de courage, noblesse de senti- 
ments. Alirar por —, tirer de hauteur, de 
sorte «que le corps lanee tombe, en s’elevant, ä 
l’endroit oü l’on vise; tirer A toute volee. 

ELgvÄnamente, adv. d’une maniöre elevco, 
avce el6valion. 

Eurvanıco. V. Levadico. 

ELEYADO, A, 9. p. d’Elevar. adj. (g.) Eleve, 
sublime, grand. Estilo —, haut style. 

ELErANmEnNTO. V. Enleramenio. 

ELzvrin, 0. a. elever, hausser; mellre, por- 
ter, rendre, faire monter plus haut, au propre 
et au figure. ( 4. de malh.) Elever une quanlitö 
au quadrupie, etc. it. V. Enlevar. 

ELevarn-se (a,ale,de, em) v. r. s’elever, se 
hausser, se porter de bas en haut; ( lg.) mon- 
ter en dignite. —, prendre son vol; avoir dcs 
pensees sublimes. dt. V. Enlevar-se. 

Eura ,s. f. fosse pour planter la vigne. 

Enıixo, A, adj. de l’ordre de Saint-Elie (re- 
ligioux ); carıne chausse. 


476 ELO 


+ Eırnenino, A, ow d’Eivire, aneienne 

+ ELisgaıtano, a, adj.\ villedelalLusitanie. 

tEuicıro, a,adj. ($. de phil.) qui provient 
de l'Ame comme principe actif (acte). 

ELiivo,Aı,p.p. de 

+ Euiir, vo. a. elider; affaiblir, faire dispa- 
raltre quelque chose; (4. de gram.) faire une 
elision. 

fEuimnaciö, s. f. 6limination : action d’6- 
liminer; operation d’algöbre par laquelle on 
fait disparaltre une inconnue des &quations. 

ELımıniDo,4,9.9.de 

Euimnin, vo. a. eliminer : mettre dehors; 
chasser, expulser. —, faire l’elimination alge- 
brique. 

ELioraoro. V. Heliotropo. 

Euiöra. V. Eliano. 

Euisiö, s. f. elision: suppression d’une 
voyelle & la rencontre d’une aulre (da, do pour 
de a,deo). 

ELixaciö, s. f. &lixation : action de faire 
bouillir lentement. 9. us. 

+ELıxä00, A, adj. (t. de pharm. p. us.) 
bouilli lentement. 

Euixin, s.m. elixir : Jiqueur spiritueuse, ex- 
traite de differentes substances; quintessence ; 
extrait. Alcoolat, dans la chimie actuelle. 

EıLi, pron. rel. f. elle; lui. 

ELıg, pron. rel. m. il; lui. D’elles , d’ellas, 
(art.) quelques-uns, quelques-unes. Que disse 
—? que fez —? qu’a-t-il dit? qu’a-t-il fait? 

Erg, s. m. nom de la letire L. 

ELLEBORÄSTER, 5. m. (l. de pharm.) drogue 
medicinale. 

Eıesonina. V. Helleborinha. 

Eııtsuno. V. Helleboro. 

EıLipse, s. f. (6. de gram.) ellipse : sup- 
pression d’un ou de plusieurs mots dans une 
phrase. (#. de geom.) —, courbe fermee, que 
l’on obtient en coupant un cöne droit par un 
plan plus incline par rapport & l’axe que la ge- 
neratrice du cöne. 

EıLLiesonico, A,adj. y(i.demath.) quiala 

ELLIPSÖIDE,, adj. 2 gen. forıne d’une ellipse. 

Eruiericiväng , 8. f. ellipticit# : (raclion qui 
exprime le rapport des deux axes d’une ellipse; 
forme constituante de l’ellipse. 

ELLiptico, A, adj. (t. de gram.) elliptique : 
qui tient de l’ellipse (loculion, figure, etc.); 
(1. de math.) conoide (espace). 

+ Eıvisıa, s. f. (1. de bot.) "ellisia : durante 
de la Jamaique. 

* ELLo, varietion surannde du pronom elle, 
qui repond au latin illud, cela. Murra por —, 
qu’il soit condamnme & la mort pour cela, pour 
ce crime. 

EL n£ts, s. m. dim. d’ 

ELmo, s. m. casque, oabasset des anciens. 
(fig.) “Crasse qui vient & la Wie des enfants par 
defaut de proprete. 

LO, s. m. anneau de chalne. Ce qu’on peut 
serrer entre l’index ot le pouce fermös en arc. 
Vrilles de vigne, nille. V. Gavinha. 

EıLocugäö, s. f. elecution, langage; maniere 


ELY 


de s’eıprimer, choix et arrangement des mels: 
diction, style; partie de la rhelorique, yu 
traite du choix et de l’arrangement des mots. 

ELotuopao. V. Loendro. 

Eıociaco, A, adj. qui concerne les tloges. 

ELoctApo, A, p. p. d’Elogier. 

ELocıaDOR, A, s. celui qui loue ; lovangenr. 

ELocıär, v. a. louer, donner des louanges; 
vanter. 

ELocio ,s. m. &loge , louange. 

ELoncacäd, 3. f. (4. d’asir.) elongation.dun 
plandte) : difference entre le lieu du soleil ei 
celui d’une plandte, tous deux vus de la were. 

Eroqu&ncıa, s. f. eloquence: art, talal de 
bien dire, de persuader, d’emouvoir, de 8 

cher, de convaincre; ce qui Irappe, emeul, 
convainc, attire, fixe l’atlention. 

ELoQuEnte, adj. 2 gen. eloquent: qui ade 
P’&loquence; disert; qui ooncerne l’&loquent: 
plein d’expression , de force ( discours, ec... 

ELOQUENTEMENTE, adv. dloquemment, a1 
eloquence. 

ELOQUENTISSIMO „A ‚adj. sup. de Bloguenk. 

+ ELoQuio, s. ms. discours, entretien, paroe. 

* Expression. p. us. 

Eıucıvagäö,s. f. elucidalion, explicalieh, 
&claircissement., 

ELucıväno, 4,9. p. de 

+ ELocipän,o. a. &lucider, eclaireir ; eıpl- 
quer, commenter. 

+ Ervcivarıo, s. m. livre qui contient de 
€lucidations ; commentaire. 

ELvcusaaräö, 5. f. elucubralion : ourraft 
d’erudition fait & force de veilles et de waraıl. 

ELupipo,, 4,P. p. de 

ELvpir, v. a. &luder : rendre vain, Sam 
effei ; eviter avec adresse. u 

+ ELurweria, 3. f. ( 1. de bot.) &lulberia ‚bei 
de crocodile, bois de musc. 

+ Euvanpö, s.m. (4. d’ist. nat.) elwandı 
singe feroce de Ceylan. ı 

Euutaiagäö, 8. f. (4. de pharm.) &lulriauon: 
action de transvaser, decantation. 

ELuTalap0,&A,p.p. de 

Eıurntan, v. o. (8. de pherm.) decanie: 
verser, en inclinant doucement lo vase, uneli- 
queur qui a fait un depöt. 

+ Eıvensg, adj. 2 gen. de la ville dElıw, 
en Porıugal. 

+ Eıvos, s. m. pl. anciens peuples de 
province Narbonnaise qui ont fonde la ville 
d’Eivas , en Portugal. 

Eıxınz. V. Parisetaria et Fagopyro. 

+ ELr'ucos, s.m. pl. anciens peuples dii= 
lie qui provenaient d’Eiyme, compagnon d1- 
ceste. 

+ Eırordöao, s. m. (6. de bot.) elyonat‘ 
plante graminge d’Am6rique meridionale. 

ELr'sıo, s. m. (4. de myih.) Elyste : sejo®' 
des heros, des hommes vertiueuz, elc., SP!” 
la mort. (Ag.! Lieu de delices. , 

ELrsios vu Cauros—, 5. m. pl. Blysxo. 
Champs-Elysees. V. Kiysio. 

+EıLvrao, s. m. (1. d’hist. nat.) elyire: et, 


EMB rn 


alle sollde superieure de l’inseets coldoptöre : 
il a deux &lytres qui recouvrent deux ailes min- 
ces ettransparentes. - 

Eırraopia e6 ELioraopıa. V. Heliol . 

Eu, prep. en. Ex.: — 0 inverno,, en hiver. 
Dans. Ex. : — o quarlo, dans la chambre A. 
rt.:— casa, & la maison, au logis, chez soi, 
chez ui. De. Ex.: — nossos dias , de nos jours. 
a egaivaut quelquelois a la preposition s0- 
're,sar. Ex. : Dormir — terra, coucher sur la 
lure. — SU Passagem , Sur son pussage. Jointe 
aun parkicipe present, elle equivaut & dogo 
ne ‚aussitöt que. Ex. : Em pondo o general os 
nes na prdia , dispdra a arlilkeria, aussilöt 
ıue le general met les pieds sur le rivage , l’ar- 
llerie ire. Em, suivi de Particle o ou a, se 
onrertiten », formant une seule syllabe(em o, 
w;ema,na;oum'o,na). V.No, Na. 

"Eu,adv.V. Bem, Aında. 

Rus, s.f. V. Abesiruz. — da A’sia, *casoar. 
-do Brazil , "touyon os touyou. 

Enscıacäö, s. f. emaciation : amaigrisse- 
ment, maigreur. p. 48. 

Eustsapo, A, adj. &macie : delorme par la 
maigreur. 

* En-ıner ou Eu-Eider. V. Accrescentar. 

Euıınan. V. Emmalhar. 

Eu-auazan. V. Alhear, Alienar. 

Euniciö, 5. f. &manation : action d’ema- 
ner; ce qui $mane en general. 

Euanino, a, p. p. de Kmanar. 

rt Emanintg, adj. 2 gen. &manant, qui 
tmane. p. a. de 

Euanar (de), v. ®. &maner, provenir, tirer 
son origine de. 

Ewancıracäö, s. f. emancipation : acte qui 
tmaneipe ; ses effeis. 

EwancıriDo, A, p.p. de 

Emancıpin, v. a. &manciper : mettre hors de 
tatelle,, hors de la puissance paternelle. 

Emancıräin-sE , vo. r. s’emanciper : sortir de 
wielle, de la puissance paternelle; (fg.) se 
gouverner par soi-meme; prendre trop de li- 
berte,, de licence; sortir du devoir, des mesu- 
res, des bienseances. 

Es-ırciDo, A, adj. enarc. p. p. de 

Eu-ıxcar. V. Arquear. 

Eu-ıvsssipo ,A,P.p. de 

"TEw-avussan, o.0. faire du tort, causer 
du dommage, du detriment. 

Eusasacip0, A,p. p.de 

Eusasacäa, ©. a. amuser, leurrer, enjöler, 
empaumer. 

Eusscino, A, p. p. de Embarar, 

Eunacapon, A, adj. qui etonne, stupeße, 
rend interdit. 

EusacamenTo, 5. m. ötonnement extatique, 
stopefaetion. 

Eunacar , o. 6. teindre d’une couleur brune. 
Temir, blemir. Opiler, obstruer. (#g.) Etonner, 
anmeder, rendre inlerdit; embarrasser, empe- 
cher. 


es EMB 471 


d’&tonnement, etc. (em) Perdre sa force & cause 
d’un obstacle, de quelqu’'un;; s’amortir. 

EusacELLiDo,A,».Pp. de 

EMBACELLAR, v. a. planter une vigne. 

EuRActıÄDO,A,p.p. de 

EMBACIAR, dv. a. lernir : Öter le lustre, l’öclat 
(d’une glace, de l’acier, etc.). (g.) — la gloire, 

EumnacrÄn, v.n. et —se, dv. 7. 86 ternir : por- 
dre son eclat, son lustre. 

Eunaipo,A,2. p. de Embair. 

Ewusaindor, A, adj. ci s. emboiseur, enjöleur, 
fourbe,, troınpeur : qui cngage par des cajole- 
ries, des flatteries, des promesses. 

EuBAim£nto, s. m. enchantement, seduc- 
tion, fascination *Ruse, artific, tromperie, 
fourberie. 

EMBAINHADO, A, 9. p. de 

EMBAInHÄR, v.a. ourler. V. Abainhar. Ren- 
gainer : remettre dans le fourreau, dans la 
galııe. 

Eusaik,v. a. emboiser, seduire,, tromper, 
enjöler. 

EusamxÄpa,s. f. ambassade : mission aupres 
d’un gouvernement; charge, fonction d’un am» 
bassadeur; sa suile; message enire parlicu- 
liers. 

EmbBaixaDOrR, 8. m. ambassadeur : envoy& 
d’une puissance aupres d’une aulre , avec un 
caractere public de representation du soure- 
rain qui l’envoie. 

Eupaıxanora, s. f. ambassadrice : envoyede, 
fomme chargee d’un message. 

Emsaıxatriz, 8. f. ambassadrice : femme 
d’ambassadeur. 

EnnaLA00,A,Pp.p. de Embalar. 

+ EmsaLadOR, A, s. celui qui berce. 

EMBALANGADO, A, pP. p. de 

EMBALANGAR, d.@. peser en balance. if. V. 
Balangar. 11 est aussi reciproque. 

EusaLirn, 0. a. bercer : mouvoir dans et 
avec le berceau , pour endormir; (fg.)— de, 
amuser par des promesses, de fausses esp6- 
rances. it. Inspirer, enseigner (& quelqu’un) des 
Penfance (des maximes, des sentiments, eic.). 
— alguem com alguma mazima ou douirina, 
enseigner & quelqu’un des le berceau , d&s l’en- 
fance quelque maxime ou doctrine. 

EusaLßTE, 8. m. piece d’une pompe. 

EusaLLin, 9. a. emballer.V. Enfardar, En- 
fardelar. Bun 

EusiLo, 3. m action de bercer; agilation 
(de la mer, etc.). 

EupaLsino, A,p. p. de Embalsar. 

EusaLsaminO,A,p. p. de Embalsamar. 

EMBALSAMADOR ‚3. m. embaumeur : celut qui 
embaume les Corps. 

EusaLsamir, v0. a. embaumer : remplir un 
corps mort de baume, d’aromates, pour eımpe- 
cher sa corruption ; parfumer, remplir de bonne 
odeur. 

+ EmsALsAuEnTO, 5. m. embaumoment : a0- 
tion d’embaumer un corps mort. 

EmsaLsin, 9.6. melire, cacber, fourrer dans 





















Eusacan „o. m. (Ag.) ötre saisi d’admiration, 





478 EMB 


une baie; melire dans une cuve, sur un E- 
deau. 

EubaLsan-se, ve. r. sienfoncer dans un bois; 
se fourrer dans un hallier. (4. de mar.) Se met- 
tre dans un tapecu de callat. V. Balso. 

MBANDAn-SE. V. Bandeir-se. 

EMBANDEIRÄDO, A, 9. 9. de 

Euaanpälrär, o.a. orner de pavillons, de 
drapcaux, pavoiser un navire. Enröler sous les 
drapcaux de... Donner une bannicre & une cor- 
poralion. 

EuBANDEIRÄR-SE, 9. r.— omilko, pousser 
lesommet , parlanı du mais. 

ENBARAGCÄDAMEATE , adr. avec embarras, 
difficilement. 

EuBARAGADO, A, 9. p. d’Embarapar. ad). 
Embarrasse ; confus. V. Enleiado, Mulker—a, 
femme qui a ses rögles. 

T Eusanacapon, A, adj. ct s. qui cmbar- 
rassc, qui met des obstacles. 

EMBARACAMENTO, #. m. V. Embarago. 

EMBARACAR, ©. a. embarrasser, causer de 
Vombarras, €ire un obstacic, melire des en- 
traves, empecher ; meler, embrouiller. ($g.)—, 
melire en peine. donner de Yirresolution; in- 
terdire ;rendre obscur, embrouille(unc aflaire, 
une queslion, etc.).— o commertio, gener la 
libert6 du commerce. /sso Bäo embaragu, cela 
n’ompeche pas. 

EuBanacan#E, ©. r. s'embarrasser, s’em- 
brouiller, s’engager dans une affaire diflicile ; 
s’impliquer; (Ag.) devenir diflicite a resoudre, 
se compliquer. — com alguma cousa, se meler 
d’une chose, y prendre part. — com alguem, 
avoir des demeles avec queiqu’un. Ndo se em- 
baragar com cousa alyuma, ne se meler de 
rien. —a mulher, avoir ses re&gles, parlant 
d’une fenmie. 

Emsanico, s. m. embarras, obstacle, emp£- 
chement; (Ag.) confusion de choses difficiles a 
dobrouiller; perplexite. 

t EMBAUAGÖSANENTE, ade. avec embarras, 
d’une manicre embarrassante ; diicilement. 

EuBAnnc0so, A, adj. cmbarrassant: qui cause 
de l’embarras,, de la gene. 

Eusanauuan, V. Baralhar. 

* EuBAaRATAR. V. Avenlurar. 

ENMBARBASCÄDO, A, P.p. de 

Eumpansıscir ,v.a. jeter dans les rivieres la 
eoque du Levant, ou des capsules de wolene 
pour enivrer lo poisson. (fg) Embarrasser, 
rendre obscur, embrouillc. V. Eslonicar. 


rasser dans les racines, parlanı de la charrue. 


(fig.) S’embarrasser, se troubler, se brouiller. ! 
Eupaskcacaö,s. f. * bäliment, vaisscau , bar- ' 
que, , embarcalion , navire en general. * Enıhar- ' 


quement : action d’embarquer, de s’ermbar- 
quer. — daviso, barque d’avis, aviso. — de 


EMB 


Runancassextro. V. Embarque. 

Euparche, ©. a. embarguer : meltre dans 
un navire, dans une barque (des personnes, 
des vivres, elc.). v. w. et— se (em), %. Tr. Seur 
barıuer, au propre et au fig. — w’um megoeio, 
sembarquer dans une affaire : se lier, s’enga- 
ger dans une aßaire. — w’um discurso, cOur- 
ıuencer un discours, enirer en maliere. 

Eupancino, A, 9. p. de Embargar. adj. 
Saisi; mis en embargo ; paralyse, fIimnpoical 
‚membre). — na falla,, begue. — dos memiros, 
paralytique. 

EMBARGADOR, A, adj. qui embarrasse, qui 
gene. s. Celui qui saisit, qui met en ernbarzo. 
i4. L’opposant. 

EMBARCAMENTO. V. Embargo, impedimenio 

EusARcANTE, p. a. d’Embargar. Qui emlıar- 
rasse, qui gene. Näo —, nonobstant. 3. 2 ges. 
(l. de prat.) Opposant en justice. 

Eusancie, D. a. s’opposer & l’execution de, 
former opposilion en juslice ; saisir, scquesirer, 
meitre en requisition. ( Ag.) Emp£cher, embar- 
rasser, relenir, causer de l'embarras. — navios, 
meiire un embargo, arretcr des vaisseaut. 

EMBARGÄR-SE de), v. r. (arl.) prendre con- 
naissance de. Eire saisi, mis en emmbargo: tire 
retenu , embarrasse. 

+EusarcävEL, adj. 2 gen. (l.de prai.) qui 
peut ötre saisi, mis cn embargo. 

ENBARCO, s. m. emp@chement, obstacle; op- 
position en juslice ; saisie, sequesire; requisi- 
uon. ( Ag.) Eınp@chement, obstacie. — de na- 
vios, embargo. —s, pl. ı l. de pras.) opposilioa 
en juslice, action de s’opposer; pratesiation 
contre l’execution (d’un juccmeut, etc. ; actt 
qui la constate. Por, rir cunı —, oppör —s, (id. 
s’opposer : former oppeilion & Fexecntipn dun 
acte. Sem — de, nonobstant, eepeadant, mal- 
gre. Sem — do que, quoique, bien que, ei- 
core que, nonobstant. Sem — dos —s (1. de 
prat.) malgre lous les obstacles, nouobstant 
lout empechement. " 

EuBÄRnQUE, 8. m. embarquement : action 
d’embarquer, de s’embarquer. 

EurRARRÄDO, A, adj. V. Barrddo. it. p. p- 
d’Embarrar. 

EMBARRANCÄDO, A, 9.9. d’ 

EMBARRANCAR, v. a. embarrasser, traverser. 
melire des enlraves ; eimbourbes (une ve: 
ture, etc.). 

EMRARRANCÄR, ©. N. el -SE, 9. r. siembar- 


| rasser, toınber dans des eıubarras, au propre 
EUBARBASCAR, v.n.et—se, v. r. siembar- i 


et au figure; s’arr&ler toul court. — sempre na 
incsma difficuldade , &tre loujours engage dans 
les ınames difficultes ; ne point sortir d’affaire. 
EmRARRÄR, v. a. enduire deterre grasse , In- 
ter. V. Barrar. v.n. Chopper, heurter contre 
une pierre, etc. 
Eusarrän-se, u. r. grimper. Se dit dela vi- 


eoberta, bäliment ponte. — sem cobertn, bäti- |! gne plantee & cöt& d’un arbre sur Iequal elle 


ınent non ponie. 

Eusancan0, A,P. pP. W’Embarcar. 

t EMBARCADOURO, 3. sh. embarcadere : lieu, 
post ob Yon embargus. . 





grimpe. Gagner les hautcurs ; se jucher. 
EMRARRELÄDO, A, . p. de 
EMBARnELÄn, 0. a. meltre ä la lessive. 
ENBARRICADO, A, 9. 9. d’Zmbarriar. 


EMB 


+Exmarnicia, 9. a. metira en barrkque (fa- 
fine, poisson marine, elc.). — erenques, en- 
eagaer du hareng. 

ENBARBILÄDO, A, P. p. de 

EusanRıLÄr,, 0. a. embariller ; mmettre an he- 
ril (da vin, etc.); encaquer (les barengs, la 
peudre,, eic.). 

EusaspacäAno, A, ad). Ficar —, demeurer 
isterdit, ravi d’admiration. p. p. de 

Eusaspacär, v. mn. sebahir, etre stupefait, 
demeurer interdit; hesiter. 

EusastÄpo, A, . p. de . 

+Eusastar, o. a. coudre, bätir, baguer, pi- 
guer A grands points. Faire des piqüres aux 
matlelas. 

EusasTEc£R , ©. a. &paissir, rendre 4pais (un 
ligaide ). 

Eusastecino, A, p. p. d’Embastecer. 

Eusastin. V. Embastar. 

Eusitg, s. m. heurt, choc impe£tueux (de la 
mer contre les rochers , etc.) ; percussipn. (Ag-) 
Opposition, resistance. Allaque violente. —g, 
Pl. (fg.) coups du sort, du hasard. 

Eusaccäipo , A, p- 9. d’Embaucar. 

Eussccapör, 3. m. trompeur, enjoleur, 84- 
dueteur : celui qui leurre, qui attire pour 
womper. 

Eusitcän, ©. a. (ant.) leurrer, allirer pour 
tromper, enjöler, seduire. 

Eusatıkno, A,p.p. de 

+EusatcLir, v0. a. enfermer, mettze daua 
un coffre, dans un bahut. 

Eusixipa, etc. V. Embairdda. 

EusgBec£r, ©. a. charmer, eionner, stup&- 
Ser, rendre interdit, exciter l’admiralion. 

EuseBec£n-s£, c.r. demeurer interdit, ravi, 
stupefait. 

Euaesecioo,A, p. p. d’Embebecer. Ficar —, 
adj. demeurer interdit, ravi, chbagme, stupefait. 

EMBEBECIMENTO, s. m. elonnement, exceg 
dadmiralion, stupefaclion, rayissement d’es- 
prit. 

Ewstsepino,A,p.p.de 

Eusesgpdar, ©. a. enivrer, gofler: rendre 
irre, soül. (äg.) Assoupir, tourpgr la tEle, en- 
dormir, ötourdir, troubler. 

Eus£ueDÄn-SB, 9. r. s’enivrer, se soüler. 
'ig.) Se livrer & des Yransports (d’amour, de 
colere, etc.) ; perdre la raison,, la prudence. 

Eusep£a, o. a. inıbiber : abreuver, mouiller, 
(are penetrer par une liqueur; pomper, atli- 
rer Fhumidite,, l’absorber. Introduire, enchäs- 
ser. Faire boire une &loffe, la tenir läche en 
eousent. Faire bien compreudre, penetrer. 
XAg.) Enfoncer (une epee, un poignard, etc.). 
(#d.} Consumer, user, absorber insensiblement 
(le temps, V’argent, etc.). (id.) Cacher, celer ; 
reprimer (ses pensees, ses larmıes, elc.). — um 
erco ou a sella no arco, encocher, bander un 
are, 

Eusrsfr, v. n. se raccourcir, se reirecir. On 
€ dit d’une &loffe mouillee. 

Euseper-s£,o.r. s’imbiber : devenir imbi- 
be, peneirer dans... (fig.) V. Embibecer-se. 


EMB 479 


(id.) Simstruire radicalement, & fond, de quel- 
que chose. ‘ 

EMBEBERÄDO, A, pP. 2. de 

EupzsKaÄR, ©. a. abreuver : faire boire (les 
betes) ; mener & l’abreuvoir. V. Abederar. 

Eyazsino, A, p. 9. d’Embeber. adj. (Ag.) 
Imbu, penetr6 de; tout occup6 de; rarvi. Y 
Embotte. ° 

" Eusesonan. V. Embebsrar. 

EuszLecino, A, pP. p. d’Ewmbelscer. 

ENMBELECADOR, 3. m. en)öleur : quialtrappe 
par de helles paroles. V. Embaucador. u 

EMBELECAR,, v. a. en)öler: seduire , tromper 
par de belles paroles. V. Embaucer. 

* EussLEGAR. V. Alurdir. 

EuBELßco, s. m. (an£.) presiige, ruse, arti- 
fice. V. Embaimento. 

T EMBELLEChR, v. a. embellie : rendre beau ; 
pater, enjoliver. . 

EuBELLECIDO, A, pP. p. d’Emhellecer. 

EMBELLEZÄDO,, A, pP. p. d’Embellezar. 

EMBELLEZANENTO. V. Embellezo. 

ENDELLSZAR , 0. a. charmer, elanner, stupe- 
fier, rendre interdit, exciter ’admiralion. Il ess 
aussi reciproque. 

EMBELL£ZO, 8. m. transport, enthousiasme, 
exiase, ravissement d’esprit, ivresse de joie, 
d’admiration, etc. Objet ravissant, charmant. 

+ Eunmriza,s. f. (4. d’hist. nat.) emberise, 
bruant : genre d’oiseaux. — longicauda, la 
veuve & epaulettos. 

EusespınHAno, A, ?. p. de 

ENMBESPINHAR-SE, ©. Tr. (Pop.) rechiguer, 
s’eniporter, prendre la mouche. 

“ E“sEstApo, A, adj. arme d’une arbaldie. 
(Ag.) Prät pour le combhal. 

ENBETERGIDO, A, P. P. de 

EuBETERGÄR, v. a. acculer, meitse dans une 
ruelle, dans un cul-de-sac. V. Encurralar. I 
est aussi reciproque. 

Euseromie. V. Belumar. 

Eupevecen, etc. V. Eindebecer, atc. 

EMBEZERRADO, A, pP. pP. de 

EUBEZERRÄR-SE, P. Tr. ( 90Pp.) se refrogner le 
visage, on signe de mecontentement.V. Auuar- 
se. 
Bweiciv0, A, p. p- ’Embicar. 

EuBICADOR, A, adj. ets. qui branche (cheval, 
eic.). 

Kanıcin ‚ vo. ». chopper, beurter, donner 
contre; broncher, trebucher. (Ag.) Fire arrdı6 
par une difficulte;; faire una querelig. v. @. 
Donner la forme d’un bec (aux bords d’un cba- 
pean, etc.). 3 

EMBICAR-SE (para), 9. 7. so dirigor vera; 
viser & (imus.). , 

+ Empıcäiva, 8. f. (pop.) "heurt d'une per- 
sonne contre une auirc, en se Inuchant le 
nombril mutuellement; scrie de. mauvewent 
qu’on fait dans la danse des nögres, etc. 

Eupico, s. m. nombril : creux au miliey du 
ventre, cicatrice du cordon ombilical; cordon 
ombilical; ombilic; enfoncement & cerlains 
fruits. Milieu, centre d’une chose. Ter-Läecor- 


480 EMB EMB 


tado 0 —, (Ag.) aimer tendrement une per-| Eunoro,s.m. piston : eylindre qui se ment 
sonne, ne pouvoir s’en a&parer dans le corps de pompe et y fait le vide, cylin- 
Eusı0cin0,A,Pp.P. de dre adapt& & une seringue pour pomper l'eau. 
Eusıocir, o. a. affubler : v&lir, couvrir, en-| EwroLsino, A, p. p. de 
velopper la t#te, levisage d’un voile, ete., d’un| EwBoLsar, v. a. embourser : meltre’en 
habillement grotesque. Il est aussi r&eciproque. | bourse ; rembourser. 
Eueina, s. f. plante du Bresil A &corce -] EMBOLSÄR-sE, 0. r. se rembourser:: se faire 


breuse dont on fait des cordages. payer d’une dette. 
EubirniDo, A, Pp. p. d’Embirrar. EumB0Lso, s. m. emboursement: action d’em- 
EMBIRRÄNTE, adj. 2 gen. opiniätre, entöt#,, | bourser. Remboursement : action de rembour- 
qui s’obstine. ser. 


EuBıRRÄR (com,em) o.». s’obsliner, s’opi-| + Empovina, 5. f. (8. de mar.) *radoub:re- 
niätrer; s’entöter, se buter. — com alguem, | paration faite au corps d’un vaisseau. 
s’emporter fort contre quelqu’un. —com algu- | EumBOoxino, A,p.p.de 
ma cousa, se fAcher ä cause d’une chose qui | Eupoxin, (f. de mar.) souffler, renforcer le 
sontrarie. — em ou n’uma cousa, s’obstiner ä | bordage d’un vaisseau. 

Aire ou A ne pas faire une chose. ENMBONECADO, A, p.p. de 

Eusıscan. V. Empiscar, Piscar. EMBONECÄR, ©. @. parer, affeter comme une 

EueLtsa, s..m. embleıme : figure symboli- | poupee, atinter. 
que avec des paroles sentencieuses; allegorie | EMRONECAR-SE, ©. r. se parer avec affelen, 


m general. avoir l’air d’une poupee; s’atinter, faire le da- 
EMBLEMÄDO,A,P.p. de moiseau. 
+ENMBLEMÄR, v. a. indiquer, designer un su- | EMRONO,s. m. (l. de mar.) soufflage : bois en 

jet par un embl&me. dehors du navire pour faciliter lavoilure. 
EMBLEMÄTICAMENTE , adv. emblematique- | EmBöQtE, s. m. passage d’une bille, au bil- 
ment : par embl&me. lard, par la passe, etc. u 
EMsLemÄTIco, A, adj. emblematique : qui Empöras, 8. f. pl. *compliment de feliciia- 
tient de l’embleme. tion. V. Parabens. p. us. 
Euposonan. V. Embeberar et Abeberar. EmsöRA, adv. heureusement, ä la heise 
Emeocivo,A,p. p. d’Embocar. heure, fort & propos: soit. Quoique, quam 


EmeocAanürA, 8. f. einbouchure : partie du | meme. Ir-se —, s’en aller, parlir. Seja —R 
mors qui entre dans la bouche;; maniere d’em- | ou conforme queres, soit, je le veux.jyon- 
boucher la flüte, lecor, etc.; ouverture d’un | sens,, passons cela ; comme il vous plaira, SOU“ 
canon; eniree d’un fleuve, d’une riviere dans | votre bon plaisir. 
la mer. Emnoncicid. V. Embroragäo. 

EuBocaAR, ©. a. emboucher : mettre A la bou- | Ewsonci00,A,Pp.p.de . 
che {un cor, une trompeite) pour en lirer des | EMBOoRcÄR, v.a. renverser sens dessus des- 
sons ; mettre le mors. Faire entrer, faire pen&- | sous; vider jusqu’& la derniere goulle. 
trer parun lieu etroit. — a barra, it.demar.)| EwsorniL,s. m. (f. de mar.) dalot, orguc 
embouquer, gagner l’embouchure d’un fleuve, | ouverture au tillac par oü l’eau g’ecoule. sl. 
d’une riviöre. — a irombeta, (fig.) proclamer. | Sac avec de l’avoine ou de l’orge qu’on altache 
— a bola,, pousser dans la blouse (au billard). | aucou deschevaux, etc., vulgairement appel: 
= wma ’00e , appäter. muselte. 

Eusocäir, v. n. entrer, penetrer dans un lieu | EwBORRACHÄDO, A, pP. p. de 





etroit, dans un canal ‚etc. EMBORRACHÄR,v. a. enivrer, soßler:rendtt 


Eusocino,A,p.p.d’ ivre, soül. 

Eusocäir, v. a. cr&pir : gobeter, enduire de |  EMBORRACHÄR-SE, ©. r. s'enivrer, so soület. 
mortier un mur. | EMBORRALBÄDO, A, adj. cendreux. p-P- de 

Eu20c0, s. m. enduit, crepi, gobet (d’un! EMBORRALHÄR, ©... couvrir de cendres 0? 
Nur). de braise. 

Emsörta, s. f. V. Logragäo. EMBORRALHÄR-SE, ©. r. se salir de cendris 

Emsoriva. V. Balcarridda. ou decharbon;; se vauirer dans les cendre- 

EMBOLADO, A,P.p. de se dit des chats, etc. 

Emsorir, v.a. garnir de boules les cornes! EmBoscänA, 8. f. embuscade, piege , embl- 
jun taureau, les rembourrer pour l’empecher che dans un lieu couvert, dans un bois, pu 
je faire du mal. surprendre l’ennemi. 

EmsoLprsäir. V. Sujar. EnnoscÄDo, A, 2. p. de 

"Eusörna, s. f. grande outre de vin qui} Euwsoscar, v. a. embusquer : mellre en eM 
chargeait une bete (le somme. buscade. 

EMBOLISMAL, adj. 2 gen. embolismique : in- | Ewsoscir-s£ (em), v. r. s’embusquer : # 
tercalaire, (mois) intercal& dans l!’annee lunaire | cacher pour surprendre; se meltre en embur 
pour former le cycle. cade. 

EMBOLISMO, s. m. embolisme, intercalation; | EwsosTäno,A,p.p. de 
mois intercale. Kusostän, v.a.barbouilleravec de lebou®“. 








EMB 


Ensorastimas, s. f. pl. genonillöres. 

Emsorino, A, 9. P. d’Emboter. 

Eumwrapdaa ,s. f. l’action d’6mousser, d’6- 
ter le dl, la pointe 4 un instrument. 

Eusoramento, s. m. V. Emboladure. Riat 
d’une chose &moussee. (fg.) " Stupidit6, abru- 
tissement. 

Eusotär,, 9. 6. &mousser : Ööter la pointe, le 
tranchant ; (Ag.) hebeter ; öterla force (de l’e»- 
pit, des sens, eto.); önerver, affaiblir. — 08 
denies, agacer los denis.—oengenho , hebeter. 

ENBOTAR-SE, 9. r. s’tmousser; perdre 5a 
force ; s’aßaiblir. 

EMBOTELNAR. V. Engarrafar. 

Kusaacapkina, 5. f. ano; poignde “un böu- 
elier. V. Breosdeira. 

EwarıcäDo, A,Pp. p. d’Embragar. 

Eupnacapina, s. f. l’action de passer un 
bouelier au bras. V. Emdr 

Eusnacam£nto, s. m. V. Emdr 

Eubaacär , 0. 6. prendre un bouclier, le pas 
ser au bres. 

Euszanupdecka, ©. a. amollir, adoueir, ra- 
wollir. v. ». S’amollir, sattendrir. 

EuSRANDECIDO, A, p. p. d’Embrandecer. 

Eusnausan, oic. V. Embrenhar, etc. 

Eunkasgouscea, v. a. blanchir : rendre blanc. 
9.8. —, Jevenir blanc, grisonner. 

EUBRARGUECIDO, A, pp p. d’Embranquecer. 

EusnarBan-SE. v.E mbravecer. 

Eusaavscka, v. a. rondre [arouche, cruel, 
ote. ; rendre furieux, irriter, mellre en oolere. 

EMBRAYECAR, o.n. et —ee, dv. r. devenir fs- 
reuche, cruel , etc. ; devenir furieux , se melre 
en coldre, sirriter, so fächer; s’emporier, 56 
porter ä des eıxcoös; s’agiter, devenir furieuse, 
parlanı de la mer. 

Emanavscino, A, 9. P- W’Emdravwcer. adj. 
Ondas —as, Nois en oolöre. 

EHSRAYVECIMENTO, 3. m. * [erocite, emporte- 
ment; rage, colöre violente, fureur. 

Rumazan, etc. V. Brear, etc. 

Eusascnino, A,P.P. d’Embrecher. 

Eusascminos, s. m. pl. "rocaille: cailloux, 
esquillages incrustös. 

rt An, 9. a. omner d’ineruststions en 
reeaille, ineruster de cailloux, de coquillages. 

ENBLEWMÄDO, A,p. p. de 

Eusaenmin, 9. a. cacher, enfoncer dans un 
beis &pais,, dans des buissons,, elc. 

Eusruuman-se, v. r. s’enfoncer dans !’&- 
paisseur d’un bois, dans des buissons, dans 
des halliers. 

+ Eunnıacipautnte, ade. avec irresse.(flg.) 
Avec extase, avec enthonsiasme. 

Empnrackno, a, p. p. de Embdriagdr. adj. 
Irre, soül. (Ag. ) Transports, ravi, extasie. 

EMSRIAGARTE, adj. 2 gen. enivrant. p. a. de 

Euszıacia,v. a. V. Embebedar. (fg.) Eni- 
vrer, absorber l’esprit, transporter, ravir, ex- 
tasier, metise hors de sei, enthousiasımer. 11 
©8t aussi reciprogue. 

Eumnıagutz, 5. f. ivresse : tat de oelui qui | cri 

PORT.-FR. 


EMB sei 


ost ivro. (Ag.)-=, extase, rayissoment, enthou- 
siasme. 

Eusnli6, V. Embryo. 

EuasıpiD0,A,P. 9. de 

Eusnıpäa, vo. e. brider : mettre la bride. 

Emsnrpin, v. w. courber le cou, porter bien 
la t&te, parlant des chevaux. —se, v.r. (fig.) 
s’onorgueillir, devenir arrogant, insolent. 

Eusrocaciö,s. f. (lt. de med.) embrocation : 
arrosoment, fomentation avec les mains, une 
6ponge , etc. ; ligquide qu’on verse sur une partie 
malade. 

ENBROCAR , ele. V. Emborear, etc. 

* EUBROLAMENTO, s. m. V. B 

EMskULHina, s. f. Confasion , embarras , em- 
brouillement; intrigue; brouillerie. 

EMBRULHÄDANENTE , ado. d'une manidre em- 
brouillee,, confuse. 

EusauLnipo, 4,9.9.d’Emdrulher. 

EMBRULBADOR, A, 8. qui embrouille, qui 
brouille, qui met du desordre, de la confu- 
sion. Brouillon , tracassier, faiseur de paquets. 

EMBRULHAnNÜRA, 5. f. “ enveloppement. 

EMBRULHANENTO, s.m. l’action d’embrouil- 
ler, d’envelopper. — d’ssiömago, naus6es , nal 
au c»ur, envie de vomir. 

EmsaULHÄiR, ©. a. envelopper, empaqueter. 
(fig.) Embrouiller : meitre del’embarras, de la 
oonfusion. Brouiller, diviser, mettre en mau- 
vaise intelligence. — 0 esiomago, Ccauser des 
naustes,, soulever lo caur. 

EupruLBir-se, v. r. s’embronuilier, s’em- 
barrasser;; se troubler. Se brouiller, se couvrir 
de nuages, parlant du temps. — 0 estomago, 
avoir des nausdes, mal au cur. — 0 ospole, 
s’envelopper dans son manteau. — fallande. 
bredouiller. 

+ EusatLno, s. m. paquet, chose envelop- 
p6e. (Ag.) Galimatias, embarras, confusion, 
embrouillement, imbroglio. (id.) ° Brouillerie, 
tracasserie. 

Eusauscino, A, 9. p. de 

EMBRUSCÄR-SE , ©. r. se couvrir de nunges, 
de brouillards, s’obscureir, &tre nöbuleux, 
parlant da temps. (fig.) Se fächer;; s’atirister. 
— 0 fempo , se couvrir, parlant du temps ; (g.) 
tourner mal, parlant d’une affaire, oto. 

Eusauran. V. Emdrutecer. 

Eusaursctr, v. a. abrutir, höbtter ; rendre 
stupide. 

EMBRUTECER, 9.%. 6-80, 0. 7. s’abrutir e 
devenir gupide, hebei£. 

EnBRUTECIDO, A, P. pP. d’ Emdruiecer. 

EMBRUTECINENTO, s. m. abrutissement : dit 
d’une personne abrutie; stupidiLs grossiöre. 

Eusauxino, A,p. p. de . 

Eusauxän, v. @. onsorceler. V. Enfeilicor. 

Eusaviö, e. m. ombryon : fotus naissant 
dans Is matrioe; : rudiment du jeune fruit, des 
plantes, des feurs, oto. (fig-) Chose eonfuse, 
sans ordre, sans forme. Ester em, n'etre 
point sorti de sa coquille. 

Eusnvocaarnia, 3. f. embryographia : des- 

cription du faatus dans la matrice. 

3 





482 EMB 


t EusnvoLochs,, s. f. embryologie : traild 
sur l'’embryon dans la matrice. 0 

+ Eusavortouia , s. f. embryotomie : disseo- 
tion ow extraction de l’embryon. 

+EwsaYvuLQuia, 3. f. (£.dechir.)embryuikie: 
extraction forode du fatus. 

+Eusoi, s.m. nom d'un insecte du Bresil : 
on en fait une masse caustique qui brüle les 


chairs. 

Eusuckipautinte ,„ adv. V. Dissimulade- 
monie. 

EuBuGaDßTE ‚adj. 2 gen. dim. de 

Eusucino, a, adj. enveloppe, couvert.p.p.de 

Eusogin, 0. 6. se couvrir le visage jusqu’ä 
la hautsur des yeux. (g.\ Deguiser, oacher ce 
qu’on pense, perler on termes ambigus. — @ 

Eusoucän+#E, vo. r. s’aflubler, s’envelopper 
dans son manteau. (flg.) Se masquor, se d#- 
guiser ; dissimuler. 

Eusucnivo, A, adj. gorge. (Ag.) Interdit. 
p.p: de 

EMBUCBÄR, 9. G. rassasior, gorger, remplir 
le jabot. (Ag.) Interdire. 

Eusöco, s. m. la partie du manleau, eic., 
qui sert A couvrir le visage; affublement. Ma- 
niere dont quelques femmes se cachent le vi- 
sage avec leur volle, en no laissent entrevoir 
qu’un @il. (Ag.) Tour de phrase : manidre 
adroite de faire entendre sa ponste sans la de#- 
clarer ouvertement; ruse, dissimulsation, de- 
guisoment. 

Eustne. V. Ambusde et Funil. 

° Eunufzano, a. V. Curvado. 

ums. V. Emboio. 

BURILHÄDA. 

ENBURILHAR-SE, etc. Y. Embrulk..., etc. 

Kusunnieo, a,p. p. de 

Eusunräin,v.n. (6. pop.) s’arröler lout court. 

Emsnunsıcino, A, p. 9. de 

Eusunnicia, ev. a. (l. P0p.) prendre pour 
dupe ‚se jouer de, attraper. 

EusunuLsina, ote. V. Embrulhdda, etc. 

Emsdste, s. m. menterie, mendonge artil- 
eienx, fourberie, ruse. —, pl. V. Patrankas. 

Eupusteipo, A, p. p. de 

+ Eususrain, o. a. trormper par des menson- 
ges. V. Embair.v.n. Usersouvent de menteries, 
tromper sauvent, [abriquer des mensonges. 

EnMBUsT£ıro, A, 8. menteur: qui dit des men- 
tert; fourbe,, imposteur, hypocrite; fnaud. 

MBUSTERIA 0% : 

Emausrioe ;s.f. } fourberie. V. Embuste. 

Busurino, a,p. 7. de Embulir. se. . * Mar- 
queterie :ouvrage de ımhenuiserie ; incrustalion. 
On le dit aussi d’un ourrage en mosafque. 

EusUTIDOR , 5. m. duvrier en marqueterie. 

Eusuripöaa, s. f. marqueterie, incrusta- 
tion ; action d’incrusier. 

Eusoria, ©. a. metire, presser une obasse 
dans une autre. Marqueter, travailleren mar- 
queterie; plaquer; incruster. (fam.) Manger 
goulüment, aveo excds. (Ag.) Faire croire un 
Bucnsonge. ' 


EME 


Eucmino. V. Encimddo. 

Eucoumissan. V. Encommisser. 

Eur, 3. m. nom.de la letire M. 

EMEnDA , s. f. correction : action de eotrigen, 
de's& corriger ; amendement, chengement phy- 
sique bu moral en mieux. Resipiscence : r6- 
connaissance de sa faute avec amendement, 
Correction des fautes d’un ouvrage, obierti- 
ton, note sur ses delauts. * Dedommagement, 
compensation. chätliment, correction ; amende. 
*"Ajoutage, renforcement. Entournufe, fogmere, 
öchancrure (site & un babit pour l’ajuster. — da 
vida ou costumes, amendement, reforme, 
changement de vie. Tomar —, se eorriget. io 
ter —, 6ird incorrigibie. 

EMENDÄDANMENTE , adv. correciernent, e130- 
tement, soigneusement. ' 

EneEnpi®6, A, P. p. d’Emendar. 

ENENDADOR ; 3.'m. eorrecteur : celul qui ee 
rige. ' -.._t 

Euenpir, v. a. corriger : changer en mieut 
ou en bien, öter les defauts; röformer; amen- 
der. Dedommager, coinpeniser; repater is dot 
mages. (4. de prat.) Amender, corfiger, refo- 
mer. — a mmlo, 6 corriger. — a nid, se Corte, 
changer de vie. — um vestido, rogner, erider, 
schanerer un habil pour l’ajuster. — e recorre? 
ma lalha, (1.de mar.) reprenäre un palan. 

EMENDÄR-SE, v. Fr. s’amender, renirer dans 
son devoir; se corriger, devenir meilleur, 
döfatre d’un defaut. Quem erra e se emendi & 
Deos se eneommenda, (prov.) celui qui peche 
et se Corrige merite que Dien Iui pardonne. 

Euenmpivsr,, adj. 2 gew. corrigible : qui peut 
se corriger, dire corfige ; r&parabie. 

Euenvicar. V. Mendigar. 

Euenta, s. f. V. Apontamenio. Tablells, 
agenda. * Sominalre, extrait; aperu ( d’un 
compte, etc.). Commemoration : priere po®' 
les moris. 

*Euzntäin, ete. V. Aponlar, Mencioner, tl. 

*EMENTÄRIO, 5. m.“ taßlettes, agenda. Ü. 
V. Inventario, Rol. ‘ 

Ewenotnorr , 8. f. occurrence, drönemeni 
fortuit, qui derive d’an autre iucident. 

Euzncknte, adj. 2 gen. qui proodde, qi 
derive, qui provient, qui naft, qui surrient 
(1. de phys.) Emergent : ( rayon)) qui traren® 
un milien et en sort. Damso oramage > 
sultant du delai de payement. 

Euzacioo,A,p. 9. de 

+Euzacıa, v. n. sortir d’od Fop stait pleugt. 
Se lever, paraltre sur l’horizon , parlant du 9° 
leil, etc. 

+ Euenrrönse, adj. 2 gen. do Merida ( Av 
gusia Emerita), ville de I’Estramadare espe- 
gnole. 

EurıT0, A, adj. $mörite : (professeur) per- 
sionne apres un temps i6gal @exereice; qui & 
rempli je temps de son service, parlant des 
soldats romalıs. ' 

+ Emzao, s.m. (1. de Bot.) &merus : plane 
läguminense. 

Euznsi6, 5. f. (1. d’aslr.) dmersion (duM 


EMM 


nöte) : action de reparaltse en Sortant de 
’ombre qui l’&clipsait; &levation d’un solide 
au-dessus d’un finide dans lequel il &tait plon- 
gs; c't Poppos6 d’immersion. 

tEwsriapäns, 8. f. 
priete, emploi de P’&mötique. 

Eutrico , A, adj. et s. m. (6. de mdd.) ömeli- 
que : violent vomitil, antimoine pr&pare. 

+Eusrina, s. f. ( 6. de chim.) dmetine : sub- 
stance alealine de lip6oacuanha. 

+Eusrızano, A, adj. ometist : meld d’dme- 
ligue. 9. p. de 

+ Eutrızin, vo. a (8. de med.) &mötiser : 
meler d’&mttique; purger avec l’6ömetigue. 

* Eurarıora , adv. V. Fatiosim (em). 

Eurtsto. V. Enfesto. 

+Eunastäno, A, adj. arbore (pavillon). 

Euszavioo. V. Horvddo. 

Bıncnaciö, s. f. emigretion: astion d’eml- 
grer ; son effet. 

Enıcnäpo , A , adj. et s. dmigre : qui a aban- 
denne son pays; qui a ei6 oblig6 d’en sorlir 
pour eriter la persscution et la mort. p. p.de 

Euscrin, vo. ». &migrer : abandonner son 
pays pour so fer, se refugier dans un autre. 

Euina ,s. f. &ınine : ancienne mesure pour 
les grains; c’ötait un quart et demi de Palquier 
(en Portagal ). 

Eumipa, s. f. terre qui oontient une mine 
de semaille, 

Eumitncua, s. f. äminence, hauteur, lieu 
&minent. (Ag.) Sublimit# de gönie,, de verlu, 
etc.; ei&vation, excellence. —, titre honoriß- 
que des cardinaux, du grand-mattre de Malte. 

Euınente, adj. 2 gew. &minent, haut, dleve. 
(Ag.) Qui surpasse les autres. Virtude—, baute 
veria. 


‚ verta , pro- 


Eımnenveußnte, adv. &minemment, par ex- 
cellence , au plus baut point, au suprene de- 
gre de perfection ; excellemment. 

Emnentissıno, A, adj. sup. d’Bmrinonte. 
£minentissime ; trös-&minent; tiire des cardi- 
Raux,, du grand-maltre de Malte. 

Buin, s. m. &mir: titre des desoendanis de 
Nabomet. 

ısr&nıo. V. Hemispherio. 

Enıssäö, s. f. &mission : action d’ömelire, 
de pousser dehors; ses effets. 

Euıssinıo, s. m. &missaire : envoy& secret 
poar öpier, sonder. Bode —, adj. bouc-$mis- 
saire, que les julls chassaient dans le desert 
apr&s Pavoir charges de mal6sdictions. Bode, 
Cepro —, bouo, pre d’an troupeau de che- 
vres 


Eurrrivo, A, p.p- de 

+ Esırrız,, v. 3. 6mettre, prodalre; publier; 
faire cireuler ( papier-monnaie, billets de ban- 
que, eic.). Mettre, jeter, pousser dehors. 

Eurrria-se ‚vo. r. 6ire mis, parent de bil- 
lets de banque, etc. 

Euıneacid. V. Alkeapdo. 

* Euticom. V. Bleigäo. 

Eumansınauanro. V. Madeiramönto. 

Euwapsınioo, A, p. p. d’Emmadsirer. 





EMM A8B3 


EuMmanEIRÄR, v. a. couvrir de planches, de 
poutres‘, les toits d’un edißce, et. V. Madei- 
rar. 

EuwaGrEctR, 9. @. amaigrir, emmaigrir : 
rendre maigre. 9. @. —, devenir maigre. Il est 
aussi r&eiproque. 

Euwacascino, 4,9. pP. d’Emmagrecer. 

EuwaGrEcıuäxyo, s. m. l’action de malgrir. 
V. Magreze. 

ENNALADO,&, 9. 9. de 

+ EuuaLia, v. a. mettre en malle, emmal- 
ler. V. Enirouxaer. " 

ENNALBÄDO, A, Pp. p. de 
a uln, v. @. fsire des msilles (A un 

et ® 

EmuALHÄR-SE, 9. f. Barmer de cotie de 
meilles. ° 

EuusLyering,A,P. Pp. do 

EuMALHETAR , 9%. @. enchässer, embolter ; 
unir par mortaise. 

Euuanguscha, v. ». devenir boiteux. 

Euuaripvo. V. Amarddo. 

EumaranninO, A, p. p. d’Emmaranher. 

? ENMARANHANENTO , s.. seihbrouillement, 
ötat d’une chose embrouillede, melde. 

Euuananuär, vo. a. embrouiller, entortiller, 
meler, en parlant descheveug, d’un echeveau, 
etc. (Ag.) Confondre, embrewiller, entortiller, 
parlant d’une affaire, eto. 

ENMARANBÄR-SE, v. r. s’engager, se ıntler 
( dens des proc&s, elc.). 

Euuarin-sE. V. Amarar-se. 

Euwanarzino. V. Maoreddo et Amarddo. 

EnuARzLLEcER. V. Amarellscer. 

EumaaLoran, otc. V. Amarlotar. 

Euuascanär, eto. V. Mäscarer. 

Euwassino, A,9.p. de 

Enuuassin, v. a. metire des papiers en lasse. 
i$. Arranger les cartes pour trioher. 

* Eumastan. 
EMmASTRAR. | V. Emmasfrear. 
Eumasrazioo,A,p.p. de 
Eunuastazin, v. a. mäter un navire. 
Eumtoino,A,p.p. de 
EuußoaR , 9. &. amoncpler, entasser. 
EsuuxıLiÄpo,A,p.p. de 
+ EussıLir, 0. a. emmieller: enduire de 

mie} ; adoucir, rendre doux avee da miel. 

+ EusELLaR-sE, o. r. s’enduire de miel. 

Euuznacöco, A, adj. (t. de mid.) emmen2- 
gogue : (medicament) qui provoque les rögies. 

Euwunpa, etc. V. E „etc. 

EuueEninsckn, v. ®. Tajeunir ; tomber dans 
Penfance,. 

Eumznta, etc. V. Emenia, ot. 

* EuNENTES 0% } pendant, en attendant, 

* EunEnTaes, adv. tandis que. 

Euwonpan. V. Moldar et Amoidar. 

Eumorpaci00,A,Pp. pP. de 

+ Emworpacär, vo. a. cmbäillonner : meitre 
un bäillon. (£g.) Faire taire. 

Eumostäno, A, adj. trempe dans ie moüt; 
reduit en moüt. Aodte, parlant du Faisin. 9. P& 
de Emmostdr. 


84 EMP 


+ Euwostir, v. a. aohıtter le ralsin, Tui don- 
ner la douceur du moüt. 

tr Emwostän-se, ©. r. s’adoueir dans du 
moüt; s’en abreuver. 

Eumovorscee. V. Bsurdecer. 

Eusupeckr, v. a. rendre muel, fermer la 
houche & quelqu’un; faire taire. (Ag.\ Taire. 
9. %. Devenir muet ; ne dire mot. 

Esmmupecinn, A, p. p. de Emmuderer. 

Esmuncnsckr, v. @. faire faner.v. «. V. 
Aurcher. 

"Eu ua, Eu no,pour Emo, Ema.V. Em 
et No, ne. 

* Eunsıxacäö, oto. V. Annexardd. 

EuogAö, s. f. $motion : altcration , trouble, 
sgilalion ; mouvrement de l’Ame. 

EnoLLißnte,, adj. 2 gen. ( I. de mid.) smol- 
lient : qui amollit, adoucit (eınplätre, plante). 

Euoruin,d. @.(#. de med. p. us.) amollir, 
adoukcir. 

EyoLumento, 8. m. dmolu’uent: gain, pro- 
fit, avantage ; casuel,, surtout d’une charge. 

EN-OurIcan-88 , o.r. V icar-se. 

Eura, s. f." schalassement : action d’&cha- 
lasser, de mettre des tuteurs & la vigne; temps 
qui est ä propos pour faire ce travail. Aocolage. 

T Empacässa ow Pacassa, s. m. (i. d’hist. 
nal.) empacassa ou pacassa : bufllo ou bubale 
du Congo. 

EmracHino, 4, 9. p. d’Empacher. adj. Sur- 
charge d’aliments, parlant de l’estomac ; trop 
charge; troubl&, interdit; embarrasse, timide. 
Estar — um navio. On le dit d’un vaisseau oü 
rien ne peut entrer ä cause de quelque embar- 
ras. 

EMPACHAu£uTO. V. Empacho. 

Euracuir, o. a. empecher ; mettre obstscle. 
Surcharger, fatiguer l’estomac. Obstruer, g6- 
ner, embarrasser. 

EMPACHÄR-SE,, ©. r. se surcharger, parlant 
de Pestomac ; s’obstruer ; @iretrop charge, par- 
lant d’un vaisseao. (fg.) V. Emberspar-se. 

Euricno, s. m. embarras, obstacie, dii- 
culis; emp6chement. (Ag.) * Timidits, embar- 
ras, honte, troubie. p. us. — d’esiömago, poids 
sur l’estomac, coclion imparfaite des aliments. 

+ Eupacaöso, A, adj. embarrassant : qui 
cause de Fombarras. (4g.) Honteux ‚ timide. 

Euräpa, s. f. * pät6, tourte (de viande ou 
de poisson ). 

Eurapszia, eto. V. Empavezdr, etc. 

Eurio0, A, p.'p. d’Empar. 

EupaproApo, A,p.p. de 

EuPADROÄR, ©. @. recenser, enregistrer les 
oontribuables , les mettre sur les röles des im- 
positions, 

EurapnoAR-sE, o. r. s’enregistrer, s’'inscrire. 

EuraLscäö, s. f. * empalement : supplice qui 
eonsiste & faire passer un pal A travers le corps 
du patient. 

EuraLiD0,A,P.p. d’Em . 

EmraLauävo ou EMPALENADO, A, adj. (1. 
pP.) V. Emplastrado ou Adoeniado. 

EuraLia,o.a. empaler: ficher un pal aiga 


EMP 


dans ie fondement, et le faire sorlir par les 
€paules ou la gorge. 

EuraLnacid, 8. f. * empaillage: action d’em- 
pailler. ( Ag.) * Prötexte, supercherie pour 9» 
gner du temps ; palliatif,, faax-fuyant. 

EuraLnipo, A, P. p. d’Empaiker. 

ENPALBANENTO, s.m. V.E . 

EMPALBAR, 0. 6. empailler : garnir de paille, 
de joncs; remplir de paille; coucher sar Is 
paille (des fruils). ( Ag.) Retarder par rom, 
par artifice ; amuser, temporiser. 

ENMPALBEIRÄDO, A, 9. 9. de 

EMPrALHEIRÄR, ©. &. serrer la paille dans ie 
grenier. 

EuPaLLmschn, v. 9». pälir : devemir päle. 

EurıLwin0, A,p.p. de 

+ EupaLuär, 0. 6. ernpaumer : recevoir dans 
la paume de la main ; cacher dans la paume de 
la main (une carte au jeu, etc.). (fg.) Derober, 
filouter, escroquer. 

EMrPAMPANiDO, A, 2. 9. de 

+ Euraupanir-sE, v. r. se couvrir de pa- 
pres, en parlant de la vigoe. 

Euranäpa. V.Empdda. it. * Chässisde eroisöt 
garni de toile ciree, ete., au lieu dovitres. 

ENPANADILBA, 3. f. dim. d’Empemada. Peiil 
päle , tartelette ; rissole. 

Euranino,A,p. p. d’Empenar. adj. Ternt: 
qui a peu d’eclat. 

EMPANAMENTO , 8. m. *lernissure: action Je 
tirer le lustre, Peclat; ses effews. 

Emranin ou EurAnnan, v. a. ternir: rendre 
terne, obscar; öter l’eclat. ( Ag.) —, More. 
souiller, dönigrer ; 6. masquer, deguistt. Gat- 
nir an chässis de croisee d'une toila ciree, Ele. 

Euranin-sE, 0. r. se ternir : perdre son eciat, 
son lustre. 

ENPANDEIRAMENTO,, 3. m. V. Inchapdb. 

Emrannzınan,. V. Inchar, Empanlurrat‘. 

ENuPANDILBÄDO, A, 9. p. de 

EmranDıLHir, 0. a. r6unir deux cares eh 
jouant pour faire quelque tricherie. (fam-) Es 
porter en cachette, derober adroitemen!. 

ENPANDILHÄR-SE,, 9. Fr. s’associer pour dupt! 
au Jeu ou autrement. 

EMPANDINAR-SE, etc. V. Empanzin.., '%- 

EMPANNADO,A,P.p. de 

Eurannin, v. a. couvrir de toile ou de rap; 
envelopper dans des draps. V. Empenar. 

EuPANTaAniDO,A,p. p. de 

Eurantania, ©. a. submerger : remplir @8 
terrein d’eau. Embourber : meltre dans "4 
bourbier. 

EMPANTANÄR-SE, 0. r. s’embourber: se mer 
tre dans un bourbier, s’enloncer dans un 4 
rais; devenir marecageux, en parlant d’u 
terrain. 

Eupanturin0, A,P. p. de 

EwrANTUrÄR-SE , v.r. mettre des panloufle; 
( Ag.) faire le fer, se rengorger. 

EMPANTURRÄDO, A, pP. p. de 


EMrANTURRÄR-SE, v. Fr. Se gorger, se bot“ 


rer, s’empiffrer, balrer. (fg.) Faire Je gros dot, 
devenir fier, orgueilleux. 


EMP 


Rurınzınino,, A, p.'p. de 

Euranzımär,, ©. a. (P0p.) gorger de nourri- 
ture. Remplir en poussant. V. Empanturrar. 

EurariDo, A,p.p. de 

Eurarin, vo. a. imbiber, Iremper, plonger 
dans en liquide;; mitonner. ( ig.) V. Imbuir. 

Eurapän-se (em), v. r. s’imbiber. V. Enso- 
por-s. ( Ag.) V. Embeber-se, Cevar-se. 

Eurar£LiDO, A, p. p. d’Empapelar. 

tEurarSLADOR, 8. m. colui qui enveloppe 
dans un papier. 

EurarsLän, 9. @. enveloppor dans du papier. 
(Ag) Garder, conserver avec beaucoup de 
sein. 

EurarsLia-SE, v.r. s6 menager beaucoup; 
se soigner, se choyer. 

Eurarucän, etc. V. Empanzinar, etc. 

Eurän, v. a. schalssser, accoler la vigne. 

Euraramentär, etc. V. Paramenlar, eic. 

Euranino, olc. V. Amparado, eic. 

Eupanalzino,A,P.p. de 

+ Euransizik, v. 6. mettre dans le paradis; 
eauser les delices du paradis. 

Eurarän, etc. V. Amparar, elc. 

*Euranpzeino. V. Emparedado. 

EuPAREDADO, A, p. p. d’Emparedar. adj. On 
le disait des personnes laiques qui vivaient 
dans des maisons clolirdes. 

ENTAREDAMENTO, 5. m. action d’enfermer en- 
tre quatre murailles. Clojtre, en parlant d'un 
monastöre. 

Emranzpie, v. a. mellre, enlermer entire 
quatre murailles,, claquemurer. V. Clausurar. 

EupARnSDAR-sE , v. r. s’onfermer dans le cloi- 
tse. S’6iever comme des murailles, en parlant 
des Bots, 

EmpARELBADO, A, P. p. d’Empareikar. adj. 
(t. de bot.) G6&mind, double, en pariant des 
feuilles. 

ENPARBLHAMENTO, 3. m. action d’assorlir, 
d’egalisor, d’appareiller; appariement. 

EuPARELNÄR, 0. @. appareiller, assortir, &ga- 
Iiser, unir ; apparier. (a, com) Comparer, ıneltre 
en parallele. 

EMPARELHAR (COm), v. ». aller de pair avec, 
segaler A; &tre dgal, assorti, appareille. Mettre 
au jeu a part &gale ; eire de moilie. 

EnrPARELHAR-SE (com), ©. r. sa considerer 
egal &; voulois s’ögaler A ow aller de pair avec. 
“%. S'aocoupler, s’apparier, se marier. 

EuparEıTaR, olc. V. Aparentar, eic. 

Eupino. V. Ampdro. 

Eursanioo, A, p.p. de 

Eupannän-sE, 9.7.86 couvrir de feuilles, en 
parlant de la vigne. 

Eurınvoscka, v. a. rondre bete, stupide. 
tv. n. Devenir sot, bete ; s’abrutir. 

EuPARVOECIDO, A, 2. p. d’Emparvoecer. 

Eurascoäir, o. n. soleuniser la Päque. 

Eupisuo, s. m. empasme : poudre parfumte 
guon repanı Sur le corps pour absorher la 

eur. 


Euristipo,a,p.p. do En:pastär. adi. p.us. 


EMP 485 


Od il y a pAturage pour les bötes, en parlant 
d’un champ, etc. 

+ EnPAsTauknto, s. m. empätement : action 
d’empäter ; 6tat de ce qui est empätl£. 

Eurastäs, v.a. coller du papier; faire des 
ouvrages de carton. (#. de peint.) Empäter : 
mettre beaucoup de couleurs sur un tableau. 

+Eurita, s. f. "embargo; confiscation. u. 
V. Empate. 

ENMrATADO, A, Pp. p. de 

Euratia, v9. a. egaliser, parlager : rendra 
€gales les voix, les suffrages dans une delibe- 
ralıon. Suspendre,, arröter une r&solution ; sal- 
sir, faire arret, söquestrer. ( Ag.) Arröter, em- 
ptcher, embarrasser. — os volos, partager le. 
suffrages dgalement. — as vasas, contrecarrer, 
ögaler les lev6es au jeu. — om al COWSG, 
(ve. ». p. ws.) heurter contre quelque chose. 

Eurite, s. m. aclion de suspendre le cours 
d’une affaire; opposition, sequesire, saisie; 
irresolution,, indecision. * Partage: egalit6 de 
voix, de suffrages dans une deliberation. — 20 
giro, (8. de comm.) inaclion, siagnalion du 
commerce. 

Eupavanär-sK. V. Apavanar-se. 

EMPAVBZADO, A, 9. p. de 

EuravEzin, v.a.(l.de mar.) pavoiser : cou- 
vrir, garnir de pavois, de paviers un vaisseau 
dans un jour de combat. —, garnir un vaisseau 
de pavois, de pavillons dans un Jour de rejouis- 
sance; baslinguer. 

EMPAVEZÄR-SE, ©. Fr. Se pavoiser, so garnir 
de pavois, eio. (fg. fam.) Se pavaner, faire le 
fer. 

Euravorıa , etc. V. Espavorir, etc. 

+ Eure, s. m. (1. d’hist. nal.) empis : diptäre 
empide. — plumipede, empis pennipede. 

EuP£Ano, A, pP. p. de 

+EurEin ow Eupian, ©. a. (8. d’agricul.) 
donner un second depicage au bie. 

Empscäno, A, adj. embarrass6; (Ag.) em- 
brouille (style). p. p. de 

Eupscäir, v. a. meler, embarrasser ; emp®- 
cher. Commencer (inus.). — (em), v.n. V. Em 
bicar, Topar. 

Eurickr, v. 6. eln. nuite, emp6cher, arı6- 
ter, embarrasser, s’opposer ä&. 

Emp£cıno, A, p. p. d’Empecer.adj. Lese, 
eımbarrass6, arreie. , 

EureciLno, s. m. empöchement, obslacle, 
Opposition. 

EuPscımEnto, s. m. empechement, obstasle. 
Dommage , tort, prejudice. 

EuPrzcivEL, adj. 2 gen. 

EuPEcivo, A, adj. } V. Noeivo. 

Euptco. V. Empecilko, Estorvo; Comero 


(ant.). 
ENMPECONHAR, 6lc. V. Envenenar, Ir 
EMPEGONHENTAR, ElO. fleionar, etc. 


Eupengunscee. V. Empedernir. 

Eursosanipo, A,adj. (Ag.) Dur, inflexible, 
insensible. p. p. de 

EuPpapsanin, ©, a. pötrifier; rendro dur 


186 EMP 


comme 1a pierre. (g.) Endureir, rendre dur, 
inexorable. 

ENPEKDERNIR-SE , ©. r. se petrifler, devenir 
dur comme la pierre. (fg.) S’endurcir, de- 
venir insensible, impitoyable, dur, inflexible, 
eruel. 

EnPEDIBENTO, etc. V. Impedimenio, etc. 

EuPreoRÄDo, k, pP. pP. d’Empedrar. s. m. 
Pave: terrain , chemin , chaussee , espace pave&. 

EMPEDRADOR, 8. m. paveur: celui qui pave. 

EnPpeorandra, s. f. mal qui vient au sabot 
des chevauz. 

+ EsPEDRANMENTO, 8. m. pavement: action 
de paver,, empierrement (ant.). 

EuPEDRÄR, ©. a. paver: couvrir, yarnir de 
pierres (une rue, une cour, etc.). Empierrer. 
(fig.) Endureir. — um 920c0, faire la douve d’un 
puits. 

EumPeDRÄn-SE, ©. r. se petrifier; devenir 
pierreux, en parlanı des fruits, etc. ; s’ch- 
dureir. 

Eur£cin, etc. V. Engolfar, etc. 

EmPpriorino, A, 9.9. de 

ENMPEIORAR, ©. &. ompirer ı rendre, faire de- 
venir pire, mettrs en pire 6lat. vo. n.—, de- 
venir pire, en plus mauvals 6tat. Il est aussi 
reciprodue. 


EwreLLanino, A. V. Eimpalamado. ti. p.2. 


e 

EupELLAuiR, 9%. 6. mettro los pesux & tan- 
ner. 

EureLuicino, A, adj. couvert d’une pelli- 
cute. Naser —. naltre coiff6, en parlant d’un 

"“enfant. p. p. de 

EMPELLICÄR,, %. @. pr&purer les peaux finos; 
touvrir d’une peau Äne. 

EMPELO, 8. m. morceau de päte informe dont 
on fait un pain. 

+EwpeLöra, s. f. ampoule, flole, petito 
bouteille. 

Eurtna, s. f. cambrure d’une planche qui 
s’est dejet£e. ° Pignon : le haut bout des mu- 
railles d’une maison. V. Tacanica. 

EurenapiLHa. V. Empanadilha. 

Eurenino, A, p. p. de 

EupenÄr, 0. n%. 56 döjoter: se ditdu bois, etc., 
qui travaille, qui se courbe, se retire. o. @. 
(p- us.) Faire, causer de la peine; chälier. 

EMrEnnA, s. f. empelgne : tous lo dessus 
et los cöLss du soulier. 

+ ENPENBÄDANENTE ‚adv. obstinöment, aveo 
opiniätretd; avec sollicitude, efforts. 

ENrENHÄDO,A,P. PP. d’Empenkar. adj. Mal- 
aiss, endettd; "hypoibeque, mis en gage; inte- 
rose, qui s’interesse. 

ENPEREAMENTO, s, m. action de meitre en 
gage ; dette contracise. V. Empenho. 

EMPENHÄR, 9. a. engager : donner, meltre 
en gage. —, Contraindre, determiner, forcer & 
faire quelgue chose. Faire quelqu’un son m&- 
diateur, son intercesseur pour röassir dans 
quelque ohose. — a palaora, lohner sa pa- 
role, l’engager. 

ENPENDÄR-SE, v. r. s’endetter, contratier 


EMP 


des deties on engägeant os hypoih&4dänit des 
hiens, eto.(om ) S’engager &, ou dans ; s'opi- 
niatrer, s’obstiner & queique ehose, A vouloir 
formement; faire tous ses efforts. (por, a faror 
de) Reoommauder, s’inieresser & quelqu’un, 
prier d’ötre farorable ä quelqu’un. Braver les 
perils , les obstacles, etc., s’y erposer coara- 
geusement. — em rasdes, s’engager & faire 
quelque chose. — ma#ito , s’engager trop avant. 

EurE&nuo, s. m. engagement: l’action d’en- 
Kager, de stengager, de recommander. —, pro 
messe. — , obligalion de payer que oentracie 
celui qui met en gage; dette, gage. Devoir: 
obligation que l’honneur, la conseiente ou 
quelque autre motlf nous presorirent. (fg.) 
Desir ardent de faire on d’obtenir quelge 
chose et l!’objet meme de ce desir. (id-)" Ar 
deur & continuer dans quelque dessein. (.) 
* Sollicitude, soins, z@le, effort; entreprise. 
(id.) Protecteur : la personne qui recounmande, 
qui prie d’etre favorable & queiqu’un ; protec- 
tion, appui. Com —, adv. avee ardeur, are 
vivacit6; avec grand inieret os grand dess. 
Carta d —,letire de recommandation are 
empressement. — amor0so ‚liaison amonreose. 
Metter —s, briguer, chercher des protectiens. 

Teer — ou em, tenir beauooup, viserd, 
avoir un grand desir de. V. Empenhar-s ım. 

com iodo 0 — a, se d6Vouer sans rr- 

serve, tout entier &. 

EurEnHoniDo, A, P. 9. d’ Emponkerar. 

ENPERBOhANERTO, s. m. l’actien ot F’effet de 
donner en gage. 

EuPENnORÄR,, 9. a. donner en gage. 

Eurennin0,A,p.p. de 

EurennÄn, v. a. emplumer : remplir, garsir 
de plumes. 0. ». Se oouvrir, se garmir de pie- 
.| mes; commencer & avoir des plumes. 1 es 
aussi r&ciprogue 

Eursorir, oic. V. Empsiorar, eie. 

EurerınäAno,A,(P0p.) V. Teso, Rio. 

EupnQusTÄDo, a, (f. da Bresü)V. Enze- 


que “ 

EureranOr, etc. V. Imperador, elc. 

EurenLino, A,P.p. de 

EursaLin,v.a. (4. de po6s.) garnir, parer 
de perles. 

* Eupeao ‚conj. mais, cependant. V. Porta, 
Todavia. 

EurEenRniDaMenTE, ado. obstinement, opi- 
niätrement. 

EurerRi00,A,92-2.0E 

ENPERRAMENTO, .m. “ obstination, opinis- 
trete. 

EureRRÄR, ©. a. rendre dur, raide. (Ag.) 
Rendre opinidire, confirmer dans Pobsuns- 
tion ; endurcir (le caur). 

EMPERRÄR, vo. n. et — SE, v. r. geniiter, 
s’obstiner, se buter; devenir furieux, enrag6 
comme un chien,, ne pas vouloir o6der. 

Eup£ano. V. Emperramento. 

Eurearticino, A, adj. droit comme unl, 
raide. p-. p. de 

ENPERTIGÄR,, 9. 0. raidir, dresser, 





| 


Eusaunriein-ez, v. r. se tenir droit comm# 
un I; se carrer. 

Eursscino „A,P. p.de Empesgar 

+Euvsscanöns, s. f. laclion de poisser, 
d’enduire de poix,, et Penduit. 

+Eurzscäa, 9. @. polsser : enduire, frotter 
de poiz. 

Eurzssiver. V. Empecivel. 

*EMPESSOAKENTO, 5. m. action, acte de met- 
tre en possession, 

*Eurzssoia, oto. V. Empossar, etc. 

Euristipo, A,9.p. de 

EuP£STAR, 9. @. ompester : infecier de peste, 
de mal contagieux. (Ag.) Corrompre,, contami- 
ner. 

+Eurtrao,s.m.(i. de boi,) ermpetrum , ca- 
marine & fruils blangs „genidvre doux. 

EuPEYORAR, olc. V. Empeiorer, eio. 

Eurszino, A,P.p. de 

EMPEZAR, 0. barfumer avec dela peix ( les 
viandes, etc.). dt. V. Empesgar. 

+ Empazınyäno, a, adj. poiss6, endult de 
poix; noirci de la fumee de la poiz. 

MPHASE ou Empnasıs, s. f. eınphase : pompe 
affectee dans les discours ‚les 6crits, la pro- 
noncialion. . 

ENPNÄTICAMRNTE , adv. emphaliquement s 
avec emphase. 

Euernätico, A, adj. emphatique : qui a de 
Pemphase; ampoules. 

Euraimzosıs, ao. V. Emphy..., elo. 

sPpBRictıco, V. Emplastico. 

Euravstua, a. m. (1. de med.) empbysäme : 
maladie qui fait enfler ; tumeur, dans le tissu 
cellulaire, pleine d’air. 

Euruvrosıs, EuPHYTgUSIıS ou EMPHYTEOSE, 
s.m.* emphy (8ose : bail & longues annees. 

EuPBYTBOTA ou ENMPHYTEUTA, 4. 2 gen. em- 
phytöote ow empbyteutaire : qui jJouit de l’em- 
phyteose. 

EuPHYTEUSIiA ‚8. f. V. Emphyiiosis. 

ENPBYTEUTICAÄDO,, A , p- p. de 

EMPRYTRUTICHR, v. 0. donner & bail empby- 
teotique. 

° EuPBYTEUTICÄBIO, A, adj. donne6 & bail em- 
phyteolique (terres, biens). 

EuPHYTEuTIcO, A, adj. emphytsotique : de 
!emphyteose. 

Euriaa. V. Empear. 

Euricotäno, A,p. p. de 

Euricorär, o. a. placer sur la cime, sur le 
Sommet; exposer, au pilori, pilorier; attacher 
quelqu’ un & la potence. 

imrıDnöso. V.Impidoso, Impedido. 

Emriema , elc. V. Eınpyema, ei. 

Enuricen, s. f, dartre : maladie de la peau. 

EuriLnino, A, pP. p. d’Empilhar... 

EuP:LHAMENTO, 8. m. empilement : achon, 
maniere d’ emgiler (le bois, lea bouleis, eic.). 

EuriLuin, o, @. empiler : melire en pile (du 
beis,, des boulets, etc.). 

EMPINÄDO, 4, ad). elev6, haussd; escarp6 

"montazne, elc.); cabr6 Icheval); vide (vorfe). 
'7.: Orgueilleux. p. p, de Empiner. 


EMP 487 


Eurmin,v.a. elever, lever, hausser. Vider 
leverre; boire beaucoup de vin, ever, hausser 
le coude. 

Eurinär-se, v. r.se mettre, se hausser sur la 
pointe des pieds pour paraltre plus grand, ou 
pour mieux voir les objets. Se cabrer, se dres- 
ser, parlant d’un cheral. (fg.) S’elever, se dit 
des montagnes , des tours, des arbres, etc., 
lorsqu’ils sont plus hauts que leschoses qui les 
environnent. (id.) S’enfler d’orgueil; s’dlever 
en dignile. 
 Emeino, s. m. action d’dlever, des’dlever; dtat 
de chose #levöe ; action de se cabrer, parlant 
du cheval. Faxer saides de-—-, porter des toasts 
en vidant le verre. 

Euprmmzo ,eto. 

EnmPIREUMA , 6lc. | V. Empy...,eio. 

Eupinicamknte, adv. en empirique : par la 
seule expörience, par la seule pratique. 

Emeinco, A, adj. empirique : (medecin) qui 
n’a que l’experienoe, sans 6tude ni methode; 
sans theorie. On l’emploie substantirement, et 
alors il signiße charlatan. —, experimental, re- 
connu per le fait (philosophie, eto.). 

EnPiR1ISM0, 8. m. empirisme : caractöre, Con- 
naissance pratique de l’eımpirique; medecine 
pratiquede d’apres la seule experience, mede- 
eine empirique ; se dit (fg.) metaphysique qui 
considöre les objets en tant qu’ils existent; phi- 
losophie qui ne 8’occupe que de constater des 
faite , sans les lier entre eux par une theorie, 
sans analyse ni synthäse. 

Enrınricarn , oto. V. Emperligar, etc. 

Bmeriscir, etc. V. Piscar, etc. 

ENPLANTAR, ete.V. Implanier, ete. 

EmeLastino, A, pP. p. de Emplastar. adj. 
Couvert d’emplätres. 

ENPLARTAMENTO, s. m. "omplastration, appli- 
cation d’un oinplätre. 

EurL.astin, v. a. appliquer, mettre des em- 
plätres. 

Euruisrico, A, adj. (t. de pharm.) emplas- 
tique : emphractique, visqueux, qui bouche les 
pores. 

EurLisro, s. m. emplätre : onguent etendu 
sur du linge, etc., que l’on applique sur... 

EurLastran, olc. V. Emplastar, etc. 

* EurLacaR, etc. V. Emprasxar, etc. 

EnrLumar, etc. V. Empennar, etc. 

Euroino,A,P.p. de 

Eupoin, ‘v. a. convrit de poussiere; pou- 
drer. 

Emrosreckk, ©. a. appauvfir, rendre pau- 
vre.0.#. S’appauvrir, devenir pauvre. 

EMrOBRSCIDO, A, P. p. d’Empobrecer. 

EMPOBRECIMENTO, s. m. appauvrissement : 
indigenos; #tat, augmentatibn progressive de 
pauvreie. 

Eurogipo, A, adj. embourbe , bourbeur. 

. p. de 

Eurogia ‚v0. a. melire ou jeter dans un puits, 
dans un bourbier. 

Eupocan-SE, 0.7.8 s’embourber. 

Ewrußikino, A, p. p. de Ämpesirar, 


488 EMP 


+ Euroßiria, 9. a. couvrir de poussiere, 
(Aig.) Obscureir. 
Euröris, s. f. pretexte frauduleux. 


EMP 


Eup6ssan-sE (de), 9. r. prendre possession; 
s’emparer de. V. Apossar-se. 
EurossıLcino, A, p.p. de 


Euröro ‚s. m. quadrupsde de l’Ethiopie, qui| EmrossıLain, o. a. meitre dans une table ä 


ressomble au cheval. 
EuroöLa, s. f. cloche, ampoule, bouillon, 

grosse bulle d’un liquide. 
EumProLApo, A, p. p. de Emposar. 


cochons. 
Eurösta, s. f. (1. d’arch.) imposte: partie du 
pied-droit sur laquelle coımmence un are, une 


adj. Cou- | arcade.Chose placee, situee entre deuz aulres, 


vert de pustules ; ampoule, enfle. (Ag.) Elevö; | v. g. ınontagne, foret, etc. (Ag.: " Empeche- 
riche. Mer —, mer enfide ,agilee,, on courrouz. | ınent, obstacle. Portion de lerrain cullivee qui 


Eıtylo —, siyle ampoule. 


rapporie un certsin nombre de muids. (exl.) 


EuroLia, o. a. faire venir des ampoules ou | Aide. 


des cloches. (fg.) Enfler, enorgueillir. o. ». Be 
Jever en ampoule; enfer. 


Eurostöna, etc. V. Impostüra, ei. 
Eurostunin. V. Disfarger, Mascerar ; E 


EuroLia-se‘, vo. r. s’enfler ; s’agiter, parlant | ganar. . 


de la mer. Devenir riche (p. ws.). Narviguer 
vers le p6le ( 8. de mar.). 
Eurouzacid. 
ENPOLKADO. | V. Apolesa..., eic. 
EuroLziDo, A, P. p. d’Empolsar-se. . 


ENMPOLEAMENTO. 
ENFOLEAR , eic. | V. 4polea..., eic. 


Euroraip0,A,p.p. de 

Eurorain, v.». ((.de veldr.) B’endureir, de- 
venir squirreux, perlant d’une iumeur. 

* Empnantar, etc. V. Impienlar, etc. 

Euraazino, A, P. 9. W’Emprasdr. adj. is 
signed. 

Eurnazapör, 5. m. oelui qui assigne, gu 


+ EuroLgir-se, v. r. (t. d’Asie). On le dit | appelie devant le juge (amf.). it. V. Enpiy 


des Naires qui secroientsouilles en touchant un | Sowie. 


adj. (8. de vener.) Qui recounalt le monk 


gpoled. V. ce mot. (flg.) Se souiller, se profaner. | pour faire la battue (chasseur, chien, otc.). 


EMPOLBIAADO, A,P.p. do 


EuPRAZAMENTO, 5. m. (4. de pral.) ajourne- 


EupoLgiaia, vo. a. meltre sür un jucheir. | ment: citation devant le jage. ° Assignalion: 
(Ag.) Elever 4 une dignits; donner, conlerer | exploit contenant une citation. *Emphyleose. 


une charge elevec. 


Eurnazia,v.a. (f. de pral.) assiguer: ap 


EMPOLEIRÄN-SE, ©. r. se percher, se jucher. | peler devanı le juge; ajourner. Donner & bail 
(fig.) Se placer dans un lieu elevö ; s’enorgueil- | emphyteolique. (1. de vener.) Reconnaltre le 


lir ä cause de sa posilion 6leve6e. 


EuroLcantına,, s. f. * trou, cocbe ou &chan- | sanglier, l’acculer, etc. — 


crure od ost fixe la corde de l’arc ou de l’ar- 
halete. ncrure de l’essieu de bois des 
charreties (en Portugal). 
Euroıcipo, A, p. p. d’Empoigar. 
tEwroLcanöna, 3. f. action d’empoigner, 


mont pour faire la ballue. — a engs, cerner le 
, retenir quek 
qu’un,, le faire rester chez soi ou ailleurs. 
Euraazin-SE, v. 7. se concerter avec quel- 
qu’un pour queique dessein. Se donner rende 
vous, 
Emeazcino, s. m. employ6: qui a un eD- 


d’agriffer, etc. "Encochement : acion d’enco- | ploi, une place. adj. Employe , occupe. Bem-, 


cher, de bander un arc. 


(exp. fam.) c’est bien fait, il le meritail, ‚en 


EuroLcäin, v. 3. ampoigner, agrifler, saisir, | suis bien aise. Dar por bem —( ig.) se r&signer 
accrocher; aliraper. Encocher : metire la corde | volontiers a quelque &renement desagreabie, 
de l’arc dans sa coche; bander un arc , uno ar- | attendu l’avantage qui peut en rösulter, s’en 


balete. 

EmroLcutıaa, s. f. noix d’arbaldie. V. Em- 
polgadeira. 

EmuroLman, etc. V. Chocar, Incubar. 

EuroLvorızino, A, pP. 7. de 

EuroLvonızän, 9. s. pulveriser; poudrer, 
jever de la poudre. V. Empoar. 

Euronpenia. V. Inoumbir, Encarregar. 


consoler. p. p. de 

Eurascin (em), o. a. employer A: donner de 
Fomploi, de l’occupation, eic.; metire ©& 
usage. —, se servir de. —, depenser, 00n50M- 
mer (ses renies, le temps, etc.). 

Eurrzcäa-sE (em), v.r. S’employer, s’occU- 
por & ; stappliquer A; agir pour. 

Euraico , s. m. emploi : usage que Il’on fait 


Eurör, v. a. babituer, acooutumer (ax$.). V. | d’une chose; fonction, occupalion d’une per- 


Impor, Enganar. 

Eurongtico, A, adj. emporetique: (papier) 
gris pour flltrer; & envelopper des 
dises , brouillard. 


sonne omploy6e; place, poste, charge, office. 
Achat, emplettie. (fig.) L’objet de nos occupa- 
tions, de nos desirs, etc. 

EMPRSBENDEDOR, A, adj. entreprenant : qui 


Eupörıo, s. m. endroit trös-[r&quente par les | entreprend courageusement des choses dif- 


negocianıs de differents pays; grand marche, 


ville d’entrepöt. ( Ag.) Lieu rendu fameux par | Eurnemennen, vo. 


les sciences ou autres choses. 
* Eurosissi6. V. Imposipdö. 
Eumrossipo, a, p. p. de 
Eurossir , o.«, donner la jouissance, 
en on, 


ciles. 
e. entreprendre : prendre 
la resolution de faire quelque obose, quelgque 
action; faire uno entreprise. 

ENPREHENDIDO, A, p. p. de Emprehender. 


meiire | Ewuratıra, s. f. bande de sparterie ; tresse de 
jonc pour les nattes. — de pdo, Iromager, 





EMP 


elayon, &clisse (pour le fromage). Tecar —, 

haller: Iresser en nalles. 

Eurturrina, s. f. täche, entreprise & forfait; 
sarrage A un prix Convenu. Action, travail de 
jeindre les bandes de sparterie (V. Empreita) 
poar faira des naltes, des sieres. Obrade —, 
ourrage & la täche os fait & la hate. De —, ade. 
ilorfait, ä la täche, 

A ENPREITÄDO, A, adj. qui travailie A for- 

L 

Euraerräiro, s. m. entrepreneur: celui qui 

prend un ouvrage ä [orfait. 

Eupasmıa, olc. V. Impremir, etc. 

Eurneypen, eic. V. Emprehender, etc. 

Eurarsnipa, adj. f. (mulher —) enceinte, 
grosse (femme). 

Enpa&nsipo, p. p. de 

Eurazunin , ©. a. engrosser: rendre une 
femme enceinte ou grosse ; feconder. v. ». De- 
venir grosse, @lre enceinte. 

Eurasnuıpi6,, s. f. V. Prenkez. 

Euraunsa , etc. V. Imprensa, etc. 

Eurnisa, s. f. entreprise : action difficile 
qu’on entreprend courageusement; dessein; 
action d’entreprendre; ce qu’on a entrepris de 
Iaire. Devise : emblöme, figure allegorique ac- 
compagnee de paroles. — sem effeito, lev6e de 
boucliers. 

Eurassän, etc. V. Emprazar, etc. 

+ Eurngsarıo, s. m. entrepreneur. On ledit, 
en Portugal, sp&oialement de celui qui entre- 
prend la direction et l’entreiien d’un theätre 
public, d'une fabrique, etc. 

Empasstäno, A, pP. pP. d’Emprestar. Pedir, 
iomer —, emprunier. 

ENMPRESTADOR , 8. m. pröteur : celui qui prete 
quelque ehose. 

Eurasstär, v. @. pröter. V. Prestar. 
EuPasstän-SE, v0. r.p. us. s’aider, se secou- 
fir matuellement. j 

"Enrasstıno. V. 1 pröt, emprunt: Vaction 

Euragstımo, s.m.) de preier et la chose 
pretee. — forgddo, emprunt force. De —, por —, 
urete. Cowsa de —, chose non propre, prise en 
Psssant, ( Ag.) precaire. 

Eurssstıro. V. Empreslimo. 

Eurazston. V. Empresiador. 

Eurnkza, etc. V. Empresa, etc. 

EspaicuicADO,A,P.Pp. do 

TEwraıcuıcan, 9.6. rendre paresseux, cau- 
ser la paresse. 

tENPRIGUIGÄR-SE, v. r. devenir paresseux. 

Euraımin. V. Imprimdr. 

"Esraig. V. Encher. 

EMPROADO, A,adj. (Ag.)altier, fier, superbe, 

“Tzunlleux. p. p. de 
wPrroin, v.a.oin. ($.de mar.) metire le 
Sp auowä. 

Eurnoir-sk, v. 1. ( fg.) faire le fer. 

EuPROSTRÖTONOS, 5. m. (1. de med., empros- 
Itotonos : eonyulsion qui fait pencher le corps 
en avant. 


Euranoviso, s.m. V. Improviso. Responder | qu 


086.) zöpondre A Fimproviste, subitement. 


EMQ 489 


+ Euruszscihoo, 4 ‚adj. (1.de bot.) pubescemee 
garni de poils faibles, mous. 

EupucHan , eto. V. Empuzar, ste. 

EuroLcueira, eic. V. Empolgueirs, etc. 

EuPULHÄ00,A,p.p.de 

EuruLsäir, ©. a. (pop.) pouiller, chanter 
pouilles & quelqu’un; altraper par un jeu de 
mols. 

EnronHiDo, A, pP. pP. d’Empunhar. 

EMPUNHADÜRA, 8. f. poignee d’epse, eto. 

EnPunHär, ©. a. empoigner : prendre et ser- 
rer avec la main. — o bastdo , prendre ou obie- 
nir le commandement. — 0 sceptro, (fig.) com- 
mencer & regner. — a espdda, porter la main & 
son epee; saisir l’6pee. 

t Eupunmmöunos,, s. m. pl.(— dos laises, I. de 
mar.) rabans de pointure, rahans de croisure 
de ris. . 

Empünna ou Empunnacäö, 6. f. corvee, af 
faire desagr&able dont on charge queliqu’un. 

Eumrunri0o, A, p. p. d’Empurrar. 

Espunnäö, s. m. beurt: choc, secousse en 
heuriant; action de pousser ou de repousser, 
bourrade; coup donne& avec force pour &carter 
quelque chose. Aos empurrdes, aveo vyiolence, 
injurieusement. Ir ou andar aos —. V. Em- 
purrar-se. 

EMPURRÄR, ©. 4. POusser, Fepousser avec 
force; presser dans la foule. — um negocio a 
alguom, forcer quelqu’un de se charger d’une 
aflaire dösagreable. 

EMPURRAR-SE, ©. r. 88 Presser, se serrer 
dans la foule; se debattre pour se dögager de 
la presse. 

Euruxi0o,A,Pp.p. d’Empuzxar. 

EMPUxADOR, A, 3. Qui POUSSe OU FOPOUSSE 
avec violence. 

Euruxiö, s. m. choc, action de pousser, 
d’esarter; son eflet. V. Empurräo. 

Euruxir, do. @. pousser, repousser, ecarler 
avec force. V. Empurrar. ( ig.) Pousser, exci- 
ter 4. 

EuPY£uA, s. m. (8. de med.) empyeme : sang 
$panche , amas de pus dans une cavitö, dans la 
poitrine. Operagdö do —, empysme : operation 
qui consiste & faire l’ouverture de la poitrine 
pour en öter lo pus qui s’y Irouvo amasse. 

EurveuiTtioo, A, adj. (1. de med.) qui aun 
empyöme;; ( ig.) hypotheque, maladif. 

ENPY’REO, A, adj. empyree : qui voncerne 16 
ciel empyree. On le dit aussi du ciel supröine, 
appele le siöge et le tröne de Dieu. (Podt.) C&- 
leste,, divin. j 

EuPY’R£o, s. m. enıpyree: la partie la plus 
elevee des cieux oü sont les astres; sejour des 
bienbeureux, des dieux. 1 

EMPYRBUMA, 5. m. emmpyreume : qualits des- 
agr&able, contraciee par UNE drogue, elc.; 
brülee; huile brülee, son goüt. j 

EMPYREUMÄTICO, A, adj. eınpyreumaliquo: 
qui tient de l’empyreume (huile, odeur). 

° Ku Que, pour Dem que, Ainda que, adv. 
oique. . 
° EOURANIÄNTO, s. m. V. Inguirigle, 





“ 


490 ENG 


* Euspeunaa. V. Juniamense. 

® Eusgıas. V. Insidia. 

* Eu sosso, V. Ensosso. 
Euravvisciva. V, Entrovisedda, 


ENC 
. Encaszcieo, A,P. pP. d’Enosbarer. adj. Ea 


possession; qui explojte. Couronne de maisens, 
parlanı d’une hauteur. Qui porte de gros epis 
(bi6, eto.). Encastree (planche), annexe {ler- 


EuuLsciö, 6. f. $mulation : desir noble d’4- | rain, etc.). Enists , entiche, Rallermi, parlanı 


galer ou de surpasser queiqu’un dans une chos6 
lousble; chaleur de l’Ame qui porte & enire- 
prendre ce qui röussit aux aulres; rivalitö dans 
le bien; noble Jalousie. On le prend quelique- 
fois on mauvaise parl. 


 @’un chevalqui a eu la hanche rompue lorsgue 
: le calus se trouve forme. 


ENCABEGAMENTO, 8. m. recensemen! : veriß- 
cation des contribuables cxistanı dans un pays; 
enregistreinent, immatricule. ° Taxe, capils- 


EuuLipo, A, 9. p. d’Emular. adj. Rivaliss, | ion, impöt par i6te. * Institulion d’un majoral; 


imite ; dont on est jslous, envieux, rival. 

EuuLapon, A, 5. ömulaleur : touche, anime6 
d’emulatlon ; imitateur ; envieux; rival , concur- 
tent. 

EsuLir,v. 6. dmuler : imiter par d&mulation. 
eo. m. Etre emule; rivaliser de merite, de force, 
etc. ; tächer d’imlter, d’egaler, etc. ; porter en- 
vie, ötre Jaloux de. 

EmuLcents ‚adj. 2 gen. (l.d’anat.) &mulgent: 
qui porte le sang dans les reins (artöre —e); 
u le reporte des reins au caur (veine —e). 

MULO, A, 3. &mule, concurrent; &mulateur; 
antagoniste; rival : se dit de deax personnes 
d’un mörite &gal dans un art, eic. Adveorsaire, 
contraire, ennemi. 

Euuısiö, s. f. (l.de pharm.) ömulsion : pe- 
tion rafraichissante, blanche. 

EuvLsivo, a, adj. &mulsif. Se dit des se- 
menoes qui donnent de !’'huile par l’expres- 
sion. 

Euuncrönios, 3. m. pl. (1. d’anal.) dmonc- 
toires : glandes, ouveriures pour la decharge 
des humeurs, des excremenis. 

Buunnacäö, V. Purificapäo , Pureza. 

a valıma #6 Euvasıına. V. Vasilha et Ta- 


Euxina. V. Enzara. 

Euxzacan. V. Enzercar, Xarguear. 

"En pour Em. 

* Enapga ow Enapır. V. Acerescaniar. 

°Enacenucäd. V. Alienapdd. 

*EnaLuzino. V. Alhoddo, Akienado. 

*EuALHSAMERTO, a. m. (f. de pral. anc.) 
" Aliönation : vente, Iransport de la propriets 
d’un fond. 

* Enaınzän. V. Alhedr. 

EnawLice,s. f. (1. de gram.) enallage:chan- 
geınent des medes, des temps. 

*EnaLLENAn , eto.V. Alkeur, Alienar, eis. 

Enauoran,eic. V. Namorar. 

*Ruano et Enid. V. Andd. 

TEnäntno, s.m (1. de bot.) “ananıhe: planie 
embelliföre. — do Reino , ananthe globuleuse. 

Enancäkpo. V. Arqueddo. 

Enarmönıco. V. Enharın... 

"Enahnacäd, s. f. explieation , interpreta- 
tion. V. Narragio. 

"Enınnin.V. Narrar, Exper. 

Enanranöse,s. f. (1.d’anal.) enarthrose : ca- 
vite d’un 08, qui regoit une 6minenoe rende, 

*Exanvonan, eic. V. Arvorer. 

* EnsoLta. V. Ambula. 

" Excapan, V. Ancacaer. 


enregistrement d’un fend, d’un höritage pour 
l’erection d’un majorat. 

Encaszcia, v.a. eriger un fond, un heritage 
en majorat; melire en possession (d’un htri- 
tage, etic.). Recenser : verifier Je nombre des 
contribuables;; enregisirer, immatriculer ; im- 
poser, coliser. Persuader. V. Encasgueiler. — 
bölas , remonter des boties en enlier. 

Encaszcia, vu. n. (i. de vdier.) ralflermi 
(parlant du sabot d’un cheval, eto.). —se, ©. r. 
V. Encasqustar-se. 

EncABBLLADO, A, adj. recouvert de poil, ou 
de nouveau poil. Bem ou mal —, (Ag.) do bon 
ou de mauvais caraciöre. 9.9. do . 

ENCABELLÄR, 9. 9. pousser, parlant des 
VeuX; 56 0ouvrir denouvsau poil, parlant d'une 
blessure cicatrisee (d’une be6te). 

Encasasstino, A,P. P. de Kmcsbrssier. 

Encanassranünas, 8. f. pl. enehevätrufe: 
mal qu’un cheval z’est fait au piod em s’enche- 
vetrant. , 

ENCABRESTAMENTO, 5. m. action d’enchers- 
trer, de metire lo lloou aux animanx. 

ENCABAESTÄR, v. a. encheretrer : meitre ea 
thev£tre, um licon aux animaux. (g.) Assu- 
jettir, subjuguer. Conduire un trbupeau de 
baufs sauvages & l’zide de hauls apprivoises 
qui leur serventde guides. 

ENcCABRUÄDO, A, adj. (P0p.) pertinace ‚eniät. 

EncacHin0, A, p. p. de 

Encachän-SE, ©. 7. 80 Couvrir au -dessous de 
la ceinture. 

Encicz0, s. m. pagne.V. Tange. 

Encapanaoino, etc. V. Enestarrhosde, eic. 

EncadEacid,s. f. V. Eneadsamenso. 

Encapzin0, A,P. 9. d’Encadsar. 

EnNCADEAMENTO, 8. m. enchainement, lii- 
son, suite, dependance de ohoses de maemenz- 
ture, (propre ei Ag.) “enchainure. —, eistde 
ce qui est enchalne. 

Encangir, ©. &. onchainer : lier, attacher 


avec une chaine ; (fg.) lier, parlanı des idees 


d’un discours, eic. ; captiver (quelqu’an), lui 
Oter la faculie d’agir. _ 

ENCADEÄR-SE, ©. r. S’enchainer. (Ag.) 
suivre nöcessairement, dire intimensent lır, 
connexe, dependant. 

Encipzıia, ei. V. Ancodeer, etc. 

Encapeinino, A, p.p. de 

tEncapgınÄa, ©. @. placer sur une ohaise; 
introniser. 

Eucapsanacäö, s. f. rellure : maaniere dont 
un livre est reli6 ; ourrage d’an roliosf. 





Escapeznuino, A, P. p. X’Encadernar. 

EmcisRaNADOR, 8. m. relieur : celui qui relie 

les livres. 

EncanzaniR, 9. a. reller ı ooudre et oouvrir 
les feuilles d’un livre. 

EnxcarunniDo, A,P. P.d 

Encaruanin, d. a. meilre dans une grotte. II 
est aussi röciprogae. 

EncktsnAno, A, 9. p. de 

+ Exckıaaan, v. a. placer, dresser, poser la 
eharpente d’yu toik. 

EscaıziD0o,A,P. P-. d’Encaizar. 

Encatzamento, s. m. encaissement : action 
d’encaisser. i4. V. Encaize. 

Encarzäin, o. 6. oncaisser : melire on Caisse; 
embolter. Enchässer, encastrer : melire en 
chasse , unir par le moyen d’une entaille. Pous- 
ser : faire entrer de force. Enfermer : metire 
dans, renlermer. Emmortaiser, entailler. (Ag.) 
Fourrer dans la t#te de quelqu’un, persuader. 
(Ag. fam.) Faire, dire quelque chose mal ä 
propos. (ia.) Tromper, en fsireaccroire.—bem, 
venir bien, venir, #ire A propos. — as barbas a 
eiguem,, empoigner la barbe & quelqu’un par 

sis. 

+ Encarzin-sg (em, por), v. r. se fourrer, 
se metise,, peneirer dans un lieu &iroil, dans 
une foule, dans un trou, etc. Se fourrer, s’in- 
trodeire pariout sans y ötre appele, piquer 
Yassieite. — a alguem alguma cousa nacabega, 
tsnir fermement & son opinion, 8’y opiniälrer ; 

y persister; se melize, so fourrer quelque 
Ahose dans la l&te. 

Escirxz ou Enciıx0, 5. m. ° enchässure, em- 
keilure : action @’enchässer, d’emboiter une 
ebose dans une autre. Assemblage, liaison 
jeinture. Encastrement. Le lieu, le trou od 
queique chose est enchässe. Encaissement : 
stlion d’encaisser. 

ExcamxıLBino,A,p.p. de 

EsCAlXILHaAR, dv. a. encadrer : metire dans 
un eadre; enchässer, embeolter. 

Escäix0TAD0,A,Pp.p. de 

+ EncarxoTär, v. a. meltr6 on Caisson; en- 
taisser. Emballer. 

EncaLautntos, s.m. Pl. (1. de mar) ° tra- 
verse de la cale. 

EncaLamocin ou ENCALAMOUCAR, ©. @. (fl. 
berl.) Tromper, duper. 

° EncaLcäR, ©. a. suivre de prös quelqu’un, 
suivre la piste. 

*"EncaLco, s. m. Paction de suivre de prös 
guelqu’un. Ir no —, suivro la piste, aller sur 
les Lraces. 

EncaLDEIRÄDO, A, P- p. de 

EncALDEIRÄR, dv. a. (l.d’agr.) faire un creux 
“zutour du pied d’un arbre pour l’arroser. 

Encarmaciö,s. f. " echouement : action d’6- 
=houer ; engravement. 

EncaLHiDo, A, p.p. do 

Encaınis (em), v. a. faire &chouer un na- 
Vire; je mettreä& sec, l’ongraver.o.». Echouer: 
se briser, toucher, donner eonire un dcueil, 
sur ie sable, sur un bas-fond, contre un Fo- 


ENG 491 


cher, sur un bano, eto., parlant d’un navire. 
(t. de mdd.) S’arräter, parlant du sang, etc, 
(Ag.) Eire arreöt& dans une affaire, ne pouvoir 
passer outre. (id.) S’arreier tout court, rester 
interdit, 

Enciuue, s. m. (f. de med.) "obstruction, 
engargement. (fg.) Obstacle, emp&chemcnt. 

EnciLno,s. m. banc de sable, bas-fond : en- 
droit od les navires peuvent&chouer.“ Plampure 
de fer & cheval. üt. V. Encalhagdo et Encalhe. 

EncaLLecea, v. n. avoir, gagner des cors, 
des durillons. V. Calejar. 

EncaLLEcino, A, p. p. d’Encallecer. 

ENCALMADICO, A, adj. qui 6loufle aisöment 
de chaleur. V. Encalmddo. 

EncALwino ,A,P.p. d’Encalmar. adj. Rtouf- 
fant de chaleur, oppresse par lachaleur. 

"EncALMaR, etc. V. Acalmar, etc. 

EncaLuir, o.a. dohauffer, causer de la cha- 
leur. (Ag.) Exciter, enflammer; allumer (une 
passion, eto.). it. V. Acalmar. 

EncALMÄR, v. n. avoir chaud; etouffer de 
chaleur; n’en pouvoir plus de chaud. Faire 
chaud,, apres un mauvais temps; s’apaiser, 86 
ealmer, tomber, parlant du vent ei de la mer. 
V. Acalmar. 

TENcALVECER , v. 9. perdre les cheveux,, de- 
venir chauve. 

ENcALVEciDO, A, 9. p. d’Encalvecer. 

ENcAWÄDO, A, 9. p. de 

TENncAuÄR, vo. a. liter: meltro par lits. V. 
Camdda. 

+ Encauankpo,A, adj. (i.dart.) on le dit 
des pierriers dont l’Ame cylindrique est ter- 
minee par une chambre beaucoup plus &troite. 

ENCAMBÄDO, A,P. p. de 

+ Encausär, vo. a, enfiler des pelits poissons 
dans una bagueltte, eic. {fig.) Commercer avec 
profit. Säo mdos de — enguias, phrase [ami- 
liere qui equivaut au proverbe frangais: balire 
le fer quand il est chaud. 

EncaspuLuäpa,s.f. enfllade de poissons,etc. 

EncAMsuULHÄDO ,A. P. pP. de 

ENCAMDULHÄR, ©. a. atlacher, accoupler; 
entiler. 

ENCAMBULBÄR-SE, vd. r. s’accoupler, parlant 
d’un chien avec unechienne. 4. V. Travar-se, 
Enredar-se. 

EncämE, s. m. gite (du Sanglier, elc.), bauge. 

EncANınsÄADO, A, P. pP. d’Encaminhar 

ENCANINHADOR, A, 3. qui achemine; 00ondac- 
teur, guide, directeur. 

* ENCAUINBAUENTO, 8. m. action de montrer 
le chemin, de guider; conduite, direction; 
acheminement, voie. 

EncawınRäß, %. a. montrer le chemin, met- 
tre dans le chemin; conduire, guider, diriger. 
Adresser. (flg.) Acheminer: metire (une affaire) 
en ötat de reussir, en train, en bon train. 

Encasımmär (a), 9. ®. so diriger vers, pren- 
dre le chemin de. Conduire, aboutir A un Jieu. 

EncauınnÄn-SE (a, para), v. r. se diriger 
vers, prendre le chemin de; s’adressor A; s’a- 
cheminer. 


492 ENC 


Encammsapa, 8. f. (f. de mil.) camisade: at- | 


taque mililsire noctarne gu matinale, faile par 


ENC 


EncınzLino, a, adj. Panno —, drap de 
qualits inferieure. (Ag.) Mauvais , bon & rien. 


des soldats qui ont mis leurs chemises par- ' 9. p. de 


dessus leurs habils pour se reconnaltre. Mas- 
earade qui avait lieu pendant la nuit avec des 
Gambeaux dans les r&jouissances publiques. 

Encauısino,A,9.p. de 

EncAMssÄR-SE, vo. r. (}. de mil.) se couvrir 
d’une chemise pour donner une camisade. 

Encamoroucia , etc. V. Encomorouger, elc. 

Encauraciö, s. f. " rösiliment : rescision, 
eassation d’un acle, etc. 

Encaurio0, A, p-p. d’Encampar. 

+ ENCANPADOR, A, 3. celui qui rescinde, 
easse un acle, eic. 

+Encauranino, A, adj. (if. dark.) on le 
dit d’un pierrier dont l’äme va en se retrecis- 
sant en forme de poire ou de cloche. 

Encaurin, ©. 0. rescinder, resilier, casser, 
ennuier un acte, etc. Charger quolqu’un d’uns 
chose malgre lui. 

Encanipo,A,Pp. pP. d’Encanar. Ar — , cou- 
rant d’air, vent coulis qui souflie par un pas- 
sage eiroit. 

+ Encanamento, s. m. action de conduire 
les eaux par des canauı, des aqueducs. V. 

.— de rio, canalisation d’une Fiviere; 
moyen de la rendre navigable en resserrant 
son lit, et en y @tablissanı des dcluses. 

Encanär, ©. a. conduire l’eau par des ca- 
naux, des aqueducs. — um rio, canaliser, 
transformer en canal une riviöre. Caneler des 
oolonnes. Raccommoder les os [racturös. 

Encanäs, 9. m. oroltre, monter en epis, 56 
former en tuyau, parlant des bleös; commen- 
cer d avoir des plumes , parlant des oisoauz. 

EncaANASTRÄDO, A, 9. p. de 

EncanasTain, v. @. melire quelque chose 
dans une bannetie, dans un panier, dans une 
eorbeille. 

Encancerin-es. V. Concerar-se. 

Encanpsin, etc. V. Desiumbrar, etc. 

t EncanpechR, 0. a. chauffer du for A blanc. 

. Bucandecer. 

EncAnDECIDO, A, 9. p. d’Encandecer. adj. 
Chaufid & blanc. 

ErcanpıLäpo, A, P. pP. de 

EncanpiLir, v. a. faire candir, donner la 
oonsistance de la glace (au sucre, elc.). 0. m. 
ei—s0,v.r. candir, se candir, se cristalliser, 
se dit du sucre. 

+ EncanpiLir-sg, ©. r. s’allumer, briller, 
s’enflammer, parlant des yeux de celui qui a 
top bu, ou qui est possede d’une passion Iu- 
brique. . 

Encansche, v. w. blanchir, grisonner, par- 
lant des cbeveux; ınoutonner, parlant de la 
mer. (fg.) —, devenir blanc. (i4.) Avoir beau- 
coup d’experience. Il est quelquelois actif. 

Encanecinoo, a, 9. 9. d’Encanscer. adj. 
Blanchi par l’äge. (Ag.) Vieux, antique; affai- 
bli, tombe en decadence. Folhas —as ou enca. 


ncscidas, (1. de bot.) feuilles colonneuses, pu- 
bescentes, 


EncanzLän, vo. 6. bobiner : devider du üil, 
de ia soie sur une bobine. Mettre dans le tisya 
du drap des bobines d’une qualits införieure 
ou de diffsrente couleur. 

EnCANGALHADO, A, P. p. de 

ENCANGALHÄR-SE,, 9. r. S’accoupler ( le ablen 
avec la chienne). 

Encancar. V. Cangar, Jungir. 

*Encinnas, s. f. pl. V. Moias. 

* Encinno. V. Embarapo. 

EncanıcAD0O, A,P. p. de 

Encanicäß, ©. a. entourer, enclore d’une 
claie , d’un treillage;; treillisser. 

Encantaciö,s. f. V. Encantamento. 

EncantäD0, A, 9. p. d’Encanter. adj. En- 
chante : fait par enchantement; gai &preuve 
l’enchantement, qui en est domine ; (Ag.) rari, 
tres-satislait , transports de joie. Cass —a, pe 
lacio —, maison irds-spacieuse, habitee par 
peu de monde, ou dans laquelle on marche 
beaucoup pour trouver ceux qui l’habitent. 
Homem —, misanthrope, homme qui f[uit le 
monde. M.. ra —a, (fig.) tresor cache. 

Encantanör, A, 3. enchanteur : qui en- 
chante. (fg.) Qui seduit. adj. (Ag.) —, sedui- 
sant, ravissant, charmant. Formosura —s, 
beauts enchar.ieresse. 

EnNCANTANENTO, s. m. enchantement : effei 
des charmes r6els ou prötendus de la mmagie; 
charme, sorcellerie. 

Encantär, v. a. enchanter : charımer, ensor- 
celer par la magie; (fig.) surprendre,, s6duire, 
engager (par de bolles paroles, des attrails, 
eic.); ravir en adımiration. — 85 penas, Os cui- 
dados , charmer les peines, les soucis. — um 
thesouro , cacher un tresor. 

EnxcantgıRino, A, p.p. de 

Encanteırir, 0. @. encbanteler : metire sur 
des chanliers ( tonneaux, eic.). Diviser (ua 
jardin ) en planches. 

Encantinan. V. Enventaner. 

Encinto, s. m. enchantement, prestige, 
oharme. V. Encantamento. (Ag.)— , plaisir vil, 
ravissement; ce qui est surprenant, wuerveil- 
leux; charme ; transport, delice. Bum—, c'est 
un prodige,, une merveille. 

Encantoino, A, adj. reiire dumonde. p. p. di 

Encantoir, v. 6. meilre dans un coin, ren- 
oogner. V. Acanioar. 

EncAaNnTOAR-SE , dv. r. Be relirer du monde, 
s’enterrer tout vif; se confiner. 

T ERCANUDADO O4 — TADO, A, adj. en forme 
de tuyau. p. p. de 

+ Encanupar, v. a. plisser, faire des plı. 
ronds. Introduire, faire passer dans un tuyau. 
Donner ä quelque choss la forme d’un tuyau. 

ENCANZINiDO, A, 9.9. de 

T Encanzınan-sE, v. r. s’ohstiner, dispute: 
opiniätrement, s’acharner. 

+ Encaracnipo, A, adj. (4. buri.) courert.üde 
paillassons. 


ENC 


ExarttLiBo, A, adj. enflö, gros, agitd, 
parlanı de la mer, des flots. Mar —, mer agl- 
ie, houleuse. p. p. d’Encapellar. 

TEscurELLADöRA, 5. f. (1. de mar.) * cape- 
see :20lion de capeler, son effet. V. Encapel- 


ErurzLıär, 0. a. (1. de mar.) faire enfler 
su gonfler ( les fiots); rendre la mer houleuse. 
-beas, instituer un majorat avec des charges 
>euses. (amf.) V. Amonloar, Acumular. — a 
nzereis, (6. de mer.) capeler les haubans; 
‚ncapeler le capelage. 

Excargzän, ©. ®. e — SE, 0. r. s’enfier, 
fire houleuse, grossir, s’agiter, parlant de la 
mer, des flots. 

Excırogmie0, A,p.p. de 

TExcaroßıaän, vo. a. meltre (les poules) 
dans la cage ow &pinette. 

Excaroßinan-sE, ©.r.V. Acantoar-se. 

Exuroräno ,A, p. 9. de 

ExcaroTÄR, ©. @. couvrir avec une capote, 
"urrir d’en manleau. 

Excaporär-SE, v. r. s’envelopper d’un man- 
'ssu.(g.) Baisser trop la töte, se dit du che- 
sal. Se couvrir de nuages, de brouillards, 

sobseureir, devenir noir, parlant du ciel. 

ExcaPpRIcHÄDO, A, P. 2.de 

tEscaraichan, v. a. inspirer un caprice & 
quelgu'un.o. an. V. Cuprichar. 

TENCAPRICHÄR-SE,, ©. r. s’opiniätrer, s’ente- 
ter, desirer forlement et par caprice, vouloir 
salis[aire son caprice. 

Excapuziso, A, p.2.de 

EncAPUZÄR, ©. 6. couvrir d’un Capuchon. 
ENCAPTZAR-SE,, ©. r. s’encapuchonner : se 

courrir la töte d’un capuchon. 
tExcanacoLino, A, adj. (1. de bot.) entor- 
ülle en spirale. p. p. de 

TEnCAnAcoLir-SE, ©. r. s’entortiller en spi- 
tale, se dit de cerlaines plantes grimpantes. 

ExcaniDo, A, Pp. pP. d’Encarar. Bem ou mal 
—,adj. bien ow mal face. 

EncARANELÄDO, A, P. P. de 
ErcARAMBLÄR, ©. a. glacer, congcler, figer, 

@aguler; faire du caramel. 

ErCARANONADO, A, adj. triste, melancoli- 
goe, de mauvaise humeur. 9. p. de 

ESCARANONÄR, ©. a. rendre triste, melanco- 
lique , de mauvaise humeur. 

EncanaonÄk-sE, v. r. (1. durl.) faire la 
mine , la moue. 

EncansreLimse, (1. de mar.) V. Encapel- 
ler-a. 

EncARAPINHÄDO, A, adj. frise, laineux, crö- 
pa, parlant des cheveux. A moili6 fig6, gru- 
mel& (comme le sorbet). p. p. de 

Encanurınnäa, dv. a. friser (les cheveux), 


es ereper. Figer, congeler, &paissir par le 
old. 


EncaRAPınmÄR-SE , v. r. devenir friss, lai- 
neux, crepu, parlant des cheveux. Se gru- 
meier, en parlant du lait. 

EnxcanaPrtipo, A, p. p.de 

EncanaPIrän-sE (em, sodre), v. r. (4. burl.) 


ENC 493 


s6 jucher, se placer dans un lieu «levs, sur le 
sommet. 

EncaraPr0cino,A,p.p. de 

ENCARAPUCAR-SE, d. r. se couvrir d’un bon- 
net. 

EncaRÄR, ©. a. regarder avec attention owen 
face ; envisager, regarder firement. — a setta, 
a sspingarda, eic., poinler, viser, coucher en 
joue. —os perigos, (Ag. affronter les dangers. 

EncARÄR (com, em), ©.n. envisager quei- 
qu’un, le regarder fixoment, se mettre vis-a- 
vis ou aupr&s de lui. Viser, tendro &. 

EncARÄR-SE (com), v. r. V. Arrostar-se. it. 
Se regarder fixement ei mutuellemena 

EncARcRRÄDO, A,P9.p. d’Encarcerer. 

ENCARCERAMENTO, 8. m." incarc6ration , em- 
prisonnement. 

ENCARCERÄR,, 9. @. incarcörer, emprisonner. 

ENCARECEDOR,, A ‚8. exageraleur : qui agran- 
dit , quiexagere, qui amplifle. 

Excansgc£a, v. a. encherir : hausser le prix, 
rendre plus cher. (Ag.) Exagerer, louer aves 
exces; amplifer. vo. n. Rencherir, hausser le 
prix. 

rt Encanecia-se, v.r. (fg.) prendre son s6- 
rieux; faire le difäcile, le rencheri. Se faire 
trop valoir. 

EXcARECIDAMENTE , ade. instamment, d’une 
maniere pressante. Avec une exag6ration ex- 
treme. 

ENCARECIDO, A, p. 9. d’Encarecer. Ei adj. 
Homem —. V. Encarecedor. j 

ENCARECIMENTO, 8. m. * exageration , amplifl- 
cation. Com —, instamment, d’une manidre 
pressante. 

ExcanenTän,o.a.V. Encarecer. 

EncARETÄR-SE. V. Mascarar-se. 

Encancär, etc. V. Encarregar, etc. 

Encinco, 3. m. ° charge: tout ce qui est 
onereux ; emploi; imposition ; obligation, con- 
dition on6dreuse; commission, ordre; soin; 
garde. V. Cargo, Emprfgo. 

- Enciana,s. f. enlaille, tenon, mortaise. 

Encannacgiö, s. f. incarnation, se dit de 
Diea qui s’est fail homme, (t.de peint.) Car- 
nation : chairs peintes, leur coloris; me- 
lange propre & donner aux statues une couleur 
de chair. — de pulimento, ooloris brillant dcs 
chairs. 

+ ENCARNADTNTO , A, adj. dim. d’Encarnddo, 
incarnadin : d’ane couleur plus faible que l’in- 
carnat. . 

Encanninpo, A, 9. p. d’Encarnar. adj. In- 
carnat: de couleur de chair, de couleur entro 
le cerise et le rose. Vermeil, rouge. Incarne : 
qpi a pris un corps de chair. Diabo ou demo- 
nio —,(fig.) diable, demon incarne : homme 
tres-mechant. — no somno, enseveli dans le 
sommeil. 

Encarnäpo, s. m. incarnat: couleur de chair 
qu’on donne auz statuos ; rouge, vermeil. 

Encannän, v.@. (. de peins.) donner aux 
statues la couleur de chair. (f..de vener.) Don- 
ner la ourde aux chiens pour les rondre Apres 





Er 


496 ENC ” ENG 


partie (d’un tout); (Ag.) commencer; &prou- ı de la peur, de la frayeur, en #tre salsl, eie.- 
ver, essayer. d’animo, deresolug&o, etc., prendre du courae. 
Encerän-s8, v.r. ötre lo premier ä [aire ou | —degosto, de jubilo, serejouir, avoir du plaisir, 






















& &prouver quelque chose. de la Joie. — de ira, de colera, (fig.) se fächer 
Encevin. V. Cevar et Encebar. enfin, perdre palience. —de razdo, patienier, 
EncHastgus. V. Chaoeco. achevor jusqu’ä ce que la mesure soit comblöe, 


EncHACcoTÄDO, A, 9. p. de 

ENCBACOTÄR, dv. a. faire cuire la falence avant 
de la vernisser. - 

Encuiva, etc. V. Enzada, etc. 

+ EncnumeL, s. m. (1. de charp.) *charpente: 
bois faconne pour soutenir les murs en bri- 
que, etc. 

EncHARCcÄDO,A,P.p. de 

Escnancir, o. a. inonder, submerger; faire 
croupir l’eau dans un endroit, embourber. 

EncuAancän-8E (em), vo. r. se remplir d’eau, 
devenir comme un ötang ; s’embourber. Crou- 
pir, se remplir d’eau. — em agua, ig.) boire 
beaucoup d’eau, s’inonder l’esiomac. — N08 
vicios, (dd.) croupir dans le vioe. 

EncHannöco. V. Enzarroco. 

+ Enchtuiva, 8. f. (1. d’Mst. nat.) enchelide: 


+ Excazatriaıo, s. m. (1. de mar.) Pro 
na verga, meltre le racage. 

Encnino, A, p. p. d’Encher. 

EncHım&uto, s. m. remplage, templissage: 
action d’emplir; &tat de ce qui est plein; ou- 
vrage fait pour remplir. * Pienitade, aben- 
dance. Portefeuille d’&colier. — do estonep, 
plönitude d’estomac. —s, pl. (1. de mar.) pil- 
ces de bois destindes dans un vaisseau d rem 
plir les vides des bordages. 

t Encniqurirän, ©. ». on le dit du poisson 
qui entre dans une claie. 

Encuiaindıo oW ENCHIRIDION, 3. m. enchiri- 
dion, manuel; livret de remargues, de pr%- 
ceptes, de maximes. 

EncnocÄr-se, v.r. se mettre dans une ebar- 
miöre, 


ver infusoire des eaux mortes. EncHoRICAR-SE. V. Arrigar-se. 
Encazmiö. Homem d—, (phrase ueuelle) | EncnoraAR. | V. Enzo 
homme de poids, homme consomme®. Excaouvir. " . 


EncH&nte, 3. f. action d’emplir, de remplir; 
&tat de ce qui est plein, rcmpli. Abondance, 
quantit& excessivc. Crue des eaux. * Döborde- 
ment, inondation. — da mare, flux de la mer, 
haute mer, marde montante. Na — da mart, 
ıorsque la maree monte. — da lus, plein 
de la lune. — da graga, (fig.) plenitude de la 
gräce. — de genie, affluence , grand concours. 
— de vieios,, (ig.) inondation de vice. —s, pl. 
grande quantits, abondance. 

EncHEnTE, adj. 2 gen. et p. a. d’Encher. Qui 
emplit, qui remplit. 

Encnto. V. Cheio. Por —, (loe. adv.) en to- 
talitö ; pleinement, totalement. 

Encutr (de), v. a. emplir, remplir, rendre 
plein. Romplir : occuper dignement une place, 
etc. Remplir un espace, y mettre plusieurs 
choses , faire qu’une meme chose 8’y trouve en 
abondance. Remplir, eompleter ; accomplir. 
Nemplir, rassasier. (fig.) Combler de biens ou 
d’outrages, etc. — as modides, remplir parfai- 
ment, satisfaire l’attente. — as medidas a al- 
juem, plaire, agreer, satisfaire quelqu’un. 
— de cheiro, de fragrancia, embaumer.—a bar- 
riga, 6 pansa, se [arcir l’estomac, remplir la 
hedaine. — a alguem a cdra de bofeladas, (fam.) 
souffleter quelqu’un. — a esperanga, repondre 
ä Fattente, remplir l’esp6rance. — alguem de 
medo, d’ssperangas, de jubilo, etc., (ig.) inspi- 
rer de la fraeur, Je l’espeir, de la joie, eic., ä 
qaelqu’un. — o numero, completer. —a lei, 
observer la lol. 

EncH@k, o.». monter, en parlant de la ms- 
rce; &tre dans son plein, en parlanı de la lune. 

Enchtn-#2 (de), v. r. s’emplir : devenir 
plein ; se remplir. (fam.) Se gorger de nourn - 
ture. (dd.) S’enrichir par des moyens illicites. 
— demeodo, de susio, eto,, se laisser prendre 


* Encnumnan. V. Chumbar. 

EncHunnapa, eto. V. Enzurroda, ee. 

EncıcLor&bia , etc. V. Encyclopedia, etc. 

tEnciua, ade. sur, dessus. V. Sobre. Pic 
haut, en haut, dans un lieu plus haut, pla 
elevre, dans la parlie superieure. Agwi—,c- 
dessus. Ainde — , encore par-dessus. 

EncımaDO,A,9.p. de 

"Encımir, v.a. cxhausser, &lever, melire 
au-dessus, en haut, mettre sur. V. 4caber, 
Terminar, Finalizar. 

Encintino, A,P.p. de 

+ Encıntän, v. a, garnir de ceintes, de pr« 
ceintes. 

Encınzino, A,p.p. de 

+ Encınzin, v. a. remplir, couvrir de ce®- 
dres; jeter de la condre sur quelque chose. 

EncLAUSTRÄDO, A, pP. p. de 

ENCLAUSTRÄR, ©. a. clolirer : enfermer dass 
un ololtse, dans un couvent, 

EncLAYINBÄDO, A, 9.79. de 

ENCLAVINHÄR,, ©. a.— 08 dedos, enirelstet 
les doigts d’une main avec ceux de l’autre. 

* EncLopir. V, Incluir. 

EncoB£rnTa, 3. f. cachette : petite cache: 


Encoszarino, s.m. V. Tatu. 

ENCOBERTANENTE,, adv. secretioment, en c® 
chetie. 

Encoseatär. V. Acobertär. 

EncoB£RTO, A, 9.P. irr. d’Enoodrir. elf. 
Secret, cache, oouvert. d6guise. 

EnCoBRIDIGO, A, adj. qui peut &tre courert, 
cach&. 

Encoaxip0, A, p. p. d’Encodrir. 

EncosaıpoR, A, adj. et s. qui eache. — 
furlas, recölehr, qui recdie un vol. 








chose qui cacbe. (Ag.) Dissimulation, feinle: 
pretexte, excuse. (dd. Ruse, subterfuge; eilade. 


ENC 


ExcuserLla, v. e. fortißer, meltre en etat 
do delense au moyen des chäleauz. 

EncusteL.än-6E (em), v. r. s’onfermer, se 
relirer dans um cohätean, s’y fortifler pour so 
defendre. (fig.) Se röfugier, se retirer dans 
quelgue endroit pour s’y mettre & !’abri de 
kuis poursuite. Sencasteler, se dit des che- 
vauı qui ont le talon trop serre. 

ExcasroApo, A, P. pP. de 

Kxcasroän , v. a. enchässer, encastiller ; ser- 

kr, monter un diamant. 

ERCATARRHOADO, A, 9. p. de 

EncaTannmOÄR-SB, v. r. s’ünrhumer; con- 
tracler un eatarrhe, un gros rhume, 

Ensciostioa, A, adj. (8. de peint:) encausti- 
que: (peinture ,tableau, eio. em couleurs pre- 
pardes avee ia eire. 

+ Excitsto, s. m. (1. d’ant.) * encre de cou- 
leur de pourpre ä Fusage des empereurs soul. 
Exciva , s. f. " emboltement, enchässure. 

Excaväpo, A, p. p. d’Encaver. 

Escavarcino. V. Montddo. 

EncavaLcandöaa. V. Cavalgadura. 

"EncavaLcandaas,s. fı pl. *cavaliers, hom- 
mes ä cheval. 

EncavaLcäir, v. a. V. Cavalgar. (ant.) Re- 
monter la cavalerie, pourvolr de chevaux. — a 
bksta, a erlilkeria, otc., dresser, monter l’ar- 
balete sur son füt, une piöce d’artillerie sur 
son affüt. Tl est aussi reciproque. 

Encavis, v0. 4. emmancher ;: melire un man- 
cbe. Enchässer. 

+ Encavıısis,v.a. —umando, (i.de const.) 
suamabler un vaisseau. 

NCAZAR , otO. . 

Encaxıı gan, eic. | V. Emcaiz..., eto. 

* Encankär, etc. V. Encerrar, eis. 

Enczäva. V. Ensedda. 

Exc#saLo, ete. V. Encöphalo, ete. 

Encsırioo, A,p.p. de 

Encgınär, ©. a. serrer on meitre dans des 
cabas (des figues). 

Excsszir. V. Encelar. 

Exc&LLiDdo, A, 9.9. de 

EuczıLir, v. a. eufermer dans une cellule. 

ExcRLLÄR-SE, o. r. se elolirer, se renfermer 
en clötore. 

EncgLıgıRiDo, A, P.p.d 

EncRıLginär, D. a. setrer Cie bie, ete.) dans 


greniers;; faire provision d® grains; emma-- 


Basinder. ( Ag.) Thesauriser. 
Encanpen, etc. V. Aceender, ete., ot Incendiar. 
"DLÄRIO. V. Incendiario. 
t ENCENDIDAMENTE, adv. (fg.) ardemment, 
Ares ardenz, d’une maniöre ardenie. . 
ENCENDIDISSIMO , A, adj. sup. de 
ExcEndıDo ‚A, pP. P. d’Bucender. adj. Qui est 
Enno couleur ronge trös-foncke. On le dit zussi 
la couleur rouge. ( Ag.) Enflamm$, ardent. 
EDIMERTO, 8. m. embrasement, incen- 
die: action de s’embraser. * Ardeur: chaleur 
„2 &pemente, &cre, piquante ; indammation. (Ag.) 
eur, vivacit#, grande activits, vioelenoe 


RN uno passion, 


ENG 195 


Enczwprino, a. V. Acendrade, Apurado, 

Encenprär. V. Acendrar, Puriflicar. 

Enckmas, s. f. pl. encenies ; fötes jJuives de 
la purification du temple, inslitaden par Judas 
Machabee. 

Enctnıo, s. m. V. Enchnias. 

* ENCENSO, ete. V. Incenso, ee. it. awi. T. 
Conso. 


* Encensörta, 8. f. V. Censo. 

* ENCENSORIÄR , ©. a. etahlifrun eens. 

T Enemrrin, ©. a melire, üxer dans le 
cehtre. 

+ EncerriLico, a, adj. (f. Fonal .) enctphe- 
lique : qui arapport &1a löle, & l’enotpheie. 

+Enceruauitis, 5. f. (k. de mid.) enctpha- 
lite: inlammation du corveau. 

EnckrnaLo, s.m. (t.d’anat.) enodphale : :le 
cerveau. (1. d’hist. nal.) —, ver gai:se döre- 
loppe dans le oerveau. 

+ EncEPRALOCELO, 8. m. (1. de med.) enod- 
phalocele : hernie du cerveau. 

ENncERADO, A, P. p. d’Enterar. adj. De cou- 
leur de cire. 4. m. "Toile ciree : teils enduite 
de cire. Toile, papier cir& ou non cir6 qu’o 
met aux fenetres pour se garantir du Teht. 
Sparadrap. © ‘para cobrir cargas, eto., 'b4- 
che. 

EncERADOR , 8. m. frotieur : qui frolte les ap- 
parlements on les cirant. 

Encesanöna, 8. f. Paction et l’effet de cirer; 
cirure. 

Encerir, v. a. cirer: onduire de cire; frot- 
ter (le Si, ete.) avec de la cire. 

Encerän-sE, o. r. devenir opuleur de cire, 
en parlant du visage. 

EncencaR, etc. V. Contornear, Rodsar. 

Encnnaino, a, P- p. d’Exoorrer. 

* ENCERRADOR, A, 8. qui renferme, qui res- 
serre; qui enfarme. 

Encernapöna, 8. f. actign de renfermer, de 
resserrer, d’enfermer. 

Eucznrsußuto, s.m. V. Encerradurs. En- 
clos, clöture; elöture , arröt& de compte, action 
de clore. 

Enczarin,v. 6. fermer, enlermer, resserrer, 
reoeier, metire dans un lieu sür. —, enclore. 
(ig.) Embrasser, eontenir, renfermer; pacher. 
Ciöorse: achever, fnir, terminer (un acle, Fr 
compte,, eit.}. — 08 passaros no iompo de 
muda , formuer les olspauz. N 

EnCERRÄR-SE (em), v.r. (Ag.) se rostreindre, 
se borner &. Se renfermer; s’onfermer (dans 
un tlollre ou gouvent). 

Enckano, a. m. action de ‚zenfermer, do res 
serrer. V. Encerromenio. ’Retraite, solitude. 
V. Clausura, Bocoi Miosonio. 

* Encertino, A. V. 

EncgTtÄDo, A, adj. } p. p. d’Encefor, 

+ EnceranoR, s. m. celui qui entame, qui 
commence. 

Encetapdna, s. f. action d’entamer, de com- 
mencer, commencement. Entame, entamure, 

Buceräin, 0. s. entamer: faire une pelite d6- 
ohiruse, une petite ineision; Öior une peflie 


498 ENG 
avis.— com 08 tos dalguem, peüser 


la meme chose qu’un autre, avoir la meme 
penste, se rencontrer, avoir la meme idee. — 
nas opiniöes, pareceres, eic.: &ire de dille- 
rente opinion, d’avis contraire. 

EncönTRo, #. m. *rencontre; heurt, choo, 
abord; opposition,, obstacle;; hasard ; conjonc- 
tion, eoncours, attouchement de deuz Corps, 
etc.; duel non premeditd; choc de deux corps 
de troupes; occasion, Conjoncture. De —, de 
rencontre. Por —, par hasard. Ir, sair 0 —, 
aller au-devant, ä la rencontre de quelqu’un; 
s’opposer, resister ä quelqu’un. Ter — com 
mulher,, connaltre une femme, en jouir. — de 
dividas, conlas, compensation de delies. —, 

I. ailerons : partie des ailes de l’oiseau qui 
ent au corps; (fam.) les &paules de l’homme. 

Encorir. V. Enfunar. 

Encöanıo. V. Incordio. 

Encoap0iD0, A, 9.9. de 

Enconpoir, ©. a. garnir de cordes un in- 
atrument de musique; (Ag.) durcir, rendre dur, 

EncorpoAR, vo. ». (fig.) bouder, se fächer. 

* EnooanzıHino. V. Becornddo, Desken- 


T Encorogino, A, adj. annexs A un dröchd 
(böndfice). 

fEncoxonsino, a, adj. (f. de odler.) quia 
le sabot malade (cheval\. 

Enconripo, A, p.p. d’Encorper. adj. Qui @ 
du corps; bien fourni, parlanı d’un drap, eto. 

EncoRPADURA,, 8. f[. ou ENCORPAMENTO, s.m. 
€paisseur, corpsd’un drap, etc.; corpulence. 

EnconPpÄr, v. a. donner du corps & un drap, 
ä une 6tolle. o. ». Prendre du corps. 

EncorPÄn-se,v.r.selormer, parlantdu f@tus. 

Enconpoxär, etc. V. Incorporar, elc. 

EucoarEinDo, A, p.p. d’Encorrear. 

T EncoRREAnURA, 5. f. armure decuir. — 
das esporas, courroie pour tenir et boucler les 
öperons. 

EnconagÄr, ©. ®. se Crisper, se ralaliner. 
v. a. (P. us.) Altacher avcc une courroie. 

Enconasa, eic. V. Incorrer, ol. 

ENCORRILHÄDO, A, P. p. de 

EnconaILBÄR, ©. a. enfermer, enclore. 

Excoarigipo, A,9.p. de 

EncorTigän, v. a. faire former l’&corce; gar- 
nir de liöge. (Ag.) Rendre dur comme lo liöge. 
— abelhas , metire un essaim dans la rache. 

Enconricir, v. n. et — SE, vo. fr. so former 
en 6coroe, gagner de }’&corce;; devenir rabo- 
teuX. 

+ Encosautntos, s. m. pl. (1. de const.) 
* piöces de bois pour renforcer les allonges. 

Eno0scorADO , A, 9. P. de 

+ EncoscorÄr, ®. 6. crisper, ratatiner. Il est 
aussi reciproque. 

Encösras, s. f. pl. * embouchoirs de bottes. 
Mettor-se nas — „rentrer dans sa coquille. 

Enoösta, s. f.* coleau, rampe,, pente, pei- 
ehant d’une colline, colline. 

Encösrino, A, pP. p. de 

Encostän, 9. @. joindre, Fapprocher, ap- 


ENC 


puyer ; meltre A 06t6 de „ adosser ; deposer.<-6 
vara, o bastdo, (fig.) renoncer & une charge. 

Encostin-sa (a, em), v. r. s’appuyer, se 
soutenir sur; s’incliner; se mettre & cöte de, 
Se coucher, se reposer. — d opinido de al- 
guem , adherer & l’opinion de quelqu’un. 

+ Encöstas, s. m. pl. (t. de mag.)" pilesı 
maconnerie qui soutient les arches d’en potl, 
d’une voöte, elc. (Ag.) Appui, soutien, preitc- 
tion, faveur, prolecteurs. 

Enc#sTo ‚6. m. appui , noulien ‚ support, &lsi; 
dossier d’un banc. (fig., Soutien, appei, pfo- 
teclion. 

Encostaäno, A, ady. couvert de ereßles, 
d’escarres. 

Excovonia.V. Gurver, Deprimer. 

ENCOURACADO, A, P. p.de 

EncoURAGÄR, ©. @. Cuirasser : armer, vet 
d’une cuirasse ; pourvoir de auirasses (la cara- 
lerie). Il est gussi feripfoque. 

Encourin0, A,p. 9. de 

Encousin, %. a. garnir, couvrir de eeir. Bn- 
fermer, mettre dans du opir. Faire revenit la 
chair, la peau d’une plaie. o. n. Cieatriser, S* 
couvrir de peäu, parlant d’une plaie. 

Encottipo,A,9.p. de 

+ Excouria, vo. e. (1. de prat.) saisir Is 
choses defendues par la loi; valuer la ches 
saisie eten faire payer la valeur. —as lede 
munhass, defenäre aux t&moms de parler 371 
personnes qui les avaient produits en Jusitt. 

t Encoursino, s. m. celui qui recerait 
sollicitait Jos euooufos. V. co met. 

+ Escönto,s. m. (i. de prat.) * amande pt 
cuniaire qu’on imposalt autrefeis a oeut gul 
avaient des ohoses dont V’usage &tait delt" 
par les loin (comme arines,, mules, eic. . 0% 
qui enfreindraient les privileges des fiefs. 

Encovä20,4A, pP. p. d’Bacovar. adj. Mis dans 
un creux, dans un trou. Olkos —s , youz ereı! 
et enfoncds. Fisar —, (4g.) &ire vainca; oblir 
de se taire. 

Encovir, o. a. enfouir, mettze dans an Ifel, 
eic. — eiguem, (Ag.) aonvainore quelqun, 
l’obliger de se taire. 


Encoviän-sg,®. r. 00 clapir, se tapir; sei- 
foncer, parlant des yeux. (Ag.) Se eneber ; lu! 


le monde et vivre en retraite. 

+ Encaaritas, 3. m. p}. emoratites ı sectäire® 
du deuxiöme sidole, qui soutemaient qu’Adan 
n’6tait pas saure, et qui regardaient ie maraf! 
comme un #tat de corruption es de debauche. 

Encravaciö, 8. f- * onclavement; enciare; 
enclouure. (fg. fa.) Tromperie, piege, &” 
trape ; mensonge, bourde, defaite. 

Encaavipo, A, 9. d’Encraver. adj. B#- 
clou6 (cheval) ; convaincu de orimae , v0up3 

.) Fix6,, coll6 sur. (6. V. Acrasado. 
CRAVADURA , 8. f. 66 ENCRAVamBuTtO „6 9 
enclouure ; onclarure. 

Encaavia, v. s. clouer:: fixer avoc des olou:- 
V. Cravar. Enclouer : piquar le cheval en !® 
ferrant; enfoncer un elou dans la lumiere ds 
eanon. Enclaver,enclorre, enfermer (une jet? 


ENC 


dans wneautre, eic.). Compromettre, Impliguer 
gqueign'un dans une accusation. (fg.) Tromper, 
altraper ; accuser. — WG Mops, remper Un6 
demeiselle, abuser de sa erddulits. —os olkos. 
V.Cresar, etc. 

Enxcaavin-SE , ©. r. s’enlerrer ; s’embourber. 
(Ag.) Secondamner par son propre aveu. 

Excaivo, 3. m. ° enclouure : hlessure faite 
en enelouant (un cheval, etc.). 

"Encato. V. Inerddulo. 

Eramsscmento. V. Acresceino, Augmento. 

EncaespinO, A, 9. p. d’Enorespar. adj. 
Gise. Ecumant , parlant des vagues de la mer. 
(Ag) Imite,, enrage. 

RuczspapOr, s. m. frisoir : pinoe & friser 
0 chevonx. 

+Escagspandrı, 5. f. frisure : fagen de fri- 
ser;chereiunre bouelee, dat de ce qui ast frise. 
r ExcazspamintO, 3. m. action de friser. V. 


arepedure. 

Encazspir,, vo. &. (riser, cröper, boucler, an- 
veler (les chevenx). Soulever les flots, em par- 
lant de la mer. Hörisser. 

Eucazsrän-eg, o. r. no rider, se hörisser, se 
dresser. (Ag.) S’irriter, s’emporter ; senorgueil- 
ir; senfler, grossir, &cumer, se dit de la mer 
en furie. — com eiguem, faire, tenir iöte & 
guelqu’un. 

Encamsripo, A, ed). bupps, cröte. ( fg.) 
Bautain , orgueillenx, er. p. p. de 

Encnısyia-se, v. r. lovor la cr&te, la tenir 
raide, parlant des oiseaux & or#le, 

Excati00, A, 9. p. d’Enervwar. 

EnckUANENTO, 5. m. * crudits; mauvaise di- 
gestion ; malaise de l’ostomac. 

Escatiz , o. a. endureir ; empöcher de ouire; 
emp£cher la digestion. (fg.) Rendre dur ou 
sans piti6; irriter, exasp6rer, aigrir. — uma 
wegocispio, renverser une n6gocialion. 

Excavia, v.n. 86 — 88, o. r. acquerir de la 
erudiie, parlant des humeurs, etc. S’aigir, 
sirriter; sacharner. 

* EncaupaLzcea-sE. V. Enfurecer-se. 

Eucavzcer, ©. 8. empirer, irriter, envenimor 

* une plaie.(fig.) Aigrir, exasp£rer, irriter. Gau- 
ser des indigestions , douner des crudites. 

Encauzckr, 9. n. et —SE, vd. Tr. Foster sur 
Festomac, ne point se digerer. (Ag.) S’aigrir, 
Kezasperer, s’irriter. 

EncauBGap0O, A, P. p. d’Encruecer. 

ENCRGELECER-SE, ©. r. devenir cruel, bar- 
bare, inexorabie. 

CRUELECIDO, A , 9. pP. d’Encruelecer-se. 
Encaustin, etc. V. Incruster, etc. 
Excauzino,A,p.p. de Encrusor. Bstar—, 

{. de mar.) mouiller entre vent ei marde. 

Encauzauanto, 5. m. croiser, action de croi- 
ser; &tat de ce qui est croise. 

Escauzin, ©. @. cfoiser ; mettre, placer, 
entrelacer, disposer en crotx. 

ExcapzıLaida , 3. f. ° carrefour : endroit oü 
des rues, des chemins se Croisent, 

BucauzıLuin,, etc. V. Encruzar, etc. 

Escrsino, A, p. p. d’Encubar, 


EN) 499 


EncusÄrR, ©. 6, encuver : melire on cuvo; 
serrer dans le grenier. (£g.) Couvar quelque 
dene in, nourrir quelgue passion socröte. 

CUBERTA. 
Eucusaır , etc. | V, Encob...  ) eis, 
ENGBOENTAR, eto. V. Swar. 

CULCA. 
EncoLcan, eio. | V. Ineul.... , el6. 
Encumsi00, 4,9. p. de 
Encumzir, ©. . placer sur la cime, sur le 

sommet. Il est aussi r6ciproque. 

EncuansLino, 4, 9: 9. de 

EncoaraLie, v. a. enfermer du bötall dans 
les &tables; ontoures, serner, acculer. 

EncunnaLin-sE,Q. r. s’enfermer dans une 
place forte; se röfugier dans un lieu qui n’a pas 
de sortie, ou qui peut Atre oeuno par l’ennemi. 

Encurtino,&,Pp. p. d’Encuriar. 

Eucunranon, s. m. abrervisteur, rogneur; 
qui raccoureit. 

ENCURTANENTO, 8. m. Faobourolissarmen!t ; aC- 
couroissement. 

Encurtär, 9%. @. &courter, racgourcir; a0- 
eoureir. Ahröger; diminuer. —a md#o, (fig.) 
se montrer craintif, timide. 

Encuatim-se, 9. T. 56 raccoureir, devenir 
moins long. 

Encunvino,&A,9.p. d’Encurvar 

Encunvapöaa, #. f. courbure 
plier, de courber. 

Encunvir, ©. a. courber, arquer; plier, 
ployer, fl&chir, incliner. V. Acurvar. (Ag.) 
Abattre, humilier. —as pranches, (t. deconst.) 
plier les planches ou les bordages & feu. 

EncunviR-SE, v. r. 856 Voülör, 56 CIEUSEr, 86 
courber. (fg.) S’abatıre, s’bumilier. 

TEncricua, s. f. enoyclie : cercle qui se 
forme daus l’eau lorsqu’il y tombe un corps. 

Encr’cLico , 4, adj. encyclique. Carla —a, 
lettre encyclique : circulaire eccl&slastique. 

EncrcLop&pia, #. f. eucyclopedie : science 
universelle; enchatnement de toutes les scien- 
ces; livre qui les contient; ouyrage oü Yon cıı 
treite. 

EnxcrcLor£dıco, A , adj. encyclopedique : qui 
comprend toutes les sciences, d’un bomme qui 
poss#de toutes les sciences; de l’enoyclopediv. 

+EncrcLoPgDista ‚a. m. encyclopedisie : au- 
teur encyclopedique; philosophe mat£rialiste. 

* Ewe ‚ade. V. Alli; #Alli, d’Aqui,; d’Isto, 
Fazer — al, (1. de prat. anc.) laire le contraire 
de ce qu’on ordonne. Por —, donc, par conse - 
quent, ainsi donc. 

Enpecicono, A, adj. (t. de geom.) eudeca- 
gone : (figure) A onze angles et & onze cölds. 

+ Enpscinputa, s. f. (t. de bof.) endecan- 
drie : onzi&me classe des vegelaux, ä onze ela- 
mines. 

Enpecasv’ıLan0. V. Hend... 

Enptcua ,s. f.” chant fundhre A la louange 
d’un mort. Sorte de po&sie Sun&bre composee 
de stances de quatre vers, chacun de six A sept 
syllabes. Complainte. 

EnpecHipoa, V. Carpidor, 


‚ action de 


500 END 


EnpecHipöra. V. Carpideira. 

EnDECHADO, A, 9. p. de 

Exp£cHir, v. a. chanter les louanges d’un 
uelunt sur son Corps; chanter des complaintes. 

Ennenico, A, adj. end6migae : partieulier & 
un peupie ( maladie). 

ENDEMONINUÄDO, A,adj. possede du demon. 
Endiable : tres-mechant, 9. p. de 

+ ENDEMONISnAı, v.@. faire entrer les dia- 
bles dans legorps de quelqu’un. 

EnDENTÄDO, A, adj. (4. de bias.) endents, 
dentel6: compose de triangles alternes, garni 
de dents. p. p. de 

Enpentär, vo. a. endenter, engrener. 

-f ENDENTECER, u. ». commencer & faire des 
denis. 

ENnDEOSÄDAMENTE, adv. divinement; mer- 
veilleusement. 

Enprosäno, A, p. P. d’Endeosar. adj. Divi- 
niss, deilie, inspir6 ; orgu-illeux. 

ENDEOSAMENTO, 5. m. ".polheose, deifica- 
tion. Orgueil , presomption, hauteur ; extase, 
ravissement. 

Enpeosir, 0. a. d&ifler : ınettre au rang des 
dieux ; diviniser. 

Enpegosin-8£, 9. r. se croire une divinile. 
(Ag.) S’enorgueillir, s’enfler. S’extasier : etre 
ravi en oxlase. 

Enpderschk0o, A, 9. P- d’Enderecar. 

ENDEREGSAMENTO, 8. m. "adresse, direction ; 
Paction et l’effet d’adresser. 

EnDE: :CÄR, ©. a. adresser, diriger, tneltre 
sur la voie ; redresser. 

Enperzcin (para),v. n. aller en droiture 
quelque part. — se (para), v. r. s’adresser ä, se 
diriger vers... ; aller en droiture. 

Enpsaßco, s. m. " adresse (d’une personne). 

Enornengan. V. Enderecar ot Aderengar. 

Enptxa, etc. V. Endechs, etc. 

Enptz, &. m. nichet : @uf mis dans un nid 
pour que les poules y aillent pondre. 

EnDiABRÄDAMENTE , adv. diaboliquement; fu- 
rieusement, comme un enrage. 

Enviaseivo, A, adj. diabolique, endiable; 
ınechant, mauvais; (Ag.) [urieux, infernal. 

Enpıaco. V. Endro bravo. 

TENDIänoao, s, m. (t. de bot.) endiandre : 
laurier de la Nouvelle-Hollande. 

ENDInBEIRÄDO, A, adj. pecunieux : qui a 
beaucoup d’argent;riche. Accompagne& d’argent. 

ENDIKEITADO, A,P. pP. de 

Enpiaeıtin, ©.@. redresser ; rendre droit; 
aligner. (Ag.) Reparer, reiablir, raccommoder, 
reımelire en ordre quelque chose. Guider, con- 
duire, diriger. (para) o. ». Aller en droiture 
quelque part; se diriger sur. — ao alvo, viser, 
ınirer, pointer jusle. — com alguem, aller tout 
ılroil  quelqgu’un. 

EnDiREiITAR-SE ,o. r. se redresser, se tenir 
ıtroft, s’affermir dans un poste; retablir son 
«redit, ete. (fig.) Se remettre en bonne voie, en 
hon train, parlant d’une affaire, 

Enpivia, 8. [.(t. de bot.) endive : plante po- 
'ısero, chicoracde. 


ENE 


Enpıvmino,A,p.p. de 

Enpivivär, v. a. endelter, faire endelier. 
(fg.) Obliger quelqu’un. 

Enpivinäa-sE, 0. r. s’endelter, so rendelter, 
s’obtrer,, s’engager dans des deltes. — com el 
quem, (fig.) contracter des obligalions pour 
des bienfaits regus de quelqu'un. 

* Enpoipo. V. Dorido. 

Enpoßngas, s. f. pl. douleurs, souflcances, 
Quinta, sexta feira de —, jeudi, vendredi 
saint. (g.) Des visites que !’on fait aux dglises 
ie jeudi saint. 

Enpossipo, A, p. p. d’Endosser. 

Enpossaue&nto. V. Endosso. 

ENDossänTE,, 8.2 gen. (6. de comm.) endös- 
seur : celui qui a endoss6 un billet. 

EnDoSssär , dv. @. (f. de comm.) endosser:mel- 
tre au dos d’un billet la signature, l’ordre de 
payer. 

+ Enbossarärıo, s. m. (i. de comm.) porteuf 
d’un billet endosse. " 

Ennösso, s. m. (l. de comm.) endossemeil, 
endos : sipnature , ecrit au dos d’un aote, d'un 
billet, quı oblige & le rembourser fautede pai® 
ment; action d’endosser. * Cession que Yon fall 
d’un billet, d’une lettre de change, eilt. 

ENDOUDECER , 9. a. rendre fon. 9. #. Deremt 
fou ; exiravaguer, perdre l’esprit, la raison. 

ENDOUDECIDO, A, P. P. d’Endoudscer. 

"ENDOUTO, a. Y. Acostumado. 

+ Enpriö,s.m. (4. de bot.) anet ow anelh 
des champs : plante ombellilere. 

Enongcar, etc. V. Enderegar, et. 

+ Enpaiaco , 5. m. endriaque : monstre Imi- 
ginaire qui, disait-on, devorait les vierges. 

+ EnpneveLo, s. m. (t. de mar.) bragutl, 
guinderesse. 

Enpno, s. m. (t. de bo.) anet ou aneih ode 
rant : plante ombelliföre. — Draoo. V. Endrdi. 

Enpurau&nto. V. Endurecimento. 

Enporär. V. Endurecer. 

EnDURECER, dv. @. endurecir : rendre dur, c00- 
solider. fig.) —, rendre fort, robuste; acoöl- 
tumer au travail. (dd.)—, rendre Jur, impitoy® 
ble, insensible. —o ventre , constiper le ventre. 

Endunzcia, 0.9. et —se, o.r. dureir:de 
venir dur; s’endurcir, (Ag.) e’aocoutuıner (ä la 
peine, au Iiravail, etc.); s’obsliner. Nevenif 
cruel, inaecessible & la piti6, s’enuureir le 
caur. — no crime, no vicio ,s’endarcir dans lt 
crime, le vice, en contracter l’babitade, 
n’eprouver plus de honte, de remords. 

ENDURECIDO, A, 2. 9. W’Endurecer. 

ENDURECINRNTO, 8. m. endurcissement,(ß4.) 
duret& ‘de cour, de conscience); opiniätrel#: 
&tat d’une Ame insensible. 

Enpunentar. V. Endurecer, Callejar. 

"Enopuzer. V. Julgar, Doar, Conceder. 

+ Enz, s. m. nom que porte le # portugais 

t En£apas, s. m. pl." compagnons d’Enee. 

TEntas, 5. m. (n. prop.) Ende, fils dA 

chise. 

+ Entına ow Entapa, s. f. Eneide: pocıme 

heroique de Virgile. 





ENF 


Ensmco „ otc. V. Inimigo. 

Esıuıstan. V. Malquistar. 

Euso, a, adj. (poet.) de cuivre, de bronze, 
dasirain. 

tEnsontwa, s. m. (li. de med.) &necor&me : 
subsiance qui nage dans l’urine. 

*"Exsorim, s. m. V. Tosguia. 

Ensacia,, s. f. önergie: force, eficace ‚vertu; 

eoarage. 

EntacıcaAmMBntE , adv. eEnergiquement : avec 

nergie. 

Entacco, A, adj. energique : qui a de l’e- 

norgie. 

t Enzucızan,, v. a. (pP. us.) energiser: rendre 

eneryigae. . 

Enzacöueno, A, 8. m. 6nergume£ne : possede 

du demon : enthousiaste. 

Enzavacaö, 8. f. (tb. de med.) enervation, 
sflaiblissemment, 

EngkvaDo,A,Pp.p. de 

EnenväR, ©. a. enervor : alfaiblir beaucoup 
(es lorces, le courage, (fig.) lestyle, etc.), 
rendre faible. V. Ennervar. 

Ensapapico, A, adj. colerique, facile, port6 
äse fächer ; susceptible, hargneux. 

EnrapiDo, A, Pp. P. d’Enfadar. 

Euranass£nyd. V. Enfado. 

Enrapäa, v. 0. fächer, causer du deplaisit, 
incommoder. Eanuyer, importuner ; degußter, 

Exrapäs-se (com, de), v. r. se fächer; »'en- 
nuyer, se degoüter. 

Exripo, s. m. ennui; degoüt, deplaisir ; cha- 
grin, [ächerie. "Faligue, peine, mal (d’un 
Voyage, eic.). 

EnFADONHO, A , adj. ennuyeux; fAcheux, im- 
portun , qui fAche, qui ennuie. 

TERFADOSAMENTE , adv. ennuycusement ; 
avec ennui. 

fEnran0so, a, adj. ennuyeux: qui cause de 
lennui. V. Enfadonho. 

ENFAIXADINHO, A, adj. dim. de 

Exrasxi00,A,P.p. de 

Euraıxin, v. a. emmailloter : melire en 
maillot ; bander le ventre d’une femme accuu- 
chee. 

ExFAIXäR-SE, ©. r. meltre une ceinture. 

Eurauan, etc. V. Infamar, etc. 

Exrazır, etc. V, Enfastiar, elc. 

Exraapipo, A, P. p. de Enfardar. 

Exranpapon, 5. m. emballeur : celui qui em- 
balle. 

Esraapir, v. a. emballer, empaqueter. 

ENFARDELÄDO, A, 9. P. de 

ENFARDELÄR, dv. a. meltre dans le havresac ; 
empaqueter, emballer. 

ExraagLiD0, A, P.p. de 

EXFARELAR, 0. a. couvrir de son, meler de 
son. 

ENFARINHÄDAMENTE , adv. (Ag.) V. Dissimu- 
ladame nie. 

Ewrirrssäpo,, A, adj. (fg.) Enfarine : lege- 
rement imbu ow instruil d’une science, elc. 
pP. p. d’Enfarinhar. 


ENF 501 


Enraninuin, o. 0. couvrir, meöler de farine; 
enfariner, poudrer de farine, 

ENFARINGAR-SE, ©. r. s’enfariner, se pou- 
drer; (Ag.) prendre une legere leinture d’une 
science, elc. ’ 

Enräao. V. Asco, Fastio. 

ENFARRAPÄDO, A, adj. oouvort de haillons. 
V. Esfarrapado. 

EnFARRUSCADO, A, 9. 9. de 

EnrarnusciR, ©. @. selir de suie, noireir 
avec de la suie, avec du charbon, etc. 

Envası, ec. V. Emphase, eto. 

r ENFASTIÄDAMENTE ‚adv. avec degoüt, avec 
ennui. 

Enrastıäno, A, p. p. de 

Enrastiir, 0. a. degoüter, donner du de- 
goüt, de la repugnance ; ennuyar; faire perdre 
Pappetit. 

EnrasTtıÄn-sE (de), v. r. se degoüter, s’on- 
nuyer, avoir de la repugnance 4. 

EnraTeötıco, V. Emphyteutico, 

EnratıLHin, etc. V. Enfardelar. 

Enratuan, eic. V. Infaluar, ete. 

Enraxan, etc. V. Enfaizar, elc. 

ENFEITADINBO , A, adj. dim. de 

EnrEITÄDO, A, pP. p. d’Enfsilar. 

EnFEIıTADOR, 8. m. enjoliveur : qui pare, qui 
enjolive. 

Enreıtän, ©. @. parer, orner, ajuster, enjoli- 
ver, embellir, atinter. Donner un faux lustre. 
Arranger, orner, parer, embellir. (fg.) Co- 
lorer : donner une belle apparence ä quel- 
que chose de mauvais; couvrir de quelque 
preiexie. — bem um-conlo, broder bien um 
compte. 

Enr£ite, s. m. embellissement, ornement, 


ajustement, atour. —s, pl. " parures : tout ce 


qui pare, qui serl ä parer. 

EnrEITIGAnO, A, p. p. de 

EnFEITIGÄR,, v. a. ensorceler : donner, par 
pretendu sorlilcge o« malefice, une maladie 
extraordinaire de corps ou d’esprit; (flg.) en- 
flammer d’amour ; charıner, enchanter. 

EnFEgıTtıcÄR-SE, tv. r. stensorceler ; &lre char- 
me, enchante. 

EnFEIXÄDO, A, 2%. p. de 

ENFEIXAR, ©. @. uclire en faisceaux, botte- 
ler; eınpaqueter. 

ENF&LUJÄDO, A, 2.9. de 

EnxrELusÄr, v. a. noircir avec de la suie. 

* ENFENGIMENTO. V. Fingimento. 

ENFERMÄDO, A, p. p. de 

Enreruän,v.a. rendre malade, faire gagner 
une maladie. ( #g.) Alffaiblir. 

Enfreauan (de), v. n. devenir, tomber ma- 
lade; &tre malade. 

Exrermania, 3. f. infirmerie : lieu od l’on 
rassemble les inlirmes, les malades dans les 
coınmunautss , etc. Salle d’höpital. 

Enrerueına, s. /. infirinidre: femme qui 
sert les femmes malades dans les höpitaux. 

EnrenmeıRo, 3. m. infrmier : qui a soin 
d’une inlirmerie; qui sert les malades, 

* Enrenuigo, A. V. Achrtcoso. 





503 ENF 


Enrgaxıpipk, s. f. infirmii, maladie, in- 
disposition. 

EnrsauisuMo, A, adj. sup. d’Enferme. 

Envtauo, A, adj. malade, infirme : qui n'est 
pas sain. s, Malade. 

Enrernan. V. Inferner. 

Enrgantina. V. Infornalidade. 

Enrzanızir. V. Alormenlar. 

Enreaau3iD0, A, p.p. de 

Enrenavskr, d. a. rouiller: faire venir de la 
rouille. 

ENFERRUJAR-SE,, ©. Tr. Se rouiller:: se couvrir 
de rouille. 

Enrgsta, s. f. hauleur, sommet, cime. 

+ Eurestioo, A, adj. pli6 en longueur. On le 
dit du drap, etc. , en piece. 

* Enrtsto, a, adj. &leve ; dresse , ralde, es- 
carpt. s. m. V. Enfestao. 

Enrgupichö, s. f. Inf6odation : action d’m- 
f&oder. 

Enr£0vip0,A,P.p. de 

Enrgupir, v. 8. inf&oder : donner une terre 
pour &tre tenue en fef. 

Enrtzivo, A, adj. chötif: petit, mauvais 
Jans son genre. 9. p. de 

Enr£zir,v. a.remplirdelie,def&ces, ete.,g&- 
ter. (lg.) Empe£cher l’accroissement, ie äsvelop- 
pement(d’une plante, etc.) ; infecter.— alguem, 
(Ay.}\ourmenter,taquiner, tracasser quelqu’un. 

Enrugid, s. f. action d’enfiler. 

Enriina, s. f. " enchalnement; enfllade. 

Esrıä0o, A, pP. p. d’Enfar. adj. Enfile. (flg.) 
Fix (sur un objet quelconque), parlant des 
yeux.(id.) Saisi; delait; pAle, bl&me. Folhas 
—43 , (ti. de bot.) V. Perfolhadas. 

Exriupüra, 3. f. aiguillde de fil ou de sole; 
action d’enfiler. 

EnriaM&nto,s. m. V. Enfiagdo. di. Saisisse- 
ınent; emportement , colöre. 

Exriir, 0.8. enflier : passer un fl par un 
trou ; mettre en flle, en rang; passer de part 
en part; traverser; — un chemin, le suivre. 
(&.mil.) — (un ouvrage de fortiflcation ), te 
batire avec le canon, en prenant de flanc ceux 
qui le defendent. Fixer, coller (les yeux sur...). 
‘ant.) Confer, fer. Cautionner. 

Exriän, o. n. changer de couleur, pälir, se 
troubler, ötre saisi.— com alguem, 56 jeler sur 
quelqu’un. 

Enriän-sE, o. r. s’enfller, s’enferrer; se sui- 
vre l’un aprös l’autre. 

EnriLgıripO, A, p.p. de 

EnriLeınin, 0. a. aligner les rangs, ranger 
en Sle. 

* Enrincıa. V. Fingir. 

* Enrinto. V. Fingido. 

EnristruLioo , A, adj. fistuleux. p. p. do 

EnristuLik, ©. 6. rondre fistuleux. 

EurisruLia-s8E , v. r. devenir fistuleux, de- 
gönerer en fistule, se dit d’une plale, 

Enrtivo,A,p.p. de 

Enririr,, 9. a. orner, couvrir de rubans. 

Enrireosı. V. Emphyleose. 

Enrivsuan. V. Afvıslar. 


ENF 


* EnrLonEcHR , 9. 9. V. Fioreter. 

Enrocivo, a, adj. V. Ardenie. p.p. de 

Enrocie, 0. a. (#. d’erkill.) faire rougir des 
boulets. 

T Enrorurschncza,s. f.($. de bot.)fenillaison: 
renouvellementannuel desTfeuilles ;ieaur&poque. 

+ Enroncapice, a ‚adj. qui merite d’ötre pen- 
du. —, gueux & pendre. 

ENFORCÄDO, A, 9. pP. d’Enforcar. adj. Panda; 
suspendu. Vinko de —, vin de ia vigne allide 
aux ormeaux. Olhos —s, (Ag. fam.) yeux fit, 
coll&s sur une croisse of est une porsenne ch& 
rie. Em casa de — n&o se [alla em corda, (pros.) 
il ne faut pas parier de corde dans ia main 
d’un pendu. Confeitos , confortos de —, don, 
consolation, bienfait inutile. Correr riso de 
ser —, avoir fris6 la corde. 

Ensorcik, v. @. pendre , falre pendre : alla- 
cher un criminel par une corde & une polent® 
pour P’6trangler. Suspendre sux branches (d’un 

rbre), & une fourcho, eto. Berrer en dlau. — 
em sstalus, efligier : ex6cuter en efligie. -r'* 
ma arvore, brancher : pendre & la branche 
d’un arbre. — os habitos,, jeter le froc aux or- 
ties. —esperangas,, affecios, (g.) renencer aui 
esperances , aux affections. 

EnronciR-S£, ©. r. so pendre, s’ötrangler 
söi-meme. Vai-te enforcar, va-ten au gibel, 
puisses-tu ötre pendu! 

Envonmacid, eto. V. Fnformapbö,on. — 

EnroauiDo, A, adj. corpulent, bien biü 
(komme). $. p. de 

Enroruin, v. e. mettre dans la forme ou 
dans les embouchoirs. o. ». Prendre du o0rp6, 
de Pembonpoint. 

EnFORNÄDO, A, 9.2. de 
‚ ENnFORNÄR, v. 6. enfourner : metize dans |e 

our. 

Enroania. V. Fornecer. 

Enröaro, s.m.* doublure. 

EnFRAQUEceR, o. s. affaiblir, debiliter. 

ENFRAQUECER , ©. 9. ol -sK, vo. r. s’affaiblit, 
s’enerver. ( Ag.) Se decourager, perdre courag® 

+ Enrnagvecinauente, ade. faiblemen. 

ENFRAQUECIDO, A, P. P. d’Enfraquecer. ei. 
Faible. 

ENFRAQUECImENTO, 5. m. aBaiblissemen!, 
debilitation. 

ENFRAQUENTAR, etc. V. Enfraquscer. 

EnrrasciDo, A, 2. P. de 

Enrrascia, ©. a. verser quolque lique 


. dans des flaoons, 


Enrrascin-9£ (em), v.r. sa livrer, sienlon- 
cer, s’assouvir. (Ag.) S’imbiber ; s’occuper e1- 
clusivement d’une affaire, d’une discussion, 
etc. B’embarrasser dans des ronces, dans de 
broussailles. — em vinko,, boire largement. 

Enrazip0,A,P.p. d’Enfrear. | 

Enrazanoa, s. m. celui qui bride un cberal; 
qui reöfrene, r&prime. 

Enrreir ou EnFREIaAR, ©. @. brider : melire 
la bride 4 un cheval; le dompter, le faire obeir. 
(#g.) Röfrener, r&primer : metire un {rein, le- 
nir en bride, ‘ 


ENG 


Ennzin,o.n. — bem o cavallo. On le dit 
duncheral gu porte bien la tete. —SE,v. Tr. 
sereirener. V. Refrear-se. 

EnrrscHapünas, 3. f. Pl. (4. de mar.) enl6- 
ehures: öchelles de corde des haubans. 

+ExrrEcHÄTB, 5. m. (f. de mar.) chacun des 
eäbles qui forment les marches des enflexures. 

Err&scän-sE, elc. V. Enfrascar-se, eW. 

EısaestäDoO,, A, adj. separ6, peu serre, cre- 
rassö, Que tem os denies —s, bröche-dent. 
Csps —a , manteau dechird, troue. 

Exrnıkn ‚etc. V. Esfriar, Resfrior. 

EXFRORHÄDO, A, 9. p. de 

ENFRONHÄR , v. a. mettre la taie & un oreiller; 
donner une l&gäre teinture ow une connais- 
sance superficielle. — as mäos ‚( ig.) se livrer & 
loisivet6. — as mAos em luvas, meltreses ganis. 
EsrnonHÄr-sE (com alguem), v. r. #’insi- 
naer, #Introduire ; s’arreger. — em fidalguia, 
blasonner de gentilhomme; faire le seigneur. ' 
Exrceiräpa, 8. f. pleine charretce. 
EvrveırÄDo, A,?. p. de 
+EsrteImÄR, dv. a. mettre les ranchers ou les 

barres dans une charrelte. 

Eromipo , A, adj. (fg.) gonfle, enflö (d’or- 
gueil, de vanit&). p. p. de 

EsfumäR, 0. a. gonfler ou enfler les volles. 
{hg.) Inspirer de Y’orgueil, enorgueillir. 

Enrunin-SB, v. r. s’engouffrer, parlant du 
vent. (fg.) Se gonfler d’orgueil, de vanitö; faire 
I’'homme d’imporlance. 

ExrumiLino,, A, adj. en entonnoir. p. p. de 

EnronıLir, v. a. entonner : verser & Yaide 
d’on entonnoir. 

Esrtnecta, v. a. irriter, faire entrer en fu- 
reur, en colere. 

ENFCRECER, 9. N. et —se, v. r. entrer en fu- 
rie, &tre hors de sol, S’emporter. (fig.) Se de- 
chafner, entrer en farie, parlant du vent, de la 
mer, elc. 

Essunzcino, A, p. p. d’Enfurecer. adj. Furi- 
Lond ‚ furieux,, enrage. 

Exrorıia,, etc. V. Enfurecer, ot. 

Exrüsa. V. Infusa. 

4 Exruscipo, A, adj. obscurel, trouble. p. p. 
e 

Exruscix ‚v. a. nolreir. V. Obscurecer. 

Exruscin-@E,, ©. f. s’obscurcif, se Couvrir, 
parıant du ciel. 

ExcagiDO, A, p. pP. de 

Encacän, v. a. 6motter, herser. 

Excigo ,s.m. *ralle de raisin- #4. V. Bagaro 
& Ancinko, 

Excipo, A,p. p. de Engör. 

Engargcea, 9. n. devenir löpreux. v. 0. Ren- 
dseltpreux , rogneux. 

Encarscivo, A, P. p. d’Engafecer. 

+ Encarin, 0. 6. (4. de mar.) congreer, em- 
mieller : faire congreage. 

tEnckio, g. m. (4. de mar.) congröage: ligne 
tournde en hölice pour fortifler le hauban, eic. 

EncaroLipo,A,p.p. de 

ExcaioLiR, 0.4. encager, meltre en cage. 


ENG 503 


(fg. fam.) Emprisonner, metire en prison. 

EncatoLÄR-sE, u. r. se mettre chez sol, vivre 
solitaire. 

Encasir, vo. a. ongager. V. Afustdr, etc. 

EncaLido, A, adj. droit, qui va t&te levee 
comme le coq. p. p. de 

EncaLiR,, v. a. lever la t£te comme le corf. 
V. Emproar. 

EncaLia-sE, v. T. se rengorger : faire le 
beau, le fler. V. Emprodr-se. 

ENGALFINHÄDO, A, p. p. de 

ENGALFINBÄR, ©. n. et—se, v.r. (l POP.) 
tenir au collet, se oolleter. 

EncaLein, etc. V. Geiger, etc. 

* EncALHÄR, etc. V. Enganar, Sedusir. 

ENnGALHARDETÄDO, A, P. p. de 

ENGALHARDETÄR , 0. @. (4. de mar.) orner de 
gaillardets, 

EnciLLaA , s. m. espöce de sanglier du Conge, 

+ EnGanaDıgo, A, adj. facile A tromper ou & 
etre trompe. 

Encanipo, A, p-.p. @Enganar.adj.Estar—, 
se tromper, @tre dans l’erreur. Bstar muilo 
se tromper fort. 

ENGANADOR, A, adj. et s. trompeur : qui 
trompe ; fourbe. 

Encanäs, v. a. tromper, duper, abuser : user 
d’artilce pour induire en erreur; seduire. 
Leurrer, attirer pour tromper. — as horas, 0 
tempo (fig.) tuer le temps. — 0 päo, (Ag. /am.) 
manger aveo le pain quelque chose d’agreable 
au got. Ser ımdo de —, (fam.) etre dilficile & 
tromper. — as penas, a ddr, etc., ( Ag.) adou- 
cir les peines, la douleur, etc. 

ENGANÄB-SE, v. r. se tromper : @tre dans Per- 
reur; se meprendre; s’abuser. — muilo, s6 
tromper fort. — a si mesmo, 58 Womper sol- 
meme. — com alguem , se Lromper sur les qua- 
lites de quelqu’un. 

+ Encancuipo, A, p. p. d’Enganchar. Folhas 
— ss , adj. V. Obvolvidas (1. de bot.). 

+ EncancHin, o. a. accrocher : prendre avec 
un croc. 

ENGANGENTO. V. Gongenlo. 

Encanipo, a, adj. — de frio, transi de froid. 

Encäno, s.m. * fourberie, tromperie : artifice 
employ6 pour tromper ; ruse, finesse ; fraude; 
möprise, erreur, illusion. 

NGANÖSAMENTE , adv. frauduleusement, ar- 
tificieusement, captieusement, insidieusement ; 
faussement; par erreur; par supercherie, par] 
ruse ou finesse. 

ENCANöso, A, adj. trompeur, faux, artille 
cieux, Insidieux; illusoire, captieux, 

Encanzar. V. Engranzar. 

EnGÄR, ©. 6, tourmenter, taquiner, fracasser 
quelqu’un;; Ini en vouloir, lui chercher noise. 

EnciR, 0.®%. 04 —s& (a), v. r. (4. de chasse), 
V, Avezdr-se (a). 

Encarampin. V. Engarapar. 

* ENCARAMPONÄR , v. @. empoigner, agriflur. 
it, (pop.) V. Lograr, Fraudar. 

ENCAnANBADO, 4 ,(l. pap.) adj. perpleie. 
irresolu. | 


nn 4 


508 ENG 


EncaraPip0, A, p.p. de 

EntarariR,t. a. donner la garapa. V. ce 
mot. (fig.) Passer la plume par le bec de quel- 
qu’un, se moquer de lui, le prendre pour dupe. 

Encaravırino,. V. Inteirigado. 

Encancaipo. V. Encarouchado ei Esgar- 
chado. 

ENGARGANTÄDO, A, P. p. de 

ENGARGANTÄR, v. a. melire, enfoncer dans 
le gosier, en parlant surtout des oiseaux qu’on 
nourrit ä la becquee. — o pe, entrer le pied 
dans l’etrier jusqu’au coude-pied. v. n. Grossir 
en forme de gorge, se dit de Ja canne & su- 
cre. 

ENGARCGANTÄR-SE, v. r. rester dans le gosier 
vw dans une embouchure quelconque, ne pou- 
voir pas descendre. 

EnGaRaRAriDO, A, pP. p.de 

+ Encanrarär, v. a. meltre en bouteille (du 
vin, etc.). 

EnGassin0, A, p. P. d’Engasgar. adj. ( fig. 
Jam.) Interdit. Ficar —, (id.) rester tout 
oouri. 

EncascaLHiDO, A, pP. p. de 

ENGASGALRÄR-SE, ©. r. ( {. Pop.) S’accrocher, 
s’embarrasser. 

Encascär, v. a. etouffer, suffoquer, eiran- 

ler. 
8 EnGasGÄr-sE, v. r. avaler quelque chose qui 
reste accrochee & la gorge. (fig.) Eire serre & 
Petroit; s’embarrasser. (id.) Rester tout court, 
perdre le Al de son discours. 

EnGastino, A, adj. d’Engastar. 

+ EnoasTan6n, s. m. celui qui enchässe. 

Encastär, v. a. enchässer, sertir, mıonter en 
or, en argent, olo. — um diamanle, monter 
un dismant. 

Encäste ,s. m. *enchässure : action d’enchäs- 
ser. Le cercle dans lequel on enchässe, sertis- 
sure, chaton. 

Encastoan, etc. V. Engastar et Encasivar. 

Encati0o,A,Pp.p. de 

EnGarTär, 9. a. Craınponner, attacher avec 
des crampons; assujettir avec des liens de fer. 
Accrocher. 

EnGaTınsÄr, v. w. ramper, se trainer & qua- 
tre palies. 

EncassLiB0, A, p. p. de 

EnGABELÄR, ©. a. javeler : mettre en javelles 
(le bie) ; engerber. 

EnsavoLar, etc. V. Engaiolar. 

* Enctina. V. Geire. 

Encgıtipo, A, p. p. d’Engeitar. adj. Rejete, 
abandonnd ; refuse; expose. s. Enlant trouve. 

EnsEITADÖR, A, 3. celui qui rejelte; qui ex- 
pose ou qui abandonne (un enlant). 

Ensgıramento, s. m. "repudiation; refus, 
rebut; redhibition ; action d’exposer ou d’aban- 
donner. 

Enceıtär ow EniEırar, v. a. rejeter, mettre 
au rebut; repudier, abandonner, delaisser; 
rendre ou faire reprendre ce qu’on avait 
achet€; meitre aux enlants trouves. Reprou- 
ver; röcuser, refuser. — de llho, de parente, 


ENG 


ne vouleir pas reconnaltre comme son fils, 
son parent, priver de leurs droits. — uma [a- 
zenda, ou genero, (l. de comm.) rebulter une 
marchandise. 

EnceLBiDo, A,p9.p. de 

Encskinir, 0.a. rider : faire ow causer des 
rides. (fg.) Resserrer, comprimer. 

EnxceLuäR, v.n.et—se, vo. r. se secher, se 
fleırir, se faner, parlant des fruits ou des plau- 
tes ; se rider. 

ENGENDRÄDO, A, p. p. de 

ENGENDRÄR, 0. @. engendrer, produire son 
semblable. (#g.) Causer, occasionner, former, 
produire. 

ENGENBADO, A, 9. p. d’Engenkar. 

EncEnnAnOR, 8. m. celui qui Imagine, qui 
invente des machines ingenieuses. 

EncenBin, v. a. tracer, inventer ingenieuse- 
ment. imaginer quelque chose d’ingenieux; 
adapter; faire avec adresse ; machiner. 

EnGENnnÄR-SE, dv. r. s’ingenier: chercher dans 
son esprit des moyens de succ&s;; Lrouver des 
expedients. — dcondigdo d’ouirem , ae facon- 
ner d’apres le goüt de quelqu’un. 

EnNGENXHARiA, 8. f. " genie : art de forlifier, 
d’attaquer les places, de construire des ponts, 
des routes, de lever des plans, elc.; exercice 
de cet art; ceux qui l’exercent; corps d’inge- 
nieurs. 

EXCENBEIRO, s. m. ingenieur : qui invente, 
trace et conduit des forlifications, des ponts, 
des chaussees, des instruments de mathemat- 
ques, elc. 

ENGENHO, 8. m. esprit, genie, talent. Genie: 
celui qui a du genic. Moyen, ruse, stratagäme 
pour reussir. * Machine inventiee par les ıng6- 
nieurs. — d’assucar, moulin & sucre, sucrerie. 
— de rapor, machine 4 vapeur. Afler, age- 
gar 0 — , meltre son esprit & la lorture. 

ENGENHÖSAMENTE , adv. ingenieusementi, 
avec industrie. 

ENCENBOSISSIMO,, A, adj. sup. de 

EncenHöso, A, adj. ingenieux : qui a du ge- 
nie; plein d’esprit, d’invention, d’adresse; qui 
marque, annonce de l'esprit, de l’invention, 
du genie dans son auleur (Ouvrage, procede, 
expedient, subterfuge, etc.). (Alg.) Inventilf, 
qui exagöre, qui multiplie (les sujets de 
peine). 

* Encto. V. Izento. 

EnGEssaDo, A, 9. p. d’Engessar. 

EnGEssADOR , s. m. celui qui enduit ou blaa- 
chit un mur de plätre ; plätrier. 

Enczssanöra, s. f. “enduit de plätre; Pas- 
ion et l’effet de blanchir avec’du plätre. 

Encessir, o. a. enduire de plätre, blanchir 
avec du plätre ; plätrer. 

Encıunin. etc. V. Engelkar, etc. 

EncLosipo ,A, p. p. de 

T EncLosir, v. a. englober : former, r&unir 
en globe; donner la forme de globe. V. Agglo- 
merar. 


t EncLopäpamänte, adv. (#. burl.) glouton- 





ENG 


nement: (manger, avaler) d’une maniere glou- 

konnt. 

Exco. V. Engos. 

Excopino,, A, p. 9. d’Engodar. adj. Enjöle, 
allecbe, amadoue, leurre, cajole, dupe fine- 
ment. 

Encodanön, A, #. flatteur, enjöleur, cajo- 
ker. 

Excovär,, ©. 6. amorcer, allirer par amorce; 
mjöler, cajoler, all&cher, amadouer, affrioler, 
kurrer. 

Exconarivo, A, adj. qui amorce, propre ä 
amorcer. 

Excöpo, 3. ms. appät, amorce; leurre, cajo- 
lerie , Natterie,, allechement. 

ExcoLribo, A, adj. plouge; en pleine mer. 
p. p. de 

EscoLrir,, 0. &. meltre dans un golfe ou dans 
un gouffre. ( 4g.) Enfoncer, peneirer. (p. us.) 
t.». Gagner la pleine ıner. 

EscoLFÄR-SE em), v.r. gagner la pleine mer. 
(49.) Se plonger ‚dans le vice, etc.) ; s’adonzer 
stierement, se livrer, sS'enfoncer. 

Escouse , etc. V. Engulir, etc. 

ExcuLösınäDO, A, p. p. de 
EncoLosinär , v. a. allecher, alfriander, 
amorcer : altirer par le plaisir, la douceur. 
EncoLosınäß-sE, dv. r. S’accoulumer: pren- 
dre plaisir & quelque chose, s’aflriander, se 
complaire. 

Enxcouaotiaa, 3. f. repasseuse de linge. 

Enconipo, A, p. pP. d’Engomar. 
Excowapöna, 8. f. action de goinıner, d’em- 
peser ; repassage. 

Excouan ou ENGOMMAR, dv. a. gommer: en- 
Auire, meler de gomme; empeser, repasser (du 
Inge). 

Esconcip0, A,p.p. de 

Excongär, v. a. attacher avee des gonds, 
Melire des gonds. 

Escoxces, s. m. pl. V. Engongo. 

Excöxco, s. m. gond: morceau de fer qui 
soutient la penture; jointure. — do espinhago, 
vertebre, emboltement des os. Feito d’—s, 
'omme une marionnette. Falar pır —s, (fig. 
[am.\ parler a double sens, par delvurs. 

EncoapäDO,A,p.P. de 

Excoanar, ©. a. engraisser : faire devenir 
zras; metire & l’engrais. v.». Engraisser : de- 
venir gras, prendre de l’cinboupoint. (flg.) 
Senrichir, devonir puissant. 

+ Encöano, s. m. (t. de bot.) engordo : gra- 
kinee du Bresit, pour les chevaux. 

EncorLADo, A, P.p. de Enyorlur. 

EXCORLADOR , A,8. qui laitcuire A demi,etc.; 
Rauvals euisinier. 

ExconLän, EXCOROLAR ou EXCHULAR, ©. q. 
siüsir, cuire ou rölir & demi. (fig.) Mal reciter, 
mal retenir sa legon ; faire a demi. 

Exconovinnäno, A, adj. qui.a ‚le [aux plis. 
Embarrasse , ınöle, parlanı des cheveux. 2. 9. 
Ur 

Encorovinuär-sE.V. Enrugar-se. 

Exconrär-st, 9. T. ıfam., »'cnfuncer la tete 


ENG 505 


dans son bonnet. (Ag.) S’insinuer, s’introduire 
avec esprit, gagner avec adresse l’amitlis de 
quelqu’un. 

Encos,s. m. pl. V. Ebulo. 

EncoucHän-SE, etc. V. Enconchar-se, 4ga- 
char-se. 

Encra, 8. [.($.decharp.) * ooin, angle. is 
V. Angra (pop.). 

EnGRAGÄDANPNTE, adv. avec gräce; avec 
enjouement; gentiment, joliment, plaisam- 
ment. 

ENGRACADISSIMO, A, adj. sup. de 

EnGRACADO, A, adj. plaisant, enjous; amu- 
sant, diverlissant, gracieux, agröable, gentil, 
p. p. d’Engragar. 

T EnGRACÄNTE, adj. 2 gen. qui platt, qaı a 
du charme. p. a. de 

EncracÄR, v. a. rendre gracieux, donner Je 
la gräce; rebausser, donner de l’eclat. (com) 
v. n. Voir avec plaisir, se plaire, trouver & som 
goüt. — com alguem,, avoir da penchant pour 
quelqu’un. 

EnGracäR-SE (com alguem), v. r. entrer 
dans les bonnes gräces de quelgu’un. 

EnGracHär, etc. V. Engrexcr. 

t Encaapin, v. @. (1. d’artil.) ımonter un 
afül. 

ENGRADECHR, 9. %. grener : produire de la 
graine, beaucoup de grains ; monter en grain. 

ENGRADECIDO, A, P. p. d’Engradecer. 

EncRAECER, eilt. V. Engradecer. 

Encraıxän,elc. V. Engrasar. 

ENGRAMPONÄL-SE, v. r. s’enorgueillir, faıre 
le fier. 

" ENGRANDECER, ©. a. agrandir, accroltre,, ren- 
dre plus grand; elever en dignite. (Ag.) Louer 
beaucoup; exsgerer, ampliler. (id.) —, rendre 
plus grand en consideration, en fortune, etc. 

ENGRANDECER , 0. %. et —se, ©. 7. cfolite, 
grandir ; saugmenter, s’agrandir. 

ENCRANDELIDO , A, P-. pP. d’Engrandecer. 

ENGRANDECIMENTO, 6. m. agrandissement, 
augmentlation; croissance; elevalion de rang. 
(fig.) Exageration, amplification. 

ENCGRANZADO, A, P. P. d’Engranzer. 

EnGRANZzADOR, A, s. enßleur : qui enfle em 
Sl d’archal, etc. 

Encranzia, ov. a. enüler (des graıns, des 
perles, eic.) dans un fil d’or, d’argent, d’ar- 
chal , eic. (4g.) Duper. 

Encrassan, etc. V. Incrassar. 

ENGRAVESCER, v. 9. empirer, redoubler, 8’20- 
orollre. V. Aggravar-se. 

ENGRAVESLIDO, A, P. P. d’Engravescor. 

EnGRAVITADO, A, 9. pP. de 

ENGRAYITAR-SE, ©. r. se tourner en haut, 
dresser. (fig.) Regimber. 

ENcRAXADO ‚A, p. p. de Engrazar. 

ENcRÄXANENTO, 5. m. aclion de graisser, de 
eirer (le cuir,eic.). , 

EXGRAXÄR, v. @. Kraisser; cirer {te cuir,elc.) 

Encrazan,eic. V. Engranzar ei Eniroseur, 

Encreckn. V. Engradecer. 

EnuRnEnHino, A, pP. pP. d’Engrenhar. 


2 


506 ENG 


Encasnuin, u. a. arranger, aftacher la oho- 
velure, 

Encaıri00, A, p. pP. de Engrifer. 

+ ENcCRIFAMRNTO, s. . aclion de s’armer de 
scs griffes. 

EnGRIFÄR-SE , v. r. s’armer de ses griffes. 
(Ay.) Se herisser. V. Assanhar-se. 

ExcriLÄDO,A,9.p. de 

EncasLän-ıR, ©. r. ($. 20p.) rechigner, 56 
rebiffer, 

EnckiMÄnGo , 5. m. grimoire : maniere inin- 
telligible de parler, diseours obseur. * Fraude, 
irompeorie; astuce, inesse, ruse. 

EneaıupiDO, A, pP. p. de 

+ Encaıgrän-sE, v.r. monter sur le fatte. 
( Ag.) S’olever au plus haut point. V. Su- 
blimar-s6. 

EnGaINALBABO, A, 9. P. de 

EuncaınALDÄR, ©. @. Ormer, parer, COufonner 
de guirlandes. 

EncnoLir , ete. V. Engorlar, eis. 

EncROS8säÄD0, A,P.p. de 

Eugrnossir, o. @. grossir : rendre gros, plus 
gros, faire paraltre plus gros. (flg.) Augmen- 
ter, grossir, fortilier;, fertiliser; enrichir. v. ». 
— , devemir gros ; s’epaissir ; devenir plus gros, 
plus considerable. 

EnGROssiRr-sE,o.r. devemir grossier. (P. us.) 
S’enrichir, devenir riche,, puissant. 

* ENCROSSENTAR , eic. V. Engrosser, Ole. 

* Encn0Tan , ete. V. Entupir, eto. 

Encroviınnin-se, elc. V. Engor..., 616. 

Encutiaa. V. Engeira et Enger. 

Enctia, es. f. anguille : poisson d’eau douce, 
long, du genre des murönes. — bastarda das 
erdias, &quille. 

Encvicäpo, A, 9. p. de Engwigar. adj. Qui 
a du guignon ; obe6lif. 

Encuicanon , s. m. porte-malheur. 

EnGuigär, 0.6. porler ınalbeur, donnor du 
guignon ; rendre ebetil. 

Eucuio, 3. m. guignon; chose chetive; ei- 
seau de mauvalis augure ; arorion. 

Encviaımango. V. Engrimango. 

EncvLuipo, a, 9. p. d’Engulhar. 

EnctLuasento. V. Engulko. 

EncuLnär, 9.9». et —se, v. r. 4prouver des 
Rausees, avoir mal au oMur. 

Enccumo, s. m. "nausde, soulövement de 
caur.—s, pl. (fg.) * propension, inclination 
mauvaise. 

EncuLip0, A, 9. P. @’Engulir. 

EncuLinon, A, adj. V. Tragador, Dewo- 


rante. 

Encuvipän, (8. dburl ) V. Engulir, Tragar. 

EncuLik, 9.4. avaler : faire entrer par le 
gosier dans l’estomac. (Ag.) Engloutir, absor- 
ber, faire disparattre ; consumer, dissiper (des 
richesses, etc.). (dd.) Endurer, souffrir, supper- 
ter avec patience, etc. (id.) Cacher, taire (ses 
peines, des peches, etc.\.— a pirola, avaler 
la pilule. — em secco, endurer un aflront en 
faisant semblant de rien. — censuras, ereom- 
munhöes, miepriser les Censures ecciesiasu- 


ENE 


ques, les excommunications.— sem masligar, 
avaler sans mächer, tordre et avaler. 

Encörau. V. Angurria. 

ENGURUNNIDO, A, adj. saisi de [rold. 

ENBARMÖNICO,, A, adj. (1. de mus.) enharmo- 
nique : (genre) qui procöde par quarts de ton. 

Ennastino. V. Emhastado. 

Enno, s. m. faon : petit d’une biche, d'un 
eherrenuil. 

Enicua, #. m. * &nigme : definition ‚ erpoti- 
tion en termes metaphoric'ues; (ig.) chose, 
discours obscur ; eu que l’on ne powt espiiquer, 
comprendre, interpreter. 

Enıcuir, v. . rendre önigmatique, &nigms- 
tiser (p. us.). 

Enıcwäricauente, ade. önigmatliquemant: 
d’une maniere enigmatique. 

Enıcmärico, A, adj. enigmatige® : qua! tient 
de l’önigme,, quien renferme ; ambigu ‚obseut. 

+ Enıcuatisra , s. m. qui parle par enigme. 

Ensaezin, etc. V. Ajaezar, etc. 

+ ExsanciDo, A, adj. li6 comme un radean, 
en forme de radeau (bois, etc.). 

EnsatLir, etc. V. Engaioler, ei6. 

Enseıtän, etc. V. Engeiler, eio. 

Ensoino, a, pP. p. d’Enjodr. adj. Qei a mal 
au cour. (fg.) Degotte , ennuye , falignd. 

Ensoautnto. V. Enjto. 

Ensoin, 0. a. causer des nausdes, faire s6® 
lever le caur. (fg.) Ennuyer, degoßter. e.% 
Avoir le mal de mer, avoir des naustes. 

EnsoATivo, A, adj. naussabond : qui cause 
des naustes. 

Ensöo, s. m. "naus6e, mal au caur; mal de 
mer ; degoüt , repugnanoe (propre el fg.). 

Enziintno, 5. m. (1. de bot.) enkianthe: #- 
bre de la Chıne,, voisin des nyctages- 

+ Enxıstivo, a, adj. (1. de med.) enkist: 
enferme& dans une membrane. 

EnLaBIÄDO, A, p.p. de 

+ Enzasıir, o. @. cajoler, enjeler : seduirt, 
tromper par de beiles paroles. 

Entastsipo, A, p. p. d’Enlabusar. 

ENLABUSADOR, A, &. oelui qui barkoule 
salit, etc. 

EnLasusin, v. &. barbouiiier, sellr, gäte, 
tacher (de graisse, d’buile, eto.); delabouseet, 
oouvrir de boue. 

EnLABUSÄIR-S8 , 0. r. 8’6clabousser; se bet 
bouiller le visage. (Ag.) Apprendre superütitl- 
lement. 

EnLacaD0, A, 9. p. d’Enlarar. . 

+ ENLACADOR, A, 5. Personne ou chese qui 
enlace, qui He, qui entrelase. 

EnLsgapöna, 8. f. mmaniöre d’enlacer; I 
gure,, aclion de lacer, ce qui sert ä later. 

Enracha (com), v. o. enlacer : lier, aftacher 
avoo des lacets. —, entrelacer. Lier, atıscher, 
nouer. (g.) Enchainer, lier, unir. 11 est quel- 
quefois neulre. 

EnxLacir-SE (com), ©. r. s’enlacer, s’entre- 
lacer. (g.) Se lier, s’unir. Se prendre (dans u 
Nlet,etc.). S’*paissir, se cailler, parlant du lail. 

Exticg, s. m. enlacement, enlagure; lia- 


ENL 


sea, wmnehainement, entrelaocement, union, 
jonetion ; lien. (Ag.) Perplexilö; extase. 

Estattäpo , A, p- p. d’Enlaivdr. 

+BaLaıvin, v. a. salir de Laches l&geres. Il 
estaussi rociproque.(fig.) V. Macular-se. 

ExLamKkiADO, A,p.P. Je 

Erzauain, v. 6. crotter, ombouer, &clabous- 
nt.(Ag.) Se döbaucher. 

ErLamımÄDO, A, pP. p. de 

Ersauisän, u. 0. garnir de lames, plaquer, 
embalire. . 

RusapiD0, A,P.p. do 

ExLapän-Sg , 9. r. se röfagier, se retirer dans 
une Caverme; 86 cacber dans un trou, parlant 
fun lapin, etc, 

Enusstran. V. Lastrar, 

tEnLatäno,A, adj. attachd & un treillage, 
en treille. 

"EnLazar. V. Enisgor. 

Enızcer , etc. (pop.) V. Rleger, etc. 

EsLgıapinuo, A, adj. dim. de Enleiado. Ti- 
nide ; nieis ; inde&cis en tout. 

ErLBiapissiMo, A, adj. sup. de 

EsLeıäDO, A, adj. timide, perplexe, irre- 
wa, interdit; piein de detours; embrouille, 
auortille.p.p.de - 

Exıgiän, v. a. attacher, lier. (Ag.) Enlacer, 
surprendre, embarrasser. Embrouiller, impli- 
quer; causer de l’ombarras, interdire. V. En- 
krar. 

Exıeiin-sE, v. r. s’attacher, se lier, s’en- 
lacer. (Ag.) Stembrouiller, s6 troubler, se con- 
fondre; rester interdit. . 

ExıBıo, s. m. entrelacement. V. Enlace.(fig.) 
Eunbarras; trouble d’esprit, perplexit&; attrait. 
— damor, passion amıoureuso, inlrigue ga- 
lante. Verse em —ı, se trouver dans l’em- 
barras, dans une position difücile. 

"Enutiro. V. Eleito. 

EsL£apinO, A. V. Lerdo. p. p. de 

+EsLeaDÄR, o0.a.rendre lourd, stupide, niais. 

Esuavaciö, s. f. "ravissement; transport; 
eılase , enchantementi. V. Einlevo. 

Enızvino, A, 9. p. d’Enlevar. 

ENLEVAMERTO, s. m. V. Enlevacdo. 

EnLzvär, e. a. charmer, ravir en extase, 
iransporter de joie, d’admiration, enlever. 
Exalter, 6levor. 

EnLEVAr-sE (em), v. r. @tre charme de;s’en- 
‚ever, se ravir, demeurer en suspens, etreepris. 

tEnL£vo, s. m. charme, enchantement, 
rarissement , transport; oxtase; &tat d’une per- 
soine charmee, ravie. E’um —, c’est un pro- 
dige, une merveille. 

Enınear, olc. V. Alheiar, Alienar. 

ExLicapo, A, p. p. d’Enlisar. 

Enuigapon , 8. m. celui qui lisse. V. Teceläo. 

Bauıcka, 0. a. lisser, garnir de lisses ; tra- 
mer, passer la trame. (ig.) Machiner, faire un 
complot. V. Enredar. 

T Esuco, s. m. mauvaise ourdissure. (fg.) 
V. Enredo, Trama. 

"Enuicom. V. Eleigdo. 

Enwopipo, a, p.p. d’Enioder, 


" ENN 507 


EnLopäx, ©. e, embourber; &clabousser, 
couvrir de boue; trainer dans la boue. Il est 
aussi r6ciproque. 

*Entoıxar. V. Enlouzar. 

EnLoquectg, do. a. faire devenir fon, rendre 
fou, aliöner esprit de quelqu’un, faire perdre 
Fesprit, o. ». Devenir fou, perdre Pesprit, la 
raison. 

EnLoguscino, a,p.p. de Enloquecer. 

EnLovrino,A,P.p.de 

EnxLouRÄr,d.a. ormer, couronner de laurier 

ErLouRgceR, v. a. rendre jaune ow blond 
dore. vo. ». Blondir, jaunir, se dorer, parlant 
des bles, eto. 

EnLOURECIDO,, A, P. p. d’Enlourecer. 

EnLovzino,A,9.p.de 

TEnLouzär, v. a. couvrir, fermer (Ta tombe) 
avec une dalle; paver avec des pierres carrdes 
ou en losange ; garnir de dalles. (Ag ) Tromper 
par losangerie (p. «s.). 

EnLuri0o, A, adj. vötu, couvert te deuil, 
(g.) Afllig6 , lugubre. p. p. de 

EnLurär, v.a. couvrir, tendre de nolr, en 
signe de deuil. (fg.) Obscurcir; affliger, cha- 
griner, desoler. 

ENLUTÄR-SE, 0.7. prendre ou porter le deuil, 
se couvrir de deuil. (Ag.) Sobscurcir, se cou- 
vrir de nuages. 

ENnNAnQueEcer, etc. V. Emmanguecer, etc. 

* ENMENTRES. V. Entretanto. 

EnnAsTRÄn0O,A,P.p.de 

ENNASTRÄR, ©. a. natter les cheveux; les or- 
ner avec des rubans, etc. 

EnnaTino,A,Pp.p.de 

ENNATÄR, v. a. convrir les terres de limon, 
parlant des pluies, des debordements des ri- 
vieres, etc. 

Enneicono, s.m.(#. de geom.) enn&agone : 
figure & neufcöt6s et de neuf angles; place & 
neuf bastions. 

Enneinorıa, 8. f. (8. de bot.) enneandrie: 
neuvieme classe des vegstaux, & fleurs herma- 
pbrodites, & neuf etamines. | 

ENNEGRECER, dv. 6. noircir : rendre noir. (fig.) 
—, diffamer; obscureir. ©. ». Dervenir noir; 
s’obscurcir. 

ENNEGRECER-SE, 9. Fr. se noircir, devenir 
noir ; s’obscurcir. (fg.)— de crimes ow par des 
crimes ; se diffamer soi-meme. 

ENNEGRECIDO,, A, P. p. d’Ennegreeer. 

Ennervino,A,p.p. de 

tEnnenvia, v. a. fortifier, couvrir, garnir 
de cuir non tann6 cerlaines pieces d’une selle. 

EnnescÄno,A,p. 9. de 

+ Ennescär , v. ». avoir la forme de nesge. 
V. ce mot, 

EnnevoiD0,A,p.p. de 

ENNEVOÄAR, ©. 6. couvrir de nuages, de 
brouillards. (fg.) Obscurcir; &blouir. fd.) 
Noirecir, diffamer. 

ENNEVOAR-SE, v. r. sa charger de brouillards, 
etc. (fg.) S’obscurecir, etc. 

+ Eusıäino, A, adj. d’Ennius, poßdte latin 
(vers). 





508 ENO 


ENNOBRECKDÖR,, A, adj. et 5. qui anoblit ou | j 
ı piece qui affermit le mät, stambrais. 


ennoblit. 


Ennosksckk, v. a. anoblir : rendre noble, . 


illustrer. (Ag.) Orner, enrichir, embellir. (id.) 
Ennoblir : rendre plus noble, plus illustre. 

ExNOBRECER , vd. n. et — SE, o. r. s’anoblir, 
s’ennoblir : devenir noble ou plus noble. (fg.) 
S’enrichir ; s’illustrer. 

Eunosascioo, A,p. p- d’Ennobrecer. 

ENNOBRECIMENTO,, 3. m. anoblissement : ac- 
tion d’anoblir, ses elfets ; Y’action et l’effet d’en- 
noblir. Renom, gloire, &clat, splendeur. 

Ennoväin0, 4,9. p.de 

Ennopäß, v. a. faire un n@ud, nouctr. 

ENnS#000400,4,9.p.de 

Ennoboir, v. a. tacher, souiller. (fg., Noir- 
cir, diffaıner. 

Ensovan, etc. V. Innovar. 

EnnovgLipo,A, p.p. de 

EnnovELik,, o.a. pelutonner : mettre en pe- 
loton , devider. (Ag.) Arrondir (une phrase, 
une periode) ; ceindre ‚serrer en s’entortillant. 

ENNOVELAR-SE, v. r. se [ormer en pelolons. 
(Ag.! S’englober, s’agglomerer. 

Ennuvgar,, etc. V. Anuviar, Ennevvar. 

” En-0-comEnos ‚adv. V. Comenos (nesle—). 

t Enosäpautntg, adv. avec fächerie, ennui, 
colere , chagrin ‚ peine. 

+ Enosanico, a, adj. colerique, colere, qui 
se fäche aise&ment. 

Enosipo, A, p. p. d’Enojar. 

EnoJapör, A, adj. qui fäche, qui ennuie, 
qui degoüte. 

Enosau&nto. V. Enojo. 

Enosia, v. a. fächer, irriter, mettre en colöre. 
Ennuyer, degoüter, rebuter. Causer des nau- 
sees. Offenser. 

Enosin-se, vo. r. se fächer; s’ennuyer, se 
degoüter. (fg.! Se oourroucer, entrer en [urie, 
parlant de la mer, du vent, etc. — sem saber de 
que ou por cousa nenhums, st lächer a propos 
de rien. 

Enö0, s. m. ennui, chagrin, fächerie ; tris- 
tesse , deuil. V. Naojo.* Colere, courroux. 

Enosösamente. V. Enojadamente. 

Eno03ö080, A, adj. ennuyeux, fächcux, de- 
plaisant; imporlun. 

T ExoLocia, s. f. enologie : trailö sur le vin, 
sur l’art de le faire. 

+ ExoLocista ow EnöLOCO, 8. m. anologiste : 
qui ecrit sur l’art de fabriquer les vins. 

+ Enomancia, s. f. a@momancie : divination 
par le vin. 

tEnöMerno, 8. m. @nomölre : instrument 
pour fixer le terme de la fermentation,, la force 
du vin, la quantil& de sucre dans un ınoüt. 

+ Exornönus, s. [. pl. (t. d’hist. anr.) ano- 
pbories : feles en Egyple, oü les assistants 
avaient un vase plein de vin & la main. 

+ Enörpta,s. m. Znopte : couseur des fes- 
tins & Aıhönes. 

+ Enopromancia,s. f. 6önoptomancie : diri- 
nation par le miroir, dans lequel l’imarination 
preparee croyait lire les &v6nements futurs, 


ENR 

Enöras, s. f. pl. (t. de mar.) &ambrale: 

Enörue, adj. 2 gen. $norme, demesurt, 
excessif. Alroce , enorme, gravo. 

ErURMENENTE, adv. dionnamment: eXtessi- 
vement. 

Enoruiväne, s. f. 6normits : exods de gran- 
deur. (fg.) —, indignits : exo&s de möchan- 
cete , alrocite. 

Enonuissıno , A, adj. sup. d’Enorme. Enor- 
missime. 

+ Enoauon, s. m. (6. de meödd.) &normon ı 
principe vital, archee. 

Esovaicar, etc. V. Ouriser, Infeirger-®. 

EnpEnHoräR, eic. V. Empenkorer, 6l6. 

.” Exauscha ‚etc. V. Inquirir. 

° Engtista. BE . 

u Exacısa. | V. Inquirigäo, Pesgwise. 

Engtistäno. V. Enkistddo. 

Enaali00,a,p.p. de 

ExrAIÄR , ©. a. enrayer : zer les rayons, les 
rais d’une roue, l’en garnir. 

EnnAIVECER , ©. a. faire enrager, melire en 
colere. 

EnrarvEck?,o.0. et — SE, 9. r. onrager, # 
mettre en courroux, devenir furieux ou en- 
Tage. 

EnßalVEcino, A, p. p. d’Enroivecer. 

Ennal7i00,a,9.9.de 

+ Ennaizär, 0. %. s’enraciner : prendre Ta 
cine. V. Arraigar-se. 

Ennauipa, s. f. ramee : ornement fait art 
des branches d’arbres , ä l’occasion de quelgu® 
fete. Hutte : cabane de branches d’arbres peu: 
se mettre & l’abri du soleil, de la pluie, elt. 

EnkauiDo,A,p. p. d’Enramar, etadj. Bei: 
—4 , boulets rames, boulets joints par un: 
barre, par une chalne. 

+ Enaumanantö, s. m. action d’enirelsc‘ 
des branches d’arbres pour orner un lieu. 

Enranäa,v.6. entrelacer des branches d’ar- 
bre pour orner un lieu ou pour se procurer 
Pombre; couvrir, garnir de branches d’arbdtt. 
— bilas, preparer les boulets rames, les join- 
dre par une barre, etc. — lores,, faire des bou 
queis. 

Ennancino, A, (V. Rangposo ) p.p. de 

EnRaNGäR, v. @. rendre rance. vo. n. ei -# 
v. r. Rancir : devenir rance ; sentir le rance. 

+ EnRARECER, v. m. devenir rare, rareliet. 
6elaircir. 

* Ensastis. V. Enrister. 

Enk£0ino, A,p.p. d’Enreder. 

Enaepapon, A, 5. brouillon, tracassier, don 
neur de paquets, intrigant ; artifieieux, chır: 
Deut. 

EnrepÄR, vo. a. prendre, envelopper da: 
des reis, dans des fllets. (com, em) Eutrelac . 
entortiller, embrouiller, me@ler. Souffier la (i-- 
corde , semer !a division, brouiller des aın':- 
Embrouiller, parlant d’une affaire. : Ag.) Eu: 
ger, mettre quelqu’un dans une affaire. '- 
Tendre des pieges; machiner, tramer. 

EnneDan-se (em), v.r. 86 prendre dans dır 





ENR 


rets , dans des filets : s’entrelacer, s’entortiller; 
s’embrouiller, parlant d’une affaire ; siengayer, 
sombrouiller. A innocencia se enreda nos laros 
do nor, Finnocence se prend au piege de l’a- 
moar. 

Enazpinno,, 8. m. dim. de 

Enıtoo , s. m. embrouillement, entortille- 

ment, enitrelacement; embarras, conlusion. 
(4) "Cabale; chicane, trame, intrigue ; con- 
dalte artiieieuse ; pi6ge ; supercherie ; trompe- 
ne, mensonge arlificieux qui occasionne des 
dssensions, dos proc6s, etc. * Intrigue : naud 
@une piöce dramatique. 

+Esazn6so, a, adj. difcile, embrouille, 
plein d’eunbarras , de dificulies, d’obseurite. 

EsıscgLipo , A, p. pP. d’Enregelar. 

t ErnaGRLAuENTO ‚s. m. V. Congelapäo. 

EnascaLan, ©. @. geler, glacer; raidir de 
froid. —as, v. r. se glacer, se geler;; &ire transi 
de froid,. 

Ennssınäipo ,A, adj. plein de resine; frotis 
ec de la resiue. V. Resinoso. p. p. de 

Exszsınäa, v. a. enduire de resine; nueler 
de la resine. ©. ». Se couvrir de resine; s’on- 
dareir. . 

Ennzsran, v. a. etc. V. Enristar, etc. — ce- 
beiss , alkos , metire en bottes, en chapelets, 
des oignons, des aul«. 

Enskan , etc. V. Enriquecer, etc. 

Enaucaa, etc. V. Rigar, etc. 

Ensuino, A, p. p. de 

Ensuis, vo. a. endurcir; fortißer, affermir; 
iendre, raidir. v. m. Prendre des [orces ‚se lor- 
ufier 


Enausckr, vo. ». V. Enrüar, v.n. 

EnkıLnipo, A, p.p. de 

tEnzıımin, 0. @. (1. de proo.) constiper le 
venire, 

ExnkıQqugcka , ev. a. enrichir, rendre riche. 
‚89.) — ‚orner, embellir ; agrandir, augmenter. 

ENRIQCECER,, ©. 8. 00— SE, v. r. s’enrichir, 
devenir riche. 

Exiguzcivo ,A,p. p. d’Enriguecer. 

" ENRIQUENTAR, etc. V. Enriquecer, etc. 

EngıstäD0 ,A,p.Pp. de 

Engıstärn, v. a. mettre la lance en arret. 
Bander l’arbaldte. 

Exeıste,s. m. action de meltre la lance en 
arret. \V. Riste. 

TENXaOBUSTELER,,v. a. rendre robuste, for- 
fer. 

Esnoststecido, A,(V. Robusto) p. p. d’En- 
robusiscer. 

Ennocino, A, pP. p. d’Enrocar. adj. Flor, 
planta — a,(t. de bol., en quenouille, en forme 
de quenouille (fleur, plante. 

Ensocin, o. a. plisser 'des manchettes, etc.) 
en leur donnant la forıe d'une quenouille. 
{l. de mar.\ Acclamper (les mäts). 

t ExeopzLinpo,a, adj.arme d’unerondache, 
@un bouclier. 

EsronıLHino, A,p. pP. de 

KmsopıLnia, v. a. entortiller. V. Zurolar. 


ENS 509 


* Emnorino, A, adj. (4. da chasse) pris par lo 
con. 

ENROLADANERTE,, ado. V. Occullamente, 

EnaoLino,A,p.p.de Enrolar. s. m. Sorte 
d’ötoffe de laine. adj. ($. de bot.) V. Enrosce- 
do. — para deniro, (id.\ contourne. 

+ EnnoLap6un0, 5. m. noyau, milieu d’un 
peloton de fl, d’une bobine. 

EnroLir, o. a. rouler, plier en rouleau ; en- 
tortiller. (Ag.) Euvelopper, cacher, confondre. 

EnsoLäiR-sg (em), v. r. s’onteriiller- s’en- 
velopper. Devenir grosse, &tre irös-agitee (par- 
lant de la mer). 

t Ennoscipamente, ade. en rond, d’une 
maniere entorlillee. 

EnRoscäino, A, p. p. d’Enroscar. adj. (1. de 
Blas.) tortillant, se dit du serpent et de la grive. 
(#. de bot.) Entortille en spirale, comme les 
convolvulacecs. Cobra —a, serpent louve. 

ExROscaDöRA, 8. f. “entortilleıment: action de 
sentortiller, son eflet; tour qu’une chose fait 
on s’entortillant; replis que [ait un serpent. 

ENROSCAMENTO, s. m. V. Enroscadura. 

Enaoscär,, v. a. courber, recoquiller, entor- 
tiller, plier en rond. 

EnROSCAR-SE, ©. r. s’enlortiller : s’attacher 
par des circonvolutions. (Ag.) Avoir du froid 
ou de la peur. 

EnrostiDo, A, pP. p. de 

+ Ennostäir, v. a. reprocher, faire des re- 
proches & quelqu’un. — bolas, sapalos, melire 
des empeignes & des bottcs , remelire des em- 
peignes ä des souliers. 

ENROUPÄDO, A, P.p. de 

EnroupÄr, v. a. bien couvrir, mettre des 
Couvertures, des velemenis pour tenir chaud,. 

EngourÄR-SE, v.r. se bien couyrir, s’babillee 
chaudement. 

EXNROUGTECER , 9. a. enrouer: rendre la voix 
rauque. v. ». S’enrouer, @ire enroue. 

EnrotQuzcıpO, A, (V. Rouco) p. p. d’En- 
rouquecer. 

ENRODQUECIHENTO, 8. m. enrouement. V. 
Rouquiddd. 

Enaugectr o% Enntaesckr, 9. a. rendre 
rouge, Foux. v. n. Rougir: devenir rouge de 
bonte. V. Corar. 

EnruBECIiBOo, A, 9. P. d’Enrubecer. 

*+ Ennudeckr,v. a. heb£ler, abrutir : rendre 
bete, stupide. 

EnrtcaDo,4A, P.p.de 

Ennucär, v. a. rider : faire ow causer des 
rides. v. ». Se rider. 

Enzuinin, etc. V. Enrilkar. 

+ EnsaBoaDELLA, 3. f. petit savonnage. V. 
Ensaboadura, * Frottement avec du savon el de 
Veau. 

Ensas0i00, A, pP. pP. d’Ensaboar. s. m, 
savonnage : netlolement, bianchissage par lo 
savon. —e, pl. linge qu’on donne & savonner 
ou qui l’est dejä. 

Ensapoanüra, 8. f. "savonnage: action de 
savonner ; uetloiement par le savon ; can do 5% 
von; linge que l’on sawonne d’une [ois, 








510 ENS 


ENSABOARENYO , d. «a. autonhafe : abtion de 
savonner. 

Ensasoin, 9. @. savonner : neltoyer aveo du 
savon; frotier aveo du savon et de l’eau (la 
barbe). 

Ensasunnip0,A,p.p. de 

+ Ensasunnin, vo. a. (1. de mar.) saburrer, 
lester (un vaissesa). Causer de la saburre; 
rendre (1a langue) päteuse. 

+ Ensasuanän-sE, %. r. se couvrir de s8- 
burre; devenir päteuse, en parlant de la 
langue. 

EnsaciD0, A,p. p. d’Ensarar et adj. Carsıe 
=, saucisses, saucissons, etc. 

Ensacir ou Ensaccar, v. a. ensacher : mettre 
dans un sac. (fig.) V. Encurralar, Encantoar. 
(6d.) Saccager, mettre & sac. — carne, meltre 
&e la chair hach6e dans les boyaux pour faire 
des saucisses, des saucissons, etc. 

EnsaräD0, A, 9. p. d’Ensaiar. 

EnSAIADOR,, s. m. celui qui essaie. Essayeur : 
efficier pr&epos® pour faire l’essai de la mon- 
naie. Repetiteur de thöätre. 

Ensatauento. V. Ensdio. 

Ensari0, V. Saidd. 

Ensutir, ©. 0. essayer; &prouver, faire l’es- 
sal; tonter. Dresser, instruire, exercer. Repe- 
ter: essayer avant l’ex&cution (une piece de 
thöätre, etc.). —, faire V’essai, la preuve de 
Yor, de l’argent, etc. 

Eusarän-SE (em, para), v. r. s’essayer, 8’&- 
prouver, s’exercer; se pr&parer &, täter, täton- 
ner. 

Ensiro,s. m. essai, &preuve, examen; ten- 
tative. *Repetition : essai avant l’execution. 
— , operation pour Juger le metal. —, ouvrage 
de litierature, de sciences; premier travail; 
traitd, ouvrage non approfondi ow termin. 

EnsALMiDO, A, P.p. d’Ensalmar. 

EnsaLmanör, A, 5. celui qui prötend guerir 
par enchantement. [\ 

EnsaLuän, vo. @. guerir par enchantement; 
charmer,, enchanter avec des paroles magi- 
ques. 

EnsiLmo, s. m. maniöre superstitieuse de 
guerir avec des priöres, et l’application de dif- 
ferentes drogues ; charme, enchantement. 

EnsaLmounär, etc. V. Salmourar. 

Ensausia.V.E “ 

EnsasarnÄno, A, adj. vetu d’une simarre. 

ENSANMBENITÄDO, A, 9. p. d’Ensambenilar et 
adj. —ı da konra. On le dit, au figurd, de ceux 
qui portent des d&corations sans les avoir me- 
sitdes. 

ENnSAMBENITÄR, v. a. mettre le san-benıto A 
un criminel condamn& par le tribunal de l’in- 
quisition. 

EnsausLan, etc. V. Samödlar, etc. 

EnsancHÄD0,A,9.9.d’ 

EnsancHir, vo. a. agrandir, #largir, dlendre; 
relargir (un habit, etc.). 

Ensincnas, s. f. pl." rempli, elargissure, pli, 
fait Aum babit, etc., pour P’elargir au besoin. 
Dar — aulyuem, (fam.) donner trop de liberte 


ENS 


& quelqu’un, Tui lalsser prendre un pled. Bei 
tar — ao argumento, amplifier Fargument avet 
des raisons surabondantes. 

EnsanpaLino, A, p. pP. de 

EnSanDALÄR, o. 6. oindre avec du sandal. Il 
est aussi reciproque. 

Ensanpeckn, v.n. derenir Imbecile , fen. Y. 
Enlouqueeer. 

Ensangventino, A, adj. sanglant,, seignent: 
tach& die sang, ensanglante. p. p. de 

ENSANcUENTÄR, v. 6. ensanglanter : seiller, 
oouvrir de sang. Il est aussi r6eiproqee. 

ENSANGUINHÄR-SE, ©. r. avoit beauemp de 
sang. 

Ensangan. V. Assanhar. 

* ENSAPREAMRNTO, 5. m. action de asieir guet 
que chose. 

EnsarıLuir, 0.0. V. Sarilkar. — ss urmiaı, 
faire des faisceaux de fasils. 

+ Ensarnsche, v0. %. gagner la gale. 

EnsartipO, A, 9.9. de 

Ensantän, ©. a. enfller : passer par m 
(des peries, des grains de chapelet, etc.). 

Ensayar, eto. V. Ensalar, ete. 

Enseipa,s. f. baie, rade, golfe od les vak- 
seaux sont & Y’abri. 

EnseApinna, s. f. dim. d’Enssade, 

EmsEBiD0,A,p.p.de 

EnsesiR, dv. a. suiver: enduire de self; be 
ter avec du suif. — um navio, onpalmer ur 
vaissesu, donner du sulif. 

Ensecino, A,p.p. de Enseodr. 

+ Ensecador, s. m. (1. d’hydr.) batardess: 
cloison, digue de pieux, ais; terre, enceinte 
contre l’eau. 

Ensecir, v. a. &puiser, mettre ä see. V. Se- 
ear, Enchuger. (fig.) —, vider, tarir. /t. dr 
mar.) Aborder, prendre terre; faire echoor: 
(Rg.) Puiser, rechercher. v. ». Söcher, s’epu:- 
ser, ötre A sec. (1. de mar.) Aborder (unrivage, 
prendre terre; &chouer. 

Enseıiva. V. Enseada. 

+ Enstio, s. m. “sinuosit6, petite baie. 

Ensgsipo, A,p.p.de 

Ensesin, 0. a. epier l’occasion, @ire a0ı 
aguets ; tenter. 

n Enstjo, s. m. "opportunite, oceasion, C08- 
it. 


Ensenuonzir, etc. V. Senkorear, etc. 

*Ensentir. V. Encetar. 

Ensert, s. m. plante d’Ethiopie. 

Ensevär, etc. V. Enseber, etc. 

yureirano, a, adj. (6. de pods.) ensildre, porie 
glaive. 

+ Ensırönup, adj. 2 gem. (1. d’anat. et de bei. 
ensiforme : en forme de glaive ( feuilles, cart 
lage); gladie. 

Ensınaciö,s. f. V. Ensino, Kducapdd. 

Ensınino, A, p. p. d’Ensiner. adj. Blere, 
instruit, enseigne; dresse, en parlanı d’un cbe- 
val, eto. Homem bem —, homme honntte , civ1l, 
courtois, bien appris. mal —, Incivil, 
„ennete , impoll, mal appris, 


ENS 
mai, A; e. celui qui enseigne, qui in- 


Panutrto. V. Ensins. 

"Bunninga, a7. *"enseignement, instreetion; 
deetrine, ordonnanee, art. 

Ensmän ‚©. 6. enseigner, instruire ; monteer, 
indiquer, donner connaissance, apprendre. 

R-SE , 9. Y. apprendre par sol-meme; 

'sccoutumer, s’habituer. 

Exsinno 8. m. räteau. V. Ancinko. 

Ensino, #3. m. enseignement, imstruction; 
kkueation. Bon —, civillti#, polltesse, Mdo —, 
mpolitesse, malhonndiett. ss, pl. oonseils, 
lirestiens, documents, maximos. 

Ensiro. V. Hsipo. 

EnsoiD0, A, P.P. d’Ensoar. adj. Accabld par 
la chaleur; frapp6, grill6 par le soleil, en par- 
lant des fruits. Biouffant; malade. 

+ EnsoasenTo, s. m. —das planias, ( !.de 
bei.) maladie des plantes qui provient de la s6- 
oberesse ( sifis 

Exsoir, ©. 9». en ‚o.r. ötre gritlö par le 
soleil, parlant des fruits. Attraper un coup de 
soleil. 

EnsosenBEchR, v. @. enorgueillir : rendre 
ergueilleux, donner de la vanite. (Ag.) Agiter 
(la mer), larendre furieuse. 

EnsusgABECER-SE , u. r. s’enorgueillir; deve- 
nir fer, insolent. (Ag.) S’agiter, s’enfler, se cour- 
roucer, se mettre en fureur (parlant de la mer). 

Ensosza2Ecino , A, P. P. d’Ensoderbecer. 
adj. Devenu fier, insolent, haulain. 

Ensorrzcino , A, p. p. de 

+ Ensomecik, v. a, exciter la gloutonnerle; 
rendre envieuz, avide. V. Söfrego. 

Ensoısar. V. Assolkar, Sobradar. 

+EnsoLvino,a,adj. (1. d’ertill.) engorge, 
obstra& (canon). 

Ensoripo, A, p. p. d’Ensoper. adj. bien 
mouili&, trempe. (fg.) Adonne, livr6 entiere- 
ment ä...; imbu (d’une opinion, etc.). Hitler 
— em aqua, (fam.) ötre tout meuilid. Carne 
4, riande assaisennede Aveo des oignans, &le. 

Ensorir, v. a. moniller, tressper, imbiber 
(prop. es Rg.). 

Ensorin-se (em), v. r. s’imbiber de; deve- 
nir imbib6. (fg.) S’instzuire radicalement, & 
fond, de quelque chose. 

Ensöaso, a 
Insulso. Parbde —a, hourdage, moersilie [alte 
sans ciment. —, ade. ä la hate, Iögerement, 
par maniere d’acquit ‚en passant. 

Ensovaınin,, etc. V. Enzovsihar, etc. 

Eusgıuntan, ote. V. Saar, eis. 

Ensumackin0, A,P. p. de 

Ensumaorin, ©. 6. pröparer avoe du sumac, 
indre au sumao ou fustel. 

Ensunpecka, v. 6. assourdir : rendre sourd. 
Ag.) V. Atroer. v. n. Devenir sourd. (MM) 
Faire la sourde oreille, feindre de no pas en- 
tendre. 

Enserpecino, A, P. p. d’Ensurdscer. 

ESBERDECIHNENTO, sm." surdits : durets d’o- 


ENT 


Estanoine,A,9.P. d’Anishonr. 

ENTABOAMENTO, s. m. plancher; action de 
| panchöier. (#8.) Endureissoment d’une parlie 
on V, Entumssimonto. 

Entanoir , 9%. e. planchöier : osuvrir, enteu- 
rer, assurer av60 des planches. — o costddo de 
navio, ( 4. demar.) border un vaisseao. 

Entanoin-sR, 9. T. (fig.) s’enduroir, deveniy 
dur ou ferme. 

EnTaB0LiD0,A,9.p. de 

EntasoLir, v. a4. au jew des dohees, des 
dames et autres, placer les pieces dans leurs 
lienx respectifs pour oommenser & jouer. (Ag.\ 
Disposer, pr&perer, meiise en ordre, instruire 
une affaire. Entreprendre, entamer, oemmen- 

cor. — alguem, mettre quelgu’an en stat de 
pouvoir r&ussir. 

ENTABOLÄR-SE, v. Fr. (Ag.) s’eriger, s’arto- 
ger; se donner les airs;; s’impatsoniser. 

+ Enträpa, s. f. ( t. de bot.) osp&oe de sansi» 
tive du Malabar ( Mimosa eniade). 

Entaıpino, A, 9.9. de 

Enxtamir, v. a. enclore, fermer de murs; 
claquemurer. V. Teiper 

EntaLacäkö, s. f. aclion de meitre en diam, 
de serrer;; presse. (fg.) Deiresse , embarras. 

EntsLiB0, 4, Pp. p. d’Entelar, et ady. Ester 
—, ne savoir.ä quoi s’en tenis, @ire indecis, 
etre aux abois. 

EntaLapina. V. Entalapdo. 

EntaLia, v. a. serter en #lau; metire des 
attelles. (Ag.) Embarrasser ; meitre dans l’em- 
barras. 

EntaLÄR-SE, vo. r. semettre dans la presse, 
se ıneitre dans l’embarras. 

EXTALECER , 9. n. pousser des tiges , des tro- 
gnons. 

EntaLecino, A, 9. p. d’Entalecer. 

EnTALEICÄDO, A,p. p. de 

EntTaLzicäk, v0. 4. etisacher : mellre en she. 

EnraLzgicin-s8, 0. r. (fig.) fareir Pestomac, 
rermplir la bedaine. 

Enxriına, e. f. entaille ; ooapure. 

EnTaLBADO, A,P.p. d’Enta 
Lak TALNADOR ‚s. m. seuipteur, gravsur en 

+ Entaunapfna, 5. f. sosiplure, gravare, 
eiselurd : aetion de scoulpter, de graver, de ei 


511 


‚adj. fade, insipide , aans sei. V. | seter 


EnraLmär, 9. @. Bouipter, graver en beis ; 6i- 
seler. 

EntiLEB, 8. m. ouwage de scoulpture, 
gravare, de oiselure. — quo se fan w’um edsiro 

se ajustar com outro,lioube. -—chanfrdde, 
(6. de mar.) enteille a bouts pordes. 

EunriLno, 8. m. *emtaille, coobe ; onupure, 
entattiure, insisien ; scuiptare, gravure en beis. 
YV, Entalkadure. (t. de mar.) °Goujoure. 

Entauınoar , eto. V. Talingar, etc. 

EmvaLıschbo, a ,adj. serte a Potzoit. p. p. da 

ErraLıscha-6E , 0. r. ötre serre entre des zu- 
ohers. 

Euntancuscka , 9. m. sonderoir par le freie ; 
ütso zalde, tsanısi da Fneid, 





512 ENT 


Entancvioo, A, adj. ralde, transi de froid. 
p. p. irr. d’Entanguecer. 

Entiö, adv. alors, pour lors ; dans ce temp#- 
la. Desde —, des lors, depuis ce temps. Ald—, 
jusqu’alors. Para —, pour ce temps-iä. Pois 
— „ dans 06 cas; dans celle circonsianoe, 

Entiö! islerj. comment! comment done! 
Eh quoi! est-il possible! — que d isso ? qu’est- 
08 que c’est que cela? 

Entarican, elc. . 

ENTAPIZAR , 6to. | V. Tapizar, eio. 

EntavoLia, etc. V. Entabolar, etc. 

Ente, s. m. (t. de phil.) @ire:: ce qui est; 
ehose existante ; co qui est ou peut @ire, en ge- 
neral, chose, persoune. —s de razdö, chime- 
res : co qui n’existe que dans l’imagination; 
calculs, conjectures. 

EnTeiDo, A, 8. beau-fils, belle-fille : Als, fille 
d’un hoınme ou d’une femme remariee. — da 
fortuna, (fg.) maltraite par lafortune. it.p.p.de 

+EnTeiR, vo. a. lisser : faire un tissu. 

* EntsJan, elc. V. Aniojar, etc. 

* Entiso. V. Fastio. 

tEnTEL£EcHIA , 5. f. entelöchie : perfection 
d’une chose, sa forme essentielle; nom qu’A- 
ristote donnait au principe du mouvement, 
comme eiant le plus parlail de tous ceux dont 
se compose la nature. 

Entena. 

EnTEnäBs. | V. Antena. 

* Entenca,s. f. V. Demanda, Letigio. 

ENTENDEDÖR, A, 3. celui qui entend, qui 
comprend, intelligent; entendu, habile, intel- 
ligent. A dBum — meia palavra basla, (prov.) 
Abon entendeur peu do paroles : le sage en- 
tend & demi mot. 

Entennente, adj. 2 gen. V. Intelligente. 
s.m. V. Intendente. 

Entenoee, 5. m. action d’entendre, de oom- 
prendre; sens, penste ; significalion, accep- 
tion d’un mot, eic. No meuw—, selon moi, se- 
ion ma maniere de voir, suivant mon opinion, 
a mon avis. 

Entenpär,, o. @, enlendre ‚, comprendre, con- 
cevoir en son espril; avoir l'intelligence de; 
savoir la signiflcalion ; croire, penser, juger; 
prötendre, vouloir; avoir l’intention. (Ag.) In- 
terpröter. Dar a —, donner & entendre, laisser 
untendre, insinuer. Dar-se a —, ou fazer-se —, 
se faire comprendre. Ndo — 0 abec4, (fig.) ne 
yavoir ni a nid. —o mesmo, @ire du meöme avis. 
Fazer ecada um o que —, [aire chacun ce qui lui 
plaira. Zu assim 0 entendo, je l’entends comme 
cela. Näo & isso o que eu eniendo, je ne suis pas 
de ce sentiınent, de cet avis-liä ; cela n’esit pas 
mon intention. Conforme 0 eniendo, comme je 
l’entends. Ndo entendo, je n’y entends rien. Jd 
le entondo , je Ventends, je devine ton dessein. 
Fazer qus ndo eniende , leindre de ne pas en- 
tendre. 

Entunpen (de), ©. m. entendre : #tre habile 
&ow en quelgue chose, en avoir la connais- 
sance et la pratique; #ire connalisseur on (un 


ENT 


art, ete.); #’y entendre, 8’y connalte. (em) 
[ravailler A. s’occuper de. Dar em que —, on 
que —, donner & penser, embarrasser, melire 
la puce & J’oreille, donner de T'ingquietude. 
‚— em alguma cousa, s’oecuper de quelque 
chose; connatire d’une affaire. Ndo entends 
d’isso , je n’entends pas oela, je ne veur pas, je 
n’en ferai rien. Eu d’isso ndo ‚nade, 
n’y comprends rien. De tudo quer —, il u mes 
‚de juger tout. — com alguem , inquitier, cher- 
cher dispute, provoquer. 

ENTENDER-SE , vo. r. s’entendre,, se ooutehlre 
avoir ses raisons pour agir ; dire entendu. (com 
S’ontendre avec, agir d’accord; se concerer; 
tre d’intelligence avec quelqu’un ; dire dat- 
cord, convenir de... — al: COusE COM WM 
ou miklus, eire compris dans. On le dit des 
lois, des urdonnances. — alguma couss u 
ndo se expresss, sous-ontendre : reienir dans 
Pesprit, donner & entendre queigae ches 
qu’on n’exprime point. — Ihe a alguem um 
couss, ( fam. anf.) &ire adroit et connaisstet de 
quelque chose. Como geraimenis so mind, 
selon l’opinion, l’avis coınmun ; comme ou I 
croit comınundment. Cada um ld se oniendk, 
chacun sait ce qu’il dolt faire. Zw ben m 
eniendo, je m’entends bien. Jsso ndo nr 
lende commigo, cela ne mie regarde pas. (om 
se eniende issoP qu'’esi-ce que cela veut dire! 
Isso jd se entende , cela va sans dire. 

} ENTENDIDAMENTE,, adv. sagement, predem 
ment, en Connaisseur. 

ENTENDIDISSIMO, A, adj. sup. de 

ENTENDIDo, A, P. p. d’Entender. adj. Eaten- 
du, intelligent. (em, Habile &, connaisseur en. 
Cousa bem —a, (fig.) chose bien entendut, 
bien ordonnee,, faile avec ordre , avec arl, art 
goüt. Cousa mal— a, (id.) chose mal entendit. 
etc. Dar-se por —, tömoigner par des paroles, 
par des signes, qu’on est au fait de queig# 
chose. Ndo se der por —,, dissimuler, fait 
somblant de rien. Bem — que, conj. bien eı- 
tendu que, & condition pourtant que. Ben- 
que, adv. bien entendu , sans doute ; assuf® 
ment. 4 viriude mal —a causar laniet 
malss como o vicio, la vertu prise de travers 
peut causer autanı de mei que le vice. 

ENTENDIMENTO , 5. m. entendement : lacali 
de l’&me de conceroir, d’entendre, de compfei- 
dre; intelligence ; jugement. " Capaciis, talent, 
savoir. (ant.) Esprit, interpretation, intell- 
gence, explication d’une chose obscure. (i4.) 
Accord , intelligence, conformits. —despejeih, 
esprit ouvert. Mdito — e pouco juize, besucot) 
d’esprit et peu de jugement. 

ENTEREBRECER , v. a. obscufcir: remplis de 
tönebres ( prop. ot Ag.). Il est aussi rociproget- 
ERTENBRESCIDO , A,P. p. d’Enienebrecer. 

EnTennEcha,v. a. allendrir, ramollir, rende 
tendre et facile & manger. 

EnTENaEcioo, A, pP. p. d’Entenrecer. 

ENTENSO ‚A. 

ENTEBCALAR,, otc. V. Inte..., etc. 

EnTERIGaR , olc. 


ENT ENT 513 


+ Enreaitis, =. f. (t. de mid.) entörite »| KEmrzerin (oom,om),o.n. oonfiner, border; 
pblegmasie ou inflammation des intestins. Ötre attenant &, ötre voisin de , contigu & ; &tre 

Extzanecka, v. a. (fig.) attendrir, toucher : | sita6 sar les oonfins, ou vis-A-vis, re ä l’op- 
rendre sensible & la pitie, & l’amitie, & l’a- | posite.v.«. (p. ws.) Mettre un Courerele. 
mour. Entussourino, A,P.p. d’Enthesourer. 

Entzanscke-se, vo. a. s’attendrir; devenir | ENTEESOURADOR, 3. m. thesauriseur : celui 
tendre,, plus sensible; s’emouvoir. qui amasse, qui entssse des tr&sors, qui Ih6- 

ENTERNSCIDAMENTE, adv. tendrement, avec | saurise. , 
tendresse; avec attendrissement. Entuzsourin, ©. a. ibösauriser : smasser, 

Extzanzcivo, A, p. p. d’Enternecer. adj. | entasser des trösors.(g.) Accumuler en grande 
(Ag.) Altendrissant: qui rend sensible & la | quantits. 

ion, ä l'amiti6, ä Yamour (paroles,| Entuısema. V. Enthymema, 

plaintes , larmes, etc.). Entuosiasuino, A,P.p. de 

ENTERRECHHENTO, 6. m. attendrissement :| EmTHusıasmär, v. a. enthousiasmer ; donner 
sentiment de lendressc,, de compassion. de l’enthousiasme. 

tEnteaoGrarpnia, 5. f. ($. de med.) entöro- | ENnTRUSIASMÄR-SE (por), o. r. s’enthousias- 
graphie : description des inteslins. mer (de ow pour); devenir enthousiaste, 

tEntazoLocia,,s. f. (l.de med.) enterolo- | Entuosıisuo, s. m. enihousiasme : exalta- 
gie : trait6 des viscöres, des fonctions des in- | tion de l’Ame pr&occupee ; «motion extraordi- 
slins, naire , inspiration ; mouvement extraordinaire 

+ Enteroromm, s. f. (t. d’anal.) entörole- | del’äme (d’un poöle, etc.) dans le moment de 
mie: incision & Pintestin pour en extraire des | l’invention ; sentiment qui l’enlöve au-dessus de 


o0rpe ötrangers. Iui-meme; feu, transport bors de soi-meme; 
Entennackd, 3. f. V. Enierramento. vive &motion ; sorte de [ureur prophötique; 
Entenripo, A, 9. p. d’Enierrar. exaltation d’esprit, d’imagination , de senüi- 
Enternaanon. V. Coveiro. ment. 
ENTERRAMENTO, 5. m. onterrement: action | Entmusıäista, 8. m. enthousiaste : vision- 
@enterrer. V. Enterro. naire, fanalique, qui s’entbousiasme, pas- 


Entgarän, ov. a. enterrer : inhumer, metire | sionne pour; admirateur oulr6. —s, pl. en- 
en terre un mort; enfouir en terre (des raci- | thousiastes : sectaires qui se croyaient inspi- 
nes, etc. „de l’argent, etc.). (Ag.) Tenir cache. | res. 

Bufoncer, faire penetrer profondement (l’&pee, | EnrBusiästico, A, adj. qui manifeste !’en- 
je poignard, ete.). — alguem, (fig.) causer la | thousiasme, ot il ya de l’enthousiasme, qui 
mort de quelqu’an ; enterrer quelqu’un, lui | en est plein ( disoours, paroles, etc.). 

survivre, voir sa mort. — no esquecimen!o, EnTnTYußMmA, 8. m. enthymöme : argument 
enserelir dans l’oubli. Onde os enterra V. M.P | compos& de l’anteosdent et du cons&quent, 
(/em.) maniere de plaisanter ceux qui fonties | Enturutmia,s. f. V. Enihymöma. 
fanfarons , qui disent des gasconnades. Entisiäno, A,p.p. de 

EnTERRÄR-SE, ©. r. s’enterrer, s’ensevelir; | EnTtistär, o. a. altiedir : rendre tiede. (Ag.) 
@tre enterre. S’enfoncer, penetrer bien avant. | Affaiblir, refroidir, rendre moins fervent, plus 
Se cscher. — em vida, s’enterrer tout vivant. | froid. Il est aussi r6ciproque. 

On le dit de ceux qui renoncent & tout com- | + Enricnirzs, s. m. pl. entichites : sectalres 
meree da monde, et surtout de ceux qui em- | qui pratiquaient des sacrilices abominables; 
brassent Petat religieux. on appelait ainsi, dans le premier sidcle de 

EnTERREIRÄDO, A, 9.p. de PEglise , les sectateurs de Simon le magi- 

Enraangınän,v.a. (t. d’agr.) aplanir, for- | cien. 
mer une aire. Dire librement. — um negoeio, | ENTIDÄDE, 8. f. entilö: ce qui conslitue !’&- 
disposer une affaire, la meltre en train. tre; l’essence de; forme abstraite en general. 

Enrtaao, s. m. *inhumation, enterrement; | Cousa de—, (fig.) chose de poids, de conside- 
funerailles ; convoi, oort£ge d’un mort qu’on | ration, d’importance,, de valeur. 


va enierrer. Tombeau , sepulture (p. ws.). Enritncta, s. f. (l. d’hist. nat.) entiengie: 
ENTBRRONMPER, elc. V. Interr..., etc. oiseau du Congo. . 
Eıtensacnin „etc. V. Enires..., etc. +EntwoLipo, a, adj. en forme de hrique; 
Enrertunsäir, etc. V. Interromper, etc. durcomme la brique,, couleur de brique. 
Extgsäno,, A, P. p. d’Entesar. Entisicino,, A, p. p. de 
Extgsanöna, s. f. tension, raideur. Enrisicia, v. a. rondre phtbisique ou ötigqus, 
Entesan, 0. a. raidir, tendre, bander, ren- | o. ». Tomber en phtbisie. 

dreraide ; endurcir, dareir. Ewrisnin, eto. V. Tisnar, eic. 


Entesin, o.n.et—sE,o.r.raidir: devenir | Enrtırulan, ete. V. Inlilular, ete. , 
raide ‚se raidir; se dresser. (g.) S’accroltre, | Entoacäö, s. f. inlonalion : action d’enton- 
Saugmenter ; souflier avec plus de force, par- | ner ; modulation. . 
lanı du vent. —com alguem , tenir t&to A quel- | ExtoAno,A,p. pP. d’Eninar. adj. Resonnani, 
qa’un. harmonieux ‚, melodieux. Vow —s, voix claire, 
Entastino, A, p. p. d’Enisslär, sonore. 
® 


— FORT.-FR. ss 


318 ENT 


ENT 


Enroanör, 5. m. celul qui omtonue ew qui | dans un eompie d’une somme passde exacic- 


module. 


ment en recelte et en depense. — da porla, 


EntoiR, ©. @. enlonner : metire sur ie ion, | seuil de la ports. Desd’ a — , d’entr6e ; d’aborü. 


donner le ton en cbantant ; chanter juste, avec 
art et möihode ; chanler le commencoment d’un 
air, eic. 
Entoin-ss, e. r. V. Seifear. it. (ami.) V. 
nlonar-80 


Entosia , ete. V. Antojer, etc. 
EntoLuia-se. V. Antelkar-se. 

*Extos. V. Entäo. 

Entonino, A, 9. 9. de 

Entonin-se, v. r. s’enfler d’ergueil, se 


ser. 

* Entöncks. V. Entäo. 

Entöno, s. m. (fig.) orgueil, presomplion, 
vanilö, bauteur. 

+ Eurontecka, ®. a. rendre imbetcile, stu- 
pide, höbster.v. ». Devemir imbecile, stupide, 
heubeils ; perdre connaissance. 

EnTONnTEcino, A, P. p- d’Entonlecer. 

Entonnipo, A,p. p- de Äutorner. 

Entonnapöna, s. f. ellusion , epanchement; 
action derepandre. 

Entonsir,v.e. epancher, rögandre, verser. 
(Ag.) Dissıper, prodiguer. 

Entoruir-sg, v. r.s’cpanoher, se repandre; 
decouler, sortir, tomher en coulant. (fig.) Se 
bouleverser. 

Entorrzcka, v. a. engoundir, emp6cher le 
mouvement des membres. (fig.) Hebeter, en- 
geurdir l’esprit, le genie, etc. 

EntonrscirR, dv. n. et —e, v.r.s’engourdir. 
(Ag.) Perdre la vivacite, l’energie, lo courage. 
— 10 solo, cToupir, languir dans l’oisivete. 

Entoarzcido, A, p. p. d’Entorpecer. 

EnTORPECIHENTO, 3. m. engourdissement : 
&tat de ce qui esi engourdi (propre et fig.). 

Entortiodo,A,P.p. d’Entortar. 

Enronrapöka, 8. f. action de teriuer, d’d- 
borgner, son effet. 

Entortir, ©. @. tortuer : rendre tortu ou 
tortueax. (fig.) Egarer, detourner. — os olkos, 
loucher. H est aussi r&cipreque. 

Enrouviina. V. Entuoidde. 

Entoxıcir, etc. V. Envenenar. p. us. 

Enrripa, s. f. entr6e: liou par od !’on entre; 
action d’entrer, is. d’entrer solennellement 
dans une ville, eto.; reception, s6anoe solen- 
nelle, (se dit d’unroi,d’un ambassadeur, etc.) ; 
entröes : droits que Fon pale & l’entede d’une 
ville. Prise d’une ville, elc. (g.) —, commen- 
ceoment; occasion, ouveriure. Amili6, anoueil, 
familiarit6 dans une maison, aupres de quel- 
qu’un. Nombre suffisant de ogries pour enirer 
au jou et faire entrer. L’argent, les fends qui 
enirent dans üne caisse. —s, pl. enirees privi- 
l&gides dans oertaines obambres du palais du 
zoi, accorddes A quelques personnes de dis- 
tinction. Chacun des deux angles rentranis que 
les cheveux forment dans la partie supericure 
du front. (ant.) Pension, rente. — da me£sa, 
entree, premiers mets. —do inimigo , Invasion, 
irruption de l’ennemi, — por saida, on ko dit 


De primeire — , du premier meuvementi. Dar 
— na alfandega, wanilester a la douane Ics 
marchandises, les eflets, etc., pour en payer 
les droits. Direitos de — , entröes , droits d’en- 
irde. — franca ‚libre acees. Ter— com alquen, 
avoir acces aupres de quelgqu’un. Negar a— no 
palacio, interdire l’entröe du palais. Ter chare 
de —, dire chambellan, zveir les entrees da 
palais. Ter ums cousa—, ou scher — pırs 
ella, eıre possible, faisable, parlant d'une 
chose. —s, e saidas, (fig.) Intrigues dans ene 
affaire. —s, # saidas duma casa, eilc., Issues 
d’une maison, etc. : servitude active, dreit 
qu’on a de passer par un Champ, eio. 

Entaipo,a,p. p. d’Entrar. adj. Dans l- 
quel on a penetrd. (Ag.) Mu, persuade; sabi 
(de douleur, d’ellroi, elc.)., — em anne, 
avancd en äge. 

Entrasioo. V. Trejddo. 

ENTRALUÄDO, A, 9. p. de 

Entrumin, e.a. V. Trailer. is. Prendre 
dans des fliets; entrelacer. 

ENTR’ANBOS, as, prow. adj. pl. tous deut, 
teus tes deux ensemble; entre deux. 

* ENTRAMENTES. V. Entrementies. 

* Entaautnto, s.m. V. Entrade. 

EnTRANCADO, A, p. p. de Entrangar. 

ENTRANGADÖR, 3. m. tresseur : celai CU 
tresse. 

EnTnangapüna, 5. f. action de tresser, d 
natter ; entrelacement. 

ENTRANGCÄR, 9. a. Iiresser : cordonner MA 
tresse. Natter (des cheveux). 

Enträncu, 8 f. (f. de prat.) * oommmcence- 
ment, entree. 

Entrinua,s.f. * viseöre, entrailles : parlio 
interieure du oorps, comme le cwur, le pou- 
mon, la rate, ele. li est plus usite au plurie. 
* Flancs, sein. —, pl. (Ag.) entrailles, ablıne 
(de la terre, ete.), les lieuxz les plus profends:t® 
qui est au milieu; aflectien,, tendresse, CO- 
passion. (id.) Le naturel, le caractere d’unt 
personne. Der a8 —s, ou ald as —e, Alte e1- 
trömement liberal. De bias ou muds —ı, quä 
des entrailles, qui n’en a pas. Isto chega m: 
ds —s, cela me deebire le caaur. Langer, 10° 
mitar as —s, vomir beaucoup, rendre tripe 
et boyaux. 

EnTaansÄnOo, A, adj. introduit, peneift 
dans les entrailles; (Ag.) profond, penetran!; 
enracine, iavetöre.p.p. de 

ENTRANBÄR, 9. @. meltre dans les entrailie- 
(g.) Penstwer profondement ; introdaire % 
faire penötrer. — em si ou na alma a alguem; 
#’affectionner & quelqu’un, Paimer tendre- 
ment. 

Enraammin-sE, vo. r. pöndtrer Jusqu’au fond 
du caur. (em) Pönätrer, s’enlfoncer; se penc- 
trer; se donner profondement. — d’amir, 
s’embraser d’amour. 


ENTRANBÄYKL, adj. 3 gen, alleotweus, j1- 
‘ 








ENT 


üime; profond, da fond du cowur; oziröme. 
Odio —, haine enracinee. 

ENTRANBÄVELHENTE, adv. inlimement, al- 
feetueusement, oordialement; extrömement, 
du lond du eaur. 

+EnTRANBinHA, s. f. dim. d’Entranha. Ser 
-, woir un mauvais caraciöre; m’avoir pas 
d’entrailles. 

EsTaanQuzıaÄno, A, 9. p. de 

Exntnanguginin, vo. a. barricader, reisan- 
cher. 11 ost aussi reciproque. 

Eutaaripo, A, pP. P. de Entraper. et adj. 
dndar, estar —, eure couvert de haillons, de 
guenilies. 

Errasria, 9. @. envelopper de chiffons. 
Bander ls ıLEte, ou quelque autzo partie du 
corps, peur guörir un ooup, une plaie. V. 
Enpiasiror. 


Entnarän-SE, dv. Fr. se oouvrir de haillons, 
de guenilles. 

Entaäin, 0.0. enohässer, introdaire, faire 
eatser une chose dans une autre. Assaillir, 
atisquer et prendre (une ville, etc.). V. /nva- 
dir. (Ag.) Faire penetrer, enfoncer (un cleu, 
eic.); saisir, atlaquer, causer un saisissernent. 

Entaan (6), 9. #. entrer : passer du debors 
au dedans; s’engager dans; (Ag.) commencer 
(une entreprise,, eio.); pen6öirer dans quelque 
chose ; prendre part (dans les projeis, etc.); 
servir A la composition, au melange, A la for- 
mation de... (flg.); contribuer, dire une das 
causes, des motils; &ire parlie de, re com- 
pris dans. S’emboucher, se d&charger, se jeler : 
so dit d’une riviöre qui entre dans la mer, dans 
un ise , etc. Entrer au jeu : faire jouer. (#4. de 
sus.) Commencer &ä chanter ou & jouer ä len- 
droit marga6. (fig.) Entrer dans le owur ( par- 

lent d’une passion, d’un senument, eic.). —, 
fsire one invasion, une incursion dans le pays 
aunemi; prondre (une place), s’en emparer & 
force ouverte. — en Fang, avoir son tour. Än- 
trar, suivi d’un verbe & Pinfinitil, signifle le 
cemmencement de !’action de ceverbe. Exr.:— 
s reinar, commencer A regnear. Suivi de la 
pröposition em et d’un nem substantil, il Bi- 
gnifle se möler, s’immiscer, entrer dans. Er. — 
om conios „em dispulas ‚se meöler de rapporis, 
de querelies, de disputes, etc. Suivi aussi de 
la meme pr6position em et quelques noms, il 
signifie se consacrer, Sadenner A, enirer en, 
embrasser. Ex.: —em religido, w'alguma car- 
reira ow proflssäo , enirer en religion, 26 [sire 
religieux ; entrer dans ane carriere, embrasser 
une profession. Suivi de la preposition em et 
de queikques noms, il marque aussi un com- 
mencement d’action. Ex.: — em receio ou sus- 
peils, entrer en soupgen, COmmencer & Soup- 
conner. — a olkos fechados, (Ag.) embrasser 
une affaire les yeux foerm6s, l’entreprendre 
Sau SLAMER. — a sorvir, entrer en condition, 
se faire domestigue; entrer au service de quel- 
qu’un. — a alguem no coragäo, no peilp, en- 
trer bien art dans les bemnes gräces de 
quelqu’un. — deniro de Hi, 0m em Sı ME, 


ENT 515 


(ßg.) renirer en sei-meme. — om 0UmMPO com 
alguem, aller sur le terrein, se balire avoo 
queigu’un en duel. — em conselho, consulter, 
examiner ce qu’on doit faire, enirer en deli- 
börstion. — em conla, (fs.) tenir compte, 
avoir quelgue chose en gonsideralion pour un 
projet, entreprise, elc. — em comlas com sigo, 
(fig.) se rendre compie de sa conduite. — em 
idede, avancer en Age. — em jwiso com al- 
guem, demander compte & quelqu’un d’une 
B.— 908 u008, modas, elc., Suivre 
les usages, los modes, elc.— em operarsder, 
enirer on campagne. — R’ume funpäo , lorneio, 
comtdia, eic., €ire acteur dans um oumoi, 
ftte, onmedie, etc. — w/m Regecie, ole., 80 
charger d’une affaire, eio. — com eiguom, (Ag.) 
porsuader, shdulre; vainere (quelgu’en). — 
com a espada na mdo, [aike main-basse, alla 
quer V'öpte A la main. — som muilker, co- 
habiter avec une femme. — a febre, 0 anno, 
oic., commenser, parlant do ka fievre, de l’an- 
nee, etc. — a pesle, se communiquer, parlant 
de ia pesie. — por, entrer par ; p6neirer, s’en- 
foncer dans... — uma Ccousa por um osvido 6 
sair por oußFo, enirer par une oreille et sor- 
tirpar l’autre : ($g.) ne pas faire allention ä 
une chose. — por casa, vexir le trouver, venir 
& sa renconire, parlant de la fortune, eic. — 
de gwarda, ötre de garde, munter la garde. — 
de posse, entrer en possession. Ndo — a alguem 
uma cousa, (fig.) dessavouer une ehose, ne 
vouloir pas la reconnallre, B® pas y mordre. 
Agora eniro eu, c'est A präsent mon tour. 

” ENTRÄR-SE, 07 r.V. Entrer (0), Becolker- 
se, Acolher-se. 

Entaiz. V. Authrds. 

EnTRE, prep. entre, obez, parmi, an milieu 
de, au nombre de, Dans, pendant. — anno, 
dans le courant de l’annee. — dia, dans ka 
journde. — dentes , entre les dents. — dass po- 
redes , entre quatire ımurailies : seul, isol& ohuz 
s0i. — mäos,, sous la main; entire les mains. — 
tanto ‚ cependant, pendanut cela, sur ces eu:re- 
faites. Havia um costume — 08 Alhenienses, il 
yavait une coutume chez les Atheniens. Curre 
“INS 002 — 0 9000, ilcourt un bruit pammi le 
peuple. Trazser alguem — denies, döchirer 
quelqwan; parler mal de guelqu’un. — nds 
Aqw 0 do, entre nous seit dit. — Jusco 
e fusco,, entre chien ei loup, & la brune. Houve 
com — mortos e feridos, il y en eut cent de 
tues ot de blesses. Por —, A Iravers. 

ENTREABRIR, Otc. V. Soabrir, etc. 

Enteeicro, s.m. entracie. 

+ Entaesrinco, A, adj. blanchätre : tirant 
sur le blanc. 

Entngzcauin. V. Intercalar. 

Entaecausino. V. Enredddo. 

EntreEcisca, 8. f. el ENTRECASCO, 5. m. peau 
entre le bois et P’&corce. 

t Extazcai00, A, adj. qui a un naud, par- 
lant d’une piece dramatique. 

EutaAca0, #. m. naud d’un drame, 


516 ENT 


EutRBCHOCciR-ER, 9. r. s’ntre-cheoquet : 


se 'choquer Pun Fautre. 


+ Entaz-cosaaras, 5. f. (f. de mer.) entre- 


pont. 


ExTazcoLdumo, 3. m. entre-colonne, entre- 


eelonnement : espace entre les colonnes. 


ENTRECONNECEE , 9. 6. oonnaltre imparfaite- 


ment. 


ENTRECONHECER-SE , 9. F. Se TE6onnaltre mu- 


tuellement. 
ENTRECONNECIDO, A, 9. p. d’ Entroconkecer. 
Entrascoarino, a, 9. 9. de Entreoorter. 


+ Enrazooarasöna, s. f. intersottion , peint 


o& deux lignes 56 ooupemt. 


+ Eutascoaria-es , o. r. s’entre-o0uper; 


former des interseotions. 


Entascosrino, 3. m. (f. de mar.) omvrage 


pour renforcer le o81# d’un vaisseau. 


Entascösto, 3. m. entre-cöte (de bauf, de 


pore). it. V. Entrecdsea. 


*+Entaepänna, 5. f. chose trös-cachte, 
wrös-socre 


te. 
EnTREDENTES, loc. ade. en grippe, avec ran- 


eune. V. Entre. 


Entazpis, ade. pondant le jour, toute la 


journee. 
Entazvicro. V. Interdieto. 
Entrazpızen, 9.6. V. Prokbir, Interdizer. 


+ EntazsLoLmER, 9. 8. ohoisir parmi ou en- 


tre plusieurs, 
Entazgrino,A, adj. qui n’est ni in, ni gros: 
de moyenne finesse. 


+ EntazsoLugäczo, A, ad» Podunculo —, 


(1. de bot.) interfollaceus pedunculus. 


Entagrönno, 8. m. V. Guardapd. — d’um 
vestido,, etc., garniture entre la doublure et le 


dessus d’une robe, etc. 

Entatca , s. f. livraison, remise : action de 
livwrer, de remetire; reddition (d’une place); 
trahison. Fazer —,, livrer, faire remise, re- 


metire. Tomar — d’alguma cousa, se charger 


d’une chose pour lo compte d’un autre. Armer, 
fazer ums —, trabir, faire une trabison. 
* Entazchvauänte. V. Fieimente, Cabei- 


mente. 

Ertascipo, a, p. p.d’Entreger.V. Entrögue. 

® ERTREGADÖIRO OU —DOURO, A, adj. quidoit 
&tre livr6, remis. 

ENTREGADÖR, 5. m. celui qui livee, qui re- 
met; treitre, perfide; denonciateur. 

Entazcär (a), v. @. livrer : remeitre, meltre 
au pouvoir de quelqu’'un. Vendre, denoncer, 
trahir; rendre une place. V. Devoiver, Res- 
tttir. — algums couss ao esquecimenio, ao 
silencio , ensevelir quelque chose dans l’oubli. 
— ma liberdade, vendre sa liberie. — ae alma 
a Deos, rendre l’äme, mourir. 

Entascän-se, v.r. so rendre, poser les ar- 
mes. (6) Se livrer, s’abandonner, se meltre en- 
tre les mains de quelqu’un;; (Äg.) se livrer, s’s- 
donner & une chose, s’en Occuper, s’appliquer 
b... (de) Prendre (une affaire, etc.) sur soi, 
w’en oharger; s’indemniser, se dödommager ; 

"ger, prondre vengeance. Il a vieilli 















ENT 


dans ces treis dernieres scoeplions. — nos 
brapss d’elguem,, se livrer entidrement ä quei- 
qu’un, se conßier, s'abandonner ä lui sans rt- 
serve. — dalguma pessoa ou couse, (loc. ent.) 
s’eımparer, so sSaisir d’une personne, d’am 
chose, 

Entratcug,, adj. 2 gen. et p. irr. d’Enireger. 
Livre; vendu; trahı; mis en possession de; 
confie, commis &ä; indemunise, dedommage; 
adonne, habitae, sujet a. V. le verbe. 

° Entaicteuente. adv. V. Inteiramenis. 

+ Enransönta , s- f. (1. de bot.) V. Entreab. 

ENnTaELACADO, A, p. pP. de Entreisger. 

ENnTRELACANENTO, 3. m. entrelacement: &- 
tion d’entrelacer;; tat des choses entrelacte. 

EnTRELAChHR,, ©. @. entrelacer : mellse, 68 
lecer Yun dans l’sutre ; entremeler. 

Entazınipo. V. Entreihddo. 

EnTagLınga, s. f. entreligne, interligne : &- 
pace enire deux lignes; interposilion, ce IE 
est &crit dans cet espace. *Commenlaire, Ur 
daction interlinedaire. 

ERTRELINRADO, A, P. 9. de . 

EntagLınsin,, ©. @. ecrire dans Finleri- 


gne. 

EntazLocuciö, etc. V. Interi..., eic. 

EntrzLöro, adj. m. Navie —, ‘ 
aveniarier, (vaisseau ; qui trafque en frande- 

EnTasıunno. V. Interlunio. 

+ EntazLuzin, c. ». luire & demi. Se laisset 
voir & travers quelque chose. 

+ Enrasutcuas, s. f. pl. (1. de mar.) pour 
qui traversent le vaisseau d’un cotl* ä faule, 
pour le renforcer quand il est courb£. 

Entazubıo, adj. ets. V. Entremeio ei Ir 


ENTRENEIÄDO, A, adj. entremele; qui esta® 
milieu de, qui est entre deux. p. p. de 

ENTRENEIÄR (em, com), ©. a. entremökt: 
meler parmi; inserer, meler (des choses) a!% 
d’autres. 

ENTRENEIAR, ©. ®. #tre entre deux; #° 
intermediaire ; sinierposer. 

EntREußı0, A, adj. intermediaire : qui 
entre deuz. V. / io. s. ms. Chose inlef- 
mediaire. Neste —, sur oes entrelaltes. 

Entaeuente ou EuTRamEntes, ade. ei. 9 
oependant, pondant cela. Nesies —, sur (6 
entrelaites. 

Entazutßs, etc. V. Entremexz, etc. 

+ Entazutsı, ado. pendantı le diner, pe®- 
dant qu’on est ä table. 

EntaEuKrrän, v. 6. interposer, emtremöle; 
faire ıntervenir. 

ENTRENSTTER-SE (em), vo. Fr. s’ingerer, Fer 
tremelire,, se meler de guelgue chose, sans 60 
ötre requis; se fauflier; laire l’intwigant; im 
terposer ses ollices, eic. Se metire au miliel, 
ou parmi d’autres. 

EnTaguRTTiDo, A, 9.P. d’Entremeiter. od). 
Intrigant : qui ne mele de oe qui ne lo regard® 
pas ; qui se mele de tout. 

ENTAENETTINENTO, 6. m. ° emtremise; jnle!- 
venlion , bons ofioes, 


ENT 


Earnzuzvo, ote. V. Ensremeio, ett. 

Errazußz, 9. m. oomposilion dramatique 
evurte, badine et plaisante, qui sert d’inter- 
mede dans la oomedie portugaise ; Intermede, 
farce. 

+Ertazuzzipa, s. f. chose, ou action sem- 
blable ou pareille A une farce. 

tEnTaEuzEzista, 5. m. auteur d’intermödes 
de comedie. 

Eurazutza. V. Entromesa. 

Euntnuwicuas. V. Ensremeschas. 

tEntazuontino, a, adj. situ& entire des 
Monlagnes (campagne, village) ; qui habite en- 
ire les montagnes ( peuple, etc.). 

tEutnend, s. m. (4. de bot.) entre-naud: 
espsce enire deux n@uds d’une tige. 

EnragpÄnno, s. m. montant de separation, 
raie de bibliothöque. 

Entawräusa, s. f. pause intermeödiaire. 

Burrgrecan, eie. V. Tropesar, etc. 

HENTREPERNAS, 5. f. pl. entre-deux des jam- 
bes: la partie interieure des ouisses. 

Eatazpormento, s. m. V. Interposicdö. 

Entnzrön. V. Interpor. 

Enrazröntas, loc.adv. en dedans, sansqu’on 
paisse echapper. Tomar alguem — , surprendre 
gaelqu’un, le prondreau depourvu, sans qu’il 
puisse s’6chapper. 

Enrazrosıckö, 8. f. V. Interpesigdö ei Pa- 


Eurazeösto , s.m. entrepöt. V. Emporio. 

Entagraanpen. V.S 

Entngpaszı. V. Inierpresa, Sorpreza. 

Eutassacnin0, A, pP. p. de 

ENTRESACHÄR,, D. a. entrem£ler, entrelacer. 

$ Earaxscöno, 4, adj. qui ost Lant soil peu 
ebscar. 

Exrazstıo, s. m. " cavite, 
Teurs et detours cachös. 

ENTRESEMEÄDO, A, p. p. de 

EnTausEmEÄn,, v. @. entresemer : 
Jarmi , planter entre. (fg.) Entremeler. 

EntrazsöLa ‚s. f. entre-semelle. 

ExtazsöLno, 8. m. entresol : ötage entre le 
rer-de-chaussee et le premier ; ospaco entre le 
Bancher ot le sol. (4. d’anat.) Sinus, cavile. 
—t, pl. (Ag.) wours et detours caches. Ter mili- 
oe —s , se dit d’un homme qui se conduit aveo 
beaucoup de röserve, qui est irds-dissimule, 
irös-russ. 


sinuosite. (flg.) 


semer 


Entagraıuino, A, p. pP. d’Eniretalher. 

Enrartananon. V. Entalkador. 

ExtagTaLnapöra, s. f. "demi-relief, bas-re- 
lief. V. Entalhe. 

EntaETaLBär, ©. a. sculpter en demi-relief, 
faire des bas-reliefs. V. Entalhar. 

TEnTaEgTÄLEO, 0. m. V. Entrelalkadura. 8. 
Coupare, decoupure faite dans une ötoffe. 

Eutagrämo, adv. cependant, en atiendant; 
peudanı cola, sur ces entrefaites. No — que, 
en altendant que, jusqu’& ce que. Por —, 08- 


Pant, lä-dessus ; par interim, provisoire- 


ENT 547 


EntRETzEcEBOR,, 5. m. celui qui emtzelaos, 
qui fait un tissu. 

T Entaxtzcogoöra, s. f. " entrelacement. In- 
sertion. 

ENTRETECER,, vo. e. faire un tissu, brocher 
une etoffe, etc. Lier, enlacer, entrelacer, entre- 
meler. (Ag.) Mettre, inserer des mots, des 
clauses, des vers, etc., dans un 6crit, dans un 
livre, etc. 

Entagtecino , A, 9. 9. d’Entreteckr. 

ENTRETECIMENTO , s. m. V. Entreloosdeura. 

ENTREBT£LA, s. f. "renfort de toile, de treil- 
lis, etc., qu’on met entre l’ötoffe et la doublure; 
bougran ow bouqueran , grosse teile gommee 
pour soutenir les 6ötoffes. * Contre-fort (d’un 
mur, etc.). 

ENTRETELABO, A, 9. p. de 

ENTRETKLÄR, v. a. metire de la toile, du 
treillis,, ete., entre uno &toffe et sa doublure; 
garnir de bougran. Meitre des contre-forts. 

EnTRgTENnen. V. Entreter. 

Enutasteuina, 3. f. chicane; detours, tergi- 
versation , suporcherie pour gagner du teınps, 
faus-(uyent. 

*  ENTRETENIDO, A , 9. p. d’Entretsner. adj. 
Entretenu. Plaisant, enjou®, divertissant. Mu- 
Iker —a, femme entretenue : femme que son 
galant fait subsister. s. m. Surnumeraire, sous- 
commis. 

ENTRETENIMENTO , 5. m. amusement, diver- 
tissoment, r6creation. (en#.) Entretien , manu- 
tention ; conversation. (id.) ° Pension, gratiß- 
cation qu’on donne A queigu’un , surtout pour 
son entretien. Badinage, plaisanterie. (24.) 
Delai, retardement. 

Entagt&a, v. a. entretenir, amuser, donner 
de l’espoir. Amuser, divertir, distraire, recreer, 
faire passer le temps. — ‚ maintenir, COnSorver. 
Suspendre, retarder, differer. — , faire subsis- 
ter. V. Manter. 

ENTRETER-SE, v. r. s’amuser & quelque es 
pece de jeu. S’amuser, plaisanter, [olätrer; 
passer son temps. S’entreienir, B’OCcuper ; 8’ar- 
reter dans un endroit. 

EnTaETIDO, A, P. P. d’Enirster. adj. ets.V. 
BEniretenido. 

ENTRETIMENTO, 5. m. V. Bntretenimenio. 

Entrarinso,s. m. V. Pasto, Comida. 

+ Entaxtaörıco, A, adj. qui est entre les 
tropiques. 

EnTREvanıssino, A, adj. sup. de 

Enrratväno; A, adj. Derclus. Courert de W- 
nebres. p. p.d 

Enträvin, o. a. obscureir, metire dans los 
tön&bres. (Ag.) Aveugler. 

Entaßvin , 0.0. et — SE, 9. r. Oro perolus, 
devenir paralyligue, 

Entaävscka. V. Enitrevdr, u. ®. 

Entauvia,o. entrevoir : voir imparfaite- 
ment, ou en passant. (fg.) Pressentir, prevoir. 


Entnuven-ts, ©. r. avoir une onirevue; se - 


voir de temps en temps. 
EnTasvinda , s. f. arrivee imprövue. 
Entzavia, oto. V. Intervir, eic. 


516 ENT 


+ Enrascaocia-eR, 0. r. s’entre-choquer : 
3e choquer !’un Fautre. 

+ Entan-cosartas, s. f. (l. de mar.) enlre- 
pont. 

ENTRECOLUNNIO,, 8. m. entre-C0lonne, entre- 
oolonnement : Espace entre les colonnes. 

ENTRECONNECER , 9. a. connaltee imparfaite- 
ment. 

ENTRECONEECER-SE , 9. F. Se Feoonnaltre mu- 
tuellement. 

ENTRECONEECIDO, A, 9. p. d’Entreconkscer. 

EntascontTin0, A, p. 9. de Bnirscoriar. 

+ Entascontapöns , s. f. intersection , point 
oü deux lignes 56 ooupent. 

t EnTRECORTÄR-SE , 9. r. s’ontre-00uper; 
former des intersections. 

Entazcosrino, sm. (f. de mer.) ouvrage 
pour renforcer le oöt# d’un vaisseau. 

Entascösto, #.m. entre-cöte (de bauf, de 
pore). i$. V. Entrecdsca. 

*+Entaepänna, 9. f. chose trös-cachee, 

te, 

ENTREDENTES, loc. adv. en grippe, avec ran- 
cune. V. Enirs. 

Entazoia, ade. pendant Je jour, toute la 
journde- 

Entazpvicro. V. Interdieto. 

Entazoızer, o. @. V. Prokibir, Interdizer. 

+ ENTRESLOLHER, 9. a. ohoisir parmi ou en- 
tre plusieurs. 

Entazrino,A, edj. qui n’est ni in, ni gros: 
de moyenne finessse. 

+ EntaeroLnziceo, A, ad>» Pedunculo —, 
(8. de bot.) interfoliaceus 

EntaEröaROo, 8 m. V. Guordaps. — dumm 
vestido , etc., garniture entre la doublure et le 
dessus @’une robe , eic. 

Entaica, s. f. livraison, remise : action de 
iivrer, de remettre; reddition (d’une place); 
wahison. Faser —, livrer, faire remise, re- 
mettre. Tomar — d’alguma cousa, se charger 
d’une chose pour locompte d’un autre. Armar, 
fazer ums — , trabir, faire une trahison. 

* Entazcänauanıe. V. Fieimente, 


Ertazcäno, A, p. p.d’Entregar. V. Entrögus. 

® ENTREGADOIRO OU —DOURO, A, adj. quidoit 
etre livr6, remis. 

EntazsanOR, 8. m. celui qui livee, qui re- 
met; traitre, perfide; denonciateur. 

Entascär (a), v. a. livrer : remettre, melire 
au pouvoir de quelqu’un. Vendre, denoncer, 
trahir; rendre une place. V. Devoiver, Res- 
tlsir. — alguma couss ao esquecimenio, ao 
silencio , ensevelir quelque chose dans l’oubli. 
— sua liberdade, vendre sa liberie. — a alma 
a Deos, rendre l’Arne, mourir. 

EnTascän-se, 0. r.se rendre, poser les ar- 
mes. (e) Se livrer, s’abandonner, se mellre en- 
tre les mains de quelqu’ un; (Ag.) se livrer, #’o- 
donner & une chose, s’en occuper, s’appliquer 
b... (de) Prendre (une affaire, etc.) sur soi, 
s’en charger;; s’indemniser, se dsdommager ; 
se vonger, prendre vengeance. Il a vieilli 


ENT 


dans ces trois dernieres acceptions. — 108 
brapos dalguem, se livror entidrement ä quei- 
qu’un, se eonfier, s’abandonner & lui sans r6- 
serve. — pessos ou couse, (loc. ami.) 
s’emparer, se sSaisir d’une personne, d’une 
chose, 

Entagcue,, adj. 2 gen. et p. irr. d’Entreger. 
Livre; vendu; trahi; mis en possession de; 
confi&, commis &; indemnise, dedommage; 
adonue, habitue, sujet &. V. le verbe. 

° ENTREGUENENTE. ade. V. Inteiramente. 

+ Entaxsönta , s- f. (1. de bot.) V. Entrenb. 

EnTaELACADO, A, p. p. de Entrelager. 

ENTRELACAMENTO, 3. m. entrelacement : 80- 
tion d’entrelacer;; etat des choses entreiacdes. 

Entaszacäa, v0. @. entrelacer : melire, eM- 
lacer !’un dans l’autre ; entreme£ler. 

Entazınipo. V. Entralhddo. 

EnTasLinna, 8. f. entreligne, interligne : &- 
pace entre deux lignes; interposition, ce qei 
est &crit dans cet espace. "Commentaire, tre- 
daction interlineaire. 

ENTRELINHADO, A, 9. 9. de 

EnTRELINBÄR , v. a. ecrire dans Vinterli- 


gne. 

Entazrocvucäö, etc. V. Interl..., etc. 

EntngLöro, adj. m. Navio —, in 
aventurier, (vaisseau) qui traäque en fraude. 

EntazLunwo. V. Interlumio. 

+ Entasıuzir, c.». luire & demi. Se laisser 
voir ä travers quelgue chose. 

+ Enrazutcais, s. f. pl. (1. de mer.) poutres 
qui traversent le vaisseau d’un cöt6 & Pautre, 
pour le renforcer quand il est courbe. 

Entazu&nı0, adj. eis. V. Entremeio ei I» 


EnTazuEıÄnDo, A, adj. eniremele; qui est au 
milieu de, qui est entre deux. 9. p. de 

ENTRENRIAR (em, com), ©. a. eniwwemeler: 
ıneler parmi; inserer, meler (des choses) avec 
d’auiros. 

EnTRENEIAR, ©. ®. etre enire deux; £ire 
intermediaire ; s’inte F. 

Entaeutıo, a, adj. intermediaire : qui est 
entre deux. V. /ntermedio. s. m. Choseo inter- 
mediaire. Neste —, sur ces entrelaites. 

ENTREMRENTE ou ENTRENMENTES, adv. ei s. m. 
oependant, pendant cola. Nesies —, sur 088 
entrefaites. 

Entaems, eic. V. Entremez, etc. 

+ Entazutsı, adv. pendant le diuer, pen- 
dant qu’on est & table. 

EuTRENsTTen, v9. 6. 
faire ıntervenir. 

ENTAENMETTER-SE (em), v. Fr. siingerer, s’en- 
tremetre , se mm6ler de quelque chose , sans en 
&tre requis; se faufller; faire Yintrigant; in- 

r ses oflices, etc. Se mellre au milien, 
ou parmi d’autres. 

ENTAENETTIDO, A, 9. p. d’Entremstier. adj. 
Intrigant : qui ae mele de ce qui ne le regarde 
pas; qui se möle de tout. 

ENTAENZTTIEENTO, 5. m. * entzemiss; inter- 
vention , bons ofices, 


interposer, entremeler; 





ENT 


Enrazuuvo, ole. V. Enitremeio, ots. 

Enraxutz, s. m. composition dramatique 
eourie , badine et plaisante, qui sert d’inter- 
mede dans la comedie portugaise ; intermede, 
farce. 

+EnTaEMEzÄDA, 8. f. chose, ou action sem- 
biable ou pareille & une farce. 

TERTRENEZISTA,, s. m. auteur d’intermedes 
de comedie. 

Enragsutzı. V. Eniremesa. 

Enrasuicnas. V. Entremöchas. 

tEntazuontino, a, adj. situ6 entre des 
mentagnes (campagne, village); qui habite en- 
tre les montagnes ( peuple, etc.). 

+ Entazuö, 3. m. (t. de bot.) entre-nmud: 
espace entre deux nauds d’une tige. 

EuTREPÄNNO, 8. m. montant de separation, 
raie de bibliotheque. 

Entawräusa, s. f. pause intermeödiaire. 

Eurngrzcan, etc. V. Tropegar, etc. 

FEnTREP&aRNAS, 8. f. pl. entre-deux des jam- 
bes : la parilie interieare des cuisses. 

ENTREPOIMENTO, 5. m. V. Interposicdö. 

Entazrör. V. Interpor. 

EntrEpöntas, loe.adv. en dedans, sansqu’on 
puisse &chapper. Tomer alguem — , surprendre 
guelqu’un,, le prondreau depourru, sans qu’il 
puisse s’ö6chapper. 

Eutaerosıciö ‚s.f. V. Interpesigdö et Pa- 


EnTRnösto, s.m. entrepöt. V. Emporio. 

Entagrasnpen. V.S 

Entaurazı. V. Inierpreza, Sorpresa. 

ENnTRESACHiDO, A, 9. pP. de 

ENTRESACHÄR,, ©. a. enireme£ler, entrelacer. 

T Esrrauscino, A, adj. qui est tant soil peu 
obscur. 

Entazstıo, s. m. " cavite, 
Tours et detours caches. 

ENTRESEMEADO, A, p. p. de 

EnTRESEEBÄiR,, v%. a. eniresemer : 
parmi „ planter entre. (fig.) Entremeler. 

EntassöLa ‚s. f. entre-semelle.. _ 

ESTRESÖLHO, 5. m. entresol : elage entre le 
rez-de-chaussde et le premier ; espace entre le 
plancher ot le sol. (4. d’anat.) Sinus, cavite. 
—t , pl. (Ag.) tours et detours caches. Ter mık- 
ios —s „ se dit d’un homme qui se conduit avec 
besucoup do re6serve, qui est trös-dissimul6, 
irds-ruse. 


sinuosite. (fg.) 


somer 


EntartaLuino, A, pP. p. d’Entretalkar. 

EnragtaLuspor. V. Entalhador. 

ENnTRETALHADÜRA, 3. f. "demi-relief,, bas-re- 
lief. V. Entalke. 

EnTarTaLnirn, 9. a. soulpter en demi+-reliel, 
faire des bas-reliels. V. Entalhar. 

+ EntagtiLuo, s. m. V. Entretalhadura. it. 
Coupure, decoupure faite dans une 6tolle. 

EnTRrgtTinto, adv. cependant, en attendant; 
pendant cela, sur ces entrefaites. No — que, 
en „altendant que, jusqu’ä ce que. Por —, c&- 
pendant, lä-dessus ; par intörim, provisoiro- 
ınent. 


ENT 5417 


EuragTzceDön, 5. m. celul qui entzelace, 
qui fait un tissu. 

+ Eıraztzcenöaa, s. f. * entrelacement. In- 
sertion. 

EnTRETEchR, v. a. faire un tissu,, brocher 
une etoffe, etc. Lier, enlacer, entrelacer, entre- 
meler. (£g.) Meitre, inserer des mots, des 
clauses, des vers, etc., dans un sorit, dans un 
livre, etc. 

EnTagtecipo,, A, P. pP. d’Entrefecer. 

ENTRETECIMENTO , 8. m. V. Enireleosdura. 

ENTRETELA, s. f. "renfort de toile, de treil- 
lis, etc., qu’on met entre l’etoffe et la doublure; 
bougran ow bouqueran, grosse foile gomme&e® 
pour soutenir les &toffes. * Contre-fort ( d’un 
mur, etc.). 

ENTRETELADO, A, P. p. de 

ENTRETELÄR, ©. a. metire de la toile, du 
treillis , eto., entre une etoffe et sa doublure; 
garnir de bougran. Mettre des contze-[orts. 

EnTarTenen. V. Entreter. 

Eutagrenina, s. f. chicane; detours, tergi- 
versation , supercherie pour gagneor du temps, 
faux-fayent. 

* + ENTRETERIDO, A , pP. p. d’Entretener. adj. 
Entretenu. Plaisant, enjou®, divertissant. Mu- 
Iher —a, femme entretenue : femme que son 
galant (ait subsister. s. ss. Surnume6raire, sous- 
commis. 

ENTRETENIMENTO,, 5. m. amusement, diver- 
tissement, r6cr6ation. (an4.) Entrelion , manu- 
tention ; conversation. (1d.) ° Pension, gratiß- 
cation qu’on donne & quelqu’un , surtout pour 
son entretien. Badinage, plaisanterie. (an4.) 
Delai, retardement. 

ENTASBTER, v. a. entretenir, amuser, donner 
de l’espoir. Amuser, divertir, distraire, recreer, 
faire passer le temps. — ‚ maintenir, conserver. 
Suspendre, retarder, differer. — , faire subsis- 
ter. V. Master. 

ENTRETER-SE, v. r. s’amuser & quelque es» 
pece de jeu. S’amuser, plaisanter, folätrer; 
passer son temps. S’entretenir, s’Occuper ; s’ar- 
röter dans un endroit. 

ENTRETiDo, a, p. p. d’Enireter. adj. ers. V. 
BEniretenido. 

ENTRETIMENTO, s. m. V. Entretenimento. 

ENTRETINBO, s. m. V. Pasto, Comida. 

t ENTRETRÖPICO,, a, adj. qui est entre les 

tropiques. 

ENTR£VADISSIMO,, A, adj. sup. de 

Enta£vino,&a, adj. perclus. Couvert de t#- 
nöhres. p. p. de 

Entn&vin,v. a. obscurcir, metire dans los 
tenebres. (Ag. ) Aveugler. 

Entr£vÄin,,v.n. 08 — SE, 9. r. Oro porolus, 
devenir paralytigue, 

Entaävscke. V. Enirevdr, v0. %. 

EnTaBv£a, 0. @. entrevoir : voir imparfaite- 
ment, ou en passant. (fig.) Pressenlir, prevoir. 

Eutnavtz-en, ©. r. avoir une onirevue; so - 
voir de temps en temps. 

ENTREVIRDA, 8. f. arrivde imprevue, 

Entznvin , etc. V. Interoir, eic. 


518 ENT ENU 


Euvazvisva, s. f. ontrevue : visite, roncomtre | Emraovischna, s. f. pöche au mayen de I: 
conoertee. Belle &toffe qu’on metiait autrelgis | garoutie jeide dans les riviötes pour ser |: 
enire P’habit taillade at sa doublure, et que !’on | poisson. V. Troviscade. 
voyait ä travers les taillades. ’ Entnovno. V. Euirüde. 

EntRevisto, A, P. p. d’Entrever. Entaupino,A,p.p.de 

ExTreEzıLuino, A, adj. (d. de berg.) maigre, | Emntaopir, o. m. faire le camanval, faire le 
sec , döcharne. mardi gras; se livrer aux amusemenis da ce- 

Entaipa ow Entaita, s. f. V. Papas, Migas. | naval. 

ENTRINCHEIRÄDO, A, 9. p. d’Enirincheirar. Entaöno, s. m. carnaval : les trois jears gei 

ENTRINCHBIRAMEKTO, s. m. reiranchement, | precädent le meroredi des gerdres ; ues dittr- 
action de retrancher;, barricade. tissoments. Joger, fesiejer o —, [site lecarıs- 

Entaıncneınän, o. a. retfancher: faire des | val. Die de —, mardi gras. 
retranchements; barricader, forlifler. Exrurino, A, adj. enliö; gonfid; (Ag.)er. 

ENTRINCHRIRÄR-SB,, v. r. se reirancher: faire | ENTTLEÄDO, A, p. pP. de 
des tranch6es pour se melire A oouvert contre | EntouLnir, v. a. remplir de plätzas, de &- 
les attaques des ennemis; e€lever des retran- | combres, eic.; oombier un foss#, eic. Metin 
cbements; se remparer, se forlißler. dans le grenier (le bie, eto.), dans la fosse pour 

Entniscino. V. Ansriscado,, Travado. les olives (les olives). (Ag.) Batasser, uns- 

ENTRISTECER,, ©. @. altrister : rendre triste, | celer, enoombrer. 
affliger. Donner un air triste & quelque chese. EnTULBÄR-SE, ©. r. se remplir de diez- 

ENTRISTECER , 9. 8. et —SE, v. r. B’atlristar : | bres. 
devenir triste. Se Adtrir, söcher, se faner, en | EnTöLno, 8. m. plätras, döcombres. (Ay) 
parlant dos plantgs, des fleurs. Amas, moncsau, tas de choses inutiles. 

ENTRISTECIDO, A, P. p. d’Entristecer. Entuuscen. V. Intumecer. 

Enrnita ou Entaıma, s. f. V. Papas, Migas.| Entüna. V. Capada, Preis. 

Entroncino, A,p. p. de + Entumcino, a, adj. (6. de dei.) tanigplı 

EnTaoncik, ©. a. prouvar par acies qu'une | recouvert de taniques, de pellicules, de men“ 
persenne est de la mö&me famille qu'une autre, | branes. 
qu’elle descend de la m&me souche; inserer, | Esururino, A, p. p. d’Entupir. 
interpoler un nem, un fall. ©. ®. Rtre de la ENTUPIMENTO, 5. m. engorgement; rhume de 
möme famille qu’un autse, dessendre de la | cerveau. 
möme souche. Entupir, 0.6. obstruer, engorger, bouchtt, 

ERTRONCAN-SE (Om, em), v. T. Contracler | en parlant d’un canal; enoombrer (02 fosie, 
des allianoes aveo uno famille anoienne, illus- | eto.). Presser, serrer, comprimer. ] «ei aussi 
r6ciproque. 

Entunsan, etc. 

EnTORVAR, eic. V. Turvar, eis. 

Entusiasuo, etc. V. Enthusiasme. 

Entuviida, 8. f. V. Pressa, Brige, Pod 
cia. D’entuvidda, & la häte. 

EnvLa camrinı. V. Inuls campans. 1 
Enumeaacäöd, 8. f. &numeration : denombre- 
ment, figure de rbetorique; denembremen, 

compte numeral qu’on fait des choses. 

Enuuzaio0, A, 9.9. de 

+Enumenin, o. a. faire l’daumöralion, I 
dönombrement: 

Enuncıaciö, s. f. dnonoialien : express; 
exposilion. Action de rapporier, de döclael, 
recit. —, proposition aflirmative ou nögalıre. 

Enuncıi00, A, pP. p. d’Enunsier. ı. 9 
Enonc# : chose dnonode sans developpemem! 

Enuncıunon , 5. m. oeluı qu) declare, expe® 
explique, exprime. 

Enunciän , 9. 0. &nenoer : exprimar, didare'. 
manifester. 

Enunciin-8E, 9. r. 8’6moncer : Barprime: | 
parler. | 

+ Enuncsariva, s. f. proposilion dnonciaiitt- 

+ Enunciatıvaußnte , ade. d’ano ment 
6nenciative. 

Enunauarivo, a, adj. duoneladif : qui 6nonT*. 
qui fait mention de. 



















Entronceipo, A, P. pP. de 

+ Entraoncuin, vo. ». se former em grosse 
tige. Se dit du chou ä cötes. 

Entaonzan, etc. V. Entronizsdr, etc. 

EnTRronızacäd, s. [. " avenement, eievation au 
tröne. 

EntronızApo, A, p. p. de 

Entnonızirn 08 EnTlinonizar, vo. &. placer, 
mettre sur le tröne; ( ig.) elevor quelgqu’un, le 
placer dans un poste 6minent. Introniser : pla- 
cer un evdque sur son siege Episcopal , lorsyu’il 
prend possession de son &glise. 

+ Entnonquecipa, adj. f. (t. de böl.) cau- 
lescente (plante) : qui forme uno tige s’dleranı 
oomme un arbrisseau. 

TROPECAR, 

Kernornde, V. Tropeg... 

+ Entaösa „s. f. rouc dent6e, pignon, arbre 
cannele qui s’engrene avec une grande roue; 
engrenage. 

NTROsinO, A, pP. p. de 

+ EnTRosäR, v. a. engrener : se dit des denis 
de deux roues qui entrent l!’ane dans l’autre. 

Entnosca , (pop.) V. Eniresa. 

Enta’ouvivo, A, P.p. do 

Enrr’ouVin, 9. @. ontr'oulr : our falbloment, 

Exntaouxipo,A,n.p.de 

Enraouxin, ®. a. empaqueter : meltre en 
paquct. — 0 fafo, vlier bagage. 








ENV 


EuVARSCEn-SE. V. Esvaster-se ou Desvans- 
eer-. 

+ Envacınino, a, adj. (f.de bot.) vagins, en- 

(oaginatus Iruncus), mis en galne (ige). 


galnd 
+ Envacmäutz , adj. 2 gen. (1. de bol.) engal- 


»ant: (feuille) dont la base entoure la tige; 
vsginant, en gaine. 

Enväınan. V. Desvanscer (rendre vaniteux). 

EnvaLLiDpo,a,p.2.de 

+ ENVALLAR, 0. @. relrancher, entourer de 
palissades, remparer, fortifier. 11 est aussi re- 
eiproque. 

Exnvasip0, A, 9.9. d’Envarar. 

Envasapöaa,s. f."chantier de marine; char- 
pente da obantier ; ber, bereeau pour ınettre un 
Bavire ä flot. 

Envasamtrto, 8. m. * base d’un piller, d’ane 
eolonne. 

Envasir, 9. 8. entonner : verser dans un 
tonneau , valsseau, eto. Donner de la base (ä 
un coin d’edifice, etc.). Evaser; embourber. 
Mettre (un navire) sur !e ber ou berceat. 

EnVasär-SR, %. r. s’embourder, se melire 
ans la vase, dans le limen. 

EunvasıLaipd, A,p.p. de 

EnvasıLmÄr, 9. 6. enlonner : verser dans un 
tenneau, valsseau, etc. 

Envesa , etc. V. inoeja, eic. 

Enveımacis0, A,Pp.p. de 

Envsınackk, v. a. faire passer quelqu'un 
pour fourbe. 

ERVELNECER , vo. a. vieillir: rendre vieux; en- 
vieillir. o. ». —, devenir vieux; s’user, devenir 
ancien, vieux. (ig.) S’obliterer, s’eflacer 

ENVELBECIDO, A,P. P. d’Envelhecer. adj. En- 
vieitli : qui a vieilli (babitude, erreur, pechenr), 
endurci. (Ag.) Accoutume, habitue, experi- 
menu. 

EnvsLuentir, 6te. V. Avelhoniar, etc. 

EnvEncıLBÄDO, A, P.p. de 

Esvencımir, v. a. lier, attacher. V. Rn- 
vedar. 

EN VENCILHÄR-SE, Od. r. s’engager. V. Enre- 
der-se. 

Envancıoni2o. V. Invencionado. 

Euvenznip0, A, P. P. WEnvenenar. 

+ENVENENADOR, A, 8. empoisonneur: celui 
qui empoisonne ou qui a empoisonne. 

+ EnvEnEnauBbnTo, 8. m. empoisonnement, 
action d’empeisonner, ses elfets. 

EnvenznÄn, v. 6. empoisonner : donner du 
poison pour tuer ou alterer le tomperament. 
(Aig.) —, envenimer : donner un tour malin, 
dtfavorable, dangereux , odieux ä (des pa- 
roles ), ostıtre l’intention de celui qui les a pro- 
feröes. 

EuvENnTaninO, A, P. p. de 

Euvantrania, v. a. blouser : faire entrer (la 
bille) dans ia blouse, 

Esvantanän-sg, 0. r. se blouser : melire sa 
bille dans la blouse. 

Euvsapzcen, o.a. rendre vert, faire rever- 
dir.o.». Verdir, reverdir, devenir vert. (fig.) 
Reprendre ses forces, sa fralcheur, 


ENV 519 
Enverdecino, A, p. p. #’Enverdecer. 
"ENVEREAMENTO, 5. m. V. Vereapäo. 
"Envergir, ©. a. ou ®. exercer la charge 

Fecherin. V- Vereador et Vereapäo. 

NVERGÄDO, A, 9. p. d’Envergar. adj. V. 

Vergado, Encurcado, ’ ger. adı 
t Envercapöna, s. f. envergure : &tendue 

des ailes deploy&es d’un oiseau. 

EnvErcau£nto, 8. m. action d’enverguer; 
envergure, maniere d’enverger. it. V. Knver- 
gadura. * Courbure, &tat d’une chose courbee. 

Envercir, v.a. (l. de mar.) enverguer : at- 
tacher les voiles aux vergues. Couvrir avec des 
verges. if. V. Vergar, 

ENVERGONBÄDO, A , adj. honteux. p. p. de 

ENVERCONHÄR, v. @. rendre honteux ‚confus, 
faire rougir, humilier ; d&concerter. 

ENVERGONHÄR-SE, ©. r. rougir, &tre honteux, 
confus, d&concert# , avoir honte. 

EnvErGuEs, 3. m. pl. (f. de mar.) pelites oor- 
des qui attachent les voiles aux vergues : ra- 
bans d’envergure, rabans de l&tidre. 

ENVERMELHÄDO, A,9.p. de 

ENVERMELHÄR, 9. a. faire rougir avec du fey 
ou de la chaleur. Teindre en rouge. v. n. Rtre 
en feu on tout rouge. V. Avermelhar-se, En- 
rubecer. 

ENVERMELHECHR,, ©. #. rougir: devenir rouge 
de honte ; devenir rouge. 

EnvERNIZÄDO, A, 9. 9. de 

EnVvERNIZÄR,, ©. a. vernir, vernisser, (g.) 
Colorer. 

ENVERRUCÄDO, A, 9. p. de , 

EnverRrucäÄR, ©. a. rider; remplir de ver- 
rues ; chiffonner. 

ENVERRUCÄR-SE, v. r. 86 CouvFir de verruss ; 
se rider ; devenir v&reux, parlant des fruils. 

Enves. V. Envez. 

EnvescApo,A,p.p. de 

Envescia,v. a. — os olhos, loucher : avoir 
la vue de travers. 

EnvessäinauenteE, adv. A rebours,,Al’onvers; 
ä contre-sens. 

EnvEssipo, A, p. 9. de 

EnvsEssir, vo. a. plier (des draps) & l’onvers, 

Envsstiva. V. Investida. 

Envestipo, A,p.p. d’Enveslir.it.V.Investido. 

* + ENVESTIDÖIRO , 5. m. v&tement, 

Envsstinöra, s. f. " vötement; habillement, 
dt. V. Investidura. 

ENVESTIR, 9. a. couvrir, vötir. V. Revesiir. 
it. V. Investir. 

Enväz, s. m. envers. V. Avesso. 

* ENYEZAMENTO. V. Desvio, Transiorno. 

* Envezir.V.Desvier, Transiornar. it. Em 
viezar. 

* Envıapkıro. V. Enviado, 8. 

Enviino,A, P.p. d’Enviar. s.m. Envoye: 
ministre döput6 par un prince, elc., vers Un 
autre. Messager. 

ENVIANENTO , s. m. envoı : action d’onroyer. 

EnviÄn (se), 0. a. envoyor ; dep&cher & ow 
vers; donner l’ordre d’aller; de&puter ; faire 
porter; faire l’envoi, un enroi de... &; faire 


N) ENY 

reneltre, faıre passer. — alguem pars o ouiro 
mundo, (loc. fam.) dep6öcher quelqu’un, le 
tuer. 

Enviär-s£ (a), %. r. assaillir, aliaquer, so 
jeter sur. 

Enviaröra, s. f. mission d’un envoy6 diplo- 
matique,, lögalion. 

Envioivo, A,P. 9. d’Envidar. 

T Envınanor, s. m. celui qui ouvre le jeu, 
qui fait un renvi. 

Exvipär,v.@. faire un renvi; ouvrir le jeu 
d’une certaine somme, engager & le tenir, 
ponter, coucher. — de falso , ouvrir le jeu avoc 
peu de points, pour tromper. (fg.) Offrir sans 
envie de donner. — o resto, jouer le resie de 
son argent, faire son reste. (Ag.) Jouer de son 
veste , faire ses derniers eflorts. 

TEnvmıLna, s. f. aclion d’Envidilkar. V. ce 
mot. 

EnvipıLniD0,A,p.p.de 

+ Enviormia, v.a. (f. d’agric.) courber les 
branches de vigne en formant des cercles. 

Envinaacino, A, p. p. d’Envidragar, ei 
adj. Olkos —s, des yeux vilres (d’un mori- 
bond). 

EnvinragÄa, ©. a. vitrer, garnir de vilres. 
Envidragarem-se (v. r.) os olkos. On le dit des 
yeux d’un moribond qui se cristallisent. 

Envigzäname£nte, adv. de biais, de travers. 
(ig.) Tortueusement. 

Envızzipo.. a,adj. de bieis. p. p. de 

Enviszin, v.6. faire biaiser, mettre de biais. 
(Ag.) Donner une mauvaise direction ( ä une 
affaire). Il est quelquefois neutre. 

Enviuzcka, 0.6. avilir : rendre vil. V. Avil- 


EnviLechr, 0.0.00 — se, v.r. s’avilir; tom- 
der A vil prix. 

EnviLgcino, A, p. pP. d’Envilecer. 

ERVILECINENTO,, 8. m. avilissement. 

Envinacaäno, A, p.p. d’Envinagrar, ol adj. 
Olkos —s, (1. burl.) yeux Namboyanıs. 

Envınacain, v. a. vinaigrer : mettre du vi- 
naigre; algrir. 

Envinacräa-SsE, o.r. (Ag.) ötre piquant dans 
868 propos; se piquer, prendre la mouche, 

EnvioLaa. V. Violar. 

Envireripo, a, adj. furieux ‚ enrage. p.p.de 

Envirgnän-sE, ©. r. (1. de pods.) devenir fu- 
Fieux comme une vipere. 

Enviscino, A, p. p.de 

Enviscir,, v.a. engluer : enduire de glu ; 
prendre au moyen de la glu. 

Enviscän-Se, o.r. s’engluer : se prendre & la 
elu, aux gluaux. ( ig.) Se laisser prendre. 

Envistino. V. Vestido, Revestido. 

Envite, s.m. (1. de jew) action d’ouvrir le 
jeu. Renvi : ce que l’on met par-dessus la vade, 
& certains jeux de cartes. D’ —, par def. 

Enviovino, A, P.p. de 

Enviovir, o.a. rendre veuf, ou veuve. (Rg.) 
Priver (une ville des citoyens, une acad&mie de 
ses membres, etc.). 0. ». Devenir veuf, vouve. 

EuVivzinano, A, 2. p. d’Enviveirer 


ENX 


Eavıveman, v. s. meitre da ({retin dans un 
vivier, garnir ou peupler un vivier. 

EnvöLra, s.f. confusion, bruit; conoeurs, 
affluence demonde; häte, empressement. D’—, 
adv. pele-mele, en confusion. Fazer ums couss 
na — d’oulra, faire une chose en meme temps 
qu’une autre, ou deux choses & la fois. —s, pl. 
cabales, trames, intrigues. 

EnvöLTO, A, p.p.irr.d’Envolver. adj. Enve- 
loppö; embarrasse , obscur ; mele. ( ig.) Dissi- 
mule; entour6; baigne (de larmes); trouble, 

parlant de !’eau. Pescar em aguas —as, pöcher 
en eau trouble : proliter du desordre pour 
faire sa main. 

EnvoLTönıo, 8. m. * enveloppe, oouverlure; 
paquet de linge, de hardes, etc. 

EnvoLröna, s. f. ° enveloppement. 

ENnvOLYEDOR, 3. m. enveloppe : tout C® qui 
enveloppe. if. Intrigent, brouillon. 

ENVOLVEDÖURO, 3. m. imaillot, langes, Cou- 
ches d’enfant. 

EnvoLv&n (em), ©. a. envelopper : melisse 
quelque chose sous enveloppe, dans une enve- 

loppe, cacher; deguiser; embarrasser; com- 
prendre dans. (fig.) Eniouresr, environner. 
Troubler ; obscureir ; entrainer. —em 
em Irdvas alguma cousa , envelopper de len#- 
bres , d’obscurit# quelque chose. — al. em 
razöes,em lezitos, etc. (flg.) confondre , embar- 
rasser quelqu’un. 

ENVoLvER-SsE (em), o. r. s’envelopper. (Ag.) 
Se couvrir, se prevaloir de. (id.) S’engager, 
s’embarrasser dans une affaire; se meler, en 
venir aux mains dans une bataille, dans une 
dispute. Se brouilier, se oouvrir, parlant da 
temps. Prendre part &, se meler de, se com- 
prowettre. 

EnvoLvino, A, p. p. d’Envolver. adj. Enve- 
loppe; compromis ; engage, embarrasse. 

t ENvoLVINEnTo, 8. m. enveloppement : ac- 
tion d’envelopper. 

ENXABIDAMENTE, ade. ir 

EnxABı00, A, adj. } V. Insipid... 

Enxasım£nto, s.m. V. Insipidez. 

Enxäca, s. f. * panier de b6te de somme. 

Enxacöco, s. m. et adj. baragouin : langage 
corrompu ; baragouineur, qui baragouine. 

Enxipa, &. f. boue, beche:: instraumeni de 
fer pour remuer la lerre. 

Enxapipa, 8. f.coup de houe, de beche. 4 
primeirs —, (fig.) au premier essai ‚auprfe- 
mier ellort, au premier coup. 

Enxapäö, s. m. aug. d’Enzade, hoyau : sorie 
de houe & deux fourchons. 

Enxapata,s. f. Y. Masirugo ou Cordemins. 

Enxapaßz. V. Xadrez. 

Enzanaezino ‚a,adj.(6.de bias.) schiquete. 
p. p. de 

Enxapazzir, v.a. (1. de bias.) diviser P’4ay 
en carr&s; ranger en &chiquier. 

Enzxapria. V. Enzadria. 

ENXADRIiSTA, 8. m. joueur d’öchees. 


Euzäc0in0,4,2.p, d’Enxagoar, 


ENX 


Enzicoapörs, s. f. action derincer; ringure, 
l'eauarec laquelle on a rinc£. 

EnxicoÄr, v. a. rincer; aiguayer. 

EnziaLcan, etc. V. Exalkar, eic. 

EsxuLMÄDO, A,p.p.de 

EntALMAR, vo. a. &galiser la charge d’une bete 
de somme ; couvrireet serrer la charge, eic. 

EnziLM£ırno, s. m.celui qui fait des enzal- 
no. 
BEsxiLmo, s. m. ° surcharge , surcroit de 
charge pour rendre &gale la somme d’une bete; 
ourerture que l’on met sur la charge d’une 
bie de somme. 

"+Ensawira,s. f. Por —, loc. adv. par 
pure formalite , nonchalamment. 

ExxawBrino, A, P9.p.de 

EnsANBRAR, ©. a.secher A demi. 

Enıiuz, s. m. essaim d’abeilles; toutes les 
abeilles d’une ruche. (fg.) Multitude. — novo 
debelhas, jet d’abeilles. 

EnxaMEADO, A, 9. p. de 

Enxauzin, ©. a. recueillir un essaim dans 
une ruche, peupler les ruches d’essaiıms. (Ag.) 
Inoader ( un pays) de troupes, etc.: peupler. 
V. Inter. vo. ». Essaimer:: faire, oroduire un 
«sim. (fg.) Sortir en essaim, en multitude. 

Exxamıär-SE, v. r. se rassembler en essaim, 
en multitude ; ötre inonde. V. Ingarse. 

Enxaqutca, s. f. migraine : nevralgic, dou- 
leur dans la moitie de la tete. 

Enzaquetino. V. Enxequetado. 

Enxina. V. Charndca. 

Enxunavıa,s. f. ancienne coiffure de femme; 
sorte de voile. 

Enzincıa, 5. f. tous les agres ou oordages 
dun navire. 

Eszunaipo,A,p.p.de 

Enzancıir, ©. a. agreer, greer (un vaisseau). 

EnzancıäR-SE, ©. r. se pourvoir d’agres, de 
cordages. 

Enzunto. V. Xareo. 

Enzunonpo. V. Insulso, Semsabor. 

EnzaropiDo,A,p.Pp.de 

Enxanorin, v. a. faire prendre un sirop & 
m malade; faire boire. 

EuxanopÄR-SE, dv. r. prendre un sirop.[com) 
{Ag.) Boire beaucoup. V. Enfrascar-se. 

Enzanops. V. Xarope. 

RBnxanaöco, s. m. (8. hist. nal.) "haudroie: 
esptce de lopbie ;raie owgrenouille pecheresse, 
diabiede-mer, crapaud-pecheur. — bicudo do 
Brazil, V. Quacacuja. 

"+ Enziveca, 5. f. xabega, grand filetde 
ptcheur,, tramail, etc. Assemblage de üllets 
joints ensemble. 

* Enzivecos ‚sa. m. pl. V. Enzavega. 

Enxivo, s.m. poisson de la riviere deSofa.a. 

Exxavid. V. Saidö. 

*Enztone. V. Insulso, Insipido. 

*Euxscia. V. Avezar, Punir. 

*Enztco. V. Damno, Incommodo ; Pens, 
Muleta, Coima. 

* EnxECuGoM. 


Ba | Velo 


ENX 


* Enzenakz. V. Xadrez. 

* Enxernansa. V. Silharla. 

* EnzEuPLaR. V. Exemplar. 

* Enzzgugtan. V. Enzadrezar. 

* Enztacı. V. Enxerga. it. Xarque. 
*"Enxkacir,eic. V. Xarquear, etc. 
Enx£aca, 5. f. paillasse qu’on met sur le bät; 


521 


petiie paillasse, paillasse de soldat. if. Coup 
’eil. 


+ ENXERGIDAMENTE, adv. clairement, di- 


demment, Avue d’eil. 


ENxERCIDO, A, p. p. d’Enzxergar. 
Enxensiö, s. m. * paillasse : sac de tolle 


rempli de pallle. 


Enxeacir, dv. a. discerner, distinguer ; divi- 


ser. Apercevoir, entrevoir, voir indistincte- 
ment. Ndo — ao meio dia, ne voir goutls en 
plein midi. 


EnxERiDo, A,p2.r.de 
Enxerir (em),t. a. inserer ; faire ontrer, 


ajouter. Introduire; planter. 


* Enxenqua. V. Xarque. 
f EnxERQu8ıRO, A, 5. qui rend le tassao, la 


tassaie. 


Enxentantira,s. f. "greffoir: instrument de 


jardinier pour grefler. 


ENxERTADO, A, 9.9. d’Enzertar. 
ENXERTADÖR, 5. m. celui qui ente; greffeur. 
EnxERnTADURA, s. f. action d’enter, de gref- 


fer, grefle. 


Enxentär, v. a. enter, greffer : faire une 


ente,, une greffe. (fig.) Introduire, inserer. — de 
bor 


bulha, ecussonner. 
ENXERTAR-SE ıemi, v. r. (fig.) s’introduire, 


s’ingerer (dans une classe & laquelle on n’ap- 
partenail pas auparavant). 


+ Enzertirıo, s. m. (4.de mar.) assemhlage 


de cAbles pour soutenir lavergue contre le mät; 
racage. Pör 0 — na verga, meltre le racage. 


ExxErTia, 8. f. action d’enter, de grefler; 


enture, grefle, verger d’arbres entes. 


Enx£rto, s. m. "ente, greffe: petile branche, 


ail d’arbre , ente ‚applique sur un aufre; plante 
enlie, greffee. — de borbulha, dousson. —s do 
crime , (fig.) ls adulterins. — da nova Igraja, 
(id.) neophytes. 


Enxıino, A, 9.7. de 
+ Enxıir, v.a. (i.de mar.) attacher un cAble 


a l’anneau de Vanere. 


*EnxiDo, s. m. pelit enclos en vigne ou en 


verger, petite ferme. 


Enzısın. V. Enzerir, Inserir. 
Enxö, s. f. (1. de charp.) doloire, erminetie : 


outil de charpentier. — de lanueiro, alsselie. 


+ Enxoipa, 5. f. (f. de veldr.) tumeur au- 


dessus du sabot du cheval. 


Enxopatıno. V. Enzurdeiro. 

Enxorräno, A, p.p. de 

Enxorkin, v. a. soufrer, ensoufrer. 
EnxörnE, 5. m. soufre : corps simple, sorte 


de mineral inlammable, jaune, electrique, 

ı produit par la nature ow lire des pyrites sul- 
fureuses. Möchas de— ‚ allumelies. Mina de, 
soulriere, 


522 ENX 


ExxOrRtxTO, A, adj. sulfureux on soulr6. 

Exxouarar. V. Enzambrar. 

:xxonär.V. Arorar et Encalkar. 

Enxözinua, s. f. dim. d’Enzo. 

Enxötacigs, 3. m. chasse-chien : celul qui 
chusso les cbiens de l’öglise; bedeau ; chasse- 
coyuin. 

Exnxöra-DıäBOSs, 8. m. exorciste lalc. 

EnxUTADO, A, pP. p. d’Enxotar. 

ENnXOTADOR, A, 5. qui chasse, qui met dubors. 

ENXOTADÜRA , 8. f. action de chasser, de mei- 
ıro dehors. 

Enxoräa, v. @. chasser, meltre dehurs par 
force; faire fuir, mettre en fuile. 

Enxöva,,s. f. anchois : petit poisson de mer 
sans 6cailles, du genre Ju clupe. is. (an8.) V. 
Enzövia, . 

EnxoväL, 6. m. trousseau : nippes et hardes 
qu’on donne & une fille en l’etablissant, & un 
jeunehomme en le mettant au college." Layette 
(de nouveau-ne). 

EnxOVALBÄDO, A,P. 9. de 

EnxovaLnär, %. 6. souiller, salir, tacher; 
froisser; ternir le lustre, l’eclat; chiffonner. 
(Ag.) Insulter, bafouer ; injurier; decrier, ter- 
nir la r&putatıon, denigrer. 

ENnxXOVALBÄRM-SB, dv. r. 50 salir, s’avilir, 8’a- 
baisser ; (Ag.) s’encanailler ; se d6orediter, faire 
ort ä sa r&pulation. 

EnxOvÄLBO, 8. m. manque de proprete. (Ag.) 
Affrout; mepris, injure. 

* Enxovia. V. Encerrar, Prender. 

°Enzxovkoo. V. Tolo. 

Enxövia, s. f. "cachot, cul de basse-fosse. 
dt. Village de Maures. 

+ Enxovio, a, adj. Mouros —s, Maures de 
la province de Xawia pres de Salö; is. Maures 
qui avalent 616 on Espagne et en consorvaiens 
enoore certaines habiludes, etc. 

EuxuciD0, A,p. p. d’Enzugar. 

} Enxucap6uno, #. m. essui s place, local 
pour dtendre ei faire secher. 

Enzucin, ©. @. secher, Fendre see, sans 
bumidits. Essuyer : öter l’eau, la sueur, les 
\armes, etc., en froltant.— ums gorrafa , vider 
ano bouteille. — as lagrimas, (fig.) essuyor los 
larmes , consoler.—as vaocas , eic., (ant.) traire 
iss vaches, etc. V. Ordenhar. 

Enxucin, e.n. et —se, u. r. söcher, devenir 
800 , perdre l’humidite. 

+ Exzöco, s. m. l’action et l’elfet de scher, 
d’essuyer. 

Enztıza, 6. f. graisse des olseaux apres la 
mus. 

Enxönpia, s. f. graisso de poule; azonge. 

Enxunpi0o0,&A,9.p. de 

Enxunpin-sg, v. r. se vautrer dans la boue. 

Enxunptıno ‚s. m. bourbier, mare od se vau- 
trent les cochons. 

Euxunnäpa, s. f. lavasse; ravine, torrent, 
souberme, ruisseau forms par la pluie. (Ag.) 
Grande abondance. — de genie, foule, presse, 

Enxuanino,A,p.p. do 

t Enxunnän, v. a. et n.coulcr en ravine, 


EPA 
dtborder; entrainer dans le torrent. (Ag.)iaen- 
er 


Enxönno,s. m. V. Enzurrdda , Chorro. 

Enxöto, A, p.p. irr. d’Enzugar. adj. See; 
essuyd. Qui ne pleure pas, insensible. Anno—, 
anneo peu pluvieuse, söche. Com ou @ olkos 
—s, d'un ail seo. Care —s, viande qui n'est 
pas grasse ni tout & [sit maigre. Corpo-—— , per- 
sonne maigre; qui n’a point de blessures ni 
de maladies cutandes. Homem —, (fig.) homme 
taciturne, avare de paroles; brusque. —ds 
carnes, maigre, dossech6. Bolss —a, poche vide. 
Ficdr mdilo —, (fig.) il se dit d’une nn® 
qui ayant fait une action blämable, ne raugit 
pas, n’en a pointdehonte , et paie d’effronterie. 
Aped—,üpied sec, (fig.) sans peine ni travail. 

EnzaLcautnto. V. Exallardo, Exalgamenk. 

EnzanpanıninO, A,Pp.p. de 

TENzAmPARINÄR-sE, ©. r. (tl. burl.) devenir 
fou de Zamperini ; s’enthousiasmer de ow pour 
Zamperini. Cetait uno cantatrice Ätalienne, 
qui est devenue cölebre & Lisbonne vers l’ar- 
nee 1774. 

® Enzkua, 

” Enzena, 

* Enzenıa, 

Enziuna. 

EnzinHaL. V, Asink... 

Enzinneina. 

* Enzör, ete. V. Anzol, etc. 

EöLıco ow EoLıo, A, adj. &olien, soligue: 
dialecie grec,, ei l’un des cing modes de la me- 
sique grecque. D’Eole, dieu des vents. 

+ Eouivia, s. f. (1. d’hist. nat.) solide : mel- 
Iusyue gasteropode. 

EoLirvıa, s. [. (1. de phys.) dolipyle : instru- 
ment de physique forme d’une boule creuse, & 
&troite ouverture, remplie d’eau et suspendse 
sur un petit chariot au-dessus d’une lampe & 
esprit-de-vin. La lampe etant allume&e, le li- 
4juide lance par l’orifice un courans de vapeur, 
et le chariot recule en vertu de la resistance de 
Pair. Machine pour chasser la fumee par un 
courant d’air. 

Eo1o,s. m. (t. de pods. ei de myik.) Eole: 
dieu des ven. - 

+ EoLos ow EöLıos, s. m. pl. Eoliens: peo- 
ples d’Eolie ou des Iles Eoliennes. 

+ Eöwos ow Eonitas, s. m. pl. 6oniles ow 
&oniens: sectaires qui preiendaient que leur 
chef Eon (gentilhomme breton) devait juger les 
vivants et les morts. 

E00, a,adj. (8. de pods:) oriental, d’Orient, 
du Levant. 

+ Eöo, s. m. (f. de poes.) * aurore : point ow 
pointe du jour. (i. de myth.) Eos, g&aut lils de 
Typbon ; !’Orient. (id.) Eos, cheval du soleil. 

PÄCTA, 8. m. €pacle: supplement de jours 
ajoutes & l’annee lunaire pour l’egaler & l’annde 
solaire et connaltre l’äge de la lune. 

Eracömenos, s. m. pl.ou—as, f. gpagome- 
nes: oinq Jours aJoutes & l’annde de Nabonas- 
sar, en Egypte, pour le poriter & 365 jours. 

Eranastpuösis, s. f. Öpansdiplose ; Bgure de 


s. f. inimitis, haine mortelle. 


EPH 


rheterique , räpstilion anti-parallöio du name 
moten iöte et ä la fin du vers. 

Branärona. V. Epanaphore. 

EranuaLgrsis,s. f. &panalepse :: figure de rhö- 
terique, repetilion de mots; repetitlion apres 
une longue parenthöse. V. Bpanadiplosis. 

Eranirnora, s. f. &panaphore : figure de 
rhötorique. V. Andphora. Relation, narralion, 
recil de voyage, de ce que }’on a vu, entenda 
d’un fait, eto. 

} Eranästanopee, s. f. öpanastrophe : r&peti- 
tion de mois, de phrases d#dj& exprimdes pour 
mieux faire oonnaltre la Sentenee; re&petition 
du mesas mot & la fin d’un vers et au commen- 
sement d’un aulre. 

+ Erasönruosıs, s. f. &panorihose : figure de 
rbeterique , rötractation feinte pour augmenter 
Pespression , la force, etc. 

Brirıca. V. Hepdiiea. 

Erıröuno. V. Bupatorio. 

Erkutmesıs, s. f. \t.de gram.) &penthöse: in- 
sertion d’une lettre dans un mot. 

+ErerLino, s.m. (1. d’hist. nat.) eperlan: 
pelit poisson de mer, Ju genre du salmone, 
blanc comme la perle. 

Eruz20, s. m. ephöbe : jeune homme pubäre 
de quatorze ans. 

ErusLioss, s. m. pl. (t.de med.) &phelides: 
taches larges, rudes et noirälres sur la peau, 
par le häle, P’inflammation. 

+ Eruguzaas, s. f. pl. (t. d’hist. nal.) &phe- 
meres : insectes ailes ne vivant que peu de 
temps. 

Ernsußrıkd. V. Ephemero. 

Erncugßriva, s, f. V. Diario, Ephemerides. 

Erueusnınes,s. f. pl. &phemerides : journal, 
memoire journslier; ouvrage Conlenant jour 
par jour une serie de lails. — astronomicas, 
tabies astronomirjues qui delerminent chaque 
jour le lieu des plane&tes. — naulicas , &pheıne- 
tides maritimes, & l’usage des navigateurs. 

+ Ernzuszrina, s. f. (l. de bot.) ephemerine: 
plante comenelinee, ephemere de Virginie. 

Erußuero, A, adj. &phemere- qui ne dure 


qu’un jour; (Ag.) de peu de duree. Animaes 


—s. V. Ephdmeras. s. m. Iris sauvage, plante. 
— odichico , colchique : tue-chien,, plante. 

Erutsıos, s. m. pl. Ephesiens : habilants 
@Ephöse. Responder, falar aos —, (loc. fam.) 
repondre, parler inconsiderement, hors de 
propos. 

+ Eruzso, s. m. (1. de geogr.) Ephöse : ville 
de l’Asie-Mineure. 

Erntsrria, s. f. ephestrie : habit militaire 
des Grecs. . 

Eru£tos, s. m. (1. d’ant.) sphöätes : juges eri- 
mincls ä Athenes. 

+ Erui, s. m. &phi : mesure hebraique pour 
les grains. 

ErsıkLTa,s.f.* öpbialtes: oauchemar, asthme 
nocturne,. 

Erniugao, eto. V. Ephemero, eic, 

Eruön, 4. m. 6phod ; ceinture des prötres 
hebreux. 


Ep 523 


Kruonos, s. ı. pl.(t.d’ant.) &pbores: juges, 
& Sparte, qui contenaient l’aulorite royale. 

Eriala,s. f. (4.de med.) fidvra epiale, con- 
tinue, avec chaleur et [risson. 

Epian ou Pıan, 8. m. epian ou pian : espäce 
de mal venerien en Amerique, peu darige- 
reux. 

+ ErıcAM&nTE, adv. d’une manidre &pique, 
en forme d’epopee. 

Erıcäario, s. m. (f. de med.) &picarpe: cal 
plasme autour du poignet, sur le pouls. 

Ericea, s. f. V. Pinheiro alcar. 

Erice£vio, s. m. (f. d’ant. grecg.) epickde, 
epicedie, &picedion : oraison funebre qui se 
pronongait sur le cadavre m&me, 

Erıckno, A, adj. (8. de gram.) &picene : nom 
commun aux deux sexes. 

t Ericerärico ‚adj. et s. m. (1. de med.) &pi- 
ceratigue : qui adoucit l’acrimonie des hu- 
meurs. 

Ericatıa, s. f. modification, liniitation, 
&quits dans l’interpretation d’une loi ; &piquie, 
interpretation de la volonte du superieur. 

ErPicHERgMA, 5. m. (4. de log.) &epicheräme : 
syllogisme oü chaque premisse a sa preuve. 

Erıcsästico, A, adj. (. de med.) epicmasti- 
que : (fdvre ) qui augmente progressive- 
ment, 

Erıco, A,adj. &pique : (po&te, qui raconte 
un fait historique , heroique ; (po&me) qui ra- 
conte une action vastc et importante, embellie 
d’episodes, de fictions, de merveilles; de 1’&- 
popee. 

+ Erıcömsos, s.m. pl. (1. d’ant.) &picombes: 
pieces d’or et d’argent cach&es dans des bou- 
queis que des senateurs grecs jelaient au peu- 
ple, & Constantinople; ces bouquels. 

EPICRÄNEO , 8. m. epicrane:: ce qui environne 
le cräne. 

+ Erıcrisıs, s. f. (t. de med.) epicrase : am&- 
lioration des humeurs. 

+ Ericnisıs, s. f. (l. de med.) Epicrise : juge- 
ment porte par la science medicale. _ 

Ericür£o, A, adj. Epicurien : appartenant 
aux seclaleurs, ä la doctrine d’Epicure. s.m.—, 
seclateur d’Epicure; homme voluptueux, adon- 
ne aux plaisirs des sens, surtout.de la table el 
de l’amour. 

Ericuriswo, s. m. &picurisme : syst&äme, mo- 
rale, ma&urs, doctrine d’Epicure ow attribuds 4 
picure; vie voluptueuse. . 

Ericurista, 8. m. Epicurien : seclateur d’E- 
picure. 

Erıcy’cLo, s.m. (1. d’astr.) &picycle : petit 
cercle dans lequel on suppose que le soleil && 
les plandtes se meuvent. 

ErıicrcLöine, 8. f. (t. de gdom.) Epieyclolde ; 
ligne courbe formee par la revolution d’un 
point d’un cercle qui tourne sur lui-meme, 
tandis que son centre parcourt un autre cercle, 

+ Eriväurio, A, adj. d’Epidaure. Festas — as, 
6pidaurees_ : fetes atheniennes en l’honneur 
du dieu d’Epidaure, d’Esculape. 

Erıveuia,, 5. f. epidemie : maladie conla- 


ao 


524 EPI 


gieuse, generale, populaire, venant d’unecause 
commune et accidentelle. 

+Rrimäuss, 8. f. pl. ( 1. d’ant. greeg.) öpi- 
demies : [tes pour le retour d’un ami. 

Erinp£uico, A, adj. epidemique : qui tient 
de l’e&pidsmie. 

Erıpauıo, s. m. (1.debof.) &pidemium : plante 
rafraichissante des montagnes d’Italie. 

EriDEnua, (1. d’hist. nat. et bob.) 

ErPInEnuE 0u | €piderme : premiere peau 

Erıpeanıs, s. f. ) etla plus mince de l’ani- 
mal ; surpeau, cuticule ; peau mince (des plan- 
tes, des coquilles, otc.). 

Erivicrico, a, adj. Genero —, (I. de rhöt.). 
V. Demonstrativo. 

Erıpivoymo, s. m. (. d’anal.) epididyme: 
&minence vermiforme autour des testicules; 
pelit corps rond couch& sur chacun d’eux. 

Erıranta. ; 

Erıronßua. } V. Epiph... 

+ Erıcauia, 8. f. (1. d’ant. grecg.) &pigamie: 
facult& de contracter des mariages entre deux 
villes grecques. 

Erıcistaico, A, adj. (1.d’anat.) epigastrique, 
(region) de l’Epigastre. 

ErICÄSTRO ou —TRIO, 8. m. (f. d’anal.) Epi- 
gastre : partie sup#rieure du bas-ventre. 

+ Ericenzsia ow | epigenesie: systöme sur 

Erıczuäsıs. s. f. 1 la formation des corps 
par juzta-position ou agregation des mole- 
eules ; systömed’embryologie oppose ä celui de 
la preexistence des organes. (i.de med.) —, 
syınptöme aprös un autre. 

+ Ericanssista, s. m. parlisan du systöme 
de l’epigenesie. 

+ Ericınömenos, 5. m. pl. (ti. de med.) &pigi- 
nomenes : sympiömes accidentels. 

EricLOTTE, s. f. (1. d’anat.) epiglotte :luette, 
Janguette, petit cartilage elastique, en feuille 
de lierre, qui couvre et ferme la glotte. 

EricLöTTico , A, adj. epiglottique : qui a rap- 
port & l’&piglotte. 

Ericaarz. V. Kpigraphe. 

Erıcräuma, 5. m. * epigramme : petite piece 
de vers terminde par une pointe,, une pensee 
saillante ; trait piquant, mordant, critique ; 
don mot rime. 

EricramNäATico, A, adj. 6pigrammatique : 
qui tient de l’öpigramme (style, trait, pensse, 
fournure). Podia —, dpigrammatiste. 

EPIGRAMNMATISTA, 5. m. epigrammatiste : qui 
fait des &pigrammes. 

Erıcaaunista. V, Epigrammalista. 

ErickaPBE, 8. f. pigraphe : inscription d’un 
&difice, qui en indique l’usage,, avec le temps 
de sa construction ; sentence,, devise & la t£te 
d’un livre. 

ErıLatöaıo. V. Depilatorio. 

Erıcr'nia. V. Gynandria. 

ErıLzesia , 3. f. (1. de möd.) epilepsie : mal 
eaduc , haut mal; attaque de nerfs. 

ErıLßerico, a, adj. epileptique : de l’epi- 
lepsie. s. m. ou Doenie —, epilepligue; qui a 
Pepilepsie; qui tombe da haut mal. 


ErıLocino, A, 9. p. d’Epiloger. 

ErıLOoADOR , s. m. auteur d’*pilogues, 

EriLocir ‚,v. a. r&sumer, r6capituler, ceR- 
celure. 

EriL0co, s. m. #pilogue : fin, conclasion 
d’un discours, d’an ouvrage, d’un po&me. (Ag.) 
Sommaire, abreg6 , precis. 

+ Erimaco, s. m. (4. d’hist. nat.) Kpimague; 
bei oiseau des Indes. 

f Erımania, s. f. &pimanie : folie fariouse. 

r Erıntmus, s. f. pl. (6. damt. grocg.) tpi- 
menies : sacrifices que les Ath6niens f[aissien 
aux dieux & chaque nouvelle lune. 

+Erinona, s. f. figure de rhetorique gi 
consiste dans la r&petition &nergique d’un mei 
o% d’une phrase. 

+ Erinicıas, s. f. pl. (8. d’enf.) &pinide: 
fötes en actions de gräces d’une victoire. 

Erinicıo, #. m. &pinicion : hymne de trom- 
phe, aux €pinicies, ä Atbenes. 

zripacre ow Erıractzs, s. f. V. Hellsberi- 
nha. 

Erirgraon. V. Empelro. 

Erıpnania, s. f. &piphanie : fete des catboli- 
ques, en romme&moration de la manifestatien 
de J.-C. aux gentils, ow les rois, jour de leur 
adoration. 

Erırgontma,s. m. (8. de rhet.) &pipbondme: 
exclamation sentencieuse apres un reeit. 

Eripnora, a. f. (1. de med.) &piphore : Baı 
continuel de larmes avec rougeur et picole- 
ment. 

+ Erirmysıs, s. f. (t. d’anat.) $piphyse : 
&minence cartilagineuse adherente & Fo. 

ErıpLöico, 4, adj. epiploique : de T'epiploon. 

ErırLoon, 8. m. ( 8. d’anat.) epiploon : mem- 
brane graisseuse, fine, transparente, flottante, 
qui couvre les intestins par devant. 

Erıqußta. V. Epicheia. 

+Erımo, s. m. (1. de geog.) Epire : province 
de la Turquie europesenne. , 

Erınörta, s. 2 gen. d’Epire, habitant d’Epire. 

Erırötıco, A, adj. d’Epire, qui appartient d 
/’Epire. 

Erıscorino, s. m. #pisoopat: dignile de le- 
veque ; sa duree ; le corps des &v&ques. 

EriscoriL, adj. 2 gen. &piscopal : qui appar- 
tient & l’dveque. 

+ Erıscorizs, s. m. pl. &piscopauzx : paru- 
sans de l’&piscopat, opposes aux presbyleriens 
en Angleterre. 

+ EriscoroLöcı0o, 8. m. catalogue, suite des 
6v&ques d’une &glise. 

Erısovıino, A,p. P. d’Episodiear. 

+ Erısonıanon, s. m. celui qui &pisodie. 

Erisopian, v. @. &pisodier : dtendre par dc? 
&pisodes; orner d’6pisodes; inserer en epr 
sodes. 

Erısönico, A, adj. episodique : de l’episode ; 
accessoire. 

Erısünıo, s. m. pisode : partie d’an potme: 
action, bistoire incidente & l’action prineipale 
dans un podme, une piece de thedire, un 1O- 
man, eilt, 


EPI 

Erispistico, A, adj. (1. de mdd.) 
tique : medicament, topique qui atlire les hu- 
meurs. ' 

tErrspuznia, s. f. (t. d’anat.) &pispherie ; 
sinuosites de la substance exterieure du cer- 
veau. 

t Erisrasıs, s. f. (1. de med.) epistase ow 
&pilase : subslance qui surnage sur l’urine. 

tErwräxıs, s. f. (1. de med.) epistaxis ow 
epistaxds : hesnorrhagie nasale. 

t Erwremonäkch, 5. m. € istemonarque : 
prepose A la doctrine, dans l’Eglise grecque. 

ErivroLa , 8. f. epltre : lettre missive des an- 
eiens;missive; discours en vers adresse ä quel- 
qu'en;pertie des &pltres de saint Paul; legon 
qu’on lit ou qu’on chante A la messe avant 
HErangile. Clerigo de — , sous -diacre. Ordem 
d-, ordre du sous-diaconat. Ordenar-se de 
—,ttre ordonne sous-diacre, recevoir le sous 
disconat. — dedicatoria , dedicace d’un livre. 

Bristo.än ‚adj. 2 gen. Epistolaire : de l’öpt- 
tre, des leitres (style, genre). 

Eristo.änıo, 8. m. recueil d’epitres, de let- 
es. Livre conienant les öpiires qu’on chante 
vu qu’on Nil a l’eglise. 

Erıston.tıno, 5. m. lirre contenant les 6pt- 
tes qu’om chante ou qu’on lit ä l’eglise. Episto- 
ker : elero qui chante les &pilres. 

t ErisroLöcaarao, #. m. (p. us.) &pistolo- 
graphe : auteur d’&pitres, 

tErisrnorme, s. f. &pistrophe : figure de 
dieion, repetition, complexion. (1. d’anat.) 
—, deuxidıne vertöbre du cou ; rechute. 

Eristr’uo, 8. m. (1. d’arch.) &pistyle : archi- 
wave, 


Errripnıo, 8. m. &pitaphe : inscription d’un 
lombeau. 

Errrass, 5. f.(t. de rhöt.) $pitase : ce qui 
suit lerpesition d’un poöme dramatique, et 
contient les incidents qui font le naud. (1. de 

-)—, eommencement du paroxysme. 

Erivaro. V. Epitheto, 

ErıtaaLimıco, A, adj. de !’&pithalame. 

ErrnaLimio, s. m. &pithalame: po&me & l’oc- 
asion d’un mariage; &loge des maries ; chant 
Buptial, 

Erıtntwa,s.m.(t.de med.) &pitheme : topi- 
gue spiritueux que l’on place sur l’estomac, la 
region du cur, du foie. 

t Erıratrıico, a, adj. epitbetique : plein, 
surcharge d’epithötes (siyle). 

Eritueto, &. m. * epithete : terme adjectif, 
som quı qualiie le substantif, qui designe une 
quslile. 

Erıruma. V. Epithema. 

TRmtnyna,s.f.ow ı (1. de bot.) epithym 

Entarmo, s. m. | ow &pilhymon : cus- 
eule qui se nourrit sur le thym. 

Enrıua. V. Epithöma. (fig.) V. Conforto. 


+ Eriroca, s. f. (4. d’ant.) epitoge : tea 
romain sarla ler “ni eplioge ; manlean 


Eerrowino, 4, p. p. de 


OMÄR,®. 6. fairo un precis, abröger, rö- 
Sunner, reduire, P ‚ahrger, 


EQU 595 


Eritome, 2. m. &pitome, preois , abrögs. 

t Eeıraito, s. m. epitrite : pied de vers greo 
ou latin de trois longues et une brove. 

t Erıtnocismo, s. m. &pitrochasıne ; figure 
de rhetorique, exposition , &nonciation rapide; 
question pre&cipilee pour dmouvoir. 

tTEritnorg,, s. f. epitrope : figure de rheto- 
Fique, consentement & dessein, concession de 
ce que !’on pourrait nier, pour obtenir. 

t EriTaoPo , s. m. &pitrope : Juge arbitre des 
Grecs chröliens. 

Erıtr'uana,s. f. Deur de sarriette. 

t Erızooria, s. f. &pizootie : contagion sur 
les animaux. 

t Erızoötico, a, adj. 6pizootique : de l’öpi- 
zootie. 

Eroca 0% —CHA, 8. f. epoque, date: point 
fixe de l’histoire, 

EPöno, 5. m. * maxime. V. Apddo. 

EPon0, 8. m. (t. de pods.) &pode; troisisme 
ei dernidre partie d’un chant divis6 en strophe: 
anlistrophe et epode. 

Epop&a ou Erorkıa , s. f. &pop6e: genre, ca- 
raci£re du podme &pique; recit postiqgue, en 
vers, d’une action vraisemblable et herolque; 
po&me &pique. 

t EröPra, s. m. (4. d’anf.) &popte : aspirant 
pret A l’initiation des mysteres. 

t Erörricos, s.m.pl. (1. d’ant.) &peptiques, 
grands mystöres revelds aux inities. 

t Eroprisuo, s. m. (1. d’ant.) &poptisme s 
le plus haut degr& de l’initiation. 

EPOSTRACISMO, 5. m. €&postracisme: jeu de 
ricochet avec des coquilles. . 

t Erracöano ow Hzrrachnno,s.m. (1.dant.) 
eptacorde ow heptacorde: Iyre & sept cordes 
systöme demusiquegrecque forme&de septtons. 

Erricono os Hapräcono,, s. m. (f. de geom.) 
eptagone ou heptagone : figure ä Sept angles et 
sept cötes; place A sept bastions. 

tErräpuono ou HertTärnono, s.m. (1. de 
pAhys.) eptaphone ou heptaphone : 6cho qui r&- 
pete sept fois le bruit. - 

Ertuiva, s.f. (1. de med.) &pulide ow &pulie; 
tubercule,, excfoissance aux gencives. 

t EruLöns, s. m. pl. (t.d’ant.) spulons: 
prötres romains presidents des festins reli- 

ieux. 

8 EruLöTico, a, adj. et s.m. (8. de med.) epu- 
lotique:: (mödicament —), topique qui oicatrise 
les plaies. 

EorasıLmänz, 8. f. 6galits, uniformits. 

Equacid,s. f. (1. d’astr.) squation : diffs- 
rence jour par jour de la pendulo et de l’heure 
solaire. —, maniere de r&duire A un mioyen 
terme les mouvements inegaux. (f. dalg.)—, 
formule qui indique l’egaliit de valeur des 
quantitss algöbriques diff&remment exprimeses. 
— do tempo, $quation du temps ; diffsrence 
entre le temps vrai et le temps moyen. 

Equanor, s.m. (8. de cosm.) equateur : un 
des grands cercies de la sphere, perpendiou- 
Fu ATazo,ot qui la divisa en deux parties 

ales. 


526 EQU 

Eavanımino, A,p. p. d’Equanimar. 

+ Zovantmän,v.a. inspirer de l’equanimitd; 
tranquilliser. 

+Euvinıme ‚adj.2gen. quia de P&quanimite. 

Equanısipipe, 8. f. &quanimite : droilure, 
impartialit6; &galitö d’Ame, d’esprit. 

EgquutorsiaL, s. m. (6. d’asir.) &quatorial : 
instrument pour suivrelesmouvements diurnes 
des astres. 

r Equivar, adj. 2 gen. (f. demath.) dgal: 
uniforıne, parlant du mouvement. 

+Eoux, s. f. plante aqustique, ressemble ä la 
bette , mais ses feuilles sont veloutees. 

Equsstre , adj.2 gen. &quesire ; (ordre —) 
des chevaliers romains; noblesse polonaise de 
deuxieme rang; (statue —), d’un homme & 
eheval. 

t Eqaußerazs, s. f. pl. (t. d’Mst. nat.) guer- 
riers : espece de papillons. 

Eousvo, A, dj. du möme Age. 

EquiÄncuLo, A, adj. (8. de geom.) &quiungle: 
(figure) qui a tous ses angles &gaux A ceux 
&une autre. 

Eovıpäog, 3. f. dquit6 : drolture, Justice; 
Justice temperte, adoucie ; vera qui nous 
porte & rendre & chacun ce qui lui appartient, 
Moderation de prix, bon marche; rabais de 
prix fait ä un acheteur. Homem de grande —, 
komme droit, intögre, d’une probild & toute 
&preuve. 

t Eovfoıco, a, adj. &quidique : (vers) de 
membres &gaux dont le sens contraste. 

+ Eovinisräncıa, 8. f. distance &gale. 

EQUIDISTÄNTE , adj. 2 gen. &quidistant : dga- 
loment sloignd ’un de l’autre (parties —es). 
9. 0.de 

+ Eooımisrän, o.n. (1. de gdom.) &tre &qui- 
distant, egalement eloigne t’un de Y’autre. 

EaqviLAareraL, adj. 2 gen. (#. de gedom.) 

EquiLiteno, a, ady. equilateral : & 
edt#s dgaux (triangle). Equilatere: (figure) & 
od4ds &gaux A ceuz d’une autre. 

Eguiipnacä0, 5. f. action de meitre en &qui- 
Bbre , &quiponderance,. 

EotıLısaäso, a, p.p. de 

Eomrmair, o.a. öqutlibrer:mettre en &qui- 
ihre ; oontre-balancer. ( ig.) Contre-balancer, 
jampenser, ögaler. 

Eouisrio, e.m. &gallibre : ötat des choses 
pesdes en halanco, ei d’an poids &gal; dqui- 
ponderance. ( fig.) —, 6galits de forces, de 
poids, @’importance, etc. 

T Equsussaisra , s. m. colui qui se maintient 
en 6quilibre sur une corde. 

BeuuonrieLsce, adj. 2 gen. (1.@arith.) &qui- 
zanltiple : (nomıbres—s) qui contiennent leurs 
seus-muitiples u 1. nombre de lois. 

Equino, a, ad. (1. .) de cheval, qui 
one lo oheval. pol.) a 
UINOCCLAL 08 —ZIAL, adj. 2 gen. (1.d’asir.) 
“quinezial : de P’6quinoxe. Lina —, ou a— 
(#. f.) l’equinozial, l’&yuateur. Relogio —, ca- 
dren &qwinoxiei, a plan paraliöie a Pequalenr. 
Ponios —aes, points dquinoziaux. Flur —, (8. 


EQU 


de bot.) fleur &quinoxiale, qui reste autant de 
temps ouverte que fermee, qui sionrre ei se 
ferme ätemps fixes. O—, s.m. (ant.)V’equinore. 

Eouinöccıo 08 —XIO , 8. m. &quinoze: temps 
ob les jours sont &gaux aux nuils. (f. dasfr.) 
Point oü l’Ecliptique coupe ’&quateur. 

Eovinöncıo, a. V. Hqwinoecial, 

Egviricen, s. f.* quipage : suite de valeıs, 
ehevaux, carrosses, elc., en voyage. V. Bswi- 
pagdö, Tripulagds. 

Equirir,etc. V. Esquiper, elc. 

Equirarin0,A,p. pP. de 

Eqtiranäk, v. a. comparer, mettre en paral- 
lele. 

EQuipenneucta, 8. f. Squiponderance, dgar 
Nibre. 

Egmrortncıa, s. f. (1. de log.) öquipolleuce: 
#*galite de valeur (des propositions). 

EQuiroLente, adj. 2 gen. &quipollent: ge 
vaut aulant que; 6galen valeur &. 

Boumonperincıs „ s. „f. equiponderantt: 
ögalil& de pesanteur, de tendance des ca 
vers un centre commun. . 

+ Eqvıronpenänte, adj. 2 gen. öyqaipondt- 
rant : de meme poids. 9.0. de 

+ Egtironnerän, o. 9. etre equipondirasl, 
de meme poids; peser ögalement. 

Equısgto ow Eauıstri. V.Cavallinbeiplanke . 

Eqrissımo, A, adj. sup. tr&s-juste , irds-droil 

Equıtaciö, s. f. &quitation : art de menter 3 
cheval. , 

+ Eouıratıvo, A, adj. equitable : qui a de 
Pequits, juste. 

EotıvaLencıa, 5. f. &quivalence : dgaliih de 
valeur; valeur egale. . 

EgtivaLtxte, adj. 2 gen. equivalent:quies! 
de meme prix, de m&me valeur, (chose) 9:' 
€quivaut. llest aussi substantil. 

EQUIVALENTEMENTE, ade. equivalemmei' 
d’une manidre &quivalente ; au möme pri. 

EovivaLea (0), 0. R. &quivaloir (A) : dire de 
m£me prix ow valeur. 

Equivociacäö, s. f. " malentendu : equiroget, 
erreur, quiproquo qui fait prendre une che 
pour une aulre. 

f Eouivocinanu&nte, ade. par esrear, P' 
meprise, faussement. 

Eoquivocino, A, p.P. d’Eqwivocer. 

EQUIVOCAMENTE, adv. d’une maniere Et‘ 
voque. 

Equivocir (com), v. a. se meprendre : PER 
dre une chose pour une autre. 

EQquivocin-se (com, em), u. r. so möpten- 
dre : prendre une chose pour une aulse. %* 
deguiser en. — uma cousa com oufre, Be ler 
sembler extrömement. 

Eotivoco, A, adj. dquivoque:& double se#s, 
ädouble eniente ‚qui peut s’inte: preter de den! 
maniöres differentes; | parole, action, ver!d, 


‚signe de maladie —s) sur leosquels om peu! 


porter des jugements oppose&s. 
Euvivoco, s. m. &quivoque : mot, express 


& double sens; quolibei; calembour; jeu 
mols, 


ERG 
Borıze, V. Eguulso. 
Eoröazo, A, adj. (1. de pods.) de la mer. 


-t campos, la plaine liquide, la mer. 
Eoviuzo, s. m. chevalet, instrument de 
supplice. (fig.) ‘Gene, tourment, peine, cha- 


nn, adv. aussi. V. Tambem. 

Eu, s. f. (1. de chron.) &re : point Axe d’o& 
fon compte los anndes; ces anndes. Epoque. 
- ulgar, öre ohrötienne. Ja ndo ler —, eu 
kr-ı passado a — a alguma cousa, (fg.) 6ire 
iwis-rieux, trop aneien. Dia e — us supra, 
(1.de netaire) les jour et an que dessus. 

Er. 

na, ; Be 

*Erısi, powr Hona wi. 

Eaıncı , ete. V. Heranga, ele. 

Erinıo , s. m. Ir6sor royal, public; iso ; tr&- 
sorerie. (Ag.) Tresor, grande abondance. 

tErito, s. f. (1. de myth.) Brato : muse qui 
preside & la po6sie Iyrique. 

*Erıztoe, s. f. V. Horanpm. 

ErziB0. V. Arrabil. 

ErBoLARIO, etc. V. Her... etc. 

Erpıne, eic. en 

Errao, s. m. (1. de myiA.) Kröbe : leuve de 
Fenfer des pafens ; !’enfer. 

ö,s. f. 6rection : Institution, &tablis- 
sement ; action d’&lever, d’6riger, de consacrer; 
action des parties mosculaires qui durcissent 
et se dressent, son effet. 

ErtcTo, A, p.p. irr.d’Erigir. adf. Erige, 

tlev&, fonds. ( ig.) Elevs, non abattu. 

Rascrön, s.m. celuiqui institue, qui &tablit, 

gei €rige, fondateur. (4. d’anas.) Erecteur, 
(muscle) qui elere. 

*En£ce. V. Herrge. 

*Enzcea. V. Erigir. 

* Erecia. V. Heresia. 

Erzcın. V. Erguer, Erigir. 

*Er£ıra, s. f. tromperie de Iutteur. 

Exemita, s.m. ermite : soliteire qui vit dans 
an desert. is. V. Ermida. 

Eremiränıo, —ERıo 08 —6RI0, .m. endroif 
ohil ya un ou plusieurs ermites; ermitage. 

Esenmitico, A, adj. er&mitique : (vie, sejour) 
qui tient du solitaire. 

* Ea£o ow Hunko. V. Herdeiro. 

Erxo, a, adj. (t. de pods.) de cuivre, de 
bronse , d’airain. 

* Erzs pour Es, seconde personne du pres. 
indic. du verbe Ser. 

Erernisuo, 8. m. (1. de mid.) #röthisme: 
iension vielente des fibres. 

EzcisTuLo, 8. m. * orgastule: eachot, prison 
pour les esclaves. 

‚conj. lat. donc,par consequent, (anf.) 
Except&, hors, zauf. 

* Encteiino. V. Argueiro. 

Eacuin, v.a. dresser, lever, melirc droit; 
kausser, relever, mettre debout quelque chose. 
(#9.\ Elever, porter, faire monter plus haut. 

Ewcr£g-se,o.r. se lever, se meltre deboul, se 
dresser,se relever, seremellre sur pied. V. Ele- 


ERO 547 


var-ss. Be cahbrer, se dresser, perlant d’en che- 
val. — de cama, sertir du lit.— com as dividas: 
V. Fallir. — a mankd. V. Amankscor. 

Eactido, A, pP. p.d’Erguer. 

Enica ou Exicz. V. Urze. 

Erıcino, A, adj. couvert de piquants. On ie 
dit des ebätaignes et d’autres fruits qui ont des 
piquants. 9. p. de 

Erıcäin, v. a. herisser. V. Ourigar, Riger. 

Erıcatönıo,. V. Aurige (ooustellation). 

Enicıo. V. Ourigo,, Porco-espinko. 

Enivano, s. m. (f. d’astr.) Eridan : eonstelle- 
tion meridionate. (1. de geogr.) —, le P6, fleuve 
d’Italle. 

-} Enicero, s. m. (t. de dos.) * vergeretie Acre, 
plante. 

Erıcino, A,p. p.de 

Erıcır , v. a. eriger, &lever, consaerer ; insli- 
tuer, &tablir. ( Ag.) Elerer, hausser (en digni- 
t6, etc.). Il est aussi reciproque. 

Ericong, 8. f. Erigone : constellation de la 
Vierge. 

Enit ‚adj. 2 gen. V. Ereo. 

+ Erıörnoro, s. m. (t. de bof.) eriophorus : 
cbardon & 1te tr&s-velue. "Linaigrette, lin de 
marais. — bastardo. V. Cardo isqueiro. — do 
Perö,* scillo du Perou. 

+ EnıöriLa,, s. m. (6. de bo4.) Erlopila : arbre 
de Surinam. 

RISIPELA 0% r 

ErısıruLa 610. } V. Erysipols, eic. 

*Erıöoo. V. Erigido. 

Erızir, etc. V. Erigar, Ourigar 

Eruino,A,Pp.p. de 

Eruir, v.a.detruire, ravager, rendre d6- 
serte une ville, un pays, etc. v. n. (p. us.) 
Vivre dans la solitude,, mener une vie solilaire. 

* EnMEYANHOS, adj. ou 8. pl. pareils; d’ac- 
cord, qui s’accordent. 

Erwipa, 8. f. " ermitage : habitation d’un er- 
mite; petit temple, petite chapelle. — de Buc- 
eho, V. Taverna. 

+ Erwıtania, 3. f. " mötier, profession d’er- 
mite; vie er&mitique. 

ErmıTäö, s. m. ermile : celui qui vit relired 
da monde dans um desert; qui a soin W’'uno 
chapelle dans un desert. 

Erwıtöa,s. f. femme qui a soin d’une cha- 
pelle ou ermitage. 

Enno, A, adj. solitaire, desert, inhabite. 
s. m. Ermitage, solitude ; d&sert. 

ErmouLes. V, Armoles. 

Ernıa, etc. V. Hernia, etc. 

*Ero,s.m.V. Herdade. 

+Enöcı ow Eröca,s. f. (l. de bol.) espece 
de millepertuis (hypericum ericoides). 

Eroptnte. V. Corrosivo. 

Eröpıo, s. m. V. Garga ou Cegonha. 

Erög , etc. V. Heroe, etc. 

Erocino, A,p.p. de 

Erocär, v. a. (p. us.) distribuer, r&parlir ses 
biens, ses richesses; faire des dons. 

Erosi6, 8. f. &rosion ; action de l’acide qui 
ronske,, son eßlet, 


528 ERR 


En6rico, A, adj. drotique : qui porte A !’- 
mon, lui appartient, en proodde. 

+ Exorivias, s. f. pl. (tl. d’ant.) Erotidies ow 
troties,, f6tes de Cupidon. 

fEnortouania, s. f. (f.de med.) erotoma- 
nie : mal, delire d’amour. 

+ Exörrıo, s. m. (6. d’hist. nat.) erotyle: co- 
l&optäre herbivore & antennes en massue lon- 
u. et plate. 

RPES, 

ERPETOLOCIA. } V. Herp... 

Enquıtänta, V. Argwilaria. 

"Ennapa,s. f. V. Erro, Desacerto. 

EnnÄDAM&nTE, adv. par erreur, par meprise, 
faussement. 

Ennavıcacäö, 8. f. eradication : action d’ar- 
racher par la racine. 

t Enaupıcinte, adj. 2 gen. (l. de m£d.) era- 
dicauif : (remöde) violent, qui emporte la ma- 
ladie et ses causes. . 

Ennapıchr, ©. a. (p. us.) deraciner, ex- 
irper. 

ERRADICATIVAMENTE. V. Radicalmenie. 

EraapicaTivo, A. V. Erradicante. 

Enkıpio, A, adj. errant, vagabond. 

ErrapissinO, A,adj. sup. de 

Errkido, A, p. p. d’Errar. adj. Erront ; de- 
fectueuz ; fautil;coupable; faux. Quise trompe. 
Ander —, errer. 

EarÄNTE, adj. 2 gen. errant, vagabond ; qui 
se trompe. p. p. de 

Enkik, v. a.— 0 caminho,, s’egarer, se four- 
voyer. — 0 inlenlo, manquer son Coup, ne 
pas r&ussir; sorlir de son sujel, se tromper 
dans son avis. — o lempo ds cousas, ne savoir 
pas saisir l’occasion, ne pas agir ä propos. — 0 
alvo, ne pas pointer juste, ne pas lirer droit. 
— onome, oublier le nom, se Iromper de 
nom. — 0 liro, 0 golpe, a pancada, manquer 
son coup (propre et fig.). — a alguem, (ant.) 
manquer & quelqu’un, l’offenser. — a sua obri- 

‚ (dd.) manquer A ses devoirs. — uma 
syllads, manquer ä une syliabe. — uma conia, 
se tromper dans un compte, y commetire des 
erreurs. 

Ennän, vo. n. errer, aller cä et 1A, & l’aven- 
tare. —, commettre une erreur; avoir une 
opinion fausse, se Lromper, s’abuser ; manquer 
le but. — de, (p. us.) peu s’en falloir. Ndo erra 
de ser, il est sans doute. Por pouco errou 
undo malasse, peu s’en est (allu qu’il ne le 
tuät. 

ErnAn-sE, v. 7. (P. us.) se croiser. V. Desen- 
sonirar-ae. Erra-se (impers.) midilas vezes... 
On se trompe souvent...; il se fail des fauies, 
il se comme: des erreurs, etc. 

Enuira, s. f. faute d’imprimeur ou de o0- 
piste. —s, ou fE d’—s, erratum ow errata : liste 
des fautes d’impression qui se trouvent dans 
un Ouvrage. 

Ennärtıco, a, adj. V. Errante. Felre —g, 
(t. de med., flövre erratique, irreguliere, de- 
reglee. Planea—, planete errante. Nike, ei- 
dade — ie, ville flottante. 


ERV 


+ Eon, 8. m. nom qu’on denne en pertagık 
au double rr et. & la leitre R. Por alguem n'um 
—de..., mettre quelqu’un sur le point de, !eı- 
poser &... V. Errar-de... Por um —, teprou- 
ver un 6löve. 

Enasino, A, adj. et s. (1. de med.) errbin, 
errhine, remdde introduit dans les narine. 
Sternutaloire. , 

Ennıcar, ote. V. Erigar, Ricar, Ouriper. 

RRO, 5. m. * orreur : fausse opinion; laulc; 
meprise ; döreglement dans les maars; me- 
prise du jugement qui spprouve ce qui nest 
pas vrai; &garernent; ecari de la raison, dela 
verite, de la justice ; &garement de l’esprit qui 
prend le faux pour le vrai. "Pr6oceupaten, 
prejuge. —s, pl. mauvaises , fausses docirines. 
— de calculo, erreur dans le calcul.— de com 
fas, manquement dans le calcul, fausse sur 
putation. — d’escrila ow d’impressdo, lie 
d’dcriture ou d’impression. — d’imadverleneis, 
meprise, manque de reflexion, inconsiders- 
tion. — d’offcio, faute grave dans Vexerct 
d’une charge, ete. 

Ennönga ou ERRONKA , 8, f. erteur;, propt- 
sition erronee. 

EunönBANENTE, ado. erronsment: d’une ms 
niere erronee; faussernent; par erreut. 

Ennönko, A, adj. errone : (aux; qui contienl 
des erreurs; qui est dans l’erreur. Coniene# 
—s, (1. de th£ol.) conscience erronde, quicrel 
vrai ce qui est faux. 

Eanönıco. V. Erroneo. 

Enrön,s.m. V. Erro. (ant.) Manguemeni, 
faute,, defaut. 

Enuctaciö, 3. f. (t. de med.) ermciauon: 
6ruption bruyante des gaz de l’estomac. \. dr- 
roto. 

Esupıcäö, 8. f. erudition : connaissantt 
&tendues dans les beiles-letires, la litteralat: 
vasie savoir ; doctrine. 

ERUDITANENTE, ado. avec erudition. 

Enupırissimo, A, adj. sup. de 

Erupito, A, adj. erudit, qui a besucoup d+ 
rudilion ; docte, savant. 

+ Endca, s. f. (1. de bot.) roqueiie, roqeei 
cultiv6e : plante crucifere,, polagere. 

Ertcınöso, A, adj. erugineux : qui Leni dt 
la rouille ow lui ressemble. 

+ Erurcäid, 8. f. eruption : &racuation subi# 


qus |et abondante d’un Nuide; (#. de med.) son 


desezanthömes, pustules, etc. ; sorlie promple, 
subite, avec effort (d’un volcan). 

Eava, etc. V. Herva, etc. 

Ervängo, s. m. (1. de bot.) pois ehiche, Cic*h 
chiches,, pois-böcu. V. Grdo de bieo. 

EaviLnas, s. f. pl. ° pois : ldgume, pre® 
rond, & cosse. — de cheiro, pois de senietl. 
— de pombo, ers, ervilliers, orobe vulgaif, 
pois de pigeon. 

Eavıımica, 8. f. (1. de bot.) vesce, plante - 
gumineuse. 

ErvımäL,s. m. champ semö dep. 

Ravıımkına, s. fı “pois, la plante. ch 


ESB 
vos “ de cheiro, gesse odoranle ou pols de 
senleu 

"EavoÄno, V. Arvoddo, Detasisado. 

Eavöpo. V. Me drenkeiro, 

tErv’'nco ow Enyncio, s. m. (f. de bol.) 
eryage, pauicaut, charden & cent t£tes : plante 
medicinale. — dos Campos , panicautl sauvage. 

+ Ear'sıno, 5. m. (1.de bot.) erysime, velard, 
isertelle , herbo aux chanıres : planie medici- 
nele. 

Enrerptra, s. f. erysipeie : tameur superli- 
delle, Inlammatolre, sur ia peau, avec cha- 
leur dere et brülante. 

EaısirgLar6so, A, ady. erysipslateux : qui 
tient de Perysipele. 

+Earıatur, s. m. (fl. de md.) erythöme : 
rougsar inlammatoire. 

Earrsaßo, A, adj. d’Eryihree; de la mer 
Rouge. Mar —, golfe Arabique, la mer Rouge. 

A, adj. stupefait, ebahl. p. p. 
de 


Essanacin. V. Embasbecer. 

Essaronino, A, adj. essouffid, hors d’ha- 
leine, harasst. 

Essıcanmino, A, p. p. de 

$ Essacansin, v. a. Öter la graine du lin. 

EspacaxiD0,A,P.P. de 

+Eenacaxia ©. 6. decouvrir Jusqu’au sein, 
deeolleter. 

Essacein. V. Desbagoar. 

Essactisino, A,p. p. de 

EssactvLnin, v. 6. ögtener : Öter les grains 
de raisin. 

*Bssirno. V. Esbulho. 

EspaupaLnino, A,p.p. de 

EaBAnBaLHan ‚v. a. dechirer, meitre en mille 
Morceaux. 

Besausan,, ete. V. Dissipar, Estragar. 

Essan2ori20,A,p.p. de 

tEssansorir, v. a. epinceler; noper, pin- 
ter, öter les nwuds, ou nopes du drap. 

ErmanaiD0,4,Pp.p 

Rosannir, 9. @. vo w. ) lancer, jeter de 
force quelque chose contre un Corps dur, pour 

Pöeraser. 


Rızanrin (em), 0. ». heurter contre; choir. 
(ig.) Bester tout court. 

Rısannocia-se. V. Precipilar-se, Despe- 
aher-se. 

Ressnnompaptrao. V. Despenhadeiro, Pre- 


EsBaanoRpiDO,A,P. pP. de 
AONDÄR , 9. ». 56 pröeipiter, se joter de 
keaı en has, dens un precipice. (em) Investir, 
er, 50 ‚jeter sur. 
BARRUNTO,, 3. m. (6. pop.) folle depense 
Isle par vanit6 ou par plaleir. Faser, ou 
ng cousa de —, faire flords : döpenser avec 
ichs, faire uno depense d’eclat. 
zADO,A,p.p. de 
BELTAR-SE, . sr (p. ws.) se donner des 
ST&hoes ; Iaire para 
stLrTo,A er "srelte delis, dölicat, 6ld- 
FAzzı, 


PORT. FR, 


ESB 529 


Erpinro,, 5. m. sbirre, äarcher, sergent, 
pousse-cul. 

Esaocin. V. Desembocar. 

Esnocino, A, p.p.de 

Esnocin, v.a. tbaucher, esquisser, Iracer, 

Esnöco, s. m. * &bauche, esquisse,. 

Esnorino, a 4,p.p.de 

Essorir, v. a. essouffier, &poumonner. Il 088 
aussi r6ciproque. 

Essorzteino, A, p.p. de 

Essorgteir, v. a. souflicter : donnor des 
soulllets. 

ESBOMBARDEADO, A, 92. 9. de 

ESBOMBARDEÄR, 2.0 bombarder : jeter des 
bombes ; foudroyer avec V’artillerie. 

ESBORCINÄDO, A,Pp.Pp. de 

EssoncinÄr,t. a. ecorner:rompre la corne, 
les angles. 

Ess0R0iv0, A, P. p- @’Esboroar. 

t Essonoau8nto, s. m. bersement: action 
de herser, de motter ; broiement. 

Es»oroin, v.a. berser, motter ; broyer, pul- 
veriser. Il est aussi r&ciproque. 

EspornAcHinv0,A,P.p. de 

Esnonnacnin,e. a. &cacher, crever, &craser. 

Essonrip0, A,P.p . d’Esborrdr 

EsBORRALHÄDA, 8. n. (. pop. et at.) * par- 
pillement. 

EssorrıLuino,,p.p. d’Esborralkar. 

EsBORRALHADOURO, 8. m. V. Varredouro. 

EssorraLnär, v. a. defaire, &parpiller les 
braises ou condres chaudes. Demolir, mielire 
en pidces. 

EsBonnALHÄR-seE , 9. r. s’6erouler. 

+ Essonrär, v. a.-öter la lie d’an liquide 
queleongue. 

Essonnonpin. V.B 

+ EssracuiLnipo, A, adj. qui ale pan de 
la chemise bors de la brayetie. 

Essnanguicado, A, adj. blauchäAtre, 

Essnaseinpo, A, 9.9. de 

Esprassin, v. '@. chauffer jusqu’au rouge, 
enflammer. ( fig.) V. Afogusar. 

Espaavzin, eto. V. Esdravejar, elo. 

ESnRAYECER. V. Embdravecer er Esbraxcjar, 

Espaavsıipo,A,p.p. de 

ESARAYEJÄR,, 9. 9. temp£ter, s’emporter, jo- 
ter feu et lamme. Rugir, en parlant de certaıns 
animaux. So dechainer (fig.), em parlant du 
vent. 

EspaazEan 08 —zian, etc. V. Esbraseer, etc. 
n ° Eszpaızaa, v. a. V. Apisoar. (Ag.) Sacri- 

er. 

Essaucan, V. Esburger. 

EssucaLuiDo, A, p. p. d’Esbugalhar, ei ad), 
Olkos —s, yeux sorlis de la tete. 

EssocaLnin, 9. a. (fam.) V. Esmigalhar. 
— 08 olhos , ouvrir de grands yeux. 

EszouLar. V. Ksbulhar. 

EsseLnino, A, p. p. W’Esbulhar. 

+ EspuLmanön, A, adj. et s. qui depouille, 
depossede ; spoliateur. 

EssuLnin (de), ve. a. depouiller, spolier, de- 
posseder. 


% 


LI. 


‚5% ESC 


EsaöLn0, 3. m. spolalion ‚depossassion ; de- 
pouille, biens ravis. +t. V. Despojo. Depouille- 
ment. 

EspunAcÄDO, A, P. P. de 

Essuracäir, t. 9. reınplir de Irous, troues. 

Essurcınano, V. Esborcinado. 

Essuncino, A, 9. p. de 

Essuncär , v. a. peler, Ecorcer ; 6cosser, 6Ca- 
ter, decharner. 

EssucHino ou —XÄDO, A,p. p. de 

ESBUCHÄR 0 —UXAR, u. a. demantibuler, 
disloquer. 

Escanzczin, V. Cabersar ei Descabeccar 

v.n.). 

EscaAutcHE, s. m.’ marinade,garum : sorte de 
saumure, avec du vinaigre, pour Conserver 
longremps le poisson. (Ag.) "Ruse, artifice. 

*Bscaseı. V. Bscabello et Escamel. 

EscasgLLär, etc. V. Desgrenhar, elc. 

ESCABSLLINBO , 5. m. dim. de 

EscaB&LLo,s. m. escabeau , escabelle : petit 
banc de bois sans dossier ni bras. 

+ Escapıösa , s. [. (4. de bot.) scabieuse, süc- 
cise ow mors du diable : plante dipsacee. — dos 
ardins. V. Saudade. — dos ecampos , scabieüse 
des pr&s et des champs. 

+ EscAB1080, A , adj. scabieux : yui ressemble 
äla gald; attaqu6 de la gale. 

EscasrıoLa. V. Escabiosa. 

+ EscaprÖsan£ntE, adv. d’une manidfe dif- 
ticlle, scabreust. 

Escanrosınioe, 5. f. Indgalitd, Apretö d’un 
chemin ; Aprel& au toucher, rüdesse. 

Escaunöso, A, adj. ecabreux, dangeredx, 
diflcile. Dur, säuvage, rude, ipke; taboleüx ; 
äpre au toucher. 

EsSCABUJAR. 

ESCABULHAR. | V. Zstrebuner. 

Escackin, bie. V. Escasgeat, etc. 

EscacHin0, A, P. pP. de Escachar. 

Escacnarpennas (de), add. & califourchon. 

Escacuin, v. a, fendre, separer avec vio- 
tence. Arracher, 3öparer du trono une branche 
«d’arbre. Rompre , briser, nettrö &n pieces. — [71 
pernas , ecarter le® janibes. 

Escico.V. Escasıb. 

Escina ‚s. f."escalier: degr&s interieurs d’un 
&difice pour imonter at descenüre d’un &tage & 
Pautre. Montte : petit escaliet. — de mdß, 
dchelle. — de Mulkorcä ou de caracol,, escalier 
a vis ou on limagon. Criados de — abaixo , do- 
mestiques employ6s aux basses oocupalions R 
comme euisiniers, eochers, etc. sde — 
acims, domesliques quo leurs occupations rap- 
prochent davantage des maltres. Genle de — 
abaixo, gens de bas diage, personnes viles et 
meprisables. — do portalö, (1. de mar.) esca- 
lier, echelle de commandement, ecbelle de 
bord. —s dos baildos para 0 conedz, (id.) 
echelles de passavants. — dos guindastres, dos 
engenkos, echeller. 

* + Escıniu, s. m. suite de paufres gans un 
enterremient. 

% Baravania,s,f. grand esealier, bei escaller, 


ESC 


EsciogaA, s. [. * grappillon : pelite grappe, 

* +EscADEADO, A, adj. en forme d’esealist; 
inegal, qui a des inegaliles. 

ESCADELECER , v. m. (?. We.) V. Dormiler. 

Escapinua,s. f. dim. d’Escade. En —, at- 
galcment, avec inegalite. 

Escapaiö. V. Esquadräd, 

* Escazcea. V. Baquscer. 

ESChAFEDÄR-SE, @. 7. (& br.) dössmper, 


1 filer. 


EschGALHaR, eic. V. Escangalher, de. 
Kuckmzun, etc. V. Koeamlbar, (alien 


rocar. 

Esciıuso. V. Troog, Cambio. 

Escalvo, A, p. p. d’Escair. 

EscaImintg,s. u V. 

+ Esca1öLa ,s. f. escayolie : oomposilien re 
laquelle les sculpteurs donnent au aus !apfı- 
rence de la pierre. 

Escain ,o.», öchoir : arriver A lomps prölte, 
en parlant d’une rente, etc. i. V. fr. 

Esciza, s. f. schelle :ı machine formie de 
deux montanis de bois unis par dos bätons po! 
monter et descendre. (. de matA.) —, ligne 
vis6e par degrös, par mesures, paf Ps 
&gales ou proportionnelles. (1. de mus.) 1° 
cession des tons de Ja gamme ; la gamme —, 
port de mer oü les navires qui voyagenı ll 
coutume d’aller se rafratchir. (Ag. mil.) Lo, 
röle des militaires suivant leur grade ei &- 
eiennets, pour le service et l’avancement- (MM! 
Action d’insister. ( Ag.) Depouille, batin dene 
ville prise d’assaut. Rouie d’un navire(p W.) 
(Ag.) Exportalion (des marchandises, ee." 
— franca, (1. de com.) &chelle fauche, port 
franc. Fazer —, (aire escale : mouiller, reldete? 
dans un port. 4’ — visla : ( loc. mil.) on le di 
d’une escalade faite en plein jour ei areı WE 
naissance de l’ennemi. 

EscaLina, s. f. escalade : assaut d’uns pla® 
avec des echelles. 

EscaLin0, A, p. p. d’Escalar. adj. (nie ü 
des poissons qu’on ouvre pour les sale. 

ESCALADÖR ‚8. m. celul qui escalade; qui 0@ 
vre et prepate les poissons pour sechet. 

ESCALAMENTO, 5. m, V. Escalada, is. Lau 
et Peffet d’ouvrir et de preparer les poisoH 
pour secher. 

EscaLamocar, etc. V. Esealavrar. 

+ EscaLiö, 6 m. * monde: marche; dit 
d’escalier. (fg.) Echelon , moyen pour s’ölare 
marchepied. 

EscaLia ‚nn a, esealader : allarwer, empetht 
par escalade; mehter avce une söhalle sur (@ 
mur), dans (une maison ), par-dessus (100 00 
railles). Fehdre, aavrir avos un oouisen , ®-i 
#rentrer ; deurcher d comps de vorge; 

EscaLavaido, A, 9. p. de Escalarruf. 

EscALAVRADÜRA, 8. f. öborchure. 

EscaLavrin, vo. a. Beoreher, blesser Kate 
ment, efieiref. 
ot EscäLpa, 9, f sauce piguanio du peli! 
ong. 








ESC 


rEsciıpa ‚8. ın.(4. de gdag.) Escaut:: riviere 
considerable des Pays-Bas. 

EscaLDiD0, A, pP. p. d’Escaldar. adj. (Ag.)V. 

‚Beceoso. Galo— d’agua [ria tem 
msdo, (prov.) chat echaude craint l’eau [roide. 
OR, s. m. ° bassinoire. 

EsctaLpapüna, 5. f. aclion d’echauder; brü- 
lare. 

Escııpäö, s. m. "brülure de l’eaa bouil- 
lante. 

Escarpär, v. a. Echauder : laver, mouiller 
avec de l’eau chaude, y tremper, en jeter sur.. 
(Ag. Stcher, dessecher ; &chauffer, enflammer 
(Pımagination, les desirs, elc.). it. V. Escar- 
mentar. it. Abimer, nie, ‚Tavager (ip. u8.). 

Escuukına. (inus.) V.E 

tEscaıtno, adj. m. en jr Tom.) scalöne : 
(triangle) & trois cötes indgaux. 

EscıLön ,s. m. (}. de mar.) "chaloupe:: pelit 
biiiment de mer fort leger pour le service des 
Bavıres. 

+EscaLßras, 3. f. pl. (f. d’arlil.) coupures 
tarrees formant quatre degrös en arridre des 
flasques des affüts- marins pour les all&ger. 

EscaL£Ti0o. V. Escatelddo. 

EscaLräno, A, 2. p. d’Bscalfar et adj. Ovos 
—, aufs poches, @ufs en chemise. 

ADÖR, 3. m. coquemar : vase d anse et 
ä gros ventre pour faire bouillir de l’eau, elc. 

Escaurär , v. a. chauffer de l’eau dans le co- 
quemar. — ovos, pocher des wufs. — 0 pdo, 
surprendre le pain, le faire cuire daus un four 
twop ebaud, de sorte qu’il soit brül& avanı 
d’ätre cuit. 

tEscauröenio, A, adj. (8. durl.) eruel, de 
mauvais caractöre. 

t EscirLno ou EsciLo, s.m, V. Böga, Borddlo 
(poisson )- 

t Escauin, 3. m. escalin : monnaie des Pays- 
Bas, 12 ou 14 sous. 

EscaLLa. V. Escala. 

EscaLr£Lıo, s. m. (i.dechir.) scalpel : in- 
strument de chirurgie pour diss&quer. 
EscaLriÄcno, s. m. (1. de bot.) chiendent pied- | m 
de-poule , manne de Pologne : herbe gruminee, 
medieinale. 

Eecanvino, A, adj. (Aig.) aride, störile. 

P-P. 

Beckvin, v. a. rendro chauve, faire Lomber 

les cheveux, (ig) Rendre aride, sterile. 

Escima, s. f. &caille : membrane en lame, 

petite lame, substance dure qui couvre6 les 
poissons, etc., ei qui se dötache söuvent par 
Piece; celte piece, ce qui en ala forme. (fig.) 
Chacune des pidces d’une armure poste T’une 
sur l’autre en forme d’ecailles. Ordem da —, 
ancien ordre de chevalerie institue par Jean II, 
roi de Castille. Buscar a — alrds da vrelha a 
aiguem, (fig. fam.) caresser, cajoler quel- 
u’u 


Escamackö, s. f. action d’ecailler le poisson. 
Examagdes, pl. (‚t. de bot.) squamaliones. 
Escasaptıra, 5, f. Sommo qui scaille le pois- 


ESC 531 


Becawino, a, P. pP. d’Escamar. adj. Ecaille : 
a qui on a dt& les ecailles; fin, ders, (20p.) 
Qui a il& ou s’est sauvd. Ficar -; (fam.) ap- 
prendre & ses depens, @tre instruit par sa pro- 
pre experience. 

T EscamapOg, s. m. celui qui &caille le pols- 
son. 

Escawapüra, s. f. action d’&cailler. 

EscAMALHOAR-SE, (4. burl. p. us.) V. Esca- 
pulir-se, Escamar-se. 

Escanir,v. a. Ecailler : öter Y’ecaille, les 
ecailles. — 0 peize, (fig.)venäre fort cher.v. ». 
Broder, travailler en &tailles. 

EscamÄr-sE, v.r. (4. burl.) filer, se sauver. 
(fig.) Se gendarmer, s’ırriter, se fAcher, s’&loi- 
gner de quelqu’un. 

EscauBarR, etc. V. Trocar, Cambiar.' 

Escampno£ıno. V. Espinheiro Cambra. 

* ESCAMECHAR. V. Chammejar. 

EscimeL, s. m. mandrin : outil de fourbis- 
seur pour polir les &pees. 

fEsciueo, a, adj. ecaill& : couyvert d’&cail- 
les; squammeux, £cailleux. 

7 ESCAMIFÜRME, adj. 2 gen. en forme de 
squamme , d’£caille. 

ESCAMicEnO, A, adj. squammilere : 
leux, qui porte &caille, des squammules. 

ESCAMINHA 04 — AZinHA ‚s. f. dim. de Esca- 
ma, petile &caille, squammule. 

Escauisar. V. Descamisar. 

Escamon&a, 3. f. (t. de bot.) scammondes 
espöce de convolvulus, plante purgative. 

SCAMONEÄDO, A, ad. prepare avec la scam- 
monee, quiena la propriete. p-P 

EscAMmoNEÄr-SE, dv. r. (fam.) „ fächer, so 
piquer, rechigner. 

+ Escamöntn. V. Escamonda. —de Monpe- 
Iher, * cynanque de Montpellier. 

+ EscAmonira, s. f. escammonite : 
scammonde. 

Escau0so, A, adj. ecailleux : compose d’&- 
cailles,qui a des &cailles; squammeux. 

°* ESCAMÖUCHO, 3. m. resies de ce qu’on & 


ecall- 


vin de 


mang®. 

EscamrÄno. V. Descampddo. it. p. p. de 

EscayPÄR, v. n. cesser de pleuvoir; se re- 
meltre au beau ‚ parlant du temps. 

Esciuro ‚,p. p. irr. d’Escampar. Estd— , le 
temps est clair, le temps s’cclaircit. st. s. ®. 
(inus.) Cessation de pluie. 

+ EscäsoLa,s. /. squammule, petite ecajlle. 

rEscanäno, A, adj. adulte, qui n’est pas 
jeune; adroit, consomme;, fieffe. 

EscÄncana, s.f. chose ourerte, manifeste. 

—ou ds —s, adv. ouvertement, & decouveri, 
sans voile; sans honte. 

ESCANCARADO, 4, ad. Porta —s, porte tout 
arriere ouverte. r} 2. de 

+ Escancanir, v. a. (8. fam.) ouvrir tout & 
fait, entidrement. — 08 ouvidos, (fig.) preter 
Poreillo avec beaucoup d’attenlion. — a co- 
sciencia, {fam.) conmeltre des crimes sans 
aucun remords. — a honra, (id.) sc proslituer. 

ESCANCARAB, V, Escancara, 


532 ESC 


* Escanca. V. Sorte et Esquenpa. 

Escangino, A, p. p- d’Escangar. Fortan, 
heureux dans. 

Escangäö, s. m. Schanson : officier, celui qui 
sert A boire au roi, etc. 

* + Escancir, v. a. servir du vin (aux com- 
vives), verser aA boire. v. w. V. Aconiecer. 

"+ Escangaria, s. f. öchansonnerie : lieu oü 
est la boisson du roi. 

Escanckin0, A,P. p. de 

“+ EscancKÄR, v. a. transvaser: verser du 
vin d’un vase dans un aulre ; donner & boire ä 
table. 

Escancair, v. a. dcarquiller. —se, v. r. otc. 
V. Escarranchar-se, etc. 

Escanpauszipo, A, p. P. d’Escandalizar. 

+ EscanpaLızandn,,A,adj. ots. qui scanda- 
Iıse. 

Escannauızär , v. a. scandaliser : donner du 
scandale. (Ag.) Maltraiter, offenser. 

+ ESCANDALIZAR-SE (com, de), ©.r. se Scan- 
daliser : prendre du scandale , s’offenser. (fig.) 
Se fächer. . 

EscinpaLo, 8. m. scandale : ce qui est occa- 
sion de chute, de pech6; &clat que fait une 
Chose honteuse & quelqu’un ; mauvais exem- 
ple ; indignation d’une mauvaise action; grave 
indecence. Pedra de —, pierre d’achoppement 
et descandale. — pharisaico , scandale qu’on 
prend sans raison, en regardant comme bl4- 
mable ce qui ne l’est pas. 

EscanndaLÖSAmEnTE , adv. scandaleusement : 
avec scandale. 

ESCANDALOSISSIMO, A , adj. sup. de 

EscanpaLöso,, a, adj. scandaleux : qui cause 
du scandale;; qui y porte. Offensant, choquant. 

Escinpeı ou —ı1, s. f. sorte de [roment 
tr&ös-pur dont on fait un pain delicieux. _ 

EscanDecencıa,s. f. “ emportement, trans 
port de colöre. V. Excandescencia. 

ESCANDECER , d. a. irriter, faire entrer en co- 
lere. Il est aussi reciprogue. 

Escanpecino , A, p. p. d’Escandecer. 

T Escanpınävia, 8. f. (1. de geog.) Scandina- 
vie : la Suede et la Norvege. 

+ Escannınävos, s. m. pl. Scandinaves : he- 
bitants de la Scandinavie. 

+} Escanpia, 0.6. (p. ws.) scander : indiquer 
la mesure d’un vers, le mesurer. 

EscancaLHi00,A,?.9.de 

EscancaıHuin, v. a. d6mantibuler, casser; 
rompre, detruire. 

EscAnGALHÄR-SE, ©. r. se demantibuler; se 
desunir, se dejoindre. — com riso, (fam.) rire 
& gorge deployte, orever de rire, rire aux 
6clats. 

Escancammankına ‚s. f. esp&ce de crible pour 
6grapper, egrappoir. 

ESCAnGanHÄDO, A, p. p. de 

ESCANCANBÄR , 0. @. egrapper, &grener. 

Escann0ino, A, 9.7. de 

ANDOAR,d.a. raser de trös-pr&s. 


Escanmaino, a, adj. döcherne, qui n’a que 


la pcau sur les os. 


ESC 


Escaninno, 8. m. secret d’un ooßre, dan 
secrötaire ; cache, petite cschette. —s, pl. (Ag.) 
plis et replis du caur. 

Escin0, 8. m. (ant.) escabeau : marchepied. 

EscantıLBäö, s.m. öchantillon ; &lalon, me- 
sure. De—, adv. (fam.) & la häte. 

Escarina, 5. f. fuite aeceieree pour Friier 
quelque danger;; escapade, 6chappte. 

Escapipo, A,p.p. de 

Escarin, v. a. (p. ws.) sauver, ällimer; 
&chapper, öriter un danger; laisser 6chapper. 

Escapan (a, de), v. m. echapper, fuir,se sau- 
ver. S’6&chapper, sortir, s’absenter sans fire 
apergu. Echapper de la me&moire. — de bs, — 
por uma unha negra, ( fam.) l’öchapper belle. 
—6 m alguma cousa, dire quelqgus cheie 
sans s’en spercevoir, öchapper. —« slgu® 
uma a, 08 especie, s’tchapper, parlanl 
d’un mot qu’on dit sans faire attention. = 

ESCAPARÄTE, 5. m. "chässe : sorle d’armein 
en marqueterie, garnie de vitres ou erisiaut 
pour y meitre des images ou des reliques.Sorie 
d’armoire oü l’on met des choses precieusei. 


(fg.) V. Escapatorio. 
EscArATörıa, 8. f- subterfuge, debappı- 
ESCAPATÖRIO, 8... toire ; faux-fuyanl. 


+ Escäire, s. m. action d’&chapper, de lat: 
fuite, &vasion. Fuite accelerde pour &viler un 
danger. . 

Escir0, A, p. p. irr. d’Escaper. adj. Sasit, 
hors de danger. Estar —, etre hors delt. 
parlant d’un malade. 

EsciroLa, s. f.clou & crochet. (amt.)Echelle, 
escale maritime ; enlrepöt. 

EsSCÄAPOLE , adj. 2 gen. (4. de prei.)eıempl, 
libre. 

EsciruLa. V. Escapatörie. . 

EscarvLARıo, s.m. scapulaire : partie du 
tement de quelques religieax; morcena dicht 
henite. 

EscaruLin, v0. n.et — se, v. 1. so gli, 
s’schapper des mains ; s’esqniver, gagnet " 
porte sans mot dire, filer, s’6clipser, decampf: 
se Sauver. 

EscaruLmo, A,P.p. d’Escapulir. 

Escaqusino. V. Enxadrezddo. . 

Esciquzs, s. m. pl. cases d’un debim”. 
d’un damier. (1. de blas.\ Echiquier : ecu dir 
en carres. 

Escira,s.f. (1. de chir \ escarte : eroül: 
la peau, les plaies, etc. 

scarABto. V. Escaravelko. 

ESCARAFUNCHÄDO, A, P. p. d’E Am. 

ESCARAFUNCHADÖOR , &. m. (fig. fan.) celcı 1" 
veut tout savoir, qui fourre son nez parteu!. 

ESCARAFUNCHÄR , v. a. (1. fam. et burl. tal 
ter, frotler, remuer avec les ongles ‚ les dit" 
eic.;chercher dans tous les recoins. (Ag. >" 
former, examiner, se mettre au fait, cherchtt! | 

connaltre. 
ESCARAMENTAR. V. Escarmenlar. 
Escanamüca,s.f. (1. mil.) escarmouche: Mt 
bat de partis detachesde deux armees olsn® 
*Combat simule dans los jeux public#. 





ESCARAMUCADOR , 5.1, escarmoucheur : colui 
qui va & ’escarmouche. 

EscaramtucäR, v. w. oscarmoncher : combat- 
tre par escarmouche. 

EscaaarfıLa,, 5. f. dispute, querelle qui 
tomınence par de simples paroles et finit par 
des coups. 

EscararELLin0, A, p. pP. de 

EschrAPELLÄR, 0. G. egratigner, prendre aux 
chereax. Ecorcher. 

KschrAPELLÄR-SE, ©. r. se dispuler, se pren- 
dre aux choveux , s’€gratigner. S’ecorcher. 

EscaasrErEin, etc. V. Escabujar. 

+ Escanas, s. f. pl. (1. d’hisl. nal.) escares: 
zoophytes solitaires. 

+Escanavanmino, a, adj. (l.d’arkil.) fele, 
qui a une felure. 

Escanaväıno, s. m. (I. d’artil.) fölure dans 
un eanon. 

Escanavtına. V. Caravelka, 

TEscaanav&ıuo, s. m. (6.d’kst. nal.) scara- 
bee :col&optere scarab6ide. — dos estercos ou 
esiercoreiro , stercoraire. — Iyph£o, siercoraire 
phalangiste. — Dost#iro, bousier. — » 
beusier lunaire.— sagrado dos Egypcios , bou- 
sier sacre. — laurino, bousier taureau. — de 
torniculo aa nüca, bousier nuchicorne. — das 
esterqueires,, bousier du famier. — conspur- 
gado, bousier gris el noir. — Basicorne, Scara- 
bee nasicorne. — hercüleo, scarsböe hercule. 
—de cormiculo forqwilkoso , scarabee branchu. 
— longimano , scarabde & longs bras. — ruivo 
ou melolonthe, hanneton ordinaire. — pisodiro, 
foulon. Marä de —, pomme d’escarbot. 

Escinca, s. f. (f. de oeter.) blessure que fait 
aux pieds des böles une €pine, une ronce, elc. 

EscancaLnipa. V. Gargalkdda. 

Escancino, A, pP. p. de 

Escancin, 0.6. chätrer les ruches au mols 
de (övrier, en öter les gaufres. s$. V. Esgargar. 


Escanctııa , 5. f. escarcelle:grande bourse &- 


Vantique,, qu’on porte & la ceinture. Gibeciere: 
bourse pour is chasse. Tasselie : armuro des 
cuisses. V. Fraiddd. 

Escanc£o, s.m. (i. de mar.) peotites ondes 
occasionndes dans la mer par les couranis; 
iortes, grosses vagues. (fig.) Embarras, trop 
grand empressemen!,, exc#s ; exagöration. Fa- 
ver grondes —«, faire ses embarras ; faire 
beaucoup de bruit pour peu de ohose. 

Esciacma, s. f. chose dure, raboteuse,, äpre 
au toucher. * Givre, frimas, gelte blanche. 
Sorte de broderie en or ow en argent. 

Escancninpo, A, pP. p. de Escarchar. s. m. 
zorie de broderie en or owen argent. adj. V. 


respo. 
+ Escancnir, 0.a. (imus.) [riser, or&per ; 
rendre äpre au toucher. v. ». Geler blanc. 
Escinco, s. m. — das colmeias, (anf.) 
Jaction,, la saison de chätrer les ruches. 
Esuapsin0,A,Pp.p. de 
Escanpeän, v. e. &chardonner, sarcler : Ster 
es chardons et autres herbes. (Ag.) Purger (de 
mMauvaissujets,elc.),v.n.(en4.)V. Eıquerdear. 








ESC 533 


EscanpiLno, 8.1. sarcloir : instrument pour 


sarcler. 


Escanpugipo, 4, p. 9. de Escardugar. 
ESCARDUGADOR , A, 8. cardeur, cardeuse de 


EscanpugÄn , ©. @. carder, chardonner Ie 


ESCAREADOR , 8. m. tourmevis : instrument 


d’arts pour tourner les vis. 


° Escanias. V. 7 


° Escanırıcackö, . f. 1. de ehir. 
tion : incision faite sur N peau. ? searifica- 


EscartriciDo,A,P.p. d’Esxcerifcar. 
+ ESCARITICADOR . sm. (t.de chir.) scarifi- 


caleur : lanceties r&unies; instrument de chi- 
rurgie pour faire des scarifications ; pointes 
siguds pour imiter et remplacer l’aclion des 
sangsues, pour lirer je sang d’une maniere in- 
sensible et lonte. 


tEscanıricia , v. 6. scarifier : döoouper, 


dechiqueter, ineiser la peau. 


+ EscanıöLa, 8. f. (1. de bot.) espöce de lal- 


tue. — doce, laitue sauvage; laitue scariole, 
a marga ‚endive, obicoree des jardins, esca- 
role. 


+ Escarıöso, a, adj. (4. de bot.) escarieur: 


sec, aride, qui fait du bruit au contact (fruit, 
feuille —se). 


EscanLita, 3. f. 6carlate ; dtoffe de oouleur 


6carlate. 


EscaaLÄTe, adj. 2 gen. et s. m. 6carlate: 


couleur rouge fort vive, de korm&s ; de couleur 


€carlate. V. Escarlata. 

Escanuarim, s. m. sorte d’scarlate d’une 
couleur inferieure. 

Escarıatina, adj. es s. f. (1. de mid.) scar- 
latine : flövre accompagnee de rougsur. 

+ EscarLarino, A, adj. (8. de bot.) &carlate, 
couleur d’6carlate, de kermös; d’un zouge 
eelatant. 

Escanuetnta, 8.f. V. Escarmento. 

ESCARMENTÄDO, A, adj. que V’exp6rienos a 
rendu avise; fin, exp6rimenis, qui a appris & 
ses depenses; reprimand6d, repris, corrig6 avec 
rigueur. 9. p. de 

ESCARMENTÄR (COM), v.a. röprimander, cor- 
riger, reprendre avec rigueur; maltraiter, mal- 
mener. 

ESCARMENTÄR, ©. 0. OU — SE (de, em, com), 
v.r.s’instruire, s6 oorriger, devenir sage, ap- 
prendre ä ses depens, & ceux d’autrui. — em 
cabepa alkeia,, acquerir de Pesperience aux de- 
pens d’autrui 

ESCARMENTO, 3. m. exemple, experience que 
Fon acquiert ä ses d6pens ou & ceux d’autrui. 
Averlissement, röprimande. Chätiment, puni- 
tion, amende. 

Escannaciö,s. f. action de decharner. 

EscarniD0, A, p. p. d’Escarner. 

EscannapoR, 5. m. dechaussolr : Instrument 
pour döchausser. 

Escannir, v. a. (f. de chir.) döchamer; 
dechausser (les dents). Escarner les cuirs, V. 
Descarnar, 


536 ESC 


Escoımidamänte, ade. avec choix, Aveo 
eleclion; parfaitement. 

EscoLeipo, A, p. p. d’Escolker. adj. ei s. m. 
Htu, predestine & la gloire. 

ESCOLHIMENXTO , s. m. V. Recolha, Rleipdo. 

EscöLno, s. m. $cueil : rocher dans la mer; 
(fig.) chose dangereuse pour lavertu,lestalents, 
etc., Pnonneur, la forlune, qui y &chouent. 

EsCOLIADO,A, 9. p. d’Escoliar. 

EscoLiapon , a. m. V. Escoliasie. 

Escorıan os EscuoLian, v. a. faire des 500- 
« fir, commenter des auteurs grecs. 

EscoLiÄSTE ou ESCHOLIASTE, 5. m. scollaste: 
qui acommenis un auleur grec; par extension 
un suteur ancien. 

Esc6Lı0 ow EscnöLio, s. m. * scolie : note 
grammalicale et critique , remarque pour faci- 
liter intelligence du texte. (f. de malk.) Sco- 
lie : remarque qui a rapport ä une proposition 
precödente et qui la degage des dificultes. —, 


pl. (L. d’hist, nat.) scolies : famille d’hymenop- | V 
ı 


eres. 

EscoLmip0,A,p.p. de 

EscoLnia, v.@. chaumer :Couper le chaunıe, 
l’arracher, lo rantasser. Oler le chaume & une 
chaumiere. 

+ EscoLortnpaa, 8. f. (ti. d’Rist. nal.) scolo- 
pendre : insecte aptöre ow millepieds. Scolo- 
pendre de mer, chenille coraline. ($. de bot.) 
Scolopendre : langue de cerf, plante medici- 
nale. 

EscöLra,s. f. (l. mil.) escorte: troupe, saite 
de gens de guerre qui accompagnent. 

EscoLTiB0,A,p.p. de 

EscoLrir, v.@. escorier : faire escorte; ac- 
compagner pour guider, proltger, conduire, 

LYNO, s. m. ($. de dos.) scolyme : 
plante chicoracee, 

EscoussunGar, etc, V. Bxcommungar, eic. 

ESCONDEALEA 0W 

* ESCONDEDALHA ,S. f. | V. Escondedouro. 

EsconpEpön, 8. m. c&,ul qui cache ; cachot- 
tier. 

Esconpep6uno, s. m. lieu propre & cacher, 
& garder quelque chose ; cachette,, cache. 

Esconpzpöna, s. f. action de cacher. 

Esconpta (em,de), v. a. cacher : metire en 
un lieu od l’on ne peut voir ou decouvrir; vol- 
.er, couvrir, odler, dissimaler. (Ag.) Benfer- 
mer, conienir, comprendre. Alirer e 
end, (fam.) joter la plerre et oacher le 

as. 

Esconpaa-sE (em,de), vo. r. se cacher : se re- 
tirer, se couvrir pour n’ölre pas vu ou Connu. 
—d „se eacher ä quelgu’un, no pas se 
laisser voir & lai. 

ESCONDIDANENTE, ade. secröiement, en ca- 
obetie. 

+ Esconpipas (ds), adv. en cacheile, & la 
derobee, en secret, secretement. Jogo das —, 
s. [. pl. cligne-muselle, cache-cache: jen d’en- 
lanıs dont !’un ferme les yeux et les aulres se 
cachent. 


Escoxpino, a,p. p. d’Esconder. adı. acht, 


ESG 


— na lerre, enlerre : cach6 sous lerre.— 
ramos, couvert de branches, de rameaux. km 
—, en cachette, sans osientation, 

KsconpiLno. V. Kseondrijo. 

EsconbImanto, s. m. l’action et l'elfet de 
cacher, de c#ler. . 

Esconpailo,, s. m. "cache, eachette : lieu se- 
orei pour cacher. —s do coragdo do homem, 
(Ag.) plis ei replis du caur humaln. 

EscoxoriLno. V. Escondrijo. 

Escoxsuriacäö,s. f. V. Esconjuro. 

Esconsuaino, A, p. p. d’Esconjurar. 

Esconstranör, 8. m. celui qui adjure, qui 
exoreise. V. Bxoreista. 

Escoxsurän, vo. a. (aire faire serment & quel- 
qu’un, prendre son serment. Adjurer : com- 
mander au nom de Dieu. V. Exorcizer. — el- 
gum mal, se servir des paroles, des cereme- 
nies de l'eglise pour chasser un mal. 

V. 


Esconsöno, 5. m. V. Conjuro. — da igrejs, 
Exoreismo 


Escönso, A, adj. qui va de biais, en biais; 
penchant. — de cervello ou do miolo, öcerveie, 
qui n’a pas de jugement, Fallar d —a, (enl.) 
parlcr par gestos. 

Escöxso, s. m. rhombe, losange,, angle Ine- 
gal, oblus d’un &difice. Ir de —, bisiser. 

Escontar, etc. V. Desconlar, Computar. 

Esconto. V. Desconto , Caleulo, Compulapie. 

* Escontaa. V. Para, Contra. 

Esconvezzs. V. Escouvens. 

T Escortıno, s. m. (l. de mar.) guipon. 

+ Escortıisuo , s. m. (f. d’ant.) scopelisme : 
action de semer des pierres ou du gravier sur 
un champ pour punir ou menacer le proprie- 
taire, acte qui, chez les anciens, &tait regarde 
comme un crime capital. 

EsLor£ra, s. f. escopelle : esp&ce de cara- 
bine portee en bandouliere; fusil. 

Escoreripa, 8. f. coup de fusil, d’escopetie, 
et sa blossure,. 

Escoreraria, s. f. wilice, Woupe armee de 
Cusils, d’esco . 

PETEAR, 9. @. Urailler : rer plusieurs 
coups de fusil, d’escopette. 

Escorgr&ıno, s. m. fusilier : fantassin armö 
d’un fusil, d’une escopelte. 

Escöro,, s. m. blanc, but auguel on vise; fin, 
Intention, projet, but. 

Escörno, s. m. ciseau : instrument d’aris et 
metiers, plat et tranchant d’un bout; grand ci- 
seau ; fermoir. — curvo, fermoir änez rond. 

Escöna,s. f. accore, &tal, appui, &tancon. 

Escoxivo,a,p.p.de 

Escorir, v. a. accorer, &layer, &lanconner, 
appuyer. — um N#a0io, Sccorer un vaisseau 
sur le chantier. 

EscorÄr, 9. #%. et —SE (em), ©. r. se reposer 
sur; (Ag.) se conficr en, s’appayer, faire fon- 
dement sur. 

EscosaUTico, A, adj. soorbutique : de la na- 
ture du scorbut, qui a le scorbut. 


EsconBüTo, 4, m. Bcorbut ; corruption CAD- 





ESG 


I2zieuse des sang, avec pöldchies, hömorrha- 
gie, etc. 

ExcoataD0, A, pP. p. de 

EscoaGin , 9. @. (6. de point.) peindre en rac- 
coard. 

EscorcnÄpo, A, 9. p. de Escorchar. 

ESCORCHADOR , 3. ms. Celui qui &corche, etc. 

EsCORCHANMREUTO „s.m. action d’ecorcher et. 
ponillement, 

Escoacmän, ©. @. dcorcer; 6corcher. (flg.) 
heponiller. — 0 povo, (fg.) vexer, opprimer leo 
peaple, le surcharger d’impöts. — o segredo, 
d.\arracher un secret & quelqu’un. 

Escorcromtıra , 8. f. (i. de bot.) scorsonnöre: 
sılsiäs noir, plante potagere, 

Esodaco , 8. me. (f. de peint.) raccourei : effet 
de la perspoctive qui raccoureit les objets vus 
de lace; art de les representer. 

Eschanıo, 3. m. (4. de bot.) scordium, ger- 
mandree aquatique : plante medicinale. 

Escöria , 8. f. scorie: substance vitrifide, qui 
tere sar la surface des metaux fondus; laitier, 
mırhefer. (Ag.) " Rebut, lie: ce quiil y a de 
plus vil dans chague espöce. 

Ksconıan , etc. V. Ezcorier, etc. 

Eswarrıcacäkö, s. f. scorification : action de 
rxduire en scorie. 

Escoamici20o,A, 9.9. de 

Esconırıcik, v. a. soorifler : röduire en sco- 
rie. 

FESCORIFICATORIO , 5. m. scorificaloire : tät ow 
truelle & scorifier. 

Esconsin. V. Torcer et Esgorjar. 

Escornäpa. V. Cornada. 

Escoanäpo, A,p.p. de 

Esconnin, v. a. frapper des cornes ; donner 
um coup de corne. (fig.) Maltraiter, trailer avec 
Inepris, 

EsxoanıcniB0, A, pP. p. de 

+ Escoanicaän, v. a. frapper avec de petites 
carnes. 

Esconoin. V. Descoroar, Desmantelar. 

t Esconopönıa, 8. f. (tl. de bot.) germandrete 
Lurage ‚Sauge sauvage , sauge des bois: plante 

biee. 

rEsconptna, s. f. (1. d’hist. nal.) rascasse, 
scorpene : poisson Ihoracique. — parda, ver- 
rssco de mar ou ctanlarılko, rascasse poro. 
— avermelhada ou inha, Tascasse 
Inie. — volanie, rascasse volante. 

Esconmäd, s. m. scorpion: insecte aptöre, ve- 
nimeax, torrestre; signedu zodiaque;; catapulte 
manuelle, machine de guerre des anciens. Es- 
corpiöes , 9. sorte de fouet en forme de queue 
de scorpion. — do mar do Norte, scorpion de 
mer, poisson du genre du colte ;crapaud demer. 

Escöaro. V. Kscorpidd. 

+ Esconriöa , s. f. (4. de bot.) chenillette: 
plante Jegumineuse. 

Esconniruas, o. f. pl. baissiere : reste du 
vin,etc., prös de la lie. 

+ Esconazpüna, 5. f. la portion de ligaide 

yo reste apr&s ia mesure, ot qui degoutte dans 
enlonnpir ou alligurg, 


ESC 537 


ESCORREGABIGO, A, ady. glissant: qui schappe, 
qui glisse ais&ment. 

Escorr£capi0, a, adj. glissunt : sur quol on 
glisse ais&ment, sans pouvoir se tenir ferme. 
Memorie —e, ( ig.) memoire faible, qui ne re- 
tient pas. 

EsconnzscaDöuno, s. m. ondroit glissent, 
casse-cou. 

ESCORREGADELLA. (90P.) V. Escorregadurs. 

Esconnztanöra , 8. f. glissade : action et effet 
de glisser. ( Ag.) " Faux-pas, faute. 

ESCORREGAMENTO,, 5. m. glissement , glis- 
sade. 

Escoanzcän, o.". glisser, en parlant du pied, 
d’en corps qui coule sur un corps gras ou uni; 
fsire un faux-pas. S’&chapper, se glisser aise- 
ment. ( fg.) Couler facilemeut, s’schapper, en 
parlant du temps, etc. (id.) Dire ou faire quel- 
que chose par inadvertance, faire un faux-pas. 
— a lingus, dire quelque chose Inconsidere- 
ment, sans reflexion, avec imprudence. — da 
memoria, s’eflacer de la me&moire, sorlir de 
Pid6e. — na prefica a oulro proposilo, faire 
Jans le discours une transition insensible ; 
passer d’une matiöre & une autre. 

EsconazcävaL, adj. 2 gen. V. Escorregadio. 

Esconatıro, A, adj. (1. pop.) sain, bien por- 
lant, qui n’a point de mal, qui n’ost point 
blesse. Sdo e —, sain et saul, sain et entier, 
sans aucun defaut corporel. 

Reconnka , v. a. &puiser, vider jasqu’ä la der- 
niöre goutie; laisser, faire öcouler ow couler. 
(1. de mar. aut.) Cötoyer. 

Esconntr, vo. #. degoutter : tomber goutte ä 
goutte; deoouler, &couler, en parlant d’un li- 
quide. — de ou em suor, dire tout en Sucaur. 
— em sangue, eire degouttant de sang. 

Esconnino, A, 9. p. d’Escorrer. 

EsconnoPIcHiBO, A, p. pP. de 

EstonRoPicHÄir, do. @. (I. burl.) boire, avaler 
jusyu’ä la dernidre goutte. 

Escorrınivo, A,P.Pp. de 

Escostinir, o. e. (6. de fort.) garnir de cour- 
lines. 

Escökva, 5. f. ” bassinet; amorce; poudre 
qu’on met dans le bassinet. 

Escorvino, A, p.p. de Escorvar. 

EscoxvYaDOR, 8. m. instrument pour amoreer 
un canon. 

Escoaväs, v. 6. amorcer : garnir d’amoroe 
(un fusil, ete.). 

Escoazongina. V. Escorcioneira. 

° Escosznöra, V. madura. 

* Escostn. V. Descoser. (fig.) Ferir, Arouler, 
Magoaer. 

* Escosıutnto. V. Damno, Ferida. 

Escosıore. V. Befusiote. 

Eschra, s. f. (t. de mar.) dcoute: cordage & 
deux branches pour teudre les volles. Larger 
— por mäo, filer toute Y’6coute. — de solavente, 
&coute de revers. — interior d’um culelle, 
$coute des dtuines. 

Escörz, 3. m. 6cot, quote-part; portion de 
depense (de tsble, etc,) que ohacun paye, 


538 ESC 


Escor£ıras,s. f. pl. (t. de mar.) * biltons ou 
pelites hiltes;; seps d’ecoutes. — das adrigas, 
seps des drisses. — das amuradas, laqucis A 
orejlles, taqueis de Lournage ou A caur. — de 
mezena, seps de drisso J'arlimon. 


EsCoTRıRo,a,adj.qui yoyage libre, degage, | P 


sans suile ni bagage. 

ESONTILBA, 8. f. (#.de mor.) &couülle: trappe 
dans le tillac pour y descendre. — grande, 
grande &coutille. — de proa, €coutille de la 
fosse aux cAbles. — de poppa , &coutille de l’ar- 
riere. Quarleis das —s, panneaux des &cou- 
tilles. 

EscorııLniö, s. m. (d.de mar.) * &coutille de 
vivres dans un vaissean ; scoulillon & pan- 
neau. 

t Escorisuo, s. m. scolisme : socte de Jean 
Scott, qui adınes les farmalitss 94 qualites me- 
lapbysiquement, 

+ EscoTisTa, 8. m. scoliste, pamisan de Scolt, 

Escortomia, s. f. (f. de med.) scolomie : ma- 
ladie des yaux;; verlige avec ehscurcissement. 

Escougino, A, p.p. de 

Escoucär, v. a. degonder, 

EscoucEipo, A, pP. p. de 

TEscotcEir, 9.8. Zuer, lancer des coups de 
pied , regimber. 

ESCOLcinBAn0, A,P.P. de 

+ Escoucınnir, v. a. freg. malizaiter, bles- 
ser avpc des coups de pied reilärös. 9. a. Laun- 
cer heaucoup de coups de pied. 

Escousar. V. Escusar. 

EscAuvans ou Escouvas,s. 9. Pl. (J.de mar.) 
&cobans, ecubiers : trous (dans ja proue d’un 
vaisseau ) pous passer le cäble de l’ancre. Pdos 
ou columnas dos —, apölres. 

Escöva,s. f. brosse , vergelie. — cam cabo de 
pdo para limpar 0 [undo do ahviw, "goret. 

Escovipo,A,p.p. de 

Escovän, v. a. brosser, vergeler. (fig. burl.) 
Batire, rosser, mallraitez. 

Escovans,. V. Bscowcens. 

EscoviLua ‚3. f. lu terre et la poussiere qu’on 
balaye dans los ateliers des orloyres. 

EscovinBa, 8. f. pelite brosse, pelite vorgelle. 
Saie : petite brosse d’orfevre. — ou derva —, 
(t. de bot.) centauree des bles; (vwlg.) bluet, 
barbeau, aubifoin, aubitou. 

Escoxir. V. Alimper, 

Escozım&nto. V. Queimadura. 

EscrAMENTÄR , eic. V. Escarmenlar, etc. 

Escräva,s. f. femme esclave; negresse. 


ESCRAYAGEN, les esclaves d’un pro- 
Escravania 0% |pietire; grande quan- 
Escravatıma, 6. [./tild desclaves. Lom- 


mercio de —, traite des ne 

Escnavkına,s.f. V. Cracelha. — do ouvido 
de pera, (l. de mar.) *etoupillon. 

Escaav£ıuo. V. Escaravelho. 

Escravınäö, 2. f. "esclavage, servilude, 
captivite. (flg.) —, asservissement aux pas- 
nions. 

RAVINHO, A, 8. jeune esclayc, gargon, 
Alle esclave, 


ESG 


FcsrAvızAÄdo,A,p.p.de 

f Escravızar,, v.a. esclaverf: rendre esclare, 
[ra Assujelir, aygis pous sa Alöpendance, 
endre esclave. 

EscrÄV0, A, 8. esplare, captjf : ui a perdu 
a liberte; qui est cn capsivile;; (Ag.) qui esien 
Bervitude, assujelli, sous ig dependance d’an 
malire ; assujetli A une passion. — da sue pe- 
Iaurs, esclave deaa paro)g,, qui Ja lieni ezacie- 
ment, Ser um —, Alre is alla & auy aflaires 
domestigues, ä ses dewoirs, en Aire psclare; 
fire esclave, Ar&s-assujetli. 

* ESCRAVONA, f 6e de in acier. 
SCRAYOSINO, 8. /. dim. d’Escravg. 

Escnsuenzo. Y. Excremento. 

* Escrepvaninpa. V. Escriveniabe, 

® EscREPYER. V. Eurrever. 

Escaevepön. V. Escrevinhador. 

Escrevönte, s.m. ecrivain, copisie, commis 
&crivain, clerc. 

EschEv£r, v. a. Ccrire (sur): Araper, Ögurer, 
former des leitres, des caraclöres. —, Compo- 
ser un ouvrage d’esprit. (0\ — A, faire une 
lettre, une missive. — 08 bens d’alguem, (1. de 
par) confisquer les bieps de quelqu'un. — em 

onze ‚ecrire sur le bronze. — 2a areig , ecrire 
sur le sable. — de pragrio gunha, gcrixe de sa 
pain. »- com carvdo a uma parede, gharbonner 
une muraille. 

EScCAEVEeR-SE, 2. r. s’ecrire: re, deyair eure 
£crit. Se correspondre par lelires, fire en cor- 
respondance. S’inscrire. 

+ Escacvia, s. fe. — de calafalg, ( 1. de wear.) 
caisse des calfateurs; selle A cglfat ; escabesu 
de callaj. 

Escnzvipo, a (Y. Zeerito), p. p. d’Escrerer. 

EscrEvIixHADOR,, 8. m. griffonneur, barbouil- 
Jeur;; ecrivailleur, &orivassier. 

VinuÄß, v. n. griffonner, barbouiller; 
&crivailler, ecrire beaucoup et mal. 

Escnis4 ,s. m. scribe : docleyr, interpr&te de 
1a loi judaique. (Ag. et burl.) V. Escrirdö. 

} Escrinıo, 3. m. portefeuille. V. Papeleira. 


u. 
Escrita, 8. f. ecriture: caracleres &crils. 
Escrıtingo, s.m. dim. d’Bscrilo. Petit billet. 
ESCRITO 08 —IPTO, A, 9. p- irr. d’Esererer. 

adj. Ecrit. (1. de pras.) Conlisque. Tomar per 

—, prendre, mellre par &crit. Tilo — ns 

frenie, ne pouvoir cacher une chose. Por —, 

adv. par ecrit. 

Escnıto, 3. m. €crit : ce qui est derit; acte 
portant promesse ou convention ; ouvrage, li- 
vre. Billet. — de dirida, billes ou reconnsis- 
sance. — de desaflo, cartel. — de casamen!o, 
fiancailles, promesse de mariage. —s , pi. ecri- 
teaux : morceaux de papier blanc colles sur 
les porles ou croisees (en Portugal), servant & 
indiquer que la maison esi A louer. 

EscRITOR 0% —PTOR, 5. m. ecrivain, au- 
teur. 

ESCRITORINNO, 8. m. dim. de ' 

Escattönıo ou —PTORIO, s. m. bareau : Fieu 
desiing & l’espedition de certsines affaires, 


ESC 


Sorte d’armoire en margueterie, etc., avec plu- 

sirurs compartiments en dedans. Bureau & ren- 

ferner des papiers. Cabinet, &tude. Comptoir 
de negociant. Greffe : bureau, &tude ou I'on 
garde leg registres. 

Eraırera ou —rröra,s. f. ecriture:: aclion 
eteffet d’6crire; ecrit, ce quiest Ecrit. Acte pu- 
Dic pass& par-devant notaire. —, Ccrit, parolo 
de Dieu ; les livres saints, la Bible. — sagrada, 
Eeriture sainte, Pancien et lo nouveau Testa- 
ment. — de freiamenio, charte-partie. — de 
ompromisso , comprom!s, acie de coınpromis. 
— despera ou moraloria, lettre de repit, sur- 
seance. 

Escarrunacäkö, 3. f. tenuo des livres de com- 
merce, etc. 

Escemruripo,A,p. p. de 

Escrrturär , v. a. coucher sur les livres; te- 
nir les livres de commerce. Instrumenter, faire 
des actes publics par-devant notaire. 

EscriTuRÄR-SE, ©. Tr. s’engager par un acte 
Botarie. 

EscarprunÄrto, 8. m. teneur de livres. (anf.) 
Homme consomme dans les livres saints. 

+ Escrrrünitico, A ‚adj. de Y’Ecriture sainte, 
qui concerne /’Ecriture sainte. 

Escaıvania , s. f. "notariat: fonetion , emploi 
de notaire. j 

Escrıvanina , 8. f. 6eritoire de eabinet. V. 
Eırrivamia. 

Escrıviö, s. m. notaire, tabellion , greflier : 
offlcier qui passe et qui regoit des actes. — do 
publico e nolas, notaire public. — da camera, 
secretaire d’une municipalild. — da puridade, 
(ant.) grand notaire ou greffier royal, qui &cri- 
vait les lettres closes du roi; seeretaire du roi. 

+ EscnoruL.änıa om EscnopnoLänta, 8. f. (1. 
de bot.) scrophulaire ou scrofulaire : plante de 
la didynamie angiospermie. — dos rios, scro- 
fulsire aquatique, betoine d’eau, herbe du 
siege. — nodosa ou fElida, grande sorofalaire 
commune ou des bois; serofulaire, herbe aux 
terouelles. 

EscröruLas , 8. f. pl. (f. de med.) scrouelles, 
serolales. 

EscaoruLdöso, A, adj. scrofuleux, qui a des 
serofales, les ecrouelles; qui cause, qui &t- 
eompagne les &crouelles. 

EscröroLo, 3. m. scrupule : polds de 24 
grains, ou 24 partie d’une once. 

Escröro, s.m.(f.d’anaf.) scrotum : bourses, 
membranes qui enveloppent les testicules. 


EscaupuLAR. 
ESCRUPULEAR. | V. Eserupulizar. 
EscaupuLizip0, A, pP. p. de 


EscaupuLizir, ©. @. causer, inspirer des 
serupules (p. ws.). v. w. Ayoir des sorupules. 
Avoir scrupule,, repugner ä faire une chose. 

EsonöruLo,a. m. V. Esohöpulo. ( Ag.) Scru- 
pule : doute, inquieiude, Irauble de la eon- 
science qui fait Fegarder comme faule ce qui 
Re l'est pas, ou comme crime une faute lögöre; 


douie de la oonstienoe. (id.) Soin minutieux 


ESG 59 


Fazer — de dansar, etc., se faire serupule de 
danser, etc. 

EscrürtLösamente, ade. serupuleusement : 
d’une manidre scrupuleuse, minutieuse, exacte, 

+ EsenurpuLosıväne, 5. f. serupule : grande 
exactitude. 

EscrupuLOSt8StMO, A, adj. sup. de 

EscRuruLö80, A , adj. scrupwienx : qui adcs 
scrupules ; minultieux, exact. 

Escrotino,A,9.p.d’Bscrular. 

ESCRUTADOR , 5. m. enqueteur, serutaleur. V. 
Esquadrinhador. 

Escrurir, dv. a. scruler : sonder, examiner ä 
fond , chercher ä pencirer dans les choses ea- 

chees. S’enquerir, faire une enquete. 

ESCRUTINADOR, 8. m. scrulstenr: celuf qui 
compte les voix au scrulin. V. Zserslador. 

Escrotinio,s. m. scrutin : election par suf- 
frages secrets. ” Recherche, perquisition, en- 
quete , examen. 

Escuvivo, A, 2. p. de 

Escupir, v. a. proteger, defandre, oouvrir 
d’un bouclier. (fg.) Gerantir, defendre, pre- 
server d’un danger; servir de bouclier & quel- 
gqy’un. 

Escuvär-sE (com), v. r. so couvrir de, 8\e- 
hriter sous. (fg.) Be prevaloir. se serwir de l’ap- 
pui, de la protection de quelqu’an pour se ti- 
rer d’embarras. 

Escupeıränd, A, adj. acoompagne, praobde 
d’un deuyer. 9.9. de 

EscupeirÄr, v. a. et w. serrir d’douyer, 86- 
eompagner en &douyer. 

EscupeirÄTico , A, adj. d’Ecuyer ou page. 

+ Escupsirice, 5. f. (p. %s.) fonetion, em- 
ploi d’an &cuyer dans une maison. 

ESCUDEIRINBO , 8. m. dim. de 

Escup£ıro, 3. m, &cuyer:: servant d’un chewa- 
lier, qui portaitson deu. —, gemlälbomme au ser- 
vice d’un grand; celui qui est au service d'une 
dame, qui lui donne ta main pour l’sccomipa- 
gner. — fidalgo , dcuyer : titre d’un simple. gen- 
tiikomme , d’un anobli. 

Escupeıro, A, adj. (l. de vener.) bätle de 
eompagnie. Poreo —, jeune sanglier qui en 
suit un autre plus vioux. 

Escup£LLa, s. f. deuelle : piöce de vaisaelle 
pour le potage. 

EscupgLLipo, A, P. pP. do 

EscopeLLÄr, v. a. remplir une &cuelle; par- 
tager (le bouillon ‚la soape, elo.) par &ouelles, 

Escun£te, s. m. dim. d’Escudo, (1. de bias.) 
petit deu d’armoiries, petil &cusson. Ecusson, 
platine de serrure. 

+ EscupiLno, s. m. (f. de bat.) &cusson, Su- 
bercule de lichen. 

+ EscupıLnöso, A,adj. Lichen —, ( 1. de bot. 
lieben qui a des &cussons, des tübereules. 

+ Escupixua, s. f. (4. de bot.) *clypeolo alys- 
soid6, bouclier de Narbonne : planto cruci- 
fere. 

Escuninto, 3. m. dim. de 

Escuno , s. m. bouclier, 6cu : arme defensive, 
Ecusson, 6cu d’armeirics. Eon, monnaie d’or 





540 ESG 


d’argent. (Ag.) Beuclier, defense, e#gide, 
appui, protoclion. — d’armas, dcusson : ecu 
d’armoiries. — de enzerio, enie en &cusson. 
Enzerlar d—, beussonner, enter en dcusson. 

Escupaımnmäa ‚etc. V. Esquadrinkhar, eic. 

® ESCDERGUNzIRA. V. Escorcioneira. 

° Escuıtäa, etc. V. Escutar, etc. 

+ Escu.irias, 8. f. Pl. (1. de myth.) escola- 
pies : [&les d’Esculape. 

EscuLirio, 8. m. (4. de myth.) Esculape : 
dieu de la medecine. (podi.) Fameux medecin. 

EscuLin. V. Escolar. 

* EscuLcas. V. Inculcas. 

® EscuLoaınnär, etc. V. Esquadrinkar, etc. 

+ EscuL£xto, A , adj. alimenteux , qui nour- 
rit; bon A manger. 

+ Esccu£to. V. Esculo bastdrdo. 

+EscuLo ‚s. m. (8. debos.) marronnier d’Inde; 
chätaignede cheval, chätaigne chevaline. — bas- 
Sardo , chöne grec, pelit chene. 

EscuLPipo, A, p. p. d’Escuipir. 

EscuLripon. V. Escultör. 

EscuLrin (em), ©. a. sculpter, graver; ci- 
seler. 

EscuLTöR, 3. m. sculpteur : celui qui sculpte; 
ciseleur. 

EscuLtüna, s. f. sculpture : art de scoulpter; 
euvrage de sculpteur ; ciselure. 

Escöua , s. f. &cume : espedoe de mousse sur 
Peau, sur es liqueurs; bave des animauz; 
suour en Nocons du cheval; scorie des malie- 
res fondues. (Ag.) Scorie, lie, rebut. 

Escunuantına, s. f. ecumorre : ustensile de 
cuisine, etc., peros de trous pour dcumer. 

‚„A,P. pP. d’Escumar. 

+ Escuuanor, A,adj. (pP. us.) dcumeur, qui 
&cume ; doumeux, qui jeite, qui pousse !’e- 
cume, 


Escuniıma,s. f. mächeler, scorie des 
EscumiLno, s.m. meötaux fondus, 
Escumants. V. Espumantie. 


Escumin, v. a. doumer : Öler l’&cume, souik- 
ler avec de l’d6cume. —bravalas, (Ag.) laire des 
rodomontades. 

Escumir, vo. ». dcumer:: jeter de V’ecume; 
baver. — de reive, dcumer de rage,, manilester 
involontairement sa fureur. 

EscuniLna, s. f. cendree, pelit plomb : dra- 
g6e de chasseur. Espece de gaze; crepe. 

Escuuös0, A, adj. dcumeux : plein, oouvert 
@’ecume, qui la jette, la pousse. 

+Eschna,s. f. (l. de mar.) godlette : bäti- 
ment & deux voiles de cinquante & oent lon- 
neaux. 

+ Escurtinos, #. m. pl. ( 1. de mar.) guipons, 
tenes. 

Escupin. V. . 

Escounautnte, edv. obscurdment: sans clar- 
14; oonfusement, inintelligiblement. Basse- 


ment, 

Escönas (ds), ade. dans l’obscurits. (Ag.) A 
Paveugle, aveuglöment, sans lumiöre. Andar 
ds —, (Ag.) aller & tätons dans une affaire. 
Deirar elguem ds —, (id.) frustrer quelqu’un 


ESC 


de son altente,, le laisser avec un pied de ue, 

Escunsceoon, A, adj. ei 3. obscurcissan, 
qui obseurcit. 

Escvaecir ,v. a. obscureir : rendre obscur; 
ternir. (fg.) —, diıminuer l’&clat, rendre meins 
brillant; offusquer la saison, l’er.tendemeni; 
decrier, deerediter. 

Escunscea, v. 9. se [aire lard, oommencer ä 
faire nuit. 

Escunzcha-sE, v. r. s’obscureir, se osurrir, 
parlant du temps ; s’&clipser. (Ag.) Se lerair. 

Escunscino,A,P.p. d’Escurecer. 

° Escunentin. V. Rsceurecer (n. @.). 

* Escuatza. V. Escuridade , Escuriddö. 

Escunipide , s. f. obscurite : privation dels- 
miere; ombre &paisse d’un bois, etc. (Ag )Can- 
fusion, defaut d’ordre dans un &crit, ete. Ob- 
sourit€ d’un mystöre , d’une enigme. ” Obscer- 
cissement de vue, 

Escorıpäd, s. f. grande obscurite, Wenebres, 
(Ag.) Obscurits de style, etc. * Galimatias. 

Escunissino, A, adj. sup. de 

Escino, A, adj. obscur, sombre, tEnebreer 
(ig.) Peu connu, de basse naissance; diffcile 
ä entendre, qui s’exprime avec confusion & 
obscurits. On le dit des parties d’un tablesu 
qui ne sont pas edclairees. —, sombre,, presqee 
noir, fonc#, parlant des couleurs. — , qu’on & 
peine & voir,& Jistinguer. (Ag.) Noir, triste, 
melancolique, lugubre. Y6z —e, voix soarde. 
Cör —a, oouleur obscure, sombre, foncke. 
Eıtar ou faser —,, [sire une nuit obscure, (aire 
noir. O claro e—, le clair obscur : imitation de 
effet que produit la lumiere en &clairant les 
surfaces qu’elle (rappe, et on laissant dans 
Pombre celles qu’elle ne frappe pas. 

Escön0, 3. m. obscurcissement ; obscurite. 
Ficar no —, rester dans l’oubli. Meiterne—, 
cacher, celer. (t. de peint.) V. Escuro,, adj. 

+ EscuarıLınanz , s. f. (p. us.) bouffonne- 
rie, plaisanterie grossiere. 

SCÖSA , 8. f. excuse; oxemplion, 

* Escusica. V. Escusa. 

Escusaciö, 8. f. (pP. ws.) exomplion, demis 
sion acceptee. öl. V. Escusa. 

+ EscusinAN&nte, adv. inutilement, en vain; 
sans necessile. 

Escusipo „A , P. p. d’Escusar. adj. Superlie; 
mis & l’6cart ou au rebut; inutile. Exempt de... 
Röservö, separ6, dont on ne se sert point. Noa 
necessaire : qu’il ne [aut pas dire, ni faire. Be- 
querim&nio — , pelition rejeide. Z — ou couss 
—4, il n’est pas besoin ou necessaire, il est 
inutile. — d fallar wisse, ilest inutile d’em 
parler. 

T Escusapor, 9. m. (f. de preis.) dtienseur 
nomme d’office & un accase. 

Escösa-CALt, 8. m. nom d’une ancienne em- 
barcation. 

Escüsau£nte , ade. en secret, secrtiemmemt. 

* Escusanca. V. Escdss,. 

Escusäa, ©. 6, excuser, jostißer. (de) Exemp- 
ter; 6riter, emp6cher ; refuser de faire quelque 
chose. Pouvoir s6 passer, n’aveir pas besoin 


ESF 


de. Rpargner; mönager. Pöde-se — esie gaslo, 
on peat se passer de cette depense. — um re- 
j ‚ meiire ndant sur une requele. 

Escusir (de), v.». n’avoir pas besoin de. 

Escosän-se (de), v.r. s’excuser : se dispen- 
ser de faire une chose; s’en exempter, s’en de- 

. (com ) S’excuser, se justifler, faire 
ss excuses. — da compankia d’alguem , pren- 
dre congd de quelgu’un , laisser sa sociel6 pour 
tesiter seul. Eschsa-se lanla pressa, lanla ha- 
bilidede, ete., il n’est pas besoin de tant d’em- 
pessement, de tant d’adresse, cic. Tudo o que 
nie ka, sescusa,  fem.) de ce quel’on n’apas, 
on sen passe. 

Eschho,a (de), adj. exempt6, dispense de; 
en reiraite, qui n’est plus en activile de ser: 
viee. Retir6, &cari&, solitaire ( lieu, demeure, 
ee.\,seeret, cache. Dont on ne se sert plus. 
Bairer e sair por poria —a, enirer et soriir 
wcachetie, ä la dörob&e,, en secret. 

Escira,s. f. action d’ecouter ; &coutant, es- 
poa, mouchard ; vigie, vedette, sentinelle, 
mei de nuit. Ecoute : compagne do parloir. 
Bterd—, &tre aux &coutes. 

Ectripo, a, 9.2». d’Escular. 

ADOR, A, 3. celui qui ecoute ; &couteur, 
koulant, quiest aux ecoutes. 

ir, v. a. 6couter : preter l’oreille; &tre 
sur agueis, aux dcoutes. — com allengdö, pre 
iet une oreille allentive. 

Bicrrin-sE, vo. r. s’scouter parler; avoir 
top de soin de ses paroles. 

Escrruunid. V. Escotilhäo. n 

choso &trange , bizarre- 

Ba alaet y. 7ie; drölerie, äröle de 

Essaixuro, a, adj. (Verso —, vers) quia 
Une syllabe de trop, et l’accent sur Pant#penul- 
ltme, Ex.: Exercito, titwlo, bendvolo : c’est une 
esptce de dactyle. ( Ag.) Eirange, bizarre, dröle. 

"Eszapano. V. Desherdädo. 

"Esiraı, corruption du latin ef calere. 

Essackıo, ete. V. Esphacelo, etc. 

Esyaınanıssimo, A, adj. sup. de 

Karıımipo, a, adj. affams, presse de la 
iin. (4g.) Trös-avide. V. Faminto.p.p. de 

Esyaımia, o. a. affamer : causer la faim. 

Esramszano. V. Esfaimado. 

Esraımein. V. Esfaimar. 

EsssLripo, A,p.p. d’Esfalfer. 

EsraLmanento, 5. m. &puisement de forces. 

Esrausin, o. a. harasser, €puiser, faire per- 
dre haleine; oxc#der de travail. Epuiser les 
forces par des exe&s ventriens. 

Essanszcin-sg. V. Afadigar-se, 

EspyanzLäno, A, p. p. de 

EssangLär, v. a. bluter, rödeire en son. 

EsfanzLÄn-SE , ©. r. 56 Föduire en son. 

Essıanarino, A, adj. dechire, döguenille, 
depenaille. p. p. de 

ksrannarin,o. a. döchirer, meitro en pidces. 

Essırıändo, A, ?. pP. de 

Esrutıin, ©. a. couper par tranches (le pain, 
elc.). (Ag.) Mettre en pieces. 


ESF 


° Esseuenga. V. Vehemencia, 

Esrena, elc. 

Esringe, eic. V. Esph..., eic. 

EsrinctenR. 

EsrLonan, etc. V. Desflorar, etc. 

Esrocän, etc. V. Desafogar, eic. 

EsröLacinas, 5. m. malfaiteur, scölerat. 

EssoLino,A,p. p. d’Esfolar. 

EsFoLapOR, v.6. &corcheur (d’animaux). 

EssuLanüna, s. f. dcorchure, enlörement 
partiel de la peau ; endroit de la peau e&corche. 
Action, peine d’&corcher une be£te. 

EsröLacito,s.m.(pop.etburl.)*semonce, r&- 
primande. "Interpretation force&e (des lois, eic.) 

EsroLin, v. a. &corcher : öter la peau d’un 
animal ; enlever l’&corce d’un arbre; (ig. fam.) 
faire payertrop cher.O rabo & o peiord’—, (pop.) 
n queue est ce qu’il y a de plus difficile & &cor- 
cher. 

EssoLär-se, v. r. s’&corcher : s’enlever la 
peau, se faire une &corchure. 

EsröLa-vicca, s. m. (8. de prov.) vent du 
nord-ouest. 

EsroLuipa, 8. f. action d’effeuiller le mais. 

EsroLni00,A, 9. pP. d’Esfolhar. 

EsroLuaDOR, 5. m. celui qui effeuille le 
mals, etc. 

EsroLuir ‚v.a. effeuiller le mals, les arbres. 

TEsroLnös0, A, adj. (t. de bot.) aphylie, 
sans feuilles. 

EsroLiacäö, etc. V. Exfoliagdo. 

EsroLinuänpo, A, 9. p. d’Esfolinkher. 

EsroLıinHADOR, 3. m. celui qui &pousselic, 
qui netloie. Ramoneur, qui ramone les cheıini- 
nees. (fig. fam.) Curieux : qui remarque, qui 
observe tout. 

t EsroLınuanpöuRo, 8. m. &couvillon : autil 
pour .nettoyer, pourramoner les chemindes, elc. 
dt. V. Gübarbeira. 

EssoLinuär, v. a. ramoner : nelloyer une 
cheminse. Nettoyer ce qui est sale; &pousscler. 

Esrönzino,A,p.p. de 

Esröuzin, v. a. affamer : causer la faim; 
öter les vivres, la nourriture. V. Esfaimar. 

EsroncäDAaMeNnTE, adv. avec eflort; coura- 
geusement, vaillamment. 

EsroRcaDissimo, A, adj. sup. de 

Esroacino, A, p. p. d’Esforgar. adj. Coura- 
geux, valeureux, vaillant, brave; fort, puis- 
sant, robuste. s. m. (ant.) V. Inforciaso. 

EssonGADOR, 8. m. celui qui encourage, qui 
donne du oourage,, qui anime. 

Esroncir, v. a. encourager, animer, donner 
da oourage. Fortifier : donner plus de force. 
Corroborer ; confirmer. — a vöx, parler haut, 
$leveor la voix. 

Esrongin, 0.n.acquerir de la force; erotire, 
se fortifier. S’encourager, prendre du courage. 

Esroncia-se, vo. r. V. Esforgar. vo. ». (por, 
em, a) S’eflorcer ä uw de. Se conlier, prendre 
conflance ; s’appuyer. 

Esrönco, s. m. courage, valeur, vigueur, 
bravoure. Effort : action que l’on fait en s’effor- 
gant. *Conflance, assurance, Eesperance; Be- 


541 





542 ESG 


cours,faveur , aide. Faser —s por..., s'ellorcer 
de, ä; lächer de... Fazer o ullimo —, faire les 
derniers eflorts. 

+ EsraancaLni0o, A, adj. couvert de hail- 
ions. p. p. do 

EsrnancaLBia. V. Esfarrapar. 

Esrr£ca, s. f. action de ncitoyer en frollant. 
(i9.) Semonce, r&primande. 

Esrascaciö, 5. f- action de rotter, frolle- 
ment, friclion. 

Esfn£cAD0, A, p. p. d’Esfregar. 

EsraecanöR, 3. m. [rolleur : celui qui frotte, 
qui fait des friclions. Frottoir ; outil pour frot- 
ter. 

Esrnecanöra, 8. f. Irottement, friction, ac- 
tion de frotter. 

EsrrEeciLno ow torchon, lavette; frot- 

Eseazciö, s.m. | toir, brosse, linge pour 
[rotter. 

Essazcaunto. V. Bıfregadüra. 

Esrnecär, v. a. frolter, torcher, &curer, net- 
toyer en frotiant; faire une [riclion. ll est aussi 
reciproque. 

Esrkıap0, A,p.p. d’Esfriar. 

Esraıapön, A, adj. qui refroidit, refroidis- 
san. 

EseriaDOn ou Esfnianöund, 8. m. vasc A re- 
froidir (de !’eau, etc.). 

ESFRIAMENTO, 3. m. refroidissement : dimi- 
nution de chaleur. ıf. de v#ler.) —, maladie 
du cheval, morfondure legere. 

Esrrıin, 0. a. refroidir : rendre froid; ra- 
fraichir, diminuer la chaleur. (fg.) —, dimi- 
nuer l’ardeur, l’activite; ralentir. e.n. —, de- 
venir froid; (Ag.) diminuer d’ardeur, d’acli- 
vits. Il est aussi r&ciproque. 

EsraoLino,. V. Esflorddo. 

Esrauncnir, etc. V. Desfrunchar, etc. 

rEsrunaciö, s. f. (t. de peint.) action et 
ceffet d’estomper, de poncer. 

Esrumi00, A,p. p. d’Esfumar. 

rEsrunino, 8. m. (t. de peint.) dessin es- 
tompe; dessin poncd, pique et froti& avec la 
ponce. 

tEsrumir, v. a. (f. de peint.) esiomper : 
Ciendre le trait d’un dessin avec l’estompe; 
ıdessiner & l’astompe avec des couleurs en pou- 
dre ou pastel. Poncer. V. Estrezir. 

rt Eseuuinno, 5. m. (1. de peint.) * estompe : 
rouleau de peau conp& en pointe, pour estom- 


per. 

Esronacin, etc. V. Esburacar, etc. 

Esrusiäna, 3. f. — d’arlilkeria, volde d’ar- 
tillerie. — de venfo, coup de vent. 

Esrusıin. V. Assobiar, Soprar. 

EsrusiLin. V. Seiniillor. 

Esrusiote, s.m. (f. burl.) emportement; 
forte reprimande; alerte. 

Escacan. V, Esgargar. 

Escapenuar, etc. V. Desgadelhar, etc. 

t Escurvoripo, a, adj. (p. us.) maigre, d6- 
charı6 comme une nouelte (gaivola) ; efllan- 
que, grand et maigre. 

EscaLcino, Aa, adj. oflanque, malgre comme 


ESG 


un lövrier ‘galgo). — de fome, affame, qui meurt 
de .aim. 

FscaLuino, A, P. p. d’Esgalhar. adj. V.Des- 
galhddo. il. Couvert de rejetons; quia beau- 
coup de bois, parlant des ceris. 

EscaLuir, v.a. elaguer les scions, &bran- 
cher, argoter. V. Desgalhar. 

EscaLHÄR-Sg, ©. r. se courrir de rejelons, 
parlant des plantes. Avoir des andouillers, 
parlant des cerfs. 

EsciLro, s. m. scion, argot, rejelon. An- 
douiller ow cors : petite corne du bols ducerf. 

EscaLnÄcHo, #. mw. mauvaise herbe.V. Eı- 
talracho. 

EscaniD0,A,p.p. d’Esganar. 

Escanapöra, &. f. action d’elrangler, &tran- 
glement. (l. de mar.) " Cul de porc double, 
naud des haubans. 

Escanir, 0o.a. etrangler; &toaffer. — com 
stde , (g.) faire mourir de soif. 

ESGAnAR-se, ©. r. s’etrangler. it. V. Esge- 
nipar-se.— com sede , avoir une soll excessite. 

Escaniga00, A, p.p. de 

Escanıcin,o.n. et —se,v. r. glapit: faire 
un cri pergant et aigu comme les petits chiens; 
s’egosiller.— na Irella, (fig.) pröcher dans le 
desert. 

EscaraBULHinO, A, p.p. de Esgarabulker. 

EscarAaBuLHlö, 8. 0u adj. m. qui saule, Päl- 
lant d’une toupie. (Ag.) Remuant. 

ESGARABULHÄR, ©. ®. sauler, parlant dene . 
toupie. (Ag.) Eire remuant (p. us.). 

Escanarunnin. V. Esgaravalar. 

Escanän-se, V. Esgarrar-se. 

ESGARATUJÄR, 0. @. ou m. ariffonner. 

EscARAVATÄDO, A, p. 9. de Esgaravalar. 

ESGARAVATADOR , 8. m. öplucheur ; qui epla- 
che. — dos dentes, cure-dent, — dos outides, 
cure-oreille. 

EscaravaTÄr,d.a. fouiller, gratter la terfe: 
se dit des poules, etc. (Ag.\ Eplucher une 3l- 
faire. — os denies, 08 ouvidos, se curer le 
denis, les oreilles. — os narizes, fourrer | 
doigts dans le nez. 

, Tscanavariı ‚s. m. outil de menufsier. 
SCARAVUNCHAR. 

EsGaRAVONBAR. Y. Eigoraosier. 

EscarciD0,A,P.p.de 

TEscarcÄR, v0. a. rompre, deöchirer;crerar 
ser. ll est aussi neulre ei reciproque. 

Escänzs, 3. m. pl. * griinaces. 

EstcaRai00, A,Pp. p. d’Esgarrar. 

Esoanniö, adj. m. Tempo, vente —, temp 
ou vent contraire; loımptie, coup.de venl.s. M. 


I Sorte de jeu d’enfants. V. Arreburrinko. 


EscanrÄR, v.a. 6garer : deiourner du droit 
chemin ; &carter de sa route, söparer d'un con- 
voi, parlant des navires. 

Escanrin, o. 9. ei—se,v. r. (1. de mar.) 
deriver, s’&carter de sa route; so separer d’an 
oonvoi. V. Desgarrar-se. 

TEscazgino, A ,adj. blöme, päle. Brillant, 
qui a de l’cclat, 


ESG 


EscoaJino, A, adj. decollei&, sans col, ni 
eravate. 9. p. de y 

Escorsir, v. ». brüler d’envie. 

Escorävo, A, p. p. d’Esgolar. 

„scoranon „A, adj. et s. qui öpuise, qui 
. 

tEscorandaa, s. f. aclion d’&puiser, de vi- 

der. 

+Escoramento, s.m. V. Esgotadura. Epul- 
sement : &tat de ce qui est Epuis. 

Escorir, v. a. öpuiser, larir; metire A 00; 
vider, egoutter. (flg.) —, ne rieti oublier;pren- 
äre tout. 

Escorik, ©. #. et —sE, 0. r. s’epuiser, finir, 
&tretari. (Ag) Eire &puise, 

Escörz, 4. m. action d’&puiser, d’&goatter; 
epuisement. 

Escöro, s. m. V. Esgote. canal d’dcoulement. 

Pseriftino,A,p.p. do 

+Escnarıäa, v.a. (fl. de peint.) peindre en 
sgrafit, en mänidre egratignde. 

Escaaratir. V. Esgaravatar. 

*"Escravıria. V. Queizar-se, Lastimär-se. 

Escrima , 8. f. escrinie: art de faire des ar 


mes, de se servir d’une ärtme blanche. Mesire 


€ malire @’armes, mafırg en falt d’armes. 

Escaımär. V. Esgrintir. 

Escnısino, A, p. p. W’Rigrimir. 

Esorıkinön, 8. m. escrimenr :homme AYui 
entend Part d’eschimer. Gladialeur. Casa d’—, 
(fg.) maison saus meubles. 

+ Escnmmmöra, 3. f. action d’escrimet. 

Escrımin ,v. d. manler (l’&p6e, le sabre, etc.), 
tancer (le Javelot, ctc.); (49.) agiter. 

Escasmik , v. #. escrimer : se battre avec des 
Seurets; faire des artııes, ferratller. (Ag.) Dis- 
puter, argumenter. 

Escrourfänd, A,adj. ets.efflangqud, grand 
et maigre. 

+Escnorıwino, A, adf. maigreet päle. 

* Escoandamexto.V. Esguardo. 

"Escvarpir. V. Altender, Considerar, Res- 
guardar. . 

"Esctärno, s.m. egard. V. Respeillo, Cw- 
d4do, Recdiv, Resquardo. 

*EscraziD0,A,p.p.d’ 

*Escunzir, o. 8. passer & guß. 

* Escuiz0, 8. m. Passage d’une rividre A gu£. 
But. 

+ Escuzınir, v. a. detourner, enlerer Adrol- 
tement. 

Escurinän-se, v.r. (fam.) s’ohfulr ä la de- 
rob&e ; Fesquiver, Betlipser. 

Escutita, 5. f. obliquit@, blals, travers. 
De —, adv. de cötle, de hials, de travers. Olhos 
de —, yeux de itavers. (fiy.) ORil jalour, mil 
d’envie, Estar de meta—, ( fam.y etro ınal 
assis, n’etire assis que sur une fesse. 

EscueLninamente,, ado. obligucment; de 
travers, de blais. . 

Escueızino , A, 9. p. d’Esquelhar. 

® Escueıniö, 3. m. Cöl&; travers, bials. 

Escusimär , v. a. poser de bials, fairt blal- 
ser ‚situer, placer obliguement ou de travers, 


. ESM 543 


Escuriö , s. m. toile do lin tr&s-fine, toile de 
Hollande. 

EscuicHino ,A,p.p. de 

Escuicuär, ©. q. faire Jaillir un liquide ; se- 
finguer quelqu’un. v. n. Jaillir : saillir, soriir 
impötueusement, parlans d’un fluide.., 

EscuicHo, s. m. pelile seringue d’enfanis; 
canule de seringue; jet d’eau, Jaillissament; 
tuyau de fontaine. 

Escvio, a, adj. eile, efllanqus ; delie. 

EscüncHo, #. m. 6cope & laver les dehers 
d’un bateau. 

Esıariö ou —vÄß, s.m. crochetdelampe qui 
s’accroche. (1. de oeidr.) Eparvin : maladie dy 
cheval, qui consiste dans une lumeur au jarre}. 

EsLaproino, A,p.p. de 

EsLaproir, v.a. (l.d’agrie.) &bourgeomners 
Öter les bourgeons superflus d’un arhre, 

BsLacarTiDo,A,Pp. p. d’Eslagartar. 

ESLAGARTADOR, A, 8. Cchenilleur : ouvsier 
qui echenille. 

suacanrin, 0.4. &cheniller ; öter les che» 
nilles. 

Esıaväd, V. Eslabäß, 

" Esıger. V. Eleger. 

‘+Esıinca, &. f.(t. de mar., eslingue :corde 
pour soulever. 

Esmino,A,p. p. d’Esmar. 

Esmanricin0, A, p.p.de 

Esmapricän, v. a. egarer du trqupeau. Il edt 
aussi recipröque. 

Esmaeckd,v.n, (inus.) so recuelllir am 
soi-mieme. 

Esuacino,A,P.p. de Esmagar. _ 

EsmacanOR, A, adj. et s. dui dcrane, qui 
€csthe. 

ESMmacADURA ‚3. f. meurtrissure; action d’& 
eraser, d’&cacher, de froisser ; &cachemeuh, 
foulure. 

Eswacäir, vu. @. ecraser, fouler, &cacher, 
menrtrir. 

Eswatar, etc. (ant.). V. Desmaiar, elc, 

* Esmarnir,elc. V. Desmalhar, eic. 

+ EsuaLnido, A, adj. (1. burl.) noncha- 
lant, negligent; insouciant. - 

EswaLtido,A,P.p. d’Esmallar. 

ESMALTADOÖR, 3. m. emailleur : celui qui tra» 
vaille en email. 

EsmaLrtär, v. a. dmalller : tourfir, orner 
d’smail, appliguer l’cmall. (Ag.) Embelhr, 
orner, decorer de fleurs, de treits d’esprit, etc. 

Esmäurs , s.m. &mail : camposilion de verre 
oolor6 , de sels 68 de mötaux, appliguöe sur un 
metal ; ouvrage en &mail. (Ag.) Varietö de vou- 
leurs, de üeurs; &clat. (f. de peind.) Azur: 
couleur d’un mineral du möme nom. 

EsmanıAdo, A, PP. dd 

+ESuMANIÄR, 9.9. (P. US.) OXtravaguor,arpir 
une manie. 

Eswir. V. Orsar. 

* Esmaricoa. V. Esmeralda. 

EsmARELLIDO, A, V. Amarellado. 

+ Esuansino, A, adj. sec, Jesseche. (p, us.) 

EswscHäpa, 4. [‚ blessure ä Ja lele, 


- 
. ” 





548 ESM 


Esutenan0, A,p.p. de 

°Esuszcuän , v. a. blesser ä la täte. 

+ Esutcus, 5. m. (8. de möd.) smegme: 

rgatif employ6 par les anciens dans les ma- 
dies de la pean. 

Esuznsunipo, A. V. Desmedido. 

Esuensuninca. V. Desproporgdö. 

HANERÄDANENTE, adv. avec out le soin pOs- 
sible. 

EsuzraDissıno, A, adj. sup. de 

Esuenivo, a, 9. pP. d’Esmerar. adj. Achers, 
ini, perfectionne. Poli, recherche. 

EsuzriLva, s. f. &merande: pierre pröcieuse, 
diaphane, d’un beau vert. —s em bruilo, ° mo- 
rillons , &meraudes brutes. 

EsuzrAaLDinO, A, adj. de couleur d’eme- 
raude. 

Esuzrin, 0.8. singalariser, distinguer ; per- 
fectionner. Polir, nettoyer, rendre luisant. 

Esuzrir-se (em), v.r. faire tous ses efforts 
pour ötre exact et parlail, pour exceller dans 
une partie queleonque ; donner lous ses soins, 
toute son attention &. 

EsusaiL, s.m. &meri: pierre, mine de fer 
dure,brune, röfractaire, pour polir les me#- 
taux, les pierreries. Petite piöce d’artillerie un 
peu plus grande que le fauconneau ‚ ömerillon. 

EsueaiLuacäö, 8. f. ( Pop.) perquisition, en- 
queöte. 

Esuzanaivo, A, p.p. d’Esmerilker. 

EsMERILEADOR, 5. m. qui polit avec l’&uneri. 
(pop. Ag.) Qui recherche minutieusement, en- 
quöteur, fureteur. 

EsuzaıLnid, s.m. smerillon : asalon, le plus 
petit, le plus vif des oisoaux de proie; petit 
esnon ; arquebuse. 

Esuznıınin, o.@. polir aveo l’ömeri. (pop. 
fig.) Rochercher minutieusement ; furoter, 
fouiller. 

EsmznıLnia-se, v. 7. ( Ag.) se polir, se per- 
fectionner ; soigner beaucoup sa toilette. 

Esußno, s. m.” recherche : soin pour perfec- 
tionner. Soin, perfection, diligence. 

EswicaLsi00, A, p.p. de 

EsuicaLnän, v.a. 6mier, &mieller ; öcraser, 
broyer;; bacher, meltre en mille morceaux. Il 
ost aussi r&ciproque. 

EswioLino, 4,9. 9. de 


EsuıoLia, o.e. öter la mie ou la cervelle. 

Esutuca00, A, p. p. d’Esmiuger. 

Esmiucanon, 8. m. (Ag.)homme minuticur; 
“plucheur, qui examine de pre&s. Celui qui mei 
en poudre, en miettes, en petites parties. 

Esuiucia, 0. . hacher, &mietter, meitre en 
petites parties, en poudre ou en miettes. ( Ag.) 
Eplucher, examiner de pres, en detail. 

Esuwiungan , ete. V. Esmiugar. 

Remo, s. m. ° estimation. V. Orcam#nto. 
4#’—,edo. & la boulevue, au hasard. Alirer 
“—, tirer, decharger au hasard. Saber as 
cousas 8 — , saveir les choses sans fondement, 
superficiellement. Fallar a —, parler inconsi- 
derement ; avec incertitude,, d’une manidro 


ESP 


douteuse. Canter & —_— 
ou sans accompagbemen 

t Esmoznor, s. m. broyeur, qui pile, qui 
triture; qui digere. 

Eswoße,, u. «. broyer, piler, trilurer; di- 
gerer. 

EswöLa, 8. f. aumöne : ce qu’on donne aus 
pauvres par charitd. Empregar, applicer ben 
as suas —s, placer bien ses aumönes. 

EsmoLino, a,p. p. d’Esmolar. 

* EsvoLadön, a, adj. V. Esmoler. 

EswoLia, 0.6. aumöner : donner past at- 
möne (p. us.). v. ». Donner, faire ’aumöne. 

EswoLaria, 5. f. aumönerie ; beneßce claus- 
tral pour la distribution des aumönes ; pidce ou 
on les distribue ; charge d’aumönier. 

EsuoL&ıno,s.m. quöteur d’aumönes. 

EsuoL&a, adj. 2 gen. aumönier, charilable, 
liberal envers les pauvres. 

EsmoLta , 5. m. aumönier. — mör, grand 
aumönier. Leigo —, Irere lei queteur dau- 
mönes. 

Esuouinua , 3. f. dim. d’Esmole. 

Esuönpa. V. Monde. 

Esmonpir,v.a. V. Mondar. it. Notioyer L 
maison. 

Esuontria. V. Esmoular. 

Eswonzckr, vo. a. decourager, faire perdıe 
courage. ( fig.) Fietrir, faner. 

Esuonzctr, 9. ». perdre Courage, se laser 
abatıre ; se decourager, manquer de ower. || 
est aussi r&eciproque. — subre cause Du 
pessoa, cherir, aimer quelqu’un ou quelyue 
chose tendrement, du fond du ceer, inlime- 
ment. — por alguma cousa, desirer une chose 
avec ardeur. 

Esuoascino, A, p. p. d’Esmorecer. 

Esuorscım&nto, s. m. decouragement, abak 
tement de caur. * Passion , amour exir&me. 

Esuovrir, v. a. V. Desmouter. Faire use 
eoupe dans un bois; &monder (les arbres). 

Esmunnacan. V. Espiviler. 

Esuunnia,v.a. V. Espivilar. i$. (Ag. pop. 
— a, venlas a alguem, donner des coupe de 
poing dans le nez, dans la ligure de queiqu’ea. 

TEsurana, s. f. (f.de gdogr.) Smyrne: ville 
de la Turquie asiatique, dans l’Anatolie. 

tEsuvianzo,A, adj. de Smyrne, qui appaf- 
tient & Smyrne. 

Esuocia. V. Quebrer, Desgelher. 

* Esnöca. V. Synagoge. 

Es6rAcO 08 —PHACO ,, 8. m. (6. d’anel.) @80- 
phage : canal de la bouche & Festomse, 

Esöro. V. Hys6po. 

EsraciD0, A, pP. p. d’Äspagrer. 

ESPACAMENTO , 5. m. espacemen! : action 
d’espacer; prorogation , ajournement. 

Esracär, 0.6. donuner plus de Iomps; ajour- 
ner, proroger ; accorder un delsi ; espacer, d+- 
later. 

Esracäka, vo. n. marcher leniement, & pas 
meosures (pP. us.). 

+ Espacgsaminto, s.m, (1. dimpr.) ESpace- 
ment : action d’espacon 


chanter Sans mesun, 
t 


ESP ESP 545 


Earıvalno, A, adj. qui a les dpaules larges. 

Esranuino, A, P. 9. d’Espaduar. 

+ Espapuripa , 3. f. coup d’epte. V. Pran- 
chäda. 

EsrapkırO, 3. m. fourbisseur: oelui qui lour- 
bit, garnit ou vond des öpees. \ 

Esrankura ,s. f. espade, brisoir; paletie de 
cordier. Sorte de rame longue et forte qui tient 
lieu de gouvernail dens certaines barques 
(sur le Douro , en Portugal). 

EspapgLLin, dv. @. espader : donner Pespade 
au chanvre. 

“+ EspapgLLkıro, s. m. marinier qui tient 
le gouvernail d’une barque. V. Espadella. 

+ Esrapice, s. f. (6. de bot.) * spadix ow spa- 
dice ; axe rameux qui porte les #lamines et le 
pistil. 

. tEsPapDiceo, A, adj. Flor —a, (t. de bat} 
spadic6 : qui a des spadices. V. Enrocada. 

EspapiLna, 8. f. (1. de jew d’hombre) spa- 
dille : l’as de pique. 

Espapim , s. m. sorte de pelite &pee courie: 
fleuret. Ancienune monnaie J’or poriugaise, 300 
reis; #4. de cuivre argente, 4 reis. Pelit poisson 
de mer, qui ressemble & la sardine. 

EsrapintHa, s. f. dim. d’Espada. Petite epee 
courte. Pi&ce d’ornement de femme en forme 
d’epee. 

EsripoaA, s. f. epaule. V. Omoplata. 

EspapoADO , A, adj. qui a l’epaule demise,. 
p. p. de 

+ Espavoär, v. a. demettre l’epaule. Il est 
aussi neutre. 

+ Espacirıa, s. f. spagirie : chimie medioi- 
nale. 

+ Espacirica, 5. f. spagirique : analyse des 
metaux; recherche de la pierre philosopbale, 
de l’art de faire de l’or. 

* +Espacirico, A, adj. spagirique. Chimiea 
—6, chimie spagirique. V. Espagirica. 8. 
Spagiriste : qui sadonne & la spagirie. 

ESPAIRECER , 9. n. prendre l’air, se distraire, 
se reoreer. 

Esriupa, 3. f. epaule; dos ; Epaulidre ; dos- 
sier de chaise. — d’um baluarte, flanc d’un 
bastion. Cadeira de —s, * fauteuil. V. Costas. 

EspıLpiö,s. m. aug. d’Espalda. (1. de fort.) 
* Barriere ,reiranchement, &paulement; digue, 
levee. 

EsraLpir,s.m. dossier d’une chaise. * Epau- 
liere : armure de l’epaule. 

EsPALDEADO, A, pP. p. de 

EsPpaLpeÄR, v.a. (I. demar.) se rompre aveo 
impetuosite contre la poupe d’un vaisseau, 
parlanı des vagues. 

Esparpeina, s. f. housse pour couvrir les 
dossiers des fauteuils.—do corsoläte, epauliere: 
pidce d’armure ancienne qui defendait les 
€paules. nu 

EsraLDEiripa, &. f. coup de plat d’epee sur 
les &paules. 

EspaLotra, s. f. dim. d’Espalda 


Esracgsän, v. a. (6. d’impr.) espacer : metire 
des espaces entre les mols. 

"ERpACIAR-SE, v. Tr. 30 röcrber, ögayer l’os- 
prit, 

Espacıo8issımo ou —GOSISSIMO , adj. aup. de 

"Espacı6so, a. V. Espagoso. 

Esrico, 8. m. espace : etendue de lieu entre 
deux terınes ; ötiendue de temps; intervalle 
entre les lignes de musique. Delai ; ajourne- 
ment, Retard, lenteur, flegme. (1. d’impr.) 
-, pelit morceau de plomb, plus bas que 
lalere, qui se met entre les mols pour les 
Kparer. De —, ade. doucement, posement. 
Seir 6 —, se röcr6eer, 8’amuser en se prome- 
nant, Ndo fer — para..., n’avoir pas le lemps, 
le loisir de... —s imaginarios, espaces imagi- 
taires, visions, [antaisies. —s enire as cavernas 
dum navio , mailles. 

EsracosamänteE,, ade. spacieusement : en 
Fand espace, au large. 

Esrac0s0, A, adj. spacieux, vasio, d’une 
grande &tendue. . 

Esrina,,s. f. &p6e : arme offensive et defen- 
sive,aigud, & longue lame triangulaire ow en 
one plat. ( Ag.) " Glaive, arme ; force, auto- 
nie; violence ( de la douleur, etc.). — branca, 
epee d’acier luisant, telle qu’on la porte, et 
dont on se sert. — pröia, fleuret & faire des 
armes. Desembainhar a —, degainer, meltre 
flanberge au vent. Entrar coma— na mdö, 
ontrer l'’epee & la main. ( Ag.) Entrer dans un 
emploi en se montrant violent, brusque. Tirar 
°—-, lirerl’&pee. (Ag.) Prendre la defense de 
Quelgu’un. Pör a — aos peilos d’alguem, pre- 
senter & quelqu’un la pointe de l’epee. Levar 
ou metter tudo d— , faire main basse. Peixze—, 
espadon ou epte de mer. —s, pl. " pique : une 
des quatre couleurs du jeu de caries. Dansa 
de—s. V. Halachins. 

RsrapacHim, 5. m. spadassin, breiteur, fer- 
rilleur. 

Rspananon, s. m. * espade, brisoir. 

Espanäna, 8. f. (4. de bot.) iris bulbeuse; 
kagetle ,glaieul,, floxe d’eau, flexiere aquatique: 
plante. — bastarda. V. Tubüua larga. — de peixe. 
V. Berbatana. — d’agoa, jet d’eau. — de san- 
pe jaillissernent de sang. — de fogo, lance & 
nun Sammeöche. — de com£la, queue de co- 
mele, 

Espapanipo, A, 9.p. d’Espadanar. 

Espapanär, s.m. lieu od il ya des sagelies, 
des glaieuls. 

TEspapäuzo, A, adj. ( Folhas —as, 1. de 
bot.) V. Ensiforme. 

Fspapanir, v. a. joncher de sagetles, de 
slafeuls, (Ag.) de fieurs, etc. (les rues, eic.). 
*.n. Jaillir. 

Espapäd, 8. m. aug. d’Espada. Espadon : 
large &pee & deux mains. Epee large pour la 
Cavalerie. * Rapiere. 

EspapAn. V. Espadellar. 

Espanänrz;, s. m. (1. d’hist. nat.) scie ou es- . 

Padon : poisson du genre du chien de mer, | EsrALminamense, ade. (P.us.) cher ik, s4- 
ünemi de la baleine. parement' 
PORT- FR, ad 






















586 ESP 


Esrırnino, A, P.p. d’Eıpeihar. adj. Repan- 
du, &pars. . 

ESPALHADOR, A, 8. celui qui röpand; quidi- 
- vulgue, qui publie uno nourelle. 

EsPALHADÖURA-06 — OIRA, 8. f. * instrument 
d’agriculture pour 6tendre la paille. 

EsraLnarito, 5. m. bruit, remue-mönage. 
(Ag.) Desordre, confusion. (an}.) Sorte d’an- 
eien canon. 

EspaLHA0cADO,A,P9.p.d 

Esraruacir, 9. a. (#. rest.) der la paille 
aux bles. 

ESPALHAMENTO, s. m. &panchement; &pat- 
pillement; divulgation. V. Espargimento , Dis- 

säd. 

EsraLuir, o.e. reöpandre, dpandre, disper- 
ser, dissiper, diss6miner, &parpiller; divulguer, 
publier. —os olhos, iristezas,etc., se distraire. 


EspaLnäß-SE, 9. r, Be repandre, se disper- 


ser; se divulguer. 

+ EspiLno, s. m. (ti. d’artill.) espace entre 
les deux flasques d’un affüt. 

EspaLmino,A,Pp.p.de 

EspaLmär, v.a. aplatir: rendre plat. Parer 
le pied d’un cheval. (t. de mar.) Espalmer ow 
spalmer : enduire un vaisseau de suif, de brai, 
de goudron. 

EspiLto,s.m. (1. de peint.) spath : couleur 
transparente, propre & aflaiblir les teintures. 

Espanino,A,p.p. d’Espanar. 

EsPAnanOR, 5. m. balai de plumes,, plumail. 

Espanin, v. a. &pousseter les meubles. 

EspanAscino,&A,Pp.p.de 

Espanascäin, ©. a. öter le pandsco.V. co mot. 
(Ag.) Purger des mauvais sujets. 

Esrancino, A,p.p. de 

Esrancik,v. a. baltre, frapper, rosser. (fig.) 
Chasser en donnant des coups. — 0 mar, croi- 
ser inutilement sans trouver de vaisseaux en- 
neomis. 

” Espanpäpo, A. V. Expanso, Extenso. 

* Espanvınpöna. V. Expansdö, Exiensdb. 

° Espann6po, a. V. Estendido, Espagoso. 

Esramsıino,A,P.p.de 

EspangJär, 9. a. &pousseter; secouer, Öter 
la poussiere. 

ESPANEJÄR-SE „©. r. ouvrir les ailes pour se- 
eouer la poussiere, parlant de la poule, etc. 
(Ag. fam.) Agiter sa robe en marchant, parlant 
d’une femme; &tre long, diffus dans un dis- 
cours, dans un sujet, eic. 

Espanol, etc. V. Hespankol,, etc. 

EsranRoLtta, 8. f. ancienne danse espa- 
gnole; son air. 

EspantTAnico, A, adj. ombrageux, craintif; 
tiınide. 

Espantipo, A, P. p. d’Espontar. 

+ EspanTanporR, s. m. celui qui 6pomvante, 
qui fait peur. 

ESPANTALHO, 5. m. öpouvantail : haillons 
mis au bout d’une perche pour dpouvanter les 
oiseaux. (Ag.) Chose, personne qui fait peur, 
meme sans pouvoir nuire. 





ESP 
EsrantaLönes, 5. m. bagusnandier. V. (o- 


lütea. 


Esrıuvin, 0. a. &pouvanter : eauser de !'t- 


pourante. Etonner; etourdir. Chasser une per- 


sonne, les eiseaux,, jes poules , ed. 

Espantän-se (de), 9. r. s’epouvanter; avoir 
peur. — d’admiragdö, dire saisi d’&lonnement, 
d’admiration. 

EspaNTÄVSL, adj. 2 gen. tpouvantable. V. 
Espantoso. 

Esrinto, 5. m. * 6pouvante, eflrei, frayeur. 
* Menace : geste menagant, effrayarı. Bionne- 
ment ‚, admiration. Fazer —s, s’etonner ; ioL- 
ver &trange. Fazer —s d’alguem , represenier 
quelqu’un oomme terrible. 

ESPANTÖSAMENTE, ado. *pouvantablement, 
avec &pouvante. Etonnamment, d’une manitre 
etonnante. 

Espantosissıno , A, adj. sup. de . 

EspanTöso, A, adj. epouvantable : qui eau90 
de !’epvuvante. Etonnant : qui etonne, qu! 
surprend. Merveilleux, superbe, prodigieut 
admirablie. 

Esvrananprä. V. Sparadrdpo. 

Esraraviö,s. m. ($. de veldr.) eparvin : TR- 
ladie du cheval, qui consiste dans une tameur 
aux jJarrets. 

EsparAvEL, 8. m. *garniture de parapluit; 
garniture de franges d’un lit. panel 

*plaine, rase cam 

+ Esrancäı , ou chte d’un flcuvo, elt. ’. 

TEsranceL,s. m. | pn oreal. 

ESPARCELÄDO, A, adj. ( f. de mar.) V. Aper- 
celado. Terra —a, (1. d’agr.) rase campaf*ti 
plaine. 

ESPARCIÄNO. 

EspancıÄta. } V. Espartdno. 

Esparpzina, s. f. V. Empareddda. 

EsparcEcea. V. Espairecer. it. Desparert, 


Esperecer. 

Espincko. V. Espärgo. . 

* Espar6GELar. V. Derramar, Espargir. 

Esrancino,A,P. p. d’Espargir. odj. Epars, 
repandu. 

ESPARCIMENTO,, 5. m. öparpillement, eluston, 
&panchement : Paction et l’effet de repandr?, 
de semer gä et ld. 

EsranciR, ©. a. repandre, verser, epanche!. 
epandre , &parpiller. — rdsos, darder de: 
rayons. 

+ Espinco, s. m. (1. de bot.) — herten« °' 
medicinal, * asperge : plante potagäre, 8 1‘ 
d’arbrisseau. — do monie , asperge ä feuilles © 
&pines. — brdvo ou dos Ansigos, aspetge ' 
feuilles aigu&s, asperge sauvage. ‚30 come 0” 
no monte, (fam.) on le dit d’un bomme GW! 
n’a ni parents, ni amis, qui vit tout sel. 

Espanackö,s.m. sorte d’etoffe de zoie Pit! 
doublures. 

*EspanraLHino, A, adj. V. Eopalkide ei 
Estirddo. (1. pop.) On le dit des chases 7" 
devraient etre jointes, et qui soms iräs-6081® 
l’une de l’autre, 





ESP 


Espannzcino , 8. m. plat d’herbes fricassees. 
ui.p.p. de . 

Espannzcin, ©. a. fricasser ou appreter des 
berbes, faire un plat d’herbes. 

Esranr£LLa, s. f. "lacet, collet, lacs, trappe, 
alirape, piöge. Ceir na —, denner dans le 
pitge ou dans le panneau, 

ARR ‚v. a. (8. de prov.) repandre, 
verser ( de l’sau ) autour. 

Esrinsa, s. f. sorte de po6sie en vers de six 
syllabes. 

Esrinso, A, adj. öpars, dissemins, repan- 
du ; detaehe. 

tEsriata, 8. f. (6. de geog.) Sparte : ville 
de la Horse. 

EsrarräL, 5. m. obamp, lieu abondant en 
sparte. 

Esranräuo, A, adj. et s. Spartiate : de 

rie. 


tEsrarranfa, s. f. “quartier, rue oü l’on 
fait, ou Pon vend des onvrages de sparte. Spar- 
terie: manufacture, ouvrage de tissus de sparte. 

Espantkıno, s. m. ouvrier en Sparte, qui 
vend des ouvrages de sparte. 

Espanränmas, s. f. pl. sorte de sandales de 


sparie, 

tEsranrtoros, s. m. pl. (1. dant.)" gardes 
de nuit institu6s par Auguste, surlout pour 
les incendies. Leurs habits et leurs souliers 
talent faits de brins de gen&t ou de Bparte. 

Esrirrıımino, A, p. pP. de 

EsPARTıLBÄR , ©. a. mettre un corps, un cor- 
set (& une femme ); lacer un corset, etc. 

EsPARTILBAN-SE, ©. r. 86 Serrer avec un C0T- 
set; se acer son corset. 

EspaarıLutıno, A, 8. faiseur ou faiseuse de 
corsetg, 

EspıRTiLuo,, s. m. corps de jupe, corset. 

Espaatır. V. Despartir. 

Espinzo, s. m. (1. de bot.) Sparte, genät, 
jonc d’Espagne : plante graminee. — basidrdv, 
alvarde. Corda de— , sparton : cordage de ge- 
net d’Espagne. 

*t EsparveL, s. m. 6öpervier : oiseau de 
proie. 

tEsranvonänpo, A, adj. qui a an &parvin 
(cheval, etc.). 

Espırzino, etc. V. Repargir, Derramar, eıc. 

Eseasmin, v. a. causer du spasme. V. Pas- 
mwar.(1.de med. p.us.)— se, v. r. ölre atlaque 
d’un spasme. 

Espisuo, s. m. spasme : erispation, Contrac- 
ton , conrulsion de nerfs. 

Espasmönıco , A, adj. spasmodique : descon- 
vulsions, des spasmes ; qui lient du spasme. 

TEspasmoLocia, s. f. (1. de med.) spasmolo- 
gie : trait6 sur le spasme. 

Espassen , eto. V. Espapar, ete. 

tEspitna, s. f. (t. de bot.) spathe : enve- 

fpe membraneuse qui contient les boutons 
des fieurs. 

Esritno, s. m. (4. de mindr.) spalt, spath, 
spal : pierre oalcaire feuilletde „ oalcinable, 
Kansparenie, 


ESP 


Espatımino,A,Pp.p. de 

T Essarırin, v. a. (l. pop.) mettze en pioces, 
en morceaux. (%g.) Prodiguer, dissiper (son 
heritage , sa fortune, etc.). 

EspiruLa, s. f. spawie : instrument de phar- 
macie, rond par un bout, plat par l’autre. 

t EspatuLino, a, adj. ( Folha—a, t. de bot.) 
spatule& : (feuille —e) en forme de spatule. 

ESPAYENTÄDO, A, 2. 2. de 

tESPAVvENTÄR, ©. a. epouvanter, effrayer; 
&tonner. Il est aussi Terıpaoyque. 

tfEspavänto.s.m.",ouvante, eflroi; eton- 
nement. (fam.) 'Ustentation, monire affeeise 
et vaniteuse ; grand apnarat, Chose d’sclat. 

EspAvORECiDO, A, adj. 6pouvanis. V. Bope- 
vorido. " 

EsPAVORIiDO, A, adj. effray&: tourments par 
la frayeur. p. p. de 

Espavoria, ©. a. eflrayer : Gauser de la 
frayeur ; faire peur. 

t Espär ou Espamı, 8. m. spahi : cavaliar ture. 

Espzcino,Aa,p.p.de 

Espzcir, v. a. 6layer, dlanconner. 

+Especıa, s. f. (4. de gdog.) Sperre ou 
Spezzia : ville et port de l’aneienne röpubligue 
ligurienne; golfe des Btats-Sardes ; Ile, golfe ct 
ville de Moree. " 

EspecıiL, adj. special, particulier, singulier ; 
excellent. 

Especiauipäne, s. f. specialitö: determine- 
tion d’une chose speciale; particularit#; dis- 
linction. 

EspeciaLissımo, A, adj. sup. de Bspecial. 

EspgcıaLızÄno, A,Pp. pP. de 

ESPECIALIZÄR, ©. @. speeialiser: indiquer, 
dösigner specialement. Partieulariser, speci- 
fer; donner la preference &. 

ESPECIALIZAR-SE , dv. r. 58 specialiser; so dis- 
tinguer. 

EspEcıALMENTE, adv. spöcialement : d’une 
maniere spöciale ; parlicullerement. 

Espsciaria, s. f. epice, &picerie : toute sorlc 
d’epices. 

Esptcız, 8. f. V. Bspeciaria. 

Bspscıez, s. f. (1. de seien.) espece : division 
d’ötres apr&s le genre ; sorte ; image, apparence, 
representation. Notion, opinion. ($. de prat.) 
—, cas particulier. —, cas, fait, point dent il 
s’agit. Fruclos em — , espece : denrees en na-- 
ture. Pagar em —, payer en espece, en. der 
r6es, en nature. Pagar em boa —, payer en 
espöces, en pieces de monnaie. Especies, pl. 
(#. de mus.) differents tons qui entrent dans 
une pitce de musique. — 0u — 8 es, 
(1. de lithurg.) espoces sacramenlales : appa- 
rences du pain et du vin apres la eonsepration. 
(1. de pharm.) Especes, poudres composees. 

Espzcıtiro, 8. m. &picier : qui vond des 
öpices. 

Esprcımicagiö, s. f. specification : expressian 
et determination des choses particulieres en .es 
specilant. 

EspEcırIcADAMENTE, adv. speciiguemens : 
d’une manidre specifique ot particuliere, 


547 


548 ESP 


EspecırickDO, A, pP. p. d’Especificar. 

Esp£ciricamente. V. Especihcddamente. 

ESPECIFICAR,, ®. a. specifler, particulariser; 
exprimer en detail; determiner en particulier. 
Marquer, constituer l’espece d’une chose. 

Esrecirco, A, adj. specifique : prFopre spc- 
cialement & une chose (remede, elc.). Qui ınar- 

que, constitue l’espece d’une chose. Peso —, 
pesanteur specilique d’un corps, son poids 
eompare & celui d’un &gal volume d’eau. 

Espe£cirico, s. m. (l. de med.) specifique : me- 
dicament dont l’eflet est certain dans un cas 
donne. 

ESPRCIÖSAMENTE , adv. spöcieusement: d’une 
manidre specieuse. 

Espzcıosıpäne, 6. f. perlection ; beaute, belle 
apparence. 

Especiosissımo, A, adj. sup. de - 

Esrecı6s0,, a, adj. beau, precieux, parfait. 
(Ag.) Specieux : qui a une apparence de verite 
et de justice (raison, preiexie, motif‘). 

EsrecräcuLo, s. m. spectacle: toul ce qui 
attire les regards, l’allenlion; reprösentalion 
theätrale,, cer&monie publique. 

EsPECTADOR, 3. m. specialeur : t&moin ocu- 
laire; qui assiste au spectacle; (fig.) celui qui 
regarde, observe sans agir. 

Espactativa,s.f. expeclalive: espoir de suc- 
ceder dans un benelice apres la mort du beneli- 
dier ;espoir d'’oblenir un emploi, une gräce, elc. 

t EspectäveL, adj. qui ımerile d'eire vu, ob- 
serv6, conteinple. 

Esr£ctno, 8. m. specire, fantöme; figure 
fentasliyque; ( Ag.) personne häve et maigre. 

EsrscuLacäö, 8. f. sp6culation : action de 
speculer en general; (4. de comm.) calculs, 
combinaisons commerciales. 

EsreEcuLA0o, A, pP. p. d’Especular. 

ESPECULADOR, 8. m. speculaleur : qui sp6- 
cule; observaleur; (4. de comm.) qui lalı des 
speculations, des combinaisons commerciales. 

EspscuLin, v. a. speculer : observer curieu- 
sement; ezaminer, subtiliser. 

EspecvLia (em), v. m. (8. de comm.) sp6culer 
sur: [aire des speculations. (sobre) —, medi- 
ter, rellechir attentivemens sur quelque chose ; 
faire des projeis, des raisonnements sur les 
matiöres poliliques, cominerciales, etc. 

EspscuLarta. V. Catöpirica. 

EsrzcuLativa, 8. f. speculative : science qui 
w’arreta A la speculation. Faculis speculative. 

EsPECOLATIVAMENTE, ade. avec altenlion, 
soin, application , spöculation ; theoriquement. 

EsPpEcULATiVo, A, adj. speculatif: qui a cou- 
4ume de spe6euler ; qui est l’objet de la specula- 
«ion ; qui s’arrete & la speculalion: Theorique. 

EsptcuLo, s.m. speculum, instrument de 
ehirurgie. 

EspepaciDo, A, adj. *pars, repandu, dis- 
perse; interrompu, non suivi. p. p. d’Espe- 
depar 


r 


Kepanagin, etc. V. Despedapdr „ etc. 
Esranıziö, &. f. V. Espedimento or Exps- 


a LL— es, ee: a a ame m EEE EEE EEE ET En Em) 
-] 


ESP 


Espenioa, 8. f. V. Espedimento. 
Espepipausnıe. V. Expedilamtnie. 
Esrepino, A, P. p. d’Espedir. 

“ Esrepim&nto, 8. m. action de prendre 
conge. 
"Espepir, vo... V. Expedir, Despedir, R:- 
pellir. 
° EspEDIR-SE, v.r. prendre conge. — dal- 
quem, d’alguma cousa , se d6barrasser de quel- 
qu’un,, de quelque those. 
EsPEDRECADO, A, 9. p. de 
+ EspeoxeEcäin, 0. 0. (td. d’agr.) epierrer:dlet 
les pierres, les gravois d’une terre. 

* ESPEITANENTO. V. Despeilamento. 

* Espeıtar , etc. V. Despeilar, etc. 
EspeLBiDO, A, p. p. de 

EsreLuir, 0. a. nottoyer, polir, &cleireit. 
'EsPgLnin-sR, v. r. se mirer, so regarder 
dans une glace, dans une chose qui rend Fims- 
ge. — em alguem,, (fig.) se mirer, se complaire 
dans les actions de quelqu’un ow dans se 
qualites, les voir avec un grand plaisir. 
+ EsreLuim, 8. m. gypse : pierre calcaire, 
transparente, calcinable. 
EspELuingu, s. m. dim. de 

Esp£iu0, s. m. miroir : glace de verre; m& 
tal, surface polie, unie, qui rend les image. 
(Ag.) Objet qui sert de document moral, da- 
verlissement; modele , eremple. — wslöri. 
mireir ardent, qui enflamme , qui brül. 
grande , trumeau. — de „ miroi 
de toilette. — de corpo inleiro, grand #eran, 
miroir, glace oü l’on peut se voir en enlel- 
—da fechadüura, plaque d’une serrure. — de 
frontispicio d’igreja, rosace ou roson de froi- 
tispice d’eglise. — d’uma guilarre, eic., 7050: 
trou rond d’un instrument & cordes. Limp 
COMO um —, nel comme une porle, esireme 
ment net. Näo ha melhor — que o amigo velke, 
(prov.) le meilleur miroir de l’homme c'est 
Y’ami Adele. 
Esp£Lra, s. f. &paulre, grande &pautre:sort® 
de froıment & grain menu (Iriticum spelle). 
EspeELinca, s. f. spelonque, anire, carerüß. 
EsrinpA, s. f. partie d’une selle sur Jaquelle 
s’appuie la cuisse. 
EspEnıcaR-SE, etc. V. Espinicar-se, el. 
EspEnirae, 3. m. sorle de jeu de carie3. 
Esp£quz , s. m. ötsi, etangon. Levier de 
manmuvre dont les artilleurs se servent pOuF 
mettre les pidces en batterie ; sur les vaisseaul 
de guerre senomme anspect. — para dar coche 
a um cabo, barre & tressillonner. —de bolinel, 
barres de virevesu. 
Espgquzän, etc. V. Es . 
Espina, 5. f. attente : eat de colui gai dt 
tend; esperance. ° Delai accord6 en Justice: 
rejet, sursdance , reläche. Guet-apens, eD- 
büche. (art. ei vieu.r) Sorte de canon. Sphere. 
Aspre,monnaie du Lerant. Esiar a— d’algue®h 
atiendre apr&s quelqu’un ; &tre & l’alüt & 
uelqu’un. Dedra de —, pierre d’atienie. 

* Esperaciö,. V. Esperanga. 

* Espurana. V. Espera 


ESP 


EsperipaMünTe ‚ade. (P. us.) avec espair. 

erl00, A, pP. p. d’Esperar. adj. Espere, 

attendu, desire. Ndo —, imprevu, inopine, 
ä quoi l’on ne s’attendait pas. 

tTEsperRADOR, A, adj. et s. quiattend, qui 

re. 

t'’Esperius, s.m. sorte de meuble ancien. 

Bersninca, 8. f. esperance : vertu theolo- 
gale, espoir du paradis; attente d'un bien qu’on 
desire et qui paralt devoir arriver; espoir; 
etro de qui Fon espöre. On le dit aussi au plu- 
riel. ou dncora de —, ancre d’esperance. 
Alimentär-se de —s, vivre, se nourrir d’espe- 
rance. Dar —s, donner de bonnes nouvelles, 
faireentendre qu’on obtiendra ce qu’on desire. 
Sujeilo de —s, personne qui promet, qui an- 
nonce des bonnes qualitl&s. Este mancebo dd 
grandes —s, ce jeune homme promet beau- 
coop. Estar, andar de—s, etre enceinte. 

Espzaancin0,A,Pp. p. do 

Espsnancär, v. a. donner de l’esperance, la 
faire concevoir. 

Espsrancän-sE (em), vo. r. metlre tout son 
espoir, toute sa conflance En... 

Espznanc6sO, A, adj. plein d’esperance, 
anim6 d’espoir. 

EspsainTE, adj. 2 gen. (p. us.) qui espere. 
».0.de j 

Espzrin, 9. @. esperer : avoir esperance; 
etre dans P’attente d’un bien. Altendre : 6tre 
dans lalleute de quelqu’un, de quelque chose, 
meme de ce qu’on ne desire pas ou qu’on 
eraini, comme la mort, la fiövre, eic. Sem 
mais —, sur-le-chaıup,, sans plus tarder. Nin- 
guem esperava lal, personne ne s’attendait & 
cela, ou ne s’y atiendait. 

Esrgair (por), v.n. attendre aprös, Eire 
dans l’altenie de. Esperer : @tre daus l’attente 
dun bien. — em alguem,, avoir conflance en 
quelgu’un. — pela divida, proroger, atiendre 
le payement d’une detie. E’ muilo d’— que, il 
yatout A esperer que... Quando menos se es- 
peravs, au moment oü on s’y atiendait le 
moins. 

EsrERAR-SK, d. r. &tre altendu; ©tre espere. 

G-se uma grande esquadra, une grande 
fotte est attendue. Zspera-se que haja guerra, 
on s’attend A avoir la guerre. Espera-se qua 
indo se arranjard amigavelmente, on espere, 
ouil yalieu d’esperer que tout s’arrangera ä 
Yamiable. Esperdo-se grandes aconlecimenios, 
on s’attend & de grands &venements. 

Esrgau ver. V. Esparavel. 

+ EspanävgL, adj. 2 gen. (pP. us.) qu’on peut 
esptrer. 

ESPRRDICÄDAMÄNTE , adv, avec profu»ion; 
€tperdument. 

EsrenpıcADo, A, 9. P. d’Esperdigar. adj. 
Prodigue, dissip6. Favori. 

EspsapicaDOR, A, #8. dissipaleur, prouigue, 
depensier. 

Espenpigam£nto. V. Desperdicio. 

Espenpigan, v. a. dissiper, prodiguer; ruiner. 

0 {6mpo, perdre son temps. V. Desperdigar. 


ESP 549 


Bermapicin-se, v.r. — por. alguem „aimer 
quelqu’un eperdument.. ' 

* Espennıco. V. Desperdicio. 

Esperrcer. V. Perecer. 

Espenzcir-se: V. Consumir-se. 

EspERIMENTo. V. Experimenio. 

Esrensurir. V. Perjurar. 

EspErmaA, s. m. (f. de med.) sperme: semenoe 
dont P’animal est engendre. . 

ESPERMACETE 0% —CETI, 5. m. sperma-cäli : 
blanc do baleine ; huile blanchbe et conordte da 
cräne et de l’Epine du dos du cachalat. . 

. EspERMÄTICO, A, adj. spermalique : do la 
semence. 
. Espenuartızin. V. Fecundar. ' 

+ Esrenumartoceue, 8. f. (l. de chir.) sperma- 
tocdle : fausse hernie; tumeur causte par l’en- 
flure des vaisseaux spermatiques. 

TESPEANATOLOGIA, 5.f. spermatologie: trait 
sur la semence. 

EspERNEÄDO, A, 9. pP. de 

EspErnzÄn, v. n. gigotter, Femuer sans 00586 
les jambes; regimber. it. V. Esparregar. 

EsPEnNEÄrR-sE, v. r. s’e6tendre tout de son 
long les jambes &carquillees. " 

Espernecino, A, adj. de jambes &carguli- 
l&es. p. p. de 

Esrennzcin, etc. V. Espernear, Esparre- 
gar,etc. j 

EsrerTino, A, p. p. d’Esperter. 

ESPERTADOÖR, 3. m. celui qui eveillo, V. Dew- 
pertador. (fig.) V. Excitadör, Estimulo. 

EspBnTanüra, 8. f. separalion du hswt du 
toupet, raie. Glabelle : espace sans poil entre 
les sourecils. 

Esp#gtaMänte, adv. gaillardement; avcc 
vivaciie. 

+ EsrERTAM£NTO, s. m. action d’eveiller, de 
töveiller. 

Espertär, dv. a. Eveiller, röveiller. V. Jes- 

far. Aviver, exciter; stimuler. Redres.:_« 
(une pidce de bois). 

EsrerTtän-sE, dv. r. s’exciler, se slimuler,\9 
diligenter. 

EspertßzaA, 3. f. vivacit&, promptitude; 
nesse, adresse, esprit. — d’engenho, pencira 
tion d’esprit. 

EsPERTINHO, A, adj. dim. d’Esperto, dont n 
augmente la force. 

EspernTo, A, adj. eveille, gai, vif, actif, dis- 
pos , delibere. df.— ‚ou esperlado, \t.de charp.) 
redress6, parlant d’une piece de bois. 

EsSPESCOGADO, A, 9. p. de 

EsrzscocÄia, v. a. (f. d’agr.) böcher la terre 
loin des ceps de vigne, etc. 

Espzsınnäpo, A, adj. maltraite. p. p. de 

Esresınnik, v. a. fouler aux pieds. (fg.) 
Maltraiter, möpriser, opprimer, vexer. 

Espassäpo, A, P. p. d’Espessar. 

Espässamente, adv. kpais: aveo Epaisseur; 
dru, en grande quaniit& et fort rapproche. 

EspsssiR, d. a. epaissir : rendre une liqueu 
plus 6paisse. Serrer, presser, parlaut destix 
sus, elc. Condenser. 


550 ESP 


Espessin-sE, v. r. s’epaissir, se serrer, so 
presser ; se condenser. 

EspzssınAö,s.f. " epaississement; €paisseur, 
densite. 

Espussissımo,, A, adj. sup. de 

Esr£sso, a, adj. &pais : qui prend une con- 
sistance moins claire, plus ferme; touflu, dru, 
serr6. Frequent, assidu , reilere. 

Eseussüra, s. f. &paisseur, densits (de Yair, 
des liquides); touffe, profondeur d’un bois, 
des cheveux, etc. — da noile, tentbres &pais- 
ves de la nuit. 

Esprripa, s. f. coup de broche; brochse, 
Brochelie. 

EsrErino, A ‚p. p. d’Espetar. adj. (Ag.burl.) 
Raide. V. Empertigado. 

Esrzrid, s. m. orochet de fondeur pour re- 
irer du feu les ereusets. 

Esrzrirn,o.a. metire Ala broche, embro- 
cher. Embrocher quelqu’un, lui passer une 
€pee, eic., au travers du oorps ; percor de part 
en part, traverser, enflier. ii. V. Empelar. 

Espetän-se (em), v. r. s’enßler, s’enlerrer, 
se Jeter sur le fer, (lg.) se nuire & soi-meme, 
par ses paroles, ses aclions; se contredire, so 
couper. 

EsPETInBO, s. m. dim. de 

EspeTO, s. m.* broche : verge de fer pointue 
pour embrocher et faire rötir la viande; 00 gai 
en a la forme ; tige salllante, etc. Andar com o 
eg tourner la broche. 

SPEVILAR, ©fc. . 

EspavıTan, eic. | V. Espiv..., ete. 

Esrezisnino, A, adj. souille, sali, enduit de 
poix. Mortifi6, chagrine. p. p. de 

Esrezınnäin, 9.4. poisser, enduire de polx. 
(Ag.) Mortifter, faire souflrir, tourmenter, per- 
secuter. V. Espesinhar. 

EspuacgLino, A, adj. sphacel6 : attagnd de 
sphacele. p. p. de 

t EsruaceLän-se, v.r.(t. de mdd.) sphact- 
ler : se corrompre par inflammation. 

Esrnackıo, 8. m. (f. de med.) sphacdle : mor- 
tüflcation enliere d’une partie du corps. 

Espuera,s. f. (6. de geom.) sphere, globe: 
corps solide et rond ; le ciel, sa representation 
en relief, avec des cercles, etc., o@ sur le pa- 
pier; disposition du ciel; (4. d’astr.) les pre- 
miers principes de l’astronomie appris sur la 
sphöre; espace du cours d’une plandte; (Ag.) 
etendue de pouvolr, de connaissances, de 
moyens, d’6tat, de rondition, etc. Ancienne 
ınonnaic d’or portugaise du rögne deD. Emma- 
nuel. Sorte d’ancien canon. 

Espueräu. V. Espherieo. 

Esrußnıcamente, adr. spheriquement : d’une 
maniere spherique. 

Esrnericıpäpg, #. f. sphericils : qualit6 de 
ce qui est spherique. 

Espn£rıco, a, adj. spherique : en globe, et 
forme de globe; de la sphere. 'ant.)Qui connalt, 
qui sait la sphere. 


t Espnenivios,s.m. pl. V. Spheridios. 


ESP 


+ Esveiznıst@nıo, 8. m. (f. Dani.) epheri- 
stere : lien destind an jeu de la paume. 

Esrnerormär, adj. 2 gen. spheroldal : quia 
rapport au spherolde, qui en a 1a forme. 

Espuenöine, s. m. (4. de geom.) * spheroide: 
corps qui approche du globe. 

Espteroldeo, a. V. Espkherotdal. 

+ Esruenomachia , s. f. sphöromachne : eser- 
eice du balion, de la paume. 

+ Espuenöuerao, 3. m. (8. d’opt.) sphero- 
meötre : instrument pour meösurer la oourbare 
des verres. 

Espnincren, #. m. (8. d’anat.) sphimeer: 
muscle en anneaux qui resserre on ferme Ya- 
nus, la vessie. 

Esrnince, s. f. * sphinx : monstre labulewr. 
(t. de seulp.) —, buste de femme sur le corps 
“un lion. V. Spkine. 

+ EsPHONDYLE ou —DTLio. 7. Canabräz. 

Espuynena, s. fı (8. hist. nal.) sphyrene, 
poisson ; le marteau. 

Espia, s. f. * espion : celui qui @pte, qui ob- 
serve pour rapporter; mouche, mouchatd. 
Sentinelle. V. Alalaia. (1. de mar.) Corde, cäbke 
de grue; toude. Ndo de —, (dd.) valsseau d’ob- 
servation. —s da cäbrea, (id.) haubans d’une 
bigue. 

Espıino, A, P. p. d’Espiar. adj. (1. de mar.) 
soutenu par des cAbles. 

EsPıanOn, 8. m. espion, espiewnenr. 

Esrıi6,s. m. V. Espia. 

Esrıäin, v. a. &pier, guetter, observer les ac- 
tions, @tre attentil a. V. Espreiter. (t. de mar.) 
Remettre ä& flot un navire &eboue; touer. — # 
röca, achever sa quenouille ; terıniner sa bese- 
gene, sa täche. — os desenhos d’alguem , sonder 
quelqu’un. 

Espicacino, A,Pp.p. de 

Esricacäir, 0. a. becqueter, percer, oribler. 
( Ag.) Dechirer, calomnier. 

Esricanärpo, 5. m. spicanard : nard Indien, 
plante medicinale. V. Espieinardo. 

Esricna ,s. f. (1. pop.) enfilee, enfllade, or» 
cheite (de petits poissons,, d’oiseaux). — d’ums 
vela, (1. de mar.) livarde d’une volle, baleston 
d’une voile. 

EsricHiv0,A,P.p. de 

EsPicHÄr, v. a. percer, enfiler, traverser ar 
un instrument pointu. Mettre un fausset, une 
eannelle & un tonneau. 

EsricHo, s. m. robinet, fansset; brochette de 
bois; canette, cannelle. (deri.) Homme tr&s 
maigre. 

EspiciLftio, s. m. spicilöge: eolleetion de 
pitces; recueil d’actes. 

+ Esricınänpo, s. m. (l. de bot.) — edilico, 
nard celtique. — indico, nard indien. — de 
reino , lavande. V. Alfazdma. 

+ EsrıcuLir. V. Adelgarar, Agepar. 

+ EsricuLo. V. Ferrdö, Ponta. 

" Esrino. V. Despido. 

Esrica, s. f. * &pi : tEie da tayau de bie, elc. 
Sole de l’&p&e. * Tenon : ce qui entre dans une 
mortaise, Pointe: petit clon sans iöte. V. Br 


ESP 


pigdd. — das unhas, envie do la peau des on- 

gles. — de Virgo ou da Firgem, (1.d’asir.) epi 

de la Vierge, 6toile.— moucha, cpi sans barbe. 

EspıcäDo, adj. Epie, monie en &pi, qui a 
beaucoup grandi. (fig.) Grand, de haute taille, 
en parlant d’un jeune homme. 

+Espıcäus, s. m. glanement : action de gla- 
ner. 

EsrıcAö, s. m. aug. d’Espiga. Faltage, falte; 
arc-boutant. Bout, pointe d’une tige, etc. 
"Pointe de quelque corps piquant. "Pointe de 
socher ; sonfmet pelö d’une montagne. Grande 
envie de la peau des ongles. — de ferro em 
que gira o calavenio, (I. de mar.) bäton de gi- 
roudiie, verge ou fer de girouelte. — do pe- 
dreiro, (id.) chandelier du pierrier. — dos 
dacamartes , (id.) chandelier des espingoles. 

Espıcän, v.a. etn. &pier : monter en Epi. (fg.) 
Grandir : devenir grand, croitre en hauteur. 

+EsrictLia, s. f. (t. de bot.) spigele ou spige- 
lie : plante gentiande. 

TEspıc6so, A, adj. (4. de bot.‘ qui porte des 
tpis; qui a la forme d’un &Epi. 

t Esricußra, 8. f. (4. de bot.) petit &pi. 

Espıcußto, s. m. (1. de mus.) son tres-aigu, 
dans Porgue. 

Esrı@yiLBa , s. f. °galon &troit; sorle de ru- 
han liss6 en forme d’epi; dentelle fort dtroite; 
bord d’une dentelle, etc.; petit feston sur le 
bord d’une denielle. 

EsrisyuıLuipo, A,p.p. de 

EszicviLuäß, v. a. garnir d’espigwilke,. V. ce 
mot. 

Esris. V. Uva espim. 

Esprnäcio ou * epinard : herbage que 

Espinärag, 5. m. l’on mange cuit: laxatif. 

+ Esrınga,, s. [. action de pincer le drap. 

t Esrıngär, v. a. pincer, pincetter le drap. 

EsrinßL, s.ı. ow } spinelle: rubisd’un rouge 

EspintıLa, s. f. )päle. it. (imus.) Dizain: 
piece de dix vers, ainsi nommee de Vincent 

Spinel gai en fut l'inventeur. V. Decima. 

T Esrınzscıno, A,.adj. (#. de bof.) €pineux: 
qui a des &pines; en forme d’6pine. 

Espintra, s. [. epinette : ancien instrument & 

clavier et & cordes, petit clavecin. 

Esriıncaapa, s. f. "fusil : arme & feu A tube 

et briquet & ressort. — de dous canos, fusil & 
double canon. 

Esrıncanpina, 8. f. eoup de fusil. 

Espıncanpiö, 8. m. aug. d’Espingarda. 

Grande arquebuse ancienne ; espingard,, petite 
piece d’artillerie. 

Esrıngarpania, s. f. quantits de fasils; 

troupe de fusiliers; salvo de mousqueterie. 

ESPInGARDEÄIDO, A, P. p. de 

Esprıncanpaia, ©. a. fusiller, passer par les 

arınes. 

Espıncanpkına, s. f. menrtriere : ouverlure 

dans un mur pour tirer aveo l’espingard. 

EsPINGARDEIRO , 8. m. arınurier: ouvrier qui 
fait des armes & feu. Arquebusier ( p. us.). 

Esrıncaapinna, s. [.dim. d’Espingarda. 

Esrinna, s. f. areie de poisson. Epine: pi- 





ESP 551 


quant, Corps algu et adherent ä la plante ; ver« 
wbres du dos. V. Espinhage. (Ag.) Scrupule, 
ombrage,, soupgon ; dificulie, obstacie , peine, 
— carnal, e&chauboulure, bube qui vient sur la 
poau. Ter — com alguem, eire brouille evec 
quelqu’un. Tirar a — da gargania a alguem, 
(Ag. fam.) delivrer quelqu’un d’un danger, 
d’un grand eınbarras, etc. Estdär na—, (fig. 
fam.) etre extremement maigre, faible, abattu. 
it. Eire tr&s-pauvre. 

Esrınnico, s. m. *&pine dorsale, vertöbres 
du dos. (fig.) Chalne de montagnes. — das fo- 
Ihas,, ( t. de bot.) rachis des feuilles. Estär no 
—.V. Estär na espinha. 

Esrınnino, A, p. p. d’Espinhar. adj. Pique, 
offense ; formalise, irrite. 

Esrınmir, s. m. lieu plants d’pines, de 
broussailles , hallier. 

EsrınHäu, adj. 2 gen. (1. d’anat.) spinal: 
qui sppartient a l’&pine du dos. 

Esrınuir, ©. a. piquer avee des &pines; 
blesser. (Ag.) Irriter, provoquer; blesser, of- 
fenser, piquer. 

Esrinuän-SE, ©. 7. se piquer, se forınaliser. 

EsrınariırarL. V. Espinhal. 

f Esrınutıno, 8. m. (t. de bot.) paliure, 
porte-chapeau,, Epine-de-Christ, argalou de 
Provence: esp&ce de nerprun, arbrisseau des 
haies. — alvar, * aubepine, noble-#pine, &pine 
blanche, senellier. — cambra ou certal, ner- 
prun purgatif ordinaire, bourg-£pine. 

Espinn£La, s. f. * brechet, extr&mite inle- 
rieure du sternum. 

Esrinno, s. m." &pine : piquant, corps aigu 
et adherent & la plante. —s, pl. (flg.) &pines, 
empechements,, embarras, obstacles, dilficul- 
tes; chose tres-penible; chagrins, inquietudes. 
Andar, estar sobre —s, @tre sur les &pines, 
dans de grandes inquietudes. — corlicaes , (8. 
de bot.) V. Aculeos. Juem abrölhos semtia —s 
cölhe, (prov.) qui seme des chardons recueille 
des €pines. 

Esrınuöso, A, adj. &pineux: qui a des &pi- 
nes. (flg.) Plein de difficult6s, d’obstacies 
(chose, affaire, question, etc.); incommode, 
fächeux. 

Esrpınicino, A,p.p. de 

+ Espinicär-sE, v. r. (ant.) avoir trop de re- 
cherche dans sa mise, dans ses parures. 

Esrınierar. V. Alaviar. 

+ Esrınosismo,, s. m. spinosisme : doctrine 
de Spinosa. Pantheisme. 

+Espinosista, s. m. spinosiste ı partisan du 
spinosisme. 

+ EspinuLa, a. f. sorte d’6pingle usitde dans 
les ornements des &v&ques,. 

EspıoLninpoO, A, 9.9. de 

EspıoLmir, v9. @. €pouiller, öter les pour. 
(Ag.) Eptucher. 

Esriour, s. m. (1. de bot.)" Resine du spica- 
nard. V. Salgadeira. (id.) Souche; pedicule, 
tige des champignons. . 

f Esrıovurino, 1. adj. (tl. de bot.) pedieule: 
porte par un pedicule ‚stipilalus . 


552 ESP 


" Espin. V. Despir. 

Esrira,s. f. spire, spirale, helice; une des 
revolutions de la spirale ; &crou d’une vis. 

Esrıiaagäd. V. Inspiragdö. 

EsrıräctLo, s.m. soupirail. *Haleine, respi- 
ration (p. ws.). V. Spiraculo. 

Esrıräoo. V. Inspirddo. 

EspıräL, adj. 2 gen. spiral, en spirale. s. f- 
(1. de geom.) Spirale : ligne courbe autour d’un 
eylindre, d’un cOne, etc. 

+ EspiniLmänte,, adv. en spirale, en forme 
spirale. 

EsPinÄnte, adj. 2 ger. qui respire, qui in- 
spire, qui exhale. V. E.rpiranie. 

Espıirän, v.a. exhaler, repaudre une bonne 
ou mauvaise odeur. Inspirer. it. V. Respirar 
et Expirer. (1. de iheel.) Produire par inspira- 
tion , en parlant de la maniere dont le Pere et 
le Fils produisent le Saint-Esprit. 

+ Espırativo, a, adj. (4. de Ihdol.) qui peut 
produire par inspiration. 

EspırıTano, A, adj. possede du demon.(fg.) 
Agite, irrit6, possede; endiable. p. p. de 

* Espınıtär, ©. 0. faire entrer le diable dans 
le corps de quelqu’un. (fig.) Agiler, irriter, 
faire donner au diable. it. (p. us.) V. Inspirar. 

Espirıto, s. m. esprit: substance Incorpo- 
velle; ange; Ame de l’'homme; verlu; puis- 
sance surnaturelle qui opere dans l’äıne; grä- 
ces et donsde Dieu,, son inspiration ‚ revenant; 
Nluide trös-subtil; vapeur tres-volalile; vent 
subiil, soufle. Principe de la vie et du senti- 
ment dans le corps de l’animal; esprils vılaux. 
.‘6g.) Courage, bravoure, valeur; energie, 

-sarce, ardeur. (id.) —, faculie, facilite d'ima- 
giner, de concevoir; jugement, intelligence, 
facultes de l’äme raisonnable; disposition ‚ ten- 
dance, desir secrei; humeur, caraclere; lacon 
de pensor ;ınotif, senliment interieur yuı faıı 
agir; intenlion; principe, conduile, maniere 
d’agir, de voir, but; sens d’une phrase, d’un 

. auteur, Se8 OPINIONS, son CAraclöre; ses, in- 
tention, but d’une loi, elc.— de coniradigdo, 
esprit de contradiction : persuline toujours dis- 
poseo A conlrarier. — maligno, esprit malin, 
le demon. — Santo, Saint-Esprit : troisidıne 
personne de la sainte Trinite. — vital, esprit 
vital : substance extreineient subtile que I’on 
vonsidere comme necessaire & la vie. Homem 
de — , home de c@ur, de resolution; intelli- 
gent, spirituel. — de vinho, esprit de vin : al- 
cohol, liqueur extraite des substances qui ont 
subi la ferıuentatlion vineuse. Dar —, ani- 
mer, donner de l’expression. Verem —, ima- 

giner, phantasıer; prevoir, prophetiser; con- 

jecturer. Ter —, @ire possede du demon. —s, 

pl. esprits, parties volaliles des Corps. — anı- 
mdes , espriis animaux : substance d’oü sont 
censes proceder les mouvements des Corps. 

Longar os —, exorciser, conjurer les malins 
esprils. Levaniar 08 —, encourager, inspirer 
du courage. — celestes, les anges, les bien- 
beureux. — immundos, malignos, das Ireras, 
les demons, 


ESP 


Esriartöso. V. Espirisuose. 

+ Espinituäpo ‚A, adj. (p. us.) plein d’esprit, 
spirituel. 

Esriaıtuir, adj. 2gem. spirituel, incorporel; 
qui est esprit; qui regarde l’ame, Pinierieur 
de la conscience; fait en esprit; Poppos€ de 
litteral, de corporel, detemporel. Homem —, 
homme adonne aux choses spirituelles. Padre 
— , pere spirituel: le confesseur, directear de 
conscience. 

EsPIRtTUALIDÄDE,, 5. f., spirilaalil€ : Poppose 
de materialite; qualit de ce qui est esprit; 
(heologie mystique qui regarde la nature de 
!’äme, la vie interieure; delachement du mon- 
de; meditatıon des choses spirituelles. Qualite 
d’une personne ou d’une chose eppartenant ä 
l’Eglise. 

+ EspiRITUALISMO, 5. m. spiritualisıme : dor- 
trine de la spiritualite; science philosophique 
opposee au mat£rialisıne. 

+ EsPpiRituALista, 3. m. spiritusliste : parti- 
san de la spiritualit®, du spiritualisme. 

EsrirituaLizagäö, 8. f- (1. de chim.) spiritua- 
!isation : reduction des corps solides ou li- 
quides en esprit. 

EsPißittaLızano, A, P. p. de 

EspiniTualizan, ©. a. rendre spirituel au 
moyen de la gräce, de la piete. Spiritualiser : 
donner & la matiere les qualites de l’esprit, 
donner un sens pieux, spiritualiste; (8. dechims.) 
extraire les esprits des corps mixtes ; reduire 
un corps en esprit. Reanimer, exciter le mou- 
vement des esprits vilaux au moyen des bois- 
sons spiritueuses. 

ESPIRITUALIZAR-SE, ©. Tr. se Spiritualiser : 
acquerir de l’esprit; se detacher de la matiere. 
Se ranimer en buvant des esprits, ou par l’el- 
(et de quelque influence morsale. 

ESPIRITUALMENTE ‚ade. spirituellernent: avec 
esprit; en esprit. 

+ Espiastuusauante, ade. spirituellement, 
avec esprit. Courageusement. 

Espinitcöso,, A, adj. spiritueux : qui a beau- 
coup d’alcohol,, d’esprits, de parties volatiles. 
Spirituel, ingenieux; qui a de l’esprit, beau- 
coup d’esprit. Courageux, brave, plein de feu. 

EsPinRA-CANIVETES, 8. 2 gen. ( t. burl.) cole- 
rique, irritable , susceptible, qui se fäche aise- 
ment. . 

+ Esrınnantina, s. f. (4. de bot.) achillee 
sternulaloire. (cuig.) Herbe ä öternuer, piar- 
mique, pyreöthre bätard. 

Esrınräno,A,p. p. d’Espirrer. 

Fspinrapör,, s. m.celui qui elernue souvenl. 

Espinnär, v. 9. elernuer : faire un e&iernu- 
ment. Eclater, petiller (au feu): il est aussi 
actif dans cette acception. (. bueri.; Disputer, 
s’emporter. Fazer —, faire sortir & la bäte de 
quelque part. — para 0 cdo, aboyer & la lune, 
crier inutilement contre quelqu’un. 

ESPirnRO, 5. m. &lernument : mouvemen! Su 
bit et convulsif des muscies qui servent ä Pex- 
piration, cause par un pioolement aux narino6. 
Dar um —, faire un eternument, 





ESP 


ESP 553 


+Esrfauza, 5. f. (1. P’hist. nat.) spirale:« Ysrozıin (de), v. 6. spolier: d6possöder par 


mollosque d coquille en spirale,. 

* Essırar. V. Hospital. 

+ Essırıräpauentg, adv. trös-dislinctement, 
ıvec beaucoup de nette. 

+ Espivırantıra, s. f. mouchettes: ciseaux 
ä peit coffre pour moucher une chandelle, etc. 

Esrıvitäpo, A, adj. afleci& (langage); affilee 

[langue'. 9. 9. de 

Esrıvıräa, ©. a. moucher le lumignon d’une 
chsndelle. — as palauras, prononcer trös-dis- 
tmetement. 

Espıvıtän-sg , v. r. parler aveo volubilit6 et 
arec une certaine affeelation. 

Esprasioa,, 8. f. (4. de fort.) esplanade : lieu 
aplsai derant les fortıflcations ; parapet du che- 
Bin convert. 

Eauınia. V. Explanar. 

' ENPLANDECNTE. V. Brilhonte, Resplande- 
cenie. 

"EspLanpecke. V. Resplandecer‘. 

fEsrıenaLcia, eie. V. Spienalgıs, etc. 

EspLENDENTE, adj. 2 gen. resplendissant, 
brillant, 

EsPLENDER ow 
ESPLENDECER. | V. Resplandecer. 
EssLänpinamänte, ade. splendidement : 
dune maniere splendide. 
ErrLenninez ou —za , s. f.splendeur,pompe, 
magnifcence, 
Espuexpinissimo, A, ady. sup. de 
Espuexoımo, A, adj. splendide, magnifique, 
2mptueaz. Brillant, eclatant 
ExrLespon, s. m. "splendeur, clarte, eclat; 
somptuosite. —, grand eclat d’honneur, de 
"oe, 
EspLäsıco, V. Splenico. 
: Estoao, A, pP. p. de 
Ri Estoar, ©. G. ressasser : sasser de nou- 
au. 

t Espöpıo, .m. spode ow tutie, zinc calcine; 
erde de zine. Ivoire brüle. — ow antispode, 
fendres de roseaux d’Arabie. 

"Espogcgaıo. V. y) lieu oü les beles se vau- 

EsP6ckıno , 8. m. } irent, se roulent. 

EıröJano, A, p. p. de Espojar-se. 

Eırdsapöuao. V. Espogeiro. 

EspsJapöra, 3. f. action de se vautrer. 

ExsP6JAR-SE, ©. r. se vaulrer, so rouler dans 
L poussiere, en parlant des beles. — com riso, 
‚89. fam.) crever, se pämer de rire. — pela 
" sie (Ag. burl.) faire des vers en me&prisant 
ve les regles de la poesie. 

ksroL£ra ,s. f. fusee de bombe. (1. de mar.) 
Eoupille, 

+ EssoL&ro,, s. m. (t.de geog.) Spolete: belle 
le de !’Etat Papal. 

EspoLiacaö, s. f. spoliation : action de spo- 
":;objet spolie. 

EspoLıäDo, A, 9. P. d’Espoliar. 

EspoLıapOn, A, 5. spoliateur : qui depouille, 
14: vole, 

Espouusurg, V. Bepoliador. p. a. d’Espo- 

r. 


sa 


fraude, par violence. 

EspnLiarivamente, ado. par spoliation. 

u + EspoLiarıvo, A, adj. qui contient spolia- 
on. 

EsröLio, s. w. * depoullle, defrogue, colie- 
morte d’un moine, d’un eveque; mobilier qu’& 
laisse a sa mort. if. V. Despojo. 

t Esronciß, v. a. (8. de mar.) essarder : s6- 
cher, nettoyer un lieu humide. 

Esponpäico, A, adj. spondaique : Compos® 
de spondees. 

+ EsponpiLio ou —piuLio, s.m. (f. Pant.) 
vers qu’on chäntait durant les sacrifices. 

+ EsponpäiuLss, s. m. (1. d’ant.) joueur de 
Düte qui accompagnait certains vers chanles 
durant les sacrifices. 

Esroxp£o, adj. m. ou s. spondee : pied de 
vers compose& de deux syllabes longucs. 

EsronpiL 0% (t. d’anat.) spondyle, 
. EsponvıLLo ,s. m. vertebre. 

EsponnrLio ($. de bot.). V. Esphondylio. 

Esponcı0so. V. Esponjoso. 

Esrönsa, s. f. eponge: substance fibreuse 
qui se trouve dans la mer, volumineuse, l&- 
gere, molle, elastique, irds-poreuse, ouvrage 
de polypes. ( ig.) Sangsue : personne qui attlire 
adroitement & sol tout le bien, l’argent d’un 
autre. Fleur jaune trös-odorante de l’acacie de 
Farnese. V. Cochia. 

Esponsa ou Esronskına FarnEsıa, 8. f. (td. de 
Bot.) acacie de Farnese. 

Esrons6so, A, adj. spongieux : de la nature 
de l’öponge. 

Esponsies,s.m. pl. y "angailles : pro- 

EsronsiLıas, s. f. pl. ) messe de mariage 
en presence d’an pretre. . 

EsronsaLicıo, A, adj. qui appartient aux 
Bancailles. 

ESTONTÄNEAMENTE, ade. 
d’une mianiere spontanee. 

ESPONTANEIDÄDE, 8. f. spontaneite : qualits 
de ce qui est spontane; consentement de la vo- 
lonte. . 

ESPONTÄNEO, A, adj. spontane : que !’on fait 
volontairement; qui s’execute de soi-meme, 
sans le secours de l’Ame (Imouvement); sans le 
secours de l’art. 

Esroxtäö, 8. m. esponton : demi-pique d’in- 
fanterie. 

Esrpöna, s. f. *&peron: branche de metal, ar- 
mee de pointes, qui s’attache au talon pour pi- 
quer le cheval. (Ag.) "Avis, aiguillon, stimulant, 
Sentir a— ou dar pela—, ( fig.) senlir vive- 
ment Pavis, la r&primande, ee. Mugo de — ou 
d’esporas ‚ valet qui marche & pied & cöl& d’un 
cheval. Dar de —s, piquer des deux : pousser 
un cbeval en lui appliquant l’&peron des deux 
cötes. Estar com as —s ou ler as sealcadas, 
avoir le pied dans l’etrier ; &ire pres de partir; 
( Ag.) ire prepare pour une affaire. 

+ Esporatno, a, (8. de bot.) V. Hostrddo. 


+ Esrontıaa, 8. Sf. (1. de bot.) dauphinelle 


spontanement : 





554 ESP 


des bles, pied d’alouette sauvage, de:phinelle, 
&peron de chevalier, consoude royale, herbe 
Sainte-Othilie. — de Aiace , delphinelle des jar- 
dins, pied d’alouelte des jardins. 

Esrorida,s. f. coup d’eperon. (fig.) * Aiguil- 
Ion, stimulant. (ant.) * Choc, escarmouche. 

Esporiö, 3. m. eperon : ergot de coq; 0u- 
vraxe termine en poinle, fait au dehors d’un 
bätiment ou d’une muraille pour les soutenir; 
forification en angle saillant. (6. de mar.) —, 
pointe qui fait la proue d’une galere; — ou 
poulaine, cap, avanlage, partie de l’avant du 
Yaisseau en pointe. (1. d’hydr.) V. Talhamar. 

Esp6rAs 0% — DE CAYALLEIRG, 8. f. pl. V. 
Esporeira. 

EsPoORRÄnO, A, pP. P. de 

EspoRzÄrR, o. a. &peronner, donner de P’&pe- 
ron. (g.) Animer, encourager, aiguillonner. 

Espörta, s. f. * panier, cabas, corbeille. 

EspönrtuLa, 8. f. olfrande en argent (faite & 
an cur&, etc.); droits pecuniaires des juges et 
autres ofliciers de justice. Le’ pourboire, retri- 
bution. 

EsrortuLipo,A,p. p. de 

EsrortuLin, v.a. donner ow exiger l’espor- 
iula. V. ce mot. 

EsPORTULAR-SR, v. r. faire une offrande en 
argent. V. Esportula. Donner un bon pour- 
boire, une bonne gratification. Faire des ca- 
deauz. 

* Espös. V. Apös ou Apos. 

Esrösa, s. f. fiancee : celle qui a fsit pro- 
messe de mariage. Epouse : celle qui a &pous6 
un homme. —s de Jesu Christo, Cpouses de 
Jesus-Christ:: celles qui se sont voudes au celi- 
bat par piete. 

Esposino, a, adj. fance. p. p. de 

Esrosir, v.a. fiancer, faire les fiangailles. 
Epouser, prendre en mariage, pour feınme ou 
pour mari. (fig.) S’attacher, s’unir intimement, 
sallier. Il est aussi röciproque. 

* Espösas, s. f. pl. menotles. V. Algemas. 

Esr6s0, s. m. flance : celui qui a fait pro- 
messe de mariage. Epoux : celui qui a Cpouss 
une femme. O divino —, Jesus-Christ. —s, pl. 
epoux : mari et femme conjoinis par le ma- 
Fiage. 

* Esposörno. V. Esposouro et Esposorio. 

Esrosönıo, 8. m. V. Desposorios. 

" Espos6uro, s. m. V. Desposorios. it. Don 
que faissient les anciens rois de Portugal & 
leurs domestiques & l’oocasion de leurs me- 
riages. 

EsposrsJino,A,p.p. de 

EspostBsän, ©. a. lailler, couper en tran- 
ches. 

Espratino, a, 9. p. de Kspraiar. 

t Essaulamento, s. m. action de se retirer, 
en parlant de la mer; les bords, les rivages 
qu’elle laisse A seo en se retirant. 

Espralär, ©. @. jeter sur les rivages de la 
mer. (fig.) Dilater, &tendre, röpandre; divertir. 
—- suspiros, jeter des soupirs, soupirer. — 
r@os, jeter, röpandre des rayons, Tayonner. 


ESP 


Espralin, 9.0. wmaruer : 50 rotirer, Inisser 
& sec ses bords, en parlant de la mer; resier 
sans eau, A sec, en parlant des rivages, dans 
le reflux de la mer. 

EspraiÄr-se, v. r. se d&border, sortir de son 
lit et se röpandre sur les rivages, sur les bords, 
en parlant de la mer, d’une riviöre. ( Ag.) S'e- 
tendre sur une matliere; se repandre, se pro- 
pager. (id.) Se divertir, se recreer, se distraire. 
— um alguma maieris, s’tgayer par des di- 
gressions, faire des digressions; raisonner, 
parler, discourir amplement sur queigae ma- 
tiöre. — wos lowvores d’alguem , louer, pröner 
quelqu’un, parler de lui trop avaniageuse- 
ment. 

* Espranar. V. Explaner, Explicar. 

Esprf.ıta, s. f. "aguet. Ester d —, in anı 
agueıs. Ester d — d’elgusm, guelter quel- 
qu’un. 

Espreırioa, V. Bıpreita. 

Esrasırino, A, 9. p. d’Espreiler. 

ESPREITADOR, 3. m. espion, gustleur; qui 
aime & guetter. 

* Espreıtanga. V. Espreila. 

EsPpnEITÄNTE, adj. 2 gen. qui est aux aguels, 
qui &pie, qui guette. Animal —, ($. de bei.) 
animal gueliant, en position de guetter. p.®. 

e 

EsPREITÄR,, ©. a. €pier, espionner, guelkr. 
(fig. —, gueller, attendre (l’occasion, et.). 
Observer atientivement (la nalure, etc.). 

+ ESPREMEDÖR, 8. m. presseur, qui presse. 

EspremEDüna, 8. f. pression » action de 
presser, ses effets. * Pressurage : action dt 
pressurer au pressoir, son produit. 

ESPREMER, ©. 6. pressurer, exprimer le jus, 
epreindre. ( g.) —, €&puiser par des impi%. 
des corvees (les peuples). (id.) Faire sortir de 
larmes des yeux); faire pousser (des cris d« 
douleur, des soupirs, etc.). 

ESPREMER-SE, d. r. s’ellorcer pour jeler 
excremenis. 

EspnEsmiDo,A,P.p. d’Espremer. 

Espreuipüra. V. Espremedura. 

EsprRictiGgADO, A, pP. p. d’Espriguiger. 

EsprictigaDöR, #. mM. * cauchette, lü de 
repos. 

ESPRICUIGAMRNTO, 8. m. action de s’elendt 
et de bäiller, comme quand on a Fensvie 
dormir. 

EspricuigÄn, ©. a. Öter ia paresse. Elendre 
les membres comme [alt le paresseux ou lin 
dormi. 

Espaicuigän-sE, v. r. 8’6tendre et bäiller 
comme quand on a envie do dormir; e’&liret. 

Espricuickino. V. Kepriguigader, Pripw- 
ceiro. 

Esrartino. V. Bspirilado. 

* Espaırir. V. Hospilal. 

Espaıtin. V. Bepiritar, Inspirar. 

Espnito. V. Espirito. 

EsruLcino,A,9.p. de 

Esrurcin, ©. a. &pucer : Oter, chasser le‘ 
Puccs. 


ESG 


Erticin-SE, ©. r. Öter, chasser, chercher 
ses puces. 

Espuma, 8. f. 7. Escuma. 

EspcmintE,, adj. 2 gen. 6cumant, qui &cume. 
p. a. de 

Esptuin. V. Escumar. 

EseüukO, A, adj. ecumeux : plein, couvert 
d’ecume; qui la jelte, Ja pousse. 

EsptNirERO, A. 

EsPUNIGERO, | Y. Espümeo. 

EspiuosO , A. 

Bsruncicta, 8. f. (P. ws.) V. Immundicia, 
Inderencia. ( ig.) Torpeza. 

Esetnio, A, adj. bätard, illegitime, dont on 
ne connalt pas le pre, en parlant d’un cnfant. 
(Ag.)Altere, falsitie, gate, degenere. Faux, & 
qui manquent les caract£res principaux de son 
genre. Depouille de... Sombra —a, (t. dastr.) 
penombre de la terre dans les Eclipses de lune. 

+Espotagäö, 5. f. (1. de med.) sputation: 
seuon de cracher;; crachotement. 

Espito, s. m. (1. de med.) * salive ; crachat. 

Esquapea ,s. f. escouade : le liers ou le quart 
a,me compagnie d’infanterie, et la place du 
caporal qui le commande. Escadre:: division 
narale. V. Esquddro. Cabo de —, caporal. 

EsquanpaäiD0O, A, p. p. de Esquadrar. 

Esquaprid, s. m. aug. d’Esquadra. Dans 
Yaucienne milice, c’&tait un corps de troupes 
formden rangs sulvant les regles de la tactique 
militsire, et aussi un corps d’infanterie et de 
cavalerie appartenant & une armee. Escadron : 
partie d'un regiment de cavalerie. ( Ag.) Multi- 
tude, grande quantile. 

EsquaprÄr, v. a. equarrir: tailler & angles 
droits. Former en escadron. 

Esquanria, s. f. equerre : instrument pour 
irscer des angles droits; ce qui ena la forme; 
position d’un chambranle de porte, etc. , d’e- 
querre ou & angles droits. (fig.) Regularits, 
ordre. 

Requapaıin. V. Esquadrar. 

+ EsquaprıLnäno, A, adj. d&hanche: quia 
les banches rompues, disloquses (homme, 
cheral). p. p. de 

+ EsquaprıLHär, v. a. d&hancher : rompre, 
disloquer les hanches. 11 est aussi r&ciproque. 

EsQuanaıxHino, A, pP. p. de Esquadrinhar. 

ESQUADRINHADÖR, 5. m. Sctutaleur, investi- 
Raleur. h 

r - 

ESOCADRINHADGRA ‚8. f. audle y Pa. 

quiza. 

UsquapaınnÄr, vd. a. rechercher, examiner, 
fa ter; sonder, seruter ; eplucher une affaire, 
enquerir. 

Esquineo, 8. m. * öguerre de menulsier. 
— com charneira, [ausse &querre, &querre 
Pliante, 

EsquäLno. V. Esqualo. 

EsotiLino, A, adj. (t. de poes.) Bald, mal- 
propre, hideux. 

EsquiLo, s. m. (1. d’hıst. nal.) squale, chien 
demer. V. Liza. 


EsQuapaınHBAMENTO, 8. mM. 





ESQ 555 
ksquagvsLino. V. Enzadrexddo. 
Esqauiguzs, s. m. (1. de blas.) &chiquier ou 

damier de couleurs alterndes. 

+ Esquaaros0, A, adj. (1. de bot.) rude au 
toucher, raboteux (squarrosus). 

EsQuAaRTEJÄDO, A,p. p. de 

ESQUUARTEJÄR, ©. a. Ecarteler : mellre un eri- 
minel en quartiers, en attachant &ä chacun de 
ses meınbres un cheval. (Ag.) Dechirer, lacerer. 
— ahonra. V. Desucredilar. 

ESQLARTELÄDO, A, P. p. de 

EsquAarTELir, dv. a. (t. de blas.) Ecarteler: 
partager l’&cu en quatre. 

Esquecinico, A, adj. oublieux ow oublieur : 
qui oublie ais&ment. 

Esqu&cepör, A, adj. qui fait perdre la me&- 
moire, qui efface le souvenir. 

Esot£ckr, v. a. oublier : perdre le souvenir, 
cesser d’aimer une personne. Negliger : n’avoir 
pas le soin necessaire. Il est aussi neutre. 
Quem ndo apparece esquece, on neglige les 
absents ; les absents ont tort. 

Esqu£ckr-se (de), v. r. manquer, oublier; 
s’oublier, mettre en oubli, perdre le souvenir. 
S’oublier, manquer ä ses devoirs; se negliger, 
se relächer de ses devoirs. S’engourdir, perdre 
la sensibilit& , en parlant d’un membre perclus. 
Este homem esquec&o-se de canlar, de dan- 
sar, etc., cet homme ne sait plus chanter, 
danser, etc. — de si ou de quem €, manquer ä 
son devoir, oublier qui l’on est. Esquecdo-me..., 
j’ai oublie de... 

Esau£cıno, A,p.?. d’Esquecer. adj. Oublie, 
mis en oubli. Oublieux : qui oublie. Engourdi, 
perclus ( membre). Estar —, etreoubli6, s’etre 
pass6 depuis longtemps. Eslar — de..., avoir 
perdu le souvenir d’une chose;; avoir oublie c6 
qu’on a su ou appris. Fazer-se —, feindre d’a- 
voir oublie. Horas —as , long temps. 

ESQUECIMENTO,, 8. m. oubli - mandue de sou- 
venir, perte de souvenir; aclion d’oublier, son 
effet. Engourdissement, paralysie. POorno—, 
ouhlier volontairement , mettre en onbli. En- 
iregar ao —, ensevelir dans l’oubli. Näo ter 
em —, avoir present & l’esprit. Rio do —, fleuve 
de loubli, Lethe. Ausencias causdo —, les 
absents ont tort. 

EsqueL£To, 8. m." squelette, carcasse ; osse- 
ments qui s® liennent encore; (fig.) personne 
decharnee , exir&@mement maigre. 

° Esqtenca, ete. V. Escanra,etc. 

+ Esoventagiö, 8. f." echauffement. V. Es- 
candescencia. " 

Esquentäpa,s. f. le fort de la chaleur; presse, 
häte; danger pressant. Pela —, (loc. fam.) 
vite , vitement, aveo vitesse. 

EsQuznTino, A,p. p. d’Esquenlär. 

EsQuEXTAnOR, s.m.* bassinoire, chaufferette. 

ESQUENTAMENTO, 8. m. "echaulfaison, &chauf- 
fement. (t. de m£d.) * Blennorrhee , uretrite, 
vulg. gonorrhee , chaude-pisse. 

Esuuentär, o. a. chauller, echauffer. (fig.) 
Animer, enflammer, mettre en colöre; exciter 
la concupiseence. 


556 ESQ 


Esquentin-se, v. r. s’schaufler : devenir 
chaud. (Ag.) S’animer;; se passıonner, s’empor- | 8 


ter, se meitre en colere, s’exciter. 
Esquärpa, s. [. la gauche, la main gauche. 
Esqueaprino, A, p. p. de 
EsQquerndeäir, v. mw. donner ä gauche, ne pas 


aller droit. (Ag.) Gauchır, ne pas agir franche- 


ıinent , fourber. Sortlir, s’ecarter de son sujet. 
— dn parecer de oulrem, dilfercr de sentiment. 
Esoutanpo, a, adj. gauche, oppose & droit. 


Gaucher. V. Canhoto. Tortu : qui est ou va de 


travers. (Ag.) Sinistre, de mauvais augure. 
— d’um olko,, louche, bigle. Deilar tudo d mdo 
—s, (fig.) interpreter tout en mauvaise part. 

+Esurica, s. f. *[ausset : brochette de bois 
pour boucher un ionneau. 

+ Esavirioo, A, adj. en facon d’esquif ou de 
biere. 

Esoqvire, s. m. esquif : petit canot. Cercaeil, 
Biöre. Petit lit d’höpital, petit lit pour reposer. 

EsqriLLa, s. f. V. Scilla et Cebola alvarra. 
it. Esquirola. 

+ EsurizLächg, 8. f. (1. de geog.) Squillace : 
ville du royaume de Naples. 

+ EsqviLo, s.m. (1. d’hist. nal.) ecureuil: petit 
animal fort vif, ınammifere, rongeur. — das 
palmeiras, ecureuil palmiste. — de Madagas- 
ear, l’aye-aye. — menor rolante.V. Polatücha. 
— maior volante. V. Pelaurisia. — de Guiana, 
grand guerlinguet. 

Esquiuräcno. V. Escalrächo. 

+ Esquimös, s. m. pl. Esquimaux : peuple 
du nord de l!’Amerique. 

Esquina, s. f. " coin : angle, rencontre de 
deux cötles; arelier. — de rus, coin de rue. 
Dar conira uma —, (fig.) se conduire d’une 
maniere insensee , agir en depit du bon sens. 
Quebrar as —s, fig. fam.) baltre le pave&, cou- 
sir les rues. 

Esotina ow Esquineza, s. f. (t. de bot.) V. 
Eschineza. 

Esgtinäno, A, adj. construit en angle, quia 
des coıns, des angles. (fig,) Biais, de Iravers 
(p. us.). Homem —, (burl.) personne grise, ä 
demi-ivre. 

Esotinäntno , s. m. (£. de bot.) barbon 0do- 
rant, jonc odorant, schenantbe, paille de la 
Mecque : fourrage et litiöre des cbameaux. 

T Esotınän, v.@. (P. us.) constiruire en an- 
gle,encoin. 

Esquinexcia, s. f. esquinancie, kinancie : 
inflammation violente du gosier. 

Esauınixuo. V. Escaninho. 

Esouipacäö, 8. f. *öquipement d’un vais- 
seau; equipage. "Appareil de baufs, eic., pour 
le labourage. * Apparcil n&oessaire des habils. 
( Ag. fam.) Singularitc,, fantaisie, caprice. 

Esquiripo, A, p. p. d’Esquipar. 

Esquirau&nto ‚3. m. &yuipement d’un vais- 
soau. 

Esaquirir,v. 6. dquiper : pourvoir (une flotte, 
un vaisseau, etc.) de tout ce qui est necessaire, 
v. ». Courir legerement, avec vitesse, 


ESS 
Esotipärico, A, adj. ( fam.) exiravagant, sin 


ulier. 
Esorinots ‚s. f. (t. de chtr.) esquille : dela 
d’un 05 fracture. 

° Esquisa. V. Exgqwisa. 

Esquisito. V. Exguisito. 

Esutıtär. V. Desconier. Porter en compie., 
it. amt. V. Desquilar. 

Esgqtiväno,, A, p. p. d’Esqwivar. 

Esotivame&nte, adv. dedaigneusement, avec 
dedain, & regret. 

Esouivinga, s. f. * dedain, mepris, froi- 
deur ; mauvais accueil ; manieres rudes. 

Esotivar, v. a. esquiver, eviter, eluder; re- 
pousser. Dedaigner. 

Esquivar-se (de), v.r. dedaigner, s’esqui- 
ver, 56 retirer, s'cloigner avec un air de m+- 
pris. — com alguem, esquiver, eviter adroile- 
ment une personne. 

* Esocıysz ou —za. V. Esquivangs. 

Esotivo, A, adj. dedaigneux,, mal graciewz, 
intraitable, ausiere. ıneprisant. Difäcile ; reve- 
che. Dor —a, douleur tres-sensible, vive. 

Esqrivöso. V. Esquico. 

Essa. V. Epa. 

tESse, 5. m. nom de la lettre S. Chalnos 
qui a la forme d’un S. Ce qui een a la forme. 

E.se, Essı ,Isso, pron. demonst. ce, cette, 
cela. Ce pronom sert & designer une chose ou 
une personne presente, qui se trouve plus 
pres de la personne ou de la chose dont on 
parle, quoiqu’elle ne soil pas presente. Ess 
cavalheiro de quem V. M. me [alla € mdi na- 
morado , ce monsieur dont vous parlez est ires 
galanı. Com essas me vem V.M.! la belle affaire, 
la belle histoire, le beau conte que vous me 
faites la! 

* EssEcuTaR, ot0. V. Execular. 

T Esseoänıos, 8. m. pl. (4. d’ant.) gladia- 
teurs qui combattaient sur un char. Soldais 
qui combattaient du haut d’uu chariot. 

EssEncıA, 8. f. essence : ce qui consütue ls 
nature d’une chose ; ce qui fait qu’elle est c@ 
qu’elle est; huile aromatique, tr&s-subtile, des 
plantes , obtenue par distillation ; huile essen- 
tielle. Ouenia —, quintessence : co qu’il ya 
de plus essentiel dans une chose ; toute la veris 
d’une chose. ig.) Le plus fin, le plus parfait. 
le plus exquis vw le plus mauvais, eie. Ser de 
— d’alguma cousa, €ire essentiel , necessaire a 
quelque chose. A— d’um negocio, le fond, Ic 
point principal d’une affaire. 

EssencıiL , adj. 2 gen. essentiel : gui appar- 
tient ä, qui est de N’essence; absolument ne 
oessaire. —, principal, remarquabie. s. m. 
L’essentiel (s. m.), le principal, lo point, le 
fait important. 

EssenciaLM£NTe, adv. essentiellement : par 
son essence ; indispensablement, 

Ess&nos, s. m. pl. (1. Kant.) esseniens : 
secie de philosophes , espece de pythagoriciens 
juifs ; Juife solitaires trös-vertueux. 

* Esso. V. Isso. 
* Esso-uspts, loc. ade. c’es: cela. Aussl. 


EST 


Nasbra , Joe. adv. ans. A la meme heure. 
EssöuTR0, A, pron. demonsi. coniw=ction des 


F 


Est 657 


Estipa ,s. f. demeure, s&jour, temps pen- 
ant lequel on demeure dans un lieu. 46. V, 


pronoms esse oulro, essa oulra, ceı autre, | Esirebaria. 


cette autre; celui-lä, celle-lä. 

Esta, varialion fEminine d’Este. Celle-ci, 
cette. V. Este. 

* ESTABALBOADO, ele. V. Atabalhoado , etc. 

EstasanänDO, A,.adj. [ou, extravagant, tur- 
bulent, ecerveie. 

EsTABELECEDÖR , A, 5. qui elablit, qui insti- 
tae ; fondateur. 

EstasgLecka, v. a. etablir, fonder, creer; 
regler, ordonner; cxposer un fait; rendre sta- 
bie, fier. — alguem, etablir quelqu’un, lui 
denner un 6tat, un &tablissement, le melire 
dans un ermploi, etc. 

EstasgL£Ecer-seE,v.r. s’etablir: se faire un 
“ablissement; se fixer dans un lieu; passer en 
usage. 

Estas£L£Ecido, A, 9. pP. d’Estabelectr. 

ESTABELECIMENTO, 8. m. &tablissement : ac- 
tion d’etablir, son effet; institulion, fondation. 

*" EstaBELEgtoo. V. Estabelecido. 

* EstaszLeza. V. Estabilidade. 

* ESTABELIMENTO. V. Estabelecimento. 

EstasELiTaR, v. a. V. Estabelecer. Rendre 
stable. 

Estasır. V. Estavel. 

EstastLipäne, s. f. stabilit6, &tat durable, 
de permanence. 

EstisuLo, s. m. &table : lieu od !’on met les 
destiaux. 

Estäica, s. f. "pieu : pidce de bois aiguisee 
par le bout; Echalas. ° Pilotis ; piquet,, poteau, 
pilier d’&curie. Bouture : branche garnie de 
boutons, stparee et replantee. Gros clou de 
charpentier. 

Estacäpa, 5. f. (6. de fort.) palissade : clö- 
iare de pieux, de palis. Barriere : toute en- 
ceinte de plusieurs pieces de bois servant ä 
fermer un passage, ä appuyer ou defendre 
quelque chose. * Terrain : lieu designe pour un 
duel. (6. de mar.) Estacade : digue de pieux 
pour fermer un port; palissade dans l’eau. 

Estacipo, s. m. V. Estacada. 

Estacino, A, 9. p. d’Estacar. adj. ( ig.) 
Perplexe, irresolu, interdit. 

Estacaria, s. f. estacade; pilolis; grande 
quantät£ de pieux. 

Estaciö,s. f. stalion : pause, demeure de 
peu de duree en un lieu; lieu oü l’on s’arräte; 
etal d’une plandte qui paralt stationnaire ; poste 
fixe; visite des eglises, au jubild. Saison : 
Quatri&me partie de l’annee; temps propre & 
chaque chose. *Pröne, instruction d’un curö 
äa ses paroissiens ä la grand’messe du diman- 
che. "Departement d’un minisi£re de l’dtat, etc. 
Mesure itineraire chez les Arabes et les Tarta- 
res (20,000 pas geometriques). 

Estacir,, 0. ». s’arreier tout & coup. (flg.) 
Rester court, rester interdit. 

Estacıonirıo, A ,adj. ($.d’ast.) stationnaire: 
qui semble m’ävancer ni ne reculer. Qui n’a- 


vance pas, qui no fait pas do progrös, 


ESTADEADOR, s. m. V. Alardeadör. 

Estaneir-se, vo. r. V. Ostenlar, Alardear. 

* Estap£La, s. f. chaise de parade, fauteuil 
royal. 

Estädıo, s. m. stade: carridre pour la course; 
mesure de 125 pas geometriques. 

Estapista ,s. m. homme d’etat, politique. 

Estapistica, s. f. politique, science du gou- 
vernemen!. Statistique. 

'Estanistıco. V. Estadista. 

Estioo, s. m. etat: disposition (d’un re, 
d’une affaire, etc.); profession , condition ; si- 
tualion, registre, liste , livre , m&moire, inven- 
taire ; office, charge; train; depense; cortegey 
gouvernement; royaume; empire; pays souß 
une meıne domination. * Mesure de la hauteur 
d’un hoımme (ant.). — celeste, \heme de nativile. 
— maior, etat-major, Corps des principaux ofll- 
cicts. — ras0 , commum ou geral, rolure : elat 
de ceux qui ne sont pas nobles. — do reino, 
eiat du royaume, quelqu’un des trois ordres 
du royaume, qui sont: le clerge, la noblesse 
et le tiersetat. Homem de — , personnage. #1. V. 
Estadista. Maleria de — , maliere d’etat, toule 
affaire qui coucerne le gouverneiment. Mesa de 
— ‚table des divers officiers du palais. Mudar 
ou tomar —, changer d’etal, se ınarier. Dar— 
a sua filha, &tablir une fille,la marier. Razaö de 
— ,(fig.) raison d’etat, considerations d’inter@t 
par lesquelles on se conduit dans un &lat. Rdo 
de—, prisonnier d’elat, prevenu d’un crime 
contre l’etat. Cama, coche d’—, lit, voilure de 
parade, pour l’ostentation. Pör-se em — de fa 
zer alguma cousa, se disposcr, s’appreicr, S6 
tenir pret pour faire quelgaue chose. —s do 
reino , etats du royaume; assemblee generale 
des trois 6lats. Chamar os —s, convoquer les 
6tats. Junta dos ir&s —s, cour, parleinent, co- 
mite des trois etats. 

EstapdLuo, 3. m. bäton pointu qu’on fiche 
dans le limon d’une charrette pour retenir la 
charge. 

Estazs. V. Ostaes. 

Estära, s. f. fatigue, travail penible. (Ag.) 
Filouterie, escroquerie. Dar —, faliguer, px- 
ceder; faire fuir. Dar uma — a alguem, (fig.) 
voler au jeu une grande somme & quelqu'un 
par tricherie. Dar uma — de pancadas, erein- 
ter, rosser quelqu’un. 

Estarano, A,p. p. d’Estafar. 

ESTAFADÖR, 85. m. escroqueur, escroc, filou, 
chevalier d’industrie. 

Estaräir, ©. 0. lasser, harasser, surmener 
un choval; vexer, tourmenter. (fig.) Filouter, 
escroquer; 6corcher, surfaire. — com panca- 
das, &reinter, rouer de coups. 

Estarkıno,, s.m. estafler; valet de pied,, cou- 
reur. 

Estarßau0 , s. m. *ägure d’un homme arme, 
qui d’une main tient un bouclier, et de l’autre 
un fouet, ou un pelit sac de sable, avec quoi 


558 EST 


elle frappe Tes Epaules de celui qui touche son 
bouclier, s’il n’a pas l’adresse d’esquiver le 
coup en courant. (fg.) Celui qui, n’&tant bon 
a rien, pr&tend jouer un röle dans le monde, 
ou qui reste plante sur ses pieds en altendant 
quelqu’un. 

* Estarkra, 8. f. 

ESTAFETE, 8. m. 
ville a une aulre. 

*+ Estarerkıao, s. m. savate, facteur. V. 
Esiafete. 

+Estaris, s. m. fouet pour punir les chevaux. 

Esticnıcäö, s. f. Stagnation : &lat des flui- 

des qui ne coulent pas; (fig.) se dit des affai- 
res , des effets de commerce. (f. de med.) Stase: 
sejour, immobilit® du sang ou des humeurs 
dans les veines capillaires. — de numerario, 
resserrement de l’argent. 

ESTAGNADO, A, adj. stagnant : qui ne coule 
point (eau, humeur —e). p. p. de 

ESTACNÄR-SE, o. r. @tre slagnant, en stagna- 
tion. — em ocio, em delicias, se plonger dans 
Yoisivets, dans les delices, s’y adonner enlid- 
rement. 

Estaıs. V. Ostaes. 

+EstaLäctıtra, 8. f. stalactite : concrelion 
pierreuse; incruslations en rond. 

EstaLicEen, s. f. *auberge; hötellerie. — 
mobilhada , hötel garni. 

tEstaLacuita, s. f. (f. de minder.) stalag- 
mite : stalactite en ınamelon. 

EstaLasao£ıra, s. f. aubergiste,hötesse, hö- 
teliere , maltresse d’hötel. 

ESTALAJADEIRO, 5. m. aubergiste, höte; hö- 
telier. 

“ EstaLayapöra, s. f. V. Estalo. 

EstaLino,A,p.p. d’Eslalar. 

EstaLiö, s. m. &talon (mesure). 

EstaLir, 0. n. eclater: se rompre par &clats; 
craquer, se fendre. (fig.) Crever. — com riso, 
eclater de rire, rire aux eclats. —com dor, 
@tre au desespoir, mourir de chagrin. — por 
alguma cousa, desirer une chose avec ardeur. 

EstaL£ıro, s.m. (tl. de mar.) chantier : lieu 
oü Fon bätit et od l’on radoube les vaisseaux. 

* EstaLksapüna, 5. f. V. Estalo. 

"EstaLEsän, o. n. V. Estalar. it. Trembler 
de froid , grelotter. 

EstaLivo, s. m. claquement (d’un fouet ow 
des mains). Eclat:: bruit d’un corps qui eclate. 

EstäLıa. V. Esirebaria. 

EstiLo, s.m.V. Estalido. Dar um —, cra- 
quer, parlant d’une chaise, etc., qui se brise. 
Dar —s com 0 agoule, faire claquer son fouet 
(au propre). Dar —s com os dedos, craqueler 
aveo les doigts. 

*Estimaco, oto. V. Estömago, etc. 

Estausrioo,A,p.p. de 

Estamarin, 0. a. mettre la laine en fl d’es- 
tame. 

Estiumaz, s.. fll d’etaim ou d’estame, fl 
tors de laine fine. Laine fine qui sert pvur faire 


la chatne. V. Esiame, :— de vida . 
de Ja vie. Praa , (podl.) rame 


estafette : courrier d’une 
poste ä une aulre, d’une 


EST 


Estiuz, s. m. (ft. de bot.) ” &tamine:: Niet 
chargs de poussidre fecondante; organe sexuel 
mäle de la plante, termins par Vanthere. V. 
Estambre. 

Esrawtnua, s. f. &tamine: etoffe de laine 
fine, claire. 

Estauenntıro,s. m. Ötaminier : qui fait, [a- 
brique de l’ötamine. 

+ Estamento, s. m. * assemblee des Rıats- 
Generaux du royaume (en Espagne). 

ESTAMATE, s. m. sorte d’ancienne elam'ne 
fine. 

+ Estaumäceo, A, adj. (6. de bot.) &lamine. 
ä &tamines. 

+ Estamımöso, a, adj. (£. de bot.) &laminent: 
apetale, qui n’offre que des stamines (plane 
—se). Flor —s, fleur &taminee. 

Estimra, 5. f. estampe : image imprimte. 
(ig. Empreinte; prototype, original. Em- 
preinte des caracteres d’imprimerie sar le ps 
pier. — de fumo , mezzo tinlo, estampe en Di 
niero noire. Bda—, belle figure. Dar d-, 
faire imprimer; livrer & Pimpression, mellft 
au jour. 

Estaupido, A, p. p. d’Estamper. adj. Gau- 
{r6 : imprime sur une &toffe avec des fers. ı. m. 
*Gaufrure : empreinte faite en gaufrant. 

ESTANPADOR, 8. m. celui qui estampe. (em. 
Imprimeur. Gaufreur : celui qui gaufre 1& 
etoffes. 

Estampir (em), ©. a. estamper : faire une 
empreinte d’une matidre dure et graree su! 
une molle. Empreindre : laisser une empreinit 
sur. Gaufrer : imprimer des figures sur un 
6toffe, avec des fers chauds, des cyliadre 
graves Graver. (f%g.) Imprimer : graver Nat‘ 
Pesprit. 

ESTAMPÄR-SE (em), v9. r. s’imprimer, * 
graver;; &tre grav6 (propr. et flg.). 

EsTawPARia, s. f. fabrique de gaufrage; 83% 
frage; impression sur &toffe, sar papier, el. 
Boutique de celui qui fait ou vend des eslau- 
pes (p. us.). 

tEstamp£ıro, s.m. imager : qui vend ou 
qui fait des estampes; marchand d’estampe: 
V. Abridor (p. us.). 

EstauPindo, s. m. * explosion, 6clal, hrui. 
mouveınent subit de ce qui eclate; bruit dt. 
coup de canon, etc.; fracas. 

+ Estampiuna, s. f. lettres alphabetigae. 
notes (de musique ou de plaiu-chant, eW. ’ 
jour, percees dans de petites lames de cuivIt, 
pour imprimer, etc. 

EstampıLHin0,A,9.p. de 

+ EstauritHir ‚vo. a. imprimer avec des 4 
tres, des notes, elc., a jour. Copier du plaiß 
chant au moyen de Vesiampilha. V. co mol. - 

Estanca-CAvaLLos, 8. f. gratiole, planl 
V. Graeiola. 

Estancankıra, s. f. herbe astringente. 

ESTAncäiDo, 4, adj. slagnant : qui ne oeıle 
point. p. p. de 

EstanciR, vo. s. arröier le cours de Veae, 
du sang, etc. Ktancher, &puiser, tarir; (9) 








EST 


“puiser. Döfendre la vente de eertaines mar- 
ehandises,, en affermer le droit & quelques par- 
licaliers. — a vontade , faire perdre l’envie. 

Bsraucin ,v.9. et —SE,0.r. cesser de CoU- 
ler; s’&puiser, se tarir. 

"Baranga. V. Estade, Estancia, 

Estanctıno, s.m. marchand de bois en chan- 
ter. 

Esrincıa, s. f. *sejour, demeure dans un 
endroit; station. * Chantier de bois. "Olseau : 
planche carr&e oü les macons mettent le mor- 
tier. "Bien de campagne ou il y ades troupeauz. 
(1. de pods.) Btance : assernblage de plusicurs 
vers, stroph6, oouplet. — das ndos, havre, port, 
mouillage. — de soldados, camp, quartiers. 

Estancıan, ©. n. sejourner : faire un scjour 
dans un lieu, en voyageant. 

Estanczän-SE, ©.r.(P. us.) se loger, s’ar- 
reier dans. 

t Estinco, A, ad). (f. demar.) estanc, clan- 
ede : se dit d’un navire bien radoube, bien 
elos, sans voie d’eau, en bon 6tat. s.m. V. Es- 
lanque. 

EstanpÄärre, s. m. etendard, drapeau, en- 
seisne, banniere. , 

Estanuäno,ı,Pp. p.d’Estanhar. adj. Elame. 
Nor—, ou Galmaria —a, (tl. de mar.) mer 
tranquille, tr&s-calme, calme plat. Ter a cara 
—a,ne rougir de rien, avoir un front d’airain. 

TESTARBADOR, 3. m. e&lameur : celui qui 
&tame. 

Estantantna, 3. f. " ötamage : action et elfet 
d'etamer. 

EstaxHir, ©. a. @tamer : enduire d’etain 
fondu le cuivre, lu fer, etc. 

Estisno, s. m. 6tain: metal blanc, tres- 
füsible. (ant.) V. Supedaneo. Liquido —, (fig. 
p. us.)la mer; un lac, surtout calme. 

Estanqug , adj. 2 gen. V. Estanco. it. Stag- 
nant: qui necoule point (feau —).— de quilha 
ecostado, (1.demar.) estanc, bien clos ;navire). 

Estängue, s. m. clang : grand amas d’'cau 
sans cours dans les terres. Action de rendre 
estanc (un vaisseau); d’cpuiser, de tarir. .g.) 
Bail passe pour la vente exclusive de cerlaines 
marchandises. Boulique oü l’on vend cerlaines 
marchandises avec privilege exclusil, ou pour 
le coınpte de I’Etat.—de fabdco,, debit de Lubac. 

Estangt£iro, A, 3. qui prend & ferme la 
vente de certaines marchandises, ou qui les 
vend pour le compte do P’Etat; debitant privi- 
lerie de tabac,, etc. 

Estinte, s. f. rayon, tablette A mettrc des 
livres. — de livros, bibliothöäque. — portatil, 
* pupitre. — de c6ro, lutrin. 

Estinte ‚adj. 2 gen. et p. a. d’Estar. Etant, 
se trouvant , demeurant. Qui demeure toujours 
dans le meme lieu (inws.). 

Estanteıröla, 8. f. (li. de mar.) gauche : pi- 
lier place ä la t&te du coursier d’une galdre, 
pr&s de la poupe. 

"Estio, 5. m. *demeure, residence. Pago 
destdos, maison Foyale, sesidence du roi el de 
3a suite, 


EST 559 


Estarmsicatu , s. f. (8. de bof.) staphisaigre , 
Xauphinelle, herbe aux poux, & la pituite. 

EsraruyLöma, s. f. (t. de chir.) *staphy- 
lome : tameur sur la cornee de Peil ; hernie de 
l’ail en grain. 

tEstin,s.m.V. Esido, Hospedarla. 

Estärn (@, com, de, em, para, por),v.n. 
etre : se trouver dans un endroit. Joint & des 
mots qui marquent !’etat, la situation d’un 
etre, ou une affection quelcongue, il se rend 
aussi par lo verbe &tre. Ex: Rstou cansddo, je 
suis fatigud. Estou bom, je suis bien, je suis 
bien portant. Estow sentado, je suis assis. Es- 
tava em Pariz, j’&tais 4 Paris. Joint & un par- 
teipe actif, il Juli sert d’auxiliaire pour le con- 
Juguer, sans rien ajouter & sa signification. 
Ex. : Estow estudando, j’etudie. Eslara jan- 
fando, je dinais. Estava dizendo missa, il di- 
sait sa messe. Suivi de la preposition a, il si- 
gnifle quelquefois @tre pr&ät, dispose & faire 
quelque chose. Ex. : Estar a parlir para Por- 
tugal, @tre pret, dispose & partir pour le Por- 
tugal. Estar a ser julgado, &treälaveille d’etre 
juge. Suivi de la preposilion com et d’un nom, 
ilsignife que l’on possede la cbose indiqude 
par ce Jdernier, ou que l’on en est alfecte, ct sc 
rend par avoir. Ex. : Ksfou com dinheiro, com 
forluna, etc., j’ai de l’argent, j’ai du bonheur. 
Estou com fome, com [rio, com s@de,com fe- 
dre,j’ai faim, j’ai froid, j’ai soil, j’ai Ja fie- 
vre. Suivi de la pre&position de et d’un nom, il 
signifie quelquefois &tre occup6, Eire en, A, 
sur le point de. Ex.: — de viagem, &tre sur le 
point de faire un voyage. — de lulo, Eire en 
deuil. — de festa, @tre en rejouissance, se re- 
jouir. Suivi de la pr&position em et d’un noın, 
ilsignißle quelquefois consister en, etrecause, 
motif. A difficuldade estd nisso, la difficultd 
consiste en cela. En parlant du prix, du coüt 
d’ane chose,, il signifle valoir, coüter, lorsqu’il 
est suivi de la preposition em. Ex.: Este ra- 
vallo estd, ou estd-me, em 500 escüdos, ce che- 
val vaut, coüte, ou m’a coüt&, 500 &cus. Joint 
& la pr&position para et ä un verbe & l'infinitii, 
il signifle ötre dispose, pret, sur le point de. 
Ex.: Estow para sair, je suis pretä& parlir. — 
para morrer, &tre sur le point de mourir. Suivi 
de la preposition por et d’un verbe & l’infinitif, 
il marque que l’action exprimee par le verbe 
n’cest pas encore faite, ce qui se rend ordinai- 
rement par &tre 4. Ex.:— por fazer, @ire 3 
faire. — por escrever, @tre, rester & €crire. 
Estd por pagar ‚il n’est pas encore paye. — 
conto,, venir bien, @ire utile. — d mäo, &ire & 
la portee, sous la main. — d frinca, &tre & la 
cape, parlant d’un navire. — d lerla, Eire 
alerte, actif, vigilant. — a ponto, ötre pret, en 
etat. — bem, mal ou melhor, convenir bien ou 
mal ow mieux, @tre ou ne pas @ire & propos. 
— bem algumacousa, aller bien, parlant d’une 
chose qui sied bien. — bem com alguem, Elro 
en faveur aupres de quelqu’un. — mal com al- 
quem, e&tre brouill& avec quelqu’un, cesser 
d’eire ami de quelqu’un. — capdz, oorrenie. 


560 EST 


&re habile ou au fait d’une chose. — configuo, 
avoisiner. — de bda ou md caladura, &tre de 
bonne ou de mauvaise humeur. — de pressa 
ou com pressa, eire presse. — em guerra com 
alguem, faire la guerre ä quelqu’un, @ire en 
guerre avec lui. — de vagar, eire desmuvre, 
oisif.— em alguma couss, comprendre, en- 
tondre, etre au fait de quelque chose; croire, 
ötre persuade d’une chose. — em linha, mar- 
cher en ligne, parlanı de plusieurs vaisseaux. 
= na mdo de..., ötre au pouvoir, & la discretion 
de, dependrede... —em pe, (fig.) @ire sur pied, 
exister, durer.—em ldlas, (fig.) @tre en torture, 
sur les 6pines. — em si, avoir l’esprit present 
a ce qu’on fail.— em seu jurzo ou muilo em 
seu juizo, eire dans son bon seus. — amar- 
rado d euchente e d vasanle, (I. de mar.) ätre 
sur les ancres de flot et de jusant. — sobre as 
wuncoras de pröa e poppa, (id.) mouiller en 
eroupiere. — abarbado ou com duas ancoras 
pela pröa, (td.) affourcher, mouiller en barbe. 
— abarbado e dar um guardido d’ajuda, (1d.) 
mouiller en patte-d’oie. — com uma rejeira so- 
dre a amarra, (id.) mouiller en faisant em- 
boussure. — ancorado sem a pr6a ao venlo 
nem d mare, (id.) mouiller entre vent et 
maree. — com as vergas amantilhadas , (id.) 
avoir les vergues en pantenne ou apiquees. — 
alerrado por causa do venlo ou damar6, (id.) 
ötre aflale, Stre charge en cöte. — mais alra- 
sado do que o ponto, (id.) se faire de l’avant, 
etre en arriere de son point. — mais adiantado 
do que o ponto, (id.) &ire en avant de son point 
ou do son estiıne, se [aire de l’arriere. — ao 
ravez das ondas, (id.) &ire ä travers des la- 
mes. — a balravenio d’um cabo, (id.) passer 
au vent d’un cap. — no mar allo, (id.) avoir 
belle derive, avoir de l’eau & courir. — anco- 
rado com Ir&s [ferros pela pröa, id.) mouiller 
en palle-d’oie. — com as velas desamantiilha- 
das, id.) avoir les vergues en pantenne. — 
longe de..., (fig.) ®ire eloigne de faire une 
chose. Ndo — para isso, n’stre pas bien dis- 
Pose. — pegddo , tenir.— por alguem, prols- 
ger queiqu’un, se declarer pour lui. — por 
ud , accepter toutes les conditions, toules les 
propositions. — pelo dito, pelo que se ajustou, 
s’en tenir A ce quia eis dit, äce qui est con- 
venu. — sobre si, se posseder, @ire sur ses 
gardes; Etre orgueilleux; resider s&pare de sa 
famille, etc. — sobre alguma pessoa ou cousa, 
presser vivement une personne, une affaire; 
en avoir beaucoup de soin. Onde estdmos ? Od 
sommies-nous? Onde esid a gloria dos anligos 
Poriuguezes ? Qu’est devenue la gloire des 
anciens Portugais? 

. EsTÄR-sE , vo. r. s’arr&ter, se delenır. S’ap- 
puyer, seconfler. Joint a un participe actif, il 
indique l’action passive de ceverbe, et se rend 
par Pimpersonnel. Ex. Estd-se Iractando de 
fazer a paz, eic., il s'agit de faire la paix; on 
traite sur les moyens de faire la paix, etc. Es- 


Kdoae edifcando umas casas, on bätit une mai- 


EST 


Esranniöra,s. f. Sella d—, solle A la si 
diote, dans laquelle le chevalier peut allonger 
les jambes & volonie. Montar 4 —, monier la 
stradiote. s. m. Stradiot : soldat monte A lasıra. 
diote. 

Estärna, s. f. perdrix d’une petite espece 
aux pieds noirs. 

EsSTARÖSTE, s. m. staroste : noble Polenais 
qui a une starostie. 

EstaRostia,s. f. starostie : grand Selen Pe- 
logne. 

EsTaTELipo, A, adj. (pop.) immobil; cou- 
ch& tout du long sans mouvement. 

ESTATUÖDER,, 8. m. Stalhouder : chef deia- 
cienne republique de Hollande; amiral, cap 
taine, general. 

ESTATBUDERÄTO, 8. m. stalhouderat : digaits 
du stathouder; ses fonclions, leur duree; sea 
palais. 

EstäTica, s. f. stalique : science de Foguili- 
bre des corps. 

Estarice ou EstaTicra. (f. de 506.) V. Crew 
romano. 

Estaristica, s. f. statistigae : science qui 
fournit des documents ä l’d&conomie politigee; 
tableau de l’&tendue, de la population, des ri 
chesses d’un &tat ei sa description; invenlaire 
d’un pays, art de le faire ; budget des choses. 

T ESTATISTICO, A, adj. stalislique,, de lasla 
tistique. 

Estätua, 8. f. statue: figure humaine ow d’as 
animal, entiere, de metal, de’ bois, de pierre, 
etc., (fig.) personne sans mouvement, sabs 
energie, etc. — pedesire,, statue pedesire, « 
mieux en pied. — equestre, statue equesire, 
d’un homme ä cheval. Merecer —. On Ie dil 
pour exagerer les hauts faits de quelgu'un. 
Fazer-se — ou como uma —, prendre l’air in- 
portant, marcher tout d’une piece. 

Estattärıa, 8. f. sialuaire : art de faıre des 
stalues. 

EstaTuirıo,A ‚adj. statuaire : propre & faire 
des statues; qui porte une statue (colonne.. 
8.M.— , sculpteur qui fait des statues. 

+ Estatuusinua, s. f. dim. d’Estalua, sla- 
tuette. 

Estatuinpo,A,9.p.de 

EstaTulR, o. a. statuer, rögler, etablit. 

EsTarüna, 8. f. stature : hauteur de la taille 
d’une personne. (Ag.) Elevalion; grandeur. 

Estartüta. V. Institute. 

t Estaruränıo, a, adj. qui concerne le sia- 
tut, qui lui apparlient, 

EstaT0To, 3. m. statut: rege pour la con- 
duite d’uns compagnie, etc. Loi, ordomnance. 
ü. adj. et p. pP. (ant.) W’Estalurr. 

„" Estävanss pour Eslaveis (vous dliez). 

* Estaväno. V. Estouoddo. 

Estavanäno. V. Estabanado. 

Esraviö. V. Eslabdö. 

ESTAVEL, adj. 2 gen. stable, permanent ar 
sure. 

star. V. Osiaos, 





EST 


Estazin, etc. V. Consar, Eslafar. 

Esrz, Esta,, Isro, pron. ddmonst. ce, cet, 
gelui-ci, cette, celle-ci, ce, ceci. On le dit 
d’une chose qui est en presence de la personne 
qui parle. Por @slas, sorte de menace qu’on 
fait en portant la main ‚les doigts sur le front, 
sur les lövres , sur la barbe surtout. 

Este, s. m. est:!’un des quatre points car- 
dinaux;; le levant, l’orient; le vent qui en vient. 

* Est& pour Esttıı,, (qu/il soit). 

Esteino. V. Esteiddo er Hasteado. 

Estean. V. Esteiar. 

+ Esraatockıa, s. f. (fl. de med.) * steato- 
etle : (umeur du scrolum. 

tEstsatöma, s. m. (l. de med.) stsalome : 
tumeur enkyst£e. 

. Estena , etc. V. Esteva, etc. 

EstEcanocnapHia, s. f. stbganographie ; art 
d’ecrire en chiffres et de les expliquer. 

ESTEGANOGRÄPHICO, A, adj. stöganographi- 
que : qui appartient & la st&ganographie. 

ESTEGANÖGRAPHO, 8. m. steganographe : qui 
ssdonne & la sieganographie. 

tEstecnosıs, s. f. (t. de med.) stegnose : 
vonstriction des pores et des vaisseaux. 

TEstecnörico, a, adj. (t. de mdd.) si&gno- 
üque : (medicament) qui resserre, qui bouche 
les orifices. 

Estzıino,A,p.p. de 

Estgıka , v. a. &layer, ötangonner ; (fig.) sou- 
tenir, appuyer. 

Esttıo, s. m. &lai, appui, soutien. (fig.) Ap- 
pui, soutien. —s das planlas, (tl. de bot.) sup- 
ports des plantes. 

Eerkına, s. [.nalte:tissu de paille, de sparte, 
etc. (.de mar.) *Sillage,, lague, ouaiche:: trace 
que laisse un vaisseau en naviguant. 

EstzırRADno,A,p. p. de Esteirar. 

Estzıniö, s.m. aug. d’Esteira. Grosse natie 
de jonc; paillasson. it. V. Aldardilha 

Esteinik, v. a. natter:couvrir de nattes de 
sparte, de jonc, etc. 

Estzınkıno, 5. m. nallier : celai qui fait et 
qui vend des nattles. 

Esteıninna, s. f. dim. d’Esteira. 

Est£ıno, s. m. hras de riviere ou de mer; 
lagune guitient A la mer. 

* Est£ıs pour Estesaıs, (que vous soyez). 

ESTELLANTg ‚adj. 2 gen. &lincelant, qui brille 
comme les £toiles. 

EstsıLıiö, s. m. stellion : l&zard marbre6 de 
blanc, de cendre,, de noir. 

EstzıLirgno, A, adj. (podl.) &toil&, couvert 
d’etoiles. 

ESTELLIONATÄRIO, 5. m. (l. depral.) stelliona- 
taire : qui vend ce qui n’estpas & lui; qui com- 
met le siellionat. 

EstaLLionito, s. m. (tl. de prat.) stellionat : 
erime de celui qui vend un immeuble comme 
franc d’hypolhdäques oucomme &tant ä lui,quoi- 
qu’il ne le soit pas. 

+ Estkusı, s. [. °couronne, guirlande de 
Geurs dom on ornail les portraits de ses anc&- 
Wes. Arbre gensalogique, "Race, lignde. 


PORT, -FR. 


EST 561 


Estemiir,s.m.V. Estendedöuro. 

ESTENDEDOR, 3. m. celui qui &tend; e&ten- 
deur. 

1 ESTENDEDÖUNO, 5. m. essui, &tendage; dien- 
oir. 

ESTEnpeDUra, 3. f. action d’stendre; &ien- 
dage. 

EsTEnDerR, vo. a. &tendre : deployer en long 
et en large; allonger ; elargir; donner plus de 
surface; tirer, allonger; augmenter, agrandir 
(propre et lg.); exposer, suspendre ä l’air (du 
linge, etc.). (Ag.) Repandre, debiter, propager. 
— a vista, jeler la vue de tous cölds; regarder 
au loin. —a commissdo, aller su-delä de sa 
commission, de ses pouvoirs; les outre-passer. 
— as velas do discurso, (fig.) deployer toute 
son dloquence dansun discours.— derrubando, 
6tendre, jeter par terre, renverser, abaltre. 

ESTENDER-SE, v. r. s’dtendre : tenir un es- 
pace; s’agrandir, atteindre &, aller jusqu’ä; 
durer; @tre prolixe, diffus. (fg.) Se r&pandre, 
parlant des opinions, des usages, etc. (id.) 
Embrasser, renfermer, parlant du credit, de 
la domination. Se ramifier, se partager en bran- 
ches, en rameaux. 

ESTENDERRTE, 5. m. nom d’un jeu de cartes. 

ESTENDIDAMENTE , adv. d’une manidre &ion- 
due, amplement. 

ESTENDIDO,,A,p. p. d’Estender. adj. Elendu, 
vaste, spacieux; de longuc duree, dilate. 4’ 
perna —a, ou de porna —a, en oisivels, ä lol- 
sir, bien a l’aise. 

* Estenpino. V. Estendido. 

+ Esrtnıas, s. f. pl. (1. d’ant.) stenies : feine 
de Cör&s ä Athenes, dans lesquellcs les femm- 
mes du peuple s’injuriafent mutuellement. 

ESTENOCRAPHIA, 8. f. stönographie : art d’%- 
crire par abreviation. 

ESTENOGRÄPHICO, A, adj. sienographigque s 
de la stenographie. 

ESTENÖGRAPHO, 8. m. stenographe : qui 86 
sert de la stenograpbie. 

Estensi6. V. Extensdo. 

“Est£o. V. Esteio. 

Estescina, s. f. action de fumer les lerros, 
engraissement des lerres par le fumier, lo par- 
cage des moutons, etc. 

Estercipo, A, 9. pP. d’Estercar. 

+ Estencanon ‚s. m. celui quifume les terres. 

EsrEncanüra, s. f. * engrais ou fumier; a0- 
tion de fumer les terres. 

Estencäin, v. a. engraisser, fumer les terres. 
(fg. p. us.) Fomenter, encourager. o.n. Fien- 
ter : expulser les excrements, parlant des 
betes. 

Est£rnco, s.m. *fiente : excräments d’ani- 
maux. Fumier : paillo mel&e de Rente; engrais 
pour amender les terres. — de pombos,colom- 
bine. — de veado mal digerido, malmoulues : 
[umee de cerf mal diger6e.—dejarali ‚owlobo, 
laissees, fiente da loup, des bötes noires, elo. 
— mi cortido ou podride, terreau : famier 
pourri et r&duit en terre, 


562 EST 


"EST 


+ Estencoranistas, s.m. pl. stercoranisies: | odo. * Stoß s plante arborescente, dpineme; 


heretiques qui eroient que l'on digöre V’hostie 
sacree. 

+ Estencontıno, 8. m. stercoraife. V. Esxca- 
ravelho. 

* Estkag ow Est£reı. V. Bsteril. 

+ ESTERKOGRAPRIA, 8. [. sier6ograpbie : art 
de tracer les figures des solides sur un plan. 

+ EsTEREOGRÄPHICO, A, adj. sterdographi- 
que : de la ster&ographie. 

+ ESTERBÖGRAPEO, s. m. atördographe : qui 
pratique la störeographie. 

+ ESTERBOMETRIA,, s. f. stör&ometrie: science 


qui traite de la mesure des solides; partie de | 


la geomiötrie. 

+ Estenzoroufa , 3. f. steröotomie : science, 
art de la coupe des solides, des pierres, de la 
cnarpente ; art des constructions solides. 

ESTEREOTYPÄDO, A, P.p. d’Estereofypar. 

EsTEREOTYPÄGEN, s. f. siäröotypage : art, 
aclion de sier&otyper. ' 

ESTERROTYPAR, dv. a. stördotyper : faire d6s 
planches d’imprimerie solides. 

EsTRaxotr’Pia, s. f. ster&otypie : art de stö- 
r6otyper. 

ESTEREÖTYPO,, A, adj. et s. stördotype:type, 
forme solide; livre sterdetyp&. 

EsterıL, adj. 2 gen. sterile : qui ne prodult 
pas de fruit (femme, terre, arbre) ; (fg.) S® dit 
de lesprit, d’un projet, d’une annee, etc., qui 
ne produit rien. 

"Este£nıLe. V. Esteril. 

ESTERILECER , v. a. V. Esterilizar. v. ». De- 
yenir sterile. 

EsterıLivine, 8. f. sterilitö : qualitö de ce 
qui est sterile. Manque de r£colte. 

ESTERILISSIMO, A, adj. sup. d’Esteril. 

EsterıLızäno, A,p. p. d’Esterilizar. 

EsTeriLizanör, A, adj. qui rend sterile. 

EsteriLizin, v. a. steriliser : rendre sterile. 

+ EstenıLmente, adv. d’une maniere sterile, 
sans fruit. 

+ Est£rı0,, s. m. stäre : nouvelle mesure de 
solides, du bois, un metre cube. 

EstenLinı, adj. f. Liöra—, livre sterling : 


' saonnale de compte anglaise, environ 25 francs. 


+ Esttano ow ESTERNON, s. m. (1. d’anat.) 
siernum : 08 du devant de la poitrine. 

Esrzangracgiö, s. f. V. Espirro. 

ESTSuNUTATöRIO, A, adj. sternutatoire : quä 
Salt öternuer. 

Esteraufßina, 3. f. ou | amas, las de fumier; 

EKstenqutıro,s.m. Nendroit oü l’on ra- 
masse le fumier. (fg.) Immondices, ordures. 

EsterquiLimıo, 8. m. V. Monluro, Esier- 


queira. 

Estennoin. V. Estorroar. 

Estesrör ‚„s.m.(i.de med.) räle, rälement: 
bruit, sons rauques qui sortent de la gorge 
sorsque les canaux de la respiration sont em- 
herrasses. 

Estkva ‚s. f. "soupeau, reis : bois qui fixe le 
50c d’une charrae ; manche de charrue. 


Estivaou — nina, 8 f. (1. de bot.).V. Ente 






° ciste rösineux. — de Creia, * ciste de Creie. 


Esteviu, s. m. lieu od ll ya des cistes, des 


Esteviö, s. m. (8. de bot.) ciste qui donne 2) 


laudanum. 


Estevir. V. Rabiscar. 

Esteran, etc. V. Esteiar, etc. 

+EsTB£TICA, s. f. esthetigue:: sciencedes set- 
sations; Ih6orie des arts fondee sur Ianalart 
et le got, sur le sentiment du beau; eombais“ 
sance, sentiment des beautes d’un oarräge 
d’esprit; science du sentiment. 

Estıin0,A,P.p. de 

Estıir, ©. . cesser de pleuvolr, se meitre 
au beau. (fig. p. us.) V. Afrouzer, . 

"Estisa , s. f. V. Estima. Faser —. Y. Orger. 
Esmar. it. V. Eıtioa. 

*“ Esrısir. V. Esiimar, Esmar. 

+ EstısıiDo, A, adj. stibie: tird de Yınl- 
moine. Tarlaro —, tartre stibi6, emetigue. 

+ Esrisco. V. Antimönio. , 

Estıs6nno , s. m. (. de mar.) tribord, mess 
stribord : cötS droit da vaisseau va de u 


poupe. 

Estice , etc. V. Estyge, etc. A 
Esticmas, s. m. pl. stigmates : margu® 
plaies sur le corps. (t. de bot.) ng. P 
superieure du style; extr&mite glandelan; 

(4. d’kist. nal.) orifices laterauz, organe? 
la respiration des hannetons, eit. 
Esrıowarızino, A, 9. p. de 
Estıcmarizän, 0. a. stigmatiser: marqüet a 
{front avec un fer chaud; diffamer. .. 
+ ESTIOMATOCRAPBIA , 8. f. stigmatograpbit: 
art d’&crire avec des points. 
* Esrır. V. Hastll. | 
EstıLar, vo. a. V. Destillar. (at!) rei | 
suivant le style, les formules asitdes. un. 
16, vd. r. User: avoir coutume, praligqe®; 
ratiquer. a 
P + EstıLttg ou —YLETE, 8. M. ti. de en 
stylet: sonde de chirurgien. (f. de bot.) SI 
partie du stigmate situee au-dessus de loraif- 
Estirua,s. f. V. Lasca, Haslile. 
EsrtıLmäco, s.m. &clat de bombe, elC- Eee 
nure : eclat emport# de l’angie d’une pie. 
d’un marbre, etc. 
Estıratıra. V. Hastilkeira. . 
EstıL.acäö, 3. f. distillation : dooulemet" 
goutte A goutte, | 
Estır.ipo,A,p. p. d’Estillar. 
EstıLLanor. V. Distillader. 
* Esrıamtuto. V. Estillegd6. 
EstıLir, ©. a. ou n. distiller, eouler gueit 
& goutte. V. Distillar. 0 
EstıLLän-sg, v. r. (fam.) se mine,” 
erir. „ 
Estiuticioro, s. m. &coulement : chaled" 
iiqueur goutte & goutte. (Ag.) *Plaxion, 
de cervean. . 
EstıLo ow Estrıo, 5. m. style : pin. 
aiguille pour 6crire; aiguille de cadran al 
( Ag.) wenitre d’scrire; manitre de cope* 








EST 
de peindre,, de proo&der en justioe, d’agir, de 
perier ; caractöre particulier du discours ; ter- 


EST. 563 


pigüre. (Ag.) Aiguillon, stimulant, stimulus ı 
chose qui anime, qui ezeite, qui stimule. — 


mes, locutions dont on se sert dans une science, | da conscieneis, remords. — de honra, point 


un art, olo. Usage, coukıme, mode. — antigo, 
vieux style, maniere de compter les anndes 
avant la correction gregorienne. — 2000, Nou- 
vean style, manidre de compter les anndes 
Cıprös la sorresuion grögoriennnn — medio, 
style qui a o le plus du sublime. 

Krim. V Hastim ou Hastil. 

Estima, s. f. estime : cas, 6tat que !’on fall 
(d’un ®tre, d’une personne, de son merlie, 
ete.); opinion favurable. 

+ Esrıuasilipipe, s. f. qualit& de oe qui ost 
estimable. 

Esrıuannlissiuo, A, adj. sup. d’Betimavel. 

Estımaciö,s. f. estimation : jugement de la 
valeur de. Estime : cas, @tat que l’on fait d’une 
personne. 

+ Estrmipaminte, adv. avec estime ow esli- 
mation. 

Esrımapissimo, A, adj. sup. de 

Estımipo, a, p. p. d’Estimar. 

EsrtımaDOr , s. m. estimateur, appröeiateur. 

Estımmär (em), ©. a. estimer, priser : fixer la 
valeur. Se soucier, estimer, faire cas de. —, 
creire, penser, reputer, juger (amf.). Recon- 
meitre un service, un bienfait. Quelguefois il 
est newire et signißle Atre content, #tre bien alse 
de. Essimo mdito v@l-0 com sallde , je suls bien 
also de vous voir en bonne sante. 

Estımia-sE, ©. T. s’estimer sol-meme, se 
donner de Fimportance; s’estimer mutuelle- 
ment; devoir, pouvoir &tre estime. (de) Se glo- 
rißer de, 

Esrımarlva, s. f. estime, caleul probable, 
tonjeeture ; arbitration de depens. Estimative : 
facalıe de l’Ame pour juger (an£.). *Jugement, 
opinion , avis sur une matiöre douteuse. 

+Esrımarivo,a,adj. qui sait ostimer, pri- 
ser, apprecier. Fonde en probabilite. 

Esrtısäver, adj. 2 gen. qui peut ötre prise, 
estiime, apprecie. Estimable : qui merite ’es- 
time , la consideration. 

+ Esrimo, s. m. * estimation : jagement de la 
valeor, da prix de... V. Esmo, Orpamento. 

EsrısuL4cäiö,s.f. action de stimuler, d’exci- 
ter, d’alguillonner ; exoitation,, instigation. 

EsrımuLiDAu&nTe,, adv. avec excitation, avec 
instigation. 

EsrısuLido, A, p.p. d’Estimmlar. adj. Ai- 
guillonne, incit6, animd. 

EsrımtLapoR, a,adj.stimulateur:quistimule, 
ezeite „ alguillonne. 

EsrısuLinte, adj. 2 gen. et s. stimulant: qui 
a la verta d’exciter, de reveiller; ( Ag. au mo- 
rel) ce qui stimule. 

EstısuLir, v. a. stimuler, aiguillonner, ex- 
diter. (Ag.) Aiguillonner, animer, inciter ; pro- 
voquer. irriter, fächer, exciter. 

TISULÄR-SE, ©. r. se stimuler, s’exciter, 
prendre courage; se piquer d’honneur; se for- 
maliser, so fächer, so piquer. 

Estiup , s. m. alguillon pour piquer, sa 


d’honneur. — da carne, Concupiscence. 

*+ EstıuuLdso. V. Estimulante. (t. de bot.) 
Stuimuleux : garni de pointes dont la pigüre ost 
brülante (v. g. Yortie). 

Esrıncino, A, 9.9. de 

Estıncir, v. a. (1. de mar.) carguer les voiles. 

Estinouns, s. m. pl. (f. de mar.) ° cargues 
pointes. 

Esrınavin , eto. V. Eatinguwir, eic. 

+ Esrınnir, vo. a. chätrer les ruches une 3% 
conde fois, en reoueillir le second miel. 

Estrio, s. m. ei# : saison la plus chaude de 
Pannse. (Ag.) L’Age mur avant la vieillesse. 

Estiouznano, A, adj. (1. de med.) esthio- 
mene, (membre) gangrend. Esthiomöne : in- 
foct# du feu Baint-Antoine. p. p. de 

Estıowsnir, v. a. (fl. de med.) corrompre, 
ronger quelique partie ohernue, parlanı des 
humeaurs du coorps humain. 

Estiosenin-se, v. r.80 corrompre tolale- 
ment, parlant de la chair, ote. 

Estiömeno, s. m. (8. de mdd.)* mortificatien , 
corruption totale de la ohalr, qui la rend in- 
sensible; feu Saint-Antoine. 

Estıöueno, a, adj. ($. de mdd.) esihiomäne : 
(uleöre) qui ronge. V. Eetiomenado. 

Esrıpenntido, A,P. 9. do 

Estırenpian, 9. a. stipendier : payer, gager 
quelqu’un. 

Esrırenpıinto , A, adj. stipendiaire : qui est 
&la solde d’un autre. (anf.) Roturier, tributaire. 

Estırtnnıo, s. m. *solde, gage, paie; ap» 
pointements. 

+Estirire, s. f. * irone d’arbre, souche. (fig.) 
Souche, premier aleul connu. 

Estırrico, etc. V. Styptico, etc. 

EsrırvLaci6, s. f. stipulation : conditions, _ 
conventions , elauses d’an contrat. 

EsrırtLino, A,p. p. d’Bstipular. 

EsrıruLapon, A, 8. celul qui stipule. 

EstıruLinte, adj. 2 gen. stipulant, qui sik 
pule.p. a. de 

EsrirtLir, v. a. stipuler : demander, exiger, 
faire promettre en contrattant; faire, exiger 
une stipulalion. 

EstıpuLin-sE, ©. r. pass. se slipuler, @ire 
stipule. 

+ Esrırutan, adj. 2 gem. (}. de bot.) stipu- 
isire : qui a des stipules (souche, racine). 

+ EstiruLas, s. [. pl.($. de bot.) stipules:: ap- 
pendices attaches sur le petiole. 

+ EsrıruLöso, a, adf. (fl. de 808.) stipul6 ; 
pourvu de stipules (tronc , souche). 

Esrırino, A, p. p. d’Bstirar. adj. Distingue, 
noble , digne de oonsideration. (Ag.) Affecte 
dans ses manieres, qui fait Pimportant. Par- 
fait, excetlent. Long, prolize. 

Esrinautnto, s.m. lirage, allongement: do 
tion detirer, d’allonger. 

Estıräö, 8. m. longue trotie. 

Estırär , 9. @, tirer, ötirer, rallonger ; rendre 


56# EsT 


plus long en tirant avec force ; dötirer, etendre, 

allonger. (fg.) Etendre au-delä des bornes un 

discours, une juridietion, elc. (amf.) Contrain- 
dre, forcer, detourner le sens de la loi.— no 
chäo , terrasser. 

Estırin-sg, v.r. s’elondre; s’etirer, sallonger 
pour atleindre guelque part, pour se coucher, 
etc. (fig.) S’abatire, s’humilier, se prosterner. 

Estır£na. V. Esphyrena. 

Estırrıcgäö , etc. V. Extirpagdo, etc. 

Esrıare, s. f. race, extraction , lignee. 

Estirıco, A, adj. (1.de med.) V. Styphico. 
(fig.) Eiroit, avare, mesquin. 

Estiva, s. f. (£. de mar.) estive, arrimage de 
le coale, contre-poids; lest. *Treillis de bois 
pour differents usages. * Tarif. 

EsTıvÄDauE£NTE , adv. par tarif. 

Estıväno, A,p. p. d’Estivar. 

+ Estivanor , 8. m. (f. de mar.) lesteur, arri- 
meur. 

Estivis, adj. 2 gen. esüival, de l’ete; qui 
paralt en ete (fleur). 

Estıvir, v. a. (l. de mar.) arrimer, estiver : 
arranger, distribuer la charge; comprimer for- 

Asment arrimage. 

Estivo, A. V. Estival. 

*Esto. V. Isto. 

Esto, s. m. finx de la mer. *Chaleur, ardeur. 

Estocäipa , 8. f. estocade : botte, coup donne 
avec la pointe de l’epee; coup de pointe. (fg.) 
Astuce, ruse pour faire du mal. Dar uma — em 
elguem, allonger, porter l’estocade & quel- 
qu’un. Correr uma — ‚ pousser un coup d’ep6e. 
— por cornaeda, (fig. fam.) on le dit du mal 
que !’on regoit en voulant en faire ä un aufre. 

+ EstocöLmo, s.m. (i. de geogr.) Stockholm: 
ville capitale de la Suede. 

Estöra, s. f- etofle; (fg.) qualit6, sorte; 
condition, qualite. 

: Estoripo ‚fädo.p.p. d’Estofar. it. V. Esiu 
Estorapör , s.m. celui qui brode en relief. 
Estorin, v. a. piquer, ouater une courte- 

pointe ‚etc. Garnir de laine, de colon ; embour- 

rer. (6. de peint.) Peindre en relicf sur de l’or 

bruni. Enlever en quelques endroits la couleur 

appliquee sur la dorure, decourrir l’or qui est 

dessous. V. Estufar. j 

ae Fasina, s. f. dim. d’Estofa. Etoffe l6- 
re. 

Est0ro, s. m. sorte de pigüre ou de broderie 
en relief. Qualit# d’un drap. *Quate. °Etofle: 
tissu de coton, laine, fil, etc. (f#. de peint.) 
* Peinture en relief. V. Eslofar. 

Estöro, a,adj. plein. Agoa —a, eau tran- 
quille, qui n’a pas de oourant. Hard —a, haute 
maree. V. Preamar. 

‚Estöicam&nte, adv. stoiquement : en stoi- 

cien. 

Estörcism0, 8. m. stoicisme : philosophie de 
Zenon ; fermets, austerite ; constance dans le 
maltour; insensibilit€ reelle ow feinte par or- 
gueil. 

Est6ico, a, adj. stoique oer sioicien : du stof- 
eisme, des stoleiens, qui lour appartient, #. m, 


EST 


Siolcien : homme vertueux, ferme, siritt, 
inebranlable et comme insensible ; de la sech 
de Zenon. 

Estosar, (P. us.) V. Guardar. 

Est050, s. m. &tui : bolte pour sertet, pour 
oonserver une chose. Etui de mathömatigues, 
etc. : instruments de cette science renleract 
dans leur etui. — de cirurgiäo, de berbeire, 
*trousse de chirurgien , de barbier. 

EstöLa ,s. f. etole: longue bande, omemen! 
de prötre sur le cou. (Ag.) Vötement de gbire, 
parlant des saints. 

+ EstoLiö,s. m. aug. d’Estola, grande elole 
que porte le diacre aux offices de cartme. 

+EstöLHos, s. m. pl. (ti. de bot.) drageous, 
rejets; branches enracindes qui parten! du pied. 

+ EsroLn0so , A, adj. (1. de bot.) drageondt: 
qui a des drageons,, des rejets. 

ESTÖLIDAMENTE, adv. d’une manitre stopidt. 

Estorinez, s. f. stupidite , bölise, ineplt. 

EstöLiDO,, A, adj. stupide, hebt, sol, ker 
daud , d’un esprit lourd et pesant. 

EstomaciL, adj. 2 gen. siomacal, WEL 
chique: bon pour l’estomac. 

EsromäcHico, A, adj. stomachique ‚swOr 
cal : bon pour l’estomac. 

Estosacino, A, p. p. de 

EstomacäARr, dv. a. fächer, ennuyeT. 

ESTOMAGÄR-SE, v. r. s’eslomaquer, 30 
daliser, s’offenser d’une parole, d’une au 
d’autrui; se fAcher, se depiter. 

ESTÖMACO, 5. m. estomac : partie da cf, 
visc&re creux, musculeux, en poche, quiregöf 
et digere les aliments; sa partie exidrieuft. 
(1g.) Bonne ou mauvaise digestion. (i4.) Le 
resolution : disposition & endurer ons & dissime 
ler. Näo reier nada no —, (Ag. fem.) ne 4 
pouvoir garder un secret. Ter bom —,@ 
Pestomac bon. (ig. fam.) Avoir du courage, 
la [ermeis, ne point s’embarrasser de dba 
ws. Faser mdo— alguma cousa, (f9.) deplaitt, | 
ne pas faire plaisir : se dit d’une chose conlit | 
riante, desagreable, etc. 

+ ESTOMALCIA, 8. f. (4. de med.) somalgt: 
douleur ä la bouche. 

Estonirıco, erreur, pour Bsiomachice. 

ESTOMENTADO, A,p. p. de 

ESTOMENTAR, ©. a. öter l’etoupe, espadt, 
nettoyer le lin, le chanvre. (Ag.) Maltraiter, 
fenser ; battre quelqu’un. 

Estonan, etc. V. Descascdr, eic. 

* Estonce. V. Enidö. 

Estontan. V. Estontear. 

ESTONTEADO, A, 9. p. de 

ESTONTEAR, ©. a. eloardır, abasourdit. 

Estöra, s. f. eloupe : rebut de Alasst ! 
chanvre, de lin, etc. Grosse toile, toi!e de 
toupe. Casa da —, maison de force pod! '° 
mauvaises femmes (en Portugal). O Aomen ! 
fogo, a mulher —, vem o diabo e Ki". 
l’homme’ est le feu, la femme l’etoupe, et" 
diable le vent qui souflle. 

Estoripa, s. f. 6toupes imbibees de quel1®# 
liqueur. * Flocon d’etoupes pour un emplält- 





_ 


EST 


Esropsciae, 8. m. sorte d’oiseaux aquati- 
gues surla eöte de l!’Alrique orientale. 

Esrorin , adj. m. Prego — , clou ä maugöre, 
elou de prelat. 

Esrorinto, A, adj. Blandreux, fibreux 
comme Petoupe. 

Esrorin, s. m. *meöche pour mettre lo feu 
sa canon, elc.* Etoupille. 

Estorinua,, s. [. dim. d’Estopa. Filasse de lin 
ines-Ane 


EST 563 


+ Esrouaipa ,s. f. * bruil multiplis des corps 
qui €clatent. ( Ag.) Gronderie, criaillerie. 

Esto0aäipo, A, 9. p. do 

Estouria, v. n. crever, &clater avec hbruit- 
— com alguem, (fig.) gronder quelqu’un dure- - 
ment en criant, &clater contre lui. 

Estovriz, adj. 2 gen. qui eröve, qui eclate 
avec bruit. 

Estöuao, 3. m. bruit que fait un corps qui 
&clate ; deionnalion. ( fg. fam.) Coup. V. Pen- 


Esrögue, 3. m. esioc.: &p6e longue ei &troite | cada 


qui ne sert qu’& percer. — real, 6pee royale: 
celle que le connetable (en Portugal) porte nue 
derant le roi. 

Estogtzipo, A, pP. P. d’Estoquear. 

Esroguzapüra, 3. f. action d’esiocader, de 
porter des esiocades,, des boltes. Coup d’6pee 
os d’esioc, estocade. 

Estoguzin, v. a. frapper de l’estoc, de la 
pointe d’une epee; estocader. 

Emmonigug ou Estoragukiıro, 8. m. (i. de 
bei.) storax, siyrax : arbre de la famille des 
Haqueminiers.: Kstoraque, storax, siyrax : la 
resine du storax. 

"Estoncen, V. Torcer, Extorgur. 

tEstönco, s.m. (6. de peint.) "atlitude vio- 
lie, contrainte. 

Estoaniore. V. Estardiota. 

Estoaca. V. Urze. 

Estoncıuento. V. Estrugimento. 

"Estonia, etc. V. Historia, etc. 

tEstornän, o. a. (1. de comm.) restorner : 
Oetlre-passer un article mal parts dans legrand 
ine, soit au debit, soit au crödit d’un comptie ; 
nistourner. (aw}.) V. Estorvar. 

Estonninno, 5. na. Clourneau, sansonnet: 
seau noirätre, tachetlö , passereau coni- 
tostre, 

tEsıdtano, s. m. (tl. de comm.) reslorne. 
Cest la meme chose que contre-parlie; Fis- 
hure. V. Estornar. 

Estonxoan, etc. V. Destorroar, etc. 
Estonsiö, etc. V. Bxtorsdö, etc. 
Estontacänı,, s. f. V. Beliscdö. 
tESTORTECADELLA 0% —DURA, 8. f. (POP.) 
dislocation,, Juxation. 

EstonTEcino, A, p. p. de 
Estoargcin, o. a. Lordre, tortiller aveo les 
dorzts, Disloquer. 

Estoava,s.f. V. Embarago, Estorvo. 
Estorvipo, A, p. P. d’Bslorvar. 
Estonrapon, A, adj. ets. qui emp£che, qui 

einbarrasse 


Estonvanınro. V. Estoroo. 

Estonvir, vo. a. embarrasser, empecher, 
nelre de l’embarras , gener, porter obstacle. 

Estönvas, s. f. pl. (. de mar.) jointures 
(dun vaisseau). _ 

EstorviLuo, s. m. dim. d’Esiorvo. Petit em- 
lırras, anicroche. 

Estonvo, s. m. embarras, emp£chement, 
&stacle, gene. 


"Estöurgao. V, Zxcopro, 


Esr’öuTrRo, A, pron. demonsi. contraction 
d’esto ouiro, esia oufra. Cet autre, celle autre, 
Estouvino,, A, adj. etourdi, fou, &corvels. 

Estouvg , adj. 2 gem. V. Estofo, adj. 

Estaasisuno, s. m. (t. de med.) sirabisıme: 
disposition vicieuse des yeux, faiblesse d’un 
muscle oculaire qui rend louche. 

Estrasuxir. V. Estrebuxar. 

Estrinpı, s. f. esirade, chemin; route, 
chaussee. (fg.) Voie, moyen. — real, grand 
chemin , grande route, route royale; (Ag.) le 
chemin le plus frequents. — coimbrä, (fig.) 
chemin battu ; le pont aux Anes, l’usage com- 
mun et ordinaire. — de S. Thiago. V. Yia lde- 
lea. — encoberla, chemin couvert. Ladräo de 
—,‚brigand, voleur de grand chemim, Tomar 
a — alguem, aller au-devanı de quelqu’un, 
sopposer; le prevenir. Tirar alguem d —, 
6ınouvoir, induire quelqu’un & faire quelque 
chose. Deilar-se na — com ‚(Ag. p. us.) 
sonder quelqu’un. Torner alguem d —, faire 
rentrer quelqu’un dans le bon chemin. Bater 
a — ‚battre l’estrade, battre la campagne aveos 
de la cavalerie. 

EstraDiv0, A, 9. p. de 

Estrapäir, v.a. garnir d’estrades ow de tapis. 
V. Pavimentar. it. Ouvrir un grand chemin; 
mettre dans le chemin, eonduire, guider. 

ESTRADINHO, 3. m. dim. de Esirddo. 

Estranı6cra. V. Estardiota. . 

Estrino,s. m. "estrade : lieu un peu &iev6 
ol s’asseyaient les dames pour travailler, etc. ; 
marchepied, escabeau. (anf.) Siege, chaise; 
tribunal. 

*Estrino, A. V. Alasirddo, Juncado. 

t EstraraLänıo, A, adj. (fam.) malpropre, 
mal ajuste. (fig.) Bizarre, ridicule, extravagant 
dans ses opinions ou sa conduite. 

ESTRACADAMENTE, adv. deröglement : d’une 
maniere dissolue, deregiee; en prodigue. 

ESTRAGADISSIMO , A , adj. sup. do 

Estnacino,A,Pp.p. d’Estragar. adj. Gäte, 
corrompu,, etc. Dissipe, ruine ; debauche, dis- 
solu. 

EstracaDöR, A, adj: et s. destructeur, cor- 
rupteur ; dissipateur, prodigue. 

. Estnacamento, s. m. degät. V. Esirage, 
— de costumes, dereglement, dissolulion, cot- 
ruption de m@urs. 

Estnasiö, s. m. (1. de bot.) estragon ‚armoise 
äcre,, berbe au dragon : herbe odoriferante. 


EsTRAGÄR, 9. &. gälas, CorTompre, döprayer. 


566 EST 


Reiner, dötruire, eauser du dommage. Dipen- 
ser, prodiguer, dissiper. 

Estnacan-s£. 9. r. 8’6puiser, ruiner son lem- 
pöranıent; se corrompre, se pordre. 

Koraico, s. m. “rulno, destruction, dem- 
mage. Dögät, de6vasiation de pays, Carnage 
d’bommes, eto. (flg.) * Corruption, deprava- 
tion, dissolution de maurs. 

Estnacdso, A, adj. (pP. us.) V. Estragador. 

BernaLipa, s. f. crisilierie : cris, orierios 


repeiöen. 
naLin, ote. V. Zstalar, ete. 

+ Estaaıutına, 5. f. (8. de mar.) " agrös sans 
eordage garni de ponlies : candeletie. —s dos 
masiros, caliornes des mäts. 

Estnaun6Lico, A, adj. (fam.) extravagant 
dans ses manidres, dans ses goüts ; Irr&gulier, 
peu convenabie; bizarre, singulier. 

ESTRANME ou | (9. us.) "paille, litiöre ; 

Eeraautnto, s. m. chaume. 

Beraauön, s. f. (4. de bot.) * siramonium 
ou stramoine : plante qui donne la pomme &pi- 
zeuse; noix mötelle, d\tara. 

Rernanctıno, A, adj. &tranger : qui est d’une 
autre nation. V. Esiranko. 

BeraancvLickö, s. f. strangulation, #tran- 
gloment. 

. ESTRANGULADO, A, 9. pP. de 

EsrrancuLin, 0. a. &trangler : faire perdre 
la respiration ou la vie en serrant lo gosier. 
Ji est aussi röflschi. 

+ EstnancuLin, adj. 2 gen. Volas —es, 
(t. danet.) ramification des veines Jugulaires 
internes. 

Estnancöria, s. f. (. de mdd.) strangurie : 
envie fröquente et involontaire d’uriner, sans 
que !’on puisse le faire , si 06 n’est aveo douleur 
et goutte A goutte. 

Estranuin0, A, 9. p. d’Estranhär. adj. 
Blaäm6, sensur6; que Y’on trouve &trange. 

EstainnautnTe, ade. Ötrangement; 6ton- 
nemment. 

* EsTRANBAMANTO, s. m. bläme, action de 
blämer. 

Estaanuiö, Ona, adj. sauvage. V. Bsquivo, 

Esrnanuin , v. @. möconnalire, ne pas 
eonnaitre. Admirer, &tre surpris de, trouver 
#trange. Blämer, reprendre. — os dres, 56 trou- 
ver mal du changement d’air, de climat. vo. n. 
Ne pas se faire ou s’accoutumer Ad. 

Estnannin-se (de), v. r. s’sloigner de, fuir, 
öriter, esquiver. — oom alguem, rompre, se 
brouiller avec quelqu’un. 

EstaannäveL, adj. blämable : qui doit #tre 
blame; reprehensible. 

® Katnanatz ou ötrangetö, singularits; 

Estnanntza, s. [. } surprise, &tionnement; 

rustieite. V. Es . —ı, pl. choses mer- 
veilleuses, admirables, &ionnantes. 

Esrnannissımo, A, adj. sup. de 

NBO, A, adj. €tfanger. Eirange, rare, 
singuller, extraordinaire ; extravagant, bizarre. 


‚Bor 6 algume cousa & ‚ ötre diranger 


EST 
& quelque ohose, w’ötre point vorss A queigue 


chose. 

+ Estaasstnco, 8. m. (1. de geogr.) Suns- 
bourg : vılle d’Alsaoe. 

Eoraarackua, 8. m. straisgöme : russ de 
guerre; (lg.) tour d’adresse, Ünesse, trom- 


e. 

+ ESTRATAGENATICO, A, adj. stratagämeligue: 
plein de stratagömes. 

+ Estaartoıa, s. f. straiögie s schenee des 
mouvementis d’une arımde. 

+ Estaartcıco, a, adj. stratögigque : de la 
strattgie. 

+ Esrairmcacad, s. f. (1. de chim.) sirtil- 
cation : arrangement par couches de sulbstanıt 
dans un vase. 

Estaatiricano, A, p. p. de 

+ Estrarıricär, v. a. (1. do chim.) stıralißer: 
arranger par couches dans un vase. Il est aussi 
reflechi. 

+ Estnarockacla , s. f. stratocralie : gourer- 
nement militaire. 

+ Esraarocnarnia, s. f. stratographie : de+ 
cription d’une arm&e. 

+ Estaavipa, s. f. *d6rolement des bein. 

Estravino,A,p.p. de Estraxer. 

Estravacäncıa, eic. V. Ezriravaganeia, el. 

Estaavin, 0. w. fienter : jeter ses eu 
ments. 

Esrrivo,s. m. * fente: oexoröment d’animati. 

* Estaaro. V. Bestrdnko. 

Bernta, s. f. etrennes; heureux presse; 
(fg. fam.) —, premier debit ou premier usage, 
premiere receite. Boa ou md —, bon ow mit 
vais prösage. 

Esrrzino, a,p. p. de Estredr. adj. Qaiı 
ötrenne. Bom ou mal —, de bon ow maurıı 
augure ; de bonne ou mauvaise apparence. 

Estazin, v. a. ötrenner : [alre usage le prr 
mier. Comme cer, entreprendre. o. ». Debt- 
ter : faire le premier pas, les premiers acia 
dans une entreprise, une carriere, dans un 
genre de vie, etc. 

Estrgir-s£, v. r. s/ötrenner; commencer i 
exercer un emploi, eto., entrer en fonctions ;de 
buter ; ötrenner, recevoir le premier argent de 
la vente du jour. 

Estazsania, s. f. 6curie. --dos Bois, table. 

EstazsiLuas. V. Bstribilhas. 

Estazsuxi0o, A,p.p. de Estrebuxer. 

ESTREBUXAMENTO, 3. m. mouvemenis vie 
lents ou conrulsifs. 

Estkesuxin, vo. n. se dömener, se debalire, 
&prouver des convalsions. Il est aussi acuf A 
relischi. 

* Estazcaa-sE, v, r. #tirdelr. V. Dimiseir, 
Mingoar. 
* Estazcin. V. Esfregar. 

* ESTREITA, 8. f. petilesse, besoin. Diselie: 
misdre. 

EstrEitäno, A, 9. p. d’Esfreilar. 

EstReıtanon, s. m. celal qui etreeit, qul 
rösserrc, elc. 

Estazıtawantg, adv. ötreilement : dans uD 





EST 


espaoe diselt, serrd. (Ag.) Exastement, ponc- 
tsellement; lortement, rigoureusement, Inli- 
mement, 

Estagıria,, ©. @. ötrecir, rötrdcir : rendre 
pas ötroit. Resserrer, etreindre; racooureir ; 
eontraindre , forser &. — nos bracos, serrer 
mire ses bras. 

Estazrrir,, 0. m. 00— SE, v. r. so rölrecir, 56 
usserrer : devenir moins &tendu, plus etroit; 
jminuer. -razöes , menager ses paroles, par- 
"peu. — em gaslos, despexas, etc., se mod4- 
er, se resserrer : retrancher de sa depense, 
% 


Rerausrtza, s. f. limites öiroites,, resserre- 
“ent; diroitesse, peu d’6&tendue, de temps. 
(Ag.) Liaison, union; liaison intime, amitie. 
"Besoin, danger pressant. " Recueillement, re- 
traite, austerit6 de vie. Disette, nöcessite, 
mangque de vivses, de choses necessaires ; In- 
digence, silaation penible. Grande 6conomie, 


mesquinerie. 

*Beragıria. V. Rsireitesa, 

Esragırissımo , A ‚adj. sup. de 

Esratıro, A, adj. &troit : qui a peu de lar- 
geur. Retr6oi, resserr6 : rendu plus &troit, 
moins large. Avare, chicbe, mesquin. (flg.) 
latime, Eiroit, rigide, austäre. Exaot, ponc- 


tuel, rigoureux, surtout en matiöre de compte. |. 


Reratıro, 3. m. (1. de geog.) detwoit : bras 
de mer entre deux terres; defild, gorge de 
montagnes. (fg. p. us.) * Liaison; besein. V. 
äperio. it. Galons, passemenis. — de Maga- 
Ikdes ‚dötroit de Magellan. 

Estaeıtüna, s. f. V. Estreitexa, Aptrio. 

EstagLauie, a. m. V. Aristolochla longa. 

Esratıa, s. f. ötoile: astre; corps lamineux 
la nit, par Jui-möme et fixe. (Ag.) Tout ce qui 
en a la forme. (dd.) —, molette : margue blan- 
che sur le front du cheval. —, pretendue in- 
fluenoe d’un astre; destinde , sort, fortune. (1. 
de fort.) —, fort en angles saillants. — d’alva 
ou da mankd, Stoile du matin, Luoiler. — boidt- 
ra. V.ce mot. — polar ou do worte, tolle po- 
laise : une decelles de la Petite Ourse. — ixa, 
&oile fixe, qui paralt comme attachte au fir- 
mament. Ter Böa ou md —, ötre n& sous une 
bonne ou mauvaise dolle. Tor — na ldste, 
(Ag. fam.) ötre böte, sot. —s da terra, pAque- 
Teiles, marguerites; les fleurs. —s d’Alhtnas. 
V. Amelio. —s do mar, stoiles de mer ou ast#- 
ries: zoophytes echinodermes, en &tolle, avec 
la bouehe au oentre. —s des musgos, tolles 
des lichens. —s orrantss ou errelicas, plandtes. 
ar vr 0 —ı 6 ‚(Ag.) faire volr 
tkentesix chandelles A quelqu’un. Ir alguem 
ouchegar da —e, (fig.) se desesperer, s’indi- 
ner au dernier point. Levantär ds —s, louer, 
exalter, dlever jusqu’aux nues. Por enire as 
—t, faire Fapothöose, diviniser. Querer contar 
“2, (fig.) vouloir prendre la Iune avec les 
denis, Ver —s ao meio dia, (ig.) $prouver une 
Iaim excessive, un grand chagrin, une douleur 
prolonde et violente. Fir para onsa com —#, 10 
tetirer de nuit, 





EST 667 


EsraeLLino, s. m. lichen & fleurs en stoile, 
V. Musgo. 

EstreLLino, A, p.p. d’Bstrellar. adj. Etoile ı 
see d’6toiles; en forme d’etoile. Cavallo —, 
cheval 6toil&, qui a une &toile au front. 

BerazLLauis. V. Aristolochia longe. 

ESTRELLÄNTE, adj. 2 gen. qui brille comme 
les stoiles; orne d’ätoiles. p.w. de 

EstazLL.är,v. . orner d’stoiles; faire bril- 
ler comme les &tolles. ( 1. de euis.) Frire, rous- 
sir. 

Estnzııkıno, A, adj. ot 5. personne sans 
cease aux fen6tres A regarder le ciel, ou cheval 
qui porte au vent. 

EstreLLinna, s. f. dim. d’Estrella. Petite 
ötoile. Etoile, signe , astörisque (*). 

Estatu , s. m. V. Amarra. 

Esragua ,s. f. borne, Kmite dans les campe- 

OB. 

EstazwÄpamentz, adv. V. Bxnfremadamentie. 

Estazumino, A, pP. p. d’Esiremar. adj. Exoel- 
lent, parfait. V. Extremäddo. 

Estnzumandöra, s. f. limite, eonfins. Estrame- 
dure ou Estremadure, province d’Espagne &% 
du Portugal. 

* Estnzmanca. V. Demarcardö , Divisdd, 
Partilha. 
Esraxzuir, v. a. aborner : limiter (un ter- 
rain), en poser les bornes. Diviser, sspaser, 
distinguer. 

Estnzmin-sE (de,em),v. r. ötre söpar6 de, 
se diviser. Se dislinguer ; exceller. — por al- 
guem , aimer quelqu’un &perdument. 

Esta£uz, adj. 2 gen. pur, sans melange, qui 
n’est point altör6. 

Estremxctr, v. a. ebranler, agiter, donner 
des secousses et rendre moins ferme. (fig.) Ef- 
{rayer. 

ESTREMECER , v. 9. et —SE, v. r. tressalliir 
d’effroi , frissonner d’horreur, de surprise; fr6- 
mir, &tre &mu , trembler. 

+ESTRENECIDAMENTE , ado. avec frayeur; 
aveo dmolion. Amar —, aimer eperdument. 

EstrEmscivo, A, 9. p. d’Esiremecer. adj. 
Tout tremblant, tout hors de lui. 

Estreuecruento, s. m. [römissement, &mo- 
tion, tremblement, saisissement; tressaille- 
ment; frisson. (Ag.) Exc&s d’amour ou de ten- 
dresse. 

Estrestnu0, A, adj. Esir&madurien : de 
PEströmadure espagnole ou portugaise. 

Estatuo, s. m. V. Raia et Ezirdmo. — do 
rosario, pater, grain de chapelet. 

ESTREMÖSAMENTE, adv. V. Extremösamente. 

+ Estaeuöz, s. m. (t. de geogr.) Estremoz : 
ville du Portugal, dans l’Alentejo. 

ESTREMUNHÄDO, A, P.p. de 

+ Estaeuunnir, v. a. (fam.) röveiller tout 
& ooup quelqu’un qui dormait, 

° Esrannoar. V. Ordener, Pormitlir. 

Bernengusıno. V. Bstrinqueiro. 

EBsraiwuo, A, adj, fort, vigoureux , coura- 

geux. " 


568 EST 


Estazrinı,s. f.blessure faitepar la chausse- 


trappe. 

Esruzrino, A, pP. p. de 

Estngrir, 0. s. garnir, entoursrde chausses- 
trappes. 

Estnerän-sE, ©. r. se piquer, se blosser, 
s’enferrer dans les chaussos-trappes. 

Estakre, s. m. chausse-trappe. 

Estnerıripo, A, p. p. d’Esirepilar. 

ESTREPITANTE ‚adj. 2 gen. 6clatant, bruyant, 
qui enlate. p.a. de 

Estaerırän, v.n. eclater, fairedu bruit. 

Estakpıto, s. m. bruit, eclat, [racas. Sem— 
ou igura de juizo, (1. de prat.) & la sourdine, 
sans forme de proces. 

ESTREPITOSO, A, adj. bruyant : qui fait du 
bruit. (Ag.) Eclatant, chose d’eclat. 

*EstazroLia, s. f. (fam.)“ bruit, tapage; de- 
sordre. 

* ESTRRVERAE , v.T. V. Alrever-se. 

Estaszioo, A,p. p.de 

Estnazır,, 0.0. (i. de peins.) poncer : piquer 
un dessin ot lo frotter avec la ponce pour le 
oonire-tirer, 

Estnia, s. f. (l. d’arch.) eannelure, sirie, 
striure : creux le long du füt des colonnes, des 
pllastres, etc. —s, pl. (8. d’hist. nat.) stries : A- 
lets semblables a des aignilles, sur les coquil- 
les, sur les Etuis des insectes ; (1. de bot.) pe- 
tites cötes sur les feuilles. 

EstrıiDo, A, 9. p. d’Estriar. adj. Estrie: 
couvert ou forme de stries ow de sillons fins et 
serres ; cannele. 

Estrıiö. V. Histrido. 

Estaıia, v. a. (6. d’arch.) canneler : creuser 
des cannelures. “ 

Estrısino, A, p.p. d’Kstribar. 

+ Estrısam£nto,s.m.(p. us.) appul, Sou- 
dien ; action de porter, d’sppuyer. 

Estniniö, 5. m. aug. d’Kstribo. 

Estnızir, v. a. melire les pieds dans les 
ötriers. Appuyer, assurer ; elayer, soulenir 

Estainän, ©. n. et —sE (em, sobre), v. r. 
porter, appuyer : poser, @ire soutenu. (flg.) Se 
fonder, s’appuyer sur. 

Estaıntına, 3. f. ° marchepied de voiture; 
#trier. Mogo d’—, valet de l’etrier. Perder as 
—s , (fig.) se d&concerter, s’eınporier. 

Estaınkıno, 3. m. ecuyer : celui qui a l’in- 
tendance, ia conduite de l’ecurie d’un prince, 
d’un seigneur. — mir d’el rei, grand ecuyer 
du rol. 

Estaınlınas, 5. [. pl. (l. de relieur) metier & 
eoudre , cousoir de relieur. 

EstaısiLB0, 8. m."reprise, relrain. *Expres- 
sion qu’on r&pete souvent dans un discours. 

Estripo, s. m. etrier; marchepied de voi- 
ture. (l. d’arch.) Soutien, arc-boutant, pour 
soutenir un mur, eic. (fig.) Appui, soulien. 
Kslar como pd no —, (fig.) avoir le pied ä l’e- 
trier, ötre & la veille de partir. Ir ao —, mar- 
cher & pied, a cöt6 d’un cavalier ou & la por- 
tiere d’un carrosse. Faser — em alguma cousa, 
(Ag.) s’appuyer, faire fond sur. —s, pl. (1. de 


EST 


mar.) etriers : petits cordages de valsseau. Es- 
tar ou andar sobre 08 —s, (ig,) &tre ferme sur 
ses eiriers, n’etre pas facile & surprendre, & 
ebranler dans ses resolulions; agir aveo pru- 
dence, arec pr&caution. Perder 08 —, perdre 
les ötriers, @tre desargonne ; (Ag.) se deconcer- 
ter, s’emporter. Ter 0 pd em dous —s, (fg.) 
chercher & r&ussir par deux voles ou proleo- 
tions; se menager les deux partis. —s das ver- 
gas , (l.de mar.) marchepied des vergues. 

EstaınBörno, V. Estibordo. 

*"Estriısula, etc. V. Desiridwir, etc. 

Estrieuxin. V. Estrebuxer. 

ESTRICöTE (a0), adv. pele-möle, oonfass- 
ment, en desordre ; avec mtprisetdedain. Tre 
zer alguem ao —, (fig.) ballotier quelqu’un, 
Famuser par de vaines promesses ; se moquer 

e lui. 

t ESTRICTANENTE, ade. strictement : d’une 
maniere stricte. 

t Estaicro, Aa, adj. strict, &troit, resserte, 
rigoureux. V. Restricto. 

ESTRIDENTE, adj. 2 gem. (podi.) qui fait un 
bruit aigu et percant. 

Estrinör, s. m. bruit aigu et pergant; 
cement (des dents); petillement (du feu). 

tr EstaipuLo, A, adj. qui rend un bruit ai- 
gre, aigu, pergant, 

EstRica, 6. f. quenouilise de lin ou de chan- 
vre s6rance. Natie de chevourx. 

EstaıckDo, A, adj. fin comme du lin s» 
rance. 

Estaice, s.m. oiseau de nuil, pr&sums de 
mauvais augure; hibou. 

Estainca , s.f. dcoutille de vaisseau. 

Estaıncipo, A,p.p.de 

Estaıncir, v. a. tordre et faire casser. 

Estaınqus, s. m. cäble de jonc, palan de 
charge. 

* Estaınqu£ıno, s. m. cordier qui fait des 
esirinques. V.ce not, Celui qui a soin des cor- 
dages d’un vaisseau. 

Estaıpaoo, 4,9. p. de 

EsTRIPÄR, ©. a. &venirer, &tiriper. 

Estao, s. m. les poßtes donnent ce nom äla 
fureur, a l’enthousiasme podtique; verve. Rut 
des animaux; ardeur de la conoupiscence, fa- 
reur libidineuse. (8. d’hist. nat.) OEsire : sorte 
de laon, inyecie dipiere Oo aptere, asiome. 

EstRöco. V. Destrogo. 

Eströra. V. Eströphe. 

Estaoia , etc. V. Destrwir, eic. 

TESTRONMiTEO, s.m.($.d’hist. nal.) stromate : 
poisson apode. 

+ Estaöuno, 3. m. (1. d’hist, nat.) strombe : 
testace univalve.— fusiforme, strombe fuseau. 
— em [forma de manopla pugilatorie, siromhe 
pesant. — larguissimo, sirombe large. — em 
eristado come galo, sirombe creie de o0q. - 
Aingındo pernas de ceniopfa,, le millepied. — 
fingindo cauda d’escorpido , le scorpion. 

Estrowsörıco. V. Estrambotico. 

* ESTROMENTO, V. Insirumenito, 

Esrnourino. V, Bsirepito. 


EST 


Eernoupin, vd. &. .) abimer; fatiguer. 

Esrnönca. V. Forguilke. 

Estaoncie. V. Desironcar, Desmembrar. 

+ Esraoncıäna, 8. f. strontiane : l’une des 
huit lerresprimitives,, principe des Corps. 

Estaonpino, A, pP. p. de 

Estronpir 0% faire grand bruit. (Ag.) 

EstaonpeÄir, o. ». } Tempeter, s’emporter, 
erier contre quelqu’un. 

Esta0xpo, 3. m. grand bruit, fracas, explo- 
sion. (Ag.) Tumulte, confusion, cohue. (id.) 
"Pompe , appareil, magniflcence ; &clat; r6öpu- 
kslion, renommee. 

ESTRONDÖSAMENTE, adv. avec fracas, &clat, 
appareil. 

Estaosp6ös0, A, adj. bruyant, qui fait grand 
bruit. Pompeux, magnilique; 6clatant. 

EstaoriJo ow torchon ‚lavette:: chif- 

EstkoPpäLBO, 8. m. ) fon pour laver. (Ag.) 
hose rile, m#prisable, qui n’est bonneä rien. 

Estaopzina, 8. f. "trepignement, Cohue. 

EstaopzinDo, A, P. p. de 

EsTROPEÄR, ©. 6. esiropier : Öler l’usage d’un 
membre; (fig.) reirancher une partie d’une 
penste,; defigurer. 

EströrnK, s. f. strophe, couplet, siance. 

Estaorioo. V. Estrondo, Estrepito. 

+ Estn6r0 ,s. m.(t. de mar.) anneau de cor- 
dage pour retenir l’aviron aux tolets. *Eirope, 
berse de poulie, de rame. — com ganchos, 
eirope ä paties. 

*Estaoso, 4. V. Nescio, Sandeo. 

ESTROTEGAR ow (t. rust.) trotter, allor 

ESTROTEJIAR, 9. #%. ) autrol. 

Estaovino, A, p. p. de 

Estaovin, v. a. (p. us.) faire de mauvaises 
trovas. V. ce mot. it. V. Esiorver. 

Estaovmmäne, A, adj. (Pop.) &tourdi, in- 
considere. —de somno, a demi endormi. 

Esraovo, s. m. V. Estorvo. (tl. de mar.) V. 


Zitropo. 

Estaucton. V. Construclor, Architecto. 

Estraucrüna, s. f. structure : manidre dont 
an ddifice est bati, dont un corps est compose ; 
(Ag.) ordre, arrangement des parties d’un dis- 
eours, etc. 

Estaucino, A,p. p. d’Estrugir. 

EsTaucımEnto, s. m. V. Alroamento. 

Estaucir, v. a. abasourdir. V. Alroar. 

Estatir. V. Desiruir. 

Estaumacäd, 3. f. "amendement, engraisse- 
ment des terres. 

Estausäpo, A,p.p.de 

Estaumaa, v. a. meltre de la litiöre dans les 
eiables pour faire du fumier; fumer, engrais- 
ser, amender les terres. 

Estaösas, (p. us.) V. Alporcas, Escröfulas. 

Estaöue, s. m. "litiöre dont en fait du fu- 
mier; emgrais, fumier. 

Estrumtına, s. f. "lieu od l’on enlasse des 
droussailles pour faire du fumier ; las ou amas 
de fumier. 


"Bsrzumäntzo. V. Insirumento, 





EST 569 


Estnumöso, a, adj. serofuleux. Bon sontre 
les scrofules. 


Estaupäpa, 8. f. V. Reföge, Impeto, Sur- 


Estavpioo. V. Estrepito. ’ 

Esraöpo, 3. m. bruit de gens revoltes. V. 
Tropel. 

Estuncäö, s.f. (t. de med.) chaleur brälanıe 
de la fiörre. Estuagöes do esiomago, naustes, 
envie de vomir. 

Estucipo,a, p. p.de Estucar. 

EstucapOR, 8. m. stucateur : qui travallle en 
stuc. 

Esrucia, v. a. enduire (un mur, etc.) de 
stuc , le blanchir avec du stuc. 

+ Esröcuz, s. m. action d’Bstuchar.V. 

r Estuchär, v. #. (fl. de jew) ülnir, gagner 
son jeu (de cartes). 

Estupänpo, A, P. p. d’Estudar. adj. Etudie, 
affecte. 

f Esrupanon, s. m. studieux : qui s’attache 
beaucoup & l’&tude. 

+ Estupantico, s.m.(fam.)grand &tudiant, 
homme de lettres, docteur, homme studieux. 

Esrunantäö, aug. V. Estudantapo. 

EsTuDAanTE, s. m. etudiant: &colier, qui &tu- 
die. Celui qui a fait ses etudes «& qui continue 
de s’sppliquer aux sciences ; homme de leltres. 

ESTUDANTINHO, 3. m. dim. d’Estudante. Petit 
scolier; petit etudiant. On ne le prend guere 
qu’en mauvaise part. 

Estupär, v.a. @tudier : appliquer son esprit 
ä apprendre; faire ses &tudes; apprendre par 
c@ur; observer, examiner avec soin, mediter. 
Soigner une chose. Estudou a theologia, elc., 
em Pariz, il fit satheologie,, etc., & Paris. 

EstuDiösam&ute, adv. studieusement : avec 
soin , avec une application studieuse. 

Estopiosınäde, s. f. amour de l’ötude, desir 
d’apprendre. 

Estuniosissımo, A, adj. sup. de 

Estupı6so, A, adj. studieux : qui aime !’6- 
tude, qui s’y applique. Soigneux, diligent; fait 
avec soin, soigne. 

Esrüno, s. m. *6tude, travail, application 
d’esprit. Salle d’&tude, classe, &cole. (flg.)—, 
soin, application d’esprit pour parvenir & un 
but. Fazer — d’alguma cousa, ( ig.) agir avec 
art, reflexion , röserve. — no esiilo, nos ador- 
nos, etc., recherche, soin pour perfectionner. 
Dar —s a alguem, mettre quelgqu’un & meme 
de faire ses ctudes. —s menores, grammaire, 
rhötorique,, etc. —s maiores, haules sciences, 
philosophie , th6ologie, etc. 

Estüra, s. f. *posle: esp&ce de fourneau. 

tuve : chambre &chauffee au moyen d’un poele 
exterieur ; lieu ferme qu’on &chauffe pour faire 
suer. Dans les bains, petite chambre oü l’on 
fait suer les malades. Serre. ( ig.) Grand car- 
rosse ferme de toutes paris. 

Esturankıra, 5. f. "pot ou marmile oü l’on 
fait cuire de la viande & l’dtuvree. Cloche,, ustem- 
sile de euisine. 

Esturino, s. m. *starde ; manidre de faire 





570 EST 


enire la viande, etc. ; cette viande, etc. ; danbe. 
Esturino, A,p.p. de . 
Esturia,v.a. ötuver : mettro de la viande, 
du poisson, etc., & l’6tuves; faire une daube. 
Echauffer une chambre, etc. (P- ws.). 
Esturtino ‚s. m, poslier : colui qui fait des 
poeles. 
Esturiına, e. f. 
Wair, oü l’on dtoufle, 
+ Esturiu, s. m. chässis, cloche en vorre 
Pour garantie les plantes en couche de la ge- 
y eis. 


Esrucin. V. Apressar. 

+ Esrucanns, s. m. ($. de gdogr.) Statigart : 
Yllle d’A!lemagne. 

ESTULTANMENTE,, adv. sottement: aveo imb6- 
eillits, 

Estorricıa , s. f. sotlise, imbecillit#. 

EstuLriLöguio, 8. m. " sotlises, fadaises, im- 
pertinences. 

EstuLto, A, adj. sot, fou, sans jugement, 
sans rellexion. Ignorant, sans lumieres. 

Estureraccid, s. f. (1. de med.) stupslaction : 
engourdissemeni des parties. . 

EsTupRrAcıEnTE, adj. 2 gen. ’ stupelactil : 

Estupzractivo, A, adj. qui engour- 
dit, öte le sentiment. 

Esrurericro, a, adj. stnp£fid , dtonne, rondu 
stupefeit. 


n 6iroile et qui manque 


+ Estorennauente,, adv. admirabloment, | V 


merveilleusement. 
EsTuPrEnDissimo, A, adj. emp. de 


Estur&nnpo, A, adj. admirable, superbe, | maio 


&tonnant. 

Estöripamäntz, ade. stupidement, d’une 
maniöre stupide. 

Bsrorınkz, s. f. stupidits, bötise, pesanteur 
d’esprit, insensibilite. 

Esrörino, a, adj. stupide, brute, höbsts, 
d’un esprit lourd et pesant. 

Esturör, 8. m. *stupeur : ötat de celul qui 
est stupefait; suspension du mouvement et du 
sentiment; apoplexie, ( ig.) Etonnement, ad- 
miration. 

+ Esturoaino, A, adj. qui a de la stapeur, 
altaqu6 d’apoplexie ; privd du mouvement ct du 
sentiment (bras, jambe, ete.). p. p. de 

+ Esturonän, v. a. causer de la stupeur, V’a- 
poplexie. vo. ». Devenir esiuporado. V. ce mot, 

Estupnip0, A, p. p. d’Estuprar. 

Estupnapor, 8. m. celul qui viole une Alle. 

Esturria, v. a, violer une Alle, la prendre 
de lotce. 

Estürro, 8. m. viol, stupre: violence que 
l’on fait ä une file. 

Estöqgue, 3. m. stuo.s mortier compos6 de 
chaux, de marbre blanc, ou d’autre couleur, 
pulverise. 

Estünpıa, 8. f. espitglerie, dtourderie. 

Esrunpıär, v. ». faire des espiegleries, des 
#lourderies. 

Estörnıo, A, adj. espiögle, dlourdi. 

+ Estunıiö ou (1.d#’Mst.nal.) esturgeon: 


t Estunsio, s.m.) peoisson cartilagineux. 


Esrunnipo, A, adj. griilö, vonmei, & demi 
brole. ( Ag.) Exalis, qui a la tSte shaude, On le 
prend quelquefois suhstantivement, A um e- 
turrado, c’est un corveau brüle. p.p. de 

Estuaria, o. a. tötir, bräler, griller & demi; 
roussir, dess&cher ä farce de (eu ; brüler, havir, 
consommer la sauce. Il est aussi neuire, 

Estönno, s. m. dessschement A force de fen; 
chose rötie qui sent le brül6; tabso grillt. 

Esrrce, s. f. (8. de myth.) * Styx ı Deuvo des 
enfers. 

Esrr'oıo, a, adf. (8. de pods. ei de mylh.) 
stygien: du Styx; infernal. Lagde —e, St: 
fieuve des enfers. 

BaTvLatn. | y, Bat... 

Estr’rrico, A, adj. styptigque : amer, äpre 
(goät). V.-Siysico. 

° Estıs. V. Hastim. 

EsuLa, s. f. (1. de bot.) seule : plante qui 
purge la bile et la pitnite. — maior, supberbe 
des marais, tarbith noir ou bätard. — mem, 
euphorbe & feuille de pin, la petite ösule. 

Esunino, A, adj. (6. de mdd.) qui excilel'ap 
petit. Acido — , acide gastrique. _ 

Esvasckr, 9. a. defairo, frustrer. Energatil 
ir. V. Desvanecer. v. ». Pourrir. 

Esvancha-az, 9. r. s’evanouir, disparali®, 
se dissiper; se perdre, venir & rien, s'trenler. 

Desmeiar 


Esvazcivo, A, P. p. d’Esvaccer. 
Esvazcıuguto, #. m. V. Eoaporapds, Der 

‚ Desvanscimento, — da eabera. V. Fır- 
higem. 

Esvalno, A, p. p. d’Esveür-se. adj. Rranedl) 
tombs en delaillance; languissant, abaile; 
&puiss, tari; fiötri, en parlant d'une feur. 

0} . 6 — , 
neux, qui a des vertiges. 

Esvaluento, s. m. dvanouissement, dälall- 
lance;; &vaporation. — de oabera, vertige, 6108l" 
dissement de t#te. — de sangue, hömorrbag, 
perte do sang qui fait tomber en defaillance. 

Esvala-sg, 0. r. s’6vaporer, se perdre, sen 
ler. S’6vanouir, tomber en delaillanoe; se dis- 
siper. — 0 sangus ou — em perdre da 
sang jusqu’ä toımber en defeillance. — a cabers, 
avoir des vertiges, des tourdissements de IE. 
— 0 onlendimento , extravaguer. 

Esvauıka. V. Tresvariar. 

EsvaLrkınos, s. m. pl. (£. de mar.) plöces de 
bois pour accrocher les &coutes de hune. 

Esvanzcta , v. a. faire &vanoulr, faire toM- 
ber en defaillanee. it. V. Desvanccer. 

Esvangcıno, A, P. p. d’Esvanecer. 

Esviö, s. m. (ani.) V. Väo, Concavidade. 

Esvasıin. V. Despejar. 

Esvenicar. V. Esvidigar. 

Esvtıro, a, adj. svelte. V. Esbelto. 

Esvantinpo,A,9.p. de 

+ Bovantia, v. @. (£. dark.) brüler de)» 
poudre dans un canon pour le netloyer. 


° + Esvanpanos, 5. 1. pl. berbes polagöt® 





ETH 


fralts des jardins dont on payalt anciennement 
unesorte de droit. 

+ Esvenpeano, A, 0b 

+Esveapınnioo, A, adj. 

Esvennumin. V. Espvurmar. 

Esvmıcipo , A, 9. p. d’Esvidiger. 

Esvmıcandn, s. m. celai qui enlöre les sar- 
ments coupes de la vigne. 

Esvinıcän, vo. a. enlever les sarments coupes 
de la vigne. 

Esviscezipo, A, 9. p. de 

Bsvıscanir, v. a. &rentrer, &triper. 

Bavoacar, ©.n. V. Adajar. 

Esvonui0o,A,P. p. do 

Esvuxuin, ©. a. presser des pustules. 

"Er, pour e, conj. et. 

Erira, s. f. (t. mil.) dtape : ration journa- 
litre des soldats; portion de vivres pour les 
troupes. \ 

Erc£rera, loc. lat. et cmwtera, etc. ot autres 
personnes ou choses semblables. 

"Erzco. V. Ethico, Tisico. 

* ErEcoscen. V. Enlisicar. 

EreaniL , adj. 2 gen. V. Etermo, ote. 

ErzanaLu&nTeg, ade. | sternellement: sans 

ETERNAMENTE, adv. | oommenoement ni 
Mn. (Ag.) Pendant tres-Iongtemps. - 

Erzanınipe, s. f. &ternile : durse sans com- 
mencement ni fin, sans commenoement ou 
sans fin; un fort long temps ; &tat dternel apr&s 
lamort, (4g.) Longuo suite de sidcles. Desd’a 
—,detoute &ternite. 

Erzenızipo, A, p. p. de 

Erzanızir , v. a. eterhiser : rendre dternel, 
faire durer longtemps. (Ag.) Perpetuer. ' 

Erernızin-se, o. r. s’öterniser : ötre dtemi- 
ss, se prolonger. (fg.) Se perpötuer. 

Erkano, a, adj. &ternel : sans commence- 
ment ni fin ; sans Än ou commencement assi- 
gnable; continuel. (Ag.) De tr&s-longue durse. 
4b —, loc. lat. de toute &ternitd. O —, s. m. 
PRternel, Dieu, !’Eire supröme. 

Ertsıas, s. f. pl. (#. d’ant.) V. Eldsios. 

Ertsıos, adj. m. pl. ( Ventos —) etösies: 
venis &ttsiens qui souffient huit jours avant 
P’tpoque de la canicule. Vents allsds, qui s’öld- 
vent tous les ans en certains pays. 

"Eruzcoentan. V. Alagantar, Flagelar. 

Eruzr,s. m. (1. de phys.) öther: fluide trös- 
subtil que quelques philosophes ont supposs 
remplir l’espace et mouvoir les astres. (4. de 
chim.) —, liqueur trös-spiritueuse, tirde de 
Fesprit-de-vin et d’un acide. 

Erutnzo, A,adj. sthör6 ı qui appartient & 
Pether, de P’6ther. (fg.) Cöleste. 

rmıca, s. f. öthique : science des mmurs, 


Ermco, a, adj. öthigue : qui conoerne la 
morale. (ant.) V. Hectico. 

* Ermictivane. V. Tisica, Hochies. 

Erniorg, s. m. Ethiopien : d’Ethiople. — - 
weral, &tihiops ou — mineral : mercure et B0u- 
fre meles; oxyde de mercure sulfur6, noir. 
= branco , chose impossihle, 


} verdätre : qui tire 
sur le vert,. 


EUB $71: 
Ersiöna,s.f. . 
PR rk s. 1. (£. de gdog.) Bihiople : sontrös 


Ersıörico, 4, adj. Eiblopien ; d’Ethiopie. 

Eruwomar , adj. 2 gen. (1. d’anat.) eihmok- 
dal : qui appartient & l’os ethmofde. 

Ernuömwe , 3. m. (1. d’anei.) eihmolde : l’un 
des huit os du coräne, & la racine du nes. 

Eruwolozo, A , adj. de Pothmolde. 

Eranıcautnse, ade. a la maniöre des eihni- 
ques , des palens. 

Erunıciswo. V. Genkilismo, Pagamismo. 

TBNICO, A, adj. ethnique, palen, gentil, 

idolätre. 

Ermocrıpmia, s. f. ethnographie : art de 
peindre les maurs d’une nation. 

+ Erenoorirmico , A, adj. eihnographigue : 
de l’ethnographie. 

f ErEmöGaarno, 8. m. eihnograpbe ; qui dd- 
critles maurs d’une nalion. 

EruoLoela, s. f. &thologid ; traits sur les 
maurs, les manidres. Eihopee. 

Ernopka, s. f. &ihopee : peinture des maurs, 
des passions de quelgu’un. 

Erıca,, eto. V. Eihica, elc. 

Erıcumäpe. V. Hectiea. 

ErıuoLocia, ete. V. Biymologis, eio. 

ErıoLocia,s. f. (#. de med.) etiologie: trait# 
des causes des maladies; science, trails, ap- 
plication des causes aux effets. 

ErioLöcıco, A, adj. de l’&tiologie. 

Erıqutra, s. f. &tiquette : o6r6monıal de 
cour; formules dans les lettres,, les pelitions, 
etc. 

Eritzs, s. f. &tite:; pierre lerrugineuse , d’une 
forme peu constante , avec des cavitös. 

na, s.m. ($. de gdog.) Etna : montagne et 

grand volcan de Sicile, (podt.) Chose ardente, 
enflammee ; volcan. 

Ernzo,ı, adj. de l’Etna. 

+ Eröuıa , s. fı(t. de gdog.) Etolie : contree 
de l’Achafle. 

Erörıs ow Eroro, adj. m. naturel de IE- 
tolie. 

+ Ernönıa, 5. f. ($. de gdog.) Etrurie ı aujour 
d’hui Toscane. 

+ Errtsco, a, dj. Etrurien : de l’Eirurie. 

ErymoLocia , 8. f. 6tiymologie : origine d’us 
mot, sa deörivation d’un ow de plusieurs radi- 
caux; source d’ou il derive; science des ori 
gines. 

‚ErTrmoLöcıcamesuıe, ade. selon l’etymolo- . 
gie. 

ETYwoLöcıco, A, adj. ötymologique : de l’&- 
tymologie. 

ErrmoLocista , s. m. etymologiste : qui 
cherche l’origine des mots, la connalt, !’en- 


seigne. 
ErrmoLocızik, v. @. (P. us.) dtymologiser ; 
donner l'&tymologie. . 


Eu, pron. de la premidre personne , je, moi. 
— mermo, mol-meöme. V. Mim et Me. it, s. 2 
gen. v. g. Hste amigo d oulro —, col ami, o’est 
un autre mol-meme. 

+ Eusta, s. f. (4. de göog. anc.) Eubte ı 1le 





579 EUP 


de ia Möditerrende, aujourd’hui Nögrepeont. 

+ Ecsösco, a, adj. (podi.) de !’ile d’Eubee. 

+ EusoLia ou — ULiA, 3. m. (inus.) bon con- 
seil; qualit6 de l’esprit qui consisie ä ne dire 
jamais que ce qui convient. 

Eucganustia, s. f. eucharistie : sacrement 
daus lequei le eorps et le sang de J.-C. sont 
presents sous les esp&ces du pain et du vin. 

Eucaasistico, A, adj. eucharistique : de 
Veucharistie. " 

EUCHARISTICON , 8. m. (9. 8.) disoours en ac- 
tion de gräces. 

+ Eccuiras, s. m. pl. euchites, massaliens : 
sectaires qui font oonsister la religion dans la 
priere seule. 

Euc#oLöcıo, 3. m. eucologe : livre de prid- 
res pour l’ofice des dimanches et des fötes. 

'Eucräista, s. f. (8. de med.) eucrasie : bon 
temperament; bonne constilulion. 

+Eucraitico, A, adj. (1. de med.) de bon 
temperament. 

+ Eupesuia , s. f. ( 1. de dos.) eudesmie : my- 
the , arbrisseau de la Nouvelle-Hollande. 

+ Eudiarngustia, 8. f. (t. de med.) eudia- 
pneustie : respiration facile. 

} Eupioweraia, s. f. (t. de phys.) eudiome- 
trie : art d’analyser l'air. 

Eupiöuerno, 8. m. (1. de phys.) eudiomötre, 
instrument pour mesurer la purels de lair, 
l’oxygöne qu’il contient. 

+ Eunoxıinos, s. m. pl. eudoxiens ;: soctaires 
du quatrime sidcle, partisans d’Eudoxe. 

Eus&mia, etc. 

Euronıa , 610. 

Euroasio. 

EorRasia. 

+ Eucz, interj. fort bien! courage! (ine«s.) 
s. m. Approbation. applaudissement ; oxclame- 
tion en louange,, admirative. 

EuLöcıas,, s. f. pl. eulogies: mets, viandes, 
choses benites. 

TEuLörno, s. m. (#. dsl. nat.) eulophe, 
Kymenoptere. 

Evuutnipzs, 8. f. pl. (t. de myth.) Eumeni- 
des, [uries. 

f Eumznintas, s. f. pl. (1. de myih.) eumeni- 
dies : fötes des Eumenides. 

f Eunomianos, s. m. pl. sectaires du cin- 
quiöme sidcle , partisans d’Eunome. 

Eunöcuo, s. m. eunuque : homme priv6 des 
parties de la generation ou de la facults d’en- 
gendrer ;garde du serail. Office de dignits dans 
quelques anciennes cours orientales. 

Euratörıo,, s. m. (1. de bot.) — #’Avichna, 
eupatoire commun ou & [enilles de chanvre, 

eupatoire d’Aricenne, herbe Sainte-Cunegonde. 
— dos Gregos,, aigremoine , eupaloire des 
Grecs. 

+ Eurfrsia, 8. f. (tl. de med.) eupepsie: 
bonne digestion. 

+ Euratuia, s. f. euph&mie : pridre des La- 
c&d&moniens. » 

Eornsuismo, 3. m. euphömisme : frope qui 
sert Aadoucir les expressions par d’auires plus 


V. Eupk... 8. eic. 


EUT 


douces, plus agröables, plus honnödtes; & vol« 
ler, deguiser des id&es de&sagreables , obscönes, 
tristes , rebulantes. 

} Eurmuocia, s. f. euphlogie : inflammation 
benigne. 

Evrnonia, 8. f. euphonie : son agreable d’une 
voix, d’un instrument. (1. de gramm.) Ce qui 
rend la prononciation facile, coulante; sap- 
pressibn d’une lettre & la fin d’un mot pour 
adoucir la prononciation (©. g. d’alına pour da 
alma , de l’Ame). 

Eurnönıco, A , adj. euphonique : de l’eupbo- 
nie, qui la produit, qui lui est favorable. 

Eurnönsta, 8. f. (8. de bot.) — dos antigor, 
* euphorbe ou euphorbier : arbrisseau de Mau- 
ritanie, du genre des titbymales. — das boli- 
cas, euphorbe offcinal. — maleiteira, le rö- 
veille-matin. 

+ Burnoasiiczas, adj. et s. f. pl. (1. de bot.) 
euphorbiacses : famille des euphorbes. 

Eurnönnıo,s. m. V. Bupkorbia dos Anligee. 

Burmnisıa, s. f. (8. de bot.) euphraise ow en 
fraise : plante annuelle , monopetale et persor 
nee, bonne pour les yeuzx. 

tf Eurmaärzs, s. m. ($. de göog.) Buphrale: 
grand fleuve d’Asie. 

Eunßua ‚s. m. (1. de praf.) pr&caulions pouf 
assurer la validit6 d’un contrat. 

EuREMÄTICO, A, adj. (t. de pra£.) qui traile 
des Zurtmas. V.ce mot. 

rEvairo, s. m. (pP. us.) detroit de mer. 

Evao, s.m.(podt.) Eurus, est : vent d’orienl; 
du Midi, le sud. 

Eunöra, s. f. Europe : l’une des parties da 
mond®. 


EoROrEnsz, ady. 2 gen. " Europeen, dEu- 


Eunor£o, Kı,adj. nr ; au lvi ap 


+ Eunv’cmonas, 8. f. pl. (1. d’kist. nal.) 'eu- 
rychores : famille de col&optäres. 

Evavrauia , s. f. (l. d’aris) euryihmie : bel 
ordre , belle proportion d’un 6difice; &lögance 
et majests; (1. de med.) regularits du pouls; 
dexteritö de chirurgien. 

+Eus,s. 2 gen. pl. d’Eu. Em mim ha .dous 
—,ilya en moi deux principes ow deux Elrei. 

} Eusznıänos, se. m. pl. eusebiens : hereü- 
tiques du quatriöme siecle, partisans d’Arius. 

f Eustacıänos, 8. m. pl. eustaliens : calboli- 
ques d’Antioche qui soulinrent Eusiate , leur 
$röque, contre les Ariens. 

Eustr’Lo, s. m. (4. d’arch.) eustyle : espat® 
convenable entre deux oolonnes, &edifice d 00- 
lonnes distantes de deux diameires. . 

+ Eurkarz, s. f. Euterpe : muse qui presidail 
& la musique. (Ag.) La musique. 

f Eurnanäsıa, s. f. euthanasie : mort en 6lal 
de gräce, mort heureuse, sans douleur, 5208 
crainte ni regrets. 

+ Eoraksıa, s. f. euthesie : vigueur natarelle 
du corps, forte constitution. 

+ Eurav’uia, s. f. euthymie : contentemenl 
et trangquillit6 de Pesprit; repos de l’äme. _ 

Eurnarelia, 5. f. eutrapslie ; galte face” 








EVA 


Sewse; art de plalsanter avoo finesse ; manidre 
sgreable , enjoude, affable. 

fEornartuıco, a, adj. de Feutrapelie. 

+ Erraorsia ‚s. f. eutrophie : bonne et abon- 
dante nourrilure. 

+Eorrasiänos, s. mw. pl. eutychiens ou eu- 
ischites : partisans d’Eutychös, qui niait lo 
corps du Christ fait homme. 

Eracuacäö, s. f. dracuation : döcharge d’bu- 
meurss, d’excrements, etc.; action d’&vaouer, 
ses effets ; matiöre Evacude. 

Eracuipo, A, 9.9. d’Evacuar. 

Erieränte, adj. 2 gen. ot s. m. &vacuant, 
Wracaatil: qui [alt dracuer. Os —s, s. pl. les 
@racuanis. 9. a. de 

Eracuin, o. a. &vaouer, vider; faire sorlir 
d«e.— uma prara, eidade, casiello, elo., &va- 
eser une place, eic., en faire sortir la garnison 
Per an lraitd, par une capitulalion. 

EVacvaTıvo. 

EracuAToRIO. | V. Evacwante. 

Erıpipo, A, p. p. de 

Evapir,v.6. &chapper, eviter, fuir,se lirer de. 

tEraDia-se, o.r. s’svader, s’&chapper, s’en- 
fair fartivement. 

Branckıno, s. m. evangile: lei, doctrine, his- 
teire de Jesus-Christ; les livres qui les contien- 
nent; partie de l’evangile qui se dit & la messe. 
— pequenino, proverbe, senlence, maxime. 
Ordens de — , diaconat. Tomer ordens de —, 
etre ordonne diacre. 

+Evanckuıas, s. f. pl. (I. d’ant.) evangelies: 
anciennes fötes ä Ephöse. 

Evanc£Licameute, adv. &vangeliquement : 
d’ane maniere evangelique. 

KEvanck£lico, A, adj. &vangölique : de ou se- 
lon l’evangile. 

* EvancKLiönIO, 8. m. evangsliaire : livre 
d’evangiles. 

EvanceLista ,s. m. &vang6liste : auteur d’un 
vangile. O—, saint Jean evangelisie. Ser um 
— ‚(fig.)€ire veridique, dire toujours la verile. 

BranceLıziDo, A, p. p. de Evangelizar. 

EVANGELIZADÖR,, 5. m. celui qui pre&che l’e- 
vangile,, qui evangelise. 

EvancgLızante, 8. m. V. Evangelizador. 
p.a.de 

Erinceuszin, ©. a. övangeliser : annoncer, 
precher l!’evangile. (lg.) Annoncer une bonne 
Boarelle, pr&cher une bonne doctrine. 

t Erin, s. f.(6.d’Mist.nal.) evanie : hyme- 
noplere, entomolile. 

"vANO,s.m. V. Ebano. 

Evaronıcäö, s. f. &vaporation :exhalation de 
Pbumidits d’un corps, de vapeurs, de fluides. 

Erarorino,A,p.p. de 

Eraronia, 0.0. 6vaporer, exhaler. v. n. S’e- 
vaporer; se r&soudre en vapeurs, se dissiper. 

Evaronin-se, vo. r. V. Evaporar, v. n.(fig.) 
K'eleindre, se dissiper, s’6vanouir. 

ErAProaaTivo, A, adj. &vaporatif : qui fait 
€raporer. 

Evaroaırörıo, A,adj. V. Evaporalivo. s.m. 
(P. us.) Braporateire, almidometre. 


EVO 573 


Evıroniver, adj. 2 gen. tvaperable : qui 
peut s’€vaporer. 

Evasiö, s. f. &vasion : fuile seoröte; action 
des’örader. V. Vasdo. (Ag.) Expedient, moyen; 
solution d’une dificults, etc. Excuse, &chap- 
patoire. 

Evasivo, a, adj. &rasil : qui sert & dluder. 

"Evasöm. V. Evasdo. 

Ev&nto, s. m. (9. us.) drönement. V. Sue- 
cs330 , Aconlecimento. Em quer — ‚em lodo 
— ‚atout erenement, & tout basard , quoi qu’il 
arrive, entout cas. 

Evantuiı, adj. 2 gen. casuel,, eventuel, for- 
tuit : qui peut arriver ou ne pas arriver; fonde 
sur un dvönement incertain. 

EvEnTuaLspäne, 8. f. dventualils : qualits de 
ce qui est eventuel. Possibilit#, probabilite 
d’un erönement. 

Evzasiö, s. f. dversion:renversement, Fuine® 
d’on Etat, d’une ville, etc. 

EvErsivo, a ‚adj. eversif : qui renverse. 

EVERSÖR, 3. m. (P. us.) destructeur. 

Eviogiö, s. f. (t. de prai.) eviction : action 
d’evincer. 

Erinencıa, s. f. evidence : cerlitude mani- 
feste ; qualite de ce qui est drident. - 

EvmzncıAÄpo, A, p.p. de 

EvipenciÄr , 9.6. meltre en &vidence , rendre 
&vident. 

Evmentz, adj. evident, clair, manifeste. 

EvinentEußnte, adv. 6dvidemınent, d’uns 
maniere övidente. 

Evınanrissımo, A, adj. sup. d’Evidente. 

Evıa, s. f. V. Bacchante. 

+ Evıo, a, adj. (6. de pods.) &pithete de Bao- 
ehus ; bacchanal, de Bacchus. 

Enmacid, s. f. action d’eviter. 

Evıripo, A, P. p. d’Evitär. adj. Excommu- 
nie, & @viter. 

Evırautnto,5.m. (p. us.) V. Boilagio. il. 
Desculpa , Excusa. 

Evırinoo. V. Vilando. , 

Evıraa, ©. @. 6riter : fuir, esquiver ce qui 
nuit, deplalt, etc.; fuir uno chose; Öpargner. 
— 0 golpe , decliner un coup. . 

EviTävsL, adj. 2 gen. övitable : qui peut &ire 
erite. 

Evitsanınipe, 5. f. eviternitö : duree qui a 
commenc®, mais ne finira pas. 

EviTErno, A, adj. eviterne : qui a un com- 
mencement ct n’a pas de fin. 

Evo, s.m. siöcle, äge fort long; öviternite, 
(poet.) * Eternite : duree d’un temps fort long. 
(ant.) Nom d’un grand poisson de mer. 

Evocacäö, s. f. $vocation ; aclion d’evo- 
quer. 

Evocan0,4A,p. p. de 

Evocir, v. 6. &voquer : appeler, faire venif 
A soi; fairo apparalire. Invoquer, appeler & 
son secours. 

Evocatönı0, A, adj. drocatoire : qui a la 
vertu d’evoquer. 

+ Evo ow Evont, inierj. bien lui soit! Ac- 
claınation des bacchantes, 


578 EXA 24 
Evor.än-se, v.r. s’eıhaler en vapeur; (f7.) 
s’&vaporer. 


EvoLuckö, s. f. #rolution : mouvement de 
iroupes pour une nourelle disposition; (f. de 
physiol.) d6veloppement des Corps Organiques 
lors de leur formation. 

EvorLöra, s. f. (1. de geom.) döveloppee : 
courbe qui en forme une auire quand on la 
döveloppe. 

EvoLvante, adj. 2 gen. Curva —, (. de 
geom.) dereloppante : courbe qui rösulte du 
developpement d’une autre dite developpee. 

+Evona, s. f. (£.degeog.)Evora : ville d’Alen- 
tejo, en Portugal. — Monte, Evora de Monte. 

Evorensg. V. Eborense. 

Erursiö, s. f. (8. de chir.) action d’arracher. 
Evulsion. 

Ex, prep. latine, qui entre dans la compo- 
sition de plusieurs mots portugais. Ex, ci-de- 
vant; qui a &i6. Ex-defnidor, Ex-guardido, 
etc., ex-definiteur, ex-gardien : qui a &i6 defi- 
niteur, quia &t6 gardien, eto. 

Ex-ınnörto, loc. adv. lat. sans exorde,sur- 
le-champ; (Ag.) violemment, contre l’ordre et 
la rögle. 

Exazunpäncıa. V. Superabundancia. 

Exacciö, s. f. perception, levee des drolts 
royanz,desimpöts. Exactitude, Exaction s action 
d’exiger durement, et surtout de recevoir plus 
qu’il n’est d@ ; mangerie. 

Exacaasacid, s. f. aigreur. (f. de möd.) Exa- 
cerbation, augmentation d’un paroxysme. 

ExacErsiD0, A, 9.9. d’Exaverber. 

ExACERBADOR, A,adf. et s. qui aigrit, qui 
Irrite ; qui cause une exacerbatlon. 

ExACERBÄR, v. 6. algrir, irriter. Il est aussi 
reciproque. 

+ Exico, s. m. (f. de bot.) * gentianelle ; 
plante gentiande. 

Exacönno. V. Hewacordo. 

ExacrämßntE, adv, exaclement : avot eXa0- 
titude; soigneusement. 

Exicriväö, s. f. exactitude : attention pono- 
tuelle et röguliäre; precision,, Justesse. Ponc- 
tualitd, son, diligence. 

Exacrissıno, a, adj. sup. de 

Exicro, a,adj. exact: qui a de Pexactitude , 
regulier, ponotuel;; soigneux, minutleux. 

ExACTOR, 8. m. percepteur, collecteur, rece- 
veur des impöts. Ezacteur : celui qui commet 
des exaclions. 

Exicericiö, 8. f. oxagsration: discours, 
expression qui exagere, byperbole; action 
d’exagerer. 

Exacenin0, A, P.p. d’E: . 

ExAGERADOR, A, 8. Bxagörateur: qui exagöre; 
qui a l’babitude d’exagerer. 

ExıcenÄn, ©. a. exagörer. Il a les meınes 
acceptions dans les deux langues. 

EXAGERATIVAMENTE , ado. d’une manidre 
exageree,. 

Exicenarivo, a, adj exageratif : qui Uent 
de l’exageration; qui exagere, amplilie. 

Exscıripo, a, p. p. d’Ausgitar-se, 


EXA 

t Exaorränsg, 0. r. sagiler beautonp , sit 
riter, se meitre en colöre. 

Exacono. V. Hexagomo. 

ExaLan, etc. V. Exhaler, ete. 

ExaLci0o,A,p.p. d’Ezeiger. 

ExaLcapön, A, adj. ei s. louangenr, panigy- 
riste : qui loue, qui #löve, etc. 

ExaLcauinto, s. m. V. Exaltapds. Lounge 
(ant.). 

Exargin, vo. a. exalter, louer, &lerer. V. 
Exaltar. 

Exırtacid, s. f. exaltation, &lövation; (A4.) 
elövation aux honneurs, etc.;exageration dans 
les iddes, les sontiments; chaleur d’imagias- 
tion, enthousiasme, fanatisıne. (% de chim.) —, 
€paration au plus haut degre. (1. d’astrol.)-, 
signe dans lequel un astre a lo plasd’induenee. 
-— 80 , ao pontifcado, avönement du 
tröne, au pontißcat. 

Exırrino, 4, p. p. d’Exaltar. adj. (Me) 
Exagere dans ses opinions, eto. Exoessil. 

ExıLtautnto,s.m. V. Exallaglo. 

ExuLrir, v.a. &lever, hausser. (fg.) Exal- 
ter: louer, priser, vanter; porter & Yentbor- 
siasme, au delire. (4. de chim.) —, augmeniet 
la force; doubler la vertu; purifier autanl que 
possible un metal ; sublimer. Volatiliser. - 
mdito um heroe, porter un heros bien haut. 

ExALTÄän-SE, u. r. s’exalter soi-m&me; sirt- 
ter. —abilis ou a colere,, s’schauffer, sienßen- 
mer, en parlant de la bile. — a alguem a hä 
ou a oölera, ( ig.) se fächer exirömement, de- 


| venir furieux. 


ExaLvicano. V. Aloacsnio , Deslavade. 

ExiNE, 8. m. examen : questions pout &ll- 
miner la capacit# d’un elöve , d’un deolier, du 
aspirant, etc.; recherche, discussion, oböt- 
vation solgneuse, exacte, refldchie; consaft, 
eritique; perguisition, enquöte. (enf.) Emaln, 
multitade. V. Enzame. 

Exiuereo. V. Hexameiro. 

Exauınaci6, s, f. examination : action deit 
miner, examen. 

Exıuımino,A, 9.9. d’Baaminar. 

EXAMINADOR, 3. m. examinateur: qul e3% 
mine, interroge les candidats, les recipien 
daires. — synodal, examinateur pour les ordrs 
sacres, les pouvoirs de confesseur, ele. 

Examınär, dv. 6. examiner, scruter, recbel- 
cher exactement; regarder atientivamen! I 
bont# d’un ouvrage, la qualits d’une denret, 
etc.; faire l’examen, interroger. — ul 
munhas, (t. de pras.) rocevoir les döposilens 
des t&moins. 

ExinGug, adj. 2 gen. qui n’a point de sa0f, 
qui l’a tout perdu. (Ag.) Ansanti, extWiidt, 
faible, languissant. 

+ Exanıuagäö, s. f. privation des foneuens 
tales. 

Exinıuz, adj. 2 gen. döcourag6, consternt: 
6pouvante. Mort, prive de la vie, qui ne denne 
pas signe de vie, 

Exanrußua, 8. m, (1, de mid.) esanhimt: 


vi 





EXC 


sruption & la peau aveo ou sans solulion de 
conlinuile. 


ExntEsuiTico, A, 04 en laue .. 
EXANTBEMATOSO , A, adj. P’exantheme,. 


Exaguı, ade. V. Eis aqus. 

Exaripo,A,p.p. de 

Exanär, 9. 6. graver sur le bronze, sur le 
marhre, elc.; tracer. (ig.) Ecrire. 

Exixcino ou — CHÄDO, 8. m. exarchat : tar» 
nitoire , dignite de l’exarque. 

ExäncO 04 — ARCHA, 8. M. 8Xafqu6 ! COM- 
mandant en Italie pour les empereurs grecs ; 
dignite dans l’eglise grecque, aprös le patriar- 
c 


tExaatunösıs, s. f. (6. d’anat.) exarthrose, 
huation. 

Exasreracäö, s. f. exaspsratlion : aclion 
d'exasperer, ses efleis ; Ötat de ce qui est exas- 
pete. 

Exsspenipo,A,p.p. de 

Exaspe£RiR, vd. a. exasperer: aigrir, irriter & 
Pexcäs ; provoquer. Aggraver, faire empirer. 

ExaspunÄa-SE, vo. r. s’emporter, s’exasp£rer. 
de renvenimer, s’enveonimer de nouveau. 

"Bxauccöss, s. f.pl.V. Exacgds. 

Exauronagäiö, s. f. exautoration ; action de 
dtgrader. 

Exauronän0,&A,P. 9.de 

Exaurorir, 9. 6. exautorer : dögrader. 

Excanpescöncia, 8. f. Schauffaison; 
fement;; emportement, irritation. 

tExCAnDzscknTE, adj. 2 gen. öchauffent, 
Iritant, p. a. de 

Bxcannescee, v. a. [aire rougir lo fer au 
plus haut degre. (Ag.) Irriter, enflammer. vo. ®. 
Rougir, devreuir rouge. — com ira, s’emporter 
comme un furieux. 

ExcanDESCRR-SE,, v. r. s’echaufler, se brüler 
le sang. 

Excanpescipo, A, P. P. d’Ezcandeswer. 

Excancerär. V. Desencarcerdr. 

TExrcanırcackö, s. f. sorte de martyre qui 
eonsiste A dechirer les ohairs. 

Excavacid, 8. f. excavalion : action de creu- 
ser; ereux dans un lerrain. 

Excavrino, a, p.p. de 

Excaväin, 9. 0. excaver : creuser prolond6- 
ment. V. Escavar. 

Excgnäntg ‚adj. 2 gen, exceseil. Excädant, 
quiexcäde. s. mw. Exctdant: nombre, qualits 
quiexcäde;ce qui axedde; ce qui resie apr&s 
Bne soustraelion. 

Excspfn, v. a. excöder : outre-passer; aller 
su delä des bornes. Exosd£o as esporamgas, il 
a6t6 au delä desesperances. Minha dor ewesde 
mwilo & Ina, ma douleur passe de bien loin la 

ne. 
mmzada (0, em), %. 9%. SUTP&SSEr ; B'avan- 
ger &. 

Excznta-se ‚9. r. s’oxceder : faire quelque 
those yusqw’ä l’excds. -— @ Si-Mesmo, 86 SUr- 
Passer soi-meme ; faıre beaucoup misuz qu’ä 
son ordinaire, 


EXC 575 

Exczoino, A, p. p. d’Exesder. 

® Exczonßs. V. Xadrez. 

* Exczıciö. V. Rzcepeäo. 

* Exczıruia, etc. V. Excepiuar, eic. 

Exczııtncıa ‚s. f. excellence ;: degrö immi- 
nent de pesfection ; titrehonorifique desgrands, 
ambassadeurs, eio. , au-dessous d’altesse. 

ExceL.ente, adj. 2 gen. excellent : qui ax 
oelle ; d’ane qualiis superieure; superieur ; le 
meilleur ; trös-bon. 

ExcELLENTEMENTE, ado.excellemment: d’une 
maniöre excellente. 

ExceLıentissıno, A, adj. sup. d’Eweellenis. 
Excellentissime : titre d’honneur qu’on donne 
aux grands, ambassadeurs, etc. ; trös-excellent. 

* Exceııkn, ©. ". excoller : surpasser par 
une qualii; @tre excellent. 

ExcELSAMENnTE, ado. bautement : avec &l&- 
vation et supsriorite. 

Exczısıtöng, 8. f. trös-grande #l&vation ; su- 
blimite. 

Exctıso, A,adj. baut, dlevö, dminent. (fg.) 
Soperieur, öminent, souverain; sublime,. Ai- 
mo — , bautcourage. 

Exc&nTRicautnTg, adv. d’une maniäre eı- 
centrique, hors du sentre. 

Excenraıcıväpe, 8. f. (f. d’asir.) excentri- 
eite : distance entre le centre et le foyer de l’el- 
lipse decrite par une planete. (fig.) Prootde ex- 
cessif , imprudent; extravagance de caraoläre, 
de goüta,, de conduite,. 

EXCRNTRICO, A, adj. exoontrique : so dit de 
vercies engages Fun dans l’autre, et dont les 
oentres sont differents. (Ag.) Original, hors da 
commun, extravagant. 

+ Exchntaico, s. m. (4 d’asir.) orbite exom- 
trique d’une plandte. 

Bxczrciö, s. f. exoeption : action d’excepler; 
cequi doit #tre, ce qui est except£.(f. de pra#.) 
Moyen qui exempte de röpondre. — decli- 
naloris, (t. de praf.) exception declinatoire : 
moyen qu’on alldägue pour decliner une juri- 
dietion. — dilstöria, (id.) exceplion dilatoire : 
exception pour faire differer le Jugement. — p0- 
remploris, (id.) exception peremptoire : de6- 
fense qui consiste dans l’allegation de la pe- 
remption. A’— de, ä l’exceplion de, exceplö; 
hors , hormis. Ndo ha regra em —, il u'ya 
pointde rögle sans exceplion.Com poucas—6es, 
& peu d’exceptions prös. 

ExcEPCIONÄDO, A, P. p. de 

Exczrcionän, dv. 6. (1. de praf.) exoiper: 
fournir des Aare (p. u8.). 

Excarracäd. 

ExcePrän, etc. | V. Bacsplua..., 6t6. 

+ Exczrriva , s. f. clausule, condition. 

Excerrivo, A, adj. qui (alt une exception, 
qui en coniient. 

Exckero,A,p. p. irr. d’Exceptar. 

Exc£rto, ade. ei prdp. saul, & la röserrode, 
except#, hormis, hors. 

Exczrruacid,. V. Exeopedd. 

Exczrruäp0, 4, 9.9. de ’ 

ExcePTVan (de), 9, a, oxonpier : ne PAI COM- 





876 EXC 


prendre dans un nombre, une regle, un choix, 
etc. 

Exc&rrto, s. m. extrait, collection. 

ExCEssivamEnTE , adv. excessivement : d’une 
maniöre excessirve. 

Excessivo, a, adj. excessil: qui excdde la 
regie, la mesure, le cours ordinaire , les bor- 
nes raisonnables ; quiva Al’excös; oü ily a do 
Vlexcös. 

Exc£sso, 3. m. excös: ce qui passe les me- 
sures, les bornes de la raison, des vertus, de 
la bienseance ; exc&dant d’une quantits sur une 
autre; ce qui est superflu ow de trop;; malice, 
crime. Commelter algum —, commeltre quel- 
que crime. Em ou por —, excessivement. Em 
nada deve haver — , ilne faut d’excös en rien. 
—s, pl. honnettetes,, manieres obligeantes ; em- 
pressement. Fazer —spor alguem , aimer quel- 
qu’un d’une maniere excessive, &perdument. 
—s menides ‚ transport, ravissement, extase. 

Excivıo,, s. m. *"devastation, ruine , desola- 
tion. 

TEXxcIFIENTE, s. m.(t. de pharm.) excipient: 
substance qui sert de base aux medicamenis. 

+Excısiö,s. f. (t. de chir.) excision : ac- 
tion de couper; oastration; circoncision en 
Perse par l’enlörement partiel. Amputation. 

Excıtaciö, s. f. exoitation : action de ce qui 
excite; instigation. 

Excıräno,A,p. p. d’Exeilar. 

‘ ExcırapOn, s. m. instigateur, moteur. (#. de 
phys.) Excitateur : instrument pour exeiter les 
‚etincelles electriques. 

ExciTaMEnto, s. m. aclion d’exolter, ses ef- 
fets. (t. de mel.) Excitement : rötablissement 
de l’action du cerveau. 

ExcırÄänte, adj. ? gen. et m. qui excite; ex- 
eitatif, propre ä exciter. (4. de mdd.) Stimulant, 
slimulus : quiala vertu de röveiller, de stimu- 

er. 

Excrtär, v. a. exciter, provoquer, $mouvoir; 
eauser ; faire naltre; occasionner ; encourager, 
animer. V. Suscilar. 

Excrrativo, a, adj. oxcitatif : qui excite, 
propre ä exciter. 

Excitarörı0, A, adı. (P. us.) excitatoire : 
qui excite &. 

Excuamacid,s. f. exclamation : ori fait par 
admiration, surprise, joie, indignation , desir 
o« fureur, etc. it. —, figure de rhötorique. 

ExcLuauino,&A,p.p. d’Exclamar. . 

ExcLaMADOR, A, 8. qui fait des exclamations. 

Excrauir, v. n. s’ecrier, se recrier : faire 
un grand cri, une exclamation. 

+ ExcLauaATivo, A, adj. exolamatif : propre 
& l’exclamation. 

T EXCLAMATÖRIO , A, adj. qui oontient, indi- 
que exclamation. V. Exclamativo. 

* Excıupin. V. Exeluir. 

ExcLuloo, a, p. p. d’Escluir. et adj. Navio 
— do seroigo , navire condamne. — da eleicdö , 
ineligible. 

Excıufs (de), ®. 6. exclure, chasser, expul- 
ser, emp6cher d’6tre adınis ; reprourer. 


EXC 


Excırsäd, s. f. exclusion : declaration ‚ac 
par lequel on exclut. 

Excusiva, s. f. V. Exelusds. Droit d’exelen. 

ExcLusivam£nte, adv. exclusivement, älter. 
Clusion , en excluant. 

Excuusıve, adv. lat. exclusivement. 

Excıusivo, a, adj. exclusif : qui esclat on 
peut exclure. 

TExcıiso,a, p.p. irr. d’Excluir. Eich. 
V. Exelwido. (1. de bot.) Exert:: (*tamine)sall- 
lant hors (du ccalice, etec.). 

Excocrraciö, s. f. action d’inventer, din# 
giner, imaginative. 

Excecırino,A,Pp.p. d’Ezeogilar. 

EXCOCITADOR ‚ 3. m. inventeur. 

ExcocıTÄR, v. a. penser, imaginer, mei 
profondement; inventer. 

ExcocıTävEL, adj. 2 gen. imaginable: qui 
peut £&tre imagine. 

Excouuuncaciö. V. Excommunkdo. 

ExcoNNunGcäno, A, p. p. d’Ezcommunger. 
adj. ets. Excommunie : reiranch& da nombre 
des üdeles. 

ExcoNmuncÄR, v. a. exeommunier : reifst- 
cher de la communion de l’Eglise, separer de 
fiddles. Chasser (les insectes nuisibles) ar& 
des exorcismes , etc. 

Excomuunniö, s. f. excommunicalion : c&8- 
sure qui excommunie. 

* Excouuunuin. V. Excommunger. 

Exconugid, 3. f. (t. de chir.) excorishön: 
$corchure de la peau. 

ExcoRıin0,A,p.p.de 

Exconıin, v. a. (8. de chir.) excorier : &0- 
cher la peau, une membrane. Il est aussi tö% 
proque. 

Excoarticagid. V. Decorticapds. 

Excazci6, 8. f. (1. de physiol.) exertüioh: 
sortie naturelle des humeurs nuisibles, les be 
meurs. 

ExCRENENTicıo, A, adj. (1. de mid.) exet* 
mentitiel , excrömentenx : qui tient de Fexert® 
ment, 

ExCRENENTO, 3. m. excr&ment : s6cr&lion; 
qui sort du corps de l’animal ; matieres föcale- 

ExcaENENTOSO, a. V. Exerementicio. 

Excazscencıa, 8. f. excroissance : SUpl- 
fluite de chair, de matiöre. 

+ ExCRESCRnTE, adj. 2 gen. qui erolten de- 
hors. p. a. de 

} ExcRESsCceR, o.n. (1. de mid.) s’dlerer © 
forme d’excroissance,, se tamısäer. 

Excrzrti0o, A,9.2.de 

tExcaEriR, v.a. (1. de pAysiol.) dracaes 
rondre les exor6menis. 

Exca£ro, A, adj. rendu en forme d’eict- 
ments. 

Excaerörıo, adj. exorötoire : (vaisseaul, 
slandes, conduits —s) pour P’excereiion. 

+ ExCRETOS, 9. m. pl. (k. de mid.) sah 
tions. 

Excunsä6, s. /. excursion ı oourse, iu 
tion sur le pays ennemi. (Ag.) Beart; digrer 


sinn, 





EXE | EXE Be, 
Excheso, 8. m. " digression : 6carl d’un au- qui analyse (theologie, methode). s. m. Exs- 


leur, gete : interpreie en maliere de religion. 
tExcussiö, s. f. (l. de prat.) discussion: | Exenin.V. Eximir. 
recherche en justice des biens d’un debileur. Exeupcäö, s. f. exemption : droit, gräce, 


tExcoria, v. a. (t. de prat.) discuter les 
biens en Justice ( d’un debiteur ), les laire 
rendre. 

Exscaucid, s. f. execration :horreur ex- 
me pour (un @lre); imprecation, maledic- 
ion. (l. de thdol.) —, action , accident par les- 
quels une chose perd sa consecralion. 

EiscaiDo, A, p. p. d’Execrar. 

f Exscnapör,, s. m. celui qui fait des exe- 
erationg, 

Eıscainno, a, adj. V. Execravel. 

ExEcnär, ©. @. eXcrer: avoir en execration ; 
detesier, 

ExecrATÖRIO, A, adj. execratoire : (jure- 
ment) qui conlient une execralion. 

ExecnäveL, adj. 2 gen. execrable : detesta- 
ble,horrible; abominable, affreux; extreme? 
ıenl mauvais, 

ExeckäVELMENTE, adv. ex6crablement: d’une 
maniere execrable. 

Execuci6, s. f. ex6culion : action, maniere, 
heilid d’ex&cuter; (f. de prai.) saisie. it. V. 
Penkora. *Ravage. 

"Exgcroön. V. Execulor. 

Execotäpo, A, 9. p. d’Execilar. 

Exscetader. V. Executor. 

Extcutänte,, 5. 2 gen. (f. de pral.) celui qui 
eieeute, qui saisit les biens. 

‚Exscetär, ©. @. executer : meliro & ex&cu- 
lon,&effet; accomplir; (t. de prat.) saisir les 
biens, les faire vendre; faire mourir par jus- 
ie; jouer, chanter (un morceau de musique). 
Eiercer, pratiquer. — alguem nos bens, (1. de 
prai,) faire ex&cuter ou vendre juridiquement 
les effets d’un debiteur. 

Execurivam£nte, adv. d’une manıere expe- 
üilive, promptement, (1. de prat.) Par la voie 
de la saisie de biens. 

Exscurivo, A, adj. prompt, actif, diligent; 
execulif, qui execute, de l’execution. Poder —, 
Puvoir executif : qui fait ex&cuter les lois. 

is —a, jugement bref et sommaire. 

Execurön, 3. m. executeur:celui qui ex6- 
cue.— da alla juslica, executeur des hautes 
@uyres, bourreau. li est aussi adj. 

Executöria, 8. f. (f. de praf.) ex&cutoire : 
sentence „acte ,‚[orme,, arr&t portant contrainte. 

Exzcurörı1o , A,.adj. (l. de prat.) ex&cutoire: 
qui donne pouvoir d’executer judiciairement. 

Ex£pra, s. f. “exedre: lieu d’assemblee de 
Sıvants,, de gens de letires. 

Ex£cesg ou —s18, s. f. extgese : explication, 
exposition claire ; commentaire. 

Execktas, s.m. pl. (tl. d’anf.) ex&getes : ju- 
risconsultes,, conseils des juges. 

Exzcerica, s. f. (tl. dalg. anc.) exegetique : 
waniere de trouver les racines d’une &quation. 
il. Theologie exegetique. Exencan. V. Xarquear. 

Exzc£rıco,A,adj. exögetique: qui oxplique, | EXERCER, 9. a. EXOFORT, praliquer. 


PORT-FR 37 


privilege qui exempte; immunils ; action 
d’exempter, son effet. 

ExeEupLiDo,A,P. p. d’Exomplar. 

EXEMPLADÖR, 5. m. (inus.) eelui qui donne 
: Pexemple, qui chätie. 

ExEMrPLin, s. m. modeöle, original, proie- 
type, miroir. Exemple. * Comparaison. Exem- 
plaire : livre imprime. *Copie 

ExeupLin,adj.2gen. exemplaire : qui donne 
Pexemple; propose pour exemple, qui peut en 
servir (vertu, vie, elc.). Casligo —, punition 
exemplaire. 

t ExeurLir, vo. a.(inus.) donnerl’exemple; 
exciter, instruire par l’exemple. Indiquer, pu- 
blier; faire ostentation de. 

"ExENPLÄR-SE,v. r.se publier, se divulguer, 
se repandre. 

ExEMPLARIDÄDE, s. f. qualilö de ce qui est 
ezxemplaire; edification. 

ExEuPpLÄßıo, s. m.recueilde fails et d’exem- 
ples ; livre qui les contient. 

ExENMPLARISSIMO, A, adj. sup. d’Exemplar. 

ExEMPLARMENTE , adv. exemplairement : 
d’une manidre exemplaire ‚edißante. 

t Exeurunicaciö, s. f. *eclaircissement, 
preuve par exemples. 

ExENMPLIFICÄDO, A, 9.P. de 

Exeupusrsicir, vo. @. eclaircir, prouver par 
des exemples. (ant.) Edifler : porter ä la vertu, 
& la piete. 

ExENPLIFICATIVO, A, adj. qui sert d’exem- 
ple, de moddle, etc. 

Ex£urLo, s. m. exemple : ce qui peut servir 
de modele, e@tre imil&; action & imiter ow & 
fuir; chose & imiter; chose & citer comme pa- 
reille & une sautre; chose pareille &ä celle dont 
il s’agit, qui l’autorise, la confirme. (Ag.) Mo- 
deie. Dar —, etre ’exemple : edifler. Tomar — 
em alguem ou d’alguem, prendre exemple sur 
quelqu’un. Segwir o — d’alguem, imiter quel- 
qu’un. Trazer —s, citer des exemples. Por —, 
ade. par exemple. Sem—, (id.) sans exemple; 
(fig.) sans que cela puisse lui servir d’exemple, 
sarıs que cela lire & consöquence. On le dit 
d’une gräce accordee. Uma grars ndo ’as—, 
une gräce ne tire point & consequence. 

Exzupränpo,&a,Pp. pP. d’Ezemplar. 

ExENPTANMENTE , adv. avec exemplion, fran- 
chise, 

ExENPTÄR, v. a. exempter : rendro exempt, 
affranchir. V. Isentar. 

Exenerän-se, vo. r. s’oxempter, Se dispenser. 

Ex£upro, A, p. p. irr. d’Eximir. adj. 
Exempt; libre. V. Isento. , 

Extovuas, #. f. pl. "obsöques, fundrailles 

ompeuses. 

p + ExmoDiveL ‚adj. 2 gem. qui peut dire mis ä 
Yeffet. 


























378 EXH 


Bxercicıo,, 8. m. exereice : action de s’oxXer- 
cer; travait, occupation ; evolutions, man@u- 
vres, mouvemenis, action de l’exercice; ma- 
niement des arınes, des outils ,desman@uvres, 
des vordager, des agr&s, du canon, etc., pour 
exercer, s’exercer; (Ag.) pralique; fonctions 
d’une charge; mouvement du corps, consider6 
selnlivement & l’etat de sante. Dar —a, meltre 
en exercice, en execution. Conodm füser —, il 
aut prondre de Pexercioe. O— a cavallo d midi 
saudavel, Yezeroice A choval est tr&s-salutaire. 
—s espiriluaes, exercices spirituels, pratiques 
de derotien. 

Exzacivo. a, p. p. d’Exercer. 

Exezncıraclkö, s. f.* exercice, pralique. 

Exencıtino,A,p.p. d’Exercilar. 

BxEncrrapen, s. m. celui qui exerce, dresse, 
instruit, forme & quelque chose. 

ExErcıränte,adj.2 gen. ets. celui qui exerce 
une professien, un emploi. (p. ws.) Exercitant: 
qui fait ou dirige les exercices spirituels. 

ExuncırÄäk, ©. a. exercer : pratiquer une pro- 
fession, un art; dresser, instruire, furmer & 
quelque chose par des actes frequents. Gerer 
un emploi. 

Exsacırän-SE, ©. r. s’exercer : s’appliquer 
&...; s’oosuper de...; faire des actes frequents 
pour acquerir un art, un talent, une habıtude, 
U. 


Exeacıro, 3. m. * armde: nombre important 
de troupes organisees en corps sous un gene- 
Ba) ; ( lg.) grand nembre. (ant.) V. Arraial. 

Exenpan. V. Excherdar. 

f Exinese ou —sı8, 8. [. (l. de chirur.) ex6- 
Böse : Suppressien,, extrection d’un corps &tran- 
ger, nuisible. 

Ez£nco, 3. m. exergue : petit espace d’une 
meödallie, au bas du type, pour la devise, etc. 

EsroLiacäd, s. f. (1. de chirur.) exfoliation : 
division de los caris par feuiltes. 

ExroLiipo, A,Pp. 92. de 

ExsoLian-sE, vr. (1. de chirur.) s’exfolier: 
s’enlever par feuilles. 

Exrosiatrivo, a, adj. (tk. de med.) exfolıatif: 
{remdde) propre & faire exfoller les os caries. 

ExsaLıciö, s. f. exhalaison : fumse, vapeur 
qui stexhele d’uno substance dans Fair; vapeur 
qui s’elöve d’un solide, d’un liquide. Exhala- 
tion : action d’exhaler. Lumiere meteorique ei 
rapide. - 

ExHAaLid0, A,P. p.d’Exhaldr. 

ExHALÄNTE, adj. 2 gen. qui exhale. —s, s. m. 
pi (1. d’anat.) exhalants: vaisseaux irds-de- 

8 

ExBALÄR, v. a. exhaler : pousser hors de soi 
(des vapeurs , des odeurs, des esprits). — sus- 
peros, queizas, eic., (ig.) pousser des soupirs, 
des plaintes, etc. — a alma ou 0 espirito, (id.) 
sendre l’Ame, mourir. 11 est quelquefois neutre. 
— em suavissimos vapores, s’exhaler, se r#- 
soudre en vapeurs trds-agreabies. 

ExuaLin-se, vo. r. s’exhaler : s’dvaporer, se 
stsoudre en vapeurs. — a alma, monrir. 

Exnavaine, a.V.Eohausio. p.p.d’Erhaurir. 


EXI 


+ Exnıvair, v. a. &puiser,, tarlr,, vider. — 0 
erdrio, vider les coffres de l’etat. Il est aussi 
reciproque. —se de forgas, perdre ses lorces, 
s’epuiser. — de tudo, etre dans le denämen!, 
dans la detresse. 

* Exınaustän. V. Exkaurir. 

ExnHäusto, A, p. p. irr. d’Exhaurir. ed). 
Epuise, tari, mis & sec. (fig.) Epuise, appau- 
vri. 

Exnenpir, etc. V. Esherdor, ete. 

Exsısıciö, s. f. exhibition : repre&sentaen 
juridique de papiers. Expesition (de tableauz, 
de choses rares, ete.). 

ExH1Bip0,A,p.p. de 

Exnisir, v. a. exhiber : moatrer, representer 
en justice (des pupiers, ses pouvoirs). Erpo- 
ser: mellre en vue (des tableaux, los produißs 
de son industrie, etc.). 

Exnortaciö, s. f. exhortation : disoours par 
lequet on exhorte, on excite (& la devotion, 
ote.). 

Exuontaciosinga, s. f. dim. d’Exhorlagdo. 

Exuorripo,A,p.p. de Exkortar. 

ExHORTADOR, A, 8. personne qui exhorte; 
ohose qui excite. 

Exuorrir (a), v. a. exborter: exciter, eng2- 
ger, porter par le discours (quelqu’um au bien, 
ä la paix, eic.). 

ExHorTATivo, A, adj. exhortatif: propte & 
exhorter. . 

Exnortarönıo, A, adj. exhortatoire : qui 
contient une exhortation (discours, eic.). 

Exınunacäö,s, f.exhumation : action d’eihu- 
mer un corps. . 

Expvmin,ov.a. exhaumer: deterrer un corps, 
souvent par ordre du Juge. 

+ ExtctaL, adj. 2 gen. funeste, pernicieut, 
mortel, fatal. Leftra —, le C, signe de com 
damnation dans le scrutin des juges romains. 

Exicıo, s. m. "ruine, perte, destruclion, 
renversement, Beau. 

Exipo, s. m. terrain non cultive & la Sortie 
d’un village, ob tous les habitants ont le druit 
de porter et de battre leur bie, eic. 

Exıckncia,s. f. exigence: besoin, force de 
ce qui exige; aclion d’exiger. 

ExiG£nTe, adj. 2 gen. exigeant: qui exige; 
urgent. 

Exıct00,A, 9.9. de 

Exıcirn, v.a.exiger : demänder, faire payer 
os fournir avec le droit ow la force. Demander, 
desirer, avoir besoin ; ( Ag.) obliger ä de cer- 
taines choses, astreindre. — resgale, Tancon- 
ner. 

Exiciv&L, adj. 2 gen. exigible : qu'on peei 
exiger. 


e 
Exicvo, A, adj. ezigu, fort petit, modique, 
insufissat. 
Exirio, s.m. exit. V. Desterro. 
Exıstıcäö. V. Isengdö. 
FExıa0, A, pP. d’Extmir. 


ExıcuipinE, #. f. exigults, petitesse, modi- 
ite. 


t Existaufurz , ado. exoellemment, parfai- 
tement. 

Exiwıo, A, adj. excellent, eminent, dislin- 
got, sup6srivur, incomparable. 

Exısin (de), 0. a. exempter : rendre cempte 
de, affranchir ; dispenser. 

Exınin-au (de), v. r. s’exempter, se dispen- 


ser. 

Exımamıcäö, s. f. exinenition, inauition ; 
epuisement. 

ExımanıO, A, adj. qui manque de force, de 
sigueur. p- p. de 

Exmania , o. a. vider, dvaouer, &puiser, met- 
tweäsec. (fg.) Detruire, andantir. 

Exınanin-sE, vo. r. s’dpuiser par des priva- 
tions d’aliments ou par des evacualions exces- 
sives. (Ag.) S’humilier, s’abaisser, standanlir, 
se depoulller. 

Rrısrencıa, s. f. existence : l’ätre actuel ; dat 
dece qui existe; dur6e de la vie. — insiania- 
"8, instantandite. 

Exsstente, adj. 2 gem. existent, qui existe. 
».0.de Existir. 

Exıstıno, A,p. 9. de 

Exıstir,, v. m. exister : avoir l’ötre ; &ire a0- 
tnellement. 

Exıstöno, s. m. V. Abscesso. 
arme, s. m. V. Seide. Suoods, issue d’une 


re. 

Exo. V. iso. 

+Exoctre, s. m. (#. d’hist. nal.) exocet s 
peisson A tWte deailleuse; poisson volant. 

Exono, s. m. exode: deuxiöme livre du Pen- 
tateuque, contenant P’histoire de la sortie des 
Hebreux d’Rgypte, racontse par Molse. 

+ Exormcıar, adj. 2 gem. (4. de prat.) par lo 
seul devoir de sa charge. 

Exöusno, adj. m. ( . de gramm. grocgque ) 
second futur. 

TExöMETRO, 8. m. (. de mdd.) exemötre : 
renversement de Ja malrice. 

ExonoLocEsg ou —xsıs, 5. f. (8. d’ant. 00- 
ei) exomologöse , confession, p@nitence pu- 

ique. 

Exonznacid, s. f. döcherge,, delivrance,, al- 
franchissement. 

ExONERÄD0, A,p. p. de 

Exoxgrin (de), v.a. döcharger d’unfardeau, 
affarnchir d’une obligtiaon. 

ExorersaLnia, s. f. (1. dechir.) exophihal- 
mie : sortie de l’@il de son orbite. 

Exorir, v. @. prier instanmmment, fdehir, ob- 
tenir & force de prieres. 

ExöRAVEL, adj. 2 gen. qui se laisse vaincre, 
Niechir par les priöres. 

Exonsrräincıa, 8. f. °oxcds marguant, qui 
passe la juste mesure. 

Exorsıtänte, adj. 2 gen. exorbitant, exoes- 
sif; quioutre-passe de beaucoup la jusie me- 
sure. 

Exonursanrem£&ute, adv. exorbitamment : 
d’une manıdre exorbitante. 

tTExoautin, 0. 2.(P. us.) owire-passer de 
beaucoup la justo mesure; @ire exorbilant. 


EXP 


Exoxcas, V. Azoreas, 

Exoucısano, et0. V. Exoreizer, etc. 

Exoncisuo, s. m. exorcisme : paroles et c6- 
römonies pour chasser les demons. 

Exoncista,s. m. exorciste : celui qui exor- 
ciso ; qui en a lo droit; treisidöme ordre mi- 
neur. 

Exoncstino, 3. m. exoreiste ; troisidme or- 
dre mineur. 

Exoscızipo, A, P.p. de 

Exoncızir , v. a. exorciser : user de l’oxor- 
cisme pour chasser les d&mons. 

Exonvräpo, a,p. p. d’Exordiar. 

ExonpiiL, adj. 2 gen. de l’exorde, qui con- 
come l’exorde. 

Exoapıin, ©. a. ou m. faire un exorde; 
commencer. 

Exörpıo,, s. m. exorde : premiere partie d’un 
discours pour capter la bienveillance, altirer 
Pattention, exposer le sujet. (4g.) Commence- 
ment, origine; debut. 

Exonnaglö,s. f. *ornements d’un discours, 
figures, fleurs de rhötorique. 

Exonnipo,A,p.p.de 

Exonrir, v0. e. orner, ombellir un discours. 

+ Exonnativo, A, adj. quiorne, qui embel- 
lit un discours. 

Exortacid, ete. V. Bahortardd, etc. 

Exöstose 08 —sıs, 8. f. (4. de ckir.) exos- 
tose : tumeur 0890u88, contre nature, sur los; 
(. de bot.) excroissance sur les bois. 

Bxorsaico, A, adj. exotörique : valgaire, ex- 
törieur, public , commun. 

Ex6rico, A , adj. exotique: ötranger, quin’est 
m du pays, qui m’y orolt pas (plante, mot). 


g.) Bizarre. 

* Exouvin, u. @. enlendre avec atlention. 

Exranpino, A. V. Expanso. p. p. de 

+ Exranpir, ©. a. diendre, ouvrir, deplier, 
&taler. 

+ Exranbis-sE, u. r. s’elendre, s’ouvrir; 
s’&panouir, Beurir. 

Exransiö, 8. f. (f. de phys.) expansion : a0- 
tion, tat d’un corps qui se dilate. Action d’& 
tondre, extension. 

ExransısiLinipe, 3. f. (. de phys.) expansi- 
bilit# : facultö de se dilater. 

Exransiven, adj. 2 gen expensible : qui peut 
se dilater, s’&tendre. 

Exransivo, A, adj. expansil: qui a la force 
de #’&tendre ou d’ötendee. 

+ Exrpinso, a, adj. tiende. 

Exrarntacid, 8. f. expatrialion : action de 
s’expatrier; tat de celui qui est expalris; #loi- 
gnement de sa patrie par exäl. 

Exrataık00, A, P.p. de 

Exrataiir, 0.6. cıpatrier : obliger & quilier 
sa patrie. 

ExPATRIAN-SE, ©. f. stexpainer: quitter sa 
patrie pour s’etablir ailleurs, 

Exrectagiö, 8. f. expeetalion : atiente d’un 
grand evenement. Fete d’dglise en P’bonneur 
de la Vierge, qui se celöbre le 18 deoembre. 

Exrectunen. V. Bspestedor ai Obssrvnder. 


580 EP 


ExPEcTinte, adj. 2 gen. expectant:: quial- 
tend, pour agir, les op6rations, les crises, elc., 
de la nature imedecin, medeeine—e). 

ExrEctativa, 5. f. expectalive; esperance, 
atiente fondee; droit de survivance; bref pour 
promelire un benefice. 

+ ExPEcTaTönıo, adj. m. Aclo — , acte d’ex- 
pectative d’un etudiant pour le doctorat. 

ExPsctäveL, adj. 2 gen. considerable, re- 
marquable. 

Exp£cronacäö, 8. f. expectoration: action 
d’expectorer. ° Crachat. 

ExpEctTonÄnte ‚adj. 2 gen. ei s. expectorant: 
qui fait expectorer. p. a. de . 

Exrzcronär, ©. a. expectorer : cracher, 
chasser les humeurs, la salive, des parois des 
bronches, des vesicules pulmonaires, de la 
poitrine. 

Expeniciö, s. f. expedition,, diligence, acli- 
vıte; action d’expedier; (g.) entreprise mili- 
taire ou hostile. 

T Exrspicıonänıo, A, adj. expeditionnaire : 
charge de faire une expedition militaire (ar- 
mee, eic.). 

‚TEXPEDICIONEIRO, s. mw. banquier expedi- 
tionnaire, qui fait venir des expedilions de 
Rome. 

Expepina, 3. f. permission pour parlir. V. 
Despedida, 

a rebino, 4,P. p. d’Expedir. adj. V. Expe- 

ilo. 

u EnPEDIENCIA ‚8. f. expedition, diligence, ac- 

vi, 

ExPEDI&nte, s. m. expedient: moyen de ter- 
miner une affaire, un procds;cequ’il convient 
de faire. Travail d’un burgau ou d’un ministre; 
alfaires expedides. Ressort, autribution. * Dexte- 
rite, adresse & manier les affaires. 

t Exreolänte, adj. 2 gen. expeditif:: qui de- 
peche, expedie; habile. 

Exrspin, 0. @. expedier : dep6cher, häter 
Pexecution, la conclusion d’une affaire. Depe- 
cher : onvoyer avec des ordres, des depöches. 
Tirer d’embarras, delivrer d’un danger, etc. 
Congedier. Expulser. 

Exreoin-sg, 0. r. se dep6cher; so debar- 
Fasser. 

ExPEDitautntz, ade. d'une maniere expedi- 
tıve, prompiement. 

Exrepırissimo, a, adj. sup. de 

ExPEDiTO, A, adj. expeditif : qui expedie 
promptement; prompt, degage , d6barrasse. 

ExreLLino, A,9.p. de 

ExrgLLin (de), 0. a. chasser, expulser, re- 
pousser. ( fig.) Dissiper. 

ExPEnDER, v. a. expliquer en detail, exami- 
ner, considerer. Depenser : employer de l’ar- 
gent &ä quelque chose. 

Exrsndino, A, p. p. d’Expender. 

Exrtnsas, s. [. pl. depenses, frais. V. Gasto. 
Se — de, aux [rais de. 

Exrgnitnca, 5. f. experience: action d’ex- 
perımenter ; &preuve faile d’une clıose; essai; 


Homem de —, homme qui a do l'experience, 
experimenie, verse dans les affaires. Ter —, 
avoir de l’experience. Tomer —, acquerir de 
l’experience. Meiter, p6r em — , experimenter. 

+ Exrzniänte, adj. 2 gen. qui a de l’expt- 
rience,, experimente. 

ExPERIMENTÄDO, A, P. p. d’Experimenter. 
adj. Experimente : insteuit par l’experience; 
qui a de lfexperience ; connu, &prouve par 
l’experience. Qui a &i6 ossaye. Ndo —, ineıpt- 
riment6, 

EXPERINENTADOR, A, adj. et s. qui fait des 
experiences, des &preuves; qui experimente, 
qui &prouve, qui ressent. 

ExPEnIMENTiL, adj. 2 gen. experimental : 
fond6 sur ou acquis par l’experience. 

ExPERIMENTALNENTE,, adv. par l’experience, 
d’apres l’experience. 

ExPERIMENTÄR, ©. @. experimenter, eprou- 
ver; faire l’experience de; essayer. Eprourer, 
ressentir, sentir. 

ExrznımEntän-g, ©. r. S’eprouver, Seh 
sayer; eire essaye. 

EXPERINENTAVELMENTE. V. Koperimenial- 
menie. 

ExreErımexTo, 8. m. "experience (de pbysi- 
que, eic.); epreuve. 

Expentar, eic. V. Espertar, etc. 

ExPERTISSIMO, A, adj. sup. de _ 

Exr£nto, a, adj. expert, experimeni&, verse. 
Actif, vif. 

Expiacäd, 8. f. expialion, r6paralion d’un 
crime. —pöes , pl. cer&monies expialoires. 

Exrıän0, A,Pp. p. de 

Exrpiän, dv. a. expier : r&parer ( un erime eu- 
vers Dieu, une faute onvers les hommes ) par 
une peine, des prieres. (Ag.) Purißter. 

Exriäß -sk, v. r. s’expier ; se purißer. 

ExPiATörı0, A, adj. espiatoire : qui sert ä 
expier, qui expie. 

ExriLacid, s. f. (6. dedroil) expilation: spe 
liation d’une succession vacante. * Pillage, vol. 

ExriL.än, v. a. (i.de droit) faire une espila- 
tion. Piller, voler. 

Exrinacäö, s. f. expiration : action d’erpi- 
rer; action reguliöre de rendre l’sir aspire. 
(fig.) —, tcheance, fin. 

Exririn0, A, P.p. de 

Exrırär, v. a. expiret: rendre l’air aspire. 
e.#. —, moufir, rendre Päme, le demier sou- 
pir. (#g.) Finir, echoir. 

ExrLanacäö, s. f. explicalion, eclaircisse- 
ment, interprelation. 

Exr.anioda. V. Koplandda. 

ExrLanäD0o, A,Pp. p. d’Explaner 

EXPLANADOR ‚5. m. celui qui explique,eclair- 
cit. 


Exrranir, v. a. declarer, ezpliquer, inter- 


preter, eclaircir. u 
Exrırrtivo, a, adj. (1. de gramm.) erpletil : 
(mot) inutile & la clartö du sens,qui donne 
plus de force au discours. 
ExpLicacäö, 8. f. explicalion, selaircisst- 


oonmalssences acquises par Pusayze; l’usage. I ment. 


EXP 


Erwin, A, 9. p. d’Explicar. 

f ExpLicap6R, 5. m. celui qui explique. Repe- 
teur. 

Exruicär , v. a. expliquer: &claircir un sens 
obscur; faire comprendre ow connaltre (le mo- 
üf, le plan, les vues, lo syst&me, la cause, 
ec.); interpreter; donner & entendre; rendre 
intelligible ; declarer. 

Expuicän-SE, v. r. s’expliquer : dire, s’&- 
nencer; expliquer sa pensee. — com alguem, 
Ferpliquer avec quelqu’un, avoir un eclaircis- 
sement avec lui. — larga ou exiensamenie, 
sespliquer au long. 

„aruicarivo ‚„A,adj. explicatil: qui explique 
sens. 

ExpLicävgL, adj. 2 gen, explicable : qui peut 
eire explique. 

ExpLicıTtaAMEnTE , ado. explicitement : en 
termes clairs, formels et precis. 

ExrLicıto, A, adj. explicite; clair; formel; 
distinet; developpe,, precis. 

ExrLoracäö, s. f. exploralion : action d’ex- 
Plorer. " 

ExpLonäno, A,p. p. d’Explorar. 

ExpLoranOn, 8.m. explorateur : celui qui va 
4 la decouverle d’un pays; espion, Coureur, 
balteur d’estrade. Qui explore. 

ExPLoRÄR, vd. a. explorer : examiner, cher- 
cher avec beaucoup d’altention. 

ExpLorATöRrıo, 8. m. ($.de chirur.) catheter :: 
sonde pour ld vessie. 

ExpLosiö, s. f. explosion: eclat, bruit, 
mourement subit de ce qui s’enllamme, et de- 
place ce qui l’entoure. 

"ExPoEıRÄDO. V. Encapoeirddo. 

ExPo&ate, adj. 2 gen. exposant : qui eXxpOse 
un fait ow ses pretentions, ses droilsen jus- 
lice, 

+ Exroricäd, 8. f. (l. de rhötor. inus.) expo- 
lition : differentes expressions d’une m&me idee 
pour mieux la faire connaltre. 

TExronencıäL, adj. 2 gen. (4. de math.) 
exponentiel: (quantit& —le) qui a un expo- 
sant; dlev6 par un exposanl. 

Exronänte, s. m. (f. de maih.) exposant: 
nombre qui expose le rapport de deux autres, 
os mieuz le degrö d’ane puissance. 

Eırön, v. 0. exposer : mettre en vue; dehi- 
ter; expliquer, interpröter ; mettre en peril, au 
basard ou dans le cas de... 

Exrön-sg (a), v. r. s’exposer, se hasarder; 
&ire expose. — n’um combale, payer de sa per- 
sonne. 

Exrortucid, 8. f. exportation : action d’ex- 
porter; transport de marchandises, d’inven- 
tions hors du pays. 

Exrontino, A, Pp. p. d’Exportär. 

EXPORTADOR,, 5. m. exportateur:: qui exporte. 

Exronrin, ©. a. exporier: transporter des 
marchandises au dehors d’un pays. 

KArORTÄTBL, adj. 2 gen. qui peut @lre ex- 
ports, 


Exrosiciö, s. f. exposition: aclion d’expo- 
Set, sos oflets; monire qu’on fait d’une chose; 


EXP 581 


esplicatıon d’an fait, interpretation, declara- 
tion, explication; situation par rapport au soleil, 

ExPosıTör, s. m. commentaleur, inlerpräte. 
Par excellence, on le dit de ceux qui expli« 
quent ou interprötent les saintes &crilures. 

Expösto, A,p.p. d’Expor. adj. et s. Enlant 
trouve. 

ExPressipo, A, p. p. d’Expressar. 

EXPRESSAMENTE, ado. expressöment : en ter- 
mes formels; d’une maniere expresse. 

Exraessiö, s. f. expression : aclion de dire, 
de s’enoncer clairement; termes et fours pour 
s’exprimer ; maniere d’exprimer ; suac exprim& 
d’un fruit, et Paction de l’exprimer en serrant, 
(1. de peint. et de sculp.) —, reprösentation 
vive et naturelle des passions. Dans l’art ora- 
toire ei dramatique, c’est Pexpression, l’öner- 
gie et la vivacitö avec lesquelles on exprime ses 
sentiments. On le dit aussi en musique, et lors- 
qu’il s’agit d’arts d’imitation. 

ExPressÄr, v. a. exprimer: dire clairement; 
rendre les pensees; (#. d’arts) donner l’expres- 
sion, de Pexpression; faire sentir, repr&senter 
au naturel, avec Ame et verile. — 03 sonlimen- 
fos, toucher, &mouvoir, representer vivement 
les passions. — dem um pensamenio, rendre 
bien une pensee. 

Exrazssiva, s. f. 6locution,, maniere de dire 
expressive. 

Exrpressivo, A, adj. expressil, dnergique: 
qui exprime bien ce qu’on veut dire. 

ExPr£sso, A, adj. expres, precis, formel. 
s. m. —, messager envoy6 & dessein. 

ExPaımın, v. a. exprimer: tirer le suc en 
pressant; enoncer. V. Expressar. 

Exrrosan, etc. V. Exprobdrar, etc. 

Expropracäiö, s. f. exprobration : aclion de 
reprocher. 

ExrroBrÄnO, A, p. p. d’Exprobrar. 

EXPRORRADÖR, A, adj. ets. qui fait des re- 
proches en face. 

ExPROBRÄNTE, adj. 2 gen. V. Exprobrador, 

. 0. de 
p ExpronrÄr, v. a. reprocher en face; censu- 
rer, deösapprouver. 

EXPROBRATÖRIO,, A, adj. qui conlient expro- 
bration. 

Ex-rnor&sso , adv. lat. ex-professo : expres, 
avec toute l’attention, l’örudition possible. 

* Expnoväno, A, adj. prouv6, experimente, 

+ Ex-PRovincıaLn, 5. m. (8. claust.) ex-pro- 
vincial : qui a 6t6 provincial. 

Expucnackö, s. f. action d’emporter une 
ville d’assaut. 

Exrucna00,A,P.p- CE . 

ExPUGnADOR, 3. m. celui qui emporte d’as- 
saut, qui force une place. 

Exrocnir , v. a. emporier, prendre une ville 
d’sssaut. . 

ExrucniveL, adj. 2 gen. qui peut @ire em- 
ports, pris d’assaut. 

ExruLsino, A, pP. p. d’Expuiser. 

Exruisiö, s. f. expulsion : action d’expulser, 
de chasser. 


588 FAB 


Exrazumise, s. f. extremits, bout, (Ag., 
Extrömits. — da onde encaize 0 p6 de 
eadasie,, (1. de mar.) talon de la quille. — da 
quilka onde enceiza 0 pd de roda de pros, rin- 
geot, brion. 

Exratuo,&A, adj. derier. Extreme : quı est 
au dernier point, au souverain degrö; grand, 
excessif. V. Exiremado et Exiremoso. 

Extatuo, s. m. "extir&mits : boul, An; ex- 
tröme. Exoös: grandeur exiröme. (Ag.) Pöril, 
danger, transe ; extremit6, dernier moment. 
Com, em ou por —, exträmement, & l’exoös. 
Ir, pesser d’um — a oulro, ( ig.) passer d’une 
extr6mits A l’aulse. Chegar ao — , re au 00M- 
ble, au dernier point, Fazer —s por 
cousa, s’efforcer, faire les plus grands eflorts 
pour r&ussir en quelque chose, pour l’obtenir, 
la possöder ; faire des folies. A virtude medeia 
entire os dous —s, la vertu tient le milieu entre 
les deux extrömes, qui sont le delaut ei l’exces. 
Chegow a tal — sua insolencia, il vint A un tel 
point d’insolence. 

EXTaENÖSAMEATE, adv. avec vehömence, 
passionnöment,, excossivement. 

ExTREu0s0, A , adj. excessil: qui pousse les 
choses & l’excös ; qui exige en lout la plus 
grande perfeclion; trds-zele ; tres-affectueux, 
passiound. 

ExTainsecaANeNnTE , adv. exierieurement. 

Exrainszco, A, ady. extrinseque : qui vient 
de debors;; qui n'est pas inherent; externe. 

! Exrausid, s. f. p. us. l’opposs d’intru- 
sion. 

Exunzaincıa, 8. f. exuberance: abondance 
inutile ; surabondance. 

Exusenänsg, adj. 2 gen. exuberant, redon- 
dent ; copieux , surabondant, 


FARB 


EZUBERANTENENTE, adv. avao exuhlrance. 

Exusenantissıno, A, adj. sup. d’Exube 
rente. 

Extstnin, vo. w. abonder, surskonder. 

* Exupaipo eu Enzupeano. V. Exasperade, 
° Exöpaı0, s. m. V. Exido. 


+ ExoLik, v. ». abandonner sa patrie, dmi- 


Exurceraciö, s. f. exuleeralion : commen- 
cement d’ulcere. 

EXULCERADO, A, pP. p. d’Exulcerar. 

ExULCERANTE. V. Exwicersiivo. 

ExuLcznin, ©. @. (1. de med.) exulckre: 
causor des ulceres; ulcerer. 

ExULCERÄR-SE , v. r. commencer & @tre ulc*- 
r6, davoır des ulceres. 

ExULCERATIVO, A, adj. exulceratil : qui lorme 
des ulcöres. 

Exurracäö, s. f. exultauon : grande joie, 
tressaillement de joie. 

ExuLtäoo, a, p.p. d’Exultar. 

ExuLräntg, adj. qui exulle, qui Lressaillä 
de joie. p. a. de 

ExuLrär, v.n. exulter : tressaillir de joie. 

*Er.V. Ai. 

Era. V. Eis. 

* Ercniö. V. Uchdo. 
"+Erna, s. m. /6. d’hist. nal.) eyra: cha 
mammifere du Paraguay. 

*Ervıcom,s.m. V. Macho, Jumenio. Beis de 
somme. 

* Erxtco. V. Enzeco. 

° Erxzcuron. V. Execulör. 

* Erınentios. V. Privilegios, Isengöes. 

Ezuo. V. Esmo. 

Exzraaı, 5. m. (6. de minder.) exieri: jaspe 
vert, & points sanguins ‚de l’Amerique da sud. 


F. 


F, s.m. sixi&me lettre de Y’alpbabet portu- 
gais, et la quatridme des oonsonnes. Elle re- 
pond au phi des Grecs ei au ph des Latins. 
Sizi&me lettre dominicale. Chez les Lalins de- 
signait le nombre 40, et aveo un trait des- 
sous, 40,000. Com todos os f err, (fam.) aveo 
Io points sur les 6, exactement, sans rien ou- 

er. 

Fi, m. (f. de mus.) fa: quatriöme nole de 
la gamme diatonique. 

Fananiz. (8. de bot.) V. Paparez. 

Fantııa, s. f. dim. de Fabula. Petite fable; 
fablisu. 

t Fasıänos, s. m. pl. Fabiens : college de 
pretres romains. 

Fasonn)ö, s. m. (4. de mus.) faux-boardon : 
musique & plusieurs parties, simple et sans 
mesure. 


Fäsaica, s. f. fabrique, fabrication ; ao- 


tion de fahrıquer; facon de cerlains ourTa- 
ges ; lien oü l’on fabrique, manulaclare: 
construction ; aspect d’un grand &difice. "Edi- 
ice somptueux. Idte, imagination chimerique. 
Structure ‚organisation. * Travail d’un ouYrage. 
* Mouvement d’ane pendule, etc. (fg.) Ensemble 
du personnel et materiel d’une armee. —d’igre 
ja, fabrique, revena affectö ä l’entretien d’une 
tglise. Relogio de — coberla, montre ä calolie. 
—s, pl. (p. us.) projets, ruses, machinations. 

Fannıcacäö, 8. f. fabrication : action de fa- 
briquer (en general). 

Fasaıcino, A, 9. p. de Fabricar. 

Funaicanon , s. m. ddificateur, comstrucienf: 
Fabricateur de mensonges, de calomnies. 

FABRIChNTE, 8.2 gen. fabricant, manaufaciı- 
rier. — de caichas, boitier. 

Fasascha, v.a, fabriquer : (aıre un ourTag® 
manuel; manufacturer; conlectionner. Ü2M 





FAG 


streire, ddißer, ballr. Cultiver. (Ag.) Causer, 
effeetuer. (id.) —, forger, inventer. — panno, 
fsire du drap. 

Fasrico, 8. m. * fabrication, ouvrage; fagon, 
laboer. 

FasaiL, adj. 2 gen. d’ouvrier, d’arlisan ; ma- 
nalacturier. (flg.) Artificieux, fait avec de l’art. 

Fınaıgußiao, s. ws. fabricien : marguillier 
detglise. 

"Fasno, 8. m. ouvrier, artisan. 


FAG 585 


Face a—.V. Cara a Cara. A’—da lelira ‚d'une 
maniere intelligible. Faces das folhas, (1. de 
bot.) disyues, superlicies des feuilles. Desapa- 
recer da— da ierra, disparaltre de dessus la 
terre. 

Fac£cıa, s. f. lacetie, plaisanterie, bouffon- 
nerie; enjouement, 

Fac£cıö50, A, adj. facklieux ‚plaisant, bouf- 
fon. 

Fackına, 8. f. (Pop.) abajoue. (fg.)s.m. V, 


Pistıa, se. f. fable, conte : bruit qui oourt | Palarata 


contre quelqu’an; fiction morale, apologue; 
faussets, conte fait & plaisir; mythologie; 
troyances religieuses de l’antiquits; (g.) sujet 
de la riste, du mepris, dela critique, de la sa- 
iire, Ser, estar feito — de lodos, @ıre la fable, 
la ris6e de tout le monde. 

‚FanuLacäö, s. f. fable, eonte, roman; fic- 
tion. Art d’6crire des fables, des romans. 

FanrLiDo, A, p. p. de Fabular. , 

FascLan6OR, 3. m. faiseur de contes ; fablier. 

FasuLir, v. a. faire des contes, parler sans 
Iondement ; eomposer des fables. 

Fasvrista, s. m. fabuliste : qui &crit, agcrit, 
des fables morales. 

FasuLızir, o. a. fabuliser : ajouter des com- 
mentaires, des fables & une histoire. 

FanuLösame£nTeE , adv. fabuleusement : d’une 
nanitre fabuleuse. 

FascLös0, a, adj. fabuleux ‚feint ;controuve ; 
invente. Epochas,, tempos -—s , temps fabuleux, 
dent!’histoire est mmelce de fables: 

Fica, s. f: * couteau. * Bidet, petit cheral. — 
ds sapalsiro, tranchant de cordonnier. — do 
maio, oouteau de chasse. — de fouce. V. Ago- 
wis. De —ı arra ‚&couleau ure. 

Facipa , 8. f. coup de couteau. Cozer ds —s, 
efibler de coups de couleau. V. Esfaquear. 
Ander ds —s , jouer des couteaux. 

Fıcaıniö, s. we. aug. de Faca. Grand cou- 
lean. 

Facävo, A, adj. qui a un chanfrein blanc 
(ebeval). 

"TFacanfa,s. f. haquenee : cheval de taılle 
mediocre, 

Fıcimua, s. f. * fait herolque, exploit, 
prouesse, haut fait. Mauvaise action. Chose 
merveilleuse. 

Fıcinutino,, A, adj. et s. fanlaron ; vanlard; 
Mminaudier. 

FACANBÖSAMENTE ‚ adv. courageusement , he- 
rolquement, 

Facannöso, A, adj. mömorable, fameux, 
heroigue ; &norme; inoul. 

Fıciö. V. Facalkdö. 

Facgid, s. f. *exploit militaire; parti, ca- 
bele, brigue ; ligue, complot. 

Faccıonärıo, A, adj. partisan, attache au 
perti de quelqu’un. 

Faccıöso, A, adj. factieux, oabaleur, sedi- 
eux. 

Ficg,s. f. face, visage; joue. V. Rosto. De- 
vant, fagade. Na — de, en presence, ä la vue 
de. 4 —do mundo, a la face du monde enlier. 


f Fackıro, A, adj. par6 avec afleciation; 
elegant ridicule. 

* Faceınd, s. m. ei 

* Faceınöa,s. f. 

"Facer. V. Fazer. 

FacETa, 8. f. dim. de Face. Facetie : pelite 
face ow superlicie d’un corps taill&6 A plusieurs 
angles. 

FAcETäADO,&A,p. p. de Facelar. 

FACBTAMENTE, adv. [acklieusement : d’une 
maniere fac6lieuse. 

FacRTäR, v. a. (acelter : tailler & faceltes. 

FACgTEAR , vd. ». plaisanter, bouffonner, dire 
des faceties. 

FACETISSIMO,A, adj. sup. de 

Fac£T0, A, adj. enjoue, plaisant, quia le 
mot pour rire ; facelieux, bouflon, badin. 

Fac&sinHA, 8. [. dim. de Face. V.Carinha 

FicHa, s. f. "Nambeau,, torche, falot. V. 
Facho. Hache, cognee. (f. burl.) Face, ügure, 
aspect. — d’armas, hached’armes. Page da —, 
laquais qui eclaire avec un flambeau. —s in- 
fernaes, (fg.) la jalousie, la convoilise et la 
luxure. 

FacHida, 8. f. face de bAliment, (fg.) Visage 
large et jouflu. (fam.) Prestance. Coup de hache 
d’armes (p. us.) Fazer—, [aire face A un au- 
tre, parlant d’un edifice; (4g.) mettre de l’os- 
tentstion dans ses proc&des, [aire parade. Ho- 
mem de grande —,homme plein de faste, d’os- 
tentation, fastueux. 

t Facatıno, s. m. celui qui porie un Nlam- 
beau, une torche; qui fait des signes avec une 
torche, etc. 

Facaina, 3. f. fascine : fagot de branchages 
en usage & la guerre. (fjg.) " Ravage. 

FacHinär, v.a. combier avec des fascines; 
preparer, arranger les fsscines. 

FAcBINEıpo, 3. m. celui qui fait des fascines. 

Ficno,s. m. * torche, flambeau ; fanal, feux 
pour eclairer le port, les cötes. 

FicıL, adj. 2 gen. lacile, aise; trailable; qui 
ne sait pas rösister, parlant d’une femme. Cou- 
lant, parlant du style. Libre, en parlant du 
ventre. 

Facıupäne, 5. f. lacilild, aisance : manidre 
ow moyen ais6 de faire; promplitude dans 
l’execution ; indulgence excessive; mollesse de 
caraciere , inconsideration , condescendance 
excessive. —s, pl. trop grande familiarile. 

FACiLIMANENTE, adv. sup. de Faciimenie. 
Tres-facilement. 


FaciuiMO , a ,0dj. sup,de Fan, 


} V. Travesseiro. 


586 FAD 


Fıcmussıuo. V. Faeilimo, 

Fıcıuıripo,A,Pp.p. de Faeilitar. 

FacıLıradon, A, adj. ot 8. qui facilite, qui 
donne des facilites. 

Facıuirin, 9. a. [aciliter : rendre facilez 
donner des faoililds pour. 

Fıcızırin-se, o. r. devenir facile; ötre d’uy 
abord facile. — com algusm,, se familiariser. 

FacıLmänte,, adv. facilement : aisement, & 
l’aise, sans peine, commodement. 

ı uLACIROnONO, a, adj. möchant, eriminel ‚s06- 
at. 

* Fıcöm. V. Exseupdo. 

Facöuua, 8. f- (8. burt.) Joue jouflue. 

Fıcricıo, a,adj. faclice, artifieiel. 

FacriveL, adj. 2 gen. faisable : qui peut 56 
faire; possible, qui peut arriver. 

Ficro, s. m. fait, action, sole; aventure, 
&venement. De —, loc. adv. en ellet. Aler-se a08 
—s ou appellar para os —s, s’en lenir aux fails. 

+ Factön,s.m. (inus.) falseur: celul qui falt, 
agent. (4. de math.) Facteur, diviseur. 

Fıcronia, s. f. V. Feitoria. 

Factöna, 8. f. (8. de comm.) facture: md- 
moire d’un marohand contenant le detail des 
marchandises vendues, avec leur prix; fagon 
de faire, dont une chose est faite. V. Feilura. 
Facipo, a, adf. (6. duri.) joufla: & grosses 

oues. 

Ficora, 8: f. (6. d’sstr.) facule: tache lumi- 
neuse sur le solell. 

FıcuLpins, s. f. faoult6, puissance; vorta 
nalurelle, active; lioence, permission; moyen 
d’agir; propri6ts naturelle; droit, moyen de 
faire, d’agir, dese procurer, etc. Scienoe, art. 
- , Corps de savanis d’une universit£; assem- 
bite des docteurs, des professeurs. —s, pl. 
Biens, richesses, moyens, oommodil#s; res- 
sources. Esprit : facultss de l’Ame raisonna- 
bie; talents , moyens et connalssances de quei- 
qu’un. 

FacuLrarivo, a, adj. technique : qui appar- 
tient & un art, & une science, & une faculie. 
Facnltatif: qui donne la facalts; selon les fa- 
cultös ; qui d&pend de la faculie, ou permission 
acoordee. Acko —, action facultative : qu’on ost 
Jibre de faire ou de ne pas faire. 

FacuLrarivo, 8. m. docteur, mödeeln. 

FacuLTöso, a,adj.p.us. riche, opulent,, alse. 

Facönnia , s. f. 6loquence,, faoonde : &l6gance 
de style, gräce dans le disoours, abondanoe, 
bien-dire. 

Fıcunpissimo, A, adj. sup. de 

Facönno, a, adj. Sloquent : bien-disant, di- 
sert, qui parle bien ot avec facllits. 

Fina,s. f. fe: divinits imaginaire dans les 
oontes, qui prövoyait et preödisalt l’avenir et 
pourait produire des effets surnatureis, V. Mae- 
ge. -—t, pl. ( Ag.) * destin, destinde. 

Fapi00o,A,p.p. de Fadar. adj Fatal, mar- 
Qu& par la destinde; sonmis & l’infiuenes des 
föes. Bem —, heureux, prodestind. Mei —, 
vou6 au malheur. 

Fapiıno. V, Faderie, 


FAL 


Fair, v. 6. üxor ie destinde ou le sort de 
quelqu’un. Derviner, predire l’avenir. Döeröter: 
vouldir, en parlanı du destin ; protöger, en par- 
lant d’un gene ou d’une [de. 

Fapärıo, 8. m. sort, deslinse; peine, faligus; 
vie laborieuse; eooupalion peuible. Aquslla 
namoradeira aeabon 56 0 s0u — , oetla caquells 
s’est Axde dAjd. On le prend ordinairement en 
mauvaise part, et il signifle mauvaiso conduile. 

Fapzsia, v.w. 56 soumelire A sa destinde. 

Fanica , s. f. faliguo; peine qu’on se demne, 

Fasıcha, ots. V. Afadiger, Faliger. 

Fanıoöee , A, adj. fatigant : qui donne de la 
fatigue, de l’ennui. 

Fipo, % m. desin, destinde, sort, dolle, 
asire. 

+ Ficana, s. f. (t. de bot.) * fagarior & feuilles 
de jasmin; *poivrier du Japon , arbrisseau tört- 
binthact. — ds Guiane, poivre des nögres. 

" Fico pour Faco (Je fais). . 

+ Faoörrao, s. m. (4. de bof.) sarrasin, bW 
noir. . 

Facörz, s. m. basson : instrument & vom 
et ä anche, basse da hautbois ; celul qui &ı 
joue. ' 

Ficutıno, A, adj. caressant, tendie. 

Factına. V. Feisee. 

Fat. V. Feim. 

Fir, s. f. (4. de bot.) *hötre, fan, [ouless, 
foyard,, fouinler : arbre qui porte la lalne, lan 
des plus besux ot des plus grands des foreis 
d’Europe. — do norie , fouteau. — negra , tfeii- 
bie. (Ag.) Bois de betre ; chose faite de ce beit, 
comme vV8B68, Bil. 

FariL, 0. m. bols de hötres, de fouteaux, ol6- 

Farinca , s. f. chose gronsiöre, mal arrangtt. 

Film, s. m. fer en pointe. V. Espadim. 

Fima,s. f. (l.de mer.) manaurvre ä bord 
d’un vaisseau; ori des znalelots en travailisal. 
*Ouvrage, travail, besogne. Courtoisie mafi- 
time. 

* Fiıs pour Fazas (tu fais). 

Fasiö,s. m. (tk. d’hist. nat.) Taisan : oiset 
gallinaos. — dasiardo , coquart, falsan bilerl. 

Falsca, s. f. &lincelle, bluetie , Rammöobe. 

Falscar,, 0. n. joter des etincelies, pöüller, 
&rinceler. eo. a. Darder. Chercher des paillelies 

’Or. 

Fatscasınua, 8. f. dim. de Faises. 

+ Falsautına , s. f. lieu od l’on oberebe el 
oh l’on trouve quelquefois des pailleties d’or. 

Faisqutıno , s. m. ceiui qui cherche des pail- 
lettes d’or. 

Falsqumsa. V. Faisonsinhe. 

Faıxa. V. Faae. 

Faızinma, (8. d’hist. nat.) V. Fasciole. 

*Fisid. V. Faisds. 

Fars, etc. V. Falle, eis. 

Fırica, s. f. lalaca ou —oque, nstrumen! 
de supplice chez los Maures ; basionnade sous 
la plante des pieds ; planche sur laquelle on at 
tache le patient. 

FaLicua, ® fl (k. de prov.) ° gälesu de ch3- 
taignes. 











FAL 
FaLamänto, 9. m. langage; disosars par 


& 

Fauanae. V. Phalange. 

+ Farizas, s. m. pl. juifs qui qui babitent 
l’Eihiopie. Cafres limitrophes du Nil. 

FaısaLis,s. m. pl. plis des cötes d’un Jus- 
taucorps. Falbals. V. Folko. 

Fäıca, s. f. tour enbois (detourneur). (#.de 
mar.) Fargue , farde. —s, pi. (4. d’artül.) Das- 
ques d’affüt. 

+ Farcacäia, v. a. (}. de mar.) um cabo, 
faire une liure au bout d’une corde. 

Fauıcino. V. Faleato. 

Farcäö, s. m. [aucon : grand oissau de proie; 
sorte d’ancienne piece d’artillerie. — barbüdo, 
V. Gipatto barbudo. — tagarole, hobereau. 
— pedris, faucon tachelt. — campesire, fau- 
con champetre, le plus noble et le plus coura- 
geux de tous. — de Tunes, faucon tunisien, 

Farcäir. V. Falquear. 

+ Farcirua, a. f. (1. d’hist. nat.) [alcaria, 
voraline. 

FaLciTo, A, adj. faiten formede faux. Car- 
vo —,char armö de faux. (1. de bot.) Falque : 
courb6 au bord comme une faux. Lua —a. 
le dit de la lune dane son croissant. 

FaLcatada,s. f. ruse, lour d’adresse; es- 
eroquerie. 

FALcATRUÄR, ©. a. (Pop.) tromper, allraper 
avec finesse,, Fuser; escroquer. 

PaLcoipa, s. f. coup de faucon, ou faucon- 
neau. " 

FaLcoinoo, A, adj. poursuivi par le faucon. 

FaLcoARia, 8. f. [auconnerie : art de dresser 
les oisesux de proie; lieu od on les dresse, oü 
Yon garde les faucons; chasse au faucon, A 
l'oiseau de proie. 

Farcoßiro, 5. m. fauconnier : celal qui 
dresse et soigne des oiseaux de proie; qui 
chasse au faucon, & Poiseau de proie. — mör, 
fauconnier en chef. 

FALCON£TE, 5. m. fauconneau, piöce d’arlil- 
erie. 

ft FarcuLita, s. f. (6. d’hist. nat.) falculata : 
ınammilere carnassier, digitigrade, planti- 
grade. 

Faupa, etc., 3. [.V. Fralda et Tonsiste, ete. 

FALDISTÜRIO, 3. m. sorte de tabouret & l’u- 
sage des ev&ques lorsqu’ils officient. 

* FiLpaa, eic. V. Frdida, eis. 

FaLEcER, etc. V. Fallecer, ete. 

+ FaL£ano, s. m. (podi.) vin de Palerne, vin 
gendreux. 

FıLcoßr, v. a. (pop.) faire travailler. 

FiLma,s. f. felure; breche faite & un cou- 
teau, eic.; paille dans les mötaux. (Ag.) Defaut, 
inanque, faute. —s, pl. dime des menus [ruits, 
V. Miuncas. Sem —, sans faute. 

FaLnivo, A, adj. pailleux. 9. p. de 

Fırnäin, ©. ». se föler. Manquer (au jeu du 
trictrac); faillir; ne pas röussir. (Ag.) Faire un 
faox pas. 

Farino. V. Fallido. 

” Fauira. V. Pellion, 


FAL 


Fauna, 8. f. ancienne arme offensive. 

Farin, eto. V. Fallir, eio. 

fFäıkıa, s. f. (6. de bot.) lalkie : planıo du 
cap de Bonne-Esperance. 

FALLA, 8. f. voix, parole; langue, langage; 
&locution ; discours, harangue, raisonnement. 
( ant.) Paroles d’une chanson, d’un air.—s, pl. 
V. Falhas. Estärd — , &tre & portöe de la voix; 
ötre en pourparler. Estar sem — ou perder 0—, 
perdre la parole, &tre sur le point d’expirer, 
Fazer uma — ao Ppovo, eto., baranguer le peu- 
ple, ete. Fazer iornar a — ao bucho ou ao 
corpo a alguem, ( am.) faire rentrer les pa- 
roles dans la gorge & quelqu’un, 

" FaLLäce, adj. 2 gen. V. Falldz. 

FırLicıa, 8. f. tromperie , fourberie, super- 
cherie; illusion, vanite. 

tFarzipa ,s. f. chose qui donne & parler, 
Qui fait eclat. 

} FaLLapira, 8. f. bavarde, babillarde. 

FıLLino,A,p.p. de Fallar. adj. ( anti.) Qui 
parle. Bem ou mal —, circonspect, honnete 
dans ses propos, ou le contraire. Caso mi —, 
chose dont on parle beaucoup, qui fait du 
bruit. 

FaLLapör, A, s. babillard, grand parleur, 
hAbleur, raisonneur. 

* FALLANENTO, s. m. V. Falla. 

FALLÄNTE, adj. 2 gen. parlant, qui parle. 
Bem —, qui sait bien parler ; qui parle diserd- 
tement, sagement, avec esprit et jugement; 
eirconspect,, honnete dans ses propos. 

T FaLrir,, s. m. parler:: langage,, maniere de 
parler;; accent, jargon. Um — e dous entend#- 
res, ( fam.) expression qui a un double sens. 
Sö Ihe falla o —, il ne Iui manque que la pa- 
role, en parlant d’un portrait. 

FıLrin, ©. a. parler : profsrer, articuler des 
mots. Dire; raconter. — a verdade,, Gire la v6- 
rite. — uma lingua, perler une langue. A— & 
verdade,, & dire vrai. — obras, parler par ses 
anvres. 

FaLLÄr, v. ®. parier : prononcer, profdrer 
des paroles , articuler des mots. (de, em , sobre) 
— , discourir, s’entretenir de ; metire la conver- 
sation sur; s’&noncer en une langue. (a) —, 
haranguer; adresser la parole &... (com.) —, 
converser avec. (por ou a favor de), prier 
pour quelqu’un; plaider pour... Parler au 
caur, inspirer, avertir. Parler. On le dit des 
oiseaux qui imitent la voix humeine — &@ 
torto e a direito, parler & tort et ä travers. 
— Deos a alguem, @tre inspire6 de Dieu. — a 
alma, parler & caur ouvert. — d mdö, 
(fam.) couper la parole, interrompre. — #0 
ar ou adriamenis, de eör, parler en l’air, 
sarıs fondement, lögerement. — a ponlo, par- 
ler & propos. — ao gosto on ao paladar, dire 
des choses agr&ables et flatleuses. — aos cdes, 
parler ä des chiens de chasse, les animer. — 
alto,, parler haut. (Ag.) Dire des choses dures. 
— bem , parler poliment ou purement. — claro, 
dire ouvertement ce qu’on pense. — com Deos, 
prier Dieu. — como diabo, deviner ou sarvoir 


587 


588 FAL 

tout, comme si Fon avalit commerce avec le 
diable. — com os olhos, parler des yeux, faire 
signe de !’ail.— com os seus boldes, parler & 
son bonnet. — de telhas a baixo, parler de 
cheses qui sont en notre pouvolr ou & nolre 
portsde. — de odras , parler sörieusement. — em 
publico, parler en public, haranguer, etc. — 
om grego, em algaravia, ete., parler grec ou 
arabe, d’une manidre inintelligible. — entre 
dentes. V. Denies. — enire si ou comsigo, par- 
lor tout seul. — manso , baixo ou devagar, par- 
ler bas. — mais baizo, abaisser la voix. — de 
mansinho , parler tout bas. — por alguem ou 
por mdilos, parler pour une os plusieurs per- 
sonnes, en leur nom. — por deirds ou nas cos- 
tas d’alguem, parler mal de quelqu’un en son 
absence. — fallar, raisonner pantoufle, 
parler pour parler, sans fondement, sans r6- 
flexion. —pela mdo, parler par signes, avec 
les doigts. — pelos cotov£los, parler, jaser trop. 
— pelo nariz, parler du nez, nasiller. — por 
sinaes ou ac&nos , parler par signes. — por es- 
erito, ecrire. — affectado, parler avec aflecta- 
tion. — em geringonga, parler narquois. — 
com arrogancia , parler des grosses dents, par- 
ler fortement , avec menace. —com magisierio, 
parler en maltre. Dar que — ,, fournir matidre ä 
jaser, faire parler le monde. Por de mais d— 
c’est parler en vain, ce sont des paroles per- 
dues. Estar fallando, ötre parlant, se dit d’un 
portrait, d’une statue, elo. Fazer — um insiru- 
mento, (fig.) faire parler un instrument, en 
jouer parfaitement, Y&ja ldcomo falla! ou com 
quem falls! prenez garde comment ou & qui 
vous parlez! Pelo seu modo de —, a la maniere 
dont il parle. Tenko que — com V. M., jaial- 
faire & vous. Eu ja-ihe fallo, je suis & vous. 
Ter o dom de — bem, avoir le don de la pa- 
role. — em nome da cidade, eic., porter la 
parole au nom de la ville, eto. A elle toca 
—,ila la parole. Fallou depois de mim, il prit 
la parole apr&s mol. Meikor houvera feilo em 
nöo—, il se füt bien passe de parler. Anies que 
se [allasse de, ou em..., avant qu’il füt question 
de... Ow elle falle, ou deixe de —, soit qu’il 
parle, soit qu'il ne parle pas. Ndö me faras —, 
ne me (aites pas parler. Espäce de menace. Ndo 
me falle nisso , ou em fal, ne m’en parlez pas. 
No fallemos , ou ndo se falle mais n’isso, no 
perlons plus de cela, qu’il n’en soit plus ques- 
tion. Mais vale bem calar que mal —, (prov.) 
il vaut mieux se taire que mal parler. 

FaALLÄR-SE, ©. r. se parler; s’entretenir ; 
etre, pouvoir &@ire parle. — alguma cousa, 56 
publier, se divulguer. Falla-se em, de... il est 
question de...; on parie de... Nao se fallarem, 
no pas se parler, ätre brouilles. 

+ FaLLatörıo, s. m. (fam.) bavardage, ca- 
quet, häblerie. —s, pl. Commerages, proposde 
commere, 

FıLLaiz, adj. 2 gen. fourbe , trompeur, dece- 
vant; (allacioux. 

FaLLgcka, o. ». defaillir, manguer; fnir. 
Mourir, döeöder. (de) Manguer de quelyue 


FAL 


chose, avoir besoin de... —ds voerdade, m 
pas dire la veritö. — em couss da ma obri- 
gardö , faire une faule, manquer & son devoir. 

FALLECIDO,, A, 9. p. de Fallecer. adj. Deeedi, 
mort, trepasse. Incomplet, qui mangue de 
quelque chose, d&nu& , depourvu. 

FALLECIHENTO, 5. m. mangue, besoin, priva 
tion. V. Falta. Mort, trepas, döcds. 

FaLL£ncıa, 3. f. laute: erreur inrolonlair; 
defaut, manque. Faillite de commergant. Sem 
— ‚sans faute, immanquablement. —ı de in, 
exceptions , restrictions. 

FaruisiLıpäine, s. f. faillibilitö : sajötion & 
Perreur; possibilit6 de se tromper, de laillir. 
Manquo de solidit&, de certitude,, de verite. 

FarLipo,A,p. p. de Fallir. adj.Failli: qui 
a fait banqueroute. V. Quebrddo et Frusträde, 

FALLINM&NTO, s. m. * faillite; faute. V. Fer 


FALLIR, v. a. (anf.) tromper, manguer d 52 
parole. 

Farin, v. ®. (f. de comm.) faire banget- 
route; faire faillite. 

FaLLivEL ‚adj. 2 gen. faillible : qui peut #0 
tromper; expos6 ä l’erreur. Fautif : sujet I 
faillir, & manquer. 

FaLQuEino, A,Pp. p. de Falqusar. 

Fıarguranon. V. Falquejador. 

FaLqusir, 9. a. &quarrir : rendre came, 
rendre ögal le bois de part et d’aulre. 

FALQURJSADÖR, 5.0. charpentier qui dquaml. 

FıLgquzsän. V. Falquear. 

FaLgqußra, s. f. saut d’une bille par-deses 
Pautre ( au billard ). 

Fauxipas, 8. f. Pl. (8. burl.) chereuz elain 
et couris,. 

Faısa, 8. f. (6. de mus.) dissonnance, fat 
accord; voix fausse dans le chant; [ausse aelt. 
V. Falsete. 

Farsa-präca, 6. f. (b. de fortif.) lau 
braie , moincau : ouvrage de fortification. 

FaLsino,A,P.Pp. de Falser. 

Farsapor. V. Falsificador, Falsario. 

FALSAMENTE, adv. faussement, & faaz; tet 
tre la verile. 

FaLsa-Posıcäd, se. f. (i.d’arith.) Regre de 
fausse position : ( r&ögle do —) maniere de pat- 
venir & une inconnue en essayant une hyp” 
these que l’on corrige ensuite. 

Farsir,v.a.V. Falsificar et Falsser. %.* 
Mentir ; manquer de parole. 

FALSA-REDEA, 8. f. fausses-renes : cavessek 
double. 

FaLsärto, 5. m. faussaire : celai qui fait üt 
faux actes, de faux seings ; qui altöre les acies. 
Accoutum6 & mentir, a lausser sa parole, met 
teur. 

FıLsgi20,A,9.p. de 

Faıszir, v. a. V. Faisifiesr. Fausser ut 
&pse, la plier; fausser une cuirasse,, l’enlon- 
cer. 0 corpo, pencher, cflacer ie corps poa 
esquiver un Coup. — 08 desejos, [rusirer 9 
desirs, les voux. 

FaLskin, v, , s’affaiblir: poräre sa force: 











FAL 


sa solidit£. N’ötre pas d’accord, &ire faux, par- 
lant d’un instrument ; chanter faux. 
Farsete,s.m. (4. de mus.) fausset : note de 
dessus que la poitrine ne fournit plus et qu’on 
lire de la i#te ; celui qui le fait. 
tFaıssugin,o.n. (4. de mus.) chauter en 
fausset. 
"Faısia. V. Falsidade, 
FaLsipäDe , s. f. faussot& : qualitö de ce qui 
est faux ; duplicit, kypocrisie ; mensonge. 
Fausırıcacäö, s. f. lalsification : action de 
falsiier ; chose falsifise. 
FaLsisickno, A,p.p. de Falsifkcar. 
FausıricapOrR ,s. m. [alsificateur : qui falsi- 
fe; contrelacleur. 
Fasiricir,, v. a. falsifler, contrefaire,, adul- 
terer. Frelater les boissons , sophistiquer. 
FaLsirico, A, adj. (P. us.) mensonger; faux. 
FaLsissıMO, A, adj. sup. de Falso. Faussis- 
sime, ires-faux. V. Refalsddo. 
FiLso, s. m. le faux ; homme faux, perfide. 
-t, cache, cavit& poar receler quelque chose. 
FiLso, A, adj. faux : contraire au vrai, Ala 
verite , & la realits, etc. ; suppose,, alter6, con- 
tre la bonne foi; mal fonde; feint, contrefait, 
imite ; trompeur, double, traltre, dissimule; 
qui dit en bien ce qu’il ne pense pas. — tesie- 
munko, faux temoignage. Carla —a, earte 
d’une autre couleur que celle qui est atout. 
Cerrer, fechar em —, fermer & faux, tourner 
laclef sans quele pöne entre dans la gäche. 
Chave —a, fausse clef. Corda—a,corde fausse, 
qui ne peut jamais s’accorder avec une autre. 
De —, faussement; en V’sir, sans fondement. 
Em —, & faux. Passo em —, faux-pas. — como 
Judas, tralire comme Judas. .Juramento —, 
faux serment. Modda —a, fausse monnaie. P&so 
—,‚[aux poids, qui n’est pas juste. Porta —a, 
fausse porte, porle secröte, derobee. Armas 
—as, arımes fausses : armoiries failes contre 
les regles du blason. 
“ Farsüna. V. Falsidade, Aleivosia. 
FiLta,s. f. laute, manque, defaut; disette, 
besoin ; (fig.) manquement & son devoir, & une 
obligation, defaut. — de sallde, manque de 
sante.— de elegancia,, inelegance. — de habilo 
ou d’uso, inhabitude. — de limp6za, ınalpro- 
prete, salet6. — de sal, insipidite. — de probi- 
dade „ improbils. Commeltier uma similhanie 
—, [faire une faute de ce genre. Por — de, 
manque de, faule de; & defaut de. 4’ — d’ho- 
mens , au delaut de gens capables. Cair em —, 
faire, commeltire une faule. Fazer —, faire 
faute „ manquer, parlant d’une chose dont on a 
besoin ; ne pas se trouver dans un endroit ol 
Pon doit &tre. Estar, car em — com alguem, 
ne pas sacquilter d’une chose due ou promise 
& quelqw'un. Sem —, sans faute, immanquable- 
blement, Apontar as —s, marquer, poinier les 
absens dans un chapilre, etc. Dissimulömos as 
8 ‚ passons sur les defauts des autros. 
Yarrino,a,7p.Pp. de 
FaALTie, 0. %. manquer : n’ötre pas, @tre de 
moins. Defailtir manquer, finir. (a) —, ne pas 


FAM 388 
tenir, onblier; faire faute, tomber en laute, 
Manquer & quelgu’un dans le besoin ‚ne pas 
Vassister. Mourir. — d verdade, trahir, degui- 
ser la veriis, mentir. Sem — ums, virgula, 
(fam.) avec les points sur les i, exactement. 
Pouco faltou , il s’en est fallu peu. Nd4o faltou 
muilo qu£..., il ne s’en est presque rien 
fallu que... Falta-Ihe muito, il s’en laut de beau- 
eoup. E o que fallava, il ne manquait que cela, 

FaLrän-se (de) v. r. (inus.) manquer : 6ire 
priv6 de. — a si mesmo, manquer de forces 
physiques ou morales,, ne pouvoir pas 8’en ser- 
vir. Faltou-me meu pai, j’ai perdu mon pere. 

FALTAsinHa,s. f. dim. de Falta, Petite faute, 
faute l&göre. 

FiLrTo, a, (de) adj. nscessiteux, indigent, 
pauvre, depourru, priv6 de, qui mangue de. 
Defectueux : oü il manque quelque chose. 
(ant.) Non executs6, non rempli, & qui on a 
mangque. —de jwizo, insense , fou ; qui n’a pas 
le sens commun. Estar—de, manguer de. 

Fırvari. V. Falbalds. 

FaLöa, 5. f. felouque : sorie de bargue sur le 
Tage. 

f FaLöcno, s. m. * felouque : petit bAtiment 
de bas bord, a volles et A rames, dans la Medi- 
terrande,. 

FaLußıro, s. m. marinier, rameur, eto., d’une 
felouque. 

Fiua,s.f.renommee, bruit, odeur; renom, 
r6putation, cölebrits; &clat d’une nation, gloire 
d’une personne. Renommee : personnage all6- 
gorique. Adquirir —, se faire un nom. Der—, 
mettre en re&putalion, en Yogue, acerediler. 
Espalkar — , publier, divulguer. Correr —, 
courir, se röpandre,, parlant d’un bruit, d’une 
nouvelle. Homem de bda—, homme bien fame, 
Muiher de md —, femme mal fante. Cöbra 
b0da— e deita-ie a dormir „ acquiers bonne re« 
nomme6e, et dors la grasse malinde. 

*Famico, A, adj. avare, chiche, mesquin, 
V. Faminto. 

* Fiuz. V. Fome. 

“ FauzLılıos. V. Famulos, Familiares. 

FamE£Lıco, A, adj. farnelique, allfame. 

FAMıGERÄDO, A, adj. fameux, renomme. 

FamiLta, 3. f. famille : toutes les personnes 
qui vivent dans une maison sous un m&me 
chef. Gens, monde, commun, domestiques 
d’une maison; commensaux. —, toutes les 
personnes d’un me&me sang; race, maison. 
*" Ordre religieux. (4. d’hist. nat.) —, assem- 
blage de genres et d’espöces. — real, famille 
royale: le roi, la reine, leurs enfants,, etc. A 
— sagrada, la sainte famille. Filko—s, (t. de 
prat.) fils de famille : jeune homme qui vit 
sous l’autoritö de ses pöre et möre. Encher-se, 
carregar-se de—, se surcharger de famille, 
avoir beaucoup d’enfants. 

*" FıuıLiaıaia, 6. f.| personne de la m&me 

* FANILIAIRO, 8. m. famille, etc. 

FamıLıar, adj. 2 gen. domestique, dela mal 
son, dela famille, qui eoncerne la famille. Fa- 
milier : devonu facile par l’usage; facile, aisds 


500 FAN u 


fröquent, (Ag.) Intime, qui a de le familiaritö. 
Eıtilo - ‚style familier : style naturel et aise, 
tel que celui d’une conversation entre honnetes 
gens, eis. Bepirito , genio —, esprit familier : 
sorte de genie, d’ange gardien chez les anciens 
philosophes. Carlas —res, lettres familiöres, 
sorites ä des amis. 

Fauıtıär , s. m. domestique, valet d’un pre- 
lat. Domestigue commun d’un college, d’une 
eommunauis, etc. —da justica, (inus.) sergent, 
sbire. V. Aloside. — de santo offcio ‚ familier, 
offcier de Pinquisition , qui arröto les acouses. 
Fazer-se —, se familiariser. 

Fauıuianınioe, 3. f. familiarit, privaute. 
Cartas de — , letires de confraternite. 4 meiis 
— 6 causa de menos preco, trop de familiarite 
engendre le mepris. 

FanıLianissımo, A, adj. sup. do Familiar. 

FamtLiarızino, A,p.p. de 

Fanıttanızin, 9. a. familiariser : rendre 
commun, ordinaire, familier; rendre familier 
avec, accoutumer &... Apprivoiser. 

FANILIARIZÄR-SE (com), v. r. se famillariser 
(avec quelqu’un), se rendre familier; s’accou- 
tumer &, \ 

Fan. Januente, ade. familiöroment : d’une 
maniere familiere. 

t FauıLıatöna, s. f. * omploi, titre de fami- 
lier du Saint-Ofice. 

*FauıLıo. V. Famulo , Familar. 

Fauinto, A, adj. famölique, affamd; avide, 
desireux. 

FAMÖsamAntE , ade. fameusement, , excellem- 
ment : d’une manidre distingude, aveo &clat. 

Fauosissiuo, A, adj. sup. de 

Fauöso, A, adj. fameux, renommö, celöbre, 
illustro. Beau, parlait, acheve. Distingus par 
ses qualilös, par ses talenis. Fazer-se — na 
guerra, avoir un grand nom dans la guerre. 

- FautLino, &. m. service domestique; suite 
de domestiques. it. p. p. de 

FANMULÄR, ©. a. servir comme domestique. 
(Ag.) Aider, seconder, präter son ministöre. 

" FANULAR , adj. 2 gen. de domestique. 

FıuuLento. V. Faminto. 

FiuuLo, s. m. &tudiant qui sert de domesti- 
que dans un college; domestique d’un pre- 
lat, eic. 

FaniD0,4,p.p. de Fanar. adj. (ant.) Ür- 
concis ; &court6; (Ag.) pauvre, miserable. 

"Fananüna. V. Cireumeisdo. 

FaniL, s.m. fanal, phare : grosse lanterne 
de vaisseau ; {g.) ce qui eclaire. 

Faniö, 3. m. sorte de monnaie et de poids 
dans l’inde portugaise, 

Fanin, 0. @. cirooneire. Ecourier une robe. 
it. V. Agorentar. 

Fanirıco,A, adj. fanatique: zeie, passionne 
Jusqu’& la fureur pour la religion, pour un 
parti, une opinion; fou par religion, etc. ; fou, 
extravagant, alidnd d’esprit, qui a des visions, 
des apparitions;; farleux qui seeroilinspire. 

FanaTisno,, s. m. fanatisme:: erreur, illusion 
passion du fanatique; She outrd en maticre de 


FAN 


religion ; attachoment avougie et Opıniälre äun 
parti, & une opinion. 

Fanarızivo, A, pP. p. de 

Fanatizin, v. 6. fanatiser : rendre fanatıque. 

Fancania, 8. f. V. Fanqueria. Obrede —, 
onvrage grossier, mal fait, mal soigne6, oavraze 
de pacotille. 

Fancnid. V. Fanchono. 

Fancaöna, s. f. libertine; tribade, fern: 
qui abuse d’une autre femme. 

FAncHonice, 8. f. 0% ' pederastie : amout 

FANCHONISWO,, 8. M. honteux et eriminel 
entre des hommes ou pour de Jeunes garcons. 
Tribaderie, le meme vice entre des femmes. 

FANCHONO, 8. m. pederaste : adonnd A la pt- 
de6rastie. 

+ Fanpinco, s. m. fandango : air et dass 
espagnole et portugaise Irds-gais. 

+ Fanpancufıro, 3. m. (pop.) qui aimei 
danser le fandango. Qui court les festins et ies 
fetes. 

Fantca, s. f. esp&ce de petit poisson de la 
mer de Galice et du Portugal. 

Fıntco. V. Fanddo. 

Fıntca. V. Fange. 

Fınrarriö,s. m. fanfaron : rodomont, g»- 
con, faux brave; homme qui se vante sans 
cosse. 

Fınrannanla. V. Fanfarrice. 

Fanvanniı ou vanterie, vaine osten- 

Fınrannice,s. f. ) tation , fanfaronnade, 
pıaffe; fanfaronnerie, habitude de faire des 
fanfaronnades. 

Fanrönrıa. V. Fanfarrice. 

Finca, s. f. fandgue : mesure portugais 
pour lesgrains ou lesel,, et ce qu’elle conlien!: 
quatre boisseaux, et pour le oharben de lerre 
huit. — de ferre, terrain qui peut dire ense- 
menc6 avec une fandgue de grain. —, Pl 
(vieux) megasin, oellier o& Fon vendait fe* 
grains. 

+ Fancarfna, 8. f. (tl. de Bros.) instrement 
dont se servent les Indiens da Marenkdo pour 
talller la plerre. 

Fancina.V. Fachine. 

Fanuonuo. V. Fanchone. 

Fannöso, A, adj. nasillard , qui parle da nee. 

Funico, s. m. (pop.) petit gain. V. Bigslks. 

“ Famiqutiro, A, adj. qui gagne peu, gai 9 
eontente d’un petit gain. 

Firo, s.m. fanum : petit temple en !bon- 
neur d’un homme deifle. 

Fangouerfa, s. f. toilerie, lingerie; eommerc® 
de linge et de toiles de ooton. Rus des mar- 
chands de nouveautäs. 

Fangutıro, 3. m. marchand toilier, mar- 
chand linger. —a, s. f. femme du ma 
toilier; lingöre. , 

Fantasia ou Pnantasia, s. f. fantaisie, IMB- 
gination ; facults imaginalive; oaprice, bo@- 
tade, bizarrerie. * Orguvil. presomplion. Piaffe. 
faste, ostentalion. Pensee, Bction ingeple@s® » 
saillie d’imagination. Verve, entheusläsä3€ + 
chaleur d’imagination, 





FAR 


Fanyamino, A, pP. P de . 
Fantasıär, ©. a. imaginer, inventer, faire 


quelque chose d’id6e ; feindre. v. m. Se donner. 


ä des Setions de fantaisie; chanter, jouer de 
fanlaisie, suivant plutöt son imagination que 
les rögles de l’art; preluder. 

Fantası0so, A, adj. fantasque, caprioieux; 
bizarre; qui a des fantaisies. V. Presumido, 
Yeideso. 


Fantäsua, s. m. fantöme, speotre, vision. 
Image gravee dans l’eaprit. —, chimöre, vaine 
i 


mage. 

tFanrasuaconia,, s. m. fanlasmagorie : art 
de faire apparaltre des specires par le moyen 
dune illusion d’optique. 

FARTÄSTICAMENTE , ade. d’une maniöre fan- 
isstique; fantastiquement. 

Fanrisrico, A, adj. fantastigue, ehimerigue, 
imaginaire ; qui n’a que Papparencov, sans rea- 
iii. Homem —, prö&somptueux, arrogant, vain. 

Faxtastiquice , 8. f. fantasquerie, caraotöre 
fantasque. (p. ws.) di. Caraotöre fantastique, 
capricieux, extravagant. 

Fanreria,, ote. V. Fantasia, eto. 

Fıntiu,adj.2 gen. propre & un haras, de 
kelle taille, de race (cheval ‚eto.). 

"Fiqua, ote. V. Faca, ote. 

Fıgokino, s. m. Atul A couteaux , coutelidre. 

Fıouinma, s. f. düm. de Faca. Petit conteau. 
Petit bidet. Melter a —, (fam.) plaisanter, dire 
des choses piquantes contre quelqu’un. 

Fiqtino, s. m. balayeur de l’öglise patriar- 
eale de Lisbonne. 

Faqtin, s. m. faquir ou fakir : religieux ma- 
bomtien, errant ; derris. 

FanacöLa, a. f. (t. d’Asie) poids de 18 N- 
res, 

Farınpdıa ou babloles, choses de 

PanANDULiGEN,, 8. f.) trös-peu de valeur; 
sciett de mauvalses gens, troupe de farceurs 
ambulants. 

Fariora 04 -ÄUTA, 8. f. (8. de provin.) 
vieille' brebis. 

‚Faräurg, 8. m. envoy&, messager, commis- 
sonnaire. Interpräte; heraut. Personne & la 
kie dune affaire, qui la conduft. 

Finca, s. f. farce. comedie bouffonne; (g.) 
those, action plaisante , bouffonne. 

Farcinca 04 —sanGa, 8. f. farsange : mesure 
de chemins en Perse. V. Parasanga. 

Farcinta, 8. f. farceuse ; bouffonne 

Fancinte ow Fancista, 5. 2 gen. larcenr : 
@ui joue ou fait des (arces; bouffon. 

FincARTEAnO, A, B. P. de 

Farcanrrän, 0. a. represenier en farce, en 
enetdie (certaines pidees da ihe4älre nomındes 
Bysiöre). o.m. Parcer, faire, jouer des farces. 

irre en farceur, 

Faxcista. V. Fargante, 

Fiapa, s. f. "habit d’uniforme. — de criado 

ir, livree. 

numa2, 4,2. p. de Fardar. adı. En habit 





FAR 591 
Finpicem, s. f. (anf.) * &quipage, provision 
de voyage. V. Bagagem. 


FARDAMENTO, s. m. habillement de latroupe. 

Farpin, v.a. habiller la troupe; donner une 
livr6e & ses domestliques. 

FarpeL, s.m. havresac, besace, bissac. Pa- 
quet de hardes et de provisions pour le voyage. 

FARDELACEN. V. F . 

T Fanptra, s. f. dim. de Farda. Jaqueite de 
soldat. 

Farpere, s. m. dim. de Fardo. 

Farpruma, s. f. dim. de Farda. 

Parpinno, s.m. dim. de Fardo: plus petit 
que Fardete. 

Firpo, s. m. ballot : gros paquet de mar- 
chandises,, de hardes, etc. Fardeau. 

Fareıir, v. a. flairer: sentir par l’odorat; 
(Rg.) pressentir, pr&voir; suivre la piste. 1] est 
quelquefois neutre. 

t Farericeo, A, adj. qui tient du son, qui 
ressemble au son. 

FARELÄGEN, 8. f. quantitö de son. 

FAREL£NTO, A, adj. plein de son. 

TFArELHÄO 0% —ıLHlö, 8. m. (1. de mar.) 
tlot ow rocher escarp& dans la mer; poinie 
escarpee. 

FartLo,s.m. son: peau,, partie grossidre du 
ble, etc. 

FARELÖRIO, 8. f. (8. burl.) babiole, nlai- 
serie. 

FARETRAR, otc. V. Selear. 

FArrÄLHA 0% *tapage, bruit, häble- 

Farrıınina,s.f. rie, forfanterie. 

FARFALHADOR, 8. m. colui qui fait du tinta- 
marre. 

FarraLnid, s.m.V. Farfalhador. Häbleur 
enjoud. 

Farrıımin, o. ®. faire du bruit, du tinta- 
marre; häbler, parler legärement, sans r&- 
flexion. 

FARFALHARSAS, 8. f. pl. fariboles : choses 
frivoleg et vaines; propos ineptes et fantas- 
ques. 

FARFÄLHAS. V. Apdras. 

t Farränges, s. m. pl. cavaliers chröliens au 
service d’un prince mahometan. 

FARFÄNTE, s. m. fanfaron,, rodomont. 

t Farrantonipa, s. f. fanfaronnade, rodo- 
montade. 

Firnrana, Firrano ow Farrucıe. V. Tosei- 
ldägem. 

Fantniceo, A, adj. farinacd: reductible en 
farine; de la nature de la farine. 

fFarındıLa, s. f. flanelle: ötoffe de laine 
legere. 

FArinHa, s. f. farine : grain reduit en poudre 
qui sert & faire du pain. — de pdo, tapioca, 
cassave. Näo fazer bo@ — com alguem, ne vivre 
pas bien, n’&tre pas d’accord avec quelqu’un. 

FARınn£ıro, s. m. marchand de farine, 

FAnıNB£NTO, A, adj. farineux : de la nature 
de la [arine. , 

TFarınuöso, A, adj. (8. de bot.) V. Fanır 
näceo, 


592 FAR 


Faniscan. V. Farsjar. 
Farısko, elc. 
Farmäcıa, etc. | V. Pher..., etc. 

+ FARMENTO, 8. m. espöce de Faisin. 

Farnnzr. V. Fardel. 

Fanngsim, etc. V. Frenesi, elc. 

Fino,s. m. flair : odorat subtil des animaux, 
du chien. (Ag.) Indices, lueurs. Emanations 
odorilerantes d’un animal. ( Ag.) *Odeur. 4. V. 
Farol. Ter bom —, avoir Podorat subtil, le nez 
fin : se dit des chiens Ir pelo —, senlir par l’o- 
Jlorat, flairer. V. Cheiro. Ir ao — dos oufros, 
suivre les autres & la piste ; marchersurleurs 
iraces. Dar com o — a alguem,, decouyrir les 
intentions, les projets de quelqu’un; les even- 
ter. 

+ Fino, s. m. (t.de geog.) Faro : ville et er&- 
che de l’Algarve, en Portugal; tle dans la Bal- 
tique. 

FaröL ow PharöL, s. m. fanal : grosse lan- 
terne au mät, & la poupe d’un vaisseau. Phare: 
: grand [anal place sur une tour au bord de la 
mer pour eclairer les vaisseaux ; cetie tour. 
(Ag.) Fanal, ce qui eclaire. 

t FaroL£ıro, 3. m. celui qui allume un 
phare, qui en a soin. 

Firra,s. f. "bout, pointe d’etendard, etc. 
Poiute de dard, croc ; crochet d’une flöche, 
d’un hamegon. * Accroc,, döchirure. 

Fırpino,A,p.p.de Farpar. adj. Decoups 
en pointes; crochu. Lingua —a, (fig.) langue de 
vipere, mauvaise langue. 

Fanriö,s. m. aug. de Farpa. Harpon , grap- 
pin, croc; dard. 

t FaRPÄNTE, adj. 2 gen. dechirant, qui dila- 
cere. p. a. de 

Farrir,o.@. decouper en pointes; courber 
en forıne de crochet. Dechirer, dilacerer. — as 
oelas , dechirer les voiles. — 0 vestido, faire un 
accroc. v. #. Se deebirer. 

FARPEADO, A,P. 9. de 

Fırpzin,o.a. darder, blesser, percer d’un 
eoup de Nöche, de lance ou de harpon; harpon- 
ner. 

Fannä. V. Ferrd. 

Fanricem, s. f. *fatras: assemblage, me- 
lange conlus. 

Fanracear. V. Ferragial. 

FEerRAGöULO. V. Ferragoulo. 

FarnapÄd, 6. m. et adj. couvert de haillons, 
deguenilie, grigou. 

FARRArAniA, 8. f. *tas de haillons, de gue- 
villes. 


Fannäpo, 5. m. *guenille, baillon chiffon, 
drilie. 


FARRRCOULO, 

FARREHAL } V. Ferra... 

Fannim. V. Farrdgem. 

FaRnıcöco ou —cunco,, 8. m. (1. burl.) cro- 
quemort. Domino de penitent dans les proces- 
sions de car&me en Portugal. 


Finno, &. m. "orge monde " 
monde. Bis. sge monde, potion d’orge 


FAS 


Faraöua, s. f. (f. buri.) gescontade, lanla- 
ronnade. . 

FARROUPILHA, 8. 2 gen. argoulei, grigon, 
deguenille. 

FARROUPINHO, 3. m. dim. de 

FARaöurO, 3. m. cochon qui ne depasse pas 
unan. 

Fanaumpfo, s. m. V. Farrusca. 

Farrüsca, 5. f. (8. pop.) epee vieille ei rouil- 
lee, rapiere. 

FansöLa, s.m. (1. pop.) farceur ; fanfaron. 

Fartaptııa, s. f. V. Barrigdda. * Rassasie- 
ment, saliete. Tomar ums —, se gorger de 
nourriture; (fig. fam.) se rassasier. 

Fartino,A(V.Farto),p. p. de Farlar. 

FantaLko, 3. m. V. Polenta. 

Fantir (de), v. a. rassasier, soüler, gorger 
de nourriture ; satisfaire aınplement un besoin 
quelconque. Degoüter, ennuyer. 4 —, a nen 
pouvoir plus. —se, v. r. se rassasier, eic. S’on 
donner & caur joie. 

+ FaatävEL, adj. 2 gen. qui peut @lre ras- 
sasie. 

FARTaAVEBLHico, s.m. (1. Pop.) fort grand el 
insipide, en parlant de certains fruits. 

" Firte,ade. V. Assdı. 

FARTE 08 —- TEN, &. m. petit gäteau fait avec 
des amandes et des epiceries. 

Fikto,p.p. irr. de Fartar. adj. (de) Rassa- 
si6; onnuy6, degouls de. Suffisant, abondant, 
fertile. Ndo perds o anno por — ‚ labundance 
ne nuit pas. 

Fartün, 8. ın. faguenas : odeur [ade ot mau 
vaise d’un corps corrompu, malsain. 

FARTÜRA , 8. f. “rassasiement, salieie. Abon- 
dance. 

FascäL, s.m. monceau, tas de bl& qui n’es 
pas battiu, de gerbes; dizeau. 

Fasczs, s.f. pl. "laiscoaux: verges, baguelles 
liees ensemble, avec une hache au milieu. On 
les portait devant les consuls, les dictateurs, 
etc. 

+ FascıcuLivo, A, adj. (4. de bot.) lasciculer 
en faisceau. 

+ FascicuLo, s. m..(t. de bot.) [aisceau : reu- 
nion de fleurs, de feuilles rapprochees 
long; fascicule, petit faisceau, poignee d’hcı- 
bes, etc. 

Fascınacäö, s. f. fascinalion : charme 4" 
fascine les yeux, emp@che de voir ce qui esta 
verite; prestige, tromperie. 

Fascınäpo, A, p. p. de Fascinar. 

Fascınanör, A, 38. celui qui fascine. 

FAscıninte, adj. ? gen. faseinant, qui far 
eine; enchanteur, eblouissant. p. a. de 

Fascınir, v. a. (asciner : ensorceler par une 
sorte de charme, d’6clat qui empeche de voif 


la verits, la realite; ( Ag.) charmer, ebiouir paf 


un faux eclat, uno belle apparence; tenle, 
tromper. 

+ Faseiora, s. f (l. d’hist. nat.) douve : TeFf 
aplali, ovipare, intestinal, fasciole. — ä#, 
dos gados,, douve du [oie. 

Fasqtia, s. f. latte: petit ais oiroit at long. 


FAT 


+ FıscöLowo, s. m. (1. d’hist. nat.) fasco- 
loıye : quadrupede de la Nouvelle-Hollande, 
gui tient de Ja marmolte et du sarigue. 

*Fästa. V. Ale. . 

Pastioiosau&nte, ado. fastidieusement, avec 
dögodt, ä conire-omur. ( Ag.) Eunuyeusement, 
arec ennui. 

Fastiviosissıno , A, adj. sup. de 

Fasrımiöse, a, adj. [aslidieux, dögontant. 
Eanuyeax, importun, fatigant. 

Fasrıturo, A, adj. degoüte, ennuy6, & qui 
loul repugne ; [astidieux. 

Fisricıo, s. m. (p. ws.) falte d’une maison, 
sommet d’une pyramide, etc.; (fig.) combie 
d'bonneurs, etc. 

Fastio, 8. m. degoät, manque d’appetil; (Ag.) 
ennui. Ter ou estar com —, manquer d’appttit. 

Fıasritao. V. Faslidioso. 

Piero, s.m. orgueil, hauteur, presomption. 

. 0. 

Fisto, A, adj. heureux,, prospöre. 

Fisros, s. m. pl. fastes : livre du calendrier: 
reeit des faits memorables; registres histori- 
ques (des Romains); l’histoire. — conswlares, 
Iastes consulaires, tables chronologiques des 
consals de Rome. 

‚ Fastösamänte, adv. fastueusement, avec 
aste 

Fasröso, a, adj. fastueux, hautain. 

Fıräca, 3. f. ° chabot : espece de muge, gros 
poisson de riviere. V. Tainhe. 

Faraciz, 5. m. (. Pop.) gros morceau. 

1 Faränico, A, adj. (inus.) qui depend de la 
destinde. 

Faricz, s. f. action de remuer ses hardes. 

FaTasEaR 06 —JAR, d. @. (P. us.) remuer ses 

es. 

Farirxa. V. Faldaa. 

FiriL, adj. 2 gen. fatal: qui porte aveo soi 
ane destinde inevitable; marque par la desti- 
nee; funeste, desasireux, sinisire ; malbeureux. 

FATaALIDÄDE, 5. f. [atalilö: prötendue desti- 
nee inevilable et malheureuse; hasard mal- 
beureux; disgräce, malheur, infortune. 

FaraLısmo, s. m. fatalisme : doctrine du fata- 
liste. Influence du destin. 

FaraLisra, s. m. [ataliste : qui aliribue tout 
au destin, & la fatalile. 

FaräLmänrg, adv. fatalement, par fatalite; 

par un malheur extraordinaire. 

Farinıo. V. Falalista. 

Farissa. V. Falara. 

FatTixa, s. f. (1. burl.) prouesse avec bra- 
voure. 

Fırzosim. V. Emphyleusis. 

Fartxa O8 —TEIXA, 6. f. “ grappin. 

Fartia, 3. f. tranche (de pain, etc.). — de pdo 
com manleige, beurree. — lorrada, tarline. 

Farıär , ele. V. Esfaliar, etc. 

FATiDICAMENTE, adv. fatidiquement, d’une 
maniere falidique. 

Farivıco, A, adj. [atidique : qui declare la 
rolonte du destin, qui annonce, Qui prophetise. 

Pıtıca. V. Fadige. 


PORT, "FA, 


YAV 593 

FariciB0,A,9.9.de 

Faricär ,v. a. fatiguer, lasser, harceler, ha- 
rasser, ennuyer (prop. e! Rg.).v.». (p. us.) 
V. Afadigdr -se. 

FATILOQUENTE , adj. 2 gen. (podi.) qui pradk 
l’avenir. 

t FarTımırzs ow —TuImıTEs, s. m. pl. Talhi- 
mites: priuces mahometans, descondants d’Ali 
et de Fathime,, gendre et ille de Mahemet. 

FATinHo, s. m. dim. de Fato. 

Farıöta, 8. f. (pop.) hardes, nippes. si. V. 
Emphylousis. 

Fariver. V. Faetivel. 

Fäto,s. m. " hardes, nippes. (vieux) Trou- 
peau de chövres. ( Ag.) Meuble. 

FÄTUAMENTE, adv. sottement ; follement. 

Faruipine, 5. f. stupidite, fatuits, defaut 
d’intelligence. Sottise , impertinence, fatwuite. 

Fitvo,A, adj. stupide, sol, imbecile, fat. 
Lume — , lammerole, ardent, feu follet. 

FATUOSAMENTE. V. Faluamente. 

Fausa. V. Faisca. 

+ Fäuce, s.f. — da corola, (1.de bot.) gueule 
de la corolle. 

+ Fäuczs, s. f. pl. "gosier. 

FaüLHa, s. f. bagatelle, nialserie, —s, pi. 
sornettes. 

FaöLmento. V. Fusil. 

+Faunäss, 3. f.pl. Faunalcs: fetes de Faune. 

Fiuno, s. m. Faune : dieu champetre des La- 
ins. 

Faustissino, A, adj. sup. de 

Fiusto, a, adj. beureux, fortund, Joyeur, 
prospere. 

Fäusto,s.m. faste, pompe, vaine osien- 
tatıon. 

Fatst6s0, A , adj. fastueuzx : plein de [aste. 

+Fävra, s.f. (Dar quinzs e —) , avantage au 
jeu de paume. ( fig.) Antioiper sur quelqu’un, 
le devancer dans quelque chose, 

FaoTöR, A, s. fauteur:: qui favorise un parli, 
une opinion ; complice. 

Favroria, 8. f. action de favoriser, de fo- 
menter un parti,, etc. 

FauTOnIzan (P. us.). V. Apadrishar, Favo- 
reeer. 

Fautaiz, s. f. fautrice. 

Fiva,s.f. (4. deboi.) fere : Iögume long et 
plat, graine dans les gousses. — de Maldca, 
ftve de malac; poivre ou pomme d’acajou ; 
anacarde antarctique ou occidentale. — de 
lagda, gourgane : petite [eve de marais. — de 
sanlo Ignacio , f[öve de saint Ignace. Vd ou vai 
d—, allez vous promener. —, pJ. föves, pour 
voter dans une 6lection. (fg.) Voix. —, c0R- 
tadas, il faut manger pcu de föves, parc® 
qu’elles sont indigestes. Sdo —s conladas, 
sans plus ni moins; c'est une chose colaıre , ma- 
nifesie , cerlaine. 

Fıvär,s.m. champ semö de [&vos. 

+ Fartına, s. f. (&ve : plante lögumineuse 
qui produit les [övos. 


FAYETA 0b | die, de Fava. Förerole. 
Favinha, s. f. 
38 


598 FAX 


Favinno, 8. m. dim. de 

Fivo, s. m. rayen, gäteau de miel. * Celluie 
hezagone oä les abeilles font leur miel. — da 
seda, qualite du fl de soie. 

Favönıo, s.m. zephyr : vent de l'oooident 
&quinoxial, d’ouest, Ird&s-doux. . 

Favor, s. m. ” laveur, secouss, proleclion, 
appui, alde, assistance; gräce, Lienlail, ser- 
vice , obligstion , bons offices ; marque d’amour 
qu’uno feınme donne A un homme, ou petit 
present quielle lui fait; plaisir. A — de, ea 
faveur de... Com -— da noite,, da eseuridade, 
etc., ä la faveur de la nuit, des ten&bres, etc. 
Faga-me V.M.o—de, faites-mol le plaisir, 
ayez la bonie de. Ter alyguem a ven — ,, avoir 
quelge’un pour soi, de son cöts. On dit aussi 
dens le familier: avoir quelqu’un dans sa man- 
che. Por —, de gräce. Favores, pi. * amities. 

° Favonän2o. V. Favorecide. 

* Favonanca. V. Favor, Mered. 

FavorivEL, adj. 2 gen. favorable, prepice, 
avantageux. . 

FavonivaLu£nte, ade. fsvoreblement, avan- 
tageusement. 

FAVORECEDÖR, A, s. eelul qui faveorise, qui 
protege, protecieur. Fauleur. 


FAvonzchr , v. a. favoriser, aider, protsger, | d 


appuyer, porter secours , assister. Obliger, ser- 
vir, rendre service, bien faire. —, appuyer un 
etablissernent, une opinion. Flatier.peindre en 
beau. Dissimuler, cacher les defauts d’une 
chose ou personne qu’on veut [avyoriser. 

FAVORECcEa-sE, v.r. s’eider. — com ou de 
alguem, se servir do ja [aveur de quelqu’en 
pour se tirer d’un mauvais pes. 

FAVORECIDO, A,p.p- de Faroreter. adj. Fare- 
rise. Reirato —, portrait llatte. — pela artilhe- 
ria, pela noise, & la faveur du eanon, de la nauit. 

* Favortza. V. kKacor, Merck. 

Favorita, s. f. favorite, preferde. V. Favo- 
rito. On le dit & certains jeux de cartes d’une 
vouleur qui a la preferenoe sur les autres : su 
wa d’bombre, c'’en loceur. 

Favorito, A, adj. favori, profers : qui plait 
us que toute auitc chese du möme genre. 
’.9%.—, qui tient le premier rang dans les fe- 
veurs, les bonnes gräces de... 

Fıvormin,. V. Favoreoer. 

Fixa, s. f. bande: Ion large et plat pour 
bander; ceintwee, sorse d’ornement ; bandeau. 
(Aig.) Bande ou Yinge divisant one surface ; zone 
du globe c&leste ou terrestre, eis. ($. de bias.) 
Fasce : piöce de l!’eca qui le ooupe horizontale- 
ınent par le mifica. — da cormija, (1. d’arch.) 
plate-bande. — do eauk6o, moulure en plawe- 
bande d’un canon. —s, pl. langes , maillot que 
le pape envoie aux promiers-nes des rois ca- 
tholiques. 

Faxino, A, adj. (1. de blas.) fasct. On Ne dit 
de l’ecu charge de fasces egales, de deuxcmaux 
alternes. p. p. de 

Fıxir, v.a. bander: lier, serrer avec une 
bande. —as eri ‚emssaillotter los onfanty, 
106 nıettre en maillos, 


FAZ . 


+Fıxeino, a, adj. (1. d’arch.) qui a des 
bandes. 

+ Fax£qug, 5. m. (1. d’Asie) magistrai crim) 
nel au Japon. 

Fazina, 

Faxo\ V. Fech... 

Fara,etc.V. Faia, etc. 

* Farnsa. V. Fanga. 

* FAZEDOIRO ou —00R0, A, adj. [alsable, fa 
cile: qui peut ou qui doit Aire fait. 

Fazspör ‚A, 8. auleur ; Saiseur. (vious) Fa 
teur : agent, administrateur. 

* Fazgpüna, 8. [. on qu'en fall d’une fois. 

Fazkupı, 8. f. "champ, domaine, lefre, 
fonds, beritage. Biens, richesses, fortane. Ha- 
bitation , lablissemeni aux colosies. Narchan- 
dises, &tofles, eic. Besogne, Iravanz, O0f4- 
pations domesliques. (views) Aclien, eoalil. 
slfaire , combat, fait d’armıes , eic. 
de grande —, (id.) chevalier tr&s-courageat, 
ir&s-vaillant. Cuvallsiro de ade grande —, (id. 
chevalier peu eouragtux. Kalrer na —, euitt 
dans le confllt, combattre. 4 — rsal, Ies Bnan- 
ces, leiresor public, je fisc. Afiaistre ds —. 
ministre des finances. O oonselhe da —, Mel 
souveraine des finances en Portugal. Dee — 
se vende,, marchamdise qai plal zul I 
demi vendue. 

FAzenp£ımo, A, ady. qui travaille pome agraß- 
dir son kien ; mönager ; beomume Industries. 

Fazenn£ıno, 8. u, fermier, metayet, esih- 
vateur. 

Fırzuoingna, s. f. dien. de Fassade. Peil 
bien de campagne, petite ferme. 

Farta, 0.0. faire : erprimne em gendrel Ia0- 
tion quiproduiten eßet; exprime lacaialisa ‚I 
formation; creer, former, produire, se dit 4 
ouvrages du Crealeur, des ewuses sooonden, eilt: 
fabriquer, compeser, donner une farme, se di 
des ouvrages de ’hernme, de oertains aninau; 
operer ; predsire uneßet ; exöuwuter ; comsirmirt: 
donner la forme, la figure, ia coutenr, I'älF; 
rendre de telle qualit6. Fermer, prodeire un® 
idee. Accompfir, achevor. Agir, travailier, 30% 
cuper de. —, so0order co qu'on demande, det 
ner. Tenir, contenir, renserımer. Cawser, 0068 
sionuer. Resoudre, determiner. Disposer, a 
ranger. Assembler, convoqwer. Rendre, {st 
devemie. Razer, suivi d’un mänXl, 
obliger. Ex.:— wir, faire venir. Eire caust, 
donner lieu. Ex. :— rir, fsire rire. Joimt ä ce 
tains noms,, il marque l’aotion actuelie des "" 
bes formes de ous nes. Ex. :— esiämanft , 
timer. — gaslos, döpenser. Suivi des mots che 
cola, escarneo, mofe, zowsbertä , @l0-, 
mepriser, feire peu de cas. Suivi de ia prtP®" 
sition de et de certeins noms d’ari ou deM® 
fessien, H-em indique l’exercice. Bx.:— de * 
erivdo , faire le metier do groffier. — deep 
teiro, faire ie menuisier. Suivi de ia peraicale 
de et d’un nom, il exprime tantös pr 
imiter Paction exprimde par Ce nom, 6X.: 
bobe, feire lo nılais; tanıöt feire parade dem 
aualit6, ex.;—d’homem sabie , Faire Io.garakı 








FAZ 


affeeier de le paraltre; et lantöt faire ou jouer 
leröie indiqus par ce nom, ex.:—de rei, de 
graeioso , Jouer le röle de roi, de bouffon. Joint 
aux parlicules por, para et ä un infinitif, il ex- 
prime soin, diligence a execuler cc que le 
verbe signifie. Ex. :— por chegar, para salrar- 
se, faire ses efloris pour arriver, pour se sau- 
ver.Joint aux pronoms um, ums el ä un noın, 
il en augmente la force. — aqua, (t. de mar.) 
svoir une voie d’eau. — agudda, (id.) faire de 
Veau, faire aiguade. —alarde, passer les trou- 
pes en revue; (fig.) faire montre ou parade 
d'une chose. — alto, faire halte, s’arreier; et 
disconlinger, interrompre une allaire. — bem, 
hire du bien ou bien faire. — böa a venda, ga- 
fFanlir ce yu’on vend. — cabega, cama. V. ces 
mols. — edra, frenic, ou roslo, tenir lle, 
faire face. — correrlas, faire des courses sur 
le pays ennemi. — corlexias, faire des polites- 
ses. —das suas,, faire des siennes. — do ladräo 
kel,se Aer& quelqu’un par necessite, faute 
dautres. — gdla do sambenilo. V. ce mot. — da 
sua parle, faire ce qu’on peut de son cöte. — 
das (ripas coragäo, faire contre fortune bon 
caur. S’efforcer de cacher sa peur ou de sur- 
monter un obstacle. — o gdsto, faire la de- 
pense.— costas, exercieio, falta. V. ces mols. 
— amizade com... lier amitie; faire connais- 
sance avec... — fe, faire fol. — festas, faire 
ftie, caresser. — gosto de, se complaire d&. — 
guerra, faire la guerre; (fg.) s’opposer forte- 
ment, resister.— horas, atter.drel’heure Äxse, 
ou le moment favorabis. — jogo, tenir le jeu, 
conlinuer & jouer; escrimer. (fg.) Cadrer, »’a- 
juster, se rapporter. — jusfiga, rendre juslice. 
—arazödo, faire Taison, rendre une santö por- 
ke. — a vista gorda ou grossa, feindre de ne 
pas voir. — lugar, faire place, debarrasser un 
pissage, etc. — mal a alguem , nuire, perse- 
tuler.— mal alguma cousa, nuire, faire mal. 
— mansäo , residentia, sejourner. — mencdo, 
fıire mention. — mercd, acdorder par faveur 
un emploi, une dignite, ou rendre service. — 
milagres, (fig.) faire des miracles, des choses 
inalttendues. — myslerio, faire des mysteres; 
donner de-Yimportance & des riens. — mudan- 
sas, ex&cuter dillerents pas, dißerentes Agures 
dans une danse. — novidade , innover ou eton- 
ner, surprendre. —numero, faire nombre. — 
vuvulos de mercador, faire la sourde oreille.— 
papel de, jouer un röle. — folhinhas, eire r6- 
venr. —o papel de..., contrefaire au naturel, 
imiter parfaitement.—präflo, servir äla table; 
'fig., prendre quelqu’un pour sujet de la con- 
rersation ; meltre sur le tapis. — por —, faire 
unc chose sans necessite, pour le plaisir de la 
faire. — penülencia, manitre d’inviter A man- 
ger :venez faire p&nitenceavec nous. (pariron. 
fam.) Faire bonne chere. — dinheiro, faire de 
Vargent, en vendant ses meubles, etc. — mdo 
430 , ınesuser, abuser. — que, faire semblant 
de.— bulha, ou rurdo, faire du bruit, au pro- 
pre et au figure. — saber, faire savoir, appren- 
dre, — sombra,, donner de l’ombre; (g.) porter 


FAZ 595 


ombrage & quelqu’un. V. Sombra.— suar, faire 
sucr, donner de la peine. — o sets negocio , Ira- 
vatller pour ses inter@ts ;Jouer son jeu.—0 264 
offeio, remplir ses devoirs ou son minisiöre.— 
bem o seu papel, bien jouer son röle.—lencäo, 
avoir lintention. — forres de vento , faire des 
chäteaux en Espagne. Bom proveilo Iha fara, 
grand bien lui fasse. Como quem ta} cnusa ndo 
fax, sans avoir l’air d’y toucher. On le Jditd’un 
homme qui agit avec dissimuialion. Entdof 
que faxs&mos? eh bien! faisonsuous quelque 
chose? Ndo— sendo , ne faire que. Isso näo leus 
que —,il n’ya point de difficulie. Que fazes? 
ulka o que fazes! Que faites-vous? preucz garde 
äce que vous faites! Que fazemos com issup A 
quoi bon cela? Que karemos de — ? Qu’y faire? 
que faire A cela? Dar que — a alguem, faire 
voir du pays & quelqu’an, lui donner du Al & 
retordre. Ouem a fez , pagou-a ou que a pague, 
qui casse les verres les paye. — conla ou de 
con!a, supposer, considerer une chose comme 
certaine. — fogo, faire, allumer du feu; de 
charger des armes ä feu. — fogo a uma moga, 
($g.) courtiser une demoiselle.— forca de vela, 
(£. de mar.) faire force de voiles, deployer lou- 
tes les voiles; (fig. fam.) faire lous ses eHorts 
pour... — forluna, s’enrichir, acquerir des 
bonneurs, des charges, eto. — homem de al- 
guem, mettre queiqu’un dans une bonne pasi- 
tion. — honras, (fig.) bonorer, considerer. — 
konras funebres, rendre les derniers devoirs & 
un mort. — da noile dia, e do dianoüe, faire 
de la nuit le jour, et du jour lanuit.— pda Irds. 
V. Fincape. — ponto, (l.de comm.) falllir, faire 
faillite. — profssdo, professer. — sangue, rö- 
pandre, verser du sang; (flg.) traiter avec Fi- 
gueur, user de rigueur, de severite. — ums 
saüde, porter une santö, boire äla sani6 de.— 
de alguem t6lo,, trailer quelqu’un do fou. — as 
vezes d’alguem, remplacer guelqu’un. — vida 
de..., professer un art, un ındlier, etc. — vida 
de casados, vivre marilalement. — d velaona- 
eio, (1. de mar.) deferier tes voiles d’un vais- 
seau.— maridanga, (vieuz)vivre maritalement. 
— amor, (id.) faire des presents, des cadeaux. 
— preslanga, (id.) faire une bonne @uyre, 
rendre service. — oufeiro, (id.) ohasser les 
grosses betes.— refeilorio,, (id.) donner& man- 
ger. — r0g0, (id.) ceder aux instances. — ver- 
dade, (id.) prouver en justice son intentionz 
&tre fiddle envers quelqu'un. — um eartallo, 
(p. us.) dresser un cheval. — da sus huura, 
(vieux) faire une action honorable. — fazende. 
V. Commerciar. — perda, (id.) causer UU8 
perie;; (aujourd’hui) eprouver une perle.— pe- 
dacus ou em pedagos, metire en pleces. um 
si, (id.) croftre. Ter que —, etre diNicie & 
faire, avoir des occupations, des ufpires. — 
Estar a — ‚etre en ırain de faire. star por —, 
&ıre & faire, qui n’est pas encore fait. Dar que 
— ‚faire travailler. Em fazendo bom lemno, 
uand il fcra beau. Por mais que fage „j'ai, 
la bean faire. — caminho du norle, do sui, elu., 
(t. de mar.) porter vu nord, au sud, otc.; gour 


596 FE 


FE 


verner, courir, cingler sur le nord, le sud, etc. | cousa, (1. de Prüs.) tWEmoigner, rendre ou Hor- 


— uma coslura n’um 
une 6pissure. — ums arroladura, (id.) rouster, 
faire une rousture. — bordos curios, (id.) laire 
de peliles bordees. Guarda quo oomer, mas 
ndo guardes que —, (prov.) ne remeis pas ä 
demain ce que tu peux [faire aujourd’hui. De 
dizer ao — vol mdito , dire et faire sont deux. 

Fazer, v. n. V. Importar, Convir. Crolire, 
augmenter. Exister actuellement, faire. Ex. : 
Faz frio, il fait froid. Fax bom lempo, il fail 
beau. Y avoir. Ex.: Fax dez annos, il y a dix 
ans. Suivi de la particule por, signifle #tre fa- 
vorable. Ex.: Faxpelonosso partido, cela nous 
est favorabie , ou nous avons pour nous. 

Fazta-sz, v. r. devenir, se rendre; se croire, 
estimer; feindre; se’habituer. V. Afazerse. — 
alrds, reculer. — em agus na bocca, fondre 
dans la bouche. —ds armas,, s’aocoulumer aux 
armes. — d.odla , melire & la voile. — a’um la- 
do, se retirer de cöld. — grave, (ifam.) faire 
semblant de refuser ce qu’on desire. — cargu 
de..., s’en charger, prendre sur soi. —de al- 
guma cousa , acheler, acquerir une chose. — de 
novas , feindre d’ignorer. — de rogar, se faire 
prier. — doente, faire le malade. — dono ou 
senhor, se rendre malire, s’emparer. — famo- 
so ou odlebre, se rendre oslöbre. — forte. V. ce 
nom. —a booca em agus , prendre plaisir & une 
ohose. — de dia ou de noite. V. cer, 
Anoitscer. — velho, vieillir, devenir vieux. — 
rico „s’enrichir, devenir riche. — ver, s6 MON- 

n— „amarello, rougir, pälir. — 
oom lerra, (1. de mar.) se croire pres de la 
terre. (fig.) Avoir grande conliance, montrer 
de l’assurance. — d lerra, (1. de mar.) navi- 
guor du cöt6 de la terre, prendre lerre. — ao 
mar, (id.) meitre en mer ou & la mer. — na 
volta, (id.) virer de bord. Ha de — Iudo em [a 
wor do povo ‚il faut tout faire pour le peuple. 

* FazımEnto, s. m. aclion de faire. —de gra- 
gas, (viewz) aclion de gräces. — com mulher, 
(id.) colt avec une femme. 

Fe,s. f. foi : veriu th6ologale par laquelle 
on croit los v6rit6s reve6lees; croyance, pro- 
bite ; confance en quelqu’un ; bonne opinion 
d’une chose;; assurance donn6e de garder sa 
pareie, fidelite dans ses engagemenis; t&moi- 
gnage, Assurance qu’une chose est certaine. 
Certilicat. 4’ —, d minka — ‚ma foi, par ma 
foi. 4 — de christdo, de cavalkeiro —, foi de 
chretien, dechevalier. 4’ dboa — , de boa — ‚de 
bonne fol, sans dol ni fraude. Bda—, bonne 
(fol , sincerite, franchise. Dar —, certifler, at- 
tester la verite d’un acie, elc., ou ajouter foi, 
eroire , ou enfin (fam.) chercher & voir, & sa- 
voirce qui se fait, etc. Faser —, faire foi, par- 
dant d’un &crit. 4’ falsa —, adv. perfidement, 
«de mauvaise fol, en traitre. Em — de que, en 
46moin de quoi. Guardar a — que se promel- 
seo a alguem, garder la foi qu’on a donnde. 
Quebrar a —, tire infidele a ses promesses, & 
ses engagemenis. Dar-se — mülus, se pfo- 
mottse delite mutuelle. Porlar por — alguma 


cabo,, (id.) episser, faire | 1er Iamoignage „ certiler, assurer queique 


chose. Md —, mauvaise fol; dol, duplicite. 
Na — de, en croyant, en sapposant. Esiar ns 
— ,croire, supposer. — de reo,(1. de prel.) 
certilicat. —de carvofiro , foi de jardinier. Fis, 
pl.(p. us.) croyances , secies, religions. 

FeaLpäne, 8. f. " enlaidissement, laideur, 
difformite. (4g.) Turpitude , obscenits ,laideur, 
noirceur. 

FEANENTE,, adv. avec difformite. Avec turpi- 
tude. Vilainement; honteusement. 

Feancnidö, Ona, adj. aug. de Feio, (fa) 
fort laid,, tr&s-laid, horriblement laid. 

Fsse. V.Pke 

Faso, ete. } « Phebo, etc. 

Fauna, s. f. übre, fllament. 

Fasniö, s. m. aug. de Febre. Grosse Arte; 
augmentation de Üörre. 

Fenag, 8. f. üövre : mouvement deregle, cir 
culalion acceleree du sang avec [r&quence du 
pouls. Chaleur et frisson. Ter —, eslarcom-—, 
avoir la fivre. Arder ou esiar ardendo em, 
etre dans le chaud de la flövre. 

Feone , adj. 2 gen. [aible : qui n’a pas le poids 
ou letilre requis, se dit de la monnaie. 5. m. 
V. Fälha. Os febres da moeda, ce qui manqut 
du poids d’une monnaie. 

Fesgeruco,. V. Febrifugo. 

Fesazzinna, s. f. dim. de Febre. Pelle 
fövre, 

FEBRIcıTÄnTe,adj. 2 gen. [ebricitant : quia 
la fiövre. 

+ Fesaıcırär , v. ». avoir la flörre. 

FusaicuLa. V. Febrinhe. 

FEBRIiFUCO, A, adj. ei s. wm. febrifuge : qui 
chasse la fldvre. 

FesaiL, adj. 2 gen. febrile : qui a rapport 3 
la fiövre. 

Fesninua. V. Febrexinha. 

FeciL, adj. 2 gen. (1. de med.) [kcale, excre 
mentitielle. Materias —aes, matieres fecalcs, 
les gros exer&ments de l’bomme. 

Facznino. V. Fescewino. 

Ftcaa , s. f. conclusion d’une lettre; date de 
letire , eic. 

Fecnipo, A, p. p. de Fechar. adj. Ferm. 
clos; dur. (Ag.) Reserve, tr&ös-discret; avalt, 
mesquin. —s, bouche close. Noile —. 
nuit close. A portas—as, ä huis clos. Ter uns 
cousa —a na mdo, (fig., €ire l’arbitre d'un 
chose; l’avoir en son pouvoir. 

FecHADüRa, 8. f. serrure : machine fire Je 
metal, eic., pour fermer avec ane clel.— 4. 
banco , fermeture de la banque. 

FEcHADURINHA, 8. f. dim. de Fochadurs. 

FECHABENTO. V. Encerramenio. 

Fscair,v.a. fermer : clore ce qui ost 0U- 
vert. Clore, enclore, parquer, enoeindre. bar- 
rer : fermer un passag®. Clöturer, terminer, a 
röter ; Anir, conclure. Serrer, resserrer. \- 
Cerrar. — os owoidos a, ferızar l’oreille 3.— 
olho, (Ag.) expirer. — os olkos, ferner Ies 
yeuz. (fiy.) Dissimuler, faire semblaut de n® 

















FED 


p3s voif. — 08 olkos ao perigo, braver le dan- 

ser.—0passo, fermer, boucher le passage. — 

acarla, o bilkete, eic., fermer, plier, cacheter 
une leitre, etc. — a aböbada , (Ag.) änir, termi- 

ner une chose , y metire la dernidre mein. — a 

poria, (flg.) se refuser obstinöment & ce qu’on 
demande ; enlever tous les moyens de re&ussir. 

Fecnin, ©. n. terminer, venir jusqu’ä... — 
oomalguem, (flg.) fondre sur quelqu’un, l’at- 
tsuuer, leserrer de pres. 

Fecuin-s£ ‚v.r. se fermer ; s’enfermer (chez 
soi, dans sa chambre, etc.). (fig.) Eire reserve, 
se wire. (td.) Faire le mesquin. Se reprendre, 
se rejoindre, parlant des chairs coupees. \. 
Cerrar-se. — sobre si, ne prendre conseil que 
de soi-meme. — a ferida, a chaga. V. Cicatri- 
kar-se. Fecharem-se todas as porlas, ( Ag.) 
wourer toutes les portes fermees. 

Ficno, s. m. verrou, pene, barre de porle, 
elöture, tout ce qui sert A fermer.*Conclusion ‚ 
fin d’un discours. V. Remale. — da ab6bada, 
clef d’une voute. — d’assucar, caisse de sucre 
pesant douze arrobes. —s, pl. fermoir, agrafe 
(dun livre, etc.). (t.d’arat.) Les os du bassin 
de la femme. —s da espingarda,, " plaline de fa- 
sil, batterie. Homemduro dos —s, fg.) humme 
mesgquin, avare; d’un caractere dur. 

FecriL, s.m. (1. d’ant.) fecial : pretre romain 
qui Consacrait les traites, etc., par des forma- 
lites religieuses. 

"Fecro. V. Feito. 

‚Fecura ,s. f. (£. de med.) fecule : sediment de 
ligaear; l’un des principes des vegetaux. 
FscuLenro, a, adj. fecalent: qui döpose une 
lie, charge de lie. 

‚Facunvacäö, s. f. fecondation : action de 
föconder, ses effets. 

Facoxpäpo, A, p. pP. de Fecundar. 

Fecunpanon, A , 3. qui feconde. 

Fecönpamente, adv. abondaınment, d’une 
maniere f&conde. 

TFecunnäintg, adj. 2 gen. fecondant : qui 
rend fecond. p. a. de 

Fecunpär, vo. a. feconder : rendre fecond, 
ferliliser. (4g.) Rendre fecond , abondant; en- 
Courager, faire prospörer (les arts, etc.). 

" Fgcönnia. V. fecondite : qualit& de 

Fecunpipäne,, 8. f. | cequiestfecond; abon- 
dance; fertilite. 

Fecenpissımo , A, adj. sup. de 

Fecönpo, a, adj. fecond : qui produit beau- 
Coup par la generation; fertile; abondant. (Ag.) 
=, Qui produit beaucoup (auteur, esprit); qui 
(ournit beaucoup (sujet): d’oü decoulent beau- 
coup de veril&s (principe). 

Fepea,s.f. (t. d’Asie) monnaie de Cambaye, 
douze reis portugais. 

Fapxcösa , 8. f. (t. de bot.). V. Vulodria. 

Fendechso, A, adj. V. Fedorento, Fetido. 
Heron —a. V. Vulvaria. 

RDELHO, 5. m. marmot, petit garcon. (£. de 

mepris) Blanc-bec. ‚PoKt gargon. ( 

Feptr, ©. ®%. puer, sentir mauvais, (fig.) En- 
Duyer, fatiguer, peser. 


FEI 997 


Fenmnacid, s. f. federation, alliance, union. 
V. Confederagds. 

Feognino, a, adj. V. Confederddo. Federe, 
alli6 par f6deration. 

FeozniL, adj. 2 gen. federal, (gouverne- 
ment) federatif. 

FEOERALISMO , 3. m. föderalisıme : systeme du 
gouvernement [6döral. 

Fepgaalısta, s. m. f6deraliste : parlisan du 
gouvernement f6deral. 

Fepenativo, a, adj. federatif : (pacte, etait, 
gouvernement) del’alliance, de la federation, 
qui y tient. 

FEDERALIZÄDO, A, 9. pP. de 

Fepgnauızirn,,v.a. federaliser : faire adop- 
ter le rögime federatif ; former une federation. 

FEDERALIZÄR-BE, 0. r. se federaliser : adop- 
ter le regime föderatif. 

Fepirnaco, A,adj. qui trahit son serment ; 
qui rompt une alliance, etc. 

-FeDissıno,, A, adj. sup. de 

F£oo. V. Feio, Törpe. 

FenöR , 3. m. " puanteur, infection, mauvaise 
odeur. 

FEDORENTAHENTE, adv. puamment : aveo 
puanteur. 

Feportnto, A, adj. puant: quisent mauvais. 

+ Fre, s.m. (l.dMist. nat.) fel6 : grand 
gibbon de la Chine. 

* Fecura. V. Figura, Reirato. 

FEIAMENTE , adv. V. Föamente. 

Feiciö, s. f. forme, figure, taille; linda- 
ment, trait du visage; facon, maniere; hu- 
meur enjoude. Homem de boa — , homme gai, 
enjoue, bon vivant. —öes, pl. physionomie, 

* Feipariıno. V. Feudatario. 

Fzısäö, s. m. haricot : plante lögumineuse, 
son fruit. 

Feuoipa, 3. f. * plat de haricots. 

FzuoiL, s. m. champ de haricots. 

Fzuotıro, s. m. haricot, la plante. 

FRıo, A, adj. laid, difforme, hideux, vilain, 
desagreable & la vue. (4g.) —, vilain, deshon- 
nete, vicieux; honteux, noir, horrible. Sum- 
mamenle —, diablement laid. — como um böde, 
(fam.) ou como o diabo, diablement laid, laid 
comme le peche. Quem — ama bonilo, ou for- 
moso, Ihe parece, (loc. prov.) iln’ya pas de 
laides amours. 

Ftira ,s. f. foire, grand marche. 

FRina ou Fänıa, s. f. ferie : chaque jour de 
la semaine , le dimanche et le samedi except6s. 
Segunda —, *lundi. Tergs —, "mardi. Quarla 
— , * mercredi. Quinta —, "jeudi. Sesta —, 
*vendredi. 

Feinino, A, pP. p. de Feirar. 

FEIRÄNTE, s. m. marchand forain; brocan- 
teur qui court les vontes. 

Feınir, v.a. vendre, acheter dans les foires 
ou marches. (fig.) Acheter, faire desemploises 
dans une boutique. eto. 

* Feırin. V. Ferir. 


Feissıyo, a, adj. sup. de Feio. 





598 FEI 


Feıra,s./. fois. D’esta —, pour le ooup; cette | 


fois-ci. 

FeıtaL. V. Fetal. 

Feıtiido,A,P.P..do _ 

Prıtiin, v. n. jeter ses excr&ömenis, parlant 
du lapin, da rettard. 

Feırıcaria. V. Feiticeria. 

Parıckina, 8; f. sorciere. V. Brucha. 

Fermickıro,adj.ets. m. soreier, magicien, en- 
ebanteur, endorceteur. ( Ag.) Enehanteur : qui 
sttire, qui gagne les cmurs; ravissant; sedui- 
sant. 

Faırıceaia, s. f. sorcellerie, feerie. (Ag.) 
*Charme : art de captirer les caurs. V. Feitigo. 

FeiricmEo, 8. m. dim. de 

Feırico, 5. m. sorlilöge,, malößce, enchan- 
tement, charme. (fig.) Charıne, attrait. V. En- 
canto. Dar —. V. Enfeiligar. 

Feıtigo, A, adj. artiliciel, feint, faux. Chave 
— 6, fausse clef. Pdo —, bäton en poinle, 
gourdin pour atlaquer. 

Feirio, s. m. * [acon, main d’auvre ; forme, 
figure; maniedre, sorte. Gros excremenis des 
atıiimaux. —da modda.V. Braceagem. Do -—-de, 
en forme de, en guise de, comme. Por tal —, 
de telle maniere ou sorte. Sem — , sans gräce. 
Perder o—, perdre sa peine, travailler sans 
proflt, en pure perte. —s, pl.(p. ws.) bustes, 
statues de plätre. 

FeıTo (plante), V. Flo. 

Fiıro, sr. m. fait, action, acte; acte d'un pro- 
ces, procedure, plöces d’un procds. Evene- 
ment. Exploit, fait militaire. * Occupation, but. 
—, pl. faits, exploits. it. Procts, pieces d’un 
proces.it." Evacuation alrine. Fazer os eus—s, 
aller & la selle. — d’armas , haut fait d’armes. 
Perdoar 0 — e por fazer, @tre trop indulgent. 

Feiro,A,Pp. p. frr. de Fazer. adj. Fait; ac- 
coutume ; termine, conelu. Bon, [ixe, parlant 
du temps. — &, c'est falt, c’en est fait. Estd—, 
(Toc. ad».) c’esı blen, c'est bon. Homem —.V. 
Adulto. Que foi — d’elle? qu’est-il devenu? 
Due E —P qu’etes-vous devenu? Isso E 0 mes- 
mo como #8 eslivdra —, e’est comme si c’etail 
fall. De —, (ado.) elfectivement. Isto esid 
las — ou d4,se por —, cela est comme fait. 

Feitörn, 5. m. regisseur, facteur, gerant, 
commissionnaire. Intendant; administrateur. 
(vreux) Faiseur, celui qui fait. 

Fritöna,s. f. femme du Feilor ; regisseuse ; 
administratrice. 

Ferroata ,s. f. "emploi, ministere de facteur; 
adıninistraiion U’une metalrie, d’une ferne. 
Factorcrie: bureau des facteurs des compagnies 
de comınerce dans les Indes, etc. Marchandises 
yui sont serrees dans les magasins d’une [acto 
rerie. Corps de negociants etrangers, ou de 
facleurs de n&goce, etabli dans une ville. * Ar- 
senal : magasin pour les efets de guerre. 

Feironzino, A,p.p. de 

Frironzär,v. a. adıninistrer, regir, gerer; 
avoir l’'invendance de. 

Frirüunı, ». f. action de faire; faton, travail; 
onYrage, struchure, construction. Creature. 


FEL 


(propre ei Ag.) Duvrage, efet, is V. Faclura. 
‚ Faıxe, s. m. [agot (de bois & brüler); fais- 
ceau, boite (de paille, de foin, etc.); gerb- 
(de bl&) ;madrier de pressoir. 

FEIXEzINnO ou —XINnO, 5. m. dim. de Fein, 
petit fagot,, petite botte, petite gerbe. 

Fer, s. m. fiel: liqueur jaunätre et am°r: 
qui se trouve dans une vesicule pres du fur. 
(fig.) "Haine, aigreur, animosiles, ressentimer. ; 
amertume.—da terra, (t. de bot.) fiel-de-terte, 
petite centauree, plante medicinale. Näo kı 
mel sem — , il n’y a point de roses sans epine 
Näo ter — ouser pomba sem— , (fam.)n’aroır 
point de fiel, &tre d'une humeur douce , Gebon- 
naire. Fazersse de — e vinagre, se faire beau- 
coup de mauvais sang. Pouco — faz amarıı 
muüilo mel, (prov.) une gouite de fiel suffit pour 
rendre amer un baril de miel : un pelit desagt«- 
ment suffit pour empoisonner beaucoup ce 
jouissances. 

+ FeinespiTo,s.m. feld spalh, kaolin : terre 
chinoise & porcelaine. 

+Feica, s. f. glebe, molie de terre broyer. 

Ferice, etc. V. Feliz, etc. 

Feuicmäve, s. f. felicite, bonheur, bonne 
fortune; succes. Por —nossa, heureusemer! 
pour nous. 

Feuicissiname&xte, ade. sup. de Felizment. 
Tres-beureusement. 

Feuicissimo, A, adj. sup. de Feliz. 

Ferictaciö, s. f. felicitation , pl. us. au pl 
(— des). V. Parabens. 

FeLicträpo, A, pP. p. de Felicitar. 

FELICITADOR, A, 3. qui fAlicite; qui ren! 
heureux. 

Feuicıtia, v. a. feliciter (de), complimen'v: 
Quelqu’un sur un bonhear, un avantage,!" 
succäs, eto.; tdmoigner la part que l'on prev! 
& la joie de... Rendre heureux. 

FeLiz, adj. 2 gen. heureux, fortune, biet- 
beureux. Repular-se —, ler-se por —, ses! 
heureux. O homem ndo nasceo para ser —, ! 
bonbeur n’est pas fait pour l’homme. 

FeLizMente, ado. heureusement, Bien. 

FeLLıröbıo. V. Polypodio. 

Fe£ıra, s. f. panne, peluche; poil d’eoffer. 
(1. de bot.) * Velu (d’une plante), la partie desa 
surface. 

FeLrivo. V. Felpüdo. 

‚Katrecnii ‚3. m. sorte de ürap de Jaine ı#- 
glais. 

Frıpr6oo, A, adj. peluche. On le dit des 1= 
pis, etc., qui ont de longs poils. Velu: couter 
de poils. On le dit aussi en termes de botaniqu® 
(corolte, &lamines, etc., velues). 

FeLtrino, A, 9. pP. de Feltrar. . 

FELTRADOR,, s. m. feutrier: ouvrier qui pe 
pare lo feutre. 

Frıtnän, v. a. feutrer : ınettre du feutre; 
faconner le poil ä chapegu ; garnir de feutre. 

Feurno, 3. m. [eutre : etoffe non tissue, falle 
en toulant la laine om le poil; mauyais cr 
nean. 

Ferlorw. V. Fuligem, 











FEN 


Fuzi, s. f. fomeile: animal qui concoit et 
produit les petits ; (leur) qui n’a pas d’etamine. 
Femme. (8. d’arts) —,, fer scell&, ereuse pour 
receroir le pivot du ventail.Chose dans laquello 
une autre s’embolte. Porte d’agrafe. —s do 
leme, (t. de mar.) femelles ow ferheloß : an- 
neaux qui portent le gouvernall. 

„Feseico, s. m. (t. durl.) les femmes, les 
Sles publiques. 

Feuzar. V. Feminil. 

*Fenenca, s. f. diligence, activitö & faire 
gaelque chose. it. V. Altensdo, Vehemeneia. 

* FEMENGAR , v. a. solliciter vivernent. V. Se- 


wiergar. 

+ Fementivautute, ade. faussement, perfl- 
dement ‚avec deloyaute, trahison , manque de 
bi. 

Fesentrino, A, adj. felon : infiddle A sa pa- 
‘le, qui viole sa fol, ses engagements; de- 
Ayal, perfide, sans foi. 

Feminäpo. V. Afeminddo. 

Feuin£ra,s. f. (f. d’artil.) tete cylindrique 
de l’&couvillon. 

Fenineo, A, adj. V. Femimino. 

Fexininine, s. f. faiblesse föminine ; pusilla- 
nimite, 

FenminiL, adj. 2 gen. V. Feminino. 

FEnınino, A, adj. f&minin : qui tient & la fe- 
melle, ä la femme, qui lui appartient ow lul 


ressemble ; du genre oppose au masculin. Pla- . 


nelas, signos —s : on le dit, cn astrologie, de 
Venus et de la Lune ; des signes du Taureau, 
du Cancer, de la Vierge, du Scorpion, du Ca- 
pricorne et des Poissons, et enfin du second 
quariier du theme cöleste. 

tFemoriL, adj. 2 gen. (1. #anat.) f&moral : 
de la cuisse, du f&mar. 

Feuun, s. m. (tl. d’anat.) fömur : os de la 
euisse, 


+ Fanc#iö, s. m. (f. d’hist. nat.) fenchon: 


quadrupdde du Nord , rat 6itphant. 

Fenpa, s. f. geros: pelite orevasse dans le 
bois ; fonte. 

FenpeLkina , 3. f. ooin a fendre los barres de 


FERDANTE, adj. 2 gen. qui fend du haut en 
bas.s.m. Fendant : coup du trancbaut d’une 
epee, d’un sabre du haut on bas. 

Fenpen, v. a. fcudro ; diviser, s6öparer, cou- 
pet en long oss autrement; separer par loıce. 
Iraverser. 

FEnn£en-SE, v.r. se fendre, s'entr’ouvrir, se 
diviser, 

Farpipo, A, P. pP. de Fender. 

+ Fenpiminto, s. m. aclion ot effet de fen- 
dre. °Fente. 

Fruoixua, s. f. dim. de Fenda. 

Fenscen, vo. a. Änir, prendre fin; moutir, 
änir, cesser de vivre, deccder. 

Fenscımo, 4,7. p. de Fenecer. 

FEngcım£nTo,s. m. "fin, conclusion. Decds. 

Fensicg, adj. 2 gen. \ Phenicien : de Ja 

Fesicıo, A, adj. ets. Phenicie. 

FexicoLo, V, Funcho, 


FER 


Fenz. V. Phoenix. 

F£xo,s. m. foin: herbe graminee, ele. „das 
pres, ete,, osupee et scohde. — scrodig, re- 
gain. 

t Fenocrtco, s. m. (1. de bol.) lenurgrec. 
V, Alforess. 

HENÖMENO, V. Phenömeno. 

ENTAL. 

as | v. Fät... 

F£0.V. Feto. 

’Feeenıuno, A, adj. qui a mangque A la foi 
promise, 

Fera, s. f. bele leroce. (fg.) Persenne 
cruelle, feroce. Cumbate das —s, oombais des 
animaux , speclacie des beles. 

Fenacissıno, A, adj. sup. de Feraz. Tres- 
fertile,, trds-fecond. 

* Ferär, adj. 2 gen. (uneste, fstal, qui me- 
nace de mort; cruel. 

* Feraz. V. Fertil. 

+ FeacuLo,s. m. (1. d’ant.) meis, plat, ser- 
vice, ce qu’on mei sar table. Especo de bran- 
card ou de chariot qui servait & porter dans les 
cöremonies les statiues des dieux, les images 
des villes prises, etc. 

Feapıztıo, s. wm. V. Verdizela. it. Oiseau 
de l’espöog des becs-fgues ou ortolans. 

+ FeneröLnı, s. 2 gen. persanne inquidie, 
remuante; hommo qui se mele de tout, qui fait 
le bon valet, ’eınpresse ; intrigant. 

Finzrao, s. m. *“ biere, cercueil. 

Ferkza,s. f. ferooite; ( Ag.) eruamle, inku- 
manite. = 

F£rıa, s. f. ferie: jours de la semeaine. " Me- 
moire, liste des jowrnees des ouvriers dans une 
semaine; Journee ow salaire d’un jJournalicr. 
—s, vaeances des tribunaux, des tcoles, des 
seminaires, eic. Der —s,( ig.) denner repos. 

FertiDbo, A, p. p. de Feriar. adj. Ferie, de 
conge (jour). Die —, jour ferie, o& les tribu- 
naux sont ferm6s, f&te du palais. 

FeriiL, adj. 2 gen. fürial : qui regarde I 
ferie. 

Frriän, v. n. feter un Jour; suspendre son 
travail, se reposer ; @lre en vacances, avoif 
conge. Il est aussi r&ciproque. 

Fenipa,s. f. Biessure, plaic. Coup d’epee , de 


599 


1 sabre, eic. (Ag.) —, afliction, chagrin. (I. de 


chass.) Endroit oü se pose le gibier poursuiwi 
par un oiseau de proic. Renorar a —, (fig.) 
rouvrir une plaie, une blessure. Dar, focar @ 
alguem na —, (fig.) toucher dans l’endroit le 
plus sensible, toucher au vif. Cheio de —s, 
couvert de plaies, de blessures. 

Fenipine, 8. f. ferocite. 

Ferininda,s. f. dim. de Ferida. Petite bles- 
sure , blessure legere. 

Ferino, A, P. p. de Ferir. adj. Blosse. (de) 
(fig.) Blesse, offense. Commence, en parlant 
d’un combat. — do rdio, frappe de la foudre. 
Batalha bem —o, combat chaud. Mal—, ıres- 
blesse; gridvement, dangereusement blessö. 
4 grito —, d grands cris, ä lue-IEle. — na cu- 





600 FER 


bera, nas Pernas, eic., blesse A la 1#le, aus 
jambes. 

Fraıön, A, adj. eis. qui blesse, qui [rappe, 
etc. Meurtrier, assassin. it. V. Fusi. 

Framwoına. V. Ferefolha. 

Ferxıukto, 8. m. "action de blesser, de frap- 

2r. 

P Frxino, A, adj. ferin, cruel, farouche, san- 
guinaire; feroce ; d’animal feroce. 

Farin (em; de, com) blesser: donner un 
coup qui (ait une plaie, une fracture, une con- 
tusion, to. (fig.) Frapper, toucher, affeoter, 
alteindre, offenser, insulter. Chätier, punit. 
— s betalka , commencer lo combat. — a di 
culdede,, trouver le naud de la diflicultd. — @ 
eörda, toucher la corde d’un instrument. — 
iums ou fogo, battre le briquet. — Deos a al- 
guem, ötre puni de Dieu. — or, as esirellas, 
com gritos, lamentios, eic., faire reientir }’eir, 
les cieux, de cris, de pleurs, etc. — as leltras, 
prononcer distinctement les lettres. — 0 ponio, 
avoir mis le doigt dessus, avoir touch6 au but. 
— pelos mesmos ou pelos proprios os, (fig.) 
se servir contre son advorsaire de ses propres 
armes. 

FERıR-6E, v. r. so blesser : se faire du mal ä& 
soi-möme. ( ig.) S’offenser, #’irriter. 

Feaissımo, A, adj. sup. de Firo. Tros-le- 
roce. 

* Frautuca. V. Oredito, Fe. 

Faaumentacäö, s. f. fermentation, avoo los 
mömes acceplions du mot [rangais. ‘ 

FERuEnTiceo, A. V. Fermentavel. 

FERMENTÄnO, A, 9. p. de Fermentar. 

Frauentir. V. Fermeniavel. 

T FERMENTÄNTE „adj. 2 gen. (ermentant : qui 
fermente ; en &tat d6 fermentation. p. a. de 

FEAUENTÄR, v. a. fermenter ; causer la fer- 
meontation ; meitre en fermentation. v.n. —, 
etro en fermentation ; s’agiler, se diviser, se 
ılecomposer par elle. (Ag. se dit des esprits) 
(zuiller, se dit de la biere qui fermente, qui 
jette sa levure. Lever, fermenter, parlanı de la 
päte & faire du pain. 

t FERNENTATIVOo, A, adj. fermentatif : quia 
la vertu d’exciter la fermentation. 

TFERnEnTÄveL, adj.2gen. fermentable: qui 
cst susceptible de fermenter. 

t Fenmentsscente, adj. 2 gen. fermentesci- 
bie : dispos6 & [ermenter, 

Fzautnto, s. m. ferment, levain (prop. et 
FERMOSAMENTE , adv. joliment. V. Bella- 
mente. 

FERMOSEAR. 

FERMOSENTAR. 

FERMOSO. 

FERNOSURA. } V. Form... 

Feno, Aa, adj. sauvage, feroce, cruel. (Ag.) 
Enorme, deömesure; grand. s. m. V. Feros, 

Feaöce. V, Feröz. 

Fzaocipine, 3. f. förooilt , oruauts, inhuma- 
nite,, naturel feroce. 

Fenocissimo, A, adj. sup. de Feroce. 


} V. Formosear. 


FER 


Finos, s. m. pl. * menaces, bravades, rodo. 
montades. — de bugio, jactance, forlanterie, 


. fanfaronnerie. 


Fsaöz, adj. 2 gen. [eroce, farouche, eruel, 
inbumain, impitoyable. 

FEROSMENTE, adv. avec ferocilt, eruellement, 
inhumainement, impitoyablement. 

Fenna,s. f. pelle & feu. it. Action de mar- 
quer d’un fer rouge (les chevaux, le betall). 

Frani, Feaniı ow Ferain, s. f. * fourrage 
ver d’orge, de seigle, eic. 

Feanipda, s. f." meconium : excrementsneoifs 
et epais d’un nouveau-ne. ° Seau & puiser de 
l'eau. 

Funkido, A, 9. p. de Ferrer. adj. Ferre: 
marque d’un fer rouge. — na punia, ferre par le 
bout. Agoa—e, eau ferree, cau oü l’on a plonge 
un [er rouge ou rouill6. — de rampdö , ferre ä 
glace. V. Aferrado,, Agarrado. 

Feraindo, s.m. noir de seche. Seau & traire. 
Meconium. V. Ferrada. 

FrananorR, 5. m. marschal-ferrant. 

Fennapüna,s. f. " fer ächeval. 

FERRADURINuA, 5. f. dim. de Ferradura. (1. 
de bot.) * Hippocrepe : ler-a-cheval,, plante Iegu- 
mineuse. 

Fenriz. V. Ferrä. 

Feanicen, s. f. ferrure; [erremenis, quia- 
caille; toutes sortes d’outils en fer; commerce 
de quincaillerie. Loja de —, boutique de quip- 
cailler, de quincaillerie. —do leme, (1. de mer.) 
ferrure du gouvernail. 

Ferracıir. V. Ferregial. 

FERRAGCOULO ou surliout, capote de sor- 

FzarsöuLo, s.m. 5 dat. V. Gabdö. 

FenriL, adj. 2 gen. Uva —, raisin violel 
dont les grains sont tres-gros, durs et fermes. 

FERRAUENTA, 5. f. * ferrement; toules sortes 
d’outils en fer; affütage. ( fam.) Dents. 

* FennamentäL. V. Forramenia. 

Fznniö,s.m.*poinie de fer, bout(decanne, 
etc.); dard, aiguillon (des abeilles, etc.). 

Feaniösinno, s. m. dim. de Ferrds. 

Fennira. V, Farrdpo. 

Fernän, v.a. ferrer: garnir de fer; melire 
des fers aux pieds des chevaux. Marquer le b& 
tall ou un esclave avec un fer chaud. Harpon- 
ner, accrocher. Jeter l’ancre. — as velas, (1. de 
mar.) ferler les volles. — 0 porto, a berra, (id.) 
Jeter l’ancre, mouiller. — o dordds, fixer ie 
baton dans la terre. (fig.) Planter le piquet en 
un endroit. — as unkas om..., empoigner for- 
lement. —umndgro, estamper un nögre. —de 
rampdo , ferrer ä glace, cramponner (un che 
val). — ocorpo, tatouer le oorps. V. Ferrer-s. 
— um cdo dammado , flätrer un chien enrage. 

Fganin (com), o. ». fondre sur (queiqu’un), 
Patiaquer, le serrer de prös. — no somne, dor- 
mir prolondement. — do trabalko , coommencek 
le travail, s’y donner. 

FERRÄR-SE, ©. Fr. se Latouer : barioler le corps 
avoc des couleurs impregndes dans les pigüires 
ala peau. it. V. Afferrar-se,Crerar-m, 











FER 


FER 601 


tFennina, 8. f. (4. de geog.) Ferrare : ville ' resguardar, (id.) fer de calfat & frei, owcalfat 


et duche d’ltalie. 

+ Franz, a, adj. ets. de Ferrare. 

Feanania,s.f. ferronnerie : fabrique, lieu du 
debit du fer. Forge : lieu oü l’on fond le fer 
und ies mines ; affinerie. 

"FERRAROLO. 

‘“FERRARUELO. | V. Ferragoulo. 

*Franatoina. V. Ferreloada. 

"Frnnizas, s. f. pl. ancien impöt en Portugal. 

FennecıiL, 5. m. pr& seme pour fourrage. 

Champ seme& de blö, etc. 

FERREIRINBO, s. m.dim.de Ferreiro(oiseau). 
Ferntino, s. m. forgeron : ouvrier en fer. 

Petit oiseau dont le chant imite le bruit des ou- 

vriers en fer. On donne ce nom en general aux 

petits des oiseaux qui sont encore au nid. Em 
casa de — espelo de pdo,(prov.) les cordon- 
biers sont les plus mal chauss&s. 

Feanssano, A, P.p. de 

Frangsin, ©. mw. faucher l’herbe, le foin; 
couper du fourrage; fourrager. (fg. buri.) V. 
Negoeiar. 

Feratnno, a,adj. couleur de fer; dur comme 
le fer. (Ag.) Dur, impitoyable, inflexible. 

F£nazo, A, adj. de fer; ferrugineux. (fg.) 
Dur, rude, rigoureux, inflexible, inexorable. 
De fer, qui appartient au sidcle de fer. O0 — 
dente, (podi.)’ancre.—somno,sommeil pesant, 
secablant; le sommeil de la mort. Agua —6, 
eau ferrde. 

+ Franztoro, s. m. (1. d’hıst. nat.) ferreole : 
grand arbre des Indes, de la diecie. 

Fauntrz, s. m. fer A marquer; marque, fl&- 
lrissure, stigmate. (prop. et Ag.) Cuivre ou lai- 
ion brül& pour la teinture. Azw — , bleu fonce. 

FERRETEADO, A, P.p. de 

FERRETRÄR, ©. a. marquer avoc un fer. Stig- 
matiser ( prop. ef fig.). 

Faangroipa, s. f. pigüre d’aiguillon d’in- 
secte os de la pointe d’une epee, etc. (Ag.) 
Mot piquant. Dar uma--, dire un mot piquant. 
— de pragu£nto , mot mordant. 

Feaneroino,,A,Pp. p.de 

Feaneroär, ©. a. piquer avec l’alguillon, 
aiguillonner. V. Espicagar. 

Fernnıcöcos , 3. m. pi. V. Farricoco. 

Fernicöqug , 3. m. (tl. burl.) petit homme. 

FeRao,s. m. fer :metallortdur, peu malleable, 
compacte,Y’un grisargenie ownoirätre, solide, 
sonore , ductile, Je plus elastique, le plus lenace 
apres l'or.Marque qu’on fait aux chevaux, eic., 
avec un fer chaud.— ‚instrument, outil en fer, 
poincon ; arme aigud ow Iranchante; pointe de 
fer au bout d’une pique, d’une lance, etc. (fg.) 
"Epee, poignard. (l. de mar.) “ Ancre. — coddo , 
fer en saumons. — velho, ferraille; marchand 
de ferraille. — vergwinkha, fer en barres ron- 
des peu &paisses. — em folka, töle, fer en 
feuilie. — em laminas, fer en plaques. — de 
enerespar o cabello, d’engomar, fer & friser, 
fer ärepasser. — de cortar, (1. de mar.) *"gui- 
gnete. — de rebaler as costuras, (id.) ler de 
callat double oa canneld. — de calafale para 


ä fret. Coragdo de — , caur de bronze ow d’ai- 
rain. Pdo—, bois de fer. Cabera de — , (fig-) 
(le de fer : homme extrömement opiniätre. 
Voz de — ‚voix trös-forte. Cdo de —, ciel d’ai- 
rain. Ter corpo de —, ou ser de—, (fig.) aveir 
un corps de fer, @ire infatigable. Estar sobre o 
—, (l.de mar.) @ire sur le fer,& l’ancre. Levan- 
tar —, (id.)lever l!’ancre. A—quenie malkar de 
repente, (prov.) il faut battro le fer Landis qu’ıl 
est chaud. Malhar em — frio, (fig.) reprendre 
une personne incorrigible ‚savonner un negre. 
Quem com — mala com — morre, qui [rappe 
avec le fer perira par le fer; ils seront punis 
par oü ils ont peche. —s, pl. fers, chalnes de 
prisonniers. (fg.) Captivits, esclavage. Pfr, 
meiler em —s , melire les fers aux pieds d’un 
assassin, eic. Ter alguem a —s, avoir quel- 
qu’un en prison. —s d’el rei. V. Carcere, Pri- 
sdö. —ı dos porlalös, (1. de mar.) chandeliers 
d’öchelle. —s das trincheiras, (id.) chandeliers 
de bastingage. —s dos guardamancebos , (id.) 
chandeliers des gardes-corps du beaupre. 

FraxosiLna. V. Forroupilha. 

FERROLHÄDO, A, P. pP. de 

FERROLHÄR, v. a. verrouiller. Enchalner : 
mettre aux fers. V. Afferrolhar. 

FERRÖLNHO, 3. m. verrou : cylindre mobile 
entre deux crampons, etic., pour fermer une 


rte, etc. 

Feanöxuo. V. Ferrönko. 

FeraopEino, A,p.Pp. de 

+ Fennorgan, ©. a. netire les fers aux pieds 
d’un eriminel, etc. 

Fannortas, s. f. pl. fers mis aux pieds des 
eriminels. V. Grilköes. . 

Fzaroroino. V. Ferreioddo. 

FERRÜGEN ‚s. f. rouille: oxyde,crasse ow Ocro 
que Peau produit sur le fer et autres metaux. 
(t.de bot.) —, maladie des plantes. — do Irigo, 
nielle. — da chaminf, suie. Criar — , so rouil- 
ler. (Ag.) Eire sans exercice. 

FERRUGENTO, A, adj. plein de rouille, tout 
rouille. (fg.) Vieux, de mauvais goüt. Agulha 
—s, (fig. fam.) personne importune, intri- 
gante. 

FERRUCINEO, A, adj. ferrugineux ; 'couleur 
de fer, noir. (fig.) Triste, noir. 

Feanucındso, A ‚adj. ferrugineux : dela na- 
ture du fer, qui en contient des particules. 

Ferauuria, s. f. ($. burl.) epee rouilide, ra- 

iere. 

P FerriL,ady. 2 gen. fertile, abondant, fecond, 
ir&s-produciif (terre, annee, etc.). On le dit 
au propre et au figure. V. Fecundo. 

Fertiuipäpe, s. f. fertilite, föcondite , abon- 
dauce. 

Fertılissımo , A, adj. sup. de Fertü. 

'Ferriizacäd, s. f. fertilisation : action de 
fertiliser. 

FeariLızino, A, p. p. do Fertilizar. 

FeariLizapon,, A, adj. qui fertilise. 

FERTILIZÄNTE, adj. 2 gen. fertilisent : qui 
rend feriile. p. a. de Ferkilizar. 


602 FES 


Fertirizin,v. a. fertiliser : rendre fertile ; 


se dit fig. 


Fentiuızir, on. etre fertile; produire beau- 


coup. 


Ferto, s. m. (#. d’ani.) gätcau des sacri- 


ficcs. 


+ Fenöcca, s. m. magistrat, juge civil et cri- 


minel 4 Nankin. 
Fervza,s. f- V. Assofttida. 


FERVEDÖURO, 8. m. bruit de l’eau quı bout, 
bouillonnement; mouvement qui lul ressem- 
: ble; grand concours. (fig.) *Quantild, abon- 
dance; grande agitalion. Philtre amoureux. 
- -de gente, *loule, cohue. — de formigas. V. 


Formigueiro. 
Fenvenca, ou 
Fenvexcı,s.f. } 
FEnvente, adj. 2 gen. bouillant, fervent. 

(Ag.) Ardent,, tr&s-chaud. 

FERVENTENENTE, adv. avec ferveur.. 


FERvENTissımo, A, adj. sup. de Fervente. 


Tres-fervent. 


Fenven, o. ». bouillir, bonillonner. (}g., 
Eire bouillant, extreinement chaud. (de, em) 


(#g.) Fourmiller, abonder;; afluer, se porter en 


foule. (id.) Brüler d’impatience ; @tre &mu, 
agilc , Mine. — 0 mar, boulllonner, parlant des 
eaut de la ıner. — o sangue, bouillir dans les 


veines, parlant dn sang des personnes tr&s- 


vives. — em ira, bouillir de colere,, @ire Irans- 


portc de fureur. — em amor, bouillir d’amour. 
Fervendo em bichos, krouillaut de vermines. " 
Fenver, 0. a. faire bouillir. 
FErvEscexte. V. Fervente. 
FERrvijoo,A,P.p. Ge Ferteer. 
FEnvıno, A, adj. ardent, bouillant, brülant. 


(fig.) Anime, agile, vehement, impetucnx, vio- 


lent. Roda —a, rou6 
char). 

Fenvör, s. m. bouillonnement, ebullition. 
*Chaleur, feu, vigueur, vivacite. (}g.) * Ardeur, 
vivacite; ferveur, dlan, mouvement de l’Ame 
devote. 

Fenvorir, etc. V. Affervorar, etc. 

FERVoRÜSANENTE,adv. arcc lerveur, fervem- 
ment, . 

Fervoröso, A, adj. fervent : qui a de la fer- 
veur; ardent, brülant, vif, anime. 

Fervüna,s. f. * bouillonnement, &bullition. 
Ardeur, effervescence. Der uma —, fairc bouil- 
lir lög&rement. Lerantar —, tommencer & 
bouillir. Deitar agua na —, (fig.) mod£rer, 
apaiser l’effervescence de l’esprit, la colere de 
quelqu’un. 

+ Fescensıa ‚s. f. villede l’Etrurie orientale, 
aujourd’hui Galdse. 

+ FEscEnino, A, adj. et s. de Fescennia. Ver- 
808 —s , vers fescennins : espete de vers libres 
et saliriques qu’on chantlait aux noces. 

FEsta, s. f. föte, rejouissance, diverlisse- 
ment, jubilation; solennit6 en l’honneur de 
Dieu ou des saints;; spectarle, r6fuuissance pu- 
blique. Caresses : hon accueil, fete qu’on fait & 
uelqu’un. — do corpo de Deos, ia Fete-Dicu. 


brülartte, rapide (d’un 







* bouılionnement; effer- 
vescence. (fg.) Ferveur. 


FET 


Fazer — a alguem, faire un bon aceuell a 
quelqu’un, lecaresser. Fazer— a algum sans, 
chömer, c&lebrer la fäle d'un saint. Eslar de—, 
(fam.) eire content, joyeux. Pör-se de—, 
rejouir, se donner & des röjouissances.—s de 
guarda, les jours de fele d’obligation, fdtes 
chömees. —s Asus du eslareis, [dles immo- 
biles : fötes que !’on celebre ä des jours fixes. 
—s moreis ou mudareis, ftles mobiles: Idtes 
dont le jour change tous les ans. —s reacs, 
f6tes, rejouissances publiques en I’honnear 
d’un souverain. Dar as boas —s, soubailer les 
bonnes fätes, la bonne annde. Näo eslar pors 
—s, (fam.) &tre de miauvaise humeur. 

FestiL, adj. de fete, festal. 

FEsTänga, s. [.fete joyeuse , jeu, dirverlisse- 
ment, partie de plaisir bruyante. 

Festäö, s. m. feston : faisceau de branches 
ornces de fleurs et de fruils; ornement qui li- 
mite ; guirlande. 

FEsTEIRO,A,s. qui fait la d&pemse d’une fAte, 
d’une rejowissance publique. adj. Qui court les 
fötes; caressant. 

Frstesino, A,9.p. de Fostejar. 

Frstesanon,A,adj. ct s. celui qui fäte, qui 
cel&bre une f&te ; qui fait un bon accueil. 

FESTEIÄR, v. a. feter, chömer, e&lebrer une 
fete ; caresser, Testoyer, faire fete 2. 

FestE3o, s.m. *fele qu’on donne; accueil 
Natteur, bonne receplion.—s, pl. rejouissances 
publiques, 

Festin, s. m. festin, banquet. — publico, 
festin accompagne de musique, danse, elc.; 
feie. Tudo erdo feslins, ce n’elaient que feslins. 

FESTIvAL, adj.2gen. joycux,agreable, amu- 
sant, gai,enioue. Dia—, jour do rejouissance. 
V. Festivo. 

FESTIVALMENTE, adv. galment, d’une ma- 
niere enjouce, de banne gräce. 

FESTIVANE.NTE, adr. gaiment, joyeusernent. 

FEsTIvmäne, 8. f. celehrit&, solennile, ac- 
tion de solenniser, de celehrer un evenement; 
föte'd’un saint, etc. Rejouissance. 

FEstivo,a,adj. enjoue, gai, joyeux, badin, 
jovial, plaisant; de fäte. Dias—s, jJours defete, 
de rejouissance. 

Festo, s. m. la largeur d’un drap, d’une 
&toffe. Sorte d’ancien drap grossier. Panno de 
—.V. Enfestado. 

+ Festo, a, adj. (podt.) de fete, festal. V. 
Festivo. s. m. (vieu:r) Falle : combie d’un edi- 
ice ; sommet. 

FETäL, s. m. * fougeraie : lieu plantö de lou- 
göre. . 

FerXo. V. Feto (plante). 

FeTivo, A, adj. (etide : qui aune odeur forte 
et tres-desagreable. V. Fedorento. | 

Fero, s. m. (t. de bot.) — ordinario ou f?- 
mea, fougere femelle, imperlale, commune. — 
mächo, fouge&re mäle. — florido ou real, fou- 
gere aquatique, osmonde fleurie. 

Fero, s.m. (t. d’anal.) [Telus ou falus : em- 
bryon forıne dans la matrice, 

"Fston. V. Feüor, 





FIA 


"Ferro. V. Reito. 

Fernär, adj. 2 gen. feodal : qul ooncefneles 
Bels, leur appartient. 

FeopaLıpioe, 5. f. feodalite : qualite de Bel; 
foi et hommage. 

+ FeovaLısmo , s.m. feudalisme; systäme de 
la feodalit6; droits foodaux, et l’abus qu’on en 
faisalt. 

Feovarirto, A, adj. ets. Tcudalaire : pos- 
sesseur d’un fief, qui doit foi et hommage au 
suzerain. (Ag.) Tributaire, dependant. 

Feonista, 5. m. (4. de prat.) feudiste: vers6 
dans ia matiere des fiefs. 

Fevpo, s. m. fief : domaine noble, relevant 
d’un autre. 

Feöza. V. Fiüsa, Conflanza. 

Firena, s. f. fibre; Alament;; partie muscu- 
laire de la viande. — de palha, etc., brin de 
pallle, etc. Homem de — , homme vaillant, qui 
adunerf. Mosirar —, r&sister vigoureusement. 

Feventıro, 3. m. fevrier : second mois de 
lannde gregorienne. 

FevEröso, A, adj. dur, rude. 

"Fex. V. Barra, Fexes. 

"Favo,ete. V. Feio, etc. 

"Fran, etc. V. Ferir, etc. 

Fez,s. f. Fözes, pl. (pl. us.) föces, sediment, 
fie, scorie des metaux. Excrements. As—do 
poro, la lie da peuple.— de ouro, de prala, li- 
tharge d’or, d’argent. 

*Fia. V. Fidda. 

Fıacäd, 5. f. * lage; Blerie. Fabrica de —, 
fleture : lieu od !’on file le coton, la laine, etc. 

Fiäpa, 8. f. assise : rang6e de piorres, de bri- 
gties, eto. File, rangee, enfilade. (vieur) An- 
tienne mesure de grains, le seizi&me d’un al- 
gaier. — d’agwa, ration d’ean donnte aux ma- 
fins. 

Fıan£ıra, 3. f. Dleuse : onvridre qui Alle. 

FiıapiLno, s. m. "bourre de soie, filoselle, 
Neuret. 

Fıino,a,p.p. de Fiar. adj. File; degrossr, 
passe par la filiöre.st. Achet& ou venduä credit. 

Fıipo, 8. m. fill fil6, tout ce qu’on a file. 
— ru, fil ecru, 

Fıanor, A, 3. *caution : repondant, garant. 
Ficar por — ,, caulionner, r&pondre : se rendre 
caution pour quelqu’un ; demeurer garant, 

—,, donner, fournir caution. 

Fıanör, 3. m. *dragonne, ornement de la 
poignee d’ane Epee. Arret : piece qui arrete un 
ressort. * Fitiere : longuo ficelle avec laquelle 
OR dresso un faucon ä revenir. 

14DORIA. . 

* FıaADURA. } V. Fionga. 

*Fıi ou Fıia, 8. f. ancien vase. V. Almofla. 
if. le seizidme de l’almude. 

Fıäusne, 5. m. toute sorte de viandes gla- 
cees. Presunto de — , jambon glack. 

Finca, 5. f. caution, cautionnement, ga- 
Yantie , nantissement, garant. di. (p. ua.) Fienle 
des animaux. Dar —, donner, fournir caution. 
Ofter—abankos, acheter les bans. 

FrANDEIBA ‚3. f. Blouse, Niandiere, 


FID 603 


Fianpkıro, 3, m. fileer : Ouvrier qui Ble la 
soie, ta laine, ete. 

+Fıaspüöra,s.f.(pop.) lin prepare pour fller. 

+ Fıäxrino, s.m. (1. d’hist. nat.) fisnfiro : 
eachalot macrocephale du Japon. 

' Fıän,v. a. Bier : faire du Al, reduire en fil. 
it. Confler; vendre & credit, faire credit. Cau- 
tionner, se rendre caution, repondre (p. ws.). 

Fıän-sE (de, em), v. r. se fier, se conlier, 
avoir confiance en. — de todos, se fier A tous. 
Bem tolo d quem se fia n’elle ou n’isso, bieu 
fou qui s’y fie. 

Fisea, s. f. fibre : Mlaments delies dans les 
chairs, les membranes; nerf; flleis dans lcs 
plantes. 

Fırrina, s. f. fbrine : substance animale, 
flocons blancs et delies dans la chair muscu- 
laire et le sang. 

+ Fıpnöso , A, adj. fibreux: quia des fübres; 
qui leur ressemble. 

FiseLa. V. Fivela. 

Fıciva, s. f. demeure, s6jour. 

Fıcipdo, A,p.p. de 

Fıcir (em), v. n. demeurer, s6journer, 8’ar- 
röter; rester. (de) Convenir, promeltre , donner 
parole , s’engager &. Rester, &ıre de reste. Eire. 
Dans ce sens, il est towjours joint Aun adjectif, 
etc. — com alguma cousa, garder, relenir une 
chose. — por alguem , caulionner, repondre do 
quelqu’un. — por alguma cousa, prendre sur 
soi, se charger d’une chose. — w’umas Cousa, 
s’en tenir ä, se decider &, convenir de. — sem 
pinga de sangue, (fig. fam.) s’ellrayer, 8’epou- 
vanter, se saisir de peur. Näo —nada, ne res- 
ter rien. Ndo ficou um #6..., il n’yestpasresic 
un seul... — convencido, demeurer convaincu. 
— durvidoso ‚indeciso , ete.,tester dansledoule, 
dans P’indecision. — no campo, rester sur la 
place, &tre tu6 sur le champ de bataille. — em- 
bargado dedor, @tre saisi de douleur. —absor!o, 
etre saisi, etre Irös-&tonne. — debaizo, suc- 
comber, se laisser vaincre. — bem ou mal, se 
comporter, ou se tirer bien ou mal d’aflaire. — 
limpo, resier sans un sou, @tre äsec, elc., SUr- 
tout au jeu.—d ancora ou ancorado, (8. de 
mar.) demeurer sur le fer. 

FicäAR-SE, v. r. demeurer, sejourner, s’arred- 
ter. Rester court dans une harangae. — com 
alguma cousa, retenir une chose. Fiquo-ss com 
Deos, adieu, Dieu vous garde. 

Fıcciö, 3. f. fietion : invention fabuleuse; 
dissimulation ; supposition. * Mensonge. 

Fıccionärıo, A, adj. ficlif: feint, qui n’existe 
que par supposition. 

+ Ficaa, s. [. * jelon: piece de mötsl ou d’une 
autre matiere pour compter au jcu. 

Fıcnd, s. m. fichn : sorte de ınouchoir de cou 
de femıne. . 

Fıcricıo, A, adj. ficlice , factioe : imite, pro- 
duit par P’art. Feint, fabuleux. 

* Fıcrir. V. Fictieio. 

Fıcro, A. V. Fingtdo. p. p. irr. de Fingir. 

Fırirca, s. f. feınme, fille, eto.,d’un noble, 
teınine noble J'exiraction. 








604 FIE 


* FıniLcar,adj.2gen.noble, degentilbomme. 

FıpäLcauknte, adv. noblement , enseigneur. 

Fırarcanniö,s. m. aug. de Fidalgo. Grand 
seigneur. (irom.) Celui qui se donne des airs 
de grand seigneur. 

+ FipaLcuinnos, 8.m. pl. (1. de bot.) V. Hervs 
escovinkha. 

FıoäLco, A, s. gentilhomme: noble d’extrac- 
tion. —cavalleiro,cavalleiro—. V.ce mol. —de 
solar, de linhagem, gentilhomme de race noble 
et connue. — de carta, de merc4 , celui que le 
coi anoblit pour quelque service rendu. — de 
qualro cosiedos, noble qui a qualse quarliers. 
Foro de —. V. Föro. 

FıväLco, A, adj. noble:propre ä, digne d’un 
gentilkomme. 

FioALcöTK, 8. m. dim. de Fidalgo. Gentillä- 
tre : petit gentilbomme dont on fait peu de cas. 

Fıparcvia,s.f. noblesse : qualite de (l’homme) 
noble ; naissance illustre ; les nobles(d’une na- 
tion, ete.). (Ag.) Generosit®, magnanimile. 
( iron.) Gentilbommerie. 

FioEDicnissino,, A, adj. sup. de 

Fıpeoicno , A, adj. digne de foi, croyable. 

Fiosıcommıssinıo, A, adj. Adeicommissaire: 
quirenferme un Bdeicommis. s. —, charge d’un 
Ndeicommis. 

Fıpzicoumisso , s. m. (1. de pri.) Adeicom- 
mis : succession,, legs conß&s condilionnelle- 
inent en depöt & l’heritier. 

+ Fiıoxicommıssönıo, A, adj. fideicommis- 
saire : qui renferme un deicommis. 

FınzJussön , 8. f. (l. de prai.) Adejussion, 
vaulionnement. 

Fıpzsussörto , A, adj. (1. de prai.) relauil a la 
Nidejussion. 

Fıpzuiäpe, 5. f. Ddelite, foi, loyaute, ledga- 
lit; exaotitude Atenir sa parole ; ponclualite, 
exaclitude dans 00 dont on esi charge. 

FıpzLissıno, A, adj. sup. de Fiel. Titre des 
rois de Portugal. Sua Majesiade —a, Sa Majeste 
tres-Bdele. 

Fıptos, s. m. pl. sorte de vermicelle. V. Ale- 
tria. 

Fı0o,A,adj. (podt.) Bdele, loyal. 

Fındcıa ,s. f. confance en soi-meme ; assu- 
rance , hardiesse,, LEmerite. 

FıpvcıaL, adj. 2 gen. Aduciel. Linka —, ligne 
Bducielle. 

Fiıpuciänio, A, adj. et s. Aduciaire : indi- 
vidu charge de remelire une succession & un 
sutre ; (succession) Aduciaire. 

Fısına „s. f. flidre : outil d’acier troud pour 
Niier les metaux ; ficelle & faire tourner la tou- 
pie. it. V. Fileira. Dar pela — , donner mes- 
ıuinement. Passar pela —, passer par la flidre, 
par une &preuvedificile. Tomar conlas pela—, 
Jdeınander uncompte severe,raison Aqueliqu’un 
tres-rigoureusement. Pela — da justiga,, siric- 
tement,, en toute la rigueur de la loi. 

Fıgı (a, com), adj. 2 gen. fid2le, loyal; quia 
de la Adelite , qui garde sa fol, remplit ses de- 
voirs et ses ongagements ; exact, conforme A la 
verits ; qui estdans la vraie religion: il est aussi 


FIG 


substantil dans ce sens. Qui retien Bdelenent!, 
parfanı de la memoire. Qui a les qualites re- 
quises pour l’usage auqueli il est destine. 

FıgL, s. m. personne de conßance ; pelils 
branche qu’on laisse & un cep ; garde-magasin. 
belange,, languetis, aiguille de balance. 
— da balensa d’alfandega, da casa da modda 
eic., gardien du poids public d’une ville, eie. 
balanga do arougue, celui qui, dans cha- 
que boucherie, a la garde de la romaine qei 
sert ä peser la viende. — de feilos,, bomme de 
confiance pour porter les pieces de proces. 
da böia, (l. de mar.) la petile corde servant 
& saisir et porier la bouce. — da bosse das 
amarras,(id.)aiguilletie. Fieis de Doos, de- 
cedes Inconnus qui n’ont personne qui last 
leurs fanerailles. it. Monceau de pierres qu'oa 
meltait anciennemen! sur la sepultute des eri- 
minels. ‘6. Monceau de pierres ä cöte des routes, 
ou entourant une croix dans l’endroit od Fon 
avalt assassind quelqu’un. Fieis do campo, 
juges du camp, dans les anciens combals ea 
cbamp clos. 

Fısıpive ,s.f. sürets. V. Fidelidade. 

FıgLm&nte,, adv. Bdeiement : d’une manitre 
Sdele, 

Fica , s. f. amuletts contre les charmes et ls 
maux d’yeux. (Ag.) Moquerie, mepris. Der, 
faser —s, Isire la fgue : montrer le pouce ®&- 
ire les deux doigts voisins en fermant le poing 
en signe de mepris. 

FicapiL, adj. 2 gen. intime ; oordial ; du fond 
du caur. (viewz) Gai, enjoue. Odio —, haizt 
enracinee. 

FicanaLm&nte, adv. ınlimement, oordiale- 
ment, du fond du caur. 

Fıcapkina, s. f. maladie du foio chez les ani- 
maux., 

Fıcapinuo, a. m. dim. de Figado. Petit loie, 
foie d’oiseau. 

Fıcano, s. m. fole:: viscere situ dans !’hype- 
condre droit, organe secreteur de la bile. !. 
Sorte de dartre, chaleur de foie. (Ag.) Courage, 
valeur, resolution ; ca@ur, disposition. dos 
—s, Mauvais Caur. 

Fico, s. m. "üigue : frait du Aguier. Fie, 
ficus: maladie venerienne qui attaque l'aDus. 
Dans l’inde, on donne le nom de Ago A la bs- 
nane du Bresil. Ndo vale um —, (loc. pror.) 
cela ne vaut pas tripeile, Uns comem 08 —t, ! 
ouiros Ihe arrebentdo os beipos, (id.) le pere 
mange des [ruits verts, et le fils a les dents 
agacces. , 

Fıcugıra, 8. f. (#. de bot.) * Aguier : arbre qu 
donne la figue. — de Bengdla, figuier du Ber- 
gale, pipal, arbre de pagode. — drava, figuier 
sauvage, sierile, capriliguier. — do infern, 
pigeon d’Inde, ricin ; figuier de I’Inde. — de I» 
dia, figuier d’Inde; raquelte & feuilles oblen- 
gues. — do Egypto, Bguier sauvage ; sycomore. 

FıcuzinäL, s. m. "Äguerie : licu plante de 
üguiers. 

+ Fıcueıntno, s. m. bois de Öguiers. Aujou 
d’hui c’est un nom de famille. 








FIL 


Fıcugiaınua, 8. f. dim. de Figueira. 

Fıcvinno, s. m. dim. de Figo 

+ FıcoLina, s. f. ((.d’kist. nat.) Sgule: phex, 
Inseete. 








Fıcöaa, s. f. figure: forme extörieure d’un 
corps, d’an @tre; visage; symbole; chose qui 
en signifle une autre; apparence; espace Ten- 
ferme dans des ligues ; figure de rhetorique ou 
de grammaire; note de musigue; effigie, re- 
presentation d’une personne en peinture, en 
sculpture. * Personnage de comedie. —, carte ä 
jouer designee sous le nom de roi, dame ou 
valet. Attitude, posture. * Dessin. — celeste, 
thöme celeste en astrologie. — de vulio, figure 
en relief. Fazer —, faire figure : representer, 
jouer un röle dans le monde. Fazer boa —, 
jouer un bon röle. Estar em bos—, &ire en bon 
train; prendre une bonne tournure. Levanlar 
s— dalguem, faire l’'boroscope au point de la 
naissance de quelqu’un. Em —, en attitude, en 
posture; sur ie point de. Em — d’anjo, sous la 
forme d’an ange. 

FıcurabiLipäne, s. f. figurabilits : propriete 
qa’ont tous les corps d’avoir ou de recevoir 
une figure. 

Ficunacäö, 8. f. (1. d’asirol.) figure, forme, 
8 

FIGURÄDAMENTE , adv. figuröment, par meta- 
pbore;; au figure. 

Fıcunäpo, A, 9. p. de Figurar. adj. Figure, 
metapborique; orne, accompagns de figures 
de rbelorique; suppos6 ; imagine; represente. 
Baile — , danse figaree. Canto —, chant figure. 

Fıcuaär, adj 2 gen. (inus.) qui appartient & 
la figure. (4. de mus.) Figure. - 

Fıcvaänte, 8.2 gen. ligurant: danseur qui 
fgure dans les pieces, les ballets. 

Fıcunär „ ©. a. ligurer : reprösenter, par 
Fart, ia forme, l’image; representer comme 
symbole. 

Fıcunia (em), v. ». flgurer : paraltre sur la 
seene, dans un ballet; [faire figure. Jouer un 
röle. (de) Jouer le r6le de. — muiito em um ne- 
goeio, jouer un grand röle dans une affaire. 

Fıcunän-SE, v. r. se figurer, s’imaginer, se 
Fepresenter par l'imsgination ; penser, croire. 

Fıcunanias, 3. f. pl. singeries, momerios 
pour amuser les enfants. 

FiGuRATIVAMRNTE, adv. Ögurativement: d’une 
maniere figuralive. 

FicunaTivo, A, adj. figuratil: qui est la A- 
gure, le symbole de quelque chose. —a, s. f. 
(par ellipse) leitre figurative (dans la gramm. 
grecqus), desinence (dans la gramm. poriug.) 
qui caracterise certains temps des verbes. 

FıcuaiLHa, s. f. ou m. homme ridicule, mal 
bäti ; pantin, mayot, poupard. 

Ficurinua, s. f. dim. de Figura. Figurine: 
ügure tr&s-veiite en plätre, bronze, etc. 


"Funpa, 3. f. compliments qui terminent 


une lettre. 
“Fiss. V. Finddr, Acabar. 


FiLa, s. f. file, rang, ordre, disposition sur 
une meme Iigne, suite ou rangeo en ligne 


FIL 605 


droite; rang de soldais placds sur une m&me 
ligne. Cabo de —, chef de le. Em —, Alaflle, 
sur la m&me ligne. Cdo de —, mıälin, dogue, 
Cerrar as —s, serrer les rangs. 


Fırica, s. f. fllasse. 

Fıracttnus. V. Phylactersas, 

Firäpo, A, p.p. de Filar. 

Fıuacrina. V. Filigrana. 

Fı.amtnto, (1. de bot.) V. Filete. 

Fı.inpras, s. f. pl. filandres : petiis vers in- 
testinaux qui attaquent les oiseaux. 

FiLANTROoPia, etc. V. Phil..., etc. 

Fırär, v. a. lancer un chien. V. Agular. — a 
caria,filer la carte. v. ». Saisir, parlant d’un 
chien. 

Fıran£te, V. Filerete. 

Fırarciata. V. Arareza. 

FıLastertas. V. Phylacterias. 

Fıristica, s. f. Diasse de cAbles defails. 

FiLAT£RIAS, 8. f. pl. verbiage : abondance de 
paroles inutiles. V. Phylacterias. 

FiLATörıo, 3. m. *illature. V. Fiagdd. 

Fıraucıa. V. Philaucia. 

Fılkına ‚s. f. file, rangee. 

FıL&Le,s. m. etoffe legere de laine de Barbarıe, 

FıLERkTE, 5. m. esp&ce de rabot de menui- 
sier. ( t. de mar.) Bastingage. 

FıL&tg, s. m. ($.d’arch.) filet, listel : orne- 
ment d’architecture. Cordonnet. (#. de bot.) Fi- 
lament, petit fllet , brin long et delie. 

Fırua, s. f. ülie, enfant : personne du sexe 
feminin par rapport & ses pöre et märe. (fig.) 
Qui procdde, qui provient de. 6. V. Fila, Fi- 
Ihada. 


Fıruacid. V. Filiagdb. 

* Fıruiva. V. Tomada. 

* FıLnadaLco. V. Fidalga. 

FıLHADO, A,?. p. de Filhar. 

* FILHADOURO, A, adj. qu’on peut prendre, 
recevoir, etc. 

* Fıruavon. V. Tomador. 

* FILBAMENTO, s. m. prise d’une ville, d’un 
chäteau , etc. ü$. Enregistrement sur le nobi- 
liaire; tltre de noblesse. Lioro dos —s, nobi- 
liaire. 

* FıLsÄr ,o. a. enregistrer, coucher sur le no- 
biliaire. Prendre une ville, un chäteau, etc. 
s’en emparer. it. V. Filar, Agarrar. Cäo de —. 
V. Cdo de Kla. v. n. Pousser des rejetons, par- 
lant des plantes. 

FıLu£ıano, s. m. qui fait beaucoup d’enfanis 
prolifique. 


Fısıcipa. , 
FıLaıcıoıo, | V. Infantie... 


Fıruinna,s. f. dim. de Filka. Petite Alle, 
Nliette. (expr. de tendresse. ) Ma chere enfant. 

FıLzinno, s. m. dim. de Filho. Petit enfant, 
petit gargon. (expr. de lendresse) Mon cher 
enfant; petit mignon. —s dos animaes, pelils. 
— das arvores, rejetons. 

FıLno, s. m. üls, enfant mäle, relativement 
ä son pöre et & sa mere; se dit Ag. des choses 
personnifiees , relativement & leur cause, leur 
origine , leur principe. (Ag.) Chose produite par 


606 FIL 


une aulre; rejelon d’arbre et bourgeon, eic. 
id.) Nail d’un lieu ;religieus d’un ordre, Jun 
couvent; expression de lendtcsse eivers les 
personnes qu’on aime. Ouvrage, production de 
l’esprit. — d’animal, petit. — adoplivo, fils 
adoplif. — bastardo,, eulant bätard. — da agug, 
habilo marin ou nageur. — dashervas, culaut 
trouv&; celui qui ıra point de parents connu3. 
—de bencdo, Dis iegitime. — familias. V. ce 
not. — da fortuna, heureux, fortune, enfant 
de la fortune. —de Neptuno,de Marle, eic. 
(podt.) homme habile ct fortune en navigation, 
dans la guerre. — maior ou mais velho, lils 
alne, premier-ne. — segundo, Rils cadel. — de 
leile, nourrisson. — da pula, fils de pulain, bä- 
turd. — espurio, enfanı bätard. — nalural, 
its naturel, ne d’un homıne et d’une femme 
libres. — pösthumo, fils posihume , ne apres la 
mort de son pere.—de seu pai, de sua mäi, 
eufant qui ressemble & son pere ow ä sa mere. 
Uada um d — das suas obras, (fig. fam.) c'est & 
ses actions plus qu’ä sa naissance qu’on Con- 
nalt un homme. Ser — de peize, (loc. prov.) 
eıre üls de maltre. Le chien chasse de race. 
Casa Iva flha como poderes,e teu Alho como 
guizeres, (prov.) tu mariceras ton Äls quand lu 
voudras, et ta fille quand tu pourras. Todos 
5108 —s d’ Adam, nous sommes tous fils d’A- 
dam , lous egaux ou lous pecheurs. 

FıLad, s. f. (pl.) Filhoses, beignet, gauffre. 

Fırnopico. V. Fidalgo. 

FıLuosinao. V. Filkinho. 

FiLuöTe, TA, s. natif d’une ville ow district. 
On le dit suriout des nalils de Lisbonne et de 
Coimbre. Petil pigeon. 

Fıriacäö, s. f. Gliation, descendance; de- 
pendance d’un autre. * Enrölement et siguele- 
ment d’un soldat. Affiliation , adoption. 

Fıriau, adj. 2 gen.filial : qui est du devoir 
du Nils, de l’enfanı;; dependante d’une aulre 
(eglise). 

FILIALNENTE, ade. fllialement: d’une ma- 
ni@re filiale. 

Fıur6Lna.V. Feto (plante). 

FıLiFÖRMEB, adj. 2 gen. (. de bot.) Aliforme : 
en forme de üll. 

Fııcaäna ‚se. f. filigrane : ouvrage d’orlevre- 
rio äjour en üiets. (4g.) Tout ce qui esi mi- 
£non , dölicat, eic.; subtilites, arguties. 

f FıLinno, s. m. drageon, bouture aux n@uds 
*es cannes. 

FıuipexpuLa, 8. f. (t. de bot.) filipendule : 
Jlante rosacee. 

Fırirope. V. Polypodio. 

FiLippinas, etc. 

FILISBURGO , eie. V. Pkil..., ete. 

Fusstko, eic. 

Fıristaia, s. f. (6. pop.) ’jJeu dangercux, 
tour de force. 

.pukaDa. | y, Fülh.. 

Fuö,s.w.tulle: lissu en fl de sole ou de 
ooton , Feseau clair, formö de mailles a peu pres 

scmblables & cellcs de la dentelle, 


FIN 

FıLoLoctia, eie. . 

FILoMELa, | V. Phil... ‚eie 

Fı.oneuas. V. Filandras. 

FıLosoria, ete. V. Philo..., etc. 

FıLosoyıs. V. Phisionomia. 

Fırtrackö, s. f. Altralion : action de Altger; 
passage d’un liquide & Lravers un filtse, 

FiıLTaano, A,P.p. do 

FıLtaän, v. a. üliser : clarifier en passant 04 
faisant passer & travers un filtre; passer d La- 
vers. Il est aussi neulse et Feciprogue. 

+ Fıltaßına, s. f. ou —no,s. m. machine ep 
forme d’entonnoir, garnie d'un liltre, pour pa& 
ser une liqueur, elc.; vase ä ültrer. 

FiLTRo, s. m. ltre : papier, linge,, ele., ul 
ce (ui sert & ültrer. V. PAiliro. 

Fın, s. m. "fin, terme, bout, esiremile, 
achıevement ; but qu’on 66 Ppropose , principale 
intention. Denouement,, solution. Fin d’une in- 
trigue, d’un poöme. P6r — , melire lin ‚ lermi- 
ner, decider. Dar —a alguma cousa, built, 
achever. Ter—, finir, se terminer. No —, dla 
fin. 44 —, enfin. Em —, por —, enfn, fuale- 
ment. Com o — de, afin de, dans le but de. 
Al — se canido as glorias ‚il ne [aut pas chan- 
ter victoire avant la fin du combal. 

+ Fınno, s. m. sorte de trait parmi leg (4- 
fres. 

Fıuprino, A, adj. (t. de bias.) denlelt, 
frange. 

Fınmnia, s. f. * bord, [range au bas d’um 
robe. 

Fınäpo, A, 9.9. de Finar. adj. et s. Mott, 
delunt, trepasse. Diade —s, jour des morts. 

FısiL, adj. 2 ges. final : qui Anü, yai ler 
mine; qui dure jusqw’& la fin de la vie ı impt- 
nitence). O die —, le jour du jugement de- 
nier. Sentenciar a — ‚juger en dernier ressofl. 

+ Fınau, 3. m. "Sn, denouement. s. f. Finale, 
deruidre syllabe d’un mot. A —, enfin, au bout 
du sompte. 

FısaLızipo, A,9.9. de 

Fınauızäa, v. a. finir, terminer, achere. 
Conciure. ©. 8. — ‚prendre An. 

FinaLm£&ute, ado. änaleınent, enßn , en der- 
nier lieu, & la fin. 

FinAu&nTE, adv. inement, ingenieusemen!. 
Delicatement, parfaitement. Poliment , galam- 
ment. 

* FınamEnto, s.m. V. Moris. 

Fınangas, s. f. pl. (b. franc.) finsnces. 

Financeino, 8. m. (4. frang.) financier. 

Finän-sE , 0.7. Soconsumer, deperir. (DieW 
Mousır, döceder. — d’amores, langair, se 
cher d'’amour. —de riso, ınourir de rire. —Pef 
alguma couse, desirer eperdument, mount 
d’envie. 

Fıxca,s. f. V. Esteio , Kecöra, 

Fıncapo, A, p. p. de Fincar. 

Fıncap& , s. m. ellort qu’on fait avec lo pied, 
en l’appuyant forlement; appui, soulien. F# 
zer —, (fig. [am.) persisier, insister, s’obsll- 
nor; S’appuyer, compter sur. j 

Fıxcan „v.a, licher: fairsanirer par la p@ble ı 


FIN 


enfoncer, = 0 chapio na cabega, enfoncer son 
chapeau. —a unka, rebouiser, filouter, deuiai- 
ser. 

Fısciasg, 0. r. s’arreter, rester eppuy6. 
(Ag.\ Insister, persister, s’obstiner. 

*Fınco, s.m. acte nolarie; promesse par 
terit, billet. 

"Fıxva. V. Conelusdo, Fim. 

Fındıno, A,p. pP. de Findar. 

Fıspanea, 3. m. celui qui finit, qui termine. 

Fınsin,o.@. fnir, achever, lerminer. v. ®%. 
et —s£,0.r. —, prendre An, se terminer. 

Fıxoo, a, adj. fini, termine. 

Fıxeza, 3. f. finesse, delicatesse; &l&gancc. 
Marque d’amitie, caresse. Manidres obligean- 
tes et emprossedes. " Cadeau,, present, don. Ga- 
lanterie. * Plaisir, favcur, oomplaisance, gräce. 
Fınesse d’esprit, subtilils. Dizer —s, dire des 
douceurs , des expressions charmantes. Fa- 
ser—s,accorder des [aveurs, faire des dons. 
Fazer—ı por alguem , faire des sacrifices pour 
qaelqu’un. 

Pıscioamente , adv. avec deguisement, dis- 
»mulstion, feinte. 

"FiateicaABENTE. ar 

"FINGaDiG® , k. } V. Fingida... 

Fıxcioo, A, 9. p- de Fingir. ed. Feigt, si- 
mule; dissimule; Tauxz, fabuleux; artiliclel, 
[sciire. Lagrimas —as , des larmıes erudiees. 

Fıxcıön , s. m. celui qui feint; hypecrite. 

Pısamexto, s. m. "lciuie, deguisement, 
lissimulation; Retion. Sem —, sans feinie, 
sans deguiseinent. 

Fınca, o.e. feindre, dissimulor, döguiser, 
se oantrefaire, Taire semblant, simuler. Gon- 
trefaire ‚ imiter. Javenter, controuyer des faus- 
sties, 

FıxciasE, v. r. feindre, simuler, se servir 
de fanssey apparences pour tromıper; se fein- 
dre, etre feint. 

Fıxissıso, a, adj.sup. de Fino. 

Fiitamexte, adv. avec bornes 0w Festrio- 
tion. 

Fısiriwo, a ,adj. voisin, limitrophe, contligu. 

Fısııo, a, adj. lini, vermind ; linsitz, borne, 
determine. 

+ Fivwos ow Fınwtzes, s. m. pl. peuples de 
la Finlande, 

Fıxo, a, adj. fin : excellent dans son genre; 
delie, menu, subtil, delical. Alfectionne, con- 
stant, sür, Nidele. Parfail, Hpure. —, ruse; 
lroit. — ladrdo, — volhaco, volour adroit, 
malire fripon. Nariz —, haut nez, än ncz. 
Pedran —as, pierres pröcieuscs. O —, (em- 
plays subst...) le fin, le point deeisif et prin- 
tıpal d'une affaire. O — d’uma scieneie , d’uma 
ar te, le fin d’une science, d’un art, ce qu’il y 
1 le plus subtll et de moins connu. 

Frara, s. f. imposition, comtribution; coll- 
sation. 

Fıstäno,A,p.p. do 

Pıeria , v9. a. imposer une oontribution. 
=u,9.7. 80 o0liser. 

+Fıröna,s.f. finesse, rune, astuce, artifice. 


riß . 607 


r10, s. m. Bl: petit brin longet delie de chan- 
wre, delin, de soie ou «de metal, etc., ou de 
substance filde par des insectes; tranchant 
d’un outil; füübres des plautes; courant, filet 
d’eau, de vinaigre, etc.; lambel; sa forme, sa 
figure; (Ag.) suite de choses, d’une affaire, 
d'un discours; (poet.) le fil de la vie,la desti- 
nee. * Ligne qui divise une chose en deux par- 
lies egales. Equilibre, egalite.—s, pl. "charpie: 
lilaments de linge us6& pour meltre sur Igs 
plaies. — da lingua, filer dp la langue. — dgs 
raizes, filament des racines. — de carrela, Bl 
de caret. — de arame , fl de laiton uw d’archal. 
— de perolas, fil de perles, collier de perles en- 
files. — de pila, fil de pite, tir6 de la plante 
spprice pite. — da morte, le terme Je la vie 
husnaine. — da rida ,lefil de la vie: son course, 
sa carriere. — de vela,(t. demar.)filä volle, 
fl & coudre. — de serra, trait de scie. A—, 
em—,de suile, sans intcrruption. Perder o—, 
(fig.) perdre le ül de son discours. Seguiro—, 
(id.) continuer une chose commencde. Corlar 
0o—.V. Atalhar. A— Jireilo , & droit fl. Kstar 

um—, ne tenir qu’ä un fl, ne tenir pres- 
qu’ä rien; etre dans le plusgrand danger. Quro 
e—, adv. en equilibre. Dar um — d lingue, 
(fig.) medire. Embotar os —s, (fig.) öter Ic ill, 
&mousser ; ralentir l’ardeur, l’actirite de quel- 
qu’un. Ferir pelos mesmos—s.YV. Ferir. 

Firsa,s.f. “seing , signature. Paraphe, ca- 
chet. “vieux) * Appui, soulien. 

FırmÄno, p. p. de Firmar. 

FınmaDög , 3. m. celui qui s’appuie sur que)- 
que chose. 

FırsäL,s.m. sorte de broche pour attacher 
les robes. Sorte de religuaire ou miedanle de 
saint. view) "Parapbe,cachet. —aes, pl. pein- 
tes du licou qui s’attachent aux anncaux des 
Nancs. 

Finvam£nto, s.m. Irmament : ciel dolle. 
Appui,, soutien. 

+ Fıruan ou —wi6, s. m. firman : ordre du 
grand-seigneur;; permission du grand-mogol 
de trafquer. 

FırmÄr, v. a. affermir, rendre stable. Signer, 
mettre la signature. (vieur) Affirmer. V. Af- 
feslar. (em). v. n. porter, s’appuyer Bur; se 
reposer, compter sur. 

Fırmär-se (em), o.r. s’appuyer sur. Bigner, 
metire sa signature. S’arrditer (p. ws.) S’affer- 
mir, devenir stable. — com 0 «so, sefermir 
par l’usage. 

Fınuz, adj. 2 gen. ferme, stable, solide, 
fixe. (fig.) Essentiel, constant, in&braulabic. 
Terra —, terre ferme, continont. Eier —, 
tenir bon, persister ; tenir ferme. Eslar — om 
ou na — resolugdo de, etre but6 A, Eire deter- 
mine A. Pör-se —, s’alfermir. 

FirmEmente , ade. fermement. 

Fırmßsa, s. f. fermete, solidite, raffermisse- 
ınent, affermissement. Assurance, resolution, 
(Ag.) Triangle dans les images du Pere eternel. 
+, pl. conditions, formalitis, solennitds d’um 
comirat, _ 


608 FIT 


Fırmıdäö. V. Firmeza. 

Fırkissimo, A, adj. sup. de Firme. 

"Fıro,s. m. jeu d’enfants avec des pelils 
eailloux,, espece d’alguergue. V. ce mot. 

FısciL, s. m. procureur fiscal, avocat fiscal, 
sorte de magistrat. Inspecleur, suriniendant, 
surveillant. Censeur. 

PısciL, adj. 2 gen. fiscal : qui apparlient au 
fise. 

FiSCALIDADE O8 inspeclion,, surveil- 

Fıscauızaciö, s. f. lance. 

FıscaLızivo, Aa, adj. qui a ei6 vu, examine 
par le procureur fiscal, etc. p. p. de 

Fıscauızin,, v.a. exercer les fonclions de 

ureur fiscal; veiller aux aroits du fisc. 
(Ag.) Surveiller, blämner, censurer les actions 
de pol u’un. 

* Fıscizıo, s. m. officier fiscal. 

+ Fisckııa , s. f. museliere. 

Fisco, s. m. fisc, irösor public. (vieux) * Pen- 
sion (aite par le roi. Tribunal do —, la cour de 
Pechiquier, en Angleterre. 

Fisca, s. f. fo@ne, fouane ow foesne, Achure: 
trident pour darder le poisson. Fente &troite. 

Fiscäpo, a, p. p. de Fisgar. 

Fıscapor, 8. m. harponneur. (fig.) Moqueur, 
moraliseur, daubeur ; mystiflcateur. 

Fıscan, vo. a. harponner le poisson. (fg.) 
Be moquer, moraliser ; mystilier. 

Fisıca, eic. V. Physica, elc. 

Fısico. V. Physico , Medico. 

Prisonouta,, etc. V. Physiom..., ot6. 

® Risqusıno. V. Pisco. 

Fissirzpzs, 8. m. pl. (4. d’hist. nal.) Assi- 
pedes : quadrupddes qui ont plusieurs doigis 
auz pieds. 

+ Fıssinöstaos , s. m. pl. (1. d’hist. nal.) 
issirostres : oiseaux A bec fendu trös-profon- 
dement , chölidons, 

Fisrico ‚s. m. pistache,, pistachier. 

FistuLa , s. f. Astale : ulcere ä enir&e &troite 
et fond large ; chalumeau, flüte champeire. 

FistuLan-se,, etc. V. Aflstular-se. 


FLA 


Fırinwa, s. f. dim. de Fila. Petit ruban, ru- 
han etroit. Nonpareille, faveur. 

Fıro, s. m. (viess.c) borne, limite, terıne. Sorte 
de jeu de paleis. But : point od l!’on vise. (Ag.) 
Fin, dessein, intention. Der no —, toucher au 
but. Mudar de — , changer de batterie. Pfr o 
— em, se proposer de, viser ö. 

Fıro, a, adj. fiche, plante, enfonct; fire. 
Eslar com os olkos —s em alguem, avoit les 
yoeux fixes sur quelqu’un , regarder Srement 
quelqu’un. Com as orelkas —as, les oreilles 
dressees,, ( Ag.) atienlives. De —, d’aploub, 
perpendiculairerment. 

*Fıösa. V. Fidueis, Confancs. 

Fıygıa, s.f. boucle: sorte d’annean de melal 
avec un ardillon, ete. 

FıvzLiö, s. m. aug. de Fioela, Grande beu- 
cie de harnais. 

FıveLär, V. Afivelar. 

Fırzıtra, s. f. dim. de Fivela. 

Fıvsınid. V. Fiveldd. 

Fıxa, s. f. partie d’un gond fichee dans k 
bois ; iche de porte, etc. is. V. Fichae. 

Fızaciö, s. f. action d’aflicher. Fizalion: 
action de fixer; ($. de chim.) operation qui ie 
un corps volatil. 

Frxipo,4,p.p.de Fiser. 

Fıxautnte, adv. fixement, d’ane manitte 
fixe; attenlivement. 

Fızinte, adj. 2 gen. (t. de fort.) Achant: 
(feu) qui va d’un bastion & l’autre. 

Fıxar, v.a. ficher : planter par la pointe. 
Fixer, arrtter,rendre fixe; arreter, döterminet; 
preßnir. ($. de chim.) —, rendre solide, ooag* 
ler. — ediclos, carlases nas osquinas, placarder. 
— os olkos, a vista, o „ arreter, 
fizer les yeux, la pensse. 

Fıxan-sE,o.r. se Axer, s’arröter. Se rer, 
s’imprimer; se determiner, se resoudre. 

Fıxipäoe, 3. f. Axite : eiat fixe d’ane chose; 
formetk. 

Fıxo,a,9.p.irr. de Fixer. adj. Fixe, sia- 
ble, permanent. Ferme, assure, certain ; art&lt, 


+FıstoLinıa, s.f. (1.d’hist. nat.) " Astulaire: | determine. Fize. V. File. 


poisson abdominal du Bresil et de I’Inde. Fis- 
talaria : p6diculaire des bois. 

FıstuLöso, A, adj. fistuleux:: de la nature de 
» üistule (ulcöre) ; (8. de bo8.) fait en tuyau, en 

ats. ’ 

Fira, s.f." ruben. — d’habilo, ruban d’or- 
dre, ruban moire. 

+ Fırickas, adj. f. pl. (Folhas —, t. de bot.) 
en forme de ruban (fouilles), rubandes. 

Fıripo, A, P. p. de Filer. 

PıTameEnte. V. Firamente. 

Fırin, 0. a. fixer, planter, enloncer. — 08 
olkos, ixer, arröter ses regards. — 0 penss- 
mentio, arreier sa pensee. — as orelhas, dresser 


les oreilles, parlant du cheval. A aguia Alla 08 | gourment. 


olkos no sol, l’aigle fixe le soleil. 
Pıria, 9. ». toucher au but. 


des ru 


Fıxöna. V. Fixidade. 

Fraccıptz, s. f. (4. de mdd.) Baoeidite : tial 
des übres relächtes , sans ressort. 

Präccıoo, a,adj. (8. de med.) reläche, de- 
tendu , lasque, 

FLaceLLacäö, 8. f. action de donner on de 
recevoir la discipline ; Bagellation. 

FLaceLLäido, A,P.p. de Flagellar. 

FLaAGELLADOR, A, 8. et adj. Magellateur, qui 
Nagelle. 

FraceLiäntzs, 5. m. pl. flagellants : sort 
de fanatiques qui s6 Nagellaient en publie- 

FraczıLin,o.«. Nageller, fouelter. 

+ FLacsLLarivo, A, adj. propre & flageller. 

FrackLLo,s. m. fouet. ( Ag.) Fieau du ciel 


Fracicıo, 8. m. crime &norme, vıce honteut, 
FLacicıi650,, A, adj. libertin, viecieux , crimi- 


Fırtıno, a, s. rubanier : tissulier : qui fait | nel, scölerat, inläme, 


Fracaincıa. V. Fragrancis, 


FLA 


FLacräure , adj. flagrant, brülant ; brillant, 
&lincelant (p.us.). (g.) Aclif, en lat d’exe- 
eution, imminent. Em — delicto , en flagrant 
delit, sur le fait, en action de le commetire. 

Fıilua. V. Flamma,. 

Frinz, s. m. (f. de veldr.) "flamme : instru- 
ment pour saigner les animaux. 

FLaN£nco, A, ady. et s. Flamand : de la 
Flandre. 

Frimıng,s. m. fliamine: pr@tre de Jupiter, 
de Mars ow Romulus, qui portait un volle. 

+Frauinco, s. m. (£. d’hist. nat.) Damant: 
phenieoptere, oiseau du tropique, becharu, 
echassier latirostre ;courlisrougedelaGuyane. 

Frauima, s. f. maison du flamine. Pr£iresse 
subalterne qui servait le Aamine de Jupiter. 

tFiauimca, s. f. faminique : femme de 
fSamine; prötresse. 

Frauinıo, V. Flamine. 

Fuluua,s. f. Damme. V. Chama. 

tPıauäncıa, s. f. V. Laberede. (fig. fam.) 
Eiögance, coquetterie,, galanterie; habits de 
onlenr brillante, &tincelante. 

FLausinte , adj. 2 gen. enflamme : qui jeite 
des lammes; flamboyant. Brillant, etincelant. 
Neaf : qui a encore tout son lustre. Bien pare, 
tclatant, 

Frauuzyan , etc. V. Chammejar, etc. 

Fiiuuso , s. m. voile de couleur de famme 
que portaient les nouvelles mariees. 

(podt.) elincelant, 


FLausireno, A, 08 ij 
flamboyant, qui jette 
Flauniceno, A, adj. des Fee ’ 


+ Frauwirorente ‚adj. 2 gen. (poel.) puis- 
Ferse la flamme: epilhete de Vulcain, dieu 

a fen. 

Fruauwsrininte , adj. 2 gen. (podi.) qui 
scale des Aammes. 

Prawmivomo, A, adj. (podt.) qui vomit des 

mmes. 

FriuuuLa , s. f. (1. de mor.) Namme : sorte 
ds banderolle de narvire. 

Fuinco, s. m. (8. milit.) Nanc : o6t& de bas- 
ton, d’escadron, d’une colonne de bataillon. 
— coberio ou retirado, (1. de fort.) flanc bas 
euretird, celui qui est couvert d’un oreilion. 
— kzanie, ( id.) Nano fichant. — obliquo ou se- 
tundario, (id.) second Banc : partie de la oour- 
line entre les lignes de defense fichante et ra- 
sante, . 

+Fıinpzs, s. f. (6. de geog.) Flandre : con- 
tree des Pays-Bas. 

t FLanpaisco ‚a, adj. de Flandre. . 

Frantııa. V. Farinella. 

FLanqguzino,, A, p. p. de Flangquear. 

Flangoginte, adj. 2 gen. (8. de fort.) Nan- 
guant : (ouvrage ) avance de maniere ä defen- 
dre Papproche d’une place. 

Frangtzir, v.a. (1. de fort.) Danquer : dö- 
iendre un ouvrage de fortification par un au- 
we, Auaquer de llanc. 

Flito, 5. m. (inus.) vent, bouffse de vent. 
(Ag.) * Flatuosits, flatulence : vent dans le 
Corps. Vapeurs : affeclions causces par les va- 

PORT.-FR. 


FLO 609 


peurs de P’estomac. (fg.) Caprice, desir bi- 
zarre. 

FLatöso. V. Flatulento. 

FLartuLtncia, 3. f. fatulence: collection de 
vents dans une partie du corps. 

FLATULENTO, A, adj. flatulent: des vents. 
Flatueux, qui cause des flatuosites; venteux. 

FLartuöso, A, adj. sujet aux vents, qui par- 
ticipe de leur nature; qui en souffre. 

FrartuosıpÄng, s. f. Dlatuosite : vent qui sort 
du corps. V. Flatulencia. _ 

Friuta, s. f. fläte : instrument de musique 
en tuyau creux , pero& de trous et garni de clefs. 
— doce , flüte douce, flüte & bec. — Iravessa, 
flüte traversiere, fiüte allemande. — curia, 
gingrine. 

+ FrLautipo, s. m. jeu de fütes dans l’orguc. 

FLaurar. V. Frautar. 

+ Frautim, s. m. dim. de Flaufa. Petite 
Nüte;; celui qui la joue. 

+FLavtista, s. m. facteur ow Joueur de flüte: 
Aäteur. 

Fıivo, A, adj. jaune, blond dore, fauve. 

FL&siL,adj. 2 gen. (pod}.) triste, deplorable, 
lamentable, flebile. 

Fresoromia, eic. V. Phieb..., etc. 

Fr£cna, s. f. iöche. V. Fröcha. 

Frecua. V. Fleuma ou Phlegma. 

FLEGMÄTICAMENTE, adv. avec flegme, len- 
teur. 

Frecuirico, FLeimätıco o@ FLSUMATICO, 
adj. 2 gen. Begmatique : qui abonde en fiegme, 
en pituite, ow tient de sa nature; (fg.) tran- 
quille , pos&, patient, de sang-[roid. 

Freimiö, s. m. fiegmon : tumeur inflamma- 
toire, plein de sang. 

* Frxziuöso, A, adj. qui tient de la pituite, 
ou qui en engendre. 

Frkuua, s. f. legme : partie aqueuse, froide - 
du sang, etc.; pituite ; ($. de chim.) partie 
squeuse,, separce par la distillation ; qualits 
du flegmatique ; (Ag.) d’un esprit pos6, patient, 
qui se possede; lenteur. 

Fızxiö, s. f. Nexion: action de fldchir, de 
plier les membres. . 

*Fıexisır. V. Flezivel. 

FLexisiLivape, s. f. Nexibilite, souplesse ; 
qualits de ce qui est flexible, souple. 

FısxiveL, adj. flexible, souple, aise & plier; 
(4g.) Souple, docile, pliable, pliant, complai- 
sant. 

Fıexön, adj.m. Musclo —, (t. d’anal.) Ne- 
chisseur (muscle). 

Fıexuöso, A, adj. flexueux , torlueux. 

FLexöüra, s. f. flexion,, courbure. 

+ Fuisusteiro, s m. flibustier : pirate de 
PAmerique qui faisait partliculierement la 
guerre aux Espagnols. 

Do,A, adj. en flocons. Frange; garni 


FLoc6s0,, A, adj. en flocons. 
Fön, s. f. fleur : partie des vögetsax com- 
posde d’stamines, de pistils, eto.; organe de 
39 





610 FLO 


ls fruetilication ; temps de la floratsen ‚ (Ag.) 
de la plus grande force, da plus vif &clat (de 
la Jeunesse, de l’äge, eto.); fraicheur, velouts 
des fruiis, de la peau; superficie brillante, 
douce;; 6elat, lustre pea durablics; premier 
usage; choix de ce qu’il y a de meilleur, de 
plus fin, de plus delicat; elite; pellicule ou 
mousse qui se forme sur la surface du vin; 
(Ag.) virginite; cöl& du cuir ou e&tait le poil; 
surface de la terre; superficie. (4. de chim.) 
Substances sublimees par le feu. —de ki, 
fleur de lis : piece distinctive des armes de 
France. (4. V. Agucena. — dos amores, (1. de 
:bot.) passe-velours, amarante veloutce, Meur 
de jalousie, cr&ie de cog, fleur d’amour. — de 
mdco, fieur artificielle. — do sal, fleur de sel, 
€cume roussätre qui se forme sur le sol. — da 


FLO 


sant ı qui pousse des fleurs, Neurl. (Ag.) Pie 
rissant , brillant.; prospöre. 

FLogec£n ou —SCER, v. ®. feurir: pousser 
des fleurg;; dire en fleurs ; (Ag.) &tre en credit, 
en honneur, en vogue; vivre, exister, parlanı 
d’un komme celöbre; devenir Aorissant, par- 
lant d’un &tat. Dans la poesie ‚il est quelque- 
fois sctif, et signifle faire fleurir. —de nore, 
refßleurir. 

FLoazcioo , 4, p. p. de Florscer. 

+ Fronönca, 8. f. (t. de geog.) Florence: 
ville de Ja Toscane. 

Frontnaa, 5. f. Rerenee : tiolfe de seit, 
taffetas de Florence. 

FLoszucaioo, a,adj. (4 de blos.) Borenck: 
termind en leur de is. 

FLonntz, adj. 2 gem. en fieur, Deuri.\. 


farınka, leur de farine. Perder a —, de- | Florecente 


fleurir. 4’ —de..., & fleur.de, au nivequ de. 
4’ — d’agua, a leur d’eau, ä la surface. Olkas 
ö — do rosto, yeux & fleur de töte; de gros 
yeux. Em —. On le dit d’une chose qui wa 
point encore atieint sa perfection. Bstar em —, 
etre en eur, parlant des fruits. (Ag.) Ne faire 
que commencer, parlani d’une affaire. Quedrar 
ou rebeniar em —, se dit de la mer mouton- 
neuse, couverie d’öccume. Ser ums —, #tre 
joli comme un caur, beau comme un prin- 
temps. Estar uma —, dire par6 avee elögance, 
se dit d’une belle. Flores, pl.(fig.) fleurs de 
raötorique, embellissement du siyle. — de 
Pascos, coronille d’Espagne. — de Quarerma. 
V. Rainunculo 


FLöna,s. f. (1. de myth.) Flore : deesse des 
fleurs; nympbe. ‘4. —, traitö des plantes d’un 
bays. 

FLonipa , s. f. Beurs d’oranger confteg. 

Frorizs, s. f. pl. florsles : fties on l’bonaenr 
de Flore; jeux floraux. 

FLoriL, adj. 2 gen. (4 de bot.) Boral : de la 
fleur, qui l’avoisine,, bractse. 

FLoniö, s. m. aug. ds Fior. Fleuren : orse- 
ment en forme de fleur. Cul-de lampe. Petit co- 
che castillan. (vieue) Grosse deume de la mer 
agilee. 

FLoagipo, A, p.p. de Florear. 

+ FronsiL, s. m. fliordal : deariöme mois du 
priniemps de l’annde repablicaine frangaise, 
du 20 avril au 20 mai. 

FLOREÄNTE, adj. 2 gen. qui produnt des 
fleurs; orn6, par6 de fleurs. p. a. de 

FLorkir.o. a. omer,garmir de fleurs. (Ag.) 
Embellir, orner de fleurs un discours. Manier 
avec adresse, avec gräce (un drapeau, eio.); 
brandir, branler, secouer en sa main (une Epee, 
etc.) Arpeger : faire des batteries sur la gui- 
lare, elic. 

Fronzir, vo. w. briller; se vanter, se glori- 
ler. —com a penna, ecrire avec des orne- 
ments. —nas palavras , parler discrötement. 

FLORECENCHA O0 —ESCENCIA , 6. f. Deuraisen : 
formation des Seurs;; son epoque. 


FLORECANTE O4 -SCENTE, adj. 2 gen. Deuris 


Fronentino, a, ads. et s. Flerentin : kabi- 
tant de Florence ; qui em vieat. 

FLoxsutissıuo, A, adj. sup. de Fierenie 

FLonto ou —aßıo, s. m. Reurs, ormewenis 
du discours. Actien de brandir, d’agiter !'epet 
entre les mains. (Ag.) Ouvrage de pus amasc- 
ment. 

+ Frörzo, a, ady. de fheurs, qui eoncerMe 
les fleurs. Fleuri, courertde leur. 

Fronssra, s. f. "bocage, foret, beis. Pre 
euri; liea charmanı, agreable, etc. (#9) 
Amas de choses agrösbios, qui flatient le gut- 

Fronssrir, adj. 2 gen. forestier : qui con- 
cerne les for&ts. 

Frorntta,s. f. * Beuret, pas de danse. 

+ Fionätz, s. m. Reuret : sorte d’epin KI- 
minde par un bouton, pour appsendre d fait 
des armes. 

FLonerzino, A, ad. fleurs, Beunett, Ri 
ronn6 : borde de fleurs, tarımind en Seuf 

+ Fioxernir,v.a. (i. de bias.) garmit, 0! 
ner de fleurs. 

+ Frorisautere, ade. d’ane manidse Beu- 
rie, avec elegance,, d’une manidee beillankt. 

FLokıpissiuo, A, adj. sup. de 

FLoripo, A,ad). flewi : qui est en Bess; 
orne, garni de fieurs ; ewrissant. 

FLörımo, A, adj. beau; beillant, ame p%- 
rure &elatante. (4g.) Fioride, fieuri, digen. 
orme , parlant d’un discours, ete. 

+ FLonieero,A,ow yauipeodeit don ein 

FLoaicero, A, adj. I qui porje des Near}. 

FLonis,s. m. Borin : pidce de monnaie dis 
Pays-Bas, d’Allemagne ; monnale de comple. 

Froaiuma, s. f. dim. de Flör. 

+ PLoxipönnio, s. ms. (. de dof.) plante ame 
ricaine qui ne porte que des fleurs, mais d'une 
odeur exquise;; floripondio, stramoine da Pe- 
rou. 

‚ Fronisra,, s. 2 gen. Neuriste : qui fait, vend, 
peint des fleurs. 

Frorzinaa. V. Florinhe, 

+ Froscuisus, 8. f- ph (4 Fick mel) 
*flosonlaires : zoophytes en tube, habites pa 
un rotilöre, 


FOA 


FuöscvLo, 8. m. (f. de bol.) petite fleur en 
tuyau ; corollule tubuleuse. 

+ Fuöscuro, s. m. (f. de bot.) floscope : ar- 
brisseau des Indes Orientales. 

+ FLogaantoacn, s. m. "üeur des sainis: 
livre qui oontient leur vie. 

FıoriLua,s. f. Sottille : petile flotte. 

Froxınäö,, eic. V. Frouxiddo. 

FLucrisoninte, adj. 2 gen. (podt.) qui fall 
retentir les vagues, mugissant. 

Fıucrivaco, A, adj. (podt.) qui flotte sur les 
ondes. 

Fıucruscä6, s. f. Mluctualion, ondulalion, 
agitation des Bots. (Ag.) Incerlitude, irresolu- 
tion. 


Frocruino, 4, 9.9. de Fluctuar. 

Fıoctuinte, adj. 2 gen. Nloltanı : qui flotte; 
Auctueux. (Ag.) Chancelant, irresolu. 

Fuocruin (em, entre), v. n. dire agile par 
les Bots; flotter. (Ag.) Kite floltanı, irresolu; 
belancer, chanceler. 

FLoct06s0, A, adj. Quctueux ; agite de mou- 
vements violentis et Contraires, 

Frußnte, adj. 2 gen. coulant. 

FLom&z, s. f. Auidits : qualit& de ce qui est 
Buide. 

Fıuiissıno, A, adj. sup. de 

Fudioo, A, adj. Auide, coulanı, liquide. 
(Ag.) Coulant, facile, parlant du style. 

FLöipo, s. m. fluide : corps fluide. 

Frusiıntnse, adj. 2 gen. | de fleuve, de 

FLuminzo, A, adj. riviere. 

Fruön, s. m. (1. d’anc. chim.) uor : corps 
indeoompos#, base supposse de l’acide fluori- 
que. 

t Fiößsraa,, s. f. (1. d’hist. nat.) Qustre, po- 
Iype. — folhada ou folhiforme, flusire en 
feuille. 

FroviiL, adj. 2 gen. Quvial : de fleuve, de 
Niriere; qui cohcerne les fleuves, se fait par 
eux (navigation). Fluviatile : (coquille, plante) 
d’eau douce. 

Fox, s.m.(t. de jew) flux : suite de carles 
de möme couleur. Ester a —, n’avoir que des 
atouts. Ter todos os volos a— , avoir toulesles 
voix. V. Froxo et Fiuxo. 

Fıuuxäö,s. f. Auxion; flax, öcoulement. 
FroxisiLinäpe, 8. f. * eat passager, peu de 

durde d’une chose. 

FLuxionÄrıo, A, adj. sujet aux fluxions. 

FırxfveL, adj. 2 gen. fuide. De peu de du- 
r6e, passager. 

Fröxo, s. m. flux, &coulement. — ds pala- 
vras, fiux de paroles, finax de bouche, abon- 
dance de paroles inutiles. —de riso, habitude, 
envie habituelle de rire, &clat de rire. — de 
sangue, flux de sang , hömorrkagie. — de ven- 
fre, Aux de ventre, devoiement. — mensal das 
mulheres.V. Mensiruo.—alvo, (1.demed.)eurs 
blanches. — e refluxo do mar , flux et reflux de 

mer. 

FLoxözs, 8. f. pl. (1. de math.) meihode, 
Auxions , calcul difförenciel. 

FoAd, V. Fuao, Fulano. 


FOG 


Föcy. V. Phoca, 

Focino, a, p. p. de Fogar. 

Focanör, A, ad. quifoullie. 

Focin, v. a. fouiller la terre avec lo groin, 
parlant du cochon. 

Föcıg, s. m. (l. d’anal.) focile: os du bras 
et de la jambe. 

Focınnäpı, 8. f. 00up donned avec !o groin, 
le museau, ec. 

Focınuaa. V. Afocinhar. 

Focınt£ıra, 3. f. museliere. 

Focinuo, s.m. groin, mufle, museau d’ani- 
mal. (f#g.) Bouche d’une personne qui a les I&- 
vres Ir&s-avancees. V. Cdra. (id.) *Moue: gri- 
mace qu’on fait en avangant les l&vres. — de 

javali, boutoir de sanglier. Cair de —s, don- 
ner du nez en terre, lomber sur le nez. Melier 
0 — em ludo, (fam.) fourrer son nez parlout 

Focınacne, A, adj. qui ale museau point 
ou les Idvres avancees. (Ag.) Qui fait la ınoue. 

Föco, s.m. (8. d’opt.) foyer : pointe du cöne 
lumineux ; point oü les rayons lumineux ow d® 
chaleur se r&unissent. (Ag.) —, siöge principal, 
centre. (4. dechim.) V. Fornilho. — da elipse, 
da hyperbole, da parabola, (1. degeom.) foyer 
de l’ellipse, de l’hyperbole, de la parabole. 
— d’uma curva, foyer, nombril d’une courbe. 

* FonivincuL, 8. m. bardache qui se livre ap. 
sodomite. 

*Fop’ıncuL, s. m. sodomite, pederaste. 

+ Fotra, s. f. (6. d’hist nat.) "pulois : qua- 
drupede puant; espece de fouine noirätre. — 
listräda, conepate, mouffette noire, rayde de 
blanc. —mepkitica, chinche, moußette, hams- 
ter.—raidda, pulois ray&osw zorille, moullette. 

+ Föra, s. f. folla: danse portugaise Irs- 
lascive. 

Forice, s. f. mollesse, qualite de ce qui est 
mou. (ig.) Infatuation, ostentalion. 

Forisno, A, adj.dim. de Fofo. Un peu mou; 
mollet. 

Föro, a, adf. mou, mollet; boußfant, (fg-) 
Vain, prdsomptueux. 

Föros, s. m. pl. des bouffanis. 

Fociga ,s. f. fouace:sorte de gros gälcan. 

FociGeEs, s. f. * feu volage, elevures , ebuli- 
tion de sang. (4. de bot.) Maladic des planies. 

Fockr, s. m. fouage : droit qui so paie par 
chaque fon. 

*Focäiuta. V. Fogara. 

Fociö, s. f. foyer, Atre, fourneau de cuisine. 
*Lumiere d’une arme & feu. Fougon : cuisine 
d’un vaisseau. — da pers, ohamıp de la Jumicre 
d’un canon. 

FocA0zinuo, s. m. dim. de Fogao. 

FocArtıno ‚s. m. fourneau porlalif. 

Focınko, s. m. lampion de fer. 

Focır. V. Fugir. 

F6co, s.m. feu: l’un des quatre eliienis 
des Anciens, chaud, sec ei Jumineux; ınaliere 
simple, tr&s-subtile: fluide, imperceptible dans 
son &tat naturel, d’une tenuit6 inexprimabie , 
tres-compressible, doue d’une force de con- 
centration et Pexpansion inslantanee; principe 


Ki 


612 FOL 


de la Iumidre etde la chaleur ; calorique; amas 
de corps en combuslion; incendie, embrase- 
ment; coup d’arme & fea; famille, menage; 
(Ag.) chaleur ; passion vive, passion d’amour; 
vivacit6 d’esprit, d’expression; ardeur (de 
l’me, des passions, de la discorde, etc.). — 
actual, feu ou cautere actuel, bouton de feu. 
— polencisl , feu ou caul£re potentiel, causti- 
que. — sublerraneo,, feu soulerrain. — de vis- 
las, do ar, feu d’artiice. — d’alegria, feu de 
file A blanc. A— lento, A petit feu.A— e asan- 
que, & feu et Asang, sans faire de quartier. 
Cavallo acostumado ao —, cheval fait au feu. 
Cör do— , couleur de feu, rouge vif. Faser —, 
Iaire feu, tirer sur Ponnemi. Tocar a —, son- 
ner le tocsin dans un incendie. Dar —, faire 
feu. Langar— pelos olhos, (fig.)&tre en coldre, 
jeter feu et famme. Deitar lenha no —,(id.) je- 
ter de !’huile sur lo feu. D’onde se faz — sai 
fumo, iln’y a point de feu sans fumse. A pro- 
i do— 6 queimar, c'est le propre du feu 
de broüler. Fögos, pl. feux, signaux eleves la 
nuit.—s errantes, m6lkores ignes. 
+ Foco-FrEumente, adj. 2 gen. (poet.) qui 
fremit avec du feu. 
FocÖBANE£NnTE, adv. ardemment. 


+ Focosınpioz, s. f. fougue, ardeur, impetuo- | 


site, vivaciiö extreme. 

Foaosissimo, A, adj. sup. de 

Focöso, a, adj. ardent; (fig.) fougueux, su- 
jetä entrer en fougue,, quia de la fougue, vio- 
lent, emporte. 

Focutina, s. f. "bücher; feu de joie. 

Focuzininna,s. f. dim. de Fogueira. 

+ Focuto, s. m. fouage dans la ville de Goa. 

Focutte, s. m. * fusee d’artifice. (Ag.) Vive 
semonce. De—, comme un £clair. 

Focuertıro, s. m. arlifcier : qui fait des 
feux d’artifice. , 

Focuxt£ıno, A, adj. facile & s’emporter. 

Foinsa. V. Fuinha. 

For0 ou "fosse, irape, träbuchet. Bour- 

F60, s. m. i bier profond. 

Fora. V. Folla. 

*"FoLiö. V. Fuldno. 

FoLin, s. m. gäteaux aux wuls qu’on faıt & 
Päques;; aufs de Päques. Cadeau qu’on donne 
au cure & Paques. Present que [ont les babi- 
tanıs d’un village au predicateur du ca- 
Fome. 

FoLzco, s. m." haleine, respiralion , surtout 
sielleest forte et pressde. Dar—, (Ag-} donner, 
accorder da teınps, du repit. Tomar —, pren- 
dre haleine. Sem fomar —, ou d’um — ,(flg.) 
sans debrider, Lout de suite, tout d’un coup. 
Tomar o—, retenir la respiration. Beber sem 
tomar o—, boireä longstraits. Ter sele—scomo 
0 gato, avoir la vie dure comme le chat, avoir 
la vie chevillee dans le corps. 

FörLca, s. f. "reläche : cessation de travail; 
repos. Rejouissance, recr6eation, diverlisse- 
ment. " Repos qu’on donne Ala terre labourable. 
Dias de— , jours de repos, de conge. 

FOLGÄDANENTE, ade, tranquillement, com- 


FOL 


modement, 4 loisir, bien & l’aise; amplement, 
largement. 

FoLcino, A, p. p. de Folgar. adj. Oisit; 
tranquille; paisible; aise, qui ne serre pas 
ample, large. Passar, levar a vida —a, mener 
une vie tranquille, paisible, vivro en repos. 

t FoLcapor, a, adj. qui aime ä se Teposer; 
qui se rejouit; folätre, badin, qui aime d folä- 
itrer. ° 

* FoLcinca, s. f. "repos, tranquillite, beati- 
tude, Rejouissance, recreation. 

FoLcantg, adj. 2 gen. V. Folgadör. p. a. de 

FoLcir, v.a. (p. ws.) lächer ow elargir une 
chose. vo. n. (plus us.) Se reposer, suspendre le 
travail; ne rien faire; folätrer. (com, de) Se 
rejouir, &tre bien aise. — de ver, contempler ä 
plaisir. -- do irabalko, se tenir de loisir, pren- 
dre du loisir, du repos. Fölgo mdilo, je suis 
bien aise. 

Forcia, s. m. V. Folguddo. 

FoLcaziö, —zöna, adj. folätre, badin, en- 
joue; oisif, paresseux, desauvre, faineanl; 
homme qui ne cherche qu’ä se Jivertir. 

Förco. V. Fölego. 

FoLcu£no, s. m. passe-temps, jeu, amuit- 
ment 

FöLna, s. f. feuille: partie de la plante quı 
garnit la Lige, es rameaux , organc respiraloirt 
des vegetaux ; sa figure, sa forme; petale; (Ag-. 
corps large, tr&s-mince; partie mince; lamc 
mince; liste; carre de papier blanc, &eril ou 
imprime ; registre. Manche d’habit non encore 
cousue. * Feuillet d’un livre. Terre qu’on laisse 
reposer une annee, Jachere. — de Flandres, 
fer-blanc. — da espada, de faca, etc., lae 
d’epee, de couteau, elc. — da vide, pamprt. 
— de Irigo, cevada, ete., fane, pampre du bie, 
de l’orge, etc. — da charrua , soc de la charrue. 
Au cair da—,& la chute des feuilles. Dobrar 
a —, cesser de lire. Virar —, changer de sujel. 
Virar — a furluna a algquem, cesser d’eire [a- 
vorable & quelgu’un, en parlant de la fortune. 
Uma cousa em —, une chose loule neuve. De 
— 6—, d’une annee A une autre, tous les ans. 
— de couve, (4. d’kist. nal.) tridachne chot. 
—s aladas sem impare nem gavinge, (1. ds 
bot.) feuilles aildes sans impaire. 

+Foınäna, s. f. quanliti& de feuilles tom- 
b6es. * Toit de feuilles d’une chaumiere , el. 

FoLuäina, s. f. ou } (6. de bot.) laurier-in, 

+ FoLnino, s. m. laurier-ihym. 

FoLHä0o, A,p.p. de Folkar. Feuillu, toulü. 
s. m. Feuilletage, päle feuilletde. 

FoLnäcen, s. [. feuillage : toutes les feuilles 
d’un arbre; branches chargees de feuilles; 0® 
qui les imite. 

FoLniö, s. m. aug. de Fölko. 

+ Foıniö, adj. m. Cavalko —, cheval is- 
quiet. 

ForLmia, v. a. faire pousser les feuilles. 

FOLHÄR-SE, v. r. pousser des feuilles, 96 
couvrir de feuilles, en parlanı des arbres. 

+ FoLueiceo, A, adj. (I. de bot.) foliacd: de 
la nature des feuilles;; en forme de feuilles. 





FOM 


f FoLuzioo, #. m. (1. de menuwis.) placage: 
beis en feuilles appliqus sur d’autres bois. it. 
p.p. de 

FoLneir, v. a, feuilleter (un livre, de la 
päle). Faire un placage de bois. 

t Foıueäir, adj. 2 gen. (1. de bot.) follaire: 
qui nalt de la feuille. 

f FOLBEATÜRA, 8. f. (— dos gömos, 1. de bot.) 
klistion : action de se garnir de feuilles. 

FoLnXca, s. f.*flocon de neige. 

FoLH£LHo, 8. m. *cosse, gousse, enveloppe 
je certains legumes; follicule; balle des grains. 

Foın£ra, s. f. petite lame de metal. Feuille r 
paillon : petite lame sous les cristaux. 

tTFOLBETEAR, vo. a. (£. de bijout.) monter 
‚une pierre) & fond, monter sur feuille. 

FoLn&ro, s. m. * brochure, pamphlet. 

FOLHINnBA, 8. f. “almanach, calendrier. — de 
rtza,, directoire. Estar fazendo —s, ( fig.) eire 
pensif, tacitarne. 

FöLuo, s.m. excroissance de lacorne des che- 
vaux.—s, pl. (albala, garnilure de robe, volauıt. 

t FoLnö, s. m. (8. de bot.) V. Foihddo. 

FoLn6s0, a, adj. ($. de bot.) feuillu, garui 
de feuilles. 

FoLuöno, a, adj. leuillu ; touffa V. Frondoso. 

FoLiA, s. f. sorte de danse gaıe; partie de 
plaisir bruyante. Pdde-Ihe o corpo —, (fam.) 
la peau lui dömange. 

FoLsäno, a, p. p. de Foliar. adj. Folie. 

FoLıäö, 5. m. baladin, danseur de folia. 
V. ce mot. it. V. Folgazäo. 

FoLıär, v9. ». danser au son du tambour de 
basqu6; sauter d’une maniere ridicule, danser 
en trepignant. Folätrer, folichonner. 

f ForioLos, s. m. pl. (tl. de bot.) *folioles: 
petites feuilles des feuilles composees, posdes 
sur un pödoncule commun. 

FouLa, s. f. (4.de mar.) houle. V.Marulhada. 

FoLıLe, s. m. soufflet pour le feu. it. V. 
Folhelho. —, pl. Faux pli d’un habit mal 
cousu. — de ferreiro, soufllet de forge. Dar 
nos —s, levanlar ou locar os —s, faire aller ou 
suer les souflleis. Encher o —, (t. burl.) farcir 
lı bedaine. Chegar ao — a alguem, (fam.) 
taltre quelgu’un. 

ForuicuLin, adj. 2 gen, (1. de bot.) follicu- 
laire : de la follicule. 

FoLLicuLo, s. m. (l.de bot.) *follicule : enve- 
loppe des graines;; aıllıdre ou capsulc des fou- 
keres; (t. d’anat.) meınbranea, glande renfler- 
mant une cavit& d’oü part un conduil excre- 
toire. 

+ForLtıno, s.m.soufleur : celui qui faitaller 
les souffleis d’un orgue, etc. . 

FoLLicoLöso, A, adj. folliculeux:: de ia na- 
wure da follioule. 

+ FouLiino, s. m. (. de bot.) V. Folliculo. 

FoLLinno, s. m. dim. de Folle. 

FoLösa, s. f. (4. d’hist. nat.) tratne-buisson, 
ou Iauvetio d’hiver : petit oiseau bec-fin. 

Föuz,s. f. faim: envie, besoin de manger. 
Famine : disette de vivres. (Ag.) * Desir ardent. 
— caning, foim canine; (g.) appetil devorant. 








FOR 613 


Malar a —, apaiser sa faiın. Morrer, rabiar 
com —, (fam.) enrager la faim. Anda mor- 
rendo de —, c’est un pauvre miserable 

Fosentagäö, s. f. fomentation - remede ap- 
plique exlerieurement pour adoucir, fo:tilier, 
resoudre. 

FoMEXTÄDO, A, 9. p. de Fomenlar. 

FOMENTADOR, A, 3. qui fomente ; molenr, 
fauteur. 

FOMENTÄR, v. a. fomenter : appliquer une 
fomentation ; (Ag.) entretenir sourdenient , 
faire durer; encourager, animer, exciter;; pro- 
icger, appuyer, favoriser. 

Fomento, 5. m. * fomentation, lenitif, adou- 
cissement. (g.) Appui, proteclion; encourage- 
ment. Aliment du feu, d’une passion, elc. 
(p. ws.) 

tFönmes ou | cequiexcite, anime, donne 

Fömıte,s.f. ) de l’ardeur. — peccati,,:loe. 
lat.) penchant naturel au mal; concupiscence. 

"FonO,s.m.V.Forno. Au Bresil, c’est une 
esp&ce de bassin de terre ‚ou plaleau de cuivre, 
pour rötir le manioc. 

Föna,s. m. vilain, crasseux, ladre. f. Fan- 
faron. 

Fönas, s. f. pl. elincelles qui s’eleignent 
avant de tomber. 

Fonranräö, etc. V. Fanfarrdö, etc. 

FoNTAinHA , 8. f. V. Fonlezinha. 

FontaniL, adj. 2 gen. de fontaine. Principio 
—,(t. de theol.) origine, source, principe, 
cause. 

FONTAN£LLa,s. f."cautere. Fontanelle, en- 
droit oü aboutissent les sutures du crAne. 

* Fontänge, s. f. fontange : nwud de rubans 
autour de la t&te. 

Fonte, s. f. fontaine : source d’eau vive. 
(#g.) Source, principe, origine. * Caul£re : ou- 
verture faite dans la chair avec un causlique, 
etc. — baptısmal, fonts baplismaux. Tanias 
vozes vai 0 cAnlaro d— ale se quebra, 
(prov.) tant va la cruche & l’eau qu’ä la fin elle 
so casse. As —s, pl. les tempes. 

FONTEZIinHA, s. f. dim. de Fonte. 

*För,s. f. V. Forma, Modo. 

Föra (de), adv. et prep. hors, dekers; hor- 
mis, excepte, fors. V. Afora. Outre, de plus. 
—! interj. bors d’ici! fi donc! ä bas! Estar — 
de juizo, &ire hors de son bon sens, exlrava- 
guer. Estar — de si, &tre hors de soi,transporte, 
aveugl& par la passion, elc. Sair —, para —, 
sortir, aller dehors. — de zombaria, raillerie & 
part. De —, exterieurement. De — parte, en 
outre. —de, excepte, A l’exception de. — d’isso, 
de plus, outre cela. — de tempo, apr&s coup. 
Da parte de —, par dehors, & Pezterieur. Jan- 
tar —,ne pas diner & la maison, diner en ville. 
Ir para — da lerra, aller hors de la ville, aller 
a la campagne. Deizar de—. V. Excluir. 

+Förı,s. f.ou m. dehors : la partie exle- 
rieure. Andar por —, etre dehors. Gente de —, 
des eirangers. Ter genle de — ou esliar com 
gente de —, (fam.) avoir du monde chez 80i, 
avpir des sisitee, 


sit FOR FÜR 

force une place, etc. ;.violer une femme, Reu- 
forcer. — de alguem, porter plaints conire 
quelqu’un. 

FoRcAn-sE (por), #. r. s’ellorcer, faire des 
efforts. 

Forcersino, A,P. pP. de 

Foaczsir (com, conira ; por) v. m. faire efort 
eontre; faire effort pour; s’eforcer de, faire 
des efforts, redoubler de courage, ete., Serer- 
tuer ; se debattre. ( Ag.) S’opposer fortement. 

+ Fonckıo, s. m. effort. 

FORGÖSAMANTE, adv. necessairement, inkti- 
tablement;; forcöment, par force. 

Forcöso, A, adj. necessaire, inerilable, 
forc6 ,indispensable; fort, robuste, vigoureut. 
Violent. B— morrer, il faut mourir. Foi-, 
force a &t6 de... 

Foncöna ,s. f. baignoire, petite loge de thti- 
tre. is. V. Fressura. 

Foncuntıno, A,s. vendeur, —euse de res- 
sures. 

* Fontca, s. f. V. Canhenko.. 

Forftirno, A, adj. et s. eınphytöote, censi- 
taire ; tributaire, redevancier. 

Fortnse, adj. 2 gen. du barreau, qui cor- 
cerne le barreau. 

+ Fonesttiro, s.m. capitaine gendral ‚gor- 
verneur anciennement en Flandre. 

* Forcıcia, etc. V. Forjar. 

Försa, s. f. forge: fourneau, enclume por! 
forger. Anda o negocio na — , Yaffaire est su! 
le tapis. 

Forsino, A, p. p. de Forjar. adj. Faili 
plaisir. 

ForsanoR , 5. m. forgeron, forgeur. 

Forsapüra , 3. f. action et effet de forger: 

Forsin,o.a. forger : donner la forme au fer, 
au metal, ä l’aide du feu et du marteau; (g.) 
inventer, controuver, supposer. 

* Foruies. V. Florins ımonnaie). 

Förua, s. f. forme, configuration des Corps; 
fecon, guise; maniere d’agir, de proceder. 
Hostle: pain pour la consecration eucharisli- 
que. Forme des sacrements : paroles sacramel- 
telles. File, rangee de soldats. De —, de fagon, 
de maniere. De tel — que, si bien que, tell 
ment que. 

Forma, s. f. forme de chapeau, de soulier, 
eto. Moule. Vergeoise dans les sucreries. — 
pora faxer cartuzos, (1. de mer.) forıne & ga'- 
Kousses. — do idme, (id.) gabarit du gonvei- 
nail. — do queijo, eclisse. Leitra de —, carat- 
tere typograpbique. 

Foruacid, s. f. formation s action de formef, 
de se former. 

Foruipo, A, p. p. de Forster. 

FoauanOn, s. m. formateur : qui forme, qui 
faconne. Createur. 

ForwarLinco, adj. m. Anglo —, (1. de for!.) 
angle formant le flanc. 

FonwiL, adj. 2 gen. formel, expres, preis. 
an concerne la forme. Prepre, reel. Gra'E, 
serieux. 


+ Fonuir, e. m. — de parkiihe, scie ou! 


* Fonaczem. V. Miungas. 

Fonacino, A, adj. fugitif, vagabond , errant. 
V. Omisiado. 

Foriı, s. m. *charto donnee d une ville,d un 
bourg; röle ow registre des droits, redevances, 
privileges, eto., d’une ville. 

Foramınöso, A,.adj. V. Fendido, Rölo. 

+ FonamonTtäö, s. m. ancien impöt de vene- 
rie sur certains villages, formes ou emphy- 















s08. 

Fori8. V. Furdd. 

* Fonaala. V. Foragem. 

Forastfino , s. m. eiranger, forain. 

Fönca , s. f. potence; gibet. Fourche. Acabou 
wuma —, il finit par @tre pendu. 4 — ndo 
perde 0 seu direilo ‚ le gibet ne perd point 508 
droits. 

Fonciva. V. Forcddo. 

FORCADINHO, 8. m. dim. de 

Forci2o, s. m. * fourche. — da quilhs, (1. de 
mar.) fourque. it. p. p. de Forcer. 

Foncanöna, s. f. fourchure. 

Foncin, v. 6. retourner avoc une fourcho les 
gerbes de bie dans l’aire. 

FoRcarkTg, s. m. ancien meuble. 

Fönca, s. f. force, vigucur; faculte d’agir 
vigoureusement, de renverser les obstacles, de 
mouvoir, de repousser, d’ecarter; puissance, 
empire, eflet; necessile; contrainte; vertu; 
penetration d’esprit ; Impetuosit£ ; solidits d’un 
ralsonnement;; nouvellete; viol. Fort de ’epee: 
tiors de sa longueur du cötöde sa garde. (vieuz) 
Place forte. 4’ —, par force. 4’ — de, & force 
de. A’ — d’armas, — d’armas, de vire 
force, les armes & la main. 4’ viva —, de 
vive force, De ou por —, de toute necessite, 
de force, par force, avec violence, contre 
droitet raison;; necessairement ,indispensable- 
ment. De — ou por vontlade , bon grö, malgre, 
de gre ou de force. K mister recorrer d — ou 
aypellar para a—, il faut en venir ä la force. 

a — do inverno, au fort de l’hiver. Na — da 
dor, au fort de sa douleur. Dar uma — d’al- 
guem, porter plainte contre quelqu’un. —s, pl. 
forces, les troupes d’un pays, tout ce qui le 
rend puissant ; vigueur da corps, ( fig.) de 
l’esprit, de ’äme, etc. As —s da escriptura,, do 
cuntrato,, la force, les clauses essentielles d’un 
contrat, etc. Fazer —s para algum fim, obli- 
ger, forcer. Tirar —ı da frequeza,, faire de n6- 
cossil& verlu. Dar —s, donner des forces, for- 
tiier. Trabalhar com lodas as —,, travailier de 
Loute sa force. 

ForcäDANMentE, adv. forc&ment, necessaire- 
ment. 

Forcino, s. m. forgat, galörlen. «4. ade. V. 
Forgadamente. it. p. p. de Forgar. 

Fonganon, s. m. celul qui force, qui fait vio- 
leuce, qui viole une femme. 

ForgaNE£nTo, s. m. action de forcer; viol. 

Forcixte, adj. 2 gen. qui force. p. a. de 

Forcir, vo. a. forcer : faire effort, rompre 
avec violence; (g.) obliger, contraindre,, vio- 
jenter, faire violence, —, enlever, prendsp par 





FOR 


treit de partage qu’en donne Achsen des heri- 
tiers. (views) Ferme, maison de campagne. 

FoORSALIDÄDE, 5. f. pontiualit#, exzactitude. 
Formalite, cer&emonie, ötiquette. Gravite, s6- 
rieax. Formalite : maniöre expresse de proc6- 
der en jastioe. 

FoRMALISTA, s. m. formalisie: atischö aux 
formses, aux formalites ; vötilleux. 

FORMALIZADO, A, 9. p. de 

FORMaLIZÄR, v. a. donner la forme; rediger 
selon les forınes. 

Fonuaumzin-sz, v. r. se formaliser, solfeh- 
ser, prendre au sörieux. 


Fon z, adv. formellement; avec for- 
malite. 
*Fonmiß. V. Firmäd. 


Foruiö, s. m. grand ciseau, fermoir de me- 
JAuisier. — curvo,, fermoir ä,nez rond, 

Fonsir, v. a. former: donner la forme; fa- 
conner ; oomposer une chose de plusieurs au- 
tres ; arranger, meltre en ordre ; produire, 
eroer, donner l’e&ire; (Ag.) instruire, &lever. 
— 05 cosiumes,, morigener : former les m@urs. 
— conceilo, former un jJugement dans son 
esprit. — Partido, former un parii. 

Fonuinsk,v.r. se former ; prendre je degr& 
(de bachelier ou docteur) dans une universite. 

Foruarüra, s. f. acte de prendre un degre 
dans une universile. (1. wel.) Disposition d’une 
arınee. 

Fonutıno, 5. m. formier : ouvrier qui fait des 
formes de souliers. 

Forukute. V. Fermento. 

Fonuica,s. f. V. Cobrelo (maladie). 

FORNICÄNTE,, adj. 2 gen. (4. de med.) formi- 
eant : (pouls) petit, faible et frequent. 

FoRuıDÄnTs, adj. 2 gen. (pact.) qui redouse. 

FORMIDÄNDO, A, formidable, re- 

FORMIDÄVEL, adj. 2 gen. doutable. Grand, 
gros, vaste, 6tendu. 

FORMIDÄVELMRNTE , adv. d’ane maniöre for- 
midable. 

ForuıpoLdso, A,adj. craintil, timide. For- 
midsble, redoutable. - 

Foruica, s. f. fourmi :insecte hyme&noptere, 
qui vit en societe, tres-industrieux. — branca 
ou ferme, termite. — de fogo, petite fourmi 
noire du Bresil dont la morsure est brülante. 
A’ —, adv. petit & petit, l’un apres l’autre. 

+ FORMIGAMENTO „sm. " demangeaison F 
prurit. 

Fonmicid, s. m. grande fourmi. — de pol- 
vora, saucisson, trainde de poudre. Muro de 

— mar fait en petiles pierres. 

Formicär, v. ». picoter entre cuir et chair, 
demanger; foarmiller, abonder. 

Foamiıcuzsar. V. Formigdr. 

+ Formicugirixno, s. m. dim. de Formi- 
gweiro. it. Larronneau, flou. 

Foamıcußiro, 3. m. *fourmiliäre : lieu , trou 
od se retirent les fourmis; ces fourmis; formi- 
calion, fourmillement; ( Ag.) grande quantits 
de monde. *Teigne aux pieds des chevaug; 
fourmiljere, (4, d’hist. nat.) V. Tamandud, 


FOR 


Fonuicußıro , adj. m. Ladrdo 
thoses de peu de valeur. 

FoasteviLso, 3. m. * [ourmiliöre ; vide entre 
la chair et le sabot du cheval. 

Foruicuinua, s. [. dim. de Forsmige. 

Foruinna, s. f. dim. de Förme. 

Formösamentz, adv. joliment, agreabie- 
ment, en perfeclion. 

Fonmoszin, elc. V. Aformosear, elc. 

FORMosissmo, A,adj. sup. de 

FoRrmöso, A, adj. boau agreabie ä lavue; 
bxcellent dans son genre. V. Bonilo, Muiher 
—s, jolie femme. Ndo ka —a som sendo, iln'y 
a pas de beaute sans defaut. Näo d —a gue di- 
gdmos, elle n’est pas jolie. Nada em de —a, 
elle n’est point Jolie. 

Foruosüra, 8. f. beaul&: proporlion agrea- 
ble des parties d’un tout. Beauts d’une femme. 
—, agrement d’un lien, etc. —, jolie per- 
sonne. 

FöamuLs, s. f. formule, rögie, style, termes 
prescrits. 

+ ForwuLsciö,s. f. action de (ormuler (un 
remöde), de reduire en formule (une pensee, 
ete.). 

FoauuLino, A, 9.9. de 

ForsuLär, v. a. förmuler : reduire en for- 
mule, & une expression generale. 

FoanxuLisıo, s. mw. formulaire : livre, recueil 
de formules, de formaliles, de professions de 
fol. 

FORMULISTA, 5. m. formuliste : attach6 scru- 
puleusement aux formules. 

*Fonnäca. V. Fornälha. 

‚+ Fonuacizs, 5. m. pl. (8. dent.) [öies en 
P’honneur de Fornax, deesse des foars. 

Fornackıro, s.m. fournalisie: ouvrier qui 
fait des fourneaux pour la monnaie. 

Fornicos, s. m. pl. (#4. de charp.) bätons 
minces dans la charpente. 

Fornäpa,s. f. fournee. Cozer # —, (t. burl.) 
Cuver son vin. 

FoanäLHa, 8. f. fournaise ; potager, fourneau 
de cuisıne. 

FORNALHRIRO, 3. m. celui qui travaille au 
four ou fourneau. 

*FORNAZINHO, A, adj. V. Adullerino, 

FORnKÄR , 0. a. enfourner. V. Infornar. —as 
lancas, brandir les lances. v. ». Faire le me- 
tier de boulanger. 

Fornecke , v. a. fournir, garnir, pourvoir. 

FORNECIDO, A,P.p. de Fornecer. 

FORNECIMÄNTO, s. m. * fourniture, approvi- 
sionnement. (1. de eomm. ) Fournissemebt. 

Forn£ıro, A, 5. boulanger; fournier. — de 
cal, chaufournier. 

FORNEJÄR. V. Fornear. 

* FORNESINBO, A, adj. bätard,, adulterin. 

Fornıcackö ,s. f. fornicalion : commerce il- 
legitime entre un gargon et une fille, eniro 
deux personnes libres des deux seXes. 

Fonnicapor. V. Forwicdrio. 

Fornıcir, v. a. et #. forniquer ; commeltfo 


lo pech6 do la forniea}ion, 


615 


— ,v6leur do 





616 FOR FOR 


Forntcänıo, A, 8. fornicaleur ; impudique, 
lascif, luxurieux. 

FÖRnIcE , s. m. arche, voüle, arc d’architec- 
ture. 

Foanıcıo. V. Formizio. 

Fonnipo,A, p. p. de Fornir. adj. Approvi- 
sionnd; pourvu, fourni. Fort, robuste, puis- 
sant. — de membdros, membru, fort, robuste. 
Panno bem —, drap bien fourni, bien etoffe. 
Dem — de carnes, corpulent, charnu. Madeira 
bem —s,bois gros et fort. Naus —as, vais- 
scaux d’un bordage gros et fort. 

FoaniLno, s. m. petit four ; foyer d’une forge; 
fourneau de mine. 

Fonnımentro,s. m. *planches, ais de bois 
d’vrable. * Corpulence, embonpoint, * Fourni- 
ture. 

Fornta, o. 6. fournir, pourvoir, garnir. 

" Foanızio, s. m. fornication enire des per- 
sonnes non marides. 

Fönno, s. m. four. — publico, four banal. 
— de reverbero, four A röverbere. — de tejölo, 
four & briques. 

F6ro ‚a. m. lioa oü l’on rend la justlice , oü 
!'on plaide : barreau. For, tribunal ‚juridiction. 
Directe : domaine ou seigneurie direote. Cens; 
rente fonciere. Droit, privilege, prerogative. 
"Loi,, statut, coutume d’un royaume, etc. *Es- 
Iıme, röputalion. —s, pl. privilöges d’une pro- 
vince , d’une ville, etc. — intermo ou da 
ronsciencis, for interieur, le jugement de la 
propre conscience. — exierno, for exisrieur, 

jJuridietion ecclesiastique. — de Adalgo, letires 
de noblesse. — de cidadds, droit de bourgeoi- 
sic. Andar em — de valenie, eic., avoir la 
reputation de brarve, 

Fanör. V. Fardl. 

Fonquzipo, a. V. Forgwilkoso. 

Fonquzanöna. V. Bifurcasds. 

+ Fongutra, s. f. fourche d’arbre. — dos 
dranddes, (1. de mar.) boute-hors des galhau- 
bans. 

ForguiLma, s. f. petite fourche & deux ou 
trois dents; fourchelte d’arbaldte, eto. 

7 FonquiLnöso, A, adj. (1. de bot.) fourchu, 
en fourche; bifurque. 

Foanino,A,p.Pp. de Forrer. 

Fonranon, s. m. doubleur. #f. Celul qui af- 
franchit un esclave. 

Fornachitas, s.m. (4. burl.) V. Forreta. 

FoRRAGEADOR , s. m. fourrageur : soldat qui 
va au fourrage. 

ForraceiL, s. m. lieu abondant en fourrage. 
V. Ferregial. 

FonnAGEÄiR, ©. . fourrager : couper, amas- 
ser du fourrage. 

Funnackıno. V. Forragesdir. 

Fornicen, s. f. (1. mil.) * fourrage : herbe 
Pour la nourriture des chevaux. 

Fonnausnto. V. Alforria. it. Forro. 

Fonnin ‚vo. a. doubler (une etoffe, un habit, 
“te.); affranchir un esclave; plafonner, lam- 
Lrisser; öconomiser, Cpargner; degager unbien 

des hypothöques. — ar amuradas. (1. de mar.) 


vaigrer, lambrisser un vaissesu. — com chumbe 
85 escovons, (id.) plomber les dcubiers. — com 
chumbo as costuras, (id.) plomber les cosiureı 
ot les dcarts, 

Fonnän-sE,v.r. so racquitter; se racheter; 
payer ses deites. — dem, sc vötir chaudement. 
— de nuvons, se couvrir de nua 

T Fonnas, s.f. pl. (t.de mar.) —dos rinzes, 
bandes des ris, 

Funrzcei. V. Forrageal. 

* FunnEıan 08 fourrager; ravager (un 

Fonngsan, v.a. pays). V. Forrsgear. 

Fonr£ra, s.m. ladre, avaro, Crassous. 

Fonrı£L, s. m. fourrier. — mör, marschal 
des logis, 

Föaro, A, ady. affranchi, mis en liberte. Di- 
Bag$, libre d’hypothöques. Comer d Iripa —, 
(fam.) vivre aux depens d’autrui. 

Fönno, s. m. — de vestido, ete. , * doublure. 
— de chapeo, * coiffe de chapcau. — do leclo, 
das paredes d’uma casa, lambris, plancher, 
plafond d'une maison. — de pelles ou pellisss, 
"fourrure. — de navio, doublage : second bor- 
dage d’un vaisseau. — do andie, (1. ds mar.) 
*boudinure, imboudinure. — de chumbo dos e» 
covens, (id.)” bolte ou tuyau de plonb dans les 
eeubiers. — de chumbo dos emborndes, (ıd.) 
dalots de plomb.— das amuradas, (id.) vaigres. 

FORTALECEDOR , A , ady. et a. qui forlifie, for- 
tißent. 

FORTALECER , v. a. fortilier : donner de la 
force ; rendre fort, plus fort, vigoureus. Affer- 
mer. V. Fortifcar. Consoler, encourager. 

FORTALECIDO, 4, 9. p. de Fortalecer. 

FORTALECIMENTO, 5. m. affermissement.V. 
Fortificagdö. 

FontaLtza, s. f. force : une des quatre ver- 
tus cardinales; vigueur naturelle; grandeur, 
fermets de courage; valeur. Forteresse : chä- 
teau foriifie. 

ForTaLezän. etc. V. Forfificar, etc. 

FÖRTE, s. m. fort: ouvrage fortific ; chäteau- 
fort. Le fort, le plus &pais d’un bois. Contre- 
fort. Ancienne monnaie portugaise de 29 reis. 

FORTE, adj. 2 gen. fort, solide, capabie de 
resister ; robuste, vigoureux. (g.) Courageus, 
magnanime.Dur, rude, difficile ätravailier. (A9.) 
—, grand, violent, extreme ;spiritueux, violent, 
parlant du vin, ete.; convaincant, energique, 
parlant du raisonnement. On le dit de l’argent, 
de la monnaie qui excede le titre on le poids 
ordinaire. — de genio, vif, colere, emporte, 
enteie, tetu. Fazer-se —, se [ortifier, se re- 
trancher. ( ig.) Tenir ferme, ne point oeder. 
Jogar —, jouer gros jeu. — espada, rade joß- 
leur, bonne &pee. 

T Fünte, ade. (1. de mus.) forte : l’oppose de 
piano. Fort, fortement. 

FonteLeza,, etc. V. Forlaleze, etc. 

FORTENENTE, adv. fortement : avec force et 
vigueur. 
tT Forter:ino, s. m. piano -foris „ forte-pia- 


NO : instruimer' de musique en forıme de clare- 
em. 



































FOS 


*Forricamento. V. Fortifßcagds. 
Fontwäö, s. f. force, &paisseur d'une etofle, 
eir. Solidite. Violence , energie, activile. — de 
genio , caraclöre tötu,, enlier, emporte. 
Forriricacäö,, 3. f. fortification : ouvrages : 
pour fortilier les places ; action, art de fortifier, 
srchiteetare militaire. 
FortırIcaDO, A, 9. p. de Forlificar. 
FogriricaDoR , s. m. ingenieur qui dirige les 
fortißcations d’une place. 
Foarırıcinte, adj. 2 gen. fortißant : qui for- 
üße. p.a. de 
Fosrwichk, v. a. forlifler : entourer de 1or- 
üßcallons (une ville, une montagne, une po- 
sition, etc.). V. For er. 
Foarırıcia-s& (em), o. r. se fortifier, se re- 
trancher dans un poste. 
Forrim , s. m. fortin, petit fort, fort decam- 
Pagne. 
Fortissıno,, A, adj. sup. de Forte. 
Forrörtautnte, adv. fortuitement, par ha- 
sarl,, inopindment. 
‚Foartrto, A, adj. fortuit, accidentel, ino- 
Pine. 

Forrdn, 8. m. * odeur forte et desagröable. Il 
est quelguefois adj. Cheiro —, mauvaise odeur. 

Foaröna, s. f. fortune, cas fortuit, hasard ; 
sccident beureaz ow malheureux, bonheur; 
desiinde, sort; reussite, succes. ° Ascendant, 
bonheur au jeu. Correr —, (1.de mar.) eprou- 
ver [a fortune de mer. Ir d—, aller a l’aven- 
tate. Homem de —, parvonu ; homme nouveau, 
derien, qui a fait une fortune subite. Lance 
de —, coup de fortune, bonheur inattendu. 
Por —, par bonbeur. Provar —, tenter for- 
Inne. Ndo deizard de fazer —, il ne manquera 
pas de parvenir. —s, pl. richesse,, opulence. 

t Fonrunipas ou — Tas, s. [. pl. (1. de geog.) 
Fortunees : les de l’archipel de l’Octan Atlan- 
gie, aujourd’hui les Canaries. 

‚F Forrunäoo. V. Afortunddo. it. (inus.) Ar- 
Fiscado, 


T Foaruniricos, 3. m. pl. juifs qui faisaient 
des sacrifices & la Fortune. 

"Foatönıco, A , adj. de la fortune. 

"Fonrünıo , s. m. bonheur. 

t Fonrunöso, a, adj. heureux; qui a du 

bonheur. 

Fös. V. Föz. 

Fusca,,s.f. frime, mine, semblant; menace 
Yaine; agacerie; [ausses apparences , Mirage. 

I Fösco, a, adj. läche, indolent; couard. 

VOSFOREAR „ ©lC. 

Fosrono, ele, | v. Prospa..., etc. 

Fössa , s. f. [osse. V. Cora. 

Fossipa. V. Fossado. 

Fossaptına, s. f. tribut qu’on payait pour 
Creuser et entretenir les foss€s d’une ville, eic.; 
eı le disaitaussi de la ville qui payaitce Lribut. 

Fossipo,s. m. V. Fosso. (viewx) Tribut qu’on 
Pyait au roi lorsqwil allait & la guerre. L’en- 
semble des fortifications d’une place. 


Fossipo, A, j. czeus6, ereux, profond. | : 
ei ’ ‚P | vigueur, sans force. (Ay.) Languissant; fragile, 


P. pP. de Fossar. 


FRA 617 


Fossän, o. a. (inus.) oreuser, faire un foss6 
autour. V. Forar. 

Fossärıo. V, Cemuterio. 

Fosstrr, s. m. dim. de Fosso. Petit fosse, 
pelito ([osse. 

FussıL, adj. 2 gen. fossile. On le dit des 
corps que l’on Lrouve pötrifi6s dans la terre en 
la creusant., . 

Fössıs ow Fösskis, 8. m. pl. fossiles : terres, 
pierres, coquilles, ossements, polypiers, v6- 
getaux petrifies ‚ tir&s du sein de la terre. 

Fösso, s. m.* fosse : creux en terre. Foss6 
d’une place lortifiee. 

t FössuLa , s. f. (1. de bot.) petite cavits. 

t FossuLösas, Folhas—, (t. de bot.) V. Lac- 
nusas. 

*Föstz, s. m. baguetie de juridiction. V. 
Fuste. 

Föra, s. f. tolle fine ancienne, rayse et fran- 
gee, dont les Maures faisaient des turbans; 
coiffure des Maures. 

Forzino, A, adj. qui imite la fola ( V. ce 
mot), ou qui en est garni. " 

FoTo,s.m. Em —, & flot. 

Foröquss, s. m. pl. nom gensrique des dieux 
au Japon. 

Foucana,s. f. coup de faux; andain. 

Föuce,, s. f. faux : instrument pour faucher. 
— de seifar, faucille. —de podar, serpetie. 
— rosadoura, [aux ou serpe & couper les ron- 
ces, eic. Metler «— em seara.alheia, (fig.)mel- 
tre la faucille dans la moisson d’autzui. 

Foucno. V. Pateiro. 

Foucınua, s. f. dim. de Fouce. 

Foucınno, s. m. V. Foucinha. 

Fouteza. 

Fovto, A. } V. Afowt... 

Fouv&ıro,A, adj. fauve, roussätre. 

Fov&nte, adj. 2 gen. qui encourage. 

Foro. V. Fdjo. 

Föz, s. f. embouchure d’un fleuve; gorge, 
detroit, passage entre deux montagnes. (flg.) 
Entree. De— em föra, sans [rein, sans relenue, 

Fräcamentg, ade. faiblement, sans force ni 
vigueur, debilement ; on läche, 

FracassiD0, A,p. p. de 

Fnacassär, ©. a. [racasser : Tompre, briser 
en pieces. V. Derrocar. 

Fracisso, 8. m. fracas; chute suivie de rup- 
ture. (Ag.) Desastre, mauvais succes, ruine, 
malbeur. 

Fracäizo. V. Fracdsso. 

Fnaccäö, 8. f. (t. d’arith.) (raclion : partie 
de l’unite, parties &gales de l’unite. dt. V. In- 
fracgdo. (1. de kit.) —, aclion de rompre 
(P’hostie). 

Fraccıonäno,A,P. p. de 

+ Faaccionik, 0. @. (p. us.) fraclionner: 
reduire en fraolions, en petites parties. 

Fraccionärıo,A, adj. fractionnaire : ( noMm- 
bre) qui contient des fraclions, qui a rapport 
aux fraclions. 

Fnico,A, adj. faible, affaibli, &nerve, sans 


618 FRA 


suwjet & pecher ; döfeetacux,, parlent d’un rai- 
sonnement, etc.; mediocre, patlant d’us 
po&me,etc. Läche, poliron. (4. d’agr.) Maigre, 
aride , siöriie, parlant de la terre. (Ag.) —,la- 
bile, infid@le,, parlanı de la memoire. — de ca- 
bepn, db memeria, qui a la töte, la memolre 
fsibles.— de ‚quia letemperament, 
la complexion delicate. — do peito, qui a la pol- 
trine faible. —a gurs, petithomme; role insi- 
gniflant. 

Frico, 9. m. faible : ce qu’il y a de moins 
fort, de defeotueax, defaut principal; (Ag.) 
passion dominante d’une personne; penchant 
defectdeur. 

Fractöna, s.f. [racture, ruptare. Eifraction, 
zupiu re faitepar un voleur pour derober. Fölure. 

nacrunäno,A, adj. fracturs: od il y alrac- 
ture (08). p. p. de 

Fracrurin, 0. &. [ractarer : faire une frac- 
ture. 

Faanania, s. f. monacaille, molhaille, moi- 
merie, tous les moines ou grande quantits de 
Bnoines; esprit des moines. 

Fripe, s. m. moine, religieax.—, feuille 
d’impression qui n’a pas bien pris l’encre. Cy- 
lindre de metier de soie.—s, pl. barres de 
fourbisseur. — leigo, frere lai. — de pedra, 
borne des russ. Meiter alguem —,, eniroquer, 
fatre moine. Melter-se —, se faire moine, en- 
trer en religion, prendre le capuchon. 

FnADEIÄR, ©. #. 88 comportor ou agir en 
‘moine; faire la moinerie. 

Fraptsco, A, adj. de molne, monacal ;ama- 
teur, parlisan des moines. 

Frapgsirno. V. Fradinho. 

Faanerz,s. m. * piöcede laplatine d’an fusil. 

+ Faupicg, s. f. action, propos ridicule d’un 
moine. . 

Frapinto, #. in. dim. de Frads. Moinilion : 
petit moine. Enfant qui porte ’habit de quel- 
que ordre religieux. Pivolne, oiseau; if. van- 
nesu, 6speoe d’Schassier. —s, pl. Deur vio- 
lette, papillonante. Feijöes —s, harioots prin- 
oes. — da mäo furdda. V. Duönde: 

Faica, s. f. roche, rocher escarpe. Partie 
raboteuse du bois , d’ane planehe, eto. 

Faicaunteno, V. Trapeiro. 

Faaciıno. V. Frangalko,, Trapo. 

ft FracaLnortıno, s. m. (1. Buri.) qui alme 
los toureuses, les feınmos deguenillees, 

Fracäinte. V. Flagrante er Fragranse. 

Fracäinta,s. f. V. Moranguelro. 

Fracita, 8. f. fr&gate : vaisseau de guerre 
leger, au-dessous de 60 canons. Grosse bar- 
que sur le Tage. —, ou raboforcado, (1. d’hist. 
nat.) —, oiseau de mer, palmipede, ir&s-rapide. 

Fracariö, s. m. aug. de Fragdia. Grosse 
[regate. Prögaton , grosse barıue. 

Fracarfıno,s. m. batelier, tnarinier, surtout 
d’ane fregate (barque). 

+ Faicatinua, s. f. dim. do Fragata. Petite 
fr&gate , (rögate Ires-legere. 

Fnacirzro V. Franöso. 

PnicıL, adj. 2 gen, Iragile : als A rompro; 


FRA 


(fg.) sujet A tomber eu faule; pen solide, peu 
darabie. 

FrnacıLiniee, 8. f. fragilite : faciliid As 
rompre ; (g.) facilit6 & tamber en lanie; dis 
posilion & cödeer aux penchants de la nalurt; 
[söblesse, au peche. 

FaiciLino. V. Fragilissimo. . 

FaacıLissuo, A , adj. sup. de Fregil. 

FricıLu£ntz, ade. d’une maniere frage; 
par fragilite. 

Fraicuturo, 5.8. fragment : ımorceau, P8!- 
tie d’une chose brisee, rompue. —s, pl. (Pf) 
fragments : parlies restäos d’un livre, ee. 

Faico, s. m. (8. de chass.) * laisstes, Rene 
de betes fauves. 

Fnäcoaı, s.f. forge. V. Forja. Vourmais, 
feu vif. (4g.) Adversite ; mortiflcatien ‚chagriz. 
O rosio feilo ums —, lo visäge mis enlen, 
enflamme , embrase. 

Fracoir (pP. us.) V. Forjer. 

Fracor, s. m. brait, fracas; coup de tea- 
nerre. 

Frac0n680, A, adj. bruyanı. V. Estronden. 

Fracosipine, 3. f. Aprei6 d’un chemin, elc., 
pente rude d’un rocher escatp# , escarpemtul. 

PracosissıuO, A, adj. sup. de 

Frao6s0, A, adj. Apre, raboteux, coupt de 
precipices, etc. 

Fracaincıa, 8. f. odeur agreabie, exhalsi- 
son odoriferante; suavil6 d’odeur, parlan, 
bouquet. (fig.) Bonne odeur, bonne rtpei- 
tion. 

Faacaäutre, ad). 2 gem. odoriferant, edc- 
rant, qui sent bon, gai röpand une bondt 
odeur, qui embaume. 

Fracxantissimo, A, adj. sup. de Fragree. 

Faicva. V. Fragosidäde on Frrdgos. 

Fraovgırice, 3. f. vie irds-dure ei Ir&s-aur 
tere. 

Fracvutino, A, adj. qui möne une vie dert 
et ausidre; iufatigable ; ami de travail; imps- 
tient; actil; fougueux. 

*+Faacutıno, 8. m. abatieur de bois, b8- 
cheron. 

Fnachra,s. f. V. Fragosidede. 
ber Fractta, s. f. "chalümesa, musetie de 


rger. 

*Fnaxmtzı. V. Penuris, Pobreze. 

"Faasae. V. Frade ou Freire. 

*Faarzeı. V. Froundi. 

FriLoa, s. f. * pans d’une chemise, d'une 
robe, ete.; basque, partie d’un habit long, 
d’une armure, de la ceinture en bas; Jupe de 
femme, etc. (fig.) Partie d’une montagne, de 
puis la base jusqu’ä mi-cöte. —do mer, rire, 
rivage. — do monle, bas d’ane monlagne. (de 
de —.V. Fraldeiro. 

FaaLdino, A, adj. plisse, qui a de larges 
pens; quia un iong contour. p. p. de Fralder. 

Fraroid, 5. m. aug. de Fralda. ’Basqet, 
partie d’ane arımure de la ceinture em bas. V. 
Toneldles. 

FaaLoin, u. @. atischer, eoudre les pans 
dung cbemise, oto, 





FRA 


Päitugsin , 9. 0.66toyer, sulvre le bas d’uno 
montagne, 

FraLokıro, A, adj. qui appartient & une jupe 
de femme. C4o —, pelit chien mignon, ohien 
de manchon. Homem —, (fg. fam.) qui est 
sans cesse avee les fommes, parlant d’un 
kermme qui aime le cotillon. 

FaALDELBIM, 8. m. cotillon: jupe de dessous. 

FrALDELIM, 5. m. sorte de tuniyue intörieure 
os jape ouverte par-derant. V. Brial. 

t FaaLoicörto,, A, adj. (podt.) quia les bas- 
ques eourles. 

FaaLpino, A,adj. qui a un grand pan, de 
longues basques. Mulker —a, femme co- 
quelis. 

FaıLviuna, 8. f. "tablier de ouir; tablier de 
sapeer. —s, pl. basques d’un pourpeint, d’an 
corps de jupe, elc. 

Frarpisqukıno, 3. ws. petit chien mignon, 
chien de manchon. 

+ FaaLdöso, A, adj. qui a de longues bas- 
ques; & queue tralnante. (fig.) Redondant. 

"Friua. V. Fiamma, 

Faampoßzas ou V. Siloa framboe- 

Framponzkıra,s. f. I zeira. 

Faimza,s. f. framee : javeline, arme de jet 
et de main. 

Faaußuco. V. Fismengo. 

FRANCALETE, 8. m. ”courroie, garnie d’une 
boucle & sen extrömits, pour attacher la fonte 
des pistolets & la solle. 

FRANCAM2NTE, adv. franehoment; lib6ra- 
lement , g&nsreusement, largement. 

+ Fainca, s. f. (1. da gdog.) France : puis- 
sant et grand Etat de l’Europe. 

Fringca, 8. f. plusus. aupl. Ae—s das ar- 
vores,, les branches dlev6es des arhres. 

+ Faancarkira, 3. f. "mannequin, poupart 
qui se meut par des ressorts caoh6s. 

FRANCEAR,, 9. a. couper les branches dlerdes 
des arbres. V. Frangas. 

FranckLa. (f. de prov.) V. Queijeira. 

PFRrAncELBINEO, 8. m. dim. de 

FrauckLHo, 8. m. " coresserelle, espäce d’&- 
pervier, oiseau de proie. 

Franckz, A, adj. eis. Frangais : qui est de 
France; langue francaise. Mal —.V. Gallico, 
4’ —a,ä la mode de France, & la frangaise. 

+ Francezia, s. f. habitude,, mode francalse; 
affectation & imiter, & admirer les Frangais,, les 
choses frangaises. 

Francaipo, A, adj. (t. de bias.) partag6 dia- 
gonalement. 

+ Faancninöte, 3. m. (4. burl.) homme pe- 
tulant, insolent. 

Francscino, A, adj. franeiscaln : de l’ordre 
de ssint Prangois. 

Francisco, A, adj. Frade—, [ranciscain, 
religieux de saint Frangais, cordelier. 

Frinco, a, adj. liberal, gönereux; libre, 
privilegiö; exempt; sincere, loyal, ingenu. 
Mesa, poria—a, table, porte ouverte & tout 
ie monde. Powsada —a, auberge , logement oü 
von ne pale rien. Porto —, port frano, oxemp! 


FRA 619 


de laut droit; entrde Hibep. Ki: 6 ‚ langtie 
franque : jargon usite dans le Levant, et gui 
est mel6 de Irangais, d’itallen, d’espagnol, etc. 

Frinco, s. m. franc : piöce de vingt sous; 
monnais de compte. * . 

T Franco-Coxnäno, s. m. (l. de geog.) Fran- 
che-Coinie : ancienne province de France. 

FRANcOLIiM, s. m. francolin: oiseau peu diffe- 
rent de la perdrix. 

t Fräncos, s. m. pl. Francs. On appelle 
ainsi les Germains qui se sont &lahlis dans les 
Gaules vers l’an 418, et qui leur ont donne le 
nom de France. 

FRANDULÄGE, 8. f. babioles, marchandises 
de bas prix. (Ag.) Gens derien. 

FRANDUNO, A, adj. on le disait Autrefois 
d’un Portugais qui allait en Flandre pour ap- 
prendre le commerce, etc.; qui introduisait 
les habitudes flamandes, en meprisant les usa- 
ges de son pays, 

Fringa, s. f. poulette, poularde. 

t FrancäLno, s.m. chiffon, haillon, guc- 
nille ; babit dechire. 

Fräncio, pl. —cios. V. Frango. 

FRANGER,(p. us.) V.’Quebrar, Violar. 

FRANGIPÄNO, A, adj. prepare , aromalisd avec 
le parfum frangipane; & la (rangipane. 

FRANGIVEL, adj. 2 gen. [ragile, cassant. 

Fränco, s, m. poulet. 

FRANcöLHO,s.m. bie ecrase qu’on fait cuire, 

Fräncug, s. m. Frangui : Dom par lequel les 
Indiens et les Maures designent les Europcens. 

T Francuuina, s. f. (l. de bot.) bourgene, 
bourdaine, aune noire :: arbrisseau du genre 
du nerprun. 

Trans, s. f. frange : tissu d’oh pendent des 
eis. 

Faansäno, A, p. p. de Frenjar. adj. Garni 
de frange; frange&, en forme de frange. 

Fransiö, s. m. aug. de Franja. Grande, 
large frange. 

Fransin, vo. a. [ranger : garnir de franges, 

FRANQUEÄDO, A, p. p. de 

FRANQUEÄR, vd. a. exempter, affranchir, dıs- 
penser. Debarrasser, Öter les obstacles. Fran- 
chir; passer, traverser. Faciliter ;, accorder ge- 
nereusement, avec liberalitle. — a casd,, accor- 
der l’entree dans une maison. — as carlas, al- 
franchir les lettres. 

FRANQUEAR-SE , u. r. se pr&ler facilement aux 
desirs des autres. — com alguem, ouvrir son 
caur ä quelgu’un. 

Frangußza, s. f. franchise, exemption , pri- 
vilege; immunite. Liberalit&, largesse, gene- 
rosile. (fig.) — , ingenuits, sincerile, candeur. 
Com —, [rancbement, vuvertement, 

Franquia, 3. f. franchise, exemption, ım- 
munit6; asilo, droit d’asile. Pör em — , esfar 
em —,(1. de mar.) appareiller : &ire prei d 
mettre & la voile, eire cn parlance, 

Franquino. V. Arroleddo. 

Faanquissımo, A, adj. sup. de Franco, 

FnransseLno. V. Francelho, 

Frayxän, V. Frowsel, 


620 FRA 
Faauzipo, A, 9. p. de Franz 


TFaanzımtnto, s. m. froncis: plis faits & 
une dtoffe, A une robe en la frongant; fronce- 


ment, action de froncer. 
Faınzino, A, adj. mince, gröle, efile. 


Faanzir,, v. a. froncer : plisser menu (du 


linge, une &toffe, ete.) ; rider ( le sourcil). 
* FraQuauente. V. Fracamente. 


Faaqueia,v.n. faiblir : perdre de sa force. 
(fig.) Perdre de son courage. Manquer de cou- 
rage, c&der sans resistance ; abaisser de cou- 
rege. (ig.) Se relächer, perdre de son ardeur, 


se desister. Manquer, defaillir, tomher. 


Fnaoosıno, A, adj. faible, leger; pauvre, 


maigre, peu fertile (terre). 
Fraqugsin.V. Fr ar 


FaAqußTte, adj. 2 gen. dim. de Fraco.Un peu 


Fragußza, s. f. faiblesse, debilit# ;, manque 
de force, de puissance, (Ag.) de vigueur d’es- 
prit, de jugement, de courage, de fermets; 
fragilite , penchant au mal; faute; faible. — do 
eslomago , faiblesse d’estomac. Ndo mostrar—, 
ne point monirer de faiblesse,, avoir de la fer- 


meis. 


FraQuinBo, a, dim. de Fraco. Bien faible, 


languissant ; d’ane faible complexion. 
Fnaguissimo, A , adj. sup. de Fraco. 


Fraisca, s. f. batterie de cuisine; vaisselle, 


V. Fr em. 


" Frascices,s. f.*bagage, valise. V. Frasca. 


FaasciL. V. Fascal. 


Frascania , s. f. maison de döbauche; pail- 


lardise. 


Frasciaıo , A, adj. libertin , debauche, 
adonne aux femmes, qui court les mauvais 


lieux; paillard. 


Fnisco, s. m. flacon, bouteille. — de pöloo- 


ra, poire & poudre. — de boca larga, bocal. 
—ı de fogo para a 
ses, bouteilles pleines d’ariilice. 

Frisg ou Panise, s. f. phrase : r&union des 
mots formant un sens Complet. (fg.) Construc- 
lion grammaticale , &locution, style. 

Fnaszino, A, p. p. de Phrasear. ady. Qui 
s’annonco par des phrases, qui en contient; 
ampoulö, recherche, parlant du style. O—, 
s. m. l’arrangement des phrases. 

FrasganDon, s. m. phraseur: qui fait des 
phrases. 

Faasein, 0. ». phraser : faire des phrases. 

FaaseoLocia, 8. f. phrastologie : construc- 
tion de phrases d’une langue, d'un 6crivain. 

* Faasıs. V. Frase. 

Faasquacen. V. Fr em. 

Faasgqutına, s.f. cantine : coffre en compar- 
timents pour des bouteilles, des flacons. 

Faasgutiro , A, adj. sensuel. V. Frasedrio. 
Em traje de —a, en neglige. 

Faasgutra, s. f. (8. d’impr.) [risquette : 
sorte de chässis plat, en cartoıı, decoupe de ma- 
niere ä garanlir les ınarges dans l’impression. 

Faasyuuinno, s. m.dim. de Frasco. Petit fla- 
con. 











‚(4. de mar.) bos- 


FRE 


Faariana, s. f. röpeimande, correclien {re- 
ternelle. Dar uma — , faire une reprimande 
fraternelie 

FratzaniL,adj.2 gen. (raternel : propre aux 
fröres, tel qu’il leur convient. Correepio —, 
correction fraternelie, (aile en esprit de charite. 

FRATKRNALNENTE,, ade. [raternelloment : en 
fröre ; d’une maniere fraternelle. 

FaATennıpine, 5. f. [rateroits : relation de 
frere & fröre; union, amilie, liaison fraler- 
nelles. 

FaATErnisän, vo. m. [raterniser : vivre [ra- 
ternellement. 

Faatzano. V. Fraternal. 

T FrartaıckLLos, 5. m. pl. sectaires du trei- 
zieme siöcle, oondamnes par Bonilace VIll. 

Faaraıcipa,adj. 2 gen. fratricide : meurtier 
de son {rdre. 

FRATRICIDIO, e. m. fratrieide : meurtre d'un 


Fraraissas, 5. f. pl. espece de religieuses de 
l’ordre de Malte , qui vivaient chez elles. 

Faaudino, A, 9. p. de Fraudar. 

FaAupADOR, A, adj. et s. fraudeur : gai 
fraude, qui fait la fraude. 

Faaupin, v.a. frauder:: tromper, decevoir; 
frustrer par fraude. 

t FaaupiveL, adj. 2 gen. qui peut re 
fraude. 

Faiupe, s. f. fraude : tromperie cach6e; a- 
tion de mauvaise foi;; superoherie ; coulraves- 
tion ; dol,, döception. 

FaaupvuLäncıa , 5. f. frande. 

FRAUDULENTAUMENTE, adv. frauduleusemen!, 
avoc fraude. . 

FaaupuL&nto,, A, adj. frauduleux : qui 
trompe,, qui agit de mauvaise foi, so dit des 
personnes; frauduleux,, oü il y a de la fraude, 
se dit des choses. 

FaaunuL6so, A, adj. frauduleux. V. Frew 
dulento. . 

Friäuta, 8. f. V. Flauta. 

Faautino, A, adj. üte. On le dit d’une voit 
doucoe et agreable comme la flüte. p. p. de 

Faäutan, v. a. flüter, donner le son d’une 
fläte & un instrument; faire jouer la üüle de 
Porgue. — « vos, parlor avec une voix douoe, 
melodieuse. 

FaAUTEIRO, 

Faavrista. } V. Fiaut... 

FaRAUTIM. 

Fraxımtıra ,s. f. (£. de bof.) (rauinelle. V. 
Dietamo-branco. 

Faazancus. V. Parasanga. 

"Faziua,s. f. V. Presunto. 

Frecua, s. f. öche. V. Setta. it. - ou ardre, 
bois qui sert & mouvoir un pont-ieris. De —, 
tout droit vers quelque lieu ow vers quelque 
personne. — de fogo , dard ä feu. 

FrecHina, 8. f. coup de fleche. 

Frxcnävo, A,P. p. de Frecher. 

FrzcHiL,s. m. (t. de charp.) "sabliere: piece 
entaillde pour porter des solivesux. 

FrrcHÄrR, v. a. tirer de l’arc, percer & coups 


FRE 


de Nöches , d’un coup de fläche. (fg \ Conrir, | 


traverser rapidement coınme la Nöche — u 

erro, bander un arc, une arbalete. 

Frecuania ,s. f. grand nombre de fläches; 
plusieurs Nöches lancees & la fois. 

Fa£cn£ıno, s. m. archer : soldat combatianı 
areo un arc ; qui cChasse avec un arc. 

*Farcacä0.V. Esfregaräo. 

*Fascin, etc. V. Esfregar, etc. 

Fagcıiz, a, s. paroissien : habitant d’une 
saroisse (Ag.) Celui qui fröquente assidument 
use ma3son ; chaland, pratique. 

Fatovzzia,, s. f. paroisse : territoire d’une 
cure; ses habitants; son e&glise. (Ag.) * Con- 
cours de chalands; chalandise. 

Fatı, s. m. frere:: titre des moines et des 
chevaliers des ordres militaires. Parlant d’un 
moine-pretre, on dira en France le pere... 

Faxitino, s. m. ouvrier qui fait ou vend des 
mors de brides, &peronnier. 

* Fasıcuzz. V. Freguez. 

"Fatıma, etc. V. Fleuma, etc. 

Fatıo ou Frko, s. m. frein : mors de cheval. 
"Bride. Filet de la langue; ligament du pr&puce. 
(Ag.) —, tout ce qui retient dans le devoir. 
Tomar o— nos dentes, prendre le mors aux 

denis. Morder o — , (fig.) regimber contre l’ai- 
guillon; refuser de faire ce qu’on doit. 

Fatına, s. f. religieuse, nonne, nonnain; 
saur. — leige , saur laie. —s de Santa Ursula, 
Ursulines. 

Freirär, o. a. retevoir chevalier d’an ordre 
militaire, Il est aussi reciproque. 

‚Fazınätıco, a, edj. qui courtise les reli- 
Kieuses. 

Fatıne, 5. m. fröre; moine. On donne ce nom 
aus chevaliers des trois ordres militeires en 
Portugal. 

"Preinia , s. f. nonnerie. 

Freınice, s. f. * commerce habituel avec une 
religieuse ; caprice, fantaisie de nonne. 

Fagıninua ‚s. f. dim. de Freira. Nonnette. 

* Fagıran. V. Fructificer. 

FazıxiL, s. we. bois de frene. 

Fatıxo, s. m. frene: grand arbre & beis 
blanc , & fouillage bon pour les besliaux. — or- 
neiro, frene & fleurs. (fg. poet.) Vaisseau. 

FrEN£nTE, adj. 2 gen. [r&missant. p. a. de 

"Faenin, v. ». [remir. 

Faguıro, s. m. fremissement, grand bruit. 
Bennissement des chevaux.V. Estrupido, Bra- 
mido, Ruido. Cri, murmure d’une grande as- 
semblee. 

Fazmöso, eto. V. Formöso, eic. 

Faenzsi ou Purengsi, s. m. * frendsie : dga- 
rement, ali6nation d’esprit avec fureur; fureur, 
passion violente ; (Ag.) emportement, excds de 
psssion. 

“Frenusia, 8. f.V. Frenesi. 

FrenzsıÄno , A, P. p..de 

FrenEsıÄR,, 9. a. causer de la frenesie. v. ®. 
Agir comme un frenelique. (fg.) Avoir frene- 
sie, s’eınporter 


FRE 621 


Prex£rico, a, adj. frendlique : alteint de 
[renesie; furieax. 

Faexte, s. f. * frontispice, face, facade; 
front d'une armee, d’un batailion, etc. Em —, 
vis-ä-vis. Fazer —, faire face , resister. Faser 
—aume uulro parlido, se menager l’un cı 
Yautre parti. 

Fato. V. Fre6io. 

Farquencıa, s. f. frequence; concours de 
monde; vitesse; frequentalion. Com —, frv- 
queınment. 

Fazquentacäö, 8. f. frequentation. Repeti- 
tion : fr&quent usage. 

FREQUENTÄDANENTE. V. Frequenicmente. 

FREQUENTÄDO, A, p. p. de Frequentar. 

FREQUENTÄDOR,, A, 3. celui qui frequente. 

FREQUENTÄR, v0. a. frequenter : banter, voir 
souvent; aller souvent & ou dans; visiter son- 
vent; avoir un frequent commerce; repeter, 
reiterer. 

FREQUENTATiVo , a, adj. ( t. de gramm.) fre- 
yuentatif : (verbe) qui marque l’action repcbiv. 

FREQuUenTE, adj. 2 gen. frequent : qui arrive 
souvent, reitere; plus vif. 

FREQUENTENENTE, adv. [requemment, sou- 
vent. 

FrEQuenTissıno, A, adj. sup. de Frequente. 

Fresca,s. f.* frais, fraicheur (du temps‘, 
air frais. 4° —, pela —, au frais, par le frais 
ä la fraiche. 

FresciL, adj. 2 gen. frais , recent, nouvcllie- 
ment fait (fromage); qui fest pas entidiemcnit 
frais , parlanı du poissen. 

FRESCAMENTE, adv. fraichement, recem- 
ment; avec fraicheur. 

Fratsco , A, adj. frais : mediocrement froid; 
recent. Saignant , nouveau. (fig.) —, qui a de= 
couleurs, de l’embonpoint. Vento — , veıtt 
frais, fort et favorable. Conto, hisloria —ı, 
conte gras, lioencieux. Palauras —as, paroles 
libres. Tera — a d’alguma cousa , &lıc 
frais de quelque chose. 

Faßsco, s. m. frais, air frais, temps frais. 
Fresque. De — ,fratchement , recemment. Fa! 
lar —, tenir des propos libres. Tomar o—, 
prendre le frais. Pintura a— , peinture äfres- 
que. Ventar —, souflier grand frais. 

Fazscon, s. m. V. Fresquiddö, Frescura, 


Vigo. 

Fazschra, 8. f. (ratcheur. (fig.) Vigueur de 
vegötation;; fleur de l’äge. (fam.) Indiflerence. 
Sang-froid. Teve demasiada —, il eut trop de 
sang-[roid. 

Farsgutta. V. Frasqulta. 

Fresquipäd. V. Frescura. 

FazsQuinE0, A, adj. dim. de Fresco. On !’em 
ploie aussi comme s. m. (f. de mar.) Petit fraıs. 

Fazsovissımo,, A, adj. sup. de Fresco. 

Faussöna, s. f. [ressure : le omur, la rate ei 
les poumons des animaux. V. Dedulho. 

Fressuntına, 5. f. femme qui vend des [rss- 
sures, 

Faksta, s. f. lucarne, abat-jour. nos der 
les , bröche entre les dents. 


624 FUC 


Frunsentd, s. m. froment: la meilleure esp6os 
deble. 

Pauusntoso, A, adj. ferlile, abondanı en 

FRUNCHO ou furoncle, fronele, clou, 

FaüncuLo,s.m. | fAegmon enflamme. 

+ Faussenia , s. f. (l. d’Asie) petite portion 
d’or ou d’argent en grains qui se trouve dans 
les riviöres ou dans les mines. 

Frustnipaunte,, adv. en vain, vainement. 

Faustnäno, Ar p. p. de Frustrar. 

FRrUSTaADOR, A, adj. ets. qui fait manquer 
une entreprise; qui frusire. 

FRUSTRÄNEANRNTE, adv. en vaın , vainement. 

FRUSTRÄNEO, A, adj. vain, inutile; sans effet, 
[frusır6. 

Fausrrir, v. a. frustrer : priver d’une chose 
due ou atiendue. — 0 infenfo,, manquer son 
coup. 

Favsrnän-sE, vo. r. 6chouer, avorter, ne pas 
röussir, avoir une issue contraire A celle qu’on 
attendait. 

FaUSTRATÖRIO, A, adj. [rustratoire : 
inutile; fait pour frusirer. 

Faüta, s. f. * fruit d’arbre fruitier ; les fruits; 
dessert. — bölsa, (t. de bol.) cynomeölre: 
plante l6ögumineuse. — estrellada, (id.) sislite, 
magnolier. — d’enirudo, (id.) "sebestier, ar- 
hre; plante arborescente,, & feurs monopötales, 
qui donne le sebeste. — da grälka, (id.) " ka- 
dali, espece de melasiome. — nova, "abrico- 
tier ; (prop. ei fg.) fruil nouveau. — do tempo, 
fruit de la saison. On le dit flgur&ment de ce 
qui est fr&quent dans une saison, des rhumes 
en hiver, etc. — sdcca, fruit sec, noix, noi- 
settes, etc. —s oustonigas, fruits bälards. 

* Faurar, ©. a. V. Desfructar. Cueillir les 
fruits. 

Faorkına, s. f. fruiliere : marchande de 
fruits. Corbeille oü l’on sert des fruits sur la 
table. 

Faurtıro, s.w. fruitier : qui vend des fruils. 
Vase, etc., pour porier des fruits. 

Faörsx ou arbrissesu , plante [ruti- 

Faöricg , 3. m } queuse, 

Fauriricin,, etc. V. Fruclificar,, elc. 

Faurivoro, etc. V. Frugivoro, etc. 

FaöTo, s. m. [ruit : partie reproductive des 
vegötaux, surtout des arbres et arbusies; sa 
figure. Fruits de la terre, tout ce qu'elle pro- 
duit ä sa surface, en vegelauz , et indıne dans 
son sein. ( ig.) —, effet bon ou mauvais d'une 
cause ; resultat; produit, utilite, profil, avan- 
tage retire de. Der _, fruclißler. — de 
enfant ne d’un marlage legitime. Zirer —, irer 
du fruit, proßter. 

FROTTOoso, etc. V. Fructuoso, eic. 

Fauxo.V. Fluzo. 

Fuiö.V. Fulano. 

+Fosi,s.m. (1. du Bresil) farine da mals 
ou du riz pour faire l’angü. V. co mot. 

TFucamena,s. f. erbre du Bresil & feuilles 
tres-largos. 


vain et 


FUG 


hr +Focaro, s, m. homme erir&mement ri- 
che. 

Fucinno, etc. V. Foeinho, etc. 

+Fico ,s. m. espece de planıe, qui ressembie 
& la laitue , dont on fait une teinture rouge pour 
teindre ies draps. (flg.) Fard; deguisemeni, 
dissimulation,, tzomperie. 

Fotıno, s. m. pieu, barre de charrelle. pl. 
Ranchers. 

Ficaı, s. f. fuite. (6. de mus.) Fugue. (Ag.) 

— ‚course rapide du leınps, etc. * Espace oü se 
meut une machine. ° Appui, soulien, atc- 
boutant. — de casas, suile de pidces dont les 
portes interieures sont en ligne droite. 

Fucäcz, adj. 2 gen. [ugitif, löger, rapide. 

F 


. Fugas. 

Fucacipäpe, 3. f. brievel&, courte duree ; ra- 
pidite, vitesse. 

Focacissıno, A, adj. sup. de Zugace. 

f Fucäss ou FOcALIaS, s. f. pl. (8. dant.) 
fugales ow rögifuges : [&tes chez les Romains en 
memoire de l’expulsion des rois. 

FrcaLica, s. f.'oorde qui tient le harpon 
dans la p£che de la baleine. ( Ag.) Terme Ire»- 
sont pour faire une chose. 

UCAREINO, 

Focando. } V. Fogar..., ete. 

Fucäz, adj. 2 gen. fuyard : qui faul aisbment. 
( Ag.) Passager : de courte duree. V. Fugacs, 

* Fücz pour Föce (fuyez). 

FuGkute, adj. 2 gen. ( t. de blas.) fuyant: qu' 
fuit, en attitude de s’onfuir. 

Fucıiö,, adj. m. Eseravo —, fuyard : (esclare! 
qui a coutume de fuir de la maison de son 
maltre, nögre marron, 

Fucipa ,s. f. fuite : action de fuir, de s’& 
chapper. (Ag.) * Subterfuge, &chappateire. Per 
em —, chasser, faire fuir, mettre en fuile. 


Fucioigo ow fuyard, deserteur; lu- 
Fucinio, a, adj. giuit. 
Fucido, a,adj. V. Fugilivo. De qui on fuit 


(p. us.) p. p.de 

Fucia (de,a, para), v.». fuir: öviter une chos:, 
une personne, eic.; s’tloigner avec vilesse 
pour eriter, s’&carter de...; s’enfuir. Courif 
pour se sauver; se metire en fuile, prendre la 
fuite; passer vite (le temps fwil). User de sab- 
torfuges. Il est quelquefois actif comme en 
francais. — 03 perigos, etc., fuir, eviter les pc- 
rils, etc. — a difkculdade, &eluder, &riler avec 
adresse, — 0 p6 a alguem, glisser, faire un 
faux-pas. — a iuz ou o Iume dos olkos, man- 
quer la vue & queiqu’un, A cause d’un coupä 
la die, eio. — dos olhos algum objecte, dispa- 
raltre, s’öclipser. — com 0 corpo ao golpe, 
esqaiver un coup, faire le plongeon. (Ag. 
Eluder, &viter adroitement. — d vista, etre im- 

peroeptible Alavue.— a terra debaizo dos ps, 
ne pouvoir pas se lenir debout ä cause d’era- 
nouissement, 

Fucia-sz, v. r. fuir, se sauver, 5 ’enfeir. 

+ Fuctrivinıo, s. m. qui est ä la recherche 
des esclaves fugilifs, 

Focıtivo, A, adj. fugitif, fuyard, quifuit, 





FUL 


Passager : de courte duree. (fg.) Caduc, fra- 
gile, perissable. s.m. Fuyard, soldat qui s’en- 
fuit du combat. 

Preukına. V. Fogueira. 

Fusid. V. Fugidd. 

Fuinua, s. f. fouine : sorle de grosse be- 
lette. 

FuinH0, s.m. grimpereau, passereau, tenui- 
rostre. 

Fira, s. f. häte, diligence. it. V. Empola. 
Fula —, foule. Liqueur Ir&s-spiritueuse d’A- 
sie. 

Frıino, A, s. un tel, une telle, quelqu’un. 
=e ıicrano, un tel et un tel. 

FuLc£ntE, adj. 2 gen. brillant, eclatant, re- 
luisant. , 

FuLcentissıno, A, adj. sup. de Fulgente. 

FeLcınd, a. V. Fuigente. 

Fricön, s. m. * lueur, eclat, splendeur. 

tFiLcoras, s. f. pl. (t. dhist. nat.) [ulgores : 
hemipteres, cicadaires. 

“Fereöra. V. Fölga, Folganga. 

Fticvrino, A, pP. p. de Fulgurar. 

FriouräntE, adj. 2 gen. brillant, €clatant, 
eiincelant, en parlant des eclairs. p. a. de 
Friscrär, v. a. eblouir par une grande 
elarte, jeter des eclairs. v. a. Luire, briller, 
elınceler. 

t FcLGurIchINÄNTE, adj. 2 gen. (poel.) qui 
eblouit par le brillant de ses cheveux. 
Fricuröso, A. V. Fulgurante. 

Furneıra,s. f. tricherie au jeu. Fourberie, 
supercherie. 

Foiutıno, 5. m. tricheur, pipeur, irompeur 
au jeu. Dupeur, escamoteur, flou. 

Friuenia. V. Fulheira. 

FuLia,etc. V. Folia, etc. 

FuLicem , s. f. suie de cheminde; noir de fu- 
mee. 

FuLicınostmäne, 8. f. fuliginosite : qualit& de 
c@ yui est fuligineux. 

FoLicrnöso, a, adj. fuligineux : de nature ou 
de couleur de suie. 

"FurLime, s. m. V. Abundancia. 

FrıLo. V. Fülo. 

+FuLwinıa,s. f. (1. de bot.) fulmaria : plante 
moscateline. 

Frıuınacäö, s. f. fulmination. 

FoLmınäno, A, Pp. p. de Fulminar. adj. Fou- 
droye, frappe de la foudre. 

FuLuınapor, 8. m. (Ppodt.) foudroyant. Sur- 
nom de Jupiter. Qui lance des excommunica- 
tions. \ 

FeLumänte, adj. 2 gen. fulminant; fou- 
Iroyant.p. a. de 

Frisınar, v. a. foudroyer, lancer la foudre, 
frapper de la foudre ; ifig.) batire d coups nom- 
breux de canon, etc. Machiner. — ameacas, 
fulminer, termpeter contre quelqu'un. — censu- 
ras, anathemas, fulminer, lancer l’excommu- 
Dication. — a sewlenga, rendre une sentence. 
— mortes, porter la terreur ei la mort. 

FrLuinko, A, adj. foudroyant, terrible, de- 
Yasialeur. 


PORT «FR, 


FUN 625 


Funminöso, A, adj. loudroysnt, qui Jance la 
foudre. . 

FiLo, A, ud). d’un noir sale el jaunätre (nı- 
gre, mulälre). 

Fericen. V. Fuligem. 

+ FuLti, s. m. petile monnaie de cuivre chez 
les Arabe:>, six cenliınes ä peu pres. 

Funica, 3. f. fumee epaisse qui sort du feu; 
camouflct, bouffee de fumee soufflee au nez. 
(fig.) * Orgueil, vanite. 

Fumipa, s. f. *feu que l’on fait sur la cöte 
pour donner quelque avis. 

*Fumipeco, s.m. V. Fumagem. 

Fuuino,A,p.p. de Fumar. 

* Fumicem, 8. f. * impöt sur les foyers. 

Fuminte, adj. 2 gen. fumant: qui jette de 
la fumee, qui fume. p. a. de 

Fumir, v. a. ein. fumer : jeter de la fum6e; 
prendre du tabac en fumee. Consuiner, dissi- 
per, manger son bien. —, exposer & la fumee 
pour faire secher (des jambons ‚etc. .(fig.;v.n. 
Fire en colere, jeter feu et lamme. 

Fumanipa, s. f. grande fumee. (fig., Pre- 
somplion, vanile. 

Fumarıa,s. f. (t. de bot.) fumelerre, plante 
medicinale ; corydale. — bulbösa , fuınelerre 
bulbeu»e. 

FUMEAR 0% fumer : jeter de la fumee. 

Fusecan,o.n. ) (fg.) Se reveiller, n’etre 
pas bien &teinte, parlant d’une querelle, etc. 

Fum&ıno, s. m. tuyau de cheniinee; lieu oU 
l’on fume des viandes, etc. 

Funireno, A, adj. qui jetie de la fumee. 

Fumirico, a, adj. qui fume. 

Fumicacäö, s. f. fumigalion : action de fu- 
miger. 

*Fumicar, v.n. faire du feu. V. Fumegar. 

FumicATürıo, A, adj. fumigatoire, propre & 
produire la fumee. 

Fusutenna. V. Fumäria. 

FiMo, s. m. "fumee : vapeur epaisse que le 
feu ow la chaleur fait exhaler. Cr&pe pour les 
deuils. — da terra. V. Fumdria. Desfazer-se 
em — , s’enaller en fumee , s’evamouir. Cheirar 
s—, sentir la fuınee. Curddo ao —, fume, 
parfume & la fumee. Denegrido de—,, enfume, 
noirci de fumee. —s, pl. (g.) fumee d’orgueil, 
vanilö, presomption. —s do vinho, vapeurs du 
vin. 

FomosıdÄDE, s. f. fumees, vapeurs. 

Fuuosinuo, s. m.dim. de Fu:no. 

Fumöso, A,adj. qui jette de ia fumee; fu- 
meux, d’oü il sort de la fumee. fg.) Presomp- 
tueux, orgueilleux, vain. 

FunämsuLo, 3. m. funambule : danseur de 
corde. V. Volantim. 

Funcgäö, s. f. fonction, office :exercice d’une 
charge. Solennite, ceremonie publique. (fig.) 
Nompbre de gens rassembles datıs une maison 
pour une fete, etc. ; cette fete. — föes, pl. fonc- 
tions : mouvements, actions vilales. 

+ Funccionärıo, s. m. fonclionnaire : per- 
sonne qui exerce une fonclion. 

Fünce, s. m. bätiment & rames dans P’Inde, 

. %“ 
e 


626 


FoncriL, s. m. champ seme de fenoull. 

Füncku, 3. m. (tl. de bot.) fenouil : plante 
ombellifere. — de porco, peucedanes, queus 
de pourceau, fenouil de porc. — marino. V. 
Crithmo. 

Fünpa, s. f. fronde : tissu de cordes pour 
lancer des pierres; bandage, mentonnifre; 
brayer. (ciewxr) * Fourreau, &tui, enveloppe. 

Funpacäö, s. f. fondation : action de fonder; 
&tablissement, institulion ; fonds legues pour 
une @uvre pie. 

FUNDADAMENTE , adv. avec fondement et sü- 
rei. 

Fenpino, A, p. p. de Fundar. 

FunpanOr, A, 5. fondateur : quia fonde un 
&tablissement , un empire, un couvent, elC. 

Fuxväcsm, s. f. *sediment, baissiere d’un 
lijuide sur sa lie. 

FUNVAMENTÄL, adj. 2 gen. fondamental : qui 
sert de fondement. 

FUNDAMEXNTALMENTE , ado. fondamentale- 
ment. 

Fexnasentarn, ve. a. fonder, poser les fon- 
deinents d’un edifice. (fg.) Etablir, assurer, 
rendre ferme et stable. 

FUNnAMENTE, ade. V. Profundamente. 

FEnnANENTo, s. m. fondement d’un ediflce. 
Ag. Fondeient ‚base, principalappui; cause, 
motif, sujet. Fazer —, faire fondeınent, comp- 
ter sur une chose. 

Frxpär, ve. a. fonder : jeter les fondements 
d’un edilice; etablir, instituer; doter un eta- 
hlisserment. Approfondir ‘prop.etig.). Meltre 
le fond A une futaille, dun tonnesu, etc. — 
uma dirida, capitaliser une delte. — sus opi- 
nido , asseoir son jugement, le fonder. 

Frxpar, ve. n. s’enfoncer; pousser des raci- 
nes profondes. 

Fuxpar-se (em), v. r. se fonder, faire fond 
sur, compter sur, S’appuyer sur. 

Foxpeivo, A,p.p.de 

Funpeir, e.n. mouiller, jeter l’ancre, an- 
erer. Plonger, aller au fond de l’eau. 

Fuxp£ıno, s.m. ouvrier qui fait des banda- 
ges pour les hernies. sit. V. Fundibulario. adj. 
Qui est au fond, da fond. 

Funnente, adj. 2 gen. quifond, qui liquefle. 
p. a. de Fundir. 

FunpistLänıo, 3. m. frondeur : qui se sert 
de la fronde. st. V. Fundeiro. 

FuxpiseLo, 3. m. ancienne machine & lancer 
des pierres. 

Funpscaö, s. f. fonte : fusion de metaux. 
Fonderie : lieu oü l’on fond. 

Fonnino, A, p. p. de Fundir. adj. (Ag.) 
Ruine; dissipe; enfonce. 

Funvinör, A, 3. fondeur : ouvrier qui fond 
les metaux. 

FaxpiLno, s. m. plus us. au pl. fonds de cu- 
lottes : piöcces qui forment Pentre-deux des 
cuisses. 

* FEspıminsto, s. m. fonte de melaux. 

Furpixuo. V. Fundilho. 

Fosvin, ve. a. fondre : rendre fluide par le 


FUN 0 


FUN 


fen : liquefier. Produire, rapporter, parlant des 
fruits presses, etc. (fig.) Dissiper, consumer. 
ü.V. Afundar. 

Funpin-sK, 0. r. s’affaisser, s’ecrouler, 5'& 
bouler ; se ruiner. (fam.) Disparaltre, s’eclip- 
ser. V. Afundar-se. . 

Finpo, s. m. fond ; profondeur; V’endroit le 
plus bas, le plus creux, etc.; (ig.) l’essentiel; 
l’objet principal,, le plus cache, le plus secret. 
— ‚premiere ou plus basse lissure d’une eiofle. 
Fond d’un tableau. ° Epaisseur d’un diamant. 
Fonds, somme d’argent; argent place ; capital 
d’un bien. Fond : douves qui ferment le lou- 
neau, etc. *Hauleur d’un bataillon, d’un corps 
de troupes forıne. — da agulha, chas, trou de 
Paiguille. —da casa, profondeur de la maison. 
— morlo ou perdido, fonds perda, lonline, 
Enitrar pelo —, atlaquer les fonds. Homem 
de —, (fig.\ homme qui a un grand fonds 
d’esprit, de savoir. A— ,‚adr.ä fond, profonde- 
ment. Balalhäo a dous, a qualro,elc., de fü.ıkı, 
bataillon & deux, ä quatre, etc., de bauleur. 
Dar onariv —, \t.de mar. mouiller, jeter Van- 
cre. Metler no — um nario, \id.) couler bas un 
vaisseau. Ir ao —, (id., couler bas, s’enfoncer 
dans l’eau. — bom, (id.) bon fond, bon mouıil- 
lage. — d’um nario id.) carene d’un vaisseau. 
— de lama, (id.) vase ou [ond mou.—de pedra, 
(id.) fond de roches aigues. — verde ou de limo, 
(id.) fond de pre. — de burgalkdo, (id.\ fond 
de gravier. —de conchas , (td,) fond d’aiguilles, 
ou de coquilles pourries. — de ralhdo, (id.) 
fond de cailloutage. — movel ou d’areia more- 
dira, (id.)fond mouvant. —! larga bopas ! (id.) 
mouille! 

Finno, A, adj. profond, tres-creux. Bas, 
parlant d’un terrain. Enfonce. (fig.) —, difd- 
cile A comprendre. V. Profundo. 

Funpöra, s. f. profondeur, hauteur. 

+ Fung, s. m. (t. d’Asie) bätiment & rames. 
n FÜNsBRE, adj. 2 gen, funebre, triste, lagu- 

re. 

Fun&ssuLo. V. Funambulo. 

FunzräL, s. m. "fundrailles, obsäques. Le- 
vor as armas em —: on le dit de la maniere 
dont les soldats portent leurs arıues renver- 
sees, en signe de deuil, aux Convois de leurs 
generaux, eic. 

FuneräL, adj. 2 gen. funeraire : qui con- 
cerne les funerailles. Mortuaire : qui concerne 
les moris. 

Fun£grneo, A, adj. de funerailles, Sundbre, 
funeraire. Lugubre, affreux, sinistre. 

Fungrıco. V. Funereo. 

Funsstacäiö, s. f. prolanation. V. Tristess, 
Lucto. 

Funzstino, p. p. de Funestar. 

Fun£&stauente, ado. funestement. 

Fongstär, vo. a. rendre triste, funeste; pof- 
ter malheur. Profaner, souiller. 

FUNESTISSIMO , A, adj. sup. de 

Fcn&sto, A, adj. funesie, sinistro, malhe®- 
reux. Porte-malbvur. 


FÜR 

Fonciö, s. m. (f. debot.) * morille : espece de 
ehampignon ressemblant & une eponge; bo- 
riste, espece de champignon. (t. pop.) Homme 
stupide,, niais. 

Funcik, vo. n. reniller, renacler, faire beau- 
eoup de bruit avec le nez ; nasiller. 

+ Fencites, s. f. pl. (t. d’hist. nat.) fungies : 
genre de polypiers pierreux. 

Fünco, s. m. morille, mousseron, espece de 
champignon.V. Fungdd. Fongus : excroissance 
charnue, molle et spongieuse, en champignon, 
sur une plaie, un ulcere. (6. pop.) Sot, buse, 
niais. 

FunGöso, A, adj. spongieux, mollasse, res- 
semblant aux champignons. 

FunscucLär , adj. 2 gen. funiculaire : compos6 
de cordes. 

FcniL, s. m. entonnoir: vase pour entonner. 

FontLtino, s. m. ferblantier, oavrier en fer- 
blanc. 

+ Forauorpäd, s. m. (f. de bot. )nyctante : 
jabrion du Malabar. 

Frraciö, 3. m. tourhillon de vent, ouragan. 

FrRaDo, A, »p.p.de Furar etadj.Perce, trou6. 
Homem de mäo —a, dissipateur. Semana —a, 
seınaine oü il y a un jour ou des jours de fete. 

FCRADÖR ‚s. m. percoir, amorgoir, instrument 
pour percer. Perceur. 

Frriö, s. m. (1. d’hist. nat.) luret : petit ani- 
mal du genre des belettes, ennemi des lapins; 
(f#g.) curieux qui cherche A tout savoir. Andar 
d caga com — morlo, se fatiguer en vain. 

Furär, v.a. percer, trouer. (fig.) Penetrer, 
franchir;; re&soudre une difliculte. Ndo — par- 
des, (fam.) n’avoir pas invente la poudre. 

FürcuLa,s. f. V. Azilha, Clavicula. 

FonßntE, adj. 2 gen. (podt.) furieux, en fu- 
reur. 

FURFURÄCEO, A, adj. furfurace : ressemblant 
& da son. 

Förta, 8. f. (t. de myth.) furie : divinite in- 
fernale, Eume&nide;(fig.) famme trös-mechante. 
—, emporlement de colöre aveugle; ardeur, 
impetuosite de courage; agilalion vidlente; Tu- 
rie des vents,, de la temptte. 

FurıäL, adj. 2 gen.des furies, qui appartient 
aux furies. Furieux. 

Förıas, s. f. pl. furies : chez les Anciens, 
trois divinites infernales (Alecion, Megere et 
Tisiphone) qui tourmentaient les mechanıs et 
les criminels. 

FURIBUNDO, A, adj. furibond : furieux, tran- 
sporte de col£re. 

Forırouna. V. Filifolha. 

+ Funmäzs, s. f. pl. (6. de myth.) furinales : 
fe@tes de Furina. 

Frriösimente, adv. furileusement :avec furie. 

Fur1osissıno, A, adj. sup. de 

Furıö80, A, adj. furieux : transport& de co- 
I&re; emporte, endiabl6, en furie; violent, 
immpetueux. Insense, fou, furieax. 

FÜRNA,s.f. grolie, caverne. 

Furın, etc.V. Fornir, et. 

P6no, s. m. trou, ouverture. Dar — a uma' 


FUS 097 


COWSE, Yom .) faciliter les moyens de faire üne 
chose. Yir a — , &tre sur le‘point de pertet. 

FoRdA, s. f. femelle du furet. 

'FoRök,s. m. “fureur, rhanie, fren&sie; € 
lere, rage. Fazer — com älguma cOUsG, si 
thbusiasıhef d’une' chose. — poelico, furb 
poetique, enthousiasme. Eslar arrebatado 36 
—,etre cn proie A sa lureur. 

FurrıeL. V. Forriel. 

FURTACOR, 8. m. ou adj.2 gen. couleur chan- 
geanle; gorge de pigeon. 

FURTADAMENTE, adv. furtivement; & la de- 
robee. 

Forrtan£La, s. f. action de cacher ow.de se 
cacher. 4’s—s, adv. A la derobee , en oachelte, 
furtivement. 

Furrtapirnas (ds). V. Furtadelas. 

Furtino,A,p.p. de Furlar. adj. Derobe, 

vole. Cache. V. Escondido, Encoberto. Filho —, 
enfant bätard, illegitime. Aguas —as, man- 
sarde. 

Furtaröco, s. m. Lanterna de —, lanterne 
sourde. 

Furtarisso, s. m. amble, aubin. 

Furtär,v.a. voler, derober. Vendre ä faux 
poids ou (ausse mesure. (ig.} Voler, s’appro- 
prier les pensees d’autrui, faire ‚des plagiats. 
Esquiver, eviter, derober. — uma moga, enle- 
ver une fille.— o tempo, derober, prendre pour 
faire une chose le temps qu’on devait employer 
A une aulre;; (l.de mus.) ne pas aller en mipr 
sure. — firmas, singes, falsifjer, conirefaire 
des signatures, elc, — 0 cor'pu , s’esquiver, Be 
soustraire. — o venlo d seila, Jissuader, der 
tourner quelqu’un d’un dessein , elc. — avolla, 
o caminho, prendre un chemip: oPp0s6 ppur 
fuir quelqu! un ow pour aller ä sa rencontre, 

FuRTAR-se (q', v. r. s’eloigner, 8’echapper, 
se derober. V. Fugir. — aos olhos d’alguem, 
se derober & la vue de quelgu’ un. 

FURTIVAMENTE,, adv. furtivegient, & la döre- 
bee, d’ung maniere furlive. 

FirtiveLsente. V. Fürlivam... 

Furtivo,A,adj. furtif : qui se fait & la de- 
robee, en cachette. 


FÜRTO, s. m. vol, larcin; chose volde. Lar- 


Lein, plagiat. *Concussion ‚exaction. A —, adv. 


urlivement, a la derobee, en cachette. Colkör 
alguem com 0 — nas mäos, prendre sur lelait, 
en flagrant delit. 

FuriscvLo, s. m. V. Frunculo. 

Fürus, V. Föro. no. 

Fisa,s. f. (t.de mus.) triple croche - note de 
musique. Il en faut 32 pour une ronde, 

Fusipa, 3. f. coup de fuseau; chaque tour 
qu’on donne au fuscau en filanı; fusee de fil. 

Frsino, A, adj. (t. de blas.) en fuseau, fü- 
sele, charge de fusees. 

Fusäö, s. [. fusion : fonte, liquefaction. 

+ Fusano, s..m.V. Agufröa., 

Fisco, A, adj. sobre, obscur; brun, nof- 
rätre; basane, häle. 

Fus£ino, s. m. tourneur qui fait dog fo- 
seaux, 


628 GAA 


Fuszıipo. V. Fusddo. 

FussLLos, s. m. pl. (useaux de roue de lan- 
verne. 

FosisıLiväine, s. f. fusibilit#: qualit& de 0 
qui est fusible;; disposition a se fondre. 

+ Fusırdauz, adj. 2 gen. (5. de bot.) fusi- 
forme: en carotte, en fuseau. 

FusiL, etc. V. Fusil, etc. 

Fusiveı, adj. 2 gen. fusible : qui se peut 
fondre. 

Füso , s. m. fuseau:: instrument & filer. Verge 
defer qui passe dans une bobine & devider. — de 
lager, vis de pressoir. — do relogio, fuste,cöne 
cannele sur lequel tourne la chalne d’une mon- 
ıre. Fazer os —s torlos, (buri.) planter, faire 
porter les cornes,, &ire infldele & son mari. 

Fusörıo, A, adj. de fonte, de fonderie; qui 
ooncerne la fonte des melaux. 

Fösta ,s. f. fuste - navire de bas bord, & voile 
et A rames, de 200 & 300 tonneaux. 

FustäLHa, s. f. grand nombre de fustes. 

Fustiö,,s. m. * futaine : etoffe de colon et de 
fil, en toile. (viewx) Verge & fouetter, bäton. 
( Ag.) Coups de verge, de bäton. 

Fustannäö, s. m. aug. de Fusta. 

Fustazinua,s. f. dim. de Fusia. 

Föste, s. m. V. Madeira, Pdo. "Hampe ow 
bois de la lance, etc. Füt d’une colonne. "Ver- 
ge, baguette. Outil d’orfevre pour ciseler. (t. de 
bot.) Fuste : arbre & bois jaunätre. 

Fusrätz, s. m. (6. de bot.) fustet : arbrisseau 
rosace. V. Fustöque. . 

Fusticino, A,p.p.de 

Fusricän, v. a. fustiger : battre & coups de 
fouet. — com ertilkeria, foudroyer. 

Foustinua , s. f. dim. de Fusta. 

Fösto. V. Fuste. 

+ Fusröguz, s. m. fustoo ow fustok : bois 
Jaune, de teinture et de marqueterie, des An- 
tilles et de Tabago. 

FörıL, adj. 2 gen. futile, vain, frivole. 

FuriLipäpe, s. f. futilite : faiblesse d’un rai- 
sonnoment ; frivolite; ohose futile, son carac- 


G. 


| 


G, s. m. septiöme lettre de l’alphabet portu- 
gais, et la cinquiöme des eonsonnes, C’&lait an- 
eiennement une lettre numerale qui valait 400, 
et avec un trait dessus 40,000. Indique la sep- 
tiöme feuille d’un livre;; septiöme lettze domi- 
nicale. 

"Garcia. V. Gaangcar. 

® Gaacom. V. Ganhdö. 

° Gıino. V. Gddo. it. Ganhado. 

’Gaanca. V. Ganancia. 

*GAANCADO, A,P.P. de 

*G@AANGAR, 9.8. gagner au Jeu. Obtenir. 


GAB 


ForıLizia, o. w. dire des fatilitds , nialser. 

Fourtuaicäö, s. f. futurition: marque, Carıt- 
töre de ce qui doit arriver; qualite d’une choxs 
en lant que future. 

Furuninäpg, s. f. existenoe future, &reat- 
ment & venir. V. Futwrigdo. 

Furdao, A, adj. futur, avenir, qui doiteus- 
ter, ire un jour; qui existera, qui arrivera. 

Furöno, s. m. futur : ce que l’on doil epreu- 
ver; avenir; action qui sera laile, chose d 
venir, qui arrivera; (4. de gramm.) temps des 
verbes qui marque l’action sous ce poin dt 
vue.—scontingentes,futurs contingenis, ct Qi 
peut arriver ou ne pas arriver. Pars 0 —,i 
Pavenir. Ver o — cum muila antecipapde, va! 
au loin dans l’avenir. 

Fuzapa. 

Frzid. V. Fuss... | 

Fuz£La, 8. f. (1. de bias.) lasse: sg 
arrondie. 

FoziL, s. m. chatnon : anneau de cbalıe. Bi- 
quet, fusil : outil d’acier pour lirer du feadu 4 
caillou. (4g.) Lien, union. V. Espt | 

FuziL, adj.2 gen. Pennas is, (1.dertur I 

\ 
| 


'les plus grosses plumes du faucon. 


+ FoziLagaö, s. f. eclat des armes i In 
quand on lire. 
Fuzıäpa, s. f. fusillade. Eelair tris-ıl 
&clairs continuels. | 
FuzıLivdo, a, p.p. de Fuxilar. Ä 
+ FuzıLinte, adj. 2 gem. etincelant, en pP" : 
lant des yeux. | 
FuzıLiö, s. m. ardillon de boacle. #8 
FoziLär, v. n. eclairer, faire des &ln: 
battre le briquet; &tinceler, petiller, en peru# I 
des yeux. (fg.) Menacer, etre imminent. rn 
Fuzı.in, v. a. (fig.) Darder, foudrejf. . 
(1. mit., mot frang.) V. Arcabuzar, Ep | 


| 


FuziLa ria. V. Espingardaria. 
FozıLtıro, s. m. fusilier : soldat arm (u | 
fusil. 


* Frußuto.V. Afimento. 
Frisica, eto. V. Phy’sica, eie. 







*Gaunco. V.Genko, Ganancıs. 

+Gairaa Do Brazin, 3. f. (1. dhist. eill 
la feuille ambulante : insecte ortbopiere, 2% 
mide, phyllie. on 

GABADINHO, A, adj. dim. de Gabade. je 
Pröne a l’excds, & la mode (predicateet, 
teur, etc.). 

GaBiDO, A, p. P. de Geber. | 

GABADOR, A, 5. qui loue, qui denne # 
louanges. 

* GABAMENTOS. V. Gabos, 


Gasäö, &. m. gaban : manisau de fesi". 


GAF 


beuppelande. V. Albernöz. dt. Louangeer, qui 
denne des louanges. 

+Gusaonitas, s. m. pl. Gabaonites : habi- 
tsnts de Gebaon , ville de la Palestine. 

Gusin, v. a. louer, vanler, pröner. Gabo-Ihe 
eo 968:0. On le dit pour critiquer le mauvais 
goät de quelqu’an. Gabo-Ihe a conflanps, n6 
vous genez pas. On le dit pour blämer la trop 
grande familiarit& de queigu’un. 

Gasia-SsE, v. r. se louer soi-möme, 56 vaAl- 
ter. 
tGaninra, s. f. gabare : sorte de grande 

barque ä fond plat. . 

} GasazöLa, 8. we. ( fam.) vanteur ; abalieur 
de quilles. 

GabäLLa, 8. f. gabelle ( inıp6t). 

Gusıiö, s. m. (6. de fort.) V. Cestdö. 

Gasinanno. V. Gabdö. 

Gisinärk, s. m. cabinet : lieu de retraite 
pur travailler, etc. ; conseil intime, gouverne- 
ment; secreis de la cour. 

Gusinno, s. m. dim. de Gäbo. 

Gasionäda, 3. f. (4. de fort.) gabionnade : 
warrage de gabions. 

Gino, s. m. * louange, eloge.° Jaclance. 

GasoLas, 8. m. (6. Duri., louangeur de soi- 
meme ; vantard ; homme jactancieuz. 

TGannıgLira, s. m. del’ordre ow de la pro- 
rince de Saint-Gabriel. 

Guskito, 5. m. * sorte de flet de p&cheur. 

Gucntra.V. Gaxeta. 

Gicao, s.m. * nuque du cou d’un laureau. 

tGaci, s. m. et adj. esclave more ou turo 
tonverti 4 lafoi, nouveau chretien. 

Guvauzcis. V. Guadamecim. 

Gapiuma, s. f. V. Gadanho. faux ’ instru- 
ment pour faucher. 

Gapinno,s. m. * fourche, courbe ; griffe. —s, 
serres des oiseaux de poie. ( pop.) Doigis, 
Mains, 

GipdLua, oto. V. Guedelha, etc. 

tTGaorräno, A, adj. ets. de Cadix. 

Gino, 5. m. trgapeau : troupe d’animaux de 
beme espece; betajl, bestiaux. — grosso ou 
eccum, gros betail. — miüdo, petit betail. 
- cerdoso, cochons, ports. — de ld ou lani- 
ero, beies & Jaine ow lanilöres. — vaccum ou 
e cornos„betes a cornes. — d’unha rachada, 
eiail ä pieds fourchus. — ovelkum, cabrum, 
Sccum, troupeau de brebis, de chövres, de 
sches ou baaufs. — feminino, masculino, 
fg. burl.) les femmes, les hommes. Cdo de—, 
bien de berger ow de bouvier, mälin. 
7Gi0o,s. mw. (8. d’hist. nat.) gade : poisson 
igulsiro. . 

Gaı0oz. Vs Cadöz (poisson). 

Gara, s. f. fer crochu paur bander l’arbaldte. 
s, pl. (Ag.) force, violence. (1. de mar.) Pat- 
s, mains de [er. 

Gara00, A,P- P- de Gafar. adj. Gäte, ga- 
ur. V. Gafeira. 

tGaranmaO, 3. m. grosse sauterelle qui de- 
reles bies. 

Garann6TO ,s. ms. " saulerelle : insecte qui 


GAI 629 


w’avance qu’en sautant, de l’ordre des ortho- 
piöres, famille des sauteurs, tribu des locus- 
taires. 

TGarir,s. m. *sorte de tribut chez les Ara- 
bes et les Turcs. V. Cafarro. 

Garir, v. a. accrocher, saisir avec les grif- 
fes , avec un crochet; happer, griffer. Commu- 
niquer la gale ou la lepre. vo. ». Tomber, se 
gäter, parlanı des olives. 

GAFÄR-SE, ©. r. devenir l6preux, rogneux. 
Se gäter, parlant des olives. — de sarna, &tre 
infeat6 de gale, gagner la gale,, etc. 

Garania, s. [. leproserie : höpilal pour les 
galeux. 

Gartına, s. f. espece de löpre qui rend les 
doigts crochus ; rogne, gale;tac; claveau. 

GAPFEIRENTO, A, adj. lepreux, galeux, alta- 
que de la rogne, du claveau , etc. V. Gafeira. 

GAFEIROSO. V. Gafeirento. 

Garen 6b . 

* GAFIDADE. N V. Gafeira. 

Gäro, A, adj. lepreux,, galeux. Azeilona —a, 
olive gätde , pourrie. 

Gaci0, 3. m. nom d’un jeu de des. 

GäcatA, 8. f. gagate : pierre noire, dure, 
bitumineuse. 

Gics, 5. m. gage de comhat qu de bataille. 
*"Gages, salaire.—s, pl. f. ce que produit un 
emploi,eic., en sus des appointemenis; tour 
du bäton. — do officio. V. Percalcos. 

Gackıno, s. m. (tl. de mar.) gabier : matelet 
qui fait le quart sur la gabie. 

Gactıno, a,adj. Vinko — ,(flg.) vin capi- 
teux. 

Gäco, A, adj. begue : qui begaye. 

Gacösa,8. f. A’ —,(t. de jew) sans peine, 
tout-de-go. 

Gacukına, s. f. * begaiement. 

GaAcURJÄDO ,A,P. p. de 

GacUBJAR, ©. R. begayer : articuler mal les 
mots , les prononcer avec peine, par defaut de 
Porgane ou par effet d’ivresse, de timidite, etc. ; 
änonner. Il est quelquefois actif, et signife 
balbutier. 

Gacutz. V. Gagudira. 

Gis. V. Gdio. 

Gira, s. f. "epide poils sur le cur du che- 
val. 

GatiBa, ctc. V. Goidba, etc. 

+ Gasatäpa: 8. f. quantiis, troupe de ga- 
mins ; action de gamin. 

+ GaläTo, 5. m. gamin : jeune gargon qui 
emploie son temps & polissonner dans les rues, 
Petit coquin. V. Garoto. 

+ GaIcHtTE, s.m. (l. de mar.) * garcelte : cor- 
dageen tresse pour ferler les voiles. V. Gaz4la. 

Gasrönas, 5. f. pl. (8. burl.)grimaces, mines, 
momeries, singeries. 

* GaınHär. V. Ganhar. 

" Gammenria. V. Ganho, Ganancia. 

Gi10 ,A,adj. gai. Verde—, vert gai ou clair. 
Carallo —, cheval qui a un &pi de peils sur le 
caur. 





630 GAL 


Go, 2 m. (1. d’hisl. mat.) geaf : olseae 
dıı zenre de la pie. 

GAIULA, 8. f. Cage: pelite loge en fil de fer 
o1f d’osier pour les oiseaux, en fer pour les anl- 
maux, etc. ; (fig.) demeure &troite ; prison. 

GaloLEıRO, 3. ım. faiseur de cages. 

Gaıiino, 8. m. (8. de prov.) qui aime los 
raisins. 

GiiPO, 8. m. (4. de prov.) grapillon. 

Gärta, s. f. *chalumeau , musetle. —de 00- 
pador, sifiet de chätreur. — de folles, corne- 
muse. Estar de —, etre joyeux. Tomar alguem 
com —,tromper queiqu’un. Na primeira —, 
au premier chant du coq. Tocar a —, (1. buri.) 
se mettre en ribotte, se sodler. — da lamproia, 
le cou de Ina lamproie. Saber «—s ou edle —s, 
(fam.) €tre savoureux, friand, parlant d’un 
meis. 

Gaıtäna, 3. f. son de la mubette. 

GattEir, v. n. Jouer de la musette. (Ag. 
fam.) Se rejouir. —se, v. r. s’habiller avec co- 
yuetterie, 

Gait£ırRo, 5. m. jousur de musette ou de 
cornemuse. Personne d’une gaiete folle. 

GamteıRO, A, adj. gai, enjous. Badin, fol&- 
tre. Qui s’habille de cowuleurs trop gales, trop 
brillantes pour son Age ou son 6tat. 

"Gaiva, s. f. goujure. #4. V. Gudia. 

Gamwvad,s. m. (1. @’hisl. nat.) martinet noir: 
esp«ce de grande hirondelle. 

IGavora,s. f. (1. Phist. nal.) monette : oi- 
seau de mer. — bdranca d’azas cinzenlas, 
mouette grise. — longicauda, labbe & longue 
queue. 

Garvordö ‚s. m.aug. de Gaivöla. V. Alca- 
irds. 

"Gasa,s.f.V. Gage. 

t GasanEROBA , 8. f. ( t. #’Mist. nat.) "claquet 
de Lazare, cliquette de l6preux ou de ladre, 
baltre epineuse, huitre spondyle & talon, pied 
d’äne. . 

Galle. ! 

Guutıno. 1 Y- 6... 

GiLa, s. f. " habit de föte ou de gala. "Gala: 
(6te,festin & la cour. (fig.)* Agröment,, bonne 
gräce. Rtoffe de laine line et luisante quand le 
poN en tombe. Dia de —, jour de gala, de 
fete, de r&jouissance publique. Vestido de —, 
babits de gala (Je fete, de ceremonie). Fazer 
-— de, faire gloire , parade, lirer vanite de; se 
vanter de. Fazer — do sambenilo, lirer vanits 
de ce qui deshenore. Faser — da impiedade, 
aflicher l’impiete. 

t GaLaapitas, s. m. pl. habitants de Galaad 
en Palestine. - 

tGaLacviTe , #. f. galactite : sorie de jaspe ; 
argile qui blancbit l’eau. 

GaLino, etc. V. Gallado , eto. 

GäracäLa,s. f. (l. d’Asie) sorte de bitume 
avec lequel on enduit les vaisseaux dans l’Asie 
pour les garantir des vers rongeurs. 

F Garico, s.m. (1. d’hist. nal.) galage : dua- 
drupdde du Senegal. 

GaLauim. V. Golarım, 


GAL 


GaLin, al. m. joli, bien fait, de ben air, 
de bonne gräce. 

GaLin,s. m. galant, amant, amoureux. As- 
sidu,, devoad au service des dames. Acleur qui 
joue les premiers röles. Primeiro —, jeune 
premier acteur. 

Garinca, s. f. (t. de bot.) * galanga : planie 
des Indes & racines medicinales ; sa racine. 

GALANICE,, s. fı * air, manieres de galant. 

GaLantaria, 3. f. galanterie, genüllesse, 
bonne gräce; agr&ment, politesse, douceur; 
maniöres agr6ables aupres des feımmes; cboses 
agröables qu’on leur dit; respect, soins, eim- 
pressement pour leur plaire; petit present. 

GaLÄNTE, adj. 2 gen. galanı, poli, civil, 
plaisant, enjoue, beau, gentil, agreable, char- 
mant; mignon. \V. Galam. 

GALANTEÄDO , A, p. p. de Galantsar. 

TGALANTEADOR, A, s. galant, amant; qui 
courtise les dames. 

GALANTEÄR, ©. a. Courtiser une femme; ga- 
lantiser, faire le galantin aupres des dames. ®. 
». Plaisanter, dire des choses agreables. 

GALANTENMENTE,, ade. galaınment, gentiment, 
de bonne gräce ; d’une maniäre galante. 

GALANTRO 08 —tEIO, 8. m. ° eour qu’on lail 
A une dame; galanteric , commerce amoureut. 

GALANTERIiA. V. Galantaria. 

TGaraxtina, 8. f. (tl. de bot.) galantne: 
plante narcissee. 

GALANTISSINO,, A, adj. sup. de Galamis. 

Garid, 5. m. galon : fissu epais de sole, 
d’or, d’argent,, eic., en rubans. it. V. Franc. 
Bordure doree d’un verre. 

GaLAPÄCO, 8. m. * crapaudine : crevasse auf 
pleds des chevaux. 

+ GaLiro, 3. m. toupin : instrument de 00f- 
dier. if. Coussinet de la selle du cheval. 

Garin. V. Galsar et Gallar. 

GaLanpäö, 8. m. * recompense, guerdon, 
prix, salaire. # o— da virtude, o’est lo prix de 
la vertu. 

GALARDOADO,, A, p. p. de Gelardoar. 

GALARDOADOR ‚A, 5. celui qui recompenst! 
remunerateur. 

GALARDOÄR, v. a. röcompenser, renunertr. 

GaLaria.V. Galeria. 

GaLarim, s. m. falte des grandeurs. "Manitre 
de compter en progression double, triple, eic- 
(t. dejeu‘ " Martingale. Lerar alguem @-, 
€lever queiqu’un jusqu’aux nues. 

GaLasia. V. Galesia. 

GiLatas, s. m. pl. Galstes : habitants de la 
Galatie, contree de l’Asie mineure. 

+ GaLarnea, s. f. (1. d’hist. nat.) galathee: 
crustace,, macroure. 

GaLATRISCca ou — TA. V. Gallocrista. 

Garixıa,s. f. galaxie. voie lactee, cheniın 
de SaintJaoques. —s, pl. (1. d’ant.) galarıes: 
fetes d’Apollon. 

Gaınaukıno, 8. m. (1. de bot.) galbanui: 


plante. 


GÄLBANO, 5. m. (6. de bos.)galbanum ; piaule: 





GAL 


Sa gomıme rösolutivo, trös-employ6e en möde- 
cme. 

+ GaLcöma, 5. f. espöce de plante aquatique 
sessemblant au lupin, & fleurs rouges en &pis. 

GALDRÖPE , s. m. (. de mar.) "drosse de la 
barre du göuvernail. 

GıL£, s. f. galere : bAtiment long de bas 
bord , ävoile et & rames. (1. d’impr.) Galte: 
ais a rebords pouz poser les lignes, la compo- 
sition. —s, pl. les galeres : punition des malfai- 
teurs condamneds & ramer. sur une galere, & 
iravasller dans les ports. Condemnar a —#, COn- 
daımner aux galeres. 

GıLta. V.Gale. 

GäLza,s. f. "cangue en ouir. ı -: ı 

+ GaLeino, a, ad. (f. de bot.) on forme d 
casque (corolle). 

GaLEica, 6. f. galdasse : grosse galöre veni- 
tienne. 

GaLziö, 5. m. aug. de Gale. Galion : sorie 
de vaisseau de haut bord. —öes, pl. galions : 
vaisseaux espagnols pour le cominerce et les 
voyages Ju Perou. j 

GALBÄR, d.n. (P. us.) s’habiller en gala. 

GALEATO, A, adj. couvert ou arme d’un Cas- 
que. Prologo.—, (fig.) preface apologetique 
ou l’on repond aux objeclions failes ou qu’on 
peut faire contre l’ouvrage. 

+ GaLEIRAÖ, s.m. oiseau aqualique, espece 
d’oie, ä pieds rouges, & plumage noir. 

GALENICO, A „adj. galenique: (methode, doc- 
trine; de Galien; qui traite les maladies sui- 
vant les principes de Galien. 

GALENISMO, 5. m. galenisme : doctrine de 
Galien, medeecin. j 

GALENISTA , 5. m. gal6niste : mödecin atlache 
au galenisme. 

+ GaLgorıtmicos, s. m. pl. (1. d’hist. nat.) 
galeopitheques : chats-volanis , espece de 
chauve-souris. 

GaLEöTA, 8. f. dim. de Gald. Galiote : petite 
galere; long bateau couvert. 

GALEUTE, 8. m. galerien, forgat. (vieur) Sorte 
d’ancien manteau imitant celui des galeriens. 

GALEOTO, 8. m. V. Galeöta. 

Garena, s. f. *chariot couvert. Galere. V. 
Gale. "Bauiment de charge & trois mäls, de 
baut bord, & voile. 


Garenia, s. f. galerie : longue pieoe d’un 


baAtiment, pour se promener, exposer des ta- 
bleaux, etc.; allee de communication; (f. de 


fort.) cbemin couvert, pratiqu6 pour alleindre 


un mur, ec. ; route souterraine. 

GaL£rno, 8. m. galerno : vent froid, nard- 
ouest. 

GALERNO, A, adj. frais, doux, favorable 
(ventß). 

GaLERO, 3. m. casquo fait de peau, cas- 
quelie. 

+ Garerüca, s. f. (t. d’hist. nat.) galöruque: 
coleopliere tetramöre. 

+ GaLEzia, s. f. (6. pop.) [ourberie, (raude, 
tricherie au jeu. 





=  6GAL m 


Garrinno, 5. m. (f. pop.) voleur, pillard. 
Recors. V. Aguazil. , 

Giwcä, 8. f. levretie : femelle d ‚levrier. 
Meule de dessous du moulin ä hule. Pierre 
qui tombe en roulant par bonds et par sauls. 
Sommet d’un mur. (bur!.) Faim. 

GALCÄDO, A, P. p.de 

GaLGÄR, v.a. araser, melire de nivoau (une 
rögle pous-tirer des lignes‘. Elever & une cer- 
taine hauteur (un mur). Elever, hausser, mon- 
ter. Faire tomber des pierres en roulant par 
bonds et par sauts. ©. ». Grimper; monter en 
dignite. Dr, 

GaLcäz, adj. 2 gen. quiressemble au lövrier; 
ellanque. nn 

GiLco, s. m. levrier : chien de chasse pour 
les lievres. — »ovo , levron. 

GarcußiRa , s. f. longue fosse pour recevoir 
de l’eau. 

GiLsa,s. f. noixdegalle. . , 

GaLnirpA, 8. f., gaillarde, danse ancienne 
(espagnole et portugaise) ; son air. 

GALHÄRDAMENTE ‚adv. avecgräce, elöganoe z 
gaillardement; avec courage. 

+ GaLuARDEÄR, v. n. montrer de la gräce & 
faire quelque chose. 

GALHARDETE, 3.m. (f. de mar.) gaillardet s 
sorte dc pavillon echangre. 

GauBaAnpia, s. f. gräce, elegance, bon ir. 
*Courage, resolution. Generosite, desinteresse- 
ment. Vigueur, gaillardise. 

(FJALHARDISSIMO,, A, 9. p. de 

GALHÄRDO, A,adj. beau, bien fait, debonne 
gräce, de bon air. Liberal, genereux. (Ag.) 
Grand, excellent , peu commun dans son genre, 
Brave, courageux; gaillard. F 

GaLutra ,s. f. buretie: vase A petit gouleatı 
pour l’huile; pour l’eau et le vin & la messe, 
—s, pl. *huilier : deux burettes, une & ’huile 
et une autre A vinaigre pour le service de la 
wble, 

+ GALHSTEIRO, 3. m. huilier. 

GäLHO, s. m. rejeton d’un arbre; branche 
d’arbre chargse de fruits. V. Penca et Esgalho. 

GaALHörFA, s. f. grosse joie,galte, gaillardise ; 
festin; bonne chere, gati& de table. Vie de 
gueux, oisive, vagabonde. Petit conte, histo- 


| riette. Fazer —de, rire aux depens de. 


GALHOFARIA, 5. f. vie de gueux, Oisive, va- 
gabonde. V. Folganga. oo 

GALHOFEÄR, vd. n. rejouir, badiner, folätrer, 
plaisanter; gueuser, mener une vie oisive. 

GALHOFRIRO, A, adj. folätre, enjoue, plai- 
sant, facslieux, gaillard; gueux, mendiant, 
oisif, vagabond. 

+ GaLsino, s. m. sorte de poisson de Ce- 
simbra pres de Lishonne. sl. Croque-mort. 

GALBUDO, A, adj. branchu ; cornu. 

Garıkö. V. Galedö. 

"GauıLk, s. f. cimeliere pour les nobles dans 
les couvenis des Benedictins. 

+ Ganıı£a, s. [. (1. de gdog.) Galilee:contree 
de la Palestine. 

GaLiLkO , A, adj. et s. de Galilde, Galilden. 











633 " GAL 


“+Gaumtıno, adj. m. Mordomo —, reo&- 
veur des cens de poules. 

+ Gaimia, s. f. (l. de buf ) galinie: arbris- 
seau du cap de Bonne-Esperance. 

+ Garinteianpas, s. f. pl. (l.de myth.) ga- 
lintbiades ; sacrifices ä Thebes. 

Giuio, s. m.V. Calhaleite. 

GaLiotg. V. Galeote. 

+ GaLıröpıo, 5. m. galipot ow encens blanc, 
resine liquide du pin. 

Gira. V. Galladura. 

GALLACRISTA OU GALLICRISTA. V. Gellocrista, 

GaLLipo, A, p. p. de Gallar. Ooo —, auf 
qui a le germe, qui a &le feconde. 

GaLLADURA, 3. f. germe de l’auf; semence 
du coq. 

GaLiän,t. a. cocher : couvrir la poule, par- 
lanıt du coq. 

+ GaLLas, 5. m. pl. Gallas : peuple sauvage 
d’Abyssinie. Les Galles, peuple d’Asie. 

+ GiLızca, s. f. (f.de bot.) "galega ow galec, 
rue de chövre, plante legumineuse. 

GımrLLecäda, 3. f. multitude, bande de Gali- 
ciens; action, propos de Galicien ou porte- 
faix. 

GıLL&co, A, adj. et s. de Galice, Galicien. 
Portefaix. 

+ GäLLss, s. m. (t.de geog.) pays de Galles, 
en Angleterre. 

+ GiLria, ef. ow GaLuias, pl. il. de geog.) 
Gaule ou Gaules : l’ancienne France. 

GaLLicipo, A, pP. p. de Gallicar. adj. Infects 
du mal vencrien. 

GaLticino, A, adj. gaulois, frangais, qui 
concerne la France. Gallican : qui concerne l’&- 
glise de France. 

+ GaLLicäinTo, s. m. temps de la nuit oü les 
coys chantent , le chant du coq. 

GaLLicär, v. a. donner la verole, veroler. 
6,9. 9. Kagner la verole. 

+ GauLicıa, s. f. (l. de geag.) Gallicie: pro- 
vince d’Autriche, avec lilre de royaume,. 

+ GaLLiciäno, A, adj. de Gallicie. 

+ GaLLicinıo, s. m. (inus.) le point du jour. 
V. Gallicanto. 

GALLICISWO, 8. m. gallicisme : expression, 
construction , tour propre ä la langue frangaise, 
transportes dans une autre langue. 

GäLLICO, s. m. mal vencrien, syphilis, grosse 
verole. 

GiLLico, A, adj. venerien, verolique, sypbi- 
litique. 

GALLINACEAS, adj. ets. f. pl. (1. d’hist. nal.) 
gallinacees: (oiseaux —) du genre des poules, 
granivores. 

t GALLinaPÄnE, 8. m. (1. d’hist. nat.) galli- 
napane:: oiseau de l’Amerique meridionale. 

Garzinna, 8. f. poule : oiscau domestique. 
( Ag.) Poule mouillee : läche,, poliron. — d’An- 
göla, la pintade. — do Peru. V. Peru. — de 
rio. V. Gallinhöfa. — chöca, poule vouveuse. 
Deilar uma — . mettre les aufs sous une poule 
couv.use. Detlar-se cm ae —s, se coucher 
avec les pouirz, de tres-bonne boure, Quando 


a ”„ 


fi 


‚ 6AL 


as —ı tinörem dentes , quand les peales auront 
des dents, jamais. /sso ndo o apanhdo  —:: 
on le dit & quelqu’un qui verse une liqueur, ou 
laisse tomber son argent. Viva a —,e viva com 
a sua pevide. V. ce mot. 

GALLINHÄCA, 3. f. iente de poule. Gallinasse: 
espece de corbeau du Perou. 

GaLuinutıno, 3. m. poulailler : marchand de 
volailles ; liou od los poules se retirent la nuit. 
(t. de mar.) Cage & poules. 

f GaLLinntıro, A, adj. On le dit des oiseaux 
de fauconnerie qui se nourrissent de volaille. 

GALLINHO, 8. m. dim. de Gallo. Cochet, petäü 


coq. 

GaLLinHöLa, 8. f. (8. d’hist. nat.) becasse: 
oisesu de passage, echassier. 

+ Garuinuora, 8. f. (l. Bist. nat.) poule 
d’eau. — denegrida, foulgque ou morelle. 

+ GuLLitaicHo, s. m. (1. de bo$.) " horminelle 
des Pyrenees : plante voisine des melisses. 

GALLITRISTE. V. Callitriche. 

1GauLLiza, s. f. (4. de geog.) Galice : province 
d’Espagne. 

GaLLizıäno, A,adj. de Galice. On le dit d’une 
race de chevaux petits, mais forts. 

GäLLO, 8. m. coq : oisesau domestique, mäle 
de la poule; sa figure, sa forme. Sorte de poıs- 
son. V. Peixe —. "Bigne: lumeur au [rout 
venue d’un coup. — süvesire, coq de bois, de 
bruyere. — das serras ou rochas do Brasil, coq 
de roche. Av cantar do —, au point du jour, ä 
minuit. Missa do —, messe de ıninuit ou da 
chanı du coq. — do relogio, V. Guerdavolante. 
— da romä, rang de graines de la grenade 
(fruit). — das Irevas, ciorge de saint Pierre .\e 
dernier que !’on retire du candelabre des tene- 
bres. Muito pdde o — no seu poleiro, ( pror.) ie 
charbonnier est maltre chez soi. Memoris de 
—, (fam.) meınoire de lievre, qui oublie facıle- 
ment. Qulro — me canlära, si les choses lour- 
naient autrenient, je ın’en lrouverais mieut. 
Correr —ı a cavallo, courir le coq ä cheral. 

GaLLO,.adj. ei s. m. Gaulois; Frangais. 

+ GaLiocrista, 8. f. (1. de bot.) cocrete des 
pres, cröte de coq:: plante rhinantee. — des- 
(drda. V. Hormino. 

+ GaLLos, s. m. pl. (i.de myth.) galles : pr&- 
tres de Cybele. 

GALöcHa, #. f. galoche:: chaussure sous Ir 
soulier uw a semelle de bois. *Rejeton de grefle. 
d’ente. 

GALoNnAnO. V. Agaloado. 

* GaLoPäDA, 8. f. galopade : action de galr 
per; espace parcouru en galopant. 

GALOPADO, A, P. p. de Gelopar. 

GaLorAaDöR,A,adj. et s. qui va le galop, qui 
galope bien. 

GaLorir, e.n. galoper : aller le galop. Il est 
quelquefois actif. — o cavallo, galoper, meitre 
un cheval au galop. 

GALupE, s. m. galop : ellure d’un cheval qui 
court tres-vile; suite de sauts en avant. ı 7. 
*Häte, precipitation. A —, de —, ä la hält, 


GAM 


tröu-vite. — dos mastarcos, (t. de mar.) tete des 
mäts de lıune, de perroquel, elc, 

GaLoPrEAn.V. Galupar. 

GaLoPiM, s. m. galopin, petit domestique, 
petit comniissionnaire, gamin. Polisson,, rus6, 
petit coquin adroit. 

GaLran. V. Galrejar. 

GALREJADOR, s. m. celui qui veut primer; 
qui fait le fier, qui se vante, vanlard. 

GaLrEJÄn, ev. n. lever la crete, vouleir pri- 
mer; se pavaner, @lre tout fier; se vanler. 

GALRITO, 3. m. verveux: filets de peche en 
pointe. Sorte de nasse de pöcheur. (fg.) Piege, 
embüche, trebuchet. 

GALYÄNICO, A, adj. galvanique: du galva- 
nisme. 

GALYANISMO, 8. m. galvanisme : systeine de 
Galvani; suite d’experiences sur l’electricite 
agissant sur les substances animales, et leur 
imprimant des mouveınents Ires-sensibles, & 
Yaide des melaux, sans frottement; electricits 
metallique. 

GaLvera, 8. f. (tl. de mar.) galvette: petit 
bätiment fort leger dans l’Inde. 

Giwa,s.f. dyine: feınelle du daim. 

Gauäö, s. m. tricirac: jeu; table pour le 
jouer avec des daınes ei des des. Y. Gamöes. 

* GaMir-SE. V. Chamar-se. 

Gamärra,s. f. martingale: courroie attachee 
& la muserolle et ä la sangle pour retenir la tete 
du cheval. 

+ Gausi. V. Sarigue. 

GampEuniA, 8. f. (Pop.) V. Cambape, Lo- 


graräö. 

+ Gäusıa, s. f. (t. burl.) jambe. Dar ds —ı, 
trotter, marcher vite, fuir, courir. 

GAMBITO, s. m. croc-en-jambe. 

GauBörA, s. f. sorle de coing enie, doux et 
succulent. it. V. Cambda. 

+ GıuB0Lıro, 8. m. (4. de bot.) le grand co- 
gnassier:: arbre qui porte les coings doux. 

GANMBUTA, 8. f. cintre: arcade de bois pour 
soutenir et bälir une vouüte. 

GANMEAR, 5. m. V. Gancares. 

+ Games, s. f. pl. (t. d’ant.) gamelies : 
fetes nuptiales. 

GamerLiAa,s. f. gamelle : grande &cuelle de 
bois;; haignoire ; jatie, sebile de bois. 

GasstLäna, 3. f. jattee: plein une jalte; 
piein une gaınelle. 

GAMELLÄÖ,s. m. aug. de Gamella. 

+ GameıcEını, s. f. " arbre du Bresıl dont 
on fait de grandes gaınelles. 

GANELLINBA, 8. [. dim. de Gamella. 

GAMENBO, adj. m.(t. burl.) daıneret,, galan- 
tin, coquet, mignon. 

+ Gauernia,s. f. divination par la transpo- 
sıtion des letires, en formani des anagraınmes. 

GiumA, s. f[. gamıme : Echelle des notes de 
musique selon l’ordre des tei.ps naturels. 
Gamma : troisieme lettre de l’alphabet grec. 

sine, s.m. daim: bele fauvc, plus pelileque 
Ve cerf,. a bois larges et plats par le haut. 


GAN 


GAMÖES, GAMONEIRA, 

GauonıTos, (1. de bot.) | V. Abrölon. 

TGanoLocia, s. f. gamologie : trait& sur le 
mariage , les noces. 

GANÜTE ‚5. m. 6cope pour vider l’eau ä bord 
des navires. 

Gina, s.f. (4. pop.) *desir, envie,, volonte. 
Dar —, donner envie, faire venir l’eau & la 
bouche. Fazer uma cousa de bda, ou md—, 
faire une chose de bon gre, ow malgre soi, & 
contre-cour. Ter — a alguem, (fig.) en vouloie 
& quelqu’un. 

"Ganäpo. V. Gankddo. 

Ganäncıa, s. f. * gain, profit , aoquöt. Filke 
de — , eılant nalureli,, bätard. 

Ganancıöso, A, adj. lucratif : qui apporte du 
gain; profitable. 

"Ganariö,s. m. crocheleur, portelaix. Ga- 
gne-denier, manouvrier. 

"Ganark,s.m. V. Travesseiro, Canape. 

GANArERDE. V. Ganhaperde. 

"Ganän. V. Ganhär. 

+Gancänss,s. m. pl. (tl. d’Asie) defricheurs 
de terres, qui ont canalise des riviöres, et qui 
eontribuent par leurs dons aux besoins pu- 

ics. 

TGancaria, 8. f. reunion, assemblee de 
gancares. V. ce mot. 

"Ganga,s.f. V. Ganancia. 

"Gancar. V. Ganhaer. Lucrar. 

Gancuin. V. Enganchar. 

T GANCHEADO , A, adj. ($. de bot.) erochu, en 
forme de crochet. j 

GANCHINBO ,s. m. dim. de 

Gäincuo, s. m. croc, crochet, accroc. ° Hou- 
lette. (pop.) Profit illicite; petit proft. — do 
cadernal do turco , (8. de mar.) croc de capon. 

GancHönRA, 8. m. ang. de Gancho. (1. de 
mar.)° croc, harpon. 

GANcHö80, A, adj. crochu, qui a un crochet, 
en forme de crochet. 

Ginpa,s.2 gen. (1. d’Asie) V. Rhinoceronts. 

Ganpäla, 3. f. “ mötier de chiffonnier ; iruan- 
derie. (fig.) Oisivete, faineanlise. Andard—, 
mener une vie oisivo, vagabond®. 

Ganparin, ©. m. (4. burl.) V. Andar d gan- 
daia. 

GANnDARIRO, 8. m. chiffonnier, truand. (fg.) 
Oisif, faineant, vagabond. 

Gänpana, s. f. terre sablonneuse, störile. 

Ganpänzs, s. m. pl. toile de !’Inde rayde de 
bleu. 

+ Ganpant,s. m. arbre d’Amerique, dont les 
feuilles ressemblent & celles du merisier, et 
dont le bois est rouge et tres-dur. 

GanpaYa, etc. V. Gandaia, etc. 

* Ginpaa. V. Gendara,, Charndca. 

* Ganpö, 3. m. ancien air qu’on jouait sur la 
guilare. 

Gänca,s. f. (t. d’hist. nal.) ganga : gelinotie 
des Pyrenees, oiseau gallinace, plumipede. 
it. Femelle du rhinoceros. ° Nankin, etofle de 
coton des Indes. —s , certain nombre de points 
au piquel. 





634 GAN 


*+Ganctwro, A, adj. querelleur, fier-ä- 
bras, eräne. 

'+Gänces, s. m. (1. de geog.) Gange : grand 
fleuve des Indes. is. Sorte de poisson de l’Inde. 

+ Ganc&Tıco, A, adj. du Gange. A 

ganglion : tumeur sans dou- 

Banane on leur sur les nerfs ; assem- 

" 7) blage de nerfs entrelaces. 

Ganc6s0, a. V. Fanhöso. 

GANGRENA ,s. f. (1. de chir.) gangrene : mor- 
tifcation totale et decomposition extensive 
d’une partie du corps et des arbres;; (fig.) se dit 
des erreurs,, etc. ; mal, desordre contagieux. 

GANGRENÄDO, A, P. p. de 

GANGRENAR, ©. 3. OU —SE, ©. Tr. Se gANngrTe- 
ner : se corrompre et devenir gangreneux. 

GANGRENÖSO, A , adj. gangreneux : de la ns- 
ture de la gangräne, attayue de gangrene. 

"GınHADEa. V. Gananria. 

GANHADEIRO, A, adj. gagnant, qui gagne. 

* GanHaDia. V. Ganancia. 

GÄNHADINNEIRO, 8. m. gagne-denier, manou- 
vrier, journalier. 

GANHADO, A,p. p. de Ganhar. 

GANHADÖR, 8. m. gagneur : celui qui gagne 
des batailles. Gagnant:: celui qui gagne au jeu, 
elc. Au Bresil, esclave ow affranchi qui gagne 
pour son maltre. 

GANMANGA, 8. f. V. Gagno. 

Gixuiö, s. m. valct de berger. Journalier, 
hommmne qui travaille a la journee, manouvrier. 
fig.) Yacher, paltoquet, rustique ‚malhonnete. 

GANNAPERDE, 5. m. jeu de qui perd gagne. 
* Manıere de jouer aux dames, oü celui qui fait 
prendre toutes ses dames gagne la parlie. 

GANHAR,v. a. gagner: faire quelque gain; 
tirer un profit; (fig.) retirer un avantage en ge- 
neral, obtenir; reinporter ce qu’on desire; 
avoirle gain au jeu, elc.; atlirer A un parli, 
eic.; se rendre quelqu’un favorable ; s’empa- 
rer, prendre, se rendre maltre, arquerir (l’a- 
initie, le suffrage); prendre (un mal, etc.); 
meriler par 8a Conduite, ses discours; vaincre. 
— amigos e dinheiro, gagner de l’'honneur et 
du prolit. —o barlarento, ı {. de mar.) gagner 
le vent, au vent, le dessus du vent sur un vais- 
seau. (fig. (sagner le dessus,, avoir l’avantage 
sur quelqu’un. — 0 Jogo,gagner au jeu, tirer les 
enjeux. — a demanda, gagner un proces, avoir 
gain de cause. — lferra, gagner du terrain. 
(fig.) Proliter habilement de ses avantages. — 
amigos ou inimigos, se faire des amis ou des 
ennemis. — as alrigaras, annoncer le premier 
une bonne nouvelle. — a vida, — de comer, 
gagner sa vie, gagner de quoi vivre.— a dian- 
teira a alguem, xagner les devanls, gagner 
quelqu’un de vilesse. — a vonladr d’algquem, 
„ gagner !’amitie , la bienveillance de quelqu’un. 
— o.cume do monle, o allo mar, eic., gagner 
le somınet de la montagne, la haute mer, etc., 
s’y porier. — uma batalha ao inimigo , gagner 
une bataille sur l’ennemi. —nome, se faire un 
nom.—pelo sew corpo', se prostituer.—alguem 
por imienigo , se faire un ennemi, altirer sur sol 


'e- 


GAR 


Finfmitie de quelqu’un. Ndo se ganha para &- 
mer, (fam.) les temps sont durs. Quem se ndo 
arriscou, näo perdeo nem gankow, qui ns 
risque rien n’a rien. 

GanHÄR (a, em), v. n. gagner, avoir l’avan- 
tage, l’emporter. — a alguem na carreire, 
vaincre quelqu’un & la course. 

GANBHINHO, s. m. dim.de 

GäÄnno, s. m. gain, proßt, avantage; lucre, 
utilite. 

GANHOZIxHOo,, s. m. dim. de Ganho. 

GANiDo, s. m. eri d’un chien qu’on bal; 
aboiement, glapissement , jappement. 

GantpE. V, Canape. 

Ganir, vo. ®. crier, aboyer, glapir, japper, 
parlant d’un chien qu'on bat, etc. (Ag.) Gron- 
der avec coläre. 

Gasiz,s.m. petit os des jointures des jambes 
des baufs ou des ınoutons. —zes, pl. osselels. 

"Gino, s. m. berger. 

Ganöca , 8. f. nom d’un poisson de mer. 

Gänsa,s. f. oie femelle. 

Gansir. V. Gangar. 

FGansixuo, #. m. dim. de Ganso. Oison: 
petit de Foie. 

Ginso ,s. m. jars : oie mäle, oiscau aquali- 
que, palmipede , serrirostre. — braro, 0ie 
sauvage.— paldo ou palöla, fou de Bassan. P# 
de —, patie d’oie, plante. 

Ginta, s. f.(l. d’Asie) mesure de grainsä 
Malaca : sept font un alquier portugais. 

Gintas,s.m.(t.d’Asie) V. Visitader. 

Gänte,s.m. (t.de geog.) Gand : vılle capi- 
tale de la Flandre. 

+ Ganzerr, s. m. (t. de charp.) sorte de trou 
ou d’embolture en morlaise. 

f Gärasıs, s. m. pl. habitants de Garb, pro- 
vince de Fez. 

GARABÜLHA, 8. f. grabuge, griffonnade. il. 
V. Embrulhdda , Confusdö. 

GARABÜULHA, 3. m. intrigant, brouillon. V. 
Embrulhador. 

GARABULHENTO, A, adj.rude, Apre au loucher: 

GARABULRO. V, Garabulha. 

7 Garactay, s.m. (il. d’hist. nal.) garaguay: 
oiseau de proie d’Amerique. 

T GARAJAO, 8. m. oiseau de mer sur la cöte 
de Guinee. 

GıraLnäna. V. Gralhdda. 

TGARAMÄNTAS, 5. m. pl. Garamanıes, peu- 
ples de la Libye. 

T GARAMANTITA, 8. f. garamanlite : pierre 
precieuse et figuree. 

GarANUro,s.m.(t.burl.) V.Novato, Calouro. 

GARANBÄÖ, s, m. elalon, cheval entier. (A9.) 
Homme tres-debauche, qui a commerce avec 
plusieurs femmes, V. Frascdrio. 

Garansäö,s. m. (f. burl.) Aandrin, grand 
homme maigre, efllanque, echine. 

GARÄNTE , 8. 2 gen. prince garant d’un traıte 
de paix; et, par extension, garant, caulion. 
r&epondant. 

Gaxanria, s. f. garantie, caulion. 

GARARTIDO ,A , P. P. de Geranfir. 


. 





‚GAR 
GARANTIR, d. 0. garantir : 50 rendre caution. 
V. Afkancar. 

"Guraupiz, 5. m. ancienno garalture de 
robe de femme. V. Barambax. 

Garäpa,s. f. (t. du Bres.) limonade sucrde 
avec de la melasse. 

Garatüsas, s. f. pl. * gestes Fldicules, gri- 
maces, contorsions. * Pieds d6 mouche : &cri- 
ture indechiffrable ; griffonnades. 

+Garatüsa, s. f. ' cobp du jeu du chilin- 
dron. Dar — , c’est se defaire le premier de ses 
cartes au jeu appele chilindron. (fig.) Fraude, 
tromperie. 

GARAvÄingo, s.m. * sörle de räteau de bois 
pour s6parer la paille du bie dans l’aire. 

Garavans£Lo. V. Espararäd. 

GARAVÄTO, s. m. croc, crochet. —s, pl. V. 
Garavftos. Candeia de —, lampe & crochet. 

Garavim,s.m."coiffe de reseau;; sorte d’an- 
eienne coillure. 

GARAYO. V. Garajdo. 

"GäRB0, s. m. bon air, bonne gräce; gentil- 
lesse, galanterie, agrement; bonne mine, 
prestance. (Ag.)* Valeur, cur. V. Brio. 

+ GaARBöso, A, adj. de bonne gräce, qui a 
bon air; fier. ' 

Ginca ,s. f. (t. @hist. nat.) * heron : oiseau 
aqdälique et erratique. — redi, heron royal ou 
commun. —de Bohdmia, * jaseur, vulgo geai 
de Boheme, grive bLohemienne. — ruira. V. 
Gazöla. —noeturna crislada, *bichoreau, cor- 
beau de nuit. 

*"Gancäö,s. m. garcon, jeune homıne non 
marie. Amant, amoureux. 

Garckıro, adj. m. Faledö — , faucon heron- 
nier, qui chasse au höron. 

* Ganckz, s. m. V. Calcez (t. de mar.): o’est 
aujourd’hui un nom de famille. 

Girco, a, adj. Olhos —, yeux bleus et 
blancs, ow gris. Celadon : vert päle, tirant sur 
le blanc. V. Gdzeo. 

+ GancöA, s. f. demoiselle, fille. 

Garcötra,s. f. (f. d’hist. nat.) * heronneau : 
petit heron. — branca , garzeite ow jarselte, 
heron blanc; aigrette. 

* GARDÄNTE, p. a. de Guardar. 

® GARDINGO, s. m. emploi &minent du temps 
des Goths. V. Desembargador, Guarda. 

?GARECER. V. Guarecer. 

Gartıa,s.f. perdrix qui est en chalßur., 

Garriva, 8. f. fourchetse : ce que l’on peut 
prendre avec une fourchette. 

GaRtiLa 08 —ILLA, 5. f. " bord des pieces de 
znonnaie. 

+ Gaxrim, s. m. (t.de bof.) petite fourche. 

Ginro, s. m. *fourcheite: ustensile de table. 
ZEnte, groffe. — de gente, (Ag.) detachement 
de troupes. 

+ Garruäna, s. /. t. de bot.) "garfuana : ar- 
re du Bre&sil, m'; .or & teinture. 

GARCALEJAR. \. Gargarejur. 

GancarHin: x.f. *eclatdeYire. 

+ Ganchın .,v.®.rir6 aux eclats, A gorge 
«tployee. 


. 


GAR 6% 


FGancaLutıra,s. /. chatne pour prendra au 
cou les esclaves. 

GARGÄLBO, 8. m. erachat epais. 

GARCALO, 8. m. goulot. 

GancänTa, 5. f. gorge, gosier. "Cou. .fig.) 
Gorge de montagne, detroit; deflle. ° Goulet de 
rade. Ter boa —, avoir un beau gosier, un go- 
sier de rossignol, chanter agreablement. — de 
fogo. V. Volcdö. Passos de—, inflexions de 
voix, roulades, etc. Pör o culello ou bararo na 
— a alguem, (fig.) pousser & bout, reduire 
quelqu’un & l’extrömite. Eslar com a corda ou " 
com o barago na—, (id.) avoir la corde au cou, 
@tre dans un embarras, dans une peine ex- 
treme. — da aurga, it. de consl.) encognure, 
encolure d’une cdurbe.—do estdi, (1. de mar.) 
collet d’stai.— da um moildö,, (id.) grand aillet 
d’un estrope de poulie. 

GarcanTäö, Oxa, adj. V. Vordz; Comildö. 

GARGANTEÄDO, A, p. p, de Garganlear. 

GARGANTEADÖR , A , 3. Chanteur qui fredonne, 
qui fait des roulades, des fredons,etc. 

GARGANTEÄR,, vd. n. [redonner, faire des rou- 
lades en chantant. _ rn 

Gancantep ou —Eıo, s. m. Iredon, roulade, 
tour de gosier. a 

GARGANTILBA, 8. f. * oollier de femme. 

* GARGANTOICE. V. Gula, Gloloneria. 

GARGAREJAMENTO. V. Gargarejo. 

GARGAREJAR, D. N. BE,gargariser. 

GARGARBIO, 8.m. gargarisyng : action de se 
gargariser; liqueur pour se gatgariser. . 

+ GarcaunA, s. f. "fruit jaunc du Bresil, 
de la grosseur d’une cerise. 

+ Gancußıro,s. m. (i.burl.) * gorge, gosier. 
Trache&e-artere. 

+ Garımptıno ‚s.m. celui quichercheles dia- 
mants furtivement. 

*GaRITEIRO, 3.m. celui qui tient une aca- 
demie de Jeu, maitre de tripot, tripolier. 

“Garito, s. m. *academie, tripot, maison 
de jeu. . 

GARIOFILÄTA OU v. Cravoilha. 

GARIOPHYLLÄTA, . 

Garuindeo,s.m.(i.de mar.). V.Pega. . 

GariörA,s. f. ($. de charp.) varlope : grand 
rabot pour polir. ‚ 

GARNÄCHA, 8. f. robe de conseiller, de ma- 
gistrat, etc. 

Garneir. V. Brunir. oo, 

* GARNIMENTO. V. Guarnimenlo, Ärreio. 

GaRroTice, s. f. polissonnerie; action de ga- 
lopin, de gamin. u a 

GAROTO, 8. m. polisson, ruse, gamin, pelit 
caqwn adroit. En . 

GarRöurA, 3. f. * poisson de mer qui Fessenı- 
ble au baudroie, excepte qu’il est röuge. &.V. 

Garupa. 

Garoupes. V. @urupes., a 

Ginra, s. f. grille, serre. (fg.) Main de 
’homme. (id.) Possession. violente; pouvoir 
injuste; rapacite. —s do catallo, “lanons, crins 
sur les boulets du cheval. Cuir qui couvr6 les 
paties de Yanimal ei dont on fait An 1a oolle- 


636 GAR 


Tirer das —ı de..., arracher des grilfes de... 
Pela — se conhece o ledv, & l’ongle on connalt 
le lion. 

Ganracıcäö, 5. m. oiseau du Bresil qui vit 
de miel. 

Gaanära,s. f. carale, boutellle. 

GarniriL, adj. 2 gen. gros. Lelire —, 
grosse letire. Ginja —, espeöce de grosse co- 
rise, cerise anglaise. Cerajas —aes, bigarreaux. 

Gannarid, s. m. aug. de Garrafa. Grande, 
grosse bouteille. — empalkado , dame-jeanne. 

+ Gannarinua, s. f. carafon, petite carafe. 

Ganaina, s. [. sorte de tribut que payaient 
los Maures. V. Derrama. 

Garniıo, s. m. bourillon : jeune bauf. (Ag.) 
Orateur novice, qui debute. 

Gannina, s. f. pouliche : tr&s-jeune cavale, 
jusqu’ä ırois ans; jument de race petite. 

Ganräncno, 5. m." branche rompue d’un ar- 
bre , hranche tortususe. Nom d’une maladie du 
sabot du cheval. 

Garnän, 0. m. (f. de mar.) chasser sur ses 
ancres, arer. 

Gannipa, 3. f. petite cloche. 

GARRiDANENTE, ade. joliment, avsc dlegance. 

Ganridice, 8. f. elegance, coquelierie, ga- 
lanterie. Lascivite , mollesse. 

Ganxido, A, adj. elegant, coquet, galant; 
recherche dans sa parure. Amoureux. Lascif, 
dissolu. 

*Ganrik, vo. 0.50 pavaner; briller. 

Ganxöcna, 8. f. sorte de dard ou d’aiguillon 
äcrochet, usit6 dans les courses de taureaux. 

Garnocniö, s. m. aug. de Garroche. Petite 
lance des cavaliers dans les combals de tau- 
Foaux. 

GARROcHÄDO, A,P.p. de 

GannocHär, v. a. blesser, frapper avec la 

. V.ce mot. 

GannöcnO, s.m. V. Garroche. 

+ GannoTtär, v. a. etrangler. 

GARRÖTE, 8. m. garrot : bäton court. V. Ar- 
rocho. Supplice qui consiste ä etrangler avec 
une corde et un garrot. Dar —, &trangler. 

Gannotsa. V. Jarrelfira. 

GARAOTILRO, 3. m. "esquinancie suivie de 
suffocation. "Croup, #iranguillon : esquinancie 
des chevaux. 

GanaücHa, s. f. potence d’estrapade. Bät. 
Piöce d’arbalöte. (tl. de mer.) Corde de bou- 
line. —, pl. (id.) ansettes de bouline : bouts 
de corde altaches & la ralingue. 

GannöcHo, s. m. V. Garrucha. 

+ Gannöca, s. m. (t. de bot.) ° garruga : ar- 
bre de !’Inde, de la decandrie. " ” 

GinnuLo, a,adj. babillard ,häbleur, parlant 
d’un homme; gazouillard, qui ramage sans 
cosse „ parlani d'un oiseau. 

+ Ganauncuo, 8. m. (li. de mar.) —s das od- 
las , bersaux. 

Ganöra, s. f. eroupe de cheval; croupicre. 

Ganuriva, 8. f. "bond, saut du cheval ele- 
vanı la croupe. 

GuRTorsıLno. V. Cravo da Indie. 


GAS 


GarvoruvıLira. V. Crevoilke, 

Gis, V. Gas. 

GasaLniDO, 8. 9. hospice, auberge, aoomeil, 
reception , hospitalite ; prevenance , benignitt, 
bienveillance. "Cabane de vaisseau. Der — « 
alguem, loger, recevoir quelqu’un chez sei. 
Fazer bom — a alguem , recevoir quelqu’un de 
bon cur, avoc aflection. 

"GasaLsauinto. V. Gasalkddo, Abrige. 
ägasalho. 

GasiLno. V. Agasdiho. 

GasaLnöso, A, adj. hospitalier, qui fait bon 
accueil. V.4A . 

Gusciö, s.m. etadj. Gascon, de la Gascogne. 

+ Gascögs, s. m. pl. pieces du canon du 
mors du cheval d’une forme particuliere. 

GaSCONHA 08 Gascoyne : ancienne pfo%- 

Gascinua,s.f. | vince de France. 

GASCUENTO el 

GascufTo, A, adj. | V. Gago. 

Gasnäipa, 5. f. "cri de cerlains oiseauz de 
proie et des oies. V. Grasnade. 

Gasnär. V. Grasnar. 

GASNÄTE, 8. m. " gorge, Kosier. 

Gasnko,s. m. V. Gasndda. 

GasneTe. V. Gasnale. 

Gäsra , s. f. piöce de racoommodage de s08- 
iers. 

+ Gassenpista, s. m. gassendiste : soctaleuf 
de Gassendi. 

GASTADISSIMO, A, adj. sup. de 

GasTtino, A, P. p. de Gastdr. adj. Ust; ef- 
face ; gätd. — dos annos, casse de vieillesse. 

GasTanOR, A, 5. depensier, prodigue, dissi- 
pateur. adj. Qui gäle, use, consume, delt- 
riore, suriout parlanı du temps. 3. m. (}. mil.) 
Gastadour, pionnier qui aplanit les chemins. 

GASTÄLEO, 5... sergent : outil de menuisier. 

"GaSTAUMENTO. V. Gdsto. 

Gastiö, 5. m. "pomme d’une canne.— de 
fuso. V. Maunge. 

GasTtär, 0. a. depenser. Gäter, user, COnSU- 
mer, deteriorer. Employer, so servir de. (Ag-) 
Ruiner, saccager, devasier. Digerer, cuire les 
aliments. Kflacer : öter la figure, l’empreinte. — 
apariencia a alguem, pousser quelqu’un & boul. 
— o lempo, employer le temps ou le perdre. — 
palavras, parler inutilement. — alegremenks 
a fazendg, eic., dissiper follement sa fortune. 
— sem luzir, faire des depenses qui ne parals- 
sent pas. Ser amigo de —, aimer la depense. 

GASTÄR-SE, v. T. s’user; se gäler; se colst- 
mer. Se vendre, etre d’un debit facile. — er 
guem, dissiper sa [orlune;; perdre ses forces 
perdre du monde äAla guerre. 

+ GastRaörongs, s.m. pl. (.d’hist. nal.) gar 
teropodes: mollusques rampants sur le venire. 

Gästo, s. m. * depense. Faser um gr 
faire belle depense. Seu — d mdi erescido, 54 
depense va loin.—s, pl. depenses, frais.— 
gerdes de cummercio, düpenses de negoce, de- 
penses generales. — miudos, faux-frais. 

Gisto, a,adj. etp. pP. irr. de Gester. V. 
Gasiade. 





GAT 


GistaIcO,, A, adj. gastrique, stomacal, de 
Pestomac. 

+ Gastamancıa , 8. f. (inus.) force digestive 
de Pestomac , appetit insatiable de manger. 

Gastairtes, s. f. (1. de med.) gastrite : in- 
Sammation de l’estomac. 

+ Gastaöceıe, 8. f. (t. de med.) gastrocdie : 
hernie de l’estomac. 

Gastaopr'nıa, 3. f. (t. de med.) gastrodynie: 
colique, douleur d’estomac. 

+ Gastano-snterites, s. f. ($. de med.) gas- 
tro-enterite : maladie compliquee de la pbleg- 
masie de l’estomac et de celle des intestins. 

+ GastaoLocia, 8. f. gastrologie : traite, 
kvre sur la cuisine. 

+ Gastaomancia, 5. f. gastromancie : sorte 
de divination par les röponses d’un devin ven- 
triloque. 

+ Gastrowania,, 8. f. gastromanie : passion 
pour la bonne chere. 

+ Gastaömano, 8. m. gasiromane : qui a la 
gastromanie. 

+Gastronomia, s. f. gastronomie : traite, 
tcrit sur la bonne chöre; art de faire bonne 
chöre. _ 

+ GasTRonöNıco, A, adj. gasironomique : 
de la gastronomie. 

+ GasSTRÖNOMO, 3. m. gastronome : amateur 
de bonne chere, gasiromane. 

+ GastaoraPHia, 8. f. gastroraphie : suture 
des parois du bas-ventre. 

+ GastaoToMia ‚s. f. gastrotomie : ouverture 
faite au ventre. 

GäTa, s. f. chatte : femelle du chat. (t. de 
mar.) * Perroquet de fougue ou d’artimon. (id.) 
Ancre borgne. (id.) * Croc de candelette. Sorte 
de poisson de mer. Ancienne machine de 
guerre. Tomar a —, (pop.) se griser. Ander de 
—s, pör-se de —s, marcher ä quatre paties, 
prendre cette position. 

Gartänıa, 5. f. (1. de bot.) cataire, herbe aux 
chats , chataire : plante aromatique et medici- 
nale. 

Garizio, s. m. "griffe de chat. (Ag.) Vol 
adroit; escroquerie, fllouterie ; marche fraudu- 
leux, ele. 

GATEADO, A,p. p. de 

GATEÄR, U. @. &gratigner. Cramponner. v. ®. 
Grimper, marcher, gravir & !’aide des pieds et 
des mains. 

Gartına, s. f. chatiere : Irou dans une porle 
pour les chats. 

+ Gartıro, 3. m. qui a soin des chats. 

* GaTEnno ,,s.m. Campo de —, champ ineulte 
ns en friche. 

+Gartksco, a,adj. de chat; ä manidre de chat. 

GATILRO, s. m. "gächelle, detente d’un fu- 
sil, etc. 

GATINÄNBOS, 8. m. pl. * singeries, mines, 
grimaces. 

Gariuua, s. f. dim. de Gala. Petite chatte. 
Ander de —:, aller ä qualre paties. 

GATINBO, 5. m. dim. de 

GäTo, s. m. chat: animal domestique, mam- 











GAV 637 


miftre de la famille des carnivores. Crampon. 
Petite outre de peatı de chat. Traitoir : outil de 
tonnelier. — malkddo ou do Mäxieo, ocelot: 
espece de chat-ligre d’Amerique. — mon- 
tes, chat sauvage. — de algalia ou piodle, "ci- 
veite. — leizugo, chat sauvage. — pi ‚ 
croque-mort. Fazor — sapaio, ( fam.) se Jouer, 
se moquer de, taquiner quelgu’un ; le tromper 
grossierement. Comprar — em sacco, acheter 
chat en poche. Quem ha de levar 0 — d agua? 
On le dit d’une chose dificile ou dangereuse & 
executer. Vender — por lebre, ( ig.) tromper 
dans un marche. — escaldddo d’agua fria lem 
me6do,, (prov.) chat &chaude craint l’eau froide. 
Como cdo com —, comme chien ei chat, sans 
pouvoir s’scoorder. Buscar cinco pes ao —, 
chercher midi & quatorze heures. Quem lan- 
gard o cascavel ao — P qui doit attacher le gre- 
lot? Langar o — ds barbas de outrem , eriter un 
danger, une peine, en la rejetant sur un autre. 
De noite todos os —s sdo pardos, la nuit tous les 
chats sont gris. — de ferro, (1. de mar.) croc. 
— de ferro com sapalilko, (id.) croc & cosse. 


— do moildo do turco, croc de capon. — de 


tornel, oroc & emerillon. 

GaATUNiR, v. a. ou ®. fllouter, tricher. 

GATTNicE, s. f. tricherie,, ülouterie. 

GATiNO, 8. m. aigrefin, fllou, tricheur, fri- 
ponnier. 

* Gatünpa, s. f. ancienne chanson et son air, 
qu’on Jouait sur la guitare. 

+ Gäunos, 3. m. pl. Gaures, Guöbres ow Par- 
sis, peuples d’Asie. 

Gıvid. V. Gabdb. 

GAVÄiRRO, 5. m. javart: tumeur au bas de la 
jambe du cheval. 

Gävsa,s.f. (l. de mar.) hune, gabie : sorte 
d’echafaud,, de guerite au haut du mät; grand 
hunier. —s, pl. "huniers : volles des mäts hu- 
niers ; volles trapezoides Cesto da —, gabie. 
A— esid sobre, le grand hunier est coiffe,, le 
grand hunier est sous le mät. Ter as —s arrea- 
das sobre a pega, avoir les huniers sar le ton. 
Ter as —ı arreadas a meio masiardo , avoir les 
huniers & demi-mät. Ter as —s incadas, avoie 
les huniers guindes. —s arreadas, huniers 
amenes. —s rinzadas, huniers rises. —s cas- 
sadas a beijar, huniers bordes tout plat. Larger 
as —s, jeier les huniers hors de hune. 

Gaveıa, s. f. javelle, glane, herbe de bie. 

Gavetra,s:f. layette, tiroir pour serrer des 
papiers, etc. 

Gıveriö,s. m. aug. de 

GaAVvETIinNBa, 3. f. dim. de | Gavdla. 

+ Gavıir, 5. m. (8. d’hist. nal.) gavial: ero- 
codile de I’Inde. 

Gaviäö, 8. m. epervier, oiseau de proie. — da 
vide, vrillo de vigne. 

Gavißte, s. m. sorte de davier. — ds lanche, 
(4. de mar.) davier ou davied du canot. 

Gavistre. V. Gabindie. 

+Gavinnas, s. f. pl. (1. de bat.) vrilles ow 
mains : liens aveo losqueis certaines planieg 
s’attachent, 





638 GEI 


+ Gavınn0so, A, ai. (1. de bot.) vrillifäre « 

(plante, ramyay, aic.) qui porie des vrilles. 
-Givo. V. Gdbo, Lomwor. 

Gavöra, &. f. gavotie ı danse gale; son air, & 
deux temps. 

Gäxkra,s. f. (6. de mar.) garcelle : oorde 
tressee. — pare forro das amarras, garcetlo de 
cäbles ow de fourrures de o4bles. —s, pl. gar- 
celtes : cordes iress6es pour altacher les volles 


aux vergues. 
GiYa. . 
Giro. | V.Gain. 


Giz, s. m. (t. de chim.) gax: Buide adri- 
forme;; gaz hydrog&ne ow gas, air inflammable. 
(fig.) Feu, ardeur d’imagination,, verve. 

GazALHBÄDO, elc. V. Gasalhddo, eio. 

GızaLuär, otc. V. Agasalhar, eic. 

GAZEADOR, 5, m. qui fait l’ecole buissonniäre. 

(GGAZEÄR,, 9. ®. Laire l’dcole buissonniere. 

GAzEIO, 8, m. “action de faire l’ecole buis- 
sonuniöre. Gazouillement des oispaux. 

GAZELLA, 8. [. gazelle ow antilope : bete fauve 
A cornes courbees en |yre. 

(1i750,A, adj. verdätse, vairon; bleu clair. 
Olho —, @il vairon. 

GATETA, 8. f. gazelie, journal. 

GAZETEIRO, 5. m. gasgelier, journaliste. 

Gazia. V. Gazira. 

GaziL, adj. 2gen. tres-gai. 

Gaziva, s. f. expedition des Maures en de- 
fense, eic., de leur religion. (Ag.) " Dommages 
octasionnes par celte expedillon. (id. fam.) 
’ Vol, usurpation,, dommage. 

tGazöLa, s. f. (t. #hisl. nat.) * butor : oi- 
seau du genre du heron de marsis. 

. GAZUMETRO, 4. m. gazomötre ; instrument 
pour fixer la quantile de gaz empley6 dans une 
operation. 

GaAZOPHYLÄCIO, 8. m. Lrösor, lieu od l’on 
garde le Irösor; coffre ow Ironc des aumönos 
(dans le temple de Jerusalem). 

Gız0s0,A, adj. gazeux: de la nature du gas. 

Gazi. V. Gaxiva ou Gezüs. 

GazüA,s. f. "passe-pariout, rossignol , fausse 
clef, crochet. it. V. Gazivs. 

"Ge. V. Se (pronom), 

. Gzäpa,s. f. gelee blanche : rosee congelse. 
— sobre as aropres, elc., givre ow friıman. V. 
Escarcha. 

GEÄR , v. 6. geler, glacer. v. m. Geler : faire 
un froid glagant; tomber de la gel6e blanche, 
tomber du girre. 

GEÄRn-8E, dv. r. se geler. 

Gear, s»f. V. Corcova. 

G£Bo,s. m. (1. d’hist. nat.) bison : baauf A 
bosse,, variets de l!’urus, baauf sauvage. 

G&2o, A, adj. V. Coreovado , Giboso. 

Grutna, s. f. gehenne, enfer; torture, pri- 
son. 

Gkına,s. f.* espace de terrain qu’une paire 
de baufs pegt labourer en un jour. * Arpent. 
(viewz) Corvöe : travail, service gratuit et foro6 
aü par le vassal au seigneur ou a l’Kial. Fazer 


slgumacousa por maier ou fapar —, (fam.) 


GEM 
faire queique chose par manidre d’aeguit, ä la 
iögöre , pour la forme. 

*+Gzınkö ou GsinoN, s. m. vassal oblig6 ä 
la corv&e;; corv6ieur. 

* Gzıtan. V. Lancer. 

Gäıro, s. m. " manidre, lournure, air; ap- 
parence; mauvaise habitude, tio ; aptitude, 
adresse. Tor — nos olhos, loucher. De —, en 
sorte, de maniere. A—, dans une atlitude con- 
venable; & la port6e de. Fer — com alquem, 
öıre bien auprös de quelguiun. Zsio ndo leve—, 
cela ne va pas. 

Gxirösamentz, ado. convenablement; avec 
gräce,, avoc adresse. . 

GsıT080, A, adj. adrvit, habile ; oonrenable; 
bien plao6, & la poriee de; de bonne mine. 
Louche. Mal —, gauche. 

Gssöy, ete. V. Jejüum) etc. 

GeLivA, 8. f. (tl. de bot.) ficolde glaciale ow 
crystalline,, ouig. la glaciale: plante brıllante. 

t GELÄDO, A, p.p. de Geldr. adj. Gele, con- 
gele. —s, pl. m. "glaces, liqueurs, fruits glaces. 

GEL.ADOR, A, 0dj. quiglate, quigele, glacant. 

+ GeLapüna, s. f. (4. de bot.) gelivure : mzia- 
die des plantes. 

GeLirLLa. V. Jelldla. 

GELAR, v. @. geler, glacer, congeler, endar- 
cir par le froid. v. ». Faire un froid glagant; so 
geler. 

GeLÄR-SE, o. r. geler : @ire glac6, transi do 
froid; se geler, se figer. Se s6öeher par la ri- 
gueur du froid, parlant des plantes. — 0 sangwe 
so corpo, (fig.) se glacer de frayeur, parlart du 
sang. — ooorapdo a algwenm, id.) resterinterdit. 

GELATINösO, A, adj. gelalineux : qui res- 
semble & une gelde.' 

Gei»a. V. Gelva. 

GsLeki, s. f. gelee : suc, jus coagule. 

+ GeLtiaa, s. f. glaciere : lieu, cavite od 56 
r&unissent des eaux et ou elles 5’y gelent. 

Getımas, 8. f. pl. (1. rush.) le bie land. 

GELIDO, A, adj. (podi.\ gele , glace. 

GELo, 8. m. *gelee : solidification de Veau 
par le froid ; glace. (Ag.)* Glace , froideur, in- 
difference. Estar feilo um — , eire giaoe, froid 
comme la glace. O — do rio se desfaz., la ri- 
viere a debäcle. Pedafo da —, glacon. Rompi- 
mento do —, debäcie. Nario embararado n0—, 
navire pris dans les glaces. 

+ Gzı60, A, adj. de Gela, ville de Sicile. 

GELOSiA, 8. f. jalousie de fenetre. V. Adtuis. 
Jalousie. (P. us.) V. Ciüme. 

Gäıra, s. f. petit bAtiment sur la mer Rouge. 

G&uMa,s. f. jaune d’auf. V. Gemme. 

Gsmipa,s. f. " lait de poule. 

+ Genipo, A, adj. couleur jaune d’euf. 
p. p. de 

T Gemin,v. a. (tl. de pharm.) assaisonner 
avec le jaune d’@uf. 

*+Gemsr, s. f. dans les salines, c'est 
soixanle-qQuaire carreaux ou planches od lot 
fait du sel marin. . 

GENMEDOR, A, adj. ei 6. qui gemit; qui imile 
le gemissement de l’homme, 


s 








GEN 


GENENTR, adj. 2 gen. V. Gemedor. 

GRMEOS, AS, adj. pl. jameaux : enfants nds 
d’une möme couche. (1. d’anat.) —, muscles de 
la cuisse. Pör-se em —as, so Äresser surf 868 
pieds,, parlant du cheval, etc. 

Gkuros, s. m. pl. (l. d’astr.) gemeaux : signo 
du zodiaque, Jumeaux. 

Gruß, v.n. gemir: exprimer sa peine, otc., 
@’une voix plaintive, non articulee, se plain- 
dre, exprimer sa douleur de...; soupirer et 
pleurer. Sifller, parlant du vent; mugir, parlant 
de la mer. 

Gzuido, A, p. p. de Gemer. it. s. m. Gemis- 
sement, plainte douloureuse, Tamenlation, cri 
plaintif. —, cri de la tourterelle, etc. Siffle- 
ment des venis, mugissement de la mer. 

Getuini ou —nıs, 5. m. V. Gemeos. Emplaslo 
d geminis, (1. de pharm.) emplätre resolutif, 
composö de cire et de ceruse. 

Ge£mino, A, adj. (p. us.) double, repete, 
reitere. 

G&mi0 , A, adj. V. Gemeos. 

G£UMA,s. f. gemme: pierre pr&cieuse. G@me 
os gdme, bourgeon, germe des plantes. (fg.) 
Milieu , centre. Na — do inverno ‚dans le fort 
de Phiver. Frances na —, vrai Frangais. 

+ Gruwioo, a,p. p. de Gemdr. 

Geunminte, adj. 2 gen. (podtl.) qui hrille 
comme les pierreries. 

Gzuuir, v. a. (f. d’agric.) grelfer, enter. 
(t. de pharm.) Preparer avec la poudre des 
gemmes ou pierres precieuses. v. n. Bourgeon- 
ner, parlant des plantes. 

GEuMÄR, dv. a. (8. d’agric.) greffer, enter. 

+ Geuuireno, A, adj. gemmifere : qui con- 
tient des pierres pr&cieuses. Qui produit des 
gemes ow bourgeons. 

Gzuonsas, s. f. pl. (8. d’ant.) Gemonles : 
lieu de supplice et d’exposition des cadarres 
des criminels. 

GenaL. V. Facial. 

Gencıina,s. f. ($. de bot.) gentiane : plante 
vivace, campaniforme, qui entire dans la the- 
riaque. —amarella, gentiane amarelle. —bras- 
es , gentiane blanche (Laserpilium latifolium). 

+ Gencıänas ou —Eas, adj. eis. f. pl. (1. de 
bot.) gentiandes : famille des gentianes. 

+ GencıanzLLa , 3. f. (1. de bot.) gentianelle. 
V. Genciana amarella. 

GenzaLocia, s. f. gensalogie : suite et de- 
nombrement des aieux ou parents. 

GeneaLöcıco, A, adj. genealogique : qui 
tient & la gönealogie. s. m. V. Genealogista. 

GENEBALOCISTA,, 8. m. genealogiste : qui 
äresse des genealogies. 

Gunferu, 5. f- geniövre : liqueur spiritueuse, 

t. de geog.) Gendve :: chef-lieu d’un canton de 

isse. 

+Genzanino, A, adj. Genevois : de Geneve. 

Gentııa. V. Janslla. 

" GEntR, ©. 8. — a agua, grossir l’eau dans 
le torrent, ' 

GzuzriL, 5, m. göneral : chef d’une arınde, 
&une de ses grandes divisions. 


F — 


GEN 6, 


GanzniLa, 8. f. generale: batterie de lam- 
bours pour avertir la troupe de se lenir preig ä 
marcher ou ä combatire. 

GENERALAÄNO 0% } generalat: dignite de 

GENBERALÄTO,s. m. | general d’urdre reli- 
gieux ; sa duree. —, commaändement d’une ar- 
mee. 

GENBRALIDÄDE , 3. f. göneralite, universalite: 
qualitö de ce qui est general. it. V. Generalälo. 

GENERALISSIMO, A, adj. sup. de Geral. s. m. 
Generalissime : celui qui, dans une armee, 
commande meme aux generaux. 

GENERALIZÄR, ©. a. generaliser; rendre gö- 
neral; etendre A tous. 

GENERANTE , adj. 2 gen. V. Gerador. 

GENERATIVO, A, adj. generalil : capable d’en- 
gendror, de produire. 

GENERICAMENTE , adv. genöralement, univer- 
sellement; en general. 

GENERICO, A, adj. generique:: qui appartient 
au genre. General. 

GENERO, 8. m. genre : caractere commun & 
plusieurs espäces, classe divisee en especes; 
sorte, maniere; condition; qualıla; (4. de 
gram.) le masculin, le feminin, le neutre; 
(4. derhet.; partie de l’art oratoire tel que 
P’entendaient les rheteurs anciens. —s, pl." Den- 
res, marchandıses.—sujeilos a derramamenlo 
ou a enlornarem-se, marchandises sujelles & 
coulage. — sujeilos a corrupgdo , marchandises 
perissables, sujettes & se gäler, ä deperisse- 
ment, 

GENERÖSAMENTE, adv. genereusement. 

GENERUSINÄDE, 8. f. Kendrosite, grandeur 
d’ame, magnanimile ; liberalite. 

GENEROSISSINO ,A, adj. sup. de 

GENERöSO, A,adj. bon, excellent dans son 
espece. Genereux , magnanime ; l.beral , noble. 
Genereux, liquoreux , agr&able, parlant da 
vin, 

Genssı, s. m. premier chapitre de la Genese. 

* GENESIM ou * Genese : premier livre 

GENESIS, s. m. de Y’ancien Testament. 

GeEx&ta,elc. V. Ginela, etc. . 

} GEnerTnLIiach, 8. f. genethliologie : art 
d’expliquer l'horoscope. 

GENETHLIACO, A, adj. genethliaque: sur la 
nejssance (po6sie, discours, elc.). 6. Mm. —, 
astrologue qui dresse les horoscopes. 

f GENETRIZ, s. f. mere : celle qui a concu et 
enfante. 

GENGIBRE OU —VRE, 3. m. (4. de bol.) amome® 
des Indes, (owlg.) gingembre, plante et racine. 
— silvestre, amoıne ou gingenmbre sauvage. 

GENCIVA, 8, f. gencive: chair qui ontoure les 
dents. 

GENIAL, adj. 2 gen. conforme au genie, au 
goüt, & l’inclination. Dias —aes, jours de feie, 
de plaisir, de divertissement. 

+ GenıcuLino, A, adj. (4. de bot.) genicul6: 
noueux, plein de nauds. 

Genıo, s. m. genie, talent, esprit, aplitude, 
humeur. "Inclination, dispositlion nalurelle, 
tempsrament, nalurel. Bon ou mauvais cä- 





640 GEN 


ractöre. Tor — para, &ire nö pour. — fogoeo, 

forte , humeur bouillante. — docil, suave, na- 

turel facile, doux. 

GenıPÄnO ou 

GEnIPÄPO, ete. | V. Jenip..., eio. 

° Gzuiseno. V. Jamizaro. ' 

GenıriL, adj. 2 gem. genital : qui sert & la 
generation. s. m. "verge, le membre viril. 
—des , pl. genitoires, testicules. 

GenıTivo, s. m. genitif : le second cas de la 
declinaison des noms en grec et en lalin. 

Gexıro. V. Gerddo. 

GEnıTöR, a. m. celui qui engendre, pere. 

Ganıtonia ou } generation, procreation. 

Ganıröna,s. f. ) ° Etat du ciel au moment 
de la naissance, theme celeste. 

Genizano. V. Janizaro. 

Getnova, s. f. (6. de geog.) Genes : ville d’Ita- 
lie, des Etats-Sardes. 

GEnov&z, a, adj. et a. Genois : de Genes. 

Genuno, 8. m. gendre. 

. . populace, lie du peuple, 
Pa a Fer racaille, vermine, 
Gente, s. f. gens, monde, personnes. * Peu- 

ple, nation. Armee : ceux qui la composent. 

—, personnes qui appartiennent au m&me 

parti. (fam.) Famille, parents, parente. — 

baire, pelites gens, gens du commun. Y. Plebe. 

— de bem, honnötes gens, gens de bien, ow 

gens de marque, de dislinction. — de Iralo, 

gens de commerce, negociants. — möga, la 
jeu 1osse. — do mar, marins, matelots. Ser —, 

(fg.) ötre d’un merite distingue. Mdilta —, bien 

du monde; bien des personnes. 

* GENTIL, 8. m. ancienne piece de monnaie 
en Portugal. ‘6. V. Gentio, Pagdö. 

GenTiL, adj. 2 gen. gentil, joli, mignon. 
Brave, actif, quia du feu, de l’ardeur. Excel- 
ent, exquis dans son genre. (vieux) Noble, 
d’une extraction illustre. 

GeautiLtza, s. f. gentillesse, gräce, agre- 
ment , galanterie, dlegance recherchee, no- 
blesse ; courteisie, politesse,, urbanile, manid- 
res distinguces. (viewz) La noblesse , les gen- 
Ulshommes. 

GentiLßzas, s. f. pl. choses &dlegantes, pa- 
rures magnißiques, etc. —s, ou —s de valor ou 
em armas, grandes actions, "exploits, hauts 
faits d’armes. 

GERTILBONEN , s. m. gentilhomme : noble de 
race. (viewz) Bel homme. — da cdmara, cham- 
bellan. Ander — em alguma acpdo ou lance, se 
conduire, agir en honneie homme, comme un 
gentiilhomme. Palen. 

GENTiLICAMEnTE, ado. en gentil, en palen; & 
la manidre des palens. 

“ GenriLico, A, adj. qui appartient aux gen- 

üls, aux palens; paien, qui concerne le paga- 

nisıne. 

GENTILIDÄDE, 5. f. gentilite, 
tion palenne. 

GEnTILIiswO, 8. m. gentilisme ; religion des 
gentils, 


3 


ganisme, na- 


GEO 


GENTILTZÄR , 9. @. corroınpre par des usages, 
des rites, etc., genlils ou paiens. v a. Obser- 
ver les rites des gentils ou paiens. 

GENTILMENTE ‚ade. gentiment, joliment. 

+ Gextir-weLuer, 5. f. jolie feınme. 

GENTixnA, 8. f. dim. de Gente. Bas peuple, 
populace, canaille. 

GENTio, a, adj. des gentils, paien, idolätre. 
s. m. Gentil, paien , idolätre; peuple sauvage, 
sauvages. °Foule, affluence, grand concours 
de monde. it. V. Genialha. 

GEnturLExäd, 8. f. genuflerion : flechissement 
des genouz. 

GENGFLEXÖRIO , 8. m. agenouilloir, prie- 
Dieu. 

Genuinamsnte, ade. franchement; propre- 
ment parlant. 

GENUINO, A, adj. vrai, pur, sans alteralion 
ni melange;; propre , naturel. . 

GEOCENTRICQ, A, adj. (1. d’asir.\ geocentti- 
que : qui appärtient ä une plandte vue de la 
terre. 

GEöDA, 8. f. g6ode : pierre d’aigle ow elite. 

GeoDESsIA, 8. f. geodesie: art de mesurer et 
diviser les terres. 

GEODESICO ou | geodesique : de la gen 

GEODETILO, A, adj. desie. 

GEoGnAPnIiA, 6. f. geographie : science de la 
position respective des pays entre eux el par 
rapport au ciel, el description de ce qu'ils con- 
tiennent de principal. 

+ GEOGRÄPNICAMENTE,, adv. selon la geogra- 
phie. 

GEOCRÄPRICO, A, adj. geographique : de la 
geographie. 

GEÖGKRAPHO, 8. m. geographe : qui sait la 
geographie, qui fait des cartes geograpbiques. 

* GEöLno. V. Joelho. 

+ GEonYpnucrAPHia, 8. f. geohydrographie: 
description de la terre et des eaux. 

+ GEoLoGia, 3. f. geologie : connaissance, 
description de la terre, de ses couches, de ses 
especes, etc. 

+ GEoLöcıco, A, adj. geologique : de la geo- 
logie. 

GEÖLOGO, 8. m. geologue : qui sait, enseigne, 
&tudie la geologie, ecrit sur elle. 

GEOMANCiA, 3. f. geomance, —cie : divina- 
tion au moyen de points lraces au hasard sur 
la terre; divination par la terre. 

+ GEOmÄNTICO, s. m. geomancien, qui praüi- 
que la geomancie. —, A, adj. geomantique:: d® 
la geomancie. 

GEÖNMETRA, 8. m. geometre: qui sait, exerc® 
la geometrie. 

GEONETRIiA, 3. f. geometrie : art de mesufet 
la terre; science des mesures, des lignes, des 
corps; science des proprietes de l’elendue 
figuree. 

GEOUETRICAMENTE,, adv. geometriquement: 
d’ane maniere geometrique, exacte et rigo@- 
rouse, , . 

GEONETRICO, A, adj. geometrique : qui PF®- 
cöde geometriquement; de la geomketrie. 





GER 


+ GRONOMIA, 3. f. göonomie: connaissance 
des terres propres & l’agriculture. 

+ GEÖXOMO, 5. m. geonome : savant qui 8’00- 
cupe de la geonomie. (. de bot.) Geonome: 
palmier de l’Amerique meridionale. 

t GeörnACo, A, adj. el 3. geophage : qui 
mange de la terre. 

*"GEORÄL, s. m. ancien meuble. 

+ Gerörcıa, 3. f. (1. de geogr.) Georgie ou 
Gurgistan : province d’Asie. 

GEORGIÄNO, A, adj. et s. Georgien: de la 
Georgie. 

GEÖRGICK, s. f. georgique : ouvrage qui a 
rapport ä la culture de la terre. 

GEöRGIO. V. Georgiano. 

GEöSO, A, adj. neigeux, brumeux. 

t GeoscörIa, 8: f. geoscopie : connaissance 
des qualites de la terre. 

f GEÖscoPO, 8. m. g&oscope : qui S’occupe 
de la geoscopie. 

f GEoSTÄTICA,, s. f. geostatique : stalique de 
lı terre, trail6 des lois d’equilibre des solides ; 
staligue. 

GERA. V. Hiera. 

Genacäö,s. f. genaralion :-aclion d’engen- 
“rer; chose engendree; production; peuple, 
nalion; chaque filiation et descendance de pere 
a fls; race, lignce, posterite, descendanis 
d’une personne. "Genre, espece. 

GERADO,A,P.Pp.de Gerar. 

GERADÖR, 5. m. celui qui engendre, pere. 
adj, Generateur, qui engendre. 

GERÄES, s. m. pl. ecoles publiques dans une 
universite, etc. 

GerRÄL, 3. m. general : superieur d’un ordre 
monastique. (vieur) V. General. Dar —, faire 
toutes les levees au Jeu de l’hombre. 

GERÄL, adj. 2 gen. general, universel : com- 
mun ä 0% d’un graıd nombre; de tous; qui 
embrasse un grand nombre d’objets. Em —, en 
general : U’une maniere generale, eı commun; 
indistinctement, sans specification partliculicre. 
Ventos —aes, vents alises. 

GERALIDÄDE. V. Generaliddde. 

GERALMENTE, adv. generalement, en g&- 
neral. 

Geaino, s. m. (1. de bot.) geranium,, bec- 
de-grue, plante. — felido. V. Herva Roberta. 
— dos jardins. V. Alfinetes de dama. 

GaRrAPIiCA, 3. f. boisson purgalive, faite du 
vert-de-gris, de la cannelle, etc. 

GeriB,v.a. engendrer, procreer, produire, 
causer; enfanter. , 

Genanckia. V. Jerarchia. 

+ Gensisıa, s. f. ’ gerboise ou gerbo: qua- 

+ GAnBO, 8. m. } drupdde rongeur, & 
paties de devant trös-courtes. 

GEREBITA, 8. f. "tafia. V. Cachapa. 

GERCGELÄDA ,, 8. f. conftures failes avec de la 
$ugeoline et du miel. 

GE.RCELIM, 5. m. (4. de bot.) * jugeoline 0% 
jugoline : sesame d’Orient. 

GescILÄDA, 8. f. ’gätean fait avec du sucre 
tondu et de la jugeoline. 


PORT.-FR. 


GES 64 


GeririLco ou ’ (t.d’hist. nat.) gerfaut: 

GeRIFÄLTL:, 5.m. ) oisvau de proiedugenre 
du faucon, qui vole en rond, le plus grand et 
le plus fort de ceux que l’on dresse. 

GERINGONGA,'s. f. * jargon, argot: langage 
corrompu , bizarre, dont se servent ordinaire- 
ment les bohemiens, voleurs, etc. V. Algara- \ 
via, Germania. (fig.) Chose obscure, dificile 
& entendre. Andar com ou em —s, lergiverser, 
user de detours, de subterfuges. Fazer —, 
faire des gestes ridicules. 

GERIPIGA. V. Jeropiga. 

* GERIZA. V. Ogeriza, Odio. 

* GERMÄHO. V. Germano. 

* GERMAIA. V. Germana. 

Geruamnär. V. Confederar, Umir. 

T GERMANDRIA, s. [. germaudree : petit chöne 
vert. 

GERMÄNIA, s. f. germanie, boh6mien, jar- 
gon, argot: langage corrompu et bizarre dont 
se servent les bohemiens, voleurs, etc. 

GERMÄNICO, A, adj. germanique : des Alle- 
mands. 

GERMANIDADE: V. Irmandade. 

T GeERMANIisMO, s. m. germanisme : facon de 
parler propre ä la langue allemande. 

GERMÄNO, A, adj. (P. us.) vrai, pur, sans 
alteralion ni melange. adj. ei s. Germain, Alle- 
mand. 

" GERMAYVELMENTE. V. Irmämentie. 

GERME 04 —MEN, 8. m. germe: partie de la 
semence dont se forme la plante; principe de 
reproduction de l’animal comme du vegetal; 
partie inferieure du pistil; premiere pointe de 
verdure; (fg.; semence, cause, origine, source. 
(id.) * Branche , lignee. 

* GERUF.VDADE. 

* GENRMIDADE. } V. Irmandade. . 

GENMINAGAÖ, 8. f. germinalion : premier de- 
veloppement du germe, de la plante. 

GERMINAL,adj.2 gen. du germe ‚qui conlient 
des germes. 

GERMINÄL, 3. m. germinal: premier mois du 
printemps de Yannee röpublicaine, du 21 mars 
au % avril. 

GERMINÄNTE, adj. 2 gen. qui germe, qui 
pousse. p. a. de 

GERMINÄR, 9. Rn. germer : pousser je germe 
au dehors. 

GERMINATIVO, A, adj. qui ala vertu de ger- 
mer; vegetatif. 

Gero, s. m. " hberbe vulgaire en Portugal. 

GEROGLIFICO, etc. V. Jerog..., elc. 

+ Geröna, 5. f. (t. de geogr.) V. Girona 

GEROPIGA, 3. f. "breuvage peu agreable. 

+ Genunnense, adj. 2 gen. de Gironde. 

GERÖNDIO, 5. m. gerondif : sorie de parlicipe 
indeclinable en portugais comme en frangais, 
ä trois cas en latin : ilse termine toujours en do. 
Ex.: Lowvando (louant), comendo (mangeant), 
indo (allant). . 

f GERUSEMO, 5. m. juge eivil ot criminel & 
Nankin. 

Gzsuim. V. Jasmim. 


| 


64,2 GIG 


7 GESOLREUT, 35. m. (l. de mus.) premier si- 
gne eı une des clefs de ia musique, dans le 
systöme de Guy-Arötin. V. Gwolre-uß 

+ GessäL, s. m. ’plätziere : carriere d’oh om 
tire le plätve. 

Gessin. V. Engessar. 

Gässo,, s. m. plätre, gypse : pierre calcaire 
friable, qui se calcine au feu. — meate, plätre 
fin ei ıres-blanc. Amassar —, gächer, delayer, 
detremper du plätre. 

Ge£stacäö, s. f. (l. de med.) gestation : temps 
de la port&e des femelles. 

+ GESTATÖRIO, A, adj. gestaloire : & porteurs 
(chaise). 

GEsTo, 3. m. gesie : mouvement du oorps, 
surtout de la main, des bras. Aspect, silua- 
iam,disposition ,semblant,apparenoe. ° Mine, 
visage; grimace. Fazer —s, faire des grima- 
oes , des gestes ridicules. 

GETA,adj.ets.m.de laMoldavie.(Ag.) Homme 
grossier, ignorant, stupide. 

tG£TLLo, A, adj. ers. Getule : de Götulie, 
contree d’Afrique. 

GEZERINO, A, adj. V. Forte, Valentdö. 

+ Gracoris, s.m. (tl. d’hist. nat.) giacolin : 
faisan de lie Sainte-Catherine. 

Gina, s.f. bosse, gibbosite. 

GIBANETE, 8. m. ancienne arınure, sorte de 
gilet en fer. 

wIBÄö, 8. m. pourpoint : ancien habillement 
da cou & la ceinture. — d’apoules, volee de 
eowps de fouet sur le dos. 

GiBÄUTINHO, 5. m. dim. de Gibdö. 

GiszLina.V. Zebelina. 

+ GiseLinos, s. m. pl. Gibelins : faction al- 
tachee aux empereurs contre les Guelfes ou 
parlisans des papes aux 12°, 13e et 14° Bi6- 
cles. 

Giprraria. V. Algibetaria. 

GiBITEıro, 5. m. ouvrier qui faisait les gide- 
nsles. V. ce mot. 

GiBontTe. V. Gibantle. 

G150S1PÄDE ‚3. f. gibbosile. 

Gı8680, A, adj. bossu , gibbeux. 

GisöYa,s.f. (t. d’hist. nat.) *boa : serpent 
aqualique, tres-gros, sarıs venin : broie et 
avale lea animaux. — consiringenie, giboya, 
boageant, devin. — das Philippinas, ' bobos. 

+ Gisovacü, s. m. (1. du Bresil) grande cou- 
leuvre d’eau. 

Giesta,s.f.(l.debotl.)ow ı " gene d’Es- 

GIESTEIRA DOB JARDINS, ) Pagne. — me- 
nor, genet ceınmun, genät & balais. — do malo 
ou dos linlureiros, genet des teinturiers, ” ge- 
nestrale, herbe & jaunir. 

GıesriL, 8. m. lieu couvert de gen£is. 

Giestkıro, s;: m. V. Giesleira. 

Gioa, 8. f. espece de grande corbeille, bour- 
riche. Gigue : sorte d’air et de danse. 

Gioas6cA, s. f. "jeu de carles, entre qualre 
personnes, A neuf cartes chacune. Quadrilie. 

GrointTa,s. f. geante. 

GicÄnTE, s. m. geant : hormme d’une gran- 
‚dwur extraordinaire, colossal. (1. de bot.) V, 


GEN 


Girasol.—, a, adj. excessif, demesund , col06- 
sal. Herva —. V. au mot Herva. 

+ Gicänsza, s. f. (t. de bot.) * gigantea : to- 
pinambour du Brösil. 

GICÄNTEO, A, adj. gigantesque: qui appar- 
dent aux geants. 

GIGANTESCAMENTE, ado. d’une manitre gi- 
gantesque. 

GicAnT@sco, A, adj. gigantesque : qui tient 
du geant; (Ag.) excessif, demesure,. 

TGIGANTIcida,, s.m. celui qui tue des geants. 

GIGANTOMACHIA OU —QLıA, 8. f. gigantoma- 
chie : combats des g6anıs et des dieux; son r&- 
eit par Claudien et Scarron. 

GicöTE, =. m. sorte de ragoüt fait de viande 
hachee, etc.; hachis, capilotade. 

* Gicva. V. Giga. 

+ Gıracaöra, 8. f. (6. de bot.) espece de 
citrouille verdätre tachetee de blanc, pasiöque 
ou melon du Malabar : on en fait une ins 
bonne confiture. 

GiLapn£ca. V. Gerapiga ou Gerupiga. 

GILAVENXTO. V.'Solarento. 

GiLBARBEIRA, Ss. f. | 18. de bof.', fragon pi 

GiLBARBEIRO,S.m. | yuant,myriesauvage. 

"GiLnöa,s. P espece de lac ou lagune. 

TGiLLa, s. (.—de vitriolo, vitriol puriße. 

Giviz, s. m. balafre : longue blessure au 
visage, sa cicatrice; estalilade au visage,cbin- 
freneau. 

Gım20,s.m. (l.d’Afrique) V’argent.V. Zimbe. 

GinEta,s. f. genette : chal sauvage, plus pP 
tit que la civette, & parfum plus faible. Lance 
ceurte des anciens capitaines d’inlanterie && 
pagnole et poriuzaise. Genette : esp&ce de mofs 
quı assure la lete du cheval. Monter d— , mon 
ter ä la geneite, avec des etriers fort courts. 

+ Gingräno ‚Aa ‚adj. Cavallo — ‚cheval exerot 
ow dresse & la genette. 

GIN£TärıO, s. m. chevalier qui monte dla 
genette. 

Gin£rE, 5. m. genet: cheval d’Espagne er- 
tier. Coursier. Cavalier arme d’une lance e 
d’un bouclier. Celui qui monte et manie bie 
un cheval; habile &cuyer. 

+Gıxcär, o.a. ou m. (tl. de mar.) coqueler: 
(aire aller une barque avec un aviron que lu 
balance par derriere. (fg. fam.) Se dandiner. 

Ginckira, 8. f. (t. de bot.) * cerisier : arbre 
quiporte lacerise. — galfga, * griotlier. — ger- 
ra/al, “guignier, cerisier anglais. — do Brazil, 
faux poivrier, amoıne des jardiniers, ceriselle. 
Conheci-o —, (fam.) je l!’ai vu poirier. 

Gincisne. V. Gengibre. 

TGincidıo, 8.9.14. de bol.) gingidium : planle 
ap£rilive. — baslardo. V. Bisndga. 

+ Gınco Do Jariö,s. m. (1. de bot.) ginge du 
Japon : arbre aux quaranie ecus. 

Ginsa,s, f. cerise, griotte. V. Gingeira. s.m. 
(6. burl.) Vieillard fort attiach& aux usages au 
ciens. 

+GımsiL, s. m. champ, verger plant de 
griottiers, de guigniers : cerisale. 

Gınskına. V, Gingeira. 





GIR 


T6@msid,s. m. ginseng : plante de la Chine; 
sa racine mödicinale. 

? Gınsıncor. V. Ninsingue. 

16Gio, s. m. (t. de mar.) *barre d’arcasse, 
barre du premier et du second pont.— grande, 
lisse d’hourdie ou la grande barre d’arcasse.— 
sitimo, clef des estains, fourcat d’ouverture. 

*G16Lu0. V. Jeelho. 

tGıP-cır, 8. m. (1. d’hist. nal.) gip-gip: 
martin-pecheur du Bresil. 

"Giqu£ra. V. Jaqu£ta. 

tGıori, s. m. (1. du Bresil) sorte de nasse 
de ptcheur. V. Cuvdö, Bulirdd. 

Gina, s. f. V. Geringonga. 

tGmaciL, adj. m. Arrox—, la meilleure 
espece de riz des Indes. 

GiRAFA, 8. f. girafe : camel&opard, animal, 
Fun des plusgrands quadrupedes, tachet£. 

GiraLva. V. Goidlca. 

GraÄnDuLa, 8. f. girande ou girandole : as- 
seınblage de fusees volantes. 

GirÄNTE ‚adj. 2 gen. elp. a. de Girar. Tour- 
nant. 

Gıräö, s. m. sorte de bordure decoupee, 
au bas d’un habit. Pointe triangulaire qui 
donne plus d’ampleur & un babit. Lambeau : 
morceau d’etolle dechiree. Chanteau de terre. 
V. Courella. 

TGiıra0,s.m. (t. dw Bresil) sorte d’echa- 
faudage autour d’un arbre pour le couper. it. 
V. Muquem. 

GiRAPREGA. V. Geripiga. 

Gırin, v. a. lourner : mouvolr en rond. V. 
Rodeiar,, Circumdar. v. ». Tourner : se mou- 
voir en rond; lournoyer. Faire la pirouelte. 
Parcouris un pays. Circuler de main en main, 
parlant de P’argent. Fazer —, (t. de com.) faire 
eirculer. — no banco, (id.) 6crire une partie 
en banıyue. 

T GirasöL, s. m. (f. de bot.) helianthe : fleur 
de soleil, tournesol, soleil, couronne de so- 
leil. — da India, helianthe des Indes, helio- 
trope. — do Brazil ou tuberoso, helianıhe tu- 


bereux, lopinambour, la poire de terre. — | gla 


orientäl, (l. de min.) girasol : sorte d’opale, 
teinte de bleu et de jaune, pierre pr&cieuse. 

+ GinätacicHEM, 3. m. grand quadrupede 
de I’Ethiopie, plus gros que l’ölephant. V. Gi- 
rdfa. 

GıraviÄco.V. Gyrovago. 

GircıLim, etc. V. Gergelim, ete. 

Gixia,s. /.ruse, malice, finesse, artifice. 
"Argot, jJargon. V. Geringonga. 

+ Gınıpänna, 8. f. (1. d’Asie) martingale s 
courroie pour retenir la t@ie du cheval. 

GiRIGÖTE, adj. 2 gen. V. Trapacsiro, Velha- 
eds. 

+ Gıirıu6, s. m. a PFernambouo, on donne ce 
nom & une espece de courge ou citrouille Jau- 
nälre. 

Giro, 8. m. lour: mouvement en rond; cir- 
euit, tournoiement; Cconlour, circonference. 
* Circulation. — de cambio, (l. de comm.) vixe- 
ment des parties par leitses de change, eio. — 


GLE 643 


de eommercio, relations du commerce. Dar um 
— ‚faire un tour de promenade. Fazer o — da 
terra, faire le our du monde. Cada um por 
sew —, chacun ä son Wwur. 

Gıroriıco. V. Gerifalte. 

GıRorFR, etc. V. Gyrofe, etc. 

Gıröm. V. Girdö. 

+ Giromancia, s. f. giromance ou —tie : di- 
vinalion qui se praliquailen marchant en rond. 

TGınöna, s. f. (4. de geog.) Girone : ville 
de la Catalogne. 

+ Gıinorinco, s. m. sorte de bäliment dans 
PInde. 

Gıroväcos. V. Gyrorages. 

Gis ow Gız, s. m." craie : carbonate de chaux, 
pierre blauche, calcaire et lendre. (Ag. inus.) 
"Regle, mesure. 

G1sino, A,Pp.p. de Gisar. 

* GISAMENTO, 3. m. " esquisse. 

Gisir ou —zir, v. a. lracer, marquer & la 
craie. (fig.. Delineer, projeter. 

GıTÄno. V. Cigano. 

GitH ow GıTuo,s. m. (k. de bot.) — de Dios- 
corides. V. Nigella.— de Plimio, nielle des 
bles, fausse nielle ou nielle bätarde. 

+Giro, s. m. canal, conduit du metal en 
fonte au ınoule. 

Giz, etc. V. Gis, etc. 

Girinäö. V. Cizirdd. 

+ Gripro, a, adj. (1. de bot.) glahre: lisse, 
uni et sans poil. 

GuaciiL, adj. 2 gen. glacial, glac6, ex 
mement froid. 

Gıaciz, s. m. V. Bsplandda. 

GLapdıaDOR, s. m. gladialeur : colal qui s® 
batlait dans l’arene. 

GLaviin, 0. n. V. Esgremir. 

GLADIATÖRIO, A, adj. du gladiateur, qui imi 
appariient. 

GLinıo, 3. m. "6pee, glaive. V. Espdde,. 

Grinne, s. f. "gland. V. Bolota. 

GLANDIiFERO, A, adj. qui porie du gland. 

+ GLaxpivoro,A,adj. glandivore: qui vitde 
nds. 

GLanposo. V. Glanduldso. 

GuispuLa, s. f. (4. d’anat.) glande : partie 
molie, spongieuse, qui sert ä la secrötion des 
humeurs; tumeur. — pineal, glande pineaie. 
(t. de bot.) —, mawelon. 

+ GuanpuLagaö, 8. f. (l. de bot.) glandula- 
tion : etat des glandces, des mamelons. 

+ GraxpuLie, adj. 2 yen. (I. d’anas.) de la 
nature des glandes. . 

GLaxpuLöso, A, adj. glanduleux : qui a des 
glandes, compose de glandes. 

+ GrankoLa, s. f. (1. d’hist. nat.) glar6ole: 
perdrix de mer, räle d’eau. . 

GLisTto, s. m. "guede : plante pour leindre em 
bleu ; pastel. . 

GLäuco, #. m. (i. d’hist. nat.) glanis : POISSon 
osseux , du genre du silure, habilant les grands 
fleuves. R 

Guesa, 8. f. (imus.) glebe. V. Torrdö. Le 
fond,, le sol. Servos addictos d—, seris de la 


646 GON 
GoLP&LHa, s. [.sorte de grand panler. (wious) 
V, Raposa. 


Go rinuo,s. m. dim. de Golpe. 

GvMADO,A,P.P. de 

Gosär., v. ». bourgeonner, parlant des plan- 
tes. V. Agomar-se. 

Gonäa, 5. m. nom d’un animal amphibie. 

+ Gumäna, s. [.(t. de bot.) gomara : plante 
personude. 

GomÄRRA, Ss. f. V.Gallinha. 

+ Gomanasıno, s. m. (4. boA.\ voleur de 
poules. 

+ GomeLfiras, s. f. pl. "surgeons, rejelons 
qui sertent du trono, du pied d’un arbre; bran- 
ebes gourmandes. . 

Gouena. V. Gumene. 

Gouia. V. Agomia. 

GowMiana,s. f. "coup ou blessure d’agomia. 
V.ce mot. 

GomiL, s. m. * aiguiere, pot & l’eau. 

+GomıLöso, a, adj. .I.de bot.\ urceole: renfle 
comme une oruche etä col. 

GöuMaA,s. f. gomme : substauce Epaisse qui 
decoule des arbres. Tumeur qui vient ä la tete, 
a la gorge, etc. ° Empois: colle d’amidon. 
Colle de libraire. — ardbica, goınme arabique. 
— resina, gomme resine. — gracha, goimme 
sandaraque, sandaraque des Arabes.—d’hera, 
resine de lierre ow bederee. 

GUMMADU, A, adj. gomme ‚ mele de gomıne. 

GONnnAö,s. m. "espece de cerf qui a les bois 
tres-ecartes. 

GOMMirER®, A, adj. qui donne de la gomme. 

GOMMÖSO, A, adj. gommeux : qui jelle 0% 
contient de la gomme, plein de gomme; qui 
en a la consistance. 

G6öu0, s. m. (1. de bot.) geinıne : embryon 
adherent & la plante. G@me, bourgeon des 
pkantes ; il, bouton des planies. Quartier 
(d’orange, eic.). Langar —s , bourc-onner. 

T Gonde, s. m. * mesure creuse dus Hebreux, 
dixieme parlie de l’epba. 

7 GomöaauA, 5. f. (ti. de gdog.) Gomorrhe : 
ville abimee dans le lac Asphaltite, en Palestine. 

TGouoarneo, A, adj. et s. de Gomorrhe, 
Gamorrhöen. 

GoMPnüsE, 8. f. ( t. d’anat.) gomphose : arti- 
culation immobile des os. 

Gongo, Y. Gonzo. 

GondoLA, s. f. gondole : barque , bateau plat, 
long , keger et couvert. 

GONDOLSIRO, 5. m. gondolier : celui qui con- 
duit les gondoles, 

GON&TE ‚s. m. outil de charpentier pour faire 
des trous. 


GonraLiö, s. m. gonfalon : banniere & fa- | 


nons. 

ONFALONSIRO, 3. m. gonflalonnier : officier 
qui portait le ganfalon ; magistrat, chef de 
quelques republiques d’Italie. 

t Gonconista, s. m. pindariseur : celui qui 
pindarise,qui imite le sıyle aflecte de Gongora. 

7 GoNıo, 8. m. t.d’hist. nal.) yonie: byme- 
noptere fouisseur. 


GOR 


Gommompraia, &. /. goniometrie: art de me- 
surer les angles. 

GONIÖMETRO, 8. m. goniometre : instrument 
pour mesurer les angles des cristaux naturels. 

Gonorauka, 5. [. gonorrhee: Dux involon- 
taire de la semence, ecoulement purulent, 
chaudepisse venerienne. 

Gononanöl.o, A, adj gonorrhoique: qui a 
rappurt ä la gonorrhee, de sa nalure. 

Göxzo, s. m. gond : morceau de [er qui sou- 
dient la penture. 

Goripo, a, adj. courd (auf); avort&; abor- 
tif. p. 9. de 

GorRir, vo. n. se gäter, ne pas Eclore, en pat- 
lant des @ufs; ne pas reussir, avorler, en paf- 
lant d’une entreprise. 

Goraz, s.m. (1. d’hisl. nat.) 
de spare, poisson de mer. 

* Gonvi,s. f. graisse des animaux. 

GorviLo, a, aug. de Gordo. 

GorvAL, adj. 2 gen. Ura —, sorte de gros 
raisin. 

GORDANCBÜDO, A, adj. ( fam.) excessivement 
gras, piflre. 

GorDIÄNO 0% Görnıo, adj. m. Nö —, neud 
gordien, tres-difficile a denouer. 

Goupıäö. V. Euphorbio (gomine). 

GuRDINHO, A, adj. dim. de Gordo. Un peu 
gras; grasset, dodu. 

+ Görnio, 8. m. (4. d’hist. nat.) dragonneau: 
genre de vers fililformes. — aqualico, dragon- 
neau des ruisseaux. — de Medina, le ver de 
Medine. . 

Görpıo, adj. V. Gordiano. 

GöRDo, A, adj. gras : qui a beaucoup de 
graisse; qui a de l’embonpoint. —, huileur, 
onctueux. Gros, &pais. Faser a vista —o, laire 
semblant de ne pas voir. Ser de enlendimen!o 
—, avoir l’esprit &pais et houche. Ter as leliras 
— 48, eire ignorant. 

Gorpüra ‚s. f. graisse delicate employee par 
la nature & la nourrilure des corps. * Embon- 
point excessif. Graisse en general. — de porco, 
*"saindoux. — para unlar os eixos das rodas 
dus carros, vieux oing & graisser l’essieu des 
roues. 

GORGEÄR, ©. #. fredonner, en parlant d’une 
personne; gazouiller, ramager, en parlant d'un 
oiseau. , 

Gorckıo, s, m. fredon : roulement de voiX 
dans le chant. Gazouillement, gazouillis, ra- 
mage: chant des oiseaux. 

Gonceıra, s. f. Collerette, gorgere. V. Gor- 


hr&äme: espöce 


gueira. 
* Gonckı. V. Gorjdl. 
* GoRcELIiM, s. m. dim. de Gorgel. 
GoncErA,s. f. etrennes, le pourboire. 
+ GonrciLLo, a. m. (l.de bot. isihme: pell 
intervalle entre les toriles des plantes. 
GorcoLiö, s. m. V. Gulfada. 
GoncoLEJAn, d. n. boire par gorgees. il. V. 
Gargarejar ei Garganlear. 
GoRcoL&TA, s. f. pelite cruche de terre arcd 
un geulot; glouglou. 








GOS 


. Gorcormid. V. Gorgoldd. 

. GORGOLI,s. mw. I. d’Asie) sorte de vase plein 
d’esu, par ou passe le tuyau de la pipe, qui 
sort a relcoidir la furnce. 

GOKGOMILOS, 3. Zi. pr. \b. POP.) gavion, go- 
sier. 

+ Goacona, 6. f. Gorgone : personnage fabu- 
leux dont la vue peiriliait. fg.) Feinme tres- 
laide, hideuse. 

tGoscusso, a, adj. des Gorgones, qui ap- 
partient aux Gorgones. 

TGorcönua, s. f. (l. d’hist. nat.) gorgone : 
ı00phyte. — em [urma de lque, gorgone even- 
tail. 

GoaGORAÖ, 3. m. gourgouran : [orte etoffe de 
soie des Indes. Gros grain. 

GORGOREJAR,, 0. Rn. glouglouter. 

Gunctkina, 8. f. gorgere : collet antique de 
femmes pour le cu et la gorge. 

GuscüLuo. V. Gurgulho. 

GORGLZ, 8. m. espece de javelot. 

Gurita,s. f. chäteau d’avant d’un vaisseau. 

Gönsa,s.f. V.Gargdnla.(l.de mar.) Distance 
de ia proue & la surface de l’eau. 

GörsäiL, 3. m. gorgerin : piece de l’armure 
pour la gorge. 

Gonuän. V. Gusmar. 

GöRNE, s. m. (l.de mar.) * mortaise de poulie. 
— 0 allo do maslarfu, encornail. 

+ Gonxia, v. a. — os cabos, (l. de mar.) pas- 
ser une man@uvre dans ses poulies. 

GöR0. V.Georddo. 

Goaor&e. V. Gurupes. 

GororiL,s.m.(}. de mar.) * partie superieure 
des voiles ‚ tötiere d’une voile. ‘ 

Gönka, 3. f. "bonnet. Metter-se de —, s’'in- 
iroduire sans &tre appele ni invilö; se faufller. 
V. Engorrar-se, 

Gornıkö,s. m. oiseau des Indes. 

+ GoöRROo, s. m. bounet rond ; calotte. 

Gonvıaö,s. m. * drogue mıedicinale. 

Gös,s. m. (l. d’Asie)* mesure ilineraire, 4,800 
& 5,080 pieds geometriques. 

Göswa, s. f. gourme des jeunes chevaux; 
p€pie des oiseauz. 

Gosmär, v. n. jeler sa gourme; avoir la 
gourme.®. a. (p.us.). V. Vomilar. 

Gosminto, A,adj. quia la gourme ou la p6&- 
pie. Cracheur, qui crache beaucoup. 

Göso ,ete. V. @6x0. 

GOsTiB0,A,p.p- de Goslar. 

GOSTADOR, A,0dj.ets. quigoüte, qui &prouve; 
degusisteur. 

Gostär, v. a. goüler, deguster, Irouverä son 
goüt; savourer. Eprouver, experimenter. (de) 
v.n. Aimer, se plaire A; plaire, agreer, faire 
plaisir. — muilo de [rula, aimer beaucoup les 
(ruits, etc. Göslo ınlilo do campo , j aime beau- 
coup la campazne, ou la campagnıe me plaft 
beaucoup. — d’aquella senhora, cette dame me 
plait, — muilo d’esiar em casa, je me plais 
beaucoup chez mıoi. Essas senhoras gosldo de 
ti, tu plais a ces dames. Toda a gente gösla de 
mim , je plais & tout le monde. 


GoT 647 


& GosrivzL, adj. 2 gen. qui appartient an go 
V. Gostöso. ‚ad.2 gen. quiapp von 

GosTinno. V. Gostozinho, s. 

Gösto, s. m. goüt: le sens qui discerne la 
saveur; saveur; plaisir, conienlement, joie, 
gre. —, inclination, desir; senliment du bean; 
( fig.) discernement, finesse de jugement; sen- 
timent agreable qu’on a d’une chose. Bom —, 
goüt, du goüt (au fig.). Tomar 0 — a alguma 
cousa, prendre goüt & une chose, s’y plaire. 
— imper[eilo, avant-goüt. Dar —, plaire, &ire 
au gre de; faire plaisir. Ter —, aimer, prendre 
plaisir. Com —, de bon c@ur. Lerar em —, 
consentir, approuver, voir avec plaisir. Por —, 
par plaisir. So d do sew — ou se fas — n’isso, 
si cela vous fait plaisir. K um — passear, il fait 
beau se promener. Dd — vel-a, il tait beau 
la voir. Pintura pelo — de Raphael, tableau 
dans le goüt de Raphaßl. Fazer seu —, passer 
son envie. Näo ha — complelo no mundo, il 
n’est point de roses sans &pines. —s da vide, 
jouissances, amusements, plaisirs de la vie. 
Em —s ou sobre —ı ndo ha disputas, il ne faut 
pas disputer des goüls. 

GOSTUÜSAMENTE, adv. librement, de plein gr6, 
avec plaisir. 

Gostöso, A, adj. savoureux, agreablo au 
goöt. (fg.: Joyeux, tonteut; qui r&jouit, 

GOSTOZINRO, s. m. dim. de Göslo. Arridre- 
goüt. —, A, adj. dim. de Gostöso. Un peu sa- 
voureux, etc, 

GöTA, s. f. goutte : peltite partie ronde ow 
hömispherique d'un liquide; sa forme;; quan- 
tit& peu considerable d’une liqueur. —, malä- 
die, Quxion äcre , douloureuse, qui attayue les 
jointures, les articulations, les nerfs. — arte- 
riea, goutig arliculaire. — coral, &pilepsie, 
mal caduc. — serena, goulle sereine : paraly- 
sie du nerf oplique. — a — ou ds —s, goutte 
goutte. Ndo dard uma — d’agua, il ne donnera 
pas un verre d’eau, parlant d’un avare. —e, pl. 
gouttes : ornements d’architscture, en forme 
de clochettes. 

Gorino, A, adj. (8. de blas.) tachet#, mou- 
chete. 

GOTEiDO ou — ADD, P. p. de 

GOTEÄR 0u | degoutier, de&couler: torm- 

GoTEsJÄR, v.n. | ber goutte A goutte. 11 est 
quelquefois aclif. Sua espada goleja sangue, 
le sang decoule de son &pee. A chaga esid ainda 
golejando sangue ‚la plaie est encore loute sai- 
gnante, 

Gor£ıra, s. f. gouttidre : petit canal par od 
les eaux de la pluie coulent de dessus les toits; 
trou dans un toit par od la pluie tombe goutte ä 
goutte sur le plancher. Pente d’un dais, d’un 
lit, etc. 

GOTEIRINHA , 8. f. dim. de Goleira. 

+ Göruna, s. f. (t. de geog.) Gothie, oontr6e 
de la Suede. 

GöTtuco, A, adj. gothique : qui vient des 
Goths. /fg.) Trop ancien, hors de mode. 

+ GotuLinpıa, 8. f. (4. de 960g.) "Gothland ; 
tle de la mer Baltique, capitanie de Sudde. 


648 G0Z ” 


+ Gorinca, s. f. (ti. de geog.)” Gottingen, 
Goettingen ow Gottingue, ville d’Allemagne. 

GOTInHA,s. f. dim. de Göla. 

GöTo,s. m. (1. pop.) gosier, gorge; glotte. 


“ Dar no —, sufloquer, faire perdre la respira- 


tion ; avaler de travers. i6. Plaire, donner dans 
lol, laire plaisir. 
GoTöso, A, adj. goulleux , podagre :: qui ala 


-goulte, qui y est sujet. 


GovLiö. V. Glotdö. 

Gouropis. V. Gurupes. 

* Gouvscka. V. Gozar. 

* Gouv£r pour Jouven. V. Jazer. 

Gouv&te, 3. m. " sorie de gouge de menui- 
sier ow de sculpteur. 

* Gorvin. V. Gozdr. 

GovERNnagAö,s. f. V. Governo. 

GOVERNADEIRA , adj. el s. f. menagere. 

GOVERNÄDO,A, P. p. de Governar. adj. Bien 
rögle, de bonne conduite, &conome. (ant.) En- 
tretenu par quelqu’un. 

GOVERNADOR, 3. M. gouverneur : fonction- 
naire qui gouverne une province, une ville, 
etc. Celui qui gouverne ou dirige. — das armas, 
general d’armee, commandant militaire. — 
d’um principe, ete., gouverneur, commis & 
Peducation d’un prince, etc. — d’uma igreja. 
(ant.) V. Padroeiro. 

GOVERNADORA ‚s. f. celle qui gouverne; gou- 
vernante, institutrice, femme du gouverneur. 

GOVERNÄLHE 0% 

GOVERNÄLRO, 3. m. h V. Leme. 

* GOVERNAMENTO. V. Governo. 

GoVERNÄNGA, Ss. [.V. Governo. Gouvernanoe: 
province,, departement avec son gouverneur. 

GOVERNÄNTE, 8.2 gen. qui gouverne ou dirige. 

Govennär, d. a. gouverner : regir, conduire 
avec autorite, avoir l’administration; regir, 
conduire , mener, &lever; regner. (ant.) Nour- 
rir, entretenir. — bem a sua casa , mener bien 
samaison. Governa lua buccasegundo tuabolsa, 
selon ta bourse gouverne ta houche. — sodre a 
ancora ou sobre a boia, \ {. de mar.) gouverner 
sur l’ancre 0% sur son ancre. — a rumo, (id.) 
porter & route, faire route droite, aller & route. 
Governa a rumo ! (id.) A la route! 

GOVERNÄR-SE , U. T. 86 gouverner, S6 CON- 
duıre de telle ou telle maniere ddns 3a vie. 

GOVERNATRIZ, adj. f. Prudencia —, pru- 
dence de gouverner. 

* GOVERNE£LLO, s. m. V. Mantenza. 

7 GoVvERNiTA, 3. [. provisions pour la route. 

GOVERNO, 5. m. gouvernement : constitution 
d’un Etat; ceux qui gouvernent; maniere de 
gouverner; charge, territoire de gouverneur. 
° Administration, gouvernement, direclion. 
Temps qu’un gouverneur est en place. " Ma- 
niere de vivre; regle de conduite, gouverne. 
(ant.) *Nourriture, entrelien. Para meu —, 
pour ma gouverne. Para seuw —, pour son in- 
struciion, pour sa gouyerne, Sirra-Ihe de —, 
pour vous servir de Fegle ‚pour volre gouverne 

GuYanva.‘. Golalre. 

Guaann, a. pda far 


GRA 


Gozin,v. a. ow —de, vo. n. jouir, possdder. 
— a Deos ou de Deos, jouir de la vue de Dieu, 
@tre dans le ciel. — satde ou de sallde, avoir une 
bonne sante. — uma mulher ou d’uma mulker, 
jouir d’une femme , avoir commeroe avec elle. 

GOzÄR-SE, v. r. avoir du plaisir, se rejouir. 

GOZARiA. v. Mordacidade. 

G0z0,s.m. ” joie, plaisir, contentement, al- 
lögresse, aise, emotion douce, satisfaclion. 
* Jouissance , usufrwit. Näo caber em side—, 
ne pas se sentir de joie. Saltdr de — ‚sauter, 
tressaillir de jJoie. 

Gözo,a,.adj. Cdo —, chien barbet. 

G0z680, A, adj. joyeux, content, satisfait. 
Qu’on c&l&bre avec de la Joie. 

GrÄ ou GRAN, adj. 2 gen. abrev. de Grande. 
V.Gräo. 

"GraäÄpo. V. Grdto ou Grado. 

Gräi, GrÄ ou Gran, s. f. "kermes : ver, 
gallinsecte. V. Cochenilha. Graine d’ecarlale. 
(ig.\ Ecarlate : etoffe teinte en &carlate. — do 
paraizo, (1. de bot.) amome de Madagastar, 
graines de paradis. 

Gräica,s. f. (1. de theol.) gräce : secours de 
la Divinite, impulsion surnaturelle vers le bien, 
la foi; don surnalurel de Dieu; &tat d’inno- 
cence;; amitie de Dieu. —, (aveur volontaire; 
misericorde , pardon; faveur, bienlait; beaul£, 
proportion elegante des parties du corps, gen- 
tillesse, agrement, tournure, bon air; apre- 
ment dans le discours, etc.; sel, esprit. Bon 
mot, saillie agreable; plaisanterie. Gräces, 
bonnes gräces, faveur, bienveillance, don. Nom 
de chaque personne. — de Deos, gräce, bone, 
misericorde de Dieu. De — , gratuitement, gra- 
tis; pour rien. Por —, pour rire, en badinant, 
en plaisantant. Cair em — a alguem, pleire & 
quelqu’ un, @ire dans ses bonnes gräces. Des- 
cair da — ou perder a— d’alguem, perdre les 
bonnes 'gräces de quelqu’un. Merecer « — do 
rei, meriter les bontes du roi. Der —, assai- 
sonner : accompagner de choses agröables a 
Pesprit. Com pouca —, disgracieusement. Come 
da sus — P comment vous appelez-vous?’—s, 
pi. gräces , Concession, indulgence, privileges 
accordes par le pape. i$. V. Merc6s. Remercl- 
menis. —, charmes, appas. Der —, rendre 
gräce, remercier. Dizer duas —, dire en [ace 
des verites dures. Näo estar para — , n’ötre pa. 
de bonne humeur. Näo d para —, il ne plai- 
sante pas. — pesddas,, räilleries piquantes. 

GRACEJADOR, A, #. Failleur, plaisant, fack- 
tieux. 

Gracesär, 0. ». badiner, plaisanter, railler, 
dire le mot pour rire. Nunca se deve — de me- 
neira que offenda, la plaisanterie ne doit ja- 
mais @tre poussce jusqu’ä l’offense. 

GRAc£J0, 8. m. agrement, enjouement, gräct 
dans le discours, joyeuset6 , badinage, plaisen- 
terie, 

Grackta, s. f. joli mot, pleisanterie. 

Grace, s. f. V. Graciola. #, Borte d’em» 
Pe: 


Anacıı.,adfı 9 gen, Y, Subhtl, Dekade 








GRA 


GRACinBA, 8. f. dim. de Graga . V. Gracdia. 

r (8. 6.) gratiole : 
3 Gnacona 0% % herbe-au-pauvre-homme, 
Graciösa, 8. f. ) plante personnee. 
GRACIÖSAMENTE, adv. gracieusement, poli- 

ment, plaisamment, avec gräce. Gratuitement. 
Gracıosipäine, s. f. *agröment, beaule, per- 

(eetion., Gräce dans ce qu’on dit, dans ce qu’on 

sit. 

GrAcIOSissıMo, A, adj. sup. de 

GrAcıöso, A, adj. gracieux, agreable, qui a 
de la gräce. Enjou6, badin, plaisant, comique, 
dröle. Charmant, agreable. Gratuit. Fazer-se 


ou melter-se a —, faire l’agr&able, le plai- |. 


sant. 

Gaacıöso,, s. m. bouffon de comedie, 

"Garacır. V. Agradecer, Gralificar. 

GracöLa, s. f. lourde plaisanterie. 

TGRracvLina, 8. f. (tk. d’hist. nat.) * merle 
chauve, oiseau. — grilleira, * ınarlin. — pal- 
reira, mainale. 

Gravacäiö, s. f. gradation : figure de rhöto- 
rique; sorte d’argumentation. 

GrADiÄDO,A,P. p. de Gradar. 

GnapanOR, 5. m. Berseur. 

GraDir, v. a. berser: aplanir la terre avec 
la berse. vo. ». Grener. 

Graparia, 8. f. longue grille; pilotis. 

+Grapirım, ade. lat. par degres, peu ä peu, 
successiveme nt. 

Gräipe, 3. f. berse: instrument de laboureur 
pour ratisser, herser la terre. Claie; grille, 
treillis. Grille, grille de parloir. (1. d’hyd.) 
"Radier. ' 

GrapziDO, A,p.p.de 

Grapein, ©. a. cauteriser la poitrine Jd’un 
ebeval, en lui appliquant un fer ardent en 
forme de grille. 

GRADECER, v. #. grener. V. Engradectr. 

GraDeLHAs, s. f. pl. piece d’ancienne ar- 
mure. 

GaapeLim. V. Gridelim. 

+ GranınÄATa, s, f. (#. d’archit.) balustrade 
d’escalier ow de grand balcon. 

GrapinnA ,s. [. dim. de Gräde. 

+Gaupivo, aA, adj. (t. de poes. et de myik.) 
Gradivus : surnom de Mars. 

Grino, s. m. gre, volonte. De bom —, volon- 
tiers, de bon gre, volontairement. A mal seu—, 
mal a sew—, malgre6 lui. Mdo —, malgre, & depit. 
De meu mdo —, de teu mdo —, de seu mdo —, 
walgr& moi, malgr6 toi, malgre lui. * Recom- 
pense, prix. Dar bom ou mdo — a alguem, re- 
vompenser, Temercier ou non quelqu’un. —s, 
pl. fonds alloues par les cortös, ä la demande 
des anciens rois de Portugal, pour les besoins 
publies. st. Prix, recompense aux jouteurs. 

Gaänpo, A,adj.grenu, en parlant du ble, etc. 


Nlustre, grand. (ant.) Genereux, liberal. Kspe- 


rancas —as, (fig.) esperances A la veille de se 
realiser. V. Graüdo et Grato. 
Grapuachö 


Alunisd, Auyrs d’hannayr, 


















s. f. graduation ; action ot eflel 
de graduer; division on dpgrön, " Rang. grade, 


GRA 649 


GRADUÄDANENTE, adv. par degres, successi- 


vement. 


GaADUÄDO, A, pP. p. de Graduar. adj. Gra- 


due, qui a pris un degrö; qui a un degre dans 
la troupe. Capildo — em major ou 
capitaine avec le grade de chef de bataillon. 


or —. 


GrADUÄL, 5. m. graduel : versets qui se di- 


sent, ou chantent, entre l’Epitre et l’evangile. 


GraDuÄL, adj. 2 gen. graduel : qui va par 


degres. Psalmos —aes, psaumes graduels, 
ehantes sur les degres du temple; les 15 com- 
pris depuis le 119 Jusqu’au 133 inclusivoment. 


GRADUALMRNTE, adv. par degres. 
TGranuinno, s.m.candidatä la veille d’etre 


gradue, dans une universite. 


GRADUÄR, ©. a. graduer : diviser, mesurer 


par degres; conferer des degres dans une uni- 
versite. (6. mil.) Conferer un grade militaire. 
Evaluer, apprecier, reduire & un prix certain. 
Qualifier : donner, attribuer une qualite. — um 
circulo , graduer un cercle, diviser sa circonfe- 
rence en 360 degres: — uma cidade, otc., desi- 
gner le degr& de latitude et de longitude d’une 


ville, etc. 

GRrADUÄR-sE (em), v. r. prendre un grade 
(de philosopbie, de Iheologie, etc.) dans une 
universitle. 

* GrapuLem. V. Gridelim. 

GRAFÖMETRO. V. Graphomelro.. 

+ Gracka, s. f. dragee, nompareille. 

GrainBaA, s. f. "grains, pepins du raisin. 

Gräixa. V. Graza. 

Grasi0, 5. m. oiseau des: mers de l’Inde. 

+ Grasucena, adj. et 5. 2 gen. grec : qui 
vient des Grecs. 

GRÄL, s. m. morlier : vase pour piler. — de 
pdo, grugeoir. 

+ GräLua, 8. f. (t. d’hist. nat.) corneille: 
oiseau du genre du corbeau , plus pelit — calos 
granivora, "freux ow frayonne. — cinzenie 
maritima, corneille a mantelet. — negra dos _ 
Alpes, "chocard. — salpicada de pinlas. V. 
Quebrandz. (fig.) Parleuse, bavarde. 

GRALHADA, 8. f. * cride corneilles. ( Ag.) "ba- 
bil, oaquet. 

GRALHADOR, A, 3. parleur, bavard. 

GrRALHÄR, 0. n. croasser, en parlant du eri 
des corneilles; ( 4g.) criailler; babiller, bavar- 
der, cagaeler. 


GnALBARiA. 
GRALBEÄDA. | V. Gralhäda. 


GRALBEADEIRO, 
GnALHEADOR. ! V. Gralhador. 


GRALBEAR. V. Gralkar. 

GrÄLBO ,s. m. choucas : sorte de grande cor- 
neille; corbeau noir & reflets verts et violets. 
GRAM 08 Gran. V. Gräo, Grä et Gräa. adj. 
ei 2. ' 

+ Gräua, s. f. (t. de bot.) *gramen, chien- 
dent, dent-de-chien,, plante. — cheirdsa,, flouve 
odorante. — digitada ou das bolicas, (en Por- 
tugal) ghiendent pied-de-poule, manne de Par 
lognıe, — canina ou das boticas da norie , ohioR: 
dent ordinaire, 





650 GRA 


Gramaptıra,,s. f. * brisoir, instrument & bri- 
ser le lin ou le chanvre; espadon. *Crochet 
pour prendre la paille. 

GrauiDo,A,p.p. de Gramar. 

*Gramaıpäde. V, Irmandade. 

Grauiö,s. m. V. Grama digilada. 

Grawmir,v. a. briser le lin aveo le brisoir. 
(f. burl.) Gober, croquer. 

Grauita. V. Solda alcalina. 

+ Grawineas, adj. eis. f. pl. (4. de bot.) gra- 
Minces : famille de plantes monocotyledones, 

GrAMinEoO, A, adj. de chiendent, qui lui ap- 

artient. Graminee: de la nature du granıen 
ı plante). 

GHANMINHEIRA, S. [. . 

GRAMINHO, 8. m. r | V. Grama digitada. 

GRAMINHO, 3. m. trusquin :: outil de menui- 
sier. 

GrAMINdso, A, adj. qui vit du chiendent. Du 
chiendent, qui abonde en chiendent. 

Gräusa,s. m. gramme : unil6 de poids du 
systöıne melrique francais. 

* GRAMMATECO. V, Grammalico. 

GRANMÄTICA, 5. f. grammaire:: art de parler 
et d’ecrire correctement; livre qui en renferme 
les pröceptes. 

GRAMMATICAL, adj. 2 gen. grammatical : de 
la gramimnaire; selon les regles de la gram- 
maire. 

GRAMMATICALMENTE, adv. grammaticale- 
ment, selon les r&gles de la grammıaire. 

GRAMMATICAMENTE. V. Grammalicalmente. 

T Granwuticäö, 8. m. qui se pique d’etre 
hon grammairien, ou quine sail que la gram- 
maire. 

GRANMATICAR, vo. n. enseigner la grammaire; 
traiter des questions grammalicalen. 

GuAMMÄTICO, 5. m. graminairien : qui sait, 
enseigne la grammaire. adj. V. Gramalical. 

GrANMATIQUICE , 8, [.subtilite grammaticale, 
pedanterie. 

GRAMMATISTA, 8. m. grammaliste. 

Grassinno,. V. Graminho. 

GnamPoNADo. V. Defraudador. 

Gran, adj. 2 gen. contraction de Grande. 
Grand. Il ue s’eınploie qu’au singulier et de- 
van! un substanlif. Gran-prior, grand-prieur. 
Gran-mesire, grand-ımaltre : chef d’un ordre 
militaire. Gran-cruzes, grands-cordons. Gran- 
Bretanha, Grande-Bretagne. 

Gnran,s.f. V. Gräa. . 

Granada, 8. f. grenade : petite boule de me- 
tal creuse, pleine de paudre. it. V. Granale. 

t Gaanäna,s. f. (l. de geog.) Grenade : ville 
et province d'’Espagne,. 

Gnaxapeira, s. [. arme 4 (eu, fusil. ( Ag.) 
Femme grande et corpujente, femme & mous- 
taches. 

Granap£ıRro,s. f. grenadier: soldat qui Jette 
les grenades, soldat d’elite, des plus grands. 
(Ag. Hoınıne grand et corpulent. 

GRANADILBO, 5. m. (4. de bot.) arbre des 
indes, dont le bois est tout marguels et d’un 
brun obseur. 


GRA 


Grananino, A, adj. ets. de Grenade. 

Grani0o, A, adj. grene. V. Gräde. De la 
meilleure qualils, choisi. (Ag.) Grand, illusire, 
remarquable. p. p. de Granar. 

GraniL, adj. 2 gen. V. Grädo. 

GRANÄR, dv. a. grener: reduire en grain. 

GRANÄTE, 3. m. grenal: pierre precieuse, 
rouge, de la nature du schorl,, melee de fer. 

+ GRANATENSR , adj. 2 gen. de Grenade. 

t Granntsta, s. m. (4. d’hist. nat.) elan: 
quadrupede. V. Alce. 

GrängaA,s. f. criblure; balayure. 

GrangARia, 8. f. V. Grangearia. 

GRÄNCHA. V. Granja. 

Gran. V. Gran. On l’emploie devant les 
nonıs qui coimmensent par une voyelle. Grand- 
almiranle , grand-aıniral. 

+ Gaanpauuiö, OA, adj. (fam.) aug. de 
Grande. Excessivement grand , demesure. 

GRANDE , 5..m. grand: homme lilre. —s da 
reino, grands du royaume. Firer d—, vivreä 
la grande, & la maniere des grands. Homem 
que vive d — , homıne aux grands airs. 

Gränne ‚adj. 2 gen. grad : fort elendu dans 
les trois dimensions, surltout en longueur et en 
largeur ; quı surpasse les autresen nombre, 0 
force, etc.; en grande quantiite ; de qualite su- 
perieure; outre, excessif en mal; qui com- 
mence & croilre; qui surpasse les autres; prin- 
cipal, important; considerable, remarquable; 
noble; elevs; illustre; majestueux ; sublime. 

* + GRaNDEFERENTE, adj. 2 gen. On donnait 
ce nom & une flotte rangee en forme d'esca- 
dron,, selon l’ancienne tactique nayale. 

GRANDEMENTE ‚adv. grandement: d’une ma- 
niere grande, distingude; avec grandeur, eI- 
tr&meınent, beaucoup. 

GRANDEVO, A. V. Longevo. 

Granpeza, a. f. grandeur : qualit, etendue 
de ce qui est grand ; excellence, sublimile; 
puissance , majeste ; elevation , noblesse de 
senliments; Jignile, titre d’bonneur; enormile 
(d’un crime, etc.). Magnificence, [aste, Pomp®, 
appareil. Grandesse : dignite du corps des 
grands d’Espagne. V. Fidalguia. 

GRANDEZINHO, A, adj. dim. de Grande. Gräir 
delet. 

GnanoiLoco, A, adj. (4. de pods.) qui a ie 
style &levö et pompeuzx. 

+ GaanDıLoquencıa, 6. f. style grand , po 
peux, eleve. 

Granpinuo. V. Grandezinho. 

GranDiösamEnTE, ade. magnifiquemeni, 
pompeusement ; samplueusemenl, 

GranpıosipäDe, 8. f. grandeur: eclat, m# 
gnificence, majesie ; somwpluosile, pomp®- 

GRANDIöSO, A, adj. grand : pompeax, Mi- 
gnillgque, majestueux; somptueux. Grandiose 

GRANDISSINO, A, adj. sup. de Grande. Ttei- 
grand ; grandissime. 

+ GranpeLim, s. m. grand oiseau de l’Arabie 
deserte, dont les aufs servent de ralsalchisst 
ment aux voyageurs. 

Gnanpöra, 8. f.grandeur d’un cotps, ei. 





GRA . 


GnastL, 9. ®. monossu de grains. Ce mat 
w’est usit6 quo dans l’expression adverblale & 
— ,ämonoeau; en grenier, on iasdans la soule; 
ä [oison, avec profusion. 

Grancka. V. Gragea. 

GRANGEÄDO, A, p. p- de Grongear. 

GRANGEADOR, 5. m. colui qui fait valoir une 
ferme; celai qui gagne. 

GRANGEÄR, dv. a. cultiver, faire valoir les ter- 
res. Gagner, acquerir, obtenir; Iravailler pour 
obtenir une chose. (fig.) Gagner, allirer l’a- 
mitie , les bonnes gräres, elc. 

GRANGEÄR-SE, d%. Tr. s’acquerir, meriter, se 
concilier; gagner, s’attirer. 

GRANGEAKIiA, 3. f. culture des terres; art de 
les faire valoir ; econoniie rurale; profi. 

Gnancki. V. Gragea. 

GRANGEIO , s. m. frais de culture; culture des 
terres.Gain, acquisition. 

GwanGeıo, s. m. [ermier, ımelayer. 

Grancko. V. Grangtio. 

Grannid. V. Garanhdö. 

GraNiFERO, A, adj. (poel.) grenu : plein de 
grains. 

Granıso. V. Granizo. 

GrANITÄDO, A, pP. p. de 

GnANITÄR, ©. a. grener : reduire en grains. 

Gnantro, s. m. dim. de Grdö. Pepin de fruit. 
Granit : pierre fort dure. 

+GraxiTo, A, adj. qui a des grains, en 
forme de grains. 

GRANIVORO, A, adj. granivore : qui vit de 
grains. 

Gränızipa, s. f. quantitö de grele. (Ag.) 
Pluie, nuee, greie (de balles, de boulets, eic.). 

Gramızän, o.n. greier, tomber de la grele. 
— meüdo, gresiller. v. a. V. Granilar. 

Granizo, s. m. "gröle : pluie gelde; (Ag.) 
grande quantits (de coups, eic.), pluis, nuse. 
— meildo, gresil. 

Gräinsa, s. f. grange, metairie. 

Gnanjania, 5. f. ferme, terre qu’on cultive. 

Orantıackö, s. f. pranulation : röduclion 
des metaux en grenailles ow peiils grains. 

GRANULÄDO, A,P. p. de 

GaunuLir, v. a. granuler,grenailler : mettre 
le metal en petits grains. Grener. ©. n. (Il. de 
=6d.) Granuler: devenir granuleur. 

+ GranuLöso, A, adj. granuleuz : 00mpOose& 
de petits grains; on petits grains. 

GaanziL, s. m. champ de pois chiches. 

Gräo, s. m. degre; graduation; marque de 
la division d’un barometre, eic., d’un instru- 
ıbent gradue. Rang, grade, degrö d’honneur. 
(Ag.) — , parentage; eloignement ou proximils 
de la source commt:ıne. (l. de geom.) —, la 360° 
parte de la circo:::vrenced’un cerele. De — em 
—, par degres. »uccessivement. Bm — superla- 
tivo, au suprü::e degreö. Em — d’appellardd, 
par vole dap:."!. Grdos, pl. les qualire ordres 
mineurs. Dr, res : partie d’une eiroonförence 
du cescle. 

Gxäkö, a. m. grain : sememoe du bild, des gra- 
ımindes, etw. Tous les grains qui se risolient, 


Er ı 
GBA 651. 

Lögume, ° Aroine ou orgequ’en donne aux ani- 
maux. —, poids : 24 font un scrupule. V. Zs- 
eröpulo. Diamanis de—, dismant qui a un 
grain de poids. Aparlar 0 — da palha, separer 
Fivraie d’avec le bon grain. — de bico, pois 
pointu. Y. Ervango. — da atafona, meule cou- 
rante d’un moulin ä bras. E um — de milho em 
bocca d’asno, ( fan.) c’est un grain de mil dans 
la garge d’un äne. 

Gräö, adj. 2 gem. grand. V. Gran. adj. . 

T GrÄoBRSTÄNBA, 8. f. nom d’une plante, 
espece d’hyacinıihe. 

Gräpa, 4. f. (4. de vdier.) grappe :gale aux 
pieds des chevaus. 

GRarPaia, s. f» grephie, description. 

GRAPHÖNETRO, 8. m. graphomeätre : instru- 
ment pour lever les plans, mesurer des angles. 

GrasNÄDA, 8. f. " croassement : cri du cor- 
beau, de la corneille. ° Cri de l’oie, du gesi, 
de l’aigle, etc. (Ag.) " Chanı desagreable. 

GRASNADOR, A, adj. yui croasse. 

GRASNÄNTE , adj. 2 gen. croassant, qui 
croasse. p. a. de 

GRAasSNÄR,v.n. croasser : se dit du eri du 
corbeau , de la corneille; criailler, chanter mal; 
(Ag.) faire des vers durs. Crier, parlanı do 
l’oie, etc. 

GRASNIDO , 8. @. 

GRisNo, 8. m. | V. Grasmndda. 

Grässa. V. Gräxa. 

fGrassin, v.». se repandre, se propager, 
courir, parlant d’une maladie; regner. Molestia 
que —, maladie qui court. Grassa uma mo- 
lestia, il oourt ane maladie. 

GrassenTto, A, adj. gras, plein de graisse, 
encrasse. 

GaÄTauenTE, adv. avec agrömen!; avec gra- 
titude. 

Grarieiö, s. f. gratitude : reconnaissance 
d’un bienfait. 

Grartiricacäd, 8. f. gratifioation , don, lib&- 
ralite, röcompense. 

GrATIFICADO, A, P- p. de Gralificar. 

GRATIFICADOR, A, 8. celui qui gralifie, r&- 
muneörateur. 

Gratisicha, 9. 6. gralißer, laire un don, 
röcompenser. 

Graririao, 4. m. V. Gralißcazdd. 

*Graria, V, Gralifcar. 

Gxirtis, ade. gratis, gratuitement. 

GRATISSIMO, A, adj. sup. de 

GaiTo, A, adj. agreable, qui plalt, doux, 
charmant; bien vu. Reconnaissank. 

GRATÜITANENTE, adv. gratis, gratultgment, 
sans inleret. Gracieusemen!t. 

Gaartüto, A, adj. gratuit, gracieux, (alt om 
donnd gratis, sans inlerät. 

Gaatunagiö, 4 f. llicitalion, congratals- 
tion. 

GratuLir, 9. ». föliciter, congratulez. 

GrarvLia-se, o.r. V. Congralular-ee. 

GRATOLATÖRIO, A ,adj. de congrasulation, de: 
oonjouissance, de [älicitation, de Femeroi- 
ment, d’action de gräces. on ‚ 


652 GRA 


GrirvL0, A. V. Agradecido. 

Griu,s.m.V. Grdo. 

Graönpo, A, adj. grenu; bien fourmi. V. 
Grädo. Gros, principal. Grand, illustre, dis- 
tingue. 

GRAÜLBO, 8. m. grain, pepin du raisin. 

Gravipo, A, p.p- de Gravar. 

GnAVADOR, 3. m. graveur, ciseleur. 

+Gauvapöaı, 5. f. gravure : aclion de gra- 
ver. V. Gravura. 

Graviug,s. m. ° charge, obligalion, saje- 
tion ; vezation , injustice. 

Gravir, ©. 6. opprimer, assujeltir, impor- 
taner; grever, surcharger. Graver, ciseler; 
(fig.) empreindre, imprimer, marquer dans 
l’esprit, dans la ınemoire. 

Graväta, s. [. cravate. 

Gaavari. V. Caroald. 

GaavatiLuo, 3. m. (I. d’arlül.) " pointe en 
erochet d’une sorle d’aiguille. 

Gaaväto ,s. m. V. Garavalo ol Gravelos. 

+Gaive, 5. m. ancienne monnaie portu- 
gaise, 15 sous & peu pres. 

GrävE, adj. 2 gen. grave, lourd, pesant. 
Grief, enorme. —, serieux ,circonspect; recom- 
mandabie par son rang, son caraclere, elc.; 
serieux, majesiueux, parlanı du style, eic.; 
de poids, important. Grief, fächeux. Grave,on 
le dit d’un ion oppose & l’aigu. Doenga — , ma- 
ladie dangereuse. 

Grarkıra, 5. f. (1. de chim.) gravelee : lie 
brülce. 

GravszıLino, A, adj. Cinzas —as, (8. de 
chim.) gravelee: (cendre) de lje de vin. 

GRAVEMENTE, ade. griövement; gravement; 
dangereusement. 

+(inavzoLkncıa , s. f. (p. us.) puanleur, 
odeur mauvaise. " 

+ Gravgrär, v. m. faire ou ramasser du 
menu bois. V. Gravelos. 

Gravkros, s. m. pl. "brindilles, broutilles, 
fagots. 

Gravtzı, 3. f. gravile, pesanteur, lourdeur, 
poids;; grievete, &normite ; importance. 

GaavıpackO. V. Prenkdz. 

Gravipine, 8. f. gravile, sörleux : modestie. 
— , pesanteur descorps, de la matiere; effet de 
Y’attraction que les corps exercent les uns sur 
les autres ; importance des choses.V. Graveza, 

GaAVvIıDÄR ‚vo. a.engrosser, rendre une femme 
enceinte. 

GaäÄvIDo, A, adj. gros, grosse. V. Pdäjado, 
Pronhe. Hulker —«, femme enceinte,, grosse 
d’enfant. 

Gaavim. V. Geravim. 

+ Gravion, adj. comp. (p. us.) plus grave. 

} Gaivios, s. m. pl. anciens peuples de la 
Lusitanie qui habitaient la province d’Enire 
Douro ei Minko. 

Gaavissımo, a, adj. sup. de Grave. 

Gravitacäö, 8. f. gravilation : faculie, ac- 
vn de Bor nad en ä la matiere. 

RAYITÄNTE, adj. 3 gen, ıjul gravite, p. a. de 
weiter, ! 


GRE 


GaavıtÄr, 9. w. graviter : tendre ei peser 
vers un point. 

GuAv0so, A, adj. onereux, pesant,ächarge, 
incommode, assujetlissant, genant. 

Gaavüna, 8. f. gravure : art de graver; o0- 
vrage de graveur. V. Inscullura. — em ago, 
gravure sur acier. — em cöbre , taille-douce. 

Gaäxa, s. f."cirage pour le euir; vieux.oing; 
gras fondu. Sorte de maladie des chevauız. 

Gräxo, adj. m. Oleo —, de l’huile grasse. 

Gräisa. V. Greve. 

Gaicıa, 8. f. (i. de geog.) Gröce : royaume 
d’Europe. 

"GRrecisco , s. mw. "bordure procieuse. 

Gnecisu0, s. m. grecisme : lour de pb 
grecque, hellenisme. ’ 

GneodaA, 8. f.glaise,argile, craie, terre glaise. 
— de pizofiro, Verre ä foulon. 

Gerverim. V. Gridelim. 

Gnredöso, A, adj. de la craie ow qui tieni de 
sa nalure;; argileux , graisseux. 

+ Gaeca, 8. f. grecque : coifflure de femme 
A la fin du dix-huitieme siecle. 4’ —, ade. äla 
grecque , comme les Grecs. 

GrEcÄL, adj. 2 gen. qui va en troupe. Com- 
mun. Soldado —, simple soldat. Vento— , vent 
grec, nord-est. 

GrEGCÄRIO, A ,adj. de meme troupe ‚de möme 
societe. 

Grece, 3. f. V. Grei, Rebanko. 

Ga&co, 5. m. grec: la langue greogque, I | 


greo. 

Gatco, A, adj. ot s.grec, $crit en grec, de 
Gr&ce. (Ag. fam.) —, hebreu. On le dit d’une 
chose inintelligible. 

GaxcoRıäno, A, adj. gregorien (chant, 8 
lendrier) de Gregoire Xill. 

} GrecoriL, s. m. il n’est usit& que danscelßs 
phrase: Saber at6 o —, savoir jusqu’ä la fin. 

Grezcorins, s. m. pl. V. Gerabulhes, Gars. 
Iujas. 

Gaßı,s. f."troupeau de mince betail. (Ag.) 
Peuple; bien public, cause commune. (d.' 
* Troupesu : corps de Adeles sous un meme chei. 

GaELiADO, A, p. p. de 

GRELÄR, ©. ®. pousser des lendrens. Gef- 
mer, parlant du bie. 

GrELBaS, 8. f. pl. "gril. Ester em —, tue 
sur le gril, sur les epines. 

Gr&Lo,s. m. tendron, rejeton des planies; 
petite Lige des plantes qui commencent ä peas 
ser. 

" GREMEINMENTE. V. Irmämente. 

GREMIÄL, 5. m. gremial : ornement pontißcal 
place sur les genoux du prelat assis. 

Ga£mıo, 5. m. giron,, sein. Giron de l’tglise, 
corps des fid&les, ayanı le pape pour chel. 
Corps, assemblöe, classe, communasie. Corps 
de metier. 

Gatxma, 3. f.chevelure melde, mal arraa 
gee. (Ag.) Branches d’arbregs entrelaches. 

GREPO, 3. ns, nom des preires du Pögen. 

UNETA, 8. [, CTOYaSSE | gpryunn A ia pean. [Xe 


varse qui np fnltdann Ja Lurfe pomdans loo grHh 





GRI 


des chaleurs. Fente.—s , pl. cfevasses aux Join- 
tures des pieds des chevaux. 

GRETÄDO, A, adj. crevasse, qui a des cre- 
vasses,, des gergures. p. p. de 

GaKTÄiR, v. a. crevasser: faire des crovasses. 
v.R.00——-SE,U.r. 36 Crevasser, 56 [endre, s’en- 
tr'ouvrir. 

Greva,s. f. gröve : pidce d’armure pour la 
jambe. pl. us. au pl. Greves, jambieres de fer. 

tGezvioo,A, adj. gami, chausss de gre- 
ves, V. Greva. 

Gatr. V. Grei. 

Grivart, adj. 2 gen. gris-de-fer. 

GRIDELEM 0% } gris-de-lin : gris ti- 

GriDELIM,, adj. 2 gen.) rant sur le rouge. 

Gaira, etc. V. ha, olc. 

Grıraria ,s. f. vieille ınode, antique. 

Griso, A, adj. On le dit d’une sorte d’ecri- 
wre qui a remplace& la gothique : lettre bä- 
tarde; italique. (fg.) Gothique : trop ancien, 
bors de mode. 

"tGeinna,s. f. Pelouro de — , boulet rame. 

Grizmäö, s. m. * chalne : lien compuse& d’an- 
neaux entrelaces. — öes, pl. fers, anneaux de 
fer qu’on met aux pieds des prisonniers. En- 
traves mises aux pieds des criminels. 

+GaıLHera, s. f. "anneau mis aux pieds 
d’un prisonnier : fers. 

GaiLH0, (pP. us.) V. Grilhdö. 

GasiLLO, s. m. grillon ow cri-cri, cigale de 
nuit, insecte orthoptere. — toupeirinho, le 
taupe-grillon. Andäar aos —s, &ire Ir&s-pauvre, 
tirer le diable par la queue. 

Gaima, s. f. horreur, eflroi caus6 par ce 
qu'on voil ou ce qu’on entend. 

Garmänıco, s. m. dans l’Asie portugaise, 
c’est un arbitre. 

Grimpa, s. f. girouelie. (fig.) * Sommet, falte. 

GRimPADO,A,P.p.de - 

t Gaımrin, v. a. melire, placer comme gi- 
Fouelte ; elever au sommet. 

GrinäLpa, 8. f. guirlande : ceuronne,, cha- 
peau, feston de fleurs, (fig.) de \erreries; sa 
figure en ornement. (1. de mar., L’arc supe- 
riear de la poupe ow le oouronnement de la 
poupe. 

Gairnd, s. m. griphe : logogriphe, önigme. if. 
V . 


Gais, adj. 2 gen. gris, cendr& (couleur). 

GaisiLn0, A ‚adj. grisätre; qui grisonne. 

Grıs£, s. m. drap blanc de laine. 

+ Gris£o, A, adj. gris : de couleur grise. 

+ Gaısörs, s. m. pl. Grisons : peuples de la 
Suisse dans les Alpes. 

GrısöL,s. m. V. Crisol et Almofacs. 

Gaita, s. f. * cri, clameur, confusion de 
voix. Voz em — , ä grands cris ; en s’&criant. 

Gzıtipa,,s. f. °cri, clameur, criaillerie. 

GriTapkıra, s, f. criailleuse, braillarde. 

GaitanorR, A, 3. criailleur, brailleur, piail- 
leur, criard. 

Garräa, v.a. (9. us.) crier : proclamer, pu- 


GRO 653 


plaindre hautsment, avec aigreur ; blämer pu- 
bliquement; gronder, reprimander &ä hauie 
voix , donner conseil. Piailler, criailler. —como 
um furioso, [aire le diable A quatre, se deme- 
ner, crier comme un sourd. — aqui d’el rei ou 

me acode, crier au seCours. j 

GriTaria,s. f. criaillerie, clameur, oonfu- 
sion de voix. 

GRiTo, 3. m. cri: voix dleree, poussde aveo 
effort. Dar —s, pousser des cris. Levaniar 0 
—, siecrier. A —[orido, a grands cris, ä tueldte. 

Griz, s. m. petit-gris : espöce d’ecureuil. . 

Grizeta, s. f. "il d’archal qui soutient le lu- 
mignon d’une lampe. Grisette : sorte d’6toffe 
de soie ouvr6e, 

TGRroenLÄnnıa,, 8. f. (b. de gdog.) " Groön- 
land : grande presqu’ile desterres arctiques. 

GROMENAR, s.m. V. Zumbdia. 

Gronaık. V. Grunkir. 

GRÖNEO, 8. m. espece de poire. 

“ Gnös. V. Grösso. 

Grösı , s. f. grosse, douze douzaines. GrOSs® 
lime de menuisier. (ant.) V. Glösa. 

Grosinon. V. Glosador. 

GROSAR, ©. a. polir avec la lime dite gross. 
(ant.) V. Glosar. 

TGaostıua, s. f. groseille : fruit acide & 
grappe rouge ow blanche. 

+ GrossLnkıra ,s. f. (4. de bot.) — vermelha, 
groseillier commun, groseillier ä grappes. — 
preis, groseillier noir ;cassis, cassier. —espim, 
groseillier &pineux. 

Grosuin. V. Gosmar. 

*+GRrossino, A, adj. Escrilura —a, acle 
notari6 en regte , avec les formalit&s voulues. 

GrössamEnTE, adv. grossement, abondam- 
ment; en gros. 

*+GRossamenTo, s. m. vice, faute d’um 
acte nolarie. 

* Gnossar. V. Glosar, Gensurar. 

GROSSEIRANENTE, adv. grossierement, rus- 
tiquement, lourdement. 

GrosskEıriö, ONA, aug. de Grosseiro. Ba- 
lourd, [ort grossier. 

Grosstıro, A, adj. grossier, &pais; qui n’est 
pas fini, mal travaillö; materiel, pesant.—, 
rustre , impoli. 

GarossEria, s. f. grossiöretö, defaut de poli- 
esse, lourderie. Sorte de grosse toile. 

+ Gross&re , adj. 2 gen. dim. de Grosso. Un 
peu gros. 

Grusseza, s. f. grosseur d’un corps. Epais- 
seur. 

Gnossıiö, s. f. &paisseur, consistance. V. 
Grossura. 

GrossissıMo ‚A, adj. sup. de 

Grösso, A, adj. gros: qui a beaucoup de vo- 
lume;; epais; oonsiderable; important; enfle. 
Dinheiro — ‚grosses pieces de monnaie. Er- 
ros —s, lautes graves. Terra —a, terre fertile. 
Terra—aem Iralo, ville, pays de grand com- 
merce, trös-riche. — d’engenko, qui a l’espris 


blier. ©. ». Crier : jeter un ow des cris; parler | 6pais,, bouche. 


sur un ton aigre, algu, 6ler6; demander, sel 


Gaösso, s, m. lo gros : la masse, le plus 


5, oAg 

grand nombre ; 1a partie principale ou Ta plus 
grosse, la plus forte. Em —, en gros, beau- 
66up A la fois, le eontraire de eri detail. Tratar 
um —, comınercer en gros. O — da lettra, le 
ylein de la letire. Por —, en gros. 

Grössı,s. m. anchknne monnsie d’Alle- | 
magne ei de Portugal. 

Grossüra,s. f. grosseur, epaisseur. Graisse ı 
des animaux. Manger gras. (ahl.) Grande ferti- ' 
HE d’un pays. ı Ag.) Grande sbondance, ri- 
chesse. — do pooo, (ami.) grande population. 
. Comer eousas de —, faire gras. 

Grorid. V. Glutds. 

Groörtscoo. V. Grutesto. 

+ Gröu, s.m. (1. d’ist. nat.) " grue : oiseau 
de passage, &chassier, a&rophone, ä tete chauve. 
— yantomima de Numidia, la demoiselle de 
Numidie. — pavonino ou real d’Africa, grue 
couronn6 oW oiseau royal, 

Gaöza. V. Grosa et Glosa. 

GrüA, 3. f. poulie de la grue. 

" *Gervanfa, 8. f. domsine qui payalt le cens 
dit de gruin (groin de cochon). 

GrupiDo,A,p.p. de Grudar. 

GRruDADeR, 3. m. colleur, celuf qui cofle. 

Grevapdüna,s. f. action de coller; Collage. 

Grepän, e. a. coller : joindre et faire tenir 
avec la colle. 

Gröpe, s. m. *colle forte. 

‚ Gruoirt. V. Gridefe. 
"*Gaöoo.V. Gratido. 

Grusıno,,a,adj. Falcdö — , faucon gruyer, 

ur la chasse aux grues. 

T Gedcrti, s. m. (1. de bot.) gtougrou : pal- 
mier epineux d’Amerigque. 

"Grtuin,s.m. groin de corbon. 

GrÜLBA, 8.2 gen. (fig.\ bavard, eriard, tapa- 

r 


GauLBäpa, 8. f. * cri des grues. (fg.) Criail- 

. lerie, confusion de voix. 

.. „ TGROMäR, 0.9. 0u —SE, dv. r. se grumeler : 
devenir en grumeaux. 

“GRumEricen, 8. f. (1. de mar.) les mousses 

d’un navire. 

Grumere, s. m.(f. de mar.) mousse, ap- 
prenti mousse : garcon de Lord. 

Greuıxiua. V. Igranamigama. 

GRÜMO, 5. m. grumeau : portion de sang, de 
lait caille. 

Garuöso, A, adj. grumelenx : plein de gru- 
meaux; en grumeaux. 

" GRUNAion, s.m. grognement : cridu pourceau. 

GRUXTIDOR, A, adj. qui grogne, grogneur. 

" Grunmir, ©. 0. grouiner : exprimie Te cri du 
cochon. (fig.) Grogner : crier comme les pour- 
ceaux ; gronder coınıne en les imitant; mur- 
murer ä voix basse. Mamar e —, (pop.) On le 
dit d’un homme qui n’est jaınais content, quel- 
que bien qu’on lui fasse. 

Ga6rı, V. Garüpa. 

GriPo, 5. m. groupe : assemblage combine 
de plusieurs objets que l’ail embrasse & la fois. 
— d’ühas, atiolles ow attollons , amas d’iles 

un ärchipel. " 


GUA 


Gaörı,s. f. grotte, caverne. 

GuUTßscau&nTE, adv. grotesgqguement : K’und 
manidre grotesque, ridicule, extrevagante. 

GatTesco, a, adj. grotesque; (fg.) bizarre, 
extravagant; ridieale. —s, pl. (t. d’arch. et 
peint.) grotesques : figures bizarres et chargees. 

+ Grr-cav, s. m. (tl. d’hist. nal.) gry-gry : 
&merilion de Ssint-Domingue. 

Grrnto,ı,edf. (l. podt.) de Grynia, ville 
d’Eolie : surnom d’Apollom. 

Gavrna,s. f. femelle du griffon. 

Grr’rBıco, a,adj. de griffon. 

Grr’ruo, 3. m. (. E’htst. nat.) griffon : ol- 
seau de proie plumicolie, & barbe sous la man- 
dibule inferieure. Grypbe : animal fabuleux, 
moitie aigle, moitie lion. Gripbe : proposition 
mysterieuse. V. Gripho. — grande do Perü, 
condor. —, pl. (t. d’arch.: petites figures ä 
cöte d’autres plus nobleg. 

GryYPu0, A, adj. V. Grifo. 

T@G—sor -re— ır, 2m. g—rd— sol: 
terme de musique qui designe le ton de sol. 
V. Gesolreut. 

*GraANgA, etc. V. Ganga, etc. 

Guacinıs oo Brazır. V. Loricdria. 

+GunpaLete, 8. f. (l. de g&og.) Guadeloupe: 
fie de l’Amerique. 

GUADAMECILEIRO,, 8. m. doreur sur cuirs. Ce- 
lui qui, dans la maison du roi, avait soin des 
guadamecins. V. ce ınot. 

TGUADANMECILERIA, 8. f. art de faire des cuirs 
dores ; lieu oü on les fabrique, oü on les garde. 

GUADAMECIM, 8. m. Cuir dore, lapisseries de 
ce cuif. 

GuADAnExim. V. Guadamecim. 

Aunvinua. V. Gadankha. 

AusneıLna. V. Guedelhe. 

*Guarania. V. Gafaria. 


GQuArFEN. 
| V. Ga..., eic. 


Rriro. 

Grice. 

* Geii ,interj.V. A’. 

Griia, s. f. plainte, gemissement, lamente- 
tion. 

Grarisa ‚etc. V. Goiaba, etc. 

Gramca,sf. (t. de bot.) * gafac ofllei- 

Grasmacid ou nal ou bois-saint : arbre 

Gurico, 5. m. medicinal de l’Ameri- 
que; rutace. 

"Gran, ec. n. pleurer, gemir, se lamenter. 

* Guita. V. Cara, Fosso. 

FÜUAINUMBI ACAJUBA, .[: (1. de bot.) guai- 
numbi acajuba : passiflore du Bresil. 

TGramund,s.m.(4 d’hist. nal.) guainumu: 
crustace du Bresil. 

+ Grasasör, s. m. (8. de bot.) goyavier com- 
mun ou blanc. V. Goiabeira. 

* Gcuse. V. Gdge. 

fGoaera, s. f.(l. de bot.) icaquier d’Ams#- 
rique, prunier icaque ou des Antilles. Le fruit 
se nNomme prune-C0oc0, prune-colon, pruoe 
des anıses. 

‚GuiLoe. V. Jalde. 
"GuaLdino, A,P.p. de Güaltir. 





’ 
I) 


\ 


| 


GUA. 


Gusrpıria. V. Gusldripar. 

GoALpıR, v. @. (8. Pop.) manger, gaspiller, 
devorer. 

GviLoo, a. V. Jalde. 

GeiLnaa. V. Aldrdbe. 

Guaınrära, 8. f. " chabraque : bousse de 
eheval qui descend au-dessous de l’etrier. 

Lambeau d’habit dechire. 

GuaLnraıpär, v.a. (8. burl.)V. Furtar. 

@uiLnaöre. V. Galdröpe er Aldröpe. 

GraLıöre. V. Galeote. 

+ Goarrania, s. f. viede fier-A-bras, de fan- 

Ion. 

Goaurtkira, s. f. * bonnet de peau pointu. 

* FGuALTSerA, 8. [. sorte de casque. 

+ GOANABÄNE, s. m. guanabane : [ruit du co- 

sassolier. 

f Gtanäco,s. m. sorte de chameau de l’Am&- 
rigue mertidionale. 

T Guanausiö, s. m. (t. de bot.) corossolier 
o® corossel : plante polypetalee, voisine du 
magnolier; arbre, arbrisseau des Antilles. 
veig. Cachiman,, assiminier, caur-de-bauf. 

*Guanca. V. Ganancia, Ganho, Lucro. 

" Guancan. V. Ganhar, Lucrar, Adquerir. 

+ Guänches, s. m. pl. guanches : anciens 
habitants des (.unaries. 

*Guanco. V.tranho, Lucro, 

Guinpara. V. Gandara. 

GUino om . 

GuanDö, s. Mm. | V. Andi. 

+ Guancuz, s. m. (1. d’hist. nal.) guangue: 
rongeur du Chili, espe&ce de rat ou mulot. 

Guinta, s. f. (£.d’Asie) mesure creuse d’A- 
sie, deux pintes & peu pres. 

GuÄntE, s. m. gant. Gantelet de fer. V. Ma- 
nopla. 

GUAPAREIBA 0% 

var r. !- | V. Mangie. 

+ Guarenva no Brazir, s. m. (tl. d’hist. nat.) 
° erapaud de mer, espdce de scorpene. 

+ Guiranente, adv. hardiment, vaillam- 
ment, lestement. Noblement. Galamment. 

Grarice, s. f. * courage, valeur, hardiesse, 
vaillarıtise. * Ajustement affect& ou recherche. 

Beaute, eleganre ; ınanieres nobles. 

+ Grariro, s. m. (t. de bot.) guapire : arbre 
de la Guiane, voisin de l’avicenne. 

Goäro, a, adj. brave, vaillant, hardi, cou- 
rageux, valeureux. Beau, bien mis, v@tu ga- 
lamment; @l&gant. Grand dans ses manidres. 

+ Guureri, 3. m. (1. de bot.) guapuru : ar- 
brisseau du Perou , myrte. 

+ GuariL,s. m. (1. dhist. nat.) guaral : ani- 
mat de Libye, semblable & la tarentule. 

7 Guarani,s.m. (t.d’hist. nal.‘ guarana ou 
gourane, ibis. 

+ Guaruch, s. m. (8. d’hist. nal.) guapucu : 
thon du Bresil. 

Guaräiz, s. m. oiseau du Bresil. 

Guancäd. V. Gargdö. 

+Goiacno, s. m. ($. d’hist. nal.) guarcho : 
Suffle du cap de Bonne-Esperance. 

GuAnpa,s. 2gen. garde, gardien,, surveil- 


QUA 636 


J Iant. — marinha, garde-marine. —do mäto, 


garde-bois. — do nome, seing ‚ signature. 

Grirva,s. f. garde, soin , conservation. Ob- 
servation d’une loi, etc. Toutce qui ser! ä gar- 
der ow & proleger. Charge, commission de 
garde, proteclion. —, gens de guerre qui font 
la garde. — urbana, garde bourgeoise. —aran- 
gada, poste avance. — nacional, garde nalio- 
nale. Anjo da — ‚ange gardien. Corpo da—, 
corps de garde. Enirar de —, @ire de garde, 
monter la garde. Saır de —, descendre la 
garde. — principal, la grand'garde. Dur em 
—, confier, commetire & la garde de. —s, pl. 
gardes : garnilures inlerieures d une Serfure. 
Les deux mattresses baleines d’un e&ventail. 
— ‚feuilleis de papier blanc & la tie ou & la 
fin d’un livre. — do norle, gardes : les deut 
etoiles les plus proches du p6le arclique. — 
d’ums ponle , gard«-[ou. " 

+ Guäapa-BARRkIRA, 8. m. commis de bar 
rieres. 

+ Grarnpa-upeias, 8. f. pl. (f. demar.) ou 
armadores das mösas das enxzarcias, lisses de 
porte-haubans, demoiselles. 

GUARDA-CHAVES, 5. m. — de prisdö, guiche- 
tier. 

+ Gtarnpa-CHUVA, s. f. parapluie. 

GUARDA-CÖSTA , 3. m. garde-cöte. 

+ GuaRpa-DE-ViSTA , 8. m. celui qui en garde 
un autre ävue. 

GUARDA-DÄNAS, 3. m. 6cuyer des dames de la 
coyur, officier du palais. 

GuaRDADO, A, p. pP. de Guardar. 

GUARDADÖR, A,s. gardien : celui qui est com- 
mis A la garde;; garde. Observateur exact d'une 
loi, etc. Menager, econome; avare. d pai —, 
filho gastador, ‚prov.) a pere avare, Üls pro- 
digua — de gddo, pätlre, berger. 

GuARDA-FRCHOS, s. m. garde-platine : cuir 
pour recouvrir la plaline du fusil. 

+ Guirpa-F6CO, s.m. garde-leu. V. Cortafogo. 

GUÄRDA-INFANTE, 8. m. vertugadin, panier 
de feınme, 

+ Gränna-sörss, s. m. garde des Joyaux de 
la couronne. 

+GuirDa-LÄMA, s. m. garde-crotte. 

+ Granpa-LEMg, 5. m. (d. de mar.) canon de 
retraite. 

+ GvaRDALETE, 8. m. sorte d’eloffe de laine. 

f Guarpa-LIVROS, 8. m. leneur de livres. 

+ GrarDa-LöUGA , 8. m. armoire pour garder 
la vaisselle. 

+ Gränpa-MaröR, 3. f. dame qui a inspeo- 
tion sur toutes les femmes du palais du roi. 

+ GUARDA-MANCEBOS, 8. m. 4. de mar.) garde» 
corps, sauvegerde du beaupre. 

Gtanpa-MÄÖ, 5. m. karde d’uns Epee. 

GUÄRDA-MATO, 5. m. " peau que les bergers 
attachent aux jambes pour garantir la culotte. 
Sous-garde ou sougarde : piece de la garnilure 
d’un fusil sous la batterie, pour couvrir la d&- 
tente. 

* GEARDAMENTO, 6. m. ° action de garder; 


garde, 


656 GUA 


GUARDAMÖR , 8. m. ancien oflecier qui com- 
mandait vingt hommes de la garde royale (ant.). 
Garde & la t#te des autres. Officier civil des 
cours royales. — das alfandegas, inspecleur 
en chef de la douane. — da saüde, chel ow 
commissaire de police sanitaire dans un port 
de mer. — da torre do tombo. V. ce mot. 

f Guanpa-Monräö, s. m. (I. de mer.) baril 
afeu. 

GUARDANÄPO, 8. m. " serviette : linge de table 
pour garantir les veiements, etc. 

GuinparpiTas, 8. m. * sorte d’ancienne coif- 
fure. 

Guanpart, 8. m. jupon, jupe de femme. V. 


f Guannariza,, s. f. bordure, bande, garni- 
ture mise au bas d’une robe, d’un jupon , etc. 

GoaRpAaPO, 5. m. ° penle, ciel de lit, etc. 
* Housse , couverture de meubles. * Toile atta- 
chee au plancher pour garantir de la poussiere. 

GuÄrDA-PÖRTA, 8. f. portiere : espece de ri- 
deau devant une porte. "Paravent ‚contre-porte. 

Guianda-rORTÄÖO, 3. m. portier, suisse. 

+ GUARDA-REPÜSTA, 3. m. " sorte de fusee 
dont le bruit est beaucoup retarde. V. Guarda- 
reposte. 

+ GUÄRDA-REPÖSTE, 3. m. ancien officier du 
palais qui avait soin dos meubles de la maison 
royale. Garde-meuble ow garde-manger de la 
cour. 

Quarda-RiO, s. m. martin-pecheur : oiseau. 

Guänna-röuPA, 8. m. officier de la garde- 
robe, page, chambellan du roi. s. f. Garderobe: 
charnbre pour metire les habits, etc. ; armoire, 
etc., oü !’on serre les hardes. 

+ GuAnDA-Qu&pas, s. m. parachute. 

+ Goinpa-skLLos, s. m. garde des scoaux. 

GuänDda-YENTO, 8. m. paravent. 

T Guanpa-vinno, 3. m. pierre de taille ow 
grosse planche formant le mur ou e6l# d’un 
pressoir ä vin. 

T GuUARDA-VISTA, 3. m. &cran ou garde-vue. 

f Guiana-voLinte /s. m. (8. d’korl.) coq:: 
pidce d’une montre. 

Guanpia,v. a. garder, Conserver, serrer, en- 
fermer, mettre en reserve; veiller ä la defense, 
ä la conservation ; observer un precepte: con- 
server le souvenir; preserver, garanlir ; prols- 
ger, defendre. — compostura, sauver les de- 
hors. — 0 sew caracier, tenir son rang. — gado, | ba 
garder un troupeau. — a cdra, se cacher pour 
n’&tre point connu. —as coslas. V. ce mot. —as 
fostas, garder los Jours de fetes. — a bocca,, &ire 


sobre; se taire lorsqu’il le faut. Gudrda, gär- |. 


da-ie ! gare! prenez garde! Nullement, point 
du toat. Quem guarda, achs, qui serre beau- 
Coup, trouve beaucoup. 

Gumrpäa-se (de), vo. r. se garder, se garan- 
tir; s’abstenir; se defer de. 

GUARDIANIA, s. f. "gardiennat : dignits d’un 
gardien de couvent ; sa durde. 

GuAaRnıXo, 8. m. gardien : superieur .u 
couvent de (ranciscains ow de capuecins. ($. de 
mar.) Alde contre-malire, 


GUA 


Granpdins, 5.0. pl. (1. da mar.) * eordes qui 
tiennent suspendus les manteleis des sabords. 
* Drosse du gouvernail. 

GuAndınväö, s. m. * sorte de jeu d’enfanıs. 


GuARDönno et qui Conserve avec soin, 
GUARDOSO, A, ad. Tanager, e&cenome. Y. 


GUARECEDÖR ‚A, adj. un guerit, 

* Gusnzcka, vo. a. V. Curar, Serer, Rems- 
dier. Secourir, defendre, delivrer. Garder, 
conserver. v. ». Guerir, recouvrer la santt. 

GuARECER-SE (de), 0. r. se relugier, chercher 
un asile. 

GUARECIDO, A, 9. P. de Guarecer. 

* GUARECIMENTO, 8.9. * Cure, gu6rison. 

* + GUARENTE, 8. m. ° action, ouvrage d’uR 
tailleur qui coupe ( un manteau, etc.) lout au- 
tour. (ig.) " Economie, epargne. V. Agorenlir. 

Gvuanciz. V. Gorgüz. 

+ Guani, 3. m. (t. de bot.) guari : palmier de 
P’Amerique meridionale. 

+ Guarisa, 5. m. (6. d’hiss. nat.) guariba: 
alouste d’Amerique. — preio do Marankio, 
*ouarine. 

Guaripa,s. f. taniere, repaire : retraite des 
animaux. (fjg.) ' Repaire, retraite; asile, re- 
fuxe. 

Guanipo. V. Guarecido. 

* GUARINA, 8. f. tunique militaire qui der 
cend Jusqu’aux genouz. 

* Guarır ,v. a.eln. V. Curar, Sarer. 

Guanita, s. f. guerite de sentinelle. 

GUARITEIRO. . 

GuARITO, 6. m. | V. Gert... 

GUARNECEDOR , 3. @. garnisseur : 
garnit. 

Guannscea (com, de), ©. @. garnir, enlo® 
rer, environner ; meitre une garniture; muaif 
une place de guerre; ig.) orner, ajusier, em- 
beilir. Enchässer dans de l’or, etc. Garnir un 
faucon de les de sonnelien. un. (Ag. vieuz \. 
Adornar, Enriquscer. \id.) Prover, Equiper: 

(HUARNECIDO, A, 9. p. de Guarnccer. 

Guaaniciö, a. f. garnilure : ce qui serfä 
garnir, & orner. Enchässure. Garde d'epe*- 
Garnison : soldals qui gardent une place, eic. 
(fig.) * Ornement. V. Adorno. — em [öfos, gal- 
niture bouflante. — d’uma boia, (I. de mar.) 
garniture owtrelingage de la bouee. —de bom- 

‚ (id.) garniture de la pompe. — öes, pl. &1- 
mure : armes defensives autrelois en usage. 
* Harnais de cheval. 

*+ Guannivo, A, adj. habille , orne, pare- 

*f GUARNIMENTOR, 5. m. pl. * armure; har- 
nais de cheval. V. Aderegos, Adornos. 

+ Guanösa, s. f. “ arbre du Bresil A beis 
tres-dur. 

+ Guasrüsa,s. f. (1. d’hist. nat.) " gonaro- 
ba : perruche A gorge rouge. 

Guanaäua. V. Garrdma. 

* + GuaanamÄa, 0. a. imposer une coninbe- 
tion. 

GuÄrTE, conirachion de Guarda-ie, gast} 
prenez gardel 


N 


celai qei 











GUE 


Gurstir. V. Gastar, Destruir. 

t Guatapina, s.m. (1. de bob.) guatapuna ı 
bresillet de Pile de Curacao. 

TGvaTuchra,s. m. (1. d’hist. nal.) guatacu- 
pa : arbre du Bresil. 

Goar. 

Grya. | V. Guan. 

TGurand,s. m. (l. de Bres.) * &crevisse 
terrestre. 

*Guazeı.V. Corazil, 

GvaziL, 8. m. gouverneur chez les Arabes et 

les Persans. 

GuAzıLÄno, 3. m. charge, dignits de guazil. 

. ce mot. 

TGuazu@te,s.m. (1. d’hist. nat.) gouazouete: 
terf du Paraguay. 

tGuazurira,s. m. (t. d’hist. nat.) goua- 
20upara : cerf du Paraguay. 

T Guazurita, s.m. (1. d’hist. nat.) gouazou- 
pita: cerf’du Paraguay, biche rousse, coassou, 

TGuazöruch, s.m. (1. d’hist. nat.) gouazou- 
poueou :cherreuil d’Amerique. 

“"Guca.V. Aguca. 

Gupäö,s. wı. (1. d’Asie) magasin souterrain. 

Geor.miö, e. f. ocon, touffe de laine. 

"Gupina, s. f. petit bien de campagne ; pe- 
tit fonds de terre. 

T Gudsnos „s.m. pl. guäbres : reste des an- 
ciens Perses , sectateurs de Zoroastre. 

TGuscae, s. m. bois dur, bois-fer dont on 
faisait des muars en Asie. 

GtEp£ıHA , 8. f. faces : cheveux qui tombent 
Sar les tempess. Chevelure. ( fg. anf.) " Gain, 
profi. V. Felpa. — de ld, fiocon de laine. —s 
de seda, #toff'e de soie peluchee. Ver-se com 
alguem ds —s, Ölre aux prises avec quelqu’un. 
4panhar algesma cousa pelas —s, saisir Poc- 
rasion aux chaeveux. 

GUEDELUUDO, A,adj. quia beaucoup de che- 
veux sur les Lempes. Chervelu. 

Gusore ,s. f. leur du sureau. 

GußLa,s. f. "gosier, gorge ; gueule. 

T GugınaAs, s. f. pl.(t. de bot.) V. Novel- 
08. 

tGutıLros, s. m. pl. Guelfes : partisans des 
Papes, ennemis des Gibelins. 

GueLras, s. f. pl. ouies, branchies : organe 
respiratoire des poissons. 

GvEo, s. m. petite armoire en la poupe d’une 
barque. 

Gu&ana,s. f. guerre, querelle; differend & 
main armee entre deux pays, deux etats, deux 
0% plusieurs &tres; lutte a main armee; art de 
la guerre; (fg.) opposition, contrariete; (td.) 
diffsrends, dissensions domestiques. Milice:: art, 
exercice de la guerre. — armdda, preparatifs 

de guerre, ötat de guerre. — al, guerre 
ouverte. — guerreada, guerre d’incursions, 
petits guerre. — interior, guerre interieure : 
comLat des passions contre la raison. Ter — 
declaräda , &tre & couteaux tires. Entror de — 
em alguma ferra, entrer Amain arınde dans une 
ville, ete. 

GUBRREÄDO, A, p. p. de Guerrear. 


PORT.-FR. 


GUI 657 


GUERREADOR , A, adj. guerrier: qui fait, qui 
aime la guerre. 

GUERREÄR, ©. n. faire la guerre, combattre, 
guerroyer. v. a. Altaquer, assaillir. 

GUERREeIRO, A, adj. guerrier, belliqueux, 
martial. 

GuErREIRO, 5. m. guerrier, soldat. 

"GOERREJÖNES, 5. m. pl. nom qu’on donnait 
par derisionet jalousie aux exploits militaires 
du grand Albuquerquo dans l’Inde. 

t GuERRILHA, 8. f. guerrille : sorte de corps 
franc en Espagne. 

TGußso,s.m.(t. d’Asie) valet de chambre. 

TGu£tE, s. m. acte constatant le divorce 
(entre les juifs) que le mari donnaitä la femme, 
par lequel elle etait degag6e du contrat de ma- 
riage. 

fGu£ro,s. m. quartier des juifs & Rome. €£. 
V. Gute. 

Guia ,s.2 gen. guide, conducleur; directeur 
de conscience. Passeport,, passavant ; feuille de 
route; billet de douane, acquit-ä-Caution. Ac- 
tion de conduire. Chef de quadrille : celui qui 
ınene la danse. Long sarment, mattresse bran- 
che qu’on laisse & une souche en la taillant. 
Carta de —, feuille de route; sauf-conduit. /r 
sua —, suivre sa route. —s, pl. chevaux de vo- 
l&e qu’on met devant les deux atteles en timon,. 
Guides, renes, 

GUIABELHA. . 

Gu1aBELLa. \ V. Diobelha. 

Gurino,, A,P.p. de Guiar. (por) adj. guide, 
conduit, dirige par... 

GUIADOR, A,s. guide : conducteur, directeur. 

"GUIAMENTO, 3. m. "conduite, direction. Ir 
em — d’alguem, @ire guid6, conduit par quel- 
qu’un. 

Guräö,s.m. *banniere, enseigne , etendard; 
petit dtendard royal; officier qui le porte.(fig.) 
Commandement de gens de guerre. Guidon : 
marque mise au bout d’une ligne de musique 
qui indique od doit &Lre placee la premiere note 
de la ligne suivante. 

GuläR,v. a. guider: montrer le chemin;; con- 
duire, diriger. Donner le bon cxemple. (para) 
Conduire. V. Encaminhar. 

Gtiäx-se (por), v. r. se laisser guider, con- 
duire, diriger. . 

+Guimtıno, a,adj. qui va devant et qui guide. 

+ Gurina, s. f. (t..de geog.) Guyane : pays 
de l’Amerique meridionale divise en Guyane 
frangaise, hollandaise, etc. 

+ Guesa, s. f. (. de geog.) Guienne : an- 
cienne province de France. . 

+ Guienßz, A, adj. et s. Je la Guienne. 

*"GuiLna, s. f. recolte co:pieuse, abondante. 
(fg.) Fraude, filouterie. 

T GuILBHELMITA,s. m. et’adj. de la reformede 
saint Guillaume , duc d’Aayuitaine (religieux). 

GVILHERME, 5. m. guillautne : sorte de rabot 
&ä large fer. 

GUILBERMITA. V. Guilhelmita. 

GtiLuo ‚s. m. piece d’un moulin. , 

GuiLRÖTg, s. m. usufruitier : celui quia la 

42 


+ 





658 GUI 


jouissence des fruits. Fainsant, vagabond. Ca- 
gnard : celul qui, parmi les joueurs, n’esi pas 
encore bon trioheur. V. Fraudador , Velhaco. 

+ GuıLzorina , s. f. guillotine : machine pou 
trancher la t&le; instrument de supplice re- 
nourel6 des Italiens, qui s’en servaient de 
temps immemorial. 

+Gvusorımino, A, adj. guillotind: qui a 
616 guillotine. p. p. de 

+ GuiLuorinir, 9.6. guillotiner ; trancher la 
Wie avoo la guillotine. 

Gumäpa, s. f. (1. de mar.) embardöe : &lan, 
mauvement qui detourne un navire. Dar —s, 
donner des embarddes.— de riso, &clat de fire. 
Dar —, faire des &carts, parlant d’un cheval. 
Cantar ds —ı, faire des eclats de voix en chan- 
tanl. 

Grinir, vo. n. (fl. de mar.) s’embarder : so 
jeter d’un cöt& ou d’un autre. O navio esld gwr- 
nando ou dando guinadas para bombordo, le 
vaissean donne une embardee & bAbord. O na- 
vio ssld guinando sobre a ancora, le vaisscau 
joue sur son ancre. 

Gvincuia, v. ®. jeter un cri pergant, glapir. 

GUINCHO, 8. m. cri pergant; glapissement. 
*Moueite : oiseau p@cheur. Ninho de —, (fig.) 
ehose proßtable, dont on peut tirer beaucoup 
de proät. 

Guinda, 8. f.(l. de mar.) corde & guinder. 
"Guindant, guindage : hauteur des mäls d’un 
vaisseau. 

Guiupin0, A, pP. P. de Guindar. et adj. 
Guinde&, affocıs. Estilo —, style guinde, am- 
ponie. j r 

UINDALBTA, 8. f. 

GUINDALETE, s. m. } oorde de crio ou grue. 

Gumpaniına, &. f. (f. de mar.) baisser et 
hausser tout de suite le pavillon, signal d’a- 
mijti6 quese donnent deux navires en ıner. 

Grinpia, ©. a. guinder, hausser, elever. 
Corda de — , guinderesse, 

GutmpiasE, v. r. se guinder : se porter en 
haut; (4g.) affecıier de l’elevation. 

Gumbasäzs, 8. [. guinderesse:cordage pour 
guinder. 

GuınDÄste, s. m. guindal, guindas : machine 
pour &levor de lourds fardeauz. Cric. 

Gumpe (l. d’Asie). V. Jarro. 

GuinpöLas, s. f. pl. (t. de mar.) voiles pro- 
visoires pour mener un vaisseau demäle,. V. 
Toon, 2. f 

ums, s. f. (t. de gdog.) Guinde : pays 
d’Alrique. 2 PN 


"Gum, s.m. ” guinee : monnaie d’An- 
Gomka,s.f. gleterre de 2ı schellings, 
Guınto,s.m. 26 fr. 47c. 


f Guım£o, 5. m. sorto de danse des Negres. 

Gumcäö, s.m. excrement des vers ä soie; 
bourre de soico. 

Gumako, s. m. * toile de coton. 

+ GumöLas, s. f. pl. sorte d’habillement os 
nn Bigarröe de plusieurs couleurs. 

VARA, 8.7. (£. d’hist. nal. D- 

Pusguaza ı sorpent du Dresil, Bu 


nn) 


GUR 


+ Gumsınom. (6. de bot.) V. Aimesinge. 

t Gupüscoa ,s. f. (8. de geog.) * Guipusooa: 
province d’Espagne. 

T Gumruscoino, A, adj. ot s. de Guipuscee. 

} Gumacäintarı,s. m. (4. d’hist. nal.)guira- 
cantara : ani du Bresil. 

+ Guira-penka, s. m. (6. d’hist. nal.) guira- 
perea : oiseau du Bresil, couleur d’or, 

f Gumand, s.m. (tl. d’hist. nat.) guirarouı 
colinga du Bresil. 

Gussumpeo. V. Garkiadeo. 

GummnäLpa, 8. f. (f. de mar.) "sauverubas: 
anneau de corde. 

Gusrıziö pas AnrıLuas. V. Hoceo do Pard. 

Gris. V. Gesso ou Gis. 

*Guisa, s. f. guise, sorie, manidre, fagen. 
De —, de sorie, de manidre, 

GuısÄno, 5. m. ragoüt. 

Guisinpo, A, p. p. de Guiser. adj. (mi.) 
pourvu, foural; habitu6 &. 

* GUISAMENTO, 3. 90. appre;, pröparatil, dis- 
position. 

Gulsir,v. a. appröter, assaisonner, B060M- 
moder les viandes. (ant.) Aider ; dessiner, 
projeter ; avoir soin, preparer. 

Guiso, s. m.grelot, 

Geita, s. f. corde menue, d#li6e; ficelle. 

Guıtäana, 3. f. guilare : instrumeni do mu- 
sique & cordes de mötal, . 

Gutanrinns, 8, f. dim, de Guilarra. Peüle 
guitare ; turlurette. 

* GuizeEs, V, Griz. 

Gira, s. f. (inus.) "gosier, asephage. Geuf- 
mandise. Gastronomie: passion pour la bone 
chere. Sorte de varlope de menuisier. 

Gurid, V. Goulds. 

+ GuListäö, 5. m.livre turc trös-remarquable 
Qui contient des sentences, Jes apophthegmes, 
des proverbes, etc. 

GrLöso, elc. V. Goloso,, etc. 

GÜsE,s.m. Sl, tranchant d'une Ep6e, ek.. 
coupant. (fig.) ° Pönötration , perspicacite. Er 
pada de dous —, &pse a deux tranchauts. Der 
de —, frapper du tranchant. 

GÜuEna, 8. f. (i.de mar.) gume, gumene: 
gros cordage, cAble d’une anere. 

Geuir. V. Gomsl. 

GuxıL£ue,s.f. (t.de pharm.) gomme elemi: 
gomme resineuse d’Amerique. 

GÜncHo, 3. m. oiseau de riviere en Portefal. 

+ Günvua, s. f. | (il. d’Asie) serie de bil- 

+ Günpaa,s. f. | mentde mer. 

Gung,s.m. (b. d’Asie) matiöre Alamenteuit 
dont on lait une grosse toile. 

+ GuntıLo, 8. m. (8. d’hist. nei.) guand: 
poisson du genre du blenne. 

+ Guncr’, s. f. plante de l’Inde orientale , q) 
ressembie au lierre , a feuilles m6dicinales- 

Guouäir. V. Gomar, 

Gurpıre. V. Gridefd. 

GuscuLuäd. V. Bulkds. , 

GURCULHÄR, 9. n. sourdee aa hosilionnanl 
bouillonner. 


GURCHLEO, 5. u. (4, d’hiet. mal) abazaate?ı 








H 


calandre, ehnienelsuse, cosson : pelil coldo- 
piere rhinocäre : lalarveronge le bie. 

GuacvLBös0, A, adj. plein de charangons, 
ronss de ses larves. 

URGUNEBLAS,S. [- Pi. . 

Guncumuno” ® n? | V. Gorgomitlos. 

Gurcuruö, interj. burl.) il n’ya plus; en 
est fait. 

Guacörz. V. Gorguz. 

Gurıta. V. Guarita. 

Gusittıng. V, Guariteiro. 

Genüra. V. Garupa. 

Guzupts, s. m. (d. de mar.) beaupr& : mät & 
la proue, couche sur l’eperon. 

Güsa, #. f. gueuse : piöce prismatique de fer 
nen purild, moulee dans le sable. 

GusaniLno, s.m. dim. de Gusano. Vermis- 
seau, petit ver. 

Gisiyo, 5. m. ver, Insecte. 

Gustir, etc. V. Gostdr. 

+ Guracimpa, s. f. gutte:gomme du gutiier. 
V. Gutteira. 

Gurs,s. m. arbre fructifere du Bresil. 

*+ Gürzora,s. f. V. Gundra ou Polaine. 

Gurzrir. V. Guttural. 

+ Gurt£ıaa, s. f. (£. de bot.) "camboge, gul- 
tier : arbre qui donne la gomme gutie. 

GurttuaiL, adj. 2 gen. gullural : du gosier; 
qui se prononce du gosier. 

4 GuTTURALMENTE, ade. du gosier. 

Güza. V. Gusa. 

GözaR0. V. Gusano. 

GYMnasıÄacHa, 8. m. gymnasiarque : chef 
du gymnase. 

GYunäsiıo, 8. m. gymnase : lieu d’exercice 
des Grecs. "Ecole, classe, college, muste: 
lieu destine & l’6tude des lettres, des sciences, 
des arts. 

Grunästa,s.m.(l.dant.) gymnaste : ofEcier 
du gymnase, cbarge de l’education des athletes. 

GyYwmästica, 3. f. gymnastique : art d’exer- 
eer le corps pour le forlißer, eic. 

GYunäsrico, A, adj. gymnastique : de la 
gymnastique. 

Gyumica, s. f. gyınnique : science des exer- 
eices propres aux alb:dies. 

GYunIco, A, adj. gymnique. Jogos—s, jeux 
gymniques : combats d’atblätes nus. 

+ GrYumockruaLos, 5.m. pl. (l. d’hist. nat.) 
gymunocephales : genre de poissons A tete sans 
6eailles , operoules ezlerieurs et denteles. 


HB 649 


Gruxorkeia, 3. f. gymnopedie : danse A pu 
des Lac&demoniens. 

GYMNOSOPRISTAS, 3. m. pl. gymnosophistes : 
anciens philosophes indiens, qui allaient pres- 
que nus, menaient une vie trds-ausitre, el 
contemplaient la nature. 

GYMNOSPERMIA, 5. f. (4. de bof.) gymnosper- 
mie : (semences nues) premier ordre de la 
quatorzieme classe des vegelaux, & Deurs her- 
maphrodites, deux grandes et deux peliles eia- 
mines. 

GYuNOSP£aNOo, A, adj. (t. de bo8.) gymno- 
sperme : so dit des plantes dont les semences 
n’ont point de pericarpe. 

? Grunoto,s.m. (t. d’hist. nat.) gymnote : 
poisson apode , peroptäre. 

Gyxänpeı, 8. f. (4. de bot.) gynandrie: 
vingtid&me classo des vegetauz , & fleurs hermar 
phrodites, & &tamines redunies, atiachtos au 
pistil. 

+ Grnänpnico, A, adj. (t.de bot.) gynandri- 
que : de la gynandrie. 

+ Gynidcko, s. m. (}. d’ant.) gynecte : re- 
traite, lieu do travail des femmes. . 

Grusgcockacia, 8. f. gynecocralie : Elat oü 
les femmes peuvent gouverner. 

T GYNECOCRÄTICO, A, adj. gynöcoeralique : 
qui a rapport & la gyneoocratie. 

T GYnscouania, 8. f. gynecomanie : amour 
excessif des femmes. 

+ GynoLocia, s. f. gynologie:sciense,, traile 
de la femme. 

t GYraßro, s. m. (1. d’hist. nal.) gypakte: 
oiseau de proie. — barbudo, vautour des 
agncaux. 

+ GvPsz0, A, adj. gypseux: de la nalure 
du gypse. 

GvYaiö, s. m. (1. de bias.) giron, trıanglc. \. 
Girdö. 

Graasor. V. Girasol. 

+ GrYrinos, s. m. pl. (l. d’hist. nal.) gyrins: 
coleopteres nectopodes; scarabees tourncurs 
ow tourniqueis. 

Grrörg, s. m. clou degirofle. V. Cravo da 
Indie. 

GYROFRIRO, 3. m. (f. de bot.) girollier :arbre 
aroınalique des Moluques. , 

GYBOMANCiA , 8. f. giromance ou giromaneie: 
divination qui se pratiquaiten marchantenrond. 

+GTROVäcO, 8. m. gyFovague : Moine errant. 
V. Vagabundo. 


H. 


H, s. m. huitiäöme letise do Yalpbabet porlu- 
gais; chez les Latins valail 200, et avec un trait 
| WAR. La leise Fi n’est jamais aspi- 
rede en portugais, ou ne l’esi que ises-faihle- 
ment dens los mots Irahir, anhelar. inhauido, 


etc.; pr&cödee d’un 2, se prononce cormıme los il 
dans famille. Ex. : Mulker (mowsllöre) ; prsc6- 
dee d’unn, se prononce comme gn dans meon- 
tagne. Ex. : Genhar (gagner). Les anciens la 
meitaisnt davanı iss guiieles 0, a, 08, 88; 





660 HAB 


cette orthographe est tout & fait inusitee. 

Ha. V. A article. 

Hi, seconde personne de l’imperatif du 
verbe Harer (avoir). 

Hai! interj. ha! ah! Ha, As, rire qu’excite 
une soltise ; ha,ha, be, be, hi, hi. 

+ Hisina, s. f. (1. de gdog.) Havane: ville de 
l’Amerique septentrionale, dans lile de Cuba. 

+ Haneas-Conrts, 8. m. (ezpr. lat.) habeas- 
corpus : loi anglaise qui donne ä un prisonnier 
la faculıs d’etre elargi sous caution. 

Hisır, adj. 2 gen. habile, capabie, intelli- 
gent,, adroit. Prompt, expeditif. (para) Habile, 
apte, capable. E di — geömeira, eic., il est 
fort en geomeötrie, etc. 

HasıLivänpe, s. f. habilet£, capacite, intelli- 
gence, savoir-faire. Bonne gräce, dextcrite. 
Agilitö, adresse. —s, pl. "tours agreables ‚ tours 
d’adresse,, lours de passe-passe. 

HasıLınöso, A, adj. adroit, habile, doue de 
talent. 

HasıLissıwo, A, adj. sup. de Habül. 

HasıLıtacäö, s. f. action d’habiliter. Capa- 
cite, disposition, aptilude. (1. de pras.) Habili- 
tation : sorte d’dmancipation ; babilite, aptitude 
a succeder, etc. 

HasıLıtano, A, pP. p2. de Hobiliter. 

t HasıLıtanor, A, s. celui qui habilite. 

R T HasıLıtinno, A, adj. qui doit &tre habi- 
te. 

Hasılıraa (para), v. a. habiliter, rendre ha- 
bile (A), aple, capable (de). (1. de prat.) —, 
donner pour capabie de regir un bien, d’exer- 
ver un emploi, eic. 

HasıLıTÄn-sE (para), v. r. S’habiliter, se 
rendre babile, montrer son habilete, sa capa- 
cite, 

RisıLmänte, ado. habilement, adroitement. 

Hasıtacäö, s. f. habilation, demeure, loge- 
ment, domicile. Endroit d’une maison propre & 
eire habite. 

HaaıtäcuLo, s. m. habitacle : demeure, habi- 
tation. 

Hasırkno, A, P.p.de Habilar. 

HABITADOR,, A, 5. 0% habitant: qui 

HABITANTE, adj. els.2gen.| fait sa de- 
meure, qui reside,, qui habite. 

Hasırän, v. a. habiter : faire sa demeure, 
son sejour. (em, com) v. ». Habiter (dans un 
palais, ä la ville,etc.), demeurer, loger ; habi- 
ter avec. Y. Cohabilar. 

HABITÄVEL, adj. 2 gen. habitable, logeable: 
qui peut @ire habite. 

Häsıto, s. m. habit, v&tement ; velement, 
marques distinctives d’un ordre militaire; froc, 
vetement de religieux. * Habilude, coutume: 
disposition acquise par des acies reiteres. To- 
mar 0 —,se faire moine, prendre l’habit, le 
froc; devenir chevalier dans un ordre regli- 
taire. 

HasıTorixuo, 3. m. dim. de Habito. 

Hasıtuaoo, 4,9. p. de Habisuar. 

Aasırtar,adj. 2 gen. habituel: tourne, passe 
en babilude, Grags —, gräce permanente. 


HAR 


HısıtuäLm£xte, ade. habituellement : pet 
habitude , de coutume. 

Hasıruia,v. a. habiluer, accoutumer; [aire, 
prendre une habitude. 

Hapıttan-se (es, om‘, u. r. s'habileer, sac- 
coutumer 3. 

Hasıröoe,, s. f. habitade. 

Hacanza, s. f. haquenee : cheral de taille 
mediocre. 

* Hıcre. V. Ale. 

t Haı-DE-BavEn, s.m. (l. de comm.) credit, 
avoir. 

* Haperöxa, interj. burl. tiens! 

HacıamäLss, 5. m. pl. nom de certains reii- 
gieux mahometans. 

rt Hacıocaarnia, s. f. hagiographie : traitt 
des choses saintes, 

HaciöckarBo, A, adj. hagiograpbe : (livre) 
de l'ancien Testament autre que geux de Moise 
et des Propheätes. s. m. — , auleur qui ecril sur 
les saints. 

t HacıoLöcıco, A, adj. hagiologique : qui 
concerne les saints, les choses saintes. 

HaciıoLöcıo, s. m. vie des Saints. 

Hacıömaco. V. Agiomaco. 

Haı, interj. V. Ai. 

Haıcroneo. V. Alcyoneo. 

THäuss, s. f. pl. Halies : fätes celchrees A 
Rhodes en l’bonneur du soleil. 

HaLIETo, s. m. (t. d’kist. nat.) balbuzard: 
aigle de mer. 

Häuıto, s. m. *haleine : souffle, respiration. 
* Exhalation, vapeur. — elästico,, { t. de bot.‘ N. 
Aura seminal, 

HaLLasänpa, etc. V. Alabarda, eıe. 

Harrtccınacio, 5. f. hallucination : &zare- 
ment, bevue, meprise. 

Hauuucınan, vo. a. &blouir, egarer, fasciner. 
— Se, rc. r. se meprendre, prendre le change. 

BaLorTe£cunia, 8. f. halotechnie: art de ırai- 
ter les sels. 

f HauLvörg, s. f. (l. d’hist. nat.) ormier ou 
oreille de mer: coquillage. 

T Hımwannv’adas, 5. f. pl. (tl. de myth.)Ns- 
madryades : nymphes fabuleuses des bois, en- 
fermecs dans des arbres. 

r Hauaukırıa, s. f. (f. de bot.) hamamelia 
ou — elis, arbre berbe£ride. 

 HANÄNTEBO, 5. m. ( 4. de bot.) hamanıhus, 
hamagogue : plante des Pyrences. 

Haue£c, s. m. (ti. de pharım. anc.)* confeetios 
V. Diacoloquinditos. 

* HaneLän, etc. V. Ankhelar, etc. 

T Hasscaito, s. m. hanscrit des Indiens. V. 
Sanscrito. 

HBanssitico, A, adj. hanscatique: on ledit 
de certaines villes unies par le commerce. 

Hägur., s. m. sorte de poids ( en Guinee): 
seize Aaques font une once portugaise. 

Hispa, s. f.* &cureuil. V. Eeqwilo. 

Harpımento. V, Ardimsnto. 

Haren, s. m. barem : appartement des dames 
chez les musulmans. 

Hanioro,. V. Adivinko. 











HAS. 


Bınuira, s. m. (6. de bot.) harmale: rue 
odorante et medicinale d’Egypte, plante ru- 
tache. 
+Huruariö, s. m. barmalan : vent froid 
(TAfrique, tr&s-salabre. 

Hıruonia, s. f. harmonie : avec les memes 

wceptions du mot francais. 

Hırmoniaco. V. Harmönico. 

Hanuonıia. V. Harmonizar. 

HARMÖNICAMENTE, adv. hirmoniquement: 
selon les lois de l’barmonie. 

Hıruönıco, A, adj. harmonique: qui pro- 
duit de l’barmonie. 

HARMONIÖSAMENTE , adv. harmonieusement : 
avec harmonie. 

+BHanuonista, 3. m. barmoniste : qui pos- 
stde l’barmonie, savant dans l’harmonie. 

Hırmonızär, ©. a. harmonier : metire en 
karmonie. (com), u. ». S’harmoniser, se meitre 
en harmonie avec. 

+ HARMONÖMETRO, 5. m. harmonomleire: in- 
sirument propre ä mesurer les rapports har- 
moniques. 

"Bino.V.Aro. 

Hirpa,s. f. harpe: grand instrument de mu- 
sique, de forme triangulaire, ä cordes. 

Hınpid. V. Farpdß. 

Hanpäir ow —EAR, v.a. jouer sur la harpe 
quelgue momwceau de musique; l’adapter ä la 
barpe. 

HınpEo, s.m. croc, harpon , grappin. 

Harpia,s. f.harpie: monstre fabuleux, aile, 
eıtrememen t vorace, qui avait le visage d’une 
femme et le corps d’un oiseau de proie; (fig. 
fam.) harpagon : personne avide, avare ; femme 
criarde,, laidle et mechante. 

Hınpoindon, A, p. p. de Harpoar. 

Hıxroanor, a. m. harponneur : p&cheur qui 
barponne. 

Harroir „ v. a. harponner : darder, accro- 
cher avec le barpon ; lancer le harpon. 

Harpoßır A, 3. f. corde du harpon. 

THirto, ade. (p. us.) assez, suffisamment. 

Hırösrice, etc. V. Aruspice,, etc. 

Hisra. V. Aspa. 

Histra,s. f. pique, lance, füt. Perche, brin 
de bois. V. Haste. — püblica, vente publique, 
enchöre, encan. V. Almodda. 

Hıstino, s. m. hastaire : soldat romain arme 
d’une pique. adj. Arınd d’une pique. 

+ Hasraröna, s. [. lance sans fer. 

Hastania,s. f. "lieu od sont rangees les lan- 
ces , les piques,, etc. 

Hastirıo, s.m. V. Hastado. 

HastäiTo, a, adj. arme d’une lance, d’une 
pique, etc. 

Histe os } haste , hampe : le hois d’une 

Histea,s. f. J lence, d’une pique, d’une 
hallebarde, etc. (f. de bot.) hampe : tige simple, 
greie, sans feuilles ni branchbes ; tige floreale 
ow scape. — de erus, d’estanderte: bäton de 
eroix , d’&tendard. — do pavelhdo, (I. de mar.) 
€pars. — da idmula, (id.) dignon. 

Hast£ipo,a,p.p. de Mastear. 


HEB 661 


tBasteia,v.a. elever au bout d’une bampe, 
d’une perche. 

Hasteria. V. Hastaria. 

HastiL, s. m. füt: bois d’une lance, d’une 
hallebarde, d’une föche. it. V. Hastim. 

HastiLHa, s. f. dim. de Haste. V. Hastil. 
Esquille, eslat, ecli. V. Estilharo. 

Hastıınkira, s. f. *rätelier : planches gar- 
nies de chevilles sur lesquelles on pose des 
ballebardes,, des piques, des lances. V. Hasta- 
ria et Estilheira. 

Hıstim, s. m. *mesure agraire, longueur 
d’une lance. 

Hätsto,s. m. (p. us.) V. Göle, Trdgo. 

*Havg, imperatif du verbe Haver. Aie ow 
ayez. Have compaixdö de mim, ayeı pitie de 
moi. 

Haven, s.m. V. Havdres. 

Hıv£a,v.a.avoir, posseder. Percevoit, re- 
cevoir, recueillir, recouvrer. Obtenir.— d mdö, 
tronver ce qu’on cherchait. — por bem, trouver 
bon, avoir ä gre, juger & propos. — uma mu- 
Iher, jouir d’une femme. — el cousa de 
sua virgindade , döflorer une fille. Havel-o ou 
havel-as com alguem, (fam.) avoir affaire & 
quelqu’'un. Ha de karer, designe dans un bilan 
les creances ou dettes aclives : credit, avoir. 

HavER, v. imp. avoir, etre. V. Acontecer, So- 
brevir. —, eire, exister. Ha genles que, ily a 
des personnes qui. Houve cem morlos, il y eut 
cent hommes tues, ow de tuds. Havia mlila 
genie, il y avait beaucoup de monde. Ndo ha 
nacdo que, il n’est point de nation qui. Ha dous 
annos, il y a deux ans, ow depuis deux ans. 
Ha seus allose baizos na vida, ily a du hautet 
du bas dans cette vie. Howve lempo em que..., 
il fat un temps ow un temps a 6t6 que... Cousas 

’ ha que..., il est des choses, il est 
des hommes qui... 

Haven, v. aux. avoir. — de, devoir, falloir. 
Havemos ou hemos de confessar, nous devons 
avouer, il faut avouer. 

Hav£r-se, dv. r. se conduire, se gouverner 
bien ou mal. — com alguem, avoir affsire & 
quelqu’un. Commigo te has de —, c’est & moi 
que vous aurez aflaire. Ndo saber como so —, 
ne savoir comment 8’y prendre. 

Hav£azs, s.m. pl. (p. us. au sing.) avoir; 
biens, richesses. 

* Hıvıar. V. Aviar. 
*Haıvioo,p. p. de Haver. Tömos —, nous 
avons trouve. 

" Hır ! interj. de douleur et de plainte, helas! 
V. 4i. Dans les auteurs anciens, on trouve sou- 
vent kay au lien de hay ou Aaki(il ya). Ndo 
hay homem,, il n’est point d’homme. 

* Haz. V. Az ot Ala (d’armee). 

Hrspömana, 5. f. hebdomade,, semaine. V. 
Semana. 

HesposADiAnı0, 8. m. hebdomadier : titre 
claustral, chanoine qui est de semaine pour 
oMcier. adj. Hebdomadaire, de chaque se- 
meine. 

Azsoomirico, A, adj. Anno —, annde in- 


\ 


662 HEL 


fauste. C’dtaient toutes les seplidmes ou neu- 
viemes anndes. 

Hiszxo. V. Ebano. 

Hesriıco, A, adj. behraique: qui eonceme 
Y’bebreu, les Hebreux. 

Hzsaiıco, s. m. hebreu : langue höbralque. 

Hunnalsmo, 3. m. bebralsme : loculion he- 
braique. 

Hannafzinte, adj. et s. m. hebralsant : qui 
s’attache A l’ötude de l’hebreu, qui le sait. Juil 
cache. 

Hzar20 ou —zu, ka, adj. ets. Hebreu, Juif. 
Hebrafque : qui appartient aux Hebreux. 3. m. 
Höbreu : langue hebralque. 

+ Hecirz, s. f. Höcate: nom poetique de la 
lune. 

+ Hzcattsıas, s. f. pl. (. d’ant.) höcatesies: 
fütes en V’honneur d’Hecate, chez les Grecs. 


hecatombe : sacrifice 
carounu ne [- | de cent victimes. (Ag.) 
.— Grand sacrifice. 


Becrica , s. f. consomption , tisie. V. Tisica, 

Hicrico,A, adj. ötique , maigre, decharne ; 
attaque d’ötisie os d’une maladie qui desseche, 
V. Tisico. Febre —a , fiörro etique, lente, qui 
consume. 

+ H&cro, hecto, mot qui pre&c&de les noms 
de mesures,, et dösigne une unit& cent fois plus 
grande. 

+ Hecröcnamo, s. m. heciogramme : cent 
grammes (3 onces 2 gros 11 grains). 

+ HzcröLırao, s. m. bectolilre : cent litres 
(2 pieds cubes, 917). 

+ Hecröuetao, s. m. hectiomätre : centmöätres 
( 307 pieds 10 pouces 1 ligne et demie). 

}Hecrönzo,A,adj. qui appartient & Hector, 
d’Hector. Troyen. 

Hepzrı.V. Hera. 

Hapiceao, a, adj. (podt.) qui porte du lierre. 

Hznzaöso, a, adj. (podi.) abondant on 
lierre. 

T HsDIonnauuTE , ade. avec puanleur. 

+ Haznıowokz, .L puanteur, mauvaiseodeur. 
(fg.) —, vice. V. Feder. 

Hebı6nD0, A, adj. puant, felide. Horrible, 
hideux , effroyable, degoütant. 

THäovos, s. m. pl. Eduens : peuples de la 
Lyonnaise premiere, aujourd’hui Autun. 

Hxciaa, s. f. hegire : &re des Mahometans. 
Ce mot, en arabe, veut dire /uile. Elle date de 
la fuite de Mabomet, l’an 622 de l’&re vulgaire. 

Htıno. V. Eido, Eito. 

f Hrındguz ou —6co, s. m. heiduque : fan- 
tassin hongzois; valet vötu A la bongroise. 

Hei-Lo, Haı-La, pour Heis-o, Heis-a (le 
voici, la vollä). 

Hzıs, ooniraction de Havsis (vous avez). 

Hesina. V. Hegira. 

HzLiaco, a, adj. (4. d’astr.) heliaque : qui se 
levo ou se couche dans les rayons du soleil. 
Socrihcios —s, sacrifices heliaques, en l’hon- 
neur du soleil. 

Bissce, s. f. V. Urse meir, (4. de gdom. 
belice, spir. . (ide geom.) 


HEL 


HELICöIDE ‚adj. 2 gen. helitotde : böhlbisßle 
& P’helice. 

Hzuıchn, s. m. (Ag.) Helicon : le Parnaste. 

+ Heuscönta, s. f. (8. P’hist. nal.) * hetios- 
nien : le&pidopt4re papilionide. (3. de bot.) Het- 
conla : bananier scitamine. 

Heuıcönio, A , adj. de !’Hölicon. 

HELICöNTE. V. Helicon. 

} Heuicosorafa, s. f. h&licosophie : art de 
tracer les spirales. 

+ Heuiockutrım, A, adf. (4. dasir.) hällo- 
centrique : dont le centre est le solell. 

+ HeLiocnösticos, s. m. pl. heliognostiqueg: 
adorateurs du soleil. 

HELIOSETRO, 3. m. heliomötre : instrument 
pour mesurer le diam&tre des astres. 

t HeLioscörio, s. m. helioscope : 
pour regarder le soleil. 

Heuiorröria, 8. f. höllotrope : sorte de 
jaspe, pierre precieuse,, bleu verdäfre. 

ArLıorröPıo, 8. m. tournesol.V. Girasol. 

+ HeıLesoninua, 8. f. (t.de bot.) elleborine: 
plante orchidee. 

+ Heııesono, s. m. (Lt. de bot.) hellthore ou 
ell&bore : plante medicinale. —n#gro, ellebore 
noir, pied de grilfon. — felido , ell&bore fetide. 
— branco.V.Veratro'branco. 

HreırL£nıco, A, adj. Hellenique : (corps —) 
Grecs confeder&s ; des Hellönces. 

+ HeıL2nıos, s. m. pl. Hellänes : Grecs da 
corps hellenique. 

HerLLenısmo, s. m. hellenisme : tour, loca- 
tion grecque ; opinion en faveur des Grecs. 

HELLENiSTA,, 8. m. beileniste ; juif grec d’A- 
lexandrie; jJuil qui parlait Ja langue des Sep- 
tante; juif qui avait les ma@urs grecques; verse 
dans la langue grecque. Grec devenu juil. 

tHeLLenistico, a, adj. hellenistique : des 
juifs grecs. 

+ Heııfno, a, adj. et s. Helldne: nom que 
les Grecs se donnent, V. Helldnios. 

HELLESPONTiaco, A. V. ı de l’Hellespont, 
HELLESPONTICo, A,adj. | desDardanelles. 

T HsıLespönto, s. m. (1. de geog.) Helles- 
pont : detroil de la mer Fgee, u 

t HeLuıxtazs, s. m. pl. (1. de md.) helmin- 
fhes : vers intestinaux, _ . 

+ Hzınintaıco, adj. et #. m. (1. de möd.) 
helminthique : vermifuge, contre les vers. 

t HeLuıntuoLocia, s. f. (t. de med.) heimin- 
thologie : traits des vers. 

+ HtLore, s.m. (4. d’hist. nat.) helops : 60 
Ieopitre helopien. — lanipede, helops & pleds 
velus,. 

t HeLösa, s. f. (t. de chir.) helose : rebraus- 
sement des paupifres. R 

Heıvecıa,s. f. (t. de geag.) Helveüie: les 
treize cantons de la Suisse, 


funelte 


| . Helvetien: del’ Be- 
HAeLvkcıo, A, ou } 
Has 2 vetie. Helydlique: 
Hervetiod, a, adj. eis. uinseg 


+ Asıvioıknos, a. m. pl. Nelvidiens; aei- 
res partisans d’Helvidius. 
Hzıxing. V. Paristaria. 








HEM 


Hinı. V. Emo. 

+ Hrwacöco, s. m. (3. de mdd.) hömagogue : 
antidote pour provoquer les regles et le flux 
hemorroidal. 

tHematemssıs, s. f. (f. de med.) hemut£- 
mese : vomissement de sang. 

HENATITES, s. f. hematite:: pierre sanguine; 
sanguine A brunir; oxyde de fer. 

 Hematöceue, s. f. (t. de chir.) h&matecele : 
hernie de sang extravase. . 

+Hewartösıs, s. f. (l. de med.) hematose : 
eonversion du chyle en sang. 

Hexartürıa, s. f. (t. de med.) hematurie : 
pissement de sang. 

tHeweraLöpia, 8. f. (t. de med.\ hemeralo- 
pie : faiblesse de la vue qui ne pormet de voir 
qu’au grand jour. 

+ Heugnonaprıstas, 8. m. pl. hemerobap- 
iistes : sectaires jJuifs qui se lavaient taus les 
jours. 

THrwMERöBIO, 8. m. (1. d’kist. nat.) heme- 
robe : genre de mouches ephömeres, nevro- 
pieres. — dos lodos. V. Semble. 

tHeuerociıLuıa, 8. f. (tl. de bot.) hemero- 
cale ou fleur d’un jour, lis ä fleurs jaunes. 

Hemeröoneomo, 3. m, (fl. dant.) hemero- 
drome : chez les anciens, garde qui veillait & 
lashret& des places; courrier qui, apr&s avoir 
Couru un jou r, donnait ses paquets & un aulre. 

tHeweroLocia,, s. f. hemerologie : art du 
calendrier. 

HeweroLöcıo. V. Calendario. 

Heu, hem i: terme de science pour demi. 

HewicrinıA, s. f. hemicranie, migraine : 
douleur extewne de la t&te. 

Resıcr’cLo,s. m. hemicycle : demi-cercie en 
amphithedtre. 

HeuicrLinwro, s. m. demi-cylindre ; colonne 
fendue au mälieu du haut en bas, os coupee 
par la moitie. 

Heuina, s. f. hömine : mesure (chez les Ro- 
mains) qui revient au demisetier (4. 66 deoi- 
litres). . 

+ Hemior£a,s. f. (6. darith.) h&miolie:: pro- 
portion aritmmetique comme 3 & 2. 

Hxwirızcia, 8. f. (1. de med.) hemipiegie : 
paralysie de la moiti6 du corps. 

+ Heuirtenos, s. m. pl. (1. d’hist. nat.) be- 
miptöres : insectes & ail&s en etuis. 

Hexısruenico, A, adj. bemispherique : en 
bemisphere. 

Henıspr£rıo, s. m. hemisphere, moili6 du 
globe ; demi-globe, demi-sphere. 

+ Hemıspneröine, s. m. et adj. 2 gen. hd- 
misphöroide : qui approche de la figure d’en 
hömiaphere, 

Hrwısticao ow —QUI0, 5. m. bemisliche : 
molti6 d’un vers alexandrin; les quaire pre- 
mitres syllabes d'un vers de diz. 

+ Hguıraıreo ‚a ‚adj. Febre—a, (4. de med.) 
hemitrflde : (Advre) composce d’une guotidienue 
conlinue et d’une lierco intermiltente. 


+ Hasörptyco, a, adj. (1. de med.) hömop- 


tigue : qui crache du sang. 


HER 663 
Hrworrr'sıı, e. f. (8. de möd. 
erachement de" Fe * Bernd 
dans le poumon. 
HEmorTrsıco. V. Hemopfyoo. 


HEuonRBHAGiA,s.f.(f. du med.) hiumerehagie ı 
perte de sang par le nez, par une plaie. 


HEMORRBHAGIACO, A, adj. qui aune hineirkä- 


gie. 

+ Hemonrnörs ou —00, 5. m. Kömertkois : 
serpent d’Afrique dont la morsure feit bortit Io 
sang par toutes les ouverlures da vorps. 

HeuorauoıniL, adj. 2 gen. hemorrhotäal : 
qui a rapport aux hemorrholdes, ' 

Hemoranörmas, 5. f. pl. hömorrheiden : di- 
latation des veines hömorrhofdales; scoute- 
ment de sang de l’anus. 

+ Hemonanoındso, A, adj. quia les hömer- 
rboides. 

HEuorrnoissa, 8. f. hemorrhofsse : fontiae 
qui a un flux de sang. 

Hrmos, contraction de Havemos \ nos 
avons). 

HENosTAsiA, 8. f. (tl. de wed.) hömostasie : 
slagnstion universelle du sang caunte par la 
plethore. 

+ Hemosririco, a, dj. (1. de möd.) hemos- 
tatique : (remdde—) qui arrete les hemotrha- 
gies. 

t Henio, s. m.(t. de geog.) Hainaat : prö- 
vince des Pays-Bas. 

* Hende. V. Ende. 

+ Hanpecicoxo, s. m. (t. de geom.) hendk- 
cagone : Bgure A 11 cöt6s. 

HenpecasyY’LLaB0, A, adj. hendbeasyiiäire : 
(vers) qui a 11 syllabes. 
Heritica, s. f. (£. debot.) hepatigtre : piente 
commune. — das arvores, lichen puimonatfe.' 
— nobre ou dos jardins, andmene hepatiqut, 

hepalique de jardin. 

Heritıco, a, adj. bepatique : Oa fole, Hl 
le concerne. 

Heratitis, s. f. (}. de med.) höpatite : Ih- 
Nammetion, phlegmasie da fole. 

+ HeriroLodia, s. f. (f. de möd.) hepatoio- 
gie : trait6 sar le fote. 

+ HariaLo, s. m. (t. Ehist. nat.) heiplate ı 16- 
pidoptere bombycite. . 

Berricawe, a, adj. ete. beptegond qıi & 
sept cötes el sepi angles. 

t Herract'ma,e. f. (1. ds bot.) beptagmmie : 
classe de plantes A sept 

HEPTÄPLOS, 8. m. pl. collection de sopt = - 
Uuctions, 

Heerännnıa ‚s. f. (d. de bof.)heptandrid: sep- 
tiöme classe des vegelaux & sept &tamirmes. 

tr Herräncna ,s. f. heptarque:!’un des vept 
membres d’une heptarchie. 

HerTaAncHia, 8. f. heptarchie : division @’ın 
pays en sept souverainetös; geuvornement de 
sept individns. 

HEPTAT£UCO, 8. m. heptateuque : ouvrage Äi- 
vise on sept livres; les sopt promiers Tirres da 
PAncien Testament. 

Hen. V. Er. 


66% HER 


Hena,s. f. (t. de bot.) "lierre : arbuste ram- 
panı ou gfimpant. — ierresire, lierre terresire 
ow rondetie ‚lierret, lierret reniforme , terrette, 
herbe saint Jean. 

+ Hzxicıza, 8. f.(i.de bot.) V. Canabrds. — 
de Honpelher (Panaz chironium). 

+ Henacıkas, s. f. pl. (1. d’ant.) heracicies: 
fötes d’Horcule. 

+ Hexicııa, s. f. pierre de touche. 

+ Bsaiıvıca, s. f. "biason:: art heraldique. 

+ Hzxiısıco, a, adj. beraldique : (science, 
art—)dublason ; qui le concerne; qui concerne 
le heraut. s, m. Armoriste : celui qui sait le 
blason, qui l’enseigne. 

+ Hzaiıno, s. m. beraut, roi d’armes. 

Harincı,s. m. ° heritage, heredite,, succes- 
sion. ° Biens dont on herite. (ant.) V. Herdade. 
— jocente, (1. de prat.) heritage indivis. Adir 
@—, accepier l’heritage; faire adition d’heri- 
tage. V. Herdeiro. Ter uma grande —, heriter 
d’une grande succession. 

HERANCIRBA O8 —GAZINBA , 8 f- dim. de He- 


ranga. 

Hzxiv. V. Herdlido et Arduto. 

Hensiczo, A, adj. herbace : qui tient de 
I’berbe. 

r Hzasitico, A, adj. qui appartient aux 
herbes. . 

Hen2ivono, A, adj. berbivore : qui mange de 

HrasoLinıa, s.f. fomme qui ensorcelait ow 
empoisonnait avec des herbes. 

HzaB0LAnıo, A, s. herboriste : qui oonnalt, 
qui vend des simples, des plantes medicinales. 

Hensonızacäö,s. f. (1. de bot.) herborisa- 
ton : action d’herboriser, 

Hernsorizir, vo. n. (4. de bot.) herboriser : 
chercher des herbes, des plantes. 

Hzanöso,. V. Heroöso. 

Hzacorzcrönica,, s. f. herootectonique : art 
de fortißer les places (p. ws.). 

HracvLineo. } V. Hercula 

HERcOLÄNO, . soremiso. 

+ HencuLino, s. m. (t. de geog.) Hercula- 
num, Herculane:: ville de Naples qui fut abi- 
mee par une 6ruption du V&suve, sous Titus. 

HzucöLzo, a, adj. d’Hercule. On le dit par 
oxagerstion d’une entreprise difäcile, d’une 
foroe exisöme, etc. Tres-vigoureux, trds-ro- 

te. 

He£scoLss, s. m. Hercule : demi-dieu de l’an- 
tiquite. (g.) Homme trös-robuste, trös-vigou- 
reux. 

Hzapipe, s. f. * domaine, fonds de terre, 
heritage, biens-fonds; bien de campagne. V. 
Beranga. 

Hezapivo,A,p. p. de Herder. adj. V. Afa- 
sendado. Ester —, &ire en possession , avoir la 
jouissance de ses biens. 

Hrapapinua, 5. f. dim. de Herdade. 

+ Hendamsinto, s. m. action d’beriter. V. 
Her . 

* Heandanca. V. Heranga. 

Usapır „r.u. heriter, Sucrader. rreusılir une 


—- HER 

succession. (ant.) Nommer sucoesseur, heri- 
tier. Acquerir la propriöts d’une terre. —, ät- 
querir par testament. Donner & quelqu’un en 
propriet# un bien-fonds, etc., pour en jouir, 
lui et ses heritiers. (Ag.) Heriter des vertus, 
des defauts de ses anc£tres, elc. — as virludes 
de seus pais,, a gloria de seus maiores, heriter 
des vertus de ses peres, de la gloire de ses an- 
cetres. 

Heapkıro, A, 8. heritier:: qui herile. — for- 
tddo , heritier de droit. — a benefcio do inven- 
tdrio, beritige sous benefice d’inventaire. 

HsReortänıo, a, adj. bereditaire : qui vienl 
des aleux, qui se transmet par succession , qui 
a rapport & une succession. 

* Here£e. V. Herdeira. 

* Hene£eo, V. Herdsiro. 

+ Hentına, s. f. (t. de bot.) *lierre arbores- 
cent. 

HeErtcEe, s. m. heretique : qui professe Tht- 
resie, qui en est partisan. Cdra de —, visage 
d’exeommunie. Necessidade lem cara de —, 
( fam.) necessit6 n’a point de loi. Ficar —, (AJ.) 
se metltre en colere, etre au desespoir. 

* Henzcia. V. Heresia. 

Heatıa, s. f. femme heretique. 

*Hız£ı. V. Herdeiro, Senhor. 

+ HEREMIicOLA, s. m. solitaire : qui habite le 
desert. 

Henzuiti, etc. V. Eremila, etc. 

* Hento. V. Dono, Senkor, Proprielerio. 

Heaxzsia, s. f. höresie : dogme, erreur oonire 
la foi catholique. ( lg.) Propos injurieux ; pro- 
position absurde. Cheirar a —, sentir l’be- 
resie. 

HERESIÄRCA ‚3.. höresiarque : auleur d’une 
heresie; chef d’une secte herstique. 

+ HenssıoLocia, 5. f. heresiologie : traild sur 
les heresies. 

+ HeazsıöL060, 3. m. heresiologue: qui 
ecrit sur les höresies. 

Hearrıcir. V. Heretico. 

+ Herntricautnte, adv. en höretigue, selon 
les opinions heretiques. 

Henericıäoe, s. f. beretiche : qualits d’ane 
proposition heretique. 

BHeutrico, A, adj. herstique : qui appartient 
a l’heresie. 

"HeaiL, adj. 2 gen. (p. us.) du maltre, de 
malire, qui le concerne. 

HzRnuarunopira, adj. ou #. 2 gen. berims- 
phrodite: qui a les deux sexos (animal, plante): 
(8. de myth.) —, fils de Mercure et de Venus. 

HERMAPHRODITO, 8. m. hermaphrodite dent 
le sexe masculin est le dominant. 

Hrauan. V. Ermar. 

Heauenturica, 5. m. hermeneutigue : rögle 
pour &zpliquer T’6criture sainte; science des 
langues des monuments sacr6s; art de deoon- 
vrir le vrai sens d’an auteur. 

Hraufricautnte , ado. hermetiquement: ® 
dit d’un valsseau ferme de sa propre malidre 
par le feu; irös-bıen ferme. . 

Henwgrico, a, adj. (6. #alch.) bermötique: 


HER 


qui a rappori au grand @uvre, ä Ja transmuta- 
tion des ındtaux, A la medecine universelle. 

Hrruına. V. Ermida. 

Hanuinno. V. Arminho. 

+ Heauinıos, s. m. pl. anciens peuples qui 
babitaient le mont Hermine, aujourd’hui la 
montagne de l’Etoile en Portugal. 

Heauıtriö. 

HEan0. } V. Erm... 

HERNOPDÄCTYLO, 5. m. (4. de bos.) hermodacie 
eu —ite: plante A racine hulbeuse, d’Orient, 
medicinale. 

Heäanıs, s. f. bernie : descente de boyaux par 
, la rapture du p£ritoine. 

HzanıAnıa, 5. f. (8. de bot.) hernisire glabre, 
berniole, turquetie, herbe du Turc : plante 
medicinale. 

HERnıiaıo, A, adj. herniaire : qui a rapport 
aux bernies; qui panse les hernies (chirur- 
gien). 

+ Häanıco, a, adj. qui appartient aux Her- 
niques. 

+ He&uxıcos, s. m. pl. Herniques, peuples 
d’ltalie. 

HExoa. V. Herde. 

HEeropıÄnos, s. m. pl. herodiens : sectaires 
juifs qui avaient Herode pour chef et pour 
messie. 

Hrröz, s. m. heros : homme celebre par ses 
exploits; par une tres-grande valeur, de grands 
sehlimenis, une Ame trös-elevde, par des ac- 
tions extraordinaires; principal personnage 
d’un reecit. 

HERÖICANENTE, adv. heroiquement. 

Hexoicınine, s. f. hörolcits : caraciöre de ce 
qui est beroique; fait heroique. 

Hznöico, A, adj. heroique : qui tient du 
heros , des heros;; &pique. Verso —, vers heroi- 
que, compos6, en portugais, de onze syllabes. 

Hesoı-cömico, A, adj. heroi-comique: qui 
tient de !’heroique et du comique. 

Henöines, s. f. berolde:: &piire en vers, sous 
le nom d’un höros, d’un personnsge fameux. 

Hrzaolnı, s. f. heroine : femme coursgeuse 
et au-dessus de son sexa ; qui a de l’elevation 
dans l’Ame. 

Hzuoisso, s. m. herolsme : caraciöre, qua- 
Hits, vertus du heros; grandeur d’äme peu 
commune ; aclions heroiques. 

Hänrzs, s. m. pl. herpes : dartre corrosive; 
ardeur, inflammation avec pusiules qui ron- 
gent la peau. ( fig.) Chose pernicieuse. 

+ Hzar&rıco, A, adj. herpetique, dartreux. 

+ HeargtoLocia, 3. f. herpetologie : trait6 
des reptiles. 

Hzasıcaa. V. Errigar. 

+ Hantca, s. f. (1. d’hist. nal.) * crampon : 
ver intestin & bouche entour&e de crocheis. 

Henva,s.f. (4.de bot.) herbe : plante d’une 
fsiblo consistance, qui perd sa tige en hiver; 
gazog, gramen; herbe des pres, herbage. 
Plante veneneuse , poison. Tache dans une 
&meraude. — agulkeira , cerfeuil & aiguillettes, 
poigne de Venus, aiguille de berger. — ando- 


HER 665 


rinka , renoude argentee. — babdsa, alods per- 
folie. — ddlsamo, limbarde visqueuse. — be- 
lida, renoncule des pres, bacinet rampant, 
bouton d’or. — de besteiros, helleboro fetide. 
— beserra, muflier A larges feuilles. — bicha, 
aristoloche cl&matile. — eidreira, melisse eul- 
tivee ou des jardins, herbe de citron, melisse 
eitronnee, citronnelle. — coalh£ira, caille-lait, 
galium. — das escaldadellas. V. Escrophuldria 
dos rios. — das pulgas. V. Pulgueira menor. 
— da vibora, viperine, herbe aux viperes. — de- 
ddl, digitale pourpree, gants de Notre-Dame, 
— de N. Senhora. V. Caaptba. — de S. Chris- 
Iöodo, actte & epi, (vulg.) herbe de saint 
Christophe ou la christophorienne. — dos cal- 
los. V. Teitphio bastdrdo. — de pegamägos. \V. 
Bardana. — do capildö. V. Acaricoba. — do 
orvdlho. V. Geldda. — do tabdco ou — sanla, 
nicoliane, tabac. — de S. Roberto ou -— ro- 
beria, geranium robertin, herbe & Robert, 
berbe & l’esquinancie. — de sanla Barbara, 
barbaree, berbe Sainte-Barbe. — döce, anis. 
— dos carrapalos, ricin ordinaire. — dos rosa- 
rios, larmille des Indes, larmes de Job, de 
Moise, de Notre-Dame. — do bom Henrique, 
bon Henri ow anserine sagitiee, Epinard sau- 
vage. — escovinha, centauree des bles.— ferro. 
V. Prunella. — gigante. V. Acaniho Manso. 
— leit&ira, herbe laitiere ou & Jait, polygale 
vulgaire. — moira, morelle, morelle ä& fruit 
noir. — molarinha ou moleirinha. V. Fumd- 
ria. — monlano, pulicaire des marais. — s4- 
bodira. V. Saboeira bastarda. — sophia, lalic- 
tron des boutiques. — loura. V. Orobanche. 
— traqueira, cucubale behen. — furea. V. 
Hernidria. — verrüga. V. Verrucdria. — ul- 
mdria, reine des pres, ormiere. — ursse, 
thvm. — vaque£ira, souci de vigne, souci sau- 
vage ou des champs. —s, pl. herbes; herbages 
ou legumes. Filtres amoureux. Füho das —ıs. 
V. Engeitado. Langdr o habilo ds —s, jeler le 
froc aux orties. 

Hervacir ‚s. m. herbage , champ herbu. Lieu 
abondant en herbe. 

Hzrvino, s. m. herbe odorante. it. p. p. de 
Hervar. 

"Hrevaciıı. V. Hervagal. 

Herväcen, s. f. * herbage : herbe des pres. 
* Legumes. 

Henvanänıo, s. m. herboriste. V. Merbo- 
lario. 

HenvanciL, s.m. pois chiche, la plante. «4. 
V. Hervagal. 

Heavanco. V. Gräo de bico. 

Hernvär, v. a. enberber : empoisunner (des 
Niöches,, etc.) avec des sucs, eic., d’herbes ve- 
neneuses. ( fig.) Empoisonner. 

Henvanıo, s. m. (#. de bot.) berbier:: col- 
lection de plantes dessöchces ; histoire des 
plantes. 

+ Hervarid, s.m. (— porcino, I. de but., 
peucedane, queue de pourceau. 

HernvazinHa, s. f. dim. de Herva. 

HuURVECER , 0. 8. se couvrirs d’berhe. 





Heavtını, Be. 

Henvirnäca. } V. Broök.., 

+ Henvinsa,s. f. dim. de Herva. il. (8. de 
bot.) Fenu-grec. V. Fenogrego. 

*+Tlervoßıaa, 3. f. prostitude, pulain. 

Hervöso, A, adj. herbeux: od il crolt de 
P’herbe. 

Hes'tacäö, s. f. doute, irresolution, per- 
plesis4 ‚hesitation. 

Heweräin, v.n. hesiter : @ire embarrass#, lent 
& parler, A agir; ötre incertain, indecis. 

+ Hrsrpinna, s. f. (9. de gdog.) Espagne: 
royaume de l’Europe. 

lespannöL, A, adj. espagnol : d’Espagne, qui 
&oncerne l’Espagne. 4’ —a, & l’espagnole, & la 
maniere d’Espagne. s. m. —, natif d’Espagne. 
— ‚la langue espagnole. 

f HesrannoLino, A, 9. p. de Hespankholar- 
se. adj. Qui a pris le ton, l’air, le maintien et 
les manidres espagnoles. 

+ HESPANHOLAR-SE OU —LIZÄR-SE, ©. f. 
prendre le ton, le maintien et les manieres 
espagnolies. 

+ Hesp£rıa, s. f. (lt. de geog.) Hesperie, Es- 
pagne ‚ ltalie; Lout pays occidental relativement 
ä un autre. ($. d’hist. nat.) Hesperie : lepi- 
doptere diurne. 

+ Hesp£rıco, a, adj. de l’Hesperie, 

+ Hespenipas, 3. f. pl. (t. d’kist. nat.) hesps- 
rides : tribu d’insectes de l’ordre des lepidopts- 
res, familic des diurnes. 

+ Hrsp£nings, s. f. pl. hbesperides, jerdins 
fertiles. (£. de myth.) —, Egie, Artthuse et 
Hesper£thuse, filles d’Hesperus, fröre d’Allas, 

HEsPERIDO, A, adj. ( Poel.) qui appartient aux 
Hesperides. 

+ Hzsperina, s. f. (6. de bot.) julienne des 
jardins. 


Eisspenio, A, adj. de l’Hesperie. V. Bespd- 
rido 


Hespeno, s. m. l’6toile de Venus quand elle 
suit le coucher du soleil. 
Hesrntkıco. V. Repherico. 


Hersaöcuıro, adj. (1. de gramm.) heiery- | eflica 


cite : qui s’&carte des rögles de l’analegie 
grammaticale ;(ig.) Irrögulier, bizarre. 

+ Hrreronoxia, s. f. böterodoxie : opposi- 
tion & l’orthodoxie. 

HrTenonöxo, A, adj. heisrodoxe : contraire 
& la vrale doctrine, ä la fol. 

HETEROGENEIDÄDE, 8. f. hötsrogendits : qua- 
lit de ce qui est hötsrogäne. 

HETEROGENZO, A, adj. heteragene : de dife- 
rentes natures. 

+ HrTerörTeRo, 3. m. (1. d’hist. nat.) hepts- 
roptere: papilion dit estropie. 

HeTenöscıos, s. m. pl. (t. de geog.) Heis- 
rosciens : habilanis des zönes temperees, qui, 
& midi, ont leur ombre da cöt6 d’un des pales, 

He£rıco. V. Eikico. 

Heu! interj. lat. ets. m. ah! helas! 

HezacörDOo, 5. Mm. hexacerde : iniervalle de 
musique appels sixieme; systämg musical de 
six sons ; instrument & six cordes, 


HILL 


tr Haxazıao, ©. m. (1. &e göom.) bemulae: 
corps regulier & six faces; eube. 

Hzxicono, 8. m. et adj. (4. de göpik.) hekı- 
en: (ügure, plan, etc.) & six amyles #t Bix 


+ Hexıcr'nıa, s. f. (6. de bei.) hazagyaleı 
classe Jes vegeiaux & six pislils. 

HExXANMEnÄO ou —RON, 8. m. hexamärt : %u- 
vrage divise en six partige ou six Jöutnöes. 

HExäuErno, adj. m. Verso —, kezamritrd ı 
vers latin de six pieds. 

Hzximoaıa, 5. f. (1. de bo4.) haxamdrie : olasse 
des vegetaux A six 6lamines. 

HäxarLos, 5. m. pl. hexaples: live @’Origdns 
qui contient, en six volonnes, yix version 
grecques de la Bible. 

+ Hrxirono, s. m. (1. d’Mat. nat.) herapete: 
(reptile, ete.) a six pieds. 

HEY-Lo. V. Bei-lo. 

*Bı. V. Akt. Y. Il est aussi quel 
ticule expletive comme en frangais. Ex.: N 
ha hi komem que..., il n’y a pas un homme 
qui... 

HiÄnTE, adj. 2 gen. (podt.) böant : qui pre- 
sente une grande ourerture ( buuche, gueole); 
qui a la bouche ouverte. On le dit aussi des 
vers od il ya des hialus. 

HiÄTE, 8. m. (t. de mar.) yacht : petit navire 
& un pont. 

Hıiro, s. m. hiatas : pronenciation gende par 
le choo de deux voyelles. * Onverture de la 
bouche ; baillement des animaux. — dacorofls, 
(t. de bot.) oarverture de la corolle. — da terre, 
(#g.) grande ourerture de la terre, gouftt, 
abime. 

Hıs£aıco. V. Zberteo. 

Hısdawo, a, adj. (pedt.) W’hirer, hivktasl. 

+ Hınisco, s. m. (f. de bot.) hibiscus, alıbza, 
Tee — da Syria, totarie ou queimie dei 

ardins. 

+ Bızmir, ad). 2 gen, d’hiver, qui eppartient 
4 l'hiver. Solstiolo —, peistice d'hiver. 

Hıdaa, o. f. * mödicament, sperißyte tr®- 
ce. 

+ Hraricıo, s. m. {t. de bot.) *eperriäte: 

laute somi-Mosouleune , dhfeotacde, des matt, 
ulmonaire de Franse; biteacium va herbei 
&pervier; laitue sauvage. 

Hıznancaia , ete. V. Ierarchia, ete. 

Hırnocıv'mmmca, s. f. art de Faire tes hiöre- 
glyphes. 

Hısaocıy'Pmico, #te. V. Verrogiypkico, elc. 

AhenosoLouvrino, A, adj. de Jerusalei, 
qui lui apparlient. 

HıgRoPHÄNTg, s, m. (1. d’and.) bitropbame: 
pretre H’Wleusis, qui r&velgit Jos chnsed #8 
erdes, 

* BHıcvaıvackd. V. Igualagdö. 

°Hira. V. Linguign, 

Hırinsas, o. f. Pl. (6 Band.) hiterien: fOtk8 
de Cybein, 

+ Biio, 2.0. — Aut vomohten Xi. deier) V. 
Embigo das sementes. 








HIR 


Hein, v. m. pousser de fröquents hoquets; 
contenir la passion ; retenir les pleurs. 

Hın ,s. m." mesure de contenance chez les 
Hebreux. 

Hır&nnoue, etc. V. Hyperbole, etc. 

+ Hırriirnica, s. f. hippiatrique: art de con- 
naltre ‚de gucrir les maladies des chevaux, etc. 

t Hırponösca,, 8. f. (1. d’hist. nat.) hippobos- 
que, sorte de taon , vulg. mouche-araignee. 

Hırrociuro, s. m. (t. d’hist. nal.) hippo- 
campe : petit poisson de mer qui tient de la 
forme du cheval et de Is chenille, & corps artli- 
cule. Cheval marin. 

Hıppocentäoro, s. m. hippocentaure : mons- 
tre fabuleux, moiti6 homme et moitiö cheral. 

T Hırrocricıas, s. f. (1. d’ant.) hippocraties: 
f&tes de Neptune. 

t Hırpöcrares, s. m. Hippocrate, (Ag.) me- 
decin celebre. 

Hippockirico , A, adj. hippocratique : d’Hip- 
pocrate. 

t Hırpocratısmo , s. w. hippocralisme : sys- 
leme medical d’Hippocrate, 

Hırrocrtug, s. f. Hippocrene : fontaine de 
fAelicon, du Parnasse, 

HıProcr®nico, A ‚adj. d’Hippocrene. 

+ Hırpocktnınas, s. m. pl. (podi.) nom des 
muses du Parnasse. 

Hırpöpromo, 8. m. (l. d’ans.) hippodrome : 
place , lice pour la course des chevaux; place 
de Constantineple. 

+ HırrocıLösso, s. m. (8. d’hist. nat.) hippo- 
glosse ou fldtan : poisson de mer plat, du genre 
du plearonecte, osseux, thoracique. 

Hıprocaieno, s. m. hippogriffe : animal fd- 
buleax ; cheral alle. 

+BHırromancia, s. f. hippemaneie : dirina- 
tion par les chevaux. 

Hıprrowäiuzs,, s.m. hippomands : ligqueur qui 
sort de la vulve des jaments en chaleur; sub- 
stance qui entrait dans la composition des an- 
eiens phlltres. 

HırromöLcos, 8, m. pl. hippomulgues : Sey- 
thes nomades qui se nourrissaient de laıt de 
jument. 

+ Hırrontnse,, adj. 2 gen. d’Hippone ı an- 
ejenne ville d’Afrique. 

HırröPonos, s. m. pl. (8. d’ant.) hippopodes ı 
hommes & pieds de cheval. 

Hırrorötauo, 3. m. hippopotame : cheval de 
riviöre, amphible, mammiföre, pachyderme, 
tient du baaf et du cheval. 

Hrıeroruznusa. V. Hypo... 

+ Hırzoszuino, 3. m. (1. de bof.) maceron 
commun : plante. 

+ Hmroromia, s. f. hippotomie : anatomie 
comparde da cheral. 

Hın. V. Ir. 

Hinco.V. Böde. 

Urmcöso, a, adf. Cheiro— , odeur dB baue. 

* Hızıvka. V. Derribär. 

Hırstro, A, adj. (Pott. ) volu, härlssd , rade. 
Birsuts : garni de poils longs, raides ei non 
alveoles. 


AOD 667 


into, Aa,adf. tendu,, bande, raide. Rude, 
äpre au toucher. 

} Hıruxpınänıa,, 5. f. (1. de bot.) ascl&piade 
blanche , oulg. le dompte-venin, P’herbe Saint- 
Laurent. 

Hıaunoino, A, adj. d’hirondelle. Pedre —. 
V. Chelidonia. 

* Hıs pour Ides (vous allez). 

T Hispa, s. f. (1. d’hist. nal.) hispe ou bispa : 
coleoptere phytophage,. 

HispALENSE, adj. 2 gen. 

HısrAtico, A, adj. et s. 

Hıspänico, A. }. 

Hıspäno, k, adj. | Espagno! : @d’Espagne. 

Hıspintz, 3. f. (4. de bot.) hispidiis ; stat 
d’une partie trop couverte de polls; qualii# de 
ce qui est hispide. 

Hispıvo, A, adj. hispide, herisse , affrenx ; 
velu, garni de poils longs, raides et alv6oles; 
de poil rude. (Ag.) Rev6che , d’humeur diflcile. 

Hıssore. V. Hysöpe. 

t Hıster£ıno, s.m. (4. d’kist. nat.) hister, 
escarbot : genre d’inseotes col&opteres de la la- 
mille des ster&ocdres. 

t Hıstzraucia, etc. V. Hysieralgia, ete. 

ft Hıstıonaouia, s. f. histiodremie:: art de ia 
navigation par le moyen des voiles. 

Hıstörsa, s. f. histoire : r6cit de fails, @’a- 
ventures ; narration de faits, de obeses dignes 
de memoire ; livre qui les conlient. —naterelle: 
deseription des choses naturelles, des planies, 
etc. "Conte, roman. *’Differend, querelle. Ser — 
dgente, &tre la fable de la socieis, de lout ie 
monde. Metter-se em —s, se me&ler d’affaires 
qu’on n’entend pas 0% qui ne hous ragarndent 
point. Ter —e com algusm, se prendre de que 
telle avee quelqu’un. Conter —s, faire des 
contes. j 

Hıstonıip0,A,p. p. de Historier. adj. His- 
torie. 

Hisronıanon, s, m. histotien. 

Hıstonıar, adj. 2 gen. V. Histörico. 

HısrontaLmänte , ado. historiguement. 

Hısronıir, v. 6. &crire Yhisteire. Faire des 
tableaux d’histeire. 

Hıstontazınma , s. f. dim. de Historia. 

Hıstöricam&nte , adv. historiquement : d'en 
style , d’une maniöre historigue. 

Hıstörıco,, a, adj. historique : qul appartwent 
& Vhistoire, tir6 de l’histoire, dont }’histeire 
doit s’occuper. 

+ Hısronıßra, s. f. historiette, conte. 

HıstoriöcrAPNO, 8. m. historiographe : autenr 
nommeö par brervet pour &orire l’histoire 

BıstorıöLa. V. Historiete, 

Hıstrıäö, 3. m. histrion, baladin, betetedr, 
farceur, bouffon. 

*Ho, pour O art. V. O. 

"Bö,s.m. V. Merenda. 

Honoi. V. Obeot. 

Höcco ,s. m. (1. @’hiet. nat.) hoevo : olsemu 
gallinact desnudipedes. —Uo Pard, haren wett. 
— do Menieo, paaxi ou plerie. 

Hopıtano, A, ady. (P. us.) d’aujourd’hui. 


| de Serilte. 


668 HOM 
TIöce. V. aujourd’hui, dans ce jour; & 
Hoss, adv. | present, presentement. — em 


dia, ä present, maintenani; au tcmps ol nous 
sommes. — fas cinco annos, il y a aujourd’hui 
cing ans. Ald o dia de —, jusqu’ä ce jour. 
De — para amanhd, du soir au lendemein, 
tres-promptement. De — em diante, dorena- 
vant, desormais, des aujourd’hui. 

+ HoLä, interj. qui sert ä appeler. Hola! ch: 
he! ho! «4. ‚Qui marque la surprise, l’admira- 
tion. Quoi ! comment! ah! 

Horiua. V. Oldia. 

HoLıinpa, s. f. (4. de geog.) Mollande : 
royaumo de l’Europe. Toile de Hollande. 

HoıLanptz,Aa,adj. et s. Hollandais : de la 
Hollande. 

+ HoLLanpiLua, s. f. sorte de Lloile serree ei 
teinte pour les doublures. 

Horiö,e. m. * toile de Cambrai. 

+ HoLocinto, s. m. (tl. d’hist. nat.) bolo- 
eante : poisson du Japon. 

HoLocaustär, dv. a. oflrir en bolocauste; ho- 
locauster, sacrifier. 

HoLocäusto, #. m. holocauste : sacrifice oü 
la victime &tait consumee par le feu, chez les 
Juils ; la victime sacriflee ; sacriice. Offerecer- 
se em —, (fig.) s’offrir en holocauste : expier 
une faute pour le coupable. 

+ HoLoctntao, s. m. (t. d’hist. mat.) holo- 
contre : poisson sciöne et perche. 

+ HoLorudn, 8. f. (tl. d’hist. nat.) holo- 
tkurie: ver radiaire ; zoophyte schinoderme. 

*Hos. V. Homem. 

+ Homica, s. f. sorte de b4timent de mer 
dans V’Asie. 

*’Homixenu. V. Imdgem. 

Homsazin, vo. n. faire effort avec les &pau- 
vos. (com) S’eflorcer de paralire aussi grand 
qu’un autre & cöte de qui l’on marche. (fg.) 
Veuloir aller de pair avec quelqu’un au-dessus 
de soi, etc. v. a. (p. ws.) Porter sur les &paules. 

Houaatınas, 8. f. pl. epauleties : partie du 
vetement,, sur les &paules. it. V. Umbreiras. 

Howmnısase, s. f. qualii& d’homme; air 
mälo, Berte ; audace; caraciere mäle.' 

Housao, s. m. *epaule: partie du corps qui 
tient lc bras. 4o — ‚surle dos, sur les &paules. 
Olbar per cima do —, regarder par-dessus 
l’epaule. Trazer o olko sobre o—,‚(fig.) &ire 
sur ses gardes. — por — com alguem, de pair 
avoe quelgu’an. —s, pl. (Ag.) elfort, diligence 
soigneuse. Pör —s d öbru, donner lous ses 
soins ä une chose. Ancolher os —.V. Encolher. 
— dos monies, sommets des montagnes. Lar- 
gura de —, carrure, belle carre (90p.). 

Hoseca, s. f. sorte de barque dans laCo- 
ebiachiae. 

Hösen, s. m. homme: animal raisonnable, 
etc. —, qui a l’äge de virilits, individu mäle; 
mari; soldat; vassal; ie geure humain. (flg.) 
Protecteur, protection. — dom ou de dem, (ant.) 
noble ‚ gentiikomme. — perfeilo ‚bem parecido, 
dom ‚Bel hommne. — d’armas, homine 
d’armes dans l’ancienne gendarweric. — de 


HOM 


bem , homme de bien, bonnete homme ; homaic 
de condition, distingue, comme il faul. — « 
negocio, commergant, negociant. — de sus 
pessoa, homme brave, vaillant, couragen:, 
homme de caur. —d'el rei, vassal du roi. — do 
rva, (anf., bourgeois, 'habitant d’une iille. 
— de habilidade, homme ä talents. — de lu:.:. 
d’ingenho, de talento, de capacidade, bounn.r 
d’esprit. — ineredulo, irreligioso, despreocu- 
pado, esprit fort. — mal criado, grosseiro, eiC.. 
un homme malhonnete. — sem probidade, sem 
honra, un malhonnete homme. — verdedeirs, 
bomme qui dit la verite. Verdadeiro —, honıme 
veritable, qui est vraiment homme. — ccaute- 
lado vale dobrado, un bon averti en vaut deox. £ 
jd —, c'est de&ja un homme, en parlant d'un en- 
fant qui entre dans l’adolescence. Näo es — 
para isso, vous n’etes pas honıme Ale faire. Nöe 
ter —,(fig.) €ire sans protecteur, sans appui. 
Cheirar a casa @ —. On le dit d’une maison oü 
le mari est lo maltre. Ser — de palerre, fire 
esclave de sa parole. Ser — „ara ludo, &ircä 
toute main, pret ä tout faire. — immularel, 
firme, homme decide. — sem sendö, homme 
sans reproche. — podre € lodo trapas. On dilen 
francais : necessile est mere d’industrie. De — 
que ndo falla e de cdo que näoladra, ilun’y apir 
eau que celle qui dort. V. Ladrar. Näod— gu: 
admilla gracas, il n’entend pas la plaisantene. 
Proceder como — de bem, agir en bonme Je 
bien. — do ieme, (Lt. de mar.) timonicr. (is 
homens ndo se medem ds bragas ou ds cars, 
(prov.) on ne mesure point les bommes ä la 
toise. 

Houmeuzanaiö, 8. m. aug. Je Homen. 
Homme puissant, d’une grosse corpulener; 
homme d’uno taille avantageuse, bel bomt. 
(Ag.) Homme distingue par son merite, par 56 
lalenis, etc.; grand homme. 

Homeszinuo, s. m. dim. de Homem. Pet 
homme, hommeau. Petit gargon qui a grandi, 
qui entre dans l’adolescence. 

HoNENnäGEN , s. f. boınmage: devoir da vassel 
envers le seigneur du fiel; ( &g.) respect, seu- 
mission ; veneration. V. Mendgem,. 

t Housoratnia, s. f. (t. de med.) hommaeps- 
thie : doctrine medicale dont je premier prin- 
cipe est de traiter lcs affeclions par des re 
medes propres ä provoquer des affeclions sen- 
blables. Ce systäme a e&i& crö6 et propage &8 
Allemagıe par le docteur Haboemann. 

t Homeorituicah , se. f. hommopathgue: 
systeme de me&dication base sur l’analogie des 
temperamenis, des causes et des symplömes: 
eımpirisme rationnel ; distribulion des remedts 
par doses progressives. 

+ Honsorirnico, a, adj. bommopatbigut: 
de I'hommopathie. s. m. Doeieur gai suil Ibe- 
maopathie. 

HONErıco, A, adj. homerigue : d’Homert. 

+ Howznistas, s. m. 9. homeristes : char- 
teurs qui, chez les Grecs, faisaient metier de 
chanter les vers d’Bomere. 

Houe.zıo. V. Homizio. 


HON 


Howicioa, 8. 2 gen. homicide, meurtrier. 11 
est aussi adj. O ferro— que o malou, le fer 
meurtrier qui le tua. 

Hosıcivıo, s. m. homicide, meurtre. 

Hosscipo, A, adj. homicide, meurtrier. 

°Hosicıtıno. V. Homizieiro. 

HosıLia, s. f. ce mot, inusil6 dans son sens 
primitif (conference, eutretien de gens ras- 
seınbles), signifle sermon , exhortation au peu- 
ple, homelie. 

HoxıLıar, v.n. faire, prononcer des home- 
lies. 

"Houwız£ıro. V. Homizieiro. 

HomızıADo, A, 9. p. de Homiziar. 

"HoxiızıaL, ou } celui qui fuit la justice 

"Howuzıäö, s.m.) apres avoir commis un 
ceime. 

*Homızıar, v. a. rendre ennemi, brouiller. 

HOoNIZIAaR-SE, v. r. (inus.) se brouiller, rompre 
avec qquelqu’un. (Ag. et us.) Fuir, se cacher de 
la juslice , apr&s avoir commis un crime. 

°Homızivıo. V. Homicidio. 

Hoxwızio, s.m. "action desecacher pour quel- 
que crime. (inus.) "Inimitie A cause de meurtre. 

HOMOcC&nXTRıco, A „adj. homocentrique, con- 
centrique. 

HOoMOGENEIDÄDE, 5. f. homogeneite : qualit6 
de ce qui est homogene. 

HONMOGENEO, A, adj. homogene : qui est par- 
tout de meme nature ; d’une mame dimension. 

HosoLocAcAö, s. f. homologation : conär- 
mation d’un acte par la juslice. 

HosmoLocär, v.a. (l. de prat.) homologuer: 
conlirmer en justice. 

HowüL0co,, A,adj. (l. de geom.) homologue: 
sıablable par le nom, le rapport ou le lieu. 

Hosonxv'sia,s.f. homonymie : ressemblance 
ıle noms, sons differents d’un m&me mot. 

Uomönvso, 3. m.etadj. (f. de gram.) ho- 
manyme : dem&eme nom, avec des sens divers. 
— , celui qui porte le meme nom qu’un autre. 

Hosornacia, s. f. homophagie : usage des 
viandes cFucs. 

HosüPrBAco, 3. m. bomophage : qui mange 
de lachaircrue. 

Howoruonia, 3. f. homopbonie : concert de 
voix & l’unisson. 

HosorLita. V. UOmopläla. 

HOomüsxctLo, s. m. petit hoamme, hommeau, 
bomme de rien. 

*Honxpe. V. Onde. 

Honsstino, A, 9.p. d’Homestär. adj. Ex- 
cuse , pallie. 

HORESTADÖR, A, 3. Qui excuse. 

HONßSTAMENTE, adv. honndtement. 

Flonestän, v. a. honorer : faire honneur, 
excuser, pallier une action. V. Cohoneslar. 

Honzstäß-se, v. r. se conduire honndte- 
ment; s’bonorer. 

Honestipäne, 8. f. bonnetete, bienscance, 
dercence; chastete, pudeur, modestie. 

HonzsTissino, A, adj. sup. de 

Hongsto, A, adj. honnäte:conforme a l’hon- 
neur, A la vertu, bienssant; decent:; vertueux, 


HOR 669 


chaste, juste; pudique, modeste. Prigo —, 
prix bonnete, juste, raisonnable. 

Honisto, s.m. O —, l'honnetets, ce qui est 
honnete. 

Hoxön, s.f. V.:Honra. Duna de—, dame 
d’honneur d’une reine ou priucesse. 

Honxorir. V. Honrär. 

Hoxoränıo, A, adj. honoraire : qui jouis 
d’un titre sans fonction et sans emolument. 

Hoxonärıo, s. m. honoraires, appointe- 
ments, retribution. 

HOoNORIFICAMENTE , adv. bonorablement : 
avec honneur. Honnetement. 

Hoxorırıcencıa , s. f. action d’bonorer. Hon- 
neur. 

Hoxoririco,A, adj. honorifigue, honorable: 
qui apporte de l’honneur. 

Hönna, s. f. *honneur : respect rendu; es- 
time, re&putation; gloire, eclat, c&lebrits ; pu- 
dicits, chastet&; gräce, bienfait, faveur; di- 
gnite, emploi,charge. Morrer no campo da—, 
mourir au lit d’honneur. —s, pl. bonneurs, di- 
gnites, places honorables; titre honorifique 
sans fonctions ni &emoluments. (ant.) * Domaine 
d’un seigneur, flef. — fünebres, honneurs fu- 
nebres, funerailles, derniers devoirs. Ambi- 
eionar, solicitar —, courir apres les honneurs. 
— mudäu cosiumes,, les houneurs changent les 
maurs. 

HONRÄDAMENTE, adv. honorablement. Hon- 
nötement, loyalement. 

HonraDissıM0, A, adj. sup. de 

Honri00, A,p.p. d’Honrar. adj. Honorable;. 
estimable, digne d’&tre honore, loyal. Plein 
d’honneur et de probile. —, honnete, probe. 

*Honräno, s. m. notable : habitant des plus 
considerables d’un lieu. 

Honnandor, A,adj. et s. celui qui honore. 

* HONRAMENTO, s. m. * action d’honorer. 

Honrin, v. a. honorer : rendre honneur, 
respect ä; illustrer, faire honneur; elever ä un 
poste honorable; louer, applaudir. (an$.) Ac- 
corder des privileges seigneuriaux. — com asus 
presenca, honorer de sa presence. — a firma 
do passadör, (t. de com.) faire honneur & une 
signature. 

Honrär-sg (de), v. r. avoir en honneur. 

Honrixua, 3. f. dim. d’Honra. Faux point 
d’honneur, respect humain, mauvaise honte. 

HOoNRÖSAMENTE, adv. honorablement. 

Hoxnöso, A, adj. honorable; honorifique; 
glorieux, louable. Honnete, decent, vertueux. 

HONTENs ‚adv. hier. (Ag.) liy a peu de temps, 
recemment. Ante —, avant-hier. 

Höra, s. f. heure : vingt-quatrieme parlie 
d’un jour ;temps convenable & ; temps ordinai- 
rement employe, consacre &ä; temps prefix, 
oü& une chose doit arriver, moment. Heure du 
jour de PAscension, & laquelle on croit que 
J.-C. est monts au ciel : c’est entre midi et une 
heure. A b6a—,ä propos, au bon moment. 
Rm böa—, loc. adv. ä la bonne heure: beu- 
reusement. Por —, par heure; pour le mo 
ment. Andur rara cada —, dire A la veille d’ao- 


670 HOR 


coucher. — um, — outro , tanlöt V’un, tantöt 
Fautre. € a sus —, sa dernidre hours ap- 
proche, il va mourir. Sejs em ba —, soll, 
la bonne heure. — mingudda,, heure fatale. 2’— 
d’esia ou a esta —, dans ce moment, & l’heure 
qu’il est. Vai-te em — md, va-ten au diahle. — 
sus! sus, bon, courage! Ndo ler uma — de seu, 
n’avoir pas une heure & s0i.—s, pl. heures:: livre 
de prieres. — canönicas, heures canoniales : 
les diverses parties de !’ofice divin. — 

res, petites heures: prime, tierce, sexie ei 
none. A fodas as—, atoute heure, sans Cosse. 
Fazer-se —, &tre temps. Föra d’—.V. Desko- 
ras. — dilosas , aforiunadas,, heureux loisirs. 

Horı, ade. i present, maintenant. 

+ HoracıÄno, A, adj. qui appartientä Horace. 

Honirıo, a, adj. horaire : qui concerne les 
heures. 

Hönpa, s. f. horde : peuplade errante. 

Horpeirg ou — TO, s. m. lisane d’orge. 

. Hönnen, ete. V. Ordem, eic. 

HorvkorLo, s. m. (1. de chir.) orgeolet, erite 
ow orgueilleux : aposieme alonge, fistuleux, 
aux paupidres. 

u Hönvin, s. m. ordre religieuy. 
„Honpınämn. V. Ordinario. 

*Honera, dim. d’Höra(t. burl.). 

*Hoaröos. V. Orfäo. 

+ Hör, s. f. (t. d’kist. nat.) horie: col&o- 
pitre, horiale. 

HorızontäL, adj. 2 gen. horizontal : paral- 
Iele & !’horizon. 

HORIZONTALMENTE, ade. horizontalement :: 
parallötement & l’horizon. 

Honızönse, s. m. horizon : grand cercle de 
la sphöre qui la partage en deux; ce que l’on 
voit du ciel et de la terre. 

Hoauino , s. m. (l.de bot.) V. Gallocrista bas- 
tarda. — dos montes, * horminelle des Pyrendes. 

Honnavgqus, s. m. (l.de fort.) ouvrage & 
corne. 

Horocraruia , s. f. horographie : art de faire 
des cadrans. 

HoroLocıäL, adj. 2 gen. qui concerne l’'hor- 
loge. 

HoroLöcıon, s. m. breviaire; heures, livre 
de prieres chez les Grecs. 

HoroMetaia, s. f. horometrie : art de mesu- 
rer et diviser les heures. 

Honoscorir, o. a. tirer ’horoscope. 

Horöscoro, s. m. (l. d’astrol.) horoscope : 
prediction de la destineede quelqu’un , d’apres 
Pinspection, la situation des astres, lors de sa 
naissance; ascendant; Opposition ou situation 
des asıres dans le theme celeste. 

Höana,s. f. (f. d’Asie) " bois tres-lourd, ne 
dans l’eau, et qui ne se soutient pas sur sa 
surface. 

HoRrRENDAUENTE, adv. borriblement; hideu- 
sement. 

Horranpissıno , A, adj. sup. de 

Honn£uno,A, adj.horrible,affreux, eflroya- 
bie; hideux. Extraordinaire. 


AQRABNTB, adj. 2 gen. V. Horrendo. 


308 


HÖöRREO, s. m. (p. us.) greuier pour le bit. 
HorrısiLınäpg, s. f. qualii& de cegqul en 


& | horrible. 


Honsiınıtisarmo , A, adj. syp. de Herrivel. 
HöRRıno, A, ad. FR borrible. 
HoRRriFERO O8 —FICO, A, adj. tpoel.) quilat 

horreur, &pouvantable, effrayant. 

HorrirıLaciö, 5. f. (f. de mid.) horripila 
tion : frisson subit de toute la peau, pendar! 
lequel les poils se herissent. 

+ HonnıpıLän-se, ©. 7. eprouver une kert- 
pilation. 

HoRrisono, A, adj. qui fait un bruit ber 
rible ; qui rend un son horrible. 

Horrivkı, adj. horrible, affreux , effroyable, 
€pouvantable. ° 

HornıveLmente, ado. horriblement, afker- 
soment, effroyabloment. 

Horror, s, m. *horreur, effroi, Irayeur. 
tpouvante ; deteststion. Fer — ao crime ärou 
horreur du erime, l’avoir en horreat. Se 
olkado com — por alguem;, €ire en borreiti 
quelqu’un. 

HoRRorızÄDO, A,p. p- de 

Honzorızir, v. a. faire horreur, elfraie. 
6pouvanter. 

HORRORIZÄR-SE, v. r. avoir de formen. 
s’effrayer. 

HonnoröSAM£NTE, adv. avec horrear. le 
riblement. Effroyablement. Hideusemeni. 

Horkoröso, A, adj. borrible, efroyadk. 
affreux, &pouvantable. Hideax. 

Hörra, s. f. * jardin potager, verger. 

Horrivo, A,p. p. de Hortdr. 

HoRrTaLica ,s. f. herbes potagäres ; legume. 
vegetaux bons ä manger. 

Horrär, o. a. jardiner : cultiver soignee®“ 
ment comme en jardin. 

HorteLi, —LAa ou —ran, 8. f. (1. de bt. 
— ordinaria, menthecommune ou des jardii 
baume. — silvestre. V. Menthrasto. — 7 
menla, pimenlosa ou apimeniada, menibt p+ 
vree ou citronnee. — dos rios, menthe ayıt 
iique, baume d’eau. — crespa , mentbe In 
ou crepue, 

HonteLiö, s. m. jardinier. 

HortELöa, 3. f. femme du Horteldo, ja 
niere. 

HoRTENSE, adj. 2 gen. de Jardin, culin @ 
Jardin. 

+ Horrt£nsıa, s. f. (8. de bot.) hortensia: & 
hrisseau saxifrage de la Chine, hydranges. 

Honrinua, s. f. dim. de Horte. 

Hörro,s.m.jardin clos de murs. — de ef 
shemani, jardin des Olives. 

+ HonroLäna, e. f. (t. d’kist. nad.) "ortolan 
petit oiseau de passage. 

HorroLä6. V. Horteido. 

Hosinna, s. m. hosanna : priere des Jaifr d 
la fete des tabernacles. 

Höspuoa, s. f. hötesse, femme logee che 
queiqu’un ; qui tient suberge, qui loge. 

HosPEpino, A, P- P. d’Hospedar. 

HosPRDAnOR , A, 6, qui loge graimlteıment. 











HUI 
a Anserpionn, s. f. hospitalitd. V. Gesalkado, 


Hospspär, 9. g. höherger; recevoir, loger 
chez sei. Donner l’hospitalite. 

Hospeparia, 5. f. hötellerie, auberge ; hos- 
ice. Appartement destin& dans un monast£re, 
eic., a loger les etrangers. | 

"HospERÄVELMESTE, adv. avec hospitalile. 

Höspenz, 5. m. höte : personne qui en loge 
une aulre, ou qui est Jogee chez elle. Hötelier, 
aabergiste, logeur. Celui qui loge quelqu’un 
ebez lui. Etranger. Ser — em algumaarle, etc., 
&se ignorant 04 peu versö dans un art, elc. 

— em sua casa, (fam.) n’eire chez spi 
qu'aux hegres de repas. —, criado 6 peixe aos 
ir dias aborrece, (prov.) hötes, valeis et les 
eissons, trois jours passes ne semblent bons. 

Hosren£ıno, a. m. höte, hötelier. 

Hospepkıro, A, adj. hospitalier. 

Boseicıo, s. m. hospice : maison pour loger 
ks pauvres passants; pelite maison reiigieuse 
oü logent, en passant, les religieux du m&me 
ordre, ° Hospitalits (gni.). 

Hospiıräl, s. m. böpital : maison fondee pour 
les malades. Maison oü l’on donne le couvert 
aux payuyres passanis : bospice. — de sangue, 
(mil.) höpital militaire oü Yon envoie d’abord 
les blesses, Ser a casa um —, on le dit d’une 
maison od il y a beaucoyp de malades. 

"HospiräL, adj. 2 gen. hospitalier : qui con- 
cerne la bonne hospitalite. 

Bospıtarinıo, A ‚adj. hospitalier. On le dit 
de certains ordres religieux militaires, —s, 
ı.m. pl. bospitaliers: ordre militaire de Malte. 

HospıraL&ıro, A, adj. hospitalier, charita- 
ble. s. Directeur d’höpital; infirmier. 

Rospitauıpine, 3. f. hbospitalite : charite 
eıercee envers les pauvres passanis; bon ac- 
saeil qu’on fait aux Eirangerr. 

Hoseopän, s. m. hospodar : prince vassal 
da grand turc. 

"HostaLicew.V. Estalagem. 

’Hostäö,s. m. Hospedaria. 

Hoste, s. f. armee, camp ennemii. 

Hösria,s. f. hostie : viclime Offerte en sa- 
erilice; pain sans levain que l’on consacre & la 
messe. 

Hostit, adj. 2 gen. contraire, nuisible, en- 
Demi , hostile. 

HostıLiväng , 3. f. hostilite, incursion,, dom- 
image fait & la guerre. 

Hosrıuızäno, a, p.p. de 

HossıLızän, vo. a. traiter hostilement. v. n. 

des hostilites. 

Bosriumtuts, adv. bostilement : en ennemi. 

Horsıa. V. Ussia. 

"Bi. V. Onde. 

"Hicma,. V. Area, Cofre. 

* Bucaöre. V. Cofr&te , Arquedle. 

HuconoTeE 08 huguenol : 

BTcteznorg,s. etadj. 1 niste. 

* Bucricıo , 5. 9. " proposilion isynique. 

H6ı! interj. ho! holä! obo! 

Hrıvapon , A, adj. hurleur : qui burle, 


calvi- 


HUM 671 


Huıvär,v.%. burler: pousser deshurlements, 

Humıaa. V. Huivar. 

Höıvo, 3. m. hurlement des loups, des 
chiens. 

* HuLa, HuLo, nour Onpe 53TA 4, 0? (od est 
le, la?) 

Hum pour Hu. V. Onde. 

Huu, interj. maniere d’appeler quelgu’us. 

Hum, A,adj. V. Um. 

* Husicem. V. Imdgen. 

Huuunino, A, pP. p. de Humandr. 

Huuanir. V. Humdno. 

Huminau£nte, adv. humalinement : sutrant 
le pouvoir, la portte, la capaciie de ’hamme ; 
avec humaniisd, bonts, sensibilite. 

Humanin, @. e. transformer ou hommes. Hu- 
maniser. 

Humsania-se, o.r. ss faire hosame , parlans 
de Jesus-Christ. (Ag.) S'bumaniser, devenir 
plus doux, plus traitable. 

Hosanıpioe, 5. f. humapii6 : nature hu- 
meine; les bammes; bonunstels, bonie, deu- 
oeur; sensibilit€ pour les maux d’autrui ; bont& 
exerc&e. (fam.) Corpulence , embonpoint. Fra- 
gilitö de la chair, penchant ä la luxure. —s, pl. 
Humanites: &iudes jusqwä la philosophie; 
belles-letises. 

Hunuanissino, A, adj. sup. de Humano. 

Hougauista, &. m. humanisie : qui etudie, 
sait, enseigne les humaniles. 

HoMmanızipo,A,9.p- de 

Humanızir, v. a. bumaniser : inspirer des 
senliments, donner des meurs, des manieres 
conformes & l’bumanile ; rendre plus traitable, 
plus favorable. —se, o. r. V. Humanar-se. 

Humsino, A, adj. humain, de ’homme en ge- 
neral, qui le concerne, lui apparlient; (Ag.) 
sensible A !a pitli6 ; debonnaise, doux, affable, 
seeourable, bienfaisant. 

Humänos, s. m. »%. humains: les bommes, 
P’humanile. 

+Hums,s. f. Pedra —. V. Alumen. 

Huuscrär. V. Humederer. 

HUMECTATIVO, A, adj. qui humecte, 

HuuM£DEcEr, v.a. humecter : rendre bumide. 
ll est aussi r&ciproque. 

HUMEDECIDO, A, 2. p. de Humedecer. 

Huuente. V. Aumido. 

HumeriL, adj. 2 gen. (4. d’anat.) humeral: 
qui a du rapport ä l’epaule. 

HusERÄRIOQ,, A, adj. (1. d’anal.) humtreire : 
qui a du rapport ä l’'humerus. 

Huuipäng , s. f. humilile; moiteur. 

Hüuıpo, A, sd). humide, de la nature de 
Peau; miouille, humecte, moiie; ou il y a de 

’humiditse. Homem —, (buri.) inconlinent, 
lascif. 

* Husır ou —ıE. V. Humilde. 

HuntLivine,, s. f. humilile : verlu chretienne 
que nous donne le senliment de notre faiblesse; 
deference, soumission ; abaissement; modestie, 
sentiment de notre bassesse devanı Diea, (Ag-) 
Basscsse d’Ame, d’extracuion , obscurite. 


BumıLnino, A, 2. p. de Humildar 


0 HORB 


osucher. — um, — ouiro , Laniöt un, tantöt 
Fautre. Chöga a sus — , sa derniere heure ap- 
proche, Il va mourir. Seja em b6a—, soit, & 
la bonne beure. — mingudda , heure fatale. 4’— 
d’esia ou a esla —, dans co moment, & l’heure 
qu’il est. Var-te em — md, va-Ven au diable. — 
sus! sus, bon , courage! Näo ler uma — de seu, 
n'avoir pas une heure & s0oi.—s, pl. heures: livre 
de prieres. — canönicas, heures canoniales : 
les diverses parties de l’ofice divin. — mend- 
res, petiles heures : prime, tierce, sexie et 
none. A lodas as—, ätoute heure, sans Cesse. 
Fazer-se —, @ire temps. Föra d—.V. Desko- 


ras. — dilosas , aforiumadas,, heureux loisirs. 
Horı, ade. i present, maintenant. 


+ Horacı$no, a, adj. quia tient & Horace. 
a Koraire Pan eoncerne les 


Horirıo, A, 


ures. 
BHöapa, 3. f. horde : peuplade errante. 
Hoaneirzon —T0, 8. m. lisane d’orge. 
. Hönneu, etc. V. Ordem, etc 


HorvKoLo, 8. m. (tl. de chir.) orgeolet, crite 
ow orgueilleux : aposteme alonge, fistuleux, 


aux paupidres. 

® Honni ,s. m. ordre religieug. 
„Honpimäıno. V. Ordinario. 
’Hontıı, die. d’Höra (t. burl.). 
*Hoaröos. V. Orfäo. 


+Hönia, s. f. (1. E’kist. nat.) horie: coldo- 


ptere, horiale. 


Honızonrin,adf. 2 gen. horizontal : paral- 


lele & l’horizon. 
HoRIzONTaLMenTe, ade. horizontalement : 
parallöiement & l’horizon. 


Hornızöntz, s. m. borizon : grand cercie de 


la sphöre qui la partage en deux; ce que l’on 
voit du et de la terre. 


Hoauino, s. m. (l.de bot.) V. Gallocrista bas- 
tarda. — dos montes, "horminelle des Pyrenees. 
Hounnavgaus, 3. m. (l.de fort.) ouvrage & 


corne. 


Honockarnia, s. f. horographie : art de faire 


des cadrans. 
HoroLocıäL, adj. 2 gen. qui concerne l’hor- 
oge. 

Honor6öcıon, s. m. breviaire; heures, livre 
de prieres chez les Grecs. 

Honomersia, s. f. horometrie : art de mesu- 
rer et diviser les heures. 

Honoscorir, o. a. tirer l’'horoscope. 

Hosöscoro, s. m. (t. d’astrol.) horoscope : 
prediction de la destinee de quelqu'un , d’apres 
’inspection, la situation des astres, lors de sa 
nalssance; ascendant; Opposition ou situation 
des asıres dans lo theme celeste. 

Hönna, s. f. (8. d’Asie) ° bois tres-lourd, ne 
dans !’eau, ot qui ne se soutient pas sur sa 
surface. 

HoaRENDANENTE, adv. borriblement; hideu- 
sement,. 

Bonaenpissıuo,, A, adj. sup. de 

Honatupo, a, adj.borrible,affregz, eflroya- 
bie ; hidegz. Extraordinaire. 

BQnnSnTE, adj. 2 gen. Y. Horrendo. 


B0S 


Hönnzo, s. m. (p. us.) grenier le bl. 

HonaısıLinäpe, s. f. qualil& de ce qui est 
horrible. 

Honnısıuissımo, A, ed. syp. de Horrivel. 

Hörrıpo, A, adj. (podl.) horrible. 

HonrirEro 08 —FicO, A, adj. (podl.) quilait 
borreur, &pouvantable, effrayant. 

Honntritacäö, s. f. (6. de med.) horripils 
tion : frisson subit de toute la peau, pendant 
lequel les poils se herissent. 

} HoanıpıLäa-sE, ©. r. eprourver une börri- 
pilation. 

Honrisono, A, adj. qui fait un bruit ber 
rible; qui rend un son horrible. 

Hoarivsı, adj. horrible, affreux, eflroyabie, 
&pouvantable. j 

HoRRıvELMENTE , adv. korriblement, affres- 
sement, effroyablement. 

Honor, s. m. *borreur, effroi, frayeur, 
€&pouvante ; deteststion. Teer — ao crime, ar0il 
borreur du erime, l’avoir en horreur. Ser 
olkado com — por alguem, €ire en horreuti 
quelqu’un. 

HorroRızino, A,p.p- de 

Hoarosızin, v. a. faire horreur, eßrayer, 
$pouvanter. 

Honrorızäa-sE, v. r. avoir de l’borreut, 
s’eflrayer. 

Honrorösamente, adv. avec horreur. Hor 
riblement. Effroyablement. Hideusement. 

Bonzonöso, A, adj. horrible, effroyabie, 
affreux , &pouvantable. Hideux. 

Höntı,s. f. " jardin potager, verger. 

Horrino, a,p. p. de Horidr. 

HoaraLica, s. f. herbes potageres; legumes, 
vegetaux bons a manger. 

Hostäir, o. a. jardiner : cultiver soigneust- 
ment comme en jardin. 

Honreri, —ıla ou —ran, 5. f. (8. de bei.) 
— ordinaria, mentheoommune ou des jardins, 
baume. — siluesire. V. Menthrasto. — pi- 
menla, pimenlosa ou apimentiada, menthe por 
vrde ou citronnee. — dos rios, menthe squr 
tique, baume d’eau. — crespa , mentbe Iriset 
ou erepue. 

HoarteLäö, s. m. jardinier. 

‚Honrzıöa, s. f. femme du Horteiso, jardı 
Diere. 

HoRT£NSE, adj. 2 gen. de jardin, cultiv @ 
Jardin. 

tHonrtensıa, s. f. (8. de bot.) hortensia: ar 
brisseau saxifrage de la Chine,, hydrangea. 

Hoarinna, s. f. dim. de Horta. 

Hörro,s.m.jardin clos de murs. — de Geh 
shemani, jardin des Olives. 

t Hontouina, s. f. (t. d’hist. nat.) *ortolan: 
petit oiseau de passage. 

HorroL4d. V. Horteido. 

Hosinna, s. m. hosanna : priäre des Juifs ö 
la fete des tabernacles. 

HöseuoA, #. f. hötesse, femme logee che! 
quelqu’un ; qui tient suberge, qui loge. 

Hos?snäino, a, 9. P. d’Hospedar. 

HosPnpanea, A, #, qui loge grate 


HUI 
Hospznicen,, s. f. kospitalitd. V. Gasalhado, 
id. Hospedaria 


Hosrepin, 9. qg. böherger; recevoir, loger 

sei. Donner l’hospitalite. 

llospenaria, 5. f. hötellerie, auberge ; hos- 
pice. Appartement destine dans un monastöre, 
eic., a loger les eirangers. 

* HospEpÄVELMENTE, adv. avec hospitalile. 

Hösrpspe, 3. m. höte : personne qui en loge 
une aulre, ou qui est logee chez elle. Hötelier, 
aubergiste, logeur. Celui qui logs quelqu’un 
ehez lui. Eiranger. Ser— em alguma.arle, eic., 
etre ignorant 0% peu verse dans un art, elc. 
Ser — em sua casa, (fam.) n’eire chez soi 
qu’aux heures de repas. —, criado e peize aos 
ir&s dias alorrece, (prov.) hötes, valeis et les 
paissons, trois jours nasses ne semblent bons. 

Hospeptiro, s. m. höle, hötelier. 

Hospepkıaa, A, adj. hospitalier. 

Bosericıo, s. m. hospice : maison pour loger 
les pauvres passants; petite maison reiigieuse 
od logent, en passant, les religieux du m&me 
ordre, * Hospitalits (gui.). 

HospiriL, s. m. höpital : maison fondee pour 
les malades. Maison ou l’on donne le couvert 
aux pauyres passanis : bospice. —de sangue, 
(mil.) höpital militaire oü l’on envoie d’abord 
les blesses. Sor a casa un —, on le dit d’une 
maison oü il y a beaucoyp de malades. 

"BospitäL, adj. 2 gen. hospitalier : qui con- 
cerne la bonne hospitalite. 

HospiTaLirıo, A, adj. hospitalier. On le dit 
de certains ordres religieux militaires. —s, 
s. m. pl. bospitaliers: ordre militaire de Malte. 

HospitaLkıro, A, adj. hospitalier, charita- 
ble. s. Directeur d’böpital; infirmier. 

HospiraLıpäpe, 8. f. hbospitalite : charite 
exercee envers les pauvres passanis; bon ac- 
cueil qu’on fait aux &lrangers. 

Hosrovir, s. m. hospodar : prince vassal 
du grand turc. 

* HostaLices.V. Estalagem. 

° Hostäö,s. m. Hospedaria. 

Höste, s. f. armee, camp ennenii. 

Hösria, s. f. hostie : victime olferte en sa- 
erifice; pain sans levain que l’on consacre & la 
MESSE. 

HosriL, adj. 2 gen. contraire, nuisible, en- 
nemi , hostile. 

Hosriuipäne , 3. f. hostilite, incursion , dom- 
smage fait A la guerre. 

Hosrıuızino, A,p. p. de 

HosriLizir, v. a. traiter hostilement. v. n. 
Conumeitse des hostilites. 

Hosriuuture, ade. hostilement : en ennemi. 

Housm. V. Ussia. 

"Bi. V. Onde. 

° Bicna. V. Arca, Cofre. 

* Bucuöts. V. Cofr&te, Arqudte. 

HUCONOTE 0% huguenat : 

Hrcuznorg,s. etadj. 1 niste. 

* Hucricıo, 8. m. * pfoposilion ironique. 

B6ı! inter). ho! holä! oho! 

Huivanoa , A, adj. burleur : qui burie. 


calvi- 


HUM 671 


Huıväa,v.n. hurler: pousser deshurlements, 

Humiaa. V. Huivar. 

Hüıvo, s. m. hurlement des laups, des 
chiens. 

* Hur.a, HuLo, pour Onpe zsTÄ 4, 0? (od em 
le, la?) 

Hunm pour Hv. V. Ondes. 

Huu, interj. maniere d’appeler quelqu’us. 

Hum,a,ad. V. Um. 

* Humäcsnm. V. Imdgem. 

Hunanin0, A,92.p. de Humandr. 

Huuanir. V. Hundao. 

HuMinANMENTE, ade. humainement : sulvant 
le pouvoir, la portee, la capscite de l’bomme; 
avec humanitd, bonts, sensibilits. 

HumaniR, 0. a. transformer en homme. Hu- 
maniser. 

Humanir-se, o.r. se faire homme, parlank 
de Jesus-Christ. (Ag.) S'humaniser, devenir 
plus doux, plus traitable. 

Humyanınipe, $. f. humapiiö : nature hu- 
maine; les hommes; bonnstei, bonte, deu- 
ceur ; sensibilite pour les maux d’autrui ; bont& 
exercee. (fam.) Corpnience,, embonpoint. Fra- 
gilitö de la chair, penchant & la luxure. —s, pl. 
Humenites : eiudes jusqwä la philosophie; 
belles-lelises. 

Huuanissımo, a, adj. sup. de Humano. 

Husauista, & m. kumamisie :ı qui etudie, 
sait, enseigne les humaniles. 

HuMANIZiDO, A, p. p2. de 

Huuanızir, v. a, kumasiser: inspirer des 
sentimenis, donner des meurs, des manieres 
conformes A l’humaniie ; rendre plus traitable, 
plus favorable. —se, u. r. V. Humanar-se. 

Humino,a, adj. humain, de ’homme en ge6- 
neral, qui le concerne, lui appartient; (flg.) 
sensible & !a pili6 ; debonnaire, doux, affable, 
secourable, bienfaisant. 

Humänos, s. m. pl. humains: les bommes, 
Y’buimanile. 

+ Hums, a. f. Pedra —. V. Alumen. 

Huuecrän. V. Humederer. 

HUMECTATIVO, A, 0dj. qui humecte. 

Htcumepeckr, v.a. humaecter : rendre humide. 
ll est aussi r&ciproque. 

HUMEDECIDO, A, ?. p. de Humedecer. 

Huutute. V. Bumüdo. 

HumEräL, adj. 2 gen. ($. d’anal.) humeral: 
qui a du rapport & l’epaule. 

HusMERARIO, A, adj. (4 d’anat.) humtraire ; 
qui a du rapport ä l’'humerus. 

Humıpäng, 3. f. humidile; moiteur. 

Himpo, A, adj. humide, de ia nature de 
Peau; nmiouille, humecte, moite; ou il y a de 
Y’hbumidite. Homem —, (buri.) inconlinent, 
lascil. 

* HumıL ou —LE. V. Humilde. 

HuxıLıpäne, s. f. humilits : verlu chrelienne 
que nous donne le sentiment Je notse laiblesse; 
deference, soumission ; abaissement; modestie, 
senlimeni de notre bassesse devanı Dieu, (Ag.) 
Bassesse d’Ame, d’extraclion , obscurite. 

HuyyınÄino, A, P- 2. de Humilder. 


iz HD 


+ UvenoLoelı, b. fi Imypueloge : sugie de 
somineil et des veiltus. 

+ Hımnoidates, A, aij, hypmelogique : 
d’bypnologie. 

Arpaörmo, A, adj. (6 ds med.) hypnetique : 
qui provoque le sommeil; narcotique. 

Rtrookssro, 0, u. hydooausse : balnı dbd- 
terrain; fourneau pour 6shauffer na bein. 

Mryonenraueo. V. Hi 

+ Arpocmmnıs, 8. f. (t. de bot.) salade de 


por. 
Briodistn 08 «10 , 5. 5, (4. de det.) kype» 
eista : plante vor ies seinen du viste. 
Hyrroconpaia, 8. condrie : passiven 
driegun, Vv RE 


nta00, A, af. hypevendrieque s 
(sısladie , aleutten) des hypecondres; ie ms- 
lade. Triste, melancoligue; 

yrossiunoe, & m. pl. kypboendres : paf- 
ies latörales de la parıie supttioute du bas- 
vonise. 

Hrrocaene. V. Hippoerins. 

Brbocasia, a. f. kypociisie: fausse app&- 
zenc6 de pi6t#, de vertu, elc. 

Byuösarza, 6. m. ei adj. ygn. bypooriie. 

Hrröcatramanıe, ade, d’ane mauiöre hype» 


ohfin. 
WyraninroLn. V. Antiphon. 
+ Hrropörıo, A, adj. hypodorien : (ten) em 
@u doriem, 


Hrrocäistaıco, A, adj. (f. Fanat.) hypegas- 
Was: de Phhypogastre. 

Hrrocästrıo, s. m. (4. dan.) bypogasure : 
Partie inferleure du bas-veutse. 

Hrrooto ou 050, 3.0. (1. Fant,) aypogäs: 
tombesu', &diice dows lurrd. 

+ HrrocLössa, s. f. (4. ds du8.) * aurler & 

‚ dodbie-lengae, 


HreooLömms, 0. [+(1. d 
+ Proc dene ze fte anal.) Irypogiessis: 
1 0 d’anas.) hypogloitie » 


HErmoaonne. 
Hrroc (. 6. de bet, 
+Hr alas a Ct 
( a ET | 


Ars 


+Hrrosmaata, 6. m. (fı da ) bype- 
spbagme : suffusion du sang sous la pean. 

Hrrögeasıa, #. f. (i. de Ihtol.) Aypostase: 
Suppöt, personne. (f. de dd.) -, södiment 
d’urine, 

Hvrostiticauente ade. bypesistiguemeni : 
d’une maniöre hypostatique. 

Hrrostärıco, A, adj. hypestatigue ı de P’hy- 

20; (union) da verbe aveo la makdfe 
maine. 
Hrrerasan, & fı bypoihöque : droit dellget 


& un erdancier sur los immenkhies de dübiteut. 
Hvrorssciknn, A, pP do 
Hysornucka, 9 ® s demmer 
pour kypoikögue ; sonmelire A Ih 
Hyrorazeinio,, A, adjı hypeibtseire ı qui a 
ou donne droit d’hypeihöyus, qui a zappent 
aux hypothäques. 


Hvrerazwisa, & ih do al) kyuetl- 
nuse : cöl#b oppess & Fangle deeit dene wa 
triangie rosiemgle. 

Hrrörnzsz ou — 0, 8. f. hypoihöse « SUpp® 
sition d’une chose possible ou non demi em lies 
une osmadqueree; prepesilion colprise nuNt 
la Ihdse generale; systöme. 

Hyrorasricautura ,ado. hypoiktiiguasment: 
d’une maniere hypoihötique; par hypeibiss, 

suppesilion, 

Hrrotuttico, A, adj. hypoikttigue « Somib 
sur uns hypethöse. 

Hyrorrrösıs, e, f. bypotypone : deneriptien , 
peintate vive et animdp,, figure de rbeteriqgue. 

+ Hrakes, 5. m. (4. det, nat.) deman ı biei- 
roau des roohes d’Alrique , de Ja taslhe de Iuptn 
et de la forme du oochon d’Inde. 

Hıncano, Lund, Sit. Eyrmasien ı de FE» 
canie, comirde d’Asie. 

Hvasımi6, e. m. "Irerbo de Be-demm. — 

Hrsoripa, s. f. gauntiis d’eaut qu’on jgiie 
avoe le eupilien. 

Hrsorano, A, 9. p- de 

Krmekn , ou 0. asperger avoo Is geupillen. 
Hrsörz, s. m. goupillon, asperges, asper- 


stamines qui | seit. 


soni sans Y ni ak Hreseiızto. V. Siymbre. det) h 
YPOLY’DIO, 4, kepelydiens seus | Hraoro ou —&80r0, 6. m. 

lesen (on) Kyeope : ı plande men un, lahlte: — dis dd 

Pi HrronızoL.r’o10 ‚A, adj. hypemäxzoiydien: | iomde ou das perudigs, 
) qui ient de I’hypolydien. HVorEaaLcia, 6. f. (. da möd.) byotizeigie: 
YPONÖCHLIO, 3. m. bypemochlinn ı peiht | dewieise dans in meirieg. 
@’appui d’un levier. Brersumo, A, nd). bynisrigue: qui a rap 
port & ia ımatnios. 


f Hrröruızo, 6. m. (i. db “)h 
phlde ı coldopiärer dleparalı nn ah) BIp- 


+ Hrrorsar’oıo, A,0d). bypophrygieth ı (800) 


te t.de md.) vypoph- 
Gsalmie : doulour nd estate auf 
? Hreörfon, 5 (ke. 
sous _la gornde. 
en 


I; or (4. de mil.) "bystdeie: 
afeclion bysterique; 1; dälire da Pameur ahysl- 


+ "F Hrerankns, f s.f. | de Add.) bystäffis: 
erenoronia, de ‚s 1. de Or. ) kystärow- 
mie - ob de M le. 











u 


ICH Ä 


1 


], s. m. neuvieme lettre de l’alpbabet pariu- 
gais, et la troisitme des voyelles. I est une 
lettre Humeridue qui vaut 1, et signißait 100 
chez les aneiens. 

I, ade. V,AM, Hi. 

* I power Ioz (aller). 

liuno,. V. Jambo. 

+ Ipruausenica 6. f. istraleptique : art de 
guerif area des fribtions, des remöden exie- 
rieurs. 

Fiärmico, a, adjı latrique : medical, qui 
appartient & la medecine. 

ise. V. Ihe. 

Istria,d.f. (8. de gEoy.) Iberie : aneien nom 
@6 VEspagne. 

Isenıeo, —RıNO 0% Ibdre, d’Igerie, Ibe- 

Isernıo,— ro, adj. et3.) rien, Espagnol. 

T Isısos6ca, 8. f. (1. d’hist. hal.y*ibibobota : 
eouleuvre du Bteall. 

T Isitina Do Baazır, 8. f.(. PRist. nat.) 
arcib : dspbed de serpent d’Asie et d’Ame- 


que. 
Isıcz. V. Ibis. 
Inırıränga, 8. f. (f. de bot.)arbre du Bresil 
( s pedunculala). 
+ Isina, s. m. (t. da bol.1ibifa : arbrisseau 
de la Guyane. 
Fimaacöa, a. f. (1. d’Mst. Hal.) ibiracoa : 
serpent datigereux du Br&sil. 
+ isına vıränca,s.m. (8. de bol.) ibira pi- 
(üliga, arbre : döhne le Bold du Bresil. 
+ Isıripe, s. f. (1. de bot.) iberide ; plante 
eraciföre. u 
2is,e. f. (ti. d’hist. nat.) Ibis: olseau yui de- 
vöre les sörpents, plus P6lit que la cigogne, en 


ve. rn 

nızUna.V, Sabofire do Brazil, _ 

Icä ‚s. f. V. Coneubina.it. Espdce de grande 
fourmi A 1410 royge. . 
„Fleanas, s. f. pl. (4.’d’ant.) Icades ı fütes 

e, is vingtiöme jour de la. une jed- 


Icapo,A,p. p. de 

Join, . a, hisser : hasiser, faire mentet. 
= 6 antora com eo apardlko de lurcd, ( 1. de 
mar.) caponner l’anore. -- pesos por meio 
duma estralheira, palanueer des fardeauz, 
ote. Ira! (ich) suille! 

Ficiutp, a; wehj, d’Iegre. 

+ loanina,s. f. (t. du Brösil), V. Biemibire. 

Icuacöavos. V. Echacorvos. 


ICHNEUNoN, 8. m. (4. hist. nal.) ichnet» 
mon: rat de Pbaraon, rat d’Egypie, mangeuste 
otdinaire, quadrup6de de la gresssur dis 
ehat. 


IcnkeoaArnia, s. f. ichnographie : pldn 60» 
metral d’un edifice ; plan des dimensions hof 
zontales d’une forieresse, etc. 

IcanocrärHıco, A, adj. ichnograpkiitiug » 40 
lichnographie. 

f lomnöcnarno, 8: m. ichnoktaphe ; indb- 
nieur, qui exerco Pichnegrapbie. 

Icnö om len6z, 8. m. tröbuchet, piäge Poub 
pfendte les laphıs et les perdriz. 

P’cHoR, &. m. (l.de chir.)ichor:: o&rositd dere, 
sanio des uleeres. 

IcHonöso, a, adj: (f. ds chir.) Ichoteiiz 5 
(pus) sereux et äcre. 

+ karıouımazs, 4. m. pl. (fi. Ihisl. Hal. 
ichtyolithes : poissons p6trißes, 

IchtyoLocia, s. f. tchtyologie : histoire nalk- 
relle des poissons. 

IchrYorLocista, 8. f. ichtyologiste : auleuf 
qui ecrit sur les poissons. 

Ichtyörtaco, a, adj. eis. ichtyophage : qui 
ne mange que du poisson. 

+ Icica,s. f. (1.de bot.) *balnarnier ; baumidr, 
arbre du baume. 


. + Icıpanisa, u fı (l. du Brösil). V. Bie 
hilira 


* Icözitd. V. Kednomo (de l’eglise): 

Tcönıco, A,adj. (}. de peint. et Parchi 
peint d’aprds nalure, repriseni6 au na 
iconique. . . 

iconocLista, e. m. iconoclasıe : herdtigue). 
briseur d’images. hen 

IcomoLocia, &. f. iconolegie ı reprösentatiän 
des &ires moraux sous des formes sensibleng- 
interprötalion, explisatieu Hesimages, des mb- 
numents antiques. 

coNöwaco, 3. m. iconomaque : qui ouunbat. 

le culie des images. 

boss£pRo, s. me. (1. de ) ioodadıla » 
solide rögulier dont la surface de compose du 
vingt triangles &quilaterauz. 

loosänpaıa, 8. f. (4. de bot.) koösandrie © 
vlaase des vögttauzx & vingt dtamines et pluß; 

icesinpaıoo, A , adj. lootandrigee : de l’iewi 
sandeie. . 

Icrenicıa, 8. f. ictöre ow ictöriele ı deborde- 
ment de bile qui causd la Jaunisse. Jawhlbed, 

körzauzkuo, A,ulljı iöterigus: qui a la jen- 


.iemiß, sc: us. mmeiure itkiätaire on Asie ( six | nisse 


lieues et un quart portugaises). it. Vi UchAs. 
+ Icanzuno, s. m. (1. Wiek. nd.) Ichmeu- 

mon; hymensptäre,, isröbrant. =- intader, 

Iehamminein nair ut Jans. — airachioo, Ionen 


Icr£rıco, A, adj. towärkree : dul a la jinrhiide; 
ui la conoerne. 

Psa, 8. f. alle, oourie, Toydge, käutelä; 
depart. — por tinds, allet dt venit, = 0 vll- 
das, alldes ot Yonmeb; 





06 1DE IGA 


r . m. (I. de geog., Ida : montsgne | IpkoLocia, s. f. jdeelegie: Iraite , science des 

ee rm Li de gig idees, des facultes intelleeiwelles de Themme; 
Inier, s. f.° : duree ordinsire, degre, | recherche sur leur origine. 

cours de ia Fe, Bora de la vie; temps; sie- + leroLöcıco, a, adj. idtelegigue : de Fider 
ele; nombre de siecles; epoque; vieillesse ; | logie. . n 
jours que Fon a vecu, temps ecoule depuis la|l iInzöLoco, s. m. et adj. Idtologue : qui eerit 
nalssanee. — de diserisdd, äge de raison. — | sur l’ideelegie. . 
sucdin, je moyen äge : du quatrieme au qein- | IsıLso. V. Jdyilie. . 
sbtete sitele. Curia —, bas üge. Homem de| + Inio-zLäcramo, a, ad. jdie-+iecitigue : 
medeana —, an bomme entre deux äges. A ler 


susceptible d’eire electrise par [rolisment. 
de minhs — passou , mes bean jours sont pas- 
She. 






















Insöma, s. m. idiome : langue propee ä une 
nation, & une provinee; dialecte. Langage. (1. 
de th£ol.) — „ propriete. 

inıorarnia, s. f. idiopatbie : maladie pyop 
& une partie du corps; imolination 
pour une chose. . 

IBIOPÄTEUO ,, A, adj. Idiopathigue : de Vidie- 
pathie. 

Inöra ,s. et adj. 2 gen. Idiot, set, ignerasl. 

lnıorısuo, s. m. idielisme : Jocution parli- 
eulidre d’une langue, souvent coniraire auX 
lois de la grammaire generale. —, absenne 
d’idees, d’entendement. 

Ino, p. p. de Ir. 

T’ooLa, s. f. le feminin d’Idolo. , 

InöLataa, adj. et 5. 2 gem. idolätre : qui 
adore les idoles, les faux dieux, qui rend un 
culte divin a la creature; (Ag.) qui aime arce 
exces. 

IpoLaraipo, A, 9. 9.de 

InoL.arair, vo. a. idolätrer : adorer les ide- 
les; (Ag.) aimer avec trop de passion. 

lvoLaraia, s. f. idolätrie : adoration des 
idoles; culte des faux dieux, de leurs images, 
de la cr&ature; (Ag.) amour excessif. 

tYooLiraıco, 4, adj. (inws.) idolätrigee: 
de Pidol4trie; qui tient de Pidolätrie pour les 
@tres. 

P’boLo, s. m." idole : figure, statae d’une di- 
vinits, que l’on adore ; cette divinits elle-meme; 
(fg.) objet d’idolätrie, d’affection, de pas 
sion. 

IpoLozinmo, s. m. dim. d’Idolo. Petite Idole. 

lDönzanenTe, adv. avec Idoneits; convena- 
blement. 

Inonzıpäne, 8. f. idoneite : aptitude &...; ca 
pacit#; suflisance, habilete. 

lnönzo, a, (para) adj. propre, &pte, conrt- 
neble, capablie; fait pour. — para vr 
sinar , irop peu fait pour enseigner. 

Ppos, s. m. pl. Ides : le quinziäme jour de 
mars, mai, juillet et octobre, dans le calen- 
drier romain, et le treisiöme des autres mols. 

inöso, A, adj. fort Age, fort vieux. 

Innopzsia , etc. V. Hydropesia, ete. 

+ Ipumto, a, adj. et s. Idamsen : d’Idumbe, 
prevince d’Arabie. 


“. + 


IpiLsa, 8. f. (1. de gdog.) Idalie : mont et ville 
Chypre. 

lpiLıo, a, adj. d’Idalie. 

Ioka ow Ipkıa, s. f. idee: perceplion que 
Fine obiient par les sans, tant iniernes qu'ex- 

nes, ou par sa nalure, par la rövelation ; Bo- 

n que l’esprit se forme d’ane chose ; enpeces, 
formes, images dans l'imagination, la me- 
moire; ce qui occupe l’esprit, ce qu’il pergoit 
lorsqu’il pense ; dessein, projet, pensee, con- 
ception ; opinion, avis; souvenir, forme, mo- 
de)e des Uipses ; image. Objet, but, fin qu’on 
se propose. » 

lpzibo,,a,p.p. d’Idear. 

IoriL,adj.2 gen. ideal : qui n’existe qu’en 
Mer, dans ’entendement; chimerique. O belle 
—,(i.d’art) Yideal: beaute, perfection ideale ; 
type forme de tralts choisis cä et lä dans les in- 

idus et rdunis en un tout. 

TloraLisuo, s. m. Idealisme . systäme de 
ceux gr volent en Diea l'idee de tout. 

lpziLmtnte , adv. en Idee. 

"Inga, o. a. concevoir l’idde d’une chose, 
songer aux moyens de l’ex6cuter, imaginer. 
(Ag) So forger des idees, des visions chimeri- 
ques. 

+ Ivım, pron. lat. idem, dito : le me&me. II 
s’emploie pour e&riter de repeter ce qui vient 
d’ütre dit ou 6erit.— per —, Fun vaut Pautre, 
dest jus vert ou verjus. 

t ICABENTE,, adv. identiquement : d’une 
manitre identique. 

äutnrıco, a, adj. identique : le meme; com- 
“ pris sous une mö&me idee; qui ne fait qu’un 
We un auire. 

NTIDÄDE, s. f. Identits : qualit6 de ce qui 
est Ühatique ‚qui fait que Jos Choses sont idn- 
tiques ; ressomblance; union sous une meme 
ldee, une meme nature. — de raxds , manidres 
de conoevoir plusieurs choses distinctescomme 
n’en falsanı qu’une. — de posson, dum indivi- 
duo, (i.de prat.) identiis de personne, d’un 
individu, certitude qu’il est en effei celui pour 

ael il se donne. 
DENTIFICÄDO, A,P. 9. de 


lorntirscan, ©. a. identißer : comprendre | Inus. V. Idos. 
deux choses sous une meme idee, sous une| Inr'ıLio,s.m. idylie: petit poäıne qui ent 
meöme nature, n'en faire qu’une. de l’öglogue. 

Inentirıcän-se (em, com), v.r.sidenüßer: | Irowire. V. Teizo. 
confondre son &tre, son exisienoe avoc celle| ° Iraxız ow Irzante. V. Infonte. 


d'un autrc, ne faire Qu’un avec lui. 


i Icacisı, 5. f. (t. da Dress) grande jerweä 
Ipso, A, adj. (poet.) du Mont Ida. e 


meitse de l’eau. 





IGN 


“loan. V. Ig 

IGARVÄNA, 5. m. 4. du Bresil.) navigateur. 

+ Ionacıäna, s. f. (1. de bot.) ignatie : arbre 
de /’Inde, före de St.-Ignace (siryehmos Ignaii). 

Icnino,ı, alj. ignare, ignorant; qui n’a 
point &tadie 

lonävıa, s. f. Indolence, lächets, poltron- 
nerie, manque de e@ur, paresse, inaction. 

Icnavo,A,adı. paresseux, indolent; läche, 
qui a Päme basse, sans Cuurage, sans ressort, 

itron. 

Ponzo, Aa, adj. igne : quiest de foa, quion 
a les qualitds; de couleur de feu. 

Ianıgi6, s. f. ignilion : tat d’un metal rougi 
au lea 

IcnicoLa, 8.2 gen. ignicole: qui adore le feu. 

Jcnirero, A ,adj. (podt.) qui contient ou Jette 
du feu. Igniföre : qui transmet le feu. 

IcnicEna, s. m. engendrö du feu. 

Icnıporknte, adj. 2 gen. (podi.) qui a le feu 
soumis & son pouvoir. C'est une öpithete que 
les pottes donnent & Vulcain. 

Icniro, a, adj.chaud, ardent, enflamme. 

Jenxivomo, a,0dj. (podt. ) qui vomit du feu. 

Ioxivono, a, adj. ignivore : qui pretend 
avsler du feu. 

Scnızan-se. V, Inflammer-se. 

lonösıı , dj. 2 gen. ignoble : bas, vil. 

IonomLivine, # . f. ignobilite, basso exirac- 
tion , bassesse 

ICnowinIa, s. f.\gnominie, infamie, deshon- 
neur. 

+ IcnommiÄr, v. 
deshonorer. 

Icxosınıösamnte, ade. ignominisusement : 
avee ignomınie. 

lanosınıöso, A, adj. ignominieux. 

IcnoriDo, A,p.p. de Ignorar. adj. Ignore, 
qui n’est pas connu. 

Icnonincıa, 8. [. ignorance : mangque de sa- 
voir; defaut de connaissance; vide de Pesprit. 
— erdssa, ignorance crasse, grossiöre. — de 
direito, ignorance du droit, des lois du pays. 
— de facto, ignorance de fait. — supina ou af- 
fectäda, ignorance volonisire ou affeeise, qui 
a pour cause une negligence coupable. ao 
peccar por —,ne pas pecher par ignorance. 
Alleguar — , pretendre cause d’ignorance. 

lcnoaantiö, OA, adj. aug. de 

Iononäntg, adj. 2 gen. ignorant : qui n’a 
point de savoir, d’ötude, illettr6; qui Ignore 
une chose, un fait, 

ICNORANTENENTE, ade. Ignoramment : avec 
Jgnorance. 

IcnonanTinHo, A, adj. din. de Ignorante. 

Icmonantissıno, A, adj. sup. d’Ignorante. 
Träs-ignorant, Ignorantissime. 

+ ICNoRANTISMO,, 3. m. ignoranlisme : syS- 
teme, opinion des 'partisans de l'ignorance des 
peup pies. 

lcnorir, v. a. ignorer : nesavoirpas; n’&tre 
pas instruit, averii, informö de; ne pas con- 


er TanoTo, A, adj. inconnu, 


a. tralter avoo ignominie, 


ICH 677 


ICRANAMIZÄMA,, s. /. fruit du Bresil, zes- 
sembio aux corises. 

lonkıa, s. f. “glise : Vassemblde des chre- 
tiens ; leur temple ; leur clerg6;; assembiöde des 
Adäles gouvernee par de legitimes pasteurs; 
chacune de ses parties ; l’ötat du clerg6 devous 
au service dirin ; domaine lemporel du pape; 
gouvernement ecclösiastigue du pape,.des con: 
ciles et des “r&ques; chapilre ou paroisse; 


diooöse. 

*Icazsirıo, s.m. V. }petite dglise. Des- 

Icazıinna, s. f.dim. | manchera—,(fem.) 
delaire, frustrer un dessein, un projet. 

* Icanıöa, 5. f. aug. d’Igraja, . 

+ IcanıöLa, s. f. V. Igrejda. . 

*Ieuino, pP. p. d’Iguar. 

Icuir (a, com, de), adj. 2 gen. $gal, pareil, 
semblable; uni, qui n’est point zaboleux; rd 
ressemblant; qui a los mämes qualitös, pro- 
pridtes; egal en noblesse, en nalssance; uni- 
forme, toujours is meöme. A—, semblable- 
ment, pareillement. Por —, galement; uni- 
ment. Ndo ser —, differer. Em — ceso, toutes 
choses psreilles. Näo vi cousa —, je ne vis rien 
de tel. Z um komem som —, c'est un homme 
qui n’a pas son pareil. 

Icvaracid, s. f. action d’ägaler. Rgalisa- 


tion. 

lovaLino, A,9. 9. d’Iqualar. adj. Ras, rast, 
uB ® 

IcuaLapor, A, 5. celui qui dgale. 

JCUALANENTO. v Igualagrdö. 

*"Icuaranga. V. Igualddde. 

IcvaLin (a,com), v. a. ögaler : rendre egal 
(prop. et Ag.); rendre uni; assimjler. 

Icvarin, v. n. tre egal. 

Icuarän-sg, o. n. s’egaler, se colmparer, se 
mettre en paralldle. S’accorder, s6 liguer, s’as- 
socier. au niveau. - 

*IcoaLvaciö, s. f. partage egal. 

lcvaLpips, s. f. 6galits, conformits; unifor- 
mite ; rapport de choses &gales;, paritd; droits 
tgauz. Correspondance, proportion des parlies 
d’un tout. V. Equidade. 

*IcvaLpänga. V ‚Igvalagdß, Igualdade. 

“Icuaıpin. V.Z 

Icviına, s. f. (1. 20p.) "rang, ordre, 6lofle. 

JGUÄLMENTE, adv. egalement. 

tlcväna, s. f. "iguane, iguan : espece de 
l6zard d’Ameörique. 

*Icvin. V. Igualar. 

Icvania, s. f. " mets, ragott. 

Icvarıco. V. Egoarigo. 

+ Iramso, s. m. (1. de bot.) Waimbo : arbris- 
soau du Bresil. 

+TVıro, adj. m. Osso —, (tl. d’asal.) os des 
iles, os du bassin. Ilion : os des hanches. 

+ ILeoLocia, s. f. il&ologie : trait& des intes- 
ins. 

ILzon, s. m. (f. danat.) ileum ow ileon „le 
plus long et le dernier des intestins grelce. 

Pına, s. f. lle: espace de terre laut envi- 
ronne d’eau. -— de casas ‚ llot , päld de wuRisons; 
#diflce entre quatre ruos, 


un IRL ; | ILL 


{ 
ind, 1,9 p- d’Mher: les conditions requises par Is lei; injauie 
Jupäzs, s. m. pl. Nauca: oötis de lanimal. an batand dei 
Där 095 — , haleter ı baue ie Mamcs , parlant| ituiso, a, adj. saim et sanf; aans teche, 
syrlout du cheral. Finder , eacaber — ‚ achever sansalleinie. 
Jınin, v. a. Iseler. ILLIBÄN® ‚A ‚ adj. entior, intart, ani ma Das 
Yızanpa , 6. m. "ol du eorps humaln, Mans. | &t& effleure „ entame. Sain, pur, s0n9 faehsı 
Der d’ — , mat de cöl#. De —, de cöt# , de Lra- | nem Catfammpü. 
a De Taten + ILumsaiL adj. 3 gen. illiböral ı aans Jihk- 
’ ralise. 


insofemment. —s. pt. (fig.) ehtös; fave- 
zig, sonsejllers, entoure. Eıtor com as mdes| Yiıummaräun,a, adj. os a. da Vilibirie: 
ville d’Espagne. 


> os pot ä deux unsos (fam.). 
Yımangind, v.m. le [7 17} dune psau. Izsschno, a,P: 2 d’Ikiger: 
Inzıcanön, A ‚5. trempeur, frandnleus. 


“ILuanaubiae. v6 . 
Iunto ou— tu, 6. wm. partie File on tie kormde | Iuumis. V. Untüre, 
ILzıcan, o. a. (rauder, escroquef. 


per des rochers © Grme de wurennt. \. 



























Dheta. Iruosae. V. Alliaier et Iligar- 
Iıwle, Oh, al. m. insulaine. Irıisıo , 6. m. efrande, wramperie ‚escroe® 
fintri, V. Fäte. 


rie. 

Iruscırauburs ‚ade. illiollement. 

Irticırg , a, adj. ilicite, defendu, 

Iıııino , &, p. p- de 

ILuir, 0. a. (Ag,) dötrnire en rölatanl. 

Iuumrine, A, ad. illimit ı qui n’a poin de 
limites , sans barnes. 

IuLochvgi, adj. 2 gen. qui n’occup® point 
d’espace. 

ILLucınäno. V. Ziueiddda. 

ILLunante, adj. 2 gen. dboevant, Irampptt. 

lııveine, A, pP. 9. de 

ILLUDIR, ©. 6. se moquer de, rajllor, insulier 
Se jeuor da queiqu’nn. Tramp#r, Jouer, dece- 
volr, frustrer ; tourner eu ridicule, mysüßer. 

Icıwuran. V. Iluminar. an 

Iuxommacäö, s. f. illumination : gcloR dl 
Inminer, son alleis; (OuX employds A Villumins 
tion ; tat de ce qui est iNumind; grande quss- 
titd de Iumiöres formanı des Aguret- MN Le 
mitee exirsordineire quo Dien r&pen dans 
Fame. Eniuminure. 


und, 8. @. aitiet paur y passen un lanel. 

ug das wilas ‚ elß., ($. de mar.) millais des 
w eis. + das oßlas para 01 0nB0T 90", (id,) 
willets d’envengure. 

Jında ‚Bd. f. fbeaıme Insulaire. 

Sundra , a. f. din. like. ? Jlot : posita In, 

Sıuörk, a. m. potite tlo disarte , lol, 

ER br s. m. din. d’Jihole. 

# Yalaot,, 6. }Misgen » (4onlope algnd) dans 
Pileum ; palique de misereöre. 

Hiiaco, A, adj. (1. dansk.) Hisqus ı de li- 
leum. Der —a. V. Tliaca. (1. dam. es pedi.) 
D’Ilion : de Frole. 

ILiapa , s- f. Minde : poßme spigus A’Hamerg 
sur la prise de Treie. . 

I1ıclapon. 7. Fllipador. 

Jııchnıo. V. Hokiconio. 

1110, s. m. V. Ilsom. (f. de göog.) Troie, Ilion, 

Iragä6, s. f. industien. Censöquenoe. 

+ lıLaosaine, A, adj. qui n’eat pas döohire, 

4 ILLacBaÄVEL, adj. 2 gen. quo l’on na pen 


dechirer. ILueumäno , A, P 9. Hllluminar. od. (a 

Fo lııscamivar, ady. 8 gen. [podt.) qui ne | Hluströ; Perg 

eure jamals. V. Inısorassl. ILLumınapes , A, % enluminenr: gui onia- 
ILıirso, a. m. "ehuts deuss; infisence dirine | mine les enlampes. 

sur ’äme. lllaps, extas®. Irrominänos, 0. m. pl. illumines : membres 
ILLaquaäno, A, 9.9. de d’une association seordie d’amia du iheisme, de 


Pindspendance ow röpublique universelle. 

Irumınän, v. a, ilaminer : eclairer, Yo 
dre de la Iumiöre sur... ; (Ag.) $clairer (Tämt, 
Pesprit ); faire des illuminations. Enluminef : 
oolorer une Ägure, uns esiamp®e. , 

ILLUNINADISSIMP OW -TIESIMQ, ds edj. of 
d’Illuminado. , 

Iuuuuimarıvo, A, adj. Muminatif : qui» a 
vertu d’illuminer, d’eclairer (l’Ame, Pesprit). 

+ Iuuomnisso, 5. m. luminisme : sect, 
deotrine des illuminds. 

ILLumınöna. V. Alle . 

Iırusäö, s. f. illusion, errear; SOng®, tanl- 
me; apparence Irompeuse aux yeUX, a Fimag 
nalion; tromperie du demon. Sorte d’iron!® 
vive et piquante. (vieuz) Moquerie. 

+ jıLusivo, a, adj. lauR, trompear, fanlasl 


u6. 
"ıriso ‚A,p- p- ier. de Jlndir, oij. Tran: 


ILLagqusän, v. a. prendre dans les Klets. V. 
, Buroder. vo. n. Tomber dans les lets. 
A) Suceomber & la tantalion. 
LLärivo, a , adj. illatil : don! OR inlöre. 

Irıtcannas, 5. f- pl. (PM ws.) amorne, ar 
traits, charmes ; Car&SsSsO®. 

ILLäCEBRO , &. m. (inwe.) V. Illöeebras., 

ILLecaL, adj. 2 gem. llidgal : contre la loi. 

ILuneauınäne ‚a. f.illögalite: paraciäre de on 
qui ost illegal. 

+ ILLBoALMANTE, ade. Illögalement ı d’une 
maniöre illögalo, sontwaire aux lois, aux for- 
mes. 

ILLEGHTIMAMENTE, ade. illögilimement ; d’une 
maniedre Hlögitime, 

ILızammıpäne, s. f. illegitimile ı dafsut de 
%gitimite. 

ILıucrrmän, 0. a. rondre illegilime. 

Icıachtıno,, A, adj. illagikisne : qui n’a p98 











stäuit, surtent peu das Himalens de ‚dimmen. 
Attraps, dups, jous. Bruhausiasts, ählani; fa- 
ge, visienneise. 
ILuusßa +6 BF. Meqneur . 
ILLnshassuäuze, adv. illuseirement. 
ILLusönıo, A, adj. illnselre ı eaptisuz, q 
tzampe pa> une AppARenGe shduisania; ande, 
sans eflet. 
Itunernagib, s. f. illaminstion, slarte, Ju- 
miere. Inspiration , windlatipu divine. Illustra- 
‚espiitellen, solaisciseament. . 
ILLUSTRÄDO, a,P. P- d’llusirer. 
Isupeenanda, &, ad. eis qui illusiss ou 
selsircis. Raplisstif, qui dalaireit. 
Iuvsraiuen, ad. 8 gen, simi illusize, 2+ @. 


Inımeenie, o. #. illusizen, m illusize, 
donner du lustre, de l’eclat. Eclairer, illumi- 
ner (nuap. ei Ag.). Tnspiren, Splairer inlarieu- 


rement. Eıpliquer, eclaircir. 

ILzussnis-AB, 8: 9. llinstaer ı aeagueris de 
le o£löbrits 

Iundsran, adj. 0 gun, illusire : Aelatans, ed- 
bye par In marita, la noblesse , ala. Fex-e—, 
il s’est rendu illustse. 

IunueVaRmauTs , ad. A'una manidre illustre, 
avee dclat; noblement. 

IaLunraissıun , a, adj. up. d’lllusire. Ulns- 
Wwissime, ine-ilasıre ı Use d’banneuz, 

JLLvr’aıco, A Jliyrien ı de Vlliyrie, 


JuLvago, nad. UY® ‚ Dalmatie. 
IsöTe, s, m. ilota ı esalave A Spare, Laosdd- 
mone. 


Iuigau,o. f. image: vopresentation om sculp- 
nee au en PPiniste ; esiampe, dessin; zepne- 
senistian dans Vidte ou la meineire; Fessem- 
blance. (Ag.) Beau visage, surtout de feıume. 

Imsoausinna, &. f. diem. d’Imagem. 

Isacınackö, s. f- Imagination : fasulis d’ime- 
gines, d’inventer; vision, chimöre, appröben- 
sion ; pausde, idee; faeulis de l’ame de se re- 
prösanter vivament les objeis, de se lormor des 
images. Nän pesser pela — , ne pas passer par 
N’unegination , aa pas vonir dans l’eaprit. 

Imanıpioe, &, 7: Pd Imaginar. 

ImARIEaARAR, 4, 6. qui Imagine. 

Imacmin, ©. e. imaginer : croer, foroser, 
eamkines, es vopaksenias dans son esprit; for- 
mer en idee; croire; se persusdar; invenier. 
a ». Imeginer,aa faire une idde ; s’imaginen, se 
Oguros sauna um | viel. 

Jmacınänsa, s. f. senipture A’imagen. 

NARISÄMENRUTS , ade. d’una maniäre ima- 
ginaire, en Imagination, 

Jmagnanıp, A, ad, imagineire : Id6el, qui 
n'est que dans l’imagination; sans realile. Qui 
peut dire ou a 646 imagind. Kspagos —s, eapa- 

cos imagipaires, Jue nous concerons ay delä 
du monde reel. 

Imacınanıa , 3. m. seulpieur d’imagos. 

Imscıyariva, & fı imaginalivg: 1: (soulis d’i- 

ıpaginer, d’ invonlaf. Imagination. 

Imacıyarivo, A, adj. imaginatil : qui ima- 
gine sigement. Visiennaire ; imaginaire. 


IMM u.) 
IsassuÄvg: ‚adj. 2 gen. Iinaginable ı qui pqut 


s’imaginer. 

Iyan, s. m. alimanı ı plarre, mindral fer- 
rugineux dlectrique qui a subi l’sation de 
feu, qui attire le fer, et gui dirige natuselle- 
ment vers le nord une de aas prirömitdg ou 
poles; (Ag.) co qui attire, co qui gagne I 
caauzs. Iman : pröise mahamatan qui pröside 
une mosquöe. — aweöndep, arseni 

IussciL, adj. R gen. faihla, 4ans viguenf. 
Imbecile,, faible d’esprik, 

Insecıuinäos, a, f. faiblesge, mangya de 
force. Imbäeillis,, faiblenge d’esprit. 

Iusson.rzing. V. Bafrgqweeide. 

InstıLe, adj. gem. faihle, lache, Pau Bir 
m ala mens V. Frece, 

MBERBE, 2 go». imsharhe : sans Danke. 

Jusico. v Eubigo 

yilupascino, &, adj. (4. da bot. td’ Kin). nahe 
imbriga6: (tuiles, &cailles, feuilles —es) digr 
posdes an talt. 

Inpricacäö, s. f. imbrioslien : suparpasitiam 
de vorge , de feuilles, W’oczillen, ala., qui #en- 
ohässens enise eux comme les hrigues dm 
toit. 

+ Imsalezno, A, adj. ı 904.) pluvienz, qui 
amene ia pluie, 

Iunufee, 4, edj. (A) imabu s instruit, ram- 

pli, pendtre. 9. p.d 

Iusufr (em), ©. 8. . indules, porsuades, en- 
deeiriner, amboucher. Pougser, partee (A). 

Iuauin-az (sm), ©. v. sa pendissr de. 

*Insöre. V. Imbuide. . 

* [MIGANENTE. 

* ISIGAVELNENTE. } V. Intmigamenig, 

* Inıcioo. V. Exide. 

* Inıco. V. Jnimuige, 

lursacid, e. f. imitation. 4’ m, & ’imltation, 
& l’exemple. 

Inmipo,A,p.p. W'Jmiige. edj. Qui imite, 
fait & !’imitslion de 

Imıtanon, A,S8. imltatenr s gut imlte, s'sttg- 
ehe A imiter. 

Imminre, adj. 2 gem. imitant : qui imite. 
p. a. de 

Inıtan, e. 6. imiter : ppendre pear ssumple . 
suivrö un modele ; prendre le style, Pespril, ha 
maniere. > a sews maigrss, marcher sur les 
pas de ses anc#tres. — 0 mod4lo de, sa modeler 


er imwarivo, a, adj. imltatif : qui imite ; qui 
a la facaltd d’imiter. 

Inırävsı, ed/. 2 gen. imitable ; qu’om peut 
imiter ; digne d’etre imits. 

ImravsLiaeıno, a, dd). sup. d’Imiiavsl. 

® Imızane. V. Inimiz 

InwacuLino,A, adj. immmasuli ı sans tache 
de peche. 

ImmAactLävgL,ad. a gem. qui ne pont pas Oro 
maculö,. 

InuacuLipäns, #. f. la qualiis d’sire imme- 
eul&. V. Pureza. 

t ImwaLLzÄveL, adj. 2 gem. qui nie 1 pn 
malldable, 


us0 IMM 


IumAanßıTE, adj. 2 gen. immanent: qui Je- 
meure Jans, (mi est contenu dans. 

IMMANıDÄDE, s. f. insensibilite , craaute , l&- 
recitö, inkamanite. 

fumanissıno, a, adj. sup. de 

Imwino, A, adj. Inhumain, föroce, orwel, 
Intraitsbie. 

Imwanczsciver, adj. 2 gen. immaroessible : 
qui no peut se ötrir, Inoorruptibie. 

Iumarzrıär, adj. 3 gen. immelöriel : sans 
matiöre ; de pur esprit. 

IMWATERIALIDÄDE, s. f. immatörialiiö : ötat, 
qualitö de ce qui n’est pas matiere. 

$ IMMATERIALISTA , 3. m. immatsrisliste : qui 
prütend que tout ost esprit, que les sensalions 
sont mag imalren, ideales , et que !’anivers n’ost 

d’Otres ponsants. 

Inmaröno, A, adj. qui n’esi pas mär, om en 

zmaaturits; bers "de saison. Preoinalure, proci- 


Pi. 

Inuunuaciö,s. f. contigulte ; liaison imme- 
diate. Immediation. 

Inundıitamänte, ade. immediatement : 
d'une Maniere immediate, sans intermedielre. 
—, aprös,, inconlinent, aussilöt apres. 

inuesiro,A, adj. immediat, contigu; qui 
est produit, qui agit sans intermödieire; gei 
agit sans mibleu ; qui suit ou qui proedde sans 
Intervalle. 

Insemonivzı. V. Immemorial. 

InuzuortaL, adj. 2 gen. immemorial : dont 
Porigine iresaneienne ost inconnue:; dont il ne 
resie aucune m&moire, aucun Souvenir, Acause 
de son extreme antiquile. Sanctuario relebre 
de lempo —, sanctuaire celöhre de tout tenips. 

Inuzmonıävgr. V. Immemorial. 

JuUNENSAN&NTE, adv. immensöment. 

iumensınäns, 5. f. immensile : grandeur, 
#tendue immense. Multitude,, grand nombre. 

Imutunso, A, adj. inimmense : d’uue grandeur 
demesurte; sans bornes, Sans Mesure ; Irös- 
grand ‚ trös-stendu. 

InnEnsuräveL, adj. 2 gen. inoommensure- 
bie : qu’on ne pont mesurer. 

+luusacen, v. a. immerger : plonger dans. 

lMNSalTamänte, adv. sens merite, sans l’a- 
voir meritd ; Sans raison. 

+ lungaıro, a, sdj. immeritö : que l’on n’a 

merite. 

iuueasiö, s. f. ımmersion : action de plon- 
ger dans un liquide; eninde d’an astre dans 
l’ombre d’un autre ; coınmenocement d’sellpse. 

luuinso, A, P. p. irr. d’Immerger. adj. 
Submerg®, plonge. 

Iuuzason, 3. m. celui qui baplise par im- 
mersion. 

*Inmioo, V. ie 

IMuın&ncıa, 8. r Inminence : qualil& dece 
qui est Iimminent. V. Eminencia. 

lumin&nte, adj. 2 gen. imminent : pr&s de 
tember sur ; menagant. V. Eminenie. 

IMMISERICORDIOSO, a ,adj.immistricorlieux: 
"SONS COmpapsion. 

Iqwirs. V, Brario, Bering. 


Isurzısäpe. V. Inöwdsnde. 

Inmössı. V. Iamevsl., 

InwosıLipäne, 3. f. immobilits : dial, qui= 
lit6 de ce qui, de celul qui est immokils. 

Iumopanaciö, 8 f. son : dölsnt 
de moderation ; exeds. 

Imuonenipauänte, adv. immmederdenent : 
sans moddration, avee oxeös. 

Inmopeniso, A, adj. immodtrs, exesssil, 


de6mesure , outre. Dörögie. 
Insopgsramänve , ade. immmodesisment : 


d’une maniere immeodeste. 


luwontstia, s. f. immodestie : autien Immmo- 
desie ; man wo de modestio , de pudeur. 

IMMODEST ‚A,adj. sup. de 

Imuootsto, a ‚adj. immodesie : sans modes- 
tie, contraire & a modestie, aa pudeet, dla 
chasteis. 

Inmönıoo, A, adj. exsessll, d6mmasurd; Tü- 
perüu. 

InwoLaciö, se. f. immelstion, acılon d’im- 
moler. 

Iuuoriv0, 4,Pp. pP. d’/mmolar. 

InnoLapen, A, 3. oelul qui immole em sarrl- 
ice: immolateur, sacrißeesiser. 

InmoLir ,v.«. immoler : offeir en saorifce; 
(Ag.) sacrißer. 

JumoniL, adj. 2 gen. immoral : oontraire ä 
la moreie, aux mEurs; Bans m@ers, aM 
prineipes de morale. 

IuvonaLipäne, s. f. Immorelite : opposition 
& la morsle; ıuandue de meorale , dist de oe qui 
est immmoral. 

Inuortin, adj. 2 gen. immortel : qui west 
point sujet a la ınort, (Ag.)d’une longue dunee: 
dont la meinolre est ow deit @tre @termeile; gqei 
n'a pas de fin. 

InuontsLioäne, 3. f. immortaliiö : qualilk, 
eat, condition de ce qui est immeortel au ne 
pout mourir; esp&oe de vie perpötuolle dans [) 
souvenir des mortels; vie, avenir dternd. 

INMORTALIZADO, A,» p- d’Immortelizer. 

JMMORTALISADOR ‚A, adj. qui immortalise. 

InmortaLizän, 0. a. immorlaliser : rende 
immortel dann la meömoite des hommes. Ren- 
dre immortel, “terniser. I est aussi recipro- 

ue. 
INHORTALMENTE , ade, d’ene zaaniedre Immer- 
telle : dternellement. 

Ismortmwicacäö, 8. f. Immeortifiostien : vie 
contraire & ia mortilicatlien ; “tat d’une per- 
sonne qui n’est pas mortifiee. 

InuoRntisicano, A, adj. immeortiß6 : sensatl; 
qui n’est pas mortißie. 

Iusöro, a, adj. immobilo : qui ne se men! 
point. 

luuövzı, adj.2 gen. immobile : qui ne peut 
se ınouvoir; (flg.) ferme, constant, inebran- 
lable. 

+ Inuövrı.menTe, ao. sans se remuer. 

Iumunivarn, adj. 2 gen. immuab!e : qui ne 


change point de nature; Invariabic, qui n'est 


pxs sujet au changement. 
laurprcen, etc. V. Emmudecr. 





# IMP 


Tauemict , s. f. immondice, ordares. (ig.) 
Impurete. 

lIunsönpo, a, adj. hnmonde, impur, sale. 
Bıpirito —, esprit immonde. Epithöte que V’6- 
eriture sainte denne & ’esprit malin. 

lusüng ‚adj. 2 gen. franc, libre, exempt. Qui 
jorit du privildge d’immanite. 

Inuoxıpäpe, s. f. immunite: exemption d’im- 
püis, de deveirs, de-charges: privilöge. — cc- 
eltsisslique : exemption, privilege de l’&glise. 

InuuTABrLIDäDE, 5. f. immmutabilit6 : qualita 
tiat de co qui est immutebie. 

Inwırin, o. e. obanger, translormer. ( ig.) 
Causer quelque alteration dans l’esprit. 11 est 
aussi r6eiproque. 

lusurävsL, adj. 2 gen. immuable : qui ne 
thange point de nature. 

* Iuos pour VAsos (nous allons). 

Inrıciö, s. f. hydropisie des faucons. 

Iuracıencıa, s. f. impatienoe: manque de 
pelienoe ; agitalien, sentiment d’imguistude 
ssase par la'douleur, l'altente et V’espoir. 

INPACıznTäno, A,P. 9. do 

Iuracıasrän,, 9. a. impatienter : faire perdre 
Miienee; ingaister. 

Inracıturs ‚adj. 2 gen. impatient : qui man- 
que de palionoe; ei ne peut supperier. Har- 
gueuz. 

INAGENTEMeNTE „ode. impatiemment, avoc 
impstienes, inguietude , chagrin. 

InPAacıEXTissımo ‚adj. sup. d’Imparisnte. 

Iweicro, a, adj. (1. de med.) On le dit d’une 
Mumeur, eto., fixde sur quelque partie du 


corps. 

InrıciveL, adj. 2 gen. impayable : qui ne 
peut op se payer. (fg. ) Trös-pröoieux , sape- 
Reur & lout prix. Zsia cousa d—, calte chose 
a lant de prix qu’elle ne peut se payer. 

IuraLrävgr , adj. 2 gen. impalpabie : qui ne 
peut se sentir au toucher; si An, si delie qu’il 
tchappe au tacı. 

Furın, adj. 2 gen. impair : (nombre) non 
multiple ‘de demx ; qui ne peut se diviser en 
deaz nombres omtiers &gauz. 

Iurancıkr., adj. 2 gen. Impartial. qui ne s’at- 
tische eselusivement et par prelörence aux in- 
r&ts de personne; qui n’6pouse aucun parli, 
ne prend pas parti pour ow contre quelqu’un. 

InPancıaLıpäpe, 5. f. impartialils : qualite 
de ('ire impartial. . 

InrancıäLMANxTE , ade. impartislsment : sans 
Partislite, 

+ Iurancıazızär, v. @. (p. us.) rendre im- 
parliel. 

t invanrivzr, adj. 2 gen. imparisgeahle: 
qu’on ne peut partager, demembrer. Eu lermes 
de palais, on dit impartable. 

INPASSIBILIDÄDE, s. f. impassibilitd: qualits 
de ce qui est impassible. 

ft InrassınıLizän, 0. @. rendre impassible. 

InpassivaL, adj. 2 gen. impassible : non sus- 
eeptible de souffrance. Qui souffre avec un cou- 
rage qui le fait paraltre insensible. 

Inrastackö, 5. f. eneistange Jo pie. 


IMP 63 


lsrAvinamente, ade. Intröpidement. 

Inravınkz, 3. f. inteöpidite. 

Inrivmo, A, adj. Intröpide, qui ne craint 
rien , sans peur. 

IMPECCABILIDÄDE, 8. r. impeccabilits. 

ImescciveL, adj. 3 gen. impeccable : inoa- 
pable de pecher, de faillir. 

IMPSCCATRLURHTE, adv. d'une manidre im- 
peccable. 

INPROxaNEcER, etc. 

Iurepernia, eic. }v Empeder..., 616. 

Ineroıcäö, s. f. " empeohement. 

Inpabino, A, p. pP. d’Impedir. adj. Perciut 


‚de ses membres. Oocup€, affaire. 


tImreoioön, a, adj. et 5. oelui om 00 qui 
empsöche. 

+ Inpupıturg, adj. 2 gen. on le dit d’an em- 
pechement qui rend le mariage illioile, mais 
non pas nul. 

Iurzotu£nTo, 3. m. emp6chement, ebstacle; 

ition. —, circonstances qui rendent un 
mariage nul ou illicite. 

Inpznin, 9. a. emp6cher, meitre obstacle. 
Embarrasser: gener la liberte# des mouvements. 

Iurzorsivo, A, adj. qui empeche, qui 8’op- 


pose. 

InPELLENTE, adj. 2 gen. qui pousse ; qui ex- 
eite. 

Inp&LLino, a (de),adj. pousse, excite. 2.p.de 

InrELLir, ©. 0. pousser, meltre en mouve- 
ment, donner l’impulsien. (es, de, em) (fg.) 
Pousser, exciter, animer, induire , porier &. 

Inrendente. V, Imminente. 

Iur£nETaanıLipäpe, 8. f. impenötrabilite : 
gaalite de eo qui est iImpendtrable, de ce qui 
rend impenetrable. 

INPENETRÄVEL, adj. 2 gen. impenetrable : 
qui ne peut (dire pendtre (propr. ei flg.); gei 
jouit de la propsiete de la matiöre, dite impe- 
netrabilitle. 

INPENETRAVELMENTE , dt. impöndtrable- 
ment. 

ImPExıTÄxcıa, 8. f. impenitence : endurcisse- 
ment dans le peche 

JurENITENTE, adj. et 3. 2 gem. impenitent : 
endurei dans le pöche ; quin’en apas de regreai. 


IurensiDauextE, adv. inopinement, Sans y 


‚a l’improviste. 

Inpznsino, A,.adj. imprevu, inopine, inal- 
tendw. 

Imrznioo, a ‚p- p. d’Imperar. 

InpeRADOn, a. m. empereur : chef, souve- 
rain d’un empire. (l. dani.) —, titre donne 
aux gendraux romains. 

INTERÄNTE, 8. m. roi, souverain. adj. Domi- 
nant, regnant. On le dit, en astrologie, du 
signe qui domine dans le th&me cölosie. 

InpERÄR, ©. 6. tommander avec aulorile, 
donner des lois. v. ». Rögner, gouverner en 
qualit6 d’empereug, de souverain. 

IMPERATIVAMENTE , adv. imperalivoment : 
d’une manidre Imperativ, 

Imernarivo, A, adj. impäraill, imperienn, 
qui vommande avap auteriid. Mode -, au im- 


a 

peralien, ende. s Umpireli, mode du varbe qui 

indique que Fon 
4 imaukssönıs , & fe (k de of.) impörateire ı 

angöliqus frangalse, benjoin fsangele, plante 


4 Insuaaränie, 4, adj. imptsiel : qui an | ata 


vorne l’empersur. 

Iuenaazais, s. f. im 
empereur ou (onıme gl est chef an ee me 

IPERcRPTIYRL, 8 gen. imperonptible ı 
qi ne peut &tre sendi, apesgn, (Ag-) Difäelle A 
comprendre, ä oenceveir. 

Inpzacerrıyzıyänık, ade. Imperenplible- 
ment : d’une maniöre impamesptible; peu A 
mu; Insensiblement. 


ı femme d’un | hie 


IMP 


Ipunlaauänın „ade, WR IERATBL EN byppine 
peu instruit. 
lurgaivo, a, ads, Ignogant ı qui mangu 
dhabilets, de gavals, W'azperienoe, 
AERHANÄNGA , & f. instehlliig, in 
InrEnmanßnTz, adj. 2 900. ui But DM ME 
.ehangaent, muabla, ippanstanı, 
INPERNAURNTENRUTB , d'une wanlgs 
Termrıntenn, «.f s fı impartinengp, aslilse, 
extravaganoo. Mauvalse hamenr qui fall + 
vor taut deraisanngbie , ou A 
sea absurdes. Importunite, inatencon Ialigan- 
tes. Exactitude trop scrupulaueg dans op an 


ar lnpenseivar, adj. 2 gen. imperissable :qui | fais, 


peut pörir; qui me peuf Slre andanil. 
"upnarzigis, & f. Imperleotien :ı manque, 
defaut qui empöche la perfection ; (autelögere, 
Ispanrsıgoäne, 4. 7. Imperfoiie, P n.de 
Inpgarsıgoha, 9. @. (P. us.) sendre impes- 


fait. 

+ iupzarsrrauburu, ade. imparfallement ı 
d'une manidre Imparlalte. 

Iussastıro, A, adj. imparfait « qui mans pan 
achev&, parfalt, complet, qui a des defauig, 


des imperfeatipns; A quei Hl manque le sem- 
löment. Preidriio —, imparfsit : temps des 


bes. 

ineanıiı, 5.  (t, de bet.) V. orte imperial 

iursaılı, adf. 2 gen. Imperial : de l’om 
reur, d'empeseur, d’un empersur; de P 
Grand : distingu6 dans sen genre. 

Igpanıazs (05), €. m. pi. les Imptelauz : taou- 
Ben, ministees, agpmis de l’empereur d’Au- 
triche. 

+ imranyaulssa, s, m, impitrialiste ı partisan 
d’un empereur. 

jurzasi.ukuve, ade. d’ung mmanidse impd- 
rlale. 

Iupnufcıs , s. f. impöritie : iguaranse dems sa 
profession ; defaut d’habilet® dans une prefes- 
sion, un dtal, am art, 

Imrenıo, s. m. empire « vemmandement, 

uissanee; auteritd; domination; monarehie; 

tiendue, sa durde; durse du Fögne d’un 
pmperour; diendue de pays sous la domination 
d’un empereur, d’un grand roi. Ton imperieuy. 
._ miro, poavelr abselu du prince sur ses su- 
jeis. Möro—, pauvoir accord6 par le prinoe 
aux seigneurs et magistrats peur rendse la 
Justlos. — mixto, peuveir de juger, surtout en 
matitre eivile. — das ondas, (pedi.) la plaine 
liqgide, !’empire de Neptune. — de si mesme, 
ompire" sar solmeme. Ter — sobre alguem, 
avoir de ’assendant sur quelgqu'un. 

lurzasösauture, ade. Imperieusement : 

d'une manidre Imporlouse , avec hauteur ; avec 
ergueil , superbement ; d’un len imperieuz. 

f Iurzrıosınäne, 3. f. Imperiesite : qualils 


: de Pimspöriong ı hauteer. 


auranıdso, a, adf. impögleux : allier, hau- | nits 
teln, qui oomınande ares bayleus, aucs Of- 
puell;(ßg.) d qui Von ne put nösisier. 


INPERTINENTE, adj. 3 gem, jm u. 
tanler. Farlasgıe. marase, Brropalus p' 
_} I} Bi 
nutisuz. Öreumelaneiss ve, ciragmstanens gel 


articles impertinonts, qui n'anı rien da AUS 
mun avoo le fond de IA aanse. 

IurnarTıusuranüuen, ade. Imppastinsinmmm!: 
avec impertinenos; mal & PERpB@6; 5408 MaN- 
valse humser, 

IurznroggasıLmdpe, 6. f. impestarhabilild: 
tat de ce qui est impertarbabie; &tat de !äne 
tranıpuille , sane tpeuhle. 

INPERTURAÄVEL, vEL. od. 2 gan, imnpasturbable 
quer ne pont tsoubier, ieewrei; wenauik. 

INPERTERBAYELUENTE, ade. iM 
ment: d’une maniöre imporia 

Inrtavıo, A, adj. per Dre l’on ne peut yaması, 
ineogessible; nötegble. 


Impussolr. ‚od/.Igom. Impersgnnel ı (vaobe) 
qui ne se opnjugue qu’ä la taaisidzue PETSORM 
du singulier. 

E’yr2ro, s, , "impetuosikk, vielenoe, elan- 
ooment, ellort impetueuz; wivaniis oriwim 
dans l’humeur, ete. Seir com - , saillis, 

Iurzrnagsd, s. f. impetratiam : nbtentisn, 
action d’obtenir, d’impeirer um heudfias, Mit. 

Inrgraino, A, p. p. de Jmpsierar. 

ImparaAnre, adj. 2 gon. immpötranti, qei ir 
pötre, qui obtient. p. a. de 

{ursrrin (de), o. a. impsisae : ahlenis PR! 
ses priöres, par une roqudle. 

IuRETRarönıo, A, adj. qu’en rei impe®- 

InpETuösautntg , ado. impbiueustmrel 
avec i ib. 

Inrgruosınäns, s. f. impetuosite. 

Inperossissus, 4, adj. sup. de 

Inrgtuöso, a, adj. impstueux, vehkmenl, 
violent, rapide, Teuguug; srop vi, anperie- 

Inmanäns, ete, V.Z , Me. 

PMPIAMENTE, ade. AV06 impiel6; impiteyable 
ment. 

* Imrınöso , A, adj. omharsansd , diicile, W- 

Impinpann, #. N) impidte 3 maöpris pour lare- 
Nplon; parele, asiien Impis: Gruauis, iabumt- 


Iurızpössmäwen ‚ade. impitayablomaeı. 
Inmiuntge, 2) a. impieyahle, 





IMP 


Inpicgu, s. f. dartre : maladie de la pean. 
furılssımo,, a , adj. sup. d’Impio. 
mpinar 


Iurınoir, v. a. (#. pop.) deblter; faire ac- 
croire ; fatiguer par un discours. Appliquer (un 
soufllet, atc.). 

I’urıo, A, adj. impie ::sans religion, qui kai 
est opposet; qui la meprise, l’offenge. Cryel, 
impltoyable. Scelerat, 

Yurinzo. V. Empy’reo. 

ImpLacasıLinine, s. f. implacabilitd : perss- 
verance dans le sentiment. 

JueLacäveL, adj. 2 gen. implacable : qui ne 
peut Etre apaise. 

IMPLACAVELUENTE, adv. Implacablement : 
sarıs pitie, 

InrLantino,A,p.p. de 

.MPLANTÄR, d. a. implanter : inserer ; planter 
dans ow sur. 

ImpL£xo,&A, adj. Implexe. Entrelace, entor- 
ulle. 
Inrricacäd, s. f. implication : contradiction 
des termes d’une proposilion, Complication ; 
embrouillement. 

ImpLicino, A, p. p. d’Implicar. adj. Contra- 
dictoire. Engagd, compromis. Embroullle. 

ImPLicanör, 8. m. celui qui implique. 

Imrricäxcıa. V, Implicagdd. 

InPpLicir, ©. a. impliquer; engager, emhar- 
rasser; embrouiller. v. ». —, renlermer cop- 
tradiction ; &ire incompatible. 

Imruicän-se (em), v. r. s’engager, se COm- 
promettre dans une affaire,etc.; y prendre part. 
S’embrouiller. — n’um erimg , €ire complice 
d’un crime. 

+ Imruicatögie, A, adj. pe qui impliqua 
eontradiction. 

ImrLicırantnte, ade. implicitement. 

InrLicıro, 4, adj. implicjte, compris tacite- 
ment, sous-enlendu, 

Imrronacäö, s, f. action d’jmplorer. 

InpLoräno, A, p. p. de 

lurLonir, u. g. implorer: demander avco 
ardeur, bumilits; invoquer, avoir recoyrs d. 

Impruminp, 4,p.p- de 

+ Iuriumir,c. a, garnir de plumes, emplu- 
mer. 0, ». Se couvrir, se garnir de plumes. 

ImpLuns, edj. 2 gen. qui n’a point de plu- 


mes. 

InroLino, a, adj. qui n'est pas poli, gros- 
sier. Diamanie —. V. Brula. 

ImPoLL6ro, A, adj. pur, sans tsche. 

Imeonsksäysı, adj. 2 gen. inexprimable ; 
qu’on ne peut peser ou apprecier. (1. de phys.) 
Iınponderable. 

Imror (a), v. a. imposer un tribut, une obH- 
gation, etc.; faire un devoir, imputer atort, a6 
euser faussement ;donner (unnom). ((.d’impr.) 
Imposer : disposer les pages sur le marbre, 
jes serrer dans les chässis. En imposer, irom- 
per, abuser, faire accroire. 11 est quelquelfois 
neutre dans celte acceplion. A religido nos im- 
pe o dsver de amar a palria, la religion nous 
fait an devoir d’aimer la patrie. 


IMP 


IyPön-sE, v, r. s’jmposer, s’infliger (une 
Pome )» 80 donner anne täche. S’arroger, s’attri- 

uer des qualit6s que Yon n’g pas, — um 
Addlgo,, s’arroger la noblesse. 

Inponracäö, s. f. importatjan : intgodgollon 
de marchandises ötrangdres, 

Inrortino,A,2-.9. 0 tar. 

Inronransr, s. m. Impottateur : celuf qui 
Importe une denröe, ung ohase, d’un pays dans 

sien. 
‚ Imronräncıs, s, f. impartaneg : oe gel jend 
impartant; credit, autaril£, prix, grande place, 
grands mayens d’agir, M’influer. — de vonie, 
montant d’un comple. Fazer-se homem de —, 
faire l’important, Ndp dar — q... , attacher peu 
de prix ä... 

IMmPoRTäntE, adj. 2 gen. important, canal 
rahle, de cons&quence. rranl ana 

IMPORTANTENENTE, ade. utilement, ayanla- 
geusement , d’une manidre jmparlanie. 
„INTORTANTISHND., 4, 0dj- sup, de Impor- 


Inronvir, 9.0, er faire venir du de- 
barg dans san pays, (em) v. 9. Manter 4, valgir 
ow coüter; monter, se monler, faire un total. 
(e) v. imp. Imparier, Oire avantageyx, de con- 
sequence. Que me immarla} qu’esi-ce qpe ce 
fait? qu’importie? N4o imparta ,n’imparie : ceja 
ne doit pas empt£cher. 0 que impurla d merecer 
9 premio, ndo gankal-n, co n'est pas Laut d’em- 
porter le prix, il fayt lo meriter 

ImvonTävEh, ed). 3 gem. qu’on peut im- 

rter. 

+ Inrönte,, s. m. montant: total d’un campte. 

Imponruuagkö, s. f, Importynits : domande, 
inslance imporiune, 

IMPORTUNADISSIMO, A, adj. sup. de 

Iqrontunäno, a, p. p. de Imporiumer. (de, 
por) adj. Importune. 

]MPORTUNADOR, A, 3. qui impertune. V. /m- 
poriumo, 

INPORTYNAMENFE, ado. Imporlundment, avec 
importunits. Hors de saison, mal & propos. 

Imporrunär (com), ©. @. imporiuner : incom- 
moder, fatiguer, döplaire par ses assidulies, 
ses discours,, s0s questions, eic. 

Inrontunınapg, s. f. jmportunite,. 

IurorTunissımo, A , adj. sup. de 

Inrontöno, A, adj. importun : deplaisent, 
fächeux, qui inquiete, faligye, incommode; 
qui cause de l’ennui par son assiduild, ses 
propos; incommode, genant, embarrassent, 
fatigant. Qui est hors de propos. 

Imrosıcäö, s. f. imposition : aclign d’impp- 
ser; impöt. 

IurossisıLipänz, #. f. impossibilits. Impnis- 
sanıce, 

ImpossısıLıTäno, A, adj. qui est dans l’im- 
possibilite. p. p. de 

ImpossısıLıraa, vo, a. rendro impassible. 
Metre dans l'impossibilit£. 

IMPOSSIBILITAR-ER, 0. Fr. se mellse dans P’lıp- 
possibilite; devenir inhabile, 

IurossivuL, adj. 2 gen. impgssible : quj ne 


83 





684 IMP 


peut &tre ou se faire; ( Ag.) extiremement diM- 
cile. 5. m. —, chose Impossible. Ninguem esid 

} a fazer impossiveis, A l’impossible 
nul n’est tenu. 

ImrossivELM£NTE, adv. avec impossibilite. 

Inrösta, s. f. (f. d’arch.) impoSte : espece de 
pelite corniche sur laquelle pose un arc, une‘ 
voüle. . 

Impösto, s. m. impöt, imposition. 

Jurösto, A, p. p. irr. de Impör. 

Impostön, A, s. imposteur, fourbe. 

Inrostöna, s. f. imposlure : action de trom- 
per mensonge; calomnie, fausse imputation; 

ypocrisie. V. Embduste. 

Ivrotencıa, s. f. impuissance: manque de 
pouvoir, de forces, de moyens ; incapacite 
d’engendrer. 

lmroreate, adj. 2 gen. impuissant : sans 
pouvolr ; incapable d’engendrer ; ( Ag.) incapa- 
bie de produire son effet. 

+ 1MPOTENTEHENTE , adv. sans pouvoir, d’uno 
maniere impuissante. 

IMPRACTICABILIDÄDE , 8. f. impraticabilite : 
qualitö (d’une loi, d’un projet, etc.) imprati- 
cable. 

ImPpRacTicavgL, adj. 2 gen. impraticable : qui 
ne peut se faire, s'executer ; qu’on ne peut pra- 
tiquer, parcourir (route, chemin—); par ol on 
ne saurait passer. 

Inrrnecaciö, s. f. imprecation,, malediction ; 
souhait de malheur fait contre quelqu’un. 

Inrnecin, vo. a. faire des imprecations. 

+ Iuraecativo, A, adj. qui exprime, qui 
contient des imprecations. 

+iwrrecatörıo, A, adj. imprecatoire : fait 
avec imprecation. Juramenlo —, Jurement im- 
precatoire. 

Inrnecnacäö, s. f. Impregnation : 
d’impregner, de s’impregner ; ses ellets. 

INPREGNÄDO, A, P. p. de 

luruscxän, 0. a. (1. de chim.) impregner: 
eharger une liqueur de particules &trangeres; 
( Ag.) penötrer, remplir (esprit, PAme) d’une 
ıpinion, d’un sentiment. 

ImPRECNÄR-SE, ©. r. s’Impregner, se charger 
d’une substance, de particules &irangeres. 

+ INPRENFEDITÄDANINTE, adv. sans preme- 
ditation. 

+lurnemeorräno, A, adj. impremedite: qui 
n’a pas et6 prömedite. 

Iuprewin. V. Imprimido. 

Iupnesinorn. V. Impressor. 

"[npnenper, v. a. faire prendre, communi- 
quer (le feu). 

Impu£&nsa, 8. f. Imprimerie: art d’imprimer; 
tout ce qui sert & imprimer; liea oü l’on im- 
prime. Presse ä imprimer ou & presser des 
etofles. * Pressoir. 

INPRENSADO, A, 9. p. de 

ImPnEnsäin, o. a. presser, meltre ä la presse. 

IMPRESCHIPTIBILIDÄDE,, s. f. Iınprescriptibi- 
tite : qualit# de ee qui est imprescriptible, 

INPRESCHIPTIVEL, adj.2 gen. imprescriptible: 
qui ne peut pas se prescrire, 


action 


IMP 


Impressiö, s. f. Impression : action d’ıe 
corps,, d’un sujet sur un aulre ; son effet; \ Ag.) 
se dit de l’opinion, du sentiment imprime dans 
l’esprit, dans le caur. —, art d’imprimer; rö- 
sultat, produit de ’imprimerie ow typographie; 
manierc dont un livre est imprime; Edilion; 
action, suite d’operations , de Iravaux pour im- 
primer. Imprimerie. Influence des astres, en 
terınes d’astrologie. Primeira —, premiere im- 
pression : celle que produit sur nous un objet 
Que nous voyons pour la premiere fois, 

IMPRESSIONÄDO, A, P. p. de 

Impressıonir, v. a. faire Impression sur, 
frapper l’esprit; &mouvoir, impressionner. 

IMPRESSIONÄR-SE, 9. r. &prouver une impres- 
sion ; s’imprimer dans l’esprit. S’impressionner. 

+ Inpa&ssiveL, adj. 2 gen. Impressionnabie: 
qui peut &tre impressionne, sensible. 

+ lupaussivo, a, adj. impressif : qui fait im- 
pression. 

lmpnisso, A, adj. imprime. s. m. —, teril 
imprime. p. p. irr. d’Imprimir. 

Inenessön, s. m. imprimeur : celui qui coa- 
nait , exerce l’art de l’imprimerie. 

IMPRETENDENTE, adj. 2 gen. qui ne preleod 
pas. V. Desinieressado. 

INPRETERIVEL, adj. 2 gen. qu’on ne saurall 
outrepasser ; inviolable, de rigueur. 

IMPRETERIVELMENTE, adv. rigoureusement, 
dans le terme fixe. 

Iusrevenino. V. Desapercebido. 

+ Impnevisäö, 5. f. imprevoyance : defaut de 
prevoyance. 

INPAEVISTAMENTE, adv. aveo imprevoyante, 
inopinement. 

lurazgvisto, A, adj. imprevu : qu’on n’a pas 
prevu,, qui surprend, qui arrivo sans avoir &le 
prevu. 

Iupaımino, A,Pp.p. d’Imprimar. 

Inraınanöna, s. f. imprimure : enduil sur 
une toile, un carion, pour peindre. 

Inpaımär ,‚v.o. imprimer : enduire, preparer 
par un enduit les toiles pour la peinture ; don- 
ner la premiere couche. 

lureımıno,A,p. pP. d’Imprimir. 

° Inpaımınor. V. Impressor. 

InrrıMia (em), o. a. imprimer : faire une em- 
preinte sur; ( Ag.) graver dans l’esprit, incal- 
quer; marquor; faire imprimer; empreindre 
des leitres sur du papier, etc.; publier par 
Fimpression ; faire impression sur les sens, 
dans ou sur le caur, l’esprit, ete. 

ImprosaBILiDÄDE, 3. f. improbabilite : delaut 
de probabilite, 

IMPROBABILISSIMO , A , adj. sup. de 

InrrosäveL, adj. 2 gen. improbable : sans 
probabilite, invraisemblable. 

+ INPROBAYELNMENTE, adv. improbablermen!: 
sans probabilite. 

l’urrono, A, adj. mechant, pervers. Excet- 
sif, penible. 

Inrrorerino,A,p.p.de 

IMPROPERAR, vo. a. reprocher : faire un 
prache en face ; injarier. 








IMP 


ImpaorKRıo, 5. m. reproche injurieux, indi- 
gnite, affront, outrage. . 

Imraoroscıonäno, A, adj. disproportionne. 

IupnororcıoniL, adj. 2 ger. non proportion- 
nel: qui n’est pas en proportion avec d’aulres. 

+luPproroncıonär, v. a. (P. US.) ne pas pro- 
portionner. 

ImrroroncıonäveL, adj. 2 gen. qui ne peut 
pas avoir de rapport ow proportion. 

ImPRÖPRIAMENTE , adv. improprement : d’une 
manidre impropre. 

imraoraıir, 0. a. employer des mots dans 
un sens impropre. 

Imraorrıepioe, 3. f. impropriets : qualits 
de ce qui est impropre; inconvenance. 

Smrrornıissımo , adj. sup. de 

Inpaörnıo, A, adj. Impropre : qui ne con- 
vient pas, n’est pas juste ; qui n’est pas propre 
&. Maissant. 

TimrnonocäivEL, adj. 2 gen. qui no peut pas 
etre 


ImPaOovViDo, A,p.p. de 

ImPaoväÄr, v. a. improuver, d&sapprouver. 

ImrRnovÄVvEL, adj. 2 gen. qui ne peut Se 
prouver. Improbable : sans probabilite. 

"Jurnovän. V. Empobreetr. 

+InPRöViDaumEnTE , adv. sans prevoyance, 

rudemment. 

Inrnovintacıa, s. f. imprövoyance : defaut, 
mandque de prevoyance. 

IsPaovıno, A, adj. imprövoyant, imprudent, 
qui manquo de prövayance. 

+ Imerovisacäö, s. f. Improvisation : art, 
action d’improviser ; chose improvisee. 

Imenovısäno, A, p. p. d’Improvisar. 

ImrroVisapen, A , s. improvisateur : qui im- 


ImPnOvisauEnte , adv. ä l’improviste, subi- 
tement , au depourvu. 

lurnovisir, v. a. improviser : reciter, debi- 
ter, chenter (un discours, un morceau de po6- 
sie, de musique, elo. composss sur-le-champ 
et d’inspirstion). }l est aussi neutre. (fg.) Agir 
inconsidör&ment. 

+ iurnovisira, s. f. improvisalion : chose 
improviste. 

luraoviso, A, adj. imprevu, inopin&, subit, 
prompt, soudain. 

+ iupnoviso, 5. m. morceau de po6sie im- 
provise. De — , adv. V. Improrisamenle. 

Jarnupencıa, 8. f. imprudence : döfaut, 
manque de prudence; action imprudente. 

Impncoenıe, adj. 2 gen. imprudent : qui 
manque de prudence; qui lui est contraire 
( action, discours, elc.). 

IMPRUDENTENENTE, adv. imprudemment : 
avec imprudence. 

IMPuUDENTISSIMO , A , adj. sup. d’Impru- 
dente. 

INPUBERDÄDE , 5. f. Age de l'impubere. 

lnrüsene ‚adj. 2gen. impub£re : qui n’a pas 
ateint l’äge de pubertö. ' . 

+ Impusescencıa, a. f. "delaut, manque de 

puberic. 


IMP 685 


Imeup£ncıa, s. f. impudence, effronterie ; 
action , parole contraire & la pudeur; manque 
de pudeur. * Cynisme. 

ImpunentE, adj. 2 gen. impudent : effronis, 
sans pudeur, insolent. Cynique. 

IMPUDENTEMENTE , adv. impudemment : ef- 
frontement,, avec impudence. 

Iupupentissıno, A, adj. sup. de Impudente. 

IMPUDICAMENTE, adv. impudiquement : d’une 
maniere impudique. 

Impupicicta, s. f. impudicits : vice contraire 
ä la chastete. 

Inpunico, A, adj. impudique : contraire ä la 
chastet6,, qui l’offense. 

Imrvonacäd, s. f. opposition , contradiction, 
l’action d’impugner. ' 

Impucnino, A,p. p. d’Impugnar. 

Impucnanör ‚A, 3. qui attaque,, qui refute, 
qui impugne. 

ImPuGnÄrR,o. a. impugner : atlaquer, refuter 
( une opinion, etc.), disputer contre. 

Tiarucnarivo,a, adj. (p. us.) qui impu- 
gne ou sert & impugner. 

IupuLsino. V. I/mpellido. 

Jupuzsid, s. f. impulsion. V. Impülso. 

InroLsivo, 4, adj. impulsif : qui agit par 
impulsion ; qui donne l’impulsion (force —ive). 

ImröLso, s. m. "impulsion : mouvement com- 
munique par le choc. (Ag.) Instigation ; &lance- 
ment, mouvement de la volonts vers un objet. 

Imroısör, A, adj. et s. qui donne l’impul- 
sıon , impulsif. . 

Inpüure, s. m. espöce de chien de la Ca- 
frerie. 

Inpünz,adj. 2 gen. Impuni : qui demeure 
sans punition. 

INPUKENRNTE, ade. impundment : avec im- 
punite. 

Inpunuin. V. Empunkar et Inpugnar. 

Impunipäne, 8. f. impunite. 

Iimpunino, A.V. Impune. “ 

r ImroniveL, adj. 2 gen. qu’on ne peut pas, 
qu’on ne doit pas punir. 

InPüRaMENTE, adv. impurement : d’une ma- 
niöre impure. . 

Inpuntzı, s. /. impuret£. (Ag.) Impudicits. 
— de sangue, (flg.) tache dans une famille. 

Inrunissino, A, adj. sup. de 

inpöro,A, adj. impur: n'est pas pur; 
alter6,, corrompu par le melange; (Ag.) impu- 
dique. 

ImeutasıLiine, 8. f. imputabilile : qualiis 
d’une action imputable, surtout en mal; qua- 
lite des actes d’une volonte Iibre. . 

Inrutaciö,s, f. imputation, acousalion sans 
preuves. Inculp@lion. 

InputTiDpo, A, ?. pP. d’Impular. 

ImPuTAD6R, A, 8. celui qui impute. Fanxac- 
cusateur. 

IMPUTÄR (a), v. @. imputer:attribuer (A quel- 


‘qu’un une chose blämable); accuser, inculper. 


Aquem se impuls a [alla ou a owipar A qui 
en donne-I-on la faule? 


Iurur" "su, adj. 2 gem. imputable s 09 dit 


gumwr, . 


4); 





686 INA 
dns Tautd, d’ım loft qu’on attribus A quel- 
u dont oa Je rend responsable. 
hao. V. Bmipyreo. BR 

In ‚preposition latine que les Portugals h’ein- 
pldleht qu’en composition, et qui exprime or- 
dinairemens le contraire de ce que signifle lo 
möl auyuel on 1ä joint. Ex. : Inkabil, inha- 
bild : qui n’est pas babile, etc. 

Aneite adj. 2 gen. inöbranlable. 


nabbıckteL, dd). 2 gen. qu’on ne peut pas 
abdiquer. 
Inisır. 7. Inhabll. 

fInanonnäveL, adj. % gen. Inabordable : 
qu’ön ne p&ül aborder. 

ImacasivEL, adj. 2 gen. qui n& peut £ire 

evö : interminable. 
Nıcti6, #. f. inaction : cessation de toute 
serien: indolence; indiffereneo, repos. 

Nicckösivkı (a), adj. 2 gen. inaccessible : 
dont on ne peut approcher; aupres de qui l’on 
ne pöut ffduver d’acees. Inabordable. 

INACCESSIYELMENTE, edv. d’une maniere in- 
accessible. 

Inannissivkr, adj. 2 gen. inadmissible : 
qioh ne peut admetire; qui he peut os ne 

ölt pas &ire adımis dans un corps, dans une 
eis, oe. 

[nanvantencta, 5. f. inadvertance : defaut 
d’stiention , faule d’etre averti, faute d’appli- 
eation; meprise qui en rösulte; fauto oommise 

'inadvertanoe. _ 

NADYERTIDAMENTE, adt. par inadvertanoe, 


par möprise, 
NADVEarlDo, i, dd). imfrudent, inconsi- 
dere; uno: nt. Qui n’a point dis vu, point 
remarqu 

+ INADYERTIR 5 0. =. me pas faire attention. 

+ inaLiod, a, adj: qui n’a pas d’ailes. 

INALIBNABILIDÄDE, & h inaliönabilits : qua- 
lit$ de co qui est inaliönable, 

InaLıeniveL, adj. 2 gem. inallönable ı qu’on 
ne peutallöner. _ oo. 

NALTERABILIDÄDE,, 8. f. inalterabilite ı qus- 

sg de oo qui eny inaltärable. 

Inarrenipanlänte, ade. sant altöration. 

+ InaLTznino,, A, ad. sans allöretion. 

InaLraahvun, adj. 2 gen. inalisrable : qui Re 
pe #’altärer, se changer on ınalz imsbranla- 

e, constant, ferme, calme. 

iHavrenatnswters, adv. d’une maniäte 


imeltsrable. . 
Inaund. V. Nomibu. 


Isamkde, A, adj. bialınd ı qüj n’est pas alımıe. pape 


InamäveL, adj. 2 gen. 
pos aimable. 

jaamribistanpite, 8. f. Inamissihilits : gua- 
Bits de ce qui est inamissible. 

banhastynl ij: 8 gen. jaamissible : qui he 


“ 
ij Iaakevemumins, s. f. Inıtamaribilitd : Gtat 
de ce qui est inamovible. . 
Nanovitts a), 2 gan. Mamswribie + ui 


ie ı qui west 


ne peut etre desütae d’un poste ow change, dd- 


‚Imprervu; fait sans reflexion. p.».de | jalio 


ING 
(1. de aid.) 


Inamciö,s. Bl: 
biesse caubde gut ie Jetzie, 18 Kr 
Dnakte az. Spkildd 
D0,4, 0. . 
Iamaibo’ Ä, ei. inkülimd : al wä ges 
Eime ‚„devie, de sentiment. , 
nirreränca, 5. f. dälaul d’appelil, dägeht, 


anprexie. N 
Inarrricaci®, 3. f. Inapplicallon : ddlant 
d’appliostion. 

ImareLicino, A, adf. inappligbd. 

InarpLichver, adj. 2 gen. inspplicabie : qui 
ne peut ötro appligue. 

+ Inarpnzcıävau, adj. 2 gen. inapprötiahle, 
Inestimable » qui ne peut #ire appröcid,; 
time. 

+ Inarrıröpe , s. f. inaptitude : delanı d’ep- 
titgde A, de capasit# pour. _ 

+ InanrıcoLipo,, A,dj. Inarlicauls : qein’en 
pas articule. 

+ Inasegauivan, adj. 3 gen, qu’on ne pe 
pas obienir. oo. 

+Inıtachtaı, adj. 8 gen. iInaliaquableı 
qu’on ne peut attaquer. 

Tinarrınaivsu,, adj. 2 gen. qu/on ne pi 
pas atteindre ; incomprehensible. 

InATURÄTER , adj. 2 gen. insyuppertable: 

Inaupito, a, adj. inou! : tel qu'on m’a jamals 
rien oul dire de semmblabie ; singulier,, dirange; 
dont on n’a pas oul parler, neuveau; 

Inaursnivar, adj. 2 gen. qui no peut sianle- 
ver, dont on ne saureil ötre prive. 

InaucunagAö, s. f. Inauguration : odrömetie 
religieuse de couronnement, de la dödieme 
(d’un monument); prise de possession ‚inslel- 
R. 

Inaucurino, A, pP. p. d’Inaugurer. 

inatovnaneR, 5. mw; celui qui inangere. 

Inaucunän,; 0. 6, inauguret : dödier, oonse 
crer;; Installer ; priusilivemens proidre les au 


Inaverrencıa. V. Inadveriencia. 

Inta,s; m idea : sonverain , prinee de la i- 
mille regnante avant Farrivee des Bepaguels 
au Pörou. 

+ IncaLcuLiveL, odf. 2 gen. inoalediabie: 
qui passe les bornes du caleul. Inestimable. 

Incamekagkö, 8. f. intametation : r&uniol 
d'une terre, d’un droit, d'un reveda au de 
maine dd pape. 

Incamerir, %. a. Incametef : unir ume fette, 
un droit, ud revenu, ete., au domähe du 


IncinciveL ou älter, adj. 2 gen. Inlaligr- 

bie : qu’on ne peut fatiguer par le travail, ei. 
IncangAvkimente, ade. infatigablement ı 

sarıs so [atiguer, so lasser. 
Incandaschmal, a. fı insandescense : dia! 


d’un corps pen de fon jumzwä derum 
blane; _ 
Incanpıuia ‚eis. V. Encandilar. 


„INCATÄEE, adje 2 gun qui na ne paul ah 














ING 


, Wenpautnioa ; &. fi incapauiıd,; Imsallsante, 
Dreptäns ‚Betten ae 
Incaracıräno „A,P.9.d 
Bmiaracitäh, © &. ride incapabie. V: fn- 


r IncaracırÄver, adj. 2 gen. qu’on n& peut 
„„Ponveiticre. 
Incariz (de), 2 gen. Incapable : di | d 


mw as 08Pab ed; ;inbabile; mal uahile; qui 
wa pas les qualitös, conditions o% talehis re- 
ı Böt, Biuptde, Ertl de dervir, il est hors 

ttat de servir. 

TnbäriLtätO, pe] ad: chauve. 

Incannackö . Encarnapio, e 

+ Incisro, Ko Pr Impudique : deshonnele. 

IncaUTaANEnTE, adv. Imprudenitkent, sans 
presäutieh. 

Incaurissımo,, A, adj. sup. de 

nekutd,; k; adj. qui ven bes sur ses gardes, 
Ionpröveyant, inconsidör6, sans ptecaution, 


i 
ee 1, 9.8. @inrdt, ei ddj. Eitar — de... 


(oarmiller, essaimer, öire inonde, grouiller 


nein; ®. 8. engeirdrer, petpler par essalın. 
N 08 piend toujours eh madvaise patt. 
Incannta. V. Encender. 

Meimmıkvo,A,P. pP. de 

Incanpıin , v. 6. incendie?, emmbfnset. 11 &8t 


ai 4, 4. Intekdiaite : adietit vo- 
\onteire d’un incendie. 
Hicktslikio, %, 54. tncendtdire, sediienx. 
ee , Enconder. 
Were, . 9. entbrasemenit. 
Imchnpio, 8. Mi. incendie : fer qui consunde 
au edlen, Unelorki,ere. : (Rg.) troübles, tom- 
baslon Jans un Bi Winlie st, fea Mid- 


Beat De; 9. Aliens 


4. Mi. entenseur : we dui ed- 
"ncsn ae v. 8. encenser : 


Mhrärle, (Rg.) Loustikeur. 
döhner de Pen- 
dchlter des louänges; Nauier. 
a 10, 8. W. etieenisoib. V. Thuribulo. 
56 , 4. M. nitens : pärlüni; Ay aro- 
mati Batterie, louange. — en- 
une vrhhi — inde Kb, tneehs Min. — braco. 
rt. de. Pr rs =, simer l’encens, 
poat innker & Elfe fie 
Incensöno. V. Thorisul. 


univiL, adj. 8 gen. qui n’est point 
LER : ifr&prochabfe. 
n ri, s. #. alguillen , timulant : me- 


etelte: (Rg.) Aliment d’bne passion, ap- 


a neriiiade ade. inBertainement : avoc 
cantkza ‚s " Inderütude: doute ; etat d’Ir- 


to certitude; apparence de 
Auenpemen ddtanı de oo ieupa); Indtcision 


a Kö. V. Incorleia 
east adj. a i douleux, Jake 


ooranade un ver > tieeretind | von. 
R NTE, 2 gen. contiäel 
Imussawtanamtn , add, ohunsehentht,in- 
cessamment, sand 66886. 

Incrisi tan, al. 2 geh: Buhtiitiäi: gül ne 
cesse point. 


„tIncnedivn, adj: 2 yon: du’an he petit &6- 


Tektrio6; ». p. @Meestär: nd. Budtiie, 
deshonor& gar un Ackste. 

+ Inchstamtnte, ade: Mund mänidte Iim- 
pure. Incestueusement, 

Incetrin, v. d; dt d. bbitoinpiw, adähttle- 
rer. Commieltre uit Incebte,. 

Inc£sto, s. m. inceste : onetlöh, iffieris 
entre parents ow allies au da probibs. allj. 
V. Incestuöso. 

Inczsroösauänte, ad. Idetitaduserient d 
avec, dans |’ inceste. 

Inczsroßes, u, ‚ads. ak Kor Ai 
coste; od ji I r nce 

kann Y.0an. 

IncmAeit. A vo gönnen, ta- 
aiat, boufissdre. a) One) ‚ranile 

IncHico, 8. m. * tumenr, enflure. 

#incaivsnintk, ade. (f5.) Böretient, är- 
rogamment. 


ncuino, A, d. 8. Mlücher. aa. 


Deu. Vain mptasnz, 
Bey IR da sı st 
ne. u.m.V 1 Ine 


hardd. (fg.) Bönk- 
söuflage , Bodrsönfläre Au style. 

Incain, o 2° nfler, en soufflänl dedans; 
dötfler. A) orguellir. &. #. Gonfler, se 
gonfler, 

INchiu-se, 6. #. Ferliet ; Köhler, se gonfler. 

)—, 8’eno ueillir. 
ncuer, eilt, V. Encher., 

Incmardıid. 7. Enchirididd. 
IncnoAdamtnte, adv. en commenceinent, 
pat commencem ent. 


Incaoivo, A, 


ommencö et non Ani. 
IncicaraizÄtEt., ad. 2 gen. Incicairisable ; 
qul tie peut se cicatriser. 


Incıo&acıa ‚a. f. (4. de gdom. et #öpt.) Inci- 
dence : chute d’une ligne, d’un oorps sur un 
plan. V. Incidente, 

Incıo&nTE, adj. 2 gen. Incident ı qui survient; 
(proposiiion —e) explicative, döterminativo, 
inserse dans la principale. ü4. V. Zncisivo. 

Incınentg ,s. m. incidomt c dvimentent qud 
survbent dans le osurs d’uns affeire, dune e8- 
treprise , eio.; (röhement aobesssire au prinel» 
pal. Por —, incidemment; 

Imcrbewreutiere, edv. inchlemmeirt: par Ih- 
cidemt, per solte, par oumnexite, par vobasltne 

Ineroin, 6. &. (1. de med.) awchuör (ieB Hits 
meurs). 0. #. Tomber, dcheir; 

Incıtncı , &te. V. Insciendtd, eit. 

Incınmasciß, s. 1.(k. de chi.) 1 
sc de reduire en oondres ; 08 


REHAISS, hs Bd, de Ineinsrer, 


L 7 u nn 


in 


a 


088 ING: 


IncenBRÄR, %. a. (4. de chim.) incindter ı nd- 
duire en condres. 

Iscıacumciso, A, adj. incieconeis : qui w’est 
pas circoncis; (Ag.) Immortiße. 

Incıncusscairro, A, adj. ineirconsoril : sans 
bornes, sans limites ; illimite. 
Incısäö, s. f. incision, ogupure, taillade en 
ong. 

Incisivo, a, adj. inelsif : propre & couper. 
Dentes —, incisives (dents) de devanıt. 

Inciso, a, adj. coupe. (1. de bot.) Incise : de- 
coupe en pointe. 

Inciso ‚s.m.(t.derköi.)incise : petite phrase. 

Incısön, adj. m. qui coupe ou peut couper. 
V. Ineisivo. 

Incısöaa. V. Incisds. 

Incıtaciö, s. f. incitation, instigation , im- 
pulsion (au mal); ;aclion de colui qui incite. 

Incıräpo, A, p.p. d’Ineitar. 

Incrtapor, A, adj. et s. qui incite; insliga- 
teur ; exeltateur. 

INCITANENTO, 5. m. "incitation. V. Incentivo. 

incırän (s, conira), v. a. inciter, pousser, 
exciter, instiguer, induire. Attiser, allumer. Il 
est aussi reciproque. 
ROTATIVO, A, adj. incitatif, stimulant; ex- 


Incıvir, adj. 2 gen. incivil, impoli, mal- 
bonnete. 

' Incmıusäpe, s. f. Incivilis, impolilesse, 
malbonndtet£, 

IncıvıLmente, ado. incivilement; d’une ma- 
niöre incivile. 

IncLemtncıa, 8. f. rigueur, duret#. (Alg.) In- 
ol&mence (de l’air, des ssisons, etc.). 

InCLENENTE, adj. 2 gen. eruel, dur, impi- 
toyable. 

INCLENENXTISSINO, A, adj. sup. d’Inclemente. 

Iscunaciö, s, f. inclination : aclion de pen- 
cher, d’incliner ; (g.) goüt, penchant naturel; 
affection , amour; disposition ; pente naturelle 
Au. ; etat, situation de ce qui penche ; salut de 
wete ; (l. de geom.) obliquits d’ane ligne sur une 
autre; (f. de phys.) inclinaison; (1. de chim.) 
mapniere de verser une liqueur, en penchant 
doucement le vaisseau. Deichar-se levar de 
sun —, so laisser aller A son penchant. 

IncLinaDissımo, A, adj. sup. de 

IncLmäp0,A,P.P9. s’inclinor. (a) adj. En- 
elin, ports ä. Bem ou mal—, ia de bonnes 
ou de Phauvaises inclinations. — ds armas, 
il se porte aux armes. 

Incımir (s, pers), o. a. ineliner vers, bais- 
ser, peneber, oeurber. v. ®. Incliner a, avoir 
du penchant pour; ötre porte ä... 

Incuminer, v. r. s’ineliner on signe de res- 
peet, eic. (a, pars) S’inoliner, avoir de Pincli- 
nation pour. Tourner ses inclinations , ses pen- 
chants au bien ow au ınal. Eire engage par 
quelque motlf & suivre une opinion. 

Prcumo, a, adj. illustre, cel&bre, noble, 
renomme. 

*IncLopia. V. Incluir. 

Imcuvino, a, adj. compris renferme. p. p.de 


. ING 


Incısia (an), v. a. enfermer, 
contenir, inclure. Admettre dass une affaire, 
donner part. 

Incrusa,s.f. V. Adufa.Incluse: lettreinclum. 

IxcLesäö, s. f. inclusion : &tat d’une chess 
incluse. 

IncLUSivAMENTE, ade. inolusivement,en com 
prenant, y compris. 

+Incıusivo, A, edi. inolusif : co qui res 
ferme une chose. 

IncLiso, A, p. p. irr. de Incluir. Incdles, 
renferme. 

IncopräveL, adj. 2 gen. qui no se peut ie 
couvrer. 

Inconsir, etc. V. Encobrir, di. 

IxcocıraDo. V. I: 

+ IxcocıTavEL, adj. 2 gen. "A quoi on ne per 
sail pas; imprevu. 

Ixcöcnıta,s. f. (l.de math.) inconnus: quas- 
tile recherchee. 

IncöGNITANENTE , adv. incognito. 

Incöcnıro,, A, adj. inoonne. Viajar —,10j+ 
ger incognito. 

Inconerencia, 8. f. incoberence : qualiie de 
ce qui est incohörent ; delaut de lisison. 

INCOBERENTE, adj. 2 gem. incohörent : qui 
manque de liaison. 

INCOBERENTENENTE, adv. d’une maniere is- 
cohörente , sans liaison. 

P’ncoLa, s. m. babitent, 

IncöLuNg, adj. 2 gen. sain et saul; inlacl, 
en bon tat. 

"IncoLumıpine, 8. f. (PB. us.) &lat de celui qui 
est sain ei sauf; salut, 

InCONBUSTIBILIDÄDE, s. f. incombustübilitt : 
qualits de ce qui est incombustible. 

IncomsustivEL, edj.2 gen. incombusüble: 
qui ne se consume point au fou. 

+incowusösto, A, adj. (podi.) qui ne sie 
point brüls6,, ou ne se brüle point. 

INCOMMKNSURABILIDÄDE,, 8. f. incommenst- 
rabilits : qualitö, &tat de ce qui ne peut £ire 
mesure. Asymötrie. 

INCONMENSURÄYEL, adj. 2 gen. incommer 
surable : qui ne peut €ire mesurö; se dit des 
grandeurs qui n’ont pas de mesure commuR® 
(quantiles —$). 

Incom#0DÄnO, A, 9. p. d’Incommodar. 

INCONMMODADOR, A,s. personne incommeode. 

IncösMODAMENnTE, adv. incommodemeni. 
avec incommoditle. 

Incoumonin, v. a. incommoder. 

IncommopınÄDE, s. f. incommodits, pein®, 
ennui; malaise, indisposition. 

INCÖMMORO, A, adj. incommode, importun, 
fächeux, desagreable; qui gene; gai cause de 
ı 'enıbarras. 

Inchumwono, s. m. V. Incommodiddde. 

I INCOMMUNICABILIDÄDE ,„s. f. incommunika- 


Tsconuunchve, adj. 2 gen. incommunics- 
te: qui ne peut se communiquer ; dont on 28 
peut aire part. Mis au secret, Jans cotmmeai- 


caHian, 9m prigon. 


INC 


IxcoNmuTaBıLıPADE, 3. f. immutabilite. Incausrpinrk 


Juouasmur hust, adj. 2 gen. Iesmusbie, tavas 
riable. Qui n’sst pas oommuable. 

Iscomsanävaı, adj. 2 gen. incomparabie : & 
qui, a quei rien ne peut L ire osmpare; non- 


pareil. 
ivmsutiıın, ade. insomparable- 
ment: sans sompersisen. 

+ Incouraseivo, A, adj. impitoyable : sans 

6. 
"ncoaramaminn, s. f.incompatibilits , an 
üpa de posseder Ala foisdeus 
charges , ‚deux bimdlices, oto. 

IncomsarivaL (com), adj. 2 gem. insoımpa- 
tible : so dit des cheats qui ne somit pas Conhpa- 
tibies emtre ellss (charges, oflänes, ot0.), qu’une 
abe DS peut areir, posseder, exer> 
cer, reımplir & la feis ; qui me peat compatir ou 
secasmdıı, 98 eonstlier avec une auire. 

InCOmPATIYELIESETTE, ad“. inosımpatiblomest ı 
d’une meniöre insornpatible. 

Incoursrtncıa, s. f. inoemmpstenos : döfee, 

u de compolenke. 

IncospEränTs, adj. 3 gen. imcompetent : qui 
n'est pas competent. Hers de prepes, mal & 
propos, hors de seien. 

Incourazuurzuäunz, adv. msempetsinment: 
sans com 


ImcompLATAMERTE, ade. incomplisiement : 
d’ane manidse 

IncomrL&To, A, adj. Insampiet: ae n'est pas 
oompiet; qui n’a pas toutes ses parties 

Incompräze, A, adj. imcomplexe ı qui n'est 
pen comploxe; siumpie. 

INCONPORTÄYEL, adj. 2 gen. imsupportable, 
intolsrable 


IncowronsA van TE, adv. intelöreblement. 
Incourossitsı, adj. 2 gen. inconeiliahte , In- 


Incomrösto, A, adj. non Compost , simple. 

+ Incousammazeine, adj. que porsenne n’a 
compris. 

ISCONPRERENSIBILIDÄDE , 8. f. Iuosmeprchen- 
sibilite. 

IncomrammensivnL, seh. 2 gen. inoomprehen- 
sible : ineoncevabio, qui ne peut etre eumpris. 

IRCONPRENENSIVELHERTE, adv. Inconipre- 

Incoununuis. V. Encomunkar. 

Inconcksso, 4, adj. defende, Hliche. 

IneosgıLtasıuipäns, 3. f. qualiit, eat dece 
«gi est inooncilisble. 

IncosctLiäunz, adj. 2 gen. Inceneillable : qui 
ne pout se concilier. 

InosWGonDATEL, adj. 2 gen. inaecordabie : 
gul ne peut s.scserder. 

InConchsamn TE, ade. Incontestablement, 


Inconcime, Aue. incentestabie , indebita- 
le, ferme. 
t Incoxr£sso, & ‚adj. On le diid'un accnsd 
qui n’a pas avouc en Justice. 
Ilswoxrnbesiar, s. f. intidehlts envers von 
gouvessin. Eeapyeu de walisont: . 


PORT. FR. 


ac 69 
‚adj. 2 gen. infidäje, & son 
prince. Soupconne de trahison. 

IncönGRUAMENTE, adv. iacongrüment : d’une 
maniere incongrue. 

Inconcatencıa, s. f. defaut de rapport, de 
proportion , de conformite. Incongruite. 

Incowerutnte. V. Inceöngruo. 

InCONGAU&NTEMENTE, adv. sans rappors ni 
proportion. 

Incöncauo, A, adj. qui manque de rapport, 
disproportionne ‚peu convenable. Incongru. 

Incönuo. V. Cogno. 

ISCONN£XANMENTE, adv. sans connexion. 

Inconntxi\ö, s. f. manque de oonnexion, de 
rapport, de liaison. 

InconNntx0, A, adj. qui manque de connezion. 
Independant d’un autre. 

+ Inconnivente, adj. 2 gen. qui ne favorige 
pas la connivence, qui ne connive pas. 

Inconquistäno, a, adj. quin’a pas &i6 com- 

uis. 

1 IncongtistäreL,adj. 2 gen. que l’on ne pept 
eangaerit. Inexpugnable, imprenable, iuvin; 
eible. 

Inconsequtncha ‚s. f. inconsequence : defaut 
de cons&quence dans les idees, les discours, 
les actions, 

INCONSEQUENTE, adj. 2 gen. inconsöquemt : 
ie ri, qui parle, qui est conlre s6s propres 
principes. 

INCONSEQUENTENRNTE , adv. avec incoı s6- 
quence. 

Inconsioenacäö, 5. f. Incenaideratien, 4m- 
prudence, inadvertance. 

IsCONSIDERÄDAMENTE, ade. inconsiderdment, 
&tourdiment, lögerement. 

IncORSIivERAnO, A, adj. dit ow fait sans con- 
sideration. Inconsidere, imprudeut, etoerdi, 
mal avise, peu rellecbi. 

INCONSOLÄDO, A, adj. inconsole: qui wiegb 
pas console. 

INCONSOLÄVEL, adj. 2 gen. inconsolable : qui 


| nepeutse eonsoler (de), qu’on ne peut consolek. 


ISCONSOLAVELMENTE adv. inconsolablement : 
d@une maniere & ne pouvolr @ire console. 

Inconsonänxcıa, etc. V. Dissonancis, etc. 

INCONSTÄNCIA,, 8. r. incoüstance ; [acilite & 
changer d’etat, d’opinion, de resolution, d’af- 
fection, de goüt, de passion, d’ inclination, de 
eonduite;; excessive lögeretö d’esprit, de senli- 
ments; action de ehanger; ( fg.) instabilits des 
choses bumaines. 

INCOXsTÄäntE, adj. 2 gen. inconstant: volage, 
leger, sujet & changer; variable, mobile. 

IRCONSTANTEMENTE, adv. inconsiamment : 
arec inconstance ei legerete. 

INCONSTANTISSIMO, A, adj. sup. d’Inconslande. 

+ IXCcONsSTITOcIoONaL, adj. incoustitulionuel : 
qui n'est pas constitutionnel. 

+ INCOXSTITUCIONALMENTE, adv. inconsttu- 
tionnetlement. 

IxtoxsuLto, A, adj. indalilsere ; qui agit sans 
prendro conseil. Incons : qui n’a pas dw 
consulte. Tr?) “a ’ 


u 


oo Ie 

IacomrrivaL, adj. 2 geh. Yncomplible : quf 
ne peut &tre consum&. Impörissable. 

InconsöriL, adj. 2 gen. qui est sans coulure, 
On le dit surtout de Ja robe de Notre-Seigneur, 

Incontauınino, A, adj. pur, sans lache. 

InconrastivzL, adj. Incontestabie : qu’on 
ne peut conlester, a 

hoonrastitzLafirte , adv. inoontesiable+ 
ment inement. 

Pd 0 Ya ‚3. f. inconlinence : vice op» 

& 4 1a Oontinence, Ala chasield.— da uri 

incontinence d’urine, ecoulement involontai 
du Nqdide contenu dans la vessie. 

Inconrinäute, adj. 2 gen. Inconlinent : qul 
n'est pas conlinent ‚ chaste. Qui ne peut pas 54 
sontenir. ' " 

Incontint&nte, adv. Inconlinent, aussilöt, 
yo meme instant, sur Pheure. 

InconTin£ntem£nts , adt. Incontinemment : 
Set Ineontinence. 

INCONTRASTÄTEL, adj. 2 gr irresistible, In- 
' Gatrmontable ; Incontestadie. 

IneconraastiveLmäntk, ado. Incontestable- 
ment. 

Incorvrimäntıa, s. f. *Inconvenient, incom- 
: Aualte , contre-temps. Inconvenance. 

INCONVENIENTE ‚adj. 2 gen. inconvenanl, qui 
he convient pas ; Impropre. 

Inconvemtnte, s. m. incohvenient, embat- 
ras, dificults qui survient, 

+ InconvensiveL, adj. % gen. (P. us.) inso- 
ciable, intraitable ,‚[ächeux. . 

+ INcoftvearivet, adj. 2 gen. Inoonverüble : 
qu’on ne peut converilr. j 

Inc6unto,, 8. m. (1. de chir.) poulain, bubon: 
tumeur venerienne des klandes inguinales. 

Inconrorackd, s. f. Incorporalion. 
. Wtcohrorib0,A,p.p. de 
- Inconrorir (a, com, em), ©. @. Incorporer : 

ft; Xöunir ensemble des 6orps ow leurs par- 

ties, pour ne faire qu’un oorps; unir; Joindre. 

"Inconrorin-se, 6. Fr. B’Incorporer, s’agreger, 


TnoaPORzI—ÄnE ‚8. J. incorporalitd : qualiss 
des ötres Incorporels. 
latdap6nzO, A, adj. Incorporel ; qui n’a 


Yet 8e corps. 

Ikconnfctkö, #. f. Incorreetion : delaut de 
Vorrvetion. 

MWecoruttrafitnts, adv. d’une maniödre in- 
werreeie: 


Imconafcto, A, 
de verreotion. Inco 
ige, vera. 

u oonnfn (0), v. ». dncourir : famber en. 


teller. 

Incoaaiso, p. $. @Incörrer. V. Incurso, 

Incvaarcıbruieine, s. f. Incorrigibilite : ca- 
raciöre de ce qui, de celui qui est incorrigible. 

Iiconnscivet, adj. 2 gem. incorrigible : gui 
De peut, ne vout pas 86 oorriger. . 

Inconaurciö, s. f, Incorruplion : dtat do o@ 
ui vie peut be pre. (A9.) Pureis, inte- 
griw de maurs, 


. Incortect : qui manque 
&: qui n’a point &tö com 


= 


INe 


IR 3 Sur a 1 77 17 ' T- Tree I a .. 
„ÄRGGAAUFIAMENEN, ade d'une uuntire in- 
corruptible; mon sacsup ion. j 

‚iImcpa a,.%:[. imsorrepüibtiie: 
walk de «s qui ns ieerreptible, jagt 
(d’un juge, etc.). 

sus, A, alj. supi dimmerrapls. 
InconaurriveL, ad 2 gem, Anssprupible: 
qui ne Pan. 2q.00ripmpre, DU-PeEt GUN ter- 


rompu. Homem —, homme ä l’öpreuve de fa- 


een . ro 

. Äneo BÖRTO, U en) isst ' w- 
vompa ni gäte: Den. Chem. 
bie, jattgne. 


Inonssehun: Ay PP. C’inerusiut. 

lyUCAL2BAMENYTO , 9 u. Gpalsutinnuntmt. 

Incasssinez, ai 2 we; imerumumt ı Ye 
“peiasit lo sang, jes humenrt. p.«h ip 

Incnassin, 9. .u. (f. de weiß.) Inpresmee: 
“pniseie la gang , Ion uument®. 

Incazivo, A, aßf. imer66 : qui anime mis 
avsir db cabh (Dina) 

IncrepıBiLidäng, &. f. tUOROibiihd ı 80 q8i 
fait qu’on ne. past wwolre ano ehane; ve qilı 
rend inerayabie. 

Incazviver. V. Ineriesl. 

, 2 & uust@allttr: TOyagnbhce 
& croire; mangque de foi religte@se. 
a, ef 3, Ir en 
croit pas alsöment; qui ne eve phy ser my 
de la roligkem. 
Ncazıuam. V. Znerteel. . 

Jucaan kuro,g..s0crulssenment. (4. Eiyrem.) 
Creöment : augınenistion da syRabes Wei ver 
& nertsigs tempo, (Yun Bor di 60FRAND vii. — 
do pulso, &i&vation du pouls. N 

Ineumeagld, 3. f Top nande soo. 

N yA,9. 7 d’ Inu. 

INCREPADÖR,, A, 8. oelui qui reprieiiide #- 
vereusent. j 4 

Incazeän , &» s. Soprimmmdsr. eüröretnehl, 
blämer. 


‚Ineredde. 
*Incaınia, etc. V. Incliner, eic. 


Inenivan, adj. 2 gen. merspakle : ui ne 
peut ötre eru, difolle & ceuire ; unenssil, er 
traerdineire , insul 


, . 
IncnivgLmänte ‚edv. incroyabiuanent : Fun 
maniere in 
Inckuän, etc. V. Zaeruer, etc. 
Incasänte, A, adj. nom sengieut. On 6! 
surtout du sacrifice de la mbse6. 
‚m 4 perustalien, 
Incaustipo, A,P.p. de 
iA, 0. m inofmies ı appälgun? (de 
marbre, otc.), sur ou oehree une wuffäck, 
osınme une orale; obavciz, runadie (der, &8 
or, en ou de marbre); placer des waetbents 
dans des sillans, des partide craustt. 
Incusackd, s. f. incubation ı hekheu Bub orl- 
parea qui opuvens des aufs. 
Incusipo, A, pP. p. de 
‚ timcusia, u.a. opuver sse dit Ge Foisen 
qui schauffe ses nis em so tumant obuch® 








AD 


* Prctoo, s. wm. Incube: Adhıon qül, selam 
V’absurde croyance populaire, abuse des feın- 
fieb. Cauchemar. 11 est aussi adf. Demonio —, 


Incube. Are —a, gisgau couvänl ses @uls. 
Inchoe (poet.). V: Biyörna. 


..IscöLca, 6. f. recberche, perguisition; ren- | (& 
emenls, indices, Indicallous ; recoınnian- 
dation. Dellar —s, rechercher exaclemenl, 
thercher soigneuseinent la connalssance d’une 


sei 


chose; voir, fureter partoul. 
IncuLcäidd, A, p. p. d’Inculcar. 


IncuLcaddß, A, s. celui qui recommande un 


sutre, qui procure. 


nctLcir, 6. a. Imdiquer, proposer;; incul- 


Taer, Fecommander. 


Lcih-sk [bor), v. r. se prodaire, s’ihsi- 


nucr, se faire connaltre, 86 donner pour. 


Incuzesmulssuno, a, &dj. sup. d’Inculpavel.. 
IncuLrivdo, A,adj. innocent; qu’on N’accuse 


IncuLPÄVEL, adj. 2 gen. exenipt de faule, 
innocent, irreprochable. 
ÜLPAVELMENTZ., adv. Irr&prochablement. 
IxcöLro, A, adj. Inculte : qui n’est point cul- 
tive. (%g.) Rusiique, qui n’est point poli, cul- 
ve; naturel, simple, sans ornement. Terra 
— as, tefre en friche, inculte. 
IngunTüRA, s, f. incullure: defaut de cul- 
tare. 


Intulesexcia, ». f. Commission; charge, de- 
voir, ohligalion; departement, ministere. 
Incumeldo, A,Pp.p. de 
Incuusıa (a, de), v.a. charger quelqu’un de, 
a Fan confler d. 
scolk (d), v. %. appartenir, loucher, re- 


£ eire du devoir de. On dit incomber, en 
» 06 pälals. 
"Incoleta-sek (de), ©. r. se charger de, 
prendre sut sol. 
xcuhfsYLidäne, 2. f. Incuradilite : dtal de ce 
test fncurabie. 
IncoriteL, af. 2 gen. Incutable, Ingueris- 
sable : qui ne peut @ire.gueri. _ 
Incunävgın&nte, ade, incurabilement : une 
aba 
IRCHRA, 3. J. incarfb : Adfaut de soin, negli- 
gence ; insouciapce. 


Hl b4j.% en. qui n’est pas curial, 


, TISCORIALIDÄDE, s. f. qualils de ce qui n'est 
pas eurial ; Irregularite, 

[XcorıösamEnTE, adv. Begligemment. 

jasunoo, 4, adj. negligent, peu soigneux. 

SCYusi0, 8. f. incursion.: irruplion hosule; 

'%oafse en pays ennemi. 

INchaso, s.m. acılon d’encourir; peine en- 
Töurub. * Altaque, assaut, choc, incursion. 

Incheso, A (em), adj. qui a encoaru. p. p. 
#rr. de Incorrer. 

Ixcunvar, eic. V. Eneurvar, eic. 

Ixoa. V. Ainda. 

Inoacacid, 5. f. recherche, perquisition ; 
enque£te; invesligation, 

Innacino, 2, pP. p. d’Indagar, 


| malseant; honteux, desbonorag 
6 


{fo Mi 


Inpacanda, a, 2. indagaleuf : qui recherche 
avec soin, j vn 

Inpacoin, v. a. chercher avec soin, techer- 
cher avec soin ; s’informer de. Yun 
Innacona ‚adv. teut & l’beuse, il ya peu de 
mps. 
"iInoz. V. dindae, _ a 
InneBıro, A ge qui west pad da. 


nd 
‚ÄNDECENCIA, uf. inddee : e.de de- 
cence ; aclion,, discours en 


as a! 
DELANTE, adj. R gen. Indaoent : «x alles ä 
1a denn "ie kientachee: i Phonnelan . 

ISDECENTSMENTE, adn. inddoe nl... - 

Inpeceatissino, A, adj. gun. d. Imlecanie 

+ Innecırräiven, ad, 2 Iindeghi : 
qu’on ne peut lire, dechilffer, Yen 
einbrouille. . nennt du alırıı 

Innecisame&ntE ‚ade. @’uhe inanidre inddeise, 
avec indeeision EL N ER 

Ixnnecısäö,s. f. indecision, indeterminallon, 
douto.. . a Pr 

Inpsciso, a ,adj. indecls : dui n’est pasde- 
ed; irresolu,. Le 

InpecLARÄVEL, adj. 3 gem, qu’an ne sausejt 
deciarer. . on 

InnecLiniveL, adj. (f. de gram.) indeell- 
nable : qui ne peut se decliper, dent ja ket- 
minaison ne varie point. Indvitable, Indiapen- 
sable. On le dit, en lermes.de palsis, d’uns 
juridiclion qu’on ne pewt degliner, 

Innzconänpo. V. Desnoredilddo. . 

Ixpscöno,s, m." ind&cenos, irreveremce, al. 
V. Indscoroso. >. , 

INDECOROSAMENTE, adv. Ind6vemment, vunise 
la biensdange. en 

InDgcoRosissımo,, A, adj. sup. de ; 

Innaconösp, A, adj. Indaseni, menstail, 

Bo. ‚- 

InDKERLTIBILIDADR, 8. f. Indöfectibillis 1 qua- 
lite de ce qui ost inddfeotikje. are 

InnarEcTiyEL, adj. 2 ge. indefectible : qui 
ne peut defaillir, cesser dere. . ......d 

INDEFEGTLTELNENTB, ade. Iimmanqusblement, 
infailliblement. . Den 
‚ Isnssunsärgı, adfı 2 gen. gu’on ne peut Ppäs 
defendre, non tenable. . nun, 

Innsrenso, a, adj. qui et yans delonne. 

InDsFERInO, A, adj. debauis ,relumd.p. p-B 

tTinnerasun, 0. 0, dhhouter : declareg döghe 
d’une demande; reluser (una .polilien, me Her 
mande, olc.). — um requerimenie, meilto 
neant sur une Tequäfle. FE 

IuDasEuivgL ‚adj. 2 gan. A qui.om no peut pas 
deferer, qu’on us peut pas ancorden. 

InDESUSSAMANTE, ade. . 

IRDEFESSO, &, adj. } V Trlcansadäl... 1} 

InneErICIENTE, adj. 2 gen. indefertikiey imb- 
puisable. .. ., 

Inpderinivam&nse, ado. Indeinimens > d'une 
manidre indefinie; d’une maufere illimmbtis: 

t Inperınino, 4 , adj. qui est suns definikhön , 
qui n’a point ete defini. (t. de math.) Indeßed: 
indsterinind, sans bornes fixgs; dont em De 
peut determiner les bornes (espace, Rombre, 


L ‚IND 


ligne, duree, etc.). (f. de log.) —, indelermine, 
en parlant d’une proposition. 

T InDperixiveL, adj. 2 gen. indefinissable : 
Qui ne peut se definir ; inconcevable, indechif- 
frable. 

Imszrınito, a, adj. (1. de math.) infini : qui 
n’a point de terme. Indefini. 

TALAVEL, adj. 2 gen. indelebile : ineflaga- 


InUELEVELKENTE, ade. d’une mianidre Indeld- 
bile , ineffacablement. 

ImpeLiszraciö, s. f. Iindeötermination, Irre- 
solution. 

+ ImpuLrneripamente,, ado. sans reflexion. 

InpeLinenino, A, adj. imdelibere, irrefle- 
chi; sur quol on n’a point delfbere ni reflechi. 

Inpbeumero, A, adj. sarıs diminution. 

Inpzuninz, s. f. indemnits, dedommage- 


‚ment, exemption de dommage. 


Inpzuniızaciö, s. f. indemnits, dedommage- 
saont. Indemnisation. 

Inpeunızino, A, P. 9. Ü’Indemmizer. 

Inpeunzanen, A, 8. oeluigui indemnise. 

Inpeunızin, v. a. indemniser: dedomms- 
vor, garantir de dommage. 

InDEnNIZÄVEL, adj. 2 gen. qui dolt @ire in- 
demnise. 

Impzrzuptncık,, s. f. independance. 

InuuFEnDenTe, adj.? gen. independent: qui 
me depend pas. Fazer-se — , secouer le joug, 
se rendre independant. 

INDEPENDENTENENTE ‚ade. independamment, 
@'une manidre Independante ; sans relation. 

TInpsrendentes, s. m. pl. independanis : 
soctaires d’Angleterre et des Pays-Bas qui font 
profession de ne döpendre d’aucune assernbiee 
ecclesiastigue. 

T INSEPENDENTISNO, 8. m. independantisme : 
secte des indöpendants. 

TInpzranpta, o. =. (P. us.) ne pas depen- 
dr ‚ etre independant. 

INDESATÄTEL, adf. 2 gen. qu’on ne de- 
lier; indissoluble,. ” pont 

ImanscuLrivsı, adj. 2 gen. inexcuseble : 


. qui ne peut ölre excuse. 


tinpsernonszäveL, adf. 2 gen. qu’on ne 
peut pas dötröner. 

timzsraucrsmmine, s. f. Indestructibi- 
Is ı qualits,, stat de ce qai est indestructible. 
" + InpEwraccriver, adj. 2 gen. Indestructible: 
qui n6 pout dire dettuit, se deteuire. 

Inserzummacikö, s. f. Indstermination, Ir- 
zöselution. 

Innerzauminawtnrn, ade. indötermins- 
ment : d’une maniöre Iindsterminde. 

INDETERNINÄDO, A , adj. Indetermine , inde- 
Bei; qui n’est pas determine, sans bomes as- 

ables; indöels , treesolu. 

+ InperzauınaR-sE, 0. r. ne pas se determi- 
nur, so Öbeider ; ötre irröschı, 

"Iwwewaci6.V.4 . 

Imerinauters, adv. indüment, injusic- 
ment. 

Imsavioo, A, adj. indu, Injuste,. 


IND 


Innevocäiö, s. [. inderotion : delaut de diwe- 
tion ; manque de respect pourle culte. 

+ InDEVOTANENTE, adv. indevotemont: d’ane 
maniere indervote. 

Inpzvöro, A, adj. indevot: qui n’est pas d#- 
vot. 

Inpex, s.m.V. Indices et Allidada. Congregapbl 
do— ‚congregation de Pindex, ehargöe & Rome 
d’esaminer les livres qu’on imprime. — axper- 
gatorio, index expurgatolre : catalogue des 
livres defendus par la congregation de l'inder. 
— ou repertoriode lioro de rasäo, (1. de comm.) 
alpbabet,, index , r&pertoire du dlirre. 

Inpex ‚adj. m. Dedo —, index : dolgt india- 
teur, pr&s da poace. 

+ Inoıa, s. f. (f. de gdog.) Inde, Hindoasten : 
pays de l’Asie meridionale. 

Inniino, A, 08% 

Inpiärico , A, adj. } Indien : de Finde. 

Inoıcaciö, s. f. indiestion : action d’indi- 


quer; signe qui indique. 

Inpıcino, A, P. P. d’Indicar. 

Inpıcandör, A.V. Indicativo. s. m. (1. d’ansl.) 
Indicateur : muscle da doigt index. 

Indicäinte , adj. 2 gen. indicatif : qui ind- 
que. p. a. de 

Innıcir, o. e. indiquer, ınontrer, assigner, 
designer. 

Innicarivo, a, adj. indicatif : qui indiqwe. 
Modo —, (tl. de gramm.) indieatif ; premaet 
mode d’un verbe. 

Innicgäiö, s. f. (t. de chrom.) Indiction : p*- 
riode de quinze aunees, en style de chancelle- 
rie romaine. 

P’pice, s. m. index, table d’un livre.— br 
rario,,” aiguille. V. Indez. 

InpıctAno, A, P. p. d’Indiciar. adj. Don! ee 
a des indices, soupgonne. Soupgonnd d’ua 
crime : contre qui on a des Indices. 

Inpıcsapon,s. m. oolai qui donne des indieel. 

Inpicıär,, 0. a. donner des Indices. Soupgi® 
ner, decouvrir par des indices. Marquer, met 
trer. 

* Inpıcıas ou —ziıs. V. Come. 

Inpicro, s. m, indice : signe apparent et pi* 
bable d’une chose, d’un delit, etc. * Margue, 
renseignement. 

P’npıco, a, adj. Indien, de TInde. 

Inpwranenca, s. f. indifference : tat d’ese 
personne indifferente; faible attaabement; fro+ 
deur ; absence d’affection, d’amour, d’stische- 
ment; insouciance. Liderdade de — ‚libertö & 
choisir entre deux objets oppos&s. 

Inpirrentute, adj. 2 gen. indifferent : gein 
fsit &galement bien de diverses manieres; 
bon ni mauvais en sei; qui touche peu , DR 
resse gudre, dont on ne se soucie pas; qui24 


‘4 point de penchant pour, qui n’a d’alia 


& rien; qui n’a pas plus d’attachement, d’afeo 
tion pour un etre que pour un aulre. 
INDIFFERENTEMENTE, ade. indifferemment : 
d’une mıaniere indifferente ; avec froideur ; 5896 
falre distinetion. 
FInerFERENDISMO, 5 2. indiffgrenusme 








IND 


de ceux qui se disent Indifiärents & 
sout et abandonnts au hasard; qui se disent 
indifförents on matiäre de religion. 
+inpierznentista, s. mw. indifferenüste : 
partisan de Findifförentisme. 

Inpirınıver. V. Indefhmivel. _ 

Iniezna, s. etadj. 2 gen. indigene : naturelä 
ou denpays; qui yerit‘ elle-meme( plante); 
qui Y’habite de temps immemorial (peuple). 

Inpsckucia, 8. f. Indigence : grande pau- 


Innıckute, adj. 2 gem. indigent : necessi- 
tsux; uvre. 

+ INBICENTENEATE, adv. avec indigence, dans 
Pindigence. 

Iwoicenrisstwo,, A, adj. sup. d’Indigente. 

Imnozstid, s. !. indigestion : coction impar- 
faite des allments; ;digestion mauvaise ou nulle. 
(Ag.) Manque d’ordre, de disposition dans un 
diseours,, etc. 

+ Inproustin, v. @. (8. durl.) deranger l’or- 
dire des terits. 

Iraıcgsro, a, adj. indigeste : dificiie ä dig®- 
rer; qui n’est pas dig6re ; (Ag.) mal concu, sans 
ordre, sans netiets. Ennuyeux, maussade. 

+ Inpioztrir, v. a. indiquer, signaler au 


Inpickrz , s.m. (1. d’an£.) indigdte : nom des 
heroes, des demi-dieux d’un . 

Inssonacäö, s. f. indignation : colöre oontre 
ce qui est injuste, honteux et indigne; aver- 
sion pour le mal, pour ceux quile font. 

Iımiconino, A, ?. p. d’Indigner. 

4 Innicnauänrn, ade. Indignement : d’une 
manidrs indigne, 

Impıcnän ‚v. a. indigner : Irriter, exeiter l’in- 

‚ta colöre. 

Inmenin-se (com, contre), v. r. s’indigner : 
eurer en indighation, epcoldre ; s’Indignercon- 
tre quelqu'un , otc. ; se fächer. 

Iusıompisz, s. f. Indignite : qualite odieuse 
de ce qui est indigne; bassesse; affront, ou- 


Inpicnissıuo, A, adj. sup. de 

Inniono, a (de), adj. indigne : qui n’est 
pas digne , ne merite pas ; qui exeite Pindigna- 
sion ; Inconvenant; me&chant; trds-condamna- 
bie; odiear, qui ne convient pas au rang, & 
Yäge, au caractöre, au merite, qui degrade. 
Vu, bes, meprisabie. 

Insico. V. Anl. 

Inntuickucıa, s. f. negligence, nonchalance. 

InmLiGKxTE, adj. 2 gen. negligent, noncha- 


Inpnacäö, etc. V. Indignacdd, etc. 

Y’sdıo, Aa, ad. et s. Indien : de !’Inde, des 
indes. — "de carga, Indien porte-faix. 

Inmozmuo, dim. d’Fadio. 

. SIRCrAmENTE., ade. indirectement : 
maniere indirecte. 

Inomecro, a, adj. indireet: qui n’est pas 
direotz obiique; fait comme sans dessein. 

Imnıscırrina, s. f. Indivcipline ; manque de 
discipline, 


d’une 





IND 633 

InpiscrLmano, A, adj. indisciplind : - dyeli 
manque de discipline. 9. 9. de 

ImpiscıeLinän, v. @. Indiscipfiner : rendte 
indiscipline. Il ost auss! r&eiproque 

ImiscıpLınäven, adj.2 gen. indisolplinade ; : 
qu’on ne peut diseipliner ; indocile. 

Inbisca£tamnte , adv. indiseretement : 
d’une maniedre indiserete. 

Inniscatro, A, adf. indiscret, &tourdi, in- 
considere, mal avise, imprudent. 

Inntscaicäö, s. f. indiscretion : manque de 
disor6tion ; action ‚parole indiserete. 

InDiscaıMINÄDAMENTE, adv. sans cholx , sans 
distinclion. 

Insisiver. V. Indiziecel. 

+ InpisrensasıLining, 8. f. qualil& de ce qui 
est iudispensable. 

InDıspgusävsL, adj. 2 gen.indispensahble : 
dont on ne peut se dispenser. 

INDISPENSAYELMENTE, ade. indispensable- 
ment, necessairement. 

InDISPORENTE, adj. 2 gen. qui indispose. p. 
a. de 

Inpısrör (com, conira), v. a. metire horsa 
an de, rendre incapable, inhabile. Indispo- 

ser, fächer, aigrir, irriter; rendre mzalade. 

Innisrosicäö, 8. £ Impuissance d’agir, inca- 
pacitö de recevoir. Indisposition : maladie, 
incommodits l&gere ; eloignement, aversion 

Ur... 

Invispäsro,A,p. 9. ter. d’Indispor. Indis- 
pose, incommod&. Qui a une Indisposition con. 
re quelqu'un. 

InbısPuTaBıLipäne, s. f. Indispntablifte, qua- 
litö de ee qui est indisputable. 

InpisputäveL, adj. 2 gen. indisputable, in- 
oontestable; qui no peut ötre disputs; sur quol 
Fon ne peut disputer. 

InDISPUTAVELURNTE, ad. Incontestablemen, 
indisputablement. 

InpıssoLusı.mipe, s. f. indissolubilitd : qua- 
lits de ce qui ost indissoluble. 

InpıssoLöveL, adj. 2 gen. indissoluble : qui 
ne peut se dissoudre. Qu’on ne peut denouer. 

InDissoLUYvELMENTE, adv, indissolublement ;, 
d’une maniere indissoluble. 

Inpisrincciö , s. [. manque de distinction. 

INDISTINCTAHENTE , ade. indistinctement ,' 
sans distinclion. 

Indisrincto, a, adj. indistinet, confas, qui, 
n’est pas distinct. Qui n’est pas distingue. 

InpıstincuiveL, adf. 3 gen. qu'’on ne peut 
distinguer. 

*"Inmro. V. Infrodunide. ft 

Inpıvrıpir. V. Endicidar. j 

Iwoırmwumciö, s. f. circonstance qui sp&cifis, 
qui caracterise : speciflcation. Qualit& consti-' 
tattve de Pindivide. Detail circonstanche. 

Inpiviıpuipo, A,p. p. d’Individuar. 

IRDIVIDUADOR , 3. m. celui qui Individualise, 

Inprvimuär, adj. 2 gen. individuel : de l'indj- 
vide, qai a rapport ä ui, Iui appartient. 


JNPIYIPUALIDÄDE, uf. Individualits : qualils 


|. Bin 
Ba de Klanlvii ce qui 19 conglälse.-V. Zuhi- 


TR, edy. indiridusllemens : |, 


em ach individuelle. 
aus, adj. 2 gen. qui.conaljjue lin- 


an u.a. 
M “ a. traiter de chaquye chose en 
ir oulier, detailler, specifler. 
Imansen. s. 9. ipdividu : durp parliculier de 
ke espeoe personne ; &ire organis6 qui ne 
ad vn cesser d’etre |a mame per- 
ann —,avoif soin da son indivi- 
mit Hr Am Fgonne. 
NDiviD0O, A, adj. singulier, particulier, qui 
n’admet ni division, ni distingtion, Indivis, ja- 
% 
DIYISANEKTE, adv, par indivis, indivise- 


ke LT N eiat de ce qui 
+ LiDing, 8. f. jngivisibilite. 


Arapanpr: RR ges. indivisible ; qui ne 
viser; qui ne 


se divise pas. 


Me FL ee: indiyisiplemens : 


KRbılge da de Indivie; qui n'est pas di- 


"Tünıziygr, adj. 2 gen. indleiple:: qui ne pent 
er ire expe/md ar les paroleg; Inaxprimable, 
NDIZIVBEM “TE, v. d’une maniere inexpri- 


"Mensen 4 ds dog.) Indus: Neyre de 
ANZ np 


DogpipE, 8. [. indocilite : caractdre do 
ern (gen Indocile; manque de dacilile; re- 
ut letons, aux remontrances, ä l’cx- 

perig neues: 
Mp6ädLızino, a, p.p. de 


I anoosıı IzAR, 9. a. rendre indocile, faire 
pe 


ta Hociliıd. 
NDÖCILBENTE , odo. d'une maniere indocjle. 
MDICTO, 1,04. indacte. Y. Indouto. 


PnDous, 3. {. "naturel, earactere. "Genre, 04- 
räclör6, eh arlanı des Tangues. 


Impge Ki f. indolence, insensibilils, 
w, aloaciance, nonchalance, apa- 


2 gen. indolent, qui a de 
ar Een insensible & jout. 


BOLENTEN ENTE , ady- Indplamımentsarec 
do ence , nonchalance. 


Inpowino, 4, adj. indampi : qu’on n’a pu 
dompter. 


Do ‚adj. 2 gen. indomptable : qui ne 
va al Pier 


+ INDONESTICA ya}, adj. 2 gen. qui ne paut 
8 rronkese 


ad. feroce, gauvagp, qui 
Kfm indomptabie, 


weit ß Krane 


"os 
(An IRA je 


un 


+ upnränn, 3, add. qui aangus da del, gei 
mast pas dola, indoie. 

INDOUTAUENTE,, edv. En jERATAN}, CORIME SE 
ignerant. 

Ino6uro, A, adj. qyi na Rein! Appria, igne- 
rani, sans instruction. . 

tinpnız, m. (4. Kain. d inddri 4 apakih 
quaire denss incisives & la mächeim jafe- 


rioure. 
NDUBITÄDO, A ‚adi. 
en do2 Y. a 
ne at daulere, as „cer 
 enuaırar /ELMENTE u, En hiuklenen, 
sans doulp, asguremegf, Oeriginpuyent 
Inpucgad, s. f. indertion? Insuigalan, In 


nd hie. dent 


pulsign ; 09 uence vrai uste de; 
era dh acc sea en 
pour prouver une nasimne genög 

Inoücuas,s. f. pl. (1, de argl di naprdd; 
treve, Suspension. Ancihe 

Inpicrin, in s das 
InnreririDine id D qui na 
pas dueuile. 

Ixorcrivo, 4, adj. qui induft 01 quiet pre- 
pre ä induire. f ido, 

NDECTO. 7 

Pe be instigaleur. Celul qui en 
URS Consequenoe. 

InpuLcench, 2 - indulg Het la 
lite A pardanner, excuse, e En nahe 
de quelgu un. Boni, cond ge 
rance. Indylgences : rom saion Da 
v’Eglise de) ja peine An Yu, 
Indulgengo plenidre. Sex I W 2 PR. 7 

i saınt. 

NDULGESCIÄR » 

ee aan nei avec indulgenoe. 

ÄQPULGENTE, adj. 2 gan. indulgent (A,BeR, 
quj a de l'indulgencp, quj pardanne aishmaahı 


comınode, tulerant. 

INOULCEKTEMENTE, ade. ind ulgenyment: avec 
indulgence, 

INDULGENTISSIMO,, : ‚di. sup. d’Indulgenie. 

InpuLTäAno, 4,p 

Inpurrän (de), s. Fi ardonner, remelire u0 
peine mieritde; Mi; r un indult. In 
Be pourvoir d’un indult, obtenir un } 

InpuLrärıo, &. mm. indultaire : quj 4 gppid 
un bönelice en vertu d'un induls. 

IxndLto, s. m. indult : gräce, droit aooprdd 
par une bulle. *Amnistie, pardon, dispengakieß. 
"Gräce, privilege. 

* INDUMENTO, 6. m. Y. Vestidurg. 

Innenacäd, 8. f. (t. de chir.) induralion, am 
dureissement. V. Endurecimenie. . 

Innuascer, etc. V. Eadyurecer., 

+ Inoisıo, e. m. Ü. d’ant.) indugiam : wis- 
ment que les Romains perlaient sur ia pen. 

Innüstaıa, s. f. industrie, habilets, sdrese, 

dexterite; savoir-[aire, travail; action par la- 
quelle !’homme cree des pradniis, des vadaun. 
De —, eıpres, & dessein. ‚ Homem de — komme 


plein de ressources, indpstrieux. 


Inpvstrıäno, A, p. p. de Industrier, 











I 


I 1a00R ‚8. m. calui qui dresse ou rend 
In ,5. m. colai qui dresse on rop 


kabile‘, . 
Inoustttäi., ad. Industrief: produit par Fin- 
@ustrie. .. ’ 


Ykuusreıiz (0m), ©. oe. dresser, instrwire, en- 
sehfner arme Kader. ri 

Inpusrnlän-sg,v.r.g’in usteier : sieppll or 
A rdenehPäädie and are © 8: Pacı 

INDUSTRIÖSAMENTE, adv. indastrieusement ı 
avee art, mäustie N m 

‚k, adj. in x: qui ade 

Pindustrie, de l’adresse ; falt'avec Industrie. ' 

Innustbb a, p.p. Plndactr. -- 
Inpuziuon 


4. celui qui induit : instigatenr. 

Inpuzmt Zr fastgalihh. 
eonseil, impulsion.. ° '-' * 

Impuzir (8), 0. a. indufrg : porter, pousser &; 
eccasionner. —, inferer, {fer une cohsequenee 
de. — em erw'd,, Ihtfulre eh erreur. * ' " 

“Treurtar, u. u. enivrer. VW. Embebedar. 

Ineoıa , 3. [. di&te, adstinence de mourriture. 

intüro, a, adj. quf'n’& pas encore &t4 pu- 
bli6, mis au Jour; Inedit. . u 
' Ineerdsitınipe‘, 5. f! Ineffahllit6 : impossibi- 
Ns d’exprimer par ges les. 

Tnerfäver, (ad)! Andlfale : qu’on ne 
peut e1primer par des paroles, Bu 

InErFAYELnENEE, ade. üne manitre ineffk- 
ble. er | dh, '. 
-Yeevriciers, v. f. ineflicaelis : mmnoe de 
vertn , d’ellicace. 

u Äz,adj.2 gen. inefficace : sans eflica- 
elle !' get ne proseit poldt Pöffet. Yun 

+ IsEoricazuänte, ade. d'une manidre mef- 
Bcaoe. 0.3 , .“ Liu Bun Eu u 

Frkrpernxco, a, ac). qui n’est pas 6tectrirue. 

Int EL, adj. 2 gen. Indfigfhle : qui ne 

pgat elta. 
Murtrirkı, 0). 2 gen. Inshuetable, ineri- 


table. 
ISZHARniVeL, adj. 2 gen. inönarrabie : mi 
ne Dh eteraconıd. Zu 


INESCETÄVEL ‚adj. 2 gen. qu’on no peut pas 
en Beet »adf{. 2 gen. qu’ ne pe ‚pa 


Intrcaa , s. f. ineptie, absurdits, sottise; ap- 
von, propos, nelloxiens Ineptes. 
sert4mente, ado. sotterment, mal A prı 
oh, A’vohtre-temps: par ineptie. mr 
In£erioäö, s, (. inaptitude Incapaciis. 
Iusrriskino, 4, ad}. sup. Plntp . 
+ Inzrtizin, e. a. rendre inepte. 
ern, a, adj. Inepte, sans aptitade; Imper- 
tinent; absurde, 
Insötu.itno, a, adj. In&quilatäre : & cöts 
im 


ur. 
+ IreguıviLre, adf. 2 gen. indquivalve : & 
valves inegales. 

"Ihtmcıı, s. f. Inertie: indolence , Inaction: 
apathie , defaut d’activite. Forga de — (1. de 
phye.) force d’inertie ; resistance au mourve- 
men, pEoprie des corps de rester dans leür 
dtat pos ou de mouvement. 

Jug 4dj.2 gen. desarme : sans armes. 
tt: ds dot.) Inernie ; sans Piquants, sans Epines. 


PDF Bo 


InennÄänte, adj. 2 gen. (1. d’astr.) fire , par- 
kant des astres, des Aoilen. '"' in 
In&aTe, adj. 2 ges. inerte, sans resser, 
sans activite.’ j 
*Intrto. V. Inerte. 
JIuzscxoriver, ad). 3 gen. Inerustable ı qu’en 
ne peut pönötrer. en 
InzscoräveL, adf. 2 gen. in&puisable. 
IygsperiDauänte , od. Inesperkinehl ı e0n- 
un6 Vo esperanoe ; lörsqu’on Y attetichlt lo 
moins. [1 ae 


Shesperino,, A, ad. inesperd, Inattende, 
im reva. y Inexpe FR [u ” 
Esptäro. V. rto. 

Inzstimiygr, odj.”? ger. Inostimahle, 
pröciahle "Rn ne pet dssei estimer. : '"" 

Inerräncıa, s. (. Inövidence : qusine, sub 
de oe qui n’estpas bridmt ' — 0 
"IneitBense, ally.'2 gen. indvident ı qai n’ont 
pas Wien, ma. . 
Inzyrriven, adj. 2 gen. Indvitable : quo Fon 


ne peut öriter. 
Imetrrivauntert, ade. Insritablement: d'une 
manidre indyitable, zw. 
"P InexıcriBis,' s. f. inexaclitude : mangee 
d’exactitude. m un Z et. 
Ingxjctro,A . Inezant ı sahhs eract . 
excauritki. Y.Pnsereimhl a v nn 
Ingxcusä L, . 2 .: excusa ° 
ne peut dnl'brcn . un mim 
INEXCUSAYELNENTE, adv. sans exXtuse. 
+ Inickedoiven, ad). 2 gen. inox6cutaBie: qui 
ne peut dire exdcutd. [ 
Inexooräskı. V. Inesgolaxel, 
NEXHAURIYEL, adj. 2 gem. intarissahle, ın- 
€puisable. ' 
InexnÄusto, a, adj. nontari, Indpulsable. 
IREXISTENTE, adj. 2 gen. non &klslant, qui 
n’existe pas. u 
INBXORABILIDÄDE, 8. f. gqealitö de celul qui 


| estinexorabie. 


InexorävsL, adj. 2 gen. Inexorable : qu’on' 
ne peut fldchir, apaiser par Ids prieres ; seväre, 
dur, terrible. 

INEXORAVELMENTE, ade. inexorablement : 
d’une maniere inexorable. 
_Inexperiencıa, 8. f. inexperience ı manque 
d’exp6rience. j 

InExPERTO, A, adj. inexperimentd : gal n’a 
point d’expärienoc. 

tInexrıiäno,a, adj. qui n’a pas dt expis 
(peche, crime). " 

InexriäveL, adj. inexplable : qui ne se pout 
expier (crime). 

InexrıscäveL, adj, inexplicable : qu’on ne 
peut expliquer. 

InExPaIMivgL, adj. 2 gen. inexprimabie : 
qu’on ne peut exprimer. 

In£xpucnäveL, adj. 2 gen. Inexpugnable : 
qui ne peut @tre force, pris d’assaut. 

INSXPUGNAYELMENTE, adv. d’une manläre 
inexpugnable. 

* INEXPUNHÄVEL, eic. V. Inezpugn..., elc. 

Inzxtensäö, 9. [. manque d’extension. 


t, 


696 INF INF 


Ixraxtania, s. f. Infanterie : tronpes ä pied, 

Insänse,s. m. infent : titre des anlanıs pai- 
nes des rois d’Espagne et de Portugal. Les Alles 
son; miss, infauies. Emlanı gei 
n’a point atieint l’äge de sopt ans. Fanlassin, 
pidton : soldas & pied. 


+iuextensiven, adj. 2 gen. inextensible : 
qui ne peut pas eire slendu. 

Inextenso, A, adj. inetendu : qui n’a point 
d’etendue. 

+InxıTERuInavEL, adj. 290%. qu’on no peut 
pas exterminer. 

Inuxrusävar. V. Inastimavel. 

insxtincro, A, adj. mon eieint. 

IngxzınauiveL, adj. 2 gen. ineziinguible : 
qui ne peut @ire dieint. 

InaxsaıciveL, adj. 2 gem. Inexizicable : qui 
















Inpantzcinio , s. m. infanticide : meurire 
d’an enlani, commmis par son pere ou Aa mie. 
Insantzaia. V. Infantarie,. 


ne peut dire demedle. InrantiL, adj. 2 gen. enlantin : qui est d’es- 
INEXTRICHVELNUENTE , ade. inexirieablement : | [ant. 
d'une manisee ineztricable. Inrantiuna , 8. f. dim. d’Infania. 


Inrantinno, s. m. dim. d’Infante. 

Iusazıscaswiaipe, 5. f. inlatigabilit : qus 
lite de Petre inlatigable. 

Inrarıcäven, elc. V. Incansavel, etc. 

Inrarsacäö, s. f. infatualion, entöiemenk 
prövention ridicule el excossive. 

Ixraruipo,Aa, adj. inlatus , rassold, ongeus, 
prevenu excossivement. p. 9. de 

Invarcir, o.0, infstuer, enivrer, preresir 
excessivement. 

Insaruia-sz, 0. r. sinlaluer, se rassois, 
s’ent£ter de. 

InrÄustauentg , adv. malheureusement. 

Insaustissino, A, adj. sup. de 

Inräusto, A, adj. desastrenzx , malhenreut, 
funeste. 

Ineucciö, 8. f. * empuanlisseınent, Infec- 
ion, conlagion, oorruplion. (Ag.) Conlagiou du 
vice , de l’heresie, 

Ixrectino, a , adj. Inlectd. p. p. de 

lurscrin, ve. a. infecteg, eiypuanlis; gäler, 
corrompre par le venin, eic.; rendre infect Y. 
Inficionar. , 

Ins&cro, A, 2. 2- irr. d’Infeclar. (de) ed). 
Infect, gäid, corrompu. 

Inrzcrcös , a,adj. infeot, qui inferte. 

Inrecunnidäoe,, 8. f. infscondits , infertälite, 
sterilite. 

Insecdnpo, a, adj. infertite, inföcond, Bik- 
rile : qui produis peu ou point. 

Inreigid, V. Iafecgdö. 

Ixreuce, etc. V. Injelis, etc. 

IxreLicınäng, 3. f. infelicits, mualheur, die- 
gräce. 

IxFELICISssINO, A ,adj. sup. d’Infeliz. 

InFeLicıtAno, A, P. p. de Infelieitar. 

+ Ixrsuicıtanon, a, adj. el 3. qui rend mal- 
heureux. 

JarsLıcıTAn, ec. @. rondre malbeureus. 

Isreriz , adj. 2 gen. malheureux , inforlune, 
qui n'est pas heurcux. — por nescimenlo, mal- 
heureux de nature. 

Inv&Lizmexte, ade. malbeerausement, paf 
malbcur. 

INFENSiSSIMO, A, adj. sup. de 


InvaLıımspipe, 3. f. infaillikillts : qualits 
de Yötwse inlaillible; cerlitude enlidre; impos- 
sibillt6 de se tromper, d’eire Lrompe. 

iInsauriveL,odj.2 gen. inlalllible : certain, 
immanquable ; qui ne peut faillir, esrer mi 

INFALLIVELMENTE, ade. inlailliblement : as- 
sursment , indahltablement, immanguable- 
ment. 

Insramsackö, 5. f. Infamation, denigrement, 
note d’infamie. 

IurauiDo, A, P. pP. d’Infamar. 

Inrauapon, A,s. dilfawmateur, celul qui däf- 
fame, qui decrie. 

Inramintz, adj. 2 gen. inlamant : qui porie 
infamie.p. a. de 

Inrauin, u.a. denigrer, dilfamer, noireir, 
diminuer la r&putation , !’estinme. 

Invamär-se, v, r. se denhonorer. u 

InramaTunıo, A, adj. dilfamaloire, qui dif- 
fame. 

Inräug, adj. 2 gen. inläre, diffame, sans 
honneur; indigne, sordide. Scelerat, läche, 
infame; difames, Neiri par la loi. Iufamant, 
qui porte infamie. 

Insämzmänte, ade. lächement, sans hon- 
DEUF, Sans Courage. _ 

Ineänıa, s. f. infamie, bläne, reproche, de- 
nigrement, flötrissure imprimce par l’opinlon 
‚publigue ou par la loi; turpitude, lächeie, 
scelcratesso, action infame; ignominie, al- 
front, indigniteö; paroles, aclions injurieuses. 
Nota ou sinal de — , marque d’infamie. 

Inrauciö,s. m, (anl,) gentilhomme : hornıne 
destraeiion noble. Ancien litre de noblesse en 
Portugal. 

Inrincıa, s.f. enfance : l’äge de l’homme de- 
puis lä ualssance jusqu’ä douze ans ou envi- 
ron; se dit ligurement de l’exir&me vicillesse ; 
ng.) commeuceinent. 

nFAncda,s. f. d’Infangds. V.ce mol, 

"Inrancoxo, A ,adj.delYafangdö. V.ce mot. 

tiyräsoo, a, ad). (inus.) qu’il ne faul pas 
diro ; hurrible, execrabir. 

Ixreäxta, 5. /. infante : Ülle pulude du roi 
d’Espagne ou Je Portugal. Ixrexso, A, adj, contraire, ennemi. 

"Ixraxtanıco, s. m. terre, elc., de l’Infan- ° Insenäxcta, &-f. consequence, induchen. 
ed. \. ce mot, Ixvenino, A, pP. pP. d’Inferir. 

INFANTADO, 8. 90. apanage d’un infanl, Ixreno, A, adj. (1. Pod. p. us.) V. IoJerasl, 

Iaraxtaı., adj. 2 gea.deVinfanı, IyrErıön, aj. 2 gen. inferieus ı placd au“ 











INF 


demous: (a, fm) —, moindre en merite, en 
seience , en qualit£, eic.; meins bon. —, subor- 
donne, subalterne. Näo ser — a wenhum oulro, 
ne le esder d aucun autre. 

Inreniörmäpe, 3. f. införlorite : rang de l’in- 
ftrleur relalirement au sup6rieur, de ce qui ost 
igferieur. ° Dessous. 

Inrentonntnte , ade. Införieurement, au- 











as. 
Insenıa (de, por), v. a. induire, infärer, 
conclate, döduire une consöquence. 
Inraaı-Se, ©. r. naltre, provenir. 
Inrsautıno. V. En ro. 
Imyızxino, 1,9. P. d’Inferner. adj. damned. 
Inge re. 


bg ‚adj. 2 gen. infernal : qui appar- 
verde ä Penfer; Mens de Penfer. (fig.) Diaball- 


"erennauisinn, s.f.* d&sordre, eonfuston. 

InrzaniLytxtre, ade. infernalement : d’une 
mmitre infernale. 

Inrzanin, u, @. sondamner & l’enfer. (flg.) 

er, exeöder, fatiguer, importuner. 

INFERmAR-SE , ©. r.se mettre dans l’enfer; se 

disesperer ; s’aflliger. 
wo, s. m. enfer : Iieu da sappfice des 

damnds; supplioe des dammes ; bruit, desor- 
dre, vacarıme; !ieu od l'on se deplatt: Heu de 
dosleur, de peine, de desordre. Dans certains 
ordres religieux, fefecioire od les moines man- 
gent gras. Croux oü Yon place la pierre du moy- 
iin 4 eat; Jeu de cette machine. 

Iwrexo ‚a,ady. V. inferior. 

InrERTıL, adj. 2 gen. infertile : sterile, qui 
n'est pas fertiie. 
„Irtanımios, ‚2. f. Iafertilite : störilite d’m 

Imssrieo, a, p. p. de 

larzerin, vo. @. Infester, piller, ravager par 
des incarsions. V. Infeloner, 


Inrıin, ete. V. Bafler, ete 

rweinck6, 8. f.(l. do ehir.) tafibulation : 

operation par laquelle on enrpeche Fusage des 
parties nöcessulfiee & la generation. 

tim InrısuLär, 9. a. infibuler : faire ’infibula- 


"hrtcromnck6. V, Mmfocräd. 

InrıcıonäDo, A,9.P. de Infcionar. 

Invonapon, A, adj. et 8. yul Infecte; 
earrupleur. 

Inncıonin, vo. &. Infecter, empuantir, em- 
peiter, empolsonner, eurrompre. (fig.) Vicier, 
eor: ro. Il est aussi f6ci . 

Inrwreınive „ s. f. Infdeltd, deloyaute, 
wahison ; raanque de fol; eiat des infideles, 
es Infidöles eux-mömer. V. Gentilismo. 

kıriso, a, adj. inflätle, deloyal. 

Iweıtı (a), adf.2 gen. inftdete, deloyal : qui 
menque de fol, de Ndelite; Inexaet. — ‚qui 
w's pas iu vraie fol; qui n’est pas chretien. 

inneLsko®, V. Infideiddde. 


...; 


INF 697 


InrıLrnackö, s. f. inllltration : aclion d’un 


Nuide qu&s’ inßltre. 


InrıLTnADo,A, 2. p. de 
INFILTRÄR-SK, ur. . ’inßltrer : passer comme 


par un ültre dans les pores, eic., d’un 50- 
e 


UYnsın0o,A,cadj. infime, dernier, le plus bas. 
InFINDAMENTE. Y. Infnit amenle, 

Inrinpo, A, adj. sans fin, inänl. 
INFINGIMENTO, 8. m. V. Sin 

Inrmipipe, &. f. infinite : qualite de co qui 


est infini ; grand nombre, grande quantil£. 


InFWiTANENTE, adv. infniment, sans bor- 


nes, Sans Inosure. 


Tinsmitesıua, s. f. (4. de malk.) infinild- 


sime : partie infiniment petite. 


+ InrınıtssınaL, adj. 2 gen. (f. de math.) in- 


Anitesimal : : (ealcul) des infiniment,pelits, 


Inrınıtissıwo, a, adj. sup. de Infinito. 
Ixrıxırivo, s.m. et adj. Modo —, infinnitif : 


node du verbe qui ne ınarque ni nombre, ni 
personne. 


Inrisiro, A, adj. Infni : qui n’a point de 


bornes; qui n’a ni commencement ni An; sans 
An; innombrable; grand, excessif, Intermi- 
nabie. 


Inrıxiro, s. m. Y’infini:ce qui n’a pas de 


bornes. it. V. Infnilivo. Ald ao —, a Pinfni. 


Inrinta. V. Finta. 

Inrinto. V. Fingido, „Dissimulado. 

Inyınmino, A ‚P- 

InrıRmir, v. Pi iaus.) Infirmer, Iinvalider, 
deelarer nal. 

InrıstvLido, A, p.p. de 

InrısrtLig, 0. a. rendre fistuleux. 

InFistuLÄR-sz, v. r. devenir fistuleux. 

InrLaciö, 8. T. enflure, gonflement; (g.). 
orgueil,, vanile. 

InrLivo, A, adj. enfid, gonßd; (Ag.) or- 
gueilleux, vaniteux. 

InrLausasıLıping, s. f. infammabilitö: qua- 
lite de ce qui est Inlammable. 

InrLamuumacäö, 5. f. inflammation, embrase- 
ment : action qui enflamme un oombustible; 
(fg.) Acretö, ardeur dans queiguos parties du 
corps; ehaleur, enthousiasme. 

InrLANEABiseıNo, A, adj. sup. de 

InrLıwwino, A, p. pP. d’Inflammar. 

+ InrLaumapon, A, adj. qui enflamme, 

InsLauuän, ©. e. enllammer, allumer, mei- 
ire en fon; ecbaußfer, denner de la obaleur, de 
Yardeur; allumer, embraser, ezoiter les pas- 
bions. Causer une inflammalion. 

Inruauuän-sg (de, sm), v.r. sonflammer: 
prendre feu ; devenir rouge. 

INPLANMATITO, a, 0dj. gei enllamme. 

INFLAMMATORIO, a, adj. inflammatoire : qui 
cause Pioflammation ; qui consiste en une in- 
Aamnuation. 

Inrıexiö,s. f. inflexion : passage d’un ion 
de voix A un autre; facult& de le faire; dispo- 
sition du corps & se pencher. 

ı Fnreexisuipäne, 8. f. infexibilits : gnaliid, 
earactere de ee qui est inflexible ; duress d'un 


es INE 


AR: 


A tons les efforts; (Ag.) per-|, Imrö .2 90a. informe ; qui n’ 
See ranen inebranlable dans h serie? 7 bot HE ABl Bir? input “pm 


InsLexiveL, adj. 2 gen. infiexibley qui nel, 


edde & aucune oompressien; (g.) ui ne se 
lalsse pas &mouvoir, flschir, &branler. 
Hierxıyzıutnte, ado. infexiblement: d’une 
maniöre inflezible. 
inruize, a, adj. Infiächi : Adchi en dedanz. 
Insıicro, a, adj. inflige, Impose. p. p. irr. 
de 


InrLicik, v. a. [ p. ws.) nlliger : Imposer 
(uhe peine, un chätiment), 

InrLoaiDo,A,p.p. de 

InsLorin, v.«. entrelncer des fleurs. Faire 
pousser des feurs. 

IwrLORÄK-#E, ©. r. fleurir, pousser des fleurs, 
Peneirer dans les fleurs, parlant des abeilles, 
ec. 


InrLo@xcıy, s. f. influence : action supposde 
des astres sur des corps lerresires ; aclian 
d’urıe cause qui aide & produire un elfet; (Ag.) 
ascendant. ‘ 

InsLoneschucha , s. f. (4. de bot.) inflo- 
rescence : disposition des lleurs; Ja lieu d’ou 
elles nalssegt. i 

"InrLuente, adj. 2 gen. influent, qui infue; 
qui exerce une influence morale. 

InrıongiO. V. Influencio. 

InrLufßo, A, p. p. d’Infuir, et dj. — em 
desejo, dösireux, qui a de l’avidils, passionne. 
Andar — tom una cousa, tire lout occupe 
d’une chose, sy adonpner de bon cwur. 

InrLofoör‘, A, s. el adj. qui’a de influence, 
qui influence. 

InrLvia, ©, a. influencer : exercer une in- 
NAuence. Influer: agir par une verlu secreig; 
faire impression sur l’esprit, \gs maurs. Inspi- 
rer, animer. — em, influer süt. — para, aui- 
mat exciter &. v. ». Ayoir de l’influence. 

FLÜM-sE (em), v.r. V. Enlevdr-se. — em 
Adalgo. V. Afdeigir-ae. 
rn, Al m. V. Influencia. * affluence, 
grande quantite. 

Invorcıiro, s. m. Inforliat : second yolume 
j PDigeste. 

NFORMACÄO, 8. f. informalien : astien d’in- 
former, de #'inlorınez; reokerchas pour d+- 
couvrir la verils; engutie, Tomar —4es, aller 
aux inlormations. 

juronmänd, A,2.P. d’Informar et adj. Keld 
mal — de mim ou a meu respäite, il est Induis 
ON 6rrEUF Sur mon compie. 

InronuanOR, &. m, onlei qui Informe. 

Insonmänts, adj. 2 gen. informant, qui In- 
forme. On l’emploie substantivement: O -—, 
commissaire enqußteur; celai qui donne des 
informations. Rapporieur. p. a. de 

Insormin, vo. a. ötre la forme substantielle 
d’un corps. Donner la forme A lg matidre; ani- 
mer. (de, sodre) Informer, avertir, instruire, 
Iasrulre un juge d’une affaire. 

‚ Inronuän-sg (de), v. r. s{nformer (de), «’en- 
gaerir, prendre des rensejghemens, 


Inrönu, 3. m. "information : prise, avis 


on donne, rapport; informe. 

ı INFORMEn£nTg, ade. d’une manidre informe. 
Inronsınipe, 8. f, qualitö, Otat de ca qni est 

informe. ‘ ö 

INFORTIFICAYBZ., dj. 3 gen. qu', 

pe a AN pü d en. quo pa nor 
NFORTöng ,&. f‚infla anje dep gatres. 

N erdnrarse nie. 5 CN Bahanensc- 

ment. 


- Inronrunäoo, 4,4. inforyang , malhpure: 
NFORTÜMIO, 9. m. . Inlortune malheuy 

IR tr N isgräce.' ic } ” 

* Iuraa, prep, lat. qui antre dans la gompasi- 
bon de plusigurs molg Bartugall. Ay-festone, 

i-dessous. 

r Inraaocit, 4. fi n, zappare, Infrae- 
fion,, transgression , conlyayenlion, 

Inrnicto, A, 0dj. casse, rompu, brigd- (Ag-) 
Abalu. 

Inrnactön, a, 3. inlracleug, FARSgTOKSEME : 
celui qui viole un lraile, une laj. 

NFRAESCRITO. V. Infraserslo. 

j InrnaLAPSaRıOS, 5. m pl. inlzalapsairen : 
Iheologiens qui souliennenf que Dieu a ze 
un cerlain nombre d’hommes ppur les dazaneg 
irrövocablement. 

tlnrnaocräva,s, £ les siz jours opungris 
entre une (die ei son Gctave. 

Insrascaito , A, adj. nommd, meulipung 
plus bas, oi-dessaus. Soussign« : dgnt le usa 
est mis au has. 

RFREQUENCIA , 8. f. manque de fraguenge. 

IupRnQyAnTE ‚all 3 gen. qui nasıpas (a4- 
quent. 

INFRIGIDANTE , adj. 2 gen... 4 da mad. ) klch- 
ge auf. . ' ’ 

NFRINGIDO, A, 9, R. de 
Inrnincin, v. a. enfreindee : violer, Farupag, 


kransgresser, papigevemir &. 
INFRUCTIFERO, A, adj. infructueux , whräle.. 
(Ag.) Qui n’apporte aucune wiliip. . 


INFAUCTBOSAUENTE,, adp. inlgucdtuagsameamg : 
sans prolt, sans utilile. 
Inertctuöso, 4, adj. infuelpeuz, qui na 
rapporig aucun profi. 
NFuLA, 8. f. infule : diad&me sacerdolal ag, 
nde de laine blanphe qui caigueit la Wie du 


retre. 
- tlayomipa, 4, 4dj. (1. de hot.) enfie, koufli 
calice). 


Infunin. V. Enfunaer, 

Insunnica, s. [. lessive. 

NFUNDIDO, A, P. 9, da 

InFundR em) ‚©. a. verser dans un vase. jq- 
troduire : faire enirer dans. Infuser ı faima 
tremper daus une lqueur. (Ag.) Inspirer : laire, 
baltre dans l’esprit quelgue pensee, 
mourewent. — 0 roupa, faire tremıpos le |i 
— no coragdö, elc., Iniroduire, graves dams iq 
yaur, ec. — Peos a alma no cerpo. Pa le dis 
Je Yacie par lequ&l Pie ypis l’9me au anıpe- 


1) 





INS 
— sommo. On ne le dit gudre que du sommell 
qus Dies euvoya & Adam, 

+ lurımein, v.o. (f. pop.) defigurer, oban- 

r, ire. 

. + Inrunciö, s. f. redevance que payaient 
au seigneur, Pour Yentretien dos chälesuX et 
Surterdssas ,'cour A qui ii avait [all des ennoes- 
sions de terrain petes lo cultiver. 

Jeedsa‘, si f. vruche, p66 & dauı 

Inwusid, s. f. infusien : ecien d'infuser; 
chossinkisde ı liqueur dans laquelle on l’a fait 


kusfıises. I/adie par Ieguei Dieu unit YAme an 


corps. Pör de—, infusse, mer dass um liquxide. 


p Inwusunlmäwe, 3. f. qualitd de oe qui est, 


infusihle. 

4 Iupusiran, ad). 2 gen. infusible : qu’en ne 
peut pas fondre. 

"Inwise;'a,n. pP. ter. de Infundir. adj. Infns. 
On le dit de 1a science, de la sagesse que Dieu 
verse dam Name. '' .. 

Inrusöntes, u. m. ph ei a. (t. d’kirt. wat.) 

res ': 'animaltales qui‘ se ÜUsvelopipent 


dans les infusions vegetales 6 anfınales. 
InFUSTAURAYO, 8. ‚ Mafvalso/oılver des fu- 
tailles. ’ 
uretnn, 0. f. (4. de eur.) Auxion-des ehte- 
vaux. 
Twatımtıko, elo. 
INGENIOSO, k .) V. Engenh..., elf. 
Indennro, Ki, 


non engendre. Naturel,, 

inne. Ze SE 

Yneinre, ei. 3 gen. twös-grand, enorme. 

InGenvamente, adv. ingenument, natve- 
ment ,aveo nalvolk. ' 

Ingenuipis, #f. natvetb, ingemeits, fran- 
eiriwe, Sadeuri Tor war de —; avolr un air 

IncEnvo, A,.adj. ingenu, frame, nf. Ne N- 
bes, dlrehfien Rurbais: ' 

IngEnEuncIA ‚s. f. action de Fingern. 

Incexino, A,p: p:idb 3 

Wemdik (d},0: a. insöser : meitre dates, 


N rennin-st (om), v. 7. Singixer de, se meler | 


de quelque chose Deine en uno requis; wine 
rer, simmiscer. 
+ Inorarennä, s. & {b. de geog. ) Angieiarre : 
fle et royaume de ’Burope. 
IncLkz s. m. anglals + ia langıre anglalse. 
were, a adj. et u Anpleis r nalif d’Angie- 
terre. A’ —a, & Vanglaise, & la manidre d’An- 
gleterre. 
+ onso. ad inglortenp.spegein. 
+ IncovernÄvEL, adj. 2 gem. Ingouvernable : 
qufeh n& Jr 
Incririummrr, adv, ‚mgratement : aveo M- 
atitude. 
caırınad, 9. f. tagratitade : rnanque de 
reconnaissance d’un bienfeit, ww. mepris, du: 
bl Wua bienfait, :'- 
InCHATiSSINO, A, a. sup. de 
InGRäTO,A, adj. i at: yul ste reconnalt 
Pas und grade, an-bisnkait-uM amour; sterne, 





Iressemble au famandua du 


INH 699 


infruelueux (lerfe ; (£g.) travail, dtude). Des- 
agreahle, Apre au gons. Rude, ingmat & l’ersilie, 

INGREDIENTE, 8. ın. ingrödient: ce qui entfe 
dens un auslange, dans la composition "Yun 
remdde, eto. 

I'NCRENE, adj. 2 gen. raide, esea 

I INARENInADE, s [.'qualits de v.gui est 
raide,, escarpe. 

Inpndssn, a m.’enisde. V. Kuiradu. " Rteap- 
tion : c&r&monie pour. recevoir, installer. ' 

Incmrauannea, eis, V. Kungt..., ele: 

IncuA,s. f. "bubon, ‚tumeur dans Yalno on 
dans les aisselles. 

Incuwin, adj. 2 gen. ingeinlı ende tout 
ce qui eonoerne l’aine. 

Inniaıı (pers), adj. 2 gew. Inhabile ,qu 
na pas habile ä; insapable: Maltmiblie, mit 
adroit, 

*" Insanuaurir. V. Inkabilätar, 
INuAmLIDÄan, 8. f. inhabileis: mangque d’ıa 

InHABILISSIMO,, A ‚ads. sup. d’Inhabil. 

h + immanguırigi6, s.J schen de Otelarer in- 
abile, ale 

INHABILITADO, A, adj. ramdu on deefar& n- 
habile. p. p. de 

Balıızin (para), v. a. vendre ot deolarer 
inhabile. Oter les moyens, 1a fasulld de Taird 
une chose. 11 est aussi röelproque 

Innastrino, A,adlı Inhabite: :qei Hafen pofnt 
bebeid. 

Ismanısl var, af. 2 gen. Anbabilete: ’ ud 
ne peut babiter. 

7 ImaLänen, adj. 2 gem. (1. de mid.) mire- 
geit ins Bumenes, Pair, Se ‘dit des pores dd 
corps hummalnı ı olaht. Voppows de Kckalant. '" 

+ Igraune, 2. wm) olttaı Hu’ Bresil'bon & 
menges, #4. Eupöos d'ienstae du Bresil‘. 

Inutue, sm. (; de dot.) Inliaihe, imiem mi 
iguame : Ilame Sont:ou mangd ia facine; sa ra 
oime.—-.do Roypto, eoloeasie (choux caralben). 

'Innaurönn, s. m. oilden PEthiopie. 

? INmATESA. V. a 

“Indiver. U. Inhobil: 

Iupasinı, u fı ac gie 


il 
Inutnno (1. fam.). V. Fonlo‘D to. 
Imakttuctk,' b. T. inherence '; ’: jönetion Mr 


: choses inseparaßles , si dehfest bar abstraction, 


Immenente, adj.'2 gen. inherent: ‘Joint ins&- 
parablement kson sujet. " 

IxHERIR, v. 9. etre inherent. 

Insimigkö, s. f. iühibilion, ütfense, prohlbi- 
tion. 

"Innteivo, A,p. p. de 

Imlısır (de, em), e. a. {f. de prat.) inhiber, 
defendre, probiber. Interdire ä un juge la con- 
naissance d’une affairc. 

Inuprrönsa, s. f. (1. de praf.) arret Inbibi 
toire, qui prohibe. 

InnoRKsTO, etc. V. Deshonfsto, efc. 

'fkironan. V. Ignorar. ' 

InuosriTaLipäpE, s. f[: inhospitalite : defauf | 
‚’hobpitklite: BR 


08 INI 


Ivwieeyn 2, ap. mE ‚Se | 


uwvovs 5 UTRERBES. 
sUurwerad, 3 [. UENBEEDEER . GESEHEN. 
ıUWPWLVASONTE , iD. . INNERER . 
rryetie nen. 


WUFWÄWTBASG, 3. f. \BÄNBEEEENED. CERENERE : ; 
berbarie. 
isueukae, a, af. usmmuntın, cmant. BERND, | 


LDEPP_ 
Ineruchs, s. /. uuläkatium: antiaın di TImskhup o8s 
d’etre wine. 

ivren.a.a a (Immer. 


Iarcr ar. up. 3 gun. mm. ı Yan te ccit.dens jatiten ° 


Tut COHEBFREUUE +5 EEE, US cRUBEANER. CAR. 


INN 


Isorma ou » mini, SEbHaNER: 
Munssnase.s./f. >) z0tiam eomtum kun kaum. ia 
posbie : IN)USLCE CLEBSSLVE ; GUEBugEEn de 


- . 
. 


,‚ EBEBS: CEEEEB: BOcbER. 


Isugeunsnnp , A, auf. up. de 


; imese. a. adj. imigme : mgente & Fammine 
manehmet 


: ceuizasee a ’egunik. 
Issutcıö, s f. mijeetiem : astiam d’imjmutns; 
runs. |uyESER InyaHühE. 
inmsszan, ©. a. impestse : muisadluine une B- 
qusER 2702 uns seringue om in beuzhe dem 


! une Pisa, cams ÜUS VEiEREE. 


iznsıe, 2.0. i. danat., musunben, ein. iM 
‚ee. 


imma... untlsg. adänsiine ' 2uE saKeumB- | TIERE, A, adj. dinsgzpiukle : qui me 
MES SCERÖRND, AR ZUFEEEES, A La pedilkupee,  Piasi PEiE. 


ete 


+ jewıeriva, a f. mitiative- Nimses-dechss- | 
sör: [aeulte de cumsmmEBEr- "semite de (as dies | 


T iIEIEIIEEn.. 0. 2. MNDSSEN; emjnindee, PER- 
CEEEB- 
Inzunsa, s. [. imare, test, emissge, mus 


prnpesıtiens de ie suns «u etias saramt punwe- : ‘IB pannies ou de fast; pusele afiennamtn. " Ai- 


quer zur ie puuveie ruyal. (ram. Bnssher, saffrer ums, avalır, beim, 
tiwasıne, 2, af. mmtineil. qua denne, | "SEEyer um afüremt. Bu 

ksiser \Twetisäive. mamane, 1, 5 5. de Ingurier. 
mmcıe. V. Pro i Imzunsanee, a, 5. ceimi qui mjurie. j 
Imen. V. Aeigus, Issunaisın, au). 06.2. 2 gen. qui ingame, ef- 

en m imunsan, oe. a. (aire tert, efianner. Imjasier : 
immrcıe. V. Anissizunie. Jire das injures. ne; m 
Inusciespe, 2 , all. up. de nie) njmpbanguEnsEm.: 
Imuice, 2, adj. UNE, oppune . oamiEmuun: | TEREEÄTE IMIUFIGUER , BIZRGNEMER. 


(gro9., a auneımi qui fait (ms am pm d’am- 
gewti. Austge vessnchiiude — debvrede ,:«d., em 
ne deit pas su flur & la perssune zreos qui em 


dest rerenellie. Que d a —, efieini da tus 
offrin, (14., i'enuemi dis berbier est ost de sum 
meter. Sor — d elguna- HU, RE PeS SuBEE une 
chose, n’y proudre peint de piusie. Buv am 


knmeramo, ı,p. pP. de 
Fuuwetan, ©. @. sondere ennemi, sumes ia 
ion, ia discorde , brouilier. 

IntıunsTan-#8 (00m), 0.7. S’sttirer | ninitie de. 

Inurriver, adj. 3 gen. iniemitsble : qui me 
pomt Are imitd. 

Imurr aveı. are ‚ade. iuimnltahleunent: d’ une 
maniere mimttable. 

hurarrame, #. f. imimitie : haine euverts et 
datable ; matveillenee ; aversion durable per 
Aurlga’an. 

Yagıran. V. Satmister. 

Inmro, 0. m. V. Interizade, 

Inersnudvei, adj. 7. gen. jnintelligible : 
aan ne semprendse. 

Inmresucırsuuänre, Ade, Imintelligible- 
ment. 

Inıgnauture, ade. Iniguoment : d’une ma- 
niäre Ialkqus, 


Insunsden, a, au. imjsinE., suizaguen, el- 
msami. 


*" Insusran, eis. V. Auyurım, ale. 

Inszszasuines, ade. unmatmunen. 

lmmseıca, 2. /. imjmstins: ansnepen die jasline; 
aztten ımuste: eiets de Finjustise; vielalien 
das dasst. d’anizms. . 

lasusuciss, a „au. njuste guhn’a pasde jü> 
use. 


Issuwrsaune „A, adj. up. 

Issue, a, mymsie ; cantruine A ja ja 
Use: qui nen 2 pas. 

Timusssın., ads. 2 gen. inihie ; quien 58 
punk lize „ ei m’ eat pas kaible.. 

V. Enligader. 

Isas;an. V. Diiger er Enbiger. 

* Isıcos. V. Zleigai. 

Inaszanea. V. Alisnder. 

 IsLocaivzı, ag. 2 gen. (fam.) quen ne 
pous „ stizaper. 

Ismce, V. Fuissige. . 

ksnasciver, adj. 2 gee. (8. de thdel.) nasstı- 
bin : qui w’est point nd ei ne peut naltze, On Ie 
dis de Dien le pere. 

bsniTo ,1,0dj. and : Bi avcsnews (din, qui 
Be). .d.de bet.) Adae: unmidialemmeni atischt, 


pasraissant [aire corps. 
kuuavscivsL, aß. 3 gen. Innavigable: su 
loguel en ne peut Raviguer. 
InuscävzL, adj. 2 908. qui ne pemi se mi8l, 
incontestable. se 
janzavine,A,9-P- 
Inzunvän, so. 6, aljachss unp corde de Berl 
(d un are, ete.). 











INO 


Innockncia , 3. f. innocence : elal d’un inno- 
cent; absenoe de culpabilitt ; Irop grande sim- 
pliolte ; puret6 de mwurs; Intögrile de la vie. 

Innockwtz, edj. et 8. 2 gen. innooent (de): 
qui n’ost pas eoupable; exempt de erime, de 
malioe; pur et eandide; simple, imbetile, fai- 
bie; idiot; qui n’est pas malfalsenı; qui ne nuit 
pas; 
Abeolver por —, innoovenier. Os santos —e, les 
innecents, enfants qu’Herode At dgorger pour 
faire perir le Christ. 

INNOCENTENENTE , adv, MTOGERNHENt : AY6O 
innocence. 

INNOCERTE2INNO Ou 

INNOCENTINBO, A dim. de Inwocente. 

InNOCENTISSINO, R ‚ed. sup. d’Innoconte. 

Innovaa. V. Eureder. 

Iunouınäno, A, adj. innomed, innemine : 
sans denomination . Öse —e, ( . 
d’enat.) os innominds du Dassin, qui w’ont pas 
d’autre nom. 

* Innöto. V. Ignöto. 

Inxovacäö, s. f. innovation : intreduetien de 
be us meuveauts dans unscoutume, unacie, 

€parations. 

 knoripo, A, PP. #’Innover. 

InsOoVvanda, 8. m. innovalsur, hovalear: qui 
innove. 

Innovar, v. a. inngqver : introduire des mou- 
veautss. Faire des reöparations. V. Aenovar, 
Beformar. 

+ Innöxıo, A , adj. innscent inculpe. Inoffen- 
aif, qui ne [alt pas de tort, de mal. 

IRNUMERABILIDÄDE, 8. f. innumesrabilitö : qua- 
ltd de co qui est innombrabie. 


d’une maniere innomhrable. 
Innönzro, a,adj. V. Innumerdvel. 
Inzunmanöso, A, adj. sans nombre, sans har- 
menie (vor). 
Innörto, a, adj. non marie6, gargon , o6libe- 


Inoszgpıtncaa , ote. V. Desobedieneis , etc. 
+ inosszavino, A, adp. qui n’a pas ‚es 16 ob- 


Inossenvinte, adj. 2 gem. desoheissant aux 
‚ des rügles. 

InocuLacä6, s. f. inoculation : communies- 
tion artificielle de la petite verole. 

lnocvL.ino, A, 9. P. d’Inosular. 

+ InoouLanta , s. m. insculaieer : onlui qui 
imocule. 

f InocuLir, ve. o. inocules ; oommuniquer la 
petite verole par inoculalion. 

TinocuLista, 5. m. inopmliste : partisan de 
Finoculation. 

Inopöro, A, ai. inodere : same odeur. 

rt Inorssnsivo, A, adj. inoffensif - qui ne 
peut offenser ; qui n’offense, n’aliague per- 
SONS. 


u. [3 . 


‘ 


INN 701 


InorricıösamAnTE, adv. avec inofliclosite. 
Inorrıcıosinäpg,s. f. (4.de pre.) inofäciosite:: 
qualits de ce qui est inofltieux. 
lnornotöse , A , adj. ( 4. de praf.) mofllctenz : 
qui desberite sans motlf (Testament); (dom- 
tion —se) faite aux d6öpens de 1a I6gitime. Qui 
n’ost pas obligeant ow serviabie. Inutile, itrefl- 


enfant au-desseus de sopt & hult ans, | cace. 


Inöria, s. f. pauvrets, disette, besoin. ( Ag.) 
Pauvreit, maligreur du style. Confessor 5 uM 

—,(fam. ) avouer sa faute; reconnaltre son in- 
suflisance. 

Inorınäpawiare, ade. Inopindment, sanz'y 
penser. 

Inopmiso, a, ady. inopind, Impreru ; & quei 
on ne vattend pas, & quol l’on n’a pas songe. 

+ 1nopınäveL, adj. 2 gen. surprenant, qu’on 
ne peut prevoir. Ineroyable. 

+ Inorroaröno, a, adj. inopporten : qui w’ont 
pas ou n’est plus opportun. 

+ Imoncinıco, a, adj. inorganique : dont les 
parties n’ont entre elles quo des rapports d’ad- 
herence. 

Inönuz. V. Enorme. 

Inöro. V. Igunöte. 

Inovir. V. Innover. 

Inquitracaö,s. f. ingeidtade, wouble; agß- 
tation d’esprit; perturbation de l’äme. Södition, 
mutinerie. 

Inquigtäno, A, 9. p. de Inqwistar 

InQuIETADOR, 4,8. colui qui ingeitte, ingquis- 
tant ; tracassier. 

INQUIETAMENTE, adv. avec inquistade. 

Inquizrär, vu. e. inquidter : rendre inquietz 
troubler dans la possession ; chagriner; tro@- 
bier; tracasser. 

Imguızrissıme, a. adj. sup. de 

Inovıtro, A, adj. inquiet, wouble, agied; 
emuanti, ennemi da repos; ohagrin, soucisnz. 
Turbulent , söditieux , mulin. 

+ InquıLmäro, s. m. droit d’un locataire. 

InquiLino, #. m. locateire : oelai qui ent A 
loyer. 

Ingumine, A,p.p. de 

Inqvinar , v. e. soulller, Lacher. 

Inguisıcäö, s. f. recherehes, peorquisilion, 
enquäte. 

Inquinıptraa, s. f. sorte de sangle pour alta- 
cher les charges des bötes de somme. 

Imounımo,A,p.p. @ 

- InouinıdoR ‚s. we. celui qui s’tmforme; exami- 
naleur, enquöteur. 

+ Inquiaıpania, 8. f. office, exercioe de l’on- 
quäteur. 

* Inquıaımento. V. Inguiriodd. 

Inquiaia , v. 6. s’enquerir, s’informer, abetr 
cher avec sein. Enquetier. 

inauısıcäö, s. f. recherche, enguöis, porapak> 
sition. Ingeisilion ow seint-ofice : teibunal qui 
punit les impies,, les infideles, otc. ; local eh 4 


liont sen stanoes. 
Inquisipön , s. m. inquleitser : jege de Hier 
quisitien, — gerel, grand inquisilgut. - 


"1. 
.- r 


u WR 





os INS 


mesme —, & Vinstant, sur-le-champ. Cade —, 
& chaque instant, Iressouvent. Num — , en un 
instant , irds-rite. Por um —, pour un instant, 
pour peu de temps. A cada — , ätout moment, 
Sans 06356 , conlinuellement. 

Insrintz, p. a. d’Inslar. adj. Instant, pres- 
sant. 

InSTANTENENTE , ade. instamment , atec In- 
Blanco. 

Insrän, v. a. ei m. faire insience, Insister, 

. Ajouter une instance,, un nouvel argu- 

ment & une objertion. Presser : ötre pressant, 
Eıre proche, «’spprocher. 

Insrauasackö, 
tion ‚ rötablissement, retdification. 

Irera0unipo, a, 9. P. G’Imsteurar. 

InSTAURADÖR, s. m. resiauraleur. 

Insrauaie, v. a. retablir, renourveler; res- 
taurer. Rebäür. 

Instacnsrivo, A, adf. propre & retsblir, & 
renoureler. 

+instiveL, adj. 2 gen. changeant, incon- 
sitant, incertain , qui n'est pas stable. 

Isemcıci6, s. f. instigalion : incitation, sug- 


gestion. 

insticino,, A, P. p. d’Instiger. 

Insricapor , A, 5. instigateur : qui incite, qui 
yousso & fsire (lo mal). 

Instıcär, ©. 6. instiguer : pousser, ineiter & 
faire ( le mal). 


Instıuzaci6, s. f. instillation : action d’in- 
stiller. 

InsrıLino, A,p. p. de 

Instuurin, ce. 6. instiller : falre couler, verser 
goutte & goutte. (Ag.) Intreduire une erreur 
dans l’esprit. 

InsrıuoL.in. V. Esfimular. 

+ Insrıncrivo, 4, adj. instinctif : de ou par 
Instinet. 

InstincTo , s. m. instinot : sentiment naturel 

'@u bien et du mal physique et me&me moral ; 
sentiment, mouvement naturel, irreflchi, qui 
dirige tes animaux dans leur conduite, eic. 
Inspiration divine. 
- Instırulgkö, s. f. Institetion; dtablissement, 
“ducation ‚ instruction ; nominatiori. Fondation. 
Anstituigdes, pl. &lämenis, premiers principes 
d’une solence, d’un art. 

Instiruino ,a, P. p. d’Insttluir. 

Insrıruiooa, A, 3. iastituteer : qui institae, 
qui stablil. 

Instiroia, vu. @. institser, seblir quelgue 
ohase de neuvsau. Instruire, enseiguer. —, 
nommer hiritier. 

Insrıröra, s. f. Institutes : peinsipes, di6- 
ments du dreit romaie. 

Insriruräato, 8. m. instütutalre : professeur 
qui enseigne les institutes de Justinien: 

Insırröto, s. m. Institut : ganiere de vivre 
sous une reögle ; colte r&gle. But, objet. 

Insrnocciö, s. f. instruelion : *ducation, 
preceptes donnes pour instruire ; connalssances 
donnees ou acquigeg des usages , des Talıs , eic. 


Instruegöes, pl. insiraciions „ eräres. dennis i 
un envoye, eic. 

+ Instacctıvamaıe ‚ade. d’ane manitre in- 
structive. 

Instavcrivo, A, adj. Instractif : qui instrait, 

Instaucro, a, V. Instrwide, 

Instnuctör, A, 8. celai quiinstruit, maltze, 
precepteur. Instructear. 

Insraucröaa, V. Estrschäre, 

Insraticid, 7. Instrucpde. 

Instaufvo, 4, 9. p. d’Instrwir. adj. instreil, 
informe ; qui a de Tinstruction. 

Instautnon. V. Justruetor. 

Iusıauia (de,em), vo. a. instruire, enseignet, 
&elaircir. Apprendre, Informer, averlir, doaner 
eonnaissance. Instruire un procds. 

IssteumentiL, 3. m. ° orchestre, musigw 
instrumentsle. adj. 2 gen: Instrumental : dis- 
strument; quisert d’instrument ; pour les insire- 
menis (musique), opposse A vocale, Prova 
—des , preuves par pidces, par &erit, 

InSTAUNSNTisTa, 5.2 gen. Instrumentiste:: qei 
joue d’an Instrument. 

IRSTRUH£NTO, 5. m. Instrument : outil en g}- 
neral ow machine portative ; tout oe qui sertä 
faire quelque chose ; (fg.) moyen, pemotnt, 
ehose qui sert ä une fin; Instrument de musi- 
que, machine qui rend des sons. (1. de prei.) 
—  contrat, acte pablic, eerit qai justiße, gei 
certifie.— de vonio, de oordas, instrument & 
vent, ä cordes. Torar um — , jouer d’un insur 
ment. O concorio, o bem afınado das —ı, 1 
jastesse des instruments. 

Pnsva, 8. f. "llot au milieu d’une riviere. 

Insuive, adj. 2 gen. desagröable aux sens. 

Instavıpipe ,s. f. &blaut de suavitt , rudesst, 
Aprete. 

Insunoapmaciö,, s. f. Insubordination de 
faut de subordination ; manque & la subordar 
tion. 

Insusoxpınin0, A, adj. Insubordennd : qi 
manque ä la sabordinstion; qui a esprit die- 
subordinalion. 

Insussistencia , 8. f. vantiö, peu de solide, 
inconstance. 

Insunsistänte, adj. 2 gen. qui ne peut sab- 
sister ow durer. Qui manque de fondement. 

Insctro. V. Insölito. 

Insurricıtucia , s. f. Insufläsance, Incapatitc, 
inaplitade. _ 

Insurricıente ‚adj. 2 gem. Insuffisant : qui» 
suffit pas. Incapabie : qui mangqwe de talent. 

Insurricienteminte , ade. Insuflisammen!. 

InsurrLacäö, s. f. iasufistion ; aclion 6 
soufllor dans ou sur. 

InsusrLin, v. 0. soufflee dans ow sur. 

IusuıA. V. Ihe, 

Instrine, a, adj.. ut s. Inmulaire: habianl 
d’une tle. 

InevL.in ‚auf. 2 gen. Imsulaire : d’ame He; Te) 
concerne los !fes. 

+ issoLcano, a, adf. qui n’a pas ord willst; 
qui m’ pas td Hille. V. Auer, j 


Io. 


.. 














INT 


InsuLsam£nTe, adv. maussademen!, sans 
gräce. 

InsüLso, A, adj. insipide, fade, sans goüt; 
(ig.) maussade, sans esprit ni gräce. 

InsuLTäADo,A,P. p. d’Insullar. 

InsuLTADOR, A, 3. celui qui insulte. 

InsULTÄNTE, adj. 2 gen. insultant : qui in- 
sulie. 9. p. de 

INSULTAR, ©. a. attaquer avec violence ou ä 
limproviste. Insulter, brusquer, oflenser. 

InsöLTo , s. m. atlaque violente ou imprevue, 
insulte;; mal, tort [ait dans cette attaque. 

InsuLrör. V. Insullador. 

InsuLrTvöso, A, adj. insolent, toujours pre&t 
& insulter. 

InsuPERAYRL, adj. 2 gen. insurmontable, in- 
vincible. 

InsuprpontäveL. V. Insop... 

TinsupriveL, adj. 2 gen. que l’on ne peut 
suppieer ; que l’on ne peut defrayer. 

Insunnec£xcıa. V. Surdeza. 

Insunnecer. V. Ensurdecer. 

INSURGENTE, adj. et 8. 2 gen. insurgent : qui 
esten etat d’insurrection. En frangais, on l’em- 
ploie presque toujours au pluriel. 

INSURGIR-SE, ©. T. sSiinsurger : se soulever 
contre le gouvernement existant. 

Insunreigäö, 8. f. insurreclion : action de 
s’insurger ; soulövement d’un peuple, W’une 
province , etc., contre un gouvernement &tabli. 

INSUSTENTÄVEL, adj. 2 gen. insoutenable : 
qui n’est pas soutenable. 

IntäcTo, A, adj. entier, intact : & quoi on n’a 
pas touche. 

InTanzsse. V. Interesse. 

INTEGERRINO, A, adj. superl. (du latin) Ires- 
entier, trös-droit, tres-integre. 

PnTEcrA, 3. f. texte enlier d’une loi ow d'un 
acie. 4 

Intecaacä6, s. f. integration : action d’in- 
tegrer. 

INTECRÄDO, A, pP. p. Q’Integrar. 

IntecriL, adj. 2 gen. integrant. Integral, 
eulier, complet. Calculo —, calcul integral, du 
fini par l’infniment petit. 

ISTEGRÄLMENTE, adv. integralement, entid- 
rement. 

INTEGRÄNTE, adj. 2 gen. integrant : qui con- 
tribue & P’integrite d’un tout (partie). 

INTECRÄR, dv. a. inlegrer : Lrouver l’integrale 
d’une quantite differentielle. 

INTEGRÄYVEL, adj. 2 gen. (1. demath.) qui peut 
s’inlegrer. 

InTeEcaıpipe, 8. f. integrite : etat d’un tout 
qui a toutes ses parties; (fig.) probite incor- 
ruptible; pureie de maurs. Virginite. 

+ InTsCRO, A, adj. entier, complet. (fig.) 
Intögre : d’une probite incorruptible. 

IntT£eiRiDo, A,P.p. d’Inteirar. 

INTEIRANENTE , adv. enlierement, tout ä fait, 
totslemeut, completement. Mudou—, il estun 
tout autre homme. 

INTEIRAR, v. a. completer une somme, sol- 
der. S’acquitter : payer tout ce qu’on devait, 

PORT.-ER. 


INT 705 


Achever. (de) Mettre au fait, bien instruire, 
informer. 

INTEIRÄR-SE (de,,v. r. sinforiuer de, se met-! 
tre bien au fait. 

InTEıneza, 8. f. integrit6, perfection, com- 
plement; \ ig.) probite, droiture, verlu incor- 
ruptible. Scvere et parlaite observation de la 
discipline; severile, roideur. — virginal. V. 
Virgindade. 

InTEirscaDo, A, adj. — com frio, Iransi, en 
gourdi de froid. p. p. de 

InTEIRICAR, dv. a. roidir, rendre roide. 

InTEIRIGAR-SE, v. r. roidir, devenir roide. — 
com frio ‚transir, @tre Lransi, engourdi de froid. 

Inteirico, A, adj. toul d’une piece. 

INTEIRISSIMO, A, adj. sup. de 

Int&ıro, A, adj. entier, parfait, accompli, 
complet, qui a toutes ses parties; qui n’a pas 
et6 chätr6, coupe. (fig.) Droit, inlegre, juste. 
Sain : qui n’est pas corrompu. (If. d’arith.) —, 
qui n’a point de fractions (nombre , quzantite). 
Por —, enti6rement; dans son entier. Eslar 
ainda —, dire encore dans son enlier. 

INTELLECGAÖ, s. f. intellection : acte de l’in- 
telligence, action de concevöir, de comprendre. 

+ INTELLECTIVAMENTE, adv. au moyen del’in- 
telligence. 

INTELLECTIVEL, adj. 2 gen. }intellectif : de 

INTELLECTIVO, A, adj. l’entendement. 

INTELLECTUAL, adj. 2 gen. intellectuel : qui 
est dans l’entendement, de Pintellect, qui lui 
appartient; spirituel. 

+ INTELLECTUALIDÄDE, 8. f. puissance, fa- 
culte intellective. 

INTELLECTUALMENTE ‚adv. intellectuellement, 
d’une manidre purement intellectuelle. 

InTELLiGENcIA, 8. f. intelligence : faculte in- 
tellective; capacit& de comprendre , de connal- 
tre, de concevoir, etc.; substance spirituelle; 
comprehension nette et facile; accord, amitie 
reciproque ; conformite de sentiments; corres- 
pondance, communication de personnes qui 
s’entendent ensemble pour un but, qui s’ac- 
cordent ; espion dans une place. 

INTELLIGENTE , adj. 2 gen. intelligent: pourvu 
de la faculte intellective; capable de raison- 
ner, de comprendre; habile, verse dans quel- 
que matiere. 


INTELLIGIVEL, adj. 2 gen. intelligible : aise & ' 
comprendre; qui peul @ire entendu aisement. 


INTELLIGIVELMENTE, adv. intelligiblement: 
d’une mani£re intelligible. 

INTEMENTE, adj. 2 gen. qui ne craint pas. 

InTEMERÄDO. V. Puro, Incorruplo. 

INTEMPERÄDAMENTE, adv. inteımperamment: 
avec intemperance. 

INTEMPERADO, A, adj. intempere : deregle 
dans ses appetils,, dans ses passions. (l.de med., 
Qui a une disposilion pour etre malade. 

INTEMPERAMENTO, 5.m. temperament vicie. 
V. Intemptrie. 

INTEMPENÄNGA, 8. f. intemperance : vice Op- 
pose & la temperance. 

INTEMPERÄNTE ‚adj. eis. 2 gen. intemperant: 

45 


Par NZ Ve Doz 


6 INT INT 


ns a de Pintemp@rance : der&gi& dans ses pas- InrzacaLi00, A,P.p. de 

siens.ses appetils ‚ses desirs, ses Joulssances. ı TINTERCALÄR, Oo. a. intercaler: insörer, 
Intesr£enin. V. Desiemperar. ter. On le dit enrlout du jour ajowis au nois 
InTEMrERIE, 5. f. intemperie : dörangement | de [evrier dand les annees bissextiles. 

dass le corps humain,, dans le temps. : IntencaLin, adj. 2 gen. intercalaire; insere 
INTEMPESTIVAMENTE,, adv. intempestivement, dans... , ajoule ä... 

ä contreiemps, mal ä propos. | tImrencarkoo, s. f. "intervalle, espace en- 
Intewrestıvipine, 5. f. qualit# de ce qui est | Ire deux lieux ip. us.). 

intempesiif. Intercepen (com, por), vo. w. interceder: 
Inteurestivo, a, adj. intempesüf: bors de | prier, sollieiter pour guelqu’un. 

saison, qu’il n’est pas ä propos de faire. Inteacercäiö,s. f. interceptien : interruplion 
Intencäö, s. f. intention : dessein par lequel | du cours direct. 

on tend & une fin; mouvement de l’äme vers | Intenckrripo,A,p.p. de 

une fin; volonte; fin. V. Tengdö. INTERCEPTÄR, ©. @. iniercepter : interrompre 
INTENCIORADO, A,aodj. on ne le dit qu’avecles | lecours, la communication de...; arreter par 

adverbes bem ou mal. Bem ou mal —, bien ou | surprise (une letire). 





mal intentionne : qui a de bonnes ou de mau- | Intercerro, A, adj. pris au milieu. 

vaises intentions. ’ InTErcEssaö, 3. f. intercession : action din- 
InTEncionaL, adj. intentionnel : de l’inten- | terceder;; priere pour interceder. 

don, qui lui est relauif. INTERCESSOR , A, 8. intercesseur : qui inler- 


T IRTENCIONALMeNnTE, ade. intentionnelle- | c@de pour... 
ment : dans, selon , en intention, d’apres elle. IntencoLumnär,adj.2 gen. de l'entre-colon- 
INTENcIonävEL, adj. 2 gen. (4. schol.) qui | nenıent. 


existe dans l’entendement. | INTERCOLUMNIO , 8. m. entre-colonnes, enire- 
Intenoencıa , s. f. administration, soin, con- colonnement :: espare entre deut colonnes. 

duite. Intendance : emploi,, juridielion de l’in- IxTerenstan, adj. 2 gen. I. d’anal.; inler- 

tendant. costal: qui est entre les cöles. . 


Intennente, s. m. intendant: prepose a la INTERCUTÄNEO , A, adj. qui est entre cuir el 





direction, & la conduite de certaines aflaires, | chair. 

avec pouvoir d’en ordonnei. INTERDICAÖ ou } interdiction : suspeü- 
Inrzuopen, v. a. donner de l’intensite. *Internıgom, 5. f. $ sion des fonctions; 
INTEnDer-sE, v. r. acquerir de l’intensite. | prohibition. 

V. Entender. Intenpicto ou interdit : censure ecele- 
Inrenpımento. V. Enlendimento. IXTERDITO, 5. m. } sisstiqgue qui interdil. 
INTENSAMENTR, ade. avec intensite, forte- | V. Interdigdö. adj. Interdit : qui est interdit. 

ment, ardemment, efficacement. InTEenpiseR, €. a. interdire : defendre qael- 


Intunsäd, s. f. intension , force, vehemence. 'que chose & quelqu’un; prononcer P’interdie- 
Intensit6, degrä de force, d’activite dans une : ion contre quelqu’un. 


puissance. V. Inlengdö. *Inten®s. V. Interesse. 
IntTensissıno. a, adj. sup. d’Intenso. +INTERESSADAMENTE, adv. venalement, d’unt 
InTensivameuıe, adv. intensivement : avec | maniere venale; par intöre!. 

intensite. INTERESSADO, A, p. p. d’Inieressar. odj. In- 
Inttnso, a, adj. Intense : grand, fort, vif, | teresse : fort atlache & ses inter&ts; mü paf 

ardent. l l’inter&t personnel. 5. m. —, qui a interet & une 
Intentänpo,A, p.p. de chose ow dans une affaire. — na carga, tt. & 
Intentär, o.a. pretendre, tächer, s’eflorcer. | comm.) interesse dans le chargement. 

Avoir dessein, envie. Tenter, essayer, &prou- INTERESSÄL, adj. 2 gen. lucratif, profitable. 

ver. (f. de prat.) Intenter, faire un proces. “.V. Interesseiro. 


Int&nto,s. m.“ intention, fin, but, dessein. InTERESSÄNTE, adj. 2 gem. interessant : qW 
Com —, alin, afin que. Com o — de, dans le | interesse. , 
but de. P6r o—em alguma cousa, viser ä une | INTEREssÄR (em), o.a. interesser : donner IN 
chose. Conseguir 0 acu —, parvenir & son but. | inlöret, associer & une enireprise; faire prea- 


Frustrar 0 seu — , manquer son Coup. ı dre interet, faire prendre part &...; inspirer, 
INTENTONA, 8. f. .‚fam.) intenlion exirava- donner de Tinieret; engager par l’espolr da 
gante, projet teıneraire. | gain, de quelque avanlage; &ınouvoir, touchef; 


INTERCADENCIA,, 8. f. ınlerruption, disconti- attacher. , 
nuation. Iutercadence, intermiltence:inegaliid Intengssär (a), v. n. importer, &tre impof- 
du pou:s. tant, de l’interet de. Interdasa e lodos, il ia- 

INTERCADENTE, adj. 2 gen. changeant, varis- porte Atous,ilestde l'interer de tout le monde. 
ble. Discontinue, inlerrompu. iIntercadent, Jsto interessa muilo, cela touche de pres. 
parlant du pouls. | Intensssan-sg (com ‚em, por), ©. f. sine 

Inteecarackö, 8. f. intercalation : aclion  resser : prendre parti pour...; prendre part 
@intercaler, d’ajuuter un jour aux annees bis- | dans (une affaire, eie.); prendre intertt 4. 
saztiles. — com alguem por oulrsm, s’inisresser MP 








INT 


prds de quelqu’an pour une aufre persöhne. 
quf’ Importe, 


INTERESSE, 8. m. interät : ce 
convient & Pbonneur, & Putilit®, au prolit, au 


lucre; avantage en general; ce qui attache: de- 
sir du bonheur de queiqu’un ; tendre sollicitude 
pour lul; ce qui Intdresse : se dit des personnes 
et des choses. Gain, lucre, proft. —, profi, 
Iucre sur P’argent preis. Sordido —, vi! interet,, 


interet sordide. Tomar — por alguem,, s’inis- 
resser & quelqu’un. Tem w’isso tu —, il y va 
du sien. 

InTeresstimo,, A,adj. ets. interesse, &golste , 
Irop attachd & ses inlerets. 

Intenresineo, s. m. (f. d’anat.) espace entre 
les cuisses. " 

?T Inteaventncıa, 3. f. Intervention. V. En- 
Sremettimento. 

INTERCIVERSÄTEL, adj. 2 gen. qu’on ne peut 
pas faire lergiverser. 

Interican, etc. V. Inteiricar, etc: 

Interim, 8. m. (mol lalin) interim, enire- 
temps. N’este —, en attendant, sur ces entre- 
faites. 

+ InTERINamenTe, ado. par interim, provi- 
soirement. 

+ InterınÄr, vo. a. employer, placer par in- 
(erim, provisoirement. v. n. Servir par in- 
terin. " 

INTERINO, A, adj. qui exerce un emploi par 
conımission, par inlerim; int&rimaire, de Pin- 
terim. 

IRTERIOR , adj. 2 gen. interieur, interne : qui 
est au dedans. ( ig.‘ Secret, cache: qui ne se 
ınanifeste pas. s. m. Interieur, le dedans; vie 
privee; le chez soi. Entrailles. O — d’uma cusa, 
les interieurs d’une maison. . 

INTERIÖRMENTE, adv. intsrieurement, au de- 
dans. 

InTenseicäö, 8. f. (1. de gram.) interjection ; 
une des parties du discours. 

InTERLINEÄL, adj. 2 gen. Interlineaire : &crit 
dans l’interligne. 

Inter1.ocucäiö,s. f. "dialogue; interlocution, 

InterLocutör, A, 8. celui qui parle parmi 
plusieurs autres ou en leur nom. Interlocuteur:; 
personnage introduit dans un dialogue. 

INTEeRLocUTöRIa,, 8. f. (8. de pral.) senterffee 
interlocutoire. 

IntEerLocurökt0, A, adj. (4. de prat.) inter- 
locutoire : (jugement) qui ihterloque, non de- 
finitif, mais necessaire pour Pinstruction d’une 
affaire. 

INTERLUNÄR , adj. 2. gen. de l’interlunium. 

InTErLünIo, 8. m. interluniam : temps ou la 
lane ne paralt pas. 

InTErMEÄiDO, A, adj. intermödiaire, qui est 
entre deux. 

InTer4E£oıo, A, adj. intermediaire. s. m. In- 
termede de comedie. * Entremise. 

JxtenminÄvEL, adj. 2 gen. interminable : qui 
ne peut &tre termine, fini. 


INTERMINÄVELMENTE, adv. sarıs fin, sans re- : 


Jäche. 
Intenuissäd, s. f. Intermission : Interruption, 


INT 707 


'@isbontinnation d’un effet, d’une cause; intgr-" 


valle entre deux accds de Hövre. 
Inrarurtränch, 8. f. (3. de med.) intermit- 
ience (du pouls, de la fivre); Alsconlinua- 
don, Malerruption.” " [ 
INFERMITTENTE, ad: 2 ge". intermiltent : qui 
cesse et reprend parintervalles. 
Intenmtyir,v. N. avoir des intermissions, 
Etre intermittent. ” 
INTERNUKÄL, adj. 2 gen. d’entre-murs. 
Internino, p. p. d’nternar. an 
INTERNANENTE, adv. interieurement. 
InTERNiR, 0... interner : enfermer, rgunır 
dans l’interieur. —se,v.r. S’enfonrer, en}rer, 
aller dans 'Interieur. —muito, enirer bienay t. 
INTERNO, a ,adj. interne : Qui est au edafis, 
du dedans. fnterieur. 
IRTERNUNcIO, 8. m. inlernonce : ministre 
charge des affoireg de Rome, an defaut ’un 
nonce. V. Interlocutor. 
InTerPELLacäd, 5. f. interpellation : somma- 
tion; sommation de r&pondre sur un fait. 
INTERPFLLÄDO,, A. P. p. de 
Ixtearktiir, 0.0. (1. de prat.) interpeller : 
sommer de repondre sur un fait. Presser sur 
l’accomplisseinent d’un commandement. 
InterroLagäö, 3. f. interpolstion » action 
d’interpoler; ce qui est interpolg. 
InTErPoLÄDAMENTE, ade. avec interpelation. 
InterpoLino, A, p. p. d’Interpolar. 
INTERPOLADOR, A, 8. interpolateur:: Yyi in- 


terpole. 
InsereF yn 


InterporÄr, ©. @. interpoler : 
mot, une phrase dans le texte dun manuscrit; 
intercaler. Interrompre, disconlinuer. 
NTERPÖR , ©. G. inlerposer : peltre (UM COTPS) 
entre deuz. Inserer. Interposer son gnigrite, 
ses bons offices, einployer la mediatien, ete. 
== aggrapo, recurso, (1. de grat.) in«erjeter 
appel ‚anpeler d'une sentence. — oseu perenap, 
Jonner sön avis, emeilre son gpinign. 
INTERPOR-SE, ©. f. s’inlerpaser : intervenir. 
INTERPOSICAO, 8. f. interpgsilion : station 
d’un corps entre deux aulres; intervenlian, en- 
tremise. (g.) Mediation. L’espace de iemps 
qui Be Lrouyg entre deyx autres differents, 
NTERPÖSTO, A, p. P. irr. ü’Interpor. . 
Entremelg, interpoge. Inierpösia pessga, me- 
djateur, tiers qui Infervient. 
INTERPRENDER, ©. a. surprendre (une place), 
s’en emparer par surprise. V. Emprehender. 
INTERPRENDIDO, A, p. p. d’Inlerprender. 
InTeRpREsA, s. f. entreprige de guerfo; sur 
prfise. V. Empr£za. 
INTERPRETACAHO, 8. f. interpreötation ı aclior 
d’interpreipr ; explication. 
INTERPRETÄDO, A, p. p. d’Interpretar. 
INTERPRE.TADOR , A, 8. interpretateur: qui in- 
terprete le sens, la penree. V. Interprete. 
NTERPRETÄR, ©. a. inierpreter : Iraduire 
d’une langue dans une autre; expliquer ce Qui 
est obscur ou cache; commenter, tourngr en 
bonne ou mauvaise part. Tudg inlerpreia em 
bem ou em mal, Il Wurne foul en bien ou en 


708 INT INT 
mal. — sinistramenic ums cousa, enbendre ; lervenir. (1. de prat.) Intszvesäise dıns uns 
inesse ä une chose. affaıre canirerersee, dans um m. 


Intzarastınvamiııı, ads. d’une manidre 
interpretalive. 
bmranraıtarivo, a, adj. inierprötalil : qui 


Inriasraerz, s. 2 gen. interpreöte: celai qui 
send les mots d’une langue par les mois Kune ' 
'autze langue; qui eıplıgue un disceers, une 
leise , une repense , un songe, ele.; qui er'“r- 
ct un terie , le sens d’un auieur:: qui estı _usge 
de lsire conmaitre la pensee, les senumenis, 
Fintention , la volenie d’autrui. 

Inrearatza. V. Interpresa. 

Imraaascno, 8. m. inlerregne : lemps pen- 
4ant lequelıln’y a pas de roivu chef d’um eis. 

Inteanocacıö6,s. f. interrogatien , question, 
demande ; Sgure de rheierique. Point d’inter- 
regation (?). 

Intganocino, A, p. p. d’Interroger. 

INTERROCANTE, adj. 2 gem. inlerrogant : qui 
interroge. Celui qui [ait des inlerrogations ju- 
ridiques. p. a. de 

InTERROCAR , ©. @. inlerroger : questionner; 
faire des interrogalions juridigues. 

INTERROGATIVO, A, adj. | I. de gram.) inter- 
rogatil : qui sert & interroger. 

INTERKOCATURIO, 8. m. inlerrogatoire : ques- 
tions que fait un juge ä un accuse; proces- 
verbal qui les contient, avec les reponses. 

INTERRONPEDOR. V. Interruptlor. 

InTERnONPiR ‚o.a. interrompre ; suspendre, 
arreter, emptcher de continuer. Discontinuer : 
interrompre une chose commencee. Inierrom- 
peo-o, il Jui eoupa court. 

InTzanouripametnte ‚ade. avec interruption. 

InTERKoNPIBo, A, pP. p. d’Interromper. 

INTERRONPINERTO, 5. m. " interruplion. 

Inreanoöro. V. Desordenddo. 

IaTenatrcäö, 8. [. interruption : action d’in- 
terrompre; ses effeis ; «tat de ce qui est inter- 
rompu; discontinualion, cessalion pour quel- 
que temps. Sem — , tout d’une tenue. 

INTERRCPTANENTE,, adv. avec interrupfion. 

Inteanörto, A, p. p. irr. d’Interromper. 
ad/. Interrompu. 

Intenatrrön, A, 8. Interrupteor : qui inter- 
rompt un Jiscours, etc. 

Intenstıca6,s. f. (I. de genm.) intersection : 
point oü deux lignes, deux plans se coupent. 

Inteasenın. V. Ingerir, Introduzir. 

InTERSTICIO, 3. m. interstice : intervalle de- 
termine de temps , d’espace ; pore ; espace entre 
les mol6eules,, les’ parties. Intervalle a melire 
entre la reception des ordres, etc. 

INTERYALLÄDO, A, P. P. 

INTERYALLAR, ©. a. espacer;, interposer. 

InTERvALLAR-SE, ©. r. Eire separe par des 
intervalles ; s'interposer. 

IntenväLıo, s. m. °echappee, Intervalle, 
distance, espace. Intervalle : cessation d’une 
chose qu’on reprend apres. — lucido. V. ce 
mo®. 

%, s. f. Intervention : aclion d’in- 


Istezvasınguaa. V. Aderikra 

ISTERvest6ör, a, 3. iniervenans - chin a- 
tervient Tiers, intermedıasse, enisemriärese! 

Istaxvın (em ‚e.n_ImÄRTVERE, CRiBEr cammEe 
interesse dans une affaire , dans une cumiesir- 
tion ; inlerposer son auleriäs , sa merbanee, ER. 
Assisier comme lemesn. 

Intesra2o, a, adj. intestaß : maetsums kester. 

+istestaveı ‚adj. 2 gen. qui ne prat pas testen. 

Intastrsar, adj. 2 gem. ımiestimal : des mie 
ins. 

Ixrestino, s. m. intestin, beyam. I ostphm 
usıte au plariel. Intestins : camaax memnbranee! 
de Festomac ha Fans. — crge, cwcmma : Is preumet 
des gres intestuns. 

Ixtesrıno, a, ed. iniestim , mterme. Sg. V. 
Cieil , domestice. 

Inrisias, etc. V. Enhbier,, ete. 

Intıuacäö, 5. f. imtimsten : actien par I 
quelle on intime. 

Istıuıpo,a,p. pP. d’Ialimaer. 

Inrızanon, s.m.celuigui intime. Avertissen 

Istıuaueste, ade. inimernent : avec uM 
affection particuliere ; etreitement ; interest 
ment et profondement. 

Intıwaa,c.a. intimer : signißier en verts de 
la loi; appeler en justice ; assigner (le Bea, * 
temps d’une reenion, d’un concile, ei. — 
sbendono, (1. decomm.) signißer l’abanden. 

Intıuıpapg, 5. f. inlimite , liaisen inlıme. 

+ IstısiDäDaNeExte , adr. avec limidite. 

INTIMIDADO, A, 9. p. d’Intimider. 

IntısıpaDör, A, 6dj. eis. qui inlimide, qW 
€&pouvanie. 

Inrıwıpia, ©. a. intlimider : donner de U 
erainte, de Fapprebension & ; menacer. 

Intınıpaasg, v. r. s’intimider : avoiz de li 
crainle. 

UnTımo, A, adj. intime: ‚ami) qui a, pe® 
qui l’on a une vive amitie ; (union) Lres-eirelt: 
interieur et pfofond ‚sentiment , persussitt, 
conviction). Interieur, interne. 

Istıuonipo. V. Destemido. 

iIntıruLagäö,s. f. * intitale, ülre, 

IntırtLapo, A,p. p. d’Intiluler. 

IntırcLauknto, s. m. V. Intitulagsö. 

InrırcLan, ec. @. inlitaler : donner, meilt 
un litre. Donner & une chose un nom, un ült 
qui la fasse connaitre. 

InTITtLän-se, ec. r. sintituler : se denner u 
nom , prendre un lilre. 

IxtoLgsäncıa, s. f. intolerance : defaut de 
tolerance. 

+introLzainno, A, ady. qu’on ne doil P% 
tolerer. 

IntoLxränte, adj. 2 gem. intolerant : 4! 
n’est point tolerant. 

INTOLERANTISMO , 8. M. inloleranlisme : se 
liment, dootrine des sectes intolerantes en mr 
tiere de religion. . 

INTOLERÄYEL, adj. 2 gen. intolerable:: ies0op 
portable; qui ne-se peut, qu’on ne peut Wierdl, 





INT 


INTOLERAYELMERTE,, adv. intolerablement : 
@’une maniere intolerable. 

Intönso ‚A,adj. (poet.) qui n’est point tondu. 

INTORPECER,, etc. V. Entorpecer, etc. 

+ Intonsäö ‚s. f.(t.de bot.) intorsion ‚flexion. 

+ INTRACTÄVEL, adj. 2 gen. intraitable, fa- 
rouche, sauvage. Impraticable, parlant d’un 
eheniin. Inabordable : qu’on ne peut aborder. 
Pessoa — , loup-garou , homme bourru. 

INTRADUZIVEL, adj. 2gen. intraduisible: qu’on 
ne peut iraduire. 

+ IntnaröLıo, A, adj. (t. de bot.) intrafoliace. 
On le dit des stipules du figuier, du ımürier. 

+ IKTRA-MUROS ,„ adv. inträ-muros : dans 
Penceinte de la ville. 

InTRANCIA. I Y. Entra... 

InTRanHaveL. S “ 

+ INTRAnsıTÄVEL, adj. 2 gen. inaccessible, 
impenetrable,impraticable , parlant d’une mon- 
tagne,, d'une foret, d’un chemin. 

InTRansırıvo, A, adj. (f. de gramm.) iniran- 
sitif : (verbe) neutre. 

INTRATÄDO,A ‚adj. qui n’a pas ete traite, non 
esptrimente. 

IntaAtäver. V. Intractdvel. 

Intr£cno. V. Entrecho. 

+ Intr£uuLo, A, adj. ferme, incbranlahle. 

INTREPIDAMENTE, adv. intrepidement : d’une 
maniere intrepide. 

Intngpinez ou ) intrepidite: fermete, cou- 

Imtagrineza, s. f.) ragelroid, inebranlable, 
dansle peril, dans une situation lorcee, etc. 

Inteeeino, A, adj. intrepide : qui ne craint 
point le danger, qui Vaffronte, que le danger 
ne [ait pas trembler. 

INTRICADANENTE. eic 

InTricar,, etc. ae 

Intrica, s. f. intrigue : man@uvre secredle, 
detournee. 

Intrıcädo, A, p. p. d’Intrigar. 

InTRIcäÄNTE, adj. eis. 2 gen. intrigant : qui 
se möle de beaucoup d’intrigues. 

Intricäia, o. n. intriguer : faire des intri- 
gues. V. Enredar. 

IRTRIGÄR-SE, vu. r. prendre part ä une inirigue. 

INTRINCAÄDAMENTE, adv. confusement, d’une 
manidre embrouillee. 

INTRINCADO,, A , adj. inextricable, mele; em- 
brouille, embarrasse, difficile. p. p. de 

Intamcän, v. a. meler, embrouiller, confon- 
dre. (fig.) Confondre, rendre obscur, parlant 
des penstes. 

INTRINCÄR-SE,, v. r. s’enchevätrer, se mettre 
dans l’embarras. 

INTRINCHEIRÄR,, etc. V. Entr..., etc. 

INTRINSECAMENTE , adv. intrinsequement, es 
sentiellement. V. Interiormente. 

InTainseco, A, adj. inirinsdque, essentiel. 
Interieur, interne. 

Inteıscävo. V. Travdda, Enredado. 

* Intropın. V. Introduzir. 

Intnonucgaö, s. f. introduction : Action d’in- 
troduire; action de mettre en vogue (fig.),en 
Dasge jontrde,achominement; exsorde, preface, 


V. Intrinc... 


INU 709 


'INTRODÜCTO, A, p. p. irr. d’Introduzir. 

Intropuctön, A, s. introducteur : qui intro- 
duit. — d’embaixadores, introducteur d’am- 
bassadeurs : officier dont la fonction est d’in- 
troduire les ambassadeurs. 

INTRODUzIR , v. a. introduire :donner entree, 
faire entrer; donner: cours, commencement; 
faire intervenir un personnage dans une ac- 
tion, un discours; (fig.) faciliter l’entree 
d’une personne. — incidenles n’um pleito, in- 
cidenter : faire naltre des incidents. — mer- 
cancias, importer des marchandises. 

Intröito, s. m. debut, entree, commence- 
ment. Introit : commencement de la messe. 

INTROMETTER , v. a. introduire, faire entrer. 

INTROMETTER-SE. V. Entremeller-se. 

Intronızin, etc. V. Enironizar, etc. 

rt INTROVERSÄO, s. f. action d’ entrer en soi- 
meme, de se considerer, de s’examiner dans 
Pinterieur. 

INTROVISCADA 

INTRUDAR, etc. } V. Enir..., etc. 

INTRÜSAMENTE,adv.par intrusion, en intrus. _ 

Inteusäö,s. f. intrusion : possession, oCccu- 
pation sans droit; etat, qualite de l’intrus. 

Intnüso, A, adj. intrus : introduit par force, 
par ruse; qui possede, occupe sans droit. 

+ Intüo ow Ixtisäceo. V. Almeirdö. 

Intuicäö, s. f. (1. de Iheol.) intuition : vision 
claire de Diea, vision beatiflque; perception 
interne, independante des sens. 

InTuiTIvANENTE, adv. intuilivement : d’une 
maniere intuitive. 

Inrurtivo, A, adj. intuitif : (vision —ve) de 
Dieu, äA la maniere des anges; qui ne provient 
pas du dehors (connaissance, certitude). 

Intürto, s. m." vue, consideration, but. 

INTUMECER, v. n. s’enfler, gonfler. ( Ag.) De- 
venir fier, s’enorgueillir, 1] est aussi reci- 
proque. 

INTUMESCENCIA, 8. f. intumescence : action 
par laquelle une chose s’enfle. 

Inzurin. V. Entupir. 

Inturvan. V. Turvar. 

Intuscercäö, 8. f. intus-susception : intro- 
duction d’un suc, d’une substance dans un 
corps organise, pour son developpoment. 

+ TnuLa, s. f. (t. de bot.) inule: plante co- 
rymbifere. — campdna, inule aunde, aunee, 
enule-campane. 

InöLro, A,adj. qui demeure sans vengeance. 

Inonnacäö, s. f. inondation : debordement 
des eaux qui submerge un pays; les eaux de- 
bordees; ( Ag.) grande multitude. 

InunpAnpo, A, p. p. de Inundar. 

InunDänTts, adj. 2 gen. qui inonde. p. a. de 

Inunpär, v.a. inonder: submerger par de- 
bordement; couvrir d’eau; ( Ag.) envabhir; mul- 
tiplier, prodiyuer : se dit des vices, des erreurs, 
des livres, ei«. Il est quelquelois neutre. S’i- 
nonder, s’abrouver, 

+ Inunsanıwänn, 3, f. impolilosse, grossid« 
red, 





710 INV 


Invsrräs0, & ‚adj. inusite : qui n’est point em 
usage. 

InörıL, adj. 2 gem. vain, inutile, infruo- 
tueux. no. 

InuriLipipg, s. f. inutliss: delaut d’utilile; 
vanite. . 

IntrıLissgs0, a, ads. sup. d’Inutll, 

InutTiLızA90, A, p. 9. de , 

InurıLızia ; d. @, inutiliser : rendre inutile. 

INUTILMENTE , adv. inutilement : sans utjlite, 
en vain. En pure perte. 

Invapıävgı ,dy. 2 gem. qui n’est pas gudable. 

Invapipo, A,9.p. de 

Invasia, ©. a. [aire ung invasion : allsquer, 
envabir um pays, otc. (Ag.) Prendre par vio- 
lence;; usurpez. 

InvaLescka, 0. @. sdtsblir de plus en plus, 
s’affermir. 

+invauınagkd, a. f. action d’invalider. — 
d’um aclo, resilistion : resolution d’un acte. 

InvaLınäne, s. f. invalidite : manyue de vali- 
dite, defaut qui rend (din äcte) invalide. 

InvALiDAMRNTE , ade. invalidemen! : sans va- 
lidite. 

Invauıpis, 9. a. invalider : rendre, declarer 
nul, invalide (un contrat), 

InväLıdo, a, adj. invalide : estropie,, infßrme, 
qui ne peut travailler pour vivrö; (Ag.) sans 
‚velidite, nul (acle, conjrat). 

InvarıamıLıpäng, 5, f. invariahilits : qualite 
de ce qui est invariable. 

Imranıagäd. V. JImmuiahilidade, Estabi- 
Iidade. - 

Inranıl va, adj. 3 gen. invarisbie : qui ne 
vario point, 

InVARIAURLMANTE , adv. invariablement : 
d’une maniere invariable. 

Invasaö, s. f. invasion : irruplion en pays 
ennemi, etc. Commencement d’un accods de 
Revre. 

htvasivo, a, edg. qui envahit, 

Invasor, A, adj, eb 8. onvahisseur : qui on- 
vshit, qui fait une invasion, qui s’empare & 
main armee. 

Inväcriva;a. f. invaotive : parole, expression 
injarieuse, v&heniente; discours amer, vohe- 
ment, 

InVECTIVÄDO, 4,9. 9. de Inveclicar. . 

TInvscrivanor,s. m. celui qui inveclive. 

Invecrıvän, vo. a. el ». invecliver : dire des 
invecuves; declamer. 

+Invenäno, A, adj. qui n’est pas delendu, 
prohibe; qui nrest pas etanch®. 

tInvenäveL, adj. 2 geh. qu’oh ne peut pas 
defendre, emp£cher; qu’on ne pdut pas &tan- 
cher. 

Invesa,s. f. envid: cHagrin, d&plalsit cause 
par le sucees, I6 bonheur, les avantages, I 
bien d’autrui. Jalousie. Emulation. Comer-se 
de —, Mire ronge d’envie. Ter — a ‚ 
dalgume cousa, eire envieux de quelgu’un, de 
quelque chose. V. Inrejar. Ndo ter — a..., 
( Ag.) n’ötre pas inferieur &..., de moindre va- 
leur que... Estar ecposto aos liros da —, &re 


INV 


en butte a Penvie. Tem-me —,il ne porte env'r. 

Invasäpo,A,p.p. de 

Invgär, o.a, envier:: avoir du deplaisir (hi 
bien d’autrui; le desirer pour soi; eprouser 
l’enrie, porter envie, @ire envieux de... {4 ) 
Besirer, convoiter dans les bornes de la ju>- 
ice. 

InvgsiveL, adj. 2 gen. desirable: qui mherile 
d’etre desire, envie. 

Invesösauente,, adv. avec envie. 

Inves0so, A, adj. envieux (de), qui porte en- 
vie; qui a de l’envie;; Jaloux. 

Invencäö, s. [. invention : action d’inventer; 
faculie de l’esprit, disposition & inventer ; chose 

venlee; une des parties de la rhetorique; fic- 

on, mensonge. *Conte, recit plaisant, [abu- 
ux. —öes, pl. minauderies, pruderie; cılra- 
vagances, bizarreries. 

InvENcIBILIDÄDE, 8. f. invincibilite: qualits 
de ce qui est invincible. 

+" Invuncionapo, A, adj. ome, pare avec 
art et nouveaule. 

"InvEncıonäaıo. V. \ enjöleur, trom- 

Invencıonkıro, A, adj. ) peur. Capricieus, 
vetilleux. Minaudier:: qui fait des mines, des 
caresses affectees. Begucule, prude (femme). 

IxvEncivEL, adj. 2 gen. invincible : qu’on ne 
saurail vaincre. 

INYENCIVELMENTE, ade. invinciblement: d’une 
manitre invincible. 

INVENDÄVEL, Ou yinvendable : qu’on 

InvEnDIVEL ‚adj. 2 gen. ı ne peut pas vendre. 

Inventapo, A, p. p. d’Invenlar. 

Inventanon. V. Inventor. 

INvVENTÄR, v. a. inventer : trouver, imaginer 
quelque chose de nouveau dans les arts, les 
sciences, par la force de son genie ; conlrouver, 
supposer. 

Inventanıackö, s. f. acte d’inventaire. 

INYBNTARIADO, A, pP. p. d’Invenlariar. 

INVENTARIÄNTE , adj. 2 gen. qui fait l’inven- 
taire. p. a. de “ 

INVENTARIÄR, 9.6. inventorier : mettre dans 
un'inventaire. Faire inventaire, former un in- 
ventlaire. 

InvanTärıo, s. m. inventaire : r6le, memoire, 
#tat, denombrement par ecrit et par article 
(diettens, de papiers, de marchandises, ec... 

rit contenant ce denombrement. A benefcio 
d—, (1. de prat.) sous benelice d’inventaire. 

Inventiva, a. f. faculie invenlive, genie. \. 
Invencäo. 

InvEnTivo, a, adj. inventüf : qui a le genie, 
le talent d’inventer. _ 

Invento,s. m. *invention , d&courverte. 

InvEnTöR, A, 5. invenleur:: qui inventie, qui 
& invents; qui introduil en usage. Invenleur 
d’une (able, d’un conte. 

Inverisimıt, etc. V. /nverosimil, ete. 

Invernmäpa, s. f. rigueur de l’biver; teınps 
duree de l’hiver; mauvais temps. 

Inveauino, 4,2. p. d’Invernar. 

TInvannandıaa OM —DOUBO, 3. m. " SEITE: 
lieu oü l’on serre les plantes en hirver. 





INV 


Invannäı, adj. 2 gen. hivernal ı qui os dhl- 
ver, qui vient en hiver 

Invenıan (em|, v.n. hiverner: passer l’'biver 
dans un endroit. fire en hiver; faire mauvais 
teınps. 

Inverno, 3. m. biver: la saison ja plus froide 
de l’annee. No meio do —, na gema, no mais 

forte do—, en plein biver. _ 

INVERNÖSO, A, adj. hivernal. Mauvais, affreux 
(temps), 

InvenosimıL, adj. 2 gen. invraisemblable : 
qui n’est pas vraisemblable. _ 

InygnosınıLnanca, s. f. inrraisemblance : 
defanı de vraisemblance. 

+ InvraosınıLukate, adv. invraisemblable- 
ment: d’une maniere invraisembjeble, 

Invensä6, s. f. inversion, Iransposition , 
changement. 

InvEsso, A, P. p. irr. d’Inverter, et adj. In- 

. Transpose , eliere.‘ 
Finvansen. A,s. qui inlervertit, qui lrans- 
pose; qui interfpreie en ınal. 

Int£area, t.a. inlerveftir, transposer : chan- 
ger de place, de sens, de cöte. Renverser l’ordre 
des terımes d’une proposition , des consequents 
faire las antöctdents. Employer, depenser, des- 
tiner A un auire usage. Changer en mal. 

Investina, s. f. "invesiissement : action d’in- 
vestir une place.*Choc, attaque , assauj; irrup- 
tion. ( Ag. /am.) Raillerie piquante. Dar uma 
— a alguem, mystifier quelan un 

Invsstınao, A, Pp. pP. d’inveslir. 

Invsstıpökı, s. f. inveslilure : mise (solen- 
nelle) en possession d’un fief, etc.; acte qui la 
cobslate. 

Invastıcaciö, s. f. investigation : recherche, 
peigquisition. 

invesricipo, A,p.p. d’Imvestigar. 

InVEsTiGaADOR, A, 5. investigateur : qui fait 
des investigations. 

investıcia, v.a. rechercher : chercher avec 
soin ; faire des investigalions. 

+ InvssticäveL, adj. 2 gen. qu’on ne peut 
recbercher : each&,, imp@netrabie. 

Invastin, 9. @. atlaquer, assaillir virement. 
= com alguem, (v. #.) allaquer, assaillir queli- 
qu’un. Investir: donner l’investiture, mettre 
en possession d’un fief, etc. 

Iavastin-es (om), o. r. s’introduire, se 
metire dans quelque chose. 

+ INVETERÄDAHENTE, adv. d’une maniere i in- 
veteree. 

Invereaino, A, adj. invöter6, enracine : qui 
dure depuis longtemps ; qu’on ne peut vaincre. 
Pecesdor —, vieux pecheur. p. p. de 

InVETERÄn-SE, vo. r. s’invelörer : devenir 
vieux , difficiie & guerir; s’enraciner. 

Invıan, etc. V. Enoiar, eic. 

+ ISVICTANENTE, adv. invinciblement. 

Invicrissino, A, adj. sup. de 

Iwvicto, a, adj. invaincu : qui n’a Jamais &t6 
veincu,, invincible 

Invınin. V. Enoider. - 

P’nvıno. V. Fnvajöso. 





INV 711 


IuvıcıLlucıa ‚8. f. ımanque de vigilance. 

InvigiLÄnTE, adj. 2 gen. qui manque de vigi- 
lance. 

I’nvıo,Aa, adj. od il n’y a point de route, de 
chemin. 

InvioLaABILIDÄDE,, 8. f. inviolabilitg : qualite 
de l’etre inviolable; ; privilöge qui garantit de la 


"mise en jugemen!. 


INVIOLAÄDAMENTE, ade. inviolableınent, 

InvıoL.äno, A ‚adj. qui n’a pas et& vıole. Pue, 
enlier. 

IxvioLäveL, adj. 2 gen. inviolable : qu’on ne 
doit jamais violer, enfreindre; qui jouit du 
privilege de l’inviolabilite. 

INVIOLAVELMENTR , adv. 
d’une maniere ioviolable, 

} InvıoLentäno, a, adj. & qui on n’a pas fait 
violence. 

+ InvioLtnto,A, dj. qui n’est pas violent, 
od iln’y a pas de violence, 

InvıeErRiDO, A, 9. pP. de 

InvIiPERÄR-SE, 0. r. se metire en fureur comme 
la vipere. 

Invira. V. Bmöire. 

Inviscin, etc. V. Enviscar. 

InvISIBILIDÄDE, s. f. invisibilite: Etat, Qualite 
de l’ötre invisible. 

RwisıveL, adj. 2 gen. invisible: qu’on ne 
peut voir. 

InvisıveLmente, ade. invisiblement s d’une 
maniere invisible. 

T Inviso, a, adj. qui n’a jamais dte vu ni 
coanu. 

Invırar, ©. a. (inus.) inviter. 

Invırarörıo, s. m. invitatoire: antienne N 


inviolablement : 


 malines, qui invite A louer Dieu. 


lavırz. V. Envile. 

Invito, a ‚adj. forc&, contraint. 

Imyocagäö, sf. invocation : action d’invo- 
quer ; partie d’un poöme dans laquelie on in- 
voque une muse, un dieu. 

Invocioo, A, p. p. d’Invocar. 

InvocaDör, A, 5. celui qui invoque. 

Invocaa, v. a. invoquer, reclamer, implorer, 
demander avecinstance, appelerä son secours. 
Evoquer : appeler, faire venir ä soi des esprils. 

IRVOCATIVAMENTE,, adv. avec invocalion. 

InvocaTörıa, 8. f. V. Inrocagdd. 

+ InvocaTörıo, A, adj. invocatoire : conle- 
nant l’invocation. 

InvochvrL,adj. 2ger. quel’on peut invoquer. 

InvoLrönıo. V. Envoltorio. 

tInvoLr6so, a, adj. (ti. de bot.) involuie : 
(feuilles —es) ä bords roules. 

+ InvoLuc£iLo, s. m. ($. de bot.) petit invu- 
lucre. 

+ Invovuucräno ‚Aa, adj. (4.de bot.) involucre: 
poarvu d’un involucre. 

InvoLugiö, a. f. involution. 

InvoLöcko, s. m. (t. de bot.) involucre : pe- 
tites folioles qui entourent le p&ednncule: en- 
veloppe commune et continue. 

INVOLUNTÄARIAMENTR „ade. involontairement: 
sans le vouloir, contre sa volonte. Par force. 


712 IR 


InvoLuntärıo, A, adj. involontaire : inde- 
pendant de la volonte, sans sa participation. 
Force. 

InvoLvrörıo. V. Envoltorio,. 

InvoLvevör. V. Enredador. 

InvoLvga. V. Envolver. 

INVULNBRABILIDÄDE ,„ 8. f. invulnerabilite : 
qualits, &tat de l’etre invulnerable. 

+ InvoLnerino, A ‚adj. quin’a pas et& blesse. 

InvuLnerÄVeEL, adj. 2 gen. invulnerable : qui 
ne peut ötre blesse. 

Inxenin. V. Enzerir ou Inserir. 

Inxipno, s. m. petit verger. V. Envido et 


Inxınin. V. Enzertar. 

lösın, s. f. (t. de geog.) lonie : contree du 
Peloponese. 

lönıo, A, adj. Ionien : d’Ionie. 

+V pe, s.m. (1. d’hist. nal.) ips : col&optere 
wWtramere. 

IrEcACUÄNHA, 8. f. (f. de bot.) * ipecacuanha : 
plante et racine medicinale d’Ameriyque. 

Irperıcäö. V. Hyperico. 

Iröcrıta, etc. V. Hypocrita, etc. 

+ lqueräyva, s. f. (l. de bot.) iquetaya: plante 
scrofulaire aquatique du Bresil. 

Ir (a, para:, v.n. aller, passer, se rendre 
d’un lieu & un autre. Mener, conduire, conti- 
nuer &; aboutlir. Etre, se porter. Gager, pa- 
rier. Consister, dependre. Importer, inte- 
resser. Eire distingue, different. Se destiner 
a un etat. Agir, aller. Se conjuguer, se decli- 
ner. Ir, avec un gerondif, marque l’action de- 


signce par le verbe, et avec le participe passif, 


la passion. Ex.: — jogando , jouer. — vendido, 
ötre vendu. Joint & un adjectif, il exprime la 
manidre d’aller ou d’etre. Ex. : — bem armddo, 
eıre bien arme. Precede de l’article ao et suivi 
de la pr&position a et d’un infnitil, il exprime 
V’action procbaine du verbe. Ex. : do — a pa- 
gar, au moment de payer, lorsqu’il faut payer. 
— adiante, aller en avant, poursuivre une en- 
treprise; reussir, parlant d’une entreprise, etc. 
— a0 fundo, couler bas. — com alguem, aller 
avec quelqu’un. (Ag.) Rtre de son avis, pren- 
dre son parti. — com cuidado , mede, eic., agir 
avec alltenlion, avec crainte, etc. — alrds d’al- 
guem, aller, courir apres quelgqu’un. — por 
pöo, por vinho, etc., aller chercher du pain, 
du vin , etc. — confra, aller contre, s’Opposer. 
Näo — föra de.... ne pas aller contre, ne pas 
s’y opposer. — longe ou mui longe, (fig.) eire 
eloigne, bien loin de penser, etc. — mal ou 
bem, aller bien ou mal, parlant d’une affaire, 
ou se porter bien ou mal.— dmdö a alguem, 
(fam.) contenir, retenir quelqu’un. — ao em 
contro, alier au-devant. — ao Jorddö , (fig. fam.) 
se retablir, se rajeunir. — allo, @ire haut. On 
le dit d’un vaisseau, d’une riviere. — nos al- 
cances, suivre ou serrer de pres. Deixdr-se — 
com a correnle, s6 laisser aller au torrent. 
Nisto vai a !ua vida, il yva en tvela de votre 
vie, Nisso vai a minha vonlura, mon bonheur 


döpend de celd. Quaniu ar dagui a Kisdoge 


IRI 


Quelle distance y a-t-il, combien ya-t-il did 
& Lisbonne? Que oa n’isso? qu'importe? Vei 
para umanno,ilyaura bientöt unan.Fdr.m, 
com Deos , adieu, Dieu vous accumpagne. Bew 
vai, voilä qui va bien. Por mal que vd, au pis 
aller. — de conserva, (1. de mar.. aller de con- 
serve. — em lasiro, aller en lest ou sar son 
lest. — venlo ou com venlo em poppe, (id.) 
aller entire deux ecoutes, courir venl arricre. 
— terra, terra, (id.) cötoyer le rivage. — em 
corso, aller en course. — d vela eremo, (id.) 
aller ä trait et ä rame. 

Ia-sk,v.r. s’en aller, se retirer, parlir; etre 
mourant; s’scouler, parlant d’une liqueer; 
fuir, la laisser echapper, parlant du vaisseau 
qui la contient. Glisser inrolontairement de sa 
place. S’exbaler, s’evaporer. Se gäter, se cor- 
rompre, ou s’aigrir. Se rompre, se dechirer, 
s’user insensiblement. — das cartas, s’en aller 
de ses cartes, s’en defaire en jouant. —a pigwe, 
ao fundo a ndo, &chouer, couler bas, aller ä 
fond, parlant d’un navire. — fasendo terde, 
s’avancer P’heure. — fazendo velho, vieillir. — 
pondo 0 sol, ötre sur le point de se coucher, 
parlant du soleil. — sem dizer adeos, semse des 
pedir, emporter le chat de la maison (fam.). 
Irem-se os olhos a alguem , desirer avec ardeur, 
convoiter. Vao-se vendendo as fazendas, les 
marchandises sonten train dese vendre. Vd-s, 
vdo-se embora , va-Uen, allez-vousen. 

ua, s. f. colere, emportement, irritalion, 
ire, courroux. Indignation. Chätiment infige 
ou dont on menace. (fg.) Colöre, farie des ele- 
ments. 

Inacönpta, s. f. colere excessive ou habt- 
twuelle. 

lnacönno, A, adj. colöre, colerique, enclia 
a la colöre. (podi.‘ Courrouce, en courfoui, 
parlant des elements. 

IRADAMENTE, adr. avec colere. 

Inäpo, a,adj. colere, felon,, emporte, fäche. 
Courrouce,, en courroux , parlantde la ıner, eic- 
p.p. de 

Irir, v. a. mettre en colere, irriter. 

Inän-s£, ©. r. se ınelire en oolere , s’empor- 
ter; se fächer, se courroucer, sövir. 

+ InascısıLipäng, s. f. irascibilite : qualile 
de l’etre irascible. 

IrasciveL, adj. 2 gen. irascible : qui s'irrite 
aisöment, dispose & la colere, prompt äse met- 
ire en colere. Faculdade —, faculıe irascible, 
qui porte P’Ame & l’energie, & la constance. 

t Inenänca, s.m. (t. dat.) irenarque : ofß- 
cier charge de maintenir la tranquillite dans 
une des provinces de l’empire grec. 

+ Intnno,. s. m. (8. de bot.) irennus : peri- 
ploque deCeylan, & racine veneneuse. 

IrıAno, A, adj. irise : couvert d’iris. p. p. d’ 

+lIaıir, 0. a. donner les couleurs de l'iris. 
v. ». Briller comme V’iris. 

+ Iriogas, 8. et adj. f. pl, (4.de bot.) iridees: 
famille des iris. 

+Ininıo, a. m. (4. de mdtel.) Iridium : mdiel 
d’un blano d’argent, 





IRR - 


Iaır. V. Erül. 

Paris, s. m. iris, arc-en. ciel; ensemble ow 
partie de ses couleurs formees par la nature ou 
Part. (Ag.) Pacificateur, mediateur. (1.d’anat.) 
—, cercle qui entoure la prunelle. s. f. —,di- 
-vinite fabuleuse; pierre precieuse, cristal irise. 

O — € presagio de serenidade , l’arc-en-ciel est 
une marque de beau temps. 

Paris, s. m. (1. de bot.) iris ou Mambe : plante 
liliacee. — fetida, iris felide, glaieul, xyris 
puant. — de Fiorenga. V. Lirio de Florenga. 
— falso-acoro. V. Lirio, ete. 

InLinpa, s. f. (l. de geog.) Irlande : Ile bri- 
tannique. Toile d’Irlande. 

InLanpetz, a, adj.ets. Irlandais : d’Irlande. 

Iaui, —MÄiA uu —MaAN, 3. [.saur.V. Irmdo. 

IRmÄNMSNTE, adv. [raternellement. En parties 
egales. 

Inmanipo, A,p. p. de 

Inuanir, v0. a. V. Germanar. (com) Assor- 
tir, apparier; reunir; egaler. 

IRMANDADE, s. f. fraternite: relation de fröre 
& frere ; (Ag.) union fraternelle, liaison intime. 
Conformite, correspondance. Confrerie, affilia- 
tion. A sanla —, tribunal etabli en diverses 
villes d’Espagne pour les vols de grands che- 
mins, etc. 

Inwuäö, s. m. frere : ne d’un me&me pere, 
d’une meme mere; nom qu’on donne par hu- 
milil6 aux pauvres; titre Que se donnent mu- 

.taellement les rois; le pape le donne aussi aux 
eardinaux et aux evdques; titre religieux. Con- 
frere : membre d’une confrerie. (fig.) Egal, 
semblable, pareil. — carnal, fröre germain. — 
eonverso ow leigo, [rere lai, convers. — wie- 
rino, frere uterin. Meio — , demi-[rere, frere 
eonsanguin ou dep@re, fröre uterin ou de mdre. 
—60s gtmeos, [reres jumeaux. Enire irmdos 
ndo meilas Iuas mäos, (prov.) ne te mele 
point d’affaires qui sont de freres. Enire l’arbre 
et son &corce il ne faut pas meitre le doigl. 

Inmiözinuo, s. m. dim. d’Irmdo,, pelit frere. 

InuizinHa, s. f. dim. d’Irmä, petite saur. 

"IRMEELMENTE. V. Irmämente. 

*Inxıräö, etc. V. Ermildö, etc. 

Ino , Inözes. pl. V. Eiro. 

Inonia, s. f. ironie : figure de rlıetorique 
par laquelie on fait entendre le contraire de 
ce qu’on dit. 

JRÖNICAMENTE, ade. ironiquemeng : d’une 
maniere ironique, par Ironie. 

Irönıco, A, adj. ironique : od il y a de 
Pironie. 

Inösasente, ade. avec colere, avec empor- 
tement. 

Inös0, A, adj. irrit#, emporte, furieux. V. 
Iracundo. 

ana! inierj. pop. peste! peste soil de... 

+ IRnacıonasıLiDäDE, 5. f. qualite de ce qui 

est deraisonnable. 

* InnacıonäLl, adj. 2 gen. irraisonnable : qui 
n’est pas dous de ralson, Irrationnel; (f. de 

wath.) qui n’a pas de rapport connu avec l'unile, 

JHRALIUNALSDAU», 9: (ı Irralsonnabiliie ;quar 


IRR 713 


litö, &tat de ’homme, de l’ötre irraisonnable. 

IRRACIONÄVEL, adj. 2 gen. deraisonnable : 
qui ne s’accorde pas avec la raison, l’öquite ; 
qui manque de raison. 

IRRACIONÄYELMENTE , adv. deraisonnable- 
ment : d’une maniere deraisonnable. 

Innapıacäö, s. f. irradiation : &mission, ex- 
pansion, effusion de rayons de lumiöre, du 
soleil, etc. 

IRRADIÄDO, A, 9.p. de 

lananıia, 0. a. 6clairer de ses rayons. v. m. 
Rayonner. ° “ 

IarADIösO, A, adj. prive de ses rayons (s0- 
leil, etc.) , couvert, obscurci. 

TIRRECLAMAVEL, adj. 2 gen. qu’on ne peut 
pas rcclaıner. 

+ InreconcıLıäno, A, adj. irreconcilie : (on - 
nemis —s) qui n’ont pu ötre reconcilies. 

InasconciLiävsL, adj. 2 gen. irreconciliable: 
qui ne peut se, que l’on ne peut reconcilier. 

IRRECONCILIAYELMENTE , adv. irreconciliable- 
ment : d’une mani£ere irreconciliable. 

IRRECUPERÄYVEL, adj. 2 gen. qu’on ne peut 
recouvrer, reprendre. 

TInREcLPERAVELMENTE, adv. de maniere A 
ne pouvoir recouvrer, reprendre. 

TIRRECUSÄvEL, adj. 2 gen. irrecusable : 
qu’on ne peut recuser. 

+ IanenımiveL, adj. 2 gen. qu’on ne peut ra- 
cheter. 

IRREDUZIVEL,, adj. 2 gen. inllexible,, indomp- 
table. (6. de chim.) Irreductible. 

+larerLexiö, s. f. irrellexion : delaut de 
rellexion. 

+ InnerLexivo, A, adj. quine reflechit pas, 
qui n’est pas rellechissant. 

+ InrerLexo, A,adj. irrellechi : qui n’est pas 
reflechi. Qui n’est pas repercute. 

lansrorMäveL, adj. 2 gen. irrelormable: qui 
ne peut &tre relorme. 

IRKEFRACABILIDÄNE, 8. f. irrelragabilite : qua- 
lite de ce qui est irrefragable. 

IRREFRACAVEL, adj. 2 gen. irrelragable : 
qu’on ne peut contredire; irrecusable. 

IRREFRACAVELMENTE,, ade. irrelragablement. 
d’une maniere irrefragable.. , 

InnecuLÄr, adj. 2 gen. irregulier : contre les 
regles,, qui ne les suit pas; qui n’a pas de regu- 
larite ; dont les parties ne sont pas egales ou en 
symelrie; qui a encourru les censures et ne 
peut exercer (ecclesiaslique). 

INREGULANIDADE, 8. f. irregularil& : manque 
de regularile ; etat d’un clerc, d’un preire irre- 
gulier. 

InkecuLarissımo, A, adj. sup. d’Irregular. 

IRREGULARMENTE , adv. irregulierement : 
d’une maniere irreguliere. 

InreLıcıäö, s. f. irreligion : impiele, manque 
de religion. 

InnELIGIOSAMENTE , adv. irreligieusement : 
avec irreligian. 

IrrELIGIOSIOÄDE , 8. f. qualit6 do ce qui exe 
irreligieux, 

Innen6idso , A, adl. irröligieus ı contralte & 


718 IRR ———- 


la religion, qui Y’offense, qui n’a pas de reli- 

ON. 
naeunotivar, adf. 2 Yen. ifrämediable : 
auquel on ne peut remedier { mal, faute). 

IaRumzpıavzLuänte, adv. irremediable- 
ment : de sorte qu’on ne peut y remedier. 

IankuiseivaL, adj. 2 geh. irremissible : qui 
no peut se pardonner; qui ne merlte pas de 
pardon. 

InasuıseivzLutnts, ado. Itr&missiblement : 
säns römission. 

InnEuivEL, adj. 2 gen. qui ne peut 58 rache- 
tar; dönt on nie peut se liberer. 

+ IaasuwovivaL, adf. 2 gen. qu’on ne peut 
&loigner, renvoyer, remuer, d&placer. 

+lIangrıriDo, A,adj. quin’a pas eid repare. 

InrnuraniveL, adj. 2 gen. irröparable : qu’on 
ne peut r&eparer. 

IRREPARAYELMENTE, adv. irr&parablement : 
d’une manidre irrepatable. 

IRREPREUENSIBILıDÄDE, 8. f. Irräprehensibi- 
litö : qualite& de ce qui est irrepr&hensible. 

IRREPREHENSIYEL, adj. 2 gen. irröpröhensi- 
ble : qu’on ne saurait reprendre. . 

lAnEPREHENSIYELMENTE, ade. irreprehensi- 
blement : d’une maniere irreprehensible. 

+ Irazsıcnäno, A, adj. qui n’est pas resigne. 
p. p. de 

tinnzsıcnäa-sE (a), v.r. ne pas 86 rösigner 


+ Inassıcnäver, adf.2 gen. qui ne peut pas 
se resigner. 

Irnesistente, adj. 2 gen. qui ne rösiste pas. 

IARBSISTIVEL, adj. 2 gen. irresistible : & quoi 
an ne peut resister. 

InrzsiıstiveLm&nte, ade. irrösistiblement : 
@’une maniere irresistible. 

InnesoLucäö, 3. f. irresolution, incertitude, 
indeeision ; &iat de celui qui est irresolu. 

JARESOLUTO,, A , adj. irresolu : qui a peine & 
se r&soudre, A se determiner. Qui n’a pas die 
resolu : probleme). 

IRresoLövEL, adj. 2 gen. qui ne peut se r&- 
soudre : insoluble. 

+irazstnicro,, A, adj. sans restriclion : qui 
n’est pas restreint. 

+ InrestaınciveL, adf. 2 gen. qu'’on ne peut 
pas restreindre. 

IRnzvVEn£ucıa, s. f. Irreverence : manque de 
reverence, db respect. 

InREVERENCIÄR,, v. 4. manquer de reverence. 

Ianzventnze, adj. 2 gen. irröverent: qui 
manque de respect. 

IRREVERENTENENTE, adv. irröveremment : 
aveo irreverence. 

lanEvocABILIDÄDE, 3. f. irr&vocabilit : qua- 
Hı6 de ce quiest irrevocable: 

InnevockveL, adf. 2 ger. irrevocable : qui ne 
peut eire rövoque6. 

lanevocäver. V. Irrevocavel. 

IRREVOGÄVELMENTE, adv. irrevocablement : 
@’une manidre irrövocabie. 

Innıcacä6,s. f. irrigation ı arrosement par 
ngoles ou salgaoes. 


ISC 


+ Insıcioo,A,adj. ou ona fait und irrifa- 
tion. 

Inrısäöd, 3. f. irrision, mepris, moquerie ,de- 
rision. 

InnisöR, s. m. moqueur : qui se moque, yui 
ratile. . 

IRKISORTAMKNTE, ade. par derision. 

Innısonıo ,A, adj. risible, qui fait rire : qui 
prete & la plaisanterie. 

laRıTABıLIDäDE, 8. f. irritabilit& : qualits de 
ce qui est irritable. 

Inrıtacäö, s. f. itrilation : actiom de be qui 
irrite les bumeurs, ses eßeis ; etat des kumeurs, 
des nerfs ; (Ag.) des esprits irritss. Grande te- 
löre, grand emportement. 

InrıTADO,A,Pp. p. d’Irriar. 

Innıtapon, A, s. celui qui irrite, qui dorne 
lieu & s’irriter. 

VaRITAMENTE, adv. sans eflei et sans force ! 
d’une maniere nulle et invalide. 

Inrırau£nto,s.m.V. Irritargdö. Irritement: 
ce qui excite ( la colere, etc. ). 

JaRITÄNTE, adj. 2 gen. irritant : qui irrite. 
Decreto, clausula —, decret, clause irritaste, 
qui casse , qui annule. 

Irnrıraäa,,v. a. irriter:: meiire en eolöre, äi- 
grir ; causer l’irritation. (fg.) Provoquer, exci- 
ter, aigrir. Casser, annuler. — 08 awimos, aigfrır 
les esprits. 

lanızar-SE , ©. r. s’irriter : sa mettre on co- 
löre ; @tre irritö,, öprouver l’irritation. 

larırarıvo. V. Irrtanke. 

IanıtäveL, adj. 2 gen. irritable: qui peit 
&tre irrile; qui s’irrite sisöment. 

Fanıto, a, ad). iavalide, nul. 

Innocäno,A,p.p. de 

Inaocär, dv. 6. imposer. Causer, Occasinaner. 

Innoragad, 8. f. (4. de mdd.) irroralion, ar- 
rösement. 

Iaroain. V. Borrifar. 

TianumäveL, adj. 2 gen. qui ne peut pas 
etre ruine. 

Inrurcäö, s. f. irruplion : eniree (soudaine, 
violente), se dit des eaux , des ennemis gai ra- 
vagent un pays. 

Iaro. V. Hirto. 

Isın£L, adj. 2 gen. isabelle : coulear jaune 
blanchätre. Carallo —, cheval isabelle. 

IsacöGg, s. f. introduction , avant-propos. 

IsaGoNo, A, adj. inaxone : & angles egaun. 

+ Isina, s. m. (4. d’hist. nat.) isana : dtour- 
neau du Mexique. 

+ 1IsaTı ow —TE, ». m. ( t. de bot.) isatis : pe 
pastel des teiniuriers, isatis du Portugal (isalız 
Iusilanica). (tl. d’hist. nal.) —, quadrupeie 
qui tient le milieu entre le renard et je cbien. 

Y’sca, s. f. maliere preparee pour prendre 
feu sisement: meche, amadou, eic. (Ag.) Cho-e 
extrömeinent inllammable , seche comıne 3:na- 
dou ; aliment d’une passion, ce qui seft ä.l’al- 
iumer, eic. Amorce , appäl. —de carne, gribe- 
lotte. 

iscino, a (de), adj. infect# (de la poste), 
entacht d’horesie, etc. p. p. de Icar. 


Iscir, d. @. amoroer, amadouer 


a loösceL 
+ Iscaomon ou —u0, s. m. (. de bot.) is- | o0tds dgaux. 


chenie, plaute graminde. — bastdrdo, barbon 
digite. 

+ IscHias, s. m. (1. de bot.) * Schinope oom- 
mune (schinops rilro). 

Iscuärıco, A, adj. (4. d’anat.) ischiatique: 


Iscnıon, s. m. (l. d’anat.) ischion : an des 
trois os du bassim däris Tdqtel s’embette le 
f&mur. 

Iscuönıa, s. f. (1. de med.) ischurie : suppres- 
sion fatale d’arine. 

lsenckö, 8. f. exenipilen. ( Ag.) Dedain d’ä- 
mour. Iind6dpendance avee ütdam. 

Ieenräing, A, P. p. d’Isenlar. 

BaunTanänte , adv. avec exemplion. Avco 
desain. j 

Kıntir (de), v. a. exempter, dispenser. 

Isentioäö. V. Isencdö. 

MsentTissıuo, A, adj. sup. de 

Istnto, A, adj. exerhpt, dispense. ( Ag.) D6- 
daigneux. 

+iens, s. f. pl. (t. #’Mist. nal.) isis : 200- 

bytes 


+ IBLiuisEO, 8. m. 
tisıme. 

+ Issauırsdo, &. m. Ismaelisme : religion 
aräbe Hlsmäßl. 

+ isutazıiras, s. m. pl. ismatlites: descen- 
dants d’Ismaßl; peuples de Syrie, de Perse. 


istemisme, mahome- 


lSOCHRONISMO, 3. m. (8. de ‚pwe) Isochre- 
nische : dgatied du Aurte das vibrations. 

Isöcnrono, A, adj. (8. de phys.) isschrond : 
d’egale durde; fe Mit en teuttpe Ogauz. 

+ Isufrs, d. Mm. (1. de bot.) isoLe des @tangs; 
ealamaie. 

+ 1s0conG, a, atlj. (1. de geom.) isogone: & 
angles Agau?: 

IsoLacäö, s. f. isolation : action d’isoler Tas 
corpsı * IscTaten : tar da 0& qui ost IBOlE. 

+ IlsoLADaMENTE, adv. isolement : d’une ma&- 
niöre ivol&». » 

IsoL.äpo,A,9.p. d’Esdlar. aily. Isle, soul, 
abetrdounne: Quf est sur !’tsoleir. 

IsoLapon, 8. HM. (1. de phys.) Iholoif : sibge & 

en pour eldrtriser en inolant; Base 
formee d’une matiere idto-electrique. 

IsoLär, v. a. (£. de piäys.) ißoler : faire qu’un 
corgs nd Hehne pas A Un dutre. 

+ Isowerria, 8. f. (t. de math.) isomötrie : 
reductiort des [raplichs da ndenfe denorkind- 
teur. 

Isöre. V. Aysöpr. 

+ Isopzriserr: . a, of. (ft de 96a.) Inopd- 
rimetre. On le « : Jes figures qui dnt dds ait- 
conference en 18. 

IsuPnAco.\ ..sophage: 

+ Isorıerı .a,.adj. (4. de göom.) dgailats- 
ral , en parl.'.! d’un triangle: 

+ lsörvro, s. m. (1. de bot.) Isopyro : plante 
renoneulacee. 


IZE 118 
us, adj. m. isocdle : (triangle) A deux 


Isqug , s. m. wisk ou whist : snrie de jeu. 
lsnagLira ‚adj. els.2 gen. israelite : d’Isra&L 
Issir. V. Icar. 

* lssecutör. V. Executor. 

Isso, pron. demons. ce, cela; en. On l’em- 
ploie pour dösigner une chose qui se trouve 
plus pr&s de la personne & qui l’on parle ou 
dent on parle. Ex. : D6-me —, donnez-moi 
cela. Deiche —, !aissez cela. Por —, pour cela, 
c’est pourquui. Segundo —, ä ce compte-lä. 
Nem por —, malgre cela: pas grand'chose; 
comme cela. Estow bem cerlo d’—, j’en suis bien 
sür. Quando dsi por —, quand je m’en suis 
apercu. Que lenho eu ld com — P qu’est-ce que 
cela me fait? 

Ystg, V. Isque. 

Istamo, s. m. isthme : langue de terre res- 
serree entre deux mers ou deux golfes. 

Isto, pron. demons. ceci, cela. On le dit 
d’une chose qui est en presence de la personne 
qui parle. En. V. Este. N’ —,‘fam.) sur ces 
entröfaites , pendant ce temps. Nada d’— houre 
ou aconleclo, il n’en a rien &te. 

Tarontd „eic. } v. Hist..., etc. 

+ Iratsa,; 8. f. (1. de bot.) *courbaril: arbre 
legumineux d’Afrique et d’Amerique, qui 
dohne la resine anime. 

Irärıa,s. f. (8. de geog.) Italie : grande prcs- 

te @Europe, entre les Alpes et la mer Me- 

ande. 

IraLıäno, A, adj. et s. Italien : d’Italie. 

Frirıco, A, adj. italien : d’Italie; italique. 

PraLos, s.m. pl. Italiens : peuples d’Italie; 
Italiques. 

Item , adv. lat. item : de plus. 

Itens, 3. m. pi. articles (de compte, etc.). 
Estar aos —, &ire en altercation. 

*+ ItzaäisıLe, adj. 2 gen. qui peut se reite- 
rer. 

IterÄR, 0.0. (p. us.) reilerer, repeter. 

Ifärıtivd, k, ddf. iteratif : fait plusieurs fois 
et par intervalle. 

Irınsairıo, x, ddf. itineraire : de chemin, 
qui concerne les cbemins. 

Prrutrirto, & m. itineraird : memolre de 
voysgear ; note des lieux oü !’on passe en voya- 
geant. Feuille de route. 

Praopesik. V. Hydropesia. 

Irvraiuuıco, a, adj. ityphallique : (figure) 
obstetie. . 

Irr'’eHALLO, s. m. ityphalle : amuletie des an- 
ciens; phallus, itrlagt des parties viriles. 

P’va,s.f.(t.de bot.) ive: plante corymbifdre, 
— mälor, Ivo, ee: — menor. V. Anthyllis bas- 
tarda. — bastarda, ivelie, iT6 musquee, cha- 
meöpitys, petit piit. 

P’xıa, 6. f. (ti. de Bot.) ixid : plante iridee. 

* Ixıno,, Ixuno. V. Eixido. 

Izenciö, etc. V. Isengdo, etc. 

Plezscht80, nn M: izbchhrd : ouvrage de 
Zoroastre en soizante-douze chapltren. 





716 JAC 


J. 


J,s. m. dixi&me lettre de l’alphabet portu- 
gais (d consonne). 

Jı,ade. deja. Maintenant , & present. Une au- 
tre foie, dans un autre tenıps, dans une autre 00- 
casion. Enfin, finalement. Tout & l’heure,, tout 
de suite, sans delai. C'est ainsi qu’on repond & 
ceux qui nous appellent. Jd vow, ja vai, elt., 
jyvais,on yva,ctc. Jd, part. disiribut., tan- 
tdi. Ja, inlerj. qui marque qu’on se souvient 
d’une chosce qu’on nous rappeile. On dit ordi- 
nairement ja, ja. Ex. : Ja, jame lembro, oui, 
oui, je sm’en souviens. — enlendo, — se vf, 
j'entends,, voilä qui est clair. — que, puisque, 
vuque, utiendu que. —entido, des lors. — ndo, 
non pas. — pois, or ca. — seja dum modo, — 
seja d’oulro, que ce soit d'une maniere, que ce 
soit d'une autre. — que assim 0 quereis, puis 
‘donc que vous le voulez. 

+ Jarrä,s. m. (8. de bot.‘ jaaja : paleluvier, 
a Sierra-Leone. 

tlJasesınera, s. fı (L. hist. nal.) jabebi- 
nette : raie du Bresil, 

fJasırü Do BraziL,s. m. : t. 
jabiru : oiseau echassier, erodion. 

tJasonanpi, s. m. (4. de bot.) jaborandi : 
poivre en ombelle de Saint-Domingue,mouniere 
triphylie. 

+JaBOTaPiTa, 8. f. (4. de bot.) espöce d’ochna 
du Bresil. 

Javorıcina, #. f. fruit de la jabolicabeira. 
V. ce mot. 

JaBsoTıcaBetra, s. f. grand arbre du Bresil & 
fruit en forme de cerise. 

JasaE, elc. V. Juore, etc. 

TJacaciL, s. m. (1. d’hisl. nat.) jacacail: 
oiseau du Bresil. 

Jäca „s. f. (8. de bot.) jaca ow Jacka : arbre & 
psin, son fruit. 

Jäca, s. f. matiere ötrangere dans une pierre 
procieuse. 

*Jica, powr Jaza (qu’il demeure, ou reste). 

+Jacaman, s. m.(t. d’hist. nal.) jacamar: 
oiseau syIvain du Bresil. 

tJacanä,s. m. (1. d’hist. nal.) jacana : oi- 
seau echassier du Bresil. 

+Jıcarinı,s.m. (1. d’hist. nal.) jacapani : 
rossignol brun et jJaune. 

+ Jıcarüö, s. m. (1. d’hist. nal.) jacapu : oi- 
seau du Bresil. 

+ Jacarccäta, s. f. (6. de bot.) marmite de 
singe ( lechytis ollaria). 

Jacarı, 8. f. piece de poösie portugaise et 
espagnole : sorte de romance, vauderille. 

Jacarınpi, s. m. (4. de bot.) Jacaranda : bi- 
gnon du Bresil. 

JACARANDATÄN, 6, m, fayx Jacaranda, jaca- 
yanda blanchätre, 


d’hist, nat.) 


Jacant ou —a0, 5. m. caiman, erecadile 
d’Amerique. 

Jacatä, s. m. ($. d’Asie) roi. 

Jac£ente, adj. 2 gem. couche; gisant. (€. de 
prat.) jacent, vacant. 

Jacentes, s. m. pl. (l. de mar.) bas-fonds. 

JacınTRnino, A, ey. hyacinthin : couleur 
d’hyacinthe; qui a rapport & Ubyacinthe. 

Jacıxtno, s. m. hyacintbe : pierre preciemse, 
bleuätre, de la nature du grenat. (t. de bet.) 
Jacinthe : plante liliacde. — dos bosques, je- 
cinthe des bois. — dos anligos podlas.V. Es- 
poreira de Aiace. 

+Jico, 8. m. sagum, sSaie : sorie de vele- 
mentdesanciens soldais. (lt. d’hist. nat.) Jace : 
perroquet cendre. 

Jacosto, a, adj. bigot, cafard, hypocrise. 

JACOBIcR,, ‚8. f. cafarderie,, tartuferie. 

JACOBINISMO, 3. @. jacobinisme : systdme 
des jacobins. 

Jacogixo, 8. m. jacobin : membre de la se- 
ciele politique dite des Jacobins. En Portugal, 
on donnait ce nom aux partisans des Francais 
au temps de leur invasion. 

JacoBiTas, s. m. pl. jacobites : seclaires; 
chretiens coptes; partisans de Jacques ll, roi 
d’Angleterre. 

Jacrinca, s. f. jactance, vanterie; perade, 
ostenlation. 

JACTANCIÖSAHENTE,, edv. avec jactance. 

f Jacrancıosınang, 8. f. qualite d’eire van- 
tard, d’avoir de la jactance. 

JaCTANCIOSsO, A, adj. qui a de la jactance, 
qui Pexpriine; vain, glorieux, vanieur, vaa- 
tard. 

JacrintE, adj. 2 gen. se vanlani, qui se 
vante. p.a. de 

JacTar-sE (de\, ©.r. se vanler, se piguer, 
s’applaudir, se louer, se glorifier. 

+ "Jıcrissıno, A, adj. repande abondam- 
ment, parlant du sang des martyrs. 

Jäcto,s. m. coup, jet, trait. Dumm —, tomt 
d’un coup, tout d’un trait. 

Jactüna ,s. f. perte, dommage. 

+ Jacke, s. m. oiseau du Br&sil, bon & man- 
ger. 

JacouLacaö, 5. f. "jet, action de lancer, de 
darder, de jeter. 

JactLADo, A, P. p. de Jacular. 

JacuLADOR, 38. m. celui qui lanoe un dard, 
le brandit, etc. 

+ JacuLär , v. a. lancer, darder, jeter. 

JACULATÖRIA , 3. f. oraison jaculatoire, priere 
courie et fervente partant du caur. 

+ Jacinüö, s. f. (t. d’hist, nal.) jacouren ; 
fouleuvre des baia. 


JARz, 8, m. CRPATEGON , NATRRORETRERF ı Qfe 


JAN 


nement de cheval. (Ag.) Qualite, manidre d’&tre 
par oü plusieurs choses se ressemblent; sorte, 
‚espece, genre. Do mesmo —, dela m&me etoffe. 

Jdarzivo,A,p.p. de 

JaEziR, v. a. caparaconner, harnacher. 

Jatzes, pl. de Ja4z. V. 

tJicana ow JÄcra, s. f. sucre fait du coco, 
en Asie. 

t Jacönca ,s. f. sorte de pierre pre&cieuse. 

+ Jicum, 5. f. (t. de bot.) * jagua: palmier de 
l’Amerique septentrionale. 

tTJacuir, s. m. (1. d’hist. nal.) jaguar : qua- 
drupede, grand chat mouchete. 

+ lacvarere, s.m.(i.d’Mist. nat.) Jaguarbie: 
grand chat noir au Paraguay. 

Jazara, 8. f. : 6. de bot.) * jalap : liseron du 
Mexiqze, purgatif. — bastdrda, admirable ou 
merveitle du Perou, jalap faux. 

JäLne,, adj. 2 gen. jaune vif. 

JALDETE, 3. m. jeu ancien. 

Jarta.V. Gelda. _ \ 

JaL£co, s. m.’ veste. 

* JıLne. V. Jalde. 

JaLöro. V. Bogal, Hude. 

Jamacano. V. Urumbeba. 

+ Jamärca, 8. f. (1. de geog.) Jamaique : 1le et 
ville d’Amerique. 

Jiwmiiıs, adv. jaınals. Jämais por —, au grand 
jamais. 

Jamsätro, s. m. (£. de bot.) jambosier : plante 
myriacee. — das Indias, jambosier ä feuilles 
longues, jamrosade. , 

Jiusıco, adj. m. iambique : (vers) compos6 
d’iambes ; de l’iambe. 

Jäuso, s. m. iamnbe : pied d’une breve et une 
longue, Sorte de fruit du Bresil. 

+Jaunöa, s. f. (1. de bot.) " jamboa : citron 
des Philippines. 

+Jıausö,s.m. (1. d’Mist. nal.) jambu:: tina- 
mou du Bresil. 

tJausuLäö, s. m. (t. de bot.) jambolom : 
jambosier de !’Inde; son Sruit. . 

+Janäca, s.m.\t. d’hisi. nal.) janaca : qua- 
drupede d’Afrique. 

fJannınösa, 5. f. (t. de bot.) jandirobe : 
plante rampante de ’Amerique ıneridionale. 

*Jinno,Aa,adj. tel. 

Jankınas, s. f. pl. eirennes: present qu’on 
fait le jour de l’an. Sorte de couplets qu’on 
chantait le jour de Yan. 

+ Jan£ıngıao, s. celui qui Chantait les Janei- 
ras.V. ce mot. 

Jantıninna, adj. f. Devassa — , enqueie que 
jes corregidors faisaient en Portugal dans le 
mois de Janvier. 

Jantıno, s. m. janvier : premier mois de l’an- 
nee europeenne. Tem ou conla mililos —s, il 
est fort Age, ila vu bien Jes hivers. 

Jantı.a, s. [. feneire, croisee, ouverture 
pour donner entr&e au jour. "Chässis, vitres, 
volet de fenätre. (Ag.) On le dit des yeux, 
des oreilles, appelees janellas da alma, le- 
netres de l’äme. Deitar pela — föru, (Ag.) je- 
ver par la feneire, prodiguer, disyiper. Pör- 


JAP 717 


se d—, se meltre, se montrer & la fendire, 

JANRLLEIRO, A , adj. qui aime A se melire A la 
feneitre. " 

JANELLETA ou . 

JANELLINHA, 8. f. | dim. de Janella. 

* Jısera. V. Gintta. 

t Jänca, s. f. sorie de petit haleau plat sur 
les rivieres. 

Jancina, s. f. "radeau : assemblage de piecks 
de bois qui forme une esp&ce de plancher mo- 
bile sur ’eau. Espece de radeau fait dans un 
naufrage des debris du vaisseau. Madeira, 
lenha de —, bois flotte. 

f Jancapkıro, 8. ww. maltre d’un radeau; ce- 
lui qui le möne, 

Jancäz, s.m. (1. pop.) Handrin : homme fluet 
et elance, sans conlenance ferme. 

JANIÄNES, adj. 2 gen ( Uva —) espece de rai- 
sin. Se dit aussi d’un bomme sans nom, de 
basse extraclion. 

Janigano. V. Janizaro. 

+ Jınıräpa ou } (4. de bot.) * janipa, jani- 

tJıniena,s. f. !paba, ganipa, genipayer, 
genipanier : arbre d’Amerique, & fruit de la sa- 
veur du coing. 

+ Janıpiso, s. m. [ruit du genipayer. 

Janissano. V. Janizaro. 

JANISTRÖQUES , 3. m. (f. P0p.) pelit homme de 
la basse classe. 

Janizano, 3. m. janissaire : (anlassin turc, 
garde du grand seigneur; ( fig.) satellite d’un 
tyran. . 

, JANSENISMO, 3. m. jansenisme : docirine des 
jansenistes; secte de Jansenius; morale reli- 
gieuse Irös-ausiere ; l’oppose du molinisme. 

JANSENISTA, 3. m. jansenisie: parlisan du 
jansenisme, de Jansenius, d’une morale tres- 
ausi£ere ; homnıe devot et tres-austere. 

Jantär, s. m. le diner, dine : repas fait au 
milieu du jour ou dans Papres-midi; ımets dont 
il se compose. Ancien lribul que payaient lcs 
villes aux rois, quand ils y allaient, pour l'en- 
tretien de leur suite. U — esid na medsa, le 
diner est servi. Papa-janlares, chercheur de 
franches lippees. 

JanTaR, v. a. ein. diner: prendre le repas 
du diner. — carne, peize, eic., manger dela 
viande, du poisson, elc. au diner. 

JANTARINO 04 —ZINNO, 5. m. dim. de Jan- 
far. Petit diner. 

+ Jio, s. m. mesure ilineraire en Asie. 

Jio, adj. m. natif, habitant de Java, lle des 
Indes. s. m. Javanais. 

Jio-DA-CADENETA, 5. m. jeu d’enfanis. 

Jio-Da-Cruz, s.m. (phrase pop.‘ de l’argent. 

Jio-wuAö,s. m. (4. pop.) bomme mal [ait, 
mal bäti. ‘ 

JÄo-raniö, 3.m. (l. pop.) homme deguenille, 
“.V. Inerte. 

JÄ0-REDÖNDO, 8. m. (l. pop.) — e Maria das 
fliores,noms qu’on donne aux poupards et pou- 
pees que les aveugles font danser. 

+ Jıpiö, s. m. (t. de geog.) Japon: empire 
d’Asio. adj, ot s, Japonais ; du Japon. 


718 JAR Jaz 


+ Jaranampiaa ,s. m. (4. de bot.) arbre d’A-| Jinro, s.m. pol d une zuse, pot ä Fass, 























nıerique lavia augusia). . gargouletie, alguiere, it. de Lui., V. dere. 
Peer s. m. arbre du Bresil. V. Gend-| "Jasca pour Jiza,(qu'ildemeure ‚qu’ilresie), 
papeiro. Jasico. V. Jazigo. 
JAPONENSE 0 J is: du Japon TJamonE, ©. £. it. de bat.) jasione : plante 
Jaronßz,A,adj.ets, | »ponaiß : CH -APON. | Jampanulacec: scabieuse des hrebis. 


JaröNıco, A, adj. Japonais : du Japon. 

Jıqua, 8. f. (£. de bot.) V. Jaca. — false 
(nauclea orientalis). , 

Jique, s. m. jaque : aneles habillement 
court et serre.* Veste ou blouse de chasse. Sorte 
d’ancienne coiffure de femme. 

Jaqukıra, s. f. (8. de bos.) * jaguier : plante 
urlicee, arbre & pein. 

JaqueıräiL, s. m. bois de jaquiers. 

tJıoveLino, a,adj. (8. de bias.) dohiquets : 
range en forme d’&chiquier. 

Jaqußra, s. f. Jaquette: habillement court 
de paysan, d’enfant. 

Jaqukräno, A. V_Enzaquetdde. 

TJaracatia, 8. f. (4. de bot.) * jaracakia : 
cactier du Bresil, papayer. 

TJarırä, 8. f. (1. d’hist. nat.) Jarare: doli- 
chos du Bresil. 

tJanarica,s. f.(t. d’hist. mas.) jararaca : 
vipere couroacoco. _ 

TJaniva, 8. f. (6. de bot.) * jarava : grami- 
nee du Perou. 

JarpiM,, s. m. jardin : lieu clos od Yon cul- 
tive des fleurs. (g.) Pays fertile en fruits. —bo- 
fanico ,jardin botanique, jardin des plantes. 
— das ndos, (1. de mar.) jardin : balcon cou- 
vert dans la poupe d’un vaisseau, galerie de 
poupe. — fingido , (id.) fausse galerie. 

JArDınkıra, 3. f. jardiniere : fomme du pn gl 
dinier ; femme qui cultive un jardin, qui ma 
soin. 

JanDıneıno, s. m. jJardinier : qui euitive, seit 
dessiner, sait cultiver un jardin. 

T Janvıngria, 5. f. "jardinege : art de culli- 
ver les jardins. 

TJiano, a, adj. gris Jaunätre. 

JArERE£, s.m. (t. du Brosil) sorte de Miet & 
pecher. V. Redefolle. 

Järo ou Jinro, s.m. (1. de bot.) gouet com- 
mun, pied-de-veau. vwsig. Aron, bonnetr du 
grand pretre Aron, cheval bayard, etc. 

Jinna,s. f. * valsseau ow pot & goulot et & 
deux anses; jarre. 

JARABTA, 8. 2 gen. celui ow celle qui #’ba- 
pille a l’ancienne mode; gothique. 

JARRBTÄDO,, A, P.2.de 
! JARRBTÄR, ©. a. couper les jerrets, etc. (Ag.) 
Enerver, abattre les forces ‚ le courage ; porse- 
culer, molester. 

JARRETE, 8. m. jarret : partie posterleure du 
genou; endroit od se plie la jambe de derriere 
des animaux. ' 

JARRETEIRA, 8. f. jarretiere : lien pour atta- 
cher lesbas.Ordrede la jarretisreen Angleterre, 
etabli par Edouard III en honneur d’une Jarre- 
tiere de femme qu’il ramassa. 

JARnIiLHO, s. m. "Jarreliere : dartre au jarret. 
Petite serpentaire : plante. V. Salss 


dasyis, #6. m. jakmin : Beur menoptigle, 
odorante. V. Jasmineiro. 

Jsswıuniap. 5.0. (4. de kot.) jsszuin , planie 
jssmince, de Is diandrie Monogynie. — gel- 
lego, jasmin comman. — amerdlio, jasmin I 
feui'ies de cylise, jesmin jaune. — res] ou 
@’Espanha, jasmin & grandes Aeurs, jasmiz 
d’Bspagne. — d’Ielia, jasmin d’ltslie, — de 
Virginia, * bignone de Virginie. 

T Jasuinzge, 4. f. pi. (6. de bat.) Jasmintes: 
famille des jasmins. 

JispE, s. m. jaspe : pierre bigarröe, de la 
nature de l’agais; espeo# de quartz. 

JASPEÄDO, A, p. 9. de Jaspear. adj. Jaspe: 
qui imile le jaspe; äcouleurs melangdes comme 
le jaspe. 

JASPEADOR,, s.m. marbreur. 

JASPEADÜRA, 8. f. jespare, marbruse. 

JASPEÄR, ©, a. jasper : bigarrer em imilant k 
jaspe. 

TJATAIBA, 5. m. (1. de dos.) beis jaune dı 

ml. 


JATEMÄR, 5. m. arhre d’Asie. 

T SivLa ‚u. f.eage. Loge de fou, de bet färece. 

T Jäva, 8. f. (6.de gdog.) "Java: tie des indes. 

JavaLi, s.m. (1. P’hist. wet.) samglier : port 
sauvage. — Isjaru do Brazil, pöcari om lajıcı. 
tJavaLina, s. /. laye, laie : femelle du sır- 
ter. 


JAVARANDIM,, 9. m. espise de racine uidic- 
nafe du Brisstl. 

Javinpo. V. Javak. 

Plavant,s. m. (& Piel. nat.) javasi : san- 
glier d’Afrique. 

Javanfı. V. Javali ou Jevari. . 

Javkıra ,s. [.sorte d’embarcatiom periageist. 

Javanlmı ,s. f. javeline : ospece de dasd Ipng 
et menu. 

Javnapfrna, s. f. jabloise : instzument de 
tonnelier pour jabler. 

Javaino,A,p.p.de 

tJarnia, v. a. jebler : faire le jable des 
douyes. 

JÄvRE, 8. m. jable :rainure, entaille dans 
les douves pour arröter les piöces da fond du 
tonneau. 

FT Jazaniteo,a,adj. eis. Algerien : d’älger. 

Jazkva. V. Jazide, Juzigo. 

Jaztr,o.m. Eire couche, etender, zepesei 
sur un lit’, ote., gesir. On le dit surisel des 
morts dans le tombeau. Rire situe, piser. Abi 
jdz 0 pontcı da dieuidade, c'est ia be bie, en 
cela oonsis.te toute la difikculis. Agas Jas. aqui 
jaxem, ci zit, ci gisent: Jasende, ou que jds, 
gisant, 

JazzrÄli,s. m. sorte d’ancienne armure de- 
fensive ä tmanches. 

tazzai) va,s.f.oosle demanlles d’acier inis-ün. 
. 4 PL a nn 7 








©. Ar *.Um —, un 
Ru, mme. 
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“a 1} 
\ & ar, ä 
. s ” ‚docteur, 
r la velsrance. 
‚ rendre joyeux ou 
uir, 36 divertir. Obtenir 
Ü omerite. 


‚e. m. jubil6 : indulgence 

nnelle aceordee par le pape; 

o decinquanie en cinquante ans, 

nobe los döbiteurs et les esclaves 

.at geittes etlibres. Por —, rarement. 
ıi2, 4 m. "joie, plalsir, sonteniement, 


.geesee, jabllatien. 
t Jvsuıseo, a, adj. joyeaxı qui a, qui donne 
de ia jois;rempli de jeie. 
dommzaıı, eis. V. Jubstaria, ete. 
+ikaa, 
Arahes 


metient sur lours letizes pour rempla- 
cer nos voyelles, 
tue, ade, kt, galment. 
ie amnken, 1. f. agröment, enjouement; 
Jucumpt 
E NS SSIMO, A , adj. sup. 


de 
„A,adj. agresble : qui plalt; enjone, 


Inminee a, a. . 

“ Jun Ar @id. jndaique : qui appartient 
voalsuo, 3. m. judalsme : religion Jaive. 
daise, p Zr 1 gen. judalsant : qui ju- 

«9.0, e ” 
daisants : jalla rel. nn Pi de 
} atkao, A, p.p.de 
es caizÄR , ©. 9. judalser ; suivre, pratiguer 
vivreen jur oo 1a lei judalque; so comdulre, 


dUpARia.V. Corardia, 
FORT FR 


8. f. un des sept points que les 


. 


JUG 72 


+ Jünas, s. m. Judas,traltre. Figure de Judas 
qu’on pend os qu’on brüle en Portuga! le sa- 
Er eg f. (1. de ) Jude ) 

unka,s. [.(#. .) Judee : province 
d’Asie. V. Palestina. vo 

Juperoo, A, adj. de juif. Siza — a, ımpöt sur 
los juifs. 

* Jupenzca , s. f. capitation de 30 deniers su& 

'ifs tolöres, en Portugal. 
"ou —Ro , s.m. juil: qui professe le ju- 
i juif ; terme de mepris. Cärade —, 
nmunie. 
"ıive, V. Juden. 
"udaizar. (fg.) Se moquer 


erie : quarlier habite par 

o juif. Fazer —s, jouer de 
wurmenter, laquiner. 

‚0,A,adj. qui juge ow a la facull6 


ICATÖRIO, A, adj. judicatoire : qui sert 


„er: 

Jupiscatöna, 3. f. jJudicature: ofüce, elat, 
fonction de juge. Lieu ou l’on juge. 

Jenesir, adj. 2 gen. Judiciaire : qui appar- 
tientä la Justice ; faiten justice (acte ,bail, etc.). 
Genero —, genre judiciaire : celui par lequel 
on accuse ou l’on defend. 

JunscıLuäntTg ‚ade. Judiciairemen! : suivanı 
la forme judiciaire, en juslice. 

+ Jupicıan, ©. . juger, decider judiciaire- 
ment. 

Jupiciärıo, A, adj. judiciaire, judiciel. As- 
trologia —a, astrologie judiciaire : art de de- 
viner l’avenir par les astres. Asiröloge —, celul 
qui #’adonne & l’astrologie judiciaire. 

JunscıösaNEnTE, ad. judicieusomen! : aYoß 
jagement; d’une maniere judicieuse. 

JunıcIosissıNo , A, adj. sup.de 

Jumaöso, A, adj. judicieux : qui a le Juge- 
ment bon ; fait avec Jugemeni ; prudent,, sense. 

Jutina, etc. . Joe.. . 

Tomamoroie. 5 7: Jod, eie 

Juaa, 8. f. V. Cabego. 

JuaAna, 3. f. espace de terrain qu’on peut 
labourer en un jour, avec une paire de baufs. 
Impöt de bie que les laboureurs payent par 
chaque arpent, sorte de champart. 

+ *Jocapan, o. a. mesurer lo blö de la ju- 
geda. V. ve mot. 

Juoaptıro, A,adj. sujet ä la jugada. V. co 
mot. Champartel. 

JociL, adj. 2 gen. matrimonial, des noces. 
V. . Neroo —, (1. d’anat.) jugal : nerl 
pres de l’auditif. 

* Jjucarin. V. Joguelear. 

oo, s. m. Joug : pidce pour atteler les baufs; 
(6. d’ent.) pique soulenue par deux autres, et 
sous laquello on faisait passer les vaincus; 
(Ag.) sujelion ; servitude;; dependance; lien da 
meriage; chose qui gene, qui asservit, difficile 
A supporter, etc. Sacudir o—, (fig.) secouer 
le joug, se soustraire a l’obeissance. Swjeildr- 
“409 — , (id.) subir le joug, se soumelirc. 


ı) 


720 JOT 


JoGADOR, A, 38. joueur : qui joue; qui a la 
passion du jeu;; qui jJoue bien. K destro —, il a 
Pesprit du jeu. 

Jocär, v. a. jouer : faire une partie de jeu; 
meitre au jeu; perdre au jeu. Lancer; manier. 
— as armas, tire adroit & faire des armes. —o 
bilhar, os conlos , o gamdö, a pela,o zadrez, 
etc., jouer au billard, au piquet, au trictrac, 
Ala paume, aux echecs. — 0 pdo, jouer du b4- 
ton & deux bouts. 

JocäR, ©. ®. jouer : se diverlir & quelque 
jeu. Etre habile au jeu. (f. de mer.) Tanguer. 
Jouer sur des gonds ou ressorts. Jouer : parlant 
d’un canon, etc. Se jouer. — de paldoras ‚jouer 
sur le mot, faire des jeux de mots. — forle ou 
rijo, jouer gros jeu. — com gananeia, jouer 
sur le velours. — himpo, jouer franc jeu. — «a 
pares ou nunes, jouer ä pair ou non. — de 
füra, se teuir A l’ecart.— com as carlas em 
cima da mesa, jouer cartes sur table. 

Jöcu ,s. m. jeu , diverlissement , recr&ation ; 
regles, art du jeu ; jeu de hillard, de paume, 
etc.; nombre de triomphes, etc. , sulisant pour 
jouor ou gagner; cartes pour jouer. Jeu de 
mots. Train de carrosses. — dianteiro e Ira- 
zeiro do coche , train de devant et de derridre 
d’un carrosse. — de forluna, de sories, de 
asdres, jeu de hasard. — publico, maison pu- 
blique de jeu, academie. —dos cenlos, piquel. 
— do bilhar, billard. Ver o — mal parddo, voir 
une chose en mauvais etat. Conhecero — ‚( fig.) 
connaltre l’intention, les mauvais desseins de 
quelgu’un. Fazer —, continuer la partie lors- 
qu’on gagne; se mettre en garde, en termes 
d’escrime. Ser feliz ao —, @ire heureux au jeu. 
Ser infeliz ao— ; perder com bom—, jouer de 
malheur. Dar — em sua casa ou ler casa de —, 
tenir brelan chez soi.—s, pl. joux , spectacles, 
fetes publiques. —s olympicos, jeux olympi- 
ques. —s floreaes, jeux floraux. —s de Belona, 
jeux militaires, des guerriers. —s de mdo, 
tours de passe-passe, de gibeciöre. V. Peloficas. 

+ Jociva, s. f. coup qu’on [ait au jeu. 

*+JocräiL, s.m. beau diseur; troubadour, 
poöte. Farceur, bouflon , goguenard. 

+ JocaaLıpäpe, s. f. raillerie, plaisanterie, 
enjouement. 

* Jocnad. V. Jogrdl. 

Jöcue ,s. m. (t. d’Asie) ermite, anachoredte. 
Indien qui vaen pelerinage par penitence. 

Joqugrin. V. Joqguelear. 

JuquäTg, 3. m. mol pour rire,, plaisanterie; 

; badinage. Jeu : diverlissement, amusement; 
jeu de mots, jJeu d’esprit. Jouet. Fazer alguma 
cousa por —, faire quelque chose par plaisan- 
terie, en badinant. 

Jocuetzir, v. m. railler, plaisanter ; s’escri- 
mer en jouant. Badiner, folätrer, se jouer. 

Joctuinno, s. m. dim. de Jogo. Petit jeu. 

dot, 3. f. "joyau, bijou. (fig.) Chose digne 
d’estime , d’sffection. * Present fait en signe de 
zeoonnaissance. ° Astragale : espece de mou- 
lure. Partie exterieure de l'’embouchure d’un 
ganon. Ser una — , &ire un bijou, une beaute; 


JOU 


eire trös-gentil. Minke — , mon bijou, expres-, 
sion caressante. —s, pl. pierreries ; bijous. 
Joyaux : corbeille de nouve?!le mariee. 

Josaıntıro. V. Joalheiro. 

+Joısıro, s. m. bijoutier, joaillier,, mar- 
chand de bijoux. 

Joıgı,s.m.V.Joia. Petit bijou de peu de prir 

* Joıcäno. V. Julgddo. 

+Joını , s. f. esp&ece d’herbe medicinale. 

3010, s. m. (6. de bot.) * ivrale annuelle, ziza- 
nie: mauvaise herbe gai crolt parmi le bie. 
— vivace , ivraie vivace , faux froment. 

Jöuo, s. m. mesure ilineraire de la Perse, 
neuf mille pas g&ometriques. 

+ Jonıa , s. f. (t. de geog.) lonie : ancien payı 
de l’Asie mineure. 

Jönico, a, adj. Ionien: de Y’Ionie. Orden 
—46 , \t. d’arch.) ordre ionique : troisieme ordre 
d’architecture des ancieus, & chapiteau en vo- 
lute, etc. 

Joxıo, A, adj. ionien : (mode, dialecte) 
d’lonie. Seite —a , secie ionique, de Thale. 

+ Jönos, s. m. pl. (l. d’Asie) ceux gui entreal 
en sociel® de commerce avec les Gancares, 
V. ce mot. 

+ Jonpiö, s. m. (l.de geog.) Jourdain : ririöre 
de la Palestine-. Ir ao —, (fig. fam.) aller dla 
fontaine de Jouvence. 

JouceLim. V. Gergelim. 

JoaNÄDA, ss. [. journee de chemin. "Temps 
ermploy& & un voyage. *Chemin, route qu'on 
suit. Expedition & laquelle on destine une ar- 
mee ; bataille. Duree ow fin de la vie, en termes 
de mysticite. Journee: acie de comedie dans le 
tıeätrc espagnol. Mesure itineraire, en Tartarie, 
egale & trente mille pas göometriques. Ester 
ou andar de—, &ire en voyage, faire route. 4 
grandes ou a largas —s,, a grandes journeer. 

JonnäL, 3. m. "journee: salaire d’un journs- 
lier. Trabalkar a ou de —, travailler ä la jour- 
nee, ä tant par jour. 

JonnaL£ıno, s. m. journalier : celui qui tra 
vaille & la journee. 

* Jonng, Jonnka ow | sorte d’ancienne sale 

* Jonnke,s.f. sar la cotie d’armes. 

+ Jonöpa, s. f. (4. de bot.) * joropa : palmier 
de !’Amerique meridionale. 

Joana ,s.f. braie pour enduire au dedans les 
jarres et autres grands vases de terre. Scories 
du fer. 

Jonräö, s. m. sorte de grande herse. Trail 
neau , volture sans roues. #4. V. Zorre. 

Jonnän,v.a. enduire de braie les jarres,, ei. 
V. Jorra. v. n. Jaillir avec impetuosite ; s’ele- 
ver, bouillonner. S’arquer, faire saillie. 

JöRRo, s.m.jet, gros jet d’eau. * Saillie d’an 
mur, eie. Correr em —  Jaillir, parlanı d’un li- 
quide, 

+ Jostsinno, s. m. manteau & manches & 
etroit, 

Jöra,s.m.et f. J: letire de l’alpbabet po® 
tugais. (Ag.) lota : la moindre chose ; rien. 

* Jouvan. V. Ester. 

* Jouvan. V. Dormir, Jazer, 








. 
rn 


JUD 


Jörs. V. Jupiter. 
jovan, edj. et 6.2 gen. jeune. Um —, un 
jeuse — „ uno joune fomme. 


Jovänca. V. Nevilka 
JoviäL, 0dj. 2 gen. javial, gai , en)ous, plai- 
sat. Qui 'appartient ä Jupiter 

JoviaLıpäpe, s. f. galte, enjouement, bonne 
humeur. 

JovıaLissımo , A, adj. sup. de Joviel. 

+ Joviauızia , 9. ®. se moniser jovial, gai, 
enjoue; plaisanter. Il est quelquolois actif, ot 
signifie assaisonner le diseours de bons mes, 
de saillien pi wonies, eic. 

Jöva, etc. V. 

Joxo. V. Pr 

Jösa, s. f. criniöre (du lion , ete.). 

+ Jusino, a, edj. qui a une crinidre. 

Junantre, dim. de 

Jusid. V. Gibdd. 

Junzrania,s. f. friporie : liou oh l’on vend 
des poerpoinis, eic. 

Junzkıno, s. m. fripler : tailleur ou mar- 
chand de pourpeints, ote. v. Algibebe. 

Junerzaia. V. Jubslarie, 

JunLaci6, s. f.jubilstion, r&jonissance. Re- 
tsaite. Veibeance scoordde A un professenr, ä 
um decieur &merite dans les universites. 

JusiıLipo, A, adj. emerite , Jjubil6 (doctemr, 

roligieux, etc.). p.2.de 

Josı.Aa, 9. @. jubiler : donner la veisranee. 
Aooorder la retraite. Röjouir, rendre joyonx ou 

i. 
 emuin, 0.0. 30 mjeuir, se divertlir. Obtenir 
la vetsrance, devenir dmerile. 

JusıLto ou —RuU, s. m. jubile : indulgence 
pieniere et solennelle acsordee par le pape; 
solennite Juive de cinquante en cinquante ans, 
Iors de laquelle les debileurs ei les esclaves 
devensient qeities et libees. Por. — , rarıment. 

JisıLo, s. m, “jole, plaisir, eonieniement, 


allögresee, jubilalien. 
# Jomıdes, a, af. Joyaaxı qei a, qui donne 
a be Jubetarte, ots. 


+lıas, 8. f. un des sept points que Ios 
mettent 


Arabes ser lours letires pour rempla- 
cer n68 en, 

Jocvusautn?s, ado. agrsableınent, galment. 

JuconpipäBE, rR f. agrement, 6; 
jeie, facktie. 

Jucunpisemo, & ‚adj. sup. de 

Juchmo, A,adj. aersable: 8 qui platt; enjone, 


er Jonisee, a, adj. judalque : qui appartient | V 
ux Juifs. 
Junalso , s. m. Jjudalsıme : Juive. 
nre, adj. 2 gen. judalsant : qui ju- 


daise. p. a. de Judaiter. —, s. m. pl. 
daisants : juifs relaps. 

Sopalskae, A,P.Pp. de 

Jupalzän, oe. mn. jJudalser : suivre, pratiquer 
les chrömenies de la loi Judalque ‚so conduire, 
vivre en jeif. 

Jupania. V. Coverdia, 


TR Im 


JUG ya 


t Jupas, 8. m. Judas,traiire. Figure de Jadas 
qu’on pend ou qu’on bräle en Portugal le sa- 
ur saint. ftt.de ’ 

vpta, 8. f.(f. Jude: province 
@’Asie. V. Palesiina. wg) ? 
Juptnco, A, adj. de juif. Sie —a, ımpötl sur 
les juils. 

* Junenzca , 8. f. capitation de 30 deniers suß 
los juifs toleres, en Portugal. 

Jepau ou —Ro ‚3.m. Juil:: qui professe le ja- 
daisme ; ne juil ; terme de mepris. Cdrade —, 
visage d excommunie. 

+ Jupia,, s. f. juive. V. Juden. 

Junıin,o.n. V. Judaizar. (Ag.) Se moquer 
de, trom 

Jopıa 1,8 f. Juiverie : quartier habit& par 
les juils. Action de juif. Faser —s, jouer de 
mauvais lours, lourmenter, taguiner. 

+ Junicativo, A, adj. qui juge om a la faculis 
de juger. 

+ Jupscarörıo, A, adj. judicatoire : qui sert 
a Juger. 

Jupscatöna, s. f. judicature : office, elat, 
fonction de juge. Lieu oü !’on juge. 

JenicriL, adj. 2 gen. Judiciaire : qui appar- 
tientä la justice ; faitenjustice (acte,,bail, eic.). 

—, genre jndiciaire : celui par loquel 
on accuse ou !’on defend. 

JupscikLuänte ‚ade. judiciairement : suivant 
la forme judiclaire, en justice. 

+ Junician, v. ». Juger, decider judicialre- 
ment. 

Jupscıärıo, A, adj. judiciaire, judiciel. As- 
Irologia — a, astrologie Judiciaire : art de de- 
viner l’avenir par les astres. Asirölogo —, celui 
qui s’adonne & l’astrologie judiciaire. 

JumGsüsauknTe, acv. judicieuscmen!? : ave® 


jugement ; d’une maniere Judiciouse. 


JuDIGI0sissIMO „ A, adj. sup.de 
Jupıaes0, A, adj. judicioux : qui a le jJuge- 
ment bon ; fait avoc jugement ; prudent,, sonst. 


} V. J00..., 0 


Juca, 5. f. V. Cabego. 

JuaAna, 5. f. espace de terrain qu’on peut 
labeurer en un jour, avec uno paire de beufs. 
Impöt de bie que les laboureurs payent par 
chaque arpent, sorte do chamıpa 

+ IUaADaR, v.8. mesurer Ne bi6 de la ju- 
gede. V. so mo: 

Juoaptıno, A ad. sujet ä la Jugada. V. ce 
mot, Champartel. 

JuciL, adj. 2 gen. matrimonial, des noces. 

. Conjugel. Nerv —, (tl. danat.) jugal : nerf 
pres de Yauditif. 

° Jucarin. V. Joguelear 

600,9. m. JOUR: piöce pour attoler les boaufs; 


je- | (et. dent.) pique soutenue par deux autres, et 


sous laquelle en faisait pusser les valncus; 
(Ag.) sujelion ; servitude ; dependance ; lien dm 
meriage; chose qui gene, qui asservit,, difficile 
ä supporler, etc. Sacudır o—, (Ag.) seconer 
le joug, se soustraire a l'obeissance. Swjeildr- 
«gau — , (td.) subir le Joug, se sonmetisc, 


% 


722 JUL JUN 


* Jocußıno ,a.m. V.Cassiro, Valet dochayrme. | JuLcandn,A, s. celui qui juge d’une affaire. 
JocoLin, ad. t gen. (1. Yankt.) jirgkiäite : | V. Juiz. 
qui appartient A la gorge, ztı oda (veind =). *jorcsskı: 7. Als. 
+ JucoLings, s.m. pl. (1. d’bist. nel.) juge| Joreiwäiero,s.m. Jugetyeht  seitehte. Eısdl 
lalres : genre &e poissons vssaut, hofobran- | (de Por, etc.). 
ches. Sucht, ve jüget : renr® Ya [ustiee ; diei- 
* Joröih, etc. V. Julger. der en justice o# tömne afkftre: prönoncer 
Joiz, s. m. jage : qui a le dreit, l’aufotlt6 @6 | sur... ; porter fogeihent war, ols Üit...; estimer, 
Jugöt ; pr&pus& pour Juger tes proc&s,, arbitre, | croire; exercer son jugement. Adjuger. Con- 
ul juge; personmne capabld de Juger une | damner. ' 
Chose. Juge du carıp dans les combats & la] Jewein, o. ®. Juger : dire som wehllmen; 
bartiöre, etc. Magistrat. President de eonfre- | imeginer, tonjecturer ; &ire @ qee...: 
rie.— do eiosl, juge eirit. — do crime, Jagb | se Agurer, cröire, s’Inraginer, me 
eriminel. — lefgd vu ordinario, adjoint, ma- | dem d’alguem, avoir böane opinion y quel- 
yistrat qui rempiace fe Jiiz fora. -- de | qu’un. —a troche-moche,, säbrer une ıfiire. — 
före, arocat envoys par le roi pour &tre juge | sem appellardo nem aggravo, ou ein ultime 
eiril et crimiinel dabs un bourg, dans une ville. | instancie, en derälet Fessort. -ı os mais 
— de pas, juge de daix. — supremo, juge sou- | por ei, les autres d son aalle. 
verain , qal juge en dernier ressort.—do povo, | JöLHo, s. m. Juillet : septierhe möls de fın- 
Magistrat municipal $ia tous les ms par les | nee commune. 
corps des metiers (& Lisbonne), — #ofiete,] FJcuräno;x, adj: yalleh - (cal@ndıtet, aunte, 
Yrud’hemme. — das avariat, (t. decomm.) dis- | p&riode — ne) rögle d’apres !a reformatien di 
Bacheur. Juizes arbitros ow lowoados, ( id.) arn- | valendffer par Jules Obsar, In do zrant I.C. 
‚ compromissiönnaires. Ser — em cansa | JüLıo,s. in. Jule ou }ifles : nrönnaie de Reme, 
propria,, &iro Juge et partie.. 25 ou 30 centimes. 
Jorin,v.a.etn. faire les fonttions de jage, | Jumenra, vw. f. messe, 
, Jonenrinnı,, v. 7. dim. de JURDRn. 
EB, 6. #6. pl. Jagen : vepfiänwe Ivre Iristo- | Jumerind, a se. Alm. de Autteliin. Aion: 
rique de la Bible. un. 
Wird, 8. m. Jogement : favalid qu’a Famede| Junca,s. f. V. Jungs ou nee: 
Juger; aote de cette facullö; uvis, sentiment, | "äunca, w. f. (9. vie dol.y * Boschät: Wienie 
; pradenoe, bon sens; deeision pro- | mettcsgense. V. Afbafor. -ı chaftuis, Woche 
noncte an justice ; audience d’un jJuger sen- | long odorant. — nufrilive, souchet sultan #8 
Wehce qui Prononee une peine. (an1.) * Prodic- | suore, souttrel und Ee Proteide: -+ Ga ‚Abie. 
von des astrulogues. Esprit. — perticwar, ju- | V. Albafor . 
gement particalier que subit Y’&ıne au moment | Jomgäva,s. f- jeholite tjoR®, TOtIRe,, Bars 
de la mort. — temerer®o, Jugernent Iemmöreire. | repuadwes var wh cheinmn. 
— anitversal, Jogement universel ow depuier. | Jonchpe, A, 9.7.06 Asaiıh 
Tor o — ddaro, avoir T'esptit net. Hsläar em sea | Jumcht, 6. m. * Jenchale : New kangpäl dujoum. 
—, ou mil ein son —, Pro dans son ben sons. | dungk® ou, 2. f. jenrötign ruetiun de 
Biker [ra die 100 -— ‚areir perda l'enpeit, ugir | Joindwe; aisien, Auniıblaie: Tioana elfesofhit 
Gontre fa ratsem. Purder o —, perire Yesprit, | Juncin, ©. ae. joncher + einsehen, wem 
perdro la täte;; dire rari, transperte d’edimira- | (de Jane; Ay. 00 urn, deiinuss, ia 
tion. Der volte ao —, aliener, reräte We. De-| Jünco, s.m. (I. de ort DIEnE urgaali- 
mander em —, meller & -—, demianider ab Jus- | que. — chen: U, , . sn Achie, 
ce. Außer, estar em -ı vom algte. U, Li- | jehhc eurmienie ja "Wungus ; katinstindinnon 
tiger. Appareter, Tompaerecer vın =», Usttpa- | oislzraie, zu din Gelee, 10. ME ha yietel de 
yeltre oh juitice, devamı te jkge. DAR =, | pompe, beuse ou heuze. 
denner son arie. do eu —, A son arid, Ami | JuRtinei, a, hl Yiyke do jckiun. Butreisen- 
yeritos, aa dire des expefts. Yör o wepocke a | Din ma jene. 
Jwizo de ferro, döcider un differuird par eu we- | Jumcrürä, s. f. jointure , union. 
mes, part wh del, yar une bataülle. Por altos] Juncino, a.,9h Ade ' 
ou justos —s de Deos, par un feste Jagen | Jutuin, %.-&. aiteler (dus Keaunfa „uin.); s- 
serabler, joindre, unir, lier. 


de . 
Kur, f. V. Ede. = Wilke, giiefle ou] Bm, sw. jein : biuiösifemnais Be Fanhie 


Jalls : poisson a commune. 
* Juuaußnto.V, h Jowietue, V, Giedbre. . 
Jorärt, 2. We. (B. 05 phärm.) Hilep ı yoßon Hüöme,s. f.(& de agih.) Jemen Snkmmnde 
ellicinnit. ümpiter. B . 
JorainO, s.M. Boirg Atpendant Se tessert f " Jumgusiaa. V. Juncal, 
Gwne vie su d’une ville. Chess jugde. | JunauiLno, s. m. (1: üe604.) jengquilis.: Baur, 
Tribunal od se rend ia Justice. " Judisatare: | mausizse jaunte; son wiguen,, sa plante. 
emploi, charge de juge. Jensa, s. f. junis, conseil, ausemblle, 00- 


JuLaAop,A,P. pP. de Juiger, mits, commission. * Assomblage, auunp, volle®- 








JUR 


ion. " Jeint, jJointure, arlieulalien, ombaolle- 
ment. Consultalion de mödecins. * Tribunal. 
Direclion generale. Paire, atielage de bmeufs. 
— ou congressa de credores, (1. de comm.) as- 
seinblee de cr&anciers. 

° JUNTÄDANENTE, adv. 7. Junlamenies. 

JUNTÄDO, A, 2. .P- de Junldr. 

JUNTAMENTE, adv. conjointement, ensemble. 

Juntär. V. Aunlär. 

Junteıaa, s. f. " rabot do menussier. 

Juntinno, a,adj. dim. de 

Juxto, A,p. p.irr. de Junlar. adj. Joint, 
reuni; assemb)ä; conligu, atlenant A ; ensem- 
ble, de compaguie. Cairdo—s, ils Lonıberenten- 
sembie. Todos —s, [l. de mar.) Lous d’un lemp* 

Junto, ede. et prep. aupres, tout proche, 
tout contre. Conjointoment, Y. Junlamente. 
— a, attenaut &, pr&s de, joignant, sur, pres, 
tout contre. Estar — a, tenir &. A minha casa 
estd —d sua, ma maison lient & la sienne. Por 
— ade. en gtos, en bloc. 

unröuna ,s. f. pierre d’allente. 

Juntüaa. V. Junclüra. 

Juriten, s. m. Japiter : Pune des sept princl- 
pales plandies; (f. de myth.) le plus puissant 
des dieux. — lonante, Jupiter tonnant. 

* Jon. V. Jus, Direilo, Jurisdicräo. 

Jüna,s. f. (anl.)* serment, jurement. "Ju 
son : facon particuliere ou populaire de jurer. 

Juripo,A,p.p. de Jurar. adj. Jur&, declare 
sur serment. /nimigo —, ennemi jur6, Irre- 
eonciliabie. 

Junäino ‚s. m. sorle de bas officier munick- 
pal, en Portugal. Jure. Expert. 

JurapoR, A, 8. jureur : qui Jure beaucoup, 
par habitude. 

Junauentir, etc. V. Ajuramenlar. 

JusankNTo ,s. m. serment, jurement, pro- 
testatlion avec serment; reniement, blaspheme, 
imprecation. — asserlorio, serment par lequel 
on afrme. — cominalörio , serment commina- 
toire, par lequel on menace. — de calumnia, 
(#. de prat.) serment par lequel on atieste la 
verits# d’une accusation. — judicial, serment 
en Justice. — promissorio, serment par lequel 
‚on promet. — exirajudicial, serment exiraju- 
diciaire, qui n’est pas fait en Justice. — sup- 
pletorio,, (1. de rk) serment deför6 au delaut 
Ge preureb de droit. 


“+ Junamı pour Juno A mım, joe jure Bous 
wmü perofe d’fonneaf. 

Juräd. V. Jurador. 

Junän,®.a. ein. jater : Afitmer par ser- 
ment. Jurer obeissance, pr@ter serment de fi- 
arts. —-, promeltre,, profester, s'engager for- 
tement. — Perante o fwis, lever la main: pr&- 
ter serment.— f# e lealiinde, preter serment 
de Adelite. —em sua alma, Jurer dans son 
E56 ot constienoe. — falso, Jurer faux, faire 
un faux serment, 

Jonnıgä6. V. Jurisdiepäe. 

Jcaweonsurro. V. Jurissonswllo. 

“juacın. V. Altercar, Peiejer. 

+ Jöni, 0. m, (1. de prat.) Jury : oommissiom 


en 


Jus “aA 


composee de Jures, charges de declarer Ia cu! 
pabilits ou non-eulpabilile W’un accuse, 

JunidicaMExTR, ade. juridiguement : d’upg 
maniere Juridique. 

JURIDICO,, A, adj. juridique: qui estde droit, 
selon le Jroit, la loi. 

t Junipena,s. f. (4. de bo.) plante du Bre- 
sil, espece de solanumm. 

JURISCONSÜLTO, $. 9. jurisconsulte : qui keit 
profession du droit, ei de denner conseil aus lo 
droit. Jurisie. Avyocat. 

Jcajsoicgäd, s. f. Juridietion : pouvoir, droit 
do jJuger;; ressort d’un tribunal de juslice, Au- 
torite, puissanoe. — delegada ‚juridicuon exer- 
cee par commission. — erdineria, juridistion 
ordinaife. 

+ JunisoiccionaL, adj. 2 gen, jJuridietionnel : 
qui a juridiction. Justicier : qui appartieuk & 
une juridietion „ quia droit de juslice. 

’ JuRISPERITO, 8. m. jJurisconsulte, savant en 
roit. 

JurIsPrRUDEnCIA ‚8. f. Jurisprudenoe ı science 
du droit; maniere d’ihterpräter, d’appliquer 
les lois; corps , esprit des lois d’un pays. 

JUrista,s. m. juriste : qui sait le droit, qui 
ecrit sur le droit. Dooteur en droit. Eiudianten 
droit. Celui qui prete l’argent äinterät, usuraige. 

Jüro , s. m. droit perp&iuel de propriete. In- 
Leret de l’argent. Kquite, justice. De —, & bon 
droit, de juste titre, selon l’equits. De — e ker- 
dade, par droit de naissance. Podrdö de —, 
pension annuclie sur les revenus du roi. — ie- 
gilimo ou da lei, interet simple, iuleret legi- 
lime. — de —, — composto,, inler&t compase, 
interets des interetis , arriere-chänge. 

Jurupica,s.m. (I. d’Asie). V. Interpreie, 

+ Jurucui no Brazir, s. f. (l. d’hist. nat.) 
tortuc franche. 

JonupÄnno 0% —O, 3. m. sorte de narire _ 
d’Asie. u: 

Jos, s. m. droit qui decoule de la loi &crite _ 
ou naturelle. Fazer — a alguma cousa, acqub- 
rir droit sur quelque chose. V. Direito. 

* Jusia. V. Bdiza. 

*Jusino, A, adj. införieur, qui est plus bas. 
V. Debaixo. 

* Jusinte,s. f. V. Vasante, Baixa-mar. 

*Jöso,s.m. V. Baixo. 

*Jussi0,X,adf. V. Susdno. 

Jösta, s. f. Jonte: combat & cireval A’bommne 
& hormme aveo des lances. “Divertisscituufl oü 
P’on imite les anciennes joates. 

Jesravon, 8. m. jowteur : celwi qui foute. 

JustamEntgE, adv. justement: avec Jastiee; 
precistment, todı jußte, avet jhastesse: dans la 
juste proportion ; ni plus ni moins qu’f me fat; 
a point nomıne. 

Justarosıcäd. V. Juxrtaposigdo. 

Justin, v. n. Jouter: faire des joates, eoygı- 
battre dans une foute. 

Jusrtza, s. f. jastesse : preeision exacie. V. 
Exaccdo. 

Jnsrica, 8. f. Justice: verta merate qui fait 
que Fon rend & chacan ce qui Iul spparilent, 


724 KAL 


qui fait respecter le droit d’autrui; reotitade 
ue Dieu met dans P’Ame; observation des lois 
vines et humaines; &dquits pratiqgue; vortu 
qui maintient le droit des hommes; bon droit; 
rectitude interieure ; dtat de gräce; intögrits de 
mours; ordre judiciaire; les juges; officiers, 
ts qui rendent la justice. Peine, puni- 
tion, ebätiment public. — de Deos ! juste Dieu! 
De —, justement, & bon droit. Pedir —, de- 
mander justioe. Fazer —, rendre, faire Justios; 
feire droit. Em —, a bon droit. Exeoutor d’alis 
—, bourreau , exdeulseur des hautes wurres. 
— ubelterna, basse justice. 

Jusricino, A, p. p. de Justigar. 

+ Josrıganor, 5. m. oolui qui rend Justice. 

Justigin, v9. @. justicier : punir judicisire- 
ment d’une peine corporelie; faire souffrir le 
dernier supplice. 

Justickıao, A, adj. justicier : qui aime & ren- 
dre ou A faire rendre justioe. Rigide, sövöre, 
inexorable, integre. 

Jusricöso, a, adj. justieier. 

Jusriricacäö, s. f. justification : action, pro- 
e+de par lequel on justiße; de&charge d'une ac- 
ousation, disculpation ; production de titres, 
de (#moins en preuve d’un fait; action et eflet 
de la gräce dans les justes ; rötablissement d’un 
pecheur dans la gräce. 

+ Justiricipautnte, adv. justement: avco 
“quite et droiture. . 

Justiricapissımo, A, adj. sup. d 

Justirickno, A,p. p. de Justificar. 

Justıricapön, A, 8. celui qui justiße. adj. 
Justißant: qui Justifle. 

JUSTIFICÄNTE , adj. 2 gen. Justiflant : qui Jus- 
üße; qui rend juste (foi, gräce —). p. a. de 

Justiricia, 0. @. Justifler : montrer, prouver, 
deolarer l’innoosncoe ; prouver par acies, etc.; 


. 
ß . ’ 
. . 


K,s. m. onzlöme letire de l’alphabet portu- 
geis, et lä huilidme des consonnes, peu usilde 
en portugais, oü elle est presque toujours rem- 
placde par le c ou le g, autrefois lelıre num6- 
rale : elle signißlalt 250, et avec un trait au- 
dessus 250,000. 

+Kiı ow Kuna, s. m. (fd. de bol.) kaa ou 
kaha : curcuma de Ceylan. 

+ Kacv’,s. m. (4.de bot.) kacy : arbre d’Alri- 
que & canot. 

+Kasö,s.m. (1. d’hist. nat.) kajou : singe ä 
barbe grise de l’Amerique meridionale. 

+ Kuxönco, s. m. (l.d’hist. nal.) kakongo: 
salmone d’Afrique. 

Kırznpas, etc. V. Colendas, eic. 

rKıri,s.m. kali: nom arabe de la plante 
dont on lire la soude. V. Alkali. 


KIL 


rendre justo ; (Ag.) denner 1a Justice Iall- 
eure. 
Jusrırrcin-sE (de), v. r. se justißler : prouret 
son innocence ; se disculper d’une actusatise. 

Jusriricarivo,, A, adj. justilicatif : qui sertä 
justißler, & prouver. 

+ JustirıciveL, adj. 3 gen. justißable : qei 
peut ötre justiß6. 

JosriLno, s. m. corset de femme. 

Jusrissıno, A, adj. sup. de 

Jösto, a, adj. juste : &qultable, oauforme au 
droit, ä la raison, & la Justice; qui Juge, pi 
selon P&quits ; Adele observateur des lois, de la 
religion; qui a la Justesse , la propertion ewe- 
venables;; trop etrolt, serre (babit, ete.). Exact. 
Ser —, &tre jaste, conforme ä& la raisen. ä 
justa, adv. au juste, justement, pröcisement. 

Jösto, s. m. juste: innooent, sans pect; 
homme vertusux. Paga o — pelo peccader, is 
innocents payent pour les coupables. 

+ Jöra, s. f. (t. d’hist. nat.) "xulus: espica 
d’oie des Indes oceidentales. 

+ JorLinpsa, s. f. (4.de gdog.) " Jelland : pays 
de Danemark. 

Juvsuir. V. Juvemil. 

* Juvenco, A,38. V. Novilke. 

JuveniL, adj. 2 gen. jarenile : jeune, dee 
nesse, de la jeunesse. 

JuvenıLıpäne,s.f.lajeunesse, joune ige. Jps 
gar o fogo da — amortir l’ardeur du jeune dgl. 

JoveniLuente, ade. en Jeune komme. 

+ Juvenörs, 3. m. petit joune komme. 

Juyentöns ‚s. f. jeunesse : Age entre Penfante 
ow l’adolescence et l’äge viril; jeune äge; oil 
qui sont jeunes, jeunes gens. V. 
v Juxta-posıglö, s. f. (l. da phys.) jariape® 
tion : augmentation des torps par add 
extsrieure de parlies. Sitdatien oontigue. 


K. 


[ 2) 


+Kiıu, s. f- (1. de bot.) kalmla: Bat 
rhodoracse. “ ‘ 
KınowKid,s. m. kan: prinoe, auzumandat 


tare. 
% Kanpku, 5. m. (4. de bot.) kanden: arırt 
&pineux du Malabar. 

+ Kaouim, s. m. kaolim : terra ohlosissei 
porcelaine; feld-spath argiliferme. 

tKazıita. V, Talmudisse. 

Keruns, s. m. (£. d’hist. nat.) kormös: ir 
secte hemiptere qui sert A 1eindre em dit 
moisi. 

KıLo, s. m. (l. grec en comp.) klo: nem pl 
nerique qui signiße mille fois la chese. 

KıLöcaamo, 5. m. kilogramme: mesere & 
pesanteur egele & wmille grammes,, ot qui eyE- 
vaut ä pcu pres a deux livres siz gros, 











my DW UT run 


LA 


Kıröırrao, 8. m. kliolitre: mesure dgale & 
mille litres. 

Kılöugrao, s. m. kilomötre : mesure Itind- 
raire #gale & mille mötres. 

Kina. V. Quins. 

+Kio, s.m. Kio : livre sacr6 da Japen. 

Kıösco, s. m. kiosque : pavillon des jardins 
tures. 

Krasz, s. m. litanie, kiris Sieison. —s, pl. 


LAB 725 


kyrielle, litanies: Jongue suite de cheses en- 
nuyeuses ou fAcheuses. 
Krstzorouia, s. f. (f. de chir.) kystsotomie : 
Ponction ä la vessie, aa perinde, pour tirer l’u- 
e. 


Kr'srico, a, adj. kystiquo : qui appartient 
au kyste ; qui peut le guerir. 

Krsto,s.m. (}.d’anat.) kyste : membrane 
en vessie qui renferme des humeurs , des ma- 
tiöres contre nature, 


L 


L, s. ın. douziöme letire de Yalphabet porte- 
gais, et la neuvidme des consonnes. Jointe & 
une A, elle prend une prononciation semblable 
ä celle des deuzs Ü} mouill6es des Frangais, G’6- 
tait une lettre numsrale qui signiflait 50, et 
avec un pelit trait dessus , 50,008. 

La, art. f. la.(p. us.) Jr d la mar, prendre la 
mer. Pronomrelat. V#4-ia aki, la voilä. Vi-ia- 
ha,vous la verrez. T4-ia, !’avoir. V. A, pro. 

Li, s. m. la: la sixiäöme note de la gamme 
naturelle en uf. 

Li, ade. la, en oe lieu, en cet endreit, ok 
vous &tes; en cet endroit-lä; y; en. 11 se dit 
d’un lieu qu’on designe determinement. De, 
de lä. Por —, par ld. Correr para cd e para 
Id, courir cA et lä. Jde —, alleı-y. — chegears- 
mos ‚,nousy arriverons. Vonko de — , j'en viens. 
L4 marque quelqueleis un temps eloigne: Il 
tquivaut alors ä autrelvis, ou & des. Ex. : Ld 
nos meus lempos, na minhe mocidade, dans 
men jeune temps, autrefois. Ld do principio 
do mundo, dös le temps du oommencement da 
monde. Lid arribs ou em cima, lähaut. Ld- 
beizo ‚ lä-bas. Ld nessa lerra,, dans oe pays-lä. 
Queiquelois il n’est qu’expietil. Ex. : Ja — uni, 
il est parti, il s’est em alle. L& se foi Iudo, towt 
est perdu. Jä— vi 0 lempo , loteımps est passt. 
L& vioem, Id so esoondem nas suas grutas, ils 
vivent, ils se cachent dans leurs groites. Ld 
vaio negocio, Vallaire est perdue. Ld vames 
ade, c’est fait de nous, nous sommes perdus. 
L& tsavenkas , ires-vous d’allaire comme vous 
pourrez. Lä so auunkäo, Id so hajdo, je m’en 
lave les mains. L4 vai com Deos, a-Dieu-va. 

LiouLiı,s. f. laine : poll fris& des mou- 
tons, etc. Fasonds de —, lainage, marchan- 
dise de laine. — de oamello,, poil de chameau, 
laine de chevron. — em rame , leine non Bleu. 
Algodäo em —, ootennon file. Ir por — e sair 
tooqwiado ou ir huscar —e vir. losquiede, 
on ie dit de oelui qui, en cherchant & s’en- 
richir, perd oe qu’il possdde. Ter poucs —, 


"pfttre pas riche, avoir peu de bien. Andar, es- 


tär ds lans ou läs com alguem, combattre, so 
dthattre , Öire aux prisep avec quefqu’un. 


Lanica, 8. f. (1. de bot.) palienes ou parelie, 
lapatham : plante vivace de plusieurs 
—menör, patlence sauvage ordinaire. — meior 
os Jarga, patience aqualique,, parelle des ma- 
rais, — romans, osellle ronde ou franche. — 
rosa, palience rouge, ou sanguine, sang de 
dragon. 

+LasaciL, s. m. " patienoe ou parelle cul- 
tivee. is. Lieu plante de paliences, oh ily en 
a beaucoup. 

Lazinna. V. Alabärda. 

Lapantpa, s. f. famme : partie subtile et Iu- 
mineuse du fou ; [unıde embraste. 

Lisano, s. m. labarum : dtendard de Cons- 
tantin,, avec je monogramme de J.-C. 

Linz, s. f. V. Nödon, Labto. 

Lasesacrino ,a ‚adj. viele, raine, corrompe, 

Lan£o, s. m. "lache, Rötrissure,, deshonneur, 
atteinte ä la reputation. 

Lusioziuno,, a. m. dim. de Labto. Petite 1a- 
che, lögöroatteinte A la r&putalion. 

Las£aca, s. f. pivote-ertolane, olseau. 

Laszrintuo, s. m. labyrinthe : lieu coupe de 
beausoup de detours, et dont l’issue est dii- 
eile; (Ag.) grand embarres ; complication d’sf- 
faires embrouillöes. (4. d’anas.) —, cariie de 
Yoreille. 

Lisıa, 8. f. (fam.) gräce dans le discours; 
$ioquenoe deuce, persuasive, bien dire. "True, 

I, eaquet. Ter mudils —, parlor beaucoup 
et adroitement; avoir de belles paroles pour 
s6duire , pour tromper. 

+ Lantipas, s. f. pl. (1. de bot.) labises : fa- 
zaille des plantes & fleurs bilabises. 

+Luasıino, A, adj. (£. de bot.) labi6 : Aflenrs 
döooupees em Iörres, comme Vortie, eic. 
(plante —e). 

LastäL, adj. 2 gen. lsbial: qui 20 prononce 
des lövres (lottze —e); qui y a.rappert. 

Lisio;s. m. ı6vre : partie extörieure de la 
bouche qui coouvre los denis; co qui en a la 
fofme; bords d’une plale; deooupure d’une 
Seur. —s, pl. bouche. V. Beigo. 

Lasön, s. m. labeur. V. Trabiölko, 

Lanonacäö, s. f. exploitation (de mine), 


728 LAG 
Laoaciö,s. m. (1. de bot.) smilaz ou smilace 


ORRBEENE : plante qui rossermble au kerre ; lise- | Löre 


ron rude ou lisel dpinsux. 
Lacamir, s. m. hassin : sort de port; eM- 
d’un port ed los vaisseauz Jettent l’ancre. 
gune, mare d’ecau salee. 
rer s. m. espece de galdre asistique. 
Lıcäin, 5. 9. pseseeir poar lo ralsin ou pour 
los olives. Fara de —, asbre d’un presseis. — 
dessile ‚ meniin & hulle. 
* + Lacanapica, s. f. ancien impöt sur le vin 
os les elives que l’on motait au 
„8. mi. vendangenr, qui koulo . 
et Gilde win, feuleur. Celwi qui (a 
Vhuile d’olive, 


4,8. f. petit presseir od !’om foule le | Ihe, 


> 

raisin, foulerie, fouloir. 

einra, e. f. ohenilie : Inseete rampant, 

ong , pariagh em douse anneauz, qui n'’s que 

en f\ seise palles ; larve des lepidepisres. — 
des vinhas, ver ooquin , ebenille de vigne. 

Lacaattiao, A, ad. (1. duri.) V. Doldes, 
Manhöso. 


Licartinzo, die. de Lagerio. 

Lacanrixa, 8. f. petit lözard gris, ltzard de 
MUR. 

Lacäirto,s. m. (1. d’hist. nal.) ltsard : gua- 
‚drupede ovipase,, roptile saurien. (Ag.) Homme 
fin, rusd. — do brege, (it. am!.) gros muscies 
du bsas. — des Jadias. V. Coimdö, Jacars. 
Diser cobras oe —s d’alguem, (fam.) dire ia 
rage ei la poste de queiqu’un. 

Lics ou —c£A, 8. f. dalle, carronn de pieree, | & 

Lıczioo,4, 9. P. de 

LACEADOR, .m. celai qui dalle. 

LAcgAu£nto,s. m. ” aclion de garnir de dal- 
les, de paver avec des dalles. V. 

Lacein, u. 6. daller : garnic de dalles ; pa- 
ver avec des dalles. 

Lackno, s. m. pav6 [alt em dalles; grande | dtelfe 
quantit£ de dalles. 

Lackua, 5. f. bouteille, carafe (des ameiens), 

Licıma, s. f. (t.d’Asie) droit de sortie. 

Lico, s. m. lac : grand amas d’caux desman- 
tes. (Ag.) Grande quantitd de ligeide. — de 
ledes , losse aux lions, 

Lacda,s.f."lac, lagune, dlang, mare. 

Lacöia 0w —ürA, a f. " sergent. E ine os- 
mo —— ,‚(fg.) il est russ comme le renard. 

Lacorntanuia,s. f. (t. de mid.) lagophihal- 
mie : maladie des paupiöres relirees qui laisse 


rail ouvert. 

+ Lacöuıo, s. m. (1. d’hist. nat.) lagemiz ou 
La6öpR ou —P0 ‚5. 0. (4. de bei.) V. Pd-de- 
lodre 


rat-lievre, pika. 

+Läcos, s. m. (1. de ging.) Lagen : ville et 
port de mer des Algarves , en Portugal. 

Lacdata, 8. f. (1. dhist,)* hemard : grosse 
serevisse de mer ; langousie. 

Lacostim, s. m. de Lagosie, Sorte de petile 
"Tnconinno sm. din. de Ldp 

AG mon. m. de 
Lions. V. Jögre, j 


Licnua, 8. r. arme : geutie d’esu qui met 
del’ail; son Image; geoutte d'un Ugeide, d'une 


viennent aux youK 
de douleur, ete. — ade erveudile, larımos de cre- 
cedile,, versdes par I = da wurore, 
(podt.) larmes de l’aurere, gemties de rose. 
—s de N. Sur. ou de deb, (1. de bei.) larmeı de 
Job, plante arondinaote. On mange & le Chins 
sa graine. Fogudtes de —s , fastes ik dtelles. — 
de video, larınes batavigues,. “rei 
LaoaımäL, 0. m. ou f. angie » 
Sstule lacrymale. vrund 
Lacnsuis, adj. 2 gen. iaerymal : qui appet- 
tient aux vaisseaux d’oä coulent los Idrmes; 
gu vient au ooln de l’wil avec dooulsemeni 
"huments (Sstule —@). 
Lacniugsin,, u. o. larmoyor : laisser dconler 
queigues larınes.(Ag.) Digeutier, sonler ut 


Lacaıminna, 6. f. dim. de Legrime. 

La „A, larsmoyant : qui vorse des 
larmes. On je dit des youz qui larmeisni canli- 
nuellesment. Triste,, afligeant, qui arrsche des 
larımes. En larımes, on pleurs. 

Fra f. f maihe, ‚ nelare , genre, ospice, 

“-, bas de laine cbinte, 
Bums Fra Yeah um homem de bee 
— ‚c'est une bonne päle d’homme. 

Lusch,, adj. 2 gon. lalque, lai : qui apper- 
tient & un lel. 

* Lamamtnto. V, Alojde. 

*Lapin,V. Aletjar. 

*Laı2o. V. Deforme, Polo. 

* Lisa. V. Loire. 

Lin, s. m.( ti. de mer.) * pointe, bout de 
vergue. Ume —, f. (fg.) oourtisane resoa- 
m 

Liıvos,, s. m. pl. taches lögeres. (Ag.) Lögtre 
teintureow connalissanoe, 

Lım.V, La. 

Lina, s. f. "limon, boue, fange, var, 
bourbe. Lema: nom des pröises tartares. Ti 
rer:se da —, e meller-se no atwleire, (am.) 
changer son cheval borgne pour un avengie; 
tomber de fiövre en chaud mal. 

ken plein 4 


LauaciL, s. m. bomebier : 

fange ; gächis, 
Lauacgäö,. V, Lemsgal ou Zamards. 
Lauacknto, a, adj. boueux, bourbegu. 








Lasanäß, &. 0, grand beurbier. Grand a6- 
Pass couvert de vase dans les parts de mer. 

Lausina, 2. f. (1. P0p.) eoup, tsloche, 56. V. 
Fartadella, 

Lausio, önı, 5. et adj. (4. dur.) grand 
an aan a ber) und 

vumand. os 

Rapperisur, ha , oommöre. 


..m.(t. Ge mar.) Urscde sandelete, croo qui 
sort A aoczocher les paltes de l’ancre. 

Launiz, 0. m. (tl. de mar.)fanbert,vadrenille: 
balsi pour neiteyer un navire. it. V. Lambäo. 

Lauspscisuo, s. m. Jambdacisme : pronen- 
eiation vicieuse de la lettre }, qui oonsiste & 
la suhstituer A Ur, v. 9. Singulal pour singular 
(singulier ). 

Lanspöise, adj. 3 gen. (1. danat.) lamb- 
delde : suture du cräne. 

Lauszin, ®.@. (4. buri.) manger avec avidi- 
16, goinfrer. 

Lauenen, 3. m. oelui qui löche. is. Sirep; 


Launznöna ‚8. f. aetion de löcher. 
LausiL, s. m. drap ray6 dont on couvre des 
Pe bias.) Lambel ; sorte de brisure 
k 


LAMBE-LN’-Os-DED0s, s. f. mouillebouche : 
de poire träs-juteuse. 

EPRÄTOS, 5. m. gourmend, glouten. Un 
Prangais pourrait dire : löche-plais. Sobriquet 
que l’on donnalt a celui qui servait & table. 

Laun£a, v. o. \öcher : passer la langue sur 
queique chose. (Ag.) Toucher legerement, dow- 
sement, ofleurer, laver, haigner, couler au 


song, arteser les berds. V. Delamber. (id.) 
Corriger, mer, polir 
Lausscia, V. . 


lambique. 
Laussche , u. a. (4. buri.) pignocher : man- 
t et par pelits moroeaux. 
Lausisco, 5. m. petit morceau, bouchte, 
löche. Em um —,, en un instantl. 
LANBISQORIRO, A, adj. (4. burl.) V. Lambs- 


veiro. 

Liusaz. V. Alambre. 

ft Lamsnsatins, s. m. pl. (l. de bias.) lam- 
breguins : orzements qui pendent du casque 
auleur de l’&ou. 

Launnösca, V. Labruses, 

Lausucina, 8. f. (& burl.) chose avec la- 
quelle on barbouille. «4. V. Fartadella., 

LANsücen,s. f. petils restes d’un plat, Frian- 


et briben. Amorce,, appäl. Tres-petit gain | de 
. Fenavasıno, A, adj. gourmand, goula, | vite 
friand. 


Launusin. V. Golosiner. 
. Alamlda, 


Lautoa. V 

*Lımtco. V. Arddo, 

jlautso. s. m. (1. de gdog.) Lamtgo : ville 
tpiscopaie de Portugal, dans ia previnoe de 


Beise, 


. 


LAM pe) 


Lauzovtıne, 5. m. arlıre infrustusuz, com 
mun en la provinoe de Beira en Portugal. 

Lastina, 3. f. espöte de plante en Portugal. 

Lauzıniö, 8. 0. aug. de 

Lautıno, s. m. bourbior, mare, dtang. Dans 
la province de Tras-os-Montes, slgoide terraiiz 

marötageux , marötage; pf&, pra 

Lawentaciß, a. f. lamentakon; eine avos 
sömissements ; } 

Lauzuti90, A, 9.9. de Lementer. 

LANERTADOR ‚A, 5. oolei qui lamente ou qui 
se lamente,. 

Lauzutin, v. a. lamenter, plaindse ; döple- 
rer ; rogretler avec plaintes et larınes. (de) v. m. - 
et—00, v. r. so lamenier, se plaindee, gömir 

Lauzurivsr, adj. 2 gew. lamentable : pre 
vable, douleureuz,, qui exeite la piti6, iss 

M208. 

Laszntivauuture , ade. lamentablement 
d’un ten Iamentahle. 

Lauturo, s. m. "lamentatien, 

Laususöso, A, adj. lamentabie , lugubre. 

Lauia, 2.5. (1. dent.) Lamie: Jemen imagi- 
naire qui, suivant les anciens, premait la ferne 
d’une belle femme ; monstre fabuleux. 

Läuma, 8 f. iame : table de mail fort 
minoe. Eetampe, image de saint en tallle- 
douoe, 

Lanınio, A, » p. de 

in,v.a. laminer : ı denner A una lame 


Läurapa, s. f. lampe. V. A 

Laurapinı0, 5. m. lampadaire : insiramant 
pour soutenir les lampes. Candelabre. 

Lauranistas ‚se. m. pl. (1. d’ent.) lampadis- 
108 : coux qui s’ezergaientä la course des Sam- 
benux en Gröoe. 

LiurZo.V. Lampo. 

Liuras, s. f. pl. frait nouvesu eueilli ia 
nuit de la Salnt-Jean. (Ag.) Avantage. Lover 
as — a alguem , surpasser, l’oraperter sur queb 

un. 

Liurase ou Lamrisso, s. m. bouillon blanc, 

nte. V. Lips. 

Lıursid, s. m. lampion ‚röverböre. V. Lam 


+ LanrensJÄn ‚©. ». apparalire ot disparal- 
tre comme un dolair. 

Laur£ino, A, adj. (f. Pop.) qui s’em 
dissimule,, bardi. 

Lampasin, u. n. stinceler, 

Laurinwo, a, adj. imberbe : qui n’a point de 
barbe, parlant Fun bomme fait. Qui n’a point 


Liur, s.m.(po6t.) dolair, lumidre qui passe 


LAuro, a „adj. pröcoce, bätif. Figos — , os- 
pöce de figues qui viennent les premieres. 

Lauratıa, s. f. lamprole : sorie d’anguille 
de mer. 

Laurrsıipo, 4,9. 9 

+Lamranıin, ®. A pr "jo de quilles, c'est 
IERTEFEOF une quille sans Laupher aux auizes, 





7 LAN‘ 


Isurstannkena, so. f. "lampeoyon ı petiis 
lamproie. 

Laurainı ,s. f. (4, de bot.) lempsane : herbe 
aux mamelles, chicorde de Santhe. 

kastüya. V. Gorypkens dowrada. 

kaummia, s. f. Gemplaätinie d’avsugle. 

Lın. V.L8. 

ybim, a f. (mot istin.) V. Lö, Il wost usitä 
que dans cetie phrase. Omassdes de — spring, 
questions, diepwtes sar an goi) de chövre, Aust 
“dien sur des chosgs de nulia valsar, Sar une 
vetille. 

Lanisı, a, f. "öcauvilten : baosse en 16le de 
ioup, hamıpse, destinde A neitoyer Fintietear 
des heushes & fou, 

+Lanissa, s. f. herbe savanniöre, horbe au 
fonten, 

Linca, s. f. lance : arme d’hast & long man- 
che et fer polnte, oc quien ala farıne. * Timeon 
de carrosse. —, ancien gendarme arme d’une 
lance ; sorte de m6t6ors ign6. — emriste, lanoe 
en art.  oompride, e. d!ponta da—, 
dä ceutsau tird; A Leute outranse. Bou ou Minds 
—., komme adreit a manior la larıce, A melher 
—,(Ag.); le moyen, la ralson, l'argument To 
ples fort. -— i4s4 em punke, lance au polng, 
lansu on ampät, Moilöp uma — cn Afries, (Ay) 
executer ou acquerir une chose & foroe de peine 
et.de ne On le dit souvom par ironie. — do 
coole , Büche den earrosse. Qucbrar —s, TOM- 
pre des lances. Correr —s, combattre aveo la 
lanco dans un tournot on earrousel. Mediir —s 
. com algusm, (ig.) se mesurer aveo un aufre, 
ul dispuior des avanıages. Dar alguem —: 
conira si, (Agy.) donner des verges pour sefalse 
fonetter. —+ d’ayua , plute battamie. 

LangieA, 8. f. !ceup de lance. A Monroe 
morio grande —, (prov.) un Frangais pourva 
dire : & un ennemi tud ‚grand ooup d’öp6e. 

Lungautına, 3. fi ravelte ı insteument de 
Usssseand. 

Kauganice. V. Bodre, False. 

Lanc4Do, p. p. de Lanzar. 

Lawgapon, #. m. oelul quiiemce, qui Jette, 
eto. Encherisseur. 

Bbanga-Lur, s. m. vor kulsant. 

LANGAMENTO, 5, m. jet: action de lancer, de 


jeter, te. ° Enchtre, Nieitstion. Btablissement 


d’un impöt. * Longueur d’une cöte, des terres A] 


cöl# de ia mer. Bourgeoen, rejeton des arbres, 
eio. Cavallo de —, &talon. V. Geranhäo. — da 
roda de pröa, (1. de mar.) &lancement de l’e- 
'r 


we. 

Langinte, adj. 2 gen. qutiance. p. a. de 

Langin (a, contra, em,sobre), v. a. lancer: 
darder, jeier areo force. Atpandre; verser. 
Poser. Exhaler. Pousser (des boutons, eto.). 
(de) Chasser, renvoyer. (em) Enchertr, Ecrire 
(sur un livre, ete.). Imputer, gttribuer. Inhn- 
mer, enierrer. Imposer un teibut, charger 
d’une rente. Accoupler des animaux pour !q 
generation, Löcher l’attoar, jeter Te faucon, 
le iaisser partir. V, Deitar. — 6 ofsta, jeter le$ 
yeux, regärder.'— füra, votoir;ohasser. — em 


LAN 


nbete, verwocher. — a oomis, talenier. -— pi 
am lerya, nbettte pled & terre. — rules, pren- 
sacine , jeler, poussur l6s raciıe® „a 

1.). — mdo, saisir, s’ernparer de; de. 
— mös do palavra, aotetiter le , presdre 
quelqu’un as mot. — confar, valauter, eump- 
ter aveo sal-möme, falte ses valsels. — por 
ervra , abstire ‚renvorsen — u cube a am, 
rejeter ta laute sur quekıufan. — em Papel, 
metire en sorlt, soucher par derit, (ratur Sur Io 
Bapier. -— om roveffa, em derpeza, SBWehsER cn 
vecette, em döpense. — as cousas a Sombarte, 
prondre les choses en plaisanierie.—o esbelle, 
faire avancer son cheval. — d cavallo # digen, 
faire saillir ta jament. — rälos, fouärgyer : 
frapper de la foudre, —raios de luz,, raywiner. 
+ 08 alicerees dum edifleio,, poser Yes fünde- 
ments d’un @difice. 

Lawyin-se (0, de, em, sobre), vd. #. VÜm- 
ger, se jeter, se precipiter. — a alguem, 06 jo- 
ter, fondre sur queiqu’un. — dös pds be 
se jeter aux pieds de quelqu’un, lui demander 
pardon ou une gräce. — d’uma rocha a . 
se precipfter du haut d’un rocher. — de Binde 
de alguem, prendre le parti de queigu’an. — 
wos bracos d’alguem, se jeler dans les bras da 
queiqu’un. — sobre 6 ihimigo, se jeter, osarir 
sur Pennemi. 

Langanörs, e, m. oelai qui atde te chewat ä 
gouvrir la jument. Sarcopolle :; gomme de 
Perse qui consolide les plaies. 

LAncE, s. m. jet : section de }eter, de famter. 
Temps, oecasion, conjecture favorable. Hs- 
gard : erenement Inopine. Tratt ; action. Osen- 

inalson falte an jea pour gagner. — de Bader. 

. Dado. — de fortuna, conp de fartüne,, sep 
du sort. — irdgico, &r&nement 0 re 
aident fächeux. Do primeiro — u) 
du premier coup. A pouros — „cu peu de 
temps, ou ayeo I de raisons, j 

*Lancelva. 7. Longada. 

Lanceir, v. a. blesser avec In Tande. V. 
er ller d eu 

ANCEIRG, 5, m, räleller de co , 
ur poser les lances. Lancier !vofdat Feara core 
ler armd d’une lance; selofyul it ges lanops. 

LangsoLino, A, adj. (t. de böt.) lametle 

iimite un ferde lanve ffealle —®). 

Lanctta, s. f. (1. de ckir.) lan : astıe- 

ent de chirurgien pour saigner, Prtdjode — 
ncptier s etui & lancettes. u 

Lancering , s.f. roup de lanoattg. 

Langgrig, v. q. percer aroc ig lahtetie. 

Lancertina, g. f, sorte de Ihne de’serrafier. 

‚Liweni, s. fi chatenpe, canot, Dalıpe.— 

aenkpn£ira, canonniere, chaloupe ganomnid. 
+Lancuira, s. f. charge d'un endet. ' 

tLancuiö, s.m. aug. de Lanche. Cheland, 
gabarre. 

+ Lancnina, s. f. pelite embarcaflou We. 

Lanciı, 2. m. tqute sorgte de taflide ei 
ıpince. j " 

Lanctnna ,s. f. dim. de Eanre. 

ı Lingo, s. m. jet : action de jeter, de laneır. 





LAN 


* Bistahoe. * Largeer, dtendue (d'un mus, d’une 
iramalıte , ete.). * Enchäre. ’ Serie, suite de aho- 
ses. "Portse. V. Lance. -— Je dados, de rede, 
coup de des, de Riot, da esunde, rampe d’os- 
callor. — ds mure, pen do maraitie. Gale em 
—, (tra A la poride. Tirer do ‚ vobrir 
o ses —, enchörir une chose; (Ag.) ebtenin oe 
qu’un auto alt. — malor, sobre —, OR- 
chArs vouverte ‚ jo ptas offrant, ie dernier en- 
chörlssenr, Pör, mailen 005 =, mettte h Fen- 
chöre. 

Lang6L, s a. drap de IH. —des Walter, 
(an}.) weppes d’zuiel, Guss d’areis, grande 
ötendue d6 lieus sableaneuxr. Eylar om mdor 
6er, s’Otre foutr6 dans de mauvais draps. 

Laune ou —pea, 8. f. *gland. V. Bolsla. 

Lawupär. V. Laudel. 

Lımverive, 9. m. landyrarve, time; juge 
d’an pays en Allemagne. 

Lanvonavıiro, s. m. landgravlat : diat, of- 
Nee, juridietion d’an landgrave. 

Lanpcravina,s. f. landgravine: femrae qui 
a an landgraviat, fenrme du landgrave. " 

Linnos, s. f. “land. Sorte de glande ou tu- 
menr. 

Lanuoee. V. Zande ou Ednilos. 

Lanov. V. Lund. 

+Lancani, s. m. (ft. D’Alsl. nat.) larıgahae : 
serpent. ’ 

Länganı ,s.m. (1. d’Aste) V. C0x0, Alefade. 

Laıseon, s.m.V. Languidän. 

Lancräve, etc. Y, Landgrave. 

Liycujpäntnte, adv. d’une manlöre lan- 
guissante. 

Lıncumfe, 3. f. Iengueur, abaitement, ma- 
laise, ( Ag.) * Abatteınent, peine d’esprit. 

LAnctıno, A, adj. languissent , falble, abalte. 
( Ag.) Langoureux,, passionne. 

Fancummento ‚A,00—650, A, adj. Nasque, 
mon, molle. ( %g.) Gluant, visqueux, 

Languör, so. m. V. Langutides. 

Lauscorim, s. m. V. Tanga. 

Lima, s. f. (1. d’Asie) cooo vert. 

Lımwina. V. Landda. 

Lannir. V, Alanhär. 

+ Lanteiro, s. m. (1. d’hist. nal.) "pie-gele- 
ehe : passereau er6nirostre. — gris eu meior, 
ple-gridche grise. — menor ou ordinario, l'e- 
corcheur. 

Lanirero, s. m. eelul qui apprete les laines. 

Lawirero, A, adj. (poedt.) laniföre : qui porte 
de la laine (animal, plante). 

+ LanırıcıäL, s. et adj. 2 gen. qui appr&te les 
lsines, qui appartient & l’art de travailier fa 
laine. 

Laxırfcıo , s. m. art de pröparer, de travailier 
a Isine. * Manufscture de draperie. Lainege, 
draperie. 

Lıntseno, A, adj. laniföre. Galo —, bötes & 
lsine. 

Lanös0, A, 4 lafnenz. 

Lanscnire. V. Landgravs, 

+ Lantina, &. f. (1. de bof,) lantana ı arbuste 
d’Amörique. 


LAP 81 


Ri LAnTer, 8, f. embarcauien de varies en 
sie. 

Lawrsson.a.V. Lentejowla. 

Lanteana, s. f. lanterne & deistrer; espdce 
de tourcile au-dessus d’an ddme; pigrton garpi 
de faseanx dans un meulln. — de furla-fhyo, 
lanterne sourde. — mägica, lanterne magfque : 
machine d’optique. —s de vißias, lanternes en 
corne. 

Lunreantıno, s. m. lanternier : falssar de 
lanternes. 

Lautrcaäve. V. Landgrare. 

LAnTöR , s. m. espäce de cocotier d’Asle. 

LAnöpo, A, adj. lalneur : bien fourni de 
Jaine;; ($.de bo4.) recouvert d'une sorte de leine 
du d’un lissu drape, 

Lıwdere, s. f. poll follet; cston, duvet de 
cerlains fruits, 

Lanucınöso, A, dd. esionnenx, lainent, 
velu. “ 

t hanzinnn , a, f. dim, de Z&. Mtolfe de 
lalhe, merinos. 

+ Laonicka , s, f. (.de geog.) Laodiote : ville 
de Carie. 

Laonic&xo, A, adj. et s. de lL.aodiede. 

+ Liowenöncıo, a, adj. de la familie de Lao- 
medon , Troyen. 

Lira, s. f. caverne, großle, confavile peu 
profonde dans le cö1£ d’yne montagne. {f. 
d'hist. nat.) Löpas, patelle: coquillsge unl- 
valve. 

+Lara, Lapas ou LirpXo. (4. de daR.) V. 


Lırank0, 8. m. grande drronelie, turheur 
giandulalre. 

Larıringo, s.m.dim.de 

Lirano, s.m. jeune lapin, lapereau. 

Lirata,s, f. V. Sene. 

Lartpo, s. m. terrain gouvert de eavernes. 
V. Lagedo. 

TLires, s. m. (f. d’Arle) sorte de Bitume 
avec loquei les Malais gnduisent les rienz vais- 
seaux. 

Lirioa, s. f. table de pierfe peue fen In- 
scriptions, les &pitapbeg. Pierre sepulcrale. 

Larıvacäö6, s. f. tallle des pierres fines. Lapi- 
gation : supplicp que Pon Inflige en lapidanı Io 
patient; aetion de lapider. 

Larıpinpg, A,p.p. de 

Larıwin, v. a. talller, polir les diemanıs, 
ete.; facetter, @griser. Lapider : assommer & 
Coups de pierres. 

Laridär, adj. 2 gen. lapidalre : (style —) dos 
inscriptions sur le marbre, sur leß m6taux, etc. 

+ Larivänıa, s. f. joaillerie : art de lapi- 
daire, 

Lırmirıo, s. m. lapidalre : qui tallle, vend 
des pierres precieuses; diamantaire, jJeeillior. 

Larineo, A, adj. de pierre, de la nature de 
la pierre. Pierreux : pletn de piertes. 

arinrriıcacid, 8. f. lepidifioation r formation 
des pierres; conversion en pierfe®. 

+ Lammiricin, v. a, Ispidifier » nideire em 
pierres potrilien, 





782 LAR 
f Lanmirue, 2, ad. lapidiäque : (sus —) 
propre & es pierres. 
Fehr plorreux : rempli de pier- 


res. V. 

Larinua, 8 [. aim. de Lape. 

Liris, s. m. pierre noise pour dessinee ı 
erayos. 

+ LarisLizuu, s. m. lapis-lazuli : plerre prö- 
eieuse bloue, veinde d’or, opaque. 

+ Lantaas, s. m. pl. Lapithes: peuplos de 
Tbessalie, dans les environs de Larissa ot du 
ment Olympe, 

+ Lamaztıno, 8, m. porle-crayon. 

Lapsina, 8. et . Labresto. 

Lirso, s. m. ($. de prai.) laps de temps, 
teoulement de temps. 

Lapiz, s. m. ot adj. (.burl. )rustaud , zusire. 
Glouton ; grossier; sa 

Laausacid, 8. f. rn de ehir.) ligature d’un 
vaisseau. 

Laguaia0, A, p. 9. de 

Laquzär, dv. 6. (4. de chir.) lier, faıre la liga- 
tere (d’une ‚artäre, ete.). 

+ Laausirıo, s. m. laqudaire: athldte arme 
d'un lacet ei d’un rd. 

Laqustca ,s. f. alaqueca: pierre des Indes qui 
arrete le Bux de sang. 

Lin, s. m. Alre, koyer. (Ag.) Maison, de- 
meure. V. 

Larina,s. f. multitade de choses, 

Lunanckina. V. jeira, 

Laaiusa, 5. f. orange: [ruit en pomme, & 
Bopas, jaune dere. Petit boulet de la grosseur 

une orange. — d6ce ou da Chinese, pomme de 
ni Chips, orange deuce de Portugal. — azdds, 
bigarrade. Meia —, demi-oercle; poids semi- 
ciroulaire des aneiennes pendules. Cor de—, 
orange : conlour d’orange. 

Lanamina, 8. f. 00up diorange. 0 * Orangent:: 
eonßiture d’oranges. Orangeade :boissen com- 
pen de jos d’orange, de sucre, et d’eau. 

Lanansipo, A, adj. orang6 : cauleur d’o- 
range ; qui a la couleur d’orange. 

Laaansiz, 5. m. liou plante d’orangers, Jar- 
din d’orangers. 

Lananskina,s. f. ($. de bot.) " oranger : trös- 
bel arbre, toujours vert, qui porte les oranges. 

+ LARAWINNA, s. [. dim. de Leranja. Peille 
orange verie. 

+ Lanänıo, s. m. laraire : ohapello dedise 
aux dieux lares, dans laquello on les plagait. 

LABDRADRIRA, s. f. lardoire : instrument 
pour larder la viande, 

LARDEADO, A, P. 9. de 

Lanpeia, ©. a. larder, barder. 

Linpo, s. m. lard. V. Towcinko. 

Laatiaa,s. f. grosse plerre qui sert d’älre. 

Lines, e. m. pl. lares : dieux demestiques. 
ıpoei.) Maison , demeure. 

Linca, 3. f. action d’abandonner ce qu’on 
possedait, abandon. Trop grande libertö; relä- 
chement; aisance. (}. de mer.) Largue. 4’ _, 


LAR 


une vie trep libre; vivre dans Yaisanos. Esiar 
bemd—, fire A Taise, Der wdiias —ı e ei- 
guam, donner A quekıu'an tzep de liborts. 

Lancipo, A PR p. de Largar. 

Jincantuız, ade . jargement, amplement, 
sbendamment. Gänsreusement, liberaloment. 
Pendant longtermps. 

Lancia, %. s. lächer, abandenner, guiier, 
obder, läoher prise. V. Alerger. (1. de mer.) 

ı läoher une manmeurre; Rler le oer- 
dage. — mdo d’alguma cousa, se desister de- 
renenoer dA. — 0 carge, 0 emprego, 56 dimel- 
tre d’un emplel. — as arınas, poser les armes. 
— 0 panno, ss völas ae vonle, larguer, B6- 
ployer, deferler les volles, metizo los veiles am 
vont ; (Ag.) s’engager dans un long discoers. — 
e slar, (t. de mer.) haler un cerdage par 2e- 
cousses‘, pour lui donner un balancement, & 
augmenter la foroe moursnte.— «4 amarrs por 
mdäo, (id.) Aler le cäble boat par boul. — as 
gaved), (id.) jeter los huniers hors de la hane, 
deferier los buniers. — s escola por mdo, (id.) 
fiier toute l’6coule. — 0 prumo, (id.) jeier la 
sonde, jeter le plomh. As ervores lergardo as 
folhas , les arbres ont perdu leurs feuilles. 

Lancan, ©. ®. (f. de mar.) — o nasie de 
porto, faire voile, se metire au large, prendre 
lo large, ’&loigner du port, parlanı d’un vais- 
seau. 

Lanecirico,. V. Copiose. 

’ LancivLuo, A, adj. (B0dl.) qui conle en aben- 
ance. 

LaaciLoco,, a. (podi.) V. Loqguds. 

Lancis, s. m. * doorce medicinale de ’Inde. 

Läxoe, ad. large , spasieux , ample, vasie. 
Long, ttendu en longuour. Liberal, gen s 
spiendide, ux. Long, prolize, diffus. 
Copieux, abondant. Pius grand, plus large 
qu’il ne faut. (Ag.) Läche, reläche, qui n'est 
pas tendu , debande. V. Solto. — ‚ie 
pudent, effronis, 4 — pasıo, A grands pas. 
do —, de loin; (1. de mar.) au large. Levar 
lodo 0 panno —, (id.) laisser toutes les voiles 
dehors. Faxer-se so — , s’dloigner, prendre le 
large. Passar de — , passer sans s’arröler, sans 
faire attention. Mer —, pleine mer. Vento —, 
vont largue. Gesiar —, depenser avec profa- 
sion. — de consciencie. _V. Relac Relachado. Deinga 
—s,, malsdie de Jongue durde. Ums hors —a, 
une grande houre, plus d’une heure. 

Linco, ade. largement, amplemeni, abon- 
damment. (. de mus.) Largo : indique un men- 
vement trös-lent. 

LARGUZADO, A, P. P. de Larguser. 

LARCURADOR, A, 8. Qui depense avec profe- 
sion. 

Lancusin, ©. a, depenser avec profusien, 
faire des largesses. 

Laneutza, 5. f. (Ag.) largesse, libtralite, 
aisance. V. Lorgure 

Lanctissımo, A,adj. sup. de 

Laucöaa, s. f. largeur : dimension em large, 


ampiemant, d laise, Als—, A la iongue, dla d’an odiö A '’asire. 
continue, avec Io temps. Ficer 6—, werner’, Flasıcino, a, adj. qui appartient au lariz, 








LAS 


+Lunsco ou Laaico. V. Piaheiro larieo. 
Lanim, s. m. larin : monnsie de Peorse. 
Laaince, etc. V. ‚etc. 
Laxög, s.m. (1.de charp.)‘ solive qui soutient 
, Ventablement d’un teil. 
Linva,s. f. (8.d’hist. nal.) larve: depenilie 
. d’un inseste; premier dtat de l’iinsocte sortant 
de V!’auf, avant qu’il devienne ailde. —s, pl. 
larves, Ames errantes des möchants. 

LanviL, adj. 2 gen. de larve, qui lui appar- | te 
tient. 


Laavnce, s. m. (4. d’anel.) laryıx : partie‘ 


supsrieure de la trachee-artöre; naud de la 
gerge; pomme d’Adam. 
Laayr’'ncso, A, adj. larynge, laryngien : du 


laryux. 

fLanrncoLocia, s. f. laryagelogie : trait6 
sur le larynz. 

LARYN0OoToMiA , 3. f. Jaryugotomie : incision 
ä la trach6e-artere. 

Larnınx, V. Larynge. 

ksisca, s. f. * 6clat de bois, de pierre , eic.(Ag.) 
* Morcsau, pelile portion. 44. V. Lasqueneis. 

Lascino, A,p.p- de 

Lascin, v. m. s’6cailler; &clater, se rompre 
par &clats. Il est queiquelois sctif, et signifie 
faire &clater, rompre par 6clats. —se, ©. F. 
(1. buri.) senfuis, disparaltse. 

Lascäa ou (1. d’Asie) lascar:: marin 

LascariM, 8. -.\ asialigue qui mens avec 
kıi sa femme et ses enfanis. st. Soldat qui I —s 
monte los vaissoaux. 

Luscivauinız, adv. lascivement, lubrique- 
men. 

Lascivia, s. f. laseivets : forte inclinalion & 
la luxure ; os qui y porte; lubrieite. 

Lascivo, A, adj. lascil : fort enclin A la 
lazure ; qui y ports; lubrique. (Ag.) Enjoue, 
folätwre,, badin; d’un vert gai et agr6able, par- 
iant des vignes , otc. Figuras, pinluras —as, 
des nudilss, 

+ Läsan ou Laszaino,, 3. m. (i. da boi.) laser: 
plante ombeilifäre. 

+ Lasaarico, 3. m. (1. de bof.) laserpilium, 
laser. — silerine, Ianor sermonlaln, la sermon- 
taine. — — lergifeihe. V. 

lasaunners, sm. immsquanet: serie de jeu 

die carte. 


Lasswiß,s. f. laseitude: spuisement des for- 
c@8 , abaliement. 


Lisso, a, adj. las, fatigue, faible. Läche, 
6, detendu., 

+Lastia, v. @. payer. { fig.) Pätir, souflrir 
pour autrui. 

Lisrıua, s. f. pitis, doltance,, oompassion. 
* Objet qui excite la pitis. ° Pieer, gimmissement, 
Causer, faser —, faire piti6 
ou a meior — 6... c'est dommage ‚c'est grand 
dommage. E ums —, oela fait pitib ou sompas- 

sion. Chorer —, ezagirer ses many. B digno 

nn il est & pleindre. 

Lassmino, A, pP. 9. de Lastimar. 

Lasrıuapön, A, adj. qui Salt pitie. 

Lastıtia, 9. a. toucher, &mouvoir la come» 


ER zu 


f Pr 


LAT 733 


passion, (aire pitie. Affliger, tourmenier. Api- 
toyer. Deplorer. — 0 carasdö, navrer lo emur, 
Paflliger. 

LASTIMAR-SE (de), v. r. avoir compassion de. 
prendre pitie, s’apiteyer. So plaindre de ses 
manx , 50 lamenier. 

+Lastıutıno, a, adj. (imus.) Plaintif, pi- 
toyabie, attendrissent. 

LAsTtınösautute, adv. deplorablement, pi- 

teyablement. 

LasrımosissiMo, A, adj. sup 

Lastıuöso, 1,0d. pileuxn keyable, diene 
de pili6, do compassion. 

Listo, s.m. (6.de mer,) laste : poids de deux 
tonneaux ; last: 4,500 livres. 

Lastaacid, 3. f. ($.de mer.) * lestage : action 
de lester un vaisseau. 

LAstaiDo,A,9. p. de Lesirer. 

Lastaapon, 3. m. celui qui sait lesier 
vaissoau. 

Lasträirn, 0. a. (. de mar.) lester : gamnir um 
vaisseau de lest. 

Lisrao, s. m. (f. de mer.) lost: poids qu’om 
met au fond d’un navire, d’un vaisseau pour lo 
tenir en öquilibre. Fond de la mar, d’ene ri- 
viere,, etc. (Ag.) "Base, fondement, Metter —, 
(ti. de mer.) lesier. — de pedra, gres Iest. 
Seir em — , partir sur son lest. O — corve di 
banda,, le lest roule. 

Lira, s. f. "fer-blans. Bolte de fer-blanc. 

=, pl. grosses perches fagonndes pour dili6- 
rents usages Bes 60 charpente. V. "Baux ; 
poutses qui soutiennent les tillacs des vais- 
soaux; laties. 

Latina, s. f. " berceau, treille ge Jardin. 

+ Liraußknte, ade, 

* LATineo, Ach. adj. qui ost ä pro d’un autse, 

Laräö, s. m. laiton : alliage de cuivro jaune 
et de zinc. 

+ Lirz, s.m. machine & puiser de l’cau dans 
un dtang (en Asie). 

’ Lirsoo, 0. m. "oscourgöe, fouet de laniires 
e cuir. 

Larzsär, v.n. palpiter, batire, dlancer, en 
parlant d’une artöre, du cower, d’une partie 
malade. 

Lartr , v. ». demenrer cache (9. u8.), 

LarzuiL, adj. 2 gen. latözal : de oßt6. Colla- 
töral, en parlant d’une succession. 

Larenaıuturg, ode. latöralemset : d’une 
maniere laterale. 

Largnanänse, adj. 2 gen. de Latsren, de 
Saint-Jean-de-Latran. 

+ Lirzaz, mot latin qui signißle  Zegade 
@ —, ltgat & latere: cardinal du censeil da 
Pape, envoy6 extmmordinaise dans une vouf 


‚vompassien. E — | &irangöre. 


Larzaicıo, A, adj. (pedi.) de brigus, oeu- 
leur de brique. 
„t laranıröuo, a, adj. (8. de bet.) V. La 
ß 

LırısuLo. V. Escandrijo. 

+ Lärayno, s.m. (1. de bot.) V. Ervilkare, 
‚g0sse oderante, pois de sonteug. 


- 


734 LAT 


Lurrcuivua,s. f. *laticlave : robe de 56- 

LameLivo,; 5. m netettr, bord&s par ü4- 
von! d’une bande garnie de masuds ow boutons 

“ d’or ou de pourpre. 

Lawmaä0, V, Extienolt, Ak 

Larieo, 9: m: alslenteunt, Jappe ment AF’ım 
chien qui court apres le gibler. de 
zaut, picbieamet, puißilelion dans ano Partie 
du corps. — da conselönela, ( fig.) eri de la 
Donsoloneh, 


LatıröL1o, a,adj. ($.debot.) & Maatites larwes. 
Lirico. 9, 

- karit,s. m. Jatin ı langue latine, 
Lırınino, A, p. 9. 4 Latiner. 

2 + Latingusmu, ade. on laun, & ia menidre 
des Latins. 

ı Zmrmän,v.o derire, traddire on late. 

Larınıpios, uf. latinkade Iturgege hatin ; au- 
teurs latins. Daias -— , Daise Lane ı eulonss 

ı 'ietite dos derwisrs Jerkpe. 

Latınisuo, s. m. latinisme ; tour de phrase 

ı 'prupee au iatıd. 

Larinissıuo, A, adj. sup. de Latino, 
t  Latadsra, 5. m. Iatiniste ı qui entemd et 
r perie is latim. 

Larinizee, eto. V. Alaliner. 

‚, Iarino,a, al). batin : qui conderne la Tangum 
. Iatine, des Latinsı qui sait outtc langue. Ygreju 

. =, delise latine, W’Oseident, Veln =, voile 
latine, en triangle rectangle. 

.. Jans , 8. %&. maevais latin, min de cuk- 
nee, tonted latins mai maduits ot mal 
GERROnehE. 

-  Lusiuos, #. m. pl, Letins ı es Rumelns, ou 
quelquefois los peuples d’Italle; ios Osstden- 


rin, u. gligie, abbyer, un parlent d’us 
«bien gti} start apeds ie allsier. 
-. Laristmo,d4, al sup. de Late. Tro-vaste, 
trös-dtendu. 
. kumutteb ‚wu fıhh, dettr.stdeyig:) Ineader 
distance qui se trouve enteo ua Heut 
ı desire ı elle meukeseıre ‚par de nemlire du dexres 
repories sur lo meridien; (Ag.) espa004 Hlun- 
r du 
+ Löre, A ,dj. (Yaus.) vusie, Möndu, uyh- 
cieux. Sentido —. ( Ag.) On ie dit des-mots qui 
ne dalvent pas Sins pris siubslsument. 
Lureeno, s. m, suvzior Zui waveille em Jai- 
ton. 
: luröna,e.f (& demyih.) Latens : file du 
tyran Cous 
hans, A, adj. (poii.) de Latene; da 
so 
‚ „ie kuraknıa,aßj. 2 gen. qui abeie, qui gla- 


der Aumbo, a,lj. qui congerws le auite 
a 

kurnia, 6 f. (4 de Iiied.) culte de lasie, 
rondu & Dieu seul. 

Larsisa, 6 f. Isickbes,opınmmedii6s,alsances, 

tLaraınkıno, 5. 0. qui nettoio les lairines, 
qui en a soin. 

Juraocimo , 3.0. brigandege, vol, larein. 


LAU 
Livba, 3. f. page d’an livre, d’an manuserit. 
+Eirmanı, s. f. baguee dur en Cage 
que fon suspondalt autrefolt dürant ke sur 

des martyrs. 

+ Lavpanızia, v. 0. (# Ge phern.)jrtpen 
aved. io Ikadanum: 

KAUBANO, s. m. Iaullafruik : extra, peipemn 
Uon d’opium. ( Ag.) Ghose qui fait dormir, ner 
cotique. 

r LAUBETIVABENTE, ade. areo vuungt. 

AUDATICIO. . 

LAdBATIVG, | Vv Leudelorio. 

+ Lauparönta , 8. f. "stage ; pamögsrigue. 

LAuDATöRIO, A, adf. qui loue, Yui snti 
lower : laudauf. Qui coxcerne fer Amen a 
louange. 

Lavpatets V. Loutadek. 

Laöps. V. Alaüde. 

Lasptr, #. m. ancion vorerent 7 wiki, 
pour pröserver des coups W’&p6e, ete. 

Laup£wıo, s. m. lods ot vonles, Iawdiie, 
lausmie ı droits du seigneur sur les "en des 
heritagen Gahs son Ref. Bote = , ni-Iodı. 

Liupss, s. f. pl. Leudes : partie de fod 
dirin aprds Metiner. Ad —— ei per koras, (hr. 
ade. ial.) sonvent ei sans bvesse. Toerar a-, 
(fam.) so louer sol-meme. 

LauLß, s. f. sorks @’embarcetion K’Ark. 

Liunna, s. f. eoaromne do Naurier. {A} 
Prix > poste. 

Launzipo, A, 9. p. de Leurwar. adj. In- 
reat. On le dit d’un po&te ouurumme un pablt. 

Litazin, ©. &, s0uröaner de Iwurier.6Gra- 
duer dans une universit6. (g.) Recompenst, 

Launtı, 0. a \rantepı (Ag) preis, Vowenkt, 
gleire, triomphe. Colher dis, (Ag.) eueilkt, 
melssonner des inuriers. 

+ Launsuriss, e. f. pl (t.Huni) in & 
fhonnent Ts Laurentie, nasrrisn.de 
mus et de Romulus : laurentinales. 

+Luumterd, @df. 2 gan. Je Lanireiin: 
ville da Latium , aujourd’bei Beu-Lurene 

4 LAoazo , a, al. (Po9.}.de kauen, 

LamasoLa,.a.f. PUtite usuraune de amt. 
V. Ldursa. Aur&ele+ otirebs Nankknner AU! 
de ia Wu des sel 

+ Lavagrino, a, ad/. de Loretie, vMel- 

sanetwalse nötähes de da nutats Vin. 

LaukirEro, A , adj. qui pro@siedte inurl. 
Otnd, unitshnd di ed 

LavniGeno, A, adj. orad, Sumsennd de let 
vötzs. 

Lauaino,, A, adj. de laurier. 

Lisen, V. sure a Lewsi. 

„ah lameima, #7. (1. degeeg.) Lamm 
a Beisse , capitale u puys-de Vund. 

+ Lausrzaben, 0. m. (mot jetin) aderadn 
perpitueite du Seia>-Becrernemt. 

Läuraname, ade. sompincesunmen, sPIeR- 
didement, amplement. 

Liuro,a,0d, eöpisun, auunplo, vORHpIaMd: 
splendide, 








LAV 


Liva ,s. }. Paction et fe fravaft Autardr Ids 
metaux dans les mines. Lave: maliöre fondus 
qui sort, est sortie des volcan®. 


Lavacä. r. Izbaps. 
Lavacao. V. B .) Baptismo. 
Lıritr, s. Krone ne den de p&chenr. 


Lavantina, s. f. blanchisseuse , Javandiere. 
Livantate. (f. dert.) V. Beberfte. 
Lıvin0,ı,P.p.de Laver. 0.m. (1.da vener.) 

Gast devolailledelay6 dans l’eau tidde que ’on 

ne aaxfuncons!a Velfle dela partiedechasse. 

LavasOn, A,3. Iavetit : erhal qui lave. 

Layapsuno, s. m. lavoir : lieu destind & ia- 
ver. * Bis , blafithirie. V. Zevaiörio. 

Livavtni ‚s. f. “jarage: seien de laver. La- 
varo : eau qui a sorvi & taver la vaisselle. 

Lıviceu, s. f.” lavage : action de lavern. 

Lıviwca. V. Mlanancı. 

Lavänco, 6% m. oarard saurage. 

Lavänpa. 

Lavanptürka. y Eearadeira. 

Lıvanveno, 8. m. Ievandier, Manohisseur 
de linge. Celui qui vient chereder io Hugo qwioh 
denke p, etquiie Fupponte. 

Lavanpenta , 3. fı ? lavolt: : fien destind a la- 
vor. Blanebisserte, Banehrie. 

+baramt; em {hie boh) " oenimanie p&- 
nioulte. 

Lavartızz, 9: 2 yon. deini, elle qui laro Io 


Lavaris , d. 00, Nevanen: Gen plode. 

Lavarairos, s. m. laveur d’aseßelies. 

Lavan, 9. de lavir ı meliöyer arde un 1i- 
guide. Blanchir. (4g.) —, purifier, effeser um 
erime. Baigner. — a ua a eigen sun, (FG. (fg. 
Aa} neweyer, artenger quelque ohese. Lavo 
winken selon, Yo ieh Yave ten muains, No se 
iugu dom (utanla uyus tem 0 mar : (Ap.) on le 
ar Zee urte quo Yan wo peut anwuer. Uma 
mo lava a ouira, e ambas 0 roslo ou S Care, 
un Iuiet rasS Yantfe. V. Bio. 

Lavin-W, 6. 7. v0 uva, DU Mitioyor atco 
de fen; 1Ay.) veJahillier. 

ntaren V. Eiberdßn. 

+ Lavsnsro, s. m. (1. d’hist. nat.) lavambt : 


) du genfade yet 
a ee se. iYekonus : polssun de la 


Meoditsrrante. 
Lavirnco, a, adn t& Wie nid.) qui pürge, 


SE ranivo, V. Lavwalico. 

©. @. Iarememt des mains A la 
name. * Eonlainc pas sa lavar Jos mains. Bein ; 
endroit propre & prendre des bains; lavatoire, 
cn an on donne & baire aux personnes 


rkoo..n. . Arddo. 
Lurtıc, 3. f. (1.d’Mit. al.) — tandra dos 
osehliho, douetie des 


comnpts vu champs. — 
des maios do norie, * cujelier, alouetie des 


boie. 

Lavsa, s. m. travail dölicat; labeur ; emithre, 
ouvmge. Ouwage da touturiäse, ”Beoderip, 
geklef „ornemeni pay anndiefln en.aur de fage; 


LAZ 785 
facon du linge ewrröy gradurt, soulptare, Ci- 
selare. res, pl. *byaderies, ciselures. 

Lıvonärn. 7. Laborar at Trebaiker. 

Lavövaa, 6. f. "tabear, labesırage, jagen 
donnee aux terresen les labeurent. Agtioultute. 

+Lıvoßo, a, adj. de ia Aasırerde la lave des 
volcans. 

Livaı, 0. f. re Ibouite, om qu’eu la- 
boure. #4. V. Lovoura. Vinho da minka—, vin 
de mon ct. 

Lavripa, s. f. (Msws.) Terre Iabeurte pröte & 
&tre ensenenode. V. Lorwuren 

*Lavaaptına, s. f. brodeuse & Faiguille. 

Lavraviö, A, ad. Iehoutable < prupse Arire 
labourab!a; arable. 

Lavnivo, s.m. "broderie, ciBelare, facon 
de chose ourrag&e. 

Lirnäno,a,p. 9. de Larrür. ad). Duves 
ouvrage. Praia—a, ouvrage d’vrfirrerie, veis 
selle plate, argent ouvre. 

Lavaapor, A, s. laboureur, culliratewr. Pro- 
prittaire d’an Mon & Ma eumpaghe. Feriier. 
P sarı, villageois. 

AVRADORZISHO , 3. W. im. de Lavradör. 
*Lavrauento, V. Feitio, Edifieagdö. 
"Lavkinca, ©. f. Terte Iabourable. “Labou- 

rage. 

+ Lavaincha , 3. f. nom d’un poissom 

‘+ LAYRAnDEIma, s. J. oouteriöne, keodeuse. 
Lavaınntıno, 1,0d. qui laboure. 

LAYRÄNTE, 8. in. eiseleur. 

Lavair, v. 0. ruvailler «(are quekyub ou- 
vrage de ses malns. Labourer : eultiveor la Serre. 
Batir, constreire. Tailler (un diememt, ei.) 
Travaitier & Yaiguille, coudre, breder. (Ag.) 
Dresser, former, instrwire, fagonner, rögler, 
limer, perfectionner. — mädöire, deber, pelir 
avec la dotoire. — dagslhu, imeder : faire des 
broderies & Paigullle. — as durk!, geurer, eise- 
ter, bariner. — adie, üressar grocds-verbal. 
— moeda, bare monnele. nei. -wermne, deapsEr an 

acte. do forro.V. Forie. 

“irair, o. n. ser&pandre , s’aseteltre pen & 
pea. — no eririi, (g.) (rapper, “ae une 
grande Impression dans l’esprit, O- me} Velda- 
vrumdo, \e mel 0u ripamd, gOgme, S'atance 

ud 
Linien, ehe. (p we.) 7. Viümente, 

guamense, Infansmmönls. 

Laxinrz ad et s. laxatif : qui läche le von- 
wre (roradd 0). 

Laxin,v. a. lüsher, relächer,, dötendse. 

Laxarivo, a, ad). V. Lawenie. 

Lıxmiö,e.f.* laxile. 

+ Laneeisuo, a m. "opinion sellahöe en 


‘4 mörele. 


Lixo, a, ndj. che, Teläeh6 ı qui n'est pas 
unde. Reiächt, commede, peu süröre. 

Lira. N. Leia, 

Lazimmu, e. [. Intagnes ı päle de samanle en 


vabas, 

Lassaine (V. Aensirade) „p- Pr de 

Lazarir , 0.0. seuflris une Peine, payer de 
sos bjens, melheuzeuz, 


736 LEB 

Lasankuvo. V. Lausirenie. 

Lazantro, s. m. lazaret : lleu od l'on faitia 
quarantains pour recsveir les pirsonnes ou les 
«i peurreient ötze infoctds de la pesie. 
Höpital de köpreuz. 

Lizano, s, m. Melde S.—. V. Lipre. adj. 


ans, s. f. meigreus, misire. il. V. 
zuınloo, A, adj. missrable ‚, malbeureuz. 
mistrabie. 


„A, adj. öpreuz 
° Lazta. V. Vager, Commodidade. 
° Lazzain. V. Leserdr. 
„Fiese, am. pi. pewpies de Ia Sarmadıa on 


Men. V. Lapis. 

Le, s. m. Il m’est usitd que dans catio phrase 
proverkiale, Id com Id, erdcamcrd: qui se res- 
oermbie s’assembie. 

+Leir, 3. m. ancienne monnaie d’argen! et 
de ouivre. 


LeiL, adj. 2 gen. loyal, Adöle, plein d’hen- 
neur et de probits. 
„teannacit, u f. action de Leaider. V. os 


wnsnias,s. f. loyauts , Bdelitd,, problie. 
LzaLsiso, A, P- P- de Lesidar. adj. 7. 


Limpe. 
Laansauturo, V. Loeidard. 

Lzarnin, u.a. döelarer sous serment ä la 
douane quo les objeis sont Al’usage personndl. 
Lasrnänrs ,ado. leyalement, Adtioment. 

Lsiö, s.. ($. d’hist. nat.) lion : le premier 
des animaux carnassiors, mammilere, digili- 
grade da genre Foles ; (Ag.) hemme Ir&s-coure- 
gouz;; Vera, eruel, inhumain. V. Leo.— pärde. 

. Ser 'salense come un — ,6ire un 
vrei lien. Pels gerra so conhecs e—, a l’ongie 
on commalt le lien. 

Lai6, s.ım. (.de gdog.) Lion : ville et provinoe 

Lyon ı ville de Frances. 

Lniozinuo, s.. diem. de Lode. Lienosanu : 
pet du lien. 

+Lantons, s. m. nom qu'on donne, sur la 
Mediterraude, au vont de sud-omest. 

Lasontmo, s. m. qui ehanse au liövre, chas- 
seur de liövres. 

LannicmO ‚6. m. levrant.: jeune liövre. 

Lxanipa, s. f. irieanste, ragent de liövee : 


oiret. 

+Lxnniö, o.m. aug. de Löbre. Geand lievre. 

Läsau, a.f. * Mörre: amimal quadrupede, 
herbivore, d'un griö roux , ü paties 
ne longues quo oslles de devant; symbele de 

., sonsiellatlion ausizale. — ms- 

Finke, liövre de mer, peisson du genre du 
bienne. — fomnsa, hase. — 8, pl. (t. de mer.) 
liövre, ow saisine da beaupre, tours de oerde, 
bigois do racage. Lovanter a—, lover ie liävre. 
Correr ums —, pourseivte un Ilövre. Zilia — 
estd corride, (A. fon.) 50 cells questien, oplle 
matiöre ext öpuinte. Comer gets por =, (f-) 
prondre mertre pour 

+lasas, «. m. mttin, degun, 


LEG 


Lanaßıno, A, adj. Mövrier. One dit des chiens 
ei des [ancoas pour la chasse du liörre. 


Lesazı, ow }il6rrier, levrette: ehien pour 
„lass, «m. la chasse da iiörre, de 
P, 0%«. 


Lzsassinea, 6. f. dim. do Lebre. Petit liäere, 


LEBRiRHA, V, Lebresiahe. 
te an rhen de Kir de 


+ Leouoninıo, s.m. livre de chaer qui omm- 
uent les logens qu’on chanio eu qu’en Mi & 


"scaosiers, .m proiasscur, maltre qui 
danne des logons particulidges ; repetitenz. 

Lacmno.V. Lichine. 

Lacriertano, 3. m. ($. d’ent.) Lectisternes : 
fostins que l’on servait dewant los states das 

dieux postes sur des lits. 

Lzcrivo, a, adj. Tempe —, dias —e : lemnpS, 
jeurs od ie professeur denne des 


+Lecrro ‚a. m. " cruche A l’huile, (5. ds bei.) 
Lieyikis : arhre myrte du Bresil. 

+ Ltsauturz, ade. galement, joyemsemamt 

Laui, s. f. lady : dame,, en anglais. 
„8. f. jeie ‚ allögresse. 

Ltn0, A, ad. gel, joyonz 

+Lazvo, ou Lxson, s. m. (4. de bot.) dam, 
öde : : arbrissenn qui predait ie Jadanım. v. 
Estevs iadea. 

Lu»ste, 0%. B% loctoue : qui aime & lire. % 


Loster. 
Lzsaci6. V. Legends. 
Lasaciö, s. f. ltgalien : amplei de Itgat; 
oemmissien dennte A un envoy6 prös d’une 
puisannce ; amlansacnr el leute sa auils.—, 
geuvormemeni do sertaines previnces ecsltsins- 
ecadta ‚a. f. dignits, obarge de ligat: 
ton. Tribunal du lügat apesteligus. Kor 
Lzcino, s. m. ambassadenr ot surtont Kuga 
de pape. Lags de Isslament. — dinere. V. Ia- 


Lzcin0, 4, 9. 9. de Logar. 
L, adj. 2 gen. Itgal : oomlorıme A Ja Iei 
ou qui la ooncerne. 
Lsaiune. V. Nogdike. 
moananine, 0. [. Mgaliis ı qualiöde on gel 


te ‚8. f. Vıgelisstion : surtiisatien 
d’un aote , d'une siguature, par Fauteriäl. 
LecaLzino, A,9.p. de 
LxzcaLizin, o. a. iögaliser : rendre valide, 
autbkentique par la lögalisation. 
LaoALutute ‚edv. Iögalement:: selon les lois. 
Lacia, o. a. löguer par testameat. (inus.) V. 


„Iacarinm, s. lögatsire : A qui on fait un 


Lasaricıe, s. wm. freis d’ambassade, dupenet 
olloude d un embassedeen, ' 


LEG 


+Lexcaröno, A, adj. (1. d’ant.) legatoire : 
gouvernd par un lieutenant de l’empereur. 

Lecatüna ‚s. f. ' tissu de laine ancien. 

Lec£ıRo.V. Ligeiro. 

LeoEnpA, s. f. legende : vie des saints. 

LEGENDÄRIO, 8. m. lögendaire:: auteur d’une 
legende. 

Lecis. V. Lexia. 

Lecıäö, s. f. legion : corps militaire; (fg.) 
grand nombre, troupe (d’anges,, de demons). 

Lzcıonirıo, A, adj. lögionnaire : qui appar- 
tient A une lögion. 

LeciaLacgiö, s. f. legislation : droit de faire 
des lois, corps des lois. 

LecısLuAno, A, pP. pP. de Legislar. 

LECiSLADOR, A, s. legislateur : qui fait les 
lois , y coopere. 

LecisL.är, v. a. faire, donner, &tablir des 
lois. . 

LreisLativo, A , adj. legislatif: (pouvoir ) de 
faire des lois; (corps) qui les fait. 

+ LecisLATör10, A, adj. Esiylo — , style pro- 
pre des lois. 

+ LeeisLatüra, 8. f. legislature : le corps le- 
gisiauif; periode de temps pendant lequel il 
demeure assembl6. 

+ LEGISPERITO , . m. jurisconsulte. 

LEGisTA, s. m. legiste, jurisconsulte ; qui en- 
seigne, ötudie , connatt les lois. 

Lecirtiwa, s. f. legitime : part hereditaire ac- 
cordee aux enfants par la loi. 

Lecırıuackö, s. m. legitimation : action de 
legitimer, ses effets. 

Lecıtımä0o , A, pP. p. de Legilimar. 

LEGITIMADOR, 8. m. celui qui legitime. 

LECiTIMAM£NTE, adv. legitimement : confor- 
möment ä la loi, & la justice, A la raison. 

Leornuäir, v. a. legilimer : rendre legitime, 
legal , juridique , authentique; rendre legitime 
un enfant nataurel. 

Lxzorrınäa-se, v. r. se rehabiliter. 

Lecıtiminäne, s. f. legitimite : etat, qualit& 
dun roi, d’un enfant legitime; qualile, etat de 
ce qui est legitime , conforme aux lois. 

Lecirımo, A, adj. legitime : qui a les quali- 
t6s requises par les lois; &quitable, juste, 
fonde en raison,, fond6 sur la loi generale, na- 
turelie ; qui pretend & la legitimite. Legal. 
Vrai , certain, evident. Pur, veritable. 

Leciver, adj. 2 gen. lisible: facile ä lire. 

LECIVELMENTE, ade. lisiblement : d’ane ma- 
were lisible. 

Le£coa , s. f. lieue : mesure ilineraire qui va- 
gie beaucoup. Les lieues en Portugal sont de 
38 au degre, les maritimes de 20 au degre. A’—, 
adv. de cent lieues , d’une lieue, de fort loin. 

L&cRA, 3. f. “töpan : instrument de chirur- 

e. 

Lecracäisco, s. m. V. Legra. 

+ Lecnacäö, 5. [. * trepan : action de tr&pa- 
ner. V. Trepano. 

Lecrär, v. a. tr&paner : [aire l’operation du 
trepan. 

LecoäLno. V. Nogdiho, 


PORT. FR, 


LEI 787 

LECUNE ‚s. m. lögume : toute sorie de Erains 
qui viennent dans une cosse, coınme föve, pois, 
lentille, etc. 

LEcumındso, A, adj. legumineux. 

* LEGUMLHAS, 5. f. pl. V. Legumes. 

Lei, s. f. loi: r&gle stablie par l’autorits di- 
vino ow humaine, qui ordonne ow defend cer- 
tainer choses pour le maintien de la sociele, 
de l’ordre universel; regle, puissance, auto- 
ritö; justice ecrite; obligation de la vie ci- 
vile. Conformits des marchandises fabriquees 
aux reglements. "Aloi : vrai titre de l’or, 
de l’argent, des monnaies. Loi d’une joute; 
regle d’an jeu. Loyaute, fidelit (p. us.). 
— anliga ou de Moises, loi de Moise, Ancien 
Testament. — de Deos, commandements de 
Dieu, preceptes du Decalogue. — de grara 
ou evangelica, loi de gräce, loi evangelique, 
Nouveau Testament. — escrila, loi &crite de 
la main de Dieu sur les tables de la loi. — 
nalural, loi naturelle, principes de la justlice 
imprimes au caur de ’homme par Dieu. Dar a 
—, donner ou faire la loi, commander avec 
autorite. Feitaa —, feita a malicia, nouvelle 
loi, nouvelle fraude. On le dit surtout en ma- 
tiere de commerce. 4’ — de cavalheiro, foi 
d’honnete homme. A necessidade näo lem —, 
nccessite n’a point de loi. Impör-se uma — 
de..., se faire une loi de... Homem de —, 
homme probe, loyal. L£is, pl. Igis, le corps 
du droit civıl. Estudar — , faire son droit.. Ld 
vdo—onde querem r&is,(prov.)1& vont leslois 
oü venlent les rois, si veut le roi, siveutlaloi, 
ou la loi veut ce que veut le roi. 

Legicengo, s. m. furoncle, froncle, clou, 
phlegmon enflamme. 

° LEICHAR ou —XaR. V. Deizar. . 

Lkica, s. f. sur converse, saur laie. 

LEicäco, A, adj. aug. de Leigo. Tres-igno- 
rant. 

LeicäL, adj. 2 gen. de lai. V. Zaical. 

L£ıco, A, adj. laique : qui n’est point ecel&- 
siastique 0% religieux. Frero lai ow convers. 
(Ag.) Ignorant : qui est sans lettres. 

Leıcozinuo , s. m. dim. de Leigo. 

Leicvice, 8. f. * propos, action d’un lai, 
d’un ignorant, ignorance. 

* LEıLam£&xto. V. Leiläo. 

LeiLiö, s. m. *enchere, encan, vente publi- 
que ä l’enchere, aux encheres. Por em —, 
mettre & l’enchere. Fazer — d’alguma cousa, 
vendre quelque chose ä l’encan. 

Leımönıa. V. Limönio. 

L£ıira,s. f. "carreau, planche de jardin. Ele- 
vation de terrequi separe les sillons dans lcs 
champs seme&s. 

Leiräö, s. m. aug. de Leira. it. Loir ow 
liron : petit quadrupede rongeur, marmotte 
des Alpes. 

Leirıäö, dA, adj. de Leiria, ville &piscopale 
de Portugal dans l’Estremadure. Magd —6a, 
varieie de pomme douce de Leiria, 


* LEISAR. . 
* LEISsan, | Y. Doiwar, 
a % 


138. LEI LEM 


Lzıripo,a,p. p.de Leilar. " | tLeuıi, s. m. eri des Maures en combat- 

Leıtiö, 's. m. cochon de lait. —, da, adj. | tant. 
de lait, qui tette. V. Mamds. . Lema. V. Lemma. 

Lertir, adj. 2 gen. laiteux, de lait; blanc | Lemerino,A,p. p. de Lembrar. adj. Qui x 
comme le lait. souvient; dont on se souvient. Estow bem —, 

+ Leıtäir, vo. n. se remplir de lait. V. Amo- | je m’en souviens bien. Ndo eslow —, je ne 
Jar. m’en souviens pas. Cousa bem —a, chose bien 

L£ire, s. m. lait : ligueur blanche des ma- | trouvee. 
melles, des @ufs frais, des plantes; liqueur | Lewsnanor, A, s. et adj. qui fait souvenir, 
blanche ; suc ıgu’on extrait de certaines graines. Leusränga, s. f.“ souvenir, m&moire ; reunl- 
(fg. poel.) Close exträmernent blanche. (Ag.) | niscence."Avisqu’on donne A queiqu’un;remon- 
Preimieres instructions sur une maliere. Cabra, | trance. Tableltes, notes, remarques. "Cadean, 
vacca de —, chevre, vache ä lait. — de galli- | don d’amitie. —s, pl. recommandations , com- 
aha, ornılhogale : plante. — rirginal, lsit vir- | pliments. Tenko — d’isso, je m’en sonviens, 
ginal : teinture de benjoin dans l’esprit de vin. | Ter felizes —s,, avoir des idees heurenses, de 
Beber alguma cousa com 0 —, sucer avec le | jolies pens6es. Dai-Ihe —s minhas, dites-Ini 
lait, apprendre des l’enfance. Mur ou de —, | beaucoup de choses de ma part, faites-lui mes 
ner calme, — escorrüdo. V. Coalhäda. Estar | compliments. 
alguma cousa em —. '(fig.) On le dit d’une | LEwerÄir,o.a. faire ressouvenir, rappeler & 
chose qui n’a pas encore acquis sa perfection, | la memoire. V. Avisar, Advertlir, Admoesiar. 
sa maturite. Filho de —, nourrisson. Irmdo, | Se eu me esquecer, lembra-m’o,, si je l’oublie, 
irmä de —, frere, saur de lait : l’enfant de la | il faut me le rappeler. 
nourrice a l’egard du nourrisson de celle-ci. Lemerir,ov. n. venir & la memoire; soflrit 

Lum£ıra, s. f. lailiere : femme qui vend du | A l’imagination. Bem melembra o que vos dim 
Tait. * Pot au lait, jatte pour le lait. |. de bot.) | honlem, je me souviens de ce que je vous 
V. Euphorbia maleileira. dit hier. Ha de Ihe —, il s’en souviendra. 

Leırteıno, s. m. laitier : vendeur de lait. adj. Leuprär-se (de), v. r. se sourvenir: se rap 
Laiteux : qui contient du laitou qui en a les | peler, se remeltre, se ressouvenir; avoir me 
broprictes. Qui a un suc blanc (plante —se). | moire de quelque chose. Penser ä. 

acca boa —a, vache lailiöre, qui a beaucoup | que..., je m’en souviens , je me rappelle que.. 








de lait. Lembro-me do lempo em qus..., do felisiem 
+.Laıt£xto, a, adj. de couleur de lait; lai- | po de minha mocidade, je me rappelle ie temps 
teux. oü..., les besux jours de ma jeunesse. 
7 Leıreräd, s. m. (f. de bot.) laiteron piquant. j me de ter ouvido, de ler feito, de ter vis, 
* Leitica. V\ Leitda. etc., je me rappelle d’avoir entendu, d’avolt 
*+lLertmicäina, 3. f. portee, ventree d’une | fait, d’avoir vu, etc. Lembro-me mailto de ti, je 
truie. pense beaucoup 4 toi. Ndo me lemdro de tal, 


L£ıto, s. m. lit: meuble pour se coucher la | ne m’en ressouviens pas. Nem tal me lembros, 
nuit os #tlant malade; bois de lit. (fig.) Canal | je n’y ai pas pense, Je l’ai oubli6 tout & fait. 
d’un fleuve. —, couche, fond, base. (flg.)—, LEMBRRTE,s. m. ‘note, signe. *Reprimande, 
nariage. (t. d’artill.) V. Plataforma. — de | semonce. (fig. fam.) * Punition. 
barco ,tillac,, petit pont & la poupe d’une bar- | Leue, s. m. (1. de mar.\ gouvernail : timot 


e. nıobile pour gouverner un navire, un balzat, 
Leıröa ‚s.f. V. Leiläo. . etc.; (fg.) symbole de tout gouvernement. 
Leıtoäpo, A, adj. bien nourri, gras. * LEMenTAGAO, 5. f. V. Alimento. 


LeitöR, 3. m. lecteur : celui qui lit; profes- 
seur en Iheologie dans un couvent; un des 
quatre ordres mineurs. Professeur. 

Leironino, s. m. ° charge de lecteur, de pro- 
fesseur ; sa duree. "Lecture : un des quatre or- 
dres mineurs. 

+ Leitoria, s. f. "emploi, grade, chaire de 


Leniste,s.m. drep fin noir. Drap de Sr 
vie de premidre qualiie. 

L£UMA,s. m. (6. de math.) lermme : propt- 
sition qui prepare & la d&monstration d’an® 
autre. . 

+Limosiwm, na, adj. ets. Limousio : del& 
moges, du Limousin, ancienne prorince & 


lecteur. en 
FA Luzuino, 4,.adj. Taiteux, Tail : qui a an tL£uoune,s.m.(i.d’hist nat.) nraki: esped 


. . de singe, sin .„_varl, 
Leituärio. V. Eleciuario. le varı. _ een Ne och. among, ie 
Lertöca. V. Alface. mongous. — ou loriz preguigoso, le lori pr 

. Lestüna, s. f. lecture: action de lire; chose | resseux. — ou loriz esguio, le lori grele. —® 

qu’on lit; emploi d’un lecteur, d’un professeur. lago mediocre, le galago moyen. Ideen ment, 

V. Lied. Philosophie 0% cic6ro : Caraclöre | le petit galago. — larseiro, le larsier. —* 

d’imprimerie. | lante, galeopitheque, chatvolant. 

Leiva,s. f. molte de lerre, glöbe. L£sunes, s. m. pl. l&mures : larves, latins, 
® LeixaR. V. Deiar. esprits, ämes des möchants qui, selon IA 





’ . 


LEN 


eroyance des anciens, venaient tourmenter les 
vivants. V. Trasgo. 

Lzwörsas, s. f. pl. lemuries : fötes de Rome 
en !’honneur des lömures. 

Lana, s f.(p. us.) appareilleuge, entre- 
metieuse, femme de mauvaise vie. V. Alcovi- 
ieira. 

* Lencio. V. Luepdo. . 

Lengaria, s, f. tissus de lin ou de coton. 

LEexcinno, s. m. dim. de 

Lenco, s. m. *toile: tissu de fl, de lin, de 
coolen. — d’assoar, mouchoir de poche. — de 
seda, foulard. — do pescogo (de khomem), cra- 
vate, Id. (de mulher), fichu. — de muro. V. 
Lango. 

Lencor. V. Langol. 

Lenoa,s. f. legende.V. Legenda. Lera— a 
alguem, dire & quelqu’un ses defauis, ses fau- 
tes. Exzaminur 0 — a alguem, s’enquerir sur 
la.conduite de quelqu’un. 

Lenpea, s. f. lente : auf de pou dans les 
cheveux. 

Lendeico, s. m. grosses lentes. 

Lenozöso, A,adj. qui a des lentes, plein de 
lentes. 

+ Len£as, s. f. pl. (t. d’ant.) lenees : fätes 
de Bacchus oü il y avait des combatsde po6sie. 

fLento, a, adj. (poet.) de Bacchus. 

Lanua, s. f. " bois ä brüler. — de balsa, bois 
Sloue. Levar — para o malo, (fig.) donner ä 
plus riche que svi; porler de l'vau ä la riviere. 
Deitar — no fogo, mettre le [eu aux &loupes. 
De arvore caida todos [azem —, quand le lion 
«st malade l’äne vient lui donner son coup de 
pied. Corlar, fazer — , couper, abaitre du bois 
a-brüler. (’asa de guardar a —, bücher : lieu 
oö Pon garde le bois. 

Lexuapor, 8. m. bücheron : qui coupe le 
bois dans les for&ıs. 

Lenäto, s. m. *sorte de vaisseau, de navire 
ancien. 

Lenatino, V. Lenhador. 

L&wao ,s. m. tronc d’arbre coupe et d&pouille 
de ses branches, (podt.) Navire, vaisseau. 
Sanio —, bois de la vraie croix. 

Lexuöso, A, adj. ligneux : de la nature du 
bois. 

Lenıpäpe, s. f. douceur. Humeur douce, in- 
dulgente, bonte. 

LENIMENTO, 5. m. onguent medicinal. V. Le- 
nilico. 

Lenxia , o.a. V. Abrandar, Suatizar. 

Lexıtivo, s. m. lenitif : remede qui adouceit; 
sorte d’electuaire; (Ag.) adoucissement; con- 
solation , soulagement, 

LEnıtivo, a, adj. lenitif, adoucissant. 

Lrnocinio , s. m. commerce de prostitution, 
inaquerellage.(flg.) Agrement,attrait, charıne, 
amorce, appäl. 

Lentam£nte, adv. lentement, aveo lenteur, 
piano. 

Iswrär,v.n. se ralenlir. V. Lentejar. 


” 


LEO 739 
Lönte, #. f. lentille, loupe : verre convese 
des deuxcöles, "u 


Lexteıno, s. m. V. Tremedal, Poniano, 
Lameiro. 

LexteJäDo,A,p.p. de 

Lentesin, v. a. humoster. 9.» 
Devenir moite, transpirer. 

LENTEIOULAS, s. f. pl. pailleites poar los 
broderies, etc. 

LENTEza. V. Lentidd6 ei Moderapo. . 

LENTICULÄR, adj. 2 gen. lenticulaire : quia 
la forme d’une lentille. 

LEnTictLär, s.m. (l. de chir.) lenticalalre ı 
instrument de chirurgie, bouton äxe & l’extrö- 
mil d’une tige, et dont la circenference est 
tranchante. 

LextioA0, 3. f. lenteur : manque d’activits, 
de celerit£, 

LENTILBA, ®. f. di. de bot.) lentille, * ers, 
iegume; plante legumineuse. — dos rios, len- 
tille d’eau ou de marais : plante aquatique. 
dim. de Lente, lentille : petit verre circulaire 
employe en dioptrique. —s, pl. lentilles, ta- 
ches rousses sur la peau. 

TLestıLußıra, 8. f. (t. de bot.) lentille : 
plante legumineuse. V. Lenisiha. 

LExtiıL.u6so, A, adj. ‚lentilleux : som& de ta- 
ches os lentilles (vısage, peau —se). V. Sar- 
dento. 

+ LentiscäaL , s. m. endroit monlagneux 
plante de lentisques. 

Lextisco, s. m. (t. de bot.) lentiaque, ‚pista- 
chier, bonduc : arbre moyen. — bastärdo. V. 
Philyrea estreita. 

LEnTo, a, adj. moile: un pau kumide Un 
mouille. Lent, tardil : qui n’est pas prompt. 
Peu sctif, qui a peu de force. A fogo— , & petit 
feu. 

Lextör,, s. m. *lenteur. 

LENTÜRA, 8. f. moiteur, bumidit d’un lioge, 
eic. 

Leto, s. m. lion : signe du zodisque, (P0p.) 
"Occasion, Opportunits , loisir pour faire quel- 
que chose. 

LeöaA , s. f. lionne : femelle du lion. 

LeonADo „A,.adj. fauve : couleur de lion 

LeönctLo. V. Ledozinho. 

Leonkıra, 8. f. loge oü l’on enferme los 
lions. 

+ Leontiao ,s. m. celui qui a soin des lions. 

+Leungz, A, adj. et s. Leonais - de Leon 
(en Espagne). Lyonnais : de Lyon (en France). 

Lrongza, s. f. V. Leda. 

Leönıco, a ,adj. Veias —as, (1. Fans.) vei- 
nes sous la langue. 

Leonino, A, adj. leonin : de lion, propre au 
lion. Sociedade —a, societe inegale entre % 
fort et le faible. Versos —s, vers l6onins, dont 
le milicu rime ave« la fin. 

+ Leonponıo, s. m. (t. de bot.) Iontopodion 
ow patte de lion : herbe lanugineuse, plante 
des Alpes. — do reino, guaphale ou cotonniäre 


». S’humecter. 


L&nte, 5. m. lecteur, professeur d’une fa- | du Portugal (mierupus supinus). 


calte. V. Lestor. 


Le£onitas. V. Leönico. 





740 LER 


LxönTico ou LEONTOPOnDI0. V. io. 


Leonpödi 
+ LEONTInO, A, adj. et s. Leontin : deLeonti | de Le 


ow L&ontium,, ville de Sicile. 

+ LEontörmono, s. m. l6&ontophon : petit 
animal dont lachair(selon Pline) est un poison 
pour le lion. 

+ Leonunina, s. f. (t. de bot.) "lsonurus, 
queue de lion, espöce de phlomis. 

+Leorinpa, s. f. Juberne : femelle du l&o- 
pard. 

Leopiano, 8. m. (t. d’hist. nat.) l&opard : 
quadrupede feroce, & peau tacheice, tavelee. 

Leripissımo, A, adj. sup. de 

Lerivo, A, adj. joyeux, gai, enjoue; plai- 
sant, agreable. 

+ Lerrivore, s. m. (f. d’hist. mal.) löpidope : 
trichiure, poisson apode. 

+ Lerrisua, s. m. (8. d’hist, nal.) l&pisme, 
myriapode, forbicine. — do assucre, Torbi- 
eine argentde. — mullipede ‚forbicine marbree. 

+ Lerinorteros, adj. et s. m. pl. (t. d’hist. 
nat.) lepidopieres : insectes & «quatre ailes 
meınbraneuses et farineuses. 

Lerra, s. f. lepre, ladrerie : maladie ; se dit 
au fig. du peche, du luxe, etc. — branca, 
leucce, tache blanche & la peau. 

l.ErRöso, A, adj. lepreux : qui a la lepre. 
(fig.) Souılle du peche. 

+ LerroceruaLo, 8. m. (1. d’hist. nal.) le- 
ptocephale - poisson apode. 

+Lertüna, s. f. ıt. d’hist. nat.) lepture:: 
coleoptere telramere. 

Lequs, s. m. eventail. Sorte de monnaie 
d’Asie. 

Lt, v. a. lire : parcourir des yeux les lettres 
d’un mot ow les mots avec l’intelligence de 
leur valeur, de leur signification, en les pro- 
nongant A haute voix ou menialenient; faire 
une lecture; expliquer (un auleur). Enseigner 
publiquement. (fig.) —, penetrer dans l’esprit 
de quelqu’un, deviner. Poder — de cadeira, 
pouvoir donner des legons sur une maliere, 
la savoir & fond. Ndo saber —, ne connaltre 
dans un livre que le blanc et le noir. — no fu- 
suro, lire dans l’avenir. 

t Lerpico, A, adj. aug. de Lerdo. 

t Lennauente, ade. d’une manidre lourde, 
grossiere , stupide. 

Leano, Aa, adj. lourd, pesant, paresseux, 
surtout en parlant des animaux; (fig.) pesant, 
stupide, grossier, qui n'a aucun usage du 
monde. Ndo ser nada—, etre vif, intelligent, 
avoir de l’esprit, n’eire point manchot. 

Lena, s. f. (fam.) plaisanterie ; ınensonge , 
histoire. Näo me conle —s, ne me failes pas 
des histoires. 

tLenioäno, a, adj. et s. de Lerida : ville 
d’Espagne. 

Lean, s. f. "rabot creux. 

+ Liana, s. f. (1. de myih.) * Lerne: lac d’Ar- 
g08. Ser uma — de desvenluras, Ag.) eure el- 
fectivemen! poursuivi par le malheur. 

+ Lennäa, s. f. (6. d’hist. nat.) lerne ow ler- 
nte : vor parasiie. 


- 


LET 


+ Lernkas, s. f. pl. (1. d’ant.) Lerndes : föles 
e Lerne. 

tLennzo, a, adj. de Lerne, 

Le£rta. V. Alerta. 

Lesivo, A, p. p. de Lesar. 

Lesiö, s. f. blessure, fracture qui r&sulte 
d’un coup. (Ag.) * Tort, dommage, prejudice. 
Lesion : tort qu’on souffre dans queique mar- 
che. Paralysie. — enormissima, lesion de plus 
de moitie. 

Lesir, v. a. l&ser, oßfenser, blesser, faire 
tort. 

+ Lessio,, a, adj. Lesbien , de Lesbos. Regrs 
—G, regle formee de maniere qu’on peut ls- 
dapier & la forme de quelque corps que Fon 
veut mesurer. 

Lesıra. V. Leziria. 

Leswa, 8. f. (1. d’hisf. nat.) * limas , licoche 
ow limace, limacon sans coguille, mollasgque 
gasteropode. (fig. fam.) Personne petile & 
maigre; personne Ires-iente, insipide, bonbe 
& rien. 

Lesuinua, dim. de Lesma. 

L£snonndEste, 3. m. est-nord-est: vent qui 
souflle entre l’est et le nord-est. —, lien situe ä 
l’est-nord-est. 

L£so, A, adj. blesse, endommage. (fg.) 
Lese : qui a souffert quelque prejudice, & qui 
on a fait tort. Perclus, paralytique. — 
jwızo, qui a le cerveau fele. Crime de —a mo- 
gestade , crime de l&se-majeste : crime commis 
contre une tete couronnee. 

LESTE, 8. m. est : vent d’orient. 

Lestes, adj. 2 gen. pret, prepare. Lests, 
prompt. Debarrasse. V. Ligeiro. Estar — er* 
ceder carga, (1. de mar.) etre prei ä charger. 

L£sto, a, adj. leste, pro:npt. V. Lestes. —@ 
virar!(1.de mar. pare ä virer! 

L£stras ou LEstRes, 8. f. pl. espece de jone 
odorant. 

+ Lesrav’cones, s. m. pl. Lestrygons : pet- 
ples anciens de Sicile qui mangeaient de is 
chair humaine : depuis, les Leonüns. 

* Letera. V. Letira. 

* Leternapura. V. Litterature. 

LETHÄL, adj.2 gem. (Podl.) mortel: qui cause 
ja mort. 

+ LeruaLiwäpe, 8. f. qualits de ce qui caa# 
la mort. 

LETBALMENTE, adv. mortellement, de me- 
niere & causer la mort. 

LErTHARGiA, 3. f. leihargie: assoupissemeni 
profond contre nature. . 

+ LETHÄRGIcANENTE , adv. en lethargie. 

LETBÄRcICco, A, adj. lethargique: de la & 
tbargie. 

Leruärco, s. m. V. Lethargis. (g.) \eibar- 
gie : insensibilitö, nonchalance exireme, apt” 
thie. 

! Letee ou L£tuns, s. m. (4. de myih.) Lätht: 
fleuve de Cröte, de l’enfer;; fleuve d’oubli. 

Lerueo, a, adj. qui appartient au Benvel4- 
the, A l’onfer, 


.ı. 





[4 


LET 


Luruisero, A, adj. löthiföre: qui cause la 
mort. 

Lersinco, A, adj. mortel : qui cause la 
mort. 

+ L£rtuno, s. m. (1. d’hist. nat.) lötbre : co- 
l6optere, scarabeide. 

+ Lertiricinte, adj. 2 gen. rejouissant. Gai, 
joyeux. 

+ Lerinico, A, adj. qui rend joyeux, egaye, 
canıe de la joie. 

° Leticuir. . 

* LETIGU680. | V. Letigar, etc. 

+ Lerneir, v. a. 6peler : nommer les lettres 
qui composent les mots. ( ig.) Deviner, conjec- 
turer, augurer, interpreter, p&netrer. 

Lereia, V. Aletria. 

Lerrra, s. f. lettre: figure, caraclöre de 
Yalphabet; caractere de fonte, de bois, etc.; 
&criture ; maniere d’&crire. —, son d’une leitre, 
de PA, etc. Mot, Ame d’une devise. Paroles 
6crites sous des notes pour &tre chantees, pa- 
roles d’un air. Lettre de change. —, texte, sens 
Jitteral. — baslarda, cursiva, caractere ilali- 
que, lettre bAtarde. — de forana ou d’imprensa, 
lettre moulde. — numeral, leitre numerale, 
qui sert de chiffre. — cabidoal, maiuscula, 
lettre capitale, -majuscule. — redonda, leltre 
romaine. — minüsculs, minuscule. — vogal, 
voyelle. — consoarle, consonne. — muda , let- 
tre muette, qui s6 prononce faiblement. — 
cehrisitenga, leitre romaine ow golhique. — de 
mdo, &criture. Leltra por —, exaclement, sans 
rien ajouter ni retrancher. A’ —, & la letire, 
Jiueralement, ponctuellement, exactement. Ao 
pe da —, au pied de la leltre, exactement, 
poncwuellement. Saber ou ler mulla —, en 
savoir long. Ter boa—, avoir une belle &cri- 
ture. — de risco marilimo, (t. de comm.) 
contrat, lettre & la grosse. — de transporie, 
lettre de voiture. Leitras, pl. lelires : science, 
&rudition, doctrine; la litierature. Belles-let- 
tres. Segwir as —, eludier, s’adonner aux 
sciences. Ter as — gordas, avoir l’esprit bou- 
che. — khumanas, lettres humaines, humani- 
les, belles-lettres. — divinas ou sagradas , les 
saintes leitres, l’Ecriture sainte. Homem de —, 
homme d’&tude, de lettres. ' 

+ Lerrrina, s. f. la femme d’un homme de 
lettres ou d’un avocat. 

LETTRÄDAMENTE , adv. en jurisconsulte ou en 
komme de lettres. 

LeTtaapice, 8. f. V. Litleralura. Soltise, 
impertinence die d’un ton grave. V. Leiira- 
dura. 

LETTRADINHO, 8. m. dim. de 

LETTRÄDO, s. m. homme de leitres, savant, 
lettre. Avocat, legiste, jurisconsulte. (fam.) 
Sot,presomptueux, qui parle ä tort etä travers. 

Lertaino, A, adj. lettre: qui a de l’erudi- 
tion, du savoir. 

Lertaapüna, 8. f. V. Lilteratüra. ° Mot, 
phrase , astuce d’avocat, de jurisconsulie (en 
mauvaise part). 

LetraXıno, 5. m. "inscription mise sur un 


LEV 7a 


monument public. * Enseigne de marchand. 
* Eliquette. 

‚LRUGAO , 8.18. sorte de filet de p&che A mailles 
trös-petites. 

Leucöcomo, A, adj. (t. de pods.) qui a les 
cheveux blancs. 

LEUCOPHLEGMACIA, 8. f. (4. de med.) leuco- 
pblegmatie : espece d’hydropisie pituiteuse; 
cachexie. 

LEUCOPBLEGMÄTICO, A, adj. leucophlegmati- 
que: attaque de leucophlegmatlie. 

+ Leucöruaa , s. f. (t. d’hist. nat.) leucophres 
polype amorphe. 

+ Leucöpse, s. m. (1. d’hist. nal.) leucopsis s 
bymenoptöre, chalcidite. 

Leuconanda, s. f. (t. de med.) leucorrhce : 
flueurs blanches. 

+ Lsucrocüta, 8. f. (4. d’hist. nat.) * leucro- 
cote : quadrupede de l’Ethiopie, qui ressemble 
a l’äne sauvage; quadrupede qui imile la voix 
humaine. 

*Leino,A (V. Lido), p. p. irr. de Ler. 

Leva,s. f. (1. de mar.) parlance: depart d’une 
flotte, d’un vaisseau; lever de l’ancre. (id.) 
Presse, levee de gens de mer. (4. mil.) Levee 
de soldais; signal de depart. it. V. Alavanca. 
Peca de —, coup de partance ou de depart: 
coup de canon lir6 par un vaisseau pour annon- 
cer qu’il va partir. 

Levaciö,s. f. V. Tumor, Inchago. 

Levina,s. f. "courant d’eau; canal, rigole 
pour conduire l’eau. " Biez : petit canal elev6 
qui conduit l’eau sur la roue d'un moulin. Le- 
vee; enlövement. * Transport. Escorte de pri- 
sonniers. Allaque, assaut d’escrime. Poiro de 
boa —, jeune cheval de bonne allure. 

Levanär. V. Levedar. 

Levandente, s. m. (8. burl.) *semonce. it. 
V. Mordedura. 

LEvaDia, 5. f. mouvement inquietde la mer, 
houle. 

LEvADico, A, adj. qui peut se lever et se 
baisser ; que l’on peut mettre etretirer. Meuble: 
ais6 A remuer. Ponte —a, pont-levis. Terra 
—s, terre lransport&e ou meuble. 

* LEVADIiGA, 5. f. V. Tumor, Inchago. 

Levapio,s. m. V. Levadia. Tecto, telhado 
de —, toit, loiture qui n’est pas attach6e par le 
mortier, facile & enlever. Cousa de —, (fig.) 
cbose en l’air, sans fondement. 

Levino,A,7.p9.de Levar. 

L£vaoo, A, adj. lev6,oü ilyadu levain, 
qui estlev&, fermente. p. p. irr. de Levedar. 

LEvADOR, A, 8. celui, celle qui conduit, qui 
mene. Voleur adroit. Ravisseur. 

Levapöuna, 8. f. barque de charge. 

LEVADURA, 8. f. " levain. — das gallinhas , 
excröment, fiente des poules. 

* LEvAMEnTO, 8. m. * action de porter. Vol. 
Enlevement. 

LEVANTÄDA ‚s. f. aclion de se lever. 

+ LEVANTÄDAMENTE, adv. avec e&l6vation. 
Etiourdimen®. Seditieusement. 

+ LEVANTADIQO,, A, adj, ais6 A 56 soulever, & 


782 LEV LEV 


ei 


se revolter; qui a l'habitude de se soulever. | — 0 pensamento, s’animer, se r&soudre A une 
Rebelle, insurge. entreprise d’6clat. — 0 silio, lever je Ri 
LEvANTäÄnDo, A, pP. p. de Levantiar. adj. | d’une place. — o cdo, voler, preridre Y üt. 
Leve, ölev6. Debout, sur ses pieds, Soulere, | (4g.) S’enorgueillir. — fogo, allumer le Teu. 
insurge, revolie, seditieux , mulin, meconient. | (Ag.) Pxciter, Tomenter des querelles. —genle, 
Hautain; dlourdi. soldados, exereito , lever des troupes, faire des 
LEVANTADOR, 8. m. (. de chir.) elövatoire : | recrues , melire une armee sur pied.— 0 caf0, 
instrument de chirurgis pour reiever les os du | faire lever le gibier. (Ag.) Metire une question 
cräne enfonces. Moteur, auteur de sedilious. | sur le tapis, &lever une contestation. —a lebre, 
Celui qui hausse. (Ag.) ever le liövre; metire une queslion sur 
Levantapdona, 8. f. V. Levanlamenio. le tapis; soulever une difßculte ; don- 
LEVANTAHENTO, 8. m. “ elevation, exbaus- | ner lieu & une dispute. — a roz ou 0 grile, 
sement. Soulevement, sedition, rebellion ; | dlever la voix, parler plus haut qu’il ne con- 
‘“meute. * Sublimits, elevalion (pP. ws.). — de | vient, ou se fächer, se melire en colere. — 
desterro, rappel de ban. — d’um campo, de- | pofira, [aire de la poussiere,. (fig.) Faire cou- 
campement, levee d’un camp. rir un bruit, donner lieu a une dispule. — boa- 
Levantinte, adj. 2 gen. et p. a. de Lervan- | deira, (fig.) se metire ä la t&te d'un parli.—s 
tar. (1. de blas.) Qui se leve, debout (animal). | cerriz, (Ag.) s’enorgueillir. — a mdo d’elgum 
Levantir (a,de, em), v.a. lever, hausser, | negecio, (id.) se desister, renoncer ä.. — ® 
dlever ; ramasser; dresser ce qui etail couche. | destdrro, rappeler, faire revenir les exiles. — 
Relever, redresser. Elever, construire, Iälir. !: um fesfemunhe a alguem ‚ accuser (aussemenl, 
(Ag.) Soulever le peuple, exciter des sedi- ı imputer ä tort. — 0 poca, soulever, faire rerol- 
tions. (id. ) Imputer, attribuer faussement. | ter ie peuple. Ndo — as olhos, ne pas lever les 
(id.) Elerer aux honneurs. (id.) Relever celui ! yeux, @tre humble, modeste. — as macas, (l. 
qui a fait une chute. Elever : faire qu’une de mar.) relever les hamaes. — o enberge ‚Ir 
chose domine, soit plus haute. (Ag.) Elever, | ver !’eınbargo. . 
louer, exalter. (id.) Exeiter, fomenter, eire] LevaxtÄr, v. ®. croiire, grandir, augmeb- 
cause. Couper les cartes au jeu. Encourager. | ter. Hausser, augmenter de valeur- — 0 lampe, 
Prendre en jouant. —, recruter ( des troupes)). | se remetire, devenir calme, serein, parlast 
Rehausser, hausser, relever. Augmenter le | du temps; se mottre au beuu, nesser de pleuroir. 
rix. Elever Phostie & la messe. Lever, en par- | ' LEvanTär-sE, ©. r. se lever, se melire de 
ant d’une excommunication, d’un interdit, | bout; sortir du lit.iA%g.) Relever d’une masladie, 
Ö’une peine, etc. Lever, elever, en parlant des | se relever d’une perte. S’elever, survenir, pl 
yeux et des mains. — cabera, (fig. fam.) so re- | lant d’une tempete, d’un orage. Se sonlerer, #% 
mettre, relever de maladie, commencer & se | rövoller, se lever, s’ameuter. Quitter le je® 
porier mieux; se relever de queique perte, r&- | apr&s avoir gagne : faire Charlemagne: — 0 de 
tablir ses affaires. Ndo — cabera, tre tr&s-oc- | veder, faire banqueroute fraudulense, sabsed- 
cupe (Alire,& ecrire, etc.). (iy.) Ne pouvoir | ter, s’enfulr. — com alguma cousa, s’eınpat 
de remeitre d’unie maladie; nv pas se relever | de ce qui appartient & un autre. — com 0 
d’une perte, etc. — do frabalho, quitter, sus- | nheiro, debanyuer, s’emparer de tout Farges! 
pendre le travail, parlant des ouvriers. — o | au jeu. — conira alguem, se soulever, 
prego ou o valor d’uma cousa, hausser le prix | tete & quelqu’un. — ds esirellas ou ds wurend, 
d’une chose. — fereüra, eoınmencer & bouil- | (Ag.) s’elever jusqu’aux nues, s’enorgueilil. 
lir, houillonner. — o dedo , lever la main , pro- | — rom as esirellas, se ever de grand mal. 
mettre, faire serment. — a mdo, lever la.main, | Levanfarem-se os cabellos, se dresser, se beris 
menacer avec la main. (Ag.) Retirer la protec-'| ser, parlant des cheveux. — ums tormenia, 
tion actordee A une persönne ; abandonner une | uma tempestude ‚se lever une tempete, un grel 
affaire. — as mdus ao c£o, lever les mains au | temps. — com 0 sanlo e com a esmola, ( aM.) 
ciel. —a mesa, Öter le couvert,, lever lanappe, | se rendre mallre de l’esprit ou de la fortune de 
desservir. — os olhos ao cdo, lever les yeux au | quelqu’un. 
eiel, implorer son secours. —rei ou por rei,| Levinte,s.m. Levanı, Orient, Vent dest, 
pröclamer roi.— do pö, da terra, (fig.: tirer | d’orient : levanı Estar de —, eire sur son d* 
de la boue, de la misere. -— 0 campo, o| part, n’etre dans un lieu qu’en passant. 





erraial, lever le camp, decamper. — Iributos, | LEväntıco ow } Levantin, qui appe- 
imposer des tributs. — 08 Iribulos ao poro,| LEYANTIiNnO, A,adj. ) tient au Levani:oriel 
decharger le peuple des tribuls, des impöts. ' tal. 


— oslas, galds,, construire des vaisseaux, des | Levanrtisco. V. Leranlino. 

galdres. — obediencia, se revolter, se sous- | LEYANTO, s.m. Cdo do —, chien d’arrti. 
traire A l’obeissance. — fanca, satisfaire & la: Levan (a, com, de, em, para, por), *-# 
eaulion. — as ondas, aglier la mer, soulever | transporter; conduire, mener. Porter. Empor- 
les vagues, parlanı du vent. — o espirito, re- . ter; saisir. Voler. Supporter, endarer, soußH- 
iover, ranimer le courage. —o espirito ou 0 | (ifig.; Attirer ä son parli ‚amener a son opini0l- 
eoragäo a Deos, prier, mediter. — 0 estylo, | Mener, conduire, aboutir. Gegner, obtenir. # 
«leyer son style, parler, &crire avec noblesse. | querir. Etre puni, chAtie, r&primendd. Reim 





— 


LEV 


er 

un nombre dans üne addition, ete. Lever, 
suivi d’un participe, exprime qu’on 3 prevenu, 
fait d’avance l’aclıon designee par le parlicipe. 
Ex. : — estudado, avoir etudie d’avance. Suivi 
de la preposition por ou de et d’un nom, il 
margne une aclion conforme d ce que ces ınots 
signilient. Ex. : — por leıma, etc.; por forga, 
agir par obslination, elc.; ravir, enlever par 
force. — de brio, se piquer d’honneur. — ds 
cösias,, porler sur Ic dos, porler sur les &pau- 
les. — a dianle, (fig.) pousser sa pointe, ne 
pas se desister. — com sigo,, mener avec 801.— 
a carga,(fig.) avoir toule la peine, porter seul 
fe fardeau. — em conla, porter en compte. — 
a melhör, avoir fe dessus, l’avanlage. — a 
peior ‚avoir le dessous. — vanlagem a..., l!’em- 
porter, avoir l’avantake, surpasser. —abem, 
voir de bon @il, prendre en bonne part. —a 
mal,prendre en mauvaise part. — d espdda, 
passcer au fil de l’epee. — agoules, pancadas, 
reccevoir le fouet, une volee. — ao cabo, ao im 
uma cousa, mettre fin ä quelque chose. — ao 
cabo , ou alE av cabo, tenir tete jusqu’ä la fin. 
— s palma, remporter le prix, l’avantage. — 
@ ua avanle, parvenir A son but. — boa ou 
md vida, mener une vie agreable ou penible. 
— ferro, ancoras,(l. de mar.ı lever l’ancre. — 
tempo , prendre, exiger du temps. — alrdz de 
si, entrainer. — em peso, porter en l’air sans 
s’appuyer. —a aqua ao seu moinho,(fig.) ne 
penser qu’ä soi, ne precher que pour son saint, 
m, trailer avec douceur. — de baixo, 
abattre, jeter par terre. — da espada, lirer son 
€pee. — remos, (tl. de mar.) lever les ranıas, 
Leva remos! (id.) leve rames. — de vencida 
o inimigo, vaincre l’ennemi, le meltre en de- 
route. — o caminho de..., prendre la route, 
ötre sur la route de... — caminho, disparailre. 
—bom ou mdo caminho, prendre bonne ou 
maurvaise lournure, — pelo beico, (fiy.) mener 
par le bout du nez. Ale mais nio poder — „bord 
& bord. O que a agua dd a agua 0 leca, (prov.) 
ce qui vient de flot s’en reieurne de maree, V. 
Sacrisiäo (bens de). Onde se ddo ahi se levdo, 
(phras.prov.)ä bon chat bon rat. 

Levär-se (de), v0. r. se laisser emporler par 
Ja colere, etc. Marcher. Faire voile, naviguer, 
parlant d’un vaisseau.— de brıo, se piquer 
d’honneur. — da gloria, ne respirer que pour 
la gloire. — o sol, se lever, parlant du soleil. 
— bem, marcher ou naviguer avec vilesse. 

L£ve, adj. 2 gen. leger, qui ne pese guere; 
dispos et agile; qui ne p&se pas, ne s’oppesan 
tit pas; facile A digerer (aliment); aise & sup- 
porter (joug); (Ag.) peu imporlaat, peu consi- 
derable; superliciel; volage. De —, lexere- 
ment, en etourdi; trop facilement. Crer de —, 
croire legerement, & la legere, trop facile- 
ment. Que cr& de —, qui croil de leger, leger 
äcroire. 

Levevino, A,p. p. de 

LEvEDAR, v. a. ein, lever, pousser, fermen- 
ter. Faire fermenter. 

LEYxDÄR-SE, v. r. fermenter, lever. 





— LHA 
L£veoo. V. Löcado: I 
Leveufinte, adv. lögerement, medioere- 

ment. ifig.) V. Venialmente. Y ', 

+ LEvEnTE ,s.m. soldat de fa marine turqu®. 

LEves, s. m. pl. (1. de vener.) V. Bofes. 

Letvesinno, A, adj. dim. do Leid.” ° 

Lev£za, s. f. legerete : qualit6.de ce qui est 
leger, peu pesant; (flg.) inconstänce, instabi- 
lite ; imprudence. . 

+ Levi, s. m. la tribo de Levi. 

LEviannäne, 3. f. legerele, inconsequence, 
indiscretion. Conduite irreguliere par indis- 
cretion. . \ 

Lennino, a, adj. leger, indiscret, inconse- 
quent. Tete lögere. en 

LEVIATHAN ou —Ä0, s. m. l&viathan : nom 
donne par l’Ecriture & un monstre marin ; ani- 
mal cetac6, la baleine; le crocodile; serpent 
marin. u 

Levivipe, s. f. legeret# (physique). (Äg.) 
Facilite avec laquelle on fait quelque chose. 

Levioäö, 5. f. lögereis (physique). il. V.'Le- 
viandade. oo. 

Lrvicacäö, s. f. action de polir, etc. V. Ze- 
vigar. Levigation : action de leviger, ses ellels, 

Levicipg, 4,9.92.de . 

Levicär, vd. a. polir, brunir, planer, raboter, 
rendre lisse, uni. Leviger : reduire en poudre 
impalpable. 

LEvin#o, A, adj. dim. de Lere. 

LeEvirepe, adj. 2 gen. (podf.) qui a le pied 
leger. - - » 

‚Levisgıso, A, adj. sup. de Leve. 

Lrvisrico. V. Ligustipo. . a 

Levita, s. m. Iövite : sacrificateur chez les 
Juifs; israelite de la tribu de Levi. Diacre, 

Levirtico, s. m. Jevitique : troisieme livre du 
Peptateugue ; Ireite des ceremgnies des 16- 
viles. . . 

Lexia,s. f. V. Lizieia, * Arbre de la Chine & 
fruit en [orme de pomme. 

Lexıco. V. Lezicon. 

+ Lexicocnapnia, s. f. lexicographie : partie 
de l’orıhographe quf prescrit les regles pour 
ecrire les mols conformement & usage. 

LExicoGcrAPHO, 8. m. lexicograpbg: auleur 
d’un lexique, d’un dielionnaire. 

r Lrxıwwrocia, s. f. lexicologie : science qui 
embrasse tout ce qui concerne les langues; 
science des mots; trail& sur les ınols. 

f LrxıcRAPBIiA, 5. f. lexigraphie ; formation 
des mols, 

Lexicon, s. m. lexique , lexicon : dictionnaire 
dont l’usage est [r&quent. 

Lexivia, etc. V. Lixivia, etc. 

* LEYDıMO pour Linımo.' V. Legilimo. 

*L.rz£x. V. Lazer, Descango, Vagar. 

LF>inA ou } le plat pays au bord des ri- 

L£zinia, s. f.J vieres, qui est inonde par 
la crue des eaux. 

Lua ow Lp’a, contraction de a ella, & elle, 
sui; la, lui. V. Lhe. 

Luima,s. f. etoffe lamde en argent ou en or. 


Pi we a pP) 


743 





744 LIB 


+Loima,s. m. (1. d’hist. nat.) glama, lama: 
Mouton du Perou, mammifere ruminant. 

LuANAMENTE, adv. uniment, franchenıent, 
sans detours. Simplement; sans affectation. 

‚ Laantza, s. f. bonhomie, candeur, fran- 
chise, sincörite; naivele, ingenuite. 

Luäno, A, adj. doux, aflable; ingenu, nalf; 
sincere, franc. 

Lne, contraction de a elle, cas oblique du 
pronom masculin et feminin de la troisieme 
personne. Le, lui, & lui. Dizer-Ike, perguntar- 
Ihe, lui dire, lui demander. Dize-Ihe, per- 
gunia-Ihe , dites-lui, demandez-lui. Pedir-Ihe, 
agradecer-Ihe, le ou la prier, le ou la remer- 
cier. Pede-Ihe , agradece-Ihe , priez-lo ou la, re- 
merriez-le ou la. 

* Luı. V. Lhe. 

Luo ow Lw’o, contraction de dhe 0, A lui, lui; 
le, lui. V. Lie. 

Lı ou Lıı. V.Zy. 

Lia, s. f. lie : d&pöt que faic une liquear. 
(ant.) V. Linha ou Linhagem. 

Liaca ‚5. f. botte, liasse. "Lien, attache, sur- 
tout d’osier. 

Liacäö, s. f. * lien, attachement. 

Lıino, a, p. p. de Liar. 

Lıap6uRo, 8. m. (t. de magon.) * pierre d’at- 
tente. 

Lıäce, s. f. toile grossiere. 

* Liicem. V. Linhagem. 

Liäug, s. m. (8. de mar.) "liaison : assem- 
blage de toutes les piöces d’un vaisseau, pi6088 
d’allonge , membrure. Lien, liaison, union. 

Liänca, s. f. "lien. Alliance, union, affinite. 

Lıiäiö. V. Leäo. 

Liär, v. a. lier, attacher. 

Lıär-s& (com), v. r. se lier, s’unir. Contracter 
alliance. 

Lisacäö, s. f. libation: effusion de vin, ou 
d’autre liqueur, que les anciens faisaiont en 
l’honneur de la Divinile. 

LisÄue 0% . 

LIBAMENTO. | V. Libagäo. 

LiBANARIOTO , 5.m. esp6ce de plante. V. Ros- 
manınko. 

+ Lisänıco, A, adj. du Liban. 

+ Lisano, s. m. (i. de g6og.) Liban: montagne 
de l’Asie. 

LiBäR, v.@. sucer : tirer le suo da bout des 
levres. Sacrifler. Faire une libation. Goüter une 
liqueur, täler, ellleurer, toucher du bord des 
iövres. 

+ LißaTörR10, s.m. libatoire : vase pPropre aux 
lihations. 

+} LiBeLLäTıco, s. m. libellatique : chretien 
qui achelait une sauvegarde, durant les per- 
söculions sous les empereurs. 

-} LisgLLinna ‚s. f. (i. d’hist. nat.) demoiselle, 
libellule os libelluline : insecte & longues ailes 
et gros yeux. 

Lis£LLo, s. m. *demande en Justice, roqudte, 
memoire. Libelle, dcrit injurieux. — infamato- 
ro, libelle dilfamatoire, — de repudko, lotise 
de divoroe, 









” LIB 
+ LiBENTISSTwamenTe,, adv. de tr&s-bon grt, 


de tres-bon caur, avec grand plaisir, irds-vo- 
lontiers. 


+ Liseracäö, s. f. deliböration, oonsultation, 
aflranchisse- 


resolution, (inus.) Delivrance, 
ment. 


LiBERAL, adj. 2 gen. liberal, genereux. Libre, 


exempt.—, digne d’une personne libre et bien 
nee (opinion, &ducation). Artes —des, arı 
liberaux : 
qu’au travail des mains. /ddas —des, idees Iı- 
berales, nobles et libres,, qui ont pour prin- 
cipe les lumieres, lo patrietisme, la haine du 
despotisme. 


Qui apparliennent plus & l’esprit 


+} LiseraL, s. m. liberal : partisan , ami des 
id6es liberales, d’une sage liberte. 
+ LieeraLäö, s. m. aug. de Liberal. Grand 


liberal, partisan outr6 du liberalisme. 


Lißeralßza. V. 


liberalite : verta qui 
LiBeraLıpine, 8. f. 


porte & donner & pro- 


pos ; magniflcence;; generosite active. 


+ LiseraLismo, s. m. liböralisme : syst&me, 
ensemble, adoption des ideas liberales; oon- 
duite politique reögl&ee d’apr&s ces idees. 

LiBEraLissımo, A, adj. sup. de Liberal. 

LiBEraLıziDo, A, p. p. de Liberaliser. 

LIBERALIZADOR, A, 3. personne liberale , gb- 
nereuse, qui fait des largesses. 

LiBERALIzÄr,, v. a. donner liberalement. 

LiBERALMENTE, ado. liberalement : d’une 
maniere liberale, avec liberalite. 

+ LiBeRaTivo,a,adj. qui ala qualit6 de de 
livrer. 

Lisgaväne, 8. f. liberie : pouvoir d’agir ow 
de n’agir pas, de choisir; independance des 
commandements, de la volonte d’autrui; eial, 
condition libre; manidre libre, hardie, fami- 
liere; l’oppose de göne ; excessive liceno# ; per- 
mission de parler, d’ecrire librement, exemp- 
tion, privilege, franchise. Maurs dereglee. 
de consciencia, liberte de conscience : per- 
mission de professer la religion que Fon veat 
— de cullos, liberts des cultes. — d’estado, etat 
d’une personne libre, non engagee dans le 
mariage, dans les ordres, eto. — politics, Ii- 
berte politique : constitulion d’un Etat par le- 
quelle le peuple participe ä la puissance legis- 
lative. Dar ou permitlir a alguem loda 6 —., 
mettre la bride sur le cou & quelyu’un. Fer — 
com alguem,, &ire libre avec quelqu’un. Di: 
—s, dire des ınots bardis, insolents; etre imr 
pertinent, insolent dans ses propos; 56 pel- 
meitre des libertes. 

+ Liserpino. V. Desonerado, Läberlado. 

LiB£akımo, A, adj. sup. de Liore. 

LiBertacaö, 5. f. liberation, affranchisse- 
ment. 

LiBertädo, A, p. p. de Libdertar. 

LISERTADÖR , A, 3. liberateur : qui delivre, & 
delivr6 quelqu’un ow plusieurss de la serrilude, 
du peril. 

Lisentär (de), v. a. mettre en liberie, affran- 
chir, delivrer d’esclavage. Liberer d’une dette, 
ec, Preservor, dölivrer. Il est aussi nöciproget, 








uUG LIG 745 


+liserrıciva, adj. 2 gem. liberticide : des- 1 Licäna, s. f. lice longue. V. Lica. 
tractif de la liborte. s.m.—, celui qui detruit | *+ Licäno.V. Ayfurddo, Liquidado, Liquido. 


la liberie. Licäö, s. f. lecture: action de lire. Legon : 
t Livsarıcinio, s. m. liberticide : crime du | instruction donnee & celui qui ignore une 
liberueide. science, etc., pour la lui apprendre; instruc- 


Lisaatınäcem,, 5. f. "libertinage : debauche | tion recue;; action de la donner ; son moment; 
eu mauvaise condaite; abandon aux plaisirs | chose donnee & apprendre; precepte, avis; re- 
charnels; desordre, dereglement de maurs; | montrance, reprimande, chätiment. Lecon : 
ireligion ; ineredulite. partie de l’office A matines; maniere dont un 

Liesxtino, a, adj. et s. libertin : deregle | texte est dcrit.— de ponfo, discours, these dans 
dans ses maurs; debauch6, dissolu; esprit | un concours. Dar —, reciler la ou sa lecon, en 
fort, incredule. parlant d’un €colier. Dar uma —a alquem, 

Linerrino, s. m. (t. dans.) fils d’affranchi. | donner une legon, faire la legon & quelqu’un. 

Listato, s. m. affranchi : esclave & qui l’on | Dar lieöes, donner des lecons. 
donne la liberte. adj. Mis en libert6, hors de | Licäosinua,s. f. dim. de Ligdo. 


prison ; affranchi , libere. Lic&nca, 8. f. licence, permission, dispense; 
Lis£ruripes, s. f. pl. (t. de myth.) Libethri- | liberte outree. * Conge. —, grade de licencie. 
des : nymphes ; les Muses. — poelica , licence poetique , libert6 que prend 
Lisıco. V. Libyco. le podte contre les rögles. Com sua — , cam li- 
Lisipınösamente, adv. d’une maniere libidi- | cenga de V. M., avec volre permission. Da —? 
neuse, impudiquement. peut-on entrer? 
Lisioımöso, a, adj. libidineux, dissolu, las- | Licencıäno, A,p. p. de Licenciar. adj. On le 
eil,trop sensuel; impudique, luxurieux. dit d’une personne qui se croit instruite. 
Lisıo. V. Lidyco. LicencıÄno, 5. m. licencie : celui qui a fait 
Lisıtina, s. f. ( poet.) la mort. sa licence, a pris le degre de licence et peut 
Lisıtinänıo, A , adj. libitinaire. V. Sepullu- | enseigner. Chirurgien de vaisseau marchand 
reiro. ow de village, carabin. 
?Lisırum (ad), ade. lat. & volonte. Licencıam&nto ou ) "licence : grade de Ii- 
fLinönco, s. m. (£. d’Afrique) morceau de | LICENCIATO, s.m. cencie. 


twile de chanvre, de trois quaris carres, qui | Lucenciar,v. a. liceneier, cöngedier. Donner 
tient place de monnaie & Angola: quatre va- | le grade de licencie. —um lioro,, permettre 
lent 20 reis portugais environ. l’impression d’un livre. 

Liska,s. f. livre: poids commun&ment de | LicENcIAR-Se, v. r. prendre conge. Se per- 
seize onces ; monnaie de compte. Balance : sep- | mettre, prendre des libertes contre les regles. 
lieme signe du zodiaque. — esterlina. V. ce | Devenir licencieux. 
mot, LICENCIÖSAMENTE ,„ ade. licencieusement : 

Lisracäö, s. f.libration : balancement d’un | d’une maniere licencieuse. 
eorps jusgqu’a ce qu’il soit en &quilibre. — de | Licemciöso, A, adj. licencieux : deregle, dös- 
Isa,(4. d’aswr.) libration de la June , mouve- | ordonne&, debauche, 
ment, balancement apparent de la lune owde | Licko. V. Zyc£o. 
ses taches. + Licuen, s. m. (1. de bot.) lichen : pulmo- 


*+Lisnapica, s. f. somme de livres ( mon- | naire de chene, plante cryptogame, parasite. 
Licuinacäö, 8. f. V. Lichino. 


naie). 
Ludkino, A, p. p. de Librar. Licnino, s. m. * meche de charpie dans une 
*Lianinca. V. Lioranga. blessure. 


Lisrir, ©. a. balancer, tenir en &quilibre, | “+ Liciatörıo, s. m. peigne de lisserand. 
donner le contre-poids. Etayer. (#g.) Fonder, | Liatagäö, 3. f. licitation : vente par en- 
faire fond sur. — as suas esperancas em al- | chere, faite par des coproprietaires d’un bien 
guem, fonder son espoir en quelqu’un. indivis. 

Lisrär-s£ (em), v. r. planer, se soutenir + Licırapör, s. m. celui qui fait une licita- 
sur ses ailes. — em alquem, (fig.) se fonder, | lion. , 
s’appuyer sur quelqu’un,, faire fond sur lui. Licıramente, adv. licitement. . u 

Linz, s. f. livree: habit uniforme des pages, Licıtinte, adj. 2 gen. celui qui encherit. V. 
des laquais, etc. —, couleurs qui distinguent Licilardo. p.a. de ı 
les differents quadrilles d’un carrousel. Tous | +Licıtär, v. a. lieiter : faire vendre judi- 

ceux qui portent la möme livree. (Ag.) Cos- | ciairement, & l’enchere, par licitation. Enche- 
rir. 


lume. 
Linuta. V. Löoree. Licıro, a, adj. licite : qui n’est pas interdit 
+ Lisa2o ow —u. V. Lebrel, Gälgo. par la loi. 


Lisrco „a, adj. deLibye, pays de l’Afrique. | Licör. V. Liquor. 
Licanco.V. Licrango. LICÖRNE , s. m. licorne : animal sauvage, [a_ 


Licäre. V. Alicdie. buleux ; cheval avec une longue corne au front, 
Lıca , s. f. lice, aröne ‚amphitheätre, champ | — marinko , licorne do mer ou narwal , espdce 
cios pour los combais, ew. V. Lide. de baleine. 


, 746 


en. 


nn 


LIG 


- .s 

Licos, e. m. pl." trame , fils de latrame d’un 
tisserand. ‘ 

Lickänco, s. m. (1. d’hist. nal.) orvet, or- 
veht, avoye, aveugle : serpent ovipare. 

LicTör ‚s. m. licleur : officier arıne d’un fais- 
ceau, d’une hache dans un laisceau, qui e$- 
cortait les consuls & Rome. 

Lioa ‚8. f. * mouveinents, soins, d&marches 
pour une affaire; tracas, faligue, travail. Com 
muila —, laborieusement. 

Livivo, A, p. p. de Lidar. 

LipanOr,A, s. grand travailleur, qui se donne 

besucoup de mouveınent, beaucoup de mal. 
Guerrier ; combaltant. 
“ Livirn,e.n. travailler, prendre de la peine, 
faire beaucoup de demarches. com) Combat- 
tre, se debattre; se demener. ı Ay.) Disputer; 
avoir affaire & quelqu’un’ d’un caractere difi- 
cile, fatigant.— com muila gente, connaltre, 
frequenter beaucoup de ınonde; Iraiter avec 
bien des gens. Il est quelquefois aclif. Ex. : — 
alguem, punir. tracasser quelyu’un, lui don- 
ner beaucoup de peine, —a tida, travailler, 
lutter contre les maux de la vie. 

Live, s. f. * combat, bataille. (Ag.) Dispute 
litteraire, contestation; aclion en juslice. V. 
Liligio, Demanda. Enirar na —, enirer en 
lice. 

Livıa,, ete. V. Lydia, etc. 

® LIDIMAR. . 

* LioımO, etc. | V. Legitim...., eto. 

Livo, A,p. p. de L#r. adj. Qui a beaucoup 
lu; instruit,, savant. 

Linnöso. V. So. 

Lienteria, 8. f. (6. de mdd.) lienterie : sorte 
de dövoiement sans digeslion. 

Lıto. V. Lyeo. 

Lıica, s. f. jarretiöre. Echarpe pour soutenir 
un bras blesse, demantibul6, etc. Ligue, con- 
federation de plusieurs &lals ow princes pour 
l’attaque etla defense; la Ligue ,confederation 
calbolique, populaire, au seizieme siecle, en 
France, contre Henri Ill et Henri IV, complot, 
cabale. " Alliage : melange de melaux. fig.) 
* Melange. — de lei, "aloi. 

+ Licacio, ». f. action de lier. Liaison, 
union. Suite dans un discours. 

Licavo, A,p.p. de Ligar. 

Lıicänos ,s. m. pl. conlederös, allies. 

Licapöra,s.f. "lien, atiache. "Bandage, li- 
gature. (f. de mus.) Ligature : union, par un 
trait , de plusieurs notes, 

LicacAusa, s. f. Jarreliere. 

Liciue. V. Liame. 

Licimen, s. m. (4. de Ih&ol.) emp&chement 
de mariage. 

Licaum£nto,s. m. action de lier. (t. d’anat.) 
Ligament : muscle, tout ce qui lie, atlache les 
parties. 

Licament6so,A, adf. (4. de bot.) ligamen- 
teux : (plante —se) & racines entorlillees 
comme des cordes; qui a des vrilles,, etc. 

Licän (com), v. a. lier, attscher. Bander. 
Allier les mötaux. (fg.)—, unir. Nouer l'ai- 


LIL 


guillette ,„ rendre impuissant. (id.) Interdire, 
V. Enleiar. Lier par l’excommunication. Los- 
rer, en lerme de musique. — por [eiligaris, 
ensorceler. — com ferros, enchainer. — com 
beneficios, (fig.) engager, allacher quelgu’un 
par des bienfaits. Ndo — zuas ideas, n'avoir 
point de suite dans ses idees. 

Licär-se, v. r. se liguer, s’unir, se con[&de- 
rer. (fig.) Se lier, s’engager, s’obliger. 

Lictıra, s. f. V. Facilidade , Leveza ei L- 
geiro. 

Lickiramente, ade. legerement, avec agi- 
lite; doucement, superßciellement; &la legere, 
inconsiderement. 

Licemeza. s. f. legeret& : manque de pesan- 
teur, souplesse; agilite , vitesse; (Ag.) incon- 
stance, instabilite;imprudence, defaut de soli- 
dıte dans l'esprit, elourderie , &vaporalion. — 
de mäos, tours de passe-passe,, escamolage. 

Liceinice , s. f. legerete. Indiscretion. 

Licrinisstmo, A, adj. sup. de 

Lisrıno, a, adj. leger : peu pesant; agile, 
prompt, dispos. (fig.} —, inconstant, volage. 
Facile,aise. V. Lere. 4’ —a, & la legere. Un le 
dit d’une personne qui voyage avec peu de ba- 
gage, etc. Andar — , aller lesiement, @tre ac- 
til, se depecher. 

Licıo, s. m. (1. de grat.) *lige: droit de re- 
lief. adj. Lige: (bommage —) plein; (homme, 
fiel —) qui le doit, 

* Lıcöma. V. Legume. 

Licneo, a, adj. (poet.) ligneux. V. Lerkom. 

LicniricÄR-SE, ©. Tr. se convertir en bois, se 
lignifier. 

+ Liunivoros, s.m. pl. eladj. (1. d’hist. nal.) 
lignivores : insectes qui attaquent le bois. 

° Lict£ira, 8. f. garnilure etroite dans les 
habits, etc. 

+Licrıa, se. f. (t. d’hist. nat.) ligule: ver des 
intestins dans les oiseaux. 

} LictLöso, a, adj. (1. de bot.) ligule:: taille 
en languette. 

FLicirıa, 8. f. (t. de geog.\ Ligurie : contre 
de la Gaule cisalpine , auJourd’hui le Monterrat 
et les elats de Genes. 

+ Licorino, A, adj. ligurien : de la Ligorie. 

+ Licöstico, s. m. (t. de bot.) ligusticum: 
plante ombellifere de Ligurie ; angelique d 
feuilles d’ache. — do reind , ligusticum du Por- 
tugal i lieusticum peregrinum). 

+ Licöstıco, a, adj. V. Ligurino. 

+ Licistae, s. m. * lleur du troöne. 

+ Licustrino, A, adj. du tro@ne. 

+ Licöstro, s. m. (1. de bot.) ligustrom, 
tro&ne. V. Alfeneiro. 

* Liipımo ( Alho). V. Legitimo. 

Luoxsa, s. f. V. Rhombo. it. Lisonja. 

Lıowmeıno. V. Lisonjeiro. 

+ Lira ow Liria, s. f. (4. de geog.\ Lille: 
ville de France. * Camelot de Lille, en Flandrt. 
Toile de Lille. 

LıiLiz, s. m. (f. de bot.) lilas : arbrisseau 18 
Deur ; queue de renarti de jardin. — da Pern#, 
lilas de Perse. 





LIM ' 

+ Litiiceas, adj. et s. f. pl. (1. de bot.) lilia- 
cees : fawille de plantes monvcatyledones; 
(plantes —; dont la leur ressemble A ceile du 
hıs ordinaire. 

+ LirLiL£, s. m. acclamation des Arabes dans 
leurs fetes. 

+ Liusßıno, s. m. (8. de bot.) liriodendron li- 
liifera. 

Lirio. V. Lirio. 

Liwa, s. f. lime : espece de citron doux 
Lime : outil de serrurier, etc. ( Ag.) Correclion : 
derniere perfection d’un ouvrage. — surdas, 
lime sourde : lime garnie de plomb qui lime 
sarıs bruit; ( Ag.) le teımps, el tout ce qui mine, 
ce qui consume insensiblement. 

LiMADAMENTE, adv. correclement; poliment, 

+ Limaoeıra, s. f. (l. d’hist. nat.) lime-bois, 
coleoptere. 

Lımipo,A,p.p. de Limar. 

Lisandör, 8. m. celui qui lime, qui polit; 
( Ag.) correcleur, censeur. 

Limapüra, s. f. action de limer, de polir. it. 
V. Limalka. 

Lısäce, s. f.letravailde limer. it. V. Limalha. 

LiuiLua, s. m. limaille:: partie de metal quo 
ls lime fait tomber. 

Lımäö, s.m. citron : fruit du citronnier. — pe- 

azedo , limon : [ruit plus petit que le ci- 
iron et qui a besucoup de Jus. 

Lisir, v. a. limer:: polir, couper, amincir, 
user avec la lime; (g.) polir, perfectionner. 
(#d.) Consumer, user peu & peu. 

Lımatiö, s.m. "sorte de lime d’armurier. 

Liuno, s. m. bord, extremitt, suriout en par- 
lant d’une robe. Limbes : s6jour des saints de 
Pancien Testament; sejour des enfanis ınorts 
sarıs bapteme. Limbe ; bord exterieur d’un 
astre, d’un quart de cercle gradue. 

Lımtıra, s. f. arbre qui porte les limes. 

+ Lintnuo, a, adj. eis. nalif de Lima, ville 
d’Amerique. 

Lıura, etc. V. Lympha. 

Lisıar, s. m. seuil,, pas de la porte. 

Liminan, s. m. V. Limiar et Lumear. 

Linınan, adj. V. Preliminar. 

Liniste. V. Lemiste. 

Lisıracäd, 5. [.limitation, restriction. Modi- 


eitk. 

- Lımtrinautnte, adv. d’une maniere limitee 
ow bornee. 

- Limmrapissimo, A, adj. sup. de 

Lrmttäpo, A,p. p. de Limilar. adj. Restreint, 
diminue, borne, reduit. Borne: qui a peu d’in- 
gelligence. Modique, chetif. 

Linıtin, v. a. poser, planter des bornes. 
Donner des bor:es, limiter, restreindre, mo- 
difier, borner. beierminer, fixer. Donner avec 

e, rogner, retrancher. 
ne (a), v.r. se restreindre, se bor- 
ner; sen t-nir ä. 

LimıTarıvo, A, adj. limitatif: qui limite, ren- 
Terme dans des bornes certaines. 

Lıuite ,s. m. "bornes, limites, au propre et 
au Byurt. : " . 


wu 2% 


LIM 787 


Lriuirrore ou —rag, adj. 2 gen. limitrophe': 
qui est sur les limites ; dont Jea limites so lou- 
chent, . 

Liunir. V. Liminar. 

Linniapes. V. Limoniades. 

Lino,s. m. limon, boue, vase, bourbe. °Al- 
gue. 

Lımoipa, s. f. coup donnd avec un limon, 
Conßiure de eitron. if. V. Limonada. 

Lımsotıro, s. m. (£. de bot.) citronnier,, limo- 
nier : arbre toujours vert qui porte le citron, le 
limon. Nom de la prison principalede Lisbonne., 

f LiwoäL, s. m. jardin, verger, lieu plants 
de citronniers, 

Lımonäna , s. f. limonade : boisson de jus de 
citron ow de limon avec de l’eau et du sucre. 
Toute espece de boisson rafraichissante. 

Lımonaptıro, s. m. limonadier ;: qui fait et 
vend de la limonade. 

Lımonsa eb 

LiMontADES. 

Lımonianes, s. f. pl. (t. de mytA.) limonia- 
des : nympbes des prairies. 

Liwönıo, s. m. (1. de bot.) limoine : planie 
caryopbillee, marecageuse. 

Liwos. V. Limo. 

+ Limosim , s. m- (6. de geog.) Limousin : con- 
tr6e de la France. 

Lıuöso,A, adj. limoneux, bourbeax, plein 
de limon. 

Liwpa, s. f. *nettoiement, curage. 

Lıurinpo, A, 9. p. de Limpar. 

+ LiupaooR, A, 8. qui nelloie. — de pogos, 
cureur de puits. 

+ Linpaouna,s. f. V. Limpa. Salete , ordures 
qu’on öte de ce qu’on netloie. 

LiMPANENTE, adv. proprement, avec pro- 
prete. (fg.) Nettement, franchement, sans de- 
tours. 

LimPÄr, 9. a. nettoyer, curer, Öter la salete. 
(Ag.) Purißler, rendre pur. (id.) Purger un pays 
de brigands, la mer de pirates, etc. (fam.) Vo- 
ler. Detacher, öter les taches. V. Alimpar. — a 
chamine, ramoner une cheminde. — a con- 
sciencia, se confesser. — um pogo, Curer un 
puits. — 0 fundo d’um navio, espalmer un 
vaisseau. —asaperas com a lanada, &couvillon- 
ner les canons. 

Lımpüza, s. f. propret& : soin de la nettet& 
dans les habits; nettele. (fg.) Pureie, chastete. 
(id.) Purets de sang dans les familles non al- 
lites avec des Juifs, des Maures, etc. — de 
bolsa, ifam.) manque d’argent. — de coragdö, 
purete de caur, d’intention. — de mdos, inte- 
grite , desinleressement. 

Liwpna, etc. V. Lympha, etc. 

*Lısriväd. V. Limpeza. 

Linpioissımo, A, adj. sup. de 

Lisrivo, A, adj. limpide : clair, net, trans- 

nt. . 

*Lıupinde. V. Limpeza. 

LıuPissıno, A, adj. sup. de 

Limpo,Aa,adj. propre, net; clair, pur. (lg.) 
Propre dans ses habillements, bien mis, är- 


| V. Limonto. 


D [ 737 yeoV , LI cv 791 u. 7} 


748 LIN 


range. (dd.) Bien ne. (id.) Pur : sans tache, sans 
delaut,. Decrasse. — de mäos, (fig.) qui a les 
mains nettes : iniögre, incorruptible. Joger —, 
(fg.) jouer franc jeu, ne point tricher, ow agir 
de bonne foi. Tirar a—, transcrire , melire au 
net ‘une £criture, elc.)\; (Ag.) €claircir, de- 
brouilter une affaire. Tirar a suaa —, se lirer 
d’un mauvais pas avec honneur. Tirar a sus 
palavra a—, tenir sa parole. — de sangue, 
qui n’a jamais eu ni Juifs, ni Maures dans sa 
famille. Ficar —, (fam.) rester & sec, sans ar- 
gent. 

+ LisuLo, s. m. (1.d’hist. nat.) limule : crus- 
face branchiopode,, xiphosure. 

Linäcesm. V. Linhagem. 

Linänıa, s. f. (4. de bot.) linaire, ou lin sau- 
vage, plante. 

Lixcek. 

Lincörıo. | 1% Iyne... 

Lina, s. f. borne, limite ‚ sentier qui separe 
les champs. 

Lixpame£nte, adv. joliment, proprement, 
avec gräce, gentiment. 

+ Linpänte, adj.2 gen. attenant, avoisinant. 
p. a. de 

Linpär, vo. a. borner : fixer les bornes d’un 
chaınp. V. Demarcar. (com) v.n. Avoisiner,eire 
contigu, attenant. O seu jardim linda com 0 
meu, son jardin est altenant au mien. 

Lıinoe. V. Linda. 

*+Lixoeıra, 3. f. ornement dans les jamba- 
ges de porte. it. V. Linda. 

*+Lınotiro, A, adj. limitrfophe, voisin, 
contigu, attenant. 

*+Linpkiro, s. m. * borne, limite, etc. V. 
Linda. —s, e confins d’um campo, tenants et 
aboutissants d’un champ. 

“+ Lines, s. m. pl. limites : bornes, extre- 
mites d’un champ. 

Linotza,s.f.beaute, el6gance, bonne gräce, 
gentillesse. 

Lınpissımo, A, adj. sup. de 

Linno, A, adj. mignard, beau, joli; gentil; 
agreable, gracieux. (fig.) Bon, parfait, exquis. 
Que —! que cela est beau! — mogo, gentil 
garcon. —a menina, gentille demoiselle. —@ 
pera , bonno piece. 

LineiL, adj. 2 gen. (l. de prat.) lineal : (suc- 
cession —e) dans l’ordre d’une ligne de pa- 
rente. it. Qui a une ligne d’epaisseur. 

LiNEAM&NTOS, s.m. pl. lineaments : trails du 
visage. 

Lıneir, adj. 2 gen. lineaire : qui a rapport 
aux lignes; qui se fait par des lignes; en il. 

+Lınca,s. f. (t. de mar.) elingue : corde & 
naud coulant pour soulever. 

+ Lincär, v. a. (l. de mar.) elinguer : mettre 
des &lingues ; soulever (des fardeaux, deston- 
neaux) au moyen des elingues. 

+Lıinoari, s. m. lingam, lingar, lingum, 
pballus. 

Lincoa ou } langue : partie charnue,, mo- 

Lincva,s.f. ) bile dans la bouche, organe 
du goüt, de la parolo ot de la voix; ce qui on 


LIN 


a la forme; portion de terre; idiome, langage 

d’une nation; mois qu’elle emploie pour s’er- 

pliquer. Connaissance,, information. Languetie 

de balance. Anche (de tuyau d’orgue, etc.). — 

malerna, nalural,, vulgar ‚langue ınalernelle, 

langue du pays ou !’on est ne. — vigerina, 

serpenlina, de escorpiäo, (fig.\ langue de vi- 

pere : mauvaise langue, medisant, calomnia- 
teur. Md — , mauvaise langue, medisant. —de 
[6go,, Damme en forme de langue. — d’agus, 
rivage, bord d’une riviere, fleur d’eau. —de 
terra ‚langue de terre, espace etroil qui S3- 
vance danslamer.— viva, languevivante, par- 
lee. — morta, langue morte, ancienne. Esler 
com —de palmo, (fig.) tirerla langue d’un pied 
de long; avoir un desir, une envie , une ardeur 
extreme. Meia —, (fam.) personne begue. — 
de (rapos , bredouilleur. Pör a — em alguem, 
fig.) donner des coups de langue, parler mal 
de quelqu’un,, medire. Ter uma cousa debaim 
da —, avoir une chose sur le bout de la langue, 
etre pres de s’en souvenir, de le dire. Pucher 
pela — a alguem, mettre quelqu’un en train 
de parler. Deitar a — föra para a mostrar ar 
medico , tirer la lJangue pour la miontrer au me- 
decin. Ter, saber alguma cousa na ponla da-, 
savoir sur le bout du doigt. Vezar-se pela—, 
dire indiscreiement toul ce qu’on pense. Nöo 
ier papas na —, avoir la langue bien eflilee, 
parier beaucoup et hardinient. Tomar—.pren- 
dre langue, sinformer, ailer aux enqueies. 
Perder pela —, ou prla — morre o peizz, 
(pror.‘ senuire par la langue en parlant.— 
rerrina, t.debot.)V. Doiradinha. — de cdi. 
V. Cynoglossa. — de vacca. V. Buglossa. — de 
eavallo. V. Hypuglossa. — de serpente ordina- 
ria , ophioglosse , langue de serpent. — de ser- 
pente do reino, ophioglosse du Portugal. 

LincuaA ,, s. m. interprete, trucheman. 

} Lixcvipa, 3. [. petit poisson , espece deli- 
mande. 

LinGuino, s. m. * sole : poisson de mer plal. 
— sapaleiro, moule, moule embarillee. 

LInGuUaGEM, s. f. "langage, langue, idieme; 
diction, elocution, style, mamıere de parlet. 
—ens, pl. les conjugaisons des verbes. 

* Lincuainga. V. Linguiga. 

+ Lincuasar, v. a. expliquer, parler en lan- 
gage vulgaire. 

LincuaL, adj. 2 gen. lingual : qui apparlient, 
qui a rapport & la langue (nerf, ariere —); 
formee par la langue ( consonne —e\). 

Lincvaräz, adj. 2 gen. babillard. Medisant, 
mauvaise langue. 

+ LinCVARAZMENTE, ade, avec bien du c& 
quet. 

Lincvankıro, A, adj. babillard, bavard, qui 
a beaucoup de langue, 

Linsuaruno. V. Linguaraz. 

+ LincuätuLa, 8. f. (1. d’hist, nat.) lingus- _ 
tule : vor intestinal polystome. 

LincoEıräö, 5. m. sorte de poisson de mer. 
LinGUETA,, 8. f. languelte, petito languo, 9 











LIP 


forme ; languetts d’instrument de musique, 
anche. Pene de serrure, etc. 

Lincufte, s. m. (ft. de mar.) linguet:: piece 
pour arröter le cabestan. 

+ LincuLa, s. f. (8. d’hist. nat.) lingule: 
mollusque acephale. — em forma d’unka lon- 
ga, le bec die cane. 

‘ Limcvica, s. f. saucisse, andouille. 

LiNGUIFORME, adj. 2 gen. linguiforme : en 
forme de langue. 

Linua, s. f. ligne: trait simple, considere 
sans largeur ni profondeur; suite continue de 
points matbematiques; suite de mots dans la 
largeur de la page; cordeau, ficelle pour ali- 
gner; une suite de descendants d’une race, elc., 
lignee ; ligne equinoxiale, l’&quateur. —, rang, 
rang6e ; (. mil.) &tendue d’un ou plusieurs ba- 
taillons. * Fila coudre. —, raie, traits dans la 
main; mesure, douzi&me partie d’un pouce; 
fil, corde, etc., pourpeeher avec un hamecon; 
( Ag.) suite d’actions ; marche, conduite ‚route. 
— dagua, (t. de mar.) ligne de flottaison. 
— d’alaqus,, ligne d’approche. — do ventv, Ii- 
gne ou direction du vent. — recla, ligne droite, 
ligne directe. Tropa, ndo de —, troupes, vais- 
seau de ligne, par opposition & troupes, ä& vais- 
seau leger. —s de forlifcagdo , lignes de forlifi- 
cation. —s de eireumvalagäo , tranch&es, lignes 
de eirconvallation autour d’une place assiegee. 
Deitar as suas —s, ( fg.) prendre ses mesures. 

Linuica , s. f. graine de lin, linette. 

* Lmaioa. V. Ninhdda. , 

Linuäcenm, s. f. "lignage : famille, extrac- 
tion; race; gen6ration, descendance , lignee. 
(Ag.) “Genre : sorte, 6spece. — humana, le 
genre humain. 

LıinHaAcista ‚s. m. g6ndalogiste. “ 

LınnäL ow Lınaar, s. m." liniere : terre se- 
mesen lin. 

+ Linuzino, A,adj. (4. de bot.) ligne : mar- 
qu6 de lignes fines (plante —e). 

Lısaßıro, A, s. linier, —ere : marchand, 
{abricsnt de lin. Vendeur, —euse de fill. 

Lingo, s. m. lin : plante annuelle. Toile de 
lin. — cdnamo, chanvre. — purgante , lin pur- 
galif. Panno de —, toile de lin. 

Lınnö ow LinuöL, s. m. fllnoir des cordon- 
niers. 

+ Liniau£nto, s. m. trait, esquisse, &bau- 
che (en peinture, ou sculpture). it. V. Linea- 
mento. 

Lunım®nto,s. m. liniment : application ext£&- 
sieure de substances huileuses, pour amollir, 
adoucir, resoudre et humeiter. 

Lıo,s. m. paquet, ballot, trousse. V. Mölho. 

Lıiöa, V. Leda. 

+ LiosÄTo, s. m. sorte de poisson, 

Lioutıra. V. Leoneira. 

+ Liörnz, s. m. (t. de geog.) Livourne : ville 
forte , et port de Toscane. 

Lıöz, adj. 2 gen. Pedra—, "grös; pierre A 
bätir. Marbre. 

+Lirite, s. m. (1. d’Asie) dix chapelets en 
verre que les femmmnes Galres portent au cou 


LIS 749 


en forme de collier, et qui passent comme de 
la monnaie & Sofala, etc. 

Lipes, adj. 2 gen. Pedra —, vitrio! bleu. 

Lipirıa, s. ou adj f. Febre —, (1. de med.) 
lipyrie: fievre ardente, continue, avec un froid 
exterieur. 

+ LirocrammÄTIco,A ‚adj.lipogrammatique. 
On le dit des ouvrages oü Il’on affectait de ne 
pas faire entrer ceriaines leitres de l’alphabet. 

Lıpömo , s. m. (t. de chir.) lipome : loup 
graisseuse. 

Liröre, s. m. monnaie de Mozambique. 

Lırotuv’sıa, 8. f. (t. de mid.) lipothymie : 
defaillance presque Lolale, des esprils. 

LiPptötes, 8. f. liptote : figure de rhetorique. 

Lioueracgäö,s. f. liyquefaclion : changement 
d’un solide qui devient liquide. 

Ligteractivo, A, adj. liquefiant. 

LiQuErAZER, 0, 8.,—SE, ©. r. se liquefier, 
devenir liquide. 

Liqguescer, vo. n. fondre, se liqueßier. 

Ligue. V. Lichen. 

Liyrinagäö, 8. f. liquidation : action de li 
quider. 

LiquımiApdo, A,».7.de Liquidar. 

Lıiguinämear ‚s. m. liquidaınbar vowcopalmes 
ambre liquide, resine liquide. 

+ Liauipamareıro, 5. m. (fl. de bot.) liqui- 
dambar ow copalme : grand arbre d’Amerique 
qui fournit Pambre liquide. V Liquidambar. 

LiQuipaMPnTE, ade. liquidement : d’une ma- 
niere claire, liquide. 

Liquivär, v. a. liquefier : rendre liquide; 
dissoudre. (fg.\ Liquider : rendre clair et cer- 
tain ce qui est incerlain et embarrass6 (un 


| compte, des biens, des dettes); eclaircir. 


Liquipez, s. f. liquidite : qualitö de ce qui 
est liquide. 

Ligvivo , A, adj. liquide : (corps—) qui a ses 
parties fluides; (bien—), net, clair; (consonne 
—), facile a prononcer. Resta tanto de —, il 
reste tant de net. 

Liauinos, s. m. pl. liquides : les aliments 
liquides. 

Liquor, s. m. *liqueur : substance fluide et 
liquide; boisson qui a pour base l’eau-de-vie, 
Pesprit de vin. 

Liea, eto. V. Zyra, etc. (vieux.) V. Lie, 
Borra. 

Lirıo, s. m. (t. de bot.) lis : plante bulbeuse, & 
fieurs grandes et odorantes; sa leur. — branco. 
V. Agucera. — biflöro das rochas, iris de deux 
saisons. —convalle, muguet, lis des vallees, 
muguet de mai. — falso-acoro ou — amarello 
dos charcos, iris des marais, flambe bätarde, 
faux acore. — cardeno, iris germanique, la 
fliambe. — esqudlido, iris Jjaune-sale. — de Flo- 
renga, iris de Florence, la flambe blanche, 
— purpüreo, iris double bulbe. — vermelho. 
V. Hemerocallia. — rox0 , iris bulbeuse. — dos 
linlureiros, gaude. 

Lis. V. Liz. 

LisAN£&xTE, adv, uniment, ingönument, Bang 
detour, 





752 LOC 


Lö, 3. m. espöce de gaze. Pdö de —, biscuit 
de Savoie. 

LöA, s. f. * prologue d’une piöce de theätre ; 
sorte de composition en vers pour louer. (anf.) 
Louange. — e honra, los et honneur. 

*Loäno. V. Louvddo. 

Loinpa, s. f. (l. de gdog.) Loande :tle du 
royaume d’Angole. Mal de —, scorbut. 

Lösı, 8. f. louve : femelle du loup. (fg.) 
Prostituee. Espece de soutane sans manches. 
Parir a —, louveter : faire ses petits, parlant 
de la louve. 

Losipo, A, adj. (1. de bot.) lobe : (feuille —e) 
parlagee en lobes. 

LoBacAnte, 3. m. espece de langouste de 
mer, de couleur bleue et tachetde de noir. 

+ LosiL, adj. 2 gen. de loup. 

+ Losaariz, s. m. (t. d’hist. nat.) anarrhi- 
que : poisson apode. — do norte, loup marin. 

Losiro, s. m. louveleau : petit loup qui est 
encore sous sa mere. 

Lopiz, s. m. (1. burl.) grand loup. 

Los£ıro, #. m. chasseur de loups. Loure- 
ter. 

Loptuıa, 8. f. (8. de bot.) lobelie : plante 
campanulacte. — azul, cardinale bleue. 

Los£ro, s. m. piece d’un moulin. 

Losinno, s. m. dim. de Lobo. Louveteau. 
®Loupe, tumeur ronde, enkysiee,, sous la peau. 

Losisuoutım. V. Lupishomem. 

L680 ,s. m. loup : animal carnassier, ressem- 
blant au chien de berger. —, constellation $. 
Sorte de jeu d’enlanis. — asnal, grand loup. 
— corval, loup cervier. — marinho, loup ma- 
sin, poisson. Entre o— e o cdo, entre chien 
et loup. Ver as orelhas ao —,(fig.) se trou- 
ver dans un danger exirdöme. Fallai no — ver- 
ihe-heis a pelle, (prov.) quand on parle du 
loup on en voit la queue. — ndo mala — , (1d.) 
les loups ne se mangent pas. Aquelle homem 
foi aos —s, cet homme a crie au loup : so dit 
d’un homme tres-enroud. 

Löso, s. m. (4. d’anat.) lobe:: piece molle, 
zonde et plate; (4. de bot.) coquien a laforıne. 

Losocäirto. V. Lobo cerral. 

Losrzcis. V. Lobrigar. 

Lönrecu,, A, adj. obscur, sombre,, tene- 
breux, Nıgubre. 

Losricäno, A, p. p. de Lobrigar. 

Lopnicanon. V. Explorador. 

LoBricär, v. a. enirevoir, voir imparlaile- 
ment, jeter furlivement un coup d’@il. 

+ LopuLärıo, s. m. (tl. d’hist. nat.) lobulaire : 
zoophyte. 

+ LöstLo, s. m. lobule ; petit lobe. (#. de bot.) 
Lobiole. 

Locaciö, 8. f. (t. de chir.) * remboltement 
d’un os disloque. (8. de prat.) Location. V. Alu- 


quer. 
LocacıvÄpe,. V. Loquacidade. 
* Locapon, 3. m. localeur : de qui on loue. 
Local, adj. 2 gen. local: qui appartient, qui 
a rapport au lieu. s. m. Un local. 
Locauinäpe , s. [. localii : particularite, cit- 


LOG 


constance locale; lien, local; qualit& dePätre 
en tant qu’il occupe une place. 

LociLuensg , adv. localement : relativement 
au local, d’une maniere locale. 

Locir, v. a. (b. de chir.) rembolter un os 
disloque. 

Locarir1ıo,A, 8. locataire. 

* Locaz. V. Loquaz. 

LocaıiL, adj. 2 gem. (1. de mdd.) lochial : des 
lochies. 

Löcuios, s.m. pl. (1. de med.) "lochies: vi- 
danges, flax de sang, evacnation apres l’ac- 
couchement. 

+ Locouocid, s. f. locomotion : changement 
de lieu. 

Locosmorivo, a, adj. locomotif: qui change, 
qui peut etre change de place. Faculdade —, 
facultö locomotive. de se mouvoir. Machine 
—s, machine locomotire, qui a la puissanee 
de deplacer et de faire marcher une chose. 

Locomorkiz, adj. f. locomotrice: qui op&re 
je deplacement. 

LocoTEnente. V. Lugarienente 

Locrinses, s. m. pl. Locriens : 
Grece. 

Locvciö, s. f. dietion , locution , expression, 
phrase , facon de parler. 

Locusta , s. f. V. Gafanhöto. 

LocuT6r10, 8. m. parloir de religieuses. 

LopacäL,s. m. gächis, bourbier, lieu plein 
de bourbe. V. Lamagal. 

Lonäd, s.m. (4. de bot.) V. Löto. — do Egypio, 
lotier d’Egypte. 

Löpo, s. m. limon, boue, bourbe, fange, 
vase. Pör de—,, (fg.) injurier, outrager en pa- 
roles. Pör-se de —, se donner au repos, ne rien 
faire. Tirar o pe do —, (ig. fam.) se lirer d’al- 
faire, d’embarras ; reussir. 

Lopöso, a, adj. gächeux „boueux ,bourbeus, 
fangeux. 

+Lotnpro,s. m. (#. debof.) laurose com- 
mun ou d’Europe, laurier-rose. — da Indis, 
laurose de !’Inde. 

Logssuno&ste. V. Odssudoeste. 

Locir. V. Luger. 

LOGARITHMICO, A, adj. logaritbmique : du 
logarithme , de sa nalure, 

LOGARITHMO, 8. m. (6. d’arith.) logarithme :: 
nombre pris dans une progression arithmeti- 
que, repondant & un nombre d’une progression 
geometrique. 

Löce ow . 

Löcn,n.f. 5 V-Idie 

Locia, s. f. (mofgree, en comp.) logie, dis- 
cours, traite. \ 

Löcica, s. f. logique: art de penser et de 
raisonner juste ; science qui l’enseigne. Dialoc- 
tique. Em bda —, segundo a bda — , en bonn® 
logique. 

LocicaL, adj. 2 gen. logical : fait logique- 
ment. V. Lögieo. 

LöcıcamenTte , adv. logiquement : conform& 
ment ä la logique. 


peuples dela 


Löcıco „a, adj. logique ; conforme & la log 


.. ori). — 


- 








LOM 


tue. s. m. Logieien : qui studie ou posscde la 
logique. 

Lociswo , s.m. calcul,, suppetation. 

* Loco. V. 

L6cC® , ade. aussitöt, Ineontinent, sur-le- 
champ, "bieniss, dt. Ensulte, depalis, apres. 
Done, par consequenh Desde — , @abord. — 
per Santo , ainsi , partant de 1ä. Logo —, sur- 

e-champ, tout de suite. — que, sisöt que. 

Loooenirme, #. m. Jogegri sorte d’e- 
nigme par la transposltion des syitabes d’un 


mot, i 

Locomacaia ,s. f. legemachie : disputo de 
meets. 

TlLocomiamma, s. f. logotechnie : science 
den mais, de jeurs aosepläiuns. . 
GOTEENTE. 

LOCOTENENTE. | V. Lugarienente. 

+ Looorstra , e. m. logothöte : interprete des 

s contröleur des Änances. 

Locsaciö,s. f. iromperie, ruse, piege, tour, 

alisspe. 
Locnaptına, 8. f. [omme trompeuse. 
Locrivo, a,p. p. de Lograr. 
Loonands,A, s. qui cherche A altraper, ä& 
tromper quelqu’ un, trompeut. 
uno, s. m. ” promenade publique; 
terrain devant une maison. 
. Leanauswro. V. Lögro. 

Locain, o. a. obtenir, acquerir, gagner. Pos- 
söder, jenir. Profiter de, meltre ä prolit. Attra- 
por, tromper. — salde , se bien porier. —o in- 
(ont, parvenir A ses Uns, reussir, alteindre le 
but, voir ses esperances r&alisees, [aire som 


up. 

Locais, u. ». faire son eflet, reussir. 

Locain-ss, ©. r, jouis de, lirer prolit de. 
Parvenir a ses fins. 

* Loenlın0, 5. 1m. usurier. Celui qui acheie & 
vil prix pour revendre cher, monopoleur. 

Laano, s. m. " possession ‚Jouissance. Gain, 
prolit, interet de l’argent; usure. if. V. Logre- 
gdo. Dar a — , pröter A usure. 

14680, Ve Logo. 

+Loo, es. m. etadj. de la congrögation de 
saimt Jean 4vangelisie,en Portugal. Azul —, 
bien aant. —s ds jardim abluei ow bleuet, bar- 
boau , ospece de oenlauree. 

Loman, eic. ! Y. Dure 

Loino, ete. . 

Los. V. Zouse. 

° Löıto. V. Lucte,, Tristeza. 

Lösa, 3. f« * rez-de-chaussee d’une maison, 
Lege de porüier. Boutique. Homem de — aber- 
fa, qui tient boutique,, marchand en boulique. 
SFochar a—, ferner boutique. 

Launa, 3. f. " cotwau, oolline, lLorire, Pla- 
tesu. 

Lomsipa, 8. f. V. Lombo. Dos d’un livre re- 


Lowr®... b} ete. 


ke. 
LousäL ou —AR, adj. 2 gen. lombaire ; (re- 


gion —) qui epparlieat aux lombes. 
+ Lonshana ,s f. vorte d’anucienno escopciie 


vonyc de Lombardie. V. Uomberda. 
FORT. ER, 


LON 753 
Lomsarp£ıaı. V. Bombardeirs. 
TLousaania, s. f. (. de geog.) l.amıbardie: 
coulede de !’lLalie septentrionale. 


+ Lousänpıco,, A,adj. de Lombardic. 

LOMBÄRDO, A ads. et s. nalif de Loinbardir, 
Lombard , de Lombardie, Cowve —s, " okou de 
Lombardie. 

Loun£iro, A, adj. des lombes (cuir, pcau). 

Lonso, s. m. lombes : partie infericure du 
dos. Reins;; &paules, dos. *Saillie, avance. Des 
d’un livre. — de vitella, lounge de veau. — de 
porco, filet de cochon. — de vacca, aloyay, 
fiiew de besaf. Derrear 08 —s, ereinter. 

Löksuciı, adj.2gen. (1. d’anat.) lombrical: 
(muscles —aux) des doigis, en forme de 
vers. 

Lousnica, s. f. " vor-qui s’engendre dans le 
corps de l’bomme. — solitaria, ver solitairef, 
könie. 

Lousaıcußına, s. [. aurone, plante. 

Lowsioo,A, adj. reints: qui a los reins forts 
et larges. 

*Louzin. V. Nomear. 

Losıxapo. V. Illuminado. 

Löna, s. f. teile A voile de chanvre &cru. 

Loxpim. V. Lunde. 

+ Lonpres, s. f. Londres : capitale de la 
Grande-Bretagne. 

Lonprino, a, adj. de Londres (fromage). 

Lonca,s. f. Llanche : note de musique dont 
deux veient une ronde. 

*Loncinauente. V. Longamente. 

LoncäL, adj. 2 gen. Castanhas —des, ch4- 
taignes plus longues que les ordinaires. 

LoncauAnte , adv. longuement, longlemps, 

Loncanina, & f. Oculo de —, lunetle de 
longue-vue. 

Loncanımıpäne, 8. f. longanimile : patience, 
constance, fermelö d’äme; clömence de Dieu 
qui tarde & punir; palience d’un roi, d’un su- 
perieur contre les Injures, par boni6 ei gran- 
deur d’äme. 

LOncänımo, A, adj. palient,constant, ferme 
dans l’adversit®. Longanime : qui a do la lon- 
ganimite. 

LoncangLa,s.f.(l.burl.) bomme long comme 
une perehe, 

* Loncanıca. V. Linguiga 

Lönes,, adv, loin, de loin; ügrande distance. 
Beaucoup. Ao —, au loin, dans le loiniain. 
Hui —de, bien loin de. De — — em —, de di- 
stance en distanco, de leınps cn Veınps, do 
temps & autre. Tdo — esid d’isso, tanı s’en 
faut. Kstd muilo — Jodo de ser bio doulu cumo 
Pedro, il s’en faut do beaucoup que Jean soil 
si savanı qua Pierre, Estere ldo — de u querer 
offender que ao conlrario o defeadev, lant 
sen faut qu’il l’ait voulu offenser, que Indrue 
N Ya defeudu. — da vista, — do coragdo. \. 

"isla. 

+ Lance, adj. 2 gen. Longes lerras, pays 
Cloignes, lointains. 

Löxce, s. m. loinlain, en lermes do pointure. 
—s, pl, dloignoment; distance. (fg) Y. Seme- 


“ 


164 LOR 

Ihanca, Apporentid. Notice , Mio “eigiiee. 
Ter bons-—ı, ou melkores--e que perios ‚(fam.) 
on le dit d’une chose meilleure de ein qus de 
pres. 

Lonoerinioe, s. f. gramd üge ; longevitö, 
longue durde de ha vie. 

Lonc£vo, A, adj. fort vieux, trös-&g6} Par- 
venu A un Age Irds-avancc. 

Loncıwino, a, adj. qui a de Ionguod malos. 
Hono — ‚tt. d’hist. nat.) le gibdon. 

Loncheerria, 8. f. longimettie : art de m®- 
sarer les longueurs. 

LonGingto, A, adj. !olntain,, lolgme. 

Loncirepe, adj. 2 gen. (podt.) qui a de longs 
pieds. 

Loncissıno, A, adj. sup. de Longe. 

Loxchtöpe, s. f. Iongteur, etendag en Iong. 
te. de geog.) Longitude : distanee d’un wert- 
dien local au premier meridien, prise sar !'4- 
quateur. 

Lonertuvmat, adj. 2 gen, longitmdinal : 
etendu en long. 

LoncıruninäLmentk,, ade. longitädinale- 
ment, en longueut. 

Loncd, Aa, adj. long: yut a de la longueur, 
de la duree; prolixe, diffus. Ao —, tout du 
ong. 

Lönco, ade. longtemps. — vivas, que vis 
viriez longtemps. 

Loxcosarno. V. Lombardo. 

+ Loncönes ow Lincönes, 8. m. pl. peupie 
de la Lyonnaise premidre, sujourd’hui Lan- 
grois, habilants de Langres. 

Loncon. V. Comfrimenio. 

Loncreimäö,s. m. (tl. d’hist. nal.) solen co- 
quillage bivalve, acCphale, en etui 0a rhaniche 
de couteau. Sorte de petit poisson qui Fessem- 
ble 4 Pepinoche. 

Lonctissino, a, adf. sup. de Longo. 

Loxcöra, s. f. longaetır. V. Longitede. 

Lostea , 8. f. (1. d’hist. nal.) loutre : animal 
amphibie de la grosseur du blalreau : vit de 
polssons,. 

Loocn ow Loox, s. m. lok : dlettusire oa? 

oitrine. . 

oauice. V. Loguas. 

Loquacipine, s. f. loquacits, bebil. 
Loquacissino, A , adlf. sup. de 

Loaviz, adj. 2 gen. loquuce, bavard, babii- 
ard. 

LoquizH£nte, ado. avec bien du eaquet. 

Logrtua, s. f. maniöre de parler pardou- 
liöre & chaque personne. V. Locupllo. 

Loqutre. V. Cadeddo. 

Löatıo8, V. Lochtos. 

+ Löscua, &. f. sorte @’embareatlan asiäli- 


e. 
T Löupe, 8. m. lord : titte, seigneut eit An- 
glelerre. Casa, camara dos —s, chambre des 
lords, chambre haute. 

Lorica ow Lorica, 5. f. cuirasse, eorselet : 
arme defensive. 

+ Lonicänıa, 8. f. (tl. P’Mfst. Kal.) loricdire : 
poisson cuirassier, 


LOU 


Lomtekö ,e. 1. ug. de korige. 

*Lonıchm. V. Lorigdo. 

+ Loniz, s. u (4. #Misl, nal.) Vorl . man- 
mifere maxis ow lömurien. V. Lmure, 

LönO, 2. 0. " diividse : anurroie qui porte 
P’&tgier. " Cowwsrois, landen. 

Lösea ‚s. f. (4. de bot.) abeinibe aemmand, 
absinihe amäre, V. Absintbio. = do ram, ar 
moise em arbre , ausig. aheinibe de Portagal. 

+Löra, 0. f.(b. d’hist. ah) late; ensellen! 
poisson @’vau deuos, de genre du gadg. 

+ LörTa, s. f. endrolt od l’on amasse le peie 
son potter Yostimas, io Saxer. 

LotacAö,s. f. taze, prix, valeur des cheser, 
esiimation. — du ink, miztise da Fit. — 
d’um navio , capacli# , suntenaate, port, Pol 
tee d’un vaisseau. 

Lorino,A,p.p.de Lotär. 

Loranön, 3. m. priselir, esimmmenr. — de 
vinhos, vefei (qui mittionne lovin, qui eyem- 
nett. 

Lorir,o.a. estimer, taxer, priser. als, 
melanger, miztiohner fe vih. 

Löre, e. m. "bande, teuupe. (Ag) "Sorte, 
qualite. Lot: gain & ta Iotorte. + de fasendar, 
lot de marchandtses. 

+ L.ortıno, 5. m. (1. @ Bot.) 1er: piiate 
l&gumineuse. 

Lorenia , s. f. loteriö ı sorte de bumıyus elich 
lots sont tires ad hasard. 

Löro, s. m. loto : Jeu , eup&oe de Totarie juake 
avec des boulas et des cartohs nınmorutlh. 

LöTo,s. m. (}. da dot.) lotas, Iotuw'; plate 
aquatique, füre d’Rgypte: sa fNeur ; unpöce de 
figuier & frults exquis. (1. d’ant.) Lotos : urrt 
fabuleux d’Rgypte, dont Ies Traits delielen: 
faisaient oublier aut #trängers Iowr palrie. 
— de Tunes, jujubier des Lotepbages. — & 
Italia, plaquerinter d’Baröpe, füux Iouler d4- 
ihenes. 

Lorörnacos, s.m. pl. Lotophages : peuples 
d’Atrigde qui virdient de Toron.” 

Loucautnte, ddp. follernent. 

Löuca , s. f. vaisselle : co qui ort & Futape 
ordinalre de fa table, eotinn® pfäte ; wusielies, 
etc. — da coziahk, ustensiles, batsatle de ak 
sine. — das adögas} les utteirtiles abeesualres 
pour la vendange, puur garder I6 vin, comme 
tonneaux, cures, eic. — de zu de pedre, fulente. 
— ds barro, valsselle de terre, Yorerie. — da 
India, da Chins ou Ane, yorbelsite. — ds 
präla, vaisselle Pargent, a A 

Lotcatmmi , 8. f. "habits 06 wyasiagens 
diögant, beite toflette. * Ornerkents, perıf®. 

+Locitano, a, adj. par6, orbä, dlögent. 

Lovcimente, ade. elegamınems; wre seht, 
tichement, propremetst. Arco riguaun, Detuld, 
sante. Avec veordure, touffu, en ps 
ncania, a f dlögance. Verdute 

ugania, 5. f. parure, erduft, 
toufe des arbfes, des piätten Jals, geield, 
bonne humeur. Vigeeur, vivaoitd, Sande. 

Lovci6, ci, af. tonllu, vers, on parlamt des 
plantes, des are. Gal; Joyoux, Hell, BR: 











BAU 
ugt6able+ Slıımı; dlerımintt ,. Bien parb. ( Ag.) 
Vert, vigoureuz, robuste, gaillard, sain. 
A,s. f. fertme qui vehd de Ia falehce, 
wo poterie, ete. Armolre pour serrer la valı- 
Locckıno ‚s. m. potier, faiencier; marchand 
os fabrivent de polerle. 
Löcco, a, adj. fou, insense; inconsidere, 


qui agit sans refletion. Extravagant. —, simple, | €1 


er&tiüle. Infatud, enteie de. Estar — por al» 
yuma cousm ou Pesson, &tte fon d’ane chose ou 
d’une persome. Um rise —, un rire fon, sans 
motif. Um —, un 6chappe des Petites-Maisons, 
Eitar, Rear — da contente, (Ng.) Etre excessi- 
vorment! content. Dewigar 43. V, Bexigas an 
. A palaoras —as orelhas moucas, (prov.) 
fölle detnande il ne fat point de Sonse. [\ 
folles paroles sourdes oreilles. 

Lovcöka,e. f. folie, Aemence. Sottise , ettra- 
vagance, absurdte: Fazer —4 , faire des fölies 
dans un acce&s de joie ou d’afliction. Sew amor 

a —, son emeour va jusqu’ä 1a folie, 

— emprehendtl-0, c'est folle que de Fentre- 
prendtre. 

Lovotı. V. Laudel. 

+ Locovesin, v. n. dire, faire des folies; 
exttävagder. 

Lovoticz, r. fi folle, denterfce, sottise. 

Lovquinno,, a, adj. dim. de Louco. Petit fou, 
Hourdi. 

Lövna,s. f. “terrier de lapin. 

Lotaa ow Lounäca ‚s. m. (pop.) hömme sans 
experience, norice. 

Lovri0v0,4, 9. p. de 

Lourir, v.a. ei n. Jatnir. 

Lovuazcea, o.n. Jaunir: derehir Jaune; bion- 
dir, se doter, en parlant des bies, etc. 

Lovunzsjin, v.a. etn. V. Enlourectrt. 

Loontıno, A, adj. tete lögere. V. Inquieio, 
Pravesso. Mulker —a, femme coquette. V. Na- 


moradeira. 

Locktiao 0u Löwmo, s. . (1. de Bot.) laurıer: 
arbre toujours vert , monopetale. — H’Alezan- 
dein, fragen: & famille nues, laurier alesan- 


Er Bun Atwafrdr, laurier Sassafras. — tom«- 
, \Wußler-saace. — real. V. Lowrocertjo. 
PR ei ‚s. f. (t. de boi.) laureole ou ga- 
„ fomea. V. Mezereo malor. — macha 

V mernor. 
ebene, 4, &d}, Chvallv —, cheral ts- 


ebett. . 

Lounloa ‚etc. V. Lorigd, etc. 

Lötun, 3. m. V. Loureiro. Laurier : symbole 
de 1ä vicleire; (g.) Iä Fictoire, bonheur da 
vsinqueur. (id.) Prix, couronne, gloire, trilom« 
pbe. Coihtr —s, (id.) vuelllir, molssonner des 
lauriers. 

uno, A,ddy. Jane, döre, en parlant des 
&pis de bie; biond dore, couleur H’or. Fazer-se 
—, blondir, jaunir, se dorer, en parlaut des 
epis de bie. CaBelle — do boi, ete. ,tirant, nem 
du cou Al basif,, ete. 

+ LounocaasJo, #. m. (f. de bot.) Yaurier 
gorine de Natolie, & fruit en votises. 


» 


LUA 485 


Löusä, s. f. cadette : piered ohrr6o WR on 
pavc les eglises. Deite , (ömle, pierte de om- 
beau. * Terrier de lapin. * Pidge pour preadre 
es oigeau. 

Lousivo,A,p.p. de 

+ Loesin, vo. @. paver de eddetiet. 

Lovsinna , s. f. dim. de Louse. 

+Lovvipimente, Ado. avec todlatig® ; Aveo 


Louvap£os, 3. m. (1. d’hist net.) * tnante 16- 
ligieuse, prie-Dieu : col&optere: 

Louvipo, 3. m. un arbitte; Jdge arbiire. 

Lobvivo, A, p. p. de Eosber. 

Louvanör, A, adj. et s. Jouetif, louangetir, 
pröneur, Natleur. 

Lovvastnto, 5. m. arbitrage,, Sentetice arßi- 
trale ; fonction d’arbilre. 
lOrrawinne, s. f. fagornerie, bassd flatte- 

®. 

* + Louvamınsän, o.a. Dagorner: fättet Bis- 
sement. 

Lovvamınntıao, A, ad). flagornetif. 

Lorvin, v. 4. louer, vanter, pröner: dötiner 
des louanges. E pard — a Deus ‚c'est un6 chose 
digne d’admiratlof. i 

ouvAn-SsE (de), €. #. se tahler. V. Gäbar-se. 
lem) S’en rapporter & des arbitres. — em di- 
guem, s’en rappotter & quelqwdn, s’eh re- 
meitre & son Jugement. 

LouviveL, adj. 2 gen. louable : digne de 
louange. 

LovvirELM£ntE, ado. lIouoblement : W’ube 
maniere louable. 

Lovvön, s. m. * louange, &löge ; discours qui 
la contient. — dissimulddo , louange indir&ete. 
— insulso ,"fadeur. ' 
Lovvonzineo,, s. m. dim. de Louvor. 

Löura. V. Lousa. 
*Lovısırfa. V. Uuricesahla. 
Löxa,s. f. (t. de pharm.) espäce d’hzdtb- 


mel. 

Loxonrouia , 3. f. loxoärdthid : Fontk Sbli- 

e d’un vaisseau selon un rhuml de vertt; la 

gne qu’il d&erit. 

Loxonxönıco ou —10,A, adj. (1. de mir.) 
loxodromique : de Id loxddtohlie. 

+Loxopaömıo, s. m.( I. de har.) 1okodrortie 
feallle oü sont Iracdes led Labfes de !üxoliro- 
mie. 

Lva , s. f. fane : plandte sätetlich de fa terre, 
ses phases ; mois; Fargent, etı ternles d’richi- 
mie. Effet do la lune sur les fous. — chela, 
pleine lune. — diora ; ndıtrefle file. — dris, 
&clipse de lune. Meia - , vrdisdasn, 88 um ter- 
mes de fordßeatten, demsi-tuns.>- miuguänie, 
Isme deereisennte. Ladrer d — , ahoyer & la 
Iune, erier inutilement contre quelgy'un. Zer 
ua —s, —ı on scus dies de — , (fam.) avoir 
des lunes, &tre lunatique. Ter 6 — 0 
forno , €ire lunatique. 

" Lur,etc. V. Lua, cic. 

Luiıno. V. Lunariv. 

Luin, s. m. clait de Ihe. adf. 2 gen. Lu- 
naire , de la June, 


Pi 





736 


Lisa. V. Lile. 
Lusisuonsn. V. Lupishomem. 
Losaucino, A,p. pP. de 


LUC 


Lussicäir , v. 0. (1. de mdd.) relächer lo von- 


iso ; lubrißier. 


+ Lunnicıpäne, s. f. lubricitö, luxure, lasci- 


vote. Qualits de co qui est glissant. 
Lünaıco ,A, adj. 


venire libre. 


° Lusaica. V. Lorige. 


Lusnican. V. ; 


Lobriger. 
+ Löca , s. f. (1. de göog.) Lucques, ville et 


4duche& d’ltalie. 


+ Lucius, s. f. pl. (1. de gdog.) Lucayes ow 
Babamas, archipel anglais d’iles, dans l’Ame- 


rique septentrionale. 


+Lucima, s. f. (l. do geog.) Lucauie, au- 
jourd’hui la Basilicate, province du royaume 


de Naples. 
+ Locino, a, adj. de Lucanie. 


+ Lucino, s. m. (4. d’hist. nal.) lucane : co- 
löoptere. — cervino, grand ceri-volant. — ca- 


prino , petit cerf-volant. 
Luci0 ,s. m. * sorte de fllet de p6cheur. 


+ Locirıas ow Luckaias, 8. [. pl. (4. d’ant.) 
Iucaries ow luc6ries : f&tes celebrees dans um 
bois sacrö, pres de Rome, en mcmoire de l’a- 
silo qu’y avalent trouv6 les Romains yuand les 


Gaulois prirent la ville. 


+ Lucisse ,s.m. (1. d’Afr.) juramento de—, 
preun judiciajre au moyen de poison que l’on 


ait boire & l’accust. 
* LuckLo ,, s. m. cercueil de pierre,, tombe. 


@ Locken, s. [. lampe. V. Candeis. Sorte de 


poisson de mer qei a la langue phosphorique. 
j LuciDauEnıe , adv. clairement. " 
Lucıvissimo, A, adj. sup. de 


Löcıno, A, adj. lucide : qui Jette de la lu- 
midce; clair, Iumineux, resplendissaut. Bril- 


lant. —s intervalos , intervalles Iucides. 
Löcırza, s. m. Lucifer ı chef des demons; 
plante de Venus. 
+ Lucıssnino, A, adj. qui appartlient & Lu- 


eifer. 

Luciszao, A, adj. (podt.) Iuisant, brillant; 
respiendissant, &clatanı. 

Luciruso , A, adj. lacifugace : qui fuit la In- 
midre. 

Locina, 6. f, (pedt.) Lucine,, la lune. 

Locıo, s. m. (1. d’hist. net.) brochet : polsson 
de riviere. 

Löco ,s. m. bois &pais et touffu. 

Lucain0, A, pP. p. de 

Lucaia, 9. 6, gageer, liter du proßit. 

Lrcnarivo, A, ad. Tueratif : qui rapperie 
du lucre. 

Löcro, s. m. lucre, gain, proßt. — cessanfe, 
(3. ds praf.) gatn qu’on pourrait Ialre avec Par- 
gent qu’en pröte, d’oü suit le droit d’en oxiger 
Pinteret. — Kquwido , profit net. 

‚Lucaö2o, a. V. Lucralivo. 

Lucträn, etc V. Later. 


glissant. Läche, lacile, li- 
bre. Lubrique,, lsscif, impudique. Fenire —, 






LUM 


j LOCHEO A, adj. (poit.) eiüigeant, trieht, 
unebre. 

Locruössa , s. /. droits de söpullure qui se 
paysient sulroleis aux SOIgneurS, aux. Cards, 
etc., apres le decds de leurs vassauz, de lours 

issiens. 
+Lucruösamente, ade. irisiemoni, en pleurs. 

Loucru6so , A, adj. luctueux : plainlif; deplo- 
reble,, lamentabie; fundbre. 

Locusnacaö, & f. ediucubsalion : ouvTage 
d’erudition fait & force de vailles et de zavail. 
Veille de celui qui travaille. V. Desudlo. 

Lupisaıan0, A, 9. p- de 

+Lunısnıän, o. a.—alguem, ou 0.0.—d’el- 
sun » jouer, ridiculiser quelqu’un, so moqguef 

e lui. 

Lopiaa10, 3. m. jouet, moquerie , risee. Fa- 
zer — de, se jouer, se moquer de. 

Lunisnsösamänte, ade. injurieusement. 

Lopieniöso, a, adj. injurisux, oulragsanl. 

Löoo. V. Joge. 

Lipaıco, A, adj. de jeu, d’amuscmeni. 

Lupeöso,a, adj. sale, qui n’est pas blanchi. 

Lutta, s. f. dim. de Lues. Bijou en Sorme de 
eroissant. 

Loripa, s. f. boulfse (de vent). (Ag.) Grande 
quantits. 4’s—s, en grande quantiis, & foisan. 

Lura Lura, & f. (4. Pop.) grande „em 
pressement. 

Lucär, 5... lieu : espace qu’un Corps @€- 
cupe; endroit. Village. (Ag.) Place empiöi, 
dignits.—, endroil, passage d’un livre; en- 
droit, temps convenable. Placc qu’occupe um 
bomme assis; temps, loisir; opportunile, 0C- 
casion. Em — de, au lieu de, en place de, em 
absence de. Der —, faire place. Ndse ka—, 
(4. de prat.) iln’yalicu, en lermes de praü- 
que. Ter —, avoir lieu; servit pour queigue 
chose; @ire & propos; convenir, cadter. Em 
primeiro —, premitrement, d’abord. Occuper 
0 primeiro —, tenir le haut bout. 

+ Lucaniö, s. m. aug. de Luger. Gros vil- 
lage, bourg. " Place, emplei tr&s-Iucralif, eis 

ucaakıo 08 

Lucantte, s.m. ! hameauı ı potit village. 

Lucaninno, a. m. dim. de Luger. Feit Im- 
meau. . 

LUGARTENENTE , 3. m. lientenant,, subatitat. 

Lucanzinno. V. Lugarinko. 

Locountase, adj. 2 gen. de Lyon, ville de 
France. 

Lucnän. V. Luerer et Lograr. 

Lücusas ‚adj. 2 gen. lugubre,, Tun&hre. 

+ Lucuanıdios, 5. f. elal de co qui est luge- 


bre. 
Lucusza. V. Espdde. 
Luioo. V. Aluido. 
Luis ow Luiz, s. m. louis: monnale d’or de 
24 livres, en France. 
°Leirta, eic. V. Lule. 
° Luıtosa , etc. V. Lucluosa. 
LüLa , ggf, espece de calmar. V. Chöee. 
Lussä . Lombar. 


Lunsaicä. Y, Lombrige, 


‘ 








LEN 


Luun, a. m. fen, en tant qu’il scheuffe et Löra, s. f. loupe : Iumeus aux pieds desehe- 


quwil ccleire. —, öiincelles qu’on tire d’un call- 
ou avos lo briquet. ’Clarie, lumidre. ( Ag.) 
Eelat, aplendeur. * Illustration, deetzine. ° Lu- 
miese Inieriosre, raison. " Gonnaissamee. ° Vi- 
vaeiie; oolöre, * Surface, fleur (d’eau). Ciorge. 
Beo de cand&labre, ots. V. Lux, Vista. Ir-ss o 
— dos olkor,, so Lroubler, s’slelndre, em parent 
do lavue. Ao-— dagus, a Deur d’eau. Em tal 


cass nuncon se accends —, eu lelle maison Any ä 
a rien de si froid quo Pätre. —s da pialura, le 
Jous d’un tableau. 


Luusän. V. Lumiar. 

Luntin, etc. V. Allumiar, eic. _ 

Lumiia, 8. m. pas au seuil de IPporie. 

Loßıtına, 3. f. lucarne, all-de-bauf, abat- 
Kur. "Feu pour selairer. v. Lampaderio. u. 


umıkıro, 8. m. V. Lumieira, 

Lunsstantıaa, s. f. femme qui Ilumine, gsi 
fait des illuminalions. 

Losınin,, etc. V. Illuminer, 

Lusxınän, s. m. luminaire : corps luniineurx. 
On le dit dos asıres, et surtout du soleil ei de 
la une. ( Ag.) "Lumidre, Iuminaire de soa sid- 
cla : homme distingue par son savoir. 

Lunısärıa, s. f. lumiöre, iuminaire, V. Lu- 
anne .—, Si. illuminations pour une Ste pu- 

ique, 

Lumınösaudurz, adv. d'une wanitre lumi- 
neuse. 

Luuıxöss, a, adj. Juminsax ı qui a, qai-jetie, 
envoie, repand, cause de la lumiöre. 

Loxiöso. V. Luminoso. 

7 Löuro, s. m. (4. d’Aist. net.) lump : poissen 
eycloptäre. 

Löua,s. f. "pendant d’oreilles. 

Lunaciö, s. f. lunaison : temps d’une lune & 
Yautre. 

Lunin, s. wm. signe : marque, tache naturelle 
qu’on apportv en naissant; envie. 


Lonir,adj. 2 gem. lunaire: qui apparlient & | niens. 
+ Lisöns ‚a. m. pl. anciena peuples d’Espa- 


la lone, 


LUB: 787 
vaux. 
f Luranin, s. m. bondel, lupanalre, mauvals 
ieu. 


+ Luraniaıo, a, adj. qui appautieht au bor- 
dei, au Inpanaire. 

+ Lurinca, s.f. (tl. d’Afriqus) demi-Epee. 

Lörano. V. 

Lorencies, 8. fı pi. Iupereales:: fäios de Pan 
Rome. 

„ui ränoos, s. m. pl. lupergues.: prötses de 
an. 

ber 8. nd (2. d’hist. nat.) Iepöre : e0- 
ldepiöre galtrae . 

Lörıs, s. f. Tonne : Limeur. — crassa, I- 
pome. 

Lurino, a, adj. de loup, qui appardent aw 
loap. s. m. V. Tremog. Menis -—a. \. Lyeai- 
Iröpia. 

kLaeissouset , s. 0. loup-gareu ı prölendu Sop- 
cier deguise en loup. 

LörcLo, 3.0. (t. da def.) houblon , vigne dm 
need: plane avec isquelle on fait labiere. . 

Lünco, s. m. pelit eiseae , presuue lout vort, 
un peu plus gros que le chardesneret. 

Lörıno. V. Negro. ’ 

LusseL, s. w. Lucifer s chef des demons. 

* Lusein. V. Folger, Brincer. 

Lusco, s. m. ll n’est usitö que dams cells 
phrase : Entre — e fusco „entre chien ot loup, 
sur la brune ; ( Ag.) obscurement. - 

% Lusianas, #. m. pi. actions herolquas des 
Lusitaniens. Nom du po&me epique de Gamüen,, 
la Lusiade. _ 

Lüsıco, V. Lusitano, Luso. 

f Lustänu, » f. (4. de geog.) Lusitanie, 
aujourd’hui royaume de Portugal. 

Lusitänıco. V. Luso. 

Lusitino, a,adj. ots. de Lusitanie. Os —ı, 
les Lusitaniens , aujourd’hui les Portugais. 

Liso, A, adj. da la Lusitanie, des Lausils- 


Lunänta, 8. f. (4. de bot.) lunsire : plante | gue. 


erucifere,. — besiarda,, ophioglosse ailöe, lan- 
gue de cerl. 
Lrisino,s. m. calendrier lunaire, qui compta 
los anndes par lunes. 
Lusärtico, a, adj. et s. lunatique, ou dont la 
demence suit le cours de la lune, 
+Lusva,s.f.(l.d’hist. nat.) — morgulheire 
° macareux : olseau, osp&ce d’alquemeolrätre. 
Lunpö, s. m. sorte de dahse irds-indecente, 
dans laquelle on fait toute espedce de moure- 
ments avec le corps; danse des negres. 
Lunttiı, s. f. lorgnette. Voüte & lanette. 
Lenworär , adj. 2 gen. lunisolaire : compos® 
de la revolution du soleil et de celle de la lune 
(cycle, annde, perlode). 
LösuLa, s. f. Iunule: Agure de geomeirie en 
forme de sroiman!. 
L 


unuLino, . (8. de bot.) lunule ;: 
forme de erissank( 


euille —). 


Lüsos, s. m. pl. les Lusilaniens, aujourd’huj 
les Portugais. 


Lustaagäd, 8. f. lastration : saoriäce, cörö- , 


monie des anciens pour purifier une ville, eis. 

Lustaäno, A, 9. p. de Lusirer. 

LustaiL, adj. 2 gen. lustral : (eau —e) pour 
purifler le people. 

Lustaän, 9.6, expier: purifier par les lusira- 
lious. Lustrer : donner du os le lustre. Illumi- 
Der, &clairer. vo. ». Briller, luire. 

Löstug, 3. m. lustre, 6clas hrillent qu’om 
donne en polissant, etc; (#g.) @clat, splen- 
deur, gloire. *Brunissure. —, sorte de chande- 
lier de cristal, elc., suspendu, 

LusraıLuo ow Lustaıs, 5. m. "lusirine : dro- 
guet de soie, &tofle ; etolfe de coton lustre. 

Lustaino, A, adj. qui a du lusise, lustr6 
BER Loco eic.). 


Löstro, g. m. lustre; e&pacp de cing ana, 


v l uelrg, 


1AE: 


hoowmösanturs, ade. d'une mianßiso bE- 
lanıe, avec lustre ‚avec &clat. 

' „a, adj. brillant, qui a du Insiee, 
luisant. 


Lisa ,s. f. latta: exegeles gymnuaskiuus, aDER- 
bat eorps ä corps pour se renYerser. (Ag.) "Come 
ba . 


1“ 
Lurano. V. Lotado ei Endusade. 
KLöranda , s. m. lattenr : qui Jußlo» 
*Lorapüra ,s. f. action de lutter. V. Luis, 
Lowia (apın, por), v. w. Jubler : oomhatite & 
Ja lutte. (Ag.) Combatire, resister. v. a. (1. “es 
chan.) Later, enduise de lat. @ home 
do com a morie, ’'homme aus prises ara 


LUTHERANISNO , s. m. luthdranisme : doctrise 
de Leather. , 

Lurganino, a, adj. ei 5. m. Jutberien : DSF- 
tisan de Luther; qui apparlient & Luther. 

-+Loruuo, s. 0. (di d’ihislı nah) lutlam : 

olsson. 

'Löro, s. m. deal, bebit de demil. * Teintuze 
pour le deull. (Ag.)* Alflistion , wristesse. (4. de 
chim.) Lut. — afieiade, deral-deull. Ander de 
— ‚ porter le deuil. 

Luröso. Y. Lutudso. 

Lureräucıa ,s. f. V. Lode. 
LuruLtnto ‚a, adj. bousaz, bourbou, (an- 
geaz , Iimonauz. 
Letuoss. 
Loruöso, A. } V. Luctuos.. 
“Lira, s. f. "gant. s, pl. gratilestion ı @e 


qu’on denne en sus da prix coRvoRu ; oadean ,. 


&pingles. °Pot de vin. sl. La peau des meins 
brülde du soleil. — esfofade, ganı bourr®. 
Lovaıno, s.m. gantter: (aisear, marchand de 


anis. 

‚ Luxin. V. Desloear. 

Lixacäß, a. f. (1. de chir.) Iazetion ı d&bol- 
tement,, döplacdement. 

Lexo, #: m. luxe : sompluenitö exoessive 
dans les habits, la table, les meubles, ete.; 
(Ag) se dit du style, des beauts do la natare. 

Luxünia , s. f. luxure, incontinence, lubri- 
eltb. Appl rdonne, dereglemeht, excds. 

Luxuniänte, adj. 2 gen. Juxurlani : abon- 
dant ä f’exc#s; trop fertile; qui pousse trop 
(arbre, etc.). V. Loupdo, Vigoso. 

Luxurıir, v. a.stimuler & la fuxure. ©. m. 
Jöuir avec faxure. Luxurier, exıprime lexces 
de la fecondite. 

Loxunir-se, v. r. se donner ä la luxute. 

Loxuniösamtnte,adv. Juxurieusement; aveo 
luxure. 

Lozuntdso, A, adj. luxarieux : impudique, 
laseif ou qui porte & la fuxure. 

*Lurrosi, etc. V. Lucluosa, etc, 

Luz, s. f. lumiöre, tlarte, splendeur, jour; 
peugie, chandelle allunıde. V. Dia. —, jour, 
endroit dclaire d’un tableau. (Rg.)—, connals- 
satıce, indice, &olaircissement, avis, Inspira- 
tion. (id.)"Lusire, 6olgt, splendeur.” Phare.(flg.) 
* Rlambeau, Iuminaire. — da razdo, lumiere de 
la raison. — dos olhos, \umiöre que leg yeux 


Toutes e&toile ires-brillante. (fg.) ° 





ICH 


ragoltient. =- prinämia, (1. de point.) Ionuikte 
primilive, qui sort immedistemen? du core 
lamsineux. --dirocts , rayon direet. — sonunda- 
rise, (id,) lamlöre röflechie. Moda ——, Iamisre 
faiblo. Bar d— , meltre au monde, enflaner. 
(Ag.) Meitre au jour, publier (un livre, .). 
Seir 4, paraliro au jour. Feehar os olhes d 
_, "A volr oe qui saute aux Fauz. —er, Pi. 
bougied, Iumiöres, Iuminsire. (fig.) Dgards, 
rapporte. 4 lodas as --, de toate part vu de 
tsate mantere. 

Luztıno, 3. m. * etoile du metin, Venus. 
lannltre, 
&clat, spiendeur. (i£.) Astre, beaute. V. Lami- 
sr. — ‚ Atölle du main. —e, pi. les 

ou . @ 


your. 

LuswLöss. V. Pyrilempe. 

Luzente,, adj. 2 gen. lomineux, er, bril- 
lant, luisant. b 

Laztanı, oe. f. lamiöre, lanrpe. Ver Yatsımt. 
(4. de bot.) Luzerne : plante Iegamimense pogt 
les bestiaux. V. Medicagem dos pasies. 

Lures-ıuzas, s. f. pl. vers luisants, (fg.) 
Faux diamants , paillettes, eie. 

kuztoaminte, ado. spiendidement, d’one 
manidre brillante ; magniliquement, avec &clal. 

Lusıpio, A, adf. lulsant. 

Lozıpissimo, A , adj. sup. de 

Luzioo, a, p. p. de Luzir. adj. Relatant, 
pompeux, magotlique, respienäfssant, bril- 

ant. 

Lustwäwro, s. m. Iustre, splehdeur;; magni!- 
Äcence, pompe, &elat. 

Lizıo, s. m. (4. d’Asie) sorte d'embarcation 
de Finde. (Asm.) L’ail. Deitär 0 — , regarder, 
jeter un coup d’ail. 

Luzia, v. ®. tuire, &clairer, r&pandre de la 
lemiöre. Silhustrer, parattre avec echat. /fg.) 
Briller, exceller ; profiter, faire du bien. 

Luzin-sg, v. r. se parer, S’ajuster. TAg.) SH- 
Justrer, paraltre avec Eclat. 

"Lr.V. Ah. 

Lyr,s.m.iy :: mesurp ilingraire de la Chine, 
dixidme d’une Iieue. - 

Lrcantnörti,s. f. (f. de möd.}iycanıkropie: 
pspece de delire melancolique , dans Ties 
malsdes s’imaginent #tre changes en lonps, 
hurlent comme eux. " 


Lreko, s. m. Iycke : ecole d’Ar 4 Atht. 
es; lieu od s’assembient Ies gehs Ye letires 


jo publique, unlvetsile. 
. de Bot.) "iychufde ia 
+ Lrcnxedu a Y*ly 
LvcHsis, 3. iniee, Avor . cogeon, 


+Lrcmtro, s. m. Iychnite : ıharbre de Pa- 
Tos. 

Lroo,s.m.(l.de my, Lyetas : its d’Her- 
oule. adj. Lyelen : de Lycie, eontnte de l'ası 


mineure. 
+Lrco,s.m. (tl. PMst. nat.) in: eplkop- 


Wire. — cör de sangue , ligue sahguln. 


+ 1,xcorerno BOvıXo. V. Bu/a de Tode. 
+ Lycorörio, &. m. (4, de boi.) Iycopode & 








MAG, 


mapgun, manssa Öos hals, piad, de loup, 
de loup : planie cryptogame. e 

+ Lrcörsz ,s. m. (8. de bot.) Iyoopside des 
champs : plante Bi 

+ Lrcro, s. m. (1. dAist. nal.) Iyete : col&op- 
töre Aragpgilaire. 

+ Lriou, s. f. (l.de göog.) Lydle : contr6e 
de PAsie mineure. 

Lr’oıo, 4a, adj. ets. Lydien : deLydie. Modo 
— ‚amode Iydiep, omploy6 en musique pour lag 
Yaintes. Pedra —a,, pierre de touche. j 

Lre£o, s. m. (pot.) surnom de Bacchus. (f9.) 


2 vie. 
+Lrcto, s. m. (b. E’Rist, nal.) Tigeo: he- 
nipiäre geocorise. 
en . 5 S„(podt.) gan. Humeur aqueuse, 
mpbe. 
+Lrusxrıo,s. m. (8. #’Msi. nal.) Iymexy- 
ion : col&opiöre, lime-bois. 
Lrurmin, 0.6. (d de med. p. 45.) Taver dans 


Yes. 

Trwrnirıco „A, adj.(1.d’anat. ei de mid.) 
Iymphasiqye : de la Iympbe, qui porte la !ym- 
pbe (vaissean). 


MAG 7:9 
Lruce,s. m. (i.d’Aist. mat.) Das : anigal 
mammilere, carnassier, chat; (fg.) homme 


qui a la vne irös-perganie, qui est tr&s-pänd- 
want dans les allaires. — caracal, caracal : 
guide du lion. 

Lrucörio,s, m. ($. de min.) Iynearius , bE- 


lemalte, pierre de Iynx. 
Lrv'na,s. f. lyre ;: instrument de igqne & 
eordes; ga reprösenialien,, symbols de Phar- 


monie, de la concorde. —s, pl. sarle de com- 
position Iyrique. 

+Lraä0o,A, adj. (1. de bei. ; en [orme 
de iyre (feuülle-—e). ms 

Lr’aco, aA, adj. iysique : (podsie —), qui 
se ohante sun ta Iyse, qui se ehauall oripistal- 
rorment (ode, hymne, abe.) ; gui Salt des odes, 
6ic. , prepres & Size chamıtes ( Poßte). 

Irs, V. Lis. 

Lrsinäcnıa ou qua, 8. f. (f. de bet.) Iyai- 
mächie, souci d’eau : plante primalaoee. 

Lrruorogıa, etc. V. Litkolomia, ete. 

+Lrrma, s.J. li. PMist, nal.) Iytte: cantha- 
eide; pelil ver. 


® M. 


M,s. m. treiziöme leltre de Yalptıabet por- 
tagais, et la dixiöme des consonnes; leitre nu- 
merale, 1,000; avec un lralt au-dessus, un 
million. 

°Maı.V.Minha, 

Ma pour ME A, contraction du pronom me et 
de Varticle a. Elle deoma ou m’a, il me !’a 


donpe. 

Hi ou Mir, föm. de Mdo. (mauvaise). An- 
dar, ser ds —s com paiguem, ( fan.) n'etre 
pas d’accord, en bonne intelligence avee quel- 
qu’un. 

Miro. V. Mio. ’ 

Mica, s. [. * hamao : gorle de lit suspenda; 
sranle. 

Mica, 3. f. masse d’armes anciennement en 
usage dans les eoınbats. Masse qu’on porte en 
e+remonie derant le roi, etc.; masse de be- 
deau, eic.; gros marteau; gros bäton; ımnas- 
sue. ° Mailler A battre P’&toupe. * Macis : deorce 
interleure de la muscade. V. Massa — de ealce- 
detros, hie , demoiselfe, mouton. 

Mick, —Aı, au an, s. f. pomme, frait da 
gommnler. V. Haceira. — da espdda ,” pommean 

’&pte. — do röslo, pommelle du visage. — 
do escaravelho, pomme d’escagbot. — de poreo 
ou porcina, * cyclamıen ,. pain'de pourceau, 
plante. — de andfa, "jujube. — de eipreite, 
noix de cyprös. — reinela, reinelte. 

+ Macantos ou Macnaptos, 3. m. pl. Ma- 
chabses : les deus derniers |ivres de l’Ancien 
Testament, 


Macicä, s. f. guenon : singe femelle. 

Mıcico, s. m. singe : animal anthropomor- 
pbe et quadrumane, d’espäces tres-variees. V. 
Bugio, Mono. Cric‘: instrument pour sonlever 
les fardeaux. Mouton : machine pour enfoncer 
les pilotis. Estar pr4so ao cepo como 0 —, ire 
l& coınme un chien & l’attache. 

+ Mıcico, a, adj. (fam.) fin, ruse. Borte 
—s,(burl.) mort desastreuse. 

Macacöa, s. f. (durl.) maladie grave. 

Macıcöte. V. Barrilhe. 

Macipa, 5. f.” coup de masse ou de Aassu®, 
de mouton, de malliet. Coups de baten. (fig.) 
Menee, collasion,, eoomplot, cabale. Trioharte, 

Mıci0o,A,p.p. de Magar. 

Macapüna, s. f, action d’&canguer ou espa- 
der le lin. #f. Coups de massue, coups de 
bäton. 

MuıcäsE, 8. m, magonnage du fond des puits, 
fond maconne. Morlier, ciment. (1. de mar.) 
Cordages, agr®s. 

Mıcamönna ‚s.f. ((.demer.) mäche-mourte 
restes , debris de biscuvit de mer. 

+ Micama,n.f. (U EA ) casse-IWle s 
espece de sabre Indien, d’un beis trds-dus, 
garni de pierres trenchantes. 

Maıcaneıno. V. Marconeire. 

Macantra, 8. f. ponmelte, pelite pomme, 
orneınent en forme de pomme. —s dos eniaven- 
los , (1. de mar.) ganımcs de giroueltes. 

MagasiLtia, 5. f. pelite pomme, pomme vof- 
gairg. 


% 


760 MAC 


+ Nıcko,ssm. (1.de g6og.) Macao , ville forte 
de la Chine, Baie de Canton. 

Macıö, a, m. aug. de Mdgo. Mailloche : gros 
mailler de beis. 

Muıcaräö, 8. m. massepain : pälisserio d’a- 
mandus pildes, elc., et desacre. « 

Maıcara,s.m. "tige, eöte ou nerrure du ben- 
jom;; resine qui ressemble au benjoin. (#. da 
Bresil.) “Terre gluante, bonne pour la planta- 
tion de la canne A sucre. 

Macaqticzs, 5. f. pl. singeries. 

Maıciu,v.a. battre, frapper avos une masse; 
broyer, piler. — 0 linko, espader, 6canguer lo 
lin, — alguem com pde, sreinler, assonumer. 

+ Macınto,s.m. (1. @’Asie) grande inıpe- 
tmosils avec laquelle osriainen riviöres gros- 
sissent ei diminuent rapidement dans }’Asie. 

+ Macaxiso, 3. m. (tl. d’hist. nat.) macaribe 
ou oaribeu , renne d’Amerique. 

Macasico, s. m. (f. d’hist. nal.) alcyon : oi- 
seau do mer. -- brigöso do Norte, le combat- 
tat, — real, ceurlis. — guaraz do Rio de Ja- 
weiro, courlis rouge. 

Mauanico, 5. m. lievre mäle qui a une tache 
blanche au front. dl. (4. d’orf.) Chalumeau: 
tuyau creux qui correspond ä un soufllet pour 
acliver une Hamıme. 

Macınöca, s. f. "epi du ınais, du millet. 
Fuste : il, lin autour d'un fuseau. Boucle de 
cheveux ijgilant un epi de mais. Sorte de petit 
fromye rme d’cpi denuals.— de morröes, 
asseıublife, faisceau Je nıeches & canon. 

+ Mar:.öco, s. m. "boucio dechereux frisds 
en forıno d’epi de mais. 

Macanniö, 5. m. macaroul : päte faite de 
fariue de feoınent, 

MAacARRÜRICO, A, adj. Macaronigue : (pod- 
sie —) burlesquo, en ıuots vulgaires, avec des 
termimeisons latincs; on le dit par exleusion 
d’un mauvais latin. Lalim — , lalin de cuisine. 

Maci1Y0,3, m. °sorte de lissu de laine et de 
soie. 

Mäcsa, s. f. auge; gainelle. 

+ Mauxvönıa, s. f. (t. de geog.) Macedoine : 
province de la Turyuie europeenne., 

- Maczoönıo, A, adj. ct s. Macedonien : de 






GING, 
achıaA, 8. f. (l. de bot.) ° polmmier : arbre 
porte lcs pomınes. il. Huche, petrin: grand 
pour petrir. — de anafsya, *jujubier 
co _n 

MackınO, 5. m. massier, bedoau. 

Macktıza, 8. f. (1. de boi.; camonnille ; plante 
ooryrıibifere. — dos tialureiros, camamille des 
teinturiers, vulg. all de bauf colorant.— fran- 
essa, achillde visyususe, vulg. eupaloire do 
Mesu6d. — romana , estnomillo odoranie os ro- 
maine. — felida , eainawille puanie, vuig. ma- 
route, il du vache. — camomilka, matricaire 
eamomile ‚camonıllig.yulgaire. — gallega, co- 
tule doröe. ‘ .ı 

Micenanlı. V. Marcenarti, 

Macenemo. V. Marceneiro. 

Macenssäö, 8. f. action d’amollis, de diinj- 


MAG 


nuer 1a durets. Macäration : mortißicalien de 
la chsir par jeünes, etc. Macerstion d'une 
plante, etc. 

Macgrino,A,p.p. de Macerar. 

MACERAMENTO, 8.0. V.M . 

Maceria, vo. 6. amollir, dimiuuer Is durels, 
(#g.) Macerer, ınortifler son corps par des au 
Writes. Maoerer, faire tremper une platte, eic., 
dans quelque liqueur. 

Mackra,s. f. sorte de majliet ou de mar- 
teau de [er des lailleurs de pierre. * Crackoir. 
Masse : gros bout d’une queue de biflard. 

Macerk, 3. m. petit maillet de bois. — decer- 
as, petit paquel de loltres. — de culafale, 
maillei de calfat. 

Acuatiz, (if. durl.) V. Grendalkäs. 

Macuacaktas, 5. f» pl. " joueis des Mach«- 
chins. V. Nalachim. _ 

Macuacans, V. Malachım. 

Macuwäpa, 8. f. hache. V, Machade. 

Mıcnapäna, 8. f. “coup de hache ou de 
o0KnEc. 

Macuapixna, 8. f. petite hache, petite eo- 
gnee. 

MACEADINNO, 8. m. dim. de 

Macuipo, s. m. "hache A fendre du bois, 


ge. 

Acuartsea, 8. f. (l. de serrur.) "gondı, 
touplet. (p0p.) Hermaphrodite. Machasfewes! 
do leme, ımäles ei fomelles du gouvernail. 

Muıcuiö, s. m. femme honımasse,, virago. 

Macuarıns. V, Malachius, 

Macuavär,(pop.) V. Mackiucello. 

Macueıno, V. Machitiro. 

Maıcnite, s. m. glaive : csp&ce de sabre ou 
de coutelas. Petite guilare,, ou ımandoline. 

Macnän, v0. 0.(t.d’agr.)devenir sierile. 

Mıcmav&uLico, A, adj. machiavdlique - qui 
a du ımachiavelisme. 

MACHIAYELISMO, 6. u. machiavelisme : sy5- 
LEme polilique developps (ironiquemenl ou de 
bonne fol) par Machiarvel; condaite astacieuse, 
perfide; polilique qui a pour principe et pour 
but l’inleret, pour moyens la violence ci Is 
ruse. 

MACHIAVELLISTA, 8. 2? gen. machiareliste: 
partisau du preieadu sysiöme de Machiavel. 

MAcHIAYELLO, 6. m. (nom prop.) Machiave! : 
cölebre publiciste italien. (Ag.) Poliique asiu- 
cieux et ruse; bomme fin et dissimuld, , 

Macsıtıro, 8. m. jeune chene-liege. 

Micsuma ow Migtına, s. f. machine : engib, 
instrument, oulil, combinaison, ensemble de 
ımeyons de regulariser, de diriger les lorces 
produites par un moleur, de subsliluer la foru 
a la vilesse, et röciproquesmeni, pi pe 
mauvoir, iger, ‚ lancer, tra 














semblage do de mecaniqg pie- 
ces mobiles + sieux, etc. (A.} Mull- 
tade, quanti vasle, sampliueus. V. 

achinacde. — preumälica, machine paet- 
mallque, » 


Mıcnınacäö,s. f. machinatlen, cahale, 
Milluınäno, p. p. de Machiner. 








Mıcamiı, adj. 2 gen. machinal : qui vont 
de ia maslıine. 

MacmmaLnänte ‚ade. machinalement :d’yne 
memniöre mschinsie. 

Macumän (contra), vo. 6. machiner : fsıre 

mendes ‚ former de maavais des- 

seims. Conspirer, eabaler 

+ Nıcammirı, s. f. exposilion : espöce de 
parillen seulpis, sous Jequel on expose le Saimt- 
Sasteusent, la siaine de la Vierge, la rellgue 


Mucmmisra, 5. m. machiniste : qui invente, 
fa, ou fait mmouvoie des machines. 

Macnina, s. f. oouverture de soo que los 
Cafres metient sur les 4paules en maniöre de 
MARbBR. 

Micno, s. m. mulet: animal de somme, 
mi&lo, prodait d’un obeval ei d'une Anesse, ou 
d’un ins et d’une jument. Mäle: aniınal du soxo 
mascalin. (Ag.) Bet, stapide. Crochet, gond. 
Piöou d’ane machine qui entre dane uno autre. 
Gres martean do forgeren. Gargon, enfant 
mäle. Grosse de mer. —ı do lome, 
(1. de mar.) alguilloisdu gouvarmail. Parde —s, 
(dd) In de prisonniers avde les anneaux, bes 


Micmo, en nn. mäle, du sexe masculin; 
fort, viguuren 

Maı et. virago, V. Machto. 

Macnöca , 3. f. selon de battze ou fouler le 
his mür avant terme, 

° Mıcnounaris, 8. f. V. Lavor. 

Mucatana, 2. [. brebis sierile. On le dit par 
extension de la femıne ct des autres femelles 


d’animaux. 
‚&, 9. 9. de Machwear. 


Macnugpbör, A, 5. beachenr, btoyeur, sein! Sgurs. 


qui pille. 
Macmocapöns, 3. f. " seschement : action de 


beoyer, d’deraser. Contusien, meurteisenre. 
Macavcia, ©. s. 6eraser, boncher, broyer, 


arten, &, adj. (fom.)rassis, Judieleux, 
uille, wär, sonst; (t. duri.) ricke, puis- 


clauzure. V. Brandamente. 
Macige, a, af. massil, solide, ferne. 
Macıchre, s. m. massicot : melange de vorre 
ei d’ezyde d’stalm. 
.Macıtıns. V. Massire. 
MacıL&nto, A, adj. malgre, extenud, biöme, 
„ Päle, höre. Pittei, fand. 
Maciuws , #. f. päte, volle. 
Maciueo, 5. m. di. de Mayo. 
Macho, a, adj. dous auiousher, moeliiux; 
{Ay.) desiie, douz; sans Apreis (vin!® 
Macıontıaa. V. Macomeira. " 


+ Machen, Arm. sorie de quasirupdde sau- 






% [4 


MAD. 301. 


vagtfie ia grendeur ducheral, & fambes Ion- 
Zues et minees, gris ray6 de blanc. 
Macöco, 5. m. (1. d’hist. nat.) Mmacogo: 
»| quadrupdde 'du Con ‚anlilope, gazelle. 

+ Macomkına, 8. 2 (1. de bei) maoomeirs“ 
palmier du Beesil. ‘ 

+ Macönz,, s. m. *lamproie de Sofala. 

Mico, s. m. maillet : marteau de bols & deur 
etes. Paquet dE menues merceries, de rubans, 
de lacets, etc. Coup da jeu de la prime, od Pon 
a le six, le sept et l’as de la m&me couleur. 

- de ealceseiro , mouton & pilotis, bie, demoi- 
solle. — de Horeiro, kup: Instrument de Ik 
braire. —rodeiro, gros maillet pour la constrao- 
tion des valsseaux, elc., pidance. — de papeis, 
lasse de papiers. -—— de carlas, paquet de let- 

— de seis baralkos, sixain de cartes. — ds 
linkes, de seda,, botie de il, de soie. 

Maconanias, Y. Mocenaria, 

+ Micönra, s. f. petite barre de cuivre qui 
tient lien de monnale & Mozambigtg,, et vaut 
00 reis portugais. 

MagoaraL, adj. 2 gen. lourdaud, raustre, 
grossieor. 

+ MaconnaLuture, adv. grossitrement, A 
eoups de hache. 

Macnocösu0, 3. m. masrocosme : je grand 
monde, Punivers. 

+ Macnöuno, 8. m (1. E’Möt. nat.) aheroure: 
o0ory öne. ” 
crrA,®. Dt den. nat.) maetre : co- 
quillage bivalvo. — Ans dos alomilos, mactre' 


papsraote. 
macninta, s. f. (t. d’Asie) demeure de pt- 


+ Macont, s. m, (4. d4bot.) macoube: arbre 
gattiföre de la Guyane. 

+ Macucd, 8. m. (8. de bot.) macoucon : grand ' 
arbre d’Amerique , salmitier. 

Merle s. m. frult du Bresil , qui ressem- 
bio A la sorbe 

MäcuLa, 8. f. tache. V. Manche, surtout au 

MıucvLino, a,p.p. de 

MıcuLin,v. @. tacher, souiller, säter, salir. 
On le dit surtout au Algure. V. Manc 

MuacuLarörı, 5. f. maculature. 

MacuLöso, a, adj. seuill6. V. Manchedo. 

» Macoco. V. "Macipo. 

+Maıcu, s. m. sorte d’embareation de !’Inde. 

+ Mıcöua ou Macima, s. f. (li. du Bros.) 
servante, esclave qui accompagne sa ınallresse 
quand olle sort. 

+Macuni „s. f. (t. de bot.) ycux de bourri- 
quo : plante. 

Mıparıio. V. Magdalido. 

Mapiya,'s. f. ınadame. 

Mıoamoestıra, s. [. mademolselle. 

Mıpveraccid, s. f. humectation. 

+ Mınericto, a, adj. humect£ , mouilld 

Mankına,s. f. *hois: substance dare d’un 3r- 
hre. — de construcedo, bois de charpente , boia 
abätir. — verde, bois vil. — löria ou do ur, 
oornes des animaus, 


7 5 


+ Mıntına ‚s. [- (4. de gdog.) Madden : Byte 
l’octan Allaniique. Vinko ds — ‚madere, vin 


de Madize. 

MiDKıRaN&uto, a. m. bois n6cessalte pour la 
eenstruction d’un edifioe, "Boiserie, aharpenie. 
V. Emmadeiramento. 

Mapeısäa, & a. hälir om bois, boiser. V. 
Kmmadeirar. 

Mupkıno , 8. m. grosse pidce AB bois, poulse, 
madrier. Tronc d’arbre coupe. (Ag.) Homme 
stupide , morceau de bols. 

Maotixa ‚s. f. "scheveau de il, (4g.) Tresse 
de chevauz. — do mialkar, (1. de mar.) paques 
as scheveau de bitord.—s, les cheveux. 

Mınzızinus ‚&. f. dim. de Madeiza. 

+ Muvıanizas, s. m, pl. Madianites ı pauples 
eit£s dans Ja Bible. 

Mipıno, a, adj. (podi,) wennps, mouilld, hur 
meocte. 

+ Mıpis, sm. “monnaie da la Turquie asie- 
Haus, 12 phis porlugais. 
ADOBWR ou —onna. V. Modörre. 
Mapaacin, am. (4. d’Asie) logement. 
ADRACARIA „8. f. faindanlise. 

Muanssckin, 9, #. laintanier, Iruander. 

MunpnacgınÄö, ONA, adj. ei s. aug. do 
Mer WO, 4 adj. pamseeux, faindans, 

uand. 

Manns, ad. maunsie de Camhaie, degx 
arins. 

Munzansyiß, & mu mmnnaie dAsie. V. Be- 
drafan, 

Manrista, s. f. marätre, beile-märe : se- 
eande femme da pre, 

+ Mannista , s. f. (8. de gdog.) Madras: ville 
da V’Hindausian, sur a söle de Coramendel. 

Mione, s. f. malrice: parlie ad me Salt la 
conoaplion; uläzus. Märe, parlanı de }’Eglise 
ou d’une religleuse. Mer : lit de riviöre. Pou- 


ira, madrier. Mai de-—, mal de märe ı hystötie, | A 


‚affection hyslerique. Sair da— , döhonder, par- 
lanı d'un Aeuye, (Ag.) Sorlir des hasnas, taın- 
ber dans quelque excds. A sanla — igreja, la 
sainte Eglise, notre möre, — do leme, (4. de 
mar.) meche du gauvernail. 

Maprer£noLs, s. f. mese-perle ; grosse 00- 
quille de perles;; nacre. 

Muoaeria, V, Piamaler. 

Maprerona, s. f. madrepore x produclion 
ramifide , calcairo & polypiers. \ 

Muanazsiıva ,s. [. (1. L bot.) chövre-feuille: 
arbrisseau monopeiale, & fleurs d’une odeur 
exquise. — do norle, chövre-Teuille des bois. 

Maonia ,s. f. Mar de —, ondes moulonnöes. 
V. Carnetrada. 

MapascäL, 5. m. madrigal ; penste ing«- 
nieuse ou galanie, lelicate, en vers, 

+ Mannıchz, s. m. homıne laid, noir, päle. 

+ Maonıcofına, s. f. * halot, repaire , tarrier 
de lapin ; retraite des poissons, 

ManriLueina. V. Mudrigueira. 

Mıprixur,s. f. marraine : femme qui lient 
un enfani sur les fonts de hapt&me ; fenıme I6- 
moin dans un miariage. (fg.) Proleptrica. 


Munntnse „ oie. V. Bedennhe , obn. 

Muıdaucipa , s. f. "point du jour. Liaetiem ds 
so lover matin,, lovor metınal. (fg.) Prosssill. 
De —, degrand matin, & la pointe de jese. 
Betrellada —, tatle mailnitre su de zneiin. 

Mipnucapor ‚A, adj. eis. malinsnz, mil 
nel : qui se Ihre zmalin. 

Manaucoia, v. ». se Jever malin, de ben me 
tin. (Ag.) Möditer, preveis d’avanse Ins dilien)- 
vis, (id.) Prevemiz, prandze las devamta. Aqua 
madrugs Does ajuda , (prov.) aide-tei , bu einl 
Vaidera. Mais vale quem Does ajı de qm 
quem miilo madruga, (prov.) V’assistames de 
Dieu fait plus que iMuts la peine qu’en pen de 
danger. 

Masuraciö, s. f. matarallem ı das 
fruits vers la maturils; degrs de meimeitd; 
tpuzation du mndtal (4. da chin.) ; onatlam, &i- 
l#nualion , pröparalion des Kumpuns 
aßıı de les expulser. 

Mıncaino,, A, 9. P. de Haduraz. 

MaADÜnANENTE, adv. mürement, SSgemmmt, 
avoo besuceup H’allsnlion. 

Mıponin, v. a. laire märie: randen za@e; 
(faire mürir un sbods, hetse |a Gerzuntiam dm 
pus. (49.) Disposer des moyens nöpiesalnes am 
susods d’ane enfseprise. 

+Mapuxarivo,, a, adj. (8. de nid.) uasture- 
tif s qui häte la formation de pus. 

Mansaccta. V. Anadurnese. 

Muasontıno,, s. m. lien peapse. La anaturiä 


ae fruits; fruiterie. 
+Mascatz ou | meterktärdtat,quakite de 
Mapuntza,s.f. \cequi eg müs; Ag.) on 
Je dit de ’Age, d’une affaire, @uu prajaß, aiı., 
& dom lerne; prudenes, olrcenspacuen at je 
ement. 
andno, A, adj. ınlir ı dans sa mantmziit; 
sage, pruden!, cinoenspest. (Sa) Avamısd dA 


ge. 
" Miz.V. Mäı. 

Mırıu£pn, 8 iu. Sorie de mosure d’Anike. dR. 
Mahomat oy Mafoıma. 

Maraustico. V. Mahomelano. 

+ Mamönı, o. f. kuile medickale dems se 
Jervent les Cafres du cap de Banue-Haptcamen. 

Mich, s, f. magicienne. 

Macaskıira, 5. [." arbre du Bresil de la gram- 
eur da sorisier, & Reste hlancher samsenn le 
asnin, et dans les fruils sespemublgus & Je 

sses prunes. D 
Macacia. V. Mugen - ı oz 
+ Mıcät, 8, m. (2. de bot.) zusgel ; schen #’> 


mirlque. 

+Macarinıco, a, adj. Estreile —, deiseit 
de Magellan : detroit famenuz de U Amdzsgus 
neridionale. 


Mıcina, s. f. piöce d’aneisıne uWSgEM. 
. MAGANÄGE OU —EN , 8 f. (famp.) as de pelis- 
dons , de liberlins; biigaudade. 


Muguni6, 2. m. ei ady. wwpiägie, uni, 
dröle de o@pe; vaurian; pelisann, liber&äz. 

Macanzin, v. ©. Seise.desmspicylerien, dus 
mallees ; faire lo Jübertin, ceuris joe feRnanen ; 








MAR 


menge unovie iasnelause ; onueis aA ot IA, bak- 
tre Ja pave. 

Macantına, s. f. eopiägleries; petites mali- 
ces; Fuss, our; sllures ou mentes secrälss; 
libertinage ; vie licencisuse. 

Macanice. V. Maganeirao. 

Maoiuo, A, adj. polisson; fripon, malois; 
fin, espiegie, malin, russ, Olkos —s, yeux Sri» 
pons au polissons. 

*Mıciaca. V. Margapa. 

Macanire, 5. m. gargon haucher qui Lue les 
baaufs dens l’abalteir ; 6oorcheur. 

MacoaLıiö,s, m. magdalcon : rouleau d’om- 
pläse, de soyfre et d’onguent, 

Maczuinico. V, Magaldnseo. 

Maassichd. V. Mangericdd. 

Maczsrtäog, #, f. majestö ı geandenr sauvo- 
raine de Dieu ; titre donn6 aux empereurs ‚aux 
rois. Seperiorit4, aularilö sur tous. —, gFAN- 
deur, magnifoence, sompiugsits; air grand, 
mmajpeinanE. Com -, majesiueusement, avec 

BeTisıch, A, adj. de la majesiä, qui lui 





MAG 763 


de roudee la justice. " Magisjralure ; dignile, 
charge de magistsat, 


MacıszaaL,adj.2 gen. magistral: qui ie du 


maltre, qui lul convien). Conego — , Ihäalagals 


‚ präbendier gradua en Iheplagie, u 


qui antzefeis,, dait ohlige d’enseigner dans les 
Galhadraies la grammaire ‚la Ih4ologie, ein, 


+ Macısraaupäng, 4. f. "ion de mallze. 

MAGISTalLusuTz, ade. magisiralemeni : ep 
majise, 

Macıstaännpo, 3. m. celui qui est äla veille 
de segevair le degr6 de inalisa, 

$ Macıstaärico, A, adj. de magisiral. 

+ Mıcua, 5. m. magma ı parlje röcrämen- 
Helle d’un anguent; (cas, marc, lie. 
„Micna, s. f. Ordinaris —, ancien acla de 

en mallize pusligue de opnscience (d 


+ Mannänımaneute, ado, magnanimement: 


avec magnanimile. 


Maananınipaux, s. f- magnanimits : verku 


de l’hoımme magnanime; grandeur, Alevalion 
d’äme; vortu qui poxte A’oubli, au pardaıı des 


spparieni; du sonserain. Direilos —s, droits | inj 


da seuyerajn, auphriorite , autorilö aur les s4- 
jets. 

MiSBSTÜSAMENTE, adı. majesmeusemens ; 
aveas majonld, 

ManesT020 , A, adj. majesiunug ; qui a de la 
majenit, de l’aelat, de la grandear; noble, 
grand, sugusio, sorlq@uR, Bravo, poad. 

Kassa ou } magis ; art chimerique de 

Misıca,4. f. ) produire das „eis surnalu- 
reis par ie sooanas des ddmons, ou de moyans 
nesurels incomaue ; (Ag.) Illusion produits par 
Part. V. Encanto. — artifciel, magie artif- 
cele an, par ie mayen de l’art, produis des 
efleis Surprenanis. — nalurgl au Dranca, ms- 
gie matarella au blanche, quı opero par des 
moyens naturels, mais inconnus au vulgaire. 
— negre, magie naise, ezazade A l’aide desde- 

& 


men 

Micıca ‚so. fı mmegiclemne, 

MicıcANENTE, edv. par magie. 

Micro, s. m. mägislen , nögromanelen. 

Mäcıco, ı, adj. magique : de le magfe. 

Macınaciö. 

Mucınar, etc. | V- Imagın o0. 

Maıciss0,s. m. magisıne ; anclenne religion 
des mages perses. 

Macısräaıo, 3. m. ampjol de malire, prafes- 
sion d’enseigner. Grade qui donne le tilra de 
maltre, doctorat. *Doctrine, Insiruclion, en- 

ement. "Charge, office qui donne d un re- 
ligieux le tilre de maltre.(fg.) "Gravils, air 
serieux, magistrat. "Maltrise : qualilö de mal- 
‚parlanı des arıs ei mötiers. (I. de chim.) 
gistere : noım donn& par les anciens chiınis- 
was & jous les precipilts en general, et ä plu- 
sieurs ayydes. Poudre medicinale, Com — 
magistralement, d’una maniere magistrale. 
Faller com — , parler d’un ton de maltre. 


MucuTaspe, 6. m. magisirat ı ollicioscharge 





inJuro® 
MaASninıNO , a, adj. magnanime; qul al’dme 


grande et ölevse ; gandreux. 


Maonätz,s. m.graudd’'unroyaume. Maguaß: 
grend seigneur en Pologns, . 

Macntsıa , s. f. (1. de chim.) magnesie ı terre 
douce, l&göre, fine, pp4eipisäe; l’une dus buit 
terres crues longtemps primitives ; aujourd’hai 
oxyde de magnesium : lerve absorbanie, hlan- 
che, empleyde canıze les aigsonrs. 

Hacukia, s, f. V. iman. 

Macnttico, A, adj. magndlique: de lYalmant, 

Macnerisu0, 8. m. magnelisme : proprietä 
de l'’aimant. 

Macnetızi00, A, 9. p: de 

Maonzrisin, 9. 6. magnöllser : oommun)- 
quer le magnstisme animal, le developper. 
*Maoumo. V. 
Macnutano. TV. Manifeste. 

Muıcniricagäö, 5. f. aclion de magnißer. 
MAcKIFICARO, A, A do Magpikcor. 
MAGAIEARÄR, 3, 4. celui qui magniße, qui 
exalle. 

Maasiricaußute „ ado. magniliquement : 
avec magnificence , avec splondeur. 

Macnıricän, v.a. magnißer, exaller, &lever 
la grandeur (de Dieu). Lauer, exalter. 

+ Machıricarönıo ‚a, adj. qui magnifle, qui 
agrandit, 

Macnırickxcıa, 8. f. magnificence : qualils 
de oelui, decs qui est magniügue; Kompiuo- 
sitd; dapemsa &clatanıe; splendeus. Com —, 
magnilg uemen!, gran megnificence, avecspich- 

eur. 

MACKIFICENTISSINO , A , U. sup. de 

Macnirico, A, adj. magnillgue : splendide, 
somplueux en dons; qui aime l’clal; spınp- 


» | aux, 6clatant; on hrilie la magnılleence. 


MacniLoco, a, adj, V. Grandiluco. 


MacsıLogukucia, 8. f. Pompo du style, 08- 
Yontalion d’ölayuence. 


768 MAI 


Maewröaz, s. f. grandeur qui peut £ire eal- 
eulte ou mesurde; volume d’un corps. Gran- 
deur 6es &tolles, "selrmt Isqueiie elles sont 
distributes on diverses classes. 

Miono,A, adj. grand. 11 est ordinsirement 
employ6 comme 6pithete. Ex.: Säe Basilie —, 
Alexandre —, Carlos —, saint Basile jo Grand, 
Alexandre io Grand, Charlemagne. 

+ Macmöuia, . f. (4. de bot.) magmelie : 
plante. ° Magnolier : arbre conique, tulipiföre, 
d’Amerigue. 

Mico, s. m. mage: komme savant en asire- 
logie, os philosophie, ches les Perses ; ohel de 
la religion. Magicien. 

Mico, a ‚adj. enchanteur, magielen , qui en- 
chante. V. Magie. 

Micoa, 5. f. meurtrissure; sche, au prepre 
et au üigure. ( Ag.) Peine, chagrin, deplaisir. 
—, pl. plaiınes, gömiasemenis, Iaımentations, 

Macoä00, 4,9. p. d 

„Macoin, ©. a. obaririr. ( Ag.) Chagriner, af- 

r, peiner. 
Aa00ÄR-sE, v. 7. se chagriner. s’'sllliger, 
avoir de la peine. Se plaindre,, se lamenier. 

+ Mıconni, s. m. olsesu d’Amerique, & grau 
des plumes, bon & nianger. 

Maioöre, 5. m. tas, amas, bande, troupe, 
groupe®. Em —ı, en las, eh groupes. Au —t, 

r petites bandes. 

Macnazına. V. Magreza. 

Macken ou 

Macatza, s. f. | meigceur, amalgrissement. 

Macainno, A,adj. dim. de Magro. Maigrelei. 

Micao, a, adj. malgre : qui n’a pas de 
graisse , en a Irds-peu ; qui mangae d’embon- 
point. 

Macaozinno. V. Magrinko. 

° Macven , adv. malgre, quolkg@e. 

Mactsto, s. m. kan de marrons ou chätal- 
gues röties. 

+ Mansı£ee, 3. m. (1. de bot.) mahaleb : 
beis de Sainte-Lucie,, eup&oe de corisier san- 
vage. 

Manıutoe,, s. m. V. Escamdnsn,. 

+ Mınıuönı,, 3. m. mohnaie d’or at d’argent 
dans l’Inde et dans la Turquie. 

+Manızen, s. A esptce de piorre pröeteuse. 

° Manou. V. Mäo, 

Mıuoutri, adj. ? gen. Mahomsetan : 

Manourrino, a, adj. eis. qui ooncerne 

a professe ie mahometisune. 

ABONETICO,, A, adj. de Mahomet, du mahe- 
meötistne, 

Mauouxtisuo,, s. m. mahomeılsme : religion 
de Mahomet, qui admet un seu! Diea, ei la 
mission divine du prophete Mahomet; musal- 
manisıme 


+ Manor, 3. m. (4. de gdog.) Mahon : ville 
maritime de [le de Minorque. 

+ Mauontz, a, adj. et s. de Mahon. 

Miı,s.f. mere, maman : fenıme qui a mis 
un enlant au monde; femelle qui a un peilt, 
od des pelits; Ay.)raus ‚segrce. (id.) Hornmic 
qui ale avcc la Iendresse d’une mere; id, 


MAI 


der!) komme effüruine ‚ Ponte moniilde, Panie 
Is plas &paisse du mot de vin, qui faß fer- 
menter toute la cuve. — Fogus,, soaree abon- 
danie; reservolr. Lingua — , lange mere. Er- 
tar na —, se dit du vin qui n’a pas encore &6 
tzansvase. 

"Mita, s. f. V. Dama, Donuslis. Ancienus 
te populalre au 1er mal; reine de mai, joane 
lie parde, ornoe de Acurs, le jour de orte 
föte. (Ag.) Femme tr&s-parse. 

Maızsrins. V. Magestade, 

Manära, s. m. (t. d’Asie) bianchissenr. 

Mainca,,s. f." peson du fuseau. 

Mamiı, sm.  Tumpe die estaller pour Fıp 
payer en montant. V. Corrimde, 

Miıo, s. m. mai : cinguieme mois de l’annde. 
) Temps de feurs, de plaisim. 

srön, adj. ? gen. plus grand. 
Majear: quia atieint V’äge de Jouirde sndreiß, 
de oontracter valablement,. 4 — parte, la ple- 
part. A— serie do lompo, ou das vous, lei 
irois quaris du temps. De — idade, d’un ge 
plus avancı. De idade — , trös-avanod en Age. 
Estado — , ttat-major. Ofieial-—, maltre clere. 
Por —, ade. mm gros. BE’ cousa por —, dei 
une chose extraordinaire, etonnante. Nüo d 
dito — , il n’ost guöre plus grand. Levanier- 
se ds meiores, usarper 0 un pourois quen va 

pas, prendse des alrs de superiorite ; s’enor- 
 eillr, s’btever contre ses saptrienrs. Pr 
se ds maiores, en vonir aux exirdmiids, aux 
gros mots. Cosa —es, CaUSOS majeures, Fi- 
serv6os au saint-aiöge. Forias —es, jours de la 
semaine seinte. Ordens 08, ordres majeurt. 

Maron, s.f. (8. de log.) majoure du syli- 

V. Maiöres. 


Mareit,e. m. obel d’an sorps, superien 
d’ate communauts. —do gado am dos pastoret, 
maltre berger. — de rebenko, beller ou bout 
d’un troupeau. 

Masonina. V. Mangerona. 

Marönss, 8. m. pl. chefs, principaux d’ese 
ville; ancötres, aleux, prod6oessenrs, 

MAtORDONO, ei. V. Meordemo. 

Muıonia ‚so. f. exoellenoe, avaniage, prödisi- 
nenoe. Majoriss : le plus grand nombre. 

Maroaınpäne, s. f. majorite : &tat du majenf; 
la pluralits,, le plas grand nombre. 

MaloRmenTg , adv. principalement, surio. 

Mamnzinu, A, adj. un peu plus grand, m 

lus 

“M los "auf. m. pl. Lirlos — , muguels. 

° + Maiosinno, A, adj. Ameizas as, peulel 
prunes qui viennest au mois de mai. 

+ Mutreng, 5. m. (t. d’hist. wat.) maipouni: 
perrache de Cayenne, tapir. 

Mais. V. Mais 

Miıs, adj. plus, davantage, mieuz. adj.? 
gen. V. "Maior. Plus de, davantage. — 

‚ plus de vin que deu. Os—, 
les autres. 1 est aussi s. O—, le plas 
nonıbre, la plupart;; le reste. N8o ss pöde d 
zer—, c’est tout dire. II est aussi eonj. Er! 
0 pobre —n-rico ‚lo pawrreet lo riehe, Arorlı 















gu 8 


MAl, 


— o coldeirde, saint Noch ci son chien, De —, 


de plus, de rop, en sus. De — a —, de plus 
en plus: wir plus est. De — diso, outreo 
cela. Por ‚avec negligence. V. Demeis. 


Mais e —, de plus en plus. As — das vezes, 
le plus souvent, les trols quaris du leınps. Km 


uanlo co —, quant au reste, d’ailleurs. 40 —, 


tout au plas. A— correr, & toules jJambes. 40 
— ‚sans 
refiexion , Inconsideröment, ex abrupto. Sem 
— fir-Ie nem quarte, (fam.) sans motil ni rai- 


— fardar, au plus tard. Sem — nem 


son. Ndo —, point davaniage. A — e melkor, 


au mioux, tout au mieux. Ainda —, mieux en- 


core, il ya plus. — que muilo, beaucoup !rop, 
ires. Z 0 que mais d..., et qui plus est... Tanto 
— , quanto — , d’autant 
vez —, de plus en plus. 
viron, & peu pres. De pouco — ou menos, (fam.) 
guinevautpasbeauconp, quine vautpasgrand'- 


chose. Ndo Aa — , c’est tout ce qu’il ya. — do 


que & preciso, plus qu/il no Taut. — sadio que 


rieo, plus savant que riche. Virgilio d o — es- 


timado dos podias, Virgile est le plas estime 
d’entre les po&tes. Quanto — eu #’i830 penso, 


tanio, etc., plus j’y pense, plus, etc. 

— medion, — molestias, plus il y a de mede- 
cins, plus il y a de maladies. Querer — « ums 
pess0n que a ouire, almer une personne plus 


qu’ane autre. Querer — alguma couse, vouloir 
davantage, quelque chose de plus. Houoe — 
il ya ou plas de tnes que 


mortos que [eridos, 
de bleuses. Por — que is, por — que [ara, 
Yal eu bead faire, jai beau” faire. Por — que 
«inocja, quoi qu’en dise Penvie. 
AISQUERÜR, v.&. aimer mieux, preförer. 


Marrica,s. f. oiseau d’Amerique, espece de 


perroquet vert. 

MarndscuLo, a, adj. mejusoule (letire — ), 
capitale. 

Main, s. m. mei, Mö d’Inde ou de Turquie: 
plante et fruit. 

Mali, s. m. champ vemd de mals. 

Miızinua, s. f. dim. de Mdi. Petite manten, 
komme manian. 

Masıunona. V. 

Maszstäpe,eic.V.M eslade, etc. 

Masön, s. m. major: o ier charg6.da dstail 
d’en cofrps. Chefdebataillon. — general, mejör- 
gentral. 

+ Mısöna , s. f. femme du Major. 

Masöncı , eto. V. Malhörea, ete. 

+ Maxasunin, em. (b. Met. net.) maka- 
kounan: quedrupede föroce de la Guyane. 

Mar, ade. mal: de mauvaise manldre; au- 
tgoment quwil no faut; pas bien. Peu, trös-pe u 
Suiri d’un verbe il signifie, & peine ow aut 
«61. Er. :— 0 ofo, A peine zil l’a vu, ow aussi- 
sor quiil Ya vu. — chogon, aussiwst qu'il arriva. 
— feilo, mal fait, mal bati. — que dom, tanı 
mal que bien. — soanfe, mal sonnent: : quicho- 
que les oreilles pieuses. Bstar —, n’etre pas 
bien; @tre malstant. Estar — de sahde, se 
porver mal. Eetar, pOr-se — com alguem, eire 
browilie, w krouitler aveo quelgu’un, = 0 de 


lus. Cade die —, cade 
040 — OU MENOS, BI 





MAL 165 


md menie , mal-ei de mauuweiss gräce. Por _ 
que vd, au pis aller. De — para peior , de ınal 
en pis. — scondicionado, mal oondilionne, 
gäls. — disposio, mal ordonne. — parccide, 
pas beau, pas joli. — ferir, blesser : donner 
un coup qui cause une vive douleur; biesger 
griövement. — repulado, mal fame : qui a 
mauvaise röputation.— vos Aaja, foin de vous. 
— kaja elle, malbeur & lui. — por mim! mai- 
beur A moi, malheureux que jo suis! Hölas!— 
de seu grado. V. Grado. 

Min, s. m. mal:ce qui est contraire au bien; 
tort, dommage, injure, perte; douleur, ma- 
ladie; vice, defaut. Malbeur, calamite, infor- 
tune. — francez, maladie ventrienne. — de 
S. Ldzaro, sorte de lepre. — caduco. V. Gola 
eorel. De — o menoe (fam.), de dous maleı o 
menor, de deux maax il faut choisir le ınein- 
dre, ou eriter ie pire. — por —, mal pour mal, 
autant vaut Fun que l’autre. Dizer— dalguem, 
dire du mal de quelqu’un. Querer— aalguem, 
en vouloir & quelguun. Que — Az eu? quelmel 
al-jefait? E o meior — quo Ihe pöde aconlecer, 
o’ost son pis aller. Ha males que vem por bens, 
(prov.) a quelque chose malheur estbon. 

Mia, s. f. valise, porte-manteau. — das 
oarias, mallo, valise de courrier. 

+ Marızin,s.m.(t. degedog.) Malabar : pres- 
geile en degä da Gange. adj. eis. du Mala- 


ur MaLanBinIcO, A, adj. ou qui appartisnt A 
la cöte de Malabar. 

+ Mırica, s. f. (1. de göog.) Malacca : port 
et ville forte, capitale du royaume, sur le de- 
troit du meme nom, vis-ä-vis de Sumatra. 

MaLAscACcHETA. v. Mica ou Talco. 

+ Maricnto, 5. m. (f. d’hist. nal.) " mala- 
chie : coleoptere pentamere, lampyride. 

Maricıa, s. f. malacie. di. V. Calmaria. 

MiALACONDICIONÄDO, A ‚adj. mal conditionne. 

*Maraconızino. V. Melancolizado. 

MaL-ACoNSgELNiDO, A, adj. mal conseille, 
inconsidere, mal avise. 

+ Mat-ACOSTUMÄDO, A ‚adj. mal accoutume. 

MaLacoräö, etc. V. Merscoldo, etc. 

+ Mauapia, s.f. "maneoie seigneurial. V 
Couto. Village de vassaux qui relevent diem 
seigneur. 

+’Mıusvlo, A, adj. Cavalleiro —, cheralieg 
de maladia. V. ce mot etle suivant. 

+’MarLioo, s. m. habitant d’ane Maladie, V. 
ce mot. Vassal d’un seigneur. 

MaL-AFFEICOAnO, a, adj. leid ; qui a une vi- 
leine mine. (Ag.) Qai ade manuvaises inelina- 
tions. 

MaL-ArORTUNÄDO, A, Adf. malbeureux, in- 
fortune. 

+ Muracußz, a, adı. et s. de Malaga, ville 
maritime d’Espagne. 

MaL-ACASALHÄBO, A, adj. mel regu; imal 
couvert. 

Mıussotino. V. Fanqueiro. 

Maracußra,s. fı (k. en Ereun es 


pice de poirze,— greitdude Guind. Y. Gra.de- 


166 "MAL 


ardizs. —do Brasil. V. Plinsnido.—s, BE 

t.de mar.) * chevillots, cabillots. Mesa das —s, 
(id.) *ratelier ä chevillots. —s da roda do leme, 
poigne&es de la roue du gourernall. 

Mırito, A, adyj.et s. Malais: de Malacca.s. m, 
Malai : langue la plus pure de TInde orientale, 

"MaLAMEnTe, ado. mal, desavantageuse- 
ment : de mauvaise manidre. 

"Marandänga, s. f. “malheur, disgräce: 

"MıLAnDÄNntE, Gllj.2gen. V. Desafortunddo, 
Infelis. | 

ALANDRIE, 8. mr. falndant, frippn, Yaga- 
bond, vaurieti. Brigand, bandit, 

Maragqutz, s. m.ahcdienne montale d’argent, 
valant 11 deniers, que le grand Albuquerque 
Mt frapper dans P’inde. 

Mursqufta, s. f. (f. de mar.) espöce de che- 
ille sur le bord du chäteau de poupe, pour 
amarrer diverses manauvres : oreille d’Ane. 

Mauasciras, V. Malencarddo. 

j MaLassina, 8. f. @ufs frits, esp&ce d’ome- 
elle. 

*Maristäncia. V. Estanca (md). 

MırLito,a,adj. malade, indispos£. 

MaLatösta. V. Mallosta. 

MıLavanesco. V. Malabar. 
„Maraventöra,s. f. " malheur, infelleits, in- 
fortune,, accident fächeux. 

aLavenfünino, A, adj. malheureux, infor- 


tune. . 

"MLivinoo, A, adj. brouillon, querellear : 
avec qui on ne peus virre; qui ne s’aceorde 
avec personne. 

MALAVINBÄno, A, adj. qui donne du mau 
vais goüt au vin, qui le fait aigrir (futaille, 
Ionneau, etc.). (fig.) Qui gäte, corrompt todt 
(personne) ; do mauvais caractdre. 

MıLaxi0o,A,p. p. de 
$ MiLrxin, 0.0. (I. de pharm.) petrir,amol- 
lir, attendrir, 

ALBARATÄDO, A, P. p. de Malbaralar. 

ALBARATADÖR, A, 4. dissipateur, prodigu®. 

Mausinstir, v. a. dilapider, gaspiller » faire 
des döpenses itutiles. Mevendre. 

t MaL2aniTo, s.m. 'mövente : vonie A vil 
prix. 


Mat-BARBind , adj. m. qula peu de barbe. 
+MaL-caskoo, a, adf. 11 se dit du mari gei 
ne vil pas bien avec sa [eınme , ow de la femmie 


‚ qai ne vit pas bien avec son mari.p. p. de 


+ Marcasin, v. a. mal marier, parlant d’um 
pöre qui ne marie pas bien ses ls. 
4 Maucumaixts, sdj. 2 gen. qui sent mau- 
uant. 
ALCONipO, A, adf. allamo. " 
MALCONTENTADIGO, A, adj. dificile & oon- 
kenter, , 
+ MuLcontense,, adj. 2 gen. V. Desconlents, 
so. 
ALCORRENTE, adj. 2 gen. peu exeros. 
MALCOZINHÄDO, 5. m. ° gergeio eu l’on vend 
des tripes Iricasstes, etc. ; endroit d’une ville 
oA ii Y a de cos gargates ou ol l’on vond des 
hripes frioassses, oio. 


vais, 


MAL 


Mircnrino, a, ff. mal der , iii mangoe 
d’education. 

_Mutoing, s. f. iniquit2, möchaneetd, male. 
Möcharicei# , action mößhänte. 

+ Maıoterao, A, ad). maladtoit, qui n’a pas 
de dexteritd. 

Mıwvicid, $. f. wmälsdlellen, 
Mälediction de Dieu : chätimint geil eurer. 
Parece que esia casa, este negbeio en —, Iı 
maledielion est sur celle maison, sur cas 
alnire. V. Amaldigo 

ALDICOAR. V. jgoar. 

Maı-nısr6sto, A, adj. Indispos6, malade, 
Qui n’est pas disposs d 

Mıupita, s. f. sorte de dartre., 

MaALpito, A, p. f. irr. de Maldiver. ai. 
Maudit. Endiabl6 ‚„damnabie, enragd, mechst. 
Maudit de Dieu, damnd, r&prours. Dit saure- 
fexion, 

Maupıtöso, a, adj. malheureng, inforiane. 

+ MaLoivas, s. f. pl. (1. de geeg.) Maldive: 
lles des Indes orienislos. _ . 

MuupizenöR, A, 5. diffamatens, medisanl. 

MALDIZENTE ‚adj. 05. 2 gem. mödisant, mus- 
vaise langue ; emporie-pidee ; rmerdani, 
quant, satrique. 

+ 2,9. a. maudire s laire dep impre 
oations conlrc... Medire : mal pazier de get 
qu’un. 

MaL2ös6, A, ady. möchant. 
MaALRÄnTE,, adj. oba. 2 gen, faindant, vopr- 
kond. Vaurien, , raillour, trompeut. 

MaL£pıIckngsa, 5. f. detzaotion, zuddisant. 

MaL£ico, A, adj. medisant; ealomalıı, 
injurisux. 

Muuzrickncia, s. f. malfaisance, bamer 
Lmabante, dispenision ä faire du mal. V. fe 


Musumcuse, 24 ad). malößeit, onsorcek. 
p. p. de 

} MaıLeristän , 9 0. emssecaler : jeter us si 
sur. queiqu’un, 

MaLzricıo, s. m. *diableria, maldos, 8 
lege. (imms.) „tot, prüjndice Bi 

ie. 


MaLüroo, 7) ad. malflsigant : qu mul mt- 
ons par des meltänes. Maltligne s qui a Ua 
influence maligne. 

Muzop V x 

ALEGOßTA. V, Melaguoie. 

Martinan, a... pl. V. Bexden (L. de bei) !. 

Eupkhorbis melsitsire. 


Mansıttina, 3 fı (&. de det m eier. V. 
Tithymelo. — mener, V. Zupharbis mein 
tsira. , . 

MaLströse, &,0dj. Börreaz.V.Sesoneiiw. 

MATENCARABAUSNTE, do, avas man 
mine , 

Maınncanino, A, adj. qui a masralse mitt. 
d. V. Garraneudo. 

Mauunconia, oie. V. Melancolis, oc. 

MALSEGRAGADO, A, adj. mauvais plaWäßl. 

+ Maususmine, A, ad, imeivil, impeb: !. 
malcriado, 


”m 











- MEL 
? MikLtwrkttfns ‚A ‚adj. ghi & des opinfons, 
des id6es fausses sur quelgue chose. 
MaLentRäda, 8. } ° drolı que pryaft un 
nier ä son eniree en prisan. 
+ Maucröta, s. m. N Part. nal.) nl» 
trorda : olsese nolr de . 
Miızs, 5. m. pl. maux, inßrmites; malböur. 
"Usiadie vent e. 
Mır-zerukino, a, adj. de rhuıvais 183 
gut est nö dus une mauvalse ätolle. Ag.) Laid. 
Hıutrı,d. f. valise, porte-mantesu, malle, 
*Mireve od Miıteri. V. Flanca. 
Mııerin. V. Abonar, A or. 
HuızvoL£ucıa, s. f. mälveillance, Malte, 
nivalse volonte. 
MiLgvoLo, a, adj. malveiflänt, qui veut de 
mal ä autenf; matdvofe. 
f MuL-sxEmrLan, v0.6, pefterlir, cortölt- 
pfe par le ttianrals exemple. 
"Muıtza, s. f. malice, möchanceld. 
| Mırraokbo, A,udl. malheureux, Infortans, 
"alencontteax; sar qui on a jetö un manvais 
sort. 9.9. de 
t, Mırrapix, ®. 6. jefer un manvals sort sur 


gu . 
*Nıuriınd. V. Malfarlo. 
AL rXLLInO „A,adj. V. Maldizenie ou Hal 


MiL-riLLinte, adj. 2 gen. qul parle mal. 
u. V. Maldizenis. “U. 2 on goipe 
*Marrinıo. V. Adullärto. 
MuLraztso, A, adj. et s. malfaisant : qal se 
Matt A faire Zu mal, & nuire; nulsible. 
Murrszense, adj.2gen. V. Malöfico, Hal- 
feııfo. p. d. do 
ALFAZER, ®. a. agir mal, faire mal; m#- 
re. 
unaurkrrd, a, p- p. d6 Malfazer. adj. Mal 


u ALrerröR „A,s. mäffalteuf, criminel, sc#- 
ı 


Nıudenind, a, adj. blesse griötemen! , dan- 
gereusemeht. 

Mııretaia. 7. Malfslloria. 

Mıısunipa. V. Milfurada. 

Nitci,s, f. petite &cuelle, soupläre. 

MiLcaLante. V. Descorlex. 

MaLcastän, 9. @. depenser mal A propos, 
dissiper, detruire , gaspilier. 

Miu-chino. V. Grädo, 

Miını, s. f. inallle d’an bab ou d’un Alet. 
Ballle : dasu de His de fer, servant d’arme d&- 
fensire. *Nasud de bouline. ”Palet: pierre plate 
et ronde poar jouer, en jetant ä un but. Jogode 
—, jeu du palet. —s, pl, madrure, taches sur 
la pesu des animaux ou dıAhois. Gola de —, 
estte de malte. — caida, maille &chappee. Ze- 
venlor wma —, reprendre une maille. Passar 
peia —, s’öchapper par la maille, parlanı du 
poisson , [fg.) d’une cbose qui tombe en oubll. 

Maıınioa, u. f. con de Tl Aelion Fo 
hattre le Die ; V’aire ou l’on bat le bl&. Bergerke, 
are, mul ao .Etable, bercail. 
NAaLnapRrNO , 8. m, plian 00 Inortier. 


MAL 767 


% 

Hırnatkino, a,adf. gronier! rtaßkelld, 

Maınapico, a, adj. insensible aux o0u4p®, 

MaııLnivo, 4,9. p. de Mälkdr. adj. Tackete, 
qui a des tsches. 

Muruaper ‚s. m. forgeron. Batleuten graftäe. 

Mıtnies, s.m. pl. "traverses de bois em- 
ploydos dans es pressolrs. 

Maid, s.m, °houle, coup de boule & la 
volee. De —, A 1a vol&e, & la boule-voe, [fig.) 
inconsiderement. Jogar de —, poquer. 

Mıtwin, vo. a, battre 16 bI6; battre Te fer sur 
Fenclume, Tora, marteler. Macquer (te chan- 
vre). (Ag.) Paligner par ses Instances,, assom- 
mer par ses ptopos, 1f est quelquefeis nentre. 
— em alguem, (fg.) insister avec queiqu’üun 
pour le persuader, if. Te tensaret„durement. 
— an ferto frio, batıre du fer’ ä froid, (g.) 
perdre son lempset Ses peines, sö fatiguer Inu- 

lerhent. 

Maınziaäd, s. m. "monrre : je d’enlant. 

Mııutınd, s. m. falseur de cottes de mallles 

Maınzrin. V. Emmalketlar. . 

MaALHRTE, 5. m. " mortaise ; ädent. 

Miıno, a. m. maillet, martesu d’encfüme. 
V. Baco. *Plstelonge ä Jaquelle sont atlaches 
los grelots des olseaux He fauconnerie. * Lalte 
@’arlequin. Ver-se entre o — e abigorna, (fig.) 
ötre entre PenclIume et le marleau , se Irouver 
en grand ermbarras. 

"Mıınd ou MiLnoM. er 

+ Maızönca, 0. fı (k 0g. rgu&s 
flo 6 la Mäditerrande. ie u 

+ Muunorguino, a, adj. et s. de Majordüe. 

# Maımouonino, A, adf. qui a les hurdeurs 
mauvaises. De mauvalse hımeur. 

"FMuuicz, s. f. manvals dtat (d’üne bies- 
sore , des routes). 

Muıufcıa , s. f. malice , perversitö ; inclination 
A malfaire.*Soupgon. Finesse, reserve exträme, 
dissimulatlon. —, mechancet#. Interpretation 
maligne. Mauvais dtat d’une cbose. 

Mauicıapo,A,P.p. de 

+ Muuıcıin, 0.0. gäter, ältörer, falsifier (m. 
us.) 9. ». Former des soupgons,, entendre ma - 
lice ‚interpreter malignemenl. 

MaLicrösamknze, adv. malicieusement ı ales 
malice. 

Maıscı6s0 , A, ad). malicieux : qui a de la 
malice. Malin, soupgonneuz, qui in to 
tout en mal. 

Mirco , A, Alfı (6. de ebın.) raaligue : (scide 
—) que !’on tire des pommes. 

Mıulena „af. wu Febre — ‚adj. Biree hall- 
gne. 

MuıLicnivo, A, p 9. de Maligner. 

Mautonauente , adv. mallgnement ı avec 


maligpite. 

+ lauicnnte, alj. ? ven. qui viele, qui 
gäte, u rend mauvaig. Qui interpräte ıhall- 
iemeht. 


Mauscain, n. 8. Corrompre, deptaven, in- 
festät. v. si, Einpirer ; davenir meligae ( un 
Birne ) 06 








. 


768 MAL 


Mıuscaieies, s f. mallgnite; qualit neisi- 
bie malice. Uuadi 
AUCHISSIMO .53p. 
MauLicno,A, 2a malin ie a do la mali- 


gaüls; nuisible, walfaisent; dangercux; qui | Des 


aime & faire, & dire du mal, des malices. 


‚MAL » 


Rn 
Marquzaßa , u. a. halr, voulois da mal &, en 
vouloir. 
Maınguzaia. V. Malquerengs. 
MıMUERıDO, adj. qui n'est pasaime. V. 
fevorecido. a. p. de Malquerer. 
MALOUISTÄDO. a0. brouilie. Odieur. pp. 


GEALINA, f.V.Maligne. (4. de mar.) Hautes de 


 Maulnas, s. f. pl. (1. de gdog.) Malinos : 
ville archiepigcopale de Belgique. 

Mas.-ıncuinipo, A, adj. vicieux; qui a de 
mauvaises inclinations, © 

MaAL-INTENCIONÄDO, A, adj. mal Intentionne. 

MıLissino,A, adj. sup. de Mdo. Tres-mau- 
vais, Irös-mechant. 

*MaıLzbia. V. Maladie. 

MaLLfäsisiving, a. /. malldabilitö ; qualiis 
de ce qui est malleable. 

MaLLezivsı, adj. 2 gen. malltable ;: dur, 
mais ductile. (Ag.) Docile. 

MuıuLLtoLo, s. m. (8. d’enal.) malldole : os de 
Ja cheville du pied. 

MaLrocaip0, A, p. pP. de 

MaLLocaia, v0. e. deconcerter : faire man- 
quer, faire echouer un projet, etc.; ruiner les 
esperances ; frustrer. 

MALLOGRÄR-SE, 9.7. ne pas r&ussir, &chouer, 
tourner mal; ötre prövenu, arröts par la mort 
dans ses projeus. 


+ MıLLöoao, 6. m. mauvais succös, rulne de | lice 


805 espbrances,. 
+Mırm’asöpa, 8. f. "arbre da Brösil, & bois 
“ dur, blane. 
? MaLuanpioo, a, adj. desobeissant: qui 
dssobeit, qui n’aime pas a obeir. 
MaLNuzQusa, 5. m. (I. de bot.) "marguerite 
aune, double, la flieur dor6e des jardins. — 

. V. Bem — das sedras , souci 
des champs et des bies. — ‚dos brr&jos, populage, 
souci d’eau, soucl des marais. — da secia 
reine marguerite, grande päquereite, aster des 
indes. ( Ag.) Emulation, jalousie, haine. 

° MALHETTER, 9.0. V. Empenkar ou Halda- 
valar. 

Maınacioo ou —nAscino, A, adj. ne pour ie, 
mal ;’de basse extraclion. 

Miro. V.Mdo, Alto e — Yun portant l’autre. 

MaLeari0O, A, adj. en mauvais 6lat; reduit 
aux abefs; qui court de grands risques; quia 
preis une mauvalse tvurnure. Dieide | , mau- 
vaise dette. 

Muauranisa, 5. f. femme qui a fait une (ausse 
coucke. 

Maıranin, 9. a. avorier, faire une fausse 
esuche, casser des wuls. 

* MaLraato, V..sborio. 

+ Maursccino, expr. adesrb. malbeureuse- 
ment, par malbeur. 

MaL-gug, adv. malgret, quoique. — Ihe p6zo, 
malgro lui. 

Muarguzasnca, s. f. malveillance, mauvaise 
volonte, halne, aversion. 

MALQUKREINTE, adj. 2 gem. ‚gel halt, w vout 
du mal. pe de Malquerer 






Marguutär, 9.6. seıner la zisanie, la dis- 
corde; brouiller, causer des brouilleries; i- 
dispeser contre, rendre odieux. — elguenon 
ouiro , meltre mal quelqu’un aupre&s d’un aatte. 

MALQUISTAR-SE (0m), ©. r. serendre odiest, 
insupportable; se fairo des ennomis. — com 
«un. so brouiller avec quelgu'un. 

ALQUIisTO, A, adj. mal voulu, hal, vu de 
mauvais ail, Brouille. 

+ NuL-azcioo, Arad. qui se gouverne mal; 
qui se conduit mal. 

Mır-si0o, a, adj. malsain ı contraire ä la 
nie; malsdif. 

+ MAL-SENTIDO, A,adj. malade, indispesi. 
(Ag.) Qui a des sentiments, des epinions u- 
rondes. 

Mau-sszöpo. V. Malsizädo. 

Muıusiu,, s. m. brouillon , boute-fea, seen 
de faux rapports, de cslomnies. Mouchand; 
denoncisteur de contrebaude ou d’enisie ea 
fraude, gabelou. 

Mausınacäö, s. f. accusation formde par mr 
‚& dessein de nuire. Denonciation. 

MaLsınapo, A, p.p. de Malsinar. 

Mausınapöna. V. Malsinardo. 

MaısmäÄr, v. 6. accuser mechamment, pi 
envie de nuire. Denoncer queligu’un. 

Mausınanla, s. f. medisanee. V. Malsinapie. 

Mausızövo, A, adj. insense, fon; qui n’a ps 
de sens, de bon sens. 

MaLSoÄNTg, adj. 2 gen. qui sonne mal. Bel 
sonnant: qui chogue, qui r&pagne. 

MuaLsoraipo, A, adj. peu endurant, impe- 
tient, impassible. 

tra ef. (1. de gdog.) Malte: 1le de la 
Mediterrante. #1. ( pop.) * Paquet, havresac de 
manauvrier vagabond. Fazer-se d —, (burl.) 
s’en aller, s’enfalr sans payer ses deltes. 

Maurtz, a, adj. eis. Maltais: de Malte. Cbe- 
valier de Malte, (pop.) Manourrier qui va se 
vailler hors de son pays; vagabond. 

+ Muutezia, s. f. grand nombre, iroupe de 
Maltezes. V. Maltex dans sa derniergeccepliön. 

+ MiLrma, s. f. malthe : espöce de bitume. 

MaLtösta, s. f. maltöte : Impöt de sorle ser 
le vin de Porto (en Portugal) ; imp6t on geniral. 

MaLtnariLno, A, adj. et 5. degusnille; gre 
din, grigou. 

MALTRATADO, A, 9. p. de 

MaLTRATÄR, % a. maltralter, eutrager, falre 
tori, traiter ou punir durement. N’arolr auchn 
soin de. Ger, chifonner, wernir, endommagt!. 

MıLrniTo, 5. m. mauvais traiterment;, chäu- 
ment, persecutlon. L’aclion dg.gäter, de verait 
& forco de manier. 

YuaLTrido, 04 —TO, A, ac. malisaile, 


-T Maubco, Dr (0; Prasiß, 











— oe nu 


MAM 
+ MaLöxco, s. ou adj. m. (tl. d’Afrique) 


Heu —, ınon camarade. Nom que se donnent 
les Negresqui viennent d’Alrique danslememe 
vaisseau, 

MaLusiß, 0. q. mesuser : abuser ; mal uscr; 
employer mal. 

MiLva,s f. (& de bot.) mauve : plante me- 
diecinale. — ordinaria, mauve & feuilles ron- 
des ‚ la pelite mauve. — arvorina ou do Japädo, 
alece du Japon. — monlezina. V. Alcea bas- 
larda. — silvesire, maıve sauvage, grande 
mauve. — menor, pelite mauve. — mourisce, 
mauve de Mauritsnie. — dd China ou — rosa, 
alcee rose, inauve rose. —d’Ungria. V. Malva 
silcesire. 

Mauviceas, adj. et s. f. (l. de bot.) malva- 
cees : famille des mauves. 

} MaLviceo,A, adj. (1. de bot.) malvacee. 

MALYÄDAHENTE , adv. mechamment. En scd- 
lerat. 

MaLvido, A, adj. mechant, pervers, scele- 
ral. 

+Mırvilscid, 8. 
de Portugal. 

Muauvaisco, s. m. (8. de bot.) V. Althea. 

MaLvin, s. m. lieu abondant en mauves. 

Mauvanisco. V. Malvaisco. 

+Mauvasia, s. f.(t.de geog.) Malvasia ou 
Matvotsie :1le et ville de Grece. Malvoisie : vin 
grec de !’ilo de Candic ; raisin avec quoi on le 
fait, 

Mauvegasıciö, s. f. malrersation. 

“MuLversipo, A, adj. de mauyaise con- 
duite. 

Maıvisto, A, adj. mal va; odieux, bat; in- 
eonsidere, falt sans reflexion. V. Malquisto. 
(vieux) Qui a mauvaisevuc, «quiala vuc basse. 

Mıu. 

Miua, s. T- mameNo, teton, teline. V. T’öla. 
Partie ebarnue de la 'memelle, le mamelon 
non compris. — de terra. V. Mamillo. Bico da 
— „ mamelon. Crianga de —, enfant & lu ına- 
meile. —s, pl. sein, Borge de femme. 

+ Mımabkına, s. f. "vaisseau de verre pour 
decharger les mamelles lorsqu’elles ont trop 
de lait. 

Mıuioo,A,p.p. de Mamar. adj. Ficar —, 
(pop.) rester stupclait, interdit; @tre attrape, 
trompe. 

MANADÖR, 8. m. celul qui telte. 

Mıuanpöra,s.f. action de teter ou d’allaiter. 

Mıuäı, s. f. maman : nom que les enfants 
donnent ä leur mere. 

MumiL, adj. ets.2gen. (1. d’hist. nat.) mam- 
mifäre : qui a des mamelles. —es, s. pl. mam- 
mifdres , animaux A mamelles, mamaux. 

+ MAMALBUDO, A,adj. (pop. ) mamelu : qui 
a de grosscs mamelles. 

+ Muuarocia, s. f. mammalogie : 
Lrails des mammifdres, 

+ MAmALOGISTA, sm. mammalogiste : na- 
turaliste qui decrit les manmileres. 

Mauiö, da, adj. qui tele, en parlant 
des animauzx. Enlanı qui telte avec avidiß, 


m. (1. de bot.) * lavatere 


€tude, 


- 


. 
€ ’ PA) 


MAN 65 


Be:serro—, VYitella —6na, vean de lalt, veau 
qui tette, Porguinho —, cochon de lait. 

Mauiö, s. m. fruit du Bresil, dt. V. Zapdla 
maison. _ 

+ Mauoßına,s. f. (t. de bot.) *mamei d’A- 
merique, abricolier des Antilles. 

MASÄR, v.a. et n. teter. (burl.)' Enlever 
quelque chose & quelqu’un par tromperie, es- 
camoter. — com o leile, sucer avec le lait. — 0 
cabedal, sucer, d&vorer, ruiner sa fortune. Def 
de — u scu filho, allaiter son enfant. 

f Mawinıo,A,adj. (f. d’anat.) moammaire : 
qui porie le sang aux mamellcs;; des mainelles 
(artere, glande—). Circulo —, artole : cerele 
color6 qui entoure le mamcelon, 

Maus. V. Bambi. 

MANELUcO, sm. mameluc ou mamelouk : 
milice & cheval dans Y’Egypte, fornıce d’escla- 
ves affranchis. 

MAMENTÄDO,A,p.p. de 

MAMENTÄR, d. a. allaiter. 

MÄuENTE (DE), adv. A regret, & conirc-caur. 

t Mauestino, A, adj. des Mamertins, qui 
les concerne. Mar —, detroit de Messine. —s, 
s. pl. Mamertins, peuples de Sicile. 

MauiLuo. V. Mamillo. 

MayıLLir, adj.2 gen. mamillaire : des ma- 
melles. 

ManiLLo, s. m. fanon : peau qui pend sons 
la gorge du bwuf. Petite loupe. — de ferra, 
tertrc, mamelon. —s, pl. mamelons, parties 
glanduleuscs sur la pcau; concrelions tuber- 
culeuses;; protuberances rondes. 

MaAnıLOSO, A, adj. mamelonnd : recouvert 
de tubercules. 

ManminHa, s. f. dim. de Mdma. 

Maumän, etc. V. Mamar, etc. 

Mısuöa,s. [. aug. de Mdma. Gros töton. 

Mıuöco, s,.m. (tl. d’Asie) jour du mois lu- 
naire. 

Manuoßıno. V. Mamona. 

MauönA, 3. f. "ricin, la feve. V. Carr 
t&iro. Oleo de —, huile de riein. adj.f. de 
mäo. V. ce mot. 

Mıuöre, adj. 2 gen. V. Mamäo. (fig.) Bentt, 
hete, niais. 

*+ MaurarÄt, dv. a. proteger, delendre, ga- 
ranlir. V. Amparar. 

Manurösta, s. f. troupes de räserve. De —, 
ä dessein, expres; d’avance, tout prät. 

Manwrostenia, 3. f. "endroit couvert d’un 
reiranchement, d’oäa on falt un feu continuel. 
Charge , office du Mamposteiro.V. ce mot. 

MauPposTeıno, s. m. honme place, eic., par 
quelqu’un pour exercer ses fonctions. Quötear, 
pour les ne pour St.-Antoine, eic. 

Mauöa. V. Mamda. 

MAnöDE , &. m. mamondi : monnaie de Perse, 
de Surate. 

Mımüno, A, adj. mamclu : quia de grosses 
manelles. 

Mina, s. f. saur (mot de tendrcsse). 

Mınä, 5. m. manne : nourrilure miraculcuse 
des Israclites dans le desert, —, suc oongele, 


’. 
nt 


70 
hurgatif, d’uns espece de Iröne; drogue pufr 
gative. (Ag. 


gerbe & la manne. 


@u Iroupe. 


(de 
N Decouler, provenir, emaner. 


karcon, damestique, 
meureux, Sorie de mweuble pour soulenir une 


Jurenil. 


Mil 


— .nolirriture de esprit. 
tManai,e. r. (4. de bot.) fötsqe Mollänte, 
" MANAANinO ‚ade, de main en main. 

+Manica, s. fı (1. de bot.) "mahaca: pal- 


mier de l’Amerique mietidiohale. 


Mauackö. V. Emahagdö. 
Manipa, s. J. "troupeau de gros betall; 


group de gens, nombre de chöses. — de veados, 
e 


orgös, gamos, harpail, harde : Iröupe de 
de pörcos. V. Yara. 44-4, 


Mıanapkıno, V, Manancial, 
Mınivo,A,P. P- de Maonar, 
Maniuna,s. f. lroupe d’amis, da eamarädes, 


8. 
Mısiuvo, A,adj. (1. de veldr.) balzan [cho- 
IR Te a 


ManancıÄL, s. m. "seurca d’eau. (Ng.) Sourte, 


erigine, principe. 


ManancıäL , adj. 2 gen. coulant, qui coule; 


Perpeiuel, qui.ne larit point, 


MaNAncıaLMEnTE. V. Perennem£nie, 
ANÄNTE, edj. 9 gen. coulanı, qui coule. 


p. a. de 


Mani, v, 0, verser, repandrö (un liquide). 
8) v. #. couler, decouler ; sourdre ; abander. 


Mıxatim ou Preıxg n0ı Do Park, 8. m. (8. 


d’kist, nat.) mauati eu lamenlin : mammifere 
awıphibie, celace, 


ANCÄEB, 8. @. pl. sorte d’ancien jeu. 
Mancir, s. m, bälon ferre des deux bouls. 


Pivot de porte, etc. 


) 


raum e. fi jeunesse. V, Juveniude. 
roupes de jeunes gens. *Concubinage, Lieu 


Mancaı. V. Monsal, 

Mincio, adj. aug. de Maneo. 

Mancäs, v0. @. esiropier, rendre boiteux. V. 
jr. o, n. Boiler, V, Manguajar, (ines.) 

anquer :: faire TAute. 

Manckaa, s. f. concubine, maeliresse, V, Sol- 
a, Donzella. 


lio da d&bauche, V. Alcaues. Vie liconcieuse, 
auchee; vie de prostitue. 
Mınczsinn , dim, de Mancöbe. 
Mıncevinno, dim. db 
Mıuctsa, a. m, jeupe komme. Compagnen, 
telol, Galant, ament, 


andelle ä orochet, 
Mancken, a, adj. Jeune, de la jounesse. V. 
(6 ron, 14 jeunesse, los jeunes 


gets. 

Mincha,s. f. tsche, seulllure : faargue qai 
salit, qui gäte; madrure 
sans je poil des apinpaux. ( 
heur, ä la reputation,, sonillure. —s , pl. 


‚matgne sur la peau, 
) Tache 4 Pen 


present , oadean (pP. s.) =s do sol, da Ius a- 
ehes da solelf , de la lune : endrolts obsonız Sur 
leur disque. 


MAncHiDO, A, u | . iquels ; marqud de 6a- 


aan. p. p. do M 


>” um a 


MAN 


Maxcmir ,o.0. lacber, fairo une lache ‚ sonil- 
tet. ( Ag.) Souillef, ternir, salft, dentgrer: ter 
l’ecläl, la ginfru, Phonncur. — 1 conmwiehce, 0 
&lma , soulller [üme par le peche. 

Mancuta, 3. f. poigneo de quelque chore, 
pleine mam. Homem dd —, höınme sccompli, 
achev6, parlait, | 

+ Maxcutoo, A, adf. ut 8. da ie Marche: qui 
yest nd, qal ydeneure. 

Mancuit, & I, oouteau de boucher, we 


perel. 
Mawcuda, db. f. (1, #’Asie) petite barque. 

Mancırici6 v 

Mancıpan, eig, | Vr Dmn.., em. 

Minco, A (de), ddf. manchot : eatroplt de la 
mein eu du bras; hoileuz. (Ag.) Delectucat, 
imparfalt; qui mangue de. sar c0g0 men 
—, (fam.) n’ötre pnäs manchot: dire hab, 
ruse, savoir döfehdre ges interkis. Fler —, 
(Aig.) tester en chemin, abamdonner une aßaite, 
cöder aux obstacles, 

+ Mıncoauun, 2. m. 1 Nest usild que dans 
cette phrase advegbiale: De —, de concert, da 
commun accord. 

Mıncouuunäpauente, V, De maizonmun. 

MANCONMMUNÄBO, A, p. P. de 

MANCONNUNÄR, 0. @. Copvenir d’une Chöit, 
cantracier d’un cammun accard. 

MANCcoNNURÄR-SE (com, para), ©. fr. ® 
joindre,, s’associer, agir de concert, ordinait- 
ment poar duper, pour faire du tert äge- 
qu’un. 

+ MANCONNMUNIDÄDE , 3. f. union, associsuen 
pour une entreprise. 

Minna, 8. f. "lege, diaposilion testamet- 
taire. "Renvoi : asterisyus, mäfgie, sigoe gu 
renvoie dä une cHalion, eic. 

+ Munpacännes, ©. m. Pl. (dh Wine) Is 
hommes qui hisseni les plongears qui font l 
ptche des perlos. 

+ Munpacaad, a, u, Truß da Brösil,deh 
grandeur d’une grosse namme. 

+ Manpan£ıno, s. m. commissionnaire, Ber 
aager, enroye, charge d’une commission, Pit 
leur d’un ordre,, etc. adj. V. Missivo, 

Manpipo, s. #. ordre, commandement. Ber 
sage, commission, * Ordonnance d’un Jaft 
(vieux) V. Legada, Doixa, Fazer og —ı ou ale 
ao — d’alguem, dölre aux ordres de quelgt #- 
Fazer d’uma via dam —, sagri, chasser deu! 
litrres a la fais; laire d’uno pierre deuz Coup 
A xDis0,&4,P, 9. de Mandaer, ad). Commat- 

‚etc. 

Munsanon, a m, calni qui oommande, I 
ordanne ; imperieux, qui aiıno & commander. 

MunnauEexTo, 2. m. er r 

receple , injonctian , ordre d’un auperieur. 
na j coınmandements de Dieu ou deFäsh“ 

+ Mannänte , adj. 3 gen, commandam, 3% 
commande. p. a. de Handär. 

Maınpäö, s. m. (pl. Mandöee) ceul u co 
mande avec haulcur et plus qu’il ne don. mr 
nistre despotique. Ser 0 —, ( Jam.) teniz I 
yuouo de Ja poeic. 














m m 


2a ma a u mn 


mm | “On VE 


MAN 


Manpir (0), ©. a. commander, ordonner, 
enjoindre; gouverner arec autorite. Envaoyer, 
Mander. — em lsstamen!o, !&gaer partestäment. 
a algusm coma gponla do 24. (Ag. fam.) 
avoir un grand ascendant sur une personnes, 
en falre tout ce que l’on veut. — 4 Tabl, en- 
voyer promener. — an chefe, eommander en 
ebef. — oir, mander, faire venir. — diser, 

‚vonder, eic.,falre dire, faire faire, 


—fazer 
faire vendre, eu. —d memorig, apprendse | 


par caur. — a espada,,Jouer de Pepee. 

Munvin-sE, ©. r. se commander soi-möme, 
@ire maltre de 208 | passious; &tre ecommiande, 
ordonued. As leisndo säo boaspor quasemandäo, 
sendo porque bem se guardäo ‚les lois ne sont 
pas bonnes parce quiclles sont commandees, 
mais parce qu’clles sont bien observees, 

Muanvanfu,, 4. m. mandarin ; titre de diguite 
& ta Chine. 

MANDARINÄDO, 8. m. mandarinat ; charge, 
dignit£ de mandarin. 

Manparirıo, 3. m. mandalaire, procureuf 
fonde;; celui en faveur de qui est un mandat. 

ANDATO, s. m. mandat, rescril du pape, 

*Ordre, commandement, precepie. * Procura- 
tion, mandat. Lavementdes pieds le Jeudi-saint; 
le sermon qu’on preche sur ceite oer&emonie. 

ManpipuLa, s. f. mandibule, mächoire, 

MuxpiL, s. m. lablier grossier. *Housse de 
eheval. Gros drap pour neltoyer les chevaux, 


MAN I 


cine soulertaine, haricnt de letre, pols d’An- 
gola : plante lögumineuse. 
Manxoüca, 3. [. (1. d’Asie) porte de commupi- 
cation d’une riviere avec une plaine cullivee, 
Kenncals 9. yh vo 1) manger, 
miannäa. va Mancjar, ei Many- 


unzivaVY, Bronds, Tralavarel ; Coades- 
oondents. 


Mania, s. 0, travail manuel; manlement. 
V. Maneje. Impöt sur les salajres. 

Muntina, s. f. maniöre, lacon , sorta, guise. 
(aus.) Ouverture, (ente de cald d’une jupe; 
brayelie. Conduile, manpiöäre d’una personne. 
Manidre do peindre. (iaus.) Qualits d’une par- 
sonne. V. Gosiumge, Mode. Do, por = que, 
de maniere que. 4 —,äla manidee, ou Sagen 
de. Do quelguer — qua saja, de qualguye ına- 
niere quese soit. dran de — gun , Inireen arte 
que, —1, pl. manieres , maintien,, air, 

Mankıao, A, adj. qui peutse manier, Se Ppor- 
ter dla main; pertslil, poll, (am4.) Galsi qui 
substituail pour payer les delieg d’un auge. 

Aror, falcdo —, (1. de odB.) Eparrins, Jancon 
que Ir porie au poing. 

MınEJAnD0, A, 9, P. do 

Massıin, 9. 6. manier, toueber avec ia main. 
Manier un cheval, le manpr aveo arl. Ag.) Ma- 
niae, gärer, camduire une allajre. vv mp ara, 
faire je maniement des arımes, faire Veser- 


en ) Valet de maquereau, de lemme publi- | eine. 


 andinca, $. f. (1. d’Afrique) sorte de sprli- 
Ike des nögres d’Afrique. 

ANDINGUEIRO, 5.9. calui qui fait usage de 
la mandinga. V. ce mot. 

Manpiöca, s, f. (i. de bof.) "manios, magnot 
ow manihot : arbrisscau d’Amerique ı la rasize 
Aabereuse fournit la cassare. 

Mixno,sm. RQuvois, cmpire, aulerlid. Gow 
vernuement, zögime, inisisallon. V. Mas- 


MAnDönaE, s. m. caup d’üpee, de sabre, 
donnd & deux mains. (fg.) Repsoohe amer, a6” 
vere röprimande. 

+ Manoori, s. m. imp4t voyal dans l’Inde 
portugaise. 

Manpedcona, 0. [- (1. de bei.) mandragere : 
plante solande. 

% Mununniö, 3. m. Mangan, MARKAUMEA ı 
machine pous lances de grossenpierres, 

Maunnıiö, 024,5, faindanı, cagnard, oisil, 
Berosseur. 

Manpniiö, s.m. peignoir de femme. 

ManDaıiR, 9. ‘u. cagnarder ı vivo dens la 
paresse, dans la fainsantise; mensr uue vie 
oisive. 

Mınpsica 08 cagnardise , 

Manpaskiua,s. f. | lisc. 

+ Maunsiz, 5. m. (i. d’kisi. nal.) mandkil : 
singe a ınuseau allonge. 

Manpi, a. m. (1. busl. du Bresil) Emmanuel. 
(Ag.) Simple, wot, imbecile. 

T Aanpıni DAncHLA, 0 m. (4, de bot.) "gly- 


laindan- 


Mınß3o, s. m. maniement, l’aclion da mpa- 
nier, Mandge, arı de l’equilion , Heu aß l’on 
exeran les ohewaus. (Ag.) , venduite d'une 
affaire. Mandge s ‚„ manlöre diagir 
adroite et swtißniewes. Maniement des arnıas , 
enartion militeigo. (fig-) —-, aiminiswallon, 
gestion. = de earie, Iniriguo de naut.r-# 06- 
eulios, sourdes mendes, iniigmen 
IMAneEUYFER SOULOEFAINES. 

Kıunsöe, um. (1. de in Chine) "(te dada 
commemoration des mortschez les Chineds, - 

Maıntan, 2,0. palit neuuek de leine it he 
loupes. 

"Mananchaia. V. Ira, Sana. 

*Mınenconıo. V. Irado, Assanhade. 

+ Mantnte, adj. 2 gut Eunsdanie -, &tu- 
diem qui nat ohlige de rapreudte son nut. 

MANEQLIiM , 3. m. mannequin ‚punpasd. 

‘+ ManEnia, 4. fı In qualttt d’ttse perialif. 

"+ Minsk, 5. m. adminisiralien, geasion. 
Manoir, demeure, maison. " Pilanoe, pesuılon. 

Minss, 8. m. p). mänes ; omures om Ainks 
den meorta, (1. de msyih.) L.ea diewz Mämesy les 
anfers , leuns supplises. 

Man&ta, 6. 2 gen. menuchet : eftrapie d’en 
bass au d’une main. 

Mıntro. V. Maneio. 

+ Manrnedönta, 5. f» (4 de geag.) Mautire- 
deine ı ville d’Italie. 

Mina, s. f. mancke d’habit. Ornement d’6- 
volle cn forms d’entenneir, qu’en tische aux 
croix des eglises, au-diessews das piesie du ass- 
eillz, Longug flo de fusiljors, ailo d'un ba- 





712 MAN 


tsillon, etc. File de gebs qui dans une batiue 
so meltent ä droite et ä gauche four erup&cher 
les joups de se detourner. *Filel de pechcur en 
forme de bourse. Chausse pour flltrer tes li- 
queurs. — de nurem, s6chillon, Irombe : c0- 
lonne d’eau et d’air qui s’eleve de la mer. Ter 
«— larga, avoir la manche large ; &ire un p6re 
äAla grande menche, parlant d’un confesseut 
peu scrupuleux.— perdida, manche pendante, 
dans laquelle on ne passe peint je bras. Ter 

de— , avoir quelqu’un dans sa manche. 
— da reinhe,, saucisson plat fait de langue et 
filet de porc. — de soldados , compagnie de sol- 
dats sous un drapeau. C4o de—. V. Fraldeiro. 
-—s puslices, fausses manches : ınanches qu’on 
met par-dessus d’autres. Teer, sodejer panno 
pers —s,(Ag.)on le ditpourezprimerlagrande 
abondance d’une chose. 

Minca, s. f. mangue, mangifera : frait du 
mangier, en cwur : nutritif. V! Mangutira. 

Mancisa, s. f. fruil de la Mengabeiro. 

Mancastına, s. f. “arbre du Bresit, dont le 
frult est rond ‚jJaune rougeätre , et qu’on mange 
& demi pourri. 

Mancaciö, s. f. mystillcation, moquerie, 
attrape. 

ManciB0, A, p.p. de Mangar. 

ManucarLiga,s. f.“ berdel, lieu de debauche. 
Vie oisivo , vagabondage. 

ManGaniLua, e. f. maniganoe : mauvalse 
ruse, prooede artificieux. V. Engeno, Freude. 

Mancäiö, a. m. (t. buri.) moqueur, mystlica- 
eur. 

Mancin, 0. ®. (#. durl.) — com eiguem, 
womper queku’un, mystiller queiqu’un, 56 
moquer de lul. Estd commigo ’ vous 
plaisantez? vous vous moquez de mol? 

+ Manoani, s. m. ospeco de truffo du Brosil. 

z Mancanito, s. m. (. du Bresil) recine 
jaune, en forme de carotie, bonne a manger. 

MANGAS-DE-VELÜDO, &. m. pl. manches-de- 

: oorımorans du cap de Bonne-Espe- 
Fano0. 

fMuneariramture, ade. par plaisanterie, 
per moquerie. 

fMuancarivo, a, adf. de mysilicetion, de 


Muncarönm. V. Mangalivo. 

Manciz, adj. 2 gen. (f. buri.) grand, gres en 
son geare. 

Mancenöuna. V. Manjadoura. 

MunckLie, s. m. certain poids des indes. 

Mancericäd, s. m. (1. de bot.) basilic : plante 
labide , odorante. — meior. V. Alfavace. 

Munuczaöus, 8. f. (t. de dot.) marjoleine: 
plante labiede, aromalique. — Öranca, marjo- 
lalne gentille ou & petites feuilles. 

+ Muınciär, 3. m. poids de l’inde. V. Mange- 


. 

* Manciı. V. Manckil. 

T Mancuin, s. m. lieu ob il y a des mangtes. 

T Mäncız, s. f. (1. de bot.) "mangle, man- 
ghier : arbre de l’Ameriquo. — bastärda, ° gri- 
gruen, corne-de-beruf, chono francais. 


MAN 


Minco, s. us. manche du ütau A batise Je bil, 

MancoiL, s. m. fltau ä battre le bild, eic. 

Huncöna,($. burl.) V. Prignigs. 

MANGONAR 046 —COXEAR, d. 9. (1. burl.) 008 
rir ca et la, baltre le pave. V. Prigicer. 

f Muncosti, s. f. (4. de bot.) " mangeusisa 
ow mangostan : arbre guttifäre des lles Molo- 

ues. 

’ MaucöTe, s. m. cuir d’une volgure par ei 
Passent les traits. Ancienne armure des bras, 
brassard. (1. de mer.) Piston de pompe. 

Mincna, s. [. petito gelee qui gäte les [raltı 
naissants, nielle. 

Mıncräino, A, adj. frapps de la gelce die 
mangra. V.(fig.) Gäte. Grddo oe —.\V. Als « 
mdälo. p. p. Ge Mangrar. 

ManGaAamELLa. V. Md 

+ Mıncrär, v. a. gäter tes frulis, en parlam 
de la petite gelde dite Mangre. V. v. m. 5% 
gölcr. 

Mincte, 3. m. arbre du Brösil qui vient set 
bords des rivieres ei dans les marais. T. 
Manga. 

Manctkina,s. f. (1. de bof.) * mangier, mao- 
guier : plante terebintbacee. — de lons, pars 

as coberlas, (l. de mar.) manche ä venl, 
venßlatcur. — da bomba, ınanche & pompe. 
— d’aguada, manche & l’eau ow pour l'can. 
— dos embornaes, mauge ou maugöre. 

MaıncugıriL, 5. m. * foret de manguiers. 

+ Muıxcu£ino, 5. m. (£. de bot.) mangueite: 
petit arbre d’Afrique. 

Maxccıro, 5. m. ınanchon : fourTure peu 
garanlir les mains du froid. Demi-manche gei 
s’ajuste au bras, depuis je coude jusqu'au pöi- 
gnet : miton. °Manique : espece de gant 
demi-ganı. 

Mancis, s. m. esp£ce de mmangouste de (ay- 
lan : animal carnassier. 

Minus, 5. f. (inus.) adresse, deztrite. Fi- 
nesso, ruse, artice , fourberie. Mauvaise cor- 
tume , habitude vicieuse ; inclinstien ; vice dar 
cheval, etc. Ddr-se —, proflter de l’occasiön, 
user de diligenoe. Volldr ds anfiges —ı, rt- 
prendre son naturel, se rendre ä ses inclint- 
tions. Dize-me com quem andas, dir-ie-hei ss 
= que tens, (prov.) dis-moi qei tu hanles, j% 
te dirai qui tu es. 

Manni ou —ia, se. f. * malin : premidre par- 
lie du jour; matinee. 4’ —, demain. 4’ — pels 

‚demain matin. De —, io matia, dans 
la matinee; de bon matim. — eddo, de gram 
metin. Pela —, Uans la matinse. Ao romper 
da —, au point du jour. Ere — clers, il faisal 
jour. 

Maunin ou au. V, Manhä. 

Mımuinızo. V, Magnanitme. 

Maıxuizixua, dim. de Mankd. 

*Naxuo, A, adj. grand. V. Magne. 

MAXUösamı.xTE, adr. adroitement, Inder 
trieusement, habttement ; Bnement, arliliden- 
sement, avec inalırc,, artiheo. 

Manttoro , a, od. ariticienx :ou il yadeR 
Irayde, de Iyrbtre. Adroit, industrioes, 60, 








MAN 
subtll, rusö. Vieleux, hargneux, parlant d’un 
cheral 


Mania, s. f. usmie : sorte de folie; caprice 
enLraragan! (I (Ag.) * Engeuement, enistement, 
proocoupa tom. (id.) ’Geüt exelusil. — Iupins. 


Maniaco, A, a. meniaque, furieux, pos- 
stas d’ene manie. (Ag. ) Extravagant; is a des 
goals ezclusifs ; engoue , pröocceps, entäld 

ManıicuLo, v. Meniaos. 

Manian, V. Menser. 

Muımaräne, A,P. p. de 

Mantarän, 9. 6, enmeneiler, altacher cs 
mains. 

+ Mamcica,s. m. (1. buri.) läche; ersimtlf, 
poureux. 

Manıcnko. V. Mandguto. 

+ Minıco, a. m. (1. de bot.) V. Siramonia. 

MAmCHRDE 9% mamiohördion : insire- 

MınwcörBio,s.m. ) ment de musique & ola- 
vier et soixante-dix oorder. 

+ Manıcösa, 8. f. (t. du Beds.) la feuille du 


Mauina, e ws. demeure, sejour, reiraite. 
* Hanino. V. Teare, M 

MıuısÄäcte, s. m. V. lera. 

Manırestaciö ‚s. f. manifestation. 

MuanısEstine, A, 9.9. de Menifestar. 

MANIFESTADOR, A, 3. oelui qui manifesie. 

Manısästauänz, adv. manilesiement, ä 
nu , evideımment, clairement ; & decourert. 

Manırestän (a), v. 6. monirer, ofrir, mank- 
fester, decouvrir, rendre public. 

MANWESTARnSE , o. r. so manilester, delore, 
se monlrer, se laiso connallre. 

ManırssTissino, A ‚adj. sup. de 

Munrästo, A,p. p- irr. de Manifestar. adj. 
Manileste, notoire, övident, public. Ser —, 8’a- 
percevois, @ire evident , manileste. 

Muınxır£sto, 8. m. manifesie : serit public 
cenionani une apologie ,„ los motils de la cou- 
duite,, publi6 par une puissance, Action de ma- 
nifcster. Dar ao —, manilesier, rendre public, 
pstent. — da oargs , (1. de comm.) cortilical ou 
manılesie de chargement. 

Mawwichucih, sie. V. Magmiße..., oic. 

Maxinua,sef. (l.de jew) maenille : le deux 
noir, lu sepi rouge ; seconde Iriomıphe ow mala- 
der au jeu de l’lombre. Jeu de cartes qui so 
joue & qyualse, deux contre deux. —, bracelet 
indien , de laue coloree;; bracelei, anneau de 
cuivre poris aux jambes par Ics negres. Mani- 
cles : meunlies de prisonnier. "Tuyau en grös 
pour condJuire l’eau. 

+ Maxiına!s. f.(t. de gdog.) Manille : ville 
forte des Indes, sapitale de l’ile de Lugon. 

+ MaxıLnÄDo, a, adj. ornd de manilles, de 
bracvleis. 

+ Masıunkıao,s. m. orfevre qui fait et vond 
dos manilles, des braceleis. 

° Maxınconia , eic. V. Melancolia. 

° MaxıntLo. V. Tölo, Bobo, Caturra , Moihe- 


engo0. , , 
° Manınnankeo, 5. m. amtien iribul quo 


MAN 773 


payalent les seigneurs qui moursient sans en- 
nis : c’6tait le ers de leurs biens. 
*+ Mamnuwano, A, adj. en friche (terrain). 
Manınußz, 8. f. infeconditt , sterlite. 
Maninuo, 4A, adj. Infocond, sierile, pariant 
des feınelles. Imculte, sn friohe, parlant des 
terrains. 
Muanxisno, A,adj. pelit, peuconsiderable. 
*Manio, A, adj- qui est mort sans avolr ou 
d’enlanis. V. Maninko. 
Mamöra, 3. f. „onwavo: erde, ets., mise 
aux pieds d’un chersl. V. 
+ Manırassto, A, Mig iger, adroit des 


1 mains, 


tMımestmau , a. f. (1. du Bres.) * jus de la 
päte da maeniec : on on fait une espdce de ci- 
dre. 

MameroLsciö,s. f. manipulation : meniöre 
d’opetrer eu cerigins arts, de broyer, melanger 
des drogues, etc. 

MuınipuLipo,A,P.p.de 

fMasıpurän, o. a. manipuler : faire la ma- 
kipulation ; arranger, misler, pötrir avec la 
main. 

+ ManıpuLirıo, s. @. (4. d’ent.) mamipulaire: 
chef d’une petite trospe de soldats. 

MınisuLo, 3. m. ($. d’ani.) manipule : conı- 

gnic de soldats, —, polite etole au bras, ja- 
dis moucheir sur le bras. (i.de mdd.) * Poignese. 

* Botie , faisceam. 

+ MANIQUEISMO, s. m. manichsisme : hör6- 
sie , decieine de Mandy, ohof des manicheens. 

ManıQußo, A, adj. Pr s. manichten : qui ad- 
metun bon et un mauvais priacipe, Oromase 
et Arimane , Iumiöre et Länebres. 

MANIQUBTE , s. m. parement dos aubes sacer- 
dotales. 

tMaımnzöro, A, adj. gaspillour, prodigue, 
dissipaleur. 

+ Mawertacıo, s. m. lavabo : peüt linge 
d’autel pour essuyer les doigis. 

Manıstaßı. V. Menssirsi. 

Manira. V. Man£ta. 

+Manıvd, 5. m. manitou : dieu ou fetiche des 
sauvages de l’Ame6rique seplentrionale. 

+ Maniva,s.f.(. ds Bres.) nom du bois ow 
de la tige du manicc. 

Mauıvitla,s. f. manivelle. 

r Mänsa,s. f. co qu’on menge sans l’avoir 
gagne. 

Manxsapdöora, 8. f[. mangeoire : auge du che- 
val,, ote. Cröche, 

MaAXsALECOAS, 5. m. (4. Duni.) bon marcheur, 
bon pieton. 

Mınsär, 5. m. manger, meis, aliment, p&- 
ture. — branco, blano-manger. — real, espece 
de conserve faile avec des biancs de volaille, 
du suare, des amandes, ele. 

Mansie, ©. 0. manger. 

Mansanıck6. V. Mangeriedo. 

Munsanona. V. Mangerona. 

Mımsanuräda. V. Marinifada. 

Maınsua,s.f. V. Alimento, Cibalho. 

Mino,s. m. (4.daffection) frere.\. Irmdo. 


77% MAN 
Cheri avec besucnup d’sedeur. Mans a —, 


MAN 
de plusieurs morceaux d’eioßies de dilftrantes 


ı pour wie por mäo) A l’amiable, aren Dei- couleurs. (Ag) " Danaen „ rapanddie Ve dilireni 


liarite, lihorte ; tdle A 1öte, soul A scul. 
Manoana, s. [. " ouvrage des mains. (A$.) 
Adsesse : conduite dans los affaires. (4. de 
mar.) Manaurre : ce qui sert & manier |ss ve 
les ; ’onemmnkla des volles, eAblas, ao. & Sr 
erdins , RABEMYEOS SOBTGleS. 
Mınossino,A,p.p. do 
Manosnisn, 2.0, ei w. iravailler des malnıs. 
Manmurvrer: faire la manaurre, (Ag.) er 
guot, same, ompleyor los moyens de 
ManosatıRo, 5. m. Manouvrier. 
Mauosalsrä , 0, m. (}. de mar.) manemviler : 
maislot qui fait, vi .nwac an MERBETTS. 
Manocönikta. ale. 


paul sonisnir sa Arene. Palsesau. 
ManöLno, 3. m. gerbe de bie, 
ManörLa ,s. f. ° gantelet da for. Manique de 
, ote. Fauet de cosber, de pigueur. 

Nausacie. V. Mansisssr, 

Minguio. V. Mancko. 

Maubunena. V. Äummangsister 

Mıugutına , s. f. elaudisallen ı privakian de 
l’usage des meins, des bras; asıion de holten, 
olechoment, (fig.)* Delaui, imperlsnilon, 

Nasgussir, u. a. bolter, clashar. V.Gschser. 

Mansauänte, ade. douoement, palsikie» 
meni; avos 

Mansid u. l: demsurs, etjeus. Chamhre & 

* Appartement, habltatlon. 

Mansians „8. f- mambarde. 

Maınsannkö, a, m. aug. de Hanas. 

. Mausansun. } V. Hanstdäo , Brandura, 

Maumpäd,e. f. deusens, benis, bönignild, 
mansuetude. 

° Mansiuna ‚5 fı Vo aadope ou 

Mausinuo, A, adj, dm, die Manso. Douoet, 
irds-doux. De ‚adv, sans beuit, Irös-doues- 
ment; lout bas. 

Mansisuimo, a, adj. sup. de Manso, TN+- 
doux. Tres-paisible, 

Minso, a,adj. deux, benin; trailable. Pai- 
sible ‚calıne, tranquilie. Appeiveiss. V. Suase. 
Lume —, petit feu, Vaz a, volz douee #4 
hasse. — mo um anrdeiro , dous comme um 
moulon. 

Minso, ode. ou De —, daussemeni, kan, ä 
voix basss; peu & peu, petit & pelit, Manso e 
Fre faire de broit, dowsement, ä ja Bow. 

ine. 

Mansosiuse, V. Mensinko. 

Muysusrisuno. V. Mansissimo. 

Mansustung. V. Mausidde. 

Miuta, s. [. couverturs de laine. Cayvertare 
de lit. Couverture qu’on, moi sur les ohevauz. 
® Mantelet ‚pour les siäges. (Ag.) Volce Je enups 
de bäton. "Polsson qui rossembie A larsie. de 
tqueinho, " caron, Bande da larıl sans mialgre. 
— de bacdlo , lasse longue, Klllon profond poue 
plenier la vigue. — de oodornises, filet pour 
prendre les cailles. — de retalhos, „couvagare 


[ragmanıs ; ouYrage plein AB WoRSsaez pilles. 

MAHTALÖTE, 9. mu planche servani de I 
sur les vaisseaux. 

Mantäö, z. oe, ag. de Dante, 

area, 02m (4 Ragr.) Becher la tr u 
sillon peus plamter de la vigue. 

Mantiz, s. m. drap ds Cambaye. 

+ Kunze, s. f. (1. hist. ant.) naute ou Fi- 
lienne : eoldoptäre. — cu aramalla 
de Brasil, ie sole. > de elytros com a ehr du 
folhas soccas , la feuille söche. 

6, s. f. " bernemens ı astin da 
berner. 


Mantzipo, A, p. 2. de Manier 

Mauweamba, s. m. bermmeng, sulei rail berne. 

Mıauvsia ‚u. a, beruer ı [aire aauter cur an 
souvertune, 
Mantzanis. V. Manttorin, 

Mawrason. Y. Mehtonedor. 

* Manties, s. m. pl. " tolles ouvrdes Po 
(air des neppes, ete. Nappe du Iubie, d'umtel, 

Manr£ica, s. f. * beuere, Graisse. Genial. 
— de porco , geaisse de porc , asindsur. — du 
Javali, mantöque. 

+Manrmednn.n.f gransierzuuutlte 60 beums. 

Mıurezeden, ou. V. 

Mawrssootına , 0. [. por A Dauer, Baratis : 
vaissoau od l’on bat Ye beuere, 

Manvssavisno, A, 0. beurrior, Are ı sold, 
oelle qui vond du beuere. 

Maursıctero, A, udj. beurre , butyeuuz, qui 
a du beurre , beausaup de bowrre. 

MantsicriLe ‚8, f. peimmade desentent. 

Mäanrtıno, so. we. marchand, Labrisant de 
gouvertares de leine. 

MunteLino, A, af. (Ib. de Dias.) mantelt ı 
gl aun mantelet, 

® + Manrerira, 0. f. böpuine, femme en 

babit reiigieur qui demeurs ches elle. —s, pi. 
mantelleies : religieuses sorvites. 

+ MamraLiro, 9. m. hommes en habit reli- 
Bun qui ne vit pas on veinmumauts. 

+ MınruLga, o. m, (1. de bias.) piöee de 1% 
cuscon em sautolr. @ 

Manra.ära, 0. m. mantelet riolet des det- 
ques de Portugal et d’Espegne. Mantelet pour 
se mellse A cousert dene l'allaquie des places. 

Manriuga, 8. f. subsisiance, Beurritare; 
enteotlen. ? Virres. " Alimonts, manwtention. 

Manrananon, A, 6, celal qui soutient, qui 
defend. Tenant d’une joule, d’an tourmei, eie. 
Enıreteneur. 

* Mawrüns, 3. m. pl. linge de tabie. V. Ban- 
den. 


Mınte£o , s. m. mantieau long eecl&sisstigue; 
manteou de j6suite. Eopeos de jupen sans plis 
par le haut et ouvert par-devant. (anf.) Borie 

e garnituro ow ornemerit de egw; collier en 
quonoullle, col A pen. 

Manten, v. a. nourrir, enirelenir : fourelr 
les choose n6cossalres & ia suhsistemen. Bire la 
tonant d’un tournoi, d’un carreusel. Maintenis, 











MAN 


tenie au m&me diat, en eial de onasisianee. 
Poursuivre, opsianer, Howtenir, assurer. Main- 
tewir eu ponseasion. Maislenir, entretenir. Con- 
server, zorder. Delondme, -— a aus palsern, 
war parelo. 

Munttn-se (em), o.r. so malintepir : demens- 
rer dans un dies de Muneisienor. (fg.) Parssve- 
nes dene um hint, »» Arne, Lenir bom 

MANTEÜDO, A, 9. 9. Wr. de Manter. ad. 
enusisne. Amige leide e =, Sille, femme 
ensretasun, 


Manrtıiania. V. Mantieria. 

°Maıntica, s. f- V. Alfarge. 

+ Munticora, 8. fe (4: Kb. anal.) " manti- 
ehore : esp&ce do ligre ou chanel Irde-förame. 
Manticore : eol&optäre. 

Mantiso, a,» f- de Hanter. 

Mıuritino, e. m. ofioier de ja meisen de 
rei qui a soin de l’argenierie ei de linge de 

table, 

Manrıesnia,s. f. «bambre de l’argenterie ei 
da sorvios de lable du rei, lingeris royale, 

Maxtiuua , s. f. mantilie ı espöne de manteam 
des feınuıes puriogaises et enparnules ; mantelet 
de ferame. —s, pi. langes d’enfamt; malllot; 
layotie. Dosd’ as —e, dis je herasum. "Ertar em 
— 8, (fg.) on le dit d'une affaire qui ne fait que 
de vommencer, ou d'un hemme qui Fall peu de 
progres dans une diude. 

Masrmunmia, dim. de Mantilhe, 

MANTIBANTO, 6. 8. eutrelien, suhaistanee. 
* Prosisions le bouoke, virres. ’ 

Massikna, . f. dam. do Mänte. 

Mänte, s. m. ° manle ı espdoe de long volle 
noir que porient ios fornmes ises et es- 
pegnoles. Habit long de queiquos natiens, 
manteau de reilgieux. Manteau royal. ( Ag.) —, 
veile : loul co «ui sert A oacher, A couvrir. 

— ducal, (4. de bias.) mantcau ducal. — capi- 
hsler, manioau de coriamonie des ohevaliers 
des orılres mtrliteires. 

Maurö, 5. m. ınanaas de femme. Petite 
housse de cheval, 

MaRTöL, s. m. * bouase du cherval. 

+ Hinswa, s. f. (1. de geog.) Mantone ı ville 
et duche d’Italie. 

+ Manruiuo, a, adj. et s. de Manteue. 

Maxuit, adj. 2 gen. manuel ı qui so fall aveo 
la main. Als& & manier, maniabie. 

MınviL,s. m. manuel : petit livre qu’on peut 
porter & la mein; livse de priöres. 

MunvALu&nTe, ade. avos les meins. Manuel- 
lement : de la main & la main, 

Manüsnio, 5. m, manche d’oaül. ° Mani- 
velle. 

Manucoviita, 8. f. (4. E’hist. mat.) ° olseau 
de paradis, oissau du seoleil. — real, " manu- 
code : olsesu sylvain, manucodiale,. .— magnl- 
Acs, la magnillque. — dourada, "sißllet. (1. 
d’ast.) Constellation australe de onze &toiles. 

Manugonnıo. V. Munisordie. 

Mıstenucgiö, s. f. action de egqnduire par la 
main. Instryetion de le Jeunssse. 

Manuractöns, s. [. manufackure : fabrication 


MAD 713 


de corlains SuYrages ; 03 ouvrages mmanulactur 
rös ; liou od Is aa fabriquent. 

} Manuraonse, &, adj. qui e rapport auk 
manufaciuses. 

MautracTanbn® , A, PP. de 

Mauuranrunia, 6. & s lebe» 
quer on manumfeciure. 

Mıussacruelune, 4. 9. mennfantariar; [p- 
brissmt. 


+ Mınde, 6. (t. Chisl. aa.) aamenl : dat 
de ia Tartarie, 

Manumssi6, s. fı (6. de prat.) manumission . 
sEranohissement d’un onchave. 

Mawvscasert, 6.0. (6. de pharın.) sort d’d« 
lnshusire selide pour ante Tem or 
manus Dei, saoptee d'um nssulull. 

u an sscafre ‚8.0. mahuserkt. adjı —, tert & 


$+ Mınveviincte. V. Hanistergie, 

Manuranckö, a f. nainienue en poussseien. 
Meanutentlon : sonserration on Don outer d’uRB 
lol, "Entretien, 

Mangrantwors , 6. f. ° maintien, cohserTa 
den, proteciion. 

Manvarioo, 1,P.P. de 

Mauvetäa, v. a. manier, ienöher, tale avos 
ia main. (Ay) V. Ensovaller. 

Mamani, u. m. (1. #Aste) "grappe de eu» 
0os. 

Mio, Ma, odj. mauvals: qui h’est pas bon; 
möchent, contraire & a ralson;, & ta toi. Me 
ehant, pervers, deprave. Malin, russ. Möehant, 
pechenr. Diflelle. — de eonienter, exigeant, 
diMeite A contenter. Md4 mulher., "femme de 
mauvalor vie, prostiiude. Mulker ind, möchante 
femme. Märentura, malhenr, diegräce: Fallad 
no — apparelhai 6 ee: (pror. ‚)quanden pariv 
du loup on en volt fa queue. E Nberal, 0 mdo 4 
ser pobre, it est Hberat, te mal est qaitt est 
paurvre, 

Madenas, inler). pop. parbien! 

MIo, s. f Main : exiremit# du hbras di- 
visee en doi Ipts. Poignee. * Pilon de mortler. 
Main, 0616. : A’ — direila, d — esquerda, 
& main dreite, & mein gauche, Main levte at 
jeu. Coup Joue avec les cartes qu’on aenmaln. 
° Joueur qui est premier en main, premier & 
ouer. — , pulssance, autorile. Main de papier: 
vingt-eing feuilles, * Enduit, couche de coufeur, 
de ohaux, ete. * Pied de derant, en parlant des 
animaur. Alguille ow style de 'montre, de va- 
dran. *Moyen. Indastrie. Faveur. Protection. 

*Secours, alde , assistance. — de Judas, (Ay) 
espeon d’steignoir en forme de main. — de vl 
dados , troupe de soldats. Com — urmada 
main armee, tes armes & la main. — mörle, 
main morte. — de musiea, schelle tmnsicale. 
— d’obra, main-d’euvte.Lioro de — , livre ma- 
nuserit. Com — larga , Jiberalement, genereu« 
sement. Ir d —, arreter, ompecher d’agir, tenir 
en bride, Meter a —, mettre 13 ındin sur: 
prendre, s’omparer. ( lg.) Falrc sa main, ra- 
gner beaucoup dans un emploi. (id.) Apaiver 
une dispute. N4o porsi au meiterei 8 — no age 





T16 MAP 


por alguem, por alguma cousa, je n’cn met- 
trals jjas saon deigt au feu. Ndo sauber qual ea 
sua — Jdireila, ( fig.) we d’une simpiielt€ ow 
d'wme ignorance extreme. Assenter a —, ( fig.) 
iseiler, chätier severement. Ter dos —, etre 
adroil; avoir la manı bonne, heureuse. Ter da 
su -—, fig.) oompter sur l’appui de quelgqu'un, 
Y'avoir de son cöte , dans sa manche. — no jDge, 
le premier en main. Sor —. öire le premier en 
main au jeu decartes. Ser —, ter  —, avoir la 
Isule , au jew des quilles,, eic. Fer na —, (fig.) 
on le dit d’une chose dont on espere venit aisd- 
ment a bout. Toocer com a —, (flg.) sassurer 
par soi-meıne. Tomer @ —, ontrer on pourpar- 
ler, cn mastitse; prendre la parole. —— ssqusrda 
de cavalie, pied du monteir. Bebaiwe de —, 
sous mail, 5008 08Pe, sous le IuauLcau, SoCHd- 
wmeut. Dar e ulime —, moiire la dernidre 
main. Dar a —, preter la ınain. Andar, passar 
de — em — , passor de main en main. Lenger 
— de, anisir, proliter de. Langur — de lodos os 
ıusios, omployor le vert ot lo sasc. Melter a— 
em algum negocio, so nuelcer d’une allaire. De 
— pösia, a dassein, avec prüineditalien. Ber 
de — , laisser, quitter, abandonner. A’ —, ade. 
sous la main; Ala main, & la poriöe, pres, aisc. 
Faser d —, dresser, apprivoiser. Metter — d 
espdda, mettre l'opce & la ınain. Deos 0 lenha 
de sus — / Dieu veille sur lui! le conduise! Ndo 
esid mais na minha —, c’esi plus lorl quo moi. 
Uma — las a oulra, e ambus 0 roslo, (prov.) 
l’une des mains lave l’autre, ci les deux lavent 
lo visage. Trabdiku de mävs, Iravail wmanuel. 
Pör mdos d obra, weiire la main & l’auvre. d's 
wios chcias, a ploincs wains. Chegar ds ımdos, 
eu venir aux mains. Zomar com ambas as mdos, 
preudre & toules mains. Mdos d ubre! a l’ou- 
vrage! manidre d’suimer au Lravail. Cair, eslar 
em bvas mäos, winber en bonses ınains. On lo 
dit d’une alaire conliee A une personne intelli- 
geute, d’uno chose perduc, et lrouvec par un 
honneie homme. Dar as mdos d peimaloria, 
convenir du ses loris. De mdos d bocca, dans un 
susiant. Presiar juramenlo nas mdos de..., 
preier serment enire les nsins de... A’s mdos 
lavadas , laciieınent, sans danger. Ndo ter mdus 
a medir, avoit beaucoup d’ouvrage, dire Irds- 
oceupe. Estar cum uma obra enire mdus, eiro 
spres un vuviuge. Pegaren-se as mios a @l- 
guem,eire voleur, Ülou. Zuos frias, corapuo 
quenle , froides mains, chaudes amours. ade 
mwrrer ds miuhas mdus, il ne wourra que de 
ma main. Koyur, pedir com as mäos poslas ou 
ergsiidas, prier quelqu’un & suains joinios, 

Miocoyuunän-se, cic. V. Mancomn..., oic. 

MäiorEnDente. V. Peita, 

MiorostKiao, eic. V. Mamposleiro. 

Miussuntas, pl. V. Müumorta. 

Miotents (d), loc. adv. de ir&s-prös, Corps 
&corps. 

Miuzinaa, dim. de Mdo. 

Murra, s. m. "carle güograpbique. *Descrip- 
tion abregee. — da impuriagdö, role d'unper- 
Jation. 


MAR 


MArrANÖND!, 5. m. mmappemonde : carte des 
deux hemisphöres. 

+ Marunönca, a. f. * frult de Bresil. 

Mantia, s. f. mesure de oonlenanet, dee 
liteons. Moature : salalre de meunier. Portien, 
droit qu’on defalque peur le maltre, eis.” Se- 
cage : droit de minage. 

Maquiapo, A, p. P. de Maquier. 

MaqQtiaDOR , 5. m. oelei qui, dans un men 
lin , pergoit le dreit de mautare. 

Magtıän, v. @, prondre le dreit do meuture. 
Defalquer d’un tout la porlion qui rerient ou 
malire, eic. 


° Mıqvıkıra. V. Maguia. 
Mıguiu, s. m. V. Jonolim. 


Magtına, ele. 

Maqtınän, eie. } V. Mockin..., de. 

Min, 5. m. "mer : zınas d’eaax qui envireh- 
nenties oontinents ; (Ag.) abondance excessiw. 
Adristiee, mer Adriaiique. — Allan, 
mer Allantique. — Austral, mer Ausirsle.— 
Baltivo, mer Baltique, — Branoo, mer Blau- 
che. -— Csspio, mer Caspienne. -— Ego, met 
Eee. — Gelade , mer Giaoiale. — Jamie, met 
lonienne. — Mediterranse,, mer Iihditerranit. 
— Nörte , mer Morie ‚Tao Asphaltite, em Juder. 
— Vermelhe, mer Rouge. —banseire, nıcr bes 
leuse. — de leile, bonangs, mer salıne, Lal- 
qaille.— de senkorss, mer calıue. — de lite, 
mer agilde. Allo—, haute mer, pleine me. 
Cruzar no —, oroiter sur ınar, parlant d'ou 
vaisseau, d’une esoadre. Sabre as aguas de -, 
sur mer. Deiter-e, arrgjer-se ass wart, 
(ig.) s’exposer & un grand danger. Äazer-u 
«0 —, faire voile, prendre la ıner. Homem de 
—, marin. Todes 0: riesudo der ae —, (pro®.) 
l’eau va toujours A la riviöre. E deifzr aqua m 
—, (Ag.) c’est porter de l’oau & la riviere. Nm 
Iudo ao — nem tudo d terra, (fig.) il me [aut 
irop, ni trop peu. O — eds, la mer mugil.O-— 
enira pelos escovens, les coups de mmer enirenl 
par lcs ocubiers. O — vom mes roch 
dos ou na costa, la mıier brise sur les rocheti 
ou sur la cöte. 

Marusırıno. V. Merevedi. 

MarABUTO, 3. m. marabout : prötre d'une 
mosquec. Matelot, marinier. 

+ Mınatä, 8. ut. (tl. du Ziresil) sorle de erm- 
bale, falle de gourde säche, chez les nr. 
:t. de bol.) Maraoa os tamaraca : esurge de 
Beösil. . 

+ Mınacask, s. m. chat saurage d’Aric eldu 
Bresil , tachele vormıne la panthere. 

Manacanä, 5.0. oisonu d’Asie et d’Amt- 
Nque, esp6oe de perroguet gris. 

Manacatis, s. m. (l. du Bresil) sorte Weir 
barcauon usitce au Para. 

Manscuiö, 5. m. lets de limen ou de sable 
dans un Nleuve. ° Cheussic, levee, tareit. 

Mınacoriö, s.m. miliooten : sorte de pöche. 
Alberge : fruit de l’albergier. , 

+ Manacortıro,s. m. (f. de bot.) albergiet 
Ole sur un cognassier. 

Manıcui ‚3. w.(d.debei.)' muarwenia:planie 








“ 


MAR 
veisina des granadilles ; son fruit : parte la Bsur 


de la passion, 

Manıcita, s.f. monnaie decuivre d’Angola, 
dix reis portugais, 

Manaröna, s. f. prosliluee , coureuse. 

t Manaronsir, v. on. (f. burl.) traiter avec 
les coureuses, les fr&quenter. 

TMararontıro, s. m. qui aime les coureu- 
ses, qui les froquente. 

+ Manssaisü, 3. m. (i. de bof.) marajaibu : 
palmier du Bresil. 

Maninus, s. f. bruyöres, balliers qui ren- 
dent un chemin impraticable. (Ag.) *Embrouil- 
loınent d’un dcheveau de Al; cheveux me£les; 
embrouillement, confusion, tromperie dans les 
affaires ; intrigue,, finasserie. 

t Manınniö, s. m. ($. de geog.) Maraguan, 
Maragnaın : province et ville de l’empire du 
Bresil ; grand leuve de l’Amerique meridionale. 
edj. Natif, babitant du Maragnan. 

Maınannir. V. Emmarankdr. 

Maıruunöso. V. Enredador, Inirigante. 

Mırio, s. m. maraud, matois, fripon ; vieux 
routier, ruse. Compaguon d’aumönier do re- 
ligieuses. 

Maraozinno, dim. de Mardo. 

MaRASMipO,A,adj.tombe6 dans lo marasme. 


p. £; de 
ARASMÄR „v. a. Causer, donner le marasme. 

MarısuÄr-se,v.r. tomberdansle marasme. 

Marisuo, s. m. (f. de med.) marasııe : mai- 
greur exir&me, consomption; (8. de bol.) ma- 
ladie des plantes. 

Manasumönico, A, adj. da la natare du ma- 
rasme, qui le concerne. 

+Manasquino, s. m. marasquin : sorle de 
lqueur faite avec une corise amöre. 

ARATuRO. V. Funcho,. 

Manavinuas,s. f. pl. broulilles, menu bois, 
eopeaux ; rognures qu’on lire du bois avec le 
rabot, * Rubans minces et &troils. (fig.) Choses 
frivoles. 

MAnAVEDIi ou —ViDi, 5. m. maravedis : an- 
eienne monnaie portugsiso el espagnole, dont 
ja valeur a varie. Solde que le roi donnait & 
ceux quile servaient. 

*+ Marnavınıkva, s. f. somme de maravedis. 

MaRAViLNA, 5. f. “miracle : merveille, chose 
admirable. V. Admiragäo. (i.de bot.) — ou — do 
Perü, belle de nuit, merveille admirable du 
Perou. — bastärda, * souci de Jardin. De — ou 
por —, rarement, difficilement, par miracle. 


E uma—, cest une merveille. A’smil —s,ä|' 


merveille, merveilleusement; & ravir, adıni- 
rablement bien. Fazer ou dizer —s, dire ou 
faire des choses merveilleuses, extraordinal- 
res. 

MARAYILHÄDO, A, adj. &lonne. P.p. de Ma- 
ravilkar. 

ManuvıLnadör. V. Admirador. 

ManıvıLmin, v. 0. &merveiller : causer de la 
surprise, de l’adıniration. V. Admirar. 

MauuviıLHän-sä(de), o.r. s’etonner, s'emer- 
veiller. 


MAR 717 


MARAVILHÖSABENTE,, adv. merveilledgsemen:, 
admirablement. 

MaARAVILNÖRO ‚A ‚adj. ravissarıt, miraculeux, 
merveilleux, admirabie ‚surprenant ‚ elonnant. 

Muinca, s. f. margue, note, signe, oaractdre 
particulier. * Coin, sceau. * Seing, chiffre. —, 
fletrissure, mtigmale. Qualiid, mesure, taille 
qu& doit avoir une chpse paur &ire repulee 
bonne. Empreinte, impression. Vaste terfi- 
toire qui distingue et separe des pays voisins : 
marohe. Moule de bouton. De —, grand, te- 
marquable. De mais da — ou de — maior, Ol- 
tre mesure. 

Maacino,&A,?p. p. de Marcar. adj. Margub, 
ou il y a quelyquo marque. 

MaAncADOR, 3. m, marqueur : celui qui maz- 
que. 

Muancäir, vo. a. marquer : disiingser par une 
marque. (Ag.) Remarquer. V. Demarcar. (imus.) 
Etalonner ; coniröler. 

*+Mıncanis,s, f. aclion d’elalonner ou de. 
contröler. 

Muncasita, s. f. marcassile : pierse mind- 
rale, jaune d’or, & (aceties brillantes. 

MancaviLLa, 3. f. espöce d’herbe officinale. 

+ Marckinas, 8. f. pl. sorie d’ancien inıp6& 
qu’on payait le 1er mars. 

Manc£ıno. V. Mercieiro, 

MarceLa. V. Macella. 

Mancenania 08 menuiserie : Ouvrage, 

MARCENERIA, 8. f. art du menujisier. 

MAncCENBIRO, 5. m. menuisier. Ebeniste. 

° Mancenia. V. Mercearia. 

MancssciveL, adj. 2 gen. marcescible : dis-. 
post & se faner. Marcescent: qui se fane, s0 
passe, se flötrit. 

Manccnivo. V. Margräve. 

Mincna, s. f. marche : action, manidre de 
marcher; air de musique pour la marche; si- 
gnal de marche donnö avec les tambours, les 
trompeties; mouvement de troupes par jour; 
ss direction. (Ag.) Conduite, direclion d’una 
affaire. — falsa, fausse marche, marche de- 
guiste. A —s forsadas, & marches forcces. 
Furtar a— , eacher, derober la marche. 

Maacuipa. V. Marcha. 

Mancnänte,, s. m. marchand de betsil. 

MancHhin,v. a. et n. marcher, se meilrc om 
marche. (inus.) V. Mascar. 

Mancnssita. V. Marcassila. 

Migcnkra. V. Marchtie. 

MARCHETADO, A, P. p. de 

Mancnstin, v. a. marqueter; faire des ou- 
vreges do marqueterie. Incruster. (fg.) Kmall- 
ler. 

Mancukraria, s. f. margueterie, iInerusta- 
tion. 

Mancn£Te, s. m." pi&ce d® marqueterie. 

+ MancnEtkıa0, 8. m. ouvrier en marguete» 
ric, ebeniste, 

MasctiL, adj. 2 gen. martial : guerrier, bei- 
liqueux ; militsire. 

‚Misco, A, adj. martial, hefliquenx. 


v78 MAR: 


Mäinoe. 3. m; * borme, kmite. Mare : poltis 
de huit onces. 

T Muncominos, s.. „3. anciens penples de 
Germanie , aujeurd’hui de Boheme. 

Minco, 5. m. mars : treisidsse mois de l’an- 


° MARDECANQUE, 8. ms. "scorie de l’argent. 

TMasnniııa,s. [. (8. d’hist. nat.) mardelie : 
petit inseote. 

“Minz. V. Madre et Mär. 

Mark, s.f, marse : flux et reflax de ia mer. 
(Ag.) Oppertunite , occasiom. — enchenfe,, na- 
ree monlante. — vasanie , marde descendante. 
Dausgar, romar conira a —, tefouler la ma- 
ree. Ir contra ventoe —,(fig.) aller contre 
vont et masse : persister malgre les obstacles. 

Manzaciö,s. f." art dela navigation ; ma 
mauvre d’un valsseau. 

Manzipo,A,P. p. de Marear. ady. Conduit, 
gouverne, etc. Marine, avari6; terni. Qui a Ie 
mal de mer. 

MAREÄCEN,, 6. [.navigation: art de naviguer. 
V. Mareapio. 

MAREÄNTE, 3. m. habile navigateur. Marin. 

ManeBir, o. @. conduire , gouverner un vais- 
sbau. Manwuvrer les volles. v. n. Avolr Ic mal 
de mer. Ternir. 

MAREÄR-s6, ©. Tr. se gouvernef ; se diriger. 
S’avarier, se gäter sur mer, parlant des war- 
chandises. " 

MarecnHÄL, 8. m. marschal : titre, grade mi- 
litaire., 

MuaR£ıRO, A, adj. qui vient de la mer (vent); 
farorable pour naviguer. 

Maresina, 8. /. marde forte el rapide. V. 
Marulhada,. 

MAREJÄR, dv. . degoutter, distiller, suinter. 
A) V. Transluzir, Vislumbrar. 

AREL, adj. m. Touro —, laureau de race. 
tT MAREMACHUM ‚ s. m. (fam.) On lc dit pour 
exag£rer la grandeur, l’aboudance d’une chose, 

MAREMOTO, 8. m. tresublement de mer. 

+ MaREnco, 3. m. (4. de geog.) Marenga ı 
viflage dans le Piemont, celebre par una ha- 
taille gagnde par le general Bonaparte. 

Märes, s. m.pl.° houles, vaguos, (mer. 

Manszsia, 8. f. mauvaise exhalaison de la 

Muntra,s. f." mouvanents de la mer qui #’&- 
leve pcu & peu. Haule, vague, ral. 

tMarripo, A, adj. ifewm.) desospese, fn- 
rieux, enrage. ’ 

Manris „a. m. marßl ı dents d’elöphanı s6- 
partes de l’animal, lvoire : dens d’laphant-ira- 
vaillee. 

Hasıiz V. Udo, 

Minca ‚s. [. marne : craie melde de limonet 
d’argilg. . i 

+ Manciga , 3 f- (1. dabok) oamamille rem- 
brunie.' . 


u ARCAnin ‚8. f. eapdec de plongean de Por- 
gal. 
Marcarira, V, Perolae 


MAR 


Mineeik, v. u. siiionner, faire des zillons; 
marger. 

Mincen,s.f." bord, rive. Marge , blanc au- 
tour d’une page imprimee, edcrite. Kxtremile. 
— de semenitiras, " sillon, terre @dlevde entre 
denx rales. — das folkas, bord, bordure des 
feuilles. Där — , (fg.) donner oecasion, &tre 
cause. Pör d—, abandonner. 

MARCINADO, A, p. p. de Marginur. ad). Mar- 
qu& ä la marge, ömarge. (8. de bog.) ine, 
& bords saillanis, 

MıncınärL, adj. 2 gen. marginal : qui est A la 
marge. 

Mancımla ‚0. a. dmarger : noler, marguer & 
la marge. Marger : comıpasseor les marges d’una 
feuille , d’yn livre. 

Muancräre, 5. m. märgrave : nom de Alguik; 
prince souversin en Allemagne. 

MancraviÄto, 6. m, margraviak: dat, di- 
gnits du margrave. 

Mancte. \V. Mangle. 

+ Mancte£ina, s. f. marnidre: lieg d’oö I'en 
tire la marne, 

MıncuLniß, etc. V. Mergulääo, etc. 

tManıana, s. f, sorte d’smende au impdät 
dans l’Inde. 

Manrit,adj.2 gen. qui apparlient ä la sainte 
vierge Marie, 

Mınıino, A, adf. V. Marial. Os — ou [re- 
des —ı , les carmes dechausses. 

MaARIBönno, 5. m. * espäce de frelon du Bri- 
sil. 
Mınıcäö, s. m. homme efl&mind , sans cos- 
rage, poupin. 

Muricas, s. m. homme mou, eflemine, pas- 

In. 

? Manıcuar. 7. Marechal. 

MausicoLa. V. Maricdo. 

Mınmino, A, p. p. de Maridar. 

Manınänca, 8. f. l’existence heurguse ou 
malheurcuse que la femme procure ä Som mari 
par ses bonnes ou mauvaises qualites. Vie de 
marlves. V. Casamenlo. 

Marıin,e. a.eın.V. Casar. Remplir les 
devoirs conjugaux. (Ag.) Unir, joindre, 

Mınino, s. m. mari, &poux ; Joitt parie ms- 
riage, 

f Manıcrk,, 5. m. cspecc de cousin du Bre- 


sit, 

Mantcvf. V, Marui. 

Manimna, s.m. ° sorte de jeu de cartes. 3. f. 
Instrument de musique de Cafres. "Harmeonics: 


"instrument de musitjue, forte de verres dont 


on tire des sons. 

+ Muanımpin,e.*. jouer au jeu de marlmda. 
V.ce not. e. a. (fig. pop.) Tromper, alıraper. 

Manin, s. m. cmploi, dignite chez les Maures. 

Mannkeı.n. V. Maninelo. 

Marınenksco. V. Marinharesco. 

MarixoA, s. f. marine : science de la nari- 
gation sur mer; tout ce qui Ta concerne; vais- 
seaux, elc.; ce qui falt ta pulssance nayale 
d’une nation; corps es mıarins ; plage, cöle 
de mer. Saline , marais salauı. 





8 . 
% 
MAR 
| 8, 4 Marinkar. 
: ° corps de mafiniers, 


1 WUEEEBD- Rau. * Pilotage, art de na- 


9" EEEEER. 
“ zEuEED m =" 


r | 


— mariner, amariner, gar- 
”uipage necessaire. V. Ma 


- wmeo WE 2, exercer la navigation. 


- a D9 er 7 mäts. 
- Marinhereo. 
w- - Di ” * pilotage : art de 1a narl- 
m u» ee er A ". des chöses necessaires & 


=— a ur 
re u 
— u» ’» 
f —_ »,_ we = 
en 
w - 2, 3_.:3 


„quipement d’un valsseau, 
#5, ode. 4 la manlere des 


Marinkesco. 
wm. aug.de Marinheiro. 
=, marinier. On le dit de 
%t A la manauvre d’un vais- 


. mr —T. ı 
go - 7 00 Darigaleur. — d’agus 
im re mae WW. quleonoerne les mari- 


- aniöre des mariniers, 
:"marin, maritime, 
-_4. de bot.) mario ; qui est 


N - = nu .r ir. 


mn » " -— 


- - - „. sank, 
- .=.0.  ®2 sjrtefaix, crocheleur, 
„-i. Borbolfla et Traga." Bi- 
- .- mi --Z «un papillon. 


ur sa .M# ..m.(t. d’hist. nal.) mari- 
singe d’Amörique. 
un mr, vcchdl. 
 amasser des coquillages. 
‚ns »a22 ” „rQuillage : petit poisson en- 
. _ yuille, orten general les les- 
m Ir 2" Rn . 
[9 able 
RP Tr adj. et s. pächeur de ov- 
ne. ‚ 9’che, Homme ou femino qui 
nu . J zart 
w -*: „A 
„zer abe eh 
-. ” u 
iz rule ji ‚„ edv. marlialoment : en 
at 


*marilaca : moufetie da 
Bresil. 


m .e) 
r. cn. marital: qui appartient 


5, maritime : voisin de la 
vagnob. Bi Mr 

euralsıen de | inäce do velcment maure ä 
Hgable & une capole de senll- 


Pa 
a Er nl hen 
u. jan) Jean ® . nun.d 
dei | uarmot, inarınouset, pe 
er A “ omme mal ball et niaia. 
‚1sf. " eolignde ı Gonfllure de 


rl . 
K’IL SZ 


inne um. (1. de bot.) cognassleroy 
yprte les coings at cCognassKes. 

ur; ; a tfois ferilies. 

. de 50.) mei I.‘ eölng ou ooln : fralt duco- 


cognassg. 
pece dep rn f. " sinus du corveau. 
ide 


craie melee de I 


io 





MAR Fu) 


MArMiTA, s. f. marmite : valtseau de meta, 
etc., pour faire bouillir le bauf, etc. 
Mäianor (poedtl.), V. Märmore. 

Mirxsorr, s. m. marbre : sorte de pierre 
dure qui prend le poli. — para esfaluas, mar» 
bre statuaire. 

MAnNOREU,A „adj. de marbre, Qui’a les qua- 
lites du marbre, 

Mınuorösd, (polt.) V. Murmöreo. 

MuARmOTA, 8. f, (1. d’hist. nat.) marmotte: 
mammifere rongeur, gros rat de montagne. — 
®America, * monax: marmoötte de Canada. ' 
Chambre optique portalive. 

*MaARnEL, 3. m, "plaine marecageuse. V. 
Harnota, 

MuRnNETES , s. m. pl. antlerınes dordures de 
robe, 

* + Munnockıno, s. m. conducteur d’un bar. 

”+ Mınnöra, s. f. lerrain märecageux. 

*+ Mannoreıro, $. m. celui qui travaifie 
dans les lerrains mardcageux. V. Marroleiro. 

+ Mino,s. m. (f.de bot.) — de Valenga, ma- 
rum : Ihym, germandre®. 

MaRöNA, 8. f, grosse corde de chanvra ou de 
janc. "Hauban, cordage. * Cäble, corde (de 
danseur de corde ). Andar na— , danser sar 
la corde. (fg. fam.) Eire engag& dans uno en- 
treprise hasardeuse. nn 

Manöuaa, 5. f. ° balancicr de danseur de 
corde. 

tManöuzs, m. pl. bouffons, musiciens 
des rois cafres. 

+Munönzo, A, adj. de Maronte, ville mari- 
time de Thrace, celäbre par scs vins. 

Manonitas, s. m. pl. Maronites : habltansdu 
mont Liban en Asie ; seclaires. 

Man0TA, s. f. proslilude; pollssonne, 

Marorticen, 8. f. troupe de polissons ; po- 
lissonnerio. \ 

ManoTRir, 9. ®. polissonner, faire le po- 
lisaon. 

Manorteıra,s. f. polissonnerie; coquinerfß. 

MaAROTO, 8. mm gamin; maroufle, polisson, 
vaurien, maraud, coquin. Espece de taisin. 

MunöTo, A, ad. polisson, coquin, lascif. 

MaröucO, 5 m. grandes vagues de la mer 
agilde, 

Manguezita. V, Marcasila, 

Manqussüta, &. f. sorle de racine d’Asle. V. 
Marquezota. 

Marotrz, s. m. marquis:titre, dignite, rang 
entre le duc et le opmte. 

Mangu£za, s. f. marquise: femme d’un mar- 
quis; femme qui a un marquisat. Ollomane: 
sorie de canape. | 

MARQUEZADO, 8.7. marquisat: terre, titre 
de marquis. 

Mangquezintia „8. f. espece de plante. 

MARQUEZInnO,, A, 3. dim. de Marquez. Jcune 
marquis, jeune marquise. 

. Marguezira. V. Harcasila, 

MARQUEZÖTA, 8. f. sorte d’ancien manteau, 

* Mangqun, V, Merco. 

Minna, s. f, masse de fer. 


f 





768 MAR 


Mannä ou Mannüs, 5. [. pelite truie qui ne 
tette plus. Jeune truie chälree ei engraissee; 
sa chair. 

+Marnico, s. m. instrument de fer pour 
soulever la terre. 

Mannipa, s. f. * choc de bötes ä cornes ;coup 
avoc la töte. 

Marnira, 8. f. “cheveux sur le front. 

Mannariö, Oma, adj. (t. burl.) grossier, 
eommmun. 

MarraLutıao, A, adj. fin, russ, qui cajole 
pour tromper. Qui n’aime point A payer, durä& 
la desserre. 

Maaniu. V. Marrä. 

Mıneino, a, adj. (i. demöpris) maudit, ex- 
eommunis; Maure, Juif, qui ne mange pas de 
eochon. 

Mınriö, s. m. petit cochon qui no tetie plus. 
Cochon,, porc. Gros marleau de fer, masse. 

Manair, v. n. heurler. Choquer, donner de 
la Läto contre; se batıre A coups de tete; frap- 
per de la Leto; se cosser, parlant des beliers. 

*+Minnıs, adv. (fap.) autrefois. A note 
de —, la nuit passee. 

Manrixo, s. m. gros requin. V. Marreco. 

+Mannixo,A, adj. fute, fin, ruse. On le 
dit aussi du taureau qui n’altaque qu’&ä coup 
sür. 

MunnicaA ,s. f. macreuse. 

Muarntco ,, s. m. esp£ce de canard. adj. (fam.) 
Fute, fin, ruse. 

Mann£ra, s. f. petit maillet de fer des arque- 
busiers. 

Mannoipa, 5. f. coup de masse defer. 

Mannöcos, s. m. (1. de geog.) Maroc : empire 
d’Afrique; sa capitale. 

Marnadıo. V. Marroyo. 

MarROquis, s. m. maroquin : peau appretde 
de chövre,, de bouc. 

MARROQUiNO,A, adj. ot s. Maroquin : qui est 
de Maroc. 

Murnorkıro,s. m, saunier; regisseur ou in- 
specieur des salines. 

Mannöxo,s. m. bout de chandelle, Iumi- 
gnon.it. V. Paleiro et Marrufo. 

MannöYo, 8. m. (4. de bot.) marrabe : plante 
lahiee. — branco, marrube blanc. — ndgro, 
ı.arrube noir, ballole puante. — bastdrdo, 
marrubeastre ou faux martube. 

Manuuäz, adj. 2 gen. (f. pop.) tötu, reveche, 
eniete, obsiine, opiniätre. s. ww. (4. d’Asie) B&- 
lunent, vaissgau. 

Mannuro ‚5. m. fröre lai. V. Morroxo. 

+ Minnücem, a. f. esptce de plante qui res- 
seinble au persil. 

+ Manseına ,s. f. (8. de g6og.) Marseille: ville 
maritime de France. 

+ MansELnÄNO, A, 0% Marseillais : de 

+ Manssufz, adj.eis. ) Marseille. 

+ Mansöra ou —rLa, 8 f. (f. d’hist. nat.) 
* marsuuin : gros poisson de mer ow cochon, 


purc, pourceau de mer; Irds-petite esp£ce de | 


baleine. 


MAR 


tre : sorte We fouine a gorge jaune, & angles 
Üixes; sa pcau en fourrufe. —s, pl. fourrure 
de marle. 

Minte, s. m. Mars: dieu de la guerre; (fg.) 
grand guerrier ; esprit guerrier, Oourage.—, 
plandie; (f. de chim, ane.) ler. 

* Maxıerrir, V. Martyrizer. 

* Mınteıno, V. Marlyrio. 

ManrsLLipa, 3. f. coup de marieau. 

MARTELLADO, A, 9. p. de Martellar. 

MARTELLADOR, A, 3. celai qui donne des 
coups de marteau. 

MartgıLin, o. e. marieler : battre A con 
de marteau. (fig.) Persecuter, tourmenter. 

+ MARTELLETE, 5. m. dperon mauresgue. 

MARTELLInnO, 5. u. dim. de Martello. Ia- 
strument pour accorder le clavecin, le psalt“- 
rion, elc., accordoir. 

MARTELLO, s. m. marteau: oulil, insirumen 
de percussion. (Ag.) Celui qui travaille & de- 
raciner, ä extirper le vice, l’heresie. Conchs 
de —, marteau, coquillage bivalve. Peise—, 
marteau ou zygene, espece de chien de mer. 
A—,äcoups de marleau. — d’orelkas, tirt- 
clou, outil pour arracher les clous. — de fer- 
rador, brochoir, marteau de marechal. Acher- 
se,estar entre o — e abigorne, &ire entre ler 
clume et le marteau. Eire la gaufre dans um 
affaire. 

MurrticoLa. V. Manficora et Matriculs. 

* Miatimänca, 5. f. sorte de petit bonne. 

MARTIMCARAYÄTO, 8. m. jeu d’enlanls. 

Muantinete, s. m. (1. d’hise. nal.) " aigrelie: 
sorte de heron. Sautereau d’&pinette, de clart- 
cin, etc. Panache, 

+ Munrisica, s. f. (1. de g@og.) Martinique: 
tlo de l’Amerique. 

+ Marrinıeca, 8. f. "imp6t que Yon payall 
la Saint-Martin. 

Maartın, etc. V. Martyr, etc. 

MiaTYn, 3.2 gen. martyr: qui a soufert, qui 
a 616 a6 pour sa religion, surtost le christs- 
nisme, (g.) pour un parli, une opinion, el: 
(dd.) qui souffre beaucoup, qui a besucoe 
souffert. 

MaRTY’RIO, d. m. martyre: mort, loarmesi 
du martyr; (fg.) peines cruelles, souflrant 
excessive. (8. de bot.) * Fleur de la passion, grt 
nedille, plante et lleur. 

MARTYRIZADO, A, P. p. de Merlyriser. 

+ MARTTRIZADOR , 8. m. celui qui martyrise. 

MARTYRIZAR,, v. 0. martyriser : faire soallnı 
le martyre; tourmenter cruelloment. 

MARTYROLÖGIO, 5. m. martyrologe : ontalogtt 
des martyrs et auires sainis. 

Mındcen. V. Murugem. 

+ Maaul, s. m. pelit oousia du Brisil, deal 
la morsure est trös-incommede. 

Maxüsa, s. f. ° marins, malelois; dquipagt 
d’un vaisseau. 

Man010, s. m. marin. V. Marinkeire. 

Maroımipa, 8. [. Yiolenie agitalion des Belt, 


 houle. 
Minta,s. fı (l. d’kisk. nal.) marte ou mar- 


+ MaruLHin, vo, @. agiler aveo violence, SER 











MAR 


MaRınHäno, A,p.p. de Marinhar. 

Manınuäcem, s. f. ” corps de mariniers, 
equipage d’un yaisseau. ° Pilotage, art de na- 
viguer. V. Mareagdo. 

"MuanınuÄr, 0. a. emmariner, amariner, gär- 
Dir un vaisseau d’equipage necessaire. v. Mar 
rear. v. ». Naviguer, exercer la navigation. 
Grimper au haut des mäts. 

Manınuanksco, V. Marinhevee,. 

Manıyuanla, s. f. ° pilotage : art de la narl- 
gation. ” Assemblage des chöses necessaires A 
la navigation, ä l’e&quipement d’un valsseau, 
etc. V. Barinhagem, 

MARINHATICAMENTE, ade. A 14 manldre des 
mariniers. 

Masınuärıco, Y. Marinhesco. 

Muanınneiniz, s. m. aug.de Marinkeiro. 

Manrıyaßıno, s. m, marinier. On le dit de 
tous ceux quiservent A la manauvre d’un vais- 
seau. Habile pilote ou navigateur. — d’agus 
döce ,hale boline, 

Maınınußsco, A, adj. qui conoerne les mari- 
niers. 4’ —a, & la maniere des mariniers, 

Maninno, A, adj, marin, maritime, 

Masino, a, dj. (6, de bot.) mario ; qui est 
de la mer, qui en vient. 

ManıöLa , s. m. portefaix, crocheteur. 

Manırösa ,s. f. V. Borbullta ei Traga." Bir 
jou quia la forme d’un papillon. 

+ Marıquinua, s. m. (tl. d’hist, nal.) mari- 
kina : ouistiti, petit singo d’Am&rique. 

Manısciı. V. Marcchdl. 

MaRıscäR, 0, a, ramasser des coquillages. 

Maßisco, s. m. coquillage : pelil poisson eu- 
ferme dans une coquille, et en general les tas- 
laces. 

Manısia. V. Maresia. 

Marısqutino, A, adj. ei s. pächeur de ab- 
quillages, qui les p&che. Homme ou femino qui 
vand dos coquillages. 

Manıtacaca ou | "maritaca : moufelle du 

Marıtarkoe,s,f. resil. 

Manitär , adj. 2 gen, marltal: qui appartient 
an mari. 

+ MaRITALNENTE, adv. marlialoement : en 
mari, en bon mari. 

Manitimo,, A, adj. maritime ı voisin de la 
met ; relatif A la mer. 

MarLöra, 3. [. espece do vötement maure ä 
eapuchon. 1 ressemble & une capole Je senii- 
neile. 

ManLoria. V, Amarroldr. 

Manuanshd, a. m. ang. de 

MAnuÄNJO, 3. m. marmol, Marmouset, pelite 
Sägure grotesque. Homme mal b4ll ei niais, 

WanunLina, 6. f. * eolignhe : Honlliure de 
coings, marmelade. 

Manueıtıno, s. m.(1. de Bol.) cogmasster ou 
eognier:: arbre qui porteles coings et COgNEStes. 
— da India, poire & trois feriiien. 

Mınuwtıo, 3. m. colng ow ooln : fruit daco- 
gnassier. — brapo, COgNasSg. 

* $ MarusLöta, s. f. * sinus du corvoau. 


MAR re 


MARITA, s. [. marmite : vaissenu de metal, 
etc., pour faire bouillir le baauf, ete. " 

Mäinuon (poet.), V. Märmore. 

Mirsore, s. m. marbre : sorte de pierre 
dure qui prend le poli. — para estaluns, maps 
bre statuaire. 

MıAnMmörEo, A, adj. de marbre, Qui’a les qua- 
lites du marbre. 

Mınuonösd, (polt.) V. Murmören. 

MaBuöra, 3. f. (1. d’hist. nal.) marmolte: 
mammilere Tougeur, gros rat de montagne. — 
#America, * monax: marmolte de Canada. 
Cbambre optique portalive. 

*Mann£L, 5. m, "plaine marecageuse. V. 
Harnola, 

MARNETES , s. m. pl. antlennes bordures de 
robe. 

* + Mannockıro, s. m. conducleur d’un bät. 

"+ Mannöra, s. [. lerrain märecageux. 

°+ Mannoreıro, s. m. celul qui travaille, 
dans les lerrains marecageux. V. Marrol£iro. 

+ Mino, a. m. it.de bot.) — de Valenga, ma- 
rum : ihym, germandre®. 

Maröma, s. fı grosse corde de chanvyre ou de 
janc. "Hauban, cordage. * Cäble, corde (de 
danseur de corde ). Andar na— , danser sur 
Ja corde. (ig. fam.) Etre engagd dans uns en- 
treprise hasardeusc. 

Maröusa, s. f. " balancier de danseur de 
corde. 

+Munöuzs, sm. pl. bouffons, muslciens 
des rois cafres. 

+Manöngo, A, adj, de Maronte, ville mari- 
time do Thrace, celäbre par scs vins. 

Manoxitas,s. m. pl. Maronites : habltans du 
ont Liban en Asie ; sectaires. ' 

ManöTa, s. f. proslitude; polissonne. 

Maroticess, 8. f. troupe de polissons ; po- 
lissonnerie. 

MaAnOTRÄR, 9. ®. polissonner, falre le po- 
lisson. 
Marot£ira, s. f. polissonnerle; eoyuinerrf. 

MaAROTO, 6. Mm» gamin; maroufle, polisson, 
vaurien, maraud,, coquin. Esp&ce de raisin. 

MaröTo, A, ad. polisson, coquin, lascif. 

Muröcco, 5, m. graudcs vagues de la mer 
agilöe. 

Manguezita. V, Marcasila, 

Manquesüra , s. f. sorte de racine d’Asle. V. 
Marquezola. 

Muıraufz, s. m. marquis:iitre, dignite, rang 
entre le duc et le oomte. 

Mangqu£za, s. f. marquisg: femme d’un mar- 
quis; femme qui a un marquisal. Oltomane: 
sorio de canapf, 

Manquezino, 8. m. marquisät: terre, litre 
de marquis. 

Marguszinua, s. f. espece de plante. 

Marquszinno, A,s. dim. de Marguex. Jcune 
marquis, jeune marquise. 

. Mangusgzira. V. Marcasila. 

MARQUEZÖTA, s. f. sorte d’ancien mmanleau, 

* Murgqun. V. Marco. 

Mina, 5. f, masse de fer. 


708 MAR 


Manni ou Mannüia,s. f. petile truie qui ne 
tete plus. Jeune irule chälree ei engraissee; 
sa chair. 

+Manaico, s. m. instrument de fer poar 
soulever la terre. 

Maanipa, s. [. “ choc de bötes A cornes; coup 
avec la iöte. 

Marnira, 5. f. “cheveux sur le front. 

Mannuriö, Oma, adj. (i. buri.) grossier, 
COIBMUuR. 

Mannuıutino, A, adj. fin, ruse, qui cajole 
pour tromper. Qui n’aime point ä payer, dur & 
la desserre. 

Mırzin. V. Marrä. 

Manrino, a, ad. (l. de mipris) maudit, ex- 
eommuni6; Maure, Juif, qui ne mange pas de 
cochon. 

Muzniö, 5. m. petit cochon qui ne tetle plus. 
Coehon,, porc. Gros marteau de fer, masse. 

Maanir, v0. n, heurter. Choquer, donner de 
la täte contre; se baltre & coups de tele; frap- 
per de la i2te; se cosser, parlant des beliers. 

*+Minnas, adv. (far.) autrefois. A noile 
de — , la nuit passee. 

Mannixo, s. m. gros requin. V. Marreeo. 

+Mannixo,&, ad. fult, fin, ruse. On le 
dit aussi du laureau qui n’attaque qu’& coup 


sür. 

Manntca,s. f. macreuse. 

Munnico, s. m. espöce de canard. adj. (faw.) 
Futs, ön, ruse. 


Mannträ, s. f. petit maillet de fer des arque- 
basiers, 

Mannoipa,s. f. coup de masse de fer. 

Muannöcos, 5. m. (f. de geog.) Maroc : empire 
d’Afrique; sa capitale. 

Manadto,. V. Merroyo. 

Mannogqguim, 5. m. maroquin : peau appretde 
de chörre , de boue. 

MaanoQuino,A, adj. et s. Maroquin : quiest 
de Maroc. 

Wuraorkıno, s. m, saunier; rögisseur om in- 
specieur des salines. 

Mannöxo, s. m. bout de chandelle, lumi- 
gnon. it. V. Pateiro et Merruwfo. 

Mannövo, s. m. (1. de bot.) marrebe : plante 
lahiee. — branco, marrube blanc. — nfgro, 
ır.arrube noir, ballote puanie. — bastdrdo, 
ınsrrubeastre ou faux marrube. 

Mıruuiz,adf. 2 gen. (f. pop.) tötu, revöche, 
enieie, obsline, opiniätre. s. m. (1. d’Asie) Ba- 
tinent, vaisseau. 

Maunüro, 5. m. fröre lai. V. Marrozo. 

+ Manaöckm, s. f. esp£ce de plante qui res- 
seınble au persil. 

+ Munstına,,s. f. (6. de g6og.) Marseille: ville 
maritime de France. 

+ ManssLRÄNO, A, 0% Marseillais : de 

+ Manssiıntz, adj.eis. ) Marseille. 

+ Mınsöra ou —PLA, 5. f. (f. d’hist. net.) 
* marsouin : gros poisson de mer ow cochon, 
porc, pourccau de mer; trts-petile espece de 
baleine. 


Miuta,s.f. (l. d’hist, nal.) marte ou mar- 


MAR 


tre : sorle@e fouine a gorge jaune, & angies 
Sxes; sa peau en fourrure. —s, pl. fourrum 
de marie. 

Mirte, s. m. Mars: dieu de la guerre; (fg.) 
grand guertier ; esprit guerrier, courage. —, 
plandte; (1. de chim. enc.) ler. 

° Maarzıain. V. Martyrizer. 

* Mıntzıao, V. Martyrio. 

Manrsıräsa, s. f. coup de maritae. 

MuaRTELLAnO, A, P.p. de Martellar. 

MantELLanön, A, 5. oelui qui donne des 
coups de marleau. 

MarteıLirk, vo. e. marieler : battre ä coups 
de martoau. (Ag.) Persscuter, tourmenter. 

+ MaRTELLETR, 8. m. dperon mauresque. 

Manrtzıuiunno, s.m. dim. de Mariello. In- 
sirument pour aocorder le claveein, le psalte- 
rion, eic., accordoir. 

MuntELLo, s. m. marteau: ontil, instrument 
de pereussion. (fig.) Celui qui travaille ä de- 
raciner, & extirper lo vice, I’heresie. Conchs 
de —, marteau, coquillage bivalve. Prize —, 
marteau ou zygene, espece de chien de mer. 
A—,äcoups de marteau. — d’oreläas, üre- 
clou, outil pour arracher les clous. — ds fer- 
rador, brochoir, marteau de marechal. Achar- 
se ,‚estar enireo — e abigorne, £ire entire len 
clums et le marteau. Etre la gaufre dans use 
affaire. 

MarricoLa. V. Manticors et Matricule. 

* Mınrimenca, 5. f. sorte de petit bonnet. 

Mantıucaravito, s.m. Jeu d’enfants. 

Marrıntte, a. m. (1. d’hist. nat.) " aigrelle: 
sorie de heron. Sautereau d’epinetie, de clart- 
cin, etc. Panache, 

+ Manrinica, e. f. (t. de geog.) Martinique: 
tle de FAmerique. 

+ Maarınızca, 8. f. impöt que Yon payaili 
ls Saint-Martin. 

Mantia, etc. V. Martyr, ete. 

Miatrn, 3.2 gen. martyr : qui a souffert, qui 
a 36 tua6 pour sa religion, surtoat le christis- 
nisme, ( Ag.) pour un parli, une opinion, eit.: 
(id.) qui souffre beaucoup, qui a beauconp 
souffert. 

Maatr’nio, 6. m. martyre : mort, tourmee! 
da martyr; (g.) peines cruelles, souflrance 
excessire. (l. de bot.) " Fleur de la passion, gre- 
nedille, plante et fleur. 

ManrtyYrizino,A,p. p. de Marlyrizar. 

+ Manrrarzanon, s. m. celui qui martyrise. 

MaRTYaIzAn, v. ao. martyriser : faire souftir 
le martyre; tourmenter crue 

MaRTTRaOoLÖcIO, 5. m. martyrologe : catalogue 


+ Maauf, s. m. pelit oousin du Bresil, deal 
la morsure est Iröds-incommede. 

Mazbsa, a. f. " marins, malelots; dquipage 
d’un vaisseau. 

Mundo, s. m. marin. V. Marinkeiro. 

MaxtuLmipa, 8. f- vielenie agitation des Seis, 
houle. 

+ ManuLHin, vo. 0. agiler avec violence, ICh 


MASS . 


dre boulense ( la mer). 11 ost aussi rheigrogme, 
+ Manuıntıno, A, adj. qui agite la mer (vent), 
qui la rend bouleuse. 
Mandıno, s. m. V. Merulhdde. 
MAarvınöso, A, adj. hoslouz, souvert de 
boules; agiw, "ponillennant (mer sa). 
+ Manzacäna, 8. f. compagnie de soldals 
payes, qui sont en sorrice eßectil. 
Buföo. 
mas, eon,. ri mais, cependant, toulo- 
is. — einde! oui-dal — anlos, meme, mals, 
.. contraire. — com indo, mais cependant. — 
cerlamenie, narealidade, , toutefols, cependant, 
meanmoins, certainemen!, 
f Mis, s. m. monnalo d’Asle, 50 r&is porta- 


is,pi. f. de Mdo.N\. 
° Misı ow Massa, 8. fı — de forro, barre de 


* MASALDENSNOS, sHpr. pap. plus ou moins. 

+ Mısine, s. f. (1. d’hist. nal.) masare : by- 
menoptöre 

Masanıco. V.Megarico. 

° Mascasino. V. Menoscabado. 


® Mıscino. V. Mi . 
Mascino, A, pP. p. de 
Muscia, v. s. mächer. Chiquer. 


Miscara,s. f. " masque:: [aux visage de car- 
ton, eie.; personne masıquse; ( Ag.) voile, pr& 
texte, deguisement, fausse apparence. Masca- 
rade, trfoupe de gens masques. Tirar —, 
(g.) lever le masque, ne plus dissimuler. V. 
Desmascer 


ar, 

Mascanipa, s. f. mascarade: festin, oercle 
de gens masquös. Momerie, mascarade. 

MascariD0,A,p.p. de 

MascanÄa, 0.0. masquer, deguiser. 

Mascania-SE, u. r. 50 masquor, 50 mellre eR 
masque; se döguiser. 

Mascanina (6. de bot.\. V. Personada. 

Masciana, s. f. Lsche de charbon, de suic, 
elc., au visage. (Ag.) Tache, deshonneur, 

Mascanrino, 4,9. p. de 

Mascasain, 0. 6. mächurer, barbouillee le 
visagse de noir, etc.; ( ig.) noircir, souiller. 

Mascavino, A, adj. moscouade. On le dit de 
sucre de la derniöre cuisson, qui est d’une 
qualits ires-inlörieure- p. p. de 

+ Mıscavin, v. 0. Dans les moulins & suere, 
d’est söparer le sucre blanc de la moscouade, 

Mascuis. V. Mascdr. 

Mascorär. V. Quebrar, Modr ; Trier. 

Muscöto, s. m. maillet, pilen. 

MascuLinpine, s. f. masculinitd : carastöre, 
qualiis de mäle. 

Mascuiino, A, adj. masculin : du mäle, qui 
iai convient. "(Ag.) Mäle, en parlanı du style. 
—s, pi. masculins. Epiihöie que donnent les 
astrelogues au soleil, aux plandties de Salurme, 
Jupiter, Mars et Moroure, ot aux signes du Be- 
lier, du Lion, de la Balance, du Begilluire et 
du Vorseau. 


MAS 


° Mascuro. V, Besouliso. 

Mastus. V. Mantia. 

Musıcöre. V. Maeicote, 

Masuinno, a. m. (rere lai. 

Masuönna,e. f. "cachoi: prison sonterraine 
ou los Maures onferment leurs esolares. V. Me- 
lamorra. 


Masuonafıko ‚eo. m. geölier d’une masmerrs. 


781 


Missa, s. f. päte : farine deötrempes et p£- 
trie. Masse , totalite des biens ‚ ste. Masse: Den 
de plusieurs parties formanı un tout. ( r) 
Ligue, associatien , eonjuration. (id.) File ne 
tarel, caract&re d’une personne. V. Mapa. --- de 
eoneurso, (1. de comm.) masse commane de la 
faillite. 

* + Massaon6co, 8. m. 
ciennes perruques. 

Massacäna, 6 fı (d. pop 
sieurs choses. 

FR MasaucKTas, 5. m. pl. peuples de la Scy- 
ie. 

Mıssiug, etc. 

MassiR, eic. 

Massanico. 

MASSARÖCA. 

Masstıra, 5. f. V. Amasssdsire. is. Grande 
buche pour pe6trir. 

SSETE. 

Mussico. } V.Ma..,eic. _ 

+ Missı0o, A, adj. Monte —, monisgne de 
Campanie, renomme&e pour ses vins. 

+Missıo, a u de päte, qui a les qualitss 
de la päte. V. Maeio. 

Misso. V. dom. 

* Massonsuao, V. Pedreiro. 

Muıssonnar. V. Macorral. 

MassonETAs, 8. m. Pl. massordies : auteurs 
de la Massore , auxquels on attribue l’invention 
des points (dans la langue hebraique). 

° Missua. V. Magadura. 

® Massöca , s. f. petite barre de fer. 

Massino, A, adj. päleux. 

Mastaxito , s. m. (6. de mar.) mälereau : po- 
tie mät. -— de velacho , ınat de hıme d’avanı ou 
mit du petit hune. — do joandte grande, mät 
du grand us, —do joandie de prös, wit 
du perroquet d’avant ou du petit perroyuel. — 
da gala, mäk du porroquei d’arlimon ou perro- 
quetde fougue.— da sodregala, mät de portu- 
che. — de sohrejoendte grande, mät du grand 
perroquet volent. — de sebrajoandie de prda, 
mät du petit perroquet volant, — de sehroge- 
tinha, mar de perruche volanie, 

Masrica. v4 

+ Masnncatönıo, A, adj. (8. de mdd.) musti- 
oatoire: ingredient quel’on mäche pour purger 
la pituite. 

Mastioin ,s. m, grand prötre en Perse. 

Masticagäö, 3. f. masticalion : action de 
mächer. 

Masticäno, A, pP. p. de Masligar. 

MasTiGAntn , A; 2 Möcheur ; qui niche 


*garniture des an- 
.) melange de plu- 


V. Naga..., etc 


13 MAU 


d’an homme et d’une femme. (podt.) Hymen, 
-, sscrement du mariage. V. Casamento. — 
elandestino, mariage clandestin. — oceullo, 
nıarisge de la main gauche. — consummado, 
marisge consemme. — sapiritusl, nariage 
spirituel : lien qui unit un ev&que A son eglise, 
Yame & Dieu par la gräce, une religieuse ä 
Jesus-Christ par ses vaux. — ralo, mariage 
oblebre et nen consomme. Ndo goslar do —, 
ne pas aimer le sacrement. — dissoloido , Hit 
brise. Filkhos do primeiro, do segundo —, en- 
Lanıs de premier, de second lit, 

+ Marzırknsg, adj. ets. 2 gen. de Madrid. 

Mıraiz, s. f. matrice. V. Madre. Mere, 
source. —, moule oü I’on fond les caracleres 
d’imprimerie, ete. 

Muarsiz, adj. f. matrice; mere. Igrejs —, 
&glise möre: qui est comme ja me&ro d’autres 
&glises. Li —, langue mere, d’o& quelques 
aulres sont derivees. Cidade — , ville capilsle, 
la metropole d’un royaume. 

Maraöna, 3. f. matrone : mere de famille 
respectable par son rang, sa conduite, eto. 

fMarnonica, 8. f. aug. de Matrons. On le 
dit d’une grosse femme qui est circonspecte. 

Muırnonizs, s. f. pl. (t. d’ent.) matronales: 
fötes des matrones romaines en l'honneur de 


ars. 

MaırsoniL, adj. 2 gen. qui appartient aux 
matrones ; de matrone. 

Muırnonanla, 3. f. autoritd, etc., des malro- 
nes : on Jo prend en mauvalise part. 

Mitro, ete. V. Mdio. 

Marta ou —ı2a, 5. f. (f. pop.) troupe de 
vagabonds, de vanriens, etc. (4. Möche d’une 


lampe. 
AroLi ‚s.m. aug. de Matula. (Ag.) Homme 


grand. 
I mATeLLa ‚8. f- (l. Pop. et p. us.) möche d’une 


mpe. 

Marunsciö, s. f. (. de chir.) maturation : 
eoction, altönuatlon, preparation des humeurs 
nuisibles, afin de les expulser. 


Marurir. V, Madurar. 

Muırunativo,a,adj. (1. de chir.) mataratif: 
qui hate la formation du pus. u 

Muarüaco. V. Mastrugo. 

°Marüno. V. Madüro. 


+ Marurice, s. f. (t. fam. du Bresil) rusü- 
cite, grossierete. 

MaruriniL, adj.2 gen. matutinal : qui ap- 
pariient au malin, aux malines, 

Muırturinänıo, 8. m. matutinaire : livre de 
Yofiice de matines. 

Marourino, A, adj. malinal, da matin. V. 
Maiulinal. Astro — , astse, plandte qui se leve 
avant le solell. 

+Murtöro, a, adj. (tk. fam. du Bresil) qui 
habite l’inisrieur d’un pays sauvage. (fig.) Rus- 
tüque , sauvage. 

Mırüvı, s. m. sorte de bois de Zofala. 

TMıtıo, s. m. (1. de calf.) bec de corbin : 
ouul de calfat. 


Halnza, #. [» poiguce ; halte d’auiz socs. + 


MEA 


do fuso,, rainurc en spirale praliquöe au beui 
le plus mince d’un fuseau & filer. 

+ Maurıtixıa, s. [.(t. de geog.\ Mauritsnie: 
eantrde d’Afrique oü sont aujourd'hui les 
royaumes de Feg, Maroc et Alger. 

+ Mauaıtino, a, adj. et s. de la Mauritanie. 

+ Miro, a, adj. des Maures, ä la manitre 
des Maures. Maure. 

Maus£oLo pour mausolde : wnbesu mr 

MarsoLko, s.w. 1 gniflque. 

MavaLi, s. m. polsson des Indes oceidents- 
les: il a la forme d’un bauf. 

Mavi, s. m. (1. d’Asie) öpreure judiciaire par 
le poison. 

Mavıösamutnte, adv. tendrement, areo 3 
tendrissement. 

Mavıöso, A, adj. tendre , attendri; attendris 
san , touchant. 

Mavöncıo, A, adj. de Mars. Marlial, guer- 
rier, belliqueux. 

MavörtE, s. m. (podt.) Mars, dien de Ia 
guerre; la guerre. 

MaxiLLin, adj. 2 gen. maxillsire : quiap- 
partient, qui a rapport aux mächoires. 

Mixıma,s.f. maxime : proposition generale, 
qui sert de principe, de rögle, de fondemen! 
en morale, dans les sciences, etc. ; verile e1- 
primee en peu de mots, et presentee d’une ma- 
nidre absolue. —, note de musique qui van 
quatre mesures. —s d’estado ou polilim, 
maximes d’etat, regles d’administration. 

MuxısauEnte, ade. principalement. 

Mixıne, ade. lat. (fam.) sartout, principa- 
lement, notamment. 

Mixıso, a, adj. sup. de Grande. Trösgrand, 
tres-distingue, principal. 

+Mıxinmo, s. m. instrument de musigwä 
cordes, esp&ce de petite guitare. 

Mir. V. Mät. 

Miro, Marör,ete. V. Baio, etc. 

Mavoncano. V. Morgedo. 

"Mazanaria,s. f. "iten plantede pommiers. 

*Mazcino. V. Mascdbo. 

MaıztıLı, s.f. blessare, plaie. V. Beladurs, 
Achaque. (fig.) Adversits, malbeur, misere. 

MazeLLivo, A, adj. convert de plaies. p. P. 
d 


e 
MazeLLin, 0. e. faire des piaies, etc. (Ay.) 
Maculer, noireir. 

Mızöuso, s. m. (f. injer.) Bis de pereei 
mere europdens (au Bresil). 

MazonniL, adj. 2 gen. lourdaud, rustıt, 
grossier. 
Mx, cas irr&guller da pronom ew. Mei, ämel, 


me. 

M£, s. m. eri du chevreau,, du mouten. Mö, 
pl. au Bresil, on donne cenom auz mulöue. 

Mtı. V. Meia. it. (ant.) Ancionne mesare dt 
liguides. 

Mei. V. Meid. 

Meica. V. Amears. 

Meioa. V. Heiada. 

*Merviode. V. Mobade, " 

Meivo. V. Meiade, 








MEC 


Ir ÄLHA, s. f. maille : tr&s-petite monnaie 
pu.tzizaise et esparnole. 

MaaLuarıa, V. Meialharia. 

ITLALUEIRO, 8. m. "lire-lire: vaisscau de terre 
Duut nıetire.de Pargent. Trong d’ezlise. Magot, 
„ent mignon. Argent inis en reservc, argent 
J'rpargnes. 

MEALQUFIRE. V. Meio-alqueire. 

MEÄNENTE, adv. moyennement, mediocre- 
ment. 

+ Mein, s. f. espece d’oiseau sylvain du Por- 
tugal, qui emigre Phiver. 

+ Meinprire,s.f. (tl. d’kist. nal. ) meandrite: 
polypier pierreux. 

+Meispro, s. m. (ft. de geog.) Meandre:: : 
Deuve dePhrygiequi a beaucoup de sinuosilcs; 
s’nuosites d’une riviere. 

MFÄNTE. V. Meidnte. 

Meiö, adj. 2 gen. moyen, mediocre. V. 
Meidö. 

Mein. V.Miar. 

MEARRATEL. V. Meio-arralel. 

Me£as. V. Meias. 

Meato, s. m. (tl. d’anal.) meat. Conduit, 
passage, canal. 

+ Muäitca, s. f. espece de canard de mer. 

+Mica,s. f.(t. de geog.)La Meeque : ville de 
l’Arabie. Casa de —, (fam.) maison dereglee. 

MeEcÄNIcA, s. [. mecanigue : science des ma- 
chines, du mouvement, de l’equilibre, des 
forces mouvantes ; straclure d’un Corps qui se 
meut. Roture : etat de ce qui n’est pas noble; 
les roturiers. (fam.) Action basse, ignoble. 

MECÄNICAMENTE , adv. mecanicquement : Sui- 
vant les regies de ia mecaniquc. Basseinent : 
d’une maniere abjecte. 

MEcÄNICO, A, adj. *hıecanique : (art —) qui 
consiste principalement dans le travail de la 
main; conforiue aux lois de la mecanique, qui 
ya rapport, selon ses rögles; ignoble et bas. 

Me&caAnNICcO, 3. m. mecanicien : celui qui sait, 
exerce la ımecanique, fait des machines. Rotu- 
rier: mauant; celui qui n’cst pas noble, qui 
uent du peuple. 

MECANISMO, 3. ın. nıecanisme : structure d’un 
corps suivant Ivs loıs de la mecanique; ma- 
niere dont agil une cause mecamique. 

+ Mecastör, par castor, jurement des lem- 
saes romaines. 

MECATuErFE. V. Mequeirefe. 

+ Mecas, se. f. pl. * mesurage. 

° MEcEnÜRA. V. Aledigdö. 

Krcksxas,s. m. Mecene: prolccteur des lel- 
tres, Jdea savunls, 

MEcuA, s. f. möche de lampe, de chandelle, 
etc. Allumette. 'Tente de charpie pour les piaies, 
Meche : corde preparce pour meltre le feu au 
canon. * Lardon : morceau de lard pour pigner 
la volzille. (f. de mar.) * Corneti de mät. Custlu 
mais a — que 0 sebo, (fig. fam.) la sauce est 
plus ch@re que }e poissen. 

Mecuänsa, etc. V. Mecanica, etc. 

MECBAR, dv. a. soulirer un tonueacı , une feuil- 
leute, sic. 


wi... 


MED 


Mecnroor. V, Mexedör. 

Meca£ıno, s.m. lamperon : bec d’une lampe. 

MECHOACANNA, 8. f. 0% 1 (f. de bot.) mechga- 

Mi:cuoAcäö, 8. m. } can : racine purga- 
tive d’un liseron d’Amerique; rhubarbe blan- 
che ; scammonee d’Atne6rique. 

. Meco, s. m. adultere, dissolu , debauche. ' 

Mecox, ‚Mecont, Mecönıo. V. Papoila. 

Meconıo, s. m. (t. de pharm.) meconium. 
suc de pavot. —, excrements noirs ct 6pais d'un 
nceuveau-ne. 

M£DA, 5. f.“ monceau de gerbes ; meule, tas, 

MEpviALBA, s. f. medaille frappee en memoire 
d’un evenement, etc. Medaille de saint, benite 
par le pape, etc. 

MevıLuiö,s.m. aug. de Medalha. Medall- 
lon : grande medaille. — ou medaille d’archi- 
tecture : bas-relief oü est reprösentee la t&l® 
du prince, etc. 

MepaLnärıo, 3. m. medailler : cabinet, ar- 
moire oü l’on conserre des medailles. 

MEDALRISTA, s. m. medailliste : qui connaft 
les medailles, les aime, a ecrit & ce sujet. 

Me£viö, s. m. aug. de Meda.* Meule, tas ow 
amas considerable, grand monceau ; dune. 

" Meoes. V. Mesmo. 

Meotacäö, s. f. mediation,, entremise. 

+ Menıino, A, adj. (1. de bot.) partage en 
deux; demi, & demi. p. p. de Mediar. 

MEDIADOR, A, s. mediateur. V. Medianeiro. ' 

MEDIÄNANENTE, adv. mediocrement: ni trop 
ni trop pen. 

Menian£ıno, A, s. mediateur : qui mönage 
un accommodement, etc. 

Meviania, 8. f. moderation, retenue, IM 
sure ; juste milieu. 

MeDıÄNO, A, adj. moyen, mediocre, 

MEDIÄNTE, adj. 2 gen. ct p. a. de Mediar. 
qui est au milieu. Qui sc porte pour media- 
teur. 

MEDIÄNTE, adv. ou prep. moyennant, au 
moyen de. 

MEDIÄR, ©. Rn. @tre au milieu, entre deux. 
S’entremelire : se porter pour mediateur dans 
un Jifferend, elc.; intervenir. 

MEDIASTINO, s. m. (t. d’anat.) mediastin : 
membrane, conlinuation de la pkövre qui par- 
lage la poitrine en deux parties. 

MEDIÄTAMBNTE,, adv. mediatement. 

MevıaTÄrıo. V. Medianeiro. 

MEDIATO, A, adj. mediat. 

Me£onıaröR. V. Medianeiro. 

+ Menıca,, s. f. femme medeein. 

+ MEDICÄGEM DOS PASTOS, 8. f. (f. de bot.) 
luzerne cullivee; *tr&fle ow foin de Bourgogne. 

MevicÄDO, A, adj. fait, prepared selon les r&« 
gles de la medecine. p. p. de Medicar. 

MevtcAL ,adj.2 gen. medical: qui appartient 
ala medeeine. 

MEDICAME.NTE, adv. selon les rögles ou aven 
le secours de la medecine, medicalement. 

MEDICAMEKTO, s. m. medicament , rem&de. ° 

MED:CAMENT6SO, A, adj. medicamenteax x 
qui a la vertu d’un mödicament, 


” 


783 





L ME 
Mesıcia, v. a. mödicamenter : donner des 
Maoıcaraız, adj. f. qui guerit. 


zoıcikö, es. f. Y’aclion de mesurer, Mesa- 
€; mesure. 
pıcina , 8. f. mödecine : art de retablir, de 
conserver la santö; art de connalice et guörir 
los maladies. —, remöde, medicament. 
MunicımiL, adj. 2 ges. medicinal : qui sert 
die remede ; medical. 
Mazoıcruan. V. Medicar. 


Minıco , s. m. medecin : celui qui [alt profes- 


oe de guerir les maladies; qui sail, yuı axerco 
medecine. 


Mepıco, a, adj. medical : qui appartient & la 
e 


Mupiva, s. f. mesure ı ce qui sert de rägle 
ur determiner une quaniit6, une dimension. 
mension : l’action de mesurer, mesurage. (8. 


de mail.) — , quantits prise pour unite, et ser- 


vant & exprimer les rapporis; quantil6 mesu- 
vee ; conienu de la mesure. —, nombre de syl- 
labes qui composent un vers. * Ruban coupe & 
la mesure de limaga ou de la statue d’un saint, 
et sur lequel est empreinte sa Ägure. (g-.) —» 
eirconspection, jugement; regle, moderation ; 
Justes bornes. Tomar — , prendre mesure d’un 
Babit, etc. A’ —, & mesure, selon, en propor- 
tion de. 4’ — que, au fur etämesure que. A’ 
de mossog desejos, au grö, solon nos desire, & 
goubait. —s, pl. arrangemenis, mesures pour 
Anir une affaire; precautions, moyens de suc- 

Eucher as — , remplir ses devoirs, obser- 
ver les regies; röpondre A l’attenle de quel- 
qu'un. Tomar a alguem as —, (fig.) Juger, 
apprecier quelqu’un & sa Jusie valeur. T’omar 
suas —, (id.) prendre ses mesures, ses PFECaUu- 


° Mupınacen. V. Medigdo. 
Meoıvazinua, s. f. dim. de Medida. 
Mevıpkıaa, a. f. feınme qui mesure le bie, 
forge, etw. 
Msoino , A, p. 9. da Meder. 
SDIDOR, A, 5. mesureur : celui qui mesure. 
— do lerrono,, arpenleur. 
Manıista, s. m. (14. schol.) zectaize, partisan 
de la science moycane. 
+ Mspiuno, #. m. * nesure de six bolsseauzx, 
usit6e chez les Grees. 
Mipıo, a, adj. qui est au milien. Moyen. 
Meviocaz,, adj. 2 gem. mödiocre , meyen. 
Mepiocazutnte , ode. mödiocrement. 
Meviocaıpäng, 8. f. mediocrite. 
$ Mapıöxıuos, s. m. pl. medioximes : divi- 
nilds aöriennes tonani lo milion entire calles de 
la terre et celles du ciel. 
Meosovinzo , dim. de Medien. Peiis mödeein. 
Mzoira, 0. s. mesurer. (Ag.) —, comparer, 
proportionner. Scander un vers — d vdes, 
anne. — lerras, arpanter. — 0 lerreno, me- 
surer la distance. (Ag.) Prevoir, caleuler les 
difieultös, sonder lo Larrain. — o lempo, mb- 
letemps. — as armas ‚(Ag.) mesurer B0n 
Epls aveo quelqu’un, so balıce ooalro lui. —as 





MED 


eapadas, mesurer son dpte avec un tel, äuec 
celle d’un autre. — langas , rompre une lanoe, 
se mesurer avec, lutlez conire. — 04 SZpre 
söes , menager les termes. 

Meoin-s& (com), v. r. so mesurer, so balıre 
avec, lutter contre. Vouloir s’dgaler &. 

MEDITABÜNDO, A, adj. concentrd, plongi 
dans ses meditations. 

Mspıtaciö, s. f. meditation : acliom de mb- 
diter ; oraison mentale. 

Meoirivo, A, pP. p. de Medilar. 

MkoITADOR,, A, 8. celui qui mddite; adennt 
A la meditation. —es, pl. meditaienrs : philo- 
sophos pratiques du commencament da dis- 
neuriäme sitcle, qui avalent adopts la oostumt 
oriental ; qui r6duisalest & une m 
ditde la jouissance du beau dans la nature dl 
dans les arts. 

Menıtarivo, 4, ad. medial : qai vappt- 
que & mediter;; port& & m6diler. 

MeoıtEanineo, A, adj. otg. mu, "Möditerme- 
nde : au milieu dos terzen (mer); weditetrane, 
e (pays, ville). 

+ Mevırnina,a. (tb. de myih.) Meditrine: 
divinits des me&dicaments. 

+ Mxvıraınizs, s. f. pl. möditrinales : fürs 
de Meditrine, 

Mxoivzı ‚adj. 2 gen. mesurahle ı qui peut 9 
mesurer. 

M&oo, 5. m. ° peur, orainte, frayent. (AR) 
Chose qui fait peur. Causar, , meiter —, 
fsire peur ; effrayer. Com-— do castigo , de peu 
de chätiment,. A medo , imidement. Nde kat 
ou ndo lenhas —, n’ayek pas peur. 
+Mi&oo, a, adj. ei s. Mede : de Medie, 

+ Midönnamente, ade. horriklement, ar 
frousement. ‚ 

Mznönuo, A, adj. horrible, eiiroyable, öp0® 
vantable , affreux. 

Maznöo. V. Meddd. 

Meoaa,s.f." progris, accroissememt, BUS“ 
mentation. 

Msonin0, 4A, p. P. de Medrdr. ey. Prob; 
augmente. Gaillard , sain , &veille. 
Meoninca. V, Medre. 

* Mxonin , u.a. faire orelire, agmmudir. (AR 
Faire prospärer. 

Meoain (em), ©. n. creilse, zugmeniet, 
profiter, faire des progres; s’avancer; protp® 
rer, s’enrichir. 

Mxoronntino, 5. m. (4. de bot.) afbousie: 
arbrisseau ericine. — ursino, la bousserelle 
ow l’arbousier trafnant, valgaisement le raisin 
d’qurs. 

MeorönBO, 8. m. arbause : fralı de Farbos- 
sier. it. V. Medronkeiro. 

+ Meonösamixte, ade. limidement, 81% 
crainie. 

Munnöse, a ‚ad. czaintif, imide, poutenk: 
Effrayant , &pouvantabie. 

MepiLLa, s. f. moelle : substanse zuelle 

dans les os; subsianee molle dass I 


grasse 
o@ur du bois, eis.; (Ag.) substanes Fund 








ehase, — sepiukal, (1. dienst.) moelle dpinlere. 


eu allong6e. 

MevuLLinte, adj. 2 gen. Veia —de polvors, 
irainde de poudre pour faire sauter une mine. 

MeouLLin, adj. 2 gen. mödullaire : qui ap- 
partient & la moelle, de sa nature (subsiante). 

+ MeourLin (0m), o. n. s’introduire dans la 
moelle. 

+ MsnuLiro, a, adj. plein de mesiie, de 
graisse. 

} MxvoLLöso, a, adj. meslleux: oa il ya 
beaucoup de mealle. 

+ Manisa, 5. f. (m de myih.) Möduse, Nor- 
gone : parsonnage Mythelegigue. (1. de bo4.) 
Meodusa : arbre de la Cochinchine. (. hist. 
nal.) Meduse : ver radiaire, ertie de mer. 

+Meodszo, a,0d). ( 9064.) de Miduse. (fig.) 
Horrible, sßreux. 

Menösıco. V. Medihsee. 

® MEEFESTO. : . 

. Meerseran. | V. Maxif... 

Mecino. V. ro. 

* MEERFRSTAR , eic. V. Mani/cstar, eis. 

* Mexsuo. V. Memo. 

* Messteirär. V. Mesteiral. 

*Mexstaıa. V. Mestria. 

Masitico „etc. V. Mepkhitico, ete. 

+ MecABYsos ou MECALOBYSOS, 3. 78. Pl. mb 

yses ou mmbgalebyses : prötses ounuques de 
jane. 

5 Mnonntaus s. [. pl. (6. d’ans.) mdgeiees: 
Sütes de Cyböle. 

+ MecaLdsios, adj. m. „pl. Joges —, jeux me 
gelisiens, des atgaldsi 

% Mzsautnss, ad. ei . 2 gen. Migareen , de 
Megare , ville de Gröce. 

Nucana, s. f. { &. de myth.) Mögöre : une des 
wrois furies. (}g.) Fermme meshaute , emporiee. 

*Miunzu. V. Meu. 

"Usa, os. f. * has: wstemeat de la jambe ct 
da pied. 


pP 
+ Meıscina, s. f. meuluse eoncare. Oulit de 
rnenmisher pur Saire les meuluses. Sorte de 


lme, 
Mauss, s. f- * sebewsau: Al, soie, laine 
Bo A replies. (Ag.) *“ Emhroutilement. V. 


* Mzıamhos. V. Meidds, 

’ Meıankıno. V. Meile, . 

Musoe, a, adj. qui est ie millen, qui ent & 
gu prös a moltid; mel A ia moitid. — 0 mex 
die marge, la mi-mars. Päe —, molti6: bi6, 
machi6 orge, parlanı d’an come, #to. ; pam de 
Sarine, de bi6 ei deseigie, on de mais ei d/orge, 
ots „melitib de chaque chose. 

Mziane, 5. m. No —- d’agosie, Ale mbeoßtk. 
* Mask000. 


* Mzislno. v. Baia, Sronteire, Limite, 
° Mzılıma. V. Mealha. 
*Musaıuania, 0 f. aneien inpöt sur ios fom- 
mes qui vendaient & Lisbenne 
Mzıi , & f. sorta d’asbre sauvag6 
MEIıALaSıRO. V. Mealkeiro. 
MBLANSnTE. 


nn. 


Mu 187 

Mausueren, s. f. nineit. 

Mzıänte, adj. 2 gen. Homsm --, dans um 
äge moyon (bamme). 

Msıio, Mzık, adj. moyen, mediocre. Ho- 
=; „ basanıe qui west pas noble ni retu- 
rier, 

f Maıie, um. maltresse pi6ce d’um emnsau, 
etc. Moyeu : partie de ınilien de ja sous oh 
s’emboltent les rais, et dams je ereum de la- 
quelle entre. Fession. 

MEIÄR, ©. @. parlager par meld. #6 V. 


Mtus,s. f. pl.V. Meia.* Conwat a ia meoNlt. 
De -—, de meiti6, de eompte 'a demi. Ar de—, 
tire de moltid. 

* Meıarine. V, Metdde. 

* Msınino, A, ad}. partage cu deus moltlte, 
au million. 

} Meıtıra ,s. f. femme gai fait des bas, tri- 
tolsuse. 


Mutıno, A, adj. ete. fabrieant de bas. Herk- 
tier, —dre par moiti6; qui a la moitid dans Ile 
fonds, dans Finweröt, ote. 

MEICAMENTE , adv. avec doueenur, d’une ma- 
niere engageante. 

MEıcencro, A. V. Pfco, Choutko. 

MEıco, A „adj. caressanl, (endre, doux; pai- 
sible, beuin; atmable, ertgageamt. 

MEIGUICR , s. [. doueeur de caractöre; agace- 
rie.—s, pl. 'paroies engageantes,, catesses, & a- 
joleries, douceurs. 

Muictichno, A, ady. caressant, cajol; ur, 
doucereux. 

"Mtıuo. 7. Meio. 

MenoApa, s. f. "travail fait pendant ka nuit. 
Fete, festin noeturne. V. Ameijoar. 

MEIMAnDRO, s..m.(t#.de bot.) * ‚jusquiame : 
plante solante. — ndgro, jusquiame noire, 
hanebane ow heneb, la mort aux poules. — 
dranee, jusgquiame blanche. 

Meruinno , adj. m. Bedo —, Te petit doigt. 
V, Mintmo. 

M£ıo ,s. m. milieu : point egalement eloign® _ 
des extremitds. (fig.) Ressource, tempera- 
ment qu’on prend dans une affaire, voie. *Mo- 
deration : milieu qu'on garde, etc. Terme 
meyen.—s, pl. moyens, facultes, biens. Por 
— de, au moyen de, moyennatft. Be, w— 
de, au milien , parmi de, dans, entre. Metter-se, 

de per — ou em —, s’entremeöttre, se 
porter pour mediateur dans une querelle. Pa- 
rede em —, mur mitoyen. Por —s sinistros gu 
mdos, obiiquement, fraudufeusement. 

M&ıo, A, adj. demi : qui n’est ou ne comtient 
que la ınoftie; mi. A demi, & möitie. Junreau, 
miteyen : qui separe, qui est entre deux. A — 
caminko, a mi-chemin, & moiti6 ohemin. Mex e 

—, ur meois et demi. —a liöra, demi-tivre. 
Libra e—a, une livre et demie. No — de maio, 
junho, eic.,ä la mi-mai, mi-juin, etc. No — 
da esma, & la micareme. — die, midi. 
—@ hoise, minuit. —a idade,, moyen äge. — 
lermo , parti moyen: terme qu’on prend entre 
deuz extrömes ; moyen, terme de sylHiogismm, 


7188 MEL 


—a loranja,(t. de mar.) tapot d’6chelle ou 
sapuehon d’6chelle, Meias palavras, paroles 
“quivoques, ambiguös. Paredes —as , mur mi- 


‚presque. A demi , a moltie. 
De — «— ‚de part en part, entiörement. 

Mzwesis, s. m. midi : ie milieu da jour, 
heure du midi; point cardinal, sud. 

° Mxıon. V. Mener. 

+ Msıonzıtvo, s. m. bas-relief. 

Msıorsaninzo. V. Mediterrane. 

+ Mzınımuipo, s. m. “charge, oflice de Mei- 
rinke. V. co met. 

Mainımein, vo. w. faire le metier d’huissler. 

Maıninno, s. mw. huissier: oficier de justice 
qui ajeurne, fait les signißloations, fait la po- 
lice des audienoes. — dos clörigos , appariteur : 
sergent ooolesiastique. — mör do reino, grand 
ofcier de Justice en Portugal. 

+ Mzıninno, a, adj. (amf.) passager, errant. 
On le dit des troupeaax qui changent de pätu- 
sage ou transhumanis. Carneiro — , mörinos : 
espece de moulon ou belier. Lä —a, merinos : 
laine de merinos, 

* Meısön. V. Cdsa et Meson. 

* Mkxırica. V. Almeitige. 

*Meıxan, etc. V. Mexer, etc. 

* Meıxınıcar, etc. V. Mezericar, etc. 

"Mxsia, etc. V. Mijar, eic. 

MeJoipa. V. Meijoada or Ameijodde. 

ME£L, s. m. miel:: suc doux fabriqu6 par les 
ebeilles; (4g.) douceur, choses douces, deli- 
cieuses. Au Bresil, t’est le jus concenire de 
cannes & sucre. — rosddo, miel rosat. — sil- 
vesire , miel sauvage. — de füro. V. Melago. — 
de pdo, miel sauvage, au Brasil. Ndaodo — 
pora bocca d’asno, (prov.) le miel n’est pas falt 
pour la bouche de l’äne, les peries ne son! pas 
(aites pous les pourceaux. 

Meıa, s. f. "blanc dans l’6criture. Espöce de 
nielle ou charbon gui gäte les bles. Chauveie, 

Mzrico, s.m. " melasse : reösidu du sucre 
sand. 

7 MkLino, s. m. jus de cannes & sucre. Sorte 
de vin liqueur. 

MsLivo, A, adj. emmielld; mielleux, de 
eouleur de miel; bai dore, parlanı des che- 
vaux. p. p. de Melär. 

Mauapöna, s. [. dans les moulins A suore 
e’est la parlion de jus de cannes que peut con- 
tenir une chaudidre. 

+ MzLaroLıo. V. Acaniho. 

MeLaurv’ao, s. m. blö de vache, plante. 

MsLancia, . [. "melon d’eau , pastöque. 

MeLanciäL, 0. w. couche de melons d’eau. 

Msrancakiaa, 8. f. (1. de bot.) pasieque : me- 
ion d’eau, la planle. 

MsLancoua, s. f. melancolie : bile noire; 
atrabile ; (fg.) tristesse. 

MELANCÖLICAMENTE ‚ade. melancoliquement. 

MELANCÖLICO, A, ad. melancolique: domine 
par la melancolic ; qui l’inspire, qui en est al- 
fecte; (Ag.) triste,chagrin. 

MELARGQLIZÄDO, A A, pP. p. de Melancolisar, 


MEL 


MuLanooLIzÄR, v. @. atirister, afliger, can- 
ser, donner la melancolie, chagriner, Il en 
aussi reciproque. 

MeLanconia, eic. V. Melancolis. 

Marin, s. [. moire, &tolfe moirde. 

Murinräna, s. f. (t. de min.) mölanlerie : 
matidre minerale, orayon noir. 

MxLiNTBENO, s. m. V. Camomilla. 

Merintnio, 8. m. (e de bei.) melanthe: 
plante colchidee. 

Mxıiö, s. m. melon, frait. 

MsLimo, s. m. varidtö de pelre-pomme 

Mzıia,o. a. V. Mellar.v.». Avoir la nielle, 
@ire gäi6 par la nielle, parlant des bids. 

TMsLise, s.f. (e dhist. nat.) ° melssis : 


ool6optere, perce-bois. 
* MELCHOCHÄDO 08 | *soie de oouleur chan- 
* MELCOCHÄDO, 8.0. geante. 


f Mxızicag, &. m. möldagre ou meltagris: 
plante. 

Meıtna, s. f.“cheveux qui tombent sur le 
front, qui courrent le : visage. Chevelure Eparse. 

MELZOSÖLIS, s. m. " drogue medieinale. 

MeLca,s.f. petit moucheron ou cousin. Petit 
poisson plat qui ressemble ä la raie. 

MEıcu£ıra, s. f. rache & miel. (fg. burl.) 
* Magot, cacheite, tirelire. Dar ne —, Irouver 
le magot. 

MeLnandco , s. m. (8. d’hist: nat.) mesange: 
oiseau qui mange les abeilles. 

Msıuör , adj. 2 gen. et s. m. meilleur: qui 
est au-dessas du bon; qui a plus de bonte; qui 
vaut mieux; mieux. Ter ou levar a — , surpas- 
ser, vaincre, l’emporter; avoir le dessas. Fer 
ameo-—, le meillenr nıe manque. Ndo Aa nada 
—,iln’y arien de micuz. O — serie näo faller 
wisse, le mieax serait de n’en rien dire. Bo 
homem — do mundo , c’ost le meilleur bone 
du monde. O — ‚le mieux. (Ag.) Elite : ce qu'il 
yade meilleur, parlant de troupes; quintes- 
sence, pariant d’un ouvrage. Fdho o— qw 
pöde ‚il le fait tout de son micaz. 

Mszıuör, adv. mieux : plas parfaltemen!t, 
plus avantageuseinent; d’une ınanidre preldr=- 
ble, plus accomplie. ir «— ‚aller mieez, fa- 
meliorer. O que fallou —, eelui qui a pari6 ie 
mieux. Vai, esid —, il se porte mieas, il y . 
du mieux dans un malade. Ceda ve —, 
mieux en mieux. A Ber *«— , au mieuzs, kn 
au mieux. 4 quei — mieux mieux, & 
Ponvi l’un de Fauire. r ferie —, il aurell 
mieux fait. Serie, teria side —, il vaudrall 
mieux, mieuz ot valu. — Se afude Deos, que 
Dieu te denne de meilleures pensees. 

Meınöna, s. [. " soulagement dans la mali- 
die. Amelierstion, scoroissement, progres; 
meilleur &tat. (4. de prat.) * Appel Interjetö & 
un tribumal superieer. V. Melkoria. O doenis 
vai com —s, il y a du mieux dans lomalade. 

Meıs0nipo, A, p. p. de Meikorer. Ei ed). 
Ficar — no negocio „ avoir ie dessus. 

MELUORADOR, A, 8. celui qui ameliore. Rd- 
formateur. 

MELHORAMENTO , 5, m, " andlioration, V; At- 








MEL 
Lere, — na vida e codlumess, amendement, 
nferme. 


Mernonir, 9. e. ameliorer , rabonnir, ac- 
eroltre, augmenter. Avaniager quelgu’un par 
un testament. Rendre meilleur, relormer ; 
amender, reetiler.— e appellacds , (1. de prei.) 
appeler, interjeter appel. 

Meunonin, v. w. se rötablir : se remelire 
d’ane maladie, et, en parlant du temps, se 
mettre au beau. Avancer en grade. 

Mausonin-sE, ©. r. parvenir & un poste 
plus considerable. —s sörie, samender, de- 
venir meilleur. 

MeLxoria, s. f. amelioration , augmentlalion, 
avancement. Diminutioa de maux, soulage- 
ment. * Avantage, superiorits. V. Meihdra. 

MeLnoasente, edo. mieux, d’une maniöre 


plus convenable. V. Meikor. 
“Mexımür. V. Meikor. 
+ Mauiapss, s. f. pl. (1. de myth.) Meliades, 
Melides : nympbes des troupeauz. 
MeLıÄntuo, 8. m. (1. de bot.) mellanthe : ar- 
buste ratacd. 
Meuiıckaipes ou 1 (8. de med.) meligkris ow 
Mauicknis, a. m. 9 " mölioeride : <aren- 


kystee , pleine d’hameaur jaune. 

Meuicıas, s. f. pl. espöco de saucisses failes 
a000 du miel ot des dpioes. 

Maricano, A, edj. (Pod.) doux comme lo 
mie! 


MaLrLörs ow (6. de bot.) melilot ow mir- 

Mzuröro,s.m. | lirot: plante lögumineuse. 

‚+ MkLmoino, a, adj. et s. de Melinde, 
reyaume d’Afrique. 

Meıinoee, s. m. * mignardise : dölicatosse 
affeetse; minauderie; soin extrömez delica- 
tesse ; probil#; conf#eience,, delicatesse. * Pru- 
derie. (4. de bot.) * Balsamine, balsamine des 
Jardins. — ndo me loquss,, balsamine des bois, 
belsamine Jaune, ne me toucher pas, !’herbe 
impatiente. 

MaLispars, 3. m. pl. espece de oonflture ou 
beigneis aux aufs. V. Melindre (t. de bol.). 

MaLınpnösautntg,, ade. mignardement; de- 
licatement; avec tout le soin, tous les &gards 
possibles ; avec delicatesse, conseience, scru- 
pule. 

Meııinnnöso, A, adj. mignard, minaudier: 
qai fait le mignerd,, ie delieat; donillet,, deli- 
cat ;tr&s-susceptible ;scrupuleux. Fazer-se —a, 
faire la sucree, la seinte Nitouche, affecier de 
paraltre ınodeste, innocente, scrupuleuse. 

MeLısur’ıLLo, s. m. (1.de dot.) V. Melissa. 

+ MeLiqgug, s. m. sorte d’ancien lissu dont 
on faissit des habits. 

Merissa ow MeLita, 5. f. (t. de bot.) melisse, 
eitronnelle ow"calament: plante labiee. — bas- 
Sarda," melissol, melisse sauvage ou bätarde, 
ameölisse puante ow de punaise. 

MsLıa, 

MxzLLaco, V, Mela..., etc. 

MaLLıso, ole. 

Maine, V. Melar et Mellipkcar. 


MEL 189 


T Maıutıno, s. ın. scheleur de miel aux mou- 
lins a sucre; celui qui le condait. 

MeıLierno, A, adj. mielleux; qui produit 
du miel. 

tMeıLscaciö, s. f. industrie au travail 
des abeilles. 

Meuuircin, v. a. faire du miel, parlant des 
abeilles. Adoucir avec du miel. 

MeuLirico, A, adj. qui concerne le travail 
du miel; mielleux. 

+MaLLirLuvamante, ado. doucement :ı aveg 
douceur et suavite, 

MELLIFLONDADR, 8. f. douceur, suavild, 

MesLLirl00, a, adj. d’oü coule le miel ; miel- 
leux, qui tient du miel. (Ag.) Dont l’eloquence 
est douce, persuasive; doux, suave. 

+ MeıLisono, a, adj. (poei.) qui bourdonne 
comme les abeilles. Qui est doux, agreabla & 
’oreille. 

fMezııd, s. m. (1. d’Asie) sorte de delense 
faite parun Gemcer (V. ce mot) a quelqueacie 
juste. 

}MeıLöna ‚af. (.de mytih.) Mellone: döosse 
des abeilies. 

MzıLöso,&, adj. qui a Je goüt du miel; 
mielleax. 

MzrLoiL, s. m. *melonniöre : lieu o& !’on 
cultive des melons. 

Mstocorid, V. Maracoidö. 

MeLopiı, s. f. melodie : agrement qui re- 
sulte d’une heureuse suite de sous ; celle suite 
de sons. Douceur de la voix. 

Manzopnıin. V. Abemular, 

MeLoDiösame£nte ,„ ade. melodieusement : 
avec melodie. 

MeLonıöso, A, adj. melodieux : plein de 
melodie, 

+ MeLonpaiua, s. m. melodrame : drame eu 
musique ou meld de chant. 

+ Merör, s.f. (1. d’hist. net.) "melos: coleo- 
ptere, caniharide. , 

MrLotıno, 8. m. ($.de dos.) melon: la planie. 

+ MsıoLöntua, s. m. (l. d’hist. nat.) baune- 
ton : coleoptläre scarabeide. 

+ Msrouania, s. f. melomanie : ameur ez- 
cessif de la musique. 

+MzıLömano, A, adj. et s. melomane : qui 
se livre & la melomanie. 

Msıor£a, s. f. melopee : d6clamation netde 
des anciens. 

*Mernön. V. Meikör. 

MeLöTe,s.m." peau de mouton aves la laine, 
Peau de bete avec le poil.—e, pl. v6toment fait 
de ces peauz. 

Meıra. V. Mölroa. 

Meıno, s.m. (1. d’hist. nal.) merle : olseau 
noir, passereau crenirostre. (fjg.) Fin ınerle, 
homme fin, adroit. 

Meıroa, s. /. femelle du merle. “Merle, pois- 
son du genre du labre. 

HeLaoio „A, dd. de cquleyr de merlo(che- 
vael). 

Mrurıa. Y. Mollurig. 





790 MEM 


+ Merönso, s. m. (1. E’Mat. nat.) melarsus : 


quadrupede, volsin des ours. 


+ Memacr£aıas, s.f. pi. (1. d’ant.) Memat- 


teries : fötes de Jupiter furieux. 


+ Meusricıma, 5. f. (l. d’hist. nal.) mem- 


brace : hemiptere voisin des cicadelies. 


Mrupeina, s. f. (1.d’analt. ei de bot.) mem- 
brane : partie mince ei nervouse, servant d'’en- 


veloppe. 


} Meusraminoouw —icEo, A, adj. (1. debet.) 
(tige —e), aplatie comme une 


membranes : 
membrane. 

MEuBRANdsO, A 
parscı eo de la membrane, qui lui sppertient; 


(8. de Bot.) sans pulpe entre les membranes; 


de leur nature ; forınd de membranes. 


Me£unao, s. m. membre : partio extsrieure 
et mobile du corps, la t£le exeopide; (Ag.) 
chacun de ceux qui composent une comma- 
nautd, ete. Membre d’architecture : toutes les 


parties qui eomposent les principales pidces. 
— eviril ou genilal, membre ow membre viril, 


la vorge. — pfdre, membre pouwi, gäts, gan- 












‚adj. membraueux : qui 


vre. De —, de mimeide , per amer. Hau =, 
fsire menlion d’une chose os d’une pemenas, 
Trazer d —, rappeler a ia mimeire. Ter en, 
se rappeler. V. Lemdrar-se. 

MruorıiL, 8. m. livre, Lableites ad Fon scrü 
ce dont on veut se sauvenir. Meämerial, mad» 
moire, placet. 

MeworıiL, adj. 2 gen. mermeriel : gei 
garde la m4moire; gui rappello le ee 
De mömoires. 

+Mzuonılö,s. mu. ang. de Memeris.Grande, 
beureuse mdmoire. 

MEuoRıös0, A, adj. qui a la mimselre beuns, 
beureuse ; memorieux. 

Mauonisra, s. m. mtmerialiste : auisur de 
memeires. 

*Mzurpiasvon. Y. Mamposteire. 

+ Meturnıs, s. [. (t.ds geog.) Memphis : an 
cienne ville d’Egypte. 

y Maupairas, s. f. memphiie : piorre valnd- 
raire d’Egypteg espece d’enyx A ooushe sup 
rieure klanche, inforiesre nnire. 

MENPBITICO, A, adj. memphitiqus ı de Mage 


grene ‚qui fait deshonneur & sa compagnie, etc. | pbis. 


MeNiorozinno, dim. de Membro. 
MEunrRüno, A, adj. fort, robuste, membru, 
nerveur. 


+ Menecr’Lo, s. m. (8. de bot.) memecylon ı 
plante onagraire. — do Canadd, spigte vam- 


pante 
MENENDRO. V. Meimtndäre. 


MENR&NTO, 5... memento : priöres & la messe 
pour les vivants et les mortss r&pons pour les 


morts qui commence par 08 mot. 
Meuinuo. V. Meiminho. 
Meuirua, s. f. herbe mödicinale. 


+Mezunönıco, a, adj. memoralif, qui aide 


la memoire. 


+ MEunönıdas, 8. 9. pl. mermnonides ; el- 
soaux qui, selon la fable, allalent chaque an- 


nee d’Egypte & Troie, au tombeau de Memnon 
on les disalt nes de ses cendres. 

Msuori00,A,p.p. de Memorar. 

MEMORANDO. V. Hemoravel. 

Meuorän, v. a. faire montion, rapporior; 
rappeler a la memoire. 

Meuonativo, a, adj. memoratif: qui se son- 
vient. 

Meuonävsı, adj. 2 gen. mtmorable : digne 
de rester dans la m&moire ; remarquable. 

Mamörıa, 8. f. memoire : Isculi# que pes- 
shde l’ame de se souveuir, de Conserver ou Fe- 
veiller les idoes ; action, ellet de la memoire; 
souvenir ; röputation apres la mort; faculis de 
retenir les images, les pensdes. * Monument 
eleve en memoire de quelqu’un ow de quelgne 
evenement me&morable. Fondation pieuse en 
memoire. Alliance (bague). * M&molre : &crit, 
etat sommaire; e&crit pour faire ressouvenir, 
pour instruire. —s, pl.” memoiros : relations 
de faits parliculiers,, ccrits pour servir & !’his- 
tolre. Lettres de erdance; insiruotions donndes 
& un ambassadeur, eic. Tableties, souvenir. 
NV. .—de yallo, memoire de li6- 







* Mzuposrkıae, V. Mamposteire. 

+ Menapzs, s. f. pl. minsdes, hensbanies 
furlouses. 

MEniGEN ,s. f. * emprisonsement, delentien 
ches sei, dans une forteregss,, dane une ville, 
eto. it. v. H m. Torre de —, tour dass 
laquelie ie sommandant d’une (operpsse pnt- 
tait au seignaur le sarmoni de Badlile. 

Muncis, s. f. meniion, COMmMERLSTEtIOB, 
memoire. 

Maussouino, A,p. p. de 

munaonin, RL Yan Yı menlionnet ı lsire mem 
t 
+ Masnacmior , 8. f- habitude de mentir. 


Maupäcıe. V. Mentire, 
MuwDacissino, A, adj. sun. ipsigne menient 
Menpiz, adj. 2 gen. menteur, imposieur. 


Manvicintz, adj. ei 5.2 gen. mendiant ı gei 
mendie. 4, pl. Ordens, religides -, teli- 
gieux , ordres mendiants, qui virent de qutis. 

Manncia.V. Mendiger. 

Maup;cınäag, 3. f. mendiciis. 

+ Menpıcacäö ‚s. f. aciion de mendier. 

Maupıcis , v. 4. mendier, gueuses, deman- 
der l’aumöne, (fig.) Bechercher avec empresse 
ment ot bassesse. 

Munpıcasia, V, Mi: 

MEnDico, &, m. mendiant, guouz, gueussnt 
indigent, panıyre gui mendie. 

Menpicußz, s, f. Vaclion de mendier, mendi- 
cite. 

MEndıcumäne , 8. f, mendicit£. V. Pedinte- 


MENDennO. V. BHeiminko. 

* + Menpöso , A, adj. fautil, ddfeetueux, in- 
porrect. 

MENDRÄCULA ou 

MENnDRÄCORA. | V. Mandrägora. 


MENDRÜCO, 8. m. morceau de pein quien 


donne & un pauvse, 








MEN 


+ Maseuf, e. m. Grult da Broösil. 

Meneivo, A, p. p. de 

Meuzia 08 —NEIAR, dv, 4. remuer, agitut, 
mouvoir de cöle et d’autre. Traiter, conduire, 
diriger une afleire. V. Mangjar, — acebeps, 
hocher la t#te. -- o Jums,, lisonner. — 08 
rouler las yeux. — os ps, gambiller. — os dre- 
cos, beanler les hras. 

Mengin-e&, 0, Fr. 60 romuer, se häter, so 
presser. (fig.) Be dömener, se döbalire, s’a- 
siter, 

MenszÄvs;, adj. 2 gen. ais6 aA manier, manie- 
bie, [acile A geuverner. 

- MENENCORIA, etc. V. Melancolia, etc. 

Mantıo ou RO, 8. m. secouement, fretille- 
ment : branlement , mouvement du corps, d’un 
membre; allare, geste. (Ag.) "Industrie, ruse, 
artilice, menee pour reussir. Maniement; ad- 
ministretion ‚gestion. Commerce, (flg.) Proßt, 
gain. 

* Manzersn, V. Blinistdrio et Mister. 

“ MeEnzstenaL. V. Mesteiral. 

tMuntseas, 6. f." polage, soupe, ragolt 
d’berbes , de lögumes ; julienne. 

. MunzerneL, sm. mönestrel, peöte, musi- 
eiem ambulant. Mönstrier ; Joueur d’instruments 
de musique. 

* Manrestän, eic. V. Manifestar, oto. 

Munttaro 5. m. * confession saoramentale. 

" MEnGoA, 

* MENGOAR, lc. | V. Bing... 6ic. 

Manni. V. Hanks. 

Meni, s. m. drap grossier. 

+ Menıcatra, s. f. femme qui mäne une vie 
austöre, 

Manıcakros, 3. m. pl. certaits ermiles du 
Pegu. 

Menina,s. f. petite fille; demoiselle. Pille 
de qualii# atachde des l'enfance au service de 

a reine (en Espagne). — do oike, prunelie de 
'ail. Tyraser nas —ı dos olhos, aimer 
elqu’un & la folie, &treengoue de quelqu’un. 

Menıntıao, A, adj. enfantin : qui appartient 
& Venfance ; d’enfant, Qui aime les jeux d’en- 
fantıs. Ser — , jouer oomme un onfant, s’amu- 
sor de jeux d’enfanis. 

Mexnince, s. f. (1. d’anat.) möninge e DIEM- 
brane du cerreau. 

+ Menincitis, s. f. (l. de med.) meningite ı 
inflammation des meöninges. 

“ Meninuo. V. Menino. 

Muumice, s. f. enfance : l’äge de l’homme 
depuis la naissance jusqu’ä sept ans. Be dit de 
Yextröme vieillesse. —s, pl. enlantillages, pud- 
rilites. 

Manino, s. m. et adj. petit gargon, enlant. 
Menin : enfant de qualiis attache A la personne 
des jeunes (en Espagne) ; gentilhomme 
auprös da dauphin (on France). (Ag.) Enfant: 
gui manque d’ experienen; qui agit sans re- 
flexion , sans Jugement. V. Crianga. (fg.) Cu- 
pidon , l!’amour. — Jesus, "enfant Jesus. Desde 
— , des V’enlance. R cousa de — ‚ c'est unc en- 

fance. 


MEN 791 


Manisco,, s. m. (1. d’opt.) menisgue : verre 

conraze io d’un oßid et ooneave de l’autre. 
ENISTRE. 

Menıstakt. | V. Menestrdl. 

MENODiLHA ‚3. f. grande consoude, plane. 

MENOLÖCIO, 3. m. mönslage ı martyrologe eu 
calendrier de Veglise grecoque. 

f Manönm, s. f. "oiseau noir, semblable & 
l’öpervier, mais qui ne vit que de grein. 

Maxon, adj. 3 gem. comp. moindre, mineng, 
plus petit. Mineur : qui n’a pas alteint l’äge de 
majorits ; cadet. Mineure : seseonde propesillen 
d’un syliogisme. — idade , bas-äge, minorits, 

f Menönss, 8, m. pl. deseendanis, succes- 
seurs. Fröres mineurs : rellgieux de Salnı- 
Frangois. f. Ordres mineurs. Clerido de —, 
clero qui a les quatre erdres mineurs. 

+Menözca, s. f. (t. de gdog.) Minorque s 
P’une dos iles Baldareos, 

* Menor£ras, s. f. pl. religieuses de Sainta- 
Claire. 

Munonıpins, s, f. minorits. 6tat d’an mi- 
neur, sa durte; r&gne d’un rol suinenz ; lo petiß 
nombre relailf, 

MEnonisTa, 8. m. mineriste ı qui a los ardres 
mineurs, 

+ Mzuorita, adj, ei s. m. mineriie: frdre 
mineur de naint-Frangeis. 

1 Masuonirico, A, adj. des [röres mineurs. 

ENORQUEZ, A, 0% 

MENORgQeiND, A,adj. ots. | de Minorque. 

Mesonnuacia, s.f- (f. da mid.) menorrha- 
gie : perie de sang oben les femnmes, flux ex- 
cessif des rägles. 

Minos, adv, et adj, l’vppose de Mais. Moins, 
pas aussi , pas autant. Hormis ,exvepi# , meins. 
do —, pelo —, au moins, du meins, loul am 
meins; peur le moins. Goues de —, chose de 
peu de prix, vile, meprisable. Muite —, beau- 
toup moins, bien Moins. Nom mais nem +- , ni 
plusnı moins. Pouco mais 0% —, un peq plusen 
un peu meins, ü peu pros, environ. fire —, 
dechoir, empirer, aller de mal on pin A — de, 
que, a moins que. Ndo —, autant, ausel 
bien. Nade —,, rien meins. Powuco — de ‚appre- 
thant, environ, & peu prös. — eu, oxoopta mel. 
Acker —, ou de —, tsourer meins, Ackdr- 
= , manguer. 

Minos, s.m. moins, la meindre chöse. O = 
que se paga 6 tanlo, le moins que !’on peie est 
tant. Io6o—, ve la meindre chose. Mas 
seu malse — neste negoelo, Il y a du plus em 
du moins dans cette affaire, 

MENOSCABADO, A, P. p. de Mensscaber. 

+ MenoscasanOn, A, 3. celui qui döterlere, 
qui degrade. 

Menoscasir,, vd. @. döteriorer, degrader, di- 
minuer, ternir; döpriser, ravaler ; denigrer. 

Menoscino, s. m. dommage, deterioralion, 
diminution, detriment, Mepris, dedain, de- 
nigrement. * Atleinte, 

MENnOsPn£cOo, s. m. mepris, d6daln. 


MENOSPREZÄDO, A, 2. p. de Menosprezer. 


792 MEN 


MENOSPRABZADOR, A, 3. celui qui möprise: 
conteinpteur. 

MEnosPreEZÄR , %. a. deprecier, mepriser, 
depriser. 

MENOSPREZÄR-SE,D. r. se ravaler,s’humilier, 
sarilir. 

Menosratzo, V. Menosprego. 

Mansactına, s. f. messagere. A aurora —do 
dia, (puet.) Paurore avant-coureur du jour. 

Munsactıno, 3. m. messager : qui porte un 
message; qui vient annoncer quelque chose, 
surtout de la part d’autrui; signe avant-cou- 
reur. Il est aussi adjectif. Ex.: Carla —a, lelire 
missive, 

"Mensiorw, s. f. "message : charge, com- 
mission de dire quelque ehose; ce qu’on Jdit en 
Inessage. 

MensäL, adj. 2 gen. mensuel, mensuaice, 
de chuque mois. 

+ MENsALNENTE, ado. mensuellement, tous 
les mois. 

* Mensörı0, 8. m. linge, etc., de table. 

Me£nstaua, s. f. pension ou provision de vi- 
vres puur un moin. 

MeEnstrvVaGAö, 8. f. menstrualion : ecoule- 
ment du sang menstruel. 

Mrnstauipa ‚adj. f. quia ses regles (femme). 

MenstauäL, adj. 2 gen. ınenstruel : demen- 
strues. 

Menstavin-SE, vo. r. avoir 308 rögles, par- 
lanı d’une femme. 

MENSTRUO, :#. m. “menstrues : rögles des 
fernınes. (t. de chim.) ° Meonstrue : liqueur 
propre 4 dissoudre les solides. Dissolvant. 

Mi:nsuna, s. [. mesure. V. Medida. 

MENSsUxABILIDÄDR, 8. f. mensurabilile. 

Mensunän. (l. de mus.) V. Compassdde. 

Munsurän. V. Medir. 

MensoniveL, adj. 2 gen. mesurable : qui 
peut se mesurer. j 

*+ Mentipo,A, ?. p. de Menlar. adj. Re- 
nomm6, fameux,, celebre. 

Menticna,s. f. (1. de mdd.) ° mentagre : feu 
volnge; dartre au menton. 

MeEntäL, adj. 2 gen. mental : qui se fait en 
esprit (oraison —6); (restrietion —e), tacile, 
faite en soi-meöme. 

BENTALMENTE, adv. mentalement. 

*MENTAR, v. a. mentionner, faire mention, 
nommmer. V. Ementar. 

Mentästao. V. Menthrasio. 

aBiyte, e. f. " entondement. V. Entendi- 
munto, Engenho. " Esprit, sens d’une phrase. 
Sens,, pensee d’un aulear. Intention. Meinoire, 
souvenir. (p. us.) Ter em — ,avoır present ä 
esprit. De boa — , volontiers. De ma —, ä 
eontre-ceur. 


MENTECAUTO 0% —ATO, A, adj. insunse, cx- 


travagant, sot. 
* Mextıs, adr. tandis tue, durant. 
+ Mievirs,e.. f. pl. Parur —,ter —, faire 
attention, uvcır egard. Metter —, se rappeler. 
* MENTENOUE. V. Entrelanto. 
Mı.xnına, V. Hortelä. 


MER 


t Mentnistno ou (1. de 501.) * menthe 

+ MEntnRisto, s.m. | sauvapeuumenihas 
tre. — redondo , menthastre & feuilles rondes. 

Mentino, A, adj. faux, trompenur, illusoıre. 
V. Mentiroso. p.p. de 

MExTir, r. #. mentir : dire an mensenge: 
affrmer pour vrai ce qu’on sail &trefaux. Trom- 

per, en parlant d’une fausse esperance. if. V. 

Falhdr. v. a. Conireflaire. — descarddamene, 
mentir impudemment. Mente mais que da pelo 
‚ amor de Deos, (fam.) il ınent comme un arra- 
‘cheur de Jents. Ndo me deixard —, (id. ıl 
scra de mon avis. Quemcompra e menie sui 
bulsa 0 senle,( prov.) qui acheie et qui ınc:ıi ä 
sa bourse le sent. 
MEXTIR-SE, C. 7. se romper sol-m’me, se 
faire iliusion, s'abuser. 
Musıuna,s. f. “ mensonge: disconrs, pre- 
position, faits avances, contre la verite, peur 
ıtromper. Menterie; faussete. E—, cela n'enı 

pas vrai. . 

MuNtıRrinua, 6. f. din. de Mentira. Leger 
mensonge. 

MENTIRÖSAMENTE, ado. faussement, mMen- 
songcrement, en menlani contre la verite. 

NMEwrıRöso, A,adj. nenteur : qui ment, qui 
a l’habilude de menlir; mensonger, deeevant, 
faux , troıupeur; qui a l’apparence Irompeuse; 
qui troınpe, induit en erreur. 

Mentor, 5. m. ınenlor, guide, conseil; gou- 
verneur. 

Mi.ntnasto. V. Menihrasto. 

* MENTRE 0% —ES, adv. cependant, teandis 

ve. 
h MENUDENcıA. V. Minudencia,. 

} Menvästne Ti1F01.1LADA. (6. de bot.) V. 
Trevo dos Charcos. 

°ME£0.V. Meu et Meio. 

“ Mröco. V. Meio. 

+ Mron, s.m. (1. de bot.) * wiuse & feuilles 
capillaires, meum d’Alhomante. 

+ Meönıo, a, adj. eis. Mconien : de Me&onie. 

*Miöor. V. Menor. 

*"Mxos. V. Menos. 

MEoTEnRnÄNEo. V. Medilerraneo. 

MeEpnıTIıco, A, adj. wmephitique : qui a une 
odeur, une qualil& nıalfaisanie , meuririere 
(gaz, vapeur). 

MEPHITISMO, 8. m. mephilisme : qualite de 
ce qui est mephitique. 

+ Mernıtizinte, s. f. \t. d’hist. natl., mou- 
fette : mamınifere digitigrade. 

MEQUETREFE, 3. m. (fl. burl.) ardelion : 


Ihamme qui se mele de tout, qui fail ie bon 


valeı, Vermpresse: ınlrigant. Adroit , ruse. 
"Mretii,s. f. V. Adullerio. 
+Aına, a. f. huile empyreumatigue : aorie 
de tiqueur huileuse dent les bergers se serveut 
pour kuerir la rome. (ld. d’hist. nel.) Y\V. Porca. 
SIEGATIISTE, adv. purenient, simpiement, 
unseueiik, 


T NTaUSDANTE,, 8. 12. marchand. 
NEAR, 9.8. COImmICricT, trahquer en 
mar! eruises, 

















MER 

Mercivo, p. p. de Merrar. s. m. Marche, 
halle, etape : lieu public or l’on vend. * Foire. 
Prix Je ce qu’on achete. Bom —, bon marche. 

‘TencAnon, s. m. marchand : qui [ait proles- 
sion de vendre etd’scheter; quivendouachete. 
— alarado ou de alacado ou de subrado, mar- 
chand en gros. — de relälho ou de loja. war- 
chand detailleur. — que anda pe!as feiras, 
marchand forain. — de lirros ; librairc. Fazer 
ouridos de — , faire la sourde oreille. 

MEncaDöRA, 8. f. marchande. 

MescaDoria, s. f. marchandise : denree, 
chose dont on fait trafic; Irslic. V. Mercancia. 

MERCAnORINno,, dim. de Mercador. 

MeEnLAncBÄR. V. Mercadejar. 

MEncanciA,s. f." commerce, negoce, trafic. 

NERCÄNTE, s.m. V. Mercador. adj. V. Her- 
cantil. Nario —, navire, bäliment marchand. 

MERCANTEÄR. V. Mercadejar. 

MERCANTIiL, adj. 2 gen. marchand , commer- 
eial: qui concerne le commerce, mercanule. 
V. Mercanle. 

+ MERCANTILMENTE, adv. commercialement. 

MEercAR ,v.a. acheter. V. Cumprur. 

MEncATÜDO, 8. m. (Lt. buri.) qui achäte 
tout. 

+ Merciven, adj. 2 gen. qui peut s’acheter. 
(fig.) Venal. 

Mencazöta. V. Marquezofa. 

Merck, s. f. gräce, bienfait accord& par le 
roi. \ant.) "Salaire: prix du travail; appointe- 
ments. * Plaisir qu’on fait, service qu’on rend. 
Volonte, diseretion, bon plaisir. Merci. Quali- 
tication ou traitlement qu’on donne en Portu- 
„al aux personnes qui ne sont pas noblcs, vous 
en frangais. On l’emploie toujours A la troisieme 
versonne. *Ordre de la Alerci. Estdr d — , eire 
a la merci, a la discretion d’autrui. A’— das 
ondas, dos mares,cic., A la merci des flots, 
etc. Estar para [uzer —s, eire obligeant, dis- 
pos& ä rendre service. Padre das —s.V. Mer- 
cendrio. 

Menrcearia,s. f. marchanrise, denree. Mer- 
cerie. Loja de — , boutique ‚le ınercier. 

MBERCKÄIRO, A, 3. pensionnare de chapelle 
ow pensionne par teslaınent. V. Mercidiro. 

MERCEERIA ‚3, [. pension yu’on accorde avec 
des charges pieuses; wiaison OU resident Les 
pensionnaires. V. Merciciro, 

MeErcENARiA, V. Mercceria. | 

MELLCENARIO,A, adj. et s. mercenaire : qui 
travaille pour de l’argent. Religıwux Je l’ordre 
de lu Merci. Tropas —as, lruupes elrangeres 
dont on achedte le service. 

MeErcERiA, 8. f. Inerceries: menues mar- 
chandises qu’on vend en (d.lail. 

“ MERCHANDIA. V. Mercairia. 

“= NMERCHÄNTE. V. Murvu or. 


Me&ıxcıa,s. f. (ti. burl.) liaison s-cröte avec 


une ferume. Chose , allaırı en cachreite. 
Meauıaria. V. Mercearta. 
MerncIEIRO, 8. Mm. ueitwt: 
mercerie. 
MErcımönsa. V. Merennein, 


mörehand de 


MER 708 


MrncurliEs, s.m. pl.) (4. de bol.) " mereu- 

MincURtAL, 8. M. riale , foirotte „ vi- 
guol, vignelte : plante mödicinale. 

MEnCURTAL, adj. 2 gen. merguriel : qui con- 
tient du mercure. 

Menrcinıo, s. m. Mercure: dieu de l’clo- 
quence, du commerce; messager des Jdieux; 
plancte la plus proche du soleil; (Ag. burl.) en- 
treinelieur d’un mauvais commerce, de pros- 
litulion. —, vil argent. V. Azougue. — douce, 
mercure doux. 

} Mincızän,s.m.(£. arab.) les sulures du 
cräne. 

MEnpa,s. f. merde : excr&ment, maliere f&- 
cale de !’'homme, des chiens, des chals, etc. 

7 MEnopöso, A, adj. merdeux : souill& de 
merde. 

MERECEDÖR, A, 8. celui qui m£rite : digne, 
meritant. 

MERECEn, ©. a. meriler : ötre ow se ıcndre 
digne de. Oblenir pour quelqu’un, faire accor- 
der (p. us.). Valoir. Mertce bem o dinheiro, il 
vaut bien l’argent. Zste homem ndo merice 0 
pdo que come, cet homme ne vaut pas le pain 
qu’il mange. 

MERECIDAMENTE, adv. A bon droit, avec rai- 
son, ä juste titre. 

+ MErEciDo,A,p.p. de Merecer. s. m. ch& 
timent : punition merıitee. " Recompense. Dar 
— , pagar seu —, recompenser, punir. 

MERECIMENTO. V. Merito. 

MrreEJÄn. V. Marejdr. 

* MERENCcöRIO. V. Melancölico. 

MEnENDA, Ss. f. ° goüler ; repas entre le diner 
et le souper. Cerlaine redevance qu’on payait 
anciennement au seigneur d'une terre, d’un 
fiel, etc. (fam. burl.) Busse. Trazer — ds cosias, 
eire bossu. 

* MerenpÄL, 8. m. sorte de gros drapancien. 
Sorte d’ancien cens. V. Merendae. 

MERENDAR, v. a, el. goüter : manger entre 
le diner et le souper. 

MivEexpeina, s. [. V. Merendfird. 

MERENDEIRO, #8. m. pelit pain pour les en- 
fants. Celui qui a l’'habitude Je goüter. 

+ Merennöna, 5. f. aug. de Merenda. Goü- 
ter abondant, splendide. 

MererniciL. V. Meretricio. 

MERETRICR, 3. et adj. f. V. Merelriz, et Me- 
relricio. 

MERrETRICIO, A, adj. de courtisane. Qui a 
rapport aux femmes publiques. 

MeErertniz, s. f. femme publique, prosliluce, 
fille de joie, courtisane. 

+ Mencänso, s.m. (t. d’hist. nat.) harle : es- 
pece d’oie sauvage.——branco powpudo, "pirlie, 
ou petit harle huppe. 

MeacuLRäDO, A,p. p- de Mergulhar. 

MERGULHADOR ‚5. m. plongeur. 

Mercurniö, s. m. (b. d’hist. nal.) plongeon : 
oiseau aqualique. — de poupa e colleira ne- 
gras, grebe commun. — pequeno dos rios, 


| castagneux.—denigrido.do Norte, grand plonr 


706 MER 


dos mareı do Nerie, guiltemot. 


— da vide , (1. d’agr.) provin, marootte. 

MaacuLniR, 0. 8. plonger: enfoncer dans un 
Auide. —e vide, as cepas, provigner, faire des 
provins, coucher la vigne, 

Mencvuinin, v.n. —se,v. Tr. plonger : s’en- 
fonoer dans Peau,s’y baigner. (fig). Se plon- 
ger (dans), s’abandonner entierement 4. 

+ Mzucvıntıno, A, ad/. qui a coulume de 
plonger. Lunds —s do Norte, (1. d’hist. nat.) 
* macareux : Olspau, spece d’slque noirätre. 

Meacvimla, s.f. ° gnement , action de 


bon er; provin , rejeion d’un cep provigne. 

Pa eh vides , coucher la vigne, pro- 
vigner. 

Mencdıno, s. m. "immersion, action de 


plonger. Provin, 
Mani ,(t. d’anat. inus.). V. Bs6phago. 
Meniana. V. Meryada. 
+ Mexıoa, 8. f. (4. degeog.) Merida : ville 
d’Espagne. 

+ Menıniina, 8. [ meridienne : ligne drolte 
une du nord au sud dans le plan du meridien; 
qui margque le midi ; section du meridien. 

Meaiıäno, 5. m. meridjen : grand cercie de 
la sphere qui passe par le p6le. O primeiro—, 
le premier meridien; celui d’oü !’on commence 
& oompter les degr&s de longitude. 

Menısıäno, A, adj. möridien: qui regarde, 
qui concerne le midi. 

ManınıonäL, adj. 2 gen. meridional : du 
midi , du cöt& du midi. 

MenIıcänGA, s. f. plerro artificlelle , medici- 
nale, composde en secret par les Jesultes. 

+Mexim, s. m. (4. du Brest!) fruit de lafeur 
de la passion. 

Mexıtamtnte, ado. Abon drolt, & Juste titre, 
v. Merecidamenie. 


Menırissıno, 4, adj. sup. trös-digne, qui 
mörito & plusieurs Vitres. 

Mexıto, s.m. merite : verta, qualits, con- 
duite qui rendent digne d’estime, de conside- 
ration, de recompense os de punilion; ce 
qu’un ötre a d’estimable, de bon, d’utile. — de 
condigno , (tl. de th£ol.) merite des bonnes au- 
vres d’un homme en &tat de gräce. — de cön- 
gruo, (id.) merite des bonnes wuvres d’un 
homme en 6tat de pöche. 

Mänrro, a, edj. merlis. Qui merite; diene, 
meritant. 

Menıröntamänte , ade. möritsirement. 

Menıtönio, a, adj. meriteire : qui merite 
recompense; qui merite la r60ompense dier- 
nelle (@uvre —). 

Masıuiö, s.m. (t. de fort.) merlon, trdmeau: 
partie da parapst entire les embrasures. 

Merrim, s. f. (1. de mar.) merlin : menu oor- 
dage, ligne goudrennse, (Ag.) Magicion ; per- 
sonne astucieus®, TUS00. 

M&auo, V, Melro. 

Mero,A, adj. pur, sans me&lange; unique, 
simple. 

Mexö, s. m. quadrupede de !’Eihıopie orien- 

tale, & cornes, ressemblant & Päne. 


Juixzes , tribanal. — d’uma # 


Mesa, s. f. table & manger. Tabie : baresa 
aatour duquel se placent les Jages, etc. Table; 
bonne ow mauvalse chöre qu’on fall ä la table. 
Table de la communion, la sainte table. — ds 
d’administration d’une oonfrerie. — franes, 
table ouverte. — redonds, table ronde, — ire- 
versa, table au haut du röfecioire, oü se ple- 
cent le superieur, les oMdiers, eto. Pr a—, 
mettre le couxert. Dar—, donner ä DRAnger, 
traiter, tenir table ourerie. Per na — 0 janlar, 
etc., servir le diner, eio. Pör-se d—, se melise 
& table. Levaniar a —, desserrir. — gellge, 
table sans pain. /r da — para a cams , laire le 
saut d’Allemand. —s do carro, da impronss, 
oic., als d’un chariot, als de presse, ec. 
dum novio, (1. de mer.) portehaubans, 

Mzsipa. V. Mozdda, 

“Musi. V. Cdsa. 

t Mezsinıo, s. m. membre de comils d’admi 
nistration d’une confrerie. 

Mescasin. V. Menoscaber. 

*Muscin. V. Mesclär. 

Miscus, s. f. "melange, miztion. Variöts de 
eouleurs. 

MsscLi0n0, A, P. 9. de 

MezscLän, v. 6. mölanger des oouleurs ; mig- 
tionner. 

Mestna, s. [.(l.demaer.) misaine: volle entre 
lebeaupr& et la grande volle. Mastro de — , mät 
de misaine,. Cassar a — s beijer, border la mi- 
saine tout plat, 

MESENTERICO,, A, adj. möseniärique ı du m 
sentöre. 

Musentenio, 5. m. (4. d’anat.) mdsemiere : 
membrane, [raise le long des intestins, 

+ MEsEnTERIiTIs, s. f. (1, de mdd.) misentd- 
rite; inlemmation du meösentdre. 

Meserircas,s. f. pl.(l.d’anal.)mesaralgeuss. 
On le dit de oertaines veines. 

Mesinua , ete. V. Mexinhe, to. 

Maonaneure, adv. de möme, mömerment, 

Mesusipiae. V. Idensidade. 

Musuissıno, A, ad/. sup. de Mesıno. Absple- 
ment io möme ‚identique. 

Mesuo, A, pron. m&me : qui n'est polal 
autre, point different, en personne. Pareil, 
semblable. Identique. 4o — fampo, en meme 
temps, & la fols. ‚& Pögal de, aussi 
bien que. Agore — ‚Al nstant mörme, Por isso 
—, pela—a raxdö, par !ä, alnsl, pour cela 
m£eme;, par la me&me raison. Zile —, lal-ımöme. 
0 — Deos, Dicu lul-möme. Do — mode, de 
meme, tout de möme. Sempre 0 —, loujoars 
lo meme; toujours la metme chose; toujours 
de m&me. O — aconlece 6, OO. ilen est de 
meme de... Isso d o—, o’est la mäme chose; 
celarerientaumäme. 

Mesno,, adv. möme. Ainda — , quand meme, 


+ Mxsnipa, s. [. anoienne Gempegnie d’Rem> 
mes d’armes. 








4 Massnapzais, s. f. 1a solde da oapltaine 
d’une compagnie d’hommes d’armes. 

+ Masmantıno, s. m. eapiiaine d’une an- 
eisnne compagnie d’hommes d’armes. Coval- 
Isire — gentilhomme desesndent d’un capi- 
tsine. V. Mesnada. 

’+ Mxson ‚3. m. "heötellerie, auberge. 

+ Mxsoukıao, s.m „höte, aukergisie. 

Masoz£uckHa, s. f. " mesoneugma : aupboe de 
ssugıne ‚ gure de grammaire. 

* Mesquinpine, 8. f. V. Dosgraps. Pauvretö, 
misdre. 

Me&squinuino, A, 9. p, de Mesguinkar. 

Mesovinnuuture, ade. mesquinsment: d’une 
(agea mesquine, serdide. 

Mesounuin, ®. #. donner avec mesquinerie, 
lösinen. 


Masouınuania ou mesquinerle : &pargne 
Masovınußz, 8. f. sordide,; sine, ava- 
riae , tenscite. 


. MssauınıBane. V. Mesqwindade 

Mesquinno, A, adj. pauvre, Indigent. Mal- 
heursuz. Mesquin, ebiche, avare, Indigne. A 
ingraliddo d propris Puma alma —a, Fingra- 
titudo est le fait des potites Ames. 

Musaviva, 3. f. mesqude : termple des maho- 
metans. 

Mussiceu, bie. V. Mensagem, old. 

Messicaa. V. Bisagra. 

* MEssir, v. a. arracher los ehevoux aveo los 
mains. V. Arrepellar. 

Missz , s. f. moisson : bids et autres grains 
sur pied; rooolte, (Ag-) Quantitd d’Ames A con- 


V ’ 

+ Mussäna, s. f. (1. de gdog.) Messine, ville 
du P&lopondse. 

+Mxsstars, s. f. (1.de gdog.) Menstnie : con- 
irde du Pelopondse. 

+ Mezsstnıo, a, adj. et 8. de Messene, de 
Massenis. 

* Massen. V. Misser. 

Messıi20, s. m. qualitö, dignite de Messie. 

Mussiss, s. m. le Mossie, Jesus-Christ.. 

MesteiniL, 5. m. artisaa qui vit da travail 
de ses mains ; ouvrlier. 

* Msstgınöso. V. Nocessidado. 

Muster, s. m. mötier. V. Arte, Oflcio. Syn- 
dic. V. Mister. 

Masrsaöso. V. Necsssilädo. 

Mestico, a, adj. melis, engendre d’animaux 
diff6renis. 1. ) Fils d’un Europeen et d’uneln- 
dienne, d’un blanc et d’une mulätre, etc, 

Mssto, A ,adj. (podi.) wiste, aMige. 

Misıns ,s.f. maltresse: femme qui enseigne; 
institutrice. Femme du mattre. Tout ce qui in- 
struit, enseigne, Pamms Falmsire, Paspe- 
rience, ein, ll est aussi adj. f- Ex. ı Chovo —, 
passe-partout. Roda —, maltresso- roue. Pa- 


ae ‚. gros mur, (eeilhe --, cheville ou- 
vriere. 
f Mastaico, s. m. ang. de Mistre. 


Mserrino, 5. m. magisiöre ı dignitö de grand- 
maitro d’un ordre militaire, maltrise. Torri- 


toire appartenant au maltre d’en ordre de che- 
valerie. 

Mestringa , 8. f. (8. de mer.) voilerie : partie 
d’ao arsenal de marine oü est la fabrique des 
volles, ste. L’ensemble des ouvriers empioy6s 
dans un arsenal de marine: maistrance, Corps 
de mötier. 

* Mzstainro. V. Mentrasto 

„tMssrain, .n . degmatiser : faire ie mei- 


"uterez, 5. m. maltre : celal qui enseigne; 
professeur, pr&cepteur ; savant, habile dans un 
art, etc. Mattre &s-arts dans une universitö; 
dtre donne & divers gradu6s; membre d’un 
corps de mötiers. Grand-maltre dans un ordre 
de cavalerie. —, officier marinier qui com- 
mande la man@urre; matftre d’€qui Delle dans 
un vaisseau. Capitaine de navire. — 
maltre de ehapelle. — de campo, este pr 
camp, eolonel. — de ceremonias, maitre de c&- 
r&monies. — de espirito, conlesseur, directeur. 
— d’esgrima, maltre d’armes. — de meninos 
d'escola, de primeiras leltras, maltre d’öcole. 
— de costnha, premier caisinier de la maison 
royale. — @’odras , charpentier architecte. — de 
ndo, de navio. V. Piloto. — de novicos,, pöre- 
matire. — do sacro palaclo, matire du sacre pa- 
lais, & Rome. — em segundo, sous-maltre. 
— eschla, &eolätre: dignite dans un chapitre. 
— sala, grand maltre de cer&monies de la mai- 
son da roi, maitre-d’hötel. Receher de — em 
algum ofeio, passor maltre. — examinado, 
passe maltre. ‘0 us fax —, ou usa, serds —, 
(prov.) en forgeant on devient forgeron. 

+ Mesree, A, adj. malire, maltresse : pre- 
niet, or, prneipal. (fig.) Dresss, parlant des 


eernein. v. a. enselgner los enfants. v.#. 
V. Mestrdr 

Mestae-zscöLA. V. au mot Mesire. 

+ Mestaz-zscoLino ‚s. m. deolätric : profeg- 
sion, dignits de V’&colätre. 

Mestae-säLa. V. au mot Mesire, 

Mestaia, s. f. savolr consommö, habilete. 

MestrinBo, dim. de Mesire. 

Mestöra, ete. V. Mistura. 

u MESTOURCO. V. Mastrugo. 

* Mesua. 

 Mestana. | V: Mesmada ou Mesada, 

Mesüra, s. f, reverence , salut. (inus.) Mo- 
destie, gravlie, bienseance. Politesse. 

MEsurRÄnAMENTE , adv. modestement, pos6- 
ment , sagement. 

Mesunino, A, adj. mesur&, grave, modeste, 


de 

Mesunin, v. a. dimtnuer, moderer. Donner 
une contenance grave, un air modeste. 

MeEsurär-se (em), v. r. se modedror; avoir 
de la relenue ; mesurer ses actions ou ses pro- 
pos, agir, parler avec gravite et circonspeg- 
tion. 

Mesur£ino, A, adj. qui est d’une politesse 
affectee ei importune; flatteur, faiseur de cour- 
beiles. 





a 


798 MET 


Mssurinna, dim. de Mesura. 

ME£ra, s. f. * borne, liınite; fin, lerme, ex- 
wimile; but. (f. d’areh.). V. Metöpa. 

METACcAnPO , 8. m. (Id. d’enal.) melacarpe : 
douxidue partie de la maiu, enire le poignet 
et los doigis. 

METACISMO, 3. m. ınelacisme : defaut dans 
la prononcialion de I’M. 

Martins, 3. f. moilie, demi, mi. ° Milieu. 
(fig.) Moiti6, femme & !’egard du mari. 

Mertarisica , atc. 

METAFORA, elc. V. Metaph... ete. 

METAGÜCE, s. f. ügure de rhetoriquc par la- 
quelle on atlribue du sentiment aux eires qui 
en sont privds. 

Metal, s. m. metal : corps mineral, ductile, 


Dexible, malleable, fusible au feu et fixe. *Cou- | 


leur , au jeu de cartes. ($. de bias.) Laiton : me 
tal, l’or ou l'argent. (fg.) * Qualile, espece. — 
da vos, liınbre, son de la voix. — amarello, 
laiton. 

MetTaLErSE, 8. f. metalepse : figure de rhe- 
toriyue par laquelle on prend l’antecedent 
pour le consequent, et reciproguemen!. 

METÄLLICO, A,adj. metallique : qui concerne 
le ıneial, de sa nalure. 

I MixTALLIFERO, A, adj. metallifere: qui pro- 
duit, contient des ınelaux. 

MstALLizagaö, s. f. metallisation : forma- 
tion des ınelaux;; aclion de melalliser. 

MeraLlizin, v. a. welalliser : donner la 
forıno mötallique. 

+ MeraLLockapuia, 8. f. metallographie : 
seiencc, connaissauce,, Lraite des melaux. 

+ MErALLÖCRAPRO, 5. m. metallographe: qui 
&iludie la melallographie. 

f MeraLLocnäPHıco, A , adj. metallographi- 
quo ı do la metallographie. 

"MeraLLungia, s. [. melallurgie : art de tirer 
les me6laux des mines, de les Lravailler. Melal- 
lique. V. Metallographia. 

RTALLÜRCICO, A , adj. metallurgique : de la 
mötallurgie. 

MataLLuncista, 3. m. metallurgiste : qui 
s’occupe de ınötallurgie. 

METAMORPHOSE, 3, [. wölamorphose : Irans- 
formation. 

METAMURPUOSRÄR, ©. a. meltamorphoser : 
changer d’une forıne en une autre. ll est aussi 
Feciprogue. 

METAMUNPHÖSEOS, 8. m. V. Metamorphose. 

Maıäruora,s. f. metaphore : figure de rhe- 
torigue qui est fondee sur une conıparaison, 
ei change le sens naturel des ınols en un aulre 
sens. 

METATUÖNICAMENTE, 
mei, par nielaphore. 

Meıaruoiıco. A, adj. metaphorique. 

Mxıarsonızan, v.a ein. einployer des me- 
tsphvses. 

MrıarnrÄse, 5. f. möluphrase : traduction 
litterale. 

Mi;rapunÄstes, 5. m. mmelaphraste : qui tra- 
duit litteraleinent, 


adv. melaphorique- 


MET 


MeTAaPnYsıch, s. f. nelaphysigae : scienre 
des idces universelles, des princıpes de nos 
connaissances, des &ires spıritaels, immate- 
riels, des idees, des dtres abstraits; Ideologie. 

METAPUT'sıcANENTE, ade. mmelsphysique- 
ment : d’une maniere metaphysique. 

METAPRTSICHR, ©. a. et Rn. metsphysiquer: 
traiter um sujet meäaphysiquoment , parlet 
d’une ımanidre abstraite. 

METAPRY'sıcOo, A, adj. mölaphysigue : del 
meötsphysique, abstrail, sabul. 

MsTAPnY’sico, 3. m. melaphysicien : qui die 
die, qui sait la melaphysique. 

METAPLASEO, 5. m. mötaplasıne : MOM COl- 
mun de toutes les figures qui consisient dass 
une alteralion usilee au materiel d’un mel, 
par addition, soustraction ou alteration de 
lettres, de syllabes, comme la metathese, ei. 

M&TaPLöse. V. (1. de wdd.) nneiasiase: 

METASTÄSE 0% changement d’zne m 

. Merastäsıs,s.f. / ledie en une autıe; di- 
placemeat d’une meladie. 

Merastirtico, &, adj. (f. de mdd.) mnötastati- 
que : (crise —), imparfaite, de melastsse, 

METATÄRSO, 3. m. il. d’anal.) madtalarse : 
partie du pied entre le geu-de-pied et les ar- 
teils. 

METÄTHESE, 5. f. metalhöse : Lranspositien 
d’une lettre. 

Meranico. V. Mettedigo. 

METENPSY’COSE, 8. f. melempsycose : passage 
de l’Ame d’un corps mort dans un autre vivanl. 

METEÖRICO, A, adj. ineldorique : des meteo- 
res. Flores —as , (1. de bot.) leurs metsoriguer, 
dont l’6panouissement depend de Fütst de 
l’almosphere. 

METEORISMO, 8. me. (6. de mdd.) mettorisme: 
ölevalion contre nature du bas-vanire, dans les 
Bövres malignes, eic.. 

METEORIZADO, A ‚adj. (8. de med.) metdesise: 
(ventre —), lendu,, gonfle. p. p. de 

METKORIZÄR, ©. a. (4. de chim.) sublimer. 

METEORO, 5. m. wmdieore : phänemene quı 
se forıne ei apparait dans l’air. 

METEuRULITRB, 8. f. meieoreliibe : pierre 
tonıbee du ciel. . 

METEOROLOCIA, 8. f. mölsorologie : science, 
trait& des meleores. 

METEOROLÖGICO, A, adj. melkorologigque: 
qui concerne les meleores. 

+ Metzonomancia, s. [. möltoromancie: dr 
vination par les meteores. 

METEOROSCörIO, 5. m. metldoroscope ; insiru- 
ment d’astronomie, pour observer les aslıes; 
instrument pour les obserrations meteorelogt- 
ques, auirolabe. 

Martin, etc. V. Melter, eto. 

Mernöbıcauente,, adv. methodiquemen!. 
avsc ıneihode. 

Mertnöpıco, A, adf. möthodigee : qui a de ia 
methode; qui est fait avec methode. 

+ MsTRopiswo, 8. m. “seote des möthodistes. 

+ Mertnovista, s. m. medihodiste : soclane 
anglais, sorte de chreslen prirsitil. 











MET 


+ Matmonızin, o. 0. (p. us.) reduire en me- 


ibode, ordonner d’apres une methode. 

Mixrnono, s. m. " methode : maniere de dire 
ou de faire d’apr&s un cerlain ordre, certains 
principes, un certain systöme. 

+ Metuv’unzo, A, adj. de Methymne, ville 
de Grece. 

MsrticäiL, s. m. (}. d’Asie) metical, mödegal 
os metigal : poids pour les peries, l’ambre, 
eic.; une dragme et demie, 

MeTicuLöso, A, adj. (imus.) crainuif, timide, 
meticuleux. V. Medroso. 

Mkriu, 3. m. sorte d’etoffe de coton croisee. 

+ Merononisı, 3. f. mötonomasie : traduc- 
tion d’un mot. 

Merontr'uia, s. f. metonymie : ügure de rh&- 
torique, qui prend la cause pour Feffet,, le su- 
jet pour Yattribut, le contenant pour le con- 
tenu, la parlie pour le tout, et regiproque- 
ment. 

Meronvr’uıco, A, adj. metonymigue : qui 
“ eontient une metonymie. 

MerTöra,s. f. ($. darch.) ımetope : intervalle 
carr6 entre les triglyphes doriques. 

+ Merorowancia, 5. f. metopomaneie : di- 
vination par la face. 

METoProscöPIA, 8. f. m&toposoopie : divina- 
tion par les traits du visage, de ce qui doit ar- 
river ä la personne. j 

OPÖSCOPO, 8. m. meloposcope : qui de- 
vine, par les traits du visage, du [ront, le ca- 
nactere , le temperament, les maurs. 

Meralıma ‚s. f. mitraille:vieox clous, vieux 
fers, et aujourd’hui balles de feromsbiscalens 
dont on charge le canon. 

+ Merauunirn, v. a. mitrailler: tirer le canon 
charge & mitraille; tirer & mitraille. 

+ Mernıcautnte, ade. selon les regles de la 
versificalion. 

M&£rTxico, A, adj. mötrique : qui ooncerne la 
mesure. Qui concerne les vers ou la pd6sie. 
Systtma—, sysiöme metrique, qui consiste ä 
employer le meötre comme anite de mesure. 

+ Msrairicaciö, 3. f. versificalion. 

Marxırıcino, A, p. p. de Mefrificar. 

METRIFICADOR, A, 3. versiflcateur, faiseur 
de vers. 

TRIFICR,, ©. a. versifler, faire des vers; 
cofloser en vers. 

Mirno, s.m. (1..de pods.) mötre, vers; pied 
de vers; mesure @u vers, ce qui la caractierise. 
— , nouvelle mesure de Jongueur, base de tout 
le systöme metrique; Jix-millionieme partie 
du quart du möridien terrestre ; 36 pouces 11 li- 
gnes 296 milliömes de ligne. 

Mernomania, s. f. metromanle : fureur de 
faire des vers. 

+ Mernöuano, 8. m. metromaye :: qui a la 
manie de faire des vers. 

+ Mernöngteo, 5. m. möLrometre : machine 
pour rögler la mesare d’un air. 

Merxröroti, s. f. mötropole : ville principale, 
capitale; öglise archiepiscopale; «tat relatıye- 
ment & ses colonies. (fig.) "Princine. orsune. 


zes 


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MET “97 


MerTRoroLisa, 3. m. mötropolitain, arche- 
vöque. 

METaOPOLITÄNO, A, adj. mötropolitaın , ar- 
chiepiscopal. s. m. —, archev&que. 

METTEDICO, A , adj. V. Entremettido. 

METTER (em), v. a. meltre, iniroduire, en- 
fermer dans; poser, placer. Occasionner, ecau- 
ser, inspirer. — , engager dans unc entreprise, 
porter ä; jeterune triomphe, un ınalador au 
jeu de !’hombre. Mettre de Pargent au Jeu. 
Presser, serrer, metire beaucoup de choses 
dans un pelitespace. — deniro, faire enirer ou 
rentrer. — debaixo do chäo. V. Enierrar. — 
com forga, faire entrer A force. — a saceo.V. 

.— mdo d espdda, ınettre la maın & 
l’epee, ou l’e&pse & la main. — mdos d obra. V. 
Mao. — no corapdö, (fig. fam.) aimer tendrer 
ment. — na cabera, metire dans la t£te, dans 
l’esprit; persuader. — a espdda ald os c6pos, 
enfoncer l’epee jusqu’ä la garde. (fg.) Pressor 
par ses argumenis, convaincre, forcer & se 
rendre. —a caminko, (fig.) remettre dans le 
bon chemin. — de posse , meltre en possession. 
— dente , goüter une chose; (fig.) comprendre. 
— uresto, (fig.) jouer de son reste, faire les 
derniers efforts. — os rdes na moula e ficar de 
[öra, metire les chiens dans le breuil et rester 
en dehors .'fig.) Melire les autres dans l’em- 
barras, dans des enireprises hasardees, et 
ne pas y prendre part. Ndo me mello emnade, 
je ne me melg derien, je ne m’en me&le pofnt. 
— de puppa, (t.de mar.) carguer de Varriereo. 
- aamarra deniro, (id.) virer sur l’ancre. — 
a amarra den!ro com o cabestanle, (id.) virer 
lo cäble avec lo cabestan. —denftro um navio, 
entrer un vaisseau, piloler un vaisseau dans 
un port. — as velas nos primeiros rinzes, 
prendre un ris. 

METTER-SE (a, com, de,em, por), vd. r. Se 
meitre. S’entremetire, se meler, s’inimisoer 
S’introduire, s’insinuer. S’embourber. Se plon 
ger dans le vice, etc. S’emboucher, se jeler 
dans, parlant d’une riviere. Se jeter dans la 
melde lea armes & la main. — a sabio, a md- 
dico , etc., faire je savant, le medeoin, etc. — 
ao mar, 86 melire en mer. —a escrever, a 
compör, eic., 86 meltre A dcrire, & COMposcT. 
— com el , lier commerce avoc quelqu’un 
ou se brouiller, chercher noise, disputer. — de 
posse, prendre possession. — de görra com 
alguem, se faufller aveo quelqu'un, s’Inire- 
duire, s’insinuer dens la familiarit6 de quel- 
qu’un.— em camisa d’onze varas, em debuaus, 
nas encospas. V. ces mals. — ne meio ou de 

jo. V. Meio. — em si mesmo, (fig.) pen 

ser, mediter & part soi. — om algum f 

se ıneler d’une aflaire, s’y ingerer, s'immiscer 
dans une affaire. — nas vidas alheias, öpier la 
conduite, s’imformer des aclions d’autrus. — 
no atol#iro, (fig.) s’embourber, s’engager dans 
une mauvaise allaire. — por dexiro, enirer 
dedans. — pelo mar dentro, enirer bien avant 
dans la mer. — pela frula, mauger beaucdup 
Ja fruit. — /rade, se laire moine, ’allubler 








708 MEX | MIC 


@un froc. — freira, sa faire religieuse, se tMexvin, o.m. (t-areb.)“ lace d’andienet, 

guimper.— onde o näo chamäo, se nic de er ponr los Fe Fk edge ei. 

Ce qui ne nous regarde pas. Ndo sober _ xußıra, s. f. eap6ch ’ambre 

ne Kavoir oü se (urrer. sit. Mis. £ " Fuaranian. V. Metade 
Mertipvo, a, p. p. de Meiler. adj. Mis. En- EYAR, ic. 

elave. Estar lo em alguma cousa, 6ire] Mexas, etc. | V. Bein. eie. 

fort interesse ä une chose. — no somno, eur| Miäz,s. m. mois: donzieme päflie de Paunte; 

dormi. — por deniro, (inus.) hbumili, abaltu. | espace de trente jours ou A peu pris; regles 
*"Mertupo. V. Mettido. @une fetnme. — de coriexig, lo möls de jan- 
+ Merusnno, a, ad. (pP. we.) redoutable,| vier. Para 0 — que vem, pour le mois pro 

e 


kerrible. chain. 

Mzu, Minna, prom. poss. mon, mien; ma,| Miza. V. Mösa. 
mienne. O—, le wien: ce quiest ä moi. Zssol Mazina,s, /." mais: gage , salaire d'un mei, 
4—, cela est Ä moi. Oa —s, les miens, mes pa- | Pension mensuelle. 
rents, mes concitoyens. 

Meöno, eto. V. Miudo, etc. 

Meuxxoör, s. m. "spatule, cullier ä pot. #. 
Personne qui mel, qui melange. (Ag.) Re- 
muant, intrigant, brouillon , agitateur. 

Öna, 6. f. * semuemeni, mölange, 
siztion. 

Mxxzıuid. V. Mexilhds. 

Msxznorina. V. Mezerufdda. 

Mixta,v.a. meöler, melanger, mixtionner. 
RBemuer, deplacer; toucher. (Ag.) Brouiller, 











Mazzena. V. Mesena. 

+ Mxı£nno, s. m. (6. de ol.) — maior, mi- 
ısrdum, mezercon, laursole femelle: plante. 
_ ‚"laureale commune, laureale mäke. 

Mezinua,s. f."medicament, medecine."L4- 
vement, ciystöre. (g-)" Remedde. 

Mezınuän, v. a. medicamenter, drogaer. 
I —se, v. r. prendre des semedes, des lare- 
menis. 

Mezınu£ıra, 3. f. bonne feınme qui se mök 
de donner des drogues. 


tkoubler. Peior d mezer-Ihe, plus on remue| Mezınnkıno, s. m. oelul qui fait le medecia, 
Vordure, plus elle pue. On le dit de certaines | fsuz medesin , medicasire. 
ohoses qu’il ne faut pas approfondir. * Mna. V. Minha, 
Mexia-sc, $. r. s6 remuer; s’agiter; so m6-| *°Mauxv. V. Meu. 
er, se brouiller. Ndo se mexör, ne pas bouger.| * Muia. V. Male. 


Mexunicipa, s. f. V. Mexericos. 
»6R. V. Mexeriquefiro. 
Mzxeaıcia , 9. 6. tapporier, decouvrir, ma- 
nilester les ohoses cachtes. v. m. Bavarder, te- 
niz des propos ; faire dos cancans sur le compie 
de quelgu’un. . 
Maxznicos, s. w. pl. rapporis, bavardages, 
propos indiscrets sur le compte d’autrui, can- 
sans. Ander com —, semer la discorde ‚ brouil- 
ler par de faux rapports. 
Mexznıgusıaı, s. f. sapporteuse, etc. ( Ag.) 

* Bätimenpt Iöger qui va A la decauverie. 
MaxEa1QuRıa0 , A ,&. COnlEuT, Bapporteur, iN- 
discret, bavard, qui lient des propos ; intrigant, 


Mi, 2.m. mi: kroissäme note de ka gamıme. il. 
V. Mim. 

Mine, s. m. misulement ı ori du chal. 

MıaLuhe , 8. m. (1. de mer.) “ lignerolle: p- 
tite ficelle de vieux Sl de earet. Biland : mes 
cerde & deux fis; fil retors en deux brins. 

MısLutıno. V. Mesikeiro. 

+ Meanina, 3. f. "misulement de plasieu! 
chats ensemble. 

Mıko,s. m. mian : ol du ebat. 

Miin, v. n. miauler : se dil du elta qeict®. 

Mıismas, s. m. pl. mianmes : denanalntl 
meorbiäques, ; Buide asrilmme, 
suffocant. 


brouillon , tracassier. Ceravella —a , (adj) b4- Misa,u. id mameilagp 9% 

Eee 2 PORN 

Mesigue. Zu de lan s. f. miche, petit padm 

„A Manıco, cm (4.de 960g.) Maxique , Neu- asia, 5. f. prositmös, gaseo, en 
t Menina, f. confusien, embrenillemens; Mhontros, s. m. pl. (R de man.) "gerade 
Mzxino, A, p: p. de Mexer. ecke. 


Mexinos, 3. m. pi. (4. buri.) sanuramenis is- 
disenis du corps dans ceriainen demses, ind} Micınmmi,s. m. herbe aven faquelle 4 ET 
les Cafres pour n’ötre pas mordus des calmaB 
quand ila rentren: dana leg ririöres. 

Mico, s. m. peilt singe; anpäce de singe d 
longue queue. 

Micnoc#rRALo, &, adj. uignosepknle: gilt 
une polite IMs. 

MaCR.0008MO , 8. me. INJBBSOGSERS ; POLihIM0BAP: 
Onlediv »Shemme, ‘ 


Mzxunid, s. m. (6. d’hisk.: nel.) * menlas: 
esquillage, mollusque acdphale, ben A manger. 
Ag.) Intrigant,, enirometisur. 

Tr ,s. m. "ehevillette d'une ehszrue. 

Maxonisa, s. f. "mouvement isrögulier de 

on diswedse; n0lF” 


e 








MIL 
„ea Microcnarzia, .f d 
ar . mienographi : esoti- 


hcaömerno. sm. miorsmdire s instrument 
pour mesuren les dismeires des asises, la 
distance des ötolles groupees. 

Micnoscöpico , a, adj. s du 
mierosespe ; qu’om ne voit qu’aveo le muieros- 
eope («bjet); gai neveitqu'aves lo micrescope 

on qui mierossope (Yail). 

Micaescörio, 3. m. (1. dopt.) miereseope: 
instrument qui grossit exintunement los objeis. 

“Mina, oto. V. Medir, ete. 

Mıcino, A, p. p. de Bigar. 

Michiza, 2 f. miete: partie de pein mise. 
Petite perlion, paroelle. Petite partie d’une 
chose immateriolle. Rien ou presque rien. —t, 
pi.“ rostes qu’on Ste de dessus la table. Bestes 
de quelgqu’un dent un autse proflie. Roparer 
on —, V'attacher & des minnties. 

MıcaLntıro, s. m. homme minetieuz, vöil- 
leur, qui s’sttache & des minulies, 

Mıcauninna , din. de Migalhe. 

Mıckn, 9. se. ömier, 6emielter » zoduire em 
mieties. 

Micas, 4 f. pl. "ragente fait avoo dela mie 
de pain, de l’huile, du saindoux, de Yail, du 
piment, eto. Soupe ı au pain, panade. 

Mwsnass. V. Emergoncias. 

Micmiatöna. V. Ministura, 

+ Micnöne, s. m. " mignonne ı oaraslöre d’im- 

erie. 

Mico (variatllon de Mim). Com — , avoe moi. 

Misa, s. f. * pissement. Faser —, faire pipi, 
pisser. Pedir —, demander & pisser, & falre 
pipi, parlant d’un enfant. 

Mnsipa. V. Mija ei Mijadure, 

Misantıno, 3. m. pissoir » lieu destine pour 
piseer. V. Ourinol. 

MesaptLea, ( 2er J ı quaatißs d’arine qu’on 

Muapüra,s. \ rend en une feis, * Pis- 
sement : action gi Pisser. 

Muid, Onı,s. pisseur, —se, qui pi056 Seu- 
vent. Pissenlit : enlant qui pisse au lit. 

Miskn ‚0.0. Pisser, uriner. — ds pinguwiakes, 


" Musin-en, vr. \üeber Y’urine. — cam ou de 
mode, ( fan.) areit grand’peur. 
* + Muavınkonz, d. m. 
et sale quo la mer jette dans son rellaz. 
Miso, s. m. pissat, urine. 
BR, 9. #. pissoter. 
Mueors. V. Medröso, Timido. 
MıL, adj. 2 gen. mille : dix fois cent; nowabre 
indetenmine ei gsand. Mil, pour la date. 
Mırions,s. m. mirasie. Prodige : ohose ex- 
©, merveilleuse, rare. Pöde sor som 
ser —, cela so peut sans miracle. 
MıLseatino,A,s. qui crolt fasilement aux 
mitracles,, qui leur attsibus les Srönements les 
pius naturels. 
Mıracainuo,, dim. de Müsgre. 
MuLacaösauäute, ade. mirsculousemsent : 
par miracle. 


Miunanbet, A, dl: neniren Bee 


* matiöre Öpongeuse 


MIL 799 
zaste, qui liemt du miracie; admirable , mer 
veillenx. Qui fait des miraeles. 

f MıLantz, a,adj. ets. Milensis : de Milen, 
s. m. Le Milanez ou Milanais, provinse des 
Etats-Sardes. 

+ Mırantza, s. f- sorte de tiseu de Mila. 

" MaLiS, s. m. (4 de dog.) Milan: eapitale de 


royaumo ) Lombard-Venitien. 

Mu-ru-niua. V. Milfolhe. 

Museo, A, adj. et s. de Milet: ville de 
Gröce. 

Mrıstrua,s.f. ) (4. de bot.\mmille-Sewille : 

0,3 0. ) herbe A la cosupure, at 

charpentier. 

MıLvunipa, 8 f. (8. de bob.) milleper- 

MıLrenipe,s.m. \ tuis, hesbe de Balnt- 


Jean. 
Mina, s. f. mille: mesure itinsraive, mille 
6 


pao gdome6triques. 

MıLnk ew—ia, s. f. {t. de bot.) “ panis rude ı 
plante graminde. — vorde, panie vert. 

Mıunium. V. Milka! 

* Mnuäiss, pl. de Milker. V. ce mol. 

Mırnärae. V. Milkano. 

Mızmanßıao, A, ad). qui chasse au mllsn 
(faucon). 

Mirnino, 5. m. milan : olseau de proie. 

MıLziö , s. m. million : dix fois cent mille, 
mille fois mille, 66. Mais. Homem de wilhöss, 
millionnaire. 

Mırnir , 8. m. milleow million. -- de miähde, 
millierd. 

air, „ef N champ seme de mals. 

Mırniras, 8. f. ph la graine de la Sgue; 
anuls de poissen. 

+ Mıunzärss, aß. f. pl. (giandulas —,i. da 
bot.) milliaires : innombrables (graines—). 

Mırntıra, s. f. mauvaiso herbe qui viams 
parmt le mais. V. AHA. 

MiıLu£ına ou — RIKHA, 3. f. pelit olgeau qui 
fait son nid dans les champs de millet, bemari. 

Mırntıno, s. m. millier : nomkre de miüle. #4. 
V. Milko maiz. 

MıLumnö, s. a.” vanidte de raisim. 

MıLutre, s. m. ($. de bot.) Petit millet. 
Bo, 3.0. (1. de dot.) Mil, millei : plante 
aminde; sa graine. —maiz, —_ zaburre, 
Tarquie, R mais, bie de Turquie, 
bl6 d’Espagne. — cosouseire, hauque & 6pi, 
couseow, millet & obandelles. — wiido WA- 
fries, oa— sorgo, houque sorgo. — mourisco, 
houque d’Alep. — da Iadis, pain des anges, 

millet d’Inde. — paingo, panis ow naniz, 66- 

pece de millet. — do sol. V. Aljofertire. 

“ Mıınöm. V. Milho wide. 

MiLnöuzns ‚ s. m. aristoloche Agrandes flours. 
Sa racine au "Brösil est regardde comme auli- 
dote du poison des serpents. 

Miunen , ete. V. Meihör,, eis. 

Mitar, adj. 2 gen. miliaire ı qui ressunble 
a des grains de müllet. 

Mınicıa, s. f. npliee : art, exorcide de ig 
guerte; soldatesque; gens de vous. — gelernte, 


- - 








800 MIM 


MIN 


milice o8leste, chaurs des anges. — urbane, | Mımin.V. Amimaer. 


garde bourgeoise. — s. pl. ınilices : troupes 
composees de bourgcois et de paysuns. 

MıLiıcäno, A, adj. qui appartientä la milice. 
Soldado — , milicien,, soldat de milice. 

MıstcıAaR , adj. 2 gen. V. Miliciano. 

Miuitäno, A, adj. exerch Ala guerre. P. PP. 
de Militar. 

MiLiTÄnTE, adj. 2 gen. milifant : qui combat. 
lgreja — , *glise militante , assemblee des üde- 
les sur la terre. s. m. Soldat, combattant. 

Miuitin, adj. 2 gen. militaire : de la guerre, 
du soldat; qui fait professian des armes. Or- 
dens —es , ordres de chevalerie. 

Miurän, 0.9. servir dla guerre, suivre la 
profession des armes, porter les armes. : fg.) 
Militer. On le dit des raisons qui prouven! pour 
ou contre. 

+ MıLıtarä6, s. m. soudard : vieux soldal. 

MiLIFARMENTE. adv. militairement. 

+" MiLıte, s. m. soldat. V. Soldado. 

+MitLeröLio, s. m. (f. de bot.). V. Milfölha. 

MıLLENARıO, 5. m. milleuaire : mille ans, 
dix siecles. 

MiLLenäaıo,a ‚adj. millenairc: qui contlient 
mille unites. —s, 3. m. pl. millenaires : sec- 
taires qui pensaient que la terre serait, aprcs 
le jugement dernier, un paradis pour les elus, 
pendant mille ans , sous ie r&gne du Christ. 

MiLL&nıo, #. m. millönium : mille ans du 
regne du Christ, selon les millenaires. 

MıLLEPEDES ,s.m. cloporte, mille-pieds. 

+ MıLıeroRa, 3. f. mill&pore : produclion 
porcuse des polypes, eu buisson, en arbre, en 
&toile. — multiforme, millepore solide. — fo- 
Ihada , millepore feuille. — celulada ou relicu- 
lada, manchette de Neptune. 

MıLL&sımo, A, ady. et s. millieme : nonubre 
qui complete mille; l’une des mille parties. 

MiLLXsımo, s. m. millesime : date d'une me- 
Öailie , etc. 

tuıı, (en comp.) mille, millidme. 

MırLiän, adj. 2 gen. milliaire : qui marque 
les mille. 

MiLLicRÄNMO, 3. m. milligramme : milliäme 
partie du gramnıe. 

MıLLINETRO, 5. m. millimetre: millieme par- 
tie du mötre. 

MıLLionästo, s. m. millionnaire : quipossede 
un million de biens; (Ag.) tres-riche. 

MiLLiontsima, #. f. millionieme ; !’une des 
parties da million. 

MrLLion£sıso, A, adj. millionieme ; noınbre 
qui complete un million. 

MiLLöroe. V. Mylord. 

Mıupis. V. Millepedes. 

Mım , pron. pers. (variation de Eu, cmploye 
toujours avec les pr&positions a, de, por, etc., 
except& com). Moi. V. Mi. Busca-me a —? 
me cherchez-vous? Por amor de — ‚pourl’a- 
mour do moi, a eause de moi. T'endes necessi- 
dade de—? avex-vous besoin de moi? Por —, 
pour mei, quant & moi. (us serd de —? que 
deviendrai-je? 


fMınıäu2o, adj. m. mimiambe ; veisiam- 
bique, souvent obscene. 

Misco, A, adj. mimique: qui appartıent 
Aux Inimes. 

Mimo,s. m. mime : chez les ancieus, esprrv 
dw farce oü l’on imitait avec impudencc les 
sclions, les discours , les manieres de quelque 
personne connue; acteur qui jouait dans. cı 
pieces ;auteur qui les composait- Den, preseni, 
cadeau ; chbose charmante, bijoux. * Cajoicrie, 
caresse afflectee, mignoterie ; delicatesse, ten- 
dresse. * Mollesse, delicaiesse, migaardise. 
Travail exquis. Fazer um — , [aire uncadesu. 
Trater com-- , &ire aux.peliis soins pour quel 
qu’un. Menino criado com — , enfant gäte. 

MimoLocia, s. f. miimologie : immilalıon de is 
voix , duton , du gesie de quelqu'un. 

+ MimoLoco , &. m. miımologue : exerce dam 
la niisnologie. 

Mıiuösa, 8. f. (8. de bot.) — calhecucira: 
mimosa calechu, acaeie du cachou. —do Nuo, 
acacie d’Egypte, " gomimier rouge, vrai acacia. 
— do Senegal," gommier blanc. 

MıMOSAMENTE, adv. delicateınent; avec Dr 
gnardise. 

Mınöso, A, adj. delicat,, qui demande beau- 
coup de soins. Charınant, delicieux, exgqnis. 
Mignard, delicat, ellemine. Doux, tendre, 
uiignon. Favori, cheri. 

Mina, 8. f. "conduit soulerrain pour lacor 
duite des eaux, Mine , meisux , ıniuezaus non 
eıploiles; endroit oü ils se lorment; carıle 
souterraine pour feire sauter un bastion, un 
roc, etc., avec la poudre. Source d’eau.—, 
ancienne monnaie grecque. (Ag.) Mine Jor: 
chose Ir&s-lucrative. —, demi-selier , wesuft: 
son contenu. Pör f6god—, faire jouer um 
wine (prop. 08 &g.) Fazer voar ou rebentar 
6“ — , eventer la mine (prop. et fg.). 

Mıxa00,A,Pp. p. de Minar. 

Mınapön, s. m. mineur : celui qui Iravaille 
aux mines. Sapeur. 

MınaR, v. 0. miner : faire une mine. Greuser 
un conduit souterrain. Consumer. (fig.) Cher- 
cher 4 approfondir une chose, ne rien oublier 
pour y reussir. (dd.) Saper, detruire, renrel 
ser les fondements d’un Eiat, elc. 

MiıNAREs, 6. m. Di. V.Mintira, 

Mınaz, adj. 2 gen. menacant, 

+ Mıncua, s. f. sorte de sacrißco des H- 
breux, oü l’on oflrsit du pain de eur de 
farine. 

Mixtuna , s. f. miniöre: wine de melaur. 

Mınziro, s. m. V. Mindira. dt. mıineuc (de 
mine). —,A, adj. apparlenaut aux ınines, OU 
il ya des mines ıterrain). 

Mixenagaö,s f. exploilalion des mines. 

MınEnuaL, 3. m. mindral: corps solide (or, 
argent, sel gemme, elc.,;, substance metall 
que tircc des mines. 

Mınerär. adj. 2 gen. niineral : qui appat- 
tient aux nıneraux, qui tient de leur natuı“. 


MUERALIZAGAU, 6 [ı minsralsahen : Qu“ 











MIN 


binaison de la mine avec le soufre , l’arsenic. 

+ Minznauszin,, v. a. mineraliser : conver- 
ir en mineral; donner & un metal la forme 
d’un mötal. 

Mınenarocia, s. f. mineralogie : science, 
eonnaissance des mindraux, et de la maniere 
de les extraire. 

MinenaLöcıco, A, adj. mineralogigue : de 

« la mineralogie. 

MiNERALOCISTA, 5. mineralogiste : verse 
dans la mineralogie. 

Mıneaärn, ©. a. exploiter ungmine ; extraire 
du mineral. 

Mıntnva, 3. f. Minerve: deesse de la sagesse, 
des aris et des sciences. 

+Minenvizs, &. f. pl. fötes de Minerve. 

+Minca, s. f. " oiseau de Sofale, vert et 
jaune, qui ressemble au pigeon. is. V. Mingos. 

Mıncäicuo, s. m. panierdans lequelon met le 
poisson & l’eau pour le conserver en vie. 

Mınsäno. V. Mingodde. 

Mıncio, s. m. (f. de Bresü) bouillie faite 
avcc la farine de bl&, ou la föcule du manioc, 
du sucre, des @ufs, etc. 

MincoA, s. f. faule, delaut. Pauvrete, di- 
seite. *Besoin, manque. Morrer d—, perir 
d’inanition. 

MingoäDamingg „ ade. avec hesoin ; pauvre- 
ment. 

MıncoAB0, A, p. p. de Mingodr. adj. De- 
pourvu, modique, insuflisant; denue, störile 
<armee). Malheureux. Sot, stupide, insense. 
Pauvre, n6cessileux. HJoras —as, beures [ala- 
les, defavorables. Dias —s, jours funestes. 

+ MınGoAdOR, A, 3. celui qui diminue. 


"MıncoamEnto, s. m. V. Falls, Quebre, 
Diminuigdo. 
Mincoints,s.m. dfBurs, declin de la lane. 


(fig. Declin, decadence. s. f. — da mard, re- 
Nlux de la mer. adj.2 gen. Deeroissant. Pauvre. 
Quaerlo— , dernier quartier de la lune. Lingus 
— de vocabulos, langue pauvre. 

Mıncoär, o. #. deoroitre, diminuer, devenir 
moindre. Manquer. V. Faltar. Os dias comedgdo 
a — ‚les jours s’accourcissent. 

Mınua, (variation [&m. de Meu). Ma, mienne. 
V. Mew. Mon (devanı un substantif commen- 
cant parunevoyelle). —alma ,— iniengdd, eie., 
ınon äıne, ınon intenlion. 

*"Mınnim, s. m. mignon, bien-aime. 

+ Minua-siuma ,s. f. raoine d’Angola contre 
le poison. 

Mınnamönnıs, 8. m. (6. d’Asie) * hulle odori- 
ferante. 

+ Minuo,, s.m. (i.de geog.) Minbo ou Migno: 
Dleure d’Espagne et de Portugal; province du 
Portugal. 

Mıxnöca ‚s. f. "lombric. Ver de terre. 

MınBor£ına, 8. f. "petit pont d’une ou deax 
planches. 

Mıxnöro. V. Mühdno. adj. ci s. Du Minho, 
province du Portugal. 

MıinıAaTUßa, 8. f. minialure : peinlure Irds- 
dölicate , Irds-Une. 


FORT. TR, 


MIN 801 


TMinıaTunista, 8. m. peinire en ministure. 

Mixıma, s. f. minime, blanche : note de mu- 
sique. 

Minıno, a,adj. sup. trös-petit ‚le plus petit, 
le moindre. 

Minmos, s. m. pl. Minimes : religieux de 
l’ordre de St.-Francois de Paule. 

Mınıno, etc. V. Mewino, ete. 

Minıo, s. m. minium : oxyde de plomb d’un 
rouge vif; vermillon. 

MınisTgrIaL, adj. 2 gen. minisieriel : qui est 
propre au ministere; qui lul appartient; qui en 
provient; da minisiöre. 

MiNISTERIALMENTE,, ade. ministöriellement : 
dans la forme ministerielle. 

Mınist£aıo, 3. m. ministöre semploi, charge, 
fonclion; operation, götvernement d’un mi- 
nistre d’ötat, d’un agent, elc.; les ministres 
d’un Etat; service, entremise dans une affaire. 
Travail, occupation manuelle. 

Minisraa, se. f. oelle qui sert quelquwun. In- 
termediaire , mediatrioe. #t. Tour de röfestoire. 

Mınistrico, s. m. aug. de Minisiro.Grand 
ministre,, ministre fort habile. 

Mınısraän0, A, p- p. de Ministrar. 

MıniSTRADOR , 3. m. administrateur. 

Mınısraän, 0. a. donner, fournir, subvenir, 
suppiter. v. »n. Exercer une charge, un emplot 

Mınıstrania , s. f.“ ministöre, oharge de mi- 
nistre d’dtat. 

*Mınıstakı. V. Menssirel. 

Mınisteice, s.f.(pop.) viede magistrat,larobe. 

+ MinıstaiL, s. m. joueur d’instruments & 
vent. Ministris, pl. instruments ä vont. 

Ministao, s.@. ministre : oelul dont on se 
sert pour ex6dculer uns ehose. Minisire de la. | 


justice, juge, magistrat. —, charge de la von- “- 


duite des affaires d’etat, secretaire d’eial au 
d$partement de la marine, des fnances, eic.% 
envoy6 d’un prince dans une cour dtrangere; 
superieur d’un couvent de Mathurins, etc. ; 09- 
lui qui fait le pr&ohe parmi les proiesiants. — 
do altar, da igreja, da religido, evöque, curt, 
etc., preire en general. — provinoisl ‚— gerel, 
provincial, general des Franciscaius. 

Minonacäö, 5. f. "ameolndrissemens, disei- 
nation. 

Mınoripo,A,9.9. de 

Mınosär, v. a. amoindrir, diminuer, rendee 
moindre , attönuer. 

MıNnORATIVANENTE , edv. en smeindrissent.. 

Mınonagivo,A,adj. quidiminue ‚qui ameim 
drit. (9. de med.) Minoratil : qui purge douce- 
ment. Lazauif. 

Mınönca. V. Menorce. 

Minoripäpe, 5. f. ıminorite : äge, eat d’um 
mineur. 

Mınxorista. V. Menorista. 

Mıxsotäunn, s. m. minotaure : monsise fa- 
buleux, moitiehomme,, moiti6 laureau. 

Mınria,, eic. V. Mentir, etc. 

Mıxöcıa , s. f. minulie, bagatelle. 

Mıxucıöso,, A , adj. winulieux : qui s’altache 
aux minulies, 

EI 


— Wem 





= MEX 


&un froc. — freire, sa faire religieuse, seo 
guimper.— onde o ndo chamäo, se meler de 
ce qui ne nous regarde pas. Nda saber onde —, 
ne savoir oü se fourrer. 

MeTTipo, A, p. p. de Metter. adj. Mis. En- 
elave. Estar mdilo — em alguma cousa, Ölre 
fort interess6 & une chose. — no somno, Pür 
dormi. — por deniro,, (inus.) humili6 , abattu. 

2 Merugn Y. ee edootabl 

ETURNDO, & . (p. ws.) redoutable, 
le 0 Ana (pe 

Mau, Minta, pron. poss. mon, mien; ma, 
imienne. O —, le mien : ce qui est ä moi. Isso 
4—, cola est ä mol. Os —, les miens, mes pa- 
zents, mes concitoyens. 

Meüoo, etc. V. Miudo, eto. 

Mexeoon, 5. ©. "spatule, cuiller & pot. #. 
Personne qui möle, qui melange. (fg.) Re- 
muant, intrigant, brouillon , agitateur. 

Meuxepüna, 5. f. * semuement, melange, 


mixtion. 

Mrxzıuid. V. Mexilhäs. 

Maxzrnoriva. V. Mexerufdda. 

Msixta,v.a. meler, melanger, mixtionner. 
Bemuer, döplacer; toucher. (Ag.) Brouiller, 
toubler. Peior &d mezxer-Ihe, plus on remue 
Vordure, plus elle pue. On le dit de certaines 
cboses qu'il ne faul pas approfondir. 

Mexün-sk, 6. Tr. so remuer; S’agiter; se m&- 
ler, se brouilier. Ndo se mexer, ne pas bouger. 

Mexzaiciva, s. f. V. Mezxericos. 

Mexzaıcanoa. V. Mexeriqueiro. 

MsxErIciR, 9. 0. rapporter, decouvkir, ma- 
mifester les ohoses cachees. v. ». Bavarder, te- 
mir des propos ; faire dos cancans sur lo compto 
de quelqu’un. . 

Mazznicos, s.m. pl. rapporis, bavardages, 
propos indiscrets sur le compte d’autrui, can- 
cans. Ander com —,semer la discorde , brouil- 
lex par de faux rapporis. 

Mexenıgufina, 6. f. kapporieuse, alc. ( Ag.) 
® Batimept \öger qui va A la decouverte. 

Maxenıqußıao,, A ,&. conlear, Depporteur, in- 
discret, baverd, qui lien! des propos ; iatrigant, 
brouillon , tracassier. Ceravslia —s , (adj.) bi- 
timent löger qui va & la döcouverte, 

Maxzaurivs. V. Mowinifdda, 

+ Muxıcäno, A, adj. ei & Mexkcain, du 
Br 6. de gdog.) Mexiqua, N 

ICO , 8: 0. ( . @,.NON- 
velle-Espagne. 

+ Mexina, e. f. ooufusien, embreuillement; 
keonillerie. V. Enrsde. 

Mzıino, A, p: p. de Mexer. 

M«xinos, s. m. pi. (£. buri.) mouremenis ia- 
d6eenis du corps dans coriaines damsss, In4- 
meussemeni. Fazer -— , zemuer 108 fesses, 10 
ir&mousser. 

Mesunid, 5. m. (6 Ehisb.' nat.) "menles: 
osquillage, mollusque acdphale, hen & manger. 

Ag.) Intrigent, eniremetieur. 

T Mzxiıno, s. m. "chevillstie d’une eharrue. 

Mexonipa, a. /. "mouvement irtögulier de 

on deserdse; nolf | 
pr 


.o,— 


MIC 


+ Urxvin,s.m. (f. u Isee S’andienet, 
et pour les axdcutions, ent tägoe. 

i Mexutıra, s. f. esp6oe d’anubre Kris. 

„Meranänn. V. Metade. 

EYAR, eic. . 

Meras. eie. 1 V, Beis..., 8 

Mez,, s. m. mois: douziäme partie de Fannte; 
espace de trente jours ou & peu präs; rege: 
d’une femme. — de cortesiq, le mois de jen- 
vier. Para 0 — qua vem, pour le mois pte- 
chain. . 

Mtza. V. Hiösa. 

Meziva ‚a. f. "mals: gage , salaire d'un mei. 
Pension mensuelle. 

Mezena. V. Mesena. 

+ Mxziano, s. m. (4. de bot.) — meior, me 
zörsum, mezärcon, laursole femelle: plaut. 
— , "laursale commune, laureale mik. 

Mezinua, s. [."medicament, medecine. 'L+ 
vement, clystäre. ( Ag.) * Remeöde. 

M£zinnän, v. a. mödicamenter, dregee. 
se, v. r. prendre des romedes, des lau- 
ments, 

Mezınutıaa, 5. f. bonne femme qui se mik 
de denner des drogues. 

M£zınutıno, s.m. celul qui (alt le modem. 
faux medeein , medicasire. 

* Mna. V. Minha. 

* Muxu. V. Mew. 

* Mania. V. Mole, 

Mi, 2.m. mi: woisiäme note de iq gasame. il. 
V. Mim. 

Miso, s. m. misulement :ı ori du chal. 

Musısän, 8. m. (1. de mar.) “ lignerelle: pt 
tite ficelle de vieux fil de caret. Bitund : menst 
cerde & deux Sie; il reters en deux brims. 

MıaLutıno. V. Mesikeiro. 

+ Meanina, 5. /."miaulement de plwsiew 
chats ensemble. 

Mıie, s. m. mise : si du chat. 

Miin, u. ». miaular : se dis du ehat qui ct#. 

Miismas, 5. m. pl. wnissmes : desamatiunt 
morbifques, oomtegieusss ; Ainide adrikzme, 
suflocant. , 

+Mim,e. fit dans. phern.) aneilge 9% 
sisep de ceing. 

MicäntE, adj. 2 gen. (Podi.) resplondiasun, 
beillant. 

Micaı,, s. f. miche, petit palm 

Nuckttı, 5. f. prostituse, guree, SUMMEN 
de rempari. 

Micntros, 8. m. pl. (& de na.) "garselt: 
de la tournerire. 

*Nicno. V. Micha. 

Mıcızunf  s. m. bache avoc Ta 96 freie! 
les Cafres pour n’ötre pas ug des cabmad 
quand ils rentrent dana les riykören. 

Mico, s. m. pelit singe; aspdco de ini 
longue quous. 


Micnoc&rRaLe, A, adj. uigposcpinje: gel 


une 
ano 2. m. misnenasme ; peiitssende 
On le.die ‚Sbommne, " 








« 


Ilirsznan. V. Belgwistar. 0. n. Faite le mi- 
serabie. 

Misznän-sE, ©. r. se plsindre, döplorer. V. 
Lastimar-se , Amesquinhar-se. 

Mısarivzı., adj. 2 gen. mistrable; malbeu- 
retıx. Abattu : sans force, languissant. Avare, 
ebiche, vilain, barpasgon. 

Miseravzrissino. V. Miserabelissimo. 

MiseriveLuente. V. Miseramente. 

Misen£az, 8. m. misererö: 50° psaume, 
temps ne&cessaire pour le dire. — mei, ou Ob- 
licade—, collque de miserere , violente, avec 
sortie des excröments par la bouche; passion 
iliaque , volrulus. 

Mıistnıa, s. f. misere : dtat malheureux, 
estseme iIndigence, pauvretd; döntment de 
tout. Avarice, Epargne sordide.—, bagatelle, 
choso de peu do valeur, —s, *malbeurs, infor- 
tunes, desasires, Estar em —, &tre dans la 
misere, Passar —s, avoir da malheur, &prou- 
ver des infortunes. N 

Missaıcönpta , 3. f. misericorde , pitie, com- 
passion; gräce, pardon. Casa da —, confrerie 
de la misericorde : institulion pieuse en Portu- 
gel pour le soulagement des pauvreset des ma- 
lades, pour elever les enfants trouv6s, et pour 
arvoir soin des orphelins. . 

MiszniconnıADOR, A, 8. celui qui compatit, 

MiSERICORDIÖSAMENTEB, adv. misericordieu- 
sement. 

MisesiconnıosissimoO, A, adj. sup. de 

Miszaıconnı6s0 , A, adj. misericordieux : qui 
a de la misericorde; enclin A pardonner. 

Misza0, A, adj. miserable, malheureux. V. 
Miseravel. — avartnio , pince-maille. 

Mis6nnıuo, A, adj. aup. de Misero. Treös- 
mistreble. Döplorable, le plus infortune. 

MısıLnid. V. Meailhdd. 

Missa , s. f. messe : saorifice da oorps et du 
sung de J.-C. | priöres, ohr&menies qui l’acoou- 
pagnent. — do gallo, messe de minuit ow du 
ehant de coq, le jour de No8l. — de requiem, 
messe de tequiem ow des morts. — das almas, 
messe dos meoris, ou la premiäre messe avant 
le lever du soleil. — nova, premiöre messe 
d@un nouvesa pröire. — resads ou caldda, 
messe basse. — canldda , messe haule. — son- 
veniual ou parschiel, grand'messe. — seca Du 
em stco , messe blanche. — de Irds em rongs, 
(amt.) grand’messe aveo diaore et Sous-diaore. 
— farde ‚la beile messe. Ajuder d —, servir la 
messe. Cantar —, dire sa premiere messe, Di- 
zer — ‚ dire la messe ou sa'messe. Mandar di- 
zer —t, faire dire des mosses. 

$ MiSsacanTinte, s. m. prötre qui ohante la 
messe. Nouveau preötre qui dit sa premidre 
messe. . 

MissanO, 8. m. (pP. 48.) nouveau pr@tre : 
celui qui vient de recevoir Fordre de prötrıse. 

+ Missions, s. f. (1. de mar.) —s das porii- 
mkholas, pentures des sabords. 

Missän, 0. mn missel ; livre des priöres de la 


2 o 


‘ 


MIT 803 


Mısainas , 8. f. verrolerie : menne marehan- 
dise de verre ; grains,, perles. 

Mıssiö, s. f. mission, envoi, obarge, pou- 
voir donnd de faire; prötres envoyds pour pre- 
cher la fol aux iufdedles ; prödication ; iravauz 
apostoliques des missionnaires; pays oh ils 
pröchent. (ent.) V. Correio, Mensageiro. 

Mıssin, ©. n. et a, dire des messes; enlen- 
dre la messe. — alguem , dire des messes pour 
quelqu’un. 

°F Mıssaria, s. f. grand nombre de megses 
qu’on fait dire pour un defunt, 

Mıiss£r , messire , titre d’honneur. 

Mıissıonäpo, A, 9. 2. de 

Missionir, o.a. ein. faire des missions, 
pröcher la foi,, instruire comme missionnaire. 
V. Evangelizar. 

Mıssıonärio, 3. m. missionnaire s ecolöslas- 
tique employ& aux missions. 

183ivo, 1,&. qu’on jette, qu’on lanoe, 
qu’on envoie. Carla —a, letire missive, pour 
etre envoyde. 

Mısrnın6so.V. Mesieiroso. (fig.) Necessilado. 

+ MisräLıa, s. f. bolsson composse de vin, 
@eau, de sucre et de cannelle. 

Mıstetn, s. m. besoin, necessild, mmanque 
d’uno ehose. Ministöre, emploi. V. Mester. Ser 
—,etire ndeessaire,, falleir. Haver —, avoir 
besoin. seja —, au besoin. B — que, 
il faut que. Ndo se fag —, il n’est pas neces- 
saire, il n’est pas besoin. Como 
comme nous en avons bosoin. 

Mıisrkrıo, etd. 

Mısrica , eio. | V. Myst..., eic. 

Misrtoo,, A, adj. oontigu , parlant deslerres, 


eto. 

Mistrico. V. Mestigo. 

$ Mistırörio, 3. m. ( fam.) melange de cho- 
ses ou de personnes en confusion. 

Misto, s. m. "melange. adj. Meld, melange, 
mixtionne. V. Biizto. 

Misröna, o. f. mixtion, melange. Pdo de 
— ‚pain fait de farine de divers gralns : me= 
ture. 

Misronipa ‚9. f. eonfusion, melange. Balada 
de diverses horbes. 

MistuniDautnte, adv. Henlusement; p6le« 
mele. 

Misturipo,A ,p. p.de 

Misturir, v. a. meler, me&tanger, miztion- 
ner. Temp£rer ou Iremper le vin. 

MıisturävgL, adj. 2 gen. miscible : qui peut 
se meler avec... 

MisuLas, s. f. pl. V. Melopa. 

Mısöra, V. Mesura. 

Mites, s. m. pl. grains de varre enfilds ser- 
vant de monnaie a Mozambique. 

Mıricar. V. Metical. 

Mıricackö, 5. f. miligation, sdoucissement. 

Mırıcino, A, p. p. de Mitigar. 

MıricaneR, A, 3. eelui qui milige, qui adou- 
cit. 

Mıricän, v, a, mitiger : adomeis, mederer. 





800 MIM 


MIN 


milice o&leste, chosars des anges. —urbane,| Mmin.V. Amimar. 


garde bourgeoise. — s. pl. milices : Iroupes 
composoes de bourgeois et de paysans. 

MiLictÄnO, A, adj. qui apparlientä la milice. 
Soldado — , milicien , soldat de milice. 

Mıimicıar , adj. 2 gem. V. Milisiano. 

MıiLıtäno, A, adj. exerch ala guerre. p.P. 
de Militar. 

MıLiTÄNTE, adj. 2ger. militant : qui combat. 
Igreja — ‚tglise militante, assemblee desäde- 
les sur la terre. s. m. Soldat, combattant. 

Mıuıtän , adj. 2 gen. militaire : de la guerre, 
du soldat; qui fait professian des armes. Or- 
dens —es , ordres de chevalerie. 

Miuvis, 0.9. servir & la guerre, suivre la 
profession des armes, porter les armes. ı fig.) 
Militer. Onle dit des raisons qui prouvent pour 
os contre. 

+ MıLıtariö, s. m. soudard : vieux soldat. 

MıLITARMENTE . adv. militairement. 

+ MiLıte, s.m. soldat. V. Soldado. 

+MıLLEröLIO, s. m. (l. de bot.). V. Bilfölha. 

MiLLENänIO, 3. m. milleuaire : mille ans, 
dix siecles. 

MıLLgnÄißıo,& ‚adj. millEnaire: «qui conlient 
mille unites. —, s. m. pl. millenaires : sec- 
taires qui penssient que la terre serait, apres 
ie jogement dernier, un parodis pour les elus, 
pendant mille ans , sous le r&gne du Christ. 

MiLL&nıo, s. m. millenium : mille aus du 
regno du Christ, selon les millenaires. 

MiLLEP&DES, s.m. cloporte, mille-pieds. 

+ MıLL&pora, s. /. mill&pore : production 
porcuse des polypes, en buisson, en arbre, en 
&toile. — multiforme, millepore solide. — fo- 
Ihada , millcpore feuille.— celulada ou relicu- 
lada, manchetie de Neptune. 

MiLLäsıno, A, adj. eis. millieme : normbre 
qui complete mille; ’une des mille parties. 

MıLL£sıno, 5. m. millesime : date d'une me- 
daille,, etc. 

MiıLı, (en comp.) mille, milliöme. 

Mırutän, adj. 2 gen. milliaire : qui marque 
les mille. 

MiLLicrÄMNO, 5. m. milligramme : milliäme 
partie du gramme. 

MiLLIMgTRO, s. m. millimetre: millieme par- 
tie du mötre. 

MiLLionäRıo, s.m. millionnaire : qui possede 
un million de biens; (fig.) tr&s-riche. 

MiLLiongsıua, 8. f. millioniöme ; une des 
parties da million. 

MrLLion£siwo, A, adj. millionierme ; nombre 
qui complete un million. 

MıLLörne. V. Mylord. 

MıLpes, V. Millepedes. 

Mım , pron. pers. (varialion de Eu, cmploye 
toujours avec les preposilions a, de, por, eic., 
exceptö com). Moi. V. Mi. Busca-me a —? 
me cherchez-vous? Por amor de — ‚pourl’a- 
mour de moi, ä cause de moi. Tendes necessi- 
dade de—? avez-vous besoin de moi? Por —, 
pour ımoi, quant & moi. Que gerd de —? que 
deviendrai-je? 


fMımıäuso, adj. m. mimiambe ; versiam- 
bique, souvent obscöne. 

Mimico, A, adj. mimique: qui apparuen 
aux ınimes. 

Mimo,s. . mime : chez les anciens, wy 
de farce oü l’on imitait avec impuden:e ie 
actions, les discours , les manjeres de quelyuc 
personne connue; acteur qui jouati dam .«» 
pieces ;auteur qui les composait. Don, premui, 
cadeau ; chose charmante, bijouz. * Cajoierk, 
caresse alfectee, mignoterie; delicalewe, kü- 
dresse. * Mollesse, . delicatesse, mnignardıse. 


| Travail exquis. Faser um —, lsire uncadeau. 


Tralar com-—, öire aux petils soins pour quel 
qu’un. Menino criade com — , enfanti gaw. 

MisoLocia, s. f. mimologie : imitalion de a 
voix , du ion , du gesie de quelqu'un. 

+ MimöLoco,, s. m. misnologue : exercedam 
la mimologie. 

Mimösa, s. f. (f. de bot.) — catkecxcirs: 
mimosa calechu, acatcie du caclou. —du Au, 
acacie d’Egypte, * gominier rouge, vrai acecn. 
— do Senegal," gommier blanc. 

MımösaMEnte, adv. delicateınent; arec ur 
gnardise. 

Mınöso, A, adj. lelicat, qui demande beuw 
coup de soins. Charınant, delicieux, esqui 
Nignard, delicat, eilemine. Doux, tendrr, 
iwmiznon. Favori, cberi. 

Mina, s. f. "conduit soulerrain pour la car 
duite des ecaux. Mine, melaux , mineranı De) 
exploites; endroil oü ils s6 forment:; cas“ 
souterraine pour faire sauter un bastlivn, uB 
roc, eic., avec la poudre. Source d’eau.—, 
ancienne monnaie greoque. (Ag.) Mıne dor. 
chose trds-lucrative. —, deini-setier , inesufm 
son contenu. Pör fögod—, faire jouer us 
wine (prop. et ig.) Fazer ooar ou rel«alar 
a —, eventer la mine (prop. el fig.). 

MısäDpo,A,p.p. deMinar. 

Mınanon, 8. m. mineur : celui qui trava:lk 
aux mines. Sapcur. 

MırÄir, v. 0. miner : faire une mine. Greusc: 
un conduit souterrain. Consumer. (Ag.) Lber- 
cher & spprolondir une chose, ne rien oubir? 
pour y reussir. (dd.) Saper, detruire, renie® 
ser les fondements d’un &tat, etc. 

MınaRES, 5. m. pl. V..Mintira. 

Mıniz, adj. 2 gen. menagant. 

+ MincuA, s. f. sorte de saerißce des B- 
breux, ou l’on ofirait du pain de Beur - 
farine. 

Min£ina, s. f. niiniere: mine de mesaur. 

Mıntiao, s. m. V. Mindire. if. wineur (€: 
mine). —,A, adj. apparienant aus mines, O8 
il ya des mines ‚terrain). 

Mixenagäö,s f. exploilalion des miDes. 

Mın&räL, 3.m. mineral : corps söltde or. 
argent, sel gemme, etc. , subsiance ieiaL- 
que tirce des mines. 

Mineräs. adj. 2 gen. mineral: yai appar- 
tient aux mıneraux, qui Lient de leur nad 


NINSRAUIEAGAU, 4, fı uinsralisah@t : Ouiß- 











MOC 


Mocid, s. f. motion, mouvenaent. " Mouve- 
ment, determination de la volonte. Impulsıon. 
( Ag.) Iuspiration divine. 

* Mocir. V. Muntezinho. 

+Mocanzaalas, s. f. pl. (I. d’Asie) presents 
que les reis d’Ormuz faissient aux souverains 
des pays par oü passaient les caravanes qui 
venaient faire le commerce dans cette ville. 

+Mocira,s.f. (.de bot.) " mocaya ou mou- 
eaya : ohou palmier de la Guyane. 

Mocızinua, s. f. dim. de Moge. Petite üille. 
Petite servante. 

Moceriö,s. m. jeune homme de belle taille, 
fort, robuste. Beau garcon. 

Mocrröna, s. f. Alle grande et bien faite. 

Möcaı ou ALPROMÖCHA, 8. f. note de musique 
ancienne. 

Mocuacniu. V. Muchachim. 

Mocuipo, A, p. p. de Mochar. 

Mocuasüra, 5. f. mutilalion des cornes d’un 
laureau, Cio. 

Mocsir, v. @. 6oormer, rompre les cornes 
un taureau,, eic. V. Möckho. 

Mocutra,s. f. (1. darch.) ° ohapiteau de co- 
lonnme. 

Mocnıciö , s. m. V. Murro, Punhada. 

MocsiLa, 8. f. "havresae de soldat. Espe&oe 
de caparagon oa de housse de chbeval. s. m. 
Laquais qui porte & cheval la valise de son 
mattre. 

MocuıL£ra ou . 

MOCHEANEA } dim. de Mochila. 

Möcno, a, adj. &corne. On le dit d’un lau- 
resu, d’un belier, etc., & qui on a coupe les 
eornes ou qui w’en a point. Taille, dmonde, en 
parlant d’un arbre. 

Möcuo, s. m. (8. @’kist. nat.) hibou & oreilles 
d’äne, petit duc, chat-huant: oiseau de nuit. 

Mocico. (pop.) V. Massico. 

Mocipipe, s. f. Jeunesse. Bel Age. V. Juven- 


Mocinmo, a, adj. dim. de Mogo. Jeune garcon, 
jeune ülle. 

Möco. V. Muco. 

+ Mocö, s. m. (6. des Bresil) petit sac ou ha- 
vresac de cuir. V. Surräo. 

Möce, s. m. jeune homme; garcon. Valet, 
domestique. — solleiro, gargon, celikalaire. 
— de mulas, muletier. — da camara, valet de 
ekambre. — 'da estribaria, valet d’ecurie. — de 
Sonda, gargon de boulique. — da cozinha, gar- 
gon de cuisine, marmiton,, galopin. — de recd- 
dos , valet de pied. — fidalgo. V. ce mot. — do 
gado, (4. de mar.) garde menagerie. 

Möco, A, adj. jeune. V. Mancebo. Fulano, o 
sois —, un tel, le jeune. 

Mocöso. V. Mucöso. 

+ Mocotö, a. m. (6. du Bresil) pieds de veau 
os de baul, crus ow appräts. 

MocozinHo, A, adj. dim. de Mogo. Tout jeune 
homme;, toute jeune fille. 

Mocvaqris, 3. m. "racine medicinale gbi 
vient de Mozambique. 

Mocusk. V Macuje, 


MOD 805 


Möna,s. f. mode, usage, manidre Je r’ha- 
biller, etc. Ser —, &ire de mode. £ —, c’est la 
mode. Ja ndo d —, ce ıı’est plus la mode, c'est 
passe de mode. A’—, a ia mode. —s, pl. air de 
violon , de piano, etc. 

Moni, adj. 2 gen. Proposicdo —, (1. de 
schol.) proposition modale, ui eontient uno 
condition ou une restriction. 

MoneLino, A, pP. p. de Modelar. 

+ MopeLanor, A, 8. celui qui modele, qui 
fait un modele. 

MoseLäin, ec. a. modeler: hniter en terre, en 
cire, etc. (ig.) Dessiner. tracer. 

MontıLo, s. m. modeie: exemple & suivre; 
patron en relie[; essai en pelit; objet d’imita- 
tion ; ( fg.) ce qu’on se propose d’imiter ; exem- 
ple qu’il faut suivre dans les arts, les maurs. 

+ Möpena, 8. f.(t. de geog.) Modäne: ville 
et grand duche d’ltalie. 

r Monentz,A,adj. ei s. Modenois, de Mo- 
dene. 

Monenacid, 3. f. moderation ‚ retenue: vertu 
qui retient dans une sage mesure, eımpeche de 
s’abandonner & la colere, au luxe, & l’ambi- 
tion, & la vengeance, eic. 

MODERADAMENTE, adv. moderement, sans 
exc&s. Mediocrement. 

MoDERADISSIMO, A, adj. up. de 

MopezrÄno, A,p. 9. de Moderar. adj. Mo- 
dere, termper6 ; sage ; relenu ; &loign& des exots. 
Mediocre. 

MoneEnADöR, A, adj. ets. moderateur : quia 
la direction d’une chose; qui gouverne, qui 
rögle et modere (Dieu moderatear de l’uni- 
vers). Poder —, pouvoir moderateur: certaines 
attribulions du roi dans un gouvernement 
constitutionnel. 

+ Movenantiswo, 2. m. moderantisme : sys- 
t&me polilique des moderes. 

MonpERÄR, ©. a. moderer: diminuer, tempe- 
rer, adoueir ; mettre des bornes & (ses desire, 
ses passions, sa depense, etc.); contenir, re- 
primer, rendre modere. Diriger, gouverner. 

Moperärk-se (em), v. r. se moderer: avoir 
de la moderation ; ( lg.) se contenir ; se tempe- 
rer; se posseder ; sadoueir. 

+ MopErATivVo, A, 0% 

+ MonenaTörıo, A, adj. } 
pere. 

MODERÄYEL, adj. 2 gen. qui peut se mo- 
derer. 

Mon£nnamente, adv. nouvellement,, recem- 
ınent, chez les modernes, de nos jours. 

Mopr.rnice, s. f. chose nouvelle, tout & fait 


qui modere, qui 
adoucit, qui teın- 


'nouvelie; nouveaute, derniere mode. Innova- 


tion. 

Monersissimo, A, adj. sup. de 

MODERNO, A, adj. moderne nouveau, T&- 
cent. 

+ Moo£rxos, #. m. pl. modernes: auleurs, 
artistes, hoınmes des derniers siecles, depuis 
cing rents ans apres Jesus-Christ. 

MonESTAMENTE, adv. modestement. 

Monnsyia, 8, f. modestie: retenue dans la 


886 MOD 


oondeite , dans les discours (en parlant de sol); 
pedeur ; mediocre opinion de soi. 

Mosestissımo, A, adj. sup. de 

Mosntsto, a, adj. medeste : qui a, qui mar- 
que de la modestie / personne , habit, ete.); qui 
a de la pudeur (femme —); qui anmonce la 
modestie (exterieur, air, mise, conlenanoe, 
eio.); reienu dans sa condulite. 

Mönıcamsurs, ade. modiquement, mbdio- 
erement. 

Monıcia. V. Diminuir, Moderar. 

Mosmapipe, 5. f. modieits : petlte quantits. 

Mosicissıno, A, adj. sup. de 

Möpıxce, A, adj. modique : de peu de valeur, 
medieore. 

MooımncaGiB, s. f. modißcation,, modsratien : 
resirielion, adoucissement d’une propesition, 
d’une peine, ete.; maniere d’ötre d’une sub- 
stance ; action de modißer (une lei, un traite, 
eic.). 

Mopıricino, a, pP. ». de Modificar. 

+ Montsıcan6n , a, 5. celui gei modißie. 

Mosırıcia, 0. @. medifßler : mederer, adoneir 
(es clauses d’un asie); reatzeindre , moderer 
(une lei); donner wn mode, une maniere 


dere. 

Mopırscarivo, A, adj, medilcatif : qui mo- 
diße (Ne sons, Blc.). 5. m. —, eu Kramımaire, 
en ie dit d’un mes qui modifie le sons d’um 
suire, 

Mosıniö, s. m. (6. daerch.‘ modillon : petite 
sonsele qui sontient la oorniche, surlous co- 
rinthiesne, 

tr Mooinma, s. f. dim. de Moda. Chansonnette 
qui est en vogue, son sit. 

Möpı0 , 8. m. ancieane mesure Fomaine pour 
los choses söches;; modius, boisseau. 

Monista, 5. 2 gen. modisie : marchande de 
modes ; celui qui suit les modes avec exactitude 
ot alfeotation. 

Müpo, s. m. mode : maniere d’&tre. * Mode- 
ration, reienue. ° Politesse , bienseance. * Ma- 
niere, (acon, air. —, maniöre d’agir. Mode des 
eonjugaisons, ma@uf. —, ton dans lequel uno 
piece de musique est comıposee. "Guise. "Mode, 
usage. V. Moda. — de tida, maniere de vivre; 
elat, profession. — de [allar, maniere de par- 
ler. — de escrever, maniere d'ecrire, style. 
Ames —, ä ma maniöre. De —, de maniere. 
De voutro — , d’une autre maniere. Ndo d’oulro 
— pas autrement. D’um — ou d’uulro, de ma- 
nidre ou d’auire. De — qus, de maniere que; 
ainsi que. Do mesmo —, de meme, tout de 
meme. Decerlo —, ainsi que. A — de, en guise 
de, & la facon, & l’instar, & la maniere de. Por 
— de dizer, par manitre de dire. Cada um lem 
seu — de malar pulgas, (fam.) chacun agit ä 
sa guise, 

ononrA, 3. f. "assoupissement prolond, 
sommeil letbargique. ° Temps qui precede im- 
müdiatement le point du jour, oü le sommeil 
est Ic plus profond. Quarto da —, (1. de mar.) 
secouJ quarti des marins sur les vaisseauıx, de- 
puis ıninuit Jusqu’au jour. 


MOF 


Mosonnture, a, adj. Wiharkigue, sope- 
rouz. 

fMonönao, a, adj. endermi, amsup. L4- 
thargique,, soporemt. 

MonuLscäö, s. f[. medelatien: suite de ton; 
eanforme sauı r6gies: transport d’un chası. 
d’eın mode, d’en ten dans un auirc ; Izansillon 
harmonieuse. ( Ag.) Melodie. 

MeuvLieo, A, p. P- de Modular. 

MoprLapen , 9. m. celui qui module. 

MoprLin, 9. o. meduler : chanter harmı- 
nieusement, faire des modulatiens agresbies, 
oomporer un ohamt suivamt bes rögies de Far. 
ll est aussi neutre. 

MösurLo, s. m. (4. durch.) module : meiun 
qui rögie les preportions d’an erdre d’srchiler- 
ture. Chant barmonieux, mode, meledie. -—, 
diamötre d’une mödsilte. adj. V. Malsdisee. 

Motoa, s. f. menmaie : pidee de metal 22 
coin de V’Etat, du prinse, eie.; lien eh en Is 
bat. ° Argent monnaye. — d’owre eu melde 
sim t: medde, memnais d’or da Perto- 
gal, valant 33 Ir. 06 a.— false, Iausse men- 
naie. Case ds —, hötel de la Monnaie. Baier 
— , monnayer, batire monnaie. Pager na meins 
— , psyer de meme ztbnnaie, user de protedes 
pareils ; rondre la pereille. 

Moxpicau,s. f. “ mennayage ı fabricalicn 
is meonnais, aclien dp monnnyer. . 

Moeotına, s. f. “broyon : instrument qü 
sert ä broyer; broie, maque. /Ag.) Lassltude, 
(stigue , ennui. Ce qui les cause, Faser a— 4 
siguem, taquiner, tsurmenter queigu'en.T. 
M 


Mozpäino, 8. 9. Monnayenr ı qui Iravaille 2 
la monnaie avec aulorisatiem. 

Morpen, s. m. broyenr : celui qui breis, qui 
moud. 

Mosnöaa, 8. f. * breiement : aetion de broyer. 
Mouture : astien de meudre. La quaaüts dr 
lives qu’on met & la fois au moulin. Qusnbte 
de bl& qu’on monud ä la feis. 

Motca, 8. f. tremie de moulin. 

Motıa, 8. f. "gesier: deuxidene venincult 
des oiseaux graniveres, 

*Moe£ıua. V. Modde. 

Moanpa, s. f. "moulin, mewie de meulis: 
lieu oü sont les monlins; oylindre de meui 
& sucre. 

Mo£nca. V. Monde. 

Moßr, o. a. moudre. Broyer. Piler. (Ag.! Ex 
nuyer, imporluner, assommer par 868 ; 
affliger, molester, tourmenter. (id.) Meudtt: 
lasser, (atiguer. User, gäter, detruire par Pu 
sage. — com pancadas, assommer, rouer ö 
coups , battre ä outrance. — a pacientia, (19. 
fatliguer par ses instances, assominer par 5% 
propos, etc. Pedra de —, pierre meulifre. 

Möra, s. [. moquerie, risee , derision. *Per- 
sillage. Faser — , se ınnquet. 

Morino, A,p.p. de Hofar. 

Morapön, A, 3. moqucur, rajlleur, persil- 
fleur. 





nat 


Moranöra. V. Möfa. 

Mori (de),o.n.se moquer, railler, bafouer. 
di. 0. a. ein, Faire moisir; moisir. 

Morancıno. V. Mofaddr. 

Morirnas, s. f. pl. ımoqueries grossidres, 
lourdes plaisanteries. 

Moritra, 3. f. contrat mohatra, usuraire, 
en vendant tr&s-cher, & credit sur obligation, 
billet, eic., et rachelant, & vil prix, au comp- 
tant. 

Morıreäö, s. m. celui qui fait des mofalrae. 
V.ce mot, 

Morina, s. f. mesquinerie. *Malbeur; mi- 


re. 

Morixam&nts,, ade. mesquinemen!. Malheu- 
reusement; miserablement, 

Morınkza. V. Avareza. | 

Morixo, A, adj. mesquin, ladre. Malhet- 
reux, miserable. 

Möro,s m.* moisissure, chancissure ‚moisi. 
(t. de bot.) Bissus: plante de la famille des at- 
gucs, esp&ce de mousse. Uriar — ‚se moisir, s® 
chancir. Cheirar a—, genlir Penferme. 

Moröso, A, adj. möisl, qui a du moißl. 

Morr:. V. Mufli. 

Mocincas, s. [. pl. grimated, kestes, con- 
torsions. 

Mocancußino, A, dj. grimatier : qui fait 
des grimaces. 

Mocasctice, s. f.grimacerle. V. Mocangkice. 

Mocaris. V. Mogorim. 

Mocavar. V. Almögaraf. 

*+MöcEinä, s. J. vieille matjwetelle. 

Mocenıriva. V. Moxinifäda. 

* Noczoti ou Mocegcist, dim. de 

+ Moci ou Moxci, s. m. ahcien vöteittent 
d’hoinines et de feinhies en deull. 

MocıcixcA,s. f. ihascarade que falsatent la 
nuitl les corps de metıers, et of P’on se degulsait 
surtout en animaut. Chose ridiedle falte pour 
se modier de quelqu’un. Momerie. 


Möücb, #. m. *borne : limite pour fa division | q 


des terres., 

+ MocöL, s. m. (f. degdog.) Mogol ou Mogo- 
listan, empire del’Hindoustan. Grdo —, Mogol, 
ou grand Nogol : eihperedr de PHindoustan. 

+ Mocön, 3. m. V. Mogdl. adj. ei s. 2 gen. 
Mogolion ; des etals du Mogol. 

Mocoriw,öd/.f. Aösa —, rose duJapon,ca- 
melia. 

+ Mocöncıa, 8. f. (t. de yeog.) Mayence.: 
ville ys d’Allemagne. 

* 2»Moınciöou —com , s. f. nombre demuids 
qwon payalit de ces. 

Motbo, A,P. pP. de Mor. adj. Las, fatigue, 
harasse, recru. 

MoIntnto, 8. m. "Inssltulle. V. Ouebrania- 
merto.(vieaz) Monument, mansolte. 

*Moixp£ıra.V. Moleira. 

Mointix, s. f. eriblure. Paille tres-menue. 
® Bourriers. 

“Moinneına,s. f. "moulin A froment. 

Moixno, s. m. moulin : machine A moudec 
du grain. — de vento, moulin ä vent. —d’ayua, 


MOL 807 


moulin & eau. Pedra de —, pierre meulläre. 
Levar aguo ao seu—, (fg.) [aire venir Teau’ä 
son moulin,, 86 procurer du profil par son ia- 
dustrie. 

Mdıo, s. m. muid : mesurede grains, de sel, 
(60 alquiers portugais. V, Alqueire). Mesute 
de 288 pintes. 

*Moıom. V. Mögo. 

Moınid, V, Mourdo. 

*Noısem, 5. m. * ordonnance juditlalte. 

Moıti0. V. Mostdo. 

Möua, s. f.“ressort (de montre, ete.); (fig.) 
moyen dont on se seri pour faire r&ussir quei- 
que dessein. Möle : masse de chair Informe 
dont une femme accouche. Eangue : grande 
tenaille pour tenir les flans. — real, grand res- 
sort. — do relogio de repeligdo, poussolf. 

Mori, s. m. (ti. dAsie) Jufisconsulte chez les 
Mogolıens. 

MoLina, 3. f. moulee : boue de la meute du 
remouleur. 

Mouinas, (f. burl.) V. Molanqueir&o. 

MoLAncAO 0% (f. burl.) may, 14- 

MoLANQuEIRÄÖ, ONA che, efferhih@, pa- 

MoLAangt£ırd, A, adj. tessenx, sans rOu- 
tage, sans vigueur. 

Mori, adj. 2 gen. molafre : det —) di 
sert A broyer. Frulas —i, fruits dont le noyou 
se separe aisöment, Denies —es , dents molaites 
ou mächelieres. 

MoLanixnA, ädf. f. Herva — , Tumkierre. ' 

MoLvip0, A, Pp.p. de 

Moıpir, 6. &. mouler. V. dusocklar. Faire des 
mouluros. 

+Mouoivık, 8. f. (l. de og.) Moldavıe : 
zontrö6 @Europe, pfineipauts tributaire du 

urc. 
_ Moupivi, s. f. (t. da bol.) mofdarkıne : me-- 
lisse de Moldavie, des Canaties, draddttphiale, 
plante labiee. ' 
+Moıvivo,Aa,adj. et s. Möoldave: de la Mol- 
avie. 
MöL»ps, s. m. moule : maliere creuse pour 
donner la forme au mötal fondu, au plälre, a 
la cire, eia; tout ce qui sert & Jonner la 
forme. Pairon,modele, ee 
) 


Modele : exeinplaire qu’il faut suivre. 
"Idee, desir, voloni6. Garacidre d’imprimefie. 
V. Typo. De—, ä propos, fort bien, parlaite- 
ment. 

Morazin. V. Moldar. 

Moıpöra, 8. f. moulure ; ornement d’archi- 
teciure et de sculpture; * cadre d’un tableau, 
Doucine : swulure ondoyante, Convaze 88con 
eavc. —s, pl. madenature ı moulures d’archi- 
tecture. ° Placard : menuiserie au-dessus d’une 
porte. — da euldira da pira, plate-bande do la 
enlasse d’un eanon. — de espalda, cul de 
lampe. 

+ Moıprräcem, 8. f. modenature : meulu- 
res d’archilecture. 

Moınvräno,p. p.de 


+ MuLovräsn, o. a. faire des monlurfes, 


80% MNA 


Mırtcarivo, A, adj. qui mitige, qui adoucit : 
genitif. 

MNıticatönıo. V. Mekigalıvo. 

Mıriuno ,s. m. vin fort estiime des ancions. 

MrroLocia ‚eic. V. Mytologia, etc. 

Mirtra, s. f. mitre : ornement de täte des 
&v&ques. Ornement de löle des anciens Perses. 

. npiscopat: dignite des eveques. * Diocöse, dv&- 

e. 

Mırrino,, A, adj. mitrd : qui a droit de por- 
ter la mitre. 

MırR£ra, s. f. ancienne mesure de liquides, 
almude. 

MıTripäTico , A, adj. du mithridate. 

+ Mıraipiro, 5. m. mithridate : especo de 
theriaquo ou d’antidote. 

* Mıtao. V. Manipulo. 

+Mırö, (1. d’hist. nat.) V. Hocco. 

Mıiöga,, s. f. V. Maunga. —s, pi. V. Miungas. 

MıiucäLpas, s. f. pl. petits mdrceaux, par- 
celtes ‚, fragmenis, debris. 

MiüDAMENTR , adv. par parcelles. Particuli6- 
rement : en detail, par menu, avec bekucoup 
de petitesse ; avec une atienlion minulieuse. 

Mıüvin. V. Amiudar. 

Mıüns (A), ade. souvent. 


Miüptza , s. f. pelitesse; delicatessa. (fig.) 
Altention scrupuleuse dans l’examen d’une 
chose; deötail cireonstancie.—s., pl. menus ob- 


jen. Minuties, bagatelles. 
IÜDINHO, A , dim. ., 
MıiüDissımo, A , #4p. de Miüdo. 

Mıipo, A,adj. menu, grele „delie; petit, qui 
fait peu de volame. Peu important : qui ne me- 
rite point d’attention. On dit en parlant Je la 
populace : menu peuple. Minutieux : eract jus- 
qu’au scrupule; fait avec soin. Petit, parlant 
des monnaies. A — ,souvent, continuellemest. 
Por —, par le menu, en detail, ires-exacie- 
ment. —s, pl. menues parties du dedans du 
cochon, etc. it. Menuailles : menue monnaie. 

MıöLLo, s. m. " piece d’une roue de chariot, 
moyeu. 

Mıiöngas, 8. f. pl. menus fruits. Petits objets. 
Disimo das — , dime sur les menus fruils et 
sur de menus objets, comme wulfs, pouletis, 
cochpns de lait, else. 

Mıxenıcan, eilc. Mexericar, etc. 

MıxıLnäö. V. Mexilhdö. 

MıxoLY’10,, adj. ot 5. m. seplimo ton de la 
musique grecque. 

Mıxtiö,s. f. mixtion, melangce. 

+ MixTaribe, 8. m. nom qu’on Jonnait aux 
Chretiens qui vivaient meles avcc Ics Arabes. 
V. Musarabe. 

MıxtiLineo, A, adj. (l.de geom.) nıixtiligne : 
(figure, plan) termine par des lignes droites et 
courbes. 

Mıxto, A, adj. mixte, melange. 

Mıxro, 3. m. mixte: corps mixte, compos® 
d’elements heisrogenes. Sorte de collation que 
prepaient les precepleurs de couvenis avant le 
relectoire. 

T Mara, s. f. mine ; monusie ancienne, livac. 












MOG 


+ Muzuönıca, 5. /. mnemenique : art de 


classer des mots, des faits, eic., dans la sme- 
moire, de l’augmenter. 


MNENOTECHNIA, 5. f. mnemolechnie : art de 


fortißer, de cultiver et nourrir la memoire. 


Mo, MA, NOS, mas, un plußdim’o,m’aA, m’0S, 


N’AS, pour me 0, me a, me 08, ME a8, Die k, 
me la, me les. Disss-mo, ıl me l’a dit. Des- 
mos, vend£o-mas, il me les a donnes, il me les 
a vendues. 


Mö, s. f. meule de moulin; meule A aiguiser. 


— de baixo, — de cims, moule gisanle, meule 
courante. — da boeca, dent mächeliere. — 
genle, rond, cercle, multitude. Ainde que cho- 
wessen mös de moinho,, ( fam.) quand il pies- 


vrait des hallebardes. 

+ Moas, s. m. (ti. de geog.) pays de Moab, 
dans l’Arabie. 

+ Moasitas, s. m. pl. Moabites : anciens per 
ples de l’Arabie. 

MoheEN ‚s. f. action de moudre. Mouture. 

Moir. V. Mangodl. 

Mösıt, 5. m. mobile, moteur. adj. Mobile: 
qui se meul, peut eiro ınü; leger, ianonsianl 


V. Movel. 


Moßiura , &. f. "mobilier : tous les meubles et 
eflets rassembles. 

+ MosıLıär, v. @. meubler : garnir de meu- 
bles (une maison, un appartement). 

MosıLipipe, s. f. mobilite: facult& qu's 
corps de pouvoir @ire Wansport£ d’un lieu dans 
un aulrc, aplitude & etre mü; (flg.) incom 
stance, legerete. 

MonıLissıso, A, adj. sup. de Mobil. 

"+ MosıLızär, v. a. mobiliser:: rendre mobüe 
un cogps de lroupes sedentaires. 

Möca, s. f. moquerie. V. Zomberie. Prise. 
Fazer —, plaisanier, badiner. Iso d — ‚c'est 
une plaisanterie, vous plaisantez. 

+ Möca ou Möka, 8. f. (8. de geog.) Moces, 
Moka ou Mokha : ville et port d’Arabie. Cafe de 
— , moka, caf6 renomme. 

Möca , 5. f. jeune fomme. Servante , demesi- 
que ; bonne. Maitresse , amantie. V. Moge, adj. 
— de fortuna , fille de joie, prostitude. — caas- 
doirs, fille mare, nubile. — de camare , femme 
de chambre. E 56a —, elle ost bien. 

Möga. V. Mösse. 

Mocapiö, s. m. (4. d’Asie) pilote, patron de 
vaisseau. 

Mociro. V. Alordö. 

+ Mocaoa , s. f. (t. de bot.) mocaga: palamxt 
de Cayenne. 

Mocıımid. V. Mooeldö. 

Mocauios,s. m. pl. Calkambila, Fugiie. 

Mocanusinuo, dim. de Mocambo. Pete ca- 
bane, au Bresil. 

+ Mogansiqgug, 5. m. (. de geog.) Mozain- 
bique: ville, royaume, cöto d’Afrigae. 

Mociuno, s. m. (4. du Bresil)*cabane, rbau- 
miere. V. Quilombo. 

Mocaxotsıa0, A ‚adj. (1. durt.) V. Hoquensn. 
Invencioneiro. i 

Mocanqrice, s.f. {t.burk.) grimace, cajoRTT® 


... oo. nun < Paare 








MON 


+MOoLLicENM , 8. f. (6. de bei.) ° gakliat biane : } rnlöre elassndes vegdiaer; 
lloase. V. Moläöse.(fg.)' 


plante. 

MorLönı, 08 

Morwöaıa, &. f. ) * Patolinage. Petite ronte, 

} MorLiscos, s. m. pl. (1. hist. nat.) mol- 
lusques : vors imper/ails ; animaux sans vort- 
hres, inarticules, & chair molle, 

+ MoLöacHo, s. m.{1. d’Mst. nat.) molorque: 
coldoptere. 

Moıösso, s. m. molosse : esptoe de gros 
ebien, dogue, mätin ; pied de vers latin de trois 
syliabes longues. 

f Mowlcas, s. f. pl. (l. de gdog.) Meluques : 
lles de la mer desIndes, sous la ligne, 

MoLöra. V, Mollüra. 

Möua , f. de Mömo. V. oe mot. 

MONENTANBANENTE , adv. momentandenent: 
Passagerement; pour os pendant un moment. 

MOoNMENTÄN£O, A, adj. mameniand : qui ne 
dure qu’un moment. 

MoMENTO, 8. m. moment, instant, temps 
fort court ,petite partie de temps. “ Importance. 
(4. de mec.) —, produit de la puissance du le- 
vier; quanlilö de mouvement, Acada —, & 
tout moment, & tous momenis ‚sans cesse. No 
— preciso, & point nomme. Ao—, Al’instant, 
sur-le-champ. Por —s,ä tout moment, sans 
cesse. 

Mou£xTo, a, adj. grimacier. 

Mona. V. Mumie. 

Mouicg, s. /. momerie, singerie, affeciatiom 
ridicula. 

Möwo, s. ın. (l. de myth.) Momus : dieu de la 
satire, lo bouffon des dieux. Geste : ligure; 
grimace pour faire rire; singerie. * Represen- 
lation mimique, mime (farce et actour). 

+Mouürı, s. f. (k. d’hist. nat.) ° momet: 
passereau d’Amerique, denlirosire. 

MoupsLn£a, s. m. (1.de geog.) Montpellier: 
ville de France. 

Moueost£ıno. V. Mamposieiro. 

Möna, s. f. guenon : singe femelle. (Ag.) 
Ivresse. — enfeildda, (Ag. fam.) guenuche 
ooiffte : femmıe laide ei fort parde. 

MonacäiL, adj. 2 gen. mouacal ; de meine. 

MOonACALMENTE, adv. monacalemen! : d’une 
smaniere ou [acon monacale, 

MONACiTO , ow monachisme : tat des 

MONACHISMO,, 3.m. ) moines, ° Moinaille, 

Monacönnso. V. Monocördia. 

Monipa, s./. mine, grimaoe , gesie allects, 
singerie. 

Mönapa , 8. f. (6. de phys.) monade : 6löment 
simple des #tres suivanı Leibnitz. (4. #Asst. 
nal.) * Monade : ver polype ameorphe, infu- 
soire. 

+ Monapkıpura, 8. f. (t. de dot.) monadel- 
phie : seizieme classe des vegdtaux. 

+ Moxsapneırno, A, adj. (1. de bot.) monadel- 
phe. Estames —s, 6tamines monadelphes, r&u- 
nies par leurs flleıs. 

+ Monubista, adj. eis. m. meonadisie : par- 
tisarı du sysidıne des monades, 

Monäspnu, 5. f, (l. de bot.) monandrie ; pre 


MON 809 


tedite une 
&taminco, sulvant ie systöme de Linne. 

+ Monäneao, A ‚adj. (1. de dot.) monandre : 
qui n’a qu’une etamine. 

Monıeviste. V. Monaskisme. 

Moninca,, ow monarque : ostel qui a 

Monisncaa , 5. m, | seul lopeuveir souverain 
dans un grand 6tat. (Ag.) * Onpltale, mötropole. 

Monancnia ,s. f. monarehie : gouvdemenent 
d’un etat regi par un soul chef, unrol; cet 
dtat. 

+ Monancztunr, 9. 6. 08 9. geuveruer on M6- 
narque, faire le monargue. 

MonÄncHicau&ute, adv. monarehiquement, 

onAucHtcO, A, adj. menarehigue : de la 
menarehie ; gouverne par un monarquo. 

+ Monäacmcos, s. m. pl. menarchiques : he- 
retiques qui n’admeltsient qu’une sowie per- 
sonne dans la Trinite. 

+ Monascnista , s. m. monarehiste, moBar- 
chien : partisan de la monarecbie. j 

+ Mowancnömaco, A, ul. ei s. m. qui est 
contre je menasgue ou conire ja menarchie. 

Moninsa, s. f. (8. de bof.) monarde : planie 
labies de ’Amerique du Nord. 

Monania, s. f. singerie. V. Meondda. 

Monangria , eto. V. Monarchie, ete. 

Monisticauäura, ade. sulvanı les rögles 

uos; & la manidre des moines. 

Monxästico, a, adj. : qui tient 
du menasiöre; qui oancerne los moines, les 
religieuses. 

Moncin, v.». V. Assodr-se. 

Mougiö,s. m. (f. de mar.) meusson : venis 
periediques de la ıner des Indes; leur salson ; 
courant forme par ie vont. (Ag.) Ocsaston op- 

ne. 

Mönco ‚se. m. *morve : humeur visqueuse des 
narines. — do perd , exoroissance charnue au 
bee de dindon. 

Monconas, s. f. pl. grimaces feines. 

Mönces, s. m. pl. (1. de bet.) ° quaue de re- 
nard : plante. V. Brodes vermeihos. 

Moscöso, A, adj. morvenx: qui a delamorve 
au ne2. 

Mönpa, s. f. sarclure, aclion de sarcler; ce 
qu’on atracke en sarolant. 

Monsantına,s. f.sarcleuse, femme qui sarcle. 

MoNDAB&nTEs , 8. m. cure-dents. 

Momivo, A, p.p. de Mondar. 

MonnapoR, s. m, sarcleur : qui sarcle. Sar- 
oloir : instrument pour saroler. — dos oweidos, 
eure-oreities. 

Mowupanöna. V. Monde. 

Monpir ‚v.a. sarcler, arracher lesmauvaises’ 
berbes. (Ag.) Monder , nettoyer. 

Moxpirwän, etc. V. Mundificer , oto. 

Monnpönco, 8. m. * tripes : intestins d’ani- 
maux de boucherie. V. Debulho,, Devenire. 

Monponco , a, adj. sale, malpropre. 

Monponcutina, 8. f. vendease de tripen. V. 
Tripeira. Gaupe, fomme malpropre. , 

+ Montına, s. f. (6. demar.) * bourrelet ow 
haurlet : cordages putaelsads aulour des MAIS 


808 MOL 


+ MoLpuntıro, s. m. celui qui fait des mou- 
lures. 

Möıg, 3. f. grande, grosse, lourde masse. 
Grandeur, volume. s. m. V. Mölhe. 

MoL£cuLa, s. f. molecule : petite partie or- 

anique. 

Moußıaa, s. fameuni£re. V. Mollfira. 

Moui:ao, 3. m. meunier : qui gourverne los 
moulins ä bie. 


Moıtına. V. Molkika. 

MoL£quz ,s.m. petit nögre esclave ‚nögrillon. 

Moıszstino, a. V. Moldsto. p. p. de Molestar. 

MoLäsramause, adv. d’une manidre impor- 
tune, fächeuse. 

Mouszstär (com), v. a. maltraiter. Tracasser, 
molester, vexer, tourmenter. 

MoLestän-sE, 0. r. s’aflliger, s’Inyuleter. 

Mou&stia, s. f. fächerle, ennui, chagrin. 
Incommodits : peine que eause une chose in- 
commode. Indisposition, maladie. 

MoLestissımo, 4, adj. sup. de 

MoL&tsto, A, adj. fächeux, ennuyeur, im- 

. Lassant, deplaisant, ennuyant, in- 
eommode, assiögeant, genant, qui gene, qui 
oontraint. Indispose, malade. 

Mouzstöso, A, adj. fächeax. Incommode, 
V. Penoso. 

MoL&ra, s. f. molette : cöne de marbre pour 
broyer les ooulenrs. Sorte de bateau de p6- 
cheur. V. Muldta, 

Moıuipo, A, p. p. de Molhar. adj. V. Ma- 
Ihddo (p. us.). 

Moınapöaa ,s. f. mouillure: action de mouil- 
ler, ses offels ; #tat de oe qui estmouille. * Pour- 
boire, gratilication. 

"MOoLBANÄNTO, 5. m." mouillure. 

Moınia (com, em), v. a. mouiller, tremper, 
kumecter, rendre humide. — a sopa, tremper 
la soupe. — a palavra, (fg.) se rafraichir le 
gosier, aller boire au cabaret. — os pds, (Ag. 
fam.) s’enivrer, se sohler. 

MöLng, s. m. möle, jetde de pierre & Yentree 
d’un port. 

Moıntıua, s. f. ospäce de collier feit de 
psille que les portefaix mettent au cou pour y 
appuyer les fardeaux, etc. 

Moısta,etc. V. Mulher, etc. 

Moımsuin. V. Mollinkar, 

Möusinno, dim. de Mölho. Petite botte (de 
paille, de foin, d’oignons, etc.). — de flores, 
bouquetide fleurs. 

Nouninno, dim. de Mölko. 

Möruo, s. m. faget, falourde. Faisceau, botie 
(de paitle, de foin, d’asperges, eie.). ° Gerbe 
de bie. (beri. p. us.) * Epee. 

Möıno, 8. m. "sauce : assaisonnement 1i- 
quide, sale ow &pice. Deiter de —, macörer, 
faire tremper un corps dans un liquide. 

Mornosinno. V. Molhinko. 

Morıricar, etc. V. Mollificar, etc. 

MoLıntte, s. m. meulinel : espece de tour- 
niquot Pour enlaver on lirer des farlleayx, 


MOL 


MoLMmmÄR, v. @. ou w. mondre au monlin. 

"Mouısatıra, 5. f. V. Moinho, Alafona, 

MorınaiLo, 3. m. petit moulin ä cafe, etc. 

Mouınis40o, s. mw. Molinisme : opinion de 
Molina sur la gräce obienue par le scul amour 
de Dieu ; quietlisme,. 

Mouınista, a. m. Moliniste : partisan do Mo- 
lina, qui crolt & la gräce suffisante. 

MoLınöte. V. Molinete. 

+ MorLan, adj.2 gen. quiooncerne la meule. 
Qui peut moudre. Pedras —es,, pierres meu- 
lieres. V. Molar. 

MüLıg, s. w. V. Möla, 

MöLLz, adj. 2 gen. mou, tendre : qui n'est 
pas dur. —, läche, eflemine. Ovos—ı, wuls 
mollets ; confiture d’auls, Pdo — ‚pain tendre, 
mollet. Molle —, loc. ade. petit & petit, peu ä 
peu, lentement, doucement; & petits pas. 

Morutina, s. f. *sinciput; sommel de la tkle, 
fontanelie. N4o ser fechado ou cerrado a—, 
(Ag.) avoir peu de jugement. Por osalns—, 
(id.) rendre sage a force de corrections, de 
chätliments. Ser duro da — , &ire tötu, opinid- 
ise. Avoir la töte dure, &ire lent & oomprendre. 
Ter jd dura a —,n’6tre plus en &lat, dans 
Päge d’apprendre. 

+MoıLtra, s. f. “ris de veau, glande sus 
la gorge de cet animal, 

MoLLEuEnTg,, adv. mollement. 

MoLLenauginiö, etc. V. Molanqueirdo, ei. 

MoıLgriö, s. m. molleion : etoffe Ir&s-doucn 
et molleite de laino ou de coton. 

MorL.äts, adj. mollet, tendre (pain). 

Morıtza, s. f. mollesse : qualits de co ui 
est mou ;(Ag.) manque de vigueur, de fernels, 
vie oisive et voluplueuse, 

MoıLezingo, a,adj. dim. de Molle. Un pen 
mou; qui n’a pas beaucoup de vigueur, ui 
est encore frais, tendre. 

MouLicıa,, s. f. mollesse, delicatesse, deli- 
ces, paresse voluptueuse. V. Mollicie. 

Moricıg ,s. f. " peche contre nalure, maß 
turbation. V. Mollicia. 

Moıuıni0, s. f. delicatesse de tempöranıenl. 
V.Molieze, 

Mouusicaci6, s. f. * amollissement : action 
d’amollir. Mollification : action de mollißer, 
sos elleis. 

MoLLisicino, A, 9. p. de Mollifcar. el. 
Amolli. 

MouLuiricänte, adj. 2 gen. amollissant, qui 
amollit, p. a. de 

MouLsricir, ©. as. amollir : rendre mon. 
(t. de med.) Mollitler : rendre mou et Auido. 

MoLLisicaTivo, A, adj. mollifiant : qui send 
mou et fluide. 

MoLLinHaA, s. f. bruine, pelite pluie douce. 

MorLummär, v.». bruiner, pleuvoir legire 
ment. V. Chuviscar, 

MoLLinno, A „adj. dim. de Molle. V. Meildie. 

MoLLinu6so, A, adj. bruineux. 

Morin. V. Mequiner. 

MorLıta. V. Eiche. 

* MoöLıo, Y. Mölho, 


MON 


MON 809 


de 


TMoLzdcku, 8. f. (1. de bei.) * geillet biane : } miöre elassedes vegetaux; hermaphrodite Aune 


Blante. 
MoLLöaı, ou Nmoliesse. V: Molidse.(fig.) 
Morwöasa, s. f. )" Patelinage. Petite roste, 


} MorLiscos, a... (1. d’kist. nat.) mol- 
lusques : vors imparfails ; animaux sans vortö- 
hres, inarlicules, & chair molle, 

+ MoLöncuo, s. m.(1. d’Mist. nat.) molorque: 
coldoptere. 

Moıöss0, s. m. molosse : espäce de gres 
ebien, dogue, mätin ; pied de vers latin de trois 
sylliabes longues, 

TMoxtcas, s. f. pl. (l. de gdog.) Meluques : 
tles de lamer desIndes, sous la ligne, 

Mo.öra.V. Mollüra. 

Möua , f. de Mömo. V. oe mot. 

MONMENTANBAMENTE , adv. momeniandment: 
. Passagerement; pour os pendant un moment. 

MouMENTÄNEO, A, adj. momentane : qui ne 
dure qu’un monıent, j 

MOMENTO, 3. m. moment, insiant, lemps 
fort court,, petite partie de temps. * Importance. 
(£. de mec.) —, produit de la puissance du le- 
vier; quantlilö de mouvement. Acoda —, & 
tout moment, &ä tous momenis ‚sans cesse. No 
— preciso, ä point nomme. 4o—, Al’instant, 
sur-le-champ. Por —s,Atoul moment, sans 
cesse. 

Mo=M£NXTO, Ag adj. grimacier. 

Mönuıa. V. Mumia, 

Monice, s. /. momerie, singerie, alfecialion 
sidicul>. 

Möwo, s. m. (l. de myth.) Momus : dieu de la 
satire, le bouffon des dieux. Geste : figure; 
grimace pour faire rire; singerie. * Represen- 
tation mimmique, mime (farce et acteur). 

Mowöra, s. f. (l. d’hist. nat.) ° momot: 
passereau d’Amerique, dentirostre. 

MOoNMPSLBER, 3. m. (4.de gdog.) Monipellier: 
ville de France. 

Monupost£ino. V. Mamposteiro. 

Möxa, s. /. guenon : singe femelle. (Ag.) 
Ivresse. — enfeildda, (fig. fam.) guenuche 
coiffee : femme laide et [ort paree. 

MonacäL, adj. 2 gen. mouacal : de meine. 

MonAcALMENTE, adv. monacalement : d’une 
maniere ow [agon monacale. 

MONACATO , oW monachisme : 6tat des 

MONACHISMO, 3.m. ) moines. " Moinailie. 

Monacönpio. V. Monocördie. 

Moninı,s.f. mine, grimace , gesie afects, 
singerie. 

Mönapa , 8. f. (f. de phys.) monada : &ldment 
simple des £&ires suivant Leibnitz. (4. d’hist. 
sat.) * Monade : ver polype amorphe, infu- 
soire. 

+ Monaptıpgia, 8. f. (fl. de bot.) monadel- 
phie : sceizieme classe des vegetaux. 

+Moxape&ıpno, A, adj. (f. de bot.) monadel- 
pbe. Estames —s, Stamines monadelphes, röu- 
nies par leurs fllets. 

+ Monapista, adj. eis. m. monadisie : par- 
fisarı du systdıne des monades, 

Moninpnta, 3. f, (4. de bof.) monandris ; pre- 


etamine, suivant ie sysidıne de Linne. 

+ Monänsao, A ,adj. (i. de bot.) monandre : 
qui n’a qu’une &tamine. 

Monıguisuo. V. Monachisme. 

Moninca, ow monarque : oolui qui a 

Monäncaa , 8 @. | seul lopouveir souverain 
dans un grand &tat. (Ag.) " Capitale, mötropole. 

Monanchia ,s. f. monarehie : gouvermsment 
d’un e&tat rögi par un seulchef, unrol; cet 
dtat. 

+ MONARCHLAR , 9. 6. 06 9. BOUTEFNEF OR MO- 
narque, [aire le monarque. 

MONÄRCHICANENTE , adv. monarchiquement, 

MowäncHico, a, adj. menarehique : de la 
monarchie ; gouverne par un menarque. 

+ Monäncnicos, s. m. pl. monarchiques : he&- 
retiques qui n’admettaiont qu’une seule per- 
sonne dans la Trimits. 

+ Monancnista , s. m. monarchiste, monar- 
chien : partisan de la monarchie. j 

+ Mowancmömaco, A, adj. et s. m. qui ost 
contre le monarguo ow contre la monarehie. 

Moninpa, 5. f. ($. de bof.) monarde : planie 
labide de !’Amerique du Nord. 

Moxasia, s. f. singerie. V. Mondda. 

Monangtia , ete. V. Monarchie, ete. 

Monisticautnıs, ade. suivantı les rögles 
monastiques ; & la maniere des molnes. 

Monästico, A, adj. monastique : qui tient 
du meonasiöre; qui voncerne les moines, les 
religieuses. 

Moncir, v.n. V. Assodr-se. 

Mongiö, s. m. (i. de mar.) mousson : venis 
psriodiques de la ıner des Indes;; leur saison ; 
courant forme6 par le vent. (fig.) Occasion op- 
portune. 

Mönco ‚8. m. "morve : huameur visqueuse des 
narines. — do per& , oxcroissauce obarnue au 
bec de dindon. 

Moncöuas, s. f. pl. grimaces feinies. 

Möncos, s. m. pl. (4. de bet.) ° queue de re- 
nard : plante. V. Bredes vermeihos. 

Mowcöso,, A, adj. morveux: qui a dela morve 
au ne2. 

Mönpa, s. f. serclure, action de sarclor; ce 
qu’on arrache en sarelant. 

Monpantına,s. f.sarcleuse, fommequisarele. 

MonnaD&nTEs,, 6. m. cure-dents. 

Monvivo, A, p. p. de Mondar. 

Mowpanon, 5. m. saroleur : qui sarele. Sar- 
oloir : instrament pour sarcler. — dos ouvidos, 
eure-oreilles, 

Monpaoöna. V. Monde, 

Monvin ‚u.a. sarcler, arracher lesmauvaises’ 
herbes. (fg.) Monder , nettoyer. 

Monpıricia, etc. V. Mundificar,, eic. 

Monpönco, 3. m. *tripes : intesiins d’ani- 
maux de boucherie. V. Debulho , Devenire. 

Monnönco , A, adj. sale, nıalpropre. 

Monpoxcrkina, s. f. vendeuse de tripes. V. 
Tripeire. Gaupe, femme ınalpropre. 

+ Montına, s. f. ($. demaer.) * bourreiet ow 
baurlet : cordages antnelasos aulour des mAlp 


810 MON 


pour les fertifier, pour tenir da vorguns saillie 
en rond , renlomens on anneaN. 

Montra, &. f» (1. de mer.) bennetis : petite 
voile. 

Moxerirıe, A ‚adj. ruondtaise, (syohdike -—-) 
des monnsies; quiyara Das 

Montes, 0. 0. V. 

u Monrania. Vv Fer 

tMousmariro, s. m. (t. de gdog.) Mont- 
forrat ı provinse d’ltalie. 

+ Monti, s. m nom de certains Maures qui 
vivalenı de 

Monce. V. one. 

Monsta, V. Bungir. 

+ Moncındao, & m. (4. de gdog.) mont Gibel, 
Eina : monlagne de Sieile qui brüle teujeurs. 

Moncis, 0. m. habit de religieuse, de veuvo, 
de femme en deuil. 

Möncus, s.m. (1. d’hisl. mal.) mengeus ı maki 
brun, espöpe de singe. 

° Moncr. V. Mongil. 

Monne „s. m. tignon , tortillon, shigumen : cer- 
ele quo Jes femmes lorıneni areo leurs oheseux 
sur le baut de la 165. Fanx toupei pour les 
femmes chauves. 

Monınturo, V. Monumensie et Moimersto. 

Monıröpıo. V. Monopölie, 

Monin , 6. (1. de prat.) edmonester. 

rt ‚6. m. monileur : qui avamit., gei 
denne des sensells. 

Mouırdas, s. f. "menliaire, meniterial: 

MonıtorıaL, adj. 2 gen. monitorial : eu lorme 
de monitoire. 

Monstönso, A, ady. qui avertit, meniteklal. 

Monırösıo, e. m. menitelre ; letire de I'offl- 
cisl pour foreer A rovoler un crime. 

Mönsa, s. f. religieuse d’un ordre menacal. 
VRR 

Mönsk , s.. meine; solilaire, anachordie. O 
habilondo fazo—,l’'habil ne fait pas le moine. 

Möno, s.m. (8. #’hist. nal.) singe: quadru- 
mane; grand singe, Marmot : gres siage. ( ig.) 
Feinme iwwdw-leide, — oranguiange, lorang- 
oulang. — longimene, gibbon. — oimmenid, 
wouwou. -- froglodita, chimpanse. Joeko de 
Nuffon. -- pasdz , guomon. » cAllüriche , valli- 
triche. — variegado de Barbaris, " mene ou 
vieillard , singe vario. — da barba branea, ro- 
Inwai. — da bigedes brancos, meusise, -- de 
nariz branco d’Augole, blanc nea. — ansigdd, 
uasigue, — de beige rachado , macaque, —» cas- 
quelsade da Chiae, bonnet chineis. — papido, 
papion. — cynocephalo, magot, terlarin, mO- 
menel, singe cynoccphale. — guarids, alouatte. 
— quaribs pre@lo, "ousrine, espece de sap&jou. 
Pregdr o — e alguem, (ig. fam.) jeuer ın 
tour & quelge’un. 

+ MunocanöxTE,e. m. (4. d’hist. nat.) mOno- 
ceros : licarııe Oßlacde ; scarabee-rliinnoeres. 

Muxocknöte. V. Licorws. 

Monoconmo, s. m. monocorde: instrument 
de musique & une seule corde pour marquer la 
niesure. Y, Blamicordio. 

T MonocotrL.£ponk, adj. 2 gem. (1. ds det.) 


MON 


mnneostgiedene : gai n’a qu’ün Iobe ou caiy- 
Itdon. 

MeuöclWt.o , s. m. menecle : iunelte & un seul 

verse. auf. Dargne : qui n’aqWud weil. (1. Chic. 

ae) Monesle ı crasiead; pace aqustigee. — 

earangurfo das Molucat, limaie 


yigdaten ou 
geant. — dgede ou varalgucjünhe, apus tar- 
aritoreme, 


+ MonopicrrLos, s. m. pi. (4. E’hlst, nei.) 
ı genre de polssbne thoraciques. 

Mononia, e f. menedie : chaht A une seuk 

voix; chant fundbre d’une pleuretise ä gagel. 
Monorıin, %. &. chanler deul, surtout dans 

les funsrailies ; deplerer. V. Menocia. 
‚Momöpıco, A, adj. galt vonverne la monodie. 
Monogcıa. V. "Honoieis, 


Mowocawia, s. f. monogamie : tat de oem 
qui w’ont &t6 'marids qu’ube fois,; (3. de kot,) 
dernior ordre de la syngeneste. 

MonöcaNO, A, adj. et 8. Monogame: quina 
öt6 marid qu’ une fols; qui n’a qu’une femme. 

Monoarniuisa ou } monogramme : chiäre 

Mondeniwko, s. m.) qui renferme le nom. 

Monoonarnia, 8. f. Inonographie : description 
d’an neutl objet, d’une seule maladie, eic. 

+ Monocrarno, A, adj. et s. monographe 
qui ne traite que d’un seul objet. 

Monocr'nıa, 3. f. (8. de bot.) monogynie: 
premier ordre de fa treizi&meciasse des vege- 
taux n’ayant qu’un pistil. 

+ Monooyno,A, adj. (t. de dot.) monogype: 
(fleur —)quin’a qu’un pistil, 

+ Mowofcrh, 8. fı (I. de ol.) monolque, me 
neeie. V. Planlas monoicas. 

+Monöico, a, adj. (8. de Bol.) manofgue: da 
la mongele. Plantas —as, monoique, @*- 
nesele : plantes dont les sexes s&pares Sont sul 
le m&me indiride. 

+ MonoLireo, a, adj. monollihe : d’me 
seule pierre ( obelisgue, tombeau, ei£.). 

MonvrLocd, 8. M. monologue: seine diamı- 
tique od un acheur parie seul. 

Monomachia ow —otvia, 8. 
combat singulier, duel. 

Mowrönio, s. m. (i. d’alg.) monome: gran 
deur eomposte d’une seufe partie; quanliie 
algebrique qui n’est pas divisse par des m 
unes. 

MonertraLo, A, af. (t. de dul.\ monopelale: 
(eur —) qui n’a qu’un weul petale. 

Meondrtvırd, a, wlj. (d, de bot.) monophylle: 
(calice, inrolucre —), d’une geule piöce. 

Menörıa. V. Manopla. 

Monorötico, A,adj. qui tient da monapole- 

MonsrdLio, 8. m. monopole : commerce il- 
lioite entre les mains d’un seul ; conrention de 
eommercaniis pour alterero® encherir une mir 
chandise. Atraparcment : amas fait pourteie® 
dro & plus haut prix lors de la diselte. 

MonoroLisra , &. m. ınonopoleur : qui fait le 
monopolc. 

MonoroLizän, v. a. monopoliser : eXeftt"‘ 
faire le monopole. 


Monoröuo, V, Monopolis. 


f. monomachle: 











+ Monorrka1o, s. m. (1. darch.) monopiäre: 
tempie rond, sans murallies, ä teil porte suf 
des colonnes. 

+ Monospftau0, A, adj. (1. de Bot.) meno» 
sperme: qui n’a qu’uno semenee. 

$MONÖBTROPER, 3. [- piöce de po6sie d’ane 
seule strephe , ohanson d’un oouplet. 

MonosyLLisico, A, adj. monosyllabique ı 
forms de monosyllabes (vers). 

MonosY'’Lıano, A, adf. eis. m. monesyliabe ı 
d’une seule syliabe. 

} MoworuzLisuo, s. m. monothelisme : suote 
des mototkelltes. 

t MonormzLiras, s. m. pl. monolhölites : 
pectaires qui n’admettaient un J.-C. qu’une vo- 

onte. 

Monoronia, 8. f. motölenie : uniformite, 
&galild ennuuyease de tous; (Ag.) de wours, de 
figures, de pens6as somblables. 

MoNnörONo,, A, atlj. monotone : toujonrs sur 
le meme ton; (g.) d’une uniformite faligante. 

+ Monguiıno, s. m. dim. de Monco. Codilho 
e —. On le dit au jeu de ’hombre lorsqu’on ga- 
gne la poule apr&s avoir fait codille. 

Monsennön, 8. m. Monseigneur, dignite eo- 
elesiastique. 

Moxsenuonino,s.m. | la dignit? de mon- 

Monsennonia, 8. f. seigneur. 

MOoNSEOR, 8. m. monsieur. 

Monsıuaa,s.f. A’—, dla frangaise. 

MöNnsTRo, 8. m. monstte : animal conforme 
contre l’ordre de la nature; prodige, chose 
surprenante; animal difforme ; personne extr&- 
mementlaide. 

Monstaoso. V. Honstrwoso. 

MONSTRUOSAMKNTE , adv. monstruäusement. 

MonstruosıpäDe, 5. f. Mönstruosite : carao- 
were, vice de ce qui est monstrueux, au Propre 
et au figure. 

MonstRUös0, A, adj. monstrueux : d’une 
eonformation contre nature; du monstre; ex- 
cessif, prodigieux. (ig.) Vicieux ä l’excds. Flo- 
res —as ‚( 1. de bot.) monstres: fleurs doubles. 

MöntıA,s. f. ° muntant : total d’un compte; 
somme, importance. Valeur, prix intrinsdque 
d’une chose. Cousa de pouca —, chose de peu 
de valeur, de peu d’importance. 

* Monrtipeco ou droit, impöt suf les trou- 

* Moxtan£co,s.m. | peaux qui passent d’un 
lieu A un autre, pied fourche, etc. 

Moxrino,,s. m. bois de ch&nes, chenale pü 
l’on met les cochons & l’engrais. Temps qu’ils y 
demeurent. * Glandte : r&colte d& glands, de 
fruits des for&ıs. V. Montddego. 

Moxtipo,A,P. p. de Montar. 

Montanöuro, 3. m. montir: plerre, eic., 
qui sert ä monter ä cheval. 

+ MontinacaLöch, 4. f. espbtede rue sau- 
vage. 

. Monriumn ‚s. f. montagne. 7. Monte. 
onsannkına. V, Montado. 

Monrasutsco „A, adj. de la möntlagne. 

Montanußta, s. f. “monticule : pelite mon- 
kagne, ° 0 


MON si 


Monranutz, a, adj. et s. de mentagne , men- 
tagnard. 

Montknm6s0, A, adj. moßtagnetx : plein de 
montagnes. 

Mornranfsrito, A, ad. qulooneorne Pexträc- 
Yon et la fusion des metaux. 

t Montäno, A, adj. de montagne: qui ap- 
partieht aux montagnes. 

MonTänte, s. m. espadon : grande et Jage 
üpee & deux mains. ° Pidce de Tou d’artilice qui 
a la forme d’an espadon. 

MonTinTtE, adj. 2 geh. montant. A — da Wie- 
r6 , marde montante. 

Montiö, s. m.tas, amas, monceau. De — 
ouem —, en as, pele-mele, sarıs ordre. A —, 
au hasard. A montöes, en tas, & foison, en 
abondance. 

Montär, v. a. monter. — um cdbo, doubler 
un cap. — s artilkeria , monter les cationıs sur 
leurs affüts. — a guarda, a trinchefra, monter 
la garde ‚la tranchee. 

Moxtäin (em), v. ». monter, ei surlodi mon- 
ter & cheval; se monter, faire la somme de. 
(Ag-) Importer, &tre de consequence. — Mal a 
tavallo,, monter, aller mal a cheral. DO estribo 
de —, !’ötrier du montoir. — d gindie, aller & 
cheval & la geriette. Besta de — , monture. — 
em ost0, monter ä poll. Tanlo monia, altant 
vaut. 

+ Montaniz, #. m. karte de bols. adj. 
2% gen. De morlagne : montagnard, qui vit 
dans les montagnes. Saurage : qui vit dans los 

is. 

Montania. V. Monteria, 

" MontaLico. V. Monstadege: 

MonTE , s. m. mont : monfägne. Tas, mon- 
ceau. " Foret, bois. * Metalrie; bameau. — de 
ptedade, mont-de-piete : lien od Yon prete 
sur gege. — pio, &tablissement dans 1e- 
quel les militafres deposent un jour de leur 
solde d’un mois, pour que leurs femmes ou 
Nilles aient, aptes eur mort, une pension de la 
moitie de leur solde. Ander a— , (fig.) se sau- 
ver dans les montaghes, dans les bols pour 
echappet & la Justice. Cesser de paraltre dans 
les endroits que l’on frequentait. A—, 4 la 
bouieruo, au hasard. Ir de = a —, deborder, 
parlant d’une ririöre. Promelter —ı W’uuvo, 
(fg.) promettre des monts d’or ow monts et 
merveilles. Por —ı e valles, par monls el par 
vaux. 

Montta,s. f. &lövation : plan drlhugräphi- 
que d’un bätiment sar le papier. 

+ Mokteanör, 8. m. chasseur de monlägne, 
des bötes faurves. 

MOönTEÄR, 0. a. ei n. chassor dans les mon- 
lagnes, aux betea fauves , eic. 

Monruanla, s. f. V. Monieria. 

4 MONTECARMELLO , s. m. (l.de ydog.) mont 
Carmel. 

Monrktına,s. f. chasserense. Espäce de gras 
bonnet de drap que porlent les gens de la cam- 
Pagne, etc, 








812 MOR 


Monreinia, s. f. charge de veneur. 

Mostetıno, s. , veneur ; celul qui comduit 
la chasse, qui dirige Ics chiens, etc. Garde fo- 
zeslier. — mör, oonservaleur des foröls; capi- 
taine des chasses. —mör de reino, grand vo- 


neur, 
Mont£ino,, A, adj. pour la venerie. V. Mon- 


Montseia, 6. f. venerie: chasse aux biles 
noires et fauves; art de chasser. ° Bois, foret 
ou l'on chasse les beöles [auves. — mör do rei- 
no, charge de grand veneur. Carne de —, v6- 
naison,, gros gibier. 

Moxtez, A, adj. 2 gen. de moulagne , [arou- 
che , sauvage, färoce. Porco —, sanglier. 

MoNnTEzinuo, s. m. dim. de Monte. Monticule, 
tortre. 

Muxtezinuo, A, adj. sauvage, qui vit, qui 
eroit dans les bois. (Ag.) Sauvage , loup-garou, 
bourru , farouche, hagard , insociable. 

+ MoxricoLa , 8.2 gen. qui babite les monta- 


gnes. 

Monrixno, dim. V. Montexinho, 
: Moutuöso, A, adj. monluaux : rempli de 
, monlagnes. 

Montuatıno, s. m. ehiffonnier. 

MonTtüso, s.m.“voirie, las d’ordures, tas de 
fumier. 

MORUN£NTO ,s, m. monument : znanque pu- 
bligus pour Lransmeltro & la poslöritö la me- 
moire d’un personnage, d’une acliou oelöbre; 
tombeau. —s, pl. monumenis : histoire des 
anciens lemps. 

* Möoro. V. Mölko. 

° Myoa. V. Mor. 

* Moonpouo, etc. V. Mordömo, eis. 

Mügqua, s. f. fureur fanatique des pelerins 
de la Mecque, 

fMoaviuo, s. m. " mosqude des Bedouins 
de Socotora. 

Mögus ‚a. m. ancien tribut que payaient les 
Maures loleres. 

+Moguxin, v. a. (f. du Bris.) boucaner : 
söcher ei [umer la viande sur le mogudm( V.ce 
mot); faire s6cher & la fumce. 

+Mogqusca, s. f. (tl. du Bres.) " ragoüt de 
petits poissons, de creveties, elc., rölies et 
enveloppees dans une feuille ayant la forme 
d'un epi de mais; ragoüt assaisonne avec le Jus 
de ces petits poissons , etc. 

+ Moqusu, s. m. (1. dw Bres.) beucan ı 
grille pour boucaner la viande. 

Mogutnca, s. f. (1. dw Brds.) " ragoüt de 
viande avec du vinaigre. 

Moguäuco „A ‚adj. grimacier; patelin. 

f Moguiin. V. Mogusar. 

+ Mogtisıa, 8. f. (4. d’Afr.) pretendue qua- 
lits occulie , qui a de l'influence sur le bien et 
sur le mal, ei qui sort ä deviner le futur. 

Müun „adj. 2 gen. (contraction de Maior. V.) 
Grand, principal. Plus usite dans les meois 
eomposes. Ex. : Montelro —, mprdame 
grand veneur, grand chaımbellan, 


_MOR 


Möna, 8. f. (1. de prat.) * dölai, kelarde- 
ment. 

Monasita, 5. m. morabite : religisuz soli- 
taire mahormeian. —, pl. Morabites : Alricaisı 
qui font profession de science ei de sain- 
lets ; soctateurs de Mohardin,, petit Als de Ma- 
komet. 


* Monasıtınana. V. Meravidiada. 
Moaasıtiao. V. Maravedi. 
Monasito , s. m. morabin, morabite, V. Mo- 


MoaipaA, 5. f. ° manoir, sejour, demenrfe, 
habitsiion, retreite, 

* Moaapka. V. Moradia. 

Monıpia, s. f. pension annuelle donnde par 
le roi & certsins gentilsbommes. 

Mor4Do, A ‚adj. de couleur de müre, violet 
fonce. Habit6 par quelqu’un. 

Monspöa , A, adj. et s. habilanı; demen- 
rent. . 

MosiL,s. f. morale: science , docirine des 
maurs; irait6 de morale ; connaissance de nos 
devoirs enveors autrui et Mous-Meines, &. M. 
Moral. Theologie morale. 

MoniL,adj. 2 gen. ınoral : qui regarde les 
maurs; conlorme & ja morale, qui l’enseigne, 
quila pratique, Ja suil; qui a de la moralile, 
de la morale. Evidencia —, evidence ou cerli- 
tude morale , extreme probabilite. 

MoraLıpips, s. f. moralite : reflexion mo- 
rale; caraciere moral d’une personne, 58 
maurs „ses principes; sens, but ınoral; rap- 
port des actions avec la morale; principes mo- 
raux ; qualitö morale ; priucipes , conduile, oon- 
formes &ä la bonne morale. 

MonuLista ‚s. m. moralisie : qui ecrit sur les 
mours. 

MORALIZADÖR, A, 5. tuoraliseur : qui alfecie 
de parler morale, 

MoaaALIzär, v. a. et ». moraliser : faire des 
röflexions morales. 

MoRALNENTE, adv. moralemeht « suivant les 
regles de la morale; suivanı l’opinion genera- 
lement recue. 

+ MoranciL, s. m. “fraisiere : terrain planid 
de [raisiers. 

MoränGko ou Y fraise : fruit du lraisier. 

Mosäinco, 8. m. V. Morangutiro. 

Monancoßıno, 8. m. (. de bot.) fraisier, 
plante rosacde sioloniföre , ui produs la 
[raise. 

MoRÄNTE, adj. 2 ger. demeurant. p. a. de 

Morir (em), v. ». deineurer, habiter, s6- 
journer, loger. 

Monatönıa , s. f. ° repit : delai acoordd A uR 
debiteur. 

Monsip£z, s. f. (tl. de peint.) morbidesse: 
mollesse, deliealesse, souplesse desagreable 
des cohairs dans les figures d’un tabloau. 

Mürnıno,, A, adj. malade , inürme. Malssın: 
qui cause des maladies. (l. de peint.) Morbide: 
(ehair —), mollement, vivement, delieate- 

"ment exprimöe; (disposition —, 5. de mil. 
ı Stat qui pr&cede ef caracierise uno maladie, 

















nn 


MOR 


Monsisıco, A, adj. morbißque : qui cause ou 
regerde la maladie. 

Mönno, s. m. (4. de med.) * maladie. V. 

— gällico, verole, mal venörien. 

Monnöso , A, adj. maladif, malsain. 

Monctco, s. m. (tl. dhist. nal.) chauve- 
souris : memmilere cheiropiöre. — orelküdo, 
oreillard. — wocluldno , noctule. — ferradu- 
rddeo , le for ä cheval. — albabardino ‚le fer-de- 
lance. — espdciro, specire. — espasmanle, le 
spasme. — de beigo rachddo, le hoc de lievre. 
— moldso , neclilion dogue. 

Monckua, V. Murcella. 

Morpica,s. f.* bäillon : instrument qu’on 
mes dans la Louche pour empecher de parler. 

Morpacivipe, s. f. mordacits : qualit cor- 
rosive. (ßg.) Medisance aligre et piquante; 
causticite. 

MonpacissiM0,, A, adj. zup. de 

Morpäz ‚adj. 2 gen. mordicant, äcre, COrTO- 
sit. Äpre au goüt. Mordant; qui mord, qui 
ronge , acide. (g.) Piquant ‚ satirique; mordi- 
cant, qui aime & critiquer, & meödire. 

Moapizuänıe, ade. d’uno maniere mor- 
dante , avec Acreld. 

Monpenon, A ‚adj. ets. mordant : qui mord. 
C#o lsdrador n&o d grande — , chien qui aboie 
ne mord pas. 

Monpxznünä, 8. f. MOrsure. 

+ Monpkııa, s. f- (4. d’hist. nal.) mordelle : 
insecte heisrome£re, mordellone. 

MorD£.nte ‚3. m. mordant : vernis pour fixer 
Vor,eic., sur les metaux, etc. (t. d’impr.) 
Partie du visorium. (8. de mus.) Petit trille. 

Monp£a, v%. a. mordre : serrer avec les 
denis, ie bec , aveo tout ce qui pince, serre. 
Piquer, picoter, ötre äcre, corrosif, äpre su 
go@ät, au toucher. (fg.) Critiguer, medire; 
pincer, donner des coups de langue. — a ferra 
ou a areia, mordre la poussiere : @tre tus et 
renvegss sur la place. — 0 freio, (fig.) ronger 
son frein. — os dddos,, se ronger les doigte, se 
manger de oolöre. —a lingua, (fig.) se mordre 
la langue ‚se faire violence pour se taire. 

Monpta-48, v. r. se mordre. (fig.) S’enrager 
de ne pouvoir faire oe qu’on voudrail. 

Monpaxim. V. Morexim. 

Monnicaciö, s. f. (1. de med.) " picotement 
caus# par l’scrimonie des humeurs, mordica- 
den. 

Monpıcinte, adj. 2 gen. Acre, picolant, 
eorrosif. En pbysique et en medecine, on dit 
mordicant. (fg.) Qui aime & critiquer, 

Monpıciö. V. Beliscdö. 

Moanoıcir, v. a. (4. de med.) picoter : se dit 
d’uus humeur mordicante. Mordre, piquer, 
parlant des acides. Mordiller : mordre legöre- 
ment, & plusieurs reprises. 

+ Monpipa-no-niäno, 5, f. (id. de bot.) V. 
Mörso do didbo. 

Monpip£LLa, 3. f. morsure ; plaie causee par 
une morsure. 

Monpivo,A,p. p. de Morder. 


Monnnarrg, Y, Aemprdimento, 


MOR 813 


+ Moapıziu, 3. m. sorle de poisson de la 
oöte de Mozambigue. V. Morexim. 

Monpomivo, s. m. V. Mordomia. 

MorpoMÄR 0% administrer, rö- 

MoRDoMKAR,v.a.el m. | gir des biens; 
faire ie majordome. 

Monpouia, s. f. administration, intendanoe, 
gouvernement d’ane maison, d’un bien, d’une 
oonfrerie. 

Mönpöuo, 8. m. majordome : Intendant de 
maison; maltre d’hötel. Syndic de confrerie.- 
(#. de mar.) Maltre valet du capitaine. — mer, 
grand-mattre dela maison du roi ; grand cham- 
bellan, intendant de la maison du roi. — ds 
igreja, marguillier. 

+ Monta , s. f.(1. de gdog.) Morde: presqu’ii 
su sud de la Gräce, autrefois P&loponnese. 


-I (ant.) V. Carrada. 


Montu ,s.f. (t. d’hist. nal.) mur£öne: poisson 


a . 

Mortıra, etc. V. Amortira, etc. 

*Monzır£no. V. Amoreiral. 

Monssär. V. Mourejar. 

Mos&no, A, adj. gris-brun, brun qui tire 
sur le noir. Moricaud , qui a le teint tres-brun, 
presque noir. 

Montscos, s. m. pl. (t. d’orfev.) moresque, 
peinture ou reliel de feuillages. V. Arabescos. 

Monzrtim. V. Muletim. 

Monzxiu, s.m. (}.d’Asie) indigestion meg- 
telle, colique trds-dangareuse. 

Morränno. V. Fanköse. 

Moarka, s. f. mal de saint Lazare. V. Mor- 


e. 

Morcipa ‚s. f. femme qui jouit d’un majorat. 

Moscäno, s. m. majorat : sobstitulion des 
biens d’une maison aux atnds; droit d’alnesse. 
Alnd d’une grande maison qui jouit d’un ma- 
jorat. — d’agnapdö,, majorat qui, A defaut de 
la ligne masculine, admet le mäle le plus pro- 
che de la ligne föminine. — de masculinidade, 
substitution bornde exciusivement & la ligne 
masculine, ou qui n’admet que les mäles, soit 
en ligne masculine, soit en ligne f&minine. — 
reguidr, substitation par laquelle Je mäle est 
prefere & la femme, ot l’aind au cadet dans la 
me&€me ligne. 

Moaısönno, A, adj. et s. moribond : qui va 
mourir. 

+ Monscnaaciö,s. f. rögle dans les maurs, 
dans la conduile : temperance. 

t MoxıcsnAno, A, adj. Bem ou mal— ‚d’une 
bonne ow mauvaise oonduite, qui a de bonnes 
0% mauvaises maurs, 9.9. de 

Mortıorzir, v. a. möorigener : former ies 
maus ; Instruire aux bonzes maurs;; corriger 
les mauvaises. 

+ Monizua, s. f. (6. de bot.) merille : espece 
de champignon. 

MorıLui6, 3.m. (f. d’kist. Kal.) puceron s 
hemiphere, homoptere, ophidien. 

Monina ‚s. f. (t. de bot.) morine : plante cag« 
diale Ay Levant, 


m. 





8ir MOR 


+MorıneLLo,3.m. (4. d’hist. nal.) guignard; 
sorte de pctit pluvier. 

+ Mosıuca ‚ss. [.(1.de bol.) moringaou—gua, 
arbre de !'Inde,, produit Ja noix de ben. 

+ Monincue, s. m. (l. dw Bresil) "cruche & 
geulot ötrait, 

+ Mörıo, s. m. (ti. d’hist. nat.) morio : an- 
tiope magnifique , papillon diurne. 

Monuackına,, s. [. " temps lourd. 

MoRnuActnTo, A, adj. Tempo —, temps hu- 
mide et lourd. Cavalla —, cheval morveux. 

Moauico,s. m. V. Mormaceira. 

MönutuTe, adv. (pour Maiormente. V.)Prin- 
eipalement, surtout, d’autant plus. 

Meoauo, 4 m. "morve ; maladie contagieuse 
et mortelle des chevaux. Cavallo com — ou 

tem —, cheval morveux. 

*MoruüLua, V. Memoria. 

Monuvria, oic. V. Murmurar, etc. 

f Morurv’ao,s.m.(l. d’hist. wat.) mormyr6: 
poisson branchlostege du Nil. 

u niwid, s. f. liedeur ;: &lat do ce qui est 
e. 

Mörno, a, adj. liede:: entre lechaud et le 
froid; (Ag.) qui manque d’activite, de ferveur. 
Morne. Aguwas —as, (Ag.) remödes, moyens 
pällistifs, inefficaces. 

"Mono, s. m. sorte d’ancienne meosure. 

t MorÖgauknts , adv. d’use maniere lente, 
tardive 


aa arOsıpinE, s. f. lonteur, retardement, 
a 

Moröso, A, ads. morosif, Tent, tardif. 

MoröucO, &. m. las, Moncesu. 

npußı,s.f. elephanliasis : Iepre qui ride 
la peau comme celle d’un #lephant. 

ORPRßO OU —PIIEU, s. m. (. de my£h.) mor- 
phee :le premier des songes; (fig.) le som- 
meil. 

Monnica, s. f. berbe qui croft aux rivages 
(dans les Algarves), et que l’on donne aux che- 
vaux. Fange, vase. 

MornaciL,s.m. lieu oü ily ade la morraga. 
V.ce mot. 

Monxi0.V. Murrdd. 

Monnanfa, 3. /. quantit& de terires. 

Mornepön, A. V. Perecedöuro. 

Monnta (a, de, para, por), ©. #. mourir: 
dectder; cesser d’dtre, de virre, d’exister; 
peräre ta vie, Y'&tre, ie mourement, Paction, 
la force, la couleur, F6clat, le fen, la vivaciie, 
ete.: (Ag.) souflrir beauooup; $preaver une 
forte Impression, avoir uns passion violente; 
ütre devord, ronge (de chagrin,, d’envie, etc.) 
(Ag.) Fine, prondre fin. (dd.) —, s’stoindre, 
puslent du feu, d’une chandelie. — de fome, 
de desejos, etc., (fg.) mourir de falm, d’envie, 
«e.; avoie une (aim, un desir extreme. — de 
riso, &touffer de rire. — d’amor, languir d’a- 
mour.— na sus came, de worte natural, mou- 
fir do sa belle most. — no campe da konra, 
eos gloria, mourir au champ d’bonneur. 
— ds mäus d’alguem, mourir de la main de 
quelqu’un, — mo munde ou pera 0 mundo, 


MOR 


mourir an mende, y renoncer. -- du palss, 
mourir ä S68 passions. — por algume oenss, 
sor alguma pesson, ütsirer ardemmen! um 
chose, aimer &perdument une personne. — sem 
dizer Jesus, mourir subitement, — 
mourir de mort violente. Ir a —, dire pani de 
mort, @tre condamnd & mort. — merfe Aolurel 
para sempre, (}. de pras.) soallkir ia peine de 
mort. Todos 08 de — , nous devams tous 
sıourir. Ald — eprender, ou apprend leujours. 
Morrörem os bragos,, as pernas, , 
le sentiment, parlaut desbras, desjam- 
. nt viver, (fam.) on ne sall qui meurt 
ulv 
ORnkR-EE, U. F. Se masurir : dire prös de 
mourir. 
Monnuld, 8. m. meorlen, ensque, heazme. 
Burriäo. 


Monaipo, sup. do Morrer. Tom — mul 
gente ao chölers, beauosug da mende en men 


du choidra. 
Monntmua, 8. L * elaveau, elarelde, 18. 
mique ges animatr. 


2 Maladie ep 
ORRINHRNTO, ou 1) attaqusö du elavens, 
clareit. 


MORRINBOSO,, A, adj. 

Mörno, 8. m, tertre, 

+Monseoutino, 8. m. ($. de bot.)figuiereimit 
rable, figuier maudit france. 

MORSO DO DIABO , ou ye debot.)remerds, 

Mörso DrasöLIco, 5. m. I mors du diable : 
scabieuse des bois, & racine mordiliee. 

MORTACOLOR, ow (f. de point.) pre 

Montacon,s. f. on m. } miere oouieur dea- 
nee A un tableau. 

Montaptrıa, s. f, morladelle : sauolssen 
6pic# et polvrs. 

MorTiL, adj. 2 gen. morte!: sujet äla merl; 
qui cause la mert (caup, maiadie, eto.); (4) 
(peche) qui donne une esptce de mertä Fine; 
excessil, extreıne (ennui, chagrin, halne —). 
Comme mort, demi-mort, meribond. Fire 
—463, des traits meurtriers. 

Morrit, s. m. mortei : homme, femme. 

Morriına, s. f."suaire : lincoml pour eRi% 
velir les cadavres. * Tombeau. 

MonraLeie. V. Amortalkdr. 

MontaLimäng, 5. f. mortallte : obadiiien de 
ce qui doit mourir; dmumerafion, oalonl des 
morts pendant un temps. Les mortels. 

MorTaLutnte, adv. mortellement, & mer. 

Morrannine, 3. f.tuerie, Massacre, G8rDaßt. 
Mortafite : mort d’un grand nombre d’hommes, 
d’animaux, ote., par une meme cause, ® 
meme temps. 

*Mortino ou —anno. V. Borieiro. 

Möatz, s. f. mort: An, cessation de la vie; 
stparation de Fäme et da corps. * Dices, tr&- 
pas. *Meurtre, homicide. (podt.) La null de 
tombeau, une dtsmmelle nuit,, la mort. — pr 
medilada,, “ guet-apens : dessein premediie de 
tuer. Estar de — , etre biesse, frappe & 
mort, mortellement. Aborrerer de —, halt n 
mort, & la mort. — civil , wort eirfie : privatoa 


MOR 


most ahsätienne. Euler com a — ‚luller conire 
la wort: ee & l’agogie. Estar em us ausins 
da, avoit Ja mars enire les dants. A’ hora da 

— , sur la paini de maurise, Astar ds gaorias da 

Ara aux porles du tombean. 

Monrscan. Y. Mertecär. 

Mornzsiaäna, & [." coup de mostien. 

MORTSIAkTE, 9. m. petit mostier. 

Noaztıap, 4. m. mazlier : pidce d’arlillerie; 
vage paus piler, 

Moatesinua, dim. de Korte, 

MoRsgsinHo, 3. m. animal mert, cadavse. 
adj. mars naturellement,, de mart naturelle. 

* Manrarainz, V. Mortenddde. 

Monticixo, a. m. böte morie de mmart natu- 
relle. Caraags, Werie, masaaarı. 

MORTIFERO, A, adj. meurtrier : qui tun beau- 
coyp da mendes Martiföre, merlel : qui cause 
la mort. 

Moarwscacäö, s. f. morlification: aclion par 
laquelle on mortifle (son Corps, 08 pa 
chagrin, affliction, deplaisir; accidents fAcheux 
de la vie; (4, da med.) etat de chairs yuine par- 
ticipent plus A le via os prötes & zo gangrener | 
aclian par lagualla une choss s’allära , sa car- 
rompt. Mortificaröes, pi. mortifiealions, ausie- 
Fiteg, 

Moarıricipo, A, 9: p. de Mortifkeer. 

MonzıwicaDeR, A, adj, eis. mortiflans ; qui 
mortiße, 

Moguricäute, adj. 32 gen, merlifant : qui 
mmortiön, As Assassinans, ennuyauı, [aligamt. p. 
&. 

Mostiricäs „ v. a. alicrer Yorganisalion d’um 
corps, mortiler. Mortilier : aflliger son Corps 
par des mac6ralioga; dompier ses &cDs, Sc5 
passions; allliges , chagriner. (fg,) Tuer , Sati- 
guer excessivement. 

MORTIFIchk-SE, 9. Tr. se mörtifier : allliger 
son corps par des maceralions. 

+ Morpzıricativo, A, edj. mortiflant : qui 
mortiße. 

° Montındane. V. Mortanddde. 

Moxrrıngos. V. Murtinhos. 

Monrisinuo. V. Mortesinho. 

Mönto, s. m. mort : eadavre humain. 

Möm0, a,p. p. irr. de Morver. adj. meort, 
deoöde. (Ag.) , sans vivacit6, parlanı des 
eouteurs; terne, d6colore (mil, teint) ; Inseuist- 
ble fchair —e); sans force, sarıs vigueur. Agos 

—a, vau Blagnante. Ayoas — as, morles Baus. 
Dinkhetro —, argent mort. Faxer-se, fingir-te 
—, eontrehilre le mort. Urienpa que nasceo 
4, mort-ne , tir6 mort de la matrioe. Andar, 
esier—— por alguma cousa ‚ desire ardemment 
une chose. Mezes —s, la morte saison. 

Moarökıo, s. m. VW, Mortuerio. Fvar em —, 
Fester sans culture, abandonnde, perlant d’uns 
vigae, eto. 

MorTuiLta, 8. f. quantit, monesau de ca- 
davres. 

“ MOnTUÄRIAS , 0% 

. Months, .f 
Yun defunt, 


co que l’on payait & 
f. pl.  Vögline des bieas 


. MAAS 815 


Monzuörıo ,A,adj. mortuaire ; qui concarna 
les maris. 

Monttönio, 3. m. enterrcment, obsdques, 
Deuil, 4.V, Morthar. 

* Mortüras. V. Morbälhas. 

Monücen. V. Mürugem. 

t Mörtra,s. f. court deiai. V.Mora, dont ce 
mot est Io dimminyiif. 

Manziäua,s.f. pequ de vache grasse. 

TMüsı, 0, f. (6. de geag,) Meuse ; riviöre el 
depariement de la France. 

+Mesisce, A, ad, Leira, loi mosaique, 
qui vient de Moine, 

Masäica, 5. m. * mosaiqus ı nuvrage de rap- 
pori, em peliles pierses om pelils mprceaux 
d’ömail da couleur incrustäs pres A pr& 

MosARräneE, etc. V. Mozarabe, cic. 

MeöscA , &. f (1. d’kist, nat.) mouche sinseela 
diptere,sarcostome, laleraliscte, A alles trans- 
parenies, sans eiui; sa Üigure. (fig.) Chase fa- 
cheuse, iimportune; chagrin, vive inquielude. 
it. Bride au cein d'une bouionniere; arret, 
ganses & l’exircmile des ouvertures du linge au 
de Petoffe pour cmpecher qu’il ne se dechiro, 
— nausealiva, ınouche A viande. — cesaring, 
mouche verte. — vurejeira, mouche vivipare. 
— das las vas , mouche des chenilles. — ercre- 
menteteo, mouche des exerfcmenis. — zsyuni- 
döra, mouche bourdonnante.— ferina, mwuche 
aux llancs fauves. — eunobrecida de signaes, 
mouche A pince. — pelrogella , mauche petro- 
nille. — dos eardos, mouche duchardon.— er 
nanida , mouche affunse. — de tenacidade vi- 
ta, mouche aheilliforme. — zaumbanie, mou- 
che aifflanie, — groselkeirs, mouche du gro- 
seillier. — ichneumönea, mouche ichneumon. 
— bicuda, meuche a bee. — cameleönia, ou 
Isonina maior, grande mouche armee. — de 
jaezinko , mouche & solle. — cheirosa , mouche 
odoranie, — Jsonina menor, pelite mouche 
armee, —oör de cabre, mouche cuivr&e. — de 
p6s aclavados, mpuche Agsandes paltes. — das 
janslisa vidsagadas, mouche des fenetres. — 
mourisca, mouche negre. — plebeia, mouche 
plebiienne. — 6a, mouche taon. — 
de cavalio , taon, grosse mouche qui, en &ie, 
uRmenie les sbeyaux, pto, — de freiza. V 
Canlarida. — mörta, (Ag.) hypocrite qui , sous 
un air humbla et saumis, n’qublie rien pour 
arriver ä ses fins : ; chattemikte. Piar a — (id.) 
On le dit d’ung personne inquidte, qui a dans 
l’esprit quelque chose qui la faligue. Enxoler, 
sucudir as —ı , chasser les mouches. Andar da 
—s, tire ü la chasse des mouches. Estar de—e, 
se dit d’une chase mäprisee, de qui porsonne 
ne veut. A quem se [az mel Ts ocomem, (prov.) 
qui se fait brebis, le loup le mange. 

Mosciva. V. Nos mosc 

Moscankıra, 8. fı (4. de dot.) * muscadier s 
plante myliede qui porte la muscade,. 

OSCADEIRO, 3. m. Eventail pour chasser leg 
grouches. Emouchoir, * Emoughelte, 

Mosciö, 4. m. aug. do Mosca, Grosse mou- 

the, V, Moscardo, 











816 MOS . 


+ Moscarinna, 5. f. (ti. de bot.) Uionde 
attrape-mouche : plante de la Caroline, de la 
famille des drosöractes. 

Moscir, v. ». (pop.) prendre la smmouche, 
s'cn aller de döpit; fuir, filer. 

Moscinno, 5. m. laon : sorte de grosse Mou- 
che. 
Moscar£ı, s. m. muscat. On le dit d’une 
espöce de raisin et de vin. adj. 2 gen. Muscat, 
muscade : qui a une sorte de parfum de musc. 
Poras ‚ poires rousselines. 

+ Möscao ou —co, s. m. (8. d’hist. nat.) che- 
vrotain : esp&ce de joli cerf des Indes, de la 
taille du liövre, sans bois ni cornes. — ou el- 
miscareiro ordinario, le musc. — mdıninko de 
Criläo, memina ou memin, pelite gazelle de 
Java. 

+ Moscöu, s. m. (1. de geog.) Mosoou 0w 
Moskou : capitale de la Moscovie. 

+ Moscövia, 8. f. (t. de geog.) Moscovie : 
grande coniree de !’Eurepe ; une partie de l’an- 
cienne Sarmatie, qu’on nomme Russie. *Cuir 
de Russie. 

Moscovira,, adj. et s. 2 gen. Moscovite: de 
Moscoovie. Russe : habitant de Moscou. 

Mostro. V. Mordfo. 

Mösixno, s. m. oelui qui sert une öglise pour 
un traitement leguö en testament. Saoristain. 

Mosıruira. V. Musuimdno. 

Mosquzino, A, adj. mouchetd, tachst6, ta- 
vel&, comme couvert de mouches. 

Mosqutıno, 3. m. lieu od il ya beaucoup de 
mouches. Paquet de bandes de papier, ou bran- 
chage,, qu’on pend au plancher pour ramasseor 
les mouches. ( fg.) Personne qui attire des im- 
portuns, qui en est entouree. 

Mosqutino, a, adj. Boi—, beuf poursalvi 
par les mouches. 

Mosautra, s. f. rose muscade. 

Mosgurrico, 8. m. } coup de mousquet, 

Mosgustina, se. f. mousquetade. 

Mosqustiö, aug. de Mosqudie. 

Mosguerania, s. f. troupe de mousquetalres: 
mousqueterie. 

Mosautts,, 3.m. mousquet : arıne A fen. "Ar- 
quebuse ä croo. 

+ Mosqusrzin, v. a. tirer des coups de 
moasquet. 

Mosqurrtino, s. m. meusquelaite : soldat 
arıne d’un mousquet. 

Mosatirtıno, 8. m. pavilion de gazre dont on 
entoure un lit poar se garantir des mouche- 
rons ; cousinidre. 

Mosquito, 3. m. moucheron : Ir&s-petite mou- 
che; cousin; mouslique. — das gälhas, ey- 
nips. 

Missa, s. f. coche, entailie. Empreinte, mar- 
que, impression que lsisse un coup, etc. ( Ag.) 
Becousse; dmolion. Faser —, (id.) faire im- 
. pression. Por —s de pdo, (pop.) par bric et par 
bror. 

* Mossecin. V. Enceidr. 

* Mossau, 5. m. messite, MORSioUT. 


Boige. N, Masigo. 


|-— 


MOT 


Mosrinpa ‚6. f. (t. de bet.) V. Mostardeirs, 
Moutarde : la graiue; composition de sanerö 
broye& aveo du moAt ow du vinalgre, ee. — 
bridva, soure, espöce de moutarde. Subir a— 
ass narizes. On lo dit d’an homme qui sefäche, 
qui simpatients, & qui la moutarde monate se 
nez. Chöga-Ihe a — ao nuriz, la maontarde lei 
monte au nez. — de 8. Bernardo, (fig. [om.) 
bon appetit, qui feit tronver tous les meis 
bons. Ndo ka — como a de S. Bernarde, il 
n’est sauce quo d’appetit, 

MosranpiL, 8. m. champ somd de sönert. 

Mostanntıra , s. f. (1. de bei.) muutarde, ie 
sönev6: plante. *Moutardier:: vase pourlames- 
tarde. -— drinn , moutarde blanche au seneri 
blanc. — preis, la grande meutarde eultivie 
os le s6uer6 ordinaire. 

Mosrıaptıno, 5. m. moutardir : oelei qüi 
fait , vend de la moutarde. 

TRa, s. f. sorte de chariot usile dans la. 
orelhnen du Minho. 

MosTEiuınno, dim. de 

Mosttıa0,, 5. m. mionastäre , oduvent. 

+ Mostiraao, A, adj. qui prodeit du mol. 

Mösro, s. m. moßt: vin doux neuvolleweni 
fait; jus de raisin. 

Möstaa ‚s.f.monire, Schantilien. "Original, 
patron, modele. “ Essai, &pteuve. (Ag.) ’5i- 
gne, indiee, preuve; apperante. —, rerus de 
gens de guerre. Parade, #talage. V. Amdeirs. 
Co de —, chien couchant. 4’—, änu,d- 
oouvert. Dar —, marquer, Wömmolgner, . 
Faser — de, faire semblant de; ( ig.) laire pr 
rade, afficher. Passer — , passer la rerue. Tor 
cousa, avoir vae d’une chose qui 
se montre d’elle-meöme , l’apercerolr. 

Mostkäpo, 4,9. p. de Bostrar. 

MostaanorR, A, 8. et adj. oelui qui monttt, 
demonstrateur; qui montre, qui annonce, qui 
indique. 

MostnaDen, s. m. cadran de montre ou d’bor- 
loge. Comptoir de marchand. “ Mentre : lien ei 
l’on exppse ce qu’on vend. 

* Mosträinca. V. Mostra. 

Mostkin, ©. @. maonirer : faire voir, inär 
quer ; exposer aux yeux; faire connallre, IMM- 
nifester ; enseigner & queigu’un (p.ws.); (A9-) 
prouver, demontrer. (id.) Peindre : dissimalet, 
donner & eniendre ce qui n’est pas. — onfäde, 
faire la mine, tömoiguer du meconteniemenl. 
— 0 eaminku, montrer lo chemin, la roult, 
öire le premier & faire oo qui semble difücile. 
— 08 denies, montrer len dents : tonir ide 
quelqu'un ‚ lui resister. — as cosias, tourner I 

8. 


Mosrain-s8, v. r. se monirer : paralire, M 
false voir ; se oconduire, se ‚More 
so homem de bem, etc., il s’est conduil el 


' homme de bien, eic. 


MOSTARRCO, A, adj. ou 3. errant, vagabend: 
qui n’a nl fou ni licu. 


Mora, s. f. lovce de terre pour clore UN 
ohamp eu reienir loan, Honcaau de weit &% 


.. 











k. 


ET 3 ED N 


MOU 


tour du pied d’an arbre pour couvrir les raci- 
nes, surtogt au temps de secheresse. 

MoraciLLa, s. f. (4. d’hist. nat.) motacille, 
hoche-queue : oiseau sylvain. — de bico dei- 
gado, bec-än. ’ 

* MotaLuicom. V. Mutillagdd. 

Morino, s. m. (6. rust.) fagot de branches de 
vigne, de pin, coup6es. 

Moriva. V. Mites. 

MöTE, s. m. refrain donne & un impro- 
visateur. Mot önigmatique, myslerieux, qui 
demande explication. * Parole d’une dervise. 
* Raillerie, bon mot. Sobriquet : &pithdte inju- 
rieuse. 

MoTEIJADO, A, p. p. de Molejar. 

MorTsJanorn, A, s. railleur, moqueur, qui dit 
des mots piquants, plaisant, brocardeur. 

Morzsin (de), vo. ». railler, se moquer, dire 
des bons mots, des metis piquants, brocarder. 

+ Mortso, s. m. "raillerie, pleisanıkrie, bro- 
card. 

Mortte, s. m. motet : psaume, paroles s&- 
erees en musique. " Plaisanterie. V. Moie. 

Morterkıro, s. m. plaisant , diseur de bons 
mots. 

Mori, s. m. (ti. d’Asie) * espöce de boucte d’o- 
reille en pierrerie que les Asiatiques suspen- 
dent ä leur narine gauche. 

+ MorıLipäpe, s. f. (1. de scien.) motilite : 
facuit6 de mouvement. 

Morim, 3. m. &meute, mutinerie, s6dition, 
rövolte povulaire. Grand bruit, tapage, tumulie. 
Morınacäö. V. Mutinacdo et Amotinagdo. 

Morınär, etc. V. Amolinar. 

Morıvino,A, adj. molive, raisonne:appuy6 
de raisons et de preuves. p. p. de Molivdr. 

+ Morıvanön, A, adj. ets. qui donne lieu, 
qui est cause. 

Morivär, o. a. motiver: alleguer, rapporter 
les motifs, les causes. Donner lieu ,ötre cause. 

Morivo, s. m. sujet, motif, occasion, raison, 
cause. 

Morivo, A, adj. qui meut, capable de mou- 
voir, mouvant, moteur. 

Moto, s. m. * impulsion, mouveme nt. * Vo 
lont&, intention ou dessein. * Cause, mobile, 
motif. * Parole d'une devise. V. Mote. — conli- 
"40, mouvement conlinuel. De seu — proprio, 
de son propre mouvement. 

Mot0n, A, adj. ets. moteur : qui donne le 
moavemen!t; qui met on mouvement. Mobile: 
ce qui meut. 

+ Morörıo, a, adj. qui a du mouvoment. 

Morngco, (1. pop.). V. Pedago. 

Moraiz, adj. f. motrice. Ex. : Causa —, fa- 
euldade, intelligencia —, cause, faculle, in- 
telligence motrice. 

Morto. V. Moto et Molu. 

Mörv. V. Möto. De— proprio, adv. de son 
propre mouvoment. 

f Morim, s. m. oiseau du Bresil, de lagran- 
deur d’un dindon, qui vit de fruit. 


MOV 87 


Moucannfck, 8. f. (1, burl.) surditö des visil- 
ards. 

Moucannözs, 8. m. pl. (1. de mar.) ° piöces 
de bois qui servent A pavoiser un vaisseau. 

Moucäö. V. Mongdo. 

MoucnHio, s. m. "Ile d’aliurion dans les ri- 
vieöres,, javoau. 

Mötcuo. V. Mocko. 

Möuco, a, adj. sourdaud. V. Surdo. 4 pale- 
vres loucas orelhas —as, a solle demande point 
de r&ponse. 

* Movimtnro. V. Moimönto. 

Mouguice ow | surdits : perte ow diml- 

Mougumiö, s. f. | nution de l’oufe. 

Möura. V. Herva moura. it. Salmoura. 

*Möura pour Mouaaa (qu’il meurre). 

* Movaaismo,s. m. grand nombre de Maures. 

Mounäma, s. f. grand nombre de Maures. 
Pays des Maures , la Mauritanie. - 

Mouräö, s. m. 6chalas de vigne; pieu, po- 
teau, etai. Jule : insocie, espöoe de acolo- 
pendre. 

Movrania, s. f. rue, quartier, canton habits 
par les Maures. 

MoungJÄr, 0. 9%. (£. 90p.) ahaner:: travaille 
avec peine, faligue. 

* Mouria. V, Morrer. 

Mouaisco, A, adj. moresque : qui a rapport 
aux Maures. 

f Mounisua, s. f. gens de Mauritenie. 

Möuno,Aa,adj. et s. Maure: natif, habitant 
de Mauritanie. Mahometan. More, moresque. 
& m. (lg.) Colere, fureur, courroux. 

Mouröco, s. m. Monceau, las de pierTes. 

+" Mousinso, s. m. ecclesiastique de la cha- 
pelle du roi, ä qui on donnait un muid de bi6 
par an. V. Mosinho. 

Möuta, s. f.“ bouguet de bois, breuil, buis- 
son. Ndo vajo — d’onde lobo sdia, (fig.) je ne 
vois aucun molif de crainte. Ndo d — d’onde 
sdie coelho, (id.) se dit d’une chose dont on ne 
peut pas attendre de proflt, ou d’une personne 
dont on ne doit pas attendre de largesses. On ne 
saureit tirer de l’huile d’un mur. Meiter os cdes 
na — e deilar-se de [öra.V. au mot Melter. 

Mouriö, s. m. " poulie : roue suspendue ot 
creuste en gorge & sa circonfengnce, sur la- 
quello glisse une corde pour &lever des far- 
deaux, eic.— de retorno, (1. de mar.) poulie 
de retour. — de galo, poulie ä croc. — de gaso 
com lorwel, poulie A tourniquet. — de rabizo, 
poulie & fouel. — das escolas das gaveas, poulie 
& Lalon ou de bout des vergues. — alceado ou 
aguentado, poulie etropee. — sem alca ou desa- 
guentado, poulie detrop6e. — dos briöes , pnu- 
lie de sous-vergue. 

MouTaAsinHa , dim. de Moula. 

Movrtina, s. f. grand buisson. 

MovEoico, A, adj. mouvant: 
stable. On le dit surtout du sable. 
& remuer. 

Movrpör, s. m. moteur : celui qui meut. V. 


ui n’est pus 
euble : ais6 


Movcarräd, ÖnAa, adj. auy. de Mouwcn (1 | Motor. 


Burl.). Tres-sourd. 
PORT PR. 


Müveı ‚s.m. mobile, moteur. Meuble (d’une 
62 


8te MOX 


maison). Primeiro —, premier mobile, ciel 
qui, seion Ptoleme6e, enveloppe et fait mouvolr 
wous les auıres; ( Ag.) principal molear d’une 
allaire. Os moveis, pl. mobiler d’ene maison. 

MövszıL, adj. 2 gen. mobile : qui se meut, 
pest €ire ma. Mebilier, —dre: de la nature des 
meublcs,. Bens moveis, biens meubles. Fosias 
moveis , (ötes mobiles. 

Movsıir. V. Mobiler. 

Movsure, adj. 2 gen. meuvant, qui ment; 
moteur. 

Morta (a,com,de, conirs, para, por), d.@. 
monvoir : donner du mouvement, une impul- 
sion; faire changer de place; faire aller d’un 
lieu-& un autre. Remuer, egiter. (fg.) Inciter, 
mouvoir, exciter, faire agir, indeire &. Exeiler : 
Salre nattre. Emouveoir : toucher le owur, inspi- 
rer, etc. — d piedade , 4 der, de lagrimas,, etc., 
&mouvoir la oompassion ‚causer de la douleur, 
arracher des larınes. 

Movta, v.». acooucher avant terme : falre 
une fausse couche. 

Movka-s5, v0. r. se mouvelr : remuer, s’agi- 
ter ; changer de place; @tre, pouvolr &tre mü 
(prop. et ig.). = do odio, medo, inweja, eic., 
se mouvoir, &tre mü par la haine, la peur, la 
jJalousie, ete.— com affeelacdö, ne so remuer 
que par ressorts , se dandiner. 

Movino,A,p. p. de Mover. 

° Mörvır. V. Movel. 

Morıntnto, s. m. mouvement : transport 
#’un corps d’an lieu dans an autre; agitation, 
deplacement d’un corps ou de ses parties; 
transport d’une passion. Emeuts, sedition ; 
agltation , trouble, fermentation; commolion. 
Remuement. Mouvement d'une arınee. Manie- 
ment : mouvement du bras, de la jambe. Dili- 
gence. Do meu —, de mon propre 
mosvement. Primeiro —, la premiere impul- 
sion d’une passion. — aceelerddo , mouvement 
aoceelere, qui va toujours en augmentant. — 
relardddo, mourement retards, qui va lou- 
$ours en diminuant. — de trepidaräo,, mouve- 
ment de trepidation,, de libration. — verds- 
deiro ou te , mouvement vrai ou appe- 
tont des plandtes. —igual ou eqguavel, monve- 
ment unfforme, toujours le me&me. — mddio, 
mouvement moyen d’une plandte. — natural, 
tendance des corps graves vers le cenıre de la 
verre. — e natural, mouvement pro- 
pre des plandtes d’occident en orient. — arre- 
$eatado ou replo, mouvement par tequel tous 
les astres paraissent emport&s en vingt-quaire 
heures d’orient en oceident : c’ası le mourve- 
aent diarne de la terre. — vielenio, mouve- 
ment qui #loigne un corps du centre de la 
terre. Pör-se em — , »’thranter. 

Mövıro, s. m. svoriement, fausse couche. 

Moviver, adf. 2 gen. mobile. Changeant. V. 
Budavel 


+Möxa-Dos-Caınas, s. f. (t. de bot.) *moxa : 
absintbe velue d’Asie. 

Moxiua, s. /. poisson sec ei [ume. 

Moxauin, V. Amosemir. 


MUG 


+ Moxastıno, s. oı. oelal qui söche le pcis 
son; lieu o& on le seche. V. Mowdme. 

*Moxiö. V. Mouchäo ou Mesds. 

Moxwiö,s. m. (8. 90p.) V. Panende, Golye. 

Moxinca, s. f. (1. d’Afr.) voldede coupe. V. 
Surra. 

Moxmtmwäpa, 8. f. (6. pop.) "mnölange ou vı- 
riete de viandes, de beissens, oic., ratalonilie. 
Moruento, V. Moimento et Monumente. 

Möro,stc. V. M6lo, eio. 

Mozinane, adj. ot 3. 2 gen. mozarabe, MO- 
zarabigue. On le dit des ohretiens qui viralen: 
sutrofois en Espagne parmi les Mars OF 
cio, missa —, office , messe mozarabe 08 Mo- 
zarabique,. 

Mozanisıco, A, adj. mosarabique. V. Ho:e 
rabe. 


Moztra, s. f. * mantelet, camail d’erögat. 
y, @ 

Mozino, s. m. (8. d’Asie) mänes, rerensul, 
Dieu adore par les babitants du Monomolape. 

"Mörinno, s. m. petit close d’une #rlis, 
enfant de chaur. V. Mestuho. Aujourd’keic'el 
un nom de famille. 

* Mozöm. V. Guondasis, Roldens. 

Mod, s. m. mulet. V. Mdche, 

°Möa.V. Mule. 

Mär, adj. 2 gen. de mulel, de mule. Biss 
— , mulet, mule. 

Musänco ‚ s. m. arbre mnedicina} d’Alrigee. 

* Mospisı, 8. m. ancienne elofle precieas®, 
empieyse surtont dans les veiernenis saderdt- 
taux. 

*Muca. V. Murpa. 

Mociwsa,s. /. esolave qui accompagme 
chaise & urs de sa maitresse quand 
sori en ville (au Breail ei on Alrique). 

Mucarase. V. Mozarabe. 

“ Mucano. V. Almocreus. 

Mecnacuim. V. Matachim. 

+ Mucuicno, A, s. enfant, petit gargon, P* 
tite Alle. 

+ Mrcmania 08 —CHACHRRLA, 3. f. UOUP 
d’enfanis. 

MtucniLa. V. Mochile. 

Mucninpo. V. Peiwite. 

Muchinoa , s. f. prive, latrines (d& la prisen 
du Limoeiro. V.). it. V. Moziage. 

Mucnissıno. V. Muilissimo. 

MecıLäcem, 8. f. * mucilage : ınalldre ri 
queuse,, spaisse, fade, !’un des principes In- 
medials des vegelaux. 

MucıLAacındso, a, adj. mucilagmeur : q4 
contient du mucilage. 

Mico,s. m. mucus : bumeur semblable st 
blanc d’auf. 

Mucosinändg, 5. f. mucosit& : bumeur epaist, 
de la nature de la miorve. 

Mucös0,, a, adj. ımuqueux : quia de la mu 
cosile. . 

+ Micnon,s.m. (1. d’anal. p. ws.) carlıidc® 
zipboide au bas du sternum. V. Espinhele. 

+ MUCRONÄRO, A, adj. (I de Das) mauoront: 











MUD 


(feullle —e), en points aiguß, asillaute, 
allongee. 

+ Mecoum-no-Braziı, s. m. (I. d’hisl. nat.) 
® ceinture d’argent: poisson du genre du tri- 
chiure. " 

+ Mucini ,s.m. (1. de bot.) yeux de böurri- 
que : plante I&gumineuse du Bresil. 

Mina, s. f. mue des oigeaux, changement 
de plumes : temps oü les olseaux muent;chan- 
gement de la voix Iprsqu’elle mue. * Chan- 
gement de linge, d’habits, ete. * Relals de 
chevaux, de chiens. V. Mudanga. Estarna—, 
muer : changer de plumage, de poil. (fig.) Se 
taire, ne dire mot. — da 062, mue de la volx. 
Pässaro sem — ‚(fig.) celui qui n’a pas delinge 
“ ni d’habits pour changer. 

Muoioa,s. f. aclion de changer de lion. 7. 


Mudanca. 

Mripantına, ad. f. Herva—. V. Fumärla. 

Mupapıco. V, Mudaoel. 

Muoioo,A, 9. p. de Mudar. adf. converii : 
qui a reforme sa vie. Esid bem —,, il est devenu 
tout autre. 

Muoanör, A, adj. ol s. changeant, incon- 
stant, versatlle. 

Monauente , adv. en silence, A la muelte, 
sans dire mot. 

MUDANENTO, &. m. V. Mudanıta. 

Mwincı, s. f. ” changement, transforma- 
tion. Changement de lieu : passage d’un lieu & 
un aufre. Charigement de pas, de mouvrement 
dans une danse, figure de contredanse, etc. 
Changement de mourement, de mesure dans 
un air, etc. — ‚vicissitude , revolution. Incon- 
stance, l&gdrete. (g.) Innovation, altdration, 
reforme. — de casa, de domicilio , demdnage- 
ment. —de döno, mutatlon , changement. —de 
mdo em bom ou para melhor, amendement: 
changement en mieux. — de vento,, sautee. 

Mopia (para), v. e. changer : transporter 
d’un lieu & un autre; Ööter d’un endroit, d’un 
poste. (de, em) —, convertir, transformer. —, 
donner une aulre lorme. Innorver, alt4rer, re&- 
former. — a vg, as Dennds, muer. — 08 ca- 
vallos, etc., prendre des relals. 

Muoin (de), v. ». changer (de), quitter ane 
ehose pour une aulre; prendre une autre forme 
ou d’autres qualites. —, prendre un nouveau 
earactöre , un nourel dial, un nouvel ordre, se 
dit absolument en bleri ow en mal. Changer d’a- 
vis, ete. Muer : changer de voix, parlant des 
enfants dont la voix Mmue ; changer de plumes, 
parlant des olseaux. —de casa , demenager. — 
d@ares, changer d’air, parlanı d’an malade.— da 
semblante ou de cör, changer de risage ou de 
coufeur. — de tom, changer de ton : parler 
avee moins de hauteur, elc. — 
mer sa vie. — de conselho , se raviser, changer 
d’aris, de pensees, de desselüs. — de rumo, 
(t.de mar.‘ avoyer. 

Meoin-se (de), v.r. changer de rie. Chan- 
ger de linge, d’habits. Changer de logement, 
de demeure; demenager. (fam.) Quitier la 
compagnie, " 


de eida, refor-I N. 


MUL ı) 


'"MuoiveL, adj. 2 gen. dhangeant, Inoumblant: 
muable,, variable, versatile, Mobile, Fesias 
eis, fetes mobiles. 

MupiveLntnrk,, adv. avec Inbonstance; sans 
stabilile, 

Munt2, s. f. privatiotı de lusage de ia pa- 
role : mutisme. 

MuoıLiin, s. m. (4. P Arte) magistrat. 

Mivo,A,.adj. et 8. muet: qui ne peut pür- 
ler, ne parfe point; silencieuz ‚ Lachturne. (g.) 
— , qui exprime Satıs parler. (dd.) Interdit. Fi- 
car —, devenir muet; perdre l’asage de la pa- 
role. Como — , sans pouvolr proferer un mot, 
tout interdit. Lettra —a, consonne dont la pro- 
noncialion ne cotmmence pas par une voyelle, 
telle que d, e, d, elc.; lettrd muelte, qui se 
prononce falblement. 

MoßLa. V. Modla. 

fMourLid, s. m. (1. dklst. nat.) argali om 
mouflon : brebis sauvage. 

Murri. V. Mupktii. 

Möceu, s. f. muge : poisson de niet, d’ead 
douce , du genre du magll. 

Mucı. V. Mugem. 

Mucivo, 5. m. tnugisseinent s er du tatireau, 
de la vache. 

MecicincA. V. Bugigange. 

Mucınıriva, V. Moxinifäda. 

Mucir, v. %. mugir : se dit en patlanıt du cri 
des taureaux,, des vaches. (fg.) Du brult des 
vents et des flots irrites. 

Mucir, v.e. V. Mungir. 

Möıe MbırTO , ade. qui,jdint au positif , Te 
rend superlatif. Tr&s, fort. Beaucoup. V. Hül- 
to. Mui, dans le style ordinaire ,signiffe moins 
que le superlatif. — {llusire esı an-dessous de 
dllustrissimo. 

Moutuento. V. Moimento. 

Mürtissıno, a, ad/. sup. de Mdito. Trös- 
nombreuz , tr&s-sbondant. 

Moıro, A, adf. abondant, Nombreux, ef 
grande quantii&; beaucoup de. —a gene, 
beaucoup do monde. — dinkefro, beaucdup 
W’argent. Ha — lempo,il y a longiemps. Ha 
— (lempo) que isso aconleceo? y a-t-il long- 
temps de cela? Ndo ha —, nagudre. —as v0e- 
zes, plusieurs fois, sontent, fnaintes fois. —e, 
pl. plusieurs, . II est guelgüofois 
subst. Ex.: Tenho — d’isso, J’ai beaucoup 
de cela. Quem — pouco aperla, qui 
trop embrasse , mal &treint. Nem pouco, nen 
—, Di peu, ni prou. 

dıro, ade. beaucunp ; Margae ’augmenta- 
tion , l’avantage. V. Hui. Beber —, boire M’au- 
tant. Polgar — , se rejoulr fort, &tre forl aise, 
eharme, content. Fiver —, vivro loriglomps. 
do —, pas beautoup. Quatdo —, tout au 
plus. Näo &—, pas trop. 

+ Moıva, 8. f. (4. de bot.) melastöme du Bre- 
sil. 
Möra, s. f. mule : animal de somme, mulet 
femelle. * Pouhsin : fameur dans Paine. 

MouLanin, 3. m. fumier : liea oü Von jelld 
les immondices. v. Monriro. 


2) MUL 


MvLATiano, A, dim, de 

MvLito, A, adj. et s. mulälre, —esse: n6 
d’un negre et d’une blanche, ow d'une negresse 
et d’un blanc. Extremement brun. (inus.) Mu- 
let, mule. 

Muutra,s. f. bequille; (Ag.) soutien : chose 
qui aide ä en soutenir une autre, Moulette: ba- 
teau de e portugais. 

ee V. Mulhkemulhe. 

MvLETIM, 5. m. polile volle. V. Moretim. 

Merci. V. Mugir, Ordenkher. 

* MuLuanico. V. Mulheril. 

MuLBENÜLHE , s. m. (4. pop.) " pluie fine. 

Muinee, s. f. femme : femelle de I’bomme; 
öpouse ; femme mariee. (Ag.) Homme eff&mine. 
— da sua casa, femme altschee & son menage. 
— de gorerno, mensgere, femme de charge ; 
femme &conome , qui entend le menage. —die- 
holica ‚do diabo, diablesse: femme möchante, 
acariätre. — do mundo ou de parlido, prosti- 
tute- Haver ums —, jouir d’une femme. Ter 
communicapdo , commercio com uma —, COU- 
cher avec une femme. Ser —, @tre nubile; 
ötre, devenir femme, parlant d’une jeune fille 
qui commence ä avoir ses regles. 

MuLnEr£enGo ‚A, adj. eflemine; adonne aux 
femmes. Ser —, aimer le cotillon. 

Muruzrico. V. Mulkerio. 

MuLusril, adj.2 gen. de femme; qui con- 
cerne les femmes. 

MOLBERILMENTE, ado. en femme, comme 
les feınmes. 

MoLnERINHA, 8. f. dim. de Mulhdr. Femme- 
lette : femme de peu d'esprit, eic. Femme de 
la lie du peuple. 

MuLuerio ,s. m. les femmes. Concours, a8- 
semblee de feınmes. 

f Mrrusnöna, s. f. aug.de Mulher. Grosse 
femme. Fermme respectable. 

MuLnErzinHa, s. f. dim. de Mulher. Jeune 
ülle qui commence ä se former. 

MvLiviän. V. Mudiliar. 

MuLienae. V. Mulhertl. 

+ MuLinas, adj. f. pl. Plantas —, (1. de bot.) 
plantes hybrides, nees de deux plantes diff6- 
rentes. 

Muno- V, Macho, Mu. 

usa ,s/: 

MtrLso , ‘m. V. Hydromal. 

‚Meura v4 —CrA,s. f. amende : peine pecu- 
niaire. 

MuLTiAp0, A,p.p. de 

MtuLtän,v. a. amender : condamner & l’=- 
mende. Mulcter. 

+ MrLticarsuL650, A, adj. (t. de bot.) mul- 
ticapsulaire: A plusieurs capsules. 

+ MtuLriceLLuLöso, A, adj. multiloculsire, & 
plusieurs loges. 

Mertiväö,s. f. multitude, quantits, grand 
noınbre. 

+} MuLtirEenpinpo, A, adj. (4. de bot.) mulli- 
ide : divis& profondement en plusieurs seg- 
mienis, 

+Mortıro, ($. &hist, nat.) V. Polynemo, 


MUN 


+MreLrıör0, a, adj. (t. de bot.) muli- 
flore : qui porte plusieurs flieurs. 

MoLriröaumg, adj. 2 gen. multiforme: qui 
prend toutes les formes; qui a plasieen 

ormes. . 

+MuLrıLitero, a, adj. On le dit, en pi» 
metrie , d’une fgure qui a plus de quatre ed- 
tes, mulüilalere. 

h r MoLTtiLosino, A, adj. multilobe, ä plusients 
0b88, 

+ Murrınöuıo , s. m. (6. d’alg.) mullindme 
grandeur exprimee par plusieurs termes. 

+ MuLtirantino, A, adj. (4. de bot.) mulli- 
parti : divise profondöment en lanieres. 

+ MuLTiriex , 0dj. 2 gem. (d.de mus.) Genere 
—, le premier des cinqg genres de proporüe 
inegale. 

Murriruicaciö, s. f. multiplication : aug- 
mentalion en nombre ; operation d’ariihmei- 
que par laquelle on repete un nombre aulanı 
de fois qu’il y a d’unites dans un autee, 

°MuLrtieLicacom. V, Multiplicapäo. 

MULTIPLICADAMENTE,, adv. avec multiplits- 
tlon. 

MuLTiPLIcäDO,, A, 9. p. de Multiplicar. 

MurrirLicanon, 5. m. celui qui maulliplie. 
Multiplicateur : nombre par loquel on en mal- 
tiplie un autre. 

MuirieLicinno, #. m. (6. darish.) multipi- 
cande : nombre & mulltiplier. 

Murrieuicik, v. a. multiplier : augments 
un nombre, une quantits; faire une muliipl- 
cation. 0.n. —, augmenter par voie de gea*- 
ration; croltre en nombre. 

MULTIPLICAR-SE, v. r. se multiplier, augmen- 
ter en nombre; se reproduire; &ire reprodait 

MuLTipLicävEL, adj. 2 gen. multipliable ı 
qui peut Etre multiplie. 

MuLTipLice, adj. 2 gen. multiple : nombre 
qui en contient plusieurs fois un autre exacl- 
ment. 

MurrirLicınäpe, 8. f. multiplicite : nombre 
indelini de choses diverses; grand nombre. 

+ MueLtispicäno, A, adj. (t. de bot.) A plu- 
sieurs &pis (tige). 

f MuLtirLo, A, adj. et s. m. multiple. 

Murritöpe. V. Mulliddö. 

+ NurriväLvas, s. [. pl. (t. d’kist. nat.) mul- 
tivalves : coquilles de plusieurs pieces. 

+ MuLtiväLve, adj.2 gen. it. de bot.) mut 
tivalve : (capsule —e) & plusieurs panneaus. 

Munsännpa. V. Mucdmop 

+ Minso, 3. m. (1. d’Asie) sorte de Calre dans 
le pays de Monomotapa. 

Miuia, 3. f. momie ow mumie : corps di 
gyptien embaume& ; cadavre dessöche sur le s#- 
bie des deserts. (flg.) Personne maigre, seche, 
decharnee. 

Menpa, V. Monda. 

*Muınpanär. V. Munddno. 

"+ Munpanaupioe, 5. f. qualile, condiliea 
des choses du monde; mondanite. 

+MuxDÄnamente, adv. inondainement: d'une 
maniere mondaine. 


MUN _ 


®Monvaninto, A, adj. du mınde. Mulkdres 
as, files de joie, femmes de mauvaise vie. 

Munpäno, a, adj. du monde, qui appartient 
au monde. Mondain : qui aime les vanites du 
monde, qui aime Lrop le monde. Hulher —a, 
feınme publique,, prostituce. 

Munpir. V. Mondär. 

- *Munpavgı. V. Mundano. 

Monpicıa 0% } proprete, nettete. Toilette 

Monpicıg,,s. f. ) simple et elegante. 

Musupiricipo, A, 9.7. de 

Monvirscir, ©. a. mondifler, netioyer, de- 
terger (une plaie, etc.). 

Monpiricarivo, A, adj. (1. de mdd.) mondiß- 
eatil : detersif, qui nettoie une plaie, 

Muxpinno, dim. de Mundo. 

Munpissiıno, adj. sup. de 

MünpoO, A, adj. net, propre; pur. 

Mönoo, s. m. monde : l’Univers ; 16 ciel, la 
terre, tout ce qui y est compris;; le globe ter- 
restre; l’esp&ce humaine, le commun, la plu- 
part des hommes; vie seculidre; les maurs 
du sidcle; maurs, usages, Coutumes des hom- 
mes; vanild du monde, vie dissipee qu’on y 
mene; ceux qui ont les mours corrompues. 
Globe surmont6 d’une croix entre les mains 
de Venfant Jesus. (fg.) Savoir-vivre : connais- 
sance des usages du monde. Anda ou estdo — 
es avessas , c’est le monde renvers6d. Desde 
o— 6 —, depuis que le monde est monde, 
de temps immemorial. O antigo —, l’ancien 
monde: l’Asie,!’Afrique et l’Europe. O novo—, 
le nouveau monde, l’Amörique. O oulro —, 
Yaatre monde, la vie future. Mandar para 0 ow- 
ro — envoyer en l’autre monde. Näo ser d’esie 
—,n’eire pas de ce monde: mener une vie trds- 
retirde. Segundo o —, mondainement,. Fiver 
longe das cousas d’esie —, n’eire plus de ce 
monde. Fiver no cabo do — , loger au bout du 
monde. Ver —, voir le monde : voyager. Dar 
que fallar ao —, faire parler Ile monde. Yivor 
w'este —, virre ici-bas. 

+ Mönpusi, s. m. (t. de bot.) * arachide A 
quatre feuilles. V. Amenduinas. 

Möneuöne, s. m. espöce de congre de la ri- 
viere de Sofala. 

*Monca. V. Monfa. 

MvxciL. V. Mongil. 

Moxcir, vo. «. Traire les vaches, etc. V. Or- 
denhar. 

+ Mönco, e.m. (1. de bot.) mungo : haricot 
de !’Inde. 

MuncoiD0, s. m. sorte d’arbre d’Ethiopie. 

+ Munsopid, s. m. arbre ou arbrisseau d’E- 
thiopie orientale, dont les feuilles ressernblent 
& celles de l’yeuse. 

Munnuid. V. Munhöes. 

Munnt£cä, s. f. * poignel. 

Muwnöss, s. m. pl. tourillons d’une pidce 
d’artillerie. 

Munnuontıras, s. f. pl. (8. d’artil.) entaille 
de P’affüı qui regoit les tourillons. 

Municäd,s. f. fortilication, rempart, reiran- 
ehement, tout ce qui sert & fortifler, A defen- 


MUR 8323 


dre (p. us.). Munition : ptovision des choses 
nöcessaires ä une armee, A une place, elc. 
Petit plomb pour les oiseaux. Pdo de —, paiu 
de munition. Hunigcöes de guerra ou de bocu, 
munitions de guerre ou de bouthe, provisions 
de guerre, arımes, vivres, ee. 

Monıcıäpo, A, p. 9. de Municiar. 

f Municıamento, 8. m. action de munilion- 
ber; Approvisionnement d’une armde, d’une 
place. 

MounicıaR ou munitionner : fouroir 

MUnICIonaR, d. a. ) des munitions; appre- 
visionner une place, elo. 

MuniciraL, adj. 2 gen. municipal : d’une 
ınunicipalitö, d’une ville, d’un pays partieu- 
lier; qui appartieni a ses coutumes. Corpo—, 
Municipalile, corps municipal, commune, 

Muxicıpe, adj. 2 gen. bourgeois d’une ville. 
Habitant des anciens municipes. 

Municipio, s. m. ville municipale : qui se 
gouverne par seslois, ses coulumes. Municipe: 
ville municipale d’ltalie qui avait le droit de 
bourgeoisie romaine. 

Munipo, A,p.p. de Munir. 

Munıwicencıa, s. f. munißcence: vertu qui 
porte & faire de grandes liberalitss. 

Munirico, A, adj. liberal, genereux. 

Munir, o.@. munir, gamir du neoessaire, 
pourvoir. 

Munia-SE (de), v. r. se MUunir : se pour- 
voir de out ce dont on a besoin, (fg.) de pa- 
tience, ele. 

Munitissimo, A, adj. sup. de Munido. Trös- 
muni. 

Münuto. V. Mdito. 

Munröro. V. Moniuro. 

Muearti,s. m. muphii: chef des imans; grand 
preire des Tures. 

Muquica. V. Moquica. 

*+MoraniL,s. m. lieu plein de d&combres, 
de plätras. V. Muladar. 

Murninpo,A,p.p. de Murar. 

*MurapDör, A, adj. qui chasse los rals, les 
souris. 

*Murap6ouno. V. Muro, Tapigo. 

MuräL, adj. 2 gen. mural : qui concerne les 
murs. Coröds—, couronne murale, ornee de 
er6neaux et donn6e & ceux qui montaient los 
premiers ä Yassaut. 

Muniısa ,s.f. muraille, mur. 

Murir, v. @. murer : clore, entourer de 
murs. 

Moräa-#E, v.r. s’entourer de murs. (Ag.) Se 
fortifier. 

Munca, 8. f. mozeite ou moselte, camail de 
ehanoine, 6ic.—depelles , aumusse ou aumuce, 

Munc&co. V. Morcego. 

Munckiro, s. m. (aiseur d’aumusses. 

Munckira, s. f. saucisse ou boudin artili- 
ciel, fait de mie de pain, de sucre, d’aman- 
des, ete. 

Munc£xo. V. Mursello. 

MürcHa, s. f. gtat de la petite verole quand 
elle commence & secher. V, Murchiddd. 


823 MUR 


Muscnino,&,Pp. p- de 

Mrzcaia, v. a. fiötrir, faner, ternir l’delas 
des fleurs;; (Ag.) Netrir. 

MiscHäR, 9. 8.08 =öR, 9. Fr. 50 [aner, se lid 
wir prop. ei Ag.). 

MuUnchEcen,v.8. V. Murcher. 

Muacupäö,s. f. Bötrissure, elat d’une chose 
leise, fanage. 

Möncuo,a, adj. fand, Mitri. (Ag.) Triste, 
Gesanime. 

+ Mincnoso, a, adj. (4. de bot.) quiselane, 
se PR) i 

r Muscıa, a. 
et ville d 

Muncıino, A, ady. de Murcie. Couve—e. V. 
Couse. 

Muntna. V. Moreia. 

Muakauıs. V. Lamprbia, 

*Murzs, s. m. pl. V. Ralos. 

Moncinzo , s. m. ° souris, pelil rat. 

Muncumwäna. V. Mominifdda. 

Mussituco, a, ady. (8. de chim.) murialique : 
(aeide —), autrefois marin,, aujourd’hui bydro- 
eblorique. 

Munıito, s m. (4. de chim.) muriate : sel 
forme& de l’aeids muriatlque aveo difförentes 
bases. 


% 
f. (1. de gdeg.) Mureie : provinoe 


Möaxcs, s. m. murex ow richer, coguillage 
univalvo, herisss de pointes : donnait la pour- 
pre des aneiens. 

Munu6ıno, s. m. brouhaka ı beuit confus 
d’applaudissemenis. Mugissement des flois. V. 
Murmurie. 

Müauun, s. m. /inus.) bruissement, bour- 
donnement. Bruit confus, mermure. 

Munsunsciö, s. f. actien de murmurer; 
dötrectien , medisanne , salomnie. 

MunMunipo, A, p. p. de Murmurar. 

MURMURADOR, A,s. zu, el adj. murmaralenr 
qui murmure. Dötrectour, medisant, oalomnia- 
leur. 

Mouauuninte, adj. 32 gen. murmurant : qui 
Mormure. p. a, de 

Muruunän, o. a. murmurer, le plus souvent 
en mauvaise part. (de) vo. ». Murmurer : faire 
un bruit sourd en se plaignant; produire, for- 
wıer un murmure. Mödire des absens. 

Munutunäa-sE, 9. r. se murmurer; dire dit & 
voıx hasse, entre peu de personnes. 

+ MurucRativo, 4, adj. qui murmure, 

MURMDRInEO, & m, petit bruit, leger mur- 
mure. 

tr Munuöno, s. w. marmure des eatız. V. 
Hurmurinko. 

Möassuno, A, adj. V. Hurmuranis. 

Munnöno, s. m. V. Murmur, Murmurio, 
Uurmu . 

Möno, s. m. mur, murallie. Duro com duro 
ndo faı bon —, ipree,) An eontre An ne vaut 
rien pour doublure, 

Monnas,s. f. pl. "maquereaux : taches aux 
Janabes guand on se chauflo de ron pres. 

uRRÄcA, 5. f. coups de poi . Morraga. 

Muanina, V, Murrags. poing. - 


MUS 


Mranid, 3, m. "möche & canon. Meneberen, 
Jumigoon de chandelle qui brüle; meuchere, 
— das arcores.V. P 

MCRRÄOZInHO, dim.de Murris. 

Munnıaö,s. m.(t. de bei.) nmeuren I Üsun 
Touges, mouron des champs : planie mridisi- 
nale. s4. V. Murrdo ei Morride, 

Mönno, s. m. coup de peing. . 

Mönsı. V. Burgos. 

Monstu.a. V. Muresills. 

AuunsfLLo, adj. m. Casallo —, eberal b:i 
a. 
Mörrı,s.f. (f. de bot.) "mayrte : arbrisseau 
vert, symbole de ’ameur, ä bsıes c: 
feuilles Ddoranien. — brane. V. Gilbsibeire. 
MuaräiL, s. m. ante de myrtes. 


+ Monteına, 8. . oune myrio. Myrie sav- 
vage. 

MoarıuH0, s. wm. "baie da myrie. 

*MustüLua. V. Mortdike, 


+ Murccd, s. m. (4. d’hist, nal.) meutouten: 
arbre sarınenteux de la Guiane. 

Murücen ,s. fı (4. de dot.) meorgeline : planie 
caryophylide.— bastdrda. V. Murrids. 

+ Munuicuri ow I (4 de bot.) merucuia ı 


Muaucuvi,s f. ! plante veisine des gie 
nadilles. 
Muniıuo, V, Marulko, 


Musa, s. /. Muse : deits; une des neul dies 
ses qui prösidaiont aux beaux-arts; (Ag.) por- 
sie; esprit, imagination, genie, verre da 
poöte, d’un vorsilicateur ; inspiration poeligus. 
—s, pl. Muses: divinitss [abuleuses ‚eis. ; A.) 
beiles-lelires. Filkos des — , noutrissens des 
Muses. 

Musiuans, etc. V. Mosdrabs, elo. 

Mosaniuua, 5. f. sorie de rund poisson de 
mer. 

MusaRinBO, 5. m. (4. d’hist. nal.) musarar- 
Ene, musel ou muselle: espece de seuris ds 
ehamps, & long museau, mammilöre insecu- 
vore. — das fonies , musaraigue d’oau. — #l0s- 

yeirddo,, musaraigne taupe- 

° Musinia. V. Misseris au Annioersaris. 

Muscapkıaa. V. Moscaddire. 

Muscipo, A, adj. musque. V. Almiscarddo. 

+ Moscanı, s.m. (1.de bes.) mauscari : espfr 
de jacinthe. 

f Muscäsıa, &. f. sorte d’oiseau aqualiqut. 

+ Mrscıchra ou ı (8. d’hist. nal.) " ınusci- 

Musarira,s.f. J capa : gebe-moucht. 
moucherolle. 

+ Muscırunssna. V, Moscapdnke. 

+ Muscosipäns, 3. f. muoosile : mousse dass 
le ventricule des ruminanis, 

Muscöso. V. Musgöso. 

+ MuscoL.ino, a, adj. (4. de peint,) muscle: 
qui a des muscles bien marques. 

MuscuLis, adj. 2 gen. (1. d’ansl.) must0 - 
laire : appartenant aux muscles, qui 8'y Insüfe, 
qui en sort (lorce, artere — ). 

MiöscrLo, a. m. (4. d’anal.) muscle: par:ı0 
charnue, Abreuse; organe du mouvemenl 
Sorte de peut poisson de mer qui, dit-on, com 


MUT 
duit ia baleine (ou plutät, co qui est poslulf, lo 


in). 
MoscoLös0, A, adj. museuleux : plein de 
maseles; k muscles epparents (homme —). 

Musto ou lien oonsaor6 aux Muses. 

Mostu,s.m. ) Musse : lieu destind A l’- 
tude des lettres, des sciences, des arts; mu- 
seum : lien destine A rassembier des monu- 
ments, des produits des arts, des produits de 
la natare, 

Misco, a. m. ($. “ bot.) * mousss: heorbe 
parasite, cryplogame. — verde, bypne. — ea- 
sine, lichen sontre-rage, pulmonaire de terre. 
— dos carvalkos , lichen entreiao6. — das amei- 
zieiras. V. Orsella do reino. — coptako, lichen 
coeciföre. 

+ Musco-wariuuo,, 5. m. plante marine, 
esp&ee de ooreline. 

Mrsc0s0, ı, adj. MOussu ‚, o0uvert de mousse. 

Mösıca, s. f. musique : sciense du rapport et 
de l’scoord des sons ; barmonie om melodie qui 
natt des sons ot des voix; art de composer des 

chants, des airs; compagnie de musiciens; livre 
de musique; oonoert; cLont. Musicienne. — 
Sumea cangäo , "air, chant et paroles. 
MusiciL, adj. 2 gen. musical : de la musique. 
Musicauuäute, ade. musioalement : d’une 
manitre musicale. 
+ Musıcir,, 9. ». musiquer ı faire de la mu- 
sique. 
Mösıco, s. m. musicien ı qui salt, compose, 
enseigne, prefesse la musique. 
Möüsıco, A, adj. de musique : qui conoerne la 
nusiyue. Harmonleur. 
Moüsıcosmno, 8. m. de Musieo. Petit musi- 
ieR. 
Mrssgutta,s. f. dim. de Musica. (1. buel.) 
'etite musique. 
Musiquiz, s. m. mönötrier, musicien ambu- 
ınt. 
° Mosstaganu, s. f. volx hasse, 
Musıos. V. 
Mcsonitas. V. Massordias. 
Musi:co. V. Meseice. 
MeossuLauin. V. Musulmano. 
Mostäcno ,s. m. boucle de cheveux postiche. 
ıusse moustache. . 
MusuLmino, 5. m. musulman : titre que 86 
nnent les mahometans, ei qui signifle pour 
x vrai croyant, qui met toutes sa conflance 
Dieu. adj. —, des mahomstans (religion, 
zurs, ecostume). 
tuvsoL.mäo. V. Musulmano 
[OTABILIDÄDE ‚ 2. f. mutabilile: etat, qualite 
ce qui est musble, sujet A ohanger. 
Icracä6,s. f. ımatalion, chaugemant. * Coup 
Inöstre. —pöss, pl. changement de döcora- 
ı dans une oomedie. Changemenis de seison. 
uricismo, s. m. mutscisme: dificulis de 
noncer les letires D, m, p. 


oringa, 3. f. (t. de mus.) Inversion de | pa 


:s, dans l’ancienne methode de ohant, avanı 
ın as de6osmvert lo ei. 
vriäuos. V. Motano. 


MYO 828. 


MorıLaclö, s. f. mutiletien : reiranoboment, 
ampulalion d’un membre; action de mutiler. 

MutiLADo,&A, 9. 9. de Nusilar. 

MurtiLapOn, 3. m. mutilateur : oolul qui mu- 
tile. 

MoriLir, vo. a. mutiler : cassor, 00upor, 1 
trancher un membre; (Ag.) öler une parüie 
essentielle d’un &erit; cbälrer. 

f Murizua, s. f. (8. d’Mst. nat.) mutille ı 
hymeönoptöre mutillaire. 

Murim. V. Motim. 

Mormacid. V. Amotinagdo, Molim. 

Möro. V. Mdiso. 

+ Muronno , s. m. (}.de bot.) mutondo : grand 
arbre d’Afrique. . 

 Meurönna, s. f. (1.de bot.) " mutonha : grand 
arbre de Mozambique. 

Mörsa, s. f. (1. d’Asie) cachet, empreinte 
du cachet. V. Selle. 

Murzir, v. e. cacheter : mettre le oachet. V, 
Sellar. 
uuroagäö, s. [. oorrespondanoe röciproque. 

röt. 


MoTuino, A, Pp. p. de Mutudr. 

*" MuTuALNENTE eu | mutaellement, 'r6ci- 

MuTUuanänte, ade. - proquement, 

MuTUARIO, 3. . eımprunieer : oelui qui em- 
prunte. 

MöruLo, s. m. (4. darch.) mutule : eapeee 
de modillon cars6 dans ia corniche dorique, 
d’oü pendent des gouttes, des clochettes. 

Mirvo, a, adj. mutuel : Niciproque entire 
deux ou plusiaurs personnes. —a correspon- 
deneia , r&ciprocite. 

Möruo, s.m. ($. de prat.) pröt. V. Empres- 
timo. 

Murvrur6, s. m. arbre d’Angole. 

Möu. V. Ms, Macho, 

+ Muxoßıra, s. [. (1. de bet.) muxeodira : gra- 
minee de Mozambique. 

Muxiua. V. Morama. 

Moxina,s. f. (1. d’Asie). V. Asylo. 

° Muyruknto. V. Monumenso. 

" Muzı£uo. V. Rustico, Barbaro. 

Mricao, s. m. (14. de bot.) myagre: plante 
eruciföre. * Cameline, sesame d’Allemagne ow 
bätard. 

Mrcicaa. V. Vizdgre. 

+ Mrvcsrörnaco, 8. m. (1. d’hist. nal.) myck- 
tophage : insecte coleoptäre,, troglossitaire. 

+ MyLisre,s. f. (8. Ehist. nat.) mylabre:: 
col&opi#re cantharide. 

Mrıoap, s. w. milord, lord, monseigneur s 
titre, dignits en Angleterre 

MYNIANTE. V. Henyanshe- 

+ Mröa, 3. f. (4. d’hist. nal.) myo : testach 
bivalve. 

z MrvoLocia , s. f. myologie : trait# des mus- 
cles. 

+Mrowancia, s. f. myomancie : divination 
r les rats. 
+Mr’ora,s. f. (l.d’Msl. nal.) "myope ı di- 
ptöre conopsaire. 

Mv’ops, adj. 2 gen. ayope : qui a la vu fort 





> u N 


courle, qui ne peut voir de loin qu’aveo un 
verre Concare. 
Mrvoria ,s.f. myopie : &tat du myope. 
+ Mrosora ou — re. V. Orelka-de-ralo. 


Mvoronwia, 3. f. myolomie : traile de la dis- 


section des muscles. 
Mraosou.ino. V. Myrobaldao. 


My’aıa , (6. grec en comp.) myri, particule ge- 


aerique qui signifie dix mille fois la chose. 


Mrnisna, s. f. (1. d’ant.) myriade : nombre 


de dix mille ;nombre inßni. 


Myvrıacaiumo, 3. m. myriagramme : dix 


mille grammes, dix kilogrammes. 


Mvniiugrao, s. m. myriametze : dix mille 


mötres. 
+Myarinrwo, s.m. (8. de bot.) myrianthe : 


arbre cucurbitac# d’Alrique. 


+Mr'nıca, s. f. (1. de bot.) " gals odorant, 


piment des marais. Myrix. V. Meringe. 


+MYaıörmrLLo, s. m. (8. de bot.) myriophyl- 


lum : plante semblabie au fenouil. 


+ Mrauzıeiö, s. m. (1. d’hist. nal.) myrme- 


leon : neövroptöre fourmi-lion. — formigueiro, 


fourmi-lion ordinaire. 
MraosaLino, s. m. (tl. de bot.) myrobolan : 


monbain des Indes. Myrobolandier : arbre qui 


porte les myrobolans. 
Mınza ou Myaaua. V. Mirre,. 
+ Mynsina, s. f. } (8. de bot.) myrsine d’A- 
Mvnsino, 8. m. frique; myrsindon, fe- 


nouil sauvage,. 


+ Mynräcuas, adj. et s. f. pl. (1. de bot.) 
ınyrtactes : famille de plantes qui a pour type 
le genre myrtus. 

Mynrirönun, adj. 2 gen. myrtilorme ı on 
forme de feuille de myrte. 

Mr’ato. V. Mirto, Murta. 

+ Mraröınzs, adj. et s. f. pl. (1. debot.) myr- 


toldes : plantes dicotylödones polypstales. 


+ Mrstacocia, 3. f. mystagogie : initlatıon 


aux mystöres. 


Mysracdco, &. m. ($. d’enf.) mysiagogue: 
pretre qui initialt aux gaystöres. 
Myst&aıo, s. m. mysiöre : 08 qu’une religion 


NAB 


a de plus cache; objet de la foi okretienne; 
(fig.) sccrei dans les affaires d’etat, etc. ; opd- 
ralion seorete; chose difficile & comprendre, & 
deviner. Fallar com —, parler mysierieuse- 
ment, avec reserve. Isso iem —, il yadumys 
tere en cola. Faser —s, faire mystöre, ienir 
secret. 

MyvsTsnıösamente, adv. mystöriousemeni: 
d’une facon mystsrieuse. 

MYSTErRIöSo, A, adj. mystörieux : qui 608- 
lient quelque mystere ‚, quelque secret, quel- 
que sens cache. 

+Mrv'srıca, s. f. ih6ologie myslique. Mysü- 
eits : raffinement de devotien ; recherche pro- 
fonde en spiritualite. 

MY’sTIcauEnte, adv. mystiquement: selon le 
seus mystique. Spiritaellement. 

+ Mrsticiswo, s. m. mysticisme: systöme, 
amour de la mystioite. 

MrY’stico, a , adj. mystique : gur6; allöge- 
rique (sens —); qui appartient & la mysli- 
eits ; contemplatif. Vids —a, vie conlempla- 
tive. 

+Mrsrıncacäö, s. f. mystflcation : action 
de mystifler. 

+ Mystiıncia , v. &. melire quelgu’un dans 
la vie contemplative. Mystißer : abuser de la 
eredulils pour rendre ridicule. 

+ Mr’tmıco, a, adj. myihique : qui a rappori 
& la science des mythes. 

Mrrno, s. mw. mythe : trait de fable des 
temps hdrolques , envreloppe merveilleuse sous 
laquelle se cache un fait historigae. 

MrYrnoLocia, s. f. mytholegie: seionce, ei- 
plioation de la fable. 

MrrnoLöcıco, A, adj. mythologique : de la 


mythbologie. 

Mrrmouocisra ou 1) mythologiste, myibe- 

MvrmörLoco, s.m. 3 logae: oelui qui traile 
de la fable, l’explique , la sait. 

Mvöno, adj. m. (4. de mdd.) myurus ou 
myure, (pouls —) dont les pulsations s’aßai- 
blissent peu & peu. 

Mr’va, s. f. myva : gelde de fruits. 


N. 


N, s. m. quatersiöme letire de l’alphabet 
portugais, et la onziöme des consonnes. C'6- 
tail autrefois une leitre numerale qui valait 
900, et, aveo un trait an-dessus, 90,000. L’n, 
suivi d’un &, forme un son simple, tout ä fait 
sernblable au gu des Francais. Souvent on em- 
ploie cette lettre par euphonie devant les arti- 
ciles 0, @, 08, as, sorvant de relatifs. Ex. : 
Fizerdo-no, maldräo-na (pour fizerdo-o, 
a), ı le firent ow ils l’ont fait, ils 
a tuerent ow ils Font tue. Busquem-no 
at (pour busquem-o, etc.), qu’on le cherche 


par-iä. Büscdo-nas (pour busallo aa) ande näs 
nas (pour as) podem acher, ils les cheschen! 
oü& ils ne peuvent les trouver. N. designe ie 
nord ou le septentrion; se met & la place d’un 
nom inconnu (N...) pour le nommer; isdique 
par abreviation le mot 0880, mossa (notre): 
N. $., Notre Seigneur. 

Na, (contraciion de la . Em, et de 
Part. «) dans la, sur Is. pl. Nas, dans les, 
sur les. V. Em. . 

+ Nusasia, s. f. (t. d’Asie) nababie : dignilk. 
terıitoire du nabab. 











N 


NAD 


Nanino, s. m. (4. d’Asie) nabab : prinoe, 
ohef ou gouverneur dans !’Inde. 

Nasir,, s. m. champ some de naveis. 

"Nasäö,s. m. ancien imp6t sur la p6che: 
c’ötait un poisson par barque. 

+ Nusarato, A, adj. et s. nabatlıden : de 

abath6s, rögion d’Asie ; oriental. 

Nasica ,s. f. sorte de petit navet minee ei 
delicat; navetio. 

Nasinno, dm. de 

Nano, s. m. (1. de bot.) navet : plante pola- 
gere, sa racine. — da bdmba , (t. de mar.) cho- 
pine ‚ chopinstte de pompe. Ser —, ( fam.) &ire 
imbeeile, bete. Comprer —s om sacco , acheter 
chat en poche. Ma 

NAcaR , 5. m. ° nacre : partie argenite, irisde 
d’un coquillage qui donne la perle; burgan- 
dine.V. Madrepdrola. Couleur de la nacre: 
rouge clair, tirant sur l’orange. (fg.) Tout ce 
qui a lacouleur de la nacre. 

Nacanipo,A, adj. nacre : fait ou orn6 de 
nacre. Nacarat : de couleur do nacre. 

+ Nacariö, s. m. "nacre do qualitö infe- 
rieure. 

Nacanpina. V. Anacardina. 

Näca. V. Nassa et Nabdö. 

Naciö, s. f. nation : tous los habitants d’un 
meme pays, d’un möme etat, qui vivent sous 
les mömes lois, parlent la meme langue; ha- 
bitanıs d’un meme peys. Race, aspece, caste. 
Homem de —, ttranger, homme d’un autre 
pays; juif. Genie de—, les juifs oonvertis, dits 
chretiens nouvsaux , en Portugal. Direilo das 
—ö6es,, droit des gems. 

Nacanga , etc. V. Nasconga, eio. 

Naciso ,s.m. (1.d’Asis) V. Sins. 

Nacıvigo. V. Nascidigo. 

Nacıonir, adj. 2 gem. national : qui est de 
teute la nation, la concerne (assemblee, 
mosurs, concile, ete.); qui est atlach6 avant 
tout aux interets de la nation. Concilio —, 
coneile national, form6s par les ev&ques d’une 
nation. 

+ Nacıonaumäpe, s. f. nationalile : caraclöre 
national, esprit, amoar, union nationales ; pa 
triotisme commun & tous. 

+ NacıonaLızaa, ©. a. nalionaliser : rendre 
national, faire adopter par la nalion. 

NAGOnNaLHERTE, adv. nationalement : d’une 
maniöre nationale. 

Nacivar. V. Nahivo. 

Nico, s» m. morceau , tranche (de Jambon, 
de pain). 

Nipa, s. m. rien, nedant; peu de chose, ba- 
gatelle ; un rien. Rien du tout. O — , le neant, 
la non-existenoe. Tirer do — , tirer du nöant. 
— entire dous praioe, (fam.) un pelit rien en- 
wre deux plats. — menos ou — menos que 
isso, rien moins que cela. Mais val pouco 
que — ‚ queigue chose vaut mieux que Fien. 
Näo d— ‚ce n’estrien, c’est peu de chose. Ndo 
6—? n’est-ce donc rien? Ndo d — commigo, 


cela ne me regarde pas. Ndo med—, il ne| ter 
ım’est rien. — se me dd, cola ne me fajı rien, | 


NAI 885. 


cela m’est dgal ou c'est dgal pour mei. Em um 
— ou em —de leınpo , en moins de rien. D’agui 
s— , dans un instant, bientöt. Daki s—, un 
instant apr&s, sitöt aprös, inconlinent. Redu- 
zir a0—, remeltre dans la neant. — 0 abale, — 
oaliöra, rien ne l’abat, rien ne l’&ıneut. Isse 
— prova ou significe, cola ne dit ou no signi 
fie rien. 

Nipa, ade. aucunement : point, point dı 
tout. Peu , trös-peu. 

+Napip, s. m. nadab ı grand-prötre des 
Persans. 

Navacianı, s. m. (6. d’Asie) grefler ou 56- 
crötaire-general d’une muniecipalits. 

NapanOR, A, adj. et 3. nageur: qui nage, 
qui sait nager. Nadadoras ou a0ss — as, (k. 
d’hist. nat.) palmipedes. 

Napapöra, s. f. natation : action de nager. 

NADANTE, adj. nageant, qui nage. p. a. de 

Napän (SM), v.". Dager : se soulenir sur ou 
dans l’eau par le mouvement; flotter sur l’ean, 
etre A flot.(Ag.) —, dans la joie, les plaisirs, 
Populence, ete. — sem bezigas , (fig.) voler de 
ses propres ailes : se suffire A soi-meme, n’a- 
voir pas besoin d’aide,, de secours. — contra a 
veia d’sgua, (fg.) faire de vains efloris, refou- 
ler la marde. — enire o rolo e a ressdca , (Ag.) 
Iutter contre de grandes diflicultes, eire en- 
tour6 de grands obstacles. Filho de peise sabe 
—, (prov.) bon chien ohasse de race.— om 
suor, (fig.) @ire en nage, en sueur. Na- 
dar, nadar e ir morrer a beira, (prov.) faire 
naufrage au port. — c0mo um progo, ndo sa- 
ber —, nager comme une bague de plomb, 

Näpezca , s. f. fesse: partie charnue du der- 
riöre. ‘ 

+ Napecioo,, A, adj. feasu : qui a de grosses 
fosses. 

Napin, s. m. (4. d’asir.) nadir : point du ciel 
oppos# au zenith ow point vertical; pour cha- 
que endroit du globe, le nadir est sous les pieds 
des habilants comme le zenith sur leurs Iötes. 

NapiverL, adj. 2 gen. V. Nativo. Agua—, 
eau de source. 

Napivo. V. Nativoo. 

Nipo,s. m. action de nager. p. ws. Il n’es 
guere usitd qu’adverbialement. A -——, adv. Als 
nage, on nageant. Deiter-se a —, se jeter ä la 
nage. Estar 0—, om —, $ire A flot, parlant d’un 
navire, eic. 

NiAD0,A, 9. p. irr. de Nascer. V. Naseido. 

Nära ou Narga. V. Naphta. 

När&co, 4, adj. qui a une kanche plus oourte 
que l’autre (cheval ). 

Närzre. V. Nhdfete, 

- Narir. V. Anal. 

NaciLuo. V. Negdiko. 

+Nucäö,s.m. (1. de bol.) nagam : arbre da 
Malabar. 

Nitupes, s. f. pl. (t. de myih.) naladee: 
nymphes des fonisines,, des rivieres. 

+ Naıcorina, s. f. (1. de bot.) " pois & grat- 


Naipg, 8. m.” couleur des carles & Jouer. 








828 NAT 


Nırttıno, s. m. limon, vase, atlerrisserment. 

NıATento, A, ady. rempli de creme. 

+ Nario, s. m. "naissance, V. Nascimento. 
On le dit surtout des plantes. 

Narıvınipe, s. f. nativile, naissance. On le 
dit surtout de celle de Notre-Seigneur et de la 
sainte Vierge. 

Nuarivo, a, adj. natarel, Inne, n6 aveonous. 
Nature! : propre, conforme & la nalure d’une 
chose. Natal:: od l’on est nd; natif, nd en un 
certain lieu. Agua —s, eau de source. 

+Niro,Aa, adj. ne : at.ach6 & quelque di- 
gnite, parlant des drolts. Conselheiro —, con- 
seiller-ne. 

Naröaa,s. f. nature (p. ws.). Parties de la 
generation. Mode naturel de la musique, oü& 
Yon n’emploie ni bemol ni becarre. Esp&ce. 
De — , par nature, naturellement. 

NaruniL, s. m. naturel, caractöre. Tempe- 
rament, constitution. Pays natal. 

Nartrir, adj. 2 gen. nalurel : qui appar- 
tient & la nature, tel que la nature !’a fail, non 
modifie par Part; qui est conforme & ses Tois, 
äson ordre, & son cours; qui a pour objetla 
nature, ses productions , ses phenome£nes, etc. 
(science ‚histoire—le) ; qui n’est point deguise, 
altere, farde; frano, nalf, ingenu; quı imite 
parfaitement la nature; qui arrive commund- 
ment, vraisemblable; natlf, 1 nriginale d’un 
pays. "Naturaliste (p. we). Filko—, bätard, 
enlant naturel. Ado—, natarellement, sans arı, 
sens fard,, au naturel. Pintar, refrafar ao —, 
peindre d’apres nature, au naturel. Fi 
maiores que 0 —,, ligures plus grandes que na- 
ture. Mes -—, mon compatridte. 

°Narunautza, s. f. ancien droit qu’avaient 
los patrons sur les monastöres. 

NarURALIDÄBE, 8. f. nataralitd : ötat de colui 
qui est n6 dans le pays oü il habite; droits 
dont il jouit. Conformits des aclions avec la 
neture des ohoses, ordre naturel. Ingenuite, 
eandeur, franchise, nalvets. 

+ NaronaLismo, s.m. nataralisıme : fauxsys- 
tdme de l’athee qui attribuo tout & la nature ou 
matlöre supposde premier prineipe. 


NAV 


naturelle, organisation, matiöre, substance, 
forme, couleur, qualits; les effets de l'ordre 
naturel; matidre en mouvement, le dieu des 
mat£frlalister; l’oppos® det’art; propension na- 
turelle, instinct des animaux; genre, fond, 
circonsitances d’une affaire ; complezion, tem- 
perament; parties de la generation. Naturalit. 
(inus.) V. Parentesco, Linhagem. O habile 4 
outra —, Yhabitade est une seconde nature. 
A educardo vence a —, nourriture passe ns- 
tare. Ser desfavorecido de —, @ire disgracit 
de la nature. Ter — cdlida, ©tre d’un tempt- 
samen! amoureux. 

Niv. V. Ndo. 

Nuarrkacino, 4,9. p. de Naufrager. 

Nuurkacänte ‚adj. 2 gen. qui fait naufrage, 
qui est sur le point de naufrager. Naufrage. 
p. a. de 

Naurnacia, vo. ". faire naufrage, au propre 
et au Agur&, naufrager. 

Naurricıo, s. m. naufrage : perte d’an vais- 
seau sur mer; (flg.) ruine, malhear; perte; 
renversement, destraction, andtanlissement, 
obute, 

Nivrraco, A, adj. naufrag6 : qui a fait nan- 
frage; öchapp6 du naufrage. Od on fait nau- 
frage (&cueil, bas-fond, etc.). 

+ Naurnacöso, A, adj. qui cause, quiamene 
le naufrage (ouragan, toufan, eto.). Od on fait 
naufrage (ecueil, basfond, etc.). 

+ Niuro, s. m. nolis, fret , prix da loyer dm 
vaisseau. Naulage: prix pour le passage sur 
mer. (f. d’ant.) Naulage, droit pay& & Caron 
pour passer le Styx. 

Naumackia, s. f. naumachie : spoctacle d’an 
combat naval ; lieu oü il se donnait. 

+ Naowacntänos, s. m. pl. naumachiens: 
oeux yui combattaient dans les naumschies. 

+ Näuro, s. m. premier jour de l’an chez les 
Perses, & l’&quinoxe du printemps. 

NAusEa, s. f. naus6se : envie de vomir, sur 
tout sur mer; soulövement de c®ur. 

NAUSEABENDO, A, adj. naussabonde : qui 
cause des nausees. 

Nausgino, A, adj. qui a des nausdes. p. P- 


NarunaLista, 3. m. naluraliste : qui salt| de 


l’bistoire naturelie, qui s’applique Ason &tude, 
qui l’6erft; qui &tudie , qui connalt les produc- 
tions de la nature. —, qui admet la religion 
naturelle. 

Narorauızaclö, s. f. naturalisation : action 
de naturaliser;; ses efeis. 

NarunaLıziDo, A, p. p. de 

Narunarızia, v. a. naturaliser : donner & 
un &tranger les droits des naturels; (1. de bot.) 
aocoutumer au sol (une plante exotique). 
Aclimar. 

NuruaaLuente,, adv. naturellement, 

"NaTunänca. v. Naturalidade. 

Naruaßza, s. f. nature : tout Punivers; tous 
les ötres cr66s; l’ordre, les lois, les mouve- 
ments qui les Konvernent, et leur donnent un 
commencement et une fin ; prinoipe intrinsöque 
des operalions de ebaque ro; oonstitutien 


Nuvszir, v. @. oauser des nausdes. 9. ®. 
avoir des nausdes. 

Naussarivo, A, adj. naustatif : qui cause 
des naus6es. 

NausgiveL, adf. 2 gen. qui peut causer des 
nausdes ou exciter des vomissements. 

Nausgöso, A, adj. naussenz : qui exelle des 
nausdes, 56 air des odeurs. 

Näora, s.m. (anti, ou podt.) nautonnier. V. 


V.| Merinheiro. 


Nirrica, s. f. navigation, marine, art de 
naviguer. 

NÄorico, a, adj. nautique : qal appartient & 
la navigation. s. m. Nautonnier: marin, homme 
de mer. Carla —s, carte marine. 

+ NavriLo, s. m. (8. d’kist. nat.) nautile:c0- 
quillage univalve, de mer, d’sau douce. 

*Näva, se, f. rase campagne, plaine. 





NAV 


°+ Navir,s. m. sorte d’ancierme toile de lin. 

NıvirL,ad/.2 gen. naval: qui appartient ä 
la navigation; qui concerne les vaisseaux de 

erre. 

Nıviına, s. f. * coutesu pliant (le peuple, & 
Paris, l’appelle eustache), couteau de poche. 
(fig.) Defense de sanglier, aiguillon tranchant 
de quelques insectes. (id.) Langue de medi- 
sant, de calomniateur. "Manche de couteau : 
espece de coquillage. V. Santola. — de barba 
ou de barbear,, "rasoir. 

NAvaALHiDa, 8. f. "coap de couteau de po* 
che ow de rasoir. Blessure faile avec un rasoir, 
avec les d6fenses du sanglier, avec un o0utoau 
de pochv. 

+ NavaLHano, A, adj. en forme de couteau 
de poche ou de rasoir; qui coupe comme un 
rasoir, tranchant. 

NavaLniö,s. m. aug. de Navalka. Grand 
conteau de poche. Poignard fait en couteau 
pliant. 

NAVALHÄR, 9. Ga. Couper avec un Tasoir Ou 
couteau de poche. V. Sarjar. 

Navantıra, 5. f. "manche de Couleau : es- 
ptce de coquillage. V. Santöla. 

+ Navirra, s. f. (f. de geog.) Navarre : pro- 
vince d’Espagne; ancienne province de France. 

Navanatz. V. Navdrro. 

+Navirno, a, adj. et s. Navarrois 04 —ais, 
de la Navarre espagnole. 

Nävg, s. f. "vaisseau, navire. Nef d’eglise. 
—s lateraes d’uma igreja, les bas cöl&s d’une 
eglise. 

Nıvscacäö, s. fı navigation : voyage sur 
mer, sur les fleuves; art, metlier de naviguer; 
eirculation des marchandises , etc., par les 
Deuves,, les canaux. 

NAVECÄDO, A, 9. p. de Navegar. 

NAVEGADÖR, A, 5. navigateur : qui fait des 
voyages de long cours sur mer. 

* NAVEGÄGEN, 3. f.” nolis; naulage. 

NAVEGÄNTE, s. m. qui navigue, navigateur. 
p. a. de 

Navscir, v. n. naviguer : aller en ow sur 
mer, sur les grandes rivieres. v. a. Parcourir 
la mer; man@uvrer un vaisseau; transporter 
(des marchandises, elc.), au moyen de la na- 
vigation. — costa d cosla, ranger la cöte, 
aller le long des cötes.— conira a mare ou 
eorrente, refouler la marde, aller contre la 
maree. 

NavzciveL, adj. 2 gen. navigable : od l’on 
peut naviguer. 

t NavEn, s. f. titre notari6 (dans !’Inde por- 
tugeise) d’un achat. 

Naverta, s. f. petit navire (p. ws.). Navelte: 
bätiment Indien. Naveite : vase en forme de 
petit navire, poar ”eucens. (l. de bot.) Car&ne : 
petaleinferieur des papilionac&es. — unicellu- 
dar, (ti. d’hist. nat.) * argonaute, nautile papi- 
zacd. — multicellular, * nautile. V. Naultilo. 

NavıcuLia, adj. 2 gen. (tl. d’anal.) navicu- 
laire : (os —) du pied, (fosse) semblable & un 
navire, & une nacelle. 


[ 
NEB 829 

NavicuLinto, s.m. (p. us.) görant d’un na- 
vire; patron de navire. 

t Nuvirnaco, A, adj. (podt.) qui brise les 
vaisseaux ; oü les vaisseaux se brisent (ecueil). 

+ Naviczao, A, adj. (poet.) navigable. Dont 
on fait les navires (bois). 

Nuvio, s. m. navire, vaisseau, bAtiment. — 
de fogo. V. Brulote. — de linha. V. Ndo. — ar- 
mado em guerra, vaisseau arınd en guerre. — 
mercarle, vaisseau marchand. — de trans- 
porie, transport, vaisseau de charge. — que 
estä d carga, vaisseau & la morte charge. O — 
estd guinando sobre a amarra, (t. de mar.) le 
vaisseau joue sur son ancre. o- estd arfanda 
sobre a amarra, le vaisseau tangue Sur son 
ancre. O — travalka müilo , le vaisseau se fa- 
tigue beaucoup. O —ndo obedece ao leme, le 
vaisseau n’obeit pas & son gouvernail. — sem 
beque nem alforges, vaisseau qui n’a ni pou- 
laine ni bouteilles. — de duas cubertas ‚vaisseau 
& deux ponts. — que anda bem ou mal, bon ou 
mauvais voilier. O — 4 bom andador, le vais- 
seau gouverne comme un poisson. — muilo 
cheio da pröa, vaisseau qui a l’avant jouflu ow 
renile. O—dd bem pelo l&me, le vaisseau gou- 
verne bien. — que barlaventida bem, bon bou- 
linier, vaisseau qui sourd au vent. — mais doce 
d’um bordo do que do ouiro, vaisseau bordier, 
qui a un faux cötd. — dammificado, vaisseau 
endommage. — duro ou mdo a governar, vais- 
seau qui ue sent point son gouvernail. — duro 
ou riju da borda, vaisseau qui est fort du cöl&, 
— que (gm mdila guinda, vaisseau qui a trop 
de mäture, irop haut mäld. — que lem muüile 
lais, vaisseau qui a beaucoup d’envergure. — 
fraco da borda, que aguenla pouco, vaisseau 
faible du cöle. — que se solavenlda, mauvais 
boulinier. — sujo de limos,, vaisseau vert. O— 
virou claro, le vaisseau est venu par le bon tour. 

+ Nixos, s. f. (6. geog.) Naxie : Ilo conside- 
rable au milieu de P’Archipel. 

Nayvapes. V. Naiades. 

Nayre, adj. 2 gen. V. Nativo. Diamanie— 
diamant brut. 

Näivae.V. Naire. 

Nazarkno, s. m. Nazarben : juif qui s’absie- 
nait de viande, de vin, etc.; seclaire juif qui 
honorait J.-C. comme homme juste et saint. 
adj. ei s. De Nazareth, ville de Galilee. Qui 
apparlient oAressemble aux Nazareens. Sur- 
nom de J.-C. Chreuen. 

Nazırnko ou —ku. V. Nazaröno. 

Nazıanzäno, A, adj. eis. de Nazianze, ville 
d’Asie. 

Nesepa. V. Neveda. 

Nzsi. V. Nebri. 

NesLina, s. f. "brouillard Epais et peu dlev&. 

Nesri, adj. m. Falcdö —, faucon noble qui 
vient du Nord. 

+ Ne£saipss, 8. f. pl. (1. d’ant.) nebridess 
peaux de jeunes faons, dont on se couvrait 
dans les fetles de Bacchus. _ 

+ Nesnites, s. f. (1. d’ant.) nebrite ; pierte 
d’un jaune fauve, consacrde ä Bacchus, 








830 NEC 

Nesv26so, A, adj. nebuleux ı obscurci par 
Jes nuages ; (Ag.}obscur. Estrellas —as ‚ stoiles 
nebuleuses, dont la lumidre est faible et lerne. 

Necgin,v. ». niaiser, dire des sollises, des 
imperlinences. 

Ne£csDing, 8. f. Ignorance Crass6, profonde. 
Sottise , impertinence, bötise, niaiserie. Impru- 
dence , indiscretion, temerite. 

NECEsSÄRIAMENTE, ado. nöcessairement, de 
nccessile ; inlailliblement. 


Necessanıas, 5. f- pl. latrines, lieux d’al- IQ 


sances. 

Nscessärı0, A,adj. necessaire: (chose —) 
ılont on ne peut se passer ; indispensable ; ine- 
vitable; infaillible; qui n’est pas libre. K —, il 
est necessaire. E absolulamente —, il est de 
loute necessite. Faller quando d—, parler au 
besoin. Por elle sacrificaremos 0 Rosso re- 
pouso, elc.,e ald, se — för, 0 nosso sangue e a 
nossa vida, nous saoriferons pour lui nolre 
repos, Elc., notre sang m&me et notre vie s’il 
le faut. 

NecessArfssıno, A, adj. sup. de Necassario. 

Necessipäine, s. f. necessilö : chose n&ces- 
saire, indispensable, inevitable; besoin pres- 
sant;; indigence. * Defaut de noarriture. —, fa- 
talite ; destin inevitable; contrainte, defaut de 
liberte. De —, netessairement, par un besoin 
absolu. De — absolula, de necessit& necessi- 


tante,, de nöcessil# absolue,, de toute n&cessite.- 


Por —, de neressite, necessairement. Em caso 
de —, au besoin. Fallar sem —, parler sans 
necessitd, sans motif; dire plus qu’on ne de- 
vrait. Que — ha de...? qu’est-Il besoin d6&...? 
ue — tens fu...P qu’as-tu besofn...? Fazer 
— tirtude, faire de necessil& verlu. A — 
earece de lei, n&cessit& n’a pas de lol. A — 
meite a velha a caminho, besoin [alt vieille 
trotter. —e, pl. näcessites: besoins corporels. 
Fazer as suas —, (fam.) lächer Yalguillette, 
faire ses besoins. 

NECESSITADISSIMO „A, 0df. sap. de 

Necesstrino, A, 9. p. de Neesssilar. adj. 
Necessite. Necessiteux,, indigent. 

NEcESSITÄNTE, adj. 2 gen. qal force, qui 
oblige, qui contraint. p. a. de 

Neczessträn, v. a. necessiter, forcer, coft- 
traindre, obliger; reduire & la necessite de... 

Reczssrrirn (de), 0. . aroif besoin de; #ıra 
dans Findigence. 

NEcCIAMENTE, ade. ignorannment. Imprudem- 
ment. Sottement. 

Necıo, A, adf. imprudent, !griorant, Incon- 
siderd; dit ow fait avec ignorance ou Impfu- 
dence. Sot, imperlinent; nials, stupide. 

NscovÄi , s. m. capitaine dans !’Indoustatr. 

NecaorLocia, s. f. trecrologie: notice histo- 
rique sur un mort. 

Necrouöcıco,, A, adj. necrologkqgue : (article, 
eerit sur un ow plusleurs personnages moris. 

NecroLöcre,, 9. m. nöerologe : registre de la 
date de la mort des €r&gnes, etc; liste, re- 
gfstre, notice des morts. 

t Necröroco,, s. m. nderologne : celoi qui 


NEG 


&cril sur les morlg, auteur de notees nderele- 
giques. 

Necaowäncıs, eio. V. Ni 

Näctar, 5. m. noctar : breuvage des dieut 
de la fable; liqueur, vin delicieux. 

+ Nectineo, a, adj. (podi.) de neolar, sem- 
blable au nectar. 

+ Necrinio,s. m. (1. de bot.) nectaire cu 
neciar ı röservoir qul eontient le miel dans! 
corolle; appendice accessolre aux organes des 


eurs. . 

+ Necrpate, 8. f. (f. d’klat. nal.) nöcydale: 
Insecte nocturne.— ruica, necydale rousse. 
— maior , grande nöcydale. 

N&peo ou Näpıo, A , adj. Inisant, dode. 

Nerinpantyre, ade. möchsınment, abems- 
nablement. 

NerAnnissiMo, A, adj. sup. de 

Nerinpo, A,adj. möchant , infäme ‚, aboci- 
nable ; horrible , detestable. Peccado —, picht 
contre nature : sodomie. Crime —, erime noir. 

+ Nerinıaututz,ado. oriminellement, d’une 
maniere infäme. 

Nerirıo, a, adj. criminel, sodlerat, Impie, 
execrable,, detestable. 

Neras, adv. mot latin usit& en portugels dan 
la phrase adverbiale por fas ow por —, jusie 
ment ow injustement, ä raison ou & torl. 

TNeristos, adj. m. pl. Dias —, (1. dent.) 
jJours nefastes, de repos prescrit par la lei; de 
fetes,, de sacrillces, de lristesse, an nömeire 
d’un ddsastre. 

Nerr£rico, V. Nephritico. 

+Necaptıha, a. f. (b. de Bol.) cransen, 
corne de cerf, amhbroselle sauvago ı plant 
crucifäre. 

Necica, 5. f. *appeau , thoquetle : oiseet 
gui par son Chant ättire les autres dans le BR". 

nte : oiseau empalll6 pour le mäme obje. 
*Leurre: cuir faconne en forme d’oiseau pour 
rappeler l’oiseau de prote. (Ag.)* Laurre, 
amorce, appät pour ailtirer 6L tromper gar} 

u’un. (id.) * Stretagöme ; agacerie. Faser -:, 
älre des agaceries. 

Necıckö,s. f. negatlon : Popposs d’afüirm:- 
tion; action de nier; absence d’une qualilt: 
manque d’aptilade. Ter— para alguma cours. 
manquer d’aptitude pour une chose, — de u 
mesmo , abnegation. 

+Necackıno, 4, elf. qui fall des agaceric- 

Necino,A,9.p. de Neger. 

Necanon, A, 8. celülauinte. 

NrCÄLBO , 3. m. 6cheveau da Mi de sole, ei«. 

Necimento,s.m. V. Alnegapto. 

Necäa, ©. a. nier : dire Qu’une chose n'est 
pas vraie, qü’elle mMexisie pas; qu’ane prop>- 
sition est fausse; ne pas reCohinatire la realile 
d’une chose. Refaser. Probiber, defendre, em- 
pecher. —, desaroner un efime. Renier, de 
avouer, renonter. Manquer & un deroir, ä fa 
reconnaissance, etc. 

Necin-se (8), ©. r. se refuser 3 une chow. 
Faire dire qu’on n’est pas oher sor. Manguet 
d’une couleur au Jeu. —a si mesmu, renoncet 








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NEG 


[3 

A sol-möme, on termes de mysüeits. — de so- 

boi, de doufo, etc., cacher par modestio sa 

seienen, ele. — a si por ouirem, preferer un 
autre & soi-meme,. 

Necariva, s. f. nögative , denögalion ; refus. 

NEcATıYANLUTE, adv. nögativement ;ı d’une 
manitre negative. 

Necativo, A, adj. negalif ı qui exprime une 
ntgation ; qui B’oppose, se refuse. Argumenio 
— argument nögalll,, tir6 du silence d’an ac- 
eur, eis. Proosito —, preöspis nögalif ow 
probibitif, qui oblige en tout termps. 

Neeuchucas,, e. fı nögligence : manque de 
soin, d’appiicatien ; nonchalente. 

NscLicenciÄR, vo. a. nögliger : n’avoir pas le 
soin necessgire de ; me pas cultiver. V. Descui- 
dar, Deleizar. 

NecLickurz , adj. 2 gem. nögligent ; noncha- 

ant. 

NSGLICENTENENTE ‚ adv. nögligemment : avec 
negligence. 

NEcLicenTissito , A, sup. de Negligente. 

Nscocıackö, s. f. negoclation : art, action 
de negocier des aflaires imporlantes ; aflaire 
quwon negocie. * Negoee , trafic,, commeros. 

Necocıino, A, pP. p. de Negeciar. adj. Al- 
faire, Ires-000u L) . 

NEGOCLAnOR , 5. u. n6gosialeur : qui nögocie 

quelque affaire importante. Negoeiant, oom- 
mergant. 

N200014D0RA& , s. f. marebande; nögeciatrice. 

* Necomasiuto. V. Negoecio. 

NEOOCIÄNTE , 8. m. nögociant : qui fait le n&- 

goce en grand, qui negocie. 

Ng0owir „9. e, negosier : faire nögoce ‚ tra- 

Bquer; chercher, solliciter, tächer de; Walter 
(une allaire). Nögocier des billeis,, des lettres 
de change. — uma lalira, (1. de comm.) n6go- 
cier un effet, placer, colloquer uno traite. 

Neoocıäa (com, em), v. n. nögocier, 00M- 
mercer, faire le negoce, faire le commerce. 
— com Seh proprio ‚commercer de son 
propre [onds.— em vinho , em Irigo,wic., [aize 
to commerce de vin, dobi6, eic. 

NseocılvaL, adj. 2 gen. nögociable : qui 
peut se negocier. 

NEGÖCIO , 8. m. n6goce, Commeroe ‚ Irafle de 
mmarchandises entre parüiculiers. * Affaire , oc- 
eupation , emploi. * Entreprise. * Alaire politi- 
que, affaire d’etat, Homem de — , negocianl, 
commergant. Guss de — , maison de Commerce. 
Näo se fas —, le ecommerce ne va pas. Regw- 
Jar saus —< , mellre en ordre ses aflaires. 

+ Nzcocı6so, A, adj. commergant : oü l’on 
fait du commerce (port, ville —e ,. Soigneux, 
applique, diligent. Affaire, trös-occup6. sou- 
cioux. 

Necas ,s.f. nögresse ; eselave noire, 

Necrico, s. m. aug. de Negro. 

+ NzcniL, adj. 2 gen. noir, noirätre. 

Nacal 0,8. m. gros poisson de Mer, quı Fas- 
semble zu 1#la. 

Nscazcioo, (8. 20p.) V. Desgracado, Iin- 
fouste ,„ Mofino. 


NEM 


Necazofaı,V. Negrüre. 

Neonzsin, 9. 9. lirer sur io noir, paraltro 
noir; noireir, devenir noir, sombre, tenebreux. 
S’obseureir 


Neoazria, s. f. negrerie : reunion de nö- 


881 


gres. 

Necamwäö, s. f. noireeur, eoulter noire. 
*Obsenrcissement, 

Neoniwo, s. m. nögrillen : petit ow jeune 
negre. Peuplier noir. V. 2’lamo. 

Necrinno, A, adj. dim. de Negro. Un peu 
noir. 8. m. iton. 

Necnissiuo, a, adj. sup. de 

Nero, A, adj. neir : Yopposd de blene , effet 
de l’absence ow de l’absorption de tous les 
rayons Iuminewz ; sombre, obsour. (}g.) Triste, 
morne, melencolique ; affreux, odieux, mal- 
beureux. Rie —. V. Niger. it. Fleure d’Ameri- 
que. Nuvem —a , nuage noir, ombre. Faser«s6, 
por —a uma cousa, nolrcir, derenir noır. 

Nücro, A, m. negre, nögresse ı homme, 
femme dont la pean est naturellement noire; 
esolave noir. Neir, la eouleur neire. Poisson de 
mer & £cailles noirätres. — fugidO ‚negre mar- 
ron, negre fuglılf. Vestido de —, habill& en 
noir. 

+ Necroröwto, e. m. (t. de geog.) Negre- 
pont : ville et tie de l’Archipel ;autrefols Eubee. 

NEGRÜME, 5. m. temps sombre ot nolf, nude 
noire, nuage 6peis. 

Nezonöna, s. f. noircemt : qualitö de co qui 
est noir. 

+ Nzortösco, A, adj. noirätze : qui tire sur lo 
noir. 

+ Nzo6nno , a. m. (4. de bof.) negunde : ar- 
bre des indes orientales, da genre ds viler, 
dent les feuilles ont Yedeur ot je gott de la 
sauge; graine de Y’Inde; #rable de YAmerique 
septentrionale. 

* NEICEDADE. V. Neoedade. 

Nefquınan ‚s. m. (8. #’Asie) esptee de malre 
d’um village. 

° NEIXeNCA, s. f. naissance des frults ot des 

des anlmaux. 

° NEIXENTE,, s. m. pelil d’ane brebis ou d’uno 
chövre. 

N£L20 , 5. 9. grosse Pomme auz environs de 

1 


mbre, 

Nerciva. V. Nalgdda et Pesunko. | 

NELLE, 5. m. (ti. d’Asie) riz avec la cosse. 

Neıız ou NeLLg, pour Em elle (en lui). 

+ Neıua, s. m. (4. d’hist. nal.) nelma : sau- 
mon de Sib£rie. 

N£u, part. conj. et ndg. ni. — fdmpouco, 
pas meme. — um, —oufro, ni Pun, mi Pautre. 
— mais, — menos, ni plus, ni moins. — pave 
uma parle, — para a ouira, ni dan eit&, ni 
d’autre. — lanto — do pouce, rien par exeös, 
ni Irop ni frop pew. — fodas os ezirangeiros 
s&0 barbaree, wem 10de9 08 n08808 ; 
sdo eivilizados,, tous les eirangers ne somi pas 
barbares, ei tens nos compalrioles Be sont pas 
eirilises. — fodos os que estuddo sdo leitrados, 
— (odes que Has d gussre lo soldados „(pro®.) 


882 NEO 


tous ceux qui #tudient ne sont pas savanis; 
hour ceux qui vont & la guerre ne sont pas sol- 
als. 

Neuro, 5. m. (8. de mag.) lo massil onire 
deux espaces vides. 

"Neussir, etc. V. Lembrär, etc. 

*Nrsano. V. Membro. 

+ Neuza, s. f. (£. geog.) Nemee : ville de 
l’Argolide dans le Peloponnese, aujourd’hui 
Tristena. Forei, roche situses pres de colie 
ville. 

Nzuto, a, adj. de Nem6e ou de la for6t de 
Nemee (lion). 

+ Nausönıco , s. m. (4. d’ans.) nemsonigque : 
vainqueur aux jeux nömeens. 

+ Neutos, adj.m. pl. (t. dans.) Jogos—, 
jeus nemeens , pr&s de la for&t de Nömee. 

"NeuicuiLpa,, pour Nem migalhe, rien, 
rien du tout. 

+ Neuo,s.m.(t.d’Asie) ban, ori public. 

Nzuon6so, A, adj. ( pod.) bois6( pays), 
plein de foröts, oouvert de bois. 

+ Neuötsia, 0. f. (1. d’hist. nat.) " n&mo- 
wWle.: diptöre des bois. 

* Nzuö ou Nauu, pour Nem um ou Nenhum, 

+ Nant, s. m. (1. enf.) raton : petit enlant, 

+ Nenconos, s. m. pl. ohevaliers d’un ordre 
militeire au Japon. 

* Nanoon. V. Nenhum. 

NENHUM, A, adj. aucun, Pas un; Personne. 
Nulle, de nulle valeur. V. Ninguem. Amigo de 
todos e de —, Iudo d um, (prov.) qui est ami 
Ge tous, n’ost ami de personne. 

NENBÜRES , adv. (Pop.) nulle part. 

Nenıas, s. f. pl. nenies: chant fundhre ow 
funtrailles, a Rome. . 

NEOGRAPHISMO, 8. m. neographisme : nou- 
velle orthographe eontraire & celle recue. 

NEÖCRAPBO, 8. m. neographe: celui qui of- 
ibograpbie d’une maniere nouvelle. 

NszoLocia, s. f. neologie:: inrention, emplol 
de mots nouveaux ow d’anciens mois dans un 
nouveau sen8. 

NsorLöcıco,, A, adj. nöologique : de la n&olo- 
gie, qui la conceme. 

NezoLociswo, s. m. neologisme : recherche 
blämabie d’expressions nouvelles, de nou- 
veaux ınota, de n&ologie; le nouveau mot lui- 
meme. 

+ NzorLocista, s. m. neologiste:: qui cr&e des 
mots nouveaux, admissibles; qui se sert de la 
ne6ologie. 

Nz61060 ‚3. m. n&ologue : qui affecte le neo- 
logisme; qui forge de mauvais mots, se sert du 
meologisme, 

Nzomenıa, s. f. neomenie: nouvelle lune; 
fie A son dpoque. 

Nsoutnıo, a, adj. eis. de la neomönie, qui 
la ooncerne; (saorifee) de chaque nourvelle 
une. 

NEOFBTTA, 8. m. ou ntophyte: nouvesu 

NezörnrYro, a,adj. eis.) converli & la reli- 
gion cohretienne ; uoavellomens baptise. 


NER 


Neoräuico, A, adj. nöelätigue: Rourean, 
moderne, 

Nepa, 8. f. (6. d’hist. nal.) " nepös: scorpion 
aquatique. 

Neräntuss, s. f. 3 the : plante qui, seloa 
Pline, infusse dans üu vin, diseipe la melan- 
colie. 

Nermirıo. V. Nefario. 

NEPHRiTIcO, A, adj. (1. de dd.) nepbreiiger. 
(colique —), violenie, causse par lo gravier 
des reins passant par les ureläres; (remede—), 
qui guerit la colique n&phretique. Pedrs —, 
pierre nephreötique : espece de jaspe, nephril, 
jade. Pdo —, espöce de bois qu’on apporie de 
la Nouvelle-Espagne. 

Nernaitıs, 8. f. (1.de dd.) nöphrite : inßam- 
mation des reins. V. Nephritico. 

+ NernnoLocia, 8. f. (t. de medd.) nöphrolo- 
gie : traite sur les reins. 

+ NeraTaLı, s. m. ane des douse tribus da 
peuple juif. 

NzPÖrs, 8. m. neveu du pape. 

NErOTisu0, 3. m. nöpolisme : autorits des 
nevenx des papes; desir des papes, elc., & 
eflorts faits par sux pour avancer lours nerouz, 
leurs parents. 

t Nzrrunıinos, s. m. pl. neptuniens : nal 
ralistes qui attribuent & l’oau la formation des 
basaltes, du globe, eic., par Opposition auf 
vulcaniens. 

Nerrunino, A, adj. (podt.) de Neptune, qui 
a rapport & la mer. Reino —, la mer. 

Nerrüno, 4, adj. de Neptune, qui concerne 
Neptune. 

+ Nerrunisuo, s. m. noptanisme ; sysilme 
des neptuniens. 

Nartöno, 5. m. (6. de myth.) Neptune : dien 
des mers; (po6t.) la mer. 

Negvicıa. Y. Melddde. 

+ Nzquissino, A, adj. sup. trds-mechant. 

Nenkidas, 8. f. pl.(. de myth. ei de pode.) 
nereides : divinites, nympbes du la mer. (! 
d’hist. nal.) — mollusques, vers marins, dass 
un fourreau, avec des organes extörieurs. 

Neako ou —£u, 5. m. (4. de myıh.) Neröe: 
dieu marin ; (podi.) la mer. 

Nzuıo. V. Lo6ndro. 

+ Narira, s. f« (1. d’hist. nat.) nerile : c- 
guillage univalve. — .ör de gemma d’evo ‚e 
rite jaune d’auf. — de booca negre, nönle 
bouche noire. — de demticulos vormelhos, 12 
dent saignante. — liss, nerite polie. — com 
pintas d’esiorninho, la grive. — dos rios , DC 
rite d’eau douoe. 

N2no0, a. V. Nögro, Fero. 

Nzavinpo. V. Nervoso, Nervudo. 

NerviL, adj. 2 gen. et } nerval : bon po#' 

Nervino, a, adj. les nerfs (remede)- 
Nervin : qui fortifle les nerfs. 

N£avo, s. m. (l. d’anat.) nerf : sorte de cor- 
dons bianchätres, organes des sensations; (A9.) 
force, vigueur; corde d’instrument. * Coartoft, 
lanidre. 


Nenwösıuiurs; aus. avec [orce, vigueut, 
activitd. 

+ Nenvenmänn; s. f. force des noria. ( K9.) 
Force d’un raisonnement. 

Nzav6so, A, adj. megeaux : fort, qui a de 
bons ments ; pieim denerfa; ( Ag.) kart, vigou- 
reuz ; qui apporlient aus ner[s (alfection —se) 
Pessen -@ , PERDERMe Hervouse, dont lies merls 
sont altaruds. 

NEuviD0, A, adj. MerVemz : qui a do bons 
nor, mus 

NERYORA, 2. f. (8. de bof.) nervuro: cöle ele- 


tee sur les feuilles des plantes; (4. de rel.) dos- 


nerve. 

Nmsczpäse. V. Nocedade. 

Ntscıo, etc. V. Necio, eic. 

Nüssen, #. f. points trisngulaire ımisa A une 
rohe, sts. ‚pour lusdonser de VYamplcur. Close 
coup6e en angle et jointe A une auwe. Pointe, 
gousset de chemise. 

Nterzna, s. f. nölle : Fruit acidule, päteux, 


du neflieg, d Boyauz.——s, 94. sorie de sommelles- 


oa sennailles. 

Naspunkına „a fı ( l. de bei.) ” nödlier ; : arbre 
ande. 

Nüsse, A (‚oontrasiion do em ssse, em e5sa), 
dans €e, dana oslie. 

Niere, a (oontsacliom de em esle,, em esla), 
dans ce, dans solle. 

Hays, 6. f potite-Glle. 

Nerinua , dim. de Neta. 

NeTinno , dim. 

N290, , m. peuit-äls, Farceur, beuffon,, dont 
l’babit est higarre. Or mossos —s , nos descen- 
danis, nos petileneveax, ka pestdrite. 


+ Nüre,, a, adj. nei: prepre; sans souillure; | 


sans ordure. 

+ Naueilwarı, s. m. (1. de gdog.) Neufchätel: 
ville de Suisse. 

Neumsa, s. f. (t. de mus.) noume. (1. de rhdt.) 
Expression de ca qu’on pense , plus par gestes 
on par signes que par paroles. 

Nevmsısa. V. Aneurisna. 

NerTräL, adj. 2 gen. neulre: ui ne prend 
pas deyari enire des nalions, des personnes 
oppostes. Mostrar-se — com ambos 08 parlidos, 


bien entre Jos deux 

NEOTRALIDÄDE, 3. f. neutralils: etat d’une 
nation indiffärenge entse deux partis 
ennemis. 


Nevrnalızacäö, 8. f. neutrelisation.: aclion 
de ıeutsaliser. 

Nagraauızia, 9. a. neutraliser ; rendre neu- 
tre ; temapörer, mitiger l’eflet d’un principe. 

+ NeUTRaLnenTE, adv. neuiralemeni: d'une 
manitre aeulze. -- 

Nevrao, a, adj. V. Neusral. (1. de gramm.) 
Neufte: qui west ni masenlinni feminin (mot); 
gui n’exprime point une action directement di- 


zigte sur quelgus objet (verke) , qui.n’a pas de 


+ Navioa, e. f. quantits de neige qui tombe 
en ne bin 
NEvÄnO, A, adj. couvert de neige; blaue 


waz..y8 


MG 833 - 


comme-la mnige; rafraichi A In glaye, Age —, 
eau A la glace. p.p. de 

Nevis, v. n. neiger : tomlıer de la neige. 
%. a. Couvzir de neige. (lg.) Blanchir : reudre 
blanc. 

NEVE, s. f. neige: vapcur glacde dans l’almo- 
spbere, retombant en focens ; ( Ag.) blancheur 
extreme; glace do fruits. Um cdpo de —, une 
glace. Tomar —, prendre une-glace os dos 
#laces. Imporla-me lanlo isso como a — que 
passou ha cem annos, ( faw.) je m’om soucie 


‚aussi peu que des neiges d’antan- 


NE£veEna, 3. f. (8. de dot.) "calament. V. Cala- 
mentha. — dos galos ou maior, chalaird,-ca- 
taire, herbe aux chals. — menör, calamenı des - 
ehamps. 

+ Neveoisha, 5. [. (ti. de do&) chatairc A 
Dleurs läches, 

Nevkını, 8. [. 
la neige ; glaciäre. 

Nev&ımo, 5. m. vendeur de neige ; glacier. 

t Nevi808400, A, adj. (Bodi.) de couleur de 
neige ot do rose. - 

Nevoa,s. /. "brouillard : vapeur &paisse quı 
obscureit l’air. ° Nuage qui se forme devanı les 
yeux, qui obscureit la vue, taie 4 l’@il. Espece 
de crasse qui se forme sur la surface de l’u-. 
rine. Eusoröme, ( fig.) Trouble, confusion, ob 
scurile. 

Nevoiga,s. f. V. Nevoßiro. 

Nevoipo, A,adj. nebulcux, couvert de nua- 
ges, brumeux. V. Anuvi 

Nevoar. V. Anuviar. 

Ngvoßıno, s. m. brouillard €epais, brume. 
( Ag.) “ Conlusion , obscurite, 

Navöso, A, adj. neigeux : charg6 de neige. 
Couvert de neige; blanc comme la neige. Tempo 

‚temps de neige, od il neige beaucoup. 

NEvRALCiA ‚s. f. (1.de mdd.) nevralgie: dou- 
leur des negfs, 

NEvROoCRATHIiA, 8. f. (f. de med.) nevrogra- 
phie : deseription des nexls. - 

NevroLocia, 8 f. növrologie ; trail6 des 
neris. 

+ NevRöPTEROSs, adj. et s. m. pl. (1. d’hist. 
nal.) nevropteres : insecles dont les nervures 
forment un reseas. 

NEvRoToMia, 3. f. nevrotomie s dissecliom 
des nerls. 

NEWTONIANISMO,, 3. m. newionianisıme s sys- 
wöme de Newion. - . 

NEWTONIÄNO, A, adj. nowionien : qui a £ap- 
port, au systöme.de Newton, parüsen de cc 


*androit oiı l’oh conserve de 


N) 
Nero, s. m. naud, lien. Ndo ha — mw’esie 
discurso, il n’y a pae de suite dans oe dis- 
Cours. 
NeleETE, 3.m. corruplion de Neopägte. 
+ Nuanpccvacd, 8. m. (t. d’Mist. nal.) Ouyon 
oa lau youyou : eap&oe d’autruche de la Guyane. 
Naum, —ı, abrev. de Nerhum, |. ‚ 
NıAcEs ,„& T. grosse tolle. 
+ Nicaricva,s.f. (1. de no ) Nisaragun 
ville de Guatemala. 








8% NIR 


+ Thea ‚0. f. @.degfoy.) Risse : ville d’ASl®. 

Nıctno, a, adj. Niceen : de Nitee. 

Nicne , .w. "niche: enfensesent daus P&- 
psiseeer d'un mur pouf y meitre une statue, 
ete.(g,)* Place: posie dü au merite de quel- 
qu’en. 


Nreoovatina, 3. f (8. de dot.) niewllöne. V. 
Ilervo ante. — ‚ peitie nicotiene, tabue 
femelle, fauz Isber. 

+ Nıcoweerkust , adj. 2 gen. Nieomedien r de 
Nieomädie , ville d’Asie. 

Nicz0Löcıo. 7. Necreißgto. 

Nierosiseta. V. Nigromancie,. 

$ Nıerörmores, 5. m. pi. (1. d’Mei. nal.) 
nteropheres : ooltopttres qui enterrent des ca- 
davres, davre. 

Nıericorı. V. Nyeticore. 

Niprricir, 0, 9. nicher:: faire som nid. 

Amon6so, A, adf. ntäorenı : qufa un got, 
une odeur de pourri, d’aufs eoevis. 

Kronssun. V. 

otrı.a , #. f. (1. de bot.) — ordinaria, wielle 
romaine ,nielle des jardins, ° cutmfa neit, faux 
cımin ‚toute-$piee. — dos algueiver , miele des 
chemps, nieite saurage ou bätarde. 

+ Ricur ‚y. m. (t.de geog.) Niger ou Djellibe : 
fteure de Yalrlgue oecidentste. 

Niooa, u. f. * nigus ow niguss, vun*- 
que : petil insecte des Indes qui siinsinue dans 
les pieds entre cuir etchafr. 7. Zunge, 

+ Niealcıa, u. f (1. de gdog.) Nigritie ow NE- 
gritie : contree d’Alrkyue. 

Niıcromäncıa , 4. f. necrotäsnee os ie : art 
pretendu @eröquer les moris, les detnens. 
Chose operte par le moyen de cet art. 

Nıcnowinre, 5. m. mecromamelen : gel se 
mele de neeromaneie ; soreter, magfcthen. 

Nıcrowiwrico, 8. mı V. Nigrumanie. ad). 
Qui eoncerne 1a netronısheie. 

1A NICöndE, 8. m, graino qui resseruble s® 


myis. 

+ Nıum, s. f. (1. de bot.) "rumphe: arbre 
terebinthate. 

+ NıLcö, 8. m. (1. d’hist. net.) nil-gaut om 
nyl-ghaat : ehtiiop& de Pinde. 

1 Nun, a, da MM. m 4 

+ NiLo, s. m. (1. de gdog.) Wil: Neere 
@’ätriree, entre Ten deut Ri 

+ NiuLörico. V. Nilieo. 

Ntuuo. V. Eimbo, 

Nıstca 08 —ctEn, 9. f. (f. de JR 

mine: Wille des Paye ben . 

Nrin attänte , ade. trop , excesstrehtent. 

NameniBE, s. [. " excis : surabondante ; wu- 


* Nıeaıaa. V. Nomipdähe. 

Nimıo, A, adj. excessif, irop grand. 

+ ‚s. f. (& d’Arle) vote Be rin AR de 
for Nu aeuu de nipn, V. ce not. 

Sriea , ®. fı {f. enfent.) Fastp — ‚ Talte due. 
dt, V. Arrueläl, 


Nınan ‚vo... (4. enfahl.) falne dede; 


Nana, dic, Y. Aympha, eb. 
Nınctıra. V. Nigella, 


+ Teac, 0. wm. / 0. de kuite) niagh ı vatine & 
Sierra-Leone. 

Nıycamzäwt;es, 8. u, pi. instsunhenis gast " 
labour des salines. 

Kwetr, pron. WuBlf, pERBeEme, GUTE, 
nut, qui quo vo Soil, = WEITE 9a PEN, 

_£ = 000 vufa, qua ml m 

na tegurde. Ust =, un Genzme du rien. Bent 
mal adquiridos a — häo enriqueskle, tree) 
bieh mel aogtis me yeuite fumnie. = pid 
Hiser : D’esis aqua ndo beberei, (ül.) gumueum 
ne peet dire : Fomtaime, jene beizeli panda uh 
eam. 

Nıynäpa ,s. f. nichee, cource: aus su pi 
biseaux dans le meme wid. De dit aussi dm mr 


is , eic. 
"rrwnantı, s.f. "wtsuitage. 169.) Bag: 
echo pen Impertante o@ de peu de wre: 
wist ‚bubtele, 


Nınntco, A, adj. troure dans Je uid. 

inne, 0. «6. wid dieiseus. Teoa de vet, da 
perpem, ste. I0id ı onreit oh IuS pamiib, dB, 
deposent leers aufs. ( Ag.) Pays, nalen qua 
habite. — de gar ronl, Kitennälte + Heu && 
les herons font leurs petits. — dave & I% 
pina, site ı nid des grande eisusux de weh. 
Fazer seu —, nicher, faire von ni. Selten # 
sässuro 62 —, es uisenum sont Gbnichis. U 7% 
trie —, ($g.) la patrie, le uam. 

+ Ninive, s. f. (i. de ande.) Dana, snein 
ville d’Assyrie. ’ 

+ Nıxiveo, a, adj. de Niniee, 

+ Nnıritaa, au. 20. 1eb kabiunis Ar ie". 

+ Nreisore,,z. f. (1.0 but.) eupiee de built. 
Chinese, (Hin das) misune: Tai 


plante & racine ınedicinale. 

+ Nies, ». f. (t.debet., "mipe  polmlar 20! 
Moluques. Du cuco que porte eutuwbre em hf 
du vi :eevit. 

+ Nısan, 0. 8, yramier mais de Fannte“ 
elcsiastiquo chez Ns paila, ei In wupiitme © 
leur aunce civile, qui enumnedgen 6 Fogalnett 
de septerkbre, 

+ Nrasa,2.1.(0. 0 Key.) Kine ı mie de R 


Nısso, Niet®, (eurfundtien de am Ian, 19 
islo) dansrem. 
Neuere, af. 2 gem. Tatsumt, dr. Gab rösleit: 
qui s’cfforce. 
Inricoks. 7. . 
Nıriptz ou nettete ; prope@äß+ pol, Ir 
Nrrtsßra,s. 7 Iant: bönne grönet eeiel 
Nirteo, 4, wi). feat.) men, prupen, Dei. 
Er, kıfsant, brifiuhr, , 
4,Nısioua, ef. (t. Chist, R) anhae! 


Nırakne, &, uRf. WIEN reduce Muei 
aftre £ 


&% . ‘ 

Nerki, &. 08 If. 0 en) wre: 
forms par la combinaisen de l'acide alMil#! 
aver une bie. “ m 

Nıynkina , 6. f. nitriöre: Ina od so heit 











m oT Tr 


Noß m Nod “ VB 


Mmrmeo, a, Wl.TE Ge ehfın.)nithityee: (woidie f Sons nohles, leurs arımeistes (@iN. V. iebäkien 
—), forms par Ia combinaison de Yorygene | rio. . ’ 
avec l’azote. Norrumäinıo, 9... nohiliaire ı catalogue deu 
Nıraino, 3. m. (PoEl.) hennissement duche- | malsons nobles. i 
val. NontLianisyı, s. m. auteer @’ah nobilleiee. 
Nirkiwör, a, 04). hrennissant, qui hennft +} NopıLrsstkipo, 8. w. nobilissinat : qualia6 
(ehevat). V. Rinchäp. de nobilissime.' u 
Nırxırickr-sR, d. P. se Tormer ba ritre. NopıLissımo, A, adj. sup. de Nobre. Trös- : 
Nrraia. V. Rinchär. hoble , nobilissftme. 3. ms. Noßilissime : Mirades 
Nirao, 3. m, nitse : salpetre, sei compos6 | Cösars dans le Bas-Empire; dignflaire d6oer6 
@ackte nitrlgue et d’oxyde de potassium, base | de la pourpre. | 
&camon. Nopurrrack6, 8. f. "anebliusument. ' | 
Nirröceno, A, adj. (4. de chim.) nittogene:] Nönae, adj. eis. 2 gen. neble : plasd par som 
qui forme le nitre. fang, sa naissance ou tettres da priwwe; 
au«dessus des ahtres holames. V. Fidulge.(g.) | 
—, illustre, distingue, relevö au-dessus des - 
autres de ıneme gelire os espöse. Honorebie, 
estimable, grand. — Venesiano, mobile Yen 
tien : deseendant 4’une des onze famillee qui 
ont fond& la reptbfigtue. ’ 
* Nonrzchn. V, Ennobreedr. | K9t) Orwer. 
' "NOBRECINENTO, 3. m. V. Nobilitscle. 14.) ' 
Orndto. 
Mösrewenft, adv. noblemänt ı arte -n6- 
blesse ; en g&ntilhomme. : 
Br£zZA, 8. f. noblesse : 4usid de woble; 
les nobles; (Ag.) elevalion (de® itices , du sen- 
timeht, du style, des penstes, eic.). Sorte dB 
damas, &toffe. 
Nosrissrmo. V. Nobtltentmo. 
Nori6 ,s. f. notion :connafssattee, Nie d’ılıe 
choöse. Intelligence d’an mot. ’ 
Nocerte. V. Danoso , Prejudiietel. 
NoeEntissruo, a, sup. de Noeente. - 
Nocpitro, s. m. !t. d’orf.) set emmonkac. 
Nocirera, s. f. ’&toile da woir. 
+ NoctoniL, adf. 2 gen. qui Ooncerh@ 14 nd- 
tion. 
Noctvautrre, ade. d’une manitre nulsible. 
Nocıymipr, 8. f. qustits de ce qui est nal- ' 
sibte , nulsarnce. ’ 
Nocivo, a, adj. nulstbte, pröjunitefable : mal- 
Taisant, malm, nuisible, — 4 saıe, ıhalsamn, 
contraire A la sante. 
rNocraustıiswo, s. m. Nöcismbalfsme se ' 
maladie du noctambuiß. 
NocräwstLo, s. wi. nöetambele : Sommnam- 
bule. ' 
*Nocre. V. Noite. 
+Nocrırd, s.m. (t. Disk. nat.) noetliiete 
o@ bec-de-Hädvre,, espece de chauve-seuris.  ' 
+ Nocrittca, s.f. (poet.) la lurie, » 
NocriLuco, A, adj. (po#t.) nootiteytre, al 
donne de la Iamiere pendaent 1a nult. 
Nocrirtz, 8. m. ver halsant. . 
NOcHiYAC0, A ‚af. (Podt.) qui Br, gl 
a nvit. 
+ Nöcruas, s. f. pl. (4. EHE. Wuu6;) nootaufe " 
les : l6pidoptöres, nodtuelites, 
NocrtuaLis10, ®. m. nootarkabe + mireihent 
d’astronofhie pour prendre ia hatıenr Kuno 
$totte. u 
+ Noctünnanere, ado. noeturnement, Male 
&amment: pondamt ia mil, nr 
































Nrra6so, a, ad}. nftreux: ati tfent du nitre. 
"NE.V. Werken. 


t Nivaror, s. m. oiseau de YInde qui res- 
semble au . 

Niver, s. m. niveatı : instrament potrt con- 
naftre si um plan est horizontal, ete.; &latd’un 
plan sans Inelinalson ; [4g.) sgalil& parfaite. Ao 
—, ad0.de niveau. Avec unc &gamd parfaite. 

Kıyzragao ‚s. f. " nivelleiment: action de ni- 
veier, 

Nivetapör, A, 3. niveleur : celui guinivelle. 

NhvELABeNTO, 3. m. V. Nivelardo. 

NiveLär, v.a. niveler : mesurer avet te nt- 
veau ; aplafiir, nettre au ow de ınfvean. 

NivEO, A, adj. bland tonmte la nelge; de 
neige. 

+ Nıvöso, s. m. nivöse : quatridiae mois de 
lannee re&pablicahre ‚du 21 decembre au 20jah- 
vier. wdf. V. Nevoso. 

+ Niza, s. f. (t. de gdog.) Nice : ville du Pie- 
mont. ‘ 


No, contraetion de em o, dans le. V. m. 
Sar, s0u5.— mar 6 na ferrä, hut mr et zur 
terre. — prdio, sous presse. 

Nö, 4. m. maud : enlacament d’ane dhose 
pliante; exceroissance; artioulation; johrtures 
aux plantes, aux doigts, & ia queue (des ani- 
maux); partie plas dure dams ie camar du hois, 
du mardre, etd.; io laryıx; point de l’interser- 
tion de F&ct 6 &700 une orbite ; (g.) en, 
llafsom ;atta ; point essentiel ; dificulı6 
priuoipale d’ane efiäire, Hans question, ote. 
Nouement d’aiguillette. — edgo, naud difilvile 
a delufre. «- eupvedie , naand coalant. — de 16- 
aläc, nett de Llssered. — sa garganks, 
pemmb FAdım, (fiy.) ombarras, doaleur 
dans hu gerge.qei empeche Yavalar, ete; ; (deE.) 
tristesse , serrement do euer. —Jordio ou ger- 
diämo. V. 06 MIR, = urdinurie, ($. de mar.) 
newd Cum, wand piat, named mariı. — des 
muilheres, nmud [aux. -— da enzeptindura, 
demi-huud. — da barquinke, nusud dw Ja 
ige Yotok. »— de sower, nawd ä piein poing. 
Der um —, nouer. Homem ourte des-=8 , petit 
korunad. Pie wu wipe. TV. Voloulo, 


DIEERB , Werte. Bewme «pai, dam % 1,14 PR 
sion da jour, chez les Romains,, repemdait 
Momusandzia, 3. f Urregui:tzete denn 


838 NOJ 


Nocrunnas. V. Nooluas. 

Nocröano,, A, adj. nocturne : qui se fait, qui 
a lien pundant la mail, eic. Qui erre, qui court 
la nuit. Nocturne. Kpithete donnee par les as- 
trologues ä certaines plandies trop söches ou 
trop humides. Aus —#, oisesu de null, 

Noctöano , &. m. nociurne : partie de l’oflice 
de malines. 

*Nocumiuro. V. Damno, Prajuizo. 

"Nösa. V. Nödos. 

No000, s. m. (1. d’astr.) naud : point de l'in- 
tersection de F’6eliplique avec une orbite. (6. de 
chir.) Nodus : tumeur indolente sur les os, les 
tendens , les ligaments. 

Nöpoa, s. f. tache. (Ag.) V. Manche. Tirar 
as —s, [faire en aller los taches. 

Nop6s0, A, adj. noueux : qui a des nauds. 

Noßrtz, s. m.“ noix d’un parapluie. 

Nocioa, s. f. leur de noyer. Sauce pour le 
poisson,, (aitede noix et d’epices. 

NOoABO, 6. m. nougat : gäleau d’aınandesou 
de neiz au caramel. 

Nockı. V.N: . 

Necusına, 6. [. " noyer : arbre qui porte les 
moiz. 

+ Nosusınino, A, adj. de oouleur de noyer. 

Nocosıniı , 5. m. lieu plante de noyers. 

+ Norma, s. f. oiseau des Moluques, qui res- 
somble au perroquet. 

Nöitz, s. f. nuit : l’espace de temps oü le so- 
soil est sous l’horizon. (Ag.) Confusion, obscu- 
rile. (fd.) Nuit du tombeau , öternelle nuit, la 
ort. —, ombrage, obscuritt. De — , de nuit; 
nuilamment, pendant Ja nuit. A’ bios da—, sur 
la brune, & la auittombante, & la chule da 
jour. — fechada, nuit close, tout A fait nuit. 
Böse ou md -- ‚(Ag.) bonne ou mauvaise nuil, 
passte dans la jeie ow dans la trisiesse. —e 
dia, jour et nuit, sans cesse. Alla —, mililo 
pela — adiante, bien avant dans la nuit. d— 
6 capa de peccadores, la nuit sert de voile aux 
mechants. A— d boaconselheire, la nuit porte 
conseil. Ndo | olko Ioda a —, je n’ai pas 
ferme l’ail de la nuit. Fazer —. V. Pernoilar. 
Fezer-ss —. V. Anoitscer. Böas —s , bonsoir. 

Norrzcka. V. Anoilscer. 

Bortsziuua, s. f. dim. de Noite. Commence- 
ment de la nult. 

Norrisö, s. m. (f. d’hist. nei.) oiseau de nuit. 
(Ag) Homme retire ‚ triste, maelaneolique ; qui 
ne parait que dans la nuit. V. Nockivago. — da 
Kuröpa ou corvo nocturno, engoulevent, tetle- 
chövre , erapaud-volant : oiseau. 

Norrinna. V. Noitesinke. 4’—, sur la brune, 

Nörva , s. f. Sanode; nouvelle maride. 

Nowväno, &. @&. Mariage , N0ce. 

Novo, s. m. Bance : celui qui est pr&s d’ätre 


masid. Nouveau marke. 
Nosino. V. Enfaddde , Agastddo. 
BOSEWEISSENO,, A, adj. sup. de 
Nostaro,, A ‚adj. degentant; qui [a soule- 
ver le omur. Sujet aux nausdes ; quise degeüte 


a 
N010 ‚3. m. chagrin ,trigtense. Ennsi . de- 


NOM 


gott, diplaisir. Dogamage ; prüjadice. Grand 
deuil. Esier de —, garder la maison pendanı 
les premiers jours de grand deuil. 

NS0, s.m. "naus6e, emvie de vomit. Cau- 
sar —, faire soulever le caur. V. Asco. 

No)6s0, A , adj. degeätent, qui fait souleret 
le caur ; sale, malpropre. (aw£.) Nuisible. 

+Nougiö,s.f. (t. de theol.) Vaction de ne 
pas vouloir. 

NoLrmz-räncene, a. m. (It. de chir.) noli- 
me-tangere : uleere malin. * Balsamine, planie. 

+ Nömapa, s. f. (ti. d’hist. nat.) nomade:: hy- 
menopteöre „apiaire. 

NOmADE, s. et adj. 2 gen. nomade (peupk 
— ) : errant,, sans habitation fixe. 

NOMBRANEKNTO, 5. m. "nominalioa d un ur 
ploi, eto. V. Nomsagdö. . 

NONE, s. m. nom : terms oonvena pour d#- 
signer un #ire ou une abstraction ; lüre, Qui" 
lit en verta de laquelle on agit. Sobrigui 

Mot du guet. — de pia, nom de bapiöme. Er 
mes, em feu —, en mon, en ton nom. Em- 
de seu amo, au nom de son malire. Em — d 
Deos, au nom de Dieu. Ter grande —, roll 
une grande reputalion. Due — lem? qui‘ 
sen — ? comment se nomme-t-il? Chamar -! 
# algusm, injurier quelqu’un. 
Nousacäö,s. f. nomination & un emple. 
eto. , et le brevet qui la cantient ; droit, aclıel 
de nommer. 

Nouzipa, s. f. tstion , nom, renommtt. 
V. Fams. Val mais bda —, que cama dourels, 
(prov.) bonne renommee vaut mieux que ct@ 
ture dorde. 

Nouzidauente, ade. nommeäment, spec 
lement. 

Nouzino, A, P.p. de Nomear. ady. Renoa- 
m6, nomms avec ölpge. 

NOWEARÖR , A, s. nominateur : qui a droit dt 
nommer & un böneßlos, eic. 

Nousanöns. V. Nomeagio. 

Nonzänte , adj. 2 gen. qui nomme, p. 6. % 

Nonzis, 0. 6. nommer : donner, impesT 
un nom ‚une &pithäte, dire le nom (d’ua fit : 
en faire mention : oheisir, designer (pou " 
emploi, ete.); declarer, instituer (son her 
ier, eic.). 

NOMENCLADOR, 5. m. (4. d’ani.) nomencs- 
teur : esclave qui indiquait les nes des © 
toyens romains & coux qui le desiraien!; 1% 
faisait ranger les oonvives & la table. —, F! 
s’applique & la nomenclature. 

NOMENCLATURA , #. f. nomenolature : coll“ 
tion des mois, des noms propres & une 980%: 
möthode pour los olasser. 

Nomia, s. f. nomie, rögle, lol. Co mei 2 
pris du grec et sort & comparer d’autres mil: 
comme asironomie, etc. u 

Nöuma , s. f. religue sur laquelie sent KenB 
des nems de saints; sacde religuen, Reli 
Piöoe qui couvreie poltreii des höteade 
Neminslion. . 

Noumagid, s. f. * nom : partis.de disc 
sınooptible de nemmhre et Ao.guuee. 











NOR 


enmins, 9.0. pl. nominaux : soolasiiques 
ds aux realistes. 
AL, adj. 2 gem. nominal: qui concerne 
le nom. Imaginaire. 
+Noumiıus, s. f. pl. (4. dent.) nomina- 
lies : jours 4 Rome pendant lesqueis on don- 
nal des noms aux onfanis. 


NOT 837 


+ Nönz, 5, m. * eapöse de perroguei des Mo- 
uques. 

1 Nosuinoa, #. f. (1. de gdog.) Norlingue : 
ville de la Souabe. 

Nönua,s. [.rögle, moddie, exemple. (fig.) 
Rögle de conduite, oto. ı 

t NoaswiL, adj. 2 gen. normal : qui regie, 


Noumarivo, s. m. (1. de .) nomina- | qui dirige. Escola —, doole normale, ob l’on 
uf : preınier cas des noms deelinzbles. —s , pl. | apprend Yart d’ » Linke —, (1. de 
les dsolineisons des noms. adj. Qui indique le | geom.) ligne normale, perpendiculaire. 
nom. V. Bunominativo. t Nonuansia, 6. f. (i. de giag.) Nosman- 

+ Nlomocknon , 3. m. nomoeanon : reoueil de | die : aneieane province de Pramoe. 
constitstiens impürialos ot de lenrs canons. + Noauius0 08 —NO, A, adj. 08 5, Ner- 

+Rouocaarnia, s. f. namegrapbie : trails | mand : de Normandie. 
sur les lois. ' NORNORDESTE , s. m. (1. de .) Aard-nerd- 

+MomoLosia, s. f. nomologie : seienee, iralte | est : vont emire lo nord ot le norüi-est. 


des lois. 

+ Nomorstrico, ı, adj. qui concorne la 
legislation , Part de faire des lois, 

Neonida,s. f. wm peu, quelque peu; bage- 
telle, un rien, vetille. Cousa de —, chose 
rien , bagatelle. 

Nonsczuinto, A, adj. nonagtnalse : Age de 
quatre-vingt-dix ans. 

onsetums, A. Pr noRanlicme : qualte- 
vingt-dixi da scliptien, nonagesime : 
point de Pecliptique, &ieign6 de quatre-vingt- 
dix degres des sections de l’horizon et de i’4- 
a rue adj. V. Euneagone 

“on, Ar .nonagone. V. . 

Nonisests, V. Ennsendria. 

Nonas,s. f. pl. (4. dans.) nones : les Ro- 
masins appelalent Roues le cinquisme jour des 
mneis de Janvier, fövrier, avrit, Juin, aodt, sep- 
stembee, novembre , döoembss, et ie septidıne 
des autres mois, 

* Noncı. V. Nunes. 

Nenn, s. m. quadrupdde de Sofala. 

Nönss, a. m. pl. nombre impair. Joger a pa- 
vos ou — ,jouerä peir ou non. 

‚se. m. nonius : piece de cuivre em- 
pioyöe dans les divisions des iInsteumenıs de 
mıalhömatique ; partie de Yalldade. 

Nomina. V. Nonada. 

° + Nösmo, s. m. religion. Pöre. 

None ,a , adj. ord. neuviöme: neuf. Carlos, 
Luis — "Charles ‚ Louis neuf (IX). Zm — is- 
ger, neu neuriämement. 

Nöra, s. f. noria : machine pour #liever de 
1’guu , ä Yaldo de godets attaches A une corde 
awtour Zune Toue, elc.; puits d’et 6n tire de 
Peau & Fatde de cette machine. öt. Beu, beilo- 
nite. 

vau,nret de bot.) — .V. Bryo- 
nis. — prite, " tamier, sceau Ge Nlire Dne 
Beronedonce & fruits otracines noirs. 

Nonciıa,s. f. negundo fometie. 

Nonptste, 8. m. (1. de mar.) nord-est : point 
entre le nord et l’est; vent qui en part. 

t Nonnzstzia, v.n. ($.de mar.) nordester: 
tourner au nord-est, decliner vers le nosd-ast 
parlant de Yaiguille almantse. 


+ Nonp$srzo, A, adj. du nord-oss. 


Nonnorolste, s. m. (4. de mar.) nord-nord- 
ouost. 

Nonogsts, s. m. (6. de mer.) aord-suest : 
point estre le nord et l’aucst; vent qui en 


de | vient. 


Nonogstzin,v. ®. (1. de mer.) nord-aues- 
ler : toumer au nord-ouest; deeliner vers lo 
nord-ouest, parlanı de la beussele. 

Nossa. V. Norge. 

NöRrE, s. m. nord, septentrien ; p0le areli- 
que ; lo vent du nord. (Ag.) Guide, etoile po- 
laire, boussole. Ir — sul em alguma cowsa, 
faire le contraire, l’oppos6 de ce qu’il fa 
(aire. 

+ Nonutos, 8. f. (t. de geog.) Norvrege : 
rFoyaume de !’Europe septenirionale. 

Nönza. V. Norga. 

Nos,, contraction de Em os. V. No. it. Varia- 
vion de Eu. Ex.: Dbo-noe „ disse-nos, il nous a 
donn#, il neus a dil. V. N(euphonique.). 

Nös, pl. pron. pers. nous. il. pl. de Nd. V. 

Noscäipa , adj. f. Noz —, museade , noix du 
meuscadier. 

Nosco, pron. pers. usitö avec la pr&p. com. 
Com-- , avec BO0S. 

Nosooaarnia, s. f. nosogrephie ; Weite des 
maladies on general. 

NosoLocia , so. f. nosolegie : explication des 
maladies en general ; trait6 , nomsenclature des 
maladies en gendrel. 

+ Nosomixtica,, s. f. "art de guerir par m- 
chantements. 

Nös-OLTRos , 
auircs. 

Nösso, A, adj. poss. nölre : qui est A nous, 
relatif 4 nous. —s, as, pl. nos. Os—s, 8. pl. 
les nölres : ccux qui sont du ındıne parti ‚de la 
meme profession (ue nous. 

Nostalcia, s. f. nostalgie : maladie du pays; 
nostomanie, uoslsasic, desir vielen! de revoir 
sa palrie. 

Nota,s. f. ‚signe, Nols ı remargue 
& la snarge d’.m hvre, etc. Minule : original 
d’un acle. Critigue, censure. Note qu'’ea prend 
d’uno obose pour sen souvenir. Nole : lache & 
i’'honneur. Autor de — ou de bda — , auleurre- 
nomme, colebre. Mulher de—, femnc decsiec. 


AS, pron. pers. nous, nYur 





3 NEM 


Nowenagß6, . f. numetraiien - action de 
nombeer ; denembsemen!. 

NenERiS®, a, . 9. de Numerer. ad). Nom- 
bee. Numtretb. Mis au nombre. 

Numzaınsa, s. m, er) numereteur : 
«hilise d'une fracıion : indique com- 
bien de feis elle renierme jo deneminatser. 

‚adj. 2 gen. numtrdl : qui margue 


au permi. 
Numsninıo, a,adj. numeraire : (valeur —), 
nominale des esptces. s.m. — argentcompfent, 


"Ammzahmır, ai. gm qui peut se mem- 


Newtuscaußurs, ade. numeriquement, en 
nombee exact. 

Nuutao , A, adj. numerique : des nombees; 
qui a rapport aux nombres. Lotirus —as, lotires 
Bu ’ 
Nousao, s. m. nombre : unitd ou ausemblage 
de plusisurs unitss ; quantile indeterminte; 
meultitgde, barssonie Au style, d’en vers; ar- 

mtiodieuz des mois; terminaison 

d’un met indiquant si est singelier ou pluriel. 

Numero : nombre gpi sert ä recomnaltre ce qui 

est eot#, ttiquete ; chiflre; este, margue mise 
var quabgen chow chose,, sur une marchandise , eis 


pows mesure. — , Dem- 
bre compes6, qui resalte d’sutres nombres 
multipliös les uns par les auıres. — elibico, 

nembre cube ou cubique, rösultat de la mutl- 
piiestion d'un nombre deux fais par lai-möme. 


toment divisd par deux. — gär, nombre pair : 
multiple de deux. — plane, nombre plan, r6- 
sultant de la muluplicatien de deux aetres. — 
quadrdde, nembre oarr& :  preda den nombro 
multipli6 une fois per lai-mizte 
nombre selide, r&sultant de la meitiplication 
succeseive de trois autres. — surde ou irracie- 
nal, nombre irralioanel: qui n’a aucune me- 
sure Ccommene avec !’unite. De —, effvetif, du 
nombre determine. C'est Yoppuso de suprenu- 
merario , seurnumeraire. Sem ——, sans nombre, 
en grand nombre. Aureo —, nemibre d’er, eycie 
lunaire de 19 ans. Em cufo — entra V. M., au 
nombre desquels vous tes. —, pi. Nomhres, 
livre de Molse. —s romanos, lelires numerales, 
chiffres romains. — digitos, (4. daritkh.) nom- 
bres simpies , depuis un jusqu’ä neuf. 

Nuuznösautnte, edv. en grand noubre. 
Avoc nombre, cadence, harmonie. 

Nowenosissiuo, A, adj. sup. de 

Nouenöso, a, adj. nombreux : en grand 
aoınbre ; harmonieaz. 

+ Noxios, adj. et s. 2 gen. de Numidie. 

f Numinas, s. m. pl. Numides:: babitants ds 
Numidie. 


nombre premier : rs quiwra que Fanlıh bes 


‘NUT 
a men, 2 1. (2: pop.) Manaküie : c0- 
Nrmisua, s. m. " medaille: pläse de mue- 


Nummsuirıoo, a, al. wumimmeligue : de 
mtdailies autigurs. 5. au. NMannlamaie os — mu 
ists : qui dendie ‚ oanımait ‚ Gbctit Jan untdeiler. 

+ Ncemsmarocaırmia, 5. f. mumuksmstogt- 

«dunuigtien des wsidailles 


NemcrAnıa, s. f. (1. de be6.) munmmnukite, 
berbe aux dems, & ount unaladies, om mei- 


.] nuylso : PiaRSe aguaiigue. 

Biuuea , ae. jemals. -—— janndis, jamais In 
"| grand Jamais. Sinis de quo —, plus que james. 
Pers — mdis, pour jamais. Nem seupre, us 

—,ai jemals, u an Die kauee — pei 
mais lern jameis päre ne AR plus end. 
—_ S10nl0000, — 0 vr, il est & weite gut. 

Nönesa ‚s. f- zmsmgise, ayanß-seutriere. 

Nemcıapon, a,.adj. qui annence. 

Nuucaha. V. Annuncdur. 

Numsawiaa, s. f. zunsistase: amplei, 
geits de nonce. * Tribunal de la noncisiuse. 

Bine , 2.1. RMSSagER, eray&. Nesne : 32 
bessadsue da 


Buncsparivo, A, adj. wunsupeßil : (Ws 
ment —), Salt verbalsunemt , de tive vorz. (m 
parte Je nom dans chaso sans en aneir I Ur 
8. 

Nuncenkyo, a, adj. (d..de pres.) imstänt, 


BOmm6. 

+ Nonpınäzs, #1. PR. (0. Bam.) Bumdinnl: 

Iait yeuaubires fetisen de Valpkabet. 

Mumpenkuse , A, al). numndinaien : 0p diss, 
& Rome, des muaschds qui.ce tanninmt teus Is 
nouf jours. 
Naupiuss, s.f. pl. (£. Eat.) mumdines : mii- 
eh6 puhlic, teus joa meuf Jeuurs, A Kemme. 

* Nungua. V. Nunss. 

Nurcıir, adj. 2 gen. nuptial« qui appurtin! 
Su R0008, au maringe. 

Bern. f. Pl. mapes. V. Bode. Fühss de 

de sugendes —, ui du pr 

mier, du socond ii, 

Nuracäö, s. f. nutatien,, belautantent; diree- 
tion de la plante du chtb"üu auleil ou de lan 
mitre; mmeuvement apperent die l’aun de iM 
wre, de la ame. 

Merkur, a). .2 gen. veciiiamt, chamcelasl- 
p. 0.de 

Nıria, u». ‚ chanoeler, vacilier. 

Neraıche, ef. weirition : Sonetien par R- 
quello les sucs noureisiers sem aonrerts 
substencoe. (6 de pharım.) Frepusatlen: her 
lange des mödienmehis pour en zunfercet 1 


oraime,1,af. neunrieier : qub aeugrit Is 


i de l'’embenpoia 
Gras, qui a de !' % 
NUTRIENTE, adj. 2 gen, nourrizsant, 94 
writif. 
NerrınentäL Yadj. 2 gen. (1. de med.) m 


| tritif:: qui noarrii, qui sent d’alimen. 











OBA 


Norntuänto,, 8. m. * nourriture : aliment, au 
propre es au figure. V. Nutrigdo. 
UTRIR , %. 6. NOurrir : susienler, servir d’a- 
‚liment; \ fig.) augmenter, donner do nouvelles 
forces. Il est aussi neutre. 
Nurrin-sg, v. T. 86 Rourfir: dire, pouvoir 


158 nourri. 
UTRITICIO Ow V. Nutriente, Nulri- 
. Norsirtico, 4, adj. mental. 


‚  Nuraırivo, A, adj. nutzilif: qui nourrit, ali- 
menle, . 
“ "Nuraiz, s. f. nourrfice. 
Nüvs. V. Nuoom. 
„ Novum, se. f. nue, nuage. (Ag.) Nuce : multi- 
tude da meuvemeni de personnes, d’oiseauz, 


 d’animaux, eise.; nuage de poussiere. (id.)' 


Chbose qui en obscurcil une autre; tristesse. 
— nigra, nuage noir. Cheger o mar ds nuvons, 
. ($g.) on le dit de la mer irös-agitse. Pör nas 

ns, lsnanlar sobre as —ns, ( ig.) dlever jus- 

qu’aux nues, louer excessivsment. Ir ds —ns, 

meonter aux nucs. Cuberio de —ns, nuageux ı 

couvert de nuages. Sode ds —ns, il va jusqu’aux 

nNNSS. 


Novauzinna, s. f. dim. do Nuvem. Petite |. 


nus, petit nuage. 
Npvıaso. V. Nubldde, 
* Nuvıir. V. Ansumiar. 
+ Nrcraäımo, 5, m. (1. de mdd.) nyclalme ı 
, mmsledie qui denne des visions nociarnes. 


"OBE su 


+ NscriLoeK, 5. 2 gen. pyelalope: qui veil 
mieux la nuit que le jour; qui ne voit que la 
n 

Nıcrassria, 8. f- (1. de med.) nyctalopie: 
maladie, nature des yeux qui rend nyotalope. 

+ Nrcricona, s. f. ° nyelicorax, hibou, 
oisesu de nuit. 

+ Nrceriuas, s. f. pl. (6. d’ant.) nyotilies: 
fetes de Bacchus, celebroes de nuit aux Ram- 
beaux. 

Nrcantıuı. V. Nogebeihe. 

Nrreo6. V. Niigo. 

Nrupna, s. f. (f. de myth.) nymphe: divinits 
fabuleuse du second ordre ; (fig.) femme jeune, 
bien faite et Jolie. (#. d’Aist. nat.) —, ou pupe, 
chrysalide, aurelie, f&ve, necidale : premier 
degr& de la metlamorphose des insectes. 

Nyupu£i,s. f. (t. de bot.) *nymphea, nenu- 
phar. — branca, nenuphar blanc, blanc d’eau, 
lis des &tangs, volet, plateau & fleurs blanches, 
— amarella, nenaphar & fleur jaune, jaunet 
d’eau, plateau & fleur Jaune. 

Nruroßo ow (1.d’ant.)"nymphee: bain 

NYNMPHEU, 5. m. | public romain ; grolte or- 
nee. Salle ornee pour des noces. 

Nyurnöine. V. Nymphea. 

NYNPEONANiA, 5. f. nympbomanie: fureur 
uterine; desizs veneriens tres-violents chez los 
fomolles. 


OÖ. 


O,.m. ietire de Yalpkabet por- 
uuguie , 01 la quatriöme des voyelles. Caractöre 
aehkkandtigue , qui exprime lo zero. C’ötait au- 
weufeis une lettre namerale qui valait onze, ei 
wveo un (rat au-dessus, onze mille. O, article 
wuase. le. — ‚eo m0n0s, te pluset le moins. 
—polor, — peiorce sudo ö, qui pisest.O ,prom. 
weint. 1o. B nocsssario dizdi-o, 11 faut le dire. 

8 welster dtser- We, il laut Io hal dire. O, in- 
serj. oh; 6.7. Oh. Old! Hem! O est aussi une 
particuleservant ä l’apestrophe. Ex. : 0’ grande 
reil 6-'yrüo senkhor! 6 grand rol! 6 puissant 
seignenr! 0’, adröv. de ao. Porgunto ö mar, dt 

‚ote., por quem for&o creados P je de- 
mande & la mer, aux rochers, etc., par qui ont- 
His &i6 erößn? O a Eid souvent employ& comme 
$e symbole de Yötornits. O (os), tes O de Noßl: 
antiennes qui oommencent par 0, et que FE- 
glise chante les neuf Jours qui prec&dent No&i. 
Rafratöhitsement qu’on dennait dans les cathd- 
"Ursles,, dans les cofleges, etc., dans ces jours 


® vepres. Nassa SenAora do O, fäte de 
Notro-Dams dite Attente du Part. 
+08. 7. . 


’O’sa. V. Opa. 


Osczcackö, a. f. * aveuglement. V. Cegufire. 

Osczcido, A, adj. avengie, offasque. p. P. 
de 

'Osczcir, v.@. (9. us.) areugler. V. Ceger. 

Os06cto, 3, adj. couvert, ferme. 

Opensckr (a), v. n. obeir, se soumeltre Ala 
volonte, aux ordres de... Obdir ä la main,& 
’eperon, se laisser manier aisement, parlant 
d’un cheval. —, ceder, plier, se dit des choses 
inanimses. Vale mais — que sacrificar, obeis- 
sance vaut mieux que sacrifice. 

* Oseneenga. V. Obediencia. 

ÜBEDECIDO , A, 9. 9. de Obedecer. 

Onzertncia, 8. f. ebeissance : action de ee- 
Iai qui obeit, soumission d’esprit; disposition, 
habitude & obeir ; ’autoritd, domination. Obd- 
dienee : ordre d’en sup6riour pour aller d’an 
oouvent dans un aulre ou pour se rendre dans 
un endroit quelconque. — ‚ obdissance 
avengio. Mander em viriude da sania —, or- 
donner en vertu de la sainte ob6issance. 4’ sum 
— a vos ordres. E meikor — que saerificio, 
obeissance vant mieux que saorifice. 

OsspızuciäL, adj. 2 gen. obösdientiel ; qui 


— 


842 OBL 


appurtiont & Yobtlssannor qui Obölt ker eanseg 
septrieures. 

* OBEDIERCIAL, 3. m. oflicier d’un couvent, 
vomme Pprocureur, seoristein, Infivinier, eic, 
Chanoine regulior on vecamesos. 

Oszouäwre, 9. a. d’Obedecor. adj. 3 gen. 
Obeissant : qui obeit. 

OBEBIENTENÄNTE , adv. aveo Obtissance, do- 
eiteruomt , avec doetlits. 

Onkbigxtissımo, A, adj. sup. do Obediense. 

+ UneuisciL, af. 2m. d’obölieque. 

OssLisco ,s. m obelisuue : pyramide #troite 
et longuo ; aiguille. V. Odelo. 

OskLo, 3. m. ob&le : marqus dont on a0 Ser- 
vail pour indiquer los passages delectusux d’un 
&cril, ou iaterpoles ; c'6tail un lrait d’union (-). 

Osenino.V. Oneredo, Gravado, Empenhado, 

Ostsıping ,2.f. obesild : excds d’embanpeint, 

Ostso, 4, adj. obese : chargd d’embonpoint, 
trop gras. 

+ Osrıauin, 0.0. 0u =. (p. us.) allermir. V, 
Insistir, Por far. 

O’sıck, 3, m. obstacle  embarras, empöche- 
ment, 

O’sıro,s.m. decks ‚mort; obil, Liero dos—s, 
nöcrologe : registre des morta 

Osssccid, s. [. objeotion. 

Osızcrär, ©. a. objecier ı oppoter queiqud 
chose & une propesition , faire une objeetion. 

OBJECTIVAMENTE, adp. par rapporı & Pobjet, 
quant ä l'objet. 

Osszcrivo, a, adj. objectif : (verre—) tourns 
vers l’objet; (4. de tAdol.) qui est lo seul objet; 
qui appartient & l'objet. 

Onsecto, 3. m. objet : 00 qui s’offre d lavug, 
touche les sens,, &meut l’äme ; matidre d’un art, 
d’une science; motif, cause d’un sentiment, 
d’uns passion, d’une action, d’une pensee; 
but, sujet, iin proposee. 

Osurciö, 3. f. ollatitu : elffrande; aslion 
do rir & Dieu ; obese olfarte. 

BLADÄGENM,, 3. f. oflrande faite & Peglise, 
er % f. U’hostie et le vin qui est dans 
le calioc avant la consecration. Offrande. 

Ost.iro, s. m. oblat: molne-lai; lafque quä 
sert dans un monastäre; Invalide toge dans 
une abbaye. 

* Osuıcin, ote. V. Obrigar, ete 

° OsLicachm. V. Obrigardd. 

OsLigtanexte, adv. obliquement, de biais. 

Opuiquäncuto, A, ad). obliquangte: & an- 
gles obligues. 

OsLıquär, 9, a. bisiser, passe de bieis, pla- 
sr ebliyuement. a@.(Ag.) Agir ebliquement, 
frauduleusement. 

Osugewine, 5. f. obliguiis : inelimaisen 
d’une ligne, d’um plam sur un auge. —- da delip- 
sa ‚obliquind de oa peigme « angio (us farme 
Yeeliptique even !’on 

Qusiguo, A, Ar ebllgee ı de bisis, welind 

‚(Iirac, plan ı (Ag.) vols. moyen), suspect, [rau- 
‚dulenz ı indirecı (alege). On Je dit au gram- 
tmalra de sun len san hass ie masminalil sang 
ok: 


Ontenivd, 1,9.2.8 ' 
OBLitenir, 9.0. Hiörer ı elliäbeb Kenoi- 
biement en lalssanıt des traces. 


OnLönco, a, adj. oblong : besuuyup ples 


long que large. 
Osmxto, A, ad). yajet, expbok. 

Ozof,s. m. hautkois : instrument & vet et 
&nche; celui qui en Joue, 


Oror, 1.m.o m. Tobole: Fb reed arochahngen 


grocque; 
poids de douzegral. (fg. } Cupse de wien 
de valeur. 


Osomsaar, V. Obumbrar. 
O'paa,s. f. eurra:ce qui ost Ta 
per un agent, et subsisws aprös 


vrage vonstddrabte ; zetion ; pI% 
dection do Pesprit: action „ wuriant por 
Yapport au salat. * Ouvrage : 00 qui art procak 


par Fouvrier, (Ag.) par une Gausa, wu ih, us 
persenne; fagon, travafi pout ondöuter un ee 
wrage; produetion de Fesprit, des miete. (s- 


de Lyon. Morrirdo — de 
ilya eu cinquante hommes de mern ein. 
ad, cr: * chul-d’auvra. => Berfoite, bein aıs- 

Gurrage marıad au Bew Osten legs, 
ouvrage Yerine. 


Ourrase aa P6r por — , metire i eröc® 
tion; mettre ja main 4 P’auvre. Por Indo em 
— ‚se melire en quatre. A quem se atiribus alt 
—? A qui attribuo-t-on cet ouvrage? —e, pi. ee 
vres, productions d’espril; construclien de bt 
timents. — compleias , mavres complöles. Ter 
—, ander com —e, avoif des ourriers. —ı d 
misericordia, @uvres de misericorde. —ı pias, 
@uvres pies, muvres de chariie. —s morlas, 
(4. de mar.) Sure Daran punbion.d OL @is- 
seau qui sont bene de Krnms dere 
auvsos faites eu panke en u ni 
point weriieisen a winnsnL 
parties d’un vaisseau qui sont dans TasB- 
car por —s , piahos pas-ackoun Bidis amt 
nos palauras, hesuseap false. pea pasie. 
—ı desmanchdo aiguneı, au panı Are baanite 
bommie quali. en Te 1 er 
"Ossugid, V.Q » Aorta. 

*Onniva, V. Obldie 

"Osssnıcaö, V. Obläte, Uferende. 

"OBEABÄR, faica una eflrande, 

* Onnankıaa , & f " Ina & kaire des hasties. 

ORRIBO, 24. - de 

Onnanör, A, 4 Huvries, artisee. Cable gei 
epire, ai mei A on tcalion. Auisus (de DBiE- 

8%, el0. 

Osaiosı, 8. [." auvsags , Karl 

Onaine od. 2 gen. au opire. en 

Oarir, vo. a, travaillee, j 
faire, Motira en psaligue, bex . j, 0sden- 
ter. Oporer ‚ parlanı d’un remdde. u m, Aut, 
sa comporter. Aller a la nelle ou dA be 

= de cammum atsorde ou de MÄR FORM. 











ee ee En En En BE SE EEE Ge 


OBS 


marker. d’en Mtme pas. — micubirlamente,, 
cacher sa marche. — com reetidßo, agir avec 
droiture. Oöra por ed meema, elle apkt d’elle- 
meme. B fsil oritisar » die — meiker, il 
ost ais6 de roprendre etmal.aist de lalre mleux. 

Opatı, s. f. oublie; pain A casheter. 

OsnzBen0 , 5. m. falscur d’onblies. 

Ourzakd, a.ın. hommes qui, par ebarilö, sor- 
vait dans les höpitaus. " 

Ouatıa. V. Obria, 

Onasıaa , s. f. ouuriöre. 

Onatıno, 3. m. OnvNar, agtıgan. Manwunre, 
journalier. (4g.) Ouvrier epostollgue, mis- 
siennelse, . 


Onnargi6, 0, f. obrepiien ı rötisence d’an 
Salt vrai. 

+ Osamssıcaaunäues, ade, obreptioemen!t : 
d’une maniere obreptice. 

Ossazreiao, A, adj. obreptioe : surpris en 
cachant la verite. 

° OBEIDAGON. 

° OBABAR , 080- 

Onnioa. V. Odrigagte, 

Osrıcaciö, 8. f. obligation : ongagemeni 
qu’impose is deveir; auto public par Jequel on 
s’oblige; ce gal impose la reoomnalssanıe; (Ag.) 
dereir, deite. oe, enfapis, parents qu’un 
homme est oblig6 d’entretenir. Por, d’ofüe, 
por lo soul deveir de sa charge. Kellar d sus 
— , manquer a son devoir. Aumprir come sus 
— , remplir sem deveir. 

Opaıcagözs, s. f. pl. abligalians, deveirs; 
gratitude, rovenneissanee. Dever a alguem, 
avoir des obligations & queigu'un. 

Onxıcapissemo, A, ai). sup. de 

Osxıcino, A, P. p. d’Odriger. adj. Oblige : 
qui est fenu par, ou d...; redevablo d’an ser- 
viee rondu ; qui est dans l’obligation de...; (8. de 
mus.) qu’on he pant reiranahar. Sow-ihemdito 
—,il m’s beauosup ohlige, je Inh dois heası- 
coup d’obligations. Muito —, bien eblige, 
grand merci. Bet — ds divides de son pei, il 
est Lena. des deties de son perc. Quem dd o que 
kem ndn d mais —, qui donne ce qu'ila n'est 
pas oblig& & davantage. 

+Osxıcipo, 5. m. enirepreneur oblig6 par 
tontrat d’apprevisionner une ville. 

Osnıcanör , A, adj. obligeant. 

*OBRICAMENTO, s. m. action d’engager par 
acte de justice. V. Obrigaräo. 

‚ad 2gem. obligeand : qui oblige; 
«iickeeuz.p. a. db 
Opnısiz (a), 9.6. obliger, ennteaindze, for- 
our, Aspujetäiez rendee serrice, faire plaisir; 
ager par acto de Justice. V. Empenhär. 
n-68 (a, por), 9. 7. stengager d; se 
randee saulian puur; sunlsacies: des Engage- 
mente, +— de, Höre sensible d. 

OnassatiVo, A, 08 obligeteire : qui a 

Onmoamönto, A, adj. } ia force d’obliger, 

swivant ia loi. 

Osntena, diem. d’Obre. Prtit guvrage. 

Oreubaakänze., ade.d'’ une manddre ebsoöhe. 

Dasinmkung & f. olseiniid, asleib, cy- 


m} 
in 


} V. Odriga..., etc. 


.n 


OTTO OB 3 

alane MIR, image action qui bisase da Pu- 
eur. . 

Ossckxo , a ‚adj. ohseine, sale, ddshenntie, 


eyalque, qui biosse la pudene. 
f Onscenamente, ade. obsonrsment, sans 


Telariör sonfustment, inintelligiblement; bas- 


Bement. 

Obecunstka , 9: a, sbscereir: rendre obseur. 
V. Eseurecer. (Ag.) —, dimmisuss Pielat, reon- 
re melas brillant; effnsquer la saisen, !on- 
tendement; rendre son siyle obscur. 

OsscuazciR0‘, A, pP. P. d’Obssurscer. 

Onsevsmmine, s. f. +bscurils : privatien de 
iumiöee; ombre dpaisse d’un beis, ete.: (Ag.) 
bassesse de la naissance ; confusien , defaut de 
olartö ; Ignerance; vie vachte. Obseurit# d’un 
mystöre, d’une önigme. 

Onschro,,a ‚adj. obseur, senhre , tendbreur. 
V. Escuro. —, qui n’est pas biem elaie, (Ag.) 
bien intelligible; cach6, peu eomnu, de basso 
naissance. Vioeo —, il vorwt sang neun. 

Osszcaiaci0, 5. f. supplivatiop, pridee in- 
stante. 

Onsecnacöns, 5. fı Pl. Ohsterallens ı pelöres 
publiques pour apaiser los diesx. 

Osszcakık, ©. a. supplier, demandes awac 
instance. . 

Oseszevänre, adf. 2 gem. obeissan, voutmis. 
Complaisant. ‘ 

Osseonino, A, P. P. d’Obsequian, 

OBSEQUIADÖR,, A , 6. personne obligeamte. 

Osszquiin, v.0.— faire des poll 
ses, des honndtet4s A quelqu’un, aveis pour lul 
des atientions pertiouliöres; rendre desserviese. 

Osatarıas, 8. f. pl. "ohsdrgues ı deubern de- 
volrs. V. Exeqwies. - 

Osstquro ‚s.m.* condesoendanee ‚kom eflice, 
service, obligeance, cour; «abs, komeus- 
tet6, eivifte, polftesse, attenlions, döförwnce. 

Ousegurdsaminre, ade. bbiiguamment, oMi- 
cieusement, avec condescendance, souimis- 
sion ; aveo eivilit®, polnent, aveo aMubWits. 

Ossequi6so, A, adj. soumis, esukplalsemt, 
officieux , courtisan ; obsequieuz, . 

Ossenvaciö,s. f. observalion : aukhew H’ob- 
server les merveilles de la nature, ele.+ remear- 
que hasse sur l’ohservalion; Bois, V. Olser- 
vancie. 

Ossunvin0, A,p. 9. de Observer, . 

OBSERYADOR, A, 5. observateur : qui obplt 
aux lois, suit lesregjes ; astronome qui ohserve 
les astres ; critique. Il est aussi edj. 

Ossanvänchh,, 8. f. observance : observalion 
des lois, etc. ; pratique de la rägle religieuse ; 
elat primitif d’un ordre religieux. Por em I- 
faire observer : faire ex&cuter ponctuellement 
co qui est ordonne. j 

Onservinte, adj. 2 gen, et p. ea. KObserver. 
qui observe, qui accomplit la loi, etc. 5. m. Ob- 
servanlin : rellgieux de Fobservance de saint 
Francois. 

+ OBSBRVARTENENTE,, adu. avoo Observance, 

OBstavantino, a , adj. qui vonderne bes al 
servantins, 





4 OBS 


Ossernvantissıne , A ‚adj. 2up. d’Obsersanis. 
Tres-ezaet & observer la loi, etc. 

Omsavia, o. a. observer : aecomplir co qui 
est prescrit (par la loi, eic.); remarquer, re- 
eonnatire, noler, regarder, eonsiderer aveb 
stiemion. Observer les asirea. -— pers 6 BOPPR, 
(1. de mar.) observer droit arriere. — ne di- 
recpdo do turco, (id.) dieouveir (un objet) dans 
ia direction du bosseoir. 

Opssavin-se, 0. r. stobserver, eire cifcon- 
speci. L 

Onsgnvarörıo, 8. m. obserrstoite : edifice 
destie aux observations astronomiques. 

Ossenväver, adj. 3 gen. observable : qui 
peut eire observe. 

Onszssi6, s. f. obsession : elat d’une per- 
sonne obsedee du dömen. 

Ossasso, a, adj. obsede : lourmente par Jos 
iliasions [requenles. V. Possesso. 

'O'ssıa. V. Ussie. 

+ Ossipknte, adj. 2 gen. assiegcant. 

Ossınıina ,s. f. obsidiane : pierre jayet, mar- 
bre nuir; pierre qui servait de miroif. 

OssınsoniL, adj. 2 gen. Cordes —, couronne 
obsidionale, d’kerbes, acsordee, chez les Bo- 
mains, dcelui qui avait fait lever lo siöge d’une 
ville. 

Oseordro, a, adj. hors d’usage, inusile, 
vieux (mot, phrase). 

OssricvLo, s. m. obsiacle, embarras, em- 
peobement, diliculie, traverse. 

* Ossrincıa , s. f. objection. * Obstacle. 

Ossrintz, p. a. d’Obstar, et adj. 2 gen. Qui 
mei obsiacle. Ndo —, nonobsiant, malgre, en- 
sore que, bien que, quoique. Ndo — isso, ceia 
nonobstant. Ndo — ser rice,, quoique Fiche, 

Ossrän (6), 9. 8. ot u. ompöcher, s’opposer, 
mellse obslacke. 

Osstınacäö, s. f. obslinalion, opiniäireie, 
endercissoment, trop grand allacheumeut & son 
sans. 

ÖBSEIRABANENTE, adv. obslinsinent : avec 
obstinatien , opiniätreie. 

OBSTINADISSINO , A, adj. sup. de 

Ossriuipo, A, adj. obstind, opiniälse, en- 
ww. — em, bute d. p. p. de 

Osstmin, v. a. obstiner : rendre epiniätre ; 
faire qu’on s'obstige. —se (em), v. r. stobstiner: 
s’opiniätrer ; s’attacher opiniätrement &; se bu- 
ter ä. 

Onsraucciö, s. f. (I. de mid.) obstraciion : 
engorgement, cmbarras dans lcs vaisseaux, 
tes conduits du corps. — do diere, mötren- 
phraxis. 

Osstaucrivo, A, adj. obstructif: qui cause 
ou peut causer des obstructions. 

OSSTRUÄNTE, adj. 2 gen. obsiruant : qui ob- 
sirus. 

OssTauido, A, adj. obsirue: qui a des ob- 
structions. p. p. de 

Ossrruin, u. e. obstreuer : causor de l’ob- 
strasilon, de Pembarras; (Ag.) arröter le oours, 
la eirculation (du commerce, eic.). 


0CC 


Osszaula-aa, ©. r. s’obstruer, so houcher; 
devenir obeirue,. 
ÜBTZUPFERAR , 9. 6. oblemperer. 
Oarasıumenro.V. Conseguiminte. 
‚ Osrancäö, s. [. oblenlion : action d’obtenir, 





impetzeiien, 
Os v. a.obtenir, impelrer ; faire en sorie 
que I OR accerde co qu’on demande. — fans 


@ banhos , acheler des bans. 

TOstzstia, o.a. prendre A Lemoin, proles- 
ter. Supplier, implorer, prier instamıment, 

Oszino, A,P. p. d’Obter. 

* Onrao. V. Ostre. 

OSTUNDENTE, adj. 2 gen. (1. de mid.) obin- 
dant : qui cegrige l’acreis des humeurı. ° 

ÖSTUNDIR,, v.a. &mousser. V. Embeter. 

Osruranen,, s. m. ai adj. oblarateur (mus- 
cle —) : qui ferme. 

B00LO, adj. m. obtusangle : qui a un 
angle obtus. 

Osrtiso, A, adj. emousss : qui n'a poii 
de pointe. Obtus : (angle—), plus grand qu'un 
droit. (Ag.) Obtus (esprit —): sans pemeira- 
uon. ' 

Osuusrir, v. a. ombrager, oeuvrir de son 
ombre. Obsoureir. 

Onvuupnän-ss, t. Fr. s’obseurcir, se deumt 
de nuages. 

Osdz, s. m. obusier : espöce de morlier 
monts sur un afü!. 

Osve£aso. V. Viredo, Vollsdo. 

Osıipo, A,P. 9. de 

Osvıin, o,a. obvier (A) : peemdee jes mesurc! 
pour prcvenir le mal; aller au-devani d’un 
mal , ctc. — oe mal, 08 percades, eic. , obricı 
au mal, aux peohes, etc. 

O’srıo, a, adj. patent, qui se presents ualu- 
reillement ; prosemt , qui est devant les ycut. 

+ Osvorvino, a, adj. (8. de bot.) obrolut: 
pie en gouttiöre (feulile oe). 

* Osronets, j 

} OsYete. } V. Obedients. 

O’ca, 8. f. (inus.) ole. *Oca : racine d’Amtri- 
que dont on fait une päte honne & manger ap- 
pelee cavi. Jogo da —, jeu d’oie. 

+ Ocinna, 5. f. (t. de geog.) Ocagna : ville 
d’Espagne. 

Ocaa, u. e. rendre creux. 

Occa. V. Ocs. 

Occami6,s. f. oocasien : rencomtre, onnjent- 
ture des temps, des lioax, des affaires propres 
&; sujet, ce qui denne liom &; moment favora- 
bie, propiee. ° Cas, ciroonstance. * Danger, 
peril. Aproveilar a —, lanpar mdo da —, saisi! 
l’occasion, prendre l’occasion aux obereus. 
A— fax o ladrds, Yoscasion [ait lo larren. Ade 
perder —,ne pas laisser &chapper l’oonssien. 
Bon —, salson: temps propreo & faire chague 
choso. Se ss oferecer —, si le cas y echoit. 
Pör-se em — (de peccar, elc.), cobereher I 
danger, s’exposer au pörti (de pecher, eie.). 
Por —, par hasard, oooesionnellesment, OYeR- 
tuellement. Tem doa — de ingar-se, il a Jabelle 


FRE Tu % 





OCC 


pour sovenger. Bde dar batalka, Il fera bon 
livrer bataille. " 


OccasıoniB0, A, p. 9. d’Ostanonar. adj. 


Expose, hasarde. Fevorable, opportun. Que- 
rclieur, inquiet (anf.). 

Occasıonapon, A, 8. qui O0easienne, qui 
Jdonne lien 2. 

OccasıoniL, adj. 2 gen. ooeasionnel : qui 
donne oo0asion , qui em sort. 

OccasıouaLıpäpe, s. f. la qualits d’6tre ocea- 
sionnel. . 

OccasıonaLzäuvk, ao. oosasionnellement : 
par oocasion. 

OctasıonäR,, 9. @. o00nsienner : donner lion, 
oosasion & un mal; onuser. Mettre en denger. 

OCCANIORÄR-SE , v. Fr. B’occasionner,, #ire 00- 
casionne. 

Occiso, s. m. coucher d’an astre. Couchaut : 
endroit de P’horizon od lo seleil se onuche. (Ag.) 
* Destruction , ruine. 

Ocaznayrir, adj. 2 gen. opcidental : qui est 
& l’ooeident, de P’occident. 

Ocemänrrs, s. m. scokdent : point cardinal od 
le soleil se oouche; pays & Yoceident. 

Occievo, a, adj. V. Ossidenial. Amplitude 
—6 , (1. d’sstr.) amplitude oocase : arc de l’ho- 
rizon entire Foocidens vrai et l’oocident ra- 
tionnel. 

Ocameaut. V. Ossipilel. 

Ocapicıo ,s. m. Ct. d’anat.) ocelput : le der- 
riere do la iöte. 

Occrrrir, adj. 2 gen. (1. d’anst.) vocipital : 
qui appartient & l’oociput. 

Occısä6, s. f. " meustze, tuerie. 

Occısivo , A, adj. qui ime. 

Occo. V. Oueo. 

OccoßusR0, s. m. sorte d’'herbe du Brösil. 

OccosasR, 9. ®. aller au-devant, & la ren- 
contre. S’offrir A l’imegination , venir dans l’es- 
prit. So renoonirer, survenir. On le dit d’une 
fv:0 qui se remoonire avec une aufre, qui tombe 
ie ıneme jour. Se rendee dens un endroit. Ndo 
me OttorYe, ne me.revient pas. 

Occvuıracgäd, s. f. action de cacher, de cöler, 
de sousiraire ä la ve. 

OccoLtTino, A,P.p. d’Oeoullar. 

Occuuranen, A, 8. celui qui cacbe, rocdleur. 

OCCHLTANENTE, ade. ment, en Ca- 
chette. Sourdement, & la derobte. 

OccuLräa (@), v. e. cacher, derober & la vue. 
Caeoher, taire, ne pas dire. 

OccuLrän-sE (a, de), v. r. sa cacher; ceosser 
d’6tre visible. 

OccuLrissıuo, A, adj. sup. de 

OccdLro, a ‚adj. occulte : cachd, secret. 

Occuragid, s. f. ocanpation : emploi; affaire ; 
ce & quol on est oooup# ; action d’oecuper, de 
s’ompater. 

Occuri20 ,A,P. p. de Oesuper. adj. Oovupe; 
employ6; prosteupe. Muite — , aflaire : quia 
beaucoup d’affaires. —a, enceinte, en parlant 
d’ano femme geosse. 

OccwwaBba, A, adj. et 8. qui s’empare, qui 
se zund maltzge, o0supant. 


000 846 


Occträn, v. a. oocuper: tenir, remplir un 

ce; habiter une maisen; s’emparer, se sai- 
it de; employer, donner & travailler, donner 
de l’oecapation. Obtenir, jeuir, exercer un em- 
ploi. Empecher, göner, embarrasser. — alguem, 
(#g.) prier quelqu’un de rendre un service. 
Jsto me occupa mais de que eu pensava,cela 
me tient plus que je ne pensais. 

OccupÄis-Se (em), v. r. s’oCcuper, s’employe r 
&; faire son oceupation de. — em eiras : 
s’amuser ä desriens. 

Occunntncıa, 8. f. Occurrence, rTencenire, 
conjonciure. oo. 

Occuraäkte, dj. 2 gen. qui va au-devant, 
qui s’offre & ’imagination, etc. Occurrent : qui 





03 
€ 


survient, qui se rencontre. As —a, &. f. pl. les ' 


oo8urrences. 

Occursar. V. Occurrer. 

Ocsasiı, s. f. Oceanie : cinquiöme partie du 
monde ; 1les situees däns l’ocdan Austral;; Aus- 
tralie o# Australasie. 

Oczinıco, A, adj. Oceanique : de l’Ocean 
(Nies —s). Oesanien : qui appartient & l’Ocean. 

Oceino, s. m. Ocöan : la grande mer qui en- 
vironne toute la terre; (Ag.) abime, immen- 
site. 

Oczino, A, adj. Ockan, de !’Octan. Ocsa- 
nien. Mar —, mer Octane, l’Ocdan. 

*O'cma,s. f. V. Litigio, Ralho. Andar ds —ı 
com ‚se prendre de querelle avec quel- 
qu’u dispıter. 

Ocuakta. V. Ucharia. 

° Ocniva. V. Oilava, 

Oczävo. V. Oilavo. 

OczLocracia, 3. f. ochlocratie : abus du geu- 
vernement d4mocratique, gouvernement de la 
populacc ; souverainetd du bas penple. 

OcaLockÄrico ‚A, adj. ochlocratigue : de Po- 
chlocrstie. 

O’cuas. V. Oere. 

* Ocıente. V. Occidente. 

O’cıo, s. m. loisir, repos , oisiveld. Delasse- 
ment d’esprit dans la culture de la poesie, l’&- 
tude des belles-lettres. * Aise, commodils, ötat 
commode. Zuireger-se, ou der-se ao — ,W'- 
bandonner & l’oisivets. ' 

Ocıösamente, ade. oisivement, d’ane Ma- 
niere oisive. Infructueusement 

Ocıosınäne , s. f. oisivet6 : ötat de celui qui 
est oisil; habitude de l’inaclion. Fruits de l’oi- 
sivete, paroles olseuses, Jeu. A — da mi de 
todos os vicios, Yoisivot6 ost la möre de tous 
les vices. 

Ocı6s0, A, adj. oisil: qui ne fait rien, qui est 
dans l’oisivets. Olseux : fainsent; vein, inu- 
tile. Vide , galaoras -—as, vie, pareles eineuses. 
A mocidade —a, velhiee trabsihees, (prov.) 
aprös Jeunesse oisive, vieillesse pönible. 

Oco. V. Oueo. 

+ Ococor., s. m. (f. de bot.) ocogol ow ecoselt : 
asbre de la Louisiane qui donne le baume 
kiqwi . Les Europsens appellent oet ar- 
bre liquidambar, copalme, storax ou stytax 
d’Amerique. V. Liqwidemdreire. 










- 
Be] 


s46 ODI . Ä Orr 
FOcdesuiir, sm; (1: EWA.nEE.) oosselln:, Omänme,m.ı. s’stiner ia baipe, sa Tundse 



























perdrix du Mexiquo, totitiga. odieux. — mutuamente, s’en vouloir. 
"Oeomtectr.V. Äcmieeer. Ovssnte, a ‚adj. haineuz, FAncuneux. 

O'RE, 3. m. dere: oxyde 6 Top; terre ıu6+ + Opino, a. m. Qdia : divimite des amciens 
taltigue. pöuples du Nord. 


Otritöhn6.. 8. M. betzcotde : imstrament de 
masiqwe 4 halt cordes. 
Ocra£ono, s. m. (f. de gecm.) oetadre :86- 


Omo , s: u. ' beine, avarsion. En de, pt 
+ a, en haine de; par vengeanoe, PAS 
bb, oo. 


iide & haft faces. Opiösamtnte, ado. diensement : d'une mr 
Ocracenikıd, A, adj. niere vdlaust. 
Ocractsım0, A. V. Orte... Opıosıninz , s. f. * caractäre haineaz. Arst- 
OttiGond, A. ston duwt la caute eb dtiueıninden 


Ocrimpeta, 5. f (1. de bot.) octindtie ! 
huitldrne classe de vegötaux hermaphrodites, & 
huit etsmines. 

Ocriva. V. Oilaon. 

OcrocEmirto, a, adj. octogenaire: qui est 
agö de quatre-vingts ans. 

Octocksıno, A, adj. octantieme : quatre- 
vingliöme. | 

Ocröcono, adj. et s. (1. de geom.) oetogondt 
qui a hult angles et hult cötes. 

Dcroninto, A, adj. de hult. 

+ OcTosY’LLABO, A, adj. de huit syltabes, en 
parlant des vers. 

° Ocrurıpäne. V. Autoridäde, 
+O'crupLo, A, adj. octuple » tontenanit heit 
ois. 

OcuLir, adj. 2 gen. vculalre : qui Appartient 
aux yeur; qui a va de Ses POP. yeax (t&- 
moin). Lenfe —, verre oculalfe, 
d’approche place du cöte de rail. 

OcuLirwente, adv. otulairement : de ses 
propres yeux; visiblement, sensiblement; & 
’'ail. 


Opıosissiuo,, A, adj. sup. de 

Ouıöso, a, ndj. odieuz, halssahls ı qui & 
cite Ja haine, l’aversinn, lindignation. Todes 
chmparaplo 4 a, Wule eomparniaon 
odlieuse : il est dangereux de vomparı Mr 
senble deux personnes. 

+ 0'006, & m. (6.#.Asie) uakre sand ches I 
Ganariens. 

-Opontaroia, & fi (& de md.) odonlalgie! 

douleur de dents. 
I + OnontiLdeß, Ay af. odenssigigus: dei 
oalme l’odontaigie. 

Onemtorbciä, 0 Jh de nd) adontalegit: 
wand sur lien del. 

Ossk. 7. Chtine, Aremis. 

Onorino. V. Doente, \ „ 

OponATissin0, A, sup. Irds-ederii 
rat. ' . 
Oporiro, s. m. odorat. V. Olfete 

Oporirmno, A,alj. edertfäraut: qei rigend 
une bonne odeur. - 

+ Oportruuätt, sdj.ngen. (POHL) qui font 
en repandant une houne deut. 

+ Ononöso, A, adj. odorant, edoriferıet 
Qui a une odsur forid« 

Obhr; 5... *onteu: pomm de hans ed in 
met da vin, te. (Ay.) Buadevih, ferügat- 

Onntınd, 8. m. Ialssur su warchand der 


Denuista, d. m. ocullstö : m&decin, chirar- 
gien qui traitu les maladies des yeux, qui fat 
les operations ä lail. Opticien, qui falt et vend 
des lunettes. 

O’cuLO, 8, m. *Iunette. —s, pl. des luneltes, 
eonserves.—de longa mira ou de ver ao longe, | tres. 

Innelte d’approche. — de punho,lorgnette. —s | Opnteinn6 oW Onahns , diem. de Odre. 
das porlinholas dos peras, faux mantelets,] OpvssßA,s. f. Odysbie : poüme d’Homir®. 
faug sabords. Orninte. 7. Enanfie, 

+ OcuLdso, A, adj. plein d’yeut. O8snonofstz, 5.m. ouent-netd-wueit: "iM 


OCULTAR, ec. entre l’ouest et ie mord-ouest. 

OcuPaR ‚ete. V. Octtu., 080 Ofssonbeste, s. In. ounet-sud-ument: Tui 
Ocrno,s. m. V. Alfavdca. entre Touest et fe sabou®s 

O’oa. V. Ode. Okste ,s.m. Ouelt: partie au mende quiwt 


au soleil conchant; Yeirt qui on vRal. 

Otıa, #. fı (4. d’Arte) "Guver &0 gerah 
fruits de !’Orient. 

Orracino. V. Omphecino. 

Orrzcia, ©. 9. (t, provin,) hespiref and 
'lespent, baleiar, etoufler. on 
Orstoe, s.ın.“ zenpiraiion dileile, T.4r®t 
+ Orrzoußnto, A, adj. qui ala rospisehnt 

Asmutise, ' 


+ Onazisca,g, f. od aliaque os —lique: fernme 
du esrail, dastinde au alien. 

O’pe ,s.f. ode: po&me Iyrique, fait pour Ötre 
chante. Zr 

Opk6 ou Oddum,; Odeon : Ihiätre & 

Onron,a m. 1 Athöneny tadlies pour la 
musique. ‘ 

+ Ontoun ,e.f. tl. @r gdeg) Odessa ı ville ei 
Dr de la Russie wuropsenne , #ar la ser | dißeite. Y, opr 
Noire, | Osrenson, a, adj; th qui einen: 

Ooıi 4. m. tt. P Are) dun, prekent, endene. | vor. a au 
. Onuinn, 3,2. p.de Orrexnfn ,o.a. offenser, Mienter, meRtst#f! 

Opıin, v. a. bait ı aveir deda halne; detes- | falre une olfehse , une injdee; ee 
ver, | lavue, etc. — a Deor, iRkuer pasiet, 











OFF 
„:  wbna ide, Kieser, Taliguer par sa pre. 
sence. 


Orsainäh-ta (som), %. F. Folfenser, 58 pi- 
guen, uu fücheb, 06 chaquer de. 
Ousızubtemue, \V, Obetasuia, Impedimenis, 


Ewmbarepo,. 
Outline, ar a 9. U’Ofendar. adj. Ol- 
Senst : qui a regu une offense. Blesse, mual- 


Osutusa ‚0: fı ofen « jnjare de fait vu de 
parole ; pech4,, faute. Alteinte, altentat, enire- 
Pi} Uremmeißıe: [. Fepiesdde Dofensds. \ 

uf. u Defensds. N. 
Ofensien ’ / 


y Oeramaira, a. f (i.de guerre) ollensive : 
altspne. " 


‚ Ormasivanturz , ad, ollensivement ; d’une 
manlire vigusive, 

Orssnsiup, Ay adj. effensil ı qui altaque, 
qui offense, qui som & olfenser (Kurzes, ar- 
mes —e8). 

Osaka, 2, will. T. Ofendide. 

Orranson, A, 66 üflensenz » qui a ollenss, 
qui offense. 

Orten nIRDON „A „add. eis, qui ofire, afframt. 

Osrunzohn (a), %. &. olfrir » prisenter, pro- 
poser, faire une ow des oflres, des pxopesi- 
tens; prepostr dw damner, de Seine; Jadier, 
consacrer & Dieu. Promelire. 

Ormasata+ıa (0, para), % r. s’ollsis, se 
presenter. S’exposer .ö. «So an = ooeasido , ai le 
cas se prosente. — d morle, Kexposer & la 
wert. = oulguem Jara «owsa, s’olkir 
a queigu’un, lui pr&senter ses services. Br 


Grvariicies, 44.9: 9 WOffenecer. adj. 
Peoitede, 
UFFERECINENTO , 8. m. * offre : action d’oflrir; 


prok. (ünus.) Ve 
on quiog «fire ı guepeeition de donner, de laire. 
Prem. Fahr _s, faire des Px0- 
des efiess wis-arantageuses. 
Orrzntkrda. Vo 
‚af eh a. 2 gen. ollrant ı qui 


Usrtnta, 3. f. offrande :ce qu’on olire & 
Dies cat es ‚ peomesse. Ce 
qu’on pulspour chayus enierremeni aux Curäs 
qui n’ont pas la dime, droit de söpulture. 

Gesumeia „© a: feine ann ofirande. V. Ofe- 


vo 
Orrmmszlerna, dam. @ O0 fer is. 
OvssatTorıo, 5. m. *offerte : partie de la 
messe ctant la aansiaratien. Oflarlaire : priere 
de la messe qui precdde l’oblation, l’ollerte, 
Ormetamn , &, mp de Oßkiar. 
Orrmcıapdor,s. m. celai qui officie. 
Ovsmmär, €. m, euvrier, artisan. Ouvrier ! 
qui n’est point pass& maltre. Öfficier de guerre, 
«ühchete eelrel Qui a un office; secrelaire, conı- 
mis de baresu, eis, +» de juslige, oflicier de 
Justen, ‚kalseinn.—aubalierno, zous-oflicier, 
subaitepnn. »inferior.bas ollicier de guerre, 
= iafarier de nvalleria, marechal des logis. 
use dt relsptn. V. Desembar, es. —des 
du may orijaes. es do ambadilke, (1. de 


OFF 847 


wer.) ofliciora de la dunelic. —des de vara, 
wergents ä verge. 

OrricaL eu—ıAa, s. f. fille qui stoceupe & 
quelque isavail, & uelque melier : ouvriere. 
 OrrıcıäL, adj. 2 gen. fait par office, par obli- 

tion. Oficiel : publie, declare par Pautorild 
Gi, nouvelle, journal). 

t Orswariö, s.m. aug. d’Oflcial. Habile 
Vavrier. 

OrficiaLıdäde, 8. f. Pensemble des officiers 
Won regimant, d’ung arınee. 

ÖFFICIALMENTE, adv. offieiellement. 

OFriciänTe , adj. et s. m. ofliciant: quiofficie 

V’oglise 


Orrıcıäg, v. a. alder 4 dire, & chanter la 
messe, ä dire l’office. Officier, edlebrer une 
grand’messe, presider & l’office divin. 

Ossıcika, s. f. boutique, atelier, laboratoire, 
onvzoir. — d’impressor, imprimerie. — de car- 

inteiros de maswwos, alelier de mälure. —$, 
al. ofices d'une maıson, d’un couvent, eic. 

Osrıanir, adj. 2 gen. (1. de pkarm.) offiel- 
nal : (composition, droguc) toujours prete. 

Orricıo, s. m. office, devoir, obligalion; 
fonction; emploi, prolession; service, assis- 
tance; partie du breyiaire qui se dit chaque 
jous. Metier d’arlisan. * Etude de notaire. 
” Leiste, depeche officielle. — de defuntos, 
ofice des morts, — parvo, pelil offleo : office 
de la Vierge. Aprender bom —, (fam.) &p- 
prendre un bon melier, un meter lacralif. 
Celebrar os —s divinos, cälebrer l’ofice divin. 
Cerrer bem 0 —, Eirelucralil, rapporter beau- 
caup, parlant d’un ınelier. De —, OU ex —, 
(lat.) d’office : sans @tre requis; par le sen! de- 
voir de sa charge, etc. Que — lendes? este que 
vodes ; on le dit surtout d’an paresscur sans 
resource pour vivre, et ui ne veut pas tra-, 
vailler. Santo — , saint-ofiice : Iribuna! de In 
quisitien. Zomdl-o por —, faire irds-frequem : 
ment uno chose. Seu — d dizer mal ou lem por 
— diser mal, c’est son metier que de medire, 
Teu inimigo oficial do leu —. V. Inimigo, 
Cads qual no seu — , que chacun fasse le ınd=- 
tier qu’il a appris. 

Orrisösauäntg, ade. officieusement : d'une 
maniere officieuse. Obligeamment, 

Ormciosipäne, 8. f. oflicieusele : aaraclöre, 
qualits, oonduite de l’oflicieus. * Empresss- 
mem a obliger, a rendre service. 

Orrıcı0s0, A, ade. officieux, honnäte, obli» 
gesnt, serrisble. Bfentira —a, mensange ofli- 
cieux, fait peur obligon. D’um modo —, olfi- 

t, une maniöre oflicieuse. 

Ormetnpa, s. f. offrande : ce qu’on olfre & 
Diee, & queigifen, eis. V. Obidie, Qferlario. 

*Orrnendir, dv. a. faire une offrande & Diem. 
V. Offertar. 

Orruscino, A, 9. p. de Offüscar. 

+ Orfuscautnto, s. m. £blowisscmert : obe- 
eureissement de la vue. (fig.) Aveugiomenikis 
Pesprit. ' 

Orruscär, v, a. offusquer, obscurcir, Mole 


848 OLA 


hier ; emp£cher de voir, d'etre vu; (fg.) Ireu- 

bler la raison. 

Orsuscän-se, v. r. stobscureir ; s’&blouir. — a 

. Yisla,se troubler, s'’obscureir, parlant de lavue. 
I *“Orsechm. V. Offerta. 
" *Ocixno et Ocäno, ado. ceite annee. 

"*Oce. V. Hoje. 

+ O’cea ou O'sa, 8. f. petit olseau de proie, 
de la grandeur de la cröcerelle, qui ne prend 
que des passereaux. 

+ Ockona, s.m. (l. de bot.) ogegha : arbre 
du Congo. 

Ocezira. V. Antipalhia. 

+ On, interj. qu’on empioie pour s’eerier, 
pour caresser, flaiter ou reprendre; sert & in- 
voqyuer, & interpeller, etc. Ob! holä! ob! 6! 
Hem! Ok, marque diverses passions, divers 
Inouremenis de l’äme. Ex.: formoso 
templo! — suprema bondade! & le beau tem- 
ple! ö bonte supr&me! — que bella d a nalurese 
na primarera! ob! que la nature est belle au 
printemps! OA exprime quelquefois le desir. 
Ex.:— chegue o dia! — queira Deos! puisse 
arriver le jour! plüt & Dieu! 

Oına. V. Oura. 

Oıtäva, s. f. octave : huitaine;; huit jours de 
fäte; le huitiöme jour de l’octave; “ de mus.) 
sons eloignes de hait degres, les deux exire- 
mes compris; leur consonnance; ces huil de- 
gres. V. Diepasdö. —, huitain:: stance de huft 
vers; piöce de poesie en holt vers. Lehuiti&me; 
la huilisme partie de l’once, de la vare, ete. 
"Gros (poids et mesures). — "eorreda, oetare 
pendant laquelle on ne fait l’office d’aucun au- 
ire saint, etc. 

Oiraväno ‚A, adj. octogone. 9.9. de 

+ Orraväa, v. a. donner la fagon octlogone. 
Imposer le huitieme sur une terre, etc. Parta- 
ger en huil parties 

Oıtavirıo, 8. m. fete dont on fait l’octave. 

Orravsıno, A, adj. qui paye le huiti&me. 

Oırivo,s.m. haitiöme : huitieme partie C’un 
tout; impöt, cens du huitieme des fruits. 

Oırävo, A, adj. num. ord. huitiöme : nombre 
ordinal; huit. Carlos, Pio — , Charles, Pio huit 
(VIII). Lioro em —, livre in-octavo. Em — Iu- 
ger, hu ment. 

Orr adj. num. 2 gen. quatre-vingis. 

+ Oırıcund, s. m. esp&ce de fruit du Brodit. 

+ Ormtvurüsa , s. f. espece de fruit du Bresil 
de la grosseur d’une orange. 

Orro, s. m. et adj. num. 2 gen. huit: nombre 
pair de deux fois quatre;; chifire 8. 

ONTOCENTE£sıno, A, adj. wum. ord. halt cen- 
tiöme. 

Orrockntos, as, adj. mu. pl. huit cents. 

Orronaı. V. Outonel. 

Org. V. Hofe. 

V’rr,s.f.(1.d’Asie) eapdee de palmier; sa 
feutlie : elle sort A couvrir les maisons, et on 
la geoparo aussi de maniere A servir de papier 
& eerire. — de repüdio, acte notarie de di- 





voroe. 
O’ıät! interj. pour appeler. He! hold! quel- 


OLN =" 


quetois' mörgue Yaßaiisaien. Exiz > jd obe- 
gow! quoi! vous vollä arrive. ‘ 

Oiawpa, s. f. talle de Holisude. V. Bellanda. 
Mai de —, (1. de ver.) ınaladie des elwann. 

Oranpiıua, ». f. “beugren : seete de teile 
gommee. —s, m. pl. V. Forrieöeo. 

Oraniı ou —ER ‚® f (sieneseie, Sahaiqwo 
de poterte. dee 

Lira, 8 f. (8. t.) lvo 

vulg. Arbre de Jade, arten Famoer des 
gnois. 

O8! interj. d’a@mirstion. Ob! 

OLzivo, 8. m. tolle cirde. ». p. Ober. 

OLzACINKO, A, adj. d’olivier, d’olive. 

+ 0Oırı ONDiDE, s. f. gualiis oltagimense. 

Orzacındso, A, adj. oleagineux. V. Olsdse. 

Orzınpko. V. Lodaäre. 

Orzin, v. s. huller; peindre & Fheile ; den- 
ner une couche & Pheile. Cirer la tolle, ei. 


OLzastno. V. Zambujeire. 
OrLtıno, 8. m. potier, falencier. 
O’ıL20, s. m. * halle. — de Siehapa, ulie de 


lim. Santoı —e, uulanıs kuiles. 

Ourocındso. V. Ole6so. 

+ Orzoutt ,s. m. eupioe d’hulle qui, zurivanı 
Dioseorlde , deceule d’un arbre des amvirens 
de Palmyre. 

+ OLzowpäuz, e. f. qualitt de ee qui ent 
ol6dagineux. 

Orzds0, a, adj. hullsez : de la nature de 
l’hulle ; frottö d’hulto; gras. 

OLzata. V. Olarie. 

OrLrito,, s. m. Dderal: vuns qui pergeit as 
odeurs. 

Ourtoo , s. m. ’astume des fauosms.V. Ofäge 

OLca,s.f. lisiere de terre propee pous ie 


chanvre. 

Orza, ®. f. eilie, en lo peumier 
bouilion. *Bewil ‚ pot zu fu . Mermite (p. we). 
— podride, pet-pourri, mölam mtiange de plunisess 
sortes de viandes asseisonndes 

+Oımiva,s.f. aillade, esup dei, vogend. 

OLnAn0, «m. ensorcellement par la vue. V. 


Ornino. ‚?. p. @’Olkar. =. qui a des your. 
Bem ou mal —, bien ow mal ve. Bai-- in- 
prudent, Indiseret. 

OLDADOR , A, 5. obserYaisur, qui sgummine, & 
qui rien n’echappe. Sarvelllanı V- Urandssope 

OLnapönas, 5. f. action de regamier. \- 


OLziL,s. m. " ouverture des arches dan 
pont, arceau. 

+OLn’saLtcaE, adj. 2 gen. qui a des year 
gais. 

OrLnir,s. m. regard; ooup d’eil; astiem dr 
regarder. 

OLnir, v. a. regarder, volr. Oomtenpisr, eb 
server, considerer, e 

Ornir (a, para), 9. ®. Tegerder : jet u 
vue sur ; considerer altentivement; proud 
garde; songer mürement a. erg m vos, 

proposer. Priser, estimer, faire css. hagamda, 
&tre vis-a-vis, & N'oppvsite. (Ag.) Comsiise, 





-OLH 


examiner, nifiöehir. (per) Faire atteniion &, 
faire oas de ; veiller aux intör@is, avoir soin de; 
proleger, surveiller. — por do mass , examiner 
legerement, jeter un coup d’eil rapıde. — por 
eima do ‚regarder par-desuus l’e&paule, 
en signe de mepris. — som o rabo de olko, 
(fam.) regarder du coin de l’ail, guigne. — 
Jesgusiha, de iraudz ,rogarder de oöl&..—com 
desdem , regarder en pilie. — com desprezo, 
avoir du mepris pour. — cerinhösamenie,,re- 
garder tendrement ; faire les yeux doux.—car- 
regade, comar lerrivel, regarder allrousement. 
— com bons ou maos olkos. V. ce mot. —com 
sespre&zo, regarder du haut en bas. — paraal- 
guem, para alguma cowss, rogarder quel- 
qu'un, quelque chose. — para uma mulker, 
rcchercher une femme. — para si, prendre 
soin de ses affaires ; se considerer, s’examiner. 
— a0 dianie, penser & son avenir. — direifo 
para alguem,, regarder quelqu’un en (face, sans 
peur, ni crainte. — pela honre , pela fazsende 
d’alguem, surveiller ’bonneur, les biens de 
quelqu’un. — por alguma cousa ‚ chercher une 
chose. — para dinheiro ou a despezas, Laire 
altcnlion ä sa depense,, rögler ses depenses. — 
yor alguem, prendre soin de quelqu’un. —por 
si, prendre garde & soi. Se näo olhdra a Deos, 
<ı ce melait la crainte de Dieu. Olka ldı dis 
donc! 

OLBÄR-SE „U. T. se regarder, se mirer. 

OLneınad, s.m. grand @il. 

Ornkınas,s. f. pl. cerne: tache livide qui 
vient aux paupieres inlörieures lorsqu’on ne 
dort pas, eic., y6ux cernes. 

Orutıno, s. m. surveillant. Surgeon d’eau, 
fondricre. 

7 Oıustäno, s. m. billon de vigne. 

OLuısrinco, A, adj. quia les yeux blancs. 

OLEIN&caO, A, adj. qui a leg yeux noirs. 

Oruinno , dim. de Olko. 

7 Oruuzäıno, A, adj. louche : qui regarde 
de Wwavers. 

+ Oınızäaco, A,adj. qui a les yeux bieus. 
Cavallo — ‚coheval vairon : qui n’a pas los deux 
yeux pareils. 

Oruo, s. m. @il: organe de la vue; sa forme, 
son usage; la vue. Regard, aspect. Ensorcelle- 
meat par la vue. Chas:: trou de l’aiguille. Trou 
par oü l’on enfle une perle, etc. UEil d’un 
zmariteau, eic., trou par oü on l’emmanche. 
Arche d’un pent. (Ag.) — ‚attention, soin vigi- 
lant. (fam.) Anus, fondement. — d’dgus, 
source, surgeon d’eau. — de boi, lucarno ow 
ail de bauf. (t. de mar.) OEil-de-bauf, @il de 
bouc , phenomene avant un ouragan. — da fa- 
rinha, Deur de farine. —de ldbre, sorte de 
raisin. — de planta, bouton, bourgeon,, en- 
droit d’oü il sort. — da amwra,(1.de mar.) 
estrope d’un cordage. — d’um cabo, (id.) le 
vide d’un oordage roue. — da sapale, (id.) 
trou d’une moque. — de gato, wil-de-chat : 
piogre preciouse. A — ‚A vue d’eil; en gros, 
sans peser ni mesurer, en bloc. Eslar com o 
— dhriu ou d wira, ayoir l’ail au guet. Dei- 


PORT, -FR. . 


OLH 819 


lar 0 —, Jeier son dövolu ser. Deilar 0 — a al- 
guma cousa, aillader, jeter des millades. Der 
@ —, faire signe de l’mil. Por o — um alguma 
cousa, (fg.) jeter son plomb sur quelque chose. 
Traxer d’ —, em — ou sobre —, avoir l’ailsur 
quelqu’un pour proflter de ses faules, eic., n6 
pas le perdre de vuo. Enchor o — ‚(fig.) con- 
tenter la vue. Fechar o—, ( fem.) mowrir. Pör 
no —da rus ‚ metize & la porie. Tor — am al- 
guem, avoir soin de quelgu’un. — do cdo, 
( podi.) lesoleil. Ter bom —,, (Ag.) avalz beau- 
coup de penstrauion. Ndo preger —,na „ps lor- 
mer l’ail, ne point dormir. — de esbre, wil de 
chevre, pierre qui imite l’@il d’une chövre. 

Ihos, pl. yeux : les paupieres, la pläce de 
l’@il; @ils: petits trous dans la mie da pain, 
dans le fromage; bulles de graisse sur le bouil- 
lon. A — fechados, les yeux fermes, aveuglö- 
ment, sans rellexion. A — vislos, publique- 
ment, & la vue de tout io monde; clairament, 
$videmment. Abaixar os —, baisser les yeux. 
(Ag.) S'humilier, se soumettre. Baslkarem os 
— a alguem. (fg.) On le dit d’un hommevil, 
remuant, & qui les yeux romlont sans cesse 
dans la töte. — requebrados, yeux doux. —d 
for do rosio, yeux ä leur de lie. Como os — 
da, cdra, (fam.) comme ses yeux, parlant 
d’une personne qu’on aime tendrement. Ser a 
menina dos — d’alguem, öire trds-aimö de que!- 
qu’un. Querer a alguem como as meninas de 
seus —, aimer quelqu’un camme la prunelle de 
ses yeux- Meiter-se pelos —, (fig.) eire clair, 
evident, sauter aux yeux. Dianie dos—, devant 
les yeux, en presence. Dilosos — quo 0 vom 
ou que veema V. M.On s’en sert pour mar- 
«uer le plaisir qu’on a de rencontrer quelqu’un 
qu’on n’a pas vu depuis longlemps. N’um 
abrir e fechar d’—, enun clin d’ail. Chorar 
com ambos os —, pleurer ä chaudes larmes. 
Fechar og —a alguma cousa, fermer Igs yeux 
sur quelque chose. Mais vdem qualro — qus 
dous, (fig.) quatre yeux voient mieux que deux. 
Olkhar com bons ou mdos —, voir de bon ou 
de mauvais @il. Ndo firar 08 — de..., ne pas 
öter les yeux de dessus, regarder alienlive- 
ment. Dar nos — ou offender os — ‚(fig.) bles- 
ser les veux,, scandaliser. Isso daria muslo nos 
—s, cela marquerait trop. Pdr dianle dos —ou 
mosirar a0s — ‚mettresous les yeux, faire voir 
clairement, demontrer. Passar un papel pelos 
— ‚ parcourir legerement un &crit. Por 08 —em 
alguma cousa ou pessoa, fixer, regarder atten- 
tivemont;jeter les yeux, pretendre A un em- 
ploi, etc.; concevoir de l’aflection pour quel- 
qu’un. Por seus—bellos, pour ses beaux yeus, 
pour l’amour de lui,, gratuitoment. Ter sangue 
nos —, avoir de la probite, &tre homme d’hou- 
neur. Faler, cusiar os — da cära, (fam.) 
etre d’un prix, d’une valeur extröme. Meus—, 
mon caur, m’amie, m’amour. Fechar 0os—, 
former les yeux , faire les gros yeux. Ne pas 
faire attention. Tirar os — a alguem por algu- 
ma cousa, (fig.) demander une chose instom- 
ment. Abrir os — a alguem. V. au mot Abrir. 

54 


850 OLY 


Vista d’— , coup d’all. Qustro — , (Pop.) qUa- 
ifo yeuz : personne qui porle des Inmelten. 
Tirar 03 —, crever, artacher les yauz. Qusbrar 
os — a alguem , (fam.) centrarier queiqu’un. 
irem-0 08 — por alguma couss, (fig.) desirer 
ardemment une chose. Ter mdos— , (g.) pot- 
ver malbeur a ce qu’on regatde. Ver com mwi- 
lose — , Vurs tout your, donner faule som atlenı- 
tion. Dar de —,jeuot de la prunelle. Entortar, 
roter 08 =, wurner les yeut, loucher. Volver 
08 —, jeter les yeux sur, considerer. MPum 
colver d’—, (fig.) en un teur do main. N&o 
lens — ?B’RTes-vous point d’yeaı? Ates-vons 
aveugle? A —ı desarmados, sem oculo ‚ete., & 
reilne. . 

Orzdno, A, adj. qul a de gros et grands 
yeur. 

OuLfsano, 8. m. olidan, encens mäle. 

Oricancuia o@ —Quta, 8. f. oligarehie : gou- 
vernement oü l'sutorit# souversine est entre 
les mains d’an petit nombre. 

Ortairctich, A, adj. oligarehique : de Poll- 
garchie. 

Oriva, 8. f. V. Azellona. (1. @hist. net.) 
Olive : coyuillage urivalve. 

OrıväL, s. m. lieu plante d’ofiviers, bols 
d’oliviers. ' 

* OLıvedo. V. Olical. 
i OL ITRINA ‚8. f."olivier: arbre qui prodalt 
’olive. 

Ouverniuna, dim. @’Oltvelru. 

Orıver. V, Nivel. 

*Oriverin. V. Nivelar. 

FOLıvireno, x, adj. (po6t.) qui abende en 
olives. 

O'ıra. V. O'a. 
"Orrarıa, ete. V. Olaria, etc. 

OLsart. V. Merfm. 

Orma,s. f. sorte de drogee. 

Oru$oar, 5. m. * ormole : ica plants d’or- 


OrLserRo. V. Ulmtiro. 

OL6orarno, A, adj. olographe. On le dit 
@un testament &erit er entier de In main du 
testateur. 

TOLorönco, 8. m. (t. d’hist. nat.) olapong : 
grande vipere des Philippines. 

OLön ,ete. V. Cheiro, etc. 

OLoßwono. V. Loendro. 

+ OrusiTao, s. m. (1. de bot.) maceron com- 
mun : plante ombeltifäre. 

Orvivino,p. p. de 

Orvivir, €. a. oublier : cesser d’simer one 
personne. V. Esquecer. 

Orvteir-sE (de), ec. r. mangquer, oublier. 
Youblier : 80 negliger, se relächer de ses de 

rs 


OrLvioo, s. m. oubli. Refroidissernent,, indif- 
förence,, cessation A’amitie. V. X fo. 

+Oır'urıa,,s. f. (t.de gdog.) Olympie: an- 
eionne ville de Gröce. 

Orrwrians ‚s. f.olymplade: espace de qua- 
tre ans entre les jeux olympiques. 


OrLrurco, A, adj. olympique : gut annat- 


tient & POMNEmpe. --s, pP. alyrupiänns : jes dvum 
prinoipales divinises da FOlymmpe. Jige-t, 
jeax olympiques , c&löüres tous les quäize ans 
a 0Otympie. 

OrL.v'uro. V, Olympiee. 

OLr'nro, 8. m. (Bodt.) Olympes : Is eiel: 
montagne de Thessalie. 

+ Orr'na , 3. f. (8. da bot.) olgre: gramiree. 

* Omixzs. V. Imdgem. 

* ONBNnADOR , 8. m. ancien office de lamaım 
da rot. 

Ossntına, 8. f. * Jembage de parte , Inte. 

Owskıa. V. Umbdrie. 

Oussınıos. V. Mombridade. 

Ounxina, 8. f. ombre : polsson de mer di 
de riviere , ombrine. 

Oupro,, etc. V, NHombro, etc. 

O’MEcA . 5. m. omega : derniere lefife dest 
phabet grec. (Ag.) La An, ta dernidre partie. 

Oues,ete. , 

ONENACKT. | V. Hom..., eis. 

+ Ouzıtir, adj. 2 gen. ( 1. K’anal., &piplor- 
que : qui appartient & Pepiploon. 

Outrto, 5. m.(#. d’anat.) omemam, pr 
ploon. V. Redenho. 

Osue2lo. V. Omisito et Homizio, 

Osıcio. V. Homteidio et Homizie. 

O’mCRON, s. m. omieron : o bref des Orerı 

OuıLia. V. Homilia. 

Ouınido. V. Agowrddo. p. p. de 

+ Osıxän, v. a. presager, stgurer. 

Osıx6so, a, adj. de mauvam augure. 

Oxıssi6, s. f. omission , menqueusent & m 
deroır, etc. Negligence, defaut de som. Hi- 
cence , omission volonteire. 

Onisso,A, pP. p. irr. d’Omüllir. adj. Omis. 
Paresseux, negligent, peu soigneur. 

* Ostıstracıo.V. Hemystichis 

Oyırrmo,p. p. de 

OnıTtTir , v. a. omettre : manner & dıre, 
faire; passer sous silence. Faire abstraction &® 
la verite ow de la faussei# d’une propostion. 
comme inutile ä la quesiion. 

Our, ete. V. Homisiar, oe. 

O'uxıa. V. Horia, Pomar. 

+ Ountwopauttste,, ade, d’ume menidte fü 
eontprend, qui enrbrasse tout. . 

Ounimono, A, adf. qui compremd, qui eM- 
brasse tout. (ui est de loutes feuern, de Laute! 
manidres. . 

Onstrantere, adj. 7 gen. (20PR.) quiprodait 
tout. pere universel. 

ONNIPATENTE, adj. 2 gen. ouvert, patent? 
tous, de tous cöles. 

Ouxıporencıa ,s. f. loulc-puissance. 

ONNIPOTERTE, adj. 2 ges. Lout-puissanl. 

+ Oumisciöncia. 8. f. omni-seienoe, sced‘* 
inlinie, qui embrasse toutes ohoses. 

+-Oumscıkxrte ‚adj. 29en. qui a ume cieDt? 
ınlnie; qui sail (omi. | 

+UunivoRO, A, adj. omhivore: zul ment 
de tous les alimments. 

Uuoxıso. V. Homenyme, 


“ 
‘ 











ONT 


RM, 9 f. (4. Wanalı) omepinie ı We 
ph et tetge de i'paule. 

Ouesacino, adj. m. O’leo —, huile ompka- 
cine , tirde dos Oliven avanıicur miaturite. 

Omrsirdatıa, 8. f.(i. da chir.) omphalo- 
etle : bernie qui se fait au nombril. 

Oni,t. f. une. V. Mind. 

Onkcna, s. f. (ti. de bof.) onagra , horse aux 
And »eiatt, 

O’nacaO , d. W, Ofagre : Ang sauveageı 

Onxnissio; # m. Onanisars : haditale de la 
mastarbation peche d’Onan. 

* Onisrao. 7. Ameirus 

Onca,s. f. once: las de hut gros, sbi- 
ziöme et Quelquefois douzisme d& la livre. (1. 
d’hist. wat.) —— , qualruptds da gehre feler, 
que Fon peut apprivoiser et fonton se Sert en 
Perse pour la chasse; pelite panthere. — do 
Brazil, * jaguar. Por hr es, petiteflent, chiche- 
ment, en petiie Yuan 

° Onco. V . Ameo. 

Onva,s. f. onde, flot, vage; et, en territes 
de marine, houle, lame. (fg.) Onde. On te dit 
du meuvement des epis agites par le vent, etc. 
(id.) Möuvement rapide et Ylotent : agitation, 
revolation. As —s embr vu enfwreci- 
das, }es lots mutines. Rebeniarem as —s sobre 
apröa, (1. de Mar.) &tre mange par la lame. 

Oxpino. V. Ondeddo. 

Onpe, ade. 00. — queire, en qureigne lien 
que co soit, ou l’on voudra, partout. De—, 
d’oü,de quel endroli. Para —, oü ‚jesqu’oA, 
vers quel endroit. Por —? par oü, par quei n- 
groit?— cal a proaP (I.de mer. )oü estie cap? 
— droh est-ce. 

OxnziD0,A,P. 
onde, onds, ondal ; molre. 

ONDEÄNTE, adj. 2 gen. ondoyant. p. a. de 

Onpelr,, v0. 8. molrer, tabiser une etolfe, eto. 
Donner une fagon ondee. 

ONDBÄR, dv. ». ondoyer, faire des ondes. On 
le dit de l’ san agitee par le vent, (g.) da mou- 
vernent des &pis agiles per! le vent, ete. Fire 
emporte par les ondes, . Platter, parlant 
d’un pavillon, te. (Rg.) Former des ondes, 
parlant des plis Rune etoffe, ete. V. Finctuar. 

ONDBÄR-38, d. r. ondoyer, flotter, se balan- 
eer en fair. 

Ompzcicond, A, adj. ondeengote : & ome 
angles, on26 cölde. 

ORDzguanguf , adv. en queltgue lie que. 

Onpians , dh. d’Onda. 

OnptLicäd, s. f. ondulafion : rhouvemehl 
öndulatoirt, par ondes. Son imilalion en pen 
tur®. 

Onsain0,A,P.p. de 

+ Onznin, v. a. onörer, charges. 1] csi aussi 


Onmntso, A, ed. ondraus ( pour, &), A 
charge; incoınmode; 

Ofietin, vw. 7, Monestar. 

mio. ?. 

Onisco, 7. Onin. 


d’Ondear. adj. Felt en | 


rin 


OPA 81 
r Buisorsadı, ®. f. enitscratie : art Pre» 
Lendu d’expliquer les songes, 


T Onınocamia, 8. f. enisecrilie : interptete- 
tion des Songes. . 

+ ONIROCRITICA, s.f. onirocriliguss art de 
deviner 00 que siguißlent ips songes. 

t Ommnocaitico, s. m, onlwucritique : Muter- 
prete des songes. 

O'nıX, 8.0. OnyX : plerre preciense ‚espäte 
d’agatbe. 

’Onsöno. V. Ungido. 

ONOCENTÄURO, 2. m. onocentatre : monstre 
(abuleur, qui dient de P’hotnme, de fa ferhme, 
et de Päne. 

OnocnöraLo, y. m. ohocrotale : pelicah, 
grand-gosier, oiseau de marais. 

Onomaicia ‚s. f. ohömancie : divihation par 
le nom. 

+ Onowinrtco, 3. m. onomaneieh : dal pra- 
lique Pdnomiantie. 

OnomÄsTIcO, A, adj. onomastitue : qui oft 
etrö nommd, designe our); qui expliäue tes 
noms (vocabulaire, elc.). 

7 ONOMATOLOGIA, s. f. onomatologie: scien«6 
des noms. 

Onowarorßıa, s.f. onomatopde : formalion 
d’un mot dont le son est imitatif de ce qu’il d& 
signe. 

+ Oxowardrıco, A, adj. qui conlient l’ono- 
matopee, (nom) imitatif. 

Onost ow OxonıDe. V. Reslaboi. 
nönımd. V. Commum. 

+ Oxorönno, s.m. ($. de bot.) onaporde : 

plante cynaroc#phale; chardoncotonneux. 

+ Okösma , s. f. (l. de bot.) orcanette jaune : 

plante. 

+ OnorÄrro, s. m. jumart : produit d'un 
taureau avec une jument, une Anesse; d’un 
&ne, d’un cheval aveo une vache. 

Onaa,eic. V. Honra, etc. 

O’ntes. V. Hontem. 

+ OntoLocia, s. f. ontologie : irailö de l’ötre 
en general; partiodela metaphysiqgue; science 
des @ires. 

+O’xts, s.m. (motlatin), * charge, fardeau 
(au fig.) Serrir de — a alguem, Qire ä charge 
& quelqu'ums - 

NÜSTO, A, adj.charge. _ 

Onzasutıaa. V. Onzsneiro. 

ONzE, adj. um. onze:nombre de dix et ung 
ohiöfires qui Vindiquens (14). 

Oxzexa,s. f. usure, inlerät illögal. 

ORZENAR, ©. & exiger des intereis ldgaux, 
9 ». Prötes & usure, 

Onzeninıo, A, adj. V, Umrerio, 

Ounsunis, v Onsenar. 

Onzentıro, A, s. usurier. adj. V. Onzene- 


Onze£no, a, adj. num. ord, ensiöme. 

+ QOumiS0 ; 0. 2: onsitme : la onzidme pariie 
d’un tout. 

.Onete, V. Hanismı 

Qri, s. fı robe, völement jenf ; nanleau 


832 OPH 


royal. Bobede senfrtrie. s. m. (l.de bei.) Opa: 
myrte de la Cochischine. 
t Opicamturz, ade. obscarement. 
Vracıpane, 5. f. opa:ite : qualiie de ce qei 
est OpAGgEER. 
OPrico, A, adj. epague : qui n'est poiniisens- 
Sembre 


+ Oräso, a, dj. opile, enfle. 

O’rara, 3. f. opale : pierre prösieuse „cha- 
toyante, laiteuse,, ä reflels oolores. 

OraLisnsa, 3. f. bouppelande : sorte de ca- 
naque, de völsmens long, 

T OräLuss, 3. t pi. Iüles de la deesse Ope. 

V'raLo,s. m. V. Opala. 

t V'rarao, 3. m. (1. d’kist. nal.) opalre : 00- 
I6optere , Lenebrionile. 

Orcäö, 3. f. oplion : pouvoir, facult#,, action 
d’opter. 

Oranı, s. f. :pidce de ıhöälre en 

musique, ä machines et danses; lieu o& elle 
se sepresenie. 
Orsaacad, s. f. operation : attion de ce qui 
opere; action de la gräce; acliom metbodique 
du chirurgien qui opere. (Ag.) Eifet d’un re- 
mede. —, caleul. Manauvre : cenduite dans 
les alfsires. (1. mil.) —, co qu’on a lait, ce 
qu'on fait ow doit faire pendant une campagne. 
Operagbes , pl. optrations : sapputations arith- 
meiiques ; actes de l’entendement, 

Orunanon , s.m. operateur : qui fait des opt- 
ratlions de chirurgie. 

Orgaiutt, adj. 290%. optrant : qui opere. 
p. 0. de 

Orznär,o.0. et wm. operer: faire, produire 
quelque effet;; faire une operation; agir, pre- 
Juire un effet. 

Orzaiaıo, 5. m. ouvtier, artisan. Ouvrier 
apostolique, prödicatenr. 

Orsaarivo, a, adj. aclif, operatif : qui 
optre, qui produit son eflet. 

t Orsacu.ivo, a, ud. (t. Eihist. nat. et de 
Bot.) opercul& : qui a un opeecule. 

OrtacurLo, 3. m. opercule : couvercle de 
Pentree de ia caguilie uniralve; oeuvorcie de 
l’arae des mousses; plaque osseuse de P’oule 
des poissons. 

Orasıinna. V. 

f Orsnöso, a, adj. penible, laberious. Qui 
a la vertu d’opörer. 

Orziasıs, s. f. (1.de mäd.) ophiase : maladie 
qui fait teınbor los peils par place. 

? Ormssinos, s. m. pl. (1. E’hist. nal.) ophi- 
diens : reptiles,, les serpents. 


+ Ormorocia, s. f. ophlolegie : deseription 

des serpents. 

f Ormouancia, s. f. ophiomancis : divina- 
sorponts. 


tion par les 
„&, &dj. ophlophage ; qui mange 
K Ormrancl f. (t.de wıöd.) opktsigie 
A, “ff. e 4 
deuleur de all , sans Inlammatien. 


Orsvaınia, 8. f. (6. de dl.) opbtalmie: me- 
ladie des yeux; ialammation de la euajenr- 
urve. 

OrutiLwco, A, ady. ophialmigus : cHalre 
les maladıes des yonx (remöde), qui les con 
cerne. 

tOrstaLuita, 5. f. epbtalmite: pierre qui 
imite um @il. 

UrmTALmOGaArEiA, 5. f. opbtalmegsaphi: 
trait£ sur les yonı, Icur dasssiptien. 

+ Deut ALBOLOCL, 5. f. oghtalmsiegis : traıle 
sur l’ail. 

+ OrwraLnoromia , e. [. ophislmeismue:: di- 
section de l’eil. 

tOmaso, a, adj. opiach: se dis des meh- 
caments dans losquels il enire de T'oplum. 

Orsira, 5. f. “ opiat: eleciasise; päle pou 
les denss. 

Oruaro, s.m. V. Opidla. adj. V. Opiado. 

Oriseno, a, adj. (pedl.) secourable, y. 
doune du secours. 

Orirnıce. V. Artißies. 

t Oeisicıo, 3. m. travail, ouvrage, besogat 
d’un arlisas. 

OriLaciö,s. f. epilalien, obsiruclion. 

OrıLan, 0.6. opiler : causer des abstruchens, 

er. 

Orımo, A, adj. riche, fertile, abondant. Drr- 
p4jos —s, depouilles opimes, reinporiers pi 
le general ramain gui avail tus le general et- 
nemi. 

Orıniuıe, ad. 2 gen. opinani: qui opt. 
p.e. de eired 

.Orinär, ©. ®. opiner, jager, @ire darin. 

Orınarivo, a. d’opinion, Od ch322 
peut suivre son opinion. 

+ Orınivsı, adj. 2 gen. qui peut se se“ AM! 
de part at d’anire ; problömatlique. 

Orımäö,s. f. opinion, sentiment, ar“: j°- 
gement qu’on porie d’une chose; reputalıda, 
renommee. Preienuon. Faxer —, se piyüe! 
d’bonneur. Faire antoril& dans uno male 
Tudo isso ndo passe de —, c'est une opınicı 
que toui cela. Ander em opimises, @irc prosl- 
matique ; perdre sen credit, souffrir queigst 
atteinte dans sa repulation. Seguir opinıti. 
adepier des opinions. u 

Ommtärico,, a, adj. entöt# dans une opiniM, 
epialäire. Qui sat Sacileınent des opiniyas b- 
zartes. Presomptueuz. 

Omuuso. V. Opinidbico. , 

O'r0, s. m. opium : suc de pavet blanc. .M 
fom.) ° Altrape, tour, poisson d’avril. Prog" 
un —, dar — a alguem, atiraper uu, 
lul jouer un tour, ui donser unobeie. 

Or6ruaco, A, adj. qui mange de | 
ABO, A, adj. somptueuz, ‚ee 
parlant d’un lestin. 

Orısraörono, s.m. (1. de mid.) opistheleee®' 
cenvelsion qui courbe fe corpe cm aridre; CR" 
tractien de la i&te on arriöre. lan. 

+ OronaLsautina, 0. f. (4. de bo.) Fee 


mier de la Mocque, beume de. Jadie, 
Diane. 


a 


Oron&nskN®,. s. es. epebalsamum : suß da 
hausier; baume de Jud6e „de la Mecgus. 

+ Oronackıra, 8. f. (4. de bot.) * pansis sau- 
vage tiranger; panacee de Baubin. 

WALD 0 —PORACO, &. IB. HPODANaX, 
OpOpOnax OU Opopemacuın : 4u3 gemmo-Fini- 
BABX. 

Oraaız. V. Ogonecfire. 

OrriLaciö, etc. V. Opilapdd, elc. 

OrroßntE, s. m. apposant, Plaideur, liti- 
gant, adversaire. 

OrgöR, %. 8. QPPOSER : une personne, 

une chose pous faire s & une aulre; 
meise vis-i-vis, en somparaison, on parallele 
os pour [site camtirasie ; 
. Oppoa-sE (a), 9. Fr. sS’Opposer, &ire contraire; 
fawse ses efloris pour arreier, empöcher ; dire 
en opposition. Concourir pour une chaire, un 
benelice, etc. Röclamer, contredire. Heuzler, 
eontzariet, ehoquer, oonlredire. 

ORFORFUNAMEANTE, ade. d lemmps, & propos, & 
point nommse. 

Ormarumaing,s [. oppertunits : qualiit de 

ce qui est opportun ; \OmMIp6, OCCasion PTOPTe, 
favorable. Pau ä-propos. 4 — duplica o calor das 
färpeopaa dauble lo prix, des choses. 

-ÖFPORTUNISSINO, A, adfı sup. de 

Opronrino,a, adj. epportun : ä propos, 56- 
Ion lo temps et ie lieu;; favorable, propre. 

Orrosıciö, s. f. opposiion, contrariets, re&-+ 
pegnance. Position de deux choges ä l’opposile, 
vwishwis une de l’autre. "Concours pour une 
chaire, eic. (4. d’ssir.) —, position d’une pla- 
nöte & 100 degres de lautre. — — acte par lequel 
on s’oppese; parti qui s’oppese & un parti do- 
minant; parli qui surveille ei censure les mi- 
nisires. Faser — para lonie, elc. soutenir une 
ıhese dans um concours. 

Orrösıro. V. Uppösio. Em —, adv. ä l’oppo- 
sile, vinkvis, 

Orrosizön, 4. m. celui gui 8’oppose, Oppe- 
sanl. Compelltent. Coneurreni & une chaire, & 
un benefice, eto. 

OPrOstronia, 8. f. salle de conversation ä 
V’universitö de Colmbre. 

Orröstamtnte, edv. d'une maniöre apposde, 
econtraire. 

Orrösto, A, adj. oppess, oontraise, ennemi; 
qui est A ’oppesile ; antagoniste. 

Orrazssiö, s. f. oppression : action d’oppri- 
mer, d’oppresser ; son eflet;; ötat de ce qui est 
epprime, oppress6; &touffement; misero , souf- 
france. — de eslomago, poids dans l’esiomac. 
— de coragdo, serrement de caur, &lat d’un 
caur me. — injusta , indue vexalion. 

+ Orpasssivamente, edv. avec oppression. 

Orrazsaivo, a, adj. oppresll qui opprime. 

OrPRSssO, A, p. p. irr. de Opprimir. adj. 
Öppresst ; opprime. 

OrpnzssöR, A, adj. el 5. oppresseut : qui op- 
prime. 

Orramio0, A, p. p. d’Opprimir. adj. Press, 
soree. Ter 0 corapde — ‚avoir lo caur serre, 
oppresse. 


m 0m 


ORA 853 


OPPAIMIR , ©. a. opprimer : accabier par xic- 
lenee, par force, autorite; tenir dans l’oppres- 
sion. Oppresser. 

OPRRORRI®, &. m. Opprobre : 
honte, aflrent, d6skonneur. 

OPPROBA6SO „A,adj. bonteuz , ignominieux; 
diffamant,, deshonoran!. 

Oreucaaciö, 8. f. opposilion avec lorce et 
violence, * Assaut, allaque. Objeciion, contra-" 
diction. 

OrpuGnAaDön, A, 8. atlaquant, assaillant. 

Orrtcaän, v. 6. S'opposer avec violence. 
Auaquer, sssaillir. Contredire, repugner. 

OPPUGNATÖRIO, A, adj. relatif ä P’altaque. 

Orraumia, eic. V. Opkhlalmia, etc. 

T Ortän, v.«. opter, choisir. 

Ortativo, a, adj. (1. de gramm.) optalil: 
mode du verbe pour eıprimer le desir. 

O'rtica,, s. f. optique : science qui Lraite de 
la Iümiere ei des lois de la vision. 

O’tico, a, adj. oplique: qui appariient & 
Foptique ; qui concerne la vue. 

+ O’rtico, 5. m. opticien : colui qui est verse 
dans l’optique. 

O’PTIMAMENTE, adv. trös-bien , parfailernen!; 


ignominie, 


.| & merveille. 


Orrimites, 8. m. pl. * optimatie : les princi- 
paux ci itoyens d’une ville. 

Orrıuisuo, s. m. oplimisme : syst&me des 
philosophes qui ogeient que tout est pour Iu 
mieux possible. 

Oprisista ,s. m. oplimiste : parlisan de l’op- 
kimisme 

Örrıno, a, adj. sup. de Bom. Tres-bon, 
parfait en son 'genre; excellent, le meillenr. 

OpvLencıa ‚8. f. opulence: grande richesse; 
abondanco de biens. 

OPULENTANERTE, adv. 

opulence. 

OF ÖPULENTAR. V. Emiquecer. 

OPULENTISSIMO , A, adj. sup. de 

OPULERTO, A, adj. opulent, wwes-Fiche , dans 
Populence. 

O’ruLo. V. Novelltire. 

+ Oröntıa ou, (4. de bet. 

Oreh s. f.) queiie, 
Aguter d’Inde. 

OröscuLo, 5. m. opuscule : petit ouvrage de 
aolence , de literature. 

Ogue. F. Oere. 

Oguzi, ». f. monnaie de Finde, deux francs 
a demi ä Don pain 

O’sa,s. [. V. Mora. Region, pays. 

O'na, adv. A present, maintenant. — ab, — 
oulre, anıdt Pun, lantöt Fautre. — Irise, — 
alegre, tantöt teiste, tanwt gai. D’— cm diente, 
desenavant, desormais. 

+O'na,conj. (diqwi) or; cependant, nöan- 
moins. —- digo eu, or, je dis que. 

On! interj.cä! or ch! — sus! or sus! allomst! 
— vamos , ca, allons. 

Onagao, s. [. oraison,, discours, Rarangue; 
priere faite ä Dieu; assembla ge de mots formamt 
un sens. — de odgo, cautiquds qua chanient 


opulemment : aves 


*esctier en ra- 
. la raguette, ie 


854 ORB 


dans les rues les aveugies mendismis. (fg.) 
Diseours qu'on reeite par our et sums geüse, 
comme une lecon d’ecolier. — demintsal , je 
culalerie. V. cos mols. — meniel, eralsou 
mentale, elevalion de Yöme a Dieu. — esedi, 
eraison vocale qu’on pronenoe de beushe. Haxer 
—103 gantos, prier lessaints.— des, pl. oraisons, 
partie de la messe, de Poflice divin. Prieres 
qu’on apprend aux enfanis, ie Pater, eie. As 
— ds Igreja, les suffrages de l’Eglise. Ar yar- 
es da— , les parties da dissours. 

“ Oracofıno , s. m. livre o Eee get 

+ OnacrLaz , adj. 2 gen. d’oracle, qui appen- 
Vent A Poracle. (fig.‘ Mysiörienz. 

Oricvro, s. m. oracle : preiendiee röpunse 
des dieux; le dieu qui la donne. (Ag.) Verite 
enoncse dans PEcriture sainte; personne Irds- 
savanie , Irds-experimentee, que Fon consalle 
et dont on suit aveugiöment les arts. Faller 
d’ —, parier d’un ton mysterieux et döcisif. Pe- 
Isoras d’— , reponses obscures, ambiguts ‚etc. 

ORsDöR, 5. m. oraleur : qui tempose, qei 
prononce des ouvrages d’*loqdenoe, des ha- 
Tangues. Predicateus. Intercesseur : oolai qai 
prie, supplie ; soppliant. 

Orap6aa, 5. f. suppliante. 

Orico, s. m. patzon,, saint ahquel uno dglise 
est dediee. V. Orasulo. Festa do —, fete pa- 
wronale. 

OrärL,adj.2 gen. oral (tradition, el —e) : 
qui sa transmet de bauche en bouche, de vive 
voiz. 

+ Onascotigco, s. m. (. d’hist. nel.) Orang- 
outang : homme des bois, singe sans queue. 

Oria, v. q. ein. prier Dieu, etc. Prier, sap- 
plier. Haranguer : parler en puhlic. — a Dees 
por alguem , prier Dieu pour quelgu’um. 

Ü’nasts , inter}. or sus, allons. 

Osire, s. m. (ou, insenss, aliene. On —, 
un öchapp6 des Peliles-Maisons. Casa dos —s, 
Pettes-Maisons, höpital poar les fous. 

Oxıtönıı, s. f. "art oraloite, rhetorique. 
— sagrdda, eloquence de la chaj 

ORATORIANENTK, adv. oratoirement, d'une 
Maniere oraloire. 


Oratönıo, 8. m. oratolre : Ida destins Afpor 


prier; peiia chapelle. Congregation de Pora- 

toire. Öratorio : sorie de drame kacre. 
OraTönıo, A, adj. oraloire : qui appartient & 

BEHEUE. Estylo + „style oraloise, stylo s0u- 
nu. 


Onsg, s. m. rond, cercie, Globe ctteste eng 
ie . Monde, univers. Orbe : espace yus 
„pärbour) une planöte dans son cours, 

. FOngicrıa, 2. /. (b. Phist, nal.) orbicule : 
genre de mollusgue. 

Onsıcyria „adj. 3 gen. orbiculaire : ron 06 

spherique , qu] va eu rond. (1. de hot.) Orbicu- 
glei 
a ia,v.n. V. Girar. 

O’'snıza,s. [. (1, dssir.) orbite : route gie 
‚Parcourt une planeie ; cavile de l’weil. 

Onmitänio „adj, (4. d’anal.) orbitäire : de 


? 


Onsivace, a, adj. ersant, vegibene. 

Osas, 8. f. osque, derque eu deeuuel: 
marsesim,  Oren ı grund o4ia66 du gene des 
daupbias. 


+OYwmsas,s. f. pi. tt. de Yes Onca- 
en nen er" 7 
O’xca,s. f. (1. de mer.) ‚or. Dt 
ter d —, aller ä l2 beuliue, eg. !, 
Orgar. Orga! au il. 
OrpiB6, p. p. de Onyear- 


Fee s.m. celui qui Sat iu Gewm. 
aakarıO , 2. 00. dos. Ansiüaen a pn, 


estimer, 
la orse, deoßts, & in beuäine, feßer, aller 
lof, bouter de lef. 

Oxcdırı. V. Orselle, 

+ Oxcnira, 8. f. “ egest: beissen ale & 
qistre stmeners frößles, Wamında a & 
sucre. 

Oncmierka ‚e. P. eschedtrdr plabe des Hier 
teurs au thößtre; place des muugieiens, Kt 
reunton ; les 
"+Oranon ) (8 de Bea) Publ, mtr 

Oscame,s. ma: 

+ Oncnioxas, edf. ts. f. pl.16. drlet.) ah 
eos: plantes & mberoudsusen. 

c0,3.M. 3 ‚Feake. 

OnDzpöna. eg 

Op ,s. f. “erde : srrangement, Gepe 
ten solon lo rang; rögie, mutihede pow pl, 
eis.; suite, suctession ; compugmin de PR 
sonn&s 


de’ pr gandement "Fan supiren. 
dens ou ds suas ordeng, a vos ofärue. En-. 


ne: Tanner mans, Jumt 





porüon convenable. zug = par weil, 
survennivement, en Fi ch pr, 
mandat d’ ordre dirteiee, Cade vun 
u — chuskr 8 au rümg. Bis -, 
eben ordre. —, ode rät. 
7 —, Füsquri Bouyil ehdts. Om -. 
reglement, & n > or, 
les ordres ont 444 donnes. ng, ent 
dans les ordres, recevotr los wactes. 


sieie), 


Onpexiciö,s. f. ordonnameb, Tel, 
röglement. Ordination ı action üg gaalirer !o 
ordres sacr&s. — ou —Öga do oarps, 1° 
oueil des lois ou des ort “ma 


Portugal. 

Orpenäna,s- [ (6 de uugh.} ondugele: 
gne tirde d\m La dune an a fast # 
GPU coarbe. 

- Onpenipanenre ‚ailv. avda andre, muitheit 
propostion. 

ORvENAniSssMO ‚ad. sup. &e 
Öfvenino, A, pP. P. a’Ordener. ki. Order 


ne, range, nis en ordre, 





= 


ORD 


Oapenin0 ‚&. m, salalre, traitement ,gages, 
apponlorcht. 

RDENABÖR, 3. m. ordounaleur, qui ordonne, 
qui dispose. 

ORDENANENTO , s. m. *loi, ordonnanee; com- 
mandement de superieur. 

Onpeninca ‚s. f.” ordre , arrangemen!. Com- 
manderzent, ordre, lei, ordonnance. * Corps 
de milices en Portugal. Ordonnance : soldat 
qui se tient & la perte du commandant pour 

ses ordres. —e, pi. lols röglementaires. 

OnpEninno, s. m. ordinant: qui dolt rece- 
voir un ou des ordres sacr&s. 

Ondeninte, s. m. ordinant : 6reme eonfd- 
rant les ordres saeres. Ordinant : celui qui se 
presente pour #ire promu aux ordres (P. us.). 
p.a.de 

OnpenÄn ‚vo. a. Ordonner, arranger, mettro 
en ordre; commander, prescrire; rendre une 
ordonnance. Diriger ä une fin. —, =ouförer les 
ordres. 

OrpeEnÄß-sE (de), v. r. enwer dans les or- 
dres, se lalreordonner,prendre les ordres.(para) 
S’ordonner, se disposer &, se pr&parer poar. 

+ Onpenärst,adj. 2 gen. qui peut Etre or- 
donmne. 

Onpenkinn, A, pP. p. #Ordenkar. 

ÖRDENHADOR , A, 8. celul quitrais los vaches, 
ete. 

Ospennir, dv. a. traite : tirer le lalt des va- 
ches, »te. 

* Onvıimo. 7. Ordindrio. 

Orpinkına, s. f, ourdisseuse : fomme qui 
ourdit. *Oardi : out pour onrdlr. h 

Ospino, p. p. d’Ordir. 

Orptoör, 3. ourdisseur : qui ourdit. 

Ornpinöra, s. f. " ourdissage, ourdissure: 
action d’ourdir. 

® Orpım. V. Ordem. 

*Orpinkero, s.m. 7. Ordidura. (Rg.) Com- 
mencement. . 

Orpınär, adj.2 gen. ordinal : qui determine 
Pordre (nombre, adjectif, adverbe). 

Onpınar , etc. V. Ordener, etc. 

Onpminta, 8, f. depense journeliöre; pen- 
sion annuells, mensuelle, ete, 

OrpinänıauenTe , adv. ordinairement,, com- 
munement. Grossiörement. 

Onpısinıo, A, ad. ordinaire : qui a cou- 
tume d’&tre, d’arriver, de se faire; qui arrive 
souvent; qui est dans !’ordre commun; dont 
on se sert ordinairement; commun, de peu 
de valeur, peu distingud dans son genre. De —, 
d’ordinaire , pour Pordinaire. Jwis —, juge 
nalurel et ordinaire nomme par les munici- 
palites. V. Juiz. Processo —, proces oü l’on 
observe les formalites ordinalres. Pia —a, role 
ordinaire, cours regulier d’un procds, cit. 
Homem — , humme de peu. 

OnpınÄrıo, 3. m. ordinaire : eveque dioce- 
sain.—, eourrier qual part & jours fixes; ce 
qu’on acoutume.delaire ‚deserviraurcpas, etc. 

*OspınuAvo. V. Ordenddo. 

Oapir, v. a, ourdir : disposer les fils pour 


ORG 4 855 


faire la tolle, ctc.; (Ag.) tramer (une trahison, 
un eomplot, etc.). 

"Orno, s.m.V. Cevdda. 

Orpüxe, s. m.“ chalne: ülls dtendus en Jong 
sur le metier. Ourdissage, 

Ortanas, 8. f. pl. (1. de myfh.) Ortades: 
aymphes des monlagnes. 

RECÄO, Ss. m. 

Ontcos, pl. | V. Ourdgös. 

OrkıHa, s. f. orellia: organe de Foute + sar- 
tilage autour du trou auditif; tout ce qui ini 
ressemble. Oufle. V. Ouvido. — de gigdnte, 
(£. de bot.) esp&ce de bardane, plante. — de Ju- 
das, (id.) orcilie de Judas, champignon de su- 
reau. — delebre, (id.) pied de liövre. — de lebre 
do reino. V. Diabelha do reino.—derdio, (id.) 
myosote, oreille de souris. — d’urso, (dd.) au- 
ricule, oreille d’ours. — marinha, (f. d’kist. 
nat.) "ormier ou orellle-de-mer : espdce de 
coquillage. Andar d— d’alguem , Etro lonjours 
pendu & l’oreille de queiqu’un,, ne pas le geit- 
ter d’un pas, Andar com a — comprida sobre 
alguem, avoir les orcilles longues sur quel- 
qu’un. Torcer a—, s’en mordre les deigte, 
s’en repentir. Vinko de—, vin excellent, via 
d’une oreille. —ı de mereador , sourde oreılie. 
Animaldequatro—s, bete Acornes, et suriouß 
letaureau. Abaixar as-—s, baisser les oreilics : 
recevoir un ordre, une rimande sans r&- 
pliquer. Altar as —e, chauvirdes oreilles. Com 
as —s caidas, les oreilles basses, tristernent. 
Com as --s compridas : on le dit d’un komme 
qui &coute altentivement. Der —s, preter Yo- 
reille, @ıre attentil. Abanar as —s, secouer la 
tele, refuseor, ne pas entendre de cette oreille- 
1a. — da ancora, (l. de mar.) * tenons, toufil- 
lIons de Pancre. 

OreLBino. V. Orilkddo. 

Oreıuiö, s. m. (ft. de fort.) orlilon : partie 
saillante du flanc d’un bastion. —,ouoreillen: 
tunıeur dans les oreilles, fluxion & Foreille. 
Sorte de poisson de mer ä nageolres en formu 
de grandes oreilles. * Action de tirer les oreil- 
les. Dar um —, tirer les oreilles. 

Oneınkıra, 5. f. oreille de eochon. Pendant 
Woreilles. 

Orzıninma, dim. d’Orelha. 

OneLuino, A, ad}. qui a de longues oreilles. 

+ Orexöcu, s. m. (f. de geog.) Orenoque: 
fleuve de Colombie. 

Orzssiı. V. Viragdd. 

O’nrk ou O’'nran, s. f. orpheline. 

Onrannäne, s. f. *elat d’orphelin, orpba- 
nite , orphelinage. (fg.) ° Etaı d’un homme qui 
a perdu ses prolecieurs. . 

O’nrio, 3. m. et adj. orphelin : qui a perdu 
son pere ei sa mere ou un des deux. 

Orrınvipe, V. Orfanddde. 

Orcanftıno, s. m. facteur d’orgues. 

OrcÄnNIcO, A, adj. organique : (Corps —), 
qui agit par le moyen des organes, qui cnn- 
court ä Vorkapisatioen (partie --); (sens —) 
röpandu dans t@us les organcs; (lot —) de 
Yorganisation, 


856 OBI 


ÜRGANISMO, 5. m. organisme : qualils& de 
T’etre organise; ce qui apparlient & llorganisa- 
tion ; disposition,, arrangement des organes. 

Oncanista, 8.2 gen. organisie : qui touche 
de l'orgue. 

Oncanızackö, 5. f. organisation : maniere 
dont un corps est organisd; (g.) constitulion 
d'un Etat. | 

Orcanızido, A, adj.organise : qui a un pelit 
jeu d’orgue (elavecin, piano). p. p. de Orga- 
sizar. 

OnGANIZADOR , 8. a. celui qui organise. 

ORGANIZAMENTO, 8. m.V. Ürganizagdo. 

OBCANIzÄR, 0. a. Organiser : donner aux par- 
tie» d’un corps la disposilion necessaire pour 
les (onetions auxquelles il est desting; former 
les organes d’un corps; former, donner l’orga- 
nisstion, uno forme fixe , deterniinee; (fig.) Te- 
gler un corps politique. 

+ OncanoLocia, 8. [. organologie : Lraite, 
connaissance des Organes ou des Elres orga- 
nises. 

ORcAnNsim ‚8. 9. Organsin : s0l6 torse, passee 
au moulin. 

O’acÄo, 3. m. Organe : partio du corps qui 
sert aux sensalions, aux fonctions de l’animal; 
( Ag.) personne dont on se sert pour exprimer 
sa volonle, pour faire quelque chose; moyen, 
entremise,, instrument. Siphon propre ä& pom- 
per une liqueur et ä la faire passer d’un vase 
dans un autre. — da vdz, organe, voix, son do 
la voix. — de fear, ensouple de Llisserand. 

O’ncä0, s. m. orgue, orgues (f. pl.): instru- 
ment de musique & Luyaux de medtal ei de bois, 
a soufflei et ä clavier; licu ou il est place; (1. de 
fort.) herse trös-[orte pour fermer les portes 
d’une ville. Bellos drgdos , de belles orgues. 

OncäsMo, s. m. (t. de med.) orgasımce : gon- 
lement, irritation des parties du corps; agita- 
tion des humeurs qui cherchent & s’evacuer. 

* Once. V. Cevdda. 

Oneivio,s. m. V. Verbena. 

° Oncuo. V. Covada. 

O’ucıas, s. f. pl. orgies : feles de Bacchus. 

* Ouctuımär-se. V. Ensoberbecer-se. 

OuGüLRO, 3. m. orgueil, vanilö, presomplion. 
* Fierte , hauleur, arrogance. 

ORGBLBOSANENTE , do. orgueilleusement. 

OxGuLnöso , A, adj. orgueilleux; fer. 

+ On, s. m. (1. d’Asie) gain sur les langas, 
monnaie de P’Asie portugaise. V. ce mat. 

Orıä6. V. Orion. 

+ Onısiras, 5. m. pl. seclaires de Boheme au 
quinziöme siöcke. 

OnıcäLco , 8. m. orichalque. V. Aurichaleo. 

ORIEXTADO, A, P. p. d’Orientar. 

OnıentäL, adj. 2 gen. oriental : de l’Orient, 
d ’Orient. Igreja —, eglise d’Orient. Imperio —, 
cmpire d’Orient, qui avait Constantunople pour 
spitale. Os —aes, £. pl. les Orieutaux ‚ peuples 
d« l’Orient. 

ÜRIEXTÄR, U. a. Orientler. ft, v.r.sorien- 
ı : reconnaltre l'orient et Ics aulics puinis 


ORI 


cardinaux ; (g.) reconnalise la reute & Ienır, 
le licu oü l’on est, les moyens de sacces. 

OrIENTE, 8. m. Orient ; point du ciel eu !r 
söleil se leve sur l’horizon, ou ilseliealc- 
quinoxo; le Jevant; PAsio, relativement a lf 
rope; jeu des couleurs de la nacze. 'Blancbcu 
des perles. 

ı ENTE, adj. 2 gen. qui se löre, levanlis- 
eil). 

URIFICIO,, 8. m. orifice, irou, euvertute; er 
Iree elroite d’un vase, d’un tuyan, d'une asiän, 
d’un ajutage, 

Orır.iua. V. Auriflama, 

Orican, s. f. origiue, Principe, OODLmeBLe- 
ment; oxtracion d’une ‚ d’une race. 
Patrie: lieu ou l’on est ne, d’oü l’on lirem 
origine. (g.) —, source, cause premiage. Ic 
una — kumilds ou bixe, venir de bas lire. 

Orıcınä00,A,P. p. d’Originer. adj. Resı- 
tant, provenent : qui rösulte. 

+ Oxıcınapör, 8. @. qui donne l'origine ; yu 
est la cause premidre. 

OxıcinäL, s.m. original d’um acle, deu 
bleau, etc.: il est oppos6 & copie. Moikk. 
(8. d’impr.) " Copie: ce sur quei !’en oompe.- 

OkıcınaL, adj. 2 gen. original: qui na autw 
modele; qui ost la source, le principe, k Br 
dele d’une imitation. Origiuel : quiest d’oripe”. 
qui vient de l’origine ; qui remonie & long 
Peccado —, peche originel. Gras —, 1 
originelle, dounede par Dieu au premier bount 

Orıcınasıpipe, 3. f. eriginslits : cararkit 
de ce qui ost . 

ORICINALNENTE, ado. originellement : das 
os des l’origine. 

+ Onıcınaa, v. a. ötze la cause, Je prinup. 
l’origine,, o0casionner, mmotiver. —oe, 0.1. Id 
son origine, provenir. 

ORICINARIAMENTE , adv. originairersenl: fi 
mitirement , dans l’erigine,, je prinaipe ; dans I 
commencement. 

Orıcınänıo, A, adj. originaire. qei pred 
son origine de quelque pays. Qui senlerm: & 
soi l’origine d’une chose. 

ORILONES, 5. m. pl. morceamx de pöches 008 
pes en long, sechös au soleil ot oonäts. 

OntLHiDo, 3. m. gros Lissu de laine pour IM 
vetements de deuil. 

Oriruas,s. f. pl. (f. Porf.) "borde, eich 
miles d’une piece, d’un OuYrage 

Orina, etc. V. Ourine, eic. 

Onınaus. V. Ouringue. 

* Onıo. V. Cevdda. 

+ OnioLo, s. m. (td. Ehisl. nal.) — amaschı 
da Europe, loriot d’Europe: eisean ı7ha® 
—s, pl. oriolins : dentirosises merulides. — # 
püs ou sapujubss do Brasü, les cadgı=. 
— quirsbangeimas do Braxü, les wenpisle. 
— bananciros d’Americs, les carouges 

ORION 04 ORIÖNTE, s.m. (. d’esir.) O1: 
constellation meridionale. 

Orısonte. V. Horizonte. 

Vriesno, A, ad. originaise, nauf; qui & 
\ösU. 








ORO 


Onıx , 5. m. " oap&re de chdvro nauvagc. 

Omaräo,. V. Orgevdo. 

O'ara, s. f. "bord, bordare, lisiere d’une 
dwsffe. (4. de bias.) Orle : pidee d’scu en lorme 
de bordure. 

OrLinpo, A, ?. p. d’Orler. 

Onaasüns, s. [. bordure,, ourlei : 08 qui s0u- 
sent, ce qui orae les berds. 


OnaLär, o. a, border, ourier : metise des bor- | de 


dures. V. Debruar. 

+ Osızantz, s. m. (4. de gdog.) Orlödanais: 
cemtr6e de la France. 

OnLo, s.m. (f. dAsie) instrument & vent: 
espöce de cornet ä bouguin. 

Onmixo. V. Hormino. 

+ Onmiz, s. m. (t.de geog.) Ormus:: ville, 
geife, lie & Yentrde du golle Persiquo. 

+ Oruuzıino, A, adj. eis. d’Ormus. 

O’'nna, f- (& däsie) heuillon d’un l&gume 
dit tori. 

Onnäpautnte, adv. avec orkemeni, Av60 


gräce. 

Ornipo, A, 9. 9. d’Ormar. 

OnnaDöR, A, 8. celui qui OrRO, d&oorateur. 

ORRANENTÄDO, A, P: P. do 

ORRANSRTÄR, ©. @. OFReT, parer. V. Ador- 
ser. 

Onzautnro, 0. m. ornamen!, PAULO, OM- 
bellissement;; ce qui eimme, sert & ormmer; (Äg.) 
oo qui rend reoemmandabie; vertu; POIS9Bn6 
qui fait bonneur (& son corps, etc.) —$, pl. Of- 
nements: babits sauendalamı. — d’ume igraja, 
habils sacres. 

OnuäR , €. 6. 0er ; parer, d6cover, embellir 
uue ches ; ajouter des ornements. V. Adorner. 

Ornito, 3. m. ornement, ajustement, per 
zure. ' Dioszalion, ent, ornement. 
+ , pl. ornements d’architentare. Agrements, 
ornements, acoonselres sgränhles. Bsculpter, 
pintor de —, ornemaniste, (sculptear, peintre) 
d’omements. — de telha , (1. de mar.) remplis- 
sage entre les jetiervanz et la {rise do l’6perom, 

Ounzin ou Onnzsan. V. Zurrar. 

+ Oamiıao ‚5. m. (. de bot.) orme ou ornier : 
istne & fieurs, arbre. 

+ Onusmmooaarnia, 6. f. ornithographis : bis- 
teize desoriptive des olseaux. 

Onntrserasia, 8. f. ornithologle : histoire 
natureile des olseaux ; trail6 sur les oiseaux. 

OamırEOoNAnda „s. f- ernithomaneis : divina- 
tion par le vol des oisenuz. 

Oanırmouästıco ,s. m. erniihomancien : qui 
ye&disait par ie vol des oissaux. 

Ono. V. Ort. 

OrosnaLAiö, s.m. (I. d’Asie) noble, gentil- 
homme. 

+ Ononincuz ‚3... (4. de bol.) orokanche : 
plante perasite. 

Onoso, s.m. (i.de bok.) — tuberdse,, erobe 


tubesreux , gesse sauvage. — silresire, orebe ! 


des hois. — bestardo , ces ervillier, pois de Ppi- 


geen. 
* Ontca. V. Coropa. 
Qaorsı. V. Ouropll... 


ORT 


Onöscoro. V. Horoscopo. 

O’spnio, eie. V. Orfdo, eic. 

Osarntnıco, A, adj. d’Orphee. 

Orpnto ou —zu, s. m. (1. de myih.) Orphee; 
fils d’Apollon ; musicien celebre. 

O’araıco, A , adj. orphique : d’Orphece. 

Oxqauista, a. f. V. Orchesira. 

Orräica, s. f. sorte de rin d’Asie. Eau-de-vie 


857 


coeo. 
Orxspön. V. Arredör. . 

* Onntra,s. f. "vallon Ires-Etroit entre deuz 
monlagnes. 

O’ata, etc. V. Horta, etc. 

Oarsıi, etc. V. Hortelä, etc. 

T Onrmocsaatita, s. f. (1. d’hist. nal.) Or- 
thooeratite : coquille fossile en corne. 

Orrsonoxia, s. f. ortbodoxie : qualits de c® 
qui ost orthodoxe; conformils avec le dogıno 
zeligieux. 

ORTEODÖXO, A, adj. orthodoxe : conlorme & 
la saine doetrine en matitre de religion. 

OrrTuopaonia, 3. f. orthodromie : roule d'un 
vaisseau parcourue en ligne droilte. 

OnrnocoräiL, adj. 2 gen. orihogenal : per- 
pondicelaire, rectangle. 

Oaraöcono, A, adj. orthogone : (ligne —), 
qui tombe & l’angle droit sur une autre. 

ORTROCRAPHIA , 8. f. oribographe : art el ma- 
niöre d’6orire les mels oorrestement. — geome- 
trios , orthegrapbie : representation de l’cleva- 
tion d’un bätiment; profil, coupe perpendicu- 
laire d’une fortificetion. — em perspecliva, 
dessin d’un profil en perspeclive. 

ORTROGRÄPRICANENTE , adv. selon les regles 
de Verikograpke. 

Oatnosairmıco, adj. orihographique : qui 
appartient & l’orthogzapbe , ä l’orihographbie. 

RTRÖGRAPNO, 6. MM. aphiste : auleur 
ui waite de Porthograpbe; celui qui la met 
ion. 

OrruoLocia, 8. f. orthologie: art de parler 
oorrooiement. 

VaTsomernia, 5. f. mesare cerlaine, exacie. 

+ Onruorkoıa, s. f. (1. de mdd.) orthopedic : 
art de prevenir ow de corriger les difformites 
du corps des enlants, les deriations de la co- 
ionne vertebrale. 

t Oarmorkpıco, A, adj. orihapedique : de 
l’orthopedie. 

f OnrnorzpteTa, 3. m. orthopediste : medecin 
qui 6erit sur l’orthopedie, qui soigne lcs de- 
viations de la colonne vertbrale. 

Oarsornta, 8. f. (8. de med.) orthopnee : 
? qui emp6che de respizer elanı cou- 

6. 


+ Oxtaörtenos, s. m. pl. (1. d’kist. nal.) or- 
(hoptöres : insoctes & alles plides en Eventail, 
diuis mous. 
Orrica ‚s. f. (1.debot.) orlie : plante & fcuilles 
tiges piguantes. — eier ou didica, la grande 
ortie piquante, orlie vivace ow vulgaire. — 
moria emarellg, ortie morle des bois, orlie 

ane. — merla branss ou — branca, lamier 


ja 
‚I blanc ertie blsuche. — morta vermelha, gs 


858 O8C 


leope piquant ow chanrrin, ortie morte. — 
mörta dos bosques, grande ortie puante. — 
morta basiarda. V. Mercurial. — romana, orlie 
romaine, orlie greeque. — de mar, (1. d’kist. 
aal.) orlic de mer, corps marin. 

Oartıcino, A, p. p. d’Orligar. , 

Orricäö, s. m. aug. d’Ortiga. Grande ortie 
piquante. 

Ürrıcin, v. a. piquer, fouclior aren des or- 
ties. —se, 9. r. se piquer avec des orties. 

+ OnriLa 00 OnsıLa, 5. f. berbe qui vient 
pres de la mer ct sert pour la leinture. V. Or- 
zela. 

Oxtivo,a,adj.(1. d’astr.) oriental, en ler- 
mes d’astronomie. Amplitude —a, amplitude 
ortiro, arc de l’horizon compris entre l'ortent 
vrai ct l’orient rationnel. 

O’rro, s. m. lever d’an astre sur Yhorison. 

OrTo, s. m. sorte de chou & feuilles menues 
et & longuıe tige, chou cavalier. 

Ontoczkaris, etc. V. Orikograpkis, et8. 

+ Orts, 5. m. esp&ce de grosse abeille sau- 
vage au Bresit. 

6ca.V. Erüga. 

Onvaunina, s. [. rosde qui viont de teren, 

Orvaınino, A, Pp. p. d’Orvalkar. 

OavaLninte, adj. 2 gen. arrosant: qui a 
rose. p. a. de 

OrvaLBär, ve. a. arroser bien lögerement; 
couyrir de ros6e, monuiller par la rosee. v.®. 
Tomber de la rosee , brainer. — ee, v. r. se füR- 
dre en ros6e; se couvrir de rosee. 

OnviLno, s. m. *rosde: peotite plule fine; 
breinc. 

OnvaLHöso, A, adj. tout Convert de ros6e. 

+ OrvctErorg,, s. m. (}. d’Mst. nal.) oryolt- 
rope : esp&ce de fourmtlieor. 

* Ornro.YV. Arroz ou Cevdda. 

Onrıeräö, 3. m. orviötan : espöce de thö- 
rin juc, de conire-poison. 

nxitı. V. Orchdia. 

+ OnzEııa, s. f. (8. de bot.) — das Uihas, ” - 
chen roccelle,, orsellte d’kerbo ow des Canartes. 
— do reino, tıchen de prunellier. 

* Os-va-nocca. V. Fpiglote. 

Q's, eontraction de a os. V. O, article. 

* Osinas (A —-), adv. V. Ousddamentie. 

Osina,s.m.V. Hosanna.—s, pl. f. rameaux 
du dimanche des Ramcaux. 

” Osıar. V. Ousdr ou Üsar. 


Oschnse ou nd & Fluesea, de 
OscHense, 0df. 2 gen. $ Huesca : ville d’Es- 
pagne. 


OscırLacid, s. f. osellletion : mourement 


alternatif, halancement d’un pendule, ete.; 


mouvement des Albres du corps qui, selon les 


anciens physiologistes, altenue les liquides; 


(fig.) se dit des evenemenis qui varient, des 
pensees, de Pesprit irresolu. 

OscıLLAR, 9.1. oschller : sc mouroit alterna- 
tivement dang un sens et dans fautre, se dit 
d’un pendule. 


OscıLt.atönto, A, adj. osciNateire : dela na- 


tare de l’osctliation. 





*Osco. V. Ennbupddo , Enenpoldde. 

O’scuLsgad, 5. f. action de balser ou d'em- 
brasser. 

Oscvrin, ve. a. halser, embrasser, donner un 
baiser. 

OsccLatörıo, V. Portepds. 

O’seuLd, s. mw. baiser, embrassade, embras- 
sement. — de Judes, baiser de Judas. — ds 
paz , baiser de psix : oolul qu’su denne en uı- 
gne d’amiti6, de röconcilialiee. 

Ostsı. V. Ossne. 

O’sca, s. f. sorte de petit Iözand iets-ven- 
meux. Por mode #’—, (pr. few.) aves disi- 
malation. 

* Osıcäö, a. f. apparitieu (die fa iune, ei.) 

*Osio. V. Ousie, . 

+ Osiars ow Osıaıs, 0. m. (0. de bot.) osyris: 
arbrisseau rouvel. 

“Osur,s.f.V. Bunde, Rareisläiais. 

"Osuir. V. Esmar, Conjerlurar. 

Osrsos, eis. V. Höspelie,, eis. 

* Ospıtachm. V. Hospilalidade. 

Osrırär. V. Hospötal. 

’O’es . [} “ 

Ossipa, 8. f. "OBeEmtE ; carsasıe. -dums 
ndo , carcasse d’un valsseau. — d’wme eidake, 
les ruines d’une ville. Fazer alguma nde a —, 
faire naufrago, se briser, parlanı d’un vaisseat. 
Der @ —, ( fan.) mourie. 

+ Ossaukera , e. f. *squeletie : ossements de 


corps. 
+ Oesanfı , s. /. gramde quaneith d’es. vor 


sarıo. 

+ Ousinto, s. m. esöuaire, uharnier ı Keuei 
fon met les orsements des morts. Kadse ei ı 
ya boauooup dos. 

O’'ssgo, a, adj. ossewz : de ja natuee dosek 

Osstı. V. Ouste. 

Ossicos ,s. m. pl. (t. de uöhhr.) partie des nn 
rines d’un ohorat,, ei®. 

Ossırıcaciö, ®. f- onsißeation ; cangemeel 
des membranes et dies vertllages ou 06. 

Ossırıcido, A,p. p. de 

Ossrrein-se, d. r. !asaiier ı doreniz 08. 

Ossinuo, s. m. dim. d'’Osss, Gnseiet, peBi 

Öss0, @. m. 08 : partie du eorps, ampadk, 
dure, solide, inscwsible, soutiemt ot 
les autres parties. (fg.) Travail, point. 
— sarro, os sacram. Mode 0 ——, (fg) al 
beaucoup de peine. Moniar om, menet I 
poil,& cru,&dos, A'des nu. Cana deu T. 
Ossdrto. Modr os -—, ürelater de neps; EiM°- 
der d’ennui. Desenterrur os —— de algusom, (Pf) 
manifester les anciennes fautes de ia Mamiliede 
queigm’un. 

Oss0so. V. O’sseo. 

‚A, adj. osse : quin degresen. 

+ Ossöna, s. f. (1. de geog.) Ossuna : ville 
#Andeteusie en Espagne, 

* Ossu0so. V. Osseo, 

Osrir, 6.m. (1. de mer.) ötal ı grosse son. 

masiro de #6 


grande, grand etai. — do 


quite, &iai de misaine. —de masire da gelb: 
etai d’artimmon, Contra —, fauz oldi. 


OST 


do — , collet d’etai. OTko do -—, willet d’&tai. 
Alka do —, collier d’elal. Sapatss do —, mo- 
ques & cmar, moyues d’dtal. Culkedores dos 
—, Tides d’etai. 

Ostica, s.m.(t. de mar.) itague, itagle ow 
itaque : manmuvrecourante dans deux poulies, 
dormante d’un bow et [rappse de J’autre sur 
osrae f. hötellerie | b du 

TARIA, 2. f. hötellerie , auberge od L ya 
table d’böte. RER TI 

* Oste, s. m,” voile Tatine. €i. V. Hoste. 

Osteoa, 5. f. ancienne öloffe de France. 

+ Osrenng ,s. m. (l. de gäog.) Oatende : ville 
maritime de Belgique. 

"Ostennes. V. Mosirar, Ostenldr. 

OSTENSIVEL „adj. 2 gen. astomsihle : qui peut 
öire montre. 

OSTENSiVELMENTE „ adv. ostensiblement : 
d’une maniere ostensible. 

ÖSTENSIVO, 4, adj. ostensll ; qui mentse; 
qui sert ä montrer. 

Ostensön, s. m. celui qui monire. 

OSTEXTAcAö, 8. f„ostenlalion : montre aflec- 
tte , blämable, de ce dont an tire vanits, d’un 
bien que l’on n’a pas; vanlerie; vaine gloire. 
Preuve de saveir qu’om laigait aukelais & l’uni- 
verslt& de Colmbre. 

ÜsTanTipo „A, 9. p, d’Ostentär. 

OSTENTABOR,A, adj. ei 3, osienlaleur, Su- 
perbe ; quia de l’ostentation, 

OstEntänte. V. Ostenisdor. 2. @. de 

Ostentän, ®. @. mantrer, faire voir; &taler 
avco oslenlalion. — gyendaza, allecier de 
grandes manidres. | 

Ostentir, v. ». mellre de l’ostentalion dans 
ses proctdes. (de) Se vanter, lirer vanite, faıre 
parade de. (em) Montrer son savoir (V. Ossen- 
tapdo) A l’universit& de Coimbre. — de ualsnte, 
faire lo brave, faire blang do sog Epae. - de 
sdäbio,, alecter de paralire savant. 

Ostanzariva. V. Osienlagda. 

Ostentarıvo. V. Osteniader. 

TOSTENTÖSAMKSTE, ade. avec osienlation. 

Ostantöso , A, adj, plein de faste, d’ostenta- 
tion. Magnifigue, somptueux,, Jdigne d’eire vn. 

Ostsöcora, s, [. (li. da med.) " osieacape : 
daulaur aiguö et prolande daus les os. 

+ Usteocenia, s. f. osleogenie : traite de la 
formation des 08. .. 

’ t Osrkogenia, s, f. ostöngenie ; formation 
es 05, 

t QSTERGRARUIA , #4 I osWogrephio s Weile 

des os, 


Ust5oL.Acia, 8. f. gsWalagie: traits, connais- 
sance des os de 'bomme , das animaux. 

T OsTEöpnaun, A ln Si 5, Oglcophags ı qui 
mange les 03. 

+ Oszzotomis, & fs apihalamie : Irais de la 
dissection des ag, _ j 

Osria, V. Hoslis, 

f OsTıariTo, 5.9 (pP. 48 )otdsaJc porlier. 
V, Ostiario. . 

Osrıigıg, o MPaglict, [eo Brewmier dea qua- 
sre ordres mineurs. 


OUL 859 


OstinaGäö, etc. V. Obslinapdo, 
Ostincan, V. Eslingar. 
OSTINCtES. 
Osrnauss | V. Behngwes. 

Ostaa,s. f. hultre : caquillage marin, bi- 
valve, A Latlants inegaux, &cailld. Sorte de 
pierre pröcieuse qui ressemble & Yecaille ge 
Uhuitre. 

+ Ostnackıro, 8. 4, (fd. d’hist. nal.) hullsier: 
oiseau mgialite. 

+ Ostaacıäd, a. m. (I. d’hist.nal.) ostracion: 
poisson branchiostöge ; ow coffre : polsson dem 
veloppe osseuse. 

OSsTRAacisu0, s.m. Osiracisme : bannissement 
pour dix ans des hommes dovenur suspecis par 
lours talents, leur merite, ä la jalousie r&öpy- 
blicaine des Atheniens. 

OSTRACISTA, s. m. partisarnı de Fostracisme. 
STRACITES, 5, /. " ostracite : coquille d’hul- 
tre petrillde, espece de cadmie. 

Ostaania, # f. "amas, grande quanılla 
d’hultres. 

T Ostreıra, as. f.* pare d’hultres. Hultriere : 
marchandc d’hultres. 

f OsTRirexg, a, adj. (padl.) qui produit des 
hultres. 

OSTRINBO , s. m. petiie bultre. 

OSTRO, 35. m. pourpro; cpuleur de pourpre. 
V. Murice. 

+ OsraocApo, a, adj. eis. oslrogolh ; gptk 
orienlal. 

O’stnya,s. f. (f. de bot.) charme & fruit de 
houblon : arbre amentace, , ‘ 

Orarca, ı.[« (l. de med.) otalgie : mal d’o- 
reille, 

Ornomixo,A, adj. eis. Otlomen, Turc. 
OTHONs 04 (4. de bot.) olhonne;; plante 
TUONNA,S f. } corymbilice. 

Orocrarnia, 4. /« olographie: descriplion die 
Poreille. 

+ Otouocla, &. f. atologie : traitd de lareillg. 

T Oronunea, 5. f. (b. de med.) alorchdas 
flux sereux de l’oreille. 

+Oratoxia,a, [. alalomie : disseglien de 
Voreille. 

Orönca, elc, V. Oulörga, eic. 

Qu, conj. ou, ou bien, soil. Ou leiag, ou 63- 
ereras, soit que tu lises, soit que tu Ecriveg. 
Ou seja dum modo, ou d’oylro, que ce goit 
d’une manicre, que ce soil d’une aulre. 

Ovga,s. f. sorte de cheville au boul du I} 
mon d’une charreite, eic., o& ou auache le 
jaug des beuls„eto. 

Ouciö, s.m. pelil ver. 

"Oucas, 2. f. Di Ferbuns=, (Popul.) his 
entendre. , 

Oreuvch.V. Oudernra. 

"OCcidente, etc. V. Oecldenfe, ete. 

Orco, A, adj. vide , creux, concare. (Ag. 
Yain, presomplucux. Zstylo —, euflure, style 
ampoule. 

*"Oxsania, ete, V. Ufania, eic. 

Duis.Y Yid. j 








860 OUR 


+ Ovoatia, s. f. it. dAsie) meonnsie d’or: 
trente francs 4 peu pres. 

Ouräco, s. m. (I. d’anal.)V. Uraco. 

Oraip0, A, P. p. d’Ousur. 

Otsang-OurÄnco. V. Orangufango. 

Orain,v.n.V. Entontecer, Hallueinar-se. 

*+Orsas, s. f. pl. "tournoiement de tete, 
vertiges. 

Ounxcio, s. m. (1. de bot.) — ordindrio ou 
oregos, origan : plante labiee. — de Creie, 
origan de Creie. 

Ovrtra, s. f. extrömils, bord. Orle. V. Ou- 
reio. 

OustLo, s. m. “lisidre d’une etolfe. 

* Oursvez£ıno. V. Ourices. 

Ovnıcido, A, adj. herisse. (4. de dot.) Our- 
sine. p.p.de 

Ounıcär, v. a. hörisser. 

Otrico, s. m. "bogue : cöurerture piquanie 
de la chätaigne. * Enveloppe herissonnee. (1. 
de guerre) Herisson : pautre herissde de poin- 
ves. —eachtiro,, (1. d’hist. wat.) herisson : petit 
animsl mammifere, plantigrade, couvert de 
piquanis. — sem ‚„ lanree. — semispi- 
nhöso, tanrec Tayd. — de mar, oursin : bou- 

ehätsigne ow hörisson de mer, coquillage 
coavert de pointes. 

Ooxıante. V. Oridnte. 

Ovnısin, oe. #. V. Ourdr. Avoir des &tour- 
dissements de tete. 

Ounina ,s. f. urine; pissat. Retengdo d—, 
retention d’urine. — de sangus, pissement de 
Bang. 

Ovuaıuap8ıro , s. m. pissotiere. 

Oovamin,®. &. ou ®. uriner, pisser, faire de 
l’eau. — sanguie , avoit un pissement de sang. 

Ovumcd. 7. Lumitira, Yagalume. 

OunınöL, 3. m. urinal: vase & col relere 
pour uriner dans le lit; pot de chambre. 

+ Ouaingug, 8. m. (1. de mer.) orin : corde 
atsachte par un de ses bouts & la eroiste de 


Pancre, et par V’antre ä la honde. O — se em- 


barapa no ieme, Y’orin est emhbarrasse sous lo 
timen. 

+ Oraıviı. , s. m. plante qui ressembie & l’o- 
rigan dans les (ouilles. 

Ovaıvasania. V. Ourivesaris. 

Otvaires, 3. m. orförre : qui fait et vend de 
fa vaisselle, des onvrages d’or et d’argent. 

Oorıvzsanlı, s. f.ateller, boutique d’orfevre. 
Orfevrerie : art, commerce , ouvrage d’or- 


vie. 

Oenizo, V. Ourigo. 

Ouno, s. m. or: le plus precieux des mıs- 
tauz. (fig.) Couleur de l’or, couleur blende des 


alsvenz. —, riohesses, indsoes. Bijoux , joyaux 


do femme. — em berrs, or en lingeis. — 
amoodado, or mannay6. Ter —a montses, avoir 
jes monceaux d’or. — em „6, poudre dor. 
Nem iudo o que lusd —, lout ce qui reiuit 
g’est pas or. — balido, or battu, or en feuilles. 
— Addo, Ni d’or, or Bid. — fulminanie, dr 
Sulminant, or dissous dans l'acide nitrohydro- 
chlerique , et precipit6 par l’ammoniaqne. — 


OUT 


mdle, or en feuilles. — moido, ar de coquılie, 
or moulu. — polavel, or potable. — e fo, ca 
€quilibre. Seculo, idade de —, (fig.\ siecie 
d’or. Bulla de —, bulle d’or : oonslitation de 
lempereur Charles IV, en 1356. O — ebre i- 
das as portas, l’argent est an bon passe-par- 
tout, la clef d’or ouvre toutes les pories. 

OvaosaLnAd. V. Orobaläo. 

" QuaüLo, s. m. V. Adjaceneia, Conlorno. 

Ovnor£ı, 8. m. oripeau : lame de laiton 
mince et brillante; (g.) chese de peu de v.- 
leur, discoars vide de choses. Vains tilres dent 
une personne se pare. Owropeles, pl. A. 
beillants : penssdes ingenieuses, nıais frirorn:: 
(aux brillanıs. 

Oraop820. V. Antherico. 

Ovnorimente om orpiment : orpin nii- 

OvropımEento,s.@. | neral, arsenk r.- 
tare!, jeune. 

Ouaos, 5. m. pl. une des quatre coulears du 
jen de cartes:: on l’appelle carreau. 

Orsäinametnte, ade. audacieusement, hard- 
ment, intr&pidement. 

Orsıpia, 5. f. hardiesse, audace, Lemerie 
V. Alrevimento. Com —, audacieusemen!, artt 
hardiesse. 

h OrsnBint0, a, adj. dim. d’Ousado. Un pr: 
ardi. 

OtsiD0,A,P.Pp. de Ouser. adj. Osc, zuılı- 
efeux, users, gaillard, courageus, dei. 
bar V. Atrevido. 

* Qusäußrto, 8. mM. . . 

° Ousinga, ®. f. | Y. Ousadie. 

*Ovsi6. V. Airevimento,. 

Ovsirn, v. m. oser : avoir ia hardiesse, s” 
dace de faire, de dire , d’entreprendre. 

® Ousin-sE , 9.7. — com alguem ‚tenir du: 
qu’un des propos impertinenis; s’eman:ız.!, 
prendre des libertes. 

* Ousscaan. V. Obsserer. 

* Ouma. V. Adussia. 

* Onsio. V. Ousudie. 

* Oussıa. V. Adussia, 

Orriö, s. m. mur lateral d’uwe rmeisen. 

+ Ovrin, s. m. ramasser les bourriers dı 
bie en vannant. 

Ovrava, etc. V. Oilavs, ete. 

Ovtsininno, 5. m. dim. de Oulolrv. Nesi- 
tale, tortre. 

Orrtıao. s. m. "bauteur, cotese, vellise 
* Reunion d’imprevissteurs pour faire des ven 
sur des refrains donnes. Mont Parnasse. 

Ocriva( D’), ade. sans rollerion, en &twerdi' 
en tcoutant. Faller d’—, parier sans reßexiee. 

Ovro, s.m. amas de bowrriers de biE dans 
le van. adf. V. Otto. 

Ovrowir, adj. 2 gen. eutommal : de l'su- 
tomne. 

Ouronir, v. e. falre 1e.Iabear d’automne. 

Ovrenico, a, adj. V. Ousonel. 

Ovur6no, 5. m, autemmne : troisiduse salson de 
Yoante, entre Fo et Vhirer. 

Jurüncı. V. Outergamönte. 
* BiRORGiBAWBERTE , ade, volontiers, 











OUY 


Orrorcano, A, 2. p. d’Oulorger. adj. Öc- 
troye , accorde. 

OVTORGADÖR , A, 8. caluj qui oefreie, qui ac- 
corde. 

OUTORACANENTO, 8. m, Ocltoi, Concession, 
permission , agrement. 

T Outoncänts, adj. et 8. 2 gem. octroyant, 
accordant, qui accorde. 9. @. de 

Ouroncik, v.@. ociroyer, conc&der, accor- 
der ; consentir. 

Outasica, s. f. querelle, rixe soudaine, non 
"premedilee. , 

Outnem, 3.2 Jen. autrui, un autre. — nin- 

‚(inus.) aucun autre. 

*Ouraı. V. Ouirem. 

Outao, A, adj. autre, different, distinet. —, 
parfaitement egal, conforme, ressemblant. 
Ester, ser —, öire tout autre. T4o bom d um 
como —, un vaut l’autre. — que tal, (fam.) en 
voilä encore un. Akt femos —a, autre imperü- 
nence. Fiese uma por —a, c'est un rendu, c’est 
un prei& rondu. Por —a parte, d’autre part, 
d’un autre cöl6. Promelto de ndo faxer —a, 
je promets de ne pas le faire. 

TRöRA, 0% Ovrn’öna, ade. jadis, auire- 
fois. 

Utraosi os aussi, de meme, ögale- 

Ovraossim, ade. } ment. En outre, de plus. 

OLTROTÄNTO, m. OuTnATänta, f. adj. antamt, 
io uäme ; la meme quantite. 

Osurinno, 3. m. oclobre : huitidme meis de 
l'annde romaine, et le dixidme de la nülze. 

"Ouvanca. V. Avonga. 

* OuvsgäL, 3. m. ancien ofieier administra- 
uf ou de justice. 

*Quvszaria, V. Quriossaria, 

Ouviin. V. Uiede, Ululdr. 

Orvvipa, s. f. action d’oulr; un ouf-dire. Te 
temunha de — , \dmoin auriculaire. 

Ovrino, s.m. “ oule : sens par lequel on re- 
goit les sons. Organe de l’oufe: oreille. — da 
pera, lumitre du canon. Dizer alguma cousa 
ao —, parier ä Porellle. Por o-— d sseuta, pr®- 
ter Poreille, ötre aux dcoutes. Enire por um 
— e sai por ouiro, oala onire par une eroilie, 
et sort par l’autse. Ter—, ou bom —, aveir 
Foreille juste, avoir de l’oreille. Ser duro de 
—, re dur de Foreille, avoir l’oreille dure. 
Der —s, bcouter. Der —s a alguem, croire 
eonseil de quelgu’un. — Ter —s delicados, 
avoir l’oreille fine. Tapar os —s, se boucher 
les oreilles pour ne pas entendre, ne vouloir 
pas dcouter. Näo dar —s ds palaoras de..., ler- 
mer l’orellle aux disceurs de... Zumem-Ihe os 
—t, les oreilles lui oornent. Fazer —s de mer- 
eador, faire la sourde oreille. Chegor sos —s, 
(Ag.) venir aux oreilles, & la conneissance. 

Oovvino, A,p. P-. d’Oweir. Oul, entendu, otc. 
Jamais visto nem —, qu’on n’a jamais vu ni 
entendu. Näo ser visto nem — : on le dit pour 
marg ser unevitesse, une promplitude extreme. 

Ouvinon, 3. m. auditeur : oelui qui dcoute. 
Membre d’un conseil, d’une audience, elc., 
canseiller. 


OVE' sel 

Ooriponta, 5. f. Charge, dignild de Oiäer ; 
#tendue de sa juridiction. 

r OvvitLas, s. f. pl. (1. de prow.) V. Ovidies. 

Ovvintz, 8.2 gen. auditeur, qui pröte !’o- 
rellle, qui &coute. Os —s, Yawditolre, les au- 
diteurs. 

Orvin,v.a. ouir, entendre ; donmer audience. 
Ecouter : preter attention & ce qui se dit. Eıu- 
dier sous un maltre. Exaucer : &oowter favore- 
blement une priöre. —, ver, e eslar : on le dit 
pour imposer silence & queigu'un. — de con- 
fissäo , enlendre en oonfession. — em fusfige, 
donner audience en Justice. — mises, emlondte 
la messe, y assister. Que ougo ! qu’entends-je! 
Ouves! owve ld! oh! &eoule! Manidre d’appe- 
ler. Se alguem nos owvisse..., si ’on nous eR- 
tendait... 

*Ouvo. V. Ovo. 

*Orzia. V. Ousadie. 

O’va, s. f. (1. de viter.)"töllieule aun plods 
des chevauz. V. Ovas. 

Ovagid, 8. f. ovation : petit triompbe chez 
les Romains. 

Ovino,ı, adj. ov&:quiala figure, Informe, 
l’aspect d’an auf; oyolde. 

Ovir, adj. 2 gen. ovale : comme un auf; de 
figure ronde et oblongue. 

Ovinte, adj. 2 gen. celni qui obtensit la 
couronne de myrte parmi los Romains. V. Vie- 
torioso, Triumphante. 

Ovir, ©. ». frayer, pariant da polsson. Pon- 
dre, parlant de la posie, des ovipares. 

Oviaıo, s. m. (f. d’anat. er de But.) ovale : 
partie oü se forment les @ufsches les ovipares, 
les germes ohez les mammiföres, 1a graine dans 
les plantes. 

O’vas, s. f. pl. * mufs de poisson, frei. Peine 
cheio de —, que tem —, poissen auv6, qui & 
des aufs. 

“O'vs. V. Ovelka. 

*Ovsanca, etc. V. Ovenga, etc. 

OrtıRo, s.m. ovalre des oripares. V. Ova- 
yio. Sorte d’assiette pour servir tes aufs & 
table et les tenir ehauds. Coquetier : petit 
vase ovolde pour manger los aufs & la coque. 
Petit poisson de riviöre en Portugal. 

Ovtıaa, 8. f. brebis : fomelle du böller. — 
rankhoss , (prop- ei fig.) brebis gateuse. Cada — 
com sua perelke, (prov.) chaque hrebis aveo sa 
pareille, qui se ressembie s’assombie. Quem — 
se far, o lobo 0 come ‚(prov.) qui so falt brebis, 
le loup le mange. —s, pl. (Ag.) brebis, onall- 
les : Scidles sous les solns d'un pestwer. Bs- 
commendar as —s ao lobo, ( lg.) mettre ie loup 
dans la bergerie. . 

Ovzıntıno, s. m. berger : celui qui garde les 
brebis. 

Ovsınisua, s. f. dim. de Ovelha. 

OvzLuön, adj.2gsn. de brebis: qui concerne 
les brebis. Gado —, beies ä laine. 

Oveu, s. m. (t. de mar.) cordage fixe. V. 
Ovens. 

Ovzscapdna, se. f. (t. de mar.) tous les hau- 
bans. 


868 OXY 


Ortnoa „s. f.* office, charge dans UNO COM- 
munautt, etc. 

*Ovsmmin, s.m. oflicier de Änsnce os dejus- 
vice. Intendent, mailre J’hötcl d’une maison. 
Econeme , eic., dans un couvent. 

Ovans, s. m. (t. de mar.) haubans : cotdages 
quilisanent los mäls. 

"OvıApo, A, adj. quia l’air triomphant. v. 


y . 

Ovızıas. V. Alvercas. 

Oviz,s. m. * bergerie. 

‚Ovieaao, A, adj. el 5. (1. K’hisl. nat.) ovi- 
pers : (animal ——), qui se produit par les aufs. 

+ Ovista,s.m. oviste om ovarisle : quipcase 
que i’'bomme viemt d’un auf. 

+ Ovivona, & f. (l. d’hist. nal.) ovivare : 
eouleuvre d’Amerique qui vit d’auls. 

Ovo, s. m. (pl. O’vos.) aul:: cosps ® nique 
renfermantungermo ‚que pondent Ies emelles 
des elsenux, des peissons, eic. Ove: ornemen! 
d’architecture en forme d’auf. — göro, zul 
couvi ‚galt. —gerddo, mul couve, vü le poulet 
est forme. — sem gemma, @ul nain, — casqwi- 
meis, wul wollel. Sein o pinto do —, eclore. 
Sair da casca do —, (g.) sortir de sa ooquille. 
Um — por um real, (Ag. fan.) & Ires-bon 
marchö, pour rien. Um —, s esse göro : OD le 
dit de oolai qui n’a qu’un enlant, el encore de 
menvaise sanie. Pör —s, pondre. —s quenles, 
esialados, aufs a la coque. -—s cosides, muls 
durs. — assados, wuls cuils sur la braise. —s 


escalfados, aufs sur le plat. —e esirellados, 


aufs au miroir, poch6s. —s Aados, mufs ballus 
aves du sucre liguide, et ooulös au lravers 
d’une euillöre pescode, d’oü ils sortent en [orme 
de petits lets. —s mexidos, aufs & la reine; 
aufs prouiliös. —s morss, espdoe de conserve 
faite aves des auls, des amandes et du sucre. 

Oxarä! interj. plüt A Dieu,, Dieuveuillel 

+ OxauiLa, interj. (p. us.) heles! 

OxaLito, m. (4 de chim.) oxalale ı nel 
“orms per la combineisen de l’acide oxzaliyue 
wes les hases... 

Oxiuıeo, A, adj. (d. de chim.) omalique.: 
(acide —) de l’oseille. 

+ Oxto, s. m. action de chasser lea poules, 
les OSURK , ste. 

+ Oxönıa eu Oxronn, 8. f. (h de geog.) Oz- 
ford : ville et comie d’Angleterre. 

Ouvaoinrea. V. Pirliisire. 

+ Oxrcanao, s.m. (4. de bot.) genövrier oxy- 
oddee, petit eddre U’Eapagne , suig. lo ade. 

Oxroaire, 9 m. onyorat : melange d’eau et 
de vinsigre. 


OD 


Oxrenöcen, s. m. (. de pkarm,) oryere- 
&&um :cnıpläfrecompose de Wafrin, de vmaigre, 
eic. 

+ OxYsanıLıpine, 8. f. otydabfilte : facilitt 
avcc layuelle les mötaux s'oxydent. 

+ Oxroaci6, s.f. (t.de chim.) oxydalen: 
accroissement par addilioh d’oxygetre. 

+ Oxroivo, A, adj. oxyd6: elere A Yelzt 
d’oxyde. p.p. de 

Oxvoin,v.a. (tl. ds chim.) okyder: trans 
former en oxyde. 

Oxvpän-s£, v.n. s’oxyder: se chatgerd'osy- 
gene, 

Oxvoiver, adj.2 gen. !t.derckim.) oırd- 
ble : susceptible d’oxydation. 

Ü'xıTno, 3. m. (i. de chim.) oxyde : snbstanos 
op faiblement osygenee pour Eire ä l'est dr 
cide. 

+ OxrorLino, a, adj. (£. de chin.) osydale: 
legerement oxyde, 

+ Osv’ouLo, s. m. (1.de chim.) oxydale :di- 
minutif de l'oxyde. 

+ Oxvcenagid, s. fı (1. de chim.) oxypim- 
tion , oxydalion. 

+ Oxrcmnipo,a,0dj. (l. de chim.) oxygint: 
combined avec de l’oxyg@ne; satare d’oxygent 
p. 2. de 

+ Oxvemmän, 0.0 (l. de slim.) enygent: 
vomnbiner Aveo de Foxygene. 

Oxrcengo, s. m. (8. de alten.) weygtme: bett 
de tale vital, Pan des priactpes de loan, pria- 
cipal göhötsteur dus ariden, agent do je com- 
bustion. 

Oxvr’oono, 1, adj. 18. Be geom.) arygone: 
(triangle —), qui a tous les angles atgus. 

Oxrufı,s. m. oxymel: Ifqueur Talle de mitl 
ot de vinaigre. 

+ Oxr’rono, s.m. (I. K’hisl. nal.) Oxypore: 
caleoptäre, lssilabre. 

Oxrraonıno , s. m. oxysıhodia : linimen! 
d’huile ot de vinaigre Tosat. 

+ Oxts,s. m. tree acida, plunfe, 

OXVEhOCHARD , ©. m. ur vasnohununm ı Borlt dt 
sirop de suereet de vinadgre. 

+ Orı, 5.m. (1. EAN) ae mohhesen 2 
royaume de Siam. 

OrÄche, 8. m. göurme : gale des enfnetl sat 
la tete. 

Ozexa, 5. f. (f. de chir., or&ne . üleere P%* 
tride du nez. 

Ozöpuaco. V. Esophago, 

Osbalss , #: [. pl. sorie de jum de onrieh, 


Pac 


PAC 


p. 


P,e. m. seizieme lettre do l'alphabet porlu- 
gais, et la deuzidıne des sonsonncs, C’ölait an- 
ciennement une lelire mumerale, do mA&me 
valeur que le G. 

Pi, s. f. pelle de kois ä romuer les grains, 
eie. ; pelle & fau ; pelle de four, pour enfourner 
le pain. (.de mar.) Keope : pelle creuse. — do 
rtmo, (id.) päle : bout large et platd’une Taıne, 
d’un aviron; plat de rame, pelle d’aviron. — 
dos amimdes," paleron. 

*Paackiao ,s. 0 V. Paceiro. 

”Paaco.V, Page. 

* Paapınuamtnıe. V. Paledianmente. 

* Paırtıno, V. Padeiro. 

PisuLo, s. m. aliment, beurriture; päture. 
V. Paslo. h est aussi adj. et signifie : Dupe, 
celui qui est facilg & tromper. 

Pica, 8. f. (1.d’iist. nat.)* paca : mamımi- 
fere rongeur d’Amerique möridionale, du genre 
de l’agouti, ressemblaat au cochon de Igit. 
* Paquet, bsilot. 

Pıcacınipe, 8, f. Degme d’esprit, calme. 

Pıcio, s. m." sorle de jeu de cartes, 

Pıcito, A, adj. paisible, tranquille , doux. 

+ Pacir,s. m. jardin d’un preshytläre; ter- 
rain conliga et apparienant au presbytöre. V. 
Passal. 

*" Pıgid, V. Cortexzäo, Palaciano. 

Pıccionar. V. Pactear. 

.., Pactıao, 3. m. garde du palais, oon- 
eierge. 

Paxtns, 2. m. pl. habitauts de Pacem, 
ville et royaume de !ile de Sumatra, dans 
Y’Inde orientale. 

+Puctnse, adj. 2 gen. de Pax Julia, ville 
de l’Espsgne ulttrieure, aujourd’hui Beja,ville 
de Portugal dans la grovince d’Alentejo. 

Pacza. V. Pascer. 

Pıcui. V. Bachd. 

Pıcrid,s. m, petit poisson de mer. 

PıcHar£L,s.m.($.d’Asie) vis avec la cosse. 

+ Pacmpgruzs. V, Pachydermes. 

.. PacmöLa,s. m. (f. pop.) homıne lent et fleg- 
zmalique. V. Hadrdgo. 

Pacuoncnizas, 8. f. pl. (4. burl.) niaiseries. 

Pacuörna, 8. f. üDegme, lenteur, pesanteur 
d’esprit. Paresse. 

+ PAcHORRENTAMeNTE,, adv. avcc flegme, 
lenteur. Paresseusement, 

PıcHornntkro, A, adj. lendore : Aegmati- 
«rue, lent dans ses op6rations. 

Pacaucnina, s. f. (1. pop.) balourdise , pe- 
yoles libres , orduriäges. 

PPacavainuss, s. m. Pb. (Ir d’kist. nal.) 


pachydermes: famille des mammileres qui ont 
la peau €paisso et presgus nue: le oochon, 
’bippopetame , l’elöphunt, eto, 

Pıloo,A,Pp.p. de Pacer. 

Pacı&ncia, 3. f. patienoo : vertu qui fait sup 
porter les advorsites, les douloure , les inieres, 
l’attente, les defauts d’autrel , etc., le mal en 
general, arce moderelion et sans murmere. 
Flegme, lenteur, delai. —ow parelle, plante. 
(Ag.) Scapulaire. (id.) Ecuyer, page d’une damo 
& Lisbonne, —! iniarj. patience ! il faut pren- 
dre palience. Apwrar a — a alguem,, pousser 
queiqu’un & hout, pousser ä heut la patiehce 
de quelqu’un. Perder a —, perdre patienee 
s’impatienter. Ter —, prendre patience, SO 
donner palience. Lever us cousas com —y 
ptendre les ahoses en patienee. Tonfura —, 
mettre la patience ä l’epreure. Cum a — Iudo 
se alcanga, la palience vient & bdut de toutcs 
chuses, Com — su ganka o do, (fig.) avec la 
pätience on vient & bomt de tout. 

PacıenTe, adj. et 8.2 gen. patient: qui a de 
la patience; endurant, qui skouffte; sur leuuel 
‘a agit; qui Pegeit Pimpression d’an arent 
physique. (t. de gram.) Regime direct d’en 
ve 2} 

PACtERTEMENTE , ade. patiermacnt. 

Pacınnrissno, A. edj. sup. de Paciente. 

AcıFIcaGäö, 8. f. pacilleation, relablisse- 
ment de la pai. 

Paarıckvo, A,P. p. de Pacificar. adj. Paci- 
Ne. (Aig.) Calme. 

Pıtarcıpor, A, adj. et e. pacificateur, qui 

ie, 


PAciricAMENTE, adv. paciflquerment, d’une 
manitre paciägte; paisiblement. 

Pıacrricäin, v. a. pacifier : retablir la pait. 
(ig.) Calmer, apsiser les vents, la mer, ete. 

Pacimoo , A, adj. pacique : qui aime la 
paix, paisible; tranquille (homme, mer, re- 
gne, etc.). Qui netrouve point d’opposilion, 
de contradiction,, tranguille dans son elat. 

*Pıckco. V. Pustagem. 

* Pıcısekate. V. Contraclante. 

+ Pıcıwira, 8. f. (t. de bot.) * basilier & 
feuilles etroiles. 

+ Pico, s.m.(t. d’hist. nal.) paco ou pacos: 
esp&ce de mouton du Perow. V. Alpdga. 

+ Pac6, 8. m. (1. d’hist. nat.) "rousselle: 
grande chauve-souris d’Inde et d’Afrique, 

Pacösa ‚8. f. * fruit de la Paoobiire. V. 

Pacontina, 0. f, "arbre A frui du Bresil et 
d’Afrique. 


86% PAD 


Pico-<arinca, 8. f. (tk. du Dres.) | 

Pıcocerocä,s.f. (t.d 
brisseau des Indes ei Ir que. 

PıcötE, s. m. paquet, ballot. 

PıcoriLna, s. f. (t. de mar.) pacotille : petite 
quantlite de marchandises qu'on peut embar- 
«uer pour son compte sur un vaisseau oü l’on 
sert. 

Pıcorinwo , dim. de Pacote. 

Fıco,s. m. palais, maison royae, malson 
d’un roi, d’un prince, d’un eveque, etc. "Cour 
de prince. O — , lacour. — do bispo, do arce- 
Bispo, l’evöche,, YFarcheveche. — dos tabellides, 
la cour des notaires & Lisbonne. Fazer — a ei- 
guem, faire ia cour aquelqu’un. Homem de —, 
courtisan. Zer — com alguem, s’amuser, plai- 
sanler avec quelgu’un. Ndo esiar para —, 
n’sdmetire pas la piaisanterie. —s do comcelko, 
hötel de ville. 

Pacrän. V. Pactear. 

Pacrinio, a, adj. et s. celui qui falt un 


® cortus ara 
bique : ar- 


Pacrzin (com), vo. 0. etw. pactiser: faire un 
pacie, une oonvention. 

PicTo, 3. m. contrat, pacte , Convention, Ac- 
cord. Pacte des soreiers avec le diable. Ter — 
com o diabo, (fg. fam.) avoir de la corde de 
pendu. 

Pıcrvuin. V. Peetsar. 

Piva,s.f. petit pain d’une demi-livre, mi- 
che. Petite embarcation sur les rivitres de 
Ceylan. 

Papir. V. Palsdar. 

Pipania, s. f. beuiangerie. Rue des boulan- 
gers. (t. pop.) Le bas psupie. 

PADECEDOR , A, adj. qui souffre, souffrant. 

PaADECENTE, adj. 2 gen. sonfirent, qui soul- 
fre , ete.; patient. s. m. Patient: : condamne que 
l'on va executer &wmort. 

Pıunzcka,v. a. souffrir, endurer. Essuyer une 
injure, ete. Pätir, seeflrir, oonsentir, comper- 
ter, permeltre. 

Pıpzckr (de), v.n. souflrir de ‚#trsseuflrant. 
— de gola, souffrirdie la goutie. Elle paslder, 
il est souffranı. 

Pınzcıntuto, 8. m. * soullvance. " Astion 
d’endurer. 

Pipkına, s. f. boulangere 

Papkıro, 8. m, boulanger : colui qui fait et 
vend du pain. — mör, grand panetier. Mdo—, 
gäte-päte : mauvais boulanger. 

Pıpssino, a,9.p.de 

Papgsan, o.a. remuer le bid avec la pelle. 
vn. boulanger, fairedu pain pour vendre. 

PıpsgLicas, 5. f. pl. "pälurages pour les ani- 
m aux. 

Paoeaia. V. Padaria. 

Pıntz. V, Paves. 

Papzsina, ou —ssipa. V. Parvosada. 

Papıtina, s. f. "linteau d’une porie. 

Pipinna, s. f. dim. de Peda. Petite miche. 

Papinnas, s.f. pl. auciennecoifluredelemme. 

Papı6ra, 8. f."brancard, civiere, bard. 


PAG 


+ Pivo, 8. m. (tl. de bot.) patier : cerisier 4 
grappes. 

Pıpaiö, 8. m. monument publie pour cor- 
server la memeoire d’ua evinement. Patron, 
modedle, etalon. Titre authentique. 

PaprisTo, 5. m. beau- : homme dont la 
femme a des enfants d’un premier lit. (Ag.) 
Pere denature. Lieu &leve qui commande une 
place. (Ag.) Obsiscle, empechement. * Enrie: 
filet douloureux qui s’elöro de la peau anlour 
des ongles. 

Pipxe, s. m. V. Pat. Pöre: ı premlöre pe 
sonne de 1a Trinite. Pretre ; abbö. Deos—, Dieu 
le pere. — nösso, Pater, oraison densinicak. 
OÖ sanio —, 1e saint-pfre, le pape. Sen —, 
ou — da igreja, pere de T'ögiine. — do erm, 
pere du desert. — conseripto, comsenit: 
senatear romain. — espiritmel,, pöre spiriteel: 
confesseur, direcieur. — de provineis , nemgue 
l’on donne ‚dans certains ordres, au religieut 
qui a die proviaciel. — de nisse, pretre.—, 
pi. saints peres, peres de Päglise. Peres d’us 
concile : ceux qui y ont assiste. 

ft Papxe-nosso, s. m. Pater, oraison domi- 
nieale ;grain de chapelet qui !indique. Quere 
ensinar 0 — 00 cura, (prov.) d’est Gros-Iean 
qui remontre ä son cure, vouloir apprendre ! 
sa möre & faire des erllants. 

Panaınnir. V. Apadrinkar. 

Papninmo, s. m. parrain : celui qui tient mm 
enlant, un conrverti sur les fonts; celui qui 
presente un candidat aux grades, un cheralier 
novioe & la reception; temoin, second dans #2 
dael. Temoin dans un mariape. (Ag-) Para 
nymphe; protecteur. Ser — d’uma crianss, 
tenir un enfant sar les fonts de bapt&me, deo- 
ner le nom A un enfant. 

PADroäDO, #. m. patronage: droit de no®- 
mer & un benefice. 

Pıvnotraa, s. f. patrenne, protsetrice, are 
cale. 

Papnofıno, 5. m. patron : celul qui a droilde 
nommer dä un  bendfioe; protecteur, defenseur. 
patron d’une 6glise, d’une paroisse. Seigneu 
qui a affranchi son emlare. 

“Papaom. V. Padrofiro. 

* Papaoom. V. Marco, Padräo, 

+Piovn,s.f.(t.de 9609.) Padose : rille de 
Pancien #tat de Venise. 

Papvino, a,ady. et s. de Padoue. 
ie. V. Pat. 

° Pro. V. Parägrafo. 

Pica,s. f. paye, p@yement, salaire. Rirom- 
pense; prix. — dos soldddos, * pr&t. Todo » Irs- 
balko merece —, toule peine merite saleire. 

Pacipo, a. (V. Pägo.) p. p. de Pagar. 

“ Pıcapdıno, A a, adj. payable: qui deil # 
payer. 

PacaDörR, A, 8. payeur celui gel paye; ‚or 
eier commis pour faire des paye 

+ Pucadonia, ». f. endroft wg se "font 1 

payemenis : ir&sonerie. , 

Pacautnto, s. m. peyement : Yaction de 
payer; somme qee Fon paye. Tomar mM: 








PaAG 
prendre ou accepleren payement. Pager a —s, 
payer par termes. 
Pacaniss, 8. f. pl. (ti. de myih.) paganales 
ou —lies, fötes des dieux chamıpetres. 
Pıcanisuo, 5. m. paganisıne : nations palen- 
nes; religion palenne. V. Jdolatrie. 
Pıcino. V. paten : Idolätre ow adora- 
"Pıackö, ä, adj. I teur des fanx dieuz. 
Pacir (a,com, em), v.a. payer : acquitter 
une dette; donner, @tre donne pour payement. 
Payer. On le dit des marchandises qui doivent 
un droit. (Ag.) —, subir la peine d’un crime, 
etc. Plaire, agr&er. Payer de retour : repondre 
a Pamitie. (inus.)V. Aplacar. —aos soldados, d 
iropa, soudoyer : payer la solde. —aos seus 
eredores, payer les cr&anciers. — tanfo por ca- 
böra, payer tant par tete. — o pulo. V. ce mol. 
— com boas razöes ou palavras, payer de belles 
paroies. — com ingrakiddo, payer d’ingratitude. 
— em dinkeiro, payer en especes sonnantes. 
— de comniddo, payer comptant. — a visila, 
rendre la ow une visite. — na mesma modda. V. 
ce mot. — 0 juslo pelo peccador, payer pour 
3es coupables, parlant des innocents ; pour les 
puissants,, parlant des faibles. — o sew peccado, 
payer sa faute, en @tre puni. — o dobro, payer 
le double. — por inleiro, payer & plein, entie- 
rement. — com a vida, mourir. — os direilus, 
atquitter les droits. — os allos de vario, ( fam.) 
avoir bien des chambres & louer dans sa tete. 
Pacär-se (de), v.r. se payer: se satisfaire, 
se contenter; ötre content de; @tre, pouvoir 
etre payed. — de alguem, ötre content de quel- 
qu’un , l’aimer. — de si mesıno, &tre content de 
sa personne. — por suas mäos, so payer par 
ses mains. Amizade paga-se com amizade , l'a- 
miti6 ne se paye que par Pamitie. 
PACÄTBL, adj. 2 gen. payable : qui doit @tre 
paye. 
Pıczipa, s. f. compagnie, grand nombre de 


pages. 

Pıc£L, s. m. sorte d’embarcation du Ma- 
labar. 

Pıckııa, s. f. petite parcelle. 

Picen, s. m. page: enfant de Qualite au ser- 
viee d’un prince, etc. Serviteur, valet de pied. 
(s. de mer.) Mousse, spprenti matelot. — da 
lanco , da rodella, d’armas, page qui suit son 
maitre en portent ses armes. 

Piczwımmo, dim. de Pagem. 

“ Pıcigo, a, adf. fait ow couvert de paille. 
Couileur de paille. 

Pitına, s. f. page @’un livre, etc. ( Ag. dert.) 
Importunite, kyrielle. 

Pıomacid, s. f. pagination: serie des nu- 
meros des pages d’un livre. 

Pioo, s. . * r6compense; recennalssance. 
V. Pags. Dar mndo — , payer d’ingratitude. 

Pico, A,P.». irr. de Pagar. adj. Pay6; re- 

compenst. Salarie: qui regeit un salaire. — de 

si meemo, salisfalt, content de sol; suffisant, 
presomptueus. Estamos —s, e’est un rendu, 
c’est un pr&t6 rendu , nous voilä quitigs. 

PacÖBE, s. m. pagode : somple des Indiens; 


PORT.- FR. 


-PAI 00 


idele ; pelite sieiue de poreeleine, etc. , & 18te 
mobile; monnaie d’or du Mogol et de Perse. 
Rassembiement, r&union d’idolätres. (Ag.)“D6- 


I bauche. 


+ Pacopicz, s. f. debauches, fätes licen- 
cieusus dans les pagodes. ° 

Pıcopinuo, dim. de Pagode. 

Pıccivo. V. Pagddo, Pägo. 

Pıct£t. V. Pagel. 

Pit, s. m. pere : celui qui a engendr6 un en- 
fant; progeniteur; ( Ag.) protoeteur. Mäle d’en 
troupeau destine & couvrir les femelles. (1d.) 
— ‚auteur, inventeur; auteur qui a excelle le 
premier dans uno seience. O0 — da menfirs, 
l’esprit s&duoteur, le diable. A — 
filko gastador, & pere avare enfant prodigue. 
— de familias, ptre de famille. — da pa- 
$ria,, pere de la patrie. — dos pobres, ptre’‘. des 
pauvres : homme 1r&s-charitable. — pulalivo, 
pere putatif: r&put6 pöre sans l’&tre. — d’dgens. 
V. Garanhäo. — veiho ou burro, aide-Mne. 
—$, pl. parents : le pere ei la mere pris ensem- 
ble. Nossos —s, nos anc#lres,, nos peres. 

*Parisem. V. . 

Pima ow Pina, s. f. especo de colen du 
Bresil ır&s-än , mais qui ne peut @tre ld, pro- 
duit par un arbre forestier connu sous le nom 
d’arbre de laine, ou darriguda. 

PAInco, s. m. (1. de bol.) panicum, panis ou 
paniz: esp&ce de millet. 

Par, s. m. tableau, peinture. (fg.)—, re- 
presentation vive et naturelle d’une chose. R4- 
telier, piöces attach6des droites contre le mur 
arec des chrrilles ou non, oü certains artisans 
rangent leurs outils. «6. Panncaux de vollare. 
— da ‚(t. de mar.) arriöre d’un vaisseau; 
vote d’un vaisseau. \ 
Piıo, s. m. "esp&ce de cervolas, Gros Sau- 
ceisson. . 

Pasor, s. m. (t. de mar.) ° soute : chamhre 
oa l’on met la poudre, les provisions, etc. — 
da pölvora, sainte-barbe, soule aux poudres. 
— do biscoilo , soute & pain ou & biscuit. — das 
amarras, fosse aux cäbles. — do pano, soute 
aux voiles. 

+ ParoL£ıro, s. m. (f. de mar.) — da praga 
d’armas —domestre ‚gardien de sainte-barbe, 
de la fosse aux lions. 

Paıri0po,A,p.p. de Pairar. 

PaıRADöR, s. m. celui qui pare, qui tempo- 
rise , temporiseur. 

Paırin, v. a. parer ;resister A ; ondures; dil- 
f&rer.— o tempo. V. Temporizar. 

Parmmän,v.». (l.demar.) öire surpris par un 
calme,demeurer sans vont, les volles tendues, 
parlant d’un vaisseau;; melire en panne; orei- 
ser. Planer. — em um negecio, (Ag.) attendre 
lemoment favorable pour lerminer une affaire, 
temporiser. 

Piıro, s. m. (4. de mar.) V’aclion d’&tre sur- 
pris d’un calme, parlant d’an vaisseau ; action 
de meitre en panne, etc. Estar, andar ae —.V. 
Pairar. 

Pais ow Pair, s. m. pays, rägion, cenirde. 

55 


zmtLen ' 


6 WAL 


Bayena.V- Daissavu, Pinier da Parsas, DRYAS- | WATIB® 


‚Dafsäsey,s. f. " paysage : Iableauz FAprösen- 
tant un paysage. 

‚Dassins, A. adj, 88 6. compalrieis, pays ı de 
meme pays. Habitsnt nen militaise d’un vil- 
lage, etc. . 

Pulsista, s..m. paysagisio : peinire qui fait 
des paysages. . 
Piash6, #- f. passion , souffrance ; so dit des. 
de 3,-C,, de leur recit dans l’Evan- 
gile, vr, mwonvoment da l’Ame excilö par un 
objet , pero däsir, ela, ; mouvement impelueux 
de Ama vors un objet qui ui promet le boun- 
haus ; aection violente, vive, profonde pour 
un ebjet; per ebjei; l’amour, son objet; im- 
passsien secue dans un sujet. "Chagrin. Dou- 
leur : maladie qui aflecle uno parlie du corp. 
(4. de mer.) "Casönage. — coge, desords F 
passion dusögiös, coniraire & la raison. Ter 
una --, aveir un grand ohagrin. Morrer de —, 
meurtr de ohagrin. Teer -— por alguma cou40 
ou pemsen. V. Apeisanar-se. Flor da —, (l. de 
bot.) fleur de la passion, grenadille, V. Ma- 


Dass , ete. V. Pais. 

+ PısöLa, s.m.ı em.) grand page. 

PiLr,s.f. (1. darf.) *chalen, sans ı fond 
de Yaugre ur lsquel ost assise une pierte pr&- 
cieuse enchässee. Parlie de l’empeigne d’un 
seulier, qui regeit la bouele. Psie du oalice. 
(8. de bias.) * Pal : pidee honorablo qui pariage 
l’ögu dens ie sens de la longueur. (ti. burl.) 
Tromperis, ruse, allrape. 

Parkana. V. Pelarra, 

"Pazsches, A, V. 

Paracıino, A, adj. 
osurteis, civil, poli. 

Paricıo, s. m. palais : maison royaio; Mal- 
sen au hötsl de ville. Maison sompiueuse. HO- 
wel neble. V. Pape. — enoamidde, (fig.) palais 
suchauile 


caurlisan , homme de 
cous. (Ag.) Homme 


Pausnis, s. m. palais : partie supdrieure du 
dedasıs ds la bouche. (Ag.) Goül, saveur, Ao 
sabor, a0 som de seu —, selon son gQUb, SAH 


Parani, 5. m. paladin : ancien heroes des 
romans de chevalerie;; seigasur brave ei 84- 
lant; chevelier orranı, 

°F PALADINAMENTE, ade. A decouvert, pu- 
bliquement, ouvertement. 

Pursnine. V. Paladim. 

Pırivıox. V. Pallddio. 

Pauarate, s. m. palelcoi : cheval douz que 
mentsit une dame; haqueneo. Cheval sur io- 
quel un jaqgsais suit son nalire, 

PALASRENKıRG, 2. m. valet qui mens un che- 
vel par la bride. Palefreniez ı valet qui pause 
tes chevaux. 

.  PasasaLmia, 3. m. espöce de jau de bonle 

Bonsete avce un mail & longuo queue. Mail, 
PaLassisme, s. m. jou de mail. Palemail. 
PıLius. V. Peldme. 


Pauautnes, 5. f. palamenties, En kormas de 


PAL ; 


), 00 Tas Fan dei) 
Tout V’appareil pour le 04 En eanon. 

Paränga ‚91 5. (. de fork) p : eipker 
de fortificstion false avac des BienE. 

PaLanciänp- V. Palacieno, 

PaLänco ‚4, a. (f. de mar.) palan. 
aLAuFEöRIe. V. Palsorfrie. 
ALAKGÄNA, 8. /, hasgin A laver, eic., sone 

de cuvelte. 

PıLinque&, sg, m. amphilhdätre paur les [les 
publiques, paur le comhat des tanrreuz, ei. 
*Barrıerg autour de la lice destinde A un Wur- 
noi, eic. Palanque, [ortilicasion do pieus. Ver 
os lourus de — , (fig.) vals unoambat, ele., san 
yeire cxpose. 

Parangußta, s. [. barre de far & deus ik 
dont on charge le canaıı : sorie de baulatrame. 

PaLamguiy, s. u. palanquin : sorie dechaut 
portative on naage dans Vinde; selni qui per 
cause chaise, 

+ Pıuuzir, ad, f. Comspanig --, conzoutt 
palatale, psaduile par le mouvement de lalar 
gue quilouchs au palais. 

PaLsTina , 8, f. palaline : fousrusp, orpemie 
aylour du sou des fernnıes. 

PaLarınioo, s. m. Palalinsı : digaiid der 
Isiin; territoire d’un prince plaiı, — 

Pıratixo, s. m. Palatin : tiise de dignid; 
electeur lstque qui ases elats sur ig Rhin; ger 
verneur de province poloneise, eilo. 

+PaLartino, a, adj. palaliu : qui Cancer 
lo palais ou les courtisans. Osag —, (i. dead) 
os palalın :qui forme les [nases nasalesel mat 
laires. Jogus —s, Li. d’ens.) jeux palalins, su 
ie mont Palatin, a Roıne. 

Pırkro, sm. V. Palader. — de vorols 
(1. de bot.) palais, Pinttrieur da la Neur del 
(umeterre, eic. 

+ Pırava, s. f. (1. de bot.) palava : milleper- 
tuts du Pireu, 

Pıravi, s. f. (1. @’Afrique).V. Dyseniens. 

PıLivas ‚a f. Parole : aanl pnnonc; reptt- 
sentalion de la pens#e; facult# nalurells ! 
l’homme; promesse, assuranne verbale, "Net 
A divine, le Verbe, Dieu ie je. — de Den, 
parola de Dieu ; l’Evangilg, eis, demairian 
io, promessp da mariage. — de rei, parele dt 
soi, sacrke, inviolahle. - pesede, papola dt 
et choquante. — por —, gt poux mot, mi? 
mot. — prenhe, parole qui ronforzs u gran 
sens. Santa —, ainsi soitril. Peger da -, 
prendre quelqu’un au mot; ackapier lolit. 
eio. De — , de vive voix. Haller d —, mangte! 
ä sa parole. Daruma— a alguem, dire un mi 
a quelqu'un. Nde diser —, sa taire, ma bit 
mot. Ndo ler —, no pas tenir sa pgsole. Pau 
— ,patto-perale. On le dis lorsqu’en fsilpasse! 
de soldat an seldat l'asılre ou Im na, Markt ® 
—, boira, Ndo eniendo— , je meniends pas Un 
not. Nom, pas um mei. Kap jede a amiel 
de —, dans toute la fasce du uni. Bye, CH 
ken dit, —s ne or, poselsa en laln.gul MM" 
gnilleus pen, -& de seriqain, de UM , 
paroles’&e pur ooraplimen. Pd ” 








PAL' 


les lrompeuses. Formöss 1, pärofes (ormel- 
ies. Homem de bias —s, homme qui promet 
soutet et ne tient rien- Em uma ‚em duas ou pow- 


Ca8 en un mot, en deux mals, en peu de 


mois. | vias —s, demi-mot ou paroles mal ar- 
ticaldes. —s eultas „ selectas ‚beiles paroles, —s 
assucaradas, doces, paroles emmielldes. No 
ser Kur bon —ı, n’6tre brave qu’en paroles. Ter 
ge Pira obras, (sire plus de bruit que de 
here obras e menos—s , moins 
roles, plus d’offots. Ndo ka —s para pinlar 
este espocioeui, nulle langye ne pourrait ren- 
dire ce spectacl e. L. let 
ALAYRÄDA ‚8. [.gros mot, e injurie 

grossitre, indöcente. parola Injarlens, 

PaLavazipo, A RB: de Palavrear. 

Parav Ör. ” alavreiro. 

Parıvazin, v.n. havarder. 

aauaradıno, A, a, adj. parleur, habillard,, ba- 
v 

Pıravsinua, s. f. dim. de Palavra. Peiit 
mot. le piquante. Ter —s mansas, eıre in- 
siauant, manier bien la parole. 

PaLavaöno, s. m. caquet, baratdage. Paro- 
les oiseuses,, inutiles; galimalias. 

Paravaöso. V. Verboso. 

* Piusa, abreviation de Palavra. 

Piuca, s. f. pale de calicc. 

+ Päwco, 5. m. estrat; Iit Fportatif, 

Pırzin, etc. V. Palliar 

Piıgo. V. Pällio. 

PaLzocrsrmia, 3. f. pal&ographie : scienoe 
des &critures sainles 04 anciennes. 


+ PıLgocaärnıco, A, adj. palsographigue : 


de la paldographie. 

T PALSÖCRAFNO , s. m. paltographe : qui s’a- 
donne & la pal&ographie. 

+ PııLxzöLoco, adj. m. paleologue : qui parle 
ala manjdre des anciens. 

+ PaLEontoLocia, 8. f. pal6ontologie : des- 
eription des ötres qui ont jadis peupl6 la terse, 
des animanx et des vegötaux fossiles. 

+ Pırustina,s. f. (1. de geog.) Palestine : 
Test , contre de la Turquio asiatique. 
— ‚earactere d’imprimerie. 

+ Paxpsting, aA, adj. et s. Palestin : de ka 
Palestine. 

Pauteraa,s.f. palestre: lien public desuine 
aux exercices du 00rps ;ces exersices, (fg.) 
Lieu oü Fon exerce les jeunes gens aux heauz- 
arts, aux Sciences, aux verlus : academie, eig. 
(fam. )Causeris, conversaliog, enirelien; Ca- 
que, 

PARTATRCO: a, adj. palestrigue : qui con- 
earne la palesire. Exercicios —s , excrcicas pa- 
lestzigges : iq lutie, la Dugilat, le traiı, la 


ns 
s. f. (1. de peiat.) palette : polit ats 
paar ande les couleurs. 

ÄuA, 4, [. paille : tuyan et dpi. do bie, de 
seigie, eie., sans geains; Ldtu, peut bria 
d’hergha, sic. (Ag-) Ghosp keghre, sana sulr- 
stanpa, eic; (id.) Paille : jep SRTRNeR, PM 
opposition aux &Jus, qui sont appel6s le grain. 


e pa- | Por 


paL‘ def 


— de cambdlo ou de Mica, scherlänte, jone ade 
ranl. lung de _ rapidement, en. un elin 
deil. — , houime de foin, de prüfe, 
de rien. nn com alguem, se dispyier 
avec quelqu'un, lui chereher noise, Tomar a 
— de fino, &ire fin, ruse. (Ag.) Avoir beay- 
coup d’esprit. Parlir a —, rompse la paill 
Yamitie. Tomar a — a alguemı, ‚etre plus and 
que guelge un. „er urpasser quelqu’un,, 
aquella —,( f fam.) pour un rien, 

sans raison, sans moulf. Altercar sobre uns = 
ou por dd cd aquella—, disputer sur la Reinge 
d’une aiguille. 

Paunica, s. f. cabane, chaumiödre, 

PaLHACÄaGA ,s. l- espöce de souchet. 

Pıınico,, s. m. paillasse, bouflon 


PaLsina ,s. f. paille hachee a} cuite avec dur‘ 
son, pour les bestiauz. (A. .) Chose sang , 
solidite. 


* Pırzapıca. V. Palka. ke. 

PaLBÄCEN, 8. ne mon£eay,fas de pail 

Pınnin,s.m." banken, 

Pırzir. V. Poker ou Palkeiro. 

*Pııuatönıo. V. Par 

+ PıLnzicgo,&, adj. (d. de dor.) ae la a 
ture de ls paille. 

Pıuneciı, s. m. foin sur pied; contrde abon- 
dante en paille ou en foin, . 

Pıneinkıro,, 8. m. celui gui gaik arranger 


les meules de paille. Pailleur : marchand de 


paille ow de foin. 

PıLzäıno , s. m. -peiller : ligu oü Fon serse a 
paille. ° Meule do paille; grange, grenies 2, 
foin. Buscar agulka em — , chercher ung Air. 
guille dans une botte os eharpetös de foin. 

Pıınzıno, A, adj. qui aime la paille, 

Pııntra, s. f. V. Paldia. Palelte ; raquelie 
*Battoir. Apche (d’instrument & vent). Paik- 
lette d’or ew d’argent. 

+Paınsräna, s. f. *coup de paleile, Em 
duas —s, en deux coups de palelte:: prompie- 
ment ou sans peltie. 

PıLnRETiö, s. m. panneton : partie db Ta che 
qui entre dans la serrure. Paillon : grosse pail- 
lette. 

Pırn£te, adj. 2 gen. paillet, elairepgvii)! 
De paille, eouleur de paille. 

PALsico , s. m. paille menue. 

Parnico,a ‚ady. de paille. - “ 

Pııninua , 9. f. dim. Pe Palka. Pedw peine 
paille d’Halie. Sorte ds Jeu de cartes. 

Paunoca , d. f. chaummiere. a 

PıunörA. V. Palhöre. 

Paugäpa, s. f. palistade - Rölure aver der 

ieu®. 

P Pırlıao, #. m. petit baten die Bois‘ & Yonsgn 
des tefnturiers. 

PaLiurs£sro , 3. m. palimpseste : tabletid 
domt en pouvalt elacer l’äcrkusg. 

+Paumpaomia , 9. fı (. du med.) pelindre- 
min : soflsz des ‚hasmcuss vieitop zers vn pat- 
Kon-nohles du. sarpb- 

Pırınönsa, s. f. pelinsdie „niimeisiet des 
co qu’on a dit, Camiar a — , chanter Ja palipo- 





868, PAL 


die : se rölracier, surtoul de ce que on a dit 
dumal. 

+ Parınöro, s. m. (poet.) palinure : pilote, 
eonducteur d’une barque. 

Pıurrin, v.a. — os dentes, curor les denis. 
v. w. (fig.) S’atmuser & railler, & plaisanter. 

Paurriiro, s. m. celui qui faitow vend des 
cure-dents. Etui &cure-dents. 

Pıufvo , s.m. cure-dents de hols. Fazer d’al- 
guom oseu — , s’amuser, rire aux depens de 
quelqu’un, se jouer de lui. 

+ Pırıöno, s. m. (1. de bof.) paliure, porle- 
ehapeau, epine-de-christ, argalon de Provence: 
espece de nerprun, arbrisseau de haies. 

Pauızina. V. Palicada. 

Piuta, s. f. V. Pala. Sorte de bätiment de 
guerre en Asie. 

PırLivıo ‚s. m. palladium : statue de Pallas. 
(Ag.) Ce & quoi un etat attachait ou peut alta- 
cher sa durde;; protection. —, salle de Justice 
& Albönes. 

Pırinpna. V. Barcaca. 

PirLas, s. f. (1. de myih.) Pallas: deesse de 
la guerre. —, plandie nourvellement observec. 

ParLatörıo. V. Parlatörio. 

PaLLıipo, A, p. p. de Palliar. 

ParLiacäö,s. f. palliation, deguisentent; ac- 
tion de patlier. 

PALLIADOR, A, 3. qui amuse par de vaines 
pareles; qui eherche & pallier. 

Partıin (com), v. a. pallier: deguiser, cou- 
vrir, excuser. 

PırLiarivo,Aa, adj. palliatif: qui pallie, ne 
guerit, ne remedie qu’en apparence, pour un 


ıemps. 

Pıruicana. V. Palicade. . 

Pauuipfz, s. f. päleur: couleur de co qui est 
päle, d'un blanc [ade. 

PiLLmo, a, adj. päle, bli&me, qui a de la 
päleur. Fazer-se, pör-se — , biemir, pälir, de- 
venir bleme. 

PiLLio, s. m. pallium : ornement envoy6 par 
lo pape aux archevdques. Poele, dais sous le- 
quel on porte le Saint-Sacrement. Prix de la 
eourse : c’etait une piece d’stofle mise au bout 
de la carriere,. Recsber com —, ou debaizo do 
— ‚ tecevoir aveo le dais. 

ParLLön,s.m. V. Pallidez. 

"PiLma,s.f. V. Pelmöira. Palme : branche 
du palmier ; ( ig.) viotoire , triomphe; arantage 
zemporie. Feuille du palmier. -Paume do la 
main. "Socle du pied du cheyal. Liso, plano, 
rss0 como a — da ımdo, uni comme la paume 
de la main. Levar a —, remporter la palme, la 
victoire, le prix. —s, pl. battement de mains. 
Trazer nas —s, (fig.) complaire, fayotiser en 
wut. Ander nas —s, eire aim6 de tous le 
monde. 

PiLsa-Cnastzi, 6. f. (t. de bot.) " palma- 
christi, orchis. Palma-christi , siein. 

Pasmäsa, s. f. claque: coup de plat de la 
main. —s, pl. battements de mains en signe 
d’spplaudissement, sic. 


PAL 


Pırzäu, s.m. liea plants de palmiers. Us 
meau os maison de campagne au milieu de 
palmiers. "Croix ow croisee de chardens: in- 
sirument pour relever le poil du drap. 

Pıruär, adj. 2 gen. de la grandeur d'un 
palme. Qui concerne le palmier oa la palme. 
(Ag.) Clair, evident, manifeste. 

+ Pııua-nea, s. f. (l. de bot.) * paima-real, 
palmier de Cubs. 

Pıımaninnmo, s. m. dım. de Palmer. Pe 
bois de palmiers. 

Parmatoiva, s. f.*coup de [Erule. 

Pırmarörta, s. f. ferule: petite paletle de 
bois, etc., pour frapper sur la main des eo 
liers en faule. * Bougeolr : petit chandelier sam 
pied et a ınanche. 

PıLuatonıioa. V. Palmatodde. 

Pıımatontäe, dv. a. chätier avec la Tärale. 

+ PıLuein, v.a. battre des malns en sıgue 
d’applaudissement. 

Paımtına „s. [. (t. de bot.) * palmier : arkıt 
qui donne des dattes,, son bois. — de igrrjs. k 
dattier. V. Tamareire. — das caswursı, p)- 
mier nain, palmier en eventail. — mach, 
brava , le rondier, le Iontar, le cocotier de mer. 
fe ciprier. — brazileira, ” latanier:: espöce 4 
palmier d’Amerique. ' 

PııuziriL, s. m. V. Palmar. 

Parueıninua, dies. de Palmeire. 

“Pırukıno, 5. m. pelerin qui revient de lı 
Terre-Sainte. 

Pııuzsän. V. Palmsar. 

Pıruzsiazs, s.m. pl. (6. de mar.) geirlanis 
ou guerlandes : pidces de bols cintrdes quifer- 
tiient et entretiennent la rondeur de !a pro, 
etc. 

+Pırudıra, 5. f. (1. de geog.) Palmell 
bourg, et ancien chätesu dans une monlag® 
4 !’est de Lisbonne. 

PALNELLÄö, s. m. vent qui sone du ot? & 
Patmella (V. ce mot), fort orageux dus ® 


age. 

PaLutra, s. f. spatule. °Coin pour peisk 
un canon. 

+Paıuireno, a, adj. (po#t.) qui abonde ® 
palmiers. 

Parmiıma, s. f. semelle, 
d’un bas. 

PırumLuaptına, 5. f. ravaudense. 

PaLuıLHäno, A, pP. p. de Palmilkar. 

PALNILHADOR , 5. m. ravandenr. 

PıLmıLmin, v. 0. ravauder, resserneler &ei 
bas. (pep.) Aller ä pied, battre ia semelle. 

PıLniu, s.ım. (6. d’Asie) portier. 

PaLwipeos, adj. 2 gen. (1. d’hisl. mat.) pa 
mipede : & pieds plats, membransux oaet 
conx de l’oie. —s, pl. palmipetdes, oiseset 91- 
geurs. 

PaLmıriL,s.m, terrain qui prodals des pol 
mistes. 

Pıruıräso, A, adj. On le dit de cheral qui! 
los sabots droits et durs sur lo devant. 

PaLuiro, s. m. paliniste : petite peime. R° 
jeron de palmier. Palmite : mıoelle de Palme. 


dessous da pi 











Cr | | oT 


PAM 


Palme ou bouquet de fieurs qu’on met entse les 
mains des enlants morts. 

Piımo, s. m. palme, pan, empan : mesure 
“gale & l’espace qui se trouve entre les extire- 
miles du pouce et du petit doigt &cartes. — de 
ierra, pelit espace de terrain. Ndo ver — de 
terra, (fg.)n’y voir goutte. Ndo adiantar ou 
ndo ganhar um — de lerra em alguma cousa, 
(fam.) avancer tr&s-peu dans une affaire. Pal- 
mo —,(fig.) peu & peu, avec difüicults, pied 
& pied. Saber, conhecer a —s, (fig.) saveir au 
jusie la grandeur, la valeur d’uno chose, en 
avoir ane enliöre connaissanoe. 

Pıröuas ou Pıröueas, s. f. Pl. (tl. de mer.) 
cordages des vergucs ‚ manoques de bitord. 

Pırrapeuas. V. Apalpadelar. 

Purpir. V, Apalpdr. 

PıLriver, adj. 2 gen. palpable : sensible au 
tact. (flg.) Clair, evident. 

+ PALPAYELMENTE, adv. clairement, dvidem- 
ment, palpablement. 

PiLPpesra, s. f. paupiere : peau bordöe de 
cils qui couvre P’eil. 

PıLrıtaciö, 5. f. palpitation : battement , 
mouvement derögle et inegal du caur. Agita- 
tion : tremblement interieur ot involontaire de 
quelque partie du corps. 

PALPITÄNTE , adj. 2 gen. palpitant. p. ae. de 

PaLritäir, e.n. paipiter : se mouveir d’aen 
mourement inegal et fröquent; aveir un mou- 
verment convulsif. 

+Piıro, s. m. ( 1. d’hist. nat.) palpe : aten- 
nule ‚ petite antenne , barbillon de poisson.—s, 
pl. palpes:: tentacules mobiles, doubles ou 
maltiples,, articules, papillaires, attachds & la 
bouche des insectes, servant plus ou moins, ou 
& la fois, de suppiement au tact, de Iövres 
gustatives, d’organe oHacuif. 

Pirxa. V. Porla. 

PıLnapor,, A, s. bavard, babillard, häbleur. 

PıLradüna, s. /. caqueterie, caquetage. 

Pırnauinto. V. Parlamento. 

Pırxin, o.%. (durl.) babiller, bavarder, ja- 
ser, caqueter, bäbler. 

Pırraria. V. Palradura. 

Pıraatönıo. V. Parlatörio. 

Pıırtıno, a, adj. et s. parleur, jaseur, ba- 


vard , babillard. 
Pauaısautiro. 
Pıraömo,. } V. Palreiro. 
+Piura, s. f. "paltas: fruit d’Amörique, 


semblabie ä la poire: de bon-chretien. 

+ Päuro, s. m. ( $. de bot.) avocatier : bei ar- 
bee fraitier d’Amörique, qui produit les paltas. 

Pırupamtnto, s. m. manteau brode d’or des 
anciens empereurs romahıs. 

PıLöpe. V. 

PıaLunoso, A, adj. mardcageux. 

Puuisrag, adj. 2 gen. de marais, de mart- 


sage. 
Pıu. V.P&o. 
Pımweanipa, 8. T. (t. burt.) chose vaine, 


fausse apparenoe. ' 
7 Paurirno 's. m. vertt Urbgeux sur los oßtes 


PAN 869 
de l’Amerique möridionale, espöce d’ouragen 
gui vient des Pampas. 

Piurano, s.m. : branche de vigne 


avec ses feuilles. Bourgeen de la canne & su- 
cre. Sorte de pelit poisson. 

t Pauranöso, A, adj. couvert de pampres. 
Germmipare : qui prodait des ‚bourgeens. 

PıwPiLno, s. m. dard & erechet.” Adguillade. 
—aqwdlico, (1. de bot.) buphtalme aguatigee. 
— maritimo, (id.) buphtalme maritime, — de 
Valenca, camomilile de Valenoe. 

PANMPinzo, A, adj. de pampre; are, minee. 

PanPınöso, A, adj. pyampre. V. Pampe- 
n0s0. . 
+Paurıöna, s. f. (i.de si )’ Pampelune : 
ville d’Espagne, en Navarre. 

Pıur6ruo. V. Pimpäliho. 

t Pauroncino, s. m. (4. de doi.). pain de 
pohrcean, eyclamen d’Europe : plante mödioi- 
nale. 

Paupösto, 8. m. populage, sonei de marais : 
plante, 

T Pin, s. m. (1. de myih.) Pan : dieu des ber - 


gers. 

Panacka, 8. f. (4. de med.) panaote : remdde 
pretendu universel. —s, pl. ( 1. de bof.) pana- 
cdes: espöce de plantes eeiebres par leurs 
vertus. 

Pınacko, s.m. V. Panacds. 

Panacd ou —cöm, 8. m. (d. du Brös.) espece 
de panier long. 

Pınipa, adj. f. Agus — , oau pande. 

+ PANADURA, s. f. gamilare en fer des mau- 
lins & sucre. 

PıniL, s. m. grande toile sur laquelle on 
forme le pain. Grosse botte de paille. Rayen de 
miel. Arrimer, r0— s alguem, 
(kg. fam.) se debarrasser d’une affaire incom- 
mode en en chargeant un auise. 

fPınamä, s. m. (1. de geog.) Panama : ville 
forte, &pisoopale, de ja‘ Nouvelle-Gromade; 
province et isthme du grand Ocean. 

"Pınania, s. f. grenier. 

Pınanricıo, s. m. (4. de chir.) penaris, mal 
d’aventure,. 

PınascäL. V. Panasgueira. 

Panisco, 8. m. sorte d’herbe de pälurage. 

Panasoutına, s. f. "champ ob ilya des pa- 
nascos. V. ce mot, 

+ Panatu£nıos, s. m. pi. (1. d’ani.) panate- 
nees : fetes & Athönes en I’honneer de Mi- 
nerve. 

-Pinca,s. f.(t.burl.) panse, bodsine , gros 
vente. Encher a — ‚ farcir sa bedaine. 

*+Pıncar,s.f. rouleau, piece de bois sar 
laquelle on fait rouler des fardesun. - 

Pauncina,s. f. "comp. "Chec. " Baltement, 
heart, pulsation. Cadenoo dans.lo vers. Imsi- 
nuation indirecte. Manie,, accds de felie.— de- 
gua, ondöe. De —, en meme temps ou A la 
feis, tout & oaup ; soudainement. 4’ —, a loree 
de coupe. Motr algusm com —<, hrisen qual- 
qu’un de coups. Ir, anddr ds —s , so hatiza & 
coups de biton, en voniz aux malns. Fer - 


m  .  PAN 


08 As = ‚ (fig.) dire Hmbre, avair un coup de 
bashe. 

Pıteusdimta, dim. de Pancade. 

Panchama ,s. [. cowrenne de diverses Reurs. 
d. V. Miscolansa. 

Piucinro, s. m. ($. d’amt.) spootacle ou ps- 
raissaiont toutes sortes de hätes. 

*Pıneus. V. Proneks. 

Pantsanitı,s. m. (1. d’Asis) ferne , ddlai 
de cing jeuws. 

Pinchreas, 06. V. Pancreas, etc. 

PAncHrMA00cO, 0. m. (1. de mid.) pamchy- 
magegus : (remöde) qui purge toutes los bu- 
meurs. 

+Pınpaaclı, &. f. pancratie: les cing oxer- 
eices gymniques, saveir: le pugilat, la luie, 
le disque, la course et la danse. 

+ Paucrioe, s. m. pamcrace : ezorcioe de la 
Iatio et de pugilat. V. Pancresis. is. ° Pancrea 
tion , scille. 

Pimenzud, s.m. (1. d’enah) pancr&es : GOFpS 
chernu au milieu du mesent£re; glande der- 
riöre P’estemac. 

PANCAEBÄTICO, A, ad}. pancreatique : qui ser 
. ds yamerdas (Sue); qurlai apparlient. 

4 Dancazıriras, 0 [. (1. de mid.) pancrha- 
tie : Infdammetion du panszeas. 

Pancüoo. V. Barrigudo. 

Pıanparing. V. Pantane. 

Papozia, v. ». plier, faire vonire, se d6- 
jeter. 

Pınpkoras, s. fi pl. pandecten : reeusil des 
deeisions des. jurisconsuiies, oomrerties en 
lois, compilees sous Justinien. 

Paubsıntino, s. m. ceini qui [alt ou vond des 
tahnkeuss de basyue. Jousmr de tambour de 
basausı 

Pamerammo , dib. de 

Pınptino, s. m. tamsbeur de beaqus. (A) 
Gtend porieat qui mp dit que des soltines. Um 
Döusrunlioe cold 0 —, (Ag.) Y'aflnite ası eu bonnam 
mains. 1 

° Panpentra,s.f. 4'0 €, mal, on döserdre, 

alorneme. 


Panpirua, s. f. brigue, ligue, complot paur 
tromper quelqu’unz eligee. 

Pawsıusiäthe, ». ws. browilion. laelieux, ua- 
betur. Calai qui ssrumıge \ks saries pame Iroln- 
per au jeu. 

um, ı, alj. courisb, vohts. Feine 8, 
pilineb valtus. Akas --s, allen Atploydes. 


Pınvöna, 8. f. (£.de myth.) Pandore : fommas | 


quu- let deut oemhlörem de dons. Bordia de 
— ‚botite@e Paadore, gqei renfermait tous les 
+ Pınpönas, 0. ın. pi. peupiee d’Asie, irder 
es, 6-On,ga co qufils ont den che- 
vo@i biRrs vrant'jaumned ot des cherayı meins 
das ta vieikass. a 
° Bumböltn, s. f. suwent brufamt de divam 
Yeitduinenw du ; + Tigtnarıe. Chesd 
wen: ( Jam.) Oroame oma iepläte, pe» 


Paz werner entyyrigue ı 





PAN 
petims,, diseours, pareles a la lonangs da quel- 


qu’un. 

PAnEGYRaSTA, #. m. pandgysiste: qui [si u 
pandgyrique; (Ag.) porseune qui om jene um 
auire. 

+ Pawzoraıtaa, v.a. feire lo panegyziquede 
queigu’an ; louasger, deuner des diogws. 

+ Pauzoraıs, V. Ponsgyrico. 

Pıntıno, s. m. “ banne; panier. 

Paxzas. V. Alchirivia horienss. 

+ Pauzsino, A, 9. p. de Pansjer. Rep 
dem —as , ( 4. de peint.) Jraperie bien jelee. 

+ Panzsin ou Bannssäs, ©. a. (L. de peial, 
— 15 voupas , jeter une draperie, draper. 

PınsıLa, 9. [. marmite, pol de lerse ou de 
metal; pot-au-feu. (4. de bis.) Pelit ecusee, 
en forme de cour, ä champ de guesies, qui 
mat dans les quartiers de l’6cu principal. 
ha — sem testo, (fig. few.) iln’ya si peiitpe 
qui ne lzoaYe son couverclie. 

PANELLÄDA, s. f- pol&e : contenu d'un 

Pamerrinna, 5. f. dim. de Panels. 
marmiie, petit pot de terre. Fezer —ı om d- 
guem, (fam.) cabalex, intriguer. 

Pant ts, a. 9 dim. de Pdo, Petit pain. Toms 
0° m. (vuig.) fair. 

PınKt£La, s. f. panade : esp&oe de so 
falte avce da pain Eis. 

Paneita, e m. soris d'embarcation d’isia 

Pauamör, 6 f. serie d’embazcalion lgkn 
d’Asie. 

Pinua. V. Peine, 

Pono. 

Pamasuino. V. Pesigwado. 
yamchu, 16. (b E Asse) melise d’armes ie 

sises. 

Pamcisx, & m. “meladie, Irequenis dam 
’Inde, qui fait enfler les pıods. 

Panico, s. m. "sorie de tolle de aaa & 


Bamhnurg. “ , . . 
Pimp, A, adj. panique. On Je dis dust W- 
reur subite ei sans londemsent. . 
+ Pamicura ‚4. [- (4. de das.) panloula: de 
botte, en bouquet. 


+ PanıcuLino, A,adj. (4. de bet.) penic: 


(tige —e), en pa 


nichle. 
Punicus ‚a. m. (1. d’anas,) gannicule: MER 


| brane culanse sous la graisse, ul den I) aus 


cles sont souvent envelopp6s. 
Panıcuino , #, m. cvommensal. T. Apr 


guade. 

Pıxinno,s. m. dim. do Pang. Pati merar! 
de linge. *Percala ; salicet. 

Pino ou Pinno, s.ım. drap : Malle de 
Taute sorte d’&teffa; Valle de de Is, 
d’une robe, etc. Moregau d’4iolfe, de tailt, &* 
Linge pour les plaies. * Tacha .netgrelle #M h 
oorps, et surjauk a9 wisagn. " Tache qui MP" 
un mireir, zailla dans un diamant, ai6, V® 
de navire. "Toile, rideau qui eache Io hal 
— d’armar, lapis, tapisserie, vensare. Beh 


chadura, yolasun, — de vesie vun 
| seurs au a are pas damen 
nd aanlaan d’R - 








PAR 


olhos ‚taio sur les year, Correr a todo —, aller 
toutes veiles dehors ; conrir a toute bride. — do 
pulpito, piece d’&toffe qu’on met sur fe devant 
de la chaire ies j6urs de sermons. — da tumba, 
drap mortuaire. Com todo o — largo, (t. de 
mar.) & toutes volles, & pleines voiles. Por o— 
sobre, (id.) coiffer les voiles, mettre les voıles. 
sous le mät, brasser les voiles & culer, brasser & 
contre ow contre-brasser. Um — de vela, 
”cueille, I6 de tolle. Harer, ter — para man- 
ges : ( ig.) se dit d’ane chose abondante dont 
on peut disposer. —s, pl. habits, velemenis. 
—s menores, habillements de null. —s da co- 
linka, torchons. —s quentes, (flg.) soins, peines 
qu’on se donne pdur presser quelqu’un d’agir, 
06 pour mod£rer sa Irfop grande rigueur ei sa 
severite. it. Remede, moyens palliatifs. 

+ Panococo, 5. m. (1. de bot.) panococo : 
grand arbre de Cäyenne, bois de fer. 

T Panonimi,s. m. panorama : tableau cylin- 
drigae, au centre duquel on place le spectia- 
teur et qui represente un horizon entier; bäli- 
ment qui le renferme.- 

Pınörrı,s. f.(t. d’Rist. nal.) panorpe : mo 
che-scorpion. | 

Pınotna,s. f. (l.d’Asie) espece de grande 
galöre de haut bord. —s, pl. Epees attachees 
aux dents des @lephants de guerre. 

Pınsi, etc. V. Panga, elc. 

Eantarıgöoo „A ,.adf. (buri.) jouffiu. 

Pıntrarkö, s. m. bouffon, pantalon. 

PantaLönas, s. f. pl. "pantalon : vöternent 
d’homme qui couvre le corps de la ceinture aux 
pieds. 

PantaLonfce, 8. f. pantalonnade, bouffon- 
neries. 

Pantäna, s. f. (pop.) "bourbier. Dar com 
tudo em —, gaspifier son bien, se Fuiner. 

PantaniL, s. m. grand bourbier, marecage. 

Pistano, s.m. marais, bourbiar, mare d’ean. 
— esgotado, marais desseche. 

Pıntanöso,A, adj. bourbeux, rhardcagcux. 

+ Panturisuo, s. m. pantheisme: systeme 
de Spinosa, qui reconnaissait pour dieu tout ce 
qui est, le grand tout ow P’unirers; nature di- 
vinisee. 

+ Pıntıneista, 8. ot ddf. 2 gen. panthäistfe: 
partisan du pantheisme, ce qui tient ä lui; qui 
croit que Dieu est le tenf.et quo le tout est Dieu. 

+ PAnTREoLoGiA , s. f. pantiöofogte : tous jes 
die@x de pagamisıhe, 

Pıwresön, 4. m. Patäden : Vempie eonsacre 
a tsrıs les dieux , 2er uade hommes. 

arme , 4. f- (f. Biel. nal.) panthöre s 
bete f&roce, fauve, marquw6e de taches WERTE 
en suweibE “ 

+ PınTochsatt „3, um instuument PORU MN“ 
surer lociel etla terre, ontlomonde, 

t Pıntpesama, 5. m.. panlegsaphe , singo: 
instrument pour cäpier madcapiquiement, ans 
qu’il sail necessaite de sonnakre Je dessin. —, 
insteumenk, perspeclil qui ser & la reduction 
des objets. » 

PANTONKTRA ou —TRO, 5. Wr. panlomälre: 


 peche. V. Campeshsfiro. — de 


pıAo ı 


fnstrument de geomätrie pour mesurer 1ds an- 
gles, prendre des hauteurs. 

PANTOMIiMA, 3. f. pantomime : art du panto- 
mime; piece rendue en gestes. 

PANTOouimico, A, adj. qui concerne la panto- 
mime. 

PARNTONIiSO, 5. m. pantomime : acleur qei ne 
s’exprime que par des gestes, 

” PANnTONEIRA. > 

PANTORRILHA. | V. Panturrilha. 

Panturäna, s. [- "coup de panteuße, 

Pınturo, s. m. *pantoufle : chaussure de 
pied pour la chamıbre. 

Pantünna, 8. f. (burl.) gros ventes, ( Ag.) 
Vanile. 

PıntüunriLHa,s. f. ° mollet: gras de jJembe, 
Chaussettes 4 mollet, [aux melleis. 

Pio, s. m. toute espöce de bois. Bitem. Ss, 
pl." quilles. Trefle, couleur au jew de euries. 
— calinga, costus arabique. — de oohrdien. V. 
Cobreleira. — Brasil. V. Braxilelo. — de en» 
V. 
Quassia. — ferro da Indie, nagas. — saundal. 

. Sandalo. — rosddo, gendt des Canazies „beit 
de rose. — sanguinho, bois de sang, bois de 
Nicarague. — sanio, gayac ä fosillen de Jeui- 
lisque, bois saint. — melle ou volho, * acaele & 
odeur de sursau. — d’aguüls, calembeun, = 
röxo, " palissandre, Der com —, donner des 
coups de bäton. — da bandeira, (#. de mar.) 
bäton ow mAt de pavillen. — ds Äujarrens, 
(id.) boute-hors du beaupre, bäten de foo; satt 
du perroquet de besupre. — de borde, (id.) 
bouts-beors & charger un vaisseau. — eUp ug Se 
caca a bandeira, (id.) arc-boutant ferrd. Me- 
mem de —, homme de peille, — pare feds 
a obra, selle & tous chevaux, ben & tomt, & 
mettre & toute sauce. — de choselale, IOE®- 
soir. Por —s e por prdras, A tort a. & Lravert: 
par sauts ei par bonds. Armer 00 —e, premdge 
ses mesures, Pdos das amures de Iraquößt, 
(1. de mar.) minoirs, ports-lefe, beute-Iois. 
Pdos de cutellos, (id.) boute-hors des vengus® 
#u des bonneltes, 

Pio,s.m. pain: alimıent Isit de Sarine de 
bis, eic.; (Ag.) nourritare, subsisianee; palıı 
de sucre, de cire, eto. Bi& "Feuille dies em 
d’argent bastu. — cassire, amassado em E40; 
Bain de menage- — duro pain zensis , qui n’esä 
pas tendre.. -— de rala ou de raldo, pain hie. 
— fermentado, pain leve. — Üvado, pain geb 
pris som appsät, qui ass patt Aötzc min dens fe 
four. N&o comer 0 — de balde, gaganı son pai® 
par son Aravail. Comer e -- com eöden st BF) 
mötze plus enfant, areir de lewpörianon. — 
meddo. V. ce mot. — tergado, pain fait de fre- 
meni,de seigle ei d’orge. — por Dong espöss 
detrennes le jour de la Toussaint. — de gel“. 
Inka, espöce d’insscle au Brisil.—- da garen 
ou porcino. V. Pamporcino. Casa onde ndo ha 
— jodos ralhäo e ninguem lam raxdo,(Prov.) 
qmand H.n’y a point de fein au rätelier les che- 
vaux se battent. Tira o — da boca para o der 
aos pobres, il prend sur son pain pour donner 


872 PAP 


auz pausres. Comer o — que 0 diabo amassou, 


(fam.) manger de la vache enragee. 
+ PioL.ipa,s. f. coup de bäton. 
Piozimso, dim. de Pdo. Petit bäton. 
Piozinno, ‚dim. de Päo. Petit pain. 


Pira, 3. m. pape : ev@que de Rome, chef de 


Yeglise universelle. 


Pirı, s. f. bouillie pour les enfants. V. Pa- 
dertor de — , coaverture de laineä longs 


pas. Co 
poils. 


Parina, s. f. double menton. — de boi, *fa- 


non : peau qui pend sous la gorge du en 
Parsopinua. 5. f. dim. de Papada. P 
charnue au-dessus du menton. 
ParipO, s. m.“ papante : dignit# de pape. 


Pırarico, s.m. (f. d’hist. nat.) bec-fgue: 
perroquet, bon- 
nette. —s, pl. (id.) basses voiles (la missine et 


oiseau. (}. de mar.) * Voile de 


la grande voile). 


+ Paravonuicas, s. m. (8. d’hist. nat.) four- 
milier : oiseau d’Amerique, qui se nourrit de 


fourmis. 
Parıcisa, s. f. perroquet femelle. 


PaPraGaläk, 9. 9. jaser comme un perroquet, 


jaboter, caqueter, babiller. 


Paracilo, s.m. (1. d’hist. nat.) perroquet : 
olseau grimpeur. Cerf-volant. — cinzento de 
Guwind, perroquet cendre.— colieirado das Mo- 
iueas, lori A collier. — de cabega Dranca das 
Antilhas, * amazone a tele blanche. — de faces 

las, * perruche. — colleirado d’4- 


penmugen 
lssandre Magno ‚la grande perruche & collier. 


Fellar como um —, parler comme un perro- 


quet , sans savoir ce qu’on dit. 


Pıracätos, (4. de bot.) V. Amaraniho papa- 


geio. 

PAPAoßnTE, adj. 2 gen. mangeur d’hommes. 

PaArasanTÄnzs, #. m. piqueor d’assiettes, 
perasite , soommifleur. 

PariL, adj. 2 gen. papal : du pape. 

rt ParaLecoAs ,s. m. grand marcheur. 

Parauino, 8. m. papalin : soldat du pape. 

+ PıraLnänte, adv. comme pape, d’aulo- 
rite papale. 

PariLva, s. f. espöce de fouine. 

PıriLvo, a, adj. (f. ber.) ben6t, jocrisse. 

Papauöscas, 3. m. (l. #’Metl. nat.) gobe- 
miouche : variete du I&zard vert; genre d’olseau. 
(Ay. fam.) —, nials, crödule, qui s’occupe de 
riens, croit toutes les nouvelles. 

Pariö, 5. u. ogre, oroquemitaine, moine 
beurru. 


Pırartizz, 3. m. atirape-poisson : osp&ce 
d’oiseau du Brösil. 

Pırin,v. 8. (b. enfanfin) manger, sans mä- 
cher,de la bouillie, de la soupe, eto. Avaler, 
gober. 

Pırınicmo, 5. mM. (t. burl.) ragoht exquis, 
friand. 

Pıranoriva ou nourriture des pour- 

Pıranoricen,s.f. | ceaur. 

Piranöre. V. Piparofe. 

Paranräz, s. m. (t. de bot.Y V. Estaphysd- 
gria, 



















DAP 


Pıraanisa, ade. (1. Due.) le ventre en bakı. 
Piras, s. f. pl. bouillie de farine, panadr. 
PıriVvEL, adj. m. propre ä ötre ela pape. 

+ Paräva ou Parivo, s. m. (4. de bei.‘ pı- 
payer, papeau : arbre des Indes. 

Pıräz, 5. m. nom qu’on donne sur les cöies 
d’Afrique aux pretres chreliens. 

Pırızina. V. Comezdina. 

Pıreir. V. P sidr. 

Pır£ıra, 3. f. "goltre, gotire ou goutin 
tumeur grosse ei spongieuse & la gorge, bres 
chocele. 

PaAPEıRno, 5. m. pot pour la bouillie. 

PaPp£ıro, A ,adj. goltreux : qui a le gollrt. 

Pır£is, s. m. pl. titres,, papiers, ele. 

Pır£L, s. m. papier : feuille faite d’une pil 
de vieux linge broye, etc. (Ag.) Me&moire, cos 
position par &crit. Role de comedie. — aperye 
minhado, papier velin. — jespeddo, papit 
marbre. — passenlo ou mataborrdö, papitı 
brouillard. — assignado em branco, blax- 
seing ou blanc -signe.— de merca maior, grand 
papier. — mode, papier monnaie, biles 
royaux ou d’etat. — se ‚, Papier timbn. 
Fazer um—, jouer un röle, represenier u 
personnage. Representa bem o seu—, il jow 
bien son personnage. Fazer grande —, (Ay. 
jouer un grand röle. Faser — de folo, du 
dalgo , etc., faire l’imbecile, faire le seignent, 
etc. Fäbrica de —, papeterie ‚ fabrique de pr 
pier. O — tudo consente,, le papier souflre !vel 
Papeis falsos, faux papiers. 

PAarELÄDA 0W paperasse ; 135 de pr 

PırsLäcen,s.f.) piers. 

PırELäd, s. m. carton. (8. berl.) Fat. 

Pıreu£ina, s. [. " secrötaire : bureas 4 e- 
rer des papiers. 

PırEL£ta, s.f.*journal ou papier-nonvelle: 
bulletin. 

PıreLico, s. m. cornet de papier. 

PırsLingo , dim. de Papel. 

ParELista, s.m. homme qui manie des pr 
piers, qui s’y connalt. Paperassier. 

PArELöTEs ‚s. m. pl. * papillotes : papien 
dont on enveloppe les boucles de ebeveur- 

Pırtsa, s. f. papesse. 

Pirna, adj. f- (pedt.) surmom de Via 
adoree ä ee 

+ Pirmo, s. f. (1. de gdog.) Paphos : ville de 
Chypre, aujourd’hui Balo. 

PırtLionäczo, A, adj. (4. de bot.) papibe- 
nao6 : se dit des Aours dont les oorelles rer 
semblent & des ailes depapillon. 

Parizza, 5. f. (f. d’anel.) papille : danisene! 
norvouse de la langu®. 

Parriıin, adj. 2 gen. (1. d’anat.) popfllelt: 


(tunigue —) ou membrane de la langue. 


*PıriLio. V. Papel. 

Pırinna, 3. f.dim. de Pape. Bonillie peut 
les petits enfants. (Ag.) Cajolerie  ruse, artißee. 
Der — a alguem, (fig.) donner de ia gabstiae: 

queiqu'u. 


en falre accroire ; amadower 


Pırino. V. Papyro. 








BAR 


Bımmönca , s. fit. burl.) woraperie. Paser a 
— asiguem, Lromper quelqu’un, 

Parisuo, 3. m. papisıne. Nom odieux que les 
pretestants donnent & la religion caihelique. 

Purista, 5. m. papiste. Nom donn6 par les 
proiesianta auxcatholiques. 

Pire,s. m. gosier. Jabot: poche des oiseaux 
sous la gorseo. Golire.V. Papeira. Fallar de—, 
parler du gosier, avec l’accent guttural; (fg.) 
parliee avoe bauieur, presomption. Ndo fazer 
—, 50 pas satisfalre, nö pas contenter. —s, pi. 
beouillons d’6toffle. —s d’anjos, sorte de confi- 
tuse söche d’aufs. 

Pıröra, 5. f. (1. de bot.) "pavot rouge des 
champs, pavotsauvage, coquelicot. —da China. 
V. Aless. 

Parttas, s. f. pl. (4. de mar.) pieces de bois 
oh sont attachees les poulies des drisses. 

+ Pıriımo, s. m. (t. de bot.) "aigrette: brosse 
en eoutonne au haut des graines des acantho- 
668. 

+ Pınııu6so, A, adj. (t. de bei.) aigretis : 
termine par une aigrette. 

+ Pardas, e. m. pl. peuples de Pile de 
D. Gesrge, & l’est des Moluques. 

PıPöno, A, adj. qui a la gorge grosse , gol- 
treux, etc. Qui a un gros jabot, parlant des ol- 
sesux. Saillant, releve, renfle. 

Pıröz,s.m. V. Chinela. 

Parr’ao, 8. m. papyrus : plante d’Egypte, 
dent l’6corce interieure servait de papier. 

Baquanörz, s. n. V. Poqusie. * Voiture & 
qualre roues. 

PAQuETz , s. m. paquebot : navire perteur de 
depeebos, de voyageurs. (4. burl.) Entremet- 
isur, maquerean. 

Pagtirz, s. m. (1. de bias.) plumage sortant 
d’an casque, cimier. 

Pir, s. m. * paire : deux choses de möme es- 
pöoe; couple. Pair : titre de dignite en Angle- 
terre, en France, etc. Sem — , incomparable, 
non-parell, unique, sans dgal. A—, A cöle; 
ensemble, de compagnie. Egalement: sans dis- 
tinction, de pair. Porta, janella aberla de — 
em —, porte, fen@tre entiörement ouverte, ou- 
verte & deux battants, toute arriöre ouverie. A 

gares, par paires, de deux en deux. Jugar a 
—18 OU none, Jouer A palr ou non. O meu par, 
mon parfenaire. 

Päir, edj. 2 gen. pair, egal, semblable. Pair: 
on le dit d’un nombre divisible par deux, sans 
fractions. 

Par-a-PaR, ade. de pair; ensemble, deux ä 
deux. 

Para, prep. pour; sur le point de; pret &; 
en; vers. — quo, pour que, afin que. — que? 
pourgquoi faire? & quel propos? & quelle An?— 
semprs, pour loujours. — com, enveors, & l’6- 
gard de. — ums s ouire parte, d'un cöls et 
d’antre. — o diente, a l’avenir. — eima, en 
baut, par haut. Elle ndo presia — nade, il 

n’est. propre & zian; il ne vant rien. Sem quo 
nem — que, sans Talson, sans melil. — quo 


— u 


p 


PAR 97% 


V. M.osaiba, sn que vous le sachiez. Be mim 
— MIR OU — COMmMmigO, EN Mei-Mäme. 

+ Parä, s. f. mesurede conienance ACeylan. 

T Pınä,s.m. (8. de geog.) Para: ville, ri- 
viere du Bresil. 

Pıraseu, 8. m. "felicltation, oompliment de 
eongralulation. Dar —ens, föliciter, compli- 
menter. 

PırisoLıA,s.f. parabole : allegorie , simili- 
tude dans IBrangile, qui envoloppe une verite 
importante ; Ti. de gdom.) courbe qui n'est pas 
rentrante comme le oerofe, formeöe par la sec- 
tion d’un cöne par un plan parall£le & son cöıe. 

ParasoLinos, 5. m. pl. parabolains : les 
plus hardis des gladiateurs. 

PARABÖLICANENTE, adv. paraboliquement. 

PARABÖLICO, A, adj. parabolique : qui ren 
ferme quelique parabole ou allegorie ; de la ps 
rabole, courbe en parebole. 

PARACENTESE ou —sıs, 8. f. (ti. de chir.) pa- 
zacentöse : ponciion au bas-ventre, etc. 

PARACHRONISNO, 3. m. paraehronisme : ef- 
rear de date, en relardant une &poque. 

ParacLeTeir, o.n0. (. burl.) souflier ä quel- 
qu’un ce qu’il doit repondre. 

PARACLETICO , 5. m. Paracl&tique ou Invoca- 
wire, livre d’office grec. 

PanacıEro, s. m. Paraclet: Saint-Beprit, con- 
solateur. (1. burl.) Souflleur, qui souffle ce 
qu’on doit dire, 

PanricLito, s. m. Paraelet:Saint-Esprit, con- 
solatenr. 

Panacuästico, A, adj. (t. de med.) parac- 
mastique : (fievre —) decroissante, qui dimi- 
Due, 

Paripa, a. f. stallon, sejour. *Lieu oü l’on 
s’arrete. Fin, terme, e. Pause. *Endroit 
oü l’on rassembie les troupesux. " Relais. Cou- 
che, mise : somme qu’on met sur une carte. 
Parade : montre que font sur la place les trou- 

s qui vont monter la gerde. (li. de man.) 

arade : arröt d’un cheval qu’on manle. Aug- 
mentar a, couvrir la mise. — debräda, dot- 
ble enjeu. Bobrer a—, faire un alplou, dou- 
bler la mise apreös Yavoir gagnee, faire va-lout. 
— dum cdo, arret, Yaclion d’un chien qui 
s’arröte. Fazer —, [aire une station, Se repo- 
ser quelque temps. Corrida de cavdilo e — de 
sendeiro : on le dit d’un homme qui commence 
avec ardeur, et quali se ralenäit lout A coup. 

Panankıro, 3. m. Hau oü l’on s’arrete. (fig.) 
“Fin, terme, borne. Lieu od quelque chose va 
so decharger ou aboutir. 

PARABICHA, 5. m. paradigme, exemple, mo- 
dele. 

Paripo,A,P.p. de Parär. adj. Arreie ; sus- 
pendu, interrompu. Oisil, desauvre. O me- 
Ikor, o mais ben —, ce quiil ya demieux, de ' 

plus assur6, etc. Negocio dem ou mal —, al- 
faire en bon ou maurvais &tat, qui prend une 
bonne ow mauvaise tournure. Ficer —, s’at- 
röter, oasser d’aller, de Marcher, de faire. 

Pananen, 5. m. :V. Apperedör. Jousnr qui 
joue gros jeu. ‘ 


gys PAR 


Pızanbuno, V. Paradise. 

Pırunöxa, V. Peradozo. , 

PanınoxäL, adj. 2 gen. paradozal : quitient 
du paradoxe, qui l’aime (assertion, esprit—). 

Parınöxo, 3.m. paradoxe: proposition cOBr- 
traire ä l’opinion sogue, proposition speeicuse, 
mais fausse, 

PıranöxO,A, adj. paradoxe, paradoxal, in- 
croyable. 

t Pınapoxisuo, 3. m, paredoxieme ı Ügure 
de rheiorique qui consisie A reunir dans un 
möme sujet des attribuis tr&s-oppos6e. 

Pirıro. V. Perdgrapko. 

+ Pina-röo0, s. m. ecsan : sorie de meuble 
pour garantir de l’ardeur du fen. 

PARAFRAKE ‚ots. V. Peraphrase, elc. 

Panarusaoön, A, #. celui qui visse; (Ag.) 
pensif, qui medile, qui zöve, ale. . 

Pandrusin ‚v. a. visser, autacher avec des 
vis. o. n. (4. burl., Eise ponsil, mediter, rever, 
Fuminer. 

Parardso, 6. m. "vis ı piöce cannelde en spt 
rale, entrant dans un derou. *Ciof de pressoir. 
— de elevapde, (1. de mar. vis do pointage. 

Paracänas,s. f. pl. * biens foodauz sur- 
chargss de ceriaines obligalions en tempn de 
paix et de guerre. 

*Pırackö,nm. V. Comperagdo, Semilkangs. 

Pınäcsn, a. /. "parage : enpace de mer oh 
se trouve un vaisseau. "Lieu, situation, em- 
droit, plaos. * Bite (on peintere). 

PınÄcoce,s.f. (tl. de gram.) paragoge :cham- 
gement dans le matsriel d’un mei pas une ad- 
dition änale. 

PanicnAarno, 8. m. paragrapbe : petite 200- 
tion d’un discours; marque qui !’indique ($). 

+Panastir, s. m. (6. de gdeg.) Paragusyıri- 
vitre, province de !’ i msridionale 

T Paxıina, 5 f. (l. de gdeg.) Paralba ı 
vince du Bresil. 

"Paniimtxtss, pour Repearei (remardguez). 

Pasıiso, s. m. paradis : jamlin deliciguz; 
lieu ıwös-agreable, oü Fon os heureaz ; scjeur 
des bienbeureux. — lorresi ou lervesire, pa- 
radis terresire : Jardin deliseiser od Dieu mit 
Adam. —colssie , böatitade elornelle. Ave de—. 
V. Manuoodisia. Avvore de —. V. Agtosaste. 
B um arremedo ou imagem do—, sen un petit 
paradis. 

PınaLztiao,s. m, "meule du swere, 

ParıLIPönusnoN, 9. m. Peralipemömes ı liure 
de la Bible; sugpläinen: ass livres des Bois. 

Pırarısin,etc. V. Parelpar, eis. 

t PanaLLicssco, A, adj. parallactigee : de 
la parallaxe. 


pre- 


Parsızize, 9 f. (h d’aslr.) ae: a 
ctleste compsis entre lo en vos ale se 
apparent d’un asire ; vate apparikienn. 

araLhirıce, V, Parslisehleo 


+ Prasuutusa karız „ade, paraliöiement, em 
par ®. 

Pırnuıuauwiruee, ». 0m (£ de giem.) pasal> 

ı sefide (emzalad par ein pazuiktie- 


is e8 dgaux deux & deux. 


Panass.usisnte, 0. a umslölune ı dei de 
deux lignes ou plans pasalldies. 

PansLniLo, 3. mu. perallöie, comparaset. 
=, pl. parnilöles ; oeroles peralities 4 Fogue- 
tour 


PıraLıtıo, a, adj. (d. de geem.) pazelliie: 
(ligne, surisee-—), sgalement distenie dm 
autre dans Ious les points. Aemblable, eure 
pondant. 

PARALLELOCRÄNO, 8. me. (4. de gäsen.) pasık 
ltlogramme : ügure plone, & ebtbs eppanis pı- 
ralidles. 

ParaLocis#o, s. m. paralogitune ı fauı su 
sonnoment par igrrorante »differn da sophiumi. 

+ Panarocızka, 9. w. (size um paselsgiuit, 
persuader par de fausses raisons. 

+ PasiLra, 5.2 gen. petilmalire, öldgam, 
eoquet. 

+ Pakirrviume, s. m. balatrom : libeztin, d4 
baucht. 

PARALYSÄR, c. 6. paralyser : rendre paraly- 
que, (Ag.) de nel efiet, sans forasz mebir 
inutile. 

Pararvsis, 8. f. paralysie s privalbes, dis 
nulion considerable da dentimmemt cu du Mnt- 
vement. 

PanaLr'tco, A, adj. peraiytigus ı qui 
atteint de paralysie. 

+ Panauäcıo, s. m. (f. E’Iolst. aa.) perzmb 
cio : ver Infuseiwe, plat, eßleng- 

PıARANENTÄD®, A, 9. p- 68 

PanaNKHTÄR, 0. 8. OrBtr, paser, dis & 
tapisseries, etc. 

PARABERTÄR-SE, 9, F. 50 PATER, So WR Ir 
chement. Aev6tis des hablıs sasendeteun 

PARAHENTO,s.m.omement, "Teens, 
6aparagon, couveriure de cheval, Tout ee 44 
sert ä courrir quelque chose. * Moulsse de U 
Bouche du mortier. (ani.) Regime ‚ admlinisirt 
on. —s sacerdolaes, ornements, habils sıett 
dotaux. 

Pırizerro, s.m. (I. de gdom.) pammilt: 
ligne consianfe et invariable qui emize dam 
l’6quation d’une courbe, 

Pirauo,s. m. " berrie ow ande : onıhpagps 
deserte, plaine inculte,ouverte A tous les TEnlk 
( ig.) Endroit inhabite et irts-froid. 

*Pıninca. V. Paramentie. 

Pırancönä, adj. f. Lettra —, (L. ding) 
*parangon : caractöre d’imprimerie. 

Pınince, 5. m. (1. d’4sie) enıbarcalen 
charge. 

Pınanomissa, s. f. paranomasie : resstii 
blanee enıre denr mots de Atlfitremtes Tanguer 

PARANTE. V. Ante, Perente. 

Panunr'weus, 5. f. delle gut uhdumnet it 
marice dans io nis 68 ion Apex. (PR 


o©. 
Panssrarmän, ©. @. ae wo 
dans ua parauympbe. V: . 
Parswr'armnos, 2, adj. du garanyinpbe: 9 
coucomwe fes " 


open. 
Pananv'urnd, 0... : Ode el 
obes je Temeins, pa al 


“un. wis vu... . 


PAR 


son dpowt , ow tolui qui ia mıdne aujeusd'hui A 
l’eglıse. Porieur de bonnes neimvelles. Orateur 
gei fait un diseeurs & louveriure de la H- 
cence, eto. ( ig.) Protecteur. 

Pınko, s. m. (1. #’Asie) parası sorte de be- 

timent de guerte. 

Pınapina,s. f. quadrapede de lilo Maroupe, 
dans la rivitre de Sofala. 

Panariuma, 5. f. trempette des Caires d'un 

son horribie. 

+Parardıtäno, a, ad). garni de parapeis. 

Panarttto, 6. m. (L. de fort.) parapet : ele- 
vation au-dessus du rempari. — do eusiello de 
pr6a, (8. de mer.) {ronteau du gaillard d'’avanı. 
— da tobda, fronieau du gaillerd d’arriöre. 
— do tombadilho, fronteau de la dunelte. 

PanırBennät ,adj.2 gen. paraphernal. Bons 
—ss3, biens paraphernaux, que la femme se 
reserve , qui ne font pas paftie de sa dot. 

Parnarmmösıs, 5. f. (l. de mdd.) * parapkimo- 
sis : gonflement du pre&puce, eiranglement du 
gland. 

Parärkkase, s. f. paraphrase : expliestion 
etendue d’un lexie ow de sa traduciion Hitte- 
rale. j 

PARAPHRASEÄDO, A, P- p. de. 

ParAPBRASEÄR, ©. a. paraphraser : faire des 
paraphrases; eiendre, amplißler par le recit. 

PARAPERASTA O4 —TB, 6. m. pataphrasie : 
interpr&te; anteur de parapbrases. 

Pırarnkästico, A, adf. paraphrastigue, pa- 
raphras®. 

+ Pırarrecha ou —xla, ao. f. (f. de mid.) 
sarapligie, —ıie: peralysie de tout le corps, 
a i#te exceptöe. 

Pıxaguk. V. Para et Que. 

Parir, v. a. arreter, rotönir: ernpöcher d’a- 
gir, de se mourelr. Parer, &viter, deioarner an 
coup , ote. Ponter, coucher : metite de Fargent 
sur une carte contre ie bangquier. Arröter le gi- 
bier, 
eberaf teut eourt. Disposer, preparer (P. 48.). 


Maltraiter (inus.). Payer (#d.). — oe edehe, faire | 
‚ser! ıo 


arreter son carfosse. — 
son attention sur une chose, y reflechir. 
Pırin (s, em), v. %. s’arreter. Abontir, ten- 
ire , arriver A un lerme (prop. el fig.). Tomber 
515 rentrer au pouvoir de quelqu’un apr&s aveir 
passe par plusieurs mains. Finir, cesser, s’a- 
rhever. Arriver, tourner, finir autrerment gu’on 
be pensait. Ndo sei om que parard ou em que 
rir6 — qsle negocio , je ne sais ce que deviendra 
seite affaire, ou ce que tout ceci deriendra. 
um mal, ou ndo — em bem, Ünir mal, faire 
sne mauvaise fin. Ir— a, avoir un but deter- 
nine, aboutir &. Ndo —, akir avec ceHrite. Ndo 
poder — , n’sroir peint de repos, polut de 1&- 
äche. Sem —, sur-fe-champ, sans deli. Fr — 
aa forca, finir par &tte pendäu. Em que pa- 
rdrö&o as victorias de NapoledöP? que somt de- 
venucs }es victoires remportees par Rn ? 
Onde parurdd seus projoctusP oh $ 
.. pie: Em qug virei ua — ? que deriem 
Mn ® - 


rlant d’un chien d’arret. Arröter un | 





PAR sy, 


Panısäneı, 8. f. pazasunge ı mesmse Iind- 
raire chez les Perses; 30 stades gze@s, #R- 
viron 2,834 toises. 

PaRascHYE, 5.0. paraschve : preparation da 
sabbat;vendrediarantie sebbat; vendredi-saimt. 

PARASELENE, 8. f. (ti. dasir.) parastlöne : 
image de la Iune röflechie dans um nuage. 

T Parasita, adj. f. Plants —, (1. de bei.) 
plante parasite , qui vegöte sur ume autre. 

Parasitico, A, adj. parasilique: da para 
site. 

Pırasito, s. m. parasite: deermißlenr, qui 
fait metier d’sller manger & la table d’auttui. 
adj. V. Parasila et Parasiliro. 

Pınistata. V. Prostele. 

Pınati, s. m. petit polssen de Bresil. 

+Parıtırıa, s. f. "paratilles: exrphieetiom 
de quelques livres du Code ow du Digeste. 

+ PanıtırLar, adf.2 gen. paratitisire: qui 
enseigne les paratities. Os —res, s. pl. pars- 
titlaires : auteurs des paratitkes. 

ParavänTE, 8. m. (}. de mar.) avant d’un nna- 
vire. 

+ Paraväs, s. m. pl. peuples de finde. 

“+ Pariver, adj. 2 gen. aid & obtenie, ä 
avoir. 

PARAVENTO, 8. m. paravem. 

*Pıravon. V. Palaora. 

Pirca, s. f. (t. de mytk.) Pareae. Seien es 
pafens, chacane des divinites qui ir 
la vie des hommes. (podt.) Le Parque, ia weit. 

Pırcaminte, adv. avec economie; ehleltt- 
ment, avec &pargne, avec avarice. “ 

*Puncir, 9. 9. S’associer. " 

Pıncanla, s. f. societ#, eompegnie, asusels- 
tion pour un interet commdn. 

Pınczantia. V. Parrarte. 

Pırckıro, A, 8. ats0cie are d’autres you 
un Int6r&t commun. Amodieleuf. Co-intörsust. 
Compagnon. (4. dejeu) Partenaire. " 
PınckL, s. m. bas-fond. 
PırceLipo. V. Aparcelade. . 
PırckiLa, s. f. parcelle : pette partio E’uw 

t 


ut. 
Pıxcerlı. V. Pargarte. " 
Pincne, e. m. petit emplätre,, mieuche , zu00g 


d’tpiihöme qu’on appfique aux lempes dam ie 


c#phalalgie. ‚ 
ancrir, ad}. 2 gen. parliel : qui Fakt partie 
d’un tout. Partial, partisan : celu! qui se BM- 
clare ouvertement pour une peisenue, puür 
un parli. : 
Pırcırrmäpe, s. f. pertieiis, attueheumdnt 
aux Intörets d’un parti.Partl, faetion , IRu®. 
PARCIALIDÄR-SE, d. Tr. suivre le partie... ”- 
Pıncıarızackö, s. f. actiott d’aröie de a par- 
tratite. 
Pancıalızin, v. a. aroir de iu yarlaittı 
sulvre ouverienent un parli ; üretse du 14 wär- 
we. . 
$Pırerkiwiwre, af Partiaicient : wmb 
ne 
d. 1 
Paxcnwöna ; 0. fi Masdnnakle ‚ Qvuiklante: " 








876 PAR 


Puncıowbine , A, adj. qui a pari A une chose. 
V. Pareseire. ' 

Parcissı#o , A,ady. sup. de 

Pinco,A, (em), adj. eeonome, menager; 
cbiche , mesquin. Sobre, frugal. 

Panpäco, A, adj. noirätre, gris. 

PırpiL,s. m. moinsau, pierTot, passereau. 
— monidx , [riquet, moineau de bois. 

Pınpio, s. m. " monnaie de l’Inde, deux 
francg environ. 

Pınpir,v. a. rendre obscur. v. n. Devenir 
gris. V. Perdear. 

+ Paapein, 0. m. paralire gris. Faire som- 
bre, obscur. 

PırptıLHa, s. f. petit peisson. 

PınptLuas, adv. ou inierj. (duri.) per ma 
foi, en verite. 

Pınotz. V. Pardöihas. 

Panpıtino, 5. m. * masure, bicoque. 

PARDiLyO 0% —DINNO, A, adj. dim. do Pardo. 
Roussätre, gris cendre. 

Pinnpo, A, adj. gris , brun. Sombre, obscur. 
Homem —,, mulätre. 

Pinoo, s. m. V. Leoperdo. 

Panpöca ‚s. f. Ja femelle du moineau. 

Pırposo, A,adj. brun, gris de fer. 

+ Panpüsco, A, adj. gris clair. 

Pinzas,s. f. pl. arriere-Saix, delivre, se- 
oondines. Tribut pay& par un prince, un Etat 
& un anire en reconnaissance de suzeraineße. 

Panzcauta (V.Similhante), p. a. de Parecer. 

Panzctn, s. m. seuliment, avis, opinion. 
"Mine, physionomie. — de neg les, p&a- 
rere : avis, sentimenis des negociants sur des 
questions de commerce. Ser mılilo do seu—, 
abonder en son sens, @ire Irop allach6& & son 
opinion. Sow de — ‚je suis d’avis que. Sow do 
mesmo — , je suis du m&me avis; j’en domeure 
d’aovord. Todos sdo do mesmo —, lout le monde 
en convient. 

PareEc£n, 0. ».paraltre ,semonirer. —, sem- 
bier. En ce sens, il ost impersonnel.—, donner 
des marques de co qu’on est; avoir l’air de; &ire 
conveneble os non; aller bien ou mal; avoir 
Bonne ou mauvaise apparence. — bem ou mal, 
pisite om deplaire. — bem, &tre bienstant; 
aller bien. Como Ihe pertra, comme il vous 
plaira. Como bem ou melhor Ihe par ra, comme 
ben lui semblera. Ao que parece, segundo pa- 
roce , apparemment, selon les apparences. Pa- 
r6eo que, il parait, il semble que, on dirait 
que. Como Ihe partce issn P que pensez-vous de 
eela? Ndo 6 tdo desgragado como par£ce, il n’est 
pas si malheureux quiil eu a l’air. Quer-me 
-s ,ilme semble. 

Panscka-s& (com), o. r. se ressembler, &tre 
ressermblant, ressembler ä. Paraltre, se laisser 
veir, se montrer (pP. “s.). 

PARECEDISSIMO , A, adj. sup. de 

Pırzcino, A (com), p. p. de Parecer. adj. 
Ressemblant. De bonze ou Mmauvaiso mine. 
Bem — bean, qui a de Jolistraits, bei homme. 

Panzoiö, 3. u. aug. de Parede. Grand mur, 
mur-maltre ou d’appai, grosse muraille. Om le 


PAR 


dit surtout des murs qui resieni sar pied apris 
la rauine d’un edifiee. 

Pantoe, s. f.° mur, murailie. Faser —, » 
ranger en haie. — em meio de, alienen! i. 
tout proche, joignant. — em mieio ou meis, 
mur mitoyen. (g.) Voisin, proche.— secarpe- 
da , mur en talus. — möstra, malise mut, ga 
mur. Levdr d —, (fig.) melire quelqu'un au 
pied du mur : ie r&duire & nesavoir ges rep 
dre. Pör os pds d— , resister, s’oppeser lorie- 
ment, regimber, s’entöter. As —s lem olkos, 
tem owvidos, les murailles parlent, los mars 
ont des oreilles. Arrimar-se de —s, so lest 
aux murs, etro ivre. Enire quelro —s, can 
quatre murailles. On le dit d’un hemme reise, 
qui ne voit personne. 

Pınepeıao. V. Perdisiro. Plents —e, (adj. 
V. Parietaris. 

Pıreninsa , die. de Partde. 

Pankoro (pP. us. ). V. Assessor, Diver, 
Conselheiro. 

Pırecönıco ‚A, adj. (4. de mdd.) paregori- 
que: qui calme, apaise, adoucit ( remede)‘ 
anodin. 

Pırtıa, s. f.* palron, &talon pour la gran- 
deur des pipes. 

Pırtına, s. f. paire: assemblage de dest 
choses pareilles. Couple de chevaliers veis. 
armes, montes de ımeme dans un carrostt. 
etc. *Altelage de chevaux, etc. Chose enltt- 
ment ressemblante. —s, pl. * doubleis : au jea 
des des. Deilar —s, amener un double s 
trictrac. Correr —s, courir & cheval ä lat 
l’un de l’autre pour se devancer. Aller de pet, 
disputer le prix. A — , loc. adv. Allemri. 





Pırtıno, A, adj. pareil, egal, semblabk. 


Por —, pareillement, semblablement. 


Pantiso, s. m. parslie : image da soleü Ir 


Nöchie dans un nuage. 

Paaäuıa, s. [-" proverbe,, sentence vulgaltt- 

T Panancnzwa, 8. f. (4. de bei.) ’parem 
chyme : moelle , pulpe des fruits, des planies; 
(4. d’anat.) substanoe propre de chagueri 

Parznise ou parenedse: discours mer; 

Pın£ngsıs,s. f.) oxbortation & la verte 

Panenerıco, A, adj. parenetique: quiarap 
port & la parendse, & la morale. 

Pırzuquyrma. V. Par 

Par£nTä, 5. f. parenie. 

Pırentino, s. m. V. Parentelle. adj. \. 
Aparentado. 

PırentiLua.V. Porenlelle. 

Pırtnte, A,adj. ei s. parent, proche. Mir 
haver, ndo ter — pobre, depenser son bi 
sans meönagement, sans diseretion. 

PaRERTEiR , 0.8. ( — com alguem) re M* 
rent de quelqu’un ; traiter quelqu’un de part 

Parauteıno, A, adj. qui aime ses 

PaRENTELLA, 8. f. parentele , parente : 106 
ses parents. \ 

PAREnTEsco, 5. m. "parentd, oonsangeinilt; 
alliance avec les oonsanguins ; qualit6 de Pr 
zent. 

Panünruzsıs, 3. f. parenthöse ; mets, pbr2" 





PAR 


fermıni an Sons .udpard au milien d'une autre 

phrase; qui les s6pazemt ( ). . 

: Pisso em Pänıo, 5. m. jou de la course. Prix 
de la esurse, 

Punfaco, 5. m. ornement ajoutd. 

Pinzs , pl. V. Per. 

Pinoa,s. f. meule de paille, etc 

Pıncäna. 

Pisco, s. Er hist. nal.) spare : 
bolobranche, 

Piruas. V. Parsas. 

Pıripa, s. f. accouchse, femme qui vient 

Taccoucher, femme en oouches. 

Panınäpe , s. f. parite , comparaisen. 

Pırıpkıra, adj. f. föconde. Se dit des fem- 
mes ot des feinslles d’auimauz. 

Pasıpöaa, 8. f. * aocouchement; action d’ac- 
coucher. Gesine : couches , leur duree. 

ParıgTäzs, adj. m. pl. Ossos —,(t.d’anat.) 
pariötaux, os qui fesment la par sup6rieare 
et laterale du oräne. 

PARIETÄRIA, s. f. (4. de bet.) paristaire : : 
Hante qui orelt sur ou eonire les murs. — do 
reino. V. Alfavaca de cobra. 

+ Paxiwönuz, adj. 2 gen. de facon parellle 

ou semblable. 

+ PaARIFORUSMENTE , adv. pareillement, dga- 

leınent. 

+ Panıtrpäne, s. f. 6galitö, ressemblance. 

Pinto. V. Pdreo. adj. de Paros (marhre). 

Panin, v.a. accoucher, enlanter. Metire bas, 
parlant des femelles des animanuz. (Ag.) Enfan- 
ter : produire, donner naissance. — um mewi- 
no, uma menins, accoucher d’un gargon, 
d’une Alle. Andar, estar em dias de —, &iro ä 
la veille d’aocoucher. Por a—, (fig. fam.) pres- 
ser, serrer de pres. 

PARni1siTico, s. m. arbre triste de PInde. 

+ Paxıstra,s. f. (6. de bot.) parisette : herbe 
& Paris, raisin de renard, plante. 

+ Paxiz, s. m. (8. de g6og.) Paris: capitale 
da royaume de France. 

PaurrzeıLa. V. Pariseia. 

PaAnızıönse, adj. et s. 2 gem. Parisien : de Pa- 
ris. a. m. Parisis, monnaie battue & Paris, 

+ PanLauentin, adj. 2 gen. parlementaire : 
du parlement, qui concerne le parlement. 

PABLANENTÄRIO, 5. m. pariementaire: per- 
sonne Os vaisseau envoy& pour parlementer. 

PARLANENTEÄR, ©. m. parlementer: faire, 
6couter des propositions pour rendre une 
place, elc. 

PaaLınteto, s. m. parlement : assembiee 
des grands de !’Rtat pour juger une affaire eon- 
side6rable; assuomblee des deputes en Angle- 
terre; -autrefois, en France, cour souveraine 
pour rendre la Justice, enregistrer les edits; 
sa juridiciien , son ressort, durte de sa ses- 
sion. ” Harangue, discours public. "Conference 
militaiee. 

Pıxranraöis. V. Palenfrörio. 

+ Pastinpa, 8. f. (fom.) barangue et- 
Hh,uyouse. 

Panuströr, 5. m. parloir de oouvent. 


peisson 


PAR TR 

Paare, V. Beirsiro. 

Pauızzia. V. Paraiysia. 

FPänua, 2. f. (1. de gdeg.) Parme: ville, 
duch6 d’Itelie. - 

tPanuazid, adj. et s. Parmesan : do Parme. 
Queijo — ‚ parmesan, fromsge de Parize, 

Pırwiseo, A, adj. du Parnasse, qui con- 
cerne le Parnasse, 

TPaawässıa, s. f. (f. d’kist. nal.) " parnas- 
sien : inseoie Iöpidoptire, papillen. 

PaRNAsO, 8. (4. de myth.) Parhame : 
ment .de la Phocide, oonsacre A Apollon et aux 
Muses. 

Pan, V. Pardo. 

Paröcamu, s. f. paroisse. V. Frögussia. 

Panocaikt, adj. 2 gen. pareissisl : de ia pa- 
reisse, 

f Panocmmaımäpe,,s. f. “droit paroiseial. 

PAROCHIÄNO, A, 8. paroissien : : habitant d'une 
peroisse. 

PAROCHIAR , v. 6. et». exercor le ministöre 
des <ur6; fsire les fonctiens'de tur. 

Parociswo. V. Parozismo. 

PäRoco, 3. 0. cur6 de paroisse. 

Parönıa, 3. f. parodie : imitallen ridferte 
d’un ouvrage de litteratdre serleuz. 

Pıropsär, v. a. parodier: feire une paredie. 

PınösIc0, A, adj. paradique : de !a paredie. 

Panopista, 5. m. parodiste : auteur dK’une ow 
de plusieurs parodies, 

PınöL, s. m. " baille pour le suore. 

Paröra ‚3. f." babil, caquet. V. Labie. 

PanoLsnöR. V. Paroleiro. 

ParoLicEN, 5. f. (fem.)* bavaräage. 

PanoLiR 08 babiller , caquetee, bavar- 

PAROLRÄR,Y.®. der. 

PanoLkıno, A, adj. grand parleur, Taqee- 
teur, babillard , bavard. 

PAROLENTO. v. Paroleiro. 

PaxroLim, 3. m. paroli : dosbie de ia pre- 
miere mise su jeu du pharsen, etc. ; voriw6 
faite A la carte sur laquelle on jone double. 
— oolanie , paroli de campagne. 

+Paxontatsa, s. f. (t. de bot.) patönique, 
herbe aux panaris : plante. 

Pıronouäsıa,s. f. (f. de rhöt.) paronomase : 
figure de diotion qui consisie & r4unie des hko- 
monymes ow des paronymes. 

+ PırönyYmo, s. m. parenyme : mot qui a de 
Yaffnit# avec un autre par som tymologie, sa 
consonnance. 

+Piros, s. f. (t. de gdog.) Paros, uno des 
Cyclades, renommee pour ses marbres. 

Panörıpa , 9. f. (f. de chir.) parotide : glande 
au-dessous de l’oreille ; tumesur, oreillon de fa 
parotide. 

Pıaouviıra. V. Parvoioe, Tolies. 

. Panoxismo, s. m. (fl. de med.) paroxysmms: 
accds, redoublement, temps le plus fächeux 
della maladie. 

Pinrano, s.m. V. Pälpebra, 

. Paapıtina. V. Barbatene. 

Pizatg, s. m. parc : grande otsadee de beis, 
de terre, entourde de muts, ute. — d’arsälle- 


880 PAS 


Pıxvolcg, s. f. sottise, 'betise,, niaiserie, Im- 
beeillite. 

ParvoInno, a, adj. dim. de Pareo. Petit sot. 

Parvorez. V. Puerilidade, 

PäarvoLo, s. m. petit enfant. ( Ag.) Simple, 
innocent, facile & tromper. Hambie, bas. 

Pascha. V. Pastlar. 

Pascisıos, s. m. pl. Lingua de —, langage 
alfecis. 

Pascka, 9. 6. et n. paltre, manger, parlant 
des bestiaux ; brouter. 

Piscnoa. V. Pascoa. 

Pıscico, s. m. päturage. V. Paslagem, Pasto. 

TPascıcöso, a, adj. od il ya des päturages. 

Piscoa, s. f. päque: föte solennelle des 
Julfs; föte des chretiens en memolre de la re 
surrectiion du Saureur. — do Espirito Santo, 
Pentecöte. — da Netividade , No&l. Estar como 
uma —, (fam.) @ire gal de bonne hameur. 
Sanlas —s, soit, äla bonne heure, je le veuz 
bien. 

PıscoÄL, adj. 2 gem. pascal : de la föte de 
Paques. 

f Pascoir, v. n. celebrer la PAque. 

Pasco&ra, s. f. * Quasimodo, le dimanche 
apres Päques. 

+ Pasuackına, s. f. ’badaudagp, badauderie, 
ebabiasement. 

Pasuioo, A, adj. stupefait, surpris, etonne. 

a 

Pısmän, v0. a. &tonner, rendre stupäfait. 

Paswär, v. n. se pämer d’admiration, de- 
meurer interdit; pämer, tomber en döfaillanoe. 
Kıre etonne, surpris; s’&tonner, #’tbahir. 

PASmATÖnIA, s.f. surprise , admiration 

Paswatönto,s.m. | sans fondement. Rba- 
hissement stupide. 

Pisuo, &. m. " pamoison. ( fe 
stupefaction. (id.) " Merveil 
nante. 

Pısmösamente, adv. A ravir, avec 6tonne- 
ment, avec admiration , &tonnamment. 

Pısmöso, A, adj. ravissant, merveilleux, 
€ionnant. 

+Pısörıe, s. m. (t. de bot.) * anserine du 
Mexique, vsig. Pambroisie ou the du Mexique. 

Pısquis, s. m. " pasquinade : placard satiri- 
que affiche. 

Pasgrınäpa, s. f. V. Pasqwim. 

PasQauino,s. m. pasquin : statue mulilde & 
Rome, & laquelle on attachait des placards sati- 
riques. 

Pissa, s. f. ” raisin sec, jubis, passeville, 
passes, raisin sol ou sor. — de figos, de peros, 
do pecegos, d’ameizas, des figues, des pom- 
mes-poires, des p6ches, des pommes seches. 

PassacüLPpas, s. m. juge ou conlesseur trop 
induigent, qui a la manche large. 

Passiva, s. f. " pas, enjambee. Action de 
passer : passage, passade. Demarche. De —, 
en passant. Dar —. V. Tolerar, Permitir. 

Passaptına, s. f. pierre de passsge mise 
dans un ruisseau , dans un bourbier, etc., pour 
aider A le tfaverser. * Passoire pdur je suere. 


.) Rtonnement, 
chase surpre- 


PAS 


* Gonlant. — de vodlsas , "beuiet.persul- 
örer as balas, ienotte ä eslibrer, passehseint. 

Passanßıno,e. n. (ausse porte, peilt passagt 
derobe. 

PäAssa-Dfr, 3. m. pamso-dix : jeu de.dis. 

Passanico, sm. pa eiroit, oaenidet, 
salerie , allde qui traverse. Passage de hohe: 
pendu sur une rue pour oonıkeniguer de 
edifice en un autre, ele., pont, schalned de 
bois. (ig. fam.) Rapporteur, espien. 

Passanico, a. V. Transtiörie. 

Passin0,a,p. p. de Passer. alj. Pusst. - 
de periea parie, perc6 de part en part, dor 
tre en outre. — de dor, navre de dsuleer. — & 
frio, saiei de froid. un sol, stehe au voll. 
No mes proximo —, dans le 'neis prockait- 
ment passe, Ficer —, etre saisi..O —, par 
do , s. m. le passe osı passe. 

PassaDOR, 4,5. velui qui passe, qui ram 
porte d’un Heu & un autre. Contrebandier : ot- 
Iui qui passe des marchandises en frau. 
Trait d’arbaldte ; javelot. Poingon, insiramast 
pour percer. Passeir, lacet. Anneeu ds 





sangios de la selle. Coulant. Rapperteur den 


pos ow de nouvelles. (8. de war.) Tressille, 


&pissoir. — de martello , (id.) nertuau & pi | 


sor. 
PassaDöR, A , adj. qui traverse, qui peret. 


v.Pp 
Passizs, s.m. pl. V. Papal. 
PASSAGBIRANENTE, adv. passagerement. 


+ Passapötnos, s. m. pi. pierresdepamag 
assadeira. 


Paszackıno, 5. m. PaSSager, voyageur; Pe | 


Passackıno,a, adj. passager : de peuden 


roe. Temporel, perissable. Passant : par ed ıl 
passe beaucoup de monde. Passagar, dep" 
sage : se dit de cvertains olsesax. Löger, 
important. 

PassicEn,s. f. "passage : action de pasmt: 
llea par ou l’on passe; anderoit alle d'wm 8 
teur.” Passage de musique. —, peage: &# 
qu’on paye sur en pont, une berquwe, ei." M- 
cueil, traitement fait A un voyagene, sur 
sar mer.‘ Droit de passage. V. Passide. De-. 


en passant, chemin faisamt ; Iegerement, di 


bate. Abrir —, se faire jour, se faire puma! 


et ouverture. Dar —, laisser io passage Bl 


(Ag.) Faciliter les moyensde roussir. 

+ PissaLo, s. m. (4. E’hist. nat.) pamelit 
col&optere. 

*PıssiL,s.m. pas (mesure). V. Pepsi. 

PASSAMANAR, U. &. passernemier ; chamar 
des passements. 

+ Passamanania, s. f. passementeric : af. 
commerce, etat de passerhentier. 


+ Passamanfıno, 5. m. passemanler: 


[sit et vond des passements. 
PAssaNÄnEs, 3. m. pl. Passermenis ı auvIäf! 


de passementieor; Uissus plats ei pen Jargs 


vanı d’ornement. 

° Passamantz, ade. sans bruit, tost bes. 
 PassauAuto , s. m. la mort, Io daznist 90° 
pir, l’sgonie, lo ir&pas. 








.. 
Me  TY 


PAS 


„yPassamdaon, 5. m, puros-mauraille : sorts 
densien canen o 

DısintE,P. 0.de Passir. Animal —, (4. de 
bins.) animal passant. s. me. Rüpstiienur de sel» 
Itge. Religieun qui, audertir de son conss d'6- 
tundes, travailie dans V’attamte d’ute ebaire. — 
de, ade. au delä ; plus de. 

Passa-PALATRA, 8. f. Passe-parole. 

Pässe nad, s. m. tour de gibeeiöre, jou de 


Passartııo. V. Rospelle, 
PassarüRTn, 6. 6, passepett : pammiission da 
‚de woyager lührement. /Ag.) Powweir, 
defajre une ohese, 
Pısaln (a,de,enirs, para, 207), u n. Pa“ 
ser : aller d’un lien, d’um endreit, d’un @ire, 
den Etat, 4 au dans un autre ; traverser l’es- 
paoe entte dems. Passer devant, atois le pas. 
— ‚ cauter, conrir d’um ondreit & um auize.Pas- 
ser d'un discouss & un autse,, changer d’enire- 
ten. Dasser par difförents grades ou emplois. 
— „monier d’wne olasse A une suptrieum ; # 
eouler, pariast du temps; s’ttendee d’un lieu A 
un auize, parlont de la peste, eic. So ohanger, 
se conteelir, dagensrer en.-—, Mauris, expirer. 
Valoir , avoir du debit, parlant des maschan- 
dises. Passer & , Changer de pbssesseur. Passer 
pour, eire repute. —, avoir cours, pamlant de 
ia muösnaie; Besser, se calımer. Rise passt par- 
“ devant tel ou tel nolalre, parlant d’en aste. Be 
aassar. On le dit de la maniöre danı les chames 
agrivent. —, & oprtains jeux de carte, ‚no pas 
jouer. (fig.) "Passer par la tdie, pur l’esprit. Se 
porter (kien ou- mal). Visse (ais6ment ou pau- 
wwmeni). — a dienie, nasser onmire, alles On 
avast. —adlanis dum nauio, (}. de. mar.) mel- 
(re un vaisseau de l’arridre, depasser un vain. 
seau. — a0 OU para @ indwigo,, passen du cAt6 
de Pennemi. — d’um eniade ou eondigdo a eu- 
tra, devenir, commenegz & &ive co qu'dn n’v- 
wait Ba. —os ‚a forcairas nupcias, 
convoler en secondes, en troisiömes n00886 ı 
so ramarlar deux ‚reis [eia.-—(daamo a oriedo, 
de cavallo a burro, (fam.) de malise devenir 
valet, d’övöque meumier. — por lonlo, passer 
pour imbecile. — por vsleonie,, por sabio , eic., 
avoir la röpulation de brave, de savant, elc.— 
de didrgo, passer ouire, Ha point sarröter. — 









PAS 35 


'p6ter & un 4solien sa losen, ots. Regener na 


legen. Parcourir un livre: Passes idgisament 
sur, lire & ia häte, etc. Feire scher Adels, au 


‚soleil. una ini ‚mm erulonn, ets., Fendse uno 


lol, unesdse, ato. a femape ‚passet-ie lemps. 
— pelos olkos , parcourin. khgdusmment: (umerris, 
08.) western, Inline !a.vorus , -PRSBES UM 66- 
vuo. — avise , mander, donner avis.«siper allo, 
taiss, omneitre, passen. sous allemeer  Imisodaire 
par oontrebande. -—di espeile oa tadmniges „ faire 
main basıe sur les ennemis, les passpr au al 
de !’üpee, ne pas fnire de guarlier: .- 

Passin-6E (A), %. v. emmbranner unduisogerli, 
passer & ’onnemi „eis. Paaser ı shlep dans quei- 
que’ endseit. Passer, ossaor, Amin Sg päasser : 
s’seonler, so dit du iempa; avois:iim. Sera- 
nouir; &treä l’agenie. Sosccher au saleil, par- 
laut des fruita. — da memorin , #’6chappen de 
la mdmeire, s’oublier. 

Massansı, 0. f. lemelle d’eissau, surtont a 
perdriz. Volmais—namdo, que abuire 
(prea.) ia moinesu pris vaut aisazqie Foie 
qui vole. 

+ Bassanisa, s.f. abendaneo ou enultitnde 
d’oiseaux. 

+ Passantıns , 2. f. V. Auidrio. 

Pıssartıno,s.m. aiseleur. V. Paserinhsiwo. 

Passaninua, 2. f. dim. de Pdssors. 4. Bate 


' de porc, et, par extensiou „des entsesanimaux. 


Tremer a —, (gras. vsl.) avois. grand’peur. 
Faser iremer a—, (id.) iniiuider, Seins peur. 

PASsanınHän, ©. 2. er ; Wndre des 
glusux, des Nlets, ein, pour prandre des 0i- 
soaux. 

PASSARINRÄO, 8. 7. oispleue : ‚la dont le 
metier est de prendee des. olsmuz en Diet, 
ots. ; qui aiıme coite ohasse. 

Passanınzllna, A,. adj. Aeemisux,, embra- 
geux (cheval). 

Passaniuuo , s.0. dam. de Pdssare. Disilion, 
petit oiseau. — masserdo , ‚oisesu-meuehe. — 
masarde medisere, rahistopaae. - eseardo 
winimo, le plus petit olseau-meuske. Ir-ss 
como um —, (fig.) mourir paisiblement. Cai- 
rem com calme 00-2, (fig) [airp ume chaleur 


©. .. 
Plesıno, s.m. oiseau, et surlout Petit Qj- 
seau. (fig.) Homme fin, ruse „adreit.— do sci, 
oissau du solell. Nor que les Chinois donnent 
a l'oiseau de paradis. Val mais — memio, eic. 
dssars. 


ger «lio, (fy.) santer par-dessus, omelise; | V. P 


pasaer sous milonce. B’iniredeire par conire- 

bande. des ‚depasser. Poder — som uma cousa, 

uweirse passerd'snechose. Passe V. M.mndito 
„potiezveas bien. 

Passir, v.@. passer, tea ‚conduire, 
trausmettre, conduire d’un lien A un autre. 
Outse-fasser : :allar au delä de, passer les ber- 
nes, etc. Passer & travers, percer, pöndtrer. 
— , surpasser ; soufrir, wweisrer. Passer ja vie. 
Passer und okese sur une auire, Iroller, eic. 
—, faire passer dass; opuler, Blirer une li- 
qeeur. Tais®, omeltre, passer spus.silance. 
Disstekuler : foidöre Kansmen. Esaliquer, Fer 


PORT. FR. 


.. 


+ PassanöLs, s.f. grand eisean, vo ei- 
seau. 

Passarkuro, Ss. ei. Passe-iomps, dirertisse- 
ment. 

PassavÄänte, #. m. poursuivant darmes, 8- 
pirsnt au grade de heraut d’armes : officier 
sous les herauts d’arımes,, 

Par@h ve, adj. 2 gen. passabie. 

t PASSATALÄNTE, s m. espöce do coule- 
vrine dun tit ealibre ;.Rasservolant ow 
canon de bois imitaut an canom de.hranze. . 

Pässe, 3. m. passe: permission de passer. 
Decrei d’uo jüge qui prompt d’executss la sen- 

" ” 56 





sus DAS 


PAS 


tencedun Kuwe jungs: pause, ic, Der war Dat OnnuEnD : Bean de days ginda.ci deni 


 , dimimweler 036 chende. 
+ Dass, ade. va, scht,yy sonscm. 
eis: . 


qui meh “ 
PuSSELBOEND, a We. * BERREIEDOT: PROBE 
Passalsirp, a tn USERS MERS 
empioi , dbssberst. (fu) Paindans, beteus de 
par&.da 9. de 


Passeir, ©: d. PUSmener: muunen ch eh |h, 
marober: duusemmmt (un vhevat, Ste.) «= &s 
ran , as dulyalas , 00 promiener dene los russ, 
batıre ig päreı Sairu m as runs, dee fastigk 
par ik mal de boursesu. + wın® amnz, eoue- 
User ube immo, falve !amıans. 

P assphn,-9.%. 08 promener : maueller orte» 
ment, pss & pas; faire de Fotersise, Atse oisif. 

Passzan-s8;, 9. r. (P. a0.) 0 promener, Olre 


proamme. 

Pıssäw; a ©. * prommmnade : astien de u. 

Promanse ; lien od l’on se promene; Pe 
?* Birsarche, pas, allare: 
ae "Der um —, fsire un tour de eomsenade. 

t Passtına, ,. f. * Ileu oh Fon.aupeses des 
ut yon Is Kalro sbcher. 

' Paselne) a , adj. habiıns & n’aller au/au ons 
(chervat , ande, sie). V. Yagadın. 

’ Patsmväö, V. Pdlso, Bayute. 

Prasäuee, 2, of. 1a heit ( papfer). 

Pass. 7 

Phsseriben. Y Pac V.-Pussapässe: 

PassiBiLIDÄnDE, 8. f. Denen 

Pastios: V 

Pussine, Om. de Passo. 

+PıssoniL, s. m. atiefen Hrre od V’en dcai- 
valt nu auulivunees des martyro, ot qu'on lisnit 
au lieu da martyrologe. 

+ Putnettine , «; m. passiohnaire : Here de 

vu wi note Patsion: 

+ Pausiva , a f. (?. @ 
Serien aus Yerbes 00 
e Facklon. 

Pastvaante, ade. 


passivement, 
EL, adj. 2 gen. passible : gut yon 


Pıssivo, &, aalj. passif: V’opposs d’amtif; gel 
rögoht Pattion de Fryenı physique. Verde —, 
verbe yAAT, Tal Maitfue une action Eieiges 
sur un objet. Voz —a, voix passive, Tepächt 
Shtre Uhr: Dia ‚deite patstve ou ie pls- 
sif, ce Fon doit, 

br. «a. ps , enjarmWbe Passage : wetten 
de passer. — , demarche, manitre d’aller, de 
mmärcher. us Ipeysage ‚Heu o@ Yon ya. —, 
Ütrharches Haton fett, peine yu’on we Akne 
pour une affaire. * Traoe, vestige, 
des pas. Poufroft, Ppürmisaion de ze eanı 
obstacle. —, auchlefft, Hrönement. —, progres 
Gans tes neienues, ete. "Passage de oelie vie & 
une wutre; meort. Üheoune des etrebnstendes MR 
a paavion Au Motte Beignewrs statee,, tebikau 
gui ia Teprevonte. = ündenie va vordinerio, 





tgorem, senitdeis yars. A ba, = lars, 


& grands pas. A cadı wr, & chagus pas, b 
tout momenb, A »— da hof, kenteumeut, & pas ie 


| tete. do gun, & mrusare que „Azms ie way: 


que. A —, au pas ordinalre. Ander a, aim 
io pas, paskame d'un coheval, vie Aus d-, 


'oisesu de passage. De==, zz gessuui. Beisur- 


se ver de — ‚ne fairege’unscahris spperuie. 
Dar ==, \alsspr ie passage libce (fg.) Fıs- 
liver Is noyuns de rbusstd. He dar -, mn 
faire un pas. Ndo poder der um --, aupemer 
faire un gas. Passo a »-, pas h pas, pet ip- 
it, Pass unfr0 >, lautdenamt, peu & pon. Per 
sosor —, One dit (une disadus meer 


'& pas, ou H’uno alulre qeich Malte dass tun 
‚509 Adtallo , Dans tan0sE ses nirosmslannes, et 


A 0 00niaben ‚Rt pRb OOmpLds. Apeem-ı,i 
do dhtanee. Tomar 08 8, go sale de 
user, d0H avammes, barrer be einmia. Sr 

guir 05 4, valven ben pas, hsearreur vs Uimse 

chen: ou suives Ton Irases,, ImMten Bir os pr 
meiras —s, faire les avancen. O Sonhordu 


:V, Pass, 


+ Pisso, ade. Guusement , Tögbreussat Bat, 
mut bus. 

?Piose, Inter]. (d, ua) wat dong, el 

‚medires-voss. 

: Phssos, 8. m. pt. aetss , ciieunstunen de U 
pasıon de J.-C. O Beuher dus —, ya 0 
3.-C. pertahtin croig. 

Passsuunwe ‚ ade. nm. ds Phsse, ade. 

Piora, #. fi "porefsullle « eorien we Ta 
met des ya re, deu dusstue, ons. Lane , 
que, feuitie de nwetat. Pate, 

ar enge 

Pr „e.f.* 

pı in. 7. Piriunsar. 

Prweia, . &, faire ou munur galtre. V. AP 
enter 


Paurin,o.m paitre « Uranaetberde, pi 
rer, "perlamt Ges bestiak. 

Prertr,e. m. Pant man nie pi 
Gros pälö : porsowms grosue ei waput, I 
sonne hneipide, — dee Iinterutess, (1. du 


Paste, guesde, gadce . 
nor dos tinfareiros. e. Aus, re‘ 
nein!) ersyon Mt de Pe pubisisiet 
Tefeau pain eu panel, 
Prarsri6, u... ung. du Park. Gr pi 
PasveLania, 8. d; Pe, de past. 
ıiBuerde: Ouvrage 
Pasrauenno, «| "yaulaler, .- 


ELeteLinme, dim 6a Portel. Kaplan de pet 
tonrta dr ine. 

Pıtrilim; ®. font mmpenen 
de suere, d’o@uem, da 


rond‘: & matiger dad „Se aediemmz 
Partinkta 08 en, 2 rein u 





nn, 

Par 

PER" Pa er 
+ Pastiuua, s. f. 

por sous Id’ haps. 

Pisro, s. m. * action de valtee. "Pitume‘, pR- 
turage r berbo Geht ig eötail senourit. "PA- 
ture,, nourriture, alimene PAt : mangeaille das 
6iseaux de fsuconnerte, (Ag.) * Pätare': c» gui 
nourri l’esgeit oe l’äme. Alimemi du {ou, «te. 


olaque:  cbapeau piet 


A—,en abondance, & foison. Bom —, boane |- 


chere. Casa de —, weßlatrant. -= das feras, 
paissen. 

Pastor, s. m. pasteur, berger. —, evögue, 
eure. — universal, le seuvermin’ ponsife, ie 
pape. Bom — , bon pasteuir : attribut de Jesus- 


Christ. — , gtranium ,, beoade-kius: 
plante. - ° 

Pıstöra,s. f. bergere. 

Pastonino ‚pp de Pastordr. 

+ PAsronneßR‘; s.m. celmi qui'mäne"palire, 
pasteur. 

PASTORADÖURD, 5. m. pätursge : Hett'cd ls 
betes vont pa! 


PıstoriL, s. f. pasterele : plöce de Ihöätre" 


ou de vers domt teg personnages sont des ber- 
gers. Instruclion , leltre pasterale : mandement 
d’ereque. 

PastoräL, adj. 2 gen. pastoral : de pastear, 
appartenant an pasteur. V. Pastersl. 

PASTORALMENTE , asivı p&sterdiement, en bon 
pasteur. 

Pısronik ou hr mener pällte, garder 

Paıstonzin,o.n. I les Leoupeaux. (fdQ.) 
Condeire, Insiruire pestotalörnent ses ouailies, 
parläant d’un 6reque, d’un cure. 

+ Pısrondıa,e. f. pastorale : po&me, chant, 
air, danse & la menitre des ’bergers. 

Pisroriz,, al. 2 gem. pastorat : qui appen- 
tient aux bergers. Champeötre. 

PaıstoniLntntre, adv. a la manitre des ber- 
gers. 

Pısrexiuni, 's. f:dim. de Raslöru. Pastou- 
relle : petite bergere. 

PASTORINHO ou dim. de Pastor. Pas- 

PasTorziuao,s. m. toareau: petit berger. 

Pastera, 8. f. pälure: nourritläre des ani- 
maux. Paißsen: pfhlure‘ dens les for&ts. * Ga- 
gnage : pätis du sewf, du betail. 

+ PastuziL, adj. 2 gen. oüilyadu pälurage. 
Terras ass, pssiries, terres en pre. 


Pirta,s. f. cane : femelle du canard. Die 


melle. Pati: pfed des animaux. (burli.) Pied 
trop large et plah Sorte d’ancienne coiffure. 
A’ —, a pied. — fendida ou rachada, pied 
fourche, pied feudu. Andar como uma --, C4- 
neter. 

Partica, 8. f. piaatre d’Espagne, du Bresil. 
Tache blanche dans les. chevaux gris. Ndo 
enzxergar — , (fam.) as voir geuite. 

Pıraciö,s. m. patagon : honnaie d’argent 
(en Espagne, du poids d’ane once), de cuivre 
ow de bronze (en Portugal: anclennement 3 ou 
19 reis, aujourd’hui 49 reis). 

+ Paricmo, s. m. (1. de mar.\ patache:: sorie 
do valisseau leger. 

PaTacnöca, 8. f. (burl.) gargon de sacristie. 












I tar, 

PAT v 883 

..ıh Re‘ 
Pırabskh ‚s. f. wraiitnde, uni depei 
lscas ou Pafaröwe. V. on moih. (1. vor} Veind 
stenmtion:-V. Paturetd. 

‚Paräpa,s.f. "coup de pied, de pas. MR)» 
pipdh ‚ tröpigner.! 


| Birue. Dar —f frappöt des 


Pismweört, e& m. pl Pateeası pop dd 
lAmerique meridionale. 

Promi, fi (T. dB dog). Beragpel; 
pays des Patagons, terve Mexellanique. 

+Pıriovra ,s.f. (8. de bot.) "Patagunsarbrd 
de ia wönadeipllip. 

+ PıraLö, s. m. (1. de bot.) renoncule dev. 
pres, beeinet sumpaut, bowten d’ar. - 

PxraL6o, s. mi, V. Patale. (buei.) Heranie -' 


stupläe, sot, lourdaud.: 
* Pıramir,s.m. palier, carre d’escalier. Comm: 


rierä-pied (gets ’inde ) . 
Patauiz, adj. et s. m. bigot. 


+ Parrina, s. f. (4.dergeog:) * Patanu - ergeht 
'rOyaume de Malacca. 


+Paränzns, & m. pl, Patans': penples ar 
Gratsd-Mogol. 


‚5.9 


Peranciti, s: m. (8 Fade) et dene 


peuplade. 

Pırio, s. m. (£. duri.) b6ts, Yecrisse, n- 
Kaud. 

Pıri6, 5. m. Tespese de gateche 0“ petit.’ 

Pxranäta, s. f. " Inensonge, sormetie , conte; 
fariboles, fadgises, lantipennagp „: bourdes. 
Cormpliments aflectes. ( %g.) V. Patarateiro, 

Pıranıreia, ©. ». lantipenner, cornter des 
sorneites. 

PazanarkıRo,;s. m. laaternier: faliseur de’ 
eantes, diseur de sorneltes. Gascon , fawlaron. 

Parantcas-o@ —sas,' 5. f. pl. * harieats 
verts. f} 

Parınto. V. Patamar. 

Pıtanöza,s. f. rousselle : 'espüce' de‘ eiden 
de mer tachelt. 

Pararnirs ou Paqsanärzes, 8. mi. pi; (0. de 
mar.) galaubans ou gelahans, haubans : uros 
eAbles qui retiennent les mäls. — do gurupez, 
haubans de beaupre. — do pdo da Injarrone, 
haubans du boute-hors de heanpre. 

Pıtancäna. V. Belareba. Zn 

Pıraukıra. V. Balaleira, 

Pıravıno. V. Padudno. 

Pırixo. V. Patdcho. 

Pırava,(t. dAsie). v. Tuffo. 

+ Paräz, adj. m. Mono —, guenon. V, Mono! 

Pite,s. m. (ti. WAsie) dut, chef d’un Vilage 

PaAtRADa ‚sf. *tröpignemen? des pfeds, 
Huces. Dar —, sifller (une piece ow un ad- 
teur.) 

4 Parzanönn, s. fÜ » träßfigheinen: Wis prat. 
Hutes. 

Pırzir, 9. a. et". tröpigner; huef, siäter“ 
(une piece, ete.). 

Pırtca, s. f. (1.d’Aste) V. Melancia. Sorte 
de vötement asinlique, ceinture. 

Pırkıro ,s. m. celui qui garde lea oles. 

Pirkıno, s. m. refectorier ; frere lai qui a 
soin du refectoire,, etc. .. 

PATEJÄR, dv. 8. palauger. V. " Patinkar. 


[} 





 enand% 


886 PAY 


serire. Liste, registre. " Röglcinent, tarıy des 
&ouahes. (Rg.) Regie , modele, tout ve quı serl 
& diriger, rögle de eonduite (p. “s.. 
Pıvripo,ä,p.p. de Paular. ad). Porte sur 
le‘ tarif des douanes. Papel —, papier regle 


Woör fa lusigue. 
+ Pautapör, s. m. colul qui fait des regles 


" pour le paßfer ow qui lu r@gie Iul-udme. 


ET RDTäR » vo. a.rögter io papier avec la pauie. 
. ce mot. Regler du pepfer pour la musiquf. 


Fr ra Pöeto. 


’Pıaszice. 7. Paisagem. 

+ Pausänt, s. f. pierre medieinale de Baby- 
lone,, Irts-estilnde des princes d’Aste. 

Prvins, s. f. pavano : anelenne danse grave 
et sörikusd. Tocar a — a alguem, ( am.) etril- 
ler quelguw’un, lal donner une danse. 

Pavänı, b. f. (1. de dot, V. Yilko. 
aviö,s.m. (6. Dhist. Wet.) paon ı bei of- 
seh Aigle et d queue couverte d’year. 

Paväozinnd, s. m. dim. de Paddo. Paon- 


aa 4. f.jevelle, gerbe. 
sis: V. Paoühds.' 
irız, ”m. Be sorte de grand ber 
elier; ; entare de fie autour de piet-bord d’un 
vaisseau. V. Pavexdda. 


’ Pivanidı,s. Y. pavosade: teile dlondue sur | fr 


un vaisgeau pour voiler les mouvements inte&- 
riears."Parols. — ow parlers : grandes dlaies 
portafives pour garanıte Ion archers. 

Pavszadtra. V) Paverdda 

Pıvezik, v. a. courrir, Wefendre dan pavoik. 
Pavoiser: garnir de pavois. V. Emperszar. 

?Pıria!s. f.(t. de geog.) Parier ville dite- 
lie od ie od Frangeis s ler fur fait pfisonnier en 1523. 

se fox n’um dia, (prov. ) Paris 

na pas 616 fa en un foar. 

Periine. V. Padiense. 

Pivıno, 


limide, vaimtif, 
Avıtiaa. I end Ze 


Pınknse, adf. ei 5.2 gow. de Parie. 
pay, s. m. pavillon : sorte de tenie 
peinle ar le haut; draperie qui s’d- 

lit; sorte de bamriöte ati 
a wer aa d’un vaisseau. — do sacra- 
red . Arr6te banälire 
Dshla de u —, (Ag.) jo kaisse pavillon de- 
van! tei. 
an EnTS ”w. pas diöglise, de ansisen, 
‚par 

Das, ı m. che d’uns hougio, «une 

chandelle, eic. * Bougie d’allume , cal da care. 


chöe au 


Gastir-e, (ige) motag Am jeraps. 


-{B 





„ävo 9. u8.). V. Por. 


rei ep de peiniJpone 
and nz fi peor forme 


Be: a ur sl.39 Be: 1- je .. 


& os 






PE 


Pavonioo. V. Pavonapo ei Apavonads. 

Pıvonsir, ®. @. orner de parares örlalantes 
comme le plumage du paon. (fjg.) Rendre v.- 
niteux, fier. 

PAvonzÄR-SE, ©. r. 80 Pavaner. (M. de 


rißer, se targuer. 

Pavon, 0. W. r, epowvanis, Salist- 
ment; veneite, erainte , fraysar, eibel. 

PAVORÖSANEıTE R iv. ar. reit, are 
frayeur. 

Pavonöso, A,ed. efrayant, eirozabk. 

*Pıxofıno. V. Passiohdrio. 

Par,etc.V. Pat, ete. 

Piz, s. f. peix : &iat d’en paeple,cie., qui 
n’est point en gtuerre; cauncorde: wuhkeifit: 
dans les families, les communa@töd} rngui- 
tit& de l’ärne; ıwralte de palx; rdooucihale. 

“Repos. En termes de jeu, @gallis de poieis, 
de jetons, de gain eı de parte. Egaine dem Is 
comptes oü l’on est quitte ä quite. Jah d-. 
Juge de paix : sorie de nragistrdt.' Euer em -—. 
eıre a deux de Jeu : &tre quiftes(ae Jon). Par 
#—, foindre Yollve su isarier : peoer leur 
nes. Bandtire de — ‚ drapemu bin ginn v- 
bore pour demander ä- capliuler 08 paris: 
ami sur un vaisseau. Ds em— , repate! 
en paix. Sofiklt Bleur y Yes mer. Gral: 
de — , ami: röponse &: es NW’geivali’ 
em —, ou coma-— de a 
avec !a paix de Dieb. uni ee er 
Mouro de — .Maurt qui a a Fehhrer 
Kit au roi d gne du We Portepüf, ai 
emploie An er ri deux Ge uhanen. Für 
5 —, du pain et 1a heix. 2- Neje wfonta com, li 
peix "soit otans! "Minıtöre &b anfadhen nm 
quelque part. Pidbr Vor; Eibpältte, ve ne 
devoir. Pra— ea 


Je ve! 
garantie. Pihde —; Yeahy: sten 


intende ® 
nien a" “leneı rn era 


PXefoa ,V. 
ai, ..m. quadrapede de Finde que 
senble au bone. 
ANTUAM. Appeiruen- 

Pt, s. m. pied : wenfre'@e Pankatal qui Ir 
sort de bese et ä l'aide duquel il marche, M 
base; dit: ge ei tröne dub Wire, 
plante, Farbre! Qu plahtet ehliteit I pie be 
d’une montagne, d’un mur, etc.; gelr 
& soutenir (ühe Mike‘, eie.)? mfwitre de dux 
powöes: mesure dd’ vers. (Ay-) "Liversarı Das 
liqueur. (id.) Marcdes raisins : oo quien eb ac 
ä la fols sur To pressötr. (MR. Päcukthr qui ei 
defnieren cartes:te Bispheifeäfte. (N. 

*Oteasion,sujet, prare.— a dialı. 

Date 

t 
Barum or Olscnabne Eh NR dr u ade 
Fenel d’un eure. — eg T 
> 


sorie @aneienne dann ed 


Eee 


balles de piomb. har 
A 


teur d’un eiags. — de amelallo , 


rmisan Alung | des enzareiae, " 


FRE 87 
iralingage.deg hanlaas.aupfre- 


sce lorte. — de esaße, taurbillen, auragapg | lingage des haubans sous Ih hune. 


de — de beaco, raisons de bihus, aais 
sons do nullo valeur. Por es cousas em bom 
mettre les choses sur un bon pied. do _—.. 
pied de: tout prös, camjre.ou enriron, a pet 
pres, presque. Ao — de lelira, liutralement 
Andar ou eslar de —, &ire sur pied : releret 


de maladie. Ander n'ue sd —, (Äg.) agir avet | quile segpit. 


7 


promptitude, diligence. A —, A pied. 4 
enzulo, A pied sec, sans se mouiller.(Ag.) 


Sans peine ni Iravail. 4— Arne, do pied fonme: | dp 


(Rg.) Avec fermetie, constence. A— guldo, ssn8 
zemuer. Baler o — ‚oucom 0 + no chäo, bat- 
tre la lerre du pied; trepiguer. Der como —, 


Prica ,s. f. cpurzoia pamz atachen IesIpuls 
aujaug. \ 
Peivo,A,p.p. de Pear, 

Prantsen. V. Punive. 


+ Price, s. [. " pönge:.danii Pony An BOMAgD- 
: 4 Beagkino, s.m. pbager :{ogniag den ginge, 
Re-»a-au3kar0, (i.debot.) V. “ 

ı gianie 


PE-D2-uL.uimaa , 5, f. pief de 
Baösil. 


'P&-oe-cäLLo, (l.de bob.) V. Kupemo. 
Pa -De-aerö, (I.de boh) V. Alchewklle, 
P&-Su-nEnaE, 2. m (& de bot.) In zoll Eile . 


‘[am.) möprisar, faire peu de cas. Dar de — a | das obamps au pied-de-liöuee, 


alguam, aider quelgu’an A manter. Em— , de» 


+ P-ne-uoaro, s. m. (L. de bai) Aapier,lar 


boat; sur pied. Achar [6rma de seu — , \rouxer | pin, anona d trais feuilles. 


chaussure & son pied. Entrar.como.-- direilo, 


Paai. V. Esarpim. 


(Ag.) eommencer, debuter beureusemenl. Bs-| Paar, «podt.) ayane & Jupkies. 
f. " piödestal 


far cam u — a0 sepmllurs, avoir un gied| Preinmm, 4 f. 
Esitar | saubsssement. (Ag, " Appei , antie» 


dans la fosse : &tre decrepit, infirme. 
num — como 0 ,grom, (Bg.) era vigilant, sten- 
til. Homens, gente 
terie. Ndo poder ler:se em —, 6 
lenir suf ses pieds.: dire Ires-Lible. ‚Passar 


de sanines bs, 
+'Puimme, s. m. (4. demar.)ia geile, da 


=, les pitions,; l’inlan- | partie iafezieuse d’un Taimsapık 
pouvoir s0| Pdö,e. w. pitton ı home guimarı Ping. 
‚o| Fessassin : soldat d’infanserie. ‚Pian de Jon 


— didm damädo, (fig.) s’exceder, faire des.ezcäs. | ahses. Hamme du peunle „aetunier. V. Aide, 


‚di. de mar.) oyl de.lamperdes 


Pair, v. 0. ompAlrei; meuee.des enitauds 


— do 

beuteilien Parder —, perdre pied.: ne glus| aux-pieds des chavanı, eis. (Ag. am. Bugir 
ssouver le (onf de l’eau. (Ag.) S’embrouiller„se | aber, emıbanmasaer. fans.) Panir, ahallez. 
perdre dans un üiscoärs, dans un raisanme-| ZAäga, af. pläca, partie, peziis, Anascans 


AT Or- 


a diflculdade. V. Ter 


‚peasogon (fg) mehize Jagied | d'un. tom. 
sur la gofge : humilier, maltreiter. Kirer om -- | er gui 
, ao.mal. Ter kom — ana de | d’hni 1,800,ndis(en Portugal). “ Menbie .bilen 


Piöce de snammeie, suntemt calle a 
unileil autwefeis h4R9 reis, ol anlsup- 


‚Komar ,, prendae.pied«<.Mou-| artistement travailld. —, ohose fonmtans am 





bannasJamhes. 
ver le fond de l’eau; (Ag.) s’orienter dans ane’| tens numaplei; idee de drap, de ruham, Pic. 
ire, la.sonneltre A Sand. Brendse sacine „| Pitce d’emtillerie, suman. Pidos de ailien. Piites 
s’alfermir. Voller on faxer — alsaz, läuker | d’sleqeeman,die potsie, wis. ° Paesent, aulee. 
pied, senluit. (Ag.) Becular, manguer de a6-| ( fam.) —, " tour, malice. (inus.) "Meunhep, 
solution. — anie — , lar. adv. sur la.poinie des | quemuth, ‚pertien.  diesame,, alald'’murre 
pieds; sans hruil. Dar # — s (omar a mäe, | que fait un ouvrier poup@ire sage eltun«ühnf- 
(fam.) donner le doigt et be baas. Os| d’auvre : ouvrage pssfail dans son gentb. — 
—s da cama , le pled du lit. Aos.—.s de V. M..A | por m, mer idoe, u -Adlail. Bier! 
vos pieds. Exprossion de politasae. Anrasier’| bone giden! An ie dit d'une porssanewaspe, 
os —s, tzalner Tas ‚pieds : Alte ‚vieux. :Ndo terı| malicieuse. Pregär umq —, (fam.) fairerums 
—s nem cabera.V. ce. mol. Per as —s d.parede. | ;piiep une" melise , Yoparıma Jaurrd zuelsgekun. 
V. ce mdi. Por os —s em ‚pelwordsa, (pagı,),| Heuer »es an aut —@ , meise eninidnns. 
prendre la poudre.d’assampeue,. s’anfuir: + Pecauiean, ade. malisinusmmmeni. . 
cipilammant. Bör-ee nas bicos dos —e. V. Bico|| Pacin,P. Mmuatier, perlani.des Icuife. V. 
Sette s ds.larra, la lossc, a sanuliuse, Adr,|| Pico. 
meotter ddbaczo dos—s, (Ng.) fouler aux piede, : Psrgrdigo, 3. Mi (u.kurlı) grand psch4- 
ızaiter axae .mepris. das 4 juntos, ‚A ıpieds|| . Prccaninno, s. m. dim. de Peccado. 'Poota- 
Joints. (Ag.) Auer abslinatlon,, guiniätseie.Kesi| dilie.: & läger, ou, par anlißhrase , peche 
—ı al «Ag. d'un bom Alamisande-|| etiorme. 
ptis le oommencemäns,jpatu’ä la Ay. Kater Peccind,'s Mm. petit rfrkn te fa 1di 
— 8 ‘ opimiäp , .Aze ‚auiflöl) divine; Tate. Tout'ce qui ‘#’dtolgne de’a rdi- 
d’une opihion. —s dacammarco, (4. de m.) son, du Pequim. Astar um s- ‚Ole en #tat de 
pieda dreita: pieds,de,bais.entallläs de.disiamce:| psche. Por mes r, Pourunispaihös. 


en al. gulmervens A’sehelledansin-| "Raimuien „p.p-de’Powsar: 
terionr d'un vaisteay; alamnea Hpamlillen. ma) Prccanör, A ‚adj. ete. Wien :’yülsinmer 
eolombians.\. sis. . Hiramme : Inividu dengenseiitämein. 


“ v 


u po 
Pa, s. f. "entraves des chevaux.(em4,) V. | ( Ag.) Qui manquerk son deweit.'=- die meins! ou 
P —ı para alrasar a Aancha, (4.de mar.) | deti! pecheur que je suis ! pöeheur quo wous 
" haubans de chaloupe, saisines om risses. | @les! 


888 Pet 
Peccanöns, s. f. pecheresse. Femther pa- 


MParca 
vonicd, d.m. grand pechenr. 

PsccauımÖSan£uTE, ade. erfininelleent s 
d’une maniöre eriminelle. 

PEccamınöso, A, adj. qui Appartiem, qui 
one au p6chd; ooupable. 

Puceinve, adj. 2 gen. ei p. a. de Poxer. 
Peöchant : qui peche. Humor —, (f. de med.) 
pe aar Bocsanie qui peche en quantil# on en 

„ (fiem.) avoir son faible. 
"peut v. 6. — peccados, commeltre des 
peeher contre Dieu. 

Preis (vom, contra, de, sm, Por), %.%. 
Pocher : wansgresser Ta toi divine; ; failfr contre 
quelque regle; manquer & un devoir, n’avoir 
yas los ‚ia quanatits regaises. Romber 
dans quelque exods. Se rendre digne de ohätl- 
ment. Errer. Pöcher. On ie dit des humeurs 
top aböndenics ou d’ane qualitö vicienuse. 
— 00m , pdeher avec une fomme. — com 
" sigo mesme, faire abs de so-meme. — conire, 
'olewser ; faire lort, nuire. — de s0c00 ou Ein- 
vornoso , dire wep söche ou trop plurieuse, a 
porlam de Paunde. — om A ‚etre affecıs 
d’Aumeurs peocanies. — por I: , por bom, 
eto., pteher per trep de osertoisie, par tsop de 
Denis, et. Näe — por ,, ne pas p6- 
“se par ignerance, agir sveo connalssanee. 
Saber a parte por ende alguem preoa, oonnal- 
use )e feible de qeeiqu’un. Dar Ihe per ande \reı 
petea, toprendre d’wme [laute d’habitude, 
qu’ua ne sauralt nier. Calza ou porta eberie. 
Ju porea, ( pres.) l’occaston fait je larıen, 
Yabamdon Kon fan te larron. 

- PaocivEL, adj. 2 gen. peeoabie : sujet A pd- 
«er. Qui peut fournir mstiöre A pöcher. 

Püczce, s. m. ° püche : [rail & noyau et pulpe 
‘es geeber. 

Psczoviuno, 8. m. (1. de bei.) pücher : arbre 
ui prodeit tes 

*"Backxo V. 

Picaa, s. f. * Gefaut, defeotuosite, tache. 

Ferne s m. oofsaire, deummeue de 

reale 


+ Poraincza W—KA,R. f.(beri.) * gatıı, profüt | frucplio 


sans peine ou Inattende. ° Boronant-bon, avan- 
tage Inattendu. Röcompense, puye 

+ Pucnsllqus, s. m. eimflet. s Intlenge de 
euivre et de zinco. 

PECRÖSAMERTE, adv. par caprioe , avec mau- 
valse humenr. 

Prca6so, a,adj. quiredit, quibläme, qui cen- 
suce toat; bizarre, d’humeur chagrine , morose, 
kourru , capricieux, @ilicile 4 conutenter. 

T Psaornino, A, adj. de de bei.) petiele: 
porie par an pötin)e ( fouille -@). 

PzcioLin, adj. OL? astielaige : 
qui appartisut am peliole 

Pscioro, 0. m. (1. de bet.) pötiele: quuae 
soutient les feuilles des planies. “ 

Peco, s. m. avorlement des fruits. Ag.) De- 
faut, imperfection. 


Peco, 4, gel we Bhktat sa perier- 
tion, avorte { (Ag. Yabicle, nie. No 
Kr ou md fer vadı nada de — , avölr de Tespni. 


Pecönma, s. [. *poison, venin. "Pas d’ose 


PEcoNBENTO, A, ad. veniment, venenen. 
(Rg.) Medisant. 

Psconzir, v. sn. passer Is nueit & la beik 
&toile. Marauder : aller en maraude. 

* Pacrir, ©. @. payer en tribut, un imp6tL 

Prcotunas, s.f J.pl. los premieru eris des je 
nes olseauz. (fig.) " Mots piquanis. 

PaguLito, s.m. (f. de pras.) pöewtat: vol des 
deniers publics par ceux qui en ont Fadı- 
nistration , le maniement ; preät iflckle fait ser 
tes deniers pablics par ceigi qrul em ont depesi- 
taire. 

Prcorsin, adj. 2 gen. particulier, propt. 
special. Du ie. 

PecvLianmänte, adv. partieuliremwent, sp- 


oislement. Men eetui ge 
PrctdLio, 8. m. peeufe: ai 
on puissance d’auttvi a sequis vis par Yindesirk, 


le travail, et dent il poat dlaposer. (fig.) Argeni 
que cha. ehacun a en propre. Livre de remargıe, 


Pachm “ & maeunayt. 
Provminto ne: ernlehe: qui cuasik 


en en argent (amende, peime); &urgent (I 
Pacumöso, A, if. psounteux : qui a ben 


Prvachno, s. um. Ohm. die Deddgo. Petit wer- 
van. 


Pmwico, meorcen ren pertion, 
“e. weine do n I mpit de mei 
meme. Expression 4-nn 


on Morcenux. mn. met 
en pidces. Bitar feio —e, de va em. (M: 
re entiörement ias, brisd per ia Batigoe. Fı- 

zer-se em —ı polo servigo K’alguem, un 
meitre en quaire quartiers peat le serrke d* 

queiqu’at. —s de madelre que veriin da nı- 
do navie, döbembres, onpeaur du 


ateller de oonstracüen. 
Peuino, se. m. 7 edge. 
PrDa00cia, 2. f. V. Folmierie. 
Punneben, al aRj. paladephgen, @ pi 


gor®e. 

Pupao6ee, 8. m. q 

oonduit tes enfants; pn .(M} 

Homme qui Men in jemalerenk wowe, gi 
comme A vouf. ° 


vitage, qei juge debaut. 
aan. f. pöäinterle:V. Pilenfiene. 


Prsinrz, e. m. pödant: Yeeiniahib qui enbeign® 
los onfents ; yui alfente um toi 
‚« 


d’exaotitude, de sewörtß, 4 
Proawteie, v. n. faire Potibehes: affecier. 


| faire V’entendu. 


- PED 


Pupanvsetanänts, add. pödantesguentent: 
d’en air, d'une fagon pädentesgae. 

PaBantisco, a, dl. pedahtesque : qui sent 
’e tk. Ter er —, sontir le volläge. 

ANTiEe , 5. m. "Pödantisme, pedanterie; 

air, maniere, caraciäre du pedant; affectalion 
et vanite du saveir. 

+ PapschLıo „s. m. * varlkei& de raisin blano 
ten Paatugal ). 

4 Puoraauia, „f. peütrastie.V. Fanchonice. 

PsuozankL, s. m. caltiow, roc. V. Pederneira. 

Bupsautuna, s. f. pierre & feu ow & fusil, 
silez. 

rPionke, s. u, (4. #’hist. ul.) peätre : co- 


Pansuehi., s. m. pisdestel : oorps qui porte 
. wae oslorme, une stalne. — de columna, (1. 
d#usch.) stylobste, piedestel , soubassement, 
«= de bunte , piedosche: petit piedestal. Pedes- 
. 4a „ pl. ( 6. de mar.) waversins placke dans un 
bitllımamt A ames pour les pieds des ramenrs. 
Prpisrae, adj. 2 gen. pedestze : qui pose sur 
.eus pinds (stalue); fall & pied (voyage); qui 
va onen k pied, gel oohoerns tes gens de pied. 
* Pragsö.V. Prdimenie, P 
+ PasxiLLo, s. m. (8. de bot.) pedieefle, pe- 


densuls. 
4 PanicuLiso, A, adj. (4. de bot.) pedieul6 : 
ports par un pödicnie. 
Rencouzän, adj. 2 gen. (1. de med.) pedien- 
Jaise: (maladie —), dans laquelle il s’ongendre 
des peux inaombrables, indessructibles. 
T Basis, s. f. V. Podide, Permission de cou- 
per la hie, sc. 
P&Dino, 8. m. tribut, imp6t. Don grateit que 
s demandaien! & leurs sujets. V. 
Peligio. (k. de vom.) " Deimande, commission 
. de marehantises, de densöes, ei. A—de, sur 
la demando de. 
Papino, a, P« 9. de Pedir. adj. A qui on de- 
mande „ que l’on prie. Fos ei ri —, on pria le 


Kol 

Pxzvsp&n, A, s. demapdeur, colui seriost qui 
est impersun. V. Podinie. 

Pzmichıno om PEDICOnN®, 5. m. demendeur 
iaportun. 

* Pepınpäna, a f. demande: action de do- 
smander. 

PzsıLövı0, 8. (k. de med.) podileve 13 bein 
de pieds. 
maanes : mamımilöres Dourpenm, & qui les pfeds 
servent de meins. 

“ Pzpımänto, s. m. V. Potiple. A, sur la 


dummanda. 

Papıucniö, Oma, adj. ei a. (fans) demab» 
deut: qui sawent ei avse Impertu- 
nite. Quemandeur, trucksur. 

PsaucHir, v. ». desmender souvent ot avoo 

Qutmandses, tracher, gususallier. 
BDINTA, 8. f. mendianie. 

Pasinriß. V. Pedinchäe, 

PaxsuTaRia, 6, f. sotien de alluser, domen- 
dier, guouserie. 


PED. 889 
‚Peoiste, 3. m. mendiant, gueuz. V. Ben- 


Proin (a, por), v. a. demander:: prier quel- 
qu’un d’accorder; desirer, avoir besoin; former 
une demande en jJuslice; exiger; queter, de- 
mander l’aumöne, mendier. Demander une 
fille en mariage. Prier, supplier. — conias, de- 
mander compte, faire rendre compie. — jus- 
tiga, demander Justice. — a noivse, faire en 
cer&monie la demande d’une üllle en mariage. 

alguen,, demander gräce en faveur de 
quelqu’un. — por favor, por obsequio, per 
merc#, demander en gräce. A — por bocca, 
Y. ce mot. Näo haver mais que —, n’avoir plus 
ä desirer. — as nuvens, (inus.) s’clevor aux 
nues. Como pede, accord6, flat. 

Prniıtörıo, s. m. " demande ridicule cl. re- 
petee. * Quäte, action de quäter. 

° Peoornica, s. m. mattre de Pathletique. 

* Peoorninico, Aı,adj. Arte —a, athleilque, 
art des athletes. 

P£ora, s. f. pierre : corps dur qui se fornıo 
dans la terre et qui sert & hälir, etc. ; caillou; 
amas de gravier dans la vessie. Pierre & fusil. 
Grosse grele. — d’amolar, pierre & aiguiser, 
queux, etc. — d’aguia, pierre d’aigle, aötite. 
— hume, " alun. — de locar ou de loque, plerre 
de touche, au propre et au Hgure. — de legär. 
V. Galga. — iman ou de cevar, pierre d’aimant. 
— ihfernal, pierre infernale, pierre & caulere. 
— lipis, vitriol de Chypro. — pomes, pierre 
ponce. — para calgar, pave. — de mülkas, (1. de 
mar.) table de lok. — de moinho. V. Hd. — pre- 


| eiosa, gemme, pierre precieuse. — em bruto, 


pierre velue, pierre brute. Resolugdo de — e cal, 
(fig.) resolution ferme, bien arreiee. Cabega de 
— e cal, (id.)tete dure, qui ne cede pas ala rai- 
son. Langara— e escunder a mäo, (td. ) jeter ia 
pierre et cacher le bras. P6r uma — em cima, 
remettre au silence , laisser en oubli ; arr&ter le 
cours d’une affaire, etc. Enconirar. achar a 
— pkilosophal, (ig.) trouver la pierre philoso- 
phale, le moyen de s’enrichir. Langar a pri- 
meira — 00 edificio, poser la premiere pierre 
d’an &difce; (fig.) entamer une affaire. Näo 
deinar — sobre —, ne pas lalsser pierre sur 
pierre, ruiner de fond en comble. Marcar com 
_ branca ou negra, (fig.) se rcjouir d’um 
jour heureux, ow s’aflliger d’un jour funesie. 
Ser a — d’escandalo, &tre un sujet de scandale, 
on motif de dissensioh, etc. Estar frio como 
ume ——-, &tre froid comme un marbre. — mo- 
vedira ndo ceria bolor, (provu.) pierre qui 
ronie n’mmasse pas moussc. Tanio dd a 
agua na — ald que a gasla, ou aqua molle 
em — dura, fanto dd atd que a [ura, (id.) 
Fond qui vombe goutte & goutle init par creuser 
la pierre. —s ou —e preeciösas, pierreries, 
pletres pröcieuses. —s mamilleres, “mame- 
lons. Doide de —s, fou poınme, fou A marotte: 
ut est ers de son bon sont. 

: Pranimn, 5. f. aötien de jeter une Pierre; 
saup de piorre, Ic 2} Parole piquanie, oeup 


DEG --—— 


v& de callloux; garni 
OR erbte; moucheib de d 


Er 


ProaÄpo, & 


verses rein; front 
Pipaachso. V. Peüragöso. 
+ PepaAacvuımturo, A, adj. pierreux, pleie 
%e petits cailloux. 
Peonir. V. Pedregal. 
- Peevnanckıra, 3. f.” tas de pierres. 
Prorania, 8. T. pierre de taille. Pierreriss : 
amas de pierres precisuses, de diamants. 
PeoxeciL,s.m.lleu pierreux. 
Pronzcdso, a, adj. pierreux, rempli de 


plorres. 

t Psorecöino, 8. m. gravier, pelits cailloux, 
Tallloutage. Grande pierre ä6tachee. 

» Pronkira,s.f. carriere : lieu d’oü Von tire 
les pierres. Ag.) "Appui, proteclion; media 
teur. 


Peertıro, 3.9. magon. Pierrier : piece d’ar- 


titterie. Sorie de petite hirondelle. — kore, 


franc-magon. Sociätlade dos —s livres, franc- wudes. — 
| Susciier des 


magonnerie. 
Peonetz, adj. 2 gen. couleur de pierre. Gs- 
vallo —, cheval blanc mouchele, Ferro —, fer 


trös-cassant, aigre ou pailleux. 

Peoainna, s. [. dim. de Pedra. Pelite pierze. 
Eıtar com a — no sapalo, (Ng.) avoir la puce 
& l’oreille. 

* PEDRInuO, A, ad). de pierre. 

Peonisco, 2. m. *greie de pierres. * Abon- 
dance de grele Ei tombe des nuß8, 

Peoröso. V. Pedregöso. 

Peorörco, s. m. las de pierres, pierrieres, 

+ Peouncan. iDo, A, adj. (8. de bot.) pedon- 
eule: porl& par un | pedoncule. 

+ Peouncucin, ai 2 gen. (1. de bol.) peden- 
eulaire : du pedoncaule, 

+ PeponcuLirönug, a@j. 2 gen. (4. de bot.) en 
forme de pedoncüle. 

PepöncuLo, s. m. (4. de bot.) p&doncule : tige 
qui soutient la flcur et Je [ruit; suppert com- 
mun des fleurs. 

® Perndenca. V. Penilencda, 

»Pgensio. V. Pensäv. 

Po ,s.f. pie, oiseau, (Ag.) Femme havarde, 
babillarde. (h. de mar.) * Chouguet, blac, tEie 
de More. Pi&ce de bronze sur le cylinslre d’un 
moulin ä sucre. Aveniar as —s,[Äg.) prövaif 
Ges malbeurs. 

Peca, s. f. liaison, union de deux choses, 
Lien des beufs. “ Alganon qu’on met aux pieds 
, des esclavas Iugitifs, Anse, suanehe d’un vase, 


A ecivs, . f. race, empreinte du pied ; var 
tige, piste. V. Pisada 

Prcapico „A, ad). given, visquauz, Conis- 
gieux. Teer as mäos —as, dereher, sreir dm 
penchant & voler. 

Prcino, 4,9. 7. de Pegar. ade. Veisin ent 
tigu, ationant, uni, Jaimt. Adkarens, wallhe 
ae attache 4. a Us) Dlond, sd „alter 

4 „alachianns BOW. asien 
ee — g, 1obk come, 
Picädo,c kennen vage pres, allenanı, 


‚TINEG 
PrcADÄR, & 
au venire du Gear ie runen: 
Pecanöns ,a.f.V. 
Pzcarıön. V. 


‚PaGasös0 , A, adj. ‚Einen, ‚riagpas: Mibis- 
‚|gieux. ($g.) Alrayant. Biss eo, Ammbent 


'T leuse, 

Proaukca, V. Raudens. 

PEGAmigo ‚8. mn. chose glnande. (de. fm) 
Laportum, ( 6. de ba) > auzale, der- 

ble agrafa. Beron den x 

PECAHENTO, 8. 0m * schon deasiarenien, 
| laison. V. Ap6go 

Peciö, #. “auto di azuhe OR pesL 

Arc-boutant. — do meuro, butse, comsiwlelt. 
— da vanio ‚eurkillen, uesalin., auigam. 

Prcir (0,20, 0m), 0. cellus: NrE 
de la colle. Joindes ı mir, susachger ansenik. 
Donzer, communiquor mme #unlelin weh- 
Bieuse. (Ag.) Commenäpeess uhohs ‚ine Wii- 
— füge ‚ment be Gap: „ undöntunnen. 

nervhhes alt. 


Prcir, v. m. prouist zucine, peiiunt Os 
planies, Prondre, vellainer, um 
Adherer, iepin, dire enatige. Stuunedet, u 
Dir. Agir, keire s auele ein A, 
reussir. Allaquer, assaillir. rm elpem,m 
algeıns comes, naisir, aureker, &. 
— na espada, porter la zuinln Brava ern; ER 
dee I'tpte. -- mo vommp, opmmanstr & Ve 


alguem, se Jdispeten, se quuiniber 
Vena deber aripusr ugeter nenn Fon 
0 fogo n'uma case, etc., le feu a ish m 
DREOE, MR. 
Pacinm, o.r. ve jeiuab, sumzehk, 9 
Prenden gott.’ autmehser, WeilANbR. 


polker. 

Se communiguer (uns snuinden) Walt it 

crocher ä. — 2 gwwallo, etre rolf (ts anl) 

- 6 ro deeup,' uuiut WE, 

sans parole. — ee vaittn, ve WR 

sous la protection d’un saint, so vener & 
ruhe 


Popgeesr es ut pls, Dep 
+ Pzciseo, A, adj. ee 


y u, 
par les poßdtes. (fig. )" Verve periqm 
ala)laion sngtentiisunibei. + 
poisson carlilagineuz, Meniberopemn, 
d’sguseens wugcuk. = de Audter, Wafik & 
mer. 


“Paczasotme. V. Pißedune. 
„Zuenem. ee 


ram „In. dtp W’elhenm. 
BCOMANCIA, , 
Ja De ns 


‚Desanin. 3. 
ge 


pin, qui en fait ae [. 


* Pecuräil. Pig nee wahre 
( A) Mur ) Motif, protezte, 





PEI 


PRGULHÄL, 8. m. troopsau. (vieux) Berger. 

ProuLnin.V. 

Pscuatıno, 8. m. berger. d’un pelil troupsan, 
jeune pätre. 

Pkıa. V. Pa. 

Pzıpir,, ©. ». peter, faire dos pets. 

P£ivo, 3. m. pet: vont qui sort avoo-brait du 
fondement. 

Peiwonrina, 5. f. p6larade : piusioues pots 
de suite. 

+ Privonrein, 9. 9. falre une petarade, pe- 
ter souvent. 

Privonatıro, A, adj. ei . peleer, qui pöte 
souvent. 

+ Pzivonntra, 3. f. pet simul6 fait avoc la 
bouche, pelarade. 

Peiön, sic. V, Poor, etc. 

Peıta, s. f. " present pour suborner, subor- 
nation. (anf.) Ancien tribut que les rotariers 
payaient au roi, taille, ete. (fd.) “ Cens, rente. 

Pritäck u —ı,8. f. (tk. @Asie) cabane des 
valsseaux diis Juneos. 

Peirica , s. [. (1. d’4sie) sorte d’embarcation 
des mers de Malaca , quiavalt l’avantage de se 
meitre sous l’eau sans que la cargaison füt eh- 
Jummagee. 

Pgiräno, 4,9. p.&e 

PaıTän ‚.v. @&.00frompre ‚ gagner par des pr&- 
senis, eic. (ant,) Imposer le teibut.dis Peife. V. 
ce mot. Payer un tribut, un impöl. 

PEıTavEnTo, adv. (1. de chasse) comire le 
vent. 

Paırtıno, s. m. subarnone, qui cerzompt par 
des cadeaux. (ans.) Celui qui payait la Pelle. 
V. ce mot. (flg.) Piöhdien, rofuries, bomme de 
hasse estraction. 

Pririıno, s. m. pelite culrasss. Ridse de 
eorps de jupe. Corset. Ormesment triangulaire 
de pierreries sur l’estomes. 

Phiro, s. m. * peltrine ı parlie qui eantient 
les poumons ot le tar; un des organes de la 
vie; 00 qu’elle oontient, les odtes supdrieumss ; 
les poumons; le sein, les mamelles, la gorge. 
Interieur do (’homme, cur, Ame. " Gonfisnee, 
estime. (fiy.) Conrage, valeur, zösolution. —, 
voix forte , boupe veix. (aui.) V. Asiis. der 
mas, plastron. — do pd, eeü-de-pied. A — des 
eoberio, (Ag.) sans defemse. Momem de -—, 
komme de» cur, o0uFageuz, forme os Secret, 
Metler a mdo 0 204 — ‚ miellse la mals Sur 88 
conscience. Desafogar oseu-—,owrrirsonemur. 
--?07 ierra, humbloment, aven seumission. 
Doente do -—, yeltrinaire. Hier o— em lerve, 
fafre une descente hoslile. No -— de sewamigo, 
dans le’sein de son ami. —e, p}. Lelons, Nia- 
nıeles de famme. Toner a —e, (g-) prendre 
une cheto komur. Griar a sous —», allalter. 
Pör ass —#, eoueher en Jose avıe um fusfl; 
prösenter la pointe de l’4pse sur la poltrine,cic, 
Brag ae auman As, Eadaye) Va I ont 


A Fi pop) te veages (qui fingus, 
hofrah baradia get warre 


a son A N abe 


« 


- PDS Re: 


le devanı des &paules du cheval. © Courroie de 
la selle qui passe sur je pottreil Au chevl Aat- 
toral : piece de ’broderic sur la puiteine; rikio- 
rs, un des ornementis du grand-prowo des 
Juffs. 

PgıroriL, adj. 2 gen. pectoral : bon po@® la 
poftrine (sirop, ete.); qui se porte sure Poi- 
trine (croiz des tr&ques). 

Peıtorit, s. m. appui de crofsde , paraßet. 

Peirorir, adj. 2 gen. de parapet. 

PfıxE, s. m. poisson : amimat & sam vohge, 
presquc froid, qui nalt etvit dans Teae. — uno, 
ange, poisson. — martello, le marttau = ag 
Iha, aiguille de mer. — #dinerie Vor- 
phie. — aqulha arrocodilado , ie caftnan. m. en 
Iha do Brazil. V. Timues. — poreo 
V. Acaramoeco. -—- porco felpudo, Te petlie i- 
corne.— porco de dous espinhos, "paliste d @tlız 
piquants. — röda, mole. — roda ordinario ou 
— rolim, tetraodon mola, le iuno. — Sure, 
herisson de mer. — porco-espin do Brasil, 
orbe herisson. — espada grunde, tpte 08 s- 
padon.— espada grande e bieudo ‚ Fenpacem a 
l’empereur. — pomdo, la Aatsie. Sure, 1a 
lyre. — ardnha, la vr os dragon de met. — 
gado, gade. — pdo, ! a morue. — cWrob eu 
carcunda, le kurte. — cabre ou cdbrinhn. N, 
Ruiro. — voador do Brasil, trigte volant. 
— gallo, z&e; coq de mer. — gallo da Buropa, 
la doree ow poisson de 7lo 16 tourt — Wyira 
da India, le teira. — tordo, le f6urd. — mi- 
lope, le Indlope. — da China. V. Auivara 
dö Paraiso, poisson du para@is. — serre. V. 
Espadarte. — miudo dos tanques, alerin, afe- 
vinage. Dia ou comida de —, jour on repas 
maigre. Cumer de — , faite maigre. — 
poisson frais de mer, "Eile — tem chei 0, 'ndo 
esi6 fresco, estd ardido, ce peisson pigue. Mo 
ser nem — nem care, p’etre ni eheir m pois- 
son. Filko de — sabe nader, (prov.) bon thien 
chasse de race. Signo de —s. V. Pistes. Ob =s 
grandes comem os pequenos ‚les gtos pölssehs 
mangent les petits. 

PEix£ıro, A, 5. polssonnier, —Ere ‚ qutvend 
Te polsson. 

+ PEızeLin, &. m. " salpe, saupe ou m: 


-poisson de me 


Peixzzinuo,. 7. Peiwinko 
PEIxıNnHRıRO, 8. m. issonnief qui 
te poisson frats dans }’INterieurdu pays, chasse- 
maree. 
Prıxinvo, . m. dim. de Pelze. Petit petsson. 
*Peixöra. V. Pescdda. 
+ Prixöre, ..m. petit pofsson au-dessus de 
Peizinko. (Ag) Set, ignorant, \nmocent, sähs 
erience. 
zıkDaminıe, ade. Aregret, & confre-cumf; 
avec honte, padenr, detie sense. 


Prsävo, A er. Pudigue, 
honteux. ME, FAR e e Bu zu 


Fimide, deeoargge ?. Pe 
begae. Conscieneis —d, (fd.) 


science chargse, ylomaya — , estomae 
charge daliments. Botr, andar 4, rn en- 


892- PEL 


epinie, grosse d’enlant, parlant d’uns femme. 
Dasında ou } * &cluse d’un moulin & 
‚Pgsanöun0,8.m. ) sucre. 
PsJam&nto, s. m.obstacie , eniraves, embar- 


E08. 

Pasia, u. e. embarrasser, melire des obsia- 
cles; encombrer, obstruer. Surcharger. — al- 
gusm, ennuyer quelqu’un , le deranger. 

Prıia, v. 9. devemir enceinie. 

Pasän-sz (de), v. r. #ire honteux, ne pas 
Oser; ayoir de la pudeur, rougir; se troubler, 
s’ambarrasser. 

Pkıe, s.m. "pudeur, modestie. Empeche- 
ment, ombarres. ° Repugnance. °Superüuile. 

Term emalguem, cm alguma cousa, SYOir UN6 
- mamuvaisooepinion de quelqu’un ‚avoir des soup- 
4088 conize lui, olc. 

Piı4, prep. (contraction de Pera, Per ella, 

on de Por a, Por ella), par la, dans la, d’a- 
, ka. — miesına razdo, par la meme raison. 

— rua, dans larus. — lei, par la loi ou d’a- 

pros la loi.—s duas, Ires, elc., horas, vers Ics 
.owä lrois, & güalre, eic., heures. 

Paıa. V. Pella 
« + Prracianisuo, s. m. pelagianisme : höresie 
de Pälage. 

+ Pzuscuino, s. m. Pelagien : partisan do 
Plage; is. de Pelage, qui apparlien A Pe- 


an, etc. V. Pellar, etc. 
Päıace, 5. m. (podi.) la baute mer, la pleine 
.ames. V. Pege. (fig.) Ocktan : quantitö innom- 
brable. 

PrLiuipa, e. m. pelamide, poisson de mer 
qui epproche du maquereau. 

+ Psızcaing, s. m. poisson du Bresil qui 
seit le requia , p6lamide. 

Prutsa, s. f. *combat, bataille. Querelle, 
rise; grande dispule; discussion opiniälre. 
(Ag) * Combat entre les animauz. (id.) Combat: 

‚agtalen intsrieure, choc des passions, elc. 

(dd.) "Travail, peine, fatigue. Genie, ns 
da — ‚soldats, gens de guerre. Ndo ser homem 
de —, (Ag.) manquer de resolution, de cou- 


Pruzsino, A,9.p. de Pelejar. 
PsLesanon,a, adj. ets.combattant. Qui aime 
‚Jas oomhats. 

Prızsin, 9.6. (p. us.) comhaitre (l’ennemi, 
eio.). — batalhe, livrer bataille. 

Paussir, 0. 0. comhaltre, se baltre : livrer 
combat. Debattre, disputer, quereller; argu- 
IORLOE ATOc opiniätreie. (fg.) Combatire, On 
lo dit des elöments, des passions de l’Ame, etc. 
(‘d.) Travailler, se donner de la peine, lutter 
sonire un abstacle, etc. — com alguem, (fam.) 
sronder, reprendre quelqu’un durement. 

‚.„t Pausraönıo,a, adj. des Lapithos ,peuples 
de Thessalle sur le mont Pelion. 
ELHANCARIA , 8. [. 08 ux pendantes 

Prıuäncas, .. f- ri | has 7 . 

iande gre. 

, Ptwunos pour PzLos. V. Pelo. 


sques et riddes. | 


PEL 


crotale, grand-gosief, livane, 0i5688 aqual- 
que. 

*PeLickino. V. Pelleleiro. 

PeLiöna, s. f.querelle, dispsie, demilt. 

PeLiras. V. Pyreihro, 

Paıra, &. f. balle de paume; pelotte. V. Pa 
lota. Petite Alle qui danse sar les &paules d’un 
femme’ — de vente, ballen. A ferres —, vu: 
boulei d’artillerie. Jogo da — , jeu de paum. 
Joger e — ‚jeser ala paume. Apankar a—- u 
ar ou no sallo, prendre la balle au bend. Te 
as -—-s a elguam, (fig.) rösister, tenir Wie 3 
quelqu’un, ne pas lui c&der. 

Psırscır. V. Alacil. 

Paırioa, s. f. pelade : maledie gui lait um 
ber les poils et les chevemz. (4. durl.) Ti 
chauve. 

PsLLino, A, 9. p. de Pellar. adj. Pelt.a 
le dit d’uo rocher sans arbres ni planles, 

PeuLLaoön, 5. m. celui qui pele. 

PeLLapüra, 5. f. aclion de peler. T. dr 
pecia. 

PrLLiug, 5. m. corroi, apprät des cain. \. 
Coirema,. 

Pzı.iö. V. Puido. 

Pzıuin, v.a. peler : Öter lo poll, la pet. 
l’dcorce ; peter avec de l’eau Ires-chaude. 

PELLÄR-sE, 0. r. se peler, perdre le poll. - 
por alguma couss, (fig.) desärer ardemml, 
brajer d’envie. 

+ Psıuarina, s. [. *boa : lfourrure en fret 
de serpens, que les femmmes porieni sar Ist: 
et los dpaulos. 

Pete, 5. f. peau : partie esterieur der 
nimal, qui enveloppe tous nes mermbres, # 
pardo ou non da carps; emveloppe, pelltek. 
croßte ä la superfieie; enveloppe des Ir 
charnus, d’uns chose-molle. Pean april. 
cnir, etc. (Ag.) L’indiride, sa perscane (id. 
L’exierisar, apparenoe. Na em —, wei iR. 
sans aucun völernen!. Jurar pela — a elpei®. 
jurer la perte de quelgu’un. N4o enber ne 
gosto, de conisniamenio, me pas 08 
de joie, tressaillie dejeio. Nde enler na 4 
gorde, (fem.) crerer dans sa pese, &irs eiit 
sivomen! gras. Tirsr a — a elgum, (M) 
fouelter jusqu'an sang. Os ossce astäs Is [* 
rando a ——, les os ini peroent ia peau. (aid 
bem na — ‚aveir soin de sa peau, de sa y#- 
sonne. Rir-as sebre a — d’alguem, rin sur! 
oompis de quelgu'un. Julger algum pels-. 
juger queiqu’unpar l’oıläriear. Despir « — 
döpouilier de sa Rean; (Ag.) rajemmdr ; chanft' 
d’opinien, de eoaduile, de sentiments. Hude 
# — , quiiier sa vieille poau, Sords— deal 
dire exirömement : malln, zus, d- 

nearnd. —s para „ fonszure- 

Drautsno, s, m. pellstier : qui arcemmedı 
et vond des pesux pour les 

PELLETERIA, 
los 
fourrures. V. Fe . Dudie pon 

Ale. Pelle. 
Saußruchs,. 


PaLınzi 
Pauicino, &. m. (1. d’hei. net.) pelican, one- | mince, peiticale. pelure; 


PEL = -- 


Psıılca , s. f. peau ine, canepin. 

PauLica, 2. f- peilnse : robe, manteau /mam- 
tslet fourrös. 

+Paırice, s. f. (P.ws.)maltresse ‚oomeubine 
d’un komme marlt. 

PzıLico,s.m. habit de peau des besgers, etc. 

PsıLicoLa, s. f. pellicule : poau irds-minse. 

Prıilinna, s. f. dim. de Pelle. 


Psıuinwo,, s. m. dim. de Pello. Petit flocen 


de laine. Petits cheveux qui tombent sus le 
front. 

PrıLfqutino, 5. m. peaussier : arlisan qui 
vend , qui prepare les pesux. 

Pruiwcäiö. V. Beilischo. 

Prrrissa. V. Pellige. 

PusLıtania, s. f. peausserie : comıneree, &lat, 
meiier, marchandise de peaussier. V. Pelleie- 


ria. 

Psıurrtino. V. Pelliqueiro. 

PrıLitriro, A, adj. (1. burl.) deguenill6, 
courert de haillens; gueux , miserable. 

P2LLo,s. m. peil : Bles delie qui sort de la 
pean ; teus ces Hlets, leur couleur;; barbe, che- 
velure. (8. de bot.) —, filamentis trös-delies. 
Duvet : espöce de colom qui vient sur oerlains 
fruits. Poil d’un drap. “ Soie gröge, qu’on lire 
de dessus le eocon. * Maladie des chovaux dent 
la corne s’ouvre et so detache par ecailles. — 
da espeda, (p. ws.) ll, tranchant d'une &pe£e. 
Em—, anu. Vira— , venir ä propos, Aleınps. 
Luzir o —, avoir le poil luisant; ötre gras, 
paclant d’un cheyal, eic. Ser de—negro,(fig.) 
etre russ, Irsaluleux, coquin. 

PrıLös0, A, adj. velu: couveri de polls. V. 


Pellido. 

Prııöra,0. f. balle de paume. Balle,pelolte: 
petit corps de forme spherique. " Boulet de ca- 
non, balle de mousquet, etc. im — , tout nu, 
sans ausune espeoe d’habillement. Deizar al- 
guem em — , depouiller queiqu’un, lui voler 
tout coquiil a. 

PsrLoriö, s. m. eug. de Pellota ou Pellole. 
(4. mil.) Peloton : pelite troupe; subdivision 
&’un bataillon. Coup de balie. (Ag. p- us.) Mot 
piquant, . 

PrLLöre, s. m. sorte d’ancien velelinen! sans 


PerLoricas, s. f. pl. pelites boules des esca- 
molsurs; tours de passe-passe, escarmolage. 
Faser —, laire des Wwurs de passe-passe. 

PeıiLorinno, dim. de Pellote. 

Pzuworigußıno, s.ın. [aiseur de tours de 
passe-passe , escamoleur. 

Prriıöuna. V. Pellouro. 

+ Pawsounäna, 3. f. "coup de boulet, de 
halle de mousquet, elc. 

Prsrousinus, dim.de Pelloure. 

Prriocaixuo. V. Pelourinho. 

PsıLöuno, s. m. *boulet, grosse balle. Bal- 
totte, boule. Fazer —s, ou sorlear cum —s, 
ballolier, voter au scerulin. 

Prıöcıa, s. f. peluche : panne, £ioffe A 

grands poils. 

PeuLöcıno, A, adj. transparent. 





“ PEN 893 


’ . 
Prriöno, A, adj. poilu, peilu, velu, couver 
de poite. a ‚pein, u, con N‘ 
PsLı, prip. (contraction de Per edle, Per 
ella ou Por a), par la, pour la. Vers. — mode 
woile, vers minuit. —s irss homas, vons trpis 
beures. . 
P&ro, pröp. (contrastien de Per elle, Por 
ello ou Per #), par le, pour le: Vous. — pri 
eipio , — mei, — Am de 


+ PrLoron£so, s. m. (1. de geog.) Pelopon- 
nöse : grande presqu’ile @’Europe dans la-bit- 
diterrande , aujourd’hul la Moree. 

+ PaLönta, 8 f (8. ds be8.) “ lineire, kim sau- 
vage, plante. 

PrLourinno, a. m. pilori, feurches patibu- 
laires : c’est en Portugal une colonne sucmen- 
ee de crochets ou pointes pour altacher les I#- 
tes des oriminels ox6cnits; on y allache aussi 
les condamnes pour les exposer aux regards du 
publie eu pour les fouettier, eio. 

PrLouno, ele. V. Pelloure, eie. 


+ PaLta, s. f. (inus.) pelte, sorte de petit" 


bouclier e&chancre. 

Pririro, a, adj. (}. d’eme. mil.) arms d’un 
bouelier dit Pelle. V. ce mot. 

Peıraz, 5. mw. melange d’etain ei de plomb 


"ou decuivre. 


Pruussa. V. Pellueia. 

Paurısiiia. V. Pimpinella. Ri 

Pena, s. f. peine, chätiment, punition. Peine 
d’esprit, souci , chagrin; ennui; zegrel. —, 
douieur, souffrance ; fatigue, difficulte. (anf.) 
V, Penka. — de dammo, peine du dam : priva- 
tion de la vue de Dieu pour leg damn6s. — de 


sentido, peine da sens : tourment des damnes 


dans l’eufer. — de talido, peine du talion. — 
de vida ou de morle, peine de mort. — pecu- 


miaris, peine pecuniaire, amende. Alma em 


—, äme du purgatoire. Sob —, adv. sous peine. 
Dar as —ı, ttre puni, chäti6. Dar a alguem 
as —F, iomar as —ı d’alguem, chälier, punir 
queiqu’un. 

Penäcuo. V. Pennacho. 

Panipauente, adv. peniblement. 

Pzxin0, A,P.p. de Penar. Qui a de la peine, 
afllig6 , peine. 

* Pexanörno. V. Punivel. 

PaniL, adj, 2 gen. penal: qui assujellit a 
quelque peine; qui eonoerne iss peines lögales 
(code, lei—e), de peine. 

PrraLipäpe, 9. f. penalite : qualitd de co qui 
est penal; assujettissement & la peine. Souf- 
france actuelie d’une peine. Peine, tourmen!, 
souffrance, faligue. 

PrnaLızino, A, P. 9. de 

PgsaLızir, v. a. peiner: donner, faire de I» 
peine; causer du chagrin, de l’inquietude, de 
ia fatigue. . 

PENALMENTE, adv. avec chätiment, en infli- 
geant quelque peine. 

Penauin, adj. [. Pdrola —, perle mate. 

Peniö,s. m. gaillardei, banderolle de va- 


..., VERS le COINEBENEE-- 
, ment, vews le milieu, vers la fin de... 





04 PEN 


sur eb Gaulle Ge 


A 


PEN ° 


sobre alguem, peser sur quelqu'un, Are &’sa 


seau. V. Pendäo. tt. (anı.) Poincon pour serise ‚diboamen'her queliqu'ane- — un sapoeio, eic., 
Aimlr. 


Pin ; 0.0: (umf.) pagir: osndermnert une oberes menlant.d’ d’uve alfalm.- 
Ponalizar.: 


peine, Finiigen.d6 V 
Prnir (em, por), o.#. pälir, souffrir, peiner. 
Soufir Ios penis de Fender oudu taire. 


Eire tougtenspe A 'ugomis, Que esid ponando, 
langwissaut,, qui ent’ consumöd peu dr peu per 
une malsdie qei abatı des amer, Jauguir-d’a- 
mour. 


Pekmss, a rı steffüger, se olkagriner, 20- 


tourmenter. 
Poirwe, «0: pl. piaates : dieuz demesti- 
gques. Le foyer paternel. 
"Pumiver. Vi ‚Prmnioei-ot Ponal. 
+ Pamurteuee, wi (pedi,) oelni qui portait 
les dfews pöneten 
Puma vrt« arm. pl; gäteswex de'pelssen Irit au 


beutte- 
Panca, s. f. fouflie piguante de chardem, 
d'lods, etc. (biiri.) Grasnen. —: de bemames, 


’ grepflon:d® dd iunanen: —ı-de:bofe, ” loves du 
poumon. 


PansiwWe: s. [Y 1eb nt ot newl de carreau 


au jeu de cartes dit gerafusa. * Emploi sebel- 
Lornie oma 00rtuolre. ( ig: amt:) Civsse demt on 
fait usage continuellement et pour’ diverses 
applications. Corvee. 

Prnpiö, s m. " enwigne: drapeau, ei 'snir- 
tout dtendird de tavaterie. * Barmiere de con- 
Srörie. (ld dlas.! Pennon : esptee de guidon. 
— do trige, eur Qu ie. — e caldetre, privi- 
ldge qu'sralent les gemtilihommen portagais 
qui suivaltnt Te r61 & 1a guerre de faire portor 
devant euz un drapean ei une marınite. V. Oal- 
deira. A feridö , aroo force, dtligenos, viva- 
eite- 

"Prinz. V. Püniteneit, Osstigo, Tye: 
baihd,, Mulens. 

-“Prennendir: V. Penifenciärie, Panitenehal. 

Prrüinera ; ». [..dispate, querelle, rize, üc- 
mele6; chamaillis ; affaire en litige. 

+ Penpenciän, vo. n. avötr des querelfes avec 
auelqu' un, se disputer, quereller. 

PEnDentE, 8: m. pendant d’oseilie, pende- 
loque. 

Pauptnte, p. a. de Pinder, er adf. 2 gen. 
pendent : qutpend; qui est anache paren haut. 
Suspendu ; ut ddyend de , dependant; qui est 
en suspons. Demanda —, precds pendamt, qui 
n’est pas ddchtd. Perige —, danger imminent. 
— a:primeirs demanda, pendent le premier 
proods, owvie premier procks &tant pendanl. 
— d’um flo, ( Ag.) qui ne lient ge’ un fl: prei 
& tomber, & manquer, ä'6chousr, eto. Sella —. 
V. Selle. 

Penpen (ds), o. m: pendre : &tre accroche, 
suspendu. Dependre. V. Depender. ( fig.) Ba- 
lancer : @tre irrösolu, en suspens. Eire pen- 
dant, parlant d’un proces, etc. (para).Pen- 
cher; ineliner pour. — com somno, pencher la 
Wete de sommeil. — ando sobre as ondas, flotter 
suf Y’eau; sur les vagues, parlent d’un vais- 
so. — da boca d’alguem , &ire attentif aus 


» Penpeniciıno. V. Penduricalkes: 


* Pznooir. V. Pondören. 

’ Prwuotugse, &: £ pi. pöniteucas, zmertili- 
‚sarluns, 

PenvoLa, s. f. (p. us.) plame & dcrire. V. 
Peonsule, 
PrupöR, 5. m. "pented’wnerhiiine. desogmie, 
penchant d’une montagzs, etc. (fig.) Penchmmt, 
inelination; poids; considerstion. — da be- 
lange, perrchant de le beiause d’an oßte. Bar 
— , füire pencher; mettre sür-ie cbt6 (um vais- 
seau, pour le radouber). 

+ Pemonino, &, al); eu'penie, eswurpe. 


.» 

+ Penvorin, o. n. pewther, tra heus d’e- 
plomb ; inefiner. V. Instiner, Eyepstar. 

Penpura, s. f. perkdule : horloge & telameler. 
“ Balancier-d’une mentre. V. Penduls. 

Pennuro, 5: m. pendae: befancien d’une 
horlioge; pelds attach& & une vorge ou um Bi de 
fer, de soie, eie. , susteptibie d’vesiiistiome. 

PfnpuLo, A, adj. pendant, suspende. 

Pewoöna,s. f. grappes deralsin, meloms, ete.., 
qu’on susperd afin de les ctomserver. 

Pewperipo,A,p. p. de Pendwrer. adj. Pes- 
‘dant, qui pend ; susper$. Dependant. Ineertaim. 
oraintif. — da boca Falguem, (fg.) attentil au 
discours de 0. — de ‚e 
favores, etc., dependant d’esperances, de in 
veurs, ele.; appuye aur des euperanoes, eier. 
Ndo —a dem rochede , valtseae peinebe, vwerse 
sur ım rocher. Palaeras —as, mets galndds. 

Penpwmär, vo. a: penäre, suepbmiee, ausie- 
cher. — os oläos om ulgum uljeto, ( fg.) Mer, 
coller Jes yeux sur queique objet. — os omwides 
dabocad’algwem, (id. ötreuweälf ausdiseoa:s 
de queliqu’un. — 0 pensamento de esperangem, 
(dd.) &tre dependant d’espbrances: 

PExpurRÄR-sE (de), v. r. se suspemiret Etre 
pendant, suspendu. (figy.) Faire depekdre. — 

de Providencia, s conder & la Proridesiees. 
— dee de promessäs} ol6., S'ziiR- 
cher, s’appuyer, fsire-fond sur des esperamses , 
des promesses, yavolr conßeure. — em-puis- 
eras, parler en style diert,, gone. 

Prnountcirno, 3. m. chöse attuchde Uusus- 
pondue & une auire; logqee, ! 

Prnznia, s. f. list couvert de rechers 

„penzolo, s.m. )  trösesleres, groupe de ro» 
chers. 

Pentno, s.m."Troche , rocher: Bloe-de plewe, 
gros calliou. 

"Pragrichn, d. a V. Par. (v.' a.) 

Penttina, s. f. "tamıis. — derdla, bietese, 
bluoir. Ver por —s, (phras. vutg.) netote pas 

lair. Querer cobrir u c&o com um — , (adage) 
veuloir cacher ce qui est connu de to@® fe 
monde. 

PrneıRÄDo, A, P. P. de Peneirar. 


PN! 


ü Eumane, a8 Misch: aner para tany; 
Peumaän-st, 0. r. planer : so aputenir les 
alles dtendues, immobiies, parlant des oiswaux. 
— ewdando, so remuer, dandineren marchant. 
‚s. m. fabricant ou marchamd de 
tamais. Cofat qui prötend deviner au moyen 
der tertis. Sorle der masque & jour que met 
eelat qui ehitey Yes ruches. 

Pentıno, s. m. grand tamis; biufenu ou bla- 
tois. Seste de Boucassi om bougran de crin 
pour garnir et raidir les basques des auıciens 
babits, dits pour cela de Peneirvs. 

“PeweiLı. V. Oufeiro, 

PensraasıLiving, g. f. pensttabilite : qualitd 
de se qui est penetrable oO, qui rend pend- 
trabie. 

PrartnsciO, s. f- pöhötraiion: verfu,, action 
de penetrer; (Ag.) vivaciiö d’esprit; faciliis & 
peudtrer dans la connaissance des choses; [s- 
eult& de concevoir ce qui est obscur, cache; 
facult& de prevoiries elfeis des causes par ung 
suite rapide d’inductions. Profondiis (diune 
blessure, otc.). 

Pswerrino, a, p. pn. de Penefrer. adj. P&- 
netre; (Ag.) aligs‘ touche, dımu. 

PENETRADOR, A, 5. pensirant,. imjelligent. 


adj. Peottrant, qui pöndtre, perganı. V. Pens- | + 
Iranie. 


d Pımzmir,s m. lieu le plus relirä.d’un 
edifice. 

Prssrainte,p.a.de Penelrar. adj. 2 gen. 
Penetrant, qui genötre;(fg.) qui aune grande 
perspicaclie. Profond‘, parlant d’uno blessure, 
etc. Aigu, porgant, Frio —, froid pergant,. 
aigu. 

Prntrrin, v. @. peneirer : percer, passor & 
travers; (fig.) toucher vıyrement le caur; en- 
trer bien avant; Houvrir un chemin & Iravess 
les obstacles. —, 36 faire sentir vivement, par- 
lant du froid , eic.(Ag,)— „comprendre paslai- 
tement, avolr une connaissance nrolande; at- 
teindre (les desseins, les vues, les inienlions, 
ei.) — um asıympia, volrclair.dans une al- 

alre. 

Pangtaia (em, gor),D.%. Bar 
nis, entrer dans un heu ;se dit-aussi-d/un 
qui s’insinue dans un aulre nax 348 posce, ala, 
— nos esquadrücs inimigos ‚ onfonoer, FanYei- 
ser en peuelrant un Corps annemi. 

Pgnernän-se (de), u. r. se panslren (diene 
verite, elc.). (inus.) Entrer, penetrer. 

PENETRATIND, pinkiratil:geipinätre 
aiseınent. P£netrant, intelligent. Suspiros —e, 
de profonds soupiss. j 

ENETRÄVZL, ‚adj. 2 gen. ‚ponttrabie: qu’en 
peut penöszer ; oü l’on Foul pandiren. » 

Pinua ,s.[.toche, roaher, von. Andionsque- 
Dranido —s, (zros.) les dens ‚hrissut les 1o- 
chers, ils.ge isgt,rouie narlonı, 


&eueil. u 
Punnascösc, X; adj. ‚sieinale tackiss; ro= 











































'tds , eic. — am Palapgas.com alguom, engager 


m rochgr.dleuhal.ossarpö, Wbo ; 


PER - 895 


ontifeux, Korph ARcneilk, couyert dk. tochere, , 
de brisants. j 
Pannöp, 8. m. gagö: co qu’on livre pede 
süret& d’une dette, d’un erigagement; nantissek 
ment; assurance, preuves (d’amitis, do fider 
lie, eic.). Objer tendrement aimd. [fg.) — 
assuräances, preuve. "Promesse obligatoire ; gar 
antie, Prestar dinheiro sobre es, präler de 
Pargent en prenant des assuränces om. sur das 
nanlissomenis. 
Penudaa, 8. f. saisie de bions par ordre de 

Justice. (anf.) "Gage. V. Penkor. Levaniamenio 


de — , main-lev&e. 
“ PENHORÄDO,A,P. 2. de Penhorär. adj. (Ag.) . 


Enngag6 par sa parole & faire queique choas;, 
oblig& par des servioes, des bonntletös, elc. 
Penuogir, ©. @. saisir, faire la saisie de 
biens par ordre de justice. Gagneor par de bons 
procedes. Obliger quelgu’un, lui rendre ser- 
vico, luj faire plaisir. — alguem pela palaurs, 
obliger quelguun & temir sa parols. 
Pauwgonir-sg (de), v. r. &ire träs-seusible 
aux bons procedes de quelqu’un. (inus.) Se 
meltre dans des eınbarras, dans des dificul- 


sa narolg envors quelqu’un,. — com 
s’engager envers quelqu’un. 


PaninsuLa,g f. peninsule, presqu’ile, 

Penis, s. m. (1. d’anas.) penis: membre viril. 

+ Penisca, &. m. * sernence da pin. 

Panıtencıa,, s. f. penitence : repenlir, regret 
d’avoir offense Dieu; jeünes, mace£rations, eic., 
eg expialion de ses peche6s; un des gepi Sacre- 
ments ; peine imposte par lo canfosseur ; peine 
infligee pour une faute commise. Tribunal da 
—, la confession. —s, pl. mortilicalions, auste- 
Frites. —s volunfarias,, absünences. Por —s mal 
cumpridas, \ fam.) maniere d’expämer un mo- 
til secret qui nos fait agir, et qu’on ns veut 
pes declarer. 

PENITENcıÄnO, A, p. P. de Penileneiar. 

PEnıTEnciÄL, adj. 2 gen, de la pcnilench, qui 
cgncerne la penitence. Os psalmos —aes, les 


"psaumes penitentianx, de la penitence. 


* + PENTENCIÄL,& 9. p£enitentiel: rituel de la 
penitence. 

PewıtenciÄh, ©. a. Impossr une pAnitence 
peblique. 

Penıtenetania, s. f. penitencerie : tribunal, 
charge, dignite, fonclion du pönitencier & 
Rome. 

PEnıTENtIÄARIO, 5. m. pehilencier : pretre 


'commis par l’eveque pour les cas Töservesz 


dignite dans les calhedrales. Grand p@nilen- 
eier : cardina) qui preside le tribunal de la p&- 
niencerte, & Rorne. . 

+ PENITENCIÄRIO, A, adj, qui concerna ie 
pänitencier ow la penitencerie. 
Panıtenciazinua, 8. f. dim. de Ponilencia, 
atite pintitetice. , 

Prntrancıtino , s. 9. niembre du tzibunal der 
pönitencerte, 





896 PEN. 


Prnstkute, adj. ei s. 2 gen. penlient: | 

Sa penitence; eelul qui confesse ses p . 
‚ p penitents,, flagellanıs, 

7 NITERTEMENTE, ado. en peniient, avec 

pönitence. 

Panttentissımo, a, adj. sup. de Penitente. 

Pünua ,s. f. plume: tayau garni de barbes 
et de duvet qui couvrent l’oiseau ; sa forme, sa 
figure; tuyau de plume de metal, eic., pour 
ecrire; (Ag.) style, auleur, ecrivain. — de 
escrevor, plume & &erire. Bda —, ( ig.) bonne 
plume, grand ecrivain. Ave de —, volaille. —s 
reaes, les grandes plumes des ailes des olseaux. 
—s d’avssiruz, plumes d’autruche. — d’ums 
odla lalina, (1. de mar.) le coin d’en haut d’une 
volle latine ou aurique. — d’agus, mesure 
d’sau coulante. —s do moinho, aubes. 

Pennäcno, s. m. panache, aigrette, plumet. 
(Ag.) Chose &iev6e en forme de panache. (id.) 
° Vanlıe, presomption, orgueil. Fazer — d’al- 
guma couse, tirer vanit& d’ane chose. Fazer 
— de sua infamia,, sfücher son Infamie. 

Prnnipa, s. f. "trait ow coup de plume. Opi- 
nion non sollicitee.— de finta, plumee , plume 
pleine d’encre. 

+ Pennittia, 8. f. (l. d’hist. nal.) penna- 
tule : zoophyte. — pAosphorica, pennatule lui- 
sante. 

Pannzsivo, a ,adf. (tl. de dessin). Riscos, de- 
buzos —s, tralis, dessins faits & Ta plume. 

Panniveno ou —CERO, A, adj. plumd, em- 
plume. 

Pankırönue, adj. 2 gem. (f. d’anaf.) penni- 
forme : (muscles —s), & fibres en barbes de 
plumes. . 

Prennövo. V. Pennifero. 

Pannöcem, s. f. "duvet: menue plume, 
douce, molle, courte et delicate;; coton sur la 
peau des fruits. (Ag.) * Poil follet. 

Pennuc£nto, A, adj. cotonneux, plein de 
duvet, de poil follet. 

+ Punör, s. m. (1. de mar.) bout de vergue. 
Penöes, pl. "encochure : bout de vergue oü 
P’ou amarre te bout des volles. 

Penösautnte, adv. laborieusement, peni- 
blement „avec peine. 

PEnxosissıuo, A, adj. sup. de 

Prnöso, a, adj. pemible, diffeile,, qui donne 
de la peine. Laborieux, qui exige du travail. 
Mdi — , toant, fatigant, tr&s-penible. 

Prssi0o, a, 9. p. de Pensar. adj, Penst, 
meöditd. Caso —, cas premedite. De caso —, 
aveo premeditation. De —, ou sobrepensado, 
adv. a dessein, de propos delibere. Bem —, 
bien nourri ; panse, ete. 

Pansandn,s. m. celul qui panse les chevaux. 
Celui qui emmaillotte les enfants. Penseur : 
porsonne qui est acooutuınse A reflechir, & pen- 
ser. 


Prnsaptaa, 8. f. action d’emmaillotter un 
enlant; maillot,, langes. 

Pensauentein,v.n. mediler, reflechir, Axor. 
la penste sur un sujet (p. us.\. 

PERsaunTo, 5. m. "Taculte pensamie, en- 


samemio. 
* Paustr ib. V. Prmsalieo. 


Pl 


wndemeoi. injellignnce. *Pamste „ acha de ceiw 
fatultd ; cbose pensee ei exprimee; ce quelus- 
prit pezse, a pense. Sens, idee, dessein, opi- 
nion. (fig.) " Legörete, promplitude exirime. 
N’um —, Ir&s-promptement, en un celin dei. 
Mdo — , mauvaise pensee. Sem nenkum — da 
morte ‚sans penser ä la mort. Nem por — pes 
meme en peusde, en idee. Isio nunca me weis 
a0 —, cela n’entra jamais dans ma lie. —, 
pi. pelits anneaux d’oreilles. 

PEnsixTE, adj. 2 gen. pensant : gei pense; 
qui a la pensee. 

Prnsid, s. f. pension ; redevance aanuelle; 
recompense annuelle des services; porlion i 
prendre sur les fruits d’un bLenelice. (Ag.) Mi- 
sere, peine, Iravail atlache A un emploi, et. 
(id.) Charg6; embarras ; assujetlissement. 

Pansin (em, sobre), ©. m. penser : ara, 
former dans Tesprit, Fide, Yimage de quei- 
que chose; imaginer; croire; aroir l’opinion, 
l’espoir; supposer; Juger, estimer; rellechit, 
mediter sur un objet; avoir en vue, former un 
dessein ; se faire une idee de. — com honrs, 
avofr des sentiments, penser avec probit£ ‚bon- 
neur. Dor em que —, donner & penser, laisser 
Aimaginer. Sem —, sans ypenser, inopiat- 
ment. 

Pensir, v. a. panser : etrilter, brosser, nei- 
toyer un ctheral, etc., Tal donner ce quiil lu. 
faut;"appliquer un remedde sur une plaie; 13 
nettoyer, en lever Tappareil. Emmaillotter vs 
enlfant. 

Pessitiro, A, adj. pensil : qui songe, ge 
röve; occup& d’rune pensee qui chag“ine, az 
che fortement. 

PensiL, adj. 2 gen. pendu, suspendu ta 
l’air. Jardim —, jardin fait ser une lerrasst, 
tel que ceux de Babylone. 

Prxsıonäpo,A, adj. ei #. "pensiahnaire : 3 
quion paye une pension. Supe haxge d’une peü- 
sion. p. p.de 

Pensıorir, v. 8. pensiom'ner : donner, fait 
une pension. Imposer una charge, une pen 
sion. 

PenstomAnto ‚3. =. pewsionnaire : celui qui 
paye ou & qui F’on pa’,;e une pension; eldre 
nonrri, log6 et instruit dans une pension. Co- 
seilter, avocat, homme de robe dleve en dignil 
dans une republigue , pensionnaire de Hol 
lande, eto. , prineipe' i chargd& d’affalres. 

PENSIONÄRIO, A, adj. qui regolt une pensiöh, 
gui est ponsiemme ro. Oblige, assujetli ä un: 
charge. " 

Ensrowerne, "A,adj. eis. qui paye une pet 
sion. . 

+ Pfxsiorist. ı,s. m. pensionnaire : qui joail 
d’üne pension; qui payo une pension. 

Peuso , 3. , pansement, pansage d’an che 
val. " Ralion’d’aroine, eic., qu’on denne joa- 
nellomend ® ax animaux ä des re a 

siretiom d’une personne {p. @.). Auch 
vail, täche , besogne. (inws.‘ ° Ponsee. Y. Pr®- 


BR | ° 


PEN 


PemranıLiö,s. m. V. Potentilla. 

Panticono, s. m. ei adj. (8. de geom.) penta- 
gone : figure qui a cing angles et cing Cöt&s. 

+ Penticrama, s. m.” portde do musique : 
les cinq lignes paralldles qui servent & noter la 
masique. 

+ Pentacr'ma, s. f. (8. de bot.) pentagynie : 
cinquieme ordre des vregetaux , & ciny pistils. 

Pentacr’nıo,, A, adj. (8. de bof.) pentagyne : 
(fieur, plante) Acing pistils. 

PENTÄMETRO, 5. m. el adj. pentamötre : vers 
de cing pieds. 

+ Prstännasa, 3. f. (t. de bof.) pentandrie : 
einqui&me classe des vegelaux, & cinqg eia- 
mines. 

+ Pexräroız, s. f. Pentapole : contree od il 
yacing villes. 

Penrarußkuco, s. m. Penlateuque : les cinq 
livres de Moise. 

PENTÄTRLO, 8. m. ( 6. d’ans.) pentathle : r6u- 
nion de cing 68 de combats gymniques; 
athlete qui s’y livrait, y oxcellait. 

PAnTE, s. m. peigne: instrument & denis 
pour demeler les cheveonx;; instrument de car- 
deur ow de tisserand. Peigne de fer : ancien 
instrument de supplice. V. Pentelho. —ı de rt 
gor, peignes & [riser. 

PENTEiDO, A, P. p. de Pontear. adj. Peigne, 
ajusıs. Palauras —as, paroles peigndes. 11 se 
dit en maurvaise part. Deizdr alguem j 
(Ag.) laisser queiqu’an bien battu,, bien rosse, 
bien ötrilie. 

Puuteino, s. m. ° chevelure bien peignöe. 
Accommodage , arrangement des cheveux, 
® Coiffure. 

PENTEADOR , 5. m. peignoir : lin, sorte de 
manteau que l’on endosse quand on 686 peigne. 

PEnTEADOR, A, adj. qui peigne, sert pour 
peigner. Cardo —. V. Cardo. 

Pewreapüns, s. f. action de peigner, de se 
peigner, de coifler, coup de peigne. 

PENTEÄR, ©. a. peigner : demeler, nottoyer, 
arranger les cheveux. Coifler, friser. — e id, 
carder, appröter la laino.—se, v. r. 56 peigner, 
se coiffer. 

PENnTEcöSTE ou —ES, 8. m. ” Pentecödte : 
grande fete des catholiques ‚on m&moire de la 
descente du Saint-Esprit. C’ötait aussi une föte 
des Jaifs. 

Penttıno, s. m. (8. obse.) poils autour des 
parties naturelles. 

Pinteu. V. Ponte. 

+ PrxteöLa, s. f. (b.d’hist, nat.) pelerine : 
coquilie de Saint-Jacques, mollusyque a0o6- 

le. 

PEntitıno, s. m. peignier: celui qui fait et 
vend des peignes. 

Pxntöcnapao. V. Pantögrapho. 

Prnöczu, etc. V. Ponnugem , eto. 

PenuLa, s. f. (pP. us.) " manteau , casaque. 

PENÜÖLTINO, A, adj. penultiöme, avant-der- 
nier. 

Penöusra, s. f. (8. d’astr.\ penombre : la- 
miere faible dans les eclipses; bande qui en- 


PEQ 897 


loure une ombre port&e ei quliestmoinsobscure 
que celle-ci, moins 6clairee que ie jour com- 
plet, phönomene qui depend de la grandeurdu 
corps lumineux, 

Panönıa ‚3. f. peuurie : grande diselte; ex- 
tröme pauvrets. 

+ Penurıöso, A, adj. ol il ya dela p6nurie; 
qui est dans la penurie. 

f PRONÄCEN, s. f. woupe de piötons, de gens 
pied. 

Pzöma, s. f. (t.de bot.) pivoine, pioine, 
pione ow p&one : plante & tr&s-grandes fleurs 
en rose; sa racine me&dicinale. 

Prör, adj. comp. 2 gen. pire , plus mauvais. 
Estd — que d’anles, ou que eslava,, il est pire 
qu'auparavant. Levar a —, avoir le dessous, 
6tre battu,, vaincu. O—, le pire, le plus me- 
chant, le plus fächeux, le plas nuisible. «5. Au» 
dessous, moindre en ordre, en uombre, en 
duree. Zo que 6 —,ou 0 —6, ot lepis est. 
O — de iudo d que, qui pis est, coqu’ilya de 
pire ‚c’est que. £ 0 —— que me pöde succeder, 
c’est mon pis aller. 

Peör , ado. pis, plus mal. De mal om ou pa» 
ra —, de mal en pis, de pis en pis. O doense 
estd — ‚le malade est plus mal. 

PEORANENTO,, 8. m. 6lat de 00 qui est devenu 
pire. V. Peoria. 

Pzorir, ©. @. empirer : zondre pire. vo. m. 
Empirer: aller de pis en pis, devenir pire. Se 
deterlorer. 

Pzonis, s. f. detsrioralion, dögradation; 
qualit6 de oe qui est plus mauvale. 

FEORNENTE, adv. pis, en empirant, plas 
mal. 

‚„Paözus, s. f. pl. "ontraves qu’on mei aux 
paties da faucon. 

Pzrisuo, s. m. (t. de dd.) pöpasme : ooclion 
des crudites. 

Pzristico, A, adj. (1. de med.) pepastigue ı 
qui mürit les humeurs, facilite la digestion. 

Prria. V Pipia. ' 

PremiL, s. m. lien plants de concombres, 
oouche de co . 

+ Pzrintino, s. m. (1. de bof.) conoombre ; 
plante oucurbitacde, frait charnu, gros el 
long. 

Pzeino ‚s. m. coneombre, fruit. — de S. Gre- 
gorio, conoombre sauvage, oonoombre d’Ane. 
— pequeno para consoros, Ccorsichon. 

Prrırönsa, s. f. "ragoüt de beatilles, d’abatis 
de volailles. 

Perorim ow Piruıim, adj. 2 gen. boitouz, 
A—-, en boltant. 

Prrsia, s. f. (1. de ındd.) pepsio » coclion, 
digestiion, maturation; effet que les alimenis 
subissent dans Pestormac. 

+ Ptprico, a, adj. peptique. V. Pepastico. 

+ PEQUENANMENTE, adv. petitemunt s avec p&- 


tesse. 
Prqusntte, adj. dem. de Pegqusno. Un peu 


it. 
Deaumnts, s. f. pelllesse, au propre ei au 
ügure. ( fig.) Bas Age, onfance. * Apetissoment. 
67 





, 


898. PER 


Paguawuts. V. Poquenez. 

Pzravmmınkıa ,s. f. dim.de Poquenez. 

Perquanino, A, adj. dim. de Peqgueno, au- 
dessous de Pequendis , trös-petit. 

Provanissıno, A, adj. sup. de Pequöno. 
Tres-petit, excessivement petit. 

Pagutuo, A, adj. petit: qui a peu d’etendue, 
peu de volume; moindre qu’un aulre; fort 
jeune, en bas Age ; bas, vil, abject; ( Ag.) peu 
considerable, sans imporlance, compos€ de 
peu d’unitss (nombre,. Por — que saja, si pelil 
qwil solt. v 

Pzquenörz. V. Poquendie. 

Paquii, s. m. sorie de bois du Bresil, bon 
pour la marqueterie. 

Peauicz, a. f. stupidits, bötise. 

+ Pzauim, s. ws. (6. de gdog.) Pökin : grande 
ville capitale de la Chine. 

Per, prep. lat. qui entre dans la composi- 
tion de plusiecars mols portugais, dent elle 
asgmente ordinairement la signiflcalion , ei se 
rend par : fert, indes, beaucoup. Es. : Perde- 
ravel, qui dure longtemps. Perturbado, fort 
treuble. «6. prep. port.Par.V. Por, Pelo, Pela. 

"Phai, . V. Pare. 

P£aa,s. f. poire : fruit du poirier. Touffe de 
barbe au bout du menten. —s de Maldon, (1. de 
bot.) goravier rouge ou des Savanes. —s gunje- 
va.V. . 

Denlpota. r Perabeis. 

znÄpa, 8. f. Gonflture, conserve de polres, 

Pzuayuzia. V. . 

t Panacasciö, a. /.(b. dasir. p. ws.) pire 
gralion ı acklen de paroourir. 

PeaA0RATÖRı0, A, adj. (1. d’asir.) Mez — de 
sel, ammps que met je soleil & parceurir un des 
signes du zodiaque. 

Paair. V 


Paxiuts ‚prep. devant, on prösenee,, par- 
ovant, 
P&zarA6, s. f. eupöce de polre qui n’a point 


de goüt. 
Pena . V. Pigaps. 


f Psaiu, s. m. (f. da Breeil) " mare pre- | interöts 
Sande d’sen, 


* Paaivas. V. Pelavra. 

Penca, s. f. (1. d’hist. nas.) perche : poissen 
@’'sau douce da genre des es. 

°p @ [} y Leerer. 

Psaciıoo, 5. m. prefit, eutze les gages, Te- 
veneai-betı, 00 que prodait un emploi, 6tc., 
en sus des appointoments : tour du bäton. —es 
de ofieio, (irem.) inoommodins attachde A une 
prolession, eto.; revenant-bon da metier. V. 

tamente ; 


presei 5 Ganke. 

Peuacaräso. V. Procstade. 

Pracza&r, v. a. perosveir, rooovoir, reoueil- 
lir. Comprendre ‚ osasevoir. Apercev oir,sentir, 
wsnnalire par los yaux.(inus.) V. Auisar. —se, 
©. r. se pr&parer, s’appre£ter. 

Pencesıme, 2,P. p. de Perosber. aslj. Averii. 
Cauteleux,, considerant, atientif. Sede —s de 
prrgunter, oie., vous dies averlis de deman- 
er vu aysı 30a de desnandcr, eic- a 


PER 


Pracrsın&nto, 8. m. appröt, pröparaul, 
provision. V. Apercebimento. 

Pzucerciö, s. f. perception : action de per- 
cevoir, de connaltre, d’apercevoir par Tesprit 
et les sens; idee produite par Pimpression d'un 
objet. —, receite, recouvrement. 

t Pencerrisiuspäipe, s. f. percepübllitt: 
qualits de ce qui est perceptible. 

PEaczrriveı, adj. 2 gem. sensible, percepü- 
ble : qui peut €tre apergu. — d visis, aperce 
vable, qui peut dire apergu. 

t PERcErTIVELMeNnTE, ade. sensiblemeni: 
d’une maniere sensible et perceptible. 

t Psacerrivo, a,adj. percepüf : qui pergoit 
(sens, facult6 —ve). 

Peacua,s. f. perche : brin de bois long & 
menu ; long bäton. Instrament pourappreier le 
drap dans les laineries. — s, pl. (1. de mer.) 
lisses des herpes. 

’Pracacotıno. V. Processionario. 

T Pracınrino, A, adj. enloure, enceint de 
tous les cötes, 

t Praconata, v. 6. parcourir : aller den 
bout A l’autre, se dit des plandies; Lravesser 
en voyagsant. 

Pancovkıo. V. Persevafo. 

PERCUCıEnTE, adj. 2 gen. frappant, gu 
frappe ; qui blesse mortellement.p. e. de 

* Peacupia, v. @. percer en frappant; biesset 
mortellement, 

Pzacussäö, s. f. percussion : 00up, aclıeR, 
impression forte et rapide d’un corps qui ai 
frappe un autre. 

Paacdsso, a, ady. (p. us.) frapp6, blesse. 

Percussor, s. et adj. ws. celai qui Lrappt: 
qui blesse & mort. . 

Paacurir, v. 6, [rapper, bautre. V. Percudir. 

Perpa, s. f. perte, dommage; privalt 
d’une chose avantageuse, agröable ow null, 
commode ,quel’on avait. Fazer — , causes une 
perte ‚ot quelguelois l’&prouver, faire une perit 
Bessarcir a —, repater le dommage. Con-: 
ä.perto, avoc perie. —s # dasınos , dommages‘ 

terbls. 


Prapiö,s.m. pardon :r&mission d’une faule. 
d’une offense;; gräce ; indulgence accordce pl 
le pape. Bappel : l!’action par laguelle on rap 
pello les exiles, etc. Pedir wii perdöes, de 
mander mille excuses, 

PERDAVÄNTE, adv. par-devant. 

Psapßa, ©. a. perdre : ätre priv de ce que 
on avait, d’un avantage quo l’om possedat: 
ossser d’aveir; n’avoir plus; ne pas profiter .“* 
oocasion, elc.); faire un mauvais emploı de 
son temps, etc.; dissiper, prodiguer; gälet,©& 
dommager, corrompre,, elc. ; Fuiner, causer UN 
dommage notable; faire une perte; eproure! 
un dommage physique ow moral. Basayer © 
&chec a la guerre, &ire döfait, otc. — a3 C0TWı 
se decelorer, perdre sa couleur, se ternir. — # 
secasde, manquer l’occasion. — s parienaß, 
sauler aux nuss,, s’impalienter, s’emporief. pi 
de vısia, perdre de vue, oesser de vell-— 
terre de visis, (4.de mar.) nuyer la litt. 











PEB 


 visiae assumelo, (Ag.) s’tcarter de son sujet. 


Ndo — ds vısla, ne pas perdre de vue. — al- 
guem d’aumnge, perdte V’amili6 de cuelqu’un. 
— äiguma cousa de memoria, perdre je sou- 
venir d’une chose. — e batalka, perdre la ba- 
taille, ötre vaincu. — o credilo, a repulagdo, 
dscheir de son end de se reputsiion. — 0 
respeilo a alguem, ro le respect, manquer 
& la polilesse envers quelgu’un. — 0 caminko, 
s’sgarer. — o Ro, as esiribeiras, op. V. ces 
mots. — isımpo, perdre le temps, n’en pas Pro- 
fiter; (Ag.) perdre sen temps, travailler inuti- 
lement. Deitar a —, güter, döwsriorer, endom- 
mager. Deitar & - um menino, um oriedo, 
gäter un enfant, un domestiguo : no pas les 
corriger ou Deitar-u 0 —, so 5% 
ter, s’endommager; se ruiner. Vai perdendo a 
belleza, sa boauts s’en va. Vai peordendo o 
ınedo, il devient molns peureux, moins crain- 
Uf. Onde n4o hai rei o perde, (prov.) oü il 
n’y a rien le roi perd ses droits. Il estquelque- 
fois neutre. Ex. : — wo nsgoeio, faire de mau- 
vaises affaires. 


Prapta-sz (de, em), v.r. se perdre, s’tge- | DE 


rer. Se perdre, se fourvoyer, ne retrouver plus 
son chemin. (Ag.) Ne savoir comment sortir 
d’embarras. (id.) se troabler, ne savoiroü l’on 
en est. —, se plonger dans la debauche. S’ef- 
facer de !’esprit, de la meömoire. —, &chapper 


aux sens, et surtout & la vuo ot A l’oufe. Se | has 


perdre ı on le dit d’une ehose dont on a nöglige 
de so serrir, qu’on laisse deperir, etc. Se gä- 
ter, se pourrir, so corrompre. —, faire Nau- 


. frage, couler & fond, parlant d’un vaisseau, 


etc. —, disparaltze sous terre, parlant d’une 
source, etc. Perdre son äme, se damner &lor- 
nellement. -— de vista, sehapper & la vuo. — 
por alguem, por elguma oouse , aimer dpordu- 
ment queigu’un, quelque chose, se pordre 
par un oxcds de passion. Elle ndo so perde, 
(fam.) il ne s’oubliera pas, il aura soin de ses 
intöröts. — umnanto com quanlo finhadeniro, 
perir corps ot biens, em parlant d’un navire. 

Panpıgiö, s.f. perdition :degät, dissipalion, 
surtout des biens. Perte. * Dommage,, prejudioe 
notable. —, habitade du vioe, dereglement; 
damnstion dternelle. B ums —, 0’est un grand 
dommags. Correr d sus -— , courir ä sa perte. 

+ Paapicıo, s. m- (t. de bot.) "perdicie: 
plante eorymbiföre. 

Puanpiva. V. Perds, Pordimento. 

Prapinamturz, adv. tperdument, avec ex- 
ces. Inutilement , sans profit. 

Peavınico, A, adj. perdu & dessein ou qu’on 
feint d’avoir perdu. V. Perdido. Fazer-se —, 
pardıe, so laisser gagner volontairement au 
eu, 

Peapıpissımo, A,adj. sup. de Perdido. Trös- 
perdu de debauches ‚etc. 

Prnpipo, A,p. p. de Perder. adj. Perdant : 
qui perd. Perdu. On le dit de ce qui n’a point 
de but determined, d’un coup lird au basard, 
eie. Prodigue; debsuche. £ um —, c'est un 
prodigus, um dissipateur. Genies —a, gens de 


PER 


899 
mauvaliso vie. Mulker —a, femme peräue, 
e 


prostitu&e. — por alguem, amoureux de quel- 
qu’un, &perdu d’amour. Andar —, s’egarer, se 
fourvoyer.—da fazenda, do Julzo , qui a perdu 
ow dissipe sa fortune, qui a perdu la teie.— da 
ver: „ do temor de Deos, qui n’a pas de 
honte, dehonte, qui ne craint pas Dieu. Man- 
gas —as, manches pendantes. 

PEaDIDöso, A, adj. perdant: qui perd au 
jeu ; qui souffre une perte, un dommage. 

Pzapıciö, s. w. garbon : perdrix mäle ; per- 
drix mäle qui sert d’appeau. Chagar o —, fulr, 
tchapper au chasseur; (Äg.) commercer aveo 
russ et fraade. 

Prapıcorinno, 3. m. dim. de Perdigöto. 
Jeune perdreau. 

Pexpicöro, 3. m. perdreau ;: jeune perdrix. 
Menu plomb, dragse. 

Prapioukıao, A, adj. on le dit d’un chien ou 
de tout autre animal qui ohasse aux perdrix, 
oic. CAo— ‚ou —, s. m. chien couchant ow d’ar- 
r&t. Ter nariz de cdo —, avoir l’odorat fin. 
PERDINENTO, s. m. "perie; dommage; ruine. 
i LV. Perda, Perdirdo. — da fa- 
zenda, perdition , confiscation des biens. 

Pruprrissiuo, A, adj. sup. V. Perdidissimo. 
Trös-deprars , le plus scelerat. 

Puaniz, s. f. perdriz : oiseau gallinacd. Pes 
de — , homme, et surtout femine, qui porie des 


rouges. 

Pza50ino, A, p. p. de Perdoer. 

Pzn»0AD0R, A, adj. ei s. qui pardonne : 
homme bon, indulgent. 

* Pzaponinga, 5. f. " pardon. Dissimulation. 

Pzapoia (a), vo. a. pardonner, faire gräce. 
Excoepter, exempter, dispenser. Dissimuler. 
(imus.) rener. (id.) Laisser libre. Il s’cm- 
ploie pour demander permission, pour s’excu- 
ser, pour cougedier un mendiant & qui on n’a 
rien & donner, etc. Perdoe V. M.se lomo a con- 
Alanga ds..., pardonnez,, monsieur, si je prends 
la liberts# de... Ora perdoe, pardonnez-mol; 
pardon! excusez, Ndo — a alguem, ndo 0 pow- 
par, ne point marchander quelqu’un. 

PErDoÄR-sg, ©. r. employ& communedment 
avoo la particule negative, refuser, s’excuser. 
V. Poupar-se. — a si mesmo, &ire indulgent 
avoo sol-meme. 

Perpoivgı, adj. 2 gen. pardonnable : qui 
merite pardon, excuse, 

* Pzapüno. V, Perdido, 

PsapuLirto, A, adj. prodigue, dissipateur ; 
negligent, peu soigneux de ses alaiscs, do sa 
personne. 

+ Pxrpunaciö, s. f. longue duree. 

Parpuniver, adj. 2 gen. qui dure loujours, 
perpetuel, &ternel. Qui dure longtemps, dura- 
bie, permanent. Vida — , la vie eiernelle. 

+ PsanunavsLmantg, adv. &iernellement, 
perpetuellement, 

Penzcepeıno, A, adj. caduc, perissable. 

PErECeR, v. w. perir: prendre fin ; deperie, 
finir, perimer. — ds [ome, de sfde, eic., mou- 
rir de faim, de solf, ete, — d mingon, de mise» 








900 PER 


ria, &tre dans une extröme indigence, perir de 
misere. 

Parecıpo, 9. p. de Perecer. 

Psrecımento, s. m. l’action de perir. V. Per- 
da, Falta. 

+ Penecı6s0, A, adj. qui d6sire ardemment, 
qui meurt d’envie. V. Permicioso. Amor —, 
amour ardent. 

Pankuninacäö, s. f. * voyage en pays elran- 
ger. Pelerinage : voyage de devotion. (fg.) S6- 
jour de !’homme sur la terre. 

PERECKINADO, A, 9. p. de Poregrinar. 

PEREGHINADOR, 8. m. voyageur qui court les 
pays etrangers. Pdlerin, 

PEREGOIMÄNTE, adj. 2 gen. qui voyage en 
pays etranger. Pölerin. p. a. de 

PERECKINÄR, dv. a. faire voyager, faire visi- 
ter les pays 6&irangers. Parcourir un pays ow 
des pays. — pelo mundo sua sa e fa- 

, ‚ (g.) montrer au monde son igno- 
Fance et sa fatuite. 

Pzrecrinin (a, por), 9. w. voyager hors 
de son pays. Aller en pölerinage, per&griner. 
(Ag ) Voyager. On le dit de notre s6jour sur la 
terre. 

+ Perecnimıpäne, 8. f. qualit6 de ce qui est 
rare , extraordinaire. 

Penzcrino, A, adj. voyagear. Btranger. (fg) 
Rare, singulier, extraordinaire. Trös-$lögant, 
parlant du style. (Ag.) On le dit des hommes 
pendant leur vie mortelle, lear pelerinage sur 
la terre. (8. d’astrol.) On le dit d’une planedte 
qui se trouve dans un lieu du zodiaque od elle 
n’a aucune Jignite. Palavras — as, mols etran- 
gers. Plants —as,, plantes exoliques. Impres- 
söes—as, Impressions #trangöres, accidentolles. 
Prrecaino, 3. m. pelerin : qui va en peleri- 
nage. : 

Pankına,r f. (1. de bot.) * poirier : arbre qui 
pärte les poires. — Drdva, poirler sauvage. 
aEREIR L, 3. m. verger, lieu plants de poi- 

ers. 

Pereıninna, dim. de Pereira. 

Pan£ıno,s. m. (I. de bot.) pommier qui porie 
les poires-pommes. 

PERENPTÖ. JAMENTE, adv. peremptoitement : 
d’une maniere peremptoire. 

PEnEurTÖöRIO, A , adj. peremptoire : decisif; 
contre quoi il n’y a rien & repliquer. 

PraznnaL. V. Perenne, 

PERAENNALLENTE,, ade. continuellement. 

Prntnnz, adj. 2 gem. conlinuel, perpötuel. 
Assidu, qui a une application continuelle. 
Loweo —, fou qui n’a point de moments luci- 
des. Laus —, adoration perpetuelle du Saint- 
Sacrement. Agoas —s, SOUfCE, CAUuX qui Cou- 
lent toufours. 

PeEnEnneu£nte, adv. assidument, continuel- 
leınent,, perpeiuellement. 

PEneEnnıDÄde, 8. f. continuile, perpetuite. 

PenextTöno,, etc. V. Peremptorio, etc. 

® Pentsss. V. Presas ou Perseas. 

Penrazin, v. a. parfaire, achever; fnir; 
perfectionner. Completer ; accomplir. 


PER 


PERFASIMENTO, &. m. achörement, compiö- 
ment, perfection. 

Prarzcionär, etc. V. Aperfeigoar, eic. 

* Prarzcrin. V. Aproveitär. 

PunrscrivgL, adj. 2 gen. perfectible : aus- 
ceptibie de perfection. 

TPsarvscrivo, a, edj. qui donne ow peut 
donner la perfeetion. 

Panrzcrör. V. Aperfeipoador. 

Paarzıciö, s. f. perfection : qualits consü- 
tutivede ce qui est parfait dans son geare; re 
nion du bon et du beau; achevement enlier ; 
qualit6 excellento de l’Ame ou du cosps; elal 
parfait de la vie religieuse ow morale. Beaute, 
surtout en pariant d’une [ermme. E ums —, 
c’est uno beauts. Com loda a —, au mieui, 
tout au mieux. 

Panrsicoaa. V. Aperfoeipoar. 

“ Paarzırackö. V. Perfeigdo. 

PERFRITANENTE, adv. parlaitement. 

PeRrreıtissıno, A, adj. sup. de 

Prarkıro,, A, adj. parfait: ä qui il ne mat- 
que rien pour dtre accompli dans son gene; 
acherö ; excellent. Beau , bien fait. Habile, (u®- 
somm# dans un art. Perfait, (s. m.) tamps da 
verbe , prötörit ow passe. — ndcio, sol acbert, 
sot parfaltement accompli. 

Paaria. 

Paaıu. ; V- Porf.. 

P£arıpauäntz, adv. porfidement. 

Prarinıa,s. f. perfidie : deloyauts, mangır 
ment de foi; trabison insigne; piöge tondı 4 
quelqu’un pour le perdre. Apostasie. 

+ Pearmiöso, A, adj. qui conlient perkdit 
(mot, aclion). 

Perripissıno, A, adj. zup. de 

P&artpo, A, adj. perfide: qui mangue dsı 
foi, ä sa parole; traitre; deloyal. 

Psarit, s. m. profil: teait, delineation d’un 
objet, d’une i#te, vuo de cOt6, ou d’un edißte 
par la section perpendiculaire, laiörale. Orn*- 
ment, moulure, ets., qui termine ou saleuft 
un corps. Position de cöt6, en terıme d’escrimt. 
Meio —, demi-proßl. Ver as cousns do mW, 
( lg.) ne vorr les ohoses que d’un chtt. 

PeariLäpo, A, 9. p. de Perflar. 

+ PearıLapüna , 8. f. aotion de tracer le coü- 
tour d’une figure. * Contour d’une Sgure. Y 
Perf. 

PzartLäa, 0.6. proßler : representer en prt- 
fil; traoer le coniour d’une figure. Aligner 4 
troupe. Entourer d’un ornement, d’une m“ 
lare, eic. 

PERFILÄR-SE, 0.7. 50 prösenter do proßl, <‘ 
chte. (1. d’ese.) S’elfacer le corps. 

Parrıınacäö,s. f. V. Per . 

PerriLniDo, A, pP. p. de Perfilkdr. 

PERFILHABOR, A, 3. oelui, celle qui adopi? 
quelqu’un. u 

PERFIıLHAMENTO, 3. m. " adoplion, afBliation. 

PerrıLnär, v.@. adopter quelgu’un; afhlıer- 

PrnriLo. V. Perf. . 

+ PenroLnina, 8. f. (8. debot.) pero Tesille: 
plante ombelliföre, is. adj. f. Falke --, (eilt 





PER 


perfolle os porfeuillde, enfilde dans ye disque 
par la tige. 
+ PaxrLöxo, s. m. QDux copieux d’humeurs 


p-. %8.). . 

Penroracäö, s. f. perforation : action de 
percer (un corps). 

PerroRi0o,A,Pp.p. de Perforar. 

Prarorinte. V. Perfurante. 

Perrorän, v. a. perforer, percer. 

PenruLGente, adj. 2 gen. (podt.) trös-bril- 
iant, tres-Eclatant. 

Pearuuino, A,p.p. de Perfumar. 

Perrumanor, s. m. * cassolette & brüler des 
parfums; parfamoir. 

Pearumanüra,s. /. action de parfumer. 

PERFUNMÄNTE ‚adj. 2 ger. (podi.) embaumant: 
qui embaume, qui parfume, qui remplit de 
bonne odeur. p. a. de 

Perrumir (com,de), v. a. parfumer : r&pan- 
dre, faire prendre une bonne odeur. Exhaler 
une bonne odeur., 

Penrumaria, s. f. boutique, marchandises 
de parfumeur, parfumerie. 

Prxvöuz, 5. m. parfum : senteur agreable; ce 
dont elle s’exhale. 

+ Pearoutıno ou } parfumeur : qui fait 

+ Peavumista, s.m.) et vend des parfums. 

PERFUNCTÖRIAMENTE , adv. par maniere d’ac- 
quit, nögligemment, en passant. 

+ Prarunintg, adj. 2 gen. perforant: qui 
perfore, qui perce. V. Penetranie. Instrumento 
eoriante e —, instfument tranchant et perfo- 
rant, couleau poignard. 

* PRRoAmILHRıRO. V. 

PERGANINHRIRO, 8. m. 
ie parchemin. 

PERGANINHO, s. m. parchemin : peau de mou- 
ion prepar6e pour ecrire, etc. 

>» Pencuica, etc. V. Preguiga, etc. 

A Percusckino,s. m. employ6 aux peches des 
Algarves, contre-malire ou sous-patron d’une 
bargque. 

Pzacönta, s. f. demande, question. * Inter- 
rogatoire. Fazer —s a alguem, faire des ques- 
tions & quelqu’un; interroger quelqu’un. Ir @ 
—s, sabir un interrogatoire. 

Pracuntino,A,p.p. de Perguntar. 

PEACUNTADOR, A, 3. qui interroge, qui de- 
mande, et surtout questionneur indisoret, im- 
portun. 

Psacuntär, v. a. demander, questionner, 
interroger, s’informer de. 

PxracuntinHa , dim. de Pergunta. 

+ Puncuntäö, ONA, 3. questionneur impor- 
tun, enquörant. 

+ Pzxı, prep. grecque qui entre dans la com- 
position de plusieurs mots, et signifle autour. 

f Pentäuno, s. m. periambe : pied de vers de 
deux bröves. 

T Psaıiutmio, s. m. (1. de bot.) perianthe: 
ealice le plas commun. 

Peniciapia, 8. f. 

Pexicianio, 5. m. 
autour du cur. 


parcheminier : celui 
qui apprete et vend 


PER 901 


+ Penicanpino, A, adj. pericardin : du.peri- 
carde. 

t Parıcanpiris, &. f. (t. de med.) * pericar- 
ditis ow pericardite : inflammation du peri- 
carde. 

Peaicärpo, s. m. (f. de bot.) pericarpe : pel- 
licule qui enveloppe le fruit. 

+ PERIiCHE, s. m. sorte d’embarcation. 

+ PssicH£cıo, s. m. (#. de bot.) " reunion de 
folioles autour de la base de l’anıhere. 

Pericıa, s. f. "savoir, habilete, capacite, 
expörience. 

Pzaicöro. V. Picaroto. 

Pzricnäneo, s. m. (1. d’anat.) perieräne ı 
membrane gni couvre le cräne. 

PERIDöTO, 8. m. (6. de miner.) peridot : pierre 
vert poireau, vert olive. — do Brazil, peridos 
du Brösil, tourmaline verte. — do Orients, p& 
ridot oriental, coridon vitreux. 

Perıgcos, s. m. pl. Perimciens : peuples qui 
babitent sous le m&me parallöle et je m&me 
meridien,, mais aux intersections Oppostes des 
deux cercles. 

PERIFERIA. 

PERIFRASE, | V. Periph... 

Perıcäno, pP. pP. de Perigar. 

PerıcÄäLBo, 3. m. “peau qui pend sous le 
menton. — da iroga, (4. de mar.) calebas de 
racage. — da mezena, martinet d’arlimon. 

Pexicär (em), v. ». ätre en danger. Perir.V. 
Perecer. (fig.) Pericliter : ötra en peril, parlant 
d’une affaire, etc. 

Prrıcko, s. m. (#. d’asir.) pörigee : point de 
l’orbite d'une planete le plus proche de la 
terre. 

Prrico, s. m. ptril, danger, risque. Correr 
on fer —, courir risque, @ire en danger, peri- 
cliter. Zstar em —, &tre en danger. Estar 
doenie de —, ötre dangereusement malade. 
Expör-se facilmente aos —s , faire bon marche& 
de son corps. Tirar d’um —, affranchir, deli- 
vrer. Quem ama o — welle perecerd, (prov.) 
celui qui cherche le peril, ne manquera pas 
d’y perir. teme o — ndo se mella n’elle, 
n’aille au bois qui a peur des feuilles. Expör- 
se 008 —e, payer de sa personne. 

PERIGÖSAMENTE, adv. perilleusement, dan- 
gereusement. 

Perıcosissıno, A, adj. sup. de 

Prrıcöso, A, adf. perilleux, dangereux. Zo- 
nem — , (fg.) homme dangereux,, dont le coım- 
merce n'est pas sür. 

PrricuiL, ado. egalement. 

PerıugLio, s. m. (1. d’asir.) perihelie : point 
de P’orbite d’une plandte le plus prös du seleil. 

Periına,s. f. V. Perinha, Bolazinha. *Or- 
nement, etc., en forme de poire. 

PraiLo, s. m. (1. d’Asie) bout pyramidal J’un 
toit. 

PeRiMETRO, 8. m. perimätre ; conlour, cir- 


(1. danat.) pericarde : , conference. 
capsule membraneuse | 
ı ressembient ä celles de la vigne, produ:t des 


+ Penina, s. /. " arbrisseau dont les feuilles 





902 PER 


PER 


graines rouges qui ressemblent & celles dujduvant de la L#te. Jabot en ronleae que per- 


myrte. 

Paninto, s.m. (l. d’anat.) p£rinde : espace 
entro l’anus ot les parties naturelles. 

Paaınkos. V. Pyreneos, 

Parxinna, dim. de Pera. 

Paxinno, dim. de P£ro. 

Perrönıcamente, ado. psriodiquement. 

Paxiönıco, A, adj. p6riodique : qui a ses 
pfriodes, qui paralt dans des temps fixes; 
abondant en periodes, nombreüt (style). s.m. 
Journal, feuille p6riodique. 

+ Pzaiopisuo, s. m. *periodicits : qaalild de 
ee qui est perlodique. 

Pznıopista, s. m. pörlodiste ı autcur, r&dac- 
leur d’un ouvrage p6riodique. 

+ Praropızin, ©. a. produlre periodique- 
ment; r&duire & des perlodes. 

Psaiooo, s. m. * p6riode : oours, r&volulion 
@’un asire; espace de temps, cycle, etc.; 
phrase composee de plusieurs membres ‚phrase 
lee; rövolution d’une fidvre. Periode : (m.) le 
plus baut point de quelque chose (de la gloire, 
eic.); espace de temps vague. O wilimo — da 
cida , le dernier periode de la vie. 

Paaıöstıo, s. m. (1. d’anal.) pörloste : mem- 
brane qui enveloppe les os. 

+ Pzriösrose, 8. f. (1. de mid.) periostose : 
gonflement du perioste. 

Perirartrico, a, adj. et s. peripatäticien : 
qui suit la doetrine d’Aristow. Pöripatstique : 
du peripatetlisme. (Ag.) Ridicule, extravagant 
dans ses opinions. 

PERIPATETISMO, 3. m. pöripatötisme :dootrine 
des p6ripatsticiens. 

Peniiro. V. P Hemo. 

Panırecia ‚es. f. pöripelle : changement sublt, 
Inopind de fortune d’un heros, elo., dans une 
pidce de thöätre, un poßme, un roman, pour 
amener io denoament. 

+ Pramnlılus, s. f. pl. Periphallies : fötes 
de Priape. 

Panıpnenia, 5. fı (1. de gdom.) peripherie : 
eirconference, vontour d’une figure, surface 
d’un solide. 

Psrirunase, #. f. periphrase : circonlocu- 
tlon; tour pour s’exprimer indirectement. 

Penırnnassin, v. a, ein. pöriphraser : par- 
ler par ptriphrases ; mettre on p6riphrases. 

Penirmnasıs. V, Periphrase. 

+ PaxirLo, 3. m. (f. d’ant.) pöriple : voyage 
maritime autour de... 

Parıpnzumonia, 4 f+ (6. de med.) pöripneu- 
monie : inflammation du poumon, avec föYre 
sigud et oppression. 

+ Pzxirteno, s. m. (L. d’ani.) peripiö eo; 
&difice A colonnes Isoldes au pourlour ext&- 
rieur, tempie entour6 de colonnes. 

Perıquito, s. m. (£. d’hist. nat.)” perruche, 
perrique : espece de petit perroquet. — verds 
de Guind, moineau de Guinee. — verde longi- 
cauda do Brazil, scineialo. (f. de prov.) Sorte 
de toupet ow de tour de cheveux postiches, 
que les feınmes portalent anciennement sur le 


taient les militaires pr&s du cool. 

Peniscıos, s. m. pl. (t. de geog.) Pärisciens: 
habitants des zones froides, dont P’ombre fait 
le tour de P’horizon. 

PenıssoLocia, 8. f. perissologie : r&pelitien 
viecieuse d’une idee ; superfiuit6 dans le dis- 
cours. 

PErıssoLöcIcO, A, adj. ou il ya dela pti- 
sologie. 

PıristäLtico, A, adj. (1. d’anf.) perstalti 
que : (mouvement) propre des intestins, sen 
blable ä celui d’un ver qui rampe : il opere des 
secr6ötlons. 

PerisriLo ow Penistr’Lo, s. m. perisive: 
sulte de eolonnes formant galerie; galerie v» 
verte ,soutenue par des colonnes. 

+ Pruistowa, s. m. (4. de bot.) peristome: 
bord de l!’urne des mousses. 

Penisv’sroLz, e. f. (6. de mdd.) perisysiole: 
intervalleentre les deux mouremen!s du peu", 
du caur, des artöres; entre la systole ei lı 
diastole. 

Penirautnte,, do. savamıment, habilemer!. 

Pexiro, a, adj. babile, erprriments; ver« 
dans une science, qui poss@de un art; eıpert. 
A juizo dos —s ou pelo que dizsem 0 —ı, 2 
dire des experts. 

Prritonto, s. m. (f. d’anat.) periloine: 
membrane soupfe qui revet intörieuremenk 
bas-ventre. 

PraivEL, pP. us. V. Perecedeiro. 

Personıcino, 9. p. de Perjudiesr. 

PERIUDICADOR , A, 8. celui qui nait, qui port 
prejudice. 

Perscnicäin, v. a. prejudicier, nuire, fat 
tort, donner atteinte. 

PersunicıäL, adj. 2 gen. prejudiciable, nr 
sible. V. Prejudicial. 

PeniupictaLwenTe, ade. d’une maniöre her 
sible. 

Parstfzo, 5. m. prejudice, tort, dommaft. 
V. Prejutzo. 

Persunino, A, P. p. de Perjurar. 

+ Persunanon, A, 8. parjure : celal qai fs 
un faux serment. 

PERIGRÄR, ©. 4. sö parjurer, violer, fnuiseı 
son serment. — a fd, abjurer la foi. 

Persurin, o.n. et —sE, 9. r. se parjuret: 
faire un faux serment ow violer son sermenl. 

Perıörıo, e. m. parjare : faux serment: sef- 
ment viole. 

Prriöno, A, adj. et s. parjure : qui falt ın 
faux serment; qui violeson serment. (inws.\. 
Perjurio. 

+Penıı ,s. f.V. Pörola, (1. d’hist, nat.) peiie: 
nevroptere. 

*PrauLeüno. V. Lido. 

Penuireiro. V. Pirliteiro. 

Perıönca. V. Delonge. 

PERLONCÄnAMENTE , ade, leniement, avec dt 
lai , Ienteur. 

PrnLonci0o, A, p. p. de Porlongar. 

PrRLONGADOR, A, 8. V. Doiongader. 








PER 


*PraLoneingk. V. Deionga. 

PzaLoncirk, ©. a. prolonger, allonger. Ae- 
tarder. V. Prolongar. (t. de mar.) Aborder (un 
valsssau) d’un aulfe, d’un mur, eic.; prolom 
ger, metire flano & flanc. Il est aussi neuire. 

PERLONGAR-SE (60m), 9. r. se placer, 56 mou- 
voir le long de. 

PraLusrain,v.s. paroourir, visiter aveo soin. 

+ Pza.ixo, s.m, fruit du Bresil qui ressem- 
bloä& la cerise. 

PsaLöxo, A, adj. minutieux. V. Proliao. 

PERUMANECENTE. V. Permanente. 

Pramanzche (em), ©. ». persisier dans le 
meme e€iat, &ire permanent; persövörer ; du- 
rer, conlinuer. 

Peruantncıa, s. f. permanenoe, stabilile, 
pers6öv6rance. 

PERMAN&NTE, adj. 2 gem. permanent, stable, 
immuable. 

PERNMANENTENENTE, adv. avoc permanence, 
J’une manidre stable. 

PerMmzino, p.p. de 

PERMEÄR,, ©. a. traverser, passer au milieu 
ou au travers; pöndtrer. v. ». Eire au milieu 
ou entre deux. V. Mediar. Intervenir comme 
mediateur (P. us.). 

* PeRmEnDina ou —iva. V. Promicia. 

Par-ußıo , adv. Motier-se de — , se metire 
aa milieu , entre deux , se meöler, s’entremettre, 
troubler. V. Meio. 3. m. (p. us.) Mödiatenr. 

+ Permisso, s. m. (t. do myth.) Permesse : 
fleuve de la Gr&ce oonsaor6 aux Muses. 

Prauzro. V. Pormeio. 

Peruissa, V. Premissa. 

Peauıssiö, s. f. permission : pouvoir, li- 
bert£ de faire, de dire. Concession : figure de 
rbetorique. 

PEANISSIVAMENTE , ado. avec permission. 

+ Psruissivo, A, adj. qui renforme la per- 
mission, le pouvoir, la libert£. 

Prruisso,, 5. m. * permission. ii. p. p. irr. de 
Permitlir. 

Pruuıstäd, s. f. permiztion : me6lange pour 
temperer deux choses l’une pour Yautre. V. 
Misture. 

Pzxuerrino,, A, p. p. de Permittir. 

+ Paauırtinör, A, s. oolui qui pormet. 

Praurrria (a), 9. a. permettre : donner li- 
berts ‚,pouvoir de...; oonodder ; Lolerer ; donner 
ie moyen, le loisir. O que Deos ndo pormitia, 
et qu’& Dieu ne plaise. Permilta 0 cso que, 
Deos que, fasse le ciel que, & Dieu 
plaise que. Permilia-me que Ihe diga, permel- 
tez-moi de vous dire. 

Prnurrrin-e8, 9. r. se pormetire : Ötre, pou- 
voir ötre permis. Jsse ndo so permilie , cela ne 
peut so permettre. Haje permitie-se a export 
eo do wumerarto , l’exporiation du numereire 
est permise aujourd’hui. 

Pramunacäd. V. Pormuiapko, Mudanga. 

Pznuuopänga,s. f."troc, &change. 

Prruosar. V. Troser et Permutar. 

Psruüta, s. f. "troc, change. V. Pormuls- 
gdo. Casas de —, maisens de change, ölablies 


PER 903 


autrefols au Brösil par ie geuvernement paar 
changer la poudre d’or contre l’argent moMe , 
naya 

Peruutaciö, 5. f. "change, troc, 6cbange, 
Permutation : &change de bentfloes. 

PernuuTär (com, por), v. a. permuler, doham» 
ger, troquer; faire la permutalion. 

Pkawa, s. f. Jambe : partie du oerps, du ge 
nou au pied; branche d’un compas, Cuisse de 
volaille.‘Jambage deletire.Patte des animauz,ete, 
etc.— de vaos, * trumenu : Jarret de baauf. — de 
carmeiro, ’gigot: delanche de moution. De -— 
estendida, a — solla, & son aise, sans soucl, 
en repos. Estonder a5 —ı, (fam.) se promener. 
Metter —s, fulr & toutes jambes, gagner ie taillis. 
Metler —s ao cavallo , piquer des deux. Deitar 
alguem de —s arribse, (Ag.) ruiner quelqu’an, 
Lengol de duas, irds —s, drap de lit de deux, 
trois Iös. Amsapar de coriar as —e, menacer de 
chätier rigoureusement. Estar de —s aberias, 
(fam.) 6tre dispose & faire teut ce qu’on de- 
mande. Cortar as —s a alguem, (g.) couper & 
yuelqu’un bras et Jambes. -—s de slooravdo ou de: 
vaquela de tembor, jambes de fuseaux, Jambes 
greles , trds-minoes. Em —s, les jambes nues. 

+ Prnnäca, s. f. grande ou grosse jambe. 

Praniva, s. f. "ooup6, coup de jambe, 
ruade. * Mouvement violent dam® cette partie: 
sambade. Branche d’un arbre, d’une riviöre. 
Dar —s , sambader : faire des gambades. Tirer 
—$, ruer, donner des ooups de jambe ow de 


PsuniLto, a, adj. (1. de chasse) qui a de 
longues jJambes. —as, pi. (1.d’hist.nat.)" öchas- 
siers : olseaax da genre de l’öchasesier. 
nch PRRNANBUCINO, A, adj. ets. de Fernam- 

uc. 

+ Pranausöco, 5. m. (1. de geog.) Fernam- 
bous : ville, port et province du Bresil. 

PunnavıLntıno, s. m. sorte de bois du Por- 
tugal susceptible d’un beau poli. 

+ Ptans, s. m. (I. de mar.) — dum mouläo, 
essieu, goujon de poulie. 

+ Peanza, s. f. (1. dal. nat.) "perne : mol- 
lusque ao6phale. — sellinha, la solle. — om 

de „ia caisse. 

PERNBADOR, A, 3. qui fait des gambades, qui 
se debat en romuant fortement les Jambes. 

Punnsin, o. ». remuer les jambes avec vio- 
lence : gambader, gambiller. V. Zsperneor. 

Pzuntina, s. f. maladie qui fait pourrir la 
chair aux baufs, Sorte de cuir ow gros drap 
pour couveir los onisses ow los jambes et les 
garantir de Ja boue, etc. 

+ PzamIABERTO, A, adj. qui a les Jambes ou- 
vertes , 6carttes. 

PERNICIÖSAMENTE,, adv. pornicieusement. 

Pernicıöso, A, adj. pernicleux : nulsible, 
dangereux. 

+ PganıcöaTo, A, adj. qui a tes fambes 
courtes. 

Premır, 3. m. Jambonneau : fe plus mince du 
jambon. - d’odre,, "anse, main d’outre. 

Pensiuua ‚s. f. dim. de Perna. Petite jempe. 


Estar de —, (fam.) &ire au lit malade d’ane| Praritrun,s. f. (6. de bo£.) immertelie jaunt, | 


904 PER 
jambe. 

+ Psamigcesaino, A, adj. qui a les jambes 
onsstes. 

Pzanuıtönto, A, adj. baneroche:: qui a les 
Jambes tortues. 


Ptano, s. m. serie d’ornement de t2le des 
fommes en forme d’aiguille,, aigretie. Gros clou 
& ıste ronde. —e, pl. boulons : especes de che- 
villes de fer. 

Paunorrir (om), v. m. coucher, passer la 
nuit guelgue part, anulter. — föra, deeou- 
cher. 

Pzanöstico, A, adj. (fam.) grand bavard. 

+ Pranöno, A, adj. qui a de grandes ow 
grosses Jambes. 

P&xo, s. m. " poire-pomme. 

*Püxo,conj. V. Mas, Pordm. 

PenoLa, s. f. perle: corps dur et brillant, 
nacr6 et rond, qui se forme dans la coquille 
d’ane espece d’balire; ce qui on a la forme, la 
tsansparence ‚ goutte de rosee, etc. (fig.) Chose 
excellente, pröcieuse. —e, pl. (Ag.) larmes. 
(podt.) Perles: dents tres-belles. —s falsas, 
mortodes, oliveites : perles fausses. Herva —. 
V. Aljofareira. RB deiler —ı a porcos, (prov.) 
c’est jeter des marguerites devanı les pour- 
ceauzr. 

PgaoLtıaa, s. f. * pot en forme d’entenneir 
pour mettre des olives. 

+ Prxonko, s. m. (6. danal.) p6rond: os ex- 
terieur de la jambe, plus mince que le übia, 
dont il semble r&unir les musclies. 

° Panöom. A— ,, ade. d’aplomb. 

Praoraciö, s. f. peroraison : conclusion 
d’un discours d’apparat, d’un plaidoyer, d’un 
sermon. 

Peaonino,&A,9.p. de Perorar. 

+ Penonapon,s. m. celui qui fail une pero- 
raison. ( Ag.) Celui qui demande avec instance. 

Psnorir,v. a. achever, faire la p£roraison 
d’un discours. — a causa d’alguem, plaider, 
defendre la cause de quelqu’un. v. ». Pörorer, 
recapituler. Parler, discourir en style oratoire. 
(Ag.) Demander aveo instance. 

Praörta, 3. f. sorie d’oiseau de passage on 


pegne. 

Paario. V. . 

Panrassin, 9. m. aller son chemin; passer 
outre, au delä. 

PaurznpicuL.än adj. 2 gen. perpendiculaire : 
qei pend, qui tombe & plomb. 

PERPENDICULÄRMENTE, adv. perpendiculai- 
rement, & plomb. 

PEaPENDIiCULO, 8. m. perpendicule: ce qui 
tombe & plomb ; il du pendule. Pondale astro- 
nomique. A—, ade. d’aplomb. 

Pzarztrina. V. Barbatana. 

+ Penreraaciö, 8. f. perpttraiion; action 
de perpeirer. 

Penrernipo, A,p.p. de Perpetrdr. 

PenrsTananoR, A, #. auleur d’an erime. 

Perrsraia, 9. 6. perpeirer : faire, com- 
melise un crime, 


bouton d’or da Levant : plante et eur. — 
didies, "gnaphale diolgque, vwlg. pied de chat. 
— eidreira. V. Aleerim das ereias. — largs, 
immortelle commune. — rexs, amaranibin 
globuleuse, globe amaranıkolde, beaten de 
garcon , immortelle rouge. 

Pgarzruaciö, 3. f. perp6tuation : action qui 
perpttue; son effet. V. Perpetwidads. 

PearrEruipo,A,Pp. p. de Perpeiuer. 

Prargtuapor, A, adj. qui perpetue, qui 
&ternise, rend &ternel. 

PrnP6TuauintTe, adv. perpötuellement. 

Perpetuina,s.f. perptiuane: 6toffe de laicı 
qui dure beaucoup. 

Pzaretuia, 9. 6. perpeiner : rendre perpi- 
tuel; faire durer toujours om Irds-longtempi. 


Bierniser : rendreo eternel. 
Parrerugäd. V. perp6luit : dare 
Prnregrumipe,s.f. ) sans fin, ow Ir 


longue et contiinue. 

Prarstuzir. V. Perpeiuser. 

Paar£t00, A, adj. perpetuel : conlinuel, qui 
ne c8s5e pas, Qui dure toujours. 

Prarınukd, s. m. (1.de gdog.) Perpignan: vilk 
de France. 

Pznr.£xauäute, ado. avoc perplexiit. 

PEarLexıpins, 8. f. porplexits : irresolulien 
fächeuse; incertitude; gramd embarras d’uae 
personne qui ne seit quel parti prendre. 

PezrL£xo, A, adj. perplexze: irr&solu, inct!- 
tain , indeeis ; qui cause la perplexile. 

“ PErroßu, 3. m. pourpoint : anoien habille- 
ment ([rangais. 

PERrONTE ow pourpoint pique ä I« 

PsaröntTo, s.0. ) preuve de l’epee, ci 

Pirna, s. f. cbienne:: fomelle du chien. 

Pzarania, s. f. taquinerie, möchancelt, me 
chaat lour. Injure, parole outrageante. 

Parnzcit. V. Perresil. 

Pruntıao, 5. m. chasse-ohien : celei qui 
chasse les chiens de !’&glise „ bedean. 

+Pesnenoo, a, adj. de race de chien. T. 


errengus. 

+ Prunencue, adj. 2 gen. qui se fäche aist- 
ment; enrag6; entöt£. 

Paanzziı, s. m. (1. de bof.) V. Sale. — de 
mer," bacille maritime, ow criste marine, tu. 
la passe-pierre, peree-pierte , !’herbe de sa! 
Pierre, le fenouil marin. (Ag.) Ce qui denne da 
sel, du piquaat. 

Paanice, s. f. V. Perraria. Faser u 
gusm, taquiner, impatienter quelqw'un, # 
faire enrager. 

Paano,s. m. chien. Dar a —s, onvoyet 31 
diable. Dar-se e —e, enrager. Ser — velko, ut 
russ, fin, madrs, mateis. A euire — com +55 
osso, a d’autres, portez ailleurs vos coquilieh 

P&aro, A, adj. dur, raide; rude; obslind, 
t#tu, opiniätre; intraitable. De chien, quiap 
parent au chien. 

Pänsı , Ptnszo, PErmÄno, 8. et adj. Pers, 
Perse : de la Porse. 

PzascauTäno, A, 9.9. de Perscruier. 








”„vwvm w ww 


non en 


PER 


PER 905 


PERsCaUTAROR, A, 3. Serulalsur : Qui Sonde | caire Acre om hrülanie, persicarla, poirre 


les caurs. 

Panscautär , 9. a. soruter: sonder, examiner 
ä fond, chercher & pönötrer dans les choses 
eachöes. 

PRASCRUTAVEL, adj. 2 gen. que l’on peut 
scruter. 

+Punsta, s. f. (4. de bot.) "persda: arbre 
vert en Egypie. 

* Pensıa. V. Prozea. 

Penszcäirta. V. Persicaria. 

* Punsscugäd. V. Persoguigdo. 

PERsECoTÖRIO, A, adj. (t. de prat.) Acgdo 
—s, action en Justice dans laquelle on de- 
ınande & quelqu’un une chose qu’il possöde. 

PeunsecuiGgäö, 3. f. persscution : vexation, 
poursuite injuste et violente ; imporlunile. 
Peine, fatigue, tourment. Persecution des em- 
pereurs palens oontre les chreötiens. 

Pensscuino, A, p. P. de Perseguir. 

PERSEGUIDOR, A, 8. persecuteur : qui perse- 
cute, presse, importune, incommode beau- 
eoup. 

PERSEGUIMENTO, 8. m. * ox&cution d’un fait. 

PRRSECUIR,, d. @. poursuivfe: courir apres. 
Suivre parlout, ölre sans COSse aux LTOUSSES. 
Persecuter : vexer ; inquieter, tourmenter ; im- 
portuner. 

* PERSEMELHANTE. V. Semelkaniemenie. 

Pzusto, s. m. (1. d’asir.) persse : constella- 
tion N. de cinq dtoiles en croix. 

Penseviö,s. mw. fond d’un carrosse sur le- 
quel reposent les pieds. 

Pruskve,s. m. (1.d’hist. nal.) anatile pousse- 
pied,, mollusque brachipode, oirrhipede. 

PExsEYR)0, 8. 9. " punaise : insecte ot ver- 
mine plate et puanie. — do malo, pentatome 
du bouleau, vulg. punaise des bois. 

++ PERSETERÄDAMENTE,, adv. avco persöre- 
rance. 

Pensevenino, A,p. p. de Perseverar. 

PenszvErinca,s. f. persövärance : constande 
ä faire ou & demander; constance dans le bien, 
dans la foi, dans la piet#, qualils de colui qui 
persevere. Dureo permanente , continue. — fi- 
nal, perseverance finale. Com a — iudo se al- 
canca,, (prov.) avec la persöverance on vient & 
bout de tout. 

Pernsevzaäncı. V. Perseverange. 

PERSBVERÄNTE, adj. 2 gen. p. a. de Per 
terar. Persöverant : qui persevöre. 

PERSEVRAANTENENTE, adv. persöveramment: 
avec persevörance. 

Paaszverin (em), v. n. persöverer (dans, &), 
persister, continuer & faire toujours une meme 
chose; demeurer ferme dans une resolution. 
Durer longtemps , @tre permanent. 

Penstves. V. Peorsöve. 

+ Ptasıa, s. f. (8. de geog.) Perse : grand 
royaume d’Asie. 

Prasıäno. V. Porsa. 

+ Pansıciau, 5. f. (4. de bot.) persicaire 
douce, plante aqualique. — pimenfosa, persi- 


d’eau,, poiyganum. 

Parsıco, a, adj. Persique (golfe). V. Persa. 

"PeasıciL,a.m. V. Pocilga, Chiqueiro. il. 
Troupeau de cochons. 

Pensicußına, 8. f. (t. deAot.) lisimaque thyr- 
silore,, plante. 

Penssnär-s£ , o. r. faire le signe de lacroix, 
sesigner. 

Pärsıo, A,adj. de Perse. V. Persa. 

PERSISTÄNCIA, 8. f. persövörance, constanee, 
persistance. 

PERSISTENTE, adj. 2 gen. persöverant, per- 
sistant. 

Parsıstin (em), v. ®. persister : demeurer 
ferme dans une opinion, etc. Durer longtemps. 

’PansöA , etc. V. Pessoa, etc. 

PersoLina. V. Porcelana. 

PERSOLYER, v. @. payer enliörement. 

+ Pzusonipa, (8. de bot.) V. Mascarina. 

PERSsoNÄGEN , 8. f. et m. * personnage: Homme 
distingus dans I’Rtat; röle de comedien ow c0- 
medienne, 

PensonaLivins,s. f. personnalit6 : trait pl- 
quant, injurieux et personnel. 

+ PrasonaLızia, v.a. et m. personnaliser : 
dire des personnalites. 

Pensonwsicido, A,Pp. p. de 

Paasonificär, v. a. personnißer : attribuer 
& une ohose inanimde la figure, les sentiments, 
le langage d’une personne; faire d’un &tre abs- 
trait une personne , une divinits allegorique. 

Peasov&ıo. V. Persevejo. 

Pzaspecriva, 8. f. perspeclive : art dorepr& 
senter les objets dans leurs silualions respeo 
tives, selon les differences quo le degr6 d’& 
loignement met entre eux;; ses rögles ; peinture 
des jardins, etc., dans l’eloignement; aspeck 
des objets vus de loin. (fAg.) —, objet vu de 
loin, au physique et au moral. (id.) Apparence: 
representation (rompeuse des choses. 

PERSPECTIVO, a, adj. qui connalt, qui pro- 
fesse la perspeclive. 

Penspicäcıa, s. f. bonte, &tendue dela vuc, 
ce qui la rend pergante, subtile. (Ag.) Persji- 
caeitle : penelration d’un esprit prompt & saisir 
tes choses dificiles, 

Prrspiciz, adj. 2 gen. quia la vue percanic, 
etendue. Qui a de la perspicacite, de la pene- 
tralion. 

PERSPICäzMENTE , adv. avec perspicacile. 

Penspicuiväne, 8. f. clariö, nellele, Irans- 
parence. (fg.) Perspicuite : clarte du style. 

+ PersPicuo,A, adj. clair, net, transparent. 
(Ag.) On le dit d’un style clair ow de Pecrivain 
qui l’emploie. 

*Persuanicid. V. Persuasäo. 

PeasuanDıno, A,P.p. de Persuadir. 

PERSUADIMENTO, 5. m. V. Persuasdo. 

PsnsuADir (a), v.@. persuader : porier, de- 
terminer & croire, & faire. 

PaxsuAnpir-s8 (a), v. r. sedeterminerä croire, 
& faire. (de, que) Se persuader, se convaincre ; 
croire , 86 fgurer, s’imaginer, 





906 PER 


Prusuaniver, adj. 2 gen. dent on peut per- 
suader quelqu'un, croyable, probable. 

Pursusiö, 8 2 persussion : action, art, 
talent Je persuader; etat de velai qui est per- 
suade ; ferme croyance. 

+ Pansvasiva ‚s. f. “talent de persuader. 

PensvssivaL, adj. 2 gen. persuasibie : qui 
peutötre persunds; i peut se persusder. 

PERSUASIVO, A, . persuasil: qui a la foros, 
le pouvoir de persuader; qui persuade. 

Pansuasön, A, adj. et 5. qui persuade. 

Prasvasönıa, 8. f. ralson pour persuader. 

Parsurror , eis. V. Presuppör, vie. 

"Pratzecıutntos. V. Per . 

Prartnca, s. f. "droit de proprists. (em8.) 
Territolre qui appartient & titre de propriete ow 
jundietion. —e, pl. appartenances, dependan- 
ces , accessoires. 

Prarensiö, ete. V. Preisnsds, etc. 

PLaTEnchnTE (a), adj. 2 gen. p. a. de Per- 
tencer. Appartenant : qui appartient de droit & 
quelgu’un, qui a rapport &. Apte, habilo, pro- 
praä(p. us.). 

+ PERTENCENTENENTE, adv. d'une manidre 
convenable (p. us.). 

Pantencee (a), 9. w. appartenir ä : ötre de 
droit & quelgu’un; regarder, concerner, avoir 
rapport &; &ire du devoir, de l’obligation ; avoir 
une relation nöcessaire ou deconvenance. Hon- 
ras que perlencem ao rei, etc., honneurs dus 
au roi. Queslöss que pertencom d philosophia, 
questions qui regardent ow ooncernent la phi- 
losophie. A todos aquelles a quem o seu conke- 
cimenlo de dirsilo portencer, & tous oeux qu'il 
eppartiendra. 

PERATENDENTE, 

PERTENDER, elt. } V. Pretend..., eic. 

Pearıca ,s. f. perche : piöce de bois longue 
ei menue; baton. 

Perricutıno ,s. m. bedeau d’eglise. (auf.) V. 
Alferes. — mör de Sant-Iago,, titre de dignite 
dans l’#glise de Saint-Jaoques. C'est comme le 
protecteur de cette &glise. 

Pearisicıa, s. f. obstination,, opiniätrete. 

PERTINACISsıMO, A, adj. sup ‚de 

Fentınäz, adj. 2gen. obsuine, opiniätre, en- 


Prarın kzuäntz, adv. opiniätröment, obsti- 
n6ment. 

PERrTINeNTE, adj. 2 gen. apparienant : qui 
appartiens. Pertinent, convenabie; qui vient a 
propos. 

P&ıTo, ade. ou prep. pres, aupres ; proche. 
Environ. — de, & oöt& de, proche, tout contre, 
lös, approchant. — de Irinta homens, trente 
hommes environ. Ha—de dez annos, il y a en- 
viron dix ans. De—, de pres. — dierra, pres 
de terre. E — de meio dia, il est pr&s de midi. 
Möra aqui— , il demeure prös d’ici, ou il loge 

"prös de chez mol. — de mim ou de minkhe onsa, 
pres de chez mol. Muito —, tout pres. Saber 

2. cousa de —. savoir une ehoss A fond. 

RTOB, 8... t. de point.) los objets los 
plus Fapp oe 


PES 


Prarunziciö, s. f. perturbation : troabie, 
dösordre. 

PreTunnipauinz, ade, avec trouble, di4s- 
ordre. 

PeatTonsapissımo, A, adj. sup. de 

PzarvanipO, A, 9. p. de Perturbar. 

PERTURBADOR, A, 8. ot adj. perturbatenr : 
qui cause du trouble. 

Paxtunsän, vo. e. deconoerter, troubler, de- 
ranger l’ordre. Troubler, interrompre quei- 
qu’un qui parle. 

PzaTuRzÄR-SE, ©. 7. se troubiler; perdre la 
carte. 

Penrunsırivo, A, adj. qui cause du Irou- 
ble, qui derange Terdre. 

Pzaruxia. V. Poriuser. 

Pant, s. m. dindon, on d’inde, alectride 
d’Amerigee. Guerdador de ts, dindennier. 
Gallinka e — tudo 6 u, (prov. pop.) bonnet 
blanc ei blane bonnet. 

+ Prnö, s. m. (f. de göog.) Perou : grand 
pays de ’Amerique meridionale. 

Para, s. f. dinde, poule d’inde. 

+ Pravino, a, adj. Peruvien : n& au Perou, 
qui en vient., 

Paxöca ‚s. f. perrugue. 

+ Pextcıa, s. f. (f. de geog.) Perouse : ville 
d’ltalie. 

Psatm. V. Pers. 

Pzx6gua. V. Peruos. 

t Paxusino, A, adj. eis. de Pörouse. 

PRRVERSANENTE, sdo. möchamment, aver 
perversite. 

Pzavensiö, s. f. perversion : action de per- 
vertir ; corruption de maurs. 

PERVERSIBÄDE, 3. f. noifceur, perversite, 
möchancetd , d6pravation. 

PERVERSISSIHO, A, adj. up. de 

Pravänso, A, adj. endiabid, pervers, mmt- 
chant, deprave. 

Panvansen, V. Porveriedor. 

PERVERTEDOR, A, 8. debaucheur, qui per- 
vertit, oorrupteur. 

PEnvaarea, 9. @. perverlir, corrompre les 
maurs, 610. —, troubler Fordre, eic.; altdrer, 
mal interpre6ter. 

PEnvEnTür-eE, 9. r. so pervertir, se dehau- 
cher : se jeter dans la d&bauche, le vice. 

Prrvertino, a, pP. 9.de Perverter. 

+ Pravicäz, adj. 2 gen. qui ne vout jamsis 
ceder, opiniätre. V. Pertinaz, 

PaavicıL, adj. 2 gen. qui veille toujours. \ 
Vigilante. 

Pgavinca. V. Congosse. 

*Pervinco. V. Propinquo. 

Pe£rvıo,&,adj. ouvert, par oü l’on peut pas- 
ser, qu’on peut traverser; perm6able. Accrs- 
sible. 

*pBs. V. Peize. 

"Pesı,s.f. V. P6s. 

+ Prsipa, s. f. ce qu’on pese d’une fois. 

Pesipbamente, ade. pesamment, lourdement. 
Avec peine, & contre-caur. Griörement. Leu- 
(ement, 








PES 


Pzsaptıo, s. m. cauchemar : oppression en 
dormant. (Ag.) Homme importun. 

Pzsapissımo, A, adj. sup. de 

Pesino, A, p. p. de Pesdr. adj. Pesant : qui 
pese beaucoup, lourd. Fächeux, importun, 
ineommode. Dur, insupportable,, violent, nui- 
sible. Pesant : charg6 d’humeurs, de vapeurs : 
on le dit de la tele, du temps, etc. Pesant: 
lent ä agir, etc. Charg6 d’embonpoint. Somno 
— , sommell profond, pesant. Luto—, grand 
deuil. Cousa dem —a, (flg.) chose bien refie-’ 
chie, mürement deliberde. Gragas —as, raille- 
rie piquante, offensante. Malsria —a, chose 
grave, digne d’attenlion. Homem —, homme 
grave, qui röflschit mürement. Cdra —a, air 
serieux. Ndo ser —a ouirem, n'eire pas ä 
charge A quelqu’un. 

PasanOr, 8. m. peseur : celul qui pöse. 

Pesapüuense. V. ) ° pesanleur du temps, 

Pzsanöue, s.m. 9 deiste, d’estomac.(fig.) 
*Peine, chagrin, fatigue; importunits. Fazer 

cousa c0m —, faire une chose A contre- 
caur. 

P&sı-LıQuön, s. m. pese-liqueur : instru- 
ment pour connaitre la pesanteur des liquides. 

Pteiuz. V. Pezame., 

“Pasintg, s. m. sorte d’ancienne monnaie. 
V. Besante. adj. V. Pezar6so. 

Pzsin, s.m.V. Pexaer. 

Pzsir, v. a. peser : Juger avec des poids, 
avec un ressort gradue, elc., de la pesanteur 
de; (fg.) examiner attentivoment, considerer 
möürement. (inus.) V. Gravar. 

Pzsir, v. ». peser : avolr un certain poids; 
avoir du polds, de la pesanteur ; &tre de poids, 
de considöration, eto.; &tre A eharge. V. Pe- 
sÄr.verb. Nao Ihe pesäo os pds uma onga , (fam.) 
il va comme le vent. Carga pequena ao longe 
pesa, au long aller petit fardean pese. Vale 
quanio pesa, (fig.) il vaut son pesant d’or. 

Pzsin-s£, v.r. (inus.) ötre fAche, chagrin, 
ennuye. Se peser. — a irigo, a cera, se peser 
centre du bie, contre de la cire. 

Pzsan0so, etc. V. Pezaroso, etc. 

Pascı, s. f. peche : art, exercice, action de 
pöcher; poissons pris & la peche. (pop.) V. 
Busca, Cala. 

Pascina, s. f. (1. hist. nat.) — merldna, le 
ımerlan : poisson de mer, blanc, du genre du 
gade.— pollächa , le lieu ow grelin. — dos Por- 
fuguezes, le grand merlus. — escaldda, le 
grand merlus sec et sale. 

Prscapania, 8. f. poissonnerie : marche au 
poisson. 

Pascantira, 3. f. poissonniöre, poissarde, 
marcbandoe de poisson. 

Pzscan£ıro, 3. m. polssonnier : marchand 
de poisson. 

+ Pescapinua, 8. f. dim. de Pescdda. Le 
erand merlus lorsqu’il est encore jeune; mer- 

an. 

Prscipo, s. m. polsson en general; marde. 
— real. V. Solko. Abundanise om —, poisson- 
Deux. 


! 


PES 907 


Psscino, A,p. pP. de Pescar. 

Pescanön, 9. m. p6cheur : velul qui fall me- 
tier do p6cher. Le pape, & cause de Baint- 
Pierre ‚dont ilest le successeur. Annel do —, 
anneau da p£chcur : sceau du pape. A rlo re- 
vollo ganancia de pescadores, il fall bon ps- 
cher en eau trouble. 

PescAporinHo, dim. de Pescador. 

Pescär, v. a. pöcher: prendre du polsson & 
la peche. Prendre, saisir, attraper. (fam.) Aper- 
cevoir. — em rio revolto, ( lg.) pecher en cau 
trouble ;: proflter du desordre pour faire ya 
main. ’ 

Prscantıo, A, adj. de p&cheur, qui eoncerne 
la peche. 

Prscantz. V. Pescarejo. 

Pescania, s. f. polssonnerie; p6che. * Com- 
merce de la p6che. 

Pssciz, s. m. coin qui retient la cheville de 
la charrue. 

Pescocäda , 8. fı V. Pescogäo. 

Pescociö, s. m. coup du revers de la main 
sur le chignon. 

Pescockına,s. f. V. Cachago. 

Pescocinuo, s. m. dim. de Pescogo. Pelilcou. 
&. Col, collet, cravate sans noud. 

Pescöco, s. m. cou. Chignon du cou. Derant 
du cou d’une femme, gorge. Ficar pelo —, 
(fig.) tomber dans l’emböche. Com 0 lago ao —, 
la corde au cou. Por opöeno —, (fig.) humi- 
lier, soumelire. — de carneiro, de vilella, 
collet de mouton, de veau. 

Pescogino, a, adj. quia lecou, le chignon 
gros ow long. 

+ PsscoLosrinos, s. m. sorte de plante dont 
les feuilles ressemblent & celles de Ja maurve. 

"Pascöta. V. Pescada, Poixotla. 

* Prscupin. V. Pesquizar, Inqwirir. 

“Pascoınir. V. Procurar, Buscar. 

Prszurid, V. Porsevdo. 

Psstuno. V. Pexonko, 

+ Psstra, 3. f. piecelte : monnale d’argent 
ospagnole qui vaut vingt sous, 

PiszriL.o, s. m. V. Pospello. A—, adv. au- 
pied. Andar ao —, marcher & cloche-pied. 

P£zinno,s. m. dim. de Pd. Palit pied, pödi- 
oule. 

Pzsinuo, s. m. dim. de P6so. Petit poids. 

Päsmiucos, s. m. pl. (t. de mar.) pieces de 
bois qui forment l’intörieur de la poupe d’un 
vaisseau. 

Püso , s. m. poids : pesanteur, qualits de ce 
qui est pesant, ce qui sert.ä peser, & donner 
de la pesanteur, & faire mouvoir une machine 
par son poids ; masse de mötal, elc., pour com- 
parer, oonnaitre le poids, la pesanleur ; (Ag.) 
importance, consideration; [orce d’un raison- 
nement, soliditö d’un exemple, d’une raison, 
etc. Amas d’humeurs dans guelque partie du 
corps, pesanteur. (flg.) "Charge, fardeau, 
obligation. — d’agus, de genie, (fig.) grande 
quantıts d’eau, de monde. — da cabera, * pe- 
sanleur de töte. — düro, "piastre : monnale 
d’argent espagnole du poids d’ane ones, et qui 





908 PES 


vaut eing franes. — liguido, poids nel. A — 
d’ouro ou de dinheiro, au poids del’or. De—, 
de poids : on le dit des choses qui ont lo poids 
prescrit. Em —, en l’air ow tout entier, enlie- 
rement, en entier. Homem de —, homme de 
poids, de oonsideration. Levar, lomar em — 
um negocio, se charger de tout le poids d’une 
affaire. Tomar o—, soupeser; (fig.) Poser, 
examiner une affaire avant de s’en charger. 
Com — 0 medida, (fig.) avec polds et mesure, 
aveo ciroonspection. Fazer Iudo com — e me- 
dida, faire toutes choses par rögie et par com- 
pas. Um —de linko „ quatre livres de lin ow de 
chanvre. 

Pzsrecioo, A, p. p. de 

Psspecin, v. 6. (pop.) Aanquer, appliquer 
(des coups),, plaquer ( un soufliet). 

Pzsrita. V. Alodloa. 

Pzsrontino, A,p. p. de 

Pzsrontäin, v. a. oontre-pointer: coudre & 
arriere-points. 

Pzsrönto, #. m. "pigüre : arriöre-point. 
Melo — , demi-arriöre-point. 

Pasgutiaa, 8. f. pe6cherie : lieu od l’on 

Pasqutino, s.w. | a coutume de pöcher; 
Meu prepar& pour la p£che. * Bordigue. 

Prsquiza, s. f. perquisition, recherche, oB- 

u6te. 
I Pssquizino, A, p. p. de Pesgqwizar. 

PzsquizapOr,, A,s. celui qui fait des perqui- 
sitions, des enquötss ; enque6leur. 

Pzsquizir, v. a. chercher, rechercher, faire 
des perquisitions, s’enqu6rir. — as acgöes d’al- 
guem,, &clairer les actions de quelqu’un. 

PsssiRı0, s. m. (l. de chir.) pessaire : instru- 
ment pour arröter la chute de la matrice. 

Pässzco, eto. V. Pecego. 

PasszrtıLo. V. Pospallo et Pösepello. 

P&ssınamänte , adv. sup. de Mal. Tres-mal, 
detestablement, pitoyablement. 

Pässıuo, a, adj. sup. de Mdo. Tres-mechant, 
irös-mauvais, detiestable. 

PzssöA, s. f. personne : un komme, une 
femme; figure, disposition du corps. Personne 
de la sainte Trinit. Personne, dans la oonju- 
gaison des verbes. "Personnage de comedie. 
De —a —, wWte-A-iEte, ou personnelloment. 
Batalha de — a —,, duel. Em —, en personne. 
Cavalleiro, homem de sus —, cheralier, homme 
hrave, vaillant. Fazer de sua—, payer de sa 

ersonne , s’exposer vaillamment dans un com- 
bat; bien s’acquitter de son devoir. Bem feito 
de ua —, bel homme. Uma —, quelqu’un. 
Uma — mo disse, espero aqui uma —, quel- 
qu’aun me !’a dit, J’attends ici queiqu’un. 

? Pzssoantco ou droit d’etre Pessofiro. 

* Pzssoanico, 5. m. V.ce mot. 

PrssoiL, adj. 2 gen. personnel : propre, par- 
ticulier A une personne. O —,s.m. (8. milit.) 
le personnel : ce qui regarde le physique du 
soldat, sa personne. O — e 0 tal d’um 
 ezereilo, le porsonnel et le materiel d’une 
arındo. 


PET 


PsssoaLmänte, adv. personnellemen: : cn 
propre personne. 

* + Passoania , s. f. * actes du chef ow repr:- 
sentant d’ane famille. 

* Passoavzıuänre. V. Pessoalmenis. 

*f Pussokına, s. /- la personne qui possede 
un Prdzo. V. ce mot. 

“+ Pzssokıno, s. m. chef, repr&sentant d’une 
famille qui possöde un Prdzo. V. ce mot. Dans 
certaines provinces, il signifle associ6 dans un 
bail d’une ferme, eic. 

Pestäna,s. f. “cils, poils des paupiöres. Palle 
d’une robe, etc.; passe-poil. Queimar ss —ı, 
(Ag) s’appliquer ä l’dtude avec ardeur. — « 
viola, etc., "sillet d’une guitare, olc. 

Pzstanuia. V. Pestonejar. 

Pesvangsin, ©. w. clignoter, cliguer les 
yeux , romuer les paupiöres. Ndo — ouss—, 
ne pas sourciller. On le dit pour exprimer l’at- 
tention extröme avec laquella on regarde une 
chose. 

T Pastankıo, s. m. clignotemeni: mour® 
ment rapide, involontaire des paupieres. 

Psstanioo, a, adj. qui a de grands cils. 

Päste, s. f. peste: maladie dpidemique di 
contagieuse; maladie qui cause une grande 
mortalits. (4g.) Tout ce qui est mauvais en sau 
genre, nuisible, pernicieux. (id.) —, corruplieon 
des mwurs; porsonne, chose, livre, morale 
qui peuvent chrrompre l’esprit et le caur. Hd 
— is male, (imprie. pop.) que la pesie vous 
etrangle. 

* PESTELENCA 0 PESTELENCIA. ) V. Pesli- 

* Pgstancıa ou PESTENENCIA. } loncia. 

PEstirgnamknte, adv. d’une manidre pesl- 
lentielle, pernicieusement. 

Pastirzuo, A, adj. pestilöre: qui commu- 
nique la peste. Pestilentiel,, contagieus. 

PestiLäncia, s. f. pestilence : corruplion de 
fair; peste röpandue dans un pays. 

P&stıLenciäL, adj. 2 gem. peslilentiel : pesü- 
lent, infects de peste, oontagieux. 

PastiLuncıaLmänte, V. Pestiferaminis. 

PEsTiLeucıöso,, A, adj. pestilenlieus. — 

PastiL&ute , adj. 2 gen. postilent: qui lien 
de la peste; contagieux. 

" Prastıntncıa , etc. V. Pestilencia, elc. 

* Prstaumtıno. V. Postumfiro. 

* Pestuntino. V. Epistoleıro. 

* Pzsutino. V. Pisofiro. 

Pksünno, s. m. moignon de beuf; pied de 
cochon. * Ongle, corne du pied des animauz. 

Para, s. f. calembredaine, bourde, conle, 
mensonge. 4. La partie d’une serpetie quials 
forme d’une hachette. st. * Calmar. Y. Lee. il. 
Sorte d’oiseau gris qui vit d’insectes. (1. de 
veter.) Tache A l’ail du cheval. Comer, 

0 —, (burl.) prendre le change. i 

Peraus, 5. f. (4. de bot.) "petale: feuille 
d’une fleur. 

+ PstaLsacho, 5. f. (1. de bot.) V. Abolonsö. 

+ PeTaLzino, A, adj. (1. de bot.) pelall: 
(Neur —e), composse de petales, pour 
d’une corolle, 


PET 

+ PersLirönue, adf. 2 gen. (1. de bot.) pöta- 
loide : somblable au petale. 

+ ParaLino, a, adj. (1. de bot.) du petale, 
qui a rapport au p6tale. V. Corollino. 

PETALISEO , 8. m. pe6talisme : forme de juge- 
ment stablie anciennement & Syracuse; sorte 
d’ostracisme, exil pour cing ans. 

PfraLo,s. m. V. Da. faire } 

PETARDaR ou petarder: faire jouer un 

PETARDEAR, O0. 9. petard contre une porte, 

Perranptıno, s. m. petardier : qui appliquo 
les p6tards. 

Pgrinpo, s. m. p6tard : machine de guerre 
chargee de poudre pour enfoncer les porles 
d’une ville, etc. 

+ Prrasite, s. m. (1. de bot.) le grand peta- 
site, herbe aux teigneux, grand pas-d’Ane : 
plante & racines mödicinales. 

+ Peraunista,, 8. m. (1. d’hist. nal.) taguan : 
grand &cureuil volant. 

Perzin, v. w. faire des contes,, bourder. 

PrrschiiL, adj. 2 gen. (1. de med.) pete- 
chiale : (irre —), aveo p6töchies. 

Prrscuas, s. f. pl. (1. de mdd.) petechies: 
espöce de pourpre ow taches sur la peau dans 
les fiövres. 

* PerzcÄr, v. @. Couper avec une hachette. 

PerT&ıro, s. m. ($. burl.) bourdeur. 

* + Per£nxı,s. f. ancienne monnaie d’or qui 
valait 216 r6is portugais. 

+ Prrzassunco, s. m. (t. de geog.) Päters- 
bourg : ville capitale de la Russie. 

Partevan. V. Peisar. 

Perii, s. m. Bois jaune du Breösil employ& 
dans l’ebenisterie. 

PsTicino, 8. m. petit-canon : caractdre d’im- 
primerie. 

Prricäd, s. f. demande:: action de demander. 
Petition : demande adressse A une autorite. 
Requetsow supplique par laquelle on demande. 

Peric£co, A, adj. qui a la vue tr&s-basse. 

Perıusuisa DO BaaızıL, s. f. (l.d’hist. nat.) 
Ristulaire : poisson abdominal. 

PeTIu&Tae, 5. m. 6lögant, petitl-maltse, da- 
meret, muguet, plumet. 

Psrinca, s. f. menu poisson. Petit poisson 
gui sert d’armorce. 

+ Parinua, s. f. petit oiseau de passage. 
—canöra do Norte, farlouze ‚alouelte des pres. 

* PErTintaL, s. m. homme du service des ga- 
öres. it. Calfat ou charpentier de vaisseau. 

Part, s. m. pelit-pied, echelle. 

Parisca, s. f. "jeu d’enfants. si. Mäche, 
pierre & (ou. 

Prriscik, v. a. et n. battre le briquet. (ig. 
fam.) Gotßter lögörement, manger peu d’une 
chose, pignocher, grignoter. — de, v.n. ( lg.) 
avoir une teinture, uno l&ögäre connaissance 
de... 

Parisco,, s. m. bolte & fusil; mäche, pierre ä 
feu „ briquet, etc. Grignote. 

PaTis£cco, A, adj. moiti6 sec, moili6 vert; 
qui commence & derenir sec. 


PEV 909 


Prrirönio, s. m. (1. de prat.) petitoire : au- 
tion de Jemander la propridts. it. V. Peditorie. 

P£ro,a,adj. V. Pisce. 

P£ro, s. m. V. Picango. 

Perönaa, s. f. *sabot & Jouer, toupie. 

PETRECHÄDO, A, p. p. de 

PeranecHin, ®. a. munir, fortifier une place, 
la pourvoir de munitions. 

Parnzcnin-sE (de), ©. r. se pourvoir, se 
munir. 

PETRE£CHOS, 3. m. pl. "munitions pour la de- 
fense d’une place. Armement ‚ &quipement d’un 
vaisseau de guerre. Moyens, instruments ue- 
cessaires pour une operalion. Tous les oulils 
d’un homme de melier, ot6.—de cozinha, * bal- 
terie de cuisine. 

PETREO, A, adj. pierreux : qui a les qualilss 
des pierres. Arabia —a, (1. de geog.) Arabie 
petrde, couverte de monts. 

Peraıicaciö, s. f. petrification : change- 
ment des animaux, des veg6taux en pierre; 
chose pe£triflee. 

PeErTRIFICÄDO, A, 2. P. de Petrificar. 

PETRirIcinTE, adj. 2 gen. petriflant, qui pe- 
triße. p. a. de 

PETRIFICÄR, ©. a. petrifier : converlir en 
pierre. —se, vo. r. se p6trißier, devenir pierre. 

t Perairico, a, adj. petrifique, qui change 
en pierre, qui pötrifle. 

Peraima, s. f. ceinture de cuir & boucles, 
pour ceindre le pourpoint au-dessus des han- 
ches. Ceinture : endroit du corps oü se met la 
ceinture. Ceinture de culotte, de jupe, etc. Y. 
Cinto, Cesto, Cinlura. 

PETRÖLEO, 8. m. petrole : bitume liquide 
et noir; hulle terrestre, moins pure que le 
naphte. 

Pgra0s0, A, adj. pötreux : qui tient de la 
pierre ; pierreux. 

“Parrin. V. Peilar. 

+ Peraus-ın-conctiıs. (mot lat. fam.) On lo 
dit d’un homme qui fait le savant. 

Peruuincıa , s. f. petulance : qualite de colui 
qui est petulant; insolence. 

PETULÄNTE, adj. 2 gen. pötulant, emporte, 
insolent, impudent. 

+ PETULANTEMENTE , adv. avec pelulance, 
d’une maniödre insolente, avec eflronterie. 

+ P£uce , s. m. (1. de bot.) sapin : grand arbre 
resineux. 

Pzucepano, s. m. (8. de boi.) peucedane, 
Queue de pourceau, fenouil de porc : plante 
ombellifere. 

Petöcipa. V. Piugada. 

+ P£uuo, s. m. (5. de bot.) peumo : arbre du 
Chili. 

Pzvioe, s. f.” pepin de poire, de pomme, etc.; 
graine de melon , de citrouille. Pepie : maladie 
des oiseaux, ei surtout des poules. “ Delaut de 
celui qui Prononce avec peine certaines eliros. 
Elincelle qui sort du lumignon d’une chan- 
delle. Viva a gallinha e viva com a sus—, vive 
la poule, encore qu’elle ait la pepie: plulöt 
souffrir que mourir. Ndo ter — na lingua, 





910 PHA 
(jem ä la ptpie , parier besncsup- 
u qui a la p£pie. Qui bigaye, 


’ 9» 

* Pzrocca , 8. [. V. Chispes. 

Ptz, s. m. "peix, enuc resineus. — de Ber- 
ynha, peiz de Bourgogne, d’un blanc jau- 
sätre, pour les empläires. kurs, poiz- 
resine, gomme jaunätre. on 

Piz, tseisitme persenne du subjonctil da 
verbe Pezar. Ems que vos —, malgrt vous. Pfzs 
est plus correet. V. le verbe. 

Pazupeur. V. Pesadums. 

P£zuuz, s. m. compliment de condeltance. 
Der os —ı a alguem,, laire ses complimenis de 
esundoltance a quelqu’un. 

Pazin, 5. m. chagrin, souci, tristesse. Re- 
gret, repenür. Ter —, eire läche, chagrin, 
ennuy6; se repenlir. A — de, en depit de, 
malgre, contre le gr6 de. A— ‚A regrei, Acon- 
tre-omur, malgre sei. A meu — , malgre moi. 
Bem a mou —, a men grand regret. Muilo a 
seu —, malgre lui et ses dents. Fazer pezdres 
delguem, tralter fort mal quelqu’an. Pexdr ds 
Deos e dos santos, malgre Dieu ei les saints. 

Pzzia, 9. ». et imp. &ire [Acht ,, chagrin, en- 
nuye. Se repentir, avoir regret; faire de la 
peine. — muito a alguem,, ou pezar-Ihe do co- 
rapdo, ns almıs, aveir un fond regrei. 
P6za-me de vos ler offendido,, jsi un grand re- 
gret de vous avoir olfens6. Pözs-me ndo ter 

o teu conselko, je regreiie de n’aveir 
pas suivi votre conseil. P4za-me de vos ver 
w’esse esladeo, volre etat, volre posilion me fail 
de la peine. Mal que Ihe pfze, bon gre, mal gre. 
Näo Ihe pdza por que nascho ou de ler nascido. 
(Ag.) On le dit d’an homme trös-content de lai- 
meme. 

Pgzanösautnte, ade. douloureusement, ä 
Fegret, avec repenlir. 

Pezanosissıno, A, adj. sup. de 

Pezan6so, a, adj. contrit, fächd, quia du 
regret. Chagrin, inquiet. 

Pazeszio. V. Perseväs. 

Pzztuno, A, adj. couleur de poix. 

Pszıuno. V. Pesinko. 

Pnasid.V. Feisdo. 

Puarancancmis, s. f. (1. d’anc. mil.) * grade 

commandanti d’une phalange. 

Pnarince, 5. f. (1. d’anc. mil.) phalange: 
eorps de piquiers pesamment armes qui com- 
battaient on masse ; bataillon d’infanterie. (Ag.) 
Grand nombre. —s dos d4dos,, (1. d’anat.) pha- 
langes : os qui composent les doigts de la main 
et du pied. 

TPuaLincu,s.f. | phalange: espece d’a- 

RNGIO, 8. m. | Täignde venimeuse. 
PuaLincıo, s. m. phalangite : soldat de la 
Phalange. 

+ Pairans ow Puatsne, (1. de bot.) V. Al- 

is. 


+ Pnarinsca, s. f. phalarique: sorte de ja- 


embrast contre las tours de beit PURE y melıre 
le fen. 

Puarıtus,s. f. (8. Zhist. nat.) phaltae : p- 
Pillen de nuil. — pause, ie pasn de mail. — des 
sınsreires , le ver & sets. — neusiris, la Erter. 

’ is „ la precessisunsire. — var 


Puaxısto ou —sär, s. m. Pharisien : sorte de 
seclaire parmi les Juifs. Hypocrite, {aux dero. 
Gilerienr dtsagriable, ei, Gap.) "Pal, 
exterieur de .eu. .) "Pai 

Paaruackerca.V. Para) 

PRARMACEUTICO, A, adj. pharmacestiger: 
quiappartientä la pharmacie. s. m. V. Beier. 

Puarmwicı,s. f. ie : art de preparet 
et. de composer les remödes, les dregues me&- 
einales. 

t Puinmaco, s. m. pharmagse : preise grei 
qui puriflait les parrieides. 

PRARNACOLOCIA ‚s. [. pharmacelogie: scaott 
de la pharmacie. 

f PusnmacoLöcıco, A, adj. Chimica-—#, 
chimie pharmacologique, des medicamenu. 

Puısuacorkıa, s. f. pharmacopee, dispe- 
saire: traile de la uon des remsdes. 

PaARuacöPoLs, s.m. pharmacopele, apeil: 
caire. 

Psanuacoroula,. V. Botice, 

Puino, s. m. pbare : tour e& Fon mei un 
grand [ansl pour eclairer Jes vaisseauz. 

Puarör. V. Ferol, 

+ Puansiru,s. f. (6. de gdog.) Pharsele :c ° 
tree, plaine de Thessalie. 

Puanv'nce,s. m. (l. d’anet.) pharyaz: ®. 
fice superieur du gosier qui teuche ä la bosc'. 

PHART’'nGEO, A, adj. (1. d’anst.) phanıft. 
pbaryngien : du pharynz. 

+ Puanvncockarnia, s.f. (£. denet.) phr 
Fyngograpbie : description du pbaryus. 

t PumxrncoLocia ,s.f. pbaryngelogie : wait 
sur le pharynx. 

PDARYxGOTONia, 8. f. pharyngolomie : t- 
tion du pharynz. 

Pruse, s. f. (1. d’asir.) phase : se dit des di 

plandies, 


velot enduit de Mlasse poissec qu’on langait verses apparences des 


PHI 


Puarıosiu, s. m. V. Emphiteusis. De —, 
pour longtemps ou perpötuellement. 

Pnuns, 8. f. (podi.) la lune. 

Puss£o, A, adj. (po6t.) du soleil. A Idmpada 
—a,lesoleil. 

Pn&50,s. m. (l.demytA.) Phöbus, Apollonz 
(puel.) le soleil. 

tPurnas,s. f. pl. les petits des aigles de mer. 

‚Puenicıo, a, adj. ot s. Pbenicien : de la Ph6- 
nicie. 

T Pusmicörtexo,s. m. phenicopiöre, böcharu, 
flamant: oiseau rouge aqualique. V. Flamingo. 

PuEnicma,s. m. (l. de med.) phönigme : re- 
mede qui excite des rougeurs et des vessies oü 
il est applique. 

Pu£nıs ow Pulnıx,, s. f. ou m. phenix : ol- 
seau [abuleux qui, disait-on, renaissait de 308 
condres; (g.) tout ce qui est rare, exquis, 
superieur dans son gexre; sphinx, sorte do 
prrillon ;constellaiion zustrale; ivraie sauvage, 

grains rouges. 

PBEnöuzno, 3. m. phenomäne : tout ce qui 
paralt d’extraordinaire, de nouveau dans le 
ciel, dans Pair; effets de la nature; (fg.) ce 
qui surprend par sa raretd, sa nouveauts. 

Pnenztao. V. Forelro. 

PuıLacreaus. V. Phylacierias. 

+ PuıLaveLpuia, 8. f. (6. de geog.) Philadel- 
pbie : ville d’Anatolie; «4. de la Peusylvanie, 
ci-devant capitale des Elats-Unis. 

f Puiap£Lrno, s. m. (t. de bot.) seringat: 
arbrisseau & fleurs rosacdes. ady. et s. de Phi- 
ladelpbie. 

+ PuıLännea, s. f. (1. d’hist. nat.) "phalan- 
ger:mammifere marsupial.— do Oriente, pha- 
langer blanc. — volante, phalanger volant. — 
giganlesca ‚"kanguroo.— do Brunio ,kanguroo 
Blandre. — cinzenta. V. Cangurü. 

PaıLanTropia,s. f. philanthropie : caractere 
du philanthrope. 

PRILANTRÖPICO, A, adj. philanthropique : qui 
a rapport & la philanthropie. 

PEILANTRÖPO, 3. m. phbilanihrope : homme 
ports naturellement & aimer son semblable. 

Poaıtasterıas. V. Phylacierias. 

Pririucıa, s. f. philaulie : amour de soi- 
meme , amour-propre. 

PaıLauciöso, A, adj. plein d’amour-propre: 
6goiste. 

PniLierica, 8. f. philippique : discours vio- 
lent et satirigee. 

+ Pmuirpinas, s. f. pl. (1. de geog.) Philip- 
pines : iles de la mer des Indes. 

+ PaıLırrino, a, adj. et s. qui est des iles 
Philippines. 

+ PaıLierörouts, 8. f. ($. de geog.) Philippo- 
poli : ville de la Thrace. 

+ Pnıuissönco, s. m. (1. de geog.) Philis- 
bourg : ville d’Allemagne. 

PniListko ou —ku, adj. m. (fig. fam.)grand, 
demesur6, gigantesque.—s, s. pi. Philistins : 
peuplo de la Palestine, ennemi des Juifs. 

7 PaıLoor'uia, s. f. philogynie: amour pour 
los (oaımes. 


PAL gyii 


Pmwowoclh, s. f. philologie : science des 
belles-lettres, de la critique; etude generale 
des langues ; litt&ralure universelle. 

PurLoLöcıco, A, adj. philologique : qui con- 
cerne la philologie, qui ya rapport. 

PwıLö1L0co, s. m. philologue. savant appli- 
que & la philologie, & lacritique. 

PaıLousıa ou —ußna, 5. m. (Podl.) Philo- 
miele, rossignol. . 

PnıLön1o, 8. m. (f. de pherm.) pbilonium : 
espece d’opiat anodin ot somnifere. 

PsiLosoruino, A,P.p. de Philosophar. 

PuıLosorniL, adj. 2 gen. philosophigue. I : 
n’est gudre usit6 que dans la locution suivante. 
Pedra—, pierre philosophale ‚preötendue trans- 
mutation des metaux; art pretendu de faire do 
Y’or ; (Ag.) chose difficile & trouver. 

PrrLosorRär, ©. #. philosopher : trailer des 
matieres de philosophie ; raisonner de philoso- 
phie, conformement & la philosophie ow trop 
subtilement ow de morale,, de choses serieuses. 

PwLosorsia, s. f. phllosopbie : amour de la 
sagesse; scienoe, connalssancte &vidente, dis- 
tincte des choses par leurs causes et leurs el- 
fets; science qui a pour objet la connaissance 
de !’esprit humain ; science qui comprenait au- 
wefois la logique, la morale, la physique et la 
metaphysique; opinions des pbilosophes; &ie- 
vation et fermete d’esprit, d’Ame, qui porie ä& 
se metire au-dessus des prejuges, des &rene- 
ments lächeux, des fausses opinions. —moral, 
morale, science des maurs. 

PutLOsörHicAunTE , adv. philosophique- 
ment : d’ane maniöre philosopbique, en philo- 
sophe. 

PsıLosörnıco, A, adj. philosophique : qui 
appartient & la philosophie; qui la concerne. 

PnıLosoraisuo, s. w. philosophisme : secte, 
doctrine des faux philosophes; amour des s0- 
phismes ; l’oppos# de la vraie philosophie. 

+ PuıLosorkista, s. mw. pbilosophiste : faux 
pbilosophe. 

PsıLösoPRo, 3. m. philosophe : qui s’app.i- 
que & l’6tade des sciences, principalement & 
celle de l’esprit hamain, & connaltre les effete 
par leurs causes etleurs principes, ä connaltre 
les causes premieres. —, qui s’appliquoe & la 
philosophie, qui l’&tüdie, qui Paime, la prati- 
que; bomme sage qui s’el&ve au-dessus des 
passions et vit tranquilie, dans la retraite, loin 
des affaires ; amidelasagesse ;sage,d’un esprit 
(erme,au-dessus des prejuges,, etdu malheur. 

+ PuıLorixia, s. f. amour de son honneur, 
de sa r&putation. 

PsiLtao. s. m. philtre: breursge, drogue, 
etc., qu’on suppose propre ä donner de l'a- 
mour, & prdvoquer une passion. V. Piltro. 

+ Pavyıryntaı, s. f.(t. de bot.) pbillyree : ar 
brisseau toujours vert. 

Puımösıs, s. m. (6. de med.) phimosis - mala- 
die du prepuce trop serrö sur le gland. 

Pnisıca. V. Physica. 

+ PuLgsockarBia, 8. f. pblebographie des 
eription des veincs, 





912 PHO 


+ PatLzsoLocia, 8. f. phl&bologie : traite sur 
les veines. 

+ Pnuesonnuacia, s. f. phleborrbagie : rup- 
ture d’une veine. 

PuLezoromia, s. f. phlöbotomie : art de sal- 
gner; saignee. 

PBLEBOTONMIÄNO,, s.m. phiöbotome : qui pra- 
tique la saignee. Professeurde phl&öbotomie. V. 
Sangrador. 

PHLEBOTONAR OS —IZAR, ©. a. phlöbotomiser:: 
saigner. 

PuLzBOTouista , s. m. phlöbotomiste : parti- 
sarı do la saignee. 

PELEBÖTONO, s. m. phlebotome : instrument 

ur pratiquer la saignee, lancette & ressort. 

6. V. Phlebotomiano. 

+ PuLEcerönte, s. m. (f. de myth.) Phlege- 
ton : fleuve des onfers. 

PRLecua ou PuLzuma, etc, V Flegma, elc. 

T PuL£con ow PHLEGÖNTE, 5.1, (£. de myth.) 
Phlegon : cheval du soleil. 

PuLoGösE 0% ($. de mdd.) phlogose: in- 

PuLocösıs, s. f. ) fammation sans lumeur. 

Pnöca, s. m. (8. d’hist. nat.) phoque : mam- 
mifere amphibie, veau marin. 

+ Puocenses, as. m. pl. Phoctens : peuples, 
habitanıs de la Phocide. 

Puöcıa, s. f. (£.de g6og.) Phoote : ville d’Asie 
Mineure. 

7 Puöcıpa , s. f. (8. de gdog.) Phocide : pro- 
vince de la Gröce. 

+ Pnörana, 8. f. (8. d’hist. nat.) pholade: 
ouquillage qui creuse un trou dans la pierre. 

Puongrtico, a, adj. phonetique : qui exprime 
le son. 

PuonöMErnO, 8. m. pbonomötre : instrument 
pour mesurer le son. 

PEORONONIiA, s. f. phoronomie : science du 
mouvement des fluideos et des solides. 

7 Paosrnito, 8. m. (4. de chimf) phosphate : 
sel form6 par la combinaison de l’acide phos- 
phorique aveo differentes bases. — de cal, 
phrsphate calcaire. 

+ Paosrnito, s.m. (8. de chim.) phosphite : 
sol forms par la combinaison de l’acide phos- 
phoreux avec difförentes bases. 

+ Puospnonzik, v. ®. luire, briller comme 
an corps pbosphorique. ° 

+ Puoseuon&nte, adj. 2 gen. phosphores- 
cent : lumineux comme le phosphore. 

Paospnönzo. V. Phosphoröso. 

+ PBOSPHORESCRNCIA 04 PEOSPHORENCIA, 8. f. 
(8. de chim.) phosphorescenoe : formation du 

hosphore; lueur douce comme celle du ver 
uisant, produito par differentes substances 
animales, vegetales ow minerales. 

Prospuörico, a, adj. phosphorique : qui ap- 
pärtient au pbosphore, de sa nature. A’cido —, 
it. de chim.) acide phosphorigue, combinaison 
du phosphore aveo une portion d’oxygöne plus 
forte que pour l’acide phosphoreux. 

+ PsospnonızacÄö,s. f. (£. de chim.) pbos- 
pborisation : chimie, influence da phosphate 
calcaire dans l’dconomie animale, 


PHY 
+ Pnospuorızän, v. e. rendre phospherigee. 

Pnösruoro , s. m. phosphore : plandie de Y&- 
nus, etoile du matin ow Lueifer; laurore. —, 
corps r&puts simple, substance qui lait comme 
le feu dans l’obscurite, qui s’enflamme lscik- 
ment, etc. 

+ Pnospu0rd80, A, adj. (1. de chim.) par 
pboreux : (acide —), produit par la combastee 
da phosphore ; combinaison du phosphore arec 
une faible porlion d’oxygene. 

+ Pnosruuntto, s. m. (8. de chim.) pber- 
phure : combinaison d’une autre base are k 
phosphore. 

Puräsg, etc. V. Frase, ete. 

Punenssi, etc. V. Frenssi, etc. 

+ Pneznitis, s. f. (t. de med.) inlammaılia 
du diaphragme. 

PuRenopiaco, A, adj. fait & Yoccasion dat 
calamite publique (disoours). 

+ Purznorocia, 8. f. phrenologie: conna# 
sance de l’homme moral, intellectuel; est 
du caractere fondee sur la methode de Larakeı, 
sur celle de Gall. 

+ PHungnoLöcıco, A, adj. phrenologigue: qui 
a rapport & la phr&nologie. 


t PuRENOLOCGISTA ow | phreenologiste : qr 
t PuazuöLoco, s.m. | s’occupe dela part 
nologie. 


+ Ponroinza, 2. f. (1. E’hist. nat.) Tigane: 
insecte n6vroptöre. — esiriads, Irigane sine. 

+ Purrv’cua, s.f. (£.de geog.) Phrygie: con 
de l’Asie Mineure. 

+ Punr’nıo, s. m. (4. de bot.) espöce de ner- 
rade, plante (neurude ) 

Partaısica , etc. V. Tisses, etc. 

Pavracrkatas, s. f. pl. phylactäre : part 
min oü ötaient &crits les commandement & 
Dieu, et que les Pharisiens portaient auı bi! 
et sur le front; preiendu pröservatif contre % 
mauvaises pensees; talisman. (fig.) Rss®, 
fourberies. 

+ PurıLintuıo, 3. m. (6. de bot.) cactier ) 
feuilles de scolopendre; phylianthe, planie 
phorbiac6e. — bastardo, xylophylie, eupbori* 

+ PuvıLivis, s. f. pl. (1. d’hist. nal.) paslt 
des : mollusques gasteropodes. 

+ PurıLöstowos, s. m. pl. (1. Eist. 
phyliostomes : chauves-souris & feuille me® 
braneuse sur le nez. 

Pav’sıca, s. f. physique : science des choseh 
naturelles; classe, (rail de physique- (ee) 
Medecine. 

PHYSICAMENTE, adv. physiquement : Da 
relloment; d’une maniöre r6elle ei physigte- 

Pav’sıco, a, adj. physiqne : natarel; 4# 


tient & la physique; matöriel ; Foppost de * 
ral. 


Pav’sıco, s. m. physicien : qui sait la phy® 
que, s’en occupe, qui Papprend. (ani.) Nede 
cin, 

+ Pur'sıco-Marnzwärico, A, adj. PRTE* 


mathematique : qui a rapport & la pbysigue & 
aus mathcınaliques. 





PA 


+ Pavsiocnada, 8. f. pbysiocratle : pouvoir | 


de la nature. 

+ Pursıocaira, s. me. physiocrate : qui mad- 
mei de pouyvoir que celui de la nalure ; mate- 
sialiste. 

+ Pauvsiocairıco, A, adj. physiocratique: 
de la physiocralie. 

+ Parsıocnömico, a, adj. physiognomoni- 
qua : qui tient de la physiognomonie. Qui 
appartient & la pbysionomie. 

Puxsıosnouista. V. Päysionomista, 

Pursocuonmonia. V. Physionomia. 

+ Pazssoonarmia, s. f. pbysiograpbie : des- 
«siption de la nature, de ses productions. 

+ Puxsıocnärsico, A, adj. physiographi- 
que : de la physiographie. 

+ Puxrsıöckarno, s. m. physiogtaphe : qui 
pralique la pbysiographie. 

PaxstoLocia, 8. f. physiologie : trailä, 
seienee des principes de Peconomie animale, 
de l’usage ei du jeu des organes; trait6 du 
corps humain on diat de sante; science de la 
vie‘, de. la nature animee, des fonctions ani- 
males, organiques,, de nufrition,, de relation 
et de generation. — vegelal, physiologie vege- 
sale : seienne des Sonctions vitales des vege- 
taux. 

Puvuonöcsco, 4 ‚adj. physiologique ı de la 

logie. Modecina —a, medecine physio- 
logique, fondee sur des observations physiolo» 
gignes ; syaldıne de M. Broussais. 

PatTsoLnaista, 5. m. plysiologiste : versd 
dans la physiologie. 


fasuli& de oonnaltre le sarastere, les inolinar- 
tions , par Pinspeclion des tralts du visage, — 
‚ physionenie piquanie. 

PnrYstionömico, a, adj. qui appartient & ia 
physionomle. 

Pursıonouivra , s. me. physiomomiste : qui se 
sonnalt ou pretend se connaltre en physiono- 
mie. 

Pursıönono. V. PAysionomista. 

Purrorocia, s. f. phytologle : art de decrire 
los planies;; trall& des plantes medicinales. 

Pia, s. f. auge, abreuvoir, pierre d’evier. 
— duma [onte, bassin d’une fonlaine. — d’s- 
gwa benta, "benitier A la poric des eglises. — de 
baptizar ou do baptlismo, [uns baplismaux. 
(As.) Paroisse. Noms da — , nom de bapteme. 

+Pia,s. f. pie: cbeval pie, tacheis de di- 
veorses voulours. 

Pık ou Pıäa, s. f. de Pido (pl. Pides) ‚femme 
du peupie. 

PıäcHz , mot usit6 seulement dans la phrase 
adverbiale: Tardse —, bernique, U est irop 
ward ‚jo ten ratisse. 

Pıacuir, adf. 2 gen. (p. we.) expialoire, 
qui sert ä expier. 


‚ Raieup, s. m. crime, faute A expler. Saori- 


ice eıpialoire; victime explatolre. 
PORT. PR. 


I nerienne en A 


PIC 3 


Pıäpa, 5. f. * cri des petits poussins gut sui- 
vent leur meöre. 

Pıavine. V. Piedade. 

Pıivo, s. m. sifliement qui sort de lapeltriwe 
d’un asthmatique. V. 

Pıapör , a, adj. piaulgur. On oe dit des ei- 


seuux. 

Prapöso,, ote. V. Pisdese,, eto. 

Pıär. V. Poial. 

Pıawiran, e.f. (8. @enai.) pie-möre : mim- 
brane qui enveioppe le cerveau. 

Pıäuanez, s. m. (8. d’Asie). V. Andeas on Tri- 


Pıawänte , adv. pleusement. Crör —, ereire 
pieusement, par devolion,, par döferemoe. 

Pıamonte, so. m. (t. de gdog.) Piemont: 
eontree d’kalie et principauts da royaume de 
Sardeigne. 

tr Pıamonräz, a, adj. et s. Piömonteais, du 
Piemont. 

Pıln,s. m. plan : maladie que l’on ereit ve- 
merique. 

Pıänua, 8. f. " piedouche : petit pi6destel. 

T Pıanista ‚8. 2 gen. pianisie : gi teuche du 
piano, qui est fort ser le piano. 

Pıäxo ,s.m. V. Piano-forte. adv. (1. de mus.) 
Piano, doux, doscement. 

PıARO-FÖRTE, s. m. pienoferte, forte-piano 
ou piano : sorte de clavecin carre , instrument 
& cordes mötalligues et clavier. 

+ Pıänte, adj. 2 gen.p. a. de Piar. Pisu- 
lant. (Ag.) Qui se plaint. 

Pı2ö, s. m. V. Peäo. it." Toupie, jouet d’en- 
fanıs. Pignon , arbre d’engrenage d’un meulin, 
ete., eto. Pivot d’une tenie oonique. Afat d’un 
fausenneeu. Sorte de pilier dans lo mandge. 
(6. #’Inst. nat.) V. Turbüho. 

“Präa. V. Pier, Posts ei Pal. — 

PıAr, v. ®. piauler, se dit du cri des petits 
poussina. Pepier, parlant des moineaux. (boA.) 
Betre. —de g6de, (buri.) boire comme un Ieım- 
plier. 

* Präna, 8. f. “corele, multitude de gen». 

Pıassi, Pıassäna om Pıassäva, s. f. " jene 
noir d’Amerique dont on fait des balais,, pto. 

Pıastriö, es. m. plastron : piece de devant 
de la ceuirasse. 

Pica, s. f. V. Pique. (t. de mar.) La partie ia 
plus mince de la poupe et de la proue @’un 
vaisseau. Tache d’un cheval. (4. obse.) * Membre 
viril. (8. de mid.) * Pica : appetit deprave, in- 
stinctil des fermmes enceintes ow chlorotiqwes , 
qui les porie & manger du plätre, da oharbon, 
oe 


+ Pıcäczo, a, adj. ( £. de med.) da piea, qui 
& tapport au pica. 

+ Picacurosa, 8. f. (t. d’hist. nat.) * plesen- 
roba : tourterelte du Bresil. 

Pıcipa , s. f. pigüre : blessure que falt vegui 
pique. * Coup de bee. "Picotement : Impression 


ı douloureuse sur la peau,, les mombranes,, Pes- 


tomac, etc. , failte comme par une pointe. (fg.) 
Petite attaqne,, petit dommayge fait & ’eamemi. 


| (dd.) "Seutier ä iravera no bois. 


en se 


ge 





Yis PIN 


Ditiment de mur. (Ag.) Qui eandelt une alaise, 
ie. , qui geuverne. — da barra on de perfe, 
(1. de mar.) pilote pour l’onirde et la sortie des 
ports, lamaneur, loeman. — d’elture, (id.) 
Pilote hauturier. — da cäste , pilote odller. 
Pırn£ru,s. m.( burl.) petit homme, baut 
d’homme. 
reg) V. Pirliteiro. 
ad F s. f. pllule : com mödicinale 
en petites et (Ag.) Nouvelle fäacheuse, ia- | sty 
jure qu’on est oblige de souflrir, etc. Dourer @ 
— , dorer la pilute : adoueir um refus , oouvrie 
es römenis par des apparences sedui- 
santes. Ängulira —, (buri.) avaler la pilele, 
le goujon, faire ce qui repugne eu donner dams 


une isompe 

F Pintun, s. f. (t. Ehist. nel.) pimelie : 00- 
itoptöre melasome. 

Pıntnrta ,s. [. " poivro, pisnent , sorte d 
serie. — ou pimsnleire negra, (i. 
de bot.) "poivrier oomrmaun ou aromaligen. _ 
lunga, pohrre long. — des Indios,, Io betel. V 
Beile de Jamasies, poivre de la Jamaique. 
— rabuda, peivre & queue. V. Cobebss. — de 
Guind, ° tonalchile, poivre de Guinde. Tor 
muile — (A. fam.) ötre irds-ches, d’an prix 
exorbitant. 

+ PıneutiL, s. m. planche de poivre ou pi- 
ment de Guinee. 

Pınaxtiö,s. m. (1. de bot.) piment annuel, 
piment de Guinde, poivre de Portugal, du Bre- 
sl, poirre enrage, corail de jardin. Nariz de 

— ‚(buri.) nez so 

Pınantlına, 8 nf "poircier : arbrisssau des 
Indes orientales qui prodeit lepeivre en gralas. 


V. Pimenta. 

Pıusutkino, 6. m. poivrier ou 
vaso ou boiie ä melire de polvre. 
teire. 

Pıs&nto. V. Pimensio. it. Ouropimenie. 

+ Pınriö,s.m. (1. bunt.) Ber-i-hens, fanla- 
ron. Bien mis, hoau, didgant, ooguet, 

+ Pımriuim, s. m. (ti. de bo$.) pimplin om 
plinplim : geivre du Bengale. 

Pıurınkira, 8. f. (6. de bei.) — Aorionse, 

elle: herbe vivace, petagöre. — de Jla- 
ka, la grande pimpreneile des pres. — Iraues, 
koucage ü feuilles de pimprenelle, pimpre- 
meile saxilrage. 


PıseLan, v. ». manier avec gräce je pn- | STed 


gpleo. V. co mot. 
PıupLäe, e. m. petit dard & orechet dent on 
u sort dans les oourses de laurdauz. 

PruröLno, 3. m. jet, une, rojeten d’erbre. 
V. Aenovo, Novedio, Betölho 

Pını ,s. f. jante de rone. 

Pınica, s. f. pinasse : bätiment de eharge & 
volles et & rames. 

PıniovLe ‚a. m. pinaole : partie Ja plasdieude 
Fun sdißoe; sievalion; sommei, onmbie en 
po | 1} @ 

t Pauiuesa , o. f. (6. de bei.) " pinanga : sapbce 
An peimier. 


FIN 
Pınime, s. m. (4. de harp.)gikes Au ailse 
peute. 


[,Fincane ‚a. mn. sommut (dus an, «ie.) 
,» f. pinse, pinselin, kumattı Be chi- 
rasgien , 6 


Pıngi6. V. Pag. 

Prackı, 8. zn. pinoaen de peintee. (Ag) Sie- 
osau. On le dit du peintse, ds Bin Tr, 
“a mankire de peindre, ot, par entunshte, du 

ie d’sn poöte, ots. -— sstupeire, (6. de wur.) 
unse & & geudrea. Dur o uilime — , mai 
en seraire main & un ouvrage. —— de niet, 


Pımeazuina, s. f. 
Pesenpreageitgee Ark qpreun 


PrucaL2n®, e. os. oolml qui on vunt des 
pinesenz. Pinselisr ı vanı gene meine ins pin- 

Fincas. y. Glen. 

Pıncaiao, A, 


pP. 

EEE) einsner een fans: 
betite (une muraille äte.): Gelee taudber au 
sauter. Banco de —, aneisune meshine da 


Pıngbre, 5.0. (4. ds zuer.) "harye Ge-guuwer- 
mail. dt. V. Mangels ot Bonche, 

+Prauılma, 5. f. (6. de Beöcii) vunte in 
de Ttcorce du esoe pear peter A Fin 


Pınpänsco, a,a. af. pindestyae : dene Dysu, 
ia stanitre de Piadere (06e—-). 


“Pınaaha. V. Ponkorer. 
ec geachen 
on ,s.f. geuie, Den tem.) 

de bon vin. Goster da —,, aim Du uuiuälle. 
Bstar tevade da — , aweit une points Gb win. 
Nom — , pos une geutis. 

Pruoantına, s. f. Iüchelrtte : unteuulle eur 
sosurelr fe jas du süll. 

Pıueino, a, 9.9. de Piagar. af. Pieim @ 
gestns, de taches de gielsse, Er Gmb —, 





uo-must. 
Praospeune, 8. os. V. Pingadsise. 

PıncoaLukte, s. m. petit cios. Fiödse dPuan om 
quetie bee 

Pıneinte 2 gen. ap a u Pluger. 
(dert) ) Miedrabe. eg er 


de Led ver) 


Pıncia, alte & geufäs 
ament un 1 Dan za 
berniliaute 


oeelsweßy 
Pıucia, v. ». dtgeniter ; oeuler gemtte A 








And piugunde, (fam.) wunzaor Wut 
gont, ne pas avoir le new. 

mn na * gusinen qui döghutte du oochon, 
du lard, de ia viende prösenide au feu. (ng) 

‚ creme qui attuche auz habits 
Nödos. (id.) Action de Bamber avoo du latd, 
ete. V. Pinger. — de neris, " roupie. 

Pinons, adj. 2 gen. gres, res, bien nourti. 
Gras, lorule, riche , qui rapporte beaucoup, 
abeondent , fügend. Terra ---, terre de ben rap- 
eier; terre grasse. Benefeio —, bemefice Irds- 


nut... f. graisse. 
be reden polo baguone Tun piSg® 
V. Zeperreii 


au 


yi 
Pmevinna , s. f. dies. de Pinge. Goutielette. 
Pinna, s. f. pomme de pin; co qui en a la 
forme. (1. de dei.) Cine, meuio oenique, stro- 
bile. Fruit du Bresil qui ressunrblo & la 
de pin, mis-ben & manger, pinnas. 
de mar.) * Cal de pero simple. ( Ag.) Quan- 
une de oboses ou de persennes agglomerees, 
wounies. V. Pinhois. — de meis,* soin d’an bas. 
Pınmir, &. m. * for&t de pins, sapinitre. 
Pruniö, s m. piguen : sende, freit du pin. 
Au Bresil, on denne es nom & plesicars fruits 
qui ent ia forme d’un pignon. Pinhdes do Bra- 
zöl, (4. da bot.) widieinier, sureas noir, pignon 
d’Inde, neix de medecine. 
Pıngkiaa, 6 (hdopeen) Y- Noavese, it. 


2 da Bed dem! t lo Sruit rossombie A la 
PPıumtına adj. f. Heron — wippe-mademe, 


rt re s. m. (4. de bof.) pn: arbre tou- 
jours vert, resinouz, eoniföre. — manse, pin 
emuitiv6, pin- A (ono pin. — bravo, pin 
sauvage, pin d ou de Gentve. — de pfz, 
V. Absto. — lärise , Io meldze ou meldse. 

— slvar, le faux sapin. 


Pinno,, s. m. beis de sapln. ( Ag.) Vainscau, 
aavire 


Pınmoisa , 5. [. " pignons oonläis. Päte falle 
de plgaons ei de sure. 
Pramöca,, 8. f (8. de pres). Cangälho. 
PrauoiLs, s. f. serie de 60 
PınsöLa. V. Pinhoes. 
+ PınnöLa , s. f. (1.d’Mist. nat.) * come: co- 
ifle en cöne. — malhede ‚cos 00 marmerse, 


9 lo minime. — , 
FPamisal ordinsire. — de ponlos gros- 
ass ou de solfa, le mil — tapiside, 
Iueunstie. — cOr de dia d’oure, le drap d’or. 


__Prunöra, e. ß nn de Beuss, eie. Em 
en corymbe, en grappe. 
BRQ, &, adj. (pad) qui peeduit des 
yöns. 


Pınutaruss, 0.0. pl, penlantsd’esellles, pen- | P 


eleque. 


PN 917 


+ Pınsatirioas, adj. f. pl. (1. de bet.) Bolhas 
—, feuilles pinnatifides, itement cou- 
pees en aile, en lobe, en laniäre. 

Pinnun, & f. pianule : Naqus de. epjwre 
percte au bout de Validade. (14. de bot.) —, pe 
üte plume. (L. d’hist. nal u) * Jambonasau ı: 
moule de mer en jsmbon : donne la sole de 
mer ou poli de nacre. 

+ PınstLipo, a, adj. (4. de bei.) piums: 
(feuille —e), ailee; en folioles. Folbas —as, 
feuilles pinnces, superpostes, comme las pla- 


mes des olseaux. 

Pino, s. m. perpendiculaire, le point le plus 
baut. Lo plus forı (de la chaleur, eic.). Piguen 
d’un edifice. *Cheville de bois de la ohaussure. 
4A—,üä picow en peinis; hausse, elov6, lout 
droit. Dobrar os sinos a — ,ä touie volöo sm» 
aitre de sonner les cloches en branle. No — da 
salme, au plus fort de la chaleur. No — da 
dis, en plein midi. No — de noite, au miliem 
de ie nuit. No — do inverno, au fort de l’hives. 

Pınöre, s. m. bond, ruade. 

+ Pmortsir, 0.®. faire des bonds,, saulet. 
(fig. fam.) Tressaillir de contentemens, 

Pınorkazs, s. f. pl. sorte de pellt poissem, 
qui vit avec la nacre dans sa coquille. 

Pinqug , 3. m. * pinque : espece de flüte; b#- 
timent & fond plat. 

Prusa. V. Pinge. 

Pinta,s.f. marque, tache naturelle. Meu- 
cbeiure. Maryue & lextr6ömils d’une narie, qui 
indique sa couleur avant qu’on la ddoouvre om 
entier. (Ag.) Marquo exiörieure qui indigue la 
benne ou mauvaise qualitöd’une ehose. " Pinte: 
mesure de vin, etc. Conkhecor algusm pels—, 
connaltre le caractöre de quelqu’un par des 
marques extericures. —s, pl. laches, druplien; 
petschies. di. Jeu de cartes ‚espece de basseite. 

PınracıLco. V. Pintasilgo. 

Pıntäpa. V. Gallinha d’ Angola. 

Pınrädo, a, p. p. de Pinter. adj. Peint, 
meuchet®, "Bigerre, lachett. Nem 0 maus—, 
nie plus docte, le plus habile,, le plus expert, 
eto. do mais —, au plus docie, eic. Como 
vivo ao —, on le dit pour marquer T’exträ&me 
diffsrence: comme de l’apparence ä la realils, 
comme du jour Ala nuit. Näo poder ver el- 
gusm nom — ‚ne pouvoir souflrir ou voir qual- 
qu’un meme en peinture , io detester. Vem-Ihe 
ou estd-Ihe — , (fg.) il va A peindre, A mer- 
veille. 

Pintainno, a, s. dim. de Pinto. Pousein : 
peiit poulei neuvellement delos. 

*"Pınzauzscakre. V. Casquiike, Peiimdlre. 

Pınzamönos, s.m. (fam.) harbeuilieur. So- 
briquet qu’on denne aux mauvais peintres. 

Pintio, s. . patit penlet. V. Pinto, 

Pınrär, v. a. peindee : reprösenter, Sgurer 
les objets, reproduire leur ressemblanse par 
les traits, les couleurs, les formes , la sitma- 
tion ; couvrir d’un enduit colore ; [ermer inds- 
bien les lettres en dcrivantı; (Ag.) decrire, re» 
rösenter vivement parle disceurs, los images, 
tes ideen, les allögories. (id.) Imaginer, so 6. 





2; ARNO a: 
gurer, RE Donner, payer, conier. — 440 re 7 ru er 


et les choses A son gr&, se Dgu- 




















rer queltes toırmeronfcomme on levcul.— a ‚Pıasmssim sch absndausnde pERE geuh- 

öleo , peindre & Phufle. tie. (Ag) Mishse, peuwrerh, Gisoiie PORdEL, 

” Pıxtir, 6. %. changer de catlehr, commen- Pıoundinays. ft & de bat) heile aut pült, 

c@4 a märlr, gartant du raisin, des olfves, eic. yArtapkpungrin. . . 

(Agy.yBormer des marques, des signes de ce IOLNERY@ V. Pioikese. .. . 
Pı9100,4. 73.908 ; vermimny DR 


quon est: Pinto bem as carias, os dados, 
(Ag.) les cartes, les des sont favorables au 
joweer. Ja Ihe pinfa a Bastardo, (Ag. burl.) on 


site. Orient, 
— ladro, V. cn mer. dus planias Päbert, 
— das qua, pwe ou rieln dh oem, Uhllr- 


l ai ow de celle qui commence äavoir | se Coma — Muprosiunee U, &b päß- 
he simu de puberte. Feite ao —, fait ä pein- | PıoLnöso, A,adj. pouilleuz : qui pe u 
dre. Fir ao —, venir ä propos. (Ag.) Avare, ladre, villa often, : 
Prarinse, v.r. sepeindre : Eire represents; | homme de nägei,anle nt mahröke- 
se ropräsenter, se figürer, 88 meiire dans l’es- 10& cu Y. Pestmpenb, 
prit. #g.) Se farder. ‚| Promi. V. Peonia. .. 
Pntannoxo, 8. m. (f. d’Nst. nal.) "linote: Pe N. Auda 9 Päben 
eRoiseaugris-brun, qui chanle, S’apprivoise 10 „ei V. Po os... 
Ine-bien. h 2 ar Pıäana, 6. zu. genthsaundge , ubalke. 
Ourrastico, s.m. (f. 2hist. nat.) chardon- | Pıöana.V.Aieere - or 
n@wel : Irdejoht petit olsean A plumage rouge | Pıöz, s. f. oaurreia süuultte 2 in 
außser du bee, et pennes jaunes et brunes, | faucona, ale, (Ag Untseg, V. » 


d’un chant tres-agreable. — verde do Narie Pira, #. £. pipe, arte db uulp (irile, 
tar -- - ” anl) Flöte, ohrlamemnı a aa Pipe : örapahl 
Pıntinus. V. Pinteinho. Caycase, .. .. 


Piawe, 's. m. petit pouter. (1. Bußl.) "Cruzade | Piranärg,e m. Yeznquignste, . 
neuve, picoe de monnaie portugaise. V, Ci Bas is, regeigtoler, deuner ‚- 
sad. ‚gnoles, 


PıntöR,s. m. peintre : celui fonk Ta proles= 
sion cst de peindre ; qui exerce Part de la pein- 
turey{g.) Ge represente virament en perlaut, 
en privat. — em mintalura, minialuriste : 
peitre:en miniatare. Ös—es sido cumo u pug- 
las, il e 056 des peimtres comme des poütcs. 

Prmsöi, #. f. peintre, fomme peintse, V. 
Piaten 

MPrNTORPSCO, A “. qui concerng lg Pläne 
tırey tes pefntres, r. lforesco. 

Pfreri,$.f. peinture: arı de peindse; eu- 
vrage du peintre; tableau; (fy.} descfiplion 
vive. — a fresco, peinture ä [resque. — a0lee, 
peintere ‘a Yhuile. —@ lempera, peinture ‚em 
detrempe. — d’esmalies, peiniura cn eHäil.r— 
embufida ou de mosaico , peinlure en ARjUR- 
tcrie, en mosalque. \V. Husaicu,  Aguliae, 
peirftare sur la falence. — a aguade „gouanbe, | 
ayuarellc, peinture avec des couleurs delayees h , 
dans Fcau. — de pernejado, peiulure ph a) quei Coup de pic ou de piesesr eich dir 
la pnıne. Ser uma —, (fig.) eise une bene, | ler o$ de osapen: Vond! = dichre pa 
surtöüt parlant d’une feumg. Ser upaingaage | Uhunueum ade Ost pie. Ihr « 
de —$, €ir& amateur de tableaux. Ser intelli | — te sum ie A ee a älgutn, 
genle em —s, se comnallre en lahleaux. re une Better a I, pö8- 

Pıxzeı. V. Pincel, . „ cautes Piriie 

Po. md m. rien panel, as | Plant Altar mus; ee rn 
pelits Buuleis, Als. On sasert deca met pour ulleries« \ 
les appelıg, | Pa r se kweutiieiiteg- 

Pio,a, adj. mieux, d6wen. Deonz,. hama, | 2, iauam, Butter en Ep te, 
COMIyHERATN « Aesiene. V. Monte, Yöras a5, . 

Nahe Piowäune, s. aus üreßer* SEREMR art ha 
@uYrg; Ja nieie, benmes avres. vique. Celui qui fait desyagema = -- 

"Pia V. Poonsgem. Pronmeis, Sa 4 Teprpd\@a.pähficnt. GERA 

Pıoskma , a fı- (1. de chasse‘, piste ‚trace des nagıbre de piques. 
animema, wie, (Ag.) Rontine. Fr--1re pela =, Vnushe ‚auiitnpisuhruu ee VER 
Bulvruda,pisiede qneimmnn. Iyulı u = duale | uabfe: 


Pıri ,s m. aisann.d’ köriause, hs rk a 


Cause de son cri. 

Peria, A.putit siligegun Tan - a 
aveg Is pailla deren Pier. ph 
jquet d’enfant a sifllet. 


Pırsiu .a 0n, 'ugnnaierwibi 
Pırı.än et  ) piauler. On le dit ; 
Peıns oftediunnk 


Pırzia,n.n. ) 
YAERSR 






T. Pırimaauno, 1.00. & de DIE 
paroelte, Date vinage # Mr 
Piro, & m. Tasmmie de 

Pırörs, a sa_pipet : poiiip pipe, ger 
naau , baril. 

T Bivas..a [. (R d’iet. nal) "uhr A 
e! hei oiseau d’Amerique. 

Pigus, &.& Pigais: arıne, Replungun 
ei tr&s-pointu, emmanche. (Mh 
hrouillenie: algesur contre. .Ns peirse 
Brocard , mot piquamte Pis« vo» de 























MS 


ve neeir. 9. Prguino. 
EPIRIBERE. 3. m. (4. AMit, pl) if 
. . . . U) - 
ui N. Peiet voudor do Brasil” > j ” 
R . f. pi t 
serrent tes Ieatend Rn Tndes oocjenjaten, r 
Pıränipe, eig. V, Pyramide, eio. 
“ YPıniuzna, s.m. pölsson du Bröstl qui res- 


sembig au loup marin. 

+ Pınincı, $. ou ad). 3 gem. (burl.) misera- 
bie, mesquin. s. f. ($. du Berds.) Terre rouge 
pour !a poterte et les briques. 

PınänGg, 4. m. (1. P Arie) char, charrelte & 
treis roues. 

+ Pıriö, s.m. (1. du Birds.) päte de casaare 
2t de bouillan, faitg dans Feay hoqillaute pw 
dans Te bouillon. 

Pınira,s.m. pirate, corsaire, ecumeur de 


mer. 
Pıziıricen ou 
Prayranis,e. f- 
Pırarein, v. w. piraler; fgire le metier de 
Fk ?v,0,(p. wuS voler commg up pirale, 
KiTıco,&, adj. qui concerne le piralg, 18 
perie, 
Austa.V. Pyrausto. 
Pıntne. V. Pyrene. 
Pırentos. V. Pyrineos. 


piraterie : metier, action 
e pirale. 


Pinxs, s. m. ° soucoupe: palite assielp, 
dessoys de tagsp. 
Pıafrıno. V. Pyrefäro. 


Pınicae, 4, 9, (b d’Asig) potis bätiment do 
erre. 
er Pıntko, s. m. Ct. do Bot.) piefjao s palmlar 
de l’Or&noque 
Prar.äuerO. . Pyrilampe. 
Pısınöra, 8. f. piroyelie , jouet d’onlants. 
Prafirey. j les. 
m. (1. de bot.) plritu: palmjer 


+ Pıritü, 8. 
de POrenoque. 

PırLittino, s. m. (f, de bgl.) " aub£pine, Y. 
Espinkliro alvar. . 

* PınLiro, s. m. frait de ’aabepine. 

aonoLista , etc. V. Pyrobolista, etc. 

Pırofra, s. r. pirouetts : tour qu’on fait apr 
un pied. 

+ Pındcr, 9. f. Ct. de Bre&s.) plrogue: Wyopc 


@arbre creuse pour servir de halgau, 
Pirora. V. Pilula. 


Plroro. 7. Paroitim. u 
Pıroumancia. 
InöPo, etc... } V. Pyes.n, 08. 


ınriel ‚s. f. taquinerie, niche. Faser ymaq 
— ou—saalguem, I. pop.\laquiner quelyu’un. 
Pinrıgno, etc, T, Pyrrhteg, etc. 
Pıarnoxisuo, etc. V. Pyrrhonismo,ete. 
"Pirriga ,a. /. perche, long bäten, gaule. 
+Pistıco, 8. m. le bäton lo plus court d’uu 


+ Pimera. V. Piiule. 
Pisa, s. f. l’action de fouler 


Ig vendange, 
an): it. 3vette ® vous. 


m BruUTas em 





pIs gig’ 
t—, fouler la ye . (fig. pop.) Battre yuel- 
guun,laj enge . Pre " 

+ Pisa, a. f. (1. de geog.) Pise : ville de Tag- 


®. 
siva,s. f. race, vestige, empreinte 
pas. (Äg.) Trdees ‚exemple. eguirgı — Pr 
sem, u .) marcher sur les traceg, spg jas ps 

e quelql’un , sulvre son exemplig, 

Pısapfıra, (pop.) V. Pisadüra. 

Biene A,Pı PB. ni  ioal . 

ISADÖR, A, 5. CE u hroie 
fouleur. i Y. Pisdo. 3 rum ’ 

Pısandaa, gs, f. Yactlon et l’effes de marcher 
sur quelgue chose , de fouler aux pieda. Goup 
de pied qu’on donne & quelqu’un en ia faulant, 
Con$usion , meyrtfissure, 

+ PısarLönss, 3. m. (4, berl.) damerei, 69r 
guet, muguel. 

+ Pısa-mansinno, adj. ou s. m. (fg. fam,) 
sournois, dissimule. 

+Pısine, a,adj. ots. de Pise, 

Puid, s. m. mouliu & foulon : maching pi 
sert & fouler les draps. * Foulerig : lieu af Fon 
foule les draps, 

Pısin, v.a. fauler : mercher dessus, Piler, 
broyer. Meurtrir, froisser. (Ag.) Fouler aus 
pieds, mepriser, dödaigner. — as was, fouler 
la vendange, ecraser }o raisin alin d’en exge- 
mer Je jus. — bem, (neulralemens) marches 
avec gräce, avoir bonne loyFnufs. vr idR, 
(id) marcher A pelils pas 

ISCÄR, ©, 4. — 08 olhes, clignae les yauzı 
faire signe de l’eil. 

Piscas 0) !. fi pi. pelits grains, 

+ Pıscatöpıs, &. [. (Padi.) sarte d’tglagua 
dont les jnter]oeyieurs san des pAcheure, 
1a aCATORIO, 4, adj. de p&cheus, Qui Gppcerne 

echg, 
isces, s. m. a. (t. d’asis., jes Roissana: 
douzieme signe du zadiague. 

Pıscina,s. f, piscing : peüt Elung ow yiyier; 
reservoir d’eau. 

Piscq, s. m. (1. d’hist. 30t.) heuyreui] : Appäge 
d’oiseau du genre du gros-bec. — sällreiro, 
boursenil commun, = de peilo ruivo, le Fouge- 
gorge. — da Sueeia, la gorge-bleug; 

Piscn, 4, #dj. qui cligne jes yeug. Olhos us, 
yeux de celui qui cligne. 

+ Piscoua,s.[, it. J’agr.) nebre de chay- 
rues qui lahpurcnt en meine Lemips. 

Pıscös0, A, adj. (poel. poissounrur. 

Piseo, s. m. sorle (Ir Fros pois /legugie), 

+ Piso,s.m. inus. *ı.ge: space entre deux 
planchers. (Ag.) Scrte de don gratuit ou ol-, 
frande que font les religicuses & leur coımmu- 
naute en entramt dans un couventi, 

Pısoär, etc. V. Apisoar. 

Pısakıaa, s. w. foulan : veiui yut fonts les 
draps ; qui dirige, qui conduit un moulle & 
foulon. 

Pissı , s. f. membre viril (d’enfans). 

PissAPBAL.TO Du pisaphalte ou pisse- 

PıssaspnaLto,».m. | phalle : melange de. 
bitume et de polx. 








0] PIT 

Praeiuza , dim. de Pissa. 

* Pıssöra. V. Peixöta ou Pescada. 

Pisra, s. f. piste, trace des animauz. V. Pio- 


+ Pıstackına, s. f. (t. de bot.) * pıstachier : 
arbre d’Asie, du genre des terebinthes, qui 
porte les pistaches. 

Pısricıa, s. f. V. Pistackira. it. Pistache : 
amande du pistachier. 

+ Pıstäna, 8. f. espece d’&pine-vinettie. 

+ PıstiLLicko, A, adj. (£. de bot.) du pistil. 

PısriLLo, s. m. (4. de bot.) pistll : partie fe- 
melle de la fleur, qui renlerme la graine, com 
poste de l’ovaire, du style et du stigmate. 

+ PıstıLösas, adj. f. pl. (1. de bot.) Flores 
—£8, fleurs qui ont un pistil. 

Pıstöra, s. f. "pistolet: petite arme & feu. 
Pistole: monnale &trangere de differentes va- 
leurs,. — de dous canos, pisiolet & double ca- 
non. 

PısToLäco , 3. m. . 
PıstoLiva, s.f. | coup de pistolet. 
PısroLtta, s. f. dim. de Pistola. (fig.) V. 

.—ı, pl. sorte de jeu de cartes. 

PıistoLtre, s. m. pistolet de poche. 

+ PısroLöcaıa, s. f. (1. de bot.) pistache de 
Narbonne. V. Artstolochia menor. 

Pısö, s. m. sorte de bois de Y’Inde. 

Pira, s. f. (8. de bot.) pite, alo&s-pite: plante 
de !’Amerique dont on tlire du il; le il qu’on 
tire de cette plante. 

Prräpa, s. f. pincde: ce qu’on prend avec 
deux ou trois is. Prise de tabac. 

Prraiuno. V. Pintainko. 

Pıränca, s. f. pitance : quantitö de nourriture 
ow d’argent qu’on distribue chaque jour. Pen- 
sion. Plat extraordinaire, dans les communau- 
Ws, los jours de fete. 

f Pıranctıno, s. m. dans les communautes, 
o’dsit un religieax charge de recevoir les re- 
venus du oonvent et.de faire la distribution des 
pilances, dconome ou majordome d’un cou- 
vent. 

Prriuca,, s. f. fruit da Bresil de la grandeur 
d’une cerise. 

Pırancußıra, s. f. "arbre qui porte les Pi- 
langas. V. ce mot. 

Pıria, v. a. (4. du Bresil). V. Cachimbar. 

Prrisca. V. Pistdcia. 

Pırma, s. f. (8. de bot.) pite, alods-pite: 
plante de l’Amerigae dont on tire du fil, 

Pıraacörıco. V. Pytkagorico. 

Pırni6, etc. V. Pythdo, etc. 

+ Pırnrösa, a. f. (1. de bot.) plante euphor- 
biscee ( euphorbia pilhyusa). 

Prrnonissa,, oic. V. Pyihonissa. 

Pırıi. V. Potid. 

Piro,s.m. (1.du Bresil). V.Cachimbo. (ani.) 
V. Pinto. 


Pıröusa „a. f. (l.du Bresil) feuit de la Pi- 
tombeira.V. 


Prroustiaa, s. f, arbre da Bresil ä fruil on 
grappes. 


Ehä 


Pıröas , s. f. sorie de rageüs de tzanchande 


] giet frites dans le lard, etc. 


Pıron£sco, A, adj. pilieresque : se dit de 
tout ce qui peint vivement & Fesprit (style, 
geste, elc.). 

Pıröras, s. /. "sabot & joner, loupie. (IL. 
@hist. nat.) V. Tröchio. 

Pıronazia,v.a. (8. burl.) faire tourner ke 
sabot ow la toupie. 

Pıruita, s. f. ($. de meöd.) pituite : Begrat: 
humeur aqueuse,, Iympbatlique et visqueuse. 

Pırbiränıo, a, adj. (l. d’anas.) pilmitaie: 
qui a rapport & Ja pituite. 

Pırutröso, a, adj. (1. de mdd.) pitmitenx : que 
abonde en pituite; qui y ost sujot- 

Pıucioa. V. Piogada. 

Pıöcas, s. f. ou m. (I. pop.) demi-bas, chasr- 
settes. (ant.) V. Sopstos. Um —, s.m. (M. 
dur!.) homme grossier, rusire. 

* Pıöcos, s. m. pl. maurs de petits cadlkeı 
sans mortier. 

Pıvenipa, s. f. poivrade : sauce avec du peir- 
vre, du sel, du vinalgre, etc. 

Pıv£rz, s. m. sorie do pastille odorifäranis I 
hraler. 

+ Pıvsttıno, s. m. vase ow oasselette A brt- 
ler io piodte. V. ce mot. 

Pıving,, etc. V. Pevide, etc. 

Pıvirtıno. V. Piveleiro, ots. 

Pixipe. V. Pyzide. 


Pıxisssoue. V. Pichesboqus et Pinchebsgu:. 


Pıza-MANsindO. . 

Pızin, ete. Pızo. } V. Pis..., ete. 

Prica, s. f. plaque: serte de ohendeke; 
chandelier & bras. 

f PLacasıLinpäne, 5. f. dispesition „ daciliss ı 
so calmer, & s’apaiser. 

PLacanıLissıno, A, adj. sup. de Plecaeel. 

Pracann,, mot francais. V. Editel, Cart. 

PLacäveL, adj. 2 gen. [acilo & apaisee, qu'er 
peut adoucir. Propre & apaiser. 

® Practnca. V. . 

+ Pracknaa, s. f. (t. do geog.) Placsmea: 
ville d’Espagne. Plaisance : dach6 «& ville d1- 
talie; i£. ville et tie de Torre-Neuve. 

Prackuta, s. f. (t. danat.)" placenta : mans 
mollasse, partie de l’enveloppe de fontms. 

+ Pracentino, a, adj. et s. de Placencia, m 

; de Plaisance, en Italie. 
en ÄCmANENTE, ade. paisiblement, tranqud- 
ent. 

PLaciisse,, A, adj. sup. de 
’ PLäcıoo, A, adj. paisible, oalmıe, tramguälle, 

eux. 

"Pracımtnro. V. Prasimente. 

PLicrro, s. m. V. Bensplacite. üt. Engeg- 
ment, pacie, promesse. Serte de 

ue font les eröques dans leur sacıe de rim 
chastement. —s, pl. a , senlanoes. 

+ Pıachna, s. f. (1. dhist. nat.) pleceme: 
moliusque acöphale. — chamads anlia pedass, 
la selle polonaise. — transparente, la vär 
chinoise. 


| Präca,s. f. plage, contrde, climat 





PLA 


Bo Ag 


PıastÄT0 ou plagiat : action, crime de 
Pricıo, a.» ) plagisire; passage pille; 
vol Ifttöraire. 


Prima, s. f. " rebet, plane : outil pour pla- 
ner, splanir. 

Pramantnte. V. Plensmenis 

*Pramez. V. Planure, Planieie. 

Puimo. V. Piano. 

Pıins, s. f. (ant.) page d'un livre, d’an ma- 
muscrit. V. Pagine. (fig.) * Rang; Imporiance. 
Primeira —, (1. mil. ane.) &tat-major d’un re- 
giment. Primeira — do exercito, dtat-major de 
Parmöe. — de cörle , oficiers superieurs qui ne 
sont attaches & aucun corps de Iroapes, et 

i sont employes au palais du rei. Segre6do 
L primeira —, secret d’une grande imper- 
tamoe. Peoccados de primeira —, poches d’une 


nie 
wauinıe, adv. clairement, sans ambi- 
guits , nettement. 

+ Pranin, 5. f. (1. d’hist. nat.) planatib : 
ver aqualique; vor intestin. 

Prancna. V. Prenche,. 

Pıancasta. V. Prancheia. 

Prantra, s. m. "plandie : astre errant qui 
mätchit la lumidre du soleil et tourne autonr 
de ini. s. f. Espöce de chasuble plus courte 
par-devant que par-derridre. 

PLaustinıo, A, adj. planetaire : qui appar- 
dent aux plandies, qui les concerne (sysiöme). 

Prantzı ou plaine : plate camhpagne; 

Pranicıs, 8. f. plaines, pays uni. Ser- 
face unie. 

Pıanmernia, s. f. planimetrie : science, art 
de mesurer los surfaces planes. 

PLanisru£aio,, 5. m. planisphöre : plan de la 
meiti6 d’un astire; carte d’un ow de deux h4- 

höres. 

PLanissino,, A, adj. 


sup. de 
Pıino, a, adj. plein, plane, plat, uni, sans | pur 


imtgalite. (1. de bot.) Plat, aplati. De —, avoo 
franchise ‚sans detour ; entiörement, sans rien 
laisser. (f. de pret.) Sans formalite, 

Pıino, s. m. plan d’une ville, etc. ; surface 
plans, superlicio plate; projet; disposilions, 
erdre, rögles, methode adoptse pour un ou- 
vrage, une alfaire, etc. 

+ Pıanönssg, s. m. (1. d’hist. nat.) planorbe : 
testaod univalre, mollusque conchifere. 

+ Pranqutzas, s. [. pl. (t. dartil.) " boulets 
samds ou ä deux tötes, boulets barrös. 

Prints, s. f. plante : en general, o0rps or- 
ganique qui a des racines, une 6oorce, des 

, des übres, des tayaux et un suo ou 
serve, 90. ; em particulier, vögötal qui ne pousse 
pas de bois. (Ag.) Race, qualite de gens, de 
monde. ° Plan, methode adopide pour un ou- 
vrage, eic. (enf.) Position deLout d’une per- 
sonne (1. de peoint.). — do ps, plante du pied. 
( Ag.) Le pied, son emprelnte. — d’um edifcio, 
plan d'un edifice. 

Pranracäd, s. f. plantation : aption de plan- 


PLE mi 


ver ; plant ; ötabliesement Salt gear ie calare, 


so dit surtout des oolonies. V. 
Pıa Inte nr Fin R 
NTABOR , A. 6. planteur : oohai glemts 
des arbres, qui les a planıds. ei 

Prantin, ©. @. planter : Scher, enfonser, 
metire en Wette un stbee, els., pour quil 
an) rear Kebent, = 
terre; (fig.) abi I, ia religion, ets-). 
Bdißer, constzuire. vi) 

LANTÄR-S8, ©. r. 58 planier sur ses piede 
se tenir droit. ? ’ 

PLantzir, v. @. trater le plen d’un dailiee, 

+ Pıantio, s. m. l’aotion ow la saiseh de 
pienter. Plant : lieu ou Yon plante ow l’om oltve 
plusieurs piods d’arbres. 

T PLänroLa, s. f. (t. de bet.) plantete : ple- 
mule , germe de lasemenoe qui se developpe. ° 

PLanöna, s. f. plaine : plate campagme. ° Pie- 
teau : cime unie d’une Bıonläagne. 

Puisrica , s. f. plastique : art de maedeler en 
plätre, en lerre, eic. . 

PListico, A, adj. (1. de pihil.) plastigas : qui 
a la puissance de former. ! 

Präraröaun, 8. f. (i. de fort.) plate-ferme : 
ouvrage de terre ou de planches od Fon met 
du canon en batterie. 

Prärano, s. m. (6. de bei.) plataue. plane ow 
plaine : grand arbre & feeilles decoupdes em 
eing. — basterde, #rable de mentagne ou sy- 
comore. 

+ Pranticainos, 8. m. pl. (f. disk. nat.) 
plantigrades : mammiferes vernassiors, ours, 
ratons , coalis, blaireaux, gieutens , kinkajons. 

PLarkıa , s. f. * parterre Je Iihöätre. 

Pıatina, s. f. platine ow plalin (9. m.) : er 
bien, metal rt 

LATÖNICO, A, adj. pla : & 
port au systöme de Fatoa det rat 
l’ecole, & la philosophie de Platen, platonicten. 
Amor — , amour plalenique,, sans desir; amour 


+ Pıarönıco, s. m. platonichen : qui ut in 
philesophie de Platon. 

+ PLatonisuo, s. m. platomnlsme : syarämse 
pbilosophique de Piaton. 

+ Pıarr’ceno, 8. m. (tl. disk. wat.) platy- 
eöre : coleoptere lamellicorme. 

PLausisiLiving,, s. f. plaasibilitd : qualitd de 
co qui ost plausible;; apparence spöcheuse de 
preuve. 

PLausiveL, adj. 2 gen. pleusible : qui a une 
apparence spöcieuse ; agrdable, qu’ion peut 
agreer, qui peut dire regu avec plaisir. 

PLADSIVELNENTE, adv. plausibloment : d’une 
maniere plausible. 

PLiustao, s. m. (podl.) char, ohariot, char- 
rette. 

PLazenttıno. V. Praxenteiro. 

*PLizo,s. m. contrat au gre des parties. Bil- 
let, promesse par derit de payer. 

Pıäse, s. f. populace, menu peupfe,, pläbe. 

+Pıastıas, s. [. pl. (t.d’hist. nat.)* plebeiens : 
les plus petits papillons de jour. 


od 
Prentio, v Piste, 
+ Prantisug,s.m. "qualita de oe si 0a 
pidledlan ı air, 1. menidmne, he lopguus de a Papur 
lsoe, du petit peuble. Plabüanismme : Hlak, in» 
Listta des piöhhlens, 
süo, 4, Ad. plöhdien : de lardre du pay: 


Keasisciup, 6. me, wiählschhas decres demand 
du peuple romain convoyus, Asseinbld Br 
u 


Pie! 


pfd! 


 Preruönicg, a, od. (l. de aa den 


Jhandanı en Hrn teplet. 


Bpung,& fu (tl. dunah) Deure op plöne, 
wembrane qui recouvre aaa ibo- 


rar lag visehag ayi y sont pen 
PLeunirico, A, t. de mdd.) pi ei 
stlayud de la piguse re 
Pı.zuniz, 8. 9, Te 


Aammation de la plövre. 


PuEHRaR fe ed.) 
WEHR naunonia de fi 8 I (b ’ Py 


re s. m. plectrum : bälon painiu ei | Fopne 


(oucher desinsiruments & oordes. 
ia per noösie, — de sine, batlanı de clache, 
Ar jan 9 fi al (N: us.) prißres, suppli- 
1 


Pakıansa, 6 fh (I. d’aatr.) pleiades ı sin, 

at Jaslis sank ölailes au sign du Iaursau. 

Prutraino, A, p. p. de Rleilear. 

+ Pıxirzauga, 4,» plaideur. Ghicaneur. 

‚Peussäurs, ol. 3 gem» liligaut, plaidant. 
».a.de 

Bıswäis, ©. 0. 0) m. plaider, cantester en 
Jaslice. (Ag.) Disputog, souissier, (anf.) V- 


Pıtjue, & MM, BIRBEs ı contesialion en jus- 
tiee. V. Demanda. (ani.) V. Preita. Do diln aa 
Iaila sei grande «= , ( prev.) auire chaso est de 
dire 04 ausse chasa ost de Faire, 

Bıanunauın. ade. pleigemient, enlidrement, 

PLEninıamExte, ode. d jour ei A plein, plei- 


Diss AnIR, Arad. DIeIM, Anlier, abso]u. Ia- 
u 6, Iudulgensa pleniere, euliöre al 
& 


FPLEmBÄS, V, Plenitude, 
PıeuıLunia , adj. 2 gen. de la pleine June. 
BJILAUHO . 5: Mr Blaine lunc. 
POrENGs, 5. [ı plein Peuyoit; letısea 
de sshanca ui la 08 
"PLBSIMOTRRCIÄRIO.G- m, re . plenipoten- 
tiaire : ambassadeur ; muni de p eins pouvojgs 


Inlalre). 

PLanissino, a, adj. sup. dp Pleng, Compiet, 
Gags In plun arande extepsign. 

LENITOOB,, 8. f. plegisude, compiömen : ve s 
qui sand piein, anier, ahsolu ; (flg,; se dit de 
la ge du pouxgair, eie. last empos , plö- 
Binde da Im ID leus accomplisseiment, 

Puası « Plemisuda, 

Pıano, A, adj. plein, entier, absolu, Com- 
Be pli. Zum rapmsistorio, narlamenio, 

eine assezmblee, en plein parleıneni. —q 
finde, plaine Jiberi£. 

PuSonisu0, 5. m, plöonasıpe : addition de 
mols les au sens, mais non A l’clegancg 
np krass: redendancg vicjeuse de poroles, | 

d’idees ;mots accumales qui ont Je meme seus, 
Pıeonästico, a, sy, aü il y a pleonasıne. 

Pısasisza, 5. m, (kde ig.) pleonasle: 

schor! ou gen brug, 

I 


Won. V 

LETMOBA, ‚lt de add, piöihpre : ghah- 
replätion Du maus gt de zäny: sh 

0) 


bat) Meiadie den 


poumans. V, Peripmeumonie, 

Ban, u m. (h Foren pezus., Bots de 
nesls aniselaods, 

Purvapaa, V, Pleiades, 

Duica, 5. f. “ pli om pliant. ° Accen) eireok- 
lleye. ee dans l’ancienne ug % 
— polonica, pliuue, plica:; maladis des 
vaux. 

Pricing, s, adj. pass ar Ja pollzius 8 ) 

con Fa v. 6. accenluer aveo un A 


ers m. (1. da gäag.) Piymasli ; ville 


| et port d’Angleterre. 


PLiurno, s. m. ((.darch,) pliathe, AMTR: 
sanle ‚ Haillais, 

Pursranaenis V. Pislolechit, 

’ Praiisu. V‚Proe 

PLoumsina,s.f. balle de plomh pous Jouß, 

PIANBEN, V, Plumbeo 

* PLoNa0. V, Chumnbo. 

” PLAYER, ‚gu Praneer. fuf, inp: 8 
verba Praser. 

Pıusa, s. f. plume pour lfornemetl. da 
es dyval d'une vlume. — de chapie, y 
— equina, (fig.) algseiie He erin, c ade 
CRBABE. 

PRUMACEIS0, s. m, plumassier ; ceip] Au 
et vend des ouvrages de pluıines, leg 
pour l’ornement. 

Pussächa, 6, 18. plumet pgaf grner Nach 
vaux, eic. 

Puuuipı, 3 [.(b. de veBer.) plumes qug it 
faucons ont mangers, qu' fls ont enepre Agns ie 
Jabei. Kure de plumes qu’on leur donne, 

Pır waceEn, 8, f. "plumage ; toutes fee plene 
de loisran; Yeurs couleurs, ° Duret ne 
plume des otscaur. *Plumct de chapeau.*Panz- 
che de rasque. ‚fi  Eapecch sorte, race. 4 bes 
— faz o passaru formaso, 1% beile plutme (sit 
Is be) aiscau, 

Pırwmiö, s. m. pavache, plhmet. 

. Pjuwizo, $, m. oreiller de plgme. 

Prüngen, A, al. de plomb ‚os quien 8 Mi 
qualiley: conleur de plomh. 

} Pısußuig-puanca, $. [- Ct. dedotN “Iran- 
chipauler blayc ; plante apncynee. 

Pruxo. Y. Pru:no, 

Pe adf. pJumeuz : eouvert, geral 

puucs 
Pısupra, 8. Jh le. de bot.) plaanmute ı prtite 
e lume, oigrette d e la graine 
eh Ba um {hh ds PT 





ag“ 


1 POR 


lar os. 
esfl) * eri de Jia et 
wdissement. 

Pociıca ,s. f.* ttable k onehons, teilt A pores. 

.) ° Lieu sale, malpropre. 
be T. Cima (or). nd 

P6co , s. m. puits: trou preiond , ereuse peur 
avolr de Feaut onvorture des ınloes. Endroli 
ob tes rivitres ou les poris de mer ent le plus 
de profendeur. () Tout co qui est profond 
on son gehre : pwils de science, etc. — do na- 
vie, hauteur d’un vaisseau du fond de cale au 
yont. -— da werte, (Ag.) Y'enler. 

Pusa, a. f. taille de la vigne, des arbres. 
Paxra—a m, (fig. fam.) dire du mal 
de queige’un. | 0— a alguma odra litle- 
reria, (Ag.) reirancher dans un onvrage ce qul 

isoorreei. 


as 

Posastına, s. et adj. f. Foice —, sorpetis : 
nstgument pour tallier la vigne, eie. 

Povanon, s. m. celai qui taille la vigne. — 
d’ervores , tallteur d’arbres. 

Posandaa. V. Pide. 

Posakcaa ‚s. f. podagre, goutie aux pieds. 

Pawicnco, A, adj. et 5. quia ia goutto aux 


en f. la mödeeine. 
Popis, s. m. * : instrament pour 1all- 
terie ; serpe. (Ag.) Vieax homnıs, homme 


Posi, e. e. teifler ia vignie; dmonder, dia- 
güer, öbourgoonner lesarbres. Recöper : tailler 


pied. 
u ee a, adj. propre Ataifiee la vi- 
gu, vw. 
Posemne, 5. m. chien pour la chasse aux la- 
pi. -- d’agus, bpagneul d’san. 
Pop&a, s. m. pouvoir, puissance; amteritd; 
oetdit; Taseite; droit, fegce de faire, d’agir, 
sel ou pour un auire ; possession actuelle. 
d’an souverain : tzoupes qu’il peut met- 
we sarpied. *Puissance, Ktat, potentst. 4— 
de, & force de. De — a —. On le dit d’ane dis- 
pete, d’une bataillo od les deux partis ont uns 
46 us lours moyens, d&ployd toutes lenrs for- 
oss. De — absolule, haut la main, avec auto- 
ritb. De nosso pleno —, de netre pleine puis- 
sonen. Em — d’alguem, au pouvoir, & la dis- 
erttton de queigqu’un, Ceir em -—dos inimigos, 
tember entre los mains des ennemis. Ter em 
0“, svoir par devers sei, aveir on Sa pos- 
oessien. Iso ndo osid em mou —, cala n’est 
pas on men pouveir, cola ne döpend pas de 
mei. A qus ou possa, tant que jo le pourrai. 
Plense 08 ‚ pleins peureirs ; carte blanche. 
Post, v. 8. pouveir : arolr l’antorite, la fa- 
ouit6, io erödit, je meyen, la force, lo temps 
de faire, otc.; &ire en dtat ow dans la possibi- 
Is de. Nie — deiner de, no pourolr so dis- 
penser de. Näo -- mais, w’avolr pas le temps, 
io moyen de Anis une ohese commenose; n’em 
powrelt plus. Nös — vor alguem, ne pouvoir 
sm ‚tedötester. Ad ndo— mai, 


Pont , u. ». pouveir : tus 9m o*dans 
la possihilits de; se pouvelr, ba rd striver, 
“ro possible. — com, #tre capable de, avoir 
la force de. Nöo — com a carga, com oe piee, 
ne pouvoir pas ie fardesu. Pöde ser, 
peut-ötre; c'est possible. Isso pöde ser, ou näs 
pöde ser, oela se peut ou ne se peut pas. O one 
Iums pöds mais qus a Lei, la coutun:e Fem- 
por .ur la lol. 

DER -SE, 9. Fr. Se pouvoir, dire posaibls; 
ire permis. Fsso pöde-se fazer, cela se peut, 
ül ost possible de (aire cela. Haje 08 
wer carsıe, aujourd’bui on peut manger de ha 
viande. Pöde-se smar innoceniemenis, om 
peut aimer Innocemment. Pdde-se water om 
defesa nalurel, il est permis de tuer (l’agres- 
seur) pour sa propre defense. 

Popsnio, s. m. peuveir, puissante, auteriis, 
Biens ‚ riohesses, 

PODEnösamanTE, ade. puissaimment : avec 
force, puissance; en maltre. 

Poprnosissınauture, edv. sup. avec une 
irös-grande puissance ou force. 

Popzrosissımo, a ‚adj. trds-puissant. sup.de 

Ponsn6so, a, adj. puissant : qui a da pou- 
volr; riche; grand, excellent, maguiigeo ea 
son genre; sotif, efßcace, parlant d’un re- 
meöde, sic. (en4.) Qui a en son poaveir. O 
H ‚leTout-Peissent, qui peut tout, 

eu. 


“Poogsrien, 3. f. " preimier megistrat, elvil 
ot milltaire, d’ane province, podesiat. 
Pak , s. m. l’anus, lc fondement. 


Mmpu, perverii. ‚ . 
peine "hp. )w’ötre ben & rien, n’sveir 
aucun mmerite. Ndo sor peize —, (id.) aveir de 
mörite, des qualitös physiques ou morales. — 
demer, (id.) trös-amouresz. — de rice, (id.) 
ernsmenmen! riche. 

RE, 8. @. : hose, . 
(u) "Tan dans da 0 eig 
(Ap.) ion döfane, fon faibies, Is Liblensns, I 
vioes osch6s w’uR. 

Fonnfzı ‚s. GV. Deariäe, Corruppie. 

aschıno, 8. m. (1. chese puureie. 
ad. T. Podre Fran. por) 

Popaino, a, alj. Ole — a. V. Ofka. 

Popsiäö, s. f. peustiture : 6fas de co gui est 
pourri; oorruplien. 

+ Posöna, s. f. (4. Eis. nal.) podure : in- 
socte aplöre. 

Ponstına, adj. f. Gellinks —, 
pond, qui commense & pondre. Bea — 
pond souvent, bonne uns zum 

* + Pogoon, a. m. ceini qui met. — da füge, 
qui met lo fos. TV. Incondiario. 

Porosonus, s.m. pl. coten, Hi, eie., isn 
mot dans Y’oncrier ou qu’on iuenpe dass des 
oouleurs. 

Pokiaa, s. [. poussiöee , pondıe. Poadre & 
meitre sur l'deriture; 

Opgrdge 


poudrieg, ) * Breit: 
Jmvonler —, rar ia puns- 











POS 
sro, du Druit. Vol Sedo wluns-, (fam.) 


ie diable est aux vaches. 
„arotmin, s.f. "auge, tourbilien de pous- 


ne, s. m. (1. de def.) poullot, pouitet 
oommun : plante 

Poßsa, s. m. poßlme : GuTrago 
surteut poamne spigque ; röcit d'une sollen en 


po6 
OßNTE, 8. =. peaant, osuchant, ocohlemt. 
Vent du oowchant. Celui qui pose une thöse. 
„notre, a, alj. vouvert de peussitre; pou- 
roux 
“Potu,v.0. 7. Pr. - contra alguem, de- 
ur he ’an en Jestloe. 

, yocele : art de faire des ewvra- 
ges en von: qualitö des bens vers; ‚art de false 
des vor. *Oüvrage en vers, poöme, Po6sie. 
qui Salt des vers, adennd 


Poste, 5. m. yoßte: 
Als podsie; qui a le ton, Pimagination podti- 
gu. que. —d’egua doce, mauvals peoöte, rımail- 


Pogtico, 8. m. (irom.) grasıh podin, 
Posrin,o. ». faire le poßte ‚oomupeser des 


yotsies, 

Podrica, 8. f.pottigus : weist de Yart de la 
potsie. V. Poesie. "ale. 

Posrıch, 1,0. pottiges : qui omnserne la 
potsie, quilui appartient, qui lal est prepee. 

Pouriaz, s. f. Tomme peoßte. 

Pogtızän ,v. m. faire des vers, vorußee. V. 
Potter. 

"Ponbsa uw 

na ® 

‚es t. "len qu’on er erh tes fours 

banaı ordinsteumment e’4telt um pain sur 
dix. Pain grand et pist. Selle , drasamiien 
copiease. (Jierl.) Bouse. Bornnde —, fans ba- 


Borkt 3. o. Dane de plerre & oßt6 des pories 
des meisene, menlelr. 
Pörka, vo. 0. (1. de mer.) debarguse. V. Po- 


Paso, 2,9. » msn. 
Romounes. V. Poodsures. 
“Ponmievo, s. m. "actiou de passe; plnce- 


FE Sugar "ea .Bies- 


Potr,v.a.user. T.Polr. 

Pius, ade. dono, pourtant, alnsi. Pu 
Pourquol, comment. Oui, oertes, certs ne: 
ment. — bem, soit, J’y consens. a0? pour- 
quei nen? pourquoi p&s? — que, puisque; car. 
— is vol ? eh bien! quoi?qu’est-ce’qu’y a-til? 
— sim, vwraiıment oui, surtout ironiquement. 
Ore—, eh bien. 

Ps, inter). ch bien! 

Pomia. V. Poser. 

un teeräs, a m. (4. diänle) arben da Yinte 


Püsa, & rt. de mer.) peinte inlistenne | Jeune 
dene volle, 






« 
’ 


POL us 


» 2 
\os Posirrt, af. re 
—. (om), v. a. (t. de mar.) Omsendse en 


PoLa, 0. m. met agpeier ion ponien. 6. 
‚. po 


a (contzactien de Bereile ou For 
Porica, u. yeluiee 
gu: Bari) de halmens hroir et Ananas Ale 


‚PoLico, a, a4. eis. Polsnuis, t 
"Poricaa. 7. Polass, Ben. 
PorLima, s. f. gutire: serie de chauumuip 

qui eouvre ia Jeomıhe ut ie enude-pled. (aiBl.) 

Marque distiactive que ios maquerellesdenleut 

ehtigsen de porser & In 6ite. ' 

‚adj. 2 gen. pelalte ı fr Tu 
poles, gei isur apperien (oerele, ” 
+ PoLırdcm, ©. f. (4. hist. une)" polatn- 
che, dcnreuil volamt. 
Pomaic. V 


Poraaa, 8, r. youliche ou 
jeune cavale, juuquw’ä tsels ame. et, 
ee een Er V. Alpenäran. : 


weinde—,ai- 
irapades, dennes Testzapade. 

Poıza,s. m.(6. #Asie) penis ı dei 
casio des Malabares. 

PoLziun, s. =. (1. de mar.) Yensembiodes 
poulies d’un valsseam. 
„„ Poutens, ».m. pouliser : qui Iboneund 


des poulies. 
Pozci»a, etc. V. Pollegude , «ts. 
Poutene ,e. m. jusiseiz, ju6 : Mon oh Sesgnn- 
les, ee. , juchent. Poulailler : endsels be 
cbent les poules. 
Possulaone,, 9. m. (1. dat.) ? 
comnmandamt, obel d'une aummmte, Amt 


guerre. 
+ Poustuca, e. [. ihöelogie dogmstiguo,gn- 


PoL£uco, a, 0. polösmigus:: qui apple 
& la dispute,, soit en zmatitwe de religlun, oh 
en instiäre de Iitttreture. 


"  PoLzmno,o. m. (t. ds bat.) peitusäuuiin , 
valtriane grosgue : plante taujours vorts. " 
+ PoL£uoschrio, 3. m. polönescope 
nette a longue vue, ä deux Nato Oo 
reßexions pour la guerre; iunelte, 
recoarbe. 

Portuta ,s. f. polenta : boufllie de Tarine Je 
mals avoc du froınage parmesan. 
Poxcia. V. Pollsger. 


Poscutunas. V. Empolgedeires. 
* Pesua, s. f. liche : masgus de 











POL 

Boumästno, s. m. gros poulet. Cocbet, petit 
ae cörrten uf. Tünatı sc hans 1070 
Poıninma ,s. f. Sorte de Jen,de nenf garias. 
een 


Eu dr Reisen » 
Poulicıa , s. f. police: : ordre etahll dans ung 
Wh Eiand’un penpie 


[05 
qnbke aloileniun. es «Bela, Paoprais 
habils, parure, elc.; objels de iusm. 6 
Jentiiteesie ums. 
LıctÄnO, A, P- p- da Anliuian. as. Polise ; 
ı Wr ihn Ned ei, Ti VRR 
oLICHÄR, ©. @. PodißeR ı weine, dabiie un 
Petstnlsren Neo Aalgeriei 
. bad Ai Eye Arch poliienne; peilineni. 


PoLtptina, s. f. polisscamm 
PoLıptz, s. f. civilith, geilietse, achnuftt. 


Per 1 pr Me Behr. ei Imieent \. 
Peiyr 


nike so mpbei- 

ohauh (eipie, sa () 

Ome, en nr doules 
Thuumnnts - - 


v Denis y.ätr Bali, Auetz, heläl de wuapmiaız 
« cisstten iu Hi ybe, ei.) . 
ISuBuR « GEN ior aut get. | um. 
Polissoir ı Insirumiangg vuell pam Bolln, 
se f. wehllsuse, poliment, Poli, 
Iostre. V. Polimento. . 
.. V. Guiylelte 
Pouitino. V. Polefira . 
Puricsono, el " 
. ‚„elc. 
arg } 3 Pot 


' en m 
Den rer te en gt | min, dene 


Pouis. V. Pepolim. 
“si. yolle Instwe, salat und 
yr-"Baniasute , "0 Issue, mmmis+ 
sone: Yaellen de polir. Brillant qu’on dennd 
sine: (üyalema, dgamınz wartenich 
stylo,etc.). Encarnario dewmu,(l. de pain.) 
as Dustänie. 
+: «Pouaiiin. 
ae m. (t. drbet.) en mbriinn, * gar 
ausmdebr tamnpinusc, paillei, gesmandtöe dh 
"menhtane da Grün, arrmasdets detsöte. 
nd: % [. arı diassieger ei pgen* 


«sv Macs forlas, 
PO, oe. V, Polyge, etc. 
GLiR, 0.6. polir : rendre clair, wu et lui- 


gu af Iratter ; (Ag.) eultiver, adoweir, 
ner, e ; elviliser. " 

PoLin-se, 6.7. devenir poli, honntte; S& &i- 
vier ; ve perfechionner. rn 
TICA ; PrtntAte ! aft, maniere 

Rdn ; cofnsisdanto Kutrdit = 

halle 008 nattıns , 8 PEENBUR, tie 

"Yarı de gonverntrundere . z vw 
a. 4 


POL 


principes, leurs meuhYehentei os leur bak; 
= ae 








+ Poririciö, s. m. grand p 
u Vereitge et 
DR, 777 7205 
iron.) ou Prada he nie Cbe ey 
bi 


zen gohi une 
Äh An 2. irn 

say erneinanL des Ciäte. al. did IR. wg DM 

dans l’arı de gouverner; An, adrofi; 

“ hei vu Aura i 

Courtois, honneie„gel> en 


Peusainr,s.£ *zouss «pchum de u 


tamen 

Bauacia, ed er 0. Die» wu 
dsigt de pius gras; ie pies ih, 
EESOR: 


DiRLERS AN: OPEL E. 

+ "PoLLo, s. m. (f Erg 
as encore ups 
’ Teig: anlnamats 
el pech& d’impurete; 

a 

PorLvioo, 4,9. p.de ...A 

PoLLoing we. Yellusies sonillen Fuhal' 
{ae oehlec (An aan umnir che a BI 


Luise, „under „qufamale k 
piehb diWnan, ce uasiunbe 


p „A, as. sonitld; 
a ar ad ad. pollas ui Sy = 


“ v. rt 
(Rnddaya.a. "pie iigpien th. 
Panmotea m I, PN 

| 0.7 7 8, ah POlsk . 2 







“T\ 
nees. (Ag.) Pivot: principsl point ser er 
wen, afine ration menge u a 
mant, son point d’acl Ba nei 
Wie äh Vale  berundistänge Iamaptat © 
aoufro —,, (podl.) par tout le monde. 
Poın, prep. (couteis dar edemaı" 


0). V. Pelo. LaueE W Bose BETT Turn 





Vprtmag ©: “ 
fois royaume "Feurope, aujosrd’hei 2 


DE OBEN. 
+ Poıöro, s. u. Fa en 
Wiennsle oa annyg} wei 
LPA,S. t : . [ a 

dans les parti®5 MArhı h 
‚ lains frults. — da} 
dos dedos, pulfe de 
sp. ‚la substance ns 
oLriö,8. 
P6ıro. v. Pal. 


+ PoLröso, A, van 
(inembrane, feutie 2), Ve 
Rn, 


» 
Poı.tniö, adj. eis. m. pahfen, Isny 
Fausman-+,sghaudpen, 4 
















Fy. ‚EC 











PP 


AR. 


Porzhöna bergere, grand fautepil. 77 « [. (!. de bot.) * polygala : h 
Phaber PTIROR CRY al cu Mir Mader: ad a4 P EN 


raonzän, v. M. Cäßnatder : vitre Wand 1a} 


KOWERA, ı.f pettronherie Yıutıerk; 
unge. Cagpardise, tm ollesse ‚p- 


at Y. Pulworinds. 
en ‚fe böudte dcandl. 
k. N 1 ortsta. 


R« V. Pulverigar ' 
h u. päbdter v. j ötorthar. 
IP, hi a. pl." Youdreäpöudrer.(fg.) 


m. (1. Mil, nal.) poulpe : polype 
W tiabenbi & la scche. —rugdso, 


a f ; audre & canon. (fg.) Homrie 


Gaslar d— eın salcas, läire 
ärches nuliles du hors de saison ; lirer 


AUT Moineaux. 
onfxr0. V. Pulverulchto. 
a Vorixno, s. m. „pulverin ; poire äpoudre. 


mar.) "Corne damnorce. 






vonisza, s. 0. poudrier : qui ai de Ia| 


dsancıı 
a N) V. Pulogrisar, eic, 

I bg u. pop.) ? dasarroi. Dar com 
tudo issipef son bien, Pör os pes em—, 
it Konfuir, gagner au pied, enliler la 
venelle, prendre de la noudre d’esoampelle, 

d00, ad: sux : plein de poudre, 


Poun, (nei era, en. sompos.) poly, plusicuzs, 


kapu 

„r! nermzula, s. ]. (i. de bot.) polya- 
delpbie : dix-huitiöme classe des vegeiauz, domb 
tes fleurs bermaphradiies ont beaupeup d'ela- 

sur Jeus rügeplacle, 

# Pontamkıpio , A, adj. (l. de Bol.) On le dit 
dee Aiaımimas des Neuss des plantes epparie- 
»ens A ia pelgmdelpbie. 

+ Porzinnau , 9 f (4. de bot.) polyandris : 
deuziöme classe des vogdtaum. 

t Raunäsanien, Au00). (1. de bol,) pälyafı- 
drique: de la polyandaieı 

PoLyanzutı, 5. f- " polyanıbe : 
Beouzd, Facutil de lieun communs. 

Purvintuso, 4, adj. polyanikc : quia plu« 


amas, de 


Ponvancnla ou —gqula ‚se. [.polyaschie : gou- 


2 de plusieuss. 
I or tlachk. A, adj. al Apparliont & Ja 
ar oihehent, al. [. (8. da vol.) Capıula —, 


espsule & Tusieurs cellules. 
2 POLTeOTTLEDONE, ad. 3 Yon. tt. de bot.) 
I 8 pRusinars toben 
PuLroaßsto, 2, 00f: (H UHYREP.) POlFErUHtR: 
serrant A planhuie sans (sl) (set). nei 
DERMSERO 8: 4u.de ydom.) giden« sos 
nase & rg Nerher a nlusiqurs 
[aces ou (aCoaOn Knie sten Delz vo: vorsah. d 


Wr“ Lebe . F 


Fig, seneka, ndite de serpent 
elies 

PoLreinta,s.f.ptyautfie : dit An Aorıie 
ou d’une femme mariee & Piusieurs, That 
Rofnme yul & Subcessirerhen] plusleurs 
thes. A: de bot.) —, vingt-Nuttläme elßfe 
des rögelauixr, Neues hermaphrodhes er on 
sekuelles. 

Porr’castö, A, adj. polyYüme : murtd & gi 
siöurs flatis 0 femres. Obi A eu Ar 
femmes auccessivement. E hldı u be 
Bot.) planies polyga Werke lage ande 

Port’cano. V. Po ro 

‚+ Poruaisras et MH pr iitleb ! he- 
reliques pärtisahs &8 1a bolykatmie. 

PoLrcanmcHia, 8. f. ae'ygarchie: tut göh- 
vern® par Blusieurs ch 

+ Pouycäncnicd, a, ad. polygarchigu: de 
fa polygarchie, 

Porrcröra,s. f. * dissAu drichtal Dun chdhı 

trös-varie. Polyglotte: on le dit de la Hible hh- 


priniee en pluStturs FH 
selohe &erit ,Ih- 
(bible, dielon- 


+ PoLycLöro, a, adj 
prime en plusieürs and 
re elc.). mtl. en y pl 08: 

OLY’cONO, & e peom. ygo 
Bgure qui a plus de qualrc cötds. len aussi 
ad; Superflcie —ä, surface polygone:: qui a 
plusieurs anglcs ei plugjeurs chtäs. (1. de dol.) 

Renouce vulgaire, centinode.Y. Semprenoiop. 

PoLyörapnia, s s. f. polygraphie: art de. 
servir de diffepenies Gcritures seosätes; arl de 
fes lire. Arı de dechiffre®. 

PoLv’caaPu0, s.m. pelygraphe : dui a defit 
sur Iusienrs maliörcs, 

+PoLrer'sia, #. |. Ül. de det.) 2 ale pr 
seplierue ordre des plantes des treize . 
mieres olıssea, ont hagde Heur apl 
douze siyles uu stigıuates sessiles. 

Poryufono. V v. Bol olyedro, 

Bonvurusia. V. Do ymnid. 

Porvaazuia, s.f. polymathle i Yarle dtendue 

e connaltsances ; science &lendue ei varid 

+ PorLrnätnıco,A,adj. polymathigus : de 
polymatbie, ' 

Porv'mira „ad). 2 gen. On le dil d’ane soffe 
tlasue de üls de plusieurs souleuss, 

Perrmy'ruia , 6. [. (4. de pode) defaut Fans 
dans la fable d'un poöme, ee. 

ı PaLsuusmen, Ayadı. V. Polyeder 

Poır'una, s. f. (i. demyih.) Poimatie au 
Poiyayinnieı muss de YES WEn00. 

+ POLYn@O, 5.0. (1. Mist. MAR.) POltnOmie 
poisson abAuminal. = du einen os ‚ PotYBONhe 
acing doigis. 

Potnnöuo, s.m.(t. Kalg.‘ p pottherd : Gben- 
iN& algebriquo cöm Ar de pfuyleues tefrges 
disıtnzucs +, — (plus, ntoius‘. \ 

Porröttuo, A,dd). polyanyıne qui & Zih- 


Sieurs noms, 


POL KERZAAD, 4 Mlla ide kai) pabankiee : 


son 


— 








9 POM 
äAplusieurs psleles, quia plus de aiz pötales; 
rosaode, 


+ Poıyrav’ııo, A, adj. (. de bei.) poly- 
zayle- (eniica) 4 Fonilieis. Peiypbyliöe : 4 ple- 
rs felieles (femille ). 


"Roerre,um. dt (1. d’hist. nei.) polype: ani- 
mal qui ressembie & une planie, a corps mem- 
bransux, mon, termind par des Alots Bexibies. 
— , eicreissance qui vieni auı narines; loupe, 
szgreissance de chair. if. V. Pelve. 
‚Pouveönn, s- m. (. de bo$.) polypode : plante 
vivace , ap6tale 
PoLır6so, A, „ads. (1. de med.) polypeuz : de 
la nature da 'pelype: qui rensembie au peiype. 
+ PoLvsrtaua,, adj. 2 gen. (l. de bei.) Bags 
—, bsie polysperme, qus conlient plusiours 
semences 


PoLysv' LLABO, A, adj. Y. poiyyliabe s qui ost 
de piusieurs sylisbes (mei 

PoLYsY'xpsron, 8. m. Kurs de rhelerigue 
qui consisie A multiplier jes comjonctiens,, po- 
Iysynıheion. 

PoLrstnösta, s. f. polysynedie : muitiplieits 
de conciles. 

PoLvrscanıce , a, adj. pelytechnigue : (6oole 
—), destinde ä former des 6iöves pour Yar- 
tllerie, le genie, l’architecturs militaire, ete., 
des hommes instralts dans teus les arts ot 
toutes les sciences plysiques ei malhema- 
Uques. 

OLYTREISMO, s. m. polyihöisme : systöme 
au admet la pluralite des dieuz ow plusieurs 
dieux 


PoLrruriera,,. 2 gen. palythöiste : qui pre- 
Sosse le polyıheisıme. 

PoLv'snıco , 3. m. (f. de bot.) polytrie : pe 
panlı caplliaire. — busterdo ,* doradilie air 


NE eig ‚ed. 2 gen. ou multi- 
PoLvriLro, 4, Par (t. E’hist. nal.) ) valve: 
ou le dit des coquilien de plusieurs pieces. 

“Pona,s.f." glole, spböre geographigue ou 
cotlesie. (M- )Mamelle, t#ton. 

Powina, s. f. pommade : composition de 
graisse parfumee; composition molle et onc- 
1s0us0. 


Poniczu ou Poumaszu, a. f. V. Pomar 

Pomin, s. m. verger:: lleu elos et plants @ar- 
Dres frailiers. — — derpinke, verger @’arbres & 
dpimes, oomme orangers, ellsonniers, ete. — 
de caropo , verger d’arbres A noysu, O0mme 00- 
risiers, pruniees, eis. — de Jerenje, jardin 
d’eangers, 

Pouantıno, 2. m. celal qui a sein d’un vor- 
or. Il ost ausel adj. Fructos —e, frults d’un 
verger. Mäos —es, mains de colui qui a sein 
d'un vorger. 

Pöusa, s. f. oolombe : femelle du pigeon; 
coustellatien sud ;(ig.) personne d’ua caraciäre 
deux. Dans les moulins & sucre, c’est une 
Inu calller de cuirre. Almas —s, (adj. pl.) 

rg eandidos, ingenues, sinceres, sans ma- 


mir.um. velsunhler, Pigsonnier. 


"PöunEg , s. m. sorte de vin alt de mals. 

Pomstına , s. f. V. Ancore. 

+ Pousainin, vn. (. da Bris. et EAfe) 
wavailler jeurnte au profi de sen melire. 
V. Pombeire. 


Poustıno, s.m. (f. du Driüs. et #Afr.) a- 
clave qui travaille & la Journte au de sea 
maltze. Intespröte qui allait dans Vinterieur du 
pays de Blaragnan ) schster oe rachetee des 


; en 3. fd f. dim. e’[R, (fg) pam 
oune co - m persame 
Inte -douce , Ionocenee, incapable de faire de 
—s, Aquilegie. 

Pomino. m. dim. de Pombo. Pigsoumeee. 

* Couleur de peinture imitant la coalsur du cas 
d’un pigeon. (Ag.) EioBe de cette conieuz 

Pousinuo, A, adj. coaleur de cou de pigesn, 
bleu clair. Olkes —t, youx hieus elalrs; on 
youx gracienx,, tenäres, doux. 

P6uBo, 3. m. pigeon, ei sertout a: 
eiseau peristere, . 


Pouirzao, a, adj. qei porto des fruits, Se- 
tie en fralts; freitier. 

Pouo, s. m. frait de toute espäte, et sptele- 
Da ea O — wdede , 18 Irak däten- 
du. (Ag.) Chose agreabie, mais döfenden. 

Pouona,s. f. (8. (4 da much et de zes.) Pa 
mone : nymphe,, deesse des fraits. (Ag.) L.e- 
tomne. 

Poworinno , din. de Pome. 

Poura, s. r. pompe, appetell mamgulligus ; 
sompiuosit6; vaniıd, laste, estentetien ; style 
relere. Toate sorte de spectacie publie fat zver 
solennite. — funebre, pompe funübze, comvei 
seiennel d’un enterrement. —e de mus, 
pompe, vanit& du mende. 

+ Pouranorna. V. Confinge purpures. 

*Pouran6so. V. Pommpess. 

Pourzin, v.n. marcher aveo Fe er 
un oorläge nombrear. (iaus.)Se condaire zves 
orgueil, vanits; poraltse avso pempe , inumet 
un grand train, se faire accompegner K’ume 
suite nombreuse. 

+ Pompkıa, 8 It (1. de göog.) Pompele : ville 
dötruite par le Vesu 

HPowrtIEnO. a,.0d. de Pompte, qui ie can- 
corne. 

Pourbz. V.Ovem. 

Pourösaskure, ade. PEIEPOUSEEHERE : AYUS 
pempe, on Weines 

Pourosissın®, A , adj. sup. de 
qui a de ia von a adela Ge) 

a pompo, Y poanpe. 
Ampeuld, ‚pustantdu style. 


+ Pomuno. s.m. (1. d’anet.) — des sus de 





PON 


(0, pommelte : prodminence & la partie su- 
perieure de la joue; son 0s. 

Poxcäö, 5. m. poingon, mandrin ; outil de 
fer aigu, eic., pour graver, percer, elc. 

° Ponc£LLa,s. f. pucellc. V. Donzella. 

PöxcHE, s. m. punch : boisson chaude, com- 
posee de Jus decitron, derhum, de sucre et 
de Ih& infuse dans l’eau. 

+ Poncntıaa, 3. f. "vase oü l’on sert le 

unch. 

+ Poncıonista, s. m. celui qui fait des poin- 
cons; qui travaille avec le poingon. 

Poxcö,s. m. ponceau : rouge Ires-vil, trds- 
&clatant. 

Poxnenaciö,s. f. action de peser les cho- 
ses; altention, reflexion, meditation. Negocis, 
cousa de — , affaire impartante, chose grave. 

+ PONDERÄDAMENTE, adv. allenlivement, 
mürement,, avec reflexion. 

PoxnperiDo, A, P. ?. de Ponderar. 

PORDERADOR, A, adj. celui qui pese, qui 
examine, qui medite. 

PONDERÄR, v. a. peser, examiner, considerer 
attentivement; reflechir mürement sur. Expo- 
ser, expliquer en faisant des reflexions. Exage- 
rer, amplifier (inus.) 

PoxDerÄn, dv. R. peser, avoir une certaine 
valeur, valoir (aw fig.). 

PonperAtivo, A, adj. V. Ponderador. Exa- 
geralif: qui exagere, qui amplifie. Exagera- 
1cur. 

PONDErRÄVEL, adj. 2 gen. de poids; digne 
d’etre bien medite. 

Poxverösane£nte. V. Ponderddamtnte. 

Poxpenöso, A,adj. Pesant. V. Pesado. Im- 
portant, de poids; qui demande beaucoup d’at- 
tention, qu’il faut bien peser. 

Pöxno, s. m. poids, A Mozambique. 

Poönpra. V. Poldra et Alpondra. 

Poxstute. V. Poente. 

Poncımento. V. Pungimento. 

+ Poxco, s.m. (1. d’hist. nal.) pongo : mam- 
mifere, quadrumane. 

+ Poxnica,s. f. (f. de bot.) *calaba & fruits 
ronds , plante guttifere : donne la gomme taca- 
maque. — pequena, calaba d’Amerique. vulg. 
Le bois-marie. 

PöntaA, s. f. pointe : bout piquant et aigu; 
bout, extremit6 de ce qui va en diminuant; 
terre qui avance dans la mer. —, pelite portion 
d’une chose: pointe de sel, d’ail, etc. Piöce 
d’ornement ancien en pointe. (g.) Ruse, fi- 
nesse (p.us.). — da vasanle, (1. de mar.) le 
commencement do !a basse marde. De — em 
branco, de but en blanc. Y. Ponto. Andar de 
— com alguem , @ire en bisbille avec quelqu’un. 
Ter — de louco,, avoir un grain de folie. Fazer 
— 0 falcäo, faire la pointe : s’elever vers lc ciel, 
en parlant d’un faucon. Ter boa — de lingua, 
(fig.) avoir !a langue bien affliee ow bien pen- 
due; avoir une langue dorde. Näo fer — de 
miolo , n’avoir pas un grain de bon sens. Saber 
na — da lingua. V.ee mot. —s, pl. cornes de 
tanteau, etc. Bouts de bois qui restent d’une 


PORT.-FR. 


PON 929 


piece &qunarric. Engrelures : pioote de dea- 
telle. Sorte d’ancien ornement de metal en 
pointes. ( ig.) Armes pointues, armes de trait. 
— doveado, bois de cerf. — dos pes, das azas, 
bouts des pieds, des ailes. Fazer — a ape, 
faire des pointes, voler en rig-zag, en parlant 
d’un oiseau de proie. Fazer — acarge, (fig,) 
viser un emploi. Jogar —, tirer des lances, des 
jJavelots, etc. PöOr-se nas — dos pös, so tenir sur 
la pointe du pied ; (flg.) s’enorgaeillir. V. Pon- 
linha. Vir-se das —, ne pouvoir pas 26 lepir 
debout:: il se dit surtout des vieillards dont la 
sant6 ost delabree. 

Ponrtipa , s. f. point de cöte; douleur aiguß. 

Poxrioo. V, Alinkavado. 

PoNnTAFAGÜDO, A, adj. ( pop.) V. Bochechudo. 

PONTÄcoXO, A, adj. qui termine en poinie. 

PonTAcinO, A, adj. aigu, pointu. 

+ PonriL, s. m. (if. de mar.) pontal : la hau- 
teur ou le cur d’un vaisseau sur l’Oo6den ; son 
creux sur la Mediterrande. it. “Hauteur en 
pointe ow pointe de terre qui enire dans la 
mer. 

PontäL, adj. Pregos —aes, grands clous. 

PONTALBTE, s. m. 6lai, dtangon. —e da cod- 
brea, (1. de mar.) * bigues de mäture. 

Pontiö, s.m. baleau ou barque plate d’un 
ponton,d’un pont flottant. Ponton, bao; barque 
plate, mätte; vaisseau prison. Elangon, 6tai. 

Pontap£, s. m. coup de la pointe du pied, 
coup de pied. Dar um — , allonger un ooup de 
pied. 

Pontaria,s. f. "tir: l’action de pointer un 
canon, de coucher en joue un fusil, ete., visde. 
(Ag.) Blanc, but. V. Aloo. (ans.) Chicane. Fazer 
—, pointer, viser, coucher en jJoue. Estar, Acar 
em —,(fig.) @ire en bulte &. — a meller a gi- 
que, (f. de mar.) pointer a culer bas. — ades- 
arvorar, (td.) pointer & demäter. 

PonTazinua, s. f. dim. de Ponta. 

Pontar. V.Pontear. 

PONTE, s.. f. “pont: ouvrage, consiruetion 
sur une riviere, etc., pour en faciliter lo pas- 
sage. (f. de mar.) —, tillac, etage de vaisseau. 
— de barcas, de bateis, pont de bstesux. — ie- 
vadira , pont-levis.—surpensa, pont suspendu. 

+ Ponteivo, A, adj. points, margue de 
points. 2. p. de 

Pontgin, v.a. V. Alinhavar. Marquer avec 
des points, pointiller dans une miniature, ete. 

Ponttira, s. f. "bout d’un fourreau d’öpee, 
@’une canne, etc. 

Poxt£ıno, 8. m.* touche : petit brin de bois, 
etc., dont lcs enfants touchent les lettres qu’ils 
epellent. * Baguette, eto., qui sert & indiquer, 
ä marquer. Poingon pour percer. Ciseau de 
tailleur de pierre. * Plume ow quelıue autre 
piece pour toucher des instruments & cordes. 
Celui qui guide un autre pour chercher une 
chose cachee (p.us.). — de relogio, " aiguille de 
cadran ow de ınontre. 

PoxTeıro,A, adj. (4. de mer.) Venlo —, vont 
debout, contraire, Oppose. 

Poxriacuoo.V. Puntagudo. 


5 


930 PON 


+ Poönrico, a, adj. du royaume de Pont, O 
mar — , ioBosphere de Thrace. 

+Pomicv.a, s. f. (1. de fort.) petit pont & 
ostö d’an pont-ievis; petit pont de bois. 

Pemrwrcäoo, 8. m. pontificat : dignit6 de 

nd ufe, de pape; sa duree. 
Emrscht ‚adl. 2 an ponuifical :quiregarde 
le peatife, sppertient ä sa dignite. 

Foareel? sm. hablis pontißcaus. Livre 
does & Pusage de Fe 
eier pontiloalement, c6 
ealoment, 

PowrwrcaLuönre ‚ade. pontiäcalement, avec 
les cör&monies et les habils pontiflcaex , d’une 
manitre pontificale. ° 

Ponririce, 5. m. pontife, &v@que;, elc.;per- 
sonme saorde qui a aulorits dans les choses do 
la reilgion;; ministre superieur des choses sa- 
er6es. O summo —, le pape, le souverain pon- 
us. 

Pomstricıo , A , adj. pontifical: du ponlife; de 
Perögque, . 

Pouriıza, e. f. pointe aigu&, bout pointu. 

Pontinna ,s. f. dim. de Ponta. Petite pointe; 
peiste dentelle & picot. Andar nas —s dos pes, 
mareher sur In pointe Ju pled. Pör-se nas —s 
dos pds ,( Ag.) se lovor, monter sur ses orgots. 

Ponrinno, s. m. dim. de Ponto. Petit point. 
(Ag-) * Polnulierie, pointille, vaine subtilite. 
4, PR. (1. de point.) pointillage, petits poinis. 
3 do dirdtte,, * sabtiliies du droit. 

Rexro, s. m. point: piqüro Saite avec l'zi- 
guille enfil&e; ce qui est sans ow d’une tres- 
petite stendwe. Le point ınathömatique n’a 
meme peint d’dtendue. —, marque ronde (.) 
pour söparer les phrases, elc. —, question & 
tseitarı question Lir6e au sort, dans les exa- 
mens , jes thöses de droit, etc. Sujet principal 
d’une affaire; division d’un discours, etc.; etat, 
disposition, situation dans la sante, la fortune; 
occasion ; cenjonetare. But: fin qu’on se pro- 
pose. —, degr&, mesure, leur marque en gö- 
utsel. —, Instant, moment, temps preeis. Plus 
Laut point; &tat de perfection d’une chose. 
Deimt d’konnenur. V. Pundonor. ° Manicre dont 
st Yssue ume dtoffe. *Consistance des sub- 
stenees lie . Guiden: bouton esboutd’un 
ennen , #is., qui sert A mirer. Registre des su- 
vriers, etc.; appel qu’on leur fait tous les 
jour. SBoalllour de theatre. * Maille dchappee 
dans un bas. *Clöture des classes, des tribu- 
naux. "Estime, calcal d’un pilote; conjecture. 
— d’arribar, second arret de la noix : cran sur 
loquet repose le chien bands d’une arme & [eu. 
— de honra, point d’honneur. — de longilude, 
potat ou degrö de longilude sur mer. — de 
mein, tricot. — da viola, stc., louche d’une 
gultare,, eo. — de vista, point devuc. A —,ä 
point, & propos; Incontinent, sur-le-champ. 
A— dade, & point nomme. A um — , au ın&me 
vemps, äla fols. Fallar a —, parier ä propos. 
De todo —, tout Afait, entierement. Em dom —, 
en bonne sante. Am — „ pröcisement, ä celto 
houre, en co moment, Aa mueio dia om —, A 


ue. Fazer um— ‚ofl- 
ror la ınosse pontili- 


POP 


midi precis. Ao — de perlir, au moment, sar 
ie point da depart. Ester em — ou a pomto de, 
&tro sur le point, au moment, & la veille de. 
Faxer — ‚sospendre ses psyements. Por — a 
alguma couss, suspendre, cesser de faire unr 
chose. Baizar de —,, ( ig.) dechoir de son pre- 
mier &tat. Subir de —, crelire, augmentzi. 
Subir de — alguma couse , louer, vanler, exage- 
rer une chose. Ponio gor —, de point en poin!. 
De — em dranco, de hut en blane;; (fam.) en 
toilette. Ir de — em brance para algum luger, 
alter tout droit vers un endroli. No mesmo —, 
dans le me&me Instant, tout de suite, sur-ie- 
champ. Tende —, paix! taisez-vous. Ndo per- 
der 0 — de alguma couse, ne perdre pas de rue 
uno chose. O — profundo, ( podi.) la mer pro- 
fonde. Dar no —, trouver ie naud de V’aßaııe. 
Pör o — na carla, (1. de mar.) pointer la carte. 
—s, pl. points de sature pour r&unir les levres 
d’une piaie. "Mailles de bas. Points : divisioas 
du compas de cordonnier. Points marques sur 
les des, sur les caries. —, nombre que l’ea 
marque & chaque coup du jeu. ° Fautes gue fait 
un ecolier en recltanı sa legon. Homem de —, 
homme delicat sur le point d’bonneur. Pör-a 
nes —, querelier, disputer aves quelqu'un. 
Pör os — em, (fig.) viser, atpirer &, Piorr as — 
miti altos ,(id.) porier ses vues Irop baut, avoir 
des pretentions excessives, tenir la dragee Isop 
haute. 

+Ponto, s. m. (f.de gdog.) Pont: partie N. de 
la zappadoce. 

T Poxtoia, v. 8. (l. de comm.)— as pariidsı 
ou addiröes , pointer les articles d’un livre. 

Pontoxtıro, s. m. (4. mil.) ponlonnier : sel- 
dat employ& & la construction des pants, 

Pontöso, A, adj. pointilleux, delicat sur 1e 
point d’honnear. V. Brioso. 

Poxtuvagäd, s. f. ponctuaiien: art, systeme, 
aclion de poncluer;; signes de ponciualion. 

PoNxTuiL, adj. 2 gen. ponctuel,, exact, regu- 
lier. Certain,, indubitable, &s. V. Brioso. 

PONTUALIDÄDE, 8. f. ponctualile ‚grande exzac- 
titude & faire une chose au lemps prefix, ei &x- 
Ion le projet ou la promesse. Certitude. 

PoxtvaLissino, A, adj. sup. dc Pontusl. 

PONTUALMENTE, adv. ponctuellementi: a1ce 
ponclualite. 

+ Portuino, A, adj. ponctu& : marquf de 
points. Folha —a, (1. de bot.) feuille panciu.: 
parsemee de points transparenis. p. p. de 

Poxtuir, v. a. ponciuer : metire les points, 
les virgules, la ponctuation. 

Poxtipo,A, adj. pointu : qui a une pain“ 
aigud. (fg.) Apre, aigre, qui commence ä ar 
grir (vin).($. de dof.) Aigu, acumine. 

Poutüna. V. Punclura. 

*P0o.V. Po. 

Pöra, s. f. poupe : Parrieze d’un vaisseau 
eul d’un vaisseau. Casiello de — , gaillard d’ar- 
riere, clevation sur le tillac. Navse de ou cum 
— redonde, vaisseau & pouperonde. Nacio com 
— quadrade, vaisseau & poupe carröe. De — a 
pr6a, (fig.) entidsement, toislemens, de Send 





DD De Be a er 


POR 


en comble. Ventosm—, vent en poupe, vomt 
favorable; (fg.) faveur, prosperits. 

Porina. (inus.) V. Taverna. 

Porrzzia. V. Apoplezia. 

Pomı.V. Pöpa. 

PosvLiga, s. f. om PoruLicno, 3. m. Dopt- 
Jaoe : lie du peuple. 

Porvragä0, s. f, population : gumtitä d’ha- 
bitahts que renferme un pays. 

"PorvLino, p. p. de Popular. V. Povoado. 

PoruLin, ady. 2 gen: populaire : du peuple; 
qei le ooncerne; qui s’en fait almer. Aura —, 
faveur du peuple. 

PorvLin, v.a. (anl.) V. Povoar. 

PoreLanmäipe, s. f. popularliö : caractäreo 
d’unhomme populaire; affabilit# envers le peu- 
ple; alfections du peuple; faveur publique; 
eredit pres da peuple. 

PoPuLaRıziDo, A, p.p. de 

PoruLarızÄir, v. a. popalariser : rendre po- 
pulaire. 

POPULARIEÄR-SE, U. r. 50 populariser :secon- 
eilier l’alfection du peuple. 

PoruLinumente, adv. populalrement : d’une 
maniere populaire; pour plaire au peuple. 

PoruLzid,s.m. (t. de pharm.) populcum ; 
onguent qui a pour base des bourgeons de peu- 
piier blanc. 

Por6Lxo, A, adj. de peuplier. 

PorvLosissimo, adj. sup. de 

PoruLds0, A, adj. populeux, tr&s-peupid, od 
it y a beaueoup d’habitanıs. 

Por, prep. et die. pour, & cause de. Par. 
Par, parlantd’um lien od Yon passe.Pour, parlant 
d’un temps , d’une &poque future qu’on deter- 
mine. Pour, en qualit& de ; par ordre ow permis- 


sion de; par le moyen de; en faveur de; au lieu | & 


de; en place de; afin de. Pour, contre, parlant 
d’unechöse Aroqu&e contre une autre.—agora, 
pour le prösent, quant & present. — anno, cha- 
que annee; par an. — isso, pourcela, & cause 
de cela, c’est pourquoi, — cerlo, ceries, en vö- 
Fit6. — ouira parte, d’un autre cöld. — ahi, 
a peu pres. — mais que ou —mdilo ‚quoi 
qu’on fasse. — mim, quant & moi, ä mon 
&gard. Ertar — fazer, — polir, etc., Tester & 
faire, & polir, n’ätre pas encore fait, n’&tre pas 
encore poll, etc. Estar — vir, — chegar, etc., 
dervoir venir, devoir arriver, etc. Ir — lenha 


— vinko ” 


‚ete., aller chercher du hois, du vin, 


” etc. Sem que, nem — que, San3 FAISOn, 3an8 


mol. Sin, — eerlo, oui, cerles! assurement, 
Palaore— palavra, mot pour mot, mot & mot. 
Um — um, ’un aprds l’autre. Trocar vinho — 
azeite, changer du vin contre de l’huile. Erdo 
vinte — todos, iis &taient vingt en tout. Por, 
plac6 avant un adj. ou ade. ei suiri du verhe 
£ire, suyeivant k quelgue (adv.). Ex. :— nobre, 
— doulo que seja, quelque noble, quelgque sa- 
vant qui) seit eu malgre sa neblesse,, ee. — 
miilo rico que seja, nonobsiant sa Rrende ri- 
chesse, quelque riche qu’il seit ow yu’il puisse 
etre.— mdi sabius que sejdo sous conselhes, — 
mi Judiciosas que 80/00 suas reflexöes, quel- 


POR N 
us sagen qua solent ses comseils , quelgue ju- 
dieleuses que | ses relexions. Ir — em- 
_— etc., alleren qualited’am- 
hassadeur, de consul , eic. 

PöR, 0. a. meltre, placer, poser, apposar; 
compter, &tablir, fixer; imposer; poster, Si- 
tuer; employer; poser, sipposer; oontribuer, 
fournir de son cöt#.Meltre dans lacas, dansla 
n6cessil& de, ebliger &. Pondre, parlant des 
oiseaux. Gager, parior. Nommer, choisir, die 
blir pour. Ponter, ooucher. V.Parer. Ex 
& un danger, eic. Deposer, laisser de cötd. Des- 
tiner & un emploi , appliquer & une profession. 
Ajouter quelque ciroonstance, quelque parti- 
cularite. Ajouter volontairementquelgue chose 
& un röcit. Ex. : Pöz isso de sus case, il sjoula 
cela de son chef, de son or&. Pfr, suivi de la 
particule a et d’un infinitif, indique un oom- 
mencement d’aclion. Ex. : — a assär, faire r6- 
tir, mettre & la broche. — se a ssorever, se mel- 
tre ä dcrire. Buivi de la m&me particule ei de 
quelques noms, il signiflo exposer. Ex. : — so 
sol, ao. ar, meilre, exposer au soleil, & lair. 
Suivi de la preposition gor ei d’un nom, Il si- 
gnifle employer, donner un emploi, etc. Ex. : 
—_ sr „ inspeelor, eie., employer 
quelqu’un dans le gouvernement, Pinspeotion, 
etc. Joint & la pr&position em et & un nom, il 
exprime une action relative ä ce nom. Ex. ı — 
em duoida, metire en doute, douler de. — em 

‚exseuter. Joint & quelques noms, il 
equivaut & causer, o0casionner. Ex. ı — medo .. 
causer de la frayeur. — arueres, planier des 

= 5 ancore em seu Äuger Qu d Tossa, 
(& de mer.) traversor l’ancre, metire l’ancre 
en place. — d capa com 0 traquele ‚(id.) mellre 
la ecape, & lasnisaine. — easa, monler Im6- 
nage. — dinheiro a ganko, placer de l’argent. 
— im oa iermo, termäner, eonclare. — di- 
vida, faire diliculis. — ‚„mollse un prix. 
— silencio, impeser silence. — fürs, chasser, 
expulser. — sew affeclo em quem o merece, pla- 
oer ses affeotions en ben lieu, les bien placer. 
— cuidado em, prendre garde, faire attention 
&, — kimiles a sous gestos, nelire des bornus A 
ses plaisirs. — na rus, mestire ha la porie; dlar- 
gir (un prisonnier). — lei, comiribusgde, met- 
tre, stablir une loi, un impöt. — de parte, 56- 
paret, mettre de cöte. — por terre, mellre, 
jeter ä terre, renverser. (Ag.) Döcrier quei- 
qu’es. O— do sol, le coucher da soleil. —& 
vista , axposer & la vun; (fg.) representer ; FeR- 
dre cempröhensibie. — a forre # fogo, meilze 
& feu ei A sang, ravager, brüler. — os p&s em 
algumg parte, aller, se rendre dans quelqueen- 
droit. — aculipa a alguem, inculper quelgu’un. 
V.Culpa.Ponhdmos que assimt, supposens que 
eo soit, Isso nde firamem p6e , cela nefaitrien. 
Näo — nada por diaste, Tranchir tous les ob- 
staclos, toutes len difficultss. Ponha F. M.o 
ons om si, zmallez-vous dans ce cas-lä. 

POs-sz (a,em), o.r. se mellre, s’appliguer, 
tsavsiller d; ssdenzer &, Se pereher, 26 peser, 
parlanı des oiseauz. B’ieaposer (une lei, ete., & 


934 POR 


PortauEuro, 8. m. (8. de mus.) pori Je la 
volz. it. V. Comporlamento. 

Pönta-növas. V. Novslleiro 

+ Porrinte, p. a. de Portar. adj. 2 gen. (t. 
de mar.) Ancoras —s, ancres tenantes au fond. 

Ponrinto, ade. dene, alors. V. Tanto. 

Porrtiö, s. m. *porte cochöre; porte de ferme 
Beconde porte d’entr&e d’une maison noble. 

PORTA-Päz, 5. m." paix: plaque qu’on donne 
& baiser A a grand’messe. 

+ Pönta-rinas, adj. 2 gen. (podt.) qui ap- 
porie des peines. 

Poatän,v. n. V. Aporiar. — por f8,(t.de 
notaire) legaliser. — pela ancora, (t.de mar.) 
eviter, louvoyer sur les ancres, en parlant 
d’un vaisseau. 

Portäs-sz (com), vo. r. se comporter, 86 
eonduire. — com honre ou honradamenie, 86 
eonduire en homme d’honneur ow avec hon- 
neur. 

Ponrania, s. f. principale porte d’un cou- 
vont, d’une communautd; et, dans un palals, 

rte de l’appartement dos femmes. * Emploi 

portier. Lettre-patente; ordre, ordonnance. 

+ PORTA-TeT’aso,, adj. m. (podt.) qui porte 
lo thyrse (Bacchus). 

PorririL, adj. 2 gen. portatif : qu’on peut 
aisöment porter. Aller —, autel portatif, qu’on 
peut dresser od Pon veut. 

PöRTA-VARRKTA , 5. [. porte-baguelte. 

Porrazinza. V. Portinha. 

PORTE , 5. m. port ı droit, salaire, paye pour 
le transport; port de lettre. Apportäge : peine, 
salaire da porteur qui epporte. "Conduite : me- 
niere d’sgir. — , maintien,, demarche ,manidre 
de se meitre, etc. "Qualitö, noblesse. —, gran- 
deur, oapaeli#, surtout d’un valsseau. — 9690, 
port pay6, franc de port. Homem de —, homnre 
diningus, bomme respectable, homme capa- 

(.} ‚ 


Ponykrnı, s. f. portiöre : femme ohargee 
d’ouvrir, fermer ot garder une porte; religieuse 
qua soln de la porte. ° Passage, entr6e fermee 
avsc une grille, cette grille; herse, barriere. 

Porrkıo, 8. m. portier : prepose charge 
d’owvrir, former et garder une porte. — da ma- 
ya , massier. — da jusfica ou pregoefre, erieur 
public, crieur d’enchöre. — de carcere ou pri- 
s&o , guichetier, portier de guichet. — da cana, 
huissier : garde de la portechezun rol, eto. — 
da audiencis, huissier audiencier. 

PoartLıa, s. f. entete d’un ohemin, d’une 
gengs de uoniagne. Porte de ville, berridre eu 
Pon paye iss droits de e. 

Poxrkızn, s. u. dies, de Porto, pelit port. 
. pe passage. V. Porial6 ei Posiigo. 

ORTÄNTO, 5.8. ige, zingularits, mer- 
veille, chose ernannt, Sots um — , vous 
etes un prodige. B um — de, c'est un miracle. 
On le dit d’une chose digne d’admiration. 

? POnTENTösamtntE, adv. d’une maniere 
prodigieuse. 

Porrextoso, A, adj. etrange, extraordi- 
peire, prodigieux, 


POS 


Porrico, 8. m. portique : galerie ourens 
dont le comble est soutenu par des colonae. 
(49.)—, secte, doctrine de Zimen, das sr 
ciens. 

PorrıLnäd, s. 9. * ouverturedans un mar, 
bröche, 

+Ponriıno ,s. m. ° bröche, crerasse, ecıu- 
ture dans un mur. (fg.) Toute sorte Conre- 
tures. 

Porrinna , s. f. dim. de Porta. Petite port, 

PonTıxnöLa ,s. f. poMiäre de carrosse. Palı 
qui couvre l’ourerture des poobes d’habius, ek. 
(t. de mar.) * Sabord. —s do guardalem, 
(id.) sabords de relraite. —s de receber ars, 
resbords , sabords de charge. 

PöaTo, s. m. port : lieu propre A roceroir bs 
valsseaux & l’abri destempe&tes; lieu sur le berd 
de la mer, d’un fleuve, od l’on debargue is 
marchandises, etc. Detroit , gorge de meilr 
gnes. (g.) —, asile, lieu de „den 
bar, (#. de mar.) reläche ; lieu of Yon peuim- 
lächer. Tomar, ferrar o —, enirer das k 
port. Surgir no—, jeter Y’ancre, mouilier dus 
le port. Perecer no —, [aire naufrage au pt 
A— seguro ,a— e saloamenio, & bon pori.- 
seccos , lieux sur les frontiöres od sont dlabies 
des douanes. Tapor, lomar, cerrar a 1% 
alguem , (fg.) priver quelqu’an de Louis ka 
ressources, do tous los moyens de r&ussü. 

+PöRTto,s. m. (4.de geog.) Porto : la deusılar 
ville de Portugal, dans la prorince de Daer. 

Ponrucmir, ©. a. (l. de mer.) irouaser I 
voiles. 

Porröczas, s. f. pl. (1. de mar.)* ailiude 
voiles. 

Ponrücnos, s. m. pl. trous de llläre. 

+ Poatutnss, adj. et 8.2 gen. de Ports. 
= , pl. m. les habilants de Porto. 

Portucin, s. m. (#. de geog.) Portszl: 
royaume de |’ Europe occideniale. 

+ Porrucutz, s. m. ancienne monnsie d#- 
gent portugaise valanı 400 reis : II yen ara 
aussi d’or qui valaient 4,000 reis; portogalsit- 

Pontucußz, A, adj. et s. Portwgeis : da Por 
tugal. 

Porro6so, A, adj. qui a des ports de mer. 

PORvENTöRA, adv. par accident, par sı®- 
ture, par hasard, poul-tire, — 4 ala? ah? 
lui? N’ost-ce pas Iui? 

+ Porzina, s.f.(t. E’hist, nat.) marsuc. 


petit räle d’eau. 

Ponvir, s. m. avenir, &renement futut. ! 
Fuluro. re, V. Apke 

P6s , prep. apres. V. . 

Pös, s. m. pi. " paudre. V. Pi. 


"Posix. V. Enirar. 
"Posch ,s. [. de Poau avec du viasigfe. 


de mdd. anti.) "hydromel. 
Pospira, s. f. * post-seriptum. V. Pomdi 
Posvaran. 7. Postdatar. 
PosokLuvıäno ‚A, adj. pestörleur au des? 
universel, . 
Posıciö, s. f. position, situation! diper- 
tion. L’action de poser. (I. Hidant.) —, por! 











POR 


ser: broyor sur le porpbyre, reduire en peudre 
impalpable. 

Pörrurno. V. Porfido. 

* Ponrösm. V. Gibäo. 

Por qUÄNTO, conj. vu que, attondu que; 
d’sutant que. 

Porgut, adv. et conj. parce que, car, d cause 
que. Poarquoi, pour quelle chose. Porgus? 
poarguoi? pour quelle raison? 

Ponaout, 3, m. “cause, raison, molif, le 
pourguoi. 

+ Pongutıra, s. f. V. Pocilga. Chose sale, 
ignoble, rebutante; action basse, indecente. 
V. Porcaria. Porchöre: femme du porcher ou 
ienme qui garde les pourceaur. 

ORQURIRO. 

PoRquerico. } V. Porcaripo. 

Porqutte, 3. m. (#. de mar.) piece en croix 
& la poupe d’un vaisseau. 

Porqvipine ow saletd, malproprete. V. 

Porquipid, s. f. Porcaria. 

Poxgvinua, s. f. dim. de Pörca. Petite truie. 
— de sanlo Anläo, " porcelet de saint Antoine, 
cioporte armadille. V. Bicho de Conta. 

Pongtixno, s. m. dim. de Porco. Petit co- 
chon. "Botte de chanyre. — moniez , marcassin. 
— da India, cochon d’Inde. Quando te derem 
0 — acode-Ihe com 0 baracinho, (prov.) quand 
on te donne une vache, cours vite chercher la 
corde. 

Ponquinno, A, adj. dim. de Porco. Un peu 
sale. 

Poarı,s. f. (au). t. obscöne ) massue : bAton 
noucux fort gros par le bas. Y. Cachaporra. 

Ponkäceo, A, adj. porrac# : Urant sur la cou- 
leur verdätre du poireau. 

Porripa, s. f.” coup de massue; ei, par ex- 
tension, coup de poing, etc. (ani.) * Ragoüt 
fait aveo du poireau. 

PorriL, s. m. * planche de poireaux. 

Ponziö,s. m. biberon : sorte de cruche & bee 
pour boire de feau. 

Ponkizo,s. m. V. Porrada. 

. Ponnzckn. V. Dar, Offerecer. 
Ponntra,s.f. feuille verte du poireau, et, 
par extension, de l’ail, de l’oignon ; ragoüt fait 
avec du poireau. s. m. (fig. burl.) Ignorant, 

tourdaud. 

Ponngripa, 8. f. " coup de gourdin. 

Ponntre, s. m. dim. de Porra. Gourdin. 

Ponrinuı, dim. de Porra (1. obscene). 

PORno, s. m. poireau. V. Alka—. — bravo. 
V. Allo das vinhas. (1. de chir.) Polreau: ex- 
croissance de chair sur les mains, elc. 

PonszLina. V. Porcellana. 

Ponstve. V. Perceve. 

Porsovsso. V. Persovsjo. 

* Ponsuivan. V. Passavanle. 

Pösta, s. f. porte : ouverlure pour enirer 
dans un lieu clos, enloure6, ferme, et pour en 
sortir ; assemblage de bois, etc., qui la ferme; 
IR issue; acc&s. moyen d’arriver; entree, 

. A —, a sublime — ‚la Porte, la Su- 
Dlime Porte, la cour de Constanlinopie, — false, 


POR 933 
fausse porie. — ‚ porie fausse. — Ira- 
stira, porie de derriere, | porte Gerobee. (fam.\ 
* Anos, fondement. — cocheira ou de carro, 
porte cochere. — levadisa, pont levis. — de 
traigdo, porte derobee. Dar com a — na cdra, 
ou nos narizes, pousser, fermer la porte au 
nez. 4’ —, ä la porte, tout pres. Do— em—, 
de porte en porte. Esiar 4 —, (fig.) &lre ä la 
veille d’arriver. A ouira — que esta ndo se 
abre : maniere de repousser une proposilion 
qu’on ne veut pas entendre, et de congedier la 
personne qui la fait. Por —s: on le dit pour 
exprimer l’etat d’un homme reduit A la misere, 
ä la mondicite. Andar por —s, mendier. Pör 

yuem por —s, mellre quelqu’un & la besacc, 
au bemiquet. A4’s —s da morle, au bord du 
tombeau. A’s —s fechddas, huis-clos. Das —s 
a dentro, dans le Jogis, chez sol. —s Iravessas, 
(fg.) ° detours, intrigues. 

+ Porta, adj. f. (t. danat.). Veia — , veine 
principale qui entre dans le foie, 

PÖRTA-BANDRIRA, 8. m. porte-banniere, porte- 
drapeau. 

+ PoORTA-CARTUCHOS, 5. m. (i. de mar.) gar- 
goussier; sac & charges. 

PonTa-CcLavina, s. f. porte-carabine : espöce 
de sac en cuir ou l’on entre le bout de la cara- 
bine pour qu’il ne vacille pas. 

PoRrrtAcöLLo, s. m. *porteleuille d’ecolier. V 
Protocollo. 

Portacravına. V. Portaedlavina. 

Poatipa, s. f. * frontispice, portail d’eglıse, 
etc. (g.) "Devant, fronlispice, facc anterieure 
os principale. Tenture de porie. 

Poazino, s.m. poriail. adj. V. Aporiado. 

PORTADOR, A, 5. porteur: celui qui porte. 
— de mds novas, porteur de mıauvaises nOu- 
velles, courrier de malbeur. 

PÖRTA-ESTANDÄRTE, 5. M. porte-etendard - 
celui qui porte l’etendard de la cavalorie. 

PoRTA-BRÄsCO, s. m. Cordon auquel pend la 
poire & poudre. 

Ponrtackıro, 3.0. p&ager : [ormier du p£age, 
qui le regoit. 

Porticeu, s. f. * octroi: droit des denröes 
qui entrent dans une ville. "Page ; droit pour 
un passage; lieu oü on le paye. 

PoariL, 5. m. porlail: principale porte, fa- 
cade principale et ornde d’une Eglise, etc. Vos- 
tibule d’une maison. 

PORTA-LÄPIS, 3. m. ports-crayen. 

* Porraızche. V. Chegor, Portar. 

+ PornraLkcaz, 8. [. ($. de geog.) Portalögse: 
ville de Portugal, dans la provincoe d’Alenteje- 

PortaLö, s. m. (8. demar.) endroit du vais- 
soau ol est Pechelle pour monter & bord. 

+ Pönta-ıY'aa, adj. 2 gen. (podt.) qui porte 
une Iyre. 

PoRTAMACHÄiDO, 8. m. sapeur : soldat armed 
d’une hache, qui marche en t#io d’un rög'- 
ment. 

. Pönza-nanıo, 8, m,’ porie-manisau. V. 
Mala, Malsta 


938 POR 


Pontaußnto, s. m. (1. de mus.) pori Je la 
voiz. it. V. Comporlamento. 

Pöxta-növas. V. Novelleiro 

+ Ponrinte, p. a. de Porlar. adj. 2 gen. (fl. 
de mar.) Ancoras —s , ancres tenantes au fond. 

Ponrinto, ade. dene, alors. V. Tanto. 

PorTä0, s. m. "porie cochöre; porte de ferme 
Seconde porte d’entröe d’ane maison noble. 

POntA-Piz, s. m.*paix: plague qu’on donns 
äbsisor A la grand’messe. 

+ Pönta-pRnas, adj. 2 gen. (podi.) qui ap- 
porte des peines. 

Portär, v. ». V. Aporiar. — por f3,(t. de 
notaire) lkgaliser. — pela ancora, (1.de mar.) 
€riter, louvoyer sur les ancres, en parlant 
d’un vaisseau. 

Portiz-sg (com), u. r. se comporter, 86 
eonduire. — com honrs ou nie, se 
conduire en bomme d’honneur ou avec hon- 
Deur. 

Poatania, s. f. principale porie d’un cou- 
vent, d’une communauts; et, dans un palals, 

rte de l’appartement dos femmes. * Emploi 
De portier. Leltre-patente ; ordre, ordonnauce. 

+ Pörta-Tuer'aso,, adf. m. (podt.) qui porte 
lo thyrse ( Bacchus). 

PorririL, adj. 2 gen. portalif : qu’on peut 
ais6ment porter. Aller —, autel portalif, qu’on 
peut dresser od on veut. 

P6nTa-vantra , s. f. porte-bagueite. 

Ponrazinna. V. Porlinka. 

PORTE , s. m. port : droit, salaire, paye pour 
le transport; port de leitre. Apportage : peine, 
saleire du porteur qui apporte. "Conduite : ma- 
niere d’sgir. — , maintien , demarche , maniöre 
de se mettre, etc. "Qualits, noblesse. —, gran- 
deur, oapaeit#,, surtout d’un valsseau. — pago, 
port pay6, franc de port. Homem de —, homurs 
umingus, komme respectable, bomme capa- 

©. 

Ponvkıra, s. f. portiöre : femme ohargee 
d’ouvrir, fermer et garder une porte ; religieuse 
qui a soin de la perte. " Passage , entr6e fermee 
aveo une grille, cette grille; berse, barriere. 

Ponrkıno, 3. m. portier : prepose eharge 
@ourrir, former et garder une porte. — da ma- 
ga , massior. — da Justica ou pregoefre, erleur 
public, crieur d’enchöre. — de carcere ou pri- 
#80 , guichetier, portier de guichet. — da vana , 
huissier : garde de la porie chez un rol, ete. — 
da audieneie, hulssier audiencier. 

Poarsııa, s. f- entwte d’un ohemin, d’uno 


genge de meoniagne. Porte de ville, barriäre oü | Fu 


Fon payo iss droits de Passage. 

Poazkıia2, s. m. dien. de Porto, pelis port. 
*Entröa, passage. V. Porialö ei Postigo. 

PoaT&uTo, 5. m. prodige, singularitö, mer- 
veille, chose extraordinaire. Sots um — , vous 
tes un prodige. E un — ds, c'est un miracle. 
On le dit d’ane chose digne d’admiralion. 

+ Pontenrösautute, adv. d’ane manläre 
Piodigieuse. 


Porreıt6so, a, af. eirange, exitraordi- | 


paire, prodigieux, 


POS 


Ponrico, 8. m. portique : galerie ouverie 
dont le comble est soutenu par des colonnes. 
(49.) —, secte, doctrine de Zömen, des sier- 
eiens. 

PoerıLnäö, 0. m. * ouveriuredans un mar, 

räche, 

+ Poariuuo,s. m. * bräche, crevasse, eunet- 
tare dans un mur. (fg.) Toute sorte d’oure- 
tures. 

Porrinna, s. f. dim. de Porta. Petite porte, 

Ponrıxuöuna , s. [. portiöre de carrosse. Pas 
qui courre Fourerture des poches d’habils, ei. 
(8. de mar.) * Sabord. —s do guerdolm, 
(id.) sabords de reiraite. —s de reosber cargs, 
resbords ‚ sabords de charge. 

PöaTo, s. m. port : liew propre A receroit ls 
vaisseaux & l’abri des tampetes;; lieu sur le bard 
de la mer, d’un fleuvre, oü l’on debargue Is 
marcbandises, etc. Detroit , gorge de moal- 
gnes. (fg.) — , asile, lieu de rapos. — den- 
bar, (t. de mar.) reläche : lieu oh !’on peuum- 
lächer. Tomar, ferrar o —, enirer dass k 
port. Surgir no—, jeter ’ancre, mouiller dans 
le port. Perecer no —, faire naufrage au poll. 
A— seguro ,a— e salvamento, k bon port. 
seccos , lieux sur les frontidres od sont &tablies 
des douanes. Tapar, lomar, cerrar 4 — 
alguem , (Ag.) priver quelqu’an de toutes iss 
ressources, de tous les moyens de r&ussit. 

+Pöarto,s.m. (1.de geog.) Porto : la deusitme 
ville de Portugal, dans la prorince de Dodre. 

PoatucHir,v. 6. (l. de mer.) irousser li 
volles, 

Portöcnas, s. f. pl. (1. de mar,)* ailleu de 
voiles. 

Poarücnos, s. m. pl. Irous da fifläre. 

+ Poattönse, adj. et s. 2 gem. de Porto. 0: 
—$ , pi.m. les habditants de Porto. 

Porrucir, s. m. (4. de gdog.) Portugal: 
royaume de Europe occidenlale. 

+ Porrucotz, s. m. ancienne monnale Tır- 
gent portugaise valanı 400 reis : II yenarall 
aussi d’or qui valaient 4,000 reis; portugalaise. 

PoRTUGDsz, A,adj. eis. Portugeis : da Per- 
tugal. 

Porrvöso, A, adf. qui a des ports de tert. 

Porventöra, ado. par accident, par artt- 
ture, par hasard, peut-@ire, — d esta? esrtt 
lui? N’ost-ce pas lul? 

+ Ponzins,s.f. (1. d’hlst. nat.) marouell: 


petit räle d’eau. 
Ponvin, s. m. avenir, 6renement fatar.. 
N 


uro. 
Pös . apr&s. V. Apds. 

Ba Brig ade v. Pe. 

* Posix. V. Enirar. 

*Posca, s. f. de Yoau avec da vinalgre. (* 
de mdd. anti.) "hydromel. 

Pospita, s. f. * post-seriptam. V. Poddl- 

Posvatar. V. Postdatar. 

Posozı.vvıimo , A, adj. postärieur au deleft 
universel. . 

Posıciö, s. f. position, sitwation! disper- 
tion. L’action de poser. (t. das): 











POS 


d’une thöse. (1. de prai.) Demsnde et röpense 
d’un interrogateire juridique. Regie de fausso 
position, en ariıhmetigque. — de corpo, pos- 
sure, attlitude, 

PosiLca. V. Poellge. 

Posirıo. V. Pusülle, 

Pösinno , dim. de P6. 

Posırıvamnte, adv, pesitivement, oertal- 
nement, 

Posırivo, A, adj. positif, certain, constant, 
assurö ; l’oppos# de relatil, d’arbitraire, de ue+- 
gaülf, de naturel (droit). —, afirmatif, parlant 
d’un precepts, eic. Grandeza—s, (1. de malh.) 
quanlits positive, pre&stdee du signe d’addition 
+. 3.0, —, premier degr6 dans les adjectils de 
comparaison. De —, adv. positlivement, cer- 
tainement. 

+ Posıröaa, 8. f. (p. ws.) position : l’&ias, la 
situstion morale ow civiie oü& quelqu’un se 
wroure. 

+ Posuzammıino, A, adj. d’ 

Pöspisto , s. m. dessert. 

Pösr&LıLo (A), adv. A contre-poil, ä rebrousse 
poil. ( fg.) A contre-temps „ hors de propos. 

Posr£anı,s. f. cuisse d’un cheval. 

Posrontia, etc. V. P ‚eic. 

Pospön, v.a. meltre aprös, Iranslerer (une 
fete, etc.). (Ag.) Estimer moins, faire moins de 
eas, postposer ; negliger, mepriser. V. Posler- 


s-midi. 


gar. 

+ Posposıciö, s. F. position aprös. En ter- 
mes de grammaire c’est la preposlliion mise 
apres le nom. 

Posrosirivo, A, adj. postposilif : qui sort A 
ötre mis apres ow A la fin d’un mol, 

Pospösto, A, p. ?. de Pospör. adj. Mis 
apres ;(fig.) moins estimd. 

Posqutrss, s. m. pl. (1. demar.) V. Enöras. 

PossingA, s. f. puissance, pouvoir, force. 
(p. w.) V. 

(inws.). 

Possinte, adj. 2 gem. pulssant; fort, ro- 
buste. Riche. 

“Possin, v. a. entrer en possession, pren- 
dre possession. 

Pösse, s. f. possession, proprieit, jouis- 
sance, l’action de posseder. * Pouvoir, puls- 
sante, Melter alguem de —, dar — d’alguma 
cousa a alguem, mettre quelqu’un en posses- 
sion de quelque chose. Tomar —, prendre 
possession , (Ag.) s’eniparer. Oriar —, devenir 
puissant.—s, pl. biens, richesses ;(Ag.) moyens, 
facultds naturelles. 

" Posstıno. V. Pessosiro. 

Pusssssiö, 3. f. possession : chose possödde. 
V. Posse. Caso de — ‚te genitif. 

Possassözs, 5. pl. possessions : hiens fon- 
ciers. 

Possessivantirg,, adv. (1. de gram.) cu sons 
posscssil. 

Posseseivo, a, alj. (f. de gram.) possessil:: 
qui margae la pussession (pronom). 

Possitsso, A,adj. ct 8. posscde : tourmented 
du demon; ehergumtne, demoniaque. 







Poderto. Possession , jJouissanco | 4 


POS 


Possassön. V. Possuider. 
PossessöniO, A. adj. possesseire : qui GUN- 


935 


oerne la Jowuissance , ia possession. 


’Posstre. V. Porssvs. 
PosamiıLieäng ,„ 3. f. pessibilitd. =, pl. 


* biens, facnltds, moyens d’uue persomse. V. 
Pouses ’ 


PossisıLıTäpo, A, p: pr de 

PossustLirän, vo. a. rendre possible, faniliter 
Vexe&cution. 

PossiLca. V. Postige. 

Possivaı , adj. 2 gen, possible : qei peut dire 
os arriver, &ise fait. B—? est-H pessikler O 
mais de pressa— ‚lo plus Iöt possible, auseitht 


que possible. Faxer 0 —, ou fode 0 “>, fake 


son possible, tout son possible, 
‚t PossivzLmtute , adv. d’une.manidee p&s- 
sible. 

Possuino, 4, p. p. de Posswer. adj. Posstabe. 

Posscınen , A, $. possosseur ı oelui qui Pas» 
sede un bien. — de si mesmo, malize de ses 
passiens. 

Possuinte, adj.2 gen. poss6dant ı qui Pos- 
stde,, possesseur. 

Possuia, ©. @, possöder : avolr In possessiom, 
lea jouissance dans ses mains, & sol, om son 
Pouroir, on sa possession. 

Possvin-sE, v. r. se possöder, @tre melise de 
soi, de ses passions. 

Pösta,s. f.tranche ,moreeau deviande, ig. ; 
daile ou darne de poissen. Poste, relais: lieu 
oüsont les chevaux de poste de relais, et ces 
ohevaux eux-memes. Posie « distance d’ane 
poste d une auiro. Personne qui oouri la posie. 
Posie : sorie de petile balle de plomb. " Poste 
militsire. Sentinelle mise dans un poste. (anf.) 
V. Pousada. Correr « — , courir la poste, Mes- 
ire de —s, malire de poste. Pela -- ‚en poste, 
(Ag.) irds-vile, Irds»promptement. Ksis komem 
ums — de care , cethomme est une pidce do 
chair. - 

PostiDo,a,p.p. de . 

Postär, v. a. poster, plaser, aposier. (deus.) 
V. Apostar. 

POsSTconsunIo,, 8. f. PoSl-o0mmunion ı orai- 
son aprer la communion. 

PostpiTa, s. [. post-date : date postsrieure A 
la vraie, 

Püste, s. m. °colonae, pilastre, pilier. Po- 
teau od l’on attachıe les criminels, 

Postparär, vu. @. Pposi-deter ı dater d’un 
temps posterieur. 

PostaJäuo,Aa,p.p. de 

Postssär, v. 8. onsper par tranches (10 yols- 
son). 

Posrimi,s. f. "abods, aposidme, V. Apos- 
tema.(fig.) p. us. Mal cacht. 

Postemi6 ou bistouri de medeein 

POSTENEIRO, 8. m. veterinairo pour ou- 
vric les abcös. 

+ Postkrcacäö, 3. f. Yaction de laisser en 
arridre. ’Mepris. 


PostgRc\Ddo, A, p.p. de Posiergar. 


936 POS 


Postzacia, v. 6. laisser en arriere ; jeter par 


derriere. (flg.) Me&priser ; negliger. 
Postzurpäse , 3. f. posierile. 


PostErıör, adj. 2 gen. postörieur : qui suit 
dans Pordre des temps; qui est apr&s, au der- 
riäze. Partie —, dertiere d’an animal, train de 


derriöre. Os —es, m. pl. la posierite. 


PosTErionıpine, s. f. postöriorits : 6tat, 


rang, ordre d’une chose posterieure. 


Posrznıöuuäute, adv. postörieurement, 


aprös. 


Pöstzno, a, adj. V. Vindouro. Os —e, s.pl. 


les desoendanis; la posterits (p. us.). 


Posrssckiro, s. m. post-soriptum : 08 qu’on 


ajoute A une leltre, & un memoire dejä fait. 
Postmuuanis, s. f. "srenements apres la 

mort de quelqu’an. 
Postnuntiaaueuts , adv. V. Ultimamente. 
Pösraumo, A, adj. posthume : ne apres la 

mert de son pöre (fils); qui a paru apres la 


mort de son auteur (ouvrage); (Ag.) qui vient 


apres la mort, 


Postica,, s. f. (4. de mar.) piöce posliche sur 


lo 0616 d’un vaisseau. 


Posrico, A, adj. postiche : qui n'est pas na- 


tarei , faux ; fait, ajouls apres coup, elc. 
srico , s. m. guichet : petite porte dans une 

grande; petile porte,, pelile fenttre. (Ag.) * En- 
ırde ötrolte. 

Posricuinuo , dim. de Postigo. Petit guichet. 

Posriıza. V. Postille. 

PostıLuiö, s. m. postillon : valet de poste. 

PosrizLa , s. f. * cahier de lecons. Apostille : 
addition mise & la marge, ete.; observation en 
marge d’un m&moire, d’une petition,, etc. 41 — 
de mal dizer, les mauvaises langues ; la chro- 
nique scandaleuse. 

PostıLLino, A, p. p. de Postillar. 

+ PosrıLLapOR , s. m. colui qui apostille. 

PosrıLLi&, v. a. apostiller : meltre une apos- 
te A une letire, & une pelition, etc. Eorire 
des ih&mes ow des lecons sous la dicide du 
maltre. 

“Postıminis, s. f. fin, terme. 

*Postımkiro. V. Postrimediro. 

Posrinua ‚s.f. dim. de Posta. Pelite tranche 
pctite darne (de poisson). ‘ 

+ PostLimino, s. m. (1. de droit rom.) relour 
& un diat qu’on avait perdu. Fiction de la lot, 
par laquelle on supposait que les prisonniers 
de guerre n’avaient jamais perdu la liberte, 
&4s qu’lls talent de retour sur le sol de la pa- 
wrie. Droit de reprendre une chose perdue. 

Postmerıiıäno, A, adj. d’apres-midi. 

Pösro ,s. m. lieu, place qu’occupe un corps. 
Poste : charge, emploi; lieu ou un soldat, un 
corps est place. Grade militaire. (viewxr) Site, 
terrain. V. Aloo, Pontaria. Desamparar o—, 
quitier son poste. — d’accesso , grade d’avance- 
ment, Ter um — d’accesso ,avoir do l’avance- 
ment, 

Pösto,Aa,p.p.de Pär. ad). Mis, place; de- 
cide. V. Pdr ei Pör-se.— na 1u:do, raisonna- 
bie, selon la raison. — islo, cela Ctaı'', 








POT 


Pöstoqut, conj. quoique, bien que, encore 
que. 

Posträn,etc. V. Prostrar, eie. 

Pösrne,s. m. 

Postatıao, a, adj. dernier. Celui qui arrır 
le dernier. 

Postaeso, A, adj. dernier. 

* Postaım£ıno. V. Postremo. 

Postscaiero. V. Postescerito. 

PostuLaciö,s. f. postulation , demande de 
dispense. 

PostuLino, A,p. p. de Posiular. s. m. Pos 
tulat : demande d’un premier principe pour 
etablir une d&monstration. 

PosTULADOR, 5. m. celui qui faltune posts- 
lation. Postulateur : celui qui sollicite & Rome 
une beatificalıon,, une Canonisation. 

PosruLincıa, 8. f. exigence. 

PostuLir,, v. a. postuler : demander une 
dispense,. 

Postumaria. V. Posthumaris. 

" Postumtırawente. V. Ultimaments. 

* Postumtiro. V. Derradeiro, Ultimo. 

Postüra,s. f. posture: etat, situation da 
corps. Position, atlitude, situation; conlie- 
nance. Ordonnance de la municipalite. Taıe 
des denrees par la police. L’action de planter. 
"Fard & l’usago des femmes. Proprete , orne- 
ment. (p. us.) * Accord, convenüon. — dos 
0008 , ponte. 

PosturXıno, s. m. vendeur de fard. 

Pöra,s. f.(t.d’Asie) V. Potö. 

PoTäcEM, s. f. " potage, soupe. * Ragont I;- 
quide.* Breuvage : polion composte de ple- 
sieurs ingredients. 

tPorauines, s. f. pl.(t.de myik.) potami- 
des, nympbes des fleuves. 

+ PoTauoctro ow (. de bot.) potamot - 

+ Porauocito, s. m. } plamede la tdtrandrie. 

T Poramocrarpia, 5. f. potamographie : 
description des fleuves. 

Portassa, 5. f. (4. de chim.) potasse : sel al- 
cali fixe , tird des condres des vegetaux. 

t PoTasstıno, s. m. celuiqui pr&pare la po- 
Lasse. 

t Porässıo,s. m. (1. de chim.) potassium: 
metal, base de la potasse. 

PoräveL, adj. 2 gen. polable : qu’on peut 
boire. Dinheiro —, monnaie qui passe de main 
en main. 

PöTz, 3. m. pot de terre, grande cruche. 
Mesure de liquides en Portugal, contenant ä 
peu pres douzo.pintes : c’est la moilie de Yal- 
mude. 

Pot£a ,s. f. poudre d’elain calcine. 

Porscin, s. m. (t. d’Asie) receveur des im- 
pöts d’un village. 

Portıno. V. Poterio. 

Porkncıa,, 3. f. puissance , pouvoir, aulorise: 


domination , empire; Eiat, souverain ; force; 
vertu ; ($. de math.) degre auquel on &ldve une 
grandeur en la multipliant par elle-meme; ; 1. 


de mccan.) ce qui meut un corps, surmonte un 


obstacle; facult€ d’engendrer; &rection. Fa- 











POU 


culis; possibilit4 ( inus.). —s , pl. Puissances : 
Etais, souverains. —s da alma, facultes de 
Pärme. 

PorsncıiL, adj. 2 gen. (I. de mdd.) potentie!: 
qui produit son effet par une vertu eauslique 
(cantere ), opposeä& actuel. Qui renferme en 
soi uno Puissance ; qui appartient & la puis- 
sence. 

++ POTENCIALMENTE, adv. $quivalemment, 
virtuellement. 

PoTEnTäino, 8. m. potentat : souverain d’an 
Etat pnissant. 

PoTEsTe, adj. 2 gen. puissant. V. Poderoso. 
— , fort, vigoureux; propre & la generation. 

Porentea, adj. f. (t. de blas.) Cruz—, croix 
potencke. 

POTENTEMENTE , adv. puissamment. 

+ Porentiuua, s. f. (. de bot.) potentille : 
plante rosacee. 

Potentissıno, A, adj. sup. de Polente. 

Por£xıo, s. m. (t. de bo8.)V. Pimpinella 
hortense. 

+ Portana, s. f: (1. de fort.) poterne : fausse 
porte dans les places fortes. 

Porsstioe, 3. f. toute-puissance divine. 
* Pouvoir supreme, autoritö, domination. An- 
cienne charge ou dignils qui repondait & celle 
de corregidor ou gouverneur. —s, pl. puissan- 
ces „ sixieme chaur des anges. 

+ Porıcoiras, s. m. pl. Indiens du Bresil 
dans la province de Fernambouc. 

+ Porıgri, s. m. — do Brazil, * eigsle de 
mer: 

+Porissınmo, a, adj. sup. (p. us.) special, 
prinecipal. 

* PoTo, s. m. * boisson. V. Bebida. 

+ Porö, s. m.(f. d’Asie) instrument de vente 
ou de bail passe par-devant notaire. 

+ Porosi, s. m. (8. de geog.) Potosi : ville du 
Perou. (fig.) Potose : richesses abondanles, 
source de richesses. 

+ PorötE, s. m. (t. d’hist. nal.) kinkajou ow 

to: mammifere carnassier, plantigrade. 

Pörzı, s. f.(t. pop.) descente, enterocklie, 
bernie inguinale. 

Porriö. V. Polträo, Polroso. » 

Porainno, s. m. jeune poulain. dim. de 

PöTRo,s. m. poulain:: cheval qui ne passe 
pas quatre ans. Chevalet:: instrument de tor- 


ture. 
Porn6s0, a, adj. hernienx : qui a une ente- 
rocöie ,„ une hernie. . 

Poucacakıno, adj. et s. dim. de Pouco. Tres- 
peu, tant soit peu, si peu querien. 

Pöuco, A, adj. peude, court, limits, en pe- 
tite quantit6. Bem — , assez peu. Um —, lant 
soit peu. — tempo de pois,, peu de temps apres. 
Ainda ha — ,nagudre,, il n’y a pas longtemps. 
— #— aa velha 0 copo, petit A petit Poiseau 
faitson nid. Por — que, pour peu que; il s’en 
est peu fallu que, etc. Por — que V. M.de..., 
si peu que vous donniez... Homem para —, 
bomme court, de peu de capacit&, de peu de 


POU 937 


peu de soin. Poweas vezes, rarement, pas sou- 
vent. Mudtos —s fazem miuito ‚les petits ruis- 
secaux font les grandes rivieres, Estas —as pa- 
larras , ce peu de mots. 

Pouco, adv. et s. m. peu, ’oppose de beau- 
coup. — mais ou menos, ä peu pres, peu plus 
ou peu moins, environ. D’aqwi a —, sous peu, 
bientöt. Dar-se-Ihe —, faire peu de cas, comp- 
ter pour rien. Ter em — , faire peu de cas. 

Poucocuinno. V. Poucachinko. 

PöurA,s. f. (8. d’hist. nal.) huppe, pulput, 
lupoge: bel oiseau de passage buppe. —, toulfe 
sur la tete des oiseaux. 

Pourino, A, pP. p- de Poupdr. adj. Menager, 
&conome. 

PoupAnör, A, 3. menager, econome. 

Povriö, s. m. ( fam.) V. Poupador. Qui se 
menage,, qui s’esquive au travail. 

Povrär, d. a. &pargner, menager; &conomi- 
ser. (fig.) Menager, epargner (queiqu un, quel- 
que chose ). 

Pourir-se, & r. se menager. — a0 fraba- 
Iho , s’esquiver au travail. 

Povauvipipe, 8. f. petitesse, peu , petile quan- 
til; bagatelle. Lächet£ , manque de courage. 

Pooqrissiso, A, adj. sup. de Pouco. Extre- 
mement peu, le moins possible , en Irds-petile 
quantite. 

*Pouquocuinno. V. Poucachinko. 

“ Pouasuivans. V. Passavanles. 

*Pousa. V. Pousada , Repouse. 

Pousipa, s. f. maison, logis, domieile, de- 
meure. Hötellerie,, auberge. V. Aposentadoria. 

Porvsıp£ıro, s. m. derriere, le siege, les fer - 
ses. (anf.) Celui qui preparait le logis. (id.) 
Pätre, berger. 

* Pousapia. V. Aposenladoria. 

*Posino, s.m. V. Pousdda. 

Pousipo, A, P. p. de Pousar. adj. Loge. As- 
sis. Pose. (ant.) V. Aposentado, Reformado. 

* Posapör. V. Aposenlador. 

Pousapöuro, s. m. lieu oü l’on pose 53 
charge. (ant.) Derriere, les fesses. 

PousaröLLes, adj. V. Tardo, Vagaroso. 

PöusiLöusa. V. Borboldta. 

Pöusinte, adj. 2 gen. et p. a. de Powser. 
(t. de blas.) Couchant, qui se couche. 

Pousir, ©. a. poser, mettre bas un fardeau 
pour prendre haleine. 

Porsin (em), v.®. loger dans une hötellerie, 
cbez quelqu’un ; descendre chez quelqu’un ow 
dans une auberge. S’asseoir, se reposer. S’a- 
battre: se poser & terre, parlant d’un oisesu. 
(ant.) V. Morar, Habitar. — n’um ramo, ju- 
cher sur une branche, parlant d’un oiseau. 

Posentanor. V. Aposenlador. 

Pousio, s. m. * terre en Jach@re. 

Porsio, a, adj. en jachere, inculte. 

Pouso, s. m. lieu o& l’on repose. V. Estancia. 
Juchoir. Parage. Gisant de la meule. — das 
ndos, (4. de mar.) ancrage, mouillage. Tomar 
— ,(id.) jeter l’ancre, mouiller. 

Pöuta, s. f. pierre qui sert d’ancre aux ba- 


valeur, läche. Ouem — lem — teme, peu dsbien, | teliers. 


940 PRE 


* Praztare. V. Aprazivel. 

Puaazentein. V. Lizongeer. 

PaazEnT£inamente, adv. plaisamment, gal- 

nent. 

Paaszentrtino, a, adj. plaisant, gai, amu- 
sant, joyeux. 

* Pnazentrto, s.m. V. Lisonja. 

Parzin, s. m. plaisir, joie, contenlement. 
A —,ä& plalsir, aveo pläisir, ow & l’aise, ä loisir, 
sans se gener ni se prosser. A sew —, loc. ade. 
comme il vous plaira ; A volre commodite. 
Casa, de —, maison de plaisance. Mei- 
ler om — ‚ ohanger, convertir en plaisir. 

Pnazer, v.n. irreg. plaire: @ıre au gre de. 
Präza a Deos,, Dieu veuille,, plüt ä Dieu. Como 
üke prdz, comme il vous plaira. Prazendo a 
Deos, s’il platt & Dieu. 

Prizın£nto. V. Prasme, Consenlimenio. 

Prizo, s. m. * proprieis d’un domaine 
moyennant un ball empbytöotigue eu & cens. 
Terme : delai donne pour repondre, eic.; 
temps prelix de payement, etc. 

Prß,s.m. (1. milil.) pret: paye du soldat. 

T Pas, pröp. lat. (pre) qui enire dans la 
composition de plusieurs mois. Quelquefois 
elle augmente leur signißcation , comme dans 
preoolaro, predildcto ; quelquelois elle marque 
antsrioriid, comme dans ‚pro 
ver, etc. 

Patı, s. f. proie; prise; betin. V. Press. 

+ Pati, s. f. quadruptde du Bresil. V. Can- 


T Pazapanuitas, 5. m. pl, pre&adamites : sec- 
leires qui pretondaient que les hommes exis- 
taient avant Adam. 

PazaLıncäino, A, adj. preallögue : qui a die 
“uonch precödemment. 

Pasauirn, s. m. hauie marte. 

PazausuLie, v. . faire des preambuies, 
proambuler. 

PaziusoLo, 3. m. presmbule : espsce 
d’'exzorde, d’avanı-propos. (fam.) Delour, cir- 
oenloculion. 

Pazin ou Pazran, v. a. voler, piller, pirater. 
Prendre, enlever. V. Apresdr. 

Pazaßxna, 3. f. prebende :: revenu attache ä 
une place de obanoine; oanonicat. Meis —, 
semi-pröbende. 

Pazsenpino, adj. et 5. m. prebend6 : quia 
une prebende. 

Paunanpanıı, s. [. charge de pröbendier. 

Pazsanp£ıno, 5. m. prebendier : qui prend 
a ferme une prebende, un benefice ecelesias- 

Gue. 

Paguöste, 8. m. prevöt de l’armee. 

ı Prscacäö, s. f. supplication. (ant.) V. Co- 


*Pazcaıcan. V. Perealcar. 

PazciıLco. V. Percalpo. 

PascinıautuTE, adv. pröcairement : d’une 
maniere precaıre. 

PazCänıo, A, adj. pröcaire: qui ne s’exerce 
que partolörance, par emprant, par permis- 
sion, avec döpendance, Incertitude. 


PRE 


PRECATADAHENTE ‚ade. par precaulion; avec 
soin, avec prudence. 

Paecatino, A, adj. precautionne. Y. dar 
tsllado. p. p. de. 

Parcatin, v. e. prövenir, precaulienner, 
premunir. V. Acaufellar. 

PrecarTin-seE (de), ©. 7. so precaulionner, 
prendre ses precaulions contre. S’apercoveir. 

* Prazciro,s. m. V. Procaupio. 

Precatönta, 8. f. commission Fogaleire. 

Precatößıo, A, adj. Carla —a , letire depre 
cative. V. Procaloria. 

Precauciö, 3. f. precaulion; reserve, cu- 
tele. 

PRECAUTELADO, A, P. 9. de 

PrECAUTELÄR,, ©. a. et ®. prendre des pie 
caulions, se precautionner. V. Precater, dt 
telar, Precaver. 

Precavrörıo. V. Preservalico. 

Precavia, vo. a. prevenir les acoidents qui 
peuvent arriver. 

PrEcAavar-SE, vr. se precautionner. 

Pnecavipo, a, p- p. de Precavrr. adj.'. 
Precatado. 

“ Pazcan. V. Prezar. 

Paecepencıa , s. f. l’action de proceder. Prt- 
stance : droit de preooöder, de prendre platt 
au-dessus de quelgu'un. 

PRECFEDENTE , adj. 2 gen. pröchdemt, qui pf* 
cede. p. a. de 

PRECEDENTEMENTE,, adv. precedemment, + 
devant. 

Preceotr (6), v. a. ei w. devancer, prött- 
der, aller devant. Prec#der : avoir le pas, I 
preseance. (fg.) Exceller, surpasser. 

Pnecevino, A, p. p9.de Proceder. 

Precedintnto, 3.m. V. Preosdencie. 

Paeceıtivo, A, adj. V. Prrocspliwo. 

Prec£ıro, 5. m. precepte, commandeme!: 
tögle, enseignement pour l’action. — forns 
d’obediencia, ordre donne & un religieus @ 
vertu de la sainie ob&dience. 

Pnxcgır6a , etc. V. Preoceptor, eic. 

PRECEITOAR , 9. a. donner des procepies. 

+ PRECEPTIVAMENTE, adv. avec precepie: 
par pr6cepte. 

PrecEPTivo,A,adj. ptöcepüil: qui conlee 
des preceptes. 

PaECcEPTÖR, 8. m. precepteur, maltre, inst- 
tuleur. 

+ Preceproria, s. f. pr&bende preceptorisk, 
affecide au matire de grammaire des . 
os A un maltre ow docteur en ıheologie due 
universits. Commanderie destinde & un chers- 
lier de Pordre du Christ, qui servait äses Iras. 
en Afrique, pendant deux ans. 

PascerronıiL, adj. : de pre 
cepieur. Prebenda , Beneficie —. V. Prexp 
| 


Pascarrönıo „A, adj. precepulf. 

Prices, s. f. pl. prieres indes de Fherksre 
sainte; priöres publiques. V. Röges, Suppi- 
“ Parcassi0 ‚e. f. antieipation (p. we). d# 


PRE 
equinomios, (t. d’astr.) pröcession des dqui- 
noxes : mouversent retrograde des points equi- 
noxiaur. 

Pascna.V. Pereha. 

Pazcıino. V. Prexddo. 

Pazcıtscıa. V. Prescioneis. 

Precinta, 3. f. bande de cuir avec laquelle 
on joint les planches d'un oaisson, etc. V 
Cinla. 

Pascıntido,A,p.p. de 

Precınrär, vo. a. assurer avec des bandes de 
euir les planches d’un caisson , etc. Ceindre. 

Pnecinto. V. Circwito , Reeinto. 

Preciösautntg, adv. precieusement. 

Parciosipäne, 8. f. preciosits : qualits qui 
rend precieux; excellence; chose precieuse, 
d’ungrand prix, tresor, rarete. 

PreECiosisstMo, A, adj. sup. de 

Paxcıös0,A, adj. precieux, de grand prix, 
excellent. 

PaEcıricıo, 8. m. precipice : gouflre, vide 
escarp6 d’oa l’on ne peut sortir; (fg.) grand 
malheur, grande disgräce. (id.) Declin, deca- 
dence,, ruine. * Chute violente et rapide. Grand 
danger d’un malheur, etc. 

Parcırıtackö, 3. f. action de precipiler 
(inus.). Preeipitation , häte, promptitade , trop 
. grand empressement & dire, & faire, elc.; 
etourderie. (6. de chim.) Precipitation : dega- 
gement,, chute des parties grossiöres d’une dis- 
solution, elc. 

Pnzcırıräpamnte , adv. precipitamment . 
avec precipilation, ä la hAte; sans röflexion, 
brasquement, inconsiderement. 

PRECIITADISSIMO, A, adj. sup. de 

Pazcıriräno, A, 9. pP. de Precipilar. adj. 
Brusque , inconsider€, etourdi. 

Pascırttädo, s. m. (1. de chim.) precipilö: 
matiöre dissoute, degag6de et tombee au fond 
d’an vaisseau. 

Pazcırıtänte, s. m. (8. de chim.) precipi- 
tant : ce qui opere la precipitation. st. adj. 
p. a. de 

Preciprrär, v. @. precipiler : jeier dans un 
lieu profond, dans un precipice. (fg.) Häter, 
presser trop ; faire avant le temps. (1id.) Expo- 
ser & un danger imminent, ä une perie cer- 
taine. (8. dechim.) — , faire un precipile. 

Pazcırıran-se (a, em), dv. r. pröcipiler les 
choses, se precipiter, sejeter dans, fondre sur; 
se bäter trop; se jeter dans un precipice. 

PRECIPITE, adj. 2 gen. qui se precipite, lance. 

Parcırıröso,, A, adj. escarp6, etc. , d’oü l’on 
risque de se pröecipiter. (Ag.) Inconsidere, qui 
agit avcc precipitation. V. Precipilado. 

+ PrEciruamente, adv. (f. de pral.) en rece- 
vant le pr&ciput. 

Paeciruo, s. m. (6. de prai.) preciput: don 
mutuel des dpoux au survivani; prelövement 
avant le pariage d’heredite, etc. Il est aussi 


adj. 

Precısin0, A,P. p. de Precisar. adj. Force, 
oblig6, contraint. Qui a besoin; dont on a be- 
soin. 


PRE 9 


Pazcisaußxte, adv. nösessalrement, indis- 
pensablement, par un besoin absolu. Procise- 
ment, avec justesse, precision. . 

Pazcısiö, s. f. pröcision, justesse, exasli- 
iude ; abstraction de l’esprit. Contrainte, obli- 
gation, n6cessit& indispensable. * Besoin , indi- 
genen. Que — ha de diser ? qu’est-il besoin de. 

ire? 

Przcısir, vo. a. foroer, obliger, oontraindze, 
necessiter. Exiger, demander. O negocio pro- 
cisa mdila altengdo, l’allaire demande beau- 
coup d’attention. 

Prucisir (de), 9. ». manquer, avoir besein 
de. Etre dans l’indigence. A 
de marinheiros, la flotte mangue de malelots. 
O doente precise de descango „le malade a be- 
soin de repos. V. Necessilar. 

Pazcisia-SE, v.imp. falloir, &ire de n6oss- 
sit6; avoir besoin. Precisa-se mdilo segredo, il 
faut beaucoup de secrei. Preeise-se d’um 
criado , eio., on a besoin d’an domestique,eic., 
on demande un domestique. 

Prexciso, A, adj. neesssairs, indispensable. 
Proeis , fixe, dötermins,, arr6t6; expr&s, formel. 
Abstrait : s6öpar& par Fentendement. Ser 
falloir ; &tre de necessits; avoir besoin. A — 
faser, ete., il faut faire, etc. Nio 6— ‚il ne 
(aut pas; il n’est pas besein, il n’est pas n60s8- 
saire. Onde — for, oü besoin sora. Faz-so me 
—de ir a tal lugar, j'ai besoin d’aller en tel 
endroit. Foi —,ila fallu. A tempo —, & point 
nomme, & l'heure dite. 11 est guelquefois subs.. 
O— para viver, le necessaire, l’indispensable 
pour vivre. Comer aldm do —, manger au delä 
du besoin. 

Paxcito, A, adj.ets. damne, r&eprouve. 

PrecLanissımo, A, adj. sup. de 

PaecLino, A, adj. grand, illustre, celebre 
renomme. Trös-brillant, lucide, lumineuz, 
Tres-beau , tres-bien fait. 

+ Pnxcöce, adj. 2 gen. pröcoce : mür avant 
le temps , la saison ; (Ag.) prematur6. 

+ Puscocipäne, s. f. precocits : qualits de 
ce qui est precoce. 

PrucöcnıTo, a, adj. connu par anticipatien. 

PrEconızacäö, s. f. preconisation . declara- 
tion au conclave qu’un beneflcier, un eväque 
nomme, a les qualil&s requises. 

PRECONIZÄDO, A,P. p. de Preconizar. 

PRECONIZADOR, 8. m. prfeconiseur, qui pre- 
conise; encomiaste, panegyriste, pröneur. 

Preconızin, ©. a. preconiser : declarer @® 
consistoire que telui qui est designed a les qua 
lites requises ; (fig.) louer excessivement, prö- 
ner. 

Pazconpıir, adj. 2 gen. (l. de med.) pre&cor- 
dial: qui a rapport au disphragme, qui se 
passe autour de ce muscle. 

+ Pneconrtr, o.». devancer, Courir devant. 

Patco „s.m. prix, valeur;, (Ag.) excellence, 
merite. —, r&compense donnde, proposee & 
celui qui excelle dans un travail, un art, efc.; 
(Ag.) ce qu’il en coAte pour obtenir un avan- 
tage, Abrir —, ixer lo prix. Ajusldr-se no—, 


2 PRE 


vonvenir de prix. Treier do—, eslar em, 
marchander. Pr em =, metire & encen. A 
de dinkeire, & prix d’ergent. Por dem, & 
bon sompte, & oossla, a a just. her 
derade for ‚au plus . 
Mdo— preii, gain illieite (de prestitulien,, de 
comupiien d’un juge, eto.). Mulker eye mere- 
chnenfe no ba --, 
natt pas le prix. Ester em —, ötre en marche. 
s vonder por sie, por lal —, ache- 
ter, vendre os prix, tel prix. - 
"Paxcro. V. Pielte, Litigie. 
*Pazconia. V. Pereufer, Desbereter. 
Papcpnein, u. m. devancer, venir devamı 


OO PrOSHTSSeT. 

Pancunson, A, adj. ot s. pröcursser : qui 
vient avant un aulre Pouf annoncer Sa voRut; 
qui pröcdde un autse. Avant-Ooureur, 

Panounsora,s.f. avankoeurriöre. V. Procur- 
ser. 

Pascvasönıo, A, adj. devancier, pröcurseur. 

Pansarönto, A, adj. armmd on sourse (navire). 

Pagpsczssön, A , #. prödsoesseer : qui a pr& 
otde queigqu’un dans une plaee, etc. —es, Pl. 

79, 0gux qui ont voou avanı nous 
dans )o meme staat. Devanoiers, ancötres, 
aleuz. V. Anlepussades. 

Pausermickö, a. f. (1. de ihdol.) " dseret de 
Dive pour Poxistenoe des ohoses dans un temps 
marque. V. Preodestinagde. 

Paspermiso, a,p.p. de 

Paspermir,, 0. a. döierminer ie temps od les 
ehoses doivent exister. 

Panezstinaciö, s. f. destinallon falle d’a- 
vonoe. Prödestination des &lus, 

PaEDEsTınNäno,a ,adj.et s. destine d’avance. 
Predestine : que Dion a destin6 & ia gleire 6ter- 
nelle; 6lu. 9. p. de 

Pazpesrmin, 0, a. destiner d’avance. Pre- 
destäner : destiner do tonte &ternils (au salut, 
& faire de grandes choses, eto.). 

Panpesrintanistas,s.m. pi. prödestinallens: 
seclaires partisans de la predestination, quiad- 
metient des &ias et des damnds de loule &ter- 
nite, par le choix de Dieu; fatallstes. 

Pasoxrznmmaciö, s. f. prödeiermination : 
dätermination anticip6e. 

Przpgrenuımino, A,Pp.p. de 

PaEDErzanuınÄr, v. a. predeierminer: deter- 
mainer d’avance. . 

aepılL, adj. 2 gen. prödial : qui ooncerne 
les fonds et les herilages. 1 

Patoıca , s. f. art de pröcher, exercice de la 
chalte. Predication, pr@che : sermon des pro- 
testanıts. 

Paxpıcino, s.ım. (1. de log.) attribut d’une 
proposition, ce ge’on aflirme ou nie du sujet, 
*Qualite, talent, don de la natare. 
gan ERICADOR, s. m. ministre protestant, pas- 

r. 
1 BICANERTÄDO, 4,p. p. de Predicamen- 


PaxDıcamentrÄL, adj. 2 n. (t.de bog. 
ooRcerne lag predicamenls. ne 


feınszıe dest Om 6 00n- | est 


PRE 
? Paxbicauzutän, o. a. donner Prödic- 
dans 


went, une eakigurie, 

‚2. m. pridinsment : Tune das 
eattgories d’Aristote; ordre, rang de len Ks 
ütres selon leur genre, Jeur espire. Bang, 
classe , cat£gorie ınorale em politiqgue, etc. (By. 
p. us.) Dogr6 d’esume, de sinststion oü le 


Panmsıciure, 5. m. prödisant: minisire pro 
testant. 

Pazpicarivo, A, adj. qui concemme Far de 
pröcher, de la ebeire. Kstylo —, style del 
chaire. V. Predicavel. 

Pazoıciro.V. Predicddo. 

PredıchvatL ,ad/.2 gen. qui peut dire pricht. 
(ast.) Digne de louange, d’sloge. (4. de lg) 
Predicable: se dit d’ume qualits que len peei 
donner & un sujet. 

Previccäö, s. f. peödielion : aolien de prt- 
dire; chose priediie. 

PreoiLecciö, 6. f. prödilection : prelörente 
d’affeclion. 

+ Paznıt£cro, a, adj. cheri : aimdpar meh 
renoe. 

Paäsıo, s, m. fonds de teste, birilage, d* 
maine. — liere, frano-Sef. — rusiice, ehımp 
qu’on eultivo, terre labourabie, bien de cam- 
pegne, propriöts rurale. — urbane, prepuek 
urbaine, maisen & la ville. 

PaxpiT0, A,p.p. de 

Paspıztn, v. a. prodire : ‚une 
cer par inspiration, divinalion ow ceBjeclam. 

Paraoumipo, A, p. p. de Prodeminer. 

Paxpowmnanen, A, adf. V. Prodeminsek. 

PaEDONINÄnTR, adj. 2 gem. prödominani: gi 
predomine. p. a. de 

Przoommin, v. a. ot plus souvent ». prid- 
miner : prevaloir, Femporter sur; exoelle; se 
lever; solater. On le dit en parlant des veri®, 
des vices, des humeurs du corps humait qui 
prevalent sur les autres. —, dominer perl! 
Iltrement, se faire sentir davantage, parlan 
d’en vent, eie. — , dominer sur qui 
qu’un, avoir de Pascendant sur lui (p. 8.) 

PREDOMINIO, 8. m. ° inatien : acüt 
de predominer. Empire, pouvelr, saptriri®, 
ascendant. * Qualit# des humeurs de oorpe b* 
main qui pr&valent sur les autres. 

Pauzcin. V. . 

PrezezLectn, v. 6. dlire d’avanoe. 

PrreLecivo, A, 9. p. de Prosisger. 

+ Pazzıziciö, s. f. action d’elire daran: 
d’etre &iu avant un auire. 

PrezL£rro, A, p. p. irr. de Prosisger. 

Przzumtrcia, 8. f. prodminenee : avanlaf! 
prerogative de la dignite, du ramg. 

PAKENINENTE, adj. 2 gen, procmineni: 99 
excelle , au-dessus. 

Praezurciö, s. f. * achat anlerieur. 

PREENCHER , u. @. remplir, aecosaplis (12 P® 
messe , 610.) ; s’acquitter de, satisinhre (Se5 e 
gagements, son devoir, elc.). 

Prassransızeta, v. a. btablir daberd. 

PnEszcaLuDnca, 3. [. prinzoeilenen: gut 





— m m u 0. 


PRE 


suptriorit6 prononede, reconnue; excellence 
au plus haut degre. 

PRaBLcRLLüYYE, ad. 3 gen. ürds-superteus. 

PnasxctLs0, A, adj. grand, dlevö, sublime. 

Paaezxıstäncıa, 6. [. pröexistenoe : existence 
anterleure. 

PrREXISTänTs, adj. 2 gem. pröezistant : qui 
existe avant un aulire. 

Pazexistin, v. ». präesister: exister avant 
un autre. 

Prerici6, 0. f. preface : discours prelimi - 
naire; preambule; avant-propos. 

Pasricıo, s.m. * pröfaee : pariie de la messe 
avant le canon. V. Prefagdo. 

Prurarta. V. Porfazxer. 

* Pnerzcro. V. Prefeilo. 

Pazrecrdns. V. Prefsiture. 

Prertiro, s. m. prefet : titre de dignits obez 
les aneiens Romains. Celai qui preside dans 
une assernblöe,, ete. Pröiat de certains ordres 
rellgleur. Prefet de college. — ‚chef d’un de- 
partement, eto., en Franoe. 

Paxrzırdga , s. f. prefeeture : dignile de pre- 
fet, son teibunal (1. d’ant.); en France, dignits 
du premier administratear d’un departement; 
ses fonctions, leur durte: sa rösidence; son 
arrondissement, 

Prepentncıa, s. f. prelerence » choix fait 
(d’un ötre) plutöt que d’un autre; drolt d’öire 
pr&ftre. Pr&sdance, pas. Com —, de pröfötence. 
Suscilär&o-se soniendas d cerca da —, 
il surrint de grands debats sur le pas. 

PREFERENTE, adj. eis. ü gen. qui prelend A 
&tablir un droit de prefärence en justice. Pre- 
ferant, qui prefere ; qui a ou la preöförenoe. 

Pazrenino, A, p.p. de 

Prerreaia (a), v. a. pröferer : donner !avan- 
tage (&), metire au-dessus de. u. n. Avoir P’a- 
vaırtage, le dessus (dans un Concourss, eic.); 
la preförence ( Jans un payement, eıc.). Avoir 
je pas sur. Os duques profsrem aos conden, les 
ducs' ent le pas sur les comtes. 

PaEFERIR-SE, v. r. se preferer : se croire 
meilloar qu’un autre,, preferable & lui. 

PrerzaiveL, adj. 2 gen. preferable : qui doit 
eire prefere. 

PREFERIVELMENTE , adv. preferablement : 
par preference. 

Prericunino, A, P. 9. do Prefgurdr. 

Paxrrıgusanen, 8. me. Qui llguro par avance. 

Pagriounän, 9. @. flgurer, Teprösenier par 
avance. 

Passınia,o. a. (il. de pral.) prelnir ; üxer 
un ierme,, un delai pour un acle. 

+Pazrıxino, a, p. p2. de Prefizar. adj. 
Fixö, marqu6, determine d’avance. 

ft Prerıxam&nte, ade. d’uns ınaniörc Axe, 
determinde. 

+Prerıxia, v. @, fxer, marquer, ddtermi- 
ner d’arance, 

Pausixo,A,Pp.p. ter. de Profisar. adj. Fixe 
d’avance, ete. Prefix, determine; conclu, er 
sets d’avanco. 


TPASFLORBSeBREeLA , 8. f. (1. de dot.) pröfleu- 


=  PRE 943 


raison : &tat des parlies d’une Aeur avant son 
tpanaulssement. 
+ Pnaruaänts, adj. 2 gan. trös-delatant, 
trös-resplendissant. Qui a Iui d’abord (p. ue.). 
Prtca, s. f.* plid’un babit, froncis. 
Paßcackö, 8, f. (ant.) predicalion. V. Ser- 


Pansıcäd,s. f. les plus petits trous de la 
Nliöre. 

Pnzcanico, A, adj. qui s’attache par dos 
olous. . 

Precino, A, 9. p. de Pregar. adj. Fixs, 

+Pascino, s.m, turbot. V. Rodovalko. 

Pre£cävo, A,p.p. do Pregar. 

* PnkoansiR0. V. Pulpito. 

PakoanöR, s. m. predicateur : qui annonce, 
avcc mission , la parola de Dieu, los verites de 
YErangile. Os frades —es, les fröres pröcheurs, 
les dominicains. —, A, adj. qui pröche, qui 
annonce une verile ınorale. 

PrEGADURA, 8. f. aolion de clouer. Garnilure 
de clous. V. Pregegem. — d’um vestido, * pli 
d’une robe. 

PresiceN, 8. f." olous, tout ce qui sert ä 
elouer, olouterie, V. Pregaris. 

Przoina. V. Pragana,. 

Preciö,s. m. ban: cri publio, publication & 
son de troınpe. Louange publique d’une per- 
sonne ow d’uno ohose. — de casamenio, ban, 
proclamation de mariage. — dos bens , ° criee. 

Pnecär, v. a. clouer : chasser, planter un 
clou & oaups de marteau; attacher avco des 
clous, etc. Fixer. (ant.)V. Pedir, Rogar. — 
uma menlira, dire UD MERSONg®. — uma pera 
a alguem, jouer un lour ä quelqu’un. .— um 
bofeldo, ilanquer un soufliet. — os olkos dm al- 
gums cousa, fixcr les regards sur quelque 
chose. Näo — olko ou os olhios, loda a naile, 
ne pas former l’eeil de toute la nuit. 

PRrEGÄAR-sE (0m), v. r. s’enlerrer. 

Precär,v. a. et n. precher : annoncer en 
chaire la parole de Dieu ; instruisc par des ser- 
mons. Publier, divulguer. Louer, exalter, 

" PnEcansTas, 5. f. pl. religieuses domini- 
caines. 

Pazcania, s. f. grande quantil& de clous; 
garniture de clous. V. Pregagom ei Cravagdo. 
—s, pl. (ant.) V. Preces, Supplices. 

Pr£co,s. m. olou ; morceau de metal & töte 
et pointu pour fixer, etc. Grande epingle de 
l’ancienne coilfure des fommes. —, furoncle., 
* Depeche cachetee, pli; leltre de cachci. 
* Feuille enüöre de papicr (p. us.,. Nom d’un 
poisson de mer qui a trois rangs de denis. Ndo 

izar — em parede. V. Deizur. 

Pns6oA00, A, P-'p. de Pregoar. 

PREGOADOR ‚A, 8. Grieur : qui Crie, qui pro- 
clame., 

Pnecoär, ©. a. publier ä son de trompe. 
(fg.) Publier, divulguer, rendre public; prö- 
ner. V. Apregoar, Proclamar. 

PRARGOÄR-SE , U. F. 56 PrÖner, Se vanter. 

PRECORIRO, A, adj. ot s. crieur public. (g.) 


94 . PRE 


Homme indiscret, qui publie ce qu’on igno- 
rait. — dos louvores d’alguem, pandgyriste, 
pröneur, louangeur. 

* Pazcoarörno. V. Pulpito. 

Pazcrica, s. f. paresse : negligence; delaut 
de soin, nonchalance; indolence, lenteur & 
agir, peine qu’on a & se lever, & gaitter son 
siege. Pi&ce d’un moulin & bras. Corde atta- 
chee & un fardeau, elc., qu’on guinde, pour 
Pecarter da mur, etc. — do Brazil. V. Pregui- 
6080 , 8. m. 

+ Paegcvıcär, v. m. faire le paresseux; se 
donner & la paresse, agir avec indolence , avec 
lenteur. 

Precuickino , s. m. lit de repos, couchette. 

Precvicösamente, adv. paresseusement : 
avec paresse, nonchalamment. 

Precuic6sV, A, adj. paresseux : qui ne ira- 

vaille pas; nonchalant, qui aime & eriter l’ac- 
tion, letravail, etc. ; negligent ; indolent, lent 
A agir ; qui se Iöve tard et avec peine. 
3 + Precvigdso, s. m. (t. d’hist. nal.) pares- 
seux: animalqui approche du singe, et nepeut 
que grimper. — maior ou pregwica do Brazil, 
unau, animal sans queue, didactyle, tardi- 
grade. — menor, ai ou hay, mammifere tardi- 
grade d’Amerique. 

Precvinno , s. m. dim. de Prego. Petit clou. 

Precuntär, otc. V. Pergunteor,, etc. 

+ PnesasıLıtackö, s. f. habilitation faite 
d’avance. 

+ PrenaBiLttän-se, v. r. s’habiliter d’a- 
vance. 

*Pnerrän. V. Pogar, Peitar. 

*Preirein,eic. | V.Preitejar ; Pleilear, 

"PREITEGAN. etc. 

*PREITEIAMENTO. V. Ajuste, Contracto, Pacto. 

*Pneıtssan. V. Ajustar, Paclear. 

"Paeıtgsia,s.f.V.Preilo, Ajuste, Concerlo. 

"Preirßz, adj. 2 gen. V. Conflado, Desem- 
baragado. 

Prtıto, s. m. (ant.) pacte, accord, promesse 
de faire. V. Pleito.— e m de vassallo, 
hommage du vassal envers le suzerain, foi ei 
hommage. Fazer — e menagem d’uma [ortaleza. 
On ie disait autrefois du gouverneur d’une for- 
teresse qui pre@tait au seigneur le serment de 
Bdelite. V. Homenagem. . 

Pazsunicär,, etc. V. Perjudicdr, eto. 

PREJUDICIHÄL ‚adj. 2 gen. (1. de prat.) presla- 
ble : qui doit &ire examind, decid& avanı le 
fond. V. Perjudicial. 

PusjupiciaLmente. V. Porjudicisimente. 

Paxzıuizo, s. m. prejuge : jugement port& ow 
admis sans examen; prevention pour 0% con- 
tre; opinion ‚principe ,premidre notion adoples 
sans oxamen. V. Perjuizo. 

Praracäö,s.f. (p. us.) preference. 

Preracia, 8. f. prelature : dignite de prelat. 

Preracrir, ©. n. devenir prelat; exercor les 
fonctions de prelat ; se prelasser. 

ParLipa, s. f. superieare d’un couvent de 
‚eligieuses, abbesse, eto. 

PasLania, V. Prelarig, 


PRE 


PazLino, 3. m. prelat : präire revdis diem 
principale dignit6 ecel6siastigue avec jaridk- 
tion; ovöque, abbe, etc. Seperiegr de maises 
religieuse. — domesiieo, prelat domesügue. 
occl&siastique attach& & la maison du papt. 

Pasuaricıo, a, adj. de prolst. Habiw-, 
vorne —ss , habit de prelat. 

RELATÜRA. . 

PrELazıa. | V. Preiacie. 

PaELECADO,, 5. m. prolegs : logs qui deu lin 
delivre avant partage. 

Pazızcär, v. a. prelöguer : laire un pr 
legs. 
Pretisaciö, s. f. “ avant-goüt, prelibaien, 
premiere libation. 

PreLisir, o. a. gohter le premier. 

PazLınınän, adj. 2 gem. preliminaire: 
precdde la matisre principale et sertd Teris 
rer. 5. m. —, c6 qui precede; ce qui dei fit 
reglö avant un trail6 definitil (—s de la peu» 

Pr&Lıo, s. m. (p. us.) combst. 

Pa&Lo, s. m. * presse d’imprimegje. Der # 
koro ao —, melire un ouvrage Fus NM 
Ester no —, tire sous presse. 

PreLupiäß, ©. R. ($. de mus.) preode 
jouer, faire des preludes, essayer sa vox ! 
Preambular. 

PRELÜDIO, 8. m. prölude : 06 qu’on cher. 
ce qu’on joue pour se metire dans le lea, M® 
prendre l’sccord; pidse pour preluder; iM 
ce qui annence, prepare, sert de 
ment, de preparation. Debot, commencemel 
d’une affaire, d’un discours. Avant-pfepe, 
preface , preambule. 

+ParxLuzia, v.». briller, eclairer parat. 

*Patua, 5. f. oppression, vielence- *' 
Urgencis, Neoessidade , Precisie. 

" Pazuäir, ©. 6. Consiranger, Oppr#!: 
Vezar. 

Pasuätıca. V. Pregmalice. 

+ Pnematunacäd, 3. f. "olat de ce wei 
premature, 

+ PaEWATuRAMenTE , ade. diune mM 
prematuree,, avant le iemps convenabit. 

+ PRENATURÄR, v. a. faire une chöst sı@ 
le temps convenable, 

+ PremaTurınade, 5. f. prematarilt : a 
ritö avant le temps ordinaire;; precoeile. 

PaEMATÜRO, A, adj. sare : ge ei" 
(fruit), quise fait ow arrive avant ie KAP 
precoce. 

Preueofiras, s. f. pl. marches ou peid® 
d’un metlipr de tisserand. 

Preugoıtacäö, 8. f. premeditatioe : 0 
de premediter ; deliberation en soi-meme ara 
d’agir. 

Premeoırioo,A,P. 9. de Premediar. 

PREMEDITADOR, A, 5. celui qui premedik- 

PREMEDITÄR ,v. a. premsöditer ; medilet 
une chose avant de l’ex&cuter ; formes 82 
sein. 

PRENIADO. A, 9. p. de Premier. adj. 1! 
remport6 un prix, 





Lv Ze 


PRE -- 


Pansttanda, A, s. colai qui Ficoslupense, 
zemunerateur. 

PuzniäR, 9. 6. Föcompenser; accorder le 

rix. 

P PaEmIaTivo, A, ad). qui röcompense, qui 
zömundre ; qui accorde un prix. 

Pasuiptınas. V. Premedeiras. 

Pausınkucia, etc. V. Presminsncie,, etc. 

Pntuio, 5. m. prix, r6compense. —, 06 qui 
est propos6 pour @tre donn6 au plus habile, 

u te. "Prime d’encouragement. Pr&sent pour su- 
b orner. —de seguro,, prime d’asaurance. Lo- 
var 0o-— „remportor le prix. 

Paruissas, 8. f. pl. (1. de log.) pr&misses : 
les deux premidres propositions d’un sylio- 

x isme. "Indices qui font conjeciurer, oonclure. 
Sorte d’ancien impöt. 

Pazuıssıas. V. Primicias. 

Pa&xıttınanto. V. Promelimdnio. 

Przuociö, s. f. (4. de Iheol.) premotion : 
action de Dieu agissant avec la creature, et la 
deteriminant A agir. 

PREMONSTRATENSE, adj. 2 gen. nom de l’or- 
dre des pr&ionirös et do ceux qui le Compo- 
sent. 

+ Prruonsas, (4. de bot.) V. Reirapddas. 

Pazuupino, V. Permudddo, 

PazuuniDo, A, P.9.de 

Pauuuxin, o. n. prömunir. V. Precaver, 
dcaulielar. 

PasuumR-SE, v.r. 56 prömunir, se precau- 
tiouner. 

Ps£npa, s. f. "don, present. * Gage d’amilie, 
eic. " Gage, assurance, preuve. "Objet tendre- 
ment aime. * Talent, agrement. —s, pl. bonnes 
qualitös; talents, dons de la nature. Jogo de 
— „jeu de gages. 

PRENDÄDO, A, adj. dous de talents , de bon- 
nes qualitss, etc. ; faroris6 de la nature; qui a 
rogu un gage d’amilie. p. p. de 

Paznpäir, v. a. faire un present; donner um 
gage d’amiti6, elo.; douer d’un talent, etc., 
parlant de la nature. Röcompenser. V. Pre- 
weiar. Gagner, captiver l’affeolion, la bienveil- 
lance de quelqu’un. 

PunENDEDOR, 5. m. colui qui arr&te. 

PnznD£R, 9.6. prendre, saisir. —, erröter, 
mettre en prison , emprisonner. Attacher : lier 
unechose &ä une autre. ( ig. fam.) Arröter, re- 
tenir. (anf.) V. Tomer, . 

Prenpän (em), v. ®. prendre racine. Tenir, 
@ire atlache d. Prendre : se coınmuniquer, par- 
lanı da fen, etc. 

Pranpäa-sk, v0. r. 36 prendre, s’attacher, 
s’accrocher &; etre pris, öire captive de. 

Pnenpipo, A, p. p. de Prönder. adj. V. 
Preso. 

Purnpımento,s.w. V. Prisdo. 

+ Paunkere ou Prundstıo, 5. m. (f. de geog.) 

Preneste ow Palestrine. 

+ Paussstino, A, adj. de Pröneste ow Pales- 

trine. 

Pazrnnina, adf. f. femme grosse, enceinte. 

V. Prenke, Pejade. 


SORT. 
* 


% 


PRE 945 


PRRNYE, adj. 2 gen. Il ne so dit au pro 
qu’au feininin, d’ane femme grosse, endeinie. 
ot d'une femelle pleine. (fg.) Plein, rempli, 
charge. (id.) Qui rec#le uno chose qu’on ne 
peut decouvrir. Fazer —. V. Empr « Fa- 
zer-se —, devenir grosse. Par&de —, (fid.) 
mur qui fait ventre. 

Parnußtz, s. f. grossesse de femme ; porise de 
böie. Gestalion : durde de l’&tat de grossesse. 

Paxunıpiö (p. us). V. Prenkez. 

Paznociö, s. f. (t. de phil.) prenotion : con- 
naissance obscuro et superficielle d’une chose 
avant de l’avoir examinee. Connaissance anti- 
cip6e,, pressentiment. 

PRENÖNE, 5. m. prenom : nom que les Ro- 
mains plagaient devant le nom de famille, tel 
que Caius, Marcus, Titus, etc. Titre qu’on 
ajoute son nom. 

PRENOMINÄR, v0. a. donner un prenom. 

T Paznoria, ©. a. remarquer d’avance. 

Pa&nsa,s. f. presse: machine pour presser, 
comprimer fortement, etc. V. Imprensa. 

Prazxiscaa,sf.V.Pr 0. 

Paznuncıacid, 8. f. predielion. 

PaENUNCIÄDO, A, pP. pP. de Prenuneiar. 

Paznuncıanon, s.m. V. Propkeia. adj. Qui 
annonce, qui predit. 

Pazuunciän, v, a. V. Prediser, Prophsti- 
zar. “ 

PRENUNCIATIVO, A, adj. qui sert A annoncer 
d’avance. 

PAENÜRCIO, 8. m. annonce, pronoslic, pr&- 
diction. adj. Qui annonce d’avance, qui predit. 

Pazoccuracäö, 3. f. Yaclion de s’emparer 
auparavant. Preoccupaltion, prevention d’08- 
prit, prejug6. 

u T PRBOCCHPÄDAMENTE , adv. avoc pr&occupa- 
On. 

PREOCCUPÄDO, A, adj. preoccups: prövenu, 
rompli de prejuges. p. p. de Preoceupar. 

PREOCCUPÄNRTE, adj. 2 gen. qui a occupe, qui 
g’est empart avant un aulre. p. a. de 

PaxzuccupÄr, ©. G. Occuper, se saisir, s'em- 
parer avant un autre. (fg.) Pröoecuper : pre- 
venir l’esprit. 

PREOCCUPÄR-SE , ©. r. 56 pr&occeuper de, ss 
prevenir; s’infaluer. 

Paxorinichd, 8. f. pröopinalion : incertitude 
du medeein sur le pronostic. 

PREOPINÄNTE, 5. m. preopinant : qui opine, 
a opine avant un autre. 

PazorınÄr, 9, w. preopiner : opiner avanı 
un aulre. 

Pazonvenacäö,s. f. (8. de ik£ol.) preister- 
minalion : decret eternel de Dieu, pour que 
toutes choses eussent! leurs eflets dans lo temps 
marque. 

PaEORDENÄDO, A, 9.9. de 

Parospenir, v. a. (1. de theol.) determiner 
de toute dternite. V. Preordenacdu. 

Preonpinacäd. V. Preordenapdo. ' 

Prgri0,s. m. (1. de mar.) piöce de bois pr&s 
du mät. " 

Pneranacäd,s. f. preparation, appret, dis- 


—— .» 


ıJ 


986 PRE 


posilion; somposition dos remädes. Avasite : 
co qui se (rouve dehh fait, propard. 
Paxpaninpımöntg, ade. aveo propameilen, 
aY6c appröft. 
Preranino, A, 9.9: de Preparer. 
PaEpARADöR, A, 3. celai qui pröpare, ui 
appreie ou dispose , appretsur. 
PaEPARANENTO „os. m. V. Praperv , Prepa- 


ragäo. 

Pazranir (para), ©. @, pr&PRrUE » sppre- 
ter ; disposer & ;meltre en dist, an dispweition 
de ; aocommoder (tes meis). -—, CHIIPOBER UM 
romedde. 

PreErARÄR-SE (para), 9. 7. 80 pu6perer: 
d’appröter, se disposer &. V. Apparethanss. 

PREPANATIVO, s. m. appareit, peöpereill, 
appret. 

PREPARATIVO, A, adj. prepammteire : qui pu> 


pare. 

Paxrarnarönto, A, auj, pröperatelse » qui 
pröpare. Os —s, pl. s. dtades tolres 
pour entrer & l’universit6 da Coimbes, FEROR- 
dant au baccalaureaten France, 

PREPÖSTERAMENTE, adO. sans oOrdre : aulte- 
ment qu’il ne faut. Au rebours, & contretemps. 

t Pagrostsaän, vo. a. faire les oboses autze- 
ment qu’il ne faut. V. Perserier. 
 T Paxrosraaınins, 9, f. " erdre senversd.V. 
Preposterapdo. Qualits de co qui est intempes- 
ul, contre-temps, 

PrErÖSTERO, A , adj. intempestil, & ouwtas- 
temps , hors de saison , here de prepos; falt ä 
rebours. 

- “+ PaEP6sTo, s. m. religious pebpons & la 
sacrislie, ou pelit saorisinin ehez les chanuimes 
reguliers (& Coimbre). 

Pazr0sT0,A,9.p. de Prepse. 

Preröstos, s. m. pl. preposes : commis & 
guelque chose. 

Prerorkncia, 8. f. puissanos superisuns: 
pouvoir oxcessif, abus da pouvels, aste afßi- 
traire. 

PREPOTRNTE, adj. 2 gen. (ort puissunt, Igal- 
puissant; predominant; qei abuse du pouvoir. 

PrErücıo, 8. m. (1. d’anal.) pröpuos: peau 
qui recouvre le gland. 

" Preagcäunas, s. f. pl. V. Supplicas. 

PazaocATiva, 6. f. prerogalive : avanlage, 
privilege attache & une dırnile. 

Pre£rassÄn, v. a. depasser, nasser A oöl6. 

“ PREPOLM , 3. m. corset de [omme. 

PaEPONDERÄDO, A, 9. P. de Propendsrer. 

Pne£romperäncıa, 3. f. preponderance : su» 
. ptriorit6 d’autorits, de credit, de considera- 
sion, etc. 

PneEPORdErRÄnTe, adj. 2 gen. prepondärant. 
p.a.de 

PnETONDERÄR , ©. n. peser davantage. (Äg.) 

e prepond6rant, prövaloir, l’emporter sur. 
cv. a.(p. us.) Donner plus d’importance 4, faire 
prevaloir. 

PrEPöR, 0.a. prelörer. V. Antepor. 


Pnerosigiö, 5. f. (1. de gram.) prepanilign : 


‚secie des presbyteriens. 


parvionte inddefinabie, plante deut dt rn 
mot qu’eile rögit. 
T Pazeosrrive, a, af. (.de gramm.) ige 
sitil : quise met avant un met. 
AERÖUTTO , 9. we. bui, Intentient, Buplıku 
d’un ordre, d’ene sergeigellen nigaliin \, 


Paxrosrröna, o., f. "ouhpiet, digalt dur 
pontie. V. os met, 

+ Pansoermnugi6, 8. f. "Temmusenm le 
de , buulsvorsement. 

DasPosTankDo , A, 9. p: de Propsskri, 

Patsı, s. f. prise, aelien de gewndre; ap 
tue; chuns prise, valssone pris; buala wuns 
Pennemi. Preis: ou qus les anlamaı ami® 
siers rarissent poue ie menge; ( Ag) w@& 
tout ce qui est pris, ravi. Bares dus dam 
proie. *Digue: batsrduse pour onndue Tin 
dans le canal d’un mentin, sie. "Herven tu: 
chose & mungen. — de forre, ° piten, dumi, 
esampen.; — Bagus, aD dene russıs FB 
une digue, une 6cluse, une pale. — fu 
moinkhe ,” iangeie, pale de ui an 
Veau. Fazer -- ‚suisir. V.. (Ag) U 
une chose en sorte qu’elle ne puisse cchapplb 
pl. "Orsos, ddlemsus de sungiier, ots, dh 
pointues de certains amlımanz, ser, gl 
d’oiseau de proie ; demts ihres, 

+ Prusicaktave, ade. res peissgt, 
ausure. ae Pre 

Pazıı wo, &, PB ’ D) 

+ Pazsacıapon, A, adj. et s. qui prifipb 

Prussctir , V. & : iädhgue, m 
quer une chos2 A venkr, aumoneer; ounjeinfl. 


Aveir quelgque pressentiment. Preaglee‘! 
anime, [ai um pressentimen:, iv onır m 
Paxsicio,8.m.p oe: ange, np 
lorpuet on jege de Farenir ; sunjeciere quı fu 
on lire ; peussen 
t Pausacıöso a, ad. geb dem ip: 
re Um. 
u ee qui a des premmiintl® 
Qui prössge, 


+ Passantwichng, al). (6 de N. 
sanctifldö: consaer6 la veille.a. u, Dans la Mr 
gie grecque, c’sst une messe dans b 
yrötve sommunie Fhostie et je anlice mi" 
N Pansla V. Apresar et Presör 

Pa .V. e 

Pressituno,,oto. VW. Presbytore, 8. 

IR pe f. peesbyopis : us ® 

18 ; vuo Jengue. 

Poxssr'ra, 8. 2 gen. presbyier qui che 
que de ein; & oristailin aplet (# dep 


d’enal.). 
4 Prussrmaine on °pobtin: 
+ Paxzsurrenito, s. m. | dose; ordn,® 
stcration du pretee. 


Pansavrkntaniauo, o. un. presiyüiinbt! 


Pazssrunusäue, a, af. era, prasdyiil! 
protestant d’Angleiesre qui mdcsmnalt Til" 


satten, um. cancer 





— ei 


PRE - 

tsaite: partie de omur voisine de l’autel; Heu 
ot est lo maltre-autel. 

PaxssY’TerRO, 8. m. prötre. V. Sacerdots. 

Ag.) Vieillard, aneten, personnes vendrable 
parmi les fideles. 

Prxsmäncıa , 6 fı preschence : connalssance 
de l’avenir. 
+ Paxscränte,, adj. 2 gen. prescient: qui a la 
resclence 


Prescınpino, A, 9.9. de 

Paxuscınpfa, 0. @. söparer, diriser. Prescin- 
der, abstraire ‚söparer par l’entendement. (de), 
v.». faire abstraetion de. Preseindindo &8..., 
abstraelion [alte de... 

Pazsciro. V. Precito. 

PaxSCaETAR , v. 8. preserire : ordonner ; &ssi- 
gner avoc autoritö; marquer pröcisemeht 06 
qu’on vent qui solt falt. Adquerir par preserip- 
tion (P. us.). — tempo, Dorner, fixer le temps 
A lei prescreve que..., il est ports per la lol 
que... 

Patrscaeväa, v. w. prescrire : acquerir 1a 
presctiption ; se perdre par prescription. ( lg.) 
N’&tre plus en usage; n’exister plus. — conire, 
ptevaloir, ’emporter sur. O do costume 

conira 0 us0 leis, la force de la 
contame l’enıporte sur V’o ante des lois. 

Pazscaırcid, s. f. (f. de pras.) prescription : 
manitre d’acquerir la propriets, ow d’exelure 
une demande en Justice, par uno possession 
non interrompue. —, action d’ordonner, ordfe; 
ce que prescrit un me&deeln, un sup6rieur. 


PRE r 


gül,, apr&s avoir Ani Bon oours Pads, Alten 
le grade de docteur. 

PRESENTANEANENTE, adv. mitäwuthärnp, A 
Finstant- j 
RESEXNTÄNEO, A, adj. prompt, bilehbe : ı 
$pere sur-le-champ. prompe, Tu 

Paxzsentin, etc. V. Apresentär, db. 

Pazstnte, s. m. präsent : io teinpe pröbsef ; 
(8. de gram.) premier temps de chaque mUR®. 
—, don gratait at de pure liberalits, cadexti. Ob 
=, pi. les prösents, ceux qui Bönt ta. 

Pasusente, adj. 2 gen. present: qui ust a 
presence, dans le lleu od P’on est; qui ost dalt 
ie temps od l’on est; qui bat en Ufage; 
existe setuellemem. Prompt, efficace , 
(p. we.). Jo — ou de — , prösenteinent, sdtuel- 
lement, maintenant. Em 80 — , pout ie 
present, pour l’heure, pour ce thomeht. 


. | e0rpo -- , se Mötitrer un mpritent das ufie 


tömonie : faire acto de presenoe. Fair =; 
tenir present. Farer-is —, de Mohtter, 56 Dre 
voir. Misse, ofleio de corp? —, messe Alb, 
serrioe fait pour un mort, %h präsente 
eorps. Ter —, avoir une chose pf6serite, ER 
sonvenir parfaitement. --F i0dös, Vous Htkft 
presents. 

Paxsenteibo, a, 0dj. & qui un fait des vi: 
@esux. 9.9. de 

Paxsaurzin, v..a. faire des cadeaut, dötthaß 
des presents. Proseniedräo-nd com frulät, etc. 
on lui ft un oadeau de frults, etö 

+ Paxsenttino, A, a4. (P. ws.) qui dimie & 


PaxscareriveL, adj. 2 gen. pteseriptible : qui | 86 moniret, ä se faire voir. 
se peut prescrire. PREIENTEHÄNTE , 480. t, Ay 
zschfptO,, A, P.p. frP. de Presoruver. ad). | bent. 
Preserit; acquis par prescriplion ; ordonn®. Prxsentivo, A, 9. 2. d6 Pfeieniif. a. 


*Pazsta. V. Prozeu. 

Prnszcutörio. V. Perseowtorto. 

Puxstnciı, s. f. prösence: existence #’ane 
personne dans un lieu marque. “Port, pres- 
tance, tnine. Taille du oorpe. * Souvenir qui 
rend les choses prösentes & l’esprit. — d’awimo, 
bonne contenance, fermet# , r&solution. -— d’es- 
pirtio, sang-froid, presence d’esprit. — de 
Deos, presence de Dieu ; consideration de 06 
qu’on est devant lui, qu’il est tEmoin de nos 
actions. — de sangus, (t. demed.p. us.) abon- 
dance de sang. Homem de boa — ,homme bien 
inc6, d6 belle prestance. Na — do juiz, etc., 
devant le juge, etc. Lowvar alguem na sun —, 
louer queige’mm en face. Em — dacorte, ala 
face de la cour. 

PazserciAno, A, P. p. de Pressheiar. 

Paxzsencıil, adj. 2 gen. qul concerne la pre- 
sence. En personne. ce (p. us.). V. Pre- 
sonlaneı. 

+ PaxsenciaLwänt, 3. f. aötion d’ötre pr6- 
sent, d’ a 

PRRSENCIALMÄNTE, ade. en pefsotine, pof- 
sonnellement. 

Pazsencıin, v. 6. Otte prösent, assister A. 

Passeuticid. V. Apresenlapdo. 

Paxzsenripd. V. Apresentddv. Padre —, dans 
quelques oommuhäutös, c’tit an on 


oe 


Pressenti ; qui a quelque pressehtirhent. 

PRESENTIRRNTO, s. m. pressenliment : 
ment secret de ce qui dolt Arriver. 

Pazsentinao, s. m. dim. de Presönle. Pr 
prösent, petit cadean. 

Passantia, v. 6. pressehlir : ptevoi? CORNE- 
sörnent, par un inöavement Interieur. 

“ Paxsentissino, A, adj. sup. de Presents. 
Tres-prompt, trös-eficack., 

Pnusirr, s. m. ötable, "Mahgeoite. * Cage oh 
fon renferme les bötes förocds. TV. Presepio, 
Estrebarla. (1. d’astr.) Eioile nebalehse du sF- 
gne du Canoer. 

Prestrio, 8. m. V. Prostpe. "Cröche : taärt- 

ire des boaufs, des brebis, etc. ; betcean de 
en f. espöc de Yarotur gie 
RESEPISTA , 8. f. eipdch Us ur 
reiträsentalt autrefois la halssande Gb Jünät- 
Christ. 

* Pazs£rva. V. Preservagiö, 

Passenvaciö,s. f. Faction de Hiies@Vek ou 
d’&tre preserve. 

Paxzsernvioo, A, P. 9. de Pressrvef. 

Pausenvanor, A, s. oelul qui pröserve; pad 
servalaur, qui garantit. , 

Puzszavin (de), v. a. prödervor (de), ga 
tir; d&iournef ie mal, empöchee q wBiVe, 
ll est aussi r&ciproque. 


E_ ı 


” 


PRE 


98 
+ PaESERVATIVAHRNTE, adv. d’une maniere 
preservatrice. 


PRRSSRYATITO, A, adj. els. m. preservalif: 
qui a la vertu de preserver. 

"Paxstvs. V. Perseve. 

PazsevzaiDo. V. Perseverado. 

Pazsıpencıa, 5. f. presidence : droit, fonc- 
tion, etat de prösident; sa duröe. L’aciion de 
presider. 

Puesınanta,s. f. presidente : femme qui pr6- 
side, ow femme du president. 

PRESIDENTE, 5. m. president : celui qui pr&- 
side une assemblee, un tribunal, eic. —, pre- 
ınior magistrat de la republique des Etats-Unis 
d’Amerique. Gouverneur de province chez les 
anuciens Romains. Religieux nomme pour gou- 
verner une communaule en l’absence du supe- 
rieur : sous-prieur, elc. 

Pazsıdıäno,A, p.p. de Presidiar. adj. Qui 
a garoison. 

PassınıäL, 3. m. presidial : tribunal ancien 
en France. 

Pazsınıär, ©. a. meltre garnison dans une 
place. Defendre, garder (une place, eic.). 

+ Passıpıarıo, A, adj. de garnison, qui sert 
pour la defense. Homme condamn6 pour quel- 
que crime a sorvir dans une place; galerien. 
Genie, tropa —a ,soldals qui sont en garnison 
ou galeriens. 

Puzsivino, A, p. p-. de Presidir. 

Pnssibıo, s.m. "garnison d’une place. ° Place 
ou il y a une garnison ; forteresse,, fort. (fg.) 
* Aide, secours, appul. "Galöres : punition des 
malfaiteurs. Genie de —, soldats indisciplinds 
uw galeriens. 

Pnzsipia, v.a. presider:occuper la premidre 
place dans une assemblee, etc., avecle droit de 
recueillir les voix et de prononcer la decision. 
— (6, em), v. #. presider, remplir les fonclions 
de president. Presider ä une these : diriger le 
söutenant dans ses reponses. Presider A, avoir 
le soin, la direction de. 

+ Presıcinca ‚s.f.“ponton, vaisseau-prison, 

Pazsico. (il. de prov.) V. Conduto. 

Paxsiuua, s. f. ganse : cordonnet de Soie, 
eic., pour altacher, orner, etc. 

Presıonän, elc. V. Aprisionar. 

Putsu,A,p. p. irr. de Prender. adj.Lie, 
altache. Emprisonne,, arrete. Pris. 

Pri&so, ss. m. prisonnier : qui est en prison; 
arretö pour eire mis en prison. 

*PaEsön , 5. m. conquerant sur les Maures. 

Paissa,s.f. bite, diligence , empressement, 
vDesse, aclivit6. "Combat, choc, melee. * Em- 
barras ‚affliction, danger ;ınalheur, souflrance. 
Presse, foule:grand concours de ınonde. A’—, 
„la häte; sans reflexion. Andar de—, mär- 
chur, alter vite; sc presser, agir ä la häte. Dar 
—.presser, obliger de se häler. Durse —, se 
presser, se häter. Ter —, estar com —, eire 
presse. A toda — , avec häte, en häte,, en louıe 
häle, aves promptitude. Issu ndo d— ‚cela ne 
pfesse pas. Ndo vds com lanta — ne vous pre9- 


PRE 


de vagar, plus on est presse, moins on vavite; 
plus on veut gagner du temps, plus on en perd; 
ä force de presser les choses on les gäle. 

Parssiö, s. f. pression : aclion de presser; 
ses ellets. 

PaAKSSENTIMENTO. 

PRESSENTIR , etc. h V. Present... ei. 

Pa&sso, a ,adj. V. Conciso, Laconico. 

PRESSURÜSAMENTE , adv. promipiemenl, avet 
empressement, en diligence. 

Pressunöso, A, adj. prompt, agile, diligenl, 
empresse. 

Prsstaciö, s. f. action de pröter; la chose 
preice. * Payemient en termes. Contribulion. — 
de juramento, preslation de serment. 

Paxstapio, A, adj. serviable, obligeanl. 
Utile,, proßtable. 

Paestäno, A, p. pP. de Prestar. edj.Er 
prunte. Tomar, pedir —, emprunter : demar 
der et recevoir un pret. 

PaESTADOR, A, 3. preteur : celui qui pre. 
adj. V. Prestadio. 

Passtau£ıno, s. m. celui qui jonitd’un* 
nefice simple ow d’une pension sur une Cuft, 
Receveur de redevances. Usufruitier de bien 
de la couronne. 

PrE£STAMENTE, adv. prestement, prompi- 
ment, lestement, vile. 

"Pagstam£xto,s. m. V. Prostimo; 4prir 


lamo. 

“Pa£stauo. V. Presiemo, Prestimonio. 

“Prestinga,s. f. qualite utile. Bons ofees 
rendus mutuellement. "Don, service, farct. 
Utilit6, profil, avanlage. 

Passtäncıa, s. f. excellence , pröeminentt, 
superiorite. 

" PRESTANGOSO, A, adj. obligeant. Uule. 

Prastänte, adj. 2 gen. excellent, quiel- 
eelie, Proßtable, efficace (remede). Abondan), 
riche. 

PREstantissımo, A, adj. sup. de Presicak. 
Tres-excellent. 

Pr&sTtan (6), 0. a. pröter : donner en prti,i 
la charge de rendre. V. Emprestar. Donneh, 
communiquer. — auzilio , soccorro , aider, 5 
courir. — fd, ajouter foi. — juramenso, preiet 
serment. — paciencia, soullrir, tolerer, piet- 
dre palience. Quem presia ao amigo, cobra®M 
inimigo, qui prete & un ami s’en fait souven! 
un ennemi. . 

Passtär (a, para), dv. m. servir, conrel, 
etre utile;@tre bon ow propre ä; @tre serviablt, 
obligeant. Ndo— para nada, n’etre bon At: 
Isso ndo presla, cela ne vaut rien. 

+ PasstÄn-se, v. r. se preler (un servi! 
mutuel). — (de) p. us. se servir de. — ac:ji.# 
cousa, se preier a une chose, y consenli. put 
complaisance. 

Prestarivo. V. Presiadio. 

"Prestk, s. m. pretre qui ditla grand'no#- 
celebrant, ofleiant. Ancien bas oficier de 
wmuison Ju roi. V. Prestes (s. m.). 

+ Pu&stg-Joäö, s. m. Pröte.Jean, grand M- 


ver pun tant , Loat beau. Ouaniv ınais de — muis ı gun: Vesupercur des Abyssins. 





PRE 


“Patarauo. V. Prestimönio. 

Patstes, adj. 2 gen. pret, disposs, prepare 
ä;preste, agile, prompt, leste. Fazer —, pre- 
parer, appreter. De— ‚ou presies, adv. promp- 
tememt, sur-de-champ. 

*Pa&stes, s. m. oflicier de la chapelle du roi 
qui euvrait la tenture de la tribune, etc. 

PrssTzsuente, ade. lestoment, diligemment. 

Pazstäza, 8. f. prestesse , agilitö, prompti- 
tade. 

+ Paxsriciapon, A,s. charlatan, joueur de 
gobeleis, eto.; prestigiateur. 

Paxzsticio, s. m. prestige : illusion par sorti- 
lege, par art; fascinalion. 

Pazstıoıöso, A, adj. prestigieizx: qui tient 
du prestige,qui en a. 

Patstımo, s. m. merite, capacitd; qualils 
utile ; savoir-faire. (ant.) Usufruit d’un do- 
maine. V. Prestimonio. (id.) Bienfait, dona- 
tion. Ser dalgum — , &tre bon & queiquochose,. 
Offerscor 0 seu —, oflrir ses serriees. Ndo ter 
= DErE Cosa ‚n’etre bon ni & rötir, ni 
&boeillir, n’6tre bon & rien. 

PaESTIMONIAL, adj. 2 gen. | quiconcerneles 

PRESTIMONIÄRIO, A, adj. prostimonies, 

PRzsTıuönto, 3. m. " prestimonie: fonds, re- 
venu affects & l’entrstien d’un pretre, sans titre 
de btnelice. "Pension sur un benelice pour 
faire etudier de jJeunes ecolesiastiques dans 
une universit6, eto. * Aumönerie desünde & un 

pretre. 

Pnzstissımo, A, adj. sup. de Presies ou 
Presto, Tres-preste, etc. 

Pastıro, 3. m. cortöge du corps de l’uni- 
versits (de Coimbre) daus une procession, etc. 
’ 0, A,adj. presie,, prompt, agile, oxpe6- 

iif. 

PaEsto ‚adv. töt, vite; sans tarder, prompte- 
ment; & l’instant, sur-le-champ. (4. de mus.) 
Presto. Qusm em mais allo nada, mais — 50 
199, (prov.) qui nage trop haut so noie plus 


" Paxsrontino. V. Derradeiro, Ultimo. 

PaESUMIiDANRNTE, ade. prösomptueusement; 
par presomplion. 

PresuMino, A,P.Pp. de Presumir. adj. Vain, 
presomptueux, suffsant; vanileux, fat. 

Passuuıpon, A, 8. celui qui presume, qui 
econjecture. 

Pnesumir, 0.0. presumer, SOUPLONNEr, 00nN- 
jecturer, supposer, croire. 

Paesumia (de), v. ». presumer (de): avoir 
wne trop bonne opinion (de son talent, de son 
savoir, etc.); se piquer de. — mwilo de si, 
compter Irop sur soi, avoir beaucoup de pre- 
somption, s’en faire beaucoup accroire, 86 
donner de grands airg. — de dowfo, se donner 
des airs d’&tre savant. 

PazsuurGiö, s. f. pre&somption : conjecture, 
jugement fonde sur des apparences, des indi- 
ces; opinion trop avantageuse de sol-möme; 
saflisance, vanils; orgueil, arrogance. 

PRESUNPGOSAUSNTE, adv. Pprösomptueuse- 
mont. 


PRE 989 


Pnesumrcdso, A, adj. presomptueux : qui a 
trop bonne opinion de soi; vain, orgueilleux, 
arrogant. 

T Pnesunptivamente, ade. avec presomp- 
tion , soupgon, ceonjecture. 

PrESUMPTIVO, A, adj. qu’on peut preösumer, 
oonjecturer. Herdäiro —, heritier presompuül, 
qu’on presume devoir heriter. 

Pa&sumPproöso, etc. V. Presumproso,, eie. 

Paesungid, etc. V. Presumpgäo. 

PRESUNTO, s. m. jJambon : cuisse ow &paule 
de poro sale. — de fambdre, jambon glack. 

Pnesuntu6so, eto. V. Presumpiuoso, etc. 

, PRESUPPORR. V. Presuppor. 

PrEsUPPOR, %. a. presupposer : supposer 
prealablement; poser pour vrai. 

PresupProsıcäö, 8. f. presupposition : suppo- 
sition pr6alable. V. Presupposto (s. m). 

PazsupP6sto, A, P. p. irr. de Presuppor. 
adj. Pr&suppose. 

PresuPprösto, 5. m. * cause, molif, prötexie 
pour agir. V. Presupposicdo et Supposipäo. 

f PnesupPöstToQguE , conj. advers. quand 
meme. 

° tPresöra, s. f. oppression. "Danger, ex- 
trömite pressantie. Angoisse, afliction. 

"Presünıs,s. f. V. Tomada, Conquista. it. 
Presa d’agua, Arude, Levada. 

Pret. V. Pre. 

Patra,s. f. negresse ; esolave noire. 

Pautrunciö, eto. V. Pretensdö, etc. 

Prertenneoon. V. Pretendente. 

+ Paxtennenta, s. f. prötendante:: feınme 
qui pretend. 

PRETENDENTE, 8. 2 gen. prötendant: qui pr&- 
tend, aspire &. p. a. de 

PReETENDER,, v. a. pretendre : croire avoir 
droit (sur ow & une chose); aspirer d...; avolr 
intention, dessein de... Solliciter, postuler. 
Pretexter, alleguer pour sa döfense. — uma 
mulher, rechercher une femme. 

PRETENDIDO,, A, P. p. de Protender. V. Pre- 
ionso. 

Prerensid, s. f. pretention : droit reel ow 
imaginaire de pretendre, d’aspirer A; espe- 
rance, dessein, vue. Sollieitation , postulation, 
demande. — amorosa, recherche, poursuile 
pour obtenir une femme en mariage. 

Pazränso, A,p. p. irr. de Pretender. adj. 
Pretendu , suppos#, douteux. 

PRETENSOR, A, 3. pretendant; sollieiteur, 
postulant. 

Pagrentino. V. Protextado. 

Prerento. V. Pretexto. 

Paerenıckö, 3. f. preterition; passe-droit, 
injustice dans les promotions. V. Pretermissd o. 

PrxtTerkido, A, p.p.de 

Prerenir, ©. @. omeiire dans un tertament 
le nom d’un fils, etc.; ne pas faire mention de; 
nögliger, exclure; faire un passe-droit. — um 
offeial, eto., faire un passe-droit & un ofli- 
eier, etc. 

PrEr£aıto, A, adj. pass6: quia &iö et qui 
n’est plus. Divides — |, deios om Hrtances 





0 PRE 
Farsiiat. s. un. (1. de gram.) Pribtrit: 
dg verha qui margue le umıpS | Ian 

Rasrsnuneiä, «- f. (u a rad.) peeldriinn 
üguro de rheiierigue : Ginie da oe 
kn dan Y. Proteris. 

Pasrzauıreair,. V. 

Puzräse, adj m. neiraud. junge 


sahle metil. Com — da, sous protaszte de, A dire 
de, en qualit# de, 
Pazerniß, e. f naircenz, sonlouz neize. 
Pazıina, V. Potrina, Ciate, Ciste. 
Bazriuma af. dien. da Prosa. Nigrüe, jeune 


N rn hunger ic 
“ a ee Se biane. E- 
vada —a ou om —, Bauzeit pour [also des arınen, 


Folhas d’erpade om — , lames d’ipte qui n’ont 
yes encese di6 alguistes mi Paurbies. 

— ss, tpioes meizes, eSnmme peirze, ginefle, 
aannelle. 


a atra, & m. nein, nögen ; oselare mei. Sorte 
ancienne petite mennaie de cuisze. Bisne, 
ran dee 


+ Pazroıis, s. m. vernis.de fenchissenr. 


ı qui O9neeFne 
le prötsur. —s, s.m. . pretoriens, soldate de 
le garde des zomains. 

Pastöno, s. u. patleize : trikunel, meissn 
du pröteuz, lien ou il remdais la juntice. 
Prerözıo, A, adj. qui senserne le prüisue; 


i 


„ad. 2 gun. (1.00 Mil) m 
dispesset. p. ©. 


PaeranaE. eo. sppeöter, geöparer, Kaps 

Kine Jean an erg tn m 
[2 ii) 

faire ; devanoer, antichper; dia, np 

eher un mel, oie.; avertie, Imfarımer: privan- 

per, dispeser Pesprit de queigu'un ;jager al 


vance, vu prössutlonner. tlonmer. W'erienier, erzmian 
In eonduite A sair. 
r nn ei. Frame, mu 
antcee ® 
a, al. ‚ip 


Paxvanıivo, provemt 
vient; de la preveniien Cpepement) Hoamm-, 
bemme priveyant 

Pasvirto, A, 9.9. ter. “ Freai.i 


adj. Juvisdiople —o, (1. de prei.) jerkliches 
d'un Juse qui connalt par pr&rventien. V. Pre 


,oie. 
t PaSrıamänız, nn. d’avamee, por mi 
n3 
Pasvico ou Paovico, V. Feitlerire, Ir 


Wabli, ordonnt pas ia pedieus. Dirsiie —, |reiro, 


PRRYaLSchuTE, adj. 2 gen, qui a proveln, 
qui l’emporte sur. 9, e. de 

PazvaLzcka (s, conien), u. n. pebralsir: 
aveis, sampazier Varantage sur ; !araperter sur. 
Ansir gain de cause. 


PaEYALECiDO, A, pP. P. do Prevslscer. 
AETARKACÄE, s. f. ptövarication; malrer- 
on. 
Prevanıcikno, A,p. p. de Provaricar. 


Paxvıotncıa , s. f. prövoyance; grerisien. 

Paxviväwre , a. 2 gen. prevopant: : quite. 
volt, a de Ia priroyanoe; gai Jage Bien de fr 
venir et prend blen ses Mesures en come 


quenos. 
Pa@vio, a, ad. qui pröedde; anlärienr, pi 
chdent ; pres] . preliminaire ; anticipe 


Pazvisiö, 2. f. prevision : von de Yarenir. 

Paeviso, a, adj. (1.de ihdei.) prore. 

Panviere, 2, pp. vv. An Proue. elf. \ı 
suparavant; preva. Prövoyaut: ariat, M® 


PagsanjcapOR, A,a. piövasioslenr: qui pab- | demt. 


in, quitrabit son devoir. Corrapieur, ab- 


anrancin.e, 6. DASzamgre , aelaite. ©. Mm 


"Patz, s. m. benneue, rigatgtion segeht 
per une artiam glesieuse: — e Ast, lei 4 
honnenr. 








— ww ww. 


-— um or on 


PRI 


„ai: +. f. pepio, prise, capture, butin. 


"rasalas an p. da Proxdr. adj. Kstimk, 
Fear, s. qui esiime, qui lait cas de 
uele en a de quolque cbose. 

MELÄR, 9. a, priser, ostimer, falre cas de; 


is; h 
ur} arlinen (de), v.r, Y. Blorier-w, Ja 


Lupe 2 gen. eajfimable, digne de 


Innan 
“Patzka, s. f. "bijou, effet de grand prix. 
offgande da chosps prerienses, 
Palapisyo , 5. m. priapisme : dreclion oonll- 
wuelle er doulgurense, sans desir. 
an ar0, 5 m. (1. de mytk.) Priape : dieu 


Jardins, 
€ Paicaoo, s. m. * plerse prbclouse, asp&cp 
de oristal. 

Paiciıno. V. Porigalke. 

® Paycäu, V, Prise. 

Paioviga „etc, V. Proguige, ole. 

Palma, s. f. oousine. Les trois premidres 
heures da matin, sulvant la division des an- 
eiens Romains. Prime : la premiere des houses 

onisles. Partie de la nulı depuis huit heuses 

usqu’ä onze. Pr a strument & cor- 
des. 0 —, 1. ou adj cener.) aulour 
fomelle. |/ reiner os socond faucon 
7’ une nichöe, Quar rlo de, premier juarı % 

& aulı (& bord des "des narlros). Cadeira 

premiäro ohalre d’une facult# : 1e profossaur 
8 Ba lonte de prima. — com irmäd, cousine 


ne 
Sormıch. V. Primasia. 
PaımacılL, adj. 32 gen. primatial : qui con- 
eerne le primat. 
Paımino, s. m. *® 
presminence. V. Prinds et Pri 
+ Patsawtatz, adv. artistement, Ingenieu- 
sement, e9 pe rfeclion 
Primdnost ..m. dt, dent.) soldats de la 
premiöre öglon ebei les anciens Romains. 
Prinärtamente, ado. principalement; en 
premier lieu. 
+ Parmaxicas, s. f. pl. les premiöres lam- 
proice u l’on pechalt dans certains endroits, 
n donnalt au seigneur comme cens. 
sımin, A, ‚Primaire. Lente 
_ ug resrcar de 1a premiöre chaire d’une fa- 


Pamartaa,s.f." : 1a premiöre et 
fa ptes agreabie des Balsenn, du 2 mars au 
21 Juin. Sorte d’dtofe de sole A Beurs. Prime- 
vere, plante ot fionr. — de vide, 
ee de . vie, 10 , Jeunasse de quatorze & vingt- 
sous annoe , cn Farrii de ses 
re 
Pasmsin, 9. m. primat: prölat au-deseus de 
Yarchersavo. ad). 2 gen. Qui a la primanute, 


Feiern a. f. peimatie : dignite du primat, 
sa juritloden. Primauts. V. Primado. 


aut : premier rang ; | oom 
maxia. 


PRI 951 


aımkına ,s. /. prime : sorle de jeu de car- 
us. De =, 4 d’abord , premidremen:, 
ds prime abo 


ufaankure, adv. pröalablement, pre- 
miörement, en premier lieu, d’abord. 

PRimEIRO, A, ad. premier : qui precdde par- 
kapport au lemps, & l’ordte, au rang, eie.; 
Se a ei, qu’on a vu auparavant; le plus cx- 

ons, ia plus gonsiderable. Ndo 40 — ,ou.a 
aa 085,00 ne Sera pas lo premier ou la pre- 
miöre fols. Foi 0 — qus chegow, il arriva Ic 
premier. 

Prıutıno, ade. premidrement. Pluidt. V. 
Antes. — que, avant de, avant que, plulöß 
que. De — , auparavant, avant; precedem- 
man}, ci-devanı. Chegou — Jo que eu, il ar- 
riva avant mol. — morrerei qus abandonar-ie, 
je mourrai plutöt que ds !abandonner. — esld 
@corae qus a camisa, la chalr est plus proche 
que la chemise, 

Paıutvo,A, adj. Du ügb, qui est d’un Age 
plus avance. Primiti primordial. 

Priuicaaia, 6. f. "primiesriat: dignitd ‚office 
de primioier. 

Pryuicgalo,s. m, primicler : qui a la pre- 
mjere dignits, Qui tient je premier rang, qui 
est le premier de son genre. Chantre (dignite). 

1 Paimicnica, adj. f. il se dit de la femelle 
quia mis bas le premidre fois. 

Paimicu. V. Primicies. 

Prrmicus, » f. ‚pl. 1. premicen: premiers fruits 
de la ; premiers fruits qu’on 
oe ü Dan; ) premiöres productlons (de 
l’esprit, eto.). 

Paımıcotno,A ‚adj. primltif, qui ne tire point 
san origine d’ailleurs. 

PamurlLo, s. m. (£. d’ant.) primipile:: le 
premier centurion ; qui commande la premiere 


Baden; 
+ Primıtivauante, ado. primitivement, ori- 
ginairement. 

Paıwitivo, A, adj. primitif : anclen; nais- 
sat; lo premier, le plus ancien, originel. 
Terme —, (8. de grem.) mot primitif, dont se 
formen los derives ou compos&s. 

Priso, a, adj. premier. V. Primeiro. Ha- 
bile, adrolt dans a art, etc. Fait, travaills 
avec art;acher& , parfait; delicat, mignon, eic. 
-| za noite, nuit tombante, entree de lanuit. —a 

iere tonsure. Obra —a, ou de 
a er ef-I’@uvre. 

Priuo, s. m, cousin.—com irmdo ou carnal. 

sonsin gormaln. -— segundo, cousin issu de 


nd, ade. lat. primo,, premierement, d’a- 


printemps de | bord 


PRINOOENITO, A adj. premlern, aine. 
PRIMOGENITOR. V. Progenitor. 
Priuocanıröaa, 6. f. * primogeniture : droit 

d’ainesse. 

+ Praımorafuus, 3. m. lat. premier mourve- 
ment , mouvement Indelibere. 

+ Prıworon&npo A, ad. qui doit etre mis 
avant. 


952 PRI 


Prisör, 8. m. “ habiletd, adresse, savoir. 
*Reaute, 'ddlleatesse, excellence, perfection 
d’un ouvrage. Kgards, “generosite dans les pro- 
cedös. * Ponctualit ‚exactitude. "Elegance du 
style. —es, pl. * gentillesses, tours agr6ables. 
—doerte, chef-U’@uvre. 

Prımorivo. V. Aprimorado, Primoroso. 

PrımonptiL, adj. 2 gen. primordial : pre- 
mier et originaire; primitif. 

PriMOnDıaLMENTE , adv. primordialement. 

PrimöRnıo, 3. m. commencement, origine. 

PRINORÖSAMENTE , ade. joliment, artiste- 
ment, adroitement, delicatement, en perlec- 
tion. Aveo de grands *gards; genereusement, 
Avec exactitude. 

Prımorosissımo, A, adj. sup. de 

Pninondso, A, adj. joli, beau, delicat, par- 
feit, excellent. Habile,_adroit, expert. Gene- 
reux; obligeant; ponctuel. 

Princkza, s. f. princesse : flle, femme de 
prince; (A4g.) la premiere, la plus excellente. 
Euoffe de laine fabriquse en Angleterre : espöce 
de camelot. 

Prıncıräpo, 8. m. *principauts : dignits de 
prince; titre d’une terre de prince; terre qui le 
porte. (fg.) * Primaute, preeminence, supe- 
riorite. —s, pl. principautes, troisitme ordre 
de la hisrarchie celeste. 

PaixciriL, adj. 2 gen. ‚principal, capital; 
le premier, le plus essentiel , je plus important; 
le plus considerable, le plus remarquable en 
son genre; distingus par sa naissance, Son 
rang. 

PrincıräL, 3. m. principal : somme capitale. 
Principal agent d’une affaire, etc. Membre du 
chapitre de l’eglise patriarcale de Lisbonne. O 
—, le principal, ce qu’il ya de principal, de 
plus important. Os principaes da cidade, les 
premiers de la ville. 

+ PrinciraLıpÄoe, 5. f. qualitö dece qui est 
plus considerabie. Primauts, pr&&minence, sü- 
periorite. 

Prıncıraulssimo, A, adj. sup. de Principal. 

PRINCIPALMENTE, ade. principalement, sur- 
tout. Mdilo — ‚ d’autant plus. 

PaineırE, 8. m. prince : Als alnd des rois de 
Portugal et d’Espagne; qui possdde une souve- 
rainel#, une principaut£ ; litrede dignits;(fg.) 
le premier, le plus excellent. — de sangue, 
prince du sang. j 

Pniscıpräpo, A, 9. 9. de Principiar. 

PaInciPIADOR, A, s. celui qui commence. 

PrinciriÄnTe, p. p. de Prineipiar. adj. et s. 
Commengant, apprenti, novice. 

PrincıpiÄr, 9. 4. commencer, donner com- 
mencement. —n0008 lioros, (1. de comm.) lairo 
Pentree des nouveaux livres. 

Paincirio, 5. m. pfincipe, commencement, 
orıgine; base, fondement; ce qui entre dans 
la composition d’une chose; premiere cause. 
4A —, au commencement; d’abord. Dar — 
donner commencement, commencer. De —, 
ou des d’o —, depuis le commencement., _, 
pl. principes : , eloments des sciences ;premierß 


« 


= pRI 


preceptes d’un art; (Ag.) maximes, metils; 
(1. de chim.) corps simples qui composent ia 
mixtes. 

Pnixciröre, s. m. principion, petil priase, 
peu riche,, sans pouvoir. 

Parino.V. Azinko prino. 

Paiör, s. m. prieur ı superieur de ceriaimes 
maisons rellgieuses, etc. Prieur-cure. — dus 
wmosieiro, abbö en second. Grdo — , grand- 
prieur. Dignits de l’ordre de Malte, ete. 

+ Pıaiöno, s.m. (l. d’hist. net.) prione : - 
l&optere longicorne, liguivore. 

PrıiöraA, s. f. prieure : superieurs de reä- 
gleuses. Seur de la Pönitence. 

PrioRioo, 3. m, prieurd : charge „ dignite da 
prieur, de la prieure; eglise, maison de com- 
munaut& sous un priear. Prieur6-cure,, priesr 
avec une cure. 

PrioriL, adj. 2 gen. prieural : qui ceacerse 
le prieur om la prieure. 

Paıorirto. V. Prioredeo. 

Paıontza. V, Priöra. 

Prionipäpe, 8. f. priorits : antärierit# d’ers 
tence; primauis en ordre de leınps, de rang: 
predminence, 

Psıoriz, V. Plewriz. 

Prıostipo, s. m. syndicat. 

Pariöste, 8. m. syndic de communasie, % 
confrerie, etc.; collecteur des revenus d’es 
eglise ow d’une universits. Trigo de — ‚lemei 
leur bl& de la moisson. 

Paısiö,.s. f. prison : lien od l’on euer 
les accuses, les condamnes, eie. L’actien de 
prendre : prise, saisie, emprisonnement, cap 
ture, arrestation , prise de corps. (fg.) — , eu 
ce qui retient, arrete : lien. (id.) Neud, be, 
liaison. Chalne; entraves, liens. (tl. de wine. 
Proie : animal sur lequel on lance ie [ance. 
(id.) * Jet : attache d’envoi et de reserre : post 
les oiseaux de fauconnerie. — rekigiess , cham- 
bre noire. Ordem de —, deerei de prie da 
corps. Passar de —, deereter pm 
de corps. Entreger-se ‘—, 50 "eonstiiuer pr 
sonnier. Prisdes, pl. “liens, meneties, [ers da 


prisonniers. Fizerdo-e —, on a ist 
beaucoup d’arrestations. 

+PriscıL.ianisuo, #. ws. prisciliianisme : 
Pheresie de Priscillianus. 


+ PaiscıLLianistas, 8. m. pl. Priseilliseer 
tes : sectaires partisans de Priscillianss, se 
croyaient l’Ame d’une substance divime. 

T PriscıLuıino, A ‚adj. qui appartiant äPre- 
cillienus, qui suit sa dootrine. 

: Prisco, A, adj. aueien, vieuz, du ksnpt 
passe, anlique. . 

Prisıonia, vo. 6. faire prisennier. V. Apr 
sioner. 

Paisioxkıro, 5. et adj. m. prissanier de 
guerre; pris & la guerre. 

Paisua, s.m. (f. de gdom.) prisıme : car 
termine par des hases polygonales dealus «t 
‚| paralieles, et dont les faces laterales somi des 
parallelogrammes; (f. de phys.) prisme ariıp- 
gulaire de verre, eic., qui colgre Jas ohjeir 


m m ma mn 70707—<Ä„wa wm ww WW m 7 m 39 N 1 


. PRI 


PRO 953 


Paismirico, A, adj. prismatique : qui a la ' au privilägid, sans nuire & un liers. — grscio- 


figure d’un prisme, dıq prisme. 

° Prısoan. V. Prisionar, Prender. 

“ Paısongıno, V. Prisioneiro. 

Paistıxo, A, adj. qui a 6i& auparavant, 
d’autrefois ; pr&c&dent , ancien. 

Pıairica ow PaETica, s. f. “timon de voiture, 
de charrelie, etc. 

Privaciö, s. f. privation : perte; absence, 
manque du bien qu’on avait, qu’on devaitow 
pouvalt avoir; action dese priver, de s’abstenir 
de ce donton pourrait jouir; privation d’unem- 
ploi, ete., en peine d'un delit. Privapöes, pl. 
privations, ce dont on manque. 

Privipa, s. f. * priv6, lieu d’aisances, la- 
trines. 

Paıvipamentg, adv. en particulier, prive- 
zuent , [amiliörement, en secret. 

Prıvino, A, 9. p. de Privar. adj. Prive de. 
Defendu. Privs : qui est simple particulier, qui 
m’a aucun emploi public ; P’oppos# de public, 
fait devant un petit nombre de l#moins (exa- 
men, etc.); familier, domestique, particulier, 
personnel. Vida —s, vie privee, celle d’un 
homıne sans emploi; vie particuliöre de quel- 

u’un. 
ı Prıvino, s. m. favori : homme en faveur 
aupres d’un prince, elo. 

Puıvänga, s. f. privaute, grande familiarite, 
faveur auprös d’un grand, etc. Ter grande — 
com al ‚ötre en grande faveur, avoir boau- 
coup de credit aupr&s de quelqu’un. 

Paıvin (de), v. a. priver (de): öter & quel- 
qu’un ce qu’il a ow doit avoir; Pempöcher de 
jouir d’un avantage. Priver d’un emploi, etc. 
Priver du sentiment, faire perdre l’usage dos 
sens. Emptcher, defendre, probiber. 

Paivän-sg (de), ©. r. se priver soi-meme de; 
s’abstenir ; Ssimposer une privalion. 

Privin (com), v. ». ötre on faveur aupres 
d’un grand, etc. 

Paivativaminte, ado. privativement, ä l’ex- 
elusion , exclusivement. 

Paivarivo, a, adj. privatif: qui marque pri- 
vation. Propre,, particulier, singulier ; exclusif. 

° Prıvino. V. Particular, Privado. 

PaiviLEctäDO, A, adj. et s. privilögie : qui 
jouit d’un privilege. p. p. de . 

PaiviLEciar, ©. a. privilögier: accorder un 
privilöge, exempter de la regle commune. 

+ PaiviLecıaTivo, A,adj. qui renferme un 
privilege. 

PaiviL£cıo, s. m, privilöge : facult6 accordee 
A un seul, & un corps, de faire quelque chose, 
de jouir d’un avantage,&ä l’exclusion des au- 
tres; acte qui contient lc privil€ge; droit, pre- 
rogativo altachee aux charges, elc., accordee 
aux personnes, etc. — convencional,, privilege 
accorde apres une convention avec le privilegie. 
— do canon, privilöge des ecclesisstiques yui 
fait encourir l’excommunication & ceux qui 
portent la main sur eux. — do foro, privilege 
qui exempte les clercs de la juridiciion secu- 
jjere, — favorevel, privilöge favorabie, uuile 


so, privilöge accord&. par pure gräce, sans 
egard au merile. — local, privil&ge lecal, res- 
treint & un cerlain lieu. — odioso, privilöge 
odieux, nuisible & un tiers. — pessonl, priri- 
lege personnel, borns & une soule personne, 
qui ne passe pas & ses descendants. — real, 
privilöge royal, attach6 A une charge, & un 
emploi. — remumeralorio, privilöge acoord6 
en r&compense d’un service renda , etc. 

Privinscıan. V. Privilegier. 

Paö, adv. pour, en faveur de. it. prep. lat. 
qui entre dans la composition de plusisers 
mots portugais, et qui signifle, en general, 
devant, en avant. Ex. : , Proposer ou 
poser en avant; progresso, pTogros ou marche 
en avant, du lalin gressus. 

TPxö, s. m. V. Provsito. Em — de, pour, 
on fareur de. O — e o copire, le pour et ie 
contre, l’avantage et le desavantage, otc. Soe- 
lenlar 0 — 0 0 contra, soutenir le pour et ie 
conire. . 

Pr6A, 3. f. proue : cap, avant du vaisseau. 
(fg. burl.) * Orgueil, arrogance, bardiesse, 
— aquds ‚ avant-maigre. — com pouco lanpa- 
menio,, avant peu 6lance. — com muilo lanpe- 
menio, avant fort &lance. — redonds, avant 
renfi&, avant jouffllu. Castello de —, gaillard 
d’avant. Pör a—a,(l.de mar.)metire le capä. 
(fig.) Jeter les vues sur; prelendre, viser &; 
bravor (les difficultes, etc.). Mettera — ao 
venio, porter lo cap au vent. 

ProÄr, v. 0. (I. de mar.) —as ndos em ferra, 
pousser les vaiss6aux A lerre , aborder, prendre 
terre. v. m. V. Progjar. 

PnonasıLipäne, 8. f. probabilite : vraisem- 
blance, apparence de verite. 

ProBABiLisMo, s. m. probabilisme : doetrine 
de la probabilite , qui permet de suivre en me- 
rale une opinion probable et opposse & une 
plus probable encore; systäme qui admet les 
opinions probables. 

ProsasıLista, 5. m. probabiliste : parlisan 
de probabilisme. 

PaoBABiLizär, ©. &. rendre probable ( une 
opinion, en morale). 

+ Prnopinte, adj. 2 gen. (1. de prat.) proba- 
tif, qui prouve; convaincant. Em forma —, eu 
forme probante , aulhentique. 

Prosirica, adj. f. Piscina— , piscine pro- 
batique, pres du temple, od les viclimes &taient 
purifiees, et pres de laguelle J&sus-Christ gu6- 
rit le paralytique. 

ProsaTissımo , sup. de Provado. 

PaosaTörıo, A, adj. probatif s qui prouve. 
V. Probante. Probatoire. 

Prosmäps, 5. f. probil# s droiture de caur 
et d’esprit; attachement severe aux devoirs de 
la moraslo; integritö des maurs. Falta de —, 
improbite, manque de probite. 

PaosL£uma, 3. m. problöme : question & n&- 
soudre; proposition douteuse; proposilion de 
mathematiques, conlenant la maniere d’ope- 
ror et la demonstration de l’operation, — inde: 


„ PRO 


terminade, (1. d’alg.) problöme Inddtermine, 
qui a plus d’une solutiap. 
PROBLENÄTICAMERTE, edv. problömatique- 
s d’une maniöre problematique. 
RaopLanärıco, A, adj. problömatique : don- 
konz; dont om peut soutenir l’aflirmalive os la 
nögative ; qui tient du problöme;; dquivoque. 
+ Paosısuarısäa,, v. a.rendre problömali- 


VPnöno,a, ads. probe : qui a de la prokits; 
bonntte. 

$Pnosöscreas, 5. f. Pl. (8. #’hist. nal.) "pre- 
beseldes : hömipteres ; diptöres ; vorticellaires. 

Paososre. V. Preoboste. 

+Pmnocscwinz, s. f. impudence, effronte- 
rio, Inselenoe. 

Paocarnmärtico, A, adj. procathartique : 
(esuse) d’oh derivont les autres accidenis. 

+ Proczpencıa,, 3. f. action et l’effet de 
proosder, dörtralion. 

Paocapänıe, adj. 2 gem. rösultant, qui re- 
sulte. Venant, qui vient. Issu. p. a. de 

Proczpta,, vo. n. avancer, aller au delä ; al- 
ler, s’avancer dens un certain ordre, suivre 
une certalne progression, etc. Procdder : se 
tomperter, se conduire de telle ow telle ma- 
niöre ; agir en Justice. (a) Proceder & une diec- 
tion, eic., y Iravallier, la faire. Appartenir, 
cenoorner. (de) Venir, proo@der, provenir, tirer 
son origine de; proseder, provenir par voie de 
generation. On dit, en parlant des personnes 
äivines , quo le Saint-Esprit procdde du Pere et 
da Fils. (6m) Poursulvre une entreprise, une 
obese sommencse. — contra alguem, infliger 
la peine de la loi au coupable. — d capi- 
(el, imposer la peine de mort. —a final, juger 
en derniöre instance, prononcer la derniöre 
sontenoe. 

+ Pnoceofr, 5. m. procöde : manidre d’agir. 
V, Procedimento. 

Paoczninoo,, A, P. p. de Proceder. adj. pro- 
venu, precddant. Issu. Bem ou mal —, qui a 
whe bonne ou mauvaise conduite. 

+ Paocepino, s. w. produit. V. Producto. 

Pnocenınento, s. m. l’action de proceder : 
&manation , derivation ; progression. Action de 
proceder en justice.-Proc&de, manidre d’agir, 
tonduite. — franco , leal,, un proc&de nel. 

Paocsızusuitico, adj. m. Pd —, pied de 
vars latin composö de quatre brörves. 

PaockLia, 8. f. (po64.) Vempöte,, wurmente, 
orage. 

+ Ponceruiata, 8. fı (bi. @ Mist. nat.) * pötrel : 
hisass paimiptde. — de cabo da Zon-Eeperange, 
le damier. — negra do norie, Yalssau de tam- 


RaocsLLösauAnTE,, adv. avoo tempöts. 

ProcaLL6so, A, adj. orageux, sujelaux lem- 
pötes; qui cause des orages, excite des tem- 
pötes, 

+ Pnöckazs, s. m. pl. grands seigneurs, 


bommes de la premidre distinction. Magnals, 
grands du royaume. 


Paoczarise, s. f. (p. us.) hanieme, die 
tion, grandeur (du corps). 

Paöczao, A, adj. haut, dierö ; grand, dem 
taille dlevde. . 

Proczssin0, A, 9. p. de Procemer. 

ProczssiL, adj. 2 gen. qui appartient ge 
prooss : jadiolaire. 

Proczssiö, 3. f. l’action per U) 
chose proatde d’une autre; € . Pe 
cession, produelion e&ternelle du SalnıEepri. 
* Progres. 

Procgssir, v. a. instzuire um proces, pe 
cöder ; Juger. 

ProcessioniL, adj. 2 gen. est en forms 
de procession ; qui appartient & la processios. 

PROCESSIONALMENTE, ade. prooessionnel- 
ment : en processien. 

PAOCESSIONÄRIO, 8. m. processionnel ou t- 
oessionnal : livre de priäres pour es pro 
sions. 

Procksso, s. m. * suite, sontinults, enchd- 
nement, V. Progresso. Procds, procddurs:iet- 
tes les piöoes d’un procks. Proo6d4 (obimiqe). 

Prociptucıa, 8. f. (1. d’ayat.) prockden: 
obute d’une partie. 

Pnöcıon. V. Procyon. 

Procıssid, s. f. procession F oöremeniı rel- 
gieuse conduite en ordre par des prötres , eier, 
en chantant des priöres, etc.; fmeltitade & 
peuple, eic., en marche. 

Procısskoziuna, s. f. dim. de Procissie. 

PnocLäua, s. m. annonoe, publicatios, u 
tout des bans de mariage. 

ProcLamacäö,s. [. proclamation ı action de 
proclamer; publication solennelte; der pe 
blio, proclamd; adresse publique 4 use Ir 
tion, & une armee, elc. 

ProcLamiDo,4,p.p. de . 

PROCLANADOR ‚8. m. proclamateur : cehei @ 
proclame. liest quelquefois adj. 

PROCLAMAR, ©. @. prociamer : pueblier, # 
clarer hautement, avec solennit. V. dee 
mar. Saluer, proclamer roi, empereut. 

+ Procrianitas, 2. m. pl. hardiigues Wi 
niaient le jugement dernier. 

+ Paocuinär, v. a. (p. ws.) faire peochm, 
ineliner. 

+ Pröco, s. m. ({nus.) amanı, galanl. 

PaocönsuL, 3. m. preconsul: 
gonvernait avec lautoritd du congul. 

PnoconsuLipo, 8. m. prooonsalat : chart, 
dignit# du proconsul; province, de 
qu’il gouvernalt; daree de son administra!0® 

ProcoxsuLÄr , adj. 2 gen. proconsslsire : & 
proconsul. 

Procrastınaciö, 8. f." delal, remise su ler 
demaln ow d’un jour & T’autre; 
tion , retardement,, aJournement. 

Procrastinäno, A,p.p. de u 

ProcnAsTInaDoR, 8. m. celui qui Affäre, gi 
remet do jour en jour. 

Puockastixin, v. a. differer, rematire #0 


lendemain ou de jour en jour; retarder. oJ W* 
ner. 








RO 


Procazacid, s. f. prossbatlon , gändusiien. 

Paocazi20; A ,P- p. de Prosrsar. 

ProcaEanör, A, 8. celui yui proczde; Könd- 
raleur. 

PaocazirR, 9. a. procrder, engendrer, pra- 
Quire. (Ag. n.) Bourgeonner, ponsses des bou- 
tons. 

Paochra. V. Busca. 

‚Procunscäd, 8. f. procuration : pouvois d’a- 
irau nom d’un autre; acige qui le gontient. 
aui.)V. Golkeila. Carta de —, (1. de comm.) 

mandat, mandement, pouvoir, procuralion. 

+ Paocosankına. V. Proeuradora. 

Paocurino, A, p. p. de Procurar. 

Paocuaapen, 3. m. procureur : charge de 
procuration; qui defend en Justice, qui agit au 
nom des parties. — de causgt, procureunr, oßi- 
eier qui agit on Justice au nam des parties, 
avoue. — Alscal, procureur d’ofiioe. — de cost 
uenio, procureur, religieux charge des interäts 
temporeis d’une maison, feciendaire. — de 
eortes , deputs d’une ville aux eluts. — gerel, 


our-gensrel. 

PROCURADORA, 8. f. procuratrice : obargee 
de procurstion. 

Paocunaponia , s. f. " emploi, office ou dtude 
de procureur. Intendancoe. 

*Paocunänga. V. Procuradoria. 

Paocunär, v.a. solliciter, tächer d’obtenir 
pour soi, de presurer & un autre. Exeroor Pem- 
ploi de prooureur. Chercher. Deomander. Adımi- 
nisizer, avair sein de (p. «s.). 

Paocuastasia, s. f. zequöäte, sollieltation de 
presure ur. der V, Procuradoria. 

ROCURATÖRIO , 8. Fi 

Procunatüna, 3. fü | V. Procuradarie. 

Pabcron, s.m. (1. dasir.) Prooyon : constel- 
latien du petit ohien. V. Camwicwis. 

Paonigiö, e. f. wahlsen , !’acte de Hivrer par 
wahison; abanden de sa "ferume & un auire 


bermene. 

Paropıcäno. V. Prodigalixado. 

Pronıcapen. V. Prödigo, Largueador. 

Paopigauıpine, 8. f. Drodigalits, profusion. 
Abondance. 

PaopicaLlziDo, A, P.p- de 

PaopisaLizin, v9. a. prodiguer : döpenser 
avec exods, dissiper; röpandre, donner aro6 


Paöpicauturn, ade. prodigalemeni, aveo 
prodigalits. 

pP RODIGÄR. V Prodigaliz 

“Proplass, 6. fı ge } pradige :ı effet, chose 

Paopicio, 8. =. extraordinaire, sum 
prenante; 08 qui arzive conire le cours ordi- 
naire de la nature; personne, chose qui oxoelle 
dans son genre ; docnment eöleste; auvFage 
mervellleux. Miracle. 

PropiciösaMäntE, adv. prodigicusement : 
d’une maniere prodigieuse, excessivc, 6ion- 
nante. Merveilleusement, parfaltement bien. 

Pnopıcı650, a, adj. prodigieux : quilient du 
prodige. Merveilleux, excellont, exquis. 

Paöpic0, A, adj. prodigue : gal issipe son 


[4 


” 
_. 


ANA 988 


bien en däpensea folles, exsessiges; (Ag) qui 
predigue son sang, Sa vie pour 89 palris, w.; 
extrömement liberal. 

+ Paobıcos, s. m. pl. (f. de mer.) — de g0- 
r&o , porques : piöces qui lient oelles du fand 
du vaisgeau. 

Pranırör, s. m. proditeur, traitze, delatesn, 

PRODITÖRIAMENTE, adı. prodiwirement, en 
trahison. Y. A 

7 Paopıröne, A, ad). gui dent da la trahi- 
son. V. Alreipoado, 

PaÖBROND, 3. m. predröme: oe qui pröodde; 
avanl-oeureur; premier ouvrage d’un auteupt 
preface, preliminaire d’un auise euvrage, d%ın 
oours, 

Paopucciö, s. f. produstion : action de 
duire; 06 qui est produit par la nature, les 
arts, le genie, ’imaginatien, une cause, enn+- 
neral. (1. de prei.) Produetion de t4moins, de 
pideos. " 

Propucenre, adj. 2 gen. p. a. de Produsir. 
Oel preduit en juslice. Qu ayance une proposi- 

on. 

f PropucrisiLimäne, so. f. aptitude & #tre 
produit. Qualits , vertu produelive. 

Paopucrivo, a, adj. qui a la vertu de pro- 
duire. Productif: qui produit; d’un bon rappor? 
(terre, eto.). 

Panopücro, p. p. ırr. de Produsir. s. m. Pro- 
duit:: reppori; rösultat d’une multiplication, 
d’une operation chimique, eic.; revenu; ce 
qu’une chose, une machine, la terre, Pindus- 
trie, letravall, etc. ‚ prodnisent. V. Produegde. 

Paopucren, 4, ed). et 8. produoteur: qui 
prodult; auteur. 

Propvucraiz, adj. eis. f. productrice. 

PRODUZENTE. V, Producentie. 

Paopvzino, A, P.p. de Produzir. ad. Pro- 
duit, engendre. 

Propuzinee. V. Productor, 

Propuzia, v. a. produire : denner nalssange, 
engendrer;; rapporter du fruit, du ben£fice, pn 
avanlage, eic.; causer, &tre Cause; Qccasian- 
ner, amener apres soil; donner par &crit ges 
defenses, eic.; exposer ses tlircs, eic., & |g 
vue, & la connaissance, } Pexamen. Alleguer, 
citer une autorite. 

Propuziß-SE, v.r. se produire:: dire, pquvolt 
etre produit. Eelore, paraltre au jour, se mon- 
trer. 

ach PaopoziveL, adj. 2 gen, qui peut dire pzo- 


* Paös. V. Pro, Provetia. 

* Proßıro, 8. m. (1. de mar.) matelot plaod & 
la proue, 

Prozsin0,A,p.p. de 

ProgsÄr (a), v. ». gouverner sur, mellre |g 
cap &. (contra) Voguer contre le vent os un 
courant. (Ag.) Lutter oourageusement contre 
V’adversits. 

ProsutuiL, adj. 2 gen. qui appartient & la 
prefaoe, etc. : preliminaire, 
, Paozzıln, ‚v., 0. faire des exprdes, Y. Presm- 
wlar. 


m. 


956 PRO 


Prozummmcıa , sic. V. Promineneis. 
Pao&nı0,, s. m. “pr&face , avant-propo8, PTO- 


gue. 

Prözs, pl. de Prol. 

Proßza, s. [. prouesse : action de valeur, de 
bravoure, de preux. "Courage, valeur, bra- 
voure. —s na guerra, “exploits, hauts falls 
d’armes. V. Faganha. 

“Prorica. V. Prolfara, Parabem. 

® Pnoracir, v. a. m6dire, censurer, calom- 
nier, döcrediter ; reprocher, blämer. 

Pnoranacäö, s. f. profanation ; action de 
prolaner ; &tat d’un temple, etc., profane. 

. Paoranipo, A, P.p. de Profanaer. 
PROFANADOR, A, adj. et s. profanateur : qui 
prolano les choses saintes. 

PrOFÄNAMENTE ‚ adv. avoc profanation. Mon- 
dainement : d’une maniere mondaine. 

. Paorania, v.a. profaner : traiter avec irre6- 
vörence les choses sacr6es, en abuser; rendre 
& un usage prolane. Souiller, d&shonorer. 

PaOranıpipe, 8. f." abus des choses saintes, 
profanation ; aclion ow chose profane. " Luxe 
excessil dans les babits, mondanile, etc. 

ProrFAnissımo ‚A, adj. sup. de 

Paorixo, A, adj. profane : qui est contre le 
respect dü aux choses sacröes. —, qui n’appar- 
tient pas & la religion, qui lui est oppos6, con- 
traire. Adonn6 au luxe, mondain. Qui vit dans 
le dereglement, Y’irreligion. s. m. Prolane : ce- 
lai qui manque de respect pour les choses sa- 
orees; qui n’est.pas initi6 aux choses saintes; 
ignorant, grossier; l’oppose de sacre, elo. 

Prorscia, etc, V. Propkecia, etc. 

“ Paorecricıo, A, adj. profectice : du cöt& pa- 
ternel. Profecilif: qui vient des ascendants 
(bien, pecule). 

“+ PROFEITAMENTO,s. m. | V. Aproveilamen- 

*+Pnorsıränga,s.f. to, Utilidade, - 

“Prorkıro. V. Proveito, 

Puorzkaipo, A,p.p. de 

Paorenir, v. a. proferer, prononcer. 

Paoressivo, A, 9. p. de Professar. 

PaoressanoR, A, adj. et #. qui professe,. 

Pnorsssinte, adj. 2 gen. prolessant, qui 
professe. p. a. de 

Prorzssin, v. a. prolesser : exercer, laire 
profession de; avouer publiquement; recon- 
naltre haulement; enseigner publiquement; 
pratiquer un art, un metier. — em uma ordem 
ou religido (v. ».), faire profession dans un 
ordre religieux. —se, v. r. se prolesser, se de- 
eiarer. 

Pxortsso, a, adj. et s. proles: religieux qui 
a falt ses vux. 

Paorsssön, s.m. professeur : qui enseigne 
une science, un art; qui l’exeroe. Celui qui fait 
profession de... 

Paorsssoria, 8. f. " prolessorat : emploi de 
professeur. 

Provzssörıo, A, adj. professoral : de profes- 
seur. 

Prorkra, eto. V. Prophseia, etc. 
Prorstär, V, Propheiizar. 


nn 


PRO 


Paorla, ete. V. Porfa, eir. 

Pnoricıkntg, adj. 2 gen. qui fait des progres, 
qui proßte. 

Proricuasstntg, ade. utilement, avania;re- 
sement. 

+ Prorıcuipäns, s. f. la qualits d’etre proß- 
table, utile; utilit€, profi. 

Proricuo, A, adj. profitable, utile. V. Pre- 
veiloso. 

Proriz, etc. V. Perfil, ete. 

Paorıssiö, s. f. prolession : &iat de vie; 
declaration publique (de sa religion, de » 
croyance, 66.) ; emission solennelle des rauı 
religieux. 

ProriTEnte, adj.2 gen. qui professe queiqee 
loi religieuse. 

PrOFLIGÄDO, A, 9. 9. de Profliger. 

t ProrLicaDOr, 5.0. qui renverse, deieil, 
defait, met en d6route. 

PnorLicär, ©. @. renverser, detreire; d*- 
faire, mettre en deroute, tailler en piöces Is 
ennemis. 

Pröruco, A, adj. fagitif; errant, vagabosd: 
&chapp® de prison. 

Paorunvino, A, p. p. de Profunder. 

t Prorumoanor, s. m. celui qui approfedt, 
qui examine soigneusement. 

Proyundamtnıe, adv. profondemeni, a 
propre ei au figure. 

Paorumpär, v.a. approfondir: rendre pin 
profond, oreuser plus avant. Enfoncer, pe 
trer avant. (flg.) —, penetrer plus avant, em 
miner & fond, tächer de peuelrer. (em) e. » 
Penetrer avant. —se, v. r. devenir ples mr 
fond ; s’enfoncer. . 


Prorunpeir. V, Profundar. 
. Paogunptza ow baateur, prolosdew. 
Prorunpipäng,s. f. ) une des trois dem 


sions des corps. Profondeur : &endue dus 
chose de la superficie au fond; etiendee dı 
haut en bas; ( ig.) impenetrabilite : se dd 
moral de ce qui est incomprehensible, ds 
mysteres, des desseins de Dieu ; grande, 
etendue de savoir ; &iendue de l’esprit, oic- 

PROFUNDISSIMO, A, adj. sup. de 

Prorünpo, a, adj. prolond : dent Ie lond 
dloigne de la superficie; tres-creur; :M- 
grand, extreme dans son genre (silener, s- 
gesse, sommeil, etc.); d’une grande pee#t- 
tion (esprit); Ird&s-humble (respect, rerereme. 
Abstrus : difficile A entendre,, a comprendre. 

Prorönno, s. m. "profondeur. V. Prefır 
deza. (po6t.) La mort, l’enfer, l’obseunk & 
Penfer. 

Paorüsauenze, adv. profusement, avıı pr 
fusion. 

Paorusiö, s. f. profusion : exces de liberz- 
litö, de depenses. Abondance excessire. 

Proröso, A, adj. profus: qui depense art 
profusion. Copieux,, abondant. 

Procensz, s. f. progeniture, race, ligne, 
famille, descendanis. 
PaoGsnıTOR ‚s. 5. anodlre, aleul. 


% 





PRO 


Proosnitdna, s. f. progeniture . les onfants 
d’ane möme souche. V. Progenie. 

Paöcuz, s. f. (tl. de myth. et de pods.) Pro- 
gne : fille de Pandion, changöe en hirondelle. 
(Ag-) Hirondolle; le printemps. 

*Procnöstica. V. Prognesticapäo. 

Paocnosticacgäd, s. f. l’action de pronosii- 
quer. V. Prognostico. 

Paocnosticin0, A, P. 9. de Prognosticar. 

PRocnosSTIcADÖR,, A, 3. Pronostiqueur : celui 
qui pronostique, qui annonce. 

PROGNOSTICÄR , ©. @. PrFonosliquer : predire, 
faire un pronoslio , conjecturer ; annoncer. 

PRroGnösrtıco, 8. m. pronoslic : jugement et 
conjecture ; signe de ce qui doit arriver; pr6- 
diction d’almanach, d’astrologue. 

Paocxöstico, A, adj. du pronostic; qui pr&- 
dit. 
* Procnöstiquo. V. Prognoslico. 

ProcrÄuMA, 8. m. programme : placard pour 
inviter & un exercice, etc. 

ProGRxpino, p. p. de 

+ Procaepin, v. ». marcher, aller en avant, 
s’avancer ; faire des progres, avancer. 

Procnzssäö, 3, f. progression : mouvement 


en avant; (6. de math.) suite de quantitös en | | 


rapport, de termes en proportion. — ascen- 
denie, de ‚ Progression croissentie, 
decroissante. 

PROGRESsSiVAMENTE, adv. progressivement : 
par progression. 

ProcRESSiVO, A, adj. progressil : qui avance; 
en avant. 

Procr£ss0, 8. m. progres : avancement; 
mouvement en avant; augmenlalion en bien 
ou en mal. Faser —s , gagner du pays, faire 
des progres. 

PROGYMNÄSME , 5. m. (P. us.) COIMmMeEence- 
ment , essai ,&preuve. V. Thema. 

“ Prone. V. Prol, Proveito. 

+ PaonıBknte, adj. 2 gen. et p. a. de Proki- 
Bir. Qui prohibe, probibitif. Lei —, loi probi- 
bitive. 

Paonımıcäö,s. f. prohibilion, defense, inter- 
dielion. . 

Paosıpipo, A, p. p. de Prohibir. adj. Pro- 
hibs ‚ defendu. E exprössamtnte —, il est ex- 
pressement döfendu ; döfense expresse est [aile. 
h PaoBiB1DöR , s. m. celui qui defend, qui pro- 

ibe. 

Pronisir, v. a. prohiber, defendre, inter- 
dire. (inus.) Empecher. - 

Paonisıtivo, a, adj. prohibitif. (6. de med. 
anc.) Pröservatif. 

PaoBt2tTöRIO , A, adj. probibitil : qui de- 
Send. 

Prolz, s. m. ou f. la plerre, l’anncau,etc., 
qui sert A amarrer un navire & terre. Cäble que 
i’on met & la proue pour jeter l’ancre ou pour 
amarrer le navire. 

PuoJecgäö, 8. f. projeciion : action de joter 
en l’air, d’iınprimer le mmouvement & un pfo- 
jeetile ; ( 6. de chim.) action de jeter par cuille- 
see dans un creuset ; jet d'un metal en sablo, 


PRO 957 


ele. Movimenfo de—, mouvement projeetile. 

PaoJectrino, a,p.p. de 

ProJscTär, v. a. projeter : former le pro)» 
de; tracer un plan, un projet. 

PaostcriL, adj. 2 gen. ot 8. m. projectile s 
corps lanoe , abandonn® a F’action de la pesan- 
teur et de Fimpulsion donnee; tout ce qui ost 
lancs avec la poudre ow par des ressoris. 

Paosecrista, 8. 2 gen. faiseur de projeis, 
projeteur, homme & projets. ® 

Pros£cTo, s. m. projet: dessein; plan d’un 
traite,, etc. * Projection. 

Pros£cro, A, adj. Jets, lancs (par un canon, 
un morlier, otc.). Corpo —. V. Projeetil. 

PaoJectöna, 8. f. (tl. d’arch.) saillie, proJeo- 
ture. 

*PaöL,s.m. ou f. profit, utilitd, avantage, 
Homem de — ‚ homme capable , de mörite,, som 
viable, 

PaoLaciö, s. f. prononciation d’une voyelle 
ow d’un mot. (#. de mus.) Prolation : duree de 
chant sur une voyelle; roulade, suite de notes, 

PröLz, 8. f. race, lignde, enlants. 

PROLEGÖNENOS, 8. m. pl. prol&gomenes : on. 
guo et ample preface sorvant A l’intelligence da 
ivre. 

ProL£psE ou prolepse : figure de rhöto- 
ProL£psis, 8. . rique par laquelle on pre 
vient et refute les objections. ' 

PrOLETÄRIO, adj. et s. m. proletaire : qui n’a 
aucune propriei£; indigent. Aufor —, aulsur 
mediocre. Os —s „ les proletaires, derniere 
classo des citoyens ä Rome, qui ne foumis- 
salent que des &nfants pour recruter Parme6e.' 

°ProLrica, s. f. V. Parabem. Prolfaga! tar 
terj. grand bien vous lasse! 

PröLico. V. Tontinko. 

+Paouireno, A, adj. (8. de bot.) proliföre « 
(fleur, etc.), du disque de laquelle il en sort 
d’autres. 

+ ProLiricaciö, u. f. (8. de dos.) &tat des 
üeurs proliföres. 

PaoLssicka , v. a. engendrer des enfanis, 

PaoLinco, A, adj. proliique : propre pour 
la generation; qui a la force, la verta d’enyen- 
drer. 

PROLIXAME£xTE , adv. prolixement, 

PaoLıxmänpe, s. f. prolixite : diffusion, lon- 
gueur, irop grande &tendue du: disoours, de 
’orateur. Attention minutieuse , trop scrupu- 
leuse. 

ProuLfxo, a,.adj. prolize : diffus, trop long; 
trop etendu. Trop scrupuleux, trop exact, mi- 
nulieux. Ennuyeux, importun. 

PröLoco, 3. m. prologue, preface, avami- 
propos; prölude d’une pidce dramalique. (Ag. 
Prelude , lout ce qui sert d’introduetion. 

Pa0Locöuznos. V. Prolegomenos, 

Prorönca, 3. f. " relardement, delei, r6- 
mise. (8. dartül.) Prolonge ow prelonge : c0r- 
dage pour trainer le canon. 

ProLoncagiö, 8. f. prolongation : action de 
prolonger;; temps ajouts & la durse fizo d’une . 
treve, elc. 


958 PRO 


PaoLoncipamkure, ade. plus longtemps, 
pour plus longtemps. 

PROLONGADISSIMO,, A, adj. sup. de 

ProLoncino, A, 9. p. de Prolonger. adj. 
Plus long que large ; allong& , oblong, proleng®. 

ProLoncadöR, A, s. oelui qui prolomge. adj. 
Qui prolonge. 

PROLONGANÄNTO, 8, m. prolongement ı ex- 
tension, continuation d’une portion de l’eten- 
due. V. Prolongazäe. ($. d’analt.) Prooessus, 
prolongement. 

PaoLoncir, v. 6. prolonger : faire durer plus 
longlemps ; 6tendre; continuer (une ligne, 
etc.). (6. de mar.) —, meitse flanc Ad flanc (un 
navire). 

ProLöNcÄR-sE, v. r. se prolonger, au propre 
et au figure. 

PaoLönco, s. m.(t. de maconn.) l’eau qui 
coule par les goutiidres de chaque cöte du teit 
d’une maison. 

PaoLöqtıo, 8. m. ° maxime, axiome, MBN- 
tence , moralil#, dioton. 

"PaoLuxıpäoe. V. Prolisiddde. 

PaoLixo.V. Prolizo ot Perlumo. 

* Paumickn, s. f. toutes sortes do prunes ol 
pruneaux. 

. Paomanan. V. Dimmer, Broter. 

+ Paouzaöpz,s.m. (4. d’hist. nal.) proime- 
rops : olseau sylvain, &popside. — da Nova 
Gwind, promerops & parements [rises. 

Paoutssa, s. f. promesse: Assurance quo 
on donne de faire ou dire; engagement yue 
l’on prend; engagement verbal. Promesse falle 

‚„vau. De osid 0 inferno cheio, 
Penfer est plein de bennes Intentions. 

+ Prougruto, s. m. (4. de myik.) Promeibte, 
fils de Japet; dieu &gyptien. 

. Paonstrau6n, A, 8dj. ots. promelisur : Gelui 
qui promet, 

PRONMETTENENTO. V. Promeltimönto. 

Pnoustrka (a), v. 8. promelire : donner pa- 
role de faire ou dire, s’engager. Assurer. Oflrir, 
proposer un prix. -— mares e moniss, OU Muh- 
des e fundoe, promeiire monts et merveilles, 
beaucoup d’arantages pour seduire, 6lc. — 00m 
volo,vouer, faire un vaau. v. ». Repondre pour, 
eaulionner. 

Prouzträn-se,, 0.7. 50 Promelire, esperer, 
se llatter d’ohtemir. 

Paouxırino, A, p. pa de Promsiier. ad. 


Promis. — om volo, voud, consacre par vu. |' 


s. ın. Promssse. O — d.devido, chose promise 


ehose due, qui premet s’oblige. 
PaAONETTIMRNTO, 5. m. V. 


Paouınkutıa, s. f. prominenoe : ölövation ; 


arancement, Pro6minencs » tat de oe qui est 
en relief ou prodminent. 

PaouınknTE, adj. 2 gen. ent: qui s's- 
lüre an-dessus; eminent, &ior6, qui parati au- 
dessus. Prosiinent : qui est plus en rellef que 
ee qui l’environne (front, nez). 

Oasmscuamentz. ade. confusöment, p6le- 
möke,, ennsmble, indistiastement. 


PRO 


Paoniseuo, A, ads. welt, ol, ar 
pele-mele, mis sans distinctien. Now —, me 
commun au mäle ot & la fomello d’une ospkee. 
(9. g. Y’aiglo, le hareng, ete.). 

Paouissa. V. Promise ei 

Paomıssiöd, s. f. (6. de prai.) Faction de pt- 
metize, proimense. Torte de —, tutre de mr 
mission, terre promise : la terre de Chanses, 
que Dieu arvalt promise aux Isredtites; (Ag. 
pays abondant, fertile. 

Prowissönio, A, adf. (d. de prai.) yai 
ferme une promesse, 

Prosıtränte, a. 0 6. 2 gem. (1. deprei) 
qui promet, qui [alt une promene; gei 1@- 
gage ou oblige. 

Promociö, s. f. promotion : setlen par > 
quelle on &idve, um est ders & une &geit. 
"Office, sollicitation , reqa@te de promoleur. 

ProMONTöRIO , &. m. ptomenteire: tip, 
pointe-deterre dleröe qui s’avanee var a ml. 

"Paoxörto. V. Promeovide. 

PRONOTÖR, s.m. promoisue : qui prend ie 
soin prineipal d’une affbire ; proouteer KuiR+ 
dans une cour d’öglise.— , qui exuite (me et 
relle, eic.). 

+ Paomorenla, d. f. ’ oliee, charge der 
meteur. 

“Paomovsner. V. Promoter. 

Prowov&r (a), v. a. promourvelf: even, 
slever d une dignite. Avancer, poufser en arıd, 
mener ä sa perfection. Solliciter, demander & 
Justice en favear de queigu’un. —0 
a agrieuliura, encourager le commertt, fr 
griculture. 

Paouovino, A, 9. pP. de Promsuer. 

Paouprantutn, ade. prormptement : mi 
promptitade, diligence , rapidite. 

Paoueriwiö, 8. f. ptomptitade : oil, 
vitesse ; diligenee. Vivacit# d’esprit. 

Paouprissıno, A, adf. up. de j 

Pröurto, A, adj. prompt : rapide, fell: 
actif, diligent; tonjours pret ä agir. Prit, wb 
pars, dispos# ä. Attentif. Em-—, promptesienh, 
vite; lont pret, sous la mtin. 

PröNrTO, adv. prompt, vite. Promple' tt 
ponse & Pappel) pr&sent! 

Prourruinıo, s.m. depöt, recuell, pe? 
tuaire; calepfn,, agenda, tableties, eit. 

PaowuLcackö, u. f. promuigauen: 
tion des lois faite avec les formalites requl®: 

ProxuLcin0, A,9.p. de Promiger. 

PromuLcanorn, A, &. oelaf qui promulgtl, 
qui publie. 

PromuLcir, ©. a. promulguer : pablier 'W 
lof)areo les formaliiös requises. Mettre au je, 
donner au public. 

+ Proniciö, e. f. (t. #anal.) Hortunh b 
—, mourement de pronation, par legal ® 
tourne la paume de la main vers la terre. 

+ Pnonanor,, ad. m. (t. dent.) Zur 
ts, musches pronateurs, qui ieerzeni B 
paume de la main vors la terre. 

+ Pronsipäpe, 5. f. (dmms.) Inellantien, PR 


. Paomuscomäioe,, s. f. promiscuitö, m6lange: I chat 





PRO 


Paöno,a, adj. enclin, porie. 

Paonduz, s. m. (1. de gram.) pronom : partie 
du disoours qui tlent lieu de nom. 

PaonoumäL, adj. 2 gen. pronominal : qui 
apparlioeul au pronom; qui 86 conjugue avec 
un pFonom POUF Oxpfimer une Nuance P&SSIYe 


(rebe). 

* Paonderich 

PaONOSTCAR, v. Prognostie., eic. 
Paonösrico,, ete. 
Paoxto, ole. V. Prostpio, elo. 


+ Paönuna, adj. oa. f. — Juno, surnom de 

Junos , qui pr&6sidait aux mariages. 

+ Prönuno, A, adj. qui concerne la noce. 

Anne — , aunean de mariage ‚, alliance, 

Paonöncıa , s.f.V. Prononeiagdo. (1. de pral.) 
Mise en accusasion. — d’umd senlonga, " PFO- 
noned d’un are. . 

PRORUNCAAAO ,s.}. Promoncialion : vocalisa- 
iion et articulation des mois, eic. ; manidre,a0- 
tion de premoncer,de reeiter: c’est une des par- 
tes de la rhetorique. *Prononce d’un jugement. 

PaonumcıÄBO , A, P. 9. do Pronunelar. 

PRONUNCIADOR , A , 3. celui qui PFOnence. 

PsoncncaAr , 9. 6. prononcer : prolörer, arli- 
euler; döclarer bautement, avec autorits; de- 
eider, ordonner, proferer (un jugement, une 
sentence). ( Ag.) Aunencer, prödire. 

Propacackö, 8. f. propagalion : maultiplica- 
tion par is göneralion ; exiension, progress, aL- 
croissement, d6veloppement; ( g.) se dit de la 
foi, des lamiöres, etc. 

Paoracipo, A,P. 9. de Propagar. 

PaoPa@anDOn, A, 8. pFopagaleur: qui opere 
la propegalion,, qui propage. — de pairanhas, 
semeur de faux bruits. 

Pnoracäa,v%. 6. muliiplier par la generation. 
?ropager : dtendre, augmenier, semer, r&öpan- 
iso. v. ». Se propeger, se multiplier par la g6- 
#ration. 

Proraskn-38, u. f. se propager, s’siondre, 
8 enter, so 1e. 

PROPAGATIYVO, a, adj. qui propage ‚multiplie, 
vend , repand. 

Prorkonu „e. f. (p.83.)" provignement, pro- 
Ig. V. Mergulkis. (1. de bei.) boutare;; reieton. 

“Prnoraızäö, s. f. passion preiongte. 

PROPALÄDO,A,P. 9. de 
+ Paorauhrt, v. e. tbrailer, publier, dival- 
ner ce qul doit ötre secret. 

Prorio, 8. m. (t. de mar.) sorte de galerie 
ır Je tllac des bätiments. V. Prepdo. 
Paorenȣfa (pers), v. n. ineliner, avoir du 
mebant pour; pencher, etre porie vers. Hsis 
wwnesde perss ce jeune 
smmne incline & ja döbauche. 
PnorEusauiutTE, ado. aYon propension,, avec 
mebant. 

Paormnsäö, s. f. propension, penchant, in- 
nation. 

PrOPSWSO , A, adj. sujet, enelin, ports &. 
Paoesecia, 8. f. prophetie : prediclion de 
apa futmres, par inspiration divine; predie- 
n bonne ou mauvalss; chose prophitisde. 


PRO I yE 


- Pnopn@ra, 5. m. prophöte.: qui predii Fare- 
nir par inspiration divine, qui a le don de pre- 
phetie ;(Ag.) celulquipreditpar conjecture,etc, 
Celui qui (parmi les Juifs) ohantait les louange s 
du Seigneur, qui annongait sa doetrine. Nin- 
guom d — na sus lerra, (pro®.) personne, nu) 
n’ost prophöte en son pays. 

Paorazrän, V. Propkeiiser. 

Paoru£ricamäntz, adv. prophöliquement : 
ea propböte. 

ProrB£rico, A, adj. prophetigee :s qui est du 
propheie, qui en tient. 

Paornkzriza, s. f. prophetesse: femme qui 
predit Pavenir par inspiration divine. 

PaorazTizino, A,p.p. de 

Paoraemzin, ©. a, prophötiser : prodire !’a- 
verir par inspiration divine; ( Ag.) preveir ot 
predire (un &vänement, eic,). Anweneer, chan- 
ter les louanges da Seigneer. ('ost une exprbs- 
sion biblique. 

ProrurLäÄcrtica, 8. f. prophylactigue : tweilb 
sur la maniärg de conserver la sante ; hyglötte. 

ProravLicteo, A, adj. propbylactigus 
(remdde) qui entrelient, defend ta sante. 

Proricıacäö, 5. f. l’aetion agröable d Diews 
qui meus lorend propice. Baeriise de propflis- 
tion pour apaliser la colöre de Diew, pour io 
rendre propice, 

Prortcsino, A, P. 2. de Propieiar. 

PaoPiciadOr, A, aüj. et s. quirend pruploe, 

+ Prorictamente, adv. d’une maniere pre+ 
pice. 

PaoPfeiar, o. a. rendre propfoe, apalser fa 
oolere, etc. 

ProPicıaTörto, A, adj. propitistoire : qui 
sert ä rendre propice (sacrifice, offrande). 

PrortciATörIo, 8. m. propitiateire : table d’®r 
au-dessus de V’arche d’alliance. (Ag.) Les ten 
pies, tes saints , otc., tout cu qui sert & nous 
rendre Dieu propice. 

Proricıo, a , adj. propiee,, Taverable. 

Prorina, s. f. collation due aux membrus 
d’ane universit& qui assistent A l’examen,, & lg 
these d’an cendidat: elle est conreriie en am 
gent ; retribation universitaire. *Potdevin dans 
un marche. * Rmoluments casuels. (}. de prei.) 
Epices. 

Prorınacäd, s. f. action de prösenter & beire. 

ProrinÄvo, A,9.p. de mar. 
AehPmormaner ‚5. m. celui qui presente 

re. 

Pnormir,v.a. boire le premier da vin qu’og 
offre dans les sacrifices. Donner ow pt@senier ä 
boire (du poison, ete.). Boire & fa sante de. 

Pnorinuuasente,ade. proche, prös,aupr&f. 

Prommgruimäpe, 8. f. proximits, et surtous 
parente. 

Proringuo ,A,ad/. proche ‚volsin, prochain; 
parent, allie, intime. " 

ProrontuTe, adj. et 3. m. proposant, qui 
propose. 

ProrPör, ©. a. proposer, exposer, dire, dee 
elarer; offrir; meitre en avant pour delfberen 
(une matiöre, etc.) ; dösiguer, prösenter (yutl; 





98 PRO 


qu’un pour une place). (de) Avoir Pintention, 
lo projet de; prometire de. Proponho firme, 
wonte, jo fais un ferme propos. 

PaOröR-SE (6), 9. T. se proposer, avoir des- 
sein de, envisager. 

Paoroacäö, 3. f. proportion : convenance et 
rapport des parties entre elles et aveo io tout; 
6galild entre deux rapporis en mathömatiques; 
convenance des choses entre elles; mesure de 
la qualite relative; ($. d’aris) formes, dimen- 

ns balanoses, en harmonie enire elles. Ap- 

ade, disposition. 4’ — , äproportion, selon; 

a fur et A mesure; en proporlion. A’ — que se 

4uliivdo as schencias, selon quo les sciences 
sont cultivees. 

PROPORCIONÄDANENTE, ade. proportionnd- 
Bent : par ow avec proportion,, & proportion. 

PROPORCIONADO, A, P. p. de Proporeionaer. 
Äj. Proportionne, propre, oonvenable. 

PROPORCIONADÖR, 3. m. celui qui propor- 
tionne, qui met en proportion. 

ProroncionäL, adj. 2 gen. proportionnel : 
qui est en proportion avec d’autzes. 

PROPORCIONALIDÄDE, 3. f. proportionnalite : 
68 qui rend proportionnel. 

PROPORCIONALNENTE, adv. proportionnelie- 
ment:aveo proportion ; d’une maniere propor- 
tionnelle. 

PROPORCIONAR (@, COM), v. a. proporlionner: 
garder la proportion et la convenance neces- 
saires; meitre en proporlion, reduire ow ac- 
eroltre en proportion. Approprier, ajuster, ren- 
dre propre, oonvenable. Faciliter, procurer. — 
a despesa com as suas rendas, mesurer Ba d6- 
pense & son revenu. 

PaoroacıonÄa-sE (para), v. r. se rendre 
apte pour... (a) Se conformer 4... Proportion- 
ner ses enireprises A sa capaoilö, & ses moyens. 
So prösenter. (fam.) Se se proporcionar ocea- 
sido, si V’occasion se presente. 

+ ProPoncıonÄvaL, adj. 2 gen. qui peut se 
proportionner. Proportionne. 

Proposıgäö, s. f. proposition : &noncialion, 
discours qui affrme ow nie; chose proposee 

ur en deliberer; tbeoreme et problöme. 

höse, position, question ä discuter. 

PaoPpösıto, s. m. dessein,, propos, r&solution 
determinde. Propos, discours, sujet, maliere 
dont on traite. Jugement, prudence, circon- 
spection. "Commodite, aptitude. V. Preposito. 
A—, & propos, dans l’occasion; convenable- 
ment au temps, au lieu, aux personnes, etc. 
De —, &dessein, exprös, de propos delibere. 
Föra de —, hors de propos, hors de raison. 
Homem de —, homme rellechi ow rassis. 

Prorösta, s. f. proposition , offre. Consulta- 
tion. Representation, expos6 fait ä un superieur. 

ProPpösto, A, p. p. de Propor. s. m. Pre- 
post, commis & quelque chose. V. Caizeiro. 

PnüprztTön, 5. m. propreteur : qui avait &t& 
preteur; qui en avait l’autorite. 

PROPRIAMENTE, adv. en lermes propres; dans 
le sens propre;; convenablement, proprement. 

PaOrRIEDADE, 3. f. propriets ; domains; chose 


. 
- [ Du 


PRO 


possed6e ; droit par lequei une chose appartien 
en propre ; bien fonds; qualite, vertan des pa» 
tes, eic.; ce qui appartient & une chose, la 
distingue ; sens propre d’un mot. (Ag. Coar- 
nance, proportion, justesse. * Panchant nala- 
rel, inelination. Ressemblance , Imitation par- 
faite. —, vice oppos6 & la pauvret# religieuse. 
—s, pl. (1. de mus.) ınodes de la musigoe dass 
le systöme de Gui d’Arezeo. Ndo pessuir nals 
em —, n’avoir rien en propre. 

+ PaoPkıgTänıamente, edv. par droit dee 
priöts , en proprietaire , en propriöte. 

PaoPpniErirıo, A, adj. ei s. propridsit: 
qui possede en propre. Religieux qui peche 
contre levau de pauvrets&,, qui posssde que- 
que chose en propre. 

Prorniissino, A, adj. sup. de 

Prörkıo, A, adj. propre : qui appartientet- 
elusjvement &; möme; naturel, qui coarien 
specialement & ; qui peut servir ä, convenabb 
&,convenable pour; qui a de l’aplitude d; pt 
tieulier, personnel. Semblable, ressembissk 
Propre. On le dit da nom partieulier d’une per 
sonne. 40—, avec propriete. Elle —, ä-, 
lui-meme, soimeme. Em —s terms, air 
pres termes. . 

Paörrio ,s. m. propre : qualite parlicale 
ä, attributessentiel. Biens immenbios. Copa, 
fonds. Expres, courrier, messager. —, fl 
biens que la couronne, un corps de ville, HK 
possedde en propre. 

PROPUGNÄCULO, 5.1. *[orteresse, place [ortt, 
eic. (fg.) Rempart.. appui , defense, soutit®. 

T Propucnanor, 4, s. delenseur, proletiee. 

+Paorucnin, vo. a. combattre pour la de 
fense , defendre. 

+Prorutsiö, s. f. (t. de bol.) propakm, 
mouvement des sucs. 

ProPULSÄR, v. a. (P. us.) repeusser (rest 
mi,etc.). V. Repellir. 

Paorr’L2o, 3. m. (6. d’ent.) propyke: # 
ristyle & colonnes ; parvis , porche d’us teap 

ProsäTa, adv. au prorata ; au marc ie fait 

Pronipo. V. Prwido ow Pruride. 

Prorocacid, 5. f. prorogatien : delai, m 
mise d’une affaire, etc. ; temps donnd au del 
du temps prefix. 

Prorocino,A,p.2.de 

PnonooÄR, v. 6. prOroger : prolonget, Te®- 
ler le temps prefix.—e jurisdicgäe, (1.de prei! 
se soumelire & un juge inoompeten! dans us 
contestation, etc. 

ProaocaTivYO, A, adj. prorogalil : qei Pr 


roge. 
t Pnonoolvat, adj. 2 gen. qui peut tirept* 
roge. 
Paonour£n, vo. ®. sortie avec violence, i2- 
petnosits. V. Romper. — em gemider, en ir 
grimas, tclater en gömissemenis, fendre &® 
larmes. BR 
Pnösa, s. f. prose : discours non asaujeüi! 
la mesure, ä la rime. (g.) * Babil, eoquek '- 
Labia. Ter mwiia —, ( Ag.) porier beaucosp © 
avec facilite, re un grand parleer. 





vn \ wu.“ 


wa 


PRO 


Paosan OR, s. m. prosaleur, &crivain en prose. 

Paosiıco, A, adj. prosalque:: qui lient trop 
de la prose. 

Prosirıa, s. f. lignee, race, famille. (fam.) 
*Orgueil, fert6, prötention. 

Paoscknıo, 9. m. (8. d’ani.) proscänium : 
partie du ıhöätre oceupee par les acteurs. 

ProsckEvÄr, 9. @. proscrire: condamner & 
mort sans formes judiciaires; chasser, &loi- 
gner; an&antir, abolir, detruire. 

Psoscaırgäö, s. f. proscription: action de 
proscrire; condamnation & mort sans formes 
judicieires. 

Paoscairto, A, 9. p. irr. de Prosersver. 
adj. et s. m. Proserit : qui a &16 frappe de pro- 
scription ; banni; dcarte de l’usage. 

ProscaıPTOR,, 5. m. proscripteur, qui pro- 
scrit; auteur de proscriptions. 

Prosscugäd, s. f. Paction de poursuivre, de 
continuer, poursuite. Observation,, execution. 

Prosscuicäö, 8. f. poursuite, continuation. 

ProszGuino, A, p. p. de Proseguir. 

ProsecuinönR, A, 3. celui qui poursuit. 

PROSEGUIMENTO , 5. m. “ conlinuation,, suite. 

Prossctir, v. #. poursuivre, continuer. (em) 
v. ». Continuer, avancer. 

PaosgeLrrisuo, 3. m. proseiytisme : zeöle ä 
faire des prossiytes. 

ProstLyro, s. m. prossiyte: idolätre qui se 
Saisait juil; nouvesau oonverti & la foi chre- 
tenne; nouveau parlisan. 

t Puosanrina, 3. f. (6. de myih.) Proserpine: 
femme de Pluton. 

+ Pnoszarımäca,, s. f. (8. de bof.) "proserpi- 
naca : plante cereodienne. 

ProsıLLocisuo, s. m. ($. de log.) argument 
qui contient deux syliogismes. 

PROSLABÖNENOS, 6. m. (#. de ws. anc.) T6, 
note de musique. 

Pnrosöpta, 5. f. prosodie : prononciation r6- 
guliöre des mots sonlorm&ment & l’accent, ä la 
quantits. °Diclionnaire, vocabulaire oü les 
mois sont derits avec les accents prosodiques. 

Pnos6pxoO, A, adj. prosodique : de la pro- 
sodie. 

+} Prosorocrapnia, 5. f. (f. de rAdl.) proso- 
pographie : description des traits,, du maintien, 
de la figure. 

Paosoropkıa, s. f. prosopop6e: figure de 
rhetorique par laquelle on fait parler un per- 

sonnags® feint, un @tre inanimed; figure qui con- 
siste A pröter aux @tres inanimös le mouvement, 
Je sentiment, & leur adresser la parole, & la 
leur preter, & supposer presents des personna- 
ges absents, des morts, etc. ( fam.) Ostentation, 
faste , affestation dans le discours, elc. 

Prosp£cro, s. m. prospectus : programme 
qui annonce et decrit un ouvrage, un diablisse- 
zuent nouveau,. 

Prosrzrino, A, P. p. de Prosperer. adj. 

Qui a prospere. r 

PROSPERADOR, A, adj. ots. me. ani fait PFO- 
sp£rer. 

FORT Ta 


PRO 961 


Paöspzaamäutz, ade. heureusement, aveo 
prosp6ritö, avec suceds , & souhait. 

Prospzain,, v.a. faire prosperer, favoriser, 
rendre heureux. o. m. Prosperer : avoir la for- 
tune favorable, un heureux succes; &tre heu- 
reux. 

PaosPERipÄnE, 8. f. prosperite : #tat heu- 
reux; bönheur, bien-@tre. 

Paospzkissimo, A, adj. sup. de 

PaösrERo, A, adj. prospere : favorable au 
succ&s ; heureux ; propice. 

PROSTAPHERESE,, 5. [- (4. d’asir.) prostaphs- 
rese : dilferenoe entre le lieu moyen et lo vrai 
d’une plandte. 

Prostarneaıco, A, adj. (8. d’asir.) de la 
prostapheöröse. 

Prostäin. V. Prosirar. 

PröstaTa,s.f. (l. d’anat.) prostate : corps 
glanduleux & la racine de la verge. 

TPaosTtärıco, a, adj. prostatique : de la pro- 
state. 

ProstErnacäö, 8. f. "prosternement, pro- 
sternation. 

ProstErnäDo, A,Pp.p. de 

PROSTERNÄR, v. a. humilier, soumelire, assu- 
jettir. V. Prostrar. 

PROSTERNÄR-SE, ©. r. se proslerner : s’abais- 
ser en suppliant. V. Prostrar-se. 

PROSTERNATIYO, A, adj. qui humilie, qui 
soumet, qui assujettit. 

+ Paösruesg, s. f. (#. de chir.) prosthese: 
action d’ajouter une partie artificielle, une 
jambe de bois, un ail de verre, etc. 

PaosrisuLo, 3. m. prostibule : lieu de prosti- 
tution, de d&bauche. V. Putaria, Bordel. 

° Paostıutina. V. Postimeira. 

Paostıruiciö, s. f. prostitution. 

Paostıtulno, aA, p. pP. de Prostileir. 

Paosriruipoa, s. celui qui prostitue. 

Paosritufs, v. a. prostiluer : livrer & !’impu. 
dicil6 d’autrui (sa femme, ses enlants); avilir 
(sa dignits,,son talent). 

PaosTıruin-sE, 9. r. se prostituer, se livrer 
& la prostitution,, faire folle de son corps; (fig.) 
se devouer lächernent A la faveur, eto.,, so lais- 
ser Corrompre. 

Paostırüra, 8. f. prostituse : femme, file 
qui fait mötler de Pimpudicite. 

Pnostnaciö, 8. f. prosternation , prosterne- 
ment. Prostration : perte de forces; [aiblosse , 
abatioment. 

Paostripo,A,p.Pp. de Prostrer. adj. Pro- 
sterne. Abattu, faible. (6. de bot.) Couche, ren- 
versb. 

+ Paostnapor, A, 5. celui qui humilie. 

Prostair, v.e. humilier, soumeltre, assu- 
jettir. Abatire, renverser, detruire. Affaiblir, 
tnerver. Deoourager. 

Pnosträn-SE, 9. r. se prosterner : s’abaisser 


| en suppliant; se jeter & genoux, aux pieds de; 


s’abaisser jusqw’ä terre. S’affaihlir. So döceu- 


rager. 
ne Pnosrontıno, V. Postumstiro. 
Paosurron.V. Preswupper, . 
4 





662 PRO 


PROTAGONISTA, 8. m. protagoniste : premier, 
principal personnage d’une tragedie. 

ProTÄse ow protase: parlie qul eontient 

Paoräsıs, s. f. ) l’expositian du sujet ( dra- 
malique); exposition., 

t Pnotärıco, A, adj. prolatigue (person- 
nage), dans l’exposition. 

ProTeccäid, s. f. protection : action de pro- 
{eger ; appui. secours, aide. *OMice, charge de 
protecteur. V. Prolector, Busear 3 — d’alguem, 
so melire sous la sauvegarde de queiqu’un. 

PROTECTIVO, A, adj. qui prolege, protecteur. 

PROTECTÖR, 8. m. proteoteur : defenseur, qui 
protege. — , ohef de la republigue anglaise ; 
titre d’un cardinalcharge, ä Rome, de defendre 
certains interfis dtrangers. 

PROTECTÖRA, 8. f. protectrice : femme qui 
defend, qui protege. 

?T PaoTectToräno, 8. m. protectorat : fonc- 
tions de prolecteur. 

? Pnotecroria, s. f. qalile de protecteur. 

PROTEGER, v. a. protöger : prendre la defense 
de; donner protection & ; appuycr, soutenir les 
intere@tis de. 

PrOTEGIDO, A, p. p. de Profeyer. adj. et s. 
Protege. 

ProTEIFÜnNME, adj. 2 gen. (l. de pods.) pre- 
telforme, irregulier. 

f ProTeLäg, v.a. (P. us.) chasser, pousser 
au loin. V. Repellir. 

ProTenn£n-se. V. Estender-se, Dilalar-se. 

ProTt£o, s. m. (l. de myth.) Protse:dieu ma- 
rin; {fig.) celui qui change continuellement 
de forme, qui joue toutes sortes de person- 
nages. 

ProTERVIA, 8. f. ellronterie, impudence, in- 
solence. 

PaoTERYO, A, adj. ellronts, impudent, inso- 
lent, arrogant, audacieux. Lingus —a, langue 
venimeuse. 

Paot&sta, 8. f. V. Proteste. 

PROTESTACAO, 8. f. protestation : tömoignage 
public; declaration publique, jJuridique, de sa 
volontsö, de la röserre que l’on fait de ses 
droits ; PFOmesse, assurance positive. V. Pro- 
Kesto.— da ft, prolession de foi : deolaration 
publique de sa croyance. Formule rödigee par 
le concile de Trente, qui eontient les verites & 
croire et & ensoigner. 

Protzsrino, A, 2.9. de Protsstar. 

PROTESTADÖR, A, 8. celui qui proteste. 

PROTESTÄNTE, 8. 2gen. prötestent: lutberien, 
calviniste, anglican, religionnalre; chretien 
qui meconnatt le pape. Celui qui protesie uns 
lettre de change. 

PROTESTANTISMO, 4. m. protestantisme:seots, 
croyance des protestants. 

PAOTESTÄR, v6. a, protester : assurer forie- 
ment; promelire posilivement; deelsrer juri- 
diquement; faire une prolestation oonire; faire 
un prot£t. Faire sa profession de foi: confesser 
publiquement sa csoyanos. Nenaser. — ums 
jeira de cambio ‚ proioatee une leise de cbsuge, 


PRO 


Paoressariro, a, adj. qui cancerne la pro- 
testatlon. Qui rend tämoignage; alfirmatif, 

Paor£sro, s. m. ° protestauon : döeclarsiisn 
par laquelle on protesie ; promesse , assurante 
positive. V. Prolestaplo. — das leiras, (1.de 
comm.) prol&t : acle de recours contre les em 
dosseurs de billeis, ete. 

+ Pnörmese, s. f. (l. de gram.) proibite: 
addition faite & un mot, Ex. : Gnarus pour ne 
oris. V. Prosthese. 

Pröro, mot grec qui sıguifle premier ; len 
tre dans la composition de plusieurs meis por- 
tugais. Proto, premier, en chef, 

PröTO, #. m. prote d’imprimerie. 

+ Prorocanönıco, A, adj. protosanonigee. 
On le dit des livres sacr&s qui &iaieni reconnm 
pour canoniques, m&äme avant qw'il y oht des 
canons. 

ProTocöLo, 8. m. protocole des nolairs: 
registre qui contient tous leurs actes. Prois- 
cole, minule d’une conference diplomatigae. 

ProrTocanista. V. Protsgonisie. 

PnOTOMÄRTYR, 8. m, protomartyr, premie 
martyr (St.-Etienne), 

PROTOMEDICÄATO, 5. m. tribunal medical. 

ProTom£oıco, 8. m. protemedeelin, premier 
medecin du rei, 

ProTonäura ‚s.m. premier navigateur. (ei.) 
Amiral. 

Pnoronorirıo, 8. m. protonotaire : ofkcit? 
de la cour de Rome, qui a la prö6minence set 
les autres nolalres. — apostolice, protemelirt 
apostolique : dignits accordee par lo pape art 
certains privilöges, 

ProTorAPa ouPrOTOPÄPAB, 6: 30. PROISPFF: 
premier prötre gree. 

PROTOPATRIÄRCHA, 8. me. premier patiarcht. 

PaoTopLisTo, s. m. qui a db formen cr 
le premier, comme Adam. 

Paororassuz, s. m.(p. wo.) premier prüd 
Pr ROTÖTYPO, #, 30. prolalype ı original, me 
®. 

Prorvpeaincıa, 8 fı (i. d’anai.) protab- 
rance : Eminence, avancament, 
d’une partie osseuse ou charnue. 

*Provucußa. V. Aprouver, 

Paöva, s. f. pfeive : ce qui &tablit la rend 
d’an fait, d’une proposition ; margque, Km 
gnage; (t. d’arith.) verifieation d’un caleıl. 
Preuve faite en Justice. * Essai, &preuve. Mos- 
tre, öchantillon. *Essal d’un habit neaf. Bpreore 
@’imprimerie. Repetltion : exereice, essai aranl 
er v, Pe d—,ä löprenn 

rovacäd, 8. [. probation : terupe du nel" 
eiat; preuve,, &preure. V. Provs, 

Provido, A,p. pP. de Procar. 

PaovapoR, A, 8. celui qui &proure, qul e% 
une, Tu Bote. u de 9 eic., &@ 


+ Paovanöxa, 8. f. 6preuve, essal. 
Paovicae. V. Propagem. 
Proväng, 5. /. preuve juridiqwe, vöridcı 

tion. 4, Pi. premves de nebleuse, V. Prove. 
Paovän, 9.0 promver ı Htablig la viritäde- 


en. + 








m— 0 -o 


PRO PRO 9 


pät des ralsonnements, des lärhöighages M- 
contostables, des pidces jJustiflcatives, des eu- 
toriles. Eprourer : essayer la bonte, la qualite 
d’une chose, les talents d’une persenne. Es- 
sayer : öprouver si une chose convient, s’ajuste 
avco une auire. Goüter: faire l’ewai d’un mels, 
etc. ;ddguster. Souffrir, endurer. v.». Röuseit, 
conrvenir, s’adapter, &tre & propos, produlre 
l’effet desire. Dans ce sens Il s’emploie avec les 
adverbes dem ou mal. — a parientia, mettre la 
patience & l’e&preuve. — as armas, as forg@s, 
€prouver les arınes,, lesforees, au propre ei au 
figure. — sua innocencia, se laver d’un crime, 
s’en justifler, prouver, &tablir son innocence. 

Provän-sE, ©. r. Se prouver: @ire, pouvoir 
eire prour®. 

Paoviver, adj. 2 gen. probable, vraisem- 
blable. Qui peut se prourer. 

PRrOväYELMENTE, adv. probablement, 





















Paovanaio , 3. m. pieverbö : SChlsnen , 
waxime commune et vulgeire em peu de mais. 
Os —t, pl. livre des Proverbes, un des lives 
canoniques, 

Provaasisrä, 6 m. celul qui emplele frd- 
quemment des ebes. 

Provärz, 0. m. (6. d’artil.)* sprouvelle ı Mi: 
chine pour dprouver la poudre. 

* Prevkuno. V. Provide. 

° Provtia. V. Pnbreze. 

‘ Provıcia. V. Publicer. 

“Prövıco. V. Publico. 

* Paovico. V. Pobresinhe, 

*Paovico. V. Previse. 

PrövmauAxte, ade. avec prövoyanen; sel« 
gneuserment, diligemment. . 

Pnrovidencıa ,s. f. prevoyance : l’sclion de 
prevoir, de prendre des precautions. * Moyen 
ermploy& pour remedier & un accident fächeus, 


*Prövs, ete.V. Podre, etc. eic,; expedient, Providence : sagesse supreme 
*Praovscck6. V. Blevapdo , Exaltardo. de Dieu conduisant toutes les choses; Dieu; 
RaovscrissinO, A, adj. sup. de €tat, ordre actuel des choses. Dar —, ou as —, 


Paov&cro, a, adj. avancd en Age ow dans 
une science; (fg.) dans la vertu. 

Provapon, 5. m. provediteur, tilre de ma- 
gistrat en Portugal. Pourvoyeur. — duma ar- 
made, msitze d’tquipage. 

Paovaoona ‚8. f. lomme qui peurvoil, 

Paovsoonia, s.f. eharge de provediteur; SON 
Iursau ; dtendue de sa juridiction. 

“PROVERNGA, 

*Pnovz£r, eic. | Y. Provenga, ete. 

Paovtıto, s. m. profi, gain, benefice; uil- 
lit, avantage; progres dans lcs solences, OlC. 
Bem—! grend bien vous fasse! Fazer —, pro- 
ter : ötre utile, proßtable. De Judo fira --, il 


pourvoir ä, prendre les mesures. 

Pa0OYiDENCIÄDO,, A, P. P. de Providenciar. 

PaovinenciäL, adj. 8 gem. provideniiel : de 
la Providence. Prevoyant, qui a de la prö- 
voyance. 

Pnovinencıäa, v. @. employer des mesures; 
pourvoir &. 

PROVIDENTE ‚adj. 2 gen. prevoyanı, aviss, 
prudent. V. Prövide. Provident, qui prevoit es 
Peurvoit. Deos d —, Dieu est provident. 

PROVIDENTEMENTE , adv. avec prevoyance. 

Proviınanzissimo, A, adj. sup. de Proti- 
dente. 

Paövipo, A,&adj. prevoyant: qui a de la prc- 


prend avantago de tout, voyance; qui psevoit l’avenis; soigneux, qui 
Puovsırösaukate, ade. utilement, avania- pourtoit. ’ ' 
geusement, Provino, a, 9. p. de Prover. Pourvu,, fourni. 


Paovst0so,, A, adj. proßtable, utile, avan- 
tageux , salulaire. 

+ Proviuca, s. f. (6. de göog.) Provenoe : 
sneienne province de Prance. (auf.) V, P 
dancie es Provi i 

+ Paovancän, ady. ot 3. 2 gan. Provengal, de 
la Prorasce. 

° + Paovtnnı, 4. f. provende : provision de 
vivres. 

Paovsnılnte, adj. 2 gen. provenant, gu 
yrovient, qui lire son origine. p. a. de Provir. 
*Prov&sto,s.m. produil, revenu, rente. 

Pnovia (a, com, de,em),®, a. pourvoir, Mu- | portante. 
nir, garnir; donner ordre & wuelgue chose; | Paovincali,edj. 2 gen. proyincial : de pr%- 
eonförer un emploi, ete.; Tournit, subvenir. | vince, 

Admettre un pourvol eh Justice. Paoviınciı, s. m. provinciel : seperiour 

Paov&x (a, em), v.n. pourvoir A queique | d’üne province Poräre. 
chose; avoir soin de; s’occuper de, velller &. ProvincıaLino, 8. m. prorineialat : dignftö, 

Paov£a-se (de), v. r. se pourvoir, se fonr- | charge de provincial ; durde de ses Tonetlons. 
nir, se munir (de provisions, etc.). Se nantir, | Provıncıäno, A } adf. et s. prorinciel : de 


se pourvoir par precaution. rovince ; bomme de ince. 
Paoveanılı, adj. 2 gen. proverbial:yul tie! „ePhortac, ads. V. Propinqus. 6. V. Peren- 
t ‘ 


du proverbe. . 
Provin (86), v. ». venir, , re von 


PaovsasıiLuänte,, ado. proverbialement : 
Fme maniieo provorbleie, origtue ; ptoodder, Eigener, Agrivar, 
Br . 


Boignet. 

Prorim&rro,s. m. approvisionnement: four- 
niture de choses necessaires & une ermee, & 
une ville; vivres, provisions, munitions, ete. 
* Administration, sein, surveillence sar l'ob- 
servation dos lols. (an4.) * Prevoyance. -— de 
oflcio, "provision d’an emplot. 

Pnovincıa, » f. province : partie constdera- 
ble d’un royaume, etc.; reunion de plusieurs 
couvents sous un provincial. (anf.) * Distriet, 
etendue de juridietion. (Ag. Pp. ws.) Charge, 
commission, intendance ; affaire grave et In- 


96% PRO 


Provisäö, s. f. provision : amäs et fourni- 
ture de choses necessaires ow utiles pour la 
subsistance d’une maison, d’une place, et pour 
sa defense; droit de pourvoir & un be6nefice, 
etc.; lettres de chancellerie, ete. (ig.) Econo- 
mie, ordre,, r&gie dans la depense. (f. de comm.) 
Fonds nöcessaires pour payer uno lraite. Faser 
— de..., Kapprovisionner de... Faser — eM..., 
sconomiser. —de mankı ‚de viores, avr 
taillement, approvisionnement de vivres. 

PaovisionäL, adj. provisionnel : qui se fait 
par provision ; provisoire. 

PROYISIONALMENTE, ade. provisionnellement: 
par provision , provisoirement. 

Paovisionkino, s. m. pourvoyeur : qui falt 
les provisions; munitionnaire d’une armee, 
eie. 


Proviso. V. Previso. 

Provisön, s. m. vicaire-general charg6 de la 
eollation des benefices, etc. ; ofMcial. Proviseur, 
pourvoyeur. V. Provisioneiro. 

Pnovisöra, s. f. &conome dans un couvent 
de filles. 

+ Provısonäno, s. m. *oflicialild: juridic- 
tion ‚ tribanal de l’official. 

Provısoria ,s. f. * emploi, dignite de vicaire 
general. V. Provisorado. Provisorerie, charge 
de proviseuf. 

Pnovisörniau&nTte, adv. provisoirement. 

Pnovisörıo, A ‚adj. provisoire. 

Pnovisto. V. Previsto et Prevenido. 

Provocacäö, 5. f. provocalion : action de 
provoquer; ce qui pfovoque. 

Paovocipo, A, pP. p. de Provocar. 

Provocanon , A, adj. ei s. qui provoque , in- 
cite , suscite des querelles. 

ProvocinTE, adj. 2 gen. qui provoque. p. @. 
de 


Provocir,, v. @. provoquer, inciter, exciter, 
harceler; irriter par des injures, ee. (1. de 
med.) Causer (le sommeil, etc.). Mouvoir, por- 
ter, exciter. (ant.) V. Apellar. 

Paovocäa-se (a), v.r. siexciterä. - 

PROVOcCATIVO, A, adj. qui a la vertu de pro- 
voquer, qui excite. Agagant: qui agace, excite. 

Pnovocartönıo, A, adj. qui provoque, qui 
irrite ; insultant ; de del. 

Paouvea. V. Agradar et Prazer (verb.). 
Prowvera a Deos! plüt ä Dieu! plaise dDieu! 
Dieu veuille ! fasse le ciel que! 

PnoxEntta, 3. m. proxeneie , eniremetlteur ; 
eourtior. 

ProxımiL, adj. 2 gen. (p. ws.) du prochain, 
envors le prochain. 

Pnoximau£nte ‚adv. rösemment, dernidre- 
ment, depuis peu. Tres-prös. Prochainement. 

Proxıminäpe, s. f. proximilö: voisinage; 
parenie proche. Charite envers io prochain 
(p. us.). A’ — , A poriee, tout prös. 

+ Ppoxınista, s. m. (p. us.) homme chari- 
table, qui aime son prochain. 

Paözıno, A, adj. proche, prochain, voisin.O 
anno — passado , l’aunse derniere. OD anno — 
faturo, annce prochaine, Ester — a, @tre Ala 


PSA 


vellie de, dire sur le point de. Occasiäe -«, 
oecasion prochaine. 

Paöxımo, s. m. je prochain, son semblable. 
Näo ter —, ne connaitre point de prochain, 
avoir le omur dur. 

"Paü. V, Prego. 

Paup£scıa, 8. f. prudence : verta gui lat 
oonnaltre et pratiquer ce qui convien! dansla 
oonduite; discernement de ce quiil laut faire 
ou ne pas faire ; verlu qui fait agir en Conse- 
quence de ce diseernement; pr&voyance rai- 
sonnable ; sagesse, ciroonspeclion- 

PaUDENCIÄDO, A, P. p. de Prudencier. 

PRUDENCIÄL, adj. 2 gem. qui appartien! ä la 
prudenee, prudent, fait avec prudence. 

PRUDENCIALNENTE, adv. prudemmen. 

PRUDENCIÄR , 9.9. user de prudence, a0! 
prademment. 

PauD&nte , adj. 2 gen. prudent : sage, arik: 
qui a de ls prudenoe ; conforme ä ses 

PAUDENTENERTE,, adv. prudemmen! : at 
prudence ; mürement. . 

Paooentissino, A , adj. sup. de Prudel. 

Pruloo, s. m. prarit : dem ison vitd; 
demangesison , chatouillement agröable. ü.}. 
pP. 

Pavia, ©. @. causer un prurit, une demat- 
gesison. v. ». Demanger, &prouver des dimat- 
geaisons ; tiüller, chatouiller. 

+ PauiveL, adj. 2 gem. chatonilleus, seasihb 
aux chatouillements, aux titillations. 


Paünma. 
V. Pluma, ei. 





Prumapa. 

PaUMAGEN. 

Pnuuo, s. m. plomb de macon , de charper- 
tier, etc. (1. de mar.) Plomb de sonde. — ger 
de, (id.) plomb pour les grandes sondes.-& 
mäo, (id.) petit plomb de sonde. Deilar ı-. 
(id.) sonder. A—, d’aplomb. Ander, ir con 
— na mdo , aller bride en main: procdder 21% 
reflexion ; peser, examiner avec sein. 
u Paun£ura, 8. f. (8. de bet.) branelle: plan? 

ee. 


+ Pauritnte, p. e. de Pruir, et adj.2 9% 
qui cause un prurit. 

Prunicem , 8. f. V. Pruide, Comichle. 

Pruricınöso, A, adj. qui cause un prürl: 
qui demange. 

Proxito. V. Pruido. 

Paüssıa, s. f. (8. de geogr.) Prusse: royau 
d’Europe. 

Paussiäno, A, adj. et s. Prussien, de Prust 

Prüssico, a, adj. (f. de chim.) Jeide-, 
acide prussique,, du bleu de Prusse. Bydrast 
nique. , 

Prytanto,s. m. (1. d’ans.) Prytande: edit 
dans lequel s’assemblaient les prytanes (B* 
gistrats d’Athönes pour juger les causes cTIW" 
nelles), et employe ä d’autres usages cirils d 
religieux ; (aujourd’hui en France) college. 

PsiLıo. V. Freio. .. 

PsaLmxän, v. m. psalmodier, cbanler, TE 
des psaumes. 

PsaLmista, 5. m, psalmiste, chanleuf de 


— @. 


a su wur 


” 


mn % 


PUB 


psaumes; David, comme aulear des psaumes 

PsiLuMo, 8. m. psaume : canlique sacre. 

PsaLuöpta, s. f. pealmodie : chant des psau- 
mes , de l’oflice,, ete. 

PsaLsopian. V. Psalmear. 

"Psartkıno. V. psautier : recueil des 

PsALTBRIO , 5. m. psaumes de David, ow 
livre qui les contient. Psaltörion : instrument 
de musique & cordes. 

Ps£&uno (mot grec en comp.) pseudo ‚ faux, 
suppose. 

Ps£UDÖöNYMO, A, adj. pseudonyme : quiaow 
qui a pris un nom faux, suppose (auteur, ou- 
vrage). 

+ PssunonsvzLacid, s. f. röv6lation fausse,. 

Psöis, s. m. (i.d’anal.) psoas :ı lombaire, 
muscle de la cuisse. 

+ Psörıco, a, adj. (. de mdd.) psorique : de 
la nature de la gale;; contre la gale. 

PsvcnoLocia, s. f. psychologie : traits de 
FäAme ; science de l’Ame. 

+ Psy’tuia, s. f. esp&ce de raisin d’Italie. 

+ Pränuica, s. f. (t. de bot.) ptarmiques 
herbe ä eternuer. 

Präauico,a, adj. (1. de mdd.) ptarmique s 
qui fait eternuer. 

f Pranöceno, s. m. (tl. d’hist. nat.) ptöro- 
cöre : mollusque cöphale. 

+ Prenöpnoro, s.m. (1. d’hist. nat.) plöro- 
phore : lepidoptere flssipenne. 

Preav’cıo, 5. m. (f. de med.) ptärygion : ex- 
eroissance charnue aux ongles, excroissance 
maembraneuse sur la sornee au coin de l’ail. 

Preavoolpdzo ‚a,adj. (1. d’anat.) piörygoide: 
qui a la forme d’une aile (apophyse). Piöry- 

goldien : qui appartient ä Papophyse plöry- 
goilde. 

+ Priuino,s.m. (ti. d’hist. nat.) plilin : 00- 
l&optöre pliniore. _ 

+ Prino, s. m. (8. d’hist. nal.) pline : coleo- 
ptere pliniore. — periindz, la vrillette opinia- 
ige. — ladro malkado, pline voleur. — ladro 
sem malhas, pline larron. — sorratäiro, ptine 


pace. 

Prısina. V. Tisana. 

ProLou2o, s. m. livre de geographie, selon 
le systöme de Ptolomee. 

PryaLisuo, s. m. (}. de med.) ptyalisme : 
forte salivation. 

Prv'sıca. V.PäAtisica et Tisica, 

P&, s. m. *mesure ilinsrsire de ja Chine, 
2,400 pas gdolhetriques. N 

P6a ‚s.f. pointe: piquent, &pine, etc. Grelfe: 
branche d’arbre qu’on ente sur une aulre. Ta- 
riere, vilebrequin. 

+ Posi, cedj. f.(i.du Bresil) Mandioca —, 
ınanioc enterre dans la boue afin qu’il se ra- 
mollisse et formente. 


Praeevipe,s. f. puberie ; äge od l’on peut 


se mıarier et procreer. it. V. Pubis. 


PüßerE, adj. 2 gen. pubere : qui a alteint 


Päge de puberte. 
Punenripe. V. Puberdade. 





PUD 965 
f Puszsckucıa, s. f. V. Puberdade, (1. de 


bot.) Pubescenee : existence des poils. 


Pünıs, 3. m. (}, d’anat.) pubis; penil. 
PusLicacäö, 3. f. publication : action de pu- 


blier une choso, de larendre notoire. Publica- 
tion de bans. 


PusLicipo,A,Pp. p. de Publicar. 

PopLicanor, A, 3. celul qui-publie. 

+ PuaLicarönma, 8. f. (1. de not.) copie no- 
tari6e, faile ow souscrile par un notaire, Bx- 
pedition : copie legale d’un acte. 

POBLICAMENTE,, adv. publiquement. 

PusLicino, s. m. publicain : fermier de de- 


niers publics chez les Romains. (4g.) Homme 
abominable, excommunie. 


Pusuicia, ©. @. publier : rendre public, no- 
toire; dire hautement; proclamer, crier. Pu- 


blier des bans de mariage ow d’ordination. — 
a guerra, declarer la guerre. — um liero, pu- 
blier un livre, le metire au jour. 


PupLicäa-sz, v. r.se declarer, se manifester, 
so faire connaltre. 

PusLicinäng, 8. f. publicite : dtat de ce qui 
est public ; notoriete. Maniere d’agir publique- 
ment, sans retenue. — do lugar, endroit od il 


ya un grand concours de monde, lieu public. 


PoBLicista, s. m. publiciste : qui &cerit sur le 
droit public, qui l’enseigne, qui en a une con- 
naissance approlondie, 

PlsLico, A, adj. public : commun; qui con- 
cerne tout un peuple; qui lui appartient, lui 
est consacrö, le sert ; manifeste, connu de tout 
le monde. Em —, en public, publiquement, 
Vöx e [ama —a, voix publique, bruit commun. 
Tirar & — uma obra, publier un ouvrage. 
Teme sair a—, il craint le grand jour. 

PösLıco, s. m. le public, le peuple en ge- 
neral. 

"PucaL, 3. m. ancienne mesure de liquide__ 

Pöcara, s. f. petit pot de terre. 

Pucarinua, dim. de Pucara. 

Pucarinno, dim. de 

PÜCARO, 5. m. petit pot de terre fine pour 
boire de l’eau. Dar um — d’agua , donner une 
collation, un goüter de confitures. Beber al- 
gquma cousa como um — d’agua,, (fig.) boire une 
chose comme un verre d’eau. 

+ Puccaräca, s. m. (t. d’hist. nal.) pucca- 
raca : aper&a, cobaye, cochon d’Inde. 

*Puc£iro, s. m. " corbeille de vendangeur. 

Puc&uLa, 3. f. pucelle. V. Donzella. 

Pucuir, etc. V. Puxar, ete. 

Prcuavinfe. V. Puxavante. 

Pücno, s. m. pucho : espöce de ooslus ado- 
rent. V. Puxo. 

PuciLca. V. Poeilga. 

*Popapöyna. V. Podadura, Poda. 

Pup£noo,, A, adj. qui doit causer de la honte, 
honteux, deshonnetc. Paries —as , parties hon- 
teuses. s. m. Pudendum, parties genitales des 
deux sexes. 

Pupısönpo, a, adj. padibond : modeste; qui 
a de la pudegr naturelle. Honteux, qui doit 
causer de la honte, 


Y ruL 


Prpicaente, ude. pudiquement. 

Pupicicta, s. f. pudieite : chastete , surtout 
d’une femme. 

Puorcissiwo, A, adj. sup. de 

Prvico , A, adj. pudique : ahaste, pur, hon- 
nöte ; modeste dans les n@urS, les actions, les 
discours. 

Pupim, 4. m. pouding. 

Pupön, s. 1. “ padeur : chastel; honte kon- 
“öre ;timidiid, retenue, modestie. 

Putso. V. Poefo. 

+ Pustuin, 0dj.2 gen. (p. @8.) dejeone fille. 

Prenicıa, s. f. äge depuis Penfance jusqu’ä 
quatorze ans : enfance, öge des enlants. 
- Pugait, adj. 2 gen. pueril : de l’enfance, qui 
fui appartient ; qui tient de !'enfant. frivole. 

PreniLining, s. f. puerilitö : ce qui tient de 
enfant; disoours, action puärile, frivole. 4, 
V. Puericie. 

PusaiLutxte, ode. puerllement : d’ane Ita- 
nläre pu@rile, frivole. 

+ PognıLizän, 9. n. dire 0% faire des pudri- 
Iltös; agir d’une manidre pudrile. 

Pugnp£nıo, s. m. accouchement; 






enfante- 


ment, 

Pocıninns. V, Pungibarba. 

+ Puciı, adj. 2 gen. (p. us.) qui aime & so 
balire, ä quereller. V. Brigoso. 

PociLäno ou pugilat: combat A coups de 

Pucmwiro,s.m. 1 poing. 

+ PreiLista, s. m. pugilo : athlöte qui com- 
y.ttait A coups de poing. 

Pucito, s, m. (i. de med.) "pincde : ce qu’on 
«end avec deux ou trois doigis. 

Pücna, s. f. "combat. 

Pucnacıpine, 3. f. ardeur, acharnement & 
sombatire; (fg.) humeur querelleuse; obaleur 
de dispute. 

PucnacissiNo, a, adj. sup. de Pugnaz. Tris- 
belliqueux. 

Pucnän (wor, com), v. %. combattre. V. Pe- 
lsjar. (fig) S’elforcer, tächer, faire des ellorts 
pour...; defendre vixoureusement, — por ul- 
guem, prendre la defense de quelqu’un. 

Pucnäz,adj.2 gen. (poet.) aıdentau conıbat, 
qui aime ä se battre; guerrier, belliqueux, 

° Pucnin. V. Punir. 

Prir, eto, V. Polir, etc. 

’ Prsänga, 8. f. force, vigueur. V. Forga, Po- 
er. 

Pusinte, adj. 2 gen. puissant, fort, robuste. 
V,Pölleroso. ‘ 

‚Pusit', 0. », Orolire, s’clever, surpasser. V. 
Syperar. 

® Puräö, s. m. hasaınc du peuple. V. Prän. 

+ PuLixtisätraus, s. m. pl. (poct.) los sa- 
iyres bondissanis. 

Prrän, v.». sauter, bondir, Battro, palpiter. 
Pousser des rejetous, pul.uler. — de conlente, 
tressaillir. 

PoLcn£arıno, A, adj. sup. de Pulchro. 

PuLcusicomo, A, adj. (podl.) & belle che- 
velure, qui a de beaux cheveuß. 

$ Porcunıtüps, s. f. beauie du visage. 





PUL 
+ Poucune om PüLcno, A, mi). beam., geaul, 


joli. Bien mis, elegant, adonise, zechsrche 
dans son ajusiement. 


Pürca, s. [. puce : inseste aptäre. — d’agus, 


puce d’eau, espte® d® meonock. Cör de, 0 
feur puee. 


Prıoauinuo. V. Pergaminkhe. 

Prıcid, s. m. puceron : insect® hömiptöre, 
planlisuge; gribouri. — das vinhas, ligre puce: 
petit insecte yal ronge la vigne, verosquin, 
liset. 

° Puiuren, V. Publico. 

Pricoso, A, adj. plein de pucerons. Viabs 
—a, vigne rongee, pleine de verscoqeiss. 

+ Pructtoo, 8.1. grande quantitö de pucss; 
lieu plein de puees. 

Pructeina, 8. f- (l.debof.) herbe aux puces. 
— mator, Inule pullcaire, herbe aux puces, — 
menor, herbe aux puces annuelle. 

PrLct£xto, A, adj. plein de puces. ' 
PüLua, s. f. pouilles : inJures que se disent 
des bateliers qui se rencontrent, etc. ° Brocard, 
mot piquant, reparlie vivo. Dizer —s, chamiet 

pouilles. 

Prrutıra. V. Polheira. 

Puria, etc. V. Polir, etc. 

PoLLtLänte, odj. 2gen, pullulent, qui per 
Iule. p. a. de 

Pcuirrir, v. ». pulluler : povsser des teje- 
tons; multiplier avec rapidite. 

+ Puısiö, s. m. poumon. V. Bofe. 

+Punnoßına, s. /. pousse: maladie des ebs- 
aux qui les fait soufller. Cavalle que wB—, 
cheval poussil. 

Prıuoxän, adj. 2 gem. paimonsire : qui &p- 
partient au poumon. 

PuLmonänta, 8. f. (li. de bot.) pulmeausire, 
herbe aux poumons : plante borraginde. — der 
earvalkos, pulmenaire du chöne. V. Hepstica 
das ervores. 

Pur.uunia, 8. f. pulmonle ı malsdie du pes- 
mon. 

PULMUunıco , A ‚adj. du poumon. V. Paime- 
nar. 

Priuonnäice. V. Pulmonarie. 

Pr:Lo. s. m. saut, bond, gambade. Tressailie- 
ment, emotion. Battenıentz pslpitation. Aas—s. 
par sauls, par bonds. " 

PiLrıto,s m." chalre & pröcher. Cheire de 
professcur. Subir as —, monler on chaire. 

+ Ptı.ro, s. ın, animal du CMli. 

Ptısagid, q. f. pulsalion : bastemeont Ja 
Youls. . 

PrLsino, A, PP de 

Puisan, v. @. loucher, frapper, pincer Io 
cordes d’un instrument. u. w. Balire, en parlası 
du caur, du pouls, elc. 

PursıtirLn,s. f. 4 (tl. de dei.) pulsatilie, 


Pusartitlia, 5. f. ) passe-leur,uwig. laco- 
quelourde. 
—PuLsaTivo, A, 0% (1. de nöd.) pulsstl: 


PoLsaTunıo, A, 0dj. ) qui bat; a0Camparkt 
de battement, 











PUN 


Pursärma, s. f- °' bracelet : bijen que Fon 
porte au bras. 

Puusista , ady. et s. mn. observaleur du peals 
(meödeein). 

PüLso, s. m. pouls: batiement des arldros. 
Badreit du poignei oü le pauis bat. Poignet: 
jonctiou du bras ei de la main. A—, du por 
gast : avoo la seule foroo du poignet. Tier dom 
—,avoir de la foroes au peignet. Tomar 0 =, 
täter lo peuls. ( Ag.) Täter la terrain, sonder, 
examiner. (id.) Eprouver, endurer, 

° P6Lveco. V. Pubioe. 

PuLvsaso, a, adj. (pedt.) peudseux, de peu- 
dre; de poussiere. A 5 RUE, UNO nU60 de 


peussiöre. 

Porvzaino. V. Polverine. 

PuLvenızacid, 3. f. pulvörisation » ackon de 
pulveriser, ses effets. 

PoLvanızäpd, A,Pp. p. de 

PouLvanıziäa, 9. a. pulvöriser « röduire en 
poudre. 

PurvzauLäero, A, adj. pulvörulent, pou- 
dreux ; charge, couvert de poussi6re. 

* PdLvıoo. V. Pudhieo. 

Puuan. V. Pomer, 

*Ponin. V. Pugnar. 

Pungid. V. Ponpäo. 

? Puncänte, adj. 2 gom. (P. ws.) piquant, 

rgant. p. &. de 

+ Puncir, 9. 6. poreer aveo un peingon. V. 
Furar 


Pounccid, s. f. ponetion. V. Puneture. 

Fungö. V. Pongb. 

UNCTOACÄO, 
PuncruAn, ele. | V. Pontoa..., etc. 
Ponctöna, s. f. (£.dechir.) piqüre : blessure 

faito avec un instrument pointu. —s, pl. (8. 
d’impr.) pointures du tympan d’imprimeur. 

Punnondk, 8. m. point d’honneur : co en quoi 
on fait consisier Phonneur. 

Puxponords0, a, adj. delicat sur le point 
d’honneur. 

Pentinte, adj. 2 gen. ei p. a. de Pungir. 
Piquant, qui pique; qui pointe. Poignant, cui- 
sont, laneinant. Dor —, douleur lancinante, 
cuisante. 

Prncipinpa,s. m. blane-bec : jeune homme 
qui commence & avoir du poil follet au menton. 

Puncioo, A, pP. P. de Pungir. 

Punoımtnro,s. m. "pigüre, douleur causde 
par une pigqüre. Douleur aigu®, lancinante. 
( ig.) V. Estimulo. (id.) Remords , douleur cui- 
sante; chagrin, regret euisant, 

Puncia, v.a. piquer: blesser avec un instru- 
ment pointu. (fg.) —; irriter, aiguillonner; 
ehagriner, affliger. ($. de chir.) Faire la ponc- 
tion. 

PrxGia, 0. n. pointer: ecommencer & paraltre, 
en parlant dela barbe. 


Pexcıtivo, A, adj. piquant; poignant, cul- 


sant. V. Pungente. 
Prsuanı,s. f. * coup de poing. O jogo das 


—s. V. Pugillalo. Anddr as —s, se batire ä 
coups de poing. Querer dar uma—no ceo, 





PUR 0 


(fam.) vouleir prendre la ianp ven len dumts. 

Punzipo, s. m. * peignede : autant que la mal 
fermöe peut contenir; (Ag,) petit nombre. dos 
—s, & poignee, en abondance , poar ce gui de- 
vrait etre en petite quantits; ou en petite quas- 
dtö pour ce qui devrait ötre en abondence. 

Punnir, 0. m. peignard : arme poiniue, 
oourte |; dague. 

PonBaLina, s. f. "coup de poignard. Mater 
ds —s, poignarder, tuer avec un poignard. 

° Punmin. V. Pugnar, Apunkar. 

Punntte, s. m. "manchette: ornement da 
poignet de la chemise. 

Pinuo, s.m. poing : main ferm&e. Polgnet de 
ohemise. *Poignee. V. Punhade. * Polgnse d’s- 
p6e. Aw, A coups de poing. Com a lange ou 
espada em —, la lance ou l’Epde au poing. Come 
um —, g708 comme le poing. Esorever do sew 
proprio —, 6crire de sa propre main. — da 
amura, (ti. de mar.) point d’amure. — do remg, 
(id.) manche ou giron de la rame. —s do go- 
rutil, (id.) pointures, points du baut de la 
voile. —s das escotas, (id.) points des deoutes. 
3 de camisa, manchettes, Aperlar 08 —$, 
(Ag.) faire tous ses efloris. 

Punigiö, s. f. punition , chätiment. 

Puxiczo, A, adj. d’un rouge selatant, d’an 
rouge vil, d’un rouge &carlate. 

Pünıco, A, adf. punique : des Carihaginois, 
V. Carthagines. 

Punto, A, p. p. de Punir. 

Puninör, A, s. eelui qui punit, qui chätle, 
eorreoleur, punisseur. 

Punir, o. a. punir, chätler. — por (v. ©. ), 
prendre la döfense de. 

Pontrivo, a, adj. qui punit; qui a la foree, 
le droit de punir. 

Poniveı, adj. 3 gen. punissable : qui mörlie 
punition. 

Puntüna. V. Punctura. 

PoriLza, s. f. pupille, Alle mineure; pru- 
nelle de Pasil. 

PuriLLicke, s. f. pupillarite : qualits,, &tat 
de pupille. Education d’un pupille. 

PorıtLin, adj. 2 gen. pupillaire : qui appar- 
tient au pupille. 

PrriLLo ‚3. m. pupille:: enfant sous la con- 
duile d’un tuteur ; quiest mineur; jeune eldve 
dans un couvent qui porte P’babit religieux 
avant d’entrer en noviciat. 

Püris , adj. f. (t. d’anat. inus.) Feia—, veine 
au haut de la töte. 

PüRau£ntE, ado. purement: d’une maniere 
pure; chaslement ; sans melange. 

Poaiva,s. f. (ti. d’Asie) toile de coton lul- 
sant, parsemee de roses d’or, dont les brach- 
manes font leurs veiemenis ; veiement de 
brachmane. 

Pörcas, se. f. pl. plauches de sapin du Nord 
pour la construction des vaisscaux. 

Purtza, s. f. pureiö: qualitd do ce qui est 
pur en general; correclion et exactlilyde ( de 
style); innocence, chbasiele. Purole de mwurs, 


968 PUR 


Pönca, s. f. purkation , mödeeine , purgalil.' 


Bstar de —  avoir pris une mödeeine. 
Punoaciö, 3. f. purgation : 6racualion pro- 
oarde par un purgatif.* Flax menstruel des 
femmes. * Eooulement, gonorrhöe. Purifica- 
don, expiation religieuse. (Ag.) L’aclion de se 
purifier d’an crime, justification. — oulger, 
justification par l’öpreuve de l’eau om d’un fer 
rouge. 
Puncino, A, p. 9. de Purgar. 
1 aanoR ‚s. m. celui qui purge, qui puri- 


. PurcAassıLutiro 08 
*Poncannukino,s.m.} V. Pergaminkeiro. 


PuncoinseE, 9. a. de Purgar. adj. et s. m. 
Purgatif : qui purge, fait övaouer les humeurs 
du corps. 

Puncan (de), v. a. purger (de): purifler, 
neltoyer les impureiös,, les humeurs avec uno 
purgation ; rendre pur en general. (Ag.) Puri- 
fer. Expier un crime. —, laver d’un crime, 
d’une accusation. Se purifier dans le purga- 


toire des souillures contractses dans cette vie. | V 


Puncin, vu. ». avoir un dcoulement, 8’dcou- 
er. 

Puncia-se, ©. r. se purger : prendre un 
yurgatif. (Ag.) Se justifler d’un crime. 

Puacarivo,A, adj. purgaül: quia la verlu 
de purger. Fis —a, voie purgative, en termes 
de ınysticite. 

PourcaTörIo, 8. m. purgaloire ; lieu oü, 66- 
ion la foi catholique, les Ames des morls ex- 
pient leurs fautes. (fg.) Situation, eiat dans 
lequel on a beaucoup & souflrir. Dores do —, 
(Ag.) douleurs alguds, violenies. Passar, ter 0 
em vida, (id.) [aire son purgaloire en co 
monde. 

PuacaTönıo, A, adj. qui purge, qui purifie. 
Fogo —, feu du purgatoire. 

Puripäpe, s. f. purele. V. Pureza. * Secret, 
seoret d’elat. *Mystöre, chose cach6e, et quel- 
quefois illicite. 4’ —, en secret, & l’oreille, 
ste a tele. Em —, clairement, sans delours 
(ant.). Escrivdo da —, secrelaire prive ow in- 
time du roi, secr6taire d’&tat (ancienne charge 
on Portugal). 

Pursricagkö, s. f. purification : action de 
purifler les metaux,, etc. ; de se purifler. Puri- 
fication des fommes juives, quaranie jours 
aprös leurs couches. —, fete catholique, cere- 
monie religieuse en memoire de la purilication 
de Marie; une des c&r&monics de la messe, le 
vin que le prötre prend apres la communion. 

Porıricino, A,p. p. de Puriflear. 

PurirtcanöR, A, 3. celui qui purifie. Purillca- 
tolre : linge avec lequel le preire essuie le ca- 
lice. 

Pusimicänte, adj. 2 gen. qui purilie. p. a. 
de 

Purıricir , v. a. purifler : rendre pur en g6- 
n6ral; öter ce qu’il y a d’impur, de grossier, 
d’ötranger; mondifler. (Ag.) —, öter les de- 
fauts, les imperfeclions; eprouver par les af- 
Nictions. 


PUS 


Poxıicinse, u. r. 86 : 90 tendren 
devenir par. On le dit des fermmes juives gi 
so presentasient au temple quaranis jours aptis 
leurs couches. — a oondigdo, s’acemmpiiz la 
condition, avoir son eflet. 

Puawicatörıo, A, adj. quı sert & pariäee, 
8. m. Vase ou le prötre purifie ses doigts, 

+ Puripönus , adj. 2 gen. (1. de dd.) pui- 
forme : qui ressemble & du pas. 

Punisuo, s. m. parisme : delaut de celui gi 
affeote trop la purel# du langage. 

Punissıuo, A, adj. sup. de Puro. 

Ponista, s. m. puriste : qui afecle k p- 
risme ; qui #’y atiache trop. 

PoRITANIiSMO, 5. m. puritanisme : dectries, 
socte des puritains. Qualit# de celui quipr- 
tend avoir un sang pur sans m6lange de sung 
maure ou juif. 

URITÄNO, 3. m. ot adj. puritain : presiyk- 
rien rigide d’Angleierre, d’Koosse, des Bus- 
Unis, ete. Celui qui prötend n’aroir pas dm 
sa famille melange de sang maure on juil.il. 

Purista 


Pöro, A, adj. pur, monde, sans mel, 
sans mixtion, naturel; purißie; chasie; sam 
tache,, sans imperfeclion ; sans souillure; wr- 
rect (style, diction, locution —e); exact; ie 
ple, unique. Grand, extreme. De—, 4 fu 
de. V. Summamente, BExeessivamenie. D- 
chorar, a foroe de pleurer. Morreo Camöc "m 
—a podreza, Camöes est mort en grande pet 
vreie. Morreo de — „il est mori dam 
le plus grand dönüment. 

Pünruni , 8. f. "ponrpre : mollasgee, + 
quillage, qui fournit une teinture precitei, 
coulear rouge fono&,, tirant sur le violel; @* 
leur de pourpre, violätre. Poerpre : leiniet, 
etoffe qui en est teinte , consacr6e aut t#- 
dinaux, etc.; (A%g.) dignite royals ou cell ds 
cardinaux, royauts, cardinalat. 

Purpunipo, A, adj. vötu de pourpre. 

Punptreino, A, P.p. de Purpurser. 

PURPURKÄNTE , adj. 2 gem. purpuria. p.&.% 

PURPUREÄR , ©. &. teindre ou habiller de o® 
leur pourpre. Empourprer : colorer de resp 
ou de pourpre. 

Punrunsär,, v. m. devenir de cosker & 
pourpre. Il est aussi r&ciproque. 

PunPUrEo, A, adj. pourpre : de coaker & 
pourpre. Houge comme le pourpre. Brillas, 
bien par&, eclatant. 

Punrunina, s. f. purpurine: bronze moek, 
applique en vernis; matidre rougelire re de 
cuivre; prinoipe colarant des vegelauz qui it 
gnentl en rouge. 

Punpunixo, A, adj. purpurin : qei approch 
de la couleur de la pourpre. V. 

Punpurızan. V. Purpurear. 

PrneL&scha, 8. f. purulence s quabid de 
qui est purulent, suppuralion. 

PrruL£xto, a, adj. puralont ; mdl6 de pe° 
(erachat). . 

Püs,s.m.(!. de chir.) pus : sang ou Dat‘ 
fgriompue dans les plaies, etc. 











PUX 


»Pusinca. V. Pıyanca 

PusıLLänmg, adj. 2 gen. pusillanime : trop 
limide, sans courage, sans &nergie; qui a 
Pime faible. 

PosıL.ämmıpäpe, 6. f. pusillanimite : man- 
que de courage ; timidit6 excessive;; fsiblesse 
de caur ow d’esprit; disposition habituelle ä la 
peur. 

*PosıL.inmo. V. Pusillanime. 
ae LTOLA ‚s. f. pustule : petite tumeur pleine 

pus. 

+ PusruLöso, A, adj. pustuleux : en forme 
de pusiule. 

* Pustumßıro. V. Derradtiro, Ultims. 

Porı, s. f. putain : femme Prosuitude, fille 
pablique, femme de mauvaise vie, 

Poranktmo, 3. m. putassier : adonns aux 
palains. 

Prriö, s. m. coureur de lemmes. V. Pula- 
nheiro. ü. aug. de Pula ou Puso. 

Purania, s. f. ” putanisme: vis, metier, mai- 
son de prostitution. Lieu public de debauche,. 

Purativo,A, adj. putatif: qui passe pour 
&tre co qu’il n’est pas. 

Putzir, v0. ». putaniser, courir les putains, 
frequenter les femmes de mauvaise vie, les 
lieux de debauche. Faire le mötier de putain. 
— 0 dinheiro (aclif), d6penser son argent aveo 
les fenmes de mauvaise vie. 

Pur£ca, s. f. (8. de bot.) * cytinel parasite. 
V. Hypociste. 

Porinua , dim. de Puta. 

PüTo, s. m. jeune garcon dont les debauches 
abusent : giton , bardache ; pederaste. 

+ Puragoındso, A, adj. pourri, coFrompa, 
plein de pourriture.- 

Purneracgäd, s. f. putröfaction : action par 
laquelie un Corps se pourrit, ses eflets ; ötat de 

ce corps. 

PUTREFACIENTE, adj. 2 gen. qui fait pourrir, 
qui putröfle. Estado — , &tat de putrefaction. 

+ PUTaRracTivo, A, adj. putröfackif : qui 
putrefe. 

Purnezricro, A, adj. pulröflö: corrompu, 

trefie. 

Purtneractönno. V. Pufrefaciente. 

PöTaıpo, A, adj. putride : caus& par la cor- 
ruption, accompegne de pOurriture (fiövre, 
kumeur). 

+ Puxioa,s. f. (l. de jew) invite. 

Puxipo,A, 9.p. de Puwar. adj. Tir6 avec 
Sorce. Prego — , prix &leve,, exorbitant. 

Puxänte.V. Pujanie. 

Puxio.V.E 

+ Puzuriza,s. f. sorte de melasse ou cara- 
mel, au Bresil. 

Poxin (por), v. ®. tirer, attirer. Arracher. 
Tendre. Pousser. Inviter au jeu. —pelaespada, 

sirer, dögainer P’6pee, mettre l’Epee & la ınain. 
— pelas orelkas , lirer les oreilles & quelqu’un. 
— pela vo:, parier baut, crier. — pela lingua, 
faire jaser. — pela jwrisdiegdo , exercor sa ju- 
ridiction aveo vigueur. — pela” bolsa, tirer sa 
bourse ; obliger ä grandes depenses. — velo 


PYR 969 


remo, forcer la rame. — para si , liter pour 
sol; attirer par force. — por si, s’avancer, 
profiter, faire son chemin. — com os denties. 
VD 


erricar. 

+ Poxarivo, A, adj. (8. durl.) qui exeite & 
boire, piquant. 

Poxavänte, s. m. boutoir de marechal , ro- 
gne-pied. 

Pöxo, s. m. tönesme. 11 est plus usit& au plu- 
riel. * Tranchses, douleurs aigu&s dans les en- 
trailles ; doufeurs d’enfantement; Öpreintes. 

Pozir. vP 

Pycußo, s. m, pygmade : nain, homme trös- 
petit. 

Prrönıco, A, adj. pylorique : du pylore. 

Prıöro,s. m. (4. d’anas.) pylore : oriice 
införieur de l’estomac. 

Pr’aa,s. f. (t. d’ant.) "bücher : eelui sur- 
tout od les anciens brülaient leurs morts. 

+ Praacintoa, s. f. (t. de bof.) " pyracan- 
the, buiss ent : arieisseau A baios 00u- 
leur de feu. “ 

Praiuz. V. Pyramide. 

Pyaasmimäir, adj. 2 gen. pyramidal : en py- 
ramide. 

Pynänuipe, s. f. (t. de g6om.) pyramide : so- 
lide qui a pour base un polygone quelconque, 
et dont les ar&les, droites,, se reunissent en un 
meme point que !’on appelle sommet; (1. 
darch.) masse de pierres auxquelles on a 
donns la forme pyramidale, generalement 
droits et A quatre faces laterales. — cönica, 
*cöne. — Öptiea, pyramido optique, qui a pour 
base l’objet &claire,, et pour sommet le centre 
de lol. 

+ Pyainca, s. m. (8. d’hist. nal.) pyranga : 
oiseau sylvain, pericale. 

+ Pınäusta ,s. m. (4. d’Mist. nal.) pyrauste: 
sorte de papillon quo la flamme attire, et qui 
sy brole. 

+ Praitina, s. f. (6. d’hist. nat.) pyrale : 16- 
pidoptöre rouleuse. 

+ Prazmiceas, s. f. pl. (t. de bot.) pyrena- 
cöes : famille de plantes. 

+ Praiuz, s. f. (t.de myik. ) Pyrene: nym- 
phe, fllle de Babrycias, roi d’Espagne; fontaine 
consacr6e aux Muses. 

Pragtano, s.m. {l. de bot.) pyröthre : plante 
synaniheree. 

Pragtico, A,adj. et s. (l. de med.) pyreii- 
que ;: (remedde) contre la ädvre. 

PrastoLocia,, s. f. pyretologie : traite des 
fiövres. 

Prazxia, s. f. (t. de med.‘ pyrexio : fldvre 
symptomatique. 

+ Prairönue, adj. 2 gen. pyrilorme : qui & 
la forme d’une poire ; en poire. 

PyaıLinro, s.m.(l. Whist. nal.) lampyre, 
ver luisant. 

PreiLiıteino. V. Pirliteiro. 

+ Praın£&os, s. m. pl. (t. de geog.) * Pyre- 
nees: hautes monlagnes qui separent la France 
de ’Espagne, et s’dtendent depuis la Mediter- 
ranee jusqu’a l’Octan. 


un. 


y10 PYR 


yPraires, s- 1. (1. de mindr.) pyriie : mine- 
ral, pierre ä lea , marcassite ; substance 


mstalli ‚aanire 
+ Prammteo „A, adj. pyritoax : de la nalare 
de la pyrite, qui en contient. 
+ Prassooeis, & [. pyritelegie : walls des 


„glrmenondsrta a m. prroboliste inginleur 


+ Praocuaöa, 8. Ei (6. d’kist. nal.) sardi- 
male : voltopiäre re 
4 Praocsuno, a adj. pyrogine : volsami- 


meitak 


‚ mineralisee , compacie, pesanle elcris- 
base ulre combint avos um mötal, sulfure | seigne Tassge ds fen, son 


PTX 


+ Pradems , s. f. (1. de mudd.).gyvesis: rien 
da ventricale. 
Praorfcaxıa, 8. fl. pyreiechnie : art qeie- 
‚lams- 
nitre de le condeire ; ; art de l’artißeier. 
PrRoTäcuuco , A, adj. pjreischaigen ;delı 
pyrotechnie. 
Praörso, he „62 de md) were: 


sauslique, qui 68 
Praanscı,s.f. "1 dent.) pyrrhigen ıdame 
milltaire, 


Praamicnıo, adj. m. Pd—, pyrrkigesen pi- 
richien, pied de deux bröres. 

Praanöne, A, 08 „yrrbenien : da pyr- 

Praanönxo, A, af: Trhenisme, ai Ir 
depis; qui dento.de tout, qui prüumdquu 

n’est vrai ei que rien w’est fauz. 

Prannömces, s. m. pi. pyrrhendens : di 








ou metserigue. pies de Pyrrheu , philesepbe sespligue. 
| "Praoua,s. f. (i.de bei.) preis om verdere Praauesi gi 


iso „s. m. : babitede, 

d’hiver: plante meditinale. systöme , aiectatinn de douter de eul. 
vo tuEradrarna,s. ot ad. pyrolätre ı quiadere | Promneöneo, a, adj. pyihagerigue: ePr- 
tbagore. s. m. Pythagorieien , philesepbe Mir 


a rnoraraia, s. f. pyrolätrie : onlie du 


„Fprmousels, s. f. pyrelegie : trailö sur lo 


ernomancia, s. f. pyromancie: divinalien 
par lo feu ou ia famıme. 

+ Praouinxtıco, s. m, pyremancien ı oelul 
qui professe ls pyromaneie. 

Praöserno, s. m. pyromitre : instrument 
do physique pour eonnaltre Pintensit# du fou. 


tisan du pythagerisme , de Ja mm&tsenpsycust. 

Prrnuconiswo, 5. m. pytbagorisme : syeiime 
de Pythagore. 

Pr'rma ,s. f. Pytbie : pretresse qui rendal 
ies oracles d’Apollon ä Delphes. 

Pr’rmco, A, adj. (£. dans.) pythiqee: ge 
concerne le serpent Pyiben. Joges —, 
pythiques, en l’honneur d’Apollon Pribies. 

Pr’rmo; s. m. Pythien : surmem d’Apellt, 


+ Praoxouia, s. f. (1. de chim.) pyronomie ; | Oomme vainqueur du serpeni Pyiben. 
art de regier ot diriger lo (en. + Prrsomancia, 8. f. „pybommaneis: dr 
t Praöruaco 5. m. el adj. pyropkage ı qui a | tion par une invecatiom & Apolien. 


le secret d’avaler du feu. 

tPraornano, a,adf. pyrophane: qui devien! 
transparent au fcu. 

Praornono,, 8. m. pyropbore: peudre d’a- 
lun et de farine, melange de sulfate d’alumine 
et de potsase,, avefde la farine er du sucre, 
etc., qui s’allume de Iui-meme quand on l’ex- 
pose a sin 

T Pruorsvräicio, s. 
terrain : pyrophylax. 

t Pvaöro, s. m. melauge metallique de trois 
parlıcs J’airain contre une d’or. (Ag. poet.) Vin 
qui en a la couleur ou plutöt de couleur d’cs- 


+ Pr’raon ou Prruio, s.m. (1. domü.t 
de poes.) Python : serpent dent Apollen di 
le monde. Parade 

Prrnömco, a, de Pytken, de 
ai olton. s.m.V. eiahe Nocromanli. 

Prrmonissa ou 

Prruoniza,s.f. | pyihonisee, denawe® 

+ Prönis, s. f. (t. de mdd.) pyarie: pet 
ment de pus. 

+ Prxacintruo, s. m. (6. de boi,) pyrate® 
the: Iyciun: , arbrisseau &pineux. 

+ Pr'xıns, &. f. bolte, , epsak. Gbeit: 


m. reserroir du [eu sou- 


carboucle. vase pour les 
+ Pruoschpto, 8. m. pyroscope : insirument| + PrxinuLa, s. f. (f. ‚deben) Ben) rei: po 
destine a mıcsurer le caloriyque rayonnant, capsule des mousaos, 











[7 


Q, s. m. dix-septiäme letiro de Valphabat 
poriugais, et la treisiöme des consonnes; chez 
jes Romains elle valait 500, et, surmontede d’un 
tiret (Ö), 500,000. En portugais comme en latin, 
celte leitre ost toujours suivie d’un w, et ces 
deux leltres so prononcent comme s’il n’y avalt 
qu’un simple k, oxcopi6 dans les cas qui seront 
maarquös ci-apräs avac co signe (:) placd avant 


et. 

"Qui. V. Cd; Porgue. 

+: Quacacisa, s. m. (8. d’hisl. nal.) obauve- 
souris de mer: poisson du Bresil. 

+ ı Quicaz, s. m. quakor ou quacre: trem- 
bleur, sectaire, en Angleterre, aux Elats-Unis, 
qui se reconnalt au futoiement, 

» Quansana , 8. f» V. Caderna. —s, pl. (t. du 
jew de dds) " quadernes : carmes, deux qualre 
du meme coup. 

+ : Quanennäpas, adj. fı pl. (1. de bot.) Fo- 
Ihas —, fouilles quaternsas , disposees qualre 
par quatre. 

QUADERNÄL, 

QuapERno, ei. } V. Cadern..., ei6. 

 Quäpna, s. f. salle ou chambre de compa- 
gnie,ordinairement carrde. Cour ou 6curie car- 
röe. Largeur du vaisseau, prise vers le quart 
de l’arriere. * Quatrain : stance de quatre vers 
quatre vers isoles. *CöLd, Nano d'un carrd.— da 
Iua, *quarlier de la lunc. — do anıo, salson 
de l’annde. 

ı Quapaäno, s. m. (f. de geom.) carre ; figure 
& quatre angles droits ei qualre cöles egauxz 
(4. d’arith.) carrö d’un nomhre, le produit de 
ce nombre multipli6 par Iui-m&me. —, fgure, 
espace, forme, presentiant & l’wil ou ä l’imagi- 
nation quatre parties egales. (4. d’impr.) Ca- 
drat: parallelipip&de de fonte plus bas que la 
lettre. — da camisa, goussel de chemise sous 
Paisselle. — das meias, coin des has. — geome- 
irico, carr6 geometrique : instrument pour 
prendre les hauteurs, mesurer les dislances, 
etc. — magico, carr6 magique: disposition de 
ohiilfres en, carre qui, de quelque 276 
cölyqu’ap les addilionne, donzent | 0.9. 951 
Wujours Ta meme somme, elc. 438 

* (JLADRÄDO, A, p. P. de Quadrar. adj. Carı6: 
qui a qualre cötes et quatre angles droits. Raiz 
—a, racine carrde, quotiont &gal au diviseug. 
Arpeclo —, (tl. d’astr.) aspect quadrat, opposi- 
ton quadrate : distance do deux asires de 
50 ılegres. Homem —,homme d’unc belle carre; 

fig.) parfaitg ferme dans l’adversite. 
Qraprapöna. V. Quadralıra. 
Qi’ ADRAGENÄRIO, A, adj. quadragenaire : 
äpe de quaranie ans. 


QUA Y) 


Q 


: Quapaıcksıma, 8. f. quadragssime : pre- 
mier dimanche du careme. V. Ovareına, 

ı QUSDRAGESIMÄL, adj. 2 gen. quadragäsimal : 
qui appartient au careme. 

: Quapaaoksımo „A ‚adj. ordin. quarantidme. 

: QUADRANGULÄR ‚adj.2gen.quadrangulalre : 
qui a quatre angles. 

7: QUADRANGULARMÄNTE, ado. en forme qua- 
drangulaire, 

: QuapaincuLo, s. m. quadrangle : figure qui 
a quatre angles et quatre oöl6s. adj. Quadran- 
guls, A quatre angles, 

: QUADRANTÄL, 3. m. Mesure romalne pour 
les nt qui conienait 48 seliers. 

+ :QuapaantiL,adj. 2 gen. on Is dit d’un 
triangle spheriqus qui apgur un de ses cöles 
un quart de corcle. Castello, cidadella— , (1.de 
fort.) chAteau, citadelle dont la däfensg est ge- 
ion Ie quart.de la port&e du canon. 

: Quapdaänte, s. m. lo quart ou six heures 
du jour naturel. Cadran solaire. Quari de cer- 
ole. On le dit surtout de l’instrument de geo- 
metrie qui pori6 ce nom. * Piece de monnaie, 
la plus petlte do toutes. Ald ao ullimo —, jus- 
qu’au dernler sou. 

:Quapair, v. a. carrer : donner une forme 
carr&e. Carrer un nompre, le mulliplier pär 
Iul-mönfe. Reduire une figureä uncarre , on &va- 
Iuer la surface. Rquarrir une piece de bois, etc. 

ı Quapkär (a, com), 9. n. cadrer (avec): Ccon- 
venir, avoir du rapport, s’aJuster. Ayreer, con- 
venir; plaire. Avoir l’aspect quadrat, &ire en 
opposition quadrale, parlant des asires. 

Quapnäste. V. Cadasle. 

: Quapairico, A, adj. quadrat; quadratigque, 

: Qvapaatis, s. m. (f. d’impr.) cadratin: 
petit cadrat; sert & maryquer les alin&as. 

: Quapnaraiz, s. f. (l. de gdom.) quadralrice : 
courbe inventse pour parvenir & la quadrature 
du cercle. x 

s Quannarüns,-s, f. quadrature : reduction 
geometrique de l’afre d’une courbe A une sur- 
face carrde. (8. d’asfr.) Aspect quadrat. V. Qua- 


drddo (adj.). % - 
*:Quapatıra. V, Quadrjike, dt. Coirella, 
°‚,QuapaiıLo, 8. m. esp&ca de dard ow de 
flöche carree. 
:Quapnı, ($. dalin en comp.) quädri, quia 
quatre. 
+: QuannıckıreoLin,adf.2 gen. (l. de bot.) 
ä quaire cellules (graine); quadriloculaire. 


+ ı Quanaiıcdeca, adj. f. (l. de bot.) Capsula 
— ‚capsulc quadriloculaire, ä qualse loges, 


974 QUA 


zaines.— horas, pritres de quaranta heures, 
Os — annos, la quarantaino:: nombre do qua- 
ranle ans. 

s Quanentena, s. f. quaranlaine: nombre de 
quaranie; isolement pendant guarante jours 
deceux qui sont soupgonnes de eontsgion. Le 
\ car&me. Le quarantieme d’un cens que le cen- 
sitaire est oblig6 de payer au seigneur, EN vertü 


de son droit de lods et ventes. Fazer —, faire | m 


£tre en quarantaine. 

; Quan£sua,s. f. "care&ma: les six semaines 
@sbstinence avant Päques; jeüne pendant ce 
temps. —, rocueil de sermons pour le car&me. 
Em meia — ou no meado da—, & la mi-car&me. 

:QuarnsswmÄr, adj. 2 gen. de careme: qui ap- 
parlient au caräme; quadrag&simal. Sermöes 
—1es, serimona du careıne ; cardme, recueil de 
sermons pour le caröme. 

\ +:QuanzsmiR, 0.9. faire car&me, faire mal- 


N 


quarantaine, 


e. 

Quanızie. V. Corazil. 

:Quärta, s. f. " quart: la quatridme partie 
@un tout, surtout quart d’aune, quart de li- 
wre, eic. Cruche. Quatrieme : suile de quatre 
cartes au piquet. "Quart de cercle, surtout 
dans le zodiaque, pour la division des signes. 
Quarie : intervalle d’une nole de musique & 
la quatrieme ascendante ou descendante. (. 
d’eser.) —, coup d’epee portö en tournant le 
poignet en dehors. Quart de vent, en termes de 
marine. * Entrechat & quaire. Quatri&me: classe 
de grammaire latine. — funeral ou episcopal, 
ancien droit des #v&ques et des cur&s sur les 
biens d’un deöfunt, qui faisait des legs ä des 
communautös religieuses , etc. Droit carial 
pour les convols et la sepulture. — falctdia, 
(1. de droit rom.) quarte falcidie : droit de l’be- 
sitier de compleler le quart d’une succassion 
sur les legs, alin de former sa reserve. — Ire- 
belliana, (id.) quarte tröbellianique : quart de 
la succession grevee de Adöl-commis. 

; Quanrä, Quanräa ou Quaarän, 3. f. Rörre 


' Suarte. 

: Quansagid, s. f. quartallon : alllage Fun 
quart d’or avec trois quaris d’argent. 

: lo, a Pdo ma 

: Quantäino, adj. m. Pdao— n de gttatre 
sories de füeine, de Iroment, date „ seigle ot 
örge. 

: Quaara-rfına, 8. /. "mercredi. 

‚+ Quartarino. V. Aquartalado. 
s QuaaraLind, A, adj. qui a quelque defaut 





















QuA 
sure do Iiquides eontenan? teis pikles parik- 
gaises. Quarteron (mulätre). it. V. Cerlde. 

: Quanräriza, 8. f. bordure, bande, gem 
ture mise au bas d’une robe, @un jupen, &&, 
de femme. 

: Quanrarızind, A, 9.9. do 

:Quantarızia, 9. a. mettre une pafaltert I 
une robe, etc., garnir de Quariapfse. |. m 


ot. 

: Quanräaıo. V. Quarleire. 

: Quaateivo,A,p. p. de 

: Quantein, ©. m. diviser, partager en qui 
tre. (1. de blas.) Kcarieler, partager Fit 0 
qualre, meitre en quartiers. 

: QuARTRIRÄO, 8. m. quarteron : quer di 
cent. (1. de blas.) Quart d’sen. Carrö deiemt. 
de maisons. "Carte geographique 
*Sapine, grosse poutrepour les 
— decasas, pät# de maisons. — de horia, 
reau, carr6 os couche dans un Jardin. -& 
Iua, quartier de la tune. Quarteirde, d.# 
cienne capitation de dix-huil 8008 sur 
couple (d’epoux). 

+: Quanrtıno, 3. m. ° mesure de Bi; b 
quart d’un muld, quinze alquiers. "Rente, f? 
sion par termes. Celai qui paye 8 
(mesure) de cens. 

:QuarteL, s.m. quarlier: campemesi. 
gement, logis militaire; caserne; ospor & 
trois mois; paye de trois mois en reis BB: 
trimestre d’ane pension ; quart, queiiimt ® 
tie. (t. de bias.) —, quatziäme paris da TW 
“Maison, logement. "Trappe pour ferner 
&coutilles. —, traitement isvorakle la ng 
vaincus; süret6 de la vie. — d’incerne, 6° 
tier d’hiver. — mesire, ma ep: 
ofBeier qui est charge des logemenis. — #4" 
general, er-maltre general. — d6 
(Ag-) lien de säreiö, eü se sauvent les sh 
peltzons, et, par extension, lieu de Ir 
o& la justioe ne poutentrer. Der, peir 
guerra ‚denzer, domander quartieräls per. 
Ndo dar —, ne point Iaire quartiet. Uli 
re be dar van" 

‚lavie 

» Quaarzıano. (4. de Dias.) V. Zupuarkih 

+ :QuaatzıLtıno;0. 0. 1. de mil) oa 
entreiient la propreis des logements. P 

: QUARTELHA Ow (1. da ode.) VE 

«Quanzäsza,a.f. ) neris depuis Ih ui 
jssqu’ä la prersitre jointare des janbe, 68 
les quadrapddes. Piöce om ornemeni du 


dans lesquartiers (cheval). Bagot, mal propor- | teciare. 


konnt. . 
+ : Quäntauturs, ode. (M- us.) quatriöme- Ivy 


ment, en quatridme lieu. 
+" ı Quaatanäı, s. m. sorte d’ancienne stoße 
ow lissu de laine. 

: Quansaminıo, s. m. böndficior dans une 
eathedrale, qui a le quart d’une prebende de 
ebanoine. adj. (Jui a la fiörre quarte. 

+°: Quanzino, PR a; a alquiers, 

1 „& ou adj. m. nbeval ragot, mal 
po ‚ Anclenne plöch darge de- 





ı QuanızıLöno, a, ady. tongleint (dr 


ouanrznid, 0. m. quarteron (meist 
s QuaRtete ou n des dear pre 

s Quantfro,s. =} quatrains den mu“ 
Quatuor ‚ morceau de musique ä quatt M 


s Quant, ed. 20m, ih 
aspect, di > . 

f a m e chopina ; dent De gi! 
G’und canada (FR MA.i 








QUA 


molicos OU a8 causas, quels quo soient les mo- 
tifs, quolles que soient les causes. — leäo..., 
— rochedo... , assim..., tel qu’un lion..., tel 
qu’un rocher..., tel... 

: QuäL, adv. (P. us.) comme, de möme que. 

: QuaLHär, etc. V. Coalhär, etc. 

: Quaziping, 3. f. qualits: ce qui fait qu’une 
chose est telle ou telle, bonne ou mauvaise, 
etc.; maniere d’öire; inolination, habitude ; ta- 
lent, disposition;; attribut, accident; propri6t 
d’un corps, en termes de physique; noblesse 
distinguse ; condition, rang, etat d’une per- 
sonne. Em — de, en qualits de, ätilre de. — 
dos fruclos, * acabit des fruits. 

: Quausricagäiö, s. f. qualilication : attribu- 
tion d’une qualits. * Jugement, censure. Preuve 
de noblesse. 

: Quauifickno, A, pP. p. de Qualificar. adj. 
De qualite, distingue, considere; qui a les 
qualiles requises. 

: QUALIFICADÖR, 8. m. celui qui qualifio, cen- 
seur. — do Santo-O/fRcio,, qualificateur : mem- 
bre de linquisition charge d’examiner les livres 
et les proposilions denoncees. j 

: Quauırıcar (de), v. a. qualilier : designer la 
qualite, donner, attribuer un litre, une e&pi- 
ıhöte, une qualits ; övaluer, apprecier, eslimer. 
Censurer des livres comme qualiflcateur. (g.) 
Ennoblir, illustrer. 

: Quauiricär-BE, dv. r. faire preuve de no- 
blesse, faire ses preuves, Justißer par des titres 
qua’on est de noble exiraclion. 

: QUALIFICATIVO, A, adj. qualißcatif : qui 
donne la qualification; qui sert ä qualifier. 

: QuaLqt£r, adj. 2 gen. quieongue, que 
conque, quelque. Quelqu’un, chacun. Qui que 
ce soil, qui que ce puisse dire. — ouiro, lout 
autre. — que, quel qu’il soit; quiconque. — 
homem sabe isso, le premier venu sait cela. 
— letrado vo lo dird, le premier avocat vous 
dira cela. — cousa que succeda, quelque chose 
qu’il arrive. A — grdo que, & quelque degre 
que. Quaesquer que sejäo 08 riscos, quels quo 
soient les dangers. Qusesquer sacrificios que 
ew tonka feilo, quelques sacrifices que j’ale 
faits. Qusesquer que sejdo vossas riquezas, 
quelques richesses que vous ayez. V. Qual (& 
la fin). 

:Quim. V. . 

: QuaNÄNEBO, A, adj. (inus.) combien grand. 

*Quasoras, s. m. ([am. burl.) Razer 0 seu 
— , faire son &loge,, faire ses compliments. 

Quinno, adv. comme, quand „ lorsque. 
Quand, en quelque lemps. En cas que. Quand, 
encore que. Tantöt, employ6 comme con- 
jonclion disjonclive. Ex.: — a trole, — a ga- 
dope,tanlöt au krot, lantöt au galop. — mais 

ou — mwilo, au plus, tout au plus. — menos, 
au moins; pour le moins. Ainda —, quand 
mewe, bien que. Desde — ? depuis quand? De 
— em —, de vezem —, de temps en temps, de 
fois A autre. Ald —’ jusyu’ä quand? — ndo fosse 
send... ns fl-ge que... Apenas tinha saido, 


os.“ 


QUA 973 


— 6034 caio, il Etait A peine sorli que la mai- 
son s’ecroula. 

*: QuanT’ä, adv. — por isso, quant ä cela, 

: Quantkıra. V. Canleira, 

* : QUANTE-POR-ISSO , adv. quant A cela. 

: Quaxrtia, 5. f. somme d’argent. V. Coniia. 
Nös traldmos da —, nous en sommes sur le 
combien. i 

: QuANTIDÄDE, s. f. quantils : se dit de tout 
ce qui peut ötre mesur6 ou nombre; dimen- 
sions d’un corps ; multitude,, abondance. 

T : QuanTIösaMENTE, adv. (P. us.) en grand 
nombre, en quantite. 

: QuanTı0so, A, adj. considerabld : abondant, 
nombreux. Riche, opulent. 

‚x QUANTITATIVAMENTE,, adv, selon la quan- 


: QUANTITATIVO, A, adj. susceptible de quan- 
tit6, ou qui en conlient, .. 

: QuÄNTO, A, adj. tant, autant, correlalif de 
Tanto. Combien grand, quel grand, quel. Com- 
bien de, que de. Tout ce qui, tout ce que. 
Combien, quel nombre, quel prix. V. Quanto, 
adv. QuantoP combien? — custow? combien 
l’avez-vous pay&? Em — tempo? en combien 
de temps? Farei — puder, je ferai tout ce que 
je pourrai. —s säo P combien sont-ils? combien 
yeen a-Hil? —s morrerdo? combien sont-ils 
moris? —s mais meodicos, mais doengas, plus il 
ya.de medecins, plus ily a de maladies. —s 
mais morlos menos inimigos, plus de morts, 
moins d’ennemis. Quanias vezes? combien de 
fois? Quanlas vezes V. M. quizer, aulant de 
fois que vous voudrez. 

: Quinto, adv. quant; combien; d’autant. . 
V. Quäo. Autant que. Ex. : — em mim för, au- 
tant qu’il dependra de moi. — n’elle &, autant 
qu’il est en lui. Defendo-o — posso, je le de- 
fends autant que je le puis. Plus. Ex.: — mais 
um homem & pobre, tanlo mais deve ser s00- 
corrido, plus un homıne est pauvre, plus on 
doit le secourir. — anles, aussilöt, au plus tt, 
— mais, d’autant plus que, outre que. Zm- 
tandis, dans le temps que, tant que, en at 
dant que. Jesu-Christo em — komem, Jesus- 
Christ en tant qu’'homme. Em — durar e 
mundo ,tant que le monde durera. Em — que, 
pendant que. Em — a, quant &, pgur oe qui 
est de, pour. Com —, nonobstanf, bien que, 
quoique. Por —, d’aulant que, vu que; & 
cause que, pourquoi, pour quelle raison. — a 
mim, pour moi, quant & moi, pour co qui me 
regarde. — a vista pode esiender-se ou al- 
cancar, tant que la vue se peut eiendre.- 

: Quiäö, adv. Il sert ä exagerer, ä donner plus 
d’önergie. Que, combien. Ex.: — poderoso & 
Deos! que Dieu est puissant! Que, correölatif 
de Täo, aussi, non moins. Ex. : Täo formoss 
— ingrala, aussi, non moins belle qu’ingrate, 
Se elle fosse läo te, — datrevido, #il 
6:alt aussi prudent qu’il est hardi. 

:Quäquer. V. Quacre. 

* Quarkıra. V. Carreira, 


s QUARENTA, adj. 2 gen. quaranio: quatre di 
ut. . 


.1. 


976 QUE 
a, 8 f."ravin, terraln coup6 et ind- 
gal. *Conde d’une riviere. Fente, ouverlure. 
Precipics esoarp6. Bien fonds peu considärable. 
+ Quesnipauänte, adv. (p. us.) brusque- 
ment, tout d’an o0up, sans pröparalion, sans 


preambule. 

Qouzsnankına ‚2. f- } — de cabers, Ca330- 

Qussaanßıao, 6. m. ) ment de löle:: souci, 
inquidtude, etc. 

Quzsnapico, A, adj. ais6 A rompre. Fragile : 
peu solide, peu durable; cassant. (fig.) Faible, 
de6licat, fragile. 

Quaskino, A, p. p. de Quebrar dans ses di- 
verses ons. adj. Brise. Faillı. Montueux : 
mel6 de plaines et de collines. Qui a une her- 
nie. — com alguem, brouillö avec quelqu’un. 
— de trabalko , exohde de travail. PE—, (1. de 
92068.) hemistiche, molti6 de vers. Estar de 
perna —a, (Ag.) öire dans l'ımpossibilitö de 
travailler. A casianha —a na boca, (ig. fam.) 
projet frustre. Olkar —, des youx doux. Arco 
Sempreermado,ou froaso ou —,un arc loujours 
tendu court risquo de se rompre. Olkos —s, 
(p. us.) desyeux crevös ; (Ag.) des yeux latigues 
os doux. 

Quzsaipo,s. m. ($. darith.) nombre rompau : 
fraction. — composio ou — de quebrado, [rac- 
tion composte, fraclion de fraclion. V. Que- 


Quxsranon, A, 8. briseur : qui brise, qui 
rompt. V. Quebreniedor. 

QuEBaADURs , 5. f. Fupture, [racture, lente, 
etc. Rupture : hernie, desoente de boyaux. V. 


+ Quäsaa-zsquinas, s. m. (durl.) spadassin 
tonjours plants au coin des rues comme pour 
attendre quelqu’un ; batteur de pavs, flänour. 
(Aig:) Rodomont, fanfaron , faux brave. 

QUESRANENTO, s. m. l’action de casser, etc. 
„,Quotrantsmenio. = de cabera. V. Quebra- 


ra. 

Quzanincı, s. f. (t. de mer.) "choc imps- 
tusux des Nlois. 

+ Quäsaa-nör , s. m. (6. d’hist. nal.) Ca380- 
noix : oiseau d’Europe gros comme la pie. 

QUusnanrapissımO, A , adj. eup. de 

QUEBRANTÄDO, A, P. P. de Quebrantar. adj. 
Abattu, accabi6, fatigue, affaibli par les Ira- 
vaux. 

QTERRANTADOR, A, adj. et s. briseur : qui 
brise, qui casse. (Ag.) Infracteur des lois. Qui 
saffaiblit, qui diminue les forces. 

QUEBRANTANMENTO, 5. m. l’action de casser, 
de briser. * Infraetion , transgression d’une loi. 
Abattement, decouragement. "Debilit# , pro- 
stration. * Lassitade, fatigue exir&me.” Efirac- 
tion (de portes, eto.); profanation (d’un liew 
saint). 

((URBRANTÄR, ©. a. rompre, briser, casser. 
Feler : casser a demi, metire en danger de se 
casser tout & fait. Concasser : piler, 6craser & 
demi. Apaiser, calmer la colöre, etc. (Ag.) 
Rompre,, violer, enfreindre. Violer, prolaner 
un lieu sainı, Forcer los prisons. Faligues, ıu- 


QUE 


nuyer. Abause, alaiblir, diminuer, der les 

forces.— o enimo, decourager, abatire. —# 

orgulko a alguem, abaisser l'orgueil de guel- 

qu’un. 

» QUEBRANTÄR-6E, ©. Fr. se döcourager ; salla- 
lir. 

Qusaninto, s. m. charme, sortilöge, sort, 
ensorcellement. * Lassitude, faiblesse, abale- 
ara Brisement de owur, vif rogrei. 

BBRANTOSO. 

QUEBRAOSSO, } V. Xofrange. 

Qugsrik, 9. @. rompre, casser, briser. Pi, 
courber. Violer, enfreindre. (Ag.) Troubler, #- 
terrompre, suspendre. (dd.) Rompre Yamik, 
la bonne intelligence. Abalire, apaiser. Anne 
ler, casser. Deduire, abatire d’une somms, 
Temperer, adoucir, moderer. Ternir laconleu:, 
l'eclat du teint, etc. Vainere, surmonier u 
obstacle, etc. (ant.) V. Codrer. — 0 corape, 
fendre le cmur de compassion. — 0 fo, (M) 
rompre le fil, interrompre. — 0 juremel, 
fausser son sermeont. — a cabega, (fig.) romptt 
la t#te, (atiguer, importuner. —a pelaws, 
manquer de parole: manquer & sa pfomes. 
— 0 jejum, rompre le jeüne. — s ire, di, 
dompter la colere. — e irs, a colors, ek, #M 
alguem , äbcharger sa oolöre , son emmpeortewenl 
sur quelgu’un. — os bragos, o corapde, (M) 
decourager, abaitre le courage. — os eben 4 
elguem, crever les youx & quelqu'en; iM) 
faire ce qu’on sait devoir deplaire A quelgt'm; 
(id.) faire jes yeux doux. — um olko 00 due, 
(Ag. fam.) faire oe qui est le plus jusie ei og 
table. — alguem vivo. V. Esgquarlejer. — wu 
lanpa com alguem,rompre une lanoe arec qeit 
qu’un,, se batire en duel avec lui. — 

a alguem , (Ag.) batire les oreilles & queigı'n. 
qudbre page, quicasse les verres ies MT*- 

Quasräir, ©. #. 56 casser, rompre. Diintl!, 
devenir moindre ,moins fort. Faillir, faire bet- 
queroute. Perdre la couleur, P’öclat da ini, 
fraicheur, surtout en pariant d’une dame. Pr- 
dre courage. Avoir da dechet en quantitt, 1 
diminution. — com alguem, se breuiller 2% 
quelgu’un , quilier son commerce, s0ß 
— 0 impelo , se moderer. — o fo davida, mit 
rir.— por iude, rompre. — com somm, pe 
cher, tomber de sommeil. —o corapdo com Mr 
do, com der, avoir une grande pear, Epro@t“ 
une vive douleur. — das -oerilhas, so lairt = 
rupture ou hernie. — da furia, do impei,ft- 
paiser, so calmer. — por si, cöder de son It 
de ses pretenlions. Quebräo as ondes ne pr 
los flots se brisent sur le rivage. 

Quesnin-sE, v. r. se casser, se briser, Mt 
mis en pieces. 

Qeeaao, s. m. * ioflexion melodiease de A 
voix; cadence, fredon. — do corpo, inleı 
du oorps; attitude gracieuse. —s dos ol: 
yeux doux. V. Requebro. 

Qutca, s. f. piece d’un ancien kabillemem 
de femme. 

* Quäcas. V. Aqudcor. 

Quima, 4. [+ einnte ı neuvament, action de 


Wr RER 








QUE 

qui tombe. (ig.) Faute ; faute envers Dieu ; d£- 
eadence; disgräce; malheur; ruine. Pente 
d’une montagne, d’un lerrain. Cascade, cata- 
racte, chute d’un torrent. *Penchant , ınclina- 
tion, propension. Dar uma —,tomber, faire 
une chute. Dar —, (fig.) tomber, passer rapi- 
dement d’un etat & un autre pire. Ter — para 
pinlor, poela, etc., avoir de la propension & la 
peinture , & la poesie, etc. 

*Qugpär,v. ®. rester, demeurer. Rester:: 
&ire de reste. Cesser. S’arröter. V. Aquielar ot 
Quicto. 

Qutoo, A, adj. paisible, tranquille; calme. 
Quiost en repos, qui ne se meut pas, immo- 
bile. A pd — , sans se mouvoir, sarıs s’ebranler, 
sans (aire un pas en arriere; tranquillement, & 
son alse,, sans se gener. De —, beilement, dou- 
cement, moderement. Qufdo e —, adv. douce- 
ment, pas A pas, petit & petit. 

"Qusrinpas. V. Calendar. 

* Quaente. V. V. Quente. 

Qrsısäpa,s. f. talmouse : pätisserie de fro- 
mage, @ufs et sucre. Tarteletie de confiture. 

QueisaniLuo. V. Quejadilho. 

Queisäpo, A, P. 9. de 

Queisir, v. a. faire des fromages. 

+Quemania, s. f. la peine, le travail de faire 
des fromages ; temps oü Pon fait les fromages. 

Quesstına , s. f. laiterie; fromagerie; forme 
& fromages ; femme qui fait les fromages. 

+ Queiskıro, A, 8. fromager, fromagere : qui 
fait et vend des fromages. 

- Queuixno,s. m. dim. de Queijo. Petit fro- 
mage. 

Qu£uo, s. m. fromage : lait caill&, &goutte et 
quelquefois sald; (fKg.) ce quien a la forme. 

Qutıma,s. f. Yaction de bruüler. * Embrase- 
ment, incendie. * Brülement. 

Qusiuaciö,s. f. (p. us.) l’action de brüler. 
— de sangue, (fam.) violent chagrin, peines 
cuisantes d’esprit. 

Queıuipa, s. f. action de brüler. *Incendie 
dens les bois, etc.; le terrain parcouru par 
Pincendie. 

QugisaneLLa. V. Queimadura. 

Queimino,A,p.p. de (Queimar. adj. Brül6, 
häle, trop cuit, desseche. De couleur basa- 
nee ; noir. 

QueimaDör, A, 8. celai qui brüle, brüleur, 
incendiaire. . 

Queınapünra, s. f. brülure : action du [eu sui- 
vie de decomposition ; sa Irace, sa marche. 

rt Qusımauento, s. m. brülement, action de 
brüler, 

Qusiuid. V. Quimdo. 

Queımin, v. a. brüler: consumer par lo feu; 
faire du feu d’une chose; dessecher, causer de 
la douleur, du mal par le feu , l’excessive cha- 
leur ; se dit de V’effet 'que produit le solcil , la 
gelede, etc., sur les plantes ‚etc. ; faire subir le 
supplice du feu ; jeter au feu un corps, un ca- 
davre. Piquer, brüler la langue. (fg.) Deiruire, 
dissiper, vendre & vil prix, etc. — 0 sangue 
d’alguem, aflliger, importuner, ennuyer quel- 

PORT.-FR, 


QUE 977 


qu’un. — as peslanas, (ig.) s’adonner beau- 
coup & l’etude, travailler beaucoup la nait. 
— um navıo,, (1. de mar.) chauffer un vaisseau, 
donner le feu. Tomar as cousas por onde quei- 
mdo,,(flg.) prendre du mauvais cöts , en mau- 
vaise part. 

Queımäa-se, v. r. so brüler, ötre brüle. (Ag.) 
S’enflammer, brüler d’amour, etc. (id.) S’iimpa- 
tienter, se mettre en colöre, etc. ; ätre extröme- 
ment sensible, s’Impatienter aisement. So r6- 
tir, brüler, se tuire au soleil, au feu. 

QEIıMa-RO0PA, 8. f. A’ —, loc. adv. & brüle- 
pourpoint, de tres-pres, & bout portant. Tout & 
coup, inopindment. 

f Qutıno, s. m. * chaleur piquante que pro- 
duisent certaines choses sur la langue. 

*Qutıro. V. Queizeiro. 

+ Queınöca , 8. f. espece de plante. 

Queıxa, s. f. plainte. * Ressentiment d’une 
injure. *Murmure, mecontentement, deplaisir. 
Complainte. Querelle. V. Doenga, Achaque. Fa- 
zer — d ‚faire, former des plainies 
contre quelqu’uh. — sem motivo , querelle sans 
motif, querelle d’Allemand. Escusadas sdo tuas 
—s , toutes vos complaintes sont inutiles. 

Qugıxapa, s. f. mächoire : os dans lequel les 
dents sont implantees. 

QuzıxiL, adj. 2 gen. mächelitre, molair- 
(dent). 

Qusıxir-se (a, de ), v. r.se plaindre,, se la- 
menter, fsire des plaintes; tEmoigner du mıc- 
contentement, du chagrin contre quelqu’un; 
rendre plainte en justice. — sel rei, etc., por- 
ter sa plainte au roi, etc. — aliamente, se 
plaindre & haute voix; tömoigner un grand 
mecontenicment. Queizsse de si mesmo da 
sua desgraca, qu’il s’en prenne & lui-meıno de 
son malheur. 

Quaıxtıro, adj. m. Dente —, dent de sagesse. 

* Queızia. V. Queiza,, Escandalo. 

Qutiıxo, se. m. "mächoire. Baler o—, cla- 
quer les dents de froid. Fager iremer o—, 
faire, causer une grande peur. Ficar de — 
caido „ s’ebabtr, dire stupefait. 

*“Quaıxo. V. Queüo. 

Queıxösas&nte. ade. d’une manidre plain- 
live. 

Queıx6öso, A, adj. meöcontent, qui se plaint 
de quelgu’un; plaignanıt ; plainüif; malade. 

QuEıxUümg, s. m. "complainte, lamentalion. 
V. Queize. 

+ Qussaoiıno ,s. m. (1. de bot.) fleur do cou- 
cou , plante. 

*Quesinpo, A, adj. de quelle espece, quel. 
Tale —,(pop.) tel quel,nibon niınauvais. 

Quiıua,s. f. "tuyaa, conduit de bois pour 
les esux. V. Calha. 

Queuinönıa, 8. f. V. Colidonia. 

+ Queıır’, s. m. (1. d’hist. nat.) quelly, Ido- 
pard de Guinee. 

QuRs, pron. rel.2 gen. qui, lequel, Jaquelle. 
Quel, quelle; l’un, l'autre; celui qui, quicon- 
que. V. Qual. — quer quc, quiconque. De —, 
dont. — d que... qui est-co qui...? Seja— for , 

62 


978 QUE 


qui que ce puisse @ire. Dize-me com — andas, 
dir-te-kei as mankas que lens, (prov.) dis-moi 
qui tu bantes, je te dirai qui tu es. 

Queu (i). V. A’'quem. 

Queugcär, adj. 2 gen. quelqu’un. II se dit 
toujours des personnes. V. . 

7 Quinca, s. f. (4. du Bresil) moili& d’un 
Coco creux, ce qu'il peut contenir. 

Quautia. V. Aquenliar. 

Quänsg,adj. 2 gen. chaud, quiaa de la cha- 
leur ; ardent, brülanı. — ferusado, bouillant. 
Ferro —, ler rouge. — do miolko, colerique, 
emporte. Cavallo —, V. Ardego. Um feilo mi 
—,(fig.) entreprise hasardee, dangereuse. — 
na peleija, ardent au combat. Esiur —, avoir 
chaud. Malhar no ferro em quanlo esld —, 
battre le fer pendant qu’il est chaud. Ter as 
cosias quenles, (g.) se fer a la protection de 
quelqu’un;; &tre fort appuye6. 

Quentöna, s. f. chaleur, chaud. Fidvwre (p. 
ws.). (Ag.) Ferveur. 

* QuEQUER,, adj. 2 gen. tout ce qui, quicon- 
que. V. Qualquer. 

Qu&ax, conj. ou, soit, bien, que. Jrei, — cho- 
va, — [ara bom lempo, qu'il pleuve, qu’il fasse 
beau,, quelque lemps qu'il lasse, j’irai. — s2ja 
d’um modo, — seja d’ouiro, que ce soil d’une 
maniere, que ce soit d’une autre. Se —, au 
moins, du moins. Como — que seja, quoi qu’il 
en soil. — sim — ndo, peu importe, c’esi dgal. 
Nam sequer, pas meme, pas seulament. No se- 
quer um, pas un seul. 

T: Quencuta, s. f. espece de plante. 

Quereia, s. f. plainte rendue en justice. 
Cause , demande en juslice. (as#.) "Grief, sujet 
de plainie. 

QuEa&LÄDO, A, P. p. de Querslar. adj. Ac- 
cus€ en justice, contre qui on a porte plainie. 

QuBazLaDdon, A, 5. el adj. plaignaut, qui 
forme une plainle en juslice ; aceusateur. 

QuEARLÄNTE, adj. et s.2 gen. V. Querelador. 
p.a.de 

Qugagıär (de), o.». porier plainie en Justice 
contre quolqu’un. —s6, ©. r. (p. 43.) se plain- 
dre, se lamenter. 

QuErELö60, A, adj. plaignent. V. Querela- 
dor. Plaintif. V. Queixoso. 

QUER&NA, 3. f. "carenage :aclion de caröner, 
son ellet. Caröne. Dar —, donner carene, 
ınelre en Cardne. 

QuenENÄDO,A,P.p.de 

QugazuÄn, v. a. carener : radouber, raccom- 
moder un vaisseau ; metire sur le odld pour le 
radoub. 

* Quaaanca, s. f. volonte, desir, envie. In- 
tention, dessein. Bienveillance, affeclion. V. 
Bemquerenga, Malquerenga. Endroit oü les 
animaux vont paltre, oü ils sont dlev6s : gite, 
vepaire, etc. Fazer —, faire semblant de. 

QuEREnG6so, A, adj. desireux, avide, qui 
‚desire avee ardeur. «4. V. Amoroso, Benevolo. 

QuEn&nts, adj. 2 gen. qui veut, voulant. 
». 0.de 

Quasäx, v. e. vouloir, desirer, avoir smrie 


QUE 


de. Aimer, cherir. Vouloir: aroir l’intention, la 
volonid de faire, commander, exiger avec ı- 
torilö: pr&tendre,, tächer; consentir, demeore 
d’accord ; demander, @ire de nature ä exiger. 
— dizer, signifier.— bem a alguem, vouloir du 
bien dä quelqu’un ;simerbien, cherir queigi’un. 
— com as meninas dos olhos, aimer quelqu'u 
comme la prunelle de ses yeus.— mal ask 
guem, en vouloir a quelqu’un. Mais —,onleı—, 
aimer mieux, preöferer. —diser, (loe.adr.'c'e# 
a-dire. Isso e 0 que elle quer da mesma cum 
ou fudo d um, il ne demande pas mieux. Nds 
Ihe quero mal por isso,, je no lui en veut p&s 
pour cela. OQuem iudo quer tudo perde, quiveni 
tout avoir n’a rien, qui desire tout perd el. 
Quem mais lem, mais quer, plus on a, pie 
on veut avoir. Quem bem quer a Belirdo, In 
quer ao sew cäo, (prov.) «ui aime Bertrand aime 
son chien , les amis de nos amis sont aussi Is 
nötres. Como V. M. quizer, comme vous \9%- 
drez, tout comme il vous plaira. Pinlar com 
—, se flgurer, arranger les choses ä sa lar- 
taisie. mais quer ? que voat-il de plas’ qm 
Iui faul-il de plus? Quer queira, quer ade 
queira, bon gre, mal gre. Que quer diser in? 
que veut dire cela? Sem —, sans le vous, 
sans dessein. Quem quizdrem , qui l’on voodnn. 
O que ndo queres para ki, ndo queiras para" 
oulros, ne fais pas & autrui ce que lu net 
drais pas qu’on te fit. j 

Queräs-sg, o.r. se vouloir, d&sirer pour  ; 
aimer, desirer, souhaiter. S’aimer bien. inprri. 
Avoir besoin. me ver rodeado d’amipt, 
jaime & eire entourd d’amis, je desire, F 
souhaite @ire entours d’amis. Os esposcı fü 
rem-se mılilo , les &poux s’aiment bien. 4 de 
mas querem-se idolalradas, les dames aimen 
ä &tre idolätrees, ow veulent ätre idoläirees. 4 
suocidade quer-se vigiada , la jeunesse a b&502 
de surveillance ou d’eLre surveillee- 

Quant , s. m. vouloir: acle de volonle; ı# 
tention, dessein ; desir, envie. 

+ Qusaipa, s. f. maltresse, amanle. Nixis 
—,, Ina mie, mon amie, ma chere amie. 

Quzxipo, A, 9. 9. de Quersr. adj. Am. 
ehöri. Mignen, bien-eime. Mau —, men ort. 
mon bien-sime. 

* Qugnima, ur 

* Oosamöna. V. Queiza, Quewun 

Qreruzs. V. Algquermes et Hermes. 

+ Ortnaueno, a, adj. Feere —, FH 
trös-violente, avec des frissons ei conrulme 
des membres. 

QuzsiLıa ow Quisitia,, etc. V. Quigie, W- 

Qussuusim. V. Cherudim. \ 

Qusstiö, s. f. question : point, proposilion d 
discuter; chose dent il s’agit. Dispule, du 
relle, differenud. — de nome, ou de palsır#. 
querelie de mots. — de lä de cabras ou & C 
gado, question sur des choses qui neuste 
pas, sur des choses [uliles. Hd grande. gu 
döes sobre se..., c’osl une grande queslion IM 
de savoir Bi.» 





QUI 
Qusstäozinta, dim. de Quesldo. V. Oues- 
Siuncula \ 


QuEsTIonino, A, p. p. do Queslionar. 

+ Ovsstionanon ‚A, 5. celai qui aime ä dis- 
puter. 

Qussriorir, v. a. etw. agiter une question ; 
disputer, d&battre ; argumenter. 

QussrionäveL, adj. 2 gen. douteux, proble- 
matique. 

QueströucuLa, s. f. question peu importanie, 
frivole. 

QtuezsTör, 3. m. questeur : magistrat de Rome; 
garde da trösor. (and.) Quöteur : celui qui 
quäte. 

Quest6r1o, A, adj. du questeur. 

Qugstuinıo, A,(9. us.). V. Trafieante, Cha- 
tim. 

Questuöso, A,ady. lucratif, qui rapporte du 
proßit. . 

Qusstöra,s. f. questure: charge, dignitö de 
questeur; temps qu’elle durait, 

* Quexıquir, s.m. (4. rwst.) quelque chose. 

Qri.V. Aqui. 

+ Quiägkıro, 8. m. (t. da Bresil) sorte de 
plante potagere du Bresil qui donne le quidbo. 
V. Quingdmbo. 

TQuriso,s. m. fruit du Quiabeiro en gousse 
conique: on le mange vert comme les haricots; 
on en [ait un Sirop. 

Quiaına. V. Caira. 

Quick, adv. peut-ätre, par hasard. 

* Quicäis ou Quigäs. V. Quiga. 

Oricıo. V. G@0R20. 

Quicönco, s. m. bois medicinal du Bresil. V. 
Quiseco. 

+ Quinaum, s. m. (fam.) quidam : personne 
dont on ignore ow dont on n’exprime pas le 
nom. 

Quigrackö, s. f. *repos: privation de mou- 
vement. Quiötude, tranquillit6, calme; repos 
d’esprit. 

Quıgtrino, A, p. p. de Quislar. 

Quidtauente, ade. paisiblement, tranquille- 
ment. 

Qui£tir, v. a. calmer, apaiser. V. Aquielar. 

Quikrisuo, 3. m. quielisme : secte, doctrine 
des quißtistes, #6. V. Quielardo. 

Qui£rissıMo, A, adj. sup. de Quielo. 

OtieTista, 8. m. quististe : qui fait consisier 
toute la perfection chretienne dans l’amour de 
Dieu , le repos ow l’inaction de l’Ame; fou tran- 
quille, devot et libertin. 

Ocı£ro, A, adj. qui cst en repos, qui ne Se 
meutpas. Paisible, tranquille, calme. Regle 
dans ses ma@urs. 

QuiciLa ,s.f. (mot africain) antipatbie, aver- 
sion, röpugnance. 

QuiciLär (com), v. ». avoir antipathie, aver- 
sion pour une personne, une chose. 

Quicoueö. V. Quiabo. 

Quuinno. V. Quejando. 

+ Quiz, s. m. quadrupdde de l’Inde, espöce 
de füret. 

QuizaTiv0, a, P. p. de Quilalar. 


QUI 979 


QUILATADOR, 8. m. essayeur : ofücier qui fait 
l’essat des monnaies, etc. j 

QuiLarär, v. a. easayer de Y’or, elc. (Ag.) 
Apprecier, estimer. V. Aqwilatar. 

QuiLATE, 3. m. carat:: litre, degr& de purelk 
de l’or; poids de quatre grains pour les dia- 
manis, les perlos; (fig.) degrö de bonts, de 
perfection. 

fQuıLATRıra, s. f. "instrument en forme de 
filiere pour apprecier la valeur des perles, en- 
les faisant passer & lravers. 

QuiLaa, s. f. quille : longue piece qui rögne 
au-dessous du vaisseau. (Ag.)* Vaisseau, na- 
vire. ($. de bot.) Careue : saillie longitudinale 
sur le dos d’une [euille. Passar um marinheiro 
por baixo da—,(l. de mar.) donner la calo & 
un matelot par-dessous Ja quille 0% donner la 
grande cale. 

QuriLHino,A,p. pP. de 

+ QuıHir, v. a. mettre la quille A un yals-- 
seau. 

+ Quırnän,s.m. (1. de mar.) grand clou pour 
elouer les varangues sur la quille. 

QuıLömso, s.m. (6. ds Bresil) röunion de 
negres marrons ; lieu oü ils se r&unissent. 

Quimiö,s. m. (1. d’Asie) rohe de chambpe. 
V. Roupdo. 


Quim£ra, etc. 

Ovimıca , ete. } V. Chim..., etc. 

rt Qeıminna, s. f. plante d’Angole. V.Minks- 
, . 

7 Quimö,s.m.(t. d’hist. nat.) quimos : homme 
& longs bras, maigre, mince, triste. 

Quina,s.f."angle, coin. —, pl. un quines: 
deux cing au trictrac. —s poriuguezas, quines 
portugaises, armes de Portugal : cing peuts 
“cussons d’azur poses en croix, es dans chacun 
d’eux cing deniers d’argenten sautoir ; drapasuy 
Aux Cing ECuSsons. 

Quina ow Quinguina,s.f.“ quinquina : 6corge 
febrifuge d’un arbre du Perou qui port le 
meme nom. (4.debot.)Quinquina ow kina-kina ; 
arbre du quinquina, plante rubiacee febrifuge. 

+ Quinävas, adj. f. pl. (4. de bot.) quinses, : 
disposees par cinq ([euilles). n 

Qumipo, a, adj. (9 de pharım.) pröpaso aveo 
le quinquina. 

*QuinäL, 3. m. ancienne mesure de liquides, 
25 almudes. 

Quinio, s. m. "faute relerde; victoire zem- 
portse dans une dispute litiöraise. Dar — a al- 
guem, convaincre quelqu’un d’une ertom, 
d’une faute, 

Quinaguıma. V. Quina. (1. de bot.) 

Qumirıo, s. m. et adj. nombre de cing; de 
einq. Petite piöce de monnaie chez lesRomains, 
qui valait 5 as. 

Quinas , pl. V. Quina. 

Quincauuania. V. Quinguilkaria. 

+ QuincaLutıro, s. m. quincaillier : mar- 
chand de quincaillerie. 

QuincäLoco, s. m. lescing commandemenis 
de l’Eglise. 

* Quiuca0dso. V. Quyintal. 


982 RAB 


Rıvaninı,s. f. jeu d’enfants. 

Rasaz£ıLa, s. f. "poisson qui reste au p6- 
eheur. (f. d’anat. ant.) *Croupion, sacrum, 
kocoyx : extr&mite du bas de l’Echine. 

RasapiıLna, s. f. V. Rabadella. * Croupion 
d’olseau. Petite queue de poisson, 

Raıgiovo. V. Cauddio. 

RısiLne. V. Arrabalde. 

+" Rıkiıni; adj. f. Quarla —, ou rabalva, 
ancienne mesure de liquides au Porto. 

Rızirva,s. f. sorle d’oiseau de proie noc- 
turne. is. V. Rabalha. 

+ Rıpäna,s. f. (f. de P’Inde) sorte de tim- 
dale quo les Malabares portent suspendue au 


oou. 

Rızarida,s. }. * cdup de queue.—devenio, 
conp de vent, rafale, bourrasque. 

Rapanir, s. m. "raviöre:champ, planohe 

Sende de raves. 

RABANETE, 5. m. petit radis. 

"RısinHo. V. Rebanko. 

Rizano ou Ct. de dot.) "rave : plante po- 

Risio,s. m. j tagere; ravecorail.— radisio, 
radis. — silvestre, rave Ssauvage, faux railort, 
raphanistre. — silvsstre maior, ou — bastardo. 
V. Armor: 


Rasiö, Ona, adj. on Ile dit d’un animal ä 
qui on a euup6 la queae : &courtd, oourtaude; 
& courlo queue. — , cheval courtaud. 

Rısiz. V, . ‘ 

RaB’av£nro, ade. sulvant le vent. On te dit 
du gibier, des olseaux qui ontle vent en queue 
en courant, en volant. 
Bass ow Bassino, s m. rabbin: desteur 

u ® 


+ Rassımino, s. m. *dignits de rahbin. 

Ruzsinıco , A, adj. rabbinique : des rabbins. 

Ruseınisuo, 3. m. rabbinisme : doctrine des 
rabbins. 

Rappınista, s. m. rabbiniste : qui 6tudie, 
qui suit la dootrine des rabbins. 

Razsönı, 5. m. litre honorifque chez les 
juifs. Mon maltre, mon dooteur. 

+ RABBOTH, s.m. commentaires allögorigues 
du Pentateuque. 

Rarnvoınz, adj. 2 gen. (6. d’anat.) rabdolde : 
(suture —) sagittlale. 

+ RaspoLocia ‚s.f. rabdologie: caloul& Palde 
de baguetles marque&es de nombres. 

Rıspomancia, #. f. rabdomancie : pretendue 
divination par la baguette, par des lignes droi- 
tes traodes ei des bagueties jettes au hasard. 

RaBRADOR, 8. ou adj. m. choval qui remue 
souvent la queue. 

Raneanüra, s. f. "remuement de queus; 

feötillement. 

- _ Rankin, 9. w. romuer, hocher la queußs; fr&- 
'üller. Remuer, torüller le derriöre en mar- 
ehant, en dansanı, (Ag.) Flegomer, faire dus 
bassosses. 

RaßgEeca, s. f. “ violon : instrument de musi- 
que & quatre cordes et A archet; velai qui en 
joue. (6. de wer.) Voile d’etai d’ertimon, foc 
de derriere, foe d'’arlimon. 


RAB 


Ranzchö, s.m. ang. de Rabeca, — grand, 
* contre-basse : grosse basse de vielen.— p- 
queno , violoncelle ; celui qui en joue. 

Rap£co. V. Rofoucinhado. 

+ Ras£ıra, s. f. * derriere: partie posterieui 
d’une chose. V. Rasio, Trike. 

+ Rapskıno,s.m. resie de grains nonramk. 

Rap£ı, s.m. rebec : violon & trois mis 
* Pocheite , petit violon de maltre d dest. | 

+ 0,8... — do aredo, manchem. 
poignede de la cherrue. 

Raseguinna , dim. de Rabees, 

RABEQULISTA , 5. m. joueur de violon. 

+ Rasexviva, s. f. sorte d’alsesn syivek. 

Rastra , s. f. hochequeue. V. Alvdien. 

Risıa. V. Reiva ou Hyirophobis. 

Rısıino,. V. Arabiado. 

Ranıia. V. Rabsar ot Raivar. 

Rapica, 8. f. * manche de la cbamte. Lü 
of.) Petite rave,, raifert cultive. — brate, n” 
sauvage, raphaniste. 

Rasıciö, adj. vu 5. m. rabican : fdm! 
dont la peeu, la robo cost parsumie de pe 
blanos. 

RasıcaÄö, adj. V. Rabdö . 

Rasicno , s. m. * croupiere : longe de care 
la croupe, sous la queue. * Queue de chem 

lleira de —, perruque & queae. — fa 
cabo, (f. de mar.) quene de ratd’wn card. 

+ Rasıcotıra, s. f. "olsosu aquaugee dt 
grandear d’une perdrix. 

Rasıcöaro, A, adj. qui a ia quend wet,! 
oaurie queue, en perlant des beites ei de * 


BOauxX. 

Risıno. V. Raivoso. 

Basıroncipo, A, uf. 2900. qui a I er 
fourchue. s.m. (i. d’hist. na$.) * Frögate:mtn 
de mer. 

+ Rusısönco, s. m. (1. d’hist. nei.‘ pure 
queue : oiseau du tropique, palmiptde. 

Rasit. V. Rabei et Arrabil. 

Ranınkıno, s. m. celui quijoue darad:* 
lui qui les fait. 

+ RasıLönco, A, adj. qui a une kEr 
queue. — do norle, s. m. (1. d’hir, wei. | 
Macrouro. 

Razinno, dim. de Rabo. Petite quese. I* 
sair com 0 — enfre as pernas, (a. fon) se 
aller ia que entre les jambes, hantent,# 


für. 
+ Rasmrfra, s. f. (f. @kisl. we.) resp 
de muraille,, oiseau de passage. 
Rasısica , s. f. excursion farfire. 
Rıstsca. V. Radisco er Rabiscet. 
+ Rüarscantıra, 3. f. grapillens: lest: 
qui gräpille. 
RARISCADOR, A, 8. grifonnear : qai grfees 
— d’uoas , grapilteur. un 
Rıntscär, v. a. grilfonner, faire des pe®*“ 
raouche. Grapiller : cueillir les grappes 4% er 
tent apres la vendange. rn 
Rasiscas, s. f. pl. ‘ Traits de plame. mir 
nage, pieds de mourhes. 3 
Ranisco, s. m. grappen quiresieat apf® 











RAG 


Vendange. Griffonnage. Andar, ir ao —, gra- 
piller. 

Rapıstco, A, adj. (burl.) seo, sterile. 

BiAB0, 8. m." queue : extrömitd du corps des 
quadrup&des, des oiseaux , des poissons;; (flg.) 
tout ce qui pend par derriere; haillon qu’on 
altsche au carnaval au dos des passanis, etc. 
Cul, derri&re. Pimenta de —, poivre-long. — 
Basno, queue d’äne, plante. — de raposa. V. 
Amarantiho. — de cavallo. V. Cavallinha. — 
d’ovelha, espece de raisin blanc. — de junco. 
V. Rabijunco. — forcado. V. Rabiforcado. — 
derapoza, (4.de mar.) qucue de rat. Olkar 
com 0 — do olho, regarder do travers ow du 
eoin de l’ail, guigner. O— druim d’esfolar. V. 
ce mot. Pegue-Ihe pelo— , (fam.) on le dit pour 
exprimer la dificulte d’atteindre une personne 
qui fuit, ou d’obtenir ce qu’on desire. Andar, 
ir ao— d’alguem, (fam.) suivre quelqu’un par- 
tout, ötre sans cesse sur ses talons. Com 0 — 
gelo chäo,, (Ag.) trös-humblement. Decabo a—, 
tout du long; d’un bout & l’autre. 

RısoLiö, etc, V. Rebuläo, etc. 

TRisoukva,s. m. “queue: haillon, papier, 
etc., qu’on attache, au carnaval, au dos des 
passanis, etc. ( nr Appendice, chose ajoutee. 

RısoL0. V. Bebolo. 

Rısorir, v.a. raboter : polir avec le rabot. 

Rasörs, 3. m. rabot : oulil pour planer, apla- 
nir, polir. 

Rastoo, A, adj, quia une longue queue. Qui 
a un gros fessier. 

Raztcen, s. f. gale de chien. Rogne. (fg. 
fam.) Mauvaise humeur, morosit6; barbon- 
noge. 

RaBUGENTO, A, adj. galeux, qui a la gale 
(chien). (fg. fam.) Bourru, chagrin, de mau- 
vaise humeur, acariätre, morose. Velko —, 
barbon ‚ vieillard morose. 

RisuLa, s. m. avooat ou procureur ignorant 
et grand parleur ou chicaneur; me6chant avocat, 
criailleur, avocassier. 

RısvLi6, s. m. fanfaron, fantasque, gas- 
con. 

RıpoLania , 8. f. vanterie, fanfaronnade, 
piaffe. Raisons de chicaneur, raisons avocas- 
sieres. 

Rapsuufce, s. f. chicane. Arocasserie. 

Rasisca, 8. f. V. Rabisco; Resto. 

Rica ‚adj. 2 gen. (mot syriaque ei biblique) 
ecervel&, &tourdi, Evapore. 

Rica,s. f. race, lignde. Ce mot, en parlant 
des hommes, ne se prend guere qu’en mau- 
vaise part. (fig.) Qualit& d’une chose, celle 
surtout quelle contracte dans sa formation. 
“Rayon de lumieroe. Engeance, race, en pär- 
lant des volailles. Seime : division de l’ongle du 
cheral. 

Racäö, s. [. ration , porlion r&gl&e de rivrer, 
etc.; pitanoe. — dobrdda, double ration. — 
pags em dinheiro , argent qu’on donne chaqus 
four & un domestique, etc., pour sa nourri- 
ture, 


RAC 988 


Ricua,s. f. *&clat do bois, copeau, etc. Fis- 
sure, fente, crevasse. V. Raxa, 

Racnapeına, s. f. * fendoir : instrument pour 
fendre; outil de vannier, jardinier, etc. 

Rıcnivo,4,p.p. de Rachar. 

Racuanör, s. m. fendeur: qui fend le beis, 
etc. 

RAcHADüRA, s. f. action de fendre. V. Racha. 

Racnin, v. a. fendre : diviser, s&parer, cou- 
per en long; separer par force. — alguem com 
palacras, (fig. fam.) r&primander quelquun 
durement; maltralter, outrager, insulter quel- 
qu’un en paroles. 

Rıcnir, v. n. et—sE, v. r'. se fendre, s’en- 
trrouvrir, se diviser. 

RacHEBinos, s. m. pl. soldats Indiens. V. 
Rasbutos. 

TRacmuudlı,s.f.(t. de med.) rachialglie : 
douleurs violentes le lorıg de !’epine dorsale, 

Rıczirtico, A, adj. (t. de med.) rachitique: 
altaque& du rachitis. 

Rıcairis, s. f. (t. de med.) *rachitis: mala- 
die, courbure de l’&pine et des os longs. 

Racaırisuo, s. m. (4. de med.) rachitisme: 
maladie des bl&s nou&s, bas et tortus. 

} Racimioo, A, adj. assemble, uni en forme 
de grappe; qui a des grappes. V. Racimoso. 

TRacınireno, a, adj. (poet.) qui porte des 
grappes. 

Raciuo,s. m. (4. de bot.) * grappe : grains en 
bouquets pendants. (fig.) Assemdlage de choses 
en forme de grappe. 

Raciuöso, a, adf. (f. de bot.) abondant en 
grappes; qui a des grappes; qui a la forme de 
grappes, en grappes. Charg6, couvert do rai- 
sins. 


RacıocınagÄd, 3. f. "raisonnement, !’action de 
ralsonner. 

Rıcıocırino, A,p. p. de Raciocinar. 

f Racıocınanor, A, 8. ralsonneur : qui ral- 
sonne, 

Racıocınär, v. n. ralsonner:: faire usage de 
sa raison ; faire des ralsonnements. 

Racıocinıo,, s. m. raisonnement : faculi&,, a6- 
tion de raisonner; argument; raison, juge- 
ment. 

RacıonasıLıpine, s. f. raison : facult& de 


‚| raisonner, de juger avec connaissance; Intelli 


ence. 

RacıoniL, adj. 2 gen. raisonnable: done de 
la raison; qui a la facult6 de raisonner. —, 
conforme Ala taison. V. Arrasoado. Rationnel. 
On le dit en arithmetique, etc., des quantit&s 
commensurabics. Horizonte —, horizon ra- 
tionnel, cercle qal coupe le monde en dedx 
hömisphäres. Medicina —, miödecine ralion- 
nelle, l’oppose de l’eımpirigue. 

RıcıoniL, 3. m. rational: morceau d’&toffe 
que le grand prötre des Juifs portait surla poi- 
trine. 

RACIONALIDÄDE, 8. f. rationale : facultö dis- 
tinctive de l’bomme; qualit6 de ce qui est ra- 
tionnel, conforme & la raison. V. Ractonabili- 
dad». 





98 RAD 


+ RıcıoxaLisıo, s. m. rationalisme : meöla- 
physique qui ne considere les objeis que par 
abstraction ou en tant qu’ils sont possibles. 

RacıonäveL, adj. 2 gen. raisonnable : con- 
forme d la raison;; convenable. 

„ Racıonävgımente, ade. raisonnablement : 
avec raison, conformement & la raison, ä Pd- 
quite; convenablement,. 

Racıon£ıro ou Racokıro, s. m. ecciesiasti- 
que qui jouit d’une prebende dans un cha- 
pitre, etc. Celui qui regoit une ralion. Celui qui 
distribue les vivres dans une communauie. 

“Racon, V. Ragäo. 

+ Racönto, s. m. (p. ws.) "relation, narra- 
tion, recit. 

Rıpin. V. Redrar. 

Rıpıagiö, s. f. radiation, Eclat, rayonne- 
ment. V. Irradiapäo. 

+ Ravıinas, adj. et s. f. pl. (4. de bot.) ra- 
diees : plantes synantherees. ’ 

Rapıkno, A, p. p. de Radiar. adj. (t. de bias.) 
Radie: compose de fleurons et demi-fleurons; 
oü il ya des rayons. (t. de bot.) Rayonne, en 
rayon (corolle,, elc.). 

Ravıir, adj. 2 gen. (8. d’anat.) radial: du 
radius. 

+ RaDIÄNTE, adj. 2 gen. rayonnant : qui 
rayonne; eclatant, briliant. (f. d’opt.) Radiant: 
qui envoie des rayons de lumiere Al’@il (corps, 
surface —e). 

RapıÄr, v. ». rayonner : repandre, jeter des 
rayons , briller. 

RavıcaGäö,s. f. radication : action par la- 
quelle les plantes poussent des racines. (flg.) 
Action de prendre racıne. 

Ranıcäno, A, p. p. de Radicar. adj. Qui a 
pris racine. (g.) Enracine. V. Arraigado. 

Rıbıcin, adj. 2 gen. (4. de bot.) radical : qui 
natt de la racine (feuille); qui appartient & la 
racine. —, quiest comme la racine, la base, le 
principe de quelque chose. Humor — ‚humide 
radical , bumeur, pretendu principe de la vie 
de Panimal. Vicio —, (fg.) vice radical, qui en 
produit d’autres. Cura — ,guerison radicale, 
compitie. Palavra —, mot radical, qui est la 
racine d’autres. Sina! —, (il. de math.) racine, 
signe radical ( Y ‚. Quanlidade — , quantite ra- 
dicale pr&cedee de ce signc. 

+ RavıciL, adj. et s. m. Radiedes, pl. plus 
usise  radical, radicaux: en Angleterre, parti- 
san d’une relorme radicale du systöme de gou- 
vernement, du mode d’election aux chambres 
legislalives. 

+ RapıcaLisıo , s. m. radicallsıne : systäme, 
opinion des radicaux, en Angleterre. V. Radi- 
cal, ci-dessus. 

RapıckLm£nte,, adv. radicalement. 

+ Rapıcänze, (t. de bot.). V. Raigoloso. 

Ranıcir, v. a. ein. prendre racine; pousser 
des racınes. (fig.) S’enraciner. V. Arraigar. 

t Ranıc6so, A, adj. (t. de bol.) qui participe 
dela nature des racines. Qui a beaucoup de 
racines. 


Rapicrıa,a. f. it. debet.‘ radienie: pelile 





RAI 


racine ; rudiment de la racine; partie de l’em- 
bryon de la plante; partie inferieure du germe, 
hors des lobes. st. V. Landria. 

Ripıo, s. m.“ arbalestrille : instrument pour 
mesurer la hauteur des astres. Rayon.V. Raio. 
(t. danat.) Radius : un des deux 0s de l’avanı- 
bras. 

+ Rıpiora, s. f. (8. de bot.)* lin mulüiflore. 

+ RADIÖMETRO, 5. m. radiomeire : instru- 
ment d’astironomie pour prendre les hauteurs. 
Cest le meme que l’arbalete. 

Rıpıöso, A, adj. radieux: rayonnant, bril- 
lant, qui repand des rayons. 

+ Raßr,v. a. racler, ralisser. Ramasser (le 
sel dans les salines) avec un räteau Sans dents. 

* Rıez. V. Arraes. 

Rira, s. f. (fam. burl.) grande faim, faim 
excessive, devoranle. 

Rırino, A, adj. (burl.) rApt, use. (fig.) AF- 
fame; pauvre, miserable. 

Rareca. V. Reföga. 

Rartıso, adj. ou s. m. mälin, dogue. Quem 
tem bom visinho lem bom —, (pror.) quia 
bon voisin a bon mälin. 

Kırıädo,A,?. p. de Raflar. 

Rarıäö, etc. V. Rufido, etc. 

+ Rarıin, v. 0. (p. ws.) lisser, faire un lisse. 
(ant.) V. Ruflar, Afagar. 

Rarınär, etc. V. Refinar, etc. 

+ Rackıra, s. f. (8. de mar.) emboussure: 
n@ud sur une Man@urvre avec un amarrage. 

*Racöna. V. Rancura ou Rancoura. 

+Racisa, s. f. ($. de geog.) Raguse : ville de 
la Dalmatie. 

+ Racusino ow Racösko, A, adj.ei s. Bacu- 
sin : de Raguse. 

Rita, s. f. raie: ligne tracde avec la plume, 
etc. Limite : confns d’un etat, elc., fronliere, 
lisiöre. Borne : terme prescrit au physique et 
au moral. Passar as—s,(fig.) passer les bornes. 

Riu, & f. (4. d’hist. nal.) raie : poissen 
chondropterygien. — grande dos mares de 
Norte, raie blanche. — miralfla ou nodond«e, 
le miraillet. — de sovela na caude, la pasiens- 
gue. V. Uga. — brochsada, raie bouciee. 


Raıipo,A,adj. ray6, A raies. Radie. p.p. 
6 


Ratin,o. a. rayer: faire des raies. Rendre 
rayonnant. Eclairer do ses rayons. v.». Rayon- 
ner, jeter des rayons, briller. — e lux , o die, 
a alva, commencer ä poindre, &clore, en par- 
lant du jour. Vinka raiando o die, le jeur 
pointait. —a luz da raz4o , (ig.) commencer a 
se manifester, en parlant de la raison. 

Raıcöta, s. f. pelite racine d’arbres, rad: 
cule. —s, pl. * chevelu des racines. Envie. TV. 
Eıpiga das unkhas. 

T Raıcoroso, A, adj. (1. de bot.) radicant: 
qui pousse des racines latärales (tige, bran- 
che —6). 

RaınBra ow Reınkra, 5.00 adj. f. rainche 
ou Teinelle : sorie de pomme lacheice comme 
la raine. 











RAI 


TRaınete, &. m, pommier qui donne les 
reinelles. 

Raixna,s. f. reine: feınme du roi; femme 
qui possdde,, gouverne un royaume; laseconde 
piece du jeu des &checs; (fig.) la chose la 
plus excellente, la plus belle ; maitresse ; chose 
qui domine, qui a une grande puissance. — 
dos prddos, ( t. de bot.) V. UI a. 

t RAaınuncuLÄcgas, adj. ets. f. pl. (t. de bot.) 
renonculacees : famille de plantes. 

RAINUNCULO, 8. m. (#. de bot.) * renoncule : 
genre de plante qui a donn6 le nom A la famille 
des renonculacees; fleur de la renoncule eculti- 
vee. — bulboso, renoncule bulbeuse; bacinet. 
— bolhado, renoncule de Portugal (renoncu- 
Ius bullatus). — aqudiico, renoncule aquati- 
güe; hepatique d’eau, — mataboi, renoncule 
des marais ; grenouillette d’eau. — palalö, re- 
noncule des pres, bacinet rampant; bouton 
d’or. — acrimonioso, renoncule dcre; pied de 
coq, pied de corbin. — asialico , la renoncule 
dcs fleuristes. — rasleiro, renoncule couchee. 
— auricomado, renoncule blonde. — singelo, 
grenouillet. 

Ri10, 3. m. rayon : trait de lumiere; suite 
de points lumineux; (4. de g£om.) demi-diam&- 
tre.—, rais d’une roue. Tonnerre,, foudre : 
meleore enflamme. (fig.) " Foudre : chose ex- 
trömement active et violente. (id.) Homme qui 
a l’esprit vif et p6netrant, ow qui est vil, 
prompt comme la foudre. (id.) Coup de foudre, 
malheur imprevu. — de luz, (1. d’opt.) rayon 

de lumiere qui passe & travers un miroir dia- 
phane. (Ag.) Trait de lumiere. derecto,rayon 
direct, qui vient directement de l’objet ow du 
corps lumineux. — ineidente ou d’incidencia, 
rayon incident ow d’incidence : partie du rayon 
de Iumiere, depuis le corps lumineux Jusqu’au 
point oü il se brise. — öplico, rayon visuel, 
par lequel on voit les objets. — principal, (1. 
de perspective) ligne droite tirde perpendicu- 
lairement do l’ail sur le plan du tableau. — re- 
flexo,rayonreflechi.—refracto, rayon brise par 
la refraclion. — visual, rayon visuel. Hdo —te 
parta! (impree.) que la foudre t’ecrase!—s, pl. 
Fayons, lignes par lesquelles les peintres, etc., 
represententiesrayons du soleil, etc. Chover —-s 
d’agua, pleuvoir A verse, par torrents. Dizer 
—s e coriscos d’alguem, (fam.) dire pis que 
pendre de quelqu’un. Zangar, Aılminar —s, 
foudroyer, lancer la foudre. Despedir, lancar 
—s de luz, jeter, r&pandre des rayons de In- 
miere, rayonner. —s medullares, (1. de bot.) 
rayons du c»ur d’un arbre. 

Rimwva,s. f. rage: delire furieux. V. Hydro- 
phobia. —,(fig.) transport furieux de depit, 
de colere; haine. (id.) Grande envie, desir im- 
modöre. Escumar de —, ecumer de rage. Ter 
— a.alguem, hair, detester quelqu’un. Pör —a 
alguem, (ant.) irriter quelqu’un, le meltre en 
colere. Md— o arrebente, (imprec.) male rage 
le saisisse. —s, pl. sorie de petits gätcaux fails 
de farinc, d’aufs, de beurre ei de sucre. 

Ramwvico, s. m. grand appetit, dexir violent. 


RAJ 985 


Raıvir, ©... re onrag6, &ire en coläres 
enrager, endiabler, &ire dans une extröme co- 
lere. (por) (g.) Eurager: Eprouver un besoin 
pressant, un desir ardent. (id.) Etre excessil, 
Fouss6 ä Poxcds. V. Enraivecer. — com fome, 
com sede, crever de faim, enrager de soil. 

T Raıv&nTo, a, adj. enrage. Haineux. V. Rai- 
0080. 

Raıvösas&rte, adv. avec rago, en enrag6. 
Avec fureur. 

+ Raıvosinzo, a, adj. dim. de Raivoso. Un 
peu enreg6; un peu furieux. 

Raıv6so, a, adj. enrage: alleint de la rage. 
(Ag.) Colere, furieux, emports, transports de 
ragt. (id.) Grand, excessif, enorme, violent. 

iıxa. V, Raxa. 

Ralz,s. f. racine : parties rameuses ow che- 
velues, etc._tenant & la terre, par lesquelles 
les plantes se nourrissent; co qui y ressemble; 
se dit pour les dents, les cheveux, les ver- 
rucs, eic.; ( fg.) principe, origine, commen- 
ecınent d’un mol, d’une erreur; mot primitif 
d’une langue d’oü les autres sont derives. (1d.) 
Partie cachee d’une chose, d’oü sort ce qui pa- 
ralt. (id.) Partie inferieure, base, pied (d’une 
montagne, d'un rocher, etc.). —, nombre qui, 
multipli6 par lui-m&me, donne la puissanco 
(4.d’arith.). (fig.) “Levain, reste d’une passion. 
china, squine, china : racine medicinale 
aesIndes. Bens de—, biens fonds, immeubles. 
4’ — ‚tout auprös, atienant, tout contre. A’ — 
da carne, äcru, sur la peau nue. Corlar a—, 
couper la racine,, au propre ei au figure. Do —, 
radicalement, entiörement. Saber uma cousa 
de —, savoir la chose de source. Coriar, agyan- 
car pela —, deraciner, au propre et au Dlare. 
Langar, crear —es, jJeier, pousser des racines, 
prendre racine. Ter —es, ( ig.) &ire prolonde- 
ment enracine. Ter—esna lerra, (id.)avoir des 
biens fonds; avoir de la famille, des parents, 
etc., dans un pays. 

+ Rıfz-be-Joio-Lopss, 8. f. (1. de Bot.) nom 
d’une plsnte de I’Inde ou de Mozambique dont 
le genre n’est pas bien connu (radız lope- 
sians). 

*Räız ow Radız, s. m. sorte de serge an- 
cienne. 

Rılzime, s. m. assemblage de racines enire- 
lacees. 

f Raizeıra-vidaana, 8. f. (4. de bot.). V, 
Morsegueiro. 

TRasa,s.m. raja ou rajah:nom par lequcl on 
designe, dans les indes orientales, un prince 
souverain dans ses &tals, mais vassal d’un su- 
zerain tel que le grand mogol. — ou rala, nom 
par lequel les Turcs designent lpurs sujets 
chrötiens. 

Rasioa, s. f. ralale : boullce de vent subite 
et violente; coup de vent de terre. (fig.) Elan, 
mouveınent de l’äme de peu de durce. — de 
vento, (t. de mar.) "grain, lourbillon de veht. 
— forle, grain pesant. — com Irovöes e re- 
lampagos, (id.) grain d’orage, grain orageux. 
— com chuva grossa, (id.) grain pgsant et plu- 


988 RAP 


Rarinte, ad). 2 gen. (4. de blas.) qui graile 
(animal), en atliludo de gratier. 

Rirıpk, 3. m. (6. burl.) grand salut, pro- 
fonde reverence. 

Rarän, v.o. raser: conper le poil avec un 
rasoir. Essorriller, ecourtcer: couper les che- 
veux trop couris. Racier, räper, gratier, ra- 
tisser. Escroquer. Voler, emporter de force le 
bien d’autrui. De rapa lorrdo,, adv. (fam.) ra- 
dicalement, entirement; brusquement. 

Rıparica, s. f. jeune flle. 

Rırarıcuinma , 8. f. dim. do Rapariga. 
Fillette,, petite Alle. 

+* Raranico , s. m. petit gargon. 

Raranıcöna, 8. f. aug. de Rapariga. Grosse 
Nille, dondon. 

Rararıcöta, 8. f. Nlle grandelette. 

Rariz, s. m. garcon,, enfant mäle ; valet. 
Jeune homme. BE um bom — , v’est un bon en- 
fant, un bon diable. 

Rırız, adj. V. Rapace. 

* Rıraza. V. Rapariga. 

Rırazikö,s. m. aug. de Rapaz. Gros garcon. 
V. Rapagdo. 

Rırazetre, s. m. dim. de Rapaz. Jeune gar- 
gon,, gamin, gargonnet. 

Rapızia, s. [.“enfantillage : dcbappee, action, 
etourderie d’enfant; tour, etourderie, ecart de 
jeunesse. 

Rarazıkna, s. f. "enfantillage. V. Rapazia. 
Marmaille : troupe d’enfants qui font du bruit. 
* Rassemblement, troupe de gargons. 

Rırazinno, s. m. dim. de Rapaz et moins 
que Rapazete. Petit gargon, marmot. 

+ RaPAzöTg, 8. m. grand garcon. 

+ Rap, s. ou adj. m. tabac en poudre. 

* Rartıuo. V. Rapazinho. 

+ Rıridıa, 8. f. (b. d’hist. nal.) raphidie : 
u6svroptöre, raphidine. 

*Rarıia. V. Arripier. 

RiArIDAUSNTE, adv. rapidement, avec rapi- 
dite. 

Rarınkz, s. f. rapiditö: c#leritd, vilesse, 
Promptitude. 

Rarınissıno, A, adj. sup. de 

Rirmo, A,adj. rapide : extrömement vie, 
Vo —, tire d’aile, battement d’aile prompt et 
vigoureug. 

RariLno,s. m. V. Pomes (pedra). 

Rarisa,s. f. rapine : action de ravir par vio- 
lence; ce qui est ravi; pillage, volerie, larcin. 
Proie, butin. Ave de —, oiseau de proie. 

t RapınaDön 0% depredateur, qui fait 

+ Rarınänte, as. m. | des depredalions. Ra- 
pıneur, fripon. 

Rarınin ou ° }rapiner: voleraveoadresse, 

Rırınsän,o.a.) derober, prendre injuste- 
nient. Piller. 

+ itaroncos, s. m. (L. de bol.) "raiponce ow 
campanule-raiponce: plante bisannuelle.dont 
ou mange la racine en salade. 

ltaröstıs, a. f. V. Ruiponto bastardo. 

a NE, s.m. rapport V. Relatorio, Re- 


RAR 


Rarösa,s. f. "renard, renarde: mammildre 
qusdrupcde du genre chien, puant, tres-ruse. 
( fg.) Hoiame fin et rus«, vieux renard. (1. de 
mar.) Coussin d’ancre, un renfort. B melkor, 2 
mais seguro andar por onde andas —, (lo. 
prov.) il n’est rien tel que le plancher des va- 
ches, que de marcher sur le plancher des va- 
ches. A — sagaz näo come as gallinhas de sous 
vizinkos, prov.) un bon renard ne mange j+- 
mais les poules de son voisin. 

+ RaPösamEntE, adv. (buri.) astucieus- 
ment; en vieux renard; matoisomen!. 

Rarostıra, s. f. (fam.) "lieu exposd au 
leil (en biver). Sieste. V. Repouseire. 

Raroskıao,s.m. (1. de prov.) le lit. ii. V. 
Raposeira. 

Rarostıno, A, adj. (4. burl.) astuciens, fin 
matois 

Rarosia, s. f. (1. ders.) * tour, finesse de te- 
nard , maloiserie. V. Astucia, Menke. 

Rarosim. V. inho. 

Rarposınna, 8. [. dim. de Rapose. Peüt Te 
nard (prop. et fig.). 

Rarosınnäa, vo. #. (1. burl.) faire le m 
nard. 

Rarosinuo, s. m. dies. de Reposo. Renit- 
deau, pelit renard. Cheirar, feder a —s, senüf 
le gousset, avoir l’odeur du oreux de l'aisseik. 

+Rarosino, A, adj. de renard. (fg.) Jsir 
cieux , rus6, madre. 

Rarosio, 3. m. V. Raposia. 

Rap0so, a. m. renard mäle. adj. (fg.) Tırux 
routier, vieux renard,, lin matois. 

+ Rirsona , s. m. rapsode : musicien ambe- 
lant qui parcourait la Grece en chanlant IM 
(ragmeuts des peömes d’Homöre. 

Rapsüpia, 8. f. rapsodie : morceaux despel- 
mes d’Homöre ; par corruption , mauvals 
mas de vers, de prose. 

Rapsopista,, s. m. rapsodisie: qui ne [al 
que des rapsodies. 

Rırtino,A,p. p.de Raptar. 

Rartraoor. V, Raptor. , 

+ Rartar, v. @. ravir, enlever, prendre pi 
force “une ällle, etc.). 

Rirto, s. m. enlörement violent, farok. 
Rapt : enlövement d’une fille pour Pepousel. 
*Extase.V. Extase. — de seducpio, enleremenl 
par seduction d’une fille. 

Rırto, a, adj. V. Arrebatado. Movies 
—,(t.dasir.). V. Movimento. 

Rırtön, s. m. ravisseur : celui qui enltre 
une lille. 

Rarincıo. V. Raponcos ou Ruiponle. 

+ Ragteı., em. (8. de bot.) "amaryllis gre- 
nesienne ow lis du Japon. 

Raquera, s. f. *jeu de volant : sorte de ka 
de paume. Raquette : instrument poar jouer i 
la paume. 

Rauririco, Raquirıs, etc. V. Rachilice, d- 

RARAMENTE, adv. rarement. 

Rırin.V. Ralar. . 

Rıngraccäö, s. f. (1. de piys.) rardlaeien 
action de rarefier, dilatation (de Fair » 











"RAS 


RARBFACIENTE , adj. 2 gen. raräflant : qui ra- 
röfle, qui dilate. 2. a. de Rarefazer. 

+ RaREFACTIVEL, adj. 2 gen. rarescible: qui 
peut se rarefler. 

+ RaBEFACTIVO , A, adj. rarelactif, qui rare- 
lie. 

Rangrazer,v. a. (f. de phys.) rareller : di- 
later, rendre moins dense. 

RAREFAZER-SE, ©. r. so rarefier. On le dit 
d'un corps qui, par la dilatalion de ses parties, 
occupe plus d’espace qu’auparavant. 

RAREF£ITO 0% RAREFACTO, A, 9. p. de Rare- 
fazer. it. adj. Rarefie. 

Rarfza, 8. f. raretö, disetle, l’oppos6 d’a- 
bondance. Peu d’epaisseur; &tat dece qui est 
clair-seme. Rarefaction. V. Raridade. 

Ranıpipde, 3. f. (1. de phys.) raret&, rares- 
cence : qualit6 de ce qui est rarelle. —, qua- 

lic de ce quiest rare, peu commun; chose 
rare; singularit& d’un fait, ce qui le rend 
etrange. —s, pl. raretes, choses rares, ourio- 
sites. 

+ RarıroLnino, a,adj. (t.debot.)rarifeuille: 
qui a peu de feuilles. 

Ranrissımo, A, adj. sup. de Räro. Rarissime, 
Ires-Tare. 

Rirno,A,adj. rare: qui arrive peu souvent, 
gui se trouve rarement; qui n’est pas com- 
mun, ordinaire, etc.; singulier; excellent, 
precieux; l’oppose de dense, de compacte, de 
frequent. Qui est en petit nombre, en petile 
quantits. V. Ralo. Raras vezes, rarement, peu 

souvent, peu frequemment. | 

Riro,s.m.V. Ralo. 

Räs. V. Raz. 

Risı,s.f. sorte d’ancienne ötofle de laine. 
Mesure de grains racl&e. Estimalion ou Larif 
des frais d’un proces. "Depens. 

RasiDo,A,p.p. de Rasar. 

Rasıpüra,s. f. Yaction de racler une mesure 
de grains, etc.; ce qu’on Öle d’une mesuro en 
y passant la racloire. 

RäÄsAMENTE, adv. entierement, pleinement; 
tout & fait, totalement. Clairement, ouverte- 
mment, sans delour. 

RaAsÄNTE ‚adj. 2 gen. (1. de fort.) rasant: 
quı rase, va en rasant. Linha de defensa — ou 
flarco —,flanc rasant. Balteria —, feu rasant. 

Rasid, V. Razdo, (ant.) Rasoura. 

Rasir,v. a. racler. Rader, passer la radoire 
sur une mesure de grains, etc. Raser: passer 
tort pres ; toucher legerement. V. Arrasar. 

RaspUT0s, s. m. pl. (1. d’Asie) caste guer- 
riöre dans l’Inde. 

Risch, s. f. espece de tramail. Barque de p6- 
cheur. Levdr—,, (fam.) avoir son petit interät. 
Levar — na assadura, (id.) avoir part au gä- 
soau. \ 

Pascanon, 8. m. racloir, grattoir d’orfevre, 
etc. * Ratissoire:: instrument pour ralisser les al- 

lees- * Rugine : instrument de chirurgien pour 
ratisser les.os. — da bomba, (i.de mar.) cu- 
sette : oulil pour nelloyer les pompes. 

KRamerfr ı,s. f. Yaction de gratter ou de sc 


RAS 989 
gratter ; raclure. Marque qui resie apres s’etr 
gratte,, etc. . 


"Rasciö, s. m. (8. vulg.) page d’un grand 
seigneur. Ragoüt de mouton hachö avec du 
lard,, de l’oignon , etc. 

Rascir, v. a. gratier : passer fortement les 
ongles sur la peau ‚etc. Egratigner, etc. V. Ar- 
ranhar. Racler, ralisser. (inus.) V. Bradar, 
Clamar. 

Rascöa ,s. f.( t. vulg.) balayeuse, servante. 
Femme de chambre. 

+Rascotıro, s. m. qui fait la cour aux ser- 
vantes , aux femmes de chambre. 

Rascoicg ,s. f. action, propos malhonnöte; 
vulgarite. 

RascöTE,, s. m. (4. burl.) dim. de Rascäo. 

RaSCUNHÄDO, A,P. p. do 

RASCUNHÄR, u. @. esquisser, croquer un des- 
sin. Ebaucher. Faire un brouillon. 

Rascünno, 3. m. * esquisse, ebauche , cro- 
quis. Brouillon. 

Raıscipo,A,P. pP. de Rasgar. ady. Dechire; 
fendu. Homem — , (ig.) homme genereux, li- 
beral ; courtois. Boca —a, bouche ires-grande, 
exir&ömement fendue. Olkos —s,, grands yeux 
bien fendus. Comprimenios —s, oonıpliments 
outres, longs. 

RascaDörn, A, ey et s. celui, ce qui dechire. 

Rascapüra, s. J. * dechirement : action de 
dechirer. Decbirure. Ouverture, breche. 

+ RıscAaMENTo, 8. m. * ouverlure. 

Rascäö, s. m. accroc : dechirure & un habil, 
adu linge, etc. 

Rıscär, v. a. dechirer, rompre, meilre en 
pidces, trancher; faire un accroc. (%g.) Fendre, 
diviser, rFompre. Ouvrir, praliquer une Ouver- 
ture (dans une muraille, eic.); elargir (une 
croisee, une porie, eic.); praliquer (des em- 
brasures pour le canon, des sabords, etc.). — 
a lelira, ecrire en grosses leitres en faisant 
des traits avec la plume,. 

Räsco , s. m. cadeau : trait de plume ou de 
pinceau grand, hardi. (Ag.) Trait ingenieux, 
pensse ncuve, brillante, etc. Trait de gran- 
deur, de generosite, action noble, elc, En ce 
sens, on s’en sert surtout au pluriel. 

Rascunno. V. Rascunko. 

Riso, A, adj. ras, coup6 ras. Plein, ras, 
uni, de niveau, sans inegalite. Simple. On le 
dit en parlant d’un gentilhomme non titre, d’un 
soldat sans grade, etc. Rasse, demoli. Ndo —a, 
vaisscau rasd. Soldado —, simple soldat. As- 
senlo — , tabouret, siege sans dossier. Em 
ctampo —, en plaine campagne. Deichar — , 
&courter, couper ir&s-court. Bala —a , boulet. 
qu’on met seul dans un canon, balle söche. 
Esceudo —, (i. de bias.) &cu sans timbre ni or- 
nements. Soda —a, satin. Taboa —a, (fig.) 
table rase,, esprit neuf, susceglible de toules 
les impressions. Sinai —, signature de notaire 
sons paraphe. Charneca —a, lande chauve, 

Tornar —. V. Arrasar. 

RASOAR, etc. V. Razodr, etc. 

Rısduna,s. fı racloire de ınesureur da grain ; 

N) 


os 


992 REA 


Vengeaneo de l’opprime; action de r&agir, son 
effet. 

+ Reaccenpea, v. a. rallumer : allumer de 
nouveau. 

Reaccusagiö, s. f. recriminalion. 

ReaccusÄR , dv. a. accuser de nouveau.V. Re- 
criminar. 

RracTivo, A, adj. reaclif: qui reagit- 

Reacenoßn. V. Reaccender. 

Reac£so, A, adj. rallume. 

Reaniıno, s m. sorle d’ötoffe de laine et 
soie. 

Reaccaavaciö, 8. f. action d’olfenser de 
nouvesu. 

REAGGRAVÄR, v. a. offenser de nouveau, 

REiL, s. m. real (monnaie). V. Reis. (ant.) 
V. Arraial. Ndo ter —, n’avoir pas le sou. — 
d’agua,, impöt sur la viande, le vin, etc., pour 
entrelenir les fontaines, etc. Real —, cri do 
Yacclamatlion des rois en "Portugal. 

ReiL, adj. 2 gen. royal: qui appartient au 
roi, qui le regarde, lui convient; (Ag.) grand, 
magniflque „ somptueux ; noble , genereux. 
- Reel : qui est een effet, sans fiction, sans figure; 
certain, verilable. Franc, sincere. Casa —, 
maison du roi. Doenga —, V. Iclericia. Gald—, 
reale, principale galere du roi. 

ReaLcivo, A, 9. p. de Realkar. adj. Re- 
hausse, releve, illustre. (£. de bot.) V. Remon- 
Sante. 

Reatcie, v. a. (tl. de peint.) rehausser : faire 
Fessortir par des coups de lumiere. (Ag.) Re- 
hausser l’eclat, donner plus de lustre; donner 
du relief, de la couleur aux pensees, etc. Bro- 
der en relief, recamer. 

ReiLce ou REiLco, s. m. rebord „ rehausse- 


ment, rehaut, relief, ornement relev& en bosse. 


Jour, coup, effet ow rellet de lumiere dans les 
clairs d’un tableau. (flg.) Lustre, eclat, tout ce 
qui sert & relever le prix d’une chose. Bordar 
de — , broder en relief, recamer. —s, pl. (t. de 
peint.) relhauts , lesendroits les plus &claires, 

ReaLecrÄn, v. a. rejouir de nouveau. 1l est 
aussi reciproque. 

REALEIO, 5. m. orgue portalif; orgue A cy- 
lindre. 

ReALENcCAMENTE, adv. royalement. 

REALENGO ‚A, adj. royal, de roi. Terra—a. 
V. Reguengo. 

ReaL£re, s. m. impöt d’un real sur chaque 
canada de vin. V. ce mot. 

ResLkza,s. f. royautd: &tat, dignit6 de rol. 
Magnificence,, grandeur, generosile. 

ReALIDÄDE,, 8. f. realils : existence effective. 
Verits, sincörite. (and.) V. Realexa. Na—, en 
röalite, reellement, effectivement; say fait. Sa- 
der com —, savoir au vrai. 

TREALISMO, 3. m. royalisme : parli du roi; 
amour du roi,. (4. scol.) Realisme : systeme qui 
consiste ä considerer les objets comme reelle- 
ment existants; matcrialisme. 

ReaLissıno, A, sup. de Real. 

Realista, .. m.royaliste : parlisan du roi ow 
de la royaute. —s, pl. {f. scol.) realistes : sec- 


REB 
wsires qui regardaient comme röels les fire 
abstraits; ’oppose des nominaux. 
M ReaLızaciö,s. f. reallsalion : action de res- 
ser. 

REALIZÄDO, A, 9.9. de 

Resırzir,o.a. realiser : rendre reel et e- 
fectif. Verißer. 

REALIZÄR-SE, d. r. se realiser : @ire reslim, 
devenir reel; arriver, &tre accompli , execuiL. 

REALNMENTE , adv. royalement, en roi ‚comme 
un roi. Effectivement, reellement. 

*Reiue.V. Reino. 

Reanınino,A,P9.p. de Resnimar. 

REANIMADOR, A, adj. etz. qui ranime. 

REANIMÄR, U. 6. Taviver, ranimer : renöre, 
redonner de la vigueur, du courage. 

ReAssumino, A, p.p. de 

REAsSUMiR , v. a. reprendre : prendre use = 
conde fois. V. Reeobrar. 

Reıssumpcäiö,s. f. Yaction de reprendre. 

REASSUMPTO,A,P. p. irr. de Reassumir. 

Reita. V. Arriai a. 

REATÄDO, A,p. p. de Reater. 

ReaTADÜRA, 8. f. (ant.) l’action d’atiacher m 
de rattacher. —s, pl. (1. de mar.) * ceintrage. 

Reatär, v. a. ratischer : atiacher de zes- 
veau ; lier fortement. V. Arrisler. 

Reite. V. Cabresto, Arriala. 

ReiTo,s. m. *prevention, etat d’un acrwt. 
(t. de th£ol.) * Obligation oü Y’on est de e ne 
mettre & la penitence qui correspond & on 
che , meme apres qu’on a obtenu le parden. 

Reavısipo, A, p. p.de 

Reavısia, v. a. averlir deux fois; remis 
plus avise. 

ResapiLua. V. Rabadilka. 

Resaıxäno,A,p.p. de Rebaixzar. 

REBAIXAMERTO, s.m. rabaissernent, rabem. 

Resaıxir, 9. a. rabaisser : melire plas bar. 
Approfondir. v. ». S’abattre. 

Resiıxo, 5. m. "entaille au bas d’une pie 
de bois, d’une pierre, etc. 

Resaıoio, adj. m. sauvage (Ögue). 

+ Resaısino, A, p- p. de Rebalser-se. sd. 
Agua—a , sau arreiöde, relenuc dans son coars 
mare, etc. 

+ REBALSÄR-SE, v. r. s’arröter, arreter son 
cours, devenir stagnanie, en parlant de Fromm. 
(fg.) S’amasser. 

f Resanipa, 8. fi — de rvento, houffte de 
vent. V. Rabanada. 

Resangina,. V. Rebanko. 

Revannin,. V. Arrebankar. 

REBÄNHO, 3. m. troupeau de b£tes A lakm. 
(g.) Troupean. On le dit des Addles par rar 
port & leur pasteur. Em ou aos —s, en iroupe, 
par bandes. 

Resanguio. V. Ribranquio. 

+ Resiö, s.m. pilote cölier, lamaneur del 
mer Rouge. 

t REBAPTIZINTE, adj. et 5. we. rebapfisumt, 
qui rebaptlise. 9. a. de 

Renartızirn, o. a, rebaptiser : baplıser ent 
seconde fois. 








REB 
Aaninsı, 5. f. serie, enohässerneni des pier- 
zusies. 


Azsansin, v. a. öbarber. 

Resaraututo. V. Rapte, Extass. 

RBzuarin, etc. V, Arrebstar, eto. 

' Besitz, 8. m. *attaque imprövue; Surprise. 
On le dit de tout ce qui survient inopiadment. 
* Alarme : signal de courir aux armes. Tocsin : 
bruit de la oloobe pour denner Falarme; eveil. 
(Ag.) " Epouvante, frayeur; treuble, dmetion. 
" Altöralion subite des humeurs dans une ma- 
ladie; uoode (de Adyro)." Dispute, querelle in- 
opinee, soudaine. — falso, fausse alerte. Dar 
—, crier aux armes. Tocar a—, sonner i’»- 
larme, batire la genörsie. Tocar a — com um 
sino, sonner le loosin. Tomar —, (ami.) #'el- 
frayer, s’&pouvanter. Apanher de —, surpren- 
dre & l’improvisie, prendre au depourvu. 

RssÄte, 8. m. (1. de comm.) rabais : diminu- 
tion de prix. Agio, eseompte. Vender com —, 
vendre au rabais. 

REBATEDOR, 8. m. changeur qui escompte 
des billets, etc. 

Resarta, v. a. battre de nouveau; rebatire. 
Resister, repousser une allaque, elc.Parer une 
botte, etc. Rabattre : diminuer, retrancher. Re- 
chasser, reoogner, repousser. Reverberer, re- 
flöchir. Escompter des billets, etc. Combattre, 
refuter. — uma dör, soulager une douleur. — 
uma sodicdo , reprimer une sedilion. — as c05- 
turas, (l.de mar.) palarasser, enloncer l’&toupe 
avec la patarasse. Ferro de — as cosluras, 
patarasse : coin de fer, ciseau de calfat. 

Resurtivo „A, pP. p. de Rebater. 

HEBATIMENTO, 3. m. l’aclion de rebattre, de 
r&sister; röpercussion ; röverberation. V. Re- 
bate. 

Repatinua, s. f. gribouilletie : Jjeu d’enfants 
qui se dispulent une chose qu’on leur a jelee. 
4's —ı, & la gribouillette. Ander ds —s,, (fam.) 
se disputer une chose, se l’arracher ınutuelle- 
nıent des mains. 

Resarızar , etc. V. Rebeplizar, etc. 

“ Repito. V. Rebate. 

Resixo. V. Rebaixo. 

+ Rusesin, o. a. boire souvent. 

Renäca, s. f. " paillasson de soldat, elc. (tl. 
V. Rabeca. 

Reszcia. V. Vomilar. . 

Reseıin, vo. a. balser une seconde fois, bai- 
ser souvent. 

Reser ou Rever. V. rebelle : qui refuse 

Restıoe, adj. 2 gen. 9 d’obeir A son sup6- 
rieur, ä son souverain; qui lui resistc, se r&- 
volte contre Iui. Indocile, opiniätre, re&calci- 
trant. Qui refuse de comparaftre en justlice: 
contumace. ( ig.) —, qui ne cede pas. 


RAxzszıvia, s. f. d&sobeissance opiniätre. Rd-' 


sistance,, obstination. Rebellion , revolte. 
Reszriu. V. Revelim. 
Resz:Lipo, A, p.p. de Rebellar. 
BesRLLanOR, A, 3. qui excite la röhellion. 
ReseLLiö, adj. m. on le dit d’un cheval retif 


PORT.-FR. pP ° 


REB 993 


qui reluse d’aller sur les volles, qui secone ia 
wete. Indocile, rer6che. 

Ressırir, v. a. r@volter: porter ä la rövolte. 
v. », Se revolter, agir en rebelle. V. Re- 
bellar-se. 

REBSLLÄR-SE (conira), v.r. se rebeller, se 
rtvolter conite son souverain,, sinsarger; (flg.) 
se dit des sens, des passions. 

* Reseıria. V. rebellion, revolte; sou- 

Reszıziiö, s. f. } lörement; resistance ou- 
verie aux ordres d’un souverain. 

+ ReszLLionar. V. Redellar. ‚ 

Restu, adv. ( fam.) fort bien, ä mervellte. 

Rustu, s. m. sorte de fouet ou d’escourgee 
pour chätier les forgats; baguetie de comite. 
V. Arrebem, 

Restnta-201, s. m. frait de la beiladone ow 
belledarne. 

RsBentino, 9. pP. de Rebentar. ” 

Resentäö, s. m. V. Gomeleira. 

REBENTÄn, v.a. cic. Vi Arrebenlar, etc. 

ReBENTÄn, o.n. &clater: se rompre,, se bri- 
ser par e&clats. Crever, se casser, se fendre. 
Crever, faire des eflorts extraordinaires. Saillir, 
sortir, sourdre. Germer, bourgeonner. Paraltre, 
se monirer loul & coup. Crever, ötre Lrop plein. 
Crever d’envie, de depit, etc. — de farto ou 
ostar rebenlando, crever: avoir {top Mmangt, 
n’en pouvoir plus. (em) Eelater. Ex.: Rebentow 
a ira em vinganca, em blasfemias, la colöre 
&clata en vengeance,, en blasphemes. — de 
gordo, crever dans sa peau, €@irc Irds-gros. 
— com riso, crever de rire, faire des efforis 
pour contenir le rire. Rire beaucoup, faire des 
&clats de rire. V. Arrebentar. 

* Reuentina ou REBENTINHA.V. Ira, Assomg 
Sobresalto. " 

* RevesseLnin. V. Reverberar. 

REBEUTE. V. Ribete. 

Resıckvo. V. Arrebieado. j j 

’Resimna, (£. burl.). V. Preguica. 

Reeique, s. m. fard,rouge. V. Arrebique. 

Resıscän. V. Rabiscar ou Rebuscar. 

Repstär, vo. a. river. —ochapeo, retaper le 
chapeau. V. Arrebilar. 

Resite, s. m. rivet: pointe rivde d’un elou, 
eic. 
R£eo. V. Casealho. 

ReEBOCÄDO, A,P.p. de Rebocar.® 

Rr.vocAnönaA, 8. f. cröpissure, crepi. V. Rs- 
boco. 

Resocäir, v. a. cerepir: enduire de mortier 
(un mur, eic.), faire un erepi; ravaler. (1.de. 
mar.) Remorquer (un vaisseau), donner le c4- 
hie & un vaisseau, faire nager un vaisseau par 
la chaloupe. 

Resöco, 3. m. er&pi: enduil de mortier, de 
plätre, de chaux eftie sable, eic., sur un mus; 
cr&epissare , ravalement. 

ResoL.ino, A,p. p. de Rebolar. 

REBOLÄDO, 3. m. reınucment des fesses. 

"ReooLiö, adj. m. fanlason, fanıssque. '? 

Resor.än, v.n. rouler; lourner comme une 


BE an 9 


99 REB 


pierre qui roule. Remuer les fesses. V. Rabear, 
. Se dessöcher (l’olivier). 
“RusoLaria. V. Rabularis, Fanfarrowice. 
REBOLRÄR-SB, 9. fr. 80 rouler, se ronmeR, 
Beapı.kına, 5. . moulse : house de la meule 
du römouleur. Clairiere de foret. —s, pl. beu- 
tures do ohätaigniers. 


0,8. m. grosse sonnelle au com des | (Ag-) 


BenoLkın 
animauzx.” Bouture de chätaignier. 
RenoLico, 3. m. grand bruit, tumulte, des- 


Rz»oLinno, gerondif de Rebolir. Ir, wir —, 

( fam.) aller, venir en toute häte. 
„% a. (4. uuig.) remuer les [osses. 
Vv „ Betoucher : toucher de neu- 
veau; Ir revoir, corriger, perleclionner. 
LO, 8. m." meule & alguiser; mal 

port ) meule de römenleur. Fiöirissure des 
olives. 


REG 


Renucän-se, vo. r. vallubler. (Ag.) Diguie 
2a peanbs, dissimuler, V. Zimbupas. 
Rescco, s. m. affublement: volle. haklle 
ment, partie du manisen, ols., qui su Iı 
wie, ie visage; action de W’allubiee. Maske 
dont quelquss fammes sucachent le visageste: 
leur veile, en ne laissami uutroveit qu'us ei. 
* Dissunulation, massqgus, pEßkie , &- 
gulsement. (1d.) Tone de phzue, misikı 
atreite de faire entendre sa pouste sans ia di 
clarer ouvertement. Faller com —, (fg) parie 
ä mois oouverts , avss mystöse. Faller 08 -. 
parler 4 caur ouvert. Diser a vordads, de, 
sm —, dire la vörits, elc., arten, 2% 


nıont, sans ın „Tirer 0, ()ön 
francheinent 08 qu'on pense. Calr o— unbe 
le masque. De —, secrötsment, 08 


Mulher de — , prosüitude. 
Reuüsca, s, f. neuvello recherche. V. Be 


Resomsir, 0. s, retentir, faire un bruit dela- | biseo. 


tsnt : se dit surtout da tonnerre, d’an eoup de 
eanon. 

REsöNBo, s. m. rotenlissement : bruit, son 
ronvoyß, rendu aves £clat, surtout du ton- 
nerre, d'un 00up de canon. 

0, A, adj. sup. deux fois irös- 


RasöQus , &. m. "remorgque ; action de remor- 
. Lover & — um navio, elo., Feimerquef 
Bm valsteau, etc. V. Tom. 
Basogunän, o.. (1. de mar.) remorquer. 
*Rtnoaa, s. f. " Age voulu par la loi pour la 
odläbralien du mariage. 
* Resanar. V. Roborar. 
Rxsbapa,s. [."rebord, bord &ieve et ajuste. 
ASLORDÄCEN, s.f. (1.de mar.) * ribordage. 
Bzsonniö, i, adj. Cestanheiro — , ohätal- 
gnier sauvage. Castanka —4, chätaigne ronde 
et grosse, chätaigne sauvage. 
„esorino, A p.p. de Rebotar. adj. Emous- 
sö, points. Cäo, cavallo -, chien,, cheral qui 
ne peut ni manger, ni boire 
RBaporiıze, 5. m. rebut. V. Befugo. —s de 
qualquer droge, grabeaux. 
u. a. rechasser, renvoyer une balle 
de paume. V. Embotar et Repellir. 
Busorän-eR, v. r. ötre dögoüte. Ne poavoir 
Ihanger, parlant des chiens et des chevaux. 
Rasörz. V. Rabote. 
"RasovuriLmo. V. Asbotalho. 
°Resaäco, 5. m. partie de l’armure qui cos- 
vralt le bras depuis ie coude jusqu’ä l’epaulo. 
Rennauivo, A, p- p.de 
Aranauir, v. ». bramer fr&quemment 0% 
sEnS O0S80. Reteniir, resonner. 
Resaortän, v. a. pousser de nouveaux Tejo- 
ums, 
Rastcino, a, p. p. de Rebugar. adj. Alfuble. 
(fe: )Döguise, dissimule. 3. m. Personne enve- 
d'un manteau ou encapuchonnee. 
hasucäpos, s. m. pl. sucre d’orge en papil- 
szsugin,o. a. affubler. (Ag.) Vetir, cowvrir 
envelopper, dissimmler n ” 


Resuscieo, & , 9. P. de 

Resuscia , v. @. chercher de neuresa.6i* 
ner aprös la moissen. V. Rabiscer. (Ag.) Fur 
ter, chercher partout. 

Readsco, sm. V. Rebuscn. 

Buausnin. V.Zwrrer. 

° Aucanpan. V. Arreoader.‘ 

*Rzcänpo, s. m. V. Rocado, Conie. Mırigr 
fait & Yöglise. 

* Recanepan,. V. Arrocader, Rossber. 

“Rzcineno. V. Rocabdo , Arrocedepdd, (n- 
sdö, Seguranpe. 

+ Rucasitas, 5. m. pl. röcablies ı sorie & 
prophetes ‚ sectaires juils, abstömes, 

* Recisıro. V. Recabdo, Bocads. 

Rscacain0, A,P.P- de 

RecacHän, u. 6. lever (Popte). u. mA 
v. r. se revancher, so redresser, prendre d# 
airs on revanche. 

"Reciasıo. V. Reosde. 

Rzcäcuo, s. m. " suflisance, Bertö, airh 
tain. Affublement,, habillement qui cwerr 3 
tele, le corps. 

Recanacäö, s. f. " recouvrementi, 
d’un impöt, etc. " Burean de recetie, “Priv: 

V. Arrecadaräo. 

Recapan. V. Arresadar ; (anf.) Prander. 

Recapista, 8. m. oelei qui fait des vum 
sions ; messager, cCOmınissionnaire. 

Rscäno, s.m. message. Complimeei qir 
fait (aire & quelqu’sn. * Commission, der 
commise. Mandat, ordre. * Re; * 
rel&; precaulion. (eni.) * Quitiance, cmbE- 
(id.) Provision des choses n&osssaires M# 
unc entrepriss; tont ce qui est nöcesäsire 

une chose. Ex. : — de sserewer, ce gi ei # 
cessaire pour derire. Am —, 0 —, 68 abann 
en sürets, en liea de süreit. Bomen 4- 
bomme qui fait bien une commission. Far ® 
cousas 6 —, agir prudemment, ars pe 
tion. Ander s —, öire vigilant, dire sur #9 
gardes. Faser algum ndo— , laire une michat 
cet#, jouer un meuvais iour. Iner- 
fom.) s’en allee aprds une onerestiek, en 











BEC 


primandestvöre ,emporter son paquet. Dar —, 
zondre oompie. —e, pl. "recommandations, ci- 
vilit6s; complimenis, souvenir. Mogo de—, 
valet & Ped; oommissionnaire. 


.V, . 
Rezcasın , etc. V. Recair, etc. 


Recalna, s. f.rochute, surtout dans le sens 
zmerel.— , rotour d’une maladie. 

‚Rscalsıco, a, adj. sujet & tomber dans la 
meme faule. 

Recaloo, A,p. p. de Recair. 

Recklutute, s.m. V. Recaida, Reincidencia. 

Recata (em), #. ». relomber : tomber une 
seconde fels ou plusieurs fois. On le dit surs 
tout dans le sens moral. Retomber malade, 
faire une rochate. Recidiver. Passer, retomber 
au pouvelr d’antrui. Repasser enire les mains 
de queiqu’un, en parlant d’un emploi, d’un 
bien, eto., possöd6 par un autre. Tomber sur, 
“wre relatif &. 

Recarchpautnte, ade. d’une maniere ser- 
26e , pressde;; en tas. 

Bucanchno, A,Pp. p. de Recalcar. 

Recarcapüra, s. f. action de relouler ; pres- 
sement, rosserrement. 

AscaLcäiR, vd. @. serrer, pressor fortement. 
Bourrer, entasser, remplir en pressant; refou- 
ker. V. Cakcar. 

RecaLcıtaäpo, A, P.p. de Recalcitrar. 

RECABtHTRÄNTE, adj. 2 gen. recalcitrant: qui 
r6siste avec Opiniätrele;; obsline. p. a. de 

RÄR, ©. n. recalcitrer, regimber; 
(Ag.) resister aveo opiniätrel®, avec humeur, 
regimber ventre l’öperon. 

Bacsmi2o, A, P. p. de Hecamar. Roupas 
as d’ouro, draperie brochete en or ou recamee 
der. O co — d’ustrellas, le ciel parseme d’e- 
toiles. 

Recamär, v. a. broder en ronde bosse, en 
relief, recamer. 

BA, 8. f. be : chambre voi- 
sine de cello od l’on couche, oü sont les ha- 
bits, etc. "Equipage de voyage. Chambro re- 
tärde. (Ag.) * Repli du caur. 

BEcCAuBIÄDO, A,Pp. P. de 

Becaustär, 9.0. rechanger: changer, 6chan- 
ger de nouveau. Ajouter un nouveau droit de 
change au premier. Renvoyor : faire rapporter 
agmelqu’un co qu’il avait envoy6. 

MBIO, 3. m. second change ow troc. (Il. 
de comm.) Rechange : second droit de change. 
i nge : interet des inleröts. Renvoi 
d@’une lettre de change qui n’a pas el& accepiee, 
qui n’a pas Aid payee. Frais du prol£l, eic. 
0,8. m. * broderie en ronde bosse, en 
reliel. —ı, pl. V. Lostras. 
wrouman. V. Resanfuuinar. 

Recantacäö, 5. f. reiractation publigue, pa- 
Mnodle. 

Bucantrin, ©. a. rötracter (ses faules), faire 
ammande bonorable. 

RecAnto, s. m. recoin: petitcoincacnd ; (fg. 


Jam.) ropli Au caur, 


Recäö. V. Ragäo. 

Rscapacıräno, 1,9. p.de 

Recaracırär, v. a. repasser dans sa m6- 
moire, se remeitre dans l’esprit. Persuader de 
nouveau qualqu’un. I est aussi röciproque. 

*Recärıro. V. Messagem. 

RecarıtuLacäö, s. f. recapfiufation : röp6ll- 
tion sommaire de ce qu’on a avancd ow berit. 

RecaPıttLißo,A,p.p. de 

RecaPrttLär, v.a. recapituler ; r&sumer; re 
dire sommairement, 

Recäinca, s. f. recharge : aclion de charger 
de nouveau. 

+ Recita ‚s.f. recherche, V. Rebusca. 

RECATÄDAMENTE, ado. sagement, prudem- 
ment, modestement, avec relenue; aveo prf- 
voyance, avec eirconspectiön, 

RecaTäpo, Aa, 9. p. de Recatar. adj. Sage, 
prudent, avis®, circonspect. Modeste, qui a de 
la pudeur. E mwi — no que diz, il est fort cou- 
vert en parlant. 

REcATÄR, ©. a. cacher uvec soin , emp£cher 
qu’on ne vole ow qu’on ne sache. Garder, met- 
tre en sürete. 

Recarir-se (de), v.r. prendre garde, se te- 
nir sur ses gardes, agir avee precantion, se 
pröcaulionner. Craindre, douter, se deßer de 
succes. Etre circonspect, &tre modeste. 

RECcÄTO, s. m. *sagesse, prudence, precau- 
tion, circonspection. Seeret. * Pudeur, modes- 
tie, retenue. Abom—. V. Recade. 

+ Recavin,v. a. Tecreuser : creuser de now 
veau. 

Recavem , s.m. le derriöre d’un chariet, ele. 

RECEÄDO,A,p. p. de Recear. 

“Reczeinca,s.f. V. Beceio. 

Reczin,, eie. V. Recsiar, eio. 

*Receskpo. V. Recibo, Quitardo. 

RECEBEDÖR, A, 8. Teceveur : employ& charges 
d’une recette. — da carga, ( I. de comm.) vonsi- 
gnataire, rereveur d’un chargement. 

RECEBEDORIA ‚8. f. recette : charge de reoe- 
veur;; lieu od !’on recoit. 

+ RECEBENTE, adj. 2 gen. recevant, qui re- 
goit. p.a. de 

RecEBer, v. a. receveir: accepter, prendre 


tout ce qui est offert, envoy&, transmis, rap-" 


port&, apporte, presenie, pay& ow donne; 
€eprouver une impression , um Coup, etc.; souf- 
frir, endurer; accueillir, accepier, agreer; 
admetire dans une compagnie; admeltre des 
visites; attendre de pied ferme, faire tie & 
P’ennemi. Aller au-devantı de quelqu’un. — por 
‚ 6pouser une femme, prendre pouf 5a 
feınme. — os noivos, marier, cel&brer un ma- 
riage, en parlanı du pretre qui fait le mariage. 
— com b6a cara, com bom semblanie, fais«- 
bonne mine, faire bon accueil. — por wastee 
em algum officio, passer malire, recevoir & la 
maltrise. — com os bracos abertos, ( ig.) rece- 
voir & bras ouveris. — prazer, alegris, ressen- 
tür du plaisir, de Ja joie. — 05 sacramenios, r6- 
cevoir les sacremenis, &tre administre. — @ 
ums CArgs., prendre charge. — avaria. 














99 REG 


zocoveir du dommage. Cale o qus deo, e [alle o 
que reesbeso , (prov.) seis muet en donnant, et 
parle en recevant. 

Recesta-s£, v. r. se marier, se donner la foi 
du mariage. 

Recasivo,A,p.p. de Receber. 

RECEBINENTO, 8. f. "reception, aclion de re- 
osvoir. Bon accueil qu'on fait A un arrivant. 
"Acceptation,, admission. Mariage, noces. 

+" Rzcesonno, a,adj. que l'on peut recevair, 


r. 

RBececeia. V. Recensear. 

Reczıino, A, p. p. de Aecsiar. 

° REcRIÄNTE, adj. 2 gen. craignant, qui 
eraint. p. a. de 

Recgıär,, 9.6. craindre, soupgonner, se de- 
Res. 1l est aussi recipreque. 

Reckıo, s. m. "crainie, soupgon, dellanoe. 
Ter —, craindre. Com —, de crainte. 

Reczıöso, A, adj. crainlif, soupconneux, de 
Bant. 

Reckıra, &. f. ordonnance de medecin. Re- 
oette : composition de drogues, £erit qui l’en- 
seigne. Receiie: ce qui est regu en argent ou 
sulrcinent; action, fonclion de recevoir. Lar- 
vegar alguma somma em — a alguem, debiler 
quelgqu’un d’une somme regue. — € despsza, 
recelte ei döpenses. 

Reckıripo,A,P.p. de 

Nregiırär, 0.8. faire une ordonnance de ın«- 
desin , prescrise, ordonner, formuler. Coucher 
sur le livre de recelie. 

ReckıTtäin-sE, 9.7. (P. 43.) consulter un nıc- 
decin. 

Receıränıo, 8. m. registre des ordonnances 
de medecin. Paquat, liasse ow enlilade d'or- 
Junnances qui n’ont point &ld paydes, en terme 
Wapotkicaire. Dispensaire: ecril qui enseigne 
ia composition des drogues. 

Receiıtuino, s. m. forıaulaire de medecin. 
V. Receitario. 

Recku, ado. employ& senlement devanı les 
parlicipes. Röcemment. V. Kecenlemenie. — 
naschdo, etc. V. ci-apres. 

} Recku-casäno, A, adj. Houveau maric, qui 
vient de se marier. 

} Recku-cnscino, A, adj. recemment venu, 
rösemment arrive, qui vient d’arriver. 

4 RECkN-COoNVERTIDO , A, adj. recemment 
converü, qui vient de se convertir. 

+ Rscau-peröncto, a, adj. recemment mort, 
qui vient de mourir. 

Rucku-Nascioo, A, adj. noureau-nd, qui 
vient de nallre. 

Recsuptr, vie. V. Hescender, eic. 

Recexuin. V. Resenhar. 

Bzcsxsin, v. a. (1. de dorewr) dorer de nou- 
veau. 

Arcexsascino. V. Reosm-naseido. 

Bucaus£ino,A,P. p. de Recensear. 

Recenscanon,, s. m celui qui recense ; veri- 
Nesteur. 

BucansgauiatO, 2 m. regenserment,, dönom- 
brement, 


REC 


RECENSEÄR,, ©. a. reconser : (airo un recense- 
ment; verißer, examiner. 

Recenskıo. V. Recenseamenio. 

ReEcestäL, adj. 2 gen. ou s, m. On le dit 
d’un agneau qui leite encore. 

RecautE, adj. 2 gen. Föcent, Nouveau, Rou- 
velleinent fait, 

RECENTENENTE , ado. recomment, nouvelle- 
ment, depuis pcu. 

Recentin-se,, eic. V. Hesenlir-se, ele. 

Recco, etn.V. Rectio, etc. 

Recercäß, a. f. Teception : action par Ie- 
quelle on regoil; accucil, nıaniere de rert- 
voir; ceremonie poar receveir, installer. 

f RucerracuLaceo, A, adj. (1. de bei.) da 
receptacle , qui tient au röceplacle (neciaite.. 

RecerräctLo, 8. m. receplacle : lieu ou m 
rasscınblent plusieurs personnes (se dii w 
Imauvaiso part), oü se ramasseni plusieun 
choscs , surtout liquides; repaire. (fg.) Ask, 
refuge. (1. d’anat.) Reservoir, vesioale. (1. de 
bot.) Receptacle : fond du calice d’une heur ser 
laquelle posent la eur ei le [ruit. As grande 
cidades «&0o 0 — de lodos os vicios , les grandes 
villes sont la sentine de tous les vices. 

Recertauon, A, 5. reoeleur : celui qui recde 
un vol. 

ReckrtiveL,adj. 2 gen. recevable : qui peei 
eirc admis. V. Admissivel. 

TRicertivo, a, edj. (p. us.) qui regeil, qui 
peut recevoir. 

T Recertön, 3. m. (2. us.) recereur, (rd 
rier. 

Recksso, s. m. ecart, retraite ; asilo socht, 
#loigne; eloignement; recoin , enfonoement 

ReckräcuLo. V. Rec . 

"fHecnl, s. f. grande plaine, rose cumpt- 
gne. 

ReEcnasita. V. Recabite. 

Recmacipo,a,p.p. de 

RecHicäR, v. a. rechasser : repousser (el 
lieu ders un auire. Nepousser Pennemi. ff.) 
Rejeter, contredire, refuter une proposition. 

Necnico, 3. m. repoussement , schon 8 
repousser ; rebondissement. (Ag.) * Bösistzntt, 
repulsion. (id.) Empechement, embarras, ob 
stacle. (id.) * Reponse qui coniredit, reist 
une proposition. Sorte de Cense ancienm. 

"+ Recuixo, s. m. platsaa : cimo unie d'wt 
montagne. V. Rechd. 

Recuirtas. V. Regasas. 

Recneipawente, adv. rempli de faroe. Ar 
damment. 

Recneido, 2,9. p.de Rochear. ı.m.\.B- 


Rechzandünı, 5. f. larcissure : action de lar- 
eir. V. Recheio, 

Recneir, v. a. fareir : remplir de fare. 
Gorger de nourritare. (Ag.) Remplir abopdın- 
ment, 

Necuzin-sg (de), v. r. se [arcir. — de fast 
das, (Ag.) s'spprovisionner de marchandise, 
eic.— de riquexas, (id.) s’enrichir, amasstf 
des richesses. — d’erudigöes, de nolieier, WM: : 





. REG - 


(4d.) s’enrichir d’&rudilion, de connaissances, 
ete. j 

+Recntco, s. m. (1. de chasse) lien cach& 
pour geeiter les oiseaux. 

Rscu£tıo ow Rechnto, 5. m. hachis, farce. 
(Ag.) * Abondance, grande quantite. 

+ Rscuininte, adj. 2 gem. eriant, craquant:: 
qui erie, craque. p. a. de 

Pscnixär, v. w. crier, craquer. V. Ranger, 


Recaino , s. m. bruit aigre de denx choses 
qui frottent une contre l’autre; craquement, 
eio. 

Racnoncnino, A , adj. (1. burl.) petit et gras 
(bomme), dodu. 

Rzcnö ‚s. m. röchaud, usionsile de menage. 

+Rzciänıos, e. m. pl. retiaires : gladiateurs 
armes d’un filet et d’un trident. 

Reciso, s. m. regu, aoquit, quittance ; recd- 
pisst ; reception. 

RAzcisz, s. m. recil ou rescil : chalne de ro- 
chers sous l’eau ot & fleur. 

Rucır0so, A, adj. oü il y a des recifs. 

Rucınpir. V. Reseindir. 

Besciuto, s. m. circuit, enceinte. 

Recio, s. m. "place. V. Rocio. 

Rıcıpz , s. m. recipe6 : ordonnanee de mede- 
cin ; signe en täte de l’ordonnance. (fig. fam.) 
* Röprimande , semonce. 

+ BearıäncuLo, s. mw. recipiangle : insiru- 
ment pour mesurer les angles saillants et ren- 
trants des solides. 

Racırıtnte , 5. m. recipient : Vase pour Tece- 
veir les distillalions , les gaz; cloche de verre 
de la machine pneumatique. 

Racmmocackö, 3. f. reciprocation ; r&cipro- 


Rscıra0cino, A, p. p. de Reciprocar. 

RecirrocamEutg , ade. reciproquement. 

Rzcıraeciz ‚ v. a. faire que deux choses 86 
correspondent röciproquement. Rendre la pa- 
reille, röeiproquer. Echanger des coups, etc. 

RECIPROCAR-SE, 9. T. se coffespondro reoi- 

ent. 

Rzcıraocınine „ 8. f. r&ciproeits : &tat, ca- 
ractöre de ce qui est r6eiproque. 

Recirnoce, A, adj. röciproque, mutuel. (f. 
de grem.) - - , qui exprime Y’aetion reeiproque 
(verbe). Terms _ 2. enllen termes reei- 

‚quiont os on. 
nn rosid, s. f. (1. de prat.) rescision ı oas- 
sation d’en acle. 

Racırı eu Rucıracid, s. f. röcitalion : action 
de re&citer. 

Becrrino, A, 9. 9. de Reciter. s. m. Röcitatif 
de musique. 

Rucrrapon, A, s. oolui qui recite. 

Bacıräa,, 9. @. reciter : prononoer 60 que Yon 
sait par caur; debiter un discours, etc.; ra- 
oonter; faire, exseuter en musique un recit, 
un recitatif. 

Recırarivo, s. m. (1. de mwe.) recitatif : 

musicale qui doit ötro debitte plutöt 
que chantte; döclamation harmoniense. 


REG 997 


RecLausciö, 8. f. reclamation : aotion-de 
reolamer, de revendiquer, de revemir eonize 
un acte, . 

RecLauipo,,A,p.p. de Reclamar. 

RgcLamipon, A, 3. r&clamateur : oelul qui 
reclame , qui fait une r&clamation. 

RECLANMÄNTE, adj. 2 gen. qui reclame, qui 
fait une reclamation. p. a. de 

RecLamäAr, v.a. reclamer : s’appeler les uns 
les autres, en parlant des eiseauz ; rappeler 
un oiseau de fauconncric. Appeler un oisess 
aveo un appeau. —, S’opposer, protesier; de 
mander avcc inslance , revendiquer. Retentir. 
V. Retumbar. Refuser ( p. ws.) .. it. \V. Recra- 
mar, Recamar. 

RecLauin (de), v. ». (p. us.) reclamer con- 
tre, appeler de. 

REcLÄNMO, s. m. appeau ou sillei pour appe- 
ler d’autres oiscaux. (fg.) Appät, amorce. ’Re- 
clanmıe : mot au bas d’une page, el qui est ig 
premier de la page suivante ; partie du repons 
que l’on reprend apr&s le verset. Asierisque, si 
gne quiindique, qui marque un ronvoi. Valet 
de femme publique. Cripour appelerquelqu’us. 
Acudir ao — , (fig. fam.) courir oü l’on sait 
qu’il y a quelque profi & [aire. 

RecLinacäö , 3. f. Vaclion de pencher. 

RecLınäno, ı,adj.(1.de bot.) röclind, rabayıa 
(feuille —e). p. p. de . 

RecLinär, ©. a. pencher, incliner : appurer 
le corps pour le reposer. 

ReEcLINÄR-SE, ©. r. S'accoler , se coucher sur 
le cötE. 

RECLINATÖRIO, 8. m. accoudoir, accoloir : 
qui sert d’appui, co qui est fait pour 8’y ac- 
coter. , 

RecLuia,, v. @. reclure ; renfermer dans un 
clottre. 

Recıusä0, 8. f. clöture : prison volontaire ou 
forc&e. Reclusion : demeure d’un Fcclus; aclion 
de reclure ; detention, — das flores, ( I. de bet. 
ternps oü les fleurs sont fermdes. Casa de — 
maison de force : maison oü l’on enferme los 
gens indisciplinables. Pör em —, reclure ı 
renfermer dans une clöture &iroile ei rigo®- 
reuse. 

Rea 330, A,p. p. irr. de Reduir. adj. Re- 
clus ı qui garde une grande retraite, qui ae 
sort pas. Enferme&, renferme; emprisonne. 

RecLöta, etc. V. Recrule. 

R£coa. V. Recove, 

" RECOAR, 9. a.rangenner.V. Aesgatar. 

RscosaAno,A,p. pP. de Recadrer. 

Recosnauento, s. m. recouvrement. V. Re- 
cuperagdo. 

Recoskär, %. &. fecouYrer : retrouver ce qui 
€tait perdu; recupedrer, acquerir de nouveau, 
renirer en possession. — os senlidos, rappeler 
ses sens, ses esprits, les reprendre, revenir ä 
soi. — as forgas, reprendre ses forces. 

Recönn0, 5. m. reoouvrement : l’sclien de 
recouvrer. *Recousse: reprise de ce qu’on avais 
enievö par lorce. 


us 1. 


“N606csıLRino, a, adj. sabr& une seconds 
8. (Ay) V. Escarmentado. 
Rascöcro, A, adj. (p. us.) V. Rocorido, Re- 


Rucotttno. V. Raroeiro. 

* Recozs. V. Resgates. it. Razhes. 

Rscorria, v. e. (. d’orfee.) ramollir, adou- 
eir, recuire (un metal). it. V. Requeimar, Re- 


eoser. 

“Recdıro.V. Requeimado, Recozido. 8. m. 
(1. #orfeo.) * Recuite : action de metire les 
mötaurx au feu. 

Recorzcia. V. Recolker, Compilar. 

+REcCOLEIGAÖ, 8. f. plus etroite observance 
d’une regle religieuse. Maison, couvent 0% 
nombre de couvents oß l’on observo la r@gle 
avec le plus d’austerite. Recollection, recueille- 
ment d’esprit; vie retirde et recueillie. 

RecoLtra, s. f. V. Recoleicdo (fig.) Relorme 
de vie. 

Recoıfro, a,adj. et s. recollet : religieux 
"forms de Yordre de Saint-Frangois. ( lg.) 
Personne qui vit dans la retraile, dans le re- 
egeillement. 

BECOLHRDOR, A, 8. celui qui recueille. 

Recouutıro. (V. Recolhido) p. p. de 

Recorntr, Tr. a. recueillir, ramasser, ras- 
sernbler; cueillir, amasser les fruits de la terre; 
*scoevoir avec humanits, loger, donner un asile; 
compiler, rassembler des passages d’auteurs. 
Serrer, resserrer. Receler. Enfermer, metire en 
iiea de sürei£e. Cuelllir, prendre. Deduire, con- 
elure , införer. Etrecir, retrecir, raccourcir; r&- 
der. (f. de mar.) Accueillir, recevoir dans le 
navire. — as messes , moissonner, faire la mois- 
son, — 0 frigo no celleiro, serrer le bl&6 dans le 
grenier. — os fruclos, lalrc la recolte. — as Iro- 
pas espalhadas, rallier les troupes &parpillees. 
= as oelas, ( 1. de mar.) plier, ferler les voiles. 
-— um lioro que corre, salsir un ouvrage. 

RecoLntn, v. ». se rötrecir, s’elreindre; se 
raccoureir. Rentrer cher sol, gagner le domi- 
eite. Tocar a— (1. mil.) battre la retraite: 
batterie de tambour pour faire renirer. Töque 
de —, (4d.) la reiralte. Ao —, en se couchant, 
au moment de se coucher. 

Recorntr-sE (a, com,em),%.r. se relirer, 
so refiagier dans. Se retirer du commerce des 
bommes. Reformer sa depense, se restreindre. 
Be retirer dans sa okambre pour dormir, se 
ooucher. Se retirer, rentrer cher soi. Se recuell- 
lir pour vaguer & ’oraison, eto. Censer de par- 
ler. — 6 casa ou pars e814,, regagner son Jdomi- 
eile, —aa proposilo, reprendre son sujet, y 
rerenir. — no escudo, (anl.) se couvrir de son 
bouclier. — deniro em si ou si mesmo, Be r&- 
cwellfir en soi-möme. —nas despezas, relor- 
mer sa depense, se restreindre.—com Deus, 
se recuelllir en meditant en Dieu. — a bom vi- 
ver, se retirer du tumulte du monde pour vivre 
dans la retraite. 

Reoınima, s.f.Vaction de se coucher. il. V. 
Reirada. Femme ctoltrdc qui m a pur fait ses 
wmux, rocluse. 


REC —— 

P RECOLRISBAHENTE,, ade. avec retueiliemen 
d’esprit. 

RscoLnipas, 8. f. 3. reciusee : rupsulies, 
(iemmes clolistes, ou cos 
autorit€ de justioe. 

RazcoLsipo, A, p. 9. de Rossiher , adj. Del 
mene une vie relirce. Astar —, ne MEpeE, 

prendre da repes; #tre couche. 

RECOLBISENTO, 8. m. FAmIES, ASS, SE» 
blage. "Retraite, refuge, abri Roceptaeie ; Ie- 
gement; bospice; rectlement. Maisen de = 
penties. V. Recolkidas. Pension de jeunes && 
meiselles. * Retraite, &lolgneınent du cuuBıwure 
du monde. Recueillement, en jermes de dim- 
tion. — de espirito „ recueillement Fospri. 
— dos frutos, "r6oslte. -— de drope, * reträlle, 
marche de trou i se retirent. 

Rzcöımo,. V. Reooihimente. 

Recöıno,s. m. V. Resfolgo. 

BezooLıLsıciö, ele. V. Receleicde , eilt. 

Rezcousr. V. Ruminer ou Bumiar. 

Recoumenpackö, 3. f. recommandalei: 
!’action de recommander ; ostitme qu'en a put 
le merite,, etc. Ce qui est estäimahle, recDmme- 
dable. Carta de —, lettre de rocommeandallea, 
qui reoommande quelqu’an. (Ag.) (esikis, 
talents nalurels, etc. A ‚p 
complimenis. D6-ihe muites — , faltas-Iei un 
complimeuts, dites-Iui bien des ohasıs dt Di 
part. 

Recowmespino, A,p. p.de 

Rscoumunpapen, A, & eolai qui FO" 
mande, 

RECONMMENDÄR, v9. @. recemmander : cbsifil, 
ordonner de fsire; exhorter A ; oomseiller Ar- 
tement; prier (quelqu’an ) d’stre (avorable & 
d’avoir attention & ou sein de; ordenner, Mi 
erire. 

RECONMENDÄR-E, ©. Fr. se reosmmmendl, 
&ire recoınmandahle; faire des comaplimenik 

RECONNMENDÄTEL, adj. 2 gen. sonemmindd 
ble : louable, estimable. 

+RECONNENDAYELMENTE, ade. d'une muBit 
reooınmandabie. 

Recompänsa , s. f. oorapensalien, didenibt 
gement. Röcompense, prix. Am — demumh, 
pour prix de son deveuement, Nöo jew cut 
— sendo..., il n’a pour Ioule rössmpehnt 4U%- 

Recomransagäö, 8 f. euumpanseilsn, ide 
megement. 

RecompensiDo,A, p.p. de Aossmpreiif: 

RaCconransapoR, & ‚s. solui qui Mesmpehll: 
V. Remuneredor. 

* RECONFENSANEUTO, 0. an V. Aumpen, 
Rem 0. 

RECcONMPENsin (00m), © a. compensen 0 
dommager. Reoompenser ı u 
bonne action, eic., par des bienfalts. 

Rucompön, ©. & FECONEPEBEE : 
nouveau. Rajuster, ajuster de nouvts®. 
chim.) —,reanir les parlies separat. 

Recomrosıckö, #. [. reoomponilien : aM) 
de recomposer, ses effets. f 

REcomPösto, A, p. P-. de Recompfr: dj. | 


de 
(die 


REG 


de bot.) Reesmposte (feuille) A pötiole com- 
ımun, et pttioles immediats. 

Recöncavo, s. m. lieu enfonce. Ponrlour 
d’une baie, surtout de la baie de Bahia au Bre- 
eil. * Banlieue, environs d’une ville, surtout 
de Babia. 

RECoONcenTRacäO, 8. f. eonoentralion : action 
de concentrer, ses effets. 

Reconcsstaino, a,0dj. concentre.Dissimule, 
cache. p.p.de 

RECONCENTRAR , d. @. concentrer : Föunir au 
centre, Aun centre, etc. (Ag.) Dissimuler, 08 
cher ses peinos, eto. 

RECONCENTRÄR-SE, 9. r. se fixer dans l’es- 
prit, en parlant d’une opinion; dans le cosur, 
en parlant d’une passion; dans le corps, en 
parlant d’une Bumenur. Se concentrer. 

RecoscaLıacäö, s. f. reconeiliation : raecom- 
modementdedeux personnes brouillees ;courte 
confession & la suite d’une pius e&tendue. — da 
igreja violada, r&oonciliation : cdr&monie de 
rebenir une eglise profanee. — do herige, r6- 
conelliation d’un heretique : acte par lequel 
il estreuni A }’Eglise. — encoberia, Angida, 
reconciliadon plätree, feinte, pea durable. 

RazconcıLıäDo, A, P. p. de Reconeciliar. 

AncomcıLıaDeR, A, 5. röconciliateur : qui r6- 
ooncilie. ad/. Propre & reconcilier. 

RBzcoxcıuiÄn (6, c0m), v.6. reconellier : faire 
une reconelliation, racoommoder, remetire 
d’accord. Reconcliier un penitent : Pontendre 
de nouveau dans une courte eonlession. On dit 
du penitent : ier-se, se röconcilier. Rö6- 
concilier une öglise profande ; la rebenir. — os 
aniımos, röunir les esprits. 

ReconcıLiän-sg (com), v. r. se reconcllier, se 
mettre bien avon quelqu’un; se confesser une 
soconde fois. —com a Igreja, se reconcilier 
avec lEglise : se dit d’un heretique qui fait ab- 
juration. 

ReconcıLiiveL, adf. 2 gen. röconciliable : 
qui peut etre reconcilie. 

Rsconpirissino, A, adj. sup. de 

RecönnrrO, A, adj. tres-cach6, träs-secret. 
Enfonc# , rec#le. Abstrait:: difficile A entendre, 
& pendirer, A concevoir. Il est aussi subst. Os 
—t do wrardäo humano, les plis et replis du 
ewur humaln. 

+ Rscouströrio, s. m. lieu oü l’on cache, 
odı Yon reedle queique chose. 

Reconpucgäö, s. f. continuation dans le 
meme emploi. (!. de prat.) Reconduction : re- 
noevellement d’an bafl expire. 

RAzcowbuzino, A, p. p. de 

Rezcouptzir (em), v. s. nommer de nouveau 

au meme emploi; Ccontinuer, pro- 
longer la possession d’une charge. (a, para) 
Reconduire , ramener. 

“Reconzckn. V. Reconkecer. 

Raconssssir,, v. a. confesser une scconde 
fois. 

AzconanAaciB0, A,p.p. de 

Rzcononacär, 9%. ae. raccommoder, r&conci- 
Her, romeitrod’acserd. 


. REC 4) 


RECONGRAGÄR-SE (com), vo. r. se räconelller, 
se metire d’accord, se ımeitre bien aves guel- 
qu’an, 

*Reconuzckuca, 8. f. V. Roconkeeimenis. 

RECONHECENTE, adj. 2 gen. reconnalsdani ı 
qui reconnalt. p. a. de j 

Reconnsckk, ©. 6. retonnallse : reibätise 
dans l’esprit Fimage d’une chose, d’ans pe®- 
sonne en les voyant; parvenir & connaltre; &6- 
clarer, etablir; decouvrir, observer, femar- 
quer, considerer ; avouer, confesser (sa laute, 
ses toris); avoir de la gratitude, de la reeon- 
naissance. Reconnaltre l’autorite, la juridie- 
tion, s’y soumettre. — 0 campo, 0 lorrene,, 1 
connatire le terrain, au propre et au figure. — 
por kiko, reconnaltre, avouer pour som Als, 
Näo — por..., renoncer, renier, dösavouet, — 
o signal d’alguem, certifier ia signature de 
queiqu’un. 

+ Recownzcioautnte, ade. d’une manläre 
reconnaissante, avec gratitude. 

Reconuecioo, A,P.p. de Reconkecor. adj. 
Reconnaissant (de, envers), qui a de la 
tude, de la reconnaissance. — de suss 
göes , qui connatt bien ses devoirs. 

RECONHECIMENTO, 8. m. "reconnalssanoe : 
action par laquelle on reconnalt; gretitude, 
souvenir du bien regu ; aveu, confession ; avom 
d’une dette, etc. Soumission, dependanoe, 
servitude. Manifestar, teslificar 0 sen — , TAI- 
quer sa reconnaissance. 

RECONHECIVEL, adj. 2 gen. roconnaissabie s 
facile & reconnaltre. 

+ Recongquista,, s. f. Vaction et Tellet de ro- 
eonquerir. 

Beconquistid0, A,p.p. de 

RECONQUISTÄR,, ©. &. reconquerir ; oonguärie 
de nouveau, pour la seconde fois, 

+ Reconstaucciö, 3. f. reconstruotiek ı B0- 
tion de reconstruire. 

Reconsteoino,A,p. p. de 

+ Reconstaula, o.a. reconstrulre : röddifier, 
rebätir. 

Rescontipo, A,p. p. de Reconiar. 

"RECONTAMENRTO, 5. m. "narration, rockt, 
relation. 

RECONTÄR, 9.a. raconter, conter de ReUV6a. 
Recompter : compter une seconde fols. 

REcoNTÄR-SE, v. r. &tre compts , etre mis am 
nombre. 

RECONTENTE, adj. 2 gen. tröscontent. 

+ Recönro, s. m. second bout de la jawen. 

RBecöxtao, s. m. "rencontse : obs de deux 
corps ; choc de deux armtes ; combat singullag 
entre douz personnes. V. Conflicto, Pelsja. 

REconVaLschn, 9. w. Se Fötablir : Feremueag 
la sante. 

Beconvangiö, s. f. argument contre quel- 
qu’un & qui on opposs de ses propres aclions, 
de ses propres paroles. (#. de pras.) Reconven- 
tion: action , demande formee contre qaelgu’un 
quien a dejä forme6 une. 

Reconvıno. V. Reconvindo. 

“RECONYIMENTO. V. Reconvengko. 


1000 REC 


Rzconvinpo, A, p.p. de 

Reconvir, 0. a. (inus.) reluler, convainere 
quelqu’un par ses propres paroles, etc. (I. de 
prat.) Reconrenir: demander en justico & celui 
qui demandait; de döfendear devcnir deman- 
deur. 
 Recorracäö,s.f. recapitulation, sommaire, 
abröge. Collection, recueil, compilation. 

+ RECOPILÄDAMENTE, adv. on abreg6, suc- 
einctement. ° 

RecoriLino,A,9. p. de Recopilar. 

RecorıLipör, 3. m. compilateur; abrevia- 
weur. 

RecorıLin, ©. s. r&capituler : faire Io som- 
meire, l’exırait. Compiler : faire un recueil; 
abreger. 

"Recöpro. V. Recocto. 

Reconpaciö, 8. f. memoire, Souvenir, re- 
eordalion , rem&emoration. 

Rescoavip0, A,Pp.p. de Recordar. 

RecorvdanDöR, A, adf. el s. qui rappelle. 

Rsconpän, 9.0. rappeler & la meınoire. Faire 
souvenir, rem&morer; repasser dans la me- 
moire. — a licdo,, recorder sa lecon. 

ReconDär-SK (de), v. r. 56 Tessouvenir, se 
rappeler (une chose). 

+ RecöRoo, 8. m. souvenir, m&moire, avis, 

_observation sur uno chose passee. 

RECOnRENXTE , adj. ets. 2 gen. qui interpose 
un recours en juslico. p. a. de 

REcoRRER, v.a. parcourir, feuilleter unlivre: 
voir, regarder de toutes paris. Raccommoder, 
reparer. Retoucher, revoir, toucher de nou- 
veau. (f.d’impr.) Remanier. — pela memoria, 
repasser dans sa memoire. — 0 coslado do ne- 
«io, (i. de mar.) recourit, repasser le callat 
d’un vaisseau. — uma amarra coma lancha, 
(fd.) pomoyer lc cAble, passer sous le cäble 
avec la chaloupe. — a amarra sobre 0 bolinele, 
(id.) d&passer ou choquer le cäble sur le vire- 
vant.— umcabo, (id.) pomoyer une man@uvre. 
— conira 0 sacador, (l. de comm.) exercer son 
recours, recourir sur le tireur. 

RECcoRRE£R, 0. Rn. Fecourir, courir de nouveau. 
(e) Recourir ä, demander secours; avoir re- 
cours (ä la Justice). — ao juiz para yue fara 
jusligs, se relirer par-devant lc juge. Val mais 
— a Deos aos seus sanlos, (prov.) il laut 
s’adresser ä Dieu plutöt qu’ä ses saints. 

“ RECcOnRER-sE (A), ®. Fr. recourir, avoif re- 


coups. . 

Rzcoanino, A, P. P. da Reöorrer. 

Rsoorri20, 3. m. “"decoupure, papier de- 
eoup6. 

Recorrtäno, A, adj. decoupe. Recoupt. Fo- 
Ihas —es, (1. de bot.) leuilles lacinites. p. p. de 

Recorrir, 9%. a. decouper du papier, une 
estampe, etc. Retailier, tailler de nouvean. Re- 
couper : couper de nouveau,, surcouper, au jeu 
de carles. 

} RecönTE, s. m. l’aclion etprimde par le 
verbe recorlar, surlout au jeu de cartes. "De- 
coupure : taillade falle pour ornement a du pa- 


REC 


pier, & une diofle, etc.; chose, Agese, image 
decoupee. . 

Recos£r, v. a. recoudre : coudre de zes- 
veau. 

Recosipo, A, p. p. de Recoser. 

* Rzcöso. V. Carga. 

Rscosti0o0,A,p.p. do 

Recostir, d.&. incliner, pencher, ımeiire sw 
le cöte. 

Recosräß-SE, ©. 7. S’accoler, S’Spputer dt 
cöle. V. Encostar-se. 

Recösto, s. m. tertre, eminense. "Penis, 
descente. 

Recova, s. f. grande quantits de b£is ce 
somme. V. Räcus. 

Recövano, V. Recovo. 

Recoviceu, s. f."convoi de betes de somm 
chargees ; Iransports. 

Recov&ıro, 3. m. muletier ; voitarier. Cels 
qui acheto des aufs, des poules,, etc. , pour Is 
vendre. Messager qui va d’une ville aux luzı 
ecarles; eslaleite. — que vol a pe, savale. 

"Recövo,s. m. Esiar de — , &ire accots, > 
puye sur le coude. 

ReEcoz£r, ®.&. recuire : cuire de neataı. 
Trop cuire. V. Requeimar. 

Recozın0o, A, pP. p. de Recozer. 

+ RecozımEnto, s. m. etat de ce qui est re- 
cuit ou trop cuil. 

*" RECRAMÄR, v. @. plisser. (4. Recamer. 

Recrimo,s. m. pli. it. V. Recisme. 

RecnzEaciö,s. f. fecrealion : acliom de se ır- 
creer ; passe-iemps, delassement., 

Recazipo, A, p. p. de Recrear. 

RecreADöR, A, adj. amusant, divertissast. 
V. Recreativo. 

ReEcaziR, v. 6. cröer de nouveam. (p. w.. 
Recreer : divertir, rejouir, amuser. 

Reckkän-sE, do. r. se röcrder, se divertir. Se 
plaire, prendre plaisir &. — esiudando cu s 
estuder, se plaire & eiudier. 

REcrEATivo, A, adj. recrdalif : qui diverii, 
donne du plaisir;; qui rejeuit. 

Recrzc£a, etc. V. Recrescer, ete. 

RECREDERCIÄES, 8. ou adj. f. Pl. (Carias 
lettres de recrdance. 

RECRENENTICIO, A, adj. (i. de muddL) ricre- 
menteux,, röcr&ımenliel ow Föcremeatitiel (ha- 
meur). 

" RECREMENTO, 5. m. (I. de dd.) röcremeet: 
bumcurs qui se söparent du sang et s’y remi- 
ent. - 

Recnko ow Recakı0,s. m. "rdersalion. V. Be- 
ereag&o. Casa de —, maison de plaisamce. Ie 
mer algum —, so delasser, se recröer. 

T RECKESCENTE,, adj. 2 gen. qui augmentr, 
qui va loujours en croissant. p. a. de 

Recazsc£k, dv. ». recroltre: oreiire de nee- 
veau. Croltre aveo excds; Augmenier camside- 
rablement. Sarvenir. 

Recesscioo, A, p. 9. de Reerescer. 


RECRESCIUENTO, 5. m. ScCrolssemment, aug- 
mentation ; surcroli. 


Recaıminıcäö, s. f. röoriminatisn : ercusa- 








REC REG 1001 


recta, en droiture, directement. Linke —«, 
lignc directe : ligne des ascendants et des des- 
cendanis. A—s razdo, la droite raison. Inien- 
göes —as , intentions dreites. 

Recrör. V. Reitor. 

Recrrix ow Recraiz, s. ou adj. f. pl. us. ou 
pl. Recirizes. Rectrices : longues plumes de la 
queue. . 

Recua, 3. f. troupe de betes do somme alia- 
chees & la queue l’une de }'autre. (fg. fam.) . 
Multitude de choses qui se suivent & la Ale. 

Recvipa, s. f. reculade. V. Recuio. 
Recvantıra, s. f.oourrole altachte au limen 

pour faire reculer la voiture. , 

Rzcuivo, A,p.p. de Aocuar. adj. Recult. 
Arriere dans ses aflaires. 

Recuanento,, s. m. "reculade : action de re- 
culer. 

Recoir, v. a. faire reculer, repousser. 

Recuin, v.n. recaler :aller en arriere; (fig. 
fam.) hesiter, tergiverser, öviter de faire. Fa- 
zer —, Tepousser, faire reculcr. Ir recuande, 
aller & reoulons, reculer. — para dar maier 
marrada , (fg. fam.) reculer pour micux sau- 
ter. " 

"RecdB1T0 , s. m. action d’&tre couch®. 
*Recepän. V. Recwiddr ou Rocusar. 
*Recupia. V. Acudir. 

Recuipär, u. ©. peDser et repenser; consi- 
derer, reflechir mürement. 

Recumär, v. ®#. suer, suinter. On le dit d'une 
liqueur qui s’echappe par les pores d’un vais- 
seau, eic. (fg.) Trauspirer : se deeouvrir, so 
divulguer. 

Recumpir , v. ». penoher os s’appuyer sur. 

Recuusaän. V. Regumar. j 

Recdo, 8. m. recul : mouvement du canon, 
d’un ressort, elc., en arriöre. Revulement ; re- 
culade. Do — , a reculons. 

Recurenacäd, 5. f.  reoouvrement; r660uSBe, 
V. Recobro. 

Recereaido, A, p.p. de Ascuperer. 

Rectrenapoön, A, s. celui qui recouvre. 
Rectreräin, ©. a. recouvfer : reprondre © 

qu’on a perdu. V. Roecobrar.— 0 iempeo per 
dido , reparer le temps perdu. 

RECUPERÄR-SE, 9. r. 50 reouperer, se remale 
tre de pertes. Revenir & la sanis. 

+ Recoreaativo, A, adj. qui a la vertu de 
recuperer. 

Recurgaarönıo, A, adj. ($. de prei.) Inter- 
diecio—, mandement d’un juge par lequel W 
ordonne que tous les actes solent mis dans lcur 
«tat primitif. 

RecupeaäveL, adj. 2 gen. reoeuvrable: qui 
peut se recourrer. 

“"Reconcäö,s. f. V. Limite, Terme. 

Recurnatnre, edj. 3 gen. (l. danat.) rieur- 
rent : se dit d’un nerf qui jette des rameauz. 
Pulso—, (1. de med.) pouls qui, aprös quei- 
ques pnlsations, reprend son ancionne vilesse. 
(8. de prat.) V. Recorrenie. 

Rscensin, v.a. (p. us.) examiner de new- 
veau , r/Nächir mürements sur, 


on , injure falle pour en repousser une autre. 
Rscrısımin, ©. a. recriminer: repondre & 
5 accusalions,, ä des Teproches, par d’autres 
usalions, elc. 

"Recaosir. V. Recobrar. 

RECRIMINATÖRIO,, A, adj. röcriminatoire : qui 
pd a recriminer. 

T Racavo, 4, adj. qui n’a pas &t6 bien recuit 



















t Recnupzschucta, s. f. recrudescence : re- 
uvellement, retour & l’etat le plus intense 
ıne maladie endemique, d’un fleau. 

RECRUDESCHR,, u. n. V. Encruar-se. Se renou- 
er, en parlant d’une maladie endemique, 


Aecadra, 5. f. recrue: levee de nouveaux 
Idats; soldat de cette levee; action de les 
er. 

tECRUTÄnO, A, 9. p. de Reorular. 
lECRUTADÖR, 3. m. recruleur : oflieier qui 
| des recrues. 

> RECRUTAMENTO , 5. m. reorutement : aclion 
recruter. . 
lECRUTÄR, 9. a. recruler:: faire des recrues. 
som soborno 6 arte, embaucher, enröler par 
fes50. 

ECRUZETÄDO, A , adj. (6. de blas.) Crus—a, 
ix recroisetse , dont chaque branche est ter- 
nde par une autre croix. 

ECTAMENTE , adv. avec droiture, equitable- 
nt. D’une manitre droile, en ligne droite. 
ECTÄNCULÄR, adj. 2 gen. rectaugulaire : qui 
es angles droils. 

RCTÄNGULO, A, adj. (f. de geom.) rectangle: 
a un ow plusieurs angles droits. 3. m. Rec- 
gie : parallölogramme dont los angles sont 
its. 

Recrär. V. Reptar. 

xzcrıpiö, s. f. reclitade, dreitaure, integrite. 
Reckitude. 

zcrıricackö, s. f. reetißcalion : aclion de 
iifler;; ( $. de chim.) seconde distillation , se- 
sation de loutes les parties höterogönes ; (1. 
rom.) operation qui a pour but de trouver 
» ligne droite egale & une oourbe donnee. 
ectırıcÄD0,A,P.P- de 

IEcriricir, v. a. reclifler:: redresser, oorri- 
; remetire en &tat, en ordre; (1. de chim.) 
re la rectification. 

- RECTIFICATIVO, A ‚adj. reotificatif : qui rec- 


8. 

IECTILINEO, A, adj. rectiligne : termine par 
‚ lignes droiies (plan, etc.); en ligne droite 
ouvemen!). 

IscTissıMo,, A, 6dj. sup. de Recto. 
IECTITÜDE, 8. f. (1. de gedom.) rectitade : qus- 
; d’une ligne droite; (fig.) &quite, conformits 
ı droite zegie, aux vrais principes; justesse; 
iture. 

ecro, A, dj. direct, droit: qui n’est pas 
ta, courbe, etc. Droit. On le dit d’un angle 
me par deux perpendieulaires. (Ag.) Droit, 
sitable, integre. Iniestino —, 0u 0o—, rec- 
n; le dernierdestroisgros intestins. Fia —a, 


N 





1090 REC 


Recasvime, a,9.p. 68 
‚.. (mms., „ COBTalRERe 
quriqu'en por sen propres paroies, ee. (1. de 


RucorıL.i20, 3, pP. p- de Recspilar. . 
RecorsL ande, s m. compilsieer; abreris- 
“ser. 

RacorıLiz, ©. a. rötapiünler : faire le som- 
mesise, Texwsst. Compiler : [aise un rerneil; 


"Ruchero. V. Recacie. 
Reconnacio, 3. f. memoise, sauvent, r&- 
‚remtmoralion. 


Reconsıno, 4,9. de Becordar. 

Reconnsnen, A, adj. et s. qui rappelle. 

Ruconpän, 9. 6. rappeler ä la memoire. Faire 
souvenis, 7 Fememerer; repasser dans la me- 
meire. — & , recorder sa locon. 

Reconpän-se Re €. fr. se TessouTepir, se 
gopgeler (une € ) 

aeasaeo, 8.m. souvenir, memoire, vis, 
observation sur une chose passee. 

Reconntste, adj. eis. 2 gen. qui inlerpose 
un recours en juslice. P. & 

Recoznta,v.a. parcoarir, feuilleter un livre: 
veir, regarder de louies paris. Raccomımoder, 

. Retoucher, revoir, toucher de nou- 
yon. (i. dimpr.) Bemsnier. — pels meomoria, 

dans sa memoire. — 0 costado do ne- 
ei. (i. de mer.) recourir, repasser le calfat 
d'un veisseas. — ums amarra com a lancha, 
(fd.) pomoyer le cäble, passer sous le cable 
avec la chalocpe. — a amarra sobre o bolineie, 
(id.) depasser ou sauer te cäble sur le vire- 
vaat.— umcabo, (id.) pomoyer une manaurre. 
— eonire 0 sacador, (1. de comm.) exercer son 
recoars , recourir sur le tireur. 

Raconata, v. n. recoufir, courir de nouvean. 
(e) Recourir 5, demander secouss; avoir re- 
cours (A la Justice). — a0 juiz para yus [ass 
jwstigs, se relirer par-devant le juge. Val mais 
— 6 Deos aus seus sanlos,(prov.) il faut 
s’adresser ä Dieu plutdt qu’& ses saints. 

° Rsconata-sE (a), ©. T. Fecoufif, avois Fo- 


coupe. 

Rscoaaino, A, pP. P. de Ressorrer. 

Raconrino, 8. m. *decoupure, papier de- 
voupe. 

RscontTäno, a, adj. decoups. Heeoupt. Fo- 
Ihas —&s, (t. de bo8.) feuilles lacinides. p. p. de 

Recontris, u. a. d6eouper du papier, une 
estampe, eic. Retsiller, talller de nouveau. Re- 
oouper : couper de nouveau , surcouper, ad jeu 
de caries. 

+ Recönte, s. m. Naclion etprimee par le 
verbe recorlar, surlout au jeu de caries. *De- 
coupure: taillade falle pour ornement a du pa- 


REC 
pise, 3 une dislis, cae.; chese, Ägume, img 
decsupie. 


Recesta,, «. a. secemdse : caudse de ves- 
vesa. 
Rıcasise, a ,p- p- de Bacsser. 

Rschse. V. Carga 


Racsstri2o,2,9-.7-de 

Recasris , o.ä. ineliner, pencher, melise sur 
ie oßte. 

Racseriz-s2, e. 7. s’anceter, S'spparer de 
cd#_V. Encssler-e. 

Rzcöste, s. m. lertre, tuninenee. ° Penis, 


Recova, s. f. grande quamiitt de böiss de 
Bicus. 


SomEimEe. ® 


Rıcsvaso. V. Recsss. 

Rıcoviceu, s. [. ” camvei de böles de sommı 
chargees ; LaRsports. 

Rıcnrkaao, s. m. muletier; veitarier. (eie 
qui acheie des wufs, ‚des powles, eie. „pen is 
vendre. Messager qui va d’une ville ası Iksı 
ecartes; esialelte. — que cai a pe, savale. 

*Recsvo,s. m. Estar de — „dire accaie, ap 
pay sur le coude. 

Rzcoziz, v.e. recsire : euire de Beutel. 
Trep cuise. V. Requeimer. 

Becozıvo, A, p. p. de Becszer. 

+ Recozıutsto, s. mw. eiat de ce quiet it- 
euit os irop cail. 

*Recaamir, 9. 6. plisser. il. Recamer. 

Rezcaimo, s. m. pli. i£. V. Recieme. 

Rucazıciö,s. f. recrealion : action de wit- 


Recazia, 9. 0. ereer de nouvean. (p. W.. 
Recreer: divertr, rejouir, amuser. 

Recazia-sE, o. r. se röcrder, se diverüit. St 
plaire, prendre plaisir &. — esiudande vs 
esiuder, se plaire ä etndier. 

RECRKATIVO, a,adj. recröalil: qui dirertl, 
donne du plaisir; gui rejeuit. 

Recnzche, etc. V. Hecrescer, ole. 

RECREDERCIIES, 5. ou adj. f. pr (Cart -) 
lettres de röerdance. 

RECcaENENTIicıO, A, adj. (t. de dd.) rien 
menteux,, recremenliel ow röcr&mentiliel (ha 
meur). 

Recnzuento, s. m. (4. de med.) röerimel: 
humeurs qui se separent du sang eis'y remt- 
ont, 

Rucao ow Rzcabı0,s. an. "röcrdation. . B- 
erongäo. Casa de —, maison de plaissuce. 7e 
ner —, 10 delasser, se röcröer. 

t Racnescknte, adj. 2 gen. qui augmmn?, 
qui va toujours en croissant. p. e. de 

Recazscta, ©. R. recrolire : crolire de net- 
veau. Croltre avec excds; augmenier coasilt- 
rablement. Survenir. 

Recasscioo, A, p. p. de Rsersscer. 

BEcazscımenro, 3. me. aocreissemmet, AU6- 
mentation ; surcrolt. 


Recaıminacäö, s. f. röcsiminatien: a6rust" 











REC 


tion , injure failo pour en repousser une autre. 

Rercrımınan ‚ ®. a. recriminer: r&epondre & 
des accusalions, ä des reproches, par d’autres 
accusalions, etc. 

*Reorosir. V. Recodrar. 

RECRININATÖRIO, A , adj. r&criminaloire : qui 
tend & recriminer. 

d Recalo, A, adj. qui n’a pas &t6 bion recuit 


+ Recrunzsckucia, s. f. recrudescence : re- 
nouvellement, retour & l’etat le plus intense 
d’ane maladie endemique, d’un fitau. 

Recaunsscha,v.n. V. Encruar-se. Se renou- 
voler, en parlant d’une maladie endemique, 


Rucabra, s. f. reorue: lev6e de nouveaux 
soldats; soldat de cette levee; action de les 
lever. 

Recrtrino, A, p. p. de Recruiar. 

RECRUTADOR, 3. m. recrutsur : oflcier qui 
fait des recrues. 

+ RECRUTANENTO, 5. m. recrutement : action 
de recruter. 

RECRUTÄR, d. a. recruler: Taire des recrues. 
— com soborno 0 arle, embaucher, enrölcr par 
adresse. 

Rucavzeräno, A, adj. (1. de blas.) Crus —a, 
eroix recroisetde, dont chaquo branche est ter- 
minee par une autre croix. 

RECTAMENTE, adv. avec droiture, equitable- 
ment. Dune maniere droite, en ligne droite. 

RscrincuLän, adj. 2 gen. rectangulaire : qui 
a des angles droits. 

RecrinGuLo, A, adj. (8. de gdom.) rectangle: 
ui a un ou plusieurs angles droits. s. m. Rec- 
tangle : parallölogramme dont los angles sont 
droits. 

° Recrin. V. Reptor 

Recrwid,s.f. rectitade, dreiture , initgrite. 
V. Rectituds. 

Rectiricacäö, s. f. reetification : action de 
rectifler;; ( 6. de chim.) seeonde distillation, - 
paration de loutes les parties höterogänes ; ( 
de gdom.) operation qui a pour but de Lrocver 
une ligne droite &gale & une oourbe donnee. 

Rectirıicipo, A,P.Pp- de 

Recriricir,, v. a. restifler: redresser, corri- 
ger ; remetire en &tat, en ordre; (4. de chim.) 

aire la rectification. 

+ Recrırıcarivo, a ‚ adj. rostileatif : qui rec- 
tiße. 

RecrıLinzo, a, adj. rectiligne : termine par 
des lignes droites (plan, etc.); en ligne droite 
(mouvement). 

Becrissıno, A, adj. sup. de Recto. 

Recritöpe, s. f. (t. degeom.) rectitade : qus- 


litö.d’une ligne droits; (fg.) &quits, conformite 
& la droite regle, aux vrais principes; justesse; 
dreiture. 


Ricro, A, dj. direet, droit: qui n’est pas 
tortiu, courbe, etc. Droit. On le dit d’un angle 
formed par deux perpendiculaires. (Ag.) Droit, 
&quitable, integre. Inlestino — , ou 0—, reo- 
tum ; le dernier destrois gros intestins. Fia —a, 


N 





REG | 1001 


rocta, en droiture, directement. ZLinka —a, 
ligne direete : ligne des asoendants et des des- 
condanis. A—a razdo, la droite raison. Insen- 
töes —as , intentions droites. 


Recrön. V. Reitor. 
Recrnix ow Recraiz, 8.00 adj. f. pl- us. ou 


pl. Recirizes. Rectrices : longues piumes de la 
queue. 


Recun, 3. f. troupe de bötes de somme alla» 


chees & la queae !’une de l’autro. (fg. fem.) . 
Multitude de choses qui se suivent A la Ale. 


Recväpa, s. f. reculade. V. Reouo. 
Receantına, s. f. courroie altachde au men 
pour faire reculer la voiture. ' 
Recuivo, A,p.p. de Aoouar. adj. Recult. 


Arriere dans ses allaires. 


Recuau&nto ,s. m. "roculade : aotiom de re- 


culer. 


Recuir, v. a. faire reculer, repousser. 
Recuvin, o.n. recaler :aller en arriöre; (fig. 
fam.) hesiter, tergiverser, 6viter de faire. Fa- 


zer —, repousser, faire reculer. Ir recuande, 


aller & reculons, reculer. — para maier 


marrada, (fig. fam.) reculer pour mieux sau» 


ter. 

"RecösıTO , s. m. action d’ötre couchd. 

*Recrpin. V. Recwiddr ou Hecusar. 

*Recupia. V. Acudir. 

Recuipän, v. ®. panser et Fepenser; consi- 
derer, relldchir mürement. 

Regomin, o. ®. suer, auinter. On le dit d’uhe 
liqueur qui s’&chappo par les pores d’un vais- 
seau, etc. (Ag.) Trauspirer : se decouvrir, so 
divulguer. 

Recussir, v. ». penoher ou s’appuyer sur. 
Recumpnän. V, Regumar. ' 
Recdo, s. m. recul : mouvement du canon, 
d’un ressort, etc., en arriöre. Revulement; re- 
culade. De — , ä reculons. 

Rzcureracäd, 8. f. "recouvrament; rooousS6, 
V. Recobro. 

Recvreripo, A, p.p. de Rocuperar. 

RECUPERABOR, A, s. celui qui recouvre. 

ReccrerÄR, ©. a. recouvrer : reprendre 6 
qu’on a perdu. V. Recobrer.— 0 lempo per 
dido , r&parer le temps perdu. 

RECUPERÄR-SE, 9. T. so r&ouperer, se reinuße 
tre de pertes. Revenir & la sante. 

+ Recorzaartivo, a, adj. qui a la vertu de 
recuperer. 

Recupeaarönıo, A, adj. (8. de prai.) Inter- 
dic —, mandement d’en juge par lequei Hi 
ordonne que tous los actes solent mıis dans leur 
&tat primitif. 

RECUPERÄvEL,, adj. 2 gen. reosuvrable: qui 
peut se recourrer. 

"Reconcid, s. f. V. Limite, Terme. 

Regcunntntg, edj. 2 gen. (1. d’anal.) ricum- 
rent : se dit d’un nerf qui jetie des rameauz. 
Pulso—, (1. de mid.) pouls qui, aprös quel- 
ques pulsations,, reprend son aneienne vitesse. 
(f. de prat.) V. Recorrente. 

Recursin, v.a. (p. us.) examiner de now 
veau , rifiechir mürement sur, 


1002 RED 


Busfase ‚a. ın. ressurs : Fallen de veseurir; 
appei d’un tribunal Iniäriour au superieur ; 1o- 
fuge ; ressouroe. — da ward. V. Rofune. 

vAD0,A,9.P- de 

Bucsavis, 0. a. sosserbee : enurber en rond 
par Io baut; snurber. 

Rechavo, a, adj. oourbö, recourb£. 

Racisa , s. f. "reine, deni. 

. 6, » f. rösusatien ı action par la- 
quelle on reouee. " Belas. 

Rezcusi00, A, P- 9. de Rommsar. 

Rucusanoa, A, 5. oplai gei r6cuse, qui FO- 
faso ou rejetie. 

Becusänte, adj. 68 6. 3 gen. qui rönuse, qui 
rejeite. p. a. de 

Recusän, %. m. reßuser : rejeter, ne vouloir 
pas. Becuser : ne vouloir pas accepier pour 


juge. 

Rucvsivan, adj. 3 gen. röousable : qui peut 
ou doit ire rösund. Refusable : qui peut so Te- 
fuser. 


Runaogiö, 0. f. rödastion : action par le- 
on redige. 


Reoacrör,, 3. m. redaoteur : celul qui redige. 
Revipa, 5. f. "esup de Niet. (Ag.) Nombre 
da eheses qu’on prend loules A 


*Resantıne. V. Dorradsiro,. 

Revino, a, 9.9. de Roeder. 

* Rguamtnro. V. Aedimimenio. 

Rasiumo. V, Bodenko, 

Rasin, 0. 6. Fedenner ı denner une seconde 
feis. is, V. Redrer. 

+ Bzssnciicid,, s. f. vilersion d’un argu- 
ment. Redargation : röpligue dans une contes- 


tatlen. 

Benanstine , A, P. P. de Redarguir. 

Rupanclıner , s. m. oelal qui rödarguß, qui 

un argument. 

Resanchha, 9. a. rötorquer : employer con- 
tre son les pzeures, les arguments 
dent Il so sort; refuter. Rödarguer, bläser, re- 

Boerimines. Accuser. Demander en 
ustloe. Convainore. 

Ressıro, 5. m. zevenu, route : intöret d’un 
nel p»laod ; Fevenu, produit annuel. 

eng, s. f. "sets, Aletde p6cheur, d’oiseleur, 
eis. "Ounrage en forme de filet. * Röseau : sorte 
de tissu A jour. (Ag.)* Piege, sirstageme, ruse, 
artißee. * Hamas de eolon & ressauz. V. Ser- 
pentins. — d’erraster, bäche Isainante, badail. 
m sera colker codorwines, nappe , filel pour 
prendre des cailles. — pare apankar coelkos, 
peche : Ries pous pzendre des lapins. — de ca- 
ger, tonnelle : filet pour prendre des perdrix, 
etc. — dermepie ou de powar aluns, com- 
Ieitre ,tikonaise, Alei pour la p£che du thon. 
= de enbelle,, röeille. — da cabelleira, coifle de 
perrugus. — de forro, fer maille: treillis de 
fer quon met A une fenkiro. — varredoura, 
filet ä mailles serr&es pour le petit poisson. On 
ip dit au Agure de ce qui renverse, qui emporte 
tout ce (ui se lrouve sur son passage. Cair na 
= ‚tomber dans le let, donner dans le plege. 


RED 


Meter us —, ( fig. fan.) faire denner Ama ie 
panneau, faire tomber dans le piöge. — de yar- 
ddes , ( am.) tolle claire ei mal issue. —€, 
reis: lets pour prendre des eiseanz, des 
sous, (f. de mer.) Filete pour garanlir un valt- 
seau de l’abordage.— das irincheires, (dd.) Bes 
de i 

Repea, s. f. 

bride d’an cheval. (Ag.) * Frein, medisalen, 
retenue. st. V. Bestie. 4’ meis —, su pell ge 
lop. 4’ — solle, & bride abaline, au pp 0 
au figure. Avec la bride sur le cou:: 2» 
niere enlitrement libre, independanie. Corrit 
6 —solie, aller ä ötripe cheval. Lergar, seller s 
— s alguem, (fg.) lächer la bride ä quelge'im, 
iul mettre la bride sur le con. Solter a + & 
paixöes, (fig.) lächer la bride auz pamiemt 
Com a— na mdo, (Ag.) la bride & ia mals, 
avco circomspection, avec prudence. +, fh 
(fig.) renes, administration , geurernemmmek 
Dar —s aos vieios. V. Solter a — ds peißie. 
Voltar as —s, (fig.) tourner bride : renencet I 
une enireprise. Deitar a mndo ds —e, ssist U 
bride d’un cheval pour arröter cell gei uf 
dessus. 

Reogroxız, s. m. Blei en enionnelE. 

RznXıno, s. m. [aiseur de Alets, Füc put 
prendre des oiseaux, etc. 

RBzozsin. V, Remir. 

Reneuoinno, V. Redomoinke ou Remsinle. 

Reoxurgiö, 5. f. rödemption : sachal Ö 
genre humain par Jesu iat; des 
chretiens pris par les infideles, les mat 
tens. ” Rachat.* Secours, 

REoguprTön, 8. m. ar: osluiquiir 
chete, se dit de Jesus-Christ seul, au Sgurl. 

+ Repeuerouistas, s.m. pl. ' 
cengrögation instituse par seint Alphanss 

gori. 

Repancid, ete. V. Aedempgio, eis. 

RBı»£uuo, s. m. (4. d’enat.) Epipioon : mit 
brane graisseuse,, ne, transparenie, qui 008- 
vre les iniestins par devanı. —de wilella, lat 
de veau, 

Reoentes, 8. m. pl. ( 6. de fort.) redans: Mt- 
ticaiion & anglas saillanis et reniranls. 

Reps-rt, s. f. sorte de bäche tainanie. 

*Reoerän, V. Redrer. 

Reäpsziuma, & (die. de Ride. ’ Rissen, PP 
tit reis. 

Rzesınickö, 3. f. radhibition : action pt 
faire casser la venls d’une chose defeciaenel. 

Reonısın, ©. a. faire casser la venis FM 
chose defectueuse. 

Repmizırönıo, & ‚adj. radhibitoire : qui per 
opsrer la redhibition (cas, defaut, vivo). # 
gdo —s , redbibilion. 

+ Reoıcia,d. a. rediger : meitre.en orded 
par dcrit. . 

RepiL, s. m. &iable 4 brebis : bergerie , Bet- 
cail. — da Igreja ‚ (fig.) bercail, le sein de! 
glise. 

Rxpımınento. V, Rosgale , Redempad. 

Repıniia. V. Remir, Rssgatar. 

/ 





”- 


RED 


Resmodre, s. m. "redingete : espäce de 
casaque. 

Rastemı, e. f. V. Reodezinka. (fig.) Tolle 
olaire ot mal tissue. 

Resinrzocnaciö, 3. f. röintögration : action 
de rtintsgrer. 
Resıntzanipo, A,P. p. de 
Rupımrscain, vo. a. rötabHir, röintegrer, re- 
metire sur ve V. Reintsgrar. 

Reotro. V. Reddiio. 

Raservivo, A, adj. ressuscitö, rendu A la vie; 
qui renatt, rovient ä& la vie. 

Revıztn,, v. @. redire : dire une seconds fois. 

Runizıms , s. f. seconde dime, double dime: 
neuviöme portion des fruits sur lesquels on a 
dejä pris la dime, ou loute aulre porlion qu’on 
pergoit outre la dime ordinaire. 

‚A,P-.Pp- 

+ Renızımin , v. a. prendre, lever de nouvean 
la dime. V. Rodisima,. 

Rupönna, 5. f. "rebord, bord replie, ren- 
wor. 


Buenomrino, A, 9. p. de Redobrar. 

Reposraptaa, s. f. "redoublement:: action 
de redoubler. Röduplication. 

Revosnir, ©. a. redoubler: augmenter du 
Geuble; reiterer, augmenter. Fredonner, ga- 
zonifier, en parlant des oiseaux. 

Aepösaz, s. m. second Coup d’archet sur la 
corde d’un violon. Fredon, gazouillement des 
elseauz. Seconde doublure. —e, pl. ( ig.) * du- 
plieit#, fourberie. Fazer —e, user de duplicite, 
agir en fourbe. 

+ RevoLturz,, adf. 2 gen. (god) qui exhale 
use bonne odeur, qui embaume. 

Rroöua, 8. f. fole, ampoule. 

Rzpouazinna ou Bevouinna, di. de Re- 
doms,. 

REnomoMnno, 5. m. tournant d’eau; pults, 
tournant de mer. Gouffre. V. S: .—de 
vento, tourbillon. — de cabellos, &pi de ohe- 
veux, de polls. 

Reoonnamente,, ade. circulalrement, en 
rond. Rondement ; Promptement; frauchement, 
sans detour. Ceir — no chäo, tomber raide, 
tomber tout A coup, subitement. 

+ Raponneino, A,p.p. de Redondsar. adj. 
(t. de bot.) Arrondi. 

+ Raoonpeantnto, 8. m. artondissement, 
Faction d’arrondir, son eoflet. 

ReponpeÄr, v. 8. arfondir, rendre rond. V. 


RezvonptLLa, 6. fı 2’ —, en tournant. 

Rzponpiz ou rondeur ; rotondiis. — 

Bapeuptza, 6 f. ‚giebe, la 
terre; Io monde. 

RaponeiLua, 6. f. (l. de po6s.)stance de qua- 
tre vors portugais, chacun de huitsyliabes. 

RzssonpiLzo. V. Redondilka, 

REDONDINBO , A, adj. dim. de Redondo. Ron- 
delet. 

RanönBo, A, ady. arsondi, rond, de forme 
ronde. Ciroulaire. Rebondi : arrondi par em- 

‚. Zm-, & la ronde, & Pentour, en 


da Serra, 


RED 1003 


rond,, autour. Leilra —a, letite rende, eafab- 
tere d’imprimerie. Cair —, jomber tut coup, 
tomber raide, subitement. Navio —, valsseas 
4 poupe ronde. Capaı —a, manteau SNS JUONG, 
Näo —, un non franc,, sang delour 

Renorio. V. Rodopio. 

Revör, s.m. Ao —, (loc. adv.) autour, ä Fen- 
tour. —es, pl. V. Arredöres. 

Renöuca, s. f. * balangoire; escarpolatie. 

REDOUGAR-SE, 9. Tr. 56 balancer. 

Repnino,A,P:P.de 

ReDRAR, v. a. biner : donner une setonde 
(acon aux vignes. 

Repucciö,s. f. röduclion : aclion de r&duineg 
ses effets; diminution de revenu, de depense; 
changement d’une figare en une autre sembla- 
ble, mais plus petite; (1. de chim.) operation 
par laquelle on ram&ne un oxyde & l’&tat m&- 
tallique. Conversion d’un syliogisme imparfait 
en un autre parfsit. Reduction des entiers en 
fractions, des fraclions en entiers. Reducliog 
d’une &quation alg&brique A ses moindres ter» 
mes. Change, troc d’une pidce de monnaie pour 
une aufre. L’action de reduire, de convaincre, 
d’amener & son sentiment. Conversion des inß- 
deles, des pecheurs. Peuplades d’Indiens con- 
vertis ä la foi. * Resserrement, accourcisse- 
ment: action par laquelle une chase est resser- 
rede. — a menos," amoindrissement, diminution, 

+ Reobccrivamente, adv. restriciivement, 
d’une manidre limitde ou bornee. 

Reptcrivo, A, adj. (6. de chim.) reduclil ; qui 
reduit. 

Reopöcro. V. Reduto. 

Repunpäncıa , s. f. trop grande abondance, 
superfluits, excds. (1. de rAdi.) Redondance « 
superfluitö de paroles dans un discours. 

REDONDÄNTE, adj. 2 gen. qui regorge, ei® 
Redondant, superflu : qui est de trop dans um 
diseours; plein de redondance (style). 

REDUNDANTENMENTE, adv. areg superfiuits 
de trop. Aveo redondance. 

REDUNDÄR, v. ®. regorger, döborder, dtre 
trop plein. Redonder : #ire superflu, surabon- 
der dans le discours. (em) Tourner au proflt ow 
au prejudice de, zevenir. (#g.) Bezaillır, re- 
tomber sur. 

Repuruicacid, 3. f. redupliealion, redow- 
blement, 

RepupLicino,A,P. p. de 

RspupLicäa, v. &. doubler, redoubler, rep&- 
ter. 

Reprruicarivo, A, adj. (f. de gram.) rtde- 
plicatif : qui marque le redoubloment. 

Beotro, s.m. (1. de fort.) * redoute : piäoe 
de fortification detachte, en avant. Esptes de 
möle pour les vaisseaux. 

+ Reovvıo, s. m. (b, D’Aist. nal.) sedureı u 
miptere nudicolie. 

Reprzicäö. V. Reducrdo. 

f REouzipaudnTe ‚ade. modigquement, avas 
modiciie. 

Repuzioo, 4, 9. p. de Reduzir. adj, Riuluis. 
A que eslou eu — P ol suisje rodult? 





1005 REE 


Renuziu£nto , s. m. (inus.) V. Heducsdo. 


REF 


Reenvipin, v. a, (l. de jew) renhviası mein 


Renuzir (0), v. a. remettre en sa place, en | par-dessus la vade. 


son premier dat. Reduire \&) : contraindre, 


ft Reenvire, s. m. (i. de jew) reuvi: me 


necessiter, obliger; soumeitre, subjuguer , | Fon met par-dessus la vade. 


dompter; ramener & la raison, au devoir ; eva- 
Iuer les rapports des quantit&s, des mesures, 
des meonnaies ; changer en moindre ; resoudre 
une hose en une aulre; abreger, resserrer un 
discours, etc. Reduire un entier en fraclions, 
des fractions en un entier. Convertlir ä la foi. 
(Ag.) —, borner, restreindre; resumer. — a 
menos, amoindrir, diminuer, rendre moindre. 
— drasäo, rendse souple, raisonnable, sou- 
mis : meitre ä la raison. —a dinheiro, con- 
vertir en argent, reduire en eflet comptant, 
röaliser un effet. — a cinzas, recduire en cen- 
dres. — a nada, antantir : reduire au neant, & 
rien. — alguem d miseria , d mendicidade, etc., 
rede, queiqu’un & la misdre, & la besace. — 
@ bdreves palavras, resumer, abreger en peu 
de mois. —a ovelha ao rebanho, ramener la 
brebis au bercail. A velhice nos redus a meni- 
nos, la vieillesse nous rend enfants. 

Repuzia-se (a), v. r. se reduire.: devenir 
moindre en nombre, quantil&, volume, di- 
mension, eic.; se restreindre, se borner &; 
relormer sa d«epense, son train, olc. Eire 
oblig6, oontraint, se r&soudre forcement A. Se 
resoudre, &ire dissous. Se resserrer, devenir 
moins etendu. — d razdo, se rapprocher, se 
pröter A un accommodement, se rendre a de 
bonnes raisons. 

ReooziveL, adj. 2 gem. reductible : qui peut 
ow doit dire röduit. 

’ Kaeoırıcackö, s.f.reddification , reconstruc- 
on. 

Reepiricino, A, p. p. de Reedificar. 

Reedıricapon,, A, 8. celui qui reedifie. 

Rezspiricär, v.a. röedifler : rebätir, recon- 
struire. (fig.) Reformer, r&generer. 

RseLecte,v. a. re£lire : &lire de nouveau. 

Rertecino, a. V. Reeleito.p. p. de Reeleger. 

+ Reeızciver, adj. 2 gen. reöligible : qui 
peut &tre reelu. 

Regıeıcäö, s. f. reelection : action de r&- 
&lire, son ceffet. 

Resıtıro,A,p.Pp. irr. de Reeleger. adj. Re- 
+iu,, lu de nouveau. 

RABENMBOLSÄR, v: a. rembourser : rendre l’ar- 
gent debourse, preis. Relirer l’argent qu’on 
avalt debourse ow avanck. 

Resun0Lso, s. m. romboursement : action 
de rembourser. L’action de retirer ses avances, 
son debourse. 

BEEurRECIDO, A, 9.9. de 

+ Reruprecia, 9. a. remployer : employer 
de nouveau. 

BEzuCARnECÄnO, A, p. 9. de 

+ Rermcannzcän, v.a. recharger : charger 
de nouveau. 

Reencn6r, v. a. emplir ou remplir de nou- 
voau. 

Rzzuvipino, A,P.p. de Reenvidar. 


RgESPERADO, A, 2.7. de 

ReeEsrERÄR, 0. a. atiendre de nouresu, 

Rexzspümas, 8. f. pl. sucre d’scume. 

REBSTABKLECER, ©. 6. Elablir de nogresn. T. 
Restabelecer. . 

ResxPportacäö, 5. f. reexparlalion: kam 
port & l’&iranger de marchandises venasi da 
dehors. 

ReExPORTÄDO, A, pP. p. de Aoezporlar. 

ReexPpontTapon,s. me. celui qui reexporte 

REEXPORTÄR, ©. @. reexporter : faire la mtr 
portation. 

Rericıutxto. V. Refazimenio. 

REFALSÄDAMENTE, adv. en fourbe, paräde- 
ment. 

ReraLsino, A, adj. faux, Lrompear, faurbe, 
dissimule. 

+REFALSAMENTO, 3. m. * tromperie, fourbent, 
dol, fraude. 

ResaLsgäno. V. Befalsddo. 

+ Rerazeoör, s. m. celui qui refait. 

Rerazee, v.a. relaire, röparer, Tattssar 
der, rajuster ce qui elait defait, gäte, ei.; > 
commcncer; remelire en vigueur, en bea dk 
Ajouter de nouvelles forces, fortiller, relamt. 
Augmenter en poids, en nombre. 
re[aire un ouvrage manque. (i. de mil.) Ballet, 
rassembler, remeltre ensemble, 

RerazER-SE, v. r. se refaire: re ia 
forces, se retablir. Se rallier, en parlani & 
troupes defaites. Se pourvoir, se foarnit, # 
munir de provisions, etc. — da fome, 
nourriture, manger. — da fadige, se deland, 
prendre du repos. : 

Rerazıutnto, s. m. l’action de relaint m« 
se relaire; relablissement; reparalion. "= 
pensation, indemuisation. 

“Rerecir. V. Abaicer, Aviller. 

Rerecgäö. V. Refeirdo. 

" Rer£ce, adj. 2 gen. declinant, qui decist. 
qui perd de sa force, ete. Bas, Je peu kır 
leur, vil. Vender a —, vendre ä vil priı. Beu- 
cadorias —s, marchandises & bon marcht, 
chöres. 

Rer£ctn. V. Arrefecer, Esfrier. 

* REFECTÖRIO, A, adj. (1. de mdd. p. sa (rt 
—s , guerison operee en donnant les remch 
ıneles dans la nourriture. 

Rerica. V. Rajdda ei Rofrge. — 

+ Rerscino, a, adj. quiaa un rerapli. 

+ Rerzciö, s. m. aug. de Rofäge. Grande" 
tale, grand coup de vent. 

Rer£co, s.m. rempli: pli fait d une robe, **- 
pour la röireeir, la racooureir. 

Rereıcid, s. f. röfeotion : repas meler 
Nourritare. V. Refazimenis. — de mm. 
Recresgäo. 

Rerzıt£ıano. V. Referteire. | 

Rartıro, a, adj. refait, retabli, Gras, qui 


[i 








U 
REF 


REF 1008 


de Fambenpeint. p. p. er. de Refaxer. V. oo: ° BerzstkıLa,s. f., rejouissance pabligus. 
mot. *"RerzstkıLo,s.m.) Fee d’unsaint. V. Fes- 
RBevursontsna,, s. f. rölseteriöre : religieuse | Fividade. 
qui a soin du refectoire. "Revaz.V. Refece, Villäe. 
Raszırontıno, s. m. zölectorier : oelul quia | Bezrıid. V. Rufdo. 
soin du r&ßesieire. * Rerıär, V. Hufler, Aleooilar. 
Bavarröaıo, s. m. röfecteire: liou dans le- | BerıLino,A,p.p.de Reflar. 


quel une communautö prend 505 repas. 

Rertn, s. m. V. Refons. 

RBeraupka, 9. a. relendre. fendre de nou- 
veau. 

Rersnpiso, A, pP. p. de Refender. 

BEFENDINENTO,, 5. m. " ouveriure d’une chose 
relendue. 

Rerväns, s. m. pl. olage : personne de marque 
remise A un roi, & un general ennemi pour la 
sürels d’un trails, etc. ( Ag.) Gage, assurance. 

+ Rursatncaa, s. f. “rapport : lieison de cor- 
kaines choses entre elles. 

BEFEAENDÄDO, A, P. P. de 

+ Rueysaenpin, 0. a. conire-signer. 

BErBRENDÄRIO, 3. m. relerendaire : rappor- 
teur de cortisines deptches, eic. Ufilcier qui 
eontre-signe les depöches, etc. 

+ Rergnaunita, 8. f. *conire-seing. 

Rersaino, A, 9. p. de Beferir. adj. Rap- 
ports; cite. Compi& entre, mis au nombre de. 
entre 08 deosss, mis au nombre des dieux. 
Zestemunha —a, temoin A qui un aulre tömoin 
so rapporte. 

RErgrımtnto, 3. m. (p. us.) laclion de ra- 
eonter. . 

Rarsnin, v. a. rapporter, raconter. (a) Reöld- 
rer: rapporier une chose ä une autre; allfi- 
buer. 

Reranin-se (0), v. r. se rölöter : se, s'en 
rapporter ä; avoir rapport &. Se rapporter ä ce 
qu'on a dit precddemment. — ds lestemunhas, 
( 4. de pral.) prendre droit par les charges. 

Rereanin, tv. a. referrer : forrer une seconde 
Tois. 

"Rerinta. V. Confradierdo, Opposigdo , Re- 
pugnancia. 

* REFERTÄDANMENTE , adv. avec r&pugnance. 

"REFERTAMENTO, 5. m. "inslance. il. V. Con- 
Sestapdo, Impugnaräo. 

“ Raraaria. V. Coniradiser, Bepugnar, Re- 

* Rersntümmauenıe , ado. opiniätrement 
Avoo röpugnance. 

*Rarenttıno, A, adj. querellcur, breiteur, 
ferrailleur. Indociie, rebello, opiniätre. Dedai- 
gneux, difeile, revöche. 

“ Rer£uto,s.m. V. Referla. 

* Rerantörao. V. Refeitorio. 

Rerzav£r,v. a. (aire bouillir de nouvcau. 
(Ag-) Ranimer, raviver; exciter, &mouvoir. v. 

sw. Bouillir une seconde fois. Fermenter, s’ai- 
grir, en parlant des conserves, eic.— 0 sangue, 
(Ag) s’enllammer, se brüler (le sang). 

Raresvivo, a,p.p. de Referver. adj. Brülc, 
enfamms par la chaleur; ferments , aurri, 


RerıLapör, A, 5. celui qui remord. 

RerıLir, v0. ». remordre ; montrer les denis, 
(Ag.) Besister avec violence, regimber.,. 

+ RerıLuir, 9. ». pousser de nouveaux Fe- 
jetons, en parlant des plantes. 

tReriLuas, s. f. pl.) seconds rejetons gul 

f ReriLuos, s. mp.) viennent sur les pfe- 
miers. 

Bermacäö, s. f. "raflinage : aclion, mamiäre 
de raffner;; affinage (des melaux, etc.). 

Rerınanissımo, A, adj. % de 

Rerıxipo,&A, p. p. de Refinar. adj. (fg.) 
Raffind , entendu,, habile, et surtout fin @& 
ruse. — ladrdo , velhaco , eic., veleur, coqula 
iefle , etc. — merliroso , [ranc menteur. 

Rerınanön, s. m. raflineur, affineur. 

Rerınanöra. V. Rofinacda. 

REFINANENTO , 8. m. raffinement. 

Rerınin, v. a. afiner les metaux; rafäner le 
sucre , etc. (g.) Alambiquer, subtliser, quin- 
tessoncier. ©. s. Devenir plus fort, plus in- 
tense. 

RerınÄän-sK , v. r. se perfeclionner, s’&purer; - 
s’eflorcer d’exceller. V. Esmerar-se. 

Rerınania, s. f. raflnerie : endroit oü Von 
raffine le sucre, eic. 

Rerıncino, A, 9. pP. de 

Rerıncir,v. a.enfoncer de nouveau, reicher. 

Rerixo,s,m. V. Rofnaria ou Refnardo. 

+ Rerinta , s. f. seconde imposition. V. 
Finte. 

Rerintär, v0. a. imposer une seconde contei» 
bution. 

Rertecrino, A, pP. p. de 

RerLecrin, v. a. reflechir, röpercuter, refle- 
ter. (em) v. n.Reflechir,rejaillir, eire renvaoye&, 
se dit de la lumiere ; refl&chir sur, penser md- 
rement. Reflectis bem , vous [aites la une belle 
xellexion. 

Rerıaxauetnte ‚ade. par röflächissement ow 
röverböration. (fg.) Avec reflexion. ’ 

RerLexiö, 3. f. reflexion : rellechissement , 
rejaillissement, reverberation (de la lJumidre), 
mouvemens retrogsade d’un corps repousse, 
en terme de physique. (fg.) —, meditation s6- 
rieuse, Consideration attenlive; pensce qui en 
resulte. Dizer as cousas sem — „dire les choses 
Al’aventure. A — deve preceder a acgdo, la r&- 
fliexion doit marcher avant l’aclien. . 

Rerıexän. V. Reflechir, Considerar. 

REFLEXIBILIDÄDE, 8. f. reflexibilitä: propriet& 
d’un corps qui est susceptible de reflexion. 

+ Reruexıonän (em), v. mn. speculer, relle- 
chir, penser aitentivement sur. 

REFLEXIVANENTE, adv. par reflexion. 

ReErLexiveL, adj. 3 gen. röflexihle ; propte A 
(258 relschi. 





Revıaxivo, A . mißßöchissant, rößexif : 
qui sthtchir V. wwedinsien, Pensalvo. Vorbo 
— , verde rötchi,, promominel. 

Rerızıo, s. m. * lumiöre refiöchie, reflet; 

issement , relexion de la lomidre. Re- 
Bet, reverberation de la iumitre,, d’une ooe- 
leur sur lo oorps voisin, en termes de peintare. 

Rerı£xo, a, adj. reßöchi : par epposition & 
direct , qui rORdeht., gu reverbtre. (1. de bot.) 
—, en angie en dehors. 

ResLonzcka , v. w. refleurir : fleurir de nou- 
vom; (fig.) reprendre son premier &clat, sa 
deur. u. «. Rendre florissant, 

t, 


. p. de Meflorecer. adj. 
Qei reflesrit. -r “ 


erstere, adj. 2 gen. refiuant, qui re- 
Bus. p. a. de Rufleir. 

Rerıuleo, A, P-P- 

Rusıuin,.v. ®. rofluer ı retsurser vers #2 


Nurıize,, s. u. reßlax de la marde, conire- 
mare. uno s —, flat ot jusant: flux et re- 

RevocıLiso, A, P. p. de Refocillar. 

*REFOCILLAMENTO, 3. m. reconfort, sonlage- 
uasat ; pialsir, rejoutssance; l'action de se re- 


Ruyumz.ir, u. 8. restaurer, reconforter, re- 
musttre des faligues, delasser; ravigoter, re- 
yeälr, veenter, et sartout donner de la force, 
dala vigueur. 

’REI00A NO, 3. m. (1. de cwis.) * Triture dans 
le beurre, dans Phuile, etc. if. p. p. de 

Rasocin, u. a. (#. de cwie.) frire dans le 
Beunrre, Gans ’hulle, etc., de l’oignon, da per- 
sl, utc., bach pour em faire une sauce, an 


Ruromipo, A, adj. dissimule, fourbe , 


ResoLzauturo. V. Refolko. 

Rzvenuo, s. m. * faussei6, fourberie, impos- 
tere, @isshuuflation, ruse. 
Reronckno, A, adj. renfores. Vigoureuz, 
fart, 9.9. 80 

Reyoncin, u. u. renforser : rendre plas fort. 
Portißer : röparer 00 qui menaoe ruine. Actlam- 
por (fies mül). 

Revongia-sR, o.r. se re6tablir, se fortißier, 

Gre ses Toroes. S’enlorcir ; derenir plus 

Wert, en parlanı d’un cheval, du vin, eic. Se 
venloroer ;: &tre , pouvoir &ire renforot, rece- 
«Sir des renlorts, on parlant d’ane armete, ete. 

Rurörngo , «. m. renfort : augmentation de 
Surve ou des forces; ce qui sert ä renforcer. 

® 2iGe ‚ seuours. Renfort d’un canon. Renforoe- 
* ent : aulion de renforcer, son effet. — da ou- 
dire , (1. Barfil.) le premier renfort. 

Ruybnua, s. [. reforme : retablissement dans 
Ferüre,, Gans l’anclenne forme ow discipline; 
sötranchement des abus ; changement opere en 
rtformant; reduction des troupes ; vonge; Te- 
sablissersent de anctenne discipime dans un 
ran religieez ; "sutiun-de . Nouvelle 


REF 


prorision. — , la religion reformte, le proiz- 
tem Iuthbriems ou tuhrl- 


Usıne, Vos pretestants, 
nistes. 

Neronuncis, ©. f. rölermalion : vollen de 
r6former, de corriger, de rötablir dans Ta 
cienme ou dans uno mollleure forme(lesmmem, 
ete.); reforme genörale. V. Roforms. 

Rzroxuipauters, ale. avec refenme, see 
la reforme. 

Reronmapissino, A, af. up. 6 

in0,&, 9.79. 66 Beformar. ei. 
forme; qui a reforme sa vie. 

Reronuino, 5. m. ofieier rifermb, qeienı 
reforme. Reforme : oelui qui sait une rilrmm; 
(1.claust.) qui est de la religion reformde. 

RegrOnNaDOR, A, s. riformaier : geil # 
forme,, corrige hes abus. 

Reroasin, o. a. rondee & un ourpe ®& 
mitre forme. Reforwer : rötablir den TM- 
cienne forme, en donner wme neureie, «# 
meilleure;; reduire k un meoindre nembre; m 
irancher ce qui ya de trep, de nuinlbie, fi 
natile; &tablir la discipline dans un menami. 
Faire des nouvellos provisions. Raccemmodt, 
reparer, meütre & neuf. Expliquer, adosct © 
proposition,, la rendre moıns Ye 
eir une sentence ow la changer tout d fell. 

REFORMÄR-sE, v. r. se refermer: 
en mieux, en bien; röformer ses users, dir 
ger de vie, de oenduite. Rooouvrer dee 
velles forces ‚ se restaurer. S’approvisienne 4 

deossaire 


0 . 
REFORMATIVO, A, adj: qui reforme, qua 
rige; qui est prepre A melssmer, A CoriipL 


une relorme. 

Beroauivez, adj. 2 gen. zilermable: Pi 
peut ou qui deit öure aöferzue. 

Rurosstrz, s. m. (t. de fort.) " cunelit, # 
vetie : fonss dans le milieu d’un aut. 

Raroocınnäao, (p.us.) V. 

Bzrourınnino. V. Enerespade, Bi 

Reraucckö, e. [- röfcaction : “ 
direction d’un rayon de Iumiere, d'un mob 
qui passe d’un milieu dans un aulre. — 
nomica, relraclion astronomique, 
P’atimosphöre. 

Reraactinıo, A, adj.,‚et u. züßrmelait:!® 
befle , dtssböinsant. Qui mengue & re 
ä ses engagements. (1. de chim.) — ‚48! seh 
ute-difloiiement (substanse, , 

Rerzacrivo, A, adj. ($. de ige.) sölinge; 
qui cause une tem. 

RAasaäcro, A, p-P. er. de Beprge db 
Röfracis, se dit d’un rayan de Immöbre bii# 


par la röfraction. 

RErnAncenTE, adj. 2 gem. nähingees: € 
Cause une refraction. 

Rerrkancen, v. a. nfracter : prodsire 3 * 
fraction. TI est aussi z6ciproque. 

REFRANGIBILIDADE, 3. f. refrangibißtt : FF 
lit6 des rayons zäfrangibies. 


ReraanciveL, ad. 2 gen. rütramghle:® 
veptible de röfractiem. 











REF 


+ Rarmanssan, v.n. (p. us.) faire de l’esprit, 


railler. 
*Rerai6. V. Rifäo. 
Berasipauketn, ade. avec Felenus, Arco 


Rerazino, 4,P.p. de Refrear. 
OREIREADONRO, 8. m. chose qui röfröne, qui 


BernsanoR, a, et ad. qui reprime, qui 

met un frein, moderateu 
0,8. m. Pactien de refrener, de 
repeimer ; moderation,, retenue. 

Rerazir, v. a. assujellir avoc lo frein, tenir 
en bride? (Ag.) Refröner, reöprimer. 

Rerazin-sz (de), 0. r. so röfrener, se r&pri- 

mer: sabstenir de. 

Rerntca, s. f. (8. de mer.) petit frais. it. 
Mölte. V. Brigs, Batalha, Conflicto. 

?Reratıo, s. m frein: chose qui refrene, 

i me, qui retient. 

Vaeemin ee. V. Referendar, etc. 

Rerneschds, s.[.(p. us.) *ravitaillement; se- 
ovars, atde. 

Beranscino, A, P p. de Refrescar. 

Rerauscaututo. V. Refresco. 

+ BErazsciute, adj. 2 gen. rafralchissant, 
antiphlogistiyque. p. a. de 

Revanscihn, v. a. rafraichir : rendre frais. 
Beire frals. Dösaltörer, öter la soif. Renoureler. 
(Ag.) Envoyer du secoars. — 0 forro das amar- 
vos nos estorens, (L. de mar.) changer la four- 
rure du cAble dans les ecubiers. 

Resazscia, v. ». serafraichir : devenir frais, 
plus frais, en parlant de l’air. (g.) Se repo- 
ser, prendre de nouvelles forces. (4. de mar.) 
Fraichir : devenir pius fort, en parlant du 
vont. 

Rerasscäa-SE,, v. r. s6 rafratchir : prendre 
«es rafzaichissements ; prendre le frais;; se de- 
Jasser. Se ravitailier. 

Ravatsco, s. m. rafraichissement : ce qui ra- 
Praichit, sos efleis; reeouvrement de forces; 
meurtiture, repos qui donne de nourvelles for- 
oss; oollatien qu’on sert dans les visites, etc. 
(1. de mil.) —, aliments frais; munitions de 
Bouche. Ravitsillement : action de ravitailler. 
—— de gonte, renfort, troupes fraiches. De —, 
die nouveas. —+, pl. rafraichissemenis: :fruits, 
oonlitures, vins, liqueurs. 

* Ramnarin. V. Refertar. 

° Rasaıcha.V. , Altercar. 

Rernseunachd, s. f. l’aclion de desalterer, de 
sralraichie ; rafraichissement. (Ag.) Consolation, 
soslagement, (f. de mdd.) Relrigeration, relroi- 
dissempent; privation, absence absolue de cha- 


Sour. 
Busrmeusino, A, pP. p. de Refrigerer. 
Rarnıczninte, s. m. röfrigerant : reımdde qui 
galsalchit. (1. de chim.) Reöfrigerant: vaisseau 
rempli d’sau pour condenser les vapeurs dans 
Falamıbie. adj. —, relrigeratif, qui raffalchit. 
. 
r Aurnaznir, v. 6. rafralchir : diminuer, teım- 
püsens la chalsır. Conlorter, forlißeg, Disaltörer, 


REG 1007 


öter la self. (Ag.) Soulager, adoucir. v. ». Se 
soulager, Sprouver du Perg error 
Rernıonaurfvo, A, ad. “raus m 
Kralchit, refreblit. reine w 
Rerncznaröno, A, adj. mölrigeraleire, I- 
frigeradif. Vaso —, "eirigeramt d’slambie. 
Rernicuno, s.m. rafraiehissoment : efei a2 
lutairo de ce qui rafratehit. * Censolallen, sou- 
lagement, V, Allivio. 
Bernıncture , eic. V. Refrangents, eis. 
Rerucipo, A, p.p. de Refuger. 
RerucapeR ‚s. m. celui qui mat au rabal, a 
rejelte. 
Rerucia, v. a. melire au rebutl ; refuser, Fo- 
jeter, rebuter. 
Reructin0, A, pP. 9. de 
HErUCIÄR, v. @. revevoir chez sol, denmer 
asile. 
Rervorän-sE (om), 9.7. 50 röfugier s se Mu- 
tirer en ligu de sürete. 
aröcto, 8. m. rofuge, reiralte, asile; Be- 
cours; lieu de süret£. 
Reröco, s. m. rebut : action de rebuter; ce 
qui a &t& rebute. * Racaille, chose de rebat. 
’ ReruLetncıa, 3. f. "celat, Iucer, spien- 
eur. 
ReruLoente, adj. 2 gen. rayonnant ı brillant, 
respiendissant, &clatent. 
REFULGENTISSIMO, A, adj. Sup. de Rofuigenie, 
Tres-brillant, tr&s-resplendissant. 
RervuLcir , 9. ». briller, resplendir. 
REFUNDÄDO, A,p.p.de 
REYUNDÄR, 9. @. recreuser : creuser de Rou- 
veau ou plus avant. 
Rerunnıcid, s. f. refonte: action de refendre. 
Rerenpivo, A, pP. p. de 
Rerunpik, v. a. refondre : metire & ia fonte 
une seconde fois; (fg.) refaire (an diseours, 
ete.). Transvaser. 
Rezrunpin (em), ©. ». lourner au profit, au 
detriment de. Se ooncentrer (pP. w8.). 
Rerunvir-S8, 9. r. disparalise, 
Rervsipo, A, 9. p. de Refwsar. 
REFUSADOR , s. m. enlul qui refuse. 
RErusiR, v. a. reluser : ne vonloir pas reee- 
voir; rejeter. — 0 remo, ramer en arriöre. V. 


ecusar. 

Rerusin-sg (@), 9. 7. se sousireire, r&sie- 
ter ä. 

Reruracäd, s. f. röfutation : disovers par 
lequel on refute. 

Resutino,A,p.p. de Befutar. 

ReFOTADOR, sm. Fell qui röfute. 

Rerotir, 0. a. reluter : combautre, detrulre 
par des raisons solides ” qu’un autre a avamel. 
Refuser, rejeter (p. us.). 

+ Rarurarönıo, A, adj. qui refate, qui &6* 
truit. 

+ Reruriveı, adj. 3 gen. röfatable : qui peut 
@ire röfule. 

tr Retca,,s. f." arrosement,, isrigalion. (amt.) 
V. Regra, Instituto. 

Atcanöse, s. m. (fam.) * hombamce, Rt- 
jouissance, recneation, divertissement. 


ey | en 
Y ”. 


- 


- 
mp Tre kun na au nn. - 
7, . .. 

- Cr ee P ] . . 


1008 REG REG 


Rzcica. V. Bogare. REcAanmÄR, e. @. gaguer de nourean. il.T. 


Rzcazia. V. Arrogapar. 
Rscico, s. m. giron : espace depuis la oein- 
ture jusqu’aux genoaz dans une personne &8- 
sise. Pli, ereuz que formen! jes japes de 
femme dans estie position. (Ag.) Gıron de ’E- 
glise. Bein : ontrailies de la terre, de le mer, 


etc. 
Recantına,, s. f. rigele. V. Bogusira, En- 
sur 
Rzonnia, o. f. je wavall d’arroset. V, Rege- 
(3 


















Becin, v. a. arresee les tertes Pal des a 
naux, eic. Arroseren &i6 les runs, etc. (AR) 
Baigner. 

* REGanpiR,, ©. a. rogarder. 

-Rzcinno. V. Respeito, Coniemplagle il. 


Recaräd, 5. m. regratiier : revendout m & 
tsil ot de a seoconde main. Colperiew. 

Recatiö, Oma, adj. qui maarchande Up: 
revendeus. 


Jura. . 
Recanio, A, adj. On ie dit du terrain qu’on a Rscaräa, o. a. vondre en detail; acheit 
Terrai 


seutume d’arroser. —, 8: . a arrone. | gToS pour vendre en detail. V. Rogelsar. 

Torres de —, terrains arresös ow arresables. Rzcarania. V. Regatia. 
Recieo,A,P. p-. de Regar. Reciras ‚s. f. pl. indiennes. V. (Mila. 
Recan6a , s. m. arrosoir de Jardinier. Rzcarzino , 9. p. do Regalear. 
Rusapdns, s. f. “arreserment, irrigatien. BECATEADOR, A, 8. celui qui aime Amasbat- 
® Recaknco. V. Reguengo. der, qui marchando trop. 
RzcaLipawtnte , ade. ütliciensement, aben- RucaTkin, 0. a. acoorder mesquisemtnl.!. 

damment,, deilcatement. a. Marchander, disputer sur le priZ. 


Recartına,s. f. barengere, poissarde. (M} 
Femme querelleuse ot insolente. 

+ Recartınauenıe, adj. & maniöre db 
reugere , grossitrement, insolemment. 


RzoaL.ino, A,P. pP. de Megaler. adj. Riche, 
delicat. Doux, agreable. Homem —, bomme 
friand, qui aime la bonne obere. Lever vida 
— 5, mener une vie joyouse. Iquarias —as, 


meis dölicats, exquis, [riand2. Recatia,s. f. * twaßc de regratlier, oktiar da 
RecaLanör, A, adj. er s. qui regale; qui revendeur; colportage. 
cause du plaisir. RecaTinno ou RECATOZINEO, din. de 
RecaLäö, Oma, adj. douillet, friand , dölicat, Ruciro, s. m. raissean. 
sensuel, spicurien, qui aime ä so bien traiter, | Recaröa,sf. revendeuse. V. Regeldt. 
“ Recznänte. V. Residente. 


qui aime la bonne chöre. 

RscaLia, vo. a. rögaler, trailer bien, faire 
faire bonne chere; donner, faire un regal ; 
(nire des presents. Caressor, faire bon secueil. 
Rocreer, diverlir, r&jouir, causer du plaisir. 


RzckpöR , 5. m. gouverneuf, adminisire@®, 
rocteur. V. Begenie. — da jusligs, Pit 
de la haute cour de justice (em Portugal). nu 
elephante. V. Cornaca. 


RecaLir-se, v. r. se regaler, faire bonne Recepößa, 8. f. regente. 
chere; se röcreer, se divertir. (de) Se rejouir, | Recgıräs, eic. V. Befeilär, air. 
avoir grand plaisir &. Ser amigo de —, aimer| RsceLin0,A, PP. de 


ReczLir, v. a. congeler, glacer, gel. Dei 
aussi neutre ot reciproque. V. Zuregeler- 
Rec£Lo, s. m. "glace, glagon, verglas. 


les bons morceaux ‚ la bonne chöre. 
RECALARDOÄR , v. @. röcompenser au double. 
+ RecaLtco r\ 5 mM. (k. d’hist. nal.) regalec s 


poisson apode. | Recencıa ‚s. [. laclion de regir, de gt" 
RBecaLtnco. V. Realengo. ner, administration. Regence: droit, soin © 
Racankza. V. gouverner pendant une minorilt, #1 due, 


Alcagus. 
Azcalia, s. f." droit, prerogalive attachee & 
la souverainei6 d'un prince dans ses &tals. 


conseil d’un Etat sans roi, pendant 8 at 
(Ag) Privilöge de quelique natare quiil soit. 


rite , son absence, elc. "Regime, 60 wermts 


digaite, fonclion du rögent, de la regal: 


RecaLice. V. Alcapvt. grammaire. 

* AscaLinno. V. Aogengo. REGENEnAcÄö,s. f- regeneralion, 
RecaLito,, dim. de Regalo. REGENERADO, A, P. p. de Begeneret. | 
Recaiz. V. Alcapus. RECENERADOR, A, 8. rögenerateur : cell e 


regenere. 


ReciLo, s. m. cadeau, prösent, don. Regal : 
' ’ j © REGENRRANDO, A, dj. qui dolt eire rt 


festin , grand repas (P. us.). Regal: grand plai- 
sir qu’on a & faire une cho®e. Chose exquise, 
delicieuse. * Aises : commodilts qu’on se pro- 
eure. " Mollesse : vie oisive ei voluptueuse. 
Manchon de femme. Com —, mollement, d’une 
maniöre molle. Cavallo de —, cheval de pa- 
sale. 

Recanöna , adj. f. (V. Regaldo). Levar vida 
— ‚mener une vie delicieuse. 

Bec’anincen, s. m. sillon dans !extremits 
un champ labourd, pour l’&conlemens des 
oauX, 


ncre. 

+ REGENZRANTE, adj. 2 gen. qei rigaitt 
p.a. de * 
REGENERÄR, ©. Q. rögenerer : engenäret jr 
nouveau; (f. de relig.) donner un® non" 
existence; faire renaltre ; (g.) vorrigef; 
mer, exlirper les vices, les sbus. j 

REGENENATIYO, A, adj. qui rögtnere, 1 
la vertu de r&genörer. 

REGENTR, 3. 2 gen. rögent : qi pen 
pendant la minorite; qui a la rige@tt.” 











REG 


recteur des dtudes dans cerlains ordres reli- 
gieux ; professeur dans une universite. — d’um 
recolkimento, regente d’une maison de fem- 
mes cloltrdes ow repenties, etc. 

Recr, v. a. regir : gouverner, administrer; 
guider, conduire; (f. de gram.) se construire 
avec. 

Rectn-sE, 0.7. se gouverner, 56 gulder. 

Receräin. V. Regenerar. 

+ Recıa, s. f. (podf.)“ palais d’un roi. 

Recıauinte, adv. royalement, en roi. 

Rzcıi6, s. f. region : grande dtendue sur la 
terre, dans ’air, dans le ciel; grande etendue 
de pays, contree; (8. d’anat.) portion du corps. 
(podt.) Plage, contree, climat. —elementar, re- 
gion 6lementaire : espace compris depuis la 
lune jusqu’au centre de la terre. — elhdrea, 
region &therde : tout Pespace qui est au delä 
de la lune. . 

Recıcipa , 8. 2 gen. regicide : assassin,, meur- 
trier d’un roi. 


REG 1008. 


enregistrer. Visiter, examiner, verifier. Mani- 
Yester, declarer & fa douane. Contröler. (Ag.) 
Moderer, regler. (id.) Consulter, traiter. Mar- 
quer avec un signet, etc., differents endreits 
d’un missel, etc. 

Recistro, s. m. "visite, recherche, examen 
Registres oü sont &crits les biens, les marchan - 
dises, etc. Bareau pour les visites et l’enregis- 
trement des marchandises, etc. Registre : livre 
public od Pon &crit les aotes, etc. Enregistre- 
ment : action d’enregistrer. Signet : rubans li6® 
ensemble pour marquer divers endroits d’an 
missel, d’un bröviaire, etc.; tourne-feuillet. 
Registre : baton qu’on tire pour faire jouer les 
divers jeux d’un orgue. Jeu d’orgue. Registre : 
piece qui sert & menager le son d’un claveciu, 
etc. (1. de chim.) Registre : plaque mobile & 
Pouverture d’un fourneau, pour moderer la 
chaleur; (t. d’impr.) correspondance entre les 
lignes des deux pages d’un feuillet imprim6; 
(t. d’korlog.) regulateur d’une montre. Robinet 



















Recıcipıo, s. m. regicide : assassinat, meur- 
tre d’un roi. 

+Recıcisuo , s. m." secte, doctrine contraire 
aux rois, ä la monarchie. 

Recino, A,9. p. de Reger. 

+ Recıröcıo, 3. m. *fete celöbr&e & Rome, 
en mömoire de Pexpulsion des Tarquins. 

Reciug ou Recimen, s. m. maniedre de gou- 
verner ou de se gouverner, regime; gouverne- 
znent, administration. ($. de med.) Regime : or- 
dre, rögle qu’on observe dans la maniöre de 
vivre par rapport älasante. 

Recımtnto, s.m. * administration, gouver- 
nement, regie des biens, etc. Regime, ordre, 
ztgle de vie par rapport & la sante. Röglement, 
ordonnance. Regime, gouvernement, son 
mode. Regime, en termes de grammaire. Re- 

iment : corps de troupes sous un colonel. 

"RecıniL. V. Original. 

+ Recıo, s. m. (1. de gdog.) Reggio ou Regio: 
ville de Calabre ow de Modöne. 

Recıo, A, adj. royal: du roi, qui appartient 
au roi; (fig.) grand, pompeux, magniflque. 
Agua —a, esu regale. Pregador —, predica- 
teur du roi. Leilores, professores—s, lecteurs 
royaux. 

RecıonÄL, adj. 2 gen. 

REcCIONÄRIO, A, adj. 
zneme quariier. 

Recırir, v. a. faire tourner ow eirculer. 

Recino, s.m. second tournoiement. V. Ro- 
deio. 

RecistÄpauente, adv. sobrement, modere- 
ment, 

+ Reoıstino, a, adj.moder6, rögle. 2. p. de 

Recıstär. V. Registrar. 

Recisto. V. Regisiro. 

Reciısträno, A, p. p. de Registrar. 

REGiIsSTRADOR, 3. m. registrateur : dcrivain 
qui enregistre les bulles, etc. Cohtröleur : ce- 
lui qui tient les registres publics. 

" RECISTRÄR, d. a. registrer, enregistrer; met- 


d’une certaine r&- 
gion. (inus.) Du 


tre sur un registre, Porter au rezistre, fair® 


PORT.-FR. 





de fontaine, etc. Image d’un saint. — na des- 
peza, (fg.) &conomie, parcimonie. Tocar ne” 
—s,(fig.) parler ä& propos, convenablement. 


Tocar todos 08 —s, (fig.) parler de tout. Pu- 


char todos 0os—s, (fig.) faire feu des quatre 
pieds, faire jouer lous les jeux d’un orgue; ne 
rien oublier pour parvenir ä ses fins; etaler 
une magniflcence extraordinaire. 


"Recnänte. V. Reinante. 

Recnativo, A, adj. qui concerne le regne. 

*"RecnicoLa. V. Reinicola. 

*Ricno. V. Heino. 

Retco, s. m. sillon : trace que fait la charrue 
en labourant. Arrosement, arrosage. (fg.) In- 
spiration divine, mouvement de lagräce, etc. 
(p. us.). — da roda do carro,," omiere. — para 
a aqua," rigole. 

RecoA, s. f. regle (pour lirer des lignes). 

RecoAnO, A, p. p. de Regoar. (f. de bot.) Sil- 
lonn6 : creus6 en gouttidre, en sillons. 

RecOADURA, 3. f. "travail pour faire des sil- 
lons. Gergure, pelite crevasse aux mains, aux 
pieds. 

Recoir, v. a. sillonner, faire des sillons. 

RECOÄR-SE,, ©. r. Be cfevasser. 

f RecöLro, s. m. retour de Yeau vers sa 
source. 

RecoLiz. V. Alcaguz. 

REcoOMÄRGEN. V. Heg’amargem. 

+ REGoRGEIÄR, v. a. redoubler les fredons. 

Re00UCiDo, A, adj. qui a la queue entor- 
till6e comme le renard (chien). p. p. de 

Recoucir, v. #. glapir, japper, en parlant du 


renard. Entortiller la queue comme le renard. 


Recouco, 3. m. glapissement, jappement du 
renard. 

+ Recozisapaufnte, adv. gaiement, joyeu- 
sement. 

Recoz1Jäno, A, adf. gai, Joyeux. 9.9. de 

Rscozuir, ov.@. r&jouir : donner de la jole, 
ragaillardir. 

REGOZIJÄR-SE, ©. r. se röjoulr; se plaire, 
prendre plaisir, se dölecter. 


4 








‘ 

0) 

& 
x 


1013 REL 


Aeıxa,s.f. rixe, querelle , dispute. V. Rixa. 
Grille de fer qu’on met aux fenttres, ete. Plan- 
chette, petite planche. — velha, inimiti6 an- 
elenne, haine invetsree. — nova, querelle 
s oudaine. — do cadeado,, fer du cadeuas. 

Reıx£ıo (l. deprov.). V. Cabrito. 

Reız£re. V. Reisdte. 

Reızinuo, s. m. dim. de Rei. Roitelet : petit 
roi, jeune roi. 

Resio. V. Rojäo. 

Rgıäcro. V. Rejeitado. 

Resgıckö,s. f. * rejet: aclion d’exolure, de 
rejeler. 

Reıtıra. V. Rageira. 

Reseıtioo,A,p.p. de 

REIBITÄR, v. a. rejeter : &carter, dedaigner; 
ne pas admelitre; n’agreoer pas. Relancer, dar- 
der. Recuser. Vomir. V. Engeitar. 

Reıtıro , s. m. arme de tralt, 

ReLa,s. f. raine, rainelte ow graisset : gre- 
nouille verte qui vit sur les arbres, etc. — de 
fingir, raine qui sort ä teindre. 

Reracä6, s. f. relation, recit, narration; 
rapport d’une chose, d’une personne & une au- 
tre; commerce, correspondance; lisison de 
parents, etc, Enumeration, denombrement , 
detail. Liste, catalogue de noms, de person- 
nes ; tat nominatif. Cour supröme de justice 
(en Portugal ). — ecclesiastica , oflcialite : cour 
d’eglise, son local. Relaröes de parentesco, 
parent6 eloigude. —Öes de similhanga , Tapporis 
de ressemblance. " 

ReLacıonäno, A, adj. qui a des relations. 
p. p. de 

TRELACIONÄR, u. @. FAPporter, raconter, nar- 
rer. Mettre dans une lisie,, dans un memoire. 

ft Reıausta , vo. a. löcher de nouveau. 

RELAMB£n-SE, v. r. se löcher les levres. 

t ReLausino, A, p. p. de Relamber. adı. 
(Ag.) Allectö, recherch6 dans sa parure, dans 
ses maniedres. 

ReLaurapzie. V. Relampaguscar. 

"ReLaupipo, V. Abolido, 

“Reräurano. V. Relampago. 

ReLiupaco, s. m. eclair : eclat de Iumidre 
ı(ui pr&c&de un coup de tonnerre; &clat subit et 
passager de lumidre; ( Ag.) chose qui passe ra- 
pidement, Dar, fazer —s, solairer, faire des 
eclairs. 

RELAMPAGUEÄR, ©. w. &clairer: faire des 
eclairs. 

TRELANPEINTE ou RELANMPEJÄNTE, adj. 2gen. 
&clairant : qui &claire. (Ag.) Etincelant. 

RELANPEAR O4 RELANPEJAR,,v.. V. Relam- 
paguear. (fig.) Elinceler. On le dit des yeux 
ırös-vifs, etc. Relampejavudo-Ihe os olhos, ses 
yeux &tincelaient. 

BzLiuro.V. Relampago. 

BeLince, 8. m. second jet de fllet. Nouvelle 
aventure tentde. Succes casuel ou douteux. Bon- 
heur ou malheur quivient A la suite d’un autre 
aux jeux de hasard. De— , (adv.) par basard, 
casuellement; ä la derobee, d’einblce, Gankar 
de — „gagner surlecoup. 


- ot. mn BD: 


REL 
+ ReLirsia,, 8. f. &tat du relaps. V. Beiai 
deneia 


Rzrärso, a, adj. relaps : qui est reiombl 
dans l’heresie, dans un vice, une ertest, m 
peche. 

ReLarädo,A,p.p. de Belater. 

RELATADOR , 5. m. celui qui relate, qui n- 
conte. V. Relator. 

RELATÄR, v. a. relater, raconter; meni- 
ner; rapporter. — 0 feilo, rapporter un proı 

RELATIVANMENTE, ado. relativement, par rız 
port &; d’une manidre relative. 

ReLATivo, A, adj. relatif : qui a queiguen- 
lation, quelque rapport a un autre. Oa kis, 
en termes de grammaire, d’un pronem qu# 
rapporie ä un nom, elc. 

RELATOR, 5. m. celai qui raconte, Darralı. 
Rapporieur d’un proc&s, etc. 

f ReLaronia, s. f. office de rapporteer du 
proc#s. 

RELATÖRIO, s. m. "relation, recit, pieci, 
refere; Enumeration, detail. Rappen: rec, 
exposition d’un fait, d’un proots, eic. 

Rerixaciö, s. f. * relächement : diminebe 
de tension ; extension, dilatation d’en ce 
mou. Relaxation : relächement des neris.M. 
*Relächement des maurs, de la discipline. &- 
Commutation, absolution d’un veu, dust 
ment. *Repos, reläche. Remise que Ic 
ecelösiastique fait d’un eriminel au juge sr 
lier. — do animo. V. Recreagäo. 

f ReLAxinanenTe , ade. avec relächenmsi, 
dissolument. 

ReLazino, a,p. p. de Relazar. adj. Bean‘ 
qui a perdu sa tension (muscle, nerf'. rt 
eh6 : qui n’est plus si seröre; reläche dans"n 
meaurs, debauche. Moral —e, morale reiche. 
qui n’est pas sevöre. Douirins —e, dent 
relächee, moins sevrere. Vida —s, coslamaı 1 
vie, maurs relächees, presque dissolurs. 

f Reraxapon, A, adj. qui reläche. 

ReLAxANSnTO, s. m. V. ‚ds 
esiomago,, *faiblesse , relächement desue“ 
— de vontre, dövoiement. 

RELAXÄNTE ‚adj. 2 gen. et s.m.(Liumd 
relächant, (remede) qui reläche, amollit. 

ReLaxin, v.a. relächer : faire qu'wne he* 
soit moins tendue; lächer, detendre; afed* 
(Ag.) Causer ow tolerer le relächemeni de 
meurs, de la discipline, etc. Absoudre, k- 
ver d’un vu, d’un serment. Remeltre us it 
minel au juge seeulier. (Ag.) Deonnerdı = 
läche & Pesprit. Döbaucher : jeter daas I & 
bauche, le vice. Pardonner (les peebes.. -" 
venire , lächer le ventre. — os cuidader, 3% 
traire. 

ReLAXÄR-SE, ©. r. se relächer : perdit # 
tension naturelle, en parlant d’un neri, ei: ” 
detendre. (fg.)Se relächer dans lesmasrst* 
se pervertir. 

+ ReLixo, Aa,adj. V. Relapso ei Melasah. 

Reı£.s. [. espece, sorte, rang, ode, ah 
race, liguee. V. Rails. 








—a— - 


REL 


ReıLzeino, A, adj. V. Religado. Exposs en 
vente au banrvin (vin). 

+ " RELECÄGEN, s. f. pension que payalt ce- 
iui qui vendait du vin pendant le banvin ; droit 
de banvin. 

Reı&co, s. m, banvin : droit exclusif qu’avait 
le seigneur de vendre du vin de son crü pen- 
dant un temps fix6 (en Portugal c’etait trois 
mois); co temps. (ani.) Sorte d’imposilion. V. 
Belegagem. 

Rerecukıra, 8. f. femme du Relegueiro. 

RELEGOLIRO, 5. m. receveur du droit de ban- 
vin. 

Beızıcäö, s. f. röpetition d’une legon ou lec- 
ture. 

Rereıxin. V. Relaxar, Dispensar. 

ReLtıxo, 5. m. (t. d’archit.)*saillie, avance, 
retraite d'un mur. " Berme : chemin ötroit au 
bord d’un foss& des remparls; talus d’un ca- 
nal, etc. 

RELEMBRÄDO, A, 2». p. de Relembrar. 

“ " RELEMBRÄNCA,, s. f. memoire, recorda- 

D. 

7" RELEMBRÄR, ©. a. rappeler de nouveau. 
V. Recordar. 

RELENTÄDO, A, 9. 9. de 

ReLzntän, v. a. ramoitir, humecter;; rafrat- 
ehir. Il est aussi r&ciprogue. 

RzL£nto, s.m. serein,, air humide de la nuit. 
Ramollissement d’un corps par le serein, la 
rosöe. Dormir ao —, dormir & la belle &toile. 

Bzıto. V. Raleo. 

-+ReLte, vo. a. relire: lire une autre fois. 

*Reı£u, s. m. reste. V. Raleo. 

ReLzvino, A,p.p. de Relevar. adj. Relevo, 
rötabli; fait en relief. Saillant, pro&minent. 

RELEYADOR, A, 8. etadj. qui relöve, etc. In- 
dulgent, qui excuse, qui ferme les yeux sur 
les defauts d’un autre. 

RELEYAMENTO, 3. m. relövement : action par 


laquelle on relöve; allegement, all&geance. | P 


Exemption d’une peine, d’un travail, etc. " Re- 
mission, pardon; indulgence,. 

ReLEväncıa, s. f. importance, poids, gran- 
deur ; avanlage. 

RELEvVÄNTE, adj. 2 gen. important, reler6, 
grand, noble, distingus, &minent, &clatant. Ser- 
oipos 08 mais —s, services les plus eclatanıs. 

RELEVANRTIissımOo, A, adj. sup. de Relevante. 
Tres-important; le plus dclatant. 

RELEVÄR, v. a. relever; travailler en bosse, 
en relief (inus.). All&ger, döcharger d’un far- 
deau, d’un impöt, etc.; soulager. Absoudre, 
pardonner, excuser. Exempter d’une peine, etc. 
Donner du relief aux fgures d’un tableau, les 
faire ressortir. Relever, faire valoir, donner 
plus d’eclat, eic. Delier : absoudre, degager 
d’un serment, d’un vau. 

RELEVÄR, v. n. ölre important, dire d’inte- 
ret, interesser; convenir, &tre expedient, & 
propos. Releva que fardmos tal cousa, il im- 
porte, il est important, jl est d’interet que 
nous fassions elle chose. Cousa que Ihe fanto 


REL 1013 


relevava,une Chose qui l’intöressaittant. Reldva- 
memidito, il m’importe beaucoup. 

Rxı£vo,s.m.relief : ouvrage en bosse; (fg.) 
6elat quirelöve. V. Realce. Baxo— , has relief. 
Alto —, haut relief.— inteiro, relief entier. ‘ 
Meio — , demi-relief. Bordado de —, broderie 
ou brode en bosse, en relief. 

Reıua, s. f. "soc de charrue. Meiler agulha 
e tirar — , donner un @uf pour avoir un bauf. 
—s dos carros, pieces des roues d’un chariot. 

"ReLHınquimento. V. Deizacdo, Dimissao. 

*ReLuınguir. V. Deizar, Dimittir. 

. "R£ıno, s. m. "ceinture de femme. Espdce 
de poisson de riviere. Cheger uma mulher ao 
—,(fig.) &pousor une femme ou en jouir. Vir, 
chegar ao —, (fig.) se dit de quelqu’un qui 
condeseend A notre volonte, ä nos desirs. 

"R&£LHo, s. m. [ouet de cuir tors. 

ReLno,A, adj. \burl.) dur, roide comme le 
cuir vert; inflexible. Fallar portuguex veiho o 
— , parler un langage dur, vert et sans detouss. 

RELBÖTE, s. m. dim. de Rdiha, 

RELICARIO, 5. m. reliquaire, bolte, oadre, 
eic., ou l’on enchässe des reliques. 

+ Reuıcän, v. a. relier : lier de nouveau. 

"ReLicas. V. Reliquias. . 

Reuicıiö, 3. f. religion : croyance en Dieu, 
et cultoqu’on lui rend; foi, croyance; piöte, 
devotion, pratiques de bonnes @uvres ; obser- 
vation des lois de Dieu ei de l’Eglise; dtat de 
personnes engagees par des veux dans un of- 
dre religieux; ordre religieux. (an#.) Saintele, 
vertu divine. Ndo fer — alguma, n’avoir point 
de religion, ne connaltre ni Dieu ni disble. 

RELIGIONÄRIO,, 8. m. religionnaire : celui qui 
sult la religion reformee. 

RELICIOSAMEBNTE, adv. religieusement : d’ume 
maniedre religieuse; flddlemeni, exaciement, 
scrupuleusement. 

RELICIOSIDÄDE, 5. f. pratique des vertus pro- 
res a un bon religieux. Piete, devotion. (8. de 
phil.) Religiosite : sentiment, notion de la ne- 
cessit& d’une religion quelconque. 

RELIGIOSISSIMO, A, adj. sup. de 

ReLicıös0, A, adj. religieux, pieux : qui viß 
selon les regles de la religion ; engage par des 
v@ux solennels dans un ordre monastique ; qui 
arapport & la religion; exact, fidele. 

RELIGIöSO ,A ‚8. religieux, moine; religiguse, 

+ Reuimir,v. a. limer, polir de nouveau. 

RELINCHAR. . 

RELINCRO, etc. | V. Rinchar, etc. 

Rerinca ,s. f. (f. de mar.) ralingues : cordes 


'que Pon coud aulour des voiles pour en Fca- 


forcer les bords. 

+ Reuincär, v.a. (f. de mar.) gamir les vol- 
les de ralingues. 

"Reuınuvian. V. Deizar. 

RzLiquia, s. f. * reste d’un tout. Il est plus 
usit6 au pi. Reliques : ce qui reste d’un saint, 
de ses hardes apr&s sa mort; (Ag.) restes de 
quelque chose de grand. (fam.) Restes, vesti- 
ges, debris, traces d’une chose passte; dou- 
leurs, infirmites qui restent d’une maladie. 


101% REL 


(Ag.)*Levain : reste d’une passion vialente, — 
insigne , la tete , 16 brasou la Jambe d’un saint. 
As —ı do exercito ‚les debris d’une armee. 
"Rerioviirıo. V. Relicario. 
Reriquo,a,adj. V. Restante. 
Reıra. V. Rela. 
Rerockıro. V. Relojoeiro. 
ReLocıaria. V. Relojoaria. 


ReLocinno, s. m. dim. de Relogio. Petite 


meonire. 

Reuöcıo , s. m. *horloge : machine A poids ow 
& ressort, qui marque et sonne les heures. 
*Montre : petite horloge de poche portative. (1. 
de mar.) Demi-heure marquee par l’ampouliette. 
—d’agua , horloge d’eau, clepsydre. — do sol, 
cadran solaire. — d’areia , sablier, ampoulette, 
horloge de sable. — d’algibeira,," montre. — de 
forre, * horloge. — de longitude, horloge ma- 
rine ow & longitudes : celle qui donne le temps 

‘wrai.— de mesa, de parede , pendule. — egui- 
noxial, horizontal, Iunar, cadran dquinoxlal, 
horizontal , lanaire. — meridiano, cadran me- 
ridional. — vertieal com declinardo, cadran 
vertical deelinant. Sino do — , timbre : cloche 
frappte par un marteau. Mäo da —, aigullle:: 
petite vergede fer d’une horloge. — desconcer- 
fado , (fg.) horloge dstraqute : homme döärs- 
gie dans sa eondulte, qui raisonne de travers, 
eto. Dar corda ao--, monter une horloge, une 
montre. Acertar o—, regler une montre, cic., 
la mettre & l’heure. — que anda ou estd cerfo, 
montre, eic., quiest bien & !’heure. — re- 
gy6la dem, montre, etc., qui va bien. Adiantdr- 
se, alraxdr-se 0 —, avanoer, retarder, en par- 
lant d’une horloge,, d’une montre. 

Reıöro. V. Relogio. 

RELOJOARIA, 8. f. horlogerie : art de faire des 
hörloges, des pendules, des montres; leur 
oonımeroe , etc. ; lien oü on les fabrique. 

ReLosoßiro, A, s. horloger, —öre : faisenor 
de montres, d’horloges , etc. 

ReLoucino, A,Pp.p. de 


+ ReLoucia, v. a. rendre fou achevs. V. In- 


faluar. 

f Reıöuco, a ‚ads. (fam. p. us.) fou achors, 
accompli. 

Retvcrino, p. p. de Reluclar. 

ReLucräncıa. V. Repugnaneis, Resisteneia, 

ReLUcTÄNTEe, adj. 2 gen. resistent, qui rö- 
siste ; qui r&öpugne. 9. a. de 

RELUCTÄR, v. r. rösisiter; s’opposer. Röpu- 
gner, 

t ReLumsränze,adj.2 gen. reluisant, bril- 
lant. p. a. de 

} ReLumprÄr, 0. ®. rayonner, reluire, bril- 
‚ler, paraltro avec 6clat, 

RELUZENTE, adj. 2 gen. reluisant, 6tincelant. 
p.a.de 

Rervzir,o.@. briller, reluire, luire par r&- 
Bexion. (Ag.) Reluire, briller, paraltre avec 
chat. 9. a. (P. us.) Reflöchir, repercuter la Iu- 
wmiere. 

ReLva ,s. [.“gazon, pelouse. 


‚RzLvia, o.s. super la pelsase. V. Sauger. 
v. #. Se gazonner, se oouvrir de galonse. 

ReLvöso, A, ad. eouvert de gazen, de p- 
louse; gazonneux. 

*ReEs, s. f.chose. Rien. 

REumÄDA, 8. f. “coup de rame. 

Reuino, A, P.p. de Remar. 

REMADOR, 5. m. rameur. V. Remsire. 

REMADURA , s.f. l’action, le travail de ramız. 

"REMARSsceR. V. Remanescer. 

Reuir. V. Ramal. 

REMANCE. V. Bemanso. 

RENANcCHÄDO, A, p. p. de Remancher-s. 
adj. Lent. V. Romanchdo. 

ResancHanOn. V. Remanchdö. 

T Reuancni6,0na, adj. len, tardif, men 
chalant, lambin,, qui agit leniemens, qui im- 

ine. 

REMANcHÄB, v. 0. (p. us.) difärer, remeliz 
d’un jour & l’autre, sjourner. 

REMANCHÄR-SE, ©. r. (t. vulg.) lambiser, 
musarder, bagusnauder. 

+Rewanceo, s. m.“ flegme, lenteur, paremı. 

RENANGO. V. .f tert) 

EMANDIÖLA,S.f. [ Fuse, tromperi. 

REMANECENTE, 0dj. 2 gen. restant, qui fesit, 
excödant. s. m. Reste, excödant, surplas: 
qui reste d’un tout. p. a. de 

REMANECER, ©. ®. restor : &tre de murpiei, 
de reste; surabonder. 

REMANENTE. V. - 

"REMANENTE, ado. tout A ceup. 

RemANGin, v. a, (p. ws.) saisir une ohne 
pour frapper avec. 

RENANGÄR-E. V. Arromasger-es. 

t REBANSARz, ©. r. (pP. us.) dorrmir,en per 
lant des eaux sans mouvement. 

Rewänso, s.m.cau dormante dans les coudes 
que forme une riviere. *Gare : sbri per is 
bateaux. (Ag.) Repos, calme,, quistude. 

f Rzuinte, s.m. rameur: coloi qui rame. 

REMÄR, 0. 6. ramer : faire mouroir zver & 
rames (un bateau, ele.). ©. =. —, tirer ih 
rame; aller, öire ä& la rame; /fig.) grenäre him 
de la peine, avoir besucoup de futigus. fa) 
Nager. Battre les ailes, volliger, em purtant dus 
olstauXx. — par 0 sus opinjäe,, (Ag.) sfluner 
pour soulenir 50 OpinioRn. — conare 6 mul. 
V,ce mot, Rems forte! (1. de mar.) mag de 
force! Bema quem pdde! nage qui ass part! 
Bema para bordo! nage & bord! Rama ps 
barlavenio ! nage au vent! Reme de bemberd, 
echa ao , naged bil born et scie a Iriberd. 
= com args e „nager de um. 
Rema enchuto! nage A soc! Rema ceris! a 
corde! 

'REWASCIDO, A, P. p. de 

f Remascir, v. a. remächer, mächer um 
seconde fols. ( #9.) Considerer de uoureen. = 
passer plusieurs fois dans son esprit 

"Remassin.V. cer. 

Rewisse, 3, m. outil d’armurier. 

ReEMASTIGAR, v. 0. remächer :macher de now 
vean. 











$£? 


sbehte des yaux. 


BEM 


Ruwariackd. V. Arremalagdo. 
Resırivautierg,, adv. ehtiörement , absohu- 
ment, tolalemen!: 
REMATÄDO, A,P9.p. de Remalar. adj. Acheve, 
wvermine. Louoo — , fou achere,, fou accompli. 
REMATADOR. 
ArMATAnTE. } V. Arremalador, eic. 
Ruuarir, 9. @. inir, terminer, achever. v. ®%. 
Finir, se terminer. Arreter le fl d’une ooutare 
au moyen d’an naad, ein. 4. V. Arrematar. 
Reuäire.s. m. fin, bout, extremit#, conelu- 
sion. (f. d’arch.) Gal-de-Iampe, amorlissement, 
eorniche , fronton, eto.; ce qui termine un 
eorps d’srchiteotutre,, ete. Relrein d’une chan- 
Son, ei®, ” 
* Reuicom. V. Rincdo. 
"Rauzıcid. V. Tornade, Volte. 
Ruusgir, ete. V. Homassar, to. 
Ruuscatn. V. Homeker. 


& son alse, qui a de quoi virse. - 
REuaDtaBOR, A, 6. 6elul qui remedie. 
Reuzvıän, ©. a. remsdier : epporter remede 


“en gönsral. Beosarir dans un besein pressen!. 


Deiivser, Slolgner d’un danger. Empe6cher qu’on 
aus fasse quelque chese de nulsible. Cowriger, 
zsipaser, röformer, amender. Rascommoder, 
arranger. Ndo — nade, ne remedier ä rien. 

ReuzpiÄn-se, 9. r. falro ressource, Töteblir 
us afikires ; 'trouver une resäoaroe A ses bo- 
soins. ' 

Raszoıävaı, adj. 2 gen. A quol on peut r&- 
mmedier. Sevousabte, 26 ı qui peut re 
gecoura, .- 

f Reuzoıgid, s. f. action de rernosurer ow 
Be mesurer de neuveau. 

: Rumepino, A, p. p. de Asmedir. 

Reu£nıo, s. m. remede : tout ce qui sort & 
guerir, a prövenir, sermonter le mal on gen6- 
al. "Corzsction. * Ressource, refuge. ( €. POP.) 
Aisanoe. Näo haver —, eize indispeisahle, Ind- 
vitable. Ndo ter —, w/avolr pas de quoi virre. 
di. Bars m que nie mais Nom 
eurs, onguent miton-mitaine, remöde inutlle. 
 euierior tepique,rombde oxtirinur. Sem —, 
die fond en oombie, entiörement, sans remede. 
Ndo Ihe sei eu.sinto aulro —, jo u’y sals plus 
aucun remöde. Por mais --o que Ihe ıidem, 
queique remsie qu'on Iui donne. Para iudo ka 
—, t&0pie para a morts ou „ö para a more 
Ms, il y a remede Artont hors & la wert. 

Rzuzpir, 9. a. mesuter une autre fols. 


- 


Renten, s. 9. "imliistien, oopie. V. Arre- |-wi 


medo. 
Rautıno , s. m. zamour : marinier qui rame. 
+ Ramkıno, A ,edy. (1. de mar.) alsö Amaner 
avec les rames ( bateau, eie.). 
Restıs, s. f. ehassig : humenr gluante ow 


Bexziino. V. Remeloso. 
+ BeuaLid, adj,m. Atsucar — ,sorte de su- 
us mon.‘ 


REM 1015 


+ReMELÄr, v. n. devenir chassieux. Faire 
du &ucre dit remel&o. V. ce mot. 

ReueLöso, a, adj. chassieux: qui a de 1a 
chassie aux yeux. 

Reuxınöa, 0d/.2 gen. (durl.) bien meilleur, 
deux fois meilleur. 

"RENEUBRÄNGA, s.f. "TOssouvenir, ressouve- 
nance. 

"RENENBRÄR, d. Q. Du 9. Tessouvenir. 

Reuexorir ‚rc. a. rememorer : faire resson- 
venir. 

REMENORATIYO, A, qdj. reme&moratif: qui 
fait ressouvenir. 

REMERDADO, A, 9.9. de Remendar. adj. On 
te dit d’un animal dont la peau est tachetce. V. 
Malhado. Cavallo — , cheval pommelt. 

REmeEnpÄö, 3. m. ravandeur:: raccommodeur 
de rieux habits, etc. Savetier. ' 

REMENDÄR, ©. a. rapi6cer, rapetasser, TAC- 
commioder. Suppli6er Ase qui mangue dans une 
f " Rewenpanla, s. f. grande quantitd de 
piöces mises sur un manteeu, eto. 

+ Rmsenntira, 6. f. ravaudeuse. 

Reuznpinno, dim. de 

Reutnpo, 8. m. piöce qu’on met & un habit 
@öchire , eto. Raccommodage , rapiecetage. 
Changement , addition, correction, au propre 
et au figure. ' Röparalion Ikgtre qu’on fait & 
une chöse. "Tathe, marque sur [a peau d’un 
animal. (A#g.) Replätrage : moyen employ& pour 
röperer une faute. Ser — d’ouiro panno, Pire 
@ane autre natare,, d’une autre espece. A —s, 
par moroeaux, & diffbrentes repfises, & bAtons 
rompus. 

"Heuznczin , oo. 7. Agradever, ete. 

+ RENERECEDOR, A, adj. qui merite beau- 
c0up, qui merite & un haut degre. 

Rzuunzcen, vo. a. ıneriter & un haut degrö. 

- REMERECIDO, A, 9. p. de Romorecer. 

Rem£ssa, s. f. action de romettre, d’envoyer. 
Remise, enroi d’argent, de merchandises. 

Rezuzssiö, s. m. aug. de Remeseo. it. Mesure 
agrsire de diz peimes et demi. 

Reuessin; V. Arremessar. 

Remtseo, 8. m. arme de trait, javelot, eic. 
V. Arremesso. 

Reugstez, s.ım. ( burl.) passö maltre. 

Auuzrranönı. V. Aomeilida, Envestide. 

f RENMETTENTE, s. m. (1. de comm.) donneur 
de valeur,-preneear W’une leutre, 

Reustrita, v. a. remellte, envoyer, ren- 
voyer. Conßer, livrer. Pifförer, retarder. Rap- 
porter, attribuer, referer. V. Arremeiler cı Re 


'Remerrün-s8 (a), vo. r. s’en remellre,, s’en 
rapporter au jugement de queiqu’en , eie. S'en 
rapporter & un passage , A une aulorite. 

tpa , e. f. charge, assaut; attaıc; 
tien. 


ReEsettino, A, p. p.Ge Remoller. 
Raustrivöna. V. Zemettida ct Commellı- 


mento. 
Rrusstr, v. a. mölor de noaveau ; TemurT, 





1016 Ken 


agiter, secouer. Troubler, mettre en desordre 
Farfouiller. Bouleverser, melire sens dessus 
dessous. 

Reuzxioo, A,p. p. de Hemexer. 

Reuivo,A,p.p. de Remir. 

Reuınör, s. m. qui rachöte, rödime. V. Re- 
demptor. 

Räuıcks, s. et adj. f. pl. les grandes plumes 
qui font le bout des ailes des oiseaux. 

+ Reuicıo, s. m. mouvement, battement des 
alles des oiseaux. . 

Reuicaaciö, s. f. * relour au meme endroit 
d’oü l’on dtait parti. V. Regresso. 

+ ReuıLniö, s. m. (ti. dw Brös.) grande 
cuiller de cuivre pour remuer lo sucte. 

*Reuımtnto. V. Remissdo. 

ReEmınHöL, s. m. grande cuiller de cuivre. 
V. Remilhäo. 

Reuınısckncia , s. f. r6miniscence : löger 
souvenir ; renouvellement d’une idee presque 
effaode et qui revientinvolontairement. 

Reuir, v. a. racheter : acheter ce qu’on a 
vendu. Degager : retirer ce qui &lail engage, 
bypotheque. Racheter un capli[, payer sa ran- 
eon. Secourir, tirer de danger, delivrer. Rache- 
ter une rente, seen liberer. — uma divide, 
amortir, eleindre une deile en en remboursant 
le montanut. — uma praga,reprendre uno place. 
= 0 penkor, degager ce qu’on a mis en gage. 
— 08 s com esmolas, racheter les pöches 
par des aumönes. — o vexdme, se rödimer 
d’une vexalion ;: s’exempier & prix d’argent, 
eic., de faire quelque chose de dössgröable, 
olc. 

RBezuin-sz (de). v.». so redimer, se racheter. 
ih. V. Remsdiar-se. 

Reuınänpo,A,P9.p.de 

} Reuınir, o. a. regarder de nouveau, & di- 
verses reprises. Examiner, considerer de nou- 
veau el avec soin. Il est aussi reciproque. 

Reuissamäntg, adv. [aiblomens, molloment, 
negligemment. 

Reuıssiö, s. f. römission : pardon, gräce, 
indulgence ; diminution, relächement de la 
maladie, etc. Ändolence , lenteur dans les aflai- 
res.* Renvoi : Paction de renvoyer. V. Remis- 
soria. 

Remıssiver, adj. 2 gen. römissible : qui peut 
&ıro pardonne. 

+ Reuıssivo, A, adj. qui renvoie. 

NEMISSO, A, adj. mou, läche, paresseux, 
indolent, negligent. Ralenli : qui ost devenu 
plus lent. 

+ Reuıssönıa, s. f. (4. de prai.) acte par lo- 
quel un juge renvoie une cause Ou uR prison- 
nier A un autre tribunal, 

ReuıssüRıo, A,adj. qui a le pouvoir de re- 
mollse, de pardonner ; qui conlient remission , 
prrdon. Caria —a, lelire remissoriale. V. As- 
snissöria. 

HauırTtnte, adj. 2 gen. Feure —, (I. de 
nıed.) fidvre römittente, avec rodoublement. 

Rasırtido,A,p.p.de 

REmITTiR, 0, a. remettre, patinıner. Delier, 


REM . 


absoudre. Relächer, cöder de ses droils. Dini- 
nuer, moderer. V. Afrouzxer. —a plus, mode 
rer la peine. 

RENMITTIR , ©. ®. 6PFouvor une remission, en 
parlant de la örre, etc. ; diminner d’intensit. 

RENITTIR-SE, v. r. se relächer, s’aßaibir, 
perdre de sa force, de son actirite. V. Beai- 
ir (v.%.). 

Reuiven, adj. 2 gen. rachetable : qui peu 
@tre rachele. 

R£MO, 8. m. * rarme, aviron : lopgue spatelt 
en bois qui sert & faire voguer uno nacelle, s 
bateau , une galere, etc. Armada de —, Det 
de navires & rames. — om punko, rame © 
main, pret & ramer. Picer, eperler o-, 
forcer la rame. Navegar d vila 1a —, narıyw 
&voile et ä rame. (Ag.) Faire lous ses ehr 
pour Teussir. Remar sou —, fire ä la rane. 
tirer la rame. (Ag.) Mener une vie laberitex, 
dure; tirer le diable par la quone. 

Reuocin. V. Remoqueer. 

Reuocino, A, p. p. de Romoyar. 

BENOGANMENTO , 5. m. Fajeunissemen. - 

Rznocgäö, s. f. " renvoi : action de resroftt. 
* Rloignement. * Deplacement. 

Rzuocin, vo. a. rajeanir : rondre la jeune, 
la vigueur, la fralchoer. v. w. —, redest 
jeune; reprendre Y'air et la vigueur de la m+ 
nesse. Il ost aussi r&ciprogue. 

Rzuozpöna. V. Ruminapdo. 

Rzuo£La, s. f. (buri.) niche, gesie dental 
V. Pirrags. 

RzuoßR, 0. a. et m. ruminer, remicher. be 
moudre. — 08 ‚srinoer les dent. 

REMORR-SE, v. F. onrager, se molite @* 
iöre. 

Reuolno, ı,p. p. de Remeer. 

Rzmolnnin, o. ®. tourbillonner, jeMTE. 
vo. a. Faire tournoyer. 

Remolnno. V. Hedomeoinke. 

+ Reyoınndso, A „adj. toarbilleax, quiie- 
billonne. V. Voraginoso. 

RemoLzino, 4,Pp.9. de 

REMOLRÄR, ©. a. dötremper, remonibe:, 5° 
o6rer. 

BzwöLn0, 3. m. action de tremper, dm. 
macsration. Estar de —, dire ä trempel. iM} 
Eure au lit, en prison, eto. Porde — uuf" 
eio, (fig.) laisser mürir une afaitt. 
vires arder as barbas do iou vizinhe pie u" 
de —, (prov.) quand on voit le fen dans Wen 
son de ses voisins, on peut craindre p® 
sienne, kr er 

+ Rzuonsraäntes, s. m. pi. calvinisies #“ 
taires d’Arminius. 

Rauöwra, s. f. (1. de weil.) remonte: We” 
sure ou achat de nonveaux ohevanz peu 2 
valerıe ; tous les chevanx d'une remone. Fri 

Rzwontino , A, p. p. de Romontar. al 
monte. (ig.) Grand, &minent, elere. Distatl, 
6loigne. V. Remoto. (4.6 chasse) Elarwadt: 
retir6 au plus &pais de bois. 

+ REMoNTinTe, adj. 2 gen. (1. de bh)" 
dant : qui monte, qui Ya en monlanl, 


REM 


Bawmontin,v.a. ($. de chasse) effaroucher, 
&pouvanter, faire fuir le gibier. Remonter ( un 
Deuve), aller oontre le courant. Remonter la 
cavalerie. Remonter les boltes. Remonter, re- 
mettre en &iat (une voilure, elc.). Elever, 
exalter. (a) v. ». Remonter : lirer son origine. 

REMONTÄR-SE (a), v. r. s’slever, voler fort 

haut, en parlant des oiseaux. Remonter &, re- 
prendre de plus loin. ( ig.) Remonter dans un 
endroit dlev&; s’clever, s’exhausser. (id.) S’d- 
lever au-dessus des autres : s’enorgueillir. S’es- 
sorer : prendre l’essor. 
- + Resönte, s. m. (Ag.) l’action de s’dlever, 
de s’oxhausser. (id.) Lieu eleve. Essor : vol en 
ınontant. Action de remonter des bottes, ce 
raccommodage. 

Reumöqux ,s. w. brocard : mot piquant. Re- 
proche secret, qui n® 56 Feconnalt pas assez. 
Insinuation indirecte. 

REMOQUEÄDO, A, p. p. de Remogquear. 

REMOQUEADOR, A, 8. brocardeur, —se: celui 
ou celle qui lance des brocards. Celui 0% celle 
qui fait des reproches caches et avec deguise- 
ment; qui fait une insinuation indirecte. 

RENMOQUEÄR, v. a. brocarder. Reprocher avec 
deguisement. Insinuer d’une manidre indi- 
recte. V. HRemocar. 

Remora, s. f. remore ow "remora, sücet, 
arrete-nef : poisson du genre de l’öchöne, au- 
quel les anciens croyaient le pouvoir d’arreter 
un vaisscau. (flg.) * Remora, obstaele, retar- 
dement. 

+ REMorÄDO, A, adj. (fig.) retarded , emp£&che, 
entrave. 

+ Reuorpiz , dj. 2gem. ) qui cause des re- 

+ REMORDEDOR, A, adj. } mords, rongeur. 

Reuoxrpin, v. a. remordre : mordre de nou- 
veau. (fig.) Tourmenter intsrisurement, causer 
des remords. Censurer, critiquer durement. 
Redire, repetailler. Il est aussi neutre en ces 
deux dernieres acceptions. 

REMORDER-SE, ©. r. t&Emoigner au dehors oe 
qui nous contrarie au dedans. 

REMoRDiDo, A, p. p. de Remorder. 

REMORDIMENTO,. V. Remorso. 

+ Remoröso, A, adj. qui arreie, relient. 

REMmoRso, 3. m. remords : reproche d’un 
crime que fait la conscience. 

+ REMÖTAMENTE,, adv. d’une maniere &loi- 
gnee, distante. ( fg.) Confussment, avec con- 
fusion. 

REMOTISSIMO,, A , adj. sup. de 

RENöTO, A, adj. loinlain, &loigue, recule, 
distant. ( ig.) Oublie. Estar — de,(fig.) €ire 
bien &loign& de, n’eire pas dispose A, avoir de 
la r&pugnance pour. (id.) Avoir presque entid- 
rement oubli6 co qu’on avait appris. Noticiae ou 
idea —s , souvenir confus d’une chose. Na mais 
—a antiguidade, dans l’antiquite la plus re- 
culde. Folkas —as, (t. de bot.) feuilles &loi- 
gnees. 

RENOVER, v.@. emouvoir, remuer, changer 
un corps de place. Eloigner, renvoyer, depla- 
cer. Ecarter ow prövenir un obstacie. Frusirer, 


REN 1017 


rendre inutile. Remuer, &mouvoir les hameurs. 
Retommencer, renouveler. — alguem do cargo, 
do eınprego, destituer quelqu’'un de son em- 
ploi, le deplacer, P’öter de sa place. — alguem 
de sus resolusdo, ( fig.) dissuader, detourner 
quelgu’un de sa resolution. 

REMOYIDO, A, P. p- de Remover. 

REMOYIMENTO, s. m. remuement, deplace- 
ment d’un corps; @loignement, renvoi. V. Re- 
morgd: 


0. 

REMOVIVEL, adj..2 gen. amovible. 

REemuUDÄDo,A,p.p. de 

REmUDÄR, dv. a. rechanger, changer de nou- 
veau. Il est aussi neulre. 

Reuvinuin, etc. V. Remoinhar, etc. 

Reuungerackö, 8. f. remuneration : recom- 
pense juste; rötribution, gratiflcation;; salaire 
honoraire. 

REMUNERÄDO, A, 9.9. de Remunerar. adj. 
Remunere, recompense. 

REMUNERADÖR, A, 3. r&ömunerateur : Colui qui 
r&ecompense® avec juslice. 

RENUNERÄR, v. a. remundrer, röecompenser, 
gratifier. 

REMUNERATIVO, A, adj. römuneratif: qui r6- 
compense. 

REMUNERATÖRIO, A , adj. römunsratoire : qui 
tient lien de r&compense. 

Rewuscäir, v. Rn. (Pop.) soupgonner, enirer 
en defiance. V. Resmonear. 

Renacka, etc. V. Renascer, eic. 

ReniL, adj. 2 gen. (1. d’anat.) renal : voisin 
des reins; des reins, 

RENASCENGA O8 . 

RENASCENCIA ‚8. f. | V. Ronascimenio. 

RENASCENTE, adj. 2 gen. renaissant, qui re- 
nalt. p. a. de 

RENASCER (de), v. n. renaltre : naltre de now- 
veau; pulluler; (Ag.) etre regensre par ke 
bapteme. 

Renascino, A, 9.p. de Renascer. 

RENASCIMENTO, 3. m. " renaissance : nouvelle 
naissance; renouvellement; (ig.) renaissance 
(des lettres). Regeneration par le bapteme. 

“Renco. V. Rango. 

Rencöntao. V. Recontro. 

Rena, s. f. renie, revenu. Dentelle. (ant.) 
V. Redea. — vilalicia, rente viägere, rente ä 
vie. — em bens de raiz, rente foncidre, yei 
provient d’ane terre. De —, & ferme, qu’on 
loue. Herdade de — , beritage palmier. —s pu- 
bJicas , revenus, deniers, tresor public. Comer, 
gastar os suas —s adianladas , manger son bi6 
en herbe. 

Renpipo, a, adj. garni de dentelles. Rente. 


.p. de 

Renoir, v. a. (anf.) payer un revenu. Biner. | 
V. Arrendar. 

* BenpävsL. V. Rendozo, 

Renp£ıra, s. f. fermiere, tenaneiöre. 
seuse de dentelle. 

BENDEIRO, 8. m. celui qui arrente, formier, 
tenancier. Fermier des imp6ts,, partisan. 

RENDER, v. 6. soumetire , assujoltir; vainore, 


Fai- 














a8 REN BEN 


subjugues, dampiar, »sdulce. Liveer, somelitse ı (Ag.) Chand. Palfa a, combei & onisantr, 
au pouvoir d’aufrui. Rendre, rapporter, pro- | opiniätre. 9.p. de 
Quire. Accabler, abatire,fairs succomber, [sire | Rsnzin, 9. #. quereller, dispuler, comlasier, 
‚seder A la peine, au travail. Relever, romplaner. | se debalire ; avoir dispute. V. Rinkir. 
— as sentinellas, relever les sentinelles. — um *Banuucan. V., Benuncier. 
magisirado, remplaser un magistrat.— o sapi-| 7 Runwöaun, adj. 2 gen. (fl. de bei.) riai- 
rito, o a alma a Deos, rendre l’äme, rendre | forme : en forme de rein. 
son Ame & Dieu, s’endormir dans le sein du | Renıräucıa,s. [. zesistance, oppasitien, m- 
Seigneur, mouris. — gragas, remercier. — A- | Pugnanoe. 

REnITENnTE, adj. 2 gen. rönitent, qui resisie, 


r 
nezas, Courliser, galantiser, dire des douceuss.: 
— as armas, rendre les arınas. — 0 bordo em | contraire, oppost; röfraclaire. Ense, opisik 
tre. p. a. de Renxilir. 


ou sobre alguma parle, (t.de mar.) aborder 
@’une bord6e. — o bordo ao mar, (id.) repren- | AsnrtäutEmäutg, edo. avec rösistante ; are 
röpugnanoe. 


dre la mer. — o quarto, (id.) changer le quart. 
— 0 homem do lems, (id.) relever lo limonier. Renrria, 9.0. z6sisler ; ropuguar. S’obsunen, 
s’opiniätrer. 


RBezupta, vo. ». Döchir, se courber ; s#’aflaisser ; 
Beuna,s.f.os } V. Rongifer.(i.debia) 


se Casser, se rompre. Rendre, rapporter, p£o- 
duire. Fazer —‘o oflieio, faire sa main dans un | Räuno,s. m. Ranger, rangier. 

+ Beno, 0. m. (. de gieg.) Rhin : Besve ds 
/’Europe. 


emploi. 
" Renpea-se, o. r. so rondre de lassitude,, Atre 
Benoczaors. V. Rhinocerote. 
RENÖNE, s. m. ronoın, röpmiation,, o6ldbrik 


axirämement las, u’en pouvoir plus. S’abalıre, 
Rexöva, s. f. "rejeton, pousse, jet (d’um 
BRenovo 










s’abaisser, se prosterner. Se rendre: 56 s0u- 
‚melire. — 4 clemeneis ou mercd do vencodor, 
plants taillde). V. . 
Benovagkö, a. /. " renouvellement, zenour 


se rendre & la discretion du vainqueur. 
"Reupıcäö, 3. f. prix auquel on rachdte, V.: 
ment, reitsration; retablissement dans un dia} 
meilleur. "Chaugement, passage d’un dialduı 


Resgate. i 
Benpioastnte, ade. humblement : d’une 

autre plus parfait. Römovation : renouvele- 

ment des verux, etc. On le dit de Faclion da 


maniere soumise. 
f Renoioo, A, p. p. de Render. adj. Rendu. 
Koumis. Rendu de lassitude, eto.Rompu, casse. ' 


— das virilhas, qui a une hernie. qui consomme les vieilles hoslies FOR 
+ Reupınöna,s. /- “endroit oü un mät, eic., | en consaorer d’autres. 

s’est casse. Bzuovino, A, p. 2. de Benovar. 
REnnıM&nTO, 3. m. revenu, rente. V. Red-| Renovanöa, A,s. colul qui renourelle. 

dito. Rapport, revenu annuel, produit. *Red- | Ammovamaxro, a. m. V. Renovagio 


Renovir, 9. 8. senouveler:rendre nourta8; 
retahlir, remeitre en son premier &lal; rec@ß- 
mencer de nouveau ; remplacer une chose MI 
uns autre de meme espece. Renouer, repfet- 
dre. Rajennir. —  memoria, renoureler b 
souvenir, ralraichir la m&moire. — a ferida,b 
ehega, (fig.) zourrir la blessure: renourelt 
la douleur, le mai. — 0 sacramd&nlo, consoW 
mer de vieilles hosties pour en consaciel 
nouvelles. — um sscrilo d’obrigagäo, passti IM 
nouveau titre. — as forgas, reparer les [oree. 

Runovin, v. ». pousser des rejelons, en a" 
lanı des plantes; se succ«der, en parlanl &4 
salsons, Olo. 

Reuovinse, vo. r. se renouveler. S’slternef, 
se relover tour A tour. — nos vicios, repreodf® 
ses anolens vices, y Kevenir. 

RBanövo, s.m. jot, zejelon, tendron, pous® 
d’une plante, etc. Jeune plant d’arbre. —, 
les moissons, les fruits de la lerre, eic. l00l 
0a qui se reproduil tous les ans. 

Renguz, s. m. rang, range, file. Pör en, 
Fanger, meitre sur la mdme ligne. 

Rente, adv. ras; tout court. — da terra, 


dision d’une plaee. Action de rendre, de se 
soumettre. "Soumission, subordination. *Defle- 
zence, derouement : entier abandon aux vo- 
lonsds, au service d’un autre. * Fatigue, lassi- 
tude exir&me, accablement; decoursgement. 
-— liqwido , rovenu net, produit liquide. 

Rannöso, a, adj. lucralif, fractueux; pro- 
duclif, d’un grand rapport. 

Banzcina. V. Arreneg 

Benzcino, p.p. de Renegar. adj. et «, Re- 
ndgat : celui qui a renie le christianisme. 

Reanzoanon. V. Arrenegador. 

Runzcia, v. a. nier forloment. Renier, blas- 
pobemer, jurer. V. Arrenegar. 

“"Benzuuninca. V. Lembranga. 

„Benaunnin, eic. V, ziehmörer. 

"Runca. V. Renque, . 

BescäLHo, s. m. fond uni de la dentelle, 

"Ränce, V. Rengo. 

Bumosa ou Bencia. V. Ranger. 

Rencirzao. V. Rangifer. 

Ränco, s. ın. coton fil6 pour tisser la mous- 
seline os la mousseline alle-m&me, 

+ Rennanöaa, 8. f. (i. de Ionnel.) — d’uma 


#Hodla, * clain d’une douve, eur de terre. 1 
Rexnioa, s. f. oontestation, noiss, difförend, | + Rexrz, adj. 2 gen. (f. de bot.) sess® 
dispute. (feuille, leur) sans queue; toutautre obje! q 


adhere ımm$diatement & un aulfe, sans bar 


Rennino, A, adj. brouillö avec quelqu’un 
: [ou sans pedoncule. Planta —, plante acaulk- 


Wehd contre lui; obstine. Debaltu, dispulc. 


Beust , 2, 9. Telaser, rejeter. 

*Rewungie. V. Renunciar. 

Remöncia, 3. f. renonciation. Cession, d&- 
mission, abandon volontaire. Renonce, au jeu 
de cartes. 

Renuncucäd, s. f. renonciation. V. Renun- 
cia. *Renoncement, desappropriaion, renon- 
coment & soi-meme. 

Rexuncıäno, A, p.p. de Renunciar. 

RENUNCIADÖR,, A, adj. ots. qui renonce; qui 
re[use, qui rejette. 

RENUNCIAMENTO. V. Renuncia. 

RENUNCIÄNTE, adj. 2 gen. renongant, quire- 
nonce.p. a. de 

RENUNCIÄR, 9. @. et m. renonoer (A) : se de- 
sister, se departir, cöder. Reluser, rejeter. M&- 
priser, abandonner. Döchanter, renoncer, chan- 
ger d’aris. Renoncer : ne pas jouer la couleur 
donnte, en termes de jeu. — ao mundo, a Sa- 
Sandz, eto., renoncer au monde, A Satan, Btc. 
—- 6 vontade , renoncer & soi-m&me. — 

um beneßcio ,olc., em favor d’alguem ‚rösigner 
un beneflce ,eto., en faveur de quelqu’un. 

BENUNCIÄYEL, adj. 2 gen. & quoi Pon peut re- 
nonucer. Que l’on pcut resigner (bönefice, etc.). 

Reuziuma, s. f. querelle dont on conserve la 
rancune. 

Rko,s. m. prövenu , aceuse. Coupable, cri- 
minel. Defendeur dans un procds. 

+ B£o-T£o-PL£o, s. m. ran plan plan : bruit 
röpetö du tambour. 

Beopanno. V. Rheubarbo. 

Reonnenagäö, s. f. reordinalion : aclion par 
laquelle on r&ordonne (un prötre). Nourel ar- 
rangement. 

REORDENÄDO, A, P.9.do 

REoRnDznÄR, vo. a. reordonner : cnnferer de 
nouveau les ordres sacres & qualgu’un. Acoor- 
der de nouveau l’exercice des ordres sacres. 
Remettre en ordre. 

“ Reorpıman, etc. V. Reurdonar, eic. 

Reonounızackö,s. f r&organisation : action 
d’organiser de nouveau ;.sas eifels. 

BEORCANIZÄDO,, A, Pp. 2. de 

RRoncanıziR, v. a, reorganisor: organiser 
de nouveau, 

+REPACAR, 9. a. payer beaucoup, avec es- 
ces. Surpayer. 

+ Rerico, A, p. p. irr. de Repagar. ct adı. 
Bien pay6, pay& avec exc#s, 

Rerammän, etc. V. Repardr, elo. 

Reriıro,. V. Reparo. 

+ Rerampinas adj. f. pl. Folkas—,(4. de 
bot.) feuilles godronndss, sinneuses. 

“Reranco. V, Ripango. 

REPANHÄDO, A,p. ?. de 

+ BeranHir, v. a. (P. ws.) emporter, enlever 
avec force et violence. 

Rerarackd, s. f.röparation, rötablissement; 
(fig.) satisfaction d’une injure, d’une ollense. 

Reranino, A, p. p.de Reparar. adj. Repa- 
r6; remargu6. (fig.) Muni. Lugar — , lieu 
abrits. Andar bem —, Cire bien vöty., bien 
Couvort. nt 


RER 404p 

REPARADOR, A, 8. gatgur ; reformalsnr. 
Observatsur.. senr, Ariane, qui ns Untsse 
rien &chapper. Restaurateur : qui refait, qui 
rötablit. Il est aussi adjectif. Restaurant, qui 
restaure (les forces). 

} REPARANTE, 5. m. espöce de surveillarıt os 
maltre d’etude aux commuhbute&s religieuses. 

BepaRärR, v. 0. reparer, refaire, retablir,.re- 
mettre en bon &tat; raccommoder, restaurer; 
corriger, remsdier; faire röparation d’une ol- 
fense ; rötablir ses forces, recouvrer sa sante; 
compenser, dedammager, r&öcuperer; donner 
la derniere fagon, retoucher. Parer un coup, 
s’en garanlir. Restaurer, regenerer, reformet, 
renouveler. Garantir de, preserver. — os dam- 
nos, reparer les dommages, les torls. 

Reranir (em, para), v. n.regarder, obser- 
ver avec atiention. Considerer, examiner. 
Prendre garde &, se precaulionner. Remar- 
quer, faire attention &; &tre regardant. Ndo — . 
ne pas faire attention. Ninguem Teparou em 
tal , personne n’y fit attention. 

Reraräa-se (de, conira),v.r. se Tefaire, 
sa retablir. Se meitre & l’abri de, se garanlir. 
Faire ressource. — conira 0 frio, se pr&munir 
contre le froid, s’en garanlir. 

+ REPARATIVO, A, adj. qui r&pare, qui röla- 
blit. 

ReranäveL, adj. 2 r&parable : qu’on 
peut röparer. Remarquable, notable. Qui se 
prete ä la censure. Fazer-se—, se faire re- 
marquer, donner prise sur s0i. 

REPARÄVELMENTE, adv. d’une maniere peu 
convenable. j 

Rerainıcäd, 8. f. (t.d’astr.) reapparition : vuo 
d’un astre qui reparalt apres une eclipse. 

Rerino, s. m." reparalion, retablissement, 
rem&de apport&. — , ouvrage fait & un bätiment 
qui menace ruine. "Observation ‚ consideration 
attenlive; reflexion, remarque, observation. 
Abri, chose qu’on emplole pour se garanlir, 
pour se defendre. * Attention qu’on apporte & 
ce qu’on dit ow fait. Doute, difficult6, obstacle, 
Rempart, retranchement, Afät de canon. (fg.) 
"Defense, garantie. Fazer —, remargquer, faire 
attention. 

Rararricäö, s. f. repartition, division, dis- 
tribution; partage. “Departement d’un minis- 
töre, etc. ; ressort d’un juge, etc. 

+ Rupantivamente, ode. par parties, avec 
repartition. 

Reranrınkıra,,s. f. petite bassine & manche 
de bois (aux monlins asacıe ). ir 

Rerantivo,A,9-.p. de Hepartir. 

REPARTIDÖR, A, 8. celul qui repartit, Jistei- 
bateur. Celul qui fait la r&partition d’un imp@t, 
eto. V. Partidor. 

REPARTIMENTO, 8. m. * division, söparatieh, 
compartiment, cloison. 

Repantir (a, com, enfre, por), d. 6. Tepar- 
lir, partager, distribuer; d&partir. Acoorder des 
gräces, des fareurs. Asseoit, repartir un im- 
pöt. (ant.) Diviser, s&parer. (1. d’artih.) DIVi- 
ser, faire une division arithmaetique. 


1020 REP -— 
REPARTIR-SE , v. r. Se partager. 
‚tREPARTIVEL, adj. 2 gen. qu’on peut repar- 


üir. 

Reras, s. f. pl. (burl.) poils rares & la töte, 
Ala barbe. 

+ Rerasicz, s. f. plante de Portugal , esp&ce 
d’endive. 

Rerassino, A, adj. garni, orne (de galons, 
de franges, etc.). Tress&, natte, entrelace. Im- 
bibe, trempe, mouill6. (fg.) Bien penetre; 
eonsomme, fieff6. p. p. de 

REPASSÄR, v. a. Tepasser : passer de nou- 
veau. Relire, revoir, examiner de nouveau. 
Repasser dans sa me&moire. Cordonner, entrela- 
cer. Imbiber, tremper, mouiller. v. ». Boire, 
cn parlant du papier. Suinter, filtrer. 

Rerassin-sE (de, em), v. r. s’imbiber. (fig.) 
: 36 penetrer. 

Rerastino, A, 9. p. de 

Rerastäirn, v0. a. faire paltre une seconde 
fois ; repaltre. 

+ Repisto, s. m. "augmentation de päture 
donnde aux bestiaux. 

+ REPATRIÄR, v. a. rendre ä sa patrie. ©. %. 
et — ss, v. r. retourner dans sa patrie. 

Rerein. V. Serpear. 

"Rereoie. V. Recuar. 

“REPEENDIMENTO, 5. m. V. Satisfacgdo, Im- 
demnizagäo. 

+ Repgıtin, v. @. Ccorrompre, gagner une 
secondo fois par des presents, etc. 

RergLLino, A, p. p. de Repellar. 

RereLLiö, 3. m. violente secousse. V. Em- 
quxdo. (fig.) Courte carriere qu’on fait fournir 

: 'oute bride & un cheval. (id.) Coup leger 
i.’on donne ow qu’on se donne en passant. 
', saut soudain (& une place). (fg.) Repri- 
. ande verte. Dar um —a alguem, (fig.) rö- 
swander quelqu’un verlement. Dar oulro — 
umu forlaleza, assaillir de nouveau une for- 
sressc. — de vento, *ralale, coup devent. De 
- „‚brusquement. 
RersLLär. V. Arrepellar. 
REPELLENTE, adj. 2 gen. r&peroussif; Tepous- 
‚out. p. a. de Repellir. 

NEPELLIDO, A, P. p. de 

REPELLIR , ©. @. repousser, rejeter; rebuter. 

+ Rep£ıLo, s. m. A—, ade. ä& rebrousse- 
} oil; (fig.) avec violen:e. 

*REPELUSÄDO. V. Amedreniado, Assustado. 

REPENDIMENTO. V. Arrependimenio. 

Rersnicia, v.n. (fl. vulg.) repeler les coups. 

V. Reptear. 

Repansäö, s. f. seconde pension ow pension 
imposee sur un beneflce dejä pensionne. 

+ REPENSÄR, ©. 9. repenser : penser, Tefl&- 
chir de nouveau , penser plusieurs fois. 


REPENTE, 5. m. mouvement ou evenement 


subit, imprevu. “Repartie, saillie, boutade. 


Um —, impromptu : ce qui se fait sur-ie- 


champ, sans preparation. (flg.) * Incartade, 
brusquerie inoonsiderde. Orar, pregar, poelar, 


ele., de —, improviser : composer et reciter 


sur-le-champ un discours, des vers, eic., sur 










REP 


un sujet quelconque. Ter bons —e, avoir de 
bonnes saillies. De — , sur-le-champ; subiie 
ment. V. Repentinamente. 


REPENTINAMENTE, adv. soudainement, sabi- 


tement, tout ä coup, a l’improrviste. 


REPENTINO, A, adj. subit, soudain , imprevs, 


inopine. Morte—e, mort subite. 


+REPENTisTta,s.2 gen. improvisateur, —riee 


celoi, celle qui a lo talent d’improriser, ds 
composer et röciter sur-le-champ une suüe de 
vers sur an sujet donne. Musicien, —enne ‚gu 
chante ow qui joue & livre ouvert. 


Rerencussäö, s. f. röpercussion : rekten 


des sons, de la lumiere; ($. de med.) repulsa 
4 U’interieur des humeurs qui sont pre&s de ser- 
tir. * Contre-coup. 


REPERCUSSIVO, A, adj. repercussif : qui m 


percute, qui fait rentrer. 


+ Rereacösso,, s. m. (pP. us.) ” reverberatss, 


repulsion. 


REPERCUTIDO, A, P.p. de 
REPERCUTIR, ©. @. repercuter : reposszt, 


faire rentrer (les hameurs) en termes de mede- 
cine; (8. de phys.) rellechir, renvoyer (le su, 
etc.). v. n. Rebrousser en arriere, em pariau 


d’un corps qui en choque un autre. V. Berır- 
ber 


ar. 

RerEacönTa, s. f. question sur questien. 
REPERGUNTÄDO, A, 9. P. de 

REPERGUNTÄR, v. a. redemander; interregs 
de nouveau. 

REPERTÖRIO, 8. m. repertoire.V. 

Calepin, recueil de notes, de mots. — des here, 
index , table d’un livre. 

Reresipo,A, p.p. de Repeser. 

REPESADOR, A, 3. celui qui repese. 

ReEPESÄR,, 0. a. repeser, peser de noureau. 

REPp&s0o , s. m. action de repeser. Lieu culaa 
repöse. V. Contrapeso. 

REPETANÄDO ou REPETENADO, A, aubj. (berl) 
insolent, orgueilleux. 

Rererincıa,, s. f. (t. de mid.) axion. 

REPETENTE, 5. m. röpeliteur. 

Reretıcäö, 8. f. röpelilion, reiteratiea; r- 
dite , emploi des m&mes tours; action de repe- 
ter; action en justice pour redemander ce qu's 
a pay6 de trop, etc. These qu’on soutient post 
obtenir le grade de licencie. — , sonnerie gr. 
dans une pendule, etc., röp6te les heeres. —, 
figure de rhetorique. 

REPETIDAMENTE ‚adv. de nouveau „ derecbif‘ 
frequemment, & plusieurs reprises. 

REPETIDO, A, p. p. de Repetir. adj. Bepen. 
— as vezes, souvent, & plusieurs reprıses. 

REP£TIDOR, 5. m. celui qui repete. Repet- 
keur : celui qui fait repeter les lecons auı = 

iers, 

* Rererimeuto. V. Repetipdo. 

RErerik, v.a. repeter:: redire ce ai 
ow appris; redire, refaire ce qu’on a dit os lan; 
repasser dans Sa memoire; Fapporter ce ges 
’’on a entendu. (1. de prai.) Redemander a 
justice ce que on a donne, etc. Soatenir, pow 
etzo gradus, l’acte appeld repefigds. Narr: 








REP 


raconter. Reboire, boire de nouveau; manger 
de nouveau du meme plat, yrevenir. — o ala- 
que , revenir & la charge, altaquer de nouveau. 
— enfadosamenle a mesma Cousa, reballre, 
röpeter inutilement une chose, n’avoir qu’une 
chanson. — suas instancias, redöoubler, reile- 
rer ses instances. Esto vinko convida a —, ce 
vin rappelle son buveur. 

Repegrtia, vo. 9. revenir, en parlant de la fd- 
vre, etc. Il est quelquefois r6ciproque. 

Rerıir. V. Arripiar. 

RericÄDo, A, pP. pP. de Repicar. 

Rericanor,, s. m. Carillonneur ; celui qui fait 
sonner le carillon. 

RxricaPpönto (de), adv. artistement : dans la 
derniöre perfection. 

Rerıcir, vd. a. et 8. copter, carillonner sur 
les cloches. Sonner le tocsin. (fg.) Montrer de 
la joie,, @ire gai, se rejouir. Faire repic au pi- 
quet. Em salvo estd o que repica. ( fam.) On le 
dit pour faire entendre qu’on donne de bons 
eonseils lorsqu’on est hors du danger : les con- 
seilleurs ne sont pas les payeurs. Viüuva rica 
com um chora, com oufro repica, veuve riche 
tanlöt pleure, tantöt se rejouit, ow pleure d’un 
@il ei rit de Pautre. 

+ RerıLocär, v. a. faire de nouveau un 
abrege. 

Rerımpipo,A,p. p. de 

Rerımrir, v. a. remplir la bedaine, farcir 
Pestomac. 

Rerımpän-SE, v. r. (8. vulg.) se rassasier, 80 
zengorger. (fig.) Se redresser avec affeclation, 
30 carrer. 

RerınäLno , adj. m. Pero—, espece de poire- 

mnme. 

Rerintäk, v. a. repeindre : peindre de nou- 
veau. 

Rerique , s. m. carillon : son repete et har- 
zmonieux des cloches. Tocsin : bruit d’une clo- 
che pour donner l’alarme. (fg.) "Inquietude, 
sensation subite. Repic au piquet. 

Reriqufte, s. m. V. Cacha, Rebate. * Pente 
courte et rapide. Vento de —s, (tl. de mar.) 
vent qui parcourt rapidement les rumbs, sans 
s’arreter A aucun. 

Rerisa, s. f. action de refouler la vendange. 
Vinho de —, vin du second pressurage, de 
mauvaise qualite. 

Reriısino,A,p. p. de 

Rerisir, v. a. fouler de nouveau, refouler. 
Pressurer une seconde fois le raisin. (fig.) Re- 
dire, r&petailler, rabAcher. 

RerLantäno, A,p.p. de 

RerLantäir, v. a. replanter : planter de nou- 
veau. 

Rerı£ciö,s. f. replötion, plenitude, sura- 
bondance d’humeurs. 

RerLenäipo, V. Terraplenado , Cheio. 

Rerıtno. V. Terropleno. 

RePrL£TO, A, adj. replet: qui a trop d’em- 
bonpoint. Plein d’humeur. Rempli , farci. 

RerLica, 3. f. röplique : reponse verbale ou 
dcrite a co qui a Et& dit, repondu, "e..artie: 


+ un... 


“= REP 


reponse vivo, ingenieuse. (1. de prat.) Dupli- 
que, Ecriture contre la replique. Sem — ‚s3a8 
eontredit, sans difficulte. —s, pl. difficultes , 
obstacles,, objeotions. 

t RerLicagÄd, s. f. action de röpliquer. V. 
Repeligdo, Reileragdo. 

RerLicino,,A, 9. p. de Replicar. 


1021 ° 


REPLICADOR, A, 3. celui qui röplique; qui 


fait dificults d’obeir. Raisonneur, disputeur : 
qui repligue sans cesse, qui n’est d’accord sur 
rien. 

REPLICINTE,, adj. 2 gen. repliquant, qui re- 
plique. p. a. de 

Reruicin, o. a. et 9. röpliquer : faire une 
repliqus; repondre, repartir; faire difficulis 
d’obeir. (1.de prat.) Dupliquer : repondre & la 
röplique. (an$.) Röpeter, redoubler. 

REPOLEGÄDO, A,p.p. de 


REPOLEGÄR , ©. a. ourler la toile, etc. ; plis- 


ser. Faire des bords & un p4tl6, A une tourte. 

REPOLECO, 3. m. ourlet, repli, gaine qu’on 
fait au bord d’une &toffe. Bord qu’on fait A un 
pät&, & une lourte, 


+ ReroLriL, s. m. terrain, planche plantdo 


de choux cabus ow pommes. adj. V. Re 
Ihudo 7” 


7 Rerormär, v. 9. se former en manidre do 
pomme, en parlant du chou, de la laitue , eic. 
Pommer. 

REPOLHINHO, 8. m. dim. de 

REPOLRO, 8. m. chou cabus os pomme. On le 
dit de l’interieur de certaines plantes qui est 
compacte ei ramasse. 

REPOLBUDO, A, adj. qui ressemble au chou 
eabus : pomme. (Ag.) Rebondi. On le dit d’un 
homme gros et trapu. Alface —a, laitue pom- 


mee. 

Reröncıo. V. Rapongos ou Ruiponto. 

REPÖNTA, 8. 
Ponta. — da mard, commencement du montant 
de la maree. 

REPONTÄDO, A, 9. p. de 

REPONTÄR, v. m. commenter & monter,’ en 
parlant de la mare. 

RerönR, v. a. remettre, replacer;; &lablir en 
son premier &tat. Remettre la poule, au jeu de 
’hombre, faire la remise. Restituer. 

Rerontacäd,s. f. moderation, relenue, mo- 
destie. 

Rerorntäno,A,9.p. de Reporlar. adj. Hon- 
nete, modeste; moder6, retenu. 

+ REPORTANENTO, s. m. (1. de prai.) aclion 
de s’en rapporter & une piece, etc. 

REPORTAR, v. a. respecter, honcorer. Obtenir, 
s6 procurer (p.ws.). Reprimer, refrener, inspi- 
rer de la moderation (ant.). 

REPORTÄR-SE, ©. r. se contenir, r&primer sen 
passions. (a) Se referer; s’en rapporter. V. Re- 
ferir-se, Remetter-se. 

Rerontönıo, s. m. calendrier, almanach. V. 
Repertorio. 

Rerosıcäö, s. f. action de remetire, de rdta- 
blir en son premier dat; restitution. #4, V. Vo- 
wuilo. 


f. querelle, contestalion. V. 


1029 REP 


Rerosıriz,, eic. V. Deposilar, etc. 

+RerOsıTöRıo, s. m. “armoire, lieu oA l’on 
gerde queique chose. 

REPOSTA, 3. f. remise qu’on fait au jeu de 
Phombre, lorsqu’oa n’a pas un nombre suffi- 
sant de levöes. V. Resposta. Fogulie de —s, 
pstard, piece de feu d’artifice qui deionne, 

Rurostänı, 3. f. repartie prompte ei gros- 
siöre ; coup de boutoir. 

Repostir, v. 6. faire ane reparlie piquante. 
(1. d’eserim.) Riposter. 

+ Rerosrania, s. f. garde-meuble ow oflice 
de la maison du roi. 

*Repöstz. V. Repostaria , Despensa. 

Herosttino, s. m. officier, chef d’office. V. 

. Domestique du palais altachd au 
garde-meuble. * Couverture aux armes du mal- 


tre, qui se met sur les betes de charge. * Por- | 


iiere , rideau avec des armoiries. — mör, chef 
du garde-meuble. 
Rerösto, A, p.p. ter. de Repor 
RepoTasär-sE, ©. r. B’asseoir 
aise. 
Rerousipautnee, adv. palsiblement, tran- 
quillement, en repos. 
Rerousino, A, adj. tranquille, paisible. 


P firo 
POUSÄR, 0.G. reposer: meltre dans un Etat, 
une situation tranquille. (Ag.) Apaiser, tran- 
quilliser. o. n. Se reposer, prendre du repo8; 
reposer, dormir ; se delasser, cesser de travail- 
ler. Etre tranquille, en paix, en repos. — em 0 
senhor, em pax, Teposer en paiz , jouir du re- 
pos &ternel. 

“Reroustıra, s. f. | malson de plaisance, 

* Rupouskino, 5. m. lit de repos. 

REPOUSO , s. m. Tepos : privation, cessalion 
de mouvement, d’agitation, etc.; cessation de 
travail, d’occupation,, d’applicalion, etc. ; tran- 
gafltitö, quietude, calme d’esprit, eat paisi- 
bie. Lieu ou Fon peut reposer. O — da noile, 
le sommeil. —mortol, elerno,, 16 repos &ter- 
nel. Dormir com —, dormir tranquillement. 

REPREGÄDO,, A,-p. p. de 

BREPREGÄR, v. a. reclouer, Fiver. 

+ Reratco, s. m. action de reclouer. 

REPREHENDEDON, V. Reprehensor. 

REPREHENDRR, v. a. CoTTiger, reprendre, blä- 
mer. — alguem com. palauras, corriger quel- 
qu’un de paroles. — asperamente, gourmander. 

REPREBENDIDO, A, 9. p. de Reprehender. 

RePREHENDIMENTO „s. m. V. Reprekensdo. 

Rerneuensiö, s. f. reprehension, bläme, 
r&primande, correction. Dar uma — amigavel, 
reöprimander avec douceur. — sspera, verie 
remontrance, 

REPREHENSivEL, adj. 2 gen. röpröbensible : 
qui merite une r&primande, le bläme. 

f BEPRERENSIYBLMENTE, adv. d'une manidse 
r&prehensible, biAmable. 

REPREHENSOR, A, &. celul qui Feprend, qui 
r&primande, qui bläme. 

BPRENDER , ölc. V. Reprehender ‘ec. 
* ReraBnnodıno. V. Reprehensivei. 


bien & son 


REP 


Neprensio, etc. V. Reprehensäe , ete. 

Rerrgsı, s. f. lY’aclion d’arreter, de reienir. 
On le dit suriout de l’eau dont on arrti k 
eours. Ectuse. ($. de mar.) Reprise, vaisseaa 
repris. di. V. Represalia, 

Rerrzsino, A, 9.9. de Represar. adj. Cor 
tenu, arre£iö par une &cluse. Bepris, reissa 
Odio —, haine cach#e, secröte. 

Rerazsapön, A, 6. et adj. celui gei om- 


Kae, qui reprend. Recapleur. Agude — ‚base, 
e 


ide. 

Berazsanöna, 5. f. action de reprendre. T. 
Represalia. 

Rerazsilia,s. f. represallle : ce qu’en sl 
ou prend pour s’Indemniser ow 58 vanger ; dem 
mage fait aux ennemis en Compensatien de 
eelui qu’ils causent. di. V. Presse. 

RBerazsin, 0. 6. retenir ’eaa courante. (Sg, 
Arreter le cours d’une chose, r&primer les pas- 
sions, un sentiment. User de represailles. (£.de 
war.) Reprendre un navire. — us nass ap» 
sado , (id.) reprendre une prise. 

* REPRESARIA. V, Represelia. 

REPRESENTACAO, 8. f. reprösentation , exkib- 
tion , exposition devant les yeux ; action dem 
prösenter une piece de tbeätre;; rermonizans 
respectueuse; figure, image; apparence, ei 
rieur; pompe, faste crus necessaires. Aularii, 
dignits , caraci£re , qualites qui rendent res» 
mandable. (f. de prat.) —, droit de succhder a 
lieu d’un beritier pred6cdde. 

Rereisentipo, 4, 9.9. de Röpresentar. 

'REPRESENTADOR, A, 5. Celui qui repriseni. 
Acteur de comedie. V. 


REPRESENTÄNTE, 8. 2 gen. representant, qui 
en represente un autre. Acteur de comsdie, & 
piece de thöätre. 


BEPRESENTÄR, v. 6. et n. repräsenier ı ax» 
ber, mettre sous les yeux, dans Pespeit; eis 
image; @iro le type, la figure; tenir la placs 
de; succ&der comme representanti; remouizu 
respectueusement; imiter par Paclion, le &> 
Courb; peindre , ügurer sous telle ou wi 
orme, lelle couleur, aspect; joues um 
piece de thöätre. 

REPARSENTÄR, 9. 8. Topresonter, parılm 
en public; avoir de Pautorits, une charge, eic, 
qui rendent recommandable. — Des, jener kun 
Bon rec. 

RESENTÄR-SE (@), 9. Y. Se TEprönssis, 
s’offrir & l’esprit; se Boarer, s’imagines, 

REPRESENTATIYO, A, adj. repröseniakif: gu 
reprösente,. Il est quelguefois substanuf, au 
gnifle: image, figure. Governo, zysisns — 
gouvernement, sysiäme representauf, e& I 
nation ost representee par des depuis. 

T REPRESENTÄYVEL, adj. 2 gen. qui peut sere 
presenter. 

Reraßso, A, adj. repris (apc&s s’&tre dehapgt 
de prison). Repris, saisi en represailles. 

Rarazssiö, s. f. repression : action de re 
nn ast odj. röpressil: ei Käptize: 

RPRESSIVO , A, adj. : ‚zur. 

Rerarca , etc. V. Replica, eic. ar 





REP 


+ Revanmfnna, s. f. saccade, röprimande. 
Reraınipo,A,p.p. de Reprimir. 

Reransınön, A, adj. et s. qui r&prime, rd- 
pressif. 

Rersımig, 0. a. röprimer, contenir, moderer. 

Rerniwin-sE, 0.r. se vaincre, se contenir, 86 
eontraindre, se moderer. S’arreter. 

Rernosacid. V. Reprovagdo. 

RurRon0, A, af. et 8. reprouve: rejetd et 
maudit de Dieu; damne. 

* REPROCHAR,, U. a. reprocher. 

BaEPaöcHz, 5. m. reproeche , objurgation. 

Rerropcccäö, 3. f. reprodaction : action par 
Jaquelle une chose est produite de nouveau. 

RerropuctisıLivioe, 8. f. reproducäbillts : 
faculte d’ewwe reprodait. 

Berropucriver. V. R 

+ Rerronucrivo, A, adj. reproductif: suscep- 
tible de donner lieu & une nouvelle produo- 
tion; qui reprodalt, rögenere, feconde. 

REPRODUZIR, ©. a. reproduire: produire de 
nouveau. Allöguer de nowreau ce qu’on a dit 
pr6eödemment en Justice; presenter de nou- 
veau des titres, des pidces, etc. 

+ Ruraopozivar, adf. 2 gen. reproductible : 
suscoptible d’ätre reproduit, de se reproduire. 

Reraomıssiö, 3. f. promesse reciproque; 
promesse repälde. 

Rurnommssönm, 8. f. (f.de prat.) nöuvelle 
caution. 

Rernöva, s. f. nouvelle preuve. "Rejet. V. 


Reraovaciö, 8. f. aclion de röprauver, de 
sejeter. Röprobatien des peehours Impönitents 
anf la part de Dieu. *Dessaveu, desapprobation ; 
rejet. 

+ Bzprovipamtwıe, ade. d’une manidre N- 
prouv6e. 

Rerrovino, A, p. p. de Reprovar. ah. Re- 
peouvo, damnd,. Befuss, qui n’a pas old adımis. 

REPROYADOR, A, 5. d6sapprabaleur, imppo- 
hateuz, qui desspptouve. Celui qui improuve, 
eenseur ; celul qui rejetle. 

Reraovik, v.a..blämer, r&ptouver, rejeter, 
de&sapprouver, improuver; E6prouver, condam- 
ner (une doctrine, une proposilion, elC.). 

REPROVÄVRL, adj. 2 gen. reprouvable : digne 
de reprobalion; reprochable. 

f Repaufa, 0. a.et n. d&manger de nouveau. 

Repti0o, 4,9. p. de Reptar. 

Rertapön, 5. m. duelliste : celui qui en 
appelle un autre en duel, ou qui l’accuse de 
traliison ; agresseur, pfovocateur. 

REPTANENTO. V. Repto. 

AxPräntz, adj. et s. 2 gen. rampant: qui 
rampe, qui va en rampant (animal, piante —e). 
V. Reptil. 

Rerrän, 0. 6. acsuser de Irahisun, et s’n- 
gager & soutenir eefte accusallon en champ 
elos. Appeler en duel, döfler, provoquer. 

Rerrir, adj. eis. 2 gem. roptite : animal qui 
raınpe,, ou & pieds Courts et sans peils. 

+% a “ 


:reptils.. 
B£Pr9, s. m. ° achusalliu: de trahison qu’on 


' partienst ala republique, 





REP 1033 


s’engage ä soutenfe en champ cles. DER, curtel, 
appeb, provocation. 

Rerösuıca,, s. f. republigus : tat gouvemed 
par plusieurs, par des concitoyens, des pe#- 
sonnes de meme espöee, droits, qualite, dtat; 
6tat, gouvernement; chose publique, bien pu- 
bHe, cause commune. — kilteraria ou das lef- 
iras , röpublique des lettres, corpe des gens de 


lettres. 


REPNBLIGANISNO, 6. m, röpublicanisme: vertu, 
‚etat, qualitö, opinion du repablieain. 

+ Rerusıranızin, v.6. r&publicaniser r det- 
ner les opintons, le r&gime de la röpublique. 

RzrusLicixo, A, adf. röpublicain : gei ap- 
qui a favorise. Se dit 
ironiquement des Jacobins, des ellgarques, ote. 
sm. —, partisan de le röpublique. 

RerönLıco, a, adj. homme z6i6 pour lo biew 


public, patriote. Nomme en &lat d’exercer das 


eharges publiques. 

RepupıÄiDo, A,p. pP. de Ropudlier. 

REPUDIÄNTE, s. 2 gen. colui, volle gqul r&- 
podie. 9. a. de 

Rarumiär, vo. @. röpudier : renvoyer sa femme 
avec les formalites legales; ( Ag.) rejeter, abam- 
donner. 

Repipıo, 8. m. * röpudiation, divoree; &b- 
ion de röpudier (sa fenıme); (Ag.) rejet, 
abandon. 

Rercunane, A,p. P. de Repuymar. 

REPUCNADOR ; ;A,s. celui qul röpagne & falrsı 
quelque chose. 

REPUCNÄNCIA,, 8. f. FEPUENEREO : sorie Karen 
sion; opposilion, degott & faire une chos6; 
peine & agir. (fig.) Contrariei , oppositlion en- 
ıre deux choses. Ineompatibilils de deux qua- 
lites dans un meme sujet. Ter — e..., kalt; 
avoir de l’aversion, de la r&pagnance poRut... 
Com —, & eontre-oWur. 

REPUGNÄNTE, 9. p. de Repugnar. adj-2 gew. 
Röpugnaut, contraire, oppose} rebatent; In- 
compatible. Termos —s, ( f. de log.) termes r&- 
pugnants, eontradicioires. 

Rerucnäirn, 9. a. (9. us.) rebuter, d@dalgner, 
Combattre, resister 4. (awf.) Contredire, nier, 
donner des ralsons oontre. 

Rervcnin (a), 9. ». r6pugaer (d): @tre plus 
ou moins oppos6, contraire A; inspirer, avoie 
de la repugnanee. (. de pAil.) Impliquer con- 
tradiction. Avoir de la röpugnanee, faire & re= 
gret, & contre-caur. Heurter, choqser la rai- 
son , los passions. 

*° REPUCHÄR-SE ‚9.7. renonoer Asel-möme. Se 
contredire, ötreen oontradiclion aves sol-ındıme. 

* ReruL2co,. V. Aopoleyo. 

*ReruLcan. V. Repolegar. 

"Rzrdıco. V. 

+ ReruLLir, ©. ©. ressauier : sauler de now» 
veau. V. 

REPULLULÄR, ©. n repulluler : renslire ei 
grande quantiits. 

RBazröLsı, s. f. "rofss. "Bebut, döment, dass 
agrement de ne pas rimesin. Aclien ds FOpdun= 
ser. —groseira, rebuffade, . 





1038 REQ 


Rerutsi00, A, p. p. de Repulsar. 

Rerunsiö, s. f. (l. de phys.) repulsion ; ac- 
tion dece qui repousse; &lat de ce qui est re- 
poussö ; l’oppose d’attraction. (fig.) V. Repulsa. 

ReruLsin, v. a. repousser; rojeter, mepri- 
ser, rebuter. Refuser. 

RzroLsivo, A, adj. (1. de phys.) repulsil: qui 
repousse (vertu,, force —ive). 

ReriLso, A, p. p. irr. de Repellir. 

“Repunin. 

“REPUNHÄR , eic. | V. Bepugner, ec. 

Reruncacäö, s. f. seconde purgation ow me- 
decine. Action de neltoyer de nouveau. 

ReruaciD0,A, 9. p. do 

Reruncia, 0.6. repurger : purger da nou- 
veau, une seounde fois. Nettoyer de nouveau. 

Rzruticäd, s. f. reputation, renom ; estime, 
opiuion publique. 

Berutipo, A, pP. p. de Repular. et adj. Mal 
—, mal fam6 : qui a mauvaise röputation, qui 
est en mauvaise odeur. 

Rerotäa, vo. a. F&pulter, estimer, presumer; 
eroire ;tenir,compter pour...; reg comme. 
Betimer, priser, apprecier. Donner de la repu- 
tstion. 


Reruxino, A,p.p. de 

Reruxin, vo. a. tirer & sol ow en arriere. Re- 
pousser. V. Repellir. Donner la pente ow lo ta- 
ius & un mur. 

Rerixo,s. m. jetd’eau. * Pente, talus d’un 
mur. Aro-boutant; appui d’une voüle, d’une 
arche. Recul des armes ä feu. — de calafaıe, 
(4. de mar.) repoussoir de callat. 

*Requa. V. Recua. 

Requzaaipo, A, p. p. de ARequebrar. adj. 
Langoureux , minaudier, amoureux, galant. ($. 
de bot.) Refracıe. V. Requebrador. 

+ REQUEBRADOR ‚3. m. soupirant ‚doucereuz, 
muguet : celui qui courlise, qui cajole une 
femme. 

REQUEBRÄR, v. @. (inus.) rompre & plusieurs 
reprises. (fig.) Courtiser, cajoler une femme, 
Iuidire des douceurs. — os olhos, lourner lan- 
goureusement les yeux, faire les yeux doux.— 
@ vox , prendee un ton langoureux. 

Reqigsaän-sE, vo. r. se pencher avec aflecte- 
tion. Prendre un air lengoureux, faire le mu- 
guot, le galanı. 

Requsano, s. mi. * declaralion d’amour, dou- 
osars dites Aune femme ‚etc. ; air, ton langou- 
reux ou doucereux. "Cajolerie,ülatlerie, louauge 
inleressee pour seduire. — amoroso, radoucis 
sement, empressement aupres d’uno femme. 
— da vöz, inliexion de la voix, fredon. — dos 
olhos, yeux doux. —s, pl. "mignardises, ca- 
resses. 

Requsnäö, 5. m. fromage &cröme6 ou A In 
oröme, 

ARRQUEIMÄDO, A, P. P. de Requeimar. adj. 
Exiremement bran,, bruni, brüls par le soleil. 

Reguzimän, v.a. brüler une seconde fois, 
Beäler : faire trop euire. Griller, roussir, risso- 
ler. Blaser, braler, &mousser ies sons. Piquer, 
broler la langue. 


REQ 


REQUEIMAR-SE, ©. 7. se Consumer intärieute- 
mentde douleur, etc. 

7 Requtımz, s. m. sorte de poisson de mer 
qui a deux pointes & cöt& des nageoires. 

7 Regutiug ou chaleur piquanie goe 

REQUEIMO, 3. m. produisent cerlaines 
choses sur la langue. 

"Rzqugıxino. V. Acankado, Estreile. 

*+Rezougıxania, s. f. office. metier de B- 
queizfiro. 

* +REQUEIXtIRO, 8. m. pätissier cr&mier. 

REQUENTÄDO, A, P. P. de Requentar. 

REQUENTANENTO, s. m. röchauffement : !x- 
tion et l’effet de rechauffer. 

REQUENTÄR, v. a. rechauffer : &chauffer une 
seconde fois. Il est aussi r&ciproque. 

"Reguerzciö. V. Requisisdo. 

REQUEREDOR , 3. m. roceveur (amf.) ü.V. Br- 


e. 

"REQUERENTE, 6.2 gem. requerant, sollic- 
teur, postulant. 

REQUER£R , v. a, requerir : prier de ; demit- 
der en justioe; demander, exiger. Solliciter, 
postuler; presenter une requetie. Recherche 
(ant.). Reconnsttre, examiner, verißer (p.w.. 
Avoir soin, prendre garde A ce quiesinecesain 
(inus.). — alguem d’um crime, sccuser qwl- 
qu’un en Justice, P’attaquer. — d’emorcs ums 
dema, prier d’amour, döclarer sa passion dee 
dame. — que se levante o deposilo, o emberge, 
demander main lev6o. Esie megocio rege 
muila prudencis, cette affaire demande baue 
coup de prudence. 

Rzquzata-sz, v. impere. falloir. Reguire-u 
muile allengäo, muwito cuidade, ı) lani ber 
coup d’attention, beaucoup de soin. 

Rzqusrino, A, P. p. de Requerer. adj. &- 
quis, demande. Necessaire , indispensable. N* 
uße, somme (p. us.). 

REQuzammenTOo, s. m. °requdte : dem 
verbale ou par ecrit, en juslice, ete. *Petlet, 
placet. Recourrement, perception, recetie P- 
us.). *Demande. A — da parte, (t. de prei.) I 
la requisition de la partie. 

*Regueriz. V. Regoliz , Alcapus. 

Reguista, s. f. requöte, demande, prätt, 
requisition. Recherche, pr&tention amoureus- 
*Defi, duel, cartel. (ant.) Querelle, dispal, 
demele, combat. Brigue, pretention. Deieast. 
fortiication (p. us.). Tomar — por algem. 
prendre fait ot cause pour quelqu’un. 4 Ida 
—, (ant.) atout hasard,, & outrance. 

REQUESTÄDO, A, p. pP. de Requestar. 

T Requzstanor,s. m. celui qui prie d’amel, 
qui dit des douceurs Aune femme, gqei lei 
la cour. 

Rzquestär, o. 6. cherober, rechercher, 50% 
lieiter ; briguer, pretendre &. Requerir, dems® 
der, prier de (ant.). Defier, appeier en dadl 
(ig.) Prier d'amour, cajoler, dire des deuceef! 
ä une femme, courtliser. 

°Akotın, * repos, tranguillit£, cal 

Reouig,s.f. 1 Bissade—, mere de mi 








RES 


+ Reouiss, s. m. "garniture, broderio qu’on 
metlait autrefois autour des habils. 

+Regrin, s. m. (4. d’Asie) " liqueur spiri- 
tueuse de’!’Inde. 

+ Regquinta, s. f. pelite olarinette, instru- 
in«nt de musique. 

Nequintipo, A, adj. fin, delicat; parfait, 
acheve; affecte, recherche, alambique, rafüne. 
p.p. de 

Requintär, o. a. ( fig.) raliner, alambiquer, 
quintessencier. (em) v. ». Faire les choses 
avec une perfection recherchee; mettro de l’al- 
fectation dans ce qu’on fait, dans ce qu’on dit; 
raffiner sur la langue, eic. (fig.) L’emporter, 
esceller, avoir le dessus. 

REQUINTE, s. m. * quintessence, recherche, 
alfectation. 

Regtir£r. V. Requerer. 

Reocisıcäö,s. f. requisition : requete , aclion 
de requerir; demande faite par autorit6 pu- 
blique. 

* Reouisın. V. Requerer. 

Rrauisiro, s. m. "circonstanuce, condition, 
qualit& requise pour une chose. adj. (p. us.) 
Voulu, dü. V. Requerido. 

Regcısıtönıa, 8. f. commission rogatoire. V. 
Deprecaloria. 

Ris ou Rötz, s. f." mouton, bauf ou toute autre 
piece de betail. (g.) V. Reid. Mid —, (Ag. fam.) 
mauvais garnement. 

Resaptn, vo. a. savoir & fond, savoir trop. 
v. n. Faire trop le savant, fatliguer par l’etalage 
de son savoir. 

ResaBıiDo, A, adj. vicleux (cheval) ; degomte, 
ennuye.p.p. de 

TRESADIÄR-SE,o.r.prendre un vice, une mau- 
vaise habitude , surtout en parlant des chevaux. 
(ig.) S’ennuyer, se degoüter; se fächer, s’ai- 
grir, se metire en coldre. 

Resapido, A, p.p. de Resader. adj. qui fait 
trop le savant. 

Resänt0, s. m. arridre-goßit. V. Resaibo. (fig.) 
Tic, vice, mauvaise babitude. (id. anf.) Deplai- 
sir, aigreur, ennui. V. Desgosto. 

Resäca , 8. f. (f. de mar.) "ressac : choc im- 
p@lueux dcs vagues en mouvement contre la 
cöte, & leur retour. Sorte de baie ow de havre 
forme par le flux de la maree. 

Resi1nO, 3. m. arridre-goüt, mauvals goüt; 
deboire, relour, saveur desagreable, mauvais 
gout laissd & la bouche. ( Kg.) * Trace, vestige. 
“Pretention de savoir, olleclalion (ant.). V. Re- 
sabio. Ter — de, sentir, parliciper de; se res- 
sentir de. Esta dowirina jem — de fanalismo, 
cette doctrine sent le fanatisme. ;lem ou con- 
serva —ı de suas mds manhas, il se ressent de 
scs mauvaises habitudes. 

*Resiıu. V. Ressio. 

ResaLcar. V. Rosalgar. 

Resaioo, A, adj. saillant : qui: avance, sort 
en debors. 9. p. de 

+ Resain, v. n. salllir, s’avanc ar, deborder. 

RESALTÄDO,A, 9. 2. de 

ResaLtin, v. n. rejaillir, rebı ındir, So deta- 


. PORT.-FR, 


RES 103 


cher, se decoller, s’ccailler. Saillir : arancer en 
dehörs. ( Ag.) Frapper les yeux par son sclat, 
eic., sauter aux yeux, @lre saillant. o.@. Rele- 
ver, rehausser. 

t Resäıte, s. m. *saillie : avanco hors du 
corps du bätiment, etc. V. Resalto. 

ResaLT£ir, v. a. sssaillir de noureau. 

RESÄLTO, s. m. rebondissement d’un corjıs ; 
bond, rioochet. Rejaillissement. (£. d’arch., 
*Avance, ressaut, saillie, balevre. Contrc-coup : 
repercussien d’un corps sur un autro. 

ResiLva, s. f. conire-leitre, contre-6crit, 
contre-promesse : acte secret qui deroge b un 
acle public. Sauve-garde. Exception, reserve. 

ResaLvänQ, A, p. p. de 

ResaLvir,v.a. [aire une conire-leliro. Ex- 
cepter, röserver. Delivrer, sauver, meiire en 
sürete. — para si, tenir secret. 

RESAMPHONINÄR, v. a. (burl.) rcdire toujours 
la meme.chose. 

Resi6. V. Raxäo. 

Resiqug, s. m. (f. de comm.) ’conire-lettre de 
change, retraite. Conla de —, compte de relour. 

Resarcino,A,p. p. de Resareir. 

RESARCIMENTO, s. m. * indemnite, röcom- 
pense, d&edommagement. 

Resancia, v. @. recompenser, dedommager, 
indemniser, r&parer une perte, un dommage 
caus6.—o lempo perdido,r&parcer letemps perdu. 

Resaöväipo, A,p.p. de 

Resatpar, v. a. resaluer : rendre Ic salu! de 
nouveau. 

RessaLin, etc. V. Resvalar, etc. 

Ressörpo, s. m. (I. de mar.) sabord dans la 
cale d’un vaisseau , A embarquer le lest, eic., 
sabord de charge. Tdboa do — , gabord. 

Rzssöros, s. m. pl. sauvages de Tambale ou 
de Guzarate. V. Rasbutos. 

RescaLpiDo, A, 7. p. de Rescaldar. 

+ ReEscALDAMENTO, 8. m. embrasement. 

RescaLpir, v.a. brüler, echauder. V. Escal- 


T RescaLp£ıno, 3. m. rechaud : ustensile ds 
menage. *° Bassinoire. * Chauffereite. 

RescäLpo, 3. m, cendre chaude od il restn 
quelques &tincelles de feu. (A4g.) Levain d'une 
passion, etc.; crainde, soupcon,, sCrupulc. 

*"Resciuso. V. Tyr'oca. 

Rescaäö. V. Rasedo. 

RESCENDENTE, adj’. 2 gen. qui exhale une 
bonneodeur, quieml sauıne,,odoriferant. Puant, 
qui sent mauvais (p. ws.). 

RESCEnDER, v. n. exhaler une bonne odcur, 
embaumer. Puer (p.xss.). 

Rescınnino, A, pP. gr. do 

RescınDir , ©. a. res:cinder, casser, annular. 

Rescısiö, 3. f. resci,sion: cassation des actes, 
des contrats, dcs arreıls. 

Rescıs6r10, A, adj. (fi. de pral.) rescisoire, 
qui rescinde, annule ( acle). 

ReEScaEVvEr , v.n. r&cıfire: ecrire de nourveati. 
Repondre & une lettre, etc. Donner un rescrit, 

Rescrircäö, s. f. tescription : mandat par 
dcrit pour Woucher une somme. 

65 





108 RES 


Rescatero ow Ausenıto, 3. m. rescrit : ve- 
ponse de Pautortt pablique, servant de lol; 
bulle moniteire, 

+ Reseoa, s. f. (t. de bot.) gaude, herbe & 
jaunir, — de okeiro, "r&sela odorant, rösöda 
d'Egypte, herbe d’amour. 

+ Reszocacäö, 8. f. l’action de ressöcher. 

Ressccino, A, p p. de 

+ Ressccin, v. a. resstcher : sboher denon- 
voau. 

+ Restcoco, a,adj. qui est trop 506. 

RESEGÄDO, A, 9. 9.48 

+ Resecäin,,v. a. moissonner de nouveau. 

Resecunvär. V. Redodrar, Amtuder. 

RESECÜRO, 5.m. (I. de 00mm.) " v6önsBaTamde. 

RrskLL.ä00, A,P. p.de 

+ REsELLÄR, 9. a. metire un® 00Rlre-margut. 

+ ESELLO, 5. 9. "vontre-margue, seconde 
marquc. 

Resem£ÄDo, A, p. p. de Resemear. 

RESEMEADUNA , 5. f. nouvelle semaille. 

Rrseuein, d. &, FeSs6mer : saner BN® S6- 
conde [ois. 

\ESENHA, s. f. revue de gens de guefTe, 
monire; revue. 

RESENHÄDO, A, p. P. de 

HEsenHÄR, 9. 6. Passer en revue, inspedter. 

Resennön, &. m. (4. vwig. dur.) deux feis 
seigneur. 

ResenTiDo,A, 9. 9. de Resenlir. 

RESENTIMENTO , s. m. resseontiment d’une in- 
jure, etc. Offense Iegere os que l’on cache. 

RESENTIR, 9. a. ressehllf : sentir, Eprouver; 
sontir vivement. 

Rusuntia-sg (de), v. r. 50 rossentir, avoir oW 
(ömoigner du ressenliment! ; sentir queique al- 
teinte ou les suites du mal qu’on a ow qui est 
arrive & un aulre. Reprendra ses sons, s’6rell- 
ler. S’apercevoir. 

Reszquino, A, adj. desserh6, Retri. Sec : on 
ie dit d'une chose qui, humıde de sa natare, 
est devenue söche par accicient. 

Reserva, s. f. röserve : action de reserver, 
de garder pour le besoin, etc.; chüses röser- 
v6es ; troupes, valssoaund l’arriere ; exceplion; 
(Ag.) diserötion,, ciroonspection, retennue. (1d.) 
Dissimulatien ‚duplicite. Sem— ‚tranchement, 
ouveriement, sans döguisement. Andarcom —, 
agir avcc precaulion. — no fallar, röserre ä& 

rier. 

Reservaciö,s. f. röser vation : aolion par la- 
quelle on reserve; droits röserves. 

+ RusERYÄDAUENTE, 0 jo.avec röporve, d’un® 
manitre röservöe, 

RESERVÄDO, A, 2.9. de Reservar. adj. Re- 
serv6, relenu, circonsj ect. Caso —, 083 T6- 
servö : p&ohe dont le pa pe ou l’ör&igue peuvent 
seuls absoudre. 

+ REsERvYaDOR,A,s. colai qui söserve,. 

RESERvÄR (para), v. a. röserver : garder, re- 
tenir queique chose de: total; gamdor pour un 
autre temps, un autre usage. Remetite , diffe- 
ser, sonvoyer. Exempte: r, dispenser. V. Preser- 
Car. De Teservor.une et ıoge, Mc pas Ja 0onlulu- 


1 


"RES 


wiquer, en restteindre V’usage, wie. Cacher. 
taire, dissimwler, 

RESERYÄR-SE (para), ©. r. se röserrer:v 
conserver pour uns aulre orcasion ; Femelire 4 
faire, & parler. Se garder, se delier. 

RESERVATÖRIO, 5. m. reservoir : Ileufaitpen 
amasser et conserver cerisines cheses, 
l’osu, etc. 

Reservir, 0. a. servir Je nouvean. 

BRESFOLEBCABGURO, 5. m. soupirail, ewai, 
endroit o& Fon respire un air (rais. 

Resroıscär, ©. w. soufller:: irer mr 
beuit; reprendre baleine. (fig.) Se deisser, 
respirer, avoir quelgue reläche aprös de Io; 
travaux, eic. v. a. (p. us.) Jeter, kancer, lızt 
sertir. 

RssröLeco.V. Ankelito. 

RESFOLGADOURO. . 

ReESFOLGAR , eic. | V. Resfoleg_., eu. 

Resrgıino, a, 9. p. de Resfrier. adj. ie 
froidi, au propre et au figure; morlonda — 
com a nere, rafratchi ä la glace. a. m. ip. ww.) 
Rbume, iranspiration arr&ide, etc. 

Resraıands, A, adj. qui refroidit os rafız- 
chit. Refrigerant. s. m. Vase pour ralrsicht 
is ligeides. 

RESFRIAMENTO ,. 5. m. Tefroidissement:4- 
minution de chaleur, (4g.) d’amitie, de pw 
sion, de zele. 

Resrrıär, v.a. refroidir, rendre freid; a 
fraichir ; morfondre. (Ag.) — „ ralentir, des 
nuer P’ardeur, l’activite. u. ». Befroidir, der 
nir froid. 

Besreiän-sE, 0. r. 80 refreidir, s'’eurhemer 
etc. (fig.) —, se ralentir dans une eairepris 
eio. ; diminuer d’ardeur , d’actirild, 

RzscaLin. V. Arregaler. 

Rescan, V. Rasgar. 

RescATi00, A,p.p. do Resgelar. 

HunsoaraDön, 5. m. racbeleur : celui qgei > 

cheie. 

Rescatänte, s. V. Resgetader. p. p. de 

RESCATÄR, v. a. racheler : recpearrer a pa 
d’argent; rediiner, dölivrer, rangonner. Tre 
quer, changer, echanger. V. Remir. — am 
pr6sa, EANCONDET Unc pEise. 

RescatävkL, adj. 2 gen. rachetable : m 
peut etre rachel£. 

REscäTK,, s. m. rachat. * Rangon d’sa pr=* 
nier. Rangon : argent doune le zarbıt 
Troc, &change. (fig.) Lieu od l’on fait le rackzs 
des esclaves , etc. 

* Rescuinnpa. V. Befaguarde, 

RESGUARPADO, 4, adj. (Ag.) avish, preroymet 
eirconspect. p. P. de 

BESCUARDAR , 9. @. garder, defemdre , gEFER 
Ur, prolöger. Considerer, faire allembea- 

Rescuannpäir-sK (de), v. r. sa garder, 0 Es 
ranlir; se pr6cautionner, &ire sur ans garde>: 
se soigner, so choyer. 

Rescuänno, s. m. soin, attention PO u 
consorvation ou la särels d’uue che. 'T- 
fense, abri, süretd. ° Caulion , garanuıt, '® 
‚reis. ' Proceulien „ oirconspoction, prudre® 








RES 

°Surveillanne. Mespeet, altantioh, Bonaldarndı 
ıion. Moyens de defense. Pröparalif, prövalı- 
tion prise d’avance. * Reserve de troupes, ec. 
Ter de —, avoit de röserve, on r&ßerrvo. Tor 
na comida, avoir soin de sa nourriture. Dar # 
alguem, eviter & quelgu’un le mal qui je mıe- 
nace, l’avertir du danger qui le menace. 

Resıcacä6, se. f. dessiccation. 

Restcin0, A,P.p. de 

Remcin, v. a. dessecher. 

Resıntwcıa, 8, f. demeure, residenoe : de- 
meure fixe ou ordinaire. Rösidence : sejour 
habituel d’un beneficier dans son böntfke, ete. 
Comparution d’un prövenu devant le juge. Ao- 
tion par ianaello un gouverneur, olc., reMmol 808 
pouvoirs ä son successeur. Compie qu’on feit 
rendre & un juge, elo., de sa gestion. Resi- 
dence : emploi d’un resident aupres d’an 
prince; sa durde. Nom que donnalent les j6- 
suilcs & quelques-unes de leurs malsons, Ti- 
rar, lomar —, s’enquerir, enqueöter, s’Infor- 
mer. Dar a sua —, tendte comptie de za con- 
duite, etc. - 

+ ResinenotäL, adj. 2 gen, On le dit d’an 


' emploi qui demande une rösidenoe babituelle. 


+ Resıoenarän, v. @. (9. us.) demander 
compte & quelqu’un de la manläre dont il s’est 


' sequitie de l’emploi qu’en lui a denne; s’infor- 


-. > 


u} 


mer, prendre des rensslgnements. 

Resınknte, adf. 2 gem. resident, qui reside; 
demeurent, qui demeuro, p. a. de Residir. 

AusınenTe ‚s. m, resideni: onvoy6 pour r6- 
sider aupr&s d’un prinee. 

+ Resınanttza, 5. f. fomme du rösident. 

Resivin (em), 0. w, resider (&): faire sa de- 
nmıeure; habiter ordineirementi. Assisier : &tre 
present, en vortu d’une dignite, d’en em- 

loi. 
Resiovo, & m. rösida, rente, resiant. ( 4. de 


:ehdm.)—,ceo qui reste d’une substance sou- 


mise & une operation. —s, pl. legs pour des 
bonnes Bavres. 
Resıcnackö, s. f. rösignation : d«mission 


: d’un bönefice; abandon en faveur de...; soti- 
‘ mission (& la volent& de Dieu, & son sort, ole.). 


+} RESICGNÄDANENTE, ade. avec resignation. 

Assıcnasissino, A, adj. sup. de 

Resıcnäno,&A,p.p. do Resignar. 

ReEsıcRÄnTE, 8. 2 gen. r&signant : celui gui 
resigne un oflice, un benefice. 

Resıcnirn, o.@. rösigner : se d&meltre d’un 
office, d’un benefice en faveur de quelyu’un. 
(fig.) Abdiquer. (id.) Renoncer (& soi-möme, & 
sa propre volont6). 

Resıcnin-se (a, em),v.r. sc resigner (ä), 
se soumeltre; s’abandonner & la volontd de 
Dien, etc. 

RESICNATÄRIO, 3. m. resignataire : colui Aqui 
ou a resigne. 

Resina, s. f. resine : matiere inflammabie, 
soleble dans l’alceol, qui suinte de la surface 
de quelques vögetauz. 

+ Rasıntına , s. ft ,de bob.) = des borre- 


RES 1087 - 


dhtiiks du do Pard," kieve vu eabutchone de fü 
Guyanc. 

Resısenro. V. Resindso. 

Rusinca, 8. fi (8. pop.) alteruation, diepum. 

Aasından (com), vo. n. (#. pop.) displter, 
querellurı — cum ulyuem ; se dırputer aven 
qubkauun. 

tr Resınuukıno, A, adf. qui a Phabitude de 
dispuier, querelleer, 

*Rusınnan-se, V. Rest e. 

Resınönb, A, adj, resineux : qui produit la 
resine, qui en a la gualii&(arbre, kois,,etc.). 

Resio os Rzssio, V. Reeto ou Roelo. 

Resırıscencıa , 8. f. r@sipiscence : reronnais- 
sarıce de sa faule, avec promesse (’arnende- 
ment. 

Resıstän; etc. V. Reyisirar, eie. 

Atsisrenoıa, 3. f. resistance : qualitö par la - 
gaslıe un corps r6ösiste au oh0d, au [rottement, 

la division; (fig.) defense contre Yattajue; 
opposition. Oppör, faser — , opposer, faire dd 
la #6sislance. 

Resıstente, adj.2 gen. qui r&siste , tenace. 
P. “ de Resistie. 

Rzeistivo,, A,P.p. de Resistir. 

Resıstıpör, 8. m. celui qui resiste. 

RAzsısria (a), v9. #. resinter (A): opposer de 
la resistance ou de la force & ld force , ne pas 
töder, ne pas plier; faire effort contre; ve d& 
fendre , s’opposer ä ; emdurer, souffrir, suppor 
ter difieilemeni; (Ag.) reppusser, terir bonj 
ne pas etder ow plier. (1. de phys.) Reagir : re 
sister d un eorps qui frappe. (Ag.) Combattre : 
rösister aux passions, aux desirs. Durer, sub- 
sister. Ndo —, obeir, ceder, plier. Näo passe 
resistir-Ihe, c'est plus fort que moi, en par 
lant d’une passion ‚, d’en penchent , eis: Nde se 
pode — ds suas randes,, oh ie peuticnir ounlse 
8es raisons. 

Aesısrir, 0. & (p. we.) rösister &, ete.; ro 
poasser, röprimer, oontenir. 

ResısTir-sE, u.7r.— um homem a si, repri- 
mer ses passions. V. Refreur-se. 

Resisto. V. Registo, 

Resuumanan. V, Translusir. 

RAeswa, s. f. rame: vingt maihs de papier. 

RESMONBAR, RESMOWINnAKk dm Nesmroan.V. 
Resmungar. 

REsmoneÄR , 9. ®: (}. faom:) marraolier, gro- 
guter, grorameler; marmonner. 

ResoAno, A, p. P. de Reseir. 

Resoänte , adj. 2 ger. fösennant, retenlis- 
sant. p. a. dd 

Resoir, ©. ». r&sonner, retentir, renvoyer 
le son ;rendre un grand soh,, Besucoup de son. 
V. Razoar. Tudo resoava com oclamor de sous 
lowores, tout rösonmait du Wruit de ses louan- 
ges. o. a, Faire retentir. Assoom doces versos 
tous louvores, que de beaux vers lesaent ro- 
tenlir vos louanges. Hymnos que resoem os luu- _ 
vores do Senkor, des hymiles [aisaut retenlir 
les Iouanges du Seigneur. 

ResosaA0o0,A,P.p.de . 

Resoarär, v. @. zesier boanenup. 


1028 RES 
RısöLro (V. Assolvido). p. p. irr. de Be- 


solver. 

ResoLtciö, s. f. resolation, proposition, 
deeision; dessein; fermels, „ourage; parti 
pris; hardiesso constante, franchise, liberie. 
(t. de phys.)—, cessation totale de consistance. 
(i. de med.) solution, resolution d’unetumeur, 
eic. ; relächement des nerf[s, eto. (1. de chim.) 
Reduction d’un mixte & ses premiers princi- 
pes. (4. de malh.) Expos& des procödes pour la 
solution d’un probleme. — de forcas. V. Frou- 
ziddo. — do venire. V. Soltura. E mui arris- 
eado lomar uma md — ‚il est ir&s-dangereux 
de prendre un ımauvais parti. 

RESOLUTAUENTE, adv. r6solument, avec re&- 
solution ; avec intrepidite ; hardiment. 

RESOLUTISSIMO, A, adj. sup. de Resuluio. 

NesoLutivo, A, adj. rösolulif : qui peut re- 
Soudre une tumeur, etc. Meihodo — „ meihode 
analylique. 

REsoLUTO, A, adj. resolu ; dötermin«,, hardi, 
decid6; prompt, expeditif. p. p. irr. de Resol- 
ver. V. Resolvido. 

ResoLvrörıo, A, adj. (f.de prat.) rösolu- 
toire : qui emports la resolution d’un acte 
(clause ,cas). 

RzsoLövgL , adj. 2 gen. rösoluble : qui peut 
€ire resolu (problöme ). 

ResoLv&nte, adj. 2 gen. (4. de phys. ei de 
med.) resolvant, qui resout, r&solutif. 

BesoLv£a, v. a. resoudre : faire cesser la 
eonsistance ‚ l’union entre les parties; reduire 
un corps en ses plus petites parties; amollir. 
— ‚faire prendre une resolution; determiner 
ä. Heduire &, resumer, recapituler. —, deci- 
der une question, une difüculis,, un probleme, 
eic. (em) —,, reduire,, changer en. v.n. Resou- 
dre, former un projet, prendre une resolu- 
tion. 

REsoLY&a-SeE (a), v. r. se resoudre, se de- 
tcrminer & ; se resigner ; prendre un parii. (em) 
Se resoudre, se dissiper en vapeurs, eic. Se 
reduire &, ölre renlernas, consister dans. Se 
resoudre, samollir, se dissiper, en parlant 
d’une tumeur. — ,, s’arröter, se d6terminer. Se 
dissiper, disparaltre. Resolvodräo-se os perigos, 
les dangers se sont dissip6s , ont disparu. 

ResoLvipo, A, p. p. de Resolver. adj. Re- 
sous, change en, dissipe. Resolu, decide. 

Resonincıa, 3. f. resonnance : battomen) 
prolonge et graduel du son. Resonnement, re- 
tenlissement. (podt.) V. ia. 

ReEsonÄnTE, adj. 2 gen. r&sonnant, relenlis- 
saht. p. a. de 

Resorir,v.n. V. Resoar. it. Ronfler en dor- 
mant. 

ResraLpan, (Sb. de relisur). V. Solfar. 

ResriLvo, s. m. revers d’une feuille de p= 
pier. Dossier de chaise, eic. ° Maladie des che- 
vaux. 

Resrancivo. V. Raspado. 

RESPANGANENTO. V. Raspadura. 

Respectativo. V. Lisongeiro, Adslador. 

Rasrscrivamanıe , adv, Fespeclivement- 


RES 


Ruspecrivo, a, adj. respeclif : relalif, ga 
rapport, qui comserne. ü. V. Bespriledr 
(p. we.) 

RespEcTU080, A, adj. respectuemz. T. Ba 
poitoso. 

Resrgıtino, A,p.p. de Aespsiler. 

RESPEITADOR, A, 8. Celui qui respecie. 

REsPEITäR, ©. @. respecier: perier respd: 
reverer, honorer; epargaer, ne point enden- 
mager. Regarder, @tre vis-h-vis, & l’oppoxie de 
(ant.). Considerer, faire attention. — use, 
(f. de mar.) faire honneur & une roche es a0 
pointc de terre. 

RESPEITÄR (a), v. #9. Concerner, avoir derar 
port; regarder, apparienir. Pelo que respisi 
segurangea da republica, quamt ä ce guı 
cerne la securite de l’Elat. Pole que m 
peila, pour ce qui est de mol. 

TRESPEITATIVO, A ‚adj. ( P. us.) respeciseni, 
qui marque du respect. il. V. Bespectieo. 

RESPEITÄVEL, adj. 2 gem. respectabie: m 
merite du respect; qu’on deit respertier. 

T RESPEITÄVELMENTE,, ade. respectablemes 
d’une mapiere respectable; de maniin ı 8 
faire respecter. 

Respkıto, 8. m. respect : sentimeni gu + 
proche de la veneration ; deference, altern. 
tgard. BRapport. * Raison, cause, sujet. Dee 
a —, se Tespecier, se faire respecter: uf 
avec soin la decence convenabie ä son a2.ı 
son dat, eic. Ter — a alguem, otc., 1x & 
respoct pour queiqu’un, ote. Falter w -ı# 
guem, manquer de res & queique, + 
blier le respect dü & queiqu’un. Couss, pe 
de — , chos6, personne respectable. Nös pr 
dar nenkum —, ne pas marchander, malin«". 
ne pas epargner. Dizer — a, cencermer, 1@ 
rapportä..A — de, par rapport ä; äl’egar. =. 
ausujot. de ;en comparaisonde, äproperum 
Aecste —, acetegard, souscerappeort: In 
A seu —, sur volre 0% son oompie; par za 
& vous ou & lui. A que — ? pouryuei, pet e® 
motif; & propos de quoi? De —, par sent 
lion; de rochange. —ı humanos, connder30 
humaines. A lodos os —s, sous tous 5 27 
ports. 

RESPEITÖSAMENTE, adv. respecisesseuen. 
avec respect. 

REsPEITöSO, A, adj. respecwueus: gu EX" 
que du respect; qui porle respect. 

* Respzıttäa. V. Respeitar. 

+ Resricg, s. m. (fam.) "reponse be - 
rude; reprimande. 

+ Respica, 8. f. "glanage: aclisa de x» 

V, Respigadura. 
ResricAdeina, s. f. glaneuse. 
RESPIGADOR, 3. m. glaneur, celui gu fo 
Resricapira, 8. f. glanure: ce quelmr: 
apres la moisson. j 
Resricaö, 5. m. "envie autour des u> 
Espigädo. ... 
Respicän, ©. @. glaner : ramasser IS - 
apres la moisson ; ( ig.) faine des mut ® 
apres les premiers, et quelqueleö ubenEr 





ar mn ne 


RES 


RespincABöR, A, adj. els.qui raue, qui re- 
gimbe; röoaleitrant, indocile , hargneux. 

Resrınchö, Ona, adj. bargneux, relif. V. 
BHespingador. 

RespıncÄr,, dv. a. regimber, ruer, en parlant 
d’un cheval, surtout si c’est en hennissant. 
(9.) —, resister : ne vouloir pas obeir; eire 
recalcitrant; s’emporter de depit, de colere. 

RESPINGO , s. m. regimbement, aclion de re- 
gimber, de ruer ; ruade. Petiliement. 

RespiRacäö,s. f. respiration : action de res- 
pirer; haleine, soullle. Tomer a —, prendre 
haleine. — do trabalho, (Ag.) "repos, delasse- 
ment. V. Fölge. 

Respinapkıao. V. Respiradouro, Resfolga- 
douro. 

Re£spıRino, A, 9, p. de Respirar. 

RgspırADöuRo, 3. m. canal do la respiralion, 
conduit par oü l’on respire. Soupirail, event. 
V. Resfolgadouro, 

+ RESPIRAMENTO, 5. m. vent, souffle, haleine. 

RESPIRÄNTE, adj. 2 gen. qui respire; qui 
couflle doucement. (fg. podi.) Qui paralt vi- 
vant, qui semble anime, en parlant d’une sta- 
tue, eic. 

RespirÄR, ©. a. respirer : Jouir, marquer, t&- 
moigner, exprimer. Exhaler, repandre quelgue 
odeur. Soufller.— um bom ar, um ar sadio, res- 
pirer un bon air, un air sain. — vinganga, ale- 
gria, eic., respirer la vengeance,, la joie, etc. 
Tudo respira guerra, tout respire la guerre. 
Em quanio respirar os vilaes alenlos, tant que 
»änıe me batira dans le corps. 

REsPIRÄR, ©. n. respirer : allirer ei repousser 
Y’air par le mouvement des poumons; vivre; 
( fg.) prendre, avoir quelque reläche, sortir 
de l’oppression, etc. Se recreder, se r&jouir. 
Soufller doucement, en parlant du vent. Pa- 
raitre vivant, sembler anime, en parlant d’un 
tableau, d’une statue, etc. O bronze eo mar- 
gnore respiräo, le bronze et le marbre semblent 
animes. Respira ainda o amor da palria, l’a- 
mour de la patrie vit encore. Ndo —, ne pas 
souffler, ne dire mot. Sem —, ( fig.) sans re- 
läche. 

RESPIRÄVEL, adj. 2 gen. respirable: qu’on 
peut respirer (air). 

Resrino, s. m. Yactlion de respirer; haleine. 
Moment de repos qu’on se donne pour repren- 
dre son travail avec une nouvelle ardeur; 
temps de respirer. Repit : temps qu’on accorde 
pour le payement d’une dette. 

+ RESPLANDECENCIA, 3. f. " Eclat, splendeur. 

RRSPLANDECENTE, adj. 2 gen. resplendissant, 
rayonnant, brillant. 

RESPLANDECENTEMENTE, adv. avec splendeur, 
avec eclat. 

RESPLANDECENTISSIMO, A, adj. sup. de Res- 
plandecenle. 

ResrLAnDeEcRn, v. n. Eclater, luire, briller, 
jeter de la lumidre; respiendir, briller avec 
grand eclat. (fg.) Se manifester avec eclat. 
e. a. (p. us.) Faire briller. 


’ T Respıannacieamiase,, ade. avec splan- 
eur. 

RespLanpexte. V. Resplandecente. 

RespLanoon, s. m. spiendeur, &clat, au PrFo- 
pre ei au Ägure. Rayon, resplendissement, 
spiendeur : grand &clat forme par l’expansion, 
le rejaillissement, la rellexion de la lumidre. 
* Aureole sur. la t&ie des sainis. 

RESPLENDECER, etc. V, Resplandecer, eic. 

Rzsronpäd, OnA, adj. raisonneur: qui r&- 
pond, qui repligue toujours lorsqu’on lui com- 
mande quelque chose; epilogueur. 

RESPONDEDOR, A, 8. celui qui F&pond. 

REsponpencıa. V. Correspondencia. 

REspondente,3.m. V. Correspondente. (I. de 
prat.) Celui qui r&pond en jugtice. 

RESPONDER (a,cum), v. a. ei ®. röpondre: 
repartir sur ce qui a ele it ou demande; faire 
une röponse; faire la r&ponse A une lelire; 
röpliquer, raisonner au lieu d’ob6ir; refuter; 
röpeler ; avoir proporlion , conformile, commu- 
nication avec, avoir rapport &; correspondre 
aux bons oflices, eic., @ire reconnaissant; re- 
pondre A l’atienie, succ&der selon nos vaux; 
repondre aux soins du laboureur. On le dit 
d’une terre [ertile. (per) Repondre de, &tre 
caulion, garant. — com a sua cabega, en re- 
pondre sur sa t&te. — pela fianga, certiller une 
caution, en &tre garant. Bu respondo por elle, 
je reponds de lui. Eu ndo respondo sendo por 
mim, je ne re&ponds que de ma personne. Se 
canlas ao asno, le responderd com couces, 
(fam.) chantez devant l’äne, il vous lancera 
des ruades. Obrigou-me a —, il m’obligea de 
repondre. 

Responnöna, 5. ou adj. f. raisonneuse. V, 
Respondäo. 

R&sponpino, A, 9.9. de Responder. adj. Rö= 
pondu : A quoi on a repondu. Qui a eu une r& 
ponse. 

RESPONSABILIDÄDE, 8. f. responsabilit&: obH- 
gation d’etre responsable de soi-meme, d’une 
autre, d’une chose confl&ee, etc. 

RESPONSADILIZÄDO, A, 9. P. de 

t ResponsaBıLızän, v. a. fFendre respon- 
sable. 

+ RESPONSABILIZÄR-SE (por), v. r. repondre 
de, se rendre responsable, prendre sous sa 
responsabilite. 

RESPONSÄDO, A, p. p. de Responsar. 

* Resronsäd, s. f. V. Foro ou Censo. 

* REsponsär, %.®». dire des r&epons. 

RESPONSÄYEL, adj. 2 gen. responsable (de), 
qui doit r&pondre, .öire garant de queique 
chose, de ce que fait quelgw’un; qui doit ren- 
dre comptle de sa gestion, etc. . 

Respönso, s. m. röpons qu’on chante pour les 
morts. V. Responsorio. 

* Responsum. V. Resposta, Responsäo. 

RESPONSÖNIO , 8. m. r&pons : partie de l’office ; 
antienne redoublee, apräs les legons. 

Resrösta, s. f. reponse & une question, etc.; 
replique ; repartie , refutation ; lettre ecrite 


pour repondre; co qu’om repond. tAg:) Ban rö- 
flechi , renvoy6 par un &cho. V. Reposta. 

Resrostäpa. V. . 

Resrünuica , eio. V. Republice. . 

Resasicıe, 3. m. “ouverture,, jaur ebire le 
gund et la porte, et, par extension , fonle, 08- 
veriure queleong@e; (Aig.) jour, meyen, expb- 
dient. (id.) Portion wös-modiqne, potit resie. 

ResneeninO,A,P- p. de 

Rrsascrin, ©. a. rögter les valeurs des mar- 
ehandises qu’on pormots. V. Pormuler. 


d’une serrure, et euvertares deiseiel 1: 
r&pondent. V. Paihetdo. it. V. Rositik, 

ResreLLi0o, A,P.p. da 

ResteıLLia, v. a. serancer : peigner ie cha 
vre, ie lin. 

RzsretLLo, 5. m. peigne ow soran: int+ 
ment pour pelgner lo chanvre. 

Resreva. V. Restolko. 

Resta ,s. f. "rejeton qui pousse as 6: 
d’un arbro. — de sol, petite Iueur des raıch 
da soleil. V. Resten. ' 
















Hessauıän, ote. V. Aessbier, elc. Restrinca, s. f. (4. de wer.) 'rocher. as 
Ressica. V. Rosace. au fond de l’eau ; bano de sable. Lies edutı 
Nessio. V. Asclo ou Roeie. peu d’eau. 

Kussepin , ete. V. Resuder, elc. Restincuin, v. a. (p. us.) &teindre de me 
Ressuusaän, 9. n. salnier. V. Rogumar. vcau ; eleindre, extirper. 


Restıtuigäö, a. f. restitation : acion den: 
tituer, de retablir ; action de rendre ce quitı 
pris owrecn. 

Resriruipo, A, 9-9. de Restikeir.i.ie 
titad ; retabli; restaure ; rendu, — de dis, 
rappel6 de l’exil, | 

Restıtufoen, 4, 9. oelui qui resliiee, ar. 
tablit. 

Restırufa (a), v. @. restituer (d): eit® 
qui avait &t6 pris, possdde indüment; r;!? 
rötablir ; remettre & P&tat pröoddent ren 


Hessuscırän, ete. V. Rosuseilar, et0. 
RestaseLeckn, v. a. rötablir : romeliro dems 
son premier dtat, en born, en meilleur tat. 
NESTABELBCER-SE, ©. r. so rölablir: se ro- 
nnettre d’une maladie, d’une perie, elK. 
RESTABELECIDO, A, 9. p. de Restabdeloeer. 
RESTABELECIMENTO, s. m. rölablissement: 
action de rötablir; #tat de oe qui est rötabll. 
Recourrement : l’action de recouvrer. 
Resranuoı, 3. m. (6. de bot.) " bugrane ou ar- 
röte-bauf : plante lögumineuse, A piquante 


dangereux ,& racines trds-fortes. ildolt @tre; rötablir, remetire en usap.?" 
-+ Resrämpa, s. f. second tirage d'une 66- | gueur. Rendre les forces, donner une wir 
tampe, d’une gravur®. vigueur. — a konra, reparer !honnts.-‘ 


damno, reparer lo tort, le dommag Ti 
quelqu’un. — algusm de perdas, dan, 
.| dommager quelqu’un d’une perte, ei.-# 
custas, refondre, restituer, r&parer Is [n‘ 

Resritufe-se (de), ©. r. se reiabli, «= 
mettre d’une perie, etc. Reconvrer une & 
perdue ou usurpde. — em honre, tip ® 

onneur. 

Restirurörio, A, adj. qui conceme *# 
danne la restitulion. 

Resto,s.ın. reste : co quı demeum du 
partag6, separe, d'une quanlile, ek. Basis 
ce qui reste; residu, relignat de comp. * 
— ds conlas ‚solde de compte. De —, amt 
au surplus, du reste. Jogar, melter 0 -. 5 
de son resie, Jouer l’argent qui resie Ji®' 
—, ou meilero sou — na batalke, (1 
deson reste, faire los derniers efforts. 

+ Restoruin, v. a. chaumer, wirt‘ 
chaume. V. Rebuscar, Respigar. 

RestöLHo,s. m. chaume, esteuble, &- 
V. Rasiolho. 

REsTRıpÄR, on. se Lenirträs-ierme te" 
avec force. V. Esiribar. 

Restaıccäö, 4. f. restriction : modiia-® 
Himitation ; condition qui restreint. — 
restriction mentale : räserve que l'on [al a" 
son esprit, d’une partie dece qu’on prü#- 

RESTRICTANENTE, ade, & la riguear, SIE 
ment. 

Rzstaıcriva. V. Resiriegde. 

RESTRICTIvAMENnTE, ade. avae Testitd@- 
Restriclamenie. 


+ Restaurir, o. e. faire un second tirage 
d'une estampe, d’une gravure. (fg.) Marquer. 
Restänıe, 2. m. restant: ce qui resie. } 
—, qui reste, qui estde Surplus. p.@. de 
Resrär (de), u. m. resier : etro de reste, de 
‘surplus. Manquer. V. Faltar. Restäo-me pou- 
eos dias da vida, il me reste peu de temps & 
vivre. II est quelquefols aeif. Ex. : Resto-Ihe 
ainda tanto, je lul dois encore de rest# tant. 
Azstaunacäö, s. f. restauration : rötablisse- 
ment, r&paratlon ; (fig.) r&lablissement d’uno 
dynastiedechue. Delivrance, affranchissement. 
Restaunino, A, p. p. de Restaurar. 
RESTAURADOR, A,5. Festauratenr : celul qui 
relablil. 
RESTAURÄNTK, adj. et 5.2 gen. restaurant: 
yui restaure. g. a. de 
RESTAURÄR,, dv. a. restaurer, rötablir, remet- 
ire en bon eat. Rötablir : remeitre dans le 
nıeme dat «u’auparavant. So racquitter : ra- 
voir co qu'onaraltperdu. V. Aecuperar. 
RESTAURÄR-SR, 9. F. 86 Fötablir : se remelire 
d’une ınaladie, d’une perte, etc. 
RESTAURATITO, A, adj. reslauratil : qui res- 
tauro; restaurant, propre & ToSlaurer. 
REsTauRATEL, ad). 2 gen. qui peut se res- 


taurer, 

Reste. V. Riste, Resto, Risten or Restia, 

Restga,s. f. "gland » chalne, chapelet d’o- 
gnons, etc. (g.) File, bande, rangee. V. Res- 
tia. Heiter-se em — , (burl,.) se melire au nom- 
bre .lo, se ranger parmi ; sieniremmclire, s’in- 
gerer. 

REST£LHO, 5. m. räleau : garniture ou gardes 











ZT 7 10 vu 


a > San Ve er! 


mn —m— u nu, 


RES 


Resraicriro, A, adj. rosirietiß:: qui limite, 
qui restreint. 

Assrricta, A, adj. restreint » resserre, Ni- 
mile. 

REBTRINGENTE, adj. 3 gen. resiringent, qui 
resireint. p. a. de Resiringir. 

RESTRINCIDO, A, P.9. de Restringir. 

RESTRINGIMRNTO, &. m. action de restreindre; 
oempression , resserrement, 

Resraıncia, v. a. restreindre, resserter, li- 
miter d; diminner, reduire. 

BESTRINCciR-SE, v.r. serestreindre, se horner 
&, borner ses pretentions. So moderer, se T&pri- 
mer. V. Refrear-se. 

+ Restaıncivsr, adj. 3 gen. qui peut ötre 
restreint. 

RestucäkdO, A,p.p. de 

Ürsrucän , o. a. boucher une [enie aveo de 
la colle, etc. 

Rrsuvdackö, s. f. (t. de med.) transpiration : 


sortie des humeurs paris pores." Suinlement, 


Tessuage : tat d’un COFpB qui SUB. 

Resepär, o.n. transpirer. Ressuer. V. Re- 
gumar. 

Resörra, 5. f. suite, effet, rösaltat. Resultat 
d’une conference, etc. V. Resultdde. 

+ ResöLTa, 0. imp. Il appert, il est mani- 
feste. 

ResuLrino, A,p. 9. de Resullar. s. m. Re- 
sultat : ce qui r&sulte, ce qui suit d’une deli- 
beratlon , d’un prineipe, d'un fait; eonssquen- 
ce ,elfet d’une eause, d’uno aetion, d’un dis- 
cours. 

ResuLtäincıa. V, Resulia. 

RrSuLTÄnTR, adj. 2 gen. rösultant, qui re- 
sulte. p. a. de 

ResoLrär (de), v. n. resulter (de) , s’ensui- 
vre; ötre la consequence, le r&sultat de. (em) 
Tourner en faveur, ar proflt os au prejudice 
de. Rejaillir, rebondir (p.us.). D’aqus reswlld- 
rdo grandes desgragas, il en est resulis de 
grands malheurs. Que resullou? qu’s-Hil, 
qu’est-il resulte? 

Ausumue.V. Resumo. 

Resumipaußnte, adv. sommairement, en 
abrege. 

Resumino, A ,p.p. de Roesumir. 

RESUMIDOR , s. m. abreviateur. 

Resumir, v. a. resumer, recueilli® ; repren- 
dre, r6öduire en peu depareles ot conclure; 
abreger, faire un preeis. Reprendre. V. Reas- 
sumir. Resoudre. V. Reduzir, Coneluir, Re- 
solver. 

RESUMIR-RE (em), v. r. se renfermer, 56 con- 
tenir dans. Se rösumer. it. V. Cifrar-se. 

Res6ömo, s. m. rösume, sommaire, pröcis, 
sbrese. Em —, en abrege; bref, en peu de 
mots. 

ResospcÄiö, ss. f. resumption , action de rö- 
sumer. (inus.) Reprise, continustion spr&s 
interruplion. 

Resömrra, s. f. V. Resumo. Röpetition d’un 
svllogisme, d’un argument, avant l’y repondre. 
Resumpte : derniöre thöse de Ih6ologie. 


RET 4031 


Rasunerivo, a, ed. (4. de mid.) rösumptif, 
qui zepare, qui retablit (remede). 

t Resurinacäö, s. f. (1. de bat.) rösupina- 
tion : &tat d’une Qeur dont la corolie ow le p&- 
tale sup6rieur devient inferieur. 

rResurInÄäDo, A, @dy. (8. ds bof.) rösupind ; 
(corolle, petale)en elat de resupinalion. 

REsurino, A, adj. couch6 gur lo das, ren- 
vers36 en arriere, N 

Resurcipo, A,p.p. de 

Resuncis, v. m. ressusciler, Y, Aessuseiler. 
(fig.) Renattre. 

Resurnneicäö, s. f. resurreetion : rolour de ; 
la mort ä la vie. (flg.)—, recouvrement de la ! 
gräce. — da carne, dos morlos, r6surreglion ' 
de la chair, des gorps. Bsperar ald au pela— 
dos capuehos, ( fam.) auendre une ohase qui 
n’arrivera jamais. 

Reserria,o. ®. rejaillir, rebondir. V. Aro- 
tar, Sair. 

. Resuscıracäö,s. f. action de ressusciter ow 
de ramener & la vie. 

Resuscırino, A,p. pP. de Resusciter. 

RAzsuscıranör, 5. m. celui qui ressuselte. 

ResuscıTÄR, ©. a. ressusciter : ramener de la 
mort, ranimer, redonner la vie. (fg.) Renouve- 
ler, faire revivre. v. n. Ressusciter : revenir de 
la mort; (ig.) d’une grande maladie. 

RESUSCITÄR-SE, v. r. 80 ressusciier solmöme, 
se dit de Jösus-Christ, 

RESVALADRIRO,, 8. m. Caase-cou, lieu glis- 
sant, glissoire. 

+ Resvaranio, A, adj. glissant, V. Zsoorre- 
gadio. 

ResvaLanduno. V. Resvaladeiro. 

+RusvaLapöra , 8. f. trace qui resie & on» 
droit od !’on a glisse. Glissade. 

RzsvaLin (por), v. ". glisser, faire un fauz 
pas. Patiner. (A4g.) Manquer & ses devoiss, 
tomber en faute. V. Deslizar-se.— da fd, etc., 
s’ecarter de la foi, eio.— em erro, Bi6., LOUM- 
ber en faute, eto. 

Resvetar, etc. V. Resvalar, etc. 

RETÄBOLO, 3. m. tabloau reprösenlant quel- 
que &vönement ‚etc. Retable : ornement d’ar- 
obilecture eontre lequel est appuy6 un autel. 

* Rerino. V. Reptado, Desaflo. 

"Reranen. V. Be . 

Reracuinna,s. f. arriöre-garde d’une ar- 
mee. Arcommellter o inimigo pela —, prendre 
l’ermemi par derriöre. 

RETALBÄDO, A,p.p. de Rolalkar. 

RETALHADOR,, 3. m. oolui qui ooupe ou mel 
en pieces. 

RETALHADERA, 9. f. mise en pidoes ow en 
moresaufT. 

RetaLuin,v. a. retailler, couper, bacher, 
meltre en piöces, Faire des retailles, des 
pieces. 

Reraımemo,s. m. celui qal vend en detail, 
dctaillant. 

RFETALBIRBO, 5. m. dim. de 

ReräLno, s.m. "rotaille, parlie reiranchce en 
fagonnant, elc.; mosceau. Coupon d’Stofle, eis, 


1033 RET 


Mersador ao —, marthand en detail, detall- 
lant. —s, pl. morceaux d’etoffe. —s de pellica 
para eolla, rognures ow retailles de peaur, 
orillons. Manta, capa de —s, couverluro, 
manteau de plusieurs petits ınorceaux d’etofles 
de diverses couleurs; habit rapiscele. ( fig.) 
Centon : ouvrage plein de morceaux pilles; 
rapsodie. (id.) Homme d’une instruction mal 
Jigerte. 

ReraLıkno,A,p.p. de 

+ ReraLıän, v. a. user de la loi du talion. 

RETÄuNA. V. Giesta. 

“Reräug. V. Apucar. 

ReTancHino,A,p.p. de 

+ RETANCRÄR ‚ v. a. replanter la vigne. 

“Reräin,etc. V. Reptar, eic. 

RetanDaGäd, 8. f. "retardement, relard, d&- 
lah 

RETARDADO, A, P.p. de Relardar. 

RETARDADON, A, s. et adj. qui retarde. 

RETAnDANMENTO, 5. m. reiardement, delai; 
retard. 

*Reranpänga, s. f. V. Relardamenio. 

Reranpie, v. o. Fetarder, differer, s’srrid- 
ver. 

Reräano,, s. m. retard, allongement, delai, 
romise. 

RrrivoLo. V. Retabolo. 

* Rerkan. V. Relirar. 

ReteLgino,A,9.p. de Retelhar. 

Rereıuanisa,s. f. aclion de recouvrir un 
tolt, reparation d’un toit, 

RETELHÄR, 0. @. recouvrir un toit, remplacer 
les tuiles qui manquent. 

+ Rertu,,s.m.*reserve : provision pour le 
besoin, cic. (8. de mil.) —, troupes & l’arriöre. 
De — , en reserve, & part. Armazem de — , de 
p6t (de märchandises ), entrepöl (de vins, 
eit. ) 

Bermınisıız, s. f. ($. d’anat.) "lissu des 
pelites ariöres sous lo cervean. 

Rerengäö, s. f. retention : aclion do retenir, 
röserve, reservalion. L’action de conserver un 
emploi en passant & un autre. Acte par lequel 
le roi suspend l’ex&cution d’une bulie, jusqu’& 
ce qu’il ait 6crit au pape. — d’ourinas, relen- 
tion d’urine : dificultt, impossibilite d’uriner. 

+ Reresida , s. f. (1. de mar.) cordage de 
setenus , palan de reiraite os de recul des ca- 
aons. — do escaler, hale a bord du canot. 

Ükrentiva,s. f. facultö de retenir, me&meoire. 
Prudenze, eirconspeclion. 

RETENTIVO, A, adj. (4. de med.) retentil, qui 
retient. 

RETENTO,A,P. p. irr. de Beier. 

RETENTOR, A,s. rötenlionnaire : qui retient 
la propriets d’autrui. 

Nerentriz, adj. [. ($. de mdd.) on le dit de la 
facult6 propre ärelenir. V. Retentivo. 

Rer£r, v. a. reienir : garder par devers soi 
ee qui est a un autre; ne pas lächer, ne pas li- 
vrer; arcöter; empe£cher ; garder dans sa mec- 
moire; (fig.)repriner,moderer (sacoläre, elc.). 
Garder, conservon it. V. Apener. 


RET 


RETER-SE , 9. 7. se oontenir, se mode. 

Reresino, a,p.p.de 

RETESÄR, v. a. tendre, bander. V. Alm. 
Endurecer. 

RETESÄR-SE, ©. 7. s’endureir. On We dit da 
mamelles des animaux, surtout lorsqu'che 
sont trop chargees de lait. 

RETEÜDO, A,p. p. irr. de Reter. 

Rericancıa , s. f. (b. de hät.) rölieese: 
interruption subite et faite & dessein dam l 
discours. 

Rericu.a, s. f. (l. d’astr.) "reüiele: m 
neau garni de fils croises pour mesurer le di- 
mälze des asires. 

KericuLAno, a ,adj.{f. d’arch. anc.) reitet: 
(magonnerie —e) cailloutage en carres leeti, 
imitant un filet. 

Rericu.in, adj. 2 gen. retioulaire os tn» 
forme, qui ressemble ä un reseau. 

RericuLo, s. m. V. Retieula. 

Rerirican,, etc. V. Reelificar, eilt. 

RETIFÖRME, adj. 2 gen. (4. d’anal. ci dem! 
rötiforme : qui a la forme d’un reis. | 

+ Retıntım,, s.m. retentissement, tiniemek 
bourdonnement dans les oreilles. 

Rerina,s. f. (&. d’anat.) reline : Slew art 
laces, &panouissement du ner[ opligee, u" 
goivent les images. dt. V. Raline. 

Rerınaia, 0. 6. reteindre : teindre de ur 
veau. 

Berınino, A, p. p. de Relinir. s. m. kur 
tissement; tintement d’oreilles. 

Rerininte, adj.2 gen. qui reienik; qui ie® 
p.a.de 

Rerınir ow Reriınnia, v. m. reienür. Tor, 
resonner, en parlant d’an melal, d’en vr, 
eilt. 

Rerina ou (4. dimpr.) runs“ 

Reriaciö,e.f. } verso d’ane lecik # 
papier imprimee d’un cöle ; action de [= 
primer. 

Rerıaäpa, s. f. retraite : sclion de se re‘ 
marche de troupes qui se retirens; lien =!“ 
se relire, ou l’on se refugie. V. Retirod.b- 
soncia. Faser uma -— airosa ‚faire une haaXt 
retralte. 

+RerıRipauantg, adv. dans la reirad.* 
litairement. L\ 

Rerıäpo,A,p. p. de Retirar. dj. Bett: 
eloigne. Vida —e, vie solitaire et relrer. 6 
mem —, homme relire, qui vit dans la nit“ 
Luger — , lieu retire, solitaire. 

RETIRANENTO, s. m. action de relirer. \.E 
hiro. 

Rerırän, o. a. retirer : ürer & soil, nm & 
fitre; ecarter, 6loigner, reculer; dler wat iM 
de l’endroit ou elle dtait; öler de derasi &l 
yeux; cesser de donner un secours necrs2@t 
Detourner, meitre & l'&cart. — os Iuzimre'@. 
( loc. an.) eviter les occasions de hruler. Fe 
zer — lodus, faire en aller tout le monde 

Rerinin-se (0, de, pera), ©. r. se reife!” 
commerce du monde. Rompre avec guet ®- 
Se retirör : s’en aller; se relirer dans, se 














RET 


gner, se röfagier dans; ne reeuler; rentrer chez 
soil. (8. de mil.) Se replier. plier, reculer; battre 
en retraite, — a um clausiro,, se jeter dans un 
eouvent. — dos negocios , renonoer aux affaires. 
— do jogo, ne plus jouer. — para casa , 36 re- 
rer au logis,, rentrer chez soi. 

Rerino, s. m.“ retraite : lieu retire, demeure 
solitaire ; $loignement du oommerce.du monde, 
eic. 

Rero. V. Repto et Rooto. 

*Azroär. V. Beptar. 

Retocäin0,A,p.p. de Relocar. 

RETOCABOR , 3.m. outil d’orfövre. ! 

Rerocär, ©. a. retoucher, revoir, corriger, 
perfectionner ; reformer. — uma obra , um pai- 
nel, retoucher ä un ouvrage, reloucher un ta- 
bleau. 

ReroLo. V. Rötulo. 

Rerosmävo,p.p.de 

ReromAÄR, 9. a. reprendre : prendre, saisir 
de nouveau. 

Retomsin. V. Relumbar. . 

ReT6öQueE, s. m. * recherehe, dernidre maln 
qu’on met ä un ouvrage. (S. de peint.) “ Retou- 
che, changement, endroit retouche. * Correc- 
tion , perfectionnement. 

Reroncepeıno, 8. m. " machine & retordre le 
al. 
Reroncedör, A, s. reiordeur : celui qui re- 
tord des Nils. 

Rerorcepüra, s. f. Paclion de relordre du 
fil, etc. 

Reröncka, v. a. relordre : tordre une seconde 
fois. Retorquer un argument. (fg.) Mal inter- 
pröter, prendre en mauvaise part. Retourner. 
V,. Torcer. — oceaminkho, pelos proprios pas- 
sos , rebrousser chemin , retourner Sur 868 pas. 

RETORCIDO, A, p. P. de Retorcer. adj. Reiors, 
retordu. Crochu , recourbe, torta. Tortille, en- 
tortille. Tortueux. Cabello —, cheveux frises, 

Reröxıca, etc. V. Rkelörica, etc. 

RETORNADO, A,P.p. de 

RETORNÄR, dv. 6. ein. Felourner dans un en- 
droit. V. Voltar, Regressar. 

RETORNELLO,, 8. m. * ritournelle d’un air, re- 
train de chant, etc. 

RETORNO,, 3. m. renvoi, retour dans un en- 
äroit (p.us.). Retour, reconnaissance d’un bien- 
fait, etc. Troc, echange. Retour d'une voiture 
a vide. —s, pl. (t.de comm.) marchandises de 
retour ow de renvoi. Sege de —, carrosse de 
renvoi. 

ReToRgtir , v. #. relorquer : toumer contre 
son adversaire les arguments dont il s’est servi. 
st. V. Retorcer. 

+ Reronsiö , s. f. retorsion : aclion de retor- 
quer. 

Rerörta, s. f. retorte, cornue : vaisseau de 
chimie. La partie recourbee de la crosse d’un 
ereque. 

RETORTO, A, adj. crochu, recourbe, torlu. 
Mourisca —a, sorte de danse ancienne. 

Artosin. V. Relougar. 


BET 1033 


f Rerosräa, v. a. röpeter les loasis, les 
santös. 

+ RETOUCAR , vo. @. recoiffer : coiffer de nou- 
veau. 

RerougaDoR, A, adj. et s. badin, folätre. Y, 
Reiougdo. 

REToUGÄO , öna, adj. qui badine, qui folälre 
d’une ınanidre indöcente (inus.). Bondissant, 
qui bondit ( cheval). 

RETOUGÄR, 9. 9. et —SE, 0. r. jouer, folälrer, 
sauter, bondir, 

Reröugo, s. m. saut, bond d’un animal, en 
signe de joie. 

Rernäccäö,s. f. V’action de retirer. (8. de 
chir.)* Relirement: contraclion,, accourcisse- 
ment. 

f Retrracinas, adj. [. pl. ( t. de bot.) Folhas 
— , feuililes ruminedes, en lanieres recourbees. 

f Rerracän, v9. a. so dit des animaux qui 
€parpillent la paille 4 demi mächec. (Ag.) Re 
buter, dödalgner. 

* RETRAGAR-SE. V. Recolker-se. 

Retrico, s. m. les debris de la paille que 
mangent les animaux. (fig.) Rebut. 

RETRACTACÄO, 5. f. reiractalion : action de 
se rötracter ; d&saveu,. 

RETRACTÄDO, A, 9. p. de 

RETRACTÄR, vd. G. rötracter ; desavouer. Trai- 
ter de nouveau. 

RETRACTÄR-SE, v. r. 56 rölracter, se dedire; 
revenir sur c8 que l’on a dit ou fait; detruire oe 
que l’on avait avanoe. 

Retnatn ou Rernanen. V. Reirahir. 

*Rernacuvinna. V. Relaguarda. 

Reraagipo, A, 9. p. de Retrahir. adj. Con- 
centre, relire; dissimule. 

RETARAHIMENTO, 5. m. action de relirer; reli- 
rement. * Retraite, reluge, asile. * Reserve. 

RETAAHIR ‚9.0. relirer : tirer vers soi os d’un 
lieu dans un autre. Dissuader, detourner d’un 
sentiment. Retraire, retirer un heritage aliöne. 
Faire rentrer. ( ig.) Cacher, dissimuler. 

RETRABHIR-SE (G), dv. Tr. se retirer, batire en 
retraite; se relugier, s’absenter. (de) Se relirer, 
s’enfuir. 

Retrair. V. Retrahir. 

RETRAMÄR, v. a. tramer de nouveau. 

Retränca, s. f. avaloire: large courroie qui 
sert de croupiere aux betes de somme; culiere, 
(1. de mar.) Civiere, moustache. — d’uma cha- 
lupa,, (id.) bome ow baume ‚grande voile d’une 
chaloupe; voile & gui. 

ReTRATADO, A, p.p. de Relralar. 

RETRATADOR, 5. m. V. Reiralisia. ( ig.) Qui 
decrit, depeint. 

RETRATÄR, 0. a. peindre : faire un portrait, 
Imiter, copier. (g.) Decrire, depeindre. V. Hs 
(raclar. 

RETRATÄR-SE (em), v. r. se voir, se revoir. 
(ig:) Se reproduire par la ressemblance. Ne 
filho se retralou oulro pei,, le fils est le portrait 
de son pere. 

RETRATISTA , 3.2 gen. peinire en porlraits, 





1084 RET 


Reroiro, s. m. portrait: renräsentatian do la 
figure d’une personne; description cn vers 0% 
en prose des traits, du caraciäre, elo.; (flg.) 
figure, image, representation. Este Alkado — 
de seu pai, co llls est la vraie rassemblance de 
son pe@re. 

* Rernaourär. V. Reiractar. 

“Rerrazea. V. Heirakir. 

Rerreuea, o. m. trembler de nouveau. 

Beraßta,s, f. reisaite: signal donnd aux Sol- 
dais de se retirer au quartier. Tocar 6 —, 300- 
ner la retraite. 

Rerntte, s. m. cabinet secret, ratird. Retrait, 
privs, cabinet d’aisance. Cadsira do —, clıaise 


perc6e. 

Reraistıcäö, 3. f. retribution : salaire, r&- 
eompense d’un travail, d’un service, d’une 
peine, olc. 

Rerkızufpo, A, p. p. de Reiribuwir. 

Rrraıgvidön, A, 8. 0elui qui r&compense. 

RETRIBUIR , v. 8. r&compenser, donner le sa- 
laire, la röcompense, elc: 

ReraıLnido, 9. p. de 

ReraıLuin, o. a. fr6quenter souvent un che- 
min. V. Repisar. ' 

Retaıncäno, A, adj. narquois, fin, ruse, qui 
se platt A tromper. V. Cavilloso. 2. p. de 

Rerriıncia, v. a. entortiller, embrouiller, 
( Ag.) Interpreter malicieusement. 

RETRINCHEIRANFENTO , s. m. (d. de fort.) "re- 
tirade : retranchement derriere un ouvrage. 

RETRO, adv. (mot lat.). V. Alraz. 

Rerno, s.m. (6. de prai.) remeor6 ı pacie avec 


facult& de rachat, faculıi& de reprendre une Id 


echose vendue en donnant son prix; rachat, re- 
trait der&mer6. Vender a —, vendre & renıere. 
— fechado , römerö limit, dans un terme fıx6. 
— aberto , r&märs illimite, 

Rernoaccid, s. f. rötroaction: ellet de ce 
gui est rötroactif. 

RerroAcrivo,4a,adj.(I.de prai.) rötroaclil : 
qui agit sur le passe. 

+Rerroär, v. ». relenlir de nouveau, 

+ RerTRocänos, s.m. pl. sorie d’ancien orne- 
ment dans les broderies. 

RETROCEDER, v. n. rebrousser chemin, reiro- 
grader, reculer. (fig.) Reculer, se dösister d’une 
euntreprise. 

RETRocEDIDO, A, 9. p. de Reiroceder. 

RERTROCEDIMENTO. V, Reirucesao, 

Retnocea. V, Retorcer. 

Retrocessäd, 5. f. l’action de reculer. Retro- 
Cession. 

Rertaocksso, 8. m. V. Relrocessäo. L'aclion 
par laquelle leshumeurs rentrent du dehors en 
dedans. 

Rernocradackd, 5. f. (1. d’astr.) rötrogra- 
datlon : action de re&trograder. 

RETROGRADADO, A ,p. ?. de Retrogradar. 

+ RETROGRADAMENTR, ado. ei rötrogradant, 
d’une manidre r6trograde. 

RETROGRADAR, ©, ®. Felrograder : rolourner 
en arriere. 


REV 


qei va on arriäre, Verse — , (1. de pods.) von 
rötroyrade ; quia les mmämes leiten ei le ındme 
sens des daux cölea. Ex. : oma tibi subilo ne 
hihua ibit amer, 

Ratrocuians. V. Reisguards, 

* RETROITÄR , 0, 0. ( 4. de pre.) aulredina 
justioe, 

Reraos. V. Reires. 

RETRoTRAcTivo. V. Retroactivo. 

t RETROTRAUIR, 9. @. Fapporier ume cha ; 
un temps anttrieur & oslui de san exisise«: 
donner un effet r&isoaclif. 

Rkrnovsnneeno, 3. m. mol [orme des den 
mots latins reiro vendendo. On dit en pariı- 
gais: Cunirsto, paclo de —, römeans, tatbil, 
recouvrement d’une chose venduo on es fer 
dant le prix. V. Retro, s. 

RETROVEnn£R, v. 6. (f, de prei.) rerendn un 
vendeur ce qu’on a acheie de lui et pow k 
möme prix, remerer. 

+ Reraovamiciö, 3. f. (td. de prai.) ieie 
de revendre au vendeur. 

BETROYENDINO, A, p. P- do Reirovender. 

Reraöz, &. m. soie lorse, fil de sole. 

+ Reraucia, 0, 6. V. Retorguir. 0. n. Ba 
vier, au jeu. 

+ RETRÜQUE, 5. m. contre, contre-ooup dm 
bille qui, apres avoir touche la bande, vi 
frappar celle qui l’avait daplacke. Banvi, au rt 
de cartes. | 

Rerouran. V. Rofuler. 

RETUMBÄDO, A, P. p. de Relumber. 
RETUMsaÄnTe, adj. 2 gem. retentissaal #6 
L) 


Reruusän, 9. m. retenlir, resonnet. 

BETÜN2O, 3. m. relenlissement: son read. 
renvoy6 aveo 6clat ; resonneomen!. 

Raruspino, A. 9. p. de 

Reronpia, ©. 6. (1. de ndd.) dmoune; ! 
primer. 

Reu os Raso. } V. Ruibarde 

ReUBARBO, 8. m. ° . 

Rtuna, te. V. Aheume, elc. 

Reünıkö, s. f. röunien : action de rasiı, I 
se röunir; (Ag.) reoenciliation. " Rassemdt- 
ment, concours de personnes, allroupeBi®“ 
(1. de mi}.) ' Ralllement: l’aotion de ralliz, & 
se rallier. 

Reönino, A, 9.9. de 

Rzönin , 0.6. röunir : rassembler co qei #3 
&pars, desuni, s4pard; unir, joindre.((. dem) 
Rallier, rassembler, remelire ensemble. \L.# 
ekir.) Agglutiner : röunir les chairs, jap 
m os qua fogem,vallior les [uyards, las rasın® 

er. 

Reünia-sE, v. vr. se rsunir, se rassembiet, # 
rejoindre. 

Revauınackö, s. f. röralidalion : aclicn # 
rendre (& un acte) sa validile. Rauiflcalie. 

REvaALIDÄDO, A, P. 2. de . 

Revauınaa, 0.0. revalider : rendre la ra 

‚ dit: ratifler, confirmer, donner une 


Ruraocsano, a,adj. (4. d’asir.) röiragraule: | force. 














REV 


Revedön, s.m. celui qul rarolt. Correeteur 
d’ınprimerie. Censeur. V. Rerisor. 

IiseL,adf. 2 gen. (1. de prai.) contumax: 

a: use qui ne comparalt point sur la eitation, 

Ser —, nepoint comparaitre, laisser prendre 

defaut contre sol. V. Re . 

ReveLacid, 8. f. rerelation » action de re- 
reler; chose , religion r&veite; inspiration. 

ReveLivo, A,P.p. de Revslar. 

REYELADOR, A, 8. celui qui revdle. - 

Reveriö, adj. m. aug. de Aevel. Rätif (che- 
ral). V. Rebelläo. 

Reverir, v. a. rövsler » Adoouvrir, deolarer, 
faire savoir, deelarer, manifester. Annoncer, 
predire, avertir de. — mulher, connaltre une 
fomme. 

Revsındösco, a, ‘dj. (durl.) un peu 4g6. 

RevsLia, s. f. *defaut de comparution aux 
termes de Passignation. Sentencoiser d—, 000- 
damner par delaut. 4’ winhe —, & mon insu. 

ReveLim, s. m. (6. de fort.) ravelin : ouvrage 
de fortilication exterieure, demi-lume. — feilo 
em lenalha, contre-queue d’aronde. 

ReveL.in, 9.0. 08 REVELLAR-SE, ©. v. V. 
Rebellar-se. 

ReveLL&nte, adj. 2 gen. (f. de med.) rerul- 
sif. p. a. de 

Revsıria, 0. a. (6. de med.) donner aux hu- 
meurs une autre direction, faire rövulsion. 

Revzııöso. V. Rebelde. 

Revzıöa, 8. f. de Roveiko. 

Revenpa, s. f. rovenie : seconde vente, 

ReEvEnDÄÖO, ONA ,s. revendeur.=uS0. 

*Ravunnackö. V. Revendila. 

Revzunnnör, A. V. Revenddo, 

REVENDER, 9. @. revondre : vendre de nou- 
'0au ; vondre 08 qu'on avait acheis. 

Revanpıcıö, 8. f. action de revendre. V, Rs- 
sende. 

Revanoıcie. V. Revindicar. 

Revaunino, a, p. p. de Revender. 

Revanpınniö. V. Revendde. 

Revenpira. V. Roviadieta, 

REVENDORA, 8. f. revendeuse. 

REVENSRARO, A, P. p. de 

REVENERÄR, 9. a. rövörer, vöndrer. 

Revta, ©. 6. revoir : voir de nouvean ; 00r- 
iger, retoucher, examiner de nouveau; reri- 
er. vo. ». Suinter. 

REVER-SE (em), v.r. sa rezarder, se mirer 
ans une chose qui rend l’image. —em alguma 
usa, se plaire A examlııer un objet.— na sua 
bra, so mirerdans son Ouvrage. —em alguem, 
»garder, aimer quelyu’un comme un aulre 
Ji-Im&eme, 

Revenı , ade. (mot lalin) en effet, en verite, 

Revanseniciö, 3. f. reverberation: refe- 
‚issement, röfexion (de la lurmnidre, de la 
‚aleur). Calcinatlon dans un fourneau de re- ! 
ırbere. 

Rzvsnnzräng, A,Pp. p. de Hererberar. 
REVERBERÄNTE, adj. 2 gem. reverberans ı qui 
werbere ow röflschit, 


REV 108 


Reversenin, ©. a. et mw. rörerbörer, rölls- 
chir, se dit de 1a Iumidre. V. Brilkar 

Revenpeno, s. m. V. Reverberapdo. Fogo- 
fornilko de —, fea,, fourneau de röverbere. 

RRVenDEceR, v.e. faire revordir. v. w. Re- 
verdir: redevenir vert; fg.) rajeunir; rode- 
venir plus fort, reprendre une nouvelle vi- 
gueur. 

RevEnvxzckntg, adj. 2 gen. p. a. do Aever- 
deoer. Reverdissant, qui reverdit. 

Revanpscino,, a, p. p. de Reverdecer, 

REYRADECIMENTO ‚3. m. reverdissemen! : 26- 
tion de reverdir. (Ag.) Rajeunissemient. 

Reveninca.V. "respect, ventrallon. 

Reveatnaa,e. f. I Reverence:saiutenın 
elinant, en pliant le eorps; Liire donnd aux re 
ligleux. 

Revenuncıäno, A, p. p. de Roceveneiar. 

REVERENCIADOR , A, 8. oelal qui reröre, qui 
respecte. 

RavsasıcıÄı, adj. 2 gen. qui marque du res- 
peet. Temor — , crainte r6vörentielle. 

Revenzncıän, 0. a. rör6rer : henerer, res- 
peeter profondöment, 

RurYzaancıösaußuts , ade. revörencieuss- 
ment, avoo respect. 

RanYzasncıös0o, A, adj. rövörencleux, Irds- 
respeelueuz. 

Ravantnnas, 3. f. pl. dimissoires : permis- 
sion de se faire ordonner par un autre 6v@gue 
que le dioessaln. 

+ Ravensnpissima, 8. f. titre donns aux gb- 
neraux des ordres reiigieux. 

Ravsaznpissıuo, A, adj. revsrendissime : 
dit plus que irds-röv6rend ; titse elaustral ; titre 
des göndraux d’ordre, den archevögues, des 
patriarches , #0. sup 

Revnatıeo, ad. digne de respeot, de vent- 
ration. (fam. ) Extzömementeirconspect, d’uns 
vöservo, d’unegravite affectde, etc. Rerörend : 
ütre d’benneur donne anz religisuz , ele. 

REVERENTE, adj. 2 gen. respeclueux. 

REVERRNTENENTE, ade. roröremment, Tes- 

eusement. 

Ruvznis, V. Reuslie. 

Revsnsa. V. Hevassa. 

Reversit, adj, 2 gen. Corla — ‚leiire röver- 
sale, qui se repporte d une autre. V. Asselva. 

Revensiö, s. f. reversion, retour. 

RevsasiveL, adj. 2 gen. röversible ı gai doit 
retourner & son proprietiaire, 6i0. 

Revzasivo , a, adj. qui selourne ; sujot A rö 
version (bien). V. Reversiuel. Nervos -os, (1. 
d’anat.) V. Recurrenie. 

Reveaso, a, adj. eontraire, opposs. 4. \. 
Bevesso. 

Rzveaso, s. m. revers de medallle, de mon- 
naie; envers, le cötö le moins beau. 

+ Revaatür (a), ©. n. relourner & son pro- 


| prietaire,, & la couronne, etc. V. Reversivel. 


Revaatino, A,p. p. de Reverter. 
Revaarivaı. V. Reversivel, 
Bzvts, V, Royes. 





1036 KEY 
Ravsssı ,s. f. conire-oourant dans une Ti- 
viere,, eio. 


REYESSADO, A, adj. tortueuz. p. p. de 

RETESSÄR, 0. a. vomir, rendre ce qu’on a 
mange. vo. n. Tourner en arriere, faire un CON- 
tre-courant. 

Aevesso, A, adj. neueux, difficile & travail- 
ler, en parlant du bois. (fg.) Revöche. V. Re- 
000. 

REVESTIDO,, A, adj. muni, pourvude. p. p.de 

Revgstin (de), v.a. revölir, melire un habit 
sur un auire,, v&lir par-dessus. Rev£tir un has- 
ion, eto., le couvrir, lo remparer de pier- 
res , etc. 

HEVESTIR-SE, 0. r. se rer&lir, s’habiller. On 
le dit surtout da prötre qui s’habille pour dire 
la messe, etc. (g.) Se munir, se pourvoir de. 

Rev£z, s. m. dos, Tevers, eNYefs: second 
edle, ce qui est au dos. Revers : coup d’arriere- 
main. Revers : coup d’&pee donne diagonale- 
ment sur le cöt6 droit. Coup de revers. (fg.) 
Revers, disgräce , accident fächeux, infortune. 
V. Reverse. Ap —, oude—, de lravers, ä& re- 
bours, ä contre-sens; obliquement, de biais, 
de gauche & droite; &.dos, par derriere. 4o—, 
ä rebours, Al’envers, & revers. Revszes, pl. 
alternative; vioissitudes ; disgräces, rovers. 
A —s, adv. tourä tour, allernativoment. 

RevgzäpameEnte, adv. alternativement, tour 
& tour. 

KEvezino, A, p. p. de Revezar. adj. Faital- 
ternativement, qu’on relöre. 

REVEZAMENTO , s. m. "alternative, action de 
taire une chose alternativement. 

Revezir, v. a. relever, remplacer alternati- 
verment,. v. ». Allerner. 

HEYZZÄR-SE, ©. r. se relever, se suocöder 
tour & tour, travailler alternalivement. 

REYEZILHO , 3. m. point de coutare; ooulure,. 

Rev?zo, A, adj. orageux, violent, en par- 
lant de la mer. (Ag.) Scabreux, difficile. V. Re- 
©0880. 

+Revizo, s. m. enclos de pälurage; pacage 
abondant. (fig.) Bonne chere,, ripaille. 

Revıpino, A , adj. (Ag.) repete. p. p. de 

REvIıDÄR, v. a. renvier au jeu. (fg.) Faire 
autant ou plus. Contredire (p. us.). 

+ Revinento, 3. m. suintement, action de 
suinter. * Revue (awf.). 

REvENRDIcAGAÖ. . 

REVENDICAR , @tc. } Y. Reivind..., elc. 

Revınnicra „ s. f. double vengeance. 

Revıncino,A,p. p. de 

REVINGÄAR , v. a. venger doublement. 

Revirano,A,p.p. de 

Reviaär, v. a. revirer, tourner, relourner 
une chose du cöt& oppose. River. Retorquer. 
— ums bofelada , rendre un soufflet. 

Revınin-se, v0. r. se tourner d’un cöts el 
d’autre. 

Revintte, 5. m. ° riposte : ropartie prompte, 
r6ponse vive pour repousser une raillerie. 


Revısiö, s. f. revision : aotion de reroir, 


REV 


d’examiner ; nouvel examen (d'un sup, 
d’un proc&s, elc.). 

Bevisita ‚3. f. seconde reconnaissance; s- 
conde visite. 

Bevısırackd, s, /. nouvelle visite. 

Revısıran, 0. a. faire une seconde visile. 

REVISOR , 3. m. röriseur : qui revoit apres m 
autre. Censeur des livres. — das conlaı, t68- 
recteur des comptes. — do santo offeio, qui: 
ficateur. V. Qualificedor. 

T Revisörio, A, adj. qui a rapport ä la nini- 
sion. 

Revista, 5. f. revue, examen, recherche. 
Revue des soldats. Revision d’un proce. — 
d’inspeelor, (1. de mil.) inspeclion, rerue die 
specteur. Passar — ds tropas, passer les er 
pes en revue. 

Revistino,aA, 9.9. de 

ReEvisTÄR, 0. a. reroie un proces, lessmi- 
ner. (6. de mei.) Inspecier, passer en ferk. 
Reroir, examiner. V. Rever, 

Rsvisto, p. p. irr. de BRever. adj. Ber, 
corrig®. 

Revmär, v. 8. river. V. Arrebilar. 

Bevite, s. m. renvi au jeu. 

° Revivacka. V. Reviver. 

Revivea, vo. ®. revivre : revenir de ls wei 
la vie. (4g.) Vivre de nouveau ; se reneurekt: 
reparalire. 

Revıvırıcackö, s. f. (t. de chim.) reririie- 
tion : operation pour rendre au ıneial sa form 
naturelle. 

Revivirsckpo, A,P.Pp. de 

REVIVIFICAR, 9. ®. Fevivißier : vivißer de mt 
veau. (f. de chim.) Opörer la revivißcatioa. 

Revızıracaö, etc. V. Revisitagdo, eic. 

Revoipa, s. f. action de revoler; reiwur det 
oiseau en volanı. 

Revoir, ©. ®. revoler; revenir en velan 
Voltiger. 

+ Revocacäö, s. f. " rappel : action de ra» 
peler. V. Revogapio. 

REVOoCiDO, A, p. P. de Recoear. 

+ Revocanön,4, 5. celai qui rappelle (inm.. 

REvocÄR, v. @. revoquer, rappeler gr 
qu’on. Ranimer, restaurer, faire revivre. a, 
V, Rebocar. it. Revoger. 

REVOCATÜRIA , 3. f.” acte, clause rerocaiet. 

REVOCATÖRIO, A , adj. revocaloire, qei nt 
que (acie, clause). 

Revocaciö, s. f. rörocalion : aclion de m 
voquer; acle qui Tövoque. 

REvVOcino, A, pP. p. de Revogar. 

RevocäAnoR, A, 5. celui qui revoque. 

+ REVOGÄNTE, adj. 2 gem. reroqusal, gü 
revoque. p. a. de 

Revocär, ©. a. revoquer : declarer nal. 
ordre donns, une donation faite, etc.) 

Revocatörıo. V. Revocalorıo. 

RevOGÄYEL, adj. 2 gen. qui peut @ire Ter® 
qu6, annule, revocable. 

REVÖLTA, 5. f. rerolte, rebellion , souler® 
ment contre l’autorit& legitime; trouble, fr'® 
lution, södılion , insurrection. " Diserdre, °® 








REV 

Revedön, 8. m. celul qui ravoit. Correeteur 
d’inprimerie. Censeur. V. Rerisor. 

Ngier,adj.2 gen. (1. de prat.) contumazx: 
sccuse qui ne comparalt point sur la citation. 
Ser —, ne point comparailre, laisser prendre 
defaut contre sol. V. Hebelde. 

Reveracıb, . f. rörelation » aolion de re- 
reler; chose, religion reveiee; inspiration. 

RgveLäno, a,p.p. de Revslar. 

REVELADOR, A, 3. celul qui revele. - 

ReveLiö, adj. m. aug. de Revel. Retil (ohe- 
val). V. Rebelldo. 

Reverin, v. a. rörsler : deoouvrir, deolarer, 
faire savoir, deolarer, manilester. Annonoer, 
predire, averlir de. — muiher, connallte une 
femme. 

Revsınösco, A, ‘dj. (buri.) un pea &g6. 

Revsuia,, s. f. "defaut de comparution aux 
termes de l’assignalion. Sensencier d—, 00N- 
damner par delaut. 4’ minke —, a mon insu. 

ReveLim, s. m. (6. de fort.) ravelin : ouvrage 
de fortilication ext#rieure, demi-lune. — feilo 

em tenadka, conire-queue d’aronde. 

RevexLin, 9.9. e8 REVELLAR-SE, 9. 7. V. 
Rebellas-se. 

ReveeLente, adj. 2 gen. (1. de mid.) rörul- 
sit. p. e. de 

Revzuıin, 0. a. (£. de mndd.) donner aux ha- 
meurs une autre direction, faire revalsion, 

Revsııöso. V. Rebelde. 

RAzvzıöı, s. f. de Roveldo. 

Revempa , s. f. revenie : seconde vente. 

Revanpäö, ONA ,s. rovendeur.—@u80. 

"Revaapschö. V. Revendila. 

Ravzunenön, A. V. Revenddo. 

REYENDER , 9. a. revendre : vendre de nou- 
veau ; vendre oe qu’on avait acheit. 

Revanpıciö, 5. f. action derevsndee. V. Rs- 
wende. 

Resvenoicia. V. Revindicar. 

Rzvzu2ino, A, p. p. de Revender. 

RevanpıLniö. V. Revendäe. 

Revenpira. V. Rovindieia, 

BevanDöna, 9. f. revendeuse. 

REYENEBRAABO, A, P. P. 06 

Revanzain, 0. a. rövörer, vöndrer. 

Rev£a, v. 6. revoif : voir de nouveau ; 00r- 
riger, retoucher , exsminer de nouveau; reri- 
ser. dv. w. Suinter. 

Rev£x-se (em), v.r. se rezarder, se mirer 
dans une chose qui rend l’image. — em alguma 
cousa, se plaire ä examiner un objet. — na sus 
obra, se mirerdans son ouvrage. —em alguem, 
regarder, aimer quelqu’un comme un auifse 
soi-meme, 

Raven, ado. (mot latin) en eflet, en verite, 

Reveneznacikö, s. f. rörerberation : refle- 
chissement, r&ßlexion (de la lumiere, do la 
chaleur). Calcination dans un fourncau de re- 
verböre. 

Revsanenän0, A,Pp. p. de Reverberar. 

REVERRERÄNTE, adj. 2 gem, teverberant : qui 
röverbäre ow röflschit, 


REV 1085 

Revenserin, v0. a. et m. räverbörer, relld- 
chir, se dit de la Jumiere. V. Brilhar. 

Revenpeno, s. m. V. Neverberagdo. Fogo- 
fornilko de —, fea,, fournesu de röverböre. 

Ruvenpeckn, 0.0, faire reverdir. v. ». Re- 
verdir : redevenir vert; (fig.) rajeunir; rede- 
venir plus fort, reprendre une nouvelle vi- 
gueur. 

REVERDECENTE, adj. 2 gen. p. a. do Hover- 
deoer. Reverdissant, qui reveordit. 

Revanpecino,, a, p. p. de Reverdscer, 

RRVERDECINENTO, 3. m. reverdissement : 86- 
tion de reverdir. (Ag.) Rajeunissoment. 

Revertnca. V. } “respect, ventralion, 

Revsatncıa,s. f. 9 Revsrence:salulenın 
elinant, en pliant le corps; Liire donn6 aux re- 
ligieux. 

ReverancıAno, A,p. p. de Roevevenciar. 

REVERENCIADOR, A, 5. oelei qui revöre, qui 
respecie. 

RavenancıAL, adj. 2 gen. qui marque du res 

t. Temor — , orainte r&värentielle. 

Revenzucıär, v. a. rövörer :ı honerer, res- 
poster profond6dment, 

REVRBAENCIÖSAURNTE „ ade. revsrencieuse- 
ment, avoo respect. 

RnYzasncı650, A, adj. rövsrenolenz, Irds- 
respeetueuz. 

Ravaaennas, 8. f. pl. dimlissoires : permis- 
sion de se faire ordonner par un autre 6v@gue 
que le dioedsain. , 

+ Revensnpissıua, s. f. itre donnd aux gb- 
asraux des ordres religieur. 

Revzaeupiserwo, A, adf. revörendissime : 
dit plusque Irds-röv6rend ; titre elaustrai ; litre 
des g6n&raux d’ordre, des archev&ques, des 
patrisrches „ eto. sup. de ‘ 

Rzvzatnno, a,ady. digne de respect, de vont- 
ration. (fem.) Extzömementcirconspect, d’une 
röserve, d’une grarite affecide, eis. Reverend : 
titre d’bonneur denne aux religisux , eis. 

REVEREBNTE, adj. 2 gem. respeclueux. 

RETERENTENENTE, adv. reriremment, Tes- 
peotueusement. 

Auvzaia, V. Revslie. 

Ruvansı. V, Hevassm. 

Revansit, adj, 2 gew. Carla — ‚leitre röver- 
sale, qui se repporie A une autre, V. Assalva. 

Revensiö, s. f. röversion,, retour. 

ReveasivgL, adj. 2 gen. röversible : qui doit 
retourner & son proprielaire, eio. 

Revzasivo , a, adj. qui rsiourne;sujet ä r& 
version (bien). V. Reversiuel. Nereos —ss, (I. 
d’anat.) V. Reeurrenie. 

Rev&nso, Aa, adj. contraire, opposs. 4. V. 
Bevesso. 

Rzveaso, s. m. revers de medaille, de mon- 
naie; envers, lo cot# le mains beau, 

+ Revarter (a), v. n. relourner & son pro- 
prietaire,, ä la couronne, eto.V. Reversivel. 

Revsatino, A, pP. p. de Reverter. 

RevearivaL, V. Reversioel, 

Ravss, V, Royes. 


1038 RIB 


Turtrörnıcin, v.n. (fam.) parler, derire selon 
les rögles de la rhetorique ‚en rhötoricten. 

Rnetörıco, A,adj. qui apparlient & la rhe- 
torique. s. w. Rhetoricien : celui quali sait la 
ehetorique. 

NEUBÄRBANO, . 

Ruzusirso. IV. Ruiborbo. 

Rutuma, s. f. pitulte, flaxion, rhume. 

Rneumitico, A, adj. (f. de med.) rhumati- 
que, de ou du rhume; rhumatismal, du rhu- 
ımatisme. Dores —as, douleurs rhumatisruales. 

RuEUMATISMäL ‚adj. 2 gen. (1. de med.) rhu- 
matismal, derbumatisme. 

Rurunatisuo, s.m. (i. de med.) rhumalisıne: 
douleur dans les muscles,, les membranes, le 
perioste, avec difficulid de mouvement. 

Raima. V. Rima. 

Rein. V. Rheno. 

7 Raincıa, 8. f. (t. d’hist. nat.) rhingie : di- 


pfere , syrphie. 
RuNocERÖNTE, (1. d’Met. nat.) rhino- 
Ruınöcenos ou ceros, quadrupede pa- 
RııxocERüTE, s.m.) chyderme. 


} REINÖLOPRO, 8. m. (4. d’hist. nal.) rhino- 
lophe : mammifdre cheiroptere. 

f Rowwöuacro, 3.m. (f. d’hist. nal.) rhine- 
macer : col&optere @denhtrite, 

Raısoruacos, V. Risophagos. 

Reirwı. V. Rima. 

Ratrmo, eto. V. Rhyimo, eie. 

+ Ruönano, s.m. (8. de g6og.) Rhöne : fleuve 
de France. 

f Raöpes, s. f. (t.de geog.) Rhodes : 1le et 
“Alle de la Natolie. 

 Ruonöreo, a, adf. de Rhodope, montagne 
de Thrace. 

Ruöwso, s.m.(l. de gdom.) rhombe , losange : 
figure qui a deux angles aigus, deux obtus, 
les quatre cöt&s paralities deux A deux et 
egaux. 

-Ruossöipär, adj. 2 gon. (1. de geom. et de 
bot., etc.) rhomboidal : A quatro angles, deux 
aigus, deux oblus, respeelivement oppos#s. 

Ruousöinde, adj. 2 gen. (1. de geom.). V. 
Akomboidal. s. m. Rhombolde : figare rectili- 
en qui a deux anglos algus et denx obtus. V. 

AnDIBARDO. } V. Rui..., eie. 

+ Rav’tuuica, s. f. art des rhyihrnes. 

Ruw’remıco ,a,adj.thythmique: du rhythme. 

Ruy’tuso,s.m. rhyihme : nombre, eadence, 
mesure. 

Ria, s. f. embouchure d’une riviere. 

Rıäcmo, s. m. dim. de Rio. Petite riviere, 

Risa, s. f. (anl.) rive, bord. V. Ribeira. 
*Monticule, pelite eminence, petit terire. V. 
Ribanceira.— mar, cöte, rive, bord de lamer. 


RC 
RınaL.bzuta. . f 
Rısardıa. \ V. Bibaldaria. 
RızsıLnio, adj. m. Figo—, espöss de Agu 
sauvage. 
Rısiıpo,edf. et &. soquin, vaurien. V. Te 
Ihaco 


Rraa-wan,. V, Ribe. " 

* Rısinca. rive escarpte Euns r- 

Rıranckına ,s. f. | viöre, berge, ela.; PeR- 
chani d’une moniagne, 00Wau, Eli 

+ Rısancaio ou Aıpnandalo, 6. A ef, a 
varieie de figaes d’Europe, rougen dedans « 
blanchätres dehors. 

*Rımin. V. Derriber. 

*Ripas. V. Acime. 

Rıntına, s. f.* bord, five, rivage. "Aulssess, 
riviere. — do mar, rye : rivage de la mer. \. 
Proia. — do peisie, poissonnerie. — das ndat, 
chantier de construction de marine; arsensl de 
marine, 

"Rızernida. V. Corrente, Arroie. 

RızzıriO, aug. de Ribeiro. 

Rıperniuma , s. f.dim. de Rideire. "Petilreie 
seäu , petlte riviere. 

Rıseıninuo, a, adj. de riviewe, de rıwage: 
equatique; qui habite le rivage (d’un feure 
eto.). Auos—as, (1. P’kist. nat.) olseaux den- 
vage. 

Rızgıainno, s. m. dim. de Ribeiro. Petit russ 
seat , 6ourant d’sau, Botnemr , gravatior, adin 
de basses wuvres; condasteur 66 chevanı 
melets charges de pierres , de G6eombres, eu. 

Rıntıne, s.m. ruisseau, peilt Osufani d'ent 

Rınes-ntoro, s. m. cazis, plante. 

Rıstre,, s. m. rebor@, bord, bordaro: gar 
tore qu’on met au bas d’an babit, ete. 


Rınompän, etc. V.A , 0. 

Arananüvio. V. Albunchte. 

Rıcäco,, adj. et s. m. ag. de Mic. Richert, 
trös-riohe. 

Rıcivo, s. m. *frisure des cheveuz. ab. 
Frise. 9. p. de Riger. 

+ Rıcanona , s. f. (an6.) Mile, femme du 
grund. V. Hicpkomen. 


Rıcauinıe , adv. richersent, mungkiäeet- 
ment; trös-bien, parfallement. 

Rıcinno, a, adj. (p. we.) avare (Triebe). 

Ra, 9.6. friser les cheveuz- 

Rımiatg, adj. 2 gen. (duri.) peiis, grad 
raide (homme). 

+ Rıcino, s. m. ( £. do bot.) — nener vu nik 
nario, ricin ordineire. V. Carrapsielre — 
meior, curcas noir. V. Pinh6se do Brasil. 

Rico, A, adj. riehe, opulent, megnißget: 
abondatıt, fertile, Preeieux , enqwis, ennefien, 
delicieux. Parlait, ires-bon. Homem— gut 1" 
endividado, riche malaiss. Ester podre de -—. 
avoir des monceaux d’or, dire tant ogueu FT. 


— Tejo, les rives du Tage. De— ‚d’en haut. V. . — avarento, Ticho avare, meuvais riche. der 
Ci 


ma. 

Rızipa. V. Riba ; Alcantildda. 

Rısapirma. V. Rabadilhe. 

‚Rıpabania, s f. action de coguin, de vau- 
rIon« 


rento — ndo lem parenis nom amige, (FR 
l’avare opulent n’a ni parenis =. amiS. 
Rıco. V. Risso. 
Rueoastre. V. Chapsleia, 
Ricorteırie, 5. n./p. us.) image GOES 











REV 


fusion. —s, pl. (8. de praf. anti.) delal, remise. 

RevoLtäpo, A, p. p. Je Revollar. 

RevorLtanon. V. Revolloso. 

REvoLTAR , 0. a. revolter, porier & larövolte. 
Faire retourner. Retourner, relorquer. o. ®. 
Retourner (p. us.). 

REVOLTÄR-SE, vd. r. se rövolter, s’insurger. 
S’agiter, en parlanı de la mer. Se couvfir, se 
brouilier, en parlent du temps. 

RevöLto, a, adj. orochu, courbe , recourbe; 
&mousse. En mouvement, agits, en desordre, 
sous dessus dessous. Souleve, trouble, revolte. 
Pique , offense. Couvert, obscur, sombre. Trou- 
ble, en parlant de l’esu, etc. Pescar a rio—, 
pecher dans l’eau trouble. V. Rio. 

RevoLTöso , A, adj. remuant, hrouillon, s6- 
ditieux , turbulent, mutin. 

RzvoLugiö, s. f. revolution : relour d’un-as- 
tre au point de son depart; cours accompli ; 
mouvement d’un plan autour d’un axe; mou- 

vement d’humeurs. ( Ag.) — , changement dans 
lest politique, etc.; bouleversement total. 
"Trouble ‚ tumulle, mouvement seditieux. — de 
eabellos. V. Redomoinko. — das almas. V. 
Transmigragäo. 

REvoLUCIONADO, A, 9. p. de 

REVOLUCIONÄR , vd. a. rövolulionner : meltre 
en revolwlion ; propager les principes de la re- 
volution. 

.$ REVOLUSIONÄRIAMENTE, adv. revolution- 
nairement, d’une maniere rövolutionnaire. 

REYOLUCIORÄRIO, A, adj. et 3. revolulion- 
naire : de la revolution ‚qui la propage, qui en 
est partisan. 

RezvoLüro, A, adj. zövolu. d6. V. Enrolado. 

+ RevoLur6so, A, adj. (td. de bot.) rövo- 
lute : rould en dehors. 

REvVOLVEnDOR, 3. m. brouillon, seditieux, 
pertarbateur du repos public. 

REVOLVER, o. a. tourner, retourner. Remuer, 
agiter ; rouler. Examiner separ&ment, en detail. 
Exciter des troubles, des seditions ; meitre le 
trouble, la confusion. Möditer, examiner, ima- 
giner, reflöchir. — 0 estomago , soulever l’esio- 
mac, Causer un mal d’estomac. — a lerra, 
fouiller la terre. — um livro, feuilleter un li- 
vre. —grandes projeclos em sus imaginapdo, 
rouler de grands desseins dans sa tele. — oca- 
vallo, wurner un cheval, le changer de main. 
— os olhos, tourner les yeux. — 08 humores, re- 
nmer les humeurs. — iudo, fureter. — 0 cdo ea 
terra, remuer leciel et la lerre,causor degrands 
troubles. O Oceano revolve na praia suas 
aguss, l’Oc&an roule ses flots sur les rivages. 

REVOLVER, v. n. rouler : faire un lour en- 
sier. V. Girar. 

BEVOLYRR-SE , ©. 7. S6 lOUFNEF, Se Telourner. 
Se rouler. Se vautrer. S’agiter, en parlant de la 
mer. Se lroubler, se soulever. 

RevoLvino,, A, p. pP. de Revolver. 

REVOLYIMENTO, s. m. l’action et l’eflet de 
tourner, de se tourner. Remuement, trouble, 
agitation. * Revolution, Remue-menage, des- 
ordre, confusion. 


RHE 1037 


+ Revöo, s. m. vol rapide en rond; second 
e8sor que prend un oiseau. V. Revoada. 

* Revona,s. f. * Age de puberie. 

*Rrvoain. V. Roborar. 

° Revöso. V. Cuidadoso , Pensalivo. 

Revuusäö, s. f. (, de med.) revulsion : mow- 
verment des humeurs dont le cours cst change; 
action des revulsiis. 

REVULSIVO,A,08 ) (dt. de med.) revulsif: 

REvuLSöRIO, A, adj. ) qui delourne les hu- 
meurs sur les parties opposees. 

"Rex, V. Rei. 

Rexa, s. f. grille, grillage en boir. (ant.) Ve 
Arado. 

Rexio. V. Recio. 

Rev, etc. V. Rei, eto. 

" Revcno. V. Reino. 

Revo. V. Reio, Arreio. 

Rez. V. Bös. 

Rez, s. m. niveau du terrain. Ao —da lerra, 
au rez-dechaussee. P6r —, raser, delruire. 

Reza „s. f. oraison, pridre. Ofice divin. 

Rezino, A,p.p. de Rexar. 

Rezanon, A, s. celui quiprie beaucoup.. 

Reziö.V. Razdö. 

Rezin, vo. a. et». prier Dieu, @ire en prieres., 
Lire, r&citer altentivement l’oflice divin. Reci- 
ter, par opposilion & chanter. ( fam.) Predire, 
en parlant d’un almanach, eic. (id.) Proförer 
(une sentence). Gronder, murmurer. Como r& 
zas mödres. ( fam.) On le dit & queliqu’un qul 
murmure tout bas quelque chose qu’on no peus 
entendre. — 0 officio divino, dire son breviaire, 
en parlant des ecclesiastiques. — 0 fern, a9 
conias , dire son chapelet. 

Rezenua. V. Resenha. 

” REZENTAL. 

“REzEnTE. | V. Recen..., ele. 

Rezina, et0.V. Resina, etc. 

Rezoir. V. Raxoar, Arrazoar. 

Rezözs, s. f. pl. raisons, dispute, döbat. V. 


Razdo. 

Rezumerän. V. Ressumbdrar, Regumar. 

Ruia,s.f. V. Dragoeiro. 

Raracänus, 8. f. pl. (1. de med.) rhagedes ı 
fentes, crevasses aux mains, aux pieds, elc. 

+ Ruacıkö, s.m. (l. d’hist. nat.) raghion : 
diptere , tanystome. 

 Ruicıo, s. m. (l. d’hist. na$.) ragium : C0- 
leopiere tetramdre. 

Rniuno,s.m. (f. de bot.) nerprun, arbris- 
seau. V. Espinheiro-Alvar. 

Ruarontico. V. Ruiponto. 

Rnıpsönıa. V. Rapsodia. - 

+ Ruta, s.f.(t. de myth.) Kh6a, femme de 
Saturne ; Cybele. 

+Rutxo, s. m. (t: de geog.) Rhin : Deuve 
d’Europe. 

RuENocERÖTE. V. Rhinocerote. 

Rugtönıca, 3. f. rheötorique : art de bien 
dire; classe, trait® de rhetorique; arı de la 
persuasion. 

Rustönscausnte, ade. selon les rögles de 
la rhetorique; en rhetoricien. 


1040 RIQ 


Rımar (oom), 6. ®. rimer : se lerminer de 
meme o% par un möme son. (fig.) S’aoovorder, 
conveniz, cadrer. 

Rım2öuso. V. Rebombo, 

Rımia. V. Remir. 

Rımsöso , A,adj. plein de fentes. 

+ RimuLa, s. f. dim. de Rima. Petite fenie 

Rınca6, s. f. (pP. ws.) * encoignure, coin, 
angle d’un ınur, etc. Coin :lieu retire, &troil. 

Rıncnipa. V. Gergalhada. 

Rıncnäö, ÖnA, adj. qui hennit beaucoup, 
fringant (cheval). Qui conte des fleureties. 

Rıncui6, s. m. (4. de bot.) la moutarde dite 
sönere des champs. 

Rincuia, vo. ®. hennir : faire un hennisse- 
ment, en parlant du cheval. (fig. fam.) Pousser 
des cris de joie dans une rejouissanoe puhli- 


que. 

Rıncaaveinäpa,s. f. 6clat de rire immo- 
dere. 

Rincuo, s. m. hennissement : cri naturel da 
eheval. 

Rınp£ıno. V. Rendeiro. 

Rıncın ‚etc. V. Ranger, eiw. 

Rınniö ,s.m. rognon. V. Rim. 

Rısaın. V. Renhir. 

Rınocenöre. V. Rhinocerote. 

Rıxs, pl. V. Rim. . 

Rıxnzes. V. Rises. 

Rio, s. m. fleuve, riviere. (fg.) Torrent ( de 
larınes, etc.) ; grande abondance d’une liqueur, 
eic. — navegarei, riviere marchande, riviöre 
navigable. A — revolto, (fig.) dans laconfusion, 
dans le desordre. A — revollo ganancia 
pescadores , il fait bon & pecher en eau trouble. 
— arribs ou acima, en amont: en montant la 
riviere. — a baizo, en aval, avalant: en des- 
cendant la riviere. 

+Rıö, s. m.(t. de mar.) luzin, merlin, ä 
trois fils. 

Rıozinno, dim. de Kio. 

Rirı , s. f. planche mince , lalte, dosse ; bar- 
deau , ain. 4. V. Riba, Ribanceira. 

Rırioo, s. m. laltis : lates disposees sur des 
supports pour former une cloison , eic. 

+Rırir, adj. m. Pregos —aes , clous pro- 
pres pour clouer les lattes. 

RırancADO, A, p. p. de 

Rırancar, v. a. serancer le lin, etc. 

RırÄngo, 3. m. livre qui contient l’office de la 
seınaine sainte, quinzaine de PAques. "Herse, 
räteau de jardinier. Seran, oulil pour pr&pater 
le lin, etc. Canape, lit de repos. ( t. pop.) * Pa- 
tience, flegme ; loisir, commodite. 

Rırir, vo. a. serancer le lin. Epierrer. Latter, 
garnir de lattes;; placer des ais, des bardeaux. 
(t. pop.) Piller, voler. 

Rırınaa , dim. de Ripa. 

Rırio, s. m. blocage, plätras, gravois, re- 
coupes de pierres, etc. * Cheville dans un vers. 

* Rırrıcan. V. Repicar. 

+ Rıpuirıo, A, adj. ripuaire (loi\, chez les 
peuples des bords du Rbin et de la Meuse. 

Rıqukza, s, f. richesse : opulence, aben- 


RIS 


dance debiens, Idar possession ; qualiii de ce 
qui est riche. 

* Rıquıöva. V. Rdcone. 

Bequiseıno, a, adj. sup de Rico. 

Ria, v.». rire : oxprimer 1a joie, on que 
fois le dedsin, le mepris, eic., par un mou- 
ment des lövres, de la bouche,, et souveni art 
bruit; se divertir, railler; badiner, se moqeer 
de; ne pas parler, ne pas agir serieusemen. 
On ledit, au figure, des choses inanimes gu 
sont agreables, qui plaisent. — ds gargalksdeı, 
rire & gorge deployee, rire aux enlais. — ei 
ndo meis, se donner & cur joie. — sem ım- 
lade, rire du bout des dents. Pör-se «—, 
prendre & rire. — por ironia , malicis on esi«- 
pidez, rTicaner. — com sSige mesımo, rire dası 
sa barbe. —, nesciamenie € sent CAuSS, Fite aui 
anges. 

Rın, v. a. (ant.) railler, so moquer de. 

Rın-se (de), o. r. rire; se moquer de; ne ps 
se soucier de. (fg. fam.) Commencer ä se « 
chirer, en parlant d’un habit, d’une chemre 
usee, elc. — com sigo mesmo. V. Bir. — ds pe- 
r6des, (loc. fam.) rire niaisement. 

Rir,s. m. rire, ris. V. Riso, 

Risa, s. f. V. Risdda ei Riso. 

Rısiva, s. f. *6clat de rire. V. Rise. Dar ı 
Fire aux eclats. 

Rıss6ano, 8. m. (4. de mer.) ribord. V. Brı- 

Risca, s. f. raie: trait de plume; ligue. 4 — 
adv. exactement; litieralement ; ric-a-ric. 

Rıscipa, s. f. "trait de plume pour ralarer, 


de | rature. 


Rıscino, A, p. 9. de Riscer. s. m. Eiche & 
raies. 

RıscapOR, s. m. tire-ligne, insirumest 43 
sert ä tracer des lignes ; plume & dessiner. 

Rıscanöa, A, adj. eis. qui eflace , quı a2 

Rıscapüra, 3. f. rature, efiacure. 

Rıscaänto, s. m. V. Riscadura. 

Rıscär, v. a. rayer, biffer, effacer, rast. 
Tracer des lignes, des raies. Esquisser, ebst- 
cher, crayonner; dessiner. Effacer le uoa de 
quelqu’un d’un registre, etc. ; le revoquer d’zue 
charge, eic. — 05 ponlos ao juge, marquer ie 
points au jou. — por cima. (fig.) \. Juan 
lajar-se. 

Risco,s.m.risque, danger, peril.“ Avenlianı, 
hasard, entreprise hasardeuse. ° Raie, h:i7, 
trait. V. Risca. " Ebauche, esquisse, plan © @t 
edilice; dessin. * Marque des points au 2 
Rocher escarp£, diffieile a gravir (p. us.) Pr- 
se a —, s’exposer au danger. Correr —&. 
courir risque de. Correr 0 — a algume cou8. 
courir le risque d’une chose, la prenere :« 
ses risques et perils. Dar dinkeire e —, 1” 
quer, hasarder son argenı. Em — de rids, ft 
risquant sa vie. A lodo —, ä tout hasard , 2 ei 
öv&nement, A tout risque. Com —, hasardtı- 
sement, d’une maniere hasardeuse. Por mas 
conia a —, ä ses risques el perilg. 

Rıscoso. V. Arriscado. un 

RısisiLiDÄDE ‚3. fi risibile ° faculte de rmt- 


m 





RIX 
Rıeiatuo , dem. de Riso. 


RısivsL, adj. 2 gen. risible : qui ala Taoulis ; 


de rire; propre ä faire rire, burlesque. 
tRısıvzLuenıe, adv. d’une maniöre Fi- 
sible. 

Riso, s. m. ris, fire: action de rire ; maniere 
de rire. Chose qui fait rire. * Moquerio, risde. 
(Ag.) "Apparence risnte. Cousa de — ,chose 
risible, qui fait rire. Ceusar, dar —, mover & 
—, fäire rire, exeiter le rire. Faser — d’el- 
guma cousa, se moquer d’une chose. Ser — a 
alguem, ötre la ris6e de quelqu’un. Chorar de 
—,rire aux larmes. Ndo susier 0 —, D6 
pouvoir s’empöcher de Fire. Esialar com —, 
orevor, &touffer de rire, faire de grands &clats 
de rire. Fr6cho de —, &claı de rire. — amarello 
ou conirafeito, (fam.) rire simule, faux Fire. 
On le dit de celui qui rit du bout des denis. — 
sardonico, (t. de med.) rire sardonique, espece 
de rire convulsif; (Ag.) rire & contre-caur, par 
grimace. O que excila o — do vulgo, causa 
admirapdo ao plilosopho, 1a oü le vulgaire Fit, 
le philos&phe admire. 

RısOnB.AMENTE, adv. galement, d’un sir en- 
joue. . 

Rısonuo, A, adj. riant: qui rit ow somble 
fire; gracioux, agreable A la vuo. 

+ Rısöpnacos, s. m. pl. peuples de l’Eihiopie 
qui habitent l’ile Meroß. 

Rısöta ‚s. f. derision,, moquerie, rise; rica- 
nerie. 

Rısötg, 8. 2 gen. ricaneur, qui Ficane. 

Rispınam£xtE, adv. Aprement, rigoureuse- 
ment. 

Rıspiptz, 3. f. Apret6, rigueur. Ferocite, ar- 
Fogance. 

Rispıno, A, adj. Apre, acerbe, dur, rude. F&- 
roce, arrogant, cruel. Ferro —, fer aigre ow 
pailloux , tres-cassant. 

Risso, s. m. velours ras, qui n’a point de 
poil. Panne, peluche (etofle). 

Ristg, s. m. arret de la lance. 

Rito, s. m. rit, rite : ordre prescrit des cer6- 
monies religieuses. *Coutume, maniere, obser- 
vance. 

Rıruir, s. m. rituel: livre de c&remonies, 
de prieres d’eglise. adj. 2 gen. Qui concorne les 
Frites; fait d’apres les rites. 

RıTUALMENTE , adv. selon le rit. 

Riva, s. f. (p. us.) rive. V. Ride, Praia, 
Margem. 

RıvaL, adj. 2 gen. rival, o0ncurrent, surtout 
cn amour, Qui aspire, qui pretend A la meme 
chose qu’un autre. 

RıvaLıpäne, s. f. rivalitö, concurrence,, mu- 
lation. 

Rıvanızäa (com), o.». rivaliser, @tre le rival 
de, Jisputer. 0.4. (p. us.) Exoiter & la rivalit6, 
rendre rivaux. 

Rixa,s. [. fixe: dispuie, querelle, contesta- 
tion, debat, demele. 

RıxaDör, A, adj. querelieur. V. Risoso. 

Rıxir (com), ©. %. 86 queroller, isputer, 
scontesier; 56 

PORT. FR. 


72 


ROC 1041 


Rıx050, A, adj. querelleur, qui aittiö les rizes. 

TRızas, v. a. (1. de mar.) rider : prendre 
des ris, accourcır une voile avee des rides. 

Rizss, s. m. pi. (1. de mar.) ris : aıllets pour 
passeor les garceties; bandes de toile qui Ira- 
versent les huniers. — das velas, garotlies ou 
rabans de ris. Colher os — , meiter a oda nos 
—, prendre des ris, replier la voile au moyon 
des ris ei des garceltes. 

Rızin. V. Ricino. 

Roiö, etc. V. Rudo, etc. 

Roäz, adj. 2 gen. ravisseur, rapace, VOraCce, 
en parlant des auimaux.(Ag.) V. Murmeurador, 
Mordaz. 

Roiz, s. m. (1. d’hist. nat.) — bandlira, 
marsouin. V. Toninha. 

RosiLLo, s. m. loup, poisson de mer. 

"Rosäz. V, Roubador, Rapace. 

* Röne. V. Arrobe. 

Rosın. V. Rubim. 

Rösız, s. m. (t. de botl.) robre ou rouvre: 
gros chöne tortu, Ires-dur. D’um sö golpe nde 
se derriba um —, (prov.) d’un seul coup on 
n’abat point le chene. 

RosL£po, s. m. lieu plante de robres. 

Ropueira. V. Reboleira. 

Röpona. V. Revora. 

Rosoracäö, 5. f. action de fortifier. V. Com 
roborapdo. 

Ron0RADO, A, pP. p. de Roborar. 

RoBoRÄNTE, adj. 2gen. fortilant, roboralıf, 
en parlant d’un remede. p. a. de 

Roporär, v.a. fortifler, corroborer; alfer- 
mir. 

Rosonarivo, A, adj. roboratif : qui fortifle. 

Röse. V. Robie. 

RoBUSTAMENTE, ade. robustemen!, d'une 
maniere robuste. 

Ronusttz ow force, vigueur; qualic, 

Ronusttza, s. f. | elutdecequiestrobuste, 

Ronustissımo ‚A, adj. sup. de 

Rosüsro, A,adj. robuste,. valide, fort, vi- 
goureux. Fort, solide, qui resiste. 

Röca ‚s. /. quenouille a filer. (Ag.) La femme. 
Epee & petites garnitures. Sorte d’ancienne 
garniture de robes, etc., en taillades. Le fort 
de la lance. V. Toral. —de flores, (i.de bot.) V. 
Espadice. Ide far na—, alles filer volre (ıue- 
nouille. Cada — com seu [uso, cada lerra com 
seu 450, (prov.) chaque pays, chaque guise ow 
coutume. Mal} vai d casa onde a — manda mais 
que a espada, (id.) malheur & la maison oü la 
quenouille commande & l’&pee.‘ 

Röca ,s. f." roc, roche,rocher. V. Rooka. 

Röca, s. f. l’action' de sarcler, d’&chardon- 
ner. Terrain defrich6 , pret ä semer ; ossart, 
Plantation, habitation dans le Bresil. Pr «a aw- 
corad —, (l. de mar.) traverser l'anere, melire 
Pancre en place. . 

Rocipa, 8. f. quenouillee. 

+Rocipo, A, adj. taillad&, en taillades. 

Rocäipo,A, p. p. dc Roger. adj. Frotie, ef- 
leurs6; use: sareld, #eulkardomned; defriche, 
Cabo — , cäble rague. 

os 





1042 ROCG 

Rocapör, 3. m. sarcleur, celai qui öohar- 
donne. Celui qui ratisse, qui frotte. Il est ausei 
adj. Foucs —a, serpe a couper le bruse, ete. 

Rocapdaa, s. f. l’action de sarcler ; defriohe- 
ment. L’action de frotier. V. Attrito. 

Rocacints ,adj.2gen. tratnant, majestueux, 
en parlant d’un babit long, d’une robe. (fg.) 
Pimpant, brillant, &clatent, magniflque. 

tRocäu, s. ws. chapelet, perles enüldss que 
les femmes portent comme parure. 

Rociısa , s.f. rocaille:petits grains de verre 
eolort. 

ROGAMÄLHA, s. f. (t.de Pinde) °storax N- 
quide. 

+Rocamento, s. m. l’action de frotter. V. 
4Altrito. 

Rocin, v.a. rec&per, essarter : döfricher en 
arrachant les bois, les &pines, etc. Sarcler, 
&chardonner. Frotter legerement, effleurer. 
Ecorcher, Öter la peau , l’6corce. User, gäter. — 
mäto, couper le bois, arracher les mauvaises 
berbes, 

Rocäir (por), v.n. toucher Jögerement; ra- 
ser, passer tout aupr&s. 

Rogär-sg (com, por),o.r. se couper, s’entre- 
tailler, se donner une atteinte. Passer tout au- 
pres; toucher en passant. (fg.) Ressembler, 
&tro semblable. C6r que se rogacom o gridelem, 
eouleur qui ressemble au gris de lin. 

Rociz, s. m. espece de polsson. V. Roaz P 

Roceviö, s. m. fl de cordonnier. 

+ Roctca, eto. (ti. de mar.) V. Rossege. 

Roctıro, 3. m. planteur de manioc, de l&- 
gumes, etc. (au Bresil). 

ÖcHı, &.f. *roo, Foohe, rocher, au pfopre 
ei au gure. 

Rocniz, adj. 2 gen. &ievs dans les rochers; 
qui habite les rochers : se dit de tertains ol- 
sesux de proie comme le gerfaut. 

Rocutno, s. m. rocher, 6caeil; brisant. V. 
Penhasco. 

f Rocaerör, s. m. (t. de geeg.) Rochefort : 
nom de deux villes de France. 

Rocntıno. V. Aoqueiro. 

+ Rocztıra, s. f. (t. de gdog.) la Rochelle: 
ville et port de mer de France. 

Rocuerg , s.m. zochet : sorte de surplis in. 

Rccıipa, s. f. rosee, broine. (Ag.) Pluie, 
grele (de pierres, de dards, de balles, ete.). As 
prüneiras —s, les premitres heurss du malln 
oü il bruine. 

RocıÄpo, a, adj. mouille, arros6, oouvert de 
rosce. 2. 2. do 

Rocıär ,v.a. arroser avec de l’eau, ein.,jet&e 
par goulles , asperger. vo. n. Bruiner. V. Orva- 

ar. 

Rocıcas. V, Rosiere. 

Rocim, s. m. *rosse,, baridelle: möchent che- 
val; mazette, m6chant pet cheyal. Roussin : 
«harvel enmtier, öpsis et fort, cheval de labour, 
ic. (p. we.) 


ROD 


äne de peu de dur6e. V. Orvdiko. (Ag.) Inspi- 
ralions divines, mouvements de la gröoe. 

Rocio, s. m. grande plaos; grande plaine. 

+ Rocı0so, A, adj. Lout oouvert de roste. 

RöcLö,s. m. "roquelaure : sorte de mantoau. 
V. Jostzinhe. 

+R6co, s. m. olseau d’Asie d’une graudeur 
et d’ane force extraordinaire. 

Roc#, s. m. roucou ow rouooyer. V. Urwen. 

Röpa, s. f.roue: machine ronde, plate, tour- 
nant sur un essien on axe; sa forıme. * Cercle. 
"Tour, eontour, alentour. Marque de gris et de 
blanc dans le poll de cortains chevanz. Boue : 
queue de paon, etc., d&pioy6e en rond. Darne, 
rouelle : tranche de citron, de sausisson „ eic., 
coupee en rond.*Bouclier. V. Broguel. Boue de 
supplice. (Ag.) * Tour, eireuit, mouvement cir- 
culaire. V. Giro. — d’agua, reue d'un moulia 
& eau. — d’enconiro, calarina. V. ces mols. — 
dentada," herisson, roue dentelde.—d’sscacher, 
roue d’ecacheur d’or. —de fogo, roue de eu 
d’artiice. —de freiras, "tour de couvent. — 
dos enjeilados, "tour pourles enlants trouves. 
—de loteria, roue, machine ronde ei creuse 
dont Paxe est mü avec la main, conienant les 
numeros de la loterie. — da forlune, (Ag.) 
roue de la fortune : inconstance, instabilite des 
choses humaines. — de homens,, de gemie , cet- 
cle, assembleo ,socield. — do joelho, rotule. — 
do vestide, eto., ampleur d’une robe, eis. — de 
pr6a,(t.de mar.) rode de proue dans une ga- 
lere. c’ost l'’&trave dens un vaisseau. — de pop 
pa, (id.) rode de poupe, estambot. —d’um mei- 
(do, “"rouet de poulie. — de moildo bronzeade, 
rouet de gayac & d& de fonte. — do ieme, roue 
du gouvernail. Psixe —, möle ow lune, pois 
son da genre du bienne. — viva, Foue qui 
tourne toujours, qui ne s’arreie jemals; (Ag.) 
peine, fatigue continuelle. Am — viva, sans 
ce88e, GoRlinusilement. Ander n’uma — vise, 
(Ag.) travailler sans reläche ot aveo activiie. 
4'’—, &la ronde, auiour. Em —, aulour, cir- 
euleirement. Na — do anno, dans le courant 
de l’annee. Andar d—, tourner, lournayer. 
Anda-me a cabera d—, la title me lourne. Des 
fazer a — a alguem, (fig. p. us.) abalire l’er- 
gueil & queiqu’un. Dar d—a foriena, changer, 
en parlant de la fortune. Unter a —s, (fig.) 
graisser la patie. 

Ropano, A, 9. p. dd Rodär. adj. On le dit 
d’un cheval blanc mouchet# de noir; gris pom- 
mele. — oivo, rend lout vil. Alqueire —, beis- 
seau racle. Chdo, caminko —, terraln „ chemin 
sillonne d’ornieres. Corolla —a, (l. de bot.) ce- 
rolle roiscee, eialee en rond. Carla —, (ani.) 
charte, brevet, cic.,scell& avec un s£cau rend 
ou cwcalaire. 

Ronäno ‚5. m. "orniöre : trace des Foues sur 
le terrain. 

Ropiceu,s. /. l’ensemble des roues d’une 
machine. 

Rooosontäna, s. f. rodomontade,  fanfaron- 


Rocmir, adj.2 gem. de la rosse, du roussin. : made, vanterio en fait de braroure. 


Röcıo ow Röscıo, 3. m. "rosee: pclile pluie ! 


Konaxo.V. Akodano. 


ROD 

RopänTK, adj. 2ger. qui roule, Qui lourne 
os qui tombe en roulant. (Ag.) Coulant, on 
parlanı da style, etc. 

Ropark,s. m. soubassement de lit. Sorte de 
tapis qui enteurait les pieds d’une table. Lam- 
bris , peinture, eto. , ä hauteur d’appui. 

Robin, v6. rouler: faire avancer en faisant 
(oumer sur soi-meöme. Rouer : punir du sup- 
pliee de la roue. Tourner, faire lo tour. V. Gt- 
rar, Correr. 

Rovir (em, por), v. w. Touler : avancer en 
tournant sur soi-mäme; se mouvoir sur des 
roues ; tomber en roulant; eirculer en abon- 
dance, en parlant de l’argent. (Ag.) Dechoir de 
son rang, de sa fortune. Röder, errer gä et 1. 
V. Girar. Rode a forluna prospers ou adver- 
sa, que la fortune daigne vous sourire ow 
qu ’elle vous soit contraire. — mundo ou pelo 
mund, rouler ie monde, voir beaucoup de 


pay 

Ropaviıno, V. Rodovalko. 

Ropaziuma. V. Rodinha. 

RopeinO, A, p. p. de Rodear. adj. Entoure, 
environne. Parcouru. Kstar — de negocios, 
etre accabis d’affaires. Cavallo —. V. Rodado. 

Ropsanon, A, s. colui qui lourne aulour; 
rödeur, qui va oA et ia. 

RopEAMENTO, s. m. action de rouler, de 
teurner. V. Rodeio. 

Ropsir (com, de), o. a. entourer, environ- 
ner, ceindre, mettre autour. Toarner, faire 
mouvoir en rond. Faire le tour, tourner au- 

tour, embrasser ; paroowrir. (1. de mil.) Enjou- 
rer, ceindre, environner une place. — osmi- 
nıhos ‚ aller par un chemin plus long. —razöss, 
user de circontoontions. V. le v. ®. 4 ambigdo 
sod£ta o mundo ,(fig.) ’ambition fait le tour du 
monde. 

Rovezin, vo. n. aller, tourner autour, faire le 
tour. Aller par un chemin plus long, faire des 
detours, etc. (fig.) User de eirconloeutions, 
tourner autour du pot. Röder. 

Ropkıo ou Ropko, 3. m. tour, circuit z en- 
ceinte. Detour, au propre et au Ägure. Tours et 
detours qu’on fait pour s’chapper. (Ag.) Delal, 
remise, excuse, pretezte. (id.) Faux-fuyant, 
deiour, öchappatoire. —s, pl. (Ag.) tortille- 
ment, petites finesses ; moyens torluoux ou 
caches. —s de palaures, etreonlocutions. V. 


Ambage. —s do rio, detours, sinuositss d’une- 


riviere. Com —s „ obliquement, indirectement. 
Sem —s, (flg.) sans detours, tout uniment, 
sarıs circonloculion. Buscer —e, (fg.) chet- 
cher des dewours. 

Roptına, s. f. touriöre : religieuse qui a 
soin du tour. Orniäre : trace des roues sur le 
terrain. 

Rootıro, a, adj. qui appartient ow sort aux 
roues. Mao —. V. Maco. 

Ropkıno,s. m. ou Ropzınos, pl. les rouos 
dans l’essieu sans le eharriot. 

Ropsıuas, s. f. pl. (1.de mar.) tours d’un 
eäble. 

Ropskııi,s. f. rondache: bouclier rond er 


ROG 1083 


(ant.) V. Moita. 

RODELLAZINNA, dim. de Rodella. 

RopgLı&iao, s. et adj. m. arınd d’une ron- 
dache. 

Ronzııinma. V. Rodellaxinhe. 

RontLo. V. Tombs. 

Rop&nno, 5. m. sorte de poisson d’Alrique. 

Ronto. V. Rodeio. 

Rontra, s. f. diem. de Roda. Petite reue. 

Ropete, s. m. V. Rodizio. 

- Ropiao ‚s. m. * roselte de fer au bout des 
disciplines. 

Ropiıma, 3. f. * bourrelet que les fommes 
metient sous un fardeau qu’elles portent sur 
la t&te. * Torchon ‚ tortillon. Rotule du genou. 

RopıLniö, s. m. aug. de Rodilhe. Grand tor- 
chon; grand tortillon. Petite roue d’an coba- 
riot , etc. 

Rosiuua, s.. f. dim. de Roda. Petite roue, 
reulette. 

Ropizıo, s. m. roue & anbes d’un moulin & 
Sau. 

R6no, s. m. räteau sans dents. A—, & fol- 
son , en abondanoe. 

RoporoLLe. V. Redefolle. 

Ropöua. V. Redoma. 

Ropowotnno. V, Redomeoinho. 

Ropor£LLo, s. m. do — ‚aulour. 

Roporio,, s. m. epi de cheveuz. " Vertige. 
Tournoiement!. Em — ‚, tvernent oomme une 
toupie. Trazer alguem w’um — , [aliguer quel- 
geun continuellement, lui donner beaucoup 

o peine et sans reläche. V. Roda viva. 

Ropon. V. Redor. 

Ro»oväLno, s. m. ($. d’hist. nat.) Lurbot: 
peisson de mer, plat, du genre da pleuronecte. 
‚turbotin,, petit turbot, 

+ Roeotıno, s. m. piöce avec laquelle io 
chasseur l&öve le faucon, quand il mange la 
viande qu’on lui a donn6e. 

RozporR, A, adj. et s. rongeur, qui ronge. 


4 } Mödisnt. adj. ets. m. pl. (t. d’hisi.nat.) 
rongeurs : classe de mammildres.' 

Rozpüna, s. f. Yaction de ronger. Mangeure s 
endroit mange d’une &tolle, d’un pein. — de 
ferrugem, rouillure. 

Ro£ı, s. m. (4. de blas.) besant, tourtean. . 
V. Arrudla. — asul, wurtean d’azur. — de! 
prala, plate, besantı d’argent. | 

Ro£r, v. @. ronger: couper avec les dents 
peu & peu; (fig.) consamer; agilier ; tourmen- ' 
ter; miner, döireire peu & peu; se dit d’uno 
maladie, des chagrins, des remords; (eu pro- 
pre) des seides, de l’air. Ronger un os. (Ag.) 
Medire de quelqu’un. (fam.) Gruger, manger, 
Der bem que —, (fig.) donner du Bi ä retordre, 
bien de P’emibarras. 2 oadeados, (id.) röprimer 
sa colere, endurer ges peines. 

Röro, s. m. pli, plissure. 

Rovo, A, adj. mat, qui n’a pas d’öolat, de 
poli (or, ete.). 


Rocacöss, 8. f. pl. rogations: prosenwions et 


1044 ROL 


prieres pabliques au printemps, pour les Diens 
de la terre. “ 
Rocino, A,p.p.de Rogar. adj. Inviis, prie. 


Rouapör, A ,s. celui.qui prie; qui invite, qui | Rol 


convie. Intercesseur. 

Rocir, adj. 2 gen. (podi.) de bücher. — 
chamma , flammes du bücher. | 

Rocia (a, por), v. a.et m. prier, supplier. 
Prier Dieu. Inviter, convier. — prdgas. V. Pre 
guejar. Rogai a Deos por mim, pries Dieu pour 
moi. Fazer-se de —, se faire prier. ; 

Kocativa, s. f. priöre, instances, sollieite- 
tion , supplication , supplique. V. Rogo. 

t Rosarivo, a, adj. qui prfie,, qui supplie. 

RBocarönıa. V. Rogalive, 

Rockıra. V. Rageira. 

‚Rocino.V. Rugido. 

* Rocınir. V. Original. 

Rocır , etc. V. Rugir, etc. 

Röco, s. m. * priöre , supplicalion. “ D&preca- 
tion, demande avec jnstance. A — de ou a ses 
—, ala demande de quelqu’un. 

Röcos, pl. “prieres, instances,, suppliques. 

Roioo,A,p.-p. de Roer..adj. Ronge, cor- 
rode. — do gado, abrouti. V. Rwedo. 

Roi, etc. V.-Huim, etc. 

Ro10. V. Arroio. 

* Roısınaon ow Roıxınuor. V. Rowuzinoi. 

Roıxzin,ete. V. Roxear, etc. 

Rosina! V. Rajada (de venio). 

"Rorino,:V. Torrddo, Assado. ' 

Rosino, A, p. p. de Rojar. 

+ Rosapor, a, adj. trainant, qui traine. V. 
Rasteiro. 

RosaLcar. V, Rosalgar. 

Rosä6, s. m. espece de demi-lance ou de ja- 
valot pour les combais de tsureaux. Action de 
trainer. V. Rojo. (1. pop.) Prelude sur la gui- 
tare. Rajöes , pl. V. Torresmos. Levar de ro- 
jöes ‚ Lrainer. oo. 

Rosir. V. Arrastar. 

Rostına. V. Rageira. - 

ROJ0, s. m. l’action de trainer ; bruit que fait 
un corps qui traine. De —, adj. en trainant. 
Andar de —, ramper, se trainer. 

RöL,s. m. röle, liste, lat, catalogue ; Carte, 
mömoire de la depense. Leurre pour rappeler 
Poiseau de proie. — de egwipagem, röle d’e- 
quipage. ' . 

Noöua,.s. f. wurterelle: oiseau du 
pigeon. . 

"RoLacAö ou RoLacon. V. Relacdo. 

RoLino, A,».p. de Rolar. . 

TRoLinse, adj. 2 gen. Fogo —, (1.de mil.) 
Seu conlinuel de peloton. 

RuLiö, s. m. farine bise, recoupe. Pdo 

pain bis. 
*__Rouäa, v. a. rouler. Couper en rond. v. n. 
Rouler. et. Roucouler, en parlant des pigeons. 

"Rouoa ‚etc. V. Ronda, etc. 

RoLpäna, s. f. poulie, moufle. 

Roıpaö, s. m. lanfaron. it. Grande rone. 
Grand tour. De —, d’emblee, tout d’un <wup, 
en sursaut, & l’improvisie. 


Fi _ 


ww. 


genre du 


-u.- 


ROM 


" Rosie. V. Rondar. 
Routına, s. f. "hougeoir. , 
RoL&ıno, s. m. celai qui fait des röles. \. 


Roıßıao, A, adj. qui roule. Mer —, met 
houleuse. Felcds —, [auoon exeree a voler au 
leurre. . 

RoLkte, s. m. rouleau. — de canns, Iujau 
d’un roseau , d’une anne. —s de cabello, wr- 
tillons , bourreleis de cheveux au sommei de 
la 1ete. u 

RoLna, s. f. " bouchon , lampon. Tirare- 
a uma garrafa, deboucher, decoilfer unt bei 
teille,. 

RoLHiD0,&A,9.p. de Rolkar 

RoLuiö, s.m. aug. de Rolha. it. Rouleas, 
pidce de bois ronde pour mouroir de grossti 
pierres, etc. 

RoLnär, v. a. boucher (une bouteille, ei., 
avec un bouchon). 

RoLnkıno, 5. m. torrent , ravine. 

*RöLno, 5. m. *rotule du genou om cherille 
du pied. 

RöLno, A, adj. rond, gros, trape. 

RoLico, a, adj. artondi, long et poli; des, 
ferme, rond, en forme de rouleau. Bebondi, 
dodu, fort, robuste. (6. de bob.) Cylindriget, 
rond. 

RoLim , s. m. V. Roolim. Peixe —, '\ust, 
poisson de mer. 

RöLixwo, s. m. dim. de Rdlo. Petit soulean. 

TRouLııro, s. m. (8. d’hist. net.) rollt: 
oiseau plönirostre qui a beaucoup de rappell 
avec le geai. \ 

RöLo, s. m. rouleau : paquet, bois cylisdni- 
que; cylindre. Piece d’un procds qu'on pie! 
autrelois en rouleau. Piece d’etofle,, ei-, © 
rouleau. * Bougie en rouleau, rat de tt. 
* Houle, vague, lame. Gite, has de la cut 
du bauf. — de tabeco , " carottie de labat. 

.Rön, s. m. couleur jaune. 

+Röu, s. m. rhum: esprit, aleool üre da 
sucre. 

Roma,a. f. (4.de gdog.) Bome : capitale dei 
Etats ecciösisstiques et du monde calkoligee. 
— näo so [fezn’um dia, (prov.) Paris ua pas M 
fait en un jour. . 

:Romä os Roma, s. f. grenade, [rail du ste 
nadier. — do masiro, ($. de mer.) joutle, ftal 
ou flasque de mät. 

-Romicsu,s.f. V. Romaria. - 

Romän.V. Rom. 

-Romäna, s. f. Fomaine: peson, sorie de Di 
lance. 

Rosince, s. m. langue portugaise valgalft. 
" Romance : sorte de podsie en stances Du CI" 
jlets. Roman : reeit ictif, en prose, des are® 
(ures de la vie, et peinture des passioas, W- 
‘Em bom —, ( loc. prov.) clairement, sans 84% 
voque, en bon frangais. . 

RoMANCEÄDO, A, 9. p. de 

RomancEin, o. a. Iraduire en langas® ni’ 
gaire. Introduire dans le langage vulgaire dei 
Wrmeos d’autros languos. ‘ 


. 





ROM 

Romanckscamänte, adv. romanesquemen!, 
d’une maniöre romanesque. ’ 

ROMANCESCO, A, adj. romanesque : qui tient 
du roman, fabuleux. V. Rumanlico. 

RomancisTa , s. m. romancier : auleur de ro- 
mans. Celui qui e&crit en langue vulgaire sur 
des matidres ordinairement! traildes en latin. 

Rouantıra. V. Romeira. 

+ Rouänıa, s. f. (l. de gdog.) Romagne: con- 
tree de V’Italie. Romanie ou Romelie, province 
de Turquie. 

Romania, s. f. De —, d’embiee, tout d’un 
eoup. V. Redondamenle. 

+ ROMAncisMo, s. m. romantisme : amour du 
romantique; fiction, description, 6t0., roman- 
tiques. 

RouaninHo , dim. de Romano. 

RoMANISCO, A, adj. exerc& aux allaires da la 
eour de Rome. Qui a le goüt, le style de l’öcole 
romaine (de peinture). 

+ Rowino, s. m. (1. d’arch.) feuillage & la 
frise. s 

Rouino, a, adj. eis. Romain : deBRome, des 
Romains. Lingua —a,, langue romane. 

+ RomänTıco, A, adj. romantique, roma- 
nesque.. 

Romanztina. V. Romeira. 

"Romäö. V. Romano. 

Romania, s. f. "pelerinage: voyage fait par 
devotion. 

Roupädas. V. Arrombadas. 

+ Romsam£nte, adv. bölement, d’une ma- 
niere stupide. 

Römso, s. m. (i. de mar.) voie d’eau. Trou. 
dt. V. Rhombo, eic. 

Rönpo, A, adj. emousse. ( lg.) Obtus, stu- 
pide, hebeie. Camus, camard (nez). j 

Roweıra, s. f. (6. de bot.) “ grenadier : arbre 
qui donne les grenades. — brava, "balaustier. 

Romgıno, A, s. pelerin. Petit poisson qui 
s’attache A la baleine et no la quitie jamais. 

+ Romriö,s. m. crampon du fer ä cheval; 
6caillon, croc ou crochet d’un cheval. Ferrar de 
—, ferrer & glace, cramponner (un cheval, etc.). 

RowPpeEoptıra,s. f. instrument de forgeron, en 
forme de coin, pour couper le fer lorsqu’il est 
rouge. V. Talhadeira. 

RoMPEDöR, A, 5. colui qui rompt, qui use. 
On le dit surtout d’un homme qui use beaucoup 
d’habits : brise-tout. Infracteur. V. Rompente. 

Rompzoöna. V. Rupiura ; Rolura. 


ROMPENTE ‚adj. 2 ges. rompant, qui rompt, 


Lacerant, brisant. p. a. de 

RoMP£R, v.G. rompre, casser, briser, mettre 
en piöces; fracasser, dechirer, user (un habit, 
ete.). —, enfonoer, meitre en desordre (un ba- 
taillon, une aile, etc.). Percer, ouvrir, s’ou- 


vrir un passage. Rompre (le cours, le fl de 


Peau, eic.), dötourner le mouvement droit (du 
vent, ete.); &loigner de la ligne droite (un 
rayon de lumidre); causer une rupture; de- 
truire , rendre nul (un traite, etc.); faire cesser 


<Pamiti6). Delricher un terrain. (Ag.) Commen- 


cer (la guerte, etc.). Jnterrompre, couper la 





RON 4085 


parole. (Ag.) Transgresser la loi, violer um 
precepte, manquer & un devoir. Franchir les 
bornes, les limites. — campos, malos, defri- 
cher un champ, des bois. — um segredo, rev&- 
ler un secret. — o silenoio,, rompre le silence, 
commencer:ä parler. — o nome, 0 sanlo: on.le 
dit du mot du guet, donn& le soir pour-la'nußt, 
et qui devient inutile au lever du soleil.—& ca- 
bera, a ldsta; blesser A .la töte,. au front, I4s 
fracasser. — um caminkho, ouvrir un chemin. 
— os diques,, ( ig.) rompre les digues, selater. 
Com sailde 0 rompa, (fam.) usez-le en sante. 
Gompliment & quelgu’un qui a un. babit neuf. 
De rompe e rasga, (id.) resolument, töte bais- 
see. Rompe galas. On le dit ironiquement d’un 
homme mal veta.:: . 

Roup£r (com, em, por), v. ». rampre; &cla- 
ter. Sortir aveo.violence, avec impe6tuosile. 
S’engager dans un combat. $S’ouvrir un pas- 
sage. Se r&soudre & une entreprise dont les dif- 
fioultös arre&taient. (Ag.) Pousser,'sortir, paral- 
ire. — com alguem, rompre, se brouiller aves 
quelqu’un. — em izas, em pranlo, 6clater 
en plaintes, en pleurs. — por lodas as difiewi- 
dades, surmonter tous les obstacles. — pele 
meio da gente, se [faire jour ä travers la foule. 
— por enire as NMOORS, O0 Nevoeiro, peroer A 
travers les nuages, les brouillards,, en parlant 
du soleil. — 0 dia, vommencer &ä poindre, en 
parlant du jour. Ao— do dia, au point du jour. 

Romp£a-se, v.r. se briser, 86 Cusser, se rom- 
pre. S’user, en parlant d’un habit. (Ag.) Se de- 
couvrir, se divulguer, en parlant d’un secret, 
d’une nouvelle, etc. 

+ Roure-TEnRA ,adj.2 gen.(poei.) quiromps 
la terfe. 

Roueipo, A,p.p. de Romper. adj. Rompu, 
brise. Defait, en desordre (bataillon, arınde, 
eic.). V. Roto. . 

RoMPIMENTO, 8. m. "rupture : aclion par la- 
quelle une chose, (fig.) la paix, eic., est rom- 
pue; &tat d’une chose rompue; division entre 
des personnes, des Etats qui etaient amis; (fig.) 
brouillerie, division. V. Romper, v. a. et’m. 
— da batalha, commencement du combat. — 
do canal, ouverture d’un canal. 

Rourözs, s. m. pl. crampon du fer & cheval. 


V. Rompöo. 
+ Rom6Lxo, a, adj. (poet.) de Romulus. 
Rönca, s. f. bravade, rodomontade. * Cri da 
chamois en rut. Son rauque des instruments & 
vent. * Bourdon de musette. Trois eu’ qualre 
hamegons attaches ensemble pour p£cher les 
gros poissons dans la haule mer. nn 
+ Roncankıra , s. f. (t. vulg.) la vessie 
atrienne. " " 
RoncADOR, A, 3. ronfleur. Rodomont, fanfa- 
ron. " 
+ Romcapöra, 3. f- “ronflement, bruit fajt'en 
ronflant. V. Roco. 
Roncäe, v. ». ronfler: faire en dormant an 
bruit de la gorge et des narines; (fig. fam.) 
faire un grand bruit. Rendre un son sourd et 
raugue, mugir, rugir: se dit de certains instru- 








10850 - RU RUM 


:comj o5\. —bustardo , grande oonlauröe. -ds 
ierra, "cenlaurte du Tage. 

+ Ruin, vo. ». (p. us.) tomber en ruine, 1% 
erouler. 

Rulva, s. f. ($. de bof.) garance: plante gui 
sort & leindre en rouge. — do Levanıe, "la: 
garance du Levant. Tingir com — ‚garancet: 
leindre en rouge avec la garance. 

RAulvaca, s. f. (1. d’hist. nes.) poissen dor 
de la Chine. — dos rios, rousse ou rougeälr, 
poisson du genre du cyprin. 

Rutvıoäö, s. f. rousseur, couleur roussäte. 

Reivinäöd, a, adj. dim. de 

Ruivo, A, adj. roux; de couleur rousie; 
rousseau. Biond, dore, de couleurd'or. Be 
mem — oe mulker barbude, de lange os seuds, 
(prov.) homme roux et femme barbue, de qus 
tre lieues les salue. 

Ruivo, 8. m. (4. d’Aist. nat.) wigle, perioo, 
Touget : poisson de mer. 

RuLär, v. ». roucouler. V. Rolar. 

KöLLo,s.w. *lame, houle, vague.Y. Rok. 

Rima,s.f.“tas, pile, monceau, omas. 

Rumacäd. V. Arrumagdo. 


a f ° T roulement de fambours. 


Röro, a, adj. (podi.) rouz, Fousseau. V. 


Röca, s. f. ride: pli qui se fait sur la poau 
du {ront, du visage, eic. 

Rocir. V. Enrugar. 

Röcz-röcz, 3. m. borborygme : vent bruyant 
dans les intestins. (fam.) Bruit sourd qui cir- 
cule, fron-fron. 

2pcino, 8. m. rugissement: eri du lion. Bruit 
Jons les intestins, borborygmes. Bruissement. 

Rucınör, A, adj. rugissant, qui rugit. 

Rtcıe, 0. ». Fugir, se dit du cri da lion. 
Bruire,, craquer, faire beaucoup de bruit. 

‚ Recc6so, A, adj. ride, plein de rides. Rade, 
äpre au toucher ‚ rugueux. 

Rrızirso, s.m. (I.de bof.) "rhubarbe : plante 
medicinale. — verdadeiro ou da China, rhu- 
barbe de la Chine. — dos monges , rbubarbe des 
moines, la grande patience des Jardins, pa- 
relle des jJardins. — dranco, mechoacan, lise- 
ron du Brösil, rbubarbe blanche. 

Rcioo, s. m. bruit, vacarme. Bruit : son 
.agreabie, murmure d’un ruisseau. Bruit, que- | Ruuia. V, Arrumer. 
relle, demele, tumulte, &clat. —, eclat, vain | Rüuso. V. Rumo. 
sppareil, ostenlation; renommee. V. Fama,| + Rüus, adj. eis.2 gen. natil do la Grid 
Nome. — das aguas, murmure des eaux, d'un | de la Thrace. 

Tuisseau. — das armas, cliquetis des armes. RAuMianor, A,0dj. ruminant, qui rumikt. 

Rviposauante, ade. brayamment:aveofasie, Rumıapouno. V. Rumidouro. 
avec ostenlation; aveo bruit. Rumsaoöaa, 3. f. ruminalion : action den 

Rulnöso, a, adj. delatant, bruyant, qui fait | miner. . 
du bruit, Cöl&bre, fameux, renomme. Rumiän, ©. &. rumminer : romäoher co qua ı 

Arim, ad/. 2 gen. vil, abject, meprisable, | mange; se dit de ceriains animauı. V. Aumi- 
mauvais. De peudevaleur, donton ne fait point | war. 
de cas. Mechant, pervers. Mechant, vicieux, | + Röuıcz,s. m. (8. de 508.) oseille, patiene: 
traltre, en parlant des animaux. (fam.) Pi@ire,, | plantes. V. Azedeira. 
chetlf, on mauvais dat. Villäo—, vaurien, fri- | Ruumövao, 3. m. jabet om poche des u 
pon ; homme grossier et mechant. A um —, — | maux qui ruminent. 
emeio, (prov.) Acorsaire, corsaire ei demi. Em | Rummnacäd, s. f. V. Ruminadurs. 

llando no — de Roma, logo assoma, (id.)en | Ruminipo,A,p.p. de Ruminar. 
parlant du loup, on en voit la queue. Quem | RuminäL, adj. 2 gen. ( 6. d’ant.‘ Figueirs-, 
— dem sus lerra, — € fora d’ella, (id.) celui | guier ruminal, de Remus eı Romulas. 
qui est möchant chez Iui, est mschent partout,. | RrminÄänte, adj. 2 gem. ruminant ow bisul- 

Ruluutnte, ade. möechamment, piötrement, | que, qui rumine (animal ). Os —s, 5. pl.lesrs- 
chötivement. minants : classe de mammiferes qui ont quaite 

Roina , s. f. *&eroulement, ruine, döperisse- | ostomacs. 
ment, destruction d’un batiment, etc. (Ag.)| Rummär,v.a. V. Rumier. Buminer: (A4-) 
Ruine ‚d&cadence,‚perte.(id.)Causede la ruine, | penser et repenser & uno ebose, la bien digere! 
de la chute de quelqu’un. (Ag.) "Ravage, ren- | dans son esprit. 
versement, suppression, desolation, entire | Rüuo,s. m. (8. de mar.) rumb : sire de reül: 
destruction, ruine. (fem.) Deconliture, ban- | trente-deuxieme partie de la boussole. "Bari: 
queroute, rulne.—s, pl. masure, reste d’un |d’un vaisseau. (ew£.) Mesure marilime du: 
6difice tombe en ruine. Kald proximo d sus —, | palme et un pouce, os de cing palmes. (M- 
il est sur le penchant de sa ruine. Chemin , route qu’on suit dans une aßeire; Bi 

Ruımäin. V. Arruiner. nidre d’agir, conduite, procdde. Muder de -, 

Ruinpäne, s. f. mechancete, malignitt; in- | virer de bord, prendre une autre roule. — 47 
dignits, sclion vile, InfAme , bassesse ‚infamie. | parenie, (1. de mer.) route apparenie. — 607° 
Pelitesse, peu de valeur. rigido do abatimento,, route corrigee de la d£- 

Ruinösauturte, adv. d’une manidreruineuse, | rive. — vordadeiro d’uma derrofa, route droit 

‚ Roınöso, a ‚adj. ruineux : qui menace ruine; | ow rödelte. -- estimado, route estimee. — [el 
qui cause la ruine, de la perie, du dommage, | ou desoio de — verdsdeiro, fausse roalt. Der 
une depense excoassive,. 0 —, etommander, douner la route. 

Rusröuro, s.m. (6. de bo4.) rhepontios plante | Bumon, s. m. "ramenz : bruit qul so röpend; 


























SAB 


bruit ezeitd par la erainte, l’indignation, la co- 
löre; jugemenis publics, incerlains, vagues. 


— confuso, broubaha,. Correr o—, courir le 
bruit. 


Romonzinue, s. m. dim. de Rumor. Petit 


bruit, petite rumeur. 


+ Röundw, s. m. (fam.) * rumeur, brult qui 


eourt. V. Rumor. 
“ Runra ou RUMFA, s. f. sorte d’ancien jeu. 
Rönua, etc. V. Ronha, eio. 


+ Rönıco, a, adj. runique : des anciens peu- 
plos du Nord (langue, caractäres, po6sies—s). 


"Runn£uto, s. m. V. Roedura. 


Ruria, s. f roupie : sorte de monnaie dans 


les Indes. 

+ Rurickpra, 8. f. (poet.) * chamois, chöv 
sauvage. 

RourTönio, 8. m. instrument de chirargie pour 
ouyrir les cauleres. 

Roprura, s. f. rupture, fracture; hernie. V. 
Rotura. 

RouriL, adj. 2 gen. rural : situ6 & la campa- 
gne; des champs, qui les concerne, 

Rösco, s. w. brusc, brusque : arbrissean. V, 
Gilbarbeira. 

Rössıa, e f. (1. degeog.)Russie: empire situ6 
partie en Asie, partie en Europe. 

Reesıino, A, adj. ers. V. Russo. 

RossiLno os RusıLno, A, adj. d’un roux clair; 
de couleur rose et blanc. 

Rösso, a, adj. et s. Russe, de Russie. 


Rüsso, a, adj. V. Rugo, 






SAB 1051 


j Rousticausnte, adv. rustiquement. 


t Rusticia, vo. ». demeurer ä ia campagne, 
y passer quelque temps. 

Rusricınine, s. f. qualitö de ce qui est rusti- 
que, champetre. Rusticit6, grossidrets, rudesse 
dans les manieres, le langago, eto. 

Rüstıco, A, adj. rustique, champetre, de la 
campagne; inculte;, sans art; (Alg.) grossier, 
peu poli, malgracieux, rustaud, agreste, im- 
poli, brutal, rustre. 

Rüstico, A, s. paysen : habitanı de la cam- 
payne, homme grossier, rustaud. 

Rusrıqueza. V. Rusticidade. 

Rura-capränıa, s. f. (t. de bot.) "galega ou 
galec, rue de cheyre. Rula-muraria. V. Ar- 
ruda dos muros. 

Rutußno. V. Russo, Russiano. 

RuriLänte, adj. 2 gen. brillant, qui brille, 
resplendissant. p. a. de 

Rurı.ia, o.n. briller, respiendir, avoir l’6- 
clat de l’or, reluire. 

RötıLo, a, adj. (podt.) &olalant comme l’or; 
brillant, respiendissant. 

Rorina, ete. V. Rotina, etc. 

"RöTo, s. m. "route, chemin qu’on fait; iti- 
neraire. 

RöruLo, a, adj. Rutule, du Latium. Os —s, 
s. pl. peuples du Latium. 

Rotöra. V. Rotura. 

Ruvınnöso. V. Carunchoso, Carcomido, 

Ruxoxo, s. m. cri pour faire fuir les oiseaux. 

Rry’ramo, oto. V. Rhyikmo, eto. 


S. 


S, s. m. dix-neuvidme lettre de Palphabet 
portugais, et la quinziöme des consonnes; ce 
qui a la forme de s. La lettire S mise seule si- 
gnifle säoou santo, Saint; designe aussi le sud; 
elle est aussi P’abreviation de santidade et de 
sua, comme dans S. S. sa saintete, S. M., sa 
majeste. Deux s (SS) signifient saints ow trds- 
saints. 

* Sa, aulieu de Sua. V.ce mot. 

SA ouSia, f. de Säo. V. ce mot. 

"Sir. V. Som. 

"San. V. Sarar. 

tSamä, s. f. (4. de geog.) Saba: ville de 
Perse et d’Arabie. 

SABADEAR, eic. 

SiBADO » etc. } V, Sabbad..., etc. 

SaBAisMmo. V. Sabeismo. 

SABÄÖ, 5. m. savon : päte faite d’huile ou de 
graisse ot d’un alcali, pour degraisser. (Ag. 
fam.) " Reprimande. Sorte de fruit du Bresil en 
grappes. — das Canarias. V, Saboeira das Ua 
sarias, 


Sınisto et 

SABASTRO. | V. Sebasto et Sevasiro, 

SABBADEADÖR, A, adj. qui observe le sabbat 
comme les juifs. 

Sazsanear. V. Sabbalizar. 

SÄBBADO , 3. m. samedi : septidme et dernier 
jour de la semaine. Sabbat : jour sacr& chez les 
juifs ; leur r&union en ce jour. 

TSABsATÄrıos, 8. m. pl. sabbataires : juifs,, 
heretiques qui observent le sabbat. 

SaBBÄTICO,, A, adj. Anno — „ annde sabbati- 
que, chaque septieme annee chez les juils. 

SaBBATINA, 3. f. office da samedi , lorsqu’il 
n’y a point de fete. Sabbaline : petite thdse que 
les ecoliers soutiennent le samedi. Legon com- 
posee de toutes les legons d’une semmaine, que 
les &coliers r&citent je samedi. 

BaBBATINO, A, adj. du samedi : qui concerne 
ou 56 [alte samedi. 

T Sansarisuo, s. m. oslebretion du sabbat 
chea les juifs. 


' 1063 SAB 


Sanzarızän , v. m. sabbaliser : faire le sab- 
. bat; observer, celebrer le sabbat. 

BanecHid. 

Banzcnöso. } V. Sabich..., eic. 

SanEDOR,A, adj. ei s. qui sait une chose, in- 
struit, informe de. (inws.) Savanı. Faser —, 
faire savoir, informer de. 

SasEnOnia, 8. f. sagesse, pradence, discer- 
nement. °Savoir, doctrine, erudition.* Avis, 
connaissance, notice. Livro da —, la Sapience: 
lirre de Salomon, intitul& Ja Sagesse. — eler- 


na, increada, sagesse &ternelle, increee : verbe. 


divin. 

*+ SusEponumäntg, adv. V. Sabldamente, 
Saebiamente. 

SABEDORZINHO, dim. de Sabedor. 

Sıs£ismo,s. m. sabeisme : religion des ma- 
ges, des Chaldeens , adoration des astres. 

Sıanenga, 8. f. (1. iron.) * savoir. 

* + Sastnnas (A), adv. sciomment, avec 60n- 
naissance de cause. Fazer alguma cousa a —, 
faire quelgue chose ä bon escient, ä son es- 
cient, la faire sciemment. 

" SaBente. V. Sciente. 

SısEo, A, adj. de Saba. Sabsen, qui a rap- 
port au sabeisme. Lagrima — a, (podt.) Pon- 
eens. 

Sınkos, s.m. pl. Sabsens : pouples de l’Ara- 
bie heureuse. 

SABR , 9. a. savoir : connallre, no pas igno- 
rer ; avoir dans l’esprit , la memoire; avoir l’a- 
dresse, le pouvoir, la moyen de faire ; ötre in- 
struil, informe de ; &ire vers& dans un art, une 
science. —de cör, savoir par cur. — 
ie, ao cerlo, savoir au juste, savoir preeise- 
ment. — dem de seu ofleio , entendre bien sa 
charge ; se connaltre bien ä son metier. — vi- 
vor, avoir du savoir-vivre. Fazer — ‚ faire sa- 
voir, informer. Fazemos—, savoir faisons. Näo 

— ‚ne pas savoir, ignorer. Ndo — de si, n’avoir 
pas letemps de penser ä soi. Nädo — da missa 
ametade , (fg. fam.) ignorer parlaitement uno 
chose. Ndo — cousa algums, ne s’entendre & 
rien. Ndo sabe menlir, dar uma esmola, eic., 
jl ne sait pas menlir, faire une fois l’aumöne. 
Ndo sei o que lenho, ou lenho um ndo sei que, 
j’ai un malaise. Sem o saber, insciemment, & 
l’insu, sans je savoir. Sem eu 0 — , sem Pr 0 
saberes, sem elles o sabfrem, a mon, & ton ou 
A votre, ä leur insu. Ndo quiz mais saber d’elle, 
je l’ai plante l&. Sabe Iros..., Dieu sait... Deos 
bem sabe que..., Dieu m’est 1Emoin que... 
komem que tudo sabe , c'est un homme qui a’ i- 
gnore de rien. A—, savoir. Ba — s concem a 

— ‚il faut savoir, il est bon de savoir. Näo ha 
ninguem que o ndo saiba, personne ne l’ignore, 
tout le monde le sait. Elle bem sabe 0 que fax, 
il connalt son affaire. 

Basta, ©. ®. savoir, ölre savanl. Eire in, 
experimente, en savoir long. (a) Avoir le goät, 
la saveur de. (4g.) Plaire , ötre agreable. — bem 
ou mal, avoir une bonne 0% mauvaise Saveur. 
Iso ndo me sabe bem , (fg.) cola ne ıne plalt 
pas. 


SAB 


Sanka-ez, ©. r. ötre conku, neleire. Sabs-a 
que..., an sait que... Vir a— , devenir neteire, 
public ; se decouvrir. Se isto vom “—,si l’on 
vient ä le sevoir, si cela se decouvre. E digns 
de —,il est bon, de saroir. Come tempo tude 
se sabe ou vem a saber-se „Loul se decouYrezwee 
le temps. Jd se sabe, ‚(loe. adv.) bien eniopdu, 
cela va sans dire. 

SAB£R, 5. m. savoif, science. 

“SAnERETES ‚s.m.pi.ı1.burl.)savoir, science, 
6rudition. 

SÄBIANRNTE, adv. saramment ‚prudemmsest; 
sagement. 

Sasıcniö, Ona, adj. et s. (I. berl.) savan- 
lasse. 

t Sısıcnöso, a, adj. (t. buri.) faux sarvant, 
aliboron. 

SABiDAMENTE , adv. ouverlemeaut ‚claireıment, 
evidemment, manifestement. 

Sasino, A, p. p. de Saber. adj. Savant, 
docte, &claire ; sage, prudent. — de lodes, me- 
toire, 'manifeste, connu de tout le monde. 

Sısıporia. V. Sabedoria. 

+ Sasinos, s. m. pl. fixe, appoiniemenis, 
traitement d’un cure, d’an vicaire; emels- 
ments, casuel legal et connu. 

Sapina ,s. f. (6. de bot.) sabine : petit arbasıy 
toujours vert, espece de genevrier. 

+ SasınäL, s. m. terrain plante de sabines. 

7 Sasino, A, adj. qui concerne les Sabizs. 
On le dit d’un cheval blanc et chätain. 

+ Sasinos, s. m. pl. Sabins, anciens peupie 
d’Italie. 

SiBlo, A, adj. savant: qui a beaucoup do 
science; sage. Qui conduit, qui forme & la ss- 
gesse,, qui est plein de sagesse. s. me. Savani: 
personne sage, prudente, savante. O —, ie 
sage, Saloınon. Os —s, les savantıs. 

t Sasis, s. m. pl. nom que l’on donnail sux 
anciens chretiens de Babylone. 

T Sasisuo, s. m. sabisme. V. Sabeismo. 

SiBLE, s. m. (i. de bias.) sable vert, en fran- 
gais couleur noire. 

SanoaRia, s. f. savonnerie : lieu o& Pon im, 
brique le savon. 

SaBOßIRA, 8. Ark savonniöre : femme guı lait 
le savon. (f. de bot.) —ordineris ou meier, 


‚saponaire, savonniere: plante caryopbyliee. — 


menor , baslarda ou dos rios. V. Escropkuls- 
ria dos rios. — ou saboeiro do Brazil, savon- 
nier, arbre aux savonnelties, — ou sabodire das 

m | Canarias ,savonnier des Canaries. 

SaB0£ıa0, 8. m. savonnier : celui qui fait om 
vend le savon. (5. de bot.) V. Saboeire. 

‚ Sanöca,s. f. espöce de petite alose. V. Sarel. 

+ SaBöla, 8. f: \ 6. de geog.) Savoie : prevince 
des Etats Sard 

+ Susann, & 4, adj. et s. Savoyard, de Ss- 
voie. 

SasoıLkra,. V. Ceboleta. 

SABontrE,s.m. "savonnelte: boule, labieus 
de savon prepare. (Ag. fam.) * Hude ,moquerie. 
(bdurl.) Reprimande publique, savon. 

SABÖR, 5. m. "saveur: qualil# sentie par ie 


SAC 
goßt. (Ag.) Gott, desir, envie. A—oua0— de, 
au goüt de, au grö de. 

SABOREÄDO, A, P. P. de Saborsar. adj. Sa- 
voure. 

*f SABORBADÖR, A, adj. ( p- us.) qui donne os 
cause de la saveur, qui assaisonne. 

SaBOREKÄR, ©. G, assaisonher : donner du 
goüt, de la saveur; temperer. Savourer : goü- 
ter avec attenlion et plaisir; (Ag) jouir aveo 
delices. 

SasonsBÄr-SE (de, em), dv. fı Savourer: go0- 
ter avec allention et plaisir. (Ag.)- Eire cbarme 
de, so complaire, prendre plaisir.ä.- 

SanoRiDo, A, adj. (p. us.) qui a uno Saveur. 
(fig.) V. Agradavel. 

SABORÖSAMENTE, adv. savoureusement, d’une 
manidre savoureuse. (flg.) Agreablement. 

SAROROSISSIMO, A, adj. sup..de 

SABOROSO, A, adj. savoureux: qui a bonne 
saveur, beaucoup . de,.saveur. (g.) Flatteur, 
agreable; discret. 

+ Siska, s.f. sorte de raisin. 

SäBRE, 5. m. sabre. V. Tergddo. 

SıBro. V. Saidro. 

* Sasino. V. Sabido. 

SaBUcÄL, 8. m. lieu plante de sureaux. 

SaBucäL, adj. 2 gen. Uva —. V. Uva de ode. 

SaBüco, s.m. Facine des cornes, de la queue 
des animaux ; racins des ongles. v. Sabu- 
gueiro. 

SanucugiriL. V. Sabugal. 

Sa2uGußıro, 3. m. (#. de bof.) sureau : plante 
caprifoliacee. 

Sıa26J0, s. m. sorte de chien de chasse, ela- 
baud, limier. 

SasuLöso, A,adj. sablonneux : qui roule du 
sable (ruisseau, eic.). Urina —a, urine s8- 
blonneuse, chargee de graviers, et qui indique 
la pierre. 

Sanünnı,s. f. (li. de mar.) saburre : gravier 
pour lester. (1.de med.) —, ordures dans les 
premieres voies, crasso de la languc. 

+ Sanunräia, v. a. (i. de mar.) saburrer, 
lester. 

SABURRENTO, A, 0% |] saburreux, p4leux. Lin- 

SABURROSO, A, adj. } gua—a,langue päteuse. 

Sısüano. V. Milho,Zaburro. 

Sica,s. f. traite, transport, exportalion de 
marchandises. V. Saida. * Tirage, action de 
tirer. ı6. V. Sacca. 

+Säcı-BiLa, s. m. tire-balle : instrument de 
chirurgie pour tirer une balle d’une plaie. 

+ Sica-BiLas, s. m. tireballe : instrument 
pour tirer une balle d un fusil, d’un canon. 

SACA- BOCÄDO, 5. m. emporle-pidce : insiru- 
ment propre & decouper. V. Almofale, Vasa- 


+ Saca-50civo, adj. m. Panno —, (p. ws.) 
drap, &loffe decoupte avec l’emporte-pitce. 

SACcA-BUXA, 8. f. saquebute : petit instrument 
de musique & vent,, sorta de trompetle ou trom- 
bone. Espece de pompe marine. * Tire-bourre: 
instrument pour tirer la bourre, la charge d’une 
arme ä feu. 


. 


SAC 1058 


Sıacipa,, s.f. (l.d’arch.) saillie, avance; bal- 
eon. Traite; transport, exportation de marchan- 
dises, "Impöt, tfibut, droit de Lraite foraine. 

Sacan2BLLa, s. f. aclion de relirer la ligne 
lorsque le poisson a mordu & l’hamegon. 

SacAD0, A,P. pP. de Sacar. : i 

SACADÖR, A, 8. celui qui Llire, qui Öte. (1. ds 
comm.) Tireur d’une lettre Je change. Roceveur 
de deniers publics, etc. it. V. Qwsitador. 

SıcarıLca, s. f. instrument d’artilleur & 
bord des vaisseaux , espece d’aiguille A erocher- 

SacaLADOR. V. Ayac . 

SıcaLiö ou Sacko. V. Empuzxäo. 

SacaLinna, #. f. espece d’ancien dard. V, 
Sancadilha. 

Säca-MmKTäL, s.m. V. Agulks de garvalo. 

SiäcA-MÖLAS, 8. M. „arrachenr de dents. 

+ Säca-näse, s. m. (fl. de. mar.) creo de . 
pompe. 

SicA-PRLÖURO,, 3..M. V Sacabalas. 
Sacäa (de), v. a. lirer, sortir, Öter ;arracher, 
V. Tirer. —, arracher, öter de force; arracher, - 
forcer.de donner. — umea lelira de cambio, 
tirer une lettre de change. — a espada, lirer 
Pepee , degainer. — algum dinheiro a alguem, 
arracher, oxtorquer, acorocher quelque argent 
& quelqu’un. — om branco, (1. de comm.) tirer 

ä decouvert, lirer sur un nom imaginaire. 

SäcA-RÄBO, s. m. quadrupöde qui ressemble 

au furet. V. .Towrdo. 

Sıcaria,s.f. grande quantit6 de sacs. Impöt 
sur les exportations, droit do traile foraine. 


'I (ant.) Fausse alarıne. 


Sıcarino. V. Sacharıno. 

Saca-TaÄPO, 8. m. Lire-boufre : instrument 
pour lirer la bourre d’un fusil, etc. 

Sicca, s. f. grand soc; son contenu. Balle 
(de coton, ete.). 

+ Saccäpa, s. f. sache6e : plein un sac. 

Sicco, 3. m. sac: sorte de grande poche de 
toile; son conlenu; mesure de grain, de la- 
rine, etc. (6 slquiers en Portugal). —, habit de 
grosse Loile ou bure, habit de penitenoe, d’hu- 
miliation; (fig.) ce quiena la forme. —, pillage 
d’une ville, etc. Melter.a —, voler, piller, de- 
rober. Dar a cidade a —,, livrer la ville au pil- 


'} lage. A cidade # dads a —, la ville est au pillage. 


Homem de — , porte-faix. Nabos em —, chat en 
poche. Seile 00 —, e 0 — em lerra, (fam.) beuu- 
coup de gens pour ne rien [aire ow faire mal. 
E um —de carne, c’est une masse de chair. 
Fazer meiter a alguem a lingua no —, (9 
fam.) meüre quelqu’un au sa0. 

SaccöLa, s. f. besace, biusac de fröre qu&« 
teur. Saooche. 

* SACCOMÄNO, 8. m. Sal, pillage. it. V. Saca- 
mardo. 

* SAcomÄO ou 

© Saccowänno,. } V. Saqueador, Salteador. 

+ Sackııo, s. m. "chapelle, petit temple. 

SACERDÖCIO, 8. m. Sacordoce: caraclitre des 
pretres; prötres; oorps de pr&tres; ministöre 
des sacrilicateurs. 

Sackandra. V, Sasordolize, 


1058 SAC 
Sacennorir, adj. 2 gen. sacerdolal : du sa- 
oerdoce. 


SAcERDÖTR, 5. m. pretre. V. Presbylero. Sa- 
cerdote, pr@tre böbreu. Saerißicateur, chez les 
paiens. Summe —, souversin pontife: se dit 
de J&sus-Christet du pape. Grand sacrificateur. 

SAcEnDOTizA, s. f. pretresse : fomme allachöe 
ia service des faux dieuz. 

Sicna, s. f. sarclure. V. Sachadurs. 

Sıcnin0, A, p. p. de Sacher. 

SACHADOR , 8. m. Sarcleur. 

Sıcsandaa,s.f. l’action de sarcler, etc. "Ber- 
foueltage. 

Sacniö, s. m, aug. de Sacho. Grand sar- 
cloir. 

SıcHÄr, v. @. sarcler : arracher lies mau- 
vaises herbes ; serfouetier, remaer la terre au- 
tour des plantes. " 

TSacnanirena, adj. f. sacchariföre, (plante) 
qui donne du sucre. 

TSacuarino, A, adj. (1. de chim.) saccha- 
reux ou saccharin : de la nature da sucre, qui 
en contient les principes. Acido —, acide sac- 
charin os oxalique, tir6 du sucre. 

SıcHO, 3. m. sarcloif : instrument pour sar- 
cler. * Serfouette : outil de jardinier pour ser- 
fouetter ou serfouir, 

SacnöLa, 3. f. petite beche, grand sarcloir. 

Sacıl0o, A, pP. p. de 

BacıÄr, v. a. rassasier, assouvir. Desaltsrer ; 
abreuver. 

Bacıirn-sE (de), ©. Fr. Se Tassasier, au propre 
et au Ögure. 

SACIıÄVEL, 0dj. 2 gen. qu’on peut rassasier. 

SACIEDÄDE, 3. f. satiötd, rassasioment. 

Sico,, etc. V. Saceo. 

* Sıcom. V. Sazde. 

* SacomÄo, elc. V. Saceomdo, etc. 

+ Sacönpno, 3. m. inseole aplaire de Pil6 Ma- 
dsgascar : il fait une espeöce de miel. 

Sıacorkis. V. Socotorino. 

Bicra,s. f." canon d’autel : tableau de pridres 
mobile sur Pautel. Canon do la messe. «si. V, 

0. 

SACRAMENTÄDO, A, 9. P. de Saoramenter. 
adj. A qui on a administre les sacrements, 
Transsubstantie. O doente foi —, lo malade a 
616 adminisıre. 

SACRAMENTÄL, adj. 2 gen. sacramental ou 
sacramentel : qui spparlient au sacrement. 

SACHRAHENTALMENTE , adv. sacramentalement 
ow sacramenicllement. 

SACRAMENTÄR, ©. a. donner, administrer les 
sacrements. Transsubstantier. : changer en 
corps et en sang de Jesus-Christ le pain et le 
vin dans l’eucharistie. 

SACRAMENTÄR-SE, ©. r. recevoir les sacre- 
ments. Se traussubstantier. 

SACRAMENTÄRIO,, adj. eis. m. sacramenlaire: 
köretique, calriniste, zuinglien, qui est dans 
Perreur sar l’eucharistie. 

BACRANENTO,, 5. m. sacrement : signe visible 
d’une chose ou d’une gräce invisible instituee 
par Dieu pour la sanctifieation des Ames ; l’eu- 


SAG 


charislie, Corps de Jesus-Christ sous es espirns 
eucharistiques, Tres-Saint-Secrement. Mystöre. 
* Saintete. (ant.) Serment.— do alter, Saiat- 
Sacrement del’autel, de l’eucharistie. 

SacaARı0, 5. m. tabernasle : petit temple qui 
renferme le ciboire. Sacraire, petit temıple. Ex- 
droit od l’on garde les reliques, etc., wise.' 
(fig.) Interieur d’une personne- 

Sicaas, s. f. pl. les trois canons dag. T.; 
Saera. 

Sacrarissıno , a, adj. sup. de Sure se, 
gredo. Tressacre. 

SÄCRE, 8. m. sacro; sorle de [aucen qui beit 
du lanier; demi-canon, quart de eonlerriet. 
V. Saero. 

Sacaırıckvo, A, 9. p. de Sarrifker. 

SACRIFICADÖR, A, 8. sacrificateur. 

+ Sackırıciı, adj. 2 gen. qui ooncerne les» 
orifice. 

Sıcairicänte,, adj. 2 gen. sacrifiant , qei #+ 
erifle. 9. a. de 

Sacrırıcaa (a), 9. @, sacrifier (&), ofrir = 
sacriice A Dieu, aveo des osrdmonies sole 
nelles, pour lui rendre un souverain hommaft: 
immoler ; se priver de quelque chose agresik 
pour l’amour, en fareur de quelqu’un; rein 
viotime, exposer & un danger &ridemi, ei. 
abandonner. 

Bacrırıcka-s8, ©. 7. se oonsacrer & Die 
(por) Se sacrilier, se d&vouer, s’immoler. 

+ SacrırıcaTivo, a, adj. propre au sarrik 

+ Sackımchvzı, ed). 2 gen. sacrllable; 
doit &tre immol6 en sacriflce ; qui peot ou deb 
etre sacrilis. 

+ SacaıpicaL, adj. 2 gen. qui comoerae Im 
sacrifices. 

Sıcaırliao, s. m. sacrifice : offrande ä Dies 
aveo des otremonies ow A des Otres dirisie. 
aux passions, otc.;(flg.) renoncement, aber 
don; meurtre pieux en l’honneer de Dia ® 
des dieuzx. Saorifice de J.-C. ser l’arbre de ı 
eroix. Action de sacrifier, la chese serriit. 
(Ag.) * Soamission , deference, m&me Intelet- 
taire, au sentiment d’autrui. — de elr, d 
misse , sacrilice de Yautei , ia messe. 

+ Sacairico, adj. et s. (pods.) qui prend w" 
des sacrifices. j 

+ SucaıricoLo, 5. m. terme de mögris EM: 
les anciens. dim. de Saeriflce. 

SACRILEGAMÄNTE, ade. sacrilögement. 

SacrkıLacıo, 3. m. sacrilege : action lm: 
profanation des chosss sacress ; allaniat wel! 
une personne sacree. "Peine contre les sacnit 


es. 
i SıcriLuco, A, adj. ot s. sacriläge : calei TE 
commet un sacrilege ; souille d'un sacrilege 
+ Sacaista, s. m. sacriste. V. Saeriside. 
Sacaısti om Sacnıstka, 8. f. sacrisline: 
ligieuse qni asoin de la sacristie. Femme 
sacristsin. u 
+ Sıcaısrania, as. f. emplei de satrsluM 
Sacristie, benefioe. . 
Bacnıstkö, 5. m. sacristain : colui qei 243 
d’une sacrislie ; dignits dans certains bapl* 





SAF 


0. mör, grand sacristein , prölre sacrislain. 
:meRor, SOus-Sacristain. Como canla 0 ab- 
de responde o—, (loc. prov.) tel maltre, tel 
let. Bens de — canlando vom tanlando vdo, 
rov.)ce qui vient de la flüte reiourne au lam- 
ur: bien mal acquis ne profite pas. 
Sacrıstia,s. f. sacrislie : lieu od l’on ren- 
'me les vases sacres, les ornements, ele., oü 
ıpretress’habillent, etc. 
Jicao, a, adj. sacre. V. Sagrado. O -- eol- 
no, le sacre eollöge. Osso —, sacrum. Or- 
ss — as, ordres majeurs : la pretrise, lo 
ıconat et lo sous-diaconat. 
JACRO-LOMBÄR, 8. m. (f. d’anat.) muscle Sa- 
Hombaire. 
ACROSÄNTO, A, adj. sacık, trös-saint. 
'ACODIDA. v. Sacudidurs. 
ACUDIDELLA, 5. f. löger secouement, Idgere 
Qusse, 
‘ SACODIDAURENTE ‚ adv. avec socousse; brus- 
'ment. 
ACUDIDO, A, P. P. de Saeudir. adj. Secoub. 
ısque , de&daigneux; dur, intraitable. 
' SacupınOR, A, 3. celui qui bat, quisecone. 
ACUDIDURA, 8. f. action de secoues, de bat- 
‚ d’e&pousseter un habit. Y. Saewudimento. 
ACUDIMENTO, 8. mM. 8600 48ment: action de 
duer, L’action de repousssr, de rejeter : de- 
n, mepris. Ebranlement, agitation , commo- 
|, SCCQUSS®. - 
ACUDIR, ©. a. secouer, 6&ranler, agiler, ro- 
er forterment. Secouer : bettre un habit pour 
)ter la poussidre, eto. Chetior, battre. Jeter, 
yusser, eloigner de soi avec violence. On 
it au physique et au meral. Rejeter, chas- 
renvoyer. — 0 pda alyuem, &pousseler, 
re quelqu’un. —o p6 dos pes, ou dos sapa- 
secouer la poussiere da sef souliers : #’6- 
ner d’un lieu qui ne merite que haine et 
ıris. — 0 jugo,(fig.\ secouer le joug, w’af- 
chir de la dominstion. 
SACUPSMA,s. f. (l. d’hist. nal.) "guan : > 
ı qui tient du hocco. 
SADiAMBNTE,, adv. on bonne sante. V. Sam 
Umente. 
Sıpio,A,adj. salubre, sain , qui eontribue 
sarnıte. V. Seudavel. Sain, qui jouit d’une 
ne sante. Qui menage sa vio etsa sante. (fig. 
.) Peu liberal. 
Sıpo, 8. m. sorte d’embarcation pour la 
ıe, dans l’Inde, 
‚DUCEISMO,S. m. saduceisme : doctrine des 
ıc6ens. 
‚DUCROS, & m, pl. Saduodens : Seotaires 
;, materialistes. 
‚Era. V. Seisls, 
ıFA, inserj. fam. fayons, eic., ow sortez 
‚ etc. Safa! Dieu m’en garde: loin d’ici! 
ıFAÄDO,A,P.P. de Sefar.adj. Uses. Dinksiro 
monnaie dont l'’empreinte est eflacee. 
\FÄR, ©. @. user : deiöriorer par l’usage, lo 
sment. Digager d'une chose qui empeche, 
; debarrasser. Alleger un vaisseau : le de- 


SAG 1053 


combat. — una talka, (8. de mar.) parer un 
palan. 

Sarin-g, v. r. s’enfuir, s’öchapper. (fg.) 
Eviter,se dispenser, refuser de faire une chose. 

+ Säranı,s. f. desert rocailleux. 

T Sarisıo,a, adj. Romä —a, grenade A 
grains carres. 

Siraro, A, adj. hagard. On leditdu faucon, 
ete., difficile & apprivoiser. (ig. fam.) Dedai- 
gneux, farouche, intraitable. 

Sarire. V. Arafate. 

Sırtna. V. Saphena. 

Bario, s. m. espöce de oongre. V. Congro. 

Sirio, A, adj. Fustre, grossier, ignorant, 
malgracieux. 

Sarina. V. Sapkira. 

Sıro, Aa, adj. debarrasss, pröt. Vide, qu’on 
a döchargs (vaisseau , etc.). (Ag.) Libre , 
quitte, etc. 

+ Sarözs, s. m, sorte de larges culottes & la 
suinse. 

Sirka, s. f. grande enclume carree. Reöcolte 
d’olives. Olivaison. Anno de —, annde od la r&- 
colte d’olives est abondante. dt. V. Sdfara. 

Sarrantına, s. f. oulil de forgeron pour per- 
cer les @ils & certains instruments, comme la 
hache, le marteau, etc. 

+ Sırniö, s. m. (f. de mar.) — do leme, sa- 
fran du gouvernail. —do beque ou apoio do 
talhamar, repos & l’angle du brion pour rece- 
voir le bout inferieur du taille-mer. 

Sica, s. f. charge qu’on met sur le derriere 
d’une voiture. Derritre : parlie du derridre 


d’une chose,. V, Retaguarda. Borcidre, magi- 
cienne. 

"Bacagania. 

“Sacackza. V. Sagacidade. 

*Sacacia. 


Sacaclving, 8. f. sagacit6: pemetralion d’es- 
priı. V. 4stucia. Finesse de l’odorat dans un 
cbien de chasse. * Instinet des animaux & pres- 
sentir ce qui leur est bon ou nuisible, etc. 

Sacacissımo, A, adj. sup. de Sagds. Qui a 
beaucoup de sagacite. 

SAGAPENO, 5. m. Sagap6num, KOMMO-S2gA- 
pin ou gomme-seraphigue. 

Sıckz, s. m. inseote qui poursuit et Iue les 
araigndes. 

Sıcız, adj. 2 gen. sagace, dous de sagaciie, 
penetrant; adroit, fin, ruse. On le dit d’aı: 
cbien de chasse qui a !’odorat fin, des animau x 
qui pressentent ce qui leur est bon ou nuisible. 

Sacazıpinz. V. Sagacidade. 

SAcAzNEnTE, ade. aveosagacilö, aveo inesse. 

“ Sıckıra ou Sackria. V. Sabedoria. 

+ Sıckma, s. f. prison des captils, chen les 
Maures. 

"Sıckz. V. Sabedor, Sabio. 

“Sıckza ,etc. V. Sabedoria. 

*Sıcıkö. V. Seidö, Algor. 

Sacınäno, A,P.p.de 

+ Sıcınin, 0. a. engraisser. V. Cover. 

+"’Sacıon,s.m. bas oflicier de Justice, sbire 


rger de 06 qui pout lFambarrasser dans un | etc. V. Sasido. 


1056 SAI 


+ Bacırivg, s. m. (1.d’Asie). V. Praleleire. 

+ Sacıranas, adj. f. pl. Folkas— ‚(t. de bol.) 
sagiliees, (feuilles) on forme de lance, de üd- 
che. V. Afrechadas. . 

SıcıraL,adj. 2 gen. Suturs —, (t. d’anal.) 
suture sagiltale, du eräne, en forme de fläche. 

+ Sacıramaıöon, 8. f. plante aquatique, &8- 
pece de renoncule. ' u i 

SacırÄkıo, s. m. sagittaire : neuvidme signe 
du zodiaque; archer qui tire de l’arc. 

SAGITIFERO, A, adj. (Podl.) qui porte des fld- 

Si60, 3. m. "sale ou sagum : vöternent mili- 
taire , antique, attach6 A la ceinture ot couvrant 
les cuisses. 

+Säcaa, s. f. föte patronale. 

Sıcols. V. Sagui. 

Sacnackd,s. f. "sacre : action de sacrcr un 
roi, un &veque; cer&monies qui l’accompa- 
guent. Constcration d’une eglise. 

SAGRÄDAMENTE, adv. avec respect, voneration. 

Sıcaipo, A, p. p. de Sagrar, adj. Sacre:: 
qui a regu P’onctlion sainte; saint, respectable; 
inviolable; mis en reserve; consacre & Dieu. 
(%g.) Qui merite une veneration particuliere. 

SacaiDo ,s. m. * franchise ; asile ouvert aux 
criminels dans les &glises, etc. Lieu saint. (Ag.) 
Asile, rofuge, lieu de sürele. Misturar, con- 
fundir 0 — com 0 profano , meler le sacr6 et lo 
profane. 

" Sacaiı. V, Seoular. 

SAGRÄR, ©. a. sacrer : conferer, avec des 06- 
rdmonies, un caraciere de sainteis; faire la 
cerömonie du sacre. Consacrer une öglise. 

SÄckE. V. Sders (demi-canon). 

Sicd, s. m. sagou : espäce de päle vegetale, 
alimenteuse ; moelie du palmier landan. Bois- 
son spirilueuse laite du sagou. 

Sacviö, s. m. potite cour dans l’interieur 


SAI 


"+86, s. m. (1. de bot.) joubarbe arbore- 
cente : plante orassulös, -— curlo, joabarbedes 
toits. ‘ 

 BäısO, s. m." saveur. V. Resabio. 

Sıamaiö, aug. de 

Saipro, s. m. gravier : gros sable mält de 
tres-petits cailloux. 

. Saısa050, A, adj. graveleuz, sablonneux. 

Sıloa, s. f. sortie, action de sorlir; issue, 
endroit par oü l’on sori. Promenade hors des 
portes d’une ville, dehors. (fig.) Raisons, 
moyens qu’on emploie pour r&soudre une dili- 
cultö, pour sortir d’eınbartas, etc. (id.) lsser, 
tvenement, succ#s d’une affaire, denouemtal, 
*Debouche, moyens de vendre, facilite de de- 
bit. Sortie: attaque de gens assieges. Sailke: 
partie qui avance, qui sort en debors. Lerke: 
l’heure & laquelle une assemblee se Eve poat 
finir la s6ance. 4’ — de, au sorlir, en sorant 
de; & la fin de (l’annee, de Phiver, ew.).— & 
anno, fin, bout de l’an. —da vide, la mort.—de 
'proposito. V. Digressäo. Faxenda, 
que lem —, marchandise de debit. As [sendet 
ndo tem — , le commerce. ne va pas. Zsis cu 
iem — duas ruas, cette maison dokät 
dans deux rues. 

Saloa ‚adj. f. On le dit. de la femelle de ox- 
lains animaux lorsqu'elle est en chaleur. dw 
der —, tire en chaleur. j 

Sıloo, A, 9. p. de Sair, adj. Saillant : q@ 
avance, sort en debors. 

Saıkra, 3. f. salöte, serge. 

“ Sııkza. V. Sagacidade, Astucia. 

+ Salca, s.m. (6. Phist. mat.) salga : espftt 
d’antilope du Nord. 

. Saım£L, 5. m. premiöre pierre, sur lechap- 
tesu, qui commence & former la voüte. 

SAIMENTO, s. 1. (aw5.) pompe fanebre, 
t&ge en deuil. *Fin, terme, conclusie. V. 


d’une maison; entrös couverte d’une grande | Saida 


meison ; sorie de vostibule ow plutöt de grande 
allee. 

SAGUÄTE, 8. m. (4. d’Asie) present, cadeau. 

t Sacükıno, s. m. (6. de bot.) sagoutlier : pal- 
mier, fougere qui donne le sagou. 

* Sacukza. V. Sagacidede. 

Sacti, 6. m. (1 anist, nel.) sagouin : petit 
singe. — praieado do Pard , mieo. — peguenino 
do Marenkäo, Pouistiti. 

Sıacum. V. Sdgu. 

SAGURTINO, A, adj. de Sagonte. Os —, m. pl. 
les Sagontins, habitanıs de Sagonte. 

t SacUnTo, 8. m. (1. de g6og. ane.) Sagonie, 
ville d’Espagne, aujourd’hui ruines de Mor- 
viedro. 

Bacda. V. Sdgü et Sagueiro. 

Sauipa, etc. V. Saida, etc. 

Sira, 5. f. jupe de dessus. — de malke, cotie 
de mailles. 

* Saıagußz. V. Grosseiro, Rustico. 

Sarkı, s.m. bugle, bure, burat:: grosse dolle 
de laine. Drap crois6, cuir de laine. (Ag.) Ve- 
tement fait de bure, etc. 


"Baukd, 3, m, bourreau. V. Algoz, Aguazil. 


Saınkrg,s. m. morosau de graisse, de mörlt 
ou de cervelle qu’on donne & un faucon, eIE-, 
& son retour. (fig.) Morceau delicat. (id.) GH, 
saveur agreable d’un nets. (id.) Allöcheme!: 
tout ce qui allire, gagne le cur. (id.) "Saure, 
assaisonnement; du piquant. . 

Sainna, 8. f. (ant.) saline. ds. dim. de Sös, 
petite jupe. 

SaInno, s. m. dem. de Sdio. Sorte de vor 
de femme. . 

SAINTE, adj. 2 gen. qui sort; gui Änil 9% 
de Sair. 

Siro, 5. m. sorte de casaquo large et SI 
boutons. * Saie. V. Sdgo. — das mulkeres, ı# 
cien habillement de lename croise par deraklı 
ä manches pendantes et A Jongue queue. 

* Saroania,s. f. ex6cution Saite par ıR 
guazil, eto. V. Algozaria. 

* Sıronizıo, s.m. V.Carreragem. 

Saıöre, s. m. dim. de Sdio. Jupon, eotiflen; 
colie. 

Sain (de), 0. n. sortir: passer du dedans M 
dehors, (Ag.) d’an temps, d’uno saison, d@ 


. etal, d’une situation ponibie, elc., d 03° aus 














DEE an nt 


SAI 


no pas demeurer ou rester; (Ag.)se dii des bor- 
nesdu devoir, ducaractere ;partir, s’echapper; 
se lirer d’embarras, se degager, sorlir d’une 
difBculte. Sortir de, @tre issu , tirer son ori- 
gine, venir de; avoir pour principe. (flg.) 
Naltre , en parlant de quelque production. Pa- 
raiire au jour, ötre rendu public. S’offrir, se 
presenter. Surpasser, exceller, se distinzuer, se 
tirer de la foule. Codter, revenir & tant. Salllir, 
s’avancer en dehors. Aller ä. (i. de peint.) Bril- 
ler, paraltre. Eıre en chaleur. V. Saida ‚adj. f.). 
— dcampanha, aller & la guerre, se meiltre en 
campagne. — ao inimigo, marcher & !’ennemi. 
— a .campo,, enirer en lice, s’engager dans une 
conteststion. — ao enconiro. V. ce mot. — d 
luz, naltre, venir au monde; paraltre, ötre 
donne en public. en parlant d’un livre.—a pu- 
blico, d prasa, se divulguer, devenir public. 
— # alguem, ressembler & quelqu’un. Sai a 
seu pai, il ressemble A son pere ow il lient de 
son pere. — cdro, coßter cher. — com a sua, 
en venir ä ses fins, l’emporler sur ses con- 
eurrenis. — com alguma cousa, dire ou faire 
queique chose d’inattendu ou hors de pro- 
pos.— certo, se verifier, se conrmer. — d’este 
mundo ou da vida, mourir. — do siso, perdre 
V’esprit, devenir fou. (Ag.) Extravaguer de 
joie, etc. — do proposilo, sortir de son sujet; 
faire une digression. — do barranco , do ato- 
leiro ,(fig.) setirer du bourbier; sortir d’em- 
barras, etc. —da madre. V. ce mot. —de si ou 
föra de si, sortir de son assiette naturelle; etre 
furieux. — em terra, descendre en terre, de- 
barquer. —d’um porio , partir du port, en par- 
lanı d’un vaisseau. — föra , sortir. — föra do 
ecaminho, s’ecarter du chemin. — em comboio, 
aller sous convoi. — por alguem, prendre le 
parti de quelqu’un, se declarer pour lui. — 
bem , r&ussir, avoir une bonne issue. — mal, 
echouer, avoir une mauvaise issue; Mandquer, 
ne pas reussir. — bem de tudo, se tirer toujours 
d’affaire. — com impeto, jaillir. -- a conia 
errada, (fg.) trouver bien du mecompte. — 
“ma nova, se repandre, en parlant d’une nou- 
velle. — uma sorie a alguem,, gagner un lot ä 
la loterie. — a sorle em pr£ito , tomber (le sort) 
sur quelqu’un pour @ire soldat. — sobre as 
fontes,, tenir (an enfant) sur les fonts baptis- 
maux.— dasconchas, (flg.) sortir de sa coquilie. 
4o —, au sorüir, en soriant. Ao — do sol, da 
iua, etc., au lever du soleil, de la lune, etc, 
Sdia o que sair,, au hasard,, ä tout &venement; 
arrive qui pourra. A fome fas— o lobo do mato, 
(loc. prov.) la faim chasse le loup hors du bois. 

Sala-sz, v. r. sorlir; s’&carter — bem de..., 
reussir, venir & bout de; bien s’acquitier. — 
mal, echouer, ne pas r&ussir. — com alguma 
tousa , dire ow faire quelgue chose d’inatiendu 
ow hors de propos.— do perigo, se delivrer da 
danger. 

+ Salai Do Baazır. V. Colinga ax. 

SaıssÄiL, 8. m. * oseraie: lieu plant6 d’osiers. 

Sätss0 , 6. m. osier, arbrisseau, saule nain. 
V. Vie. 

PORT.> FR. 


.SAL 1057 


+ Saitkıa, 3. m. (tl. d’hist. nal.) sapujou 8 
petit singe d’Ameriqne, & yuose prenant«, 
museau Court, t&te plate. —negro do Purd, le 
coaita. — chordo, le sat. —amarellado do Pard, 
le salmiri. 

+"Sasrınia. V. Sageria. 

Sir, 3. m. sel : substance dure, [riable, eris- 
allisee , seche ‚ soluble et picotante; sel de In 
mer, hydrochlorate de soude; acide combıne 
avec un oxyde; alun, nitre, etc.; (fig.) ce qu’il 
ya de piquant, de vif, dans un bon ınot, elc.: 
tout ce quireleve, assaisonne , rend agreable 
et piquant. (fig.) Sagesse dont le sel estregard6 
comme le symbole. —dos muros, sel mural. -- 
de contrabando, faux sel. Deitar—na comida, 
saler, assaisonner avec du sel (un mels, etc.). 
Fabricar, faser—, faire du sel. 

SiLa, s. f.salle, salon : grande piece destinde 
A recevoir les visites; piece principale d’un ap- 
partement. — d’espera, salle d’attente. Fazer 
— a alguem , [aire la cour & «quelqu’un. Dar — 
[ranca, (anf.) avoir table ouverte. 

Sıri, 3. m.acte de religion des mahometans 
qui consiste & s’incliner profondement en oroi- 
sant les mains sur la poitrine. V. Salama et 
Salema. 

Sırasönnia. V. Semsaboria. 

SaLina, s. f. salade: melange d’berbes ow de 
viandes, etc., assaisonndes aveo du sel, de 
Phuile, du vinaigre, etc. (fig.) * Melange de cho- 
ses en confusion, en pieces. (id.) Composition 
poetique oü entrent toutes sortes de vers. 

Sırapkıra, s. f. *saladier: vaso od l’on serb 
la salade. 

+ ° Sıapinua ow SaLapima, s. f. dime sala. 
dine, imposee pour la guerre contre Saladin && 
les Maures. 

Sırima,s.m. salam : salulallon turgue. V. 
Salema. 

+ SALAMALE oW salamalec : r&verence 

+ SALAMALEE,s.m. ) profondechezies Tures 

Sıramänca, 3. f. (l. de g6og.) Salamangque % 
ville d’Espagne. 

SaLaminnra, 5. f. salamandre : reptile ba- 
tracien d’oü suinte une liqueur lorsqu’on le 
brale. (fig.) V. Amianto. 

* SALANANGQLUE. V. Salamanlico. 

SALAMANTBCA oW SALAMANTEIGA. V. Sals- 
mandra. 

SaLaAMÄNTICO, A, adj. et s. de Salamanquey 
natif de Salaınanque. 

SıLamantica. V. Salamandra ei Centopfa. 

Sıramio ou SaLomio, s. m.Salomon, fils de 
David. (fig.) Homme tres-savant. 

Sarameän, v. n. V. Psalmear. (t. de mar.) 
Chanter en manauvrant. V. Celeumar. 

Sırauim. V. Selamım. 

SıLiö, s. m. aug. de Sdln. Salon, grande 
salle. Terre glaise. (f. de mar. Fond do sable 
et d’algue presque petrifice. 

Sırantin, etc. V. Assalariar, etc. 

SALARIO, 5. m. salaire : zages d’un domesü.- 
que; payeınent d’un ouvrier, eic. 

Saravinco, V, Solaranco, 


1058 SAL 
SaLaz, adj. 2 gen. lubrique, kascil, imps- 


sun. 

Sarcnicaa, 9, f. saucisse : boyau rempli de 
viande erue hacbee;; (I. d’artil.) roulean plein 
d’aruißce. . 

SaLcaumkd, s. u, aug.de Salchicha. Sanlis- 
son : sorie de grosse saucisse ; (1. de fort.) lagei 
de grosses hranches pour les breches, eic. 

+ Sarcacatıno, s. m. celui qui [all des sau- 
eisses ; charculier. 

SaLsipo, A,P9. pP. de 

BaL2in, 9. a. solder un compie. 

SiLn0 ,s.m. (1.de comm.) solde d’un bompie, 
ce qui sert a solder, a compleier un payement. 

Bas. V. Seit. 

BaLzıainno, dim. de 

BaLkıno,s. m.“ salidse : vase, ustensile pour 
meure lo scl; creux au-dessus des yeux du 
oheral, eis. Saunier : celui qui fait et vend du 


BaLtua, s. f. tövirente, salut respeciueux, 
salamaloe. Faser 0 —, faire un salamalee. (1.de 
mar.) V. Celsumae. (1. dhist. nat.) Saupe : pois- 
son du genre du spare. 

SıLzuinna, s. f. dim. de Salema. Petite 
saupe , poisson. 

TBaL&Po, s. u. (4. de bot.) orchis bouflen, 
morien : plante & racines Labereuses. Salep: 
saeine buibeuse d’orchis des Indes. 

f BaLkano, s. m. (1. de geog.) Salerne:: ville 
du royaume de Naples. 

Bıautra, s. [. dim. de Sala. "Salon, pelite 
salie. 

Aruaa , " f‘ salaison ı action de saler. "Lieu 
oü l’on sale lo peissen. "I t sur le sei. V. 
Salgadeira. m 

BaLoÄBamANTE, ade. (fam.) agreablemenı, 
gracieusement. 

SaLoantına ,s.f."saloir : valssoau pour saler 
les viandes, eio. Lieu otı !’on sale les viandes , 
je poisson, etc. (4. de bof.) * arroche halime, 
ouig. pourpier de mer, arroche en arbriseeau ’ 
sontenelle s arbusie, 

SALGADISSIMO, A, adj. sup. de 


BaLcino, A, p. p. de Salger. adj. Balsı qui | F 


a trop de sel \ragoüt). (Ag.) Gracieux, enjoud, 
piein de sel, Piquant, croustilleux. Cher, qui a 
eodie cher. Esta cousa foi bem —a, celie chose 
a 616 bien poivrce. O — reine, ( god.) les plai- 
hes saldes, la mer. 

BaLoanOn, A,s.saleur : celui qui sale. 

SuLorpöas, s. f. salaison, salage, 

+ Saroaınäpa,s. f. (6. burl.) * gächis. 

SaLcin, 0. a. saler : assaisonner avec dn se); 
meltre du sel; meltre dans le sel; meltre Lrop 
de sei dans un ragoüt. (Ag.) Corriger, reformer. 
— as casas, um edifcio, semer de sel les rui- 
Bes d’une maison, d’un edifice ras& jusqu’auz 
fondements. 

abo, ®. er — s terra, dire baigı.o et 
rondusteriie par les eaux de la mer, en parlant 
d’un lerrain. m Bi 

Ban-oßua, 5. m. sel gemme, 


näral. fossile, mi- 


SAL 


Sırerkırı ,s. f.eseraie : freu plante Fosiern. 
V. Salgueirs. 

SılccEıR it, 5. m. *sausszie om saulaie : ken 
plante de saules. 

Sırerkino, 3. m. L. de boi.\ saule: arbee 
agquatigue, ameniacde. — de ia, saule» 
parasol — da Indie, espece de daphue! ;Bin- 
fie germinans). 

*Sıınia, 0. 6. trainer, remuer. 

Sırıir, adj. 2 gen. salien, de Mars. 

Sarsciata, 8. f. (1. de bot.) salitaire, Iysime- 
ebie rouge : plante rosacee. 

+ SıLıcisrro, 3. m. V. Doramarge. 

SiLico, a, adj. des Saliens. Lei —e, lei 
salique : disposstion qui exclut les femme 
de la couronne de France „ ei des demaises 
Foyanx. 

TSauıcöamik, 8. f. \t. de bot.) " salicorae: 
plante atriplicee. 

SALIENTE,, adj. 2 gen. saillant; qui avante, 
sort en dehors. 

Saricas om Sıuiorzs, 8. m. pl. (1. dA) 
sorie d’arıne de trait. 

Sarina , 3. f. saline. V. Merinka (de mi). 

SALINÄVEL, adj. 2 gen. salifiabie : qui peei 
ötre converti en sel. 

' SALINEIRO, 6. m. saunier; proprietaire de ı* 
ines. 

SarLino, A, adj. salin : qui conlient des par- 
ties de sel. 

SiLios, #. m. pl. (1. d’ant.) Saliens : pre 
de Mars , & Rome. Saliens ow Francs-Saliens: 
premiere tribu de la ligue germanique qui e& 
vahit la Gaule au cinquieme sidcle. 

* Säuın. V. Sair. ‘ 

+Sarıraaciö, s. f. formation naturrlie di 
salp@tre. 

SıLırräpo, A, adj. plein, compost ow forms 
de salptire. p. p. de Salilrar. Agus —s, a 
ralraichie avec du salpt@tre. 

SaLıtrir, s. m. mine de salpetre, nitriere. 

+ SäLıraäa , v. a. reduire en salpeıre. Pre- 
parer avec du salp£ire. 
BaLitag, 5. m. salpeire : sorte de sel, nilre- 
dbrica de — , salpetriere : lieu od Pon faille 
salptire. 

Bauıtakıno, 6. m. salpetrier : ouvriet gu 
travaille a faire du salp@tre,; marchand qui 
vend, le debite, 

Bauıtrısaciö, 

BALITRISAR, @le. | V. Balıyar..... ot. 

BALITROBO, A, adj. salpötreux , nitreux: qEi 
oontient du nitre. 

Sariva, s. f. salive: humeur aqueuse qui 
coule dans la bouche. is. V, Baba. Engulir 6 
—, (fg.) ne pouvoir, n’oser dire une chose. 

SaLıvaca6, 5. f. salivaliom : dcoulemeni de 
la salive. u 

SarıyäL ow SaLıvär, af). 2 gen. saliraire : 
qui regarde la salive. Glandulas —ea, glandes 
salivaires , destindes A secreier la salive. 

SıLıvia, v. m. saliver : jeter de la salive. 

SıLıvöso, A, ady. qui rend beaucoup de s= 
live ; baveux, plein de salive, 





SAL 


Barmiö, 3. m. saumon : poisson de mer. 

Bino ou signo—. V. Samdo. 
*Baımän. V. Apaimar. 

t SaLwuTıcense, adj. et m. de Salantangue, 

Sarıuzin. V. Psalmenr. 

Freien , 9. ». porter le bl6 & l’aire. 

a 

Saumo eh. ' V. Psalm..., eie. 

SaLMmokına, s. f.“ vaisseau od !’on fait la sau- 
mure. V. Salmours. 

SaLmoßınin, V. Selmourar. 

SaLmoßıro. V. Salmotira ei Salmoura. 

SaLudıaa. V. Salmoure. 

tSaruonino, a, adj. saumond : & chair 
Fouge comme celle du saumon (truite—e). 

SALMONZJO ou (8. d’hist. nat.) surmu- 

SALMoNgTE, 0. m. } let: poissen de mer du 
genre du mulet. —vermelko ou barbadim, 
surmulet, barbarin, moil, Saumoneau : petit 
saumon. 

SALNÖDRA, 8. f. saumare : melenge d’eau ei 
de sel pour conserver les olives, etc. ; eau que 
rendent la viande et le poisson sales. * Garum : 
saumure pour conserver le poisson. (fig.) Re- 
proche amer; verte reprimande, etc. Baston- 
made, volee de coups. 

SALMOERÄDO, A, 2.9. de 

SALNOURÄR,, d. a. mariner, tremper dans la 
saumure. (fg.) Molester, tourmenter, maltrai- 


BALÖBRE, adj. 2 gem. qui a naturellement 

BALOBRO, A, adj. le got du sel. Agua 
—@, eau saumätre ou saumache, quia le goft 
de celte dela mer. Homem —, homme insipide, 
ennuyeux. 

SaL010, A, adj. et s. paysan, villageois des 
environs de Lisbonne. {fg.) Champfttre , rusti- 
que , grossier. 

SıLowmid. V. Salamäo. 

tSaLöna, 8. f. (8. de geog.) Salone : ville de 
Grece. 

tSardmca ‚s. f.(t. de gdog.) Balonique : ville 
ei port de la Grece. 

tSiLra, s. f. (1. P’hist, wet.) * biphore:: ver 
merin transparent. 

SALPICADO, A, p. p. de Selpicar. Parseme. 
Tachete, moucheit. 

SaLrıcapfaa, s. f. selaboussure. V. Salpico. 

Sarrıckö, 3. m. viande froide hachse ei as- 
saisonnee. Baucisson & l’ail. 

SarPIcäa, u. @. eclabeusser : faire rejaillir 
de la boue, ete., sur quelgu’un. Moucheter, 
tacheter. Saupoudrer. (Ag.) Ternir-la repuus- 
tion de.queiqu’un: (id.) Sautiller : sauter d’une 
matiere, d’un chapitre A un autre , sans ordre 
ni suite. 

SaLrico, s. m. * dclaboussure. * Moucheture. 
(fig.) * Fletrissure, tache A Ja *&putation. (id.) 
Raillerie piquante. 

+ SaLrıc6La, s. f. nom d’une plants portu- 
galse & fleurs bleues ow couleur de chair. 

SALPIMENTÄDO, A, 9.9. de 

SALPIMENTÄR,, d. 0. saupondrer rle sei et de 
poivre. (fig.) Deguiser sous des pretextes spe- 


SAL 1059 


eiouz, assalsöuner ie ralsons plausibles. tid.) 
Dire des paroles dures ei piquanies. 

T8aLzıuknta, s. [. " melsnge de sel et de 
poivre. Couleur chinee, melange de gris et ds 
blanc. j 

TSaıringa, 6. f. * serpemt d’Alrique. . 

SıLrazsir,, v.a.saler une viande et la char- 
ser d’un poids pour qu’elle prenne mienz le 
sel. Saler un peu. 

BaLphtee, a, adj. 9. P. irr. de Salpresar. 
Sale, etc. Un peu sale, a demi-sel. 

SiLsa, 5. f. (6. de bot.) * persil oommun ou 
des jardins. — de Macedonia, bubon de Maoi- 
deine. wulg. persil de Maotdeine. — de csaia- 
nheiras. V, Letistico. 

Biısa , 8. f. 0auce : assaisennement liquide, 
(fig.) Tout ce qui plalt, fatte, «veille le gen, 
Ter —, (ig. mb.) &iro maltraits & la guorse. 

Sıursiva,s. [. inirigue. V. Anredo, Bmirs- 
Ihads. 


Sıarsıraaz, V. Sastefraz. 

Bazsspanniina, 8. f.(t. de bot.) salsepareille: 
racine medicinste du Porew, sudortfque, ati 
nuante ; sa planie sarmentaobe. 

SarLsbına , 8. f. sauchise : vase od !’on mei la 
sauce. 

SaLsamiinml, a. [. dim. de Salssire. 

SaıLstıro, s. m. V. A ro. 

f SıaLsinga, s. m. (li. durl.) petit hamme, 
horame de rien „ intpte. 

SiLso, a,.adj. (podt.) sale. — argdato, -— as 
ondas , los plaines saldes, la men 

SaLadonu, s. [.salare ; humeur salsugineuse. 

Sıssucme6so, a, adj. salsugineux : qui a zap- 
peetau sel. - 

SALTADA ‚8. f. atlaque improrus, incuesien. 
"Beigandage. Desvente, visite domiciliaire. 

8aL1Ä00,d, P-p- de Salter. dj. Baillente 
V. Resaltado. Olhos 3, (anf.) yenx qui som 
tens de la iöle. 

SaLtasoR, A, adj. ots. sauteur, qui saute. 

Bauvinvz, adj. 2gon. 9. a. db Seller. Bau- 
anti ‚ai saute. (1. de Dias.) Sautant, rampamt, 
pret.h s/dtaneer. " 

Sınnkö , 3.0. sorte de poissen de Seolsia, 
qui sunsermbie au muge. " Bamterelle verte. 

Buryaö, Oma, af. (P. us.) qui saute beag- 


eerie, o.a.sauter: fcanchir (mu foume ,. 
0t0.); ommetire un pariaut ou en.tnanscrivanig 
pervenir-d’une ylace Införksure A-une placssu- 
pirieure,, sans ooguper es iaterınddieises. 
BaLrin (de,s,em), v. %. sauter : s’dlever 
de terre uwer elort; «!Blancer don Heud um 
autre ; faire des sauts ı :bondir, rejaillär ; sed 
tacher, se söparer. (Ag.) Se füsher, siiınmpatien- 
ter, Sauter aux nugs. (1d. ):Parlpr, röpondee, 
kors de propos. Jaillir, jouer : soriireveo imnpe- 
mositd. Seurdre, surtir deterre , d’ım ırwaller, 
en parlert d’une fentaine, Samullärg ehanger 
d’objet, de matiere. Fretiller. Burvenir. «uam 
em terra, dessendre. de uatem, vlöberquer. 
Faxer - os miolos a alguem, brüler la carvellok 
quelquum, — an 00 ‚(m algemmn, ansabllie 


1060 SAL. 
quelgu’un, tomber sur lul. — d’ums cousa @ 
ouirs, passer rapidement d’un sujet & un a%- 
tre, en parlant, etc. — de coniente, d’alegris, 
sauter de joie. 

+ Sırranfcaa , s. f. saulerelle gradude, rö- 
eipiangle , pantomötre : instrument de geome- 
trie 


SaLrarfıLo, 3. m. (i.pop.)sauleur, mauvals 
danseur. 

SaLTaraice, s. f. denseuse de corde. Femme 
qui danse d’une maniere ind6cente. 

Sıurzida. V. Sallade, Assalto. 

SaLTrzino, A, p. p. de Sallear, adj. Surpris, 
pris & P’improvisie. Saber de cör e—, savoir au 
bout du doigt. 

SaLrzanon, s. m. brigend, voleur de grand 
chemin , bandit. 

SALTEAMENTO, 8. m. assaut ; Surprise. 

Sıırsin, v. a. brigander : voler sur les 
grands chemins, detrousser les passants. Atta- 
quer, assaillir & ’improviste. (4g.) Surprendee, 
prendre & !’improviste ; charmer les sens, ravir. 
Feire une chose & bätons rompus. 

SıLTEÄR, 0. ®. brigander : vivre en brigand. 

SALTEÄR-SE, vo. r. s’ellrayer, s’alarıner ; eire 
saisi. 

SıLrkıno, s. m. talonnier : qui fait des taloms 
de bois. 

Sarrknıo. V. Pselterio. 

SıLrımpänco, s. m. saltimbanque : obarla- 
ten , bateleur. 

SıLrımbänca, 6. f. sorte de casaque pour le 
peuple , ourerte sur les cöl&s ou par derriere. 

SaLrıuvid, 5. m. sorie de jeu d’enfants. 

SıLrinuo, s. m. dim. de Salto. Sautillement, 
petit saut, etc. Petit talon. 

SiLTO, 5. m. saut : action de sauler ; MOUY& 
ment par lequei on saute; espace de ‚lerrain 
qu’on franchit en sautant; chute, jet d’ean. 
Endroit qu’on ne peut franchir qu’en sautant. 
(fig:) >, passage d’une matiere, d’un objet & 
uR auire , oontre l’ordre naturel. Elan : mouve 
ment subit avoc effort. Bond , rejaillissement, 
saut d’un corps &ldstique; saut (du cerf, de la 
chevre, eis.) Bondissement : mouvemeut des 
agneaux en bondissant. Vol, rapine, brigan- 
dage. Talon de soulier ow de botle. — mortal, 
saut perilleux desdanseurs de corde. Cous aque 
ss abre, [cha de—, chose qui s’ouvre, se ferme 
par un ressort. Tomar o— de longe, (fig.) 
»’y prendrelongiemps ä l’avanoo. De—, subile- 
ment, tout & voup, & l’improvisie. Por —, 
a ba tons rompus. N’um —, vite. Dar—s, bon- 


ılır, faire des sauis. Dar —s d’alegris, sauter . 


de joio. dos —s, par sauls et par bonds. Pör-se 
ce, se melire en embuscade pour assaillir. 
Tomer 0o—, prendre occuper le lieu par oü 
l’en nemi peut assalllir. Mover-se de —, sauter. 
tın le dit d’une piöce d’schees qu’on change de 
ca rei en la falsant passer par-dessus d’autres 
pt . 

SALTO A SALTO . add. saııis , & 010- 
ch ‚phr par ‚a0 


BALUBERAINO „A, adj. sup. de Saludre. 











SAL 
SaLlang, adj. 2 gen. salabre , sain ;qui co» 


tribue ä la sante. 


SaLupatpäDe, 5. f. salubrite : qualile de c0 


qui ostsalubre. 


Sarucar, etc. V. Solupar, elt. 
SALDDADOR, A, 5. charlatan qui pretendgut- 


rir avec des pridres , des cer&monies , par s0R 
souflie, etc. 


BALUDÄR, 9. a.gu6rir par son souffie, par “es 


prieres , des cer&monies supersliticuses, eic. 


SaLurir, adj. 2 gen. salutaire. V. Selah- 


fero. 


SuLurirgao, A, adj. salutaire; qui apporie 


la sanıd ow le salat; (Ag.) utile, avantageux. 


+" SaLdro, s. m. sorte d’ancienne monnait. 
SiLva, s. f. salve: coups de canon lir&s ä 


intervalles egaux et en nombre determine. Sou- 
coupe, ouvrage d’orf&vre, eic., Sur laquelle oa 
sert les verres, etc. “Essai qu’on fait des mebs, 
du vin, etc., qu’on sert au roi, ele Salatation, 
salut. Provoyance, precaution. " Toast, sanie. 
Reponse anticipee 
solennelle. Responder d—, rondre le salul, &8 
termes de marine. Tomar a — , goüteries mes, 
etc., avant de les servir au roi,el6-, POL per 
ver qu’ils ne sont pas empoisonn 
sayer, experimenter, &prouver. 
prouver, montrer son innocente; promelire 6° 
lennellement, protsster, 
Gasiar a polvora em —s, (fig.) ürer 94 poude 
aux moineaux,, mal employer sa peiß®. 


& une objection. Promes# 


ds. (Ag) ir 
Faser I. 


assurer fortemen. 


Siuva, a. f. (1. de bof.) sauge: planle aromt 


tique, vivace, labiee : Ir&s-estimee aus Indes 
— esclarda ‚sclare, toule-bonne,, orvalt, kr 
henri. — dos prados, sauge ow orvale des pr. 
— baslarda, sauge sauvage , sauge des bo. - 
braca, * ormin. V. Hormino. 


Sırracaö, s. f. "salat: l’aclion des sarrdı 


d’echapper A un danger; retour ä la san, ält 
sürete, etc.; felicit6 &ternelle. Conserrau®; 
sürete. it. V. Saudapdo. Bois de —, (1.% sur.) 
bou&e de sauvelage. 


SıaLvano, A, ?. p. de Selcar. 


SALYADOR, 3.m. sauveur : celui qui sat 
liberateur. On le dit par antonomase de 14 
est aussiadj. 

SaLvicem, 8. f. (4. de mar.) salvage: drei 
sur co qu’on a sauve du naufrage; sauteht" 
it. Sorte d’ancienne pi&ce d’artillerie- 

SaLväcam, adj. ets. eic. V. Seloagem, 

Sırvacvinda, 3. f. sauvegarde : pro“ 
accordee par le prince, etc.; letire, pla’2Tı 
&erit qui Pannonce; garde envoyde par" a 
neral, etc.,pourgarantir du pillage- (gr 
qui protege, defend. 

SıLvaröla, s. m. (t. burl.) grand sanrazt 

*Sııva. V. Savel. u 

SıLvamBnTo, s. m. l’aotion de saute! Pear 
se saurer. Port, asile, refuge. (1. de msT-.” 
velage ou sauvement : action de sauvei 
marchandises naufragees. Chegar 8; a 
sain ei sauf, arriver ä bon port, 





'SAM 


Salve ou } (gop.) sauf, & Yexzsep- 
*SıLvinte, ado.) tion, a la röserve. V. 
Salvo, adv. 


SaLvan (de), v. @. sauvor, dölivrer, garamtir; 
inelire om süret6 (la vie, l’honneur, elc.); pro- 
eurer lo salut dternel; pargner, öviler. Eviter 
un inoonrvenient. Eviter de toucher une chose, 
en passant par-dessus ou a oöl4. Franchir. Ba- 
Iuer. Approuver les renvois, les addilions,, les 
ratures d’an acie. Saluer, lirer le canon en 
salvo.-—s vida, lirer du tombeau : sauver la vie 
4 quelqu’un. — as apparencias, sauvor les ap- 
parences. — #03508 erros, disculper, excuser 
nos fautes. — fazendas, exempter lea marchan- 
dises des droits d’entr6e. ll est quelquefois ®. 
Ex. : — d bandeira, saluer le pavillon., — 
com vinte e um liros, ssluer (un vaisseau, le 
drapeau, eto.) de viugt et un coups de canon. 

SaLvin-sE (de), v. r. so sauver, s’ö&chapper 
(d’un danger, du peril); fuir; seretrer dans un 
lieu sr ; (aire son salut, obtenir la gloire eter- 
nelle. — em juwizo, prouver son innocence en 
justice. 

SALVATELLA, 8. f. (i. d’anat.) salvatelle : pe- 
tite veine situde entre le troisidme et le qua- 
wriöme os du melacarpe. 

SıLvirıco.V. Selvatico. 

SALVÄVEL, adj. 2 gen. qui peut @ire sauve. 

SALYAZINHA , 3. f. dim. de Saloa. Petile sou- 

coupe. 

Save, 206 lat. je vous salue, je vous sou- 
haite le bonjour. Salve! je te salue! 

SiLve ou SaLve Rainua, s. f. "salve : priere 
en l’'honneur de la sainte Vierge. 

SıLv£ra, s. f. plat d’une Jampe. (I. de dos.) 
Petite sauge,, sauge franche. 

SıLvina, s. f. ancienne preparation pharına- 
ceutique [öbrifuge. 

SiLvo,A,p.p. ter. de Salvar. Sauve, etc. 
adj. Saul, hors de peril. S8o e—, sain el auf. 
A—,sens rien risquer. A sou —, en sürei6, & 
son aise, sans rien craindre. Em — , en süret6, 
& couvert, hors de peril. Poz em — seus boms, 
il mit ses biens A couvert. — erro, saul erreur 
de calcul. 

SıLvo, ade. sauf,exceptö,& la röserve , hor- 
mis. 

SALYO-CONDECTO, 5. m. sauf-condait : per- 
wission par autoril& publique d’aller, de venir 
librement. (fig.) Chose qui donne permission, 
liberts , süreit ; priviläge, exemption. 

"Sım ow Siö, pour sow (je suis). «4. V. Sdo, 

+Siua6, adj. m. Sino ou plutöt Signo 
deux triangles entrelaces formant une &toile & 
cing pointes : sorte d’amuletie ou talisman en 
vensration chez le peuple (en Portugal), quo 
l’on suspend au con des enlants, eic. 

+ Sawania, s. f. (1. de geog.) Samarie : an- 
cieone ville et royaume de Palestine. 

+ SAMARITÄNO, A, adj. et s. Samaritain : de 
Samarie. 

Samannı,s. f. velement de peau de mouton 
avoe la laine, que porient les bergerscn hiver; 

elisson de berger. Simarre : soric de robe lon- 





SAN 1068 


gue de magistzat, elo.;, sorte de soulano ow 
soutanelle. 

SamanRa0, s.m. aug. de Samarra. Grand 
pelisson de berger. 

Samsära. V. Zumbase, 

*Saubänco, s. m. " bande de cuir sur rie p0i> 
trail d’une mule,, pour empecher que les Lrails 
ne blessent. (Ag.) Sorte de ceinture de femme 
pour elever les mamelles,. Vieux soulier ow 
vieux morosau de cuir. 

SAMBENITÄBO, A, 9.9. de 

SAMBENITÄR, ©. @. meltre le san-bönito & um 
criminel condamne par le tribunal de P’Inqui- 
silion. 

SANBENITO, 8. m. san-bönilo : espece de sea- 
pulaire de drap jaune, aveo une Croix rouge 
en sautoir, qu’on metiait aux criminels con- 
damnös par l’Inquisition. (Ag.) Note d’infamie 
que laisse une mauvaise action. Fazer gala de 
— ‚tirer vanitö de ce qui deshonore. 

Sıusıxüda. V. Sengussuga. 

SANBLADÖR, 3. m. menuisier, ouvrier qui 
assemble diverses piöces de bois. 

SANBLACEN, 5. m. " assemblage : maniere 
d’assembler le bois de menuiserie ; piöces prin- 
eipales qui servont & cet eflei. Carpinteiro de 
— ‚ menuisier. 

SıumBLir, v. a. assembler, joindre, embol- 
ter, enchässer plusieurs pieces de bois. 

Samsüca, s. f. ancien instrament de musi- 
que & cordes, sorte de harpe. i#. Pont de cor- 
des, machine de guerre. 

+ Sausöco, s. m. (4. d’4sie) sorie de zetit 
bateau ou chaloupe usilee dans .’Inde, 

+ Sıwsurä, s. m. (I. du Bresil) sorie ds pe- 
nier de liane des p6cheurs du Bresil. 

Sıusixa. V. Sacabuxa (ins. de mus.). 

SAM&nTE, adv. sainement; avec droiture, 

* SAMiCAS, 5. m. bomme sans moyens, igne- 
rant. adv. Peut-tire, par hasard. 

+ Siäuıo,A, adj. ei s. Samien : de Samos. 

Sauıraaka. V. Cimilarra ou Semilarra, 

+ Sıuniras ow SANNITES, 5. m. pl). Samnitess 
ancien peuple d’ltalie, dompie avec peine per 
les Romains. 

+ Saunirico, A , adj. desSamnites. 

Siuo, s. m. aubier. V. Alburno. 

+ SamöLo,s. m. (il. de dos.) samole, Iysima- 
chie, mouron d’eau. 

f Sauöaa,s.f. (t. de geog.) Zamora : ville 
d’Espagne, dans le royaume de Leon; ville du 
Perou, pres des Andes ; ville d’Alrique, dans 


— 9 la Barbarie. 


+ Siuos, s. f. (t. de geog.) Samos : lle et ville 
de !’Archipel, sur la cöte d’Anatolie. 

T Samosara, s. f. (4. de g6og.) Samosale: 
ville de Comagöne. 

+ Sauornnicıa, 8. f. (l. de geoy.; Sanıo- 
thraoe ow Samandrachi : Ile de PArchipel. 

+ SAMOUuNA, 6. r. “ de bot.) espece d’esculus 
(ZEseulus pavia). V. Esculo. 

San. V. Sdo. 

Sani00,A,Pp.p. de 


Samän,v.a. guerir, rondre la sante; (Ag) 


1068 SAN 


eorriger @’an döfaut, ete.; Foparer une [auis, 
eie. V. Sarar. 

Sınıriro, a, adj. caratil ; qui gusrit om doit 
gusrir. 

SanivaL, adj. 2gen. guteissable ı qu’on peut 
gu6rir. (fig.) V. Romedievel. 

SıncapiLna, e. f, "oroo-en-jambe. V. Cam- 

6. 

Sıncanakd, so. m. ang. de Sanoo. Os d4- 
pouills de sa chair. — de Mefoma. Terme de 
Inoquerie par lequel on designe les os de Ma- 
komet que les musuimans vont visiter & la 
Aurque. 

Sanccäö,s. f. sanclion : confirmalion , foros, 
autorit6 dennte & une leis; oonstitullon, #a- 
blissement qui a force de lol. 

Bıuccıonäno, A, 9: p. de 

Sınceıonir, @ a. sanetlionner : donner Ya 
sanetion &, eonfirmer (une lei); donner foree 
de loi & qeeique chose. 

Sıncnina, 2. f. V. . 

Buancuassräß. V. Saoristäo, 

Sinco ,, s. m. * jamabe d’eiseeu , depuis la patte 
Jasqu’& la Jointure de la cuisse. (ig.) Jambe 
longus et greie. 

BANOTA-SANCTORUN, 5. mu. vanotualre du tem- 
Ye de Jerusalem, le saint des gaints ı sanc- 

waire. 

Bancrıkoe. V. Santidge,. 

Baucrırcagä6, 8. f. sanstiäicetion « action de 
Banctitier ; elfer de la gräse qui sanotilie ; odld- 
teation des [ötes. 

Suncrısickno, A, P. p. de Senefikser. 

BancrimcaDeR, A, adf. ot #. sanslifienienr; 
ui sanotiße. 

Suxcrisiciure, adj. 3 gen. sanotillent : qui 
‚ ytlle. p. a. de 

Sancrımcha , 9. @. sanetißer : rendre Saint; 
louer, benir, odiehrer. Deslarer saint. Consa- 
crer entitrement A Dieu, conserver pur ot sans 
tache. ( Ag.) Justiller, exouser, discuiper. — 0 
domingo, as fostas, sanctier le dimanche,, joa 
fötes, los observer, los garder. 

Bincro, ete. V. Santo, elo. 

Sancruikıo, s. m. sanctualre : ie lieu saint 
du temple des Juifs ; liou od est lo mattre-autel; 
(Ag) l’eglise, lo sacerdose; choses saordes, 
*Rglise, ohapelle od sont los rellques d’un saint. 

+ Sancrus, 5. m. sancius: parele que dit le 
preire apres la preface ei avant le canon. A 
misse esld a — , Idee & —,, On MOL au Sumehus, 
on sonne io sanohus. 

BANDÄLHA 08 sandale : anolenne ohaus- 

SımsiLıa, 8. f. } sure de femme; ohaus- 
sure de roligieux d6chausses. 

+BanpaLlno, A, ady. (podi.) falı de sandal 
ou qui en a la couleur. 

BinpaLo, s. m. (6. de bot.) sandal : hois des 
Inge. " Menthe d’Arable. — branse, sandal 
blane; — vormeike, sandal rouge : bols odo- 
rants ei medicihauz. — korien. , aenthe des 
jeardins. V. Vergamota. 

Sanpäracı, 8. f. sandarague, sandaraz: 
gemame, resine söche du grand gendvrier or- 





SAN 
souge, substance dont 09 nauusrissen! 
Chupamal. 


Im abellles ouvriäres. V. 


SAnDRO ou SANDEU, adj. m. nigaud, nleis, 
ben6t, fou, insensö, sot, imbecile. Meis sade o 
= no sou que © sisudo om awisado me alheie, 
(prev.) plus salt le fou em sa maison que k 
sage dans la maison d’autrul. 

Saupia, adj. f: de Sendbe. Polle, , 
niaise, nigande, 

Samslamäntz , ade. follement, selloment. 

Sanpioe, s. f. elle, seisise, niaiserie, erima- 


vogance. 

+ Bansıchno,, A , adj. reuge, de conleur dem- 
late. V. Sandis. 

+Bamtoo, a, adj. nlale, not, de Sanden.V. 
ce mei. 

Sınnfo. V. Sandeo. 

fBansiz ou | sandix ew sandyz: viren 


Sumiz, . f. 1 calcinde. *Bandix, esptce de 
minlarm. Roage orange fait aveo de ia cerase 
oalcinde. Herbe dont la leur est de vouleur 
ücarlate. 

tSampnanä, s. m. arbre dont le bois est eu- 
eere plus nofr que l’6bene. 

SanziB0, A,P.p. de Sansar. 

u SANEAURNTO, 3.0. assaintssement. "Röpart 
on. 

Bawzir, 0. e. asseinir, rondre saln. Reparıt, 
remedier, gudrir. Paltier. — atengdö, disculpet, 
excuser l'intenlion. — ums pessoa com ulrt, 
röeoncilier une persenne aree une auir. — 
amizades ‚renouer l’amitiö romper. 

Sanzin-ag (de), u. r. r&parer (ame perie, une 
faute, eic.). — com algusm, so röconcllier, 9 
raccommoder aveo quelgu’an. 

Sanzoaim. V. Synkedrim, 

Banfra, s. f. penie de lit, castonniäre; Bat- 
delette large qu’on met sur le rideau. Trarera 
de bois, 

Banröna,s.f. vielle : instrument de masiget, 
& cordes frotides ei mises en vibralion par une 
roue, 

Banrönza, . f- * Gageolet, fikte de berger: 
plutöt vielle, 

Sanronina, s. f. V. Sanfona. s. m. Oelal qii 
}oue de la vielle. 

Sanronınän, o. ®. Jouer de la viele. (A. 
Etre importun,, parler mai ä propos. 

SANFONINRIRnO, a. m. vielleur : qui jone de 
vielle. 

+ Sina, s. f. (1. de Bresil) onvertare dans 
lo let par otı entre le poisson. 

tSancivo, a, adj. qui a entre par la songt 
(V. ce mot), pris dans le filet (polsson). 

+ Sanciıea , s. f. ancienne mesure de s% 
Ndes et de !iquides. 

+ "SAancÄLno, 8. m. anclenne mesure egalei 
eing litrons. 

+ Sanclaca, #. m, sangiae : gouverneut luft, 
sous le begler-bey. 

Sıncokıra. V. Sangueira, 

SANGKADO, A, p. p. de Sungrar. 

SANCRADOR, 8. m. saigneur, chirurgien gel 
fait la saignee, phlebotomiste. 











SAN 


SAncRADdURO, 3. m. pli du bras ol se pfä- 
fique la saignee. "Saignde faite A une riviöre, & 
un canal; Iranehe6e. 

Sancnapöra,s. f. seignse falle A un canal. 


SanonaLinga, 9. f. berbe & feuilles longues , 
&pres et piquantes par-dessous. 

Sımonin, u. e. phlöbetoriser, salgner , eu- 
vrir la veine; ter le sang. Ordonner une sai- 
ende. (Ag.) Saigner un foss#, un marais, une 
niviöre; exiger, tirer de l’argent de... partaxe. 
®. ». Salgner : perdre, Jeter du sang. 

Banonin-sE, o. r. Oiro saigne, se faire sal- 
gner. — em sallde, (Ag.) prendre des precau- 
tions; faire des excuses antieipees, 

SANGR£&NTO , A, adj. couvert de sang; od il y 
a effusion de sang. V. Cruenio et Sanguento. 

Sancala, e. f. saignee : ouverture de la veine 
pour tirer du sang ; ce sang ; (Ag.) rigole, petit 
canal creus& pour dessecher un terrain ‚etc. ; 
tranchee. (id.) —, moyen de tirer de l’argent 
de quelqu’un. * Sans-gris : sorte de limonade 
falte avec du vin, du sucre, du citron et de 
l’eau. Näo d — desatada, (prov.) 1a foire n'est 
pe sur le pont. Herva de sete — s, ‘greömil, 

erbe aux perles : plante borraginte. 

SÄNGUE, 3. m. sang: liqueur rouge qui cir- 
cule dans les veines, les artöres; liqueur qui 
en tient lieu dans certains animauzx. (fig.) — , 
race, extraction ; qualit6 du temperament, 

6.) Meurtre, carnege. (fig.) Substance, sub- 
sistance (des peuples); finances d’un dtat. — 
do drdgo. V, ce mot. d—frio, de sang-froid 
Alogeea—,Aleuetä sang, A toule rigueur. 
Fazer —,(fg.) aflliger , chagriner,, faire de la 
peine; blesser, Carno e—,(Ag.) la chair, la 
concupisceuce; la nature humaine, l’bomme 
torresire. = das uvas, da parreira , de Baccha, 
(Ag.) le vin. Ndo ficar gola de — no corpo, 
(Ag.) pälir, trembler de peur. A ehaga, a feri- 
de ninda verle— , ou esid aindo golsjando —, 
la plaie est encore saignante. Lavar com —, la- 
ver une injure dans le sang. Fervs-Ihe o — nas 
ooine , le sang lui beut dans les veines. Deitar 
— pelo nariz,, saigner du nez. O--se herda 0 0 
vicio se apega : reproche A un gentilhomme qui 
vit plong6 dans le vice, dans la debauche. 

"BANGUSCHÜIVA 0% BANGSECHUYA,, 8, f. porte, 
flux de sang (chez les femmes). 

+ Sancufıaa,s. f. sang qui decaule des ani- 
manx tuds, grande quantii# de SAng; Bang 
aqueux, plein de serosile. 

Sangusytkno. V. Ensangueniade, 

Sancu£nTo, A, adj. sanglant, lache, aouilie 
de sang , ensanglanıs. Qui cause eflusion de 
sang ;(fig.) cruel , sanguinaire. 

BANGUESÜCA ‚&. f. sangsue : animal aquali- 
que, ver endobranehe, evipare, qui suos le 
sang ; (Ag.) celui qui exige plus qu’il ne lui est 
dö ; exseleur avide,. 

BAncuszüra. V. Sangussuga. 

' Sancesxöva. V. Sanguschuue. 

Sınsviaäı, s. m. (}. d’4sie) petite embarca- 
sion de l’inde. 


wo. 





SAN 1063 


+ SancuiseRo, A, adj. qui conlient du sang. 

Bancvıncagsß, 9. f. sanguificalien ; lans- 
formation du chyle en sang. 

Sanovımeido, 4, P-p. da 

SAnGUıPıckk , 9. © sanguiller ı nenverlir om 
sang- 

+ Sancvırıcariva, a, adj. sanguiliostif: qui 
convertit on sang. 

+ Sancvirıco,, A, adj. qui facilite la sangui« 
fication. V. Sanguifhestioo, 

* SANGUILEIXÄDO, A, adj. saigne. 

* SANGUILEIXADOR. V. Sangrader. 

* SıncvıLeixia , 5. f. lieu ed l’on saigne ; 8 
ilon de saigner. 

+ Sancvımäntamäntg, ade. d’une manlöre 


| sanguinalre. 


Sancuınänto, A, adj. sanguinaire, oruel, ine 
humain, qui aime & röpandre le sang humain. 
Ser um homem —, ötre un homme de sang, UR 
huveur de sang, aimer & röpandre le sang. 
Massa —a, (1. de mdd.) la masse du sang. 

Sıncrinza. V. Sanguinka. 

Sancuineo, A, adj sanguin : en qui lo sang 
domine (personne, temperament); qui abonde 
en sang; de oouleur de sang. 

Sancvinsa. V. Semprenoiva. 

SANGUINHLIRO OW } (1. de bot.) sanguin, bois 

SanGuinHo, s.m. ) punais, cornouiller fe- 
melle. -— d’agua, * bourdaine. 

Sancuinno, s. m. purificatoire : linge avec 


‚lequel le pretre essuie le calice. 


SANGUINHO, A, adj. V. Sanguinso et Sangud- 
nalento, : 

Sıncuinıpipe. V. Consanguinidade. 

Sancvino. V. Sanguineo, 

SAXGUINOLENTO, A , adj. sanguinolent, san- 
glant. V. Sanguenito, 

Sanavındso, A, adj. de sang. Sanguinaire, V. 
Sanguento. 

SancuiskL, V.S icel, 

+ SanGuisonBa, 4, f. (f. ds bot.) sanguisorbe: 
genre de pimprenelle, 

SANGUISÜGA, 

SANGUIXÜGA, } V. Sanguoruge. 

. SÄuBA, @. fu coläre, fureur, emportement, 

courroux. (Ay.) Effet de la fureuy, da la calere. 

Bannano. V. Assenhade er Sankude. 

Sannzanim. V. Synhedrim. 

* Sıusoänz, s, m. Saint-Jean , la Saint.Jean. 

* Sanuoantına. V, Sanjoansire. 

* SAxHOANEIRO. V. Annual, Anneiro, 

Sanu6so, A, adj. furienz. V. Sankuda, 

SAuHÜnANENTE ‚, ade. avec aolöre , rege, für 
reur. 

Saunloo, A, adj. furieux, ealöre , omporid, 
courrouck. 

Sınıka. V. Sansar. 

%# SanicuLa , s. f. (6. de bat.) sanicle ı plante 


ombelliföre. . 
SanınÄde, 5. f. sante : etat de l’hemme sain ; 
guerison. 


Sinig,s. f. (4. de med.) sanie ı Pus söreux 
des ulceres. 
Banıdan. A. adj. sanlouz ı ohargd de sanie, 


















‚ N , ku | . - 
1068 SAN | an saO ' 
Sınisumo, a, ad. sup. de Säs. Trbs-sain, [ Surrıovine, 1, p.p. de 
eie. " SANTICTÄR-SE, ©. r. se servir d’em sainl 
+Sanırinıo, a, adj. sanitaire : relatif & la | pritezie pour Lromper, eic 


SaxrıL.iö, s. m. hypeocrite,, biget, lauı devon. 

Sayrınönıa,s. f. sanelimonie, sainieid. Bi- 
goterie , hypoerisie. 

Suntımoni:ı, adj. 2 gem. de saial,quialei- 
terieur de saint. 

Sastiuua, s. [. dim. de Sense. 

SARTINNO,, A, adj. dim. de Sanio. Qei mine 
une vie sainle. s. Jeune ow peüt sainl. Sein 
bomme ,sainte ferame; personne hambie, ver- 
Iucuse, ou d’esprit doux, paisible. 

SanTissımo, a, adj. sup. de Sense. Trössaial. 
O0 —., le Ssint-Sacrementı. 

SAXTO, a, adj. ol 5. saint : essentiellement 
pur ; souxerainement parfait ; conssere 4 Dien, 
a la religion , & un usage sacre; respectable, 
tres-verlueux ; qui suit exaciement la lei de 
Dieu et de l’Eglise, qui s’y conforme. Sin- 
pie, peu avise, bon homme. Uule, salulaire, 
surtout en medec:.ne. (fig.) Agreable, üatleer. 
Corpo —. V. Sanlelmo. Um — , Vimage, la si» 
tue d’un ssint. Dia — de guarda, [eie d’oblıga 
tion. — padre ou padre —, saint pere: noa 
donne au pape. — officio. V. ce mot. Tode - 
dia , toute la sainle journde. Expression lai- 
litre qui, dans les deux langues,, &quirvaui dus 
jour tout entier. —s palevra, (loc. ade., lort 
bien, c’est bien dit, vous avez raison. 

Sinto, s. m. salat: bienheureuz canonis# 
par I’Eglise ; image, statue d’un saint; saint 
homme. Mot du guet. Encommendär-se s ben 
— , (ig.) se tirer d’un mauvais pas contre touie 
esperance. Die, festa de todos os —e, la Tom- 
saint. Ndo sade a que — se encommende, il Di 
sait d quel saint se vouer. Cada — quer am 
oela, (loc. prov.) chaque saint, chaquo chat 
delle. 

* SANTOÄNE,, s. m. sorte d’ancienne tolle. 

SantöLa, 5. f. (1. d’hist. nal.) arsignee be 
mer. — navalkeiro, ° fauchenr : ospece d’der- 
visse de mer. 

+ Sıntouta, s. m. (1. de gdog.) Saint-Omt! 
ville de France. 

SANTO-OFFıcıo. V. Ofßleio. 

+ Sartonina, s. f. (8. de bol.) santoline, s° 
mencine, petit cypr&s, aurone [emelle : planit 
synantherce. 

SAnToR , #. m. (1. de bias.) sautoir. V. Arpt. 

SanTonkL, 5.1. rocueil de sermeas ou dr 
vie de saints. 

Suntönum, a. m. (4. de proo.) le pain bnit 
V. Pdo por Deos. 

Santuinıo: V. Sancluario. 

Sio, ä, adj. sain . qui se porte bien; 0% 
bre, bon pour la sanıd; parfait, anlier, SUR! 
defaut, qui n’est pas gäl6 (fruil, eic.) Exesapl 
de risque, de peril, en süreie. (fg.) —, el 
’de jugement ; sage (esprit); donforme aux d# 
cisions adopiees ( dockine —e ) — 0 1%, 
sein et sauf. — e escurreilo, sain el nt. Nö? 
deisar 0830 —, allaquer loutes les parlit da 
corps, en parlant d’une maladie. Malwal, 


eanservation de lasamte. Cordäo —, corden Sa- 
nitsire : ligne militaire pour empöcher la pro- 
pagation de ia pesie entre les pays limitropbes. 

Sinsa, s. f. rigole, tranchee pour conduire 
ou faire &sonler Yes. 

+ Saxsacivo, s. m. arrondissement lurc. 

+Samico, 6. m. geuverneur de province 
parmi les Tures. 

Sımsino, a, 9.p. de 

Sınsin, vo. a. saigner les terres, ouvrir des 
sigoles ou des tranchses. 

Sınsoankina, s. f. sorte d’ancien tribut que 
Yon payait & la Ssint-Jean. si. Poire de Saint- 
Jean. 

Sınquıräa ,o.6. V, Mexer, Amassar. 

BSinTA, s. f. sainte. 

+ Sınra-invone, s. f. "arbre ow arbusie de 
rıle de Fer, dont les feuilles sessemblent & cel- 
les du laurier. 

Sınrardıuo. V. Contiföhio. 

+ Sauta-Mäiuna, s. f. (t. de geog.) Sainte- 
Maure : Ile du golfe de Venise. 

BANTANRuUTE , adv. saintement. 

+ Santanänıo, s. m. (1. buri.) mangeur de 
erucißix, d’images , bigot. 

Banrännen ,s. m. (1. de g&og.) Saint-Ander : 
ville ei port de mer d’Espagne. 

SANTAO, 8. m. santon : esp&ce de ınoine lufe, 
saint mahometan. Hypocrite. 

Sınrannid, s. m. aug. de Santo. Hypocrile, 
faux devot. 

+ SunTkinaußxte, ado. superstiieusement. 

Sanrtıno, A, adj. devot, cayot. V. Santanı- 
rio. Dias — , jours de föte. 

+ Sanrtıno, s. m. sculpteur qui lait des 
images de saints. Imager. 

SanTtıLo, s. m. sorte de fllet de p&cheur. 

SARTELNO, s.m. feu Salut-Eime. (f%g.)Chose, 
porsonne qui delivre d’un mal eminent. 

+Sanrıä0o,s.w, Seint-Jacques: eri deguerre 
des Espagnolis et des Portugais dans leurs com- 
bats contre lies Maures. Le combat, la bataille 
elle-meme. ( fg.) Attaque imprövue, surprise. 
Der — no wwimigo, fondre, sur l’ennemi en 
eriant : Saint-Jacques! aw l’atiaquer & Fim- 
proviste. 4A esirada de—.V. Via ldclea. 

+ Bantıäao,s.m. (8. de gdog.) Baint-Jacqyues : 
ville d’Espagne, en Galice. 

BANTIANEN , 8. us. un moment, un instant, un 
olin d’eil. Num —, ade. en un clin d’ail, en 
ınoins de rien. 

Banrıco, s. m. bijou od Pimage d’un saint es: 
empreinte. 

Sıntiväne, s. f. salntels : qualil6 de ce yui 
esı saint; perfection divine. Divinits du paga- 
nisıno (p. u8.). Sua —, sa saintele : Uütre d’hon- 
nenr donn6 au Pape. 

BANTIFICAGAÖ, , 

Sınrınncıa, eic. V. Sanchif..., etc. 

“ Sıntıcan 0W BaNTıcuir, ©. a. faire le signe 
de la oreix , dire des esalsona sur un malade, 





SAP 


batlre de facon que tout le corps s’en rossente. 
UV —,(subst.) la partie saine d’un fruit, etc. 

Sıo ow Sin, abreviation de Santo. On le 
inet toujours avant les noms masculins qui 
eammencent par une consonne. Sdo Domingos, 
Nao Franeiseo, etc., saint Dominique, saint 
Francois. 

+ Sio-Douincos, #8. m. (t. de geog.) Saint- 
Dosmingue, Haiti : 1le et ville d’Amerique. 

*Sıözs ou Sııözs, pl. V. Saido, Algoz. 

+ Sio-Tuome, s. m. (t. de geog.\ Saint- 
Thomas : tle d’Afrique, dans le golfe de Guinee; 
tie des Antilles ; d$. de la mer Atlantique. 

+ Sio-Tuouß, s. m. ancienne monnaie d’or 
portugaise frappee dans Finde. 

Sirı, s. f. houe, beche. Sape : action de sa- 
per ; ouvrage fait en sapant. 

SaranoR,s. m. sapeur: soldat employ6 au 
travail de la sape. V. Gastlador. 

SıriL,s. m. marecage , crapaudidre,, lieu has 
et humide. 

+Sariö, s. m. sapan: bois de teinture du 
Japon. Sappan , brösilletdes Indes. 

Sarin, v.a. saper : travailier & dötruire les 
fondements d’un bastion, etc. 

Sarita, s. f. console pour soulenir une pou- 
tre, etc. *Fondement de mur qui sort de la 





SAP 


Sararinno, s. m. dim. de Sapaio. 

SarirTo, s. m. sonlier : chaussure du pied, 
en culr ow en &toffe. — velho, * savale. — de 

‚ gros soulier a plusienrs semelles. Ps 

de —s, noir de fumde. Ndo chegar d solado —, 
(fig.) etre tr&s-inlerieur, ne pas aller ä la che- 
ville du pied. Ndo ganka para —s, ilne gagne 
pas de quoi avoir des souliers. Cada um sabe 
onde Ihe aperta o —, chacun sait oü le bät le 
blesse. Quem espera por —s de defunto, lode 
a vida anda descelco, (prov.) en altendint les 
souliers d’un mort, on va longtemps pieds nus. 

SirE, mot pour chasser les chats. 

Sari, s. m. sorte d’berbe au Bresil dont on 
couvre les chaumiedres, Casa de —, chaumiedre. 

+ Sırtanıs, s. f. pl. (tl. d’Mist. nal.) saper- 
des : famille des col&opleres. 

SıpeziL,s. m. lieu ou il y a des sapds. V. ce 
mot. 

Sırutna,s.0u adj. f. Veis—, (f. d’anal.) 
saphene : veine du pied. 

SärHıco, A, adj. saphique : (vers) de onze 
syllabes. 

Sıpaira, s. f. *saphir : pierre pr&cicuse, 
d’un bleu fonc& oomme P’indigo. 

Sirıa,s.f." bois desapin. 

SaPıEncıa, 3. f. sapience, sagesse. V. Sabe- 


1065 


terre; oontre-fruit. *Soulier de femme. Sorte | doria 


de bottine qui ne va qu’ä mi-jambe. (f. de mar.) 
Moque ; moufle sans poulie. —s em que passdo 
os colhedores dos estais, (id.) moques de tre- 
lingage, ou moques & caur, moques d’etai. — de 
trds olkos, moque & trois trous. — para a escola 
da sevadeira, moque de civadiere. Feijöes de 
—s , haricots cuits dans leurs gousses. 

Sıraripa,s. f. "coup de soulier. On le dit 
surtout lorsqu’on frappe du pied avec force. 
“Coup bruyant donne avec quoi que co soll. 
* Bruit que font les clievaux en posant le pied & 
terre, lorsqu’ils viennent & glisser. Coup que lo 
lapin donne avec ses patles lorsqu’il sent le 
chasseur ou les chiens. 

+Sarıtäö,s.m. aug.de Sapalo. Gros soulier. 

Sarararia, 8. f. cordonnerie : rue, quartier 
od il ya beaucoup de cordonniers. 

+ Saratripa, 8. f. action de frapper du ta- 
ion en dansant; Ir&pignement. 

SAPATEÄDO, A, P.p. de 

SaraTrir,v.». frapper da talon, en dan- 
sant, pour battre la mesure. Trepigner. 

Sırırkıra, 5. f. cordonnidre. i6. Sorte de 
eoquillage. adj. f. Azeitona— ‚olive gätse, de- 
vonue noire dans la saumure. 

SaPaTkıro, 8. m. cordonnier : artisan qui 
fait et vend des souliers, des bolies, etc. —de 
botas ou que faz bolas „ bouier. — remenddo, 
savalier. 

SAPATETA, 8. f. sorte de soulier de femme os 
de pantoufle. Bruit que fait celui qui frappe du 
talon en dansant, eic. V. Sapalear. Correr a— 
aalguem, huer, faire deshueesapr&squelqu’un. 

SarıtiLHos, 5. m. pl. (1. de mar.) * cosses, 
anneaux de fer. 

BArATinHA, 8. f. dim. de Sapala, 


SAPIENCIÄL, adj. 2 gen. de la sagesse. Sa- 
pienciaes, pl. Sapientiaux,, (livres) de }’Ecri- 
ture Sainte : les Proverbes, la Sagesse, les 
Psaumes, etc. 

SAPIENTE, adj. 2 gen. sage, prudent, judi- 
cieux. V. Sabio. 

SAPIENTEMENTE, adv. sagement, prudem- 
ment. 

SırıEnTissımo , A, adj. sup. de Sapiente. 

SAaPinHo, s. m. dim. de Sapo. Petit crapaud, 
—s, pl. * aphthes. V. Aptha. 

+ Sarinno, s. m. (t. de bot.) espece d’alsins 
os morgeline , plante (Arenaria serpyliifolia). 

Sıpino, s.m. ou Sarina,s. f. V. Abeto. 

Siro, s. m. (l. d’hist. nat.) crapaud : animal 
batracien , amphibie, reptilo, ovipare. — con- 
echo. V. Cdgado. — da terra, (fig.) avare insa- 
tiable. Pedra do — , crapaudine (pierre). Olkos 
de —, yeux bouffis et chassieux. 

Sıron. V. Sapäo. 

SAPONÄCEO, A, adj. savonnenx : qui lien? de 
la qualite du savon. Seponace : de la nature 
du savon. —as, s. etadj. f. pl. (t. de bot.) sa- 
ponacees : famille de planten. 

Sıronänıa. V. Sabofira ordinaria. 

SAPORIiFERO, A, adj. savoureux : qui a de la 
saveur. V. Saporifico. 

Saronirico, A, adj. saporifigue : qui appar- 
tient A la saveur, qui la produit. 

+Baruciıa ou Sarucäva,s. f.(l. du Bresil) 
espöce de coco du Brösil, dont le noyau est en 
chaätaigne. 

+ Sapucaskırä ou SAPUCATEIRA , 8. f. V’arbre 
qui donne la sapucaia. V.ce mot. 

Sarücaz , s.m. herbe du Bresil ot d’Afrique : 
contre-poison pour Ja morsufe des serpenis, 





1066 SAR 


Sırısösa no Baazır. V, Criolo, 

"Siosa. V. Saca, Exporlapäv. 

Siuue.s.m.sac,pillage. V. Saco. (1.decomm.) 
Action de tirer une leltre de change, Lrailo, 

Sıqrzana, A, pP. pP. de Saqusar, 

Sıqusanön, 4. m. celui qui 3ac0age, SACCa- 


geur. 

Sıqurautnro. T. Saqus, 

SAQUEÄR,, 9. @. Saccager : meltre ä 880, au 
pillage; piller une ville. Voler, piller. sido 
saqusando e cidade, la ville ont au pillage, 

Sıqugrania, s. f. paneterie ı lieu ou l’on die 
wribusit le pain chea le roi. 

Saqueränıo, s.m, grand panetier, chef de 
la paneterie. 

Saqustz, 5. m, dim, de Sacco, Sachet, petit 
Bac. 

Saquınipa, 8. f. "sacde nouveau bit. 

SıqrıLuid, s. m. branche d’arbre, etic., 
qu’on met & l’exir6mits du versoir de la charrue 
pour 6carier la terre afin qu’sile no tombe 
pas dans le sillon. 

Sıquim. V. Sequim (monnaie). 

SAQuinuo , 3. m. dim. de Saeco. Petit aac, 

BaauinD. V. Seguim (monnsie). 

AQUITÄRIO. 
Suguırkıro. | V. Saqueterio. 
Saquitkı, s. m. dim. de Sacco. Sachet, petit 

Sao. 

Bananinco. V. Solavanco. 

Bananänna, a. [. sarabande : sorte de danse 
shcienne ;son air.(fam.) Reprimande, semonce, 

BARABANDEÄR, do, m. danser la sarabande, 

Sarınatrina. V. Zarabalana ei Buzina. 

SanasöıLha,s. f. V. Sarabulko, 

SARABULHRNTO, A, adj. rude, äpre au lou- 
cher, rabotaux. ( Ag.) Couperose, bourgeonne, 
plein de boutons (visage). 

+ SarasöLno, s. m. "inegalitd, Aprete & la 
superficie de la falenco, etc.; grains de gra- 
vier, 

SanasuLndso, A. V. Sarsbuihenio. 

Sanica, V. Sarasa. 

BuRACcöTE, 5. m. agilation de celul qui court 
gd et lä, quimercsie pas en place. 

SARACOTRÄDO, A, p. p. de Saracolear. 

BARACOTEADOR, A, 3. celui qui oourtgä et lä, 
yuı est loujours par voies et par chemins. 

SARACOTEAR , 9. #. courir cä et lä , lournall- 
ler. (pop.) Sautiller, ir6mousser; remuer les 
lesses on dansant. 

T Sanıcot£o om SARACOTKIO, 8. M, TEMUS- 
ment des fesses en dansant. V. Saracoisar. 

SaniDo,A,p.p.deSarer. 

Sararina. V. Serafina. 

Sınacica, 8. f. (tb. de bot.) " beliantheme, 
cyste bas. (Cistus Aalimifolius). V. Sargago. 

Saracöcga, 8. f. drapgrossier de laino brune. 

tSanachca, 8. fı (4. de gdog.) Saragosse ı 
Ville cel&bre d’Espagne. 

tSanıcocine, A, adj, ei 3. de Baragosse. 
Ameixa —a. V, Ameiza,. 

Sanlıva, s. f. grele  plule galse. V. Graniso. 

Banaıväa,o. m. greler , tomber de la gröle. 









SAR 


0.a, Greler: (capper de la grele; zäwr par Is 
greic. 


Sanauico,s. m.(l.de bol.) railorl saurage; 


örucague, capdce de raquelis. = mai. V. 
drmwracis. 


SARAMaNTaGa ef | V. Salamasliga ei Se 
SaRrAMaNTica ‚8. f. lamandre, 
SAnAuSEqug, a. m. " danse [art gaie das a 

gres ; son air, 
SARANÄTULOS, 5. me. Pl. nouveaux bais du 


cerf, 

Sarnausöna, 8. f. "lssu de colon du Bengale. 

Sarnanunutıaa, 6, [. peirier qui porte 4 

SARAMENBEIRO, 4. iM. | musoadelle. 

SARAMENBO, 5. m. poire muscadelle. 

Suniurio, * rqugeole : ınaladie qei 

BARAMPELLO ou | Cause des raugeurs Si 

Sanimro, s.m. ) la peau, 

Saraurüra. V, Sar a. 

Sanamüco, s. 9, nom d’un poisson du Tage. 

+ SarınpiLna, s. f. (fam.) ordure ‚balajurı. 
(ig.) V. Gentalka, 

SarincuE,, 3. m, pilote, garde de proue. 

Sankd, V. Serde. 

Sırio,s.m. bal par6 , assemblöe de gens da 
distinction, etc. ; feslin nocturne. 

Sınarınkı, s, m. Volta de —, (1. derd) 
voüle surbaisaee. 

SARAPANTÄBO, A, p. p. de 

+ Sanarantia, 9, @, ellrayor, &pouvanl, 
“tourdir. 

SarAPATEkL, s. m. sang de cochon cuil dans 
Yoau at pröpar6 avoo du sain-doux, oic. (Mi 
Ragoüit. 

Sararııntıaa, s, f, baline, cordal, serp- 
liöre, treillis : grosse toile d’omballage. 

+Sanarınräno, a,adj. (fam.) tacheld, met 
chet£ de differentes oouleurs ; parsemd de ro®* 
sours. 

Sarıpdına. V. Sarabülhe. 

Banin,o.a. guerir, rendre la sanld; (MM) 
corriger un delaul, etc. u. a, Gusrir, reoourı 
la sanık,. 

Sanisı ou l’Tode, nore di 

Sıarissa, fi dienne. 

Sänca, 5. f. tanoe, buisson. V. Sion. - par 

’ V. Salsa ; 


los de 


Sanciı ‚3. m. buisson ; lieu couveri de 0% 
C#8 , Fonceroi ow ronoerale. 

SAncÄsu0, 9, m. sarcasme ; raillerie am.i? 
et insultante. 

* Baacıımas, 8. m. pl. V. Auricules ‚det 
rapdo). 

+ Bincma, 3. f. (p»ws.) oharge, fardert! 
(prop. 1 g.). 

+ SırcoceLg, #. m. (i. de ehir.) garecede: 
tumeur charnue aux testicules , aux yalstau! 
spermaliques, au scrolum. 

+ BarcocoLina, a. f. sarcocoline : substanre 
decouverte dans la sarcocol!e, 

+ SancocöLLa, s. f. sarcocolle ; ganme de 
Perse qui consolide les plaies. 


+ SARCOCOzLERA „8, f. (4: de boi.) "narcadt- 





SAR. 


Har ı planie de la pentandrie qui donne la sar- 
eooolle 

Saschraso. V, Sareophage, 

tT SARCORYDROCELE, 8, m, (4. de ehir.) sarea- 
hydrocele : sarcoc&ie aveo bydrockle. 

t SancoLocia, 5, f. (1. de med.) saronlogie: 
traite des parties molles, 

Sıncöma,s. f. (4.dachir.)"sarcome ı lumenr, 
ezcroissange charnue. 

SARCOMATOSO , A, adj. (1. de chir.) sarcome- 
lsux : du sareom®, de sa nature. 

T SancöupRALo, 8. m. (d, de chir.) Sarcamı- 
phale : exoraissanoe charnye au nambril. 

SARCÖPHACO, 8. m. Saronphage : tomheau, 
cercueil ; sa representation. Pierre caustique ou 
assienne, qui, selon Pline, avait la vortu de 
consumer les corps ; sarcophage, tomheau 
creus& dans coits pierte. 

t SancöpRAcQ , A, adj. at s. (4. de mdd.) sar- 
cophage : qui brüls les cheirs (medicament). 

Saacörıco, A, adj. (4. de chir.) sarcotique 
qui fait renaltre les chairs. 

f Sancöso, A ,adj. rempli de rances. 

Siapı, s. f. sarde, clup6 (poisson), V. C4- 
valla. it. V. Sardas. 

Siroa, adj. f. [emme qui a des taches de 
zousseur. V. Sa . 

Sanpiö, s. m. lezard vert. 

Sinnas, s. f. pl. rousseurs, taches de rous- 
seuf. 


Sınptuna, s. f. (6. de gdog.) Sardalgne : 1ie 
de la Mediterrande; royaume d’Europe, 6tats 
sardes. 

PBARDENNO, 5. m. sorte de böte de somme. 

SARDENTO, A, adj. quia des taches de rous- 
seur. 

+ SanDicknse, 8. ei adj. 2 gem. lo naturel de 
Sardica, ee qui appartient & coetie ville. 

SARDINHA, 8. m. sardine : petit poisson de 
mer du genre du elupe. Astar como — om Higd- 
la , &ire comme des harengs en caque, oxtrö- 
mement presse, foule. P6r meis ums — na 
drasa, metire une grillade dann la potle. Tirar 
a — da brasa com a mäo do galo, (Ag) tirer les 
marrons du feu aroo la patte du chat. Chegar a 
brasa d sua— , (adage) faire rovenir l’eau & son 
meulin. Dinksiro de —s, (fam,) argent que 
l’on regoit en ir&s-petiles portions, argent en 
mietias, 

Saupımakıra, s. f. p@che de la sardine, i#. Es- 
pöce de geranium, vwig. geranium gros bois, 
geranium carmin. 

Saapınmtıno, A, 5. marchand de sardines, 

Sanpınmkıno, A, adj. de sardine, qui falt ia 
peche de la sardine (bateau). 

Skn2ı0, 8. m.* oermnaline sarde : plerre pre- 
cieuse. 

Sin00, A, adj. et s Berde : de Sardaigne. 

Sanvpönta , s. f. (f. de bot.) herbe sardonique, 
renoncule des marals,, grenvulllette d’eau. 

Sanpönica , s. f. plerre pröcieuse qui est une 
variöts de la enloddoine, sardeine. V. Sardo- 
ey. 


SAR 1067 


Bannömco , A, adj. de L’herbe sardonigue. 
Rise —, (Ag.) rire ironique, mechant, V. Riso. 

+ Saanönyxz, s. f. sardonyx: agale formöe de 
sardoine et d’agate-onyz. 

Sanzcorzin. V. Seracolon , 

Sarcica. V. Saragdga. 

Sancacinua, adj. f. Uoa-, ralsin A grains 
menus. 

+ Sıncico ou (6. de dot.) sarg, kocmıon, 

Saacässo, e. m. | varech, harbe flottante ; 
sargasse, lentille de mer, & fruit vesioulaire, 
algue. Mar de — ou simplement Sargdgo , Sar- 
gasse, partiode !’Oosan atlanıiquo enire lesiles 
du cap Vert, lesCanarioa et la torre lerıno (’A- 
frique. 

* SınciL, 5. m: tissu grossier de laine. 

Sancenta, ss f, "conduit, eanal, rigole d'e- 
ooulement , tranchte, Saar oonverse d’un Or- 
dre religieux. 

* Sanckurz, 5. m. V. Seroidor. il. Sorgen! 


has officler de Justice. 


SARGENTRÄR,, dv. #. arercer Pemplol de ser- 
gent dans un rögiment, eto. (Ag.) Animer une 
entreprise hardie, se meitre & la t&te. (fam.) 
Commander, faire le maltre; se donner du 
mouvoment. 

JARGENTO, a. m. sorgent ı sous-oflcier d'in- 


:tanterio. — mör ou majer, major d’un regi- 


ment. — mör de brigdda , major de brigade.— 
mer da ‚major d’une place : officier qui 
commande apres le lieutenant du roi.= mör de 
batelha „sorgent de bataille,, sergent-masjor de 
batalllo.- de oavalaria, maröchal-des-logis. 

+Sancara, s. f. din. de Surja. Sergetie, 
sergo fort lögöre. i4. V. Sargenta. 

Sinco, A, adj. Uva —a, varleid de raisin. 

Sinco, 8. m. sargue, poisson de mer. — das- 
tardo. V. Scaro. Tomar — ‚(de mar.) faire 
ehapelle. 

Sunica. V. Sarissa. 

*Sırino. V. Soido ou Ruglido. 

Bınıcuf , s. m. ou (6. d’Alst. nat.) sarigue 
SarıcufLa,s.f. ) ou opossum ; mammi- 

före didelphe.— ordinaria do Brazil , le sari- 
gue.— earanguejeira, le crabier.—da Virgi- 
“is, manicou, sarigue de la Grenade. — uri- 
forme ou marmosa, la marmose.— cayopollim 
le cayopollin. — de cauda curta, le touan ou 


toin. — lontring, le yspock. t 


SARILBÄDO, A, 9. p- de 

SarıruÄn, vd. a. derider : mettre le Al du fu- 
seau en &cheveau, 

Sariıno, s. m. devidoir: instrument pour met- 
tre le fl du fuseau en &cheveau. * Tour, espece 
devindas. Rätelier: piguet auquelsontattachees 
destraverses pouryappuyerlesfusils. Faisceau: 
fusils dont les baTonnettes s’entrelacent. Pör 
as arm em —, mettre les armes en faisceaux. 

t Sanissa, s. f. (1. d’ant.) pique mactdo- 
nienne, qui &tait forı longue. 

Binsı,s, [. sorge : &tofle legere de laine om 
de soie. 

Sina, s. f. Incision, scarification. V, Sarja- 
düre. 


1068 SAR 


Sırıikno, A, p.p.de Sarıar. 

SARIADOR , 3. m. scarificateur: instrument de 
ehirurgie pour faire des scarifications. Gelui 
Qui scariße. , . 

Sınsapüna ,s. f. scarificalion : incision faite 
sur la peau. 

Sunsär, ve. a. scariller : d&oouper, dechique- 
ter, inciser la peau. (fg. burl.) Saigner quel- 
qu’un dans la bourse. 

+ Sınuicıa,, s. f. (1. de geog.) Sarmalie : an- 
eienne conirede d’Europe et d’Asie. 

Sıruiö. V. Salmdo. 

+ Binıaras, s. m. pl. Sarımates : peuples qui 
babitsient la Sarmaiie. 

+9ıamitıco, A,adj. quiappartientaux Sar- 
mates, & la Sarmatie. 

+ Saauenticzas,s. et adj. f. pl. (}. de bot.) 
sarmentacses : famille de plantes dent la vigne 
est le type. Viniferes de Jussieu. 

+ BARmEnTiceo, a ,adj. desarment. Nom que 
les paiens donnaient aux chreliens qu’ils fai- 
saient brüler avec du bois de sarment. 

SARuENTO, 8. m. sarment : bois que pousse 
la vigne; tige longue, faible et rampante ow 
grimpanie. 

SARMENTOSO, A, adj. (I. de bof.) sarmentoux : 
de la nsture du sarment; qui produit du sar- 
ment, qui pousse des brins, des branchss en 
formu de sarment ( plante). 

Sansa, s. f. gale : maladie de la peau. —cas- 
telhana. V. Gallico. Näo Ihe falle sondo — para 
corar-se. (fam.) On le dit d’un homme qui a 
tout ä souhait,, ei qui se plaint sans cesse. Ser 
mais velho qua a —, ( fam.) dire vieux comme 
Herode , &ire exir&mement ancien. 

BARNENTO , A,0% 

Sıaanöso, A,adj. 

Sino. V. Sardo. 

+Sanösına, 8. m. saronide: espeöce de prötre 
ou barde gaulois. 

SarPiDO,A.P. pP. de 

Sanrir,v.a. (4. de mar.) serper : lever l’an- 
cre, la retirer dans jo vaisseau. (Ag.) Faire 
voile. 

SıaaanuLuipa, s. f. grande quantiie des 
nıcnus d’un cochon accommodes avec le sang. 
(fig.; “ Tapage, desordre, charivari. 

SARRABÜLUO, 5. m. les menus d’un cochon 
s::ommodes avec le sang ; regal lorsqu’on tue 
viı cochon. (Ag.) Charivari , tapage, desordre. 

+ Sansacenıco,, A , adj. des Sarrasins. 


| galeux : qui a lagale. 


Sankackno,A, adj. eis. V.Mouro. —s, pl. 


Sarrasins : peuples d’Arabie, mahometans. 

Sanaino. V. Corrado. 

SARRAFAGADÖR, 3. m. celui qui Coupe arec un 
ınauvais instrument. V. Sarjador. 

SARRAFACADÜRA, 3. f. aclion de couper avec 
ıın maurais instrument. V. Sarjadüra. 

FIARRAFACAL, 8. m. mMauvsis ouvrier, Sur- 
tout en menuiserie, eic.; mazelle. (burl.) Mau- 
vais barbier. 

Sanrarıcia,o.a. (P. us.) V. Sarjar. Cou- 
per avec un mauva,s instrument. 

Sanrarin, v.a. V. Sarjar. 


saAr 
"Banuitö,s. m. (1. de charp.)" alte: pre 


de bois mince. 

+ Sırnärozinno, 3. m. dim. de Serrafe. 
Liteau ‚ tringle de bois. 

SaraaıHa. V. Serralks. 

Sınaaıutıno. V. Serralkeire. 

Sırnriö,s.m.V. Rasa et Serräs. 

Sınnia. V. Serrar et Correr. 

SaRREnTO, A, adj. crasseuır, tartreuz. Se- 
burreux. 

Saanivo, s. m. (P. us.) difäcultö de respirer. 
Räle, rälement d’un moribond. 

+Sanniıua, a. f. * let, aordon de monnaie. 
V. Serrilka. 

SanaıLnido, A,p.p. de 

+Saannıınän, v.e. faire lo Niet om cordon de 
monnafie. 

Sankim ,s. m. (4.d’Asie) sorte de drap fait 
avec les filaments d’une plante da Bengale. 

Sirno, 8. m. " crasse, lartre qui s’attache 
aux vaisseaux, aux lOnneaux, aux denis, eic. 
(#g.)" Saburre : humeur qui sS’amasse sur la 
langue dans les fiövres ardentes, gui la ren? 
rude, ete. 

+ Sınnöso, V. Sarrento. 

Sanaüca, V. Saruga, Aresla. 

+ Sinta, e. f. V. Enzareie. it. Cordon «e 
choses enfilees, chapelet, collier, ete. 

Sanri ou poele : ustensite de euisine. 

Sarria,s. f. } Disse a caldeira d — ir 
ld ndo me enfarrusques, (prov.) la pelle s’est 
moque&e du fourgon. Saltar da — e caır nes bra- 
sas, (loc. prov.) Lomber de fiövre en chand mal. 

SaRtaEm ou SARTAGEN, 8. f. po@le & frire.YV. 
Sariö. 

Sırtrar,s.m. V. Sarla, 

Sıariö. V. Serläo. 

Sites, s. f. plaque ou lame de fer, insire- 
ment de supplice. V. Sertd. 

+ Sanüca, e. f. barbe des epis da ble. ete. 

Sarzia. V. Serzir. 

Sısä0. V. Sazdo. 

Sassaraaz, s. m. (8. de bot.) sassalras : lau- 
rier des Iroquois; arbre vert & bois oderiferant. 

Sıssär, v. a. sasser. V. Peneirar. 

Sıssiraaca. V. Sazifraga. 

* Sarin ou Satan: lechef des d&mens, 

BATANAZ, 8. m. le diabie. 

Sırinıco,A, adj. satanique, infernal, dıa- 
bolique. 

SATSBLLITE, 5. m. satellite : homme arme, 
ministre des violences de celui qu’il seoomps- 
gne; (ti. d’asir.) petite plandie qui se ment au- 
tour d’unegrande, comme la lune auteur de ls 
terre. 

Sararöza ,s. f. (d. d’Asie) eloffo de colea de 
Bengale. 

Saruan. V. Satandz. 

+ SaTiLuas, s. f. (4. debof.) * coqueret semmi- 
fere : plante solanee. 

Sitıaa, s. f. satire: peinture du vıce:; eu- 
vrage crilique, piquanl, medisent ; censure da 
vioe, disoours piquantı, le plus souvent en vers. 











SAT 


— morddz , sarcasme : raillerie amöre et insul- 
tanle. 

+ Sarıniö,s.m. (4. debot.) le bois caca, le 
bois de merde. 

Sırırıäö, etc. V. Salyrıdo, etc. 

BATIRICAMENTE, ade. satiriquement : d’une 
maniere satirique. 

Sarieıco, A, adj. satirique : de la satire; qui 
yestonolin. s. m. —, auteurdesatires. 

Sırıaızipd, A, pP. p. de 

Sarıaızia, o.a. satiriser : ra !ler, critiquer 
(queiqu’un) d’une maniere piquante. Faire des 
Satires. 

Sarınismo,s. m. V. Sasyriasis. 

Sirtıno. V. Satyro. 

Sirıs , adv. lat. assez, autant qu’il faut. 

*Sarıspagäö, s. f. V. Fiange. 

*Sırıspia, v. n. donner caution. 

Sarısrackö, 3. f. satisfaction : l’action de 
satisfaire; excuse, röperalion, raison; CON- 
tentement, joie, plaisir. —, une des lrois par- 
ties du sacrement de la penitence. Acquit d’un 
devoir, d’une commission, ete. A’ — de..., & la 
satislaclion, au gre de. Tomar — ‚tirer raison, 
so venger, tirer vengeance. — püblica, amende 
honorable, aveu public du crime. Tenho a — 
de vos annunciar, eto., je suis heureux de vous 
annoncer, eic. 

SATISPACTÖRIANENTE, ade. d’une maniere 
salisfactoire. 

SATISFACTÖRIO, A, adj. satislactoire : Propre 
ä reparer, ä expier les fautes, etc. Salisfaisant : 
qui satisfait, quicontente. 

Sırısrazta, v. @. salisfalre : payer un crean- 
eier ; s’acquilter de; contenter, donner la ou de 
la satisfaction. Reparer, espier une faule. —, 
eontenter son ambition, sa colere, eic.; con- 
tenter, lever un doute, resoudre une difficulte. 
(Ag.) Rassasier les passions. Recompenser los 
services de quelqu’un. Assouvir, satisfaire com- 
pletement la faim. — a penilencia,, s’acquitter 
de la pönitence. 

SATISsvaztr (@, com, por), vo. m. satislaire &; 
feire ce qu’on doit; faire röparation do. Repa- 
rer, expier uno faute. — ds ordens, executer 
les ordres. — com as suas obrigaröes, acquit- 
ter, remplir ses devoirs. — pela culpa com pe- 
nitencias, etc., expier sa faute par des peni- 
tences, elc. 

SırTısgazeR-SE, v. r. se payer de ses Mains, 
s’indemniser. Tirer vengeance. Satisfaire, apai- 
ser sa faim, eic., se rassasior. (de) Se laisser 
convaincre, se persuader; tomber, demeurer 
d’accord. (fig.) Se satlisfaire, se conienter. — 
de si, &tre content de soi-meme, ©tre satislait 
de sa personne. 

SATISFAZIMANTO , 5. m. V. Sasisfardo. 

Sarısrttto, A, p. p. irr. de Seiisfazer. adj. 
Satisfait, content. Estar —, se louer, dire con- 
tent du service, des procddes de. 

Sırivo, A, adj. qu’on seme,cullive. 

Sıro,s.m.(t. d’Asie) espece de serpent. 

SiTRAPA, 3. m. salrape : gouverneur d’une 
province chez les anciens Perses; (Ag.) grand 





SAU 1069 


seigneur despote, riche et velupiueuz. (id.) 
Homme fin, ruse, expörimente. 

SATrarEin, v. n. faire le satrape ; S6 donner 
des grands airs, 

Bataaria, s. f. satrapie : gouvernement d’un 
satrape. 

T SıraaPpisuo, s. m. autorits, air, mani 
pretentions d’un satzape. . ‚ron, 

Sırunagäö, 3. f. repiötion d’alimenis, sa- 
uöls. (l, de chim.) Sataralion : &tat d’un corps 
galure, 

Sarunipo,A,Pp.Pp. de Salurar. 

Sarurices. V. Sogureiha. 

Sarunia, v. a. (inus.) sodler : rassasier d’a- 
limenss. (4. dechim.) Saturer : donnar & un li- 
quide la quantits de maliere qu’il peut dis- 
soudre. 

SATURNÄL, adj. 2 gem. qui apparlient & Sa- 
turne. Festas Saturnaes, Saturuales : feles en 
’bonneur de Saturne; fetes bruyantes, licen- 
cieuses. 

SATURNILÄBIO, 8. m. salurnilabe:: instrument 
pour observer Saturne. 

SATURNINO, A, adj. de Saturne; de plomb. 
(Ag.) Satarnien , taciturne, sombre, meianco- 
lique. Os —s, s. m. pl. peuples d’Etrurie. 

SATUnnıo, A, adj. de Saturne. 

SATÜRNO, s.m. Saturne : la plandie la plus 
6loıgnee du soleil. (4. de myih.) —, Als d’Ura- 
nus ; (A9.) le temps. (t. d’alchim.) —, le plomb. 

Sityaa, etc. V. Salira , etc. 

TSıtrrıkö, s.m. (t. de bot.) salyrion ow 
teslicule de chien, orchis mäle : plante orchi- 
dee. 

SATYRIASIS, 8. m. satyriasis : ereclion COn- 
tinuelle, jointe au desir le plus violent du coit; 
fureur venerienne. 

SATY’RIO, 5. m. (fl. de bot.) satyrion & larges 
feuilles, le grand testicule de chien. — bas- 
tardo. V. Salyrido. 

SATTRO, 8. m. satyre : demi-dieu des Palens, 
moilie homme et moiti& bouc ; monstre fabu- 
leux n6 d’un homme et d’une chövre; (flg.) 
homme mal fait et luxurieux. 

Sıöco, s. m. partie du sabot d’an cheval. 

Saüvacid,s. f."salut, salutalion, saluade, 
reverence, action de saluer. — angelica, salu- 
tation angelique, Ave Maria. 

Saloing, s.f. ’desir ardent d’un bien dont 
onest priv&; regrot de l’absence ; triste, tendre, 
doux souvenir, tendre regret. C’est un mot ex- 
clusivement portugais. Ter—s, esiar com — 
d’alguem , regreiter beaucoup «uelgu’un, pen- 
ser beaucoup & lui, ayant & la fois un desir ar- 
dent de le revoir ow de le posseder. Dar —s, 
faire savoir ä quelqu’un quo Fon pense beau- 
coupä lui,, que l’on regrette son absence, ete.. 
lui dire bien des choses. Fazer —s , manilester 
son regret d’absence, eic.; di. causer ce senli- 
ment. —s minkhas, les regrets , les douz Souve- 
nirs qu’on a de mol. —s tuas ‚les regreis, etc., 
que j’ai de toi. Ter mwilas —s da sua lerra, 
da sus palria, regreiter beaucoup son pays, 
avoır la maladie du pays. Morrer de —ı d’al- 


1078 SEA 


que , membrane übreuse qui enveloppe !’anil. 

+ ScoLtcas, 8. f. pl. (4. d’hist. nat.) * massd- 
tes : vors des poissons. 

* Scouriro. V. Esceuipido. 

* ScoLutuca, etc. V. Escolhe, etc. 

Scorsasres. V. Bscoliaste. 

+ Scöras, s. m. pl. (1. d’hist. nat.) scolies : 
famille d’hymenopteres. 

ScoLop&upaa. V. Escolopendra. 

Scöunao, s. m. (t. d’hist. nat.) seombre: 
poisson bolobranche. 

* ScoMmsunGan6lno, A, adj. qui merite l’ex- 
communicalon. 

* Sconoöng. V. Escondido. 

Scöro, s. m. but, objet. 

Scoxnuto, etc. V. Kscorbuto, etc. 

Scöanı0. V. Kscordio. 

+ Scoaonomıa , 8. f. (1. de bot.) germandröe 
Sauvage ; plante labiee. 

+ Scorıa , s. f. (6. darch.) sootie : intervalle 
creuss en rond entire deux tores de la base or 
rintbienne. 

Scorıswo, eto. V. Bscolismo. 

Scoromia ,s. f. (i. de med.) seotomie : mala- 
die des yeux ; vertige avec obscurcissement. 

+ Scortoriras, s. m. pl. herstiques circonoel- 
Bons, branche des donatisles. 

+ Scaavonkra, s. f. rubis fin, non poli. 

Scaorsurinıa, V. Bscrop i 

° Scörca. V. Jnouica. 

+ Scr’ruo, s. m. (8. de bot.) (scyphus, cya- 
thus) cotyle, cavils cotyloide (des lichens). V. 
Fronde. 

+ Scrruöso, a, adj. (1. de bot.) scyphiferus, 

ius) pourvu de ootyles, de petites cou- 
pes (lieben); qui s’embotle l’un dans l’autre. 

Scrıla,s. f. (li. de geog.) * Scylla : gouffre 
opposs & Charybde, scueil dans le detroit de 
Messine. Cair de — em Carybdis, (fig.) de mal 
en pis, tomber de örre en chaud mal. V. Ca- 


rybde. 

+ Scriuta, a. f. (1. d’hist. nal.) scylite: 
mollusquo gastöropode. 

Sr’ılzo, A, adj. de Scylia. 

ScY’TRA, 3. el adj. 2 gen. Scythe, de Scylhie. 

+ ScıraäL ou ScrräLe, 5. f. (f. d’ant.) scy- 
tale : cylindre autour duquel on roulait une 
bande de cuir ow de parchemin pour lire ow 
serire une lettre secröls, methode stenographi- 
quo employee surlouläSparte. * Scytsle ou bä- 
on ; espeöce de serpent. 

Scr’THia, & f. (t. de geog.) Scytbie : contree 
d’Asie. 

Se, comj. conditionnelle, si, en cas que, 
pourvu que, & moins que, quand. Se acaso ou 
se por acaso, si par hasard. Se bem que, en- 
core que, quoigue, quand meme. 

Sp, pron. 2 gen. de la troisiöme personne. 


‚soil. 

Be, s. f. *siege 6piscopal, öväche et sa Juri- 
diction. Metropole, &glise mötropolitsine, ca- 
thedrale. 4 sanla — , le saint-siege,. — vdge, 
siege vacant. 

Szina, 5. f. moisson; bi&s ei auires graine 


SEC 

sur . Petıle portion de terre qu’ensemenrt 
un laboureur peu fortune. (fg.) —, quanlite 
d’ämes a convertir. A — 6 sbundenie mas sä. 
poucos os operarios,ifg.)lamoisson estgraudt, 
mais il y a peu d’ouvriers. Melter foice em — 
alheia,, (fig.) meltre la faucille dans la moisson 
d’autrui; chasser sur les lerres de quelqu’un. 

SzankıRo, s. m. labourcur paurre , qui nen- 
semence qu’une petile porlion de terre. Labou- 
Feur, cullivaleur. 

SeARINHA , dim. de Seara. 

SesA,s. f. algue , goeınon. 

SzsÄicso, A, adj. ($. d’anal.) sebacce. On le 
dit d’une humeur de la consistance du suil, et 
des glandes qui la filtrent. 

+ Sesäcıco, A, 0dj.(t. de chim.) sebacique, 
(acide) de la graisse. 

+ SEBASTIANISTA, 5. m. parlisan d’une [ausse 
croyance (en Portugal) qui attend encore le re- 
tour de don Sebastien , mort en Alrique. 

Sesisto, s. m. "bande, bandeletie d’une 
autre couleur dans les veiements. Orfroi, mi- 
lieu d’une chasuble. 

+ Sezito, s. m. (f. de chim.) sebate - se‘ 
form& par la combinaison de l’acide sebaciyue 
avec certaines bases. 

Sense, 3. f. haie, clayonnage, enceinie «e 
haies. — viva, haie, cloison de plantes vives. 
KonBenTo, ı,adj. plein de suif. Sale. V. Se- 

80. 


+8xstsra, s. f. "stbeste ; petile prune net- 
rätre du söbestier d’Egypte. 

+ SEBESTE, 8. m. 0% ($. de bot.\ sebestiet: 

+ Senesteına, 2. [. } arbre ow planie at- ı 
borescente, qui donne le sebeste. 

S£EBEZINHA , dim. de Sebe. . 

SEs0, 5. m. suil: graisse de mouton, de 
bauf, de cerf, ete., fondue. Toute espece de 
graisse. 

SEBOLLA, etc. V. Cebolla. 

SEB650, A, adj. plein de suif; froti& avec du 
suif; gras ow lache de graisse, suive. 

Stca ‚s.f. V.Secca. Correr — eMeces,, ije®.: 
voyager beaucoup, parcourir tout un pays. 

SecinTe, 5. et adj. f. (l. de geom.) secanle : 
ligne qui en coupe une aulre ow la eirconfc- 
rence. 


Sscatöra, 8. f. (fam.) propos ennuyeurx.\. 
Secca. (ant.) Secheresse. 

*Seciz. V. Sequaz. 

Stcca ‚s. f.secheresse :lemps Irop longtemps 
sec; aridits; saison aride. 

Secca, s. f. importunite, eanui. Der — # 
alguem, importuner, rompre la lete & quer 

w’un. 
h SEcca, 3. 2 gen. un importun. un ennuycat. 

SEccamente,adv. söechement. d’une manitre 
söche ; (ig.) d’une maniere incivile, rebutante, 
peu agreable; seo, crüment. (dd.) En peu de 
mots, sans chercher beaucoup de faxen. 

SECCÄNTE, adj. 2 gem. qui söeme. (fam.) Qwi 
ennuie. s. m, Un importan, u» ennuyenz. sl. 
Huile os drogue dessiccative den peinires. 

gecgkö, s. f. section ı division d’un livre, 





SEC 


d’an traitd, ete. (4. de geom.) —, endroit oü des 
Itgnes, des plans s’entrecoupent; ligne, point 
determine de cette maniere. (tl. de mil.) —, 
moitie d’un peloton. Division, separation. 

Seccir, v.a. secher, rendre sec, mettre ä 
sec, dessecher, consumer l’bumiditsdes corps. 
(ig. fam.) Importuner, ennuyer. — a odla, (1. 
de mar.) ferler la voile. vo. ». Secher, devenir 
sec. 

SECCÄR-8E, 0. r. secher, devenir sec. Se des- 
secher, tarir, en parlant des ririeres, des 
sources. Se dessecher, se faner, se fletrir, en 
parlant des plantes. (flg.) Se dessecher, mai- 
grir, perdre son embonpoint. (id.) Prendre un 
air sec et froid, mal accueillir, traiter dure- 
ment. 

SECCARRAÖ, adj. aug. de 

SEccO, A, adj. sec: aride, quia peu ou point 
d’humidite, de graisse; (%g.) qui manque d’a- 
grements, de gräces, d’affabilit; froid, peu 
caressant; dur; qui n’est pas vert, moulll6, 
couvert d’eau, moite, huileux, onclueux ow 
gras, etc. Maigre, aride, sec, sierile, en par- 
lant de la terre. (fig.) Seul : sans melange d’au- 
tres choses. s. m. Sec , ’oppose d’lumide. Ho- 
mem — , homme sec, maigre, exlenue; (flg.) 
sec, rude, qui manque d’affabilite,, etc. P&o—, 
psin sec, du pain tout seul. Also —, rire si- 
mule, [aux rire. Amores —s, amour sans les 
plaisirs charnels. Ama —a, bonne d’enfant. 
Ärvore —,(t. de mar.) les mäls sans volles. 
Em arvore —a, (id.) A sec, ä mäts et ä cordes, 
toutes les voiles serrees. Batalka —a, bataille 
sans efflusion de sang. Bolsa —a, bourse ä sec, 
vide. Frula —a, fruits & coque dure ou qu’on 
a fait secher. Missa —a, messe qui se dit sans 
consacrer. Reposia —a, reponse dure, rude, 
seche. A — ‚ou a dinkeiro — , pour le salaire, 
tant de gages, eic., sans nourriture. Em —, & 
ser, hors de l’eau. Dar em — , echauer, en par- 
lant d’un vaisseau. Pör um navio em —, met- 
tre un vaisseau & sec. Ficar em — , (flg.) rester 
court. 

Seccöüna, s. f. söcheresse; siccite. V. Scocca 
ei Sequiddo. 

Secean. V. Cecear. 

SecEDImEnTo. V. Succedimenio. 

* Sectsso,, 9. m. * s6paratien, &dleignement. 

+ Sgcıo, a, adj. (fam.) diegant, caquet. V. 
Casquilko. 

Secıöso, V. Ceceoso. 

Secreciö, s. f. (t. de med.) secretion : Bltra- 
tion et separalion des humeuss ; maliöres qui 
sortent du corps. 

* SECRESTÄR, ©. a. söquesirer, separer, met- 
tre A part. V. Sequesirar. 

Secr&sto. V. Sequesiro. 

Secnkta, s. f.* prive, latrine, commoditös. 
—s, pi. secrötes : oraisons que le pretre dit tout 
bas avant la Preface. 

SECRETANÄNTE, adv. sourdement, soorete- 
ment, en secret. 

Secautania,s. f.“ secrölariat: eınplol, [one 
won & secretaire; buresu da secr6laire, 303 


RT.-PR, 





SEC 1078 


employ&s; depöt de ses actes. — d’esiado, 
d’embaixada, eic., secretairerie d’etat, d’am- 
bassade, etc.; buresux, fonclion du secretaire 
d’etat; bureau dessecretaires d’ambassade, etc. 

SechgTänta, 5. f. femme & qui l’on confle un 
secret, conlidente; femme seerttaire, qui fait 
Pofllce de secrötsire. — de Irsloe amorosos, 
entremetteuse. 

Sechzräntautnte. V. Soerdfamente. 


* + Sscagtarıäin, 0.0. faire l’ofice de scer&- 


taire. 

SECRETÄRIO, 8. m. secretaire : colui qui est 
charge d’ecrire les lettres, eto., d’un superieur, 
d’un personnage, ow corps auguel il est attach6 $ 
qui redige les actes, etc., d’uno assembliöe. 
(ant.) Homme & qui l’on confle un seoret , coM- 
fident. — do estado ou d’estado „ secretaire d’&- 
tat, ministre & portefeuille et dirigeent un de- 
partement. 

SECRKTISSIMO , A , adj. sup. de 

SECRETO, A, adj. secret, cachd, peu connu 
Mairimonio —, mariage de conscience, ma- 
riage secret, de main gauche. Homem —, bomme 
qui garde bien ses secreis. Parles—as , les par« 
ties honteuses de l’homme et de la femme. Ne 
boeca do diserdto o publico d —, (prov.) dans la 
bouche du discret, co qui est public devient se- 
cret. 

Seca£to,s. m. V. Segredo. 

SEcRETÖRIO, A, adj. (4. d’anat.) söerötolre : 
qui sert & la secretion (vaisseau,, pore). 

Secra. V. Seite. 

Secranor. V. Secldrio et Sequaz. 

SECTÄRIO, 5. m. seclaire : attach6 A une seete, 
un de ses chefs. Sectateur, partisan (d’un pbi- 
losophe, etc.) , qui soutient une doctrine. 

Secriton. V. Sectdrio et Sequaz. 

SECTOR, 5. m. (fl. de geom.) secieur : porlion 
de cercle comprise entre deux rayons et Y’aro 
qu’ils renferment. —, instrument d’astronomieg 
compas de proportion. 

SECULAR , adj. 2 gen. seculier : qui vit dans 
le siecle, dans le monde; l’oppose & regulier, 
laique ; l’oppos& & ecclesiastique; mondain, 
temporel. Seculaire: qui se fait de siecle en 
siecle ; qui termine un sidcle; qui a un siecle 
ou des siecles. Brago —, bras seculier, Justice 
civile. Em — ou veslido.de —, en lalque, qui 
n’est pas en soulane (pre£ire). 

SECULARIDÄDES, 8. /. pl.” propos, manieres, 
etc., seculieres, mondaines, propres des lai- 
ques et blämables dans les ecclesiastiques. 

SecuLAnızacaö, s. f. secularisation : action 
de seculariser. 

SECULARIZÄDO, A, P. p. de 

SECULARIZÄR , U. a. seculariser : rendre secu- 
lier (un moine, un benefice, etc.). 

SecuLirmänte, ade. seculidrement, d’une 
maniöre söcaliöre. 

SecuLo, s. m. sidcle : espate de eent ans} 
espace de temps, #poque remarquable, beil- 
lante, extraordinaire. —, lo siecle, vie mom» 
daine; lo monde ; temps oü Yon vit. (fig.) Temps 
trop long. — de ouro, de prala, de oobre de 


.. 


1078 SED 


forro, sidele d’or, d’argent, d’airain, de fer ı 
les quatre differents dges du monde, selou les 
po&tes. E 0 oosiums do —, ainsi va le monde. 
Pelos —s dos —s, a tous les siecles, aux siöcles 
des siöcles,, öternellement. 

* + Secönna,s. f. Pdo —, pain bis de mals et 
de panicum. 

SECUNDÄRIANÄRTE,, ade. secondement, en se- 
cond liou. D’une maniere secondaire. 

SECUNDÄRIO, A, adj. secondaire, accessolre; 
qui ne vient qu’en second. 

*+68rcumdäıno, A, adj. Moinko —, moulin 
& moudre le mals et ie panicum. 

Bucunpinss, s. f. pl. (l.d’anal.) secondines 
ea secondes, placenia et membranes du forlus, 
delivre. 

SECUNDOGERTTO , A , adj. et 5, le Als second, 
le cadet. 

Secöra, s. f. V. Soccura. 


Sepa, s. f. sole: fldu ver a soie; fil com- 
post de KAusieurs crins de soie. Kioffe de soie. 
Sote : poil de perc, de sanglier, ele. —, pedon- 
eule des mousses. Paille dans les outils de mar- 
beier. Bicko de —, ver & soie. —crua, malasse, 
soie en meöche, soie crue. Pelle macia come 
ums — , peau salinde , peau trös-douce. 

e 0,8. m. celui qui [ait la soio A ta- 
mis. 

Senico, 8. m. * sole ä tamis. Solamire. 

* Sevaı , adj. 2 gen. Fein —, veine de l’anus. 

Baaisur. V. Sedella. 
asnin , d. a. peigner ie chanyre, eic. V. Asse- 


r. 

Sevarivo,a, adj. (tb. de dd.) södatif: qui 
uaimıe les douleurs. 

Seoe, s. f. "siege; lieu, siege, place: de» 
Meure, sejour. V. Se. —vacanie, siöge vacanı, 
pendant la vacance du siege. — de janella, (£. 
de maron.\ peilte banqueite de pierre au de- 
dans d’une croisde. 


Stoe ,s. f. soif, alieration ; besein, envie de | Sid 


boire. (fig.) —, besoin qu’a une terre d’etre ar- 
roste. (id.) —, desir ardent. Fazer —, provo- 
quer la soif. Apagar, malar a —, #tancher, 
apaiser la solif, su desalierer. Ndo der nem 
ums — d’agua, (fig.) ne pas donner un verre 
d’eau ; Etre d’une avarice extr&me. Ter — a al- 
guem, (fg.) eu vouloir & quelqu’un. 

SepEino, A,9.p. de 

SEdEÄR, v. a. (4. d’orfev.) nettoyer les pier- 
res precieuses , l’argenierie, etc. avec la sale, 
saldter. V. Cartsbucher. 

Sapkıno, 5. m. afBnoir, rogayolr : insirument 
pour passer lo ehanvre et l’affiner. Dar com as 
venlas no —, (fg. fan.) donner dm nez,se ca8- 
ser le nes em lsgre. 

SenkıLa, s. f. Haus de p&cheue fa.ite de soles 
de vochen ou de sangtiier. Frincer a —, (Ag.) 
user Itspersuee, (rastrer (qusign’un) de 
obn uitente, 

SEnänup, 8. m, (1. de chir.) siton : petit cor- 


SEG 


don ou möche passce ä travers [es chairs pour 
faire ecouler l’bumeur. 

t Sep£xuo, A, adj. qui a des soies, des 
poils. 

Szpentärıo, A, adj. stdentaire. Fide-—e, 
vie sedentaire, de celui qui demeure ordinäi- 
rement assis. 

SEDENTE, adj. 2gem. | altere, qui a soil. (Ag.) 

Suntnto,A,ad). }Avide, qui diaire ar- 
demment. — de sangue , alterö de sang. 

Szven£xato. V. Sedenio. 

S£vgipo, A, adj. couvert de soies, de longs 
poils rudes. V. Gebelludo. Rocepiecule —, (1.de 
bo$.) röcepiacie garni de soies. 

Seviciö, s. f. sedilion : rerolle, Emenie pe» 
pulaire ; soulerement contre la puissance löf- 
Ume , stablie. 

SEDICIÖSANRNTE, ade. sediliensemnent. 

Seviciöso, A, adj. sedilienx : qui omeul le 
peuple; qui a parı & la sedilion ; enclia A las- 
dition. 

S&nico , A, edj. pourri; corrompu. !ßg.) Pat 
s6, vieilli, rebatia, suranne. Or —, ed 
ga. 

Sevım&nzo, 5. m. sediment: ce qu'une I 
queur depose au fond du vase. 

SEDINENTOSO, A, adj. qui a du sediment,d 
stdiment. Qui depose (liqueur). 

Sanonnuo, s. m. maladie des cocbons, ge 
consiste en des soies qui leur viennent dans 


gorge. 

* Saponkuro. V. Sedento. 

Sapucciö, s. f. seduclion : action par Ir 
quelle on seduit. 

Senucron, A, 5. söducleur, oerrupleut ; celsi 
qui seduit (une femme), qui fait tomber a 
faute, en erreur. adj. Södeisanl : qui sedu, 
touche, charme, persuade ; söducieur. Dix 
eo, palauras —as, disoours seduissul u Fr 
ducteur, paroles s6duisantes. 

Senoıa. V. Chdula ei Scheduls. 

+StouLo,&A, adj. soigneux , empressd, & 


a. 
Sepuzino, A ‚adj. stduit, quia did onguiii 
seduit. p. p. de 
Szouzir, v. a. stäuire, Lromper; faire IM" 
ber en errear per ses insinuslions, par 9! 
exeimpie, en ce qui eencerne la religion. !6 
meurs, les opinions; faire tomber en faalti 
corrompre, debaucher (une femme, it.) 
Senrzivaı, adj. 2 gen. qui peut dire stdell 
* Suzpa. V. 
*S£rrLar, V. Sellar. 
* Szerro. V. Sello. 
* Szenna. V. Enirdde, Admissdo. 
* SKENTE pour SERDO. — e presendat, ) EN! 
prösents. 
"Ser, vo. n. dire assis, s’asseoll. 
*Suzerao. V. Sestro, Sinistre. 
Seca,s. f. "fauchage : temps et peine 88 
ployds & fauoher; action de faucher. Faubl 
son: temps oü l’en feuche. Moissen Y- 
—.do arado, contre de la chartum 





SEG 

Secipa, s. /. fauchaison, molsson, r6colle 
des grains et sa duree. 

Secankuua. V. Sega, Ceifa. 

SEcÄn0, A, p. p. de Segar. 

Szcanon, 4. m, faucheur, moissonneur. Y. 
Ceifeiro. 

SECAnöURO, A,adj. qui est en elat d’etre fau- 
che ou moissenne, mür. Fouce —a, faux, fau- 
eille : instrument pour faucher. 

Secanöna,s. f. V. Sega. 

Sgold, 5. m. coutse ı fer de charrue Iran- 
chant en couleau, 

Secir, v. a. faucher l’'herbe, moissonner le 
ble. (fig.) Couper de quelque maniere.que ce 
soit,, surtout ce qui domine. — a cabesa, Cou- 
per, trancher la i£le. 

Secaratca, s. f. V. Cigorre. Crecelle, jouet 
d’enfant. 

+ Säca-ViDas, adj. 2 gem. (p. us.) qui mols- 
sonne beaucoup de vies. 

Stos, s. f. espece de cabriolet & deux che- 
vaux (en Portugal), chaise & deux roues; oar- 
rosse. — de posla, chaise de posie. Teer — sua, 
Kauior carrosse. 

. 66oEıR0, 8.78. sellier, carrossier, qui fail des 
carrosses. 

° SECELBÄR. V. Sigiller, Seller. 

* Sechımo, V, Sigilla, Selle, 

"Sec£Los, pl. V. Sello, Sinete. 

* Sgcıstörıo. V. Sugistorio, 

“ SEGLÄES, pl. secullers, Isiques. V. 8e- 


* SecLän. 7. Sscular. 

Szaomärto,, s. m. (L. de geom.) segment: por- 
tion de cercle; portion de sphere comprise en- 
tzo une calolte sphörkme ei sa basc. 

Szexicıo , A, adj. lent, Lardif, paresseux. 

+ Incövia, 8. fı (8. de geeg.) Segovie, ville 
d’Espegne. Drap de Sögowie. 

f Szoovıäno, a, adj. eis. de Begorie, 

* SeeniLr. V. Segler. 

* Skcaz, a. m. V. Seonls. As moras de — , las 
filles pubiiques. 

+ Spcaspkıno, A, ad). qui sall gender un se- 
eret; discret, Addle au sogrei. 

Bacrzeinno, s.u. dies. de Segredo. " Chu- 
obelerie, eschoterie. Disgr —e a0 oueido , chu- 

ter. 

Seonzoisra, s. es. chuchsteur : celwi qui cha 
chote, yai a costume de ehucheter. Celui qui 
sait des secrets,, des proc&des cach6s. 

SEGRE£DO, 5. m. seeret: silence qe’on garde 
sur une chose G0nß6e ou gu'on sais; eo qui deit 
etre cache, lenu secret; ce qui est peu oommm; 
lieu s6par6 dans une prison ; moyen, pessort, 
procöde, invention oachös; remöde; endreit 
cachd d’um secrötaire, d’an poriefenille, etc. 
*Intrigue, secrei, pratigque secrdte. — de ns- 
iurexa, secret de la nature. — natural, secreL 
que la natare möme zous apprend & Laire, & 
cacher. Foi participante de meus —s, il entw&: 
dans mes seereis. Qusm diz sou —, mal calard 
o alheio, ( prov.) qui dil son secret ne tafım pas 
celui d’autrui. Ndo Aa = que farde om cedo nano 


SEG : 1075 


se;a descoderto, (1d.) ii n’y a point 6 seores 
qui ne se decouvre töt ou tard, owil n’y a rien 
de si secret qui ne solt d&couvert. 

Sporzcaci0, e. f. segregatidn : action pär 
laquelle on mei & part: s@paration. 

SecnecÄn0, A, P. P. de 

Secrecir (de), 9. @. separer, melire & part, 
sögreger. 

EOREGÄR-SE, d. f. se separer, sa dätacher. 

Sscöpe. V. Segure et Cegure. 

Secviva, 8. f. suite. V. Segulmenio. 

SectinaNente, ado. de suite, conssculive- 
ment, sans interruption. | 

Secumiınas, s. f. pl. seguedilles: sorte de 
poesie et chanson espagnoles et portugaises; 
sorie d’air et danse tr&s-gais. 

Seculno, A, p. p. de Seguir. adj. Suivi, con. 
tina, non interrompu; qui atllire beaucoup de 
monde. Todo —, tout d’une tenue, sans inler- 
ruplion, d’une meme continuile. Eutrada, Ca- 
minko —, chemin battu, frequente. Homem —, 
homme qui est en vogue. Pregador —, predica- 
teur suivi. Ndo pöde dizer duas palavras —as, _ 
il ne peut dire deux mots de suite. 

SEGUIDOR, A, 8. celui qui suit, qui accompa- 
gne quelqu’un; qui frequenate, Partisan, gal 
sujt le parti ou Popinion de...; imitaleur. 

SEGCUIMENTO, 3. m. * sulte, poursuite. Ir em — 
d’älguem, suivre quelgqu’un, aller & la pous- 
suite de quelqu’un. 

SECUINTE, adj. 2 gen. suivanl, qui suit. Il est 
aussis.m. Q —, ce qui suit. 

Secrir ,v. a. suivre : aller apr&ds ow derridre. 
(Ag.) Poursuivre. —, poursuivre, conlinuerz 
accompagner ; exerter une profession ; embras- 
ser une opinion, elc.; se conformer & des r&- 
gles, des consefls, des principes, des usages 
etc.; fr&quenter; imiter, suivre l’exemple, les 


| traces. ( Ag.) Suivre son chemin, ne pas s’ecar- 


ter de son but. — 08 passos ou pisadas d’al- 
guem, (fig.) suivre les traces de quelqu’un, 
sulvwre son eremple. — alguem com os olhos, 
sulvre quelqu’un des yeux. — a Bandeira d’al- 
guem,( fig.) suivre la banniere de quelqu’un, 
etre de som parti. — a oflagem', poursuivre lo 
voyags, continuer son voyage. — 0 rumo do 
norie, porter au uord. 

Secrir „vo. R. (P. us.) et —SsE, 0. r. se sulvre, 
se succeder ; venir apr&s. (de) S’ensulvre, eire 
une suite, ame cons@quence, rösulter. (g.) 
Naltre, proc&der, tirer son origine. Segue-se 
que..., Il rösulte que... EZ o mals que su segue, 
et lout ce qui s’en suit. 

Secuıro. V. Sequito. 

SectnvA , s. f. classe de seconde. {f. de mus.) 
Intervalle d’une seconde ou d’un ton & un au- 
ire. Seconde voix dans un chaur. V. Secunda; 

SecunpiDO, A, p. p. de Segundar. 

SECUnDA-FEIRA, 3. f. "lundi: deusiöme jour 
de la semaine. 

SECUNDAUENTE, ade, secondement, en #6- 
cond lien. 

SEGUNDAR, d. a. ei m. röpdtier, räildren;, vos 
commencer, revenir une seconde fols, 


1076 SEG SEI 


Sscunpärıo, etc. V. Secunddrio, elc. Securinioe, 5. f. süretd, söourild. "Bafler- 
Secunpas. V. Socundinas. missement. V. Seguranga et Segure. 
SEGUNDÄYO, 5. m. ° moilie, SecUrissiMO, a, adj. sup. de IL 
Secunptira, 5. f. seconde portion de vin Secdno, A, adj. sür, en sürett, ä Yard 
qu’on donne aux religieux les jours de föte, etc. | tout risque ; assure; (ig.) assure, hardi, sans 
V. Repeligdo. erainte; certain; ferme, solide. (1. de oma.) 
Seuenp£ıro. V. Secundeiro. Assure, qui a un contrat d’assarance , garamı 
+ Secuxpino, A, adj. (4. de bot. secundus) | des pertes &rventaelles. Luger—, lieu de ıt 
qui tourne d’un meme cöte. Espiga —a, Epi retd. Pessos —s, personne süre, de conhanr. 
dont les fleurons tournent du meme cöt£. — em alguma pessos ou cowsa, conäd i sw 
SecönDo, A, adj. second, deuxieme, deux. | personne ow chose. Estar — d’alguem, ve m 
Carlos, Jodo —, eic., Charles, Jean, etc., Il | craindre de quelqu’un. Dar por —auma en, 
(deux). Sem —, sans second, sans pareil. A |assurer, aflirmer, atlester une chese. Nöe # 
nenkum, a ninguem —, qui ne cdde & per- |dar por —, n’eire pas bien affermi. Ne pas 
sonne. Em — lugar, deuxi&mement. croire en süret&. . 
SEGÖNDO , adv. et pr&p. selon , suivant,ä pro- | Secuno,s. m. sauf-condaitl, passe-port. "S- 
portion; d’aprös. — doa politica, en bonne po- | rete. * Assurance, en ierme de commerte. (on 
litique, selon une bonne politique. — as or- | dos—«, chambre d’assurance. Carte de—. | 
dens, d’apres les ordres. — o que elle diz, | conduit. — de vida, assuranoe Sur la vie. des 
d’aprös co qu'il dit. — que, selon que, selon | hommes. — contre 0 fogo, assurance eaitt 
les occurrences. le danger du feu.— do freie, assurane sark 
SECUNDO, 5. m. "seconde : soizantidme partie | fret. — da liberdade, assurance sur ta hberi 
d’ane minute. des hommes. A bom — , eertainement, nde# 
SEGUNDO-GENITO, A, adj. cadet, puine. tablement. Sobre —, avec prudence ‚art 6° 
+ SEcunTino, A, adj. et s. de Siguenza, n& & | conspection; hardiment, en toute assurantt, 
Siguenza. sans rien craindre. A — , pelo —, terre LIEN, 
Sechr,, s.m. V. Segure. avec precaution. 
Secöra,s. f. doloire, hache de tonnelier. V.| Sean. V. Ceier, Ciar. 
Sequre. °"Szıza. V. Saliva ; it. Seien ou Som. 
Becvniıcäö,s. f. V. Seguro. *Szınaö. V. Alpendre. 
SEGURÄDO, A, P. p. de Segurar. V. Segura- | "Skına. V. Saide. 
dar Brinıgo. V. Sedipo. 
Seıria,s. [. poisson de mer qui resunlh 
au Scare. 
Stıo, s. m. sein: partie du corps depas I 
cou jusqu’au creux de l’estomac; mameiS, 
gorge d’une femme; l’endroit od les (a8 
congoivent et portent leur frait; (Ag.) Tem'. 
le caur de l’'homme. (id.) Divinits de Die} 
pere, d’oü le fils proodde. Sein, le mil * 
la terre, de la mer); golfe, petite mer ent" 
de terre; (fig.) le sein de !}’Eglise, sa um" 
nauts. Giron. V. ARegayo. Creax, cavite. DH 
cune des concavites interieures da cart ®r 
main. Pli, repli d’une robe, etc. Ser ots 
guem , (fig.) ötre ami inlime de b- 
@4brahöo, le sein d’Abraham. 0 —, u 
dalma, (fg.) les replis de l'ame. Or-1P 
averno, les abimes de Penfer. Met e me" 
ten —, e ndo dirds mel do fado alheie, (f" 
mets ta main en ton sein „et ia ne mödra 4} 


















SECUNADOR, 8. m. assureur : celul qui assure 
un vaisseau, des marchandises ou tout autre 
chose. it. Garant, caulion, repondant. — do 
campo ‚tenant d’une joute, d’an tournoi, etc. 

SECURAMENTE, adv. sürement, assur&ment, 
serlainement, ä coup sür. 

Secuainga , s. f. süretö : exemption de ris- 

ue, de perils; caution, garantie; assurance. 
scurit6, confance;cerlitude. Sauvete, salut. 

Raffermissement, aflermissement. Carla de 
-—, saul-conduit. V. Seguro. Com —, en sü- 

SecurnÄR, v. a. assurer, rendre ferme, sür, 
affermir ; mettre en süretö; garantir des peries 
eventuelles. V. Assegurar. Tenir, retenir, arre- 
ter, soutenir. — alguem pelo brago, tenif, Te- 
tenir o@ soutenir quelqu’un par le bras.— 0 
Raviv, acarga, assurer lenavire, la cargaison. 
— sobre boa ou ma nova, assurer sur bonnes hai 
os mauvaises nouvelles. — sobre ida, assurer Dakine V. Ceirs eto 

D — - ’ „ro. ’ . . 
sur Faller. sobre volla, assurer pour le re Skıs, adj. num. 2 gen. sir, deus fe une 

SecoRän-sE, ©. r. s’assurer. Se rassurer, | ae sukmuo. 7 Boragisine. 
s’allermir. Se prömunir d’un saul-conduil. — | + Sesaro 5. m. sizieme.. la sizieme parit: 
bem acavalio, se tenir bien A cheval. a ) 


SEISCENTOS, AS, adj. num. pi. sis cm. 
Secöng, s. f. hache , cognee. Hache entourse SeurspösRo. Y. Pen hlrug ei 


de [aisceaux que les licteurs portaient devant | Sema, ole. V. Sesma, eit. 

les consuls romains. . Smeravißo, A, adj. qui a six odias ei 
Secuakına , 8 f. (i. de bol.)sarrielte,,sadree, | angles. 

savorde, la sauce aux pauvres. dl. Piece d’un | SäseriL,s. m. je sizieme. V. Coiih 

moulin, Sisto. V. Sexie. 








, ‚SEL 

Serra, s. f. serie : röumion de personnes qui 
suivent les memes opinions, . une opinion be&- 
retique,, une doctrine nouvelle , erronee. 

Seitia. V. Setia. 

SgıriL. V. Cettil. 

’ Seıröso, V. Afraigoado, Traidor. 

+ Skıva, s. f.(t. de bot.) söve : humeur active 
des arbres. 

+ Szıvöso, A, adj. (f. de bof.) söveux. qui 
sert ä la circulation de la söve (canal).' 

Seıxa,s.f. oiseau gallinace qui ressemble 
& loie, ou au canard. (ant.) Sorte de turban 
turc. 

SerxiL, s. m. lieu plein de pierres, de cail- 
lonx;; sol pierreux. 

SeixÄtır. V. Saxatil. 

SEIXINHO , s. m. petit caillou,, dim. de 

Serxo, s. m. caillou, pierre trös-dure. 

Seıa,s.f. — de janella. V. Sede. 

'Besina. V. Sagena. 

SeLipda. V. Salada. 

SeLAco, s.m. (t. de bot.) * selage : plante 
pyrenacde. — abefina, Iycopode selagine, sela- 
ginelle. — da Eihyopia,, selage corymbifere. 

Seramism, s. m. litron, la i6me partie de l’al- 
quier (en Portugal) , mesure de choses seches, 

SeL£ ow SıL£, s.2gen. Carne de —, viande 
salee. 

SeL£ı, s. f. "traineau, vollare sans rToues 
pour aller sur la neige. 

SeL£cciö, s. f.* choix, triage. 

SeL£cro, A,adj. choisi, mis & part, tri6; (g.) 
excellent. 

SELENITES, s. f. selenite : sorte de sel form6 
par la terre calcaire et l’acide sulfarique. 

SELENITÖSO, A, adj. seleniteux : qui a rap- 
port & la selenite. 

SELENOGRAPHIA, s. f. selenographie : descrip- 
tion de la lune. 

SELENOCRÄPHICO, A, adj. selenographique: 
de la selönographie. 

Seızuua. V. Celeuma. 

Serca. V. Acelga. 

Seıua. V. Ceiha. 

“Seıxos. V. Senho. 

Szricıo. V. Cikeio. 

StLıi, s. f. selle de cheral. * Fauteuil. — de 
ginefa , solle & la genetle. Esiar posio na —, 
(ig.) aroir le commandement, l’autorit£e. Estor 
firme na —. (id.) eire ferme sur ses e&triers, 
dans ow sur les arcons , ätre bien en selie, af- 
formi danssen poste. Näo se sogurar na—,n6- 
gliger son corps & cheval. 

*TSELLÄDA, Ss. f. gorge ou enloncement d’une 
monisgne. 

SELLADO, A,P.p. de Sellar. adj. Selle, a qui 
on a mis la selle (cheval). Scell&, & qui on a 
appose le sceau. Gourbe en manidre de selle. 
Papel —, papier timbre, oü il ya un timbre. 

SELLADOR,, 8. m. scelleur, celui qui scelle; 
garde-scel. Celui qui selle, qui met la selle & 
un cheval. 

SELLADOURO, 5. m. partie du dos de l’animal 
od nose la solle. 


SEM 


SetLicid, 5. m. solle rase. 

SELLÄGEN, 3. f. action d’apposer le sceau , le 
cachet. . 

SELLÄR, v. a. sceller : meltre, apposer le 
sceau ow le scelle. Timbrer (du papier, ete.). 
Empreindre, imprimer. ( Ag.) Finir, terminer, 
conclure. (id.) Fermer. V. Cerrar. (id. p. ws.) 
Estimer, apprecier. — os labios, (id.) tenüı 
bouche close, ne dire met. 11 est quelquofois 
neutre, et signifle plier, se courber. 

SELLAR, v. a. seller:: melire la selle & un 
cheval, etc. . 

SeLLaria, s. f. sellerie; rue oü sont les sel- 
iers. 

SeLzcid. V. Sellagdo. 

SerLdiro, 5. m. sellier, celui qui fait des 
selles,. ' 

'SeuLßino, A, ady. habilue & la selle (cheval); 
qui se tient bien en selle. 
' SeLLiM, 8. m. sellö rase. 

S£LLO, s. m. sceau : grand cachel; son em- 
preinte. Lieu oü !’on scelle. Timbre : marque 
imprimee au papier, pour les actes,, etc.; droit 
sur ie pepier limbre6, droit du timbre; lieu oü 
Fon timbre. Scelle : sceau en bande appose sur 
des portes, des armoires, etc. ( Ag.) Dernisre 
main, perfeotion. — pendenis,, sceau pendani, 
grand sceau royal de chancellerie. Guarda 
sellos, garde des scoaux. Por 08 —s w’ums por- 
fa, etc., meltre les soelles sur une porie, etc. 
Pör o —,( Ag.) metire le sceau, achever, fin, 
sendre stable; ceonsemmer. Passer alguma 
cousa sem — : ig.) se dit d’une clıosg qui est re- 
gue sans examen. —de Salomäo. \. Scello, etc. 

Stıva, s. f. foret, bais. (fg.) Epaisseur, 
densite. 

SELVÄCENM, adj. ei 9. 2 gen. sauvage: qui vit 
dans les bois, sans lois, sans habitalion fixe, 
etc. Grossier, stupide,, rusire, ignoranti. 

T SELVAGERIA, 3. f. grossierele, ruslicile, 
action de rustre, eio. Qualite,, &lat de ca qui est 
sauvage. 

+ BeLvacina,s. f. böte sauvage, b£le (aurve, 

SeLvAacino, A, adj. sauvagin (goüt). De 
sauvage. Carno —a, sauvagine, chair de bite 
sauvage. 

SuLvasania. V. Selvageria. 

SELVÄTICAHENTE, adv. en sauvage, ä la mı3- 
niere des sauvages. 

SELYÄTICO, A, adj. de for&t. Sauvage. V. Sr!- 


1077 


SELvarıQußza, s. f. sauvagerie. V. Selva 


gerie. 
SeLvöso, A, adj. boise, plein de bois, de u 
reis. 

* Sem. V. Gerapdo. 
S£u , pröp. exclusive , sans : exprime l’exch 
sion, la privaliom , ’absence, la non-oxistenca. 
— demors, tout de sulte. — lempo, avantlerme, 
premasturement. — razdo, ä tort. — que nem 
para que, sans raison ni molif. Les anciens 
mettaient souvent le sem avanı les gerendils. 
Ex.ı — querendo , on dit mieux sujourd’hei : 
ndo quorende vu sem querer, sans le vouleir. 


— que, pa 


‘ 4 


que. Nie porlurd som qua inde | senäs, (dd.) camıma tu sömeras, alnsi ia zueis- 


osieja prempie, Il me parlira pas que laul ne | Sonneras. 


soil pret. 

Suninı, s. f. samaine ; suite de sept jours, 
du dirusnehe au semedi; sopt jJours de suite; 
wavail de sept jours; son prix. Periode septe- 
neire de mois, d’annses ou meme de sidcles. 
_ sone, semains sainie, la derniöre du ca- 
some. Ester de —, tizo de semaine auprös du 
soi, eic. Parse a — de nove dias, (loc. prov.) 
dans la semaine des trois jeudis. 

+ SewaniL, adj. 2 gen. hebdomadaire ; de 
dasgque semaine. 

+ SEMAnÄLNMENTE, ade. toutes les somaines; 
par semaine. 

Sauaninıo, A, adj. hebdomadaire, de cha- 
que semaine. Semainler, qui est de somaine. 
Qui paratt toutes les sesmaines, une fois par Se- 
maine (publication). 

SzuAnRıRO, A, adj. semainier, qui est dese- 
maine. V. Semsnario. 

Seuszuito. V. Sambenitlo. 

SeusLicen, elo. V. Semblagem, oto. 

SeusLinte, 5. m. *physionemie, air, mine, 
aspect. Visage, face. ( Ag.) Dehors, apparence 
extsrieure des choses. ° Contenance, air, main- 
Vien, posture. — alegre, risenhe, visage gal, 
rient. — ‚sanhudo, visage chagrin, 
courrouos. — iguel, visage dgal. 

+ Stwsun, s. f. (4. d’'hist. nel.) "semblide, 
ndvroptäre. — ou Aomerobio des lodos, sem- 
blide de la boue. — bieaudasa , semblide A lon- 
gue queue. " 

Beusıtı. V. Assembide. 

“Seunnı, Em —, ado. ensombie, 

Seuanicem. V. Samblagem. 

*Seupninre. V. Semblanie. 

Beuza, s. f. “son (de [arine). 

+ Suweıciö, s. f. (1. de bot.) — natural, s6- 
minstion , dispersion naturelle des grains. 

Seuzipa, s. [. somallle, terre ensemenose, 
champ seme. 

Bemsino, A, P. p. de Semsar. adj. Parseme. 

SENRADOR , 8. m. semeur, Celul qui söme. Se- 
moir. V. Sementeiro. 

+ Sruzapöuro, s. m. terrain qui deit dire 
ensemenc#; propre ä dire ensemenete. 

Semzanöna, &. f. semaille : action, temps de 
semer;; grains som6s. Um alqueire de —, 
selde de terre. 

SgukÄin, o. a. semer ı r&pandre (de la graine 
sur une terre proparde); röpandre cA ot 1A; 
(ig.) faire naltre (la disoorde), causer, ecca- 
sionner, eie.; röpandse, publier, divulguer. 
(id.) Faire une chose dont Il doit revenir du 
prolit, semer pour rocueillie. (dd.) Joncher, 
parsemer, couvrir (de moris, de fieurs, d’her- 
bes , et0.). -- de aa} uma casa. V. Salgar. — em 
nd isrra, (fig) somer en teree ıngrale: [aire 
du bien & un ingrat. — ns areie, (id.) semer 
sur le sable : donner des instruclions & qui 
n’en proßte pas; perdre son lamps. Qusm ndo 
semta ndo colke ou apamka, (prev.) il laut se- 
mer peur zecneillie. Cöibe sada um segundo 


SeugÄivYEL, ads. 2 gen. qui peut @ire ense- 
mence. (an}.) Vene, m 

Seuzoxıno. V. Semidelro, Altalko. 

SeutıoLosia 0w (1. de mdd.) stmeiolo- 

Sembıörica,, 5. fı I gie, semeiolique : traite 
des signes des maladies. 

*Stuzı,s.. V. Goraplo, Descendencia, 

Seuernino, p. p. de Semelker. 

Szusıulnca, 5. f. ressemblance : rapport, 
conformit entre deux eires. (Ag.) Image, pot- 

rait. 

SENEZLRÄNTE , adj. 2 gen. semblable reil. 
V. Parecide. Nunca se vo Oua—, on va js- 
mais vu rien de pareil. s. 2 gen. semblable. Um 
—, un exemple. V. Simile. 

SENMELHANTENENTS , ade. semhlahlement, 
pereillement, aussi. 

EMELHANTISSIMO , A . . de 
ne ‚A, adj. sup Seme- 

SENELRÄR, v. 6. (9. us.) conirefaire, imiter. 
(a) Comparer. — (s), v. ®. ressembler, dire 
semblable. Sembler ; Juger d’une chose. 

SENMELHÄR-SE, 0. 7. — a alguem, contrelsire, 
imiter quelqu’un par &mulalion. 

SeuezLnäveL. V. Com vol et Semelhantie, 

SEUELHATELMENTE. V. Semelkantemenis. 

ÖRMELITUDINÄRIAHRNTE, V. Similitudinerie- 
menis. 

SeEuEn, 5. m. °Semenos, SperMme ı naliäre 
dont les animaux sont engendre&s, 

Suuengan. V. Femenger. . 

TSenznista, 3. m. söministe : physıologisie 
qui coll & l’existenoe de la semence dans les 
deux scxes. 

SzusntäL, adj. 2 gen. qui appartient aux se- 
mallies, Destine & dire sem6 (hid). Carneiro 
-_, . 

SEMENTÄR,, 9. &. semer, ensemencer. — 
lavradores, fournir ow pröter les semencs 
aux laboureurs. 

SEMENTÄR-SE, ©. Tr. 50 pourvolr de semenees. 

Seuente, s. f. semence, ce qu’on scene; 
grain ; graine des plantes, ots. V. (A8.) 
Race, posterits. (id.) Semence, source, prie- 
eipe. = d Alsoandris, — conira vormes, Bemer- 
eine, sanlonine, SOMen-cönlra, Bemence } 
vers : plante vermiluge. — d’agno ensie, pri 
poivre. 

Sananttına,s. f. somallle : aotion , lemps, 
saison de semer. Terre ensemenose, eınhia- 
vure, (fg.) Semence de diseorde, pöpiniere dı 

SENENTEIRO , 8. m. semoir : Sac Pour porter 
le grain en somant. Bemeur, aa propre ei au 
figure. 

Sewantiunas, 8. f. pl. graines de sapo- 
nalre. 

SEuentinna, dim, de Sements. 

SEMESTRE, 4. m. semesire: espace de Sit 
mois ; prix de six mois de service , eis, 

GEMETRIA , etc. V. Symeirie, 








SEM 


Seui, ade. (mot lalin en compos.) soml, 
demi ow & demi. 

+ Sewmiasancintes, adj. f. pl. (ti. de bot.) 
Folhas —, leuilles demi-amplexicaules, qui 
eınbrassent & demi le lour de la lige. 

SEMIÄNIME, adj. 2 gen. demi-mort, semi- 
elcint, 

SEmiBRaKvE, 8. f. (l. de mus.) semi-bräve, 
moiti6 d’une hbröve. On l’appelle aujourd’bui 
ronde. 

SEMICADÄTER, 5. m. homme presque mort, 
moribond. 

Sswicirro, 8. m. demi-bouc : surnonı de 
Pan. 11 est aussi adj. m. moiti6 bouc et moi- 
tis6 homme,. 

*SeuicHas, 6. f. pl. surplus d’unce mesure de 
äquides. 

SzuıcıacuLia, adj. 2 gen. demi-circulaire, 
du demi-cercle. 

BsMIciRcuLo, 8. m. demi-cercle. 

SzuicoLcakıa ,s. f. ( i. de mus.) double cro- 
che : nole de musique qui vaut la moitie d’une 
croche. 

SEMICOMPLEMENTO, 5. m. (4. de malh.) demi- 
complöment. 

7 Sewicoripo, s. m. (fi. de mus.) nole qui 
divise la mesure en deux temps. 

SEMICROMÄTICO, A, adj. (inus.) On le dit du 
genre composs du chromatique ei du diatoni- 
que. 

SEuıcöpIo, 8. m. demi-bain. 

SEMICYLINDRICO, A, adj. demi-oylindrique , 
eylindrique d’un seul cöte, 

SEuıDKka, 8. f. demi-deesse. V. Semideosa. 

SEMIDEFÜNTO, A, adj. demi-mort, demi- 
dleint, 

*SEMIDRıRO,. V, Alalho. 

SEMIDROS , s. m. demi-dieu du paganisme. 

SEuInkosa, s. f. parımi les paiens, haroine 
qui descendait d’un dieu. 

SEMIDIÄNMETRO, s. m. demi-diamätre : rayon 
du cercie. 

SemıDıaPAsÄ0, 8. 2. (4. d’anc. mus.) somi- 
diapason : octave diminuse d’un demi-ion. 

SEMIDIAPENTE, 3. m. (I. d’anc. mus.) somi- 
diapente : quinie diminude, fausse quinte. 

BEMIDIATRSSERÄO, 8. m. (I. d’anc. mus.) 86- 
mi-distessaron : quartediminude, [ausse quarte. 

SENIDITONO , 5. m. (I. d’anc. mus.) tierco mi- 
neure, intervalle de musique. 

+3amıDosaino, A, adj. (8. de bot. et de leur.) 
Flor —a, üeur semi-double, a deux rangs de 
petales. ‚ 

+ Semiponntz, 8. 6 (£. de bot.) qualite des 
Neurs semi-deubles. V. Semtdodrado. 

Seuioöuro, adj. m. demi-savant. 

SeuipürLes, adj. 2 gen. (1. de lit.) semi- 
double. On le dit des fetes moins solennelles 
que les doubles, et plus que les simples. 

+Sewipnacäö, 8. m. moili6 dragon et moilis 
komme, 

+ SewırLöscuLo, s. m, (4. de bot.) demi-fleu- 
ton : petile Baur sur un oalice commun. 


SEM 40:9 

+ 3euırLoacuöso, a, adj. ($. de bot.) semi- 
Nosculeux : A demi-Neurons ( flear —se). 

Sewirösa, s. f. (}. de mus.) quadruple ero- 
che: note de musique valanı la moilid d’une 
double croche. 

tSemicLonds0, A, adj. (l. de bot.) demi- 
spbeörique. 

SemicöLa. V. Demigola. 

Sznınöuzu, s. m. demi-homme. 

+ Sewirna, s. f. On donne oe nom en quel 
ques endroits aux pommes de terre anglaises. 

Semumsrinacäö, 8. f. demi-soupis, saorle de 
pause de musique. 

SEWILETTRA, 5. f. signe qui vaut moilid d’une 
lgtire, 

SENMILUNÄR, adj. 2 gen. semi-lunaire, en de- 
mi-lune. De la demi-Iunaison. 

SESILUNIO, s.m. * demi-lIunalson. 

Sauınknıco, s. m. A demi medecin , peu In- 
struit en meödecine. 

SEmIMRTÄL, 3. m. demi-metal : substance 
minerale moins pesante, moins solide que les 
melaux. 

Bzuinmma. V. Sominima, 

SEMIMÖRTO, A, adj. a demi-mort, demi- 
&teint, 

Szwinagäö, s. f. &)aculation de la somence 
des animauz. V. oe 

Seminäu, adj. 2 gen. söminal : qui a zapport 
& lasemenee des animaux oy des plantos.S6mi- 
nilöre. 

Suumin. V. Dissewinar. 

SEMINÄRIO, 8. m. *pepiniere : plant de jeunes 
arbres pour replanier. Sömineire : collöge d’ec- 
clösiastiques ; ces ecclösiastiques ; (Ag.) lieu ou 
l’on forme les sujets pour les aris, etc. (id.) 
Pepinidre, source , origine, 

SEMmÄRIO, A, adj. V. Seminal. Vaso —, 
vaisseau seminiföre, de la somence. 

SENINARISTA, 8. m. stminariste : dldve dans 
un söminaire. 

Saminıma ,s. f- semi-minime : nole do mu- 
sique qui vaut la moiti6 d’une minime ou d’une 
blanche : e’est aujourd’hui la noire. 

+ Szumö, ba ‚adj. 4 demi-nu. 

TSmmocräva,s. f. (4. de pods.) * quatraig ı 
stance de vers & rimes crois6es. 

Semrpauivaa, 8. f. (P. 8.) "demi-met, mot 
mal articule. 

SEMIPARANTE, adj. el 8.2 gen. parent sloigne. 

+SENMITBLAGIANISMO, s.m.semi-p6lagianisme: 
secie , doctrine des semi-pelsgiens. 

+9ammreLacıäno, A, adj. eis. semi-pelagien: 
partisan du semi-pelagianisme,, qui se rapparte 
& cette hördsie. 

Szwpsaıpmania , 3. f. semi-pöripbörie. 

Szuwiäno, A, adj. a moiti6 plein. Provs—a, 
(4. de prat.) preuve imparfaite,, semi-preurve, 

+SuumLenauünte, adf. (1. de pral.) avec 
une preave imparfaite , ineompledis. 

+ SENIPOSTA, 8. m. mauveis  podie. 

f Sewmipöraıno, A, adj. & demi-pourri. 

+ SaminacıonkL, adj. 2 gen. stupide, gros- 
sier, guitient de la brute plus quo. de Phomme, 


4080 SEM 


Sewintcro, A, adj. On le dit d’an angle qui 
vaut la moitl& d’un droit, ou quarante-cing 
degr&s. 

F Seminorico, A, adj. (1. de bot.) semi-teret, 
demi-cylindrique sans inegalites. 

+ Sewir0ro, a, adj. ademi rompu,, & demi 
brise, elc. 

+ SEMISERPENTE, 8. m. corps molti6 serpent. 

°Seuita,s.f. V. "Alalho, Vereda. 

SEMITARRA. V. Cimitarra. 

SENITERCIÄNA ‚adj. et s. f. hemitritde(fdrre). 

SENITOM, s. m. voix basse. 

SEMITONO,, s.m. (l. de mus.) semi-ton : moiti6 
@un ton. 

+ Szuıvınnacäö, s. f. demi-vibration d’un 
pendule. 

Szuıvino, adj. m. a demi homme. s. V. 
Afeminado. 

+ Ssuıvivo, a, adj. a demi virant. Demi-il, 
& moitie mort. 

SewivocäiL, adj. et s. f. demi-voyelle. On le 
dit des consonnes dent la prononclation com- 
mence par une voyelle. 

SEmIvöLPA, s. [. "sarigue, opossum. V. Sa- 


gueia. 

*Semsostica. V. Injustica. 

Srund, s. f. espece de jonc. 

SENNÜMERO, s. m. quantile innombrable. 

+ Stmora, s. f. semoule : päte de farine en 
petits greins;; bie arrondi sous la meule. 

*SzuörTo, A, adj. sloigne, &carte. 

SEMOYENTE, adj. 2 gen. qui se meut de sei- 
meme, mobile. 

Seurirn, adj. 2 gen. sans dgal. 

SEUPFITRANAMENTE , adv. eternellement. 

SegurıTfano, A, adj. sompiternel,, &ternel. 

*Seurıe. V. Sempre. 

Sturag , adv. toujours, de tout lemps, sens 
oesse. De — , (amf.) de tout temps. Para —, & 
perpetuitö; & jamais. Pers fodo —, a jamais, 
pour toujours, au grand jamais. Cousa perdida 
para—, cause & Jamais perdue. — que penso..., 
toutes les fois que ie pense... 

* SEUPREWÄNnTE. V . Simplesmenie. 

SENPRENÖTA, 8. f. (1. de bot.) renouee vul- 
gaire, centinode : plante 4 nauds, medieinale. 

Seuprnev£nne, 8. f. V. Semprenoiva. adj. 2 
gen. Toujours vert arbre, feuille, etc.). 

Seuracgviva, s. f. (tl. de bot.) V. Seids. — 
$rance, pelite jJoubarbe, trique-madame, or- 
pin blane. 

Semnaziö,s. f. " tort, injuslice, 

Sensanon, adj. 2 gen. insipide. V. Desemaxa- 
vido. (Ag.) Fade. 

Seusasor, s.m. deplaisir; fadeur, insipi- 
diıe ; defaut de gräce, d’agröment. 

Seusasorädö, OMA, 5. (P0p.) personne insi- 
pide, deplaisante. 

Seusasonia, s. f. “ däsagrement, chose des- 
agreabie; ennui. V. Semssber. Com —, e0- 
nuyeusement. 

SEusaL, adj. 2 gen. qui manque de sel; quı 
r'a point "de sel, frais. (fg.) Qai manyue Je 


SEN 


SEuVALOR, adj. 2 gen. qui ne vaut rien, qui 
n’a aucune valeuz. 

"Sen. V. Sem. 

+ Stna, s. m. (8. de geog.) " Seime : leave de 
France. Sienne : ville de Toseane. 

SENADO, 5. m. senat: assomblee, conseil des 
plus notables d’une republique, ete.; lien ou 
les senateurs s’assembient. (fig.) Assembiee 
gens respectables. U — da camere, lo cur 
municipal d’une ville. 

+ SENADO-CONSÜLTO , 5.0. senalus-Conseite: 
decision d’un senat. 

SENADOR , s. m. senaleur : membre d’en s- 
nat, 

SenäL, adj. 2 gen. brut, et de peu de poids 
(diamant). 

Senäö, s. m. defaut, imperfection. 

SENAÖ, conj. et part. condil. sinon, autre- 
ment; sice n'est, hormis, excepie; & meins 
que; bien plus , qui plus est. Que. Ex. : Ooure 
ndo se enconira — em pPoucos ‚For me 
se Lrouve qu’en Irds-peu d’endroits. Nös busce 
— a verdade , il ne cherche que la verite. Quem 
— vösP? quel autre que vous?... Quem — elle 

suffrer P... quel auire que luı peut sonf- 
frir? mais plutöt. Ex.: Nüo ed brauco — pards, 
il n’est pas blanc , mais plutöt gris. Mais encore. 
Dans ce sens, sendo esi toujours preckde de 
ndo sö, non-seulement. Ex. : Ndo 26 combelse 
— 060080 0 inimigo,, non-seulement il a ce 
baltu , mais encore il a vaincu Pennemi. Seuie 
ment, et alors il est precdde de ia perticauls a» 
galivo ndo. Ex. : Ndo espero — que ls eds, Yal- 
tends seulenient que ta ten ailles. — se, saul, 
excepi6, & moins que. — quanlo, & la seek 
difference. — que, cortes, cerlainement. —com 
pai, como amigo DU GO mMEeROs COMO amipe, 
sinon Comme pere, au mMoins comme amı. 
Sendö!... (.de menace) sinon!... sans quei, ei 
faute de quoi. 

Senärlo, A, adj. compose de six. Numers 

— , nombre de six. Verso —, vers latin de siı 
pieds, ordinairement Tambes, 

Stnas, s. f. pl. sonnez, double six au irk- 
trac. 

Senatörto, A, adj. senatorial : de senateer. 
Senatorien : qui est de la famille de s@nateur. 

SENATUS-CONSULTO. V. Senado-consulte. 

SenniL, 3. m. volle, lissu transparent os 
Irds-Ieger, crepe. V. Condel. (ami.: Serte de 
garniture de raobe. (l. de chir.) Bandage poar 
les blessures du cervoau. Cendass, pi. (port) ) 
tes jarreliöres. 

"Senpas. V. Sendos. 

Senokıno, s m. "ronse: cheval sans lorcs, 
sans vigueur. *Mazxetie : mauvais petit cheral. 

*Sknnpos, As, adj. pl. un, une : chacun em 
particulier. Dee a cada um — cavsilos, il donaa 
un cheval & chacun. 

Senz, adj. 2 gen. (inus.) V. Velhe, Idess. 
s.m. V. Senne. 

Sengca, s. f. V. Arsonico. Faller —, (Sp) 
perier senioncieusemen 

SEnEcA OU Benz af. (6. de ba.) * peiygela 





SEN: 


de Virginie, sendka, racine de serpent A son- 
netles: plante medicinale. 

SEWECTÜDE, 3. f. vieillesse. 

SEneuB£, s. m. V. Igquanado Brazil. 

SENESCÄL, s. m. grand-maltre de la maison 
du roi. V. Mordomo mör. Senechal : chef de la 
$ustice dans un certain ressort, et dela noblesse 
convoqu6e pour V’arriöre-ban. 

+ SenzscaLia , s.f. senschaussee: jaridiction 
du sön6chal, son &tendue, son tribunal. 

’SeEnco, A, adj. prudent, sage, disoret. 

Sencnapüna. V. Singradura. 

S£nHA, e. f. "signe, marque, indice; signal. 
* Geste, etc., convenu enire deux personnes 
pour s’entendre. "Mot du guet. Contre-marque. 

SENHRDRIM. V. Synedrio. 

SEmuo, 5. m. "grimace, vilaine mine. V. Car- 
ranca. 

* SENHOANNRIRO, A, adj. de ohaque anne. 

SENHÖR, 5. m. maltre, seigneur. Dieu, le 
Seigneur. Le sacrement de l’sucharistie. Sei- 
gneur : maltre, possesseuf d’un pays, d’un 
etat, d’une terre, etc.; grand d’un dtat, etc. 
Titre qu’on donne ä quelques saints. Sire : ti- 
tre donne & un roi, & un empereur. Monsieur : 
titre de politesse. Maitre, par opposition A do- 
mestique. Maitre de ses actions, libre, inde- 
pendant. ($. d’astrol.) Astre, plandte domi- 
nante. Grdo — ‚ grand-seigneur, le grand-lurc, 
V’empereur de Turquie. Descangar no — , repo- 
ser en paix. Ficar — do campo, demeurer 
maltre du champ de bataille, au propre et au 
figure. — de si, maltre de soi, homme qui sait 
se possöder ; qui a de la prösence d’esprit. — di- 
recio d’uma lerra, seigneur foncier. Fazer de 
— , faire le monsieur, faire ’komme d’impor- 
tance. — de barago e cutello,, haut justicier. V. 
M.d— de faxer o que quizer, vous £ies libre 
de faire ce que vous voudres. Cada um d— om 
sua casa, le charbonnier est mallre en sa mai- 
son. Senhores nossos, nosseigneurs. 

SENHÖR,A, adj. puissant; malire, proprie- 
taire. — de, jouissant de toutes ses faculies, 
en pleine liberte. V. le pr&cddent. 

SENHÖRA , s. f. maltresse : cello qui a des es- 
claves, des domestiques. Femıne, 6pouse. Dame 
de qualit&, grande dame. Madame, ınademoi- 
selle : titres d’bonneur. V. Senhor. Nossa —, 
la Vierge, la sainte Viergg, Notre-Daıne. Ro- 
ma, — do mündo , Rome, ınaliresse du monde. 

Senuoräica,s. [. aug. de Senhora. Grande 
dame. 

SenHorÄco, s. m. aug. de Senhor. Grand 
Beigneur. 

Sennorzino, A, p.p. de Senhorear. 

SENHORRADÖR, A, adj. qui maltrise, qui do- 
mine. 

SENNOREÄGCE. V. Senhoriage. 

SENHONREÄR, vd. a. maltriser, dominer, gou- 
verner en maltre. (fig.) Commander avec em- 
pire, hauteur, faire le maltre. Se rendre mal- 
tre ‚assujetlir. En ce sens, il est souveni em- 
ploy& comme r£&ciproque. Coinniander, domi- 
ner, ötre plus &leve. Il est souvent neutre dans 





SEN 1981 


ceite accepilon. (Ag.) Maltriser, dompter ses 
passions. 

SENHORLÄR-SE (de), v. r. se rendre malire; 
s’emparer de.V. Senhorear. 

SEnEoRiA,s.f. V. Senhorio. Seigneurie : ti» 
tre d’honneur, de politesse. (g.) Personne & 
qui on ledonne.—  domaine,, souverainele ds 
quelques repuhliques ; nobles venitiens , eic., 
qui avaient la principale part au gouverne- 
ment; gouvernement de certaius dtais. it. Le 
proprietsire d’une maison. Encher de —s, 
monseigneuriser. 

SENRORIÄGEM, 8. f. " seigneuriage : droit du 
seigneur, droitroyal sur les monnaies. 

SENRORIAL, adj. 2 gen. seigneurial,, du sei- 
gneur, qui appartient au seigneur. 

SENAORIL, adj. 2 gen. noble, de seigneur; 
qui domine, qui commande. (fig.) Grave, im- 
posant. 

SENDORILMENTE,, adv. noblement, en sei- 
gneur; avec un air grave,, un air de seigneur. 

SENHORIO, 3. m. * seigneurie,, domaine, puis- 
sance, autorit& de seigneur, de malıre. * Do- 
minaltion, puissance, aulorite. —, terre, do- 
maine d’un seigneur. si. Propridtaire d’une 
maison, eto. — mdior, le souverain. — provei- 
toso. V. Dominio util. Lugar de —, terre sek 
gneuriale. —s, pl. domaines, lerres seigneu- 
riales. 

Senhuonita, s. f. dim. de Senhora. Petite 
dame; mademeiselle, 

SENHoRIiTo,, s.m. dim. de Senkor. Petit sei- 
gneur ; jeune homme noble. 

SENHORIZÄR, dv. a. rendre quelqu’un sel- 
gneur. 

* Stwuos. V. Sundos. 

SeniL ‚adj. 2 gen. senil, e: qui spparlient & 
la vielllesse ow aux vieillards. 

SentLiDäne, 3. f. vieillesse. 

* S£nıo, s. m. " vieillesse. 

* Sznıön. V. Senhör. 

Senior , adj. 2 gen. (mot lat.) plus vieox, 
plus ancien. 

Senne, s.m.(t. de Bol.) sen# : planie rosa- 
cee , mödicinale. 

Stno,s.m.(#. de matk.) sinus : perpendi- 
culaire abaissee de l’extremite d’un arc sur le 
rayon. (tl. de chir.) —, cavile, espece de poche 
pleine de pus, dans une plaie. 

* SERöGA. V. Synagoge. 

* Stnos. V. Sendos. 

Senöura. V. Cinoura. 

* Senra.V. Sedra. 

Seuraziö. V. Semrazdo. 

° Senrkına. V. Inimizade , Anlipathia. 

SensasoR, etc. V. Semsabor, etc. 

SEnsAGAd, #. f. sensalion : impression que 
Päme recoit des objets par ler sous ; sentiment. 

SENSÄTAMENTE, adv. senseinent. 

Sensito , A, adj. sense: qui a Ju bon sena, 
de la raison,, du jugement; conlorme & la rai- 
son , au bon sens, 

SENSIBILIDÄDE,, 3. f. sensibilile : qualiic par 
laquelle un sujer esı accossible aux unprea- 


sions des objets; oapacit£ passive, aplitade & 
sentir ; qualits de ce qui est sensible, dou& de 
senliment ; tendresse ; ressentiment. 

SENSIENTE, adj. 2 gen. sonsilif, qui sent. 
p. a. de Senlir. 

Sensiricär , v. a. rendre libre, rendre la sen- 
sibilite (aux nerfs), 

Sensitiva, s. f. (4. de bot.) sensilive : herbe 
mimeuse, plante qui replie ses feuilles lors- 
qu’on les touche, plus sujetls que toutes A la 
mulalion. 

Sensitivo, A, adj. sensitif : quiaa la facultd 
de senlir. Qui apparlient aux sens. (Qui Cause 
du ressentiment, mortifiant. 

SEnsiVEL,0dj. 2 gen. sensible: qui a du sen- 
timent, qui a le sentiment de...; qui regoit fa- 
eilement les impressions des objeis; qui est 
aisement touch, &mu ‚irritö; humain, tendre, 
compatissant. —, quitombe sous les sens, se 
fait senlir, apercevoir aisement. Touchant, qui 
touche le caur, delicat, tendre. — , doulau- 
reux ‚ fächeux. Midi —, mortiliant, qui cause 
du chagrin. 

SENSIVELMENTE, adv. sensiblement : d’une 
maniere sensible ou qui aflecte le cur. 

Stuso, s. m. bon sens, jugemen!. — coM- 
um, sens Commun. 

BENSsÖRIO, A, adj. du sensorium. Orgäos —s, 
organes de la sensibilile. 

Bansönıo 0% BENSÖRIO COMMUM , 4. M. SENBO- 
rium : parlio du cerveau re&puise le siege de 
P4me ; organe de la sensibilite. 

Sensuir , adj. 2 gen. Co mot, le möme, dans 
son acceplion rigoureuse, que Sensifivo „ si- 
gnifle plus commun&ment sensuel, voluplueuz, 
altach6 aux plaisirs des sens. Luxurieux, sen- 
suel, lubrique, impudique. 

SunsuaLıväne,, 8. f. sensualils ; altachement 
aux plaisirs des sens; lubricits, lascivite. 

+ SENSUALIZÄR, 9. 8. Fondre sensuel ; exciler 
la sensualite. 

BEnsuaLußute,, adv. sensuellement : d’une 
maniero sensuelle. 

"Santa. V. Pinte, 

Santär, etc. V. Assentar. 

BentzaL, oto. V. Conssal, etc. 

Sextänca,s. f. sentence : jugement rondu 
dens un proo&s; decision des juges, d’un ar- 
bitre; arröt, decret, jagement; jugement de 
Dieu contre les p6cheurs; dit memorabie; apo- 
phihegme; maxime, pensee oourte qui a un 
grund sens, une belle moralite. *Sentiment, avis, 
opinion. — nulls, illegitima, mal juge. Tantas 
eaberas, lanlas —s, autant d’hommes, autant 
d’avis differents. 

Sentzucıino, A, 9. p. de Sentenslar. adj. 


Centre qui on a rendu une sentenoe, oondamne. | £ 


—d4morie, condamnd & mort. 


SENTENCIADOR , A, adj. qui juge, qui rend ! 


une sentence, qui condamne, ole. 


Bentencıin (@), o. a. sentencier : condamner - 


par sentence & une peine affliclive. Juger, ren- 
dre une sentence contre quelqu’un. Prononcer 


wme senienos, juger en matidre civile. (Ag.) ; 


SEN 


Deeider, danner son avis dans une dispuis. (id.) 
Juger, decider. — a gales, a degrede,, d worte, 
eic., condamner aux galöres, a la depertalien, 
ä mort, elc. 

SENTENCIÖSANENTE,, ade. sonlencieusement, 
d’une manidre senlencieuse, 

SENTENCIÖSO, 4, adj. seniencieuz : qui cem- 
tient des maxzimes; qui parie par maximes. 

SEnTipauänıs, sdo. dolemment, d’ane ma- 
niere dolente. Sensiblement, d’une manites 
sensible. 

Sentipissıno, A, adj. sup. de 

Szntioo, a, p. 9. de Sontir. edj. Qui ren- 
fermeo ou exprime un senliment. Sonsibie,, sus- 
ceplible, qui s’oßense de tout, eic. Passionne, 
rempli de passion, de tendresse, touche. Me- 
content, qui n’est pas satisfait. Conirit, triste, 
afflige, chagrin. Fendu, ouvert, f2l&, söpare. 
Gäws, qui commence A sentir fort. Der-es por 
—, tömoigner son ressentiment!. Cara —e, 
viande qui commence & sentir fort. Mulher 
—s, (fig.) femme dent la condsite est deu- 
leuse, qui penche vers la prostitatien. 

SanTipo, 8.m. 50D8 : organe par legquel Päme 
regoit les impressions des objels exterieurs; 
appetit concupiscible. —, jugementi, raison, 
bon sens. — signilicetion d’un mot, d’un dis 
cours, eto.; esprit, diverses inlerpreistions 
qu’on peut donner & une proposition, ete.: 
pensse. Soin, attention, garde. (an5.) V. Sen- 
timenio, Mdgen. — commum, sens Commıan, 
bon sens. — ‚ confrario,, contre-sens. — eqw- 
0060 , mot & double sens, & double entente. % 
— rigoreso ou restricto, dans le sens &treil. 
Forgar, inverter 0 — d’uma lei, d’uma peis- 
ora, etic., detourner le sens d’une lol, d’une 
parole, eic. Tome —, laites attenlion , prene: 
garde. Com lodos 08 seus einco —s, ( ig.) avec 
müre deliberalion , aveo toute laltention con- 
venable. Perder os —s, car sem —s, perdre 
connaissance, 

Senrino! intery. garde ä vous! gare! 

SEntiänte. V. Sensionte. 

SentiLuo. V. Cintilko. 

SENTIMENTÄL, adf. 2 gen. senlimental : quia 
le sentiment poor prineipe ow pour objet; oa il 
entre beaucoup de sentiment. 

SENTIMENTO, 8. m. sentinient : perception que 
l’Ame a des objets par les sens; capacits, apti- 
tude & recevoir les impressions, faculte de sen- 
tir; sensibilitd physique os morale; pensce; 
impression regue sur l’Ame; sensibilils; affec- 
tion, passion, mouvrement de Fäme. Doulear, 
aflliction, chagrin. Avis, sentiment, opinion. 
Ressentiment, sujet de plainte. “Fente, crevasse 
dans un mur, etc., qui le fait menacer raine. 
menor 0 — de quem se vai do que o de quem 
fica, on est moins fäch& lorsqu’on part que 
lorsqu’on volt partir. 

SEentina, s. f. sentine: partie basse d'un ns- 
vire oü s'arretent les ordures. (Ag.) Cloaque, 
endroit rempli d’infection, d’immondices. {a2} 
Endroit oü se commelient toules sortes de eri- 
mes, etc. : senline de tous vices, 




















BEP 


Sanrınluna, s. f. sentinelle : soldat qui fait 
le guet , la fonction qu’il remplit; Tactionnaire. 
Personne yui gueite, qui epie, qui observe, — 
perdida, sentinelle perdue. Astar de —, fazer 

‚etre en laclion, fairo faclion. — de ca- 
vallo , vedelte. 

SENTIR , s. m. seutiment ; faculiö, action de 
sentir. Denlimnent, avis, opinion. 

SENTIiR, ©. @. ei m. senlir : recevoir par les 
sens u1e Impression sur l’äme; avoir l’Ameo 
smuo,lec@urWouche ; ressenlir, goüler, &prou- 
ver; 64 8 pendtr6 d'un senliment, d’une verit6, 
d’unge sensalion, d’une Impression; souflrir 
quelqus douleur, &prouver queique besoin; 
eonnaltre, s’apercevoir que; ouir, enlendre; 
penser, juger, eire d’avis; prevoir; ressenlir. 
Eire fäch6 ,avoirdu regreide. — deniro d’alma, 
de morte, senlir vivement, &tre sensiblement 
afflige. Sinto mwilo, je suis bien fäche. Sinto 
muilo isso, jen suis bien fäche. Sinto muilo 
selo offendido,, j'ai un grand regret de l’avoir 
olfense. Como 0 sinio, vraiment, comme je la 

nse. 

Sentia-se (de), v. r. 88 ressenlir, se piquer 
de. Se sentlir, connaltra l’&tat ou l’on est, ses 
wslents, ses forces, 585 ressources. Se sentir 
obha6 & quelque chose. Se fendre, se fäler, 
s’ouvrir, menacer ruine. impers. Se faire sen- 
tir, so faire entendre. Sem se —, sans s’aper- 
cevolr, sans connaissance, sans allenlion ; sans 
bruit,ä la sourdine. Ndo me sinio com animo 
de, com forpas para..., jo ne me sens pas l6 
courage, la force de... Sentinse um grande 
iremör, um grande rwido, un grand Iremble- 
ment de terre s’est fait sonlir, un grand bruit 
s’est fait entendre. 

Senziäua, s. f. (t. da Bresil) logement des 
esclaves nögres ; obaumiöre, 

S2o. V. Sem et Seie. 

Seranachö, s. /. s6paration : action de söpa- 
rer ow de se söparer;; ses elfets; chose s6par6e ; 
divorce; abandon de sommunion ; chose, cloi- 
son, eto., qui separe. Disjanotion, segrögation, 
sloignement; &cartemeni. —, adieu, conge. 

SEPARADAMENTE , ade. söpar6ment, A part. 

°+Separänas, 8. f. pl. pensions accord6es 
par Alphonse V de Portugal. 

Serankno, A, P. P- de Separar et adj. Ser 
— duma [role ou d’wn navia, (1. de mer.) &tre 
efllots ow ecarı6 d’un valsseau avec qui Von 
allait de oompagnie. 

++ SEPARADOR , . m. oolui qui söpare. 

Serania (de), v. e. s6parer : d6sunir les par- 
ties jointes d’un tout ow 06 qui elait uni; faire 


‚SEP 1083 


Seranativo,A, adj. quisspare, quiala fa- 
cult& de s&parer. 

SEPARATÖRIO, 5. m. separatoire : vase de chi- 
mie pour faire une separalion. 

SeranävgL, adj. 2 gen. separable: qui peut 
ötre separd ow desunl. 

Skro. V. Cepo. 

*+Sgrosıchö, 5. f. priöre, instance pour ob 
tenir quelyue chose. 

Serrsusno. V. Setembro. 

+ SepreurLuo, A, adj. (podl.) qui coule par 
sep canaur. 

BPTEMPLICR, adj. 2 gen. qui a sept doubles. 

SEPTEMVIRAL, adj. 2 gen. qui Concerne 163 
septemvirs. 

SEPTENVIRÄTO, 5. m. septemvirat, dignilö de 
septemvir. 

SEPTEMVIROS, 8. m. pl. septemvirs : sep! ma- 
gistrats (A Rome) qui conduisaient les colonies 
et distribuaient les terres. 

Serrenipas, adj. f. pl. (8. de bot.) Folhas 
—as, feuilles digiises A sept folioles. 

SEptenÄL, ad, 2 gen. septennal : qui arrive 
tous les sept ans. 

4 Iepremärıo, s. m. nombre sSeptensire, 
nombre de sept. Espace de sept jours: il se dit 
de certains exercices de dövolion qui dureni ce 
temps-lä. Septenaire : espace de sept ans de la 
vie de !’homme. 

SEPTENÄRIO, A, adj. de sept, qui a 0% Con- 
dient sept. 

+ SEPTENIO, 8. m. Espace de sept ans, seple- 
naire. 

Serrextnıiö, s. m. septentrion, nord, p4le 
arctique. Nord, vent du nord. 

SBPTENTRIONÄL, adj. 2 gen. sepientrional: 
du cö1s du septentrion; qui vient du Nord. 

Serrico, a, adj. (l. de mdd.) septique: qui 
fait pourrir les chairs, 

+ Ssrricönpe, adj. qui a sept cordes (Iyre). 

+ SEPTiFÖRME , adj. 2 gen. qui est de sept fa- 
sons. 

Strriuo. V. Sdlimo. 

+ Szrrisono, A, adj. qui a sept suns. 

SzrtTiVoco, A, adj. qui a sept voiz. 

Serro, 5. m. (1. d’anat.) septum, cloison , a6 
paration. — fransvudrso. V, Diaphragma. 

Serrao. V. Scepiro, 

SEPTUACERÄRIO, A, adj. Sopluagänaise : Age 
de 70 ans. 

Sgrruasgsiua ,s. f. Septuagösime : lroisienie 
dimanche avant le car&me, 

SErTUAGBsıNd,, A, adj. soixanie-dixieme. 

SEPTÖPLICAR,, ©. 8. septupler ; repster sapt 


que des dtres ne soient. plus ensemble; &loi- | fols. 


gner; disiinguer, ranger, diviser, partager; 
mettre ä part, ohoisir, Boarter. Rotrancher. — 
o bom de mdo, söparer la ben d’avec lo mau- 
vais. — o meridode mulkor,söparer un mari et 
une femme, söparer le mari d’avos sa femme: 
empe6cher leur oobabitatien, 

Serarin-se, 9.7. V. Dieidir-se, Apartar-se. 
Se Jötacher, s’dloigner de, renonoer &, FomMpre 
aveo, so quiiier, 30 söpareR, prendre vongb. 


BErTurLO, A, adj. ot 5. m. sepluple : sopt feis 
autant. 

SrruLcaiL, adj. 2 gen. sepuloral: qui eon- 
oerno les söpulores. Vox —, voix söpulerale, 
sourde, qui semble sortir du tombean. Louss 
 . tombe. 

SerdLcano, 3. m. söpulcre, tombeau, seöpul- 
ture; monument pour deposer, oü est d&poss 
un mert. O sanfte —, söpulcre, tombeau: espece 


1084 SEQ 


de chässe oü l’on enferme lo Saint-Sacrement 
le Jeudi-Saint. 

SEPULTÄDO, A, P. P. de Sepullar. 

+ SEPULTÄNTES, s. m. pl. (t. d’hist. nat.) 
* porte-moris, col&opteres. V. Nicrophoro. 

SEPULTÄR, v. a. enterrer, inhuiner, donner la 
sepulture. ( Ag.) Ensevelir dans l’oubli. 

SEPULTÄR-SE, dv. r. s’enserelir. — em vida, 
s’ensevelir tout vil. 

SEPÜLTO,p. pP. irr. de Sepaltar. 

SEPULTÜRA, 8. f. sepulture: lieu od I’on en- 
terre un mort; l’inhumation ; tombeau ; fosse. 
Der — a um morto, inhumer, enterrer un 
mort. Ir para a —, descendre au tombeau. Ca- 
var a sus —, creuser soi-m&me sa fosse. Zevar 
4 — ,(ig.) mener au tombeau, causer la mort. 

SEPULTUNEIRO, 8. m. fossoycur. V. Coveiro. 

SEQUÄCE ou sectateur, partisan 

Srquiz, adj. 2 gen. d’une doctrine, etc. 

Segoukıro, 5. m. terrain sec, aride; terrain 
non arrose. 

SEQUELA ‚s. f. suite, consequence, induction, 
resultat. L’action de suivre un parti, une Opi- 
nion ; sequelle. Suite. V. Sequito. 

SeQuencıa,, 5. f. sequence, prose qui se dit & 
la messe. —, suite de cartes de meöme couleur 
“(aujeu). 

Sequtnte. V. Segwinte. 

Sequ£r, adv. au moins, du moins. Nem —, 
pas möme, pas seulement. Nem — um s6, pas 
meme un sul. Nem — teve tempo de..., ilwa 
pas eu seulement le temps de... 

SEQUESTRAGÄD, 8. f. söquestration : action de 
söquestrer, V. Sequesiro. 

SEQUESTRÄDO, A, pP. p. de 

SEQUESTRÄR, ©. a. sequestrer : melire en 
main tierce. Saisir. ( fg.) Priver de Pusage ‚des 
fscultes, etc. 

SEQUESTRO, 3. m. *a&questration ‚ söquestre : 
depöt en main tierce d’une chose contestee. 
Böquestre : le döpositaire du sequestre. *Saisie. 
(Ag.) * Separation, &loignement. Faser —, 
meltre en söquestre , söquestrer; saisir. 

Szourine, s. f. V. Secure et Sequidäo. 

Szqauıni6, s. f. secheresse : dtat, qualit& de 
06 qui est seo. V. Secca. ( Ag.) —, froideur, ru- 
desse de caraotere, durei®, brusquerie, ru- 
desse. (id.) Secheresse de style, manque d’elo- 
quenoe, de fecondits. — d’espirito, s6cheresse : 
etat de l’Ame refroidie qui ne trouve plus de 
oonsolation dans les exerceices pieux. Com —, 
malgracieusement. 

+} SzaviLuos, s.m. pl. massepains, Craque- 
lins, gimblettes, etc. 

SEQUIM , s. m. sequin : monnaie d’or de difße- 
rents Etats italiens (environ 12 fr.) et du Levant 
(de 749 fr.), etc. 

SEQUINROSO, A , adj. Sec, aride. 

SEQUIÖBANENTE, adv. avec srl; (Ng.) avec 
ardeur. 

Sgquiöso, A, adj. altöre; sec, aride. V. Se- 
denio. 

SEQtissimQ, A, adj. sup. de Secco, 

SAquıto, s. m» "suile, coflegı. l.onanges, 


SER 


applaudissemenis pablics, approbstion unire- 
selle, renommee, vogue. 

Ser, s.m. @tre: essence d’wme chese; larız 
lite, Vexistence actuelle; ce qui est: ch, 
personne. V. Ente. En —, en natare, en espkee, 
en entier, inlact. Voltar ou resfituir as cum 
a0 seu — ‚ remettre la chose en Son entier. 

Str, v.». @tre, exister, subsister de teilen 
telle maniere, avec telles owtelles qualites; > 
partenir; arriver, se passer de telle manike: 
tirer son origine, @tre natif de; &tre d’unep= 
fession,, d’un conseil, ete., exercer un emp: 
ötre tel, avoir telle proprietie; ©tre ainsi, % 
telle manidre. Assister, @ire present. — de 
guem, tire du parii de quelqu’un. Fir «-, 
devenir. A — assim, cela diant. A — ars, a 
c’esı vrai. A ndo — que, si 08 n’est que. Tiais 
de— , cela ne pourai manquer d’arrne.—ı 
gosto de lodos,, &ire au goßt de tout je merde 
Como quer queseja ou Seja 0 que for, quasi gt 
en soil. Saja qual for vossa intenpäo. gueia 
que soit votre intention. Seja ou mde sejs, gen 
qu’il en soit. Sendo Deos servide, s’il piRi 
Dieu. Ainda que fosse, füt-ce. Quandı as 
fosse sendo..., ne [ül-ce que... Quande un» 
sim fosse ou dado que assim fesse, pen qu 
cela füt. Diz-se muilo meis do que 4, onmä 
beaucoup plus qu’il n’yen.a. Zsio e, can 
dire. Era d’uma vez,(pop.) il y avait autreisa 
Commencoment oblige de tous les rocks & 
bonne femme. Sow eu, d elle, ete. Cosi ma, 
c'est lui, eit. Sdo os rieos, säo os gramdes, #. 
ce sont les riches, ce sont les grands, etw. % 
eu [öra fwlano, si j'&tais & la pl dam 
Näo d cerloP ndo d evidente...? n’estil pas cn 
tain? n’est-il pas evident...?2 Qwe serö...! zu 
sera-ce!... 

Senacorzar. V. Seracofeer. 

SzrarıM, eic. V. Serapkim , oc. 

Serarina, s. f. &tolfe de laine ass w=- 
blable & la ratine. 

Serauico. V. Saramago. 

SERAMPELO. V. Sarampo. 

Seramüco. V. Si 

Ssaiö, s.m. "veillee, travail d’sme vesie 
* Boiree. V. Sardo. 

+ Searärırn, s. f. (1. de bot.) V. Weioberiake. 

7 SerärBicä, s. f. nom d’une fleer. 

+ SERÄPHICAMENTE , adv. & maniere dis =- 
raphins. 

SERÄPHICO, A, 6dj. seraphique : qui app#- 
tient aux seraphins, qui leur ressemshle; »p- 
theie donnee A Saint-Prancois d’Assise et i se 
ordre. 

SErarHis, 3.m. söraphin : celesee de 
la premiere hiörarchie. (Ag.) Persenne d ws 
beauts, d’un caraotöre angeligue. (sd.) Hamm 
enflamme de Pamour de Die. Serapkins, F 
(1. de bot.) V. Amor perfeite. 

SeaariLutına. V. Serapilkeira. 

Serarino. V. Sagapeno. 

GERASQUIER , 3. we. strasquier : gemesal keit. 

SeniruLa. V. Serretule. 

SERBUND, A, adj. ohtlain fomes. 











SER 


Szata ow Sungıa, s. f. Sirdne : monsire fa- 
ıleux, moiti6 femme et moıti6 poisson ; (fig.) 
mme trös-söduisante, dont la voix touche, 
ndtre. 
SeaeröLio. V. Cerofölko. 
SERENÄDO, A, p. p. de Serenar. adj. Rendu, 
venu serein, etc.; calme, tranquille. Expose 
serein, rafraichi au serein. 
JERENAMENTE, adv. avec serenite, 
‚ubler ; paisiblement. 
SERENÄR, ©. 6. rendre serein, rasserener. 
1.) Exposer au serein, meltre (de Peau), ra- 
ichir au serein. Apaiser, calmer: — 0 sem- 
ınle, adoucir l’air du visage. 
JERENÄR, 9. %. 56 rassurer, So meltre au 
ku, devenir serein, en parlant da temps; se 
Imer,devenir calme, en parlant de la mer. 
JERENÄR-SE, 0.7. Se Fassurer, se calmer, 8’a- 
ueir, se remettre de son trouble. Se calmer, 
paiser. 
IERENÄTA, 8. f. sörönade : concert que l’on 
ıne la nuit, dans la rue, sous des fene@tres. 
JERENIDÄDE „ sf. serenite : ötat de ce qui est 
ein; trangusliiie, calme. — da eunscionche, 
‚enite de eonscience. — danimo, sang-froid, 
ssence d’esprit. 
jJERENISSINO,, A, ad). sup. de Sorene. Sert- 
sime : titre qu’on donne & oertains prinoes, 


sans se 


JERtNO, 8. m. sorein : vapeur humide, rosee 
ttombe au ooucher du soleil. do —, adv. & 
couvert, & la belle tolle. 
jentno, A, adj. serein : beau, elair; doux 
talme, en parlant de l’air. (4g.) Doux, calme, 
nquille. Gola —s,, goulte sereine, amaurose. 
23 —s , ( podt.) jours sereins. 
IERGANTÄRA. V. Lagerliza,. 

SEAGENTA , 3. f. servanie. 

SEnckute. V. Sargents. 

'Sercuß ınas, 3. f. pl. Usen grossier de laine 
le lin. 
IERGUILB A, 8. f. ancienne 6toffe de laine. 
IERIANENTE, ade. sörieusement , d’une ma- 
re grave et serieuse, Bans Fire, tout do bon. 
Sisudamente. 
r Serscäua, 5. f. " mets trös-exquis dans 
ıde. 
jERICO, A, adj. de solo, soyeuz. 
an, s. f. serie, suite, encbalnement, or- 

, liaison. — dos ü es, 
"suite gönsalogigue des emmpereurs, etc. 

JuRIBDÄDE, s. f. * serieux, gravite dans l’sir, 
ns les manidres. "Air, ton, regard s6rieux, 
&re. Sincotrits, franchise. 
jgnire. V. Xerife. 

'Senisa. V. Sesoge. 
jznıLair, eis. V. Sarlikar, etc. 
3ERINGA , 8. f. Seringue. 
JERINGADA, 8. f. " jet de seringue. 
JERINGÄR, ©. @. seringuer : pousser une li- 
eur avoo la seringue. 
JERINGATORIO, 8. m. "injection faite avec une 
ringue®. 
3ERIO, A, adj. aurieux, gravo ponc; stväre, 


SER 1085 


rude , sincerö, vrai ; important. Pör-se —, 
p endre son serieur. Fallar — ‚ parier serieu- 
sement o% sinctrement. Tomar em lom —, 
prendre au serieux. s.m. V. Seriedade. 

Seruiö, s. m. sermon, predication : discours 
prononc& en ohaire. fg.) Remontrance Iongue 
et ennuyeuse. 

SERMÄOZINHO, 3. m. dim. de Sermdo. 

SERMONÄRIO, 8. m. Sermonnaire : recueil de 
sermons. ' 

" SERMONRTE. V. Salmonete. 

SERMONTESIO, V. Serventesio. 

"Stans, s. f. morceau de terre labourable. 

TSerö, s. m. eımbarcation & rames dans 
Finde. 

SERÖDEO, A, adj. tardif, qui märit lard, 
d’arriere-saison. 

Serosinäde , 8. f. (l. de mdd.) serosilc : por- 
tion aqueuse da sang, du lait, etc. 

Sen6so, A, adj. seteux, aqueus, charge Je 
serosites. 

SERÖTINO, A , adj. du solr. 4. V. Serodio. 

Senräö, s. m. (t. de bot.) serpolet, thyın sau- 
vage : plante labide. 

S£nrE,,s. f.* serpent. V. Serpenle.— do ar- 
cabuz , do le, serpenlin,, piöce d’un an- 
cien mousquet qui venait la möche. Z mais ve- 

ho que « — ‚(phrase prov.) il est vieux comme 
Herde. exirömement ancien. —s de crisial, 
(podt.) eaux qui coulent en serpentant. 

SEnrEiR, o. ®. serpenter : avoir une mar- 
che, une direction , un Cours toriueux , comme 
les serpenis. 

SeareEsin, eic. V. Serpsar, elc. 

f Senrantante, (8. de bot.) V. Replante. 

SERrEnTÄö, 5. m. serpent : instrument de 
musique en Berpent; celui qui en joue. 

SERrPENTÄn. V 

Suarantänıa, 8. f. (1. de dof.) * gouet ser- 
pentaire, la grande ntaire : planie arolde. 
— de Virginia, eristoloche serpentaire , vulg. 
sorpentaire ou colavrine de Virginie. 

SERPENTÄRIO, 6. m. ($. d’asir.) Berpentaire, 

Ophiuchus:oonstellatiion N. de soizanie-qua- 
torzo &toiles. — d’Afriea, (8. d’hist. nal.) mes- 
sager, secrötaire : oiseau. 
: SERPRnTE,s.f."serpent, replile. (Ag.) Femme 
extremement laide, monsire, vipere. — in- 
fernal , serpent, le demon sous la forme d’un 
serpent. 

SERPENTEAR. V. Serpear. 

+ SERPENTICIDA , 8. 2 gen. lueur de serpenis. 

T SERPENTICOLA , adj. ol 5. 2 gen. serpentli- 
cole : adoralsur des serpenis. 

+ Sgarantireno, A, adj. ( Pod.) qui produit 
des serpents. 

+ SEarENTIOERA, adj. 2 gen. engondre d’un 
serpent 

+ SeRPEATIGERO, A, adj. qui porie des ser- 
penis. 

Senrentina, 8. f. "chandelier ä trois bran- 
ches. "Cierge A trois branches, en triangle, 
qu’on allume lo samedi-saint. Serpentine , ha- 
mac de coton & röscaux, palanyuin 3 zideaux 

















1084 SEQ 


de chässe oü l’on enferme le Salnt-Sacrement 
le Jeudi-Saint. 

SEFULTÄDO, A, p. p. de Sepullar. 

+ SeruLTÄnTEs, s. m. pl. (1. d’hist. nal.) 
* porte-moris, col&opteres. V. Nicropkoro. 

SeProLTÄR, v. a. enterrer, inhumer, donner la 
sepulture. (fg.) Ensevelir dans l’oubli. 

SEPULTÄR-SE, v. r. s’ensevelir. — em vida, 
s’ensevelir tout vif. 

SerÜLTo,p.p. irr. de Sepullar. 

SeroLTüra, 8. f. sepulture: lieu oü l’on en- 
terre un mort; l’inhumation ; tombeau ; fosse, 
Dar — a um morto, inhumer, enterrer un 
mort. Ir para a —, descendre au tombeau. C#- 
var a sus —, creuser soi-m&öme sa fosse. Levar 
4 — ,‚(g.) mener au tombeau, causer la mort. 

SertLTuntıro, 8. m. fossoyeur. V. Coveiro. 

SEQUÄCE ou sectateur, partisan 

Sequiz, adj. 2 gen. d’une doctrine, etc. 

Sequtino, 3. m. terrain sec, aride; terrain 
non arrose. 

SequtLa,s. f. suite, consequence, induction, 
resultat. L’action de suivre un parti, une Opi- 
nion ; sequelle. Suite. V. Seqwito. 

Srqusncıa, 5. f. sequence, prose qui sedit ä 
la messe. —, suite de cartes de me&me couleur 
(au jeu), 

Sequänte. V. Seguinte. 

Sequ£r, adv. au moins, du moins. Nem —, 
pas meme, pas seulement. Nom — um sö, pas 
ıneme un sul. Nem — eve tempo de..., il n’a 
pas eu seulement le temps de... 

Szquestaacäl, 8. f. sequestration : action de 
söquesirer. V. Sequesiro. 

Sequsstnino, 4, p. p. de 

Seoussträn, 9. a. sdquesirer : melire en 
main tierce. Saisir. ( Ag.) Priver de Pusage , des 
fecultss, etc. 

SrQuEstao, 5. m. "s6questration ‚ s&questre : 
d4pöL en main tierce d’une chose contestee. 
Bequesire : je depositalre du sequestre. ° Saisie. 
(Ag.) " Beparation, 6loignement. Faser —, 
metise en s&quesire , söquestrer; saisir. 

Szquraine, s. f. V. Secure ot Seqwid6o. 

SzauıpA6, s. f. söcheresse : &tal, qualit£ de 
ee qui est sec. V. Socca. ( Ag.) —, froideur, ru- 
desse de caractöre, duret, brusquerie, ru- 
desse. (id.) Secheresse de style, manque d’elo- 
quenoe, de l&condils. — d’sspirito, secherease : 
&tat de l’Ame refroidie qui ne Lrouve plus de 
oonsolation dans les exorcices pieux. Com —, 
malgracieusement. 

+ SrquiLnos, s. m. pl. massepains, craque- 
ins, gimbleties, etc. 

SEQUIM , 5. m. sequin : monnaie d’or de difße- 
sents Eisis italiens (environ 12 fr.) et Au Levant 
(de 7&9 fr.), etc. 

SzQuınnöso, A, adj. sec, arıde. 

BEQUIÖSANENTE, adv. avec serl; ( Ag.) avec 
ardeur. 

Sequ6s0o, A, adj. altärk; sec, aride. V. Se- 


SEQuissıma „A,ady. sup. de Secco. 
Saguıro, s, m» "suile, coflegc. LOusnges, 


SER 


applaudissements pablics, approbation univer- 
selle, renommee, vogue. 

Ser, s.m. &tre : essence d’une chose; la rea- 
lit, Vexistence actuelle; ce qui est; chos, 
personne. V. Ente. Em —, en nalare, en espere, 
en entier, intacı. Volter ou reskiuir as consm 
a0 seu — ‚ remettre la chose en son entier. 

S&r, v. ». @ire, exisier, subsister de telle on 
telle maniere, avec telles owtelles qualites ;ap- 
partenir; arriver, se passer de telle maniere; 
tirer son origine, @tre natifde; &tre d’une pre- 
fession,, d’un conseil, elc., exercer un emple; 
ötre tel, avoir telle proprieie; @ire ainsi, de 
telle manidre. Assister, @ire present. — dal 
guem, eire du parti de quelqu’un. Vir —, 
devenir. A — assim, cela dtanı. A — carte, ü 
c’esı vrai. Ando — que, si co n’est que. Tiake 
de—, cela ne pouvaiß manguer d’arriver. —a 
gosto de lodos, &ire au goüt de tout le monde. 
Como quer que seja ou Seja 0 que for, quoi quü 
en soil. Seja qual for vosse intenpdo. quelle 
que soit votre Intention. Seja ou ndo seja, quei 

u’il en soit. Sendo Deos servido,, sil plaltä 

jeu. Ainda que fosse, für-ce. Ousmndo nis 
fosse sendo...,ne [üt-ce que... Quande isse a» 
sim fosse ou dado que assim fosss, Pose qus 
cela füt. Diz-se muilo mais do que 4, on en di 
beaucoup plus qu'il n’yena. Jste 6, c’es-a 
dire. Era d’umsvez,(pop.) ily avait autrefen 
Commencement oblige de teus les recits de 
bonne femme. Sow ew, d elle, ste. C'est mu, 
c’est lui, eier. Säo os rieos, sdo os „ee, 
ce sont les riches, ce sont les grands, etc. Se 
eu [öra fulano, si j'&tais la place d’un tel 
Näo d corto? ndo & evidense...? n’est-il pas cır- 
tsin? n’est-il pas evident...? Owe serd...! gue 
sera-ce!... 

Seracorsan. V. Serasolser. 

SErarım, etc. V. Serapkim , etc. 

Serarina, 3. f. &toffe de laine assez sew- 
blabie & la ratine. 

Seaauico. V. Seramago. 

SERANMPELO. V. Sarampo. 

Saaınico. V. Seramugo. 

Seriö,s.m. "veillee, travail d’ane rveiliee. 
* Boirde. V. Sarde. 

+ Sexirıa, s. f. (1. de bot.) V. Helsberiahe. 

T Serirnica, s. f. nom d’une leur. 

+ SERÄPRHICANENTE,, adv. A manitre des se- 
raphins. 

SERÄPHICO, A, adj. seraphigque : qui appar- 
tient aux straphins, qui leur ressemble; ep«- 
thöte donnde & Saint Francois d’Assise ei ä son 
ordre. 

Senaruis, s.m. söraphin : esprit cöleste de 
la premiere hisrarchie. (Ag.) Personne d’uss 
beauts, d’un caracidre angelique. (sd.) Home 
enflammö de l’ameur de Dieu. Serepkins, Pl 
(1. de bot.) V. Amor perfeite. 

Seraarımtıaı. V. Serapulksirs, 

Serarino. V. Sagapeno. 

Sgnasguisa, 5. m. Btrasquier : gendral tart. 

SsaituLa. V. Serratula. 

SERBUNO, A, adj. ahutain Someb. 


SER 


Senka ou Sunzıa, s. f. Sirdne : monstre [a- 
buleux, moitie femme et mo:ti6 poisson ; (lg.) 
femme tr&s-s$duisante, dont la voix touche, 
penetre, 

Sereröuio. V. Corofölho. 

SERENÄDO, A, p. p. de Serenar. adj. Rendu, 
devenu serein, etc.; calme, tranquille. Expos6 
au serein, rafratchi au serein. 

SERENAMENTE, adv. avec serenite, sans se 
troubler ; paisiblement. 

SERENÄR, ©. a. rendre serein, rasseröner. 
'fg.) Exposer au serein,, metire (de l’eau), ra- 
'raichir au serein. Apaiser, calmer. — 0 sem- 
blante, adoucir l’air du visage. 

SERENAR, ©. ". 86 Tassurer, se meltre au 
beau , devenir serein, en parlant du temps; se 
calmer,devenir calme, en parlant de la mer. 

SERENÄR-SE , U. 7. se Fassurer, se Calıner, 8’8- 
doueir, se remettre de son trouble. Se calmer, 
s’apaiser. 

SERENÄTA, 8. f. sörönade : concert que l’on 
donne la nuit, dans la rue, sous des fen#tres. 

SERENIDÄDE,, 8. f. serenite : otat de co qui est 
serein ; tranqulillite, calme. — da eonsciencta, 
serenits de conscience. — d’animo , sang-[roid, 
presence d’esprit. 

SerENissımo, A, adj. sup. de Sereno. Sere- 
nissime : titre qu’on donne & ceftains princes, 
etc 


SEr2nO, 3. m. serein : vapeur humide, rosee 
qui tombe au ooucher du solell. 4o—, ade. & 
decouvert,, & la belle &toile. 

Sentuo, A, adj. serein : heau, clsir; doux 
et calme, en parlant de l’air. (#g.) Doux, calme, 
tranquille. Gols—e, goulte sereine, amaurose. 
Dias —s , ( podi.) jours sereins. 

Sencantänua. V. Lagarliza. 

* BERGENTA , 5. [. servante. 

“ Serngknte. V. Sargente. 

+ Sencutıaas, s. f. pl. sen grossier de laine 
et de lin. 

SERGUILBA, 8. f. ancionne &toffe de laine. 

SERIAMENTE,, adv. sörieusement , d’une ma- 
niere grave et serieuse, sans rire, tout de bon. 
V. Sisudamente. 

+ Saxıciua, s. f. * mets trös-exquis dans 
l’Inde. 

Serico, A, adj. de sole, soyeux. 

SERIE, 8. f. sörie, suite, enchalnement, Or- 
dre, liaison. —g adores , 
etc. , suite gendalogique des empereurs, etc. 

SerIEDÄDE, 5. f. * särleux, gravite dans air, 
dans les maniöres. "Air, ton, regard sörieux, 
sörere. Sinctrits, franchise. 

Szuire. V. Kerife. 

* Serica. V. Sesoga. 

SenıLain, oie. V. Sarülkar, etc. 

SERINGA, 8. f. seringue. 

SErınGÄDa, 8. f. * Jet de soringue. 

Senincik, vo. a. seringuer : pousser une li- 
queur avec la seringue. 

SERINGATÖRIO, 8. m. "injection faile avec une 
seringue. 

BERIO, 4, adj, serieux, geava pose; sövöre, 


SER 1085 


rude,, sincerö, vrai; important. Pör-se —, 
p endre son serieux. Fallar — ‚ parlor serieu- 
semient ow sincerement. Tomar em lom — 
prendre au sörieux. s.m. V. Seriedade. 

SERMÄO, s. m. sermon, predication : discourse 
prononce en ohaire. Ag.) Remontrance longue 
et ennuyeuse. 

SERMÄDZINHO, 5. m. dim. de Sermdo. 

SERMORÄRIO, 8. m. Sermonnajre : recueil d@ 
sermons. 

* SERMONRTE. V. Salmonete. 

SERNONTESIO. V. Serventesio. 

“ Stana, 3. f. morceau deterre tabourablie. 

tSerö, s. m. embarcation A rames dans 
PInde. 

SerODEO, A, adj. tardif, qui müril Lard, 
d’arriere-saison. 

SErOSIDÄDE , 8. f. (l. de med.) serosile : por- 
tion aqueuse du sang, du lait, etc. 

Sen6so, A, adj. seteux, aqueux, charge Jde 
serosites. 

SERÖTINO, A , adj. du solr. 6. V. Serodio. 

Serriö, s. m. (1. de bot.) serpolet, thyım sau- 
vage : plante labiede. 

S£are,s. f." serpent. V. Serpente.— do ar- 
cabug, do mosqueie, serpentin,, piece d’un an- 
cien mousquet qui tenait la möche. E mais ve- 
Iho quea—, ase pr09.) il est vieux comme 
Herode, exir&emement ancien. —s de cristal, 
(podt.) eaux qui coulent en serpentant. 

SENPEÄR, 9. ®. serpenter : avoir une Mar- 
che, une direction , un Cours tortueux , comme 
les serpents. 

Senrzsän, etc. V. Serpsar, etc. 

+ SERPENTANTE, (8. de bol.) V. Reptante. 

SERPENTÄÖ, 5. m. serpent : instrument de 
musique en serpent; celui qui en joue. 

Serpentän. V. Sorpear. 

Surrantänıa, 8. f. (1. de Bot.) * gouel ser- 
pentaire, la grande serpentaire : plante arolde. 
— de Virgimia, aristoloche serpentaire , vulg. 
serpentaire ou coluvrine de Virginie. 

SERPERTÄRIO, 5. m. ($. d’asir.) Serpentaire, 

Opbiuchus:constellation N. de soizante-qua- 
torze &toiles. — d’Afriea, (4. d’hist. mas.) mes- 
sager, secr&laire : olseau. 
- BERPENTE,s.f."serpent, replile.(Ag.) Femme 
extremement laide, monsire, vipere. — im 
fernal, serpent, le demon sous la forme d’un 
serpent. 

SERPENTEAR. V. Serpear. 

+ SER PENTICiDA, 8. 2 gen. tueur de Serpenis. 

+SERPENTICOLA ‚adj. ei #. 2 gen. Serpenli- 
cole : adaraleur des serpenis. 

+ SERPRNTIFERO, A, adj. ( Podi.) qui produit 
des serpenis. 

+ SERPENTIGENA, adj. 2 gen. engendre d’un 
serpont 

T SERPENTIGERO, A, adj. qui porle dos ser- 
penis, 

SERPENTIinA, 8. f. “chandelier & trois bran- 
ches. *Cierge & trois branches, en triangle, 
qu’on allume le samedi-saint. Serpentine , ba- 
mac de coton & rescaux, palanyuin 3 sideaux 








1088 SET 


Srsmerro, s. m. celui qui administre la divi- 
sion territoriale appelde Sesmaria. V. co mot. 

Sesuo,s. m. le sixieme. V. Sesma. La reu- 
nion des endroits gouvernes par des Sesmeiros. 
V. ce mot. it. V. Sesmarla. 

SESUTIÄLTERA,, adj. 2 gem. sesquialtere. On 
te dit du rapport ‚de deux nombres qui sont en- 
ire eux comme 3 est ä 2. 

S5sQuipEDÄL, adj. 2 gen. d’un pied et demi 
de long. 

Sessäö, s. f. session : seance d’un coneile, 
ses decisions. (Ag) Conference, seance, as- 
sembise pour decider quelque chose. 

Sessin. V. Sassar. 

* Sesseca,s. f. V. Socego. 

*Sessecir, etc. V. Socegar, etc. 

BESSENTA, adj. 2 gen. num. solxanie. 

S£sso, 8. m. fondement, anus. 

S£sta,s. f. sieste: temps de la plus grande 
chaleur du jour, pendant lequel les Portugais 
dorment; meridienne, sommeil apres le diner. 
Dormir a — , faire la sieste, la meridienne. 

Sestein,o. n.[aire la sieste, la meridienne; 
passer le temps de la sieste quelque part. Il est 
«uelquefois actif. Ex. : — o gado, mener lo be- 
tall dans un lieu [rais et couvert pour y passer 
la grande chaleur du Jour. 

Sesteino, s. m. (1. de prov.) mesure de trois 
ou quatre alquiers (en Portugal). 

SESTERCIO,, 3. m. seslerce : monnaie ancienne 
#’argent, & Rome. 

h Sesto, 8. m. compas, corde, vare; Me- 
sure. 

Starno, 3. m. V. Sistro. «is. Caprice, fantal- 
sie, tic, manie, vice. 

Sestno, A, “dj. (p. ws.) V. Baquerde, Si- 
nisiro. 

Sesra6s0, A, ou } 

Bestand, R ‚adj. 
val). V Mankoso 

SEsino, etc.V. "Sisädo, eic. 

Sera ou Strra, s. f. Nöche, trait, arme de 
jet. ( Ag.) Ce qui fait Impression sur l’esprit, le 
caur: trait, aiguillon, eic. Flöche : constella- 
ilon boreale. Aiguille de montre, de pendule. 
diirar d — , tirer de l’arc. 

+Serrtäczo, a, adj. (1. de bot.) V. Filiforme. 

Stripı, s. f."coup, blessure de öche. 

BkrTez ou Serre, adj. 2 . num. ei 8. m. 
sept: nombre egal & 3 plus 4; le chiffre 7. — em 
rama. (4. de bot.) V. Tormentilla. — de levar, 
(8. de jew) sept et lo va : second paroli au pha- 
raon, etc. 

+ Serg-cisas, s. f. pl. bureaux pour la re- 
ception de l’octroi, & Lisbonne. 

SETECENTOS, AS, adj. pl. sept cenis. 

SETRESTRRLLO,, 8. m. (4. pop.) V. Pleiades. 

SETEIRA, 3. f. meurtriere : ouverture dans un 
saur pour lirer & couvert. (fg.) Lucarne de pri- 
son, elc. 

+Serkıno, s. mw. dardeur:: soldat arme de 
flöches,, archer ; celui qui tıre des öches. 


BeraLani. V, Serspüheire, 


mutin, revöche; fan- 
tasque; viclaux (obe- 


SEV 


SETELEYÄR , 3. m. faire sopt et ie va: 
päroli au pharaon,, etc. 

SET£UERO, 5. m. septembre : mois d’au- 
tomne, neuviöme de l’annee. 

SETENBZINNO, A, adj. ets. enlani n6 & sept 
mois; accouchement au bout de sept meis- 

SET£MPLICE, eic. V. Seplempliee, etc. 

Ser&no, A, adj. seplieme. 

SETERTA, adj.2 gen. num. seplante, Soixanie- 
dix. A versdo dos —, la version des Septante. 

Serentaıäö, etc. V. Septeniride, ete. 

+ Seria, s. f. salque : batiment de Iransport. 
Canal de bois qui conduit l’eeun sur la reue de» 
moulins & eau. 

SeriäL, s.m. banc, etc 
garni de soie. V. Sihial. 

Srrireno. 

SEriczno. } V. Sedelido. 

Szrim, s. m. satin. Sorte de beis du Bresil.-- 
papel, "satindde : pelite stoffe mince, imitan! 
le satin. 

Serima, s. f. septiöme (en musique ei au pi- 
quet). 

SETINMO, 5. m. Soptiöme : parlie d’en tout di- 
vise en sepl. —, A, adj. septitme : nombre or- 
dinal aprös le sixiöme ; sept. Carlos, Pio, eic., 
— ‚Charles, Pie, etc. sept (VII). Em — luger, 
septiönement, 

Sernino, —6s0. V. Assetinade 

+ Stro, s. m. sorte d’ötoßle. 

Seröura, s. f. faucille. 

Serra. V. Ceira. 

"Seraina,s.fı * „aprice, fantaisie. V. Sestre 

Strao. V. 

+ SETrRÖössos, nn m. pl. (t. de mer.) cwe 
d’affüt. 

"Seruir. V. Setisl. 

Serra, etc. V. Seis, ete. 

BurCAGznÄnıo ,eie. v Sepfuagenaris, ex. 

Seu, Sua, pron. posses. de ia troisicme per 
sonne. Bien, sienne, leur; son, sa; voire, le 
vötre; vous, Alui. De seu, adv. de soimndme, 
de son propre mouvement. Tor de—, 
en proprielsö; avoir de quei, @ire aise. Os 5, 
s. m. pl. les siens, ses paronis, 505 amis, eic. 

Sevantına. V. c 
TADILRA, ‚s. f. poudre d’ellebore, V. Sere- 

ilka 


second 


. (d’öglise) couvert, 


SEYANDIIA, 85. f. insecle, ver, Vermissene. 
(Ag.) Homme meprisable par sa figure , ses a- 
tions, son eiat, canaille. 

SEVANDUADO, A, P. P. de 

SgvanpuÄR, v. a. trailer avec mepris. 

SEVANDLIÄR-SE, v. r. sencanailler, se pr® 
stituer, s’abaisser. 

SgvanbiLna. V. Sevandyae. 

Szväan. V. Cover. 

Sive,s.f. V. Sdie et Seiva. s. we. Sorte de 
jeu de des. 

SEY&nAN£NTE, adv. sererement. 

SEYERIDÄDE, 8. [. Sövörite, rigucer, rigidiid. 
Gravils, serieuz , mine severe. Exaclitade, par 
tioularit6, observalion rigide des leis, — ds 
cooles ‚spreis de maurs, 





SEX 


BerEnissınd, A, adj. sup. de 

Szv&no, A, adj. sevöre, rigourenz. Exaot, 
ponctuel, rigide observateur des lois. Serieux, 
grave, compos®. 

Szviera,s. f. erasuts oxcessive , inhumanite. 
(1. de pret.) Sevices : mauvais- trailement d’un 
mari envers sa feınme. 

SEVICIÄR, v. a. faire des sövices ; sevir, trai- 
ter avec rigueur. 

+ Sevinaa, s. f. (4. de geog.) Serille : ville 
d’Andalousie, en Espagne. 

+ SzvıLBäno , a,adj. et s. de Serville. 

SEVIssıMO, A, adj. sup. de 

Sdvo,a,ad. "oruel, inhumain ; [6roce. 

Sevo, s. m. eio. V. Sebo, eic. 

SEXAGENÄRIO, A, adj. sexag6naire : Ag6 de 
soixanie 2n8. 

Sexacksima, 6. f. sexagesime : 
avant le dirnanche gras. 

SExAcHsımO ,A,adj. soizanliöme, 

+ SexinguLo, A, adj. (4. de geom.) hexa- 
gene: qui a six angles. 

SEXCENTESINO „ A, adj. six cenlidme. 

SEX£LNNIO , 8. M. 68pace de Six ans. 

SExHA, SExno. V. Sesma, etc. 

Buxo , Ss. m. S6KO: : difference physique, con- 
stitulive du mäle ou de la femelle. O — femr- 
nino,, le beau sexe, le sexe, les femmes. 

SEXQUIALTERA. v. Sesqwialiera. 

Sexra,s. f. une des parties en lesquelles les 
Romains et les juils divisaient le jour: elle 
commengait & midi, et comprenait trois de nos 
heures. Sezte: troisiöme des petites heures ca- 
noniales. Seizieme : suite de six carles au pi- 
quet. Sizte : intervalle de six notes dans l’or- 
dre de la gamme. 

SextÄnte,s. m. sextant : instrument d’as- 
tronomie de 600. 

BEXTÄARIO, 5. m. Böller : mesure qui dtait la 
sixiöme partie du conge romain, 

SEZXTAYADO, A, adj. (4. de geom.) hezagone : 
Aa six angles et A six cÖtes. 

SuxTkıao, s. m. la sixieme partie d’un muid. 

Sexrt£acıo. V. Sestercio. 

SextiL,adj. 2 gen. sextil (aspect, Opposi- 
tion —e), distance de 60° entre deux astres. 

SEXTILHA 04% * sizain : slance, Couplet 

Sexrina,sf. ! de six vers. 

SRxXTO, 5. m. sixiöme: portion d’une chose 
divisse en six parties. —, es, adj. num. ord. 
sixieme , hombre ordinal;; six. Alexandre, 
Jodo —, "Alexandre, Jean, elc., six(Vl). —a 
feira , vendredi. Em — Ingar, eixiömement, 

SEXTOGENITO, A , adj. sixieme ne. Enfant n& 
le sixiöme. 

SsxTuuviräto,s. m. tribunal de six magis- 
trats; charge de sextumvir. 

SEXTÜNVIRO, s m. sextumvir, l’un des six 
pretres d’Auguste. 

SEXTÜPLICAR,, ©. a. sexlupler : 
fois, multiplier par six. 

SaxrurLo, s. m. sextuple. — 
conlient six fois une quanlil£. 

SRxUVÄL, adj. 2 gen. sexuel: 

PORT.-IR. 


dimanche 


repeter six 
„A, adj. qui 


qui dent au 


SIC 1089 


dere, qui le earaoierise ; du sexe, de ohanııa 
sexe; par sexe. Systema — de Linse, systäme 
sexuel de Linne6e. 

* Serauento. V. Funeral. 

* Sgvar, etc. V. Seiar, Ciar, ete. 

* Seravöaa. V. Ciavoge. 

Sevria, V 

Saro, 3 V. Sei... 

Szziö, s. f. accks de flörre. V. Sande, 

Sısıa. V. Sesie. 

Sazıriö. V. Cizirdo. 

Szzöss, s. f. pl. fövre intermiltente. 

T Szzonitico, a, adj. od il y a des Advres 
intermittientes. 

Smuuınc. V. Chekim. 

*Si,adv. V. Sim. 

Si, pron. person. de la 3% personne, so, sol. 
De per —,, stparöment, en parliculier, chagque 
chose & part. 

Si, s. m. si: note de musique; b4-fa-si. 

T SuancouscH, 3. m. quadrupede de la gran- 
deur du chat. 

Sıar. V. Ciar. 

SıÄrıca , to. V. Scialica, etc. 

Sisa, s. [. söche, seiche : espdce de poisson 
0% polype de mer qui donne un suc ou encre® 
noire connue sous le nom de söpia. 

SıpiLa,s. f. espece de palınier sauvage de 
’Inde. 

*Sırana. V.C 

SıBÄär , 8. m. sorle d’embarcation d’Asie. 

Sıparita , etc. V. Sybarita. 

+ Sıagaıa ‚a. f. (t.de geog.)Siberie : immense 
contree occupant toute l’Asie septentrionale. 

SIBILÄNTE , adj. 2 gen. sillant. p. a. de 

SırıLir, v0. 0. siffier, imiter lo sifflement du 
serpent. 

SıeiLO „3. m. sifllement, coup de silllet. 

SıpyY'LLa, 3. f. sibylie, prophetesse. 

SıBY'LLICO, A , oW sibyllin : de la sibylle 

SIBYLLINO, A,adj. $ (livre); des sibylles 


| (oracles, vers . 


SısyLLista, s. m. libre sibyllin. 

*Sica ,s. f." poignard, dague, stylet. 

+ Sıcäusros,s. m. pl. Sicambres : peuples 
de Westphalie. 

Sıcinıa , etc. V. Sicilia, etc. 

SıcaRıÄTO, 8. m. assassinat fait avec un poi- 
gnard, etc. V. Sica. 

Sıcär1o, 8. m. sicaire, Assassin. 

SıciLiDE , adj. 2 gen. (1. de poet.) de Sicile. 

+Sicera, s. f. toute boisson enivranle, ex- 
cepte le vin; bidre. 

Sıci.ıa,s. f. (t. de gdog.) Sicile : tle de la 
Mediterranee,. 

SıcıLıäno, A, adj. et s. Sicilien : dela Sicile. 

+Sıcinno, A, adj. (poel.) des sicinnistes, 
propre aux siciunistes qui dansaient aux fund- 
railles, etc. 

SicLo, s.m. sicle : poids et monnaie des Juifs. 

SıcöMoRO. Y. Sycomoro. 

+ Sıcorira, s. f. espece de bois du Bresil. 
V. Sipipira. 

SıcrÄno, A ,s. un tel, une telle. Quldam, 


1080 SsiG 
Sıosacıa, adf. m. Vagyumie » , arte d’am» 
cion anguont. 


Sın£ago,A, adj. sideral: qui sautesne les 
astres et les dtoiles. Beillanı, resplendissant. 
Anno —, enube sidärale, lemps de Venkärb 
revolution de la lerre agieus du Jolekl. 

+Sıpzaits, #. f. (t. de bot. } siderilis, esapae- 
dine : plante. 

Sipo, (supik du verks Ser) dih. 

Sırönıa,s. f. (t. de Dior, ) Biden : ville de 
a Phenicie. 

* Sıapa. V. Bilde, Gadeire, 

Srtıne. NV. Oibirä 

Sıancıa,, eic. V. Sciencia, eto. 

* Sıssrno. V. Sestro, Empuordo. 

Sıräac. V. Peritoneo. 

Sıriß. V. Sophte. 

Bogas , etc. V. Olfes, ei8. 

SıcäLno, s. m. (4. burl.) "bouchee, 

Sıciuo. V. Algane. 

FOrcinı,s. (6 d’kist. nal.) osrise ı Insecke 
aquatique. 

Sıcäaao, etc. V. Cigarro, ete. 

Sıcı..äa, v. a. sigiier, booller. Dose les 
scolles \ 


Sıoıuänıas, s. f. pl. deux jours de fütes 
ajoules aux saturnales, & Rome, en faveur des 
esolaves. 

SıcıLıAra, adj. f. Terra —, terre sigillee. 

SıciL1o, s. m m. (ant.)V. Bello, Sintid. Becret 
qu’on garde. 0 — da eonfissdo, te sceay de la 
oonfession. 

BieLa, 8. f. abreviations, signes abreviatifs. 

Siawi. V. Sina. 

SıcnicoLv. V. Selto. 


BIGNALÄR, lc. .) V. Assigna..., elc. 


SIGNATÜRA , 686. 
SIGNIPERO, A, .ü. gu porte un Signe, une 
snarque diglinctive, e c. s. m. Enseighe, gui- 
don, porte-eiendard (chez les Romains). 
Sıcmricagi6, s. [. signifieetion : action de 
signilier ; ce que gignifle une chose ; sens d’un 
mol, 
Sıcnırıckdo, A,P. p. de Stgnifser. s.m. *Si- 
gnlfication, sens d’un mot; objel, chose signj- 
e. 
SicNHIFIcADOR, A , ddj. et 3. qui signille. 7. Si- 
gnificalivo. 


SIGRIFICÄNTB, adj. 2 gen. signiflant : qui si- | 


gniße, qui ezprime beaueoup. p. @. Je 

Sıchtrichr, ®. a. sigtilier, marquer le son$; 
exprimer, vouloir dire ; &ire signe de quelque 
ehose; denoter, marıuer quelque close; de- 
clarer, faire connattro; nolifler. Que siqnifca 
6830 ? qy’esit-ce? (jue Yeut dire cela? qu’est-ce 
que cela signille 0% veut dire? 

SICNIFIcATIVO, A, adj. signiflcatif: qui ex- 
prime bien la pensee; qul contient un grand 
sens; ezpressif, signifiaut, qui exprime beau- 
coup. 

Siaxo,s. m. (l. d’astr.) signe du zodiaque, 
consiellation. ” Fortune, destineo, astre, sort 
parliculier de l’hoıyıno, que l’astrologie fait 
sependte Je l’Influencce des astres.—s, pl, tons 


SIL 


de la musique repragenids ner has supt FOR 
zudses felires de Valphabel. 
Siono-Baniö. V. Simde, 


Becaiıma, 5. f. espbse ds esmeille, eistn. 

T Sıczänga , s. fı (8. de ging.) Eiguamge : vuls 
de la Vieille Castille,, en Espagnb. 

’ Sıeußwen. V. Soquencie. ' 

Sıcuatıua. V. Segureika. 

Sıloa. V. Glase. 

SıLascıän, v. a. impeser gllenes, 

StLäncıo, s. m. silenoe : valme, euanatien de 
bruit; eat d’uno personne qui se alt, qui me 
gexprion pas; (fig.) consation Eunsrastespen- 

ance. Pör —, itmpeser silenes, Maine tmise, 
ferner la beuelie. 

+ SILENCIÖSANENTE, adv. en silenee. 

SıLenciöso, A, adj. siteneleuf : qei gaude is 
silence; quine dit mol; qui us yarle gudre; ia- 
oiturne; qui us s'exprine nss. Oü ügue le s- 
lence, paisibie. 

rt SiL8no, s. m. sildne : gusdsupeäde de Cey- 
lan. Paresseux Je Ceylan.—e, pl. sildues : nom 

u’on donnalt aus satyres Inrsqu'ils dewemalest 

jeux. 

+ Sıueaı ,s. f. El. de g6og.) Bilesie : grande 
prörince d’AHemagne. 

SiLER, 5. m. osier, saufe-naitı , urbrissens. 
_ monidno. V. Liyustico. 

Stun, s. f.Sangle , ventriere: sancde «qui ser 
ä keindre, serrer. Berie, suite. (am8.) V. Ca- 

a, 

Sıakd, m. aug. de Silke. Grande sangla. 
6. Grande selle a dossier pqur les fernmes qei 
möntent & cheval. (7. de foPt.) Bitlon , reempatts 

e retsancheinenis. i 

+ SıLnir, s. m. pierre taillde en carrd qui 
ser d’assige aux aulres. 

+ dırmir,o. a. sangler : etinäre, nerrer set 
des sangles; auacher asar 

SILHaRia, 2 !. batimen} , etz: ‚en pietre de 
taille. 

+Siuıca ow Sıulcız, $. f. silkke, Pune des 
pretendues torres primilires, oxyde de sili- 
cium. 

+ SıLıciro ow SıLicıito, 4. m. siflicate : emn- 
pose forme par la silice et ies vorge dits alcals,. 

Sıricıo. V. Cilieio. 

SıLıcıöso , A, adj. siliedtüx : de ia nature da 
silex ; de ta si ce. Peodrg —a, silex, plesre ä 
fasit. 

SıLıcöso. V. Silietoso et Sufyuoso. 

+ Sıricura , s. f. ( t. de pl.) silicale : wupten 
de pericarpe, sillquo fort ceurte. 

+ Sıuicunösas , 8 f. pl. (t. de bot.) siffeulee- 
ses : premier ordre de la guinzieme elasse des 
vfgelaux, 

SıLıcoıöso , A , adj. (1. de bot.) silicnienz s 
en silicule, qui a une silicule ( fruit). 

SiLıncönno, A, adj. (f. P0p.) qui parie döe- 
cement pour trompe Y 


SıLiaua, s. cd. Pe bot.) sifigue : envelenpe 
he. pericar de certzins fhults, compes® 
deux panndanz ; BONSSe, 


SIM 

StLiquistne ou —TRo. V. Oldie. 

SıLıquösas, s. f. pl. Lt. de Bot.j siingneuses: 
second ordre de la quinziöme classe des veg6- 
taux. 

SıLıquöso, a, adj. (8. de bot.) siliqueux : en 
silique (fruit). 1 

t SıLisraıa, s. f. (8. de gdog.) Silistria ou Da- 
restro : ville de Bulgarle. j 

SiLLara, etc. V. Syllaba. 

Sırice. V. Singradura. 

SıLLocısuo, ete. V. Syllogismo, etc. 

+ SiLpma, s. f.(l.d’hist. nat.) syIphe : insecte 
col&optere. — sepelladora, le fossoyeur 0% 
point de Hongrie. — verdadeira ou brogüe- 
leira, le bouelier.—de qualro pontinhos, le 
bouclier & quatre points. — Fisa, te bouclier 
lisse,. — denegrida , le bouclier gonctue. 

SiLva,s. f. (1. debof.) ronce ordinalre, ronce 
des bois. — gdrga, ronce des haies, müre de 
renard. — framboezeira, le framboisier. — 
macha. V. Rosa de cdo. — d’agya, plante du 
Bresil, esp&ce de sensilive. Amör.as de —, mir 
res sauvages, müres de ronce. Silve : piece de 
poesie composee dans un moment de fougue. 
Collection de traitös sur divers sujets. * Cilice 
de fl de fer. "Bois, foret. V. Selva, Mata. 

SıLvivo, s. m. lieu couvert de buissons, de 
ronces. Hallier, haies de rfonces. Petit bos- 
quet. 

SıLvino, s. m. (l. de myth.) silvain ow syl- 
vain: genie des bois, dieu clampetre des f - 
reis. ( ig.) Homme rustre, grossier. 

Sı.vaö,s. m, V. Silva macha. 

SıLvir,o.n. silier. On le dit du bruit algu 
que fait le vent, etc. 

SıLvartıco. V. Selvalico, Silcestre. 

SıLveıra. V. Süra. 

SILVESTAE ,adj.2 gen. sauvage: qui crolt na- 
turellement, sans culture ; rustre, grossier, 
rustique, cbampetre, inculle, sans art. 

SiLvıa,s. f. V. Pintarrowo. 

} Sırvicora , . 2 gen. qui habite les bois, les 
fareıs. 

SILYINBA, dim. de Silva. 

SiLvo, 3. m. sifllement (des serpents, des 
cien, eic.); brujt gigu qup fait le vent. V. 4s- 
gu, 

Sybsn A, ad). (podt.) qui giffle., is. Buis- 
SONNEYX. y. Selcgo. 

Sim, adv. gfirmal. oui, si. Dizer que —, dire 
aui. a. m. Cansentement. Dar o —, donner son 
consentoment. 

Sina. V. Cime. 

Sımanöna,s. f. (t. de bat.) " simaramla : Apr 
bee d’Anıtsique & doasce mödioinale. 

BisoeLe , elo. j 

Bıeruia,, eis, | V. Sym..., etc. 

Sisıa, 5. f. guenon. V. Bugio, Hono, Me- 
carı, 

Sıvuır. V. Simile. 

SımıLir, adj. 2 gen. similaire, homagäne, 
de ıueıne nalure. 


’Sımıoio. V, Semelkange, 


SIM 1091 


Hmır, s.m."resscmblanoe, fapport. "Cern- 
paraison , exemple. 

SımıLninga. V. Semelkanga. 

SımiLımo, a, @df. sup. tres-resstmbiant. 

Sımiuıtüng, s. f. ressemblance. V. Some- 


Ihanca. 

SIMILITUDINÄRIANENTE, ade. par aimilitude, 

SınrLitcpınÄrıo, A, adf. un’ peu Tessein- 
blant. 

T Siyıo, s. m. sınge mäle. 

Sısiry,s. f. V. Hemate. 

Simo. V. Cimo, Cume. 

Sımonta. V. Escamonen. 

Sımonia, s. f. simonle: vente des ehoses 
saintes. 

t Sısontacamtute, adv. en simonlaque, 
avec simonie. 

Sımoniaco, A, adj. simoniaque: od il y a de 
la simonie. s. m. —, qui commet la sImonie. 

Sınöxte, s. 9m. Tabaco —, tabac de la pre- 
miere feuille. 

Sımorricea, adj. f. Pedra—, pierre sem- 
blabie au jais. 

' Sısearaia, etc. V. Sympathia, etc. 
SıurLacHeiniö,0na, 1% (f. bwri.\niais, be- 
SINPLÄCNO, A, adj. net. V. Stmplorio. 
Sinrıe. V. Simples. 

SivPLES, adj. 2 gen. simple : non compose, 
sans accessoires; l’oppos® de double, de com- 
plique.—, qui n’est que Lelle ow telle chose, 
n’a que telle qualit6, tel titre, telle fonction; 
sansornement, sans parties; sars proporlionsz 
sarıs deguisement, sans mallce; (Ag.) niais, 
credule,, facile A trompez. Fade, insipide, sans 
goöt. Simple. On le dit de l’offlcs le moins so- 
lennel. Beneficio —, benefice simple, quf 
n’exige pas räsidence, elc. — promessa, sIn- 
ple promesse,, sans vau ni serment. — sacer- 
dote, simple pretre, qui n’a point de beneflce, 
gui n'est ni predicatenr, ni confesseur. Doagdo, 
renuncia —, donation, renoncialion pare et 
simple, sans condition, sans Festriction. Valo 


—, vu simple. 


SimrLgs,, s. m. simple : toute herbe ow plante 
medicinale. #4. Cintre. V. Cambotfa. 

SIMPLESMENTE, adv. simplament; tout bon- 
nement. 

SısaLtza, s. f. simplicitö, simpiesse. V. 
Simplicidade. 

Siuruices, adj. pl. de Simpley. 

Sıupuicınäag, 8. f. Simplicit& : qualit& de ca 
qui est simple; candeur, ingenuil6, nalvelö; 
niaiserie, betise, nigauderie, platitude; fgei- 
its A crolre, & se laisser Lronıper. 

Sısruicissimo,, A,0dj. sup. de Simpiss. Bier 
plieissime,, te&s-simple. 

SımPLicista, adj. et 3. :ı. auteur qui trais 
des simples, betaniste. Medico —, medeoin 
qui guerit avec des simples. 

+ Sıuruirıcacid, 8. f. simpliliestion : Pao» 
tion et l’elfei de simplifier. 

SIMPLIFICADO, A, A. P. de Simplifcar. 

SIMPLIFICADOR , A, 8. celuiguj simplifle, 





1092 SIN SIN 


Smcit. V. Siaxel. 

Sıncinos, s. m. pl. (t. de prov.) Klagons qui 
pendent des gouttieres. 

SINC£RAMENTE , adv. sincdrement!. 

SıncErıdäne, &. f. sincerite „ franchise, can- 
deur ; qualit6 de ce qui est sincäre ; ouverture 
de cur. 

SınceaissınO, A, adj. sup. d® 

Sınc&ro, A, adj. sincöre, veritable; vrai, 
franc ‚sans arlifice, sans deguisement, ingönt, 
nalf. 

Sinco, etc. V. Cinco, etc. 

Sincora, etc. V. Syncopa, eic. 

Sınnkno. V. Sondeiro. 

NDERESIS. 

Sımbicär, elc. | V. Synd..., eie. 

Sinvo, (8. d’Asie) V. Bandarım. 

Sınkıra , s. f. foınme de fondeur ow de som 
neur de cloches. 

Sınkıno, s. m. fondeur de cloches; sonneut 
de cloches. 

*Sınzstao. V. Sinistro , Esquerdo. 

Sıntra, s. f. clocbette, clocheton, petit? 
eloche. 

Sın&te,s. m. cachet : pelit sceaa pour I 
missives, son empreinle. 

SınckL,3.m.ow ı couple d’animaut,attelagt 

SınceLända,s.f. )de baufs. — de perdise, 
une couple de perdrix. 

SInGBLAMENTE, ade. nalvement, sincdt- 
ment, avec candeur, ingenuite; simplement. 
SıncuLkıra , s. [. sorte de flet de p£cheur. 
SıncgLtino, s. m. laboureur qui n’a qe’ußt 
couple de bauls ; laboureur & gages. 

SıncEL£za, 5. f. sincerite, ingenuile, naive, 
simplesse,, simplicite. Com —, natureliemeil, 
d’une maniere franche, naive. 

SınGeLissimo , A, adj. sup. de , 

SınctLo, a, adj. simple : qui n'est poißl 
compos6, qui n’est pas double, qui est sans 
melange: seul. Simple, ingenu , sincere, nal. 
sans deguisement, sans malice. (f. dert. OR 
le dit des pidces d’artillerie qui ont jasie [® 
paisseur qu'il faut. A’s singelas, ado. seul, saB 
compagnie. Ester — d’alguma couse, mangief 
d’une chose, en avoir peu. 

Sıncaanuna , s. f. (l. de mar.) cinglade: b* 
min que fait un vaisseau en vingt-quaire heaft®. 

SINGRÄNTE, adj. 2 gen. pret ä eingler. Fendet 
sal —, vendre du sel mis & bord d’an narift: 
tous les [rais de chargement compris. 

Sıncnär, ©. n. (1. de mar.) cingler : vogt 
& pleines voiles. 

Sınsttän, adj. 2 gen. singulier : unigit, 
partieulier, quı ne ressemble point & daulre; 
rare, exiraordinaire, excellent, inoal, eirange- 
—, Qui no margque qu’une personn®, uR® 
en terme de grammaire. Balalka —, 
singulier, d’bomme & homme. j 

SıRCULARIDADE, 8. f. singularite : ce qül rend 
une chose singuliöre; maniere extraordisaife 
d’agir, de parler, de penser, eic-; bizarrefti 
rareid. 

SınouLanissımo, A, adj. sup. de Siugwlor: 


SıurLiricir ,v. a. simplifier : rendre simple, 
moins compos6. 

SımrLissımo. V. Simplicissimo. 

SımpLörıo, A,adj. niais, idiot, benet, ni- 
gaud, badaud. 

“Sıurass, etc. V. Simples, etc. 

Sıuproma, ec. V.Symploma, etc. 

Sınur, adv. lat. ensemble, avec, de compa- 

ie. 

SınuLacäd, s. f. simulation, deguisement. 

SımuLAcao, s. m. simulacre : image, statue, 
ıdole, representation d’une fausse divinils; 
speotre , fanlöıne; (fig.) vaine representation. 

SIMULÄDAMENTE, adv. avec feinte, deguise- 
ment. 

SınuLino,A,p- P. de Simuler. adj. Simule, 
faux, feint, contrefait. Homem— ‚ homme cou- 
vert. 

SımuLapda, s. m. celui qui simule. 

SısuLia, 0. a. simuler, feindre; fsire p= 
rallre comme reel ce qui ne l’est pas. 

+ Sımucanancıa, s. f. figure qui consiste & 
empioyer des mots qui alent le möme son, la 
meıne cadence, ec. 

SIMULCADENTE , adj. gen. qui a la m&me son, 
la meme cadence. V. Simulcadencia. 

SIMÜULDESINENTE , 3. f. V. Simulcadencia. 

SIMULTÄNEANMENTE , adv. Siniultanement. 

SINULTANEIDÄDE, 3. f. simultaneits : exis- 
tence dans le menıe temps. 

SIMULTÄNKO, A, adj. simultand: qui se fait, 
gai a lieu daus un meıne instant. 

Sina,s.f.* sort, hasard, destin. /ant.) V. 
Bandeira. 

+ Sınasära, s. f. toile derue, qui n’a que sa 
eouleur naturelle et n’a pas e16 lav6e. 

Sınäpo, eic. V. Assignddo,, etc. 

Sınacöca. V. Synagoga. 

SınaL ou SıcnAaL, 3. m. signe, Mmarque, in- 
dice; marque, lache sur la peau; deinonsira- 
tion exierieure.— ‚geste, mouvement du Corps, 
des membres ow des yeux pour averlir, etc. 
*Mouche qu’on met au visage, etc. Signal : si- 
gne reınaryuable et convenu pour averür, elc. 
Indice, presage. Seing, signature, seing en 
grand que les nolaires mettent au bas de leurs 
acles; paraphe.° Trace, vestige. “ Arrhes. (ant.) 
Y, Joia. — da erus, signe de la croix. — em 
branco ‚ blanc-seing. Dar — em branco, donner 
earte blanche. Dar — de si, se ımonirer; don- 
ner signe de vie. Por —, ä telles enseignes. 
des pi.) de sinos, glas. V. Döbre. 

Sımatän, elc. V. Assignalar, elc. 

SınaLkra. V. Synalepha. 

* SINALPENDER, 3. M. ANCIENNE TNesure agraire 
de 120 pieds carres. 

SInaPisMo,s. m. sinapisıne : topique de graine 
de moutarde. 

Bınapızaa , ©. #. appliquer des sinapismes. 

*Sımär. V. Balizar. 

Sınca , eto. V. Cinca, elc. 

SıncapiLna. V. Sancadilha. 

SınckıräL. 


Sinckıno. } V. Salgueir.. 



















SIp 


SımGuLARIZzÄnO, A, p.p. de 

SınGuLanızär, dv. a. distinguer, particulari- 
ser, faire plus d’attention, etc. 

SINGULARIZÄR-SE, ©. 7. se singulariser, 86 
distinguer du commun. 

SINGULÄRMENTE, adv. singulierement, parti- 
eulierement. Separöment, en particulier. 

Smcörro. V. Soluco. 

Sınırıcacäö, etc. V. Significagdo , etc. 

SINISTRAMENTE , adv. sinistrement, d’une 
manidre sinistre, defavorable; mal, mechaun- 
ment; de travers. 

Sımistein, v. ». (1. de comm.) &prouver un 
sinistre, perir, en parlant d’une marchandise, 
eic., assuree. 

Sınisrro, A, adj. mechant, pervers, malin- 
tentionne. Sinistre, malbeureux, funeste;; me- 
ehant, pernieieux. (Ag.) Oblique, frauduleux, 
suspect. 

Sınistro, s.m. (fl. de comm.) sinistre : desas- 
tre, perie causee par un naufrage, un in- 
cendie. 

Sino, s.m. V. Seio, Enseada. it. Signo. it. 
(ant.) Sinal, Assignalura. 

Sino, s. m." cloche : calotte profonde de m&- 
tal avec un battant pour sonner. — de relogio, 
timbre. — de vigia, tocsin. 

SinösLe. V. Sinopie. 

Sınöcha. 

Sınono, ete. | V, Syno..., etc. 

SINONINO. 

Sınörgra ow SımöpLa, s. f. rubrique, craie 
rouge. 

Sınörız , 8. m. (t. de bias.) sınople, le 
vert. 

Sino-simiö, s. m. (corrompu de Signo ei 
Saman, ti. arabe ), signe cöleste. V. Samdo. 

Sınöına. V. Cenoira. 

Sınquinno. V. Cinquinko. 

Sıntacua. V. Syniagma. 

Sinte. V. 4cinte. 

SınT£L, s. m. simbleau : cordeau pour tracer 
de grands arcs de cercle. 

SINTILLAR, etc. V. Scintillar, etc. 

SırrıneıLa. V. Sentinella. 

SıntTöma , etc. V. Symploma, etc. 

Sınuosınäng, s. f. sinuosite: elat, qualils, 
detour d’ane chose sinueuse. 

+ Sınuösas ou Sınuäpas, ady. f. pl. (t.de bot.) 
Folhas — , feuilles sinuces ow sinuoldos. 

Sınoöso, A, adj. sinueux, lorlueux. 

Sınxö,s. m. (4. d’Asie) bois ires-inflarmmabie 
dont on fait des torches, etc. 

Sınz£L, s. m. ciselet, petit ciseau pour ci- 
seler les metaux ; ciseau de sculpteur. 

SINZELADO, A, ?. p. de Sinzelar. 

+ SınzkLaDöR, s. m. ciseleur, ouvrier qui ci- 
»ele. 

Sınzzıin, v. 6. ciseler: faire des ornemenis 
avec le ciselet sur un metal, elc. 

+ Sıösa , s. f. gros poisson du Bresil. 

Sirmäö, s. m. siphon : tuyau recourbe & deux 
branches inegales , pour iransvaser les liquides 
sans les agiler. 


SiS 1093 


SıpniLıs, s. f. (f. de mdd.) syphilis : maladie 
venerienne, grosse värole. 

SırHiLitico, A, adj. syphilitique : de la sy- 
pbilis. 

+ Sıeırina, s. f. bois du Bresil,, tr&s-dur. 

Sırö, etc. V. Cipo, etc. 

* Sıpnes, etc. V. Stimples. 

+ Sıräce, s. f. huile de Jugeoline. 

Sırinpa, etc. V. Ciranda. 

SirE, 8. m. sire: tilre qu’on donne & un rei, 
ä un empereur. 

Sıntna. V. Sereia. 

+ Sırenico, A, adj. (podt.) sirenien : des sie 
renes; (fg.) qui charme comme elles (voix, 
chant). 

Sirca,s.f. (1. de mar.) "halsge : action de 
tirer, de remorquer un bateau ; remorque,. °CA- 
bleau, cordelle pour tirer les bateaux. Le- 
ver d—.V. Sirgar. Trazer alguem d —, (ig-) 
remorquer quelqu’un. Andar d — d’ouirem, 
(id.) etre & la remorque d’un autre. 

SırcÄr, v. a. 't.de mar.) haler ä la cordelle, 
tirer un bateau, un vaisseau & la cordelle. 
Pourvoir (un bateau) de cäbleaux, de cor- 
delles. 

Sıacınkıras. V. Cergideiras. 

Sırcır, etc. V. Serzir, etc. 

Sirco, s. m. (amt.) soie torse et l’6toffe qui 
en est faile. Ver & soie. 

SırcukiırO, 8. m. passementier. 

+ Sıri, s. m. sorte de poisson & coquille du 
Bresil. 

+ Sıaınöa, s. f. (6. de bot.) espece de poivrier 
(Piper siriboa). 

Sırıckıa,, 3. f. Leite de —, aufs au lait. 

+ Sınice, s.m. (1. d’hist. nal.) urocdre: in- 
secte des pays froids qui a une corne & la 
queue. 

Sırıcärra, 8. f. petit oiseau grimpenur. (Ag. 
Fille öveillee, petite femme ow fllle vive et 
alerte. 

Sıaıcußino. V. Sirgueiro. 

Sırinca, eto. V. Seringa. 

Sirıo,s.m.(#.d’asir.) Sirius : &toile, cons- 
tellation du Grand-Chien. Fete patronale; pele- 
rinage. V. Cirio. 

+ Sırıdura, s. f. plante qui ressemble d Pa- 
neth. 

Sın6co, 6. m. siroo om Siroeo : nom qu’on 
donne sur la Mediterrande au vent du sud-est. 

SıroLico-TicO, 3. m, sorie de jeu d’onfants, 

Sırro. V. Scirro. 

Sırre. V. Syrtes. 

Sırzino, s. m. petit oiseau de la grandeur du 
canari, gris jaunätre. 

Sırzin, etc. V. Serzir, elc. 

Sisa ow Siza, s. f. taille, imposilion sur les 
denröes, eic., accise, excise. 

Sısino, A, 9. p. de Sisar. adj. Dont on a 
pay& l!’imposition ; ımpose. 

SısaLua, 8. f. (6. de balteur d’or) rognure; 
eisailles , rognures de monnaie fabriquee. 

»tsänıa. V. Zizania. 





1094 sıT 


Sısiö, s. m. olseau, espece de francolis de 
couleur cendrde. 

Sısas ou Sızaa,, 9. a. imposer, laxer. Perce- 
voir la taille. ( Ag.) Ferrer la mule, faire dan- 
ser l’anse du pani'er, en parlantı des cuisiniers, 
eto., garder une partie de ce qu’on achete, le 
compter plus qu’il ne coüts, etc. Rogner, ca- 
cher, retenir. 

Sisano ow Sısaniö, s. m. (1. de bot.) chervis 
ou gyrole: plante potagere oleracee. 

Sıssonno. V. Resdordo. 

Sıstıno, 5. m. celui gai regoit !’impöt dit 
Sisa. V. ce mot. Celui qui ferre souvent la mule. 
V. Sisar. 

SıscöLa,s. f. pidce du harnals du cheval. 

Sısma, etc. V. Schisma ei Scisma, 6lc. 

Siso,s. m. bon sens, raison, jugerhent, cer- 
velle. V. Juizo, Descrigdo. De — , adv. serieu- 
sementi. Dente do —, dent de sagesse. Vender 
— 4 Caldo, .prov.) c’est gros Jean qui remontre 
son cure. 

*Sısoo. V. Siso. 

Sısörıo, 8. m. De—, (burl.) judicieusement. 

Sıstrama, eic. V. Sysiema, eic. 

Sıstrkano, A, adj. qui tient ou porte un sis- 
trc. 

Sistao, 5. m. sistre : instrument de musique 
des Egyptiens. Espsce de tambour de basque & 
sonnailles de laiton. 

Sısonamente, ade. prudemment, aveo rd- 
Dexion;; sensement, sageinen!. 

Sısuntza, #. f. circonspection, gravit, aa- 
gesse , prudence. 

Sıs6no, A, adj. sense, sage, prudent, Judi- 
eieuz , circonspect,gravc. . 

*Sıran. V. Situar, CGollocar. 

SırıApo ‚p. p. de Silier. 

+ Sırıanoa, s.m. celui qui sssiöge une place, 
asgiegeant. 

ITIÄL, 8. m. Siege, fauleull au-devant du- 
quel est un prie-Dieu avec un coussin, ele,, 
pour les princes, eto.; sitge des tois, priuces 
et prelats dans les car&monies publiques. *Ten- 
ture de chapelle, 

+ Sırıinıe, adj. 2 gen. assiögeant, qui as- 
siege. Os—, s.m. pl. les assiegeanis, los rom 

qui assiegent, pn. a. de 

ITIÄR , 9.4. assieger : meitre le siege devamı 
une place, faire lo sioge d’une plase. 

Sırısönno, A, adj. altöre,, qui A soil. V. Se 


demio. 

Sıriz. V. Setim (bois). 

Sirio, s. m. lieu, place, endroi, espace 
qu’occupe un corps. Einplacement, lieu, ter- 
rain destine pour une chose. Situalion, as- 
siette; site. Siege ow blocus d’uue place, d’une 
ville. Maison de plaisance. O —, 18 local. — de 
recreto, llea , maison de plaisarfee. No —, sur 
la place. 

Biro, Aa, al). site, sis. V. Situado. 

+ Siro,s.m. V. Mofo, Bafo. 

+ Sırra,s.f. (i. d’hist. nal.) sitelie ou sit- 
telle , torchepot, olseam. 

BıTvagäö,s. f. assietle, Ailunlien, position; 


SOA 


emplsoement. (fg.)Situalion ‚etal, dispositn 
des aflaires. 

Sıruino, A, adj. silu6, sis, assis. p- p. de 

SıTrar, v. a. situer, placer, poser, assıtei, 
&tablir, bätir. , 

Sıza, etc. V. Sisa, elc. 

Sızınaö. V. Cizirdo. 

+ Sur'ana, s. f. (i. de geog.) Snyrae  vile 
et porı W’Anateolie. 

"Bo. V. Sol. 

56 ou Sö pour Sexuon. 

Sö, adj. 2 gen. scul : sans Compagnie; un 
que, simple; prive de tout secours, de tu 
appui, abandonne de tout le mende. Assecie. 
desert. $6 por —, lele atete: seul ä seul Ai. 
V, Sölas. Hem venhas, mel, se vons —, (prrt.' 
un ınalheur ne vient jamais seal. Anlıs u 
mal acompanhado , (id.) plutöt seul quien ner 
vaise compagnie. 

S6, ‚ade. seulement. Nüo s6.., sende, nr 
seulemen!..., mais encore. Ndo — por iso, ct 
n'est pas seulement pour cela. Sö elle era 
pa= de fazer isso, il m’y a que luigei peund 
ou püt faire cela. $ö por foms ow Irayiı u 
podia lomer a praga, ce n’esi que par lame 
ou par trahison que la pl&ce pouvail &ire prit 
ou la place ne pouvait &ire prise que pa is 
mine ou par trahison. —o referil-o va sur 
horroriza ou faz horror ‚le seul recii lailber- 
reur. 

Boi ou SoAa , s. f. echinde de porc. 

fr Sossain, 9. . enir’oavrir, onrrir un PR 

Soagar. V. Soassar. 

Soapa, #. f. "air d’une cbanson. (fg.) Br 
meur, bruit qui court. V. Todda. 

SoA00, a, p9.p. de Soar. adj. (Ag.) Temeu, 
renemme, o8l&bre, dem on parle beautsk 
Qui a fail du bruit, de !’delaı dans le pabiit- 

t Soäcen. ($. de dot.) V. Viperine. 

SoiLna, s. f- sonnaille: petite plague de + 
tal attachee & un lambour de basque. Pir 1» 
umacowss, (Ag.) divuiguer, publier un0 cheit, 
faire parade, lirer vanite de. 

SoaLnän,eic. V. Assoslhar, etc. 

Soarntıra, 5. f. exposilon & un selei ir 
dent. V. SoslAsiro. 

SoaLntıno, s. m. lieu expoed au aeleil, „il 
s..leil donne en plein. —, a, adj. azpont 00° 
leil. 

SoÄLBo,s. m. plancher, parquet. 

Sointg,adj. 2 gen. eip. a. de Som. du 
nant, qui sonne. Sonore. 

SoAö,s. m. vent d’est, tnischand, it 
commode. Siror. 

"Soia,s. m. V. Solar. 

SOÄR ‚©. ®. Sonner : rendre un son; I 
ner, reientir. So divalguer, se r&paadre, OM- 
rir, faire du bruit, en parlant d’une nourell. 
Il ost quelgquslois actil, er signiße jener Frl 
instrument. (Ag.) Chanter; annonoet. Tal 
soava alvorops , tout annongait la r&jvwissnd® 
— ben, aveir une belle voie, um beau Mi 
agrter, plaite; cadrer, oonvonis. — mul, U? 
dissonant , dur; deplaire ‚ #tre ‚ne 


sQ3 
pas Wagcorden, ne Bag gadrer; Eine mal son- 


Soär-sE, 0. r. (p, u.) se publlet, se divul- 
guer, se meltre au jour, 
Böissäh, 6. . fölir legerernehl, r demi. y 

SoB ep. sous, dessous, Har-dessous. V. 
Detail cha £, / feine, 8ous peine de, 
— tör, —preiezlo, sous couleuf, sous pretexte. 
Sob entre dans la compasilion de plusieurs 
ınots , et Souveiil, par eonthacliön,, comıne 

ns hoabtir, Zöakbaf, eid. >. 

Sgaäco ‚sm. " sisgelle ; croux Sous le bias, 
on 55 jornt ä Pehadle, 

* Sosaugän. V.Algar, Aclamat, ,. . 

4 Sosahnzädände, s. m. söus-fefinier : Qui 
tient ä sgus-Terine, u 

SonAakk ktdinettd, 2. m. kouk-Terihe ; parlie 
Wun bAit alferine a un Autre; sous-bail, 

Sberukinnie, d. a. söüs-lermer : 
au prendre & sous-farme. 
üsciLco, V. Jocdlco,. lan 
„rt"Sonchizi, 17 partie 1A plus basse d’ung 
Mmohlägne, , 
ShstoLch Hi Schcon, adv. Ibus Coulcur, sous 
prelexie, lem 

Soscnestäg, eic, V. Se jüestrar, elc. 

Sohrcınäö,elc. 2 Sobejilan. In 
. SOREIRA, uf rangee de tuiles £Qus 1e$ goul- 
tiere: W’un Toll. " 

SOBEJÄDANRNTE. V. Sobejamenlie. 

Sosgsäno,a,P.p.deSobjar. 

SoBksau&iärte, Add. olire inesure, avec Pro 
fugion, irop, exgessivemogl. oo. 

oBrsäl, v. n. resier, &ure de resio; sura- 
bonder, exccder, &ire de Lrop. (anl.) Sortir, 
Avanicer au dehors. V. Subrar, 

Sosesıdid, ». [. “exces, prolusion , surabon- 
dance, superfluite. (g.) Excds, hardiesso, in- 
solence, manque de modefalion dans les pre- 
pos,6eic, un 

SOBEJISSIMO , A, adj. & de on 

SoBt3o, A, adj. etoessif, surabondans, Aui 
est de trop. —a coanfianga, —45 Provas, IEop 
de conflance , irop de preuves. , . 

Son&so, a. m. sürplus , resie, restan). De = 
de reste, d’abondant, de Irop, —s, Pl. Testes 
des viandes qu’on a gervies, debris, £}c., der- 
serte ; bribes, rebut. V. Sobra. 

BOSENXTEnpER, eic, V. Subenlender. 

SOBERÄNAMENTE , Gdv. souverainement, &U 
saurgggin. . 

Soserania, s. f. souverainsts, auteritd su 
pröme; puiäsamee solivaraikie. (Ag.)Üzeniienoe, 
superioritt. * Orguebil; beuteur, areganse. 

Bunek antenne; 2 will. sup. 60 BROFERD. 

BOBERANIZÄDO, A, 9. 9. @b 

Sopenihrtin, da d. reitlire böitkfath. CRp.) 
Exalter, vanter. Gon?erner en södteräitt. 

Söonthanızik-st, 6. P. Ayir eh Souverain, 
s’arroger la souvesaineit. Eire exali6, Etre 
vente. . 1. rer B 

SonzaÄno, A, 8. Souverain ; empercur, Fol. 
Prince souverain, Peisonne en qui röside la 


dönner 


w C} 
. 


. 


OR 1005 


qeoveramek, 4 piien d’ez dans Vansietine 
Flandre, en Angleterre. 

Sorzaiuo, a ‚adj. souverain , indöpendant, 
absolu ; supröme ; Irda-ozeallant ou. son genze, 
‘4. Imperieux, fier, hautain ‚argueilldur. 

Sostrea, s.f. "orguell, vanitd, vaimv gleire, 
superbe. Prasomptien, estime autrke de woi- 
meme, flertö, sußjsanoe. Magnifiendet, domp» 
tuosil& excessive. Transpert da soldre, empor- 
leroen!. 4bsier, quedrar 0 — ‚ubeisser ia Hu- 
perbe. . f 

Anserpäco, aug- de Soberbe, V. Siberbäo. , 

SOBERBAMENTE , adv. sapbrdefient, erguedi- 
Iausement. . ME 

Sopannäö, ua, ad; ot m au de Süberbe. 
Trös-Ner, Irda-orgusilleus, . 

SOBERARTE, adj. 2 gen, dim. de Suberdei Un 
peu fer, eic. 

SOREBBINgA ı dies. de Seberbm 

SOBERBINBO ‚ ddm. de Sudirke. 

GOBERBISHNO, A, adj. sup. de Suberbe. 
fres-Aer, eio. 

. SOBRRBO, A, wel/. Nupbrhe, orgueilleur, al- 
Her, arrogant, pleis de Beorts; qui B’estime Inep, 
presume trop de lui. (fig.) —, %rand, &lov6x 
somptueux , magnifigue: 

* SoBERBÖSAMSuTE. V. Soderbaments: 

. SOBERaBGBQ, 4 ‚ads. V. Soberbe. 

* SOBERNACAG. V. Subornapio. 

SonnscaevEn,V. Sußsererer. . 

Sosescaito. V. Subserito er Sobrsssrito: 

_ $ausaerin, v. 0. (4. da mar.) wnes-irdier : 
sous-louer le vaissenn qu'an ara Jows. 

. BomaasıE, od. 2 gen. (f. de yına.) audinssdtıs 
de grave. 

Syaina ‚ein: Vı Sndide, kis. 

" Somuexto, 0. m. ° banise; baussemenit 
achon de monMt. 

* SoBinTg. V. Ascondemie. 

Sogir. V. Subir. _ . 

Sossucär , elo, V. Sulfuger, alo- 

ÜTSOBARVANTAR, ©. © 6lRYEr FRE Une aMiro 


se. .. ..* 

KosLEviR, oc. V. Smblevor, ee. 

SOSLINBÄRO, A, P. de 

SoBzınuin, ©. a. souligupr ı rei une Lgns 
sous un ou plusieurg mein . 

BonLocsgiö, e. f. sousincakien : aciien de 
seus-lauer. , 

.SORLOCÄR, ©. &. BOUSFOHEN ; TOUR LAS paN- 


tie de ia chose dejä tenue d layer. _ 


EnpLocaTÄnie, a mM. Snus-iecateize z qui 
Bonp-Joue ‚prend £n Aays-laaalom: 

SOBNERGRR,alc. V. Submerger, 2ie. 

SosuxtrEa ‚ale. V. Submelter, eisı 

Bosnzsar , at Vi Sonsyar, star 

SOneLA, S0n016;, Were SEtb ix Score o, 
sur la, surle. 

Soporir. V. Sodtkl, 

Sos0rmRıAno. V. Subbrdiiiud, 

Sonönno, etc. V. Suborno, etc. 

8080. V. Sobro. 


SOBORRALBABOURD. V, Verredouro. 


1096 SOB 


SOBORRALEÄR, 9. e. meltse sous Ta vendre 
ohaude. 

Sosonniıno, s. m. la oendre chaude. Bolo 
de — , gäteau cuit sous la cendre chaude. 

Sons. V.P6, Raiz. 

Sosrtna, adv. sous peine. 

Sosroptr , adv. sous le pouvoir; sous. — de 
Ponciv Pilsto, sous Ponce-Pilate. 

So2qusıxano. V. Soqueizado. 

+ Söpna,s. f." excös, superfluite, surabon- 
dance. De —, surabondamment, de reste, plus 


qu’ii ne faut. —, pl. reste de viandes qu’on a’ 


servios, eto. V. Sob4jo. 

SoBRAGÄR, ©. a. prendre, emporter seus lo 
bras. Donner, prendre le bras ä queiqu’un. 

Sopnacin-SE, 0. r. aller vw marcher bras 
dessus , bras dessous , se donner le bras. 

SOBRADADO,, A, 9. p. de 

SOBRADAR, ©. a. bälir une maison A un ow 
plusieurs etages. V. Assobradar. 

Soskino, s. m. plancher, parquet; diage 
d’une maison. 

Sosaäno, A, 9. p. de Sobrer. adj. Surabon- 
dant,, superfla; qui en a de trop. Riche,, opu- 
ent. V. Sobejo. 

SosriL, s. m. " foret de lieges. 

SoBaangania. V. Sobranceria. 

SOBRANCEIRAMENTE, adv. par-dessus, au- 
dessus, sur, dessus , dominant. 

SOBRANCEIRO, A, adj. haut, eleve; qui do- 
mine, öleve. (Ag.) Sourecilleux, hautain. 

SOBRANCRLBA , 3. f. “sourcil: poils au bord 
du front etau-dessus de l’ail. 

Sonnanczria , 5. f. "affront, bravade; air 
hautain, flerte. 

SOBRÄR, dv. ». Burpasser, excöder. Avoir au 
delä de oe qu’il faut. Eıre de Irop; rester. V. 
Sobejar. Nem sobrou, nem fallou, ( fam.) il y 
on a eu juste co qu’il fallalt. 

Sösras, pl. V. Sobra, Sobejo. 

+ SosaaxıLrän. V. Sobrefolhedceo. 

SOBAz, pröp. sur, dessus, au-dessus, par- 
dessus; touchant, concernant; & l’ögard de. De 
plus, on outre. Un peu plus de. Apres. V. Ap6z. 
Sobre, marque la superiorits , la domination, 
Pavantage. llentre dans la composition de plu- 
sieurs mots dont il augmente la signification, 
eu bien auxqueis il ajoute la sienne propre. — 
si, avec soin, altenlion, precaulion, reserve; 
sur sol, & part, reserve; libre, independant. 
Zıtar — ums praca, assiöger une place. /r — 
alguam , suivre quelgu’un de prös, poursuivre, 
courir, courre sus. — que, & cause de quoi, 
par laquelle raison. — iso, en ouire, outre 
cela, de plus, apres oela. — feia 6 indiserdta, 
elle n’est pas seulement laide, mais encore 
elle est indisorete, ow elle osı & Iu fois laide ei 
indiscerete. 

SOBREABUNDAR ‚ etc. V. Superabunder, ete. 

DoaasacuAno „A,adj. couvert d’eau. V. Ala- 


Sonakacdno ‚„A,adj. (l. de mus.) suralgu, 
fort aigu (son. 
SUBABALCUNUA, 3. f. second sobrique. 


SOB 


SOBREAPFELLIDO, 8. m. Socend surzem ‚te 
cond sobriquet. 

SOBREÄRCO, 8. m. linteau. 

SORREAYISO, 3. m. avis antieipe. Eslar e-, 
etre prevenu. 

" SOBREAVONDÄYEL. V. Su 

SOBREBAILEO, 8. m. (6. de mer.) " courikn 
sur une aulre. 

SOBREBAINHA, 8. f. faux fourrean. 

SoBresico ,‚s. we. la partie supsrieare dale 
d’un oiseau. 

tSosazcasino, A , adj. qui est surlene- 
mel, sur la pointe d’uncap. 

Sonazcina, 8. f. (1. de oeler.) * sure: u- 
meur dure sur la jJambe du cheval. 

Sosascirca, 8. f. surcharge: nouvelle charm 
ajoutee ; (fg.) surcrolt de peine. Corde are 
Iaquelle on assure une charge, surfaiz de sa 
gie. 

Sosazcinca, s. m. (6. de comm.) sabrear- 
gue : fond&6 de pouvoir d’un arınatear, gu 
veille sur la cargaison ; officier de la compazme 
des indes, qui vend et achtte poar elle dei 
ses comptoirs. 

SOBRECARRECÄDO, A, P. P. de 

SOBRECARREGÄR, 9. a. surcharger : charge, 
imposer trop. 

+ Sopazcasica, s. f. redingole.V. Ser- 
tudo. 

SonrzceLtste. V. Celestiel. 
SOBRECELESTIÄL, adj. 2 gen. plus ge 
este. 

SopazceL.önte. V. Sobreeseellenis di S> 
bresalente. 

SOBRECENHO , 8. m. froncement des watch. 

Sonascko, s. m. dais , baldaquia, ci, ı= 
periale, au-dessus d’un lit, ete. 

SOBRECEVADKIRA,, 5. f. (6. de mer.) asin 
civadiere. 

SOBRECHECÄR , 9. #. survenir. V. Sobrew. 

+ SosrecHkio, a, adj. plus que plein. 

+ SOBRECLAUSTRA, 8. f. cloltre sapenest. 

BOBRECH, 8. m. croupion d’un oisesa. 

SOBRAECURYA, 8. f. courbe, enflare quı rm 
aux jambes des chevaux. 

+ Sosrecouröstas, adj. f. pi. (1. de bi 
surcompostes (feuilies), divisdes plus de du 
fois. 

SOBREDENTÄL, adj. 2 gen. qui est auden® 
des dents. 

SOBREDENTE, 5. m. * surdent : dent her & 
rang ou entre doax. 

SOBREDITO, A , adj. susdit, nomme old! 

SOBRSBBOURÄDO, A,P.p.de - 

Sonazpounka,, v. a. surderer, derer deal 
ment, & fond. V. Dewrar. 

SOBREREINENTE, adj. 2 suremisih, 
&minent au supröme degre. 

SOBRERRGUER , v. m. hausser plus, dlerer pi 
haut. 

SOSRERRGLIDO, A, P. pP. de Sebreorgen: 

SOBREEROGACAÖ. V. Sobrerogagäe. 

Sopazzscarven. V. Sudserever. 

Sonnzascarro, V. Sobreseriie 








SOB 


+ SOBREESPERÄR, ©. a. altendre longlemps. 

SORBREESTADO, A, P. P. de Sbreestar. 

T Sosreestäncık, 5. f. surveillance. V. Su- 
perintendeneia. 

+ SOBRFBSTÄNTE, &. m. surveillant. V. Su- 
perintendenle. 

SOBREESTÄR, d. G. Surseoir, suspendre, Te- 
meitre, differer. V. Sustar. v. n. Gesser, dis- 
continuer, s’arröter. 

+ SOBRERXCEDENTE, adj. 2 gen. quieexcede, 
surpasse. p. p. de 

+ SOBRBEXCEDER, v. a. excdder, BUrpasser, 
l’emporter de beaucoup sur quelqu’un. 

SHBRBEXCELLENTE, Gdj. 2 gen. ce qui est ex- 
cellent au supreme degre. 

SoBREFÄCE, 8. f. surface, superlicie. (1. de 
fort.) Distance entre angle exterieur d’un bas- 
tion et le flanc prolonge. 

+ SOBREFOLHBÄCEOS, adj. m. pl. (1. de bot.) 
Peduncuwlos —, pedoneules situes au-dessus de 
l’aisselle (suprafoliaces). 

+Sosasrrnerän, v.a.(l. de mar. ef decomm.) 
sous-Ireter : sous-louer le vaisseau qu’on avait 
frete. 

+ Sosarcäta, 3. f. if. de mar.) perruche: 
voile de vaisseau. 

+ SoBRscATinBA, 8. [. (f. de mar.) perruche 
volante. 

SOBREGAYEA, 3. [.(d. de mar.) perruche, voile. 

SOBREHUMÄNO, A, #dj. surhumain, au-dessus 
de l’humain ; au-dessus des forces de l’'homme; 
au-dessus de l’homme ; qui n’ost pas de !’homme 
seul. 

SOBREINTERDENTE. V. Superintendente. 

Sosntını ow Soprkıro. V. Soverdiro. 

-f SOBRABJIOANRTE, 3. m. (4. de mar.) perro- 
yuet volant. 

SOBaEJUfz, 5. m. (anf.) juge sup6rieur & qui 
on en appelait. ' 

“SOSREJIUSTIGA, 5. m. V. Sodrejwiz. 

SOBRELÄNGO, 8. m. * surenchöre : anchere au- 
“ dessus d’une autre, 

SOBRELEVÄDO, A, P- p. de 

SOBRSLEVÄR, 9. a. surmonier, Surpasser, &le- 
ver au-dessus. Supporter, endurer, tolerer, 
souflrir. 0. ». Passer par-dessus, ne pas allein- 
dre. Exceder, surpasser. 

SOBRELEYÄR-SE, d. r. s’6lever au-dessus des 
autros,, se distinguer; l’emporter sur. 

* SOBRELHAS, pour sodre as, sur les. 

SOBRELIMINAK, 5. m. (1. de fort.) iravers du 
pont-levis. 

SOBRELÖGEN ou SOBRELÖJA, 8. f. “ entresol: 
&tage entire le rez-de-chaussee ei lo pre- 
znier. 

SOBRENANKIRA,, adv. excessivement, exir6- 
ment, Oulro ınesure, esiraordinairement. Par 
excellence. 

Boenzuiö, 8. m. (tl. de vdler.) tumeur 08- 
seuse quı vient aux betes de somme sur la 
couronne du sabot, A la partie anterieare et in- 
ferieure des pieds de devant. 

Sosunuiö, ade. De—, avec loisir, en per- 
fdetion, avec efücaeilt. Vbra de —, ouTrage 


nn . 
= 


° 
an 


SOB 1097 


parfait, fin. Cauldlas de —, precaulions 6x- 
traordinaires. 

f SOBREMARAVILHAR-SE, 0. fr. s’emerveiller, 
s’etonner extraordinairement. 

SOBREuRSA, 3. /." dessert: fruils, sucreries, 
etc., servis sur la table & la fin du repas; le 
moment de les manger. 

SOBREMISTICO, A, adj.mystique parexcellence. 

SOBREMÖODO. V. Sobremaneira. 

SOBREMUNHONRIRA,S. f. (d.d’artil.\surbande: 
bande de fer pour retenir les tourrillons J’une 
piece de canon dans l’encastrement. 

SOBRENADÄR, 0.9. surnager : nager dessus, 

SOBRENATURÄL, adj. 2 gen. surnalurel : au- 
dessus des forces de la nature. Prodigio —, 
prodige au-dessus de la nature. 

SOBRENATURALIDADE, 3. f. qualitö de ce qui 
est surnaturel. 

SOBRENATURALMENTE , adv. surnaturelle- 
ment : d’une maniere surnaturelle. - 

+ Sosnenervo, s. m. (f. de völdr.) tumeur 
sur le nerf. 

SOBRENÖME, 5. m. surnom : nom apres le 
nom propre ; &pithäte ajoulece au nom. 

SOBRENOMEÄDO, A, p. p. de 

SOBREXOMEÄR, ©. 4. surnommer : ajouter 
une &pithete au nom propre. ’ 

+ SOBRENUMERÄVEL, adj. 2 gen. innombra- 
ble , incalculable. 

SOBRENTENDENTE. V. Superintendente. 

SoBrEösso, s. m. (f. de veler.) suros : tu- 
meur dure sur la jambe du cheval et depen- 
dante de l’os. Fusse. (Ag.! Chose incommode, 
qui gene, obstacle, emp@chement. 

+ Sosreräca, 3. f. augmenlalion de paye, 
de salaire. 

SOBREPÄRTO, 3. m. temps qui suit immedia- 
tement les couches. Morreo de —, elle est 
morte en couches ou par suite de couches. 

SoBrEPeı.tiz, 3. f. "surplis : vetement d’6- 


"glise, en toile. 


SoßnEPENSÄDO, adv. de propos deliböre, & 
dessein. p. p. de 

+ SOBREPENSÄR , U. a. el R. penser souvent & 
une chose. 

SORREPESO, 8. m. * surcharge. 

Sosrerosir. V. Sobrepujar. 

SOBREPÖR, ©. a. Superposer, poser dessus. 
Mettre par-dessus, plier par en haut. 

SOBREPOSIGAÖ, 8 f. superposition : action de 
poser une chose sur une autre. 

SOBREPÖSSE, adv. avec exc&s, excessivement, 
trop. 

SOBREPOSTO, A,p- P. ırr. de Sobrepor. adj. 
Mis dessus ou par-dessus. (f. de bot.) Couron- 
nant Porsire (corolle, periantbe, etc.). —, 
s. m. pl. broderies de rapport, passemenis, 
etc., au bord d’une robe, des harnais, etc. 

SOBREPRATEÄR, d. a. argenter por-dessus. 

Soprzpusino, A, 9. pP. de Sodrepujar. adj. 
Surpass#, eıc&de,, surmonte. 

SOBREPUIAMENTO, 3. m. (p. ws.) laction et 
P’effet de surpasser, d’exceder, etc. ; exces. 

BOBaKrOJÄänga, 8. f. force, vigueur xgessive. 





1098 SOB 


SOBREFUJÄNTE, adj. 2 gen. qui surpasse, 
exctde. p. a. de 

SonaeEruJsäir (em), v. a. et n. Surpasser, ex- 
ößder, surınonter;; exceller, vaincre. 

Sosreruxin. V. Sobrepujar. 

SosreutiLna, 5. f. (l. de mar.) catlingue du 
fond du vaisseau. 

SourerontLLa, 8. f. (t. de veler.) lumeur 
sur le genoa d’un cheval, 

"SopasröLpa, eic. V. Sobreronda, etc. 

Soprerocacäd, ss. f. (f. de myst.) sur&roga- 
tion : ce qui cst au delä des promesscs, des 
obligations  @uvres de —). 

Bonrerönna, 8. f. cörthe-ronde : seconde 
tönde. (Ag.) Cälul qui sarveille les surteillanis. 

Sonrenonnik, v. a. faire la cohıte-ronde. 

SOBRESAIR (EM), o.n. surpasser en gtandedr, 
en hauteur, exotder. (flg.) Surpasser, exceller, 
Pomporter, briller, effacer l’eclät. 

Sonkksahin. V. Sodresair. 

SopngsaLänte, Ad). 2 gen. surabondant. 
Sütrumeraire, destin&ä remplacer les absents. 


s. m. (ani.) On le disail dans l’ancienne milice 


d’un eäpitaine, d’un corps de tfoupes foujours 
pröt a marcher: piquet. De—, adv. de rtserve, 
en reserve, de rechange. 

SAGRESALTÄDO, A, adj. assailli; surpris, 
w “u depourvu. Äarınd, elfraye, trouble. 

.p. de 

BOBRESALTÄR, v. a. sauter, se jeter, s’ölancer 
sur, assaillir; surprendre, atlaquer & l’impro- 
viste. Effrayer, troubler, alärmer. Frapper d’e- 
tonnement. Interrompre, sauler, omellre. 

BOBRESALTÄR-SE, ©. 7. s’elfrayer, se Lroubler, 
s’alarmer; dire Baisi. 

BosatsaLrkär, v.a. sürprendre, allaquer & 
Yimproviste; assaillir. V. Sobresallär. 

BOBRESÄLTO, 5. m. sursaul, Surprise, alarme 
subite. Attaque inopinee. (ig.) Alarıne, &pou- 
vante, effroi. De—, en sursaut, & l’improvisie. 

SosaBsarino, A, adj. gusri superlicielle- 
ment. p. p. de 

Bornnesarin, o. n. (Pp. u.) Zuerir superd- 
elellement, pallier. 

Sopnescnevän. V. Subscrever. 

Sosazscaito, s.m. “enveloppe, couvert, le 
dessus d’une leltre. * Suscriplion,adresse qu’on 
met & une lelire. Fazer, pöro —a uma carla, 
metire le dessas d’une letire. 

* SoBRESEER. V. Sobreesthar. 

SOBRESELENTS. V. Sobresalenie. 
‚ BOBRESENEAR, ©. a. Burseiner : semer das 
une terre dejä ensemencee. 

Bonazsenno. V. Senky et Sodrecemko. 

Sonnzsin. V. Sobreesiar. 

Sonresina, s. f. *surfaiz. n 

+ SosrzsımiL, s. m. * devisc que les ansiens 
, ehevaliers prenaient & leur choix. 

SoRsEsoLäıka ,s. f. pidce d’un carrössd sur 
le marchepied. , 

SosagssaL£nte, V. Sobresalente. er 

“ BOBRESSIMÄNTO, 3. m. “surstance, dilai, 
suspension. el 

SOBAESTÄNTE, 5. m. plqueur:: celul qui lient 


SOB 


ie röle des marons, etc., qui veille sar lu 
Öuvrage. Surveillanl. 

SURRESTÄR, T. N. Surseoir, suspendre, te- 
meltre. V. Sobreestar. 

BUBSLESUBSTANCIÄL, adj. 2 gen. plus gee seb- 
sianlıel. 

* SORKETÄL, ade, finalement, enüin. 

SoprEıkıma,, ade. V. Periinsimen':. 

+ SOBRETENRESTRE, adj. 2 gen. qui esta 
dessus de la terre. 

SOBRETOALHÄ, 3. f. servielle yu’on mel pü- 
dessus la nappe. Volle qu’on net sur un asut 
voile. 

SOBRETÜDO, adv. surlout, prineipalemenl. 

SOBRETÜDO, 5. m. surloul, redingois de 
dessus. 

*SuBREVENGA, 5. f. aclien de surrenir, &- 
rivee imprervue. 

° Sopasventa,s. f. arrivee A l’improvisie. 

SOBREYEKTO, 8. m. coup de vent. (Ag. 00" 
lacheux. 

SOBARYEsTE, 5. f- soubreveste : velemeni it- 
litaire sans manches. “ Hogueton: onsager dur 
cher. 

SoaREVESTINO, A, 9. p. de 

SOBREYESTIR, ©. a. surv&tir: mellse on Br 
billement par-dessus um aulre. (Ag) VB 
veslir. 

BOBARBVIKDO, A, P. p. de 

SOBREVIiR, ©. ®. Surfvenir : arriver inopk* 
ment; arriver; arriver de sur@oll. 

SOBREVIRTÜDE, 8. f. sorto de peiil volle gi 
portent cerlaines religieuses. 

Sonasvisra, s. f. visiere de easqe. 1.5 
breveste. 

SoBazvıvancıa ,s. f- survia: eiat de alui gt: 
survit & un autre. Survivance: successioh Öff 
gade & un emploi lors do ae racanın, iM. ! 
un bien quelconque. 

SonREvIVAnTE, adj. 0.0.2 gam. sarriranl, 
survii A um aulte. 

Sonrevivän (a), v. m. survirze : domesta ® 
vie apres un autre; exister aprda la parte © 
— a son Alko, a sus mulker, aic., are 
son ls, A sa feınme, eic. 

Sosauıckıaure. V. Sobreescallea dft 
bresalente. 

SOBRIANENTE, adv. sobrement. 

Sosrızsäng, &. f. sebriele: temaphranee dam 
le beire et dans le manger; ( Ag.) modireimt, 
rutenus, diserdlien. 

Soaninua, s. f. nidce: Alle du frere su dh 
saur. Segunde —, arrierenidce, peÜ b 

SOBRIRRO, 5. m. neres : Als de fväre 00 & 
saur. Segundo —, arridre-neveu, pol 

“Bonaine. V. Sedrinks. i h 

Bönnso, a, adj. sobre ; guia,cd U 20 
sobriete; ( ig.) retenu, modere, diserek 

Söano. V. ifo. 

Bonnede. Behr 

LU} L ] 00889. 

SoBaocagiö, eis. V. Subrogapie, 

. + Bosn’tıuso; e. m. soukeil. V. Sohranmaiht 
Frrensir 0 — ftoseer je souttil, 


TSoB-n08i00, A, adj. lirant sur le Tase. 

Sonrösso. V. Sobreosso, 

Sosscreven. V. Subscerever. 

SOBSTABELKCER, eic. V. Subslabelscer, eto. 

SoBSTAR. V. Sobreestar, Sustar, 

SoBTERRAR. V. Suterrar. 

aTina, V. Tılha, 

BYERSÄÖ. 

SOBVERTER. } V. Sabver... 

Soca,s.f. it. dw Brasil) eänne A suore qui 
Fepousse spres avoir el& coupse. Ndo ler nem 
—.,(fam.) n’avoir pas le sou. 

* Söga,s. f. sauce. V. Mulho. , 

Socino, A, P.p. de Socar, etadj. Homem—, 
bomme bien fourni de chair, qui a de l’eınbon- 
point. Trapu. 

Sociıro, s. m. (i. de mar.) On appelle ainsi 
la partie du oordage d’un palan ou moulle,que 
l'on fait passer dans un chevillot au moment 
de hbaler queique fardeau, eic., laquelle est 
tenus par un matelot; &!. la partie du cäble qui 
ost lenue par deux matelols assis au moment 
que d’auires font tourner le cabeslan pour laver 
Panoro. Garant d’un palan. Esigr a0 — , aguen- 
ar o0— ‚tenir dessous (un cordage, le cable). 
Ao —,(fg.) en arriöre, par derridre, & l’abri. 
Ao — da fortalexa, (id.) le lung ou & l’abri de 
ia fertaresse , ou Jderriere la forieresse. ir 0 — 
d’alzuem , suivre quelqu’un & une oerleine 
distance. 

SocALco, s. m. "chaussee, levde de terre. 

Socäpa, 8. f." prelexie, raiSan apparenie. 
A’ —, adv. sous Cape , en cachelte,, A la sour- 
dine, sous main. 

Socir, v. a. refouler : beurrer avec le refou- 
koir; donner des coups de poing, bourrer. 

*Bocanniö, Ona ,adj. eis. fin, russ, dissi- 
mule, sournois. 

Botiva,s. f. Taclion de miner, de ereäser 
par-dessous; fosse, conduit, souterrain. 

SocavADo, A, P.P. de Socdver. 

Socaväö, s. m. aug. de Socnva , tonduit 
souterrain sous une montagne, galerie de 
mine, elc. 

Socavär, v.a. creuser par-deösous, miner, 
fouiller, souchever. 

Söcco, s. m. (t. d’anl.)brodequin : chaussure 
hasse en usage chez les Grecs et & Roine, par- 
tieuli6re aux acleurs comiques. Socque ; la 
chaussure de lacomedie. (Ag-) Comedie, poesie 
d’un style simple, peu eleve. Sabaı, chaussure 
de bois, Socle - base d’un pitdestal ; base cat- 
rege (d’un reliquaire, d'une oroix, eic.). (ant.) 
CGachot; 4. encan , vente ä l’enchöäre. 

Soccoaaßa, v. 6. secourir, aider, soulenir, 
soulager, preier une main secourable, venir au 
secours de. (Ag.) Sider, secourir Guelqu’un 
dans ses besoins, lui preter une main sesoQ- 
rable. — « prögs, sesauzir une placo, la ravi- 

ailler, etc. 

Soccornntn-st (6), 0.7. Fecourir, avoir re- 
cours &. (de) Be setvir de, V. Valer-se. 

SOCCORRIDO, A, p. p: ae Soworrer. adj. 


. 806 10% 


Secouru, subrenu, soulag6. Qui pourvoit aise- 
ment auı besoıns d’autrui, secourable. 

* SOCCORRIMENTO. V. Soccorro. 

SOCCÖRRO, 8. M. SOCOUrs, aide, assistamoe. 
A-compte qu’on donne sur une dette,eie. —, 
renfort de troupes, de vivres qu’on [ait entrer 
dans une vılle assiög6e. * Main forte. Novo —, 
ravitaillement. 

Soceotr, etc. V. Sucesder, eio. 

SockGa, 8. f. vin qu’on prend pour s’endor- 
mir, vin de coucher. 

SOCEGÄDANENTE. ade. franquillement, pal- 
siblement, 

SOCEGÄNO, A,Pp. 9. de Socegar. adj. Tran- 
quille, paisible, calme. Estar —, se lenir en _ 
repos, demeurer tranquille, ne se meltre en 
peine de rien. 

SOCEGADOR, A, adj. et s. quiapaise, tranquil 
lise. Rassurent. 

SOCEGÄR, ©. a. apaiser, tranquilliser, calmer. 
Rassurer , assoupir, endormir. ©. ». Reposer, 
dormir. 

SOCBGÄR-SE,, ©. r. 50 calmer, reprendre ses 
song, 56 FASsurer. . 

KOcRao, s. m. repos, tranquillits, calme, paix. 

Soczssiö. V. Successäo. 

BOcHantRino , s.m. dignite de sous-chantre. 

SOCHANTRARIA, 3. f. office, place de sous- 
chantte. 

SoCHÄNTRE, 8. m. sous-chanire do chapitre; 
celui qui remplace le chantre. 

SOCHANTREAÄR, U.n. exorcer l’offies de sous- 
ebantre. 

* Socsıkn. V. Esconder. 

Söcıa , s. f. compagne. V. Sorio. 

SocıaBiLiDäoe, 8. f. sociebilild : qualit& de 
l’borome sociable; aptitude & vivre en socidle. 
*Caractidre , hameur sociable. 

Socıär , adj. ? gen. social ; qui concerne la 
societ6, qui Iui est nöeessaire; qui a rapport & 
elle. V. Sociavel. 

+ SocıaLmenTE, adv. socialement, dans Por- 
dre social. 

Bocıäe. V. Assoolar. 

SocıäveL, adj. 2 gem. sociable : de bonne 
bocietö; fait pour virre en sociel&; qui V’alme. 
Compatible (p. us.). 

SOCIEDÄDE, 8. f. sociel6 : assemblage d’hom- 
mes unis par la nalure et Ics lois; union des 
hommes; leur comnıerce nalurel; union de 


ı personnes pour [6 me&me inlör6t et sous Ccet- 


taines regles ; compagnie de commerce. 

SUCINIANISMO, 8. Mm. socinianisme : secle des 
Soriniens qui rejettent les mysiöres, le p6&ch& 
äriginel, la gräce, et la divinits de J.-C., w’ad- 
meltant que l’eridence. 

SocımıÄno, A,adj. ets. Socinien, partisan de 
Bocin; ce qul a rappert A cet hörssiarque ou 
& sa doctrine. 

Söcı0, A, adj. ei 8. rumpagnon , ete. V. Com- 
pankheiro. Associe. Parlisan. Complice. — d’ıs 
Aavfo, co-bourkeuls: Int6ross6 dans un valssoau 
marchand. 

Soco, V, Söceb, 


1100 SOF 


8öco, s. m. coup de poing, mornifle, gouf- 
made. 

Söco. V. Ensosso. 

Socosnin, etc. V. Sossobrar, ele. 

* SocOLUEDOR, s. m. sous-collecteur, receveur 
en second. 

Socouıre. (1. de prov.\ V. Pöspello. 

SOCOLOR, #. m. pretexie , raison apparenie, 
spöcieuse. V. Sobcolor. 

+ Socörvıa, s. f. lächet, paresse, negli- 
gence, indolence. 

SoconRER , ett. V. Soccorrer,, etc. 

+ Socoröra, s. f. (1. de geog.) Soootora : tie 
entre l’Arabie Heureuse et l’Alrique. 

SOCOTORINO, 0% — TRINO, A, adj. de Soco- 
tora. On !e dit du jus de l’alo&s de Soootora. 

+ SocnärTico, A, adj. socralique : de Socrate; 
qui suit sa doctrine. 

* SocrEsSTÄR , eic. V. Sequesirar,, etc. 

Sova, 8. f. (1. de chim.) soude, oxyde de so- 
dium. s 

SovaALicıO, 8. m. * societ6 d’amis. 

* Sopıäco. V. Subdiacono. 

+Sonoua,s. f.(t. de g/og.) Sodöme : une des 
quatre villes ablınees dans la ınor Morie; (g.) 
ville de perdilion, de desordre. 

Sopouia, 3. f. sodomie : pech6 contre na- 
ture. 

Sopowita, s. m. sodomite : coupable de sodo- 
mie. —s, pl. habitanıs de Sodöme. 

SODONITICO , A , adj. de la sodowie. 

Sospine. V. Souliddo, Soledade et Saudade, 

*Sokıras, 8. f. pl. ce qui est de coutume,. 

So&a, ©. Rn. avoir coulume, accoulumer. On 
disait anciennement souloir. 

Sorncufn, v. a. surhausser, soulever, lever 
un peu, soupeser. ll est aussi reciproque. 

*Sorscreväkn. V. Sudscrever. 

* SOERSTABELECUDO. V. Substabelecido. 

*SOESTAMENTO. V. Sequesiro. 

*"Sosstno. V. Esquerdo. 

Sori,s. m. sofa, lit de repos; espece d’es- 
trade couverte d’un tapis. Canapc. 

+ SoräLa, s. f. (6. de geog.) Solala : ville 
d’Afrique meridionale. 


sol 


SOFFRINENTO, s.m. " soulfrance : peins, dee- 
leur ; öiat de celui qui souffre. * Palience ä seul- 
frir, a supporter, resignalion. 

SorFniveL, adj. 2 gen. supportable, w'err- 
ble. Passable. 

SoFrrivHi.MENTE,, adv. d’une manidre sap 
portable. Passabloment. 

Sori ow Sorni, s. m. soß om sopbi: rei de 
Porse. 

Sorısua, etc. V. Sopkisme, eic. 

Sorocacaö, etc. V. Suffecagio, ele. 

SoroLıg, 3. m. tissu de coion de differeniss 
couleurs. 

*Soronär, ©. a. percer par-dessoms. ü.). 


"SOrRAGÄNnO 
*SorrackYo. ’ } V. Sufraganeo. 


SOFRALDÄR, ©. @. bausser, lever le pan enlı 
queue d’une robe. 

Sorazipa, s. f. saccade. escavessade, tırk 
lade : secousse prompte etriolemte qu’on deas 
& un cheval avec le frein. Ag.) Ssceade: rodk, 
sövere reprimande. (id.' Maladie, afllichen, c 
lamite qui nous fait rentrer en nous-ımemt, ei. 

SOFrEADO, A,Pp.p. de Sofrear. 

Sornkapuna. V. Sofreada. 

SOraRÄR, 9.4. sancader : donner une 3 
cade d un cheval. (Ag.) Tancer, reprimank! 
verisment. (id.) Gourmander ‘ses passe, 
etc.), les dompter. Refrener, reprimer, weit 
rer. 
Sorazoon. V. Soffredor. 

SOFREGAMENTE, ade. avidement, goulunet 

SÖFRECO, A, adj. vorsce, glouten. A.' Dr 
sireux; avide, impatient, acharne. 

SOFREGUICE Ou ' voracile, giomoupent. 

Sorrscuıpäö,s. f. \ıfig.) Avidite; arlet, 
empressement, impalience. 

*"Soratnga, 5. f. V. Podecimenie, Sfr 
meonto. 

“Soraknte. V. Soffredor. 

Sorrör,etc. V. Sofrer. eic. 

Söca, 5. f. grosse corde de jonc, de spa 
rie, etc. Courroie pour alieler les beuls- 
nkor de — e cuiello. V. ce mot. Ver-we u 


Sorragpon, A,adj. ei s. durau travail, & la! coma — na gargania. V. co mol. 


faligue; endurani, patienl, resigne. Indul- 
gent. 

Sorsa£a, v. a. souffrir, endurer, supporter : 
patiomment. Supporler, soutenir’—, ne pas 
s’opposer; perınelire, tolerer; pälir; subir.: 
Essuyer une perte, supporter des [rais, eic. — ' 
mai , subır, tolerer a contre-caur. 

Borrnka-sE, v. r. dissirnuler sa souflrauce, 
endurer (une peine, eic.) avoc Tesignation. Se ! 
reprimer. — de fazer alguma cousa, sabstenir , 
d’une chose mıalgre soi. | 

SOFFRIDAMENTE , adv. patiomment, avec re- 
signalion. 

Sorraipo, A, pP. p. de Soffrer. adj. Souffert. 
Palient, endurant, resigne, Qui souflre sans 
seplaindre. Mai—, impatient, qui endure peu. 
V. Insofrido. it. Qu’on endure aveo peine, 
qu’on supporie A contre-cwur, 


SuGkıgaö, s. f. V. Sujeipdo. 

SociLna. V. Soguilha. 

Socka,s. f. beile-mere : mere de la feat 
ou du mari. " Tortillon, bourrelet que !® ir 
tieres ei les fruitieres metient sur leur täie I" 
porter plus aisement lears charges- 

Söcro, s. m. beau-pöre : marı de la meft- 

Socviına, s. f. dim. de Söge. * 
pour garnir les vetements. 

*Soica,s. f. exereice militaire , osmbat, 
taille feine. Compagnie d’borames babill 
la mode de la Suisse pour danser dans @* 
fete. 

*Soicıa ‚s. f. reglement mitnaire des Set: 
musique mulitairedes iroupes suisseh V- 

Sumwans. V. Sewdade ei Solidde. 

Sofno, s. m. son, bruil. V. Som. 

"Borntso. V. Saudoso. 











SOL 


Sorkıra, s. f. V. Malricaria. (ant.) Metier, 
peine, ete., de chasser aux lapins. 

Sosgıtar. V. Sujeiler. 

SOJ6RNO,, 8. m. (p. u.) s#jout, demeure. 

Sosucär, elc. V. Subjuger, Sujeilar, etc. 

*SöL, ade. V. Sömenie. 

SöL, s. m. soleil : astıre du jonr, centre de 
notre syst&me plandtaire, sa figure; Por, en 
termes d’alchimie. Le jour, en prenant la cause 
pour l’effet. La chaleur produite par ie soleil. 
Sol : cinquieme note de la gamnıe. (ant.) V. 
Solo, Ch6o. — cris , öclipse de soleil. Do—a—, 
entre deux soleils, depuis le lever du soleil 
jusqu’ä son coucher. Ao p6r do —, au coucher 
du soleil. 40 sair de —, au lever du soleil. 40 
— posio, A la brune, sur la brane, au soleil 
couch6. Adorar o — que nasce , adorer le soleil 
levant. On le dit des courlisans qui s’sttaobent 
toujours au ministre nouvellement en place, 
ete. Tomer 0 —, se tenir, se promener au 80- 
leil pour s’&chauffer ; observer le soleil, pren- 
dre la latitude geographique. Ndo ver — nem 
iss, ne voir ni une ni soleil. Melter alguem 
onde ndo veja— nom Ina, jeter queiqu’un dans 
un cui de hasse fosse, l’enferıner dans un ea- 
chot. Quando o — nasce d para lodos, (fig.) le 
soleil luit pour tout le monde. — de inverno, 
(Ag.) amitie6 qui se refroidit bientöt, chose de 
peu de duree. Ndo deizar alguem a — nem a 
sombra, eire sans cesse aux lrousses de quel- 
qu’un, ne pas lui laisser un moment de repos, 
de reläche. Partiro — nos duellos, etc., par- 
Lager lecamp de maniere que le soleil ne donne 
de [ront sur aucun des obampions, etc. Sodes, 
pi. (fig.) les grandes chaleurs. (podt.) Les jours. 
(id. Soleils. On le dit de deux beaux yeux. 

SuLa, s. f. somelle : piöce de cuir qui fait le 
dessous du soulier, otc. " Cuir de baufcorroye, 
cuır & semelle. Solo du cheval. —do pe, plante 
iu pied. Pör —s, ressemeler. 

SoLac6so. V. Aprasivel, Delsitavel. 
SoLa1Ro. V. Salario. 

"SoLim. V. Soldo. 

"SOLAMENTE. V. Somenie. 

SoLino, s. m. (t. de bot.) V. Herva moura. 
— irepador.\. Dogamarga. it. Vent d’est. V. 
Soäo. 

SoLid ou *romance, chanson tendre, 

SoLA0, s.m.) triste, m&lancolique. (viewr) 
* Consolation, soulagement. 

SoLära,s.f. sape, action de saper, de mi- 
ner; mine, creux, cavile.( fg.) Vain pretexie, 
[ausse couleur, deguisement, dissimulation , 
sousentente. Ter musilas —s, ( Ag.) avoir beau- 
coup de replis. 

SOLAPADAMENTE, adv. avec feinte, ruse, dis- 
simulation ; furtivement, en cachette. 

SOLAPADO, A, 9. p. de Solapar. adj. Russ, 
fourbe, dissimule, artificieux, sourmois; 80- 
eret, cache. 

SOLAPAMENTO, s. m. V. Soldpe. 

SOLAFÄR, ®. 6. miner, saper, creuser. ( Ag.) 
Saper, detruire,, fenverser. 

SoLir, edj. 2 gen. solaire : qui appartient au 


. SOL 1101 


solell. Plantas solares, (1. de bot.) plantes so- 
laires : dont les fleurs restent &panouies pen- 
dant la presence du soleil. 

Sorin, s. m. sol, emplacement, place sur 
laquelle une ancienne maison noble est ou & 
ete bätie. Manoir seigneurial. *Souche d’une 
maison noble. ( Ag.) “ Demeure, sejour. 

SoLir,v.a. ressemeler :meitre de nouvelles 
semelles. 

SoLartcO, A, 0% qui appartient & une 

SOLARENCO, K, adj. ) maison noble, A sa 
souche, etc. Noble, ancien, selgneurial, Casa 
u maison oü a pris naissance une ancienne 
famille. —s, pl. adj. ei s. ceux qui habitaient 
les terres d’un seigneur, pr&s de son manoir, et 
lui &taient tributaires. 

° SoLänzs, s. m. pl. (P. us.) adorateurs du 
soleil. 

SoLarrtoo. V. Solarengo. 

* Soränıo. V. Soalkeiro. 

* Sor.an6s0o. V. Consolador. 

"SoLas ow SoLaz, s. m. soulsgement de 
peine. adj. 2 gew. Consolant, qui console. 

S6LAS (A), adv. tout seul, sans Compagnie; 
w#te A töte; A l’ecart, en parliculier. A — com 
alguem , en töte-d-lete. 

SOLAVANCO, 3. m. * secousse, cahot, caho- 
tage. 

SöLpa, 8. f. soudure : composition metal- 
ligue et minerale qui sert ä souder. 

SoLoa , s. f. (4. de bot.) " gaillet blanc : plante 
rubiacde. 4. Torıneniille. — real. V. Sami- 
cula. — alcalina, soude, salicot, salioor, kali. 
— de Veneza.V. 'Salicornia. 

SoLoipa, 8. f. "salaire, gages d’un domes- 
tique; solde. (Ag.) Recompense. Quantiis de 
sous. Cens paye en sous. — de marinheiros, 

" mateloisge. Homem de —, celui qui esi aux 
gages,. mercenaire. Ester de — com alguem, 
öire aux gages de quelqu’un. 

* SOLDADEIRO, A, adj. qui Ost aux gager, qui 
a un salaire. it. V. Soldado. 

SoLpapksca,, 8. [. soldatesque : nom collee- 
tif des siınples soldats. (ans.) Armee. if. Action, 
chose propre de soldat. 

SoLDADEsco, A, adj. soldatesque : qui sent 
le soldat; de soldat, qui appartient aux soldats. 

SOLDADINBO, 8. m. dim. de Soldado. Soldat 
de petite taille, de ımauvaise niine, elc. 

SoLpino,s. m. soldat, militaire, homme de 
guerre. Siınple soldat. En ce sens, on dit ordi- 
nairement soldado raso. ( lg.) —, homnie de 
Kiterre, brave, vaillant, determine. Soldat de 
Jesus-Christ, chretien. Sorte de poisson du Br& 
sil. — de cavallo, cavalier. — velho, velerano, 
eurlido au cortado nas betalhas, vieux soldat, 
qui’a longteinps servi. — malreiro, soudrille. 
Dinheiro de conlado acha —, (prov.) argent 
comptant porte medecine. Poriou-se, ou obrow 
como—, il se comporla en soldat. 

SoLpano,A.Pp.p. de Solder. 

Soı.papor, 3. m. ouvrier qui soude. adj. Qui 
soude. 








1193 SOL . SOL 


SoLpanußa „4. f.gondaps : artion de Mader; SorLgrain,®.u. Apeler : MONMEEER Sl SUSER- 
endroit saude. bler les leitreg qui coımposent un mol. 
SorpaneuLa,s. f. (4. de bot.) soldanelle des | SoLzvantan. V. Soerguer. 

Alpes. — bestarda, soldanelie chou-de-mer, BoLEvAaR, v. a. soulerer, bansser. V. Sell 

liseron mwarilime : plante medicinale. vor, Supporlar. 

SoLpkö, 8. m. soydan : prince, general ma- Söura ‚a.[. musique : stionse des sans. Katıs 
hometan. de musique. 

SoLnäa, v. a. souder : joindre par le mayen | Souria, o.«. (5. de rei.) atiacher, onlıı 
de la suudure. Cicatriser (une plaie). ( Ag.) Re- | des onglets, eto, 

nopner (une amitie), r&conciljer. (id.) Beparer | Soursäa, eis, V. Solfejar, olc. 

(un dommage), dedommager. (fd.) Corriger,re-| BOLsBaDO, &,Pp.p. de 

medier, replätrer. (4. decomm.) V. Seldar, SQLFEJäR „ 9. 6.ut 8. solßer: abaniarıa m 
SoLpäass, 0.7. — comalguem, (Äg.) se mans les notes. 

ooncilier avec quelqu’un. SoLrsso os SoLrkıo, s. u. nalläge : sum 
" SoLnants, s. /. cordage de vaissesu, miniöl | hinge des notes de musique ; eimde de m 

ligne de sonde. notes, de jeur valeur, des inzervalles men 
SöLnD ‚8. m. * solde : paye dannde aux gens | caus; ölemeanis de la musique vorels; Farım 

de guerre. Appointements, honoraires. Soa : | do aolßer. 

ancienne monnaie de differentes valeurs en | Bourisra „a. 2 gen. habile musieien ; camp 

Portugal; sou, monnaie de Eranse, vingli&me | siteur de musique. Celui qui solle. 

partie de la livre. Pagar ou contribwr —d K-| Sara,s.f.(i.d’hist. nat.) sole, Liamede. |. 

wrs, payer, coniribuer au prorsta. Reiruga. — espinhasa do Norte, ie Di, 
SOLkCISMO, 8. m. »ol6cismie : [aule gEossiöre | picaud. it. Sorte d’anoienne armere. 

contre la synlaxe. SoıHino, s. ım. V. Solko, Sobraie, Pas 

. SaLEpÄDE, s. f. solitude, eloignement de la | mento. 

socielö, du commerce des hommes, retraile. | Soımir,ete. V. Sodrader, Asseniher. 

—, absence : privalion delayue d'unepersonne. | SoLukno. V. Soalkeire. 

V. Solidäo cı Saudade. S6rıu0, 5.m. (1. d’kist. nad.) ? pie : peoame 
“Souepäd. V. Soliddo. pleuronecie. V. Patenga. — rei, V’esturren «- 
Sotıra ,s. f. pierre plaie sur Isquello pese | dinajre. st. Plencher, parquet. Pizwebes pe 

un piad droit. *Seuil. °Marchopied. Pico en fer | plencheier, parqueter, etc., bois de stiar. 

d’un earrosse. "Bousa ‚s. f. sorte d’aneienne tiefe de Im 
SoLtuns, adj. 2 gen. solennel, odlöbre, pom- | grossiere. V. Sulia. 

peux , accompagne de ceremonies ; auihon- | Soricıragäö,s.f. sollicitation : actendes® 

tique. Qui se oelebre d’anneo em annda, eu | liciter; insligation , instance. 

6gard au cours du soleil. Souicıräpo, A, P. p. de Solieiter. adj. Se 
SoLsunzuente, adv. solennellement : d’une | licits. Mei — , recherche. 

maniöre solennelle. SoLicırapek, A, 3. personne qui vr 
BoLzmnınäns, s. f. solennite , celebrite ; c#- | Sellicileur de proods, etc. V. Sofiellentr. 

römonie publique qui rend volennel ; flo se-| SoLicıtamente, ade. avec sotticituae, sel. 

lennelle , on tesmes d’eglise. empressement; soigneusement. 
SOLEMNISSIMO, A, adj. sup. de Solemms. SOLICITÄNTE, adj. 2 gen. p. a. Je Sehur. 
SoLsumızackö, a. f. solennisalion , action de | Qui sollicıte. Sollieiteur. On le dit surtsetin 
solenniser. , confesseur qui cherche & seduire sa pen? 
SOLEuNIzÄnO, A,p.p. do Solemnizar. SoLicıtÄr ‚vd. @. solliciter: prendre sorr {ste 
+ BoLzmmuzaDöR, A, 5. persone Qui golen- | affsıre, la poursuivre; inciter, ezeiter 3. !; 
nise, qui celöbre. 


. Solliciter une femme, l’engager ä rege: : 
SOLENNIZzÄR, vd. a. solenniser : celebrer aveo 


j ah notre passion. —, postuler; demande'”r 
solennite. Celebrer,, louer, exalter. ment, avec instance, chercher & obwrr E- 
SoLtxg, ctc. V. Solemne, etc. 


SöLxo. V. Sölo, Chä chercher. — honras, etc., courir aprös kt ::* 
Ye „ Sna0. neurs, etc. — com manejos e enris, Mi." 
f Sour. V. Sodr, Acostumar. ' 


SoLICITÄR-SE (de), ©. Tr. Siinyuieles, REF” 
Sareacıa ,s. f. industrie, adresse, babileld, | cier de. 
ünesse. Kuse adroile, arlilice. * Sosscırinaö. V. Solieitude. 
SoLäaTE, adj. 2 gen. indusirieuz, adroit,| SoLisırn, a, adj. soignewz, delieemt., € 
habile, ingenieux. Ruse, lin , sstucicux. 


presse , assiilu, sursjsble. Uhagrın, mis ' 

SOLÄRTEMENTE , ade. adroilement, habile- | Aadar — , sermprosser, se domaer de as! 
ment, avec finesse. ment. 

SöLzs, s.m. pidce de bois A faquelle on at-| Souicıtüng, s. f. sollicitude, sousi: um 
tache lcs baufs quand on en emploie plusd’une | quiet ou allectueuz ; insiamce, densude; 5% 
couple. V. Cambäde, dyite. 

Boıtra,t. f. sermells taillde. 


SoLinine. V, Solidez. 
RBoLutadne, A, p. p.de Solelrar. + Boıtmicen. (l. de Bol.) V. Yaro #oarn 





























BaL 


m antorn ‚ade. selidamant » aN2e gplin 
ih 7 

Soisnäß, 6. f- elitade, lien dapert, inhalik, 
V. Soledade 


GoLmia, ©. a. pansalider, eflewsir. (Ag.) 
Anpuyer sur des preuves, des zaisans galides; 
corroborer,, confirmer,, fartißer. Kiger, 6paig- 
sir (des liquides). 

SöLısän,s. m.” ealolie, pelit bonneb de pib- 
tre qui ne cnuvre que le hayı de la LAle. 

‚ Souiptz, s. f. solidiid :quelis6 de ne qai ost 
solide, au propre ei au Agure. 

SoLipissıMo, A, adj. sup. de 

Sös120 , 4, adj. solide : qui niest pas Anide; 
long, large et profond ; qui a de la cansisianne; 
qui n’est pas fragile ou peu durable; (Ag.) qui 
n’est pas fragile, ni vsin, ıi ehimerigne , pi 
frirold;(id.) vrai, veel, eiectif, onumiant. —, 
dur; (Ag.)appuye sur des prineipes eertains,eic. 

SöLine, 3. ©. nelide: fesne, der; 
corps A tzois dimensions ; (Ag.) os qu'il yade 
bon , d’uslle. i 

SöLıpum (ön), s. m. (mot lat.) solidairement, 
d’une mäniäre selidalre; tous ensembie ; 
soul ou plumieues pour tous. Obrigugde „ GCau- 
gdo in —, (t- de prat.) obligation, caution solt- 
daire: qui rend plusieurs esobliges cautions 
les uns des auizes, qui eblige solidairement. 

SOLIiF0GO „ A, adj. (podt.) qui fuıt la clarıs du 
soleil. 

SoLıLöQuı0, 8. m. soliloque, monologue, dis 
cours de oslai qui parie soul. 

SoLımi6, s. m. sublim4 eorrosif, deutoxyda 
de meroure. 

SOLINHADRIRA, 8. f. “ marteau de carrier. 

+ SoLınnin, v.e. doter ıde bois), twiller (ta 
pierre) au-dessous d’une Hgn6 waote. 

SöLI0,s. m. tröne. (fig.)” Royaute, puissanoe, 
souverainete, domination. Lit de Justice. Haut 
dais. © — puro, (po6t.) le ciel. 

SOLIPEDE, adj. 2 gen. solinede: qui n’a qu’une 
corne au pied ; quia lo pied en sole. —s, #.'m. Pl. 
solipedes, genre de quadrupedes. 

+ Sorrranıa, 5. f. vor solltaire, Lönie. 

SOLITÄRIANERTE,, adv. Solilairement. 

SOLITÄRIO, A, adj. »olitaire : quı est seul, 
aime ä eire seul;quiTuftie monde; retire, isole, 
desert (lieu). s.m. —, anachortte, ermite, qui 
vit seul. —, diamant isole. Pdssaro —, merle 
de roche,, passereau solitaire. Beliyo —, ermi- 
tage. Verme —. V. Solildria. 

+ Soustaunkııas, 8. P. pl. (b. Pant.) fktes 
quinquennales oü l’on ofrait aux dieux des 
vietimes tout enticres. 

Sorir6pr. V. Sotedade, Solidto. 

SOLLEMNE, etc. V. Sulemne, etc. 

SoLLevär, etc. V. Sublevar, Suerguer, Sup- 
portar. 

SoLrieitan, eic. V. Solieilar, etc. 

8610, 5. m. sol, terrain. V.Chdo. t. demus.) 
Solo : ınorceau jouc ou chanid par un seul. 

801.0G18aR. V. Syllogisar. 

SoLasıL. V. Selamim. 

’BoLonsıhd, V. Lirurgiäo, 


SQL 1108 


SaLrig20 , . m. a anuches da solell. V. Sal. 
SojsticiäL, adj. 2 gen. solslicial, des sol- 

stjces ; Qui 8 VApPOrs aux solslices. 

SOLSTICIO,, 5. m, Bolstice : point od le soleil 
est le plus eluigus de l’6quateur, ot on il sem- 
bla stelionnsire ; &paque oü cela a lien. 

SoLTa,s. f. entreves pour:les chevauz. (Ag.) 
* Lien, attache. Quebrar as -—s, ( fg.) Sompre 
tous les liens merauz, meconnaljse lautes Je8 
eanvanances, pordre laute veienus. 

Söurs, » f. Yastion de delier, de lächer. 
Bauts de reohange, de zelais. Lieu od l’on de 
telle les baufs pour les false paltze. £i. de 
Yener.) Laissor ceurse. 

+&8orrine, a (V. Selle), p. p. le Sollar. 
BoLsanen, s. m. celui qui derte, qui deutsche; 

qui r&yont (une qyession, el0.). 

SoLTsuänTe, ade. vilement, prompislLent., 
Eiremenı’ sans emberras, egilement. ( fig.) 

ibrement, lloeneigusement. 

SoLraniw. V. Suktanim. 

SoLräß. V. Soldäp at Sul 

SoLtin, 9. e. delier, dutacher. Lächer, der- 
serrer, denouer, laisser aller. Lächer, delivre», 
€largir, melire en libert6, relächer. Ressudre, 
decides, expliquer, &elairoir. Manifester par des 
signes exlörlours ce qui so passe en dedans de 
noas. — 0 riso, seilster de rire. — o pranfo, 
fondre en pleurs, eic. Remettre (une dette, eto.), 
„Martehlr (d'un impst, eto.). Laisser, abandon- 
ner. Be dösister, renonoer A, ne pas poursul- 
yre. (anf.) Permeitre. — os diques, ouvrir los 
Jigues. V. Dique. — amizades, rompre des 
aniftiee. —pulderas, lächer, prolerer des mots. 
—0 vEHfre, purger. — suspiros, soupirer. — a 
diolda , (anl.) remettre une detie. — a diffieul- 
dade , rdsoudre une difficulie. — a presa (d’a- 
gua), lächer la bonde d’un &iang, etc. — a rd- 
dea. V. ce mot. — 0 aror, etc., lächer l’autoar, 
ete. — as agquas, [aite Jouer les eaur. — a 
roupa ou roupes, de#irousser sa robo, ses v&- 
tements, etc. 

SoLrir-se, 9. r. ve delivrer, briser ses liens; 
se dechatner. Echapper. (Ag.) S’abandonner 
au vice, & la debauche, etc. Se debaucher. 
— em palarras, parler sans retenne. — em 
infurias contra alguem, se dechalner conire 
yuelqu’un, — em vento, (fig.) s’en aller en 
fumes. 

*+Sorrtınamentg, ado. librement, sans em- 
barras, agilement. 

Sourkıno, A, adj. et 3. c#libataire : libre, 
ui n’est poin! maric. Garcon. (anf.) Libre, in- 
&pendant, qui se permet tout. Molher —a, 

Alle non mariee, deinoisclle. (anf.) Feame ga- 
lante, courtisane. 

S61T0,A, p.p. irr. de Soltar. adj. Delie, 
detache, läche. Elargi, mis en liberte. Libre, 
independant, degage. Vile, prompt, leger. 
(p.us.) Detendu. Epars, en parlant des che- 
veux.( ig.) Libre, qui se permet tout; libre en 
paroles ; derezle, dissolu, licencieux. — de 
kingua, medisant, impudent, ınauvaise langue, 
Lingua —a, mauvaiso Jangue. Fids —a, vie 


1108 SOM 


dissolue , liconcieuse. + —, profond som- 
meit. Verso —, vers libres,, vers blancs. Ande 
e diabo —,( fig.) les diables se sont dechaines; 
tout est en confusion , sons dessus dessous. 

Soı.Türa,s. f. l’action de delier, de lächer, 
etc. *EBlargisseınent, delivrance, mise en li- 
berte. Agilite, souplesse, dexierite, etc. Li- 
cence, dereglement, dissolutlion, debauche,. 
Solution, interpretation. — de vensre, diarrhöe, 
devoiement. Dizer o sonko e a —, dire tout cs 
qui vient A la bouche , parler sans ınönagement. 
Viver n’ume — ilimilade , vivre avec une li- 
conce sans bornes. 

SoLucino, A, p. p. de Solupar. 

SoLugaö,s. f. Vaotion de delier, de detacher. 
Solution , dönouement, 6claircissernent (d’une 
difculte); resolution (d’un problöme). (4. de 
ekim.) Solution : union & un liquide en fondant, 
sans se docomposer. Payeınent final. 

SoLucär, v. ». sangloter; avoir le hoquet. 
Tanguer, en parlanı d’un vaisseau. 

SoLigo, 5. m. sanglot, hoquet. Tangage d’un 
vaisseau. Ter —ı, estar com —s, avoir le ho- 
quet. 

SoLucdso, A, adj. sanglotant. 

SoLurTivo, a, adj. \t.de med.) dissolvant, qui 
a la vertu de dissoudre; fondant; lazatil. 

SoLöro, a. V. Sollte. Oragdo —e, (p. us.) 
prose. 

SoLÜVEL , adj. 2 gen. soluble, qui se dissomt. 

t SULVENTE, adj. 2 gen. qui a acquiliö ses 
deites, ei qui est en &lat de payor celles quil 
contractera , solvable. p. @. de 

SoLvir, v. a. (inus.) detacher, etc. V. De- 
salar. Resoudre, Jıssoudre, etc. V. Resolver. 

SON, s. m. son: vibration des Corps sonores, 
de l’air; ce qui [rappe l’oule. Ao — de, au son 
(d’un instrument), ı Ag.) au gre, selon, d’apres. 
Em —,de facon, de ımaniere. Em — de pas, 
(fig.) avec un air pacilique. Dizer alto e bom 
—, dire tout haut, haut ei clair. Sem Jom nem 
—,(/fam. sans riıne ni raison, A lort elära- 
vers. Bailar 00 — que se loca, (flg.) S’accom- 
moder au leınps, aux circonslances : hurler 
avec Ics loups, vrier selon les terups:: Vive le 
ui: vivela Ligue! Bailar a qualquer —, (fig.) 
ceder d la premiere impression , lourner & tuut 
vent. 

Su. variation antiquee du verbe Ser, pour 
Su \ı je suis). 

Soua. V. Somma. 

Suuaca. V. Sumarca. 

Souapa. V. dssumada, Allura. 

"Susänı. V. Semana. 

Susan,eic. V. Summar, elc. 

+ SomaroLocta, 8. f. somatologie : trait& des 
parties solides du corps humain. 

Somarna, s. f. ombre: obscuril® causee par 
l'interposition d'un Corps opaque; espace prive 
de lumiere;, sa representation; ce qui l'imite. 
"Ombrage : asserublage de branches, de feuilles 
qui donnent l’oınbre. | fig.) — , protecijon, fa- 
veur, appui; prelexte; pelit defaul. —, appa- 
rence vaine. —, specire, fantöme —, coulauır 


SOM 


ebsoure employde dans un tables. V. Om 
drins. Faser — ‚ donner de l’ombre, proleger, 
Faser — a alguem, (flg.) porter ombrage I 
quelgu’un : on le dit d’une personne gei a 
eclipse une autre par son merite. 4’— de, 14.) 
avec !’appui de, sous les auspices de ; 5003 pre 
texte de. Por d —, (fam.) melire en prisee. 
Nem por —ı , pas l’ombre, point da iont, dı= 
cune maniere. —s, pl. oımbres, sonleur eb- 
scures, en peinture; obscurit6, tWmebres. —t 
dos morlos , ombres , mänes. 

* Sounaacäa. V. Sodragrer. 

SOMBREIDO, A, P. p. de 

BousazAr, 9. 6. ombrer : mettre les ombrus 
: un tableau. Ombrager : donner, lsire de om 

Fo. 

+ Sommatına, s. f. p6tasite, plante. 

Sousasınkıno ,s. m. chapelier : eelui qui ll 
et vend des chapessz. 

SOMBREIRINNO, 5. m. dim. de Sembreir. - 
de m#o ou de sol, petit parasol de deme, m 
breile. —s do teikado, nombril de Vena. \. 
Comchellos. 

Sousatıao, 5. m. V. Chapte. (Ag.)Ce qii 
donne de l’ombre. Nom d’un peisson men 
trueux, 

Sounatatre, dim. de Sombreire. 

} Souaaia,s. f. oiseau qui ressesmble au «= 
chervis. 

Somaninua, 8. f. dim. de Somöre. Peite 
ombre. 

Sowario, A, adj. sombre, obscar, ombrapk 
(Ag) Taciturne, melancolique , morne. 

Son2n080, A, adj. sombre, obscur. (Qu deoa® 
de Pombre. 

Somkınos, 8. m. pl. sommiers d’impriment. 

Soutnos, adj. 2 gen. inferieur, de wend 
valeur. . 

SOm£nTE, edv. seulement; rien que # 
—..., BERdO OU ME8..., Hon-seulemenl.., BA 
encore... — 03 meninos, elc., rien que Id #8 
fanıs, etc. V. Sequer. Excepte, hormis (#8. 
Tdo —, uniquement, simplomen!. 

86 — Comsigo, ne prendre conseil que de a. 

Souzacka. . 

SOMERCIR. | V. Submergir, eice 

SomErEa, elc. V. Submellter, Sujeilar. 

* Sosichas. V. Semiches. 

* Sonicno. V. Submisso. 

Suuir, eic. V. Sumir, ete. 

Somissaö. V. Submissdo. 

Somitscania, 5. f. 4. ewig.) avarice, Il 
nerie. ‚ant., Sodomie. 

SonitEco ou Souitico, A, 8. (4 only.) araftı 
erasseux, vilain, chiche. (anf) Sodomile. 

* Sosıtisento,. V. Submelimento. 

SOmMA,s. f. somme : quantils d’argent: f% 
sultat des sommes ajoulees; addition; Wu, 
ensemble, portion. ( ig.) * Abrege, recapitalt- 
tion, sommaire, subsiance, eic. V. 
Somine : vaissesu marchand chineis. — 
gente, foule de monde. — de males, loulh & 
maux, des maux & l’infini. 

SONMADO , A, p. 9. de Sommar. 


SON 


Soınsia, u. 6. sommer : trouver la sommc de 
plusieurs quantites ; additionnef. Abreger, r6- 
duire. v. ». Monter &. Conia de —, addition, 
operstion d’ariihmetique. 

Bouuin-se, vo. r. V. Besumir-se, Cifrar-se. 

Soumäirıo. V. Summeario. 

SONNETINENTO. V. Submettimento, Swjeipdo. 

SONNAMBULISMO ‚3. m. somnambulisıne ; ötat 
du somnambule ; röve en action. 

SOMNÄNMBULO, A, adj. et s. somnambule : qui 
agit et parle on dormant, 

SOmNiFERO, A, adj. somnilöre : qui PFo- 
voque, qui cause le sommeil. 

SOMNINHO, 8. m. petit sommeil. dim. de 

SOMNO, 3. m. sommeil, SOoMme, FOpos; en- 
lier assoupissement des sens; grande envie de 
dormir; (Ag.) indolenee; illusion, insensi- 
bilite. (4. de bot.) —, tat d’une fleur, d’une 
feuille qui s’est ferme&e. — ldve , sommeil löger. 

— pesado, sommeil profond. Dormir a — solto, 
dormir d’un profond sommeil. Levar toda «@ 
noite d’um —, faire sa nuit tout d’une piece. 
Vonsos que fazem — , des conies ä dormir de- 

ur... 

SONNOLRNCIHA , 8. f. * assoupissement. 

SOusoL&nTOo, A, adj. accable de sommell, 
a8s0upi ,, endormi. 

Souönts. V. Simonte. 

*Sonäsas. V. Soalhas, Pandeiro. 

Sorincia, s. f.’ton de musique. V. Conso- 
nancia. 

Soränts. V. Soante, Sonoro. 

Sonita,s. f. sonate : piece de musique in- 
sirumentale ou pour le piano. 

t SöncnHo, s. m. (. de bot.) V. Serralka. 

SönDa, s. f. sonde : instrument pour sonder 
les plaies,, les voies urinaires , etc., pour con- 
naltre la profondeur de l’eau, etc. (1. de war.) 
Endroit de la mer dont le fond est conna ; fond 
que touche la sonde. Tomar a— , sonder, au 
propre et au figure. 

Sonpipo,A,P.9.de 

Sonpän , v. a. sonder : chereber a connaitre 
la profondeur, la nature du fond par le moyen 
de la sonde ; melire, empioyer la sonde dans 
ung plaie, ete. ; (g.) tächer de connalire ( l’in- 
tention, la pensde, elc.). 

+ Sonvantza, s. f. (tl. de mer.) ligne de 
sonde , la sonde elle-meöme. 

* Sonpes, varialion antique du verbe Ser 
pour sois (vous &tes). 

SONEGÄDAMENTE, ado. en cachette, furti've- 
ment. 

SONEGÄDO, A,P. 9. do Sonegar. 

SOnecaDöR, A,s. celulquicache, qui recdle, 
qui denie , rec&leur. 

SONEGANENTO,, 3. m. rectlement: action de 
receler, de cacher ; soustraction frauduleuse. 

SONEGCAR, v. @. cacher, receler, soustraire; 
denier, nier. — cabedaes e obrigardes acliows, 
(8. de comm.) detourner des efleis au prejud ice 
de ses cr6anciers, detourner leurs effeis, les 
soustsaise frauduleusement, 


PORT.-FR, 


sop 1108 


+ Soxstiie , o.o. ein. (burl.) lalre, röcitee 
des sonnets. 

Songtista ‚s. m. faiseur de sonnels. 

Sonkro, 3. m. sonnet : ouvrage de po6sie, 
de quatorze vers; deux quatrains et deux ter- 
ceis. 

SORBADO, A, pP. p. de Sonkar. 

SONHADOR , A, 3. SOngeur, celui qui racont, 
565 songes , qui y ajoute foi; r@veur, qui röve, 
qui s’abandonno aux röveries. 

Sonmar (com ‚em, que), o. a. et #. SONgErT, 
faire un songe ,r&ver. (fg.) Röver, laisser errer 
son imagination ; mediter legerement; dire des 
extravagances. — com alguem, röver de quel- 
qu’un. Sonhei com meu pai, j'ai rev& A ınon 
pere. Nem sonhdl-o, n’avoir pas la moindre 
pensde d’une chose. Ndo sonho em oulra couse, 
je ne reve que cela, c’est mon reve. 

SONHO, 8. m. songe, r&eve. (fg.) —, chose 
vaine qui passe rapidemen!. (id.) Revo : espoir 
mal fonde; id6e chimerique. Nem por —s, pas 
meme en songe. Em —s ou enfre —s, en SOnge, 
en dormant. it. Pet de nonne, espece de bei- 
gnet. 

Sonino,s. m. son, hbruit, fracas. Timbre. 

+SoniL, s. m. (4. d’Asie) titre d’honneur 
chez les Persans. 

SoniPEDE ‚adj. 2 gen. (podi.) qui Lait du bruit 
avec les pieds. 

Söno, etc. V.Sommo, etc. 

SONÖRAMENTE, adv. d’une maniöre sonore 
karmonieusement. 

Sonontuto. V. Somnordnio. 

Sonoripäne, 5. f. qualitö de ce qui est 80- 
nore, barmonie. * Resonnement. 

Sonön0, A, adj. sonore : qui a un son 
beau , agr6able, &clatant ; ronflant. Resonnant, 
bruyant. O — da vox, la netiet6 de la voix. 

SOnorösamentE , adv. harmoniousement; 
d’un ton, d’une voix sonore. 

Sonoa6s0, A, adj. sonore, reösonnant. V. 
Sonoro. 

Sonöute, s. f. "erepuscule du soir, la nuit 
fermante, 

Sössa ,s. f. simplieits affecteo. Pelsa—, en 
sournois. 

Sonsice, s. f. simplicits affectee. 

Sönso, A, adj. fin, ruse, dissimule, qui al- 
fecte un air de simplicite, qui fait le nieis; 
sournois, qui cache ce qu’il pense; qui medite 
le mal en silence. 

SOnsoxtte, 8. m. quantitö, nombre, PFO80- 
die d’une langue. (fig.) Ton de voix railleur. 

"800. V.Sob. 

* S6oDEs pour vös sois (vous tes). 

* Soopt. V. Sobpe. 

Söra, s. f. soupe, polage : tranches de pain 
irempees dans du bouillon, eto. — de vinhe, de 
cavallo cansado , soupe au vin, soupe & l’ivro- 
gne ‚soupe au perroquet : pain tremp6 dans lo 
vin. Molkar a —, tremper la soupe. Bebado 
Como ums —, soül comme uno griwe. Bslar 
fetlo uma — , ötre iremp6 comme ut16 SOUP®, 
ötre mouill& jusqu’ä la chemise, j.erc6 jus- 


zo 





„rn. 


1106 sop . “ 8OR 


’ alguem,, manger lo | dre, ealmer pour un tenaps (des deulews & 
in de larane u ’ er gubs, des passions violentes, eie.). (A) Ir 

Sorina , s. f+ (fam.) beaucoup de soupe. peeher "öclat, tes progrös, les suites dun mul. 

Sopiö. (burl.) V. Beberröo. d’une sedilion, etc.; comprimer, doußer. 

SoriPo, s. m. coup sur les Jou6s gonfises de | Sortro, A, adj. assoupi , endormi , appeseil. 
vent. Sous-barbe , relöve-menton. 

Sopt, s.m. V. Cambapd. 40 —, auprös. 

SorzinO , A, p. p. de Sopear. 
















V. Sopitar. 
“SnronTanöra, 5. f. polnis sous un meipel! 
lo faire reımarquer. 


SOPEADOR , A, adj. et 3. qui röprime, qui a8- “ SopoNTir, 9. a. meltre des poinls mu 
sujettit, etc. mot pour fe faire romarquer. 

SOPEAMENTO, 3. m. action de contenir, de SoröR. V. Sotopör eı Bupper. 
reprimer, etc. ; assujellissement. Soroni2o. V. Soperifero. 


SOPORATIYO, A , adj. soporatif: guiala rel 
d’endormir. 

Soronirsro, A, adj. soporifäre, soporläge: 
qui falı dormir. 

BoPORIZÄR, ©. @. asSoupir, endommir. 

Sorondso, A, adj. soporeux : qui cut 
assonpissement. 

“BOPORTAMENTO, 5. um. entreien. V. Ds 


Sorzir , v. a. fouler aux pieds; assujetlir; 
contenir, r&primer, comprimer, apalser. (Ag.) 
Dominer, gourmander, maltraiter. 

"Sorte. V. Sope. 

Sopfıra , s. f. soupiere : vase pour la soupe. 

Sorp£ıro, 8. m. soupier : mangeur de soupe. 
Porasite. 

Sorptna. V. Sobpena. 

SopErERocAGäd. V. Supererogapdo. 

SorEsÄDO, A, p. p. de 

SopEsÄR, v. a. soupeser : soulever un COrp$ 
pour juger de son poids. Brandir, mettre en 
branle, tenir en &quilibre. (fig.) Donner avec 
&conomie. (ant.) Souffrir. 

SOPESÄR-#B, 9. r. se tenir en dqailibre. Pla- 
ner, en parlant des olseaux. (com) Etre contre- 
balance, eire compens®. 

SOPETEÄR, d. a. et m. Saucer : tremper (des 
tranches de pain) dans la sauce. 

SOPHETIM, s. m. juge chez les juifs. 


lenga. 
Soroarin, ete. V. Supporter, eic. 
Sorsetro. V. Supposto. 
Sorkäno, A,Pp. p. de Soprar. 
SOPRABOR , A, s. souflieur, celeigei me. 
(Ag.) Boute-fen : qui sonfle le [eu de his 
corde. 
Sorrir, ©. @. ei m. souflier.V. Apr 
Ebrouer, s’ebreuer, en parlant du cbersl. 
Sorassin. V. Apresdr et . 
" Sopricagäö, etc. V. Supplicapde, eit 
SorriLRo , s. m. stoße de zul Iresiigin. 


Sorsi. V. Sof. Borniör , 5. m. SOuS-prieur. 
Sornfa. V. Herva sophia. SOPRIOREZA , 5. f. Sous-prieure. 
Sornisma, s. m. sophisme : argument cap- | Soraia. V. Suprir. 


BörRO, s. m. souffie. V. Assopre. -Dum 
lo, <hrouement : ronflement de cherel ! 
eur. 

Sogumızäno, A, adj. nous, attacht mei 
menton. 

Soqusıxo, s. m. tour de mouebeir @* 
menton. 

Sogutrz, s. m. refouloir : instrameni FF 
beurrer les eanons. — de code , (1. de mer. * 
fouloir de corde. 

Soquersin, o. e. refouler arec ie relasiet. 

Soqtir, v. a. (1. burl.\ rmangeren card”. 

Sör. V.Sorer. 

Sonia, v. a. convertiren pelit-lit 

°SoravaLHina , 3. f. frults &pars. 

Sonptıra. V. Sorveira. , 

Sonaona ‚s. f. Sorbonne : maison de 1 * 
eultö de theologie A Paris; (fg.) ceue rw 
Doutor, bacharel da — , sorbonnisie : Lt“ 
hachelier en Sorbonne. 

° Sörca. V. Capoeira ou Sarpe. 

Sörva. V. Acorda. 

SönDEs ou | (1. dechir.) mathire same! 

f. 


tieux , qui ne conclut pas juste. 

SorsısmÄr, o. n. faire des sophismes. 

SoPHIsMÄTICO, A, adj. qui concerne les s0- | P 
phismes. 

Sopuista, s.m. sophiste : philosophe ancien, 
principalemen: entre les premidres &coles grec- 
ques et Socrate; rhöteur; qui fait des sophis- 
mes. ' 

Sormistania 0% } argutie, fausse subtl- 

Sormsteria, 8. f. I lite dans le discours, 
dans le raisonnement, sophistiquerie. 

Sornistickdo, A, pP. p. de Sophisticar. 

Soruisticaminte, adv. d’une manidre 80- 
phistique. 

Sopgistichr, ©. @. dw. sophistiguer : subti- 
liser avec uxcös, 

Sopruistico, A, adj. sophistique : trompeur, 
captieux (reisonnement). 

+ SoruöcLeo, A, adj. de Sophocie, podte 
grec. 

+Sornuomanla, s. f. sophomanie : manie, af- 
feelation de philosophie, de sagesse. 

SOPRRONISTAS, 3. m. pl. (1. d’ant.) sophronis- 


tes : cenaeurs a Athenes. Sonpicık , 8. des pleies- 
Y_Sorinn«,s. f. dim. de Sope. Petite soupe, | Sonpipamanız, ade. sordidement 
soupe [riande. Sorpınkz 0% sslett, maiproprei M- 
Sorisra. V. Sopeiro. Sonvınkza,, 2.f. } Impurets, eia Sort: 


Soriran,v. @. WBOUPH, enrdormir: ayerern- } SceninO, A » adj. aale, malprepre. | 











put, Indecent, scandaleux. Sardide, sale, vi- 
ain; orasseux, mmesquin; vil, bas. Zuero —, 
sordide interöt. 

ORDINA, . 

-BORDIR, elc. V. Surdi... elc. 

+ Son, e. f. (&. de gdog.) Borla : ville de la 
Vieltle-Castille, on Bspagne. (f. Sorte de bure. 

+ Sorıäno, A, aulf. ei s. do Boris. 

Sonitzs, s. m. (f.de log.) sorite : argument 
form6 d’une sults de propositions acoumıuides, 
ineoberentes entre elles. 

+ Sontincas, s. f» (4. de gdog.) Sorlingues : 
tles de la o6te de Cornousilles (Angl.) 

Sönna, s. f. lenteur & agir, nonchalance. 
(Ag.) Fiegme, tenteur, paresse affectte. s. et 
adj.2 gen. Lent, nonchalant, paresseux, lam- 
bin. 

+Sonnär, © m. (p. us.) lambiner, agir ien- 
tement. 

Sonutıno, A, adj. lambin, qui agit ionte- 
ment. V. Sorsa. 

8öno, 5. m. potit-laft. * Särosit# ı humeur 
serense du pericarde ou du sang. 

SoRönEOo,, A. V. Serodio. 

Soroukwnuo. V. Saramenko. 

SÖROR, 8. f.saur : titre qu’on donne aux r®- 
ligieuses. 

Bon6so, A, mij. söreux : aqueur, charge de 
serosite. 

SorFruruSHR , atc. V. Surprender, ete. 

SORRABÄDO, A,P. p. de 

Soarnanir, ©. a. fünus.) balser sous la queue. 
(Ag.) Flagorner, valeter. V. Bajwlar. dt. V. 
Rabear. 

Sonnits, 8. m. De —, edo. (durl.) a la 44 
robee. 

SORRATSIRAMENTE, adv. adrolitement, mall- 
cieusement; & la derohte. 

Soarnarkıano, A, adj. (fam.) malin, russ, 
sournois, malols, espiegle. 

* Soragıcöm. V. Subr 

Bonatıra, s. f. (burl.) matoiserie. A’ —, 
pela —, ala dsrobte, aveo dissimulation, em 
sournois, en tepinois. 

Sorn£Lro, A, adj. (buri.) matois, fin, ruse. 

+ Sonamäntz, adj. 2 gen. qui sourit. V. Ri- 


Sonaipo,A,p. pP. de 

Soarir, v. #%. OwW—sE, ©. Tr. sourire : rire 
sanıs dclater; margquer de la oomplaisance, de 
’amour, de Yaffootion, ete., par un sourire; 
presenter un aspect agr&able. — para alguem, 
so urire & quelqu’un. 

Sonriso, s. m. souris, sourire : ris iger, ris 
m odeste; action de soarire. V. Sorrir. 

"SORROBOLHADOURO. V. Varredouro. 

SORTE ‚3. f." sort: destinde considerde comme 
ca use des &r&nements de la vie; effet de ia des- 
iinee; etat, condition; renoonire fortulite des 
sv enoments ; manidre de döcider une chose par 
le hasard ; destin,, son influence, ses decisions, 
etoile, fortune, fatalit6. Sorte: classe d’indt- 
vidus ow subdivision d’une olasse; esp&oe, 
gpare; manidre, fagon, Htak, condilion; gus- 


SOR 1107 - 


Hs. Coap heurenx, ooup de fortune ‚au Jen. 
L’action d’attaquer, d’agacer un taurean en }ul 
presentant un manleau , et s’esquivantlorsqu’il 
vient frapper. Hiller de loterie, tot. Boule pour 
tirer au sort. Portion, lot, partage. De—, de 
sorie,, de fagon que, de maniäre, alnsi. De 
nmeira, segunda ou fereeira — , de premiöre, 
seconde ow troisi6me qualite. Deitar —s,tirer 
au sort. Caber om ou por — ,salr em — , 6choir 
en partage. Calo-IAs, saio-IKe a — le sort est 
tombe& sur lul. Faser uma — on —s ao louro, 
attaquer le taureau, le oombattre & pied, en 
l’exeitant aveo le manteau ou autre Chose dqui- 
valente. Bst4 lancoda a —,, le sort en est jete. 
N60 estar conlenis com a sua — , &ire möcon- 
tent de son sort. Toda a — de animass, eit., 
toutes sortes d’animaux, etc. De oda a—, de 
toutes sortes, de toutes facons ; en toutes SOT- 
les, en toutes manidres, etc. Procoder d’esta 
— ‚user de la sorte. —s, pl. loterie. 

Bontnackd, s. f. V. Sorleamento. 

SoatzEinpo, A, 9. p. de Sortear. adj. Tire, 
jet& au sort. Assorti. V. Soritido. 

BORTEBADOR, 9. m. olui qui tire om fait tirer 
au sor!. 

Sortrzauento. V. Sorten. 

SonTzär, v. a. liter, jeter au sort, ballotter. 
V. Rifar. Foornir, pourveir, assortir. (flg.) V. 
Aquinhoar. 

*Sonreoin, ete. 7. Sorlear, etc. 

Sorrtıo, s.m. action de jeter, de tirer au 
sort; balloitage. Assortiment; provision. 

"Soattıro. V. Sorisader. 

"Sorrtıa. V. Soriija ei Sortilke. 

Sorrto ow Sonrtro. V. Sorteio. 

Sortipa, #. f. (4. demil.) sortie: attaque falle 
par les assieg6s; Issue, ouverture. Poterne s 
fausse porte au bas de la courtine, etc. (flg.) 
Porte derobde. 

Sorripo, A, P.9. de Sorfir. adj. Assorti; 

ourvu. 

"Sonrisa, 0. fı bague; bijou. V. Sorfilha. 

SorrıL£cıo, 8. m. sortilge : malefice deu 
pretendas soreiers; charme, enchantement; 
sort, diablerie, nouement. 

SonriLn00, s. m. faiseur de sorifiöges , sor- 
eier. 

*SorriLna, 8. f. bague: anneau qu’on porie 
an doigt. Anneau de rideau, etc. Correr —, 
tourir la bague. V. Argolinha. 

SORTINENTO, 3. m. assortiment; prorision. 

Sorrir, v.a. sortir:obtenir, avolr, produire. 
Fourtir, yourvoir. Avoir en partage. — effeilo, 
sorlir son elet; r&ussir. 

Sontia,v.». avoiz son effet, obtenfr. 

Sorrir-sE (de), vo. r. s’assortir, se pourvoirz 
so fournke. 

SorumsÄtico, A, adj. sombre, morose, 1a- 
eiturne, m6laneoligue, röveur. 

Bönva, s. f. sorbe : fruit da sorbier, corme. 

Sorvino, A, p. p. de Sorber. adj. Diet. 
Pöra —a, poire biete, trop möüre, & demi 

urrie. 

SorYin,o. a. rendre biet (le fruit), Küter. 





1108 S08 


SoRvÄR-SE, 0. r. commenoer & 50 gäter, de- 
venir blet, en parlant des fruils. 

SORVEDÖURO , 5. m. koullre. 

Sorvsoüna, a. [. aciion de humer, de boire, 
d’avaler en aspirant. V. Sorvo. 

Sonvkına,s. f. (1. de bot.) — mdnsa, ° S0l- 
bier domestique, cormier & fruit en forme de 
poire. — bravs, sorbier saurage, 00rmior sau- 
vage, cormier des oiseleurs. 

Sonv£ka, v. a. humer, boire, avaler.en aspi- 
rant; avaler ä petits traits. ( Ag.) Absorber, en- 
gloutir, emporier. (id.) Endurer, souffrir pa- 
tieınment. — 0 ranko, — pelo nariz, renilier. 

SORVETE, 3. m. sorbet: breuvage, composi- 
tion de citron, de sucre, d’amhre, ete.; jus 
sucrö de fruits (rais avec de l’eau. 

SORVETRIRA , 3. f. sorbeliöre : vase pour geler 
les sorbeis, etc. 

SoRVviDO, A, 9. 2. de Sorver. adj. Englouti. 
(Ag.) V. Absorto, Enisvado. 

SORVINNO, 3. m. pelit trait, petit coup, petite 
gorgee. dim. de 


/ SET 

SösTau. V. Costre. 
S6TA, s.m. pnstillon qui conduit des eberser 
de volde. Gargon d’ecurie. Chef d’en cerps de 
melier, etc. 

SOTA, s. f. anciennement c’&tsit le valei a8 
jeu de cartes,, aujeurd’bui e’est la daımne. 

Söta, pröp. qui entre dans la compenlisn 
de plusieurs mots. Sous, vice, secend, a» 
cond. 

SOTAALNIRÄNTE, 8. 9. vico-amiral. 

+ SoTacarırinka, s. [.vaisseau vios-smml 

f Soracapıräö, s. m. lieutenant. 

+ SörTacocukıno, s. m.coocher en second. !. 
Sois, s. 

+ SOTACONiTRE, #8. m. SouS-comite de gr 
löre : argousin. 

f SOTAENMBAIXADOR , 5. m. ambassadesr su- 
dessous d’un autre, qui le remplace. 

+ SÖTAESTRIBEIRO,, 3. m. SOUS-Ecuyer. 

SoTäına ow sonlane : habit long des 

Sorina,s.f. } prewes. 

Sorinsziuua,s. f. din. de Sotens. Seuis- 


Sörvo, s. m. l’action de boire, d’avaler. | nelle. 


Coup, trait, gorgee de liqueur. Aos —s, ä pelits 
trails. 

* Sosino. V. Desembaraco , Resolugdo. 

SosLäl0, s. m. Ce mot n’ost usile quo dans 
les phrases: do —, de,em — , de biais, de tra- 
vers. 

’ * 8030 ou Suso, adv. ci-dessus. — dilos, sus 
ils. 

SosopräR, etc. V..Sossobrar, etc. 

OSPEIGÄÖ, 

SOSPEITAR, eic. V. Suspel..., elc. 

Söspıta, adj. f. (podt.) V. Salvadora. 

SOSQUINABO, A, 9.9. de _ 

SosQtinär, v. a. incliner, penchar. 

Sossecir, eic. V. Socegar. 

“Sosso, a,adj. Pedra em —a, pierre sans 
eiment. V. Ensosso. 

SossösrA, 3. f. V. Sossobro. 

8oss0saino, A, adj. (fig.) trouble, agite, 
inquiet, chagrin. p. p. de 

OBRÄR, ©. a. submerger, noyer, couler & 
fond. (g.) Troubler, aflliger, chagriner. vo. n. 
Rıre en peril, battn par des venis contraires, 
en parlanı d’un vaisseau. Faire naufrage, cou-. 
er atond, sombrer. ( ig.) Courir risquo, ötre 
en danger de se perdre. (id.) Se troubler ; s’al- 
iger, s'inquieter, se chagriner. 

SOSS0BRETA, 5. [."mauvais augure, guignon 
(au jeu). V. Grima, Zanga. 

BuSSOBRO, 5. m. *submersion, naufrage. (Ag.) 
*Perturbation, inquistude; peril, danger. 

SOSTENTAGÄÖ, 

SORTENTAR, alc. } V. Sustent..., etc. 

SOSTER, ©. a. soulenir, Supporter; appuyer; 
( Ag.) protöger, souffrir, endurer. 

SOSTER-SE, ©. @.. 86 SOulenir; se conserver; 
se retenis, se soutenir. Se soulenir : dtre ferme 
sur ses jambes. 

Sostivo, A,p. p. de Soster. adj. Soutenu. 

Sostım&nto, s. m. l’action de soutenir. Soa- 
tieg , appui. (ant.) Maintien, antretien. 

en 


SöTÄ0 , 3. m." cave, souterrain, volts ser- 
terraine ; soupente. Piöce , chambre as reı-de 
chaussee, 

SOTAPILÖTO,, 5. m. socond pilote. 

Soriquz, a. m. bon mot, riposte, beucanl, 
saillie enjoude et plaisante. 

SOTAVASTEADO, A, adj. mis zeus je vom 
(vaisseau). p. p. de 

SOTAYERTEÄR, ©. a. (6. de.mear.) zusütre b 
valsseau saus le vent. 

SOTAVENTEÄR-SE , 9. r- perdre le des da 
vont, relalivement A un point quelcosger, en 
parlant d’un vaisseau. 

SOTAYERTO, 5. m. (1. de mar.) le demeus da 
vent. Göts du vaisseau sous le vont, appeseä 
celui:d’ok vient le vent. Cosiade de —, ob 
sous le vent. A — da costs, sous le vent de a 
edle; Al’abri de la cöte. 

SOTEA ou SoTka, s. f. "terrasse, plate-ierme, 
beivedere : espöce de galerie couverie ou &= 
couverte, pratiqu66 au haut d’une maisee. 2 

. Scläo. 

Sorkaıa,s. f. piece de vers en isusugt. 
ou plulöl poßme sur le relablissement de & 
santö d’une personne. 

Soreaim. V. Sopkelim. 

* SOTERNOCAMÄNTE. V. Sorralsiremiai. 

‘ *SOTERaRAGOM, 5. f. V. Soterramento. 

SOTERRAÄDO, A, 9. p. de Soterrar. ady. Er- 
terre. Souterrc, qui se cache seus la ker 
(frait). 

SOTERRANENTO , 5. 9. enterreiment, iaben+ 
tion. 

SOTERRÄNKO. 

* SOTERAÄNHD. } V. Sublerranse. 

SOTERRÄR, v. a. enterrer : meltre en ierfe 
(Ag.) Enterrer, enfouir, cacker avec soin. I 
est aussi reciproque. 

SoTErnänno. V. Sublerraneo. 

SOTBESOVRKIRO , 3. W. BOUS-Lreserier. 

Bovwira ‚adv, (buri.) sous cape. 


ng 








SsoV _ 


Sorir, ete. V. Subti, etc. 

86T0 , adv. sous, dessous. V. Söla. 

S0T0 ,s. m. V. Suuto. 

SOTOALMIRÄNTE. V. Sosaslmiranle. 

Borocarırkd. 

Sorococakiro. V. Sota..., elo. 

SOTORMBAIXADOR. 

SoTOMAsSTRE, 3. m. (1. de mar.) sous-mallre 
de vaisseau. 

SoTonınisTRo, 8. m. sous-minisire. 

SOTOPENITENCIÄRIO, 3. m. sous-p6nilencier, 
alde du p£nitencier. 

SororiLsT0. V. Sotapiloto. 

SoTOPÖR, 9. a. meltre dessous. " 


SoToPr6STo, A, p. p. de Sotopör. adj. Infe- 


rieur, qui est au-dessous. 
SOTRANCÄDO, A, p. p. de Sofrencar. 
SOTRANCÄÖ, dA, adj. (1. vulg.) malicioux, 
dissimul&, sournois, 
SOTRANCÄR, d. @. intercepter. V. Abarcar. 
Sorver. V. 


SoTöRno, A, adj. sombre, melancolique; 


tfrisie, noir. 

Söuro, s. m. bois, bocage touffu. * Chätai- 
gneraie. 

*Sourro. V. Essoufro. 

Söva,s. f. bastonnade; volede de coups. 

Söva,s. m. (1. dAfr.) gouverneur de pro- 
vince, en quelques royaumes de l’Afrique me- 
ridionale. 

Sovico. V. Sobaso. 

Soväno, A, p.p. de Sover. 

Sovanöna, s. f. * pötrissage; aclion de frai- 
ser la päte. V. Sovar. 

Sovaqu£rg, s. m. l’action de prendre la balle 
de paume, etc. 

Sovir,v.a. petrir la päte; fraiser, bien p6- 
trir. (Ag.) Rosser, batonner, donner une volee 
de coups. 

SövaRo, V. Soversiro. 

SovtLa, s. f. alene : outil de eordonnier 
pour percer le cuir. 

Soveräpa, 8. f. Coup ow pigqüre d’alöne, (Ag.) 
Sollicitation pressantie, instance röpeice. 

SovgLid, s. m. aug. de Sovdla. Grosse aläne. 
Falla de —, ( fam.) voix eriarde. 

SoveLtıno, s. m. alönier : qui fsit et vend 
des alenes. 

SoveriL. V. Sobral. 

Sorsaztıro, 8. m. ($. de dof.) liöge : sorte de 


:thene vert, chene-lidge. 


Söanzeno. V. Soverdiro et Sobro. 

Soventik, otc. V. Subverter, eio. 

SovEatıuknto, s.m. V. Subuersädo. 

Sorina , s. f. eheville de bois;; tenon, queue 
d’aronde ow d’hirendelie. * Poignard , eonteau. 

Sovina, s.? een. (6. vulg.) missrable, ladre, 
Chiche, avat?, orasseux. 

7Sovınipa, 3. f. coup, plgüre d’un instru- 
ment aigu. (flg.) Brocard treös-piquant, tres- 
mordant. 

Sovisir, v. @. piquer, enfoncer un instru- 
ment aigu. ( Äg. durl.) Brocarder, .piquer par 
des raillories mordantes. 


 SPL 


Sovınaria, s. f. lesinerie, Iadrerie. 
S6zixsno, a, adj. dim. de Sö. Tout seul, 
seulet. 
Sp. | Pour tous les mots qu'on ne Lroure pas 
par Sp, voyez & Esp. 
}Sracraica, s. f. spagirie, chimie ; chinie 
Spagirique. 
‚T Sracizico, A, adj. spagirique, de la spa- 
girie. . 
tSriu ou Spimo, s. m. spehi : cavalier 
tuorc. 
+ Sparapnäro, a. m. (4.do chir.) sparadrap : 
toile irempee dans un emplätre fondu. 
Spiro, s. m. spare. V. Pargo. 
Spancir,, eio. V. Espargir, olo. 
TSparTinco, s. m. (b. d’hist, nal.) spalangue 
94 spatague : coquillage, oursin. 
Specutäsıa. V. Gatöptrica ei Erpecularia. 
Sperrär. V. Despeildr ou Espeiler. 
* SPERGUNTÄR. V. Perguntar. 


SPERMA, eic, 
SPERMACETE, ete. | V. Esporm..., etc. 


SPHACELÄDO 
SprAackLo, el. } V. Esphacel..., etc. 


SPRENOIDÄL, adj. 2 gen. sphenoidel, du sphe- 
noide. 

SPHENÖIDE 0% SPRENOIDEO, #3. 7. (1. d’anst.) 
sphenolde, basilaire : 08 de la 14te. 

SpH£RA, eic. V. Esphera, etc. 

SPHERIDIOS, 5. m. pl. (f. d’hist. nat.) spböri- 
dies : col&optöres, pelils, Fonds, qui vivent 
dens la bouse, Spheridio em forma de crebo, 
spberidie A qualre taches. 

Sputspa,s. [. (6. d’hist, nat.) " sphex, guöpe 
solitaire. — figulins ou oleira, la ligule, sphex 
potier. — dos camimhos , sphex des chemins. — 
fusce, sphex brun. — exaltada, spbex orne. 
— variegade, sphex varie. — spiropifice, sphez 
tourneur. — lobulada , sphex vert dore. — ss- 
bularia ou do sasbro, sphex du sable, — are 
naria ou da arda miuda, sphex du grarier. 
—s [oseadoras ou coveiras, les fouisseurs. 

Spuincten. V. Esphincter. 

SPRIinx 04 SPHINGE, 3. f. " sphinx : Monsire 
fabuleux; (4. d’hist. nat.) sphinx : inseeto lepi- 
doptere.— diropos, aphinx tEte-de-mori. — dos 
eupkorbios, sphinx du tiihymale. — das planılas 
estrelladas, la sesie des rubiacdes. — da fili- 
pendula, la zigine de la filipendule. V. £s- 


1109 


6. 

Spicaninno, s. m. (f. de bot.) spicanard : nard 
indien. 

SPıRÄCULO, 8. m. (P. us.) *respiration, souflle 
de la vie, inspiration. V. Espiraculo. 

} SeLancmnocrarpia, s. f. splanchnogra- 
phie : description des viscäres. 

+ SpıancunoLocia, 8. f. splanchnologie ; 
trait6 des viscöres. 

+ SpLanchnoronmia, s. f. splanchnotomie ; 
dissection des visceres, 

+ SpıenaLcia, 8. f. ($. de med.) spienalgie ; 
douleur de la rate. 

Spuänsco, A, adj. splönique : conoernant ka 
rate. 








1110 STH 


+ Spuenbrn, s. f. (1. de med.) splönite : inflam- 
mation de la rale. 

+ SpLexocrarpula , s. f. splönographie : des- 
eription de la rale. 

+ SeısunoLocka , 8. f- splönologie : Iraild sur 
la rate. 

+ Srı.exoromia ,s. f. splönotomie»dissection 
de la rate. VR 

Sronop&o. V. Espondeo. 

+ Sronpruwa, 6. [. (u. C’hist. nat.) epondyle: 
col&opt£ere. 

Sponsr'Lo,s.m.pendyle, veriöbre.(t. d’Rist. 
nat.) * Spondyle : ooquillage bivalve du genre 
de P’hultre. 

* Spnenuntir. V. Zaperimeniar. 

’Ssı. V. Sua. 

Pour sous les mots qu’on no troure pas 


ar. par St, voyez & Bst. 
’Sta. V Bıta, 

Stipa. 

STADI0. 

Stapo, elc. V. Beta..., eic. 
STAGnAGäb, ale. 

"StiLa,s.f. Presepio, Curral. 


’SrALLo, s. m. "stelle : sisge de bois dans le 
chaur. 

Srinca. V. Bstanga et Fnstamcia. 

StaruıL. V. Asorragus. 

+ StaruıLino, a. m. ($. d’hist. nat.) staphy- 
fin » Inseote eoldoplere. — felpudo, staphylin 
iricelore. — de grande queizo, stephylin & mä- 
eheires.--cor derato, staphylin gris de souris. 
—d’elyiros vermelhos, staphylin & eiyires rau- 
ges. ribeirinko, lo pedere des rirages. — 
rwioo,, l’oxypore roux. 

Srarnısacat. V. Estapkysagria. 

Stise, s. f. (f. de med.) stase : s4jour, im- 
mobilil6 du sang ow d’humeurs dans les veines 
vapillaires. 

T Starsouonn, V. Bslathuder. 

TÄTıca. 
aenh. } V. Etat... 

+ Steatirg, s. f. stäalite s marne fouilletde, 
dissoluble, savonneuse. 

StuaröckLe. V. Kslealocela. 

Stearöua. V. Esteatoma. 

“Sreoz pour Esteve, Il a 846, 

STEGANOGRAPHIA , 610. 

STELIONATO,, otO. } Ve Bile..., eis. 

i Stano,s. m. (6. d’hist. nal.) stöne, coldo- 

re. 

STEXOGRAPHIA, elc. 

STEREOCRAPBIA, etl, 

STEREONETRIA, Elc. 

STEREOTONMIA, eic. 

ÖTERROTYPAR, Bil, 

STERNO, eis. 

’STEvVaniug, s. m. V. Eslıva. 

"STRVÄDAMENTE. V. Bssivadamenie. 

TSrutua, s.f. (1. de med.) sıhenie : force 
des fibres musculaires. 

tSIrutmco, a, adj. (1. de mdd.) sihönique ı 

quiaffermit,, qui fortifie. 


Vv Ester. 6. 


suUA 
Sricua, etc. j 
STIPULAR. lc. | V. Eiti..., elc. 
*Srto.V. Isto. 
StöLıno. V. Aatolide. 
+Srowöxva,s. f. (f. d’hist. nal.) siamsır: 
insecte diptere. 
STRAZBISMO. 
STRANGURIA. 
Stranuir,elic. 
STRATAGEMA. 
SraaTscıa, eic. 
STRATIFICAR,, ec. 
f Staırröua,s. f. (. E’hist. nat.) "Sur 
Iyamo : mouche armöe de deux peintes. 
REPITÄR, 
Staia, eic. h V. Esir..., etc. 
STRICTO, A, adj. striet, &lroil, resserte; '- 
goureur. 
TRICE. 
STAONCIÄNA. | V. Batr... 
+ SrröncrLo,s. m. (i. d’hist. nat.) susczzr: 
ver long etrend dans las intestins. 


STROPHE, 
V. Est..., ete. 


Y. Bisir.., le. 


Sravcröaa, 

Sripo, etc. 

STULTILÖQLIO, 8. m. (P. u8.) * soltises, (südl 
ses, impertinences. 

StuLto,A,adj. sot, fou, sarıs jugemen. 

Str'ok, etc. V. Esiyge, elc. 

*Strı. V. Astil ou Hasfim. 

StıLita,s. et adj. m. siylite : quiseiel 
sur une colonne, qui y vi (saint Simeos — . 

Stv’zo. V. Estylo. u 

Styericınine, 8. [.(. de med.‘ stıpwie: 
4ualit6 astringenle. 

StY’prTico, A, adj. (l. de med.) stypiujee 3°: 
resserre et arrete le sang. 

“Strus, pi. de Siyl. V. dstil om Haslım 

Söa,pron. f.sa,sienne, leur. V. Ses 

Suinıa, 5. f. (i. de gdag.) Souabe : priı- : 
d’Allemagne. 

Suapir, eic. V. Persuadir, ew. 

Suipo, A, p. p. de Suar. adj. Cosi: 
sueur; (fg.) acquis avec beaucoup de pi.::- 

SuADOR , A , adj. ei 3. qui sus beauroup. 

StaDöuRO , 6. m. "eluve de hain, Rem: = 
fait suor. Pannesu : eoussinel rembont:c -: 
chaque cöt& d’une selle. 

Suiö.V.Sodö. 

Suin, 9. 6. ei ®. suer, iranspirer : rex” 
une humeur liquide par les pores; (A. = 
vailler beaueoup „ se denner beamceap :! 
peine, beauconp de mal. (id.) Asquerir ar 
beaucoup de peine. (td.) Suinter : en Jedi de 
arbres, des planies, des mars d’oü izasp! 
quelque bumidiis. 2 meibor — que pas. 
(prov.) il vaut mieux suor que Iremiser. — - 
topfle, (fam.) faire tous aus elforts, suct san 
etem. 

+ Soiapa, 3. f. humidits hulleuss quı =: 
des draps quand on les foule. 

SuarknTo, A, ac. baigtıd de sucar; qui’ -“ 
beaucoup. 

Suasid. V. Porsuasis. 





SUB 


Suasöao , A, ed}. qui tond A persuader, oü 
il sragıt de persuader. V. Persuasivo. 

Suive, adj. 3 gen. suave, doux, agreable, 
flatteur. Doux, paisible, tranquille. Doux , sou- 
ple, docile, en parlant du caractöre. 

Suivaukute, «do. avoc Suavild et doucenr, 
suavement, douocement, moelleusement. (f. de 
ınus.) Piano. 

SuavıpÄns, s. f. suavits, douceur, agr&ment, 
Tranquillits, douceur de caractöre, ote. Mol- 
lesse ‚, souplesse. 

Suarissımo, A, adj. sup. de Suave. 

Suarızino, A, adj. adouci. p. p. de 

Suavızir, 0. a. adoucir,rendre doux, rendre 
suave.—, miliger, soulager. 

Suazöaıo. V. Sussorio. 

Sus,, prep.iat. qui enire dans la composition 
de plusisurs mols, sous. 

Susarirzs,s. f. pl. plumes sous les alles, 
subalaires. 

SuBALPIiNO, A , adj. sous-alpin. ° 

SURALTERNACAÖ,, 3. f. d6öpendanee, sujetion, 
&tat d’un gubalterne. 

SUSALTERNÄDO, A, P. P. de Suballormar. 

SUBALTERNAMENTE, adv. on qualits de sub- 
alterne. 

SUBALTERNÄR. vo. n. V. Allermar, Reussar. 

SUBALTERNO, A, adj. souvent employ6 comme 
substantif. Subalterne, subordonnd, qui est 
sous un autre. 

+ Susaasüstgo, A, adj. (4. de bos.) du sous- 
arbrisseau. 

+ SuparBösto, s. m. (t. de bot.) sous-arbris- 
seau : plante entre l’arbrissenu ei l’herbe. 

+ SusaxıLan, adj. 2 gen. (1. de bot.) sous- 
axillaire ; insör& au-dessous d’une partie axil- 
laire. 

SUB-BIBLIOTHECAÄRIO,, 8. m. sous-bibliolhe- 
eaire : garde adjoint au bibliothecaire. 

SUBCINERICIO, A, adj. cuit sous la cendre 
(pain). Couleur de cendre, 

SupcLivıo, A, adj. (6. d’anat.) sous-clavier : 
plac6 sous les clavicules (muscle, arläare—£re). 

SUBCUTÄNEO, A, adj. (J.d’anal.) B0UB-Cutane: 
qui est sous la poau. 

SUBDELEGACAÖ, 8. f. subdelegation. 

SUBDELEGADO, A, P. p. de Suöddelsgar. adj. 
eis. m. Subdelegnd, commis pour agir, elc. 

SUROELEGÄNTE, adj. 2 gen. qui subdelegue. 

.a. de 
? SUBDELRCÄR, v. a. subdeleguer : commeltre 
avec pouvoir d’agir, de negocier, etc, 

+ SuBDRLEGÄVEL, adj. 2 gen. qu’on peut sub- 
delöguer. 

SCBDIACONÄTO „&. M. Bous-diaconat: Lroisidme 
des ordres sacres. 

SUBD1ÄCONO, 8. m. sous-diäcre. 

+ Suanisrincgäß, s. f. distinction d’une dis- 
tinclion. 

+} Suapistıncvia, 9. @. distinguer 00 qui a 
Jeja eis distingus. 

Suspıro, A , adj. sujet, soumis. 

S6Bo170,, 9. m. ujot, vassal. 


SUB 1111 


Surmvıniso,, A, ady. subdivisd, p.9. de 

Susnivimir, 9. a. subdiviser : diviserunepar- 
tie d’un tout en plusieurs auires parties. 

Sunsırisä6 ,s. f. subdirision. 

Susoörro, A, adj. sous-domble, subduple : 
qui est la moitie. 

u T Suseurerrtoss, s. f. sous-bail emphyiso- 
que. 

f SusEwPRYT£orA, 3. m. oolei qui fait un 
sous-bail emphyttolique. 

SUBENPHTTEUTICAHR , v. a. donner & sousbeil 
emphyl£otique. 

SUBENTENDER , ©. a. Sous-entendre. 

SUBENTENDER-SE, U. r. 50 sous-enlendre: de- 
voir, pouvoir dire sous-entendu. 

SUBENTENDIDO, A, p. p. de Subenlender. 

BUBFEUDATÄRIO, A, 8. soas-feudataire. 

n ‚prarkuno, s. m. flef dependant d’un auire 
ef. 

StarRAcAunO os SUFFREGANHO. V. Suffre- 
ganeo. _ 

Susipa, 9. f. P’ection de monter. Montde : 
endroit qul va en montant. (flg.) Cruc, &® 
croissement, augmentalion. Hausse, hausse- 
ment, rebaussemen!i, rencherissement. Asce®- 
sion. Elevation (de ’Ame & Dien). 

Susipissimo, A, adj. sup. de 

SuBipo, A, 9. P. de Subir. adj. Monte. (fig.) 
Haut, elev6; &minent; qui coüte cher. Le phus 
exquis, le plus parfait, pori6 au plus haut de- 
gro, eto. Fort, en parlant d’une odeur. Claiz, 
en parlant d’une couteur. Preope —, haat prix, 
prix 6leve. 

“SuUBIMENTO, 8. m. "crue, accroissement, 
augmentation. V. Subida. 

* SUBINTELLECTO. V. Subeniendilo. 

SOBINTENDER , etc. V. Subenlender. 

SUBINTRÄNTE,, adj. 2 gen. subintrante, (Rd- 
vre) dont un acc&s commence avant la fin da 
jour, quand elle a cess6 le matin. 

Sugir ,o.a. monter (un escalier, etc.), gravir 
(un mont, eto.); €lever, porter, meitre plus 
haut. (g.) Encherir, augmenter le prix. 

Supir, ©. #. monter : 86 transporler en un 
lieu plus haut; s’dlever. —, croltro, en parlant 
des riviöres, eto. ( Ag.) —,s’ölever, parvenir 
aux dignites. —, hausser de ton, en termes de 
musique. — 4 empregos, parvenir aux charges. 
— a0 pulpito, monter en chaire. — ao Ihronu, 
monter sur le tröne. — de pensamenio, s’enor- 
gueillir, — d’esWlo, relever son style, lui don- 
ner plus de force, etc. — de prego, rencherir, 
encherir, hausser, en parlant du prix d’une 
chose. — de ponto. V. ce mot. — a consulia: 
se dit d’une consultation adress6e au roi par 
les conseillers des Oours royales. Ndo — 
de ....ne pas excöder... Vinho que söbe d rı- 
bera, vin capltoux, qul porte & la lL&te. — peln 
rio acima bordej ‚Lt. de mar.) remontier 
une riviöre en bordeyant, 

Susin-se, v. r. monter, s’6lever. 

SÖBITAMENTE, adv. subitement, soudain, tout 
Acoup, 





1112 SUB 


SUB 


SosıTinzauinre, ado.soudein, out A 00up. SonımoväL, adj. 2 gen. sublingual:placi uns 


SuUBITÄNRO, A , adj. soudain : qui arrive tout 
&coup. . 

Sönıro, A, adj. subil, prompt, soudain. 

Sösıro, adv. subitement, tout & Coup. 

Sösıro, s. m. chose qui arrive tout A coup; 
surprise; coup de main, en termes de guerre. 
Elan, repartie. Transport subit (d’une pas- 
sion, etc.). Neselution prompte,, subile. De—, 
adv. subitement, soudain, lout & 00up. 

+Sussacknte, adj. 2 gen. subjaoent : situe, 
place au-dessous, au bas. 

Suslecto. ; ‚ 

SusseocÄ0. | V. Sujetto, ete. 

*Sussıcäin, etc. V. Subjugar, etc. 

Susıucäno, A, Pp.p. de Subjugar. 

SunsuGaDön, 3. m. celui qui subjugue, qui 
dompte, qui assujetlit; dompteur. V. Con- 
quislador. 

Sussucie , v.@. subjuguer, assujetlir, domp 
ter, asservir. 

SuBJ3UNTivo, 3. m. (i. de gramm.) subjonchil: 
mode personnel de la oonjugaison des verhes. 

SusLsvacäö,s. f. "souldvement, ömeule po- 
pulaire,, sedition,, mutinerie. 

SusLevino,A,Pp. p. de Sublevar. 

+ SusLEVvADöR, 3. m. colui qui soulöve, qui 
excite & la revolte, mutin. 

SUBLEVANENTO, 3. m. (inus.) V. Sublevagäo. 

SusLevän, v. @. soulever : exciler & la re- 
volte, revolter. (p. ws.) Soulever, elever un 
peu. (fig. et plus us.) Secourir, soulager. 

SUBLEVÄR-SE, v.r. se soulever, se rövolter, 
se rebeller, se mutiner. 

Susuiuacäö, s. f. l’action d’dlever, de placer 
plus haut. (#. de chim.) Sublimation, volatili- 
sation. 

SuBLIMÄDO, A, 9. p. de Sublimar. adj. (fig.) 
Excellent, elev6, sublime, cel&bre. 

SUBLIMÄDO, 5. m. sublime : mercure volati- 
lis6 avec l’acide hydrochlorique;; sublime cor- 
rosif. 

SusLısär, v. a. &lever : mettre plus haut. 
(1. de chim.) Sublimer : &lever les parties vola- 
tiles par le moyen du feu; volatiliser. — lou- 
vando , exalter, louer, vanter. 

SoBLıMÄR-seE, v. r. s’elever, monter en di- 
gnils; se rendre celöbre. 

SoaLımarörıo, A, adj. (t. dechim.) qui ap- 
parlient, qui serı & la sublimation. Vaso —, 
sublimatoire,, vaeisseau pour la sublimation. 

SusLimäveL, adj.2 gen. (. de chim.) qui peut 
eıre sublime. 

Surrime, adj. 2 gen. sublime, haut, elev6, 
releve. 

ScepLime, s. m. le sublime : ce qu’ii y a de 
erand, d’elev&, d’excellent dans les senti- 
ments, les actions, le style, les pensees, etc. 

* SunLıseEAö, adj. V. Sublime, Eminenle. 

SUBLIMEMENTE, adv. sublimement,. 

SusLiwivadg, 3. f. sublimite : qualits de ce 
qui est sublime ; elevation;, excellence. 

SUBLIMISSIMO, A, adj. sup. de Sublime. 


la langue. ” 

Sosıumän, adj. 2 gen. sublunalre : qui m 
entre la terre et la lune; qui est sur la lerne, 
dans Pair. 

SURMARINO, A, adj. qui esi sous la mer. 

SUSMERGIDO, A, p.p. de 

SUBMERCIR, ©. @. submerger : eowvrirdus, 
inonder, noyer. 

Susuersiö,s. f. submersien : grand we 
dation ; action de submerger. 

SUBu£nso, A, 9. p. irr. de Submergkr. 

SUBMETTEDOR, 3. m. colui qui sonmel, wi 
asservit, etc. 

SUBMETTER, d. a. soumellre, assujetlit, # 
servir, dompter. — 00 sew mendo, ranger mu 
sa dominalion,, sous sa puissance. 

SUBMETTER-SE (6), ©. r. se soumelise Sum 
jettir, Shumilier. 

SUBMETTIDO, A, P. P. de Submelter. adj. 
mis, assujetti. 

SUBMETTIMENTO, 8. m. " BOUMISSIOR ; seliss 
de soumettre ow de st soumelttre. 

SUBMINISTBAGAÖ, 5. f. l’action de formt. 
fourniture; sabvenlion. 

SUBMINISTRADO, A, p. p. de Subminuirer. 

SUBMINISTRADOR, 8. m. celui gai fourak, ge 
subvient. 

SUBNINISTRÄR,, 9. a. fournir, donne, + 
pleer ; subvenir; preter. Tudo submisutre- 
masaodeleite, Loutprete des armesälaraigt. 

SUBMISSAMENTE, adv. avec soumissiee ; BEP 
blement. 

Susuissiö, s. f. soumissien, dispeike & 
obeir, deference respectueuse ; humiik. 

Sunuisso, A (a), adj. soumis, abi, 
humble. Com vox —a, ä voix hasse. 

Sus-MuLrirLicg , adj. 2 gen. sows-malipk. 

SUBNEGÄR, eic. V. Soneger, eic, 

Supoanenapo,. V. Subordinade. 

Suponpinacäd, 8. f. subordination : dt 
entre les personnes, les arts , les seiences, & 
pendants les uns des autres ; so dit saried ds 
militaires et des choses personnißtes- 

SUBORDINÄDAMENTE, ade. subordonnmel: 
avec subordination, en s0us-ordre. 

SuBorpınÄDo, A,P.p. de Sulerdiner. 
Subordonne. 

SUBORDINADOR, 8. ol adj. we. qui suberden, 
qui etablit la subordination. 

Susorpınir, v. a. subordonner, assejedl, 
soumettre & la volonte, etc. Sabordonner:T** 
dre une ohose d#pendante d’ane autıe. 

SuBORDINÄR-SE, ®. Fr. Se soumelite. 

Sounonnacäd, s. f. V. Seberne. 

SUBORNADO, A, P.p. de Suborner. 

SUBORNADÖR ‚A, 3. suborneur : qui sabert 
oorrompt. — de lesiemunkes , subornalet, 1? 
suborne les temoins. 

SUBORNAMENTO. V. Subormo. 

Susornir, o. a. suborner, södeire; pt 
ä agir contre le devoir, & une mauvals? 

— as teslomunkes , subormer, sbdsitt in 














SUB 


moins. — ofleios, cargos, obtenir des plaöes, 
des charges par subornation. 

Sus0ano, s. m. *° subornation, sedaetion, 
son effet. 

+SuproLir, adj. 2 gen. qui est sous lepöle. 

tSupram0so, A, adj. (t. de bot.) un peu 
branchu (subramosus ). 


Susageciö, s. f. subreption : surprise faile 


ä un juge, etc., en lui cachant une veritö im- 
portante. 


SUBREPTICIAMENTE, adv. subreptioement. 


E  Sunn&ericıo, A, adj. subreplice, oblenu par 


' surprise,sur un faux expose. Fait en cachette, & 
t la derobee. 


* SuBRictO, 3. m. gentilhomme non titre. 


Sennoumgäd, s. f. subrogation : acte par le- 


quel on subroge. 

SUBROCÄDO, A, P. p. de Subrogar. 

SUBROCADOR, &, s. celui qui subroge, qui 
met quelqu’un en sa place. 

SUBROGÄNTR, adj. et 3. 2 gen. qui subroge. 
». a. de 

SusaocÄin (em), v. a. subroger : mettre a la 
place de quelqu’un ; substituer. 

SUBROCÄR-SE, 0. T. S’arToger, uSUrper ce qui 
apparlient & un "autre. 


+ Susrotünnas, adj. f. pl. (t. de bot.) Folhas 


— ‚feuilles presque rondes. 
* SUBAREGÄNO , 3. m. propriöis rurale qui 
payait un cochon de lait, un pelit porc, etc. 


SUBSCESSIVO, A, adj. ce qu’on m&nage, ce 


qu’on a de reste. Horas —as, heures de loisir, 
beures perdues. 

SOBSCREVAR, d. 4. SoUSCrIre : approuver un 
ecrit, en metiant sa signature au bas. (a) v. %. 
(fig.) souscrire, acquioscer, se conformer ä&. 
ds. (a, pare) s’abonner (A un journal, etc. ;; 
souscrire pour (une enireprise, elo.). 


"SUBSCRETIMENTO.V. Assignalura, Subserip- 


Sunscrircäö, 8. f. Souscoription : signature au 
bas d’un acte, ete.; engagement de fournir, 
d’acheler ; regu du prix de la souscription. 
* Abonnement (& une publication littsraire , 
etc.). ° Sommaire des lettres que le roi devait 
lire et souscrire. 

Susscrıto. V. Sobreserito. 

SUBSCRITÖR,, A, 3. souscripleur, abonne. 

Sunsecivo. V. Successivo. 

SUBsgQquänte, adj. 2 gen. subsöquent: qui 
suit, qui vient apr&s. 

SUBSEQUENTEMENTE , adv. subsequemment 
ensuile, apres. 

SussınıAÄno, A,p.p. de 

Sunsınıär, v. a. aider, fournir des subsides. 
V. Auziliar. 

SussiDıäftiamente, adv. subsidiairement. 

Susapıinıo, A, adj. subsidiaire : qui fortifle 
le principal;; qui vient ä l’appui. 

SuBsivıo,, 3. m. subside : secours d’argent, 
d’hommes, etc., donns par un &tat A un allie; 
impöt, levöe de deniers pour l’etat. (Ag.)" Aide, 
secours; co quiaide. —lillerario.imp6t sur les 
vins (en Portugal) pour Venseignement public. 

















SUB 1113 

Sunsisränch , s. f. permanence, stabllite. 
Ce qui fait qu’ une chose subsiste par elle-ıneınc, 
ce qui oaracisrise la subsistance. Subsissance : 
nourriture et entretien. 

SUBSISTENTE, adj. 2 gen. qui subsiste , 
sistant. 

SuasısTipo, A, p. pP. de 

SussıstTir. vo. ». subsister : exister encore; 
continuer d’&tre; demeurer en vigueur; (Ag.) 
vivre et s’entretenir. 

SUBSOLÄNO, 3. m. vent d’est. 

SUBSTABELECER , ®. &. substituer, sabroger. 

SUBSTABELECIDO, A, P. pP. de Substabelecer. 

SUBSTABELECIMENTO, 5. m. “ substitulion. 

Susstäncıa,, s. f. substance: &tre qui sub- 
siste par lui-m&me; hyposiase, personne; ına- 
tiere; ce qu’il ya de plus sueculent, (g.) de 
plus essentiel ; ce qui est necessalre ä lasub- 
sistance du peuple , etc. ; biens , revenus, 
riohesse. Prix ‚valeur, importance; force. Em-—, 
en substance, en abreg6, en gros; sommaire- 
ment. Caldo de — ‚, consomme. 

SuBSTARCIÄDO, A, P. p. de Subsianclar. 

SUBSTANCIÄL, adj. 2 gem. substantiel. 

SUBSTANCIALMENTE, adv. substantiellement : 
quanı & ja substance ; en substance. Tres- 
utilement. 

SUBSTANCIÄR , ©. a, donner des aliments sub- 
stantiels. Abreger : faire l’extrait, ne prendre 
que la sabstance. 

SuBsTancıösO, A, adj. substantiel, 
ient, nourrissant. 

SURSTANTIVÄDO, A, p.p. de Substantivar.. 

SUBSTANTIVAMENTE, adv. substantiverment. 

SUBSTANTIYÄR, 9. a. substantiver : donner la 
valeur de substantif(& un mot); employer ( un 
adjeclif, un verbe) comme substaniif. 

SUBSTANTIVO, A, adj. qui subsiste, ou peut 
subsister par soil-meme. 

SUBSTANTIVO, 8.m. ( f. de gram. ) substanlif: 
mot qui signifle une substance,, un @tre. 

Sunstar. V. Sobrestar et Sustar. 

SussTaTörıo. V. Susiatorio. 

Susstiruichö, s. f. substitution, subroga- 
tion : action de substituer, de subroger; acle 
qui la constate ; son elfet. (tk. de prat.) — , dis- 
position d’un testateur qui substitue os appelle 
un heritier au defaut d’un autre. 

Sussriruipo , A, p. p. de Subskiluir. 
SunstirufooR , A, s. celui qui subatitue. 
Susstırvir (a, por, em), v. a. substituer, 


sub- 


succed- 


‚ | remplacer, subroger. 


Sosstirüta,s. f. remplagante : femme qui 
remplace une autre. 

Susstıröro,s. m. substitut,, remplagant. — 
dum lente de leis, de medecina, etc., agrög& 
en droit, en medecine, elc. 
* Susstaacäd, s. f. ancienne penitence Cano- . 
nique. 
*SuBSTRÄTO, A, adj. condamne & la peni- 
tence de Substragäo. V. te mot. 

Susstaucgäö, s. f. fondement d’un &difioe. 
SUBTENDER , O. a. (d. de gdom.) mener um 


1114 SUB m 


sous-tendante & un are, une ligne dreiis ep- 

posee & un angle. 

Susränsa , 8. f. ( 1. de gdom.) sous-tendants: 
ligne tiree d’un bout de l’arc & l’autre. 

+ Suartnso , A, p. p. irr. de Subtender. adj. 
(1. de geom.) On le dit d’un arc auquel on a 
mene une sous-lendanie. 

Suprsaröcıo, s. m. subterfage, dötour, dchap- 
patoire. 

Stnrearucik, ©. a. (p. us.) user de subter- 
fuges, &luder. 

Sustsaniso, V. Soterrado. 

+ SUBTERRANEAMENTE, ade. par-dessous 
terre. 

Sunrennineo, A, adj. soulerrain. Soüs lorre, 
de dessous lerre. s. m. Souterrain : cavile , lien 
voüte sous terre. 

Susteaain. V. Soterrar. 

SoeriL, adj. 2 gen. subtil, deli6, An, menu. 
(Ag.) —, fin, adroit, p6en6traut, qui comprend 
alsement; qui s’6chappe aisement; qui pendire 
promptement ; imperceptible ei ires-actlil. 
(s»t.) On le disalt d’nne galere fine voiliere. 

srıLkza, 6. f. subtilitö : qualit6 de ce qui, 
de celui qui est subtil; finesse, tour d’adresse. 

(Ag.) Penetration d’esprit, eto.; argulie. —, 

qualit# des corps glorieux, en terme de theolo- 

gie. — de mäos, sublilildö de mains, adresse 
exiröme; adresse & filouter. 

SustiLipins, 8. f. subülits, tsnuite. V. Sud- 
hileza. 

« SuprıLissımo, A, ady. sup. de Subtil. 
Susriuizacä6, s. f. subtilisation. 
SusriLizino, A, P. p. de Subtilizar. 
SUSTILIZADOR, A, 8. colui qui subtilise, 
SusriLızia, o. a. subtiliser : rendre subUül ; 

delier ; rendre penötrant. (Ag.) Limer, polir, 

mettre la derniöre main. v.». Disoourir, rai- 
sonner avec subtilite. 

SUBTILUENTE , ade. subtilement , avec subti- 
lite; adroitement, nement. 

Sostaaccäö,. s. f. soustraciion, aclion do 
soustraire ; rögle d’arithmetique. 

Sustaucrivo, A, adj. A soustraire. 

ScRTAABiDO, A,P- p. de 

SUBTRABIR, 9. @, sOustraire, Öter; relirer. 
V. Deminwir. 

Susrrania-sE (a), 9. Fr. 50 soustraire, se dh- 
rober A; se tirer de; 6viter. 

1 Susvasino, A, adj. de faubourg, de la han- 

euo, 

StnunsıcÄn10, A, ady. suburbicaire ı qui com- 
posait jadis le diocdsa de Rome, 

Supürnıo, 8. we. faubourg, banlieue. 

SUBYASSÄLLO, 3. m. vassal Sous un autre 
vassal. 

Susvauci6, s. f. alde, secours, subvention. 

Susvautinzo. V. Infooundo. 

Soavznsid, s. /. subversion, renversement, 
ruine. (fig.) Perversion, corruption morale. 

StnvEasivo, A, adj. subversil, qui renrerse, 
detruit. 

Stuvencor, 3.0. dentructeur, 

. BCavkartkn, 9. a, audveglir, Tenverger, d&- 


200 SUC 


twuire. (Ag.) Pordre, porvertir, catrempre (le 
maurs, etc.) 

Bunvsarkusz, v9. r. se sabmerger, co3. 
bas , on parlant d’un valissean. 

Busvaasioo, A, pP. p. de Subuerter. 

* Sucir. V. Chucher. 

Succzptumo. V. Successe, Ineidenis. 

SuocEaßa (e), 9. ». succöder : prendre lı 
place de; venir apres; ae smccdder. (em. -, 
heriter des biens d’un defunt. Surveair, m 
ver, avenir. — dem, reussir. -— mal, ne pa 
röussir, dohouer. A ordem succede d deserden, 
Pordre fait plaoe au desordre. Suessdeo m: uk 

menos 0 esperava, cela m’esl amt 
lorsque }’y pensais lo meins. Sweceda ı m 
suoosder, quoi qu’il en arrive; arriıe gi 
pourra; vogue la galere! Para e que peder -, 
pour oe qu’il peut en arriver. Nisto succde = 
mo em a maior parle das cousas , il en ed 
cela comme de la piupart des cheses. Neda u 
vo suecede, il ne se passe rien de nourte. Ü 
mesmo succede com as muilheres, il es ei & 
mtme avec les femmes. 

Succkdär , v. a. (am$.) suechder, böriter du 
biens d’un defunt. 

Succepino, A, p. p. de Sucesder. adj. u 
obde. Sarvenu. 

® SuccEDınEnto. V. Sucessso et Succesmis. 

Succkuso (imus.). V. Aceso, Ineendide. 

Succznrunsins, adj. m. pi. (I. d’anel‘ ur 
oenturiaax : (corps) glauduleax au-dem® de 
reins. 

Succnssäö,s. f. succession , procralen, fr 
nöratien , ligne; suite de personnes dans 0 
meme rang; cours, suite de Lampe; sale dk 
ohoses. —, heredit*, bien d’un defen. 

SUCCESSIVAHRATE, ado. successiremtn!. 

BucckssivgL., adj. 2 gem. suosessibie: habk 
& suoodder. 

Soccassivo, A, adj. sucoessil: qui sul, | 
suootde, qui vient apres. 

Bucckaso ‚s. m. succds ‚ reussite. Eriuene 
Bom —, suoobs, reussite. it. (Ag.) Heur® 
delivrence (d’une fomme enceinie). Hi -, 
malheureuse issue d’une affaire, eie., mat'3l 
sucoös. it. (Ag.) Fausse couche. Aflanper '-: 
röpondre de l’dvenement. , 

R,A,$. Su0ogesseur; onlal ga Mt 
odde & un autre. 

Socozssörto, A, adj. quia rappori, gü if 
partient & la succession. - 

+8So0camäro, s. m.{1. de chim.) socelnale: # 
forms par la oombinalson de l’scide succin!g® 
avec differentes basos. 

Succinico, adj. u. sucoinique (sale), ertäl 
du sucein. 

Succino,s.. succin, auıbrejaund; oukart?. 
matidre bitumineuse, devenue solide, 9X 
trique. 

Succıntautuse,, ade. succimciement. 

Succinto, A, adj. suceinot, brei, eoncis, 1 
canique. 

BC0O , 8. 8. 880 1 Ugueuz exprimee de: ’P 
palpeux; jus, 00 qui ya de subasaniel 4 


SUF 


une viande, ete. ; humidits de la terre. — nu- 
Iritivo, suc nourricier. — das planlas, suc, 
söve des plantes. 

Succöso, A, adj. juteux : plein de jus, de 
suc. 

* Sdecusa, &. f. conenubine. 

Söccuso , adj. et s. m. succube : ddmon 
qui, d’apres une croyance populaire, s’unit & 
"bomine sous la figure d’une femme. Celui qui 
se livro au pedeöraste. 

SuccuL&ncıa,s. f. (4. de bot.) qualits succu- 
lcnte des plantes. 

SuccuL&xto, A, adj. succulent: quia beau- 
coup de suc. 

Succomaino, A,p.p. de 

Succumeir (a), v. n. succomber : flechir sous 
le poids, le fardeau que l’on porte; avoir le 
desavantiage ; so laisser vaincre,. 

Suc&na. V. Agucena. 

+S0ca, s.f. (t. durl.) sociele, rassemble- 
ment, reunion de personnes pour s'ıamuser, etc. 

° Sucaısso. V. Deigado, Tenue. , 

SöcuLas, s. f. pl. (1. d’asir.) Hyades, dtoile 

u front du Taureau. 

+ Sucuaıst ow SUcuRUYOBA, 3. m. espece de 
boa du Brösil. 

Sonärıo, s. m. moacholr pour essuyer la 
sueur. Suaire. O Santo —, le saint-suaire de 
Jesus-Christ, son corps empreint sur le suaire, 

Sunparönıo. V. Sudorifleo. 

“Suptıno. V. Sudario. 

Bunouitıco, ete. V. Sodomitieo. 

SuponirEro, a, adj. sudorifere. V. Sudorifico. 

Suporirico, A, adj. surlorilique: qui pro- 
voque la sueur. ' 

Sönno, s. m. (4. d’Asie) homme de caste in- 
ferieure dans Pinde, roturier. t4. Celul qui re- 
eueille ie suc des palmiers. 

Scpußsts, s. m. sud-ouest : vent entre le sud 
ot Pousst. 

Bozcıa , s. f. (4. de gdog.) Suede: royaume de 
P’Europe. 

Sutco, A, adj. et s. Susdois, de 1a Sudde. 

° Sukınas, 5. [. pierres pr&cieuscs. 

Qusstz,, 5. m. sud-est: vent entre le sud et 
Test. 

Bugro, s. m. cong6, jour de conge pour les 
&coliers. 

k  Sotvıa. V. Swabie. 
i Sußvos, s. m. pl. Sudves: peuples de Pan- 
sıenne Germanie. 

Surricıkncıa , s. f. suflisanoe; capaoite, apti- 
fude. 

Surricıente, adj. 2 gen. suffisant, qui suft, 
Capable, apte. Em — quanlidade, ä suffisance, 

SUFFICIENTEMENTE , adv. sulfisamment, assez. 

SCHFICIENTISSIMO , A , adj. sup. de Sufficiente, 

Surrocacäd,s. f. suflocalion,, &toullement. 

SurrociDo,A,p.p. de Suffocar. 

SorrocanöR ,A,adj. qui suffoque , suffocant, 
«touffant. 

Surrocinte, adj. 2 gen. suffocant, dtoaffant. 

‚a.de 
9 Bumwocke, vo. a. suffsguer, dioufler : faire 


SUJ 15 


perdre la respiration. Etouffer, öteindre lo feu; 
(Ag.) arreter, einp£cher l’usage, l'effet, le 
cours. 

Surrocarivo. V. Suffocante. 

Scrrnacino, A, p. pP. de Su/ffragar. 

SUFFRACÄNEO , adj. ou s. m. Ssulfragantl:: dvd- 
que qui relöve d’un metropolitain. On le dit 
aussi de son sidge. 

* Surrnacixuo. V. Suffragdneo. 

SUFFRACÄR, ©. #. donner son suffrage: ap- 
prouver, agreer. 11 est quelquefols actif. Ex.: 
— 0s morlos, prier pour les moris. 

SUFFRAGATÖRIO, A, ad}. (p. us.) relatif aux 
Sullrages ou votes, 

Surrräcıo,s. m. suffrage : ddclaration de sa 
volonte, de son cholx, dans une &lection, une 
deliberation ; vote, volx donnee en matiöre d’&- 
lection ; approbation. —s, pl. suffrages, pritres, 
bonnes @uvres en faveur des ämes du purga- 
toire. 

Sorruuicacid,s. f. suffumigation, fumiga- 
tion. 

Surrunicıo, s. m. V. Suffumigagädo. 

Surrusiö,s. f. (1. de med.) suffusion : &pan- 
chement du sang, de la bile sous la peau. 

Suristarla, etc. V. Sophisleria , elc. 

Surnacknte. V. Fragante ou Flagranfe. 

Surnen, etc. V. Soffrer, etc. 

* Stcar. Y. Chupar. 

Srcgıro,eic. V. Sujeilo,, etc. 

SUGGERIDO, A, P. p. de 

StcGerir (a), o. a. suzgerer (A), Insinuer, 
inspirer; mieitre dans l’esprit de quelqu’un (un 
projet, une idee, etc.). 

SucGEsTa0, 3. f. suggestion : Instigation, 
persuasion en mal; lenlation du d&mon. 

+ Stocestivo, A, adj. qui conlient sugges- 
tion; qui suggere. 

Stcctsto,s. m. suggeste : tribune aux ha- 
rangues, chez les Romains. 

Sucivine, etc. V. Sujidade, eto. 

Stcicän, etc. V. Subjuger, eic. 

SucıLLacid,s. f. sugillation,, meurtrissare. 

SucıLuär. V. Filuperar. 

Sucıa ou Suctın. V. Chupar. 

Stcistönio, s. m. homıne qui portait un ha- 
bit ridieule (dans les processions). 

StcrTönio. V. Sugilorio 

Söco. V. Succo. 

+ Srica,s. f. ‘t. de geog.) Suisse : dat f&ıle- 
ratif d’Europe. is. V. Soiga. 

+ SoYco, a, adj. ets. Suisse, de la Suisse. 

Sofcioa,s.2 gen. suicide : celui qui se tııc 
volontairement. 

Suicıpär-SE, vd. r. se suicider : se luer soi- 
meme. 

Sticivio, s. m. sulcide : action de se tur. 

+ Sumäpe, s. f. (l.de prat.) qualiie dleri- 
tier necessalre. 

+ Sutno, a, adj. de cochon, de porec. 

Susido,A,P.Pp. de Sujar. 

SCJAMEnTE, adv. salement, ımalproprement. 

Sur v.a. souiller,salir,tacher. (fg.)Soull- 
ter ; salir Fame, la conscience par des p6ches; 





41116 SUL 
entscher !a noblesse, la reputation par des 
cerimes, elc. 


Susän-sE, ©. r. se salir : faire des ordures 
dans le lit, dans la culotte, etc. (fig.) Se laisser 
corrompre par des presents; prendre quelque 
chose qui ne vousappartient pas.V.Manchar-se. 

Suseicäö, 3, f. sujelion, assujetlissement, 
dependance, joug, obeissance; gene, escla- 
vage. Ce qui assujettit, joint, lie, empeche de 
se separer. j 

Sustıra , s. f. femme qu’on ne veut pas nom- 
mer. 

Susgıräno, A,p. p. de Sujeitar. adj. Assu- 
jetii; soumis. 

+ Suseıranor, A, adj. qui assujetlit, sou- 
met, dompte. . 

SUJEITÄR, d. g. assujettir, soumeltre, sub)u- 
guer, dompter, asservir. — , astreindre. 

SUJEITÄR-SE (a), v. r. gener, se soumelire; 
ebeir; se vaincre, s’astreindre; plier. As 
paixöes devem — d razdo, il faut quo les pas- 
sions obeissent & la raison. 

SuJEITISSIMO, A, adj. sup. de 

Sutıro, A, ad/. sujet, soumis; assujelti; 
dompte ; docile, obe&issant; sujet, expose. Ma- 
leria —a,, sujet d’uneconversation, etc. 

Sustıro, s. m. sujet, individu,, personne in- 
jeterminde. Ex. : Um —, cerlo —, un tel, 
quelqu’un, une personne. Sujet : personne 
distinguece par ses talents, etc. —, matiöre 
qu’on traile; motlif, raison, cause. it. V. Sub- 
dito, Vassallo. 

Susıpänz, s. f. saleti6, malpropreis, ordure. 
3, pi. mots sales, obsceniles. 

SuUJInH0, A, adj. dim. de 

SiJo,A,adj. sale, malpropre ;ordurier.(fg.) 
Souille, impur. Sale,deshonnete, impudique, 
obscöne. Rempli de fautes. 

Bör, s. w. sud, midi : partie du monde oppo- 
s66 au nord ; vent du sud. 

+ SuLa-PaToLa, 8. f. V. Ganso paldo. 

BULAYENTEAR. V. Sotaventsar. 

BuLav&nto. V. Julavento, Sotavento. 

SuLcipo, A, p. pP. de 

SuLcär, tv. a. sillonner : faire des sillons, 
(Ag.) Sillonner les mers, naviguer. 

SöLco,s. m. sillon, rayon:: trace que laisge 
le soc de la charrue. 

SuLriTo,s.m. (1.de chim.) sulfate:: sel forme 
par la combinaison de l’acide sulfurique. 

SuLrerino. V. Sulfureo. 

Scerritg, s. m. (4. de chim.) sulfite : combi- 
naison de l’acide sulfureux avec un oxyde. 

Surrur. V. Enzofre. 

SULFURÄDO, A, P. p. de 

SULFURÄR , v. a. soufrer : enduire, frotier de 
. soufre. 

SuLrünko, A, adj. sullureux, sulfurs: de !a 
nature du soufre, plein de soufre. 

BULFURETO, 8. m. (4. de chim.) sullure : com- 
binaison du soufre avec les melaux. 

SuLrönıco, A,adj. (4. de chim.) sulfuriquo : 
(acide) obtenu par la oombinaison du soulre 
avoo l’oxygöne. 


SUM 
SULFORINO, 


STLFURÖSO. } V. Sulfureo, 


SuLia. V. Solia. 

SuLrnATo, etc. V. Sulfäte. 

ScLräna, s. f. sultane : fomme da pais. 
gneur. — favorite, wmdi do sulido runs, 
sultane valide. 

SULTANIM om SuoLranino, 6. m. san: 
monnaie d’or turque. 

SuLTiö,s. m. sultan : le grand-seiguen m 
pereur turc. 

SuLv£nto,s. m. sud, le vent du mid. 

" Söu, adv. V. Juniamentis. 

Suma,etc. V. Summa, etc. 

Sumäca, s. f. (1. de mar.) " smack : enbım 
tion de iransport ä deux mäls. 

SOMAGRE, 5. m. (f. de bot.) sumar ou vis 





grier : plante terebinthacde. Roux ou ron is 


corroyeurs. 
SUMARENTO, a, adj. juleux, qui a braun 
de jus. 
TSumärra, 3.f. (8. de geog.) Sumain: 
de la mer des Indes. 
Sumsära. V. Zumbaia. 
. Buukas. V. Chumedes. 
- Sumencia, etc. V. Submergir, ole. 
Sumico, s. m. * disparition. Lover —, üe 
rallre. 
Sumipigo, A, adj. qui disparatt lacikaml 


Sumipo, A, 9. p. de Sumir. adj. Ealun. | 


eteint; effac6. (fg.) Plonge. Olka -ı,1= 
enfoncoes. Voz —a, voix eleinte. Cora #, 
couleurs eflacees. 


SUMIDOURO, 3. m. egont, condul,cn,mU 


faciliter l’6coulement des eaux. (dt, 
abime. 

SUMIDÜRA, s. f. disparition. 

SUMILBER, 5. m. sommeiller : nom ginerim 
de divers grands officiers de la maison da ra 
—dacortina, ecelesiastique qui oaıre Ale 
ies rideaux de la tribune d’oä le roi can 4 
messe, elc. 

Sunie, vo. e. absorber, engloulir. Cacet,® 
fouir, faire disparaltre. 

Suuirn-sg (em), v. r. s’enloncer, senkt 
s’engouffrer. (Ag.) Se cacher ; disparalie.’? 
vanouir; @ire de peu de derer, se dwet. 
s’eventer. S’effacer, en parlant des wh & 
visage. S’&teindre,, en parlanı de la voii. 

Sumissiö, etc. V. Submissde, ei. 

Söuwa,s.f. V. Somma. (Ag.) "Abregt, "® 
eapitulalion, sommaire, eic. Au —, ı&* 
abrege; en somme, en un mot, brei, M# 
conclusion. 





SOMMAMENTE, ade. extremement, pa | 


ment. Sourerainemönt. 
Suusär, etc. V. Sommar, elc. 
SCMMÄRIAMENTB, ade. Dommalreimesi, @ 
ahrege. 
SomManıin, ®. a. abröger, resumer. [At 
prooös-verhal & quelqu’un. 
SCHMäRıO, 5. m. sonmaire  abröge, 0 
prücls, Proocds-verbal. 





SUP 


Sumumäno, A, adj. sommalrs, seocinot, 
eourt, abrege. 

SUMMARISSIMO, A, adj. sup. de Summario. 

SUNMERGIR , etc. V. gir, etc. 

SUsMIDADE, s. f. sommil6, cime, sommet; 
comble. 

Summissiö, etc. V. Submissdo, eis. 

SruuNisTta , #. m. auleur d’abreges, de som- 
maires, abc. 

Söuwo, A, adj. le plus haut, le plus eleve, 
le plus grand ; supr&me. Souverain : grand, le 
premier en songenre.—ponftifice, le souverain 
pontife. — sacerdote,, le grand-preire. Em — 
grdo, au supr6öme degre , souverainemen!. 

SUMMULA, 3. f. petil sommaire, court abrege. 
* Sommaire qui contient les premiers el&ments 
de la logique. 

SUMMULISTA, 3. ©. celui qui &tudie les &l6- 
ments de la logique; qui y est verse. 

Simo,s. m. jus (des [ruits, des plantes); 
suc (des viandes.) p. us. V. Succo. 

Sumpro. V. Cusio, Despeza, Gasto. 

Sumpruirıo,A, adj. somptuaire. On le dit 
des lois qui reglent la depense, etc. 

SUMPTUÖSANMRNTE, adv. somptueusement. 

SCMPTUOSIDÄDE, 8. f. sompluosile : grande 
et magnifique depense. 

SUMPTUOSISSIMO , A, adj. sup. de 

ScmPrTuöso, A ‚adj. somplueux : magnifique, 
splendide, de grande depense; qui fait beau- 
coup de depense ( personne). 

SUNTUOSIDADE,, etc. V. Sumpluosidade , eic. 

Suor, 3. m. "sueur : humeur liquide, serosite 
qui sort des pores; aclion de suer; (fg.)sueurs, 
peines ‚iravaux.—es, pl.ifig.) [ruit de grandes 
peines. B em — ,‚couvert de sueur. Como 
—.do seu rosso, ä la sueur de son front. Causar 
suores, faire suer. Estar em suores frios, (fig.) 
suer sang ei eau; dlre aux abois. 

Sorepdäneo. V. Suppedaneo. 

SUPERABUNDÄNCIA, 8. f. surabondance, abon- 
dance excessive. 

SUPERABUNDÄNTE, adj. 2 gen. surabondant. 

SUPERABUNDANTENMENTE, adv. surabondam- 
. ment. 

SUPERABUNDÄR, ©. a. surabonder : abonder 
au delä de ce qui est necessaire; £ire tr&s- 
abondant. " 

SurenÄDDITO, A, (p. us.) V. Accrescenlado. 

SurznäDo,A,p. p. de Superar. 

* SUPERALTÄRE, 8. m. pierre sacrdo de j’au- 
tel; autel portatif. 

SUPERÄR , U. G. surpasser, surmonter, excol- 
ler ; ötre au-dessus de la porise. Jsso supera a 

de mou entendimento, cela est au- 
dessus de la portse de mon esprit. 

+ SurgaäveL, adj. 2 gen. surmontable, qu’on 
peut surmonter. 

SuPErBıssımo. V. Soberbissimo. 

SUPERCHERIA, 8. f. (mob rang. P. 8.) super- 
cherie. 

SureaciLio, s. m. V. Sobrancelha. 

+ SUPEREMINENCIA , 5. f. preeminence, l’Elc- 
ration, le poste, la dignite esnincnte dans la- 


Sup 1147 


quelle une persanne est oomstliade, par rapport 
ä une autre, 

SUPERENINENTE, adj. 2 gen. sur6ıninent, 
irds-dieve. 

SURERENTENDÄNCIA , eic. V. Superinienden- 
ci, eie. 

Supensrocackö. V. Sobrerogapio. 

*+ SUPEREVANGALIA, 3. f. oouverlure Pr&- 
eieuse de Saints Kvangiles. 

Supzarttacäö, s. f. (6. de med.) superlela- 
tion : congeption d’un second [atus. 

SurzarıcıäL, adj. 2 gen. superliciel : qui 
n’est qu’a la superlicie, qui ne s’arrdte qu’ä la 
superficie ; (fig.) leger, qui n’approfondit pas. 

SUPERFICIALIDÄDE , 8. f. superlicialile : qua- 
lit6 de ce qui est superficiel. 

SUPERFICIALMENTE , adv. superliciellement. 

Sursaricız, #. /. surfacn, superlicie. 

SUPERFINO, A, adj. superfin : co qui est Irös- 
fin. 

SUP£RFLUAMENTR, adv. d’une mäniöre super- 
flue. 

SUPERFLUIDÄDE , 8. f. superfluite, abondance 
vicieuse. 

SUPERFLUO, A, adj. superflu , inutile; ce qui 
est de trop. 

+ SUPEgaHUMERÄL, 5. m. ephod : ceinture da 
grand-pretre des juils. 

SUPERINTENDENCIA , 8. f. surinleudance : in- 
spection, direction generale ; charge, emplei 
de surintendant. 

SUPERINTENDENTE, 8. m. surintendant, di» 
recteur en chef. 

SUPERINTENDER (a), ©. R. avoir ja surinten- 
dance de. 

SUPERIOR , adj. 2 gen. superieur : qui est au- 
dessus, au propre et au figure. Haut, en par- 
lant d’un pays, d’une province plus elev6e 
qu’une autre. Ser —a..., eire au-dessus de... 
Homem — aos elogios, homme au-dessug des 
louanges. 

SUPERIÖR, 8. m. Superieur : qui a Comman- 
dement, autorile sur un aulre ou sur d’aulres. 
V. Soprior. 

SUPERIÖRA , 3. f. Superieure d’un couvent. 

SUPERIORÄTO, 8. m. " sup6riorite : emploi de 
superieur d’un couvent, ei lo temps qu’il 
l’exerce. 

SurERioRipäne, 8. f. superiorile, preemi- 
nence, excellence,ascendant. Le dessus. "Avan 
tage. 

SUPERIÖRMENTE, adv. superieurement, avan- 
lageusemenl. 

SUPERLATIVAMENTE , adv. superlalivement. 

StPERLATIVO, A, adj. plus grand, plus er 
cellent, etc. 

SUPERLATIVO, 8. m. ( I. de gramm.) superla- - 
tif: plus baut degre de comparaison. 

SUPERNÄAL, adj. 2 gen. V. Superno. 

Scr&nno,A, adj. divin, celesie, supreme, 
d’en haut. 

SUPERNUMFRÄRIO, A, Gdj. sufnumcraire. 

Sipeno,A,adj. d’en haut, qui est en haut. 

SUPERPARUENTE , adj. 2 gen. (tl. d’arılh.) 


1118 sup: sup 


surpardient. On ie di d'une raison dent ım | StreLwTönd, A, adj. suppläil: qai sup 
terıno contient l’autre une fois, et en sus quel- Iplee, complete; qui sort & suppiter, suppie- 


Ques-unes des parties aliquotes. 

SUPERPARTICULAR, adj. 2 gen. (I. d’erüh.). 
On le dit d’une raison dont un terme conlient 
l’autre une fois, et en sus une de ses parties 
aliquotes. 

SuPERFARTICDLARIE. V. Superparticuilar. 

SUPERPÄRTIENS. V. Superparciönte. 

SurEnrosicäd, 3. fı superposition. 

Supzaruncacäö, s. f. superpurgation : PüF- 
galion excossive. 

Surzrnocacid. V. Sobrerogapße. 

Borenstichö, 8. f. superstilion : fausse ide&e 
de Yelficacits de certaines pratiques religieuses 
aloptees par crainte os par espolr ; fausse opi- 
nion ‚eredulite religieuse ; eroyance & la ma- 
gie, aux @ires surnalurels, & l'influence de cer- 
tains mots, de ceriaıns objels , eic. ; vain pr» 
sage; praliue superstitieuse; ce qu’il y a de 
faux dans los fausses religions. 

SUPERSTICIÖSAMENTE , adv. superstitieuse- 
ment. 

SUPERSTICIOSO, A, adj. et s. supersttienx : 
qui a de la supersütilon,, oü il yena. 

+ SursasusstancıäL, adj. On lo dit du pain 
euoharistique. 

+Surzatunıcir,s.m. vöternentsur a unique. 

Borzavacineo, A. V. wo. 

Borunvsucäd, 3. f. action de survenir. 

SUPERVERIENTE, adj. 2 gen. qui survient, 
survenent. 

SuPERviv&ncıa, elo. V. Sobrevivencia, etc. 

+Surstiö,s. m. De —, adv. subitement, 
tout & coup. 

Sörero. V. Supito. 

SuriLir£. V. Pospello, 

Surino, a, adj. haut, elev&. Couche & la ren- 
verse sur le dos. /gnorancia —a, ignorance 
crasse. 

Surino, s.m. (1, de gramm. lat.) supin : sab- 
stantf verbal, faisant fonetion de l’infinitif. 

Börirauente, (inus.) V. Subilamenie. 

Surıringo. V, Subtlaneo. 

Surıro, A, adj. V. Subito. 

Buronir. V. Suppurar. 

* Supösıra. V. Trapapa, Enredo, Falsidade. 

SuPPEDÄneo, 3. m. marchepied : banquelie 
pour les pieds aupres de l’antel ; escabeau. 

Surpeodıtär, vo. @. fournir, subvenir. 

SuprPrLAntaciö, 3. f. supplantation. 

SuUPPLANTÄDO, A,P.p. de Supplanfar. 

SUPPLANTADOR , 8. m. celui qui Supplante. 

SurpLAnTÄr, o. a. supplanter : faire perdre 
ä quelqu'an sa place, son credit et lui Succ6- 
der. Donner le croo-en-jambe. Fouler aux 
pieds. (fig.) Renverser, abatire. 

QUPPLEMENTÄR,, 8dj.2 gen. 

SUPPLENENTÄRIO, A, adj. } 
supplement, 

SUPPLENENTO, 3. m. suppl.ment : ce gui 
supplee; ce qu’on donnce pour suppleer: ce 
qu’on ajoute & un livre pour stipplcer ce gi 
manqualt. 


suppl&mentai- 
re: en 0% par 


|ture humaino & la personne divime, 4 





mentaire. 

Sörruica, 3. f. supplioation s depreestien: 
priere instante. Supplique, plecet, requtie. 
Deixou-se vencer das —s, il se laissa alier aeı 
prieres. . 

SorrLicackd, 5. f. supplieation. 7. Supplien. 
Casa da —,, baule cour de justice (em Porte- 

SurpLicino, A, 9. p. de Supplicar, ı.n. 
(4. de prat.) Defendeur, intime. —e, f. die 
deresse. 

SuprLicÄnte, 3. 2 gen. suppllent , etposaul 
(6. de prat.) Demandeur, —esse. 

SurrLicär (6), dv. a. supplier : prier ec = 
stance, Soumission. — alguem..., supplier quil- 
gu’un de... Per mais que o ou Ihe suppiiar 
sem, ils avsient beau lo supplier. 

SOrPLICATÖRIO, A , adj. qui contieni an6mp- 
plique. 

SörrLica, adf. 2 gem. suppliant. 

BurrLicıia, 0.6. supplioier : faire souftie 
supplice de la mort; lourmenter & Fexots. 

SurrLicıo, 8. m. supplioe : punition cafp® 
relle ordonnee par la justice; douleur vire d 
longue. 

Surrontnno, 8. m. V. Suppongie: 

Sorrör, ©. @. supposer : poser, 6euobdel, 
faire admetire une chose comme &ablie, 
moniree,, regue, sfin d’en tirer une induebet] 
allöguer comme vrai om veritsble ce qui 
faux. — culpa a alguem, inculper queigu'u. 
Supponhdmos que assim & ou saja, pei3 12 
cola soit. 

Surpoatino, A, pP. pP. de Supporlar. 

SUrPORTADOR, A, 5. celul qui upper, 
durent. 

* SUPPORTANENTO. V. Anireionimens, Dar 
lenca , Conservagad. 

Surronrir, 0.0. Su : porter, mul 
nir; (Ag.) endurer; tolärer; soufrir arec Pr 
tience, avec resignalion. 

SurrorrävEL, adj. 2 gem. supportable: gen 
peut supporter, qu’on peut souflrir. 

SUPPORTÄYELMENTE, ade. supportablems! 

Suprosigiö, 5. f. supposition : propom 
mise en avant comme yraie, pour ea lirer IR 
induction ; action de supposer ; cbose conlt* 
voe, fausseis. Copsideralion, rang, BUN. 
Homem de — , homme de distincliea, 
qui a des qualitös recommandabies. 

+ Suprostraciö, 5. f. (1. de thöel,) under & 
la nature humaine & la divins, # 
maniere qu’il y ait deux natares ei UM mat 
persenne. 

SurrosıTino, A,9.P.de 


Surrosırän, v.G. (4. de tAdol.) wib” 


niöre qu’il y ait deux natures et une sul FM" 


sonne. 
Suproösıricıo, A, y. sapposd , ui 41a Bf 
du vral, faux, substitue. 


SUR 


Suproströrto, 8. m. (1. de med.) supposi- 
toire : sorte de medicament topique place dans 
le fondement, pour lächer le ventre. 

SuPPösTo, A, P. P. irr. de Suppor. adj. sup- 
pose, sous-entendu. — que, adv. en 028 que, 
suppose Que; quoique. 

Suppösto, s. m. (tl. de melaph. ct de thdel.) 
objet qui n’est point exprime dans une propo- 
sition, mais qui lui sert de base. *Supposition, 
chose supposee. 

Suprressiö, #. f. suppression : aclion de 
supprimer ; defaut d’&vacuation. 

Surprisso. V. Supprimido. 

* SUPPRESSÖRIO, A, adj. qui supprime. 

SorPrino, A,Pp. pP. de Supprir. 

Surpnipön, s.m. celui quisupplee,, qui rem- 
place, supple&ant. 

SUPPRIMENTO, 5. m. action de supple6er ; frais, 
fournissement, fourniture. V. Supplemento. 

Supprimin, ©. a. supprimer : empecher ow 
Sairo cesser de paraltre; passer sous silence; 
abolir, annuler. 

Stpprin, ©. a. et n. supplieer; remplacer ; 
defrayer. — a despeza, o cwsio, fournir aux 
depenses, subvenir aux frais. O ouro muilas 
vezes suppre o merecimento,, Por supplee sou- 
vent le merite. 

+SuppaiveL, adj. 2 gen. qui peut @tre sup- 
piee. 

Surpuracäö, 5. f. suppuration : formation, 
€&coulement du pus. 

Suprunäpo,A,p.p. de 

SurPurÄR, v. N. suppurer : rendre, jeter du 
pus. 

SuPPURATIVO, A, adj. suppuratif : qui fait 
Suppurer. 

SUPPURATÖRIO, A, adj. qui est en suppura- 
ton. V. Suppuralivo. 

SurPUTAGAÖ, 3. f. suppulalion, calcul. 

Supptrino,A,p.p. de 

SupPUTÄR, v. a. supputer : compter, calculer 
par addilion ow multiplication. 

Sipna, prep. lat. ci-dessus. 

SuprAcıräpo,A, adj. cite ei-dessus. 

+Surnino, s.m. (fl. de mus.) dessus, 80- 
prano : voix la plus haute dans la musique. 

SUPRANUMERÄDO, A, adj. nombre& ei dessus. 

SUPRANUMERÄRIO, A, adj. et s. m. surnumed- 
raire. 

fSupnewacia ou Supremazfa, s. f. °pou- 
voir, influence supr&me; suprematie, superio- 
File. 

SUPREMAMENTE,, adv. au supr&öme degre. 

Surr£MmO, A, adj. Supreme : au-dessus de 
tout en son genre; dernier. 

* SUPRESITO, s. m. "appartenances d'un h&- 

ritage. 
Suraessäö, etc. V. Suppressäo, ec. 
SurriLno , etc. V. Soprilho. 
QUPRIMIR, etc. 
Surkia, elc. . un el. 
SUPURAR ‚ etc. Y. Supp..., eW 
Sura, s. f. (fl. d’Asie) suc de palınier. 
Suncar. V. Suilcar. 


SUR 1419 


+ StacuLo, 8; m. (1. de do6.) brauche unie. 
AmERBANENTE, ado. sourdement; & ja sour- 

ine. 

Sunpzir,v.n.(p. us.) faire le sourd, 

SoantLo. V. Car . 

Suaptz ow } surditd : perte os diminu- 

Bunptza, 8. f. ) tion de l’ouie. 

Surpido, A, 9. P. de Surdir. 

Sunpina, 8. f. söurdine : ce qui aflaiblit le 
son. 4° —,ä la sourdine,, sourdement, secrö- 
tement, ä petit bruil. 

SURDINHO, A, dim. de Surdo. 

Suapia, ©. #. sourdre, jaillir, sorlir deterre, 
d’un rocher, eto.,on parlantde l’eau. Surnager. 
(fg.) Sortir, se montrer en sorlant d’un lieu 
cache. V. Surgir. 

SeRDO, A, adj. sourd : qui n'entend pas; qui 
n’est pas sonors; qui n’est pas &clalant; (Ag.) 
insensible aux remontrances, eic. Faser-se —, 
faire le sourd, faire la sourde oreille. Pels 
surda, insensiblement. 4’s surdss, en silenge, 
sourdement, 

*Suncia, etc, V. Cirurgia, etc. 

Jurcino, A, pP. p. de Surgir. 

SuRGIDÖURO, s.m. havre, port, rade, moail- 
lage , attörage. 

Surcin,v.n. (fl. de mar.) surgir, aborder, 
atterir, mouiller ; Jjeter Pancre. Sourdre, jaillır, 
S’elever, so lever, — dos perigos, s’aflranchie 
des dangers, etc. 

SoriLno , dim. de 

SörRO, A, adj. sans gqueue (poule). Tonsurs, 
qui ne dit pas encore la messe (moine). 

SURPRENDER, vd. a. Surprendre, prendre, at- 
taquer & l’improviste. (com) Surprendre,, &ion- 
ner. 

SURPRENDIDO, A, 9. pP. de Surprender. adj. 
Surpris, pris & Pimprevu, etonn&, eic. 

Sunratza,s. f. surprise: aclion par laquelle 
on surprend ; &tonnement. 

Sürra, s. f. volee de coups. Dar umabia-—, 
fouetter, etriller d’importance. 

SuUariDO, A,Pp. p. de Surrar. - 

SURRADÖR, 8.1. corroyeur, ındgissier. Fouet- 
teur. 

Sonraracıa. V. Sarrafagar. 

+ SURRAMENTO,,3.m. action de corroyer; ap- 
pret des cuirs. 

Sunräö, s. m. "panetidre de berger, sao de 
euir de berger. Suron ow c&ron : sorte de sac 
de cuir pour Yindigo et autres marchandises. 

-SurnäPA, s. f. mauvaisvin, vin gäle. 

SurrÄn, 9. @. corroyerles peaux; passer en 
megie. Chätier A coups de fouel, debäton, etc. 
User la superficie de quelque chose, la rendre 
raboteuse. 

SURRÄR-SE, v. r. s’user, en parlant du drap. 
(burl.) Se sauver, s’en aller ä la derobee. 

Sunrirte. (8. burl.) De —, adv. en cachette, 
& la derobes. 

Sunaat£ıro. V. Sorraleiro. 

Sunreıcid. V. Ressurreigäo. 

Sunatıra. V. Sorrelfa. 

Sunzerricio, etc. V. Subrepkiele, etc. 


120 guS 


Burnıida, 8. f. volded’artilierie. (Ag.) Hude. 

Bunnisa, s. [. "ameublissoment des lerres. it. 
V. Soecaleo. 

Euraı2i00,A,Pp.p.de 

Suarısan, v. a. ameublir la terre, labourer 
Ala boue. 

Suariıriär, v. a. (4. burl.) derober, voler, 
Blouter, escroquer, griveler. 

Suaria, v. n. voler, s’elever bien haut. V. 
Sortir. 

SöaTo, 5. m. vol rapide d’un oiseau qui 8’6- 
leve, essor. (Ag.) Essor de esprit. 

Sisto, A, p. p. irr. de Surgir. adj. surgi, 
mouille, &ä l’ancre, en parlant d’un navire. 

*Suatö, s. m. V. Sobreiudo. 

" Surrüm. V. Sobreiudo,, Casacdo. 

Surzia. V. Zurzir. 

Sus! inter). sus, bon, courage! 

Susäno, ow Susäö, A, adj. ce qui est plus 
baut, ci-dessus. Veis — es, (anf.) veine du front. 

} SusceptisıLıdang, s. f. susceptibilile :qua- 
lit6 d’etre susceptible. 

SuscErtivKL, adj. 2 gen. susceptible, qui peut 
recevoir telle qualii&, telle modißcation, ca- 
pable. 

Suscıracäö, s. f. l’action de susciler, susci- 
kation,, instigation. 

Suscıräno, A, P. p. de Susciter. 

ScscıTapon, A, 8. velui qui suscile, 6le. ; 
insligateur. 

Suscırär, v.a. susciier, faire nalire ; faire 
paraltre ; exciler , causer. (Ag.) Ressusciler, 
faire revivre. — desgoslos , oocasionner des On- 
nuis, des desagrementis. 

Suscırän-se, v. r. s’olever, 56 susciior. 

Buscahevkn, etc. V. Subdscrever,, etc. 

*S080 , ade. en haut, dessus. V. Acima , 
D’antes. 

* Susovito, A, adj. susdit, ci-dessas dit, 
mentionne. 

Susp£cto. V. Suspeito. 

Susreicäö, 5. f. suspicion, soupcon, defance. 

Suspäita, s. f. * seupgon, oınbrage, doute; 
cenjeciure, deßance peu fondee. 

SuspeitäiDo,A, pP. p. de Suspeilar. 

BLSPEITADOR, A, 5. PErSOUDE SOUpgonnEeuse. 

QUSPEITAR, U. @. SOUPFONNEr: avoir des soup- 
gons; conjeclurer. (de), v. ®. SOupgonner: 
former, concevoir des soupgous conire, des 
doutes sur. 

Susräıto, A, adj. suspeci, soupconns; qui 
nıerite de !’eire; qui inspire la me&liance; de 
ui On a, On peut aroir du sOupgon. Soupgon- 
neux, dößant (p. us.). Dar por — um juiz , re- 
cuser un juge Pour cause de suapicion. Dar-se 
Dr decliner une cause, en parlant d'un 

uge. 

SUsPBtTÖSAMENTE , ado. avec SOupgon. 

Susrgıröso, A, adj. suspect : qui donne lieu 
aux soupgons. Y. Suspeila. Soupgonneuz, de- 
Rant. 

SUSPENDER, v. a. Buspendre, €lever, enlever, 
atlscher, soulenir en l’air; lenir eu suspens ; 
surseoir, dillerer ; arrtier, retarder. (Ag.)Sur- 


SUS 


ptendre, &tonner, saisir. Saspendre : interdin 
un ecclösiastique de ses fonclions. — 0 juıze, 
suspendre son Jugement. — aneora,(l. de mar.) 
levor l’ancre. — a encore d’um ouiro nerie, 
(fd.) p6cher l’ancre d’un autre vaissean. 

SusPEnDER-SE,, ©. 7. 36 suspendre : din, 
pouveir öLre suspendu. 

SUSPENDIDO , A, p. p. de Suspender. adj. 
Suspendu. Surpris. 

*Susp&npıo. s.m. V. Farce, Garrois. 

Susransäö, s. f. suspension: aclion Je ser 
pendre, d’arröter , etc. ; surs6ance, Oessalna 
d’operation pour un lemps; inlerdiclion poer 
un ‘emps; ügure de rhötorique par laguelk a 
tient Pauditoire en suspens. * Doute, irresole 
tion. * Eionnement, surprise, saisissemes. 
Grande attention. Suspense : censure qui de 
clare un prötre suspens;; &iat d’un pr&tre inler- 
dit. —d’ermss, suspension d’armes : cessalma 
d’actes d’hostilite. Sob pena de — , sous peitt 
de suspense. Ponto de —, (1. de mus., nit, 
point d’orgue. 

SusPENSsivo,, A, adj. suspensif: qui suspen, 
arröte, Lient en suspens, empe&che de proceder. 

Susptuso, A, pP. Pp. irr. de Suspender. eüi 
Suspens, suspendu ; (Ag.) indecis, irresela, 
interdit ; qui 6coute alientivement. Fiar-, 
s’arröter, resier interdit. Ter alquen — ‚ul 
queiqu’un en haleine. 

SUSPEXSÖRIO,, 3. me. Suspenseie : bandayt 
pour une descente ou hernie, eic.; ce qui Kerl 
ä suspendre. —s, pl. ° breielles : sangles elar 

ues pour porler les panlalons, ek. 
u a,adj. (8. de med.) qui 
suspendre. Bu 

Suspirino, A, p. p. de Suspirer. adj. Dasitt 
ardemment. 

+ Suspırap6a, 3. m. soupireur, qui put 
des soupirs. 

Susririn, ©. @. et m. soupirer : pousser di 
soupirs. (por) Soupirer apres, desirer arle®- 
ment, rechercher avec passion, beer apres J 
ki ou a ods suspirdmos, nous poussons 2 
soupirs vers vous. — por voller d sun poll, 
langnir apres sa patrie. — pela suo liberie. 
soupirer apres sa liberte. Corardo que if"! 
ndo lem 0 que deseja,, (prov.) caur qui u“! 
n’a pas ce qu’il desıre. 

SusPino, 8. m. soupir : aspiralion el Ip: 
tion penible, prolongee par la “ouleur 00 ! 
pleisir. (Ag.) Desir ardent. (1. de bot.) Belic-de 
nuit, merveille du Perou, jalap laut. 

Susgtinär. V. Sosquiner. 

* Susso. V. Suso. 

Stssurnran, eic. V, Susurrer, elc. 

Sustäncıa , eic. V. Subsiancis, elc 

Sustäno,Aa,p.p. de ‚ 

Bustän, 0.8. suspendre, arreier, empfeit 
le progres. V. Sobresster. 

SUSTATORIO, A, adj. qui suspend, are, 
empeche le progres. . 

Bustanido, s. m. (l.de mus.) "didse ou dies‘ 
double croiz en sauloir qui margat quel’oR 
deit diever le son d’un demi-ton. 


JUX 


Sustuwnrackö, s. f. Faction de soutenir, de 
sustenter. Nonrriture. V. Sustenio. 

SUSTENTÄCULO, 5 m. soulien, appui, &tal, 
soulönement. 

Susrexripo, A, p. 9. de Sustenlar. adj. Sou- 
tonu. Bustente. 

SUSTENTADOR , A, 3. celui qui soutient, 

SOSTENTANRNTO, s.m. V. Sustentapdd er Sus- 
Iento. 

SusTenTÄntE, s. m. soutenant, röpondant : 
celui qui soutient une thöse. st. 9. @. de 

SUSTENTÄR, v. a. soutenir, porter, supporter. 
Sustenter, nourrir, alimenter, entretenir. Sou- 
lenir une these, r&pondre. Appuyer, &layer, 
„utenir. — ums amigs, entretenir une mal- 
„Tesse. 

Sustentärse (de), v.r. s’alimenter, se nour- 
rir, vivre de. Subsister, tirer sa subsistance de. 
Resister, tenir bon , se soulenir. — do ar, se re- 
paltre d’espörances chimeriques ow vivre de 
Pair, manger ir&s-peu. 

SostEentäveL, adj. 2 gen. soutenable: qu’on 
peut soutenir, defendre. 

SuSTENnTO, 8. m. * noufriture, aliment, sub- 
sistanco, entretien. L’aotion de sustenter, elc. 
(fig.) Ce qui entretient, alimente quelque chose. 
V. Sustentaculo. 

Sustenton. V. Sustenlador. 

Sousria. V. Sosier. 

Sustıntncıa. V. Sustentapdo. 

Susnrufs, etc. V. Substiluir, etc. 

Susro,s.m." pear, crainte, frayeur, alarıme, 
‘pouvante, eflroi. 

Bu-SUDONSTE , 5. m. sud-sud-ouest. 

Su-SUEßSTE, s. m. sud-sud-est. 

Sussunnäpo, A, p. 2. de Sussurrar. 

Sussunnapor, A, adj. qui murmure, qui 
bourdonne, qui souflle ow sillle. 

Sussuanints, adj. 2 gen. V. Sussurrador. 
p. a. de 

Sussunniea, 9. ». murmurer: parler bas, se 
plaindre sourdement, etc. (fig.) Murmurer : so 
dit du brult que fait un ruissesu, lo vent, etc. 
Bourdonner, en parlant des abeilles. Souffier; 
sifiier. 

Sussöano,s. m. bourdennoment, bruit sourd ; 
mMurmure, au propre ei au figure. 

* Sustanton. V. Sustontador, Defensor. 

Surina. V. Solaina. 

Surir, ete. V. Sudiil, ete. 

Sutazsücıo. V. Subterfugio. 

Surüaı,, s. f. (f.d’anat.) suture : jointure des 
os du cräne dont les inegalit&s s’engrenent; 
r&union des parties molles. 

SuruniL, adj. 2 gem. sulural : qui nalt, dö- 
pend d’une suture. 

"Suu ow Söu,, adv. conjointement, ensemble. 
Viver de —, vivre ensemble. Fazer algum de- 
licio de — , commelire un crime avec des com- 
plices. 

Suxino,&,P.p.de 
" Suxir,v.e.lächer, relächer, detendre. (ant.) 
Remettre, moderer, relächer. 

Böxo, A, adj. reläch& , detendu. V. Solto. 


PORT. FR. 


SYM 1181 


Böz. V. Sus. 

SYaarita, s. m. ( Ag.) sybarlie : bomme inte» 
voluptueux, livr6 & la mollesse; (au propre) 
peuple de la Grande-Grece. 11 est aussi adj. 

SYsanirico, a, adj. des Sybarites; Sybarfte. 

SrsiLza, etc. V. Sibylle, etc. 

Sycömoro, s.m. (l.de bof.) sycomore : erable 
blanc de montagne, arbre & larges feuilles, 
semblables & celles de la vigne, du figuler et 
du märier. — bastardo, azedarac, bipinne, 
margousier, sycomore faux. 

SycorBÄnta,s. m. sycopbante,, fourbe ; men-' 
teur ; imposieur ; fripon; delateur; coquin. 

+ Sıcöss, s. f. (t. de med.) sycose:: tumeur & 
Panus semblable & une figue. 

Sro&aeo. V. Sidereo. 

+Sroenire ow Sıperite, s. f. (1. de bot.) 
crapaudine ou sideritis : plante labiee. 

" Syua pour Sia ou Esieva, il elait os il dtait 
assis. 

Srıra. V. Seylla. 

Sr’ırasa, s. f. syllabe : voyelle seulo ow 
jointe a une lettre qai ne forme qu’un son. 
(A%g.) Quantite : mesure des syllabes longues 
ou breves. ‘ 

SyrLıasina ‚5. f. faute de prosodie ow d’ao- 
cent. 

SYLLABÄR, 0. ». syllaber : assombler les let- 
res par syllabes. 

SYLLABARIO, A, adj. qui prononce par sylia- 
bes. s. m. Syllabaire : livre elementaire pour 
apprendre ä lire. 

Syırisıco, A, adj. syllabique: qui a rap- 
port aux syllabes. 

SyLL£rsk ‚s. f. syllepse : emploi d’un mot au 
propre et au figure ; figure grammaticale par 
laquelle le discours so rapporte plutöt & la 
pensee qu’aux regles. 

SYLLOCISMO , 8. m. syliogisme : ralsonnement 
renferm& dans trois propositions, la majeure, 
la mineure , la consequence. 

StLLocistico, A, adj. syllogistique ı qui 
concerne le syllogisme. 

SYLLOcIZAn0, A, 2.9. de 

SrYLLocızir, ©. n. syllogiser : faire des sylie- 
gismes, argumenter par syllogismes. 

Sr’ıeno, s. m. syiphe, sy!phide : genie de 
Pair. 

Srıra, etc. V. Silvs, etc. 

SYMBÖLICAMENTE ‚ adv. alldgoriquement. 

"SYMBÖLICO, A, adj. symboligue : qui sert de 
symbole,, qui s’explique par symboles. ' 

SrYusoLızacäkö,s. f. symbolisation : acliom 
de represenier par des symboles. Analogie, 
ressemblance,, sympathie, conformile. 

SYMBOLIZÄDO, A, pP. pP. de 

SrmaoLizär, v. ». symboliser : avoir de la 
conformits, du rapport. v. a. Symboliser : rc- 
presenter par un symbole; expliquer par syaı- 
bole. 

+SyusoLismo, s. m. qualite d’Eire symboli- 
que. 

Sy’uBoLO, s. m. symbole: figure, image qui 
designe une chose par la peinture, In sculptare 


1198 SYN 


ow le discours ; signe exierieur des saoremeuts; 
formulaire des articles de la foi. (g.) "Sen- 
tenoe, devise, oic., qui disiingua, caraclörise 
quelqu’un. , 

*Sy’us0L0, A, adj. V. Symbolioo, Paris 
— 1, quoles-paris, &cols. . 

+ SrusoLocia , s. f. symbologie : traits des 
symptömes des maladies. 

Srmstaia, 3. f. symölrie : proporlion de 
grandeur, de figure , des parties d’un corps en- 
ire elles et avoc leur tout; proportion d’ögalile, 
de ressemblance; rapport des [ormes. 

ÖYNSTRICAMENTE, adv. symelriquement : 
aueo symötrie. 

Srmeraıco, A, adj. symetrique : quia de la 
symetrie. 

Srustaızin,v.a. ot m. symötriser : disposer 
avoc symetrie ; faire symötrie. 

Sruu,sf. . 

Syuı 0, m. | V. Simia , Macao. 

Sruratsia, 5. f. sympathie : convenanc®, 
napport d’humeurs, d’inclination, elc. ; interei 
naturel, affectueux pour quelqu’un,; corres- 
pondance imaginaire des qualilös du corps; 5© 
dit des Ames. 

STMPÄTRICANENTE, adv.d’une maniere sym- 
pathique. 

BYMPÄTHICO, A, adj. sympathique : qui ap- 
partient aux Causes, aux elfeis de la sympa- 

e. ’ 

SYmMPaTrkızino, A, p. 9. de Sympalhizar. 

SYMPATHIZÄNTE, ad. 2 gen. qui sympalhise. 
p. a. de 

Srmratnızin (com), v. n. sympalbiser: avoir 
de la sympaihie, se convenit. 

Sıupuisıs, s. f. (£. d’anat.) sympbise : liai- 
son de deux os du bassin. 

+ Srurnr'ta, (t. de bot.)V. Consolda maior. 

Srursonia, s. f. symphonie : concert d’in- 
struments de musique ; sone de composition 
Mmusicale. 

SYuruy’To, s. m. V. Symphyla. 

SYMPTOMA, 8. m. symplöme : signe, accident 
donton tire quelque presage , quelque conse- 
geence. 

Srurrositico, A, adj. symptomatique : qui 
appartient ausymptöme, qui en depend. 

SYMPTOMATOLOCIA , 8. f. symptomatologie : 
trait6 des sympiömes. 

Sına, eis. V. Sims, eic. 

Srnao6sa, 6. f. symagogue: assembiee de 
Ndedles sous l’ancienne hei ;assumbiede roligiouse 
des juils ; lien oA ils sassembient pour leurs 
awercioes de religion. (fig.) Les juils. 

SrnaLärea, 0. f. synulöphe : contrection des 
syliabes de la fin d'ua mos ei du oommente- 
ment du mot sulranı. 

Sruavracmirnod, a, 847. synallagmetigwe : 
qui content wa Vagagement mutuel ( contrat). 

*Synin, etc. V. Assignar, etc, 

Synantrundsg, 8. [.( 1. de chir.) synarlhrose: 
articulation des 08 sans mouvement. 


SIRiXE, 5. f. (& d’ant.) synaxe: asscaubldc 
















SYLN 


de chretiens pour prier, pour celöbrer la cine. 


+SYNCATOGOROSNÄTICE, A, adj. (4. de dialecı.) 


potentiellement infni. 


SrncäLLö, s. m. syncelle, compagaea de 


chambre, 


SYNCHRONiSMO , 5. m. synchronisıne z Fapperi 


des choses falles , arrivees en mı&me lermps. 


Srucaaöxo, A, adj. syuchrone : qui m fat 


au möme temps (mouvement, oscillation‘. 


Sv'ncora, 3. f. syncope : retranchemen 


d’une leuro, d’une syllabe au milieu d’un m 


Srncori00, A, P-.P- de Syncoper. 
SıncoräL, adj. 2 gen. (I. de ned.) syncopal 


ou syncopique : de la syncope. On le dit d’une 
fire accompsgnee de syncope , de defaillaner. 


STNCOPÄR , d. &. Syncoper, retrancher; faır 


une syncope. u. ». Tomber en syncope. 


Sr’ncope, &. f. (1. de med.) syncope : delail- 


lance, pämoison. dt. V. Syncopa. 


Srncorızipo, A, adj. tomb& en synospt. 


p. p. de 


SYNcopIzÄn, u. @. Gauser des syhcopes , des 


defaillances. v. ». Tomber en syncope. 


ST’nCaRSE, 6. f ByDor&se , CORCTELIOR ; CHagE- 


lation. 


SYNCAKTISNO, 5. m. Syncrölisme ı rap 


chement de diverses sectes ou communiamis 
divers systemes incenciliables. 


+ SYNcRETIiSTAs, s. m. pl. symor&listes : pls- 
losophes qui veulent concilier les difarests 
systemes. 

ÖTRDER&SE ou —ı5, 8. f. synderese : remard 
de conscience, conscience droits; inchnetas 
naturelle qui porie a l’öquite ei prend sujeur} 
le parli le plus sür. 

Srnoicagäö, s. /. action d’ezarniner, ds Im 
chercher, de s’informer ; recherche, engedit. 

SYnpiıcäno, A,P.p. de Syndicer. 

SranicäL, adj. 2 gen. Syndical : qui a rap 
port au syndic. 

SINDICÄNTE, adj. ot 0. u. Qui recherche, ge: 
ezalmine ; enquelsur. 

Srnbicär (de), o. @& ei ®. eXauniner, reckt!- 
cher, ooniröler, engatier, siinformer. Syadı 
quer, blämer les actions d’autrui, les cornge- 

Srnsicirte,, 3. 0 syndioat : charge, fanek: 
de syndic. 

Srworcartua,3.f. V. Syadiedis ar Syadı: - 
gdö. üt. Censure,, bläme. 

SY’npıco, s. m. syndie : qui est dar 
affaires d’une coramunaut€ dont il est memi 
Celul qui regoit les aumOnes falles auı rrh- 


| gieax mendiants. 


SYNECDOCHE , 8. f. synecdogue: Bgare derbe 
torique par laguelle on fait entendre le pie: eı 
disant le moins,, le tout pour fa partie, la par- 


tie pour le tout; l’esp&ce pour le genre, ei rı- 


ciproquement. 
SYnHEDRis,, ou syneärin, sanbedrü ı 
SYNHEDRIO, 8. Mm. } premier tribenal jeıl 
Sru£azsıs, s. f. (4. de gramm.) synerdst- 
contraction de deux syllabes en une senle, 4 


deuxvayelles en une diphihongue. 





SYN 


Srngvaösis, 3. f. synerrose : sympbyse liga- 
menleuse. 

Srmronia. V. Symphonia. 

Syncenäsia, 8. f. (l. de bot.) syngenesie : 
dix-neuvieme classe de vegelaux, dont les 
fleurs ont les &tiamines r&unies par leurs som- 
meis. 

Sr’nocha, 3. f.et } (1. de med.) synoque 

SY’NOCHO, 8. m. (&vre), continue sans 
redoublement. 

SrnopiL, adj. 2 gen. synedal: qui appartient 
au synode. 

SNNODALMENTB, ade. synodalement!, en 8y- 
node. 

Srnopärico, s.m. contribution des paroisses, 
en la ville de Braga (en Portugal), pour l’entse- 
tion des membres d’un synede, quand il s'y 
assemblait : c’eisient 600 r&is pour chaque PA- 

+ Srnontupaos, s. m. pi. (tl. d’hist. net.) sy- 
nerdendres ;: col6opitres vivant sur les arbres. 









SUZ 


Syntenesis. V. Synderesis. 
SY'NTBESE, 04 SY’NTHESIS, 8. f. synihäse ; 
methode de composition, opposee et posie- 


11923 ° 


rieure a l’analyse, en allant du generalau par- 


tculier, des causes aux elfeis, des principes 
aux consöquences. . 

SYNTHETICAMENTE, ado. synihetiquement : 
d’une manidre synthötique. 

SYaTBtrico, A, adj. synthölique : dela syn- 
thise (mölhade). 

Sıntonia , &, f. syntonie ; conlinuiis du 
meme son. 

Sreanus, eto. V. Sipkilis, etc. 

Srauccsa, 5. f- (i.de gdog.) Syracuse, ville 
de Bicile. 

Sraacusimo, A, ady. et s. Syraomsain : de 


Syraeuse, qui lui appariient. 


SrYasuıco. V. Sirenico. 

Sr'nia,s.f- (b. de geog.) Syrıe ı provisce de 
la Turquie Asistigue. 

Srniaco, A, adj. obs. Byrisque, langue de 


Synöpıce, A, as. synodigque, de synode, | Syris 


synodal. Mez, movimento —, (4. d’asir.) mois, 
mourement syaodigue, d’une nouvelle June ä 
Yautre. 

SY’n0B0, s. m. synode, concile.. assembie&e 
de prelats, de sur6s,, eic. (}. d’astr.) Conjonc- 
tion de deux plandtes dans le meme degrö de 
Pocliptique. — diocesano, synode diocesain. 
= nacı jal , concile national, pro- 
vincial. 

Synonv’uta, s. f. synonymle : qualitö, rap- 
port des synonymes; Ägure de rhätorique qui 
exprime la meme chose par plusieurs synony- 
mes; couoordance des noms; Fapprochement 
des mols synonymes. 

SYNORT’NICO, A, adj. synonymique: desy- 
nonyme,. 

SYNÖNYNMO, 8. m. et adj. synonyme : (mot) 
qui a striclement os & peu pres la mäme signi- 
ficalion qu’un aulre. 

SYnopsg ou Sınöraıs, s. f. “ dessein, plan, 
exposition d’un ouvrage ; abr&ege&, precis, som- 
maire. 

SYNnÖPTICO, A, adj. synopüique : qui soffre 
d’un meme coup d’ail (table, tableau). 

Srnövıa, 3. f. (. d’anat.) synovie : liqueur 
visqueuse enire les arliculations mobiles. 

SrnoviäL, adj. 2 gem. (if. d’anat.) synovial: 
de la synovıe. 

Srnricha, s. m. (f. didacl.) syntagme : or- 
dre, arrangement. Recueil, livre de remar- 
ques, olc. 


SYntaxg, 8. f. (f. de gramm.) syntaxe: ar-| 97 
raugement, construction des mots, dos phrases 
selon les rägles de la grammaire: partie de le 
grammeire ; ces rögles , ie livre qui les con- 


dent. 








Sraıino,A,adj.Syrien, deSyrie.V. Syriase. 

Buainz, s. f.(t. de myth.)" syringe: silllet de 
Pan. La nympbo Syriaz , aimebe de Pan. 

Sy’rıo. V. Sirio. 

+ Srarnos, s. m. pl. (1.d’kist. wat.) syrphes: 
diplieres sarcoslomes. 

Sy'arze, ou Sınrzs, 3. m. pl. syries : bancs 
de sable wös-dangereux ; sables mmouvanis sur 
les bords de la mer. (Ag.) Ecuells, dangers de 
le vie. 

SysriLrico, A, adj. (6. d’anas.) systalique: 
qui resserre, ooulzacle. 

SYsrkua, 5. m.systöme : assemblage de pre- 
positions, de priucipes et de Consequences 
formant une doctrine, un dogme,, une opinion; 
röunion d’astres, de parties, de Corps ; zö&union 
de principes de conduite,, ete. ; plan, desseins. 
— do universo , systäme du monde : ordre 
qu’on suppose enire toules ses parties, eic. 
— music , systöme de musique. 

Srerzuino,A,p.p.de 

SYsTeuäk, v. a. systömaliser : reduire em 
systöme. 

SYSTEUÄTICANENTE ‚adv. systämaliquemenk 
d’une maniere syslemaligue. 

Bysremärico, A, adj. systömatique : qui ap 
partient aux systömes; regie d’apr&s un sys- 
iöme; qui fait des systömes , qui les suit. 

Sr’svoLz, s. f. (t. d’anat.) systole : mouve- 
ment naturel du c@ur qui se resserre. (tl. de 
am.) —, ügure, ou plutöt licence poetique, 
par laquelle on fait breöve une syllabe longue. 

Srzicıo, s.m. (1. dastr.)" syzygle: lemps de 
la nouvefle ow de la pleine lune; conjonclion 


al’opposilion. 





1124 TAB 


TAB 


T 


T, 5. m. vıngliöme lettre de l’alphabet portu- 
gais, ot la seisidme des consonnes. (’dtait an- 
ciennement une lettre nume6rale qui valait 160, 
et avec un liret au-dessus 160,000. Le T, chez 
les Romains, mis au bas d’un sönatus-consulle, 
indiquait le consentement des tribuns. Teer ou 
Iraser um T na lesta, ( fam.) &iro sol. 

Ta! interj. par laquelle on avertit quelgu’un 
de discontinuer un discours commeno®, de 
changer de propos, eto., de se sauver promp- 
tement:: on dit aussi #die. Doucement! tout 
doux! arrötex! Td, td! interj. qui fait connal- 
tre qu'on est au fait d’une chose qu’on avait 
ignoree jusque-lä. Ho, ho! 

Tir, s. m. (mot arabe) chef d’un parii. Divi- 
sion territoriale faite par les Arabes en Espagne, 
gouvernee par un alcade. 

"Tia,ade.V. Abd. 

TasıciL, s. m. plantalion de tabac. 

Tasico, s. m. tabao : plante. V. Horoa sau- 
ls. -— , poudre sternutatoire. — de fumo, tabac 
& fumer. -- de folha, tabac en [euilles,, tabac & 
famer. — de rölo , tabac en rouleau. Tömar—, 
prendre du &abac, priser. Pilada de —, prise 
de tabac. Caixa de — ‚tabatiöre; plein une la- 
baslere. 

+ Tanachso, A, adj. et 8. grand priseur de 
tabac. Plein de tabac. 

* Tasarnıom. V. Tabellido. 

° TABALINEO. V. Atabalinho. 

* TABALLIADECO, . 

TABALLIÄDO , 8. m. | V. Tabelliado. 

Tasaruıkd,. V. Tabellido. 

; + Tasinca, s. f. (I. d’Asie) " peage.. V. Por- 


Tasantz. V. Tavanez. 

Tasid. V. Teodo. 

Tasigue. V. Alsbagque. 

TABAQUEÄR, v. @. et ». donner & quelqu’un 
du tabac, prendre du tabac. (#. burl.) Bailler, 
plaisanter quelqu’un ; aliraper, tromper quel- 
qu’un. 

Tasaqutıra, s. f. (t.de 5of.)* tabac : plante. 
V. Herva santa. it. Tabatiere ou. boite & mellre 
du tabac. 

Tasaqutıao,A,s. marchand de tabac. Grand 
priseur de labac. Tabatiere ow holte a meltre 
du tabac. 

Tasaquista, 3.2 gen. celui qui prend beau- 
coup de labac ou qui se piqu e de le connalire. 

Tasanpeına, s. I. dim. de, Tabardo. 

TaBaRDETE, ou * 8 &vre pourpree, fid- 

TasınpiLno, s.m. I vr o maligne. 

"TaBiaDo, 5. m. Oasaque + de gros drap pour 
los gens de la oampagne, ı« ;wc 


Tananko ow Tanankı, 3. m. (f. valg.) mi 
cien , soldat mal exeree. 

“Tasirnno. V. Tabardo. 

+ TananzEr, 5. m. sorie de suore de came. 

Tasaxie, s. m. sucre de bambou. 

Taxiz. V. Lobo. . 

Taners, s. m. lait &paissi des brebis, *k- 
babeurre ; petit-lait. 

Tautıra, 3. f. table, tablesu. V. Pauls. 
Electuaire en pastilles. is. V. Toblike. 

TABELLIÄDO, 5. m. office, fonctions de ul" 
lion; notariat, ofice,, fonctions de nolalre. dl. 
Imposition que les notaires payaicn! auinieo 
au roi. 

TABELLIÄÖ, 5. m. notaire : ofßcier, 
note qui regoit et passe les acles, El6; 
lion. 

TABELLIAR, ©. ®. 
notaire. 

TaseLLıda, adj. 
[aite et trös-grosse. Palaoras — s, MO 
mots de simple formalite. j 

TABERnÄictLo , s. m. tabernacle : ten!- N 
villon chez les juifs ; tente oü &tail Farce 13 
liance ; partie du temple ou elle re“. 
etaient les pains de proposition, ei" 
dos—s, [eis des tabernacles, une de I 
grandes solenniles des Hebroux. — 


sank. 
tarel- 


exercer les fonclieds & 


 Letire —, kerilun wi. 
[ ’ sdust 


da Fra ®. 


(fg.) le sein de la vierge Marie, en | 
de mysticite. 


TABERNÄRIO, A, adj. de cabarel, Gb“ 


que. sone 

Tapi, s. m. tabis : sorte de grös tafleus! u 

Tasica, s. f. (1. de mar.) planche qu' gr 
par-dessus lo plat-bord d’un valsseat. ii 
emboltee au bout des planches pour qU?” 
se fendent pas. Au Bresil, e'e# one 
canne de liane. . 

+ Tazıcir, v. s. embolter des Pi 
bout des planches pour qu’elles De 
pas. . Gore 

Tisıno,A,adf. (1. de mdd.) poutti, ya 
pu; tabide, d'une maigreur excessire p 
somption. ich 

TaBigug ‚8. 
en lattes. 

Tapısär, v. e. labiser : 
ondee & la maniere dutabis. 

Tisıa , adj. m. Diememnis —: 
table. Pr 

TasLino, s. m. plancher d’an ihesıre, DM", 
ire, scene. Echafaud. pt 

TapıiLna ‚s. f. bande de billard. Por 
bande ‚en parlanı de ooriains e0uf? 


nn. * cloison de briqu®s; 
rendre unt AR 


diamap! 9 


TAB 


( Ag.: fam.) Par rieochet, par hricole. — de 
forrer, (l.de mar.) table ä fourrer. 

Tis0o,s. m. sorte d’embarcalion asiatique. 
e.V. Tavdo. 

Tisoa, s. f. planche, ais. Carte g6ographi- 
que. Table de matiöres, index d’un livre. Liste, 
catalogue par ardre. (amf.) Acte notari6, charte. 
Partie la plus large. et la plas charnue de cer- 
tsins membres. Ex. : Tabos do pescogo, etc. 
Table A manger (p. us.). — rasa, (1. de peini.) 
toile preparse pour peindre. (Ag.) Table rase ı 
esprit neuf, susceplible de toutes les impres- 
sions. —s, pl. tables astronomiques, öpheme- 
rides, etc. Tables de la loi donnde par Dieu & 
Moise. Tables du oräne. —s afonsinas, tables 
allonsines: tablos astronomiques dressees par 
ordre du roi Alphonse-le-Sage.—s das boeiras, 
(6. de mar.) parcloses. —s do costado enire as 
einlas , "bordages d’enire les pröceintes. —s de 
resbordo, "gabords. — de fundo, "bordages de 
fond. —s dos Irincanizes , goutliäres. 

Tasoipa, s. f. table de matiöres, index d’un 
livre. Table de multiplication, livret. — pylka- 
gorica, table de Pythagore,, contenant les pro- 
duits de tous les nombhres simples. 

TaBoino , s. m. quantilö de plauches. Lit de 
camp. V. Tablado.—sdo fundo, etc. (l.de mar.) 
V. Taboas. 

Tapoäd, s. m. aug. de Taboa. Grosse planche 
©paisse, madriers, etc. 

+ Tasöca ,s. f. canne sauvage, au Bresil. 

+ TapocaL, s. m. foret, bois de cannes sau- 
vages. V. Tabdca. 

Tanoinna, s. f.dim.de Taboa. Petite planche, 
planehe mince. (8. de mar.) " Bordage mince. 
Salvar-se n’uma —, (fig.) se sauver d’un dan- 
ger, se tirer d’affaire comme par miracle,, l’6- 
chapper belle. 

Tisora,s. f. dame : pidce ronde et plate, qui 
sert A jouer aux dames, au triclrac. (ans.) Table 
a manger. (id.) Bureau oü l’on pergoit les droits 
d’entree, eto. —s, Pl. ou jogo das —s , jeu de 
ırictrac. Cavalkeiros da — redonda, chevaliers 
de ia Tabie ronde. 

: TagoLäno, s. m. plancher,, lieu garni de 
pianches. Tirar a—, (ant.) sorte d’ancien 
exercice milltaire. 

TABOLÄGENM, 8.f. scad&mie, maison de jeu de 
trictrac, ee. Dar—, tenir maison de jeu. 

+ TasoLäö, s. m. planche de buis sur Jaquelle 
travaillent les orfövres. 

TABOLEIRINHO , dis. de 

TanOLkıRO, 5. m. plateau, 6sp6ce de table ä 
rebords sur laquelle on metle pain en päle pour 
le porter au four, etc. Cabaret, esp£ce de pla- 
teau. — de gamdo, tablier de trictrao. — de jo- 
gar as damas, damier.— do zadrex, echiquier. 
— d’uma escada , palier, carte. — de horia, 
“ planche, carreau de Jardin potsger. — d’uma 
igreja , vestibule d’öglise, 

TanoLkra, s. f. tablette, enseigne de bou- 
tique , d’auberge, eic.“Comptoir de marchand , 
monire d’orfövre, otc. 

Tantano. V. Tabardo. 





.. 
a Er 
: 
. * 
m Veh 


TAC 1125 

Tan, s.ın. (i.de Zrösil) suere qui n’a pas eis 
bien purifie. " 

Tasua, 5. f. (4. de bot.) masselte, masse 
d’eau : plante aquatique. Paille de masseile ä 
fsire des naties. — lerga, masselte & larges 
feuilles ( Iypha latifolia). — estreils , nasselle 
& feuilles Etroiles. Mandar d —, ( am.) en- 
voyer promener. 

TanuiL, &. m. liou oü il y a des masseltes. 

Tisuxa. V. Tabola. 

TasuLin,, adj. 2 gen. tabulaire, en lable. 

+TasuLinıo, s. m. (f.d’ant.) archives, chan- 
cellerio, lieu oü sont conserves les acies pu- 
blios. Etude de notaire, greffe. 

TasuLäro. V. Tablddo. 

TasuLista, 3. m. auleur de tables asirone- 
miques ou g6ometriques. 

+ Tanönno,s. m. V. Degrdo, Suppedanso. 

Tica, 5. f. lasse : coupe pour boire. Amigo 
da — , qui aime le vin. 

Taciıuo. V. Tassalho. 

Ticamacı, 8. m. ° lacamaque ou lacama- 
haca : sorte de gomme resineuse. 

+Tacamagqutiro, s. m. (8. de bot.) baumier 
qui donne le tacamahaca. 

+ Tacänuamentz, adv. sordidement, mes- 
quinement. 

TacinHARiA, 3. f. taquinerie, avarica Sor- 
dide, lesinerie. Ruse, astuce, fourberis (9. ws.). 

TACAÄNHEÄR, %. m. agir avec leösinerie, sordi- 
dement. | 

Tacanukza ou TAcantice. V. Tacanharia. 

TacinB0, A, adj. taquin, vilain, avare, mcs- 
quin. Rus6, fourbe (p. «s.). 

Tacanica, 5. f. *entablement ow charpenie 
d’un toit. 

Tacäö, 8. m. talon de soulier, etc. (fg. fam.? 
Nabot : personne de Irös-petite taille. 

Tackıra, s. f. montre d’orfevre. 

Ticsa, s.f. "defaut, vice, tache, nole, tare; 
bläme, reproche. Sorte de petit clou ä täle 
plate, broquetie. V. Taxa. Homem sem —, 
homme sans reproche. Pör — em alguem, 
taxer, blämer, noter quelqu’un. Por —s a uma 
cousa, Lrouver des defauis & une chose. —s da 
bomba, (1. de mar.) clous & pompe. 

+ Tacuäpa, 3. f. ce quo peut conlenir une 
bassine; plein une bassine. 

TACHÄDANMENTE. V. Taxddaminie. 

TacmAp0,&A,P.p.de Tachar. adj. reproch?, 
marqu6, note. 

Tacuanor. V. Censurador et Taxador. 

Tıcsid, s. m. aug. de Tacha. Clou & töte do 
rte ou argentee. 

Tıcnin (de), v.a. blämer, reprendre, eriti- 
quer, noter; ternir la r&putation; reprocher, 
censurer. Trouver des defauts aA une chose, 
V.Taxar. 

Tıcneocrarufa, etc. V. Tachygrapkia, eic. 

TacHiu, 5. m. sac ou ötul pour melire um 
livre. 

Tacainua , s. [. dim. de Tacha. Broqueite, ' 


Täcao,s. m. * bassine : some de grand bas- 








1126 TAF 


sin large et orenz pour los chimistes, les con- 
fiseurs, elc. 

+ Tacnonino, A, adj. garni de clous dords. 
p. p. de 

+ Tacnonäa, 9. a. garnir de clous dords ou 
argeni6s. 

TıcHorinno, dim. de Tacho. 

TıcHvcRaPnia,s. f. tachygraphie : art d’serire 
aussi vite que l’on parle. 

Tacnvcaärnıco, A, adj. tachygrapbique :ı de 
la ischygrapbie. 

TacaıY’caarBo, 5. m. tachygraphe : qui derit 
aussi vite que l’on parle. 

Tacinaa, dim. de Tags, 

TäcıtaukıTz ‚adv. tacitement, sans &tee for- 
mellement exprime. Sans brait, en slienoe. 

Ticıro, a, adj. tacite : qui n’est pas dit, eZ- 
prime formellement ; sous-entendu. Seorel, ca- 
ch6. Qui ne dit mot, sllenciauz. 

Tacıruanınang, 8. f. tacitumit6 : dat, bu- 
meur, temp6rament de oelal qui est taciturne; 
habitude d’un silence deplack. Silence profond. 

Tacırüano, A, adf. laciturne : qui parle peu; 
sombre, röveur, melancolique. 

Tico, 3. m. coin, oherille de bois.* Bourre 
de canon. Queue de billard. (4. de mar.) Bou- 
chon prepar& pour boucher les trous des ballos 
dans un navire. 

Tıcreir, v. s. V. Apalpar. 

Ticrıca, s. f. laclique : art de les 
troupes en bataille et de faire les svolulions 
wilitalres. 

+ Ticrıco, s. m. taoticien : habile dans la 
Dctique. 

TicrıL, adj. 2 gen. taclile : qui est Pobjet 
du toucher; aise A toucher. 

Ticro, s. m. lact: sens du toncher; atlou- 
ehement, maniement; (flg.) jugement fin, de- 
liest. V. Toque, Contaelo. 40 —, n0 —, au 
toucher. Pelo —, & Lätons. 

“ Tactöna, s. f.(P. us.) action de toucher, de 
pincer d’an instrument. V. Toque. 

Tipeca, s. f. (1. de bot.) V. Tagueda. 

- TaEL, s. m. taBl : monnale de complie de la 
Chine. 

Tizs, s. m. * enclume d’orfövre. 

Tarıckına , Taracina. V. Tafeira. 

TarEtä , s. m. taffetas: dloffe de sole minos 
et lissue comme la tolle. 

+ Tarıcina , s. f. sorte de lissu d’Inde & raies 
et ä ramages, de toile ou de s0i®, 

Tarowtıro. V. 4Alafoneire. 

Taronta, 8. fı (4.8 Asie) batliment de guorre 
ow de transport. 

Taröı , so. m. joueur de prolession,, brelan- 
dier; habile joueur; pipeur, tricheur, escroo, 
joueur qui triohe. (Ag.) Bon vivant; petit mal- 
tre , coquet, elegant. 

Taröıa, 8, f. voquetie , femme &itgante, 
parde avec recherche. V. Taful. 

TaruLie, v. m. mener une vie de brolandier. 
u) Vivre , eto., en petit malire. 

AruLAnla, 8. f. maison de Jeu, acaddmie, 
Siouterie, tricherie au jeu ; passion pour le 


TAI 


jeu. (fg.) Passion pour les amusemenis eilı 
parure; la parure elie-m&me, la cogueliere. 

Tarul.sin, v.6. V. Alafulber. 

TaröLno, 8. m. tampon, Chose qui bosche 
ou bourre. 

Tarurice V. Te 

Tarıa.V. Tafut, 

Taokna, ow Taciuma. V. Tainhe, Faispe. 

+ ° Taoınrar, 9. e. fouelter em osupeni la 
chair. 

“Taeinre, 5. m. c0up de Souet qui auu la 
chair. 

°Tacin. V. Coriar, Ferir. 

Tıeankıra, s. f. criaillerie, tspage, behil 
outrd, flux de paroles (p. wa.). s. 2 gön. Brei- 
lard, babillard,, bevard ; porsonne qui pırk 
beaucoup, & tort et Atravers, moulim d parelm. 
AINROARALLÄR ‚vu w, brailier, bavasder, be 

ler. 

+ Taoanzıuica, s. f. (fam.) " bavardagı, d* 
vardise , bevarderie; babil, eaquet. 

+ Tacaninos, #. m. pl. aneiens Maures ge 
vivalent oonfondus avec les chratiens, dest 
parlaient la langue, ei. 

TACAROTE, #. m. lagarot : espöce de [som 
d’Egypte. (Ag. et buri.) Pauvre gemtilbemne 
qui vit de oe qu’on lai donne. 

Tackcıa, 5. f. (t. de bot.) V.Crave de defualı. 

Tıczoa. V. Tagueda. 

Ticıco, a, adj. (1. podt.) da Tage. 

Ticıpe, s. f. (1. podi.) nympbe de Tage. (Ag 
Dame de Lisbanne. 

Tico.(podt.) V. Tejo. 

* Tiona, s. f. les quatre quartiers de wir 
tanne. Ancienne mesare de liquides, ö pen prüs 
deux pintes. 

Ticueda, 8. fi (lerme de bot.) oonysr, berke- 
auz-puces, aux moucherons, qee sen edeu 
Chasse, dit-on. 

« Tiıs0 „A, ad). insiplde, fade, ow Imäiseset. 

° Tiıso, ow Tiıuno. V. Tome ei Thakamı. 
„Amino, A, adj. rass, fourbe, diesime.. 

ute. 

Tiıuso. V. Tambo, er Tame. 

TaInna, 3. f. " muge ordinsire. V. Foters 

Tiıra , s. f. mur de terchis, pise, beusil'se. 
— real, mur de terre meleo de chaax. —ı de 
pogas , (1. da mer.) " tampons ow lapes des c= 
nons. 

Tımrino,A, p. p. de Teiper. adj. Oies & 
mur en torchis. 

TiıriL, s. m. moule ew forme peur dierer is 
murs de torchis. Ce sont deux planches asmıeı 
par des traverses. Pison. Cles ow reirsnehe- 
ment de mar de torchis. Tetpnes da ser:. 
höches d’un tombereau. 

TitrirL, adj. 2 gen. Carro —, twenberesc 
Parapeilos —as8, parapeis ew rotranchem: : 
en torchis. 

Tirıeia,v. #6. murer, olore de mers u ter 
chis; faire du pfsd es torchis, piser. 

+ Tirtıno, s. u, ouvrier qui fait des men 
de torchis, piseur. 

Taızä. V. Zeid. 


| 


| 





TAL 


Tiıxa.V. Tas, 

Tarzan, V. Taxar et Tachar. 

+ Tasıch, s. m. (4. d’hist, as.) fajagu, p4- 
cari : sanglier 0% cochon des hois d’Amnerique 
du sud. 

TiL, adj. 2 gen. tel, pareil, semblable; si 
grand , etc.; teile chose; cela. (ani.) Pur, sans 
melange. Tel s’emplole pour donner une signi- 
fieation deiarminde et präcise, et, ON OB Sens, 
il se r&pdte souvent pour plus d’önergje, Ex. : 
Faxia lass 0 lass cosas, il laisait tolles et telles 
choses, Tel. On le dit pour exprimer la nature, 
Y’6tat, les qualitss, eis. Tel : quelgu’un inde- 
terminemeni : un tel, une telle. Com —, ä con- 
dition,, pourvu que. Ndo fex— ‚il n’a pas fail 
cola. Ndo ha—, cola ost faux, cela n’est pas 
rrai. Ningusm ssperava por —, personne ne 
s’attondait äcela ou s’y attendait. Tal gual, tel 
quel, aussi mauvais que bon, do mediocre va- 
leur, passable, etc. adv. Passablement, assez 
bien, comme oela, la la. Tal e qguel. On le dit 
d’une cbose telle qu’elle est, avec ses bonnes 
ow mauvaises qualitss. A tal, adv. & oonditlon. 
Outro qus —, voilä son pareil. Mediante tal e 
tal condicäe , sous telle et telle condition. Tal 
ame -— eriado , tel malire, tel valet. Tal vida 
— morie, telle vie, telle mort. De — mansira, 
de — sorle que..., tellement que, de mauiedre 
ou de sorte que. Creo ser rei 0 obrow como —, 
il se orut un rol, et ilagit en consöquence. 

Tau, adv. tellement. 

TiLa, s. f. presse, latte. Tout ce qui est mis 
contre une chose pour la soutenir, l’allermir. 
(1. ds hir.) Auslle, 6alisse. —s, pi. (Ag.) " om- 
barras ; torture. Ver-se, estar em —, se trou- 
ver dans de grands ombarras , ötre ä latorture, 
sur les &pines. 

TiLa, es. f.’ degät, ravage que fait une am 
mee en pays onnemi. 

TaLABÄRTE , s.m. cointaron d’6p6e , baudrier, 
porte-&pde. 

Tarica, s. f. (f. dAsie) V. Repudio. 

TıLido,A,P.p. de Talar. 

TaLapoR, 3. m. celui ou ce qui ravage, qui 
ruine, ravageur, destruotsur, 

Tarica, TaLicas 08 ARVORE DOs Sommakı- 
nos, s. f. (t. de bot.) coryphe de Malabar, ta- 
tipot de Ceylan, le grand palmier en sventail. 

+ Tarasinsa, 0. f. "canevas ı grosse Loile 
eiaire pour faire la tapisserie. 

+ Taracizı, 9. f. sorto de toile de lin. V. 
Talagarsa. 

Tıraontro, 8. m. pretre idolätre de Finde. 

Taraunöa, s. m. Fochadura de --, (t. de sor- 
ywurier) sorte de serrure. 

TALANSNTO, 8. m, astion de ravager; dögät, 
ravag®. 

TALAWMO. V; Thelame. 

*Tırin. V. Talante. 

+ TaLiwmo, s.m. (f. #Aste) sorte dasacrifice 
gentiliqus ches les peuples du Pogu. 

"TabänrR, s.m. talent, maniere, art de faire 
les ehoses. Gott, volonts, penchant, desir. 

De =, 0 000 , volenieirement, de son gre. 


TAL 4137 


TaLäü,s. m, Lalon de soulier, de has. Partie 
posterieure du sabot du cheval, 

TaLaräö,s. m. talapoin: pretre idolätre de 
Siam , du Pögu. 

TaLiR, ©. a. couper un bois (p. us.).Yailler, 
€braucher des arbres. Ravager, saocager, d6- 
vasier. 

Tauin, adj. 2 gen. long, trainant : qui des» 
cend jusqu’aux lalons, en parlant d’un certain 
babillement, 

TaLantıo, 5, m. pidce du mors du cheval, 

TaLiazs, s. m. pl. "talonniöres : ailes que 
Mercure porte sux talons. 

* Tarizıa, s. f. jarre,oü l’on garde lovin 
pour le vendre en detail. 

TiLco, s. m. talc : pierre transparente, in- 
combustible et per feuilles. 

TaLtıaa, 8. f. * sa0, bissao, besace. (Ag.) Ce 
qu’on met dedans. — de Irigo , quatre alquiers 
de froment, en Portugal. — d’azeils, (anl.) 
deux almeudes d’huile. 

TaLEIGADA ‚8. f. plein un sac,, sachde. — d’a- 
zeite. V. Telsige (d’aseile). 

Tattoo, s. m. sac de toile ; sac qui conlient 
& peu prös deux alquiers. V. Taleige, 

Targınid,, 5.0. aug. de Taleira. V. Talsira 
da conleira. 

Taukıras, s. f. pl. (t, dartül.) entretoises ' 
traverses assermbiödes avac les flasyuos d’un af- 
fat de canon. Taleira da Isle ou dianleira, 
entretolse de vol6e.— baiza ou do leito, entre- 
toise de oouche. — alla ou de mira, entreloise 
de support ou de mire. — da c son ir 
lsirdo , entreloise de lunetie. 

Taranpäncıa. V, Abundancia,, 

* TaLente. V. Talante. 

TaLkuto, s. m. lalent: poide, ei ger suila 
polds d’or et d’argent, monnaie des anciens; 
(Rg.) capacit6 , habilete ; don de la nature; dis- 
posilion, aptilude (pour les aris, elo,) ; esprit, 
moyens. — invenlivo, genie. 

TALEnTO80, A, adj. homme, femme, per- 
sonne & talents, qui a du Lalent, (anf.) Dösireuz. 

+ TaLer,, s. m. laler ou daler, monnaie d’Al- 
lemagne et de Pologne ; un &ou & peu prös. 

TiLaa ,s. f. jarre , grande oruche pour met- 
tre du vin,de l’huile, etc, Taille, coupe. Taille: 
sorte d’impöt. Sculpture on relief, gravure, ic. 
Marque, mesure. Taille, en terme de jeu. 
Solde „salaire, gages. Somme oflerte pour la 
rangon d’un esclave, eto., pour l’ölargissemens 
d’un prisonnier.* Prix , röcompense qu’on offre 
pour la t&ie, l’emprisonnement d’un criminel. 
(1. de ehir.) Litbotomie ı operation de la taille 
pour tirer la pierre de la vessie. (4. de mar.) 
*‘Palan. — das porlinholas , palan des sabords. 
—da (rosa das vergas, dresse ow droussede ra- 
cage.—ı da cana de leme, Aronses de le barre 
du gouvernail. —d’ertülheria, drossse da c»- 
non. -— da trosse da vela ‚od 
queie, drosse de racage; lanidre de la grande 
voile ot de la volle de misaine. — de eonlsire, 
palan de retraite. —singela, palan simple. — 
dobrada, palan double, — de rabino, palan & 


1138 TAL 
fouet, — ou aparelke do lats, palan de beut de 


verguso. — ou aparsiho do estai, palan d’stai ou | fen 


de charge. Tozar uma —,, palanquer. —e do 
les, palans aux cötös du gouvernail. Obra de 
—, ouvrage en relief. Meis —, bas-reliel, demi- 
relief. — Ans, tailledouce. — de fuste, (anf.) 
:aılle, bois pour marquer, par des entailies, ce 
ju’on fournit ow regoit, etc. P6r —, (dd.)metire 
4 prix la töte d’un criminel. 

Taınipa,s. f. anche, morceau. — de me- 
do , tranche de melon. Caldo em —s, bouilion 
wrös-öpais. Corler em —, Oouper par moroeaux. 

TaLnaptıra, 5. f. instrument & talller, cou- 

erei, 
u Taınaninna, s. f. dim. de Talkada. Petite 
tranche. 

TaLnipo, A, p. p. de Tailher. adj. Taille, 
coupe, tranche, etc. Soulpie, gravs. (pers) 
(Ag.) Dispose, calcul6, apte. Bem — , bien 
talli6, bien fait, qui a une belle tallle. Penhe 
—$&, 100 escarpe. Leite — ‚ lait coupe. 

TALBADOR , 5. m. 00upeur : celui qui coupe, 
qui-taille, etc. Gargon boucher. Tailloir, billot 
de cuisine. Commis de la gabelle. Coutoau pour 
hacher la viande, eic., couperet. 

+ Taruanöaı, s. f. fomme quali coupe la 
viande. 

Taınapöra. V. Tolkedure. 

TaLuaraio, 5. m. outil de menuisier. 

Tarzauir, 5. m. (8. de mer.) taille-mer : 
partie inferieure de l’avanı, gorgöre. Eperon : 
ourvrage en pointe peur rempre la violence du 
couts de Yean. 

+ TaLnasento, s. m. "taille, coupe, ineision. 
*Amputation d’un membre. * Taille, imposi- 
tion. 

TaLzänre, adj. 2 gen. coupant, qui o0upe, 
qui taille; tranchant, qui coupe bien. (anf.) V. 
T 


alante. 

Taınid, s. m. plate-bande de Jardin petager; 
planche. 

Tarmän, ©. @. talller, oouper; wrancher. 
Beulpter, graver. V. Entalker. Tailler : impe- 
ser & la taille. Teiller au jeu. 

tTaızaaiu, so. m. pate d’Italie coup6e par 
petils morosaux. 

Ting, s.m. "taille:r steture, dieration da 
corps. * Taille, coupe d’un babit.” Forme, fgure. 
— delgado, esvello, taille svelte. 

TaınER, 5. m. esp&ce d’assiette au milieu de 
laquelle ost une saliöre , et aux gqualre coins un 
kuilier, un vinaigrier, eto. Porte-huilier. Cou- 
vort de table. 

+ Taruinna, s. f. din. de Talka. (1.de mar.) 


*“Bredindin, petit palan. 

TaLno, s. m. "Wille, coupe. Coup de tran- 
ohanı d'un sabre, eic. Mode, maniere. V. Talks. 
“6. Billol. — do apougue, Lailloir, elal. — de 
wmelo, talllis : bois em coupe, Yue l’on coupe de 
mps em leınps. Dir —. V. Cörte. Ter bum — 
de slira,, avoir une belle main. Der —s e eslo- 
oadas , [rapper d’estos ot de Laille. 

Taul, V. Talım. 


TAM 
TazıiG, s. m. tallon : paniten parellie üel- 


se. 
Tariea. 7. Talsiga et Teige. 

Tııla, s. oe. V. Taleberte. 

TaLmciDo, A, P. pP. de Talinger. 

+ Tauıncandaa, s. f. (f. do mer.) ttaliagır 
du esble. 

Tauıncär, 9. a. (8. de mar.) taliugeer, üs- 
Ilnguer : atiacher ie o&bie & Farganmıı & 
Panere. 

“ Taınmr6so. V. Dessjose,, (usrengee. 

Tarıonäa, 0. @. imposer la peine de tale. 

+ TauıoniTo, 5. m. peine du lalien. 

Tauisca, s. f. fente, crevasse dans ke m 
chers. 

TarısuÄn, s. m. talisıman : Ggure, mddaille, 
plaque , etc., falle sous certsıne congiellaue, 
etc. , supposte aveir des vartus surnatarels; 
( fg.) tout ce qui opere un efliei subit, merrek+ 
leux, eto. 

TaLısmänıco, A, adj. Lalismanigee : qusp 
partient au talieman. 

Tarrär, v. 6. talller. V. Taler. 

Tauuöp, s. mn. Talmed : livre qui contieniı 
loi orale, la dectrine, la mersle ei les trad- 
tions des juils; tradition sur les lois eralıs de 
Molse. 

Taumönıco, A, adj. talmudigue: gei appear 
tient au Talmud. 

TALuUDista, 6. m. talmudiste : qui wi ar 
che aux opinions du Talmud. —, pl, ulm 
distes : auteurs du Talınud. 

TaLsupisrico. V. Zeimudico. 

TäLo, s. m. "tige des plantes ; cöle, Iugael 
(d’an chou, eto.). 

TaLön,s. m. (6. d’arch.) talom : meslat 008 
cave on bas, convexe en haut; exirdmild, DM, 
appei. 

Taıpänı, s. f. (6. de chir.) taupe: abo m 
tumeur dans le perieräne. 

TaL6p, s. m. talus: ponte que Fon densel 
une muraille, & un terire, eie. 

TaLtvo, a, adj. qui a une grosse lige. (Pf 
Grandelet. 

TaLv£z, ado. pout-Sire; par hasard. (ml! 
Parfois. 

Tarr’. V. Telim, 

Tam. V. Tao. 

* TaAN-A-LAVSZ, age. un pen, tant sol Pit; 
raremen!. 

Taminca, s. /.ow } sabet, sonlier de beis 

TAmÄnRCO, 8. m. oche- 

Tauanpui, s. m. (4. d’hist. nat.) Iamandil, 
oars aux fourmis : feurmilier de la deasiäm 
ospöce. — de cauda crimils, tamaneit.— 
quono, lourmilier. — de cube de Dos Kr 
Tanfs, OfyClörope. 

Tauannid, Oma, adj. ang. de Tamanle.Si 
grand, aussi grand. , 

TAuannıno ou Tamanıiro, a, adj. din 
Tamanko, Si petit. V. Poquenine. (Ag.) Cut 
üf, ümide. Ficer — , tember de son hask. 

Taminno ‚A, adj. si.grand, aussi 


TANANUO, 3 1. *graminnt, * 





TAM 


Isme, dtendae. Dosis —, de Gslle grandeur, 
elc., grand comme oela. 

Tauanino. V. Tamankine. 

Timarı,s. f. dalte : fralt da palmier, sorte 
de prune oblongue. —s. pi. "trochets de dalies. 
V. Tamareira. 

Tauantına, s.f. (6. de bot.) *dattier : paimier 
qui porte los daties. 

Tauantz, adj. 2 gen. Uoa—, variöis de 
raisin qui ressemble aux daltes. 

TamaacäL,s. m. lioeu od il y a beauceup de 
tamaris. 

Tamancutına, 8. f. ($. de bof.) tamarisc de 
Narbonne, tamaris commun : arbrisseau. 

Tamarinnos, 8. m. pl. tamarins : fruits du 
tamarinier. 


TamaRrınHEtRO ou 16. de bot.) tamarin, te- 
TAMARInRO, s. m. J marinier,daltier d’Inde: 
.arbre. 


Tasarisco ou Tamanis. V. Tamergusira. 

7Tauand, s.m. (1. d’hist. nel.) —do Brasil, 
° mante de mer. 

+ Tauirıa, s. f. (t. d’hist. mat.) " barbu:: 
genre d’oiseaux gallinaces & quatre doigts, & 
barbe. — barbuda das Philippinas, barbu & 
gorge jaune. — do Brasil, tamatia A collier.— 
aqualica, savacou ow cuiller. 

Tampica, Ss. f. tomba6 : composs m6- 

TANBÄQUE, s.m. } tallique de cuivre et de 
sino; d’or, d’argent’et de cuivre; d’or, de tou- 
tenague et d’acier, & la Chine, 

TANBARÄNE, s’ m. pierre blanche de la gros- 
seur d’un auf que les preires idolätres d’Asie 
portent suspendue & leur cou : 0’08t une esp&oe 
d’idole. 

Tamzfıra,s. f. marraine d’une maride. 

TAMma£M , conj. ot ade. aussi, encore, möme; 
ögalement, pareillement, de meme; de plus. 
— c0mo, aussi bien que. 

* Tau»? , s. m. lit naptial; noce. Salle oü les 
nouvsaux maries Fegoivent leurs visites. V. 
Thalamo.Petitetable & manger. 

Tausokına, 8. f. (i. du Bresil)* manioo qui 
n'a pas bien grossi ; canne & sucre ohdtlive. 

TampOR, s. m. tamboaur, Caisse : instrument 
militaire; celui qui le bat; ce qui a la forme du 
tambour. — mor, tambour major. Cabo de —es, 
tambour-maitre, caporal-iambour. 

Tamaorn£ıe, s. m. tabouret, placet : espöce 
de si6ge rembourre, sans bras ni dos. —s, pl. 
(4. de mar.) choqueis. 

TamsoaiL, s. m. tlamhourin : petit tambour. 
Tamboril (poisson) ou r& de mar, raie p6- 
cheuse. 

TANMBORILEIRO, A, 8. tambourineur: oelui qui 
joue du tambourin. 

TAMBORILETE, 5. m. dim. de Tamboril. Petit 
tambourin. 

Tamzorim. V. Tamboril. 

° Tautına. V. Tambeira. 

Tauenovi. V. Tamandud. 

Tamica, 8. f. celle de sparterie. 

Tamıokino, #. m. oelul qui fait de la ficelle 


de sparterie, 


TAN 1129 


tTauina,s. f. (8. da Brösil) ce qui sert 
pour mesurer la portıon os pitance de manioc 
qu’on donne aux esclaves; cette pitenee. 

Taniz, s. m. lamis : sac a passor les matieres’ 
pulverisdes, etc. Sorte d’&tamine, ou drap an- 
glais. ‘ 

* Tamo. V. Tambo, 

TaMotırO, s. m. courrole de peau de bauf, 
laniere qui attache lejoug des baufs au timon. 

TTauoaLiö,s.m. nom da grand kan des 
Tariares,, par allusion & Tamerlan. 

Tämra ,s. f.“ couverele : oe qui est fait pour 
couvrir, fermer un pot, un ooflre, etc. 

Taupäö,s. m. grand couvercie. 

TAampÄoainno, s. m. dim. de Tampdö. Petit 
couvercle. 

* TaupeLo. V. Templario. 

+ Taupo6R , 3. m. vin artificiel de Borneo. 

Tämpos, s. m. pl." caisse, tables ( de violon, 
de guitare, eic.). 

+ Taup6uco , adv. ndg. non plus. 

t TAnsömente , adv. seulement, unique- 
ment. 

+ Tamöce, ow Tamlıo, s.m. arbusie epi- 
Benz dont les feuilles ressemblent & celles du 

uis. 

Tauönco, s. m. (l.d’Asie) capiteine, com- 
mandant d’un port. 

Tanapin, s. m. (ft. d’Asio) fermier general 
(dans l’Inde ). 

Tanavania , s. f. charge d’un fanadar (V. oe 
mot), &tendue de sa Juridiction, 

* Tanino, A, adj. V. Casianko. 

Tanasüna ,s. f. (4. due Bros.) fourmi ailde. 

+Tanäsıa, s. f. (tl. de bot.) tansisie, herbe 
aux vers : plante medicinale. 

Tanaz. V. Toner. 

Täncna, 8. f. outil pour la p@che, 

TANCBÄGEN, s. f. (1. de bot.) plantain: plante 
medieinale dont il y a plusieurs espöces. — 
maior, grand plantain, plantain Alarges feuilles 
ou & bouquet. — mediena, planlain moyen, 
plantain blanc, langue d’agneau. — menor ou 
lanceolada,, plantain lanceole, petit plantain, 
plantain etroit.— aqualice, Aüteau plantagine, 
plantain d’eau. 

TancHÄ0, s. m. * boulure, plangon ou plan- 
tard : branche garnie de boutons, separte et 
replantte. Echalas; pilotis; 6langon. r 

TancHAn, ©. a. enfoncer un pieu, etc. Plan- 
ter des boutures. . 

TancHoiL, s. m. plantation de jeunes arbres. 
Pöpiniedre. 

TancHoßıra, 8. f. bouture, scion d’olivier. 

Tinca , s. f. ( 1. d’Asie) ancienne monnaie 
portugaise dans l’Inde, de diff6rentes valeurs, 
i$. Espöce de cens sur lesterres, eto. * Pagae : 
toile qui enveloppe le corps, de la ceinture 
jusqu’aux geuoux, couvre les partieshonteuses 
des peuples qui vont presque nus. *Calimbe : 
ceinture en teile, seul velement des nögres ä& 
la Guyane, etc. 

+ Tancino, A, adj. couvert d’un pegne, 
d'un caluınbe. 9. 9. de Tanger, 


11% TAN 


Tansıuniö,s.m. marchand dosclaves; ro 
vundeur qui oherohe A Lromper; maquignon, 
brocanteur. 

+ Tancanußıno, a, adj. (8. d’Afr.) Negra—a, 
neögresse qui a les ımamelles pendanies. 

+ Tancäa, v0. a. couvrir d’un pagne ow d’um 
calimbe. ll est aussi r&ciproque. 

Tancanı, 8. f. (8. d’hist. nat.) * tangara, 
petit oiseau du Breösll : il a lo caractere de 
moineau, ne obante point. — do 
Brazil, le seplioolor, esp&oe de langara dent 
le plumage a sept couleurs. — dinigrids 
Brasil, manakin ä töte d’or. 

+ Tancant, s. m. (1. d’hist. nal.) tangereu : 
langara roux de la Guyane,. 

TAaxGEDOR, A, 8. joueur, Joueuse ( d’instru- 
ments & cordes). Celai qui frappe, qui pique. 

Tanozpöuaos, 3.1. pi. "touches ou baguettes 
d’un soufllet de forgeron. 

TANGE-FÖLLES, s. m. souflieur, qui falt aller 
le soufllet de forge ow d’orgue. (Ag.) Celui qui 
falt jaser quelqu’un. 

TanceExcıäL, adj. 2 gen. (1. de geom.) de la 
tangeonie. 

TAnsante, 5. ot adj. f.(i. de gdom.\tangente: 
ligne droite qui touohe une courbe en un point 
sarıs la couper. 

TancEnTE ‚adj. 2 gen. teuchant, qui louohe. 
p.0.de 

Tancka, v.8. jouer d’an instrument & oordes; 
sonner (des eloches) ; loucher. V. Toxer. — 
bois, besias, piquer des baufs , des bötes. 9. ®. 
et imp.(ans.)importer, conoerner, regarder. 

+ Tincen ow Tänonaz, 8. f. (1. de geog.) 
Tanger : ville de la Mauritanie Tingitane. 

Tanctnzs, s. ws. 9. fanfares : conoeris de 
trompeltes, etc. 

+ Tancanina, s. f. orange de Tanger, orange 
mignonne. 

Tanoino, A,P.P. de Tanger. 

*+Tancıuanto, o. m. action de toucher, 
oontaet, attouchoment. 

Tanoivzr, adj. 2 gen. qui peut @lre touch6, 

Tancouiö,s.m.marchand d’esclaves sur la 
odte d’Alrique. Fugliif, qui a deserts sa patrie, 
. V. Sertanejo er Tangankdo. 

+ Tangsußıano, 8. m. pagne, calimb#. Il est 
aussi adj. Panno —, tolle & faire des pages, 
des calimbeös. 

TanchL, 8. m. oulvre de la Barbarie. 

Tinmo, s. m. siöge fait de paille, de masse 
d’cau ou masselle. 

Tansisno, s. m. oiseau ennemi de l’Ane, 

TanszroLLes. V. Tangefolles. 

*Tanı6no. V, Tangido. 

Tanöı, s. f. labricallon ow raosemmodage 
des Ionneauz. 

Tanoin, v.». exeroer le mötier de tonnelier. 

Tanoania 0W tonnellerie, rae des ten- 

Tanogınia, s. fı | neliers. 

Tanotıno, 8. m. tonnelier, qui [alt des ten- 
neaux, elc. 


TAP 


Tınozlı. e. f. medioament döplistelre la 
d’orpiment et de chaux. 

Tantein. V. Tentser. 

Tanrınno, 4. m. dim. de Tanko. Un Lantiaet 

Taariro, s.m. dim. de Tante, a ade. Iu- 
tin, tantinet, tant soil peu. 

Tinto, 4, adj. qui marque une quenük, m 
nombre, une portion determinee. Tant, astan, 
d’autant:ıc’estlooorreiatif de quamioı.: en 
quunto mal me ka feile, aulanı de bien ni 
m’a fait de mal, Si grand. On le dt para 


do | primer un aceroissement indeßni. Er.: Fiakı 


«= , vingt et tant. ==68 vazen, autanı de les; ı 
souvont, tant de feis. A’ as horas, d ul 
heure. 

Tinto, s. m. tant, nombre, somme, gu 
us determinse. Outre — , double, sulani. 

Tinto, ade. tant, autant. —, si fort, de ul 
maniere, A tel degre. Longtemps,, si longiempe 
Autant, aussi, de möme que. Joint are} 
verbes mais, monos, , poior, il erprime 
comparsison : d’sutant plus, d’autani mas, 
d’autant mieux, d’autant pire, eic.— gw, 0 
silöt quo. -—- monss , autant vaut. Tania pır 
au möme prix, sur le möme pied, auı mine 
eonditions. Alguem — , tant soll peu, Zn — A 
entre — ,tandis,, pendant, dans je temps I#. 
on attendant. Nom =, news (do powoe, Di Lil, 
ni si peu, ni trop, ni Irop peu. Por—, ci 
poarquoi, partant; tant, tel prix. Com 1 
pourvu que. Taontose —s, tant & tant, (El 
en nombre. — 6 vordede, tanı Il est mi. = 
homens como muilheres, tanı bommei 1" 
forames. Chogou @ — sua inseloneis fu. | 
vint ä tel point d’insolence que... 

Tiö, adv. comp. autant, aussi, i,tamt, Ich 
lement, V. Tanio, ade. — powe, ma MM. 
V. Tam . Noms — edlebre come Wirt, 
nom aussi cöldbre qu’illustre. 

Tira, s. f. oorne ezisrienre du abe fii 
ebaral. (1. d’ertill.) * Tampon d'un can0®. 

+ Taranocca, s. m. (farm.) ooup de puil 
la main sur ia bouche, ow du bauten due* 
ret, en falsant des armes. (fg. am.) Prep®: 
ralson gui ferme la bouche & qualguu, 7 
ie fait Lsire. . 

Tarisı,e.f.° V. Coutede. fm 
qui se cache aveo sa mantille om son voll 1 
ne pas @lre connue. 

Tarino, a, p.p. de Taper. adj. Boucht, 0 


vert. Epais, serre. 

TAPADOR, 5. m. oouverele, beachen,D0° 
Taraporna, s. f. | pon : tout ce q! vi 
oouvrir ow A boucher un vage. Bioufeir: 

Taranouro, #. m. piöce qui arte fer 
d’une voiture. . 

Tarandna, s. f. action de boueher, de’ 
vrir. it. V. Tepige. a 

Tarazmsonnies, 8. m. (1. de mar)’ 
gere ou mauge. 

Tariozm. V. Tapige ot Sobr. 

Tarautnro, V. Tapige, Topum. 


Tanqus, s.m. ötang, bassin, röservoir, pidoe | + Taradızo, 8. ©. (fm) ooup de push 


d’oau. — das pelles, (1. de mar.) * gatie. 


| main sar la bouche. 


TAR 


Tapin, 9. 6. boucher, fermer, courrir. (fig-) 
Couvrir, cacher, dissimuler. — com sebe, en- 
clore, environner, clore de haies. — a bocca, 
(Ag.) fermer la bouche par un mol piquanl, 
une raison sans replique, 0% par un present 
qui engage & so taire. — os olhos, fermer les 
youx. — es orelkas, os ouvidos, se boucher les 
oreilles, ne vouloir pas entendre, 

Tarucania,s. f. lapisserie, etolle pour ten- 
ture. 

Tapuckıno, 8. m. Lapissier. 

Tarzcemia. V. Tapegaria. 

Tipzaı ow Tartaı, s. f. (I. du Bresil) blen 
de campagne qu’on a abandonne. 

Tarztän. V. Topizer. 

TaP&te, s. m. lapis. Drap de pied, 

+ Tärıa-po-Baazın, 8. f. (6. de bot.) V. Pd de 
wmorto. 

Tarico, s. m. *hale de buissons. V. Tepume, 
® Barricade, palissade. 

Tarıöca, s. f. "tapioca : föcule, sus salutaire 
du manioc. 

+Tarıa&te ou Anta Do Baazir,s.m. (4. d’hist, 
nat.) tapir : le plus grand animal d’Amerique, 
äanez en trompe : fissipdde, mammildre, pa- 
ebyderme. 

° Tapiz, s.m, "tapisserie de haute-lice. Tapis, 
Etoffe dont on couvre une table, un plancher. 

Tapızipo, A, 9. p. de 

Tarızia, ©. a. lapisser » garnir de tapis, de 
tapisseries. 

Tarona, 5. f. (fem.) V. Pancads, 

+Tapaosina, s. f. (i. de gdog.) Taprobane ; 

«le des indes, aujourd’hui Ceylan. 

Tar6ıno, 8. m. tampon, bouchon. 

Tarbus, 0, m. ° haie, enclos, haie Vive, 
* Cloison. 

+ Taorina, s. f. canne sauvage du Bresil, 
V. Teboce. 


+ Taqavani ,e.fı for&t, bois de cannes 
+ Taquaniı,s.m. ) sauvages. V.Taqudra, 
Tagvıcanaria, eio. V. Tachygrapkia, etc. 


Tina, s. f. tare : diminulion sur le poids des 
marchandises, ä raison de la calisse, de l’em- 
ballege, eto.; döchet sur la qualits, la quan- 
tits; ( Ag.) vice, defaut, delectuosils. 

TarastLA0, 8. m. "cheville de scie, 

Tanackua. V. Tercena. 

Tari00,A,P.Pp. de Tarar. 

Tanaınkö, 5. m. espece d’ortolan, olseau. 
Mette-se a —,( Ag. [am.) il so möle de oe qui 
ne lo regarde pas. 

Tansusöra, 8. f. (de d’hist. nat.) * pluvier ı 
oiseau de passage. — dourada, plurier dore, 
— oplleireda, piuvier & collier. — pequens,, po- 
tit guillemot,, colombe de Groänland. 

TABANBOTE, 8. m. (4. dur.) concert de voix 
et d’instruments. 

Tanaufıı ou TaauSıs, s. [. "iraquel : cla- 
quet de moulin. Sorte de petit tourniquet en 
bois pour fermer une fen&tre, etc., birloir. 
(Ag.) Persoune qui parle beausoup, A tert et 
ätravers, moulin & paroles; havard. Der d, 
(fom.) bavarder. 


. 


TAR 


TARANKLIiDO,, A, 9. p. de 

TARAMELÄR ou TARANELEÄR, ©. Rn. bavar- 
der, parler ä tort ei & Iravers. 

Tarıugı£ıno,a,s. (fam.) bavard, moulin 
& paroles, 

TarauPantäö, s. m. bruit redoubl& d’un 
tambour : ranlanplan. 

T Tanindo, 3. m. (f. d’hist. nat.) tarange, 
tarente : renne de Laponie. 

tarentule ; araignee que 


um 


TarixTA ou l’on dit venimeuse. Pi- 
cado, mordido da—, (fig.) 
TarinTuLa, 8. f. agite, tourmenis de gucl- 


que passion. 

Tania, v0. 0. tarer : peser un vase avant de 
le remplir;; porter la lare en d&compte. 

Tarasina. V. Tercene. 

Tanräsca, s. f.(t. oulg.)guenon, femme laide, 
mechante, effrontse, (buri.) Vieille &pee. 

Taraxico, s.m. (4. de bot.) pissenlit, dent- 
de-lion : plante. 

Tanckna. V. Tercena. 

Tanpida. V. Tardanpa. 

Taroino, a,2.p9.de Tardar. 

TanpanOn, s. m. homme ent, paressoux ; 
celui qui tarde, 

TiRrDamente. V. Vagardsamdnie. 

TARDAMENTO, s.m.V. a, Tardanga. 

TarDAnGa, s.f. "retardement, delai, lenteur. 
— em amadurecer, lardivetie. 

Tanpaö, adj. m. V. Tardador, Vagaroso. 

TArDAR, v. n. tarder, demeurer longlemps, 
venir tard. u, a. (p. us.) Retarder, differer. O 
mais — , au plus tard.— a falls a alguem, 
begayer , @ire begue. . 

Tänpe, 8. f. apres-midi, soir. A—, l’apres- 
midi. Do—,d —, dans l’spr&s-midi ; au soir, le 
soir. Dar as boas—s, souhailer le bonsoir. 

TäapE, adv. tard: apres le temps necensaire, 
prescrit, ordinaire , apr&s coup. — ou cedo , Lt 
outard. Do—em —, deloin en loin, de temps 
entemps. Faxer-se —, se faire ltard. &’ —, il 
esttard; c’est irop tard, il n’est p!us tempa, 
Mais vaole — que nunca, (proo.) mieux vaul 
tard que jamais. — piache, V. co mot, 

Tarpkıro. V, Tardio. 

Taapkza. V. Tardanga, Preguica. 

TARDIANENTE, ade. trop tard, apr&a le temps 
presorit , convenable. Tardivement. 

Tanpıarino. V. Vagaroso. 

T Tarpuueenro, s.m.(podt.) Ane qui marche 
lentement, 

f Tanpinea, 3. f. dim. de Tarde. 4’ —, au 
declin du jour. 

* Tanpınnzınamukuıe. V. Tardamenise, Va- 
garosamenie, 

*Tanpınntıno. V. Tardonko, Vagareso, 

Tanpio, A, adj. tardif. On le dit des frults 
qui mürissent apreös les autres. V. Serodio. =, 
qui tarde, qui vient trop tard, qui n’arrive 
pas & propos; qui produit tard. Morosif, lent, 
tardil, qui marche & pas compiss, 010, — ne 


fellar. V. Gage, 


1138 TAR 
Tannissıno, A, adj. sup. de Tardo, adv.tzds- 


Tärpo, A, adj. tardif, Ient, paresseux, In- 
diligent, lambin,, lendore; lourd, pesant. —, 
quia laconception lenie, — no andar, lent ä 
marcher, qui marche lentenıent. — no fallar, 
lentä parler, qui parle lentement. —d’engenko, 
qui al’esprit tardif, pesant, lourd. 

Tarnpöa, fem. de Tarddö. 

Taroöuuo. V. Tardo, Tardio. 

Tann6z,s. m. 0616 raboteux d’une pierre. 
V. Lios. 

Tareckna. V. Torcone. 

Tırk£cos, 6. m. pl. (t. burl.) vieux meubles 
grossiers; choses de peu de valeur, babioles. 

Tar£ra, s. f. täche : ouvrage A [sire dans 
un temps determine, besogne. (fg.) Peine, 
fatigue que cause un travail assida. — , ou- 
vrage qu’on donne & faire dans un temps li- 
mite, 

+ Tantoı ,s. m. marohand de vieax men- 
bles 


t Taszcickceu, s. f. commerce de vieux 
meubles. 

+ Tartına , s. f. sorte de poisson du Bresil. 

+ Tanenäa, 8. f. (t. de bot.) * mosamb6 : 
plante de la töiradynamie ( Cleome spinosa ). 

+ Tarcana. V. Taınha. 

Tarctra. V. Tarjeta. 

Tärco ou Taacum, 5. m. targum : Commen- 
taires chaldaiques du texte höbreu de l!’Ancien 
Testament. 

+ Tarcunista, 5. m. largumiste : auleur 
d’un targum. 

Tıxiri, s. f. "tarif. V. Paula. 

+Tarırir, vo. a. tarifer : reduire & un tarif. 

Taric, s. m. livre qui contient l’histoire des 
califes , successeurs de Mahomet. 

+ Tania v’Acva, 5. f. (f. de bot.) * Jujubier 
ectonneux ‚, Masson : plante rbamnolde. 

Tarima,s. f." marchepied, estrade, etc. V. 
Tarimba. 

Tariupa, s. f. lit de corps-de-garde. 

Tarsıa,s. f. large: sorte d’ancien bouclier. 
Bordure ‚, ornement en sculpture qu’on met au- 
tour du cadre d’un tableau, etc. 

Tarıßra , dim. de Tarja. 

Tarptına. V. Trapeira. 

Tannacipa, 5. f. grande porlion ; gros mor- 
ecau. — de vinho, rasade devin. 

TarnräcHa,s. f. vis: piöce cannelde en spi- 
rale. 

Tanrıcair, eis. V. Alörracher. 

Tarnacing. V. Tercens, Almazem. 

Tarrära, s. f. "tramail, epervier (filet de p&- 
eheur). 

Tarnarir 0% TARRAFBÄR, dv. m. p&cher avoc 
l6 tramall. 

+ Tannacona, 8. f. (6. de g6og.) Tarragone : 
ville de Calalogne, on Espagne. 
TARRAGONENSE, adj. et 8. 2 gen. de Tarra- 
gone. . ' 
MR ARRANGOIN, s.m. sorle d'’embarcation d’A- 

UM 


TAR 


Tannaurta, V; Terranter. 

Taarırin, 5. m. sorte d’oisean. 

Tanrixa, elo. V. Tarrache, etc. 

"TARRAZBORnRÄZ, ade. ( Pop.) confesia 
sans ordre. ' 

Tanrkına. V, Tareira. 

TÄRRO, 5. me. * lerrine pour traire les raches, 
les brebis, etc. 

t Tanstıro, s. m. ou Lemur — adj. (L.dbel, 
nal.) tarsier, espöce de gerboise, 

Tänso,s. m. (8. d’ansi.) tarse : para a 
pied au-dessus des doigts. 

TarTÄCO, 8. m. (4. de bot.) V. Catapwis we 
nor. 

TaaTauELEÄR. V. Balbueier. 

* Tartautıo. V. Tertamudo, 

TARTAMUDEÄR , v. ». begayer, balbeiier. 

+ Tarrauuptz, s. f. * begaiemenl. 

TARTANUnO, A, adj. bögne. 

Tartina, 8. f. tartane : petit biümelı 
voile latine. 

TARTARANETO. V. Talaranelo. 

Tarräninga, 8. f. crecerelle, sic & 
proie. Ancienne barque de p6cbear dank 
Tage. 

TantarıanHid, s. m. (tk. d’hist. nei.) "ben 
os bondree : oissau de proie du gente di» 
con. — pygargo, la sous-buse. — arulah u 
ritaforme, l’oiseau saini-martin. — run 
paüss ‚le busard. 

Tartanzir. V. Taramelar ei Terlemks. 

TARTAREO, A,adj. ( post.) qui apperiisia 
Tertare, infernal. 

+ Tanränıı, 5. f. (d. de giog.) Tand 
grande region d’Asie. 

Tarrärıco, a, adj. V. Teriärse. 1. di) 
tartarique (acide). 

Tanranızido, A, P.9.de 

TARTARIZÄR,, ©. a. tartariser : priparet m 
du tartre, purifier par lo sel de tar. 

Tirraro,a,adj. V. Tetaro, Gap. 

Tärtano, s. m. (poedi.) Tartare: ala # 
poßtes. Tarire: döpöt tarıreux et salin darz 
Sal —, sel de tartre. 

+ Täxranos, s. m. pl. Tarlares : pi 
belliqueux, habitanıs de la Tartarie. 


Taxtan0so, A, adj. ($. de chem.) rue ® | 


tarlareux : qui a la qualite du larire. 

TARTaRüGa , 5. f. (t. P’hist. nat.) term: @ 
mal amphibie. — verde meior. V. Jerwws- 
grande de laminas imbrieadas, le card. - 
grande encourada ‚le luth. Beaille:: cap 
de tortue. ($. durl.) Homme vioux , sure 5: 
est courbe ; femme vieille et laide. 

TARTUFICE, s. f. lariuferie : caractäre, 
du tartufe; hypocrisie religieuse. 

„Tanrtro „a. m. tartufe: faux direi,ijr 

crite. 

+ Taxöcı,s. f. (td. Phil. net.) rap: 5 
pece de vigogne du Perou. 

Taaucäno,A,9.p. de 

Tarucin, 0. 6, cheviller, atlacher, sushi! 
avee des cherilles de bois. 

Tardco, s. m. * cherilie de heis.. 














TAU 


TascaNTB, adj. 2 gen. qui mäche. p. a. Je 

Tascin, v. @. V. Tasquinkar. Mächer, ron- 
ger, mordre. Brouter, en parlant des besliaux. 
Gtinoer les dents en dcumant, en parlant da 
cheval, du sanglier, ete. —- o frreio, ronger son 
frein. — a lä, carder la laine. 

Täsco, s. m. *taille, pignon : oe qui se deta- 
che du chanvre qu’on espade. 

Täsngına, 8. f. (t. de bot.) Jacob6e, herbe de 
Saimi-Jaoques : plante radise. 

t Tisumıninua, s. f. (6. de bof.) senegon 
eommun, le petit gonegon. 

fasQuinua, s. f. espade, brisoir, &cang. 

Tasqgummipo, A, 9. p. de 

Tasquınmir, v. a. espader, &cagner, batire 
le chanvre aveo l’espade. ı $. burl.) Pignocher. 

Tassıınin. V. Alassalhar. 

TassiLno, 8. m. morceau de viande salde ou 
fum6e; et, par extension, morceau de toute es- 
pöce de viande,. 

Titk, s. m. papa : nom que les enfants don- 
nent Aleur pere, etc. 

Taralsı. V. Amoreire lataiba. 

+ Tarasöea, s. f. arbre du Bresil & bois 
June : peut-ötre le tatauba os mürier teintu- 

er. 

* Taräuz ‚s. m. sorte d’estrade ou plancher. 

Taranamöoo. V. Tartamudo. 

TATARANETO, A, 8. arriöre-petit-üiis , arridre- 
petite-üille. 

Taraninnı. V. Tarteranha. 

Taranıvo,s. m. Taranavd, f. ancötre trös- 
&loigne&, trös-ancien. 

TATARO, A, adj. begue. 

t Taravnanı ‚s. f. chenille chevelue du Br&- 


+ Tirz, iater/. V. Te. U #’emploie lorsqu’on 
so rappolle une chose qu’on avalt oublide. Ah! 
ah 1 


Tirıpırärı ou Tarıaırärısı. V. Tartamudo. 

Tirt, s. m. (tk. d’hist, nal.) — do Brasil ou 
Armadilko ‚„tstou ow armadille: 
mammiföre ddentd, cuirasse. 

+Tarösa,s. f. (1. disk. nal.) talouette om 
tatudte : espöce de tatou. V. Taim. 

Tiv, s. m. tau : sorte de croix en forme de T 
que portsient sur leur habit les comınandeurs 
de Pordre de Saint-Antoine, etc. ; dix-neuridöme 
tettre de l’alphabet grec. 

Taumartönoo. V. Thaumaturgo. 

*"Tiurta, s. f. meuble ancien. 

Tivazo. V. Taurino. 

Taurim , s. 0, sorte d’embarcation d’Asie. 

Tavaino, A, adj. (Po6l.) qui appartient au 
taureau. 

+ Tivao, s. m. (. d’astr.) Taureau: sevond 
signe du zodiague. (1. de gdog.) Taurus ; mont 
de V’Asie, 


+Tauromacnia, s. f. tsuromachie s art de | Bres 


combstire et de luer les taureaux. 
* Tausa. V. Taza, Talha. 
* Tausacöm. V. Taxapdo. 
° Tausin el Taussär. V. Taxar. 
* Taure, V. Tacto. 


TE 1133 
Täuröcaaono, A, adj. tautschrone. V. /se- 
cArono 


TauroLocia , s. f. tautologie : röpetition inu- 
Ule d’une meme idee en termes differents. 

TartoLöcıco, A, adj. tautologique : de la 
tautologie. 

Tauxia, #. f. marqueterie, damasquinure. 

Tavzıdno, A ‚pP. p. de 

AUxXIıaÄR, 9. @. oter, d uiner. V. 
Melizar. ’ MRReceR, Camasıl 

Tavantz, adj. 2 gen. ($. vulg.) intrigant, 
brouillon, qui se möle de tout, et qui ne s’cn- 
tend bien A rien. ds. V. T'r&fego, Estavangdo. 

Tavid, 5. m. tson : grosse mouche sclero- 
stome & algullion : pique les animaux. 

+ Tivsoa, s. f. plante dont les feuilles res- 
semblent & celles de l’olivier, & leurs odorile- 
rantes. — de Dioscorides, (t. de bol.) solidage 
visqueuse. 

Tavzanı, s. f. taverne, cabaret. Ruim —, 
cabaret borgne. 

TavzanäL, adj. 2 gen. de laverne, de ca- 
baret. 

Tavanntını, s. f. cabareliere; tavernidre. 

Tavennkıro, s. m. cabarelier; tavernier. adj. 
V. Tavernal. 

TAVERNinHA , dim. do Taverna. 

Tivoa, eto. V. Taboa, etc. 

Tivora, etc. V. Tdbola, etc. 

* TavoLackıro, A, adj. qui joue dans les 
maisons de Jeu. 

TavoLtıro. V. Taboleiro. 

Tavoı£ra. V. Taboleta. 

Tixa, s. f. laxe ou laux: prix &tabli pour des 
denrees, eto.; tarif. (Ag.) Manidre, terme, li- 
mite (p. ws.). Taxe, taux de l’impötl; somme 
imposse. V. Tacha. 

Taxacid, s. f. taxallon, action de laxer; 
taxe, Impöt. 

Taxipautnte, adv. moderöment, sobre- 
ment, avec €pargne. V. Taxalivamenie. 

Tıxino,a,p.p.de Tazer. 

TaxapoR, 3. m. laxateur : Celui qui laxe, qui 
met le taux, Is prix; appreciateur, estimateur. 

Taxir,v.a. taxer: regler le prix des den- 
r6es ‚ie salaire d’un ouvrier, elc. Prescrire un 
regime, des regles de conduile, eic.; regler, 
borner. Taxer, apprecier. Blämer, etc. V. Ta- 
char 


+ Taxarivanente, adv. avec laxe. 

Taxarivo, A, adj. qui fixe, qui limite, qui 
eirconserit. 

+ Tararara. 2 f. (l. d’hist, nal.) " bec cn 
ciseaux : olseau palmipede. 

t Tarösa, s. f. plante du Bresil, de la fa- 
mille des aroldes, & larges fenilles, bonne a 
manger. 

+ Taröca, s. f. grosse fourmi noire du 

u 


Te, cas oblique du pronom de la seconde 
personne. Te, toi, & toi. Amo-lo muslo, j6 
Yaime beaucoup. Detie, je te dennai, Lemdre- 
fs , souviens-tol. 

Te, adv. V, Alt. 


113% TEC 


Tex ou Teıa, s. f. "tissu de laine, de soie, de 
il, etc., toile, etoffe. Portion de teile ou d’6- 
toffe qui est sur le metier. Tunique, membrane,, 
enveloppe de parties du corps. Pelliculs qui se 
forme & la surface de quelques liqueurs. Taie 
sur l'ail. Enceinte pour une föte, lice, eto. 
° Cirgae: lien destind aux Jeux publics. V. Lies, 
Ligode. ( fig.) " Examen, dispute, coniroverse. 
Morceau de pin qui sert de Nambeau ; lorcheo. 
-— de lustro, toile glacde, — de casa ou caseire, 
toile de mönage. — d’aranka, toile d’araignee, 
(Ag.) Chose futlle, qui a peu de consislance, 
Ter —ı d’aranka nos olhos, ( fig.) ne pas s’s- 
percevoir de ce qui est devanı nous. Olkar 
para as —ı Ed ‚ (id.) bayer aux cor- 
neilles; @tre distrait, ne point faire altention. 
Dar os losd —, (id.) finir, mourir. Manier a 
— , &tre le princlipal, le dernier dans un jeu ow 
speclacis public. —s nupeiass, torches nup- 
Usles : celles qu’on porlalt devanı l’öpouse- 
Noces. 

‘ Teipda, s. f. plöce de tolle. 

TEÄGEN, 3. f. tissure ; issu r6tieulaire,. 

Tein,s. m. mötier A lisser ; cousoir de re- 
Heur. Rouage de monlire. 

t Teaningo, A, adj. (4. de bot.) en forme de 
tolle d’araignee ( araneosus). 

Teinı. V. Tiere. 

Teirno,etc. V. Thealro, etc. 

Tesino , etc. V. Thebano, eto. 

Teca, s. f. (6. d’Asie) * ıck ow teik : ciste des 
Indes orientales, & bois pour la construclion. 

TecgD£ıra, 8. f. ouvriere qui fait de la Loile. 

TeEceDOR, 5. m. Usserand, lisseur. (fg.) Ma- 
chinateur. 

Teceoüna, 3. f. "lissage : action de lisser. 
Tissure , ourdissure. V. Texiura. 

TecrLicen, 8. f. lisseranderie ; tissure, 

TeckLaö, 5. m. tisserand : qui [ait des Loiles, 
des #toffes. 

TecEL6A , 8. f. feınme d’un tisserand, V. Te- 
eedeira. 

Tec£r,v. a. tisser : faire un lissu. (Ag.) Dis- 
poser, arranger, meitre en ordre, Composer un 
discours , etc. (dd.) Ourdir, tramer, machiner 
un complot, etc. (ant.) Aller et venir conti- 
nuellement. 

Tecnnico, a, edf. technique : propre & un 
art (terme), qui lui appartient ; aflectö aux 
arts , aux sciences (mot). 

+ TechnoLocia, 8. f. technologie : trail& des 
aris en general. 

+ TecanoLöcıco, A, ad. technologigus : de 
la technologie. 

Tecivo, A, pP. p. de Tocer. s. m. Tissu, stoffe. 
(fig.) —, longue suite; ordre , suite ( d’un dis- 
cours, eic.). 

Tecımento. V. Teoeedura. 

Te£cLa, s. f. louche d’orgue , do elsveein, eio. 
(Ag.) Matidre &pineuse, dölicate, qui exige de 
la circonspecotion. "Pidge, ir&buchat pour pren- 
üre les oiseaux. Tocar na —, (Ag.) loucher au 


t 
TscLiBo, s, m. olavior d’orgue, etc. 


TEI 


Tecnıco , etc. V. Technieo , ole. 

Tecro, s. m. plafond , planober, lamhria, 

* Tepa, s. f. morceau de pin gei est de Sam 
beau ;torche. V, T’das nupeiass. 

Taokıno, 5. m. sorte de chandelise de ir 
pour lestorches. V, Teds. 

Te Dev, s.m. Te Deum : bymne de Image 
er d’aoılom de gräces; sa oöremenise. 

Tapirzno, a, adj. ( Pod.) qui porte uns ur 
ehe V. Teda, 

8DEO, s. m. dögoüt, aversion „ Föpugmme. 
Ennui , chagrin. ’ 

Teoıösau&ntz, ade. areo degoßS; anmuyer- 
sement. 

Tzoıös0, A, adj. ennuyeuz, fastidisez; @- 
nuyant, degoütant. 

Teno. V. Toado. 

* Tenor ow Texooa, adj. eb 5. qui timmt, qui 
oecupe. Possesscur, qui possöde. Calai qui 
tient, qui possede su nom d’an ame. 

"Tekıca. V. Teige. 

. Teenca. V. Detengio N) Pose. 

* Teunte. V. Tenente, 

Ter, s. [. sorie de graine d’Eibiepis. 

+ TerıLie, s. m. ornement des juifs. 

Tzcsıipa, V. T: 

* Teckıo. V. Tijolo, 

‘ TEGERENO,, A, adj. treiziäme. 

TecesÜ, s.m. oiseau du Bresil,, plas grasgm 
je dindon. 

t Ttcıco, A, adj. (p. us) da Tage, qui ap 
partient au Tage. 

Tec6na pour AT£ A00nA (Jusqu’ä passen). 

TECUN&nTo, 3. m. (1. d’amt., de bot. air.) %- 
gument : ce qui Courre, enveloppe We cry, 
les graines ; peau.. öpiderme ; Corps nötiguisire. 

Tercunıo. V. Tugurio. 

Tetıa, etc. V. T6a, etc. 

Teıca, s. f. “panier, oorbeille de paille a 
d’osier. Sorte d’ancienne mesure peu is 
grains. — d’Abräo : dans la provineo F’Ale- 
Icio, c’est une mesure qui dguivanı & un a- 
quier. 

* TEeıcuLa. V. Teiga, 

Teıma, s. f. opiniätrets, entötement, obss- 
nstion. Fantaisie, idee que les fous emi som 
cesse prösente & l’esprit ; marelte. Cade bvur 
com sus —, (loc. prov.)chaque low a 88 Bnaseiit- 

Taımir, ©. n. S’opiniätrer, s’enıäter, s’ehsi> 
ner, insister, pereisier, 

TEINÖSANAÄNTE , adv. opinlätsement. 
zinoso, A, adj. opiniäue, eobasind, amiötl, 

tu. 

+Tkırı, s. m. (6. d’Mst. nal.) vera : peimen 
de mer du genze du chetodon. 

Tanı,sf. 7. Telds. 

Tuıa6,s. f. cherille de la charruwe. (Ag.\ A» 
lipathio qui n'est fond6e sur aucun metif rar 
sonnable. V. Proßa, Teime. 

Taınöca. V. Teird. 

* Terıo. V, Teeto. 

r Teıxz, s. m. rellquaire, amulelie, 5°- 
d’or, autrefols on usage, 





TEL 

Texoe, s.m.{t. de bot.) il: arbre toujours 
veri. 

Teıxdoo, s. m. (1. d’hist. nal.) blaireau : 
mammifere de la famille des plantigrades. — 
glotdö, glouton. — mellisoro,, rattel. 

TuJADILmO, 3. m. ° Imperial d’un carrosse. 

+ Tayo, s. m. (1. de gdog.) Tage : eure d’Es- 
pagne et de Portugal. 

Teı6ıLa, 8. f. (t. de veldr.) os du sabet dan 
cheval. 

Tera, s. f. teile, etoffe, tissu de zoie, de 
Sl, eic. V. Teis. — d’ouro, de praia, lissu, 
drap d’or, dargent.. Pör um — ds juixo, porler 
une affaire en Justice. 

Teraria,s. /. grande quantiis de tolles. 

t Teıcainos, s. m. pl. habilants de I’ile de 
Rhodes (dite ancieunement Teickinis). (4. de 
seyih.) Teichines,, nes du Soleil et de Minerve; 
sortie de magiciens, 

t TeLunöns, s. m. pl. Teldboens : peuples 
d’Acarnanie. 

t Teuecraruia, 8. f. Welögraphbie : art de 
construire, de diriges, observer, comprendre 
les telögraphes. 

TELEGRAPRICO, A, adj. Lölegraphique : du 6- 
lögraphe (signe, ligne, eic.); pervenue au 
moyen du telegraphe (nourelle). Nolieis —a, 
depeche Lilegrapbique. 

TRLEGRAPNO, 3. m. tel&graphe : machine & 
ailes mobiles, dont les mouvements indiquent 
des signes convenus, 

t TELaPmO, 5. m. (4. de bot.) telöphe : plante 
portulacee. — bastarde, ou kerva dos callos, 
orpin reprise, repriso, grasselle, joubarbe des 
vignes, feuille grasse, 

TELESCÖHPIO, 3. m. tElescope s instrument 
pour observer les obJets dloignes. 

TEuua, 8. f. tuile: terre cuite pour couvrir les 
toits. Sorte d’ancien chapeau de dames. (1. de 
501.) V. Til, Tilka. De —ı abaizo, (loc. fem.) 
ici-bas, dans co bas monde. — vd. V. Levadio. 

TELBADINBO , 3. m. dim. de 

TELBÄBO, 6. 9. toll couvert de tuiles, cou- 
verture d’une maison, toiture. Ter —e de vi- 

dro,(fig.) avoir des defauis. (Juem lem —s de 
vidro ndo alira pedradas ao do sew vizinho, 
(prov.) celui qui a son toit de verre ne doit 
pas jeter des pierres sur celui de son voisin. 

TgıLnipo, A, 9. p. de Telhar. 

TELHADOR, &. m. ogaYreur, laileur. i$. Cou- 
vercle de pot de terre. 

Teınanöaa, s. f. l’aclion de couvrir un Lloit 
de tuiles; ouvrage de couvreur. 

TexuÄL, s. 5, * tallerie : liou od l’on fait des 
tuiles. 

Tsımid, a.m. aug. de Telka. Grande tuile. 

TELNAR, 9. @. oouyrir un teit de tuiles. 

Terutına, s. f. V. Telkal. 

Terutino, s. . tuilier : ouvrier qui lail des 
tuiles. is. Toit, auvent, appentis, hangar, etc., 
couveri de tuiles. 

Teuoinna, s. f. dim. de Telha. 


casde. 


t Teuno, sm, tuilsau, morcsan de Lulle | 


TEM 1485 


Teıfına, s. f. dim. de Tela. Toile fine. 

Teufz, s.m. eaparagon, oouverlure d’etofle 
pour lecheral. 

Teıra. V. Tele. 

TeıLima. V. Ameijoa. 

TeLowirıo, 5. m. douanier, receveur ein 

is. 
inönıo, s. m. bureau de douanier, de re 
ceveur d’impöts. —dos fafues,, acadasule,, mal 
son de Jeu. 

Tauı.V. Thema. 

Temiö.V. Timäo. 

* Teumenöso, V. Medroso. 

TENRLNTE, adj. 2 gen. qui eraint de malfaire, 
— a Deos, craignant Dieu, pieux.p. a. de 

Teuta, v.a.craindre, redouter, apprehen- 
der, avoir peur. Craindre, r&verer. On le dit 
de la crainte respectueuse d’un ls envers son 
pere, etc., etc. —, soupgonner, se defler, se 
douter. —algusm d’ouirem ou d’alguma cousa, 
craindre pour quelqu’un. EB de —, U est & 
craindre, T'emendo que, de crainte que, crai- 
gnant de. 

Teutr-se (de), v. r.craindre, avoir peur de; 
se douter, — ds si, avoir peur de soi-meöme. 

TEMERÄRIANtNTE, adv. temerairement. 

Teuerirıo, a, adj. temeraire, hardi aves 
excös, avec Imprudence. —, denue de fonde- 
ment, de preuve (Jugement). 

Temerınpipe, s. f. temerite, hardiesse Impru- 
dente et Inconsiderse; imprudence, 

TEMERÖSAMENTE, adv. avec crainte. 

TEmERosissıno,A, adj. sup. de 

TEMERÖSO ,A, adj. redoutable, formidable. 
Craintif, timide, peureux. 

Tewino, a A,Pp. p. de Temer. 

+ TemiveL, adj. 2 gen. terrible, redoutable, 
formidable. Dangereux. 

Tewotıno. V. Tamoeiro. 

Tewontıro, 8. m. timonier; matelot qui gou- 
vorne le timon. 

TeuOR, s. m. °crainte, frayeur, appr&hen- 
sion, peur; respect; deflance, soupgon; in- 
quistude. —de Deos, orainte de Dieu; religion, 
pieie. Por, com — de, de crainte, crainte de. 
Causar —, faire peur, &pouvanter. 

Temonszin. V, Alemorizar. 

Temonöso. V. Kemeroso. 

Me V. Tempo 

upR,28.f. 1) *jardin, site oharmanı 
ileu delicleux. Do ’ 

TeurERA, 8. f. trempe : aption, manidre de 
tremper le fer, etc. ; qualite que le fer contrartı: 
quand on le trempe; (fig.) caractere , humeur, 
maniere. Sorte de coin dans les chariots et 
dans les moulins & sucre. Preparation d’un 
faucon pour la chasse en le faisant jeüner Is 
veille, etc. Oofle faite avee du blanc d’auf de- 
lay& dans de l’eau pour peindre en detrempe. 
Pinturse d — , peinture en detrempe. — do ar. 
V. Temperalura. 

Tenrerinautente, ado. moder&ment, avec 
sobriete. 


Taurraanissıuo, a ,ad/. sup. de Temperado. 


1136- TEM 


Trureaipo, A, P. p. de Tomperer. adj. Mo- 
dere, temper6, eic., dans ses diverses a0Cop- 
tions. Teınperant, sobre, relenu. Assaisonn®. 

TEMPERADOR, A, 5. oplui qui modere, qui 
tempere,, moderateur. 

TENPERAMENTO, s. m. tompsrament : consü- 
tution, complexion du corps ; melange des hu- 
saeurs du corps de l’hosame, de l’animal; (Ag.) 
earactöre. (dd.)" Temperance, moderation, re- 
tenue; adoucissement; lout ce qui tempäre, 
modere, adoucit. — do ar, temperature de 
Pair. 

Temreninga, 8. f. temperance : vertu qui 
rögie les passions ‚les desirs, surlout sensuels; 
sobriel6; moderation sur les plaisirs; retenue. 
— nas despesas,, &c0no1nie. 

TEMPERÄNTE, adj. 2 gen. (1. de mid.) tempe- 
rant, adoucissant. On le dit surtout des reme- 
des propres & temperer les humeurs. p. a. de 

TEMPERÄR (com), o.a. temperer: moderer, 
diminver l’exods d’une qualits; soulager, all6- 
ger, moderer, adoucir. (fg.)— , calmer (la co- 
iere, etc.), desarmer. Möler, mixtionner une 
chose avec une auire pour lemp6rer son acli- 
vite. Tremper : donner la trempe aux mötaux. 
Preparer un faucon pour la chasse en le lai- 
sant jeüner la veille, etc. Accorder un instru- 
ment. Assaisonner (des meis). Metire de l’ac- 
eord dans les couleurs d’un tableau, menager 
les teintes, eic.— 0 relogio, monter et rögler 
une monire, une horloge, etc. — desavindos, 
metire d’accord ceux qui etaient brouilles. — as 
odlas, (1. de mar.) rögler les voiles selon le 
vent. — a lingua, ( am.) retenir sa langue. 

TEMPERÄR-SE, vo. r. se moderer, &viler les 
excös. 

TEurERATÜRA, s. f. temperature de l’air. 

TENPER£IRO, 5. m. piöce d’une noria. 

Teurkaız, s. f. V. Tempsramento, Tempe- 
ralura. 

TeurEritHa, s. f. chose qui lempöre, mo- 
dere, etc. 

TEMPERILHO, 5.1. "adresse, dextöritö du ca- 
valier. (Ag.) V. Geilo. —s, pl. assaisonnements 
grossiers. V. Tempero. 

TENPERO, 5. m. assaisonnement; ACCOmmo- 
dage, appröt. (Ag.) Temperament, exp6dienis , 
moyens. 

TEuPESTÄDE , 3. f. tompöte , orage. (fg.) Agi- 
tation, trouble, desordre, sedition, grand bruit; 
violence, impetuosit#, etc. — de venlo worle, 
(1. de mar.) anordie ow fort ventdu nord. 

TEUPESTEÄR, v. n. tempeter, eXprimer 88 
colere, son indignalion. v. @. (9. us.) Exoiter, 
maltraiter a plusieurs reprises. 

+ TEuPESTIvAmdnTE, ado. & temps, & PTOpos, 
en temps et lieu. 

+ TEmrEsTtivo, A, adj. opportun, favorable, 
qui vient & propos, & lemps. 

_ TENPESTUÖSAMENTE, ado. avec ofage, d'une 
maniedre orageuse. 

TENnPESTUOSIDÄDB, 8. f. qualits d’etre ore- 
geux. 

TEnPrEsTU0s0 A,edj. qui exoita des tompt- 


TEM 


tes, des orages , tempötacuz , sujot anz Vempk- 
tes , orageux. 

TzurLinıos, 5. m. pl. Tompliers : ordre m> 
litsire aboli dans le concile general de Viemse. 


* Teurız. V. Moderspdo,, Tempere. . 

TeurLo, 5. 9. temple: ddifice puklic anum- 
erö & Dieu ‚aux dieux, au culte; &glise. Ordem 
do —, ordre religieux et militaire des Tam- 
pliers. V. Templarios. 

TRUPO, 8. m. temps: succession de meweis; 
mesure de la durde des choses,, des [aits; wıne 
preAx; delai ; loisir ;conjonctore, circenstane, 
occasion ; saison, moment propre ä; les subele, 
les Ages ; dtat deschoses, des maurs, elr. Lex 
espace de temps, terme fort long. — ‚ei & 
l’air, du ciel. (4g.) Mauvais temps , groswe®. 
tempeto sur mer; saison, au propre ei au fget. 
— , infieıion des verbes. —, mouvemen: ge 
caractörise la mesure (de musique); mem 
ment precis pendant lequel doivent s’ererais 
certains mouvements dans les exereices =. 
taires , eic. Ander, ir com 0 — „ s’a0nsmmeiK. 
s’ajuster au temps. A —, ä temps , ä propee | 
— que,comme. Aum —,ä la fois, en mim 
temps. Antes de —, hätivement, avanı term 
Com —, d’avanco, de bonne heare, de mr 
leure heure. Com 0 —, avec ie temps , & lacee- 
tinue, & la longue. De — em — ou de —:— 
de temps en temps. Em —, & propos, cu kp 
opportun. Em —— de..., sous... Ex.: Fieis em 
—de Nero ou no reinado de Nero, il vira on 
Neron,. Föra de — ou sem —, bors de prepss, & 
contretemps, hors de saison. Jdnde d—, ü 
n’est plus temps. Por —, pour ua zps. Em 
outro —, dans le temps, autrefeis, uagetre, 
jadis. Des d’algum — , depnis queigw temps. 
No — de, dans le temps de, lors de. Hab 
— , longtemps. He mwitoe —, üyakor 
temps, de longue main. A iwolemeucie do—, 
Pinjure, les injures da temps. O — obacurt de 
historia, les temps lEnebreux de Thisteire. F-. 
il fait bon, il est temps. Tens — , vous sırıı E 
temps. Que — ka depuis quand? Perder vs 
— , perdre son huile et son temps. Ter ind « 
— por seu, avoir lout son ternps libre. — hse- 
ve ou Aouve — que..., un ternps faul que__. Pe 
sou o— ‚letemps est &coule. Si Id wuie—." 
temps est passe... Passado algum —, queig= 
temps apres. Em — de figos ndo ha amıpe. 
(prov.) si vous @tes dans Fadversite, vom 
n’aurez pas d’amis. O — perdido ado se rer 
pero, le temps perdu ne se recouvre point. IM 
ter — em meio, retarder, differer la concdless 
d’une affaire; laisser passer quelque kur 
Ganhar — , gagner du temps. — ınde, de D” 
menia, borrascoso, gros temps. O — ent # 
chuva ou estd— de chuer, le temps esta 
pluio. Faz bom , beilo —, il [sit bean. 

Teurorina, 5. f. long 65pace de temps. I 
de temps. 

TeuroniL, 2. m. " tourmente, tempetc, £7% 
temps, oragö, OUTagan, Coup de vn. u.1” 
des tempos. Temporel, revenu d’un beneist 








m. ww ww — wr 0 


TEN 


puissanoe effective, politique : ’oppos# de spi- 
rituel. 

.TENPORAL, adj. 2 gen. temporel : qui passe 
avec lotemps; pörissable, passager; seculier : 
l’oppos6 d’eternel, de spirituel. (t. d’anat.) 
Temporal : qui a rapport aux tempes. 

TemronaLınäng, 5. f. qualitö de ce qui est 
teımporel. Teımporalite: juridiction du domaine 
tzınporel d’un &vöque. "Teomporel : revenu d’un 
beneflee. —s, pl. biens de ca monde. 

+ TENPORALIZÄR, ®. 6. rendre temporel et 
perissable. 

TEMPORALMENTE, adv. temporellement, du- 
rant un temps; bumainement, selon le monde. 

TEMPORÄNEZO, A, adj. temporaire, de peu de 
duree. 

Teurorä0, A, adj. precoce , hätif, mür avant 
terme (feuit); prömatars, qui 86 fait ou qui 
vientavant le temps. O —, "hätivete. Il est aussi 
ade., de bonne heure ow trop Löt, hälivement, 
avant le temps. 

TEMPORÄRIAMENTE, ade. lemporairement : 
pour un temps. 

TEMPORARIO, A, adj. temporaire : qui ne 
dure qu’un temps limite. 

Teuronas, s. f. pl. les Quatre-Temps. 

TEMPORIZACAÖ, &. f. teımporisalion : action 
de temporiser ; relardement. 

TemPoRızino, A, pP. 9. de Temporizar. 

TEMPORIZADOR, A , 8. lemporiseur : qui tem- 
porise. 

TEMPORIZAMENTO, 5. m. temporisement. V. 
Temporizagdo. 

TEMPORIZÄNTE , adj. 2 gen. qui temporise. 
p. a. de 

Tewporızin (com), v. m. temporiser : retar- 
der, differer avec espoir d’un meilleur temps. 
Gagner du temps. S’accommoder au temps, 
eic. (P- %8.). — com alguem, temporiser par 
rapport & queiqu’un , chercher & ne pas rompre 
avec lui. V. Comiemporizar. 

TENPRA, etc. 

TEnPrRAn, eic. | V. Tempera..., eic. 

*Teurakıao. V. Templarios, 

*Trupracid. V. Tentardo. 

TEMULRNCIA , 8. f. ivresse. 

TEMULENTO, A, adj. ivre, pris de vin. 

Tenaca,s.[.V. Tenaz, s. 

Tenacıpäpe,s. f. tenacite : qualile dece qui 
st ienaco; (fig.) obstination,, enlötement, opi- 
ätrele. 

TENXACISSIMO,, A, adj. sup. de Tenaz. 

Teniıua,s. f. (t. de fort.) tenaille : ouvrage 
n avant et au pied de la courline. 

TenaLniö,s.m. aug.de Tenalha. {t.de fort.) 

“enaillon : ouvrage de fortification. 

Teninto,s. m. V. Corda. 

Tenania ou Tananıa,, 5. f. V. Pellame. - 

+ Tenaxirg ,s. f. (k. de g9e0g.) Tenerife: tle, 
une des Canaries. Pico de —, pic de Tenerilfe 

ou d’Adam. 

Teniz, s. f. tenaille : instrument de fer pour 

artacher, eic. Pinceltes, pince. Morda- 


PORT. Ra 


TEN 1137 


che. Dents, serres de cerlains animauz. V. Te- 
nalha. Dans l’ancienne milice romaine c’elait 
un escadron forme& en tenaille. — d’owrives, 
bercelles. —es dos caranguejos, sorres des 6cre- 
visses, des crabes. 

Teniz ‚adj. 2 gen. tenace, visqueux, yui 
tient exiremement. (fg.) —, attache6 opinidtre- 
ment ä ses idedes; tetu, obstine, rötif. (td.) Qui 
retient fortement (memoire). (id.) Importun, 
ennuyeux. 

Tenazinua , dim. de Tenaz. 

TEemäzm&nte ‚ado.tenacement, aveo 1&nacite, 
opiniätrets, mordicus. 

Tenca , s. f. tanche : poisson d’eau douce. 

Tanca, s. f. pension sur l’Etat. (ans.) Action 
de tenir, de er, possession. (id.) * Entre- 
tien, defense (d’un chbäteau). Ter-se ds —e 
d’ousrem ‚so confler sur la protecolion de quel- 
qu’un. 

Tungid, s. f. Intention, dessein, volont6, 
projet. V. Intengp&o. Opinion, avis que le juge 
smet par &orit. * Eınbläme, devise, figure alle- 
gorique accompagn6e de paroles. *Sujet, ma- 
tiöre (d’un chapitre, eto.). Tinka—, j’avais 
Pintention. Segunda r— , arriere-pensee. Dizer 
missa por — d’alguem, dire la messe & l’in- 
tention de quelqu’un. Estar com mds longöes, 
penser a mal. 

* Tanckıno, s. m. receveur de Pensions sur 
P’Etat. V. Tonga. 

Tencıonänpo, A, p. p. de 

TENCIONAR, ©. 6. resoudre, arreter, döcider, 
deliberer. Emelire son opinion par &crit dams 
un proees. v. ». Avoir l’intention de, 

TencıonArıo, &. m. celui qui a une pension 
sur l’Etat. 

Tengokıno, A,adj. qui een veut A quelqu’un, 
qui pense & mal. it. V. Teimoso, Rixoso. 

*Tencöe. V. Briga, Rixa, Dispula, Aller- 


Tenpa, s. f. tente, pavillon & la guerre. Bou- 
tique, boutique d’öpicier. 

Tenpir, s. m. * banne, grosse toile dont on 
couvre les bateaux ‚ etc., tente os banne de ga- 
löre. Lieu oü l’on tond les brebis. — de poppa, 
(t. de mar.) tendelet. 

Tenpiö, s. m. (6. d’anat.) tendon : extr&mitd 
du muscle, cordon de fibres qui se rattache & 
Yos. — d’Achilles, vendon d’Achille. 

Tenpeneına, s. f. planche sur laquelle on 
forme le pain. 

Tenp£ıro, 3. m. boutiquier, marchand en 
detail; epicier. 

Tenpencıa, s. f. tendance : action de tendre 
vers, direction de mouvement d’un corps vers 
un point; disposition de l’Ame dirigee vers un 
objet. 

TENDENTE, adj. 2 gen. tendant A, qui tend & 
une fin, qui y va; qui est dirig& vers. p.a. de 

TeEnDEnR (so), v. n. tendre ä, aboutir vers, 
tendre & une fin; avoir pour but; diriger ses 
vues, ses projels, elc.; avoir une tendanoe. 
no. a. Etendre, deplier, deployer, derouler. Vo 











1138 TEN ” 


Estender. — o päo, former le pain, donner la 
derniöre facon & la päte. 

Tanpen-sE, ©. r. s’ötendre. V. Esiender-S6s 

Tenpido, A, p. p. de Tender. adj. Etendu, 
deptie, deploy&, deroule. 

Tenpiema ow —inna, 5 f. dim. de Tonda. 
Echoppe , petite boulique. 

TsnoıLuä6, 5. m. petit pavillon, lente. st. V. 
Tentilhde. 

Tenpınöso, a ‚adj. (1. d’anal.) tendineux : de 
la nature des tendons, qui y a rappork, 

* Tantuna. V. Treva, Escuridäo. 

Tenesrıkd, 5. m. (l. d’hist. nat.) tenkbrio 
ow tenöbrion : col6optäre qui sent trös-mau- 
vets 


+ Tenenatcosıpäse, 8. f. * obscureissement 
de la vuo ; obscurite. V. Tenebrosidade. 

TENEBRIChEO, A , adj. aecompagne d’obsrer- 
cissement de la vue. ii. V. Tenebroso. 

Tenepnösautnte, ado.tenöbreusement, dans 
les tendbres, d’une manidre tönebreuse. 

TenssnosıpADE, 8. f. tEnebrosits : qualits de 
ce qui est ten&breux; ombre dpaisse, Grande 
obscuriis, tenebres. 

Tenennöso, a, adj. tenebreux, sombre, ob- 
scut ; oouvert de tenebres. Obscar, en parlant 
da style. (Ag.) Maelveillanı, infernal. 

TEn£ncıa, 8. f. lieutenance ; maison habitse 
par te Ifentenaht. Charge, departement, adıni- 
nistration du grand-matire de l’artilierie ; depst 
d’artillerie. 

TEnenTE, 3. m. lieutenant, second. — eoro- 
nei, lieutenant-eolonel. — general, lieutenant 
general. Segundo — , sous-Ieutenant. Primeiro 
de nerinkha, lieutenanı de vaissoan. Segundo 
—.de marinha, enseigne de vaisseau. —do n4- 
vio, lieutenant d’un vaisseau de guerre, second, 
— rei, Heutenant de roi, gouverneur d’une 
place forte. 

TEntnTE, adj. 2 gen. A’mdo —, A la portse 
de la main. 

TENtSMO, 8. m. tönesme : öpreintes donlon- 
reuses au fondement, aveo envio d’aller & la 
solle, sans dvacnation. 


Tanzamöp e 
ER, 1CO, A, adj. aecompagnd de t#- 


Tendra, % f. v Tindie. 

t Tenca, 8. f. * tenga, ou oachi : arbre. 

Tenxıa , s. f. “ tönia, ver solitaire, 

Texıa. V, Tinir. 

Tenön,s. m. * taille: voix entre la basse et 
la heule-contre. Tener: musicien qui chante la 
taille. dd. V. Teor. 

TENAANEATE, adj. tendrement. 

Tenn£ıro, A, adf. V. Tenro. Henina— a, 
jeune file. 

TENRILEO, 06 — ImnO, A, adj. dim. de Tenro. 
Fort tendre, tres-delicat. 

Tenno, A, adj. tendre : qui n’est pas dur, 
deficat, etc.; mol et frais; jeane. Tenra idade, 
8 @nnos: on lo dit du premier Age de la vie; 
Jeune Age. 


TEnnorinuo, A .dım. de T: . 
0, ‚ tdj.dim. de Tenro. Un peu 


TEN 


Tennöna, 8. f. tendreie : qualit& de ce qu 
esttendre. V. Ternura. 

Tensa. V. Tonga. 

Tensid, s. f. lension : elat de ce qui u 
tendu. V. Tenpdo. 

TENsivaMÄNTE, adv. avcc tension. 

Tansivo, a, adj. iensil : accompaga 
tension. 

* Tenaokıno. V, Tengoeimo. 

TEnTA, 8. f. tente, sonde de chirurgien. 

Tnuragäö, s.f. tonlalien : meuremeniipi- 
rieur qui porte & (&crire, voyager, ete.‘, qu 
exoilo au mal; envie de; desir blämable. Obri 
qui tente, qui seduit. id. V. Tenlative.larm 
—, succomber & ia tentislion. Nde nos dei 
cair em —, ne nous induisez point en weis 
ton. 

Tenrigioziuna,s. f. dem. de Tenlerio.Tr 
tation Idgdre 

Tanrino, a, p. p. de Tentar: 

TENTADOR, A, adj. et 5. tentateur : celei ga 
tente. On le dit aurtest du damen. Y. I® 
tante. 

TEnTiugR, ou WEN, 5. m." temtalive, eMäl 

* TENTANERTO, 5. m. " tontalien, desir de la 
queique ebose. 

Tenvinte ,odj. 3 gen. tentant, qui vente, & 
trayant. p. a. de 

Tenrän,o. 6. tenter, sollieiter an mal. &° 
citer ledesir; donner envio; essayer; eproutt, 
metire en usage pour le succes. Täter, 140% 
ner: sonder. V. Intenfar, Commetier. - Det 
tenter Dieu. — a paciencia, melre la paheuc! 
a P&preuve. — 0 ede, sonder le gat. ae pfep* 
et au figure. — de novo, revenir Alacharft. 

Tentariva, 8. f. tentative, essai, entf. 
experience, entreprise. —, premier scie gu 
sonttent en Iheologie, etc. 

TExTtarTiro, A, adj. tentatif. V. Tenioak- 

Texte, adj. V. Tenente , adj. 

TENXTEÄDO, A, p. p. de Tenteer. 

TExTKanon, &. m. celui qui caleule, EWiK: 
examine, etc. 

Tentein, v. a. mesurer, calcaler, Mt # 
une chose s’ajuste avec une aulre. Peser, © 
miner, reflechir. Eprouver; sonder, ef? 
titer. Täter le re — uma chags, # 
une plaie. — suar forcas , sus CORKUREH. 
hola, ‚eto., consulter ses bares, aa consclt, 
sa bourse, etc. 

* TENTELöoO. V. Substiluto, Lugerimen 
+ Taxtunupen, 6. f. (1. dis. mat.) 
äscie. ns: 

Tenrıımiö,s. m. (1. d’hist. nal) Dan 
oiseau fringille 4 bec gros et dur, de bar 1%. 
d’espöces. — do Norte, le pinson. — #7. 
pinson des Ardennes. — grande des puma! 
la räesange & t&te noire. _m 

Tenrim, s.m. de Tento. Petli ei f 
— , (loe. add.) article par articld, en MT" 
point en point. . 

Texto, s.m. jeton (au en), fiche. Apps ne 
main de peintre. (Ag.) * angetlOR , 


TER 


flexion, prudenee ;soin, attenlipn. Dar — ‚laire 

attention. Perder 0 — de suas obrigapdes, ne- 
gligorses devoirs. A—,(loc.adv.) atientivement, 
avec soin; i4, A lAtons; doucemen!t, pvu & pen. 
Com —, avec prudence; doucement, terre & 
terre, piane-piane. Sem —, inconsideröment, 
imprudemment. 

TEnTöRm , 8. m. *tente, pavillon de guerre. 

Tenos, ajd. 2 gen. tönu, delid, peu com- 
pacte. Faible, delicat. Petit, de peu de valaur. 
Modique. Mince. 

TRNUBNENTE ‚adv. petitement, laiblement. 

Tenvipine, 8. f. tönuile : qualils d’une sub- 
stance tenue ei delise. Pelitesse, chose de peu 
d’imporlance ou de peu de valeur,, hagatelle. 
Modicite. — de offerta, modicits da don. 

TEnUissIno, a ,adj. sup. de Tenus. 

TeoLocia, etc. V. Theologis, ele. 

TEOR, s. m. *teneur: le contenu d’un 6crit; 
suite, cours. "Manidre, moyen; ton. — de vida, 
manisre, facon de vivre. 

EOREMA, 

ToRIA, cite. } V. Theor..., etc. 

Terz, s. m. morceau de gason qu’on coupe 
pour faire des murailles,, eic. V. Cespede. 

* Terkz. V, Contumas. 

T£PIDamKnTg , adv. tiödement. . 

Terınkz, s. f. * attiedissement,, tiedeur. 

T#rıDoO, A, adj. tiede: enire lo chaud et le 
froid. ( lg.) V. Tibio, Frouxo. 

TErOn, s. m. "tsdeer : qualiks de ce qui ost 


Tequs, adv. V. Ald que. 

Ten, ®. a. aveir, posssder. Tenir, avoir & la 
main. Aveir beauceup de biens, Ödtre riche. 
Tenir, soutenir ; contenir; arröter, retenir. Ju- 
gor, penser, croire,, se persuader. vo. au. Avoir. 
V. Hover. — ds oostas ou sobre si, ötre 
avoir soin de. — @ seu favor, avoir en sa [a- 
veur, pour soi, de son o0l&. — alguem Dor st, 
eire prol&ge par queliqu’un. — em muilo, [airo 
grand cas, beaucoup de cas de... — sm pouco, 
ou em menos, faire peu de cas de... lastima, 
vergonha, bea voniade, avoir pili6, honte, 
bonne volonte. — medo, cwidade, experiencie, 
avoir peur, du souel, de V'expsrıence. — faslio, 
@tre deögonts, n’avoie pas d’appeüit. — falle, 
manguer de. — mio, se modörer. — 2. ) 
elguem , conterir quelge’un , lo surveiller. — 
odio, mä vontade ni Bo ’ en vouleir & quel- 
qu’un,,aveir dela rancune, de la kaine. — pars 
si, eire d’avis, creire, penser, se persuader. — 
por, tenir ow repuler pour, juger, eslimer, re- 
garder. opınme. — por bem, vouleir, daigner, 
agrder, approurer. — que, aveir a, tiro dans 
l’obligation ou le dessein de. — (emado 0 ba- 
bite, aveir pris sem pli. — cuiddde qus..., prei- 
dre garde que... — olho dierta, avoir leil eu 
guet. — alguem , tenir queige'un en 


SUSDERSD 
‚ haleine. Ir — a..., aboutir A... Esla rua ve — 


6 prasa, cette rus abontit A la place. ir — com 
elguem, aller trouver quelqu’un. Tonhe um 
nao sei que ou ndo zei o que fendo, (fam.) j’ai 
en mal-Stre. Quem mais lem, mass deseja, ou 


TER 1039 


quanlo mais lemos mais desejamos, (prov.) 
plus on a, plus on veut avoir, 
Tea-s2,o. r. se tenır; se tenir ferme pour ne 
s lomber. S’arröier, s6 eonienır, se Felenir. 
esister, tenir idte. — em oe, se tenır debout. 
Näo poder —, ne pouvoir se lenir, dire d’une 
Taiblesse axtröme. — em casa, garder la mai- 


son, — com alguem, tenir iöle. rösister A quel- ' 


qu’un. — por felix, s’estimer heureux, — 6 al- 
GUma cousa, Compter Sur une chose ; en &lse 
content. V. dier-se. 

Ten, s. m. V. Täres. 

Tenca , s. f. le liers d’un tout; le liess des 
aaa Tieres, heure eaneniale; lierce (au pi- 
quet). 

- Tunck ou Tznckı, adj. ots. f. Tanckus, pi. 
Fiövre lierce. , 

Tencäpo, & m, coutelas: sabre d’un liers 
plas ovurt qu’il n’est port par les orden- 
NAanops. 

TerciDo,A,Pp.p. de Tergar. 

Terganon , adj. V. Terceirv, Mediansiro. 

Tunca-stusı, 5. f. "mardi. — d’enirude, 
mardi gras. 

Tenci6, e. m. brauche de la vigne sortant du 
OP. V, T orgöo. 

Tencär, v. a. meler, melanger trois choses, 
Pattager en trois. Melize en ravors, en diago- 
nale (la lance, l’&pee,elc.). —a@ caps, reireus- 
ser ie manteam. V. Z’ragar. 

Tercir (por), v. w. intervenir, s’ontremeltre 
dans un difäreud ‚ etc. Intervenir pouz un tiers 
dans une affaire; s’interposer pour ; interchder 
pour. V. Favoreeer. 

* Tencania, 5. f. mediation, entremise, im- 
tervontion d’un tiere, " Depst confid A un Uers. 
Impöt du tiers. 


»| Tengas, s. f. Pl. le tiere du revenu; impöt.du 
tiers. 


Turckıra, 8. f. eniremetteuse; mediatrios, 
Tierce (en musique). Clame de trolsieme. 

TTEMZIRANENTE, adv. Woisidmemen!, en 
troisidöme lieu. 

Teackıao, A, adj. woisicme; Levis. /nnocen- 
cio, Jodo —, Innocent, Jean reis (Ul). Em — 
lager, troisiömement. Tiercheire, qui est du 
Vers-ordre. Orden —a, liers-ordre de Saitıt- 
Frangeis, eic. Ha de d’um -—, em main lierce. 

Tenctıno, 3. m. tiers, mediatser, Ontreimel- 
tur. Ma w. V. dicopileire. Membre du 
tiors-ordre de Saint-Framgeis, Bio. 
bin 4,8. f.” geenier, cellier, magasis pu- 

c 

T Tencenkaso, s. m. benöficier qui m’a que le 
tiers des dmoluments ou du casuel. 

Tancnmiıno, >. m. oelui qui tsavaikle aux 
greniers publics. V. Tercena. 

*° Tancka. V. Terosiro. 

* + Tzacerpia, #. f. "dekai de trois ans, trois 
mois, twois semaines ei weis jomes guo In lei 
accordait, en certains Cas, pour le BSCeuvoe- 
ment d’une delte, 

* Tencksımo. V. Trigesisne. 

TERCETÄR , 9. ®. faire des terceis. 





1180 TER 


Tenctro, 8. m. tercet : espöce de couplet 
compos6 de trois vers ; partie du sonnet. 

Tercıa, 8. f. troisidme heure du jour, selon 
les anciens Romains : elle r&pond & neufheures 
du matin. Tierce : une des heures canoniales. 

TercıÄr, 9. 6. melire en travers, en diago- 
nale (la lance, eto.). V. Tergar. 

Texcıknı0, A, adj. tertiaire : de la troisiöme 
grandeur; form6 en troisiöme lieu (terrain —) 
(. de geol.). 

Texcıtna. V. Toreme. 

Tercıntı ou TencıontLa, e. f. sorte d’&tolfe 
de soie d’Italie. 

TERCIODECIMO, A, adj. treizidme. 

TencıortLLo, 8. ou adj. mw. velours d’Es- 


pagne. 

Tenco, A, adj. Wetu, obstind, opiniätre, mu- 
iin, tenace. 

Terco, s. m. tiers, troisieme partie d’an 
tout. Tiers du rosaire, chapelet. — de soldados, 
regiment. — da espade, lo fort de l’öpte. Resar 
0 —, dire le chapelet. 

Terco. V. Tregs. 

TencöL, s.m. orgeolet, crite, petit bouton 
aux paupiöres. 

TEREBELLASOS AUFRTNOMES, 8. [. Pl. (d.d’hist. 
nat.) ’amphinomes : vers ä deux rangs de soles 
ou branchies dorsales. 

Tenzsintuıa ou TEREBINTEINRIRA,S. [.V. To 
rebintho. 

TEaEBınTRina, s. f. ter&benthine : resine de 
terebinthe. 

TTerzumTnicaas, 3. f. pl. (6. de bot.) teröbin- 
ihaodes : famille des ter6binthes. 

TEREBINTRINADO,, A, adj. pr&pars avoc la %%- 
rebenthine. - 

Tenzsintuo, s. m. (4. de bot.) törebinthe : 
pistachier sauvage, arbre resineur. 

Tenzana, s. f. ancienne machine de guerre. 

TEnEBRÄR, ©. @. (P. us.) P6rcer avec une 
veille. 

+TunzenÄruLa ou Psrrunina, 5.f. (4 d’hist. 
nal.) terebratule : coquille bivalve du genre 
des huttres. — vidrenia , la poulelte. — coreo- 
vada , la törebratule bossue. — Ironcada, tere- 
bratule tronguee. 

Terzckna. V. Torcona. 

+ Teazosn, s. f. (t. d’hist. nal.) * taret, ta- 
riöre, ver rongeur qui perce le bois. — acls- 
ovoda ‚1a fistulane. 

+ Tenzncıino, A, adj. qui appartient au 
poSte comique Terence. 

TünRS E BAVRRES, 5. m. p}. biens,, richesses ; 
avoir. 

TEacENINO, A, adj. (Podi.) triple. 

TRACIVERSACHO, s.f. tergivorsation , d6tours. 

TERCIVERSADOR , A, adj. ei 3. lergiversateur, 
qui tergiverse 

TEROIVERSANTE. V. Tergiversador. p. a. de 

Tensıvaasir, v. n. tergiverser, user de de- 
wars, do faux-fuyanis; biaiser. Tourner le 
den ip. “s.). 

Go ,8. m. (p. us.) le dos. 

Taaicıa. V. Teer, 


TER 


f Terıö-92-G64. V. Bicho-vergonhoso. 
Texisrno. V. Theristro 


Tensorir. V. Tresjurer. 

+ Teauz, s. m. (1. d’hist. nat.) termile : 
grosse fourmi blanche tris-nuisible. — fatal, 
ermaito belliqueux. — erdiloso, termite atroce. 

‚ termite mordant. — destruider, 
termite des arbres. 

TErNenTtina. V. Terebenthine. 

Terumaciö, 8. f. fin, conclusion. Termi 
naison : : desinence d’un mot. 

TERMINiDO, A, p. p. de Termiser. 

Teamımin, adj. 2 gen. qui Anit, termine ; qui 
eoncerne les bornes, les limites. (#. de bet.) 
Terminal : qui forme le sommet. 

+ Teammäutas, s. f. pl. (8. anf.) termine 
ties : fötes du dieu Terme. 

TermınÄnte, adj. 2 gen. qui termine; tran- 
chant, qui decide. On le dit d’une lei, d’m 
texte, etc., qui deöcide en termes formels wa 
ca8, une question. Aboutissant. 

TauMınANTissıno, A, adj. sup. de Terw- 
nanis. 

Teruınin, ©. a. terminer, achever, fnir; 
borner, limiter, v.». —, @iro le terme, la En. 
l’exir&mite. (em, por) Se terminer. On le da 
de la desinence des mots, d’une crise qui de- 
cide une maladie. Aboutir. Il est aussi reei- 
proque. 

+ TERINKANTIVANENTE, adv. d’une maniere 
terminative. 

+ Tanısınarivo, A, adj. terminatif, qui 1er- 
mine. Qui a rapport au terme, ä l’objet d’une 
action. 

Teawıno, s. m. la diea Terme, qui presidait 
aux bornes, aux limites. Terme, borne , limite. 
Bont, fin, extremite. 

Teru0, s. m. terme : in, borne d’un temps, 
d’un espace, des choses, des actiens ; (Ag.) ie, 
borne, limite ; temps prefix de payement ; met, 
diction , expression ; mot particulier ä& un art, 
etc. Facon de parler, d’sgir, etc. Distriot, res 
sort, lerritoire d’ane ville, etc.; banliewe. .t. da 
prat.) Declaration faite par ecrit, devami ua 
notaire, de faire ow de ne pas faire telle chhose, 
etc. — echpfico, distance de la lune & Tun des 
n@uds de l’&cliplique. — perempforie,, lerms 
peremptoire, decisif. Metio —, milieu queu 
prend dans une affaire, parti milayen. —s, pl 
termes d’un syliogisme. Termes d’une raisen, 
d’une proportion en mathomatiques. Tormes : 
6tat oü est une affaire, ete. Confins, limites. 
Maniere d’agir, etc.; moyens, expedients. ia 
—s , on rögle, en bon &lat. Em —s Aubeis, sila 
chose est possible, si cela so peut. Bieiss —«, 
detours,, faux-(fuyants, subterfuges. 

+ Tsanino, a, adj. (Lt. de bot.) Folkas —er, 
feuilles terndes, trois par Ireis sur un petieie 
commun. 

T6RanAMkNnTE,, adv. tondrement : aves ie®- 
dresse. 

Teanirıo, A, adj. ternelre : de treis, diri- 
sible par treis (nombre); & treis temps (mms- 
sure), en terine de musigen 





TER 


Tennas, s. f. pl. V. Ternos. 

+ Teanite, s. f. ( 1. de geog.) Ternate : la 
plus septentrionale des Moluquos. 

Tennatkz, adj. et s. 2 gen. de Ternate. 

Teaukına, s. [. veau ou genisse. V. Novilka, 
Vitella. 

Teantza. V. Ternura. 

TgRnissıMo, A, adj. sup. de 

T&rno, A, adj. tendre, sensible, caressant, 
affectueux; facile & attendrir , qui pleure aise- 
ment; touchant, attendrissant, qui inspire la 
tendresse, 

T£rno, s. m. terne (A la loterie); trois numed- 
ros de suite; nombre de trois choses de möme 
e spece. 


Ternos , 5. m. pl. ternes: deux trois, au | Find 


jeu de des. 

Ternöra , s.f. tendresse : sensibilits & l’ami- 
tie, A l’amour; amour tendre et passionnd.—, 
son expression dans les regards, les gestes, les 
paroles ‚les caresses, etc. 

T£EROLERO, 8. m. sorte d’ancienne danse por- 
tugaise; son air. 

Terra, s. f. terre : matiöre homogöne, molle, 
friable,repandue sur la surface des continents, 
et servant de couche aux vegetaux; portion de 
terre cultivee, terre labourahle, champs ; ter- 
reau ; sol; le globe terrestre; terre oü l’on en- 

evelit; partie de la terre, du globe; &iendue 
d’un pays; bords de la mer. Patrie, pays natal. 
(fg. Terre : les babitanıs de la terre; les biens, 

es plaisirs de la vie. — adamilica, terre ada- 
mique, terre rouge.— firme, terre ferme, con- 
tinent. POr pd em —, mettre pied ä terre, des- 
cendr3 de cheval. Langar, deilar a — ou por 
— , jeter par terre. — lavradia ou de lavuradio, 
terre labourable, terre en labour. — frias, la 
fosse,, la sepulture. Metter — em meio, gagner 
pays, s’enfuir, prendre le large. Gankar — 
com alguem, gagner les bonnesgräces de quel- 
qu’un. Dar d—. V. Sepullar. Terras —, terre 
ä terre, au propre et au figure. Tomar —, 
prendre terre, aborder. Saör em —, descendre 
& terre , debarguer. Botar, langer — nos olkos, 
jeter dela poudre aux yeux. A minAa—, mon 
pays. Eserever paras—, tcrire au pays. Onde 
mevaiben ahi da minka —,, mon pays est celui 
oü je me trouve bien. Descodrir—,, (l. de mar.) 
decouvrirlaterre. — alta, terre haute. — baixze, 
terre basse ow plate. —clara, terre ins etclaire. 
lada , terra coberia de nevoa, terre em- 
brumese. Vista falsa de —, terre de beurre. 
Perders—devista, noyer la terre. Signaes de 
—, margques de terre. — pela pröa! terre de- 
vant! 

Tenrica,s.f. V. Torrado. 

Ternrackna. V. Torcons. 

Tzarico. V. Terrado. 

Tennäpa,s. f. petit bätiment de guerre, en 
Asie. 

* TERRADECO, 3. m. quarantidme du cent, 
sorte do lods ei ventes. 

* TERRADECDRIRO, 3. ge. chanoine qui rece- 
vaitie Terradego. V.ce mot. 


TER 114 


* Ternanico,, s.m.rodevance annuelle qu’un 
fermier paye au propridtlaire. 

Teanapinna , dim. de Terrada. 

TeaRino, 5. m. * terrasse: Loil d’une maison 
en plate-forme st decouvert, contre-ierrasse. 
* Aire, espace qu’oocupe une foire, et ce qu’on 
paye au seigneur, etc. 

+ Teanäino, A, adj. dont le toitesten lorrasse 
(ediflce, maison). En terre, qui n’est ni par- 
quets, ni pavö, eto. 

TerriL, adj.ots. m. terral, vent de lerre. 

+ Teazınova , s.f.(t.degeog.) Terre-Neure: 
lledel’Amesrique septentrionale. Terra-Nuorva: 
ville de Sardaigne, i 

TERRARQUIM,, 5. m. sorte d’embarcation de 

nde. 

TeRRANTezZ, adj. 2 gen. naturel, natif. 

Tenni0. V. Torrdo. 

TERRAPLENÄDO, A, P. pP. de 

TERRAPLENÄR, v.. remplir de lerre rappor- 
tee, terrasser. Construire, dlever un terre- 
plein. 

TERRAPLENO, s. m. lerre-plein : surface plate 
et unie d’un amas de terre; lerre rapportse 
entre deux murs; partie du rempart derriöre 
le parapet et la hanquetie. 

TERRÄQUEO,, A, adj. terraqus : compos6 de 
terre et d’eau. On le dit du globe terrestre. 

+ Teana-Sinta, s. f. Terre-Sainte , les 
Saints-Lieux ; la Palestine. 

Terastörıo. V. Territorio. 

TerrEiL, adj.2gen. terrestre, de la terre, 

+ Tenaezin, v. m. 6tre clair-semö, en parlant 
d’un champ. On le dit aussi quand les bl&s sont 
si pelits qu’ils no couvrent pas la lerre. 

Tenrkıro, s.m. place publique; grande cour 
d’un palais. (oams.) * Terrasse, plate-forme, 
plateau. (fig.) But, objet.° Hallo au bi6 & Lis- 
bonne. Tirara—, provoquer, defler. Ser—, 
ötre P’objet de. 

* Tenatıno, adj. V. Torreo. 

TernEuöTo,s.m. tremblement de terre. (Ag) 
Grand bruit, [racas. 

Tsantnuo. V. Terreno. 

TernnkNO, A, adj. lerrestre, de la terre; de 
terre; terreux ; l’oppos6 de spftituel,, d’dternel. 
Cor —s, couleur terreuse. Vonto —. V. Terrel. 

Tenntno, 3. m. terrain: espace de terre; 
terre, sa qualitö; terroir, terre oonsiderede par 
rapport & l’agrioulture. 

TerntnTo, A, adj. terreux, me&l& de terre, 

* Ternentörıo, V. Territorio. 

T£rnneo, A, adj. de terre, qui appartient A la 
terre, qui tient de laterre. Au rez-de-chausser, 
sans 6tage (maison). (Ag.) Bas, humble, alı- 
jeet. Cör —e,, couleur lerreuse,. 

* Tennko, 5. m. terre inculte. 

Taangr.amin, V. Toerraplenar. 

TERRESTRE, adj. 2 gen. terrestre : qui appar- 
kon ä la lorre. 

ERRiBEL, lc. errioel 

TenaisıL, etc. | v.tT „ew0. 


TenatsıLıpäng, 8. f. qualits qui rend terrible, 


: Rurdesse, dureis de caractöre, [erocite. 


1148 TES 

TranısıLisstuo,, A, adj. sup. de Torrikll, 

Tennicora , s. m. habitant de la terre. 

* TERRICOLAMENTO, 8. m. * Irayeur, lerreur. 

TERRIFICiDO, A, p. P. de Terriflcar. 

TerriricintE, adj. 2 gen. qui terrifle, qui 
frappe d’&pouvante. p. a. de 

ERRIFICAR,, ©. @. terrifler: frapper d’&pou- 
vante, de terreur. 

Terrirıco, A, adj. terrible, effrayant, öpou- 
vantable, effroyable. 

TERRIGENO, A, adj. nö de la terre. 

Terrina, s. f. terrine, soupiäre. 

Terrırıenin, etc. V. ‚etc. 

TerrıtonıkL ‚adj. 2 gen. territortal : qui con- 
eerne, comprend le territoire. 

TERRITÖöRTO, 3. m. territoire : sspace de terre 
qui d6pend d’une juridiction, elc.; etendue de 
terre. 

TeanivgL, adj. 2 gen. terrible, menagant, 
eifrayant, eifroyable. Dur, feroce, intraitable. 

TERHiVELUENTE, adv. terriblement : d’une 
maniere & inspirer de la terreur. 

Tenkoida, 6. fe" coupdonne avec une molte 
de terre. 

TERRÖR, 5. m. "terreur, frayeur, effrol; &pou- 
vante, grande erainte. — pdmioe, lerreur pa- 
nique. Causar, pdr —, donzer, inspirer de la 
verreur. 

Tennonisuo, s. m. lerrorisme : Systöme, r6- 
gime de la terrear. 

Teanonista, s. m. terrorisie : agent ou parti- 
san du systöme de la terreur. Homme qui inli- 
mide, qui effraye, qui &pouvante. 

Ternonızin, v. a. lerroriser, inspirer de la 
vorreur, terrifier. ° 

TEand80, a, adj. terreux : meld, sall de terre. 
V. Terreo. 

Tersi0. V. Torsdo. 

“ TensanöLa, 5. [. sorte d’arme A fau, argue- 
buse. 

Teasissıuo, A, adj. sup. do 

Ternso,A, adj. poli, luisant, elair, net. (Ag.) 
Pur, chätis, poli, en parlant du style. 

Tenso, V. Tergol. 

“TersöL, s. m. V. Manustergio. 

Tenzo. V. Terso. 

Tas. V. Tez. 

TESANENTE, adv. fortement, fermement, aveo 
roideur. 

Tssiö, s. m. "roldeur, tension; vigueur; ri- 
gueur. *Erection du membre viril. (Ag.) Grande 
fermet&, constance, infexibilite. * Seine, sarie 
de lilet de p&obeur. 

+ Tesir, o. a. (8. de mar.) — 08 ovens, 08 
eslais, etc., reprendre les haubans, lea &iais, 
etc, — uma tralke, palanquer. 

Tssciö. (bur!.) v. Yadio, 

Tesıpäö, s. f. vonsien, raldear. 

T&so, a, adj. tendu , band; rolde; escarpe; 
fort; dur, ferme, solide. Robuste, bien portant, 
bien retabli d’une maladie. Brave, vaillant, 
courageax. YVielent, imp6tneux. Dur, rigou- 
reux, rigide. (Ag.) Inflexiblo, severe; ferme. 
@rave, d’un outr6, empese. Pör —, 


TES 


roidir. Ter — ou fer.gs —,tenir ferme, au pre- 
pre et au ägure. Ter-s — com „mir 
tete & queliqu’un, lul resister, ne point chder. 

T£so,, s. ss. tertre, &minence de terre, petitr 
montagne. — de monle, cime, sommei dun 
coteau , d’une colline. Escarpement. 

TesduRA, 8. f. " ciseaux : instrument & deu ı 
branches tranchantes, mobiles sur un aıe. 
( Ag.) Chose erolßte en forme de ciseaux. "Che- 
valet, Ireteau, Iretolre. Tondeur de bötes 3 
laine. (Ag.) Medisant, calomnisteur. —e, 8. 
premieres pennes de P’aile du faucen. Caurraie s 
de guindage attachdes en sauloir aux ımoulons 
et au coffre d’un carrosse , arımon. (4. de mar. 
Crampe, crampe de carene.— da Parca , cisesa 
de la Parque. — de losar 0 „ botres oa 
desertes. Boa —, personne habile dans Is 
coupe des &olfes. (Ag. faw.) Gros mmangeer, 
plieur, mächeur, 

Tesounipa,, 8. f. coup de ciseau,, dechigue- 
ture. (fig.) Medisance, calomnie. 

Tesouatıno. V, Thesoureiro. 

Tesovninna, 8. f. dim. de Tesowre. Petis ci- 
seaux. —ı das vides, vrilles, nilles de la vigne. 
V. Elo. Fazer —s com asdedos, (ig. fam.) sen 
Wöter, s’obstiner Jusqu’aw dernier point. 

Tesöuno, etc. V. Thesduro , elo. 

TESSELÄRIO, 3. m. OuYrieren margquelerie. 

r Itssena, s. f marcoau oubique de bois, 
d’os, ete., qui se«vait aux soldats romains de 
mot du guet, de billet pour leur paye, etc. 

TessöM. V r ish, 

Testa,s. f. lehaut de la täte, le front. (Ag! 
La tete entire (p. us.). (id.) Töte ou froms de 
Parmöde, etc, — ooroada, lie couronnee, som- 
verain. — de ferro, (fig.) pröte-nom. Faser— 
tenir töte. Pör-se d— , se meltre & la title. 

TestÄcko, A, adj. testacd : convert d’ws 
6callle dure et forte, Os—s, 6. m. pl. ($. d’him. 
wat.) les testaces : genre d’animaux, mollas- 
gun, reptiles, cauverts d’ane e&caille dure et 

orte. 

* Testagom. V. Sequastro, Embargo. 

TEsTacino, A, adj. tein, enlels, opiniätre. 

Testina, s. f. terrain limitropbe. 

TestÄoo, A, p.p. de Tester. 

TESTADOR, A, 8. lestateur ; quiteste, quifah 
son teslament. 

Testauentania, 5. [. execulion lesizmen- 
taire; biens du lesiateur. 

TESTANENTÄRIO, a, adj. lestamenlaire : qui 
concerne le tostament, 
ui STAMENTEIRO, a. m, exeouionr lesiamen- 

ire. 

Testamento, s. m. testament, aulhentique 
ou prıv6, qui conlient les dernidres ralontes. 
—, livre samt de l’ancienne et de la nourelle 
loi. On dit ordinairement :; O — velko an ssti- 

0,0 —movn, 16 vieuz, l’aucien Testameut, le 
nouveau Testament. —s, pl. (ant.) maisons re- 
ligieuses, maneirs, alc., (andes per des nabies; 
donations, titres auıhentigueg qui les onnsis- 


tent. 
Tzsti6. V. 7 ostäg, 





TET 


Testir, v. a. tester : faire son testament; 
laisser en testameut. 

Tastkına, a. f. face, front, fagade, TMidre : 
partie de la bride qai est autour de la töte du 
%heral. V. Tessada. 

*Testtıno, s.m. V. Tesidde. 

* Testeudıo. 

;Teeranöno. | V. Testemunke. 

° TESTEMOTO. . 

Tesreuunuä, s. f. " t6moin : (personne) qui 
'yeut faire rapport d’un fait qu’il avu ow en- 
-endu; quı atteste ou peut atlester ; specialeur. 
Ag.) * Temoin : on Io dit, par extension, des 
choses inanimdes. — de vista, tömoin oculaire. 
— d’owvido, t&moin auriculaire, d’ouf-dire. — 
falsa , faux t&moin. Tirar —s , entendre, oulr 
les tEmoins. Tomar por —, prendre 
quelqu’un & t&moln. 

TESTENUNHÄDO, A, 9. p. de Tostemunker. 

TESTENUNHADOR, A, adj. qui rend tömoi- 
gnage. 

Tesremonnir, vo. a. tömolgner, döposer 
comme t6moin ; attester, porler tömoignage. 

TESTEMUNHÄVEL, adj. 2 gen, teslimonial : 
qui rend t&moignage. 

Testemünno, s. m. tömoignage : rapport 
d’un ow de plusieurs tömoins sur un fait, un 
discours ;preuve de la verils. Faux tömoignage, 
fausse accusation. On ajoute ordinairement le 
mot falso. Levantar -s au falsos —s , caloın- 
nier, inventer une caloganie. 

Tesricos, 8. m. pl. montants d’une scie de 
charpentier. 

TESTICULO, 8. #8. testicule : corps glanduleux 
oü s6 pröpare la semence.—de frade, testioule 
de chien, satyrion (plante). 

Testırıcagäö, a. f. "tömoignage, attestation. 

TestırıckDo, A, 9. p. de Testificer. 

TESTIFICADOR, A, adj. obs. qui atiesie, qui 
tsmoigne,. 

Tesrırıcr, v. @. attester, cerlifer, rendre 
ts#moignage. V. Testemunkhar, 

TestırıcaTivo, A, sdj. qui atteste, oertiße, 
rend tömoignage. 

Testixno, dim. de 

T£sTto, & m. couverole. T&t, tesson ; morceau 
d’un potde terre 0asse. Cräne (d’un bauf, etc.). 

Tästo, 4, adj. ferme, rösole; inflexible , a6- 
vere; tötu, entöte. 

Tesrunpigo, aug. de Testudo. 

Testöpze, s. f. ) tortae :espöge de teltgue 

Taeripo, s.m. $ les Romains formaient 
avec leurs boucliers dlev6s ot sorres los uns 
contre les autres. 

TzsTinDo, 4, adj. qui a un grand front. (Ag.) 
‘fetu. V. Cabegude. e 

Tesöra, s. f dureis, fermet6 , tension, rei- 
‚leur. (Ag.) Severite, rigueur, Inflexibilits. (d4d.) 
. sravite, sörieux afeete, 

Tetra, s. f. mamelle, t#ten ; tötine, tetie, pis 
"de vache). — de ferra, mamelon, petlite &mi- 
kence. — de vaces, sorte de gros raisin, raisin 
d’Espagne. Um — , (burl.) homme effemine, 
poule meuillee. 


TET 1183 


Tsränıco, A, ady. (t. de med.) tetanique: 
qui est prapre au !Wianos, eu qui Heni de sa 


nature. 

Tiruno ou (4. de ndd,) Wlanos : ma= 

T£Tanos, s. m. ) Iadie spesmodigue,, plus 
oommune en Amerique qu’en Rurope, ei dont 
le caractöre prineipal est une reideur gönärale 
du eorps. Quand il viont A la suite d’une bles- 
sure, on P’appelle t#tanos traumalique. 

+ Tertıa, s. f. (1. du Brosil) joust d’enfant, 
joujon. 

+ Teruvs ou Tirmya, 8. f. (1. EMal. ua.) 16» 
thys : mollusque gastöropede. 

Terim, s. m. ciment de poudre de brique, de 
chaux et huile. 

Teror. V. Tutor. 

TETRACÖöRDIO, 5. m. tötracerdea: Iyre A quatre 
tordes; systöme de musique des anelens, qui 
n’embrasse que quatre tons ou treis Intervalles. 

TETRADRÄCHA , 8. f. tetradrachme : mounaie 
qui valait quatre drachmes. 

TerRADYNäMIA , 8. f. (#. de bol.) tödradyne- 
mie: quinziöme classe des vegstaux, & fleurs 
bermaphrodites, deux grandes #tamines et 
deux petites. 

TETRAEDRO , 5. m. (f. de gdom.) Lötraddre: 
corps regulier, formädequatre triangles dgaux 
et &quilatsrauz. 

Teraicono, a, adj. (1. degdom. et dp bof.)16- 
tragone : qui a qualre angles et quatro oöt6s. 
s.. m. —, figure rectiligne & quatre angles 
egaux. 

TETRAGRÄMMATON, 3. m. le tötragramme : lo- 
culion mystique, Synonyme respectueux pour 
exprimer, sans le prononcer, le nom de Dieu, 
qui etait tetragrammatique en grec, comme il 
Pest dans la plupart des langues. 

+ Teraacy'nıa , 8. f. (1. de bot.) tetragynie s 
quatritme ordre des treizg premieres classes 
des vegetaux A feurs de quatre pistils. 

+ TerraLocia, s. f. tetralogie: quatre pidces, 
irois tragödies ei une comeödie d’un poöte (greo) 
qui voulalit obtenir la oourenne, 

TETAÄNETRO, 5. m. tölramötre ı vers gre6, 
latin, de quatre pleds. 

Terrinpasa, 8. f. (6. de bot.) tötrandrie: qua- 
triöme classe des vögetaux, & fleurs herma- 
phrodites, A quatre &tamines &gales. 

+ TETRAPBALANGARCHfA , 8. f. commande- 
ment de quatre phalanges. 

+ Teraaptralo, A, adj. (1. de bot.) lötrap6- 
tale: & quatre petales. 

+ Terkarnr’ıLo, a, ad). (8. de dot.) Wire 
phylie : & quatre folioles. 

Terripro, 3. m. tötraple : bible d’Origene A 
quatre colonnes. dt. V. Quadruplicado. 

TETRÄRcHA, 8. m. tötrarque : prince de se- 
cond ordre, mattrede la quatri&me partie. d’ane 
monarehie. 

Ternanchia, s. f. tötrarebie : dignitö de 16- 
trarque ; territoire soumis & sa juridietien. 

+ TETRASPERMA, adj. 2 gen. (1. debol.) telra- 
sperme : qui a qual£e 


1184 THA 


Teraisrıcno, a. m. töiraslique, quatrain; 
stance, &pigramme, et6., de quatre vers. 

TernisrrLo, e.m. ei adj. (1. d’arch.) Lätra- 
stylo : qui a quatre rangs de piliers. 

TeTRAsY'LLanO, A, adj. teirasyliabe : de 
quatre syllabes. . 

+ Taeraiz, s.m. (1. d’hist. nat.) Lötras : oiseau 
gallinac6, palmipdde. —das serras, tötras, coq 
des bruyöres. 

Teraıco, a, adj. melancolique, qui a l'air 
somhre,, serieux,, de mauvaise humeur. 

TeTRo, A, adj. noir, sombre, obscur. 

* Terupia. V. Titubear. 

Ter6po, A, adj. qui a de gros Lelons, V. Ma- 
) [} 

Tec, Tua, prow. possessif de seconde per- 
sonne. Tien, tienne. Os teus, pl. les tiens, Les 
parents, tes parlisans, elc. 

Taucno, a,adj. eis. V. Troiano. On a donne 
ce nom aux Troyens & cause de Teucer, qui re- 
na en Troade avec Dardanus. 

Teüno. V. Tido. Teida e manleüda, femme 
entretenue. 

Teutme, s. f. (6. hist. nat.) "theuthie : pois- 
son d’Amerique, 

TEUTÖNICO, A, adj. teutonique : qui appar- 
tient aux Teutons,, aux Allemands. 

TeuTönıos, 8. m. pl. Teutons, anciens peu- 
ples de la Germanie. 

Tex. V. Tex. 

Texo. V. Teizo. 

T&xTo, s. m. texte : les propres paroles d’un 
anteur ;passage de l’Ecrituresainie, etc. Theme. 
Historien (dans la Passion). Gros-lexie : carac- 
tere d’imprimerie. 

TexruaL, adj. 2 gem. textuel : qui est dans le 
texte, conforme au texte. 

t Texrualista, s. m. textuaire : celui qui 
s’attache au texte et neglige les gloses. 

t TextuiLmture, ade. textuellement : sans 
s’öcarter du texte, mot & mot. 

Texröna,e. f. tissure d’une &toffe. Texture : 
ce qui fait qu’une chose est tissue; (Ag.) le 
tissı , la liaison d’un ouvrage; disposition des 
partiescontigu&s et consliluantes d’un corps. 

Taxtoo. V. Teizugo. 

"Tero. V. Tio. 

Teıön. V. Teor. 

Taz, s. f." öpiderme, peau. Surface polie, lui- 
sante, d’une chose, et surtout leint frais, de- 
lioat. — dorosto, teint , coloris du visage, 

Teziö,ele. V. Tesdö , eic. 

TuiLauo, s.m. lit nuptial.—s , pl. (Ag. podi.) 
noces. 

Tuiua,s.f. (6. de mytih.) Tbalie : une des 
Muses ; une des Gräces. 

TmaLicrno, s. m. (4. de bot.) thalleiron : 
plante vulnersire, febrifuge. 

Tuäo, s. m. mesure ilineraire au Pegu, une 
lieue portugaise & peu pres. 

t Tuarsıa, 5. f. (6. de 504.) thapsie : genre 
do plantes de ia pentandtrie. 

T Taanotuas, 5. f. pl. (6. d’ums.) Thargelios: 


THE 


f&tes d’Apollon et de Diane, avoo offrandes des 
premices de [ruils euits. 

Tuasntıra. V. Tasmeirs. 

Tnäu, 3. m. derniöre letire de l’aiphabe 
hebreu. 

Taaumatürco, s.m. thaumalurge: qui fs 
des miracles. 
TBEÄME, s. f. pierre d’Ethiopie qui repoesı 
ler 


Taginpeıco, A, adj. Iheandrique : diris u 
humain. 

+ Tuxantıeoria, s. f. tbeanthropie: erre 
gönerale qui atiribae & Dieu les qualilds ke- 
maines. 

THEATINO, A, adj. et s. Iheatin : clerc regr- 
lier de saint Gaetan. 

TueATRÄL, adj. 2 gen. theätral : qui appr- 
tieut au iheätre, Jui est propre, ne Conıil 
qu’ä lui; qui concerne le theätre, la pet 
dramatiyue. 

t TugATRALMENTE, adv. Iheätralement: (m 
maniere thöätrale. 

TReiTRo, 3. m. theätre : lieu od Fon reptt- 
sente les piöces dramatiques, etc. ; ce bätinen! 
tout entier, y compris les places des spedi- 
leurs; lieu de la scöne; estrade qui porte ii 
comediens; sorte d’schafaud; profession & 
comedien; r&ögles de la poesie dramatigkt; = 
cueil de pieces de theatre; (Ag.) lieu dm 
scene, d’un dvönement, etc. 

Tuxzsiıco, A, adj. thöbalgue (pierre), dest 
granit d’Egypte. 

+ Tezsirpa, 3. f. (6. de geog.) Thebalde : pJ° 
et desert d’Egypte ; (Ag.) solitade prefonde. 

Tarsino, A, adj. ei s. Thebain, da Thde. 

Tutnıs, s. f. (6. de geog.) Thebes : ville «el 
Hauto-Egypte; if. ancienne ville de Grket. 

Tnesto. V. Thebano. 

Tueisuo,, s. m. theisme : oroyanoe de Pe 
tence de Dieu, tout-puissant et actil; Yopi 
d’siheisme, 

Taxisra, 3. m. theiste : qui oounalt Te 
tence d'un Dieu reel, tout-puissant, er 

Tatua, s. m. theme : sujot d’un diseeif; 
matiere ; texte, sujet du sermon. 

Tazwılua.V. Thymiams. 0 

Turocaacia, 3. f. thöoeratie : gouvernem®! 
des pretres oü les cheis sont regardes torı" 
les ministres de Dieu. , 

Tugocaärıco, A, adj. Ihöocratigus : dr" 
theocratie, gui ui apparient. = 

+ Tuzoposıino,,a, adj. Iheodasien : q!’; 
partient ä Pempereur Theöodase: comme 
theodosien, eic. 

Tuzorörıo, a. V. Divine. u 

Tazoconia, #. f. theogonie : nalssance “ 
dieux ; systeme religieux des palens ; O0‘: 
sur ceite matitre. bo: 

TuzoLociL , adj.2gen. 2 hen 
logal : chanoine charge de prolesser 14 Fol 
gie, de pröcher. Virtudes —aes, Yorlls Fespe 
gales, qui ont Dieu pour objet (la [tt 
rance et la charite). NR 

TreoLocia ‚2. f. Iheologie: solenoe di! apuif 





THE 


objet Dieu et la rövelation, la religion ; olasse 
od on l’enseigne; dootrine, traits, reoueil th6o- 
logique ; &tude des choses divines. 

TagoLöcıcamante, adv. tbeolegiquement : 
d’une manidre ih6ologique; selon les principes 
de la theologie ; en thöologien. 

TagoLöcıco, Aa, adj. theologique : qui con- 
cerne la theologie. 

+ TuzoLöcızir, vo. n. thöologiser: discourir, 
raisonner sur la theologie. 

TBEeöLoco, s. m. theologien : qui sait, ensei- 
gno la theologie, qui &crit sur celte science, 
qui l’ötudie. 

+ Turowancia, s. f. tbeomancie : divination 
par le nom de Dieu; iheomantie, divination 
par l’inspiration d’une divinite. 

‚Tazopnania, 8. f. Iheophanie : manifestation 
de la divinite. 

+ Tugornosia, s. f. theophobie: haine de 
Dieu;; par extension, des inslitutions de Dieu. 

+ TaEöPHOBO , 5. m. iheophobe : ennemi de 
Dieu,, qui hait Dieu en reconnaissant son exis- 
tence. 

Tuxön. V. Teor. 

+ Tarörsa, s. f. " theorbe : instrument de 
musique & cordes, sorte de sistre; archi-luth. 

Tusortua, 3. m. (f. de malh.) theoreme : 
proposition d’une verite speculative qui peut se 
demontrer. 

TBEORIA 0% (heorie : sp6culation, con- 

TBEÖRICA, 8. f. ) naissance qui s’arrete A la 
sptculation, sans passer & la pralique; lois, 
principes d’un art, etc. 

TURÖRICAMENTE,, adv. theoriquement : d’une 
maniere theorique. 

Tug6aıco, A, adj. theorique : qui regarde la 
theorie. s. m. Theoricien : qui connatt les prin- 
cipes d’un art, souvent sans le pratiquer;; au- 
teur d’une theorie. 

Tazonista, 3. m. theoriste. V. Theorico, s. 

+ Tugostpıa , 3. f."culte dä & Dieu. 

+ Tueosopeia , s. f. th6osophie : systöme des 
theosophes. V. Theologie. 

+ TuzosornHisuo ‚3. m. theosophisme : sys- 
ıöme de ceux qui pensent que nous voyons, 
nous sentons, nous pensons en Dieu ; systäme 
de Mallebranche,. 

+ Tugösorno, s. m. th&osophe : qui sail ia 
t heologie. —s, pl. theosophes : illumines qui 
eroient communiquer avec Dieu. 

+ Tuznapforas, s. m. pl. therapentes : moi- 
nesjuifs, livres & la vie contemplative , extali- 
que et mortiflee ; branche des Esseniens. . 

Tugaargutica, 3. f. tberapeutique : partie de 
la medecine qui enseigne & guerir les maladies 
ow sdoucir leurs accidents. 

Tagaarfurıco, A, adj. therapeutique : qui 
arapport aux Thörapeutes ‚a lathörapeutique. 

TURREBENTINA. . 

TBEREBIiNTO, etc. | V. Torebinih..., ete. 

TueriacäL, adj. 2 gen. theriacal : qui a la 
vertu de la ihöriaque. 

Tuazaıkca ow Trrkica, 8. f. theriague : com- 
pesition de chair de vipöre et de cinsuante & 


THE 1148 


solzante drogues plus ou moins efflcaces en 
opiat: cordial et antidote. (Ag.) Presorvatif, 
antidote, remdde A un mal impreru, etc. 

+ TuenıocoLocia, 3. f. theriocologie : traitd 
des betes venimeuses. 

+ Taexıorouia, s. f. theriotomie : anatomie 
des brutes. 

TBERISTRO, 8. m. theristre » grand volle des 
femmes orientales ; espdce de chemise,vete- 
ment d’et& des anciens. 

Tu£aua, s.f."\hermes, bains chauds, 

TugamiL, adj. 2 gen. Ihermal : qui appar- 
tient aux ihermes. Agua —, eau thermale, mi- 
nerale et chaude. 

+ Tueauıpör, s.m.thermidor : onziöme mois 
de l’annee republicaine [rangaise. 

Taerruögo.V. Tremogo. 

+ TBERMOMETRICO, A, adj. qui a rapport au 
(hermomitre. 

TBERMÖMETRO, 8. m. thermometre : instru- 
ment meletorologique, tube avec de l’esprit de 
vin ou du mercure pour indiquer les degres de 
froid ou de chaud. 

THERMÖPYLAS, 8. f. pl. * Thermopyles: d6Ale 
de l!’OEta , en Grece. 

Tasse, s. f. tbedse : proposition, question & 
discuter owque l’on d6fend publiquement dans 
les ecoles. 

Tagsounipo,s.m. charge de tresorier. 

Tussoria, 8. f. tr&sorerie : emploi, bend- 
fice de trösorier; maison, bureau du tr&sorier. 

Tazsountıao, 8. m. tresorier : garde d’un 
tr&sor ; celui qui regoit et distribue les deniers 
d’un corps ; chanoine , etc., Pourvu d’une tre- 
sorerie. 

THEs6URO ‚s. m. trösor: amas d’or, d’argent; 
tresorerie; amas de choses pröcieuses mises 
en r&eserve, d’ornements d’eglise, de reliques, 
d’archives, de titres, etc. ; lieu oü on les garde; 
lieu de leur de&pöt ; (Ag.) r&eunion de choses pr#- 
cieuses , d’excellentes qualites, de sciences, de 
notions, de faits, d’idees, etc.; chose pr&cieuse, 
admirable, excellente. Garde-meuble de la cou- 
ronne. Fazer — de, se pourvoir, se munir de. 
Pör em —. V. Enthesourar. Onde esid 0 v0sso 
— ahi estd 0 vosso corapdo, Ih oü est volre Ir6- 
sor lä est votre c@ur. 

+ Tazssirıa,, s. f. ( t. de geog.) Thessalie : 
province de Pancienne Grece, sur ia mer Egee, 

+ TuessäLıco, A, adj. de la Thessalie. 

+ TuessaLönıca , s. f. (f. de geog.) Thessalo- 
nique, Salonique ow Saloniki : ville de Mace- 
doine. 

TuEssaLoNIcEnse, adj. ets.2 gen. Thessalo- 
nicien, de Thessalonique. 

TazssaLönıco, a, adj. et 8. V. Thessaloni- 
canse. 

+ Tatrıco ow Tn£rıo, a, adj. (podl.) de 
Thetis. 

Tutrıs, s. f.(t.de myih.) Theis : Mile de 
Neree. (fig. podt.) La mer. 

* Tagöno. V. Tido, Obrigado. 


+ Tueöncıa ‚s. f. theurgie : magie pour en- 


1146 THU 


tretenircammerco avec les dieux bienfaisants;; 
svocation des gönies, 

+ Tazöncıco, A, adj. Ihödurgique : de la 
(höurgie. 

+ Taumno, V. Thuia do Orients. 

Tnıuılma. V. Thymiama, 

Tnisıca , ete. V. Tisies, olc. 

Tnıispia. V. Thlipsia. 

+ TuLisrıo, s. m. (4. de bot.) thlaspi : plante 
erucifäre ; taraspic ordinaire, moutarde ou s6- 
nev& sauvage. —agresie , Ihlaspi des champs & 
large silique. 

+ TaLıpsia, s. f. thlipsie ; compression des 
parois d’un vaisseaa. 

+Tuouisuo, s. m. thomisme : doctrine de 
saint Thomas d’Aquin sur la gräce, la predes- 
tination. 

Tuowista, s. m. thomiste : partisan de la 
Goctrine de saint Thomas. 

T Teöna, s. f. (4. de bot.) thora : espe&ce 
d’asphoddle dont le suo empolsonne les armes. 

7 Tuonackre, s. m. (1. d’hist. nat.) corselet: 
partie du corps des insectes, entre la t&te et le 
venire ; leur poitrine. 


Tnoricıco, A, adj. thoracique : relatif & la | gre 


poitrine; du thorax. 

Tuoricıcos, s. m. pl. (6. d’hist. nat.) thora- 
elques : genre de poissons osseux, holobran- 
ches, col&optäres. . 

Ta6nıx, s. m. (4. d’anal. ) therax : capaalis 
de la poitrine, 

Tuöro, V. Toro. 

A H Taricıa ‚8. [.(8. de geog.) Thrace : contre 
’Asie. ° 


tTanicıo,a, adf.ets. Thrace, de Thrace, 
—s,s. pl. Thraces : peuple de la Thrace. 

{ Funucanıco, A, dj. traltre, fourbe, 

RASONISMO, 5. m. (Pp. us.) V, Insolencia, 
Temeridade. 

Tunelcıo. V. Thraeie. 

+ Tartno, s. m. Ihrönes : chant Iugubte. 

Tauöuno, s. m. (1. de mdd.) Ihrumbus ; tu- 
meur & l’endroiı de la saignee, 

Tuaöxo, s. m. tröne : siöge dlavd pour un 
souverain, dans ses fonolions solennelles ; 
(Ag.) pulssance souveraine des rois, Foyauis. 
Gradins en forme conique, terminant en une 
esp&ce de pelit tabernacle, oü l’on expose le 
Saint-Sasrement, oü l’on place la siatue d’un 
saint, el6. -—, siöge pour le pape, pour un ev&- 
que, dans les c&r&ömonies. Os—s, vl. les Trönes: 
lv Lroisiöme ordre de la hi6rarchie osleste. 

tr Tadıa, 8. f. (t. ds bot.) — do Orionss, 
"tihuya awtbuye: arbre voisin du cypräs. do 
occidente,arbre de vie, o&dre amerisain. 

TauRIaUL.ärto, &. m. Ihuribulaire; qui en- 
cense. V. Thuriferario. 

TavalauLo, 4. m. enconsoir : cassaleite aus- 
pendue & des chalnes pour encenser. 

Tuvaıcakuo, A, adj. (podl.) qui brüle de 
Penoens; oü l’on br&le de l’encens, 

Taunıreninıo, 6. m. thurifsraire ; qui porte 
Fencens ou l’ennensoiz, qui enconse, 


TIB 


Turairero, A, adj. qui ports, predait de 
Fenoens. 

Tavammasgid, s. f. ' emeensemeni: asien 
d’encenser. 

Tavumeapon, 5. m. 

Tayaımcinre, 3. etadj. 2 gon. 

Tausırıcir, eto. V. Fnsenser. 

+ Tavxinora, s. f. (1. de gdog.) Tharisg: 
ooniree d’Allemagne. 

Taösco. V. Toscano. 

Tar'ı. V. Tine. 

+ Tarzstio, a, adf. de Thyeste. (Ag.) Gi, 
atrooe 


Tavunaa ou Taruankına, s. f. (I de be) 
*thymbre : plante odoriferente. Thymbee: 
plante qui ressemble au thym. 

+ Turusato, adj. m. (1. de mgik.) Tiye- 
breus : surnom d’Apollon, adors & Thymin, 


gel enceam 


en Troade. 
+ Tav’uza, s. f. sacrifice d’un Ihon ofen 
Neptune par les p&cheurs. 


+ Turiuzıs, s. f. (1. dent.) teibune ei 
placaient les bouffons dans les entracies fi 
ihe4tre grec. * Thymel6 : orchestre da tköäirt 

c 


Tarmıäma, s. m. parfum, paslille & brüler. 
Tar’uo, s. m. (1. danat.) tihymus : glande & 
la poitrine dont on ignore Fusage. (1. dab. 
V. Tomilko. 

Teraöıng, s. f. (8. d’anat.) thyrole : earli- 
lage du larynx, en forme de bonclier; nand 4 


la gorge. adj. V. Th . 
YROIDEO, A, adı. (t. de bot.) tbyreldien: 
des thyroldes (muscle, art&re —me). 

TuYasicERoO, A, adj. (podi.) qul pre fi 
tbyrse. 

Tav’aso, s. m. thyrse : javelot enisart de 
pampres, etc., termine par une pomme de Pf, 
dont etaient armees les bacchantes. (1. de bl. 
—, disposilion des feurs en pyramide, com 
le lilas : les p6doncnles montant en diM* 
nuant. 

+ Tarasöso, a, adj. (1. de bot.) hyrailert: 
qui porte ses fleurs en thyrse (plante). Flr# 
— ss, fleurs thyrsiflores, en Ihyree. 

Ru TuYEsöide, adj. 2 gen, Ihyrsoide : M 


yrse. 

Tav'sıco. V, Tisieo, Lk: 

Tı, terminaison Irreguliäre da proaom - 
dans los cas obliques. Tol. . 

Tia, 6. f. tante. Ficar para ) vr 
pour ooiffer sainte Catherine. On le dit des n 
A qui leur Age ne permet plus d’espere! & 
FT pour finde (Naval 

* Tia pour avalt), . 

Tıära, 8. f. tiare : ornement de t4te ehe! ' 
Perses; triple oousonne du pape; (MR " 
gnits papale. 

TıBer:no. A, adj. du Tibre. 

Tınkza. V. Tibieze. est 
Tiyıa, s. fe (hdanas,) "Ubla: 09 Intert 
de la jambe. Fiüte. (a0 
Tıpıän, s. m. et adj. (1. deal.) ubial ( 

cle) : extenseur de la Jambe. 


,{ 





TIL 


Tıatamänte, ade. tiedement, aveo noncha- 
ance. 

Tıaıtza, a. f. üödeur : Etat entre le chaud 
et le froid ; (Ag.) nonchalance ‚'manque d’aoti- 
vite, de forveur, attiödissement, Indifference, 
eloignement, 

Tisıo, A, adj. liöde: entre le chaud et le 
frold ; (Ag.) nonchalant, qui manque d’activite, 
de ferveur; sans devolion; sans ardeur ; (roid, 
indifferent, 


Tıpöans,s. f. eapdce de soupe faite avec du | ba 
i 


pain rötli et de !’buile nouvelle. 


TIN 


Tıunörı. V, Til (arbre). 

Tirıa,s. f. *ülle: &corce de jeunes tilleuls. 
üd.V. Tü (arbre). 

+ Tirro, s. m. (l.dMst. wat.) Uülle, coleo- 
piere. 

TımAö, s. m, tImon de navire, barre de gou- 
vernail. Timon de voiture. Timon de charrue., 

TıupiL ow timbale : instrument mi- 

TımsäLe, 8. m. litaire. V. Alabal. 

TınsaL£ınO, s. mn. timbalier ; qui bat les tim- 
es. 
Tıma6, a. m, ((. du Bresil) espece de Ilane. 


1147 


+ Tisar, &. m. (1. de geog.) Tibre: feure dI-| V, 7 


lalie. 

- Tıciö, s. m. lison : morceau de bois & demi 
brüle, — do inferno , (Ag. fam.) personne 00n- 
damnee au feu de l’enfer; celui qui induit & 
pöcher. 

Tıgoipa,, s, fı coup de lison. 

Tıgogıro, 8. m." pinceties. 

Tioo, a, 9. p. de Ter. adj. Tenu; röputs, 
V. Havido, Ser — por sabio, eic., avoir la ro- 
putation de savant, etc. 

Tıckra, s. f. &cuelle, Jatte, — de barro, ter- 
rine. Fidalgo de meia —, noble d’une olasye 
moyenne, gentillätre. 

Tıee.äpa,, s. f. eouellde : cantenu d’une 
ecuelle. Manidre d’assaisonner le poisson , ma- 
rinade. 

Tıceuımma ‚es, f.dim. do Tigela.Petite dcuelle. 

* Tıaßıo. V. Tijolo. 

Ticaz ‚s.m. (i. d’hist. nat.) tigre; bete fEroce, 
qui ressemble au chat, du m&me genre; (fg.) 
bomme cruel. — real do Brazil, jaguar. — 
louro do Brazil, pumar ou couguar. — femes, 
uma— ‚tigresse, femelle du ligre. 

Tıonzzinno , dim. de Tigre. 

Tıcrino, a, adj. de tigre; tigre. 
ad Tiorıs, s. m. (4. de geog.) Tigre : Neure 

’Asie, 


"Tirmento, s. m. V. Detonga. 

+ Tuyzauicd vo Baazsı , s.m. (f. d’hist. nal.) 
srand manakin hupps : bei oiseau d’Amerique. 

TuoLßıao, s.m briguelier ; qui fait ou vend 
&o la brique, 

Tıı6Lo, s. m. "brique : terre argileuse rou- 
geätre, moulee ei cuite ow sechee, V. Ladrilko. 
Outil d’orförre. Doce de —. V. Guaiabada. 

TıL, s.m. nom d’un signe (”) orthographique 
qui, en portugais, rend nasale la voyelle sur 
l aqmelle il est placd; ss, signosd’abrevialion qui 
remplace le m ou m, comme en cäpo, sdlo, 
qu£is pour oampo , sanio, quenie. (fig.) Chose 
ininime, un rien. 

Tır ou Tina, o, m. (4. de bos.) tilleul : grand 
et bei arbre rosack. 

Tırad. V. Til. 

Tııps. V. Til (signe orthog.). 

Tirua, V. Til (arbre). 

*Tırai,s. f. (t. de mar.) *tillao d’un navire, 
V. Toölde. 

“Tırnido,s.9.V. Tiikd. 

+ Tino, 8. m. (8. de bot.) croton calhartique, 

grains do Tilly ow desMoluques. 


. Tingui, 

Tınanind,A, 9. p. de 

Tıupain, 0, @. &u blas.) timbrer ; melire 
un timbre. 

Tiusag, 8. m. (#. de blas.) timbre : sommet 
d’un casque; plöce au-dessus de l’Ecu. (fig-) 
Action glorieuse, 6clatante. (id.) Point d’bon- 
neur. Faser — de..., se glorißer ou se piqus® 
de... 

Tıyıäma. V, Thymiama. 

Tivınamäntre, adv. timidement, . 

Tımınaz, s. f. timidite : qualiis de l’etre d- 
mide; crainte habituelle. 

Tımıpfssıno,, a, adj. sup. de 

Tiumo, a,adj/. timide, craintif, peureux, 

*Tımon. V. Timdo. 

Tımonkına, 8, f. (f. de mar.) Jaumiere : on- 
verture par laquelle la Löte du gouvernail passe 
dans la voüte, 

Tımoxtino, s. m. (4. de mar.) timonnier:ma- 
telot qui gouverne le limon. O— virou a ampo- 
Iheta anles de lempe, le timonier a mange du 
sable. 

TıMORÄTAMENTE, adv. avec uno crainie sa- 
Iutaire. 

Tımoriro, A, adj. timore6 : peneirö d’une 
eraintesalutaire,, delacrainte de Dieu. Craintif. 

Tısonısapg.V. Alemorizade. 

Tiurano, etc. V. Tympano, etc. 

+ Tıuoch, m. (. du Brisil er d’hist, nat.) 
brochet espadon : polsson de mer, 

Tina, s. f. tine, cuve, baille; auge. — de 
bankos , baignoire, — da sonda (.de mar.) 
haille de sonde. — de combale , baille de com- 
bat. — das adrigas das gaveas, haille ou oage 
dea drisses des buniers. 

Tısipa, 8. f. euvde : contenu d’une tuve; 
augee. 

* Tıniıus, s.f. ouve,, ouvier. 

Tınazinaa,s. f. dim, de Tina. Tinette, petito 


cuve. 

Tinca, s.f. V. Tenca. 

Tıncäu, s.m, linchal ow linkal, borate de 
soude, borax d’Asie : sel propre & faolliter la 
fonie des ıneiaux. 

Tırcakına, 5. f. vase oü l'on mot le tinkal 
ow borax pour fondre lcs metaux. 

Tısctöna ‚#, f. (f,de phurm,) lincture, lein- 
ture. 

* Tinpo. V, Tide. 

Tixea.V. Traga, Caruncho. 

TINELLEIRO, 8. m, colui qui a sein du inello 


1148 ' TIN 


(V.cemot), qui fournit les provisions. elc. it. 
Commensal ow domestique d’un seigneur. 

TıxtıLo, s. m. salle basse oü mangent les 
officiers d’un prince, d’un seigneur. 

+ Tınkra,s. f. (inus.) |, dogme, opinion er- 

+ Tınf re, s.m. } ronee, Caprice, ma- 
nie. V. Sesiro. . 

Tınciovo, A,p. p. de Tiagir 

Tıncınöa. V. Tintureiro. 

Tıncınöaa, 8. f. teinture : action et effet de 
teindre. 

Tıxcin ,v. e. teindre : faire prendre A quel- 
que chose une couleur differente de celle 
qu’elle avait; colorer; imprimer une couleur. 
Teindre, tacher. On le dit surtout du sang. 
Il est aussi r&ciproque. 

+Tincırino, a, adj. ot s. de la ville de 
Tanger, en Afrique, dans la Barbarie. 

Tıncutıro, adj. m. Bote — , espece de petit 
bateau sur le Tage. 

Tıxcvi,s.m.(t. du Bres.) espece de liane 
puantie dont on se sert comme de la garoulte 
pour tuer le poisson. «4. Sorte d’herbe qui tue 
les bestiaux. 

+ Tımcvısäna, 8. f. (1. du Br&s.) peche faite 
avec le Tingui. V. ce mot. 

+Tınsusär, 0.0. (t. du Bres.) — os rios, 
jeter le Tingul dans les rivieres pour tuer le 
poisson. v. ». Etre empoisonns par l’herbe dite 
Tingui, en parlant des bestiaux. V. Tinguf. 

Tinua, s. f. teigne : sorte de gale plate, 
söche,, Ala tete. (fg.) *Defaut, vice. (ant.)V. 
Tina. 

Tınwid, s.m.aug. de Tinha. 

Tınsöso, A, adj.teigneux, qui a la teigne. 

Tınino ow Tınnıno , s. m. tintement, son aigu. 

+ Tınino, s. m. (1. de bot. ) sorte de laurier 
sauvage ( tinus oecidentalis). — bastardo.V. 
Folhada. 

Tıninte, adj. 2 gen. qui tinte, qui retentit, 

.a. de 

Tımin ow Tınnir, 9. ®. sonner, retentir 
comme les mötaux, tinter. Os owvidos finem, 
les oreilles me tintent. 

Tino, s.m.* facilit6 acquise par l’häbitude, 
rontine. (fg.) Jugement, bon sens , prudence, 
discernement, tact; intelligence , penetration. 
Perder o — , peräre la tramontane. if. V. 
Tina. 

TınöTg , s. m.” tinette,, corveau. 

Tinta , s. f. teinte, teint, teinture. Couleur : 
drogue & peindre, & teindre. Encre & &crire, & 
imprimer. (Ag.) Couleur, nuance. Fazer-se de 
melhor — , devenir plus poli. Tomar muila—, 
(fig.p. ws.) prendretrop de familiarite. Tomar 
—d’alguma cousa , prendre une teinture, une 
connaissance superficielle, de quelque chose. 
Recummendar alguem de boa —, recomman- 
der quelqu’un avec &loge. 

* Tinte, 3. m." boutique, maison de teinto- 
rier. V. Tintsaria. 

Tıntkıro , 8. m. encrier : petit vase & mettre 
deV'encre. Ficar no— ,(Aig.) rester au boutl de 
: la plume. On ie dit d’ane chose qu’on vublie. 


% Pr, 
Tagı 









TIR 


Lorsqu’on le fait & dessein, on dit : Deiser ns 
linleiro. 

+ Tınrım. (espress. fam.) Tinfimper — ur 
nutieusement, motä mot. 

“Tınrını,s.m. ancien jeu defende. 

Tinto,&A.p.p. irr. de Tiagir. Teint; cslore. 
Vinko—, vin rouge. 

Tıntöa. V. Tintureiro. 

Tınroazıra. V. Tinsureire. 

Tıntöaa, s. f. teinture : action de sand; 
liqueur preparee pour cet ef ;couleur, teimz; 
couleur extraite d’un mineral ow d’un vegetal; 
($.de mdd.) extrait liquide et color& d’une su 
stance; (fg.) connaissanco superficielle da 
art, etc. 

Tınturaria, s. f. teinturerie : meter, ar, 
atelier, laboratolre de teinturier. 

Tınturtıra , s. f. espece de grand regeis. 

Tmrtuatıro, 3. m. teinturier : qui exerr 
l’art de leindre ; sorte de raisin rouge fearz 

Tınrurftıro, A, adj. qui teint, qui ser a 
teindre. Plantas —as , (t. de bot.) plantes Ler- 
toriales ‚ qui peuvent servir & teindre. 

Tio ,s. m. oncle. — carnal , oncle, frere ca 
pere ou de la möre. 

Tıörsa. V. Theorba. “ 

+ Trıti, s.m. (f. du Bres.) sorte de eyladıe 
de paille dans lequel on met le manioe port ke 
meitre en presse. 

TirLE, s.m. dessus : partie la plas hauie 
la musique; oelui qui la chante. 

Tırösa, s. f. "palanquin & filets. V. Serpe» 
lina. 

Tırockaria, etc. V. Typo is, eit. 

+ Tirvıa, s. f. (1. d’Aist. nal.) tipule: meuche 
hydromye, qui ressemble au cousin. 

Tioue Tiguz, 5. m. jeu de trictrac. 

Tira, s. f. bande, bandeletie. Häte, dir 
gence. Fazer —, ou em —s, dechirer. 

+’ Tıra-paaciL, s.f. ou m. bandage peur io 
hernies. 

+° Tıaa-zrscußı.. V. Tirsbregel et Tr 
vergal. 

TıracöLLO, 3. m. sorte de beudrier ou bas- 
doulidre. A—, en dcharpe. — do terpads. V.Te 
labarte. 

Tıripa, 3. f. traite, transport, expert 
de marchandises (p. us. ).” Tirage, action de 
tirer. Traite, dtendue de chemin d’un en s 
un autre. Long espace de temps. Dums-. 
tout d’une fraite, d’une lire, sans e m 
poser. 

Tırapkıras, 8. f. pl." traits, longes de cards 
avec lesquelles les chevaux lirent lelmanjarrı 
(V. ce mot) d’an moulin & sucre. 

Tıaivo, A,p.p. de Tirer. 

Tırapon, 3. m. tireur : celul qui türe. Pre= 
sier : imprimeur qui travaille & la presse — 
d’ouro ,lireur d’or. — d’uma talha, (k. de mer. 
garanı d’un palan. 

Tıaa-FÜNDO,, 5. m. grande taridre. 

Tıricem , s. f. (l. dimnpr.) " irage. 

” Tira-Linuas, s. m. lire-ligne : instrumens de 
dessin pour iracer des lignes & l’enere. 

















TIR 


Tıaamenro, 8. m. Yaction et l'effet de tirer. 
V. Exportaglo et Cobrance. 

+ TırauorLia, v. a. (f. de mar.) — uma la- 
Iha, etc., aflaler un palan, ofc. 

Tıaino,etc. V. Tyrano, etc. 

Tırinte (a), adj.2 gen. approchant, peu dil- 
förent de, tirant sur. 

Tıräntg, 3. m. tirant : pidce de bois de char- 
pente qai entre dans un toit. Ligne de [er qui 
passe d’un mur ä un aulre. —s, pl- traits : lon- 
ges de 'corde ow de ouir avec lesquelles les che- 
vaux tirent. 

Tıräd, s. m. action de tirer avec violence, 
secousse, eto." Saceade. V. Estirädo. 

Tırar, s. m. tire-pied : esp&ce de courroie, 
instrument de oordonnier paur tenir l’ouvrage 
sur le genou. 


Tıraa, u.a. V. Alirar. Tirer un carrosse, 
une charrette, etc. V. Puchur. (de) Tirer, Oter; 
delivrer, degager; retirer d’un e&tat penible, 
d’une siluation dangereuse, elc.; recueillir, 
percevoir, recevoir (des profils,, etc.) ; exiraire, 
copier ; enlaver; arracher, Öter de force ; pren- 
dre; deduire une consequence; delivrer copie 
d’un acte; tirer d’un emploi, detourner d’une 
occupation ; priver de. Excepter. Extraire. Alti- 
rer. —,-produire, mettre au jour. On le dit 
des oiseaux qui couvent leurs @uls, surtout 
lorsqu’ils sont pröts A &clore. Detourner, dissua- 
der. Empe6cher. V. Tolher. Dresser, redresser. 
Demander, exiger, recouvrer. Tirer l’or, l’ar- 
gent, etc., les etendre en His delies. —, impri- 
mer. — a publico, d luz, meltre au jour, ren- 
dre public. — a campo, a lerreiro, defier, ap- 
peler sur le pre, en duel.— das mäos, Öter, 
arracher d’entre les mains. — fructo , obtenir 
ce qu’on desirait. —a espada , tirer l’öpee, de&- 
gainer. — forgas da fraqueza, [aire de neces- 
sit vertu, faire contre fortune bon caur. — 
uma duvida, lever un doulte. — copia d’uma 
escriplura, lever copie d’un acte. — 0 reiralo 
de..., tirer, faire le portrait de... — devassa, 
faire unsenquäte. V. Devassar. — a gallinha os 
000s, faire eclore ses @ufs, en parlant d’une 
poule, eto.—o ferro dlanga, deferrer un ja- 
velot. — informagöes, prendre des informa- 
tions. Sem — nem por, au pied de la leitre, 
sans exagöration, sans figure. —o chapeo, 0 
barr6te, etc., öter son chapeau, son bonnet, 
‚etc., se d&couvrir. — 0 seu chapeo, melire cha- 
peau bas.—um olho a alguem, crever un @il ä 
quelqu’un. V. Olko. — alguma cousa da cabera 
s alguem, dissuader quelqu’un d’une chose.— 
o somno, emp£cher de dormir.—por sorte, 
tirer au sort. — alguem do seu sıs0, faire per- 
dre latramontane , le jugement & quelqu’un. — 
uma linha, tirer, tracer une ligne. — foros, di- 
vidas ‚etc., recouvrer des &cus, des detles, etc. 
— licengs para..., demander une permission, 
le pouvoir de... — esmolas, demander ot ob- 
tenir des aumönes, quöter. — palavra d’al- 

guem , obtenir la promesse de quelqu’un; lo 
faire parler, lefaire jaser.—a palavra da 
d’alguem , prövenir ce que quelqu’un voulais 


TIR 1149 


dire. —o boccado da bocca, (fg.) 56 priver du 
necessaire. — a prova, verifler un calcul. — 
vangloria, lirer vanitd. — os olhos d’alguma 
cousa, &carter les yeux d’une chose. — 0 se®- 
lido d’um objecto , ne plus penser ä un sujet.— 
d’uma lingua em ouira, Iraduire, faire une 
traduction. — a sua a limpo. V. ce mot. — & 
alca a um moildo, (1. de mar.) destroper une 
poulie. 

Tırär (a, para), v.". se diriger, se porter 
sur. (por) Tirer, mouvoir vers sol. V. Puchar.‘ 
para uma cör, tirer sur uno couleur. — da 
espada, tirer l’&öpeo, deyalner. a 

Tıran-se (de), v. r. se tirer, sortir de; sion 
tirer, . 

+ Tıaaresta, s. f. sorte de t&tidre de cheval. 

+ TıraveaciL, s. m. caurroie qui retient les 
muleis & la litiere. 

+ Tıravira, s. f. (li. de mar.) trevire : cor- 
dage en double pour embarquer les futailles. 

* Tıriz, s. m. sorte d’ancien lissu de lin. 

Tiaicıa. V. Ictirieia. 

f Tirıcıäpo, A, adj. qui a la jaunisse. 

Tırinua , dim. de Tira. 

+ Tırınrımtim, s. m. son du clairon, de la 
trompelte. 

Tıaırana , s. f. V. Parielaria. it. Sorte de jw» 
pon de paysanne. V. Tricana. 

Tırıraa, v. w. trembler de (roid, Lrembloter, 
grelotter. 

Tino, s. m. tir : action de tirer; ligne par- 
courue par le boulet. Coup, jet. Coup d’arme & 
feu , charge d’un canon, etc. (fig.) Piece d’ar- 
tillerie, canon, etc. Attelage de chevaux, de 
mules de m&me poil, ete. Trait de carrosse. V. 
Tiranie. Errar o —, manquer son coup. A— 
do canhädo, & la portde du canon. — de pedra, 
d’espingarda,, etc., distance d’un jet de pierre, 
portee de fusil, etc. Fazer — aslguem,, (flg.) 
attaquer quelqu’un. Fazer — a alguma cousa, 
(id.) viser, pretendre ä... Cavallos de —, che- 
vaux de trait. —s morlaes, traits meuririers. 
Nem todos os —s acerläo, tous les coups n® 
portent pas. — d’alvorada (tl. de mar.) coup 
de canon de Diane. — de recolher, coup de ca- 
non de retraite. — parschamar d [alla um na- 
vio, coup de canon ä heler un vaisseau. — ds 
leva, coup de canon de partance. — para fir- 
mar a bandeira, coup de canon d’assurance, 
— d’experiencia, coup de canon d’epreuve. — 
por baixo do horizonte, coup de canon sous la 
ligne horizontale. — de ponto em branco, coup 
de canon but en blanc. — por oda a bulada, 
coup de canon & loute vol6de. — ao lume d’a- 
gua, coup de canon & fleur d’eau. — 00 cosia- 
do, coup de canon en bois. — a metler no fun= 
do, coup de canon & couler bas. — a desarvo- 
rar, coup de canon & demäter. — de balla ver- 
melha, coup de canon & boulet rouge. — de 
palanquela, coup de canon ä& boulet barr& ou 
ram6. — de balla encadeiada, coup de canon 
& boulet enchaine os rame. — de balla dca, 
coup decanon & boulet creux. 

TıROCINIO, 8. 9. apprentissage ; RoYicias, 


& 


1156 Tır 


Tırorico-ıico, 3. m. expression usit&e dans 
ub jeu d’enfanıs. 

Tır-Te pour Tırı-re (öte-toi). 

® Tıadpo. V. Teüdo. 

Tırvßra, s. 1. sorte d’stoffe de sole qui venalt 
de Castille, 

Tısina, s. f. tisane. 

* Tisiea, 3. f. phthiste : maladie de consomp- 

tion. 

Tisıco, a, adj. phthisique : malade de la 

thisi 


Tisıquibios. V. Riiguidade. 

Tısna ,s. f. tache de suie. V. Tisne. 

Tısnipo, A A,P.p. de Timar. 

TISnanuna, 8. f. tache de noir, noireissure 
V. Tisna et Time. 

Tıswik, vd. s. nofrelr, barbouiller avec de la 
suie , etc. ; barbouiller de noir. Roussir. Häler. 
(Rg.) Noirelr, denigrer, ternir la r&putalion, 
souiller. 

Tısnz, s. m. *noircissure causde par la Iu- 
mee, etc. Roussi. Häle. 

Tısöuna, ete. V. Tespurs, elc. 

Tıssö, s. m. tissu : 6toffe de soie, d’or, d’ar- 
gent ä Neurs. 

Tırinıo ow Tırino , s. m. titane : metal cas- 
sant, oxydable. 

Tıriö, s. m. (1. de mytA.) Titan : Bis du Ciel 
et de Vesta. (podt.) Le soleil. 

Tırgua, s. f. blanc de la volaille. 

Tırzazin, v.». faire mouvoir les marion- 
neties. 

Trırertino, 8. m. joaenur de marionnettes, 
jongleur. 

Tireres, e. m. pl. * marionnettes. 

Tırnönıa, 3. f. (podt.) Paurore. 

TırnruaALo, s. m. (ti. de bot.) titbymale : 
ptante dont le suc est laiteux el corrösil. — pe- 
iustre , euphorbe des marais. 

Tırrr.aciöd,s. f. uulltavion, chatoufliement. 

Tırı.L.Äipo,A,Pp.p. de 


I TırıLıär, o. a. et". titiller, chatouiller, dö- 


mäanger. (fig.) Flatter agreablement. 

Tırı.ıär, adj. 2 gen. (}. d’anat.) Veias — es, 
veines sous l’aisselle. 

+ Tri, s. m. (t. du Brs.) sorle de garoute 
pour tuer le poisson. 

Tırina , s. 7. sorte de petit oiseau. 

Tirıez, etc. V. Titere, eic. 

Tırör, "etc. V. Tutor, eic. 

Trusinte, adj. 2 gen. vacillant; irrösola, 
qui hesite. p. a. de 

Tıresin, v. ». vaciller, chanceler, n’ötre pss 
ferme. Begayer. (fy.) Balancer, hesiter, eire en 
süspens. 

Tıruseaci6, 3. f. litubation, vacillation. 

Tırupein, etc. 7. Titubar, etc. 

„nroLäpo, 4,9.p. de Titular, ad). Intitule; 
titre 

Tırvıia ‚adj.2 gen. titulaire ı qui a le tilre 
etie droit d’une dignite , sans en avoir la pos- 
session. Titre : qui a un titre. 

Trrumir,, v. a, V. Intitular. Titrer : donner 
un tiu®, 


TOC 


* TıroL£ıao. V. Epilapkio. 

TireLo, s, m. titre : inscriplion & ia Idie d’e 
livre, d’an cbapitre, eto.; it& benerabis, 
hom de dignits ; acte qui &ablis un drei um 
qualite ; droit de posseder; degrö de Encme 
d’un metal (p. us.). Titres : provision d'un el- 
Bce, etc. Nom,renom, röputation. (Ag.)'Om- 
bre , pretexto. A—de, Aliire „ en qualäl, mus 
pretexie de. 

Tırrmäro V, Tiikymals. 

Tızöura, etc. V. Tesoure. 

Tıaser. V. Tilaspt. 

TuEsg ou } (8. de gramm.) tendse : partag 

Tuzsıs, s. f. G’on ompeasendeut äpm 
de diction dont voici un ezosnple em lalia: ap 
tem subjecla Irioni pour subjecis soplewirien. 

To , interj. pour appeler les cbiens. Tai! 

Toon To pow Treo {te lo). Zu 5 dirsi, % 
te ie diral. 

Tea, 8. fı (d. de mer.) reinerqwe, toue ; cot- 
dage pour touer. Lover um navio d—, wur 
un nevite. r&—, «fer & vau Feau. Trasr 
ums amarra 6 —, Iaisser wainer un edble a 
lo sillage du veisseau. Fazer ums wumd-, 
(Ag.) agir en #tourdi,, Inconsiderement. Fogr 
d, errer & l’aventure. 

Toäva, s. f. "ion ouson de voix; gir deme- 
sique, chanson. 

Toipo,ı,p.p. de Todr. ud). Harmouiset, 
melodienr. 

Toiuma, s. f. — ds mörs, nappe, — de mies. 
essuie-mains, serviette.—de Isvatorie, twazilie. 
Cofffe de teile de religieuse. 

* ToaLntıe. 7. Gessdenap2- 

T ıLninna ‚8. f.dim. de Toalke. Servielie. 

ToinTE, adj. 2 gen. sonnant; Consonnsal P. 
a. de 

Toir, 0.%.somner, rendre un son, resonter, 
retentir.(fg.) Plaire, convenir. Togner (p. u... 
Iso ndo me !öa, (fig. [am.) cela ne me il 


oknnas. V. Zloarda. 

Toca,s.f. ereux, trou. (burl., V. Cazebrs. 
de eoelhor, ete., "terrier de lapins, etc. 

TocıpiLHo, s. m sorle de jeu de trieirze. 

Tocipo, a, p.p. de Tocar. adj. Auteint — 
da pesie, atteint da viras de la peste. — de 
vinko, un peu pris de vin. Fruis —e, fruü gu 
ctömmence ä 56 gäter. 

TocapdR , A,3.celui quitouche. Jouenr d%- 
strument. 

Tocapüra, 3. f."toucher, altouchement, tı#- 


kact. 

Tocautxto, 3. m. (p. us.) V. Toradars ei 
Toque. 

Tocino. V. Tucano. 

Tocänte, adj. 2 gen. touchant, sensihis; 


eoncernant, quant ä, ir l’ögard de.9.0 de 
Tocär, v.@. toacher, manier, täter. AlteiB- 
&reaveclamain. Toucher. On le dit d’une ches 
en conlact avec une aulre. (flg.) —, dmouvoik. 
—, Iraiter legerement, effieurer. Regarder, ca» 
cerner. Sonner. Ex.: —a defunios, a resolker, 
s"»r nour un mort, Ssonner 3a reisale 











ar 2 3. 


- 1.1 mw zn ap Eu 


Rn 


TOD 


;, Touther, eprourer les metlaux avec laplerre de 
.! touche. Batire , etriller, chätier, Criliquer, cen- 


surer (p.us.). Gäter. V. Eivar. — legsiramente, 
de passagem , eflleurer. — cavallos, etc. , fouet- 
1er les chevaux , eic. «= Iamndor, batire la caisse. 
— quilarra , harpe  Iyra, pimcer de la guitere , 
de la harpe, de la Iyre.— rabeca, flausia, jouer 
du violon,de la flüte, — oraso, orgdo, toucher, 
}ouer du olavecin,, de l’orgue. — trompa, den- 
ner du cor. — irembetae, clarins, jeuer de la 
trompette, du olairon. — sinos, sonner les olo- 
ches. — d missa, sonner la messe. —@ vesper’as, 
ao sermäo, etc., sohner vepres, le sermon, ei6. 
— a rebate , sonner l’alarme, le toesin. — 4 
degoils, sonner la charge. Bailar conforme 
foedo , (fig. fam.) s’accommoder au temps, aux 
eirconstances; hurler aveo les loups, erier 5&- 
Ion les temps : Vive le Roi! vive la Ligee! — 0 
painel, retouchber un tableau. 

Tocir (a, em), v. n. toucher, coneerner, re= 
garder, appartenir. Rıre da deroir, de l’obli- 
gation. Importer. Revenir, en parlant d’une 
somme, dans un partage. (fg.) Tomber, echoir 
par hasard. —, &tre pres, contigu, avoisiner, 
(Ag.) —, &re parent, allie., Touchor : heurter 
le fond, un rocher, en parlant d’un vaisseau. 
Sonner, en parlant des cloches. Töos ou estd 
tocando d mitsa, la messe sonne. -— por sorie, 
tomber, schoir. — d’alguma cousa, (Pp. %s.) 
etre meld, parliciper de... Fallarei quando me 
—, je parlerei & mon tour. Pelo que foca ao 
mais, de reste, au reste. T’öca u dansar, afol- 
gar, (fam.) il est teınpa de danser, de samuser; 
allons danser, allons nous amuser. Pelo que 
toca &..., quant &, pour ce qui est de... Podra 
de — , pjerro de touche. 

TocäR-SE, ©. r. 86 couper, en parlant des 
chevaux, etc. 

Tocita, s. f. piöce, ınorceau de musique in- 
strumentale. 


Tock, etc. V. Tosse, etc. 

Tocua , s. f. "Nambeau de cire; totche. (Ay.) 
Flambeau celeste, astre. V. Velador. 

Tocueıra,s. f. Jtorchäre, grand chändelier 

Tocukıro, s. m. | pour les Dambeaux de cire. 

* Töcno, s. m. "barre, piece de bois ronde. 

Töco, s. m. *souche, ehicot d’arbre, Ecot; 
partie qui reste en terre d’un arbre aballu. 

Tona, s. f. sorte d’olseau. 

Tönaras pour Tonas as (loutes les, au fEmM.). 

Topavia, adv, toutelols, cependant, nean- 
moins, pourtlant. oo 

+ Tonkıno;, s. m. (6. d’hist. nal.) todier : träs- 
peiit oiseau de P’Amerique septentrionale. 

° Topınosa, adj, tout co jour. — 

Töno, A, adj. tout. Entier, en entier. Um co- 
ragdo — 00880 , un cur toul A vous. Em toda, 
sor oda a paris, partout. —s 08 dias , Louis les 
jours, chaque jour. ' 

TöBo,s. m. tous : chose consideree en son 
enlicr; toutes choses. —, quantilö comparde & 
une de ses parties. 4 —, autant qu’il est possi- 
bie. &x.: A— correr, eic. De — ‚ entiörement, 
sans exception De —em— tout A fail. - 


TOL 1151 


smounon eu T6öu0Los pour Tomos os (tous 
3 ® 

Ten0o-Popandse, A, adj. tout-puissant, toute- 

ulesahle, Comme substanilf, ilnesedit que de 

eu. 

Tossa, e. f.teise: mesure de longusnr de bik 
pieds francais, 

Torägeo. V. Tophacso, 

+ Torsı, e. m. sorte de tambour de basqae. 

Tooa , #. f. oge : robe Iongwe des Romains, 
en temps de paixz. Robe de magistrat. Robe, 
magistrature. 

Tociso vw TociTo, A, ad. et 8. dB robe: 
Gai, par &tat, porte la robe, etc. ; revetu de la 
tobe. Os—s, les gens de robe. 

Toıca.V.T . 

Toıcineo. V, Toweinho. 

® Toison. V Torte. . 

Tosir, s m. ehamp oouvem de jons marin, 
de gentt &pineux, etc. 

Tostına, e. f. "jone marin. V. Tofo. 

7 Tostıro, s. m. celui qui epporte da jones 
marin, ets., pour chauffer les lodrs. 

T610, s. m. (t. de bot.) jon« marib, ajone, 
gendt Epineux : arbrisseau Woujonrs vert, dpi- 
heux. — mellar, genet de Portugal. 

+ Töra, s. f. (burl.) la tdte, 

TOLAMENTE, adv. Bottement , follement , bö- 
temen!t. 

ToLin. V. Folina. 

Toriö, V. Toleirdo. 

TöLpa, s. f. chancissure qui se forme sur le 
vin. (8. demar.) * Tiltao d’un valssean; gaillard 
d’arritre, demi-pont. * Banne sur un ba- 
teau, elc. 

Torino, A, p.P.de Toldar. adj. Couvert 
d’une banne ou d’un tendelet. Couvert, nebu- 
leux, en parlant da temps. — com vinko, pris 
de vin. Yinho —, vin chanci ou teurme. 

TorLpär, 0. a. Banner : couvrir d’une banne, 
d’un tendelet ou d’une tente. (fig.) Obscurcir, 
couvrir de nuages. 

Toıpär-se , 0. r.se chancir, tourner, en'par- 
lant du vin. S’obscureir, se couvrir de nuages, 
en parlant du temps. 

TöLpo, s. m. *banne, tendciet, lente, pa- 
villon pour garantir du soleil. (}. de mar.) 
* Tente. — do escaler, tendelet. 

Ri ToLRDANO, A, adj. et s. tolddan : de To- 
e. 
+ToLßno, s. m. (4. de gdog.) Toldde : ville 
pagne. y 

ToLkıua ,s. f. betise, niaiserie. 

ToLgıräd, s. m. aug. de Tölo. Grau sot, 
beta, grand nigaud, benet, 

ToLsınöna,s. f. V. Toleiräo. Grande sotte 

"Tote. V. Tolker. 

ToLzrino, 4,7. p. de Tolerar. 

Torzaäncıa, s. f. tolrance : condescen- 
dance, ındulgence pour ce qu’on croit ne de- 
voir ow ne pouvolr pas einp£cher ; permission 
d’exercer un culte, de prolesser une docirine, 
une opinion. Patience & souffrir, souffrance. 

ToLErÄnTK , p. a. de Tolerar. adj. Tolerant, 





1152 TOM 


qui toldre; partisan du tolerantisme ; indal- 
ont. 

8 + ToLeranrisuo, s. m. toldrantisme : Sys- 

i&me qui fait tolörer toutes sortes de religions, 

porter trop loin la tolerance. 

ToLerär, o. a. tolerer : souffrir, permetire, 
supporter des choses röprehensibles, des per- 
sunnes; avoir de la tol&rance. Souffrir, suppor- 
ter avec patienoe ; endurer. Dova-se na vordade 
—.0 que se ndo pode impedir, il laut bien to- 
leror co qu’on ne peut pas emp6cher. 

TOLERAVEL, adj. 2 gen. tolerable: qu’on peut 
tolerer ; qui se peutsouffrir ; supportable. 

TOLERAYSLMERTE, adv. d’une maniere tole- 
rable; passablement. 

Toıxrino. V. Toledano. 

ToL&re, adj. 2 gen. V. Tolinko. 

Toutes, s. m. pl. (t. de mar.) tolets, &cho- 
mes : chevilles sur le plat-bord d’une galöre, 
etc., pour retenir la rame. 

+ Torertıras, s. f. pl. (t. de mer.) * taqueis 
de nage, tolletiöre . 

ToLneoöra, 8. f. fiente d’oissau de proie. 

Toraßıro. V. Tolhido. 

Toruta, vo. a. empecher, embarrasser. Rete- 
nir, arreter. Interdire, defendre. Engourdir. 
— 0 passo, barrer le chemin. 

Toınta-sE, v. r. ötre perclus ow engourdi ; 
se paralyser. 

ToLuivo, A,9.p. de Tolker. adj. Emp6ch&, 
ombarrasse. Engourdi; perclus. 

ToLuıM&nTo,, s. m. emp£chement, obstacle. 
Engourdissement; paralysie. 

T6LB0, s. m. poisson de mer qui ressemble 
au spare. 

ToLicg, s. f. sottise, betise, niaiserio; sim- 
plicite , ineptie. 

ToLina, s. f. (durl.) ecornillerie. 

ToLinär, v. a. et n. &corniller, trucher. 

ToLın&ıro , adj. ets. m. (durl.) &cornilleur, 
trucheur; &cumeur de marmite. 

ToLinuo, a, adj. dim. de Tolo. Sot, solle. 

ToLıpa. V. Tulipe. 

TöLLe, s. m. (t. latin.) Tomar o —, (loc. 
fam.) plier bagage, s’eclipser. 

ToLo,A,.adj. sot, nigaud; niais, imbecile; 
fou. E bem — quem se esquäce de si, est bien 
fou qui s’oublie. 

tTouön, s. m. (l. de geog.) Toulon : ville 
et port de France. 

TorLöna. V. Toleiröne. 

ToLöntRo, s. m. V. Tubara, Carogo. Ü. 
"Bosse, enflure, dlevure qui vient de cantusion. 

+ Torösa, s. f. (t. de g&og.) Toulouse : ville 
de Francc. solose : ville d’Espagne. 

t Torosäno, a, adj. ei s. Toulousain : de 
Toulouse. De Tolose. 

+ ToLukına paLsämıca, 8. f. (1. de bof.) plante 
balsamıque (Toluifera balsamica). 

Ton, s. m. ton : inflexion , degr6 d’slevation 
ow d’abaisserment de la volx; ımaniere de par- 
ler: caracıdre de l’&locution , du style, inter- 
valle entre deux noles consecutives (comme de 


TOM 


degr&e d’6lövation du son des insirumens; 
mode dans lequel une musique est oomposet. 
Mode : relation des notes formant Yane des 
deux echelles toniques, majeure om mineswre. 
—, maniere particuliered’agir, etc. ; (Ag) foree, 
vigueur, energie; mode, manieres; osndaile 
en sociöts. Motif, occasion , etc. A qus —, 084 
que somvem isso, (fam.) ä quel propes, i ye- 
pos de quoi cela? Sem — nem Som, Sans ram 
ni raison,, ow & tort ei A travers. 

Tou,s.m. (l. de bot.) V. Peucedano. (tl. d’ Asa, 
Edifice, temple. 

Touipa, s. f. action de prendre. Prise du 
place assiögee, eic. 

Tomapäre, adj. m. dim. de Tomadı. — de 
vinko, un peu pris de vin. 

Tomapia, s. f. prise, butin ; saisie, caplurt 
de marchandises. 

TowaADico, A, adj. (pop.) V. Agasiadıyı d 
Desconfiado. 

Towino,A,p.p. de Tomaer. adj. Pris; sam. 
it V. Agasiado, Aggravado. — da colsre, de 
peixäo, qui est en colöre, emporie, irriie — 
do vinko, pris de vin. —d’amer, &pris d’aszest. 
Cadella, etc., tomada do cio, chienne, eic., 
chaleur. Besta de carga —a, beie de sewax 
blessee sur le dos. Couwsa —a ds mdos, chmi 
connue, averee, palpable,, evidente. 

TomanOR, s.m. preneur: celui gei premt. 
— de dinheiro arisco marilımo, (1. de oımm. 
preneur & la grosse. —esde geirtia, (1. demar.! 
lignesowrabans de frelage, garceites de vodes. 

+ Tomap6un0s, 5. m. pl. (1. de mer.;V. Ti- 


Tomapüna, 8. f. blessure, &corchere su das 
d’un cheval,, etc. 

* TONAMENTO, 5. m. " prise : action de pre=- 
dre. V. Tomada. 

TOoMäR, v.a. prendre : saisir avec sa mais; 
meitre en sa main; Semparer de; recevor., 3% 
cepter. (fg.) Prendre bien os mal, inierprrief 
en bonne ou mauvaise part, etc. Preudre dass 
un sens. Lever, percevoir. —, emporter d=- 
saut, eic. Manger ow boire : prendre un repsi. 
un bouillon, du cafe, etc. Prendre le cha: 
de, s’acheminer vers. S'’emparer d’un pssss”. 
etc. —, öler, attraper; voler, derober ; sache. 
embrasser un 6lat, une profession, ete.: m.:- 
ter les maniedres, le style, eic. Relever, reire.- 
ser. (fg.) Surprendre, saisir, survenir, en par- 
lant des accidents, des afflicions, ei. —., 
choisir, preferer. Couvrir, saillir , en paris 
des animaux. Dösirer. Tomar, joint & queilgus 
noms, signifie la meme chose que les verie: 
relatils A ces noms. Ex. : — resolugde, dem» 
s0, eic., S6 Tösoudre, Se reposer, etc. Joint aut 
noms de certains instruments, il expriase Fat- 
tion & laquelle oes instruments servent. Es.. 
— 5 pyenns, prendre la plume : öcrire. —e 
agulka, prendre l’aiguille : coudre. — mer, 
affeicdo, s’afleclionner pour. — d sus mei 
prendre sur son compte ; se charger de. — a» 
lor, prendre chaud, s’schauffer ; (%g.) s’aniss. 


wsärd, etc.); mode de chantdes psaumes; son ; | Prendre [eu,0t0.—conias, ozammineor an o0EHpf% 








TOM 


ou la conduite de quelgu’un. — 0 fresco, ar, 
etc., prendre le frals, prendre Y’air, etc. — o 
vento, prendre le vent, en termes de marine 
ei de chasse. — folego. V. ce mot. — a lirdo a 
um esiudante, faire reciier A un ecolier sa 
lecon. — as de Villa Diogo , (fam.) prendre le 
chemin de saint Jacques, s’enfair, prendre la 
poudre d’escampetie. — Jingus, prendre lan- 
gue, s’informer. — parscer, conselko, prendre 
avis ow consell. — porio, prendre port, abor- 


TON 1153 


ner. v. #. tomber en roulant; culbmter ; saho- 
Pe 

Tömno, s.m. *" chute en roulant; culbute. ‚ 
Plan terrier; cadastre, cartulaire. — dos 
coup de des. Aos—s, (loc. adv.) en roulant, on 
oaholant. Ser —,ötre Ires-srudit. —s do reine, 
les archives du royaume. Torre do — ‚ char- 
wier, lien od sont deposses les archives de 
royaume. da torre do — , garde 
general des archives da royaume, grand-archi- 



























der. — ierra,, prendre terre, aborder, terrer. | yiste en Portugal. 
— eriados , composer sa maison. — com ambas| -Townono.V.Combro. 
as mäos, prendre des deux mains. — augmenio, TomzattLLo , dim. de Tomento. 


augmenter. — por sorpresa, eımporier par sur- 
prise. — a peilo,, prendre dä omur. — ezempio, 
prendre Pexemple de queiqu’un. — por per- 
dido, saisir, confisquer. — de eör, apprendre 
par caur. — ordens, öire ordonne (diacre, 
pretre, eto.). —as ordens d’alguem, prendre les 
ordres de queiqu’un. — ums d me- 
zena, ( 6. de mer.) prendre le fanon d’artimon, 
la pointure. — a altura do sol, (id.) prendre la 
hauteur du soleil. — dögs, (dd.) saisir aveo une 
bosse & aiguilletts. — sobre si, prendre sur sol, 
se cChargerde. — a oocasido, saisir l’oocasion. — 
o tempo a al.guem, deranger, importuner quel- 
qu’un. — & miorie por suas mäos, so suicider ; 
(Ag.) attenter sur soi-möme, agir contre ses 
propres intör6ts, eto. — alguem em ooche, soge, 
etc. , faire entrer quelqu’un dans sa voiture. 
—alguem em palavras, faire parler quelge’un, 
iui faire avouer. — casa, leuer une maison. — 
mulker, prendre femme, se marier. Tomdi-@ 
com alguem , (fg.) prendre gaelgwun en 
grippe, s’on prendre A un autre. Toma ou 
toma Id, (fam.) attrape cela. On le dit en don- 
nant un coup & quelqu’un. Töme-o Y.M. por | nant au-dessus de 60 almndes ; mesure de B- 
si, promes-le pour vous; avis au lecteur. To-| uides, deux pipes ow 5# almudes. Tonneen. 
mdra elle! il ne demande pas mieux. Fal mais| V, Tonslada. 


um ioms-I6, que dous is darei, (prov.) un TonzLäpa, 8. f. *tonneau: poids de deux 


Tomzutina, s. f. esp&ce d’harbe. 
ToM£xto, 8. »." &toupe, bourre. 
tTomauroso, a, adj; (6. debot.)tomenteux: ' 
de bourre, ootonneux. 
Tomiıno, s. m. ($.de bo6.) thym oommun : 
plante odorifdrante. — de Crdta,ihym de Crete 
salureia 


* Tomim, s. m. sorte de poids : un peu plus 
que le gros. 

Tomo,s.. tome : volume qui fait partie 
d’un ouvrage. (inws.) Volume, grosseur d’un 
corps, (fg. pP. ws.)“ Importance d’une chose. 

* Tömono. V. Cömoro. 

Tona, s. f. &corce d’arbre; pellicule des 
frults ; pelare d’olgnon ; surface d’une iiqueur. 
— d’agua, surface de l’ean. 

TonänTE, adj. 2 gen. {Podi.) tonnant : sur- 
nom de Jupiter. p. a. de 

+ Tonir, o.n. (inus. Podi.) onner : faire da 
ionnerre. e ie 

TOn8, #. m. sorte d’ermbarcation aslatique. 
V. Almadia. 

Tontı, s. m. *tonne, gros founeau , conte- 


tiens vaut mieux que deux ta l’auras. 


Towär-sz, v. r. se [ächer, monirer de P’hu- 
‚se querel- 


mear. Se prendre d. — com 
er, avoir une priseaveo quelqu’un. —devinho, 
se prendre de vin, s’enivrer. — de ira, eic., 
se metise en,colere, eto. — de palauras , se 
disputeor, se querellar. — por elgums cousa, 
se formaliser, se fächer de. 

Tomära, s. f. arme offensive en Asie. 

Touänzs, s.m. pl. V. Dares-o-Iomares. 

Touärs,s. m. tomate ı variöt6 do la pomme 
d’amour, pour les sauces. 

Towarkıno, s. m. (6. de bot.) tomale, la 
plante. 

Tousa, s. f. pidce A um soulier. 

ToMBADILHO, 8. m. ($.de mar.) franc-tillae j 
dunetie. 

Tossino,a,9.9.de Tombar. 

Tousapön, #. m. celui qui pröside ä la de- 
marcalion des lerres. 

Tomsän, v.s. culbuter, terrasser, abatire; 
fenverser. — lerras, borner, fixer la d&marca- 
Uen des terres, faire le cadasiro, faire un ter- 


DORT. =-FR, 


mille livres, 40 pieds cubes. Nombre de ten- 
heaux quo oontient un navire. Droit sur les na- 
vires. Mesure de liquides,, deux pipes ou 50 al- 
mudes. ni 

Tonzranfa. 

TonzL£ıno. } V. Tanoaria, etc. 

ToNBL£TES, s.m. pl. "basque : parlio bassa 
d’une armure qui descendait jusqu'au genon. , 

Tönmıco, a, adj. tonique : qui donne da ten. 
.m.—, qui rend l’action aux fbres, 
en augmentant leur scotivitt, etc. 

Tonioo. V. Tinido , Sonido. 

ToniLno, s. m. air, chanson, vaudeville. 

Toninna, s. f. petit ihon fernelle. — marsopa, 
* marsouin. V. Roaz bandeire. 

Toninno , s. m. Jeune thon. 

+Toxıontia, s. [. ir&s-petit olseau du Bresil. 

Tonıtauöso, A, ad/. orageux, sujet au ton- 
nerre ; qui lance la foudre (Jupiter). 

Toxo, s. m. (6. de mus.) ton. — musıco, mode 
de musique. V. Tom, Titre de noblesse, au Ja- 

on. 

’ Tonsa, s. f." raccommodage de futailles. V. 


Tanoa. 
23 


+ 





1154 Top | TOR 


“Tuwsan. V, Tosgufar. be ei ” we Hehier, brigne gras be 
Tonsura, 8. f. tonsure : margue faile par bercnles senıhlabier gx a del 4 Er. 
au l; ces Span 


veque d um erchtstasıhtuß, {ui tofpant deb 
cheveat; ebremonie de Hi tonsüre: elite: tote | 12, #2 aborga. 


sufed’an qrälnknd: nur.) Conpe Ges chereut, hau pe 
tonte De etc, ognonder 14 get, Kann: 











exirämild, e. Aue \p- 
Apo) _ 
er serihe br .a Komet : defekt Fo 1® ade , Bnaci al pi Er 
(ihr. Y nu nie but A’yoaliran 


Tontkir, un rt I been et- 
wavaguer, nigauder. ir des eiberdienbehen 


. rt derte 53 dät- 
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OPOGRARMIL4A- Ss FPROSTanhin : Yereriple 
zum « et dötaili6e d’um lieu, d’uh canon par- 


ao Te say itıhir: 


Yoran jiraıco, a, ad. tapagraghigutd | 


b . we’ 18, 
Torögagrn DPÖFMEROGS. manleut dans 
Isa art uries (apogtaphigun.. .... 
‚TAQUR, 5. Ap.Ract „ aounhapuenk, annlcı, 
tonober, Y. Tacla. Bon Ainuument "Sons 
Deaadn ai an.dde SPRREL. joe une 
auche« Apmum dr) Ak 
lonche.(fe}) V. Quilaie. da Wem 
vice „inspiselion. qui souche je ER m: 
‚aup qu’on done a quajgu’un.knd 
s,sonnprie. BR, Irnanboja, 300 
ua, — de ‚Dang, inspiraben da 
ı Deos, malbrurs, 30 
(4 de peiws.) jo. h Ida 
iarso de Lauahe. „aagende - U 
na, Be. premier anng.da mais, & 
TaQumrEsaeR 


DB, a,m.mupdon dein Ei 


an (eo v8; 13 E be 
se heurier. encontrer par, hasarc Präuyer 
qxoR Gherpbe,, Tappr A/GHNSEHLL, au isu, 
Prapasiieu, Jenis.ay.parkı Alf. ge dugher, 
alguem ou com alguem, ZPRFONKTER,quelgu. u.up- 
— 80..uhar Jan. Joonsenlr A loutes Sorles 


proposilions, etc. 
JoRin, 5. A.Nn Topazio. & 4.(k d’Asie) due 


* TognäıEo, 9. we. ancienne 
fien mıelis de Malaca. han 


Prints Y’bnk chinese defoume: 
, (.) 


ER Hay a TER Ye uote, dyamde 
Yorik., ® e: 3 ine ah Arhre, Pet 
ken pP EEE 
DR ER in Aral, PT To 


eis. 
„Tongib; di. dm. orgeslet.NV. pr.a.N Te 
Moe 


Tonck:, My. 3. meh! 
Ein ER ‚geltend; - 


MOND, SeW.Uinpait ; Piero prösicuse d’un d’un 
jaune d’or tres-vil. 

TORE, s-m,chee „beyr) ‚„ Tenröntse. Dhstache, 
endastas. Exrisetmisb superiauns-desmAls pü RD 
arbera le} [laskensa.: ahomquet, Noud de Au- 
bans, cocarde. Coup de marteau de‘forgeron. 
Vi@dpe, 

Teosrünn,. 8 Y. coup de Löte que.se donnent 
les. beilers,, ots. Osup ron se donne & la 
wie - 

Torgrin (com), om. cosser, se doguer, [ 
heurter de la ı&te. Renconiger, se housier, broßi- 
cher. — coım'o ded, com as #strellas, com a5 nu- 
ons, 619,, (fig.) Wuucher su alel de zu Kite, Fb 
perdre Gars ivs much. 


ToraYE, ». m. toupel.. - Med ; uetan yo" 
-Torinsina, e. [. (dılvedenberdi, - Rt, al na A tler 
Torgı bdo, a, adj. quiiporte un taupet, : Ge rar 
Tormigro , a 1,08. (t. te mid.)topheot, Ma Mayen » Eanat, qui 
tophus. Concrefdes us, gHhflöinen: valfeuk | „6.}. watibn desondre. "1 


d’üh 08, lc. 


+ Tormäna ‚adj. f. Mita —, aqda töphent » 


son vialent. 

A s. 1. Yıt'de donner Alverses'for- 
mes aux afdres en lestaillant. 

Typ co, A, däj. eis. 1 de möl.) topic e 

ui ragt ue sur une partie od it est appii u 
\ \ .w. iu (1. de vhdt onlauch: traite des | khanger d’avis; aınener ä$ ri ie 
pr, eammuns d’od J’on tire les argumenis. tre pencher Ya bilsüce eh Taveat . 

+ TorınaWiaa, 3. m.'nutn des ındigönes de | parties, donner une 'entorse k RPast.", 
yamssiqus meridionae, Bu M, — vr vihor, tourmer es 


[ud 


ment. Tortuosile. — do pe, ec. entorft. 
"Tonne 1, Togeille 

. TORDELÄRO, 

Toncer, v. a. tordre. Plier, cohrber. ar 
Fr r, incliner, (geiler; [er Ti ne mat ar 
rendre du mauvais c6 

2150 nterpretktiön, ah vu a 


u / Ze Ze 


wm Dam we Ta vg uw 


um um mil eier mm VOHBBn uMDGg pt vu: Top m Tr - "Egg ED Gin 


roR 


-— a boees ou o rosto, tordre la hauche, faire 
des grimaces, dösapprouver, fäire la mine. — 
o Pescogo, toräre le cou. — 0 Pe, se donner 
une entorse au piea. onariz, (fig.) rejeter 
une demande, etc., d&sapprouver ; rechigner. 
— a chave, lorcer ine eleT, une serrure. — 2 
caminko, faire un dölnur. — o senlıdo ‚08 Teis, 
donner une interpretation forcet aux lois, efec. 
— a verdade, donnor une entorse A la veril. 
— alguem, tourner quelqu’un comme on veut, 
le faire cbanger d’avis. — e passo, rebrousser 
chemin, — as redeas ao carulio,, Lourner hride. 
— os cordöes d’um cabo, (1. de mar.) tordre ies 
torons d’un eäble. — os Carılöes A’um cabo ale 


que percdo um leryo do scu comprimenio,com- 


ımeitre des cordages au tiersderne. 

Torctr, vo. #. se delourner, s’ecarter du dreit 
chemin, au prepre el au Ügure. Faire es de- 
tours, serpenter, en parlant d’une riviere. 

Torc£r-sE, v. r. s’esquiver. mootreg de la 
repugnance. Plier, courber; fechir. anger 
d’avis ; se laisser gagner ou Corromptp. 

Torcnino. V. Trochado. 

"Torcia, 3. f- difficulie, obstacle, embarras. 

TorcıcöLLo, 8. m. detour, jorwosite, (fg-) 
ambiguite, double sens. (4. d’hist. yak.) Tor- 
gol : oiseau de passage , grinpeur 

TorcıcöoLLo, A,ad. et s..tortichlis : qui a-le 
cou un peu de travers, la t&te ph neu penchee; 
ng) faux devot, hypoerie. 

ORCIDA , 9. f. mäche de lampe, elc. 

TorcipawEntE, adr.nbliquermment, de biaie, 
de travers ; tortueuseinent, . 

Torcivo,A,Pp. p. de Torcer. adj. Tordu, tor- 
Ulle; tars; de wavers; delourue (chemie). 
Bocca —a, bouche torie Cabega —s , Larlicolis, 
Perna —a, jambe torte. Escuda —a, escalier 
en limagon. Columna —a. colaune Iprse. 

ToscıLuäd, 8.0. " coligae, tranchee, auztomt 
des chevaux. 

Torcınarto, sw. V. Torosdura. (Ag. P.8.) 

rt, dgarament, abandon de la veriu, ela. 

+ TORUTIOAARIO , Au adj, aacamıpagne de.coh- 
ques, de tranchien. 

ToRcvro, 3. m. palite parese. Machine pour 
polir les oristauz. 

+ Toanä, a, (AL d’hisi.nu1. epson daduosne 
grive. — merguiheiro , * pingeuin, 

TorniLsıd., a ‚adj. grins Sple ; gris-pometheie , 
en parlant d’un cheval. — fisnado, gris isonee 
ow chharbanıe. oo 

Torpo, s. m. (k. dhist. nat.) * grive : oisemı 
orönirosiee ‘da pkıre du male. -— aetwlio , 
manvis. — dos remedos, le ınegueur. -— vin- 
gueiro, " drenne. Caır eva» 5,‘ [am.)sorliDer 
comnie capucins de curlon. ' 

Türca. ) 

Törcia, d V. Urze. j 

Tort, m. (tl. WAule) surle Vu \ayuftw 'A6nı 
on fait un bonillon dit Orna. 

Torinıos, 8. m. pl. (et. d’Aste) bapeien Ide 
eristal qt'on appeorte de 1'Inde. " 

Foxıowve. V. Touriondn, 

Torur, V, Turma, 





ı10B 1153 


Torsenta,s. f. tonrmente : orage, bourras- 
nue, tenıp&te sur la mer. Ourakan sür terte. 
(ng) — , revolutian, tempete. (dd.} > Mathenn, 
2 Tversitd, Aisgräce. 

TorueNTtän. V. Alormenfar. 

ORMEXTATIYO, A , adj. V. Aforimeitiador. 
ORNENTILLA, 8. f- (1. ds bet.) tormentillö: 
plante rosacde,, medicinate. 

Tormento, 9. m. Vaclion de tohrmmenter. 
Tourment : grande et violentt dowledr corpe- 
relle; supplice, törlure. (fg.) Peines d’esprft 
un qui en 68t causß, souffrance ; vive inguid- 
tuge. 

Tonuertörıo,A,adf. V. Tormentos. Cabo 
—, cap des Tourmentes. 

TORNENTOSO. A , adj. orageux, tourmentenx, 
au propre el au Aare. Cabo-, vap Wer Tem- 
peies, des Tourmentes, appelö plus tärd cap 
de Borme- sperance. j 

Torys, s. [. "retour qu’on dottie Hans th 
troc ou dans une suctession. 

Toasiva,s. f. “retour d’un voyage. Liyweur 
qui Jaillit d’un tonneäu torsgu-of 0 vre Te rb- 
binet. 

Tounapigo, a ‚adj. deserteür, tränsfuge. Ro- 

tegat; converu. 

Torsiuo,A,P.p. de Tornat, 

TonnaDouna, s. f. mächine & faire dies cer- 
craeX. 

"Tonvaise. V, Pomer. 

"TunnaserTtd,s.m.YV. Törna. 

To.sän, 0. a. rendre, restliuer. Repondre, 
Riposter. Chauger en. Traduire d’une Tang 
da: s une autre Repeler, faırc de nouveau. En 
c2 5298 pn le joint avze Finfnitif des autres 
verbes. —adiver a füzer ,ater,acair,apedir, 
eie., redire, refaire, zevois, kelomber, he 
Runden, eic.—a dar d, ela,remetire A la v 
Neo 0 Jurneat a ver, je pe Vai ‚plug revu. — & 
culpa.a algmem, zejkler la [amte sur un autre. 
— nıdo, zägtten — demfe, mentser les depta, 

Tausin (de, #, para), v. @. Teleurner Au 
lieu d’ou P’on vient; revenir A; Gopamenger. -- 
alrds , relrorraden, ZEYenitaurschpas. — alsıdz 


| oom a ynierre , se dedire.— emepug si, se Te- 


motife , xopfrewdre 405 sans, rexanie & lai, a 
elte ..regtreren s9i. +- A vdcas (rise, Sam.) Lau 
ober stu)ors ia mrömae comde, rewenir A ‚nes 
möutens; ‚(rammilar sa Twain. — eWw prronaslon 
tourner au profit. 

Torxkassıfem),o.7 ‘sechanger, se ITABS- 
(ormer ew; devair, nadercair. — amarsiie, 
vermelho, Aantir jaune, zEufE. — MERMMA, 
warlesbo-, ruıkiwenir enfant, (runs. 

Kornasöı. V. Teorthesol. 

Tö..namusdan „s. f. “.petotr ıd’um Boyage Ssuf 
IDeT. 

To.xıyopa, 8. [sstdndemsinde nooces. Feslin 
qui we downe-te-lendeinzin des noces. Nde Ra 
Badu sem +. il,ı'y a pas de [dte sans Iendemain. 

TowxıÄno,A,p.p. Je Tornear, adj. Fowrge: 
fait, Fae-net.an taur. NAond et lang, oylihdri- 
que, V. Rolip. Er:vir=und, chtlwurd, lo. (Pi) 
Solane. 


- 


1156 TOR 


Tonnzapon, s.m. V. Tornador. it. Banc de 
earrossier. Outil d’armurier. 

ToRNEÄR, ©. a. lourner : faconner au tour. 
Ceindre, environner; enlourer; tourner au- 
tour. V. Torneiar. 

Tunnzania, s./.quariier, rue des tourneurs. 

+ Toanzıanon, s.m. chevalier qui combat 
dans un tournoi. 

Tonneıän, v. a. et w. combatire dans un 
tournoi; jouter, faire des tournois. st. V. Tor- 
near. 

Torntıo, s. m. tournoi : fete publique et mi- 
litaire oü l’on s’exorcait ä des combats. if. 
Forme cylindrique donnee au bois par le tour- 
neur. 

Tonntına, &. f. 
neau, etc. 

ToRntıno, s. m. tourneur : ouvrier qui fa- 
gonne au tour. 

Tonntıa, s. f. cale qu’on met aux roues des 
voitures, 

TunndL, s. m. anneau tournant de mötel. 

Toauznses. V. Tornez. 

Tonnko. V. Toradio. 

+ ToanzsöL, s. m. (1.de bot.) tournesel. V. 
Girasol. — vastifloro, helianthe A grandes 
fleurs , soleil, tournesol, couronne du soleil. 
— da ’Europs, heliotrope commun ow d’Eu- 
rope, vulg. herbe aux verrues, la verrucaire. 
— dos lintwreiros, croton A teinture. — de 
Hollanda ou em pasias, lournesol en pierre, 
en päte ow en pain, orseille de Hollande. 

Tonntz,s.m. ancienne monnaie d’argent qui 
valait sept sous & peu prös. 

Tornntza, adj. f. Litra—, livre toumois, 
de vingt sous (fabriquee & Tours). 

Tonngrär, etc. V. Torneiar, eto. 

ToRnıLatıRo, a, adj. eis. (p. us.) döserteur 
d’un regiment, soldat qui deserte ä Finterieur. 

ToaniLuo, s.m. sorte de punition militaire. 
dt. Petit tour A tourner. Etau. V. Torninko, 

Toaninno, s. m. dim. de Torno. Petit tour ä 
tourner. Etau ä vis. 

Tonnıgu£te , 3. m. tourniquet. 

Tonno, s. m. tour : machine pour faconner 
en rond ie bois, les metaux, etc. Etau. Tour, 
mouvement en rond (p. ws. )— de pipa, ro- 
binet. V. Torneire. — de pdo, clou, chevillo 
de bois. — d’agua, Jet d’eau, sau jaillissante. 
Em— , autour, ä l’entour. 

TonnozkLo, s. m. "cherille du pied. — do 
jevell, 6peron du sanglier. Homem de Ir6s —s, 
(fam.) homme trös-[ort, tres-robuste. 

Tono, s.m. tronce, souche d’arbre; billot, 
trongon de bois. (fg.) Tronc : le corps de 
Yhomme sans la t#te ni les membres. (4. d’es> 
euip.) Torse. 

Toao,s. m. (podt.) V. Leito. 

Tononsa , 8. f. sorle de gros ciiron, esp&ce 
meoyenne entre le citron et l'orange ; !’arbre qui 
le perte. 

t Ton6so, a, adj. (imus.) fort, robuste, vi- 
geureux. (f. de bot.) Noueux, quia des n@uds. 

. Tonpr, adj. 2 gen. deshonnete, obscane, 


*robinet, canelle de ton- 


TOR 


impur. Honteux, ignominieuz, desbouorant, 
(vieuz) Lourd, pesant, engourdi. 

Toarpzcar. V. Tropegar. 

Toarzcta. V. Enlorpecer. 

Tonr&co. V. Tropepo. 

Torr£tpo, s. m. V. Tremelge. 

TorPsm£nTE, adv. honteusement, 
ment, avec turpitude. 

Tonrp&ntg, adj. et s.2 gen. (1. de med.) tor- 
pefiant. 

Torptza, s. f. leideur : defaut de perure ou 
d’ornements, salete, etc. (Ag.) Turbitude, 
obscenite, impudiecite, impureie. (id.) Bas- 
sesse,, infamie, aclion basse, etc. Parties bon- 
teuses de la femme. 

Toarınäpe,. V. Torpesa. 

Töarıno. V. Ent 

Toarissımo, A, adj. sup. de Torpe. 

Toarör, 3. m. “torpeur: engourdissemesf 
profond, cessation de sentiment. 

Touqviz, s. f. tenailles: instrument de fa 
pour saisir, arracher. 

Tonqukza. V. Turqgueza. 

Tonguszina, s. f. coup de tensilles. (Ag. 
fam.) Coup de dents (d’un chien, d’an saı- 
glier, eto.). 

Tönaa, s. f. action de rötir. V. Torrade. 

Tonnipa, s. f. rötie : tranche de pain ro6lie. 

ToRnADIiNEA, 3. f. di. de Torradae. 

Toaninpo, a, p. p. de Torrer. adj. Reii, 
grilld, torreäe; beale du soleil. Zone —e. V. 

Törrida. Amendoas —|ss, pralines. 

+ Tonaanttz om TEnnanTEz, adj.2 gen. Uva 
— ‚ espece de raisin blanc. 

Torrid, s. m. "mottie de terre, terresn. Gru- 
meau forme de pelites parties qui se reunissent. 
(ig.) Pays, coniree; sol, terrain. — d’eseucer, 
morceau de sucre. Araps — , (fem.) rasibus 
Forröes, pl. biens de campagne , champs, vi- 
gnes, etc. 

Torrir, v. a. rölir, torrefier, grilter. 

Toraz, s. f. tour; tour ou roc (au jeu d’+- 
ohecs), — dos sinos, ” clocher. — de fombe. V. ce 
mot. — de vento, (fg.) vaine Imagination , pro- 
jet chimerigue, chäteau en Espagne. Fabricer 
—s de venio, (id.) s’eraporer en vaines ideen, 
on chimöres,, bitir des ohäleaux en Espagne. 

Tonazino, A,?.p. de Torvear. 

+ Tonnkiusz, adj. 2 gen. qui selöve aumme 
une tour. 

Tonaziö, s. m. aug. de Terre. Gresse leur, 
tour dlevde. 

Tonnzin, v. e. ceindre, fortilier avoo des 
tours. vo. m. (podi.) s’elever comme une leur. 

° Tonnzau. V. Torteow. 

Tonnezracgiö, s. f. torrelaclion: action de 
torreßer. 

Tonagricro, A, adj. torrelid, grülle. 

Tonatına , s. f. forte chaleur, ardeur excus- 
sive du soleil. 

Toaazsi2o. V. Forreddo. 

*Tonatını, s. f. ancien jeu defendn. 

TOoRnentTE, s. m. et f. lorrent: courant d’eaa 
imp@tueux et rapide; ( fig.) se dıt des cheses, 


vilaine- 





TOR 


des paroles, Jos erreurs, des passions, do !’d- 

loquence. 

‚. Tonatemo, s. m. ınoroeau de Jambon ou de 
lard frit dans la po6le, griliade. 
ToRREzinHA, 5. f. dim. de Torre. Tourelle, 

petile tour. 

Tönaıno, 4, adj. torride, brülamı. On dit sur- 
tout: Zone —a, zone lorride. 
Toanisa, s. f. tranche de pain trempee dans 


du vin, etc., oouverte d’auls batius et [rite | 


dans du beurre ow de l’huile. 

Tonrinna, s. f. V. Torrezinha. it. Loge du 
dernier rang (du thöätre). 

Torxo. V. Tarro. 

Tornoipa, s. f. coup donn6 aveo une molte 
de terre. Quantite, amas de motles de lerre. 

Toraontez. V. Torrantez. 

Tonsäö, s. f. torsion. V. Torg&o. üt. Colique, 
tranchee. 

Tanso, s. m. (f. de sculpt.) torse, Ögure Iron. 
quee. 

TorsöLno, s. m. (20p.). V. Torgdo. 

TOrTa, s. f. tourte: espöce de pälisserie. . 

+ Tönta, adj. ets. f. borgnesse. 

Toatiö, s. m, (4. de bias.) tourtesu, pidce 
ronde. 

Torteav. V. Torido. 

Torrtıra,s. f. tourliöre; ustensile de cui- 
sine pour faire des tourtes. 

TorT£Los, adj. m. (buri.) qui a les yeux de 
travers, louche, borgne. 

ToaTtiLua, s. f. dim. de Torte. Petile tourte. 
Omelette. 

* ToaTo, 5. m. tort, dommage. —e, pl. *iran- 
chöes, douleurs qui suivent l’enfantement. 

TORTo, A, adj. tortu; oblique, de Lravers; 
tortueux; torlill6, recourbe. Borgne; louche. 
— das pernas, bancal. — dos olhos, louche. 
— dum olho, borgne. A — ea direilo, A lort 
et A lravers; Alort ow avec raison. Na lerra dos 
00908 0 — drei, (prov.) au royaume des aveu- 
gles les borgnes sont les rois. 

TontuäL,s. m. barre qui fait tourner la vis 
du pressoir. 

TontüLno, s. m. (1. de bot.) chaınpignon. V. 
Cogumelo. it. *Truffe. Botie de boyauz pour 
cuire. ( Ag.) Homme trapu. 

TORTUÖSAMENTE , adv, torlueusemment. 

TokruosınaDE, 3. f. tortuosile. 

TorTuöso, a, adj. tortueux; qui fait plusieurs 


(eurs et relours; qui n’ost pas droit (grop. et | 


lg.). (1. de bot.) —, courbe inegalement et par 
places. 

Tonröna,s.f. obliquits, courbure, tortugsite. 
Torture, question. V. Tormer&o.(fig.) Torture, 
gene; grand embarzas. — dos olhos, sirabisme. 

+ TöruLo, 8. ww. (1. de bot.) renflement en 
forme de cordonnet (torulus), torile des 
plantes. 

t TonuLöso, A, adj. (1. de of.) toruleux ; 
renfl& ei contracie sans articulalion. 

*" Tonva,s. f. V. Estorvo, Impedimento. 
suonvacid, &. f. "trouble. V. Perturbarde, 

usto, 


TOS 


Tonviso,A,p.p.de Torvar. 

Tonvamenıe, ade. avec trouble ; d’un air 
terrible, menagant. 

TORVAMBNTO, s. m. V. Perturbardo, Desasso- 
ceg0. 

Tonvir, v. a. troubler. V. Perturber. Tl est 
aussi noutre. — de repente , ( lg.) agir inconsi- 
derement. 

TorvsLingO, 8. m. tourbillon , rerolin. 

Tonvisco. V. Trovisco. 

Tonvo,&A, adj. terrible, menagant, severe; 
horribie, &pouvantable, terrible & voir. 

* Tonvo. V. Estorvo, Impedimente. 

Torvorinso. V. Torvelinho. 

Tosa , s. f. (E. vulg.) vol&e de soups. 

Tosipo,&a,p. p. de Toser. 

Tosapor , s. m. tondeur de draps. 

Tosapuna, s. f. tonte, tonture; tondaison 
des draps. 

Tosiö,s. m. "tolson: depouille d’an meu- 
ton, d’une brebis. Ordem do — d’ouro, ordte 
de la Toison-d’Or, inslitu6 en 1429, par Philippe 
le Bon, duo de Bourgogne. 

*Tosiö, adj. V. Tosgqueado, 

Tosia, v. as. tondre les draps; tondre. (1. 
uuig.) Rosser. 

TOscaMEnTE, adv. grossiörement: sans gräce, 
sans culture. 

+ Toscina, s. f. (1. de geog.) Toscane ı grand- 
duche d’ltelie. 

ToscanzıÄr, v. ». sommeiller. 

Toscino, A, adj. et s. Toscan : de Toscane. 
Ordem -—a, (t. d’arch.) ordre toscan, le plus 
simple des cing ordres d’architeoture. . 

Tosco, a, adj. grossier, brut; (fig.) rustre; 
impoli, rude, ineulte. 

Tosqusnessän. V. Toscanejar. 

Tosquia, s. f. tonte, tondaisen : action de 
tondre les moutons, etc.; temps oü l’on tond 
les troupeaux. 

Tosquıipo, A,Pp. p. de Tosqwiar. 

Tosquianör , s. mn. Londeur : celul qui tond, 

Tosquiapöra, s. f. V. Tosqwia. 

Tosquiir, v. a. tondre : couper la laine, le 
poil des animaux, des &tofles , etc. ; raser, cou- 
per les obeveux. (Ag.) Depoulller avec violence, 
par des moyens illicites. 

Tössz,s. [. oux. (view) Dissimulation , pro- 
jet cach& de tromper. 

Tossecöso, A, adj. qui tousse beaucoup. 

TosszzinBA, s. f. dim. de Tösse. Petite toux. 

TossıpzLa , s. f. (Pop.) tousserie : action de 
tousser. 

*Tossipo, s. m. indice de vouloir faire une 
chose , donned en toussant. 

Tossıcöso. V. Tosseg0so. 

Tossır.äcem, s. f. (4. de bot.) * tassilage , pas- 
d’äne : plante & fleurs bonnes contre la toux. 

Tossixua ,s. f. dim. de Tosse. V. Tossezinha, 
(fam.) Toux affectde par mignardise, etc. 

Tossin, v. ». tousser: faire l’effort et le bruıt 

cause la toux. 

Tösta. V. Torrada. 

Tostäno , A, p. p. de Tostär. adj. Röli. Jaune 


1157 


1158 TOU 


dor tres-fonc. — do sol, grillä; brald, Wald, 
\Pdo —, baton brüla par ja pointe 3 jes saugen 
B’en servent au lieu de javglois. 

Tostandaa, 3. f. action de faire pätir on de 
roussir torrelaction. 

Tostaö, s. m. tesian ı zapnRale d’argeni du 
Portugal, 100 reis. 

Tostiozinnuo , dim. de Tostdo. 

Tostär , v. e. rötir, faire rülis; yomasir, ris- 
soler, griller; häler : on le dit d’ane ohaleur 
BZCESSIVE. 

ToSTÄR-SK , 9. vr. se rölir. (Ag.) Rrillar. 

Töste ,s, /. bano d’unep galere o& vomt lea 
forgats enchalnes. 

* Tösıs , ade. wi, vito; sans lasder, pramp- 
toment, dans peu de temps. 

“ TOöstE, ad. 2 pen. V. äraue, Prompto. 

* TOSTEuEuTs ‚adv. iii. Wilen 

“ Tösto, adv. V. Töste (adv.). 

Torär, s. m. setal. compliet, entier.s. m. —, 
le tout, la totalil6, je somme vbienus par ad- 
dition, te montent. 

ToraLınipe, s. f. intelils, le wwtal. 

ToOTALMENTE, ade. sotalement. 

Torb, s. m. (mot en faniie) Leuteu, chen. 

Töuca, s. f. coiffe, coiffure de femme, bon- 
net defemmie. Espece de kurban des Orisniauz; 
mante. (view) * Allubienient pour sacher ie 
Viaagp. 

Touga ,s. f. souche d’arbre d’oR poassant ins 
rejetons, 

Tocipo, s. m- * colfiure de feınme. 

Toscino, 4,9. 9. Je Fetisar. 

Toucapp, #. m. able om colfen A la teilelin; 
eahinet de toiletie. Moucheir qu’sn mei auldur 
de la t&te, en forıne de konnet de null; Besre- 
wste. Estar no —, feine se Jailelie. - 

Toucino, 4 m. pt Tuueäun, s. f. V. Zuoano. 
‘6. Touran : onnstellation S. 

Tovcirk, v.a. cooiffer (une femme), Il osi aussi 
r6ciproqun 
. Touctaaı, 0. fı grande souche J’arbre. V. 
Touga. 

Towmutiao, A, & pbarcutier, vendeur de 
chair de porc. 

Touoixsp, «. m. Jard, 1, n. (4. de fort.) 
sacs pleins de iorre. — de do, serie de bonf- 
Wire teäg-dälienie. Diser d’siguenn 0 que Ma- 
foma ndo disse do —,, (fam.) die pls qua pom- 
dre de quelquy’un. 

° Toopa. V. Touca, 

Tavso. V. Tajo, 

+ Toucug, s. m. toug, touc : dtendard Iupe d 
queue de cheral. 

Tourgıra, 5. f. taupe : pelit animal noir qui 
fouit la terre. (4g.) Homme qui branshe & aha- 
que pas ; homme de peu d’esprit. 

Toquinus, s. f. dim. de Joues, dt. Teliöre 
d’enfant, 

Touna, #. f. vache sierile; teure, Renisse. 


(ent.) Le livre de la loi des juils. in Espagne, - 


signillait fanillo juive, et tribut que los Juifs 
Payaient par famille. V. Toyrıpha, 
; Touaaco vu Gun. V. Guco Bovpude. 


TRA 


+Tounäsa , s. f. * Iroupsau de Isurssgt. 

Tovaiı, s.m.lieu od le lapin fait sos oedume 

Touvaiö,s . (k. d’kist. wat.) (arel Sauvage, 
— fetido, putais. 

Touraala. V. Desordem, Estronde. 

Tovazino, A, p. p. de Towrear. 

Tovazıuen, 3. w. cavdliver qui usmbei les 
taureaux, taurösdor. 

Tovazix, o. u, coınbattee les Lauresu dıns 
les cousses publigques. ı Ag.) Devenirfen re «a 
(fig. fam.) Faire enrager queiqe’un, se isst 
de gaelqu’un. 

Tour£ıro, s. m. o0lel qui combat ke tie 
reaux & pied. V. Towreader. Delui qui möze is 
taureaut pour les enurses. 

Teunzssid, o.m. *'cherille qui awitdenz jasts 
de roue. 

Touassan. V. Foureer. 

TouriL, s. m. *loge od l’on enferme les u» 
reaux Usstinedd Hux o0trses. . 

Tousinua, s. f. dim. de Towrs, tauraun 
carion on en bois. —#, Hl. courses de gene 
apprivolseen, Imitation de ces Courses ar cs 
pelils tauredus en carton , ete. TR. (ant.' Press 
ivres de ta lol des juißs. 1s les portaient sar a 
poitrine quand ils allaient au devanı des rem, 
lorsque ceux-ci entraient dans une vüle ed ıs 
Htsiemt toleres. 

Tovrixuo, dim. de Teure. 

Touzıömoa, sij. [. on le dit Kuno vadhe a 
chaleur. 

TOUuRo,». m, Tsdremu : male do ia vache. — 
monlez, ure, urus: laureau sauvage de l> 
ikuanie. — monisz gebe ou rereuendb. V. Gebe. 
Esiar, verse nn ornee de — , (Bg.} are, 
roir dans un porit imınimemt. ‚Deiser eigern 
nos eurnos do —, (dd.) \aisser quelza'm dem 
la gueule du loup. Lonyer a cap w—, #) 
abandoaner lLout pour se saurer. —s, pl. coa- 
bat, course (io taureaux. Correr —ı, tombsun 
ins lauresux dans les coweses. Certss zu’ u 
am) 1a chose est süre, ıl m’y a pemi & 

ie, 

„ Tousagon. V Taizapdo ou Taseyie. 

* Tousin. V. Taiser. 

Toura. V. Tontipo, Cubops. 

Touteäir, eio. V. Yoskear, «te. 

Tourigada, 3.f. coup sur P’recipel. 

Tourico, 3. m. seoiput , chignom. 

Tourigas. V. Towiieanem. 

Teurıntana, s. f. fauvatie : Olsen da guur 
du bec-lgue.-— rabalos, ” cal-Aime. 

Toutıvänas. V. Doudircanas. 

Tözıco,, 5.0. wıique, nem genärigue de 
poisons. 

Tosax, ete. V. Toser,, 008. 

* Taasta.V. Trekir. 

Taasnis , adj. 2gen. on le dit des chi & 
poutre, des clous propres & joindre, 4 wem 


bier lea poawes, eic. 

TuABALHADANERTE, ade. pimsblemusent. bube 
ricussment. 

Taanaısaakını, a. f. [tmmes qui ame & 
(ravail, bonne ouvriere. 


— Ten or OT 8 


TRA 


Xnansaniso, a, pp. de Trebsiäar. adj. 
Travgiliö, (aid oveo grand soin ; pöli, lime; 
Sstigäe, bab. Bieurso bom - discours fait 
aven soin. 

' TRABALBADAR , 8. m. iraxeilieur, Jquenglier, 
Juvrier, mana@uvre ; homme laborieux ‚appfti- 
jue.— ‚4, adj. Laborieuz, qui dlme ie avail, 
don ourrien. 

TrasarLtin, 9.@. travailler, (aganner la ma- 
löro: fgise ayon applicalion, areo sein; sol- 
gnor, execuler arkc soin; laurmemier; causer 
de la peine. — s erra , labourer la’ terte. — 
um eapallo, Mayailler us oheral, le dresset 
durament. 

Trasaınin (de, em, por), v.%. travailler: 
prendre qyelguo fatimue do corpe nu d’säptit; 
faire une besöogne, un ouvrage; faird de lou+ 


vrage; sc denner da ja peins ayao um bus, pur | Y. 


unobjat; S'Tappliquer , denner toua ges soinä ä, 
aocnuper dp. «B.) ajro uneffert pdur veincre 
un nbalacle,, qio.; iira Loyus ses offoris Pont... 
Kairo une chnsg aven erdce a5 methode. -- por 
jornal, travailler & la journge. — #0 sou Off. 
eio , isawgiller A von melief. — some wın wegto, 
travaillog comme un negre, comıne tin mial- 
beurcug. — de meis, Iravailier 'Lrbp," ex- 
göder Je travasl. — de je. travaillor imutlle- 
ınent, perdre son hole et son kemps. — m 
vao, inutilmente, traysiller zn pure'perte. " 

- Tnanauzän-sE (por), v. 7. so iravailler, se 
tourmenter ; faire ses oflaris pour..." 

TRABALBINNO, 1. m. dim. da Trobdiho. Tu- 
vi] löger, peu faligant. 

InaniLyp, 5. we. gavail, labeur, peine, fa- 
tigue. (49.) "Difienlie, peine. )-, peise 
d’esprit, chagrin, malheur ‚" aouffranee ; 'hfi- 
sere, malaiso, —,ouvrage fait owa lsire. Dia 
de —, jpur puvrier. Ndo ba asalko som --, itüi’y 
a pas de pnlaisır aans peine. dus lerras, fe- 
znuement des terres. — gerdide, peine perdee. 
Gaulle „Sale eis: de — , charal ‚.hahit, kıc. Ge 
fatigun. —, pl. peines „ chagrime, misäres de 
la vie. Os —s de Jesu Christo, los souffances 
de desus-Chriat. 

TRABALHASANMENTE, adn. Pinibiomen, iabo- 
zieusemen}. 

TRABALHOSISYMO, A, adj. sup. de 

TRABALBOSO,, A, adj. p6nible ; faligamt, dr- 
Sue: jabexieux. - 

rt Triprs, s.£. ou Taäpze, s. m. sobs jongue 
des rois, des senateurs, des prelres palens: 

"TRABOLHAR. V. Trabalkar: 

Taaptcino ,A,P.Pp. de Ivaberer. 

TRARCGAPOR, f. m. soldat charge de la ma- 
nauvre d’un irebuee. V.ue mot. Biögocient 
actif et intelligent. V. Lidador, Traballuder. 

Taanıcin, o.a. at. haltse, vonverser adec 
un (rabucg. N. ce mot. Ftapper.ä llutidurs rer 
prises, donner des coups reiteres. (l. demas:) 
Sombrer, chavirer.v. n. Faire de bötınes pe- 
eulalions, trafiquer. 

TrApico, sm.’ 


calspalie : machine de \ Taicrömo, A, all. 


BRA 1139 


Taısvgutrz, s. m. im. de Trabuco. An- 
eienue machine de guerre & lancer des piertes. 

Taasuzäws , s: f-(dumf.) temp&to, döserdre, 
v, Torwmenie. ee | 

Tracasantknıa. V. Trachen. 

Trica,s. f.* ver,teighe : Ihsecie qui ronge 
les dtoffes. (Ag.) Tour ce yu) mine, detwwuit In- 
sensibleıment. st. Premier plan ou dessin'd’am 
edißce, ete:, #bauche, esmurisse. (g.) Plan 
qu’on forme dans sa t#te, projet | dessim. ? Ae 
nangerhent; erdde; symetrie. '(fam.) Rude, 
menee, artiise: * Vestige, Trace; Hein ., 00 
celiu sorte', Werceitg maniäre. 

Taagino, a, pr P. de Trupar. adj. Beupt, 
piqu6 du ver, de la teigne. Dessine, elcs "1" > 
- Inagape, a m: v nenne 
Taaganor, sm. eotei qui dohne le pen. 
Taacaraiz. v. Tracanaz. 

Thacanäz2; s.ın: (pbp.y fros morceau. 
’ Tanid,s fi Vi Erapa. “- do'rbsto, 
fl, srailb de viange. a: m. 'bloveban , dplas. 7 *' 

Tnicin, v. 6." ronger om piquer (tes Sollen 
en parlant du ver, deta- wihne. (Ah: Ronki 
miner insendiblömelit. Dovner ie plan te die- 
sin d’un ouvrage, iräceh, esyulsserrebumhtr. 
erayonmer. Ag) Former un plan dass sauek, 
projeter, minuter, Machimer;' tramer? % Tori 
gar.— o plano, tirer le plan. -2 "@'0apa, 26% 

sser U maintnu: © ° moernas T 
RACÄR-SE, ©. r. 6lre piqus an rongb des 
vers. Se retrousset. " ' LE 

Traccid, 8. f. (1. de te) traetion : aculoR 
d’une puissande qui lire un mobfic. 

TRÄCHA-ARTERtA, 8. f.wechec-artöse. ' 

Tuscata, 8. f. 't. damst.) frackte-ortöre.r 
canal par ob passe l’air que l’on respise. (4. de 
bot.) Drachse; valssası pour bair; poumen des 
plantes. 

FaACHBOTONiA , uf. de. de chin.) Lrachöete- 
mie: operation qui consisitd dawrir in 1raahöe- 


" Taacmomo, 8m. ci. de hir. Jirashome; un 
rise de la partie iplerieuse des paupiöres.: " 

+ Taacaino. s. m. (I. d’hist. nal.) wreebine. 
vive : poissen ä sie obluse. 

Taacamänd. V. Buirezilkade. . 

Träcıo. V. Thracio. 

Taacista ,s. m. maahinalenr, homme Inrille 
en zuses , om suppsoheries „ abiegnane; SeDrbe 
gei empieie mutige anres de mpyens pone pär- 


venir ä ses fins. Ze 2a 
Prigo, se. In. Wracsment,-trai) de plums, eic. 
* Mäniöre , usöge, vowtamye (p. us. '° 7 
° Tnacöm. V. Trapäo. 
* Tracoo. V. Fropb.‘ 
Inacrıx, eto.Y. Tretar, ete. 


Taiero,:s. m. ’tiehdue; wopaes, laps de, 
temps ; region. V. Tralo. — de meisse, traite 
versn quen ehahte 4 fa messe entre Te Graäuel 
et i’Evangile. 
traotpire, de ironuon, 


guorfe des apcjens. sl. Sorte de Inousqeel de | Linha —a, ligne tractrice. 


pros calıbre, 


Taaunipt| A, PP. de Trader. 





1160 TRA 


Prapein, v.0. peroer aveo la tariäre. 

Taanıcäö, s. f. tradition : obose qui se trans- 
met de siöcle en siecie; voie par laquelic elle 
se transmet; fait transmis de boache en bou- 
che. (4. de prat.) —, action de livrer ä..., de 

teansınetire. V. Anirege. 

Faanscıonäu, adj. 2 gen. träditionnel : de la 
tradition , Sonde sur elle ; venu par tradition. 

TNADICIONALMENTE, ade. waditionnellement : 
selon la tradition. 

Taanıcıoninıo,, s. m. traditiennaire : juil qui 
explique t’Ecritare par la tradition du Talmud. 

+ Trapıcıonistas, s. m. pl. traditionnistes : 
Somauss tarcs attach&s & la plus aucienne tra- 

on. 

Taioo, s. m. * tariöre : outil.de charpentier 
pour Isfre des trous ronds. Trou fait aves la 
taridre.—— grosso, (l.de mer.) cuiller de pormp&, 
rouane de pompe. 

Taanucck6, s. f. traduction : version d’un 
ouTeage, d’une langue dens une autre ; action 
de celui qui wadeit; son ouvrage, son livre. 

Taapvcren, A, 8. traduoteur : oelui qui tra- 
duit d’ene langue dans une autre. 

TRapuzipo, A,p. p. de Tradusir. 

Taapusınen. V. Traductor. 

Taapuzia , 0. 6. tzaduire : [air une iraduo- 
tion ; rendre en une amtre langue. (Ag.) Chan- 
ger, convertir en. 

TrapuziveL, adj. 2 gen. traduisible : qui 
peut dire traduit. 

° Traßn. V. Trahir et Traser. 

Träraco. V. Trefego. 

Taırzcar. V. Trasfeger et Lidar. 

Trärneo, 3. m. twralc, commerce, n6gooe. 
Beins,, soueis que causent les affaires, * Fre- 

tation, oommeoroe des hommes. 

Trarscunia,v. =. traiquor tres-activement. 

Taarsoutıno. V. Trasf 

Taarmıcäncıa , s. f. " trafic. (fe, ) Finasserie, 
oseroquerie , trieherie, 

TRAYICÄNTE, s. m. traficant, commergant, 
(fun. ot pl. we.) Escrequeur, finsssier, finaud. 

Trartcän (sm), o. ®». Iraliquer, oommeroer, 
nögoeier. 

Taärıco, s. m. trafle, commerce, Wegooe. 
Cidade de mwito —, ville marehande. — de 
negros," traite des negres. 

Taarocvsıno. V. Trasfogusiro. 

+Tasroriu, s. m. frult du palmier sauvage. 

- Tnacacanrua, s. f. * adragant : sorte de 
gemme. V. Tragacantko. 

Tuasacintme ‚a. m. (6. de bot.) V. Alguilire. 

TRacapkınO, 8.9. (Pop.) @sophage. Gouffre, 
abime, ete. 

Tascipo,A,Pp.p. de Trager. 

TRACADOR, A, 3. avaleur et surtout glouion, 
EDS Inangeur, vorace. adj. Dechiraat, qui con- 
sume, qui ongloutit. 

+ Taacamkıno, 5. @. imposition sur les p6- 
cheurs, ä Lisbonne. 

TRAGANEATU ,s. m. action d’angloulir, d’ava- 
ler. 

Tracin, vo. a. avaler. Manger beauanup et 


TRA 


goulument. Engloutir, absorber, «u parlanl da 
la mer, d’un goufire, de la terre lersguch 
s’entr’ouvre ; d&vorer, consamer. (fig.) Bate- 


rer, souffrir. "Ndo poder — elguem, (fg.\me» 
dre quelqu’ un en aversion, ne pouveir k ser 
frir. 


Taioz. V. Trajo. 

Trackoıa , 5. f. tragedie : podme kmeii- 
oe; piöce de theätre qui repr&senie une 

beroique, importante, qui se passe Je Nu 
vent entre des personnages illastres , et port 
& exciter laterreur ou la pitie. (fig. (As rem 
funeste. Parer, acaber em — , (fg.) et m 
in tragique. Compor —s, chausser le ooßarı. 

"Taacka. V. Trazer. 

T Taacia, s. f. (1. de bot.) wagie: pe k 
ikymalolde. 

TRÄCcICAuENTE , adv. 

Taäcıoo, a, adj. tragique : qui srl, gi 
oonoorne la tragedie; (Ag.) fanesie, mıbe- 
reux. Podia —-, tragique , autour de tragiäm. 
s. m. Tragique : genre tragique; auleut, arm 
de trag6dies , tragödien. 

TAACICOMEBIA , s.L ie een as 
meide d’incidents et de personnages comigts 
es dont le denouement n'est pas tragique. 

Taacıcömico, A, ae. Iragi-oomige : Ai 
tient du tragique et du comique. 

* Taacioo. V. Frazide. 

* TRAcımEaTO, ” m. action de perier. &T. 
Conduis, Procedunende. 

+ Taacina, 8. f. (4. de bot.) V. Trage 

Taico, 5. m. ooup, gergee, trait. (Ag)' I 
versite, disgräoe, calice amer ; trame.4-J. 
par gorgdes; peu & peu, toet doucammt 

* Taacvan, V. Tregar. 

* Taacvımento. V. 7' 0 

TRAGUINNO ou } dim. de Trage. hüıd, 

TRrAcUiTO, 8. petit ooup- 

Taanioo , A,p. 9. de 

Taazir,v.o. trabir: user de trahisen rei; 
lsiro une perfdie & queiqu'un,, lei mu 
de foi. 

Taaıcid, 8. f. trahison, perßidie; acisa & 
oelui qui trahit; feurberie. 2 —, un thin, 
en traltre, tratireusement. Alte —, amt u 
haule trahison , de löse-majeste. 

Taaino. V. Trakido, 

TaamOR, A, s. traitre , —tresse : qui fsRım 
wrabison. adj. —-, perßde, qui irakit, 

Taaiukxto,s. m, V. Traigde. 

Taaln. V. Trakir. 

Taiıra. V. Adalada,. 

+ Taie, s. m. lainager opörafen de 
neur; action de chardonner les drape. 

TaasiB0,&A,P.p. de 

Taasin,o. a. ei m. s’habiller de, orte vl 
ow tel kabillement; draper. fl est aussi N# 


proque. 

Taiıe. V. Trajo. 

Taa)&cto, 5. m. trajet. 

Taiso, s. m. maniöre de sbabiller pro 
wme ciasse d’homme , & une previne, & 
cosltume. 














En ME DE — KT 


— [u eo 


TRA 


Taiıma, s. f. petit Blet de p£cheur. Eopace 
entre les bords et les poids du filet. — da oda, 
(1. de mar.) ralingue. 

I aumÄno. V V. Traslado. it. p. p. de Tra- 
Taaınid. V. Taraikto. 

TraLHiR, o. a. melire la oorde et les poids 
au let; trailler. (4. de mar.) Ralinguor, ooudre 
les ralingues & une voile. 

TaiLno, 3. m. petit fllet A p&oher. 

Trartscäd. V. Trasiadagio. 

"Tai, adreo. de Terre. 

Taiua, s. f. trame : fils passes entre la 
chaine d’une &toffe. Soie dont on se sert 
pour la trame. (Ag.) —, complot, machina- 
tion, cabale, intrigue. (dd.) Tissure, textare, 
enchainement. Eorouelles, maladie. 

Taauino, A, p. p. de Tramar. 

TRANADOR, A, 3. celui qui trame, au propre 
et au gure. 

Trauir, ©. @. tramer : passer la irame entre 
les fils de la chaine; (Ag.) machiner, comploter, 
cabaler. 

TrAMBOLHÄDA, 8. f. V. Trambolko. Quaniite 
de choses suspendues au Ccou, elc. 

TaausuLmiö,s.m. "chute en roulant. Cair 
aos —öes, tomber en roulant,, degringoler. 

TRANBOLHO, 5. m. billot qu’on attache au c0u 
des chiens, etc. , pour qu’ils ne s’6loignent pas 
de ia maison. (Ag.) Entrave, ombarras. Paquet 
de clefs attach6es & un bloc. 

TaauBULHiR, v. ». (fam.) bredouiller. 

Taauzcutira. V. Tamargusira. 

Taautıa. V. Taramela. 

TrautLaca. V. Tremelga. 

+ Taauite, 5. m. (Ag.) "vole,cours, marche. 

Taamoöco, 8. u, otc.V. Tremag..., elc. 

Taauöss, 5. f. ruse, artifice; cabale. Sorte 
de dentelle. —s, pl. machine de theätre. 

. TRAMOLHÄDA, pour Terre molhada (terre 
mouillde). 

Tramontäna, 8. f. tramontane, bise, \ vont 
du nord ; etoile ow cöl& du nord. Perdera—, 
perdre la tramontane, 56 troubler, 5 »egarer. 

TRAMONTÄNO, A, adj. ultramontaio : de delä 
les monts. 

Trauontär,v.». passer de l’autre cö1iö des 
ments. On le dit surtaut du soleil lorsqu’il se 
couche. 

Taauostıno. V. Tremoceiro. 

Taiurı, s. f. foire, excröment, merde. 
(eious) Foarberio , artilice , plege qu’on tend. 

Trnampiö,ONs, edi. Vv. Trampisia. 

TuaurRanoR, a. V. Trampista. 

TaaurgÄR, vo. a. tromper, escToquer. v. ®. 
User de ruse,, d’artifice pour tromper. 

Taaurista, s. m. escroo, fourbe,, chevalier 
d’industrie. 

TRAuPOLINA, 8. f. * tremplin. (fam.) Fraude, 
fourberie. 

TnaurÖsamEntE, adv. trompeusement, avoc 
fourberie. 

Taauröso, A, adj. frauduleux, fourbe. V. 
Trampisis, Trapaceiro. it. Sali de la foire. 


TRA 


Taania,v.a. traverser ä la nage. 

Taänca,s. f. barre pour ferımer et assuree 
une ports, etc. Dar ds —s, (fig. burl.) escam- 
per, prendre la poudre d’escampette. 

Tainga, s. f. tresse; natte. A — de seus dou- 
rados cabeilos, !podt.) l’or de sa tresse blonde. 
6 de morräo dar fogo ds peras, boute- 
fou, tresses de möche pour mciire lefeu au ca- 
non. 

TaanGantraa, s. f.° ruban pour attacher les 

eux. 

Taancino, A,9.p. de Trancer. 

Tarantino, a, p. p. de Trangar. s. m. Cor- 
ahnt 

ARCAFIÄR, 9. &. (f. de mer.) gen 
beider, appliquer la genope. ) genopen, 

TTaancario, 5. m. (8. de mer.) * genope : 
amarrage de bitord. 

Taancia, vo. a. bäcler : former une porie, 
une feneire par derriöre avec une barre. Bar- 
rer, barricader. 

TRranciÄr, v. 6. tresser, natter. 

Taancanalas, s. m. spadasein, breiieur. 

Taince, s. m. peril, danger, moment ceriti- 
que dans uno affaire, oie. (Ag.) Transe, conlit, 
detresse. Dernier instant de la vie. 4 isdo -, 
& tout basard; & outrance. 

TRANCZLIM , 6. m. petite Iresse de sole, olo. 
Petit galou d’orow d’argent, oordonnet. 

Taancuäpo, A, adj. (1. de Dias.) partage dia- 
gonalement de dreite & gauche. 

Taanciuuı , diem. do Trange, 

Tainco, s. m. long pas, saut, enjambee; 
bond, courbeite. Espate de quelques pieds. 
A—, asauts, ä la häte, sans ordre, etc. Em 
dows —s, en deux enjambees, 

TaincoLa, 5. m. bomme grand ot mince, 
tlano6, long comme une perche, flandrin. 

Tringqua. V. Tranca 

Taıuautına , s. f. palıssade : retranchoment 
fait de pieux fichös en terre. 

Taanqufıro, s. m. support de bois pour sou- 
(enir une poutre qu’on scie de long. 

Taangutra, s. f. "loquet, cadole. 

TaAanQuia, v. Tranqueire. 

Taaroviımı, s. f. quille en travers. ($. de 
mandge)Barre. Por —, ou por pdo de—, (fig.) 
par des voles detourndes, par finesse. 

TRANQUILLAMRNTE , adv. tranquillement. 

TRanguıLLıIDÄnE, 8. f. tranquillits, calme, 
repos,, paiz, quiötude. (4g.) Tranquillite d’es- 
ben, calme; sang-Iroid. — Publica, repos pu- 


1161 


TRANQUILLIzÄDO,, A, 9. 9. de 

TranouıLLızär, 9. a. tranguilliser, calmes; 
rendre tranquille. I} est aussi reci 

TrangviLLo, A, adj. tranquille, paisibie, 
calıme, sans dmotion. 

Taıns, prep. lat. qui entre dans la composi- 
tion de quelques ınota. De !’autre chl&, au delä. 

Traansacckö, s. f. transaclion : acıe par le- 
quel on transige sur un difförend. 

TnansacTüß, &, 8. gelui qui fat une trans- 
action. 





1163 TRA 


TRANSALPINO, A, adj. trangalpin : qui est 
au delä des Alpes. 

+ TaANSATLÄNTICO, A, adj. transatlantique ; 
qui est au dela de l’Allantique. 

Taanssgorvin. V. Trasburdar. 

TRANSCENLENCIA, 8. f. LLanscendsnce : sup&- 
riorilö marguee, &uinenge de genie, de Isient 
(d’un eire) sur un auire. Ce qui kalt qu’un at- 
tribut, une qualite est transcendante. (Ag.) 
Pönetralion desprit, fecilil6 & aameezoır. 

TRANSCENDENTAL, adj. 2 gen. transcenden- 
tal : quı l’emporte par-desgus ya autse. V. 
Tronmendenis. 

TRANSCENDENTE, ?. @. de Tranassader. ady, 
gen. Quipasse, qui va au del. Transoradanı, 
&leve, sublıme; qui exoelle en sop gegse; com- 
venable A toms las Eircs (aliyibu, qualite); 
(8. de maih.) (equation —e). Algshre, aritbas- 
fien —. ainöbre, ariihnıslique Iranscendanies, 
qui s’qacupent du esloul des dqyations Lrams- 
eendantes, qui ne renferment que los dißff&ren- 
tielles. r 

Taanscenpta, ©. w. passor de so oßtd-#i A 
P’auise ; aller, ei surtoui mopier au detä. Bire 
transcendaat ; Burpasser. 

TRANSCENDIBO, A, P. P. de Fransusnder. 

Taanscosci0 ou TaanscoLacid, 8. f. (tk. de 
wıöd.) inältration. . 

Taınscokn ou TAsmgosLin, ©. N. ITENESUr 
der, tanspirer. 

Taanscazveose. V. Copiste, 

TRınscaEY£a, 9. @. tFAuSckine ı eopier Un 
#erit. j " 

Taansoaırcäd, s. [. wapseription. 

TRANSCKIPTO, A, P. p. ir. de Fransersuse. 
adj. Transcrit, copi6. s. m. *Copie. 

Taınsconsäin ‚9. 6. d6pässer, passer au delä. 

+ Taanscduso, 5. m. eoure, tape de temps. 

Taanız. V. Trano. j " 

+ Tasussar, ewpr. iaf. passe, soll, Jo le 
veux bien. 

Taunszsrusiß. V. Transfusds. 

TRAuszönte, adf. 2 den. (k. de phil.) qui de 
la cause passe ou ss sonmuniyae & Voller. 
Passager. V. Transtorie. . 

Tarnsreneacıa, 8. f. l’aclion et Voller de 
tzansieror, wanslörement. V.'Mudansa, Pas 
sagem. j ’ 

TaanssaRiDO, A, pP. p. de Transferer. 

TRANSFERIDOR , 3.m. colui qui irausläre. Rap. 
porteur, insiramen! do mairemasiguus,. 

TRAnSPERja (6, Bara., v.«. Lranzferue : Lira 
passer, porter d’un lieu, d'une personne, d’ea 
temps & un autre. Trangiörer une (öle, ete. : la 
remetiee & un außeo jour. Transporter un mot 
du Promo au tigure. — 0 dieiie, subröger 
queigqu’'wn & vos dreiss. 

+ TransreniveL, adj. 2 gen. transförable : 
qui peut ewe trahstere. 

Taansmceunıcke, e, f. 1ransöguration :chan- 
gemont.d’une gure en une Auire. Transägu- 
ratıon de N. S. sur le mom Trabor. 

Tuanemnwonivo, a,udj. Kanslönnd, translı- 
gure. 2.p. de Transigurer. " 


TRA 


Taanssıcunis, vo. a. Iragsügurer : dbanger 
d’une forme on uns aulse. 
TRANSFIGURÄR-SE em), 9. r. 80 Isansformer, 
ebanser de ügum; satransfiguren, em parlanl 
eJ.-C. 


t Transrıxiö, s. f. Yaolion de Irenspercer, 
de ppreer de part en part. 

Taınspunsagiß, s. fı wanglormatien : ekan- 
gement de forme, meismorphose. 

TRAansYOosminO, A, P. pP. de Zransformar. 

t Transronnansa, 5. me oeldi qui trans 


forme. . 
tT TaansronyımıE, adj. 2 gen. qui trans 
forıue. . . 


Taaussonnis (em), v. 0. iransformer, mes 
mesphuser; ehanger d’une Sorme en une autre. 
(Ag.} Gagner l'afleolion @’und persenne, au 
point de paraitwe ne laire plußga’un avec elle. 

Transpoawin-eR, 9. 1 de trahsformer; se 
changer en.(Ag.) Changer de meurs, @’kabits- 
de, ete. F . oo. a. D) 

+ Taınssonuarivo, a, adj. quia ta vertu de 
transformer. 

" +Tıansrertino,, A, adj. d’outre-imer, qui 
est au de)a des'mirs. ' .. 
""r’Tninstakrän, b.n. (dnus.) passer 13 mer. 

TrÄnsrtca, 5. M. anf e , "Ulsertehr. 

Tuaxsrcct£iko.V.T eye . 

Traxsrennido‘, a,’ p.P- be 

Taınsrenpia, O.d. transvaser : verser d’us 
vaso dans un autge. Trarnsihser : faire passer 
d’un rädipfent 'däns un aöty$; faire la trans- 
fusion du sang. (Ag.) Comrhuni \successire- 
ment & plusieurs. Ei ce‘ „ ce verbe 658 
suriout employ6 oolnme r nt 

TaunsröHid, 5. fi commalfichueon des uns 
aux autres. Trerisfasıon : actidt de transfuser, 
de tfansvaser. — do sangus ‚ lt. de'chir.) trans- 
fusion du sang : bperallon per füquefie on fait 
passer le säng d'un animal dans 164 vefnes d’an 

aulre. 

Taansorepino, &, e- P- de 

TRANSCHEDIR, 0. a. transgresser : contrevent 
Aunelol, az preceptes divins, X an dr@re, etc, 
Penfreindre , Foutre-passer. " °"" 

TRANSCHESSAÖ, 5. f. Lrausgression : aatien de 
transgresser une bi. ° ' . 

"ATRANSCEE.SÖR, A, 5. transgrosseur, infres 
teur. delinquant. 

Transıcaö, 8. f. transition : 
sonnenen!, d’un stujel & un autre. 

TRansido, a, adj. lankussant, delle, men- 
ranı d’inanttion , etc.: ılhalgre, fäible. Teansi. 

Transıcino, A, pP. p. de 

Tainsıdin, v. 'aet n. transiger : passer en 
acte pour aceöınpagner une aflaıre. False une 
transaction, trausiıger guf. u " 

Lim SITAYEL, adj. 2 gew. praticabte,, ea 
psrlant d’un cheinın. " ' " ' 

+ Taansıtan (por), v. n. passer, traverser 
un pays, voyager. ’ 

TRANSITIVAMENTE, adp. par transiliom. Acti- 
vement» dans’ le mode act, %p pariaıt des 


rien 


d’sa rar 


TRA 


Inamgmiao, a,n-p. de T adj. 


DRAA 4139 


Taaseguiee, s. ws. dim. de Trebuco. An- 


saballer. 
Traveitie, lei avec grand soin ; poli, lime; | cienne machine de gwerre & Jancer des piertes. 


$igäe, as. Discurse - diseours fait 
avog soln. 

TRASALBANOR , 8. w. trarailleur, jqurnalier, 
Juvrier, manauvre ; homme laborieux, apptli- 
yue.— ‚A ad. Laboricuz, qui dine le Tarail, 
ann ourrier. 

TnaBaLnän, 9.4. travailier, (agenner la ma- 
liöro: fgire auoc application, areo' sein ;' soi- 
gnor, executer aväc soin; laurmenier; causer 
de ia peine. — a lerra, iaboorer la terre. — 
um eapailo,, Arayailler un oberal, te dvesser 
duroment. 

Trasaınir (de,em,por),v.». travailler: 
prendre auelque falinue de corps au d’esptit; 
faire une besogne, un ouvrage; faire de Fow- 


vrage; sc denner da la peine ayco un but, pöur | V.' 


un objat; s’appliquer , donner tous ses soind a, 
ancouper de. Ag.) Kairo unelfert pdur vaincee 
un nbstacle, elo.; isira tous ses eforts poar. .s 
Kaire une chnse avoo ordre ei möthode. >- por 
jornal, travailler ä Ix Journee. — no sew ff. 
ei9 , iravailler & son melisf. — sonawen wegto, 
trergilles comme un negre, couthe tun mal 
beurcug, — de mais, irevailler ' Irbp,"ex- 
adder ds Iravall. — de beide, travaijer inulie- 
weni, perdre g9n hule et son temps. — om 
vo, inutilmenie, Lravalllor zn pure'pertie.' 
- TRABALHÄR-5E (por). v.7. se iravailler, se 

tourmenter ; [faire ses ofloris pour..." 

TRABALDINNP, 4. m. dim. de Krabdiho. Tra- 
vaj) löger, peu faligant 

Taaaınn, em. Ikayail  labeur,, peine, fs- 
tigue. (Ag.) :Difieulie, peine. (d.)—, peine 
d’esprit, chagrin, malheur ‚" aouflrance ; 'nli- 
Bere, malaise -r, Quvsage fait owä [sire. Dia 


fe —, jour ouvrier. Nöo ba asalho som --, itäi’y | bot. 


a pas de plaisır sans peine. — das Ierras, fe- 
muement des terres. — ‚peine perdie. 
Gauelip ‚fate ci: de —, charal haut) kio. Ve 
faligup. —e, pi. poines, chegries, misdres de 
la vie. Os —s de Jesu Christo, les souffcances 
de desus-Chrigt, 

TRABSL.BÖSAMENTR, adp. pinibiament, Iabe- 
zieusemean}. 

TRABALHOSISIMO , A, adj. sup. de 

TRABALHOSO , A, adj. peible ; (aligant, aif- 
SCH Inborieux. - 

+ Träsey, 5.6 04 Taipze, s.m. pobe longue 
des rois, des seusteurs, des pretses palens: 

"TRABOLHAR. V. Trabeiher. 

Teaptcino ,A,p.p. de Frabucav. 

HRABUGADOR, 2. m. Soldat charge de la ma- 
n@uvre gun irabuco. V. ee mot. Mögacianı 
actif et intelligent. V. Lidador, Trabaikador. 

Tarsicin, oa, ot. hatlıe, venverser avec 
un frabuco. x ce mol. Ffopper.ä plusidurs rer 


Trapuziws, s. f ot. ) vempeis, Geadrdre, 
V. Torınense.: 

Tnacaeanrknnn. VW. Trachea. 

Trica,s. f.“ ver, teighe: fısecte qui ronge 
les 6toffes. (Ay.) Tour ce yuj mine, detnnt In- 
sensiblement. it. Premier plan ew desein d’em 
&dißice, ete:, dbauche, esquisse. (Ag.) Bian 
qu’on forme dans sa t£te, projet ; dessis. ? Ay« 
nangerbent) ordte, symetre. '(fawı) Rule, 
mente, artilice. " Vestige , trace. ı4Ybin —, do 
cette sorte', dercelig maniäre. ' 

Taagino, a, pr, pP. de Truser. adj. Beugb, 
pique du ver, de la teigne. Dessine, eo, "iv > 

- Iaagano, s mi; Vi Terfado! 

Tnaganon, 8. m. eolui qui dohne i rer 


. ande 


on 


Tracaunär. V, Trocanaz. 

Thacanä2; s. m! (pbp.y fros morceau. 

14 Targid,.s: fi V: Zrapa. =: de'rbsto, pre» 
fl, traitb de visage. a. m. :Morebau , #plät. 3° - 

Tnichn, v.a. ronger on piquer &ies rollen 
en parlant du ver, deta- teihne. (Ah) Bell 
miner insensiblameht. Donner he plan, te dbs- 
sin d’un ouvrage, träcer, esyufsser,ebanchör. 
erayonner. fig.) Formier un planiaris sarık, 
projöier, minuter, Maeisiner,' tramer? % Tore 

far.— o plano, tirer le plan. 2 WE CRPR, 2 

ssor le maintnn. | none 

RACÄR-SE, ©. r. elre piqus songs den 
vers. Se retrousser. °' 

Tnaccäd, 8. f. (1. de mie.) traetion : acıion 
d’une puissante qui fire um rhobfic. 

TRÄCHA-ARTERLA, & $. S. wachee-artöre. 

Tuscuka, 8: f. 't. densl.) jrachbe-ariöre.e 
canal par ob passe air que Von espise. tI. de 
)iPrachse, vaissonu pour bein poumen Ges 
plantes. 

Fascma0Tomis ,s. f. d. de chin) Kachöeto- 
mie: operation qui consist & amveir in iegahöe- 
aredre: 

TRAcaONo, 8.8. . de ebir. Jtrashome; uns 
rise de la partie ipterieure des paupiöree.: ' 

+ Taacuino. s. m. (1. d’hist. nal.) wachine 
vive : poissen & L#ie obiune. 

Taacıuusud. V. Entrezilkado. v 

Träcıo. V. Thracio. 


" Taacisra , s. m. machinaleur, homme fartiie 


en suses , en supproberies ‚ shiesnuns; Seirbe 
gai emploie twutgs sor(es de mpgens pous Fir 
venir & ses Ins. . . 

Trnigo,s. m. tracament,trai) de plume, etc. 

* Maniöre , usage , Doutame (P. u.) “T 

° Taacöm. V. Tragäo. 

“Tracoo. V. Prrupb.‘ 

Tuıctan,ete.V. Treiar, ete. 

Taicto,'s. m. * fiehdue; eopaee , laps ds. 


prises, donner des coups reitdres. it. deman.) | temps ; region. V. Trato. — de zeisse, trait'e 
Sombrer, chavirer.v. n. Faire de botınes sp6- | verset aquen ehante &’ iu messe enire le Graduel 


eulations, trafiquer. 
TraBico, 5. ’ 


csispulte : machine de || Taacromo, A, af. Irastnite, de Lrastich. 


et l’Evangile. 


gucrte des aprjeus.st, Sorie de Ibowuugeet de | Linha —a, ligne tracirice. m“ 


pros calıbre. 


Taasniro| 2, pP de Trader. . 


1164 TRA 


Taansrösto, A, p. p. irr. de Transpör. 

+ TRANSSUBSTANCIACAO, s. f. (1. de thöol.) 
transsubstantiation : changement d’une sub- 
stance en une autre dans l’eucharistie. 

TRANSSUBSTANGIÄDO, A, P. p. de Transsub- 
siancier. 

+ TaanssusstancıÄL, adj. 2 gen. qui se con- 
vorüt totalement d’une substance en une aultre. 

TRANSSURSTANCIÄR,, ©. a. transsubstantier : 
changer une substance en une autre. Il est 
aussi reciproque. 

+ Taanssopagäö, s. f. Irenssudalion : action 
de transsuder. 

Taanssıpino,A,p. p. de 

+ Transsupän, v. m. transsuder : passer au 
travers des pores par une espece de sueur. 

TRAnsSTaciRO, A, adj. et s. d’au delä du 


Tage. 

Taansronnän. V. Trasiorner. 

TRANSTRAYÄDO, A, adj. balzan dos pieds de 
devant et du pied droit de derriere (che- 
val, etc.). 

Taansraock a, v. @.changer, converlir on une 
autre chese. 

TaınsöurrTo, 5. m. ° copie d'un &orit, mo- 
dele. (Ag.) “Image, representation, vrei pot- 
wait. 


TaansvEanenin (p.us.). Transluzir, Re- 
verberer 


TaınsvensiL, adj. 2 gem. transversal : qui 
osape obliquement; non parallöie & la base. 
Cellattral : parent qui ne descend pas en ligne 
direote. 

TaınsvensaLımäne, s. f. qualitö de oe qui 
est transversal ou collateral. 

TRANSVERASALNENTE , adv. transversslement : 
ebliquement, en travers. 

TaınsvERsänıos, 5. m. pl." traverses d’arba- 
lostrille. 

TaansvEnso, A, adj. transverse,, oblique. 

Taansvzarta, 9. a. ronvorser. V. Tres- 
torsar. 

TRANsSYEaTiDO, A, P. P. de Transverier. 

Taınsvıan-ez. V. Hıtraviar-se, Desenca- 
miakher-se 


Trira, s. f. wape, piege. 

Taaricı, s. f. fraude, dol, tromperie dans 
un marche. Tromperie, fourberie geelconque. 
Chicane. Tricherie, trigauderie. 
jeogo, wicher au Jeu. 

Traracanon. V. Trapaceiro. 

Taaracan. V. Trapaoser. 

Taaraczär, v. #. frauder, tromper dans un 
marche. Chicaner, tricher, trigauder. 

Taarackıno, A, 5. fourbe, benneteur, nar- 
quols. Trompeur, qui frande, qui use de del 
dans les vontes, oto. Chicaneur, tracassier; Iri- 
eheur, trigaud. 

Tuaracenia, s. f. tracasserie, chicane; chi- 
canerie, tricherie. V. Trapapa. 

TaarıaLuipa, s.f. quantiis de guenilles. (Ag.) 
Confasion ; affaire embrosilide. 

TaaraLnäno, adj. m. Leite — , lalt teurne. 

Trararuiö, Ona, adj. ot e. (fam.) persenne 


TRA 


deguenilide. Brenition, qui veut se mauiler dı 
tout et qui gäte tout ce quiil fait. 

° Taarassin. V. Passar, Decorrer. 

Trarassänto. V. Trapeceiro. 

Tuärz ‚ voix imilslive qui indigus caup. 

Taaprin, 9. n.($. de mer.) balıre cuuire le 
mät, en parlant des voiles. 

Taaptına, s. f. lacarne en labatiir; mme- 
sarde. (fig.) Trappe, piege, trebuchet, 

Taartıno, A, s. chiffennier:: celei qui a- 
masse les chiffions pour lsire du papier. 

Taartıto, a, adj. (fam.) deguenill. 

Tairzzirg, s. m. (fam.) oliquetis des pie 
dans un combat. 

+ Taurezisönug, adj. 2 gen. ( 8. de bei. in 
peziforme : en forme de trapeze. 

Taır£zıo, s. m. (1. de geom.) Lrapdae : igwr 
de quatre cölös, dont deux seulernent sonl > 
ralleioe. 

TaaricHz, s. m. magasin au bord dei: we 
(su Bresil). 

Taarıcnkıao, 3. m. cplai qui a um magamı 
au bord de la mer, qui le tient & ferme eu gei 
Padministre. V. Trepiche. 

Trarinno, dim. de 

Triro, s. m. chiffen, halllon,, gwenilie. (Ag. 
Vieux habit. Linguads _s, hemme qui aruzua 
mal, bredeuilieer. 

Tairoıa ow Tairula, s. f. wrappe, pi, 
trebuchet; filet, traquenerd. 

Taigqve, s. m. bruit d’une fusde qui crew; 
pttard. (Ag. vuilg.) Pet. 

Taaquzia. V. Traquejar. 

Taagotıaa, adj. f. Herva — V. su mei 
Herve. 

TasaquEsino, A,P-P. 

Taaqunsin, v. a.(Ag.)  leniaiser, digen. 
u. ». Peter, petarder. 

TRAQUETE, 3. m. (1. de mar.\ * misaine : vo 
ontre io beauprö et la grande veile. — & 
moinhe, traquei de mostin. Por d cape cm» 
— , metire ä la ospe A la miseine. 

TRAQOETINBO, 5. u. din. de Traqufis. 

Taagvınipa, s. f.“üntamarre, [racas, brui. 
vacarme. 

Tragvınia,, v.w, (fam.) faire de vararımı, 
du bruit ; ötre turbulent. 

Taaquinas, s. mw. onfant turbulent. 

+ Taagorräma , s. f. voitare bowurgesim & 


.| quatre roues et A un si6ge. 


Träs, prep. apres ; derriöre. V. Höre. Par 
en arriere; ärecalons. Trds, —, bruit gr 
fait en heurtant une porie , eic. : pam, pen- 

+Tais, s.m. (fam.) lederriere. Coup bruys 

TaAsanDaR,, 9. a. ei m. faire recaler «u 
euler. 

TRAASANTONTEe, adv. Il y a quatre jew. 

Tnassorpino, A,9.9. de 

TRASBORDAR, 9. a. el a, döhorder, veruer par- 
dessus les bords. ( Ag.) V. Exusder, Behr 
ebunder. 


TarascaLin. V. Trescslar. 


* Taasciuans , 8. f. pidce derriöre uns cha 
bre ä opucher. 


TRA 


Traseorıci6. V. Transcolarkd. 

Trastıno. V. Trazeiro. 

T Trasstca, s. f. action de transvaser, de 
soutirer une liqueur, soutirage. 

TrAsr£cÄDO,, A, 9. p. de Trasfegar. 

Taasrecanöna, s. f."soutirage. V. Trasfega. 

TRrASFECAR,, ©. @. transvaser, soulirer une 
liqueur. (Ag. inus.) Transporter, chauger de 
place. Tratiquer. V. Lider, Negocier. 

Taasreco, s.m. V. Trasfdga ei Trafego. 

Taaspecußıno. V. Trasfogueiro. 

Taaerıön, s. m. (1. dorf.) Neurs d’or sur !’6- 
mail. 

Trasrocufßıno, 8. m. grosse büche qu’on met 
Jderriere le feu. 

TaasruLzipo, 2,9. p. de 

TrasroLzir, o. @. (8. de peinf.) calquer (un 
dessin,, etc.) sur un papier huile. 

Taisco, s. m. latin, esprit follet; ( Ag.) en- 
fant petulant. 

TRASCUEAR, v. #. lutiner, faire le latin. 

TrasLacid. V. Translagdo, . 

TaasLapackö, 8. f. translation du corps d’un 
saint , etc. Traduction; translation. V. Trans- 
lardo. 

TraasLapino, A,P. 9. de Trasisdar. 

TRASLADADOR , 3. m. celai qui transporle, 
qui fait la translation. Copiste. Traducteur. 

TrasLanän,v. a. translerer, transporter d’un 
lieu & un autre. Copier, transerire. Traduire, 
faire une traduction. Donner & un mot un sons 
Sgurs, metaphorique. 

TaasLino, s. m. double : copie faite mot pour 
mot sur l’original. Exemplaire, modeie d’deri- 
ture. * Transeription, copie, image; portrait 
ressemblant, vrai portrait de quelqu’un. 

+ Taaurin,s. m. la partie qui est derriöre 
Fätre d’un four. 

Taasıozın, etc. V. Transluzir. 

TRASMALHÄR. 

TaısuiLno. }V. Trormaelk..., eie. 

TRasmonTino, A, pP. p. de Transmonlar. 

Taasuontino, A. V. Transmonlano. 

. TRASmONTÄR, vo. ». passer au delä d’un mont. 
(fg.) Disparaltre, s’&vanoulr. V. Transmontar. 

Trasuupin, ote. V. Transmuder ou Trans- 
auler. 

Taısnortino, A, adj. quia passe la nuit sans 
dormir. Biöme, abattu, ete., pour avoir passe 
la nuit sans dormir. p. p. de 

Traswoıtia, v. ». passer la nuit sans dor- 
mir, 

Taasöra, 8. f. (6.de proo.) V. Cavalla. 

Trasonpıninio. V. Transordinario,. 

*Taaseissa. V. Trapara, Freude. 

Tnaspassaciö, s. f. "iransport, oessien.V. 
Trespasso. 

TaaspassiB0, A, p. p. de Traspassar. 

TnasPpAassauenTo. V. Trespasso. 

TInaspassär (6), Y. 8. iransporter s porlo 
d’un lıeu & un autre. Traverser, passer de l’au- 
(re cöt#; passer outre ou au delä. Bepasser, 
passer une seconde fois. Transperser : percer 
de part en part. (Ag.) Transperoer, navrer lo 


TRA 1165 


etfur, penötrer de douleur. (fd.) Transporter, 
otder ses droits , ete. (dd.) Pöneirer, saisir: om 
le ditdu froid. Ilest aussi neutre et reciproqgue. 
V. Trespassar. 

Traspisso,, 8. m. transport : cesslon d’um 
droit, d’une propriets. V. Trespasso. 

Traspt, s. m. croc en jambe (inus.). Faux 
pas, glissade, bronchade. Dar —s, vaciller sur 
ses jambes, chanceler, se soutenir ä peine. 

TaasrıLin, s. m. pilier derriere un autre. 

TaaspLantin, olc. V. Transplantar. 

Trasrosıcäö.V. Transposigdo. 

TaıspOn, v. a. ein. disparaltre ensecachant 
derridre ; se coucher derri6öre, en parlant du 
soleil; s’d&vanoulir. 

Tnaspon-sE, ©. r. disparalire, n’evanoulr, 
passer. V. Tranıpor. 

* TaAsPoRTaLecee. V. Traspor ei Desappe 
recer. 

Taıspontia, etc. V. Transporiar , etc. 

Taaspösta. V. Emposte. 

Trasprautin. V. Transplaniar. 

Taiste , 3. m. meuble ; bijou ; usiensile, 
* Touche : piöce qui, dans cerlains instruments 
äcordes, sert ä marquer la division des lons; 
corde & boyau. (buri.) Vaurien, mauvais gar- 
nement. 

TRASTEJÄR, 9. ». remuer, arranger les meu- 
bles. (Ag.) Se donner du mouvement; chercher 
ü gagner sa vie, brocanter. 

* Taastzurän, etc. V. Prescrever ‚etc, 

* TAASTENPO, 5. m. V. Prescripgäo. 

Taisto. V. Traste. 

Taastoanipo, A, p. p.de Trastornar. 

TasstonnapoR, A, 8. celui qui relourne, 
renverse. 

Taaıstoauirk, 9. a. relourner, renverser,, 
bouleverser, zmetire sens dessus dessous, sub- 
vertir. (Ag.) Reoverser, troubler la raison. \id.) 
Tourner l’esprit de quelqu’un ‚le faire changer 
d’avis, etc. (dd.) Troubler , confondre, metire 
on desordre. 

TRASTORRO, 6. m. renvorsement, boulever- 
sement , trouhle „ subversion. (Ag.) Conire- 
temps fAcheux. 

Taastaaväpo, A, adj. trastravat ; (cheral) 
qui a des balzenes en disgoenale aux deux 
pieds. (Ag.) Lourd, gauche, malauroil, pe- 
santı. 

TRASTROCAÄDO, A,P.p. de Trasirasar. adj. 
Dont on cbange l’ordre , l’elat; renverss. 

TaasTaocha, u. a. Changer, renverser l’or- 
Are, l’&tat des choses. Intervertir, (Ag.) con- 
fondre, wroubler. 

Taasvauııa. V. Tresverier. 

Taasvasian. V. Transvsser. 

Taaräoda , 3. f. Irame, complet; friponnerie. 

TaaTapo, A, P. p. de Traler. s. m. Traite, 
convenlion , aocord. —, ouvrage oü l’on tzaite 


?| d’une science, d’une matidre. 


Taatapör, A, 5. (P. ws.) V. Traiants, COn- 
(raclador. 

TRATANMENTO, s. m. Lraitement: bon ow HAMM“ 
vals accueil. Titre qu’on denne & quelquim. 





14166 TRA 


Entreiien om semmerce aveo quelqu'un. \. 
Tralo. a 
Taarlätk,s. m. marchänd, wafllguant. (Ag.) 
Fripon,, escroc. . 
Taıtia, o. a. traiter : agiter, discuter, dis- 
eourir, raisonner sur ug sujel. Trailer : se con- 
duire avec quelqu’un. Soigner, surtout en 
parlant d’un mederin. Ernployer, pratiquer. 
Toucher, manier. (Äg.) Manier, conduire une 
effaire. (com.) Trailer: negocier an Acccm 
modement, elc.; traiter, avec qäeTqu’un. — 
alguem, fr&quenter quelgu’un. Soigner quel- 
qu’un, Iui donner ses soins, en parlant d’un 
medecin. — armas, manier les armes. — 
amores, faire l’amour, avoir une liaison ammou- 
reuse. — verdade com lodos,, Eire [ranc, sin- 
eöre, de bonne fol envers Lout le monde. — 
alguem por excellencia, por senhoria, trailer 
quelqu’un d’excellence, de seigneurie. — com 
arrogancia , auloridade, preudre sur le haut 


ton. 
Taarir (de) , v. ». Iraiter ; agiter, diseourir 


sur. Avoir soin de; songer 4, w'occuper de; 


tächer, s"efforcer de, travailier, Sapptiyuerä. 
-— d’um döente, trailer, soigner üh malade. 
— com ofguem , avoir des relations avec guel- 
qu’wı. — com Deos, s’entrötenir avde Dieu 
danmia priere. Suber alguem com quem (rala, 
eöhnsitre bien son monde. — ein merränckas, 


fsirele commerce, Üöhnthercer, traffgırer. 


TRATAR-SE, v. r. xe vöir, be tröquenter , 1b" 

ce 5a per- 
sonne se noürrir bien ou mıal, etc. —d Brnden 
€tre somptueur, faire bonrie cheıe, elc. Träla- 
se de... 8’agit, il est qnestion de... De que 36 
train P de quai est- il Question? de quoi s’agıt- 
il? E a maleria ae que se Irala, c’est Ta chose 


vre ensemble. Avdir goin ou nöh 


en question. 
ıtkveL,adj.2 en. shanlavie, En parlant 
des ınötanx ‚ete. Traftäble, donz ; avec qui on 
peut tralter. Fazer-se — , sv apprivoiser. 
+ TrariveLwiere, adv. d’une tbantere fral- 
table. 
Taarzivo,A,P.p. de 
Tnarxir, 6. a. applitgueria forture, 
Träto,s. m. maniement : action de mänfer. 
Maniöre de se fraiter, de Ne hourfir, to. (y.) 


Traltemenn : fegon d’en user 'ärec queiqu’tun‘, f 


bon os mauvets acceueil, ete. (3d.) " Liaison, 
amilie, communication, commerce, farnitia- 
rise; (r&uentation. (dd.) Cöinmerce iMteife 
avec une ferame. Traßc, negoce‘, tOnrHeru®. 
°Convention‘, accord. —dodre,, ehtitie donbke 
et fausse. Dar bum —, Waiter bien. Darmdo—, 
maltraiter. De—agradavel , d'un agreable com- 
merce. —s, pl. "tortare, wucstion. —e de yold. 
V.ce mot. Dar —s wo Juise, tig.) meitce Pes- 
prit en tortore. ‘ 

* Tuausir.V. Taxer. ' 

”"Taruso, 8. 1%. V.'Tana. 

* Traussagad. V. Trunsaeedo; 

Taiura,e.-f..piste, Mucc. V. Rasio. 

* Tuautär, etc. V. Tralar, eto. 

"Paiuoro, %.mM, y, Yirade; 





TRA 
[niva, e. f. olive, pouise qui Iravesse — 
erus, bras d’une croix. — das Besias, 
raves. 
ravacid, s. f. liaison, opnnexion, enchai- 
ement. 

Travaoontas, s.]. pl. * diffärends . dispates, 
contestations, d&bais, demeles. II est soovemt 
usit& comme subs. m, Tive um — com eis, jai 
eu un differend avec luj. 

« TRAVÄDANENTE, edv. d’une manläse eu 
hacse. Pete-mele. 

Tnavansına, 8. 7. outil d’artisan pour ee- 
her les dents d’une sche. 

Travinpo, A,P.p. de Travar. adj. Jet. ie. 
assemble. Entrelace. Melk, eınbrouille. Ex. ı:. 
dl trav6, enirave. On le dit d’un cirıa 

yia des marques blauches aux deux pieis de 
In&me cöt£. 

Taarapor, adj. eis. güi lie, joint enserb.r: 
qui eniame, commenc», etc.; qui entrave. ri. 

Teavipos, 6. m. pl. Iravates : Ouragans IT- 
kibles sur la cö3e de Guinde; vonts wes-has- 
u Er 

RAYaDÖURG, #. m. paluron : parie du p-- 
du cheval, eto., od s’attachent les entrave«. 

Taavapürı, $./. Jiaison : action de lier ; I: 
ee qui sert & lier, & joindre anne cbose & an 


kutre ‚lien , allache 

RAVAL. Y. Yrodal. 

RAVANBATO, 5. m. engagement de baaü'r. 
Tuavänca, s. f." enträve, obstacle. 
Taavancir, elc. V. Älragancar, etc. 
Travad, s, m. anncau de Ior om chalnr ge’os 

mel aux pieds d’un cheval. 

Travia, o.a. foindre, lier, assember. = 
cer. Entärher, commencer, engager. basıt-t, 
empetrer (lds aniınaur). Tourner le Li“ 
d'une scle. — ührisade, nouer, her am:». — 
batalha, en veniz aux mains, engazer ie a 
bat. — de, saisir, prehdre, empoigner. 

Traavin, 9.9. air aa goM Apre, rest, 
en parlant des fruiis. 

Taavik-sk, 'd. #. 5b Tier, sanir, se joi-?, 
&ic. Se battre, en venir Aux mans. — dr pas 
erns , He razdes, se prenäre de parofcı. 

Tkive. s. f. poulre, solive, cherrm. E- 
fraves dt Cheval. 

Travecia. V. Trovessie. 

TuUANMABERTO, 8. m. ahauzpente de mai‘ 

TravEsin, v.@. pesericasaliwes; zum © 
poutren, 

Traves,s.m. travers, biais, obliqnite. # ı* 
dc bastion. — da fortane , fig.) uscnhe id» 
gräce, mallreun 4,0 , & trau Mr—. 
de travers, en drators, de ddais, Bussen? 
Por a =, (8. de mar) aıellsc zu pamme. Dar s 
— , (id.) echouer. 

Travnswa is. f. tioveitsa, Bidee de beie > 
Ilte rue troversiire. Okanin de fraverw *T->- 
jet, wen erste bar new. "Bras de croim. "irr- 
en-Janrtte. ' 

Tram od). f. ObNique, de URS, por * 
irdvef®. Pdrie = ‚’pdtto Inlerie om derenc' 











TRE TRE 1167 
(Ag.) meyen deiaurne. Mär — , [a largeur de la verlit, s’smuses, se laire des niches. Jouer aux 
main. Flaute — , flüle Lrayersictt, .. cheos. 
IRAVESsAG, „m. vent are sier, Filau de, Tarpdıno, s. M. Jouet d’enfant, Jotjon, bim- 
balance. — d’abita , lt. de mer.) ırayersin des| Helot. Badinage, plaisanterie. Petit vase. 8, 
bittes. adj. m. Vento —, vent contraire ow tra- | Pl. piäces du jeu d’Echecs. Sorte d’ancien im- 
vorsier. , un t sur le vin. 
Anavapsin. V.dtracessar., u. TasBeLLiana. adj. f. Quarts—. V. Quarls 
FTaavessein, v. m. ölre inquich, türbulent, Tar.sero. V. Trebelho. , 
n’tire jamgis.en repos, On Ip dir des enlants,| TREBOLA, 2 f. sorte de gros poisson d+ rO- 
etc. Ay.) Mener une vie dereglee, digsolue. „| @&an. a akıd 
Taarzsstıau, s.m.Lraversin,chevel,oreiller] * Tazaöına, s. [. grande outre ä in. 
TaEBÜCAR, ©. %#. chävirer, en parlant ach 
1,04. Y. Zrabucar. 


long. 
Taavssuja, 2. f. veni senicaire au trawiorlier.  escco. V. Trabwco. 5 . 
TaEbıraR, eic. V. Tribular, eie. 


TRAYESSO, A, adj. traversier, de trawers. W. 
Travessa , adj. f. T v.T 
Taavesso, A, adj. mistim, Mechant; inguiet RILADN: 1» . a 
vif,\orbeleng, enpiögle, sanb-sesse ap, Taecatıo (A), loc. adv. en abbndance „a 
ment. On le dit des. enfands ‚ sic: ‚ „'08on. - eh . 
Tnavsaguns, s. f. nmchamceld; ımallige: e-| , T TBECHO, 8. m. Espace, intervafie de temps 
piegtesie. V.Keturdda. . . s de lin. A—a, parinlerrelle, de lemps en 
TRAVESSURINHA , din. de Trotessura. emps , de distance en dis:ance, g& et ld. A 
Tamm: V. Sr —t, de loin.en pin. _, 
TRAVINCAVAR. V. Alravancar. Inecö, 8, m. tiercelöt. V. Torch. 
Teıvısia. V. Travossia. Er Taschı. V ‚Targol. .. 
Taivo, s.m. "Apreid,. gMt äpre. il. (p.ur.)| ° Tazpice. V. Trairde. I. 
Bakourdissemen}, sontzaction des nerfs. *Trtno,A, ad. V. Traidor, Bomensido. 
Taıvotıa, a. f. " foret.: instinunent pour "Zuzbdn. V. Arador.: . 
“ Tatposamante. V. Alraigoadamente. 


















vor, Perser un Sonneatı, elb. 
Taiz. V. Träs. . Tatnoao, eto. V. Trasdär, 8. . 
TRAZENOR, A,.F. calei yui,.Fppauie.  «. . Taßrrco, A, adj. remuank, vil V. TrAfo.. 


+ Taaziına, a. f. "derriere d’uns vaituze. 
Hogo da —, laquais qui va darriöre la Weitnre-. 

Taaztıno, a, adj. qui enkıomrasle dasriäre; 
posterieus, .de eu on Aseriäre. Paria —a,po 
de derriere. j ur ‚ 

Taazkınd, w.tederriörz, le eul, lo Sonde- 
meRB e 


Trazer (a, de, para),o.a. porier, a ; 
transporter, conduire j Ya fen Fe 
rer. Causer, octasfonner. SV.) Apporter Ir 
guer des raisons, etc. Ameher dson sentl 
attirer & son 'parli. Avdir, trafter ‘line atfafre 


avec quelqu’un. Avbfr, pörter üh höblt‘, ete. 
“ Mener, amener. — or fortä, com eillenchh ’ 


Tatro , a, ey. An, russ , adrait. V. Tröfegp. 
‚Tnaosttanös , A, s.:bateleur, Jaunpr de g9- 
Ihelets; geirascier, —bre. u 
TanokutaR, 8. M. gESLEN, MINAE, SONLOFEIONG, 
(grimaces. Tours de passe-passe , escamolage. 
Eutcoa 0% Mine. suspensinn d’ArMEB, 
Tr£cur,s. f. | cessalion d’hemililss pour 
iın temps, par oehmueiiens (AY.) reiäche, GEB- 
'sallon ; rupos, interruptien de warail. —@, I. 


VEcanoss. 
Tagıgkö. V. Traipdd. 
Tagıcoan, etc. V. Alralganr, olo. 
Taxınon. V. Treldor. 
Fran. V. From. 
Tazını, s. f. carte douhte aux. faucons , Ol: 


obliger, forcer, conträindre. — dd, rappdr- 
ter, en parlant d’un chien de chasse, Bi „'|\(Ag.) * Allechement , zttrait‘, app&t, amoros. 
moria, rappeler, se go hif, La Yıidmorda, Freınkpd, A,9.p. de 
no pensamenlo,, relenir’äshıs Pa fnettidite, Con-. Trlwän, ©. 0. Houner la surde aux faus 
server le souvenir. — origem ‚'Adscenüre. —'z'| Cöhs ‚u. 0 
propostlb b’que'se diz ‚!pläcer Hönce quon the | _Frtıra‘, & if. wos, vestiges, piste. V. 
— rontade, avoir 'ehrie ow dihir Te. — a bar- | Trete. 

x, 0). Moni, russ, rom. . 


riga d beeca, ötre endeinte, 'etre grosse d’eh-' a 
K- Takıro, A, ij. sufe®, ekpos6. Usit# , suiri, 


fänt. -- ulguerh entre dentes, avolr une dent | 
eortre juelgh’un, fri en vouloir. —'de renlia,'| seddufume. Weiaur) V. Trrasado. Mal, mal- 
Il traite. 


tenir (une terre, elc.) äferme, & bail, u \ vr eo. 
“Tnazer-sk, v.r. Are bien ok nia Yalı,y.| Tnzssıranor, etc. V. Troyatiädor 
» o bien ok mia veta.v.| IR an V. Proojuren, ) 


Trajar. 
Traziva,s.f. "transport d’un lien un autee.. re s : pr ae car, oi8 u 
TnAzINERNO , 8, miransport, imporlalion. TreLLa, s. f. laisse : corde pour mener leb 
Inazöua, V. Trerois. | chiens. Zevar & —d eBo, mener iv chim en 
Tre, s. m. espece de toile de lin. '| Iuisse. Sollar a — ad ae, lacher ta 'laisse au 
TarDELHÄR, 0.0..jower.’ Ok dit’Nes enfants | chien. Soltar a — , dar —. {fiy.) donner peid- 
gut s'amusentavec feupp jone®.Rire,:se di-|'che, liberts, permeiue, Redrwa-—, (4d.) Hire 


’ 


1168 RE 


impatieni pour faire une chose. Esganicar-se 
na —, (id.) precher dans le desert. Trazer d—, 
(id.) ınener quelqu’un en laisse. 

Indus, s. m. train, atlirail, arroi, equipage 
de voyage ‚etc. — , suite, cortege, etc. — d’ar- 
Klkeria, iraiu d’artillerie. 

Tazuııno. V. Tresmalko. 

Tazuinte. V. Tremente. 

Tazuar, v. a. efler du linge, ete.; faire de 
la charpie. o. ». (vieux) V. Tremer. 

Tazuzsündo, A, adj. terrible, redoutable, 
effroyable, &pouvantable. 

+ Tazuire, s. m. (t. de bof.) becchante de 
Bresil (baecheris Brasiliens). 

Tazuezckm. V. Tremez. 

TazussiL, s. m. lerrain mardcageuz, Irem- 
blant. "Fondriöre, crouliere. 

Di EnunoR ‚A, adj. ot s. irembleur, qui trem- 

e. 

Taxusıtan, V. Tremeliar. it. Bambalser ; 


er. 
Tnausıaca ou torpille : poisson plagios- 
Tagutıca, a. f. | tome, edlectrique, du 
genre de la raie, qui cause un engourdisse- 
ınent quand on le touche. 
Taeuzıurcia , 9. ®. trombloter. 


"TazuzLıchso, A, adj. trombletant. V. TZrd- 
ulo 


TREuURNDAuSNTE, ade. Lerriblement, d’une 
maniere redostabie. 

TRENENDISSINO, A, adj. sup. de 

Tazuinno, A, adj. terrible, redeutable, 
tpouvantable, affreux. Digne de respect, de 
yendralien. Eivanant, grand, exoessil en son 
genre. 

Tazutnte, adj. 2 gen. tremblant, quiirem- 
bie. p. e de T'remer. 

Tazuzeutina. V. Torebinikine. 

Tazuta (de, com), o. n. trembler : öire agit6, 
interrompu ; &iremü par de [röquenies sosous- 
ses ;n’ötre pas ferme ; s’ebranler aisement ; (fg.) 
eraindre, avoir grande peur de, que. 

Tazuztrea-ıe. V. Entromelter-se. 

Tarxutz, adj. 2 gen. de trois mels. Trio —, 
wemois : bio gui müril em izeis meis. 

Tazuszinno. V. Tremes. 

TRrENinO,,A, p.p. de Tremer. ady. tremblant. 
Letra —s, teriture falle d’ane main mal 38- 
surede. Linhas —as, suite de points dans los 
esttes marilimes peur indiquer los venis iater- 
mediaires. 

Taguınnıcia. V. Tremeibicer, Cambelsar. 

Tnemurıchso. V. Tremeligoss. 

Tusuisses, s. m. pl. ancienne monnaie, qui 
valait un franc ä peu prös. 

Tazmo. V. Trumd. 

+ Tazmockıno,s. m. ($. de bot.) lupin: plante 
l&gamineuse. 

Tazuöco, s. m. lupia :graine en före. V. 
Tremecsiro 


TazuoLino, A,p. p. de Tremolar. 

TarzsoLiänte, adj. 2 gen. agilt, flottant au 
gr6 du vent. p.0.de 

TaxzmoLin. ©. a. arborer, deployer, faire 


TRE 


Botter (on drapeau, un etendard, ele.).v.s 
flotter, &ire agit& par le vent. — ao venie, (L 
de mar.) dejouer, tourner, volliger au gröda 
vent. Vaciller, en parlant de la lamiöre d’we 
ebandelle. 

Tazuonna, 8. f. tr&mie de monlin. 

Tazmonuino, 8. m. huche de meulin, auge 
oA tombe la farine. 

TnzuOR , s. m. tremblement. — de frie, fü- 
son. — de terre, tremblement de terre. 

Takurs, s. [.“iwepiod de cuisine. 

Tazuueis. V. Trensmuder. 

+ TasuuLautute, ade. d’une manlise wen 
blente, on trombianı. 

TatuuLinte. V. Tremule. 

Tauzuia. V. Tremelar. 

TasuuLo, a, adj. tromblant : gei Irsmbk. 
(Ag.) On le dit de la Iamiere. 

+ TatuoLos, s. m. pi. foars de pierterik 
soutenues par des Als d’archal qui irembient. 

TazuuLsso. V. Tremule. 

Taxuöras, s.f. pl. (Pop.)” transes. V. Apıra, 
Angustia, 

Tatnı,s. f. “rauban, tresse. * Fouet de wapie. 

Tatuca, ete. V. Trengs, ete. 

Taund, s. m. iralneau : veiture pour alt 
sur la neige;; veiture sans roues. 

t Tagnos, s. m. pl. * plalntes, Ismentahtes 
(de Jertmie). 

Tasraptına,s. f.(t. de bet.) "Tiseren des baies, 
grand lisoren ‚ liset: plamte grimpante. (1.2bot. 
nat.) “ Grimpereau - eisonu qui grimpe ie jef 
des arbres ; u tönairesire. — ds ur 
rose, grimpereau de muraille. 45 —ı 00 PER 
eilhas , les grimperesux. 

Tanvantına, adj. f. (4. debet. a dhiel. wel.) 
grimpante , (plante) qui grimpe. Ave —, iR 

u 

Tazrınön, A, 8. voltligeur, dansenr de card. 

TaErADOR, A, adj. grimpant, V. Trepadsire 

+ Tazranonıs, 8.0l adj. [.pl. (1. Chi. nal) 
“grimpeurs : ordre d’oiseaux & qualre dei) 
opposts ‚ qui grimpent le long des arbrei. 

REPADÖURO, 5. me. (dmms.) emdroit par el 

Yon grimpe. 

Tazranipo, A,9.9.de 

Taaranin,o. 0. (1. dechir.) tröpsner : hit 
Poperation du tröpan. 

Takrano, s. m. tr&pam : operation qui IR 
siste ä enlever un morceau da eräne post K 
sonder ; instrument de chirurgie pour la lift. 

Tazrir, 0.n. grimper, gravir. Grimper, @ 
parlant des plantes grimpantes, et des pi 


ars. 
P Tnureca, s. f. "siöge ä trois pieds, trpiel. 

Tagreas, pl. V. Trempe, 

Ingrıca. y4 Tröplies. 

nericae. V. Trepiche. 

Tanrınackö, 5. f. (8. desire.) töpldeten: 
balancement que I'on atiribuait autrefoi 41 
" Teurniure,adf 18. 0. de 

PIDÄRTE , adj. 2 gem. agilb. 

Tasrınia ‚v.n. (p. us.) trembier,areit peü'. 


TRE 


TRI 1169 


Tageızo , a,adj. craintil, timide, tremblant. |, Tarsronzauzcee.V. Trasporlalscer. 


Tagruıca, 3. f. (4. de praf.) triplique : re- 
ponse & une duplique. 
TazrLicano, A, 9. p. de 
Tazrıicia,v.0. (8. pret.) tripliquer : 
r&öpondre & des dupliques. 
Tas, adj. num. 2 gen. ot s. m. trois, deux 
et un; le chiffre 3. 

TInzsanpir , v. a. V. Transformar. vo. ®. 
Puer, empester. V. Trasandar. 

Tausıavö,s. m. trisaleul. 

Tazsavö, s. f. trisaleule. 

Tnzssonpäa, etc. V. Trasbordar, etc. 

TAESCALÄR, 0. 2. avoir une odeur Ires-(orle, 
et qui p6neire dans les narines. 

TaEsDOBRÄnDO, A, p. p. de Tresdobrar. adj. 
Triple. 

TaEspoBRADÜRA, 8. f. "triplement. 

Taxspoprnär, v.a. tripler. V. Triplicar. 

Taespösae, adj. 2 gen. (t. mil.) on le dit 
d’une sorte d’6&volution militaire. 

TkespöBR0O , s. m. le triple, trois fois aulant. 

Tresrecir, etc. V. Trasfegar, etc. 

TRESIURÄR, 9. n. jurer souvent. 

Taxsıapär, etc. V. Trasladdr , etc. 

TrnesL£r, vo. w. (fam.) deraisonner, extra- 
vaguer & force de lire. 

TaEsLıDo, A, p. p. de Trester. 

TRresLoUcinDo, A , adj. tres-fou, 

TRESMALHÄDO, A ,P. p. de 

TagsmaLHir, vo. a. laisser &chapper, perdre. 

TRESMALBÄR-RKE, ©. r. s’echapper ; 8’6garer; 
se ımeler, se confondre. 

TaksuäLHO, s.m. tramall, tr&mail : sorte de 
Rlet de p£cheur. 

Taesuontin.V. Trasmonlar. 

Taxsuupir, etc. V. Trasmudar, eto. 

Tausundta,s. f. arriere-petite-lle. 

Tazsu£ro, s. m. arriere-petit-Nls. 

Tagsxoırano. V. Trasnoitado. 

* Tatso. V. Tredo ou Trefo. . 

Tazspinno, s. m. sorte de tissu de trois 
trames; toile pour faire des matelas. 

Tazsrassacä0, 3. f.V. Traspassardo, Trans- 
migrapio, Transgressäo. 

TREsSPASSiDO,, A, 9. p. de Trespassar. adj. 
Saisi , wansi; interdit. 

TRESPASSADOR, A, adj. et s. qui perce, qui 

"pendtre, etc. V. Trespasser. 

TRESPASSAMENTO , s. m. action de traverser, 
de percer d’oulre en oulre. Transgression d’uns 
loi, etc. V. Trespassagdo et Trespasso. 

TREsPASSÄR, v. a. et ». traverser; passer 
outre; percer de part en part. Violer, trans- 
gresser ( une loi, un pretexte ). Rösilier (une 
vente, etco.). Transcrire, copier, traduire. Alon- 
ger, prolonger. Excöder. V. Traspassar. 

Trespisso, s. m. V. Traspasso. " Transmi- 
gration. Chagrin, douleur, aflliction, transe. 
Trepas, mort, de&c#s de ’homme. Delai, retar- 
dement. * Transgression d’une lol, ete. Jejuer 
0 —, ne manger ni boire depuis le jJeudi saint 
& midi jusqu’au samedi saint ä la m&me heure. 

Tazspon.V. Traspor. 


PORT. FR. 


Tarsrösta. V. Emposia. 

Tngssuino, A, P9.p.de 

Taxzssuir, v. 0. oi m. suor A l’excds. 

rt Tassraurin, o, ». (burl.) oxtravaguer ü 
Voxces. 

Tassraavino. V. Tresirevado. 

Tagsvausan, oto. V. Tresveriar, oto. 

TagsvaRıADO, A, adj. en delire. p. p. de 

Tazsvanıka, v. ». delirer, ötre en deline; 
batire la campagne. Exiravaguer. 

Taxsvanio,s. m. delire, transport, röverie. 

Tassventepuna. V. Verledura, 


Intra, s. f. botte d’escrime : moyen qu’on 


emploie, soil pour altayuer, soil pour parer, 
feinte. (Ag.) Ruse, artifice, siratagäme, wmani- 
gance. 

Trku, s. m. (l. de mar.) tröou: voile carrde 
que les galöres, les tartanes, etc., porient dans 
le gros temps. Voile, en general. A— ce a 
remo, avoile et ärame. Panno de — ‚toile & 
voile. 

* Tagusassöm. V. Travagdo. 

Tntvas, s. f. pl. tenebres, obseuritd; pri- 
vation de lumiere; nuit ; (Ag.) erreur, &gare- 
ment, aveuglement de l’esprit, etc. —, Ma- 
tindes des trois derniers jours de la semaing 
sainte. O reino, a mansdo das —, le sejour 
wönebreux. 

+ Taßverıs, s. f. ({. de gdog.) Tröves : ville 
d’Allemagne. 

Trevire, s.m. drogue me&dicinale de l’Inde. 

Tatvo,s. m. (1. de bot.) tröfle ,triolet : plante 
vivace, legumineuse , de diverses Ccsp&o6s : 
bon fourrage. — branco , trelle blanc et ram- 
pant. — colonilhoso, tr&öfle ootonneux. — az0do. 
V. Azedinha. — de cheiro, melilot-baumier, 
tröfle margue. — dos charchos, menianıbe, 
tr&fle aqualique. 

Tatvoa. V. Trevs. 

Tazv6so. V. Tenebroso. 

“ Tazvupar. V. Tributer. 

*“ Tazvöno. V. Tributo. 

T, Tanz, s. m. V. Trespanno. adj. num. V. 
res. 

Tatze , adj. num. 2 gen. Lreize, diz ot Irois. 
Eslar nos seus —, ( ig.) persister opiniäund- 
ment dans une enireprise,, etc. 

TIngzena,s. f. treizaine: nombre de treize; 
prieres, devotions de treize jours. 

Trezeno, A, adj. treizieme : nombre d’ordre 
qui suit le douzieme. 

Tazzentos, as, adj. pl. num. Lrois cenis, 
—o,,s. f.trois cents Aveo Maria, ou deux ro- 
saires de la Sainte-Vierge. As —as de Jodo de 
Mours , couptets e&l&bres de ce po&te espagnol. 

Tarica, s. f. theriaque. V. Theriaga. 

Taracukıno, 3. m. celui qui prepare la Ih6- 
riaque. 

Taıinpnıa, 8. f. (. de bot.) triandrie : troi- 
siörme ciasse de vöogötaux, & Neurs hermephre- 
dites, & trois dtamines. 

TRIANGULÄDO, A, adj. triangulaire : fait em 
triangie,. 

v 





1470 TBI - 


TrıancvLin, adj. 2 gen. triangulaire : qui a 
trois angles. (4. de bat.) Triengule, & trois an- 
gles. Chapeo —, tricorne, chapeau & Lrols cor- 
nes, 

+ TatanguLanuänte, adv. triangulairement: 
en triangle. 

TrıäncoLo, s. u. triengle; figure qui a trois 
odtös et troisangles ; constellation composee de 
trois dtolles de la quatriöme grandeur. 

Taıino. V. Triennio. 

TaıapnÄänMaco, s. m. sorte d’emplätre. 

Taıinros, s.m. pl. (1.d’ant.Ytriaires : soldals 
du troisi&me corps de la l&gion romaine; c6 


5. 

* Tarso. V. Tribu. 

Taisoro. V. Thuribulo. 

+ Taısrico, s. m. tribraque : vers de trols 
bröves. 

Taieu, s. m. tribu : une des parlies du peu- 
ple (romaln,, juif, etc.). —, peuplade. 

TrisuLacäd, s. f. tribulation , affliction, ad- 
versite. 

TaısuLino, A, adj. alllige. V. Atribulade. 


p. p. de 
TeipeuLie. V. Alribular. 
Trıauıso ou TaıwurLo. V. Abrolko. 
TaisuLo. V. Thuribulo. 


Taısüna , s. f. tribune aux haranguss, ches |. 


les Grecs eties Romains;; lieu .elev6 pour ba- 
Fanguer; lieu particulier et elev6 au-dessus du 
res-de-chaussee,, dans l’interieur d’une &glise, 
pour entendre le service divin plus commode- 
ment. 

TaınunÄäno, 5. m, tribunat: dignit6 de tribun, 
sa duree ; corps des tribuns. 

TaısumäL, 3. m. tribunal : siege, juridietion 
d’um Juge, d’un magistrat. Senat , eour de jus- 
tice, cour d’assises. Levar ums causa a um —, 
saisir un tribunal d’une affaire. Tomer um — 
eonhecimento d’uma causa, ©ire saisi d’une 
affaire, en parlant d’an tribunel. — supremo , 
haute cour. — do almireniado, conr de l’ami- 
raute. Tribundes, pi. tribunaux ; plaids. Dia 
de —aes, jour plaidable. 

+ TrisunaLı (pro), phras. ade. lat. en au- 
dience publique, avec le costume et !P’apparell 
du juge (fam.) D’un ton tranchant, decisif. 

Teıeoniro. V. Tribunado. 

Taısunicıo, A, ou | de tribun, qui appar- 

Trisönico,A,adj. | tient au tribun, au 
tribunat; Iribunitien. 

Trıpöxo , s. m. tribun. — do povo, tribun da 
peuple romain, membre de tribunat. — mili- 
weh tribun militeire, officier romain , chef d’ane 

'on. 

Taıpurino, A, p.9.de Tributar. adj. A qui 
on paye tribut. Surcharg6 de tributs. Donne en 
tribut, 

TRIBOTÄL, adj. 2 gon. (p. us.) sujes au tribat 
ow & une redevance. 

R Zarnurän » » a. payer tribut, rendre tribut. 
ondre & quelqu’un le respect, les homumages 
qui lui sont dus; vouer, e- 


TRI 


Torsırimo, Aa, adj. wibutahre: qui per k 
tribat. 

* Trisurtino , s. m. receveur de tribata. 

TrIıBÜTO, 5. m. tribut: ce que le vasıl, m 

paye en signe de dependance; mp, 

taille, etc. ; (Ag.) ce que Fon est oblig6 Kar 

der, de souffrir; dette, devoir, n&cessik. Pr 
— d nalureza, (fig.) moafir. 

Taica,s. f. cabale, chicane. V. 

Trıcäna,s.f.* cotillon de paysarne; pays. 

+ TrıczııuLir, adj. 2 gen. (1. de bei.) qai 
trois celiules. 

Trıc£sımo, A, adj. trentidme. 

+ Taıcntco, s. m. (1. @’hist. nal.) — dentus, 
morse, vache marine, poisson beul. — rw 
maro ou elephante marınho do mar de nerk, 
le grand morse. — dugomgo , ou elepkenu ms 
rinko do mar da India , le dugong. 

Tricniasıs,s. f. (1.de med.) trichiase: malade 
des paupieres. 

+ Trıcuisxo, s. m. (#.de bot.) trichisme du 
plantes. 

+ Tricnomane. (f. de bot.) V. Polyirce 
baslardo. 

+ Teıciprte,, adj. 2 gem. A trois töles. 

TrıcLinıo, s. m. salle & nranger des ano 
Table entourse de lits de trois cöles, qui da) 
dans la salle ä manger des anciens. 

+ Taicoc&ruaLos, 5. m. pl. (1. dh. ml 
trichures : vers intestinaux, & trompe losgat. 

+ Tnıcöcca, adj. f. (4. de bot.) Capmis-. 
capsule ä trois cellules,, & trois coques. 

+ TaıcHockacos, 5. mm. pl. (t. dhit. si) 
trichocerques : zoophytes qui Liennesi du tet 
(&re et du brachian,, ou polypes amonkt“- 

TaıcoL6R , adj. 2 gen. trieolore : de Las Or 
leurs. 

TricoLöneo,A. V. Tricolor. 

+ Tricönng, adj. 2 gen. qui a lrois tufß?* 

+ Trıcösping, adj. 2 gen. (1. de bei.) 
pidal ow tricuspide : & trois puointes 

+ Trmmicne, 3. f. (1. d’hist. nal.) indart 
testace bivalve. V, Chamaia giganiens. 

TRIDENTE, 5. m. trident: sceptre de Nrpi%, 
en forme de fourche & trois dents; (Ag. d® 
nation des mers. nen 

+ Taınautzo, A, adj. (1. de bot.) Iridenie- 
trois dents. . 

+ Taıpemriceno, a, adj. (podt.) qui port 
trident. i ya 

Taıpzıntino, adj. Concilio —, ai 
Trente. . 

Tripuo , s. m. espace de Irois jours. 

Taızuuiı, adj. 2 gen. wriennal:: 
trois ans. 

TrıEnnäRto, A. V. Triennal. 

Taıtnnıo, s. m. triennat: espaCe, 
de trois ans. 

Taıgnäncmo, s. m. (4. dan.) wrierarge! 
capitaine d’une galere , d’une trireme- u 

+ Trıkrean, s..m. trielöride: espeCe 
ans. 

«+ Trieterıco, A, adj. trieterique: WU! ae 
qui arrive tous les trois ons. 


gei et 


erereiß® 











FRI 


TatrAvce, adj. 2 gen. (podl.) qui a troisgueu- 
les. On le dit surtout de Cerbere. 

Tairıpo, A, adj. (poet.) twrißde : fendu en 
trois. 


+ TaırLöno, a, adj. (. de Bot.) qui a trois 
Deurs, . 


Taıröuto,, 8. m. tröfle. V. Trevo. 

Trırönue, ad/.2 gen. qui a trois formes. 

Taioa, s. m. (f. d’anf.) trige : char attel& de 
trois chevaux. 

Taıcamia, a. f. trigamie : troisigmes noces ; 
erime de celui qui a trois femmes. 

Tricamo, a, adj. trigame : marid A trols per- 
sonnes & la fois ; mari& trois fois. 

" Trıcinga. V. Pressa. 

“ TrıcAR, v. a. exciter ; stimuler. 

Trıcän-s8 , ©. 7. S’empresser. 

Taiceınno, A, adj. triple , röpste trois fois. 
s.. Trigemeau. Folhas —as, (1. de bot.) feuil- 
les tergöminees , composees trois fois, trois fols 
binges. 

Taıctsıno , A, adj. trenlidme. 

+ TrıcLocHins, adj. et a. m. pl. (1. de bof.) 
" teiglochines, tricuspidales ow tricuspides. 

TaicLy’?uo , s. m. triglypbe : ornement d’ar- 
chitecture dans la frise dorigue. 

Trico, s. m. bl6, froment. — Iremez ou ire- 
mezinko, bi6 avrilet om tr&emois. — moxo ou 
eandeal , iroment d’hiver. —espelle, epoautre, 
Brand &peautre. — sarraceno ou negro. V.Fa 
gyopyro. Cana de —, tige de bie. —s, pl. bies 
sur pied. Vender bem o seu —, (fig. fe.) faire 
valoir sa marchandise, 

Taico, a. adj. de froment. (vieux) Coura- 
geux. 

Taicono,s. m. (t. d’ast.) trine aspect. st, Tri- 


RONS, prisme ; instrument pour tracer los arcs 


des signes sur les cadrans. 

Taicono, a, adj. (1. de d04.) trigene ; Atrois 
angles, trois cötss., 

Taıconousraia, 6. f. trigonomötrie : seienoe 
gei enseigno ä mesurer les triangles par los si- 
nus, cosinus, etc., des angles. 

TRIGONoMETRIcAmENnTE, ade. trigonometri- 
quement : suivant les re&gles trigonometriques. 

Triconomerrico, A, adj. trigonomötrique : 
de la trigonometrie. 

*" TRıGösamente. V. Apressddamenie. 

* Trıcöso. V. Apressado. 

* Trıcoär. V. Trigar. 

Taıcugınäö,, s. m. proyer ou preyer : oiseau 
qui se tient dans les bles. 

Tricueıni6, Ona, adj. tres-brun, aug. de 
Triqueiro. 

+ Taicveininno, a, adj. dim. de Trigueiro. 
Brunet, 

Teıautıro,, A, adj. brun , basand; noirätre, 
tanı soit peu noir. Bis, en parlant du pain. 

* Taıccöso. V. Trigoso, 

f Taicumzo, A,.adj. (f. de bet.) triquätre : 
prismatigue, & trois angles vils, trois faces 
planes, 


Trıcy'ma, 8. fı (t. de bot.) trigynie: troi- 


RI 14y1 


sienge ordre des treize premieres olätses des 
vegetaux & fleurs & trois pistils. 

TYanucivas, ady. f. pl. (4. de bot.) Folhas 
—, feuilles trıjuguces, conjuguees trois fois. 

+ TrıLitro, a, adj. (t.de geom.) trllaterat , 
& trois cölds. Figura — a, trllatere „triangle. 

Tritnı ,s. f. * vestige, trace, piste. Chemin 
frayd. V. Trilko. (fg.) Routine. Action de fou- 
ler. Dar na - de, (vulg.) deviner, peneırer 
Pintenuton de. 

Trırnioa. V. Tyilka, Rasto. 

TrıLnäpo, A, p. p. de Trilhar. adj. Fraye, 
Ir&quentt, battu, foule. Rebatiu, commun, 
trivial. Caminho —, chemin battu. (fig.) Usage 
commun, que tout le monde sult, etc. 

'TrıLzapOn, 8. m. broyeur. Bafteor de bie. 

Teıruanöra, 8. f. * brolement, Aclion de 
battre le bie. Foulure. 

Teıni. V. Trillido. 

TRILBÄR , o. a. broyer;; batire. Egrener, bat- 
trele bie. Fröquenter un chemin, suivre une 
roule, au propre et au figurg. (fg.) Meurtrir, 
fouler. 

TriLno, s. m. rouleau & egrener Je blö; trat- 
neau. Balte ä beurre. V. Trilka. 

tT" TaıLpoAna, s. f. araire leger, instrument 
aratoire, 

"Trıizice, adj. 2 gen. de trois Als (de la 
trame). 

TaıLincug,, adj. 2 gen. quia, ei surlout qui 
sait, qui parle trois langues. 

Taısıäö, 5. m. trillion , mille billions. 

+ TrıLosivo, 4 , adj. (lt. de bot.) wilobe: &. 
trois loges ou lobes. 

- TaımsnskL, adj. 2 gem. Iriiiensuel : qui 26 
fait , qui errive vous Ins treis meis. . 

TaımdstaE , 3. m. trimesiro : espa6n de trois 
mois; payement pour ce temps. 

"TriueTRo, 8. m. (fl. de podr.) vers trimötre, 
Tambique., 

Trınäno, s. m. fredon, cadence, en terınes 
de musigue. 9. p. de 

Taınär, vo. n. faire des fredons, des caden- 
ces. (l. d’astrol.) Se montrer un asire en Irine 
aspect. ©. a. Exprimer en chantant. 

Tainca, s. f. (b. de mar.) liure, tour de 
corde. Pör-se d—, bouliner. —s do gurupes, 
saisine de beauprö ou liute : tour de cordes 
qui lient le mät de beaupre ä l’aiguille de l’epe- 
ron. 

Taıncanpkıra , adj. f. Uca —, espece de rai- 
sin croquant. , 

Taıncino, A, 9. 9. de Trincar. adj. V. Ast 
to, Sagaz. , 

+ Taıncarıino, A, adj. cousu avgo le fl de 
cordonnier. 

Teıxcario , & m. Al äcordonnier. (Ag. sig.) - 
Deisur, Sinesee. 

Tomcäu, eio, V. Tıncal, etc. 

TnıxcäLHo ou Tn'ncaLnöz. V. Sino, 

+ Taııcaniz, a us. (id. de mar.) dalot, geub 
tiere. 

+ Trıncapä0, adj. 2 gen. qui songe le bois. 





1175 TRO 


Rome; vietoire remporieeä la guerre, dans une 
dispute, sur ses passions, etc. ; grand succes 
«ailitaire;; victoire, succös, en gendral. 

Taıumpnöso. V. Triumphänte. 

Taıbmvır. V. Triumorro. 

TrivmrınäL, adj. triumviral ; qui concerne 
les triumvirs, leur appartient, 

Trıusviräto, 8. m. triumvirat : gouverne- 
ment des trlumvirs qui usurperent l’sutoritö & 
Rome, 1’an 43 avant J.-C.; gouvernement de 
trois chefs de parti qui ont usurpe l’autorite. 

Tarimvıro, 5. m. triumvir: magistrat & Rome 
qui n’avait que deux coll&gues, V. Triumvi- 
ralo, 

Taiıtxrär,etc.V. Triumphar, etc. 

+ TnıviLve, adj. 2 ger. (1. de bot.) trivalve: 
‚(capsule) & Lrois valves ou panneaux. 

TriviäL, adj. 3 gen. trivial, commun, use, 
rebaltu. 

+ TaivıaLınäng, 3. f. trivialit6 ; caraclöre de 
ce qui estirivial. 

TasvıaLızäno, A, 9. p. de 

t Tasvıauızia , v. @. rendre trivial, dirul- 
guer. 

Taıvıauissıno, A, adj. sup. de Trivial, 

TaıVıALMENTE, adv. trivialemen!. 

Taivıo, s. m. carrefour, place, endroit od 
aboulissent trois rues, trois chemins. 

* Taıyunpaa. V. Tributer. 

* TaIVUDan-SE, 9. 7.50 faire tributaire. 

Taiz. V. Tris. 

Taoipa, etc. V. Alroade, eic. 

Troiurs. V. Tonenis. 

Taoir, v.a. V. Atroar, v. m. V. Trovajar. 

Taöca, s. f. "iroc, 6change. * Changoment 
(de vie, d’babitudes). — vor —, (fam.) chou 
pear obou, 


Tröga, s. f. (lt. de mar.) "racage: collier | 


dont on entoure le mät. — de ferro que sujeile 

so masiro arorga dalancha ou do escaler, ra- 
eambeau : anneau de fer qui fixe la vergue 
d’une chaloupe. — com lebrese cassotlos, ra- 
eage ä pommes et bigols. —s dos papafigos, 
.drosses ä palans des basses vergues. -—s de 
amarra , bout de cAbies. 

TROcÄDAMENTE, adv. A rebours; röciproque- 
ment. 

TrocaDiLBO , 3. m. calembourg, jeu de mots, 

Trocino, a,p. p. de Trocar. 

Trocanda, A, 5. troqueur. adj. Qui troque, 
qui change. 

t Taocäipos, s. m, pl. inversion de mots, 
jeu ds motis. Fegon dans les anciennes bor- 
dures. 

Taogaı. V. Torpal, 

Taocin ‚©. 6. troquer, sehanger, sommuer. 
Dönsturer le sens. — as pernas dansando, 
eroiser les jambes en dansant. — 0 nome, 05 
cselumes, eto., ohamger de nom, d’babitades, 
“ie. — ma cousa Por ouirs, changer une 
chose contre une autre. Näo ms Irdco por Ki, 
(fam.) je m’estime autanı que vous. 

Tasciu-s8, 0.0. (p. 08.) chenger de carac- 


TRO 


tere, d’bumeur, de genre de vie, eie. Changer 
de place avec quelgu’un. 

Taöcas-BaLpnöcas, 8. f. BB. (. vulg.) * trocs 
de peu de valeur. 

TRoCäÄTE, 8. m. trocart, trois-quarts : instru- 
ment de chirurgie pour faire des ponctions. 

TrociveL, adj. 2 gen. &changeable , com- 
mueble,, qui peut se troquer, changer. 

Taociz, adj. m. Pombo —, pigeon ramier. 

Trocta. V. Torcer. 

° TröcHA , 3. f. "sentier, chemin de traverse. 

Taocnipı, a. f. ooup de bäton. 

Taocnipo, a, p. p. de Trocher. adj. (inus.) 
Broche. (ano —, canon de fusil renforch, ea- 
non & ruban. 

Taocriıco, A, adj. trochsique : vers latin, 
compos& de trochdes. 

TRocHÄnterR,, s. m. (1. d’enat.) trochanter: 
apophyse du femur. 

TrocHär, v. a. renforcer le canon d’un [ssil. 

TRÖCHE-MOCHE (A), ado. (fam.) pele-mele, 
sens dessus dessous; ä l’6tourdie, sans re- 
Dexion ‚ä tort et A travers. Julger a —, sabrer 
une affaire. 

Taocuto ou Taoouko, s. m. trochee: pied 
de vers compos6 d’une longue ei d’une breve. 

7 Taöcuıo, 3. m. (4. d’kist, nat.) "tompie, 
ITompe ı coquillage univalre. — de beila pers- 
peclivs, le oadran. — de forma de turbanie de 
Pharaö, le bonton de camisole. — em forma 
de boldo de vestis , le meule de houten. — @p- 
glutinado ‚ia Iripiöre, 

Taocaisco, 3. m. troobisque : pastilles, md- 
dicament on päte. 

TaöcHo, s. m. gourdin, bäton. 

Taocnosıa, s. f. V. Bacsihdo. 

Tnocisco. V. Trochisco. 

Taöco, s. ®. troc; menus monnale ; reiour, 
&change. A — de, ade. afın de, & cause de ; em 
echange, en r6compense, pour prix de. 

Tao0co, 8. ı. trongen, pidce, morceam, frag- 
ment; tirade. — d’infanteria, troupe, deta- 
ebement d’inlanterie. — de cavallaria, gros de 
cavalerie. A—s, par intervalles. 

TaöcuLo. V. Toreulo. 

Taörı ,s. f. “ manleau en jone. 

Taorto. V. Tropheo. 

TrocäLRo, 3. m. (f. Pop.) plöce pour alta- 
cher. 

+ Taöczs, 8. m. pl. (1. d’hist. nat.) trox : &o- 
l6opteres voisins des scarabees. 

TrocLodY'ras, s. m. pl. Troglodytes: peuples 
qui vivalent dans des cavernes. 

+ Trocossitas, s. m. pl. (1. d’kist. nal.) Iro- 
gossites : col&optöres qui zongent le bie. 

Taoıa, #. f. sorte d’aneien jeu. V. Canas. 

+ Taöıa , 8. f. (8. de göog.) Troie: auckenne 
ville dans l’Asie mineure. 

+ Taoıäno , a, adj. ets. Troyen, de Troie. 

+ Taolız, s. m. (1. d’hist. nat.) gulliemet : 
oiseau aquatique , palmipdde, du genre de 
Yalque. 

Tr6LzA, 3. f. wuelle: instrument de marom 


TRI 


TriroLia, 0.8. dguiper un valsseau. 

Taipouı,s.f. (1. de geog.)Tripoli :republique 
d’Alrigue, dans la Barbarie, et la capitale de 
cette republique; ancienne ville de Syrie, sur 
la cöto de la Möditerranee. 

+ TaımoLmo, a, adj. et s de Tripoli. 

Tarpopıino, A, 9. pP. de Tripudiar. 

Tatpupıänte, adj. et 3.2 gem. qui danse en 
eepignant, danseur. p. a. do 

TaırunıÄr, v. ». danser en tr&pignant. 

Tarpöpıo, s. m." danse, bal, en tr&pignant. 

TrıquesiL, s. m. (f. d’artill.) triqueballe : 
machine pour transporter des canons. 

Triques-Taöquzs , s. m. pl. (1. burl.) confu- 
sion de termes ow diversit6 de phrases qui ont 
- A peu prös le möme sens. 

Taıqu&te, s. m. (vieuxr).V. Trinqueie. A cada 
-—, & tout bout de champ, & chaque pas, & 
chaque instant. 

Trıqueraäiz. V. Traqwinas. 

+ Tamamoso, a, adj. (f. de bot.) qui a trois 
branches. V. Tripartido. 

Trıa8cno, 8. m. trirögne : tiare du pape. 
Possession de trois royaumes. 

Trıneuz, 3. f. trirdme : galdre des anciens, 
A trois rangs de rames, 

Teis, s. m. bruit du verre quand il casse. 
(fam.) Peu de chose, rien, presque rien. Estar 
por um —, etre sur le point, au moment de, 
surtout lorsquw’il s’agit de quelque chose de f&- 
cheux. Em um —, en un tour de main. Esca- 

por um — , il Pa öchappe6 belle. 

Taısäcıo, 3. m. trisagium : bymne des sera- 
phins, dans lequel ils r&petent trois fois le mot 
saint. 

+ Trısico, 3. m. espöce de germandröe ofll- 
sinale, plante. 

TaısamnuiL, adj. 2 gen. (f. de bot.) trisan- 
nuel : qui dure trois ans. 

Taısavo, ots. V. Tresavo, etc. 

Taisca,, &. f. (p. ws.) rixe, querelle. V. 


a. 

Taıschk, v. m. so quereller. Meler, em- 
brouiller. 

+ Triszcin, v.a. (4. de g6om.) diviser en trois 
parties &gales. 

Taıseccäö, s. f. (. de gdom.) trisection: 
division (d’un angle) en trois parties &gales. 

Taısuecisto , adj. m. trismegiste : trois fois 
grand (Mercure, Hermes). 

Taısn&£to. V. Tresneto. 

t Taıspeaua, adj. 2 gem. (1. de bot.) tri- 
sperme : a trois grains ow ä trois semences. 

Trissy'LLaso, a,adj.trissyllabe : de trois 
syllabes. . 

Taiste, adj. 2 gem. triste, ohagrin, afflige , 
melancoligue, morose, morne; (ächenx,, cha- 
grinant, atiristant; ennayeux, qui inspire de 
la melancolie. Malheureux, infortuns. — de 
mim! malheureux que je suis! O — demim, 
moi malheureux. Os —s, anneaux que les 
femmes portaient autrefois aulour de leurs 


Wtes. As —s, les heures d’etude ä l’universits 
de Ceimbre, 


FRI 1178 


t° Taısteca, s. f. edifice de lrois &lages; la 
partie la plus &levee de cet edilice. Terrasse, 
beiveder ou mansarde. 

TRISTEMENTE, adv. tristement. 

Taıstkza,s. f. tristesse : affliclion, deplal- 
sir, chagrin exprime ; melancolie ; abaltement 
de ’äme cause par un accident fächeux; effet 
sur l’Ame de penstes tristes ; douleur de l’ame. 
* Deuil. — ndo paga dividas, ou com a — ndo 
se remedeiäo males,, (prov.) melancolie ne 
paye point de dettes, ow les chagrins ne payent 
pas un sou de deties. 

Taısrissıuo, a, adj. sup. de Triste. 

TrısTonno, a, adj. de mauvaise humeur, 
melancolique, chagrin. 

Trısrüna. V. Tristeza. 

TrisöLco , A,adj. qui a trois pointes. Tri- 
sulce : & trois divisions aux pieds. 

Trıräö, s. m. Triton: dieu marin , moitis 
homme et moitie poisson. - 

t Trıtgeanipas, adj. f. pl. (1. de bot.) Folhas 
—, feuilles triternees, posees par trois sur 
chacune des trois divisions d’un petiole com- 
mun. 

Trırönco,, s. m. triphthongue : syllabe com- 
posee de trois voyelles. 

- FTrırönıa, s. f. (1. d’hist. nat.) tritonie: 
mollusyue gasteropode. 

Taıröno, s. m. (t. de mus.) Iriton : inter- 
valle dissonnant de trois lons. 

Teıtüna. V. Trituragdo. 

Triırunacäö ‚s. f. trituration : action de Iri- 
turer, broiement; &tat d’un corps tritare. 

Trırvaino, A,p.p. de 

Taıtunär, v. a. triturer : reduire en pou- 
dre, en petites parties, broyer. 

TrıTtunäveL, adj. 2 gen. triturable : qui pest 
&tre broye, pile. 

Taıumpuäno, a, p. p. de Triumphaer. 

TRIUMTBADOR , A, adj. et s. triomphaleur : 
qui triomphe, qui a regu les honneurs du 
triomphe ; qui a remportie une vicloire. 

TrıusrHäL, adj. 2 gen. triomphal : de 
iriomphe, du iriomphateur (couronne —@); 
par oü les triomphateurs entraient (arc —, 
porte —e). Triommpbant. 

TRIUMPBALMENTE, adv. triomphalemeni: en 
triompbe , en viclorieux ; d’une maniere Lrion- 
phale. 

TRIUMPBÄNTE, adj. 2 gen. triomphant : qui 
triomphe, quia regu les honneors du triomphe, 
victorieux. 

Taıourmän, vu. n. triompher : receroir lea 
honneurs du triomphe. (de) Triompher de: vein- 
cre par la voie des armes; (fig.) remporter un 
avantage sur quelqu’un; Pemporier sur, ex- 
celler en quelque chase; @tre ravi de jJoie; 
tirer vanit6 de, venir A bout de. 

Taıumpnir, v. @. (pP. us.) faire trlompbant, 
faire triompher. — fama a0 autor. V. Afswer. 

TaıuupRän-SE, v.r. (vieuz) se rendre Iciom- 
phant ‚ triompber de ; tirer vanite. 

TRıöMPHO, 5. m. triomphe; cer&monie porm- 
peuse, ä l’eniste d’un general yiotariasın dans 


1176 TRU = 


Trosauia ,eie. V. Tosquis, etc. 
Taössı. V. Troga. 
Tnösso. V. Trogo ou Targo. 


Troräö ow TaoranOn, s. m. trotleur ( che- 


val). 

Teorin, v. n. frotter, aller le rot; (Ag.) 
marcher beancoup & pied. 

TaöTE, s. m. Irot: allure entre le pas et le 


op. . 
TroTeıno, 5. m. et adj. trotteur. Courrier. 
"Taoro. V. Trote. 

*Trovcıin. V. Passar, Exceder. 

° Trourer. V. Trouxer. 

°Troussir. V. Taxar. 

* Taouven. V. Trouxer. 

Tnöuxa,s.f. “ paquet de hardes, de linge, etc. 
(inus.) V. Telhado. 

+ Trouxipa,s. f. grand paquet de hardes, 
de linge, etc. 

Trouxsı. V. Tardo. 

Trouxinna , s, f. dim. de Trouxa. Petit pa- 
quet de hardes, de linge, etc. 

Tuova,s. f. cadence, rime; pidce lögere de 
vers on langue vulgaire , chanson. 

Taoväpo, A,p.p. de Trovar. adj. Rims, en 
vers. 

Trovapor, 5. m. troubadour, nom des an- 
ciens podtles provengaux : ceux des provinces 
septentrionales de France s’appelaient fIrouvd- 
res ou frouveurs. Versilicateur, rimailleur. 

Taoviöd, s. m. tonnerre. (fig.) Bruit du ca- 
non. Fazer trovöes, tonner. Näo lembra sanla 
Barbara sendo quando fax Irovöes, ( prov.) 
on ne dit les litanies que pendant l’orage. 

Taovär, v.». rimailler. V. Torvar. 

TaovEJÄirR, v. 8. tonner. 

Teovinua , dim. de Trova. 

Taovıscipa , 3. f. garou pild qu’on jette dans 
les rivieres pour Luer le poisson. 

Tnovisco, s. m. (4. de bot.) — femea ou Iro- 
visqueiro, garou, laureole femelle, daphne, 
garoulie : arbrisseau toujours vert. — macho, 
euphorbe & fleurs pourpres. — ihymeldo, “ıhy- 
melde. 

Taovısqueıra, s. f. ou TnOVisquEino, 5. m. 
V. Trovisca femea, 

1 Trovista, s. m. versificateur, rimailleur. 
V. Trovador. 

Trovoipa, s. f. coups de tonnerre r&peids, 
orage; grosse pluie melde d’eclairs et de ton- 
nerrc. ( fg.) Grand bruit (de coups de canon, 
eic.); lapage. Astd ar de —, le temps est ä l’o- 
rage. 

Taovoar. V. Trovejar. 

Tavaniz, ang. de Trudd. 

Tnuanein, o.n. faire le bouffon ow P’Impos- 
teur. 

TInvania, s. f. superstition, Imposture, 

Tavanice, s. f. bouffonuerie. V. Truania, 

Taviö, s. m. boulfon, plaisant, jongleur; 
Innposteur. 

TavaLia. V. Truania. 

Trtecär, .n. onvrir le jeu,, proposer la pre- 
mitre vade, au jou du irugue. — de falso, (fig.) 


TUB 


feindre oe qui n'est pas; demuer une fauıse 
alarme. 

Taucmän, v. @. (p. ws.) luer, massacrer. 

Trüco. V. Truque. 

TaucvLencıa, s. f. cruaute, atroeite. 

TaocuLknto, a,adj. cruel, atroce, sangu- 
naire. 

Tnöra. V. Trunfa. 

* Taopar. V. Gracejar, Mofar. 

Truraria, s. f. raillerie, moquerie. 

Tavcıwiö, s. m. trucheman, interprete. T. 
Drogman, 

Tuunid. V. Trudo, 

Tadıra. V, Truta. 

Tnund,s. m. trumcau : glace qu’on place 
(re deux croisees. 

Truncän,ete. V. Troncar, etc. 

Taönra,s. f. mitre, turban; ancienne asd- 
fure de femme. (#.de bot.) Coiffe (des mousses. 

TRUNnFÄR, ©. 9. (f. de jew) jouer une carte de 
la triomphe, faire atout. 

TainFo, s. m. (1. de jew) * triomphe : sure 
de Jeu de cartes; carte retournee apres la da- 
tribution ; atout, couleur qui gagne. 

Tauözs ow Tauizs, pl. de Trude. 

Tavrpıtär, v.%. (vulg.) faire du bruit, des 
page. V. Esitrepitar. 

TrÜQuE, s. m. sorte de jeu de cartes ä vadas 
et ärenvis. Truo, espöce de billard. — de ie, 
jea de billard. 

Trusgtıär. V. Tosgqwiar. 

Taöta, s. f. truite: poisson de riridre fest 
delicat. — assalmoada, truite saumense, d 
ohair rouge. Ndo se gankdo — 5 d brapas came 
las, (adage) il lau. casser le noysa peu 
avoir ’amande, nul bien sans peine. 

Taur&sco. V. Groiösco ou Brusesce. 

Taorirero, A, adj. qui produit des traten. 

Taöz,s. m. "delonation d’une arme ä fm, 
elc. adj. 2 gen. (inus.) V. Feroz. 

Tu, pron. singul. de la seconde perssans, 
Tu, toi. Trafar por — ‚tutoyer. Tu ed, teld, 
alu etätoi. — dsou ds —, c’est tel. 

Tüs , desinence feminine de Tzu, ta ‚tiemne, 
ton. V. Tew. 

Trica, s. f. espece de vin d’Asie. 

Tüpa, s. f. (poei.) Irompette. ( Ag.) Sa 
€pique. A dpica —, (Podt.) 1a Irompetie dpigue. 

Tipanı,s. f. truffe. —s, ph “lesticales de 
moulton, eic.). —s porcinas, (1. da bat.) iralßes: 
racines du pain de pourceau. —s lopi. 
helianthe tubereux; le topinambour, la pein 
de terre. —s da lerra, Irufles. is. Pommes de 
terre. 

Tepaniö,s. m. requin, chien de mer, ube- 
ron : poisson Irds-vorace, 

"Tusanösa. V. Tuberosa, 

Tusera. V. Tübara. 

Tusgriö. V, Tubardo. 

? TusercuLino, 4, adj. (1. de bei.) en Inber- 
cule, 

TunencıLo, s.m. (1. de mdd.\ tabercele : ee 
vure, petit abc&s au poumeon, (4. de bei.) —, 


excroissance en bosse, 








Tu] 


Tosencvıöso, A, adj. (ti. de bot.) tubereu- 
leux : garni de tubercules. 

Tunertına, s. f. (8. de bot.) morelle tubs- 
rouse. Tub£raire : plante medicinale. 

Tunerösa,s. f. (1. de bot.) tubereuse : leur 
irds-odorante ; son oignon, 5a plante ; jJacinihe 
des Indes. 

Tosenosınioz, 8. f. tubörosite. 

Tuseröso, A, adj. (1. de bot.) tubereux: 
charnu, solide, dur. 

+ Tusinca, s. f. (4. de gdog.) Tubingue : ville 
dAllemagne. 

+ Tusuränı, s. f. (1. d’hist. nal.) "tubulaire: 
zoophyte ä tuyau flexible comme la corne. — 
campanulada, tubulaire A collet. — replanle, 
tabulaire ouverte. — sullana, tubulaire sul- 
tane. — indirisa, tubulaire chalumeau. 

T6s0, s. m. tube, tuyau. — oplico,, *lunette 
d’approche. 

+ Tic, s. m. toug ow toue : dtendard turc. 

+ Tosurir, adj. 2 gen. (t. de bot.) tubule: 
garni d’un tube, d’un luyau. V. Tubuloso. 

TuseLöso,A, adj. (1. de bot.) tubuleux : en 
tube. 

Tucino, s. m. loucan: oiseau & bec enorme. 

* Tocano. V. Horrido, Cruel. 

Trp&sco, A, adj. et s. Ludesque, germanique, 
allemand. 

*Töno, adj. V. Teüdo. 

Töoo, 8. m. tout: toutes choses; la totalite; 
ee qu’on a de plus cher; le principal, le plus 
important. V. Todo. Com —, adv. cependant. 
Com — iss0, avec 0% nonobstant tout cela; 
neanmoins. Metter-se em —, fourrer son nez 
partout. — bem pesado, tout bien considere; & 
tout prendre. Homem capaz de —, homme ä 
lout faire. Nem — € para lodos, tout le monde 
ne peut pas lout faire. Ser o —, &tre le princi- 
pal motif d’une affaire. Envidar, arriscar —, 
risquer, Jouer le tout pour le tout. O dinheiro 
— aleanga, l’argent fait tout. Sobre —, adv. 
suriout, principalement. — esld em prineipier 
bem, le tout est de bien commencer. Em — e 
por —, en toutes manieres. Eo meu—, il est 
mon tout, ma vie, tout mon bien ; tout ce quil 
ya de plus cher pour moi. 

Turipo, a,p.p.de Tufar. 

Turi6, s. m. toufan : tourbillon qui fait bouil- 
lonner les vagues; ouragan. 

Turin, v. #. bouffr, enfler, gonfier. (Ag. 

fem.) Se gonfler d’orgueil. 
-  Tüo, s. m. tulo : sorte de pierre spongieuse. 
Flocon (de laine). * Touffe (du turban, etc.). 
Bouillon d’eau. Bouffant (d’une robe, etc.). 
Uutil d’armurier, mandrin. 

Turöso , A, adj. enfl& , gonfie. 

Tucir, v. m. bouger. Ndo — nem mugir, 
(fam.) ne pas souflier mot, se tenir eoi. 

+ Tucönıo, s. m. cabane de berger. V. Chou- 


pana. 

+ Tumira Do Barazır, 8. f. (1. hist. nat.) 
effraie, sorte de ehouette. 

Tuis, s. m. (4. d’hist. nat.) toui : pelit perro- 
quet d’Amerique. 


TUN 477 


Torrivo, a,adj. qui defend, prolege. 

Tusöco,s.. (l. du Bresil) V. Lameirdo, 
Tremedal 

+ Tusurin, s. m.(t.de Brösil) *chaumidre 
des Indiens ow des negres. 

Törua,s. f. “ grenier, grange ; foase pour les 
olives. 

Töuıra,e. f. (8. de dat.) talipe:: flcur, plante 
bulbeuse qui la produit. 

TuLip£ıno,s. m. (1. de bot.) tulipier 
aux tulipes, 

+ TuLuxı, s.m. (4. d’Asie) V. Mangericdo. 

Töusa, s. f. primitivement signillait tombeau, 
tombe vw representation, forme de cercueil 
eouvert d’un drap mortuaire, etc. : aujourd’hui 
signifle biöre, cercueil. O que o bergo dda — 0 
leva , (prov.) ce qu’on apprend dös le berceau 
dure jusqu’au tombeau,, le loup mourra dans 
sa peau. 

Tussaque. V. Tambaque. _ 

Tuma£ıano,s. m. celui qui porle les morls au 
cimetiere, croque-mort. Clerigo —, capelan, 
pretre pauvre. 

Toseckncıa. V. Inlumescencia. 

Tus£nte. V. Inchado, Intumecido. 

TUMESC£NTE, elc. V. Intumecido. 

Tomıpo,A, adj. enfle, gonfie; bouf. (Ag.) 
— , ampoule; fier, orgueilleux. 

TuuiLuo. V. Tomilho. 

Tuuön, s. m. ”" tumeur : 
accident ou par maladie. 

Tuuordso, A. V. Inchado, Intumecido. 

TumtLino,A,P.p.d 

TumuLir, v. a. elre dans le tombeau. V. 
Enterrar. 

Ti“uLo, s. m. tombeau; tombe; catafalque. 
Siege &lev& (p. us.). 

TumiLTo, s. m. tumulte, sedition, emeute 
populaire. Multitude de gens qui causent du 
trouble, du d&sordre; cohue. 

TumtLTuAR, v%. a. ameuter, exciter un tu- 
muülte. o. n. Attrouper , causer du tumulte, 
exciter des troubles, etc., s’ameuter. 

TunuLroirtaueNnTe, ado. tumultuairement; 
d’une maniere tumulluaire. 

TunvLTuirıo, A, adj. tumultuaire : qui se 
fait avec tumulte, avec precipitalion , contre 
les formes et les lois. 

TUMULTUÖSAMENTE, adv. tumultueusement ; 
en tumulte, seditieusement. 

TusuLtuöso, A, adj. tumultueux : plein de 
tumulte, de trouble; emporte, seditieux. Ze 
tagdo —a, (podi.) l’'hiver. 

“ Tomunöso.V. Tumoroso. 

Toms, s. f. vie faindante, erranie, vaga- 
bonde. Andar d—, (fam.) qu&mander, truan- 
der, gueuser, battre le pave. V. Entuna. 

+ Towir, s. m. figuier du Mexique ; nopal, 
figuier d’Inde. 

Toninte, s. m. faindant, gueux, vagabond, 
trucheor, &cornifleur. 

Tünpa, s. f. volee de coups de bäton. 

Tüxoıa, s. f. sorte de monnaie d’Asie. 

Tixoo, s. m. (1. d’Asie) prölat des bonzes, 


: arbre 


enflure causde par 


4178 TUR 


+ Tunz, s. m. oiseau d’Angola. 

+ Tünzs, s. m. (1. de 960g.) Tunis : ville, r& 
gence barbaresque, et port de mer d’Afrigae. 

+ Tünca ow Bıcho Dos PS DO BRASIL, 8. M. 
tunga, puce penötrante. 

Tünıca , s. f. Wanique : sorte de vetement des 
anciens ou de religieux. (1. d’anat.) —, pelli- 
cule, membrane. 

Tonıctı.a, s. f. tanique : habillement des 
6r&ques sous leur chasuble. Tunioelle, petite 
tunique. 

Tumquttg, s. m. dim. de Tunice. Petite ta- 
nique. 

Turino. V. Entupido. 


Teröra, 8. f. ou Toror6, s. m. olseau de|. 


Finde. 

Turauid. V. Trugimäo, 

Türeı ,s. f. foule, multitade confuse, cohue. 
On dissit autrefols tourbe. *Chaur, troupe de 
musiciens chantant ensemble. /r com as —s, 
(loe. prov.) hurler avec les loups. 

Tunnacäö, s. [. * trouble : l’action de Irou- 
bler, de se troubler: confusion , desordre; 8&- 
dition ; (Ag.) inquietude, emotion. 

TURBÄDANENTE, adv. avec trouble, confu- 
sion, etc. 

Tursino, A, pP. p. de Turbar, adj. trouble, 
agite, trouble. (flg.) Interdit. Vista —a, vue 
trouble. 

TunBADöR, A, 8. et adj. qui cause du trouble, 
perturbateur. 

TURBANULTA , 8. f. cohue : multitude confuse. 

TorsiNTE, s. m. turban : coiffure des Orien- 


laux. 

Tursid. V. Turbante. 

Tornsin, v. se. troubler : causer du trouble, 
agiter ; rendre trouble;; (fig.) obscureir, deren- 
ger, embrouiller, mettre en desordre ; embar- 
rasser, deconcerter, faire rougir. V. Perlurbar. 

TunBär-sE, v.r. se troubler ; s’emibarrasser, 
s’inquieter ; s’obscurcir, en parlani du temps. 

Torsartivo, A, adj. quitrouble, qui cause du 
trouble. 

TüRBıD0, A, adj. qui trouble; trouble ;obsour, 
obscurci. 

TunsıLuäöd, 3. m. tourbillon : vent impetueux 
qui tournoie. (l. de pAys.) —, malidre qui se 
meut aulour d’un centre ; (fg.) tout ce qui en- 
traine les hommes. 

TurgiLso , s. m. (t. d’hist. nal.) sabot : lima- 
90n de mer opercule. — escadinha , la scalata. 
— escadinha bastardo,, la fausse scalala.—del- 
phino, le dauphin. — parafusdo, le sabot ä 
vis.— cör de pfga , la veuve. — de bocca pra- 
feada , la bauche d’argent. — rosela, l’öperon. 

TuREınNADo, A, adj. surbine: contourne en 
spirale ; conique, comme Une laupie, 

fTunsıxöso, A, adj. qui lourmne en rond, en 
manidre de tourbillon. 

Tunnitao , s. m. (6. de bot.) turbith : plante 
ow racine de l’tle de Ceylan. — vsgelal ou da 
Europa, turbith do l’Europe (seseli Iurbish). 
— mineral, sullate de mergure 

Tuaso, V, Turvo. 


TUR 


TuapuLfucia , 3. f. turbulence : caracttre de 
turbulent; imp@tuosite; trouble. 

TURBULRBNTAMENTE, adv. turbulemment. 

ToRsuLenTissimo , A,adj. sup. de 

TuasuLtnto, A, adj. turbulent : imp+tuenz; 
ports & faire du bruit, & exciter du trouble. 

Törca, 8. f. (6. de bot.) turquette, herbe du 
ture. V. Herniaria, 

Tuscriman. V. Trugimen. 

Törnco, a, adj. eis. Turc ; de Turgquie, qui 
appartient aux Turca. Herva —a. V. Herniaria, 

Tönco ,s.m.(#. demar.) bossoir : poutre en 
saillie qui soulient l’ancre,. 

Turcör, s. m. (i. d’Asie) couvent, 

+ Tunperino, A, adj. et s. de l’ancienne 
province d’Espagn®e,, appelde Turdelania. Elle 
s0 Irouvo maintenant enclaree dans le Portn- 
gal. 

+Tünrı, s. [. tourbe: motte de terre bitumi- 
neuse, propre & brüler. 

Turcencıa, 5. f. (6. de mid.) enflare, tumenr; 
OrKasınd. 

TuncenTe, adj. 2 gen. (f. de med.) on le dü 
d’une humeur qui cause une enflure;; enfle. 

Töacıno, A, adj. enflö, gone 

Turcımid. V, Trugimäo. 

Tönıas, s. f. pl. toiles de coton de Cambrai. 

Tunisıos. V. Toribios, 

TurisuLo, ete. V. Thuribule, etc. 

Tunıönno. V. Touriondo. 

Tiama,s. f. corps de trente cavaliers, dans 
l’ancienne milice romaine. Bande, compagnie; 
foule, multitude, 

Tönno , s. m. lour : rang sucoessif, alterna- 
til. Por —, tour & four, successivemeat. Por 
sen —, & Bon tour. 

+ Tuarı.öguio, 3. m. pFopos , discours des- 
honndte. 

Tuarissımo, V. Torpissimo. 

Tuaqussca. V. Turgueze. 

Turgußsco, a, adj. de Turquie, qui appar- 
tient aux Turcs. 

Turgugri. V. Turbitko. 

Tunqußza , s. f- turquoise : pierre preciense, 
bleue, sans transparence. 

Tuaquszino, A, adj. de oouleur de Lur- 
quoise. 

Tunqvi , adj. 2 gem, bleu turquin, fonce, co 
vert. 

Tungquia , 8. f« (4. de göog.) Turquie, l’em- 
pire turc. . 

Tunquina. V. Turquese. 

+ Töana, s. /. (owig.) dispute opiniätre. 

Turrä6, 3. m. touron : sorte de [riandise 
confites. adj. V. Turrüsta. 

Tunnir, v. m. oosser. (g.) S’enteler, s’opi- 
niätzer. 

Tunziraa00, A, adj. (Polk,) qui renverse les 


‚Wurs. 


Tunnicero, A, adj. (Podl.) qui porie une 
tour (#iöphant). 
Tuanista , 6. 2 gen. (fam.) lötu, obstind, opr 


niälre. 
Turrusıiräl. V. Tortual, 


TYM 


Tenronino,, a, adj. de tourterella. 

Tunusäntse. V. Turbantie. 

Tunvagäd, s. f. *trouble d’esprit. 

Tuavir, v. a. troubler, rendro trouble. V. 
Turbar, Perturbar. 

Toavsıia. V. Turvar, Turbar. 

Tönvo, A, adj. trouble; obscur. Finko —, 
vin louche. 

Tussı.icem. V. Tosstlagem. 

Tussin. V. Tossir. 

Toranica, s. m. toutenague : subslance mö- 
tallique ; cuivre do la Chine. 

Torino, s. m. " moelle : substance molle et 
grasse dans les 08; (g.) substance Interieure, 
(id.) L’esprit (des lols, ete.), le plus essentiel 
d’une chose. Ald aos —s,, Jusequ’ä la moelle des 
os. Tirar, chupar 08—s, tirer, sucer Jusqu’ä 
la moelle. 

Turiö,s. m. ($. d’Asle) gouverneur d’Asie. 

Törz (A), adv. en abondance, & foison. 

ToreLı,s. f. tntelle : charge, fonction de 
tateur. (fig.) ° Appui, protection , defense, 

TorzLino,A,p.p. de 

TurzLir, v. a. prolöger comme tuteur, 

TureLir, adj. 2 gen. tutelaire : qui garde, 
qui protöge. 

Turznica. V. Tutanaga. 

Turia ,s. f. tutlie, oxyde de zinc. 

Turmtora,s. f. (1. d’hist, nat.) fauvelte : or 
seau du genre du bec-figue. — rabalva do 
norte , le molleux 0% cul-blanc. — canura do 
norte, fauvette ä Löte noire. 

Toro. V. Seguro,, Firme. 

Turön, s. m. tuteur : qui a la tutelle de qucl- 
qu’aon. (fg.) Defenseur, protecteur. 

Turöra,s. f. tutrice : femme chargee de la 
tutelle d’un pupiile., 

Tororin ow Tutornzärn, 9. m. Kouverner eu 
tuleur. 

Tutonta, 3. f. tutelle : antoritö donnde par 
la loi, le magistrat o% par un lestament, pour 
ervoir soin d’un mineur. 

Tırniz. V. Tutora. 

Turd, s. m. (1. enfanf.) croquemitaine. 

Terunica. V. Tulanags. 

Tuzäö. V. Tosdo. 

Tur, s. f.(t.de geog.) Tuy : ville de Galice, 
en Espagne. 

Truo, V. Thymeo. 

Truraniıno, s. m, dim. de Tympano. Petit 
ympan dimprimeur. 

Trurınızan, v. a. (l. de med.) causer la lym- 
panite. Jl est aussi reciproque, 

Trıuranites, 8. f. (4. de med.) tympanite : 
hydropisie söcbe , enflure du bas-ventre, 0su»- 
söe par lea vonig, 


TZA 


Truranitico , a, adj. de la iympaniie. 

Tr'urano, 8. m. (I. d’anal.) iympan: mem- 
brane & l’extr&mite intörieure du conduit audi- 
Uf.(t. dimpr.) —, peau ow toile sur un chäs- 
sis de bois ow de fer. 

+ Trrato, a,adj. (podt.) du geant Typhee. 

TY’rno, s. m. (l. de mdd.) typbus : genre d 
fiövres malignes , nerveuses. (inus.) Orgueil 
vanite , pr6somption. 

Trrnomania,s.f. (l. de med.) typhomanio 
coma-vigil, maladie du cerveau. 

Tr’rıco,A, adj. typique, allögorique, sym 
bolique. 

Tr’po, 8. m. type : moddle, figure originale 
idee generale personnifite; symbole de mysiäre. 
Caractöre d’imprimerie. 

Trpocaımia, s. f. typographie : art de 
Pimprimerie. Imprimerie : lieu oü Yon im- 
prime. 

TrrocrÄrmco, A, adj. typographique : qui 
a rapport & l’imprimerie. 

TYPöcRAPRO, &. m. typographe : imprimeur 
en lettres ; qui connait la typographie. 

TrYRAnaMEnTB, ade. V. Tyrannicamenle. 

Treannia,s. f. tyrannie : domination usur- 
pee et illegale; gouvernement d’un tyran, d’on 
usurpaleur, d’un prince legitime, mais injuste 
et cruel ; oppression et violence; (flg.) empire 
despotique des passions; cruaute. 

TYRÄNnNIcAMENTE, adv. Lyranıniquement. 

TYrannıcina, 5. m. meurtrier d’un lyran, 
tyrannicide. 

TYnannıcipıo, 8. m. meurire d’un tyran. 

Trainnıco, A, adj. tyranniıue: de la tyran- 
nie ; injuste; violeni, contre le droit ei la rai- 
son. 

TrnannıziÄdo,A,P.p. de 

Traannızär, v. a. tyranniser : trailer tyran- 
niquement; on le dit au figure des passions, 
(Aig.) Opprimer, vexer. 

Tyrinno, s.m. tyran : celuiquia usurpe, 
envahi la puissance souveraine dans un &tat ; 
prince qui gouverne aveo injustice, avec 
cruautls , sans aucun respect des lois divines 
et humaines ; celui qui abuse de son autorite, 
de sa preponde@rance, contre le droit et la rai- 
son; qui n’a de lois que sa volont&. 

-TrRännO, A, adj. tyran, injuste, cruel. 

Tr’aıo,A,adj. ets. Tyrien, de Tyr. Cor—a, 
(podt.) couleur de pourpre. 

Treo, s. m. (poet.) V. Purpura. (1. de geog.) 
Tyr:: lle et ville de la cöte de Phenicie. 

Trrocinıo. V. Tiroeinio. 

Truso, V. Thyrso. 

TrruımaLo, V. Tithymalo, 

Tzrar .ete. V. Crar, etc. 


1179 


1180 U 


ULT 


U. 


U,s. m. vingt-et-unidme lettre de l’alphabet 
poriugais, et la derniere des voyelles. Cette 
lelıre est toujours muelie dans les syliabes 
que,, qui, qu’on prononce Ad, ki, 

*U’, adv. od. V. Onde. 

"UAı,adj. f. une. V. Uma, - 

+ Usi, s.m. (i. dw Bres.) espöce -de canne 
sauvage. 

+ Unir, s. f. sorte de frult du Bresil. 

Usenpäog, s. f. fertilitö, Secondils, abon- 
dance, 

U’pene. V. Ubre. 

ÜBErrıMo, A, adj. träs-abondant, Irös-fer- 
tile, au propre et au figure. 

U’sı, s.m. lieu, demeure, domicile, espace 
qu’un corps occupe. 

Unıcagäö, 8. f. (f. scol.) existence actuelle 
d’un corps dans un lieu determine. 

UÜsıcär-se,v. r. (f. scol.) @ire dans un lieu 
determine. 

Upıquipäne, 8. f. (f. scol.) presence actuelle 
de Dieu en tout lieu. 

+ Usiquista, s. m. ublquiste : docteur en 
Sorbonne qui n’6tait attach6 A aucune maison 
particuliöre. 

+ Unıaurräntos, #. m. pl. ubiquitaires : secte 
de protestants. 

U’are, s. m, pis, tötine : partie de la mamelle 
des animaux. 

"Vcua,s.f. " coffre Aserrer du pain, elo. 
V. Caixo, 

Ucuäöd. V. Despenseiro. 

Ucharis, s. f. depense, office; cuisines 
royales. 

Uno, adj. m. Il n’est usit& que dans cette 
phrase proverbiale. Ndo deizar — nem miudo, 
ne laisser ni grand ni petit, 

Uri, interj. mais! 

UrıniDo,A,p.p. de Ufanar. 

UFANAMENTE, adv. avec faste, arrogance, 
fierts, d'un air triomphant. 

Urinir, v. a. rendre flcr, arrogant. 

UranäRsg, v.r. se vanter, tirer vanitö, s’en- 
orgueillir. 

Urania, s. f. vaine gloire, fiert£, arrogance; 
jJactance, ostentation. (fig.) Joie, plaisir, satis- 
faction. 

Urino, a,adj. fier, arrogant, presomplueux. 
(Ag.) Joyeux, satisfait , content. 

U’ca, Ucz, Ucen ou Ucıa, s. f. (t. d’hist. 
nal.) pastenague ou tareronde : poisson du 
genre de la raie. 

Uoiına (I. rust.). V. Igualdade, 

UcAkx (8. rust.). V. Igualar, 

Ut iaterj. V. Aw. 


Ye. 
ah Ts 


Uvia,o.n. V. Zuiver, eie. 

U’jsa. V. Uge. 

U’xase , s. m. ukase: edit Imperial, en Remie, 

U’ıceaa,s.f. "ulcere: plaie causce par 
corruption, V’Acrei6 des humeurs. 

Urcersciö, s. f. ulceration : formation du 
ulcere; ouverture de la poau cause par un ar- 

re. 

Ücrceripo, A, 9. p. de 

ULcerän, ©. 6. ulc#rer : eauser un ulerre, 
entamer ; blesser;; (Ag.) faire naltze un rene- 
timent profond et durable, blesser viremesi. 

ULcErRÄR-SE, ©. r. s’ulcerer, devemir sie- 
reux. 

U’Lcere. V,. Ulcera. 

ULceröso, aA, adj. ulcereux : de la nature de 
Pulcöre. Couvert d’ulcäres. 

"ULLo,ı,ow ULo, A, mot compose del, 
adv. oü, et de lo ‚pour o) ou ls (pour), wii 
oü elle. On l’employait interrogativemest Eı: 
Ullos iIhesouros dos antigos reis ds Pers’ 
que sont devenus les Iresors des andiens res 
de Perse? 

+Uıur, s. m. (tl. de gdog.) Ule: ville de 


l’Allemagne. 
ULmärıa 0% (£. de bot.) ulmım,. reme 
Urutiına,s.f. des pres, 
ULn£ıra, .[ 4.de bot.) x orme, urbre 23 
ULu£ıro ou ULwo, 5. m. j psurre hommı, 


arbre grand et gros, monope&tale. 

Uıma, s. f. (. d’anat.) "” ulna : un des a 
qui va du coude au poignet. * Coudee, aem. 

ULterıön, adj. 2 gen. ulierieer : quiesi a 
delä; qui vient apr&s. 

ULTERIORIDÄDE, 3. f. qualit# de oe qu et 
ulterieur. 

ULTERIORNENTE, adv. ultsrieuremeni : par 
delä ; outre ce qui a &te dit ow fait. 

ULTIMÄDANRNTE, adv. finalement. 

ULrrımipdo,a,P.p. d’Dltimer. adj. Fini, w 
mine, entierement achere. 

ULTINAMEnTE, adv. dernidremeni, inak- 
ment, en dernier lieu. 

Urrıuär, v. &. achever, fnir, terminer. 

ULrımÄTos, 5. sw. ulimatam : dernireiır 
rövocable condition que Fon met & um Ira. 

U’LTINO, A, adj. dernier : apr&s queil 23 
plus rien ; qui vient apres tous les auires; er 
iröme. O — suppkicio, la peine capilsle. 4— 
möo, la derniere main. Fezer o — esferm, 
jouer de son reste, faire tous ses eferts. Zar 
no — da vids ou nas —as, dire A l’extrü 
toucher ä sa derniöre beure. Por —, Esa- 
ment, onfin. 

ULron , adj. m. (8. Jajin) vengeur. 














UMB 


WFıraa, pröp. let. ultra, au delä. Elle entre 
dans la oomposilion de plusieurs mols porlu- 
gais. 

ULrrasipo, A, p.p. d’Ultrajar. 

ULrrasapon, &, 5. colui qui outrage. adj. 
Qutrageux. 

ULTaasinte, adj. 2 gem. outrageant, qui ou- 
Irage ; injurieux. 
 ULrrasin, v. a. outrager : faire outrage;; ol- 
enser cruellement. Möpriser ; trailer avec me- 
w1S. 

ULraäse, 5. m. outrage ; injure atroce de fait 
ou de parole ; insulte. 

ULTRASÖSAMENTE ‚adv. outrageusement,, avec 
outrage. 

ULraasöso. V. Ultrajante. 

ULTaıuän, 3. m. outremer. adj. V. Ulira- 
marino. 

ULrrawanino, a, adj. d’outremer, qui est 
au delä de la mer. Azu) —, bleu d’outremer. 
Outremer : couleur bleue faite avec le lapis 
pulverise. 

ULrrauontäno, A, adj. ultramontain : au 
delä des monts; au delä des Alpes; parlisan 
du pape. 

ULrrice, adj. f. vengeresse. 

ULrriz, adj. 2 gen. (f. lat. et podi.) vongeur, 
vengeresse. 

ULTaoönzo, A, adj. qui s’oflre, qui se pr&- 
sente de soi-möme, sans qu’on le oherche. V. 
Esponianso. 

ULsuinte, adj. 2 gen. burlant, qui hurie. 
p. a. de 

UruLia, 0. n. hurler : pousser des hurle- 
ments, de grands cris de douleur, des cris 
feroces. 

t ULuLitTo, s. m. (inus.) hurlement, cri la- 
mentable. 

Us, U’ua, adj. et m.un, une: lepremier de 
tous les nombres ; le chiffre 1 ; seul ; confondu, 
qui ne fait qu’un. L’un : se dit dans certaines 
phrases distributives, par opposition ä l’autre. 
— «owiro, Pun l’autre : mutuellement, reci- 
proquoement. — 8 —, ou — por —, un & un. — 
alrds, apös ouiro, l’un apres l’autre , suocessi- 
vement. —e ouiro, l’un et l’autre, tous deux. 
— por ouiro, l’un portant Yautre. Tudod—, 
c'est tout un. Uma couse, une chose, quelque 
chose, A’uma, enseinble, tout A la fois. Uma 
das duas ou das duas cousas uma, de deux 
choses l’une. Umas sobre owiras, coups sur 
coups. Uns e oulros , les uns et les aulres. 

Umanıpang, ete. V. Humanidade, etc. 

Uuatııa, s. f. sorte de baldaguin, en forme 
de parasol, sous lequel on porte le Saint-Sa- 
crement, 

UusELLirEnO, A, adj. ombelliläre. V. Um- 
brellado. 


Uusico. V. Embigo. 


T Uuszuicino, a, adj. (1. de bot.) en forme 
d’ombilic. 


UusiLiciL, adj. 2 gen. ombilical » qui a 
tion & Fombilic, au nombril. Pe 


uNG 1181 


. + U’ueua, s. f. "umble, ombre: poisson du 


ı genre du saumon, 
+ U’unılma,s.f. (8. d’Asst. nat.) ombre: pois 
son. — das lagoas do Norte, ombre chevalier. 
f Uusnicuro, 3. m. — dos musgos, (tl. de 
bot.) V. Apophyse. 
Uusnär,s.m. pas, seuil d’une porte;; linteau 
.de porte ow de fen&tre. (fg.) * Entree. 
Uusniö, e. m.(t. d’Asie) titre de noblcsse 
au Mogol. 
+ Uusaärico, a, adj. (antastique, chimeri- 


que. 

UmsnirıL, adf. 2 gen. Aguratif, cache. Om- 
brage. 

Uusrtına. V. Umbral ori Hombreira. 

Umensıra,s. f» (4. de bot.) ombelle : pctils 
rameaux en forıne de branchesde parasol, qui 
portent les fleurs. 

+ UmsagıLivas, s.f. pl. (t. de bot.) ombelli- 
feres : famille des plantes qui porient des onı- 
belles. 

f UusaeLLino, a, adj. (t.de bot.) ombelle: 
en ombelle , qui la porte, ombellifere. 

+ Umprgıuura, s. f. (tl. de bot.) umbellule : 
petite ombelle. 

+ Uupnia, s. f. (inus.) endroit od il y a de 
Pombre. V. Humbria, 

+ Uunsia, s. f. (8. de geog.) Ombrie : centre 
de Pltalie. 

Uusnina. V. Umblina. 

Umsn0so, A, adj. ombreux : od il y a de 
Pombre os qui en fait; ombrage. (fig.) Obscur. 
Noite —a, (poei.) nuitrembrunie. 

Uusd ow Imnd, s. m. plante fructiföre du 
Bresil. . 

ano, a. V. Humido. 

MIDÄDE,, eilt. . 

Umpiog, etc. } V, Humi..., elc. 

+ Unanımär, 9. a. rendre unanimes, con- 
formes en sentiments. Il est aussi reciproque. 

Uninmz, adjı 2 gen. unanime : d’une com- 
mune voix, d’un commun accord. 

UNANIMENEnTE, ade. unanimement : d’une 
commune voix ; d’un commun sentiment. 

Unanısmınpäpe, 8. f. unanimite : conformit& 
des sentiments ; universalit6 des suffrages,, etc. 

Uncäiö ow Uncgiö, s. f. onclion : action 
d’oindre. Les saintes huiles pour V’extr&me- 
onction. Sacre des rois, des &v&ques. (flg.) —, 
mouvement de la gräce, consolation du Saint- 
Esprit; eboses, pensees qui portent & la piete, 
qui touchent le caur. A extrema, a sanla —, 
Pextreme-onction, sacrement de l’Eglise catho- 
lique. 

UncıiL, adj. 2 gen. de l’once. (t. d’ant.! On- 
eiale : ( leitre) pour les inscriptions et Ics Epi- 
taphes. 

Uncıirıo, adj.m. Herdsiro —, hörilier da 
douzi&me d’une succession. 

Uncınäpo, A, adj. crochu , en forme Je cro- 
che:. 

+ Uncwmäins, s: fi (1. d’hist. nal.) "unci- 
naire; ver intestinal, & bouche ciliöe. 


1182 UNH 


+ Uncrönio,s. m. (4. d’ant.) lien dans les 
bains od se faisalent les onclions. 

UxcToRIO, A, adj. (P. #8.) qui sert & olndre. 

Uxcruosipäng, s. f. onclaosite : qualite de 
ce qui est onclueug. 

UncTU0s0 , A, adj. onctueux,, hulleux , gras. 

Unsagäö, 8. f- V. Dosaguamenio, Inunda- 


Fe xbinre ‚adj. 2 gen. ondoyant. (fig.) Trös- 
copieux. V. Undoso. 

* Uns. V. Onde. 

UNnDECÄGONO, 8. m. (1. de gdom.) ondecagone, 
Bgure de onze cölds. 

UNDECENTESINO, A, @W- quatse-vingi.dix- 
neuvieme. 

+ Unpec#uviao, 5. m. un des onze magisträts 
& Athenes. 

Unp&cımo, A, adj. num. ord. onziöme; onze. 
Clemenie, Luis —, Clement, Louis XI. Em— 
lugar, onzidömement. 

+ UnpscupLo, A, adj. onze lois autant. 

UnpicoLa , s. m. (prat.) habitant des eaux. 

Unpisono, adj. (poet.) bruyant, en parlaut 
des flots. Qui mugit comme les flots. 

Unpivaco, A, adj. qui floite sur les vagues; 
qui court los mers. 

Unn6»0,& ‚adj. ondoyant,qui fait desondes; 
kouleux. 

Unvoracäö, s. f. ondulalion : mouvement 
oscillatoire par ondes. 

TUnpuLarönıo, A, adj. ondulaloise (mouve- 
ment) d’ondulation. 

Uxcivo, A, adj. eis. m. oint; qui a regu 
l’extr&äme-onction. Os —s do Senhor, les oiuis 
du Seigneur, les rois et les prötres. p. p. de 

Uncin, v. a. oindre : frotter de choses one- 
tueuses. Oindre les rois, les eröques dans lour 
sacre. Donner l’exiräme-onclion. (Ag.)Conlerer 
le pouveoir. 

Uncuentania, 8. f. parfumerie, labrigue 
d’onguents ou pommades. 

UnauanTaRıo , A, adj. ets. qui fall des On- 
guents ow des parfunıs, parfumeur (chez les an- 
ciens). Qui concerne ow contient les onguents, 
les parfums. Loge —e, boutique de parfumeur, 
parfumerie. 

Uncoentärıo, 3. m. endroit od les apothi- 
caires tiennent les onguenis. 

Uncu£nto, s. m. onguent: medicament mou, 
onctueuzx, Tout ce qui sert ä oindre. (anl.) —, 
parfum compose „ de consistance molle, pour 
embaumer les corps. — de soldado, onguent 
gris, napolitain ow mercuriel. 

Uncvindso. V. Oleoso. 

Um’cuis, s.m.unguis, os lacrymal, petit os du 
nez. 

U’ncuLa, 3. f.* ongle,, tameur de l’@il. V. 
Unha. — cavallinha. V. Tossilagem. 

UncuLäpo, A, adj. onguld ow onguicul& : qui 
a des ongles. 

Unua ,s. f. ongle: partie dure & l’extremitd 
da doigt; griffe des anlmaux. Corte du pied 
du cheval, ete. Pointe recourböe de certains im- 
etruments, &pine crochue de cerlaines vian!=* 


UNI 


V. Presunto. — de cavallo, pas d’äne, plante. 
V. Tossilagem. — no olko, eıcroissance,tumeur 
dure sur la paupiere „ongle, Laie. Finoar, ıwei- 
ler a—,(fig.)exiger plus qu’ilr’est dä. Mostrer 
#—, (Ag.) montrer le bout de Poreille. Ser — 
tarnscom alguem „(Ag.)Eireles deux doigts de 
la main, &tre l’ami intime de quelqu’un. Aslar 
#4—: on le dit d’une cbose qu’on possede, 
u’on a obtenue. Ter — na palma de mdo,{fg 
Im.) avoir des griffes, &ire voleur. Escapar 
por uma — negre , (fam.) l’echapper belle. —ı 
sbaizo, (8. d’escr.) quarte. —s @ cime, (id. 
lierce. Fugir a —s de cavallo, fuir ä bride 
abatlue, venire ä terre. —s da ancora, ( f. de 
mar.) paties de Pancre. —e de fome, s. m. 
grippe-son, bomme Irds-avate. 

"nina, 8. f. coup d’cngie, Impression de 
Fongie sur quelgue chese ; griffade ; &gra- 
lignure. 

Unnipo,A,9.p9.de Unkar. 

UNBACATA, 8. f (4. de bot.) V. Restabei. 

UnBANEKTO, 3. m. provignement. 

Uxnäa, v.a. provigner ; coucher en terre les 
brins d’un cep entaill6 pour qu’ils prenneal 
racine. Egratigner avec les ongles. 

Ungkıao , s. m. panaris, mal d’aventure: 
sorie de tumeur, abc&s qui vientä la racine de 
ongles. 


Uni, e. f. union : Jonetion de dewx om ple- 
sieurs choses; action d’unir ; concorde, 
intelligence, soci&tö; Jonelion au physique et 
au moral ; alliance, oonfederation. Correspon- 
danee, conformits, uniformits. Böunien des 
lövres d’une plaie, ete. 

UrmIcaMenTE , adv. uniquement. 

+ Unicänrg , edj.2 gen. on ledit d’ame plante 
qui n’a qu’une lige. 

+ U’nxcıoäps , 6. f. qualii6 de co qui esi 
unique, 

U’nı00, A, adj. unique » seul; simgulier; 
extraordinaire, exoellent en son espece. 

Unıcöang , 08 jlcorne, unioorne: auimal 

Unschanio , e. m. ) sauvage, labuloux ; che- 
val avec une come au front, Sorte de piert 
minerale. 

Unmips, s. f. anitd : qualıtd que Fon prend 
pour commune mesure de toutes les autres de 
meme espece, considerte abstraitement; prin - 
cipe des nombres; ce qui exprime un seul @ure: 
opposd i pluralit&; union, conformite de sen- 
timents, ete.; identite (de foi); (6. de Kil.\ se 
dit de !’actlion, du temps, de lioe qui sonl 
unigquss. —, attzibut de Dieu, de la souverai- 
neis, ei. 

Unipamente,, adv. oonjointement; unakime- 
ment; uniformement; ensemble ; amiment. 

Unipo,&A,Pp-p. d’Unir, adj. Uni, joint, ke; 
associe. Confedere. 

Unmn6R0, A, ey. (1. de bei.) unilere: qus 
m’s, qui ne porte qu’une fleur. 

Uxıpoauino, 9.9. de 

+ Unroasir, v.o. rende wnılorme. 

"rnrönHe, Odj. 2 gen. unilorme ; sermblabie 


UNI 


em toutes ses parties, &gal; qui & la m&me 
forme; qui ne varie pas; sans varlete. 

Unırönuez, s. m. uniforme : habit militaire , 
costume de Corps. 

UNIFORMEMENTE, ado. uniformement : d’ane 
maniere uniforme. 

UNIFORMIDADE, 8. f. uniformite : conformite, 
rapport, ressemblance avec 30i-m&me ow entire 
plusieurs choses ; qualit& de ce qui est unifor- 
me, sans variete.Uniformit6 de sentiments, etc. 

UNIGENITO, A, adj. et s. unique (fils), seul 
engendre. On le dit par excellence de Dieu le 

ils. 

f Uxutcipas, adj. f. pl. (1. de bot.) Folhas 
— , feuilles unijuguees. " 

+ linıLarasiL, adj. 2 gen. (1. de bol.) uni- 
lateral : qui vient d’un seul et m&me cöle, qui 
n’a qu’un cöl&. j 

Unıda, 8. f. ($. d’hiss. nal.) unio ou union: 
mollusque acephale. — dos pintores , unio 
Epaisse, — sljofreire bestards, la maule du 

in. 

Usir (e, com), ©. a. unir, jeindre. Möler, 
incorporer. Joindre, attacher : au physique et 
au moral. Reunir, approcher, faire toucher. 
Reunir les lövres d’une plaie. Unir, r6unir les 
espriis. 

Unin-sg (a,com, om, enfre), o.r. s’unir, 
s’sllier, s’associer, se liguer, se confederer ; se 
reunir. Convenir, s’accorder, prondre des ar- 
rangements ensemble. S’allier, s’acoorder. Se 
joindre , se toucher, dtre irds-pres l’un de 
Pautre. 

UnisexuiL, adj. 2 gem. ($. de bot.) unisexd:: 
qui n’a qu’un soxe (fleur —€e). 

Unmonäncıa, s. [. * aceord de deux ow plu- 
sieurs voix , eto., ä Punisson. Monotonie, de- 
clamation sur un meme ton. Conformits, ac- 
cord, harmonie. 

UnIsonÄxTE, ad). 2 gen. V. Umisono. 

Unfsono, A, adj. qui est ä l’anisson. (fig.) 
Conforme, egal, semblable, de möme condition. 

Uxisoxo, s. m. unisson. V. U: ia. 

Unisonts. V. Unisono. 

+ Unispicäno, A, ad. (f.de botl.)quia un 
soul Epi. 

Unissımo , adj. sup. de Uno. 

Usırivo, A, adj. quia la verta d’unir. Vida 
—1s,(t. myst.) vie unitive: &tat de ’ame dans 
l’exercice du pur amour. 

UniväLvE, adj. 2 gen. (f. d’Rist. nal. er de 
bol.\ univalve: & coquille d’une seule piece 
(lestace); qui a uno seule valve ow valvule 
(capsule, eic.). 

Unıvarsies, s.m. pl. (1. de log. scol.) univer- 
saux : ce qu’il ya de commun dans les indivi- 
dus d’un meme genre, d’une m&me espdce. 

UxivensäL, adj. 2 gen. universel : general; 
qui s’etend & tout, partout; qui comprend, 
embrasse, renlerme tout, Umiversel : on le dit 
d’un homme qui a une grande &tendue de con- 
naissances. Em —, (p. 48.) sans exceplion de 
personne. 


UNIVERSAL, 8, m. V, Universdes. 


URA 1183 


UNIVERSALIDÄDE,, 5. /. universalils, gönera- 
ll ;totalils ; qualitö de ce qui est universel. 

UNIVERSsaLissımo, A, adj. sup. de Universal. 

UnıvERsalızia, vo. a. universaliser, rendre 
universel. 

UNIVERSALMENTR, adv. universellement. 

Untversınäne, 8. f. " assemblage de toules 
les choses cr&ses. Collection , assemblage de 
toutes les choses de m&me espece. Universite: 
corps de professeurs et d’ecoliers. Acad&mie 
ou l’on apprend les leitres ot les sciences 
Corps, communautö de personnes de mäme 
prolession, etc. 

Unıv£aso, 8. m. univers : le monde entier. 

Unıv&aso, A, adj. tout, total, universel. 

Unmvocaciö, s. f. univocation : caraclöre de 
ce qui est univoque. 

- UNiVOCAMENTE, ade. aroc univocalion. 

Unxivoco,, 4, dj. univoque ; (Dom) coımmun 
& plusinurs eires. Semblable ow uni, qui ne 
fait qu’un. Unanime, 

FU’no, A, adj. un: seul, qui n’admet pas de 
pluralite (Dieu). 

UnöcuLo, A, adj. m. qui n’a qu’un @il. 

Untipo, A, P.Pp. d’Untar. 

UNTADOR, A, 8. celui qui oint. 

Uarapdöra, s. f. onclion : action d’oindre. 

Untär, o0.a. eindre, enduire, graisser; bar- 
bouiller. (4g.) Gorrompre, suborner un juge, 
etc. On dit commune&ment : Untar as mdos, 
graisser la patie. — as dos ao porleiro , lg.) 
graisser lemarteau d’une porle.— ocarro, td.) 
procurer & force de presents l’ezp6dition d’une 
affeire,, graisser la palte. 

U’ntTo, s. m. toute matidre grasse. “ Graisse 
des animaux. Oing. — de porco, saindoux. 

Untöso. V. Unetuoso. 

Untüra, s. f. onction : action d’oindre; frie- 
lion. Matiere avec laquelie on oint. 

+ Ü’ra interj. houp! Mot qui sert & encou- 
rager les pelits enfants ä se lever, A se tenir de- 
bout, ete. Allons, Courage! j 

U’pa, 8. m. officier de justice, en Chine. 

* Uquek ; adv. od l’on voudra. 

Una, s.f. (t. d’hist. nat.) * ura : ecrevisse 
du Bresil. 

+Unrica, s. f. (1. @’Asie) vin de palmier. 

Unacäö.V. Furacdo. 

Uräico, s. m. (t. d’anaf.) ouraque : rordon 
de la vessie ; cordon du fatus qui va de la ves- 
sie au nombril. 

Urima,s.f. (t. de myth.) Uranie, Venusce- 
leste : muse de l’astronomie. 

Uranocrapnia, 8. f. uranograpbie: descrip- 
tion du ciel. 

} UsanocräÄPrnico , A, adj. uranographique : 
de l’uranographie. 

7 UranoLocla, s. f.uranologle: discours sur 
le ciel. 

+ Unanoseraia, 8. f. uranomöfrie : science 
des astronomes qui mesurent le ciel. 

URAXÖSCOPO ou uranoscope: genre de 

URANOSCÖPIO, 8. m. | poissonsdonties yeuz 
sont tournes vors le cicl. 


ö 


1184 URI 


Uriro,s.m. ($. de chim.) urale : combi- 
nsison de P’acide urique avec difförentes sub- 
stances; sel forme6 dans l’urine. 

URBÄNANßNTE, adv. civilement, poliment, 
konnetoment. 

Ursanınine, 8. f. urbanite, politesse. 

UrzBanissıMO, A, adj. sup. d’Urbano. 

+ Unsanita, ad). 2 gen. (inus.) citadin, ba- 
bitant d’une cite. 

URBANIZADO, A, P. p. de 

URBanızir, v. a. civiliser, rendre poli. 

Unzino, a, adj. poli, civil, honneie. Ur- 
bain : de la ville, qui appartient & la ville. 
Guarda, milicia —a, garde bourgeoise. 

+Unsino,s.m.(1.de gdog.) Urbin:: ville d’Iltalie. 

U'acı, s. f. ourque : sorte de vaissean hol- 
landais. Orque : poisson. V. Orece. 

UsceıLa. V. Urzelle. 

+ UrcniLıa ou UrchiLta, s. f. couleur vio- 
lette qu’on tire de certaines plantes. 

U’acno, s. m. (p. us.) bouchon , tampon. 

U’nco, s. m. cheval [rison de carrosse. i#. 
Oouvercle, tampon des cuves. 

Unpınkıaa, 8. f. ourdisseuse. * Ourdissoir : 
instrument de tisserand, etc. As —s ( podl.). 
V. Parcas. 

Unpivo, A,P.P. d’Urdir. 

Unoınor, s. f. ourdisseur : celui qui ourdit. 

Unpındaa „ 3. f. ourdissure, ourdissage ; 
ehatne ; contexiure, tissu ; ( Ag.) complot, ma- 
obination. 

Urpımäcas ou } quiourditdes intrigues, 

Uapımäras, adf,inv. ) qui fait des complots. 

UnDIM&NTO, s. m. °ourdissure ; trame. 

Unpin, 0. @. ourdir; (fg.) tramer ; machiner 
un complot, etc. V. Ordir. 

Unpduz, s. m. V. Urdidura. 

Ungaı, s. f. urse ı substance qui constitue 
l’arine. 

Ungrenzs, s.m. pl. (6. d’anal.) ureldres : ca- 
nal double des reins A la vessie. 

Ungrero, a, adj. de l’ureire. 

TUngrıco, A, adj. urölique : de l’urdtre ; uri- 
neire, diurötique (remede). 

Ungraa,s. f. (t.d’anal.) urötre : canal par 
ed sort l’urine.. 

TUazraiL, adj. 2 gen. uretrique :del’urötre. 

Ungrairis ou Üaerasıtıs, 5. f. (6. de med.) 
urethritis : inflammatıon de l’uretre. 

UV’aca , s. /.roquetie, plante. 

Unozsiö,s. m. (4. de bot. ) V. Verbena. 
Uncencia, s. f. urgence : necessile urgente; 
cas urgent. Nöcessile, obligation indispensable. 

Besoin urgent, pressant, 

UncenteE, adj. 2 gen. urgent, pressant. ' 

+} URGENTENMENTE, adv. d’une manidre pres- 
sante. 

Uncentissımo, a, adj. sup. d’Urgenie. ° 

Uncin,o.n. eure urgent, presser. v. a. Pres- 
ser, solliciter, demander vivement, contrain- 

re 

U’rıco, a, adj. (f. de chim.) urique ou lithi- 
que, ı acide) tire du calcul de la vessie. 

Ukins, s. f. urine, V. Ourina 


USA 


Usinia. V. Ourinar. 

Urnıminıo, a, ed. (1. d’anai.) urinaire : (ca- 
nal ) de l’urine. 

Urınöso, a, adj. urineuzx : de la nstare & 
Purine, quia Podeur de l’urine. 

U’ana, s. f. ume : vase antique oü !’on ınet- 
tait les cendres des morts, etc.; vaso d’orne- 
ment. — dos musgos , ( i. de bot.) V. Anthera. 

U’no, s. m. ure, urus : laureau sauvage de la 
Lithuanie. 

Unoricıo , 8. w. croupion des oiseaux. 

Urrica, s. f. V. Uraca. (vieuz) V. Plga, 
seau.(#. de mar.) "Racage. 

Uaräin, v. 9. rugir, en parlant de } lephant, 
du lion, etc. 

U’aro,, 8. m. ragissement. 

U’asa,s. f.ourse: femelle de !’ours. —maier, 
— menor, grande ourse, pelite ourse : consiel- 
lations septentrionales. 

Unsino, a, adj. de l’ours, ursin. Zerve —. 
V. Hervu ursa. 

U’Rso, s. m. ours : quadrupäde plantigrade, 
föroce, velu. 

Ursozinno, s. m. dim. d’Ürso, oursen , peüt 
d’un ours3. 

-UnsoLimas, s. f. pl. ursulines: religieuses 
de sainte Ursule. 

Uxrtica , s. f. ortie. V. Ortiga. 

Uaricagid, s. f. urtication : remdde qui con- 
siste & foueller avec des orties, et laver la chair 
devenus rouge avec du vin chaud. 

UnricäApo,A,P. 9. de 

Unricin,v.a. fouetier, piquer avee des orties. 

Uaricin-88, o. r. se piquer dans des orties. 

+ Uaund, s. m. sorte de grand corbeau de 
Bresil. 

Uauch, #. m. Foucou : päle violelie de se- 
mence de roucouyer. V. Urucueine. 

Urucutira, s. f. ($. de bot.) * rouoeuyer, reu- 
cou : plante, arbre rosace dont on lire ane päie 
pour la leinture rouge du roucou. 

Ununsäsa, &. f. plante du Bresil & grosses 
feuilles garnies de pointes. 

Unureua 08 N (4. du Bras. y "iissu de 

Uaup&usa, 8. f. paille, au Bresil. 

Ururicıo. V. Uropigie. 

Uruxi,s. m. vernis du Japon. 

Unz. V. Urze. 

Unze, s. f. (. de bot.) — ordinaris, brujere, 
bruyere commune. mie vassouraes, bruyere ä 
balai. 

Urzeıra. V. Orzella, 

Usino,A, p. p. d’Usar. Ust: gäts par Fu- 
sage. Usite. Exerce, babilud. Experiments, 
verse dans une science, elc. 

* UsAGENM, 3. m. impöt ancien. 

Usicae, s. m. croüte laiteuse, dartre gqei 
vient & la t&te des enfanls. 

Usänca, #. f. usance, usage, mode, 004 
tume. V. Üso. 

UsÄNTE ‚adj. 2 gen. qui use. 2. a. de 

Usir de), v.a. user : faire usage, se serrit 
de. Metire en usage. Exercer un emploi.—, g& 


Itor ronsommer. od. 9%. User, faire usage de. 


USU 


uveie coutume, dire on usage de. — do seu di- 

reılo, user de ses droits, !es faire valoir. 
Usär-sE, v. r. dire en usage, S’usor. (imus.) 

User, fsire usage, so sorvir de. Usa-se, il est 


Ustıno,, A , adj. (4. vulg.) habitus A. V. Asos- 
tumado. Ser — 0 oszeiro , $ire ooutumier. 

Usuza, s. f. (6. de boi.) usnee : sorte de 
mousse d’arbre, espece de lichen. — dos era- 
nos , usnse humaine, Mousse qui pousse Sur 
le cräne des pendus, sur les 08. 

U’so, 8. m. usage : Coutume, pratigue regue. 
* Mode. V. Mods. —, emploi, action d’em- 
ployer ; maniere de se servir, habitude qu’on 
acquiert par la pralique; exercice , experience, 
jouissance, possession ; droit de se servir de la 
propriet6 d’un autre; service, utillt& qu’on 
relire ; user, usure;long usage ; emploi habituel 
qu’on fait, usage du vin, du cafe, eto. Emploi, 
maniement trop fr&quent qui use, qui gäte. Ao 
— , selon l’usage. — de razdd, usage de la rai- 
son. Em cada lerra seu —, (prov.) ohaque 
pays, chaque coutume. Usos e cosltumes, us ol 
coutumes. 

Usuraöcto, etc. V. Usufrwclo, eio. 

Ussa. V. Ursa. 

* Ussıa. V. Adussis. Capella-mör. 

*Usso. V. Urso. 

TUstica, s. f. (t. de mer )* moulle ow pou- 
lie da mät de hune,. 

Ustäö, s. f. (1. de chir.) ustion : aclion de 
bröler avec le cautere; (#. de chim.) calcina- 
tion , combuslion. 

Ustkpa, s. f. sorte d’etofle de laine. 

Ustörıo, A, adj. brülant. Bspelko —, miroir 
ardent, verre ardent, 

UsuiL, adj. 2 gen. usuel : dont on se sert 
oröinalrement, Tributo —, impöt sur les den- 

es. 

UsuaLM&nte , adv. usuellement, commund- 
ment. - 

} Usuänıo,a,adj. qyin’a que Y’usage, la 
jouissance sans la propriets. 

Usucarıäd, s.m. (1. de jur.) *usucapion : &0- 
quisilion par prescriplion. 

UsucaPi&ntg, adj. 2 gem. qui possede par 
usucapion. p. a. de 

Usucarir, v. a. (f. de jur.) acquerir la pro- 
prieis par possession non interrompue, POS- 
seder par usucapion. 

Usucäpro, Aa, adj. possöde par usucapion. 
V. Usucapiente. 

Usuraöcro, 8. m. usufruit : jouissance des 
[ruits, des revenus sans avoir la propriets du 
fonds. 

Usuraucruir, v. a. avoir P’usufruit de. 

Usurrucruänıo, A, adj. usufruitier, qui a 
l’usufeuit, 

Usöra, s. /. usure : inter6t trop fort de V’ar- 
gent; intöret illdgal; profis illegitime tird de 
l’argent, des marchandises preites. Pagar 
com — , Tendre avec usure. 

Usurär, vo. n. donner, pröter ä usure. 


PORT.-FR, 


UVA 1185 


Usuränssmäntg, adv. usurairement, d’ume 
inaniere usuraire. 

Usunäirıo, a, adj. usuraire : oü il y a de 
Pusure; qui en vient. s. Usurier, —ere : qui 
donne son argent & usure; qui fait un gain il- 
l&gitime, 

Usuakıno, A, s. usurier. V, Usurario. 

Usurraciö, nL usurpation : action d’usur- 
per ; chose usu 

Usunpino,a, p.p. d’Usurpar. 

Usunpapda, A, 8. usurpateur, —trice : colui, 
celle qui usurpe. 

Usurrär, v.G. usurper : s’emparer par vio- 
lence, par ruse, d’un bien, etc., qui appar- 
tient & autrui, qui ne nous appartlient pas. 

UstuLacäö, s. f. ustulation : action de faire 
griller ow brüler. 

Ur, s. m. (t. de mus.) ut: premidre note de 
la gamme. 

Urir. V. Outer. 

UTENsiLıos, 5. m. pl. ustensiles : pelits meu- 
bles de menage, de cuisine. Outils d’artisan. 

UTERINO, A, adj. utefin : ne d’une medme 
möre, mais non pas d’un möme pere (frdre, 
seur —e). Qui concerne la matrice. Furor —, 
fureur uterine, manie ou maladie des femmes, 

U’TERO, s. m. *matrice, ulerus. 

+ Urica, s. f. (t. de gdog.) Ulique: ancienne 
ville d’Afrique. 

f Uricensz, adj. et s.2 gen. d’Utique. 

VrıL (es, para), adj. 2 gen. utile : profltable, 
avanlageux: qui sert A quelque chose; qui ap- 
porte du gain, du profit, de Lutilits. Dies uieie, 
(4. de prat.) Jours utiles, oomples dans les dö- 
lais accord&s par la loi. 

Urin, s. m. utile : co qui ost utile. V. Uli» 


dade. 

"UrıLzs, pl. d’Ull. 

UrıLipipg, s. f. utilit6, proßt; avantagez 
qualit& de ce qui peut servir. V. Prestimo. 
Sem —, en vain, inutilement. 

UriLissıno, A, adj. sup. KU. 

UrıLızipo,A,9.p. de 

Uriuizir, v. a. utiliser : rendre utile. Melire 
& proft, tirer parti de. v. m. Etre utile, rappor- 
ter du profit. 

UriLizäg-se (de), v. r. relirer du prot, se 
servir de. (em) Retirer du profit, de l’avanlage. 

UrıLuinte, ade. utilement. Empregar —, 
meitre & profit. 

Utopia, s. f. utopie : plan d’un gouverne- 
ment imaginaire et parfaitement rögl6 pour le 
bonheur commun. 

+ Urszqug, s. m. ($. de geog.) Utrecht : ville 
de la Hollande. . 

+ Urricurin, adj. 2 gen (t. de bot.) de Putri- 
cule. 

UrricuLo,s.m. (6.de bot.) utricule,, tunique. 

+ Ur supaa, (ial.) comme ci-dessus. Die, 
mez e era-. „les jours et an que dessus. 

*Uum. V. Um. 

Uva, s. f. "raisin: fruit de la vigne. — de 
eäo. V. Dogamarga. — d’urso, la bousserolie 
ow arbousier trainant, vwig. Falsin d’ours. — 


sin. 
+ Urin, s. f. osniture, oonserve de ralelns. 
+ Uvir, adj. 2 gen. de raisin. 
Vvar,® f® d’ensi.) urbe : une des tumi- 
ques de 


Urtina,s.f. la Arbre & qui se marle 
rd vigne. quise 


v,s. m. vingt-deuziöme Istıre de Yalpkabei 
portugais; lettro numerale qui vauts, ei sur- 
montde d’un tiret 8,000; avoo une barre em !ra- 
vers (7) signifle versei ; par abr&ristion sigai- 
Re voyex, etsuivie dun M, un8, un E, signi- 
Be votre. Ex. : Y. M. votre malesie, ou vous. 
V. Merct. V.8. vowe seigneurie. V. Ex. volre 
excellonce. 

Vi, loe. adv. solt, va. 

Vi ou Vir, adj. f.de Vo. 

Viaoröaıa, etc. 7. V. ee. 

VIautute , oder vainement, on vein, fau- 
tiiement. Sans fondement, sans motil, eie. 
Avoc vaniid,, preösomption. 

Vıca, eio. V. Vaece, etc. 

Vacaciö, s. f. usitö commun6dment au ple- 
riel, vacapöes, vacations, vacances des tribu- 
aux, des dtudes. 

Vacincıa, s. f. vacance d'un emplol, d’un 
beindfice, etc. 

Vacinte, adj. 2 gem, vacant : qui n’osi pas 
eccupe; qui estäremplir. Side —. 7. 


Vıcia (a), v.m. vaquer &, Fappliguer, va 


donner a. V. Vager. 

Vacatina, V. Vacaneis. 

Vicca, 8. f. vache : Iamelle de tauresu. 
Viende , chair de vache ou de bauf qu’on 
vend & ia boucherie; du beauf. — do chocalko, 
vache apprivolsee qui guide les laursauz pour 
las oourses ; (Ag. fam.) debaucheuse. — forra, 
(8. d’Asie) Auindant, olsif. Torner, volter d 


_ ve V. Torsner. 
acchpa , s. f. * teoupemu de baufs, de 
vaches, 
Vıcca-röma, 8. f. (0. EMst. nal.) ABADEIO 


ou Insecro Unctuoso , s. m. le proscarabee , | & 


tentarelle : insecte. Vacea-lowra de Malo, 
Ik melos de mal. — da chicoria, Yo mylabre de 
la chicorde. 

Vaccania. V. Vaooade. 

Vaccina, s. f. vaceine : esp&ce d’Inoentatlon 
ereo le veccin, maladie boutonneuse particu- 
Röre aux vaches, et qui, Inoculde aux enfan, 


..o2., 


u vaD 
Orivune, a, adj. (pait.) qui ports des guep- 
de raleim. 


Uwan ‚ots. V. Aisiver, ots. 

Uwan 7. Biro 

U’ va, s. f. urule, la luelte. 

UrrvLia, adj. 2 gen. urulalse, de ja Imette. 

Uvrin, ot. V. Huiver, ote. 

Uzaean V. Ihagee. 

Unren,s. m. (t. de chim.) usifer : oimabse 
fa de soufze si de mereuse, 


u V. 


les pröserve de la pelite wirele. Art d’mesuler 
le vasein. * Vagein : virus de pustules du pis 
d’une vache ou d’an voceind. 
Vaccmacid, 8. f. vaccination : actiom , @p6- 
ralion de veseiner. 
Vaccınäpo,&A,9.p. de Vacriner. 
VACCIHADOR , 8. m. veseinetsur, qui vascine. 
Vaccınär, v. 6. vacciner : inosulsr aves le 


Vaccöu, adj. m. de bauf vw de veche. Gade 
— , >iies A come, gros bötail, besufs et 
vaobes. 

Vacıınaciö, 8. f. vaciliaien : mowwement 
de co qui veciite ; (flg.) incertitude,, rdsols- 
tion, perplexite. 

VacıLLinte, adj. 2 gen. vacliient: qui va- 
eftie, chancelle; (Ag.) Irresahe, insertain. p. ®- 
de 


VacıLrir, v.n. vaciller : branler, chanceler, 
n'ttre pas ferme; (fig.) hesiter en repondamt: 
@ire incertain,, irresolu. 

Vaeno om Vachme, #. f. veciet, serie 
d’arbrisseau qui porte des bates noires. 

Vacvacko. V. Eoacuagdo. 

Vacvipäne, 8. f. (2. de phys. ot de möd.) vr 
cuXd : etat d’une chose vide. 

Vacöu. V. Vaccum, 

Vicro,s.m.* vaculte, vide, espace od in’ 
a pas meme de Fair; en terme de physiqwe. 

Vicvo, A, adj. vide, vacant. 

Vınzaciö, 8. f. " passage A gu. 

Vapzino, A, 9. p. de 

Vıpzir,v. a guter une riviäre, etc., pass 
U gut. 

Vapaivzı, adj. 2 gen. gusable :oü l’on passt 
€ 


ue. 
Fanzutco os feuftte d’&colier. 
Vanznecum, &. m. | Vade- möcum : chase, 
iivre que Fon porte ordinairement avec s6i. 
Vipla, s. f. Alle publique. 
Vıpuck®, 5. f. traanderie, lalndentine, vie 
vagsbonde , flänerie. 
Viptawtere, ade. om feindent, en oiell. 





VAG 


+ Vanıin, u. =. (fam.) mener une vie elsive, 
vagabende, Däner 

Vapicg ou Vaorice, s. f. fainsanlise, vie va- 
gabonde, flänerie. 

Vipio, a, adj. ers. vagabond,, [aindent, N&- 
Deur. 

Vapöso, A, adj. gueable. ss. Plein de bas- 
fonds qui rendent la navigation dangereuse. 

Visa, s. f. vague: Bot, lame d’eau de mer 
agitde. Vacance. 

VaGABöNDO, A „adj. et s. vagabond : qui erre 
ne lä ; rödeer; qui n’a point de demeure 


Vacıacid,. V. Vagueapdo. 

* Vacsche.V. Varamcia. 

Vacipa, V. Vacancia. 

VAci00,A,P. 9. de Foyer. 
uncano, s.m. verlige, dtourdissement de 

ie. 

VacaLdmE, 5. m. vor lalasmt. 

Vieauswrs, ade. vaguoment, imiötermind- 
ment, 

VACANUNDEAR, v. ». (fams.) sourie, error cä 
et lä, mener une vie vagabende. 

er .V. Vagabunde. 

*Vacankö, s. m. V. BMariels ei Vegsbunde. 

Yıaınra, 2. f. V. Vaommeis. adj. V. Vacmmie. 
8. Oisif,, aindenı, vagabond. 

VYıein,o.m vaquer : dire vacant, er per- 
laut d’un eımplei,, d’un Dundfice, ete. (por) Ve- 
guer, error cä et l&. Marcher & travers champs 
ou dans un desert, sans chemin fraye. Bıre 
desawvrö, eleil; battre Io pave, viwre. dans le 
des@uvrement. Peter. Aveir io temps, te foi- 
sir nöcessaire pour une chose. V. Pasar ei Va- 
gwar. — para a corda, reiourner & la oou- 
Tonne, en parlant d’um Bet, ete. , quiostdövolu 
& la couronne. 

Vasin,s. m. loisis : mengue d’sccupetion. 

*"Lentenr, nenchalance. Be —, oe. ade. deuce- 
ment, lentement, sans 50 presser; tout beat. 
Fer —, star com en de—, te de loisir. Näo 
ter —, w’svoir pas de loishr, n’evoir pas ie 
termps. 

Vıcanösamtere, ade. Tentement, lardive- 
ment. 

Vacanso, 4, adj. Imnt, terdil. — no amdar, 
no faller, tens a marcher, R parier, qut merche, 
qui perie lontoment. 

“Vackıno. V. Baldio. 

Vicam, s. f. gousse, conse (des pots, des ha- 
ricots, etc.). 

Vaeine, 8 m. vagmoomen! : : eris des enlanis 
au berceau. 

Vacina,s. f."vagin: canef qui eondeit de la 
vuive & le matries. 

VacıniL, adj. 32 gen. vaginal : qui a repport 
au vagin. 

T Vaomntris, s. f. (8. de dd.) vaginlte: im- 
Raramstion du vagin. 

Vıcito. V. Vagido. 

Vico, 2, adj. vacsni, qui west pas ouwupe ; 
qui est ä remplis.Berant: qui we point de de- 
meure lixe, vagabond, Vague : qui n’est pas 


VAL 1187 


Mxd, arrötö, defini, deerit, determine. (Ag.) 
Ingeiet, hogen, Ineomsiant. Oisif, desaaurne. De 
—, & loisis. Bstar de —, n'dize pas oreup6, 

n’öire pas loue. Fox —a,bruit vague. Nas ke- 
rag —$#3 ‚382 heurauperdues.. 

Vacugacäd, s. f. action d’errer guet ba. (Ag,) 
Disiracttiew , röverie, inquistude „ kmongtanee, 
egarement Gesprik, “east d’Imaginatien. 

Vacuzino, 2,P. PL de 

Vacuzir (por), ©. @&. vaguer, eurer gb ei |ä. 
Flower. R-) Stgarır deme sos ideen „ dans 
‚Osnmeu carıiöya A son Imegine- 


dgao. 

VıRU,s.m. quserwpriede Paiestine. 

Visa, f. Iute, buis, mequwie Dur — a 
alguem,, huer, stiller quetgwun. 

Vamisoe, se. f.veulte: immbilik, pam de soll- 
dis , ntant; peisemptiem. Pontpe, vains 08- 
tentakiom, parade. Dasola inuiile, vide de BEUS, 
ete. 

+ VaspösauänzE , ade. arac wenile. 

Vam6sR „A.,adf, veiR, vamilsuK, PIÄSAED- 
tusuxL. 

* VarLtra.V. Velites. 

Viis pour Ides (vous allez). 

Vive, s. m. belier: machine da guerre des 
anciens. Branlemens, balancement. (f#g.)* Inst» 
bilfie, imconstance, vicissitude; risque, dan- 
ger. (viewr) * Intrigue, cabale, machinatiom. 
(£. de mar.) Blin ow belin. Buter om o—, 
(#d.) faire agir ie blin. 

Varröna, 5 m. vayrode : geuverneur ow 
prince souverain de ia Mofdavie, de !a Vala- 
chie. 

Vir 

Vıra, \ V. Fall 

“Vırıvio. V. Baldio. Be — , loc. adv. en 
vain, inutilement. 

Vırivo.V. Vallado. 

Vıranchna, s. f. sorte d’etofe de laine fabri- 
qude & Valence. 

+ Vıriogurr, 8 f. (t. de geoy.) Vallachte ow 
Valagquie : province d’Europe, apparienant a ia 
Russie. 

+ VaLderinos, s. m. (fam.) vaurlen,, liber- 


Un. 

Vıroto. V. Baldie. 

* ViLoo. V. Baldo et Vadko. 

Vıre, s. m. (mot lat.) adiew qu’on fait, 
cong& qu’on prend. O derrsdeire—, ie dernier 
adieu. 

"Vıredfino, &, adj. valable,, qui dolt va- 
loir. Valide. Ssin. Vigoureux. v. Valldo. 

“VıaLevio, A, adj. on le disait de cerlaines 
piöoes de monnaie espegnoles qui avaldns 
cours en Portugal. 

Yaueoo6ıno. V. Valedeiwo. 

VaALEDOR,.A,.s. pmaianlaur, ölensenr; DOE- 
sonne serviabla. 

VAaLEnOaR , A tt 

VALEMOURR, Asa. 

* VaLkco. V. Novo. 


veiahie, quisdeit valoir. 
hiigeteire, V.- Faliitn. 


".. . 


1188 VAL 


°+Vaıtıro, s. w. ancien soldat qui ne por- 
tait pas d’arbaidte. 

+ Vatnca,, 3. f. (4. de gdog.) Valence : pro- 
vinne et ville d’Espagne, ville de France, ville 
d’lislie. 

+ Vartucıa, s. f. plante qui porte des fieurs 
comme le genöt. 

+ VaLzncıino, A, adj. eis. de Valence. 

* VaLkusa,s. f. valour, force, vigueur. 

VaLEnTio,, ONA, adj. ei 8. Fodomons, Ser-> 
bras,, matamore ; fanfaron. 

VaLtutg, adj. 2 gen. fort, vigoureuz, ro- 
buste. Vaillant, brave, courageux. Champion. 
Utile , eficace. Excellent. Grand, excessif. Es- 
tar rijo e —, (fam.)avoir une sante vigoureuse. 
s. m. Brave. O — acode a onde ha perigo, le 
brave passo toujours du cöl# du peril. Affecler, 
inculcar-se de — , laire le brave. 

VALENTEMENTE, adv. puissamment, vigou- 
reusement. Vaillamment, bravement, on brave. 

Varantia, s. f. veillance, valeur, bravoure; 
vigueur; action de valeur. Action, effort au- 
dessus de !’6tat des forces actuelles. Affectation 
de bravoure, fanfaronnade. Vivacits d’esprit, 
d’imagination,, nergie. Imitation parfaite de la 
nature dans un tableau. 

VALEnTissımo,, A, adj. sup. de Valente. tr&s- 
fort, tr&s-vaillant, etc. 

Varentöna (A’), adv. en fanfaron;; par vio- 
lence. 

Varta, v. m. valoir : avoir une certaine va- 
leur, öire d’un certain prix; servir, @ire bon 
pour. Prevaloir, l’emporter sur. Aider, favori- 
ser, secourir. —, aroir de l’imporlance, Je la 
consideration. — a alguem, [avoriser, prole- 
“ ger, defendre quelqu’un. — aos desgragados, 
socourir les malhoureux. Valka-me Deos / grand 
Dieu! Dieu me soit en aide I — com alguem, 
{Ag-) avoir du credit, du pouvoir sur Pesprit 
fe quelqu’un. Ndo poder — com alguem, ne 
pouvoir reduire quelqu’un, en venir & bout 
avec quelqu’un. Mais vale ou mais valdra, il 
vaut mieux, il vaudrait mieux. Ndo poder — 
@..., NE pouvoir remedieräun mal. Ndo se poder 
= , De pouvoir pas se tenir debout, @tre perclus 
de ses membres, etc. Menos —, mepris, peu 
de cas. (ant.) Note d’infamie, deshonneur. 
Tante vales quamio has, (prov.) on ne vous 
estime qu’en raison de votre [ortune. 

VaLta-s8 (de), v.r. se servir, faire usage de. 
8S’appuyer du credit, de la protection de quel- 
qu’un. Avoir recours &. Se servir, dans un cas 
pressant, du bien, des revenus d’autrui. Se 
yrecautionner, &tre sur ses gardes; se garantir 
de (p. us.). — de lodos os meios,, employer lous 
los moyens,, employer le vort et le sec. Quando 
falläo as forgas conudm — da arte, & delaut 
de force, il faut user de ruse. 

Varzriäna, s. f. (l. de bot.) valeriane: plante 
me6dicinsle de quatre especes. — ordinaria ou 
silosstre , valerisne commune, sauvage ou des 
bois. — phus, grande valeriane, valeriane 














VAL 


tique, valöriane des pres ow des marals. — hor- 
tonse ou velerianinha, valtrianelle, mäche. 

+ VaLznıaninma (8. de bot.) V. Valerianae 
horiense. 


VALBRÖSAMENTE , ado. valeurenserment, cou- 


ragousemeut, 


VALEROSIDÄDE, 5. f. (pP. us.) vaillance, va- 


leur ; force, vigueur. 


VALEROSISSIMO, A, adj. sup. do 
Varza0so, A, adj. valeureux, brave, vail- 


lant, Fort, aclif, efficace. Qui a de la valeur, 
du prix. 


VaLEte, 5. m. valet (du jeu de cartes). 
VALETUDINARIO, A, adj. valötudinaire, ma- 


ladif. 


° Varca, s. m. Ser —, tiro bon, approuvt. 
“Vaırnäco. V. Velhdco. * 
VALBACöUTO, 3. m. asile,, reluge. 

Vaınsa. V. Valer. 
VaLia,s. f.“ prix, valeur. V. Velor. ” Credit, 
. V. Valimento. " Merite, capaeite. V. 


Prestimo. (fig.) Protection ; preiecieur, —trice. 


Carta de — , leiire de recommandation. Guar- 
elguem, a sigums cousa, Tespecte 
quelqu’un, estimer une chose. 

Vartia. V. Avaliar. 

Vauınacäaö,s.f. validation : action de va’ider. 

Vauıpipz ‚s. f. validitö: force ei valeur qu’un 
acte, un litre, un sacrement, regeivent des 
formalitss et des condiliens roquises les 
rendre valables;; bonis essentielle d’une chase 
faite dans les formes. 

VaLıvipo, A,p.p. de Valider. 

ViLIDAMENTE, adv. validement, valableımen! ; 
avec assurance de l’execulion d’un acle. 

Vauipir, v. a. valider : rendre valide; faire 
valoir. 

Vaumıcid,. V. Validapds. 

VALIDISSIMO, A, adj. sup. de 

ViLmo, A, adj. valide, valable; qui a les 
conditions requises par la loi. —, sain, vigea- 
reux. (fig.) Fort, actif. 

VaLipo,&A, p. p. de Faler. ady. et s. qui est 
en credit, en faveur, en vogue; favori d’un 
prince, etc. Ser —do principe,, ötre le favori 
du prince, possöder les bonnes gräoes du 
prince. Sullana —a, valide, sultane valide. 

VaLIMENTO, 5. m. crödit, faveur auprös d'un 
prince, etc. “ Faveur, proleclion , appui. Tar — 
para com 0 principe, poss6der les bonnes grä- 
ces d’un prince. 

Vauıösamänte, ado. valabiement, valide- 
ment. 

VaLıs6s0, A, adj. valable, valide. De priz, 
precieux. 

* Virıa. V. Valke, 

VirLa,s. f. *[osse; tranchee, rigele. 

VaLLipa, s. f. vallde longue. 

VarLino, s. m. [oss6, fosse creusde em eng 
pour clore un champ, defendre une ville, faire 
&couler les eaux. Enclos enteure de haies. ü. 


». p. de Vallar. 


VaLLapöR, 5. m. celui qui ourre des LaR- 


: Tanche, — dos brajos, petite valtriane aqua- | chtes, qui fait des rigoles, etc. 


-’ - 





VAN \ 


VaLzir, v0. a. entourer de foss6s ; palisssder. 
(com) Entourer, environner de fosses. 

Varriasa, adj. f. Coroa —, couronne val- 
laire - donnee & celui qui avait le premier fran- 
chi las retranchements de l’ennemi. 

ViLLz, s. m."vallee: espace entre deux mon- 
tagnes, pays au picd d’une montagne, vallon. 
— de lagrimas , vallöe de larmes, ce monde, en 
termes de devotion. Por montes e —s, par 
monts et par vaux: en toutes sortes d’endroits, 
de tous cöt&s. 

VALLEZINHO, 8. m. dim. de Valle. Vallon, pe- 
tite vallde. 

VirLLo, s.m. retranchement, palissade. ° En- 
ceinte faite avec des pieux, etc. * Barridre, rem- 
part. ° Tranchde. V. YValla, Vallado. 

VaLöR, s. m."valeur, prix, ce que vaut une 
chose. —, bravoure, vaillance, courage. * Force, 
tertu, efficacite. ud 

VALORÖSAMENTE, v. 

Varomdso a adj. | V. Valeros..., eio. 

Visa , s. f. valse : danse en tournoyant. 

VaLsir, 0. w. valser : danser des valses. 

ViLra, s. f. valve : 6caille ou ports ow bat- 
tant d’unv eoquılle. 

VaLvänpe, s. m. (f. de bot.) beiveder ow 
belvedöre,, beile-a-voir : plante. 

+ VALVIFÖRME, adj. 2 gen. (t. de bot.) en 
forme de valve. 

ViLvora, s. f. (f. d’anat.) valvule : espece 
de soupape dans les artöres, aux oreillettes du 
e@ur; corps membraneux dans les veines. (f. 
de bot. ) Valve ow valvule: panneau de la cap- 
sule multivalve; segment du pericarpe. Sou- 
pape dans les machines hydrauliques. 

VarvuLin ‚adj. 2 gew.valvulaire: qui a beau- 
eoup de valvules. . 

Vim. V. Vüo. 

VauriRO, 3. m. vampire : cadavre qui, dans 
P’opinion du peuple, sort de la tombe et suce 
le sang des personnes que !’on voit tomber en 
phthisie. 

Vaurınisuo, 3. m. vampirisme : &iat des 
vampires; croyance & leur pouvoir. 

van. V. Ve. 

+ Vancäö, s.m. sorte d’embarcation de la 
Chine. 

+ Vanpirun, s. f. (1. de gdog.) ancien nom 
de l’Andalousie. 

+ VanpaLıino, A, ady. ets. de ’Andalousie. 

+ Vanpilıco,A, adj. du vandalisme ow des 

Yandales. 

VandaLismo, s. m. vandalisme : systöme 
destructif des sciences et des arts, de leurs 
monuments. 

+ ViupaLos, s. m. pl. Vandales: peuples 
barbares @e la Germanie (aujourd’hui Saxons) 
qui, dans lecinquieme sidcle , entrörent on Es- 
pagnv ei s’y $isblirent. 

Vanvaväar. V. Vendaval. 

VanpöLa, 8. f. (l.de mar.) mät provisoire, 
gui romplace oelul qu’on a perdu par uno lem- 
pete, oic. 

VANDOLEIRO, V. Bandolsire. 


vAaPp 1189 


VancLöna, s. f. vaine gloire , Jactance, glo- 
riole. 

VaRcLORIÄDO, A, P. p. de 

VANGLORIÄR-SE de), v. r. se vanter, se glo- 
rifier, tirer vanit& de; se larguer. 

VANGLORIÖSAMENTE , adv. avec vanile , Oslen«- 
tation, etc. 

VAnGLoRIöSO, A, adj. vanleur, vain, Kla- 
rieux, plein de vanite. 

+ Vancor, s. m. (l.d’Asie) chef d’une [a- 
mille. 

Vancvirna, 3. f. avantgarde d’une armee. 
(Ag.) Le devant. 

VARGUEJÄR , v. 9. vaciller, glisser. 

VAniLHA. v. Beaonilha. 

VAniLOCAMENTE, adv. avec häblerie. 

VanıLoquencıa, s. f. häblerie, fadaises, 
vains discours; verbiage, sols propos. 

VAnıLöQLIO, 8. m. propos, discours inutile, 
V, Vaniloquencia. 

+ Vino, s. m. caste des Indiens. 

Vanissımo, A, adj. sup. de Vdö. 

Vanmente. V. Vamente. 

"VAnTicen, 8. f. "avanlage, sup£rioritö, c® 
qui rend preferable; meilleur parti, plus fort 
salaire, etc. Levar —, surpasser, primer, exX- 
celler; avoir le dessus. Tomar a — d’alguem, 
prendre les devants sur quelqu’un. De —, da- 
vantage, de plus. 

VANTAJIÖSAMENTE, adv. avantageusement. 

VaAnTAI6sOo,A,adj. avantageux, qui apporte, 
qui contient quelque avantage. Qui a l’avan- 
tage, qui l’emporte, quiexcelle. 

"Vante. V. Avanle, Adianle. 

Vanzein, o.9. (f. de mar.) €tre un peu 
agitee, etre houleuse, parlant de la mer. 

Vanztıro. V. Banzfiro. 

Viö,s.m.creux, espace vide, vide, cavite, 
trou creuse (dans un mur, etc.). 

Vi6, vä,viäa ou vÄin, adj. vain, frivole, 
sans realite, etc. Vide, creux, qui n’a point de 
solidit#. —, inutile; fragile, perissable, pas- 
sager; imaginaire, chimerique, sans fonde- 
ment raisonnable. —, presomptueux, orgueil- 
leux, superbe. Em —, en vain, vainement, 
inutilement ow sans cause, sans motif, sarı= 
necessite. 

Vio, s. m. gu6 : endroit d’une rividre od l’on 
passe & pied. (fg.) Moyen de reussir; exp:- 
dient, ressource.(4.demar.) Bas-fond. Teniar, 
tomar o —, sonder le gu6, tenter. O rio nie 
dd —, la riviere n’est pas gudable. Ndo ackar 
—,{fig.) ne pas irouver moyen de r&ussir. Ma- 
deira a — ,bois flotte. Se o tempo der -, fig.) 
si le temps le permet. 

VarOn, 8. m. " vapeur : espece de fumde qui 
g’eleve des choses humides; liquide dilst# par 
le feu,, qui s’dldve d’un corps; force d’expan- 
sion de l’eau vaporısee. Barco, maquina de— 
bateau, machine & vöpsur. Vapores, pi.(1i. de 
med.) vapeurs:: affections hypocondriaques & 
bysteriques. 

Varornacid, 


Varorin, eie. | V. Zuspor....eıc. 


110 VAR 


Varonıziagäö,s. f. vaporisation : action par 
laguelle une substance se röduit on vapeur, 
conversion d’un liquide en vapeur. 

+ Varonızäa-se, ©. r. se vaporiser, so T6- 
deire on vapeur. . 

Varonöso, A, @d/. vaporeux : qui a des va- 
years, qui les cause; sujot auz vapeurs (Per- 
sonne —s0). 

Varonzinno , dim. de Vapor. 

VarcLän, v. a. fouetter, eingier, battre. V. 
Acoilar. 

Vaqutıno, s. m. vacher ; celui qui garde les 
vaches. it. Sorte de casaque de berger, etc. 

+ Vaqukıno, a, adj. qui concerne les vaches. 
Saio — , sorte de casaue de berger, etc. Her- 
va —a, souci de vigne. V. Herva. 

Vaqutra, s. f. cuir ınince tanne, peau de va- 
che. Baguette de tambour. it. V. Vareta. 

Vaorimua, 8. f. dim. de Vacca. Genisse : 
feune ow petlie vache. 

Viaa ,s. f. branche mince d’un arbre, verge, 
baguette, gaule. Verge : baguette que portent 
les huissiers, les alcades, etc.; baton blanc 
que portent les ministres de la justice en Por- 
tugal. (Ag.) Juridiction dont la verge ostla mar- 
que ; officier de Justice qui la porte, etc. Vare : 
mesare portugaise de trois pieds et demi de 
long. Portion de toile, d’etolfe, de la longueur 
d’une vare. (Ag.) * Chäliment, gouvernement ri- 
goureuz ‚, verge de ler. — de cagar aves , de co- 
Iher passaros com visco," gluau:: pelile bren- 
che froti6e de glu pour prendre les oiseaur. 
— de lagar, arbre du pressoir.— de varar 0 
vinho,, jauge,, bäton de jauge : vorge de bois ow 
de fer portant une division’ pour mesurer les 
futailles. — do palio, colonne, bäton d’un dais 
portatif. — de percos, iroupeau de quarante & 
cinquante cochons. — de conddö, baguelie di- 
vinatoire. — da vide, sarment qui doit porier 
du rsisin. Corrido d —, poursuivi par la jus- 
tice. Empunkor a —, entrer dans l’exercice de 
magistrat, de juge. Encostar —, renoncer ä la 
magistraiure. — de castello, la partie la plus 
dievde d’un chälsau. — de jesse, tubereuse, 
leur. — de paslor, cardere velue, plante, —s, 
pl." brancards d'une voilure. Cavallo, mache des 
—ı, mailler, cheval, mulet de brancard. —s 
Sonras ,(Ag.) lesjeunes gens , lajeunesse. Tre- 
mer como —s verdes, trembler comme la feuille, 
avoir grand’ peur. 

Varaciö,s. f. action de haler un valsscau & 
terre. 

Vanipo, A,p. p. de Varar. adj. Hald & terre; 
$chnud. Barco , wavio — em terra, (1. de mar.) 
baleau, navire amortli dans un port, ir en 
terre. Ficar —, (fig. [am.) rester stupslait, in- 
terdit. 

+ Vanınon, s. m. jJaugeur : oelul qui Jauge 
(les futailles). 

Varnapöuno, 8. ww. lieu oA l’on ensable un 
bällment pour on neltoyer te fond ou le r&ps- 
rer, gare. (fig. p. us.) Lieu oü sa rassembient 
='= rg personnes Pour causer, eic., Fendez- 


VAR 


Varir, s. m. "perche, gaule, long kim 
Brancard, limon de voiture. — de cadeirah, 
bäton de chaise & porteur. 

Varanciva. V. Verdascade. 

Varinpa, s. f. grand balcon ; terrasse." Pın 
die (au thöätre). Rouo dentse d’un meu.:: 

aile. 

Varunoinna,, din. de Varenda. 

Variö, s. m. mäle, enfant mäle; kenn 
falt, qui est dans l’äge viril. Mari. ce 
caur, d’un caraci&re mäle. — de ferre, in: 
de fer, barre de fer. —de escolilha,, (L.dems 
barre d’&coutille. 

Varario, s. m, “gaule, jongue perche, 
bäton, 

Varir, v. 6. mellre un navire A ses, klar 
€chouer; tlirer un bäliment en terre. Gar 
Causer de l’embarras, interdire. Percı > 
part en part. Franchir. v. ®. . Ser. 
au debors; passer & Iravers. — es vinhes.\u:- 
ger, ınesarer la capacite& d’une futaille, ew.- 
em lerra, n’um porlo , (l. de mer.) eLre amer. 
dens un port, en parlani d’un narire. 

Vanpisca, s. f. baguelie, gaule, vergete- 
mince , houssine. 

Vanpascipa,s. f. coup de houssine ou % 
baguette. 

Varzıcid, 5. f. V. Versapde. Action de me- 
surer ä la vare,. 

Varkip0,A,9.p. de Verser. 

T Vanzicen, 5. m. laociion de mmesurer, de 
vendre ä la vare, 

tf Vaazia, 9. @. mesurer ou vendre ä la 
vare. 

Varta, V. Verdde. 

Varta, s. f. aufs de la meuche viripare. 

Varzıkno,A,p.p. de,Varsjer. 

VanEıaDOR, s. m. celui qui falsait le var. 

.c& mol, 

Vanzyapöaa , 8. f. action de gauler. 

VARgJANÄNTO, 5. m. mesurage , auNRgE ; Mr- 
cberche, visite (de marchandises). 
art, 8. m. "gaule, grosse ot Jamgue per- 

e. 

VarEIıAR,o. a. mesurer & la vare, auter. 
Faire la visite des marchandises, verißer. eu- 
miner. Gauler : secouer, abaltre avec use per- 
obe. Foudroyer (ave6 l'artillerie). Soalller 
fort, en parlant du vent. 

Varzıtına, 5. f. mouche viripare. 

VarEı0o, s. m. action de gauler. Actioa de 
mesurer & la vare, Visite, examen ( des wsr- 
chandises), recherche des Juges de police. Jeu 
d’une batterie. (Ag.) "Reprimande „ semontt. 
Dar —, essminer, visiter, faire la perquisitee 
des marchandises, des denrees, ey. Der wm 
— aalguem, (fg.) repriunander quelqu'un ver- 
tement. 

Varzıete. V. Veridte. 

Varsıra, s. f. " pegode, tomple d’idelstre:. 

Vantra, s. f. pelite verge au baguetie. Ba- 
guetie de fusil. — de leque, d’adenie, brin, 
baton d’öventail. — de tambor. V. Faquela. 


VAR k... 


Passar polas —s, dire fouett6 A ooups de ba- 
guette. \ 

“Varoa, 0. f. sorte d’aruiice pour ia pöche. 
it. Plalne mardongeus®. 

Vancrarimma , dm. de 

Vinceu. V, Vorsea. 

Vırcmman. V. Verger, Dobrur. 

Vinta, s. f. sorte de poisson de met. 

VARIABILIDADE, 8. f. variabilits : dispositioh 
habituelle & changer. 

Varıackö, es. f. action de varier. Variation, 
changement; une chose qui varie. (f. de 
mus.) —, repetition d’un thöme arec des notes 
accessoires qui ne changent ni le mouvement 
ni la meölodie. — da ka, vatiation, Adeli- 
naison de Y'algaille aimante6e, de Ia boussole. 

+ VartÄDAMENTE, adv. avec variation, d’une 
maniöre variöe. 


Varıkno, A, pP. p. de Varlar. adj. Varie. | Z 


Naance, de differentes couleurs. 

Varıicen, s. [. sorte d’impöt & la douane. 

ViÄRIANENTE, adv. diversement. 

Varıänte, adj. 2 gen. variable, changbant; 
delirant, qui delire. Testemunks —, leınoin 
qui varie dans ses depositions. 

Vanıänte, s. f. variante. On le dit des di- 
verses legons d’un meme texte. 

Vanıkr,o.a.varier, diversifler; apporter de 
la variötd, changer. Rendre inconsiant, varia- 
ble. — 0 juizo, tourner la läte. 

Varıin, 9.9. varier, changer, dire ou deve- 
mir different. Decliner, en parlant de la bous- 
sole. 

VaRTÄR-SE, ©. r. se varier, se changer. 

VarıiveL, adj. 2 gem. variable : sujet A va- 
rier, qui change souvent; inconsiant. Qu’on 
peut varier, diversißer. 

Varıiz, s. m. V, Yäria: 

Varıc£ila,s. f. (t. de med.) varicelle : pe- 
title verole volante. 

Varicegs. V. Varizes. 

Vanıcoczııe, 8. f. (f. de med.) varlcocele : 
sorte de tumeur qui prend naissance dans le 
scrolum. 

Varıcöso,A,adj.variqueux: quiades varices. 

VARIEDÄDE, Ss. f. variöte, diversite ; melange; 
manidre de varier les choses ; Inconstanoe , in- 
stabilild. 

Varıeckpo, A, adj. de diverses oouleurs, 
higerre&, Lacheit, eto. 

Varixa, 5. f. pelite embarcation #troite & 
ramen. 

Varınär. V. Barimel, 

Varinna,s. f. dim. de Vara. Petite, vorge, 
petite baguette, houssine, gaulelte. — de con- 
däo,, baguette divinatoire. Ter — de condde, 
(Ag.) #ire beureuz,, avoir du bonheur. 

Virnıo, A, adj. divers. Variable, insonsiant, 
changeant. Vague, incertain,, ind&tiermind. Bi- 
garre, tachele,, etc. —s, pl. quelques-uns, di- 
vers, plusieurs. 

+ VanıoL600,A, adj, (1. de mdd.) varlolique: 
de ia petite vörole, qui a zapport & la petlie 
vörole (matiäfe, virus). 


VAas 119 


Vanizes, s. f. pl. (6. de mdd.>varices ı veines 
anömement dilatees. 

Vanr&rz, s. m. varlet: page dans P’anclenne 
ebensierie ; valet militaire. 

ARLOAS, 8. f. pl. (t. de mer.) atirapes 

eahıen de vodreses, A. ( ’ 

Vında, 3. f. virago : femme qui a Pair, jes 
habitudes, la demarche, etc. d’an homme. 

Varör., etc. V. Varomil, etw. 

Varonia, s. f. ligne masculine. Maseulinits. 
. VaroniL, adj. 2 gen. viril : qui appartient & 
Phomme; mäle, ferme, courageuz, ew. Fir- 
Nude —, vertu mäle. “ 

VaronıLıwäng, s. f. virie. 

VARONILMENTR, Ado. virilement, aveo vi- 
gueur, avec Courage, olt. 

Vanrib, 5. m. verrat : pourteau mäle. 

+ Vanrisco, s.m. V. Varrdo. — do mar. V. 


scorpena . 
Varrentina, 8. f. (3. de mer.) bonnette 
basse, volle. 

"Varnredkıno, V. Verredor. 

VARREDOR, A, 8. balayeuf, —euse. 

Varnenöuna,, s.f. V. Varredeira. il. ad). £ 
Rede —, verreux,, fllets de p£che en pointe. 
umarede—. (loc. fg. fam.) Il se dit d’une chose 
qui emporte tout, qui detruit tout, & qui sien 
n’&chappe. 

VARREDÖURO,, 5. m. &couvillon du four. 

Vanreoöra, s. f. action de halayer ; ba- 
layure. 

Vırrtr, v.0. balayer : öter les ordures d’un 
lien avec le balai; (Ag.) emporter tout ce que 
Pon troure. (dd.) Oter. Trainer par terre. Il est 

uelquefois neutze — da memoria, s’ellacer 
de la memoire, s’schapper de l'esprit, 

Vıarnaipo,A,p. p. de Farrer. adj. balay6. 

—, fou achere, fou & lier. — de vor- 
gonkha , eflronte. 

Vaar0po, A, adj. qui a une longue tige. Pdo 
— ‚arbre haut et droit. 

Vinzeı, s. f. plaine cultivde, rase cam- 
pagne. 

Visa, s.f. vase ı bourbe au fond de l’eau ; li- 
mon. Levee, au jeu de cartes. (inus.) V. Base. 

+Visasnannis, s. m. lieu, sur la cöte du Br&- 
sil, ou il ya eu beaucoup de naulrages. Dar 
com ludo em —, (fig. fam.) tous gäler, tout 
zuiner. 

Vasino,A,p. p. de Vasar. adj. Vide; Jets ea 


moule, mouls. 

VasaDOR, 3. m. emporte-piöce ; outil de cor- 
Gdonnler, elc. 

Vasandas, 9. f. action de vider, de dösem- 
plir, vidange, 

Vasänte, adj. ot 5. f. basse marde. V, VYasdd. 
(4. de mar.) ‚jusent, reflux de la mer. 


Ponta da —, seommenoement de l’öbe. Meis —, 
demi-reflux , demi-jusant, 
Vasiö, 8. fı action de vider un diamg, ec. 
(fig.) Traile, exporistion; vente, debit; issue; 
ion. 
Vasin, 0. a, vider: rendre vide, Oter co qui 
est dedans; deseraplir. Taris. Vesser. Travar- 


1192 VAS 


ser. Mouler, jeter en moule. Creuser, faire un 
creux, Deöcharger ses eaux dans la mer, on par- 
lant d’une riviere. — os olhos , arrachor, crevor 
les yeux. , 

Vıasir, v.n. decroitre, baisser, en parlant 
de la mare. Sortir ; couler, s’ecouler. A mard 
vasa, la mare haisse. 

Vasin-sE, vo. r. se desemplir, s’&couler, 86 
vider, se verser, s’&pancher. ( ig.) Parler in- 
consideröment; dire son secret. 

Visca, s. f. mouvement convulsif, convul- 
sion. Nausee. ( fig.) V. Desgosto, Angusiia. —s 
da morie, aflres de la mort, 

VAscoLgJipo, A, 9. P. de Vascolejar. 

VASCOLEJADOR, A. 8. Celui qui secoue une li- 
queur. (fig. p. us.) Remuant, inquiet. 

VASCOLEJAR, v. a. agiler une liqueur dans un 
vase. ( fg.) Troubler, inquieter. 

t Vasconcäno, A, adj. et s. biscalen ou can- 
tabre. On le dit du dialecte usite dans la Bis- 
caye. 

+ Vasconceir, v. a. et m. parler basque. 

Vascönco, s. m. V. Vascuencs. (fig.) Patois, 
baragouin, baragouinage. 

Vascönco, A, adj. et s. Basque,n& en Bis- 
caye. ( lg.) Grossier, inintelligible (langage). 

+ Vasconcino, A, adj. V. Vascongado. Pro- 
vincias —as, provinces Basques, en Espagne. 

Vascös0, A, adj. quia des convulsions, des 
naustes. 

Vascußnse, s. m. basque: langue des Bas- 
ques; langue biscafenne ou canlabre. 

VascuLin,adj. 2 gen. (1. d’anat.) vasculaire: 
rempli de vaisseaux. 

VASCULHÄR, v. a. balayef (un four). Netioyer 
(te plafond, etc.) avec une l#te de loup. 

Vascöıno, s. m. balaı & long manche; täte 
de loup. — do forno. V. Varredoure. ( fig.) 
Chose ou personne tr&s-sale. 

VascuLöso, A, adj. vasculaire ow vasculeux. 

Vaspıro, A, adj. Veado —, cerf de petite 
race. . 

Vastnto, A, adj. vaseux: qui a de la vase. 

Vasıanorn,a,adj. Cavallo —, cheval de mau- 
vaise race. 

VısiLua, s.f." vase, valsseau , futaille. Chei- 
rar d—, avoir le got de füt, en parlanı du 
vin. ( Ag.YOn le dit d’un ötranger gui prononce 
mal le portugais. & md —, (ig. fam.) c’est un 
miauvais garnement. 

t VasıLBÄME, s. m. assemblage de futailles, 
ete. , vaisselle de cave. 

Vasio, V. Vazio. 

Viso, 8. m. vaso : valsseau pour contenir les 
liquides; ornement qui l’imite. Vaisseau , na- 
vire. Pot & fleurs, pot de chambre. * Capacits 
d’un vaisseaa, d’un narire, lit d’une rividre. 
(Ag.) Tout ce qui peut contenir quelque 
chose. * Coupe, constellation meridionale. 
(ant.) Ancienne #toffe de laine noire pour deuil. 
— terreno ou de berro, (fig.) le corps humain. 
O negro —, (id.) le tombeau. — d’eleipdd, vase 
d’&lection. On le dit de l’apötre salnı Paul. — 
de misericordia , de noquwios, eto., vase de mi- 


vAZ 


serioorde,, d’iniquitss, ete. — de hours, keamı 
juste, qui honore Dieu. — de foris, un, da 
vinganga, ete., (fg.) la farie, la celin, I 
vengeanoe, etc., dlevöes au suprias dat. 
Beber o — da ire, da furis, (id.)nuime 
colöre, s’emporter, entrer en farie. ieı- 
das amarguras , (id.) boire le calice, huge 
d’amertume. O — da muiker, les prie\n- 
teuses do la femme. —s, pl. bassins de ab 
robe, pots de chambre, etc. (1. du. \e 
Seaux, veines, arläres, pelils cansaı mi 
Charpente de chanlier de marine. 

Vasosinno,dim. de Van. 

:f Vas6so, A, adj. vaseux : qui a deut 

VASQUEJÄR, ©. 8. Öprourer des cearuk 
ou des angoisses. 

Vasqueıno, A, adj. qui cause des vun 
sions, des angoisses. ( Ag.) Difhicite A ea. 

Vasquinaa, 3. f. jupe auteleis en up: 
cotte; colillon noir garni par le bas. 

Vassa. V. Vaso. 

VASSALLÄGEN, s. f. " vasselage : el, cab 
tion de vassal; tribut d& par un vasalanıe 
gneur. Sujelion, dependance. 

VASSALLÄR, ©. a. payer le tribat de vast 
lage. 

VassiLLO, A, 5. vassal: qui relerefums 
gneur & cause d'un flef. Sujet d’an print mr 
verain. — de —, arriere-vassal : eelui ge! 
d’un vassal. —s, pl. vassautx. 

Vassöura, 8. f. " balal: instrument & Br 
nage pour Öter les ordures, poar neleytt, 
— de navio, "goret, balai plat. 

VassovräpA, 3. f. coup de balai. 

Vassourinna, 5. f. dim. de Varmst.- 
Brasil, (1. de Bot.) le halai dem, kat! 
balai. 

Vastacid, 5. f. d&vastalion, rarage. 

VASTADOR, 8. m. devastateur. 

VÄSTANENTE, adv. amplemen!. 

ASTEZA 0% 

Vıastmid,s. f. } grandear, van eu. 

VAsTissımo, A, adj. sup. de 

Visto, a, adj. vasıo : trös-sienda, zuptw! 
et au figurs. Enorme. 

VÄTE, 8. m. t.) derin ou 

Varcinon a. Er Yaulcan : Ar da uf. 
& Rome; ia cour de Rome. 

Varıcınino, a, p.p. de Valiciner. 

VATICINADOR, 3. m. prophöte, devin, MP 
nosticateur. 

VATICINADORA, 3. f. devineresse. 

VATIcınÄnTE, adj. 2 gen. qui derm, ® 
predit. p. a. de 

Varscımäir, 9.8. deviner, prödire, pa 
tiquer \L 

Varıcinıo , s. m. ° prophötie, peidi: 
prognostic. 

Vi-rboo, s.m. (1. de jou) va-toel. 

Vira.V. Vaia. 

Viza,eic. V. Vass, etc. 

Vazio, a (de), adj. vide: 
pli; qui necontient que de Fair; (Ag.) 4#! 
pas rempli, occupe. Tari, vide. Vide. On 


qui wien pn 
u 








VED 


d’une obarretie , d’une b#te de somme Ron 
chargee, d’un carrosse od il n’y a personne, 
eto. Vide : qui n’est pas habit# , en parlant 
d’une maison, eto. (Ag.) Qui manque de quel- 
que chose; libre de... (id.) Vain, chimerique, 
frivole. (id.) Olsif , d6suvre. De —, sans tra- 
vailler, en oisivels; & vide. Pager os allos de 
—, (fam.) avoir beaucoup de chambres & louer 
dans sa Iöle. 

Vazio, s.m. vide, espace vide; creux,carvits. 
V, Vdeuo. — da ige , bas-ventre. Os —s. 
V. Hypochondrios. 

Vera ow Veıa, 8. f. veine : vaisseau, petit 
conduit qui oontient le sang. (fg.) Fibre des 
piantes par oü elles pompent les sucs,, etc. 
Veine: couche de terre, de sable, raie d’une 
autre nature owcouleur; fillon de mine; couche 
ob se trouvelemetal, lahouille,etc. ; marques, 
raies dans lobois, le marhre, etc. (Ag.; Sang, 
race, lignee. — d’sgus, courant d’eau; if. veine 
d’eau, .petile source sous terre. (1. de mar.) 
Veie d’eau. Topar ou lomar ums — d’egoa, 
(1d.) boucher, &tancher, aveugler une voie 
d’eau. A— d’agua lapou-se por si mesma, 
la voie d’eau est nt soupee. — de podla, (flg.) 
veine po6tique; gönie, vorve, talent, esprit 
po6tiques.—de doudo, (id.)esprit, caract£re in- 
constant, grain de folie. Ter — de doudo, avoir 
un coup de marteau sur la löle,avoir un grain 
de folie. Dar o sangue das—s, ( Ag.) aider, secou- 
zir quelgu’un de tout son pouvoir, se saigner. 

Veacäö,s. f.“gibier, venaison. 

Vgipa,s. f. biche, femelle du cerf. 

Vgino, s. m. cerf: quadrupede [auve, rumi- 
nant,ä cornes branchues ou bois.— do Ganges, 
axis, corf du Gange, daim du Bengale : qua- 
drupede tachets ä cornes blanches. Ponlas de 
— ,bois de cerl. 

VaADoR, s. m. contröleur, inspecteur, celui 
Een eonduite, la regie d’une maison. V. Ve- 

et Viador. (vieuz) V. Cagador. 

VrADoRia, s. f. charge ou bureau do veador. 
V. ce mot. 

Vzaria ou Vemania, s. f. resserre oü l’on 
gardait le gibier. 

Verazinua , dim. de Via. 

Vacasir. V. Vicejar. 

Vacraciö, s. f. exercice en voilure ow Ache- 
sal , gestalion. 

Vecrärıo, A, 0dj. de transport. 

Vxcrör , adj. m. (t.d’asir.) Raio—,rayon 
wcteur, tir6 du soleil & une plandte. 

Vanino, s. m. (p. us.) endroit dont l’entree 
est defendue, röserve, bois od il west pas per- 
mis de chasser, etc. 

Vgpipo, A, p. p. de Vedar. adj. Defendu. 
Arrei, &tanch6, en parlant du sang. 

VEDADOR ‚A,s.celul qui defend. 

VEDBÄLRBAS, 8. f. pl. (1. de prov.) bijou que le 
parrain donne & une mariee. 

Vzpir, vo. a. delendre , prohiber, interdire. 
Empetcher, embarrasser, meitre obstacle. Ar- 
röter, ötancher (le sang). 

VanoR, 5. m. sorte d’intendant dans les 


VEL 1193 


grandes maisons. Inspecteur des troupes. V. 
Veador. — d’agua , sourcier,, celui qui decou- 
vre os qui prötend decouvrir les sources d’eau 
par leur &manation. 

Vapoaia, s. f. Jurande,charge,, emploi d’in- 
specteur, etc. ; bureau od il travaille. V. Vedor. 

"Veoro,A, adj. V. Velho. s. m. Haic de 
buissons. 

Vezca. V, Beca. 

Vezoon. V. Vedor. 

* Vr8ıR0 , s. m. fourrure coßteuse. V. Feiro. 

"Vzex. V. Ver 

* Vecida. V. Vex. 

VeEsErAacÄö, 5. f. vegetation : action de vege 
ter ; force vegetative; son eflet. 

VEGETÄL, adj. 2 gem. qui vegete. Vegetal : 
qui appartient & ce qui vegete; extrait des 
vegelaux (sel) , propre A ou de la vegetation 
(sol, terre, rögne, eio.). Vegelaes,, pl. s. vege- 
laux, co qui vögäte. 

VEGETÄNTE, adj. 2 gen. vegetant, qw ve- 
göte. p.a.de 

VEGETÄR „ v. m. vegeter : croltre par un 
prineipe interieur et par le moyen des racines, 
comme les vegelaux; ( fg.) vivre dans l’oi- 
siveiö,, la detresse, la stupiditd, l’imbecillite. 

VECRTÄR-E,, v.r. vegöter (au flg.). 

VEGETATIVO, A, adj. vegetanif:quiala faculis 
devegöter; qui fait vegeter; en eiatdevegetation. 

VaGETÄVSL, adj. 2 gen. vegetable, qui peut 
vögeter. 

VEGETO, A, adj. vigoureux, fort, robuste. 
Vegetatif : qui fait vegeter. 

+ VecETo-MInsräL, adj. 2 gen. (l. de med,) 
compos6 double d’une substance vegetale et 
d’une substance minerale. 

+ VEcgTOs0,A, adj. (I. de bot.) Terra —a, 
terre vegetale,, propre & la vegelation. 

Venania. V. Vearis. 

VEREMENCIA, 8. f. vehemence : force , imp6- 
petuosite ; mouvement [ort rapide ; force , efll- 
cacit& des raisons qu’on empluie; (fig.) violent 
emportement des passions. 

VEHENÄNTE, adj. 2 gen. vehöment : ardent, 
impetueux; plein de feu, d’ardeur; efficace, 
fort, persuasif. 

VEHEMENTEMENTE , adv. avec veh&mence; et, 
en termes de palais, "rehementement. 

„VEBENENTISSIMO, A, adj. sup. de Vehemenie. 

“VeBiccLin, adj. 2 gen. de voitures. 

VgBicuLo, s. m. vehicule : vaisseau qui sert 
& conduire le sang, etc.; liqueur qui sert d eu 
conduire, & en faire passer une auire. 

Veıa. V. Va. 

Veica,sf. campagne, plaine fertile, etc. 

V£Eio,s.m.”*veine dans un metal, dans du 
marbre, etc. 

*Vein.V. fir. 

Verrivo,Aa,adj. (1. de bias.) vaird : de vair, 
gui Pimite, Garni de vair. 

Veıros, s. m. pl. (1. de blas.) vair: fourrure 
blanche ei grise; emaux d’argent et d’äzur. 

* Veıza. V. Versa. 

Ver», s. f. Vaction de veiller, veille, veillöe. 





1194 VEL 


Personne qui veille; sentinelle. V. Vigis et V- 
gilia. 4 —, sans dormir. Pasar d — foda a 
noite, veiller toute la nuit, ne pes dormir de 
Ja nult. Em —, sans dormir, vigilant. — das 
fores, (1. de bot.) &tat d’ane fleur Duverie, 
temps quelle est ouverte, l’oppos6 de sommeil 
des feurs. — de core, bougie, oierge. — de 
bo , chandelle. 

Vera, s. f. (1. de mar.) voile de navire; (Ag.) 
volle, vaisseau. — grande, grande volle. — 
grande ialins d’um bergantim, baume, bri- 


gantine. — latina, volle latine ow iriangulaire. 


— d’estei do conoex ou cozinkeire, la grande | ie 


voile d’ötai. — d’estat de gdven, la grande voile 
@&tai de hune. — d’estai de foanele grande, 
voile d’6tai du grand net. — d’sslai de 
sobrejoansie grande, volle d’etal du grand per- 
uet volant. — d’estal de mexzena ou rabeos, 

voile d’&tsi d’artimon. — d’estai da gela, volle 
@’stai de logue ‚le diablotin. — d’esiai de sodre- 
gale, voile d’stai de la perruche. — d’esiai de 
sobregatinka, volle d’&tai de la perruche vo- 
lante. — d’estai do Iraquete , — d’estai de prös, 
peut foc, trinquette,, tourmantin. — d’estai do 
veldcho,, [oque ou bujarrona, second foo. — de 
re, artimon & gui. — redonda, voile carrde. — 
de carangueja, volle aA corne. — d’espiche, 
voile & livarde. — formosa, petite ou seconde 
volle d’&tai de hune, voile d’entre deux. — 
— d’uma belandra, la grande voile d’un ba- 
teau. — da mezeng, voile d’artimon. — de ca- 
rangueja com reiranca, — de bome, volle ä 
gui, baume. — envergada, voile envergude. 
— ferrada, voile ferl&e. — desferrada, voile 
deferiee. — carregada ou sobre os cabos, voile 
cargude ou sous les cargues. Cassar uma —, 
border une voile. Garotil d’uma —, letiöre 
d’une volle. Esteira d’uma —, fond d’une voile, 
bordure. Baluns d’uma —, chule d’une volle. 
Navio bom ou mdo de —, vaisseau bon ou mau- 
vais vollier. 4’ —, & la voile, sous volle. Ander 
6—, einpler, faire route. Dar d—, fazersed—, 
meitre & la voile, faire voile. Tornar a dard—, 
remettre & la voile. Fazer d—sobre qualquer 
objeclo, porter vers un objet. Molhar as —s, 
empeserles volles. Com lodas as—s largas, tou- 
tes les voiles dehors. Cambiar as —s, changer 
les voiles. —s de pröa, volles de Pavanı. —s 
de popa ou de r£, volles de !’arriere.—sdaizas 
ou rasleiras, basses volles. —s altas, hantes 
voiles. —s de sobrecellente, voiles de rechange. 
Casa onde se [azem 0 ronseriäo as —s, voilerie. 
endroit oü se font etse conserventies volles, —s 
Wummoinho de vento , toiles d'un moulinä vent. 

VeLigiö,s. f. (p. us.) benediction nuptiale. 

VELäcHo, 3. m. ($. de mar.) petit hunier ow 
hunier d’avant. 

VeLipo,A,p.p. de Velar. 

VeLaDön,A,s. et.adj. celul qui veille; senti- 
nelle, etc. Veilleur, vigilant. 

VeLanön, s. m. chandelier de bois dont les 
ouvriers se servent;, porte-chandelle,. 


velaadöna, s. f. Yaction de veiller, veille, 


VEL 


Vzrius, s. m. "voilure : toutes los veilesd’un 
valsstau. Jei de veile : appareli vompiei & 
toutes es volles d’um valissuau. ( Ag.) Veil, 
apparence sp6clsuse. 

+ VRLANENYO, 3. m. volle, oBurertar. 

*Varanca. V. Veladure. 

VauLär, dv. 6, voller: couvrie d’en volle. Vai 
ler; observer attentivement, serreilier. 

Varia, 9.0. veiller, ne point dormir. per, 
(Ag) surveiller. — sobre, (id.) observer atms- 
tivement 


Verin-se, u. r. prendre garde & sei. V. Ares 
lar-se 


Vzreid0, A,p.p. do 

VeLzin, 9.5. gröer, &quiper (un valssean\. 
* Verzcäipo. 7. Relogadeo. 

+ Verkına, 5. f. servante da dehors dam u 
couvent de religieuses. 

VeLtino, a, 5. faiseur de chandelles md 
bougies. Voilier : faiseur de voiles de navire. 

VeLtino, A, adj. voilier (navire). Dem —, 
bon voilier. Mdo —, maurals vollier. Nav 
muito — , vaisseau bon vollier. Soldede-, wi 
dat arme & la lögere. 

Verzsir, v. n. faire voile, naviguer. 

+ Vento, s. m. (8. de bot.) V. Moimendn 
— bastardo," nicotiane & fenilie ronde ol oblen 
gue, petite nieotlane, tabae femelle. 

Vertra, s. f. girouette; ( Ag.) pormenat I 
gere, Inconstante. V. Calavento. 

Veına, s. f. viellle feınme. Area de —, ae 
en-ciel. Conlos de —, oontes de viellles, fables 
ridicules. 

Veruackna, s. f. eogquinerio, fripmmerie, 
tour de coquin. Troupe de beittres, deeegelns, 
de gueux. 

VrLBicantnTE, ade. avoe fourberie, en &- 

uin, en fripon. 

' VELBACAO, 3. m. et adj. aug. de Fellen. 
Mattre fourbe, grand eoquin, malire fripen. 
Grand debauch#, poilssen (p. we.). 

VsLnacania, 8. f. Raeuserie, fonrberie, Mi 
ponnerie, tour de coquin. Aotion Indeomate, 
impudique (p. u8.). u 

tındcas,s. m. aug. de Volk. ( fan.) kit 
lard decrepit. 

Veruaciz. (fam.) V. Velhacle. 

VELBÄCO, A, adj. ets. cogquln, fripen, vanrike: 
fourbe. Fin, ruse, madr&, matols. Liberün, 
polisson (p. w8.). E um Anado —, gen la 
madre. Para —, — e meio, (prov.) A coat, 
corsaire etdemi ;ä trompear, trompenr ei dem). 

VeLuacöuro. V, Valkacouto. 

VeLnioa, s. f. reunion de vieut; bes wieilles 
gens. Vieıtlerie. V. Antigelke, Volkiee. 

VELBANCÄO, ONA he. 

Vernkö, ona, ad. | awem. de Tal 

VELBAQUEÄR, o. 0. friponner, tromper. 9. ® 
Faire des friponneries ; fourber. Potisseun! 

pP. u8.). 

VELBAQUßscO, A, adj. mmalicieut, malla, & 
pitgle, gaillard. De foarbe, de caquio. 

VrLnagutre, 8. m. dim. de Volhese. Un PM 
coquin, eto. j 


VEL 


VELHAQUINHO, A, adj. eis. dim. de Velhaco, 
Fiponneau, petit coquin. Petit Nibertin. 
zınicg, s. f. vieillesse: dernier 4ge de la 
vie; vetusis. Faiblesse, incommodites de la 
vieillesse. Vieillerie. 
VeLninua,s. f. dim. de TVelka. Petite vieille 
Yfemme; femme tres-ägee. 
ı Vexinno,s.m. dim. de Velho. Petit vieillard, 
vieillot. » 

Vernissımo, A, adj. sup. de 

Veıao, A, adj., vieuz, vieille : qui a dare, 
qui est, qui vit, dure depuis longtemps ; 
qui a eonsomm6 la plus grande partie de son 
existence; fort avance en Age; use, qui n’est 
pas neuf; ancien, du temps pass6, antique. A 
Lei—a, Vancienne loi, l’Ancien Testament. Sol- 
dado—, vieux soldat. Despir o komem—, (fig.) 
däpouiller le vieil homme. Rstar no calpado —, 
(fam.) &tre dans le dernier Age, Fazer — aal- 
guem. On le dit d’un homme fait qu’on a vu 
enfant. On dit de m#me en frangais : Cela me 
vieillit. (Ag.) Se faire vieux avant le temps : se 
chagriner, se tourmenter ä tous propos. Fazer- 
se — , vieillir. 

V£Lno, s. m. vieux, vieillard : qui est dans 
le dernier Age de la vie. — galleiro, (fam.) co- 
quard : vieillard qui fait lecoqnet, le galant. 

Veruori, adj. 2 gen. Cavallo—, cheval gris, 
cendre. 

+ V£ıLnöre, s. m. vieux bonlomme. 

V£ıLaozinno. V. Velhinho, 

Vericagäd. V. Vellicacdd. 

* Vericr. V. Velkice. 

*Verina. V. Belida. 

VeLireno, A, adj. (po6.) qui porte des 
voiles. 

VELiLBO, 3. m. sorte de gaze broch&e, parse- 
ınee de fleurs en argent. 

VeLinHa, s. f. dim. de Vela. Petite volle ; pe- 
tite bougie, petite chandelle. (#. de chir.) 
Bougie. 

Veuiscän, ete. V. Beliscor, etc. 

VeLires, e. m. pl. (1. d’ant.) velites : soldats 
armes & la legöre. 

VELivVoLO, a, adj. (Po#t.) qui va A toutes 
voites, A voiles deployees, qui fait force de 
voiles. 

VzrLik, v. a. voiler. V. Velar. 

+ VeLLEiNO, adj. m. (t. d’hist.) velleien (se- 
natus-consulte —), de Velleius. 

VELLEIDÄDE, 8. f. velleitö: volonte faible et 
imparfaite, sans effet. (%g.) Inconstance dans 
ses desseins. 

Verricackö, 8. f. (4. de mdd.) * pincement, 
picotement, vellication,, agacement nerveux. 

VerLicino, A, p. p. de 

VeLLicäa, v. a. (l. de med.) picoter, pincer: 
on le dit de la sensation desagreable qu’on 
6prouve dans certaines affections. , 

VELLO, 3. m. * toison : tondaille d’une bre- 
bis, ow la peau avec la laine. Flocon de laine 
grasse. . 

* Vaııo. V. Velho. 

VarLxocing,s. m. peau de moaton, de brebis, 


VEN 1195 


avec lalaine, et, par extension, la toison. La 
toison d’or, en lermes de mythologle. (}. de 
bot.) V. Peristoma. 

f Veruosinios, s. f. qualitö de ce qui est 
velu. 

VeLLöso, A, adj. veln : convert de poll. Cou- 
vett de duret, de coton, en parlant de certains 
fruits, de certaines plantes. 

7 VeLLopiLuo,,s.m. dim. de Velludo. Velours 
de coton. 

VeLL6oo, A, adj. velu ; couvert de poil. 

VELLUDO, 8. m. velours de sole. Flor —. V. 
Amaranto. 

Vrröces, pl. de Veloz, 

VeLocıpäng, s. f. velocit&, vitesse, rapidits. 

Verocissimo, adj. sup. de Veloz. 

VezLörıos, 8. m. pl. V. Avelorios. Raisin sau- 
vage, verjus. * Verroterie. 

VELöZ, adj. ? gen. prompt, leger, qui va 
vite; rapide, vite, velore; vil, actif, expedi- 
tif. — como um relampago, prompt comme 
l’eclair. 

VeLözwönte, adv. rapidement, avec velo- 
citö, vilesse ; vite; pronpternent, vivement. 

VeLuvino. V. Areludado. 

Veröno. V. Velludo. 

VeniBULo, 3. m. javelot, Epieu : arme d’hast 
pour la chasse du sanglier. 

Venir, adf. 2 gen. venal : qui se vond, qui 
se peut vendre ; (fig.) qui se laisse corrompre 
pour de l’argent. Qui appartient aux veines. 

VenaLıpADe, 8. f. venalit6 : qualit& de 06 
qui est venal. 

VENALNMENTE, adv. venalemen? : d’une ma- 
niöre venale, 

“ Venirıo. V. Findigo, Estrangeiro. 

VExATöRIO, A, adj. qui apperlient & la 
chasse : de chasseur, qui concerne l’art de la 
venerie. 

“Venitöna. V. Veapdd. 

VENCEDOR, A, adj. et s. valnqueur, qui a 
vaincu, vietorieux. 

VENc£LHO, s. m. lien, surtout pour attacher 
les gerbes. it. Rpervier. V. Gavido. Emum —, 
ensemble, conjointement. 

VencEr, 9. a. vralncre : remporter une vio- 
toire, un grand avantage & la guerre, sur 568 
ennemis ; ’emporter sur un Concurrent; Pem- 
porter sur; surmonter (les obstacles); domp- 
ter (ses passions, elc.); surpasser (ses rivaux, 
etc.). (fig.) Prevaloir, avoir le dessus, en par- 
lanı des choses immate£rielles. (id.) —, gagner, 
convaincre, persuader. (id.) Souffrir avec con- 
stance, vaincre la douleur, etc. (id.) Surmon- 
ter, franchir une montagne, etc. (id.) Venir & 
bout d’une enireprise,, gagner un procös, elc.; 
obtenir. — alguem em alguma .cousa, Surpas- 
ser quelqu’un en quelque chose. — a demanda, 
gagner un procds; avoir gain de cause. — 
soldo, avoir droit & la paye.— o praxo,echoir, 
en parlanı d’un terme. — com alguem que... 
venir & bout de quelqu’un... Deizer-se — 
rogos , se laisser fl6chir aux priöres. — @ cor- 








1196 VEN 


ronte, a mard, (1. de mar.) refouler la marde, 
je courant. 

Vencka, o.». vaincre, prevaloir, sortir vic- 
torieaz. Viva quem vence! vive le vainqueur! 
— ou morrer! vaincre ou perir! la mort ou la 
victoire: 

Vencta-sE, 0. r. se vaincre : dompter ses 
pessions, reptimer ses desirs;, Eire, pouvoir 
&tre vaincu. (1. decomm.) Echoir, en parlant 
d’un engagement. 

Vencipa, s. f. action de vainere, vicloire; 
deroute, defalte. Levar de —, vaincre (l’en- 
nemi), le metire en deroute. Ir de —, &prou- 
ver une defaite , öire vaincu. 

Vencivo, A, p. p. de Vencer. adj. Vaineu. 
Echu, payable, dü. — com rogos, flechi, tou- 
ch6 par les prieres.— por jwizo, convainca 
d’un crime. Ser, ficar —, ötre vaincu, @ire 
bauu. Ficar — em volos, avoir la majorit6 
contre soi. Dar-se por —, s’avouer vaincu. 

Vsencı.no. V. Vencelko. 

Vencıutnto, s. m. l’aclion de vaincre, de se 
vainere, victoire. * Echeance : terme de paye- 
ment d’un billet, d’une detie, etc. No souw—, 
& son &cbe6ance. 

VencireL, adj. 2 gen. qu’on peut vaincre ow 
surmonler. 

Venpa,s. f. vente: alienation de la propriet6 
& prix d’argent. L’aclion de vendre. Hötellerie, 
cabaret isol& pour les voyageurs. Bande, ban- 
delette, bandeau. (Ag.) "Aveuglement. Ter uma 
— nos olhos, avoir un bandeau sur les yeuz. 

Venndäpo,A, P.p. de Vendar. et adj. Ter os 
olhos—s, avoir un bandesu sur les yeuX. 

+ Venpäce, s. f. proßt qu’on donne & celui 
qui vend une marchandise par commission, 
droit de commission , de courtage. 

VERpiceEN, s. f. action de vendre. 

Venpin,v. a. bander, lier, sorrer avec une 
bande ow bandeau. (fg.) Aveugler, offusquer 
l’esprit, ermpecher de juger sainement. 

ENDAvÄL, s. m. vent d’aval : vent fort qui 
vient du sud et un peu d’ouest. 

VenväveL, adj. 2 gen. vendable, de bon 
aebit 


“Venozcid. V. Vindicasdd. 

Venpepkina, s. f. vendeuse : femme qui 
vend en place publique. 

*VEnDEDOIRO, s. mu. march6, halle. 

VEnDenOn, A, 3. vendeur, vendeuse. 

VENDKIRO, A, s. aubergiste, cabaretier. 

Venper, v.o. vendre : aliöner, pour un cer- 
tain prix, une chose quo l’on poss&de; exposer 
en public des marchandises, etc.; trabir quel- 
qu’un par inieret. Vendre son honneur, sa li- 
berts, etc. — caro, vendre cher (prop. et fg.). 
— a vida caro, (fig-) vendre bien cher sa vie: 
la bien defendre, faire perir besucoup d’en- 
nemis. — alguma molicia pelo mesmo prego, 
(fam.) debiler une nouvelle, la donner & prix 


VEN 


ötre venda ; areir de d£hit. (ger, fg.) Fe üse- 
ner pour, se faire valoir, se vanler de Lalents, 
de qualitss qu’ou n’a pas. —caro , (fig.) se (aire 
desirer, rechercher. 

"Vzxsisıı. V. Vendivel. 

Vewdicin. j 

Venpicarivo. +} V. Find... ' 

VERDICO. 

*Vennicöm. V. Fonda. 

Venpipico,, A,adj. qu’en feint d’avoir vende. 

VExpipo, A, 9. p. de Vender. adj. Vende. 
Ander, estar, acher-se — ,&tre venda, livre ä 
des tralıres, des fripous, eie. Ester come —, 
se deplaire, ne pouvoir se souffrir dans une 
compagnie. 

VenniLniö, 5. m. colporteur, ınarchand am- 
bulant. 

Venpima,ete. V. Vindims, etc. 

"VEnDımEnto,s. m. V. Vends. 

Venpita. V. Vindicla, Vinganpa. 

VENDIVEL, adj. 2 gen. qui peut se vendre. 
Qui est ä vendre, de vente. 

*Venpuno. V. Vendido. 

Vengricıo, s. m. ventfice : empoisonnement, 
erime d’empoisonnement avec preiendu sorti- 
löge. Sort, malefice. 

VEntrFICO, A, adj. veneneux, qui a du venin; 
venefique, qui [orme le poison. 

Ven£rico, 8. m. empoisonneur, qui prepare 
ow vend des poisons. 

Venznän. V. Envenenar. 

+ VEnENIirERO, A, adj. (podl.) venöneux, ve- 
nimeurx. 

VEN£NO, 8. m. poison, venin. Poisen : cbose 
nuisible & la sante. (Ag.) Poison : teut ce qui 
est pernicieux ; malignite. 

+ VEnznösauenteg, adv. avec qualitts vend- 
neuses. 

VENEROSIDÄDE, 3. f. "venin : qualit& de cs 
qui est ven&neux, venimeux. 

VENENOSISSINO , A, adj. sup. de 

VENEnöso, A, adj. vöneneux : qui a du > 
nin, venimeux. 

+ Vega, s. f. pölorine, peigne, petonele, 
coquille de Saint-Jacques. Croix ow medaille 
que portent sur la poitrine les chevaliers des 
ordres militeires. 

f VERBaABLLIDÄDE,, 5. f. qualit6 d’eire ven&- 
rabie. 

Vanzrasılissıno , A,adj. sup. de Venerarel. 

VENERABUNDO, A, adj. plein de veneration. 

Vensnachö, 8. . veneration : respect pour 
les choses saintes ; bonneur qu’on leur rend; 
estime respeclueuse pour quelqu’un. 

+ VENERÄDAMENTE,, adv. avec vendratien. 

VeEnenino, A, 9. p. de Venerer. 

VENSRADOR, A, s.celui qui rendre, qui a de 
la ventration pour, devoue. 


Venzrinno, A, adj. V. Veneravel. 
VEnzrir, v.o. venerer: porter honnear &; 


d’empletie. — a sua palavra, vendre safoi, sa röverer; avoir de la veneration pour. Rendre & 


üldelile. ) 
Venpta-sE, v.r. se vendre : se donner, 86: 


Dieu, aux saints le culle qui leur est dA. 
VERERAYEL, adj. 2 gen. venerabie : digne de 


- livrer & prix d’argent, Aun part: . le Lrahir; | veneration, de respect; Mitte d’bonneur d’wm 


, 


VEN “ 


pretre ‚d’un religieux. Titre que l’&gise donne 
& ceux qui sont morts en odeur de saintete. 

VENERAYELMENTE , adv. avec vöneralion. 

Ven£aEo, A, adj. venerien : qui appartient & 
Venus, aux plaisirs de l'’amoar. 

Veneno, A, adj. (podi.)de Venus. 

Ventra,s. f. pelite veine. (Ag.) Envie, lan- 
taisie; boutade. Deo-Ihs na —, (fam.) Y’envie 
lui en prit. 

Ventza,s. f. (#. de geog.) Venise : pays et 
ville d’Italie. Promssier —, (Ag.) promeltre 
monts et merveilles. 

VEngzıÄno, A, adj. ot s. Venitien, de Ve- 
nise. A’ veneziana, & la venitienne, A la mode, 
& la maniere de Venise. 

VanGiLa. V. Bengala. . 

Vena, s. f. permission qu’on demande; 
pardon , exouse. Salut, inclination de töte. 

Venıica, s. f. marchandise. De —, pour 
vendre. 

Vanıkı ‚adj. 2 gen. veniel : qui merite par- 
don, qui se peut pardonner (peche); leger, 
qui ne fait pas perdre la gräce, n’exige pas de 
trop fortes penitences. 

VENTIALIDÄDE, s. f. qualitö d’un p&che veniel, 
@une faute lögöre. (fg.) Faute legöre; peche 
veniel. 

VERIALMRNTE,, adv. vöniellement. 

Vanida,s. f. V. Vinda. Altaque imprörue, 
surprise. Altaque, assaut, on termes d’escrime. 
As idas e —s, los alldes et les vonues. 

VenisLuo, A,adj. (9068.) qui circule dans les 
veines (sang). 

Vgnöso, A, adj. veineux: plein de veines; 
des veines. Veine: qui a des veines ( bois, 
warbre, feuille). 

" Vanz. V. Oufrosi. 

VARTA, s. f. narine : ouverture du nez. *Na- 
seau, narine des aniınaux. 

yuanriı. V. Venta. 

ENTAGEN, eic. 
VENTAaJiR ‚ etc. | V. Vanta... ) etc. 
* VENTAM. V. Venta. 
: Vantina. V. Ventanilha. 
.  VRNTANEBÄR, v. a. &venier. 
‘ Ventankiaa,s. f. grand vent, vent imps- 
tueux. 

VENTARIA , 8. f. vent fort et continue. 

VENTAniLHa, s. f. blouse de billard. Meiter 
« bola na —, blauser, faire entrer la bille dans 
la blouse. 

Venrtar6pPA , loc. ade. vont en poupe vent 
arriöre. V. Poppa. 

Ventir, v0. ®. venter, faire du vent. o. a. 
Soufller.(Ag.) Favoriser.V. Aventar. Em quanio 
venia, mölha a vdla, ( prov.) pendant que le 
vent souflle, il faut empeser los voiles; il faut 
prolter de la fortune pendant qu’elle est favo- 
rable. 

VentanöLa,s. [.V. Abano, Venkilador. 

* Vense. V. Videnie. st. Visivsi, Evidente. 
p.a de Ver. Voyant. 

VENTicENno, A, adj. (Podi.) qui engendre du 
vent, d’oü sortent los vonis. 


VEN 


+ VERTILÄBRO , 5. m. van ä vanner. 

Virrıuacäö, s. f. mouvement, eirchlalion, 
sgitstion de l’alr. Ventilation : renouvellement 
de l’air. (Ag.) Discussion, däbat sur une. ma- 

VsntiLino, A, pP. p.de Ventilar. 

VERTILADÖR , 3. m. ventilateur : machine qui 
sert A renouveler l’air dans un lieu ferme&. 

VENTILÄNTE ‚adj. 2 gen. qui agile, renouvelle 
Pair. Ondoyant, flottant au gr6 duvent (p. %8.). 
p. a. de 

VErTILÄR, 9. a. ventiler : renouveler l’air. 
Exposer & l’air. V. Arejar. Agiter, mouvoir, en 
exposant au vent. (fg.) Ventiler : discuter, de- 
battre uns quesliion. — a veia ‚ faire une petite 
saignee. 

VEnTiuno,, s. m. dim. de Vento. Petit vent 
doux, löger. 

VENTO, s. m. vont: air en mouvement, agile ; 
air renferme dans le corps; odeur, &manation 
des corps. Flair, odorat du chien, etc. (1. d’ar- 
will.) Event. (Ag.) *Vanite, prö&somption ; chos® 
legöre, peu solide. (id.) Chose qui meut, agite 
l’Ame avec violence. (id.)Coquiconduitä une fin, 
vent de la foriune, sic. — em poppa. V. ce mol, 
Tumar —, prendre, gagner le large , prendre 
la fuite. Ir contra — e mars, (fig.) aller contre 
vent ei maree, avoir loules Choses Contraires. 
Instrumenios de —, instruments de musique ä 
vent. ir com 0 — que corre,, suivre le torrent, 
le parti le plus fort, etc. Navegar com todos 08 
—s,(fig.) saccommoder au lemps, suivre les 
conjonctures, les circonstances. Mover-se a I0- 
dos 08 —s, lourner & tout vent, #ire löger, in- 
constant. Sollar palaoras ao —, parler en vain, 
inutilement. Ander de —, &tre perdu, €gare. 
Gädo do —, betail, bestiaux qui n’ont pas de 
malire. Dar — a alguem, (Ag.) Qalter, Dagor- 
ner quelqu’un. O — ebonanga, (ti. de mar.) le 
vent mollit, la teımpete s’apaise. O — a calmons 
de todo, le ventacalme, il ya uncalme plat, 
lo vent est au consell. O— vai conirao sol, le 
vent se range contre le soleil. O — caminhe 
com o sol, le soleil chasse aveo le vont. — Jarge, 
— a um largo, vent largue. Pequona arage de 
—, fraicheur. O — refresca, le vent aflraichit 
ou fraichit, le vent se leve.— rijo, forte, grand 
[rais. — que serve para ir e vollar ao mesme 
lugar, vent roulier. — de joaneies, vont & per- 
Foqueis. —do mar, vent de mer ou du large. — 
conirario, ponteiro, pela proa, vent devant, 
ventdebout, ventcontraire. Gankar o—,gayner 
au vent, le vent, le dessus du vent. Cair de baine 
do —, wmber sous le vent, perdre ie dessus du 
vent. Estar debaixo do —, ötte sous le vent. O 
— descas , abranda, le vent mollit. O — alarge 
ou comera a ser largo, mais favoravel para a 
viagem ‚ le veni devient largue ou commenoe ä& 
devenir largue. — 6804380, vont au plus pres —— 
d pops, ven! arriöre ow venten poupe. — de do- 
lina, oudbolina, vent de bouline. — eonirario, 
vent contraire, vens debout. — freseo, vont 
frais. — mwito frresco, — forie, gros vent. — 
variavel , vent variable ou insonsiant.— feilo, 


1197 


r 


1198 VEN 


duravel, — sorio, vent fait, vont stable, vont 
constant. ‚vent menu, vent fal- 
bie, petit v vent. Geipe de —, coup de vent. 
O — salla d pria, le vent se rımge de "a- 
vant. O — vom d pope, }e vent se range & Far- 
riöre. O — sella ao norie, le vont so range au 
nord. O-- muda, le vont se obange. —s dos 
- quadraniss de N.E.o 8. E., vont damenı. 
—ı dos quadrantee de N. O. 0 8.0., 
J’aval. 

+ Vento, 0. m. anclen meuble, espöce de 
beresu ä derire. 

Ventoinnı, #0. f. banderele, giremette. 4. 
ad. ei 3. 2 gen. Gireuelte,, qui a le 1öte lögöre, 
etourdi. Ventoinka ou Pavoncino, (1. #’Mat. 
nal.) venneau, olsoau dohassier. 

Ventön, s.m. chien de quöte, qui ehasse & 
la piste. 

Veantösa, s. f. ventowse: valssese que Ton 
applique sur la posu pour altirer les bameurs 
en rerefient l’air & Yaide du (ea. On dennsit le 
nem de vonfosa aux Calotties des Jesuiten. 

Ventrosıning, 5. f. veniesite : amas de venis 
dans le corps. ” Vent, pet, vesse. 

T Ventöss, s. m. vontöse : siuiöme mois de 
Pannde republicaine frangaise, du 19 ferrier 
au 21 mars, 

Verrosinno. V. Vontinko. 

VEnT680 , a, adj. venteuzx : sujet aux vonts; 
qui cause des vonts ; cause par eux (cellgue 
80). (fig.) Vain,, vaniloun. 

VEnTRE, 8. m. vontre : la oapaciiö du O0rp® 
o& sont renlurmös les Inlestins; capaeite sows 
los odtes om inferieure; ce qui ressembie au 
venire ; partie renfiee d’une beuteille , ete. 
(Ag:) Creuz, capaeitd. " Grossesse d’une fenrme, 
ou !’enlant qu’elle porte. (f. de praf.) Venire, 
la mere. Desde o — de sua mäi, des Io ventre 
de sa möre, dös se naissenee. Adzee de —, 
möres : brobis, vaches qui portent sourent. 
Zigea de — , jument pouliniöre. — de dragio, 
veawre de dragen. 

Vantatcaha,s. f. "irongen de peissen au- 
duseous de ja Iäle. (buri.)” Venire, panse. 

Vanraicuno, s. m. ventricule : cavitd dans 
looorps des animauz ; estomao des raminents, 

Vanrniıno, 2.0. * ventriere. 

+ VentrniLoguo, A, adj. ventrilogqwe (per- 
suan6) : qui prend une voix sourde et euver- 
neuse , de sorte qu’on ereirait qu’elle perie de 
vontre, 


Vanrainme, dim. de Fontre. 
Vanraisca. V. Vontroche. 
Venradpo, A, adj. ventru , qui a un gros 


avonlure ‚„benne fortene, bonheur, (öleite, 

V. Felieidede, Dita, Fortune, hasard, sort. 
y —,ü& !aveniere, au hasard. Bd—, malbeer, 
mauvaise fortune. Per —, par hasard. Por om 
—, riaguer, szpeser au hasard. Ouento maior 
da, iante d musnse segure, plus la jortune 
est grande, moins ello est assurde. 


4 


VER 

Venronid, adj. (inus.) V. Vonturese, Afer- 
tunade, s. m. aug. de Venture. Grand benheur, 
fortene oonsictrable ei inepinde. 

Ventunie, 

Ventuntino 

Vanronfna, 

+ Vanzöao, a, adj. (P. us.) later, qui et ä 
venir. 

Venrurnössrtnte, odo. beurewsement. 

Varrundso, a, adj. beureuz, fortund , favo- 
rable. is. (p. us. )Casuel, forteit. V. Aventu- 
r0os0 et Aventureiro. 

Venos, s. f. (1. de mylh.) Venus : ddesse de 
la beautd ; une des sept plandtes; (#. d’eme. 
ehim.) le cuivre ; (49.) tre»Jotie femme bien 
laite, beauts rare. Plaisir, acte charnel. Monis 
de—,(t. de chirom.) petite &minence dans le 
paume de la main, & la naissance des deigts 
(1. d’anat., Mont de Venus ow penil. Vemus ou 
concha veneres, (1. d’hist. nei.) venus ‚ testach. 
— dionfs ou espinhess , a verdadeira cenchs 
de Venus, la conque de Venus. — pepkhis ou 
rugase ‚la vieille rid6e. — chionda ou Kiss, la 
isse 


| V dynfar... 


Venssripe, s. f. grande beauts, bezute ac- 
eomplie, bonne gräce, 6legnnce: eic. 

Venösto, 2,0. besu , plein de gräce, d’a- 
gröment, gracieuz; gatant, poli. 

Vg0, s. m. voile: etoffe qui sert & cacher 
quelque chose, la tie, lo visage. Voile de 
femme ‚de rellgieuse. ung. ) —, wat ce qui est 
obscur, qui sert ä cacher, etc. ; prölerte, cou- 
leur specieuse. (id.) * Confusion d’idees. sd.) 
Ce qui deguise om cache une chose,ce qei 
empeche de la connaltre. (1. danat.) Hem- 
brane, tunique subtile. Correro—, trer is 
ridesu. Levautero —, lerer le voile, d6coe- 
vrir, faire voir. 

Veozinno , dim. de Feo. 

Ver, v.a.voir : recevolr les images des 
objets; y voir; apercevoir, connaltre per les 
youx; observer, oexaminer; dprourer, expdri- 
menter. Trouver. (Ag.) Preveir. (id.) Coneeveit, 
Imaginer. (id.) Connaltre, Juger, d&couvrir par 
le ralsonnement. — , voir le mende, 
voyager, courir le pays. — vir, voir vemir, 
attondre lissue , ie suoods. Aldmewis — , zu re- 
voir, Jusqu’au reveir. Bara —, vu faser —, 
fstre ou lalssor voir, montser. Paser — ‚ faire 
voir, prouver. B de — ou pare—, la choseme- 
rite attention , merite d’#tre vue. Zuter por—, 
6ire douteuz, incertain. Ndo peder — elguem, 
(Ag.) ne ponvolr veir une personne, VYareiren 
horteur. Nöäo—, ne pas veir elair, m’y pes 
veir. Ndo — dem , avoir ia vue besse, ne ps 
voir clair. Ter de — ou que vor com... avolr 
de la lieison, du rapport aveo... Bste home 
ndo tem que — com ouiro, cet homme u'a riem 
& voir suaron autre. Faser que ndo v4, fermer 
les yeaz sur quelque ohose. Aywi onde me of, 
ali onde o 06, tel que vous me voyez, tel que 
vos io voya. Agore verieis, H fallalt veir. 
Pelo que vejo, segunde vrje, & 00 que jo vols. 
Veanos vonde, conlinuons A voir. 





VER 


Vön-eR, ©. r. se volr: dire en Yue; dire, 
Peureir öire vu ı se ragarder (dans um wireir); 
se visiter, s’aboucher aven quelgw’un ; 20 Irou- 
vor dans un endroit. Se veoir, se trauver, #ite 
daua tel dtal, sa veir pauvre, elo. + am gram- 
des embaracos es aperlos, se trouver dans de 
grands embarras, de grendes difieultss. Fio- 
“ uunes cosse eimilhamte?) a-Lon jamais 
va cobase pareille? Jd se a4, Hest olaiz, &vi- 
dent. Veja-se , voyea. 

Vaa,z. m.“ spparence des ahoses. Sens de 
la vus. Ameu — , ä mon avis, selon mol. 

VEnAcıDÄDE, 5. f. Treraeile : attachement con- 
stant & la vörite. 

Venacissımo, A, adj. sup. de Veres. 

VhaauinTs, ade. veritsblement, en vorit. 

* Vgaansöuno. V. Versdsuro, 

VERANIcO ou —tTO , s. m. dim. de Verde. 
Petit 616. — de Sao Martinho, et6 de la Baint- 


Vzxid, 5. m. 616 : saison la plus chande de 
Yannde. Printemps (p. us.). Tante de -—- como 
de invorno, dt6 oomme hiver. 

VznAödziumo. V. Veramieo, 

Veras, 0. f. pl. vorite, röaitd, sinedrild: 
ehoses avördes. Ardeur, chalear, activitd. De 
— ‚on vörii6 ou tout de bon, sörteusement, en 
effei. De —? vraiment? Bomem de —, homme 
vrai,, freno , veridigne. 

VERÄTRO, 5. m. (4. de bof.) veratrum, elld- 
bore blanc : plante. — negro,, ell&bore blanc ä 
fleurs d’un rouge noir. 

Veni2, adj. 2 gen. veridique, sincdre, qui 
ne ment pbint. 

Veapa, s. f. "article, olause d’un testa- 
ment, ete. 

VeRBÄL, ad). 2 gen. verbal: qui m’est que de 
'ive voix; (1. de gramm.) deriv6 du verbe. 

VERBALNSSTE, ade. verbalement, de vive 
voix. 

Vernisee, s. m. (4. de bot.) — Branco,, bouil- 
ion blane : plante. — amarello, * blattaire » 
herbe aux mites. 

VerBena, 5. f. (8. de bot.) verveine : plante 
annuelle et mödicinale. 

VERBENADO, A, adj. Orn6, Soureane de ver- 
veine. 

VERBENfCA, 8. f. sorte d’herbe. 

VerBEnACAö,s. f. verberation de Pair. * Power, 
action de fouelter. 

Verseräid,. V.Orgevdo, Verbena. 

t VeRBerÄR, v. @. fouelter, frapper, battre. 

t VERBERATIVO, A, adf. propre & [ouelter. 

VERBIGRATIA , ado. lat. par exemple. 

VerBo, 8. m. verde : partie du discours. 
Verbe : la soconde personne de fa Trinite, la pa- 
tele divine. Mot, terme. De — a-—- , mot ä mot. 

Versostrpäne, 8. f. verbosit# : superfiuite de 
paroles. 

VerB6%0, A, adj. verheux : qui abonde en 
paroles inutiles; diffius. 

Vanga, 2. f. (1. de bot.)*cheu, chou potager. 
= de ode , le chiendent ordinatre. 

Vengär, etc V. Versar, etc. 


VER 1199 


Vangöne, A, adj. vol, touffu, (Ag.) Birne, 
rechigne. 

VERDÄCHO, adj. et s. m, verdälre , vor psle, 
tel gue oeini da regean. Gonicur mintrale em- 
ployee en peinture. 

VerDine, 5. f. variis ı eaufarınita de Vidde 
aroc son objet, d’un räcii even lo fait, du dis- 
cours avec la pensee; veracile ; sinodrits, [ran- 
chise; konne fois Yoppos& d’erreer, de men- 
songe, de flatterie, de faux,, de [ausse opinion ; 
principe, aziome ; ısaxime, ralson. — , 08 qui 
ost vrai,, le vraiz; imitatlon , 6 parfaile 
de la nature. Röalite des choses. Verite dure, 
reproohe offenseni : em oe sens, em le dit plus 
souveni au pluriel, verdedes. Em —, na —, en 
verit6, osrtainoment. E’—, c’est vrai; la veritd 
est que, ou c’est laverits,la pure verite. B’ bein 
— que, eu — dqus, il) est vrai que, bien est-il 
vrai que.— pura, la pure verite. Homem de —, 
komme veridique. Traier — , tire [ranc, sin- 
cere, de bonne loi. Fallar a —, dire la vöriie. A 

“—, s’ib faut dire a vorits. Adivser 
s“—,äAvraidire. Ao medico e ao abbade , deve 


dizer-se a — ,(prow.) & ton confesseur, & ion 


m6desin ne eache Jamais rien. Nem fodas as 
—s se dizem, ( id.) leute werits n’est pas bonhıo 
& dire. . 

VERDADRIRANENTE, adv. veritablement, vrai- 
ment, certainemsent, ro6ellement. A le vorite. 

VERDADKIRISSINO, A, adj. sup. de 

Vannastıno, ı, adj. vrai, veritable, rel ; 
franc, sincere, veridique. 

"Vxapaponas, V. Esvordados, Verduras. 

Venpäsca, #. f. (4. ds dos.) "jet, trainde, 
brin de certaines plantes. V. Vardasen. 

Veape, adj. 2 gen. vert: qui ala coaleur des 
herbes fratches,, des feuilles d’arbres ; qui n’ast 
pas mür (fruit); qui n’esı pas see ( bois, elo.); 
(Ag.) frais, jeune; dtourdi, $dvaporeı vigeu- 
reuz. Finke —, vin fait de raisins qui n’stalent 
pas mürs. Veiko — , vielllard encore veort, vi- 
gourenz, ow qui fait le jeune homme. Uonie 
—, conte geillard. Ndo deisar — nem Be000, 
(Ag.) ravager, detruire lont. Apostdäma — abcds 
non mür ou vert. Em —, en herbe (fig.). Eor- 
far em — ,! fig.) couper en herbe. Mares —s, 
mers orageuses. Cowros —s, cuirs non lands. 
Dar ums — com uma madura , (loe. fam.) don- 
Der entre deux veries une müre. 

V£RrDE, 8. m. vert : couleur verte. Vert : aci- 
dit€ d’an vin qui mest pas bien mür. Vert: 
berbes qu’on dormme aux shevaux.— er, vert 
dore. — gdio, vert gai ow clair, vert diris. — 
garrafa, vert de bouteille. — mar, vert de mer. 
= negro, vert obscur. — montanka, vert de 
montagne. — de carneiro, de porco, ete., sany 
de mouton, de pore, etc., fricasse. Pör os ca- 
vallos ao —, mettre les chevaux au vert. Fo- 
grar um —, lomar —,(fig.) se donner du bon 
temps, se divertir. 

Verneka,s. f. verdee : vin verdätre de Tos- 
cane. 

VerneäL, z. m. huissier de lFaniversite de 
GCoimbre. 








41200 VER 


VeapziL, adj. 2 gen. qui tire sur le vort. On 
je dit d’une espece de bis et d’une esptce de 
pommes. 

Varvein. V. Verdejer. 

VERDscee , v. a. vordir : devenir veort. Om le 
dit des arbres. 

Vernsca:. V. Verde gaio. 

Vrapxsia, o. a. verdir, verdeyer. On le dit 
des pres, des champs. 

+ Venptıuma, s. f. (6. d’hist. nei.) * beuant: 
oiseau vert, 

VerpeLnäd, 6. m. (1. d’hist. nal.) vordier : 
oiseau du gemre de l’oriolan, & dos vert, venire 
jaune. 

VEaDE-rtso ou VER-O-riso, 5. m. aveir du 
poids, poids du roi, verißcalien des poids. 

Verpestıeua, s. f. (f. de bot.) * liseron des 
champs. 

VenpsetLLa ow VarpıskLla, 5. f. sorte de 
piege pour prendre les oiseauz. 

Veaptre, 5. m. verdet, vert-degris : oxyde 
vert de cuivre. 

Veapezinno, A, adj. diem. de Verde. Ver- 


delet. 
VznpıLmio. V. Verdelhäo. 
Vexpınäcao, A, adj. d’an vertbrun, fonod. 
Veupissıra. V. Vordesella. 
" VgapızELLos, s. m. pl. buretias- 


Vznpoica. 
V. Beldrodge. 


VERDOGADA. 

VERDOSCA. 

Veapoknco, A, adj. verdätre. Un peu vor, 
qui n’est pas bien mär ([ruit). 

Vaapör, 5. m. "veordure, couleur verte des 
arbres, etc. (Ag.)‘Verdeur, force, vigueur; 
verdeur de l’äge, jeunesse. 

Vga2680, A, adj. verdätre, qui tiro sur le 
vert. V. Verde. 

Vernpucäpa. V. Averdugada. 

Vsapöco, a. m. sorie de lame d’epse Iräs- 
delite. Rasoir #troit; petit'couteau delie. Bour- 
reau:executeur de la haute justice. (Ag-)Bour- 
reau, cruel, inbumain. (Ag. inus.) Pli long 
fait exprös dans une robe, etc. (l. de mer.) Re- 
bord , ceintes. — da dorde, (id.) "lisse de vi- 
bord. 

Veapüna, s. f. verdure. V. Verdor. Herbes 
potageres, horiolage, legumes. — da idade, 
force, vigueur de l’äge. —s da mocidade,” 6caris 
de jeunesse. 

“Vgasa. V. Vereda. 

Verzagäd, s. f. corps municipal ; assembiee 
du corps municipal; arr&ı du corps municipal. 
Taxe, taril. 

VgazAnDO, A,P. p. de Ferear. 

Vensapor, 3. m. echevin, membre du corps 
municipal. 

+ V£EngANEnTO, 5. m. charge d’öchevin, sa 
jJuridiciion. Administration &conomique, Fegie 
d’une ville, etc. 

+" VEREÄR, v. 6. gouverner, regir, surveiller 
les intereis d’une municipalile, eic. 

VeragciveLmäntg. V. Verissimilmente. 

Vrazcinpıa. V. Vergonha, Pudor. 








VER 


Verxzcönno. V. Vergonkoss. 
Vuatpı, s. f. "sentier : petit oheunin de üra- 


verse, chemin 6troit. Tortillidre. (Ag.) Semtier, 
cbemin ; direction, manidre. 


° Veripe. V. Pomaer. 
+ VeazrıLLo, s.m. (1. E’hist. nat.) " verdtille : 


polypier libre. 


Vgatndo. V. Vonerassi. 
Venca, s. f. verge, baguette. V. Vera. Ver- 


gue, antenne de vaisseau. Barre de fer. — da 
porta, "lintesu. De —d’slie, (1.ds mer.) pr& ü 
appareilier, en parlant d’en navire. — grande 

grande vergue. — de iragquele, vergue 
saine. — söca, vergue barrce ow vergue de feu- 
gue. — de gaves, vergue du grand henier. — 
do velacho, vergue du petit hunier eu du ku- 
nier d’avant. — da gala, vergue da perrogsel 
de fougue. — da sobregsia, vergue de la per- 


de w- 


ruche. — da sobregstinhe,, vergue de Ia perre- 
che volante. — do joanels grande, verguwe de 


grand perroquet.— do joanele de pres, vergut 


du petit perroquet ou du perroquet d’avamt. — 
do sobrejoanele grande , verguo du grapd pe7r- 
roquet volani. — do sobrejoanete de pres, ver 
gue du petit perroquet volant.— de cscadeirs, 
vorgue de ciraditre. — de mesens, vergue d’ar- 
timon. —s dos cwtellos,, vergues des benneliei. 


change. — ds ferro do junce da bomba, verge 
de pompe. 

VeErcäiDo, A, pP. p. de Vergar. 

Vercar. V. Tira-vergel. 

VercaLnana, 6. f. coup de nerfde beat, 
coup de fouet. 

+ VencaLnid, s. m. * barres de ler minces. 

VERCALBO ,s.m. membre genital da lauresa 
et autres quadruptdes. Nerf de baul, fouel. 

Vgrnciö, s. m. aug. de Verge. (Ag.) Seien: 
marque, impression que laissent les oeups de 
fouet sur la peau ; einglon, sanglade. 

VEacamoTa , 8. f. (6. de bof.) menihe des jar- 
dins, ’herbe du caur. Bergamote : espece de 
citronnier ; son [ruit tir&s-odorant. 

Vescir, v. a. et m. ployer, courber, plier. 

Vercästa,s. f. badine, houssine,, verge. 

Vxacastäpa , s. f. coup de badine, de keur- 
sine, de verge; cinglade. 

Venc£L, 5. m. verger: lieu closet plante d’ar- 
bres fruitiers ; Jardin o& !’on cultive des Beuıs. 

Vercöss, s. m. pl. gros ls de la trame des 
&toffes. 

° Vencönca. V. Vergonhe. 

* VERCONGÄNTE. V. Envergonkado. 

* Venconc6s0. V. Vergonkhoso. 

VEncönBA, 8. f. honie, vergogne ; deskem- 
neur; conlusion; Irouble de l’Amıe cause pa 
le desbonneur;; opprobre, ignominie ; (Ag.) c® 
qui deshonore, cause la honle. * Pudeur, r» 
tenue. Timidite, embarras. Action bontense. 
Näo ter —, n’&tre pas honteux. Perder s—- 
sc devergondcr, perdre toute pudeur. Sem 


.\effrontement, sans bonie, sans pudeur. Com 


. VER 


— o.dige, jo Yaroue A ma honte. —s, Pl. pat- 
ties honteuses. 
Verconnösa. V. Sonsilive. 

VERCONHÖSAMÄNTE ,adu.honteusemens ; avon 

pudeour. 

VERGonHosissimMO, A, adj. sup. de 

VERGONHOSO, A, adj. hontenx: qui a de la 
honte;; timide ‚embarrasse; pudique; qui cause 
de la bonte. Cousas 18, choses qu’on est hon- 
teux de dire ow de faire. Partes — 4, parties 
honteuses, celles de ia generation. 

VERCONTA oW *rejeton, scion, jet des 

VErcöntEa,s.f arbres, (19. )—, descen- 
Jant. (l. de mar.)" Epa 

+ VERGONTEADO, A, ah. ($. de bot.) T'ronco 
— ‚tige en forme de rejeton. 

VERGONTEÄR, v.n. pousser des rejeions. 

Vracusıro, s.m. manche en bois des cou- 
pereis. (ti. de mar.) Cäble double; brague. — 
d’artilheria, brague de canon. — para enos- 
Ihar um navio, brague & tirer un vaisseau & 
terre. —s do lome, sauvegarde du gouvernail, 
bragues du gouvernail. 

Verınıcıpäne, 5. f. veridicits. V. Veracidade. 

+ VERIDICAMENTE, adv. d’ung maniere veri- 

ue. 

Veninıco, A, adj. veridique : qui aime & dire 
la verite; qui ia dit. Vrai, veritable, avöre. 

Varıpıcackd, s.f verißcation: examen, &0- 
tion de verifer. *Accomplissement d’une pre- 
diclion, etc. 

VERIFICANOR, 2. m. verißicateur : qui verifle, 
qui examine, etc. 

VERIPIciDo, A,p.p. de Verifkcar. 

VerıricÄR , v. a. verißer : faire voir la veritö 
d’une chose ; comparer, 6ollationner, enregis 
trer ; examiner si une chose est vraie. 

VERIFICAR-SE, v.r. se verifler, s’accomplir, 
en parlanı d’une prediction , ete. — a condigdo, 
arriver, en parlant d’un cas, d’une condition 
pos6e pour l’exöcution d’une chose. 

Veaıricariyo ja . adj. qui sert ä verifler. 

VerıLaa. V.V 

VERISIMIL, au; i gen. vraisemblable, qui 
paralt vrai. 

VERISIMILHÄNGA , $. f. vraisemblance: appa- 
rence du vrai. 

VERISIMILIDÄDE. . 

VERISIMILITÜDE. } V. Vorisimilhangs.. 

VERISIMILMENTE, ado. vraisemblablement, 
avoc vraisemblance. 

Vanrissımo ‚A, adj. sup. de Vero. 

VERUB, 8. m. ver: animal long, rampant, 
sans os ni veriebres , ni arliculations. Vermis- 
seau, petit ver de terre. —s, pl. vers, vor- 
mine, — inteslinses, vogs intestins. 

Veruße.V. Verme. 

++ VERUELHÄCO, A, adj. un peu vermeil, rou- 
geäfre. 

VERMELBÄÖ, 5. m. vermillon, minium, ru- 
brique: mineral d’un rouge £clatant. (Ag.) ’Fard 
ow rouge. (4. de but.) V. Dragoeira. 

VERNELHIDAÖ, 5. f. Fougeur. fg.) Pudenur. 

NEnMELBO,A,adj vermail, rouge. Bala —a, 


FORT.-FR. 


VER‘ ad 


bauletrongs. Raser-se "—devonir roupe, rou- 
gir, monter la couleur au visage. 

Veauxu.V, Forme. 

+ VermcvLivo, a, adj. (8. Pareh.) vermi- 
oul& : qui roprtsente les traces somblables A 
celles des vers. 

Vermschuints, adj. 2900. ( 1. de mid.) ver- 
miculant : (poels ) ondeyanı omme le ver qui 


‘ ronge. 


Vermwionıän, adj. 2 ge vermiculaire : qui 
a quolgue Fappert aux vers, qui leur ressöän- 
ble, qui ea provient. Herva —. V. Vermiosia- 
rie. 

r VenwicuLinu ‚s. f (1. de bes.) vermieu- 
laire brülante : joubarbe & petites tiges termii= 


.| n6es par une fiatır. 


VrauicnLo, s. m. dim. de Verme. Vernie- 


sosu. 

VRaNıFrönnz „adj. 2 gen. vermiferme : qui a 
la forme d’un ver. 

Vsauirueo ‚a, ads. ( f. de dd.) vermifege : 
qui chasse, fait mourir los vers. 

VzauıLniö, eio. V. Vermeikäo. 

Vzauındso, A, adj. (#. de mid.) vorminenx : 
od il ya des vers. 

Veanicwo, A, adj. du pays. 

VerniL, adj. 2 gen. vornal, du printemps. 

VERBÄNTE, adj. 2 gem. ( peet.) vernel, du 
printemps. 

Vzeniz, 3. m. vornis : Komme du gemiärre 
composition areo laquelle on vernis; endait H- 
quıde et brillant dont on onuvre la surface des: 
corps pour les rendee luisanis,, kes osnserver. 
(Ag.) Teinte, apparenoe brillante, favorable. 


+ Vranıztıno , s. m. (8. de bot. ) Vornis: arıre 


gommeux,sandsraque. . 
Verno, A, adj. vernal, da printemps ; prin- 
lanier. 
V£n0,&A,adj. vrei, veritable. 
+ Verona, 8. f. de. de geog.) Verone:: ville 
d’Italie. 
Veronica, s. f. imege de la face de Notre- 
Seigneur peinte sur un meouchoir. Medaille de 
saint. Face, Vi “(#. de bot.) Veronique : 
plante rhinantholde. 
Vgrn-o-rRso. V. Vi 
Varosim., eio. V. Verisied, eo. 
“Vxaxi, pour Vırä (il viendre). 
Vernisco. V. Verrasco. 
Verauciktia,s f+(t. de bot.) verrucaire, kerbe 
aux vorrues. 
VRRRÜcA , 9. f. vorsue, peireau : : sorte de de- 
rillon aux mains, au visage, etc. 
VERRUCOSO , A, O8 qui a des verruss, 
VEARUGLENTO, A, adj. Yerruguenz. 
VERRUGUINBA ‚dim. de F, 
Voraina, 5, f. vrille » outil & ndche en vis 
propre & percer. 
Vsanumiö,s. mu aug. de Verrums,. Grande 
vrille, tariere. Insecte qui perce le bois. 
VERRUMÄR,, ©. a. percer avec une vrille ou 
tariere. 
Versı. V. Verse. 
. Varsapissımo , A,0dj. mp.de Veraedo. 
% 


1008 VER 
Varsäne ; 4; pP. p. de Vorsit. af. Veibe: 


acer ad ( u 
ansiL, adj. f. Leiteas =, (th dipr. 
lettage espitalen,, ules. ) 


melden 
‚tr Vsasastärm, pl. din: de Versul: beta 
de haut de casse : pelites capitales; 
. Yansıö, a f vorsion s inte y wh- 


dwiien d’une lengus om une autıre, Retetetidlt' 


d’une plandte. 
.% Vamsin (vun, sobre), v. u. raularf Ardir 
paur abjet, pome aujet: (fam.) Faire das vord; 
rigieiller. 4. & (p.: 02.) Exreruen, faire praleh- 
sion de. A coonversagdo , a discusedo versou d&- 
Drau... ia vemveisaliön) ia diseuBehitt Ybdla 
BUT... oo. ' ' ’ 
VensiR-sE , v. r. s’exercer; &erenit Nahlte, 
veons6 dans ame hciehcoa; bic. V. Versiift dr R. 
VersäriL, adj. 2 gem. qui lourne aisenıMt: 


On. dit an uncal vossatite, varkabie, 'Mbh- 


stent. 


Veasarsuınibe, 2: f. Tersatilite + dtmmHe6' de 


ce qui est versatile; intonstande, 
VERSEJADOR;.A, 8. Fimhilbun 
- Vaaanıka, 6. & riimailler 
VERSETO, s.'m. dim. de Verse. Velnst: pi 
roles suivies d’um mpbns yu’sa 4, du’sn 
chanis dans Vofüce dirin. 
Vzusionne , 3. ms. dim, ds Verso. Vorbei : pe- 
tite section d’un chapitre de la Bible, we. V. 
Versste. 


Vnasirero, A, af. (po#k.) gei pure 


vous ; qui fait des vors. 

NVensırcagäö, 3. f. vorsilcation ı 'ert A8 
faire, de tourmer les vers; manidre de Teh 
Saige. " 

Versirickno, A,p.p. de Versifwer. 

Vaasırıcandn, A, s. versifichtur : qui Tait 
des vers. 

Vgassrıcir, v. w. versißer : Kaire des tärs. 
Or 8. — , IEhLB ON vors. 

Veasivyıco, a, adj. des vers. 

Vaasinuo , s. me. dim. de Verso. Petit vers. 

t Veasssta, s. m. [nissur de peilis vers 

oux. 

VEnso, s. m. vers : agscnublage de imote, Pä- 
roles mesurdes ei oadenodes d’apräs dus rögieds 
ixes. — solto, vors libres, vers bianes. 4- dd pa- 
gina, verso, seconde page d’un fenillat. 4 n&- 
(orent, #2.) Pe dos olscehwm. 

n80, A, adj. ( I. de geom.) vers (fiel); 

Yanbbera, V. ’ Beyer . 

Verso, V. Fargo, 

Vassdro. V. Asiete, Sag. 
un ERTBAS, 5. m. pl. sofie de religieux Ad Geti- 

ie. ‘ 

Verreanz ,3.f. (6 Want.) vertöbre: chacuhı 
des petits os de l’ö&pine du dos. 

Taarzanine;, a, adj. (4. Phist. Wal) 
bre : (anieual) & versökees. 

Ventinean, af. 2 yon. Verebial : dufa Pip- 
port aux verlöbres. 

VERTEBAOSO. V, Vertebräde. 

Vaurabon, 5. in, selui Yad vere, qui n0- 


‘I dre 





vE3 


ah, Bbtut qui MAN ame vertion, tradakeı. 
4. V. Vertedouro. 


VERTEDOUNDO, 8. bh. "eope : peiit ıreue 


‚pour otdr, Jäter’ Prau des baleaur. 


Veateoüns, s. f. action de verser, krips- 
eMusion , &pahchenmeht. Bonne user des 
Iyulden. 
Verräncia, 3. f. * Tapı de temps. 

Verreate, adj. 2 gen. Qui sa I pre 
Füne modtagne. Aguas —, eadı kalah 
s. [."Versant, pente des edux qui dk & 
aut des montaghes. , 

Verrär, o. a. verser, röpandie. Trdım 
d’une langue en une autre. — sangwe SUR? 
— üydds, lächer de l’ean, uriner. aM, 
mourir. 


 Venrek, vo. sulnter; Wdberder. (de. m) 


Däkouler ; se jeter, se d&charger dans lı me. 
Venrex. V. Verlice. 
VentichL, adj. 2 gen. vertixal : perpait 
1ire 4 l’horizon. 
Verricaımtnrk, Abe. Yertitälemtst, 1 
pagdiculairement 4 Y’horizon. 
Errice,.s. m. ver : sorimel de u Me 
Sörnmet Füti Biärigle, Mrand Eourke, # 
point culminant. Sommet, sommil, bat 
+ Venricıpäng, 3. f. facults, puissunıt tt 
mgutoir En tous kens ou en Ichl. 
VerricıLLino,A, ad}. (1. de bot.) ver 
(Adut —e) qut forme des aıneauz rayonsı 
aufaur d’une tige. | . 
VearıchLıos, 3. m. pl. (ti. u Wi wi 
cilles : anneaux, de fleurs ow fenilıs * 
tourent la tige des läbides. 
erribo, A, p. p. de Verler. ag Ta, n 


patıdu; tradult. N 
Varticem, 5. f. Vertige : Vowrnoime! 


| t6te , &lourdissäment. 


"Verricınöso, A, adj. vorlig eui: qua 
verliges. Qui cause des en (de) Wi 
tourne enrohd. 
VEsino, A, dd). Inzest, Tafitet 
+ Vesco, a, edj. bon & Hiähfer, nAfN 
comestible. adj. Youche ‚big 
Vasco, A, ad. louche e. 
Vescuein, d.h. touche?. $. a 
Vesicacid, 8. f. (1. de mid.) vi 
halssance dm veslontes} offer des Tesica“ 
VESICäNTE, adj. 2 gem. (1. de Id.) ' 
vesicatölre. a 
VESIcATöRIO, 8 m. (f & ned) ptsichwi 
medicament externe ei in tänit des vd 
la peau. Tl est aussl ddj. . 
Vesicura,b.f. (l. de Lade mie 
ötile vessie. 
VesicuLin, 6A. 2 gen. (il. da Bel) vide 
aire, en forme de vessie; (}. ds AL 
de Vesicules. jat: 
+ VesicuL680 , A ‚adj. (1. de bei.) en 
editpond de petites veßhtes; Häsiäueut,' 
laire 


 Vesica. V. Beige. 
Vekınninca, ete. V. Vüsiaheimb, Et. 


Yrrpz, b. J. (1.8 M8. Aal.) gusge ; much 





vES 

carnassiäre. — mtenor, guäpe des arbustes, — 
nidulosa de Cayano, guepe a carton fin. — da- 
küa d’America, guepe & carlon grossior. — 
eoarciada, guöpe ötrangtät. 

Vasriö, s. m. aug. de Vespa. Grosse guepe. 
— spivoro, Irelon. 

Vespen. v. Vespero. 

Vesprna, s. f. "soir; veille, jour d’aupara- 
vant. (fg.) Chose qui en precede, qui en an- 
nonce une autre..— de Nalal, etc., veille de 
No&l, etc. —s, pl. une des parties du jour, sui- 
van la division des anciens Romains. Vepres: 
une des beures canoniales. Primeiras —s, pre- 
mieres vepres qui se disent la veille de la fäte. 
Estar em —s, (ig.) etre & la veille, sur le 
point de. —s sicilianas, v&pres siciliennes : 
massacre qu’on fit en Sicile de tous }e$ Fran- 

is, ä l’Leure de vepres, en 1282, sous le rögne 

@ Philippe II, dit le Hardi.. a 

VespzRiL, adj. 2 gen. (poel.) du soir. s. m. 
Vesp£ral, livre de v&pres. j 

Vesr£ntas, s. f. pl. vesperie : derniere thäse 
de theologie. _ , . 

Vesrano, s. m.’stöile dh soit, &loile du ber- 
ger. ( Ag.) Le couchant. 

VEspeRrino, A, adj. du soir. Astro —, astre 
qui se eouche apres le sbleil. 

Vesricias, s. f. pl. toiles de Cambaye. 

Vesrona. V. Vespera. 

Vessina, V. Geirg, 

*“VzssaneLLa. V. Versade. 

* Vgsaamtın0, 3. m. dreit de Jabourer; la- 
bourage. on 

*" Vessir, 9. a. ouvrir de profonds sillons, 
labourer. 

Vessas (ie), adv. & rebours, sens dessus 
dessous; au contraire. 

TVesta, s. f.(t. de mylik.) Vesta : feınıne 
dUranus; 8lle de Saturns et d’Opa. 

* Vesta, V. Besta. 

VestiL, £ f. vestale : viorge consacrde & 
Vesta, aux ieux;(fig.) Alle os fenme d’une 
chastels exemplaire. Vesiass ,„ pl. vestales, 
preiresses de Vesta. 

t Vestausas, >. f. pl. vestalies ı fötes de 

esta. 

Veerz, 5. f. "habit, vötement. 7. Vestia. —s 
sacerdolaes, vötements sacerdotaux. 

* Vestenia, s. f.“drep, öloffe pour laire des 
völemenis. 
Tu, s. fı veste, völement court sous Ph4- 


*‚Vxsrıäino, 3. m. calul guia soin du ves- 
taire. 


Vestiania, s. f.* vestiaire : Tieu od sont, led’ 


bits d’une communauis religieuse , argent, 
epense pöur Phabillement des feligieux; det 
bahillemen!. un 
Estianıo, A,adj.duvesliälre. _ u 
„VgstiauLo, 5. m. vestibule : premidre pidde 
servani de passage aux aufrel. 
Vestıolxa6,dim. de 


Vsstipo, s. m. habit, vdlement, Habilfensdht ' 


veX 1203 


bil de cour. — inierior, velemen! de dessous. 

Vestino,A, p. p. de Veslir. adj. Vetu, ha- 
bille. (Ag.! Couvert, rey&tu, orne.— e calfado, 
(Ra) sans peine. — em corpo, en habit. Bew 
—, bien babilld, bien mis. 

Vestipöra, 8. f. "vötement; habillement, V. 
Vestido. 

Vestioıo ,b. m. vestige : empreinte du pied; 
(Ag.) traces, restes informes Jes anciens edi- 
Üces ; trace, souvenir d'une Chose; margque, 
indige qui conduit & la connaissance d'une 
chose. 

VESTIMENTA, 8. f. " habit, vetement, surlous 
habit gacerdotal —s, pl. arnements sacerdo- 
laux. 

VEstimenteıro, 3. m. chasublier : qui fait 
des chasubles, des ornemenis d’eglise. u 

Vestir,o. a. völir, habiller. Revetir, orner 
de tapisserie, eic. Revelit ; couVrir, remparer, 
Karnir exidrieurement, Velir, quelgu’un, lui 
donner de quoi s’babiller, (4g.) Orner un dis- 
cours, un recit. Habiller : faire des habits pour 
quelqu’un. Mettwre des anses, des supporis aux 
vases de poterie. — asarmas, s’arıner. 

Vestia,o.n. — dıfranceza , d ingleza, s’ha- 
biller A la frangaise, ä l’anglaise. 

‚Vestir-se (de), p.r. se vötir, s’babiller. S6 
reyötir de feuilles, de verdure, en parlant des 
arbres, eic. — de marwjo, de paslor, eto., se 
vetir en marin, en. berger, etc. . 

Vestoria, 8. f. inspection, examien, 6Xper- 
Lise , visite. . 

Vestuirıo,s. m. assemblage de choses n6- 
cessaires pour se vötir, habillement complst. 
Vetement, costume. F 

Yesöco,s. m. pagre, poisson de met. 

Vesivio,s. m. (L. de geog.) Vesuve : mon 
volcanique pr&s de Naples. 

Vera.V. Beta. 

VETERANICR, 8. [. velörance : qualii6 ä6 vel- 
rFan.. , 

Verenino, adj. et s. völdran : soldat qui & 
servi longlemps. 

Vererinäna, adj. f. Arle—, art veltrinalre, 
medecine des animauz. 

Vereninärıo, A, adj. vetsrinaire , de la mö- 
decine des animaux. s. m. V. Alveilar. 

Vero,s.m. veto : formule employ6e par led 
tribuns pour s’opposer aux ärreis du senat, 
eic.;parun rol, pour s’opposet & une lol. 

VETRESCiVEL. 

VETRIFICAR,, lc, | V. Vür..., 800» 

VErösto,A, adj. vieaxz, ancien,, anlidue. . 

‚Versgiö, 8, f. vexation ı action de voxetz 
sorie de perssoulion. Peins, Mourınent, Mall« 
veis trailoment; avanie, 

Vezino,a,p.p. de Vener. 

VexaDorR, 2; 3. vexatent : qui voxe, almdä 
vexer ; persöduleur. 

Vexiue, 8. m. ermbarras. 7. Vexaplo. 

Vesin,o. d. vexer: pers@cuter; faire de la 
peine injustement, molester ; jourmenter; mal- 


eömplet. — de mulker," robe. -de corte, ha- fraltet, opprimer, 





1204 VIA 


Vexırönıo, A, adj. vexatolre: qui a lo ca 
ractere de la vexalion. 

Vexica. V. Bexiga. 

VEXILLÄRIO, 5. m. vexiliaire, porte-enseigne. 

VexizLo, s. m. vetille, enseigne, 6tendard, 
drapeau, etc. ' 

Vera ,etc. V. Veis, etc. 

V£ro,s. m. barre de fer sur laquelle tourne 
une roue horizontale ou verticale. V. Veio. 

Vez,s. f. fois, tour, alternative, retour, vi- 
eissitude, succession. * Temps, &poque, ctir- 
constance determinde od l’on fait une chose. 
* Coup: quantite6 de vin, etc. , que l’on beit en 
une fois. 4’ — ou por —, Successivement. 
D’uma —, d’une seule [ols, d'un seul. coup. 
Em —, en place, au lieu de. Uma —,, une fois. 
Oulra —, encore une fols. Uma — por oulra, 
de fois & autre, quelguefois. Sealguma—, si ja- 
mais. De —, a propos, dans le temps qu’ifl faut. 
Bstar de —, (fig.) eire bien dispose, de bonne 
humeur. Apanhar alquem de —, (id.) pren- 
dre quelgu’un dans le bon moment, le trouver 
de bonne humeur. Vezes, pl. tieu, place. On le 
dit lorsqu’on fait les foncıions d’un autre. Sup- 
priras — de, tenirlieu de. Fazer as — d’alguem, 
remplacer guelqu’un, faire l’office d’un autre. 
4's —, parlois, quelquefois; tour & tour. Mus- 
tas —, souvent, plusieurs fois, un grand nom- 
bre de fois, maintes fois ( fam.). As demais 
das —, le plus souvent, la plupart du temps. 
Poucas — , raras —, peu souvent, Tare- 
ment. " 

Vxzir. V. Avezar. 

Vertıra.V. Vara de porcos. 

Ver£ıno, A, adj. accoutume, habitud &. 

Vzzinno, etc. V. Vizinho, etc. 

V8zo ,s.m.* coutume,, habitude, accoutu- 
mance. On le dit en mauvaise part. Tomar —, 
(fam.) s’acoquiner. V. Avezar-se. 

Vıa,s. f."chemin, route. Voie, moyen dont 
on se sert, etc. (fig.) Voie : canal, entremise 
d’une personne. Voie : conduils qui regoivent 

fes aliments, intestins , etc. Voie : &tat de 
PAme ‚en termes de mysticite ; voie purgalive, 
etc. Voie : maniere de proc6der en justice. — 
lactea, voie lactee, cheinin de saint Jacques. 
— sacra, Chemin de la croix. Secunda —, du- 
plicata, seconde expedition d’une depeche, etc. 
Fazer d’uma — dous mandados. V. ce mot, 

"Via. V. Vinha. 

+ VıapöR, 8. m. voyageur, homme qui vit 
surla terre :c’est un terme de mysticits. — da 

r ainka , &cuyer de la reine. V. Veador, Vedor. 

Vıacfıro, s.m. voyageur. 

Vricen, s. f. " voyage, traversde. Boa —, 
bon voyage. On le dit & quelqu’un qui part ,ow 
pour marquer combien peu on se sousie qu’une 

chose se perde, qu’une personne s’en aille, ou 
enfin lorsqu’on jette un cadavre Ada mer. 

VIaJADÖR, A, 5. voyageur. V. Viajante. 

VIASÄNTR, 5.2 gen. voyageur, —se : qui a 
voyage; qui cst actuellement en voyage, qui 

va voyager. 

VIasÄR, o.n. voyager, fsire un voyage; aller 


ViG 
en pays lointain. ]l est quelguelois sl. - 
terras,, parcourir du pays. Fair - una: 
vallo , faire marcher un eheval,, le pramener. 

Vıastiro. re 

Vuarin. | V. Viajenis, 

Vıamoa, 8. f. * aliment, nourrie. Has 
qu’on sert ä la table, manger. Pätee we ks 
oiseaux de proie. ' 

VIANDÄNTE, 8. 2 gen. voysgeur; puma. 
Caminhante. 

Vranpeıno. V. Comildo, Glolde. 

VıiÄrıco, 8. m. viatique : provisies, unge 
pour le voyage ;' sacrement de leschunsis 
administreö aux malades en peril de wer. 

Vıarörıo, A, adf. des routes, des cheam 

Visora , s. f. rip&re : serpens vivipare, &# 
gereux; (g.) personne trös-trriiee. 

Vırracaö, 3. f. l’action de brandie, de Ie- 
cer, etc. Vibration : mouvement regaie 
reciproque d’ane pendule; trembiersesi (st 
corde tendue et frappee , des neris, ex, T® 
corps elastique. 

Visrido, A, p. pP. de Vürer. 

Vırnäntg, adj. 2 gen. qui vibee; qeilar. 

.a.de 
? Vırrin,v.a. brandir, agiter, brasirtan 
main une pique, un &piea, ete. Lancer, ia 
der, jeter aveo force. v. m. Vibrer: him di 
vibrations ; ömouvoir, agiter, transmeirt © 
son, une sensation. 

Vınnarönıo ‚A ‚adj. qui fait des vürzlee, 
oscillatoire. " 

+ Vianiiö, e. m. (6. Ihlet, nat.) wir: 
infusoire , rond et allonge. — domem, 
grude,"anguille du vinaigre, dei 

ViBörno,s. m.viorne, plante. 

Yıcavas, adj. f. pl. (1. dee.) Fae-i 
fleurs monsiEneuses. 

Vırar. V. Vicejar. 

Vıcarıkto, s. m. viosriat : fonetion, sepll 
de vicaire; sa duree, son territoire ; vH. 

Vicärto, A, adj. qui remplace, gei Seal 
place d’un autre. V. Vigerio. ur 

Vice , (mot latin en composition) vie:'* 
dique qu’un homme tient la place den am 

+ VIcB-ALMIRÄNTA, 8. f. gi 
aprös P’amirale ow la oapitane : glät 
wonne. Vico-amiral: deuxiöme valseanl# 
armee navale. 

Vicu-ALmıninte, 3. m. vico-amin!: 6% 
de marine aprös Pamiral. b 

Vıce-BarLio, s. m. viee-bailll : Be 
robe courte. 

VIGE-CHANCELLER , 5. #. vice-ane 
qui fait les fonctions du ohancelier © 
ahsence. . 

VIcE-CÖNSUL, 8. m, viee-consul: gei til 


lace du consul. 
? Vice-ConsuLino, s. m. vice-consalat 
ploi du rice-consul. Im 
VıcE-Deos , s. m. nom qu’on deaße 
tains saints ; on le donne aussi aux PAP& 
rois, comme tenant la place de Diet. a 
+ VIcE-DÖMIRO, 5. m. elui qui rempief! 











vES 


carnassläre. — menor, guöpe des arbustes. — 
nidulusa de Cayana , guepa A carton fin, — da- 
küa d’America, gutpe & carlon grossier. — 
evarciada, gu6pe #tranglät. - 

Vasriö, s. m. aug. de Vespa. Grosse gu£pe. 
— spivoro, [relon. 

Vespen. V. Vespero. 

Vispena, s. f. "soir; veille, jeut d’aupara- 
vant. (fg.) Chose qui en pre&c&de, qui en au- 
nonce une autre, — de Naila}, etc., vcille de 
Noßl, etc. —s, pl. une des parties du Jour, swi- 
vant la division des anciens Bomains. Veptes: 
une des heures canoniales. Primeiras —s, pre- 
mieres vepres qui se disent la veille, de la fEle. 
Estar em —s, (fig.) eıre A la veille, sur le 
point de. —s sicilianas, vepres siciliennes : 
massacre qu’on fit en Sicile de touk les Fran- 
galt, &l’heure de väpres, en 1282, sous le rögne 

a Philippe III, dit le Hardi. 
‚VaspsriL, adj. 2 gen. (poet.) du solr. s. m. 
Vesperal, livre de v&pres. 

Vesre£rtas, s. f. pi. vesperie : dernidre thöse 
de thöologie. , 

Vasrzro, s. m."ätöile dh soit, &toile du ber- 
ger. ( ig.) Le couchant., 

VEsPErTino, A, adj. du soir. Äströ —, astre 
qui se eouche apres le soleil, 

Vrsricıas, s. f. pl. toiles de Cambaye. 

Vesrona.’. Vespera. 

Vessina. V. Gejra. 

“VessaneıLa. V. Versada. 

“Vzssandıno, 3. m. dreit de Jabourer; la- 
bourage. 

*“ Vgssin, o. a. ouvrir de profonds sillons, 
labourer. 

Vessas.(is), ado. & rebours, sens dessus 
@essous; au contraire. , 

+Vesta, s. f.(1. de myih.) Vesia : feınmo 
«Uranus; Alle de Satucne et d’Ops,. 

“ Vesta. V. Beste, 2. , 

VestäL, 4. f. vestale : vierge consacrde & 
Vesta, aux dieuz; ( Ag.) Blle ow femme d’une 
chastelö exemplaire. Yestass , pl. veslales, 
pr&tresses de Vesta. 
.% VEstäLsas, 3. f. pl. vestalies « fätes de 

esta. 

Vestz, 5. f. "habit, vötement, V. Veslia, —ı 
sacerdolaes, v&lements sacerdolaux. . 

"VssTguia,s. f."drap, etoffe pour faire des 
väteınenis. 
i Vesrıa, 5. fı veste, vöteinens courl sous Phä- 
it. 

“Vesrıiiao, a. m. colul qui a söin du ves- 
Vaire. 


Vestiania, s. f.* vestisire : lieu od sont led’ 


bits d’une communaulö religieuse ; argent, 
&pense pöur Phabillement des feligieuz; cet 
bahillement. u 
Vestiinıo,A,ädj.duveifidire. _ 
„VesTianLo.s. m. vestibule ; premidre piäXe 
servani de passage aux aulreN, 
Vestıoindo, din. de . 
Vestino, s. m. babit, tdtement. Häbilf&nsent 
eönplet, — mulher, "robe. -de corte ‚„ha- 


2 


vet 1203 


bit de cour. — interior, veterien! de dessous, 

Vsstino, A, p. p. de Veslir. adj. Velu, ha- 
bille. (fg.! Couvert, reyätu, orne.— e calsado, 
(ka) sans peine. — em corpo,.en habil, Bem 
—,, bien babillö, bien mis, 

Vestinöna, s. f. * vetsment; habilleiment, V. 
Vestido. 

Vesticıo ,&. m. vestige : empreinte du pied; 
(fg.) traces, restes informes des anciens &di- 
fices ; trace, souvenir d’une chose; marque, 
indice qui conduis A la connaissance d’una 
chose. 

VESTIMENTA, 5. f.* habit, velement, surlous 
habit gacerdotal —s, pl. arnements sacerdo- 
laux. 

Vestimenteıno, 3. m. chasuhlier : qui fait 
des chasubles, des ornemenis d’ylise.  . 

Vestir,y. a. vötir, habiller. Revetir, orner 
de tapisserie, etc. Rev£lir ; couYrir, remparer, 
garnir exsörieurement, Välir quelqu’un ; lui 
donner de quoi s’babiller. (Ag.) Order un dis- 
cours, un reecit. Habiller : faire des habits pour 
quelqu’un. Mettre des anses, des supports aux 
vases de poterie. — as armas, s’armer. 

Vestin,o.%.— dı/ranceza, d ingleza, s’ha- 
biller A la ftangaise,, ä l’anglaise. 

‚Vestig-s® (de), 9. r. se vlir, s’babiller. S6 
revätir de feuilles, de verdure, en parlaht des 
arbres, ei. — de marwjo, de paslor, eto., se 
veijr en marin, en. berger, etc. _ 

Vestoria, 8. f. inspection, exanien, exper- 
tise , visite. . \ 

Vestuirıo,s. m. assemblage de choses ne- 
cessaires pour se v&lis, habıllement complat. 
Vetement, costume. „. 

Vesöco,s. 1m. pagre, poisson de met. 

Vesivıo,s. m. (t. de geog.) Vesuve : riont 
volcanique pres de Naples. 

Yera.V. Beta. . 

Verzaunich, s. [. vetlörance : qualitöäs vels- 
ran... ı . 

Verenino, adj. et s. völdran : soldar qui 
servi longtemps. ., 

Vererinärsa, adj. f. Arle—, art velörinaire, 
medecine des animaux, 

VerenımÄRıo, A, adj. vötsrinaire , de la mö- 
decine des animaux. 3. m. V. Alveilar. j 

Vero,s.m., veto : formule employte par le# 
tribuns pour #’opposer aux arreis du senat, 
eic.;par un roi, pour s’opposet & une lol. 

VETRESCIVEL. | | 

VETRIFICAR, 0l0. | V. Vür..., dic. 

VErÜsro,A, adj. vieax, ancien, anlique. 

‚Vexesiö, 8. f. vexalion ı action de vaxatz 
sorie de persönulion. Peine, Wourmeni, Mar 
vais trailoment; avanie, 

Vezino, 1,p. p. de Vexer. 

VExADOR, 2, s. vexateur : qui voxo, alımd 
vexer ; pefsöbuleur. 

Vexiuf, 3. m. enibarras. V. Vexapia. 

Vexin,o. d. vexet: pers&tuter; faire de [A 
peine injustement, molester ; joarmenier; walk 
ralter, opprimer, 





1296 VID 


en eux le principe du mouvement,, des sen$3- 
tions, etc.; ensemble des fonclions organi- 
ques; exercice deces fonctions ; union de l’äıne 
et da corps; se dit Ag. pour existence, exercice 
des [acultes, des forces , des moyens; sa dur&e; 
existence de !’'homme, ce qui laremplit; espace 
de temps de la naissance & la mort; maniere 
de vivre. en ce qui regarde la conduitc, les 
maurs ; &tat, prolession qu’on embrasse; ali- 
ments , choses necessaires & la subsistance ; 
chose necessaire & P’existence,, & la conserva- 
tion d’un autre; higtoire dela vie d’an homme, 
Fun saint. (fig.)—, chose qui plalt extreme- 
ment, dont on fait sa principale occupalion, 
etc. — fulura, eierna, de sempre, vie future, 
beatitude öternelle. A ouira —, l’autre vie, . 
vie future. — passada,, vie qu’ona men&epar le 
passe. — curla, courte vie, vie de peu de 
durde. Desprezar a —, faire bon marche de sa 
vie , Pexposer, la prodiguer. N’islo Ihe vai a—, 
il yva de sa tete. /r passando a —, passer sa 
vie. — espiritual, vie spirituelle, passe dans 
les exercices de piete. — minka, ou minha—, 
ma vie, mon caur : expression de tendresse. 
Buscar « —,chercher sa vie, de quoirivre. Dar 
md—,rendre la vie dure,maltraiter, etc. Lerar 
Boa —,se donner du bon temps , mener joyeuse 
vie. Estar d boa —, Eire oisil, deswuvre. Fazer 
— ,vivre ensemble, en parlanı d’un mari el de 
safernme. Fazer — de rasados , irre marilale- 
ment. Fazer — de..., eyercer une profession. 
Pio da—, fl de la vid. '"Homem ou mulker de 
mä —, (fg.) homme ow femme de mauvalse 
vie. Mudar de— , changer de vie, reformer sa 
conduite. Perder a—, perdre la vie, mousir. 
Por — minka, sur ma vie, sorte de serment 
affrmatif. Em — , pendant la vie. Em minha, 
: em sua—, de mon, de son vivanı. Em — de sew 
pai, etc., du vivant de son pere, etc. Em sug 
—,enson vivant. Duranle sua—, sa vie du- 
rant. Condemner a Irabalhos forgados por 
toda a — ‚condamner aux travant forces Äper- 
petuitd. NA6 fer casanem—, vivre comme un 
vagabond, n’avoir ni feu ni Mleu. Tal—, tal 
morie, telle vie, telle fin. Modo de—, xid, 
&tal, profession qu’on embrasse. 

Vırir.V. Vital. 

Vıräma,s.m.vidame : qui reprösentait P’&- 
veque au temporel et commandait ses roupes. 

Vıramia, 3. f. vidamie : dignite, charge de 
vidame. \ 

" Vıpän, ©. a. planter la vigne ‚ provigner. 

Vıpazinua, dim.de Vida. BE» BEOTEEN 

five, s. f. vigne , branche de vigne coupe. 
öordon ombilical, par lequel le fatus tiens & 
Parriere-faix. 

Vroßıra, 5. f. vigne: plante, ärbrisseau sar- 
menteux qui porte le raisin ; cep de vigne. — 
brava ou labrusca, vigne sauvage, lambrusqpe. 
— d’enforcado, vigne mari&e A un arbre, vigne 
Krimpante. 

t Vıinente, s. ww. autre[ois on Appetalt ainsi 
les prophötes. 

Vırma,s.f.(1.d’anat.p. ws.) eördan orahllical. 


YiIG 
Vıpokiga , 5. m. henlaan bie, Hin 


amentscee. 

VIDONRBO, 5... sarızent, brin de lar.- 
* Espece , qualit& des vignes. (Ag. "I: +« 
caractere, naturel de quelqu’un. -ülrsr. 
vigne sauyage , lambrusgue. 

Vınrica , s. "vilrage : cloison vim Tr. 
fenttre vitree. Janella de —, wi.. - 
vitree. Porla de —, porie vitrde. up - 
traux. 

Vıoracasia , 3. f. " vitrage: Ies rim :. 
bätiınent. 

Vınprackino, 8. m. vilrier : Outer g.ir 
vaille en vilres. 

Vıprioo, A, adj. vernisse. Tem .ı 


p- E de 

IDRÄR, Y. a. vernisser de la peirie I- 
drarem-se {v. r.) os olkas : an ke. 
yeux d’un moribond gai s’ehscurin.. 
perdent leur eclat. 

Vınraria, s.f. verrerie :lieuoh lau, 
le verre; art de faire le verre, , 

Vıor£ıro,s. m. verrier : qui fa, gu wi 
des verres. 

ViDr£xto, A, adj. de verre, comme ki 
(fig.) Fragile, fscile ä casser. Sweiß-. k 
borme tr&s-susceptible „ qui sehen, # 
pique de tout, j 

+ VınriLnos, s. m. pl. * verrotent: RE# 
marchandise de verre. 

Vıaisno, s. m. gim. de Fidre. feulxn. 
petite fiole, ete. 

Vıpging , A, adj. dav i 

Vioro, 1. m. verte Fern vangareal & 
fragile , produit par la fusign FELL 
sable et d’alcali. Vaisseau de nm, har, 
fole, eic. Vitre, carreau de croisee, ur (kt 
faite de verre, comme loupe, eig. A, 
fragile comme le verre. (id.) Perwes: er 
susceptible , qui se fäche de tet. +46? 
das anligas igrejas, vilrauz d’eglises -ı an 
relogios d’algibeıra, verres de malt. 

Vıpaöso,, A, adj. vitreux : quad um 
sernblance avec le verre, de sa nature. 

VinviL, adj. 2 gen. qui apparien er 
vage, & la viduile. 

Vıeira, 8. f. coquille, coguillage. 

VıEıRinuA, dim. de Viaire. 

Vırıno,s.m. * veine des mine. Be! 
Veio. 

Vızis. V, Viez. 

Vıtıas, s. f. pl. quasre fen dent 
moulin. 

Vıgııa, s. f. zuelle, rne droite. 

+ Vıena,s. f. (1. da göeg.) Vie 
d’Autriche. C’est aussi le nom diese T.# 
d’une riviere de France. 

+ Vıenense, adj. eis. 2 gem, de Tun 

Vrez, s. m." obliquitd; biais. J0 —® 
adv. de biais , de travers. 

"Vica, s.}. poutre, solive. — de lager, 
de pressoir. 

Vıcipo, 4,g.p.de Figar. 

+ Vicamgarla, V. Tigararie. 








VIG 


Vıokıao, ic. V. Figario, ete. 

Vi@anEnto, 5. m.’ charpeuie, les pauizes, los 
salives d’un bätiment. 

Vıaia, ©. a. poser la charpente, garnir de 
salives. 

Vıcanaria, 8. f. vicairie : paroisse, eglise 
dessorvie par un vicaire. V. Vicarialo. 

Vıcarıa, 8. [. religieuse qui vient immediate- 
ment apres la superieure. 

Viıoanın, 8. m. vicaire : celui qui est &tabli 
sous um superieur, uncure, elc., pour le reım- 
piacer, l’aider. Cure. V. Cure. — gerel ,graud- 
viegirp. — dayera, delegue du grend-vicaire 
dans certains districets. — do coro, religieux 
qui gouverne le ch@ur, maltre de chaur. — 
de J.-C., viasire de Jesus-Christ : un des fiiyes 
du pape. — do imperja, viogire de l’ompice. 
— de freires , aumönier „ directeur de reli- 
gieusss. 

+ Vic£xTE, adj. 2 gen. en vigueur. 

Vicssıno,%, ad). vingueme. Em -— lugar, 
viugliömement. im — primssrolugar , viugt 
ei uniömemenk, 

Vıora ,a. f. veille : action de yeiller; temps 
de la nuit qu’on passe 4 veiller; privalion du 
sommeil de ig nuit, insomnie. Sentinelle, es- 
pion. Surveillance, vigilance ; surveillans. 
Kohauguetie , guerilr eleyee. V. Vigilia. —s dos 
eamaroles, . 4. de mer.) sabords de chaınbres. 

VıcıÄno,A,p. p. de Fi 

ViGıaDOn, A,4.colui qui yeile, surveillant. 
Celvi qui 6pie, qui guetie. 

+ VıctAnte, adj. 2 gen. qui veille, qui &pie, 
gui guatie. pP. a. de 

Veran, v. a. veiller, surveiller. Epier, obser- 
ver, guetier. v. n. Veiller, ne pas dormir. 

Vıoıan-s2 (de), o. r. se tonit sur ses gardes. 

VıazLäncıa , 5. f. vigilance ; altantion sur..., 
auen diligence ei aclivite. 

Vıos.iurz, adj. 2 gem. vigilant: sojgneux, 
sttentil, applique, qui veille avao sein Ace qu/il 
doit faire. 

VICHKLARTENMENTE , adv. vigilammen!, ayas vi- 
gilance ; altenlivement. 

VieıLantissumo, A, adj. up. de Vigilante. 

Vieinia, s. f. veille: action de veiller; pri- 
vwation de sommeil pendant ja nuit. Veilles:s 
grande, longue application a l’etude. V. Yes; 
pera, surianı au ligure. Veille d’ung [die, vi- 
gile. Oflee qui se dit la veille d’una [ete. — =; 
partie de la nuis. Les aneiens finisgient la nujt 
om queire veilles. — des Aores. V. Vela das 
flores. Uma ancorad —, (f. de mar.) une ancre 
prete a eise jatte , aucre de Salut. Papneor -s, 
avoir des insomnies. 

*Vıeiven, to. V. Fisioel, ein, 

. Vicänma. V. Vieuake. 

VicoR, 5. m. "yigueurf: foroe, apfivilä; pou- 
Tape: dmergia. — autorite das lois suhsistantes, 
non abrogees. 

Voonäm , A, pp. de Figarar. 

Vicoränts, adj..2 gen. yui donne de la vi- 
gueur, lortiflant. P. © 

worÄR, v. 6. donner de ja viguegrs, forli- 


YiL 4207 


fier; affermıin, sorroherer. ©. m. Ei Mt, v.r. 
aoquerir de la vigueuz, devomir vigemsauK. 

Vıconızär. V. Vigprar. 

Vısosösamints, adv. vigoureusement. 

Vicorosissino, A, adj. sup. de 

Vaonöso, A, adj. vigeureux : qui a de la vi- 
gueur; fort, robuste. 

Veöra,s. f." soliveau,, ponirelie. 

VIicöTE, s. m. V. Vigola. 

"Van. V. fir. 

ViL, adj.2 gen. vil, bas, ahjeot,, menrisahle. 
Vil: on le dit des actions desbenezantes, VIl : 
on lo dit des professions mecaniques. 

Vırtza,s. f. qualits de co qui est vil, vilste 
ou vilite. Bassesse : action vile, hasse , eis. On 


le dit des dtats vils. 

VıLmantsca, s. f. 

VILHANCETE, [AR % } V. Filloncste. 

* Vaters. V. Buhtke. 

* Vırıas, V. Auiltar, Fllipendier. 

“ Vıricn. V. Velhice. 

* Vıriva. V. Belida. 

Vıusrioän, etc. V. Amltar, Emnvilscer. 

VILIPByDIADO, A, 9. p. de 

VILIPENDIÄR,, v. a. vilipender : deprimes, 
kalter av möpris. 

VıiLıp&nvıo, a. m. mepris, dedain, mdignise, 

+ VILIPENDIOSO, 4, adj. qui indigue le me- 
pris, dedaigneux. 

Vırissigo, a,adj. sup. de Vil. Le plus vil. 

VirLa, s. f. "bourg, petita ville..Maiean de 
campagns (pP. w0.). Mosa de —, villageoise, 
paysanne. 

Vııä ou Vırnäa,s. f. villageoise. 

+ Virıapıdao, m. On na “ie air dis quo dane 
cette phrase: Tomer as de —, döcamper. V. 
Tomar. 

VirLicem. V. Ville. 

Vır.imente, ade. vilainemens, ineirilement. 

VnLanäcen, &. f. multitude de villageols; 
menu peuple des villages. 

ViLLABAZ, adj. 2 90m. wös-Tilain ; tsis- gres- 
sior, rusiaud. 

VILLANCETE, 8. m. petit polme rastique. 

VILLANESOO, A, ad. villageois ; ruslique, 
champttre. Poema —. V. Fillanoste. 

Vırıania, 3. f. bassesse de maissanee, Fo- 
ture, eie. Aclion basse, bonleuse eu groesiere, 
impolie. d4. V. Villanasgem. 

VaLi6, &, adj. es s. ratarier : qui n’sst point 
neble. Persenne du commun, ds hasse nais- 
sance. Villageois : babitant de village. Ausire, 
gronsier, impali, vilain, masent. Bas, abjert, 
honteux. — ruim, homme grassier ot impolı, 
au maohant. C'est un terıne de mäpria. Se que- 
res conksar 0 — malle-Iha @ varı na mir, 
(prov.) ’emploi fait connalire l’homme, & !’aru- 
vre on connal l’ouysior. 

Vırıloziano, diem. de Fi 

* Vırzin, 5. m. village, hanısan. 

VıLıiozio. V. Villanaz. 

Vırıkra,s. f. dim. de Villa, Petit hourg. 

* ViLLıco, s. m. fermier, ma6tayer. Adminisire- 
teur, regisseur. 


1208 VIN 


‘sı2008, 8. f[. villegesise. V. Villdo. 

7 Vısonse, 5. mu. hamese. On ie dıt par md» 
prı - d’ane peiste vılle mal peupiee. 

VsLaoLa, 5. f. potiie mamen de esTnpagne. 

v ILMÄRTE, ade. d’ane man.cre vile. 

“Viers, 6. f. "propos, actıon pour arllir 
quelqu’un. 

. VILTanga „se Sf. V. Aulllememie, 


® Vırin. V, 4viller, Deskonrer, Affrontar. 

Vima ,s. [. sorie d’emplätse 

Vins, s. m. osier, jet d'osier. V. Vimseire. 

Vıntıno, .m an. osier, sauie nein, achrissese. 
*Oseraie.. lien plante d’osiers. 

Vıraw. V. Vioss, 

Vıuinzo, a, adj. (podi.) d’osier. 

"Visa. V. Finke, 

Vınacaäa,eic. V. Acinagrar. 

Vinaces, s. m. vingigre : via rende, devenu 
are, " Acidid des fTails encore vorts. (Ag.) 
Bebarbailf, moine bousre. (dd.) Chese qui 
ehange de bien en mal. 

Vinaoatına, s. f. "vinsigrier: vaue pour le 
vinsigre. Vinaigrerie : iaberatoire pour distller 
6 vinaigre. 

Vınacasıno, 5. m. vinaigrier : qui fait om 
vend du vinaigre. 

f Vınäruss, s. f. pl. (8. d’ans.) Vinales: Teies 
de Jupiter avant les vendanges; 6. od Yon fal- 
sait & Jupiter des liballens de vin nouveau. 

+ Vınänıo, A, adj. de vin. 

Vıncarzavinca, 3. f. pervenche, V. Cloms- 
file, 

+ Vinczröxico, e. m. dempie-venin ou ascie- 
pinde Dienuche : plante de la famille des apocy- 
ndos. 

VıxcıLno, V. Vencelho. 

Vixco, s. m. pli, raie ; orniöre, 

VrxcaLin®,4,p.p. de Vineuiar. 

VrmauLapeR, A, 5. Instituteur de mejeorat. 

VixcvuLän, ©. a. lier, atiacher. Substituer des 
biens , les grever de substitutions, Instituer un 
majorat, Annexer. (flg.) Fonder, 'appayer sar. 
(fd.) Perpötaer, rendre derable 

yınouıd zu, vr. s’unir, so ler. 

'INCULATIVO, A, 08 . 

Vıneuraröaro, A, ad. } gul sert ä lier. 

+ Vuasuivsr, adj. 2 gen. qui peut so substl- 
wer. 

Vırcuro, s. m. lien, surtout au Agurs. Sub- 
sduution des biehs d’ane faınille aux ainds, ete., 
mejoret, 

Vında, s. f. venue, arrivde. Bia 
venue,, heureuse arrivse. 

Vınpicagkö, s. f. acllon de revendiquer. 
Apologie. (Inus.) Vengsanoe, vindiote. 

VınseichB0, 4,9. 9. de 

Vinpicäa, v. a. venger une Injure (fnus.). V. 
Vingar. Revendiquer son bien. V. Revendicar. 
Difendre , surtout par dorit, un homme atiequd 
inj ustement. 

Yırmwarivo, a. adj. V. Vingative. (4. Apo- 
borötique ı qui "Astend ‚qui OXouse, 

Vındigo, V. Clruntieio, 


Des- 


— , bien- 


vıN 


Veseivi, 5. f. veszeamte. — pulfirs, vin 
dee pabligse - peursuifle d’UR crime au noC: 
de l’Eıst. 

Virsiws, s. f. vendange: recelie de ra:sı. 
pour faıre da vın; lemps ou elle se [sıt, ven- 
danges. A larer dee eestasde—,!'prw. 

ne faut pas chanler vieleire avaut que 1a bı- 
kaifie soit Bunte. 

Vıssımaotiea,s. f. vendangreuse. 

Vmorsino, 1, p. 9. de Vindimer, ei adj. 
Come poreinha —a, (ise. fom.) sans dıfllestie , 
sans embarras , sans obstacle. 

Vıenpıuanör, 5. ms. vendangenr : ceiuel gei 
side ä (aire la vendange. 

Vıreruasnena. V. Vindims. 

Vinsmir, v. a. vendanger : feire ia rocelie 
de reisin. (Ag. ewig.) Tuer, öter ia vie. 

Vınpino, a, adj. qu’on cueille dans le temps 
des vendanges. Cesio —, panier ä vemdange, 
vendangeur. 

* Vnmwirı. V. Vendits et Vindiela. 

Vinno,a,p.p. de Vir. adj. Vonw, arrive. 
Sejais ben —, soyes lo bienvenn. — deeds, 
' ig.) venu du ciel. Om lo dit d’une chose avan- 
isgeuse,, qui vient ä propos. Il est aussi geren- 
dif. En venant. Em —, quand il viendra ow ar- 
rivera , dds qu’il sera arrive. 

Vnpöuro, A, adj. fater, ä venir. Vindsures, 
s. pl. nos desvondants , la pestöriie. 

"Vıner. V. fir. 

Vmcis0,&,Pp.p. de Finger. 

VınGapoR, A, adj. et 5. vengeur, Vesıgeresse, 
gei punit, qui vonge. 

Vıncäinca, 8. f. vengeanoe : sclion par ls- 
quelle on se venge, on punit; desir de se ven- 
ger, ses effets. 

Vıncia,v.a. venger : lirer vengeance, raisen, 
satisfaction de gueique outrage. Atteindre; ar- 
river &; franchir ; vainere. Recevoir, peroeveir. 

Vnoin, v. ». parvenir a la matarite; se 
houer, en parlant des fruits. Ndo vingerem os 
fructos, couler, en parlanı des fruits. 

Vıncia-m8 (de), v. r. 90 venger, üirer ven- 
geance de... 

+ Vıroarivaniiz, edv. avoo vengeance. 

Vıncarivo, a, adj. vindieatif : qui aime 4 
se venger, qui ne pardonne pas; ports & so 
vonger. 

Vıraa, s ®. ren vigneble : : terrain plants de vi- 
sonhor, ( fg.) Vigno du Beignsur, 
ehlnccdt. se. Paliment spiritael de l’Ame. 
mich, s. f. mauvais vin. (Ag.) Ivresse. 
Coser  —, cuver son vin. 

° Vmmanpkco ou Vınukoo. V. Vinke. 

* Vınuankıno. V. Vinheiro. 

“ Vınmär, s. m. vignoble, oomplamt. 

+ Vınmatania, s. f. culture-des vignes. 

° Vınuarbco, a. m. V. Vinke. 

Vırsarlteo, sm. rigneron : qui owltive la 
vigne. 

Vınnirico, s.. beis jaune du Beisil dent 
on feit des futallies, de gres tsancauz. 

Vınußno, 8. m. viguebie ı dtundus de pays 
planıtse de vignes. 


v10 


Vınultno, #. m. paysan qui garde Ies \iaues, 
messier. 

Venutra, s. f. vignette, petile estampe. 

Vınntre, s. m. dim. de Vinho. Petit vin. 

Vinno, s. m. vin: liqueur potable qu’on lire 
du reisin, eis. ( Ag.) Chose qui trouble la rai- 
son. Infusion vineuse, en lerme de pharmacie. 
— abafade, vn bourru. — donzel ou mache, 
. du vin pur. — de cuiello, vin de son crü. — 
molle, moüt. — turvo, foldado, du vin louche. 
-— de p6, vin de vignoble, par opposition A 
Vinho de inforcado. V. ce mot. Sobre leise — 
faz o velho menino, (prov.) vin sur lait rend 
le caur gai. Solas e — anda caminho, (id.) faire 
Jombes de rin. 

” Vınnöco. V. Vinhddo. 

yumaıa > } petit vignoble. 

VIGROTR, 8. m. (fam.) ivroyne. 

VnoLßncıa, 8. f. ivrognerie. 

VINOLENTO, A, adj. ivFogne ou ivre. 

+ Vınssinine, s. f. qualite, proprieis du 
vn. 

Vınöso,, a, adj. vineux:gaitient du vin, qui 
en a lo goät, l’odeur, etc. Adönn6 au vin, 

yyunn. V. Vir. 

INTADOZENO. . 

Vınrankıao. | V. Vinte.. 

VInTe, adj.num. 2 gen. vingt: deux fols dix. 
(vieus) V. Vindo. 

Veuss, 5. m. quille qui vaut vingt, au Jeu de 
quilles. 

t VEntTenozeno, a, adj. qui appartient au 
nombre vingt-deux, qui le contient, etc. On le 
dit surteut d’ane espece de drap oü il enire 
deux mille deux cenıs fils. 

+ Vıntz 8 ocntno, A, adj. On le dit d’une 
espöco dedrap od il entre deux mille huil cenis 
üls. 


+ VEnTE 8 Quaratno, A, adj. On le dit d’une 
ospöce de drap od il entre deux mille qualre 
cents fils. 

+ Vınta-z-quitno. Os — ou casa dos —, 
eonseit de vingt-quatre prad’hommes, & Lis- 
bonne. 

Verrem, s. m. monnaie d’argent porlugaise 
valant 20 r&is ; 20 reis. 

Vmränis,s. f. vingtieme partie d’une chose. 
Vingtaine, nembre de vingt. Impöt du vingtieme 
des biens. Yingt volsins. Juiz da —, juge de 
kenoan. 

+ Vıntzneino, s. m. caporal, bas-officier, 
qui oommandait vingt marins au service des 
Belöres, etc. 

+ Vınrano, a, adj. vingtitne. Panno —, 
drap od il entre deux mille Als. 

+ Vırrsauatuia, s. [. asseınblee des Vinie-s- 
qualro. \. ce ınot. 

"Viv. V. YPinko. 

VıöLa , 8. f. viole:: instrument de musique & 
cordes. Gailare. Sorte de poisson en fagun de 
viele. — d’arco. V. Redeee. —ı, pl. (1. de bob.) 
“violler conamun. V. Violehe, 


41209 


VIR 
d’enfreingreun engsgement, de profaner une 
chose sacrde, — demwiher, “ viel. 


u oLÄceR, 4, adj. violet , de oouleur devio- 
ue, 

VıoL.iäno,A, 2. p. de Visier. ady. Violer, de 
couleur de vieleue. On le dit du sirop, da miel 
ou il entre des violeites. 

VıoLanöa, A, s. Violateur : qui viole, en 
freint la loi, Je droit, ete. Profanateur. 

VioLAL,s. m. obamp de vielettes. 

VıoLiö, s. me. aug. de Viois. Grande viole 
grande guitare. 

VıoLir,s.m. V. Vielal. ' 

VıoLir, 9. s. vieler : enfreindre (les Idis, 
un trait6, ots. ); faire violence A une femme, ä 
une fille, en jouir par force. Profaner une 
&glise. 

VıioLAYEL, adj. 2 gen. qu’on peut violer ; Juı 
peut ötre viold. 

VıoLkıno, s. m. falsour ou marchand de gul- 
tares , luthier. Joueur de viele ou de guitare. 

VıoLsncıa ,„s. fı violenee : qualite de ce qui 
est violent; impeluositd; vehamence; foros 
dont on use contre le droit commun ; contrainte 
exercde conkre queigqu’un. (Ag.) Action vio- 
leute, empeorisment ; violenco falle & uno 
femme, viol. 

VioLextino, A, p. 9. de Violentar. 

VIOLENTAROR , 5. m. oslul qui fait violence. 

VIOLENTABENTE ‚edv. violemment, avec vio- 
lence ; par violenae. 

VioLzutia, ©. a. vioienter : contraindre; 
faire faire quolque chose par fewce. 

VIOLENTISSIMO , A , 6d/. sup. de 

VıoLsto,A, adj. violent : impetueux; qui 
agit avec force, impetuositd (prop. et fig.), 
avec veb&mence. Hers de son etäl, de sa #ilua- 
tion naturelle. Forca : qui se fait contre le got, 
la volonte. (Ag.) —, fougueux, oolere, em- 
porte. (id.) Contraire & la saison, A l’equile. 
Morie —a, mort violente, l’opposs de natu- 
relle. Pör mdos —as em alguem, [rapper, mal- _ 


‚Araiter quelgu’un, surlout un eechesinstique. 


VıoLßra,s. f. (t. de dot.) violelte : violier 
comınun; sa fleur. 

VıoL#TE, adj. 2 gen. violet: de conleur de 
violette. 

VıoLisua, s. [+ die. de Viola. Petlle guitare. 

+ VıoLino, a, adj. (6. de bei.) pandure, pan- 
duriforme : (fouille —e) quia la forme d’un 
violon. 

+VıoLino, 8. m. ($. de mus.) violon : iastru- 
ment do myaique & quatre sardes. V. Rebeca. 

+ Vır&rgo, A, adj. de vipdre, de serpent. 

Vırunina, s. f. (& de dei.) Yipsrine, langue- 
de-bouc, £chium, herbe aux viperes : plante 
borraginee et mıtdicmale. 

ViıPRRıNOo, A, ady. de vipere, do serpent. 

Vin (d,de, para, por), v.n. venir: se Iran 
porter d’un lieu eloigne dans um lies plus 
pres; arriver de lei od46; avoirsen cours ; ar- 
river fortuitement, par acoldent, par hasard, 
elo.; ötre issu; sorlir; naltee; deriuer; dire 


VioLauäd, s. f. vielalion : action de violer, | cause par; avoir pour origine, pour prineipe; 


4310 vıR 


proc&der ; &maner, tirer son origine; parvenir; 
monter, s’dlezer, ateindre; vomtenir, Fire con- 
venable, vepir ow ire & propos; s’offrir ä l’es- 
prit, & l’imaginstion. (Ag.) Tomber d’secord, 
convenir, se rendre au sentiment d’autrui. Aller 
bien ow mal, on parlanı d'un habillement, etc. 
(imus.) Doaner sur (la rue, le Jardin, en parlant 
d’une croisee,, d’un baleon, et8.). — ds ındos, 
en venir aux maine. V. Mdo. — d memoria, vo 
nir & l’esprit.— e saber-w, mu repandre. — no 
eonhecimento de..., pawrenir & eonnaitre une 
chose. — d.boces,, Terenir, eauser Vestapporta, 
en parlant de ceriains mets. (Ag.) Vent? & la 
bouche, en parlant des paroles qui se pre- 
sontent. Tude nos vem de Dass, nous lenons 
tout de Dieu. Vanke 0 quo eier, arrive qui 
Pqurra. 

ViR- sg, o.r. venir, rerenir. 

Viaa, se. f. sorte de wait ou de Rlöche mince 
et tr&s-aiguä. “Trepoint : bande sur iaquelle on 
coud la semelle. Meise —, irtpointe. {fig.) Moi- 
tiö de co quiil faul. 

Vıragiö, 8. f. vent de mer gei souflle ordi- 
nairemeat le jour. Petit vent, vent douz, brise. 
— da gross, (Ag.) meuliie de la gräce. Ndo 
corre — alguma, il ne felt point @’4ie. 

Vıaacctto, 6. 9. *apostrepie (*) : Bigne or- 
thographique. " “ 

Vıripo, 4,9.9. de Firer. 

Vıaaner,, s. m. (8. de mar.) oAbieau pour ti- 
rer; grelin , trds-petit cAble. * Tournerire. Dar 
um salto, ou lascar 0 —, ohoquer la tourne- 
vize, Virsdores de lioreiro, * roulettes & Nlets, 
outils de relieur. 

Vırico, s. f. virago, hommasse. V. Varva. 

VIRAMERTO, 8. m. action de tourmer. 

Vıria, o. a. tourner, virer. (I. de mar.) Vi- 
rer : tourner d’un cöt& sur un sutre. — a ca- 
saca ‚ tourmer casaque. — de cima para baizo, 
renverser sens dessus dessous. — s amarra, 
virer l’anore ow le eable. —ocabresiante a mel- 
ier lingueie, virer lo cabestan & mettre lin- 
guet, 

Vırir, 0.9. (8. de mar.) chavirer, en par- 
lant d’un navire. Virer : tourner d'un: cöt& sur 
Pautre. — em roda, virer vent arriere. — por 

d’avanse,virer vent devant. — de crena, virer 
un vaısseau en quille. — de bordo,, changer de 
board. (para), #u — se{Pare), vo. #. se tourner 
vers. No saber para omde se virar, ne savoir 


* de quel c#t& se louraer, o& donner de la 1ete. Fi- 


n. 


ror-se o miolo a alguem, perdre la iete, dave- 
nis (ou. 

Vinariö, a. m. aug. de'Vira. Sorte de jare- 
lot. V. Viretse. - 

VinavöLza, s. fi virevelte. —, pl. tours et 
ddtours ; alleng. et vonues. (fig.) Vicissitudes, 
variations. Dar —s, tourner ei rond. 

VıränrTz, adj. 2 gen, vort, verdoyant.V. Vi- 


Vinsa, s. f verge; fouet, A’ — ferrea, par 
force, avec loute da riguour. — dures, Yerge 
deren, vorge d’os : plame. | 

Nıscruy a. f. vierwo:: Alte qui a veru dans 


VIR 


wne eontinencoe parlaite; nom au Ti» 
donne aux sainies qui ont veeu dans ka ami- 
nence. Signo de —. V. Yirgo. A mais Ir. 
gem la sainle Vierge, la Vierge Mai; mar, 
sistue de la Vierge. Virgens da ler, pri 
droits qui tiennent en raisan Yarbr u re- 
soir, le madrier qui presse les olise 

VracEN, udj. 2 gen. vierge : gui a varias 
une contineuce parfaile; (Ag.)gei sıpe- 
core servi, intacl; qui n’a pas et seine 
ploy6; qui n’a pas eis laboure (kn-,;g 
n’a pas et£ fonda (metal). 

Vıircko. V. Vergel, Pomar. 

VircmmäL, adj. 2 gen. virginal: qui ge 
tien!, qui a rapporti ä une rierge. lau-.« 
virgiaal : composition por hlapchu k ut 

ViacınDÄDE, 8. f. virginile : dal due > 
sonne vierge. * Pucclage. Hoyer um ner 
de —, depaceler une ülle. 

+ Vırcınıa, s. f. (t. de giog.) Van: en 
des Etats-Unis. 

ViRcinEo, A, adj. virginal. V. Tırgad 

Viaco, s. m. la Vierge: un des apuun 
diaque. Pucelage, virginile. 

VikcuLa, L virgule (,) : sigus de me 
tuation. 

ViacuLipO,A, 9. p. de 

Vırcu.ia, 9. @. virguler, mess da! 
gules. 

VırcoLösa, 8. f. virgouleusg : pein dies 

VırcöLta, 8. f. virgulte, pousse, ji, p8* 
branche. 

ViRiDÄNTE , adj. 2 gem. vordeyas 

ViriL, adj. 2 gen. viril : d’bomm, nik 

* VıriL, s. m. verre blanc, gar gu st 
devant une estampe, etc. V. Bodens, Isle 

Vırııya, 5. f. aine : partie ducemmir 
baut de la cuisse et Ie has-renise, ker m 
tion. 

Viertwäpe, &. f. virilitd : dge wnl, da 
homme fait; capacite d’engendrerdaus[benm 
Force, vigueur, activite. 

ViRILMENTE,, adv. virilement. 

VırıPoTEnteE, adj. 2 gen. nabie, bt! 
marier, en parlant d’une älle. 

VıröLa, 8. f. virole : petit agree de ai 
autour du manche d’un oytil, pres de ie 

+ Vıröso, adj. (1. de bot.) virenz (plast-#h 
trös-puante;; (odeur —se), qui PO8- 

Vıroräö, a. m. aug. de Firole. Vıram: # 
pöce de Adche & pennons croists, gu 
en Vair. 

Vırörg,s. m. sorie de javelot, de de“ 
de Böche. —s, pl. 1. de mer. pitcts des ®* 
vres mortes d’un vaisseau. 5 de espoda, We 
ches d’une garde d’&pse. Qider gel -, M' 
veiller, eire altentif, se tenir sur ses guide 

Vıariss, s. m. pl. (t. @’Asie). V. deasd 

Viarz, 3. m. (1. d’4Asie) liste das dcewst.' 
Avengcal. 

VıaruiL, adj. 2 gen. viriael: ia" 
sance d’agir, sans l’exercen:; qui em u 
sarıce Seulement, ran sp achien; Topp 


„tel. 











y1$ 


VirruaLipäne, 5. f. virtualitä : qualite da oo 
qui est virtuel, 


VIRTUÄLMENTE, ade. virtuellement, d’une 


yı$ aid 


Vıscnutipp, s. m. arbre du Brögil qui porie 
des gousses pleines de glu. 
VisiBiLipäne,a. f. visibilits : qualilg yol rend 


maniere virtuelle; J’oppase de formellemens, | une cbose visible. 


d’actuellement. 

Virtöpe, s, f. vertu : habitude, disposition 
habituelle de l!’Ame, qui porte & faire le bien pt 
& fuir le mal; droiture, prabite; qualije qui 
rend propre & produire un bon eilet; se dit des 
plantes, des remddes; faculte, puissance d’g- 
gir, activite. Action vortueuse, vonduite irre- 
prochable. Vertu, elficacite d’un sacsement. 
Force, vigueur, yalidite (d’un acte, atc.) Zu — 
de, en verlu de. —s, pl. vertug : cinquieme 
chaur des anges. 

VIRTUÖSAMENTE, adv. vartuensement 

Vırruosissımo, A,adj. sup. de 

Vırruöso, A, adj. vertueux : qui a de la 
vertu; qui part d’un principe de vertu. Puis- 
sant, efficace, en parlanı d’un remede, 

VirtLencik, s. f. virulence : qualit# de ce 
qui est virulent. 

VravLtxto, A, adj. virulent : qui a du virus, 
du venin, du fiel au flg.). 

Virus, 3. m. (1. de med.\ virus: principa des 
maladies contagieuses. 

Visicem,s. f. mine, grimace. * Visage (inas.). 
V. Rosto, Cara. — da celada. V. Viseira. 

Visäcıa. . 

Vısacra. } V. Bissgre. 

* Vısinte. V. Besante. 

Vısäd, s. f. vision : action de yoir, d’&tre vuz 
presenee, aspect; elat de celui quj yoil; spn 
effei; revdlation faite aux prophätes, aux elus, 
»lc.; (flg.) idee folle, chimegre; apparition d’un 
spectre, fantöme, etc.; Illusion d’optique; ef- 
fet de Yimagination, des vapeurs, de la Ju- 
midre, qui semblent avoir une forme,, une r#a- 
te. — beatifßca, vision beatifique ow intyi- 
ir celle que les saints ont de Dieu dans le 
ciel. r 

Vısavö, etc.V. Bisavd, etc. 

Viscena, s. f. *viscere. V, Entranha. 

Viscenaciö,s. f. (I. d’ant.) "repas od l’on 
ınangeait les visceres Jes animqux sacrifids. 

ViscerÄL, adj. 2 gen. visc6ral : qui appgr- 
tient aux visceres. 

VISCER6S0, A, adj. qui a rapport aux viscäres. 

Visco, 5. m. "glu : composilion vegelele et 
tenace pour prendre les oiseaux. (Ag.) Taut ce 
qui attire, qui attache, prend, etc. — dps cer- 
valhos, (1. de bot.) gui, plante parasile. 

VıscomdÄno, s. m. *Yicoıntd : titre de terge; 
ressort du vicomte. j 

Viseönne, e. m. vioorate : qui possöde une 
vicomts ; itre de neblesse au-dessous de comte. 

Visconn£ssa, s. f. vicomtesse : femme da 
vjgomte ; femme qui a uno vioomie. 

Viscosiväine, s. f. viscosits.: qualit# de oo 
qui est visqueax, _ 

Vıscöso, A, adj. visqueux : gluant, tenace, 

Viseina, 8. [ vigidra do casguy. Calar a —, 
baisser la riviere. 

Visco. V. Visce. 


Vısıc600, A, adj. ats. Visigosh ,„ Geth onch- 
dental. 


Visingo, ete. V. Vizigbe. 

Visıonsgio, A, adj. et s. visionnaife : qui a 
des visions, des jd4es folles, exiravaganten. 

Visir, s.m. visir, ministre da grand-seigneur. 
Gräo — , grand-visir, premier minisire de l’em- 
pire olloman. . 

VisıRÄTO, 4. m. visirat ı place, pflieg de vi- 
sir; sa duree. 

Vısita, &, f. visite : action d’siler voir quel- 
quun par civilile,, devair, etc.; visita qu’on falt 
dans une eglıse par devolion ; perguisilion, F@ 
ebesche; exanıeu d’experia, etc.; inspeciion. 
Personne qui fait unc yisue. Visite que [ail un 
eveque, un general d’ordre, un provinoial dans 
un diocese, dans un couveni, eic. Gräee, 
eonsolation 04 6preuve que Dieu anwie aux 
hommes, Nombre de magisirass eharges de vi- 
siter les prispna. — de medico , visita de mede- 
cin, (Ag.) visite wös-courte. — de saude. V. 
ce mol. — judiciel, descente, visite des lieux 
par autorise de justiee. 

Visıragad, s. f. action de vieiter. V. Visite. 
Visitaion de la Vierge, fäte de la Visitatien. 
Freiras da—, visitandines, religieuses de la 

Vıs}TA0D0, A, 9. 9. de Fissler. 

VısıTadöa, 4. 9. celui qui fait de fröquentes 
visites. Visileurg : qui a la ebarge de visiter; in- 
specleur. 

Yısıran, 9. 6. visiter.: rendre visite; aller 
veir quelqu’un.chez lai : aller voir par charite, 
eic.; faire une perquisilion, un examen des 
lieuz, des choses; viailer une dglise par deve- 
tion; faire la visite d’un diocese, etc. Vısiter. 
On le dit de Dieu qui &prouve les justes par 
quelque aflliotiem. Punir, abätier. Complimen- 


% 


I ter, felieiter. — as allares, faire une station A 


shaque aultel. 

Yısiva, s. f. vision, sens de la rue. 

Yısiveı, ady. 2 gem. visible: qui se volt, peut 
ss voir; evrident, elair, manifeste. 

VISıVELMERTE, adv. visihlement : d’une mas- 
niere visible ; manıfesterment , dvidemment. 

Vısivo, a, adj. quieoncerne la rue; qei peut 
voir. V. Visusl. Lux —a, les yeuz. 

VisLuMsRäno,A,p.p. de 

+ VısLompaia, v. a. entreveir: voir ebseure- 
ment, dans le lointain, etc. (Ag.!Connafire in- 
parfaitement, oonjeclurer, ontrevois. dv. ». Be 
montrer indislinoisıment, sommenser & Pä- 
ralire. j 

VisLöusag, 3. m. (aux-jour, lumidre ineer- 
taine , lugur passegäre. —s , PR. (fig) sonjen 
ture, soupgon , indice ; connaissance deuleuse, 
imparfajte , meurs; ombre, apparenee, 'res- 
semblanoe fsible ot legere. ' 

Vısuumg. V. Visiusöärs. ’ 
‚ Nısnica, Vr Äisange. 


1212 vis 


Viso, s. m. "vuo. V. Visto. * Hanteur, Neu 
ölere d’oü l’on voit au loin; sornmaet . po us 
vur; 28 ‚ spparence. —s, pt. Bir. BPPa- 
ronces Dessenzblance apparenie. 4 dous — 8, 
& deux Aus, avec uno double intention. 

* Vıso. V. Vice. . 

Vıso-azı. V. Vice-rei. 

Vısör0, a.m. (f. d’impr.) visorion. 

+VYısönıo, a ‚adj. V. Visual. 

Vısöcno. V. Besouro. j 
- Vısqutina,s.f. berbedu Beesit. V. Visguesiro. 

Yısta,s.f. vuo: faculis, aclion de voir; ie 
sense par loquei on aporgoit les objets ; Inspec- 
tion, regard ; ( Ag.) organe de la vuo; les yeuz; 
inspeotion de ce qu’on voll; manitre dont on 
reyarde un objet, dont il se presente; etendus 
de pays, ote., quel’onvoit; perspective. Vision, 
apparilien. Entrevue, assomblee pour une af- 
(aire, reucontre. (4, de prei.) Connalssante 
au'un Juge prend d’une affaire, en premiere 
instance ; communication des pidces, vue d’an 
arreı, d’une senlenee, etc. Faser a — grosse, 
fermer ies yeux sur queique chose, [sire sem- 
blanı de ne pas la voir. A’ primeira — , aupre- 
Rıier aspect. 4’ —, & la vue, en prösence de; 
d’apres, va; aupres, en comparaison de; en 
facc, auprös, en vue, & portee d’ire vu; & 
vus ; sans pordre de vee; sur-de-champ, sans 
delai, d vuo. 4’ — sem presenga de toda a gente, 
#u de tede o mundo, au vu et au su de lout le 
monde. 4’ minka —, d ua —,d — delle, sous 
mcs yeux, 80us 106 Yeux, 8005 Bes youz. Isso 
Yusson-se d , cola S’est passd sous mes 
scux. Conksoor ds —, commaltre de vue. — 
d’olkos, regard, olin d’eil, ooup d’eil. Der 
uma —#olhos, jeter un coup d’ali sur. Peder- 
sa de —, se pordre de vue, disparatire, so de- 
rober ä la vue. Eire excellent, dminent, supe- 
rinur on son genre. A porder de —, ä perie 
derae. Pör a -—— em, avoir en vue, se proposer 
speoislement. Ter d —, avoir sous les yeax, 
avoir presentä l’esprit, & la mewmoire. Gesiar, 
enfraquecer a a [org de ler, user sesyeux ä 
force de lire. A — en/raqucce-se , dimimue-00 
na veihiee,, ka vuo faiblit dans la vieillesse. 
“ld ondea — pöde alcanger, jusqu’oü la vue 
peut porier. Pedir —, (1. de prat.) demander 
sonmunication de piöoes. Longede — longe do 
cursgde, bors de la vue, hors da souvenir. Ndo 
* perdi de—, je no l ai pas pordu de vue. Estar 
con sonlinellas d —, &ire gariid avue. —s, pi. 
decoralions de the4tre, vues d'un tebleae, etc. 
Vuen, jeurs, (ensises d’un #difice. Ouverture 
d'une lanterne, etc. Entrevae : asseınbl6e de 
plusieurs personnes pour une aflaire. Vaes, 
projets, intentions, desseins, bat, fins. —s de 
ponia de boi para laniernas ,corne de lan- 
ierues. Leser, ler em —s, avoireu vue, Be pro- 
posor speeialeıneni. —s d beeea do ferne, al- 
Innos, Barnbaris, 

VisT0, A, pP. pP. irr. de Ter. 
&6 vu. Vise. Verso, experiments. Su, connu. 
Accueilli.Regarde, comsiders, röpuis. Beta _, 
cola ust olair, c'est clair.- gwe,vuque, attenda 


adj. Va, qui a | Rable 


VviıT 


que, poisque. 4’ escala— a, adecouvert. O que 
obra mal leme 0 ser-—, celei qui pöche faitla 
Iumiere. —s 03 documenios menchonados, — as 
asrasöes d’uma e oulra parie, vu les piece 
mentionnees, vu les raisons de part et d’auire. 
|; u seroigos, vu ses Krands ser- 
vioes. 

Visro,,s. m. visa: formule, signature qei 
round l’acie authentigque ei exsculoise. Pör o—, 
meitre le visa. 

* Vısron. V. Lowvado. 

Vısronia. V. Vestorie. 

Visrosauketz, ade. richement, ölögamment, 
superbement. 

Vierosissino, A, adj. sup. de 

Vıistoso, a, adj. beau, agr&able & voir, riche, 
superbe, brillant, &clatant, magnifique. 

+ Visruus, z. m. (1. de geog.) * Vistule: grand 
fleuve d’Europe. 

YısoiL, adj. 2 gen. visuel : qui apparlicat su 
sert a la vue. 

VISUALMENTE, adv. au moyen des yeaz. 

+Vira, s. f. (8. d’ent.) bandeletie, rubsn 
que les pr&tres attachaient & leur [ront, et dont 
on ormait los viclimes. 

Vrrär, adj. 2 gen. vilal : qui tient aux prin- 
eipes do la vie, necessaire & la Conservation de 
la vie. 

+ Vıräuna, 8. f..(t. de boi.) clematite de 
haies, oulg. Y’herbe aux gueux. 

VITALICHAR , ©. @. rendre viager. 

Vırauscıo, a, adj. qui est ä vie, qui dare 
pendant la vie, visger. Juro — , renie vis- 

"gere. 

Vırarmiog,s. f. vitalitö: mouvemeni vital; 
force , persistance (de la vie. j 
+ VıraLmönte, adv. d’une maniedre vitale. 

Vırinpo, a, adj. qu’on doit eriter, fwir. On 
le dit surtoutd’un excominanie. 

Vrrecomino, A, adj. (podi.) dont le front 
est couvert de pampres. 

Vırsııa, s. f. genisse, jeune vache ; vean. 

VırerLisua, s. f. dim. de Vi Petite ge- 
nisse; veau qui telie. 

VıreLLino, A, adf. couleur de Jaune d’auf. 
Colera, bilis —e, (1. de mdd.) bile qui est d’em 
jaune fonce. 

Vır&i.Lo, s. m. veau mäle, bourillon. 

+ Vırinca , s. f. sorte de [arine,, au Bresil. 

Vire, V. Sustento. 

Vırora. V. Bitola. 

Vrröasa , etc. V. Vicloris, eio. 

Vıronina. V. Venturins. 

‚Virazo, 4, adj. fsit de vorre ou qui en a les 
propridies. Vilreux : qui a de la ressemblanoe 
avec io vesre, de sa natare. 

? Vırazschuiming, so. f. vilrescihilite : fa- 
oultls d’ötre vitrißebie,. 

+ VırazacivaL, adj. 2 gen. vitrescible, vitri- 
bie, 

Vrrammeackö, s. f. viteilisasion : Conversion 
en verre, son eat; action de vitrißier. 

Virayıcapo,,a,p.p. de Fürifcer. 





vv 


Vmerpeia, a. Vileißer : cohverlir em 
verre. " 

VırasrıchvsL ‚, adj. 2 gen. vrilable : propre 
& ötre change en verre. 

Vırrsöua, a f. piece de fer & Y'usage des 
faisours de boutons plaques. . 

VırawLino, A, adj. vilriol& : fait avec Yes- 
prit de vitriol; od il y a du vitriol. 

VırasöLice, A, adj. vitrieligue : du vitelol, 
de sa nature. 

ViTaioLo, &, m. vitziol : sel astringent form& 
par l’union d’un mätal avec l’anıde vitrioligue 
os sullurique; sulfate. —asul „ sullate de cui- 
re. — „ sulfate de zino. — verds, sul- 
fatlo de fer. 

Virao. V. Vier. 

VırUaLnip0, A,P. p. do 

Vıruanaia, v. a. avitailler: faire Pavitaille- 
ment d’une place, d’une flotte. 

VıruäLmas, s. f. pl. vietuailies, vivres. 

ViruLo , 3. m. (9. us.) veau, bouvilien.— me- 
rieo, veau marin os loup marin , pbeque. 

Vırurgaacäö,s. f." biäme ; difamation. 

Virursaipe, A, 9. p. de Filuperer. 

VITUPERADOR, A, 3. celui qui bläme; diffa- 
mateur. 

Vırupsnia, v. 6, blämer, reprendre ; oonsu- 
rer; diffamer, traiier avec möpris. 

VITUPERÄVEL, ady. 2 gem. biämable, röpre- 
bensible; digne de mepris. 

Vırur£nıo, s. m. bläme, reproche outra- 
geant, etc. Action homtense , möchanie action ; 
deshonneur, meöpris, iguominie. 

Vırurzaıöso, A, adj. qui contientie bläme, 
igaominieux. 

VIiTUpERÖSAMENTE, ado. honteusement, igno- 
minieusement, 

Verupaaöse, A, adj. injurieux, outrageant,; 
bonteux, ignominieux, infäme; blämabie, r&- 
prehensible. 

* Vıopkaz. V. Viuoaz. 

Vıiva, s. f. veuvo: femme qui a perde son 
mari. Veuvo: eisesm. Veure : sorte de fleur 
violette. 

Vıövin,o,». V. Zuviuvar. 

ya ‚s.f. videitö, veuvage. 

ıuvBza „es. f. et 

Viövioans, s. f. | V. Viunex. 

Vıiöovinna,s. f. dim. de Viaos. Jeune vouve. 

Viovo, 3. m. veul : mari qui a peordu sa 
femme. 

Vıövo, A (de), adj. vonf, veuve, on dtat de vi- 
duite. (Ag.) Prive, denue. 

Viva, s. m. vivat, ori d’applaudissement. 
(Ag.) Applaudissement. 

Viva! oaterj. qui exprime la joie et l’appro- 
bauon. Bravo! bravo ! Vive! vivat! 

Vrvion, adj. 2 gen. (4. de boi.) vivace :'qui a 
eu so: les principes d’une longue vie (plante, 
raoiae). 

Vevacısiog, &. f. vivaeits : promptitude & 
agir, A se mouvoir, aotivit6; ardeur ; brillant; 
penetration, promptitude de l’esprit, de ses 
operations ; delat des sonleurs, 


viV 


Vreaclsmmo, a, adj. sup. de Vösds. 

VIiVAM&NTE, adv. vivement: avec ardeur, vi- 
gueur ; avce vivacliö; sonsiblement; fartement, 
profondament. 

Vevanptrno, A, s. virandier, —öre : qui 
vend des vivres aux troupes et les suft. 

Vıräs, adj. 2 gen. viraoe : qui a om soi les 
principes d’une longue vie. Planias vivazes, 
plantss vivaces. 

VIV£DöR, A, adj. ot 5. qui vit iongtemps, vi- 
vace. Qui sait gagner sa vie, qui prend soin de 
ses affaires, qui menage son bien , eic. 

Vıvapouao. V. Vividoure, 

Vırkıno, s. m. vivier : 6tang od Y’on met du 
poisson pour peupler. (Ag.) "Pepiniere. — de 
cesihos, *garenne. — de passaros,"voliöre. — 
de planlas,* p6pinitre.—- de gamos, veados, eic., 
parc ou l’on nourrit les bötes fauves, elc. — 
d’ostras, paro ä hultres. 

Vıranpa, se. f. demeure, logis, habitatien, 
desuicile. (iaus.) Maniere de vivre; condauıte 
morale. 

Vıranre, adj. et s. 2 gen. vivant, qui vit. 
p. a. de 

Vıver, 9. n. vivre : @tre en vie; sentlir, vou- 
loir et penser;; durer, subsister ; se nourrir ; 86 
procarer la subsistance par quelque moyen; 
soutenir, avoir la vie; l’employer &...; soutenir 
son existenoe par tel moyen; jouir de la vie, 


1213 


'en user, en proflter; se oonduire,, se coomporter 


relativomen! aux M@turs; se Comporter avec 
queiqu’un,, ötre ou n’ötre pas en bonne intelli- 
gence, en relation amicsle; relativement & la 
religion, & la sotieie, aux lois, aux usages; 
habiter, demeurer. — Com, vivre avec, avoir 
un oommerce habiluel ; @ire loujours ow sou- 
vent avec; virre avec Une personne, Cor.me 
dpoux, sans l’etre. — aos dias ou dia por dia, 
vivre au jour le jJous. — com sigo, vivre retird 
du monde. — vide folgada, regalada, mencr 
une vie joyeuse. —honeslamentie, sanlaments, 
escandalosamente, etc.,ımener une vie honnele, 
seinte, scandeleuse, etc. — cavalkeiramenie, 
4 fidalga,, soutenir noblesse. — d grande , vivse 
en seigneur, eri grand seigneur. — com pouco, 
vivre de peu. — föra do seculo, n’&ire plus de 
ce monde. Viva / vivat! cri de joie, d’applau- 
dissement. Vive Deos! vive Dieu! sorte de ju- 
rement. Viva V. M. mil annos ou mdilos an- 
nos. Remerciment d’un: bienfait accorde, d’un 
service rendu. Cada qual vive como quer, cha- 
cun vit & sa mode. 

Vivenes, 3. m. pl. vivres : provisions de 
bouche. 

Vırkza, s. f. vivaciiö,, vigueur, forte, eflioa- 
cite. V. Vivacidade. 

Vırimo, p. p. de Fiver. 

+ Vivo, a, adj. quia de la vivacite, vil, 
anime. 

Vıyıpoöuro, A, adj. qui vit longlemps. . 

Vırmcacid, s. f. vivilication : aclion de vi- 
vifier. 

Vırmcivo, a,p. p. de Vioifkcar. 

Vırımıcanin „2. M. celui qui vivifie. 


1214 vi 


Vıvirickuzg, adf. 2gen. tirifant, qui vivilie. 

.a.de . j 
’ Virisscän , m. a. ririfier : denner el eonsarver 
la vie; 'Ag.) la force, la vigueur. 

Vıyırıgarivoz a, af. vivißant, qui virifie. 
V. Vieifeo. 

Viyisicg, a , adj. vivißque ı qui a ia prepriöte 
de vivißer. . 

Vıvırano, A, adj. viripare (muimal—), ge 
mei au monde ses petils tmut tivanis. 

Yırıssıno, A,ady, sup. de . 

Vivo, a, adj. vil: vivant; qui a beautoup 
d’activilö, de vigueur, de lau, de vie; qui fait 
une impression violente; anime; sensible ei 
aolif; eclatant, en partanı d’une couleur, elo.;5 
subtil, ingenieux; diligent, prompt, atlif; ex- 
pressi[, #nergique, persuasil. Vif. On ie dit 
d’un feu ardent. Trestessemblant. (Ag.) Qui 
subsiste,, qui a toute sa foroe, surtout ou ma- 
tiere d’actes, d’obligalions, eis. Durabies, qui 
sit dans la memoire. Pur, sans mislange. Qui 
est en activilö, dans l’exercice actuel d’un eo- 
ploi, eis. Qui est.en dtat de gräce. Ao—, au 
nalurel, avec une ressemblance parfaite. Em 
carae —e, auvil, les chairsauvil. d, 
guerrovive, animee. 4’ —a forga ‚de vive force. 

al —a, chaux vive, qui n’s point 6t& dteinte. 
Caris—a, personne charges de dire de bosche 
une close qu’on devait e«crire. Comer —, ava- 
ler tout vif. Menace d'une vengesuce sanglante. 
(#g.) Manger tout vif, en parlant de la ver- 
mine, eic. Dar ou locar no —a alguem ou che- 
gar-Ihe a0 —,( ig.) loucher, piguerauvil, (siee 
une offense sensible. Mais morlo qgue—, plas 
mort que vif. Nem morio nem —, chose qu’on 
ne trouve point,avec quelque soin qu’on lacher- 
che. Penha, rocha —a, roche vive, pure, Pro- 
fonde en terre. —@ v0Z, vive yoiz. Jgua —a, 
eau de source. Aguas —as, (de mar.) les plus 
grandes mardes. Obras —as, (id.) Noltaison. 
Em quanio — , en son vivant. Seeu for—,si 
je suis cn vie. Andar com o olho— , &ize sur 
ses gardes, prendre garde & soi. Olkos—s, 
yeuz vifs, brillanıs. 

Vivo,s.m.levif: la chair vive; le caur d’un 
arbre. — da columna, [at d’une colonne. Os 
—s, les vivanis. —s d’um vsslido, eic., passe 
poil; agrement de garniture d’une robe, etc. 

Vıruss. V. Piveres. 

Yızicaa. V, Bisagra. 

Vızkıra. V. Yiseira. 

"Vızınnipo. V. Avizinhado. 

VizinBänga, 8. f. *voisinage, proximits; lieux 
pröchss; les voisins; liaison entre eux. Voisi- 
nage de deux maisons conliguäs, etc. (Ag.) 
Proximitd,affinite , rapport. Fazer boa-- , vivre 
en bon voisin. Fazer md — , &ire fächeux, in- 
commode auz voisins. (fg.) On le dit d’une 
ciose dönt le voisinage nuit A une autre. Na—, 
au voisinage, dans le voisinage. 


vos 


‚setre; Henitzophe. Mehitant, Kuerper Fun: 
ville, et. 

Vıria, ete. V. Fisw, ste. 

Voipo,A,p.p. de Foar. 

Voantn, A, adj. velant, qui vola. ie} Trb- 
rapide. 

VoAanoR, 3.1. polsson volant. — de bei, 
trigie volant. 

Voapöns, s. f.aotion de voles,ved.\. Ih 

VoÄnTE, adj. 2gen. volant, qui reie.p.ıu 

VoiR,v.0.(p. us.) faire lever kein. 
(Ag.) Faire voler en l’atr, faire santır, ar 
lant d’ane mine „ote, 

Voin,®.n. voler: 90 sowiemir, 16 meint 
en Pair; s’envoler; voltiger au gre deren: 4: 
courir, avancer avec vitesse. nr > 
tement, s’dvanouir. (Ag.)Ag® aveo wem 
tilade, um Itgerenb axitrönge, aller vorn 
(id.) Faire des progres rapides dam ks rr*- 
ces, eis. (#d.) Voler, se repandre damk p- 
blie, eu parlant d’ene nouvelle. —ı mm, 
ceclater, sauter, en puriant d’wme mim ! 
Mina. . 

*Voania,s. f. volatile, votaille. V. dee Mel. 
Chasse avec los oiseaux de preise, V. Folra. 

Voito, s.w. bruit public. V. Besis. 

Vocsnunkmo, 5. m. Vorabeiaire : rei, 
liste alphabeligue des reis @’umplangwe, dat 
sejotioe, atdcamd explie stiem Duckise®. 

VocasuLista, 3. m. vogabulistt, rue !# 
vooabulaire, 

VaoaBuLo, s. =. not, terme, pre. 

Vocacäö, 8. f. vomtion : meurebe inf 
rieur par lcgel Dieuappelte a ange drk, 
surtout monastique; inclinatios, arm 
pour un dtat; (Ag) dispesilien ; nie nEr® 
pour un travail. Convocation (p. w.). 
Vocat, adj.2 gen. vocal : qui swıprme Mt 

a voiz. 

VocäLuänte, adv. de vivo veix . 

Vocarivo, s. m. (1. de gram.) wall: 
quiörme cas des deekimalsons. 

Vocıgananis, s. f. vociftratiem : pardeı &- 
compagnees de clameurs. 

Vocırssipo, a, pP. 9. de Vorifare: 

VocırgaanoR, a, 8. oelai gei verikrt. 

Vocırsainte,adj.2gew. qui vocere. galt 

Vocırzria, v.a. crier, publier & hour mi, 
avos 6clat ot osteniellon. ©. s. Vockiere, di. 
6ievar la yoix, noussse des arts. 

Vöoa. V. Bode. 

* Venivas. V. Beide at Bodies. 

V0no. V. Bodo. 

YoRnnoa, 

VOENGCOS. | V. Zooöng... 

Voca, 8. f. (t. de wer.) vogae : mentune 
imprime par rames; (Ag.) eredit; repeubt®. 
estime; grand cours, grand debit. Apr: 
forgar «—, (4. de mar.) fnzoer iss mt: D 


ı — arrancada, (id.) ä force de rameı, MR® 


VızixuÄr, o.a. ein. avoisines; dtre limitre- | vogue. 4’ — surds ‚(id.) en ramant dewmest® 


phe. V. Arizinhar. 
Vızinno,a, adj. eis. voisin : qui est proche; 


qui demeuse aupres; ui Joge aupres d’un | 


As—3,(id.) les rameurs du premier kam. If 
em —, ti an vogne, 
Vooa-AVAÄNTE, & m Fament, fargal. 








voL 


Vöciod, A, p.p. de Vogar. 

Vociı, s. Tr. per voyelle, lellr& voyelle, 
qui a un son parlait d’elle-meıne. 

VocäiL, s. m. celui qui a droit de suffrage 
dans une eleotion. Vogdes, pl. vocaus, volanis. 

VocinTE, adj. 2 gen. qui vogue. p. a. de 

VocäR, ©. 9. voguer : @tre pousse surf l’eau, 
par les rames. (fig.) 
vogue. (inus.) V. Advugar. 

“Vocänia. V. Advocacia. 

VüsuE , 3. m. petile embarcatich We. Pinde. 

VoLinte,s. m." gaze, toile Äne ei claire de 
laine ou de coton. Volant : morceau de liege, 
eto., garni de plumes que Pon fait voler avec 
des raquettes. Volant, piece d’une horloge. La 
quais, coureur, , 

VorLinte,adj.?2 gen. rolant : qui a la faculld 
de se soutenir en l’äir; qui s’el&ve en sir; qui 
n’est pas stable, fixe ow & demeure. Errant, 
qui court cä et 1A. Trös-rapide. Peire —. V. 
Voador. Cervo — , cerf-volani, sorie de scara- 
bee. Papel— ‚ fäuille volanıe. 

Vorantim. V. Bolantim ei Foldlim. 

VOLATARIA 0% } chasse avec les oiseaux 

VoLareria, 8. f-J de fauconnerie. " Vola- 
tile, volaille. 

Voratreir,v.%. (p.us.) V. Adbjar, Esvoa- 
far. 

VoLirit, adj. 2 gen. volatile, qui vole ow 
peut voler. Qui se meut, qui voltige au gre des 
vents. (f. de chim.) Volatil : qui s& resout et se 
dissipe par le feu. 

VorariLipäne, 3. f. (#4. de chim.) volatilitd : 
qualite de ce qui est volatil. 

Vorarıuızacad, s. f. (1. de chim.) volatilisa- 
sion : action de volatiliser. 
VorArıLızino, A, p.p. de Volatilizar. 
VoLArıLızinte, adj. 2 gen. düi volalilise du so 

volatilise. p. a. de 
VorarıLızar, v. a. (b. de chim.) volaliliser ; 

rendre volatil. " 
Voratnizin-se, v.r. se volatiliser.. 

VoLatim, s. m. danseur de corde. Voltigeur, 
ar Courrier & pled; grand marcheur 

. u.) 

VoLcänich, A, adj. volcanique: ui appar- 
tient aux völcans. 

VoLcäi6, s. m. volcan : montaghe, kouffte 
qui vomit dü feu. iflg.) Fe artient, chaleur 
excessirve. (id.) Passion violente. 

+ Vorentina, s. f. sotte d’ankiön tissa de 
laine, fait A Vafence. 

Vouıgäö, 8. f. (1. schol,) volition : acte par 
lequel la volontd se determine; fadulte pra- 
tique de vouloir et de se deterininer. 

* VoLi£ne. V. Aciario. 

VoLITÄNTE, adj. 2 gen. voltigeant, qui vole 
ca et 1. 

Vouirivo, A, adf. qdı prorient de fa volomte, 
par lequei ta volonie veut ou se determine 
(acte ). ' ' 

VoLiveL, adj. 2 gen. (P. us. que l’on peut 
vorloir; qui peut dire objet de la vuintte. 


VuLTa,s. [wur mıöoureiucht en ro: now: | cHfel de 68 gu voltige, 


tre en vogue, avoir Ja| 


voL 1215 


veinent d'un eörfx Au’on tnurde, quon thhhge 
de sens; mouvement d’un corps qui toumme en 
Phir,d’un volligeur, etc. Detour, circuitd’un che- 
min, etc.Courbure, arc d’une tohte. Tour d’une 
chrde, etc., autour d’un corps qu’elleserte. Par- 
tie d’un corps quise replie sur un autre. Retour 
alı lieu dvü Fon dtait parti. Restisution de ce 
'on avait pris. Courbure, inelinaison. Tour 
and clel dans !ä Kerrure.'Toat: horhdre de 
ıhailles formant la eirconference d’un bas tri- ' 
bi. * Retour: supplemebt de prix. qe’oh' donne 
dans un 6change, etc, Volte, en terme d’equi- 
tation, Vicissitude, instabllitö ; changement. 
Direction. * Rabat, collier de pretre. *Rondedü 
d’an air, refrain d’ane chahsor. (ofeuz) Que- 
relle, dispute, rixe, combat; bruit, tümulte, 
sedition. — d’olhos, clin d’eil. — d’um rio, 
doude d’une riviere. A’ —, au retour. A’— de, 
dutour de , aux environs de. Dar uma —, laire 
un tour de promenade, dw un petit voyäge, 
dans un endroit; faire un four dAns sa maison, 
6zaminer si tout esi en ordte. Meia —, demi- 
tour. Pela — das duas, düs Ires, ele. horas, 
vers deux, trois, etc., heures. Dd — com, totı- 
fondu avec, dans la meles. Numa — de ımdo, 
dri un tour de main. Estar de — ou para vol- 
kar, &ire sur son retour. A cabera deo-Ihe —, 
la l&te lui 4 tournd. Isto Ihe fez dar — 0 juizo, 
tela lui a töurne la cervelle. Fazer-se aa — de 
(#. de mar.) mettre le cap ä. Fazer-se woutrd 
—. (Ad) changer d’avis. Ter —: (Ag.) avis 
donne & un ernprunleüur de rendre ce qu’on lul 
rete. — de böga, (1. de mar.) " amarrage en 
uetl. — da amarra na abila, tour de bittes. 
— redoAdä , tour et choque de bittes ; wur mort 
avec deux demi-tiels. Meia —, demi-clef. — 
felsa, faux naud, n@ud de chalne. — da ri- 
beira, neud d’angulile. Andar ds —s, faire 
des Ldurs et detours, se quereiler, se dispuler 
(p. us.). Andar ds —s, dar —ı na cama, se 
fourner souvent dans le lit. Dar —s, röder, 


1 thercher partoat Imutilement. Dar —s por con- 


Jegwir..., tächer de, fairo des ellorts pour ob- 
tet... Dar —ı no Inferno : ( Ag.) onle dit pour 
marquer l’extreme desir d’obtenir une chose, 
se donner au diable pour Y’avoir. Tirar —s ds 
ämarras,(t.de mar.) su defaire des tours däs 
eäbles. Dar —s ao juizo, se creuser la tdie, 
Ter-se ds —s com, ( ig.) rösister, tenir te A. 

Vorra-cira, s. f. retraite, volle-face. Fazer 
— ,(t. mil.) faire volte-face. 

Vorrino, 4, adj. tourne; retoumd; frise. 
p: p. de 

Vorriu, o. a. tourner, retourner. V. Viror 
v. #. Revenir, reidurner. — alrdz, — para Iraz, 
tötrograder, relourtter sur ses pas. 

Vorrär-SsE (para), ©. r. se retourner. Ndo 
dei para onde me volle, Je ne sais de quel tÖls 
are tedrner. 

VOLTEÄDO, A,P.P. de Voltear. 

ÖLTeADOR, A, a. cetri qai voltige, et sur 
(obt vultigeur, danseur de corde. 
VOLTBADERA, 5. f. “ volligement ı action, 











1216 VOL 


VoLrzir, o. a. faire tourner ou touler ; tour- 
ner. — a bandeira, agiter le drapeau. v.». Vol- 
tiger. 

* Vortkıne, A, adj. V. Brigoso, Rixoso. 

Voutssän, etc. V. Follear, etc. 

VoLTsakte, s. m. jeu de l’'hombre. 

VoLrivoro, A, adj. V. Inconsiante, Varis- 
vel, Voluvel. 

* VoLro, p. p. wer. de Volver. V. Volvido, 
Voltado. 

VoLüBEL. 

VoLönt. } V. Volnosi. 

VoLvusLipäne, s. f. volubilite: facilitö de se 
mouvoir, detre mü en rond; arliculation nelle 
et rapide (de la langue). (Ag.) Inconstance, 
inslabilile. 

VoLümz, s. ın. volume: &dtendue, grosseur 
d’un corps; livre relie, broche, 

Voronınöso. V. Volumoso. 

Vorumdso,, A, adj. volumineux : etendu; qui 
a un grand volume; compos6 de beaucoup de 
volumes ( ouvrage). 

Vorimno, s. m. (}. de mytk.) Volumnus: 
dieu des noces. 

VOLUNTÄRIAMENTE „ adv. volonlairement, 
sans contrainte ; de bonne ei franche voloul£. 
Sans’autre motif que sa volonte. 

+ VoLuntarıEenäpe, 3. f. qualits qui fait gne 
les cboses sont volontaires. Determination sans 
sutre motif que sa volonge. 

VoLuntänıo, A, dj. volontaire : sans con- 
trainte; fait de franche volonte ; qui ne veut 
faire que sa volonte. Sans auire molif que sa 
volonte. 

VoLuxTärıo, s. m. volontaire : qui sort vo- 
lontairement dans les troupes. 

VOLUNTARIÖSAMENTE, adv. sans autre molif 
que sa volont£. Par opiniätrei& ow par caprice. 

VoLunTaRıöso, A, adj. volontsire: qui ne 
veut [aire que sa volonte. 

* VoLurtärıo. V. Volupiuoso. 

VoLUPTUÖSAMENTE, ade. voluptueusement, 
avec volupie. 

VoLurrvosıping, 5. f. qualits d’ötre volup- 
wenx. Volupte. 

VoLUPTUORISSIMO , A , adj. sup. de 

VoLuptu6s0, A, adj. volupiueux : qui aime, 
qui cherche les volupies ; sensuel, adonne aux 
plaisirs des sens; ce qui cause la volupte, 
linspire, la fait &prouver. 

Voröta, s. f. (i.d’arch.) volute:: dcorce d’ar- 
bre tortill6ee en spirale; parlie du chapiteau 
ionique et composite. (4. d’hist. nal.) Volute au 
inusique : coquille univalve, en cöne pyrami- 
dal. — cymdriforme, la tasse de Neptune. — de 
malhasde solfa,le plain chant, — milriforme, 
la miıre, — em forma d’azeslona, l’olive. V. 
Oliva, 

Voı.vrägro, s.m. bourbier, bauge od se vay- 
trenı les cochons. 

VoLöveL, adj. 2 gen. aise d mouvoir en rond, 
ätourner. (fig.) Changeant, inconslant , verse- 
tile, volage , l&ger. (1. de bot.) Voluble : qui 
monteen se lournant aulour d’un corps (lge). 


VON 


tra ,ef. (1. de bot.) volva au voln:ce- 
veloppe, bourse, chemise du champige. 
+ Vorvino. & ‚adj. (8. de bot.) vohe:qia 
une volve (cbampignon). 

VoLvenoa. V. Ensoloedor. 

VoLYEr, v. a. tourner : faire tosrıa, u0e- 
voir en rond. Remuer, mouvoir. Rem ın, 
Retourner au lieu d’oö l'on &tait part. 

VoLveta-sz, v.r. V. Revolver-w. Sem 
vers quelqu’un ; se lourner, faire un lem. 

VoLvioo,a,p.p. de Folcer. 

+ Voıvöcg, s. m. (6. d’kist. nel.) vo: 
petit globe, ver infusoire Lourbillonnsst ia 
Veau.— globulifero, volvoce spberigee.- + 
flicloso , volvoce du fumler. 

VoLvo ou Vorvuro ,s.m. (1. demälj's 
lique de miserer6; passion ilisget. 

Önen,s.m.(6. d’anal.) vomer:lauupi- 
pendiculaire de l’os ethinolde. 

Vönica, s.f. (1.de med.) vomigue bci sı 
Poumon. 

Vönmıca, adj. f. Nox — , noix vomige: wi: 
de poison des animauz. 

* VouiL.V.Gomil. 

VositiDo, a, 9.p.de Vomüldr.edi. (f.'® 
Maigre, defait, päle, noye. 

Vosıtänor, A, adj. qui vomit, qui jeliebe: 
de sol. 

VonıtÄrR,v.s. etm. vomir:jeierparia- ® 
ce qulestdans l’estomac, miewz, reairı. I 
vomir: produire en grand nombre, ts fa” 
quantitd; jeter hors de soi; vomir des fas®®. 
en parlant d’un volcan ; vomir des injum. =: 
(dd.) Dscouvrir ce qui dtaıt cachk. Kür * 

yer, surioutsic’est avec peine, mess? 

oniade, ancias de —, souldvenmitt *.. 
hause, envie de vomir. — algucn, Iar!® 
vomitif & quelqu’un. — a vide, moart, ref" 
Päme. j 

VowıTÄa-sE, o.r. prendre un vomill. 

Voxıtivo, A, adj. vomitif, —re, qui ui" 
mir. s. m. V. Vomitorio. . 

VONITO, 8. m. vomissement ; action de '°8# 
ee qu’on a vomi. — wegro ou priß, EA 
negro,, maladie bilieuse, mortelie, tpidestt' 
fiövre jaune. Provocer @ —. provogeet ?" 
missement. Tornar ao —, (fig.) rewarne.-” 
vomissement. 

Vosırüro ,s. m. vomitif : remede @ F' 
voque le romissement, eıneligue. 

Vontäipe ‚a. f. volonte : facultt de Tiet,F 
laquelle elle entre en ion de so X 
les suspend, delibere, se determine ti ‚P. 
puissance par laquelle elle veut; arte ©’ ' 
volont6; son expression ; ce qu’an ven:”- " 
fait; disposition ä l’egard de; dıserelim. ©" 
voir; ardeur;; intention, dessein. Libre ats " 
* Amour, affection, bienveillance. Enie. den 
bonne volonis. *Plaisir, complaisanct. U" 
Consentement donne. Boa — , afeclion: »*" 
veillance ; bon grö. De — . oude bs. Ct! 
cour, de plein grö, volontiers. De mer“ 
—, Irös-volonliers. Md —, baine, ate®. 
meuvais vouloir, Dr nd —, ä contret@el‘ 








vor 

ad — a alguem, en vouloir A qualgu'un, avoir 
malin vouloir eenire quelgqu’un. Genkar a — 
d’alguem, gagner l’aflection, les honnes gräces 
de quelqu’un. Faser a— @ , a0gaies- 
cor ä la volontis, au desir de queiqu’un. Fazer 
as —s a alguem, gagner laffestion, les bonnes 
gräces de quelqu’un. Capfar a — d’alguem, 
s’insinuer dans l’esprit, dans les bennes gräces 
de quelqu’un, capier sa bienveillanoe. Com — 
ou som ella, de gr& ou de force. Por que assim 
dwossa—, car tel est notre plaisir. Dd-me. 
— ,ienho — ds, il me prend l’envie de, Ulhiess 
— , derniöre volonte enonche dans um lests- 
ment. — divins, volonie divine, deoret dier- 
nel da Dieu. Fasa-se a — de Deos, que la vo- 
lont# de Dieu soit faile. Zstar, pOr-0e d ua, 
eire, so melire & son aise. A’— dos vonlos, 
dos mares, oic., au gr& des vents, des flots, 
etc. Homem felto de sua —, homme volon- 
taire, qui ne veut suivre que sa volonis; capri- 
cieuz. —s, (pl. ine.) meubles, bijoux, offets 
de luxe qui flaitent la rue. 

V60, s. m. vol : mouvement des alles des oi- 
seaux pour voler, des machines pour s’ölever; 
leur eflet; poriee du vol d’un oiseau; ce qui 
limite. (fg.) Essor, vol en mont; action de 
prendre son vol. —, &levation de la pensee; 
sublimite du style; essor &lev6. * Volse : dten- 
due, durde du vol. — rapido, lire d’aile, bat- 
tement d’aile prompt et vigaureux. Tomar 0 
—, prondre l’essor. . 

VORACIDÄDE, 8. f. voracitö : aviditö & man- 
ger. (Ag.) Activitö du feu, 

Vorscissiwo, a, adj. sıp. de Voraz. 

VoranoR, V. Devorador. 

Voriceu, s. f. " gouffre, abime. 


Voracınöso, A, adj. oü ily a des gouffres. | V. Voss 


Tournoyant, tourbillonnant. 

Voriz, adj. 2 gen. vorace: qui d&vore, qui 
mange avec avidite. (Ag., Actif, devorant. On 
le dit du feu, otc. 

t VorRÄzu&nTE, ade. d’une manidre vorace. 

T VORTICE, s. m. tourbillon. V. Redemoinko. 
— aereo,"trombe. 

f Vorrictıua, 8. f. (8. d’kisl. nal.) vorli- 
eelle : polype en bouquet. ll y en a plusieurs 
es 


Voarıcındso, A, adj. tournoyant, qui se 
meut en tourbillon. 

Vös, pron. person. pl. vous, 

Vos. V. Vös, 

V6sco (variation de Vös). Com —, avec vous. 

* Vosquo. V. Vosco. - 

“Vossanck. V. Vossemect. 

Vosst (contraetion de Vossa mere#). On ne 
le dit que par familiarit& ou par mepris. 

Vosszusck (contraction do Vossa merch). V. 
Merct. 

VWöss0, a, adj. pron. f’de .ı seconde 
personne. Votre, le vötre. Vossa senhoria, vo- 
ıre seigneurie. Vossa mercd , vous. 

+ Voragaö, . f. votation : action, effer de 
voler. 

Yoribo r) a, » P. de Your.— (8), ed. baute &. 


POuT. FR. 


voz ‚1217 
"Vor’aminzs , serment burlesque, morbleu, 


Vorinre, adj. ot s. 2 . votant s celui 
oelle qui donne sa voix. pad u 

Vorin,9.0.vouer, voter.o.n. Vouer:falre um 
vu , promelire par vau.(em) Voter: donner sa 
voix, son suffrage. se (0), se devouer, sovouer. 
Voriyzno, A, adj. qui porte des offrandes 
votives. 

VorıvaunrE, ade. avoc ou par un vou. 

Vorivo, a, adj. volif: quia Fapport, appar- 
ent & un ven, est fonds, Spmsaere par unvau. 
Painel —, ex-roto. 

VöTo,s. m. vau: promesse falte ä Dieu, ete, 
You que fait un religieux. * Voir, suffrage,, 
vote. Avis, opinion. “Priöre, demando faile & 
Dies. : offrande faite en m6&molre d’une 
gräce regue. ( Ag.) Personne qui donne sa voix, 
volant. Veux, souhalt, dörir. Dar o —, donner 
sa voix; donner son avis, ömettre son opinion, 
Ter—, avoir vols Jans une assembi6e. Tor — 
na meleris, (fg.) ötre en dtal de decid.r sur 
une-matiöre; en @ire juge, ötre oonnaisseur. 
Querer tor — em ‚se medre en rang 
d’oignon. 

V6z,s. f. volx: son artiould ä Palde du laryız 
et de la bouche, et modifis par !a langue pour 
exprimer la penzde ;son barmonieuz pour expri- 
mer uno passion; cri, clameur : en ce senson 
s’en sertsurtoutau pluriel. Son d’un instrument 
de musigue. *Mot d’une langue. —, chanteur, 
chanteuse ; qualitö,, ötendue de la voix hu- 
maine. Partie: chaguevoix qui ex6eute un ohant 
stpare. "Bruit, nouvelle. * Pouvoir de parlerau 
nom d’un antre. “Ton de la gamme. — , suf- 
frage; droit de suffrage dans une assembiöe. 

. . Ordre, oommandentent. Renommee; 
brait. A uma—, de ums -—, tout d’une voix, 
d’ur commun accord. — em grüa, & haute 
voix, & grands cris. Tomer a —, prendro la 
parole, parler A son tour. Se döclarer pour 
quelqu’un. Ter «—d’alguem, suivre le parti de 
quelqu’un. Dar — d’alguem ‚sppelerquelqu’un 
qui est dloignd. (inus.) V. Bradar . 
volx veloutde. — d’komem, forte, voix mäle. 
Aumana, rögale, jou d’orgue. De eioe 
- „de bouche, de vivo voix. Deiter — , re- 
g adre le bruit. Corre—, le bruit oourt. E#’ — 
ohnsiante , P’histoire dit. Levantar a —, levor 
la voix, parler ä haute voix. Levanlar a con- 
ira 0 vicio, otc., tonner contre le vice, parler 
avoo vöhömence contre le vice. Em — alla, A 
haute voiz. Em —baiza, a voix basse. A vozes, 
en eriant, Agrands cris. Der oozes, crier, pous- 
ser des cris. Musica a Ir&s, a qualro vozes, 
musique & trois, & quatre parties. 

Vozania. V. Vozeria. 

Vozzino,A,p.p. de Voxzser. 

VozEADOR,A,s. celui qui crie, crieur, oriall 
leur. 

Vozzautnto,, s. m. V. Vozearia. 

Vozzin, o.%. gueuler, crier, elever la voix, 
pousser des cris, criailler. 

Voztıro, a, adj. crieur, criard, bruyant. 


17 


+ 


w- = 





Yv endlose 0 


1318 AC 
“ Von, s. m. procureuz, sollichenr, 
na, ef. ertlier clamenr, orin admnı 
raubahan 


808 
rn Y 
Vorarimı,$ Meilen 
aus möridianele quir per 
ULCANÄBS Metern 
uleamiag | Volaniee > 
voLcıne 0,Ää, ode de Vulcainı 
% BE de Are \ulnaia, Rio dä 


=; Od, 


Jun! let 
LCÄNIC Tv: Pot: 
Vorcid, "ei. 
vLchpo, V, Pioniande: 
LöiR, dl, Y9en, vulgaire,, samakhum ; tale 
vl; ; Tegu bOMMYNEMPHL 
paris, aM valgaite, du payl. dh 
V. Tuigo. bieniger 
vLchä 0. Wh ger 
ua DAaR, & f. catsethre dm pobnle ou 
dr de ul lui apparlient. Diesouss valgeire ; wi 
atitude. Vulgaritd + guakiih, dien d 
© qui est vulgaise, 
ULcarzagiü,s. /, Aniien de vonder BE 
eure, divulgation, 


4,9: de Fulgarizen. aiyı 
Re er ne 


aa due 4,0. selui gui send valgelsng 
ei qui dirulgue, 
ARIZÄR , 9, a, divmigubr, röpemded; Aug 
blier. endre vwulgsina; senlire öbinmum. 
Q 


dulte en lange vulgsise. 
 VOraaRzÄmER, dv. 7 66 Iemjlieisse werde ns 
gens du commun, 48 des ähidses: 


du peuple, s# ravaler, se sabaissen Darbnie 
vulgaire, cammup. 

VuLGARisMO , & 1: vulganismud 4 ohsd, 
expression, ponade valgaiee. 
ad. vulgeiremment, SERBERU 


Mkverg 


14 ul 


Voroira,s. f. Valgate : tradusion ia 4 
Nletturs Aupins, ” 
Mehrere od. WEG, s Deo gens pe 
ustsuits, bu suiniuny ‚nö 
Verso , ady: Ist. wei 
Vermenacis, & f. laoılan de im er 
Vernzuius, 2,P. 9. 66 


Vonuanın, od. 0. elenset, r 
tan uf. FEN 


Imötalde , Pietk:; se dir fin 
essinmlandee peut lea piates. A 
Vornzain®, a, dj. Faintraie: ad 
ia guörisen des pfd er 2 Weird 
VOLWERAvivd, x, 


) } 


fait 

Be ma 
® | Hase, Image de Volta. hasse bdein 
n& Een Cha 
en gros, eh biüe, & een Fazer -, in 
wohiaiiheot. € Cowiks di 66 tensidärn, 


os 4, di. PR fan heaven uw 
Tre |igme, volumineux. 

* Yhirtaind, a, di. de vanıse. 

Vorröano, &. m. vet qui sit kann 
spleil,, qui 86 läte &t B& coukhe arte 

VöLTa, & L d’anal,) vulie:iiatıwe 


rd s. [: Cl. da bl.) apderian Ibin, 


“0,8.#.Pp IR 
Mo.a Gun des ala 


x 


X, 8. m.riligt-Ito in da Yelphahak | 
portigäl, es r dig ut a @pnsannes; 
0 5 chilRE roman. Lö X a quaite ons Air 
renls s 10 doch, ommme dans chani. 2: ehaegı 
2. de etz bone dans «tal (eizalo); „> de 
es ol te, Jans lei inols qui viennegt da, Ja» 
eonutin Has höze, da (necso, 
nexe, axiome); 246» ou 5 dass ka | des 
mots, comme dans calie, Cadiz ( 
u galice Cadix), 
Rı bu Kın,e. ih. rol, Souveraln, en Bere 


av Cha. 
+ Xavaupän, 6. m. (4. @4sis) congul d’une 

natich. 

Zäca, 4, m. la promiäke ilole des Japonsis. 


ine. 
Br. V. Zequema. 


‚onjgühe de 


Kicara, 5. f. ch 
at inear, gei DO" 


Xacsco, A, 


Xapukz, ‚2 n Jou die na; Fedran 5 
Uber, (L. de mar. 
Yale 0 gurupds, anilleborie de Ihe 


'Totme de Fögeron. 


Karanız. V. Chafariz. 


4 Kir, s. m, mennaisiungag, wei rail 
pela poriugeis. 


is. V. Xd. 

Inän s. m. * baussa de oheral. 
ALR. V. Chale 

14840 5. Pi. Hiüaklen da chasreie. 




















XEI 


Xuaröra , 8.5. (1. de bat.) schalotie , Mienle 
medicinale. 

Xauira,s fı(t. &Asig) nozie de roba orien- 
tale en forme de menlsau. _ 

XiuarTe, s. m. echec ei mat. 

Xuusae. V. Chamöre, 

Xuanrnin, etc. V. Chanfrar, etc. 

Aanttı. V. Chantel. 

+Xintmno, s. m. (1.de bot.) xanthium: plante 
Taquatique. V. Bardana menor. . 

XantoLina. V. Santolina. 

XAguz, s. m. echec (au jeu des öchecs ). —e 
malte, &chec et mat. (fig.) Coup, tort, ruine. 

Xagugino, A,p.p.de 

Xaqugär, v. a. danner scher, faire Schec au 
rol, etc. (Ng.) Opprimer, tousmenter, 

Zugpion. V. Bazaqueca. 

+ Xäguema, s. f. gros lissu de Älcelles pour 
faire des sangles; liceu. 

Xiquima. V. Xaqgusing, 

Xira,s. f. sorle de fläche ou de dard dont 
on aiguise la pointe. *Ledum, lede:: espece de 
eiste qui donne le ladanum 0% labdanum. 
Estevo. Espece de reptile trös-völdce. 

„MAaapiit, a. m (1. d’Aste) motihaid de l’inde, 
qui vaut & peu pr&s 300 reis portugäiß. 

Xırid, s. m. vernis de la Chine; töle Termit. 

+ XARiQuE, s. m. grande please. 

Xirpä, 8. f. petit poisson, esp&ce de goujon 
de riviöre. 

Xır£ı. V. Zairel. 

Xunßo, 8. m. ospece de gros poisson du 
Bresil. 

ÄARETÄR , 0. a. (4. de mar.) bastinguer, gar- 
nir un vaisseau de bastingues. 

Äantras, 8. f. pl. garde-corps : nalles ou 
tissus de cordages qui couvrent les soldals 
d’un vaisseau pendant le coınbat, baktinguägk. 

Xınciö.V. Xergdo, Enxergdd. 

.Zanire, 5. m. chöril : descendant de Maho- 
met; prince arabe ou maure. 

Xunöco. V. Enzarröco. 

ÄaBOPÄDA, 8. [x Aulep, ‚ potion mödieln I. 

Xıropido, A(V. Encharopadd), p. p. 

XaroPpir, e. a. faire prendre des \uleps au 
des sirops. Y. Enzaropar. 

XıröpE, 8. m. julep, potion meditinale. 
Sirop ou syrop. 

Xır60c0, s. m. 8iro6 : vent Bud-est sur 1a 
Mediterrane. 

Xiruug, s. m. tassao ow tassaci: 
de bauf sale, sechdes au soleil. 

Xıratein, v. a. faire le tassao, söcher des 
trancnes da bauf au soleil. 

Xırnöuco. V. Enzarröco. 

Zunala. V. Charrum. 

Xustae. V. dlfsiste. 

XuAUTER,, 5. m. guide 
bie. . 

Xav£co. V. Chaveco. 

Aivgca. V. Enzavegd, 

* Xg pour Se. V. Se. 


z xsni, V, Goiveiro amargliaı 


tranch2s 


los duserıs WArd- 


YYı 1919 
Km A A na 
Ken. an Heike schaft de iribu arab Y, 


Xaqus. 

Xerurim. V. Xarafiım. 

Xerir. V. Xairdl. 

Ataca, 3. f. ancien drap grossier dont on 
(sisait des habits de deuil. V. Eaxerga. 

Xzrcid. V. Enzergdd. 

Xrzrinca. V. Seringa. 

XzrorHacia, 5. f. ($. d’ami.) serophagie : 
usage de fruits secs. 

ÄEROPHTRALMIA, 3. f- (h de mdd.) xeropb- 
thalmie : aphthalmie söche, dömangeaison, 
Fougeur sans enflure ni larmes. 

TXERQUE, adj. 2 gen. ä la maniöre orieniale, 

Atava. V. Canamo, 

* Xı pour Se. V. Se. 

Xıan, V. Xak. 

Xısinga, etc. V. Chibanga, eto. 

+ Xwio,s. m. Pd da —, orte d’sucienme 
danse portugaise. 

XÄIBATA , etc. 

XÄIFARÖTE. | V. Chi..„eic. 

Xıranörsauo, V. Kylabeleume. 

XımeaA. V. Sumen. 

Xiwıo. V. Mono, Alaseoe. 

Xina , etc. V. Chins, etc. 

+ XırATom ‚sm. ie premier maltre d’hötel 
dans les grandes hötelleries de Pekin. 

Xıpndıde, adj. 2 gen. (t. d’anat.) Carfilagem 
_ , xipholde os appendice de ce nom, tantöt 
Össeux , tantöt carlilagineux. 

*Xıquza. V. Sequer. 

Xira ,s. f. chöre. Boa —, bonne chöre. 


Zins 7 Kirk. 
„Sertngs, öte. 


ırinca, etc. 7 

Kırıs. V. Pris fottd 

Xırö, 8. m. (i. du Br.) boutiten, de rik 
avec du sel. 

Xis ow Xiz, nom de la lettre X. 

Xixanv. F. Chicharv. 

°Xixo. V. Secco. 

xXoö, interj. 7. Ch. 

XocoLÄTE, eit. V. CRoeolale, #6. 

Xorninco, sm (&. dit Kat.)“ ortraie, 
brise-os, ossilrage : ge d ai I! enmier. 

Xorrin, elc. Chofrat, 

F Xöpaä! inter]. d’adıh. LER Kenst van! 

Zönca. V. Azörca, 

Xöano. V. Jörro. 

un. V. Chad. 

Xurin, etc. V. Chupar, nie. 

Xvcrävis. V. Eniremeilide 

+XrıLo, 0. m. (8. ds bot) xylotı s plante il 
por le coton. — #’Amdricn, 
euillen. — da India, corsnhier arboreheen ’ 
kylon d’Inde ( Gossyphum arboreum). 

XrropiLkıso. s. m. xylobalsame : petite 
branche du baumrer de Judte. 

+ XrLocnapula, s. f. xylographie: Imprinieb 
hie areo des planches en hois grardes, 


T 


1320 ZAG 


+ Xrıocairuıco, A, adj. xylographique ; de 
la xylographie. 

+ XrroLocia, s. f. xylologie: histolre natu- 
relle, traitö des bois, 


ZAN 
+ XrLöruaco, A, adj. zylophage :qui range 
le bois. 


+Xrrormöas,s. f. xylopberie : füre des B4- 
hreux oü l’on portalt le bois pour te few sucrä. 


Y. 


Y, s. m. vingt-quatrieme lettre de Falpbabet 
portugais; elle a le möme son que Pi. 


Yosını. V. Hyoseris. 

Yrzcacvimsa. V. [pecamsanke. 

Yrocusaı. V. Hypocheris. 

YrsıLdınz, adj. 2 gen. ypsitolde. On is da 


T Yanoon, s. m. grande autruche de File | d’une suture du cräne. 


Saint-Laurent. 

t Yapb, s. m. oiseau du Brösil qui ressernbie 
& la pie. 

Yinpa, 8. f.*yard, aune anglaise.V. Jarda. 

* Ycnid. V. Uchao. 

° Ycutco. V. Enzö6co, 

Ysuir. V. Biemal, 

Yerin ‚8. m. espöce de cousın du Brosil. 

Yıuorsaiz, V. Almofariz. 
+Yoscıämo. V. Meimeondro. 


Z,s. m. vingt-cinquiöme et derniäre leltre de 
Yalphabet portugais; elle a le möme son qu’en 
francais. C’etait anciennement une lettre nume- 
rale valant 2,000, et avec un trait au-dessus 


‚000. 

*+ ZaapOna, 3. f. dame, femme libre. 

* Zapanßıea, s. f. femme eflroniee, 

Zinra, 8. f. sorto de [rögate ou de brigantin 
enge dans la mer de Biscaye. 

ABUGÄRS. . 

ZABUCälO. | V. Sopuedia. 

ZaBüusa, 8. f. la grosse caisse. 

Zanbaro, adj. m. Milko —, gros millet des 
indes. V.Müho, 

Zica ou Zico, 5. m. (4. d’Asie) grand-pröire 
des bonzes, 

f Zicoum ow ZÄCUM, 8. m. Za0COn : 6Sp6c6 
de prunier de Jericho. 

Zarira. V. Safıra. 

*Ziaa,s. f.V. Saga, Retaguarda. it." Zaga ı 
arbre dont on fait les zagaies. 

Zucäta. V. Azagaia. 

Zacaläda, 6. f.coup de zagaie. 

ZacäL, 8. m. jeune berger; aide du maltse 
verger. Jeune homme fort , vigoureux (inus.). 

AGALA, 5. f. jeuno bergere. Jeune älle. 
GALEIO, A, 0% N jeune berger, jeune bor- 
ZAGALETO, 8, 8 göre. 


Yrocısını. V. Hypociste. 

YrsıLon , s. m. nom de la lettre Y. 

“ Yaıın. V. Eıquadräo , Exereite. 

Ysoriıno. V. Thymbra. 

Yssöro. V. Hyssopo. 

Yöca , s. f. yuoca : patate d’Amteiqus, dm 
en fait du pain. 

Yva. V. Ioa. 

Yxzco. V. Enwsco. 


2. 


Zıcant, s. m. sorte de tolle de lin. 

Zucönno. V. Zargumcho. 

Ziımano.V. Zamödro. 

Ziıno,, adj. m. zain : cheval tout neir eu iomt 
bai, sans aucune marque de blane. (Ag.) Tre- 
tre, fourbe. 

+ Zurumia, ©. m. (. de mar.) desner ls 
voix, chanter. V. Celewma. 

Zimso,A, adj. V. Zambdro. 

+Ziuno, s.m. animal sauvage et dilerme 
d’Amerique. 

Zausöa,s. f. sorle de eitron. V. Terupe 
Sorte de coing ent£. V. Gambos. 

ZaupBoßına, 3. [. arbre qui porte les zanlees. 
V. ce mot. 

+ ZausnÄäLHo, 5. m. olseau aquatique de 
Portugal, de la grandeur d’une poule. 

ZAMBRO, A, adj. cagneux, bancal, bancre- 
che. 

ZauB0co , s. m. sorte d’embarcation d’Asie- 

+ ZıusuckL, s. m. arbre du Br&sil. 

ZANBUJBIRINHO , dim. de 

ZANBUJEIRO 0% 

Zau20J0, 8. m. 

Zıuorim. V. Samorim. 

Zaxäca, adj. ou 5. 2 gen. V. Fosge, Zero 
ho. 

Zinch , s, m. aversion, antipafhie; guigneM. 


Paz 


} olivier sauvage. 











El 


Y. Grima. Sorte de jeu de cartes enire deux 
personnes. (vigu&) ° Moulin & bras. 
TR 7% de Zangar. adj. Ennuyt; 







fıche, de maufaise humeur. 

ZANGADOR, A, adj. et s. qui ennuie, rend de 
arauvaiso bumeur. 

ZuncaLHiß, 8. m. qui ma 6pouss qu’une 
femme. 

Zancano. V. Adelo ei Zingäo. 

Zincko, s. mw. bourdon : grosse mouche- 
gu@pe qui se mele avec les abeilles. (Ag.) Pa- 
resseux qui vit du lravail d’autrui. Accapareur. 

Zanoir, v. a, porier malheur. Ennuyer. V. 


Enfader 


„ Desgostar.. i 
Zancia-sz (de,com), d.r. BENNUJET, 56 fä- 


cher ;so dögohter. 
ZANGARALHÄÖ, 3. m. homme grand 66 mal 
bati , hallebreda. 
ZANGARREÄR, 9: 0. (& burl.) räcler de la 
uilare. 
Zancuisiana, 3. f. (4. burl.) altercation , 


desordre. 
+ Zancunnlänä (b burl.). V. Bebedice, Em- 


briaguez. 
ZınöLno. V. Zarolho. 
+Zinvo,s. m. (l. d’Asio) * enchire. 
ZiöziÖ, 5. m. son monolone, monotonie. 
ZAPETE, 5. m. jeu de carles, espece de truc. 
+Zuröta, s. f. (8. de bot.) — maior, "ma- 
mei-sapote. — menor, " sapouillier, arbre d’A- 
merique. 
+ Zurötz,s. m. (8. de bot.) “sapotille : fruit 
du sapotillier. V. Zapota. 
ZARABATÄNA , 3. f. sarbacane. 
TARACALHÄDA, 8. f. ($. dur.) cohue. V. Tur- 


bamulia. 

Zanacaröa, 8. f. (6. de bot.) herbe aux puces. 

Tanacöta. V. Zaragaloa. 

ZarAvATÄna. V. Zarabalamae. 

Zanciö, 5. m. minlum, oxyde rouge de 
plomb. 

Zinco, A, dj. bleu clair, tirant sur le blanc. 
Qui a les yeux d’un bleu clair. 

Zinco. V. Zarolho. 

ZancuncHina, 8. f. Coup , blessure de Zar- 

ho. V. co mot, 

+ ZARGUNCHÄR , 0. & blesser aveo un zargum- 
echo. V. ce mot. (Ag.) Piquer. 

Zuncöncao, 8. m. (mot d’Afrigue) dard 
trös-court et trds-aigu. 
ZaröLu0, A, adj. borgns, —6886; louche, 


Ziura, V. Jarra. 

Zis ou Ziz, s. m. bruit que feit un cöup, un 
oorps quitombe. Zas, 208. On le dit pour eX- 
primer plasieurs coups redoubits : pan, p&n. 
6. iaterj. Paf, pouf. 

Zırö. V. Tate. 

Zıvantına. V. Zabaneira. 

Zivaa. V. Zebra, 

Ziz. V. Zis. 

Zazacıränıa, 8. f- (6. d’Asfe) tojle de epkon 
dont on falt des chemisos. 


























ZEN 1221 


Zırunino,. V. Jazerino. 

+ Zuzivrua, s. f. (1. de bof.) lamptane de 
Zanthe : plante medicinale. 

ZazintHinas. V. Zazintha. 

Ziz0,8.m. (6. dAsie) grand prötre des Japo- 
nais. 

+Z8so,s.m. (1. d’hist. nat.) zöbu : pelite es- 
pöce de bison. V. Gebo. 

ZeseLina, s. f. zibeline, martre zibeline : 
sorte de martre, qui tient de la belette; sa belle 
fourrure , trös-estime&e. 

Zeora,s. f. "zöbre: quadrupdde d’Alrique, 
Ane raye. 

ZeuriL, adj. 2 gen. de zebre. 

ZEBRÜNO, A, adj. couleur de cerf( cheval). 

“Zeeöna,s. f. virgule, sigae de ponctuation. 

+ Zecona, s. f. quadrupede d’Eihiopie, es- 

d’ane sauvage. V. Onagro. 

ZEDOÄRIA 0% (4. de bot.) zedoaire bul- 

Zepokına, 8. f- | beuse: plante aromatique; 
sa racine meödicinale. 

Zeıino, A,Pp. p. de Zelar. 

ZELADOR, A, 8. zölateur : celuf qui agit avec 
zöle pour la religion. V. Zelote. Membre d’une 
confrörie, etc., cbargd de faire observer les 
statuts. Surveiliant. 

+ Zeuinnıa , s. f. (1. de gdog.) Zelande : pro- 
vince de Hollande. Nova —, Nouvelle-Zelande, 
tles de la mer du Sud. 

ZeLinte, adj. 2 gen. quia du zeie pour. V. 
Zelote. p. a. de 

ZeıLiR,o. a. aroir du zöle pour; veiller avec 
zdle, avoir soin au maintien des lois, etc. Ob- 
server, surveiller : &pier la conduite, les ac- 
tions de quelqu’un. Veiller ä, avoir soin de. 
fire jaloux de. — a mulher, surveiller ta con- 
duite de sa femme; en etre jaloux. 

ZeLo,s. m. zele, soin, attention a fsire ob- 
server les lois, etc.; affection ardente pour 
quelque chose, pour la religion, la patrie, la 
vertu, eto.—s, pl. ” Jalousie. V. Ciume. (fig.) 
Crainte qu’on ne manque aux &gards, aux al- 
tentions qu’on doit avoir. Ter —ı de, &tre ja 
loux de. 

ZELÖSAMENTE, adv. avec zele ; avoc jalousie. 

ZeLosissımo, A, adj. sup. de 

Zeıöso, A, adj. zel6 : quia du zöie, de l’er- 
deur, de la ferveur. Jaloux, qui craint un ri- 
val. V. Cioso. 

Terörs, adj. et s.2 gen. qui affecte du zöle, 
qui a un faux zele; zelote,, zelotype, Jaloux. 

+ ZELOTY’PIA, 8. f. z6lotypie, ztle outre; ja- 
lousie. 

Zeuozta. V. Gelosia. 

Zenpir. V. Sendal. 

Zenıin. V. Azinhavre. 

ZENiDO. . 

Zenin. V. Zuni.. 

Zenitu, s. m. (1. d’asir.) s6önith : le point ed- 
leste perpendiculairement oppos# & un polm 
terresire, point vertical. (fg.) Falte, le plus 
haut point (de gloire, etc.,. ’ 
+ Zanv-AYgata, 3. m. Zend-Avnia ı code des 
lois de Zoroasite, 


‘ 


1299 - -ZIR ZON 


Zenzennkıno. V. Sinceiro ou Cinceiro, EIRUMBETE. V. Zerumbete. 

ZeruYRO, 5. m. zephyr : ven agreshle eg | Zızankıne, 5. me. oelai qui aime lau 
doux. (4. de myth.) Zephire : divigniis de la| Zizäma,e. f. (6. debof.) ivrale, maranpan 
fable. dans le bie. — basterda , ivreie amehe 1. 

Zequim. V. Sequim. Jolo (fig.) Dranie, discorde; div. Sas- 

Zeasatina. V. Zarabalana. 

Zereo. V. Zirdo. 

Zerıninpa, 8. f. volee da coups. V. Sovs, 
Tunda 














T Zızamiäa , 9. ». semer la zizsak. 
+ Zızanista. V. Zizaneiro, Karıdam. 
Eırr’rmo, s. m. V. Bassire de um 
ABA, 5. f. son fort, bourdennenat im 
sement. 

tZointeo, #8. mw. (4. dat. net.) nude: 
polype & corps nu, sans envelonpe sale. -1, 
pl. 00 Achniasd’Ellis, zoanthes: saininm 
blables & une fleur syr un pediosie; ıstens 
de mer. 

Zoia, v. ». hruire, tinter, beurdenee. 

Zovıacit,adj.2gem. zodiscal : quiseiei 
ay zodiagqune. 

Zonlacd, s. m. zodiague : grand unkih 
spbere, divis$ eg donze Sippe; paröe da 
oü les plandieB 38 Meuven 

Zonoanın. V. Zedodria. 

»aänco. V, Zofrango 

ZuiLo,s. Mm. Zone Nom dk rhötenr sscita 
qui, pour se rendre c&l&bre, eritigee jur 
ment Ies ouvrages d’Homäre, de amt! 
socrate. Son nom esı devenu an non came 
qu’on applique & tout critique Injusk ai we 
envieux, 

Zousaptına, 8. /. mognense; bedise 

Zomsino, a, 9. p. de Zomber. 

FOMBAROR, A, adj. ot s. mogume, akt; 


plaisant, badin. 
oysiıa. V. Tunbdia. 
Zomsir, 0.6. plaisanter, raflpr qui 


x3e, com) v. m. Se moquer de; plasastr.— 


unda. 
ZerıbÄinDo, 8. m. fouet. V. Azorrague. 
ZERO, 6. m. z6ro ; caractdre d’ariikimdtigue 
qui decuple la valeur des chiffres apres les- 
quels on le place (0); ne&anı, rien. —, margne 
au thermoamötre le degrö de la congelation. 
Zerostina. V. Zarabalana. 
ZERÖNE. V. Cerome. 
f ZERUMBRTE. V. Gengiore silvesire. 
ZESTE, 5. m. 2e8t: cloison dans les noix, ato. 
Zer£tica, &. f. methode $äystlque, pour re- 
soudre un problöme en &tudianı ja naturede la 
chose. . 
TRUGHA, 6. f." zLugıne ‚ yorte d’ollipge, figure 
de grammaire. 
Zevaa. V, 


ZEVRINA. . 
Fe |v. Zobelina, 


8 . 

TZickna, 5. f- (t. d’hist. mas.) zigäne : espäce 
de sphinz. 

+ Zioussicın, 5 m. (1. de fort.) zigrag ı 

emin, boyau en zigzag. 

t Aeuszicug, 4. =, peut tambour, Janet 
genlanls. (Ag. Tan.) Homme remyant, in- 
quie 

Zınians. V. Samarra, 

Ziuso, 8. m. zimbis : coquillage unıvalve 
qui sert de monnale on Afrique, 

ZusaörIo, 8. m. dömp : Yvoßie en Cgupe zen- 
vers6e qui couronne un temple. 


Ziusaa, 5 fı V. Zimbro, &ulguem, so moquer de queiqu'un -au 
Zıusaio, A, 2. p. de Zimtrar. guem, plaisanter, badiner Avee qeegr® 
1 Zuunnär, a. m. * genärriöre : lieu plants | Eaid zombandu ? vous laisanies, vous beb 
de gandvriers, ' nez? Ndo estow zombando, je ne plaisacie pe 
Zımsain, vo. a. (#. oulg.) batire, frapper, |jene badine pas. Nem sombands, ps Din 
TOBBOR. laisantanı, pas mema en badina. 


ZIMBRO, 8. m. (#. de bei.) genävrier : arbris- 
sean ndoriidrani, toujours var: — da Lycia 
oy . Y, Cedro. 

Zınäanuz. V. Asinhavre. 

Zinn, s. m. zing: mötgl blanc, brillant, 
bleu4tre. 

Zinpanöcmo, 4. 0. baut, co qui termine une 
ohose dlev6e. 

f Zincı. V. Ninsingue da Chine. 

Zmcımae. V. Gengiore. 

ZINGRÄR, ©.@. (4. oulg.) SB jQuer, 54 moquer 
de, railler. 

Zınin. V. Zunir. 

T Zinn, so. f- (4. de bot.) zinnia: plante de 
Ma syngändsie. 

BınziL, adj. 2 gen. (1, d’anat.) öpiplaigue, 
de l’epiploon. 
„Zins, & mm Ci, danas,) Spiplopm, V. ede- 


ZiRcBLin, V, Gergelim, 


MBania, 8. f. raillerie, mogueie, ” 
santerie, badinage; derision. Y. Exerım, 
Ludibrio. Fazer — d’ m, se moget, 0 
jouer de quelgu’un. Fazer — delqum uw 
mesma presen{a, fire au nez de quekgi®=- 
insulsa, som grasa, raillerie fade. Perad-- 
raillerie A part. 

ZOMBA-LOMBÄNDO, loc. ade. par maniirt & 
plnisanıerie. . on 

ONBETEIRO, A . se urogue @®, 

raille.s. Mogueur, hr ie V. Enrarnndır. 

Zumsino. V. Zumbido. 

Zöna,s.f. bande, rale. Zone : une des def 
bandes que l’on compte entre lag dee: piC 
du globe. 

ZoncBAaDüRa, 8. f. coup de pisign de preffi 
action de pomper. 

DNCHÄR „Q. 9. Romper, faire aller ie piet- 

NCHO, 8. m. piston de ig pouipe. 
Konxipo, V. Zunide. 




















Zube. I. Beoe. 

+ Zeocıyruitas; 8. fı wi. Dookiyphtten : pp“ 
us qui aut des umproiuies des ininatiz. 

+ Zoöcaarno, a m.S00grEPhR : qui vorit yar 


los auksaatık, 

4 Geomarniays. f sungrophe : deverfiiiih 
des anımaukx. 

+ Zaauaehiay u fo’ seultlits : Whdrelfch dos 
animaux. 

+ ZoöLımo, s. m. z0olithe : partie dure des 
animaus fossiles. 

+ Zoouocıa,, s.f. 200logie ı science qui traite 
de tous les animaux. 

+ ZooLocisTa,s. m. z0ologiste : qui 50 livre 
a l’etude de la zoologie. 

+ Zoomonraitzs, s. f. pl. z00morphiles 
pierres qui ont une rassemblanov avcc Un anr 
mal oonnu. 


+ Zoonxito, s. m. (t. de chim.) zoonate : sel 
de l’acide zoorlique. 

+ Zoönıco, adj. m. (l.dechim.) Acido —, 
acide zoonique, tir6 des muscles. 

+ Zoonomia, s. f. zoonomie : recherche SAT 
les principes de la vie animale. 

+ Zoonömico, A, adj. zoonomique: de la 
z2o0onomie. . 

+ Zoörmaco, a, adj. (t. d’hist. nal.) 200- 
phage : qui suce les animaux (mouche) ; carmi- 
vore. 

+ Zoormörıco, A, adj. zoophorique : qui 
porte un animal (colonne). 

+ Zoörmono, s. m. (f. d’arch.) zoophore : 
frise chargee de figures d’animauz. 

+ Zoöravyro,s. m. (i. d’hist. nal.) zoopbyte: 
animal-Aeur, animel-plante. 

+ ZoorarroLocia , s.f. zoophytologie: partie 
de l’histoire naturelle qui teaite des zoophytes. 

+ ZoorBYTroLituzs, 8.2. pl. zoopbytolithes; 
zoophytes petrifits de fossiles. 

+ Zoorouia, 8. f. sootomie : pr&paration 
anatomique des animaux. 

+ ZooryroLituss, s.m. pl. zootypolithes : 
pierres qui portent l’ompreinte d’un animal ow 
de ses parties. 

Zorissa , s. f. zopissa :goudron que l’on de- 
tache des vieux navires; poix navale. 

+ Zörrao. V. Clinopodio. 

Zornims. V. Cerome. 

Zönıa. V. Palmatoria. 

+ Zoniıua, 8. f. (t. d’hist. nat.) zorille : po- 
tite moufetie,, animal du Perou. 

+ 7onLito, s. m. (1. d’hist. nat.) chevreuil. 

Zonrı, s. f."renard. V. Rapoza. Chariot peu 
dlevö, A quatre roues; 6fourceau, diable. 

+ Zormiı, s.m. (b. d’hMst. nal.) la drenne. 
Y. Tordo visgueiro. 

Zonaicus. V. Azorraguse. 

Zornnır. V. Estorninko. 

Tonstıro, A, adj. ($. de mar.) lourd, pe- 
sant; mauvais voilier (vaisseau). Qui demeure 
en arriöre, quiapeine A sulvroles autres; lent, 
paresseux , laıbin. 

Zara0, A,0d/. fin comme lo renard, ruse. 


-0 





ZUR 1293 


(Ag.) Qui lait le niais, Pidiot pour se dispenser 
de sraraillar, ale. V. Zervedro 


Zönaos, s. m. pl. V. devrowutje; Reboqus, 
1:90. Langer = —, weinen, reuiorqudr. 
Aautihs td We. "area, oisena;iltoftre, grosse 


BIIYE, 


ZorzaLbırno, A, adj. Falcdö — ‚ Tauicon qui 


‘chasse aux gfiv 


os. 
ZÖTE, . m. (4. burl.) sot,, nigaud , idiot, 


beta, benet. 


+ Zorisuo ‚s. m. "sottise, nigauderio, bötise, 


imbeeillite. 


Zourtıno, A, adj. vieillard decorepit. 


Zövo, s. m. hippopotame des riviöres de 
Cuama et de Sofala. 


+ Zuintg, s. m. (1. d’Asie) sorte de toile de 


coton de l’Inde. 


Zöcng , s. m. serpent du Bresil. 
Zum es Zum zum, son imifalif. V. Zumbido. 
Zumsira, 8. f. (8. d’4sie) zombaie : manidre 


de saluer le roi des Indes röverence & l’orien- 
tale , reverence profonde. 


guuneı lan. A,p.p.de 
uMBAlÄh, cv. a. faire des zombaies, de pfo- 


fondes röverences. 


Zuusir, v.n. faire une zombaie, une pro- 


fonde rörerence. dt. V. Zumbir. 


Zuusino ,„ s. m. tintoin, bourdonnement, 
bruit sourd. 

ZuM2ido,A,p.p. de 

Zumnir , o.#. bourdonner, linier, corner, en 
parlant des oreilles. V. Zunir. 

Zuu2RiDo, A, P. p. de 

ZumBriR-SE, dv. r. so plier, se courber; (lg.) 
s’bumilier. 

Zunca, s. f. (4. da Brösül)* bicho, bichios ow 
bicios: ver sous la peau. V. Ningoa. 

Zunıipa , 3. f. (4. burl.) bourdonnement oun- 
tinuel, tintement. 

+ Zonınkıra, s. f. outil d’orförre. 


sourd; sifllement (des vents). — dos owvidos, 
tintement d’oreilles. 

+ Zunıpon,Aa, adj. bourdonnant, qui bour- 
donne. Moses —a, mouche bourdonnante. 
Zunım&nto. V. Zunido. 

Zunin, dv. w. bourdonner, tinter, corner, en 
parlant des oreilles; &prouver un tiniement. 
Siffier, en parlant des vents. Bruire. Zunem- 
Ihe os owoidos, les oreilles lui cornen!, 

+ Zuaicn, s. m. (1. de geog.) Zurich : ville et 
canton de Suisse. 

Zunnicna, s. f. “bac, barque de passage. 
Zunrino,p. p.de Zurrer. 

Zunnira. V. Surraps. 

Zunrin, 9. ». braire, crier, en parlant de 
Pine. 

+ Zunnunia, s. f. braires repetös de Pane; 
grand nombre d’änes qui braient. 


Zuazipo,A,p. p. de Zurzir. 
Zunzipöna, 8. f- acion de baitre, de mali- 
traiter. 


Zunzfn , v.@. (1, vnig.) hatte, frapper, FOR 


Zunipo, 8. m. lintoin,bourdonnement, bruit' 


Zönno, s. m. braiement, braire : ori de Fäne, 





1228 ZYG ZYT 
ser. (fig.) Maltraiter, röprimander, gourman- | ZruoLoctı, 8. f. zymeiogie : zaii zur Is 


der. fermentatien. V. 
ZY’6OMA , 5. m. (8. d’anat.) zygoma:osjugal,| ZYMOSIMETRO, 5.1. 2ymmonimebtze : Imtrumeng 
apophyss de Fos temporal. pour mesurer la formentatien. 
Zrcouitico,a,edj.(i.d’enat.)zygomatique: | ZUYMoTKcana ,s. ut zymotschnie , syunlagie ; 
du zygoma. Arcdde — |, arcade Eygomatique : partie do la ohimie qui tzaite de la um» 
pro6sminenoe qui joint Pos de la pommetie au 
tomporal. ermo.e. m. sytuum heissen du. 


AN. 


u... 


FIN DU DICTIONNAIRE. 


zo 





VOCABULAIRE 


DES NOMS PROPRES PORTUGAIS, LATINS, FRANCAIS. 





A. 
Noms masculins. Agustinho. Augustinus. Augustin. 
Aires. V. Arlas, 
Aaröd. Aaron. Asron. Aläno. Alanus. Alain. 
Abd&6. Abdon. Akdon. Alarico. Alerious. "Alarie. 
Abel. Abel. Abel. Aläudio. Alaydius. Allede, 
Abrahäß. Abreham. Abraham. Albäne. Albanus. Alban. 
Absaldöd. Absalon. Absalon. Albörios. Albervons. Auberi,Aubey. 
Abundäneie. Abundantius. Abondance. Alberto, Alberius. Albert. 
Abundio. Abundies, kan Albino. Aldinne. Ani 
Acäcio, Acatins. Acaoe. Alc&o ow Alceu. Alcaus. Alcte. 
Acehrsio. deoursius, Accurse. Alcibiedes. Aleiblades. Aleibiade. 
hilleus. Alderioo. Aldericus. Alderie, 
Achiilen.  fZepuen } Achite. Aldovrando. Aldoprendus. Aldebrand. 
Acrisio. Korisius. Aorise. Aldrico. Aldrienus. Audri. 
Adalärdo. Adalardus. Adalard. Aleixo. Alexius. Alexis. 
Adalbörto. Adalber tus. Adalbert. Alfredo. Alfridus. Alfred. 
Adid Adam. Adam. Ally’rio. Allyrius. Aliyre. 

. Ado. Adon. Almächio. Almachius. Almsche, 
Adeiärdo. Adelardus. Adelard. Almerio. Almerieus. Almer. 
Adelino. Adelimus. Adelin. Alodio. Alodius. Alen. 
Ademäro. Ademarus. Aymar. Alphto ow Al- 

Adjuteor. Adjwior. Adjuteur. pbeu. Alphous, Alphee, 
Adolpho.  Adolphus. Adolphe. Altino. Altinus. Altin. 
Adriäno. Adrienuis. Adrien. A’ivaro. Alvarus. Alvar. 
Adroäldeo. Adrosldus. Adraud. Amad£u. Anedans. Amedte, Ami. 
Advenline. Adventinus. venün. Ami. 
Alonso. Alonsus. Fe Amädo. Amasus. Aime, 
Agäpio. " Agapius. ape. Amadour. 
Agapito. Agepitus. Agapel. Amador. Amsier. Amateur. 
Agathäd. Agatho. Agathon. Amäncie. Amantins. Amance, 
Agathönico., Agethoniche. Agatbonique. | Amando. Amandus. Amand. 
Agörioo Agericus. Agerle. Amaränthe, Ameranikus. Amaranthe, 
. y Agtoy. Amäro. Maurws. Mau. 

Aggto ouAggeu. Aygaus. Aggte. 
Asilberto, Agilberius. Agilbert. Amävel. Anadilis. Aimabie. 

°. e ce Amme 
Ayricola. Agricola. Agrioole. Ammsönio. Ammonius. N Ammen, 


Agripäno. Agripenus. Agrörve. Amphiäd, Ampkion. Amphion, 
Aerippins, Agrippians, Agrippin. Anne Amylas. Any. 





I 


Aldogandes. Aldegondet. 
Alena. 


Arber. Artkurus. Arııe. 
Ascimie. Astamims. Ascagne. 
Asterie. Asterins. Asitre. 
Atbsyasie, Alkanssins. Atbangss, 
Afisnp, Attilanus. Asnılain. 
Ausärte. Audartus. Aundacrs, 
Audemsse. Audsmerus. Omar. 
Andtne. Audenus. Anden. 
mn nn 
Aufrede. Aufridas. Aufray. 
Kegule. Augelus. ver 
Augustus. Auguste. 
Augüste. n 
Aunschirie. Aumacharims. { Anger, 
Aureliäne. Aurckanus. Aurtlien. 
Aurelie. Aurchis. Aurele. 
A’ures. Jureus. Aun. 
Ausberte. Ausbertus. Ausbert. 
Aussnie. gusonins, Ausoniss. 
Autöneme, ulonomus. Autoneme. 
. Auzenus, Auxzsan. 
Assencie. Auzenlius. Autenng. 
Auzibie. Auzibius. Auxibe, 
Avenline. Avontiaus, Avestin. 
Avite,. Avitus. Avic, Arie 
Azssiss. Azosias. 
Noms [ahihEN). 
Adela. ee, Adöle, 
Adeldide. Adelais, Adtlelde, 
Adelinz. Adelins, Adelihe. 
Adılm. Adilis. Adıle. 
Adriäha. Adırisab. Adrienne. 
A’fra. Afre. Alre. 
Agatha. Agelhe. Agatbe. 
Agostinhg. Augusline, Augustine. 
Agrippina. derippine, Agrippine. 
A’gueda. 7, Ignite, 
Albima. Albine. 
Alda. a Alde, Aude. 
Aldegends. 
Alix, 
Alexandrige 
Alodie. 


Aleydüı 
Alexandrip. diecchärtäh 
Alödta. Alod 
Amalia. 7. Ajnelia. 


Amalıhöa. Amalihea. 
Amella. Amelie. 
Anastäsia, Anaslasie, 
Anatölin, Anstolie. 
Angela. Angela. 
Anne. dänne. 


Annica, dt, de Anna, 


Antsnia. Antoni 


Antonine. 


Apollinarie. 
Apollönis. 
Apra. 
Astoria. 
Astrda, 
Athandsia, 
A’uda, 
Augia,. 
A’urea. 
Aurtlig. 
Ausg. 


Arte, 


Babilas, 


Babilänie. 
Babelige. 


Bacchao, 


Bäldo. 
Baldolno. 


Baldom#&ro. 


Raldrico. 
Balthasar. 
Barbado. 
BardomiAne. 
Barlaäe. 
Barnab#. 
Barönoie. 
Barsab&s. 


Barsanulpha. 


Barıholomen. 
Bärulo. 
Basiiöu. 
Basiliäno. 
Basilico. 
Basilio, 
Basinio, 
Bäsolo. 
Baudedlie. 


Bauduine. 
Beato. 
Beda. 
Beiishrie. 
Belträd. 
Benedicteo. 
Benevenato. 
Renigno. 


Benjeupiu, 
Bento. 


VOCABULAIRE, 


Apofiinerie. Apollinaire. 
Apollonis, Apolline. 
Apra. Euvre 
Asteria, Astarie. 
Astrea. Astree. 
Alhanarla. Athanasie. 
Aude, Aude,. 
Augia. Auge, 
duros, Aurde, 
durcli. Aurilie, 
Ayla. er 
vey, 
Ave. Avoye, 
B. 
Noms masculins. 
Babies, 
Batnlas. Babite. 
Babilanius, Babiten. 
Babolinus. Baholim. 
Bacchus, 
Bacchu, Bacqus. 
Baldus. Baul. 
Baldoinus. Ban douin. 
omer. 
Beildomerws. Garmer. 
Baldricus. Bauuri. 
Balthasar. Balthasar, 
Barbalus. Barbst, 
Bardumianus. Bardomien. 
Barlaam. Bariaam. 
Barnabas. Barnabe. 
Barontius. Baronce. 
Barsabas. Barsanufpbe 
arsanu . 
Barıanulalus. Barsanoul. 
Bartiholomaus. Barthetemil. 
Barula. Barula. 
Basilews. Basilte. 
Basilkianus. Basilien. 
Basiliews. Basilique. 
Basilius. Basile. 
Barinius. Basin. 
Basolus. Bale. 
Baudäle. 
Baudelius. | Bausile. 
Beusire. 
Bauduinus. Buudouin. 
Beatus Beat. 

u Bienhaursnz. 
Boda. Böde. 
Belisariys. Belisuire. 
Bertrandus. Bertrand. 
Beriwanus. Borwan. 

. no 
Benedictus. Beneset. 
Beneventus. Bienvemm, 
Beniguus. { Deniene, 
Benjamin. Benjamin. 
Benediclus. Benoit, 


Berälde, 
Berardo. 
Berino, 
Bernardine. 
Bernarde. 


Bernöülpbe. 


Ber6ön is. 
Bertino. 
Bertolde. 


Bertrände, V. Belträo. 
Bertulpae, Bertuipiuss. 


Bessarihb, 
Betario. 
Betürie. 
Birilo, 
Boaventern. 
Boleslau, 
Bom. 
Bonilsein. 


Bonito, 


Bonönie. 
Bräncio. 
Brandän. 


Bräulio. 
Braz. 
Bricio. 


Brüno. 


Balbine. 
Bärbara. 
Basitia. 
Basilissa. 
Batildes. 


Beata. 
Beatriz. 
Bemrindn. 


-] Benedieta. 
 Berirana. 


Bibiana. 
Blandine. 
Branea. 


Brigida. 


Caotano. 
Csjane. 
Calepodie. 
Cahtepo. 
Callisto. 


1297 
Beraldus. Berauid. 
Berardas. Berard. 
Berinus. Berin. 
72 Bernerein, 
Bernardus. Bernard. 
ulphus Bernuiphe. 
Bern ‘ | Bernould. 
Beruwisus, rODIUS. 
Bertinus. Bertia. 
Berteidus. Bertawd. 
Burton. 
| Bertalpke, 
Bardels. 
Bessarien. Bessarion. 
Betarius Boaire. 
Beluriys. Beturg, 
Birilus. Birile. 
Bonaventum. Bona 
Boleslaus. Bolesias. 
Bonus. Bon. 
Bonifasis. Bonifae®, 
s Bon. 
Bonilus. Bonet. 
Bonontas. Bonoiue, 
Brantius, Brantion, 
Brandanus. Brandan. 
Braulten, 
Braulius. Braufs, 
Blast, Blaise. 
ar < Brice. 
Bricius, 1 Brissen. 
Bruno Bruno. 
u Brumen. 
Noms [dminins. 
Balbina. Balbine, 
Barbara. Barbe. 
Basitie. Bastlie. 
Basilissa. Basilisge, 
» Batilde, 
Betildes, Baudour, 
Beate. o 
Beatrix. Beatrix. 
Bensventa. Bienvenue, 
Benedicta. Benotte. 
Bertrana. Bertranne,. 
Bibiana, Bibiane, 
Blandins. Blandine, 
Blancha. Blauche. 
Birgida. | Brigide. 
Birgitta. Brigjise. 
©. 
Noms masuline. 
Cajetanus. Gm 
 Cajanus. Cajan. 
. Calepode. 
Calliopus. Calliope. 
Calliste. 


Collisius, 





1228 


Calmelio. 
Camerino. 
Camillo. 
Cäneio. 
Cändido. 
Canüto, 


Capräsio. 
Carano. 
Carilepo. 
Cariveldo. 
Carlos. 


Carios-Magno, 


Carmörio. 
Casimiro. 
CassiAno. 
Cässio, 
Catäldo. 


Catäß, 
Cäto. 
Catuiino, 
Catällo. 
Cecilio. 
Celestine, 
Celiäno. 


Cölso. 


Chrisliano. 
Christino. 
Christöväo. 


Chromäscio,. 


Chrysögono. 
Chrys6stomo,. 
Cicero. 


Cindeo. 
Cireno. 
Cirido. 
Cirioo. 
Glar@uclo. 
Cläro. 


Claudiane. 
Claudio. 
Glemente. 
Clementine, 


Cleodulpho. 


Cleömenes. 


Cle&ophas, 
Clöte, 


Corolus Magnus. Charlemagne. 
Ca 


Carmerius. 


Cletus., 


VOGaBÜULAlut:.. 


Chaumel. 
Camarin. 
Gamille. 
Cance. 
Candide. 
Canut. 

{ Capraise. 
Caprais. 
Cheroa. 
Calais. 
Carivauld. 
Charles. 


rmer. 
Casimir. 
Cassien. 
Cassi. 
Catalde. 
Cataud. 


Chagnon. 
Cheledoine. 
{ Chillin. 
Chelly. 
Chrötien. 
Christin. 
Christophe. 
Chromare, 
Gramas. 
Chrysogon. 


Chrysostome. 


Cicöron. 
Cinde,. 
Cindee. 
Cerneuil. 
Cirice. 


(Cie Cirgues. 
Clarenee, 
Glair, 
Cler. 
Claudien. 
Claude. 
Clöment. 
Clementin. 
Cleoduiphe. 
Cldodoul. 

ı Clöomeöne. 

i Clömene®. 
Cleophas. 


Clodoaldo. 


Clodoveu. 
Codräto. 
Colombano. 


Colono. 


Colaämbo. 
Condeu. 
Conrädo. 
Constaneio. 
Constantino. 
Cornelio. 
Cösme. 
Cresco#neio. 
Crescente. 


Catharina. 
Cecilia. 
Cesäria. 


Chelidonie. 
Christiana. 
Christina. 
Gilinie. 
Clara. 
Claudia. 
Claudina. 
Clemeacia, 
Clementina. 
Cleüpatra 
Clotildes, 
Coltts. 


Columbe. 
Combe. 
Constäncia. 
Corina. 
Cornelia, 
Crispina. 
CGunegundes. 
Cyrenia. 
Cyriaca. 


% 


Carolina. 


7 


Y 


Penn, 


FIEHEERE SETGRRRRERRGREENN 


np 


in] 





D. 
Noms masculins. 
Yasiäno, Dacianus, 
)Acio. Dacius. 
)agoberto. Dagobertus. 
jalmteio. Daimatius. 
‚amäsio, 
'Amaso. } Damasıs. 
amiäd,. Domianus. 
aniel. Daniel. 
ıard4no. Dardanus. 
ario. Darius. 
ato. Datus. 
avıd. David, 
)&ciO. Decius. 
'reicola. Deicola, 
elphim. Delphinus, 
Yeme&lrio. Demetrius. 
nm6öcrito. Demoeritus. 
wmösthenes. Demosthenes, 
reniz, Dionysius. 
Deodatus. 
eodäto, D Jedit. 
resideräto. Desideralus. 
\esideörio. Desiderius. 
dio. Didius. 
idymo. Didymus. 
Jiniz. V. Dewiz. 
Jjiocleciano., Dioclstianus. 
riocles. Diocies. 
jiodöro, Diodorus. 
jiögenes. Diogenss. 
Jiögo. Didacus. 
jiony’sio. Dionysius, 
rioscörides.  Dioscorides. 
)iöscoro. Dioscorus. 
Jomiciano. Domitionus 
Jomicio, Domitius. 
)omingoß. Dominieus. 
)Jonaciano. Donatianus 
)Jonato. Donatus. 
)orotheu. Dorotheus. 
)räusio. Drausius. 
)rogo. Drogo. 
Irogoveu. Droctoveus 
Duärte, Eduardus. 
Julcardo. Dulcardus 
Durändo. Durandus. 
Noms [eninins 

De l phi na. De Ipkina, 
Demetria. Demeiris, 
Diana. Diane. 
Didia. Didia. 
Diony’sia. Dionysia. 
Domingas. Dominica, 
Domitilla. Domitilia. - 


VOCABULAIRE. 


Dacian. " 


Derobert, 
Dalmece,. 
Damase. 
Damian. 


Daniel. 
Dardanus. 


Daire, Darie. 


Dath. 
David. 
Dece. 
Deile. 
Dauphin. 
Demiätre,. 
Democrite. 


Demosthöne, 


Didyme, 


Diocledtien. 
Diocles. 
Diodore. 
Diogene. 


Didace, Diögue. 


Denis, 
Dioscoride. 
Dioscore, 
Domitien. 
Domice. 
Dominique. 
Donatien. 


Douchard. 
Durand. 


Delphine, 
Demetrie, 
Diane, 
Dide. 
Denyse. 
Dominique. 
Domitille. 


Donäta. 
Donath6e. 
Dorotbhöa. 


Ebruipho. 
Edesio. 
Edilberto, 
Edistio, 


Edmundo,. 


Eduardo. 
Egberto. 
Egesippo. 
Egeus. 
Egidio. 


Eleäzaro. 


Elesbä&6. 
Eleuchädio, 
Eleusippo. 
Eleutherio, 
Elezeario. 
Elias. 


Emiliäno. 


Emilio. 
Emy’gdio. 
Enetas. 
Enddio. 
Eolo. 
Eönio. 
Epärcio. 
Ephrem. 
Epicteto. 
Epicäro. 


Epigmönio. 


Epimacho. 
Erasmo. 
Erästo, 
Erico. 
Ermelando. 
Ermino. 
Ernesto. 
Erostrato. 
Esculäpio. 
Esdras. 
Esöpo. 
Rsparidiäd, 
Estanislau. 


Esueväo. 


Esy’chio. 


Stephanus. 
Rıychius. 


1229 


Donnese, 
Donatile, 
Dorothte, 


Eleuchade, 
Eleusippe. 
Eleuthöre. 


lin. 
Emile. 
Emygde. 
Enöe ® 
Ennode, 
Eole, 
Eon. 
Cibard. 
Ephrem. 
Epictöte. 
Epicure. 
Epigmoine, 
Epigomöne, 
Epimague, 
Epiphane, 
Erasme. 
Eraste. 
Erric, Erry. 
Erblain. 
Ermin. 
Ernest. 
Erostra ie. 
Esculape. 
Esdras. 
Esope. 
Spiridion, 
Stanislas, 
Etienne, 
Estöve, 
Kayche. 


1230 
Eucärpfo. Eucarpius. 
Eucherie Buchertus. 
Euclides. Euclides. 
Eudözies .Eudoswius. 
Eugendo. Eugenaus. 
Eugenio. Bugenws - 
Eulämpio. Eusampius. 
Euphräsio. Eugliaaeiun. 
Euphrönie. Euphronius. 
Euripides, Euripides, 
Eusebio. Eusebius. 
Zusico. Busicius. 
Eusinio. Eusinits. 
Eustäquio, Eustachius. 
Eustöchio. ustochiass, 
Eustörgio. uslorgius. 
Eusträtio. Eustracius. 
Eutröpio. Eutropius. 
Euty’chio. Euiyckhius. 
Euty’mio. Euiymius. 
Euväldo, Ewvaldus. 
Evägrio. Evagrius. 
Evancio. Evantius. 
Evandro. Evandrus. 
Evaristo. Eraristus. 
Evellid. Evellius. 
Evenclo. Eventias. 
Everardo. Everardes. 
Eviläsio.._  Boilasius. 
Erodio. Evodius. 
Erönio. Evonius: 
Exuperio. Exupertas. 
Ezeguiel. Exzechtel. 
Noms feminins. 
Elödia. Elodia. 
Emelia. Emelia. 
Emervnciäna. Emereniiagna. 
Emerita. Emerita. 
Emilia. Knmilia. 
Emiliäna. Zmiliana. 
Engräcia. Engralia. 
Epiphänia. Epiphania. 
Ermelinda. Ermeslindis. 
Recolastica.  Scholastiea. 
Spes. 
Esperäng». Ezuperanlia. 
Esıephany. Stephana, 
Eudeösig. Eudoxia. 
Eugenia. Eugenis. 
Eulälia. Eulalia. 
Eulämpia. Bulampia, 
Eundjmis, Eunomia. 
Euphömia. Euphemia. 
Euphräsie. Euphrasia. 
Eusebia. Eusebia. 
Eustökhia. Eustocklum. 
Eutröpie, Batropia, 
Eva. 
Ksupecia, Eruperia 


VOCABULATRE,. 


Bucarpe. 
Eucher. 
Euelide, 

‚ Eudoxe 
Eugent. 
Oyant. 
Eugene. 
Eulampe. 
Euphrase. 
Eupffroine. 
Euripide. 
Kusehw#. 
Eusice. ' 
Eusigde. 
Eustathe. 
Eustoche, 
Eustorge. 
Eustrate. 
Eutrope. 
Eutyckte. 
Eutyme. 
Euvald. 
Evagre. 
Evans. 
Evandre,. 
Evariste. 
Evelile. 
Evente. 
Evrar@: 
Evilaise. 
Evode. 

1 Evosy. 
Igonie. 
Exupere. 
Ezechiel. 


Elodie. 
Emmeöle. 


Emerentiane. 


Emerite. 
Emilie, 
Emilienne. 
Engrace. 
Epiphane. 
Ermelinde. 
Scholastique. 


} Esperanee. 


Etienne. 
Eudorie. 
Eugenie. 
Eulalie. 


Eulampie. 
Eunonmiie. 
Eupheinie. 
Euphrasie. 
Eusebie. 
Eustochiou. 
Esstochie. 
Eutröpe, 

Es © 


Erupfre, 


Fabiäß, 
Fäbio. 


Fabricio, 
Factor. 
Fagundo. 
Faustino. 
Fäusto. 
Feliciano. 
Felix. 
Fergeolo. 
Fernäindo. 
Ferreolo. 
Festo. 
Fiäcrio. 
Fiel. 
Firmin®. 
Firmo, 
Flaminio. 
FlaviAno. 
Flävio. 
Florbertö. 
Florencio, 
Florentino, 
Floriäng. 
Floriberto. 
Flörido. 


Flöro. 


Fortunätd. 
Francisco, 
Franco. 


Frederico. 
Fredulpbe. 
Frigdiane. 
Fructusso, 
Fruduiphe. 


Frum£ncio. 


Fulgencie, 
Fursöu. 


Füsculo. 


Fära. 
Faratides. 
Fausta. 
Fauslina, 
Febrönia, 
Felicia. 
Felicjana. 


Felicidäde, 


Noms masculias, 

, ‚Fabianus, Nm, 
Fabius. re 
Fabrietus. Fixb 
Facor. Panel, 
Facundus Il. 
Faustinus. Frese, 
Faustus. Frei. 
Felicianus. Feines 
Feliz. fe 
Fergeolus. Fergesl. 
Ferdinandug fell 
Ferreolus. Fernel. 
Festus. Feste. 
Fiacrius, Fisere. 
Fidelis, Fiat, „ 

LL.. Fums, 
Firma | ar. 
Firmus. Fıree. 

lamınius. Flnms 
lavianıs. fürm. 
lavius. Fur ‚>. 


lorberius. Ficken. 
lorenPih. Fre 


lorentinug, Flemis 
Florianus. Frea:. 
Floriberius. Eat 
Fioridys. Man. 
fisst. 
Florus. Pen. 
fe. 
E: or funahtt. Kers". 
Franciew. fine 
Fre. 
Francks. fat 
Friderius, fe 


Freduiphus. fr 
Frigdiesu. fit 


Fructueni. Freru 
Frudulpuun. Fre. 
. ( Frass" 
Frumtnlius. |fes- 
Fulgentiw. Ft. 
Fursaus. Fer. 
(Fe. 
Fusculus. | le. 
Noms feninia. 
Fara. Port: 
Phareildis. Furt 
Fausla. aut 
Feustind. Fa" 
Febronia. Ks 
Felicia. Polo 
Felieians, Feic- 
Febicitdi, Pe 





VOSABULAIRE. 


Firmina. Firmina, Firmine. . Qosrico. 
Flävia. Flavia. Plavie. _ Beer 
Flora. Flora. 1ore. ngallo, 
Fioreneis, Florentia, Florence, Gandeberto. 
Florina. Florina. Florine @ondulpho.. 

Y ‚Fortmala. ortunde. 

Fortunäta, . Francoise. Gorgodin. 
Francisoa Francisca. Fanny. Kothardo, 

Frandisquinha , dint. BOPFERAWER, Franchon. 
Fruoieosa. Fruciusse. Fructueuse. Ereere 
‚Lk üregöri 

rimoäldö. 

G. Gualberio. 
Gualrio. 

Homs mernulini , uarino, 

. uiberto, 
Galdine, ° Galdimns. "Galdin, aicharda. 
Galeno. Galenus. Galien. . 
Galliane. Gallien kanus Gallien. &uilherme. 
Gallileu. ' . allilde, n . 
Gallo. Gallus. Gal. a 
Gamaliel. Gamalid. Gamaliel. ustavo... 
Ganimedes. Gunimedes. Ganimedes. 

Gaspär. Gaspar. Gaspard. 

Gaudense, - Gaudenfius. Gaudenge, 

Gaudino. Gaudinus. Gaudin. 

jaufredo, Gaufride. . Geoffrei. Galathöa, 

Gaugerioon, Geugeriud. Äcan = pbaudelig, 

Gedeaö, Gedeon. Göd audencias 
ene 

Gelasio. Gelasius. Cölase, * novöfa, 

Gemello, Gemeilus. Gemel. ermana. 

Gemino. Geminus. Gemine, rtrudes. 

Genciano Gentianus, Gentien. rundia. 

Genebalde. %G . Genebaude, uilhermipna, 

Gen6sio, Genesius. Genids, 

Gennadia Gennadius Gennade. 

Gentil. Gentilis.. Genül. 

Genulphes . Genon. 

Gerärdo. Gererdus Gerard. 

Gerebalde« Gerebaldan, Gerebguid, 

Geremaro. Geremarun Germer. ’ 

Gerino. Gerimss. Gerin adsianeı 

Gerläcio. Gerlacius. Gerlac. aduindo. 

Germano.. Germanus Gr arduino. 
eronce ; @r | Begesippo. 

Geröncio. Gerontiun FouX. or 

Gerumne. Gerummus. Geron. elano. 

Gerunds. Gerundss. Gerondse eliberto. 

Gervasio. Gervasius: Gervais. elio. 

Gil. Kgidius. Gilles. eliodoro. 

Gilberto. Güberius Gilbert. eliogähaleı 

Gildardo. Gildardus. Godard; emeteri® 

Gildäsie, Güldasius; Gildas, enrigases 

Giraldo Gilardus. Girauld. eräclies 

. Geraldus. Geraud. eräclito. 
Gläuco. Glaucus. Glaucus. erbertau 
Goato. Goatus. Goat. Herculmme, 
Goberio. Gobertus. Gobert. ercules. 
Godelrtle.  Godefridus. Godefrol, Heribaldo. 

Goihofrides. Ondel;ch Neriberw. 


Kodolsäde, 


Gualbertüs. 
Gallerius. 
Guarinus. 
Guiberfus. 
Gwillelmeds. 
Gusiavus, 


Noms [ERtHER. 


Galathsa. 


H. 
Noms maschilil. 


Hadriewäs, 
Haduindus. 
Hardwinus, 
Hegesippuh. 
Hector. 
Helanus. 
Hetiberius. 
Helius. 
Heliodorus. 
Heliogabaies. 


Gualbert. 
Waubert, 
Gautier. 
Gue6rin 
Guiber 
Guichard,. 
Gui. 
Guillauie, 
Guillem. 
Guillebeäds 
Gustave, 


Galathöe. 
Gaudeölie. 
Gudule, 
Gaudence. 
@enereumd. 
Genevidve. 
Germaine. 
Gertrude. 
Geronde. 


Guillemetie, 


. 


Adriew, ! 
Chadouin. } 
Hardouin. 
Bector. 

Helan. 


“ Heivert, 


Beölier. » 
Heliodore, 
Beiiogabaimn 
Homätdre, 
Henri, 
Biracie, 
Heraolite. 
Herbert. 
Bercnlam, 
Heroule,. 
Beribauld,. 


1932 


Hermelände, Hlermelandus. { 
Hermenegildo. Hermanegildus. Hermensgilde. 


Hormes. Hermes. 
Hermögenes. Hermogenes. 
HerödoWo,. Herodoius. 
Hesiodo. Hesiodus. 
Hiacintho. V. Jacinto. 
Hidulpho. Hidulphus. 
Hilarisd. Hiüarion. 
Hi Iärio. H tlar vs ‘ 
Hildeberto. Bildebertus. 
Himärio. Himarius. 
Himelino. Himelinus. 
Hippöcra tes. Hippoerates. 
Hippölyto. Hippolytus. 
Homeöro. Homerus. 
Honesto, Honssins. 
Honoräte. Honoratus, 
Honorio. Honorius. 
Honulpho. Honulphus. 
Horäcio. Horatius. 
Hospicio. Hospilius. 
Huberto. Hubertus. 
Hugo. Hugo. 
Hugolino. Hugolinus. 
Humfrede, Humfridus. 
Hyginus. 
Hygine. | Hyginnus. 
Noms [öwinins. 
Heduviges, Hedwigis. 
Helena. Helena. 
Heliada. Beliada,. 
Menriquete. Henrice, 
Hertnia. Hoerenia, 
Hiläria, Hilaria, 
Honoräta. Honorala. 
Honorina. Honorine. 
Humiliane. Humilkiane, 
I. 
Noms masculins. 
f’caro. lcarus. 
Idalöele. Idaletiws. 
Ignäcio. Ignalius. 
}idebrando, Ildebrandas. 
lidefonse, Ildefonsus. 
Nlidio. Illidius. 
Inacho.. Inachus. 
Innöc#neio. Innocontius, 
lren&u. Irenaus 
Inasac. lssac. 
lagias. + dsaias, 


Hermenws. 


VOCABULAIRE. 


Herman. 
Berblan. 
Hermetan. 


Hermet. 
Hermogöne, 
Herodote. 
Hesiode. 


Hidoul. 
Hilarion. 
Hilaire. 
Bilier, 
Hildebert. 
Himer. 
Himelin. 
Hippocrate. 
Hippolyte. 
Homöre. 
Hone:t. 
Honorat. 
Honor®. 
Honore. 
Honuiphe. 
Horace, 
Hospice. 
Hubert. 
Hugues. 
Hugolin. 
Humfrey. 
Hygin. 
Hyginne, 


Heduvige. 


.. Helöne. 


Heliade. 
Honriette. 
Herenie. 
Hilaire. 
Honoree. 
Honorine. 
Humilienne. 


lcare. 
Idalöce. 
Ignace. 
lidebrand. 
lidefonse. 


_ Mlide, 


Inachus, 
Innoocent. 
Irende, 
lssaac. 
Isale. 





Isäure. Ismurus. issure. 
Isidöro. . 
Isidro. | Zriderus. Iiidene, 
Ismadl. Imasl, \umaäl. 
Jsoereies. Imerase, 
Ivo. Ivo. Ira. 
Noms föniadins, 
Ia. la. BR. 
Ign6z. 
un } Amer. Agnis. 
Iphigönia. Ipkigenia. Iphigisis. 
Isabel. een 2 Tinten 
Isabasa. 
Iveta. Inetie. Ivette. 
J. 
Noms masculins. 
Jacıntho. Byacinthus. Hyscafbs. 
Jano. Janus. Jenm. 
Januärfo. Jonuerius. Janvier. 
jayme: Jucobus. jamı. 
068. vannes. 
Jo&ozinho, dim. de Joäo. Jesunst. 
Jeremias. . Jerimis. 
Jerönimo. Bieronimus. Jertme. 
doaquim. Joachim, Joschi. 
Job. Job. pe 
Jodöco. Jodocus. 
Joel, Joel. Jeil. 
Jönas. Jones. Jesat. 
Jorge. Georgia. Ger. 
Josaphä. Jsephas. Josaphst. 
Jose. ossphus. Joseph. 
Josue. Josus. Jesue. 
Joviniäne. Jovinianus. Jorinise. 
Jovino. Jovinus. Jevin. 
Jovita, dJovite, Jovi 
J 
Judas. Judas. { Fee 
Juliäno. 
Julikd, } Julionus. Juin. 
Julio. Julius. Ju. 
Justiniano. Justinianus, Jusiaiee. 
Justine. Justinus. Justin. 
Justo. Justus. Juste, ik 
Juvenal. Jweonalis. Jurdsal 
Juvencio. Juventius. Jurence. 
Juventino, Jwormnlinus. Juvenim. 
Noms fiminins. 
Januaria. Jenyaria. Jaaritge, 
Joana. Joanne. Jeanne. 
Joaninha , dien. de Joana. Jeanne. 





Joaquinbe. Joachins. 
osepha. 
Jucünda. Jucunda. 
Judith. Judith. 
Julia. Juha. 
Juliana. Juliana. 
Juno. Juno, 
Justa. Jusia. 
Justine. Justina. 
L. 
Noms masculins. 
Ladislau. Ladislaus 
Lamberto. Lamberius. 
Landerico. Landericus. 
Landoaldo, Landoaldus. 
Landulpho.  Lundulphas 
Laomedönte. Laomedon. 
Laudo. Laudus. 
Lauriäno. Laurianus. 
Lauro. Laurus. 
L&zaro. Lazarus. 
Leändro. Leander. 
Leid. Leo. 
Leobärdo. Leobardus. 
Leonardo. Leonardus. 
Leöncio. Loonlius. 
Leonides. Leowides. 
Leondrio. Leonorius. 
Leopoldo. Leopoldus. 
Leotardo,. Leotardus. 
Leovigildo. Leovigildus. 
Letäcio. Latatius. 
Leufredo. Leufridus. 
Liberato. Liberatus. 
Liberio. Liberius. 
Liboörio. Liborius. 
Lieinio. ' Lieinius. 
Lizinio. Lisinius. 
Ligörio. Lig 07 UT, 1} 
L.ino. Linus. 
l.ivario, Livarıns. 
Longiahos, . 
Longino, } Longinus. 
l.opo. Lupus. 
Loihärlo, Lotharius. 
Lourtngo. Laurentius. 
Lucäneo. Lucanus. 
l.ucas. Iness. 
Luciäno. Lucianus. 
Lueinio. Luciwius. 
Lücio. Lucius. 
Ludolfe. Ludolfus. 
Luiz, Ludovicus, 
PORT.-FR. 


1233 
Joschine. Lullo. - Lullus. Lulle. 
Luperio. Luperius. Luper. 
Jos£phine. Lyeurgo. Eycurgus. Lycurgue. 
Juconde. Lysandro. Lysandrus. Lysandre. 
Judith. Lysippo. Lysippus. Lysippe. 
Julie. 
Julienne. . 
Junon. Noms füminins. 
Juste. 
Justine. Latons. Leiona. Latone. 
Laura. Leuwra. Laure. 
Lavinia. Lavinia. Larinie, 
Leocädia. Leoeadia. Leocadie. 
Leocrecia. Leoerefia Leoerecie. 
Leöncis. Leontkis. Leontie, 
Leonoria. $ L&onore. 
Leonor. Eleonora. t El&onore. 
Ladislas. Leopoldina..  Leopoldina. L&opoldine, 
Lambs. Libänia. Libania. Libanie. 
Lambert. Lour@nga Laurentia. Laurence. 
Terre Lucrecia. Lueretie. Luordre. 
Landoald. uise. 
Landulphe. Luiza. Ludoviea. Hölolse- 
setie. 
Laomeden. Lutzinha, dies. de Lulza. Louison. 
Laurien. Luzia, Lacia. Luce. 
Laure. 
Lazare. 
{ Ladre. M. 
Leandre. 
Leon, Lie. 
Leobard. Noms mesculins. . 
Leonard. 

Lienard. Macärio. Macarius. Macaire. 
Löonce- Machabeu._  Machabeus. Machaböe, 
Tdonor, Maclörio. Maclovius. Aaclon. 
Lsopold. Macrino. Mecrinus. Macrin. 
Lethard. Macröbio. Macrobius. Macrobe, 
Leovigilde. Mafoma.V. Mahomet. 

Lötace. Maglörio. Maglorius. Magloire. 
Leufroy. , Magneric. 
Liberat. Magnerico. Magnericus. N Magny. 
Libere. Mahomet. Mahomelus. Mahomet. 
Liboire. Majolo. Majolus. Mayeul. 
Lieinie. Malachlas._  Malachias. Malschie. 
Lizin. Mälco. Malchus. Malque. 

‘ Ligoire. Mamante. Mamas. Mamant. 

U Ligori. Mamöde. Hamas. Mammös. 
Lin. Mamerto. Mamertus. Mamert. 
Livar. Mamillo. Mamillus. Mamille, 

. Mancius. nce. 
Longin. Fern perl Mandelus. Mande. 
Loup, Leu. Manfredo. Manfredus. Manfroy. 
Lothaire. Manuel. Manuel. 
Laurent. Manuel. Emanue.. Emanuel. 
Lucain. Manve&u, Manveus. Manvien. 
Luc. Margal. Marlass. Martiel 
Lucien. Marcelliäne. Marcellianus. Marcellien. 
Lucine. Marcellino. Marcellinus. Marcellin. 
Luce. } Marceau. 
Ludolf. Marcello. Marcellus. Marcel. 
Louis. Marciano. Marcianus. Marcien. 


VOCABULAIRE. 


78 





— [11m 


1881 , 

. Mareius. 
Marcio. Hartius. 
Marco-Antonio. Marcus-Antonius. Marc-Antoine. 
Marco-Aurelio. 

Märcos. Marcus. 
Marcülpbho. Marculphus. 
Mardoch&u. Mardooheus. 
Mardönio. Mardonio. 
Mariäno. Marianus. 
Marino. Marinus. 
Märio. Marius. 
Marte. Mars. 
Martim. . 
Martinhe, } Marlinus. 
Martiniane. Marlinianus. 
Martirius. 
Martirio. Mariurius. 
Mathens. Matthaus. 
Mathias. Mathias. 
Maurencio. Maurentius. 
Mauricie. Mauricius. 
Maurino. Maurinus. 
Maxtneie. Maxentius. 
Maximiäng, Maxzimianus, 
Maximiliano. Maximilianus. 
Maximino. Mazxziminus. 
Maximo. Maximus. 
Mecönas, Mecenas. 
Medardo. Medardus. 
Mederico. Medericus. 
Melänie, Melanius, 
Melano. Melanus. 
Melchiades. Melchiades. 
Memmeorio. MHemmortus. 
Menändro. Menander. 
Menardo. Henardus. 
Menelau. Menelaus. 
Menelenu. Meneleus. 
Menulpko. Menuiphus. 
Meralde. Meraldus. 
Merourle. Mercurius. 
Meroveu. Meroveus. 
Metelle. Metellus. 
Meihedie. Methodius 
Metröble. Metrobies. 
Mich6as. Michaas. 
Miguel. Michael. 
Milits, Melito. 
Milleto. Milletus. 
Minias, Mimias. 
Mithridates.  Mithridetes, 
Modiöste. Modestus. 
Modoslde. Modoaldus. 
Mentano. Montenus. 
Morpben. Morpheus. 
Moyses. Moyses. 
Müolo, Muchss. 


Marcus-Aurelius. Marc-Auröle. 


VOCABULAIRE. 


Marce. 
Marta. 


Marc. 
Marcou. 
Mardochee. 
Mardon. 
Marien. 
Marin. 
Marius. 
Mars. 
Martin. 
Martinien. 
Mariyr. 
Martory. 
Matthleu. 
Mathias. 
Maurant. 
Maurice. 
Maurin. 
Maixent. 
Mazenoe. 
Maximien, 
Maximilien. 
Maximin. 
Mesmin. 
Maxime. 
Max. 
M6eöne. 
Mödard. 
Mery. 
Mederic. 
Melaine. 
Melan. 
Melchiade. 
Mesmy. 
Menandre. 
Menard. 
Mendlas. 
Mönele. 
Menou. 
Meraud. 
Meroure. 
Mörovöe. 
Metelle. 
Möthode, 
Mötrobe. 
Mich&e, 
Michel. 
Meliten, 
Miller, 
Miniat. 
Mithridate. 
Modesie. 
Modoald. 
Mentain. 
Morphöe. 
Mofse. 
Moyse. 
Muce, Mooe. 


Macaria. 
Magdalena. 
Magna. 
Maphalda. 
Marcella. 
Marcelline. 
Märcia. 
Marciana. 
Margarida. 
Maria. 
Mariana. 
Marinha. 
Martha. 
Martinha. 


Mathilde. 
Maxeöncia. 


Maxima. 


Medea. 
Medusa. 
Melania. 
Michaella. 
Michelipa. 
Modösta, 
Mönica. 


Nabe£e. 


Napole4ö 
Nareiso. 
Nars&u. 


Natal. 


Nazärio. 
Necterio. 
Nehemias. 
Neme6rio. 
Nemösio. 
Neöpbito. 
Neptuno. 
Nere@y. 
Nero. 
Nesiör. 
Nicändro. 
Nicanör. 
Niedsio. 


Nicecie. 
Nicephore. 


Niceu. 
Nicodemos. 


Nicoläu. 


Nicomödes. 
Nicöstrate. 


Noms feminens. 
Macarie. Aacsire. 
Magdalena. Madsisime, 
Magna. Magm. 
Mophalda. Naphalk. 
Martella. Marcelle. 
MHarcelline. Marcelime. 
Marcia. Mareie. 
Moarciana. Marciane. 
Margerite. Margaerits. 
Maria. Marie. 
Marianne. Marianne. 
Marinka. Marine. 
Marika. Marthe. 
Marlina. Martine. 
Matkildis. | Frrrwer or 
Mexonlia. Naerence. 
. Maxime. 
Maxime. | em. 
Medes. Mödee. 
Medusa. Medess. 
Melania. Melsus. 
Michaella, Michelle. 
Michaciiine. Micheline. 
Modesta. Modesie. 
Monica. Meoaigee. 
N. 
Noms masculins 
Nebor. Bro 
Napoleo, Neopolus_Napelise. 
Narcissus. Narcisse. 
Narseus. Narste. 
Natalis. yaul. 
Nazarius. Nazarie. 
Necterius. Neetaire. 
Nehemias. Nebtmie. 
Nemerius. Nömsire. 
Nemesius. Nemtse. 
Neophytus. Neophya 
Neptunus. Neptum. 
Nereus. Nerte 
Nero. Nere. 
Nestor. Nest. 
Nieander. Niosadın. 
Nicanor. Nicanes. 
Nicasius. r 
Nicelius. Dre 
Nicephorus. Ni 
Nicaus. Nicte. 
Nicodemes. Niosdiune. 
Nicolaus. Dr 
Nicomedes. Nicomöds. 
Nicostreias, Nicesiran 





Norberto. Norberts. 
Nuno. Nunmas. 

Noms fiminins. 
Natalia. Natalia. 
Neomedsia. Neomesia. 
Nicoleta. Nieolea. ı 
Nicolina. Colelta. 

Ö. 

Noms maseulins. 
Osctaviano. Oelavianıı. 
Octävio. Octavins. 
Odäd. Odo. 
Odildd. Odilo. 
Odolpho. Odolphus. 
Odorico. Odorieus. 
volau Olaws. 
Utldegario. Oldegarius. 
Olimpio. Olmpius. 
Olipio. Olipius. 
Oliveiros. Lil 

Olivdrio. } Olivarius. 

Ollegario. Ollegarius, 

On &simo. Onesimus. 

On.ofre. Onuphrius. 
Optaciäno. Oplaltianus, 
Optäto. Optatlus. 
Urestes. Orestes. 
Origines. Origines. 
Orönclio. UOrontins. 
Oseas. Osoas. 
Oth&8. . Oo. 
Ovidio. Ovidins. 

Noms fiwinins. 
Oda. Oda. 
Olaia. Olalia. 
Olga. V. Aldegundes. 
Olympia. Olympia. 
Opportuna. Opporiuns. 

’ Othilia. Otkilie. 

r 
' P. 

; Noms masculims. 
PaciAno. Pacianus. 
Pacilico. Pacificus. 
Pacömio. Pacomins. 
Paleölege. Palmoloaus. 


VOCABULAIRE, 
Norbert. Palinuro, h Pulinurus. 
Nonne. Pallädiv, Palladius. 
Pancräcio. Pancralius. 
Pantalidö. Pantalsen. 
. Papias. Papias. 
Päpio. Papius. 
le Päpulo. Papulus. 
Pardulpho.  Pardulphus. 
} Nicole. Paschesie. Paschasius. 
Pascoal. Paschalis. 
Pastor. Pastor. 
Paterio. Paterius. 
Paterno. Palernus. 
Patricio. Patricius. 
Octavıon. | Patröole.  Patroce. 
Eudes. Paulino. Paulinus. 
Odon. Paulo. Paulus. 
Odile. Pedro. Petrus. 
Odilon. Pedrinho, dim. de Pedro. 
Odolphe. Pelägio. Pelagius. 
Odorique. Pepino. Pepinus. 
Olare. ererrino. P 
Olleguier.. | es erogrinus 
ee Perpetuo. Perpetuus. 
Olfri Persio. Persius. 
Vier. Petraroa. Pelrarca. 
Olleguier. Phastente. "Phaeton. 
On&sime. Phöbe. Phabus. 
Onuphre. Phelisberto. . 
Optatien. Philiberto. | Mlibertus. 
tat. Philippe Pkilippus. 
One Philo. Pkilo. 
Origöne. Philomeno. Piilomenus. 
Oronce. Phindas. Phinaes. 
Osbe. Pilatos. Pilatus. 
Othon. Pindaro. Pindarus. 
Ovide . P io. P dus. 
Pirame. Piramus. 
Pläcido. Placidus. 
Plat&d. Plato. 
Pläuto. Plautws. 
Ode. Plinio. Plinius. 
Olaie. Plutarcho. Piutarchus. 
Pödio. Podius. 
Olympie. PoliAno. Polianus. 
Opportune, | Polliäd. Pollio. 
Othilie. Pollio. Pollius. 
Polybio. Polybius. 
“ Polycarpo. Polyearpus. 
Polydöro. Polydorws. 
Polyphemo.  Polyphemus. 
Pompeu. Pompeius. 
Ponciano. Pontianus. 
Pacien. ! Pöncio. Pontius. 
Paciflque. Porciano. Portianus. 
Pacöme. Porphirig, Porphyrius. 
Palsologue. | Possiüsaio. Possidonius. 


1235 


Palinure. 
Palais. 
Pancrace. 
Pantaldon. 
Pantrate. 
Papias. 
Pape. 
Papoul. 
Pardoux. 
Päquier, Pas 
case, 
Paschatl. 
Pasteur. 
Patöre. 
Pater. 
Paterne. 
Patrix. 
Parrice. 
Patre. 
Patrocle. > 
Paulin. 
Paul. 
Pierre. 
Pierrot. 
Pe&lage. 
Pepin. 
Pertgrin. 
Pelerin. 
Perpötue. 
Perpete. 
Perse. 
Pötrarque. 
Phaäton. 
Phebus. 
Pbilbert. 
Philibert. 
Philippe. 
Philon. 
Philomädne. 
Phinde. 
Pilate. 
Pindare. 
Pie. 
Pirame. 
Placide. 
Platon. 
Plaute. 
Pline. 
Plutarque. 
Pode. 
Polien. 
Pollion. 
Polle, Pol. 
Polybe. 
Polycarpe. 
Polydore. 
Polyph&me. 
Pomp6e. 
Pontien. 
Pourgain. 
Ponc#, Pons. 
Portien. 
Porphyre, 
Possidoniug. 


1236 


Presidio. 
Pretextato. 
Priamo. 
Priapo. 
Primo. 
Prisciano. 
Priscilliano. 
Prisco. 
Probo. 
Procöpio. 
Promeiheu. 
Prospero. 
Protäsio. 
Proteu. 
Prudeneio. 
Piolomeu. 
Püblio. 
Py’ramo. 
Py’rcho. 
Pyihägor. 


Pallddia. 
Pallas. 
Pandora. 
Paschasia. 
Patricia. 
Paula. 
Paulina. 
Pelägia. 
Perpetua. 


Petronilha. 


Philippa. 
Philomena. 
Polymnia. 
Praxddes. 
Prisca. 
Priscitla. 
Proserpina. 
Pulcheria. 


Quadrate. 
Quintiliano, 


Quintino. 


Quinto-Curelo. 


Quirino. 


gYQuintilha, 
Quitsria. 
Quitte. 


‘’ 
Prasidius. Pröside. 
Pratextalus. Pretextal. 
Priamus. Priam. 
Priapus. Priape. 
Primus. Prime. 
Priscianus. Priscien. 
Priseillianus. Priseillien. 
Priscus. Prisque. 
Probus. Probe. 
Procopius. Procope. 
Promelheus. Promäthe6e. 
Prosper. Prosper. 
Protasius. Protais. 
Proteus. Proise. 
Prudentius. Prudenee. 
Pilolomeus. Ptolomde. 
Publius. Publie. 
Pyramus. Pyrame. 
Pyrrhus. Pyrrhus. 
Pythagoras. Pythagore. 
Noms fdminins. 
Palladia. Pallade. 
Pallas. Pallas. 
Pandora. Pandore. 
Paschasia. Paschase. 
Patricia. Patrice. 
Paula. Paule, 
Paulina, Pauline. 
Pelagie. Pelagie. 
Perpeina. Perpeötue. 
Pätronille. 
Peironilla. | Perrine. 
Perrette. 
Pkiligpa, Philippe. 
Philomena. Philomene. 
Polymnia, Polymnie. 
Praxedes. Praxöde, 
Prisce. Prisque. 
Prisecilla. Prisciile. 
Proserpina. Proserpine. 
Puticheria. Pulcherie, 
Q. 
Noms maseulins, 
Quadralus. Quadrat. 
Quintilianus. Quintilien. 
Quentin. 
Q iams. Quintin. 
Quinius Curtius. Quinte-Curce. 
Qwirinus. Quirin. 
Noms fdminins. 
Quintilla. Quintille. 
. Quitere. 
Quiteris. Quiterie, 
Qwilia. Quitte. 


VOCABULAIRE. 


Radamantho, 
Radulpho, 
Ramiro. 
Ranulpho. 


Raymundo,. 
Reginaldo. 
Regulo. 
Reinaldo. 
Remigio. 
Renäto. 
Ricardo. 
Richario. 
Rigulo. 
Roberto. 
Rodolpho. 


Rodrigo. 


Rogerio. 
Rolando. 
Roldäo. 
Romäßö, 
Romualdo. 


Röque. 
Ruffino. 
Ruffo. 
Rußllo. 
Rumualdo. 
Rüstico. 


Radegandes. 
Re 


Reparäts. 


Restituta, 
Ricasda. 
Rita. 
Romana. 
Rosa. 
Rosalia. 
Ruifina. 
Rustica. 


Sabas. 
Sabımo. 
Sy 5or. 


R. 
Noms masculins. 
Radamantinı. nadanastbe 
Rodulphus, r uiphe. 
Radkirus. Ramire. 
Ranalpbe. 
Renulphus. | 
Reymundus. Raymond. 
Reginaldus. Rensud. 
Regulus. Reole , Bienie 
Rainaldus. Beynaulı. 
Remigius. Remy. 
Benstus. Bene. 
Richardus. Richard. 
Rigulus. Rienl. 
Robertus. Robert, 
Rodolphus. Rodelphe. 
Rudry. 
Rodsricus. Taster B- 
drigw. 
Rogerius. Boger. 

} Bolendus. Roland. 
Romanus. Roms. 
Rommaldus. Remus. 
Romulss Renuik. 

" Bemules. 
Rochus. Boch. 
Rufinus. Rafıe. 
Pe alle Iaeı Lale. 

us. . 
Rumualdus. ae. 
Rusticus. Rustique. 
Noms [dninins. 
Radegonda. Radegonde. 
Rebecca, Rebecca. 
Rıperat a. preied 
Restituie. Bestie. 
Richardis. Bichssds 
Rita. Rite. 
Romans. Reossime. 
Rosa. Bes. 
Rosalia. Besalie. 
Rufina. Rufine. 
Rustica, Ruztigus. 
S. 

Noms masculias. 
Sabas. Sabes. 
Saebinus. Saba, sm. 
Sador. Sadee, Set. 





Salomäd. 
Salustio. 

Salvador. 
Salviano. 
Salvino. 


Syivio. 


S:ıınsäd, 
S.ımuel. 
Sanclıo. 


Saurdanapalo. 


£alurnıno. 


Saturno. 
Salyro. 
Saviniano. 
Sebastiäo. 
Semprönio. 
Beneca. 
Septimo. 
Seraphino. 
Serapiäd, 
Sereno. 
Sergio. 
Servaio. 
Serrio. 
Servulo. 


Severino. 
Severe. 
Sidonio. 


Sidronio. 
Sifredo. 
Sigirano. 
Sigismundo. 
Silvano. 
Silverio. 
Silvino. 
Simäd. 
Simeäo. 
Similiano. 
Simönides. 
Simphorlano. 
Simplieio. 


Sindulpho, 
Sirioio. 
Sirino. 


Sisenando. 
Sixto. 
Sophocles. 
Sophonias. 
Sotero. 
Sozimo. 
Stacio. 


Salomon. 
Sallustius, 
Salvator. 
Salvianus. 
Salvinus. 


Saloius. 


Sumson. 
Samuel. 


Sancius, Saneio. Sanche. 
Santiago. V. Thiago. 


Sardanapalus. 


Salturninus. 


Saturnus. 
Salyrus. 
Savinianus. 
Sebastianus. 
Sempronius. 
Seneca. 
Septimus. 
Seraphinus. 
Serapion. 
Serenus. 


Sigiranus, 


Sigismundus. 


Silvanus. . 
Silverws. 
Silvinus. 
Simon. 
Simeon. 
Similiamus. 
Simonides. 


Symphorianus. 


Simplicius. 
Sindulphus. 
Sirenus. 


Sisenandus. 
Sisctes. 
Sopkocles. 
Sophonias 
Soter. 
Sozimus. 
Stelius. 


VOCABULAIRE. 
Salomon. Sulpieio. 
Salluste. 2: 
Sauveur. Suplicio. 
Salvian. Sylvestre. 
Salvin. Sylvio. 
Saire. Synesio. 

(Saure Syro. 
Sauge. 
Samson. 
Samuel. 
Sardanapale. Sabina. 
Saturnin. Salustia. 
Sorlin. Sancha. 
Servin. Saturnina. 
Seroin. Sebastiana. 
Savorin. Senhorinha, 
Savin. Serapbina. 
Salurne. vor@. 
Silvia. 
Satur, Satyre. Sita. 
Sayinien. Sophia. 
Stbastien. Sasana. 
Semprone. 
Söndque. 
Septime. 
Seraphin. 
Sörapion. 
Serein. 
Bere: 
Servais. 
m [Ten 
Serralk. Täntalo. 
Serrin-. Tarquino. 
Sevöre ,Sever. Tel&maco. 
Tel&sphoro. 
Sidoine. 
| Sıdon. Teofredo. 
Sins j Tertulliano. 
Sigismond. Thaden. 
Silver, Themistocles. 
Silvin. Theobatso. 
. Th 0. 
Shmeon. Theodefr&do. 
Semblain. Theodemiro. 
Simonide. Theodoreto. 
Symphorien. | Theodorico. 
Simplice. 
Sendulphe. Theodoro. 
Sandou. a 
Sirice. ulo. 
Sirene. Theodulphe. 
Cerneuil. 
Sisenand. aa eaate 
Sixte. eopbr: . 
Sophocle. Theseu. 
Sophonie. Tolaen- 
Sotere. omas. 
Zozime. Thome- . 
Stace. Thucy’dides. 


Sulpicius. 


Sylvester. 
Syloius. 
Synesius, 
Syrus. 


Noms füminins. 


Sabina. 
Salome. 
Salustie. 
Sancie. 
Salurnina. 
. Sebastiana. 
Senorina. 
Seraphina. 
Severa. 
Silvie. 
Zite. 
Sopkia. 
Susanna. 


T. 


Noms masculins. 


Tatianus. 
Tacitus. 
Tantalus. 
Torquinius 
Telemachus, 
Telesphorws. 
Teofredus. 
Tertius. 
Terenfius. 
Tertullianus. 


T heseus. 
Jacobus. 

| Thomss. 
T hucydides. 


1237 


Sulpice. 
Supplice. 
Souplis. 
Sylvestre, 
Selrve. 
Synee. 
Syre. 


Sabine. 
Salome. 
Saluste. 
Sanche. 
Saturnine. 
Sebasslienne, 
Senorine. 
Seraphine, 
Sevöre. 
Sylvie. 
Zite. 
Sophie. 
Suzanne, 


Tatien. 
Tacite. 
Tantale, 
Tarquin. 
Tel&maque, 
Telesphore, 
Chafre. 
Tieorce. 
Terence, 
Tertullien. 
Thadee,. 
Tbale. 
Themistocle, 


- Thibauld. 


Theodat. 
Theodefroy. 
Theodemir. 
Thöodoret. 

{ Theodoric. 
Tbierry. 
Theodore. 
Theodose. 
Thöodule. 
Theodulphe, 

Tbiou. 
Theophile, 
Theophraste, 
Theste,. 
Jacques. L 


Thomas. 
Thucydide. 





9238 


Thuderio. 
Thyrso. 
Tibero. 
Tibullo. 
Tiburcio. 
Timötheo. 
Tito. 
Tobias. 
Torcato. 
Troilo. 


Turiano. 


Turibio. 
Tussano. 
Ty'ndaro. 


Thäls. 
Thecia. 
Theodora. 
Theöphila. 
Theresa. 
Triphonia. 


Ulrioa. 
Umbelina. 
Urania. 
Urröca. 
Ursula. 


Valdomiro. 


Valente. 
Valenıim. 
Valentino. 
Valeriane. 
Valerico. 


Noms masıulins. 


Baldomeres. 
Valons 


| Valentlinus. 


Valerianus. 
Valerieus. 


Theuder. 





Thyrse. Valerio. 
Tibere. Veillsbde. ' 
ae Venancio. 
Timotböe. Venceslau. 
Tite, Titus. Venelreode. 
Tobie. Verissime. 
Torquat. Vespasiane. 
Trolle. Vicente. 
Tarien. Victor. 
Tyry. Victorino. 
Turibie. Vigiberte. 
Tougsaint, Vilfredo. 
Tyndare. Virgilio. 
Vital. 
Vito. 
Vitruvio. 
Thals. Viviano 
Thöcle 
Theoodore. 
Theopbile. 
Therese. '. Valentina. 
Tripheine. Valeria. 
Veroniee. 
Viblana 
Victoria 
Victorina. 
Viridiana. 
Übald. Virginia, 
Ulpite. . 
Ulrio, 
Ulysse. . 
ah sin . Xavier. 
Urie. Alste. 
Ursin. \ .. 
Urse, 
Usmer. 
Y’vo. 
Ulrique. 
Umbeline. 
Uranie. 

Urraque. Zacharıas 
Ursul . 
raue Zachen. 

Zene. 
Zenobie. 
Zephirino. 
Zoreasis®. 
Zö6simo. 
Volodimer. 
Valent. 
Valentin. Zen obia. 
Valerien. Zephirina. 
Valtri. Zoe. 


FIN DU_VOCABULAIBE. 


Valdre, 


Valier. 
Yaufroy. 
Venance. 
Venant. 
Venesslss. 
Venfrey. 
Verissime. 
Vespssien. 
Vincent. 
Vieter. 
Vieterin. 


Vigbert. 
Vilfrid. 
Virgile. 
Yital. 
Vie. 
Vie. 
Yirien.